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NOUVELLE
GRAMMAIRE ALLEMANDE
contenant
OUTRE LES PRINCIPALES RÈGLES DE LA
LANGUE ALLEMANDE
DES THÈMES, DES LECTURES ET DES CONVERSATIONS
d'après nue métbode
A LA POIS THÉORIQUE ET PRATIQUÉ
EMILE OJTO,
t Docteur en philosophie et Professeur de langues modernes
à rUnlyersité de Heidelbérg. kè^^^*^^
Revue
À. Manron, \> ^^
Dr et Professeur en philosophie. ^^Vr?^^
Longum iter est per prcueepia,
Brève et efficetx ver exempûu
Sénèque.
QUINZIÈME ÉDITION,
* ■»
t J ■J ^
^ ;-'
PARIS.
BOYVBÀn et GHEVILLBT, 22B.d.I3anque. A. JEÀNDÉ. U et 76 Bfifi ^e J&efinM.
G. FI80BBAGHEB, 88 Rue de Seine. H. LE80UDIEB,174&176BoulBt.<3!^ràiiiiu
HAAB h STEINEBT, 21 B ue Jac ob. M£6ML-DKAMABD&Gil,46RÛ6JfUï^b.
FB. VIEWBO, 67 Bue I^ohelleu. •- *
NANCY.
SIDOT FBÈBES.
QENÈVE.
B. BUBKHABDT, 2 Place du Molard.
OEOBG à de., 12 Ck>rraterle.
H. 8TAPELM0HB, 24 Corraterie.
LAUSANNE.
B. BENDÂ, 3 Bue Centrale.
TBYKT, MONTREUZ, TEKRITBT.
Émit* aekleeingtr.
BRUXELLES. î'^ooi •
KIESSLINa k Oie., 72 Mo^tagiLe ^e^l&OdU.
LEBÈGUE k Oie.. 46 Bué de la lif aclelêlne.
BOOIÉTÉ BELGE DE LIBBAIBIB,
rO. 8CHEPEN8 Dinetenr), 16 Rne Trearenbarf.
ANVERS.
O. FOBg r, 69 P lace de Melr.
M. KOBKIOEEE (1£AX BUEF),
87 Place de Melr.
HEIDELBERG.
JULES GROOSy Éditeur.
1897.
v/
Iv
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I
24'-
1 I
Le BonsBignë a seul le droit d'imprimer et de publier les livres
composés d'après la méthode Gaspey-iHto-Sauer. n apportera les
plus grands soins à les perfectionner sans cesse. Tons les droits
sont réservés, môme ceux d'éditer de nouveaux ouvrages rédigés
d'après la susdite méthode. B poursuivra, en vertu des lois, décrets
et traités internationaux, toute contrefaçon et toute traduction faites
au mépris de ses droits. Il sera reconnaissant à quiconque lui
fera des communications à cet égard.
Heidelberg. Julef CirOOIy Éditeur.
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• • • •
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Préface de la sixième édition.
Les rtipports de pins en pins fréquents entre la
f^nce et rAllemagne n'ont pa rester sans influence sur
Tétude de rallemand. Les Français éprouvent le besoin
de comprendre et de parler la langue de leurs voisins
d'outre-Rhin.
Ce ne sont plus seulement, comme autrefois, les
savanùSf qui veulent étudier les trésors de la IMércxtwre
allemande. Le désir de savoir cette langue s'est vulga-
risé en France par Taccroissement considérable des rela-
tions internationales; un plus grand nombre de gens songent
à se familiariser avec la littérature allemande classique
et moderne; non content de lire les auteurs. Ton veut,
dans les publications périodiques de TAllemagne, suivre
la marche de l'économie politique, des progrès du com-
merce et de l'industrie des divers Etats. Par elles le
n^ociant français est plus sûr de sa correspondance;
l'industriel connaît mieux les sources de richesse et les
débouchés de ses propres produits; l'homme de lettres peut
mettre à profit les travaux scientifiques de ses collègues.
Cet état de choses pourra bien justifier la publication
d'une nouvelle Grammaire allemande dont la méthode
diffère passablement de celle suivie jusqu'ici, en vertu de
laquelle les grammaires, conçues à un point de vue plus
ou moins philologique, étaient basées sur la forme usuelle
des grammaires latines et grecques.
Nous rendons toutefois pleine justice aux auteurs dont
les travaux ont considérablement facilité aux Français
l'étude de la langue et frayé le chemin à leurs succès-
IV Préface.
seurs, mais, aujourd'hui Ton veut apprendre plus vite
qu'autrefois, et notre épigraphe: T^hngum iter est per
praecepta, brève et, efficox per exempla<, voit augmenter
de jour en jour le nombre de ses adhérents et, par consé-
quent, des adversaires déclarés de la méthode purement
synthétique.
Encouragé par le succès d'une Grammaire française
à l'usage des Allemands, qui a eu en peu de temps les
honneurs d'une vingtième*) édition, et d'une Grammaire
allemande à l'usage des Anglais, dont la douzième*'^) édi-
tion vient d'être publiée, l'auteur de ce livre, qui s'est
consacré à l'enseignement des langues modernes, a aussi
composé, en 1857, à l'usage des Français, la présente
Grammaire allemande, diaprés cette méthode à la fois
théorique et pratique dont on publie aujourd'hui déjà la
sixième édition.***)
Nous connaissons bien les méthodes Jacotot, HamUton,
Ollendorff etc., visant à l'usage pour ainsi dire brut de
la langue; mais elles nous semblent seulement appro-
priées aux personnes qui, privées d'une éducation solide
et sérieuse, ne cherchent qu'à s'exprimer superficiellement.
Ces méthodes ne donnent à l'élève aucune idée claire du
système de la langue, chose indispensable à qui veut la
comprendre complètement; elles ne peuvent s'adresser aux
collèges et aux institutions où l'enseignement tend, non
à styler à la lettre, mais à former méthodiquement les
jeunes intelligences.
Une instruction théorique restera toujours la base
nécessaire de tout bon enseignement. Mais cette étude
*) Otto, FranzOsische Oonversations-Grammatik. 25*^°^® éd.
**) Otto, German Oonversation-Grammar. 26*^i»^ éd.
***) Qa*il soit permis d'ajouter ici que Tauteur, à la demande
de plusieurs professeurs d*allemaiid, a publié aussi une PetUe
Qram/nuUre àUemande tilyrégée à Vusatge des commençants.
71ème éd.
Préface. V
systématiqne doit être absolameot complétée par des
exercices pratiqtœs, qai fassent appel toar à tonr on si-
mnltanément aux yenx, à Toreille, à la mémoire, à Tin-
telligence de relève, stimulent et entretiennent son ardeur
et le poussent lui-même à la lecture et à la conversation.
>Dans toutes les sciences, la théorie, sans une pratique
continue, est fort peu de chose; mais Tune et Tautre réu-
nies mènent à la perfection. «
Tels sont les principes qui nous ont guidé dans le
présent travail. Tout le livre est divisé en ^^Leçans^^
liées par un rapport systématique et formant un ensemble
complet. Un certain nombre de points d'arrêt ofirent à
rélève Tavantage de voir à chaque moment et d'un coup
d'oeil le chemin parcouru et à parcourir encore, * de ra-
fraîchir le souvenir de ce qui a pu lui échapper, et surtout
de soutenir son zèle en lui faisant sentir que même
le peu qu'il sait, peut déjà trouver une application; en
effet, au bout de quelques mois et longtemps avant d'arriver
à la fin de ce livre, l'élève aura le plaisir de savoir lire
et de comprendre de petits morceaux de lecture allemande
et d'exprimer sa pensée avec quelque assurance; ainsi, à
mesure qu'il avancera, il verra s'étendre le cercle de ses
connaissances.
Cette division en Leçons offre encore un avantage
considérable au m^tre, c'est celui de n'avoir pas besoin
d'une étude spéciale pour se familiariser avec la marche
à suivre; il en est de même pour les tâches à donner:
elles sont toutes tracées, le professeur n'a pour ainsi dire
qu'à en faciliter la préparation et à en surveiller l'exécu-
tion dans les détails. Nous croyons inutile d'ajouter que la
>Leçon« n'est ici qu'une simple division, un chapitre, et
non une besogne à terminer en une heure. Le maître y
consacrera autant de temps ou de leçons qu'il le jugera à
propos, selon les circonstances; dans de pareilles études
rien n'est plus nuisible aux véritables progrès qu'une trop
grande précipitation.
VI Préface.
Les diyerses parties du discours sont rangées dans
Tordre indiqué par les exigences de Tétnde et non suivant
la classification traditionnelle des grammaires latines. Les
langues mortes peuvent s'accommoder de systèmes ardus
et compliqués, mais les langues vivantes exigent des mé-
thodes naturelles, simples et fécondes.
Chaque leçon ou chapitre se compose: 1) d'une eoc^
positiofi claire des formes de la partie du discours
qui en est l'objet, de quelques règles et exemples accom-
plies, lorsqu'il y a lieu, de courtes explications; 2) d'un
eocercice oMema/nd, où les diverses formes contenues
dans les paradigmes sont présentées dans de petites pro-
positions avec d'autres parties du discours déjà connues,
ou expliquées entre parenthèses; 3) d'un thème, dans
lequel l'élève appliquera d'abord verbalement avec le maî-
tre, puis seul, par écrit, les formes qu'il vient d'apprendre
et celles qu'il a déjà acquises; 4) du voeaJnilaire, qui
se trouve toujours en tête du thème; nous croyons que
cette disposition facilite notablement l'étude de mots nou-
veaux, tandis qu'avec la méthode ordinaire des renvois
au bas de la page, ces mots échappent à demi aux yeux
et sont d'une recherche sinon pénible, du moins ennu-
yeuse; ne jouant qu'un rôle secondaire et passager, ils
sortent de la mémoire avec leurs applications et font
ainsi complètement manquer le but de l'exercice; 5) d'une
petite conversation allemande, qui suit chaque
thème et résume pour ainsi dire toute la leçon. Les
formes, racines et terminaisons des mots, les idées et les
propositions y sont succinctement retracées et constituent
un excellent exercice pour l'oreille et la langue, la mé-
moire et le jugement.
Une fois arrivé à la 17*^™® leçon, l'élève verra s'élargir
le champ de ses études par de petits morceaux de
lecture allemande d'un ensemble plus harmonieux et
offrant plus d'attrait à son intelligence. A l'aide des
explications qui les accompagnent, l'élève cherchera à les
Préfooe. Vn
comprendre, à les traduire, et quelque temps après, à les
retraduire du français en allemand.
La seconde partiede la Grammaire renferme les règles
de Sifntaxe nécessaires à Tintelligence et à la pratique
de la langue usuelle. Toutes les subtilités ou explications
inutiles ont été soigneusement évitées pour mettre le
livre, ainsi allégé d*un bagage aussi superflu qu'embarras^^
sant, à la portée des jeunes gens auxquels il est destiné.
On a remplacé dans cette seconde partie les simples
Conversations par des JUarceatix de lecture plus con-
sidérables, suivis de ^ QuestUm/naires en allemand»
fournissant à Télève Toccasion de chercher dans le texte
même les matériaux de la réponse.
La première et la seconde partie sont suivies d'Mxer'*
cices généraux de traduction allemande, consistant
en (Questions et en Béponses faciles, en Anecdotes, Fables et
Narrations. Il n'est pas besoin de les réserver jusqu'à la
fin du cours; on pourra utiliser les 10 premiers numéros
dès la 24ième leçon et même plus tôt.
Nous avons du exclure les dialogues proprements dits,
vu le nombre considérable de livres de tout format qui
sont spécialement consacrés à ce genre d'exercice.
L'ouvrage est terminé par un ^appendke^ contenant
un Choix de poésies de différents genres avec
indication des noms des auteurs et avec des notes expli-
catives; l'élève y trouvera à la fois une lecture attrayante
et des pièces éminemment propres à des exercices de
mémoire.
Enfin pour familiariser l'élève avec l'écriture alle-
mande, on a annexé deux tableaux modèles.
Nous sommes loin de croire ce petit ouvrage exempt
de défauts; nous serons donc reconnaissant aux personnes
qui voudront bien nous signaler telle ou telle imperfection
qui pourrait s'y être glissée, et nous ne manquerons pas
d'adopter les observations fondées. Qu'il nous soit permis
Vm Préface.
d^autre part de déclarer à cette occasion que nous ne pré-
tendons pas fournir un Cours complet de langue allemande;
oe ne serait guère possible, vu les modestes proportions
et le prix modique de cet ouvrage.
Sur le désir de plusieurs professeurs d*allemand nous
avons introduit assez tôt de petits morceaux faciles, of-
frant l'avantage d'intéresser l'élève et de lui donner con-
science des progrès accomplis, l'exerçant à deviner les
mots nouveaux par la simple lecture du contexte, et four-
nissant au maître le sujet d'une conversation suivie^ ce
qui introduit une nouvelle variété dans le travail de la
classe.
Par les deux Vocabulaires, allemand-français et
français-allemand, nous croyons avoir rendu un grand
service aux élèves, en les dispensant d'acheter un diction-
naire ou de feuilleter peut-être la moitié du livre pour
retrouver un mot échappé à leur mémoire. Nous croyons
néanmoins devoir insister sur un point: c'est que les petits
vocabulaires qui précèdent les thèmes, soient bien appris
et repassés de temps en temps, et que les Vocabulaires
alphabétiques à la fin du livre ne soient considérés que
comme moyen subsidiaire et secondaire.
L'addition d'une ,,TaMe alphabéMqtie des ma--
tières^^ mettra l'élève en état de trouver sans délai les
règles ou les expressions dont il a besoin.
Pour faciliter encore l'usage de cette grammaire à
ceux qui ne peuvent avoir un bon maître, nous avons
publié, l'année dernière, un ,, Corrigé des thèmes^^,
contenant la traduction de tous les thèmes, et des notes
explicatives sur les poésies contenues dans ^VAppendice€.
Nous prenons encore la liberté d'attirer l'attention de
MM. les professeurs sur deux petits ouvrages publiés
récemment pour faciliter l'étude de l'allemand: 1. Lectu^
Préface. IX
res aUemandes, en 3 parties, contenant des anecdotes,
fables, traits de caractère, historiettes etc., des poésies et
des pièces diverses; enfin des comédies allemandes,
accompagnées de notes explicatives et d'an vocabnlaire.
2. Conversations allemandes, nouveau guide métiKh
digue pour apprendre à parler allemand.
Si par ses efforts il pouvait contribuer à la propa-
gation de Tétude de sa langue maternelle, à Taffaiblisse-
ment de quelques préjugés dont elle souffre encore, Tau-
tenr s'estimerait heureux et amplement récompensé de
son travail.
Préface de la nouvelle édition.
Il n'était guère possible d'introduire des changements
considérables dans cette nouvelle édition sans troubler
l'économie du livre ou sans en modifier le caractère; le
soussigné, spécialement chargé de la révision, y a cepen-
dant apporté les plus grands soins; mainte erreur ou
incorrection a été élaguée; plus d'une amélioration a été
faite; nombre de règles ont pu être mieux précisées; plu-
sieurs modifications sont dues aux observations judicieuses de
M M. les Professeurs Sillem et Vulliemin à Lausanne,
auxquels à ce titre nous adressons nos vifs remerciements.
Par la même occasion il a été tenu compte de V orthographe
nouvelle, aujourd'hui généralement adoptée en Allemagne
dans les écoles et dans la presse, etc.
Dans ces conditions l'ouvrage correspondra, nous l'es-
pérons, d'autant mieux à son but, et méritera de plus en
plus la faveur qui l'a accompagné jusqu'ici.
Constance.
JD^ Mauran.
Table des matières.
Première Partie* — Lexleologle.
De la prononciation.
Alphabet . . . .
Prononciation des voyelles .
Prononciation des consonnes
Accent tonique
Durée des sons .
Morceau de lecture
Des parties du discours
1. Leçon. De Tarticle
2. .
t>. 1,
4.
6.
6.
7.
8.
9.
10.
11.
12.
13.
14.
15.
16.
17.
18.
19.
Déclinaison des articles
De la déclinaison des substantifs
Première déclinaison .
Deuxième déclinaison .
Troisième déclinaison
Quatrième déclinaison
Cinquième déclinaison
Les déclinaisons sous l'influence des prépositions
Irrégularités dans la formation du pluriel
Déclinaison des substantifs composés
Le sens partitif ....
Du genre des substantifs .
Des noms propres de personnes
Noms propres de pays, de villes etc.
Des adjectifs déterminatifs
Verbes auxiliaires, ^aben avoir
Verbes auxiliaires. @ein être .
Lecture: ^ie gfrau unb bte ^enne
Verbes auxiliaires. SBcrben devenir, être
Verbes 'auxiliaires modificatifs I5nnen, tootten,
foQen, tnûffen, m5gen, bfirfen
Lecture: lUesanber unb ^amtenio .
Pages
1
1
2
4
8
10
11
13
14
16
19
20
24
27
30
34
37
41
45
48
51
56
61
66
71
76
79
79
82
88
Table des matières.
XI
20. Leçon.
21.
22.
23.
24. ,
25. ,
26. .
27.
28.
29.
30.
31.
82.
33.
34.
35.
36.
37.
38.
39.
40.
9
9
Des adjectifs
Lecture: 9iom .
Des degrés de comparaison
Nombres cardinaux
Nombres ordinaux
Du verbe ....
Conjugaison d'un verbe régulier
Lecture: 5)cï SRorgen
Remarques spéciales sur les verbes réguliers
Lecture: 8fo|) .
Des pronoms
Pronoms personnels
Pronoms démonstratifs
Pronoms possessifs
Pronoms interrogatifs
Pronoms relatifs
Pronoms corrélatifs
Pronoms indéfinis
Nombres indéfinis
Lecture: @tn teurer J^o))f unb etn loo^lfetler
Du verbe passif ....
Des verbes irréguliers.
Première conjugaison
Lecture: ^er l^ungrige KraBet .
Deuxième conjugaison
Lecture: J^o§atu§Io§ $ferb
Troisième conjugaison
Lecture: ®ie Œrftnbung beS @lafe§
Quatrième conjugaison
Lecture: ^te $tene unb bie îaube
lAste alphabétique des verbes irréguliers
Des verbes inséparables . . •
Des verbes séparables ou composés .
Verbes tantôt séparables, tantôt inséparables
Lecture: î)cr @iro!fo
Verbes neutres ou intransitifs .
Lecture: ^er banfbare S5ioe .
Des verbes impersonnels .
Des verbes pronominaux (réfléchis)
Des adverbes ....
Lecture: ^te golbene ^ofe
Des prépositions ....
Pftgei
88
96
96
101
105
108
111
115
116
120
121
121
127
130
131
134
136
139
141
143
144
151
154
164
165
173
174
180
181
183
183
185
190
197
201
201
207
208
210
225
229
230
I
XII
Table des matières.
Lecture: 2)aS jerbrod^ene Çufeifen
41. Leçon. Des conjonctions ....
Lecture: ^le^anbet in Kfrtfa .
Des interjections ....
Exercices généraux. L Questions et réponses faciles
43.
44.
45.
46.
47.
48.
49.
50.
51.
52.
53.
(Fin.)
Seeonde Partie* — Syntaxe
42. Leçon. Usage spécial de Tarticle .
Omission de Tarticle
Lecture: ^ontaufter
„ Rapport et régime des substantifs
Lecture: îll^jl^onS V.
g Remarques sur les auxiliaires modificatifs
Lecture: ^te fe^S SB5riletn
„ Remarques sur remploi des pronoms
Lecture: ^aS bo))))eIte ^erbred^en
„ Emploi des temps de Tindicatif
Lecture: ?lu8 bem ficben ÇcinricJS IV.
„ Emploi du subjonctif ....
Discours indirect ....
Lecture: 2)ie 0c|)rilftc îreue
y Emploi de Tinfinitif ....
Lecture: ^ie ge))r&fte î^reue.
. DeB participes . . .
L Du participe présent
IL Du participe passé .
III. Du participe futur .
Lecture: j^mblt^e Stebe .
y Syntaxe des adjectifs
Lecture: î)er ^ann mit ber eiferncn ?Ko§!e
y Du régime des verbes
I. Verbes avec le nominatif
II. Verbes avec le datif .
m. Verbes qui régissent en allemand le génitif
IV. Verbes qui régissent une préposition
Lecture: 2)er SWann mit ber eiferncn 3RûSïe. (Fin)
„ Remarques sur l'emploi des prépositions .
Lecture: SufaS j^ranad^ ....
y De la construction allemande
L De la proposition simple ou principal
II. De la proposition complexe
De l'inversion
Pages
237
237
247
248
249
255
256
259
261
265
267
272
273
279
280
283
284
287
290
292
297
298
298
300
301
302
304
308
309
309
310
313
315
320
321
827
329
329
329
333
Table des matières. XJII
Pagei
III. De la proposition incidente . . 384
Lecture: ^te babtf^en 3f&ger in ÇerSfelb . . 336
54. Leçon. De la phrase composée 337
I. Propositions composées coordonnées . . 337
n. Propositions composées subordonnées . 338
Lecture: ^te babifd^en ^à%tx in Qetfifelb. (Fin.) 342
Exercices généraux. (Suite) 344
II. Anecdotes, fables et petits contes . . 349
Àppendioe«
Morceaux choisis de poésie allemande.
1. «cbidjtc 362—364
1. ^ie Sal^reSgeiien. 2. S)er Sfrit^ltng. 3. ^aS ^ftd^lein.
4. ^er toeige ^tfd^ 362
5. 2)er SItnbe unb bet Salante. 6. S)te %af>aUp\t\\t . 363
2. Sieber 365-369
1. ^et ed^Ute. 2. O^efunben 365
3. @4tt)eiser fiieber 366
4. BâjHa^ ein, mein Cet). 5. SBftd^terruf .... 367
6. %ti S)euif4en l9SaterIanb 368
3. Segenben, 9iontan)en unb ISallaben . . 369—375
1. SBarbûtoffa 369
2. î)eï ©dngcr 370
3. S)er erïtônifl 371
4. S)et 9itng beS ^ol^ttateS 372
5. «inbreaS Çofer 374
4. Sejtflebidjtc 376—383
1. 2)ie Çoffnung 376
2. gtagment auS bem „^Ht Don bei (Siocfe" . . . 376
5. S>ramaii{4e graernenie 383—386
1. ailonoloe auS ,9BtQelm ZtW 383
2. HttS Sd^iQetS ,3un0frau bon Crleanâ* ... 385
Yocabulaire 387
1. Partie allemande 387
2. Partie française 402
XIV
Table des matières.
Table alpliabétiqTie des matières.
(Les chiffres indiquent les pages du livre; ib. signifie: à la
même page,)
A. ploi de r— défini, 255; — indé-
W>, particule séparable, p. 191. fini, 257 ; — partitif, 48 & 256, 6.
Accent tonique, 9 & 10. Attribut, 304.
Accord des adjectifs, 15 n. 2. & Auxiliaires (verbes), 70-81.
304.
Accusatif, après les adjectifs, 305; ^*
— régime des verbes actifs, 309; Cas, 20.
— après des prépositions, 230. Comparatif, — des adjectifs, 96?
Actifs (verbes), 108 et suiv. — des adverbes, 227.
Adjectif, 89, — invariable, 88, 2; Complément (ou régime) des sub-
variable, 89, 3; déclinaison
de r — , 89 et suiv.
Adjectifs, — déterminatifs, 66; —
démonstratifs, 66; — possessifs,
67; — interrogatifs, 66; — in-
définis, 68; — composés, 94,
NB,; accord des —, 304; ré-
gime des — , 304; — qui gou-
vernent l'accusatif 305, le géni-
tif, 306; le datif, 305.
Adj. numéraux, 101.
Adoucissement de la voyelle au
pluriel des substantifs, 20, 27
& 35; — au comparatif et au
superlatif, 97 ; — h, Vimparfait
du subjonctif dans les verbes
irréguliers 152.
Adverbes, 220; — de lieu, 221; —
de temps, 222; — de manière
on de qualité, 221 ; — de quan-
tité, 225; — d'interrogation, 226;
— d*afflrmation; ib, — de né-
gation, ib, ; — de doute, ib. ; de-
grés de comparaison des — , 227.
Alphabet allemand, 3.
KlS ob ou loenn 244.
stantifs, 262—265; — des ad-
jectifs, 304. —
Composés (substantifs) 45 ; verbes
— 190.
Conditionnel, 111.
Conjonctions, 237;. — coordinati-
ves, 238 ; — adverbiales, ib.; —
transpositivessimples, 240 — 48;
— composées, 244; — relati-
ves, 245.
Conjugaison des auxiliaires:fetn76;
— l^ûben, 71; — werben, 79; —
des verbes réguliers, 110; —
réfléchis, 215; — passifs, 144; —
neutres, 201 ; — impersonnels,
208; —irréguliers, 151—185;—
séparables, 190; — inséparables,
185; — tantôt séparables,tantôt
inséparables, 197.
Consonnes, 6 & 7.
Construction, ses règles, 73 & 329.
D.
Datif régi par les adjectifs, 305;
— par les verbes, 310; — par
les prépositions, 37 & 231.
Altération de la voyelle radicale T^^ t • j u^ x'i?
^«« ^«.1.^- ;^.^«,,i;o^« itcQ Déclmaison du nom ou substantif,
19; première — 20 ; seconde —
des verbes irréguliers, 153.
9(n et au^, prép., 39, 231, 233 &
315 & 316.
Wx, particule séparable, 191.
Apposition 257.
Article, 14; déclinaison de 1'- I^egrés de compar., 96.
défini, 16; — indéfini, ib. em- ©ûrfen, 86 & 271.
24 ; troisième — 27; quatrième
— , 30; cinquième — , 34; — des
noms propres, 56; — des noms
propres de pays, de villes etc.,61
Table des matiëres.
XV
B.
<ititanbeT, 139.
En, Gén., 128, 2).
Faire, comment le traduire, 268, 2.
n fait, 210. 4.
n faut, 85, 212, 9).
Sfiit^ien, 286, 2.
Formation des temps, 110 & 111.
Futur, 111 & 282.
a.
^t, augment, 111, 186—7, 190;
— préfixe insép. 186.
Grénitif, emploi du — , 261 ; — régi
Ï^ar les adjectifs, 306; — par
es verbes, 313; — par les pré-
positions, 233.
Genres des substantifis, 51.
®crn (effeti îc.) = aimer, 227, 1.
(&xtf>t, eS, V. impers,, 209.
I.
3n, prép,, 39, 233 & 316.
n y a, t?. imp,, 209; prép. 233.
Imparfait, — de Vindicatif, 110;
son emploi, 281 ; — du subjonct.
285 & 287; — dans les verbes
irréguliers, 152.
Impératif, 111 & 289.
Impersonnels (verbes appelés),
208—213.
Indicatif, son emploi, 280 — 2.
Infinitif, sans ju, 292; — avec ju,
294; — employé substantive-
ment, 292; — au lieu du parti-
cipe, 86, 8) et 292, 3).
Inséparables, particules, 186.
Interjections, 248.
Interrogatifs (adjectifs), 66; pro-
noms — 131.
Interrogation (adverbes d*), 226, 5.
Intransitifs (verbes), 201—205.
Inversion, 333.
Irrégularités du pluriel des sub-
stantifs, 41.
Irréguliers (verbes), 151—185.
L.
Saffen, 86, Obs. 1); 171 A 268.
Lettres (prononciation et classi*
fication des), 3—8.
Liste alphabétique des verbes
irréguUers, 18®.
Même, felbjt, 123, 3) à 139.
ÎRetften, bic, 68, § 4 & 141.
Mots ou parties du discours, 13 s
— composés, 45 & 261, 2) & 3).
ansgen, 85 & 267.
^Uffen, 85 & 269.
H.
Négations, 226.
Neutres (verbes), 201—205.
Nombres, — cardinaux, 101; — or-
dinaux, 105; multiplicatifs 103;
— collectifs, 102, 2; — distri-
butifs, 102, 3; — fraction-
naires, 105. [309.
Nominatif après certains verbes,
Noms propres, — de personnes,
56, — de pays etc., 61.
P.
Parfait, formation du — 111;
emploi, 281.
Participe, emploi du — présent,
298; — passé, 300, — futur, 301.
Particules inséparables, 186; -^
séparables, 191.
Parties du discours, 13.
Partitif (sens), 48 et 264, 4.
Place des ad^jectifs, 89, 3.
Passif, 144 & 147.
Pluriel des subst. en t, 27; — en
n ou en, 31; — en et, 35.
Pluriel irrégulier des noms ou
substantifs, 41 — 43.
Plus-que-parfait, son emploi, 281,
Plupart, la, 68, § 4; & 141. [4.
Possessifs, adjectifs — , 67; pro-»
noms— 130; leur emploi 274, II,
XVI
Table des matières.
Prépositions, 37 & 230; — con-
tractées avec l'article, 39; em-
ploi des —, 315—319 et 321
-326.
Prépositions régies par des verbes,
315—319.
Présent de l'indicatif, son emploi,
280.
Pronoms, — personnels 121 ,273; —
démonstratifs, 127; — posses-
sifs, 130 & 274 ; — interroga-
tifs, 131 — 275; - indéfinis, 139
&277; — relatifs, 134 & 276.
— corrélatifs 136.
Prononciation, 4 — 8.
Proposition, — simple, 329; —
complexe, 329, II; — incidente,
334; — composée 337.
Q.
Quand toann et rotrm, 242.
Quelque — que, 244.
R.
Réfléchis (verbes), 215.
Régime, voyez Complément XTV.
Régime des verbes 309.
Relatifs (pronoms), 134 & 275.
S.
©elbft, 123, 3).
Séparables (particules), 191 & 193.
Si = tocnn, 242 ; si = ob, 243.
Bxâi, pron. réfl., 122 & 215.
@oaen, 84 & 269.
Subjonctif, 110; — son emploi,
284—290.
Substantifs 19 & 261 ; — composés,
45 & 261; genre des — , 53;
. pluriel des —, 20—48; rapport
et régime des —, 261.
Substantivement (mots employés),
93, 4; 94, 5.
Superlatifs, — des adjectifs, 97;
— des adverbes 227.
Syntaxe des adj., 304.
T.
Table des désinences des substan-
tifs, 20; — des adjectifs, 89 —
94; — des verbes, 110 & 111.
Temps, — des verbes, 110; — com-
posés, 111; emploi des — k
l'indicatif, 280.
V.
Vaut (il) mieux, 210, 5.
Verbes auxiliaires: f^ahtn, 71; —
fcin, 76; — ttetbcn, 79.
Verbes modificatifs: f5nncn, 83 &
267; iDotten, 83; foûen, 84 & 269;
mtiffen, 85 & 269 : mbgen, 85 &
267; bilrfcn, 86 & 271.
Verbes, — régul. 110; — terminés
en ben, Un, gnen, etc., 117; —
actifs, 108; — pronominaux ou
réfléchis, 215; — passifs, 144;
— neutres, 201 ; — imperson-
nels, 208; — impersonnels k
forme passive, 213, § 10'.
Verbes irréguliers, 151; I. Conjug.,
154; IL Conj., 165; HL Conj.,
174; IV. Conj., 181; — compo-
sés, 190.
Verbes, — dérivés, 116; régime d.
— 309; — qui régissent le
nominatif, 309; un double ac-
cusatif, 310, 2; le datif, 310;
le génitif, 313; — construits
avec l'infinitif, 292, 3.
Son, emploi de, 263.
Voyelles, 4 & 5; û, o, u changées
en fi, 5, il: au comparatif et au
superlatif, 97; au pluriel des
substantifs, 20, § 1; 34, § 1;
à l'imparfait du subjonctif,
152; au présent de l'indicatif
des verbes irréguliers, 152.
W.
SBoQen, 83.
loorben, pour geloorben, 147, 2.
T.
Y, adverbe de lieu, 222; 1, 248,
Il y a, t?. imp,, 209.^
/:
^f:f^^:-^.a^L j^s:
m^ . . ?f ,
/ -
y
/V,
^^^^€^^^^^^1^ .^^::^^i^€i^'?^^U?-9^l^9^eà,
Bp,
oh, Ok, 88, BZ (88), 80h,
8t, th, tz.
?^:^.i^ ^ . .>" / ^: / <^ .^ ^
1) Lee oommeooemonts lont toi^oiin dlttoOM.
2) lA parole est d'argent, le sllenoe ait d'or.
8) Toat est bien qui finit bien.
De la prononciation.
•
§ 1.
Alphabet.
L'alphabet allemand
se compose de
26 lettres.
Forme.
Nom.
Forme.
Mom.
% a
à
%
n
enn
33, b
bée
O.
Ô
6, c
tsée
^.
P
pée
% b
dée
•o,
q
coû
6, e
ée
9i,
t
err
S, f
eff
©,
î,§,
ess
®, 9
gnée
%
t
tée
«>, ^
hà
u.
u
oâ
3, i
1
»,
t)
faon
% i
yott
ilii,
tti
vée
St, I
kâ
ae.
ï
ix
8, i
ell
?).
9
ipsylonn
m, m
emm
3,
â
tseti
§ 2. 8 se trouve à la fin des mots et des syllabes:
t>a§ <cela>. Ailleurs on emploie @, f: felbft [pron. zelpst]
«même». On écrit toujours fp, ji: SKifpel [mispZ] «nèfle»,
SHjlel [distZ] «chardon».
§ 3. Ligatures: â) (v. § 27), d, fe, |.
i s'emploie, après une voyelle brève, au lieu de H:
35li(ï «regard».
^, signe composé de f et de }, s'emploie au lieu de
f[ (1^) devant t et à la fin des mots simples, même
lorsqu'ils font partie d'un mot composé, et (2^) dans le
corps d'un mot, après une voyelle longue: lois! [lass~
«laisse», er lâjst [er lesst] «il laisse», de laffen [lassn^
«laisser»; (2^) SRa^en [mâçn], pluriel de SÎRag [mas
«mesure».
4, combinaison de t et de }, s'emploie après les
TOjelles brèves.
OTTO, Grammaire allemande. 1
2 Prononciation
§ 4. Plusieurs lettres de Talphabet se ressemblent
beaucoup; il faut donc, pour ne pas. les confondre, faire
bien attention à ce qui les distingue. Les voici:
» et 8; e et e; ft et 8t; A et 8t; O et C;
k et |; f et f; tl et t|; t et |; }f et t|«
§ 5. On met une majuscule au commencement de
tous les substantiis et de tous les mots employés sub-
stantivement: bet SRann «l'homme», ba§ 9ett «le lit».
§ 6. Les Allemands n'emploient pas d*accent écrit.
— Ils se servent du tréma (d, 5, fi) pour indiquer radou-
cissement des voyelles a, o, u. — Leurs guillemets se
placent ainsi: „bcr SKonn" «l'homme». — Us mettent
une virgule avant toute proposition qui commence par un
pronom relatif ou par une conjonction: ber SRann, bet ba
fi^t «l'homme qui est assis là».
Prononciation des voyelles,
1^ Voyelles simples.
§ 7. fl (a)^ long ou bref, a un son intermédiaire
entre Va de pâte et Va de patte, mais plus rapproché du
premier: (long, comme dans pâte) mal «fois», bar «nu»
— (bref, comme dans pas) lûnn «peux», fait [zat] «rassasié»,
fûji «presque».
fia (aa) et a| se prononcent comme a long: 9al
«anguille», @aût [zât] «semence»; 97ta^l «repas», Raffn
«bateau», mff «proche».^)
§ 8. @ (e) est fermé {é très prolongé^) lorsqu'il
est long, et ouvert (comme l'è de pèlerin ou Vé de méd^nj
lorsqu'il est bref: ^(S)d [chël «louche», \(Sftûtx^) fchvêr]
«lourd» — fdjned [chnel] «rapide», fcji «ferme».
@e (ee) et e| se prononcent comme e long: SBeei
«planche (de jardin)», ^e «fée», SReer «mer»; 3Jle^l
«farine», SRel^ «chevreuil», fcl^r «très».
1) Le français n*a pas de voyelle finale vraiment longue.
L*allemand n*a» an contraire, que des voyelles longues en pareil
cas. C^est Ik nne difficnltéi qu*il faut surmonter dis le début.
2) Le français n*a pas dV fermé vraiment long* Nous re^
présentons ce son par €.
3) En français, e, o et eu sont ouverts avant r (cher, car,
bonheur); en allemand, les sons longs correspondants (e, o, 5) sont
ferm^ avant cette consonne: fd^tcer, Xf^ox, em|)5ri.
des voyelles. 3
Bem. Dans les syllabes atones (y. § 40), e se prononce très
Mblement et k pen près comme notre e mnet (dans me), mais
sans arrondir les lèvres, ce qui, pour notre oreille, le rapproche d*un
é ferme: 9lame «nom». Nous représentons ce son par 9: n&me,
§ 3* 3 (0 ^^ fermé (comme Vt da mot (Mme)
lorsqu'il est long, et ouvert (plus ouvert que Vi àe piquet^)
lorsqu'il est bref: mit <à moi» — 9{itt «chevauchée»,
2)ti{t «fumier».
^ (i|)/ it et te| se prononcent comme i long: \t)n
«le (pronom)»; tief «profond»; 95iel& [fî] «bétail».
, Bem, Dans les syllabes atones, i et e se prononcent séparé-
ment, ri presque comme y: Silie [lîlyd] «lys».
§ 10. £) (o) est fermé (comme Vô de côte) lorsqu'il
est long, et ouvert (à peu près comme Vo de cote) lors-
qu'il est bref: ®om «cathédrale», îob [tôtj . «mort», fo
[z6] «ainsi», îl^or «sot» — @ott «Dieu», itoji «nourriture».
Oo (00) et o| se prononcent comme long: 9oot «ba-
teau», 9Roor «marais» ; jtol^l «chou», tol^ «cru», Ol^r «oreille».
§ 11. tt (tt) se prononce toujours ou. H est fermé
(comme ou dans cour) lorsqu'il est long, et ouvert (plus
ouvert que ou dans poumon ^) lorsqu'il est bref: @ut
«bon» — ©djutt «décombres», Sufl «plaisir».
tt| (U%) se prononce comme u long: Itl^t «montre»,
Stvify «vache».
§ 12. ^, t| se prononce comme i: jtr^fiall «cristal».
Bem, Quelques personnes le prononcent comme fi (v, § 16).
2^ Voyelles adoucies.
§ 13. On indique par un tréma (ô, 5, ii) que le
son des voyelles a, et u s'adoucit, c'est-à-dire s'infléchit
vers le son de Tt. Cette modification du son s'appelle
adoucissement ou inflexion (Umiaut, métaphonie).
§ 14. % (ou Ke), S se prononce, long ou bref, comme
notre è ouvert (dans hête — courbette): Sftr «ours» — ex
fâQt «il tombe».
fl| (a|) se prononce comme d long: et ntdl^t «il fauche».
Bem. % long est presque toigours fermé dans certains mots;
ex. tlm))erflt&i. Beaucoup d'Allemands le prononcent partout ainsi ;
peut-dtre vaut-il mieux les imiter.
1) En français, i, ou et u sont toujours fermés. Nous ne
pouvons donc donner que des examples approximatifs. D'ailleurs,
ces nuances ne sont pas importantes pour les trois voyelles en
question.
1*
'4 Prononciation
§ 15. (ou Ce)/ se prononce eu. Il est fermé
(comme eu dans creuse) lorsqu^il est long, et ouvert (à
pea près comme eu dans pleurer) lorsqu'il est bref: ÔI
(Oel) «huile», tmpbit «révolté» — cr bôrrt «il sèche».
£)| (iff) se prononce comme 5 long: Ôl^t «trou
(d'aiguille)», «anse».
««
§ 16. XL (ou TU), U se prononce à peu près comme
notre m. Il est fermé (comme u dans pur) lorsqu'il est
long, et ouvert (plus ouvert que Vu de lumière) lorsqu'il
est bref: griln «vert», fftr «pour» — erfilflt «accompli».
tt| (fi|) se prononce comme iï long: et fiil^rt «il
conduit».
3^ Diphtongues.
§ 17. On appelle diphtongue deux voyelles qui, tout
en s'articulant chacune distinctement, ne forment cepen-
dant qu'une syllabe, parce que la seconde se prononce
sans nouvel effort de la voix et se subordonne ainsi à la
première.
§ 18. ai (at|) et ei (et|) se prononcent à peu près
comme ail dans travail, mais le deuxième son se rap-
proche de notre é: 'Ulai «mai», fdUi «plomb», Sltain «le
Meiu», mcin «le mien».
Rem, Les Autrichiens, les Suisses et d^autres Allemands du
Sud font une distinction entre ai [= atl] et ci [= eil].
§ 19. au se prononce à peu près comme aou dans
caoutchouc, mais les deux sons se fondent mieux en une
seule syllabe et le second se rapproche de notre o fermé
(dans soi): blau «bleu», laut «à haute voix».
§ 20. att et ett se prononcent à peu près comme
œïl, mais le premier son est en général semblable à Vo
de joli, comment, souvent même à Vo de cote: Sâumc
[boïme] «arbres»; trcu «fidèle»; bcutfd^ [doïtch] «allemand».
Prononciation des consonnes.
Mem, Nous n*indiquerons la prononciation des consonnes que
lorsqu'elle diffère de la nôtre.
§ 21. Au commencement des syllabes accentuées
(v. § 40), )|, t et I se prononcent en soufflant fortement,
comme si on les aspirait, de sorte qu'il s'échappe plus
des consoonet. ^
d'air avant la voyelle suivante: Çorf [p'ark] «parc», îob
[t'ôt] «mort», fait fk'alt] «froid».*)
§ 22. A la fin des mots et des syllabes, i, fe^ g.
(v. § 28) se prononcent comme jp, t, h en français: Sob
[lôp] «éloge», %oh [t'ôt] «mort», îûfl [t'âk] «jour».*)
§ 23. En allemand, il n'y a pas de voyelles nasa-
lisées, telles qne an^ on, in, un dans les mots français
an, on, vin, un, champ^ etc. 8R^ it et %% se prononcent
donc toujours distinctement, séparément, comme dan»
ramer, faner, etc. La voyelle qui les précède a le même
son que devant une autre consonne: a se prononce dan»
on «sur» comme dans o6 «de», etc.
§ 24. Lorsqu'ils sont atones (v. § 40), îl, tm, etf^
et se réduisent en général, dans la prononciation, à l,
. m, n, r, qui deviennent ainsi syllabiques, c'est-à-dire
forment syllabe comme une voyelle ordinaire'): Rimmel
[himï] «ciel», SItcm [âtw] «haleine», 9lûtten [ratn] «dea
rats», Icben [lêbn, lêbm] «vivre», Sîitter [ritr] «chevalier»*
§ 25. Toute consonne écrite se prononce distincte-
ment. Cependant, lorsqu'une consonne est redoublée dans
le même mot simple, elle se prononce comme une seule
consonne: fait [zat] «rassasié», Slûtten [ratan, ratn] «des
rats». — On écrit d au lieu de If, | au lieu de jj, et, à
la fin des mots ou après une voyelle longue, ^ au lieu de ff.
§ 26. @) (c) devant a, o, u, 5 ou une consonne se
prononce h^: ©arl (mieux Staxl) «Charles», 6ôln (mieux
jt5In) «Cologne», ë^Iaque [klak] «claque».
Devant e, i, \) et à, îl se prononce comme j [ts]:
©emcttt «ciment», 6iS «ut dièse», Êçflop [tsiklôp] «Cyclope»,
©cène [stsêne] «scène.*)
1) n faut «^habituer h aspirer ainsi p, i, î aa commencement
des syllabes accentuées. Si Ton prononce, par exemple, fait avec
un k français [kalt], les Allemands du Sud entendent gali.
2) Dans 1 Allemagne du Sud, on prononce presque toujours
B, b, g comme p, t, k (en français) ou plutôt à peu près comme
b, d, g dans absoudre, médecin^ prodigue-ioi,
3) En français, l, m, n, r ne sont presque jamais syllabiques.
Lorsque nous ne prononçons pas 1*6 final dans table, prisme, hymne;
quatre, nous assourdissons la consonne précédente de manière ik
la rattacher k la première syllabe. Au contraire, I, m, n, r syl-
labiques conservent touto leur sonorité.
4) Dans les mots récemment empruntés au français ou au
latin, c se prononce aussi comme 3 [ts] avant 5: <S51efHn «Célestin»,
Q Prononciation
§ 27. ^% (i|) est à pea près à A; ce qae ^ est à
t on f k p. Il s^articnle aa même endroit que h, mais
sans que la langae s'appliqae tont à fait contre le pa-
lais; elle s^en rapproche seulement de manière à laisser
passer Tair avec un frottement très fori De même que
notre h n*a pas exactement le même son devant o ou a
que devant », surtout dans le langage populaire (cf. cm"
qtdème)^ de même il £aut distinguer entre le d^ dur (gut-
tural) et le ^ doux (palatal).
1^ Le d^ dur ressemble assez à IV grasseyé et non
roulé, tel qu'il s'entend dans le mot qucUre quand on
n'en prononce pas du tout Ve muet. On le trouve après
û, 0, u et au: ^aâ) «ruisseau», Sod^ «trou», S3ud^ «livre»,
ûud^ «aussi».
2^ Le d^ doux ressemble presque exactement à Vi
de pied lorsqu'on articule ce mot avec énergie et qu'on
en prononce très fortement le p initial. ^) On le trouve
au commencement des mots avant e et i, ainsi qu'à l'in-
térieur ou à la fin des mots après e, i, â, 5, U, I et r:
red^t «droit», id& «je», Sôd^er [leud^r] «des trous», SUd^et
[bûd^r] «des livres», cr râd^t «il venge», 3JHtd^ «lait»,
©tord^ «cigogne», Kl^emic «chimie», Kl^irurg «chirurgien».
Bem. â^ se prononce Je* (k) au commencement des mots devant
a, 0, Vit I et t, ainsi que dans le groupe d^S (4f) lorsque le d^ et
V% (f) appartiennent au même mot simple: é^or «chœur», d^uc
«Coire», ^%Ux «cUore», ^x\% 0(^8, bœuf. — II se prononce ch
dans les mots empruntes au français: (|]^ar))te.
§ 28. — ig final se prononce ordinairement comme
id^: ^5nig [k^eûnid^] (accentuer fortement k^eû) «roi».
Partout ailleurs, sauf à la fin des mots et des syl-
labes (v. § 22), g se prononce comme notre g dur dans
gomme, gai, gué, grand: ®ott «Dieu», et ge|t «il va»,
®ift «poison», ®Iûô [glas] «verre».*)
1) Il 7 a ht même différence entre d^ doux et \ (ou notre jr
dans la yole) qu*entre f et v, 8 et z. Four se rendre compte de
cette différence, on n'a qu*èb prononcer chacune de ces lettres
toute seule (c.-à.-d. sans voyelle avant ni après, et non ess ou se^
etc.) en se bouchant les oreilles. Avec z, v et }; on entendra,
BOUS forme de bourdonnement intense, la vibration des cordes vo-
cales, qui manque à 8, f, â^.
2) Beaucoup d'Allemands, tous ceux du Nord en particulier,
prononcent toujours le g final comme 4 ^^^ o^ doux: %a% [t'&4]
des consonnes. 7
Bem. Dans les mois emprantés au français, il se prononce
devant e et t comme notre J: (&tnU,
§ 29. 1^ (I) s'aspire, an commencement des syl-
labes accentuées, comme Yh de la Juiche dans la pronon-
ciation de certains Normands: on souffle fortement, et
il se produit un frottement dans le larynx: ^iri cberger»,
^V^ «maison».
Ailleurs, le 1^ est muet: tol^ «cru».
§ 30. ^ (j[) se prononce à peu près comme y dans
la yole, un youyou, mais il s'articule plus fort, c'est à
dire que la langue se rapproche davantage du palais:
Sal^r «année», \a «oui».
Bem. Dans les mots empruntés an français, il se prononce
§ 31. — ng est à peu près à g ce que notre gn
(dans signe) est à notre y (dans yoU): comparez haU,
hagne — bague, bang «effrayé». En d'autres termes, ng
s'articule au même endroit que le g et non, comme n,
an même endroit que d; c'est un g nasalisé. Ex.: bang,
eng «étroit», 2)ing «chose».
Avant I appartenant au même mot simple, n se
prononce comme ng: $anl «banc».
§ 32. Ott (qn) = ï» (v. § 37).
§ 33. Au commencement des mots et des syllabes,
à moins qu'il ne soit précédé d'un des sons p, i, I ou
^, le f se prononce à peu près comme notre sf; entre
deux voyelles, il a exactement le son de <er, comme en
français: fatt «rassasié», Sinfe [linzd] «lentille», SRofe [rôze]
«rose».
Au commencement d'une syllabe, fp, ft se prononcent
d'ordinaire chp, ckt: @pie( «jeu», @tûût »état».
Dans tous les autres cas, f (3) se prononce comme
notre s dure (dans rousse^ rosse): ^au§ «maison», Sotfe
[Idtsd] «pilote (côtier)», Êrbfe [erpsa] «pois», @fpe [espa]
«(peuplier) tremble», Oft «est» (subst.).
«jour», Stefl [chtêc^l «passerelle, sentier». — Dans le Nord, on
donne à g médial un son qni diffère de 4 <^u^ <>u doux comme v
de f et z de 8. ^ Enfin, les Berlinois prononcent le g initial comme
un |.
8 PronoDciatioiL
§ 34. Sl| (fl|) se prononce à pen près comme notre
ch (dans chat): é>â)i^ cnavire», ^arfd^ cmarche».
§ 35. La terminaison «Kon se prononce tsyôn: Station»
§ 36. 8 (k) se prononce f dans $ret)el «outrage»
et an commencement des mots ou, dans les dérivés, après
un préfixe: Dier «quatre», ®et)iert «carré», t)on «plein».
§ 37. Au commencement des syllabes, tD se pro-
nonce comme notre v: SBein «Tin», getDol^iit «habitué».
Lorsque le tD ne commence pas la syllabe, il se pro-
nonce aussi comme notre t;, mais en général sans rap-
procher la lèvre inférieure des dents supérieures: fd^tnet
«lourd». C*est le même son que représente u après q: quer
«en travers».
§ 88. Ji (l) est rare; il se prononce toujours comme
les: 6ïil [eksîlj.
§ 39. 3 ()) ^ prononce tsi ^af)n «dent», lut} «court».
Lecture.
%Xf ahf ûuf, an^f mit, mit, mid^, une, \xn\îx, il^r, i^te^
mein, bein, fein, SBein, mal, ba, bann, brei, bier, aé^t, dber,
fur, fflnf, nod^, bod&, barf, gut, èanô, f)ouê, §ûut, l^ier, gar^
gonj, ïlug.
m, «ffen, Sûd^, 936ben, gfîfd&, gflcifd^, fûlfd&, fret, gfrei-
l^eit, 2ciB, lieb, fiieb, long, légcn, 3Kara, 3Kûi, métt, mOfU,
fpftt, ©t)ont, ©preu, fiitt, ©tiel, jlo^I, ©d^iff, fd^dn, fd^Ied&t,
fd^Iau.
Accent tonique,
§ 40. Vcxcent tonique ou simplement Vaccent con-
siste dans la force ou Pénergie avec laquelle on chasse .
l'air des poumons en prononçant certaines syllabes, dites
accentuées ou toniques. Dans les mots français v*»nî^,
débftcle, il porte sur la syllabe imprimée en caractères
gras. En allemand, Taccent est beaucoup plus marque
qu'en français: la syllabe accentuée ou tonique s'y pro-
nonce avec beaucoup plus de force que les autres syllabes,
dites inaccentuées ou atones; en général, elle est aussi
pins aiguë et plus longue.
Accent toniqae. 9
Sdivant son intensité, Taccent est principal on se-
condaire. Nous indiquerons, au besoin, Taccent principal *
par un accent aigu et l'accent secondaire par un accent
grave: 8fï^'^^tt' «liberté».
8 41. Tout monosyllabe est accentué, à moins que
ce ne soit on article, «n pronom personnel on relatif,
nn adjectif possessif, un Terbe auxiliaire, une préposition,
une conjonction, etc. qu'on ne tienne pas à faire ressor-
tir: bcr SBcin' ijl \x\â)t gut' «le vin n'est pas bon».
§ 42. Les mots simples de plus d'une syllabe ont
toujours une syllabe plus ou moins accentuée suivant
son importance dans la phrase: ^â) f^ait ein'en SSf^el
unb ei'ne ©a'bcl «j'ai une cuiller et une fourchette.
Eêm, 1. Excepté dans les mots importés récemment de
rétranger et dans quelques mots allemands, Taccent est toujours,
sur la première syllabe, à moins que ce ne soit un des préfixes
(S^orfUben) atones be*, ein|ï', tnU, îx; gc», Der-, jer*.
JRem. 2. Les suffixes (9la4ft(ben) suivants ont un accent se-
condaire: -bar, *fa<i, •Ijoît, •IJeit, -fett, •Itng, «lei, •leiit, «1118, •fol,
«ffl^aft, «ung, •tum, «ot, -ut: fnid^t'bar' «fertile», btei'fad^' «triple»,
dftng'iing^ «jeune homme», fttnb'Ietn' «bébé», Çoff'nung' «espérance»,
Mx'mvit^ «pauvreté», grei'l^ett' «liberté».
Rem» 3* Dans les verbes inséparables, la particule reçoit un
faible accent secondaire .'^Jû^berfe^'en «traduire», toie'berl^o'len «ré-
péter».
Bem. 4. Nous nMndiquerons ordinairement Taccent que dans
les mots où il déroge aux trois règles précédentes: 92atton', leben'*
big «vivant».
§ 43. Les mots composés ont un accent principal
snr le premier ternie et un accent secondaire sur le se-
cond, excepté les prépositions et les adverbes composés,
qui ont en général l'accent principal snr leur seconde
partie: SSier'fafe' «tonneau à bière», Slp'felbûum' «pom-
mier», û'6erfe|en' «sauter de l'autre côté», tt)ic'bcr|o'Icn
«aller chercher de nouveau», blut'arm' «anémique», ^nn»
texâf «riche en pierres» ^); burd^'ûuS' «complètement»,
l^tn'ein' «dedans», |erein' «dedans, entrez!».
Senu 1. Bien qu*ils ne s^emploient pas indépendammenti
Vnt-, etn', et}', un« et ut- ont Taccent principal dans les mots
composés dont ils forment le premier terme: Knt'tDort^ «réponse»/
Qhr)'bif4of «archevêque», Un'gittd' «malheur», Ur'tcil' «jugement». .
1) Mais blut'arm' «horriblement pauvre», ftetn'ret(i^' «énorme*
ment riche».
10 Durée des sons.
Bem. 2. Cf. etn'mar «une (seule) fois» (eS toar') tinmaV «il
ëtftit une fois».
Leetnre.
OBen, unten, oufeer, Sogen, gfuflc, fûgen, fliegen, f($etten,
fc^Iie^en, fliegen, t)er*fliegen, ^u^an%, 6in«gang, SSofIftnge,
JBûd&'lcin, îintcit'fûfe, ôuHd^ad&tel, SKittog, SBor-mittog, nad^
Wfpg, 9lûd&-iaîrtgïcit, lttei>flu6, ttacr^fKifftg, Der^icrcn, jer-
bxed^en, ®e»fang.
Durée des sons.
1<> Voyelles.
§ 44. Les diphtongues sont toujours longues. —
Dans les syllabes accentuées, une voyelle est longue
lorsqu*ellé n*est suivie que d*une seule consonne écrite:
liber «au-dessus de», fd^on «déjà», Stab «roue», iput «cha-
peau» etc.
Bem, On indique souvent la lon^eur de la voyelle (1^) soit
en la redoublant {aa, te, oo), (2^) soit en la faisant suivre de %
{a^, t^, x^, ol^, u^, S^, h^f fi^), ou de i^ (réduit à t dans k nouvelle
orthographe), (3^) soit en écrivant ie au lieu dH: ^al, gee, %oot;
fOtai^l 3nt% i^n, Sto% @tul^I, «chaise»; 9lat (9lat^) «conseil», rot
(rot$) «rouge»; tief «profond».
§ 45. La voyelle d'une syllabe accentuée est brève
lorsqu'elle est suivie de plus d'une consonne écrite: ûDe
«tous», brennen «brûler», î)ûd& «toit», Qflufe (plur. Qflûffe)
«fleuve», 3wngc «langue», gfd^e «frêne».
Bem, 1. Dans le corps d^un mot, g indique que la voyelle
précédente est longue et qu*elle reste longue même si g devient
final: ^iï^t «pieds», sing. gfug [fous].
Bem, 2. La voyelle est longue devant 4 <l<^i^ certains mots :
tta4 «après», Siic^er «livres».
Bem. 3. 91 et e sont souvent longs devant rb ou ri, parfois
devant tf; rf4 ou r); on trouve aussi des voyelles longues, mais
rarement, avant ft: @rbe [6rde] «terre», )oert(]^) «valant, cher»,
Sart «barbe»: 9aif4 «perche (poisson)», S^ofl «gpril».^)
Bem. 4. Les dérivés et les composés conservent ordinaire-
ment la quantité du primitif ou du simple: bldlen «bêler», eS
(15!t [es bleûkt] «il bêle».
§ 46. Dans les syllabes toujours ou ordinairement
inaccentuées (v. § 41), e est toujours bref et les autres
voyelles le sont aussi régulièrement: &^â)tnl' «cadeau»,
1) Mais (S^arten «jardin», l^ari «dur»; barf4 «brusque»; 9to{t
«rouille».
Durée des sons. 11
ftin'bet «enfants»; ffat «a», in «dans», mit «ayec», 06
<si»f etc.
§ 47. La longueur et la brièyeté des voyelles sont
bien plus marquées qu'en français.
2® Consonnes.
§ 48. Nous ayons dit que toute consonne redoublée
dans un mot simple se prononce comme une seule con-
sonne. Mais lorsqu'elle se trouve entre deux voyelles,
elle est d'ordinaire un peu prolongée: cf. malen «peindre»,
foUen «tomber».
§ 49. Toute consonne finale, même redoublée dans
récriture, est très brève. Il n'en est pas de même en
français, où nous prolongeons la consonne finale après
une voyelle brève: f6(xU «bal».
Sefeflttl Morceau de lecture.
3n ei^nem fd^ô^nen @(]^Iog, t>on tod^d^em fci^on Idngft
Dans nn beau ch&teau, dont depuis longtemps
fein ©tein tncl^r ouf bcm ambcrn gcs^blie-Ben x% U^itt einjl
il n'est plus resté une pierre sur l'autre, Tiyait autrefois
ein fcl^r rci^d^er SRit'tcr. S)ie»fer t)cr«»ûnWc Diel ®elb
-on très riche cheyalier. Gelui-oi dépensait beaucoup d'argent
bor^auf, fein ©(i^Iofe prô(i&«tig ûu0«ju«fd&mU(ïen; a»ber ben
pour embeUir scm ch&teau magnifiquement; mais aux
3lr«men t^ût er fel^r toe^nig ®u=teê.
pAUTres il faisait peu de bien.
@tned Sbenbd lam ein armer ipilger in ba§ @(^Io^ unb
Un soir (il) vint un pauvre pèlerin au chAteau et
Bot um cine îlûd^tl^erBerge. ®er Sitter toieô x^n tro|ig ai
demanda un g^te. Le oheyalier le renvoya bautaioement
unb fprûd^: ,,2)iefeg ®S)lo^ iji ïein ©ojl^ouâ." ®er piger
et dit: «Ce chAteau n'est pas une auberge.* Le pèlerin
fûgte: ,,6rIauBt mir nur brei Qfrogen, bonn miH iify mieber
dit: «Permettez-moi seulement trois questions, puis Je repar-
ge^cn." S)er SRitter fprod^: „@o tl^ut eure brei Qfragen. 3^
tirai.* Le chevalier dit: «Eh bieni faites vos trois questions. Je
toiQ eud^ barauf animorten.''
Tais TOUS y répondre.*
12. Morceau de lecture.
2)er ^(gei fragie il^n nun: „3Ber mol^nte t>ot eu4 in
Le pèlerin lui demanda alon: «Qui demenrait ayant tous dans
blefem ©d^loffe?" — «SWeln «otet," ^ptai^ ber Ritter. î)et
ce ehâteau?** — «Mon père,* dit le oheyalier. Le
piger frogte tneiter: „3&îx tool^ntc burin t)ot euerm ^tttV
pèlerin continua: ,Qnl j demenrait ayant Totre père?*
— ,,2Rein ©ro^Dûter/' antmottete ber SWtter. „Unb toer
— «Mon grand-père/ répondit le chevalier. ,Bt qui
toirb nûd& eu(| borin tool^nen?" — S)er 3Htter fogte: „Bo
y demenrera après yonst* Le cbeyaller dit: «Si
®ott »ill, mein ©oÇn."
Dieu yeut, mon fila.*
,,3îun'\ fprûd^ ber piger, „»entt 3eber nur eine
«Eb bien!* dit le pèlerin, «al chacun ne demeure
3eit long in biefem ©d^Ioffe bleibt, unb immer einer
qu'un certain temps dans ce chÂteau et que l'un cède
bem onbern Pû| mod^t — tt)oS feib tl^r benn anberô û(5
la place à un autre — qu'étes-youa donc, si ce n'est
@ttjie? SttfeS @(i^lo^ t|} aifo tvirftiii^ dn ^^aftl^auS".-
des hôtes? Ce château est donc en vérité un hôtel.
93em)enbet baiser niti^t fot)ieI, biefed ^auâ fo prd(|tig
Ne dépenses donc pas tant, pour orner si magnifiquement
au^u^SfmMîti f bad eud^ nur lurje 3^it Bel^erbergt. %^\xi
cette maison, qui ne vous loge que peu de temps. Faite»
lieber ben Slrmen ®uteô, fo Bauet il^r eud^ eine blelbenbe
plutôt du bien aux pauvres, et vous vous préparerei une demeure
SBol^nung im ipimmel."
étemelle au ciel.'*
3)er SRitter mfftn biefe SBorie ju Çerjen, bel^telt bett
Le chevalier prit ces paroles à coeur, hébergea le
piger iibcr Stad^t unb murbe bon biefer 3^ii an mol^lt^âiigec
pèlerin et devint depuis ce temps plus bienfaisant
gegen bie Slrmen.
envers les pauvres.
lit
m
ft
il
■1
13
Des parties du discours.
La langue allemande se compose, comme la langae
française, de dix sortes de mots, appelés parties du dis^
cours, savoir:
1. l'article bad ®e|id^Ie(J^tômort;
2. le s^tantif baS ^auptmori;
3. Tadjectif déterminatif bû§ Se^immuitg^mort (Setmoct);
4. Tadjectif qnalificatif ba§ @igenf(|ûftâtt)ort;
5. le pronom bûâ §filrtt)ort;
6. le Yerbe boô 3^î^^ort;
7. l'adverbe bûS Umpûnbâmort;
8. la préposition bû§ SJortoott;
9. la conjonction bû§ 93tnbemort;
10. l'interjection bûâ Sluêrufôioort.
Les six premières sont variables, c'est-à-dire qu'elles
penvent changer de forme; les quatre autres sont in-
yariables.
Le changement que subissent le substantif, l'article,
Tadjectif et le pronom s'appelle déclinaisan (^eflinotion);
elle se rapporte au genre (Sefci^Ied^t); au nombre (Qû^l)
et aux cas (gdDc).
Il y a trois genres en allemand, le masculin (mânn*
*li(|), le féminin (mciBIid^) et le neutre (fdci&lid^). Il y a
deux nombres, le singulier (@tn}Ql^I) et le pluriel (3Re^r*
50^1. Il y a quatre cas qui expriment les divers rap-
ports des mots entre eux, savoir le nominatif {3lom\nati\))f
le génitif (@cnitiD), le dcMf (2)ûtiD), Vaccusatif (SlccufatiD).
Pour exprimer le vocatif on se sert toujours du nomina-
tif sans article.
Le nominatif répond à la question qui ou qu^est-ce
qui? 2Ber, SBûô? Ex.: S)er SSûter fagt le père dit.
Le génitif s'emploie pour marquer une possession.
On le met après un substantif avec lequel on fait la
question de qui, ffîeffen? Ex.: ba§ $U(| be§ jtinbeâ
le livre de Venfant.
Le datif répond à la question à qui, à quoi, ffîem?
Ex.: 3(i^ ge6e bem jîinb je donne à V enfant.
VaccuscUif se met après tous les verbes actifs (y com-
pris le verbe avoir)^ et répond à la question qui est^e que
ou qu'est-ce que Sffien? SBûê? Ex.: ^âi fe^c bcn SRann
je vois Vhomme; \^ Iic6e bicfe 33 lu me j'aime cette fleur.
Première Leçon.
De Fartiele.
n 7 a en allemand denx espèces d^articles: Tarticle
défim et Varticle indéfini.
1) L*article défim sert à indiquer le genre des noms.
Il y a en allemand trois genres, le masculin^ le féminin
et le neutre, dont chacun a sa forme particnJière, et qui
sont représentés par )l(t^ kie^ lliiS^ le, la; par ex.:
moBc, lier SBoier le père.
fém. )lie Sl^utier la mère.
neut, lilaS JHnb Tenfant.
Le genre en allemand ne correspond pas toujours au
genre des mots français; il faut donc bien se garder de
rendre Varticle le toujours par beroubûS, etZa par le
féminin bte. En allemand, le genre de chaque moit doit
être appris en même temps que le mot lui-même, ce
qui se fait le mieux en apprenant chaque fois Varùide
avec le mot. Les règles sur le genre sont exposées dans
la doumème leçon.
Quatre autres mots, ayant une terminaison anologue,
s'emploient aussi comme déterminatifs devant les sub-
stantifs:
bicfer, btcfc, btcfcS, ce, cette, ce .. ci.
iener, iene, ieneS, ce .. 11^ cette .• là.
toel^stf toeld^e, toel^eS? qael, quelle?
ieber, iebe, iebeS, chaque.
Exemples.
^iefer 9Rann cet homme. ®iefe ^xan cette femme,
ffîeld^er Saum? quel arbre? Sener ^aum cet arbre-là
Sfebe IRuitec chaque mère. 9ebeS ftinb chaque enûint.
2) L'article indéfini (fat, fém. tint, neutre tin répond
au français un, une. Ex.:
ritt Satet un père
eiae Stuiter une mère
eitt j^inb un enfant.
L'on voit que la forme du neutre est la même que celle
du masculin.
De l'article. 15
Toeabnlaire.
^t j^5ntg^) le roi. bie j^a^e le chat,
bec Slann rhomme. bte 9^ofe la rose,
ber $ûter le përe.
bec @o6n le fils. ^9 6ou8 la maison,
ber d^arten le jardin. baS IHnb Tenfant.
bec SS^em le vin. baS %u4 le livre,
ber Sto(! la canne. baS SSaffec Vean.
bec ^unb le chien.
grog grand, grande.
^e j^5nigin la reine. Iletn petit, — e. jung jeune,
bte @tabt la ville. gui bon, bonne,
bie Sfcau la femme. a(t vieux, vieille,
bte S^uitec la mère. Sa oui. 9{ein non.
bie S^o^iec la fille. ifl est. l^at a. unb et.
bie Sfcber la plimie. tote? comment? SBer? qui?
Exercice (ii6ung). !•
S)ec ®Qctett unb baS Çûu§. S)tefec ®actett, |etteS ^an%.
®te aWuttec unb bû§ »inb. SBeld^e SKuttec? ®iefe aRuttec.
SBetd^eS fttnb? 3ene§ fttttb. 2)te ft5mgm l^ût bie Siofe. ffîeld^e
«ofc? S)ec aSûtec iji gut. ®tc TOuttec ijl gut*). SBeïd^c gcou?
ffiiefe tJfcûu ift gut. S)iefec ôunb iji gcog. 3ene ffûje ijl Hein.
SBie iji bicfec SBein? ©iefec SBein iji gut. S)a8 "ftinb iji fleiit,
%xt îod^tec iji {uttg. Senec !Dlantt iji ait SBeld^ed 9n^ iji
gco|? S)teje§ 9ud^ ift gcog.
Thème (flufgabe). 2.
Le roi et la reine. Le fils et la fille. La ville et la
maison. Le père et la mère. L*enfant a le livre. Quel
livre? Ce livre. La fille a la plume. L*homme est grand.
Ce vin. Cette eau. Cette canne est grande.^ Ce chien-là.
Quelle rose? Cette rose-ci. Ce livre-là. Ce chat-là. Le
livre est bon. Le roi est vieux. Comment est ce jardin?
Ce jardin est petit. Cette femme est jeune. Comment est
cette plume? Cette plume est bonne.
Conversation.
SBec (qui) ift gut? î)ec ^aUx iji gut.
SBec i^ aU? î)ec ftdnig \fi ait.
mu x^ bas ÇauS? î)aS ÇauS i^ grog.
SBec iji Hein? Î)a8 JHnb iji Hein.
SBec (at bie Ko je? S)ie ftdnigin l^at bie 9loje.
SBte ifi bec (S^arten? î)ec (&atitn iji Hein.
mt iji bieje geber? ^ieje Qfebec iji gut.
1) On fera bien de faire remplacer de vive voix ou par écrit
rarticle indéfini par Tarticle défini.
2) Les adjectifs placés après les substantifs restent invariables.
16
Deuxième Leçon.
Déclinaison des articles.
1. Déelinaison de l'article défini.
Singulier.
maso. fém. neutre.
Nom. Ilet llte ^ad le la
Gén. M )let lied du de la
Dat. 'ùtm Iftrt ^tm au à la
Ace. lUfit lUie llaS le la
De la même manière se déclinent:
Singulier,
masc. fém. neutre.
N. btefeY btefe biefrd ce cette
G. biefrd btefeY biefrd de ce de cette
D. biefem biéîet btefem à ce à cette
A. btefeit biefe btefr9 ce cette
Pluriel.
pour les trois genres.
Me les
l^er des
lien aux
W les
Pluriel.
pour les trois genres.
biefe ces
biefer de ces
btefeit à ces
biefe ces.
N. ieiicr
iene
jettes ce ou cette —là
G. jeneg
jenet
jeneô etc.
D. ienem
jener
iettem
A. ienen
jene
ieneS
jette
jener
jeneit
jene
ces — Ik
etc.
N. mtâ^n toel^e toeld^ed? quel, quelle?
G. toel^cS toeldjer toel^ed? etc.
D. toel^em tsel^et toel^etn?
A. toeld^ett ïoti^t toel^eg?
toeld^e quels?
toelc^ct de quels?
toeld^ett etc.
2. Dédinaison de Partiele indéfini.
masc. fém. neutre.
Nom. etn eine ettt
Gén. einrS etner eined
Dat, einem einer einem
Ace. etnen eine eitt
un, une
d'un, d'une
k un, k une
un, une.
L^article indéfini n'a pas de pluriel.
On voit que les désinences de Tarticle indéfini sont
les mêmes que celles de Tarticle défini, excepté an no-
minatif masculin, et au nominatif et à Taccusatif da
neutre, qui sont semblables, mais sans désinence carac-
téristique.
Les mots suivants, ayant les mêmes terminaisons,
s'emploient aussi comme déterminatifs ; de plus ils ont
un pluriel.
Déclinaison de l'utiole indéfini.
n
îei«,
îeinc,
îttn,
pas de, point de
PI fclne
mtïn,
meine,
meitt.
mon, ma
même
hein,
beine,
bein,
ton, ta
beine
fcin,
fclne,
feln,
son, sa
• felne
i*r,
IÇte,
i^r.
son, sa
t^re
lînfer,
unfcre,
unfer,
notre
unfetc
S^r,
3(>re,
3*r,
)
votre*)
• / S^re
eu et,
cuere,
eucr,
' 1 citere
i*r,
iÇre,
i^r,
leur
' i^re.
ffetn 8rot pas de pain.
Wldn $ater mon père.
3^re SD'^utter votre mère.
Exemples.
Sl^r {ïf^x) Çreunb leur ami,
^eine geber pas de plume.
Sein Srnber son frère.
Déclinaisoii.
Singulier.
mase. fém. neutre.
N, mtïn meine mein
G. meine 9 metner meine 8
jD. meinem mein et meinem à mon, à ma
•<l. mein en meine mein mon, ma.
mon, ma
de mon, de ma
Pluriel.
pour les trois geniei.
meine mes.
meiner de mes.
mcinen à mes.
meine mes.
Exemples.
Tttintm i^tuber à mon frère.
S>einer ©d^wefler à ta sœur.
$ttïn 8rot {aee.) point de pain.
^àbtn @ie mein en ©todl avez-vous ma canne?
Ûnfer fùattx l^at 3^r i6nd^ {ace.) notre père a votre livre.
Yocabulaire*
2)er %ttanb l'ami.
bas SKeffer le couteau,
ein gebermeffer n. un canif,
fine ®obeï /. une fourchette,
ein S9ffel m. une cuiller.
bas @4>Io6 le chÀteau.
eine ^xotfttxf. une sœur,
bas $ferb le cheval.
ein £fer ». un animal,
ber Spfel la pomme,
eine ^inte /. une poire.
8. S^ f^aU j'ai
bn ^ap tu as
cr ^t il a
fie ^at elle a.
eine grnd^t /. un fruit,
eine Slume/. une fleur,
ein $ni m. un chapeau.
xâf liebe Vaime.
ïieben @ie1 aimez-vous?
fd^Sn beau, belle,
oefel^en vu. aud^ aussi,
©eben @ie donnez.
®eben @ie mit donnez-moi.
tt)er? qui? too? où?
ober ou.
S. $aBe ïâf ai-je?
bajl bu as-tu?
çot er a-t-il?
l^at fie a-t-elle?
*) Pour la différence entre 5^x et euer, voyez la 15idme leçon.
OTTO, Grammure allemuide. 2
I
18 Leçon 2.
i^. toit (aBett nous avons PL ffaltn toir avons-noua?
fie f^ahttt ils ou elles ont. ^abtn fie ont-ils, ont-elles?
NB, Dans la forme interrogative, il ne faut pas, en
allemand, mettre le substantif avant le verbe ; on com-
mence plutôt par le verbe. Ex.:
$at bad ^inb? L'enfant a-t-il?
dfft bad $ferb grogi Le cheval est-il grand?
Exercice* 8.
dd^ l^aBe etne 9(ume. $afi bu au(]^ erne 9(ume? SBh
l^abeti ctnctt grcunb»!) 3(]^ Kebc bief en grcunb» Çabcn^ic
aud^ etncn gfrcunb ? @tc l^aben ïetncn SBetn* ® tcfcr SWatm l^at
metn ^Pferb. Steben ©te bief en SKann? SBetd^n 2Rann? Sl^ren
Sater. ©cin ^Pferb Ifl ait. 2»ein «tnb f)at etne Stmc- ®icfc
Stme tft gut* ®er ©ol^n ^at etncn ïïpfeL Çaben Sic jcncô
©d^Iog gcfcl^cn^)? 3(3^ ^bc btcfeô ©d^tog gefel^en. ®tc Sû^c
iP etn ïtcr. 36^ Kebe btefeô ïter. ©te »îofc tfl etne Slumc.
®cben @tc btcfeô ^néi meincr ïocj^tcr» Unfcr ^fcrb ifl fd^ôn^
2Retne ©cj^toefler l^at ïeine ®abcL
Tlième. é.
1. «Tai une rose. Tu as un livre. Ton frère a ma
canne. Mon frère a un couteau. Ta sœur a une pomme.
Son enfant a ma poire. Nous avons un ami. Notre ami
est jeune. Donnez-moi une rose. Mon père a son cheval.
Le chien est un animal. Quelle rose V enfant a-t-il? Son
fils a un chapeau. Qui a une fleur?. Ma sœur a une fleur.
2 . Avez-vous une cuiller ou une fourchette ? Cet arbre-
là est grand et beau. Cet homme-ci a votre canif. J'ai
vu 2) un château. Ce château est beau. Notre maison est
vieille. Chaque livre est-il bon? Comment est la poire?
Donnez-moi un couteau. Jaime ma sœur. «Taime aussi mon
père. Nous avons un cheval. Cet enfant est beau et petit.
Conversation.
ÇaBen @le clnc 9lofe1 3o, ïâf l^abc etne 9lofc.
$afl bu etn $ferb? ^tïn, ïâf l^abe fein $ferb, id^ l^aBe
einen ^unb.
jons . . ^
invariables au singulier; on n'a donc qu'
de l'article et des autres déterminatifs.
2) En allemand, les participes passés se mettent .à la fin de
la proposition.
\
De la déclinaison des substantifs.
19
Çat b<t8 Stmh tînt Sluntel
39 Me 9lutne f<$5n?
SBer ^at mein Sud^l
SBo ift tnclne 0eber1
SSeléed $aud çaBen @ie gefel^enl
SBo tfi mettt gebcnncffer?
^t 3]^re SRuttet ein @d^log1
^at ber ilRanit eitt Çferb?
S3el(!^e8 SDflcffer l^at ber grettnbl
3|i bie 9lofe eine %méfa
3P bie 5taie tin Xter?
$at Sl^r 16ater eitten i^rttberl
3a, bas l^inb l^at eine 9{ofe.
3a, bie fdlnmt ifi fd^Sn.
2)eine ©^toefler (at bein 8ud^.
34 (a)^e beine geber.
2)ad Çaud meiner Wlnittx.
2)ein i^niber ^at e9 (l'a).
92ein, fie l^at ein ^an9,
3a, et l^at ein $ferb nnb eineit
^unb.
(Sx l^at ein S^benneffec.
92ein, fte ifi eine i^lume.
3a, bie fia^e ijl ein Siec.
Wltin Sauter l^at einen iBruber unb
eine @d^n)e^er.
Troisième Leçon.
De la déclinaison des substantifs.
Les grammairiens allemands ne sont pas d^accord
entre eux stir le nombre des déclinaisons et stir la raison
de leur division. Les uns en adoptent six, d'autres cinq,
d'autres quatre, et même trois, ou deux seulement. Cette
division est tout à fait arbitraire. Cela provient de ce
que la langue allemande a été parlée et formée par dif-
férentes tribus d'une manière différente, avant que des
Tègles fixes fassent établies à l'égard de la déclinaison,
de sorte que plus tard les grammairiens furent obligés
d'accepter ces diverses formes comme des faits accomr-
plis, et d'en tirer le meilleur parti possible.
Cependant on y reconnaît aisément deux idées fon-
damentales, qui tiennent au génie même de la langue, et
SUT lesquelles, reposent les différentes déclinaisons: a) h
ffenre des mots; b) le nombre des syllabes. Quoique ce
système présente aussi quelques irrégularités , il offre
pourtant bien moins de difficultés que toute autre divi-
sion. Il est évident que chaque genre a son inflexion
particxtlière, selon le nombre de syllabes, et que les sub-
stantifs masculins se divisent entre eux, selon leur ter-
minaison, en trois' classes. Ce système présentera cinq
déclinaisons: trois pour les substantifs masculins, une
poux les féminins, et une pour les neutres.
Avant de les exposer en particulier, nous ferons
quelques observations générales:
20
Leçon 3.
1) Le vocatif est semblable au nominatif sans article.
2) Le nominatif et laccusatif du singulier des mots
monosyllabes et de tous les mots neutres sont semblables.
3) Le génitif de tous les substantifs masculin»
d'origine allemande (excepté ceux de la 2ième déclinaison) ,
et de tous les mots neutres, se termine en é ou t&.
4) Tous les substantifs féminins sont invariables au
singulier.
5) Le nominatif, le génitif et Vaccusatif pluriel sont
toujours semblables, quel que soit le genre du substantif.
6) Dans tous les mots déclinables, le datif du pluriel
se termine en n (en).
7) Tous les substantifs-racines terminés en e for-
ment tous les cas du pluriel en ett, sans changement
de voyelle.
8) Dans tous le mots composés, le nom final seul
se décline.
9j De même dans les mots qtii ont une préfixe.
Table des cinq déclinaisons.
Singtdier,
féminins. nontres.
mascnlins.
L U.
JV.— i) -
— e
6?.— »
— en
D.— -
— en
u4. — -
— en
m.
- e« (8)
-(e)
IV.
sans ancnne
- ^ terminaison
caractë-
ristiqno.
V.
Pluriel,
N. jj) -
— en
-îlC
- en (n)
JL.t
6?. ^ -
— en
«e
— en (tt)
_^e
D. >' U
•— en
^tn
— en (n)
»en
A. » -
— en
.e
— en (n)
«e
— .
1
- t», »
- (e)
— e
^et
— e
>'tX
— en
_«.er»
— e
'«er
Première déclinaison.
§ 1. Ce qui caractérise cette déclinaison, c'est Vë
du génitif singulier. Tous les autres cas des deux nom-
bres ne prennent aucune désinence, sauf l'ît du datif
{iluriel; mais la plupart des mots changent au pluriel
eur voyelle radicale a, 0, n en i, i, n^ Les autres
voyelles ne peuvent pas être adoucies.
§ 2. Cette déclinaison comprend tous les substantifs
masculins et neutres qui se terminent en el^ VXf ttp et
tous les diminutifs en d^ett et lettt.
1) Le premier trait indique la ayllabe radicale.
2) Ce signe {**) indique que la voyelle eat adoucie.
Première déclinaison. 21
a] Masculins,
Exemple.
Singulier, Fhtriel,
y. ber {Rimmel le ciel bie Rimmel les oieux
G, bc9 ^xmmtl9 du ciel ber Çtmmel des cieux
D. bem Çimmet au ciel ben ^immelii aux cieux
A, ben Rimmel le ciel bit {Rimmel les cieux.
D'après cet exemple, sans changement de voyelle^
«e déclinent entre autres:
ber SDiener le serviteur. ber ^àflMii la clef,
ber 9efen le balai. ber ®eutei la bourse,
ber ©tiefel la botte. ber Setter Tassiette.
ber %iûatl l'aile. ber (Sngfônber l'Anglais,
ber émuler l'écolier. ber ^9r^ei le corps,
ber SSScI la cuiller. *ber Slbler «) l'aigle,
ber ^pït^tl le miroir, la glace. *ber STlaler le peintre,
ber @d^neiber le tailleur. *ber Sro^fen la goutte,
ber (Sngel Vange. *bei ®raten le rôti,
ber ffttqtn la pluie. *ber Aud^eti le gâteau.
JPlur. btc ©tcncr, btc ©ttcfcl, btc ©douter, btc Cng*
(ânber k.
Exemples
de substantifs dont la yoyelle est adoucie au pluriel.
Singtdier. Pluriel.
2i. ber Srttber le frère bie SrftbeY les frères
G, ht» Srttberd du frère ber Sriibei des frères
D. bem @nibei au frère ben f&tûhtxn aux frères
A, ben 9ruber le &ère bie )Briiber les frères.
2i. ber ©arten le jardin bie &àxttn les jardins
G. be9 ®arten0 du jardin ber ©arten des jardins
D. bem (9aiten au jardin ben ©Srten^ aux jardins
A. bett (&axttn le jardin bie ®ixxttn les jardins.
C'est ainsi que se déclinent les mots suivants:
ber Soter le père. bei Stcfer le champ.
ber ^fd Ift pomme. ber Sogen l'arc.
ber SDIaittel le manteau. ber Ofen le fourneau, poêle.
ber ^ammer le marteau. ber )6oge( l'oiseau.
ber âogçn le char, la yoiture. ber ®raben le fossé.
• Plur. btc aSôtcr, btc t^)fcl, btc SWantct, btc SSSgcI te.
1) Les mots marqués d'ua astérisque ne modifient pas la
yoyelle au pluriel.
2) Les mots terminés en en ne prennent pas de second n au
datif pluiieL
22 Leçon 3.
b) Neutres.
bas genficr la fenêtre. ba9 (Sifcn le fer.
ba8 geuer le feu. ba9 âimmcr la chambre.
*ba8 SSaffer Teau. ba9 SWlttcI le moyen.
ba« aWeffer le couteau. *ba8 Saper le vice.
ba« SSetter le temps. *ba8..2Jîufter le modèle.
*ba8 Ufcr le rivage. bad UBcï le mal.
ba« @U]6er l'argent. ba9 m^H l'énigme.
*ba8 fiu^fcr le cuivre. ♦baô Suuber le miracle etc.
Déclinaison*
Singulier, Pluriel,
N, ba8 {^enfler la fenêtre bie gf^t^f^^i^ les fenêtres
6?. be8 genPcrô de la fenêtre bcr genjlcr des fenêtres
D. bem Renfler à la fenêtre ben genfîerti aux fenêtres
ui. ba9 Qenjler la fenêtre bie gen^er les fenêtres.
c) Diminutifs^ également neutres.
bad SSumd^en le petit arbre. bad 8iid^(ein le petit livre.
ba9 Çiinbé^cn le petit chien. ba8 ©iil^nïein le petit fils,
bas ^Su8d^en la maisonnette. ba9 !Biigïetn le petit oiseau.
ba9 SJfl&bd^en la petite fille. bad ^n^ttim, la petite fenêtre.
ba9 ®ien(^en la petite abeille. ba9 £ifd^(ein la petite table eto
Déclinaison.
Singulier, Pluriel,
N, bas i^Sutnd^en le petit arbre bie 8ftitmfi^eit les petis arbres
O, bc8 ®Sumd^cti8 du petit arbre bcr 8autn(]^en des petits arbres
J>. bem SSumd^en au petit arbre ben ®&umd^en aux petits arbres
A, bas 8&umd^en le petit arbre bie ^aumé^en les petits arbres.
■HT* Kemarquez que tous les mots appartenant à la première
déclinaison sont de deux ou de plusieurs syllabes. EUe ne contient
point de monosyllabes.
Observation.
Les dix mots suivants en en rejettent quelquefois an
nominatif singulier Vxt final; du reste ils suivent en tout
rinflexion de la première déclinaison. Au pluriel ils n*adou~
cissent pas leur voyelle.
ber 'iflamta ou 9^ame le nom. ber SBiHen ou SBitte la volonté,
ber @amen ou @ame la semence, ber geïfen (ou gel8) le rocher,
ber (êiaubtn ou ®(auBe la foi. ber ^uc^flalben ou Suâjkbe la
ber gUttfett ou gunîe l'étincelle. lettre (de l'alphabet).***^*
ber $aufen ou $aufe le tas. ber ©ebanfen ou ®eban!e ^la
ber griebett ou ^ebe la paix. pensée.
Exemple*
Singulier, Pluriel,
N, ber 9^amen ou 9{atne le nom bie ^amtn les noms
O, be9 Sficmtn^ du nom ber 9Mmen des noms
Première déclinaison. 23
Singulier, Fluriel,
D. bem 9tamtn au nom ben ïHamtn aux noms
A. ben 9{amen le nom bie SRatnen les noms.
Tocabnlaire.
ber ^d^ftler TéooUer. ber etad^cl TaiguiUon.
ber Gciitgcr le chanteur. bte ffîol^Itlj^at le bienfait,
ber i^atfer Tempereur. ^toet deux; finb sont,
ber Scbrer le mattre, instituteur. fd^Sn beau; Hein petit, — e.
bas 9ub le portrait, l'image. er ifi il est; {!e tft elle est.
ber ^^anier l'Espagnol. |^ier ift ou l^ier finb yoici.
ber Stdiener l'Italien. in dans,
ber Qfel l'âne.
Exercice* 5.
1. 3)cr Srubcr bc8 Sîater«. ©te Sïûbcr ber SWuttcr. Det
©atten bed (Sangerd. 3)te ®arten beS SaifetS. SKem Sater
l^at efaien (Sfe(, unb ber OtaKener l^at gtoet Sfel. dn (dans)
bem ®arten. 3n ben âiw^^wcrn. 3)ct 93cutcï bc8 ©ponterô.
3)a« Stib bctneS Sel^rcrô. ©te îropfcn bc8 9îegcn«. 3ci^ l^abc
bcu ©d^Iûffel mctnc« S^^^^^^» 3)ic ©d^Iûffel btcfer ^mmcx
ftnb xtid^t ba (pas là).
2. S)cr ©ol^n ^at ben Çut fetnc« Sîater«. S)tc «blet
finb S5ge(. S)te (Snge( be« Rimmels. S)er WlauUi bed @)>a«
mcr« tp ait. 3)tc 3tamcn ber SSatcr. S)a8 ©uc^ be« ©(3^aicr«.
S)ie ©ptcflcl ber SKabd^cn. ©te gcnficr beô 3tinmcï8. S)a«
©(^log be« «atfcr«. SBo finb bie ©ttefeï be8 2»aler«? 3^
l^abe ben Seutel be9 SnglanberS. $ter finb bte ©d^iaffel be«
éel^rerô. 3)te â^winier ber ©c!^flïer (/>/.) finb ntc!^t gtog.
Thème. 6.
1. Le jardin du frère. Les jardins des Anglais sont
beaux. J'ai deux cuillers et trois couteaux. Voici le portrait
de mon maître. Les clefs de ma chambre sont en (t)on) fer.
Mon père est au (in bem) jardin. Votre sœur est dans sa
chambre. Les miroirs de mon maître sont beaux. Le livre
de l'écolier est^bon. Voici les bottes du peintre.
2. Les ailes des aigles. Voici les noms des oiseaux.
Les manteaux du tailleur. Dans l'eau (dot.). Dans le feu.
Donnez-moi ces petits livres (dim,) . L'aiguillon de la petite
abeille (dim.). Les deux Italiens sont [des]^) chanteurs.
Le corps de l'Âne. Les chambres des Anglais. L'empereur
a un tas [iTjor (®oIb) . L'argent est dans le feu (dat.) . Le
fer est dans l'eau.
1) Observation générale. Les mot entre deux crochets [..]
s'omettent dans la traduction allemande, tandis que ceux entre
parenthèses (..) doivent se traduire.
24 Leçon 4.
Conyersation.
ffîer (qui) ifl biefeS 9J{&b(]^en1 @ie ifl bie Zùâfttt mtiat» 9tn\>tt9.
Qaft bu etttcn cibler gefel^en? 3a, ïé) l^abe ^toei Hbler Qcfel^ett.
^aben ®ie bit (9&rten ber (ingiàxf Sàf l^abe einen @arten etne9 (Sng*
ber gefel^en? ISnberd oefel^en.
SBer ip biefer iuttge Wtann^ (Sx ifl ber ^ol^tt melne0 Sel^rer9.
i^entten @ic (connaissez-yous) bett 3a, i(]^ lentte ï^n (je le connais).
^^[hrubcr meined ^atcrd?
3fi bUfcr ilJ^atin citt iDtaler? 9^eiit, et ifl ein Ranger.
3ii bas )8u6 be9 @d^ii(er9 f(i^5n? 3a, e9 ifl fd^Sn.
fScr ifl fiant (malade)? 2)er @^attier ifl hatti*
«So (où) ifl ber @(]^mp biefed «ier ifl ein @(]^tiiffel.
3itnmer8?
M biefer iDtann ein (SngISnber? 9}ein, er ifl ein Staliener.
SBo finb bie Seller meiner @ie finb in bem S^mmtc beS
iDlutter? I93ater9.
'®o finb bie @tiefel meined SaterSI ^itt finb fie. (Les yoici).
Quatrième Leçon.
Deuxième déclinaison.
§ 1. Elle renferme: a) les noms masculins terminés
en e ; b) un très petit nombre de noms masculins mono*
syllabes, qui sans doute dans le cours du temps ont
perdu leur e final, et qui désignent tous des hommes et
des animaux; c) des substantifs masculins étrangers qui
ont Taccent sur la dernière syllabe.
a) Les mots terminés en e prennent it à tous les
cas obliques, les autres prennent en.
Exemple.
Singulier. lîuriel
N. ber ^nalt le garçon * bieftnaBenles garçons
O, be« iJnabeit du garçon ber ^aben des garçons
D. bem i^aben au garçon ben itnaben aux garçons
A, ben Anaben le garçon bie ihiaben les garçons.
De même:
ber Dîeffc le neveu. ber ©fïatse l'esclaye.
ber ®atte Tépoux. ber Çafe le lièvre.
ber SRiefe le géant. ber ^^U le corbeau.
ber ©ote le messager. ber ©ebiente le domestique.
ber «ffe le singe. ber Sube le juif.
ber Crbe l'héritier. ber gaïfe le faucon.
ber nxot le lion. ber Çeibe le païen.
Deuxième déolinaiion.
25
ber Oéfe {Oâf9) le bœuf.
bcT $ate le parrain.
ber dluffe le Eusse,
bel freuge le Prussien.
ber @ad^fe le Saxon,
ber |[ranîofr le Français,
ber 2)eutfd)e rAUemand.
ber XMt le Turc.
Plur. bic ?Rcffcn, bic «ffen, btc 8ô»en, bic ôafcn, bic
«ûBcn, bic {Ruffen, bie Çrcu^cn/ btc granjofcn, btc ©ctttfd^cii.
b) Il 7 a quelques monosyllabes qui sont soumis
à ce même mode d'inflexion; sans doute parce qu41s
se terminaient autrefois en e*
Singulier.
N, ber <9raf le comte
O, bed @rafen du comte
D. bem (3ia\m au comte
A. ben ^afen le comte
Tels sont:
ber «Sr l'ours.
ber Sflrfl le prince,
ber ®raf le comte,
ber ^db le héros,
ber ^en le maître.
Exemple*
Buriêl
bic ®Yafcil les comtes
ber ©rafen des comtes
ben ©rafen aux comtes
bie (9rafett les comtes.
ber ^tn]àf l'homme,
ber 9îan, ber Xf)ox le fou.
ber Çrtnj le prince,
ber (Sl^rip le chrétien,
ber SRol^r le Maure.
c) Les substantifs masculins étrangers qui ont l'accent
sar la dernière syllabe, suivent la même déclinaison,
excepté ceux qui se terminent en l, Up t ou ft«i)
Exemple.
Singulier,
N. ber ©tubent' l'étudiant
G. ht» @tubenten de l'étudiant
D. bem @tubenten à l'étudiant
A. ben ©tubenten l'étudiant
Tels sont:
ber etefant' l'éléphant,
ber !S)tamant' le diamant,
ber Kboofat' Tayocat.
ber i^amerab' le camarade,
ber (EonDibat' le candidat,
ber @otbat' le soldat.
Pluriel.
bie ©tuben'ten les étudiants
ber ©tubenten des étudiants
ben ©tubenten aux étudiants
bie ©tubenten les étudiants.
ber îl^eotog' le théolonen.
ber ÇrSfibent' le président.
ber Siègent' le régent.
ber Wlonaxâf' le monarque.
ber îî^rann' le tyran.
ber $lanet' la planète.
ber Cornet' la comète }C. k.
ber i^ofaf' le cosaque.
Plur. btc Slcfantcn, bic Dtamaittcit , bic ©olbatcn,
X^tattnctt :c.
1) Ces derniers suiyent la troisième déclinaison, yoyez p. 29 § 4.
26 Leçon 4.
Tocabulaire*
ber Çut le chapeau. ^ïd, ^ïtU beaucoup de.
ber Stop\ la tête. ïoMtl, — e combien de?
ïéf frre^e je çarle. brel trois; toicr quatre,
ber SRocf l'habit. ait vieux; fel^r très,
ber ©rief la lettre. jung jeune,
ber 3âger le chasseur. xâf patte j'avais,
beriil^mt renommé. gegeBen aonné.
fleigig appliqué.
Exercice. 7«
U 3)er Çut bc« ^abcn. 2)tc SRtcfcn finb fel^r grog.
S)cï ftopf bc« Dij^fcn unb bc^ 2ô»cn. Dtc gcbcr inetne« Slcffcn.
S)a9 $aud emed duben. dd^ f)>re(^e bon bem (du) ^anjofeit
unb bon bcm SRuffen. ©ic ©ïkbcn flnb Çcibcn. a)ic fitoobcii
flnb fictgtg. 3^ ^attc ctnen affcn. aKctnc ©rilbcï l^attcn jtoci
ataben. S)ie ïllrïcn flnb ïemc Çeibcn, fie fînb aWal^omcbancr.
aBtr l^abcn ïctnc Dd^fcn gcfel^cn. Çabcn ©te îtoct Çafcn? Unfcr
gïcunb ^at ctnen ?lffen. ©te btelc ©ïlabcn $at ber SEûrîc? (Sx
l^at bter ©ïlaben.
2. 3)cr SKantcI bc« ©tubentcn. ©te SWantcI ber ©tubcn-
ten. 3)tc Sebientcn bcô ©rafcn ^abcn ctnen Sôtocn gefel^cn.
SBo jlnb bic ïlbboïatcn bc8 ^rinjcn? 3)tc S^ranncn ^aBcn bieïe
©olbaten. ©te aKonard^cn fînb SRcgcntcn; fie l^aben btele 3)ta*
mantcn. 9fn bcm ©arten be« ?Prafibentcn. 3)ie Onbcn finb
letnc El^rtjlen. SKctnc ffameraben finb ^PTCugcn. 2)tefc Saren
finb fc^r jung. 3n bem ©d^Ioffc be« ijûrjîcn. 3n ben â^*
mem bc« ?Prinjcn. 2)te ïlamen btefcr Çcîbcn finb bcrill^mt.
Thème. 8.
1. L'habit du garçon. Les pères des garçons. La tète
du singe. Jai un singe. J avais deux corbeaux. Vous avez
trois bœufs. Mes neveux ont un lièvre. Beaucoup d'hommes
sont esclaves. Le fils du comte est à la chasse (auf ber
dagb). Nous avons vu deux lions et un singe. Le Russe
a un château et im jardin. Les anciens (a(ten) Saxons
étaient (toaten) païens. Les corbeaux sont [des] oiseaux
Je connais (td^ lenne) les domestiques du comte. Ces étu-
diants sont très appliqués.
2. Nous avons vu une comète. Avez-vous aussi vu la
comète? Les neveux de mon avocat sont très grands. Avec-
vous un diamant? Nous n* avons pas de diamant. Combien
de soldats les princes ont-ils? Ils ont beaucoup [de] soldats.
La reine a donné un livre au neveu du prince. Je parle de
(bon) Théritier (dat,) du prince. A qui (tocmj avez-vous
Troiaième déolinaiBon. 27
donné les quatre corbeaux? J'ai donné deux corbeaux au
Français et deux à mon frère. Voici la lettre du président.
ConTersation*
^ùt ber $rins einen 9^effen? S)er $rht) l^at )tt>e{ 9{cffcn.
SBo i{l ber {>ut be9 i^albcttl 3^ totïf^ nïâfi (je ne sais pas),
to>o et tfl.
S3o finb Me JhtaBen? 9(!^ totii nid^t, tt)o fie finb.
®ec l^at einen 9(ffen? 9Rein Sruber l^at ^toei Itffen.
tôt ber @$ii(er einen 9taBen1 9^ein, et l^at einen ^afen.
inb bie ^Mtc etnbenten? 3a, fie finb @tubenten.
@inb fie ait? 92ein, fie finb inng.
Çahtn &t bie stoei 8ebienten be« 3^ $abe fie (les) nid^t aefelj^en ; id^
®rafen gefel^enl toeig nïâft, voo fie finb.
Çat ber tSnig S)iamanten? 3a, ber tSnig l^at biele 2>iamanteti«
^aben @ie nteine @d^iller gefel^enl 3a, ïâf l^abe fie gefel^en; Pefinb ht
bem (Sarten.
$aben @ie bem ^oten ben 8rief 3a, ben 8rief unb bad ^nâf.
aegeben?
mt t>iele Çafen l^at ber 3£acr? (Sr (at t>ier ober fftnf (f^afen).
^ennen @ie btefe p>tï êtubem 3a, i(i^ f enne fie ; fie finb bie 9^effeit
ten? be« Çrâfibenten.
^altxt @ie einen (Slefanten ge* 5^ l^abe einen SStoen gefe^en, abct
fel^en? (mais) teinen (Stefanten.
SBo pnb bie ®5ren? eie finb in bem Salbe (forêt).
Cinquième Leçon.
Troisième déclinaison.
§ 1. La troisième déclinaison comprend tous les
substantifs masctdins monosyllabes (sauf une dizaine de
mots qui ont été mentionnés dans la deuxième décli-
naison^] ; puis les substantifs dérivés, terminés en tg,
td^^ Itd^ et Itng etc. (voyez § 4).
Les substantifs de cette déclinaison prennent au gé-
nitif singulier la terminaison t^^ et quelquefois au datif, e.
Cet e ajouté au génitif et au datif peut être supprimé,
quand cela ne gêne pas la prononciation. Cela a lieu
principalement dans le style familier. Au pluriel ils
prennent partout t, et de plus lit au datif. La plupart
des mots adoucissent leur voyelle radicale. Cette dé-
clinaison contient le plus grand nombre de substantifs
masculins.
1) Yoyei p. 25, Remarque.
28
Leçon 5.
Exeraplei«
Singulier.
N, ber gifd^ le poisson
O. bed ^i^éft9 du poisson
2). bem Çif(i^(e) au poisson.
A, Un gtfd^ le poisson.
Pluriel.
bie3fif4^ ^^^ poissons
ber Sh^c dos poissons
ben Istfd^en aux poissons
bie 8if(^e les poissons.
y. ber @o]^n le fils
O. be0 @o]^ne9 du fils
D. bem @o];»n(e) au fils
A. ben @ol^n le fils.
bie ^Bl|iie les fils
ber @0]^ne des fils
ben @8]^nen aux fils
bie eSl^ne les fils.
N. ber ^anm Tarbre
G. be8 8anntc9 de l'arbie
J>. bem @aum(e) à l'arbie
A. ben S3aum l'arbre.
bie fôànmt les arbres
ber S3aume des arbres
ben 85umen aux arbres
bie 9&ume les arbres.
§ 2. Ainsi se déclinent entre autres les mots sui-
vants:
ber Xm la table.
ber @tu]^( la chaise.
ber Çal^n le coq.
ber kaifn la dent.
ber Xurm la tour, le clocher.
ber @turm la tempête.
ber 9(fl la branche.
ber @aft l'hôte, conviye.
ber %on le ton, le son.
ber ^o^f la tête.
ber Sopf le pot.
ber @d^a4} le trésor.
ber &od la canne, le b&ton.
ber 9ted la redingote, Vhabit.
ber 8rtef la lettre,
ber 9{at le conseiller.
ber &VLt le chapeau,
ber xamm le peigne,
ber Xraum le songe,
ber $^ug le pied.
[Iu6 la rivière.
;udb8 le renard.
Bolf le loup.
[reunb l'ami. ^
feinb l'ennemi.
ber $k|} la place.
Plur. bie %x\âft, bie ©tfl^tc, bie fifte, ®t5(ïe, ©d^fifte, gïeuube,
Çiite, 9tâte (de même dans le sens conseil [assemblée]) :c*
§ 3. Les mots suivants de cette déclinaison n'adou-
cissent pas leur voyelle au pluriel:
ber 9[rm le bras
ber {^unb le chien
ber £ag le jour
ber @(]^u]^ le soulier
ber <3^rab le degré
ber ¥fab le sentier
ber Sad^S le saumon
ber ^aâf9 le blaireau
ber 9a( l'anguille
ber @toff l'étoffe
ber $unft le point
Plur. bte firme.
„ bie {>unbe.
„ bie îage.
^ bie ^âfuf}t.
^ bie ®rabe
«, bie $fabe.
„ bie éad^fe.
^ bie S)ad^fe.
,, bie ÎLalt.
» bie @toffe.
• bte ¥unfte.
Troisième déclinaison. 29
§ 4. Outre les mots masculins monosyllabes, il y
a un petit nombre de substantifs dérivés, terminés en
ig, ic^. al, an, on, at,ax, ter, ûft, et Hng, qui se
déclinent d'après la troisième déclinaison. Il faut ce-
pendant remarquer qu'au génitif singulier Te devant i
est toujours omis, sauf dans Çalaft qui fait ^alafted.
Déclinaigoiu
Singulier, JPluriel.
y. bec StHÏQ le roi bie ^Bttige les rois
G. be9 i^Bni^d du roi bec ^Sni^e des rois
1>. bem StUniQ au roi ben ftSntgen aux rois
A. ben MnÏQ le roi bie StM^t les ïois.
Tels sont:
bec i^Sfig la cage. bec ^btnirar Tamiral.
bec Zeippïéf le tapis. bec $alafl' le palais. •
ber (Sfjià le vinaigre. bec àiingling le leune homme.
ber ^ontg le miel. bec gcembling l'étranger.
ber &ptdtna le moineau. bec mii^tling le réfugié.
bec Élonat Te mois. bec $Sring le hareng.
bec Offlîler' l'officier. bec «Itac' l'autel.
ber General' le général. bec ^oîaV la voyelle.
Plur. bic Zt)fpxàft, bte 3Ronate, bte Dffiîterc, btc ®enc»
raie, bte ^alafte, bte ^artnge, bte mtoxt, bie SSoIale te*
Yocabnlafre.
bec SSalb la forêt. ber Çerjog le duc.
ber ^ug la rivière. id^ fenne je connais,
bie ètabt la ville. l^od^ haut, — e.
bec ffîatt le rempart. fiig doux, douce,
bec 9laâihccc le voisin. obec ou; fel^r très.
Exercice. 9.
!• ©te ©ôl^nc bc« Sîatcr«. 3)ic Saumc bc« SBaft)e«* Sn
(dans) bem SBalbe. -3(1^ ^abe ben @tod bed 99ruberd« ^aien
@ie ben ^vit be« dangitngd ? S)te $ûte bed ^aUxi. SBo finb
bie gtfij^e? S)te 5tf(^e finb in ben fjïûffen. ®te âSl^nc be«
Sfete. 3)te tfte bed Saumed finb ^o6i. S)te ©d^ul^e be9
SIR5bc^en« finb Hein, ©te îûrme btefcr ©tobt finb fcl^r l^ot^.
SBtï l^aben jtoet giiij^fe nnb bcet SBôIfe gefel^en* 2)te ftôpfe
Mefcr gifd^e finb fel^r grog»
2. ®te îepptij^e be« (SnglanberS* ®le 3i«iîïï^ be« ^a*
lafied* On ben âiJKtttcm bc« ®^lof[e«» 3)er Staïtenec f)at jtoet
@âpe* SWetn Sater ^at brei Sunbe. 3)ie îraume be« gffic^t*
ïtna«, a)eï Çonifl nnb btcfe Wffel fînb fiig* 3n bem ^alajle
be« ft8ntfl«* 3n ben Çalaflcn ber ftôntge nnb ber ftaifec. ©te
S5ge{ fbtb in ben ftafigen. ©te Sage be« SDtonatô.
30
Leçon 6.
Thème. 10.
1 . Le chapeau du fils. Les chapeaux de mes fils. La
tète du poisson. Les tètes des poissons. La branche de
Tarbre. Les branches des arbres. Les trésors de Tennemi.
Les poissons de la rivière sont petits. Les dents du loup.
Les pieds des renards. Où sont les cannes de mon ami?
Les amis de ton père sont bons. Les oiseaux n*ont pas de
(letne) dents. Nous avons deux tables. La ville a trois
tours.
2. L* Anglais a deux tapis et trois cages. Avez-vous vu
les chapeaux de l'Anglais? Sont-ils grands? Ils sont très
petits. Trois mois et deux jours. Les poissons n*ont point
de pieds. Dans le palais (dat.) du roi. Dans les palais
des empereurs. Je connais les amis du duc. Les souliers de
mon fils sont petits. Les tours du palais sont très hautes.
Conversatioii.
^abett @te cinett Çut?
^aBett @te tnetncn @to(t?
ffîo fmb bie ®^nt bc0 Çer^ogS?
SBo finb bie Zi^piâft bcS (StiglSn-
berd?
^aUn @ie f^tfd^c?
èat bel 9^a(par (Sffia?
ffîad (que) pat ber ©d^neiber?
fBo flnb bie f&HvLmt^
fBer ffat ben ^unb gefel^enl
fSeld^e &éfVi^t îfat ber Tlattc^
@inb iene Saunte ^oàf'i
mt ï>kU Zûmt ^at biefe etabt?
3à) l^aBe %toti {^lite.
3d^ l^abe brei @t'd(te.
^ie finb in bem $alafte.
@ie finb in ben à^mmtm.
mx Ij^aBen feine gifd^e.
9^ein, aber et l^at {>onia.
<Sr (at bie mdt.
2)ie fSànmt finb in bem Satbe.
9Rein gfrennb l^at ben ^vath ge«
felj^en.
dt ^at bie @(]^n]^e feineS @o]^ne9.
Sene 8&ume finb nid^t l^od^.
2)iefe @tabt l^at )»ei ober brei
S^firme.
Sixième Leçon.
Quatrième déclinaison.
Elle comprend tous les substantifs féminins. Au
ringulier, ils restent tous invariables. Le pluriel dépend
du nombre des syllabes.
L Substantifs féminiiis monosyllabes.
Les substantifs féminins qui sont de vrais mono-
syllabes, prennent e au pluriel, puis ils adoucissent la
Toyelle du radical.
Quatrième déclinaison.
31
DéoUiaison.
Singuli&r. Pluriel.
N'. bit ^anb la main bie ^ftltbe les maina
O. bcr ^anb de la main ber Çdnbc dea mains
2>. ber ^anb à la main ben ^anbcn aux mains
A. bie ^anb la main. bie ^ànht les mains.
Il y a environ trente mots de cette sorte:
bie 9]rt la hache.
bie 9ait! le banc.
bie Srant la fiancée.
bie Otufl la poitrine.
bie gauji le poing.
bie nni^t le fiuit.
bie ®an9 l'oie.
bie (Sruft le caveau, la tombe.
bie $anb la main.
bie $aut la peau.
bie Àdtft la creyasse, Tabime.
bie ^aft la force.
bie Stnff la vache,
bie Stnnft l'art,
bie Suft l'air,
bie Sufi les délices,
bie SO'lagb la serrante,
bie iina$t le pouvoii.
bie SD^aud la souris,
bie ^laéft la nuit,
bie 92ug la noix,
bie @tabt la ville.
bie SBanb la paroi,
bie SBurfi la saucisse.
Plur, bie âçtc, btc grfld^tc, bte ®anfc, btc ftflÇc, bie
ftfitifte , bte aRaufe , bie 92&d^te . bte Stûffe , bte ©tSbte, bte
ffîutfte :c.
n. Substantifs féminins polysyllabes.
La plupart des mots féminins sont de deux ou plu-
sieurs syllabes ; ils prennent au pluriel n^) ou eti^^) sans
adoucir la voyelle.
Exemples.
Singulier,
N. bie Slutne la fleur
O. ber Slume de la fleur
I>. ber Slutne à la fleur
A. bie 8btme la fleur
Pluriel.
bie S3Iittlteit les fleurs
ber Slumen des fleurs
ben Slumen aux fleurs
bie ®Iumen les fleurs.
N. bie geber la plume bie fjebem') les plumes
O. ber mber de la plame ber gebern des plumes
1>. ber Seber à la plume ben f^eoent aux nlumes
A. bie §eber la plume bte 0ebem les plumes.
Cest ainsi que se déclinent:
bie $arBe la couleur. bie Stxtéft l'église,
bie ê^ule l'école. bie @d^t»efier la sœur.
1) Sont exceptés les deux mots : bie Wtntttc et bie Xoâ^ttc, qui
font au pluriel bie SBimtt et bie £3(i^tet; voyez p. 42, § 6.
2) lies substantifs féminins en t, tx et e( prennent seulement
m au lieu de en. Ex.: bie ïflcAtln, les aiguilles.
(
32
Leçon 6.
bie Sber la veine,
bie 3nauer le mur.
bie Siantt la tante,
bie Étrage la rue.
bie @ad^e la chose,
bie SUege la mouche,
bie $flan)e la plante,
bie B^etfAe la prune,
bie aidft le chêne,
bie Sime la poire,
bie Stïx\{!^t la cerise,
bie SBunbe la blessure,
bie @tmtbe l'heure,
bie 9lofe la rose,
bie 9latte le rat.
bie ®abel la fourchette.
bie Sutgel la racine.
bie 9[ufaabe le thème.
bie 3nfel l'île.
bie fLdf^û l'épaule.
bie 9^abet l'aiguille.
bie %ïhtit l'ouyrage.
bie ^àfmtiâftUï la flatterie.
bie ihranH^ett la maladie.
bie ©d^ioierigfeit la difficulté.
bie SBiffenfd^aft la science.
bie Çoffnung l'espérance.
bie ÂSnigin ^) la reine.
biePrlîin ( 1» P^^esse.
bie $oefie la poésie,
bie ^abril la fabrique.
Plur. btc ©d^ttlcn, btc ©d^iocftern, btc ©tra^cn, bic
ffiutjctn, btc ^anll^cttcn îc*
Observez que tous les substantifs dérivés en et (e^]^
l^tit, fcit, i^a^t, nng^ in, it, it, ion et ïàt sont féminins.
Remarque.
n y a un petit nombre de substantif féminins mo-
nosyllabes qui, suivant cette même manière, prennent en
au pluriel. Il est probable qu'originairement ils étaient
dissyllabes.
Ce sont les suivants:
bie fônàft la baie,
bie gal^rt le passage,
bie gfut le flot, le flux,
bie grau la femme,
bie gonn la forme,
bie $f[id^t le devoir,
bie ^ofl la poste,
bie è(iar la troupe,
bie @d^ïad(|t la bataille.
Plur. btc f&viàfttn
Un, bie ©jd^ttlben, bie
Singulier,
N, bie ffîelt le monde
G, ber S93elt du monde
2>. ber ^elt au monde
A. bie SBelt le monde
bie ©d^rift l'écriture, l'écrit.
bie Bàfnih la dette.
bie @pur la trace.
bie %f)at l'action.
bie Ul^r la montre.
bie Sal^I le choix, l'élection.
bie ^elt le monde.
bie 3a^( le nombre.
bie ^tït le temps.
. bie gluten, bte Çfltd^ten, bte @6fiaâf*
îEl^aten, bie ^a^tn, bte â^it^w-
DéoUnaisoii.
Pluriel,
bie IBelten les mondes
ber SBetten des mondes
ben SSSelten aux mondes
bie SSelten les mondes.
1) Les mots féminins en in doublent leur n au pluriel: bie
ItSniginnen, ^rinséffinnen ou giir|linnen (les princesses) etc.
Quatrième déclinaison. 33:
y. bie grau la femme bie Sf^aiten les femmes
G. bel ^avi de la femme ber ^auen des femmes
D. bcr ^an à la femme ben ^aucn aux femmes
A. bie $ratt la femme. bie grauen les femmes.
Yocabnlaire.
bie @d^fiïcritt l'écoUère, l'élève. bie ©tedttabeï l'épingle.
bie @tabt la ville. ïranf malade; gefunben trouvé.
bie grud^t le fruit. UcBen @le? aimea-vous?
bie erbe la terre. id^ ïleBe j'aime.
rot rouge; fdbBn beau, belle. ïattô long, longue.
gefauft acheté; Beja^U payé. fd^Ied^t mauvais.
ber Setter le cousin. toax était, b>aren étaient.
Exercice. 11*
1. S)tc garte bcT 8îofc. îCte ^axitn ber Slutncn. 3){c
tïcbcr bcï ©d^tocflcT. 3)te gcbem mciner ©d^tocjîcm» 3)tcfe
©a^cn flnb ïïctn. ®ic gilgc bcr 8îatten. ®tc Sbern bcr SKcn-
f(i^cn. 3(i^ l^abc bie 8îofcn bcr ©d^iitcrinncn gefunben. ©te
SBurjcIn ber SSume. 3d^ gcbc btcfc Slumcn bcr fiôntgtu. SDte
Çoffnungcn bcr Srben» a)te aKauem bcr ©tabt flnb l^od^. S)ie
SBuuben be« $>clbcn. îCaô ^nb l^at â^^tf^cn unb ttrfd^cn.
S)tc ©tunbcn beô ïagcô ftnb ïaug. îCte ^anïl^cltcn bcr aKcu*
fij^ctt. SDte Çanbc beô SWanneg. 3(^ ïtcBe bie 9îiijtc.
2. 3^ licbc bie Stjfcnfd^aften. ®tc ^rinjcffinucn ftnb bie
©^tocPcm bc« ^rtnjcn» SBir ^abcn jtoct ©tednabcïn gefunben.
3^ l^oBe bem 9Mâb(|cn bieïc Sïumcn gcgcben. S)ic gebcm bcr
©tubenten xoaxexi ntd^t gut« 3)tc Sidéen beS SBalbcd ftnb fcl^r
ïfcâi. S)te arbettcn S^xe9 ©(^iilcrô ioarcn fcl^r fd^lcd^t. Sieben
©te bie ^oejlcn bcr Snglanber ? ÏTuf (dans, sur) bcr afnfcl. 3d^
ïiebc Wc ©d^mctci^eleien bcr 3uben nid^t* 3)ic gïtcgcn flnb in
bem S^^^* ®i^ B^¥ ^^^ aBcïtcn ijl unbcïannt (inconnu).
Thème. 12.
1. Les mains de l'enfant. Les églises des villes. «Tairne
les arts. La couleur de la fleur. Les couleurs des roses.
Les plantes du jardin. Les chênes de la forêt. Ces pommes
et ces poires sont mauvaises. Le frère de mon maître a
trouvé deux rats dans son jardin. Donnez la lettre à la sœur
de la reine. Mes sœurs sont malades. Vos (dl^rc) plumes
sont-elles bonnes? Les murs de la ville étaient-ils hauts?
Les poésies des Allemands sont très belles.
2. Les thèmes des écoliers et des écolières. Les cerises
sont rouges. Aimez-vous les fruits de cet arbre ? Les racines
des plantes sont dans la terre (dat.). J'ai trouvé une canne
dans la rue. Cette femme a acheté beaucoup de cerises.
OTTO, Orunmaire allemande. 3
34 Leçon 7.
Dans trois ou quatre heures. Dans la maison de ma tante.
Les sœurs de cette fille sont très petites. J'aime les poires
et les pommes. Je connais ces femmes. Votre cousin a
payé ses dettes.
Conyersatioii*
fEkt J^ai tneine gebentl 2)eitte ^âftotftte f^at fie (les a).
^aUn @ie biefe tirf^en gefauftl ÏHtïxt, ïéf ^abe biefe Shmett uttb
Stoetfd^en geîouft.
iaUn 3(re ^tt>efUm gutc 9ia* @tc l^aBen gute 9îabeln, altc ^éfité^*
be(n? ten Çabeti (du fil).
9Bo flnb bU ^u^e meiner 2:ajtte1 3d^ toetg nid^t, »o jUfinb.
9fl bie tBnigin in ber SdïàfO. 2)te tSnigin unb bte $ritt)ef1innen
flnb in ber ^rd^e.
9Bo finb bie 0(^tt)e|lem biefes @ie finb in ber Seattle.
StnaUn^.
Sieben @ie biefe S^ofen? 3a, id^ lieBe fie (les).
Sieben @ie bie garben blefer i^Iumen ? 9^ein, ià) liebe fie nid^t.
193on toel^er Çorbe finb bie tirfc^en? 2)ie tirfd^en finb rot.
fBem (à qui) ^aben @ie ben ^^rief 2)em 9<bienten ber gâr^in.
aegeben?
fmt t>iele SBunben l^at biefer @oI« (Sx J^at brei ffîunben.
bat?
^nb biefe IKrbeiten gut? 92ein, fie finb fel^r fd^Ied^t.
i(ennen®ieben9{amenber giirflinl 3a, id^ fenne il^n (le).
{>aben @ie einc Ul^r in 3l^rem Sàf i^abe itoti Ul^ren in meinem
3itnmer) {>aufe.
Septième Leçon.
Cinquième déclinaison.
Elle renferme tous les substantifs neutres, sauf ceux
terminés en tl, et^et en, qui appartiennent à la première
déclinaison.
On distingue deux sortes de mots neutres:
1) les neutres dWe seule syllabe, et
2] les neutres de plusieurs syllabes.
§ 1.- Les substantifs neutres monosyllabee se dé-
clinent au singulier comme la troisième déclinaison, c^est-
à-dire qu'ils prennent au génitif ed ou i, au datif e (ou
aucune terminaison] ; mais au pluriel et (au datif em) ,
en adoucissant la voyelle.
Cinquième déclinaison.
35
1. Exemples éPun neutre monosyllabe.
Singulier.
N. hù» Stinh Tenfant
O, be9 AinbeS de Tenfant
D. bem Atnb(c) à Ten&nt
A. ha9 Ainb l'enfant.
PhirieL
iV. bie ftinber les enfants
O. ber ^nber des enfants
D. ben SHstbent aux enfants
A, bie ^inbcr les enfants.
Singulier.
N. ba9 2)otf le village
G. be8 2)orf(e)8 du villt^e
D. bem 2)orf(e) au village
A. ha9 SDorf le village.
Pluriel.
N. bie ^Btfer les villages
G. ber 2)Srfer des villages
D. Un 2)Srfem aux viUc^s
A. bie 2)SrfeT les villages.
Ainsi se déclinent entre autres:
hùS f6iatt la liBuille.
bad fdnâf le livre.
ba9 92efi le nid.
bas Çelb le champ.
ba9 ®elb l'argent,
bad ÂalB le veau,
bad @4Id6 le château.
ba9 Sanb le pays.
t>a9 %^(d la vaUée.
ba9 Steb la chanson.
\ bad Samm l'agneau.
bas Aleib l'habit, la robe.
ba9 ^anb le ruban,
bas ®Ub l'image,
bas $au9 la maison,
bad 3)ac^ le toit,
bad )6ab le bain.
ba9 (Si l'œuf.
P/«<r.; bie ©IStter, btc fflud^cr, bie getbcr. bie 85nbeT,
bie Zf)Un, bie «feiber, bie fflanber, bie $)Suîer, bie ©er :c.
Note. Les exceptions se trouvent dans la neuvième leçon.
§ 2. Les neutres polysyllabes prennent au génitif
du singulier 9* Leur pluriel est en t, comme dans la
troisième déclinaison. Les mots en i9 ont tff devant
une voyelle finale: ba« â^Mgni^, bie â^^Sî^^ff^-
2. Exemple (Tun neutre dissyllabe.
Singulier,
y. ba9 (Sefd^ent le présent
O. bed ®ef^enld du présent
D. bem ©ef^ent au présent
A. ba9 (^ef^en! le présent.
Ainsi se déclinent:
bas (Sefd^aft l'affaire.
bad ®eto>e^t le fusil.
ba9 ©efprSd^ 1& conversation.
ba9 (SeMube le bâtiment.
ba9 ®em&tbe le tableau.
ba9 ®eBirae la montagne.
ba« ®ett)9lbe la voûte.
bad ®efe4 la loi.
ha9 StomifiimtiiV le compliment.
Pluriel.
bie ®efil|ettfe les présents
ber ©ef^enie des présents
ben ®c|d^enfen aux présents
bie ©ef^ente les présents.
ba9 ©el^eimniS le secret.
ba9 â^ttgntd le certificat.
ba9 ©lei^niS la parabole.
ba9 Carnet' le cluuneau.
bas ai^etaQ' le métal.
ba9 $a))ier le papier,
bad Àongert' le concert,
bas Sineal la règle,
bas seiSet' le billet.
Plur.: bieOefd^Sfte, bie®emSIbe, bteSKetal'te, ©iûet'teK.
1} Quelques mots ont un double pluriel; p. ex. bad SBoct, pi.
bie Sorte (mots constituant une phrase) , et bie SBSrter (mots isoles).
3*
36 Leçon 7.
Yoeabnlaire*
ba9 ®oIb l'or. ber SSger le chasseur.
ba9 @Uber l'arsent. ret$ riche; t>erYauft vendu.
ber ffîert la valeur. nrnb rond, — e; griltt vert,
bas l^ul^n le poulet, la poule. to>te comment? aBer mais,
bie 9{id^te la nièce. neu neuf, nouveau.
Exereice* 18.
1. S)ic ©tragc bc« a)oTfc«. 3n bcm îCoïf* S)tc SISttcr
be9 Saumed. Suf (sur) bemSDa(^(e) be^ $aufe«. S)ie$&ttfer
bcï ©tabt finb l^od^» S)ic fttnbcr fltib tti bcm ©d^ïoffc* S)tc
SSmmcï finb auf bcn fïcibcni. SDic SclnbcT ber Jïdtttgc flnb fcl^T
gTog« 3(i^ ge6e ba9 Sud^ ben ^bem be9 Se]^rer9« iD?eine
@(i^t]>efler fingt (chante) t)tele Stebet« -Sd^ Ite(e bte Xl^SIer biefe^
8anbc«* 3)tc 53ft(i^cï mcincr Sttd^tc finb ncn» SDic Sûd^cr {cnc^
ilRabd^end ftnb ait.
2. $a6cn®tc3]^T ®cïb gcfnnbcn? Çatcn ®ic bicfcSlct-
ber geïanft? ®tc fbib fcl^r f(i^3n. S)ie ftnabcn bc« Çirtcn i^aBcti
jtoei Stejlcr gcfnnbcn. éd^ fpred^c Don bcm Stïbe ber SBntgin.
Sâ^ Hete bie fiicr ber Çûl^ner. SDtc Ocfd^ente beô gûrflen nnb
ber gûrjltn toarcn rcid^. 3cnc ©cBaubc finb fel^r ait* S)a8 ®o(b
unb baô ©tI6cr finb ebïc (précieux) WtetaUe. S)ie Sîcfler ber
®ôgcï finb rnnb.
Thème, lé.
1. Le toit de la maison. Les toits des maisons. La
valeur de T argent. Dans le village {dat,). Dans les villages.
Les feuilles des arbres sont vertes. Les écoliers ont trouvé
un nid. Les œufs sont dans les nids. Le voisin a acheté cinq
agneaux. Le château est dans une vallée. Les maisons des
villages sont petites. Où sont les livres de votre élève (/.)?
Ils sont sur la table {dat.). Je connais les pays du prince,
ils sont très riches. Les œufs des oiseaux sont ronds.
2. Les juifs ont vendu deux veaux. Le comte a donné
les présents aux enfants de son domestique. J'ai acheté les
œufs des poules. Le chasseur a vendu ses (fcinc) fusils. Ces
bâtiments sont très vieux. Les chansons des Allemands sont
très belles, mais les chansons des Espagnols (@))anter) sont
encore plus belles (nod^ fd^Bncr). Avez-vous vu les tableaux
dans le château du comte? Je n'aime pas les compliments.
Conversation.
tBeI4e« (quel) i^ ber 9^ame biefeS S)iefe0 2)orf l^cigt (s'appelle) diof^x»
2)orfeS? Bad^.
fSo tt)o^nen (demeurez-) ®M 34 tDo^ne Ut etnem 2)orfe.
^Ben &t bide i^inber? 34 (aBe bret Stmhtt.
Prépositions. 37
«3cm 5«Bc« @lc meltte «ild^er ge- 3d^ IJaSe fie (les) 3*rcr mâ>tt at*
geBcnl geBen.
SBa« ^at ba8 iîmb fiefaiift? (Sd ^at toter ©iïbet gcïauft.
tBo IJat ber Çlrte ble 25mmcr gc (gr bat fie auf (dans) bem gelbe
funben? aefunben.
*aben @le bie ®era&ït>e bcS ?Jrinactt 3* UU fie nod^ ntdjt (pas encore)
ôefe^enl ôefe^en.
«leBen ©le bie (glet? Sa, lA ïtcBe ble (gler ber ^^ill^ner.
«ennen ©le ble Z\)àitt ber ©d^toelj 3a, i^ ïcnne fie; fie flnb fe^r fd^Siu
(buisse) r
©a« Babctt ble »%!? S)le «5gcl ^aBcn Méfier.
S? Ç^^ill ®^? *>« ®^8«ï^ * ®tc fwi> itt ben 9lcfiem.
®ies)lel ©cïb ffaUn ©le? 3^ BaBe nl*t toleï.
Si* 5"5 K' Sî^"*'^ ^^ «Sumel 3)ie «ïfittcr ber «fiume flnb ûril».
©le flnb ble aWetatte? ©ie aWetatte flnb fd^toer (pesants).
®er i^at memem «Inbe blefe ©e- 3d^ flïauBe (je crois que); e9 »ar
f^enfe ôegcBen? ble Or&fln.
Huitième Leçon.
Les déclinaisons sous l'influence des
prépositions.
Très fréquemment les substantifs sont régis par
des prépositions, qui se présentent presque dans chaque
phrase. Il est donc nécessaire de connaître dès à pré-
sent ces particules avec les cas qu^elles régissent. Nous
ne donnons cependant ici que celles dont on se sert le
plus souvent.
1. Prépositions qui régissent toujours Taccusatif.
burd^ par, à travers. gegen | vers, envers,
ffir pour. toïhtx \ contre.
oBne sans. nm autour de.
2. Prépositions qui gouvernent toujours le datif.
an9 de, par, hors. felt depuis.
Bel auprès, près de, chex. t>o% de, par, de chez.
mit avec. 5U à, chez.
nat^ après, selon. gegenfiBer en face de.
3. Prépositions qui régissent le génitif.
flatt ou ( „„ ,. „ ,^ toSÇrenb pendant.
W«tt } *^ ^^'^ ^®- tt)egen i cause de.
38 Leçon 8.
Yocabnlaire*
bie (SrlaitbuiS la permission. ber Steth le panier.
ba« «ab le bain. ble «rflde le pont.
bcr ©adfer le boulanger. bct SWonat le mois,
bie $op la poste; gegongen allé, ber 9legett la pluie,
erl^alten reçu. aef^rixS^m parlé.
ouSgegangen sorti. ti^ tDol^ne je demeure.
Exereice* 15.
1. SDîcinc Srcunbc flnb buTd^ bie ©tragcti bcr ©tobt gc*
gongen. âd^ l^abe âl^ren Srief burd^ etnen S9oten erl^alten. S)tefer
$»ttt tfi filr ben ©ol^n bed ©rafen: dd^ l^abe ©e^enfe gelouft
fiir bie ètnbcT metnc« Scl^Tcr^. îCic ©douter flnb ol^nc mcinc
Stlau(ni9 auSgegangen. ©egen bie SRauer* iBSad l^aben @te
gegcn (toibcr) S^ïen 5Rcffcn? SDer Sngïdnber ijl um ba« S)orf
gegangen.
2. 3âf fomme (je sors] au9 bem 9abe« SDer S9Sdter ^at
bad SSrot auS bem $or6e genommen (pris). S)te $ojl ifi 6et
ber fttrd^e. dd^ ^6e ben $ater mit fetnem ©ol^ne gefel^en* ytaâf
bem 9îegen. 9lad^ ben ©efe^en. S)et f^anjofe too^nt (demeure)
6ei bem ©d^Ioff e. 36^ 6tn fett bret S^gen |ter. 3d^ f))ted^e t)on
bem Sater unb ber 3Rutter memer @^fi(ertn. iBir l^aben ))on
bem Stibe bed AatferS gef))rod^en. SBegen bed 9îegen9* SBdl^renb
be« 2Btnter«* ©tatt eine« @ef4enï(c)«.
Thème. 16.
1. Par la fenêtre. Je suis allé par les rues de (iDott)
Paris. Cette rose est pour la princesse. Ces livres sont pour
mon maître. Les filles sont sorties sans leur (tl^re) mère.
Autour de la table. Les soldats marchent (marfd^teren) contre
r ennemi. Le fils est sorti sans la permission de son père.
Les oiseaux volent (fltegett) autour du palais de la reine.
2. L* enfant sort (fommt) de [aui) l'école. Ma nièce sort
du jardin. Près du pont. Je demeure près de l'église. Le
domestique était auprès de son maître. Le jardin est près de la
maison. Le Russe a acheté cet habit chez son tailleur. Il
a reçu l'argent de (t)on) son oncle. Ma sœur est malade de-
puis un mois. Allez (gel^en ©te) chez (}u) le boulanger. H
demeure (tDol^nt) près du château. A cause de la lettre.
Pendant la pluie. Qui a parlé de (bon) mon voisin?
4. Prépositions qui "gouvernent tantôt le datif,
tantôt Taccusatif.
Les neuf ptépositions suivantes régissent le datif,
quand elles marquent le repos ou désignent le lieu dans
lequel se passe une action et surtout après les verbes
Frépositioiis. 39
étre^ se trouver, rester, demeurer etc. Mais elles gouver-
nent Taccusatif toutes les fois qu'elles désignent un mou-
vement d'un endroit à un autre, ou vers quelque objet.
Par exemple: Je suis à la fenêtre, se traduit: Sâf (in
ou ftel^e an bem Senftet (dat.) ; mais je vais à la fenêtre
id^ gel^e an haê gcnfter» (Voy. Leç. 40, 4.)
on à (près) in dans, en, à ilBer sur, au-dessus de
cmf sur ntbta à côté de unter aous, pazmi
(iitter derrière . l»or devant, ayant, il y a itoifé^n entre.
Remarque 1, Les prépositions in et t)or régissent
toujours le datif, quand elles marquent le temps. Ex. :
3n einem Xoge dans un jour.
8or imei SRonatnt il y a deux mois..
Memarque 2. Quelques-unes de ces prépositions se
contractent en un seul mot avec le datif ou avec Tac-
cusatif de Tarticle défini, savoir:
a in pour an bem. ins pour ïn bas.
ans (<ut*S) pour an bas. libers pour fiber bas.
attfs (anfs) pour anf bas. t)om pour bon bem.
beim pour bei bem. tors pour t>or bas.
bnré^s pour burd^ boS. |nm pour gn bem.
im pour in bem. gnr pour ^n ber k.
£x.: am genfier; im ®arten; ins SBaffer; gnm 8eif^iel.
Toeabulalre.
bas SReer la mer. bie @41ad^t la bataille.
bas ^aâf le toit. bas Aonjert le concert.
bie XS^Ûxt, bas £l^or la porte. baS S^beater le théâtre.
bct ^taS Téeurie, Tétabie. ber Stxlta la guerre.
bie @tal^Ifeber la plxmie métallique, ge^ €He ailes, allez-vous?
ber ^of la cour. lommen venir; fo si.
bie 3agb la chasse. b^ute aujourd'hui."
bas €S$af la brebis. anf bem £anbe à la campagne.
bas 8ett le lit. jn Çaufe à la maison.
Exercice* 17*
1. Xn bem (am) 3Reete. %n bet Sl^fire. Slnf bem 3)a^e«
|>tnter bem ^tix(t). 9le6en ber Stade. 3)teS59el fi^en (sont
perchés) auf ben SSumen. Sâf Un va bem Çaufe. è^ ge^e in
baa $att9« 3)te ftinber finb in ber ©d^ule. ®ie ge^en (ils vont)
in bie ®<!^ttle* S)ie Çferbe flnb in bem ©taD. S)ie ftûl^e flnb
in bem Çofe» Die ©d^afe flnb anf ben Çelbem. S)a8 Çeber»
meffer be^ ftnaben Kegt (est) auf bem Xtf(i^(e).
2) 2)a9 ^ttt fiel^t (est) jtotfd^en ber S^ate unb bem genfier.
2>er $nnb Kegt nntet 9em ©tul^Ie. SBtx mol^nen in ber ©tabt*
Unfer tJrennb tool^nt in einem îDorf ♦ Die Çifd^c flnb im iBJaffer*
3ttm 8eif))iet (par exemple) « 3)ie[er ® olbat l^at ))ie(e SBunben
40 Leçon 8.
tm ftricg crl^altcn» Stcr Sîcgimcntcr Çufarcn toarcu iti bcm ffricg^
S)ie Çcrreti finb auf bcr 3agb; btc graucn ftnb te bcr fttrd^c.
Ocl^cn ®ic aufô ©d^bg? SRete, toir gcl^cti auf bic Srûcïc.
Thème. 18.
1. A la fenêtre. Dans la cour. Dans les chambres.
La poste est à côté de l'église. Les écoliers vont (gel^en) à
(te) l'église ; les écolières vont aussi à l'église. Où avez-yous
trouvé mon crayon? Il était sous la table. Mettez-le (Segen
@te i^n) sur ma table. Le chien est devant la porte. Mettez
les fleurs devant la fenêtre. Les fruits sont sur les arbres.
Le comte demeure à la campagne. Les étudiants vont au-
jourd'hui à la campagne (auf ba« Satlb «.).
2. Les soldats ont parlé de. (t)on) la guerre et des (t)on
bcn) batailles. Je voyageai (rcijlc) avec un Anglais. Ma
canne est tombée (gefadett) dans l'eau. Le tailleur avait le
chapeau à (in) la main. J'ai vu les tableaux dans le château
du prince. Entre deux arbres (dat,). Le chien est sous le
lit. Allez sous le pont [ace). Le garçon a trouvé quatre
<»ufs dans le nid [dat).
Conversation.
SBo ifl Sl^r Sel^retl (Sr ifl im 3immer.
£3o finb bte @MIer1 @te finb te bem (im) |^of.
12Bo tcaxtn bie ëotbateni @ie maren tm i^rtege.
^a^ bu metee ©tal^Ifeber ge« ^a, fie ï&at unter bem ©tul^I.
fttubcul
Sarum flnb bie ^leiber biefed @ie flnb iu9 SBaffer gefaSett
Anabtu fo nag (mouillés)? (tombés).
fBo toax ber ^aM (Sx toar an bem gtuffe.
SBol^iu (où) gel^ett biefe graueu? @ie çel^en tu beu Balb.
ÇaBeu @te meine @^U)ef!er uid^t 3a, t^ l^abe fie auf ber 8rfi(!e ge«
gefel^eu? fel^eu.
f&cif)tx (d'où) lommeu @te? Si !omme au9 bem 8ab.
SBol^in gel^en @ie? 3^ gel^e mit meinem i6rubet uad^
^aufe (à la maison).
©0 toareu @ie, meiu greuub? S^ xoax im îll^cater.
®o jiub 3Çre «Pfcvbe? @ie jinb iu bem (im) ©tatt.
(&ii)tn @ie ^eute tnd 2:i^eater1 ^tin, itif gei^e ind âonaert.
IBo^nt ber (Sugl&uber tu biefer 3a, er tDol^nt bel etnem ^àâtc
@tra6e? (boulanger) ueBen ber $ofi.
Pr u>eu l^aBen @ie biefe ®efd^enle @ie finb fur meine brei S^id^teu.
gcïauft?
)Bou tt>em f^red^en @ie? Sir f^red^en t>on beu XûtUn,
eittb Sl^re 9^effeu ju Çaufel 9?eiu, fie flnb ut<!^t su Çaufe; fie
ftub «itdgegaugen.
41
Neuvième Leçon.')
Irrégularités dans la formation du pluriel.
Les irrégularités que les grammairiens énumèrent
eommunément comme exceptions, se rapportent presque
toutes au pluriel. Nous trouvons à propos de les ranger
selon les déclinaisons.
Irréffulariiés de la première décKnaison.
§ 1 . Les substantifs suivants {»:ennent au pluriel tt
et n'adoucissent pas la voyelle radicale :
bcr 9auer le paysan Hur.: bie douent
Ibtx dater le Bavarois „ bie datent
ber detter le cousin „ bie ^ettern
ber ($et>atter le compère „ bie ©eioattent
ber aiRudIel le muscle „ bie WlniMn
ber $antoffe( la pantoufle „ bie $antoffeItt
ber ètad^el Taiguillon ^ bie ^ad^eltt
ber 92ad^Bar le voisin ^ bie ^aâfiavn
ber Uttgar le Hongrois „ bie Ungant.
Bemarç[uez: ber (SffaxaVttt le caractère, forme le pluriel Q[^a«
rofte're.
§ 2. Les mots tirés du latin en ot suivent au sin-
gulier la première déclinaison, mais au pluriel ils ajou-
tent ett:
ber 2)oI'tor le docteur Plur,: bie 2)oltoteit
ber Çrofef'for le professeur ^ bie Çrofefforen
ber S)treftor le directeur „ bie 2)ireftoren
ber 3nf^i>r Tinspecteur „ bie 3n[^Itoren ic.
JExeepU%: ber Wlalùt' le major, qui fait au pi. bie 'SRaloxt.
Irrégularités de la troisième déclinaison.
§ 3. Un petit nombre de mots mascuUns monosyl-
labes prennent au pluriel en et ne changent pas la
voyelle (le mot ®^oxn perd le n du radical):
ber SDom l'épine. ber ^aft le mât.
ber &pcitn Téperon. ber @ee le lac.
ber @4iner) la douleur. ber @taat l'état,
ber ^fan le paon. ber ^tral^I le rayon.
Plur.: btc iOomcn, bie @^)oren, bie ©d^merjen, bie
^faueti. bie SOtaften, bie ©eeen, bie étaatm, bie ®tta^vx.
■ i-
1) Cette leçon peut être apprise plus tard.
42 Ijeçon 9.
§ 4. Les mots suivants prennent au pluriel et:
ber Wlann l'homme. ber Ort le lieu, Tendroit.
ber ®eifl resprit. ber Shtrm le yer.
ber ®ott le dieu. ber S^e^tum la richesse,
ber îtïb le corps. be): Srrtum Terreur,
ber 9tajib la marge. ber S^ommnb le tuteur.
Plur.: btc SWSnner, btc (Setfter. bic ®8tter, btc ©ûrmcr,
bie 9letd^tflmer :c«
Irréffularités de la quatrième déclinaison.
§ 5. Deux jnoU féminine terminés en nid et deux
en fal prennent e au pluriel, 9 de tiid devient alors ff :
bie 8eforgnt9 la crainte. bie XM]al Tafaiction.
bie 8eliimmemi9 le chagrin. bie 2)rangfa( Toppression.
Plur.: btc ©efoïflntffe, btc ©eïflmmeïniffc, bie îErflbfalc te*
§ 6. Les deux mots bte 9Jhtttet et bie Xod^tet ont au
pluriel bie SWflttct et bie Ziâfttx.
Irréffularités de la cinquième déclinaison,
§ 7. Les sept substantifs neutres suivants forment
leur pluriel en ttt:
bad 8ett le lit Phtr.: bie 9etten
ba9 $emb la chemise „ bie Çemben
ba9 ^er) le cœur „ bie ^er^ett.
ba9 Ol^r l'oreille » bie O^reit.
ba9 9(tt0e l'œil « bie Stuaett.
ba9 (Snbe la fin ^ bie QSnben.
bad 3nfe!t Tinsecte ^ bie Snfeften.
§ 8. Le mot: bad Cet} le cœur, présente déjà au
singidier une irrégularité. Voici comment il se décline :
Sinff.: N, et A. ba« ôerj; O. be« Çerjenô; D. bem Sergen.
P/ttr.: N. et A. btcçerjcn; O. beTÎ)ergen; D. bençergcn.
§ 9. n y a un assez grand nombre de neutres
monosyllabes qui ne prennent pas et au pluriel, comme
le veut la règle; mais qui ajoutent seulement la lettre
t, sans adoucissement:
1) Huit qui se terminent en tx
ba9 3a]^r Tannée. baS Sier Tanimal.
bas ^aar le cheveu. ba9 $aar la paire,
bas ^ecr Tannée. bas ^ol^r la canne,
bas 9Reer la mer. bas S^l^or la porte (coohère au de
ville).
Plur.: bie Sainte, bte Çaare, bte SKeere, bie îiere xc.
JirégvHBxitéê. 43
2) Quatre qui en prenant et pourraient être con-
fondus avec d^autres substantifs semblables, tek que : bet
©d^ôfer le berger; ber ©d^tffer le batelier etc.
bas edaf la brebis. bad @eU la corde, le câble,
bas BOfïft le Yaifiseao. bas ^pitl le jeu.
Pbir.: bie ©d^af e, bie ©d^if f e, bie ©cilc, btc @^)tclc.
3) Les suivants:
bas 9ett la hache. ba9 9lt^ le filet.
bas JBein la jambe. * ba9 $ferb le cheraL .
bas 9oot le bateau. bad ^funb la liyre.
bas 9rot le pain. ba9 ^ed^t le droit.
bas 2)Uta la chose. bas ffttïi^ remplie.
bas (St; rairain. baS 9log le coursier, le chevaL
bas ^Q la peau. ba8 @al| le sel.
bas ®ift le poison. ba9 ^é^toeht le porc, cochon.
bas ^eft le cahier, la livraison, bad %«at le câble.
bas âo^ le joug. ba9 ^td Touvraçe.
bas 2o9 le lot, sort. ba8 3^^l le but, le terme.
Plur.: bic ©citie, btc îDlngc, bic Çcftc, bie Sîe^c, ble
Çfcrbe, btc {Redite, ble SRctd^c, bic ©d^tocme, btc SBerlc ic.
§ 10. Les mots suivants, quoique de deux syllabes,
ont au pluriel et: *)
bas (^fc^Ieét le sexe, le genre. ba9 ©emiit l'esprit, le coeur,
bas @))ital l'hôpital. ba9 îRt^ïmtnt le régiment.
Plur. : btc ® cfd^Ied^ter, ble ®^)it5Ier, ble Sîeglmcnter te*
§ 11. Les mots neutres en al et um venant du
latin, forment leur pluriel en {en {latin: ia). Ex.:
bas Aa^ttat le capital, le fonds Plur.: bie j{a)>ttat{en.
bas ^intcat le minéral „ bie ^ïntxalitn.
bas etttbtum Tétude „ bie €^tubien.
§ 12. Les substantifs composés de la finale matttl
changent ordinairement leur pluriel en — leutc:
ber $au)?tntajtn le capitaine Plur.: bie $au))tteute.
ber Âauftnann le marchand « bie Âaufleute.
ber @c!^i(fmann le batelier, marin ^ bie ^d^iffleute.
ber Kmtmann le bailli, sous-préfet „ bie fimiimit rc.
Remarque: On trouve cependant aussi les formes: bie ^att^
mfimiec et mttmSniter; de plus le mot @taatdmajttt fait ^taatdmattttec.
§ 13. Quelques mots forment leur pluriel à Taide
d'une adjonction. Ex. :
1} Four les mots composés, voir leçon 10. p. 45.
44 Leçon 9.
bcrSlat le conseil, avÎB(V,p.28§2). Plur.: blc «at^ISge.
ba9 UrtglM le mallieuz » bte UngliidSfaae.
bie ®unfl la fayeui ^ bte ^uujll&eieugungett.
ber 2)anf la reconnaissance ^ bte S)ant[aaungen.
ba9 So6 l'éloge » bie SoBederçeBungen.
ber étreit la querelle » bie ^treittgfeiten 2C.
Tocabnlaire.
®ott Dieu. fte Ueben ils aiment.
bte Wlïlâf le lait. meine, PI. mes; ilj^re leurs.
ber @tein la pierre. feltte (ll^re). P/. ses.
ber Stoth le panier. fed^9 six, WicBett sept.
Par! fort; bctriorcn perdu. tteun neuf, jel^n dix.
ber ^d^Sfer le berger. nett neuf, -re; lan^ long.
Exercice* 19.
1 . a)ic Seine ï)ct OSnfe. îDie ©tad^elti ber Stenen^ S)tc
îl^oïc ber ©tabte- SDic gettc ber ©(i^afe- Çateti ©te jtoei ^fertoe
flelauft? Stein, xâ^ ^aU brct Çfcrbe gcïauft. S)cr Scbtente f^at
bie fed^S Stote nid^t Bejal^tt. 36^ l^abe bie $»eere ber f^raitjofen
unb bie ©d^tffe ber Sngldnber gefel^en* S)ie Sauem l^aben tl^re
(leurs) ©d^toeine unb ©(i^afe berïauft»
2. S)ie ?Profcfforen biefer ©d^uïc flnb ait» 3ene Çrauen
l^aten ^autoffete geïauft. SWeinc jtoei Sfladj/bam fînb meinc SJet*
tern. S)ie 3)omcn ber Sîofen flnb fel^r ttctn. S)ic ©taatcn bc«
ftaifer^ ftnb grog. SDie SKanner flnb flarî. S)ie SBûrmer fitib
in ber grbe* Çaben bie ©tSbtc aOîauem unb îl^ore? S)ie aKilttex
Ueten tl^re îiJd^ter. SDie ïïugen be« SKabd^euS fltib ttau (bleus) .
S)ie SBûrmer finb ïeine 3nfe!teii.
Thème. 20.
1. Les cbeyeux de la fille. Les jeux des enfants. Le
comte a vendu ses cbeyaux. Cinq ans et quatre jours. Les
Anglais ont perdu neuf vaisseaux. Les filles [ne] sont pas
encore (ttod^ nid^t) grandes. L* armée des Italiens avait sept
régiments. Ces soldats sont Bavarois. Mes voisins ont vendu
leurs maisons et leurs jardins. Connaissez-vous ces hommes?
Ce (eS) sont mes cousins. Mon oncle a trois filles et deux
fils. Les mères de ces garçons sont malades.
2. Les filles aiment leurs mères et leurs pères. Les
insectes sont petits. Où sont les lits de vos enfants? Ils
sont dans la chambre à coucher (in bem ©d^Iaf^intmer) . Le
berger a donné ses brebis et ses porcs aux paysans de son
village. Dieu connaît (fennt] le (s) cœur (s) des hommes. Les
portes du château sont grandes. Les cahiers des écoliers
étaient neufs. Les enfants aiment les jeux. Les oreilles de
Tàne sont longues. Les pierres sont des minéraux. Les
yeux des insectes sont très petits.
Déclinaison des substantifs composés. 45
Conyersatloii.
SBie finb bte ^aate be9 StïnM^ @ie fittb blonb (blonds).
SBad l^aUn bie @Snfe? 2)ie ®&nfe ^aben gebent.
SBie btele ZH^ttt l^at t^r Ol^eim? (Sr ^at letne 2:Sd^ter, aber er (at
3ti>et ©Sl^ne.
SBo finb bie WlûtUx biefer Jlinbetl @ie {inb nid^t ^ier (ici); jie finb
frant.
S3o ^oBen @ie biefe 9rote gelauft? 8ei (ches) meinem ^aâffxa, bem
®£(fer (boulangei).
sosie biete Siegimentet l^atte ba9 Çeer (89 l^atte neun ober je^n 9tegi*
be9 $rimen? menter.
@inb bie êteine WlttaUt^ ÏHtin, bie @tetne finb SD^ineralien.
SBontm ^at bet @^Sfer feine @(^afe 3d^ toeig ed nid^t.
t)eifauft?
@inb biefe ^olbaten Paient? IRein, e9 finb Çtengen.
Çaben @ie bie $antoffeIn meiner 9a, i^ l^aBe fie gefel^en.
SRutter gefel^en?
S3o finb fiel 3n bem @d^Iaf}immer unter bem
©ette.
Dixième Leçon.
Déclinaison des substantifs composés.
On appelle substantif composé celui dans la fonnation
duquel entrent deux ou plusieurs mots. Ex.: Çau^Datet,
de ^aVi^ maison et SSatet père; SSltuiaffX le nouvel an, de
Tadjectif neu nouveau, et de 3al^r Fan ; ©anftttlft Tarchi-
tecture, du verbe Èauen bâtir, et de ftunft Fart (Fart de
bàûir) . Il faut aussi remarquer que quelquefois il y entre
une lettre euphonique (e^ tt ou j^].
La déclinaison des substantifs dépendant de leur
genre, n'oublions pas que le genre des substantifs com-
posés est toujours celui du dernier des deux mots. Par
ex.: bie Çaudtl^ÛTe est fém.^ quoiqu'on dise bad $aud;
car le second mot bte ^ùxt donne son genre à la
composition ^Çaudt^ûte''. Ce mot %i)}ixt sera donc
décliné d'après la quatrième déclinaison. Il faut re-
marquer en outre que la première partie reste tout
à fait invariable.
Si le mot final appartient aux exceptions, il est
clair que ce mot final aura les mêmes formes que le
mot simple. Par exemple, le mot Joa9 SQa:!^ se trouve
46 Leçon 10.
parmi les mots neutres monosyllabes qui ont au pluriel e
au lieu de et; par conséquent le pluriel des composés:
ba6 SIenbmerl le prestige; bad Sifenmerl k forge; bad
©ergtoerl la mine etc., est ©Icnbtocrïe, Sifcntocrlc, ®erg'
kDetle etc. Voici quelques substantif composés:
i. De la première déclinaison.
ber (9rogi9atet le grand-pëie. ba9 ^iaf^ïmmtt la cliambre à
ber ^âfiif^maâftx le bottier. coucher,
ber U^rmad^er Thorloger. ber i^albdBraten le rôti de reau.
bad 9la|ler'mefTer le rasoir. ber 9^eaenBi>aen Tarc-en-oiel.
ber Çottjetbtener l'agent de police, ber i^affeelSffel la cuiller à café.
ber @4une^rer le maître d'école.
Gén,: bed ©d^ul^mad^erd, bed $o(t}etbtenerd te.
Plur,: btc ©d^ul^mad^er, btc ©d^Iafjtmmcï «.
2. De la seconde déclinaison.
ber (Sl^eaatte Tépouz. ber Aron))rin) le prince royal,
ber é($neibergefelle le garçon- ber Artegdfamerab le compagnon
tailleur. d'armes,
ber 8ershta^))e le mineur. ber Si9B5r l'ours blanc etc.
Gén.: bed Sl^egattett/ bed ^onpxxnim, bed (R^iàxm te.
Flur.: bie (S^egatten, {hrieg^Iameraben, (Stdbâxeit zc.
3. De la troisième déclinaison.
ber Srmflul^I le fauteuil. ber Saûbl^unb le chien de chasse,
ber ^trd^turm le clocher. ber ^pfelbaum le pommier,
ber UBerrod le surtout. ber 8Iumen1irau| le bouquet,
ber ©pajierflod la canne. ber Âof^ffd^mer) (pL — en) le mal
ber ^ingerring la bague, Tanneau. de tête. •
ber jcaufmann ^) le marchand. ber ©onnenfiral^I [pi. ^-tn) le rayon
ber ^^eifefaal la salle à manger. de soleil.
Gén.: bc6 armftttl^M, bc« ftaufmannd, bc« a<)felbattm« «•
Plur.: bte Slrînftai^Ie, btc ÛbenSdc, bte «»)fcaaumc zc.
4. De la quatrième déclinaison.
bte Çoé^fd^ule Tunirersité. bie 9RiI^frau la laitière,
bie SRooSrofe la rose moussue. bie ^ifenbal^n le chemin de fer.
bie 9{ofentnof^e le bouton de rose, bie €^to>iegertod^ter la belle-fille,
bie ©rogmutter la grand'mère. bie SlBenbluft Vair du soir,
bie @ta]^Ifeber la plume métallique, bte ^auptflabt la capitale,
bte da^redgett {pt. —en) la saison, bte Xaf^enul^r la montre etc.
bte ^etbent^ l'exploit.
Gén,: ber ^od)\d)VLU, ber SKoo6rofe, ber Sal^re^jett te.
Plur.: bteÇod^fd^uten, bie 3a^re«jeltcn, bte (Sifenba^nen te.
1) Voyez puge 43, § 12.
Déclinaison des substantifs composés. 47
5. De la cinquième déclmaisùn.
ba« Satttnbtott la feuille d'aibre. ba9 S^eit^ferb le cheval de selle.
ba9 IBogelnefI le nid d'oiseau. ba9 8rief)»a|)ier le papier à lettres.
ba9 ^ontfelb le champ de blé. ba9 9lat^au9 l'hôtel de ville,
bad 2)enfmal le monument. ba9 S)am|)ffd^tff | le bateau à
b«9 So(f9lieb chant national. ba9 2)am)>fJ6oot ( vapeur.
ba9 Sanb(au9 la maison de cam- bas Çaustier (pL — e) l'animal
pagne. domestique.
Oén.: bed ^çxVixMMt%, bed ftomfelbed, bed !î)ûm^f«
P/ttr..- bte ©aumMatter, btc aSoflcIncftcr, ble îDcntatSIcr jc.
Yoeabnlaire.
ber ^imbotim le poirier. ber ^ager le chasseur.
ba0 SRSbd^en la jeune fille. gelauft acheté.
bte 9{efibem la résidence. gemad^t fait, ({le) ma^ font.
bie £anne le sapin. totr f)>re4en bon ... nous parlons
bie (S^e le chêne. de ...; toartn chaud.
tint S^eetaffe une tasse à thé. gefunben trouvé; rot rouge.
Exereice. 21.
1. 2)te ©(i^ul^mad^er mad^en (font) bte ©d^ul^e unb bte
©ticfeU S)te Uljfïmad^cr mad^en Ul^ten. ®c6cn ®ie mit fta(6«-
brateti* S)tc ©d^unc^rcr fteb in ber ©d^uïe* SEBir IjfaBcn brei
©^ïafjimtwcr* $a6en ©ie ben ^oKjcibtcner nicj^t gefe^en ? Sd^
l^obe iXùA VAtvcMt gelauft. S)te 3)kb(i^en l^aben Slumenfhduge
genta^t. SDer ®raf l^at t>te{e âagbl^unbe. S)te ©onnenfhal^ten
fhib tDarm» î>ter flnb SlpfcIBSume unb StmBSumc. 2Btt fprci^cîi
t)oii bem Sonbedfûrflett unb t)on bem £Ton)>ttnien.
2. ©te ©tubcnten pnb auf (à) ber Çod^fd^ule. S)ic aWoo«-
rofen ftnb fel^r fd^ôn. 2)tcfc« SKabd^en ifl bte ïo^ter unfeïer
SRild^firau. SDie Çauj^tjlabtc ftnb bte 8îefibenaen ber gftrflett. S)te
SaumBiattcr flnb grûn, bie SRofenMatter flnb rot. SKetn greunb
l^at bïet 9îeitj)ferbe. èd^ Brandie (il me faut) Sïtefpopiet unb
©tal^lfebem* ©tnb ©te mit (par) ber Sifenbal^n angeîommen
(arrivé)? SBetn, td^ tin mit bem S!)ampf6oot angeîommen.
Thème. 22.
1. Les grand-pères. Les grand'mères. Les maîtres
d'école. Dans les chambres à coucher. Les chevaux du prince
royal sont très beaux. J'ai vu les forêts (bie « « . SBSIber) de
sapins et les forêts de chênes. Mon ami a acheté deux
cannes. Nous parlons des exploits de l'empereur Napoléon I.
Les enfants ont trouvé deux nids d'oiseaux. Avez-vous vu
nos champs de blé? Ils sont très beaux.
2. Les chevaux, les bœufs, les vaches, les brebis et
les porcs sont [des] animaux domestiques. La princesse a
48 Leçon U.
plusieurs (mel^tere) maisons de campagne. Les soldats parlent
de leurs compagnons d'armes. Ma sœur a acheté des cuiller»
à café et des tasses à thé. Qui sont ces hommes? Ce sont
des garçons-tailleurs et des garçons-bottiers. Le chasseur a
trois chiens de chasse. Le prince royal est arrivé par (mit)
le bateau à vapeur.
ConTersation.
S3a9 maâftn bie ©d^ul^mad^er?' @ie maâftn bie ^â^nUunh ©tiefel.
ffîad mad^t ber e^neiberl (5r maûft bie fflMt, uBenMe ttnb
l^ofen (pantalons).
ÇaBen bie iDÎSbd^en bie leiumen ge« 3a, fie ma^en 81umenlr&n)e.
fitnben?
£3er ifl bief et a(te Wlann^. . (Sr ifi mein ©roB^ater.
S3o ift bas @(^(af)immer Sl^tet Çter ifi e8, unb l^ier i^ aud^ ber
©rogmutter? ©d^Iiiffel.
9fl biefer Slaïictter eiii SKaïerl 3ft, er ifl eiit Çortroitmater.
8teBen @ie bie gifd^el 9^^ «cBe bie ©eeflfd^e (— de mer)
unb bie glugflfd^e.
Skt9 ffat biefer Heine ihtaBe? (Sr ^at ein Bogelnefl.
ffîoQen @ie einen 8rief fd^reiben 3a, geben @ie tnir i^rief^atïier,
(écrire)? 2:ittte uttb gebern.
®o f^aUn &t 3^re £af(!(en« 3d^ l^aBe fie t>ertauft.
9cii ^ffx Sreunb «iele OBflBautne 3a, er ^at ^)p\tMnmt, Atrfd^BStttnc
in feinem ©arten? nnb 9lug6Sume (noyers).
SBer Bat meinen U^rfd^Iliffel gefun* 2)er iGebiente f^at i$n gefunben.
ben?
Onzième Leçon.
Le sens partitif.
1) Ce qu'on appelle en français T article partitifs il
ne faudrait Tappeler pour la lan^e allemande que le
sens partitif ou le sens indétermmé, parce qu'en alle-
mand on exprime cette idée précisément par l'absence
de tout article. Ainsi du vin se rend par le simple mot
SSetn: de la viande gfl^f^t ^^ ^'^^ <S(oIb. De même au
pluriel des livres Sâ^et; des enfants Atnbet etc. et ainsi
de suite.
Exemples au singrnlier.
®oIb de l'or. ^d^inlen du jambon.
@tIBer de l'argent. Sainte de l'enore.
(Sifen du fer. 2:nd^ du diap.
Çol) du bois. Ster de la bière.
ôï de l'huile. ©affer de l'eau.
@fflg du vinaigre. 8rief^a^ier du papier à lettres.
Le sens partitif. 49
' ExempUa au Pluriel.
Stinhtx des enfants. @d^ul^e des soulieis.
ge^em des plumes. iîktber des habits.
Slei^tfte des crayons. Çttnbe des chiens.
2) Cette fonne est aussi employée en allemand après
un nom qui exprime une mesure, un poids, un nombre
etc., ainsi qu'après tous les termes de quantité {'ùxA,
tt)emg/ mel^r :c.); c'est-à-dire que de ne se tradtdt pas.
Exemples.
^int Slafd^e SBein une bouteille de vin.
(Stn ®\a9 Saffer un verre cf eau.
(Stn ®i&d M\t un morceau de fromage.
(Sin $funb Sttx\âftn une livre de cerises.
@tn 2)u^enb 931ei{lifte une douzaine de crayons.
(Stn $aat ^ttûinj)fe une paire de bas.
SSleï ©rot beaucoup de pain, — meÇt SSetn plus de vin.
SSenige Tlm\â)tn peu d'hommes.
Yocabnlaire*
ber ^âfbxUn le jambon. ha^ i!(etnob le bijou.
etn @t&(f un morceau (de). ber Xtp\iitif le tapis.
bad @al$ le sel. bie $etle la perle.
ber ^feffer le poivre. - tnel^r plus de, atô que.
bie éQe l'aune. genug assez de, p biel trop Je.
bie lutter le beurre. n>ie)oieI, ti>ie biete combien de.
etn $aat une paire (de). eBen[Dt>ie(, e autant de.
ber Riider le sucre. iâf Braiic^e j'ai besoin de.
ber Saffee le café. e]^ema(9 autrefois.
ba9 iD^eçt la farine. toeber — noâf ni — ni.
Exercice. 28.
1 . SBtï l^aBcn Sutter unb «âfc. Sl^r ÇaBt Suttcr unb gtcr.
aOSottctt ©ic S3rot unb ©d^tnîcn? Ocbcn ©ic mtr ein @tildt
Srot unb etn ©tûd ©d^tnïcn» ®c6en ©te mit aud^ ©aïj unb
^fcffcr. SDiefcr îtfd^ ijl bon Çotj. S)te Oabcï iji bon ©tttcr-
aBoDcn ©te SBein? Oeben ©ie mtr SBein obcr Sicr. Çicr ijt
etne gkfd^c SBaffer* 3âi ^aU SSitnen unb ïïpfeï geïauft; td^
gcBc fte (les) ben fftnbem mctneô Sel^rerô. Çaben ©ie £tntc?
Çtcr flnb gcbem, ^Papier unb £tnte. Çat ber ©douter Sïeijttfte?
èr l^at etn S)u|cnb Sïetflifte, abcr toenigc Çcbcm.
2* SBtr l^aBen genug Sild^er. SKein SSater ^at mel^r ^ferbe,
ate f etn ^laijbat^ SBir l^aBen ju btet SBetn ; jtoei ^la^â^tn SBein
flnb genug. Stete aRenfd^en teben (vivent de) bon Srot unb
Çlcifd^» 3âi ]^a6e ein ^aoX ©ttefet; meinc ©d^toejler l^at 3toet
Çaar ©^ul^e. Stne gïafd^e SBein ijt Beffer (vaut mieux) aï«
einc glafd^e Stcr. Çier fînb ?Pfeïbe, Çunbe, ffill^e, ©d^afe unb
©d^toctne. SBie bteïe Çunbe l^at ber Çtrte ? Sr f)at nur (n'a . . qu')
OTTO, Orammaire allemande. 4
50 Leçon 11.
ebten Çunb, oBer ber (SngISnber ffot Diele Çunbe* d^ Bvaud^e
Çolg, Stfen iinb ®tetne.
Thème. 84.
1. Xai de la farine et du sel. Ayez-vous aussi du sel?
Le roi a de Tor et de l'argent. La reine a beaucoup de bi-
joux et de perles. Mon oncle était autrefois très riche ; il
avait trois ou quatre maisons, autant de jardins, et beau-
coup de chevaux ; il avait aussi plus d*or que d'argent. Xai
acheté une paire de souliers et six paires de bas. Xai besoin
d'argent et d'or. Avez-vous besoin (Sroud^en @ie) de vin ou
de bière? Je n'ai besoin ni de vin ni de bière; mais j'ai
besoin de pain.
2. Combien de vaches votre voisin a-t-ilT II a dix
vaches, six bœufs et quatre chevaux. C'est assez. Les écoliers
avaient des fleurs et des fruits. Votre tante a-t-elle encore
(no^) ses chats? Oui, elle a beaucoup de chats. A-t-elle
aussi des chiens? Elle a un chien. Combien de tapis aves-
vous? Ten ai très peu; je [n*en] ai que (nur) quatre. Le
marchand a du sucre et du café; il a aussi du drap. J'ai
acheté sept aunes de drap, deux livres de café et trois livres
de sucre.
Conversation*
ffîas ffat ber Jtaufmotm in ber- <Sr l^at Stà^t, eai^, t)l, (Sffis unb
laufen (à vendre)? ¥feffer gu Derfoufett.
SBaS ^aBen @ie auf bem Partit Sâf ffaU Butter unb (Sier ge!anft.
(au marché) gefaufti
Sroud^eu @ie ein ^ar ^d^ul^e? 3âf Brandie ein $aac &^v^t mtb
eiu $aar @tiefe(.
ffîas braud^t 3^r 92effe1 (Sr brauAt Çemben unb i^eibec.
SBa« tofiufd^eu (désirez-) &t, mein 3(( toUati^^t ein $funb Stafftt, tïntn
Sr&u(ein? Xo^f (pot) mUéi, }n>ei Çfunb
3u(ter unb ein @tfi(t 8cot.
ffîoQen @ie eine 5£af[e (une tasse) S^ koiS liebet (j'aime mieux) eine
j^affee? ^f[e 2:^ee.
OaS «>eTfauft 3^ï i^ad^batl ÇBtt \>tdau\t gebern, 8(e{fHfte, $a))ier
unb Sinte.
Serlauft et au^ SBiid^erl 9{ein, et t>erlauft !eine m^n.
SBie i»icle j^tnber l^at ber SD^aler? (5r ^at t>iele j^inber; Dter @Sl^ne
unb ffinf ZHâtttx.
^at ber ®raf tïtU $ferbe? (5r ^at toenige $ferbe, aber t>lele
{^unbe.
ffîollen @ie 8{er ober SBein? <9eben e\t mit eine gflaf^e ®eiit.
XBie t)te(e (SQen Xud^ l^aben @te ge- 3d^ l^abe nur brei (Stten gelauft.
ÏÛUft?
51
Douzième Leçon.
Du genre des substantifs.
(Son betn (Sefd^led^t ber <^a]t))tto8rter.)
Le genre des substantifs allemands n'ayant pas été
établi d'après des principes fixes, mais plutôt par Tusage
plus ou moins arbitraire, il est impossible d'en donner
des règles précises et générales. Nous allons toutefois
indiquer quelques règles qvd déterminent le genre d'un
grand nombre de substantiel.
On reconnaît le genre soit par la signification soit
par la terminaison.
A. Sont masculine:
1) les noms de teus les êtres mâles et ceux qui dé-
signent l'état ou le métier d'un homme:
ber Soter le père. ber Sel^rer le maître, précepteur,
ber JtSnig le roL ber ©^neiber le tailleur.
n faut en excepter les diminutifs en d^en et letn,
qui sont du genre neutre. Ex.: iaé ^àtîxâftn, ba9 ®0^n«
leitl (le petit fils) etc.
2] tous les substantifs^ terminés par e qui désignent
des personnes mâles, se rangent donc sous 1):
ber Stna:bt le garçon. ber 9hi|[e le Russe,
ber ®ote le messager. ber ^^eff^ le neveu.
3] les noms des saisons, des mois et des jours:
ber Nommer Tété. ber Suit juillet.
ber SRai mai. ber Ètonta^ lundi.
4) les noms des pierres et des p. précieuses:
ber @tetn la pierre. ber !^tamant le diamant,
ber Stït\tl le caillou. ber Shtbin' le rubis.
5) les substantifs dérivés, terminés en i^, ii^, in g,
ling et aft:
ber J^Sfig la cage. ber ^^ttiin^ le moineau,
ber £ep}}i4i le tapis. ber $ala^ le palais,
ber ^&nng le hareng. ber Wloxaft le marais.
B. Sont féminins :
1) les noms désignant un être femelle et l'état ou
la condition d'une femme:
bte j|rait la femme. bie SD'lagb la servante,
bie jtùàfitt la fille. bie Kmme la nourrice.
Sont exceptés : b a8 Seib la femme ; bad Çrauenjtmmer la femme ;
ba9 9)25bd^en la (jeune) fille; bas grSulem la demoiselle (les deux
derniers étant des diminutifs).
4»
52 Leçon 12.
2] tous les substantifs dissyllabes terminés en e, et
leurs composés qui ne désignent pas un être vivant. Ex.:
bie 8Iume la fleur, bie (Siâft le chêne,
bie &éfVLU l'école. bie ^ttne le sapin,
bie @tunbe l'heure. bie ^rfd^e la cerise,
bie Siebe l'amour. bie SBtrtte la poire,
bie (Srbe la terre. bie (Sl^re l'honneur,
bie @onne le soleil. bie ©trage la rue.
3] Enfin tous les substantifs dérivés terminés en et
[i^),fftxt, Itxt, fd^aft, nng, in, et les mots étrangers
en te, il, ton et tàt. Ex.:
bie €$^mei^elei la flatterie. bie @^5ferin la bergère,
bie ^i^eit la liberté. bie SD'îelobie l'air (musique),
bie meunbf^aft l'amitié. bie SRujtf la musique,
bie £raurig!ett la tristesse. bie Se!tioit la leçon,
bie ^offnung l'espoir. bie Unitoerfitôt l'université.
Exceptions: ba8 $etf^aft le cachet, et ber Çontung, ancien noro
du mois de février.
Yoeabnlaire.
bie ©Srtnerin la jardinière. toatm chaud,
ber ffîinter l'hiver. lait froid,
ber Sûintar janvier. f^axt dur.
bie Sel^rerin la maîtresse (d'école) . iâf lieBe j 'aime.
Exercice. 25*
S)er ©ommer ifl ta>arin. SBtr l^oBen ehten SDtamanten*
$aBen <Ste bie Sîofe gefel^en? da, fie tfl fel^r fci^on. S)et danuar
tjl fel^r lait, ^aitti @te etnen Ztifpiâ^ xn dl^rem Simm&c^, 9îetn,
iâf ^ait leinen Zcpifiâf. S)tefe f^rau ifl etne ©drtnerin. S)ie
SteBe ber SDtutter. dened 3R&bd^en ifl bie Zoijtex metner Sel^rerin.
S)te Jhtaben l^aben etnen ihtota unb etnen Sffen gefel^en« SIRetne
ei^re. ®er ©tetn iji l^art. ®ie SRofe ijl etne Slume» Unferc
Çoffnung ifl Detloren (perdue).
Thème* 26.
Mon précepteur. Ce tailleur est vieux. Voici un mes-
sager du comte. Le lion est grand. Le diamant est dur.
Le rubis est une pierre. Où est la cage? J'ai un oiseau.
Cet oiseau est un moineau. Le hareng est un poisson.
Ma mère a acheté un tapis. Cette demoiselle est la fille
de mon professeur. J'aime la liberté. Je n'aime pas (ntd^t)
la flatterie.
G. Sont neutres:
1) les lettres de Talphabet: ba9 9, ba9 f&, ba9 3*
Si!
Du genre des substantifB. 53
2] les noms de métaux.
bas ®oïb For. bas (Stfen le fer.
bas @t(ber Targent. baS WlttaXi le métal.
Exception: ber @tal^l l'acier.
3) les noms de pays et de villes : ^rattlteld^ la France;
9tom Kome. Cependant l'article ba9 ne s^emploie que
lorsqu'un adjectif précède :
bas ^VXdM^t granfreici^ la Fiance heureuse;
bas aUe 9tom l'ancienne Rome etc.
JExeeptiona: bie ^^toet) la Suisse; bie %Mtï la Turquie. De
plus: bie $fal) le Falatinat, et d'autres provinces (V. page 61,1).
4] les infinitifs employés comme substantifs. Ex.:
bas @ffen le mander. baS fflanâfta l'action de fumer,
bas Xûnîtn le boire, la boisson. baS Sefen la lecture.
5) tous les diminutifs en àftn et letn* Ex.:
bas WlS!t>à)m la jeune fille. bas itinblem le petit enfant,
bas ^SuSd^en la maisonnette. bas ^lÛmâftn la petite fleur.
6) les collectifs commençant par la syllabe ®e:
bas ©eBtrge la montagne. baS ®efé(^enl le présent,
bas ®em^tbe le tableau. baS ®e(^be le bâtiment,
bas ®tmUî le nuage. bas ©efdjf&ft l'affaire.
Exceptions: ber ©ebanle la pensée; ber ®thxauéif l'usage; bie
(Sefé^i^te l'histoire; bie ©efa^r le danger; bie ©ektrt la naissance et
quelques autres.
7) les dérivés terminés en tu m.
bas (Sigentum la propriété. bas (Sl^riflentum le christianisme.
Exceptions: bet 9lei(!^tum la richesse, et ber Srrtum l'erreur.
8) la plupart des dérivés terminés en nid:
bas S^ugniS le témoignage.^ bas 8egraBniS les funérailles,
bas ®e^eimniS le secret. • bas ®ebd(i^tniS la mémoire.
Un petit nombre de mots terminés en niS sont féminins: bie
ÇinflerniS les ténèbres; bie ^emttniS la connaissance; bie CSrlaubmS
la permission etc.
D. Genre de$ substantifs composés.
Les substantifs composés de deux ou de plusieurs
noms sont du genre du dernier, par ex.: bie ^audtl^ure
fle compose de baô ^auô et de bte îpre; ber aBaffctfaÛ
la chute d'eau, de baô SBaffer et de ber gaÏÏ; voir la
lOme. leçon.
54
Leçon 12.
£. Mots de deux genree.
Les mots suÎTants sont de deux genres, mais avec
une signification dififérente:
mutre ou fém,
bas 8aitb le ruban, le lien.
bas 8unb la botte (de foin).
bas (SrBe Théritaffe.
bie Çeibe (Çaibe) la bruyëxe.
bie icunbe la oonnaissance.
bie Setter Téchelle.
bas @^Ub l'enseigne.
bie @ee la mer.
bas SCffOt la porte (coohëre ou de
bas )&erbienft le mérite. [yiUe).
bie SBeife la manière.
nuue,
ber 8attb le volume,
ber 8ttnb l'alliance,
ber Ôrl^e l'héritier,
ber Çeibe le païen,
ber Xunbe le chaland,
ber Seiter le conducteur,
ber @c^ilb le bouclier,
ber @ee le lac.
ber ^ov le fou.
ber IBerbien^ le gain,
ber ffîeife le sage.
F. Formation de noms féminins :
La plupart des noms qui désienent un être mâle
admettent la formation d'un nom féminin, en prenant
la terminaison fat, après retranchement de Te final, s'il
y en a un. Bon nombre d'entre eux alors adoucissent
en outre leur voyelle. Ex.:
ber ^reunb l'ami,
ber $Snig le roi.
ber giirft le prince,
ber y^a^l^ar le voisin,
ber Tlaitt le peiîitre.
ber Sran^ofe le Français,
ber draf le comte,
ber ffîolf le loup,
ber Sdtoe le lion.
fém, bie ^ttttbin l'amie.
« bie i^Sniçin la reine.
« bie giirfitn la princesse.
^ bie vlaât'èaxïn la voisine.
^ bie SD'îalertn la femme peintre*
^ bie gransSfin la Française.
„ bte $r&fin la comtesse.
^ bie SSIfin la louve.
« bie Silloin la lionne etc.
Jtemarque. Cette formation n'a cependant lieu que
lorsqu'il n^existe pas en allemand de mot particulier
pour exprimer un être ou un état du "sexe féminin,
comme dans les cas suivants:
mase.
ber 8ater le père.
ber ®ol^n le fils.
ber 8ruber le frère.
ber Stndbt le garçon.
ber Ol^eim ou Ontel l'onde.
ber 9leffe le neveu.
ber Setter le cousin.
ber SBrSutigam le fiancé.
ber ffîttkoer le veuf.
ber SUttgting le jeune homme.
bie Wlntitt la mère.
bie Xo^ter la fille.
bie ^é^totfttt la scéur.
bas TISIbâftn la jeune fille.
bie Xante la tante.
bie ^âfit la nièce.
bie 8afe ((Sottfine) la cousine.
bie 8raut la nancée.
bie ff&itmt la veuve.
bie Sungfrau la vierge.
Du genre des substantifs.
55
Tocabnlafre.
bie S>ame la dame. ber ^iâfttt I i^ ^^^.^
ber %xatt le tigre. ble ©i^terhi f " P°^^"
bie ^(ÇSferUi la bergère. tief profond.
Exereice* 27*
Z)a9 Sifett i|t l^ort. îDltia ïHaâfiax ift em fBxttoex. ilRetne
Safe (Soufine) tft ehie Srattt« S)tefe« ©eBSube tfl J^od^. SDad
©ebfi^tnt^ be9 ©d^ûlerd ift fel^v «aU S)ad Soitb memet ®^ta>e{tet
tjl rot. dcner ©ec ijl fcl^r ttcf» dil^ ïcnnc bcn ®rafcn vaù> Me
@TSfiit* 3)iefe9 JDlSbd^ett tjl fel^r {ung. Unfer Ol^etm tjl etn
T$r(m}ofe unb unfete Xante tjl erne ^att}Bf!tt. ®e(en ®te miv
biefen ^caù> (m.) * 2)te Stau l^atte em $aud(i^en unb etn ©artd^en*
Thème. 28.
Le comte et la comtesse. Cet homme est (un) peintre.
Cette dame est une princesse. Mon père est votre voisin.
Yotre tante est ma voisine. Le roi a nn lion et une lionne,
un tigre et une tigresse. Cette femme est (une) veuve.
Où est le jardinier? Où est la jardinière? La maisonnette
est petite. Cette jeune fille est (une) bergère. Quel jeune
homme est votre neveu? Le fer est un métal. L*or est
aussi (aud^) un métal. Ma nièce est poète (fêm,). Est-ce
(tjl ed) un loup ou une louve? Cette montagne est très haute.
Conversation*
SSo ifi mein 9}effe?
83er l^at mein @tB(fé^en1
aSer i|l biefer SD^annl
SSer tjl biefe 2)ame?
fyii 31^r O^eim ein Si9Xi^%
^ben @ie bie 8r<mt gefe^enl
SSo {^ bte laraut?
3|l bad ®oIb ein <Stein1
3|l ber SBinter l^ter fait?
fyiltxi @ie einen Çnnbl
JBer ^at ein ©d^Iog?
3|l 3(r O^eim ein ffîitkoerl
S8er ifl l^ter?
S8er i^ unfer iRad^Barl
3^ biefes Sier ein Silkoe?
4>abett @te ben (SSttner gefel^en?
i\tx ift et.
Sl^r Jlinb ^at eS.
(Sr i{i ein J^iinfKer (artiste).
€$ie i^ eine 2)id^terin.
3a, et ^at ein ^Su9(^en.
92etn, i(^ l^abe bie 8raut ni^t ge*
fe^en. S)er larSuttgam i^ Iftiet.
6te i|i frani (malade).
9îein, ba9 ©otb ifi ein 9^etaÏÏ.
92ein, er ifl nt($t fe^r fatt.
34 Çabe einen $unb itnb eine
^ûnbin.
2)ie ptfiin l^at ein @4to6,
3a, er ifl ein ©Ittoer.
3^re SSiïéiït ifl niAt ^ier.
• a)er «rSutigam Sçrcr ©afe.
^t\n, t» i^ eine SStoin.
9lein, aber bie (8&rtnerin
5d
Treizième Leçon.
Des noms propres (^tgettttatnett)*
La déclinaiflon des noms propres en général est très
simple, puisque nul changement n^est fait au radical
de ces noms. Cependant pour marquer les différents
cas où ils peuvent se trouver, les noms propres sont
soumis à certaines formes. Voici quelques exemples:
Noms de famille.
N. ^Mon Buffon. ®oet(e Goethe. ^éflîitx Schiller. .
G, 9ûf(on9 de Buffon. (Soet^ed de Goethe. @â>iVitc$ de Schiller.
D. ^iiffon à Buffon. ©oet^e à Goethe. @é^iaer à Schiller.
A, laiiffon Baffoxi. ©oet^e Goethe. ^iîUi Schiller.
Prénoms masculins.
N, Subtoig Louis. $^ebtt(i^ Frédéric.
O, Subtt)tgS ou M Subkoig de L. griebrtci^d on be9 griebrid^.
D. Subkoig ou bem Subtoig à L. griebrid^ ou bem griebridi».
A. Subkoig ou ben Subtoig L. griebrid^ ou bett grtebrid^.
Tels sont:
®eoTg George. Stati Charles,
ffîill^elm Guillaume. Qbuarb Edouard.
Règles.
1) Le nominatif reste toujours invariable et ne prend
jamais l'article. Ex.:
$aul Paul. ^mtitt Schiller. griebri(i^ Frédéric.
èohateS Socrate. SD^arte Marie. voltaire Voltaire.
2) Mais lorsque le nom est accompagné d'un ad-
jectif, il prend Tarticle. Ex.:
N. ber arme $emr{(i^ le pauvre Henri.
O, be9 armen Çeinnci^.
D. bem armen Çeinrio.
Aec. ben armen Çeiitri^.
3) Au génitif on ajoute ordinairement ê. Ex.:
^<mU de Paul. griebrid^S de Frédéric.
èé^ilIerS de Schiller. $lato9 de Platon.
StaxU de Charles. (Smma9 d'Emma.
Çeinrté^ Henri.
Sol^ann Jean.
Noms pxoptes. 57
4) Les noms propres de personnes terminés par une
consonne sifflante (f, |, \àf^ ç et j) remplacent cet du
génitif par Tarticle bed. Ex.:
2)er Sruber beS 2:]^oma8 le fièie de Thomas.
S)ie iBiid^tr De 9 Tloï\^ les Uyres cîa Maurice.
Note. Une autre manière de former le génitif des noms pro-
pres terminés par \âff ( et g consiste à ajouter la terminaison end.
N. )Bartfd6. (Sé^ul). mai^ Mazimilien.
Ex.: 2>te 8ii(^er SD^ori^enS les livres de Maurice.
gri^enS SBruber le frère de Fritz.
5) Les prénoms àe femmes, surtout ceux terminés
en e, suivent volontiers cette dernière forme; ils prennent
pour le génitif etti^ ou i$; au datif m; mais ils peuvent
aussi prendre Tarticle, et dans ce cas ils sont invariables.
N. Sutfe Louise. avarie Marie. (Slife Élise.
G. inï\tn9 ou ber Sutfe. ^axim» ou ber SDl. mi]m» ou ber ^Ufe.
2>. Suifen ou ber Sutfe. ilRartert ou ber 'SR. (Sltjen ou ber (Slife.
A, Snije ou bie Suife. maxxt ou bie 3)>l. (SItfe ou bte (Sltfe.
Tels sont:
Slmatie Amélie. ^op^te Sophie. (Saroline Caroline.
SuUe Julie. ^gned Agnès. (Smt'Iie Emilie.
Note. Les prénoms féminins terminés en a prennent 9 au
génitif et restent invariables aux autres cas.
(&mma Emma, Gen. @mma«; — 3(nna«; — (5tara8 (de Claire);
Dat. (Smma (ou ber (Smma) à Emma.
6) Les noms propres terminés en ê ou ^ n^admet-
tent pas la terminaison end ; au génitif ils ont Tapo-
strophe ou l'article déûni ; au datif et à Taccusatif on
peut employer l'article ou l'omettre:
N. augujlug. jD. (bem) 5ïngujlu8.
G. bes 2lugujlu8. A. (ben) Sîugujluô. Ex.:
!!)adl!ebenbe8Sktbiabe$lavîe d'Alcibia^de. SSog* Sutfe Louise par Voss.
jS)er £ob be9 ^pamtnonbaS la mort d'Epaminondas.
Remarque. Les noms de Jésus-Christ retiennent
la déclinaison latine:
N. 3efu8 (£6riflu8. D. 3efn (Sl^rillo.
G'. Seftt eÇripi. ^. Sefum (£ï^ri|lum.
Ex.: 2)a9 Seben 3efu la vie de Jésus.
7) Le nom propre au génitif est souvent placé avant
le substantif dont il dépend ; dans ce cas le nom com-
mun perd l'article. Ex.:
58 Leçon 13.
ftcctl9 efié^tt (pour bie 8. Statt») les livres de Charles.
(Smïtimi iinb StofaS ^ant>\âfvifft les gants d'Emilie et de Rose.
9iacine9 ffîer!e les œuvres de Racine.
8) Quand deux ou trois noms se suivent, il n^y a
que le dernier qui prenne 0. Ex.:
Ïciebri^ ^à^ïtLm Ser!e les œuvres de Frédéric Schiller,
teçanber <>umboIbt9 9telfen les voyages d'Alexandre de Humboldt.
2)te Stegiontng £ubti)ig $^Ui^^ le règne de Louis Philippe.
Yoeabulaire.
ba9 ©ebid^t («/. --e) le poème. bie j^aiferbt Vimpératrice.
bie Stappt (SDÎÛlje) la casouette. geUfm lu; l^eigt s'appelle,
ber ^l^iiofo)}^ le philosopne. att^gegangen sorti(s).
ber ^anbf^ul^ le gant.
Exerdee* 29*
S)et $ut $eimi(i^9. 3)te Sfid^er ffîtO^elind* %ouffean9
gtamc. -Sc]^ ItcBc S^ron^ ©cbtd^tc. ÇaBcn @tc ©d^tllcr^ ©erfc
gcïcfcn? 3d^ l^abc ©c^iacrô ©cbtci^tc gelefcn. Çtcr jïnb «Icçanbcr
$um6oIbt« S3ncfe. Snima^ 2Ruttcï tjl Iranï. gïfcbrid^ 83511*
]^elm9 ®B]^ne. 9iacme, SometUe unb Soileau toaren SD^ter.
ilRem Sol^n l^etgt ftarl, même 3:o(]^ter l^eigt Sutfe. S)er Ol^eim
ftarte tji rnetn ©ruber. 8uifen« (8utfe3) SEantc l^etgt abolpne.
aBo fînb gTtebïtd^g Sild^er? @ie flnb auf bem îtfci^e. Çtcr ijl
$etnrt(j^0 fta))))e (ou SDtfi^e) unb %ubolfd Stod.
Thème. 80.
Voici Charles. Où est Henri? Henri et Guillaume
sont sortis. Louise est malade. Platon était un philo-
sophe. Comment s'appelle votre frère? Il s'appelle Fré-
déric. Le chapeau de Charles. Les gants de Louise. Les
généraux d'Alexandre. Le frère de Claire s'appelle Edouard.
La sœur d'Élise est malade. Les lois de Solon. Avez-vous
lu les poèmes de Goethe? Le père du pauvre Charles est
mort (geflorien). Donnez les rubans à Julie et les fleurs
à Marie.
9) Au datif les noms propres restent invariables,
surtout après les prépositions:
Tlït 8ubn>ig avec Louis; — «)on StugufhtS d'Auguste.
IBet ®8t]^e auprès de Goethe, unter ^etnri^ sous Henri.
Les prénoms cependant admettent aussi Tarticle. Ex.:
Donnez cela à Charles, à Paul, à Marie, à Pauline.
(&tUn @ie bled bem Staxl, bem $au(, ber Wlaxït, ber Pauline «e.
Bemarqtie. Ainsi qu'au génitif, on trouve^ aussi au datif une
terminaison ajoutée aux noms propres , savoir en ou n, par ex. :
Seibni^en à Leibnitz, Staxln à Charles; ce qu'il ne faut pas imiter.
Noms propres. 59
10) Ijœeusatif est également invariable; Tarticle
peut être employé. Ex.:
Je connais Lamartine i^ lenne 8amartUie.
Pai lu Cicéron, Virgile, Horace.
3^ l^obe {Un) (iictto, (bett) ^hqïl, (beit) 4>ora) gelefeit.
Les prénoms prennent souvent Tarticle ben, fém.
bit/ ce qui cependant n^est pas de rigueur. Ex.:
Appelés Henri, — Albert, — Sophie, — Thérèse etc.
fftu\tn @ie (ben) ^dméf, (bcn) %îitït, (bie) eo)>l^ie, X^erete.
11) Si un adjectif précède le nom propre, on em-
ploie la déclinaison avec Varticle défini, sans changer le
nom propre (voir la 20me. leçon). Ex.:
N. 2>er berfi^mte f^enelon le célèbre Fénelon.
G. be« bedil^mten genelon. D. bem berfi^mteit Çenelon ic.
12) Quelques-uns des prénoms peuvent prendre la
terminaison du diminutif àftn (non pas letn). Ex.:
Slbcrt^en le petit Albert. 8oiilSé(eit la petite Louise,
i^atlfben le petit Charles. tHaxitqta la petite Marie.
Çri^d^m le petit Frédéric. £ott^en la petite Charlotte.
13) Si un nom propre est précédé d'un nom com-
mun, comme Çett (monsieur), %ïau (madame), t$r&ulem
(mademoiselle), ou d'un titre, comme berftBntg, ber ^to»
fcffor ou îDoItor (ou ber Çcrr Çrofeffor monsieur le pro-
fesseur) etc., cet autre nom se décline, mais le nom
propre reste invariable.
Exemple*
(2)er)i) ^ttt 9)2flller. (S>ït)^) grait, bU ÇrSuIein ballet.
2)eS ^etm ffftMtv. S)er grau (ou gr&ulein) @a]Iet.
2)em ^tcm ^ûUtx, 2)er grau (SrSulein) ®aîUt
2)en ^txm fBlfiUtx. 2)te Srau (gr&uteiu) ^aOet.
2)er &offn beS Çerm SBoQ.
Le fils de monsieur BoU.
2){e ArSnung beS J^aiferS Sflcû^otton,
Le couronnement.de Tempereur Napoléon.
Noté. Mais si, pour abréger, Ton supprime Tarticie^ du nom
commun qui précède le nom propre, le nom commun reste inyariable
et le nom propre prend la terminaison. Ex.:
j^atfer ÏHapoUon^ SttHnvat^,
(1 Au nom, êing, Varticlo est généralement omis.
60 Leçon 13.
14] Si un nom propre est suivi d'tin adjectif ou d'un
nombre ordinal en forme d'apposition, cette apposition
se décline, et le nom propre prend d au génitif. Ex.:
N, ^tïxtxié ber $terte Henri quatre.
O. ^tixtdq^ bed SSierten de Henri quatre.
D. ^clnricli bcm Sicrten à Henri IV.
A, ^tiwnâ) ben Sterten Henri lY.
N. ^ax\ ber ®roge Charlemagne (Charles le Grand).
O. ilarld be8 ©rogen de Charlemagne.
2>. $axl bem ©rogen à Charlemagne.
A. I^axt bett @ro|en Charlemagne.
Yoeabulaire.
ber Xeh la mort. ba9 SBBrterBud^ le dictionnaire,
bte ^arte la carte. bte j^aifertn l'impératrice,
bad ^nnbanb le bracelet. benfen an penser à.
ba9 Seben la vie. rufen @te appelez(-Yous}.
ber @onnenf(!^trm le parasol.
Exerciee. 81.
dd^ benle an 6mma« @te benlen an SRatte. ^aâf bem
ïobc ffiarte bc« Otogcn. S)a« ScBcn Çctnrtd^^ -bcô Stcrtcu*
3(1^ l^aBe bte Catien be9 Çertn Çamtlton unb ber ^Sulein
èd^mtbt erl^aïten* Çabcn ©te (ben) SRubolf gefel^cn! SRufen
©te (ben) SRobcrt. ÏÏScm (à qui) gcl^ôrt (est tji) biefe gebcr?
©te gel^ôït gricbtici^. ÇaBen ©ic $au{ (ou ben ^aul) gefcl^cnl
Sîctn, ii^ ^éc ^aul nid^t gefcl^cn, aber SKaric» S33o tjî fie?
©ie tjl bel titrer greunbtn eitfc. Çtcr ftnb 3ultcn« (3nne«)
Çanbfc^ttl^e unb ©opl^tcô (©opI^tenS) Strmbanber. SSSen (qui)
ïufcn ©te? Sâ^ nife (ben) Çertn Sbuarb unb ÇrSuïctn Slnna*
SBem geben ©te biefe Slumcn? 3c^ gcbc fie (les) ber Signet,
ber Smtïte unb ber ^Pauline.
Thème. 32.
Monsieur Muller et sa fille Marie sont à la campagne.
Nous parlons de (Don) Julie et d'Amélie. Vous parlez de
Paul et de Robert. La mort de Henri quatre. Les frères
de Napoléon premier (be^ Srfien) . La vie du roi Guillaume.
Le règne de T empereur Auguste. Voici la carte de
monsieur Muller. Où est le parasol de mademoiselle Emilie ?
Le frère de madame Sallet est mon ami. Voilà le diction-
naire de Ferdinand. Voici une lettre pour la sœur du gé-
néral AUard. Les fils de Charlemagne.
Conyersation*
So ifl Stwcl9 $ater? (Sr ifl l^ier (ici).
SBo ifl Souifend Santé? @ie ift in $art9.
SBa9 kDar ÏHapoUtn ber @rfle? (Sx wax $tal\€c ber ^ran^ofen.
Noms de pays. 61
%ftt tom f^aUn @te biefe (^nbfd^u^e Çiir it&xt unb ^riebrii!^.
aelauft?
mt ^etgt bie StM^ïn Don (Sndiattb ®ie l^eigt Victoria.
(Angleterre)?
9n tom benlen @ie? 3(3| benfe on metnen Sreunb
CBer toax ber Serrer SCtqçanberd be9 9(ti{loteIe9, ein drie^ifd^er SBelttoeifer
<S^rogen? (philosophe grec).
SBo finb (SmittenS ^aitbf^ttl^e? fiier finb ne (les yoici).
lih koen pnb biefe mâttt^. éït fmb fiir $erm a^aier.
filr »en finb je»e ©Snber? @le pnb ffir grau SBaïter.
Bem (à qui) gebeit &t biefe 3^ geBe fie ber Sutfe nnb ber S^arie
SlDfen? (ou Suif en nnb SJlarien).
ffîen (qui) mfen @ie1 3d^ rufe ^riebri(i^ nnb ^einrid^.
SBen mft bte Wlntttt^ @ie mft mata nnb (SU'faBet^.
Çaben @ie SBerangere ®ebi(i^te ge* 3a, iâf ^aU fie mit t>iel ii^ergniigett
lefcn? (plaisir) geïefen.
Quatorzième Leçon.
Noms propres de pays, de villes etc.
1] Les noms de pays, de villes et d'îles n'ont point
d'article en allemand:
i^eutf^Ianb l'Allemagne. Sonbon Londres.
(Snglonb l'Angleterre. ^Berlin' Berlin.
mu nie d'Elbe. grattffntt Francfort.
Exceptions.' bie @(i^n>ei3 la Suisse, et bte %ûxUï la Turquie, bie
SBalIadifei la Valachie , bte SJ2oIbau la Moldayie , bie ^int la Gri-
mée, et presque tous les noms de provinces, comme bte 92orntan'
bie }C., qui sont traités comme des noms communs:
G. et D. ber @(i^tt)etj, Aee. bie @(!^»eia.
2] Us forment leur génitif en ajoutant un § , s'ils
ne se terminent pas en ^, ^, j. Ex.:
2)ie 0lfiffe 2)entfd^Ianb8 les rivières de l'Allemagne.
2)er $tntmel 3taHend le ciel de l'Italie.
2)ie @tragen liBerlind (Sonbond) les rues de Berlin (de Londres).
Simien ifl bie $an^tpabt £)fierrei(!^8 Vienne est la capitale de
l'Autriche.
3) S'ils se terminent en i$, { ou j, on ne peut ajou-^
ter encore un 9 ; mais on se sert de la préposition tion,
ou bien l'on ajoute : ©tabt, Dorf îc»
2)ie ©tragen toon $ari9 (ou ber @tabt $atid) les rues de Paris.
62 Leçon 14.
JRemarçue. On peut employer aussi la préposition tiint
avec tous les autres noms de pays ou de villes, mais le
génitif en est préférable. Ex.:
2)ie $robii!te ))on (Snglanb les produits de TAngleterre.
2)ie ètragen ton Sonbon les xues de Londres.
4] Quand les noms propres de pays, de villes ou de
mois forment une apposition au nom commun précédent,
la préposition de ne se traduit pas. Ex.:
2)a9 J^Snigreiii^ ^rcugen le royaume dé Prusse.
S)ie @tabt Sonbon la ville de Londres.
S)a9 2)orf fftMbaâf le village de Rohrbach.
S)er Wt^ncA mai le mois de mai.
5) Le datif et Taccusatif restent invariables :
Sir leBen in (&Vixopa [daù.) nous virons en Europe.
3(^ liebe Çranlreic^ {aee.) Vaime la France,
j^ennen &t $art0 (aee.)? Connaissez-vous Paris?
6) Après les verbes qui indiquent un mouvement
d'un ueu vers un autre, comme gel^en aller, aBretfen par-
tir, fd^tden envoyer etc. , les prépositions en j à et pour
placées avant les noms de pays et de villes, se rendent
en allemand par nad^. Ex.:
Nous allons en Amérique, — en Prusse etc.
Sir 0e^en naéf ^merifa, — no^ $reugen k.
J'envoie cette lettre à Rome.
S^ fd^ide biefen SBrief naà^ îftem.
Mon père part pour Paris,
il^ein Sater reiji naât $(trt9.
Excepté en général les noms de pajs féminins.
Ex.: 3^ ge^e in bte ©d^toei). Je vais en Suisse.
7) Mais après les verbes de repos ^ les prépositions
en ^ à précédant les noms de pays et de villes, se
rendlênt par in. De même, si Tètre qui agit est déjà
dans le pays etc. Ex.:
Nos amis sont en Amérique.
Unfere greunbe {inb in ^mertfa.
Mon oncle vit à Paris mein Onfel lebt \u $ari9.
Le président est à St-Cloud ber ^r^ft^ent i{i in @t. (Sloub.
8) Voici la liste des principaux pays:
(Snro^a TEurope. £)flerrei(i^ VAutriche.
flfien l'Asie. ©panien TEspagne.
«fiifa l'Afrique. Stalien l'Italie,
flmerila l'Amérique. ®rteAenIanb la Grèce,
flttfiralien l'Australie. ^ren^m la Prusse.
Noms de pays. 63
Snbieit les Indes. Shsfilattb la Russie.
(S^ina la Chine. @^»eben la Suède.
Ggt^^ten l'Egypte. ^ollanb la Hollande.
(Englanb TAnàeterre. delgien la Belgique,
^xtfrei^ la France. bie ®d^tt)eh la Suisse.
JDentfd^ianb rAllemagne. bie ZMd la Turquie.
9) La plupart de noms de peuples dériyés des noms
de pays (et de villes) se terminent en et et se déclinent
d'après la première déclinaison.
Tels sont:
ber (Staxe^tt TEuropéen. ber Staliener lltalien.
ber Smerifaner TAméricain. ber Ofienei(i^er rAutriohien.
ber (SnaISnber l'Anglais. ber &àfïotiitt le Suisse.
ber 9etoier le Belge. ber (SIfSffer l'Alsacien.
ber 3rumber l'Irlandais. ber tarifer le Parisien.
ber fioUfinber le Hollandais. ber granifurter le Francfortois.
ber è^Hmier l'Espagnol. ber S^dmer le Romain.
Déclinaison.
N, ber (SnglSnber, O. be« <SnaI&nber«, 2>. bem (SngISttber,
Aee. ben (SngISnber; Pi. bie (Sngl&nber k.
10} Les suivants sont terminés en e et stûvent la
deuxième déclinaison:
ber 2)eutf^e l'Allemand. ber 9htf[e le Russe.
ber S^atQofe le Français. ber ^ole le Polonais.
ber (ixïtqt le Grec. ber Xûrfe le Turc.
ber $reu6e le Prussien. ber 2)Sne le Danois.
ber @d^n>ebe le Suédois ber $ortugiefe le Portugais.
ber ^aâ)\i. le Saxon. ber @c^otte l'Écossais.
Déclinaison,
N. ber 2)eutf^e, O. bes ^m^â^tn, D. bem 2)etttf(l^en^ A. ben 2)eittf^en ;
Plur, bie S)eutf^en k.
jRemarquê, Les féminins de tous les noms contenus dans les
|§ 9 et 10 se forment par l'addition de la syllabe in: bie (Sna*
linberitt, bie @d^»ei)erin, bie 9htffin, bie SratQ^jin, bie Çottn k. Vour
p. 54. F. La seule exception est: bie $ettt((i^e l'Allemande.
11] Les adjectifs dérivés de noms propres de pays se
terminent en i\àf. Ex.:
fran)5pf^ français. engUfé^ anglais. amerifanifd^ américain,
ttttlienifd^ italien. rufflj^ russe. ^ tiirfif^ turc }c.
Note, betttfc^ allemand, a perdu l'i 'devant fc^.
12] Les adjectifs dérivés de noms de villes se termi-
nent en er et sont invariables. Ex.:
2)te tarifer iD^^obe la mode de Paris.
<Sin ^ibell^erger @tubent un étudiant de Heidelberg.
S)a9 ©tragBurger SJ^ûnjier la cathédrale de Strasbourg.
64 Leçon 14.
13) Les noms de rivières, de lacs, de montagnes etc.
prennent l'article, comme en français, et se déclinent
comme les noms communs d'après leur déclinaison:
bcr Wfdn le Khin, O. be8 9{l^ein«, D. bem W)îin{t), A, ben 9tl^em }C
bte (SIbe TElbe, G. et 2>. ber mU k,
bie $);ren&en les Pyrénées, O. ber ^i^renSen }c.
14) Les noms des mois et des jours sont, en alle-
mand, toujours précédés de Tarticle. Les voici:
Noms des mois.
bcr 9«tuar janvier. ber Snïi juillet.
bcr gcBruar février. bcr auguH août.
bcr Wl^xi mars. bcr @cptcmber septembre.
ber 9[toril avril. ber Oftobcr octobre.
bcr SOiai mai. ber 92ok)em6cr novembre.
bcr Suni juin. ber S)c3cmbcr décembre.
tm Dltobcr en octobre ou au mois cToctobre.
Noms des jours.
ber @onntag dimanche. bcr 2)onnerfiag jeudi,
ber SD^ontag lundi. bcr greitag vendredi,
bcr S)icn8tag mardi. bcr èam«tag ou ( -«^«^1
bcr Élttttood? mercredi. bcr @omiabenb ( »»™eui.
Yocabulaire*
bas XW la vallée. bad Sanb le pays.
SBien Vienne. iàf lommc je viens; ïéf gcl^c je vais.
bte 2)onau le Danube. ffÛh\éif joli; Brctt large.
bie Dber TOder. angctommcn arrivé.
bas Ufer le bord. fatt froid; ki>arm chaud.
bcr Semo^ner l'habitant. frud^tbar fertile.
ba8 ®ebirgc la montagne. bo^ haut; long long.
Exercice. 88*
1. SRugtanb l^at tyielt glilffe. ®ic ijïûffc «uglonbô fteb
gïog. S)tc X\)àUx bcr ©c^tocij ftnb fc^ôn. SOScIci^e^ (quels) fhib
bie ^robuïte engïanb^? S)tc ©tragcn Scrlinô (ou Don Scrïiii)
ftttb fc^Bn. 9la)}oIeon toor tn (Sgt^))ten. 3c^ toar nici^t in Ù^tt'
rctd^, abcr id^ toar tn ^reugcn. a33eïc^c« 8anb iji btc«? a)te«
tji Ottcc^cnïanb* fficnncn ®tc Çl^tlabcïp^ta? 3lein, xâ^ toar ntd^t
in îlmcriïa. Çcrr SKiïIct tjl ctn Hmcriïancr.
2. 3ji bicfer 9Rann ctn Çondnber? 5Rein, cr tji ctn 3f
ISnbcr; cr gcl^t nadb Slmerila. SJ^ctn ©ol^n gel^t ncLâi $artd«
©nflai) îlbolf toar fiôntg i)on ©d^tocbcn. ftcnncn ©te bte ©tabt
granïfurt? 9tctn, abcr t^ Icnnc bte ©tabt ©tragburg. SDcr
SRonat SRat ijt fcl^r f(^ôn. S)ct SRl^ctn ijt cin gïug ®cutf(i^Ianb«.
9Rctn Srcunb ifl tm 3nnt ongelommen. S)cr SRontag toar ta>arm*
Leçon 14. 05
S)et 3)ien9tag toax MU $arid tfl bte $au))t{labt ^anfretd^d
(ou »ott fjïonïrctci^)*
Thème. 84.
1. La Russie est très grande. Xaîme T Allemagne. Le»
villages de la France sont jolis. Les rues de Londres sont
longues. Le B.hin, TElbe, TOder et le Danube sont des
fleuves allemands (beutfd^e ^tiiffe)* Je connais les produits
de TEspagne. Les habitants de T Amérique sont [des]
Américains, Allemands, Français, Anglais et Irlandais. Les
montagnes de Tltalie sont hautes. Napoléon était en Russie.
La Hollande est petite.
2. Les bords du Rhin sont très beaux. Londres est
la capitale de l'Angleterre. Je connais les rues de Francfort.
D'où venez-vous? (tool^cr' ïomtltcn @ic?) Je viens de {(0X9)
Suède et de Russie. Où allez-vous? (tool^tti' gel^enSte?) Je
vais à Vienne et à Berlin. Je vais aussi en Italie et en
France. Le Grec est arrivé à Londres. Mon frère est à
Strasbourg. Janvier est froid. Le mois de juillet est chaud.
Le prince est arrivé au mois de février.
Conversation.
So toatfi bu gefiem? 3d^ toar in iD^^ann^cim.
Unb 100 toar bein 8ruber? @r toat in granffurt.
SBeld^cS tfi bit Çau^tfiabt t)on ^pa-- ^aMh i{i bie Çau^tfiabt toon @Va«
nictt? nien.
*ennen @ie bte ©d^toeia? 3d^ îenne bic ©d^jocij unb Staïien.
SBie ieigt biefer grug? S)ieîcr glug ift ber ^tin,
^at 9lu§Ianb groge gliiffe? @d l^at groge glûffe unb @eeen.
@inb blcfe Serrcn granjofeni Sîein, mcin Çerr; fte flnb ^panïtx.
Sel^ed Sanb ifi bicd? 2)ie9 t^ ^anfretd^.
S^aren @ic in 9(fictt? Sfldn, iâ^ mat ntd^t in Stfien, aber
ïâf mx in (Sgt^)>ten.
Solder' ïommen @ie? 3* îommc and Staïicn.
©ol^in' gcljcn @ic? 3^ g«^e na* ^îngïanb.
@cï>en @ie naâf Çariêl 3a. nodj ^axii unb na(3^ gonbon.
i^ennen @ic bie ^iirleil 3a, id^ Icnnc ©rieéenlanb unb bie
Siirïei.
ffiie flnb bie ©tragen ©erUndl @ie ftnb Breit nnb W5n.
3n totié)tm Wlonat ifi 31^r 92effe (Sx ifi im <@e^tember angelommen.
angefontmen ?
^tiàftt ZoQ ifi l^entel $eute ifi 2)onner«tag.
Sie toiete £age $at ber ^pxïU S)er (3)>2onat) 9(^ri( l^at breigig
(trente) 2^age.
©^e^en @ie 3)entfd^, mein 3a, i(i) ]^ttâ)t 2)eutf(3^ unb (Sng»
Çcnl Iif(3^.
OTTO, Grammaire allemande.
66
Quinzième Leçon.
Des adjectifs déterminatifs.
(iOcfiimmitttgdtoBrter.)
n y en a cinq espèces: les adjectifs démonstratifs,
ùUerrogatifs , possessifs, indéfinis et les numérattx. Us
précèdent ordinairement un substantif.
§ 1. Les adjectifs démonstratifs sont:
masc, fém, neutre, PktrieL
biefer biefc biefc9^) ce, cette biefe ces
iener Jene ieitc« ce — là jcne ces — là
fotd^er fold^e foId^e6 tel, telle fol(^e tels
berfcibe btefelbc ba^felbe le même btefelben ) les
ber, bie, ba6 nâmlid^e le, la même, bic nSmltc^en ( mêmes,
ber, bie, ba6 anbere l'autre, bic anberen les autres.
Exemples.
®eBett @ie mit bief en @tocf, domies-moi cette canne.
Aennen @ic jiene S)atneit? Connaissez-vous ces dames-là?
1) ©old^er est généralement précédé de l'article in-
défini, mais il peut aussi en être suivi:
(Sin fold^er SD^ann (ou \tiiif ein SRann) un tel homme.
(Sinem {old^en ^naBctt à un tel garçon.
Au pltiriel Tarticle est supprimé:
@oId^e iinSnner de tels hommes.
2) !DerfeI6e se décline de comme suit*
Singulier» Pluriel.
y, bctfeïBe biefelbc ba«fcrbe. biffelben.
O. be^felBen betfelben beSfelBen. berfelben.
D. bemfelBen berfelben bemfetben. benfetben.
A, benfelBen biefelbe ba9felbe. btefelbcn.
3) !Der namlid^e et ber anbere se déclinent comme les
adjectifs. Ex.:
2)ie nSmli^en SBSrter les mêmes paroles (mots).
Séf ^bc ctnen anbent @tocf j'ai une autre canne.
§2. Les adjectifs interrogatifs sont:
1) SBeld^er, toeld^e, toeld^c^^)? quel? quelle? Ex.:
ffîelAen ®rief l^aben ©tel quelle lettre avez-yous?
ffîel<9e Sebent l^aben @ic gefauft? quelles plimies avez-yous
achetées?
IBon tôtiâ^tvi @t&bten f)>re(l^en @ie? de quelles villes parlez-vous?
1) La déclinaison de biefer, iener et toel^er se trouve p. 16.
Adjectifs déterminatîfs.
67
2) aBa« fût tin, \oa9 fur tint, toa« ffir cin?
quel? quelle sorte de, pi. toa^ fâr?
Ici il n'y a que Tarticle etn qui se décline et s'ac-
corde avec le substantif suivant :
SBa9 ffir «ne @tabt tfl bie«? q^uelle ville es1r-ce là?
23a8 ffir ctnen Sel^rcr (aBen @te1 quel maître avez-vous?
Wlit &Ht6 ffir cinem Snffanmentc? avec quel instrument?
Au pluriel Tarticle est supprimé = toaê ffir? Ex.:
9Ba9 ffir 8&nber toûn^â^m ©tel quels rubans désirez-vous?
9èa9 ffir i93&itme fUtb biedi quels sont ces arbres?
L'article etn se retranche encore au singulier avant
les substantifs qui marquent la matière. Ex.:
^a9 ffir ^tï\é) faufett @te? quelle (sorte de) viande achetez-vous?
^ai ffir SSetn trinlen @ie? quelle sorte de vin buvez-vous?
§ 3. Les adjectifs possessifs sont les suivants:
meitt
betn
fetn
ifir
nnfer
€3ter
metne
beine
\t\nt
il^re
iinfere
3*re
eure
i^re
tnem
betn
fein {
nnfer
3*r \
euer (
il^r
mon, ma.
ton, ta.
Plur. ntelne
„ beine
ses.
ir
mes.
tes.
felne (
iÇre (
nnfere nos.
^^^* I vos
euere ( ^°"*
t^re leurs.
son, sa.
notre,
votre,
leur.
Les trois premiers se déclinent comme Tarticle etn
(voyez p. 17); les cinq autres se déclinent de la manière
«ui vante:
masc, fém, neut, nutsc, fém, neut.
N, nnfer
O. nnfereS
D. nnfemt
^. nnfem
nnfere
nnferer
nnferer
nnfere
nnfer
nnfere9
nnfemt
nnfer
nuMc,
3Çr
3^re«
31^rem
Sl^rcn
SÇre
Sirer
Sljrer
31^re
3*r
3^re«
31^rent
3*r.
J^. nnfere
O. nnferer
D. nnferen
A. nnfere
Pluriel»
pour tous les
genres.
3^re
Sirer
31^ren
3ère
pour tous les
genres.
Remarque 1, On traduit son^ sa, ses, par feitt/ t,
«i le nom du possesseur est masculin ou neutre , et par
il^r, t, s'il est féminin. Ex.:
6*
48 Leçon 15.
CharleB a perdu 8a plume itatt l^at feine geber toerloreit.
Louise a perdu sa plume Sut{e ^at il^rc geber toerloren.
Remarque 2. En parlant â quelqu'un, on rend mon-
«t^r par me in $ert; mais quand le mot monsieur pré-
cède un titre , l'article du titre est supprimé. L'article
est mis devant ^ett, quand on parle de la personne
titrée. Ex.:
Monsieur le oômte! {)err (Shraf!
Monsieur le professeur ber $err $rofeffor.
Remarque 3. En allemand les pronoms Sf^X, fetn
et tl^r, se placent avant les mots ^err, i^tau etc. Ex.:
Monsieur votre père 3]^r ^txx ^attt.
Mademoiselle sa sœur feine (il^re) grSuIeitt ©c^toefler.
Remarque 4, Votre se traduit toujours 31^r dans
le style de politesse. La forme cuer s'emploie avec
l'ancienne forme de la 2. p. Am pluriel \ift ^oAt etc. Ex.:
Charles, ayez-yous yotre pliime? Aarl, l^aben @ie ^xt geberl
Mes enfants, ayez-yous vos plumes? Ainber, l^abt il^r enre
gebem?
§ 4. Les adjectifs indéfinis sont :
masc, fém, neut. Pluriel.
Jeber chaque, jebe, iebeS. (manque.)
aQer (ail) tout, aQe, aUt» (aH). aile,
leln ne — aucun (point), letne, fein. lelne.
man(^er maint, mandée, mané}ti, mandée,
hgenb etn quelque, irgenb etne, Irgenb eln. —
toettig peu, loentge, loentg. loenige.
l^iel beaucoup, btele, toiel. biele.
tDtebtel combien? toit biele, loiebiel. n>ie loielel
ber met^e la plupart, bte metf!e, ba8 metfle. bie meiflen.
cm getDtffet certain, eine gekoiffe, etn getioiffeS. getotffe.
Les suivants n'ont point de singulier:
beibe les deux; — einige quelques, — mel^rere plusieurs.
Exemples.
3ebe9 8anb chaque pays.
Élancées fiinb maint enfant.
3(^ l^abe loiele Qiid^er j'ai beaucoup de livres.
ër ^at n>entae greunbe il a peu aamis.
^eibe ^âfto^tm fint tôt les deux sœurs sont mortes.
2)te meiflen 9Ren[(^en la plupart des hommes.
(Sin gen>if[er ^Sntg certain roi.
Remarques.
1) L'article après tout (aUe) ne se traduit pas. Ex.:
Tout ^argent alle9 ®elb.
Adjectifs déterminatifs. 69
Toutes lêê lettres aile 8riefe.
Tous les jouis aïïc j£age.
Maiâ quand tout signifie entier , il se traduit par g an),
et Tarticle précède :
Tout le mois ber gatt^c SRottat.
Toute une semaine einc gatqe SBo(^e.
2] Devant un adjectif possessif au tnasc. et au neutre
9ing. ail reste invariable. Ex.:
Wi mein ®elb tout mon argent.
3) Voici comment aller se décline:
masc, fém, neutre. Pluriel,
N. aller (aH) allé aïïeS (ail) allé
G, aUti aller alle9 aller
D. aUtm aller attem aHett
A. aHett aQe aUt9 (aQ) aile
4) Si Bcibe est précédé d'un adjectif possessif ou
de l'article défini, il prend un n:
Mes deux frères meine Beiben ^rilber.
Vos deux chevaux 31^re Beiben $ferbe.
5) (Sxn ieglid^er chacun, pour jeber, et ettid^e pour
etntge sont considérés comme vieillis.
Yoeabnlaire.
bas ©eBSiibe le bâtiment. bte SJttnute la minute,
bte (Sttern les parents bie ©ette la page.
ber 92ing la bague, l'anneau. bad $eft {gl. — e) le cahier,
ber SBagen la voiture. niit^Ud^ utile, retc^ riche,
ber ge^ler la faute, tôt mort. felten rare. \âfitâ)t mauvais.
bie ÛBerfe^ung la version. loflBar précieux.
ber iSleijItft le crayon. degeffett mangé.
bie @(^a^tel la boite. loollen @ie? voulez-vous?
Exerciee* 35.
1. ©iefcr SKann ift xeïâ^, S)icfc fîinbcr l^aBcn ïcmcn Sa»
ter mcl^r* 3cttcô ©eBaubc ijî ait, 2)ic grûd^tc icucr SSSmnc
Pub Bttterer (plus amers) aie (que) bie Çrûd^tc bicfcr SSumc.
2Rct«c eitcm flnb tôt* Unfcr Dl^cint tjt niait xtiâf, Ùâf terme
btcfc ©tubcntcn* ftcmicn ©te allc ©tragcn biefcr ©tabt? Slflc
aWcnfd^cn flnb Srûbct, aBeï^er Wlam J)at fein Oclb ^crlorcn?
©cinc îantc ^at tl^rcn 9îittg gcfunbcn*
2. 3âi ^aBe bte $fetbe éf)xe9 Ol^eimd unb ben SESagen
ira|erc« Slad^Barê gcïauft. Scbcï ÏÏKcnfd^ IteBt fcm ScBcn. Stici^t
icbc« Sonb tjî rci^. ©te l^aBcn ïcinen gcl^ïcr tn il^ïcr ÙBcr*
fcftmtg. SKcmc Bcibcn Srûber flnb angeïommen. SlIIc ÇSnfcr
bicfcT ®tabt flnb grog* SOîaê filr cincn ©tod l^aBcn ©ic ba?
ÏBc nietnc gcbcm flnb f^ïcd^t* SBtr l^aBen ctntgc SSôgcL 3ci^
^aBc uicl^crc ©(i^tffc gefcl^cn.
70 Leçon 16.
Thème. 86.
1. Cet arbre est haut. Cette femme est bonne. Cet
homme-là est mon frère. Cette boite-là est très petite. Le
frère de ce garçon s'appelle Louis. Donnez ce pain à ces
enfants. De tels hommes sont rares. Quel nom? Quelle
page? Quel livre Youlez-vous? Quelles plumes ayez-vous?
Quelle sorte de papier avez-vouA acheté? J'aime mon père
et ma mère. Les parents aiment (Ite6en) leurs enfants. Mes
souliers sont neufs.
2. Les deux plumes sont mauvaises. Où sont vos ca-
hiers? Voici (l^tet fhlb) nos cahiers. Les enfants ont perdu
leurs habits. Chaque minute est précieuse. Tous les hom-
mes sont frères. Je n'ai aucun ami. Qui a beaucoup cT ar-
gent? Nous avons peu de pain. La plupart des animaux
sont utiles. Chaque pays a ses agréments (Sltltiel^mUd^Ietten] .
J'ai trouvé plusieurs crayons. Les enfants ont mangé toutes
leurs pommes et leurs poires.
Gonversatlon.
fBer ^at mtïn ®elb gefunbcn? 2)etn ^ruber ^at aU bein ®elb ge»
funbcn.
ffîas ffir cttt ^OQtt Ï9 bie«? dî xft em 9(bter (aigle).
ffîer ifdt il^n oef^offen (tué)1 2)er S^tt ^at i^n gefd^offen.
ffîad fiir etne diurne l^aBen ®ie ba? (Sd i[t etn ^tUâ^tn (violette).
ffîo finb unfere {>iite1 Ol^re ^ûtt finb in meinem 3ttnmcr.
S3U biete gel^ter l^abe td^ in mciner @ie (aben me^rerc ge^Ier, bier ober
Uber{etsung? ffinf.
SBer ifi iener iunge SD^annl (S8 ifi ber 9{effe nnferes 9{ad^Bar9.
ffîa« fût $ferbe l^abot @ic gelauft? 3(^ J^aU )mei 9letti>ferbe (chevaux
de selle) gelaitft.
^aft bn cinige gute gebent? dltin, aSe meinc gebcm {Uib
iaUn @ie toiele mâftï% 34 ^^^^ toenioe mâ)tc.
fBad ^at griebri(!^? (Sr l^at feinen %Ieiflift.
SD'lit ment finb <B\t angelommeni 34 bin mit einigen Srennben ge«
tommen.
^ahtn @ie etnen ®rief bon %xanh ïfltin, iâ) f^aU feinen ®rief erl^olten.
furt erWten?
^ahm @ie aile S^fet gegeffen? D^ein, id^ l^abe nnr einige gegeffen.
Seizième Leçon.
Verbes auxiliaires.
(ÇitfgjeittoSrter.)
Il y a dans la langue allemande trois verbes auxi-
liaires, qui servent à compléter les autres verbes, savoir:
ffaitn avoir, fetn être, et merben devenir. Outre ces
Verbe auxil.: ]^a6en« 71
trois, il y a encore une antre espèce de verbes auxi-
liaires, qu'on appelle verbes modificatifsy savoir: XotWtVi,
fo((en, mûffen, IBnnen, mSgen et bûtfen.
^tAvx ayoir.
Indicatif. Subjonctif.
Présent,
^âf \QLli j'ai. 3(^ ^aBe (que) j'aie
bit l^afi tu as bu l^aBefl tu aies
cr ^t il a cr l^abc il ait
fie Ij^at elle a fie Ij^aBe elle ait
es l^at il (elle) a eS l^abe il (elle) ait
majx l^at on a man l^aBe on ait
toir (aBen nous ayons loir l^aben nous avons
i^r l^abt ov@ie (aben^) vous ayez ibr b<>bet ou @te çaben vous ayes
fie b<tbeit ils, elles ont. fie baben ils, elles aient.
DO 9ane]i jxl avais ùu lu <
?• ^^.H. l il 01* elle avait
Imparfait et Défini,
3db b<ttte j'avais ov j'eus 3d^ b&tte') (que) j'eusse
ba battefi tu avais ou tu eus bu b^ttefi tu eusses
" ' ^ er b&tte 1
fie b&tte } il (eUe) eût
ed b^tte j
tDtr b^tten nous avions, nous eûmes toit bStten (que) nous eussions
Sï B j TOUS aTie«. TOUS eûte, g', f^ \ yo«. eusrie.
fie )i9X\m ils (elles) avaient, etc. fie b<itteu ils (elles) eussent.
Futur.
3db toerbe . . *) baben j'aurai 34 tt>crbe . . b<tbeu
bu totrfl babeu tu auras bu toerbefi b^^ben
er toirb b^ben il aura er toerbe b^beu
loir iDetben b^ben nous aurons loir toerben baben
Ibr tterbct baben ( ibr toerbet babeu
©ie toerben babeu { ^^^ *"'®" @ie loetbeu bftbeu
fie toerben babeu ils auront. fie toerbeu babeu.
1) Observation générah. Tous les verbes ont pour la seconde
personne plurielle dé tous les temps cette double forme ibr et @ie
(celle-si avec @ majuscule). La dernière est la forme de politesse
et de conversation.
2) La forme i(b %^tit, s'emploie toujours après IsettU, tt, qui
exige le verbe à la fin de la proposition.
Si j'avais un livre menu t^ etu 16uc^ %ÏLttt*
toerbe
3) Ces deux points indiq^uent le place du régime, p. ex.: 34
e eineu greuub babeu, t(b babe etueu greuub gebabt, )C.
72 Leçon 16.
Parfait indéfini*
3<^ l^a^e . A) ge^abt j'ai eu t(^ ffaU . . ge^Bt (que j'aie eu)
bu l^afi gel^a^t tu as eu bu l^abefl gel^oBt :c.
er l^at gel^a^t }c. et l^abe gel^abt
tt>ir l^aben ge^aBt nous avons eu loir l^aBen gel^aBt
I i^r ^dbt gel^aBt il^r fiaBet ge^aBt
) été ^aben ge^aBt @te l^aben gel^aBt
fie ^dbm gel^aBt. fie l^aBcn gefiaBt.
3(^ Batte . . geBaBt j'ayais eu 3^ B&tte . . ge^aBt (que j'eusse eu)
bu l^atteft geBaBt :c. bu l^atteft geBaBt }C.
er l^atte geÇaBt er l^&tte geçabt
toir B^tten geBaBt nous eûmes eu tt>lr B&tten gel^aBt
i i^r Battet gel^aBt il^r l^&ttet geBaBt
I @te Batten gel^aBt <Bit B^tten geBaBt
fie Batten gel^aBt. fie B&tten gel^abt.
Futur antérieur.
S^ U>erbe .. geBaBt l^aBen j'aurai eu 3^ toerbe . . geBaBt l^aBen
bu toixft gel^aBt B<tben bu toerbefi gel^aBt B^Ben
<r lotrb gefiaBt l^aBeu er loerbe geÇaBt l^aBeu
tDtr loerbeu geBaBt B<tben loir loerben gel^aBt l^aBen
j il^r loerbet geBaBt BaBen i^r loerbet geBaBt l^aBen
} @ie loerben gel^aBt l^aBeu éie loerben geBaBt ^dbtn
fie loerben geBaBt l^aBeu. fie loerbeu gel^aBt B<ibeu.
Gonditionnel.
3(^ loiirbe . . Baben ou \âf l^&tte j'aurais
bu loiirbefi B<tBeu ou bu B^tteft tu aurais
er loiirbe l^abeu ou er l^&tte il aurait
loir lofirben B^ben ou loir B&tteu nous aurions
iBr loiirbet BaBen ou il^r B&ttet vous aurieis
fie lofirbeu B^Ben ou fie Batten ils (elles) auraient.
Conditionnel passé,
3(^ lofirbe . . ge^aBt l^aBen ou iâ^ l^Stte geBaBt j'aurais eu
bu loiirbefi geBaBt f^hta ou bu BSttefl geBaBt tu aurais eu
er loilrbe geBaBt l^aBen ou er l^&tte geBaBt il aurait eu
loir tt>firben geBaBt B^ben }C.
Impératif.
Singulier. PlurieL
<^aBe aie ^aBeu loir, ïagt un« l^aBeu j ,.«0--
JaBe er ou ( „„,.| .^ ou loir loollen BaBen ( ^
er fott îiaBeu ( ^^^^ ^^ Ba^et, ^aBen éie ayea.
1) Voyez p. 71, note 3.
Verbe auxil.: ^aBett. 73
Infinitif.
Présent. l^aBett ou }u ^aBen avoir, d'avoir.
Passé. gel^aBt l^aBett ou gel^Bt in ^aBen (d') avoir eu.
Participes.
PrésmU. l^aBenb ayant. Passé. gel^aBt eu.
Forme négative.
Prés. Sd^ l^aBe ntd^t je n'ai pas, pi. toir l^aBett n^t
bu l^afl ni(i^t tu n'as pas, @te ^aBcn nt(!^t
er l^at nici^t il n'a pas. fie (aBett tti^t )Ç«
Fut. 3m toerbe . . nid^t B^Ben Je n'aurai pas.
P. indif. 3^9 l^aBe . . ni(^t gel^aBt je n'ai pas eu etc.
F. interrogative.
Prés. $aBc id^ ai-je? ^9ihm loir avons-nous?
](»afl bit as-tu? l^oBen @ic avez-vous?
(at er a-t-il? l^aBen fie ont-ils (-elles)?
P. ind, ^aBe icift geljiaBtl ai-je eu? ^aBen @te . . gel^aBt K.
F. négative-interrogative.
(aBe ïé^ mti^tl n'ai-je pas, Bafl bu ui(^t? n'as-tu pas, l^at er uid^t?
n'a~t-il pas, l^aoen toir uid^t? k.
^tte Ï6i nid^t ael^aBt? n'avais-je pas eu? eto.
ffîerben toir ntdpt l^aBeu? n'aurons-nous pas? etc.
Forme conditionnelle.
Imparfait,
fBenn td^ . . l^&tte si j'avais menu toir l^fitteu si nous avions
IDeuu bu . . %lixt^ si tu avais koeun @ie ^tteu si vous aviez
loenu er . . l^Stte s'il avait etc. :c. ic.
PUiS-que-parfait.
ffienn td^ . . gel^aBt ]^5tte si j'avais eu, — tt>enu bu . . fel^aBt l^Sttefl ri
tu avais eu, — XdtxiVL er . . ge^aBt l^&tte s'il avait eu etc.
Itemarques sur la constructiûn allemande.
Le chapitre sur la Construction ne venant qu'après
l'exposition de toutes les parties du discours, il faut en
attendant observer ce qui suit:
1) Dans une proposition contenant un temps com-
ou rinfinitif termine la proposition. Ex.:
74 Leçon. 16.
2)er StnaU (at bas ^nâ^ gel^aBt
Litt. Le garçon a le livre eu.
2)te Wlnttts lotrb il^re Xiiâfttt ttt $art« fel^ett.
2ifï^. La mère verra (va) sa fille à Paris (voir).
2) Les adverbes de temps précèdent le régime:
2)eT Stttûbt l^at geftcrn ein Sitd^ gcfunben.
Litt, Le garçon a hier un livre trouvé.
3) La négation ntd^t suit le régime direct:
Sàf \)aht bas Sdnâf nid^i gelefen je n'ai pas lu le livre.
4) Quand on commence la phrase par Texpression
adverbiale, le sujet prend sa place après le verbe:
(Btfttm l^abc id^ (non td^ f^aU) ein énâf gefunben.
5) Observez qu'en allemand, pour faire une inter-
rogation, il suffit de mettre tout simplement le sujet
après le verbe ; par conséquent, si le sujet est un sub-
stantif, après lequel on met en français un pronom
personnel, ce pronom se retranche en allemand. Ex.:
{>at bcr fSattx ein 8u(!^? le pëie a-t-il un liyie?
@inb bte j^ir[(^en retf? les cerises êorU-elles mûres?
6) Le complément de Tinfinitif précède l'infinitif:
(Stnen greunb (abcn avoir un ami.
(Stnen ^érubcr \n ^aben c^'avoir un frère.
^vlhq in fcin d'être jeime.
7) Les pronoms relatifs et certaines conjonctions
exigent le verbe à la fin de la proposition. Ex.:
{^ter tfi ba9 9nâf, toelci^ee id^ Qtfttcn gcfunbcn Iftabe.
Voici le livre que j'ai trouvé nier.
Yocabnlaire.
Sfd^t ffobtn (auf) avoir soin de. bad Setter le temps.
bie U^r la montre. <9ebulb (aben avou patience.
bit Xinte Tenore. bad 8anb le ruban.
ïfttâft ^aben avoir raison. bie 3<^t le temps.
Unredbt tort. anoenel^m agréable.
ba9 S3er0itfigen le plaisir. je^ à présent.
Exercice. 87.
1. Sa) l^obe etnen ^emib. Çafl bu oud^ etnett ^rennb?
Çabt Sif)x on l^aben ©te ïctnc grcunbc ? SBir l^abcn ïcinc Çrcunbc*
ffîir l^atten f^temibe ; aber je^t l^aben mir letne (point) « ©te l^aben
9te^U 3â) l^atte Unred^t. Çabe {smç.) %d^t auf (de) bein ftleib.
Çabctt ©te ïd^t auf Ol^re Jîleibcr. 3d^ toerbc efae neue U^t
l^abfu. 36) ^abe fd^en etne W)x gel^abt ; aber td^ ^obe f!e ter*
lercn. Çabcn ©ic t>iet «crgnûgen gcl^abt ? Wtt l^attcu »iele «pfcl
gel^abt. SBtr merben fd^5ueê SBettet (beau temps) ^aben.
Verbe auxil.: ^aben. 75
2« ©te toerben efaien ^éf^lct gel^aBt l^aben. Çatten bte
€(!^ûler guted Capter ! Stem, bte ©d^ftler l^atten lefat guted $a«
pter. SBettn toit Srot l^&tten.^j SBenn tovc ^(etfd^ gel^abt
l^Stten* 9^t toûrbet letn ®elb ^(en. St mfttbe )>te( Setgnilgen
anf bem Sattbe gel^ait l^oben* ®tau6{l (croicH) bu, bag er ®elb
]^a(e? ©taitien Été, bag toit SEBetn gel^obt l^aBen? @te mer*
ben SBaffer gel^abt l^aben* Çaben bte ftinber fitrf(i^en gel^aBt!
Çat ber ftnabe feht S3u(!^ nt^t gel^aBt?
Thème. 88.
1. J'ai un frère et deux sœurs; tu as deux frères et
une sœur. Il a le couteau, elle a la plume. Nous avons
du beurre et du fromage. Vous avez du pain et de la
viande. Ils ont du vin. J'avais un canif. Mon frère avait
deux cliiens. Nous avions plusieurs amis. Vous aviez
beaucoup de pommes. Les écoliers n'avaient point (letne) '
if encre. X aurai ime montre. Tu auras des gants. Vous aurez
du café et du lait. Les enfants auront du pain et du beurre.
2. J'aurais peu d'argent. Ayez patience. J'ai eu pa-
tience, n a eu un morceau de pain. Le garçon aurait eu
le livre. Si f avais ^) du papier. Si tu avais de l'argent.
Si nous avions le courage (ben iDlttt). Il est agréable
s d'avoir lun 2 ami. Je peux (latin) avoir le plaisir. Qui
aura le ruban? Ma nièce Caroline aura le ruban, et made-
moiselle Louise aura le chapeau.
Conversation.
^en @te einen Srubetl 3a, td^ l^aBe sioct Orfibcr.
9Ba9 bat StccA gelaufti (Sr l^at ^onbfci^it^c gdanft.
OaBt t(r 93rot gentig? 92em, toit l^aBen xAéii genug.
^atten @te genng entier unb fi&fe? Sir ^atten fi&fe gcnng ; aber nid^t
^Butter genng.
{^ben ®ie biel IBetgnûgen anf bem 3a, mit l^atten fel^r totel IBergnûgen.
Sanbc gel^abt?
SBerben mr féSneS SBetter l^aBen? 3(^ glanbe ntt^t (je crois que non).
Serbcn @ie 3cit l^aben, biefcd ^u^ Str totrben ^eute fetne 3ctt l^aben ;
p (efcn (de lire)? aber morgen (demain).
iSHanben @ie, bag ^einrtd^ toiel ®elb 3(^ glaube, bag er \t^x toenig ge-
gel^abt l^at? ^aM ^t.
9Ba6 ffir eine geber l^a^ bn ge- ^6^ batte eine ^tal^Ifebet (plume
babt? métallique).
Gerbe i^ bad Sergnfigen boben, @te ifi nXqi ^ier, fie ifl in @tntt-
3bve @(l^»efier }n fe^en? gart.
SBamm finb @te fo tranrig (si 3($ b<^be meinen f(^9nen ©todt ter-
triste) 1 toren.
Set bat ntein Scbermejfer gebabt? 3<^ toeig nid^t (Je ne sais pas),
toer e8 gc^abt b^t.
1) La conjonction toenn exige la verbe à la fin, voir p. 71.
76
Dix-septième Leçon.
Second auxiliaire.
Sein (fc^tt)i) être.
Indicatif. Subjonctif.
S^ Un je suis 5à) fci (fe^) ^) (que) je sois
bn Bifi tu es bu feiefi (fet^efl) tu sois
er (fie, ed) i^ il (elle) est cr (fie, e«) fci (fe)^) il (eUe) soit
toit finb nous sommes toir feicn (fel^it) nous soyons
^*^ f^^^ I vous êtes Î5l; f^^f* (f'r*>'*> { '*1^**) ^°^«
@ic flnb ( ^°^* *^*- @ie feicu (fei^en) } soyez
fie finb ils (elles) sont. fie feiett (jel^en) ils (elles) soient.
Imparfait,
5à^ koar j'étais 3(^ koSre (que) je fusse
bu toarfl tu étais bu to&refi tu fusses
er (fie, ed) toar il (eUe) était er (fie, e9) tt>âre il (elle) fût
n>ir loaren nous étions h)tr tD&ren nous fussons
i^r toaret, ®te tDaren vous étiez il^r n>Sret vous fussiez
fie toaren ils (elles) étaient. fie toàxm ils (elles) fussent.
Futur.
3d^ toerbe .. fein ou \tqn^) je serai Sàf toerbe (ein ou \c'qn^)
bu tDirfl fein tu seras bu merbefi fein
er mtrb fein il sera er toerbe fein
toir toerben fein nous serons n)ir toerben fein
ibr toerbet fein tous serez i^r toerbet fein
fie merben fein ils seront. fie toerben fein.
Par/ait indéfini,
Qé) hin . . gettjcfen j'ai été 3(3^ fei ge»efen (que) j'aie été
bu Mft getoefen tu as été bu feiefl gekoefen k.
er ifi getoefen il a été er fei gewefen
&)ir finb getoefen nous avons été toir feien gemefen
(iljr feib getoefen) ( ,. , il^r feiet gewefen
@ie ftnb getoefen \ ^^^® *^®* ^^^ @ie feien getoefen
t finb gemefen ils ont été. fie feien gemefen.
Plus-que-par/ait.
5^ Wax . . gen>efen j'avais été 3^ n>Sre gemefen j'eusse été
bn marfl getoefen :c. bu to^irefi getDefen ic.
er mar gemefen er toàtt getoefen
loir toaren getoefen toir to&ren getoefen
il^r maret getoefen il^r toSret getoefen
fie toaren getoefen fie toSren getoefen.
1) Les formes avec \f ne sont plus usitées.
I
Verbe auxil. : feltt. 77
Fuhir antérieur»
3(^ )oetbc getoefen fête j'aurai été S^ loerbe gemefen fcin
bu toirfi getoefen feht )c. bu toerbejl getocfeu fein
er mirb getoefeu fciu cr mcrbc getoefen feiu
mh loerben geioefeu feiu loir toerbcn geu>efeu fcin
i^r toerbet gckocfen fcin il^r tocrbct gemefen fein
fie koetbeu gctoefen fcin. fie tDctbcn getoefen feiu.
Conditionnel.
3d^ tofirbc . . fcin ou i(^ toSrc je serais
bu tofirbcfi fcin ou bu tt>^refl tu serais
cr toârbc fcin ou cr to&tt il serait
tt>ir lofirbeu fein ou n>ir tt>Sren nous serions
i(r tt>iirbet fciu ou il^r loSret vous seriez
fie toiirbcn fcin ou fie tt^ircu ils seraient.
Conditionnel passé.
3â^ mfirbe . . gekoefcn feiu ou ïâ^ tDcirc actoefcu j'aurais été
bu toûrbefi getocfen fein ou bu to&refi gemcfcn tu aurais été
er ti>ûrbc gctoefeu fcin ou cr n^Src gctoefcn )c.
n>ir tofirben gctoefeu fein ou toit n>Sren gen^efen
i^r koiirbct gen^efeu fein ou il^r toaret getuefen
fie tofirben gckocfen fciu ou fie totircu gctoefeu.
Impératif.
Singulier. Pluriel.
@ci sois feieu (fet^en) toir ]
et f ci (fet^) j ,., .. laSt un« fein } soyons
cr folï fciu { ^"^^^ ^^^ loir lootten fcin j
feib ou feieu @ie sopz
(ic foQen fciu qu'ils soient.
Infinitif.
Présent, fciu (fcVu) ou ^n fcin être, d'être, à être.
Passé, geloefçu fein ou gemcfcn ju fein d'avoir été.
Participes.
IVésent. feienb (fet^enb) étant. Passé, gctoefeu été.
Forme conditionnelle.
Imparf. SBcuu id^ . . tofirc si j'étais
locun bu mSrefi si tu étais
locnu er n>Sre s'il était etc.
Flusqpf, fBcuu ïéf . . aclocfeu toSrc si j'avais été.
tt>cnu bu gctoefeu tt>5refi si tu avais été etc.
78 Leçon 17.
Yoeabnlaire*
ber Stïiâfm le gâteau. ru^ig tranquille, fo biel tant,
bas S^l^cater le théâtre. trSae paresseux.
QÏÛdiïèf heureux. fleiBtd appliqué.
nn^lûdiiâf malheureux. arm pauyre. leid^t facile.
)ttfrieben content, fo si. geflem hier,
nn^ufrieben mécontent. abderctfi parti.
Exereioe. 89«
1. 3âi Btn iung. 3)tt (tfl glûddid^. Sâ^ Un unglûdl^.
©if ifl fd^dn itnb xexâf. SBtt ftnb arm unb franl. S)tefer SDïamt
toar gut» SEBarct il^r gcjlcttt in ber Sixife^ 9îctn, »tr toarcu
}U Çaufe; itnfere Sflutter toar franl. ©te toetben ntd^t fratd
getoefen fetn* dung unb fd^dn fefat tfl angenel^tn* 9(]^ (in (et
bem ©d^netbcr getoefcn, aBcr mctn 9toi toar miit fcrttg (fini).
2. 3fl ber ^a6e in ber @d^u(e getoefen! ®Iau6^ bn,
bag er f o trSge fet ? SQ&tr flnb geflem un Sil^eater getoefen. ftarl
toirb fcl^r gïûdïic!^ fetn, fo »icle Sûd^er ju l^afcen. ©et fïctgig,
mcin ©ol^n. ©eib fleigtg, metne ©dattier. 3l^r ®ro§»ater ift
fel^r ait getoef en ; aber metne ® rogmutter tfl nid^t f o ait getoef en.
SKarie tourbe fel^r jufrteben fein, tocnn fie l^ter toSre.
Thème. 40.
1. Je suis petit. Je ne suis pas grand. Tu es grand;
tu n'es pas petit. Il est vieux. Elle est jeune. Nous som-
mes pauvres. Nous ne sommes pas riches. Êtes-vous là
(ba?) Ils sont partis. Nos amies ne sont pas arrivées. Le
livre était-il beau? Le gâteau était-il bon? Où étiez-vous
hier? J'étais à Francfort. J'ai été heureux. Vous n*avez
pas été malade. Il sera malheureux. Sois tranquille. Soyons
appliqués. Ne soyez pas paresseux. Mon cousin a été à
Paris, mais il n*a pas été à Londres.
2. n (eê) serait facile. IL aurait été facile. Pourquoi
n'étiez-vous pas content? Vos plumes Bont-eSes bonnes?
Mon frère avait été à la poste (auf ber $oft]. Si j*étais
riche. Si elle était belle. Si vous étiez content. Je serais
content, si je n'étais pas malade. Nous ne serions pas mal-
heureux, si nous avions quelques amis. N'avez-vous pas été
au (tm) théâtre? Non, je Ti![en] ai pas eu [le] ^) temps. Il
ne serait pas agréable de n'avoir aucun ami.
Gonversation.
(Sinb @ie glMIid^? O ia, ïâf Btn fel^r çjiûdiïâ).
3fl 3(re BâfXot^tx aitd^ gtildtltd^l Sfltïn, fie ïft fe^r nnglfidtltd^.
1) Les mots mis entre deux crochets ne se traduisent pas.
Verbe auxil.: fetn. 79
JlBe ttHtrett @ic gejiem SBenb (hier 3(^ toar im ^^eater.
soir?)
Unb too toar 3^r ^eunb? (Sx mx in ^aufe.
SBar ber Sein gut? 9{etn, er toax nid^t fel^r gut.
€inb €^tc tn êtuttgart getoefen? 92ein, id^ bin no(i^ ni(]^t (pas en-
core) bOit (y) gemcfen.
SSatmn (pourquoi) mot ber Selftrer 2>te @^ftler toarm tr&ge.
mnitfrtebm? •
5ft Staxi oft (souvent) hanf? 9a, er tfl itnmer franf.
SBfirbett @ie pfriebett feitt, tocnn ^éf tofirbe fel^r ^ufrieben fétu, toenst
^ie rei^ koSren! td^ reiti^ tt>5re.
@eib f(r fertig (prêts)? ®tr toerben gteid^ (tout de suite)
fertig fetn.
ffîa9 faate (disait) ber Sel^rer? Or fagte: ®etb xo^ia.
©aren blc ©^filer fleigig? 3a, fie flnb fe^r fïelma getoefen.
SBfirben ©te glfidlid^ fera, toenn 3d^ n>firbe fel^r glâdit^ feus.
3^T iBater l^ter m&rel
Lecture*
Sie t^tim itttb bte ^entte*
La femme et la poule.
©ne gtott ^attt ctnc Çennc, toeld^c jeben SEag ctn ®
qui
Icgtc. 2lbcr bic grau xoax md)t bamtt jufrtcben; fie tooûte
pondût. Hais en Tonl&it
Icbeu îag îtoet ®cr l^aBen; benn ftc toerïauftc bte ®cr fcl^r
car Tendait
teticr* ©te mSftetc baiser bie Çennc, tn ber Çoffnung mcl^r
cher. engnissa donc espoir pins
(Ster }U (elommen. Sl6er fie t&ufd^te fid^ ; benn bte ^enne tt)urbe
d*aToir. se trompait; deTint
}n fett unb l^Srte ganj auf, ju Iegen«
trop grasse cessa entièrement de
Dix-huitième Leçon.
Le verbe auxiliaire SBetben^ devenir, être.
Indicatif. Subjonctif.
Présent.
Sà^ toerbe je deviens (je suis) 34 toerbe que je devienne
ta tDirft tu deviens bu toerbefi que tu deviennes
er (fie) IDirb il, elle devient er toerbe qull devienne
mas tttib on devient
loir tterbett nous devenons totr loerben que nous devenions
âutSn 1 -°« devene. g.»^,'^ f que vou. devenie.
fie koerbett ils (elles) deviennent, fie tDerben qu'ils deviennent.
4'
80 Leçon 18.
Imparfait,
3d^ tOttvbe^) je deyenais ou deyins 3^ tourbe (que) je deyinsse (fusse)
bn »]trbefl 2c. (fus) bu toilrbefl }c.
er tourbe cr milrbe
loir tourbett totr tofirben
il^r tDurbet ou @ie tourben il^r koiirbet ou @ie toiirbeit
fie tourben. • fie toilrben.
Futur,
3d^ koerbe . . toerben je deyiendrai 3(i^ toerbe toerben
bu toir^ iverbcn )c. bu toerbefl toerben
er toirb toevben er toerbc toerben
toir toerbeu tocrben xcXx toerben toerben
I @ie toerben toerben I @te toerben toerbeu
) il^r toerbet toerben ) il^r toerbet toerben
fie t]9erben toerbeu. fie toerbett toerbeu.
Parfait indéfini,
3^ %\n , , getoorben (ou tcorben) 3<3^ [et getoorben (ou toorben) que
je suis deyenu (j'ai été) je sois deyenu (j'aie été)
bu Bift getoorben (ou toorben) bu feifi gctoorben (ou toorben)
er ift geœorben (ou toorben) ic. er fei gett>orben (ou toorben) k.
PUts-que-parfait,
34 ^1^ • • getoorben (ou toorben) 3(^ toare gelDorben (ou toorben) que
j'étais deyenu (j'ayais été] je fusse deyenu
bu toarfl getoorben (ou iDorben) bu koSrefI getoorben (ou toorbcn)
}C. )C. }C. K.
Futur antérieur,
34 ^t^t , , geiDorben (toorben) 34 ^cotxtt geioorben (toorben) fein.
fein je serai deyenu
bu toirfl getoorben (toorben) fein tz, bu toerbefl gett>orben (toorben) fein.
Conditionnel.
34 )vûrbc . . koerben je deyiendrais (je serais)
bu toiirbefi tverben tu deyiendrais
er tourbe tt>erben il deyiendrait
toir toûrben toerben nous deyiendrions 2C.
Conditionnel passé,
34 tourbe . . gemorben (outoorben) fein ou i4 to&re getoorbcn
je serais deyenu (j'aurais été) }c.
Impératif.
Singulier, Pluriel,
XBerbe deyiens (sois) toerben loir deyenons, soyons
er foU toerben qu'il deyienne. toerbet, toerben @ie deyenez
fie fotten toerben qu'ils deyiennent.
1) Il y a encore une ancienne forme pour le singulier 14
kDarb, bu toarbfi, er iDorb, qui est encore en usage.
2) V. p. 147, Rem. 2.
Veibe auxil.: toerben. 81
Infinitif.
Ftét, toerben ou p iDcrbcn devenir, de (à) devenir.
Passé, getoorben (ou toorben) fein ou )U fetn (d')être devenu.
Participes.
Prés, toerbenb devenant (étant).
Pcusé, getoorben (ou koorben) devenu (été).
Bemarque. •
L'expression: Qu'est devenu..? se traduit SBa^ tft
ûuô . . . geioorben ? Ex. :
Qu'est devenu votre frère? ^a9 ifl and Sl^rem SBntber getoorbenl
Tocabnlaire.
bie 9laâfxiâft la nouvelle. ber JSaufmantt le marchand.
bte @^arfamfett Téconomie. bunlel sombre, fd^ott déjà.
e9 reanet il pleut. uuacttg méchant.
ber 99fegen{(]^trm le parapluie. itnaebulbig koerben s'impatienter.
im ^ditfttng au printemps. ttag mouillé, belannt connu.
f^at tard, koeife sage. gefommen venu.
tnllbe las, fatigué. nie ou niematd ne — jamais.
|omig loecben s'emporter. ïoann quand?
grog tœrben grandir. ïoamm pourquoi?
Exercice. 41.
1. 36^ tocrbe ïranï. ©ic toirb ait. SIRcme jtoci ftinbcr
touïbcn gcflem ïranl, S^x tocrbct nicmate toeifc tocrben. Subtoig
ttjutbc milbe. e« toirb (il se fait) \pàt. ©cjicm tourbe x6^^)
ungcbuïbig. SBcrbct nid^t -ungcbutbig. S)icfe Stad^rid^t tourbe in
ber ©tabt fccïannt. 3d^ 6tn jefet jung, a6cr id^ tocrbc ait toerben.
(53 regnct, ©ic toerben nag toerben.
2. S)iefe« papier ijl rot getoorben. S« totrb 9tad^t; e«
»irb buttld. S)tc ffinaficn toerben îranl toerben ; fie effen ju oieï
(ils mangent trop) « S)ad SRctbd^en tourbe jomtg« 2)urd^ ©))ar«
famlctt toirb man^) reid^^ Unfcr 9îad^6ar tji au(| reid^ getoorben*
aSBir toerben nag toerben, totr l^afeen ïeinen 8îegenfd^irm. 3Ba«
ip au« bem ©ol^n unfere^ 5Rad^6arê getoorben? ®r tjl ©olbat
getoorben (s'est fait).
Thème. 42.
1. Je deviens impatient^). Elle devient sage. Mon
père tomba (devint) malade. Les garçons se/atiffuèrent (devinrent
fatigués) . Les arbres deviennent verts au printemps. Je suis
2 riche i maintenant, mais je puis (fann) devenir pauvre. Notre
voisin est devenu riche. Quand Charles deviendra-t-il sage?
Il deviendra sage, quand il 2 sera i vieux. Vos enfants oni
grandi (sont devenus grands).
1) Vo)rez p. 74. Remarque 4.
2) =s je m'impatiente.
OTTO, Grammaire allemande. S
S2 Leçon 19.
2. Votre fille est deveniie très belle et très forte (fiarl).
Ne devenez pas impatient^). Il pUut, ces enfants seront
(deviendront) mouillés. Nos amis seront (deviendront) mouillés
aussi ; ils n'ont point de parapluie. Monsieur Trucy veut (totQ)
2 devenir i riche. Les enfants deviendront hommes (SRSttner).
Qu'est devenu Charles? Il s'est fait (est devenu) marchaud
(èauf matin)» *
ConTersatioii.
SBarum |lnb @te nl(]^t aefommeni 3d^ tourbe tranf.
®e^tn @te f(]^ott na^ $aufe? 3a, e9 trirb f^t. 3d^ toitt (veux)
um (à) ad^t U^r )u ^ufe feltt.
SBantt n>crben bie 93Sumc grfin? 3m SdH^Img.
@tnb @ie Jlattfmann getoorben? 92em, i(]^ bin ©olbat getootbett.
SBad ifl au 9 31tirem ^Oruber ge* (Sr ifl na(]^ Kmerifa gegangen (allé).
tootben?
SBarum ifl bieftô SJlJlb^m franl @te l^at )u btet ^u^nt gegeffen
getDorben? (maiigé).
SBer toin retd^ toerben? 2)er ^aufmann totH retd^ toerbot.
@inb @te aud^ nag getoorben? 3(Ç btu utd^t fel^r nag çetoorben,
td^ l^atte etuen 9{egen{d^trm.
SBa9 ifl aud meinem ^ud^ getvor* 3d^ tDcig (sais) ed ntc^t; ed ifl )»er*
benl ïotcu.
@tnb bie unarttgen i^lnber ie^t arttg 3a, fie flnb gan) arttg.
(sages) aeœorben?
SSer ifl mube gen>otben1 ffîitl^elm ifl milbe getoorbeu.
@inb bie ©tragen reini Sîcin, fie flnb burdj ben 9lcgen
fd^mu^ig (sales) gelvorben.
Dix-neuvième Leçon.
Verbes auxiliaires modifioatifs.
Aux trois auxiliaires précédents il faut ajouter les
six suivants, qui servent à modifier les verbes en ex-
primant une possibilité^ une volonté^ un devoir y une
nécessité ou une permission de faire Faction . Ce sont:
Knnen, tt>oKcn, foÛen, mûffcn, mSgcn, bflrfcn. Ils ne sont
irréguliers qu'au sîng. de Tindicat. prés, (sauf foQetl,
V. p. 84).
Le verbe qu'ils modifient est à Tinfinitif sans la
préposition jn* Ex. :
3d^ mug gel^en je dois aller.
@r toitt effen il veut manger.
1) = Ne vous impatientez pas.
Verbes auxiliaires modificatifs.
83
!♦ Stinnm ponvoir, Bavoir.
Indicatif. Subjonctif.
Présent,
3^ Unrtt (que) je puisse
bu Unntft tu puisses
et (Pc, e9) Idnne il puisse
totr fdnnett nous puissions etc.
) i^r IBnnet
} @te fëniten
fte fBnnen.
3d^ fatiit Je peux
bn fannft tu peux
er ({le, e8) lantt il (elle) peut
tDtr fSmten nous pouvons
ibt !5ttut ou I8nnet | vous
été fdtmen ( pouvez
fie Unntn ils peuvent.
Imparfait,
3d^ f onnte je pouvais, je pus
bit fcnnte^ tu pouvais
er fonnte k.
Sd^ fSttttte je pusse, je pourrais
bu li^nutefl te.
er ISnnte :c.
JFiiiur,
3d^ toerbe . . fBunen je pourrai. 1 3(^ koerbe fSuueu.
Passé indéfini.
3<i^ l^abe ^efount (ou \é^ l^aBe « .
fduneu) j'ai pu.
3(^ l^aBe gefottut (ou i(^ ^al6e
fôuueu) (que) j'aie pu.
Plm-que-^arfait,
3<!ft (atte ^efonut (ou td^ ^atte . . 3(^ ^Stte jefonnt (ou i(i^ l^Stte
fSnnen) j'avais pu. IBunen) j'aurais pu.
Fut, antér. 34 toerbe gelount l^al^en j'aurai pu. ^
Part, passé, ©elottut pu.
2/ SBotten Touloir.
Indicatif. Subjonctif.
Jhréê, 3(^ toill je veux 3(^ tDoIIe que je veuille
bu toillfl tu veux bu tooUtf ic.
er (fie) totU il (elle) veut er tooSe
ioir tooQen nous voulons
( i^r tooQt ou iDoUet
} éie toollen vous voulez
fie tooflen ils veulent.
totr tDofleu
i tl^r toollet
} ëie tooQen
jle tDoIIen.
Imp/,3^ toottte je voulais, je ^âf tooltte que je voulusse,
bu tooUteP [voulus bu toolltefi k,
er moflte k, er ivoUte.
1) Cette forme composée s'emploie rarement.
6
84 Leçon 19.
Fut. 3<i$ toerbc . * tooHm je Sd^ toerbe tDoOen.
Youdiai.
Farf. ind. ^âf Jfobt gekoollt. Sàf l^abe getooSt,
JW. ait^^r. 3(^ ^^< getooUt l^aben.
Cond,pris. 3$ tDoUte. Cond. passé. 3^ (Stte getoollt
Jn/. j7r^«. Sollm vouloir. In/. j7a««^. ®tsotm (abm«
Por^. |?a5«^. ©emollt voulu.
3. @otten devoir.
Pr^«. 3d^ foll je dois 3(^ folle que je doive
bu foHMu doîa bu foUefl ic.
cr foU il doit er folle
17. totr foOen nous devons toit foOen
fie foQeit ils doivent. fie foUett.
Imparf. 34 fo Ht e je devais. 3<^ f otite (que) je dusse.
^M^r. ^éi toerbe follen. 3(^ toerbe folten.
Fùrf, ind. 34 $ûbe gcfollt. 34 '^a'^e gefoQt.
P^ttff-ç. 34 9<^tte gefont. 34 W^t gefoat ou foOen.
Fui, antér, 34 ^^^^^ gefollt (aBen.
Cofft^}. prés. 34 foUte je devrais (il me faudrait).
Cond. passé. 34 l^&tte — follen j'aurais dû (il m'aurait fallu).
Ir\f. prés. ©olïen. Inf, passé. (®efottt ^aben).
Fart, passé, ©efollt.
Yoeabnlaire*
bic $ofl la poste. abreifen partir.
i»er^e]^en comprendre. bejal^Ien payer,
fommen venir, bletben rester. ef^en mander,
tragett porter. trmten boire,
immet toujours. lefen lire. f4reiBen écrire.
Exerelee. 43*
ifattttP btt Icfen? 3a, td^ !ann Icfcm ftBnncn ©le Ol^rc
Ûfierfe^ung mad^en? Dîein, td^ lannmd^t. @te (ônnen lommen.
SifX font ntd^t )onitg toerben. SBolIen @te mij (me) bejal^Ien
ober ntd^t? dd^ tDilrbe ®te Bejal^Ien, tt)enn td^ Idmtte. SBorum
fdmten @te ntd^t? dd^ l^aBe letn ®elb. iDïan (onnte il^n (le)
ntd^t loerflel^en. SBer (qui) fônnte ed glauBen? dd^ glauBe e^
iit4t* 9)3tr Idnnen ntd^t tmmer tl^un (faire), mùqA (ce que) intr
tooncn» S)tcfc ©d^ilïertmicn foïltcn fictgtj fcin* Sl^r ©tcitcr fou
bctt Sricf ouf bic $oji tragcn»
Thème. 44.
Je peux écrire. Tu peux rester. Il ne sait (peut) pas
lire. Nous pouvons partir. Ne pouvez-vous pas^) acheter
ce livre? Je peux bien (tDOl^Q, mais je ne veux pas. Pour-
1) Voyez p. 74. Remarque 3.
Verbes auxiliaires modificatifs. 85
quoi ne voulez-yous pas? L'enfant veut-il manger du pain?
Oui, il veut manger du pain et du beurre. On doit me
(mt4) payer. Doitr-il rester? Il doit rester, mais sa sœur ne
doit pas rester. Je ne voulais pas ^) boire cette bière. Ma
tante ne pouvait pas lire la lettre. Mes frères ne voulaient
pas croire cela (ta^) . Les enfants doivent aimer leurs parents.
4. aWftjfeit être obligé, falloir {devoir).
Frés. S4 mu 6 il me faut Sd^ mfif[e qu'il me faille
bu mugt il te faut bit milffefl )C.
er mvi% il lui faut tt mûffe
tDtr miiffeis il nous faut loir milffen
\ t^r milgt ( il vous ] il^r maffet
[ @ie mûffm ( feiut ) ©te tnilffm
fie mûffm il faut qu'ils . . fie mûf[en.
Impf, 3(^ mugte il me fallait 3c^ mit g te il me faudrait
ou fallut.
Futur. 34 toerbe . . milffen il me Sd^ toerbc miiffett.
faudra.
Par/: 3d^ ^abe gemugt ou mfijfen 34 l^abe gemugt
j'ai dû, il m'a fallu.
Tluê-q. 34 l^attegemugt j'avais dû. 34 ^&tte gemugt.
Fut, passé, 34 ^<^^^ gemugt baben il m'aura fallu.
Cond.prés. 34 mûgte (ou loilrbe tniiffen) il me faudrait.
Cond, passé, 34 ^^^te gemugt (ou . . miifTen} il m'aurait fallu.
Inf, prés, SKRiiffen. Inf, passé, (®emuBt ^aben).
Pari, passé, gemugt obligé.
Ex,: Il faut que i 'aille t4 tnug geben.
Il faut que les écoliers travaillent
bte @4ûler miiffen arbetten.
5* M^vx vouloir, ponvoir.
Préê. 34 ma g 2) — Sufij. 34 m3ge —
bu magfl — bu mSgefl —
er mag — er môge —
tolr rnSgett — toir mUgen — -
j Ibr m6gt — J i^r mSaet —
) @ie rnSgeu — ) @lc rnegeu —
fie m8gen — fie mSgen —
Imparf. 34 mo4te. 34 m04te.«)
FutuTn 34 ^^^ mSgen. 34 toerbe mSgen.
Farf. indéf. 34 Ç<*^« gemo4t. 34 ^CiU gemo4t.
1 ) Voyei p. 74. Remarque 3.
2) 9Rog en s'emploie souvent pour rendre le subjonctif français,
quand on ne peut pas le traduire littéralement. Quelquefois ce-
pendant il répond a pouvoir, à vouloir ou à aimer à
86 Leçon 19.
Fbts^.'P. 34 l^tte gemod^t. 8i*bj\ 3^ l^Stte gemod^t
Fut, antir. 3^$ )v<tbe gemod^t l^aBen.^
Conif. pr^«. 34 ttt9il|te j'aimerais bien, je ToudraÎB.
Cond.pMêé, 34 l^&tte — mSgen j'aurais bien voulu.
In/, prés, 915gm. Part, passé, (Semod^t.
6. ^fttfeti ponYoir, ayoir la permission.
Prés, 34 b<kKf je puis, je dois 34 bilrfe (que) je puisse
bu barffl tu peux bit bfirfefi k.
er barf il peut cr bfirfe
tDtr bfirfen te. toïx bfirfen
tl^r biltft, @ic bflrfm i^r bflrfet
fie bflrfen. Pc bûrfen.
Itnparf, 34 bttrfte je pouyais, 34 bfirfte
bu burftefl [je pus bit bfirftefl
er bnrfte er biirfte.
totr bnrften toir bfirften
t(r bitrftet, @ie bnrften 4r bfirftet
fie bnrften. fie biirfen.
Futur, 34 )»erbe . . biirfen 34 ^^^< biirfen.
j'aurai la permission.
Par/, 3d^ (abe geburft ou bfirfen 34 ^^^^ gebnrft
j'ai eu la permission.
Plus-q, 34 (atte gebnrft. 34 l^^tte gebnrft.
Fut, antér, 34 ^^i^be gebnrft (aben.
Cond, prés, 34 bfirfte (ou tvfirbe bfirfen).
Cond, passé, 34 ^&tte geburft (ou bfirfen).
Inf. prés. 2)firfen. In/, passé, Gebnrft ^aben. Part, passé, gebnrft.
Observations.
1) Le verbe laffen (laisser, faire) ^ s^emploie aussi
comme auxiliaire modificatif et régit rinfinitif sans }tt :
34 taffe i(n geÇen je le laisse aller,
^ffen @te i(n tommen faites-le venir.
2) Le conditionnel s'emploie rarement dans la forme
td^ tDÛtbe avec Tinfinitif : xâ^ mfitbe foUen, td^ mûrbe Idnnen;
ordinairement l'imparfait du subj. est employé comme
conditionnel :
34 ISttnte, bfirfte je pourrais, 14 mfiSte il faudrait que je .. .
t4 foSte je devrais. i4 tooSte, 14 tnliàftt je voudrais.
3] Toutes les fois que les temps composés de ces
verbes modificatifs sont accompagnés d'un infinitif , le
participe prend aussi la forme de l'infinitif:
J*ai voulu aller i4 l^aBe gel^en xootttn,
Charles n'a pu venir Slaïi ^t nt4t fontmen I5nnen.
Verbes auxiliaires modificatifs. 87
4) S^il n^y a pas d'infinitif, le verbe auxiliaire garde
la forme du participe.
Je n'ai pas ybulu x6f ffobt ni^t getoollt.
Exemples snr 8) et é).
Ayez-TOTis pu dormir? ffaUn @ie f(i^Iafen f Bnncn?
A-t-il été obligé de sortir? l^at er auSgel^en milffen?
Oui, il y a été obligé {a, er ^at aemugt.
Il aurait dû aller er ffàttt ge^en follett.
Toeabalalre.
bie Hnf^aBe le thème. )>erlaufen vendre .
fagen dire. auSgel^en sortir. f^ielen jouer.
Dtelleid^t peut-être. morgen demain,
toa^r yrai. falfd^ faux. î^n le. totïi parce que.
Exereiee. 45.
U 3^ mu^ x^n fel^ert. SEStr tnûffen aBretfen. S)erJhia£e
barf nt^t fptclcn* ©ilrfctt ©te auôgel^cn? 3d^ barf l^cutc ntd^t
audgel^en, aSer morgen. ^arl mugte l^eute in ber @d^ule 6let6en»
9S3tl|ei[m tDtrb morgen ju Çanfe B(ei6en milffen. 3d^ ^abt geflem
mefai $)au« ©crïanfen tooKen ; a6cr i(]^ l^abc ntd^t geïonnt. aWein
SSatcr ladite geflem ctn ?Pfcïb laufen Knnen; a6er cr ï)at nîd^t
gctooUt* 3]^r 1^ a 1 1 c t c« fagcn f oKen. Sr l^atte c« ïauf en Wnnen.
2, SBarum f)at cr e« ni^t laufen looHen? ffir brandit e8
ntd^t (n'en a pas besoin). !IDu magfl gel^en ober ntc^t. Sâ^
mod^tc ntd^t auôgel^en. SSBir loerbcn gel^en mûffen. S« Bnnte
melleid^t loal^r fein* 6r barf nid^t in ben ®artcn gel^en. S)icfc
SRad^rid^t môd^tc (bftrftc) faïfd^ fein. S)cr finafcc burftc nid^t tu
bie @d^ule gel^en, toeti er Iranl toar. S)te £tnber l^aSen fptelen
tooDen» ©ic toerben 6alb ju Cette gel^en (se coucher) mûffen»
Thème. 46.
Je suis obligé d'écrire une lettre. Nous étions obligés
de partir. H faut que tu sois (tu dois être) content. Il faut
que les écoliers écrivent leurs thèmes (3(ufga6en). Je n'ai
pas voulu. Je n'ai pas voulu rester. Qui a voulu venir?
Charles a voulu venir. A-t-îl pu (geburft)? Non, il n'a pu
venir. Je voudrais bien aller au (tnd) concert. Laissez-le
aller. Je pourrais y (bal^tn) aller, si je voulais. Il faut que
je vende {je dois vendre) ma maison.
Conversation.
SBoQen @te Sein trtnieni il'^ein, id^ totH (ou mag) tetnen S8etn
trinfcn.
fBann mâffen ©te ausgel^en? 3db mng nm ad^t U^r (à huit
heures) audgc^en.
i^^mten ®te nid^t l^ter Metben? 9^etn, id^ mni abreifen.
i^annp bn (sais-tu) fd^reiben unb 3d^ fann lefen, aber. ntd^t fd^reiben.
Ufm?
88 Leçon 20.
SBkt ^at ausgel^ett toollen? griebrid^ M audge^en tooQen.
SBarum ^aben @te bad $ier nid^t (S9 toar }u (trop) ]âfUâft
trinïen tcotten?
itSnnen @U nid^t fommen! 92etn, td^ f^aU nt(i^t 3^it.
SBarum l^at biefer Wlann bnt ^rief (Sr lann ttié^t Ie{m.
ni(^t geUfenl
S)arffl bu bte SJlenagerie fel^enl 92em, td^ barf nîd^t.
S8arum barfjl bu ntc^tl 3c^ mug etnen 8rief fd^retben.
ffîiffen ©te (sayez-yous), toarum Séf toeig e9 nt(i^t, aber t(i^ mSd^tc
cr nt(ijt fommen burfte? e« toiffcn (sayoii).
©irb er abreifen mflffen? (gr toirb i)ieïleid^t (peut-être) ^ier
bletben ISnnen.
Lecture.
SDariuô, ber ^Bntg i)on Çerfien, Bot (bem) 3lleçanbcï jel^n»
offrit dix
taufcnb Patente, tocnn et Slficn mit il^m tcitcn tooQtc. Slbet
mille si partager Hais
SKcçanber anttoortcte : ©ic Êrbc lann nid^t jtoei ©onnen tragcn,
répondit La terre soleil porter
noàf Slfien îtt>ci Sôntge. ^armcnio, ein grcunb SHeçanberê, l^attc
ni
ba« 9lncrBictcn bcô îDamô gcl^ôrt» Êr fagtc ju SKcçanbct: SSBcnn
offre appris. dit
id^ Sllcjanber toare, id^ tt>ûrbe e« anncl^mcn. îDtcfer antmoïtcte :
je raccepterads. Celui-ci
3d^ »ûrbc eô aud^ anncl^mcn, »cnn id^ ^arntcnto marc.
Vingtième Leçon.
Des adjectifs.
(@igeutd^oft«tt)3rter.)
1) Les adjectifs sont ou primitifs ou dérivés. Les
premiers sont monosyllabes, comme:
Iletn petit. fd^Ied^t mauyais. ait yîeux. neu neuf.
Iteb cher. \à)'6n beau. iung jeune etc.
Les dérivés sont de deux ou plusieurs syllabes comme :
gered^t juste. Pcigig appliqué. furd^tfam timide etc.
2) Quant à leurs fonctions , ils sont ou attributifs
ou qfûUificatifs [épithètes). Les premiers ne se placent
(\{x! après le verbe et restent invariables. Ex.:
Des adjectifs.
89
2)ec ^artcii tft grog le jardin est grand.
SDiefed ^an9 ift Ile in cette maison est petite.
Flur. 2)ie ®&rten ftnb grog les jardins sont grands.
SDiefe ^âufer ftnb Ketn ces maisons sont petites.
3) Quand Tadjectif est qualificatif j il précède tou-
jours le substantif et s^accorde avec lui, ce qui donne
lieu à la déclinaison des adjectifs. Ex.:
2)er groge ©arten le grand jardin.
S)te grog en ©iirten les grands jardins.
4] Il y a trois différentes formes de déclinaison de
Tadjectif, selon qu'il est précédé:
I. de T article défini^ ou d^un adjectif déterminatif,
II. de l'article indéfini^ ou d'un adjectif possessif,
m. ou qu'il n'est précédé Haucun article ni d'aucun
autre déterminatif.
Première forme.
Désinences des adjectifs précédés de l'article défini:
Pluriel,
masc.
i^. — e
G. —en
D. —en
-4. —en
Singulier,
fém.
— C
—en
—en
— e
neutre.
— e
—en
— cit
—e
Exemples.
Masculin.
Î)our tous
es genres.
Singulier,
iV. htv gnte fBattt le bon père
O. bed guten f&attx9 du bon père
D. htm guten ^ter au bon père
j£. ben gnten fBattt le bon père.
Féminin.
N. bie gnte SD^Utter la bonne mère
Gr, bec guten SD^utter de la bonne mère
2>. ber guten SRuttet à la bonne mère
ji, bie gute Wlnttix la bonne mère.
Neutre.
i^. hûê gute j^tnb le bon enfant bte guten Stinhtt
O, be9 guten Ainbed du bon enfant ber guten ^tnber
2>. bem guten JSinbe au bon enfant beu guten ^tnbern
A,. ba9 gute JStnb le bon enfant. bie guten ^inber.
1) On voit par-là que le namin. sing, pour les trois
genres, et les accusatifs féminin et neutre du singulier
Pluriel,
bie guten IS&ter
bec guten ^Stec
ben guten ^atern
bte guten 9$&ter.
bie guten iU^iittec
ber guten SRiitter
ben guten 9)^ttecu
bie guten WMttt.,
90
Leçon 20.
sont terminés en e; les autres cas du singulier et du
pluriel prennent la désinence ett. Observez qu'aucun ad-
jectif, dans aucun cas, n'adoucit la voyelle dans la dé-
clinaison. Cet adoucissement n'a lieu qu'au comparatif.
2) Cette même forme s'emploie après les détermi-
natifs suivants:
ieber, t, e9 chaque.
berfelBe le même,
mander, t, es maint.
Exemples*
PlurteL
btefe neuen $5ufer.
iene f(i^9nen $Sumc.
tDetd^e guten Sebem?
3) Qu'il y ait un ou plusieurs adjectifs, cela ne
fait pas de diâérence dans la déclinaison. Ex.:
Singulier. Pluriel.
N. ber ^vtXt, alte SSater bie fd^Bnen, neuett ^Sufer
O, be9 9Uten, ait en $ater9 2c. ber \é^^ntxi, neuen ^&ufer 2C.
blefer, e, e8 ce.
Jener, e, e8 ce — là.
tveld^er, t, ed quel?
Singulier.
2)ie{ed neue $au9,
Sener fd^Sne ^anm,
ffîel^e gnte geber?
Deuxième forme.
1) Quand l'article indéfini ettt^ ehte^ ehl, ou un ad-
jectif possessif (mcin, betn, fctn, unfcr, cucï, Sffx, ïf)X et
tetn) précède l'adjectif, celui-ci doit prendre au nom.
sing. du masc. et du neutre la terminaison distinctive
du genre, c'est-à-dire pour le masculin et, pour le neutre
ei9, parce que ni le masculin etn, ni le neutre etn,
n'ont de désinence. Ainsi l'on dit au nominatif maso.:
ein gutet 93atet; au neutre nom. et ace. etn guteiS fttnb.
Au féminin et à tous les autres cas du singulier et
du pluriel les terminaisons de l'adjectif sont les mêmes
qu'après l'article défini,
Désinenees*
i^nguUer.
mue. neutre.
Nom. — etP* Il N. — ed»
9. ^D. —vx. G. 8r D. —en*
Ace. — en. Ace. — ed*
Pluriel.
— Ctt.
— en^
Masculin.
Singulier.
N. (Sin liebev ^Q^ruber
G. einee Heben 93mber9
i>. einent Iteben 8mber
A. etnen Ueben 9mbec.
Pluriel.
meiue (3^re) Iteben ^tfihtt
mciuer O^rer) ïleBen ©rilber
mcinen (3^ren) lieben 8riibeni
meine (3l{fre) Ueben 9dlber.
if. ci« {mdu) gttted Stïnh
G. eined guten ^inbed
Z>. eiitem guten ^inbe
A. tin guted ^inb.
Adjectifs. 91
Neutre.
ttnferc gute» Kinber
unferer guten Ktnber
unferen guten ^tnbem
unfere guten ^inber.
2) Quand deux ou trois adjectifs précèdent le sub-
stantif , la déclinaison reste la même pour tous. Ex.:
y, (Sin axmtv, altev SD^ann un pauvre vieillard.
O. eined armen, a(ten, Mtnben Wiannt9 d'un pauvre vieillard
aveugle etc.
3) Cette deuxième forme s'emploie aussi après un
pronom personnel. Ex.:
3d^ armer SD^ann pauvre homme que je suisl
2)n tr&ged ^tnb enfant paresseux que tu esl
Toeabulaire.
bie Srbe la terre. ber 9erg la montage,
ntnb rond; tt>eife saee. ba9 2>a$ le toit; lang long,
ber Sting la bague, Panneau. ble Xraul^e le raisin,
fofibar précieux. bad 8Iatt la feuille,
fut) oourt, bref. bad ^leib la robe,
bag i^efe^ la loi. tren fidèle; reif mûr.
bie ®egenb la contrée. l^fibfd^ joli; gered^t juste.
Exercice. 47.
1 . S)tc (grbc t|l runb. îDie runbe Srbc. S)cï runbc Zx^é^.
a)tc ranbcn îtfd^c. 2)a8 fletgtge fftnb. (gin runbcr îtfd^. Sin
fietgtge^ ftinb. S)te Sûd^er bed fletgtgen ftnaSen* 3)te neuen
^Snfer fbtb fd^ën* SRetn alter Sater nnb ntetne alte Wtutttt.
3)te toflBoren Sttnge \>t9 fd^dnen aRabc^end. 3)te Slatter ber ^il6«
fd^en SÎofe* 3d^ ^abe bte ^ebem ber fd^dnen S5gel gelauft* Ser«
fanfen ©te btefe fd^Snen f[))fel? 3a, td^ loerlanfe {le (les).
2* SDte toeifen ©efe^e ber gered^ten ^ûrfien* 9Bh: tool^nen
fat einer l^ûbfd^en unb gefunben (saine) ©egenb. Jtennen @ie {enen
Tftd^en SD^n ? 3Retn gnter ^eunb f^at fetnen treuen Çunb ber«
loren. Çaben ®te Sl^ren alten îfrcunb gefunben? 3a, td^ l^abe
iffn (le) gefunben. 3é) Kebe bte lur^en STage bed lalten SBtnter^
ntd^t. Sâf Kebe bte langen STage bed toamten @omnterd.
Thème. 48.
1. Mon frère est bon. Le bon frère. La bonne sœur.
Mon bon frère. Ma bonne sœur. Une belle ville. Le garçon
appUqné. Un garçon appliqué. Les garçons appliqués. Le
toit de la maison neuve. Les toits des maisons neuves.
Les livres de mon petit cousin. Les belles robes de ma
petite cousine. Donnez ce Hvre à la [jeune] fille malade.
Je lis (id^ lefe) dans un [deU,) livre allemand.
92
Leçon. 20.
2. Les feuilles vertes de Tarbre. Nous demeurons dans
une grande ville. Le pauvre vieillard a perdu son chapeau
noir. J'aime les belles fleurs et les raisins mûrs. Voici la
canne de mon cher grand-père. Monsieur MoU est un
homme riche. Je suis sur une haute (l^ol^ett) montagne. De
(t)on) quel joli jardin parlez- vous? Je parle du joli jardin
de mon bon voisin. J'aime les habits neufs.
Troisième forme.
1) Lorsque Tadjectif qualificatif n^est précédé d^aucun
article ni d'aucun autre déterminatif , il emprunte lui-
même les désinences de Tarticle dans les trois genres.
Cependant pour éviter la répétition de la désinence ed,
on a adopté en pour eé au génitif singulier du masculin
et du neutre.
Tableau des désinences de la troisième forme.
Singulier,
masc. fém. neutre.
N, — e» — C — C«
O. — ctt (e«) — cï —en (e«)
2>. —cm — et —cm
A. — eit — e — ci?^
Pluriel.
N. — e
o, — cï
D. — c»
A. — e
Ïiour tous
es genres.
Masculin.
N. gutcï SBcln
de bon vin
G, guteti SBetnee
D. 9Utem SBein(c)
A. gutcu SSSein.
N. gutc ffîeine
G. guter SBetne
D, guten SBeinen
A, gute ffîetne.
Exemples.
Singulier.
Féminin,
rote ^atbt
de U couleur rouge
roter garBe
roter garbe
rote garbe
Pluriel,
rote garbett
roter garben
roten garben
rote garben.
Neutre.
frif(i^ed Saffer
de l'eau fraîche
frtfd^Ctt SBafferd
frifcbem SBaffer
frij^ed SBaffer.
nette 93ii4er
neuer 8iid^er
neuen 93âc9em
neue ^ûâftt.
Singulier,
N. gttter, alter, roter fBein de bon vin rouge vieux
G, guteit; atten, roten Setned
D. gtttem, altem, rotem 9Setn(e)
A, guten, alten, roten SBein.
Pluriel. .
i^. gttte, alte, rote SSeine de bons vins rouges vieux
G. guter, alter, roter SBeine
D. guten, alten, roten Setnen
A. gute, atte, rote SBeine.
Adjectifs. 93
2) La 3. forme s'emploie aussi après le nom. et
Tacc. des nombres cardinaux et des nombres indéfinis:
etnlgc, toentgc, mel^rerc, tiel, et pL t>\tU. Ex.:
N. S^tï f^9nc $ferbe deux beaux chevaux.
O. 2)ie ©tamme mel^rerer ait e it (St^ett les troncs de plusieurs vieux
chênes etc.
(Stnlge \tanfifi]âft Sdrter quelques mots français.
SSiel gttted ^rot beaucoup de bon pain.
Memarques.
1) Les adjectifs terminés en el perdent leur e toutes
les fois quHl y a un autre e après la lettre U Ex.: ebe(
noble.
N. ber ebte ®raf le noble comte (ou ein ebler ®raf)
O. beS (ou eines) eblen (ou ebe(n) (Srafen
D. bcm (ou eincm) ebïcn ©rafcn k.
2] Les adjectifs terminés en et conservent toujours
leur e devant t, mais ils ajoutent au génitif et aux
autres cas seulement un n, au lieu de ett; par ex.:
bitte t/ amer.
N, 4* ^' bie btttere ^rjnel la médecine amère
G. ^ D. bcï bitte rn arjnct.
Plur. bie bitte m SCrjneicn jc.
Note. L'élision de l'e avant r, ainsi qu'avant m et n n'est
permise qu'en poésie. Ex.;
bie finftre (pour flnflere) ^aâft la nuit sombre,
bie offne (pour offene) Xl^Ure la porte ouverte, etc.
3) L'adjectif ffoàf reste invariable, quand il se trouve
après le verbe; mais il change le d^ en 1^, toutes les fois
qu'il est employé comme épitbète. Ex.:
2)er 9aum i^ f)oâf l'arbre est haut.
2)er bo^e 8aum l'arbre haut; O. bee ffofftn i^aumee k.
4) L'adjectif reste soumis aux règles de sa propre
déclinaison, lors même qu'il est employé comme sub-
stantif, et que le substantif est sous-entendu. Ainsi
l'on dira: bcr ©clcl^tte le savant; G. beê ©clcl^rtcn îc*
Plur. btc ©ctcl^ïtett* Avec l'article indéfini l'on dira : 6tn
®tltftxttt, G. cincê ®dt^xtm te. Plur. 3tt>et ©elc^rte %c.
Tels sont:
Première forme. Deuxième forme.
2>er 9^eifenbe le voyageur eln SRclfenbet un voyageur
2)er 93ebtente le domestique ein 93ebienter un domestique
2)er ffîelttDcife le philosophe ein ffîetttoetfer un philosophe
2)er 2)entf(!^e l'Allemand ein S)eutf(l^er im Allemand
2)eT grembe l'étranger ein Çrember un étranger etc.
94 Leçon 20.
Pluriel.
2)ie 9leifenben iea voyageurs; — mais 92eifenbe des yovageurs.
SDie ^tVLi\âftn 2e« Allemands ; — ^ S)eutf(I^C des Allemands.
Note. Au féminin ces mots se terminent en t et non pas en
ht. Ex.: (Sine ^eutfd^e une Allemande, eine grembe etc.
5) Le neutre des adjecti£i est aussi quelquefois em-
ployé comme substantif. Ex.:
3)a9 98fe le mal; ^ 93Bfcd du mal.
2)ad <9ute le bien; — ®utee du bien.
2)a9 S^ese ce qui est nouveau; — 92eue8 du nouveau.
Précédé de ettoad quelque chose, niàft^ rien, U)entç
£eU) ))tel beaucoup, etmel^r plus, Tadjectif prend aussi
i terminaison të; le de tr. n'est pas rendu. Ex.:
(Sttt>a9 ^tntê quelque chose de nouveau.
Mf^te 9[ae9 — t)tel ^d^Snee, loenig ®ute9 te.
6) Un grand nombre d'adjectifs sont formés par
dérivation à Taide de terminaisons ajoutées aux mots.
Ces termin. sont de simples syllabes suffixes:
«Bar: frud^tbar fertile. lofibar précieux, banlbat reconnaissant,
'cn: golbett d'or, en or. {eiben de soie.
'Crn: eifem en fer. l^BIjern en bois.
• Baft: tuçenb^aft vertueux, bod^aft méchant.
«ig: fietgig appliqué. ^rS(^tia magnifique, artlg sage.
• i $ t : jtetnt$t pierreux, bergtd^t montagneux,
«ifdb: bimmttfdp céleste, f^nifd^ espagnol.
'Ixq: iftxtlï^ magnifique. IBntglt^ royal. g3ttU(!^ divin.
• lod: el^rlod infâme, gottlod impie.
• fam: furd^tfam peureux, gel^orfam obéissant.
ou des adjectifs suffixes:
• ïtïâf: flnnreic^ ingénieux, flfd^reii!^ poissonneux,
•tooll: geUboU spirituel. :)>rad^tt>on magnifique.
• tofirbig: TiebendkDilrblg aimable. merltoûrStg remarauable.
'toert: Ioben9U)ert louable. kDÛnfd^endmcrt désirable.
NB. Pour renforcer le sens des adjectifs, on peut
les joindre à un substantif qui a une signification ana-
logue, par ex.:
fd^neetoeig blanc comme la neige.
rabenfdbtDat) noir comme im corbeau,
gradgrun vert comme de l'herbe.
9imme£6tau bleu de ciel etc.
7) D'autres adjectifs sont formés à l'aide de préfixes
soit de particules mises à la tète des mots:
bequem commode; berfil^mt fameux, célèbre;
gereci^t juste; unrem impur, malpropre etc.
Adjectifs. 95
Yoeabulalre.
ber Çrfi^Ihtg le printemps. ber ©c^riftfteQer l'auteur.
ber ®t\èfmad le goût. bie %Q>en les Alpes.
bte S)a3ter la durée. ftifti^ frais, getrunfen bu.
ba9 $a^ier le papier. anaenebm agréable.
bte Wiâ^ le lait. toetg blanc. Blau bleu.
bas SBttttc le temps. fiarf fort, tstd^tig important.
bet Çonbf^ti^ le gant. ksiffett @t€ savez-Tous?
Exereice. 49.
U 3(^ l^abc 8Utc« Stot unb gutcS glctfd^* SWciit Satcr
trttnien. SBoQen @te loetgen S93etit ober frif(]^ed ^ter l^aben ? â(^
&>ta gute^ 9ier l^oben. $a6en @te frtf(!^e Sutter mtb tt>etge9
SSrot? ®eBen @te mit artif flarfen ftaffee unb toanne SDtt^.
SJcï l^at fîaffcc gctrutiïcn! Sl^rc STantc l^at }t»ct grogc îafîcn
ftaffcc gctnmïctt. $abctt ©te toctgcn 3"*^^^ $'^ if* tt>ciècï
3udcr* ®utc, altc, rote SSîcinc finb tcucr (chers) ♦ 3)ct l^err*
U(^e t^ûl^ting tfl t)on lutter 3)auer. 3(i^ ]^a6e bie )>Ta(^ttgen
Btttgtt<!^en ©(i^Wffcr gcfcl^en*
2. $tcï tjl fd^5tte«, ïotc« Capter. SDtefe tjrau J)erïauft
gutc, ^\âfe, fûgc aRild^. STOctne Uc6c, atte, gute SWuttcr t|l fc^r
fcoui 3(3^ l^aBc 3]^nen cttoaô îliigencl^meô ju fagen. SBiffen ®tc
ttxoM Steued? da, t(]^ toetg etmaS 9leue9. sterne ^amtlten )do]^«
nen (logent) tn netnen $Su{em. 99et ft^Bnem SSetter mat^en tt>tr
etncn ©pajtergang (promenade), 6ct \â^Uâ^ttm Utiien totr ju
$aufe« ®eben ©te mit etn ®(a9 filge aRt(^ unb eht ©tû(f gu«
te^, toetged 99Tot« Steue ^eunbe flnb xAift tmmet gute ^eunbe*
Thème. 50.
1. Voici [de] bon vin et de bonne bière. De beaux
châteaux. Des gants blancs. Avez-vous bu du vin? Oui,
j'ai bu du yin rouge et de Teau fraîche. Avez-vous du beurre
frais? La jeune fille a de belles fleurs. Charles et Henri
sont des écoliers très appliqués. Notre jardinier yend {'ott*
fauft) des raisins mûrs. Mon bon frère Louis a acheté de
r encre rouge et du papier blanc. Il a aussi du papier bleu.
Nous ayons trois yieux cheyaux.
2. Les jeunes filles ayaient des rubans bleus, rouges et
blancs. Les écoliers ont quelques liyres français. Monsieur
Richard est un sayant. Voici quelque chose de nouyeau.
Ayez-yous quelque chose de bon? J*ai de bon café. Mon
domestique est très fidèle. Le yoyageur est (un) Allemand.
Ces yoyageurs sont Français (^ongofen). Je connais quel-
ques bons liyres anglais. Les Alpes sont de hautes mon-
96 Leçon 21.
tagnes. Les petits garçons appliqués peuvent devenir des
hommes savants.
Conversation*
Sft btefer glug tief? 9ltm, tt ifi ntti^t fe^r tief.
3Jl Staxl fletgtg ? 3a, er t|l em fleigtger ^aBe.
SBer f^at biefeS ^enli^e Sdïit getnalt? (Stn beittfd^er 9RaIer.
SSo finb 3^re tteben ^inber^ @te finb in memem nenm {^<mfe.
fiiaBen @te etnm grogen (Sarteni 92em, er ifi nic^t fel^r grog.
Sieben @ie ben roten Sein? 3(^ liebe ben roten unb ben toelgen.
Serlanfen eie ffige §0li^ ? 3d^ ^abe feine fûge iD^ilé^ ; aber frifci^e
lutter.
SBo i|l mein IteBer ^ugufl? (Sr ifi im j^onjert.
^^red^en @ie beutfdff, mem Çeni ^éf f^red^e ein toenig (un peu).
{>aBen @ie Unterric^t (leçons) in 3a, iâf \faht {eben 2:ag eine ^tunbe
ber beutfd^en @)fixaâft^, (leçon).
ffîer ^at btefen golbenen S^ing Det' SD^eine Sltefie ©(i^toefier (at il^n ber-
ïoren? ïoren.
t^at ber 85(fer gnted Srot? @r Derfanft immer gnted 8rot
^Ben @ie einen {(i^toarsen {^ut? 9{ein, i^ B<tBe einen toeigen.
Lecture.
yttnu
SRom tft ctnc fcl^r altc ©tabt. ®tc tourbe »on SRomuIu^
fat
unb atcmuô ûuf ctncm î)ûacl crBaut. SlBcr im 8auf ber 3^1
colline b&tie. eoars des temps
DerariJÇcrtc jtc ^àf tmmcr unb crfttccîtc fid^ Aulcfet ûBcr ftcben
elle s'agrandit de pins en plus s'étendit a la fin
ÇflgcL StfXt ©ctool^ncr nanntcn [xàf SRSmcr; pc toarcn etn
habitants s'appelèrent
fcl^r ta^>fcrcô SSoIÏ unb ffli^rtcn »ictc ^cgc mit anbem SSSIIcrn.
brave nation elle fit gnerres aux
Slnf ana« tourbe SRom »on fîSnigcn rcgicrt ; \^&ttx toar e«
D'abord gonvemée; plus tard
cinc SRc^JuBIil, unb julcfet cin ftaifcrrcid^. Slbcr Dicte t)on ben
à la âi empire.
îlaifcm toarcn graufamc î^ranncn. ®ie regicrtcn fel^r fd^Ied^t
emels mal
unb Dcrurfûd^ten ben aSerfaQ be« riJmifd^en SRcid^eô*
eansàrent décadence empire.
Vingt-unième Leçon,
Des degrés de comparaison.
1) Pour fomfer le comparatif des adjectifs, on ajoute
la terminaison er ou r^ et pour former le superlatif, la
Des degrés de comparaison. 97
syllabe fit, puis on adoucit les voyelles radicales, a, 0, tt
en û, 5, u.
Exemples. Superlatif,
Comparatif. 1. forme. 2ième forme.
fletn petit, fletn e t ber, bie, ba9 fteinfte ou am fleinfteii
plus petit; le plus petit.
f(]JBn beau, ft^Sncr » », „ f(3^on|lc ou cm f(3^8n|îcit
plus beau; le plus beau.
jîarï fort, flarïer plus fort; „ „ „ flSrtfle ou am pfirî|lett.
îattg long, tSnger plus long \ » „ „ ISngfle ou am langflm.
Hug prudent, Ilû^er plus prud. \ „ „ „ Hii^fle ou am !(ûg jlen.
toeife sage, tçeifcr plus sage ; „ „ „ tocifcpeouamtocifeflcn.
2) Au comparatif les adjectifs terminés en et perdent
Te de cette terminaison, ceux en et et en le conservent. Ex.:
ebïe noble, Comp. cbïer, Siup. ber ebeffte.
6ttter amer, „ Bitterer (nonBittrer), ,, ber bitterfle.
offcn ouvert, „ offener (non offncr), „ ber offcnpc.
3] Au superlatif des adj . terminés par une consonne
sifflante (j, ^, %, fd^) ou par b, t, Mf précédés d'une con-
sonne et d'une voyelle accentuée, on intercale volon-
tiers un e euphonique avant [t. Ex.:
Cornp* Superlatif,
f^Ied^t mauvais, fc^Iec^ter, ber fc^Iedfftefle, am fd^Iec^teflen.
ait vieux, âgé, &Iter, ber SItefle am Slteflen.
furj court, lilrjer, ber ïilrje|le, am Ifir^eflcn.
fûg doux, fûger, ber fiigefle, am fûgeflen.
4) ©er (bte, ba«) ftarïfte k. est la forme qualificor-
tive du i^perlativ, et s'emploie quand l'adjectif est suivi
d'un substantif (exprimé ou sous-entendu). Ex.:
S)cr jlarïfte SKann l'homme le nlus fort.
2)te 9lofe ijl bie fd^Snfie i^Iume la rose est la plus belle fleur.
3(^ bin ber iiingfle je suis le plus jeune.
5) La forme a m ftarïftetl K. est employée quand
l'adjectif est attributifs c'est-à-dire, quand il se trouve
après le verbe. Ex.:
S)tefer SSettt ifl am jlar!fien ce vin est le plus fort.
2)iefe iD'îobe ifi am neueflen cette mode est la plus moderne.
2>a9 ifl vm bejlen c'est (pour) le mieux.
Remarque î. Les adj. suivants n'adoucissent point
les voyelles radicales :
B(ag T)âle. l^olb gracieux. lal^m boiteux.
hnxit bigarré. lal^I chauve. matt las.
falfd^ faux. larg avare. morf^ pourri.
frol^ gai. t(ar clair. nadt nu.
^ol^l creux. Incùçip étroit. ^(att plat.
OTTO, Orammaiie allemande. 7
98
Leçon 21.
pïVLxnp lourd,
rol^ cru.
ninb rond,
fanft doux.
Wafi détendu. fhtmm muet,
fd^tanldégagé, svelte. fhimbf émoussé.
jlorr raide. toQ lou; tooQ plein,
flol) fier. laî^m apprivoisé.
Remarque 2. De même les adjectifs monosyllabes en
au, et tous les polysyllabes. Ex.:
Blau bleu, Comp, Blauer ic. (| gerabe droit, geraber.
mutig courageux, ,, mutiger, munter gai, munterer.
6) Quelques adjectifs et adverbes ont des degrés de
comparaison irréguliers :
l^od^ haut Comp, f^^^tt Sup. ber ^âfftt ou am f^Hâ^fttn.
n&]^er
griJgw
beff cr mieux
mel^r
mel^rere
noeniger
(minber)
Ilebcr
el^er, fril^er
nal^e proche
grog grand
gut bon, tooM bien
T"^^ I 7 peu
toenige ( pi. ^
gem volontiers
alb bientôt
Noie, Pour les adverbes il y a encore une autre
forme de superlatif: aufi? Bcftc, ûUfi? fd^ônfte tC, qui
signifie de la meilleure manière, de la plus belle ma-
nière etc.
7) Les adjectifs suivants sont défectifs au positif:
Comparatif, Superlatif,
ber (bie, bo«) Suficre l'extérieur. ber Sufierfle l'extrême.
bern&d^fle „ amufièflen.
bergrSfitc „ amgrSBten.
ber Befie „ am befien.
ber meljle „ am meljlett.
bie meijlen la plupart,
am njemgllen, ble toenigflen.
(am minbeflett), le moins,
am Ilebflcn.
am el^eflen le plus tôt.
ber hincre Tintérieur.
ber obère le supérieur,
ber untere l'inférieur,
ber tjorbere l'antérieur,
ber mlttïere (plus) central,
ber ^tntere postérieur.
ber Innerjte l'intime.
ber oBerfle le suprême.
ber unterjle le plus bas.
ber iDorberfle le nlus avancé, le pre-
ber mittelfle le plus central, [mier.
ber (interfle le dernier.
8] En raison de leur sens certains adjectifs n'ad-
mettent point de degrés de comparaison:
!ol6Ifdffn}ar3 noir comme du charbon,
fietttl^art dur comme la pierre.
9) La déclinaison des degrés de comparaison suit les
mêmes règles que celle du positif. Ex. :
M(KcuUn,
Première forme.
N, ber l^B^ere iBaum,
G, be9 bS^eren iBaumed,
D. bem (%reu $3aum(e),
A, ben (S^eren Saitm,
Flur. N. ble ^ôl^eren ©5ume.
Deuxième forme.
ein ^8 Itérer iBaum.
etned l^ij^eren 8aumed.
etnem li^S^eren Saume.
einen (Sl^eren Saum.
G, ber li^S^eren 8Sume :c.
Des degrés de comparaison. 99
Neutre smpiUer. 2ième forme.
H. etn fd^Bnered {^ait9 une. plus belle maison.
O. eineS fc^Bneren {^aufeS d'une plus belle maison.
2>. emem f^Bneren {>aufe à une plus belle maison.
A, etit f^SnercS {^au9 une plus belle maison.
3ième forme. Maee.
N. Befferer Stà\t de meilleur fromage; O, Beffer(e)it ^&fe9 k.
N. et ^. fd^toSt^ere Stnte de l'encre plus noire.
O. et D. fd^m^Qerer Sainte 2C.
Superlatif.
N. ^ A, bad f^5nfle ^ani la plus belle maison.
Oén, be9 f^BnPen {^oufeft delà plus belle maison.
Dai, bem fd^Snflen ^atife à la plus belle maison.
FlurteL
N. 4r A, bte f^Bnflen ^Sufer les plus belles maisons etc.
10) Quand on compare deux adjectifs entre eux,
on ne se sert pas du comparatif, mais de Tadverbe
mcl^r. Ex.:
(Sr ksar mel^r glildltd^ a(9 to^fer.
n était plus heureux que brave.
11) Dans les propositions qui contiennent une simple
comparaison, aussi — que se traduit par e(enfo —
alô ou tt)tc, et moins que par ntd^t fo — aU ou
tt)te Ex.:
(Sr ifl ebenfo iung al« \\ (flatt tote).
Il est aueei jeune mu moi.
^arl toar nid^t fo ^eigtg al9 fetn greunb SBtD^elm.
Charles était moine appliqué que son ami Guillaume.
Note, Le comparatif s'emploie encore après les con-
jonctions plus — plus , plus — moins , moins — moins
je — befto. Ex.:
3e (B^er ber fBtxQ, beflo tiefer ba9 X'ial
Piue la montagne est haute, plus la yallée est profonde.
(Yoyei les Conjonctions, 41. Leçon.)
Yocabnlaire.
ber 0CC le lac. ber ^tordb la cigogne,
tîcf profond; lei^t léger. ber ÇalS le cou.
bad fBtiiâftn la violette. bte Seute les gens,
freigebig généreux. ber St^tptt le corps. ^
"'^ " ' ' bie @eele l'âme ; ba« feï l'huile.
bel ^oltBri l'oiseau-mouche,
griffe. bte Silte le lis; bie (dand l'oie,
ber ^(at la place. ber ^âfai^ le trésor,
bte S^ugenb la yertu. ber gelb^err le général.
7*
24îStA
100 Leçon 21.
Breit large; fd^arf aigu. gele^rt savant; fret libre.
hai 93Iet le plomb. fp<tnt)c^ espagnol,
bad ftu)>fer le cuivre. fîteng sévère; einfatn solitaire.
aufgeîISrt éclairé. gefunben trouvé.
Exercice. 61.
1* îDer Brcitc Çtug. SDcr Brcitcrc ©ce* îDaô BrcitcPc
SWccr* SDcr Çtug ijt ticf ; bcr @cc ijl ticfcr aU bcr Çlug ; ba»
SKecr tp am ticfflcn» ftarl t|l Parïcr aîô SBil^cIm. Sr ip bcr
jtarïjlc «naBc. SKartc ijl fïcigtgcr al« ffimiîtc* SDtc Suft ijl
(ci<!^tcr ald bad SBaffcr. 3)u l^aft cm fd^9itc9 S^ctlt^cn gcfuttbcn;
abcr td^ l^aBe cm fd^bncrc«* SKcmc 8îofc ijl f(3^ôn; bie 9îofc
mcmcr ©c!^tocjlcr ijl btc fc!^ônjlc Don allcn Sîofctt. 3n bca
©tobtcn jtxib bic fd^Bnjlcn $dufcr, 3)ie rcid^en Seutc jlub xAâ^t
immcr btc frcigcBtgflcn*
2. SDcr «blcr ijl bcr Prïjlc SJogcI. (gr l^at btc latisjlcii
Çtflgcl uub btc fd^Srfpcn Malien» 3m Çrûl^îmg jinb btc îagc
(flrjcr û(8 tm ©ommcr ; abcr im SBmtcr jinb btc Sage am ïflr»
jcjlcn. Daô ©itbcr ijl ïoporcr atô ba« ffupfcr. Daô ®oîb tjl
bas ïojlbarjlc SKctaïï* SOScm ijl bcfjcr al« «icr* SDic fpanijci^cii
Saîcinc fmb bic bcjlcn (SOScmc)* SDicfcr SRalcr ijl titd^t fo bc*
rûl^mt (renommé) aî8 fcin SSatcr ; abcr fcinc SSiïbcr jinb cBcnfa
fd^èn. Unfcr D^cim tjl cbcnfo rcic^ al8 unfcr SScttcr, abcr cr
ijl nid^t fo gïûdfîtd^* SDcr bejlc fîaffcc ïommt avi9 arabicn*
Thème. 51a.
1. La rue est large, la place est plus large^ le champ
est le plus large. Les pommes sont douces, les poires sont
plus douces, les cerises sont les plus douces. L'Europe est
plus petite que l'Asie. Cette montagne est haute, elle est la.
plus haute de ce pays. Les riches ne sont pas toujours lea
plus heureux. L'âme est plus noble que le corps. L'huile
est plus légère que l'eau. Connaissez-vous un oiseau plua
petit que T oiseau-mouche? La rose est une des plus belles
fleurs. Socrate était le plus sage et le plus savant des
Athéniens (Don Dcn Sltl^cncm)* L'éléphant est le plus grand
des quadrupèdes (Stcrfiigcr).
2. La vertu est le meilleur trésor de l'homme. Moa
vin est meilleur que le vôtre (bcr Ol^rigc). N'avez-vous pas
de (Ictncn) meilleur vin? La cigogne a tm cou plus long
que l'oie. Au (tm) printemps 2 les s jours isont plus longs
qu'en hiver; en été 2 ils isont le plus longs. Napoléon
était le plus gprand général (t^ctbl^crr) . Le plomb est utile,
le cuivre est plus utile, le fer est le métal le plus utile.
Nombres cardinaux. 101
J'ai une plus belle maison que vous ; mais votre jardin est
aussi beau et aussi grand que le mien (bet metntge) . Robert
est moins paresseux que son frère Edouard.
Conrersation*
Serrer gïug tjl Bretter, ter ^tdax 2)er dif^tin ifl t)iel Breiter.
ober ber SRl^etn?
Ser ifl fthttï, Staxl ober SBil^etm? 3(^ g(aube(je crois), Staxi ifl fiarfer.
f&tlâft9 ifl ha9 lofibarfle WlttaU^, 2)a9 ®oIb ifl ba9 tofiBarfle.
W>tx xodéft» ifl am nii|Ii(^flen? 2)a9 CSifen ifl axa nâ^U^flen.
Seiche SBeine finb bie beflett? S)ie f)Kmifd^en SS^eme.
SBo^er fommt ber Befle Gaffée? 2)er Befle Àaffee !ommt au9 SraBien.
9BeIf^e« ifl bie fd^Snfle leiumel SDie 9îofe ifl bie fd^Snfle 8(ttme.
@tnb Sïire OSnfe fett (grasses)? @te finb fetter aï« bie S^riflen.
^p 9(lfreb SIter aU eiel i^ein, er ifl iiinger aU i^; er ifl
ber iiinfifte ©oj^ti.
@inb bie $C)>feI reif? @ie finb nid^t fo (moins) retf al9
bie SBirncn.
SBcIcÇeg ifl ba« flSiîfle îtcr? SDer glefont ifl ba8 flfirffle îier.
ÇaBen @ie beffereg ©ier? 9îein, aber i^ Çabe Beffent SBein.
SBe(^e9 ifl ber I&(tefle momt be9 2)er SD^onat 3aituar ifl ber t(il«
3a]Jre«1 tefle.
Vingt-deuxième Leçon.
Les adjectifs numéraux.
(âo^Iloôrtcr.)
Les adjectifs numéraux déterminent le substantif en
y ajoutant une idée de nombre ou d'ordre. Par suite
ces adjectifs sont de deux espèces, savoir les cardinaux
et les ordinaitx.
I. Adjectifs numéraux cardinaux,
((Srunbjal^Ien.)
eltt, e (ettt«) un, une. breijeÇn treize.
)tt>el deux. i^ier^e^n quatorze.
brei trois. fûnfje^n quinze.
iMer quatre. fct^jel^n seize.
fttlif cinq. fiebgeBn dix-sept.
fe(i^9 BÎx. ac^t^e^n dix-huit.
fieBen sept. neun^el^n dix-neuf.
oi^t huit. atDanjig vingt.
neun neuf. ein unb attjanjiq vingt et un.
jebn dix. Jtt>ei unb jtoaniitg vingt-deux.
elf (elïf) onze. brei unb jmanjig vingt-trois.
\\oU\ douze. i»ter unb itoan^ig viiïgt-quatre.
102 Leçon 22.
ffinf nnb gtoansig yingt-cinq. neunstg quatre-yingt-dix.
feAd ttttb stoattii^ vingt-six. (nttbert cent,
jieoen unb jtvan^tg vii^sept. l^unbert ein cent un etc.
a^t itnb }t)Hin)ta vingt-huit. . )ti)ei(ttnbert deux cents,
nenn unb }toan)tg vingt-neuf. breil^unbert tiois cents,
breigig trente. bter^ttnbert quatre cents.
€in unb breigtg trente et un etc. filnfi^unbcrt cinq cents etc.
l»ter)ig quarante. tanfenb mille (mil),
fûn^tg cinquante. gkseitaitfenb deux mille etc.
fed^jtg soixante. ul^ntaufenb dix mille,
flebgtg soixante-dix. fiinfsigtattfenb cinquante mille,
tin unb fieBjig soixante-onze etc. ^nnberttaufenb cent mille.
ad^t)tg quatre-vingts. [etc. eine SRtQion un million,
ein unb a^tsig quatre-vingt-un eine ÏHaUt un zéro.
1800 a eintaufenb ad^t^unbert ou a(i^t}e^n^unbert.
1805, eintaufenb ad^tl^unbert (unb) ffinf ou ad^tjeliinl^ttnbert fiinf.
1852, eintaufenb a^t^unbert su>ei unb ffin^ig ou ac^tge^n^nubert gmei
unb filnfîig.
JRemarçues.
1) Le nombre tin, tint, cm suivi d'un substantif se
décline comme Tarticle indéfini ; mais quand il est employé
seul, c'est-à-dire sans substantif, le nominatif est etntf,
eine, einei^ ou etnd Tun, Tune. Dans ce dernier cas, il
est considéré comme pronom indéfini; le pluriel est:
bte etnen les uns. Exemples:
(Siner Don meinen ®^vltn un (l'un) de mes fils.
(Sïnti meiner $ferbe un de mes chevaux.
Note 1, ^Xotx et bret sont aussi déclinables, quand
ils ne sont pas précédés de l'article. Oén, }tt)eter, breier.
Dat, jxpcicn, brctcn. Ace, jttjct, brct. Le datif n'est en
usage que lorsqu'il n'est suivi d'aucun substantif. Ex.:
2)ie 9£€ttnbf(^aft ^toeter SD^^Suner Tamitié de deux hommes.
2)a9 vilnbni9 breier J^Snige Talliance de trois rois.
Unter breien entre trois.
Note 2. Toxus les autres , à l'exception de fieBen,
admettent la terminaison en au datif, quand ils ne sont
pas immédiatement suivis d'un substantif:
mit ffinfen avec cinq, unter ^toan^igen parmi vingt.
2] Outre ces nombres cardinaux on a les substantifs
numéraux suivants:
ba9 2)tt4enb la douzaine. Plur, 2)tt4enbe.
bas {^unbert la centaine. „ {^unberte.
bad Saufenb le millier „ jtonfenbe.
3) Four rendre le sens : différentes sortes, on se sert
en allemand d'une espèce de nombres distributift , ter-
Adjectifs numéraux. t03
minée en etiet, qui répondent à la question : 2Biek)te(et«
lei? combien de sortes:
etnerlei d'une sorte, de la même espèce,
^kceterlei de deux sortes, différent,
breierlei de trois sortes.
Dtererlei k. de quatre sortes etc.
ul^neclei de dix sortes etc.
çunberterlet de cent sortes etc.
4) En ajoutant la syllabe fad^ aux nombres cardi-
naux, on forme les adjectifs suivants:
etnfad^ simple etc. breifat^ triple etc.
3tt)eifa(i^ (bo^^elt) double. ^tftnfci^ décuple etc.
5) Les nombres multiplicatifs répondent à la ques-
tion: tpte))te(mal? combien de fois? en joignant le
mot mal aux nombres cardinaux:
etnma(i) ou ein Mol une fois;
em ein)tge9 iD^al une seule fois;
)tt)ettnal deux fois; breimal trois fois etc.
6) Quel âge avez-voi^f se traduit en allemand:
2Btc ait ftnb ®tc? et la réponse se fait toujours par
le Terbe fctn et Tadjectif att:
3dff Bin fiinfieljin 3a]^re ait j'ai quinze ans.
7) Voici comment on exprime en allemand Theure
et les heures fractionnaires:
une heure ein U^r.
il est deux heures e9 tfi )tDei U^r.
deux heures et un quart ein S^iertel attf brei (Ul^r) ou ein
8tertel naé^ }b>ct.
deu^ heures et demie l^alB brei (U^.
trois heures moins un quart brei ^tertel attf brei.
à trois heures ttin brei \Xfyc ic.
à midi um ^toBIf U^r.
yers les six heures gegen \téfi Wfyc }c*
8] L^an ou en , placé devant les noms de nombre
pour indiquer une date, se traduit par tm Oal^t ou im
Sainte: Ex.:
En mil huit cent trente im 3a]^r(e) 1S30.
9) Observez les expressions suivantes:
un à un jie ein9 unb etnd.
deux à deux (ie) lïctï unb )b>ei.
par centaines )u ^unberten ou l^unbertmeife.
1) On en fait aussi des adjectifs en ajoutant la terminaison
\q, cinmalig qui arrive une fois, )t9eitnalig, breimalig (à deux, trois
reprises) n. f. tD.
104 Leçon 22.
Yoeabnlaire.
ba9 fftt^ [pi. ^t^t) le cheyreuil. ba9 9leatment le régiment,
bte SEDoc^e la semaine. bte Stm^ {pi. ^iil^e) la yache.
ber ©ttefel la botte. tDtetoiel (e) combien de.
ber £ob la mort. getoS^nlid^ ordinaire, commun,
ber @c^Sfcr le berger. getoonncn gagné, ftelfen dîner,
jeniffen déchiré.
Exercice. 52.
1. 3d^ l^abç etnen Srubcr. a)u l^ajt jtDct ©(î^tocflcm*
2Rcm Dl^cim ^t a(]^t ^bcr gcl^aBt ; cr l^at brct ©b^nc unb
jtoct îôd^tcï J)crIorcn* Unfcr 9îac3^6ar Ijfat fc<]^« Çferbc, flcBctt
^]^e unb jtoanjtg ©d^afc» 2)Tct mat brct pub (ou mad^cn, font)
ncun» Çûtif mal clf mac!^cn fihif unb fûnfjtg. SWan fpït(]^t (on
parle) j)on bcm £obc breter 9Kdnner* SBtc ait flnb @tc? 3(]^
btn a^tjcl^n Oal^re ait. SBic ait ijl Ol^rc ©d^tocpcr? ©te t|l fcd^-
jcl^tt 3a]^rc ait» SBte Dietc Çafcn l^aBcn bte 3agcr gefii^ofîcn (tués)?
®tc l^aben jtoct unb btctgtg $afcn unb ncun Sîcl^c 0cf<!^offctt»
2« !î)er SRonat danuar l^at etn unb bretgtg Sage. Sht
getoSl^nttd^ed dal^r l^at 365 Stage. SBiebiel ®elb ^aben ©te ge'
toonnen? 3d^ l^abe brcil^unbert îtoanjig granïen (francs) gctoon*
nen; aber metn Srubcr l^at 445 granïen t)crIoïen. 216 unb 584
mad^cn 800. ©et ©d^afer bc8 ®rafen j^at 96 ©c!^afc tocrïauft*
3efet l^at tx nod^ 67. 5Dîcin ©rogbatcr tfl 81 Salure ait; mctnc
Orogmutter 75. ^el^n mal 24 ftnb 240. 2Btebtcî mad^en 35
mal 44? ©ner metncr ^anbfd^ul^e tjl jertiffcn. SBtr fpctfcn
(n. dînons) um jtoôlf Ul^r obcï um l^aïb ctnô.
Thème. 58.
1. Combien de fautes as-tu? J*ai cinq fautes; mon frère
[en] a sept. Le chasseur a tué 14 lièvres et quatre chevreuils.
Le roi a plus de (mel^r ald) 80 chevaux. Dans un régiment
il y a (ftnb) 3000 soldats. Combien font 6 et 9? Six et 9
font 15. Combien font 8 fois dix? Huit fois 10 font 80.
Combien de jours une semaine a-t-elle? Une semaine a sept
jours. Le mois \dê\ juin a 30 jours. Quel âge avez-vousT
JTai vingt-deux ans. Quel âge a votre père? Il a 56 ans.
2. Avez-vous encore votre grand' mère? Oui, monsieur,
elle est très âgée ; elle a 74 ans. «Tai été deux fois à Paris
et quatre fois à Berlin. Combien cT argent avez-vous? J'ai
eu 555 francs; mais à présent je n'en ai que (nur) 280; car
j'ai prêté 275 francs à mon voisin. Une de mes bottes est
déchirée. Notre voisin a acheté 6 chevaux, 12 vaches et
15 bœufs. Le général a perdu dans la bataille 194 soldats
et 76 chevaux. Combien font 22, 33, 44 et 55? La ville
[de] Londres a huit mille rues, cinq cents églises, trois cent
mille maisons et quatre millions d'habitants (Stlttool^ner) .
Nombres ordinaux. 105
n. Adjectifs numéraux ordinaux.
On forme ces adjectifs en ajoutant aux nombres
cardinaux jusqu^à 19,' la syllabe te; depuis 20, la
syllabe fte*
Sont exceptés: bcr crftc le premier, et ber brttte
le troisième. Tous les ordinaux se déclinent comme
les adjectifs:
ber erfle le premier. ber ac^t^e^nte le dix-huitième.
^ jtoette le deuxième, second. ,, neun^el^nte le dix-neuvième.
^ Mttt le troisième. „ Jttjaitjtgjle le vingtième.
« loterte le quatrième. ,, etn unb ^tuanjt^fte le 21ième.
^ ffinfte le cinquième. „ gtDci unb jtDûnjtgflc le 22ième.
^ fed^dte le sixième. „ bretunb)n)an^tgftele23ièmeetc.
« ftebente le septième. „ breigtgfle le trentième.
« aâftt le huitième. „ )otet}tgjie le quarantième.
^ neunte le neuvième. • „ filnfèigilc le cinquantième.
^ géante le dixième. „ fed&jigpe le soixantième.
^ eifte le onzième. „ fteb^igfie le soixante-dixième.
^ i^toSIfte le douzième. „ ad^tjtafle le SOième.
^ breigeljtite le treizième. „ neunjtg|lc le 90ième.
« toierje^nte le quatorzième. „ ^uttbertjle le centième.
« ffittfgel^nte le quinzième. „ smei^unbettflele deux-centième.
« fecl^.)e(n|e le seizième. ,, taufeitbfle le millième.
m fteBiel^ttte le dix-septième. ber, bie, bad (e^te le dernier.
Hetnarques,
1) On emploie les numéraux ordinaux et non pas,
comme en français, les cardinaux, pour désigner les
dates du mois et pour indiquer aussi Tordre de succes-
sion des princes et souverains du même nom. Ex. :
ber erfie ^aï le premier mai.
ber gtoeite SC^ril ou a m itoetten 9[^ri( le deux avril.
ber ein unb jmanjigfle ®e))temBer le 21 septembre.
©elnrid^ ber SSlerte Henri IV.
9{a^oUon ber 2)ritte Napoléon III.
2] On les décline de la manière suivante:
iV. ©clnrlc^ ber ©Icrte. G. Çelnrld^ô bc« SSlcrten. D. Ç. bcm 33.
3) Les nombres fractionnaires dérivent des ordinaux
en prenant le suffixe L Ex.:
bas (3tt}cltel) ^Mt le demi.
ein 2)rtttel un tiers ein ^tertel un quart.
bret giinftel trois cinquièmes etc.
Note, Ces mots sont des abréviations de ^toelte Sitïl deuxième
partie, de britte %di troisième partie etc.
4) Çalb servant d^ adjectif se place ordinairement
avant les substantifs ou les nombres cardinaux; p. ex.:
106 Leçon 22.
eilte l^aïbc @tunbc une demi-heure;
l^alB }n)et une heure et demie.
Ajouté à un nombre ordinal, il signifie autant
d^unités que le nombre exprime, mains une demie. Ex.:
brittljialB == deux et demi.
toiert^alb iEReter^} trois mètres et demi.
Pour exprimer de cette manière un et demi on ne dit
pas gtpettl^aK, mais anbertl^alb. Ex.:
anbertljialB @etten une page et demie.
NB. La moitié se dit bte Ç&Ifte.
5) Les nombres ordinaux n^ admettent pas les degrés
de comparaison. Excepté ber crftc, et ber tcfetc le dernier,
qui ont la forme du comparatif bet erftete et ber (e^tere,
lorsqu^on parle de deux objets seulement. Par exemple,
après avoir nommé deux frères, on dirait:
SDer crjlere (celui-là) toar qxû% ber lefetere (celui-ci) roat ïleln.
6) Des n, ordinaux on dérive encore les adverbes
d'ordre en y ajoutant n^:
erftenS premièrement.
)tt>etten9 secondement,
brittend }C. troisièmement etc.
fed^flen9 }C. sixièmement etc.
}e]^nten9 :c. dixièmement etc.
)n}8Iften9 2C. en douzième lieu ete.
7) Dans les nombres composés il n'y a que le dernier
qui prenne la forme ordinale:
ber toler unb ac^tjtgfle le quatre-vingt-quatrième.
ber ^uitbert unb }tt>ei unb jnjanjtgjle le cent yingt-deuxième.
8) Les nombres ordinaux se déclinent comme les
adjectifs; ils suivent donc toutes les règles données sur
la déclinaison des adjectifs. Ex.:
ber omette Sanb le deuxième volume. G. be9 jtoeiten SaubeS.
metn brttte9 (Blaê mon troisième verre.
aâftt$ Stapïitl chapitre huitième.
Yocabnlaire*
bas da^r^Uttbert le siècle. ber Qanb le volume.
ber %di la partie. bad SHîo le kilo.
3aIoB Jaeques. ber Mittt chevalier.
bie S^af^ la bouteille. bie J^Sd^in la cuisinière.
ber $0^^ le pape. bie 9?e9ierung le règne.
\ ^^ È:^^^ Tennemi. ba« Ulter l'âge.
\bie SKarf le marc. ber $Ia4 la place.
SKer {^er)og le due. loer^eiratet marié.
^Hç mi uBr? quelle heure? fletgig appliqué.
^tc < Piaffe la classe. je^t a présent.
1 A Mais on peut aussi bien dire : brei unb etnen (oIBen SDIeter.
Ei:
îdit
I
rici
iei
be
Adjectifs numéraux. 107
Exereice. 54*
1« SEBtr leBen {e^t tm neunjel^itten dal^rl^unbert. (Stn (Sen«
tfanc iji bcï l^unbcrtfîc Ztïi ctnc« Çrairfcn. îDcr SWonat tjl bcr
^lodlfte 2:ett be« dal^red. 3)er erfle ilRonat bed brittett Sa^xt».
Dtt })oette 2iag ber toterten SEBod^e. 2)a« fe(]^fle t^enfler be9
Dterten ©todd (rétage)« Çetr 9{o(mfon loar 32 ffîo(]^en fratti;
in bcr bret uwb breigtgjlcn jlarb cr (il mourut) ♦ ScSoi H. (bcr
3t»ettc) jlatB in tJranïrctd^ bcn (ou am) btcrjcl^ntcn ©cptcmbct
170 h ©eoïg m. (bcr S)rtttc) tourbe bcn 22pcu ©cptember 1761
in ber S93efhntnfler«S6tet (abbaye) gefrdnt (couronné).
2. Subtotg XIV. (bcr «icrjel^tttc) jiarB tm 3a]^r(e) 1715;
8nbn>t9 XV. tm SaJ^x 1774 ; Subtotg XVI. tm Sùi)x 1793. ©rct
Xd^tet flnb bte $alftc bjon bret SterteL 3)te« i^ mctn fûnfted
3le| ®Ia«. 3toet unb ein Siertet 9xie ftaffce ïoflcn (coûtent) fed^ô
SWarï unb aij^tjtg pfennig* îDtc grau toar anbertl^alb 3a^rc
ïranï. $ter tfl jtocierïet SBctn, roter unb toeiger. SBtcDtel
Ul^r tfl c«? (&9 tfl ffinf Ul^r. $etnrt(]^ ber HéfU, ftdntg bon
(Snglanb, toar \eâ^9 mal Dcrl^etratet.
Thème. 55*
1. Le premier jour de la troisième semaine. La semaine
est la cinquante-deuxième partie de Tannée. Je suis dans
\e\ ma trente et tmième année. G* est notre quatrième bouteille.
Charles est le premier de sa classe. Louis est le neuvième,
Henri est le dix-huitième et Robert le dernier. Mars est
le troisième, juin le sixième et décembre le dernier mois
^ de Tannée. Charles douze était roi de Suède. George, roi
d'Angleterre, était le père de Guillaume quatre. Le che-
valier Bayard vécut (tcBtc) sous le règne de Charles huit, de
Louis douze et de François (^an}) premier.
2 . Vous avez eu le septième volume. Frédéric second,
roi de Prusse, naquit (tourbe ge6oren) & 24 janvier mil sept
cent douze ; il mourut le dix-sept août mil sept cent quatre-
vingt-six. Quelle heure est-il? Il est sept heures ou sept
heures et un quart. Pierre le Grand de Russie mourut à
St-Pétersbourg le huit février 1725, dans la cinquante-troi-
sième année de son règne. Notre cuisinière a acheté trois
kilos et un quart [de] café et undemi-kilo de thé (SD^ec).
Le prince est parti d*ici (t)on l^ter) à quatre heures moins
unquart.
CoBTersatlOB.
Ste i9tde IMnber ^t ^m (Balll Sr ^at 6 j^inber: 2 B^m nnb
este ait i|i fein SUe|ler ^o^n? (Se ifl 18 Sa^re ait.
■W.!
ir
108 Leçon 23.
mt ait ïft fetne ifinfifle 2:o4ter? eie ifl filnft^alB 3a^re att.
ffilei)iel jlnb 30 m\> 50? 30 mh 50 ftnb 80.
SBiet)ieI ifl 12 mal 12? 12 mal 12 ifl 144.
IBaren @ie geflent auf ber 3agb 3a, geflent unb (^eute (aujour-
(à la chasse)? d'hui).
ffîas l^aUtt @te gefc^offen (tué)? Sir l^aBen 13 {^afen gefd^ojfen.
SBelci^en $Ia6 ^at ®eorg in ber (Sr ifl fe^r fletgig, er l^iat itmnei
©d^uïtl (toujours) ben erflen ^laft.
Unb feitt iBruber SBir^etm? XBil^elm ifl ber 26fle in feiner
j^laffe.
SBann murbe j^arl V. geboren (na- (Sr ksurbe geBoren im Salure 1500.
quit)?
SBann flarB $eter ber (droge? 9[m 8ten {^eBniar 1725.
SBie ait tvar er? (Sr tvar 53 3a^re ait.
SBieDiel Zf^tt n>iinfd(en @ie? 3^ mUnfd^e brei Siertel JHIo.
SBeId^e« ifl bit $&Ifte toon Vs^ 2)ie ÇSIfte Don «/s ift %•
ffîaren @ie lange in ^merila? 4 Qa^xt, 7 SD^onate unb 23 2:age.
SBletoiel U^r ifl ed? (S« ifl 11 U^r ober ^alb j^SIf.
J^Snnen éït mir fagen, toiebiel 3d^ ifobt fetne Ul^r; aBer es maa
U^r es ifl ? (alB jt^ei U^r fein.
3{l e9 r^on eln IBiertel auf Dier? (Sd ifl fti^on brei IBiertel auf i9tei.
Um toïeoïti U^r gel^en @te }u 8ette Um 10 U^r ober ^alB 11.
(vous coucher)?
Vingt-troisième Leçon.
Du verbe, ^m ^tiimtt
Le verbe est la partie du discours sans laquelle
toutes les autres réunies n'expriment rien de suivi, et
qui seule donne le sens et la vie. Sa fonction principale
est d'indiquer qu'un être existe, agit ou souffre. On
divise les verbes en cinq classes:
1) Les verbes actifs ou transitifs qui indiquent une
action faite par le sujet de la phrase, mis en cette
qualité au nominatif, et reçue directement par un objet.
Tels sont lickn aimer, loben louer, fd^Iagen battre, fc^^en
voir, etc. Ex.: ®ott ItcBt btc SKcnfc^cn: L'action
d'aimer est faite par le sujet ®ott et reçue directement
par l'objet bte SDÎenfd^cn. Cet objet direct se met à l'accu-
satif. Ex. :
3é^ (nom,) fe^e (v. aeUf,) ben JhtaBen (ace,).
2] Les verbes neutres ou intransitifs qui expriment
également une action faite par le sujet, mais non reçue
directement par un objet. Tels sont: fd^Iafen dormir,
(auf en courir, (letfien rester, ff>red^en parler. Ex.:
2)ie JKnber fc^Iafen les enfants donnent.
SBir f^rec^en bon bem SBetter nous parlons du temps.
Du verbe. 109
Dans le dernier exemple, l'objet bû^ SBettcr ne reçoit
pas l'action de parler; il est mis seulement en relation
avec elle, au moyen de la préposition ))on.
3) Les verbes pronominaux, qui ne sont autre chose
que des verbes actifs dont le sujet est le même être
que le régime, c'est-à-dire qu'ils expriment une action
faite par une personne ou par une chose sur elle-même.
Tels sont : fld^ fïcucn se réjouir, fid^ fd^mctd^eln se flatter :
SDte iDluttei freut ft^ (ace.) la mère se réjouit.
4) Les verbes passif s qui expriment une action reçue
par le sujet et faite par un objet exprimé ou sous-
entendu, comme geltcbt toerbeit être aimé, gcfd^fûgcn toerben
être battu. Tout verbe actif peut prendre la forme
passive. Ex. :
3)er @o(n totrb toon feinem ^aXtx gelieBt.
Le fils est aimé de son père.
5) Les verbes impersonnels expriment une action ou
un état sans qu'un être soit nommé comme sujet. Ex.:
(Sd regttet il pleut; ti fci^neit il neige.
Ainsi qu'en français, les différentes modifications
qu'éprouve le verbe allemand, suivant les rapports qu'il
doit exprimer, sont au nombre de quatre:
1) modes, 2) temps, 3) nombres, 4] personnes.
H y a cinq modes: l'indicatif, le conditionnel, l'im-
pératif, le subjonctif et l'infinitif.
La terminaison de l'infinitif de tous les verbes alle-
Diands est en ou n* Ex.:
lieBen aimer, fommen venir,
^anbeln^) agir. Betiounbem^) admirer.
En retranchant la lettre finale n on obtiendra le
prése?it qui se termine en e:
i^ UeBe j'aime, ic^ lomtne je viens.
Dans les verbes en ein et cm, il faut restituer au
présent la lettre rejetée e:
\éi bemutibece j'admire.
Le conditionnel se forme avec l'infinitif, en le
faisant précéder de tDÛtbe. Ex.:
t^ tDÛibe lieben j'aimerais. !$ toiirbe l^cmbeln j'agirais.
1) Les terminaisons ettt et erit sont contractées de elm: l^ait»
belen et de eten: Betounbereu (V. leç. 24 f 2).
110 Leçon 23.
fait y tantôt par le passé indéfini. — Les nombres et les
personnes ne diffèrent pas non plus du français .
Quant à la manière de conjuguer les verbes, on
les divise en verbes réguliers et en verbes irrégtdiers. Les
grammairiens allemands appellent aussi les premiers
verbes modernes ou faibles (netteté ou fd^load^e t^orm); les
autres: verbes anciens ou forts (ûlte ou ftarïe gorm).
Verbe régulier. Siegelnt&^tged ^txi)»9xi^
Ce qui caractérise le verbe régulier c'est la termi-
naison de rimparfait »te, ajoutée à la racine, et celle
du participe passé 4* Au présent la terminaison d'un
verbe régiâier ne diffère guère de ceUe d'un verbe irré-
gulier. On distingue : 1 . la racine, c'est-à-dire la partie
qui se trouve devant la terminaison de l'infinitif en ou
Il ; 2. les terminaisons. Dans le verbe régulier la voyelle
radicale ne change point, et les différentes terminaisons
sont simplement ajoutées. Ex.: Inf. (teb^^eit, prés, td^
tteb-e, imparf. et d^ni \6) Iieb*te, part. ge*tieb*t.
Formation des temps.
Le présent de tous les verbes se forme en ajoutant
e à la racine. La première personne du présent du sub-
jonctif ne diffère pas de celle de l'indicatif. Ex. : Sd^
itib*t (que) je loue, de (o(en louer; id^ fteQ^e (que) je place,
de ftetlen placer ; \6) jttter^e je tremble, de jtttern trembler.
Voici les terminaisons des personnes du présent:
Indicatif. Subjonctif
Sinp. Plur. Sing. Phtr,
1. — e
— e»
1. — e
— e»
- 1 (et) (en)
2. — efl
- et (e«)
■— e«
3. — e
— en
2. -fl (effi
3. -* (et)
liHmparfait des verbes réguliers se forme en ajoutant
la syllabe te à la racine. L'imparfait du subjonctif a les
mêmes terminaisons, sauf qu'il y a parfois \in e intercalé
après la racine. Cela a lieu essentiellement pour les verbes
en ten ou ten. Ex.: 3àf iohtt je louais, td^ fteU^te je plaçais,
xàf tebete je parlais. A limparfait, la troisième personne
est toujours semblable à la première. Voici les termi-
naisons des personnes de l'imparfait.
1. —te —tcn
2. — tcfl —te* (te»)
3. —te — te»
Du yerbe. m
Indicatif. Subj onctif.
Smff. Plur. Sinp. Pïur.
1. — (c)te — (e)teii
2. — {e)teft —{t)iti (ten)
3. — [e)te — (e)te«
he futur et le conditionnel de tous les verbes ne
sont autre chose que Tinfinitif du verbe, précédé de
raïudliaire id^ tDctbe et td^ tourbe. Ex.: id^ toetbe loBen
je louerai, xàf toetbe ftellen je placerai; cond. iâ) tourbe
IcBen je louerais, id^ tourbe îtttem je tremblerais.
Pour le partie, prés, on ajoute la terminaison enb
ou nb à la racine: (ob^enb louant, gtttemb tremblant.
Pour le partie, passé on ajoute la lettre t à la racine,
que dans les verbes simples ont fait précéder du préfixe
ge. Ex. : ge4ob»t loué, ge^fteC^t placé, ge^gitter^t tremblé.
Les temps composés du passé se forment, comme
en français, à Taide du partie, passé et du verbe auxi-
liaire f^aitn, quelquefois aussi f e t n. Ex. : Passé indéf.
Sàf ^ait geloBt j'ai loué ; plus-que-pf. xé) f^attt getobt j'avais
loué ; fut. antérieur xâf toetbe gettebt l^aBen j'aurai aimé,
cand. passé xàf tofltbe gegittett §ûben j'aurais tremblé.
JJimpératif sinff. est le présent sans le pronom td^.
Ex.: gobe loue, jtttete tremble. Plur. 8oben ©te louez.
Quant à la seconde personne du pluriel de tous les
temps, il faut observer que, dans la conversation, c'est
toujours la troisième personne du plur. qu'on emploie;
mais alors on écrit le pronom @te (vous) avec une @
majuscule. Ex.: Vous louez @te (oBen, vous placiez @te
fteUten, vous tremblerez ©te toetben jtttetn.
A l'impératif aiissi, l'on dit geben ©te donnez, lommen
®ie venez etc.
Coi^gaison d'un verbe régulier.
fioJeti ( — ïnJte — geloit) loner.
Indicatif. Subjonctif.
Présent.
S^ lobe^) je loue 5i^ loht (que) je loue
^ loBfl tu loues bu loBefl (que) tu loues
es loBt il loue et toBe (qu^) il loue
fU Idht elle loue fit loBe (qu*) elle loue
nian loBt on loue maxt loBe qu'on loue
1) Dans le discours familier cet e final se retranche souvent
14 (oB*, iâf M (je dis).
112 Leçon 23.
toit Mm nous louons toit tobtn (que) nous louions
fie (oBen ils (elles) louent. fit (oBett (qu^ils ou elles louent.
Imparfait et Défini.
Sd^ loBte je louais (je louai) S^ loBte ((oBete) que je louasse
bu lobtefl tu louais (louas) bu loBtefl (loBetefl) que tu louasses,
et (fie) loBte il (elle) louait er loBte (lobete) qull louât
toïï lebttn nous louions loir (ob(e)ten que nous louassions
(Hr ïobtet) ( _^^_ 1^ ._ i^r ïobtet (ïobetet) { que vous
@ie lobteu f ^^^^ ^^^^^ @te lobten (ïobeten) ( louassies
fie loBteu ils (elles) louaient. fie lobten (loBeten) qu'ils louassent.
Futur.
SdJ tt)erbe . . ïoBen je louerai 3c^ toerbe ïoBen je louerai ou que
bu totrfl loben tu loueras bu toerbefl loBeu [je loue etc.
er toirb loBen il louera er toerbe loBen
mir merben toBen nous louerons toir loerben loBen
(i^r uoerbet toBen) ( louerea ^^^ ^^^'^^^ ^^^^^
©le toerbeu toBen { ^*^^® ^*^^®'®* @ie toerben ïoBen
fie toerben loBen Us loueront. fie koerben (oBeu.
Fossé indéfini
3(^ l^aBe . . geloBt j'ai loué td^ (aBe geloBt que j*aie loué
bu (afl geloBt tu as loué bu ^aBefl aeloBt que tu aies loué
er l^at geloBt il a loué er (aBe geloBt qull ait loué
fie l^at geloBt elle a loué fie l^aBe geloBt qu'elle ait loué
tDir l^aBen geloBt nous avons loué toir l^aBen getoBt que n. ayons L
(iBr l^aBt geloBt) ( i x Ibr l^aBet geïoBt ( que vous aye«
eie ^aBen geloBt { ^^^" *^®' ^^^® ©le (>aBen geïoBt ( loué
fie (aBen getoBt ils (elles) ont loué, fie ^aBen geloBt qu'ils aient loué.
Flus-que-parfait.
Si!^ l^atte getoBt j'avais p 'eus) loué Id^ l^&tte getoBt que j'eusse loué
bu (attefl geloBt tu avais loué bu B&ttefl getoBt que tu eusses L
er l^atte geïoBt il avait loué er l^atte geloBt qu il eût loué
tolr l^atten geloBt nous avions loué n>ir B&tten geloBt que n. eussions 1.
Futur antérieur.
3c^ tDerbe . . getoBt l^aBen 3c^ toerbe geloBt l^aBen
j'aurai loué j'aurai (que j'aie) loué
bu kolrfi geloBt l^aBen }c. bu toerbefl geloBt l^aBen ic.
Du yerbe. 113
Conditionnel.
Présent,
3<]^ toiirbe . . loBen je louerais
bu toiirbep toBen tu louerais
er ttJfirbe toBen il louerait
toit toiirben loBen nous louerions
il^r miirbet ou @ie mfirben loBen tous loueriez
jte toiirben toBen ils (elles) loueraient.
Conditionnel passé.
^^ tofirbe geloBt ÇaBen ou ïâ^ BStte geloBt j'aurais loué
bu koiirbep aetoBt (aBen ou bu çSttefl aeloBt tu aurais loué
er tviirbe geloBt l^aBen ou er l^Stte geloBt il aurait loué :c.
Impératif.
Sinff, Plur,
8oBe (ïoB*) loue ïoBeu toir, ïagt un« toBett)i^„^„«
loBeu @le louez toh tootten ÏoBeu | louons.
toBet, loBett @te louez.
Infinitif.
I^és. 8oBeu louer.
3U loBeu de oti à louer; um . . )U loBeu pour louer.
Fossé. ®eIoBt l^aBeu avoir loué.
geloBt ju ÇaBeu d'avoir loué.
Participes.
IVéê. loBeub louant. Passé. geloBt^) loué,-e.
Remarque. Quant aux formes interrogative et néga-
tivej elles sont les mêmes que pour les verbes auxiliaires,
voyez page 73. Ex.:
SoBe 1^1 est-ce que je loue? pi. loBeu tDtr? louons-nous?
ïcBfl bul loues-tu? ÏoBeu @lc1 louez-vous?
ïoBt er? loue-t-il? ÏoBeu jtel louent-ils?
3(ff ïoBe ui<]^t je ne loue pas, bu ïoBjl uic^t, }C.
3^ tverbe xtïâft ÏoBeu je ne louerai pas.
3âf ffcAt uid^t geïoBt je n'ai pas loué.
^at ber fBattx ui<^t geïoBt? le père n'a-t-il pas loué?
C'est ainsi que se conjuguent entre autres les verbes
suivants :
ïteBeu (ïteBte, geïteBt) aimer. laufeu acheter.
ïeBeu (ïeBte, geïeBt) vivre. l^iJreu entendre, écouter.
1) Quelquefois on dit aussi geïoBet; mais cette forme ne devrait
s'employer qu'en poésie.
OTTO, Grammaire allemande. 8
114 Leçon 23.
fuc^ett chercher. tel^ren enseigner.
^olen aller chercher. firafen punir.
fiil^ren mener, conduire. bauen bâtir.
maâftn faire. tDol^nen demeurer.
laâftn rire. fagen dire.
ieigen montrer. ftoaen demander.
fpieUn jouer. fûCTen remplir.
Braud^en avoir besoin. toetnen pleurer.
lernen apprendre. toiinfd^en désirer, souhaiter.
Yocabnlalre,
bU Srteftafd^e le portefeuille. tmmer toujours,
bte ^d^iUerin Vécolière, l'élève. bte ^ïxnt la poire,
ber i&tm le bruit. artia sage; bag que.
ba9 2)ut}enb la douzaine. tDa^fam vigilant,
bte Stufgabe la leçon, le thème. lang(e) longtemps.
Obft du fruit.
Exercice. 56.
1^ ^ lobe bctt Jhxabctt. Du lobji bctnc ©d^tocflcr. S)cr
Scl^rcr lobt bcn ©d^ûlcr^ SSîtr Itcbcn bte orttgçij fttnbcr* îDic
fttnbcï Hcben il^rc gïtcm. ®.ic ^ifci^c IcBcn tm 'SBàffer., aBa«
fud^cn Sic? 3(!^ fud^c mcinc Srieftafd^c* ®tc ©d^ûlcrtn Icrntc
tl^re Xufgobe. S)u l^afl berne Slufgabe ntd^t gut (bien) gemad^t*
Éldâft fie Beffer (mieux) . SBer l^at btefe« ^ani gebaut ? Çerr
aWorel l^at e« ^) gebaut ; et tool^nt in ber ftatï«jh:a6e. $3rte|i bu
bie SWttflï? 5Rem, id^ ]^5rte fie nic^t. âetge mir ba0 $)ûu«
betned Sater9.
2. aRetn Çï^imb toirb emcn ©tod ïaufen; er tourbe anâ^
ehten 9tegenf(j^trm ïaufen, toetm er ®elb genug l^Stte. @agen
©te mtr, toaô (ce que) ©ie gcl^ôrt l^aben» 3)er Sebtente l^attc
gel^n f^lafd^en gefûKt ; er tourbe aud^ bte anbern gefûKt l^abeu (ou
er l^&tte aud^ bte aubem gefûllt), inenn erSBetu genug gel^abt
]^&tte* 3)er $unb tntrb ben iàxm ntd^t gel^Brt l^aBen* Sr mûrbe
tl^n ge]^5rt l^aben (ou er l^&tte tl^n gel^l^rt), toenn er toad^famer
geinef en todre* dd^ l^aBe ntd^t Sufl (envie) }u lad^en* ©te f oOteit
(devriez) btefeS @(a8 mit SBein fûtten»
Thème. 57.
1. J'aime ma mère. Tu aimes tes parents. Nous
aimons et louons la vertu. Les maîtres louent les élèves
appliqués. Us ne loueront pas les élèves paresseux. Mon
frère a acheté une douzaine [de] 2) crayons. Il avait d* abord
(juerfl) acheté six plumes. Pourquoi le domestique n*a-t-il
pas rempli les bouteilles? Il n'a pas eu assez [de] vin.
Cherche ton canif. Cherchez vos gants (Çanbfd^ul^ej . Qui
1) En allemand les pron. person. régimes ne précèdent pas le
verbe. — 2) Les mots mis entre deux crochets ne se traduisent pas
Du Terbe. 115
a dit cela? Ma cousine Ta^} dit. Le comte demeurait dans
un château à la campagne. La petite fiUe dit: J'aimerai
toujours mon père.
2. Quand apprendras-tu ta leçon? «Tai appris ma leçon
hier. Nous bâtissons une maison. Le prince a bâti un joli
château. Ne désirez pas ce que (uxid) vous ne 8 pouvez ipas
savoir. Nos amis ont vécu longtemps à (auf) la campagne.
Dieu veut que nous aimions nos ennemis. Le maître puni-
rait ce méchant garçon, s'il n'était pas malade. Avez-vous
[le] temps à^aUer chercher mes bottes? Je n'ai pas [le] temps
2 de 3 faire icela. Voici un enfant qui pleure (pleurant).
Je suis bien aise (ftol^) 3 d'avoir 2 fait icela.
Conversation.
SteBm ©te biefeS lltnb? 3a, \^ IteBe éd.
SBen Ite6en bie ^tnber? 2)ie j^inber IteBett il^re (Sttern.
ffîo leBen bte gtfd^el @te leBeit tm Saffer.
SBa9 fud^t llarl? (Sr fu(^t fein gebermeffer.
Çot et auf bem %\\& gefu<]^t? (Sr ^at fiberatt (partout) gefu(^t.
Ser ^at btefe Stufgabe gemad^tl 3(^ l^abe fie gemad^t.
39 fie sut aeutad^t? 9^em, fie ifi fé^tedbt (mal) gemad^t.
SBo woçttt 3^r ^crr Dl^elm? (gr ttjo^nt lu ber grlebrid^lhage.
Sas faufteu @ie auf beut SDlarfte? Sir lauften iSutter unb (Sier.
^beu @te ni(^t au^ Objl gelauft? 3a, toit (^aben )@tmeu getauft.
S3as tnad^en @ie ba (là)? 3c^ terne metne ^ufgabe.
Sarunt loeint bas lîinb ? 2)ie Sl^utter l^at es aefiraft.
SSarum (ad^en @ie, mein $err1 3(^ tt>erbe 31&neu ui($t fagen, toarunt
14 tad^e.
Çat ber ^ueiber metueit S^odC ge' CIr l^at il^n nod^ ntd^t gemad^t; aber
mai^t? et totrb t^n morgen mad^en.
Lecture.
S)er SDtotgm» Le matin.
S)ic Sftad^t ijl ©orûbcr (passée); c« toirb l^ctt^; ber ïag
Bcgtmit^; bic Calque l^abcn fd^on geMl^t^; bie ©pctiingc * gtoit»
fd^cm* auf bcn ^iA^tvci\ btc Scrd^cu* flugcn in bcu gelbcm.
SHc SKcîifd^ctt »cr(affctt^ il^tc 93cttcu unb gcl^cn an tl^rc Slrbcit.®
S)tc ©tral^Icn® ber ©ounc tocdtcn^® bic nod^ fd^Iafcubcn^^
îtcrc ; btc SJicucn fltcgett ^^ au8 il^rem fiorbc (ruche) uub fud^cu
Çomg ^* in bcn SSIumen. S)ic îauBcn ^* fltcgcn in bcn Çof obcr
in ba« JJetb", um (pour) tl^r grill^jlûdfi» p ^«^tcn.
1) clair. 2) commencer. 3) chanter. 4) moineau. 5) ga-
zouiller. 6) alouette. 7) quitter. 8) ouvrage. 9) rayons. —
10) éveiller. 11) endormi. 12) voler. 13) miel. 14) pi-
geons. 15) champ. 16) déjeuner.
1) Voyez p. 114, Note 1.
8*
116 Leçon 24.
munter (gaiment).
. ^m \ mm M
17) prairie. 18) briller. 19) clair. 20) sec, aride. 21) frais.
22) fatigué. 23) maintenant. 24) fortifier. 25) travailler.
Vingt-quatrième Leçon.
Bemarques spéciales sur les verbes réguliers.
§ 1. Tous les verbes dérivés sont réguliers et se
conjuguent comme (oBen. On reconnaît les dérivés soit
par leur terminaison, soit par la voyelle adoucie.
1) Sont dérivés les verbes terminés en eln, ettt, tgetl
et icren. Ex.:
l^attbetn agir. retnigett nettoyer,
l^tnbent empêcher. flubieren étudier.
2) Ceux dont la voyelle radicale est o, u, à, i, û, ôu :
(elen aller chercher. fttd^en chercher.
^3ren entendre. fiil^ren mener etc.
toarmen chauffer. fSumen tarder, hésiter; ourler.
NB, Les seules exceptions sont : flogen pousser , rufett
appeler ; gSl^rcn fermenter, gcbSren accoucher ; fd^toôtcn jurer,
lûgen mentir, et Betriigen tromper — qui sont irréguliers.
' § 2. La terminaison des verbes en eln et etn est
contractée de clen et cïCît:
(anbe(n agir, pour l^anbelen.
betounbent admirer, pour 6en>unberen.
Cette contraction a lieu aussi au pluriel du présent
de l'indicatif : tt)tr l^anbclît, iDtï bctcunbern îc. De plus
les verbes en ein perdent leur c devant ( k h. première
personne du singulier.
Exemple.
Présent,
3^ Betounbere j'admire 3(^ l^anble j'agis
bu BetDunberjl btt l^anbetfl
et BetDunbert er l^anbelt
toïx Betouttb e V tt toir l^anb e I tt
il^r betounbert ( tl^r l^anbelt (
@U Betounbern { @ie l^anbeln (
fie BetDunbern. fie l^anbeln.
Verbes réguliers. 117
Imparfait et défini,
3^ Beiottnberte. Sd^ l^anbelte.
Participé passé,
BetDunbect admiré. gel^anbe(t agi.
Tels sont:
Stttem trembler. tabein blâmer.
|tnbcm empêcher. fd^iitteln secouer.
t>erBeffem corriger. i&(i^eln sourire.
&nbem changer. fatnmein recueillir.
§ 3. Les verbes réguliers en -betl et tett, ainsi que
ceux qui devant la terminaison -m en ou nett ont une
autre consonne, conservent, à toutes les personnes du
présent et de l'imparfait ainsi qu'au participe passé , Te
devant la terminaison. Exemple:
reben parler.
Présent. Imparfait et défini,
3d^ rebe je parle, je cause 3^ rebete je parlais
bu rebeft tu parles bu rebete^ tu parlais
et rebet il parle er rebete il parlait
to>tr reben nous parlons toit rebeten nous parlions
@te reben vous parlez @ie rebeten vous parliez
fie reben ils (elles) parlent. fie rebeten ils parlaient.
Part, passé. Passé indéfini,
gerebet parlé. 34 l^a^e gerebet j'ai parlé.
Tels sont:
baben (se) baigner. t>o1Ienben achever,
tleiben habiller. ffird^ten craindre.
Bttben former. tSten tuer.
(er)bulben souffrir. atmen respirer,
erbitten solliciter. regnen pleuvoir,
arbetten travailler. fegnen bénir.
anttDorten répondre. Bered^nen calculer,
ac^ten estimer. Begegnen rencontrer.
(er)tDarten attendre. ëffnen ouvrir.
Imparf, id^ babete^ arBeitcte^ antmortete, tDailete 2c.
Part, p, geBabet, gelteibet, gearBettet, geanttoortet, gead^tet,
getStet, gefilrd^tet, geregnet, geSffnet.
§ 4. Les verbes dont la syllabe radicale se termine
par une sifflante (f, ff, %, fd^, %, %) ou )f\, conservent la
voyelle e avant ft à la seconde personne du singulier
seulement, comme:
3d^ fe^e je place, bu fe^ejl; — bu tansefl tu danses.
118 Leçon 24.
Tels sont:
reifen voyager. toiinfd^en désirer.
affen baïr. f^erjen plaisanter.
eiBen mordre. {(i^â^en estimer,
mifd^en mêler. WUn tirer, tirailler.
i
§ 5. Le participe passé n^admet pas la syllabe gt
dans les verbes tirés d^une langue étrangère dont Tin-
finitif se termine en ter en. Ex.:
fhtbieren étudier. Imp. {htbierte. Part, p: fhtbiert'.
matfd^ieren marcher. „ marfd^terte. „ morfd^iert'.
regieren gouyemer, régner. „ regierte. „ regtert'.
^obtecen essayer. » ^ol^ierte. » ^toBtert'.
§ 6. La même chose a lieu dans les verbes précédés
de l'une des particules inséparables (voir la 33**** leçon) :
U, tmp, tut, tt, ge, mlg, l^lnter, »er, ^oU, tolbcr et jer.
Exemples.
bemo^nen habiter. Prés, 3^ Betool^ne. Part, p, Beiool^itt.
ets&l^Ien raconter. Prés, ta} tt^^ît. Part, p, ergSl^it.
ter!aufen vendre. Prés, té terfaufe. Part, p, t>er!auft.
boÏÏenben achever. iVe«. i^ DoSenbe. Part, p, DoIIenbet.
§ 7. Les verbes suivants changent à l'imparfait et
au participe leur e radical en a:
Présent, Imparfait. Part, p.
btennen brûler, i^ Ixtum, \é Ixanntt, gebrannt.
lennen connaître, ta Unnt, iffifannte, ge!annt.
ntrmtn nommer, ïé ntnnt, ïi nannte, genannt.
rennen courir, i^ renne, ^ ta tint e, ge^ranttt.
fenben envoyer, iâf fenbe, ïiff \anhtt, gefanbt.
toenben tourner, id^ toenbe, Id^ toanbte^}, gemanbt.
§ 8. Les trois verbes benlen penser, Brin g en ap-
porter, et toiffen savoir, changent à Timparfait et au
{participe passé leur syllabe radicale, tout en ajoutant
es terminaisons régulières:
IVés. idb benle je pense. Imp, tdb ba<!^te. Part, p. gebad^t.
„ iœ brtnae j'apporte. „ xc^ Bra^te. „ gebrad^t.
„ i(9 meiH je sais. „ lâf tongte. ,, gemn^t.
Remarque, Le sing, du présent de l'indicatif de tDtffen
est aussi un peu irrégulier:
3d^ loeig, bu meigt, er loeig, xaïi miffen, @ie miffen :c.
1) La forme régulière toenbete, getoenbet est aussi en
usage.
Verbes régalien. 119
Yocabnlaire.
bie @^2nl^ett la beauté. ber Ëcxh le panier.
bie SSorfd^rift le précepte. ber ©ar6ler' le barbier.
bie (S^re rhonneur. bie J^Stte le froid.
bie (Sntfenrnng la distance. ber Krm le bras.
bie @onne le soleil. ber )@rteftr&ger le facteur.
bie @ef^id^te Thistoire. rafteren raser, faire la barbe.
ber ©efangene le prisonnier. merfn^iitbig remarquable.
Exercice. 58.
1. 3(1^ BetDunbexe ben neuen $a(afl beS f onigd. S)te 2Ren«
\â^tn BeiDunbem bte (Sd^Snl^etten ber statut* 3d^ l^anble nad^
(d'après) bcn ©orfd^riftett ber @l^rc* îDcr Jhxabc Babctc gcjlcm
in bcm Sluffc ; cr babct aUt Za^e. ffîaô filtd^teji bu? 3(j^ fûrd^tc
ntd^tô* e« rcgnct* (£« tegnctc fe^r fiarl (fort). 3d^ bin nid^t
toarm genug gelletbet. Wtan Jfat bie (Sntfemung ber Srbe ))on
ber @etme Bered^net. 2Ran l^at bief e SRanner ntc^t gead^tet , toeil
fie tité^t red^tfd^affen toaren» ®ie arxncn ©olbaten faBen »tel er«
bute et; fte flnb (ont) jcbeu îag jelÇiu ©tunben marfd^iert^
2* ÇaBen @ie 3]^re SlufgaBen DoBeubct? a)tefc0 $au0 i|i
nid^t mel^r (emol^nt ; mein iRaci^Bar l^at ed ))etlauft* 3)er ^embe
^at mir etne merlwûrbigc Oefd^td^te erjalÇiIt ®cr ©cfangene
leugnete (nia) , ben aJîanu get5tet ju l^aBen» ÇaBen ©te Çerru
S^crJj geïannt? 3é^ l^aBe i^n frii^cr (autrefois) gclannt; jefet
leune t^ il^n ntd^t mel^r* @r l^at mir etnen ftorB mit (de) SQSein
gefanbt (ou gefd^itft); aBer man J)<tt mir ben fiorB nod^ nid^t
geBrad^t; xâi l^aBc il^n gejiem tocrgeBcnô (en vain) ertoartet SJer
|at @ie raftert? 3(^ tocig eô nici^t* èennen ®ie ben SarBier
ni(3^t? 3îein, xi) ïannte i^n nid^t^ 3d^ tondit ntd^t, bag ©te
l^ter tooren»
Thème. 59.
1. «Tagis bien (red^t). Tu agis mal (unted^t). «T admire
le beau jardin de ma tante. L'enfant souriait. Pleut-il?
Non, il ne pleut pas. J'ai recueilli les feuilles des roses.
Pourquoi tremblez-vous? Je ne tremble pas; je secoue mes
bras. Le tailleur a changé l'habit. Le mauvais temps
m'empêcha de sortir (aud}Ugel^en) . Je blâme les méchants
garçons. Le maître blâme les garçons paresseux. Le chat
craint l'eau. Je craignis le froid. Le loup a tué cinq brebis.
Ce cordonnier ne travaille pas bien (gut) ; son père a mieux
travaillé.
2. Prie et travaille. Priez et travaillez. Les enfants
[se]*) baignèrent dans une petite rivière. De quoi (SBotoon)
1) Voir la note 2 au bas de la page 114.
120 ' Leçon 24.
avez-Yous parlé? Nous parlions de Fécole. Tu plaisantes.
Qui a apporté cette lettre? Le faeteur a apporté trois lettres.
Le soleil brûlait. Napoléon fut (tourbe] nommé le Grand.
La femme n'est pas morte (tôt), elle respire encore. Dieu
bénit Abraham ; il bénit tous les hommes. Avez-vous étudié
rhistoire? J'ai étudié 21'histoire lancienne (alte). A quoi pen-
saient ces gens? Ils ne pensaient à rien. Sais-tu cela (bad)?
Oui, je le 2(e^) isais. Je le savais déjà (f(i^on). Mon frère
ne Ta pas su.
ConTersation»
fiki8 Utonnhtctx @te? 3d^ Imnnhttt bas ®6fUi be8
Orafen-
SBte l^anbette btefer ^ann'^. (Sr l^anbelte, tote (en) ein Sater.
fSkxnm sitterte ber ^naU fo fel^r (Sr fûrd^tete bie ©trafe (punition)
(tant)? felneS Serrer»,
^abm @te l^eute f^on gebabeti 9ttïn, iâf f^aht l^eute nt^t gebabet;
iâf toerbe moraen baben.
^abett @ie ben Mènerai @. ge* 3a, ïâf lannte i$n gut, unb ad^tete
fattttti ll^n feÇr.
fBarum finb @ie nid^t gefommen? S^ f^ait ben 9legen gefûrti^tet.
^at ber i^nabe feine Kufgabe t>oII* 3a, er ^at 9,Ut9 (tout) oottenbet.
enbeti
SQSer b^t bie 2:]^iire geBffnet? 2)er Heine ^avi bat fie geoffnet.
SBer bat bief en Ëeth gebrad^t? 34 toeig e9 ni(bt; i<^^ tannte ben
SJlann nicbt, ber (qui) i^n beauté.
Sanxnt ifl biefeS ©d^Iog nié^t me^r 2)er ®raf ifl geflorben (mort); bie
ben)obnt? ®r&fin noient ie^t in $ari9.
SBie oiele ©tunben (lieues) ifl (a) (Ss ifl jieben 2:ag a^t ©tunben
bas 9legtment ntarfd^iert? marf^tert.
9Bie lange ï^at Submig W^^P^ re- (Sr bat regiert t>om Sabre 1830 Big
giert? 1848.
Çaben @te an ben iBrief geba^t? 3a, i(b babe ibn gebrad^t.
Leetnre.
£fo:|)^ Ésope.
!♦ Hfop r ci fie (alla) cinmal in ctnc ïlctnc ©tabt; untcr-
tocgg^ bcgcgnctc^ cr eincm Sîctfenbcn, tocld^cr* i^n grilgtc*
unb il^n fragte: „2Bte Iange<^ mug td^ nod^ gel^en, ix9 td^^ ben
tJIcdctt (bourg) bort* crrcid^c^,bcn (que) toir oontocttcnt® fcl^ctt?"
„®cy/' anttoortctc «fop.
„3d^ lociê tool^I/' cttoicbcrtc® ber 9tcifcnbc, nbag (que)
id^ gel^en mug, um bort angulommen ^^ ; aber id^ bitte btd^, mit
ju fagcn, in loieoiel â^î^J^ ^^^^ anloninien toerbe/' — «©ey,"
totcberl^olte (répéta) atfop.
1) en chemin. 2) rencontrer. 3) qui. 4) saluer. 5) com-
bien de t«mps. 6) là bas. 7) pour atteindre, arriver à. —
8) de loin. 9) répliquer. 10) p. y arriver.
Pronoma personnels. 121
3d^ fcl^c, batiste bcr grcmbc, bcr Wtenji) tji toD", td^
Slod^ cmtgcn SKmutcn ricf (cria) Sfop: ,^c! cin ÏÏSoït: in
jtoci ©tuubcn totrjl bu bort anïomuicn."
3)er 9tetfenbe toanbte ftd^ um unb fragte tl^n: ,,S93te
toeigt bu ed t^^t, unb toaxnm tooUteft bu mit ed t)OT]^in^' ntd^t
fagcn?" Hfop crtoicbcrtc: „SBie ïonntc td^ c8 bit fagcn,6ct)or^**
t^ bctncn ®ang (©d^ritt)^* gefel^cn l^attc?"
11) fou. 12) continuer. 13) tantôt. 14) avant que. 15) la
(dé)marche, le pas.
Vingt-cinquième Leçon.
Des pronoms (|$ilmSrter)«
Le pronom est un mot qui tient la place d'un nom
et quelquefois d'un membre de phrase, pour en rappeler
ridée.
n y a six espèces de pronoms: 1) les pronoms j9^-
sonnels; 2} les pronoms possessifs; 3) les pronoms dé-
monstratifs; 4) les pronoms int&rrogatifs ; 5) les pronoms
relatifs et corrélatifs; 6] les pronoms indéfinis.
1. Pronoms personnels,
3Jcrf8ntld^e PttoSrtcr.)
Les pronoms personnels tiennent la place des noms
de personnes, soit de celle qui parle ou de celle à qui
l'on parle, enfin de l'être dont on parle. Ce sont:
Sing. td^ je ou moi; bu tu ou toi; et »7 ou Itd; fie elle;
t% il; plur, n>it notis; xf)X ou @te vom; fie Us ou etêz,
ou elles.
Comme on le voit, les pronoms conjoints et disjoints
s'expriment en allemand par la même forme.
Déclinaison des pronoms personnels,
IVemière personne: tfl(*
Sing, N, 5^ je, moi Plur, toïx nous
G, meiner de moi unfer de nous
D, mit me, à moi un9 nous, à nous
A, mïd^ me, moi. un9 nous.
Seconde personne: btt*
Sing, li. bu tu, toi Piur, ïf^x ou @ie vous
O. betner de toi euer, S^^ttt de vous
2>. bit te, à toi eud^, U$^^^ yoxLB, à vous
A, bid^ te, toi. eud^, @ie vous.
122 Leçon 25.
Troisième personne : ttf ftc^ t9*
masc. fém, neutre.
N, et il, lui fie elle ed il [cela)
G. fetner de lui titrer d'elle {etner (de lui) en
i>. tl^m lui, à lui i^r lui, à elle i^m lui, à lui
A, i^n le; lui. fie la, elle. e9^) le.
Pluriel commun aux trois genres,
N. Jie ils, eux, elles
G, t^rer (t>on i^nen) d'eux, d'elles, en
D. içnett leur, à eux, à elles
A* fie les, eux, elles.
L^on a encore pour la troisième personne le pronom
indéfini m an on, et un pronom réfléchi : ftd^, lequel se
décline de la manière suivante:
Singulier et pluriel pour les trois genres,
D. ftc^ se, à soi.
A, ft^ se, soi (luiy elle).
Remarques,
§ 1. Pour adresser la parole à quelqu'un, on se sert
en allemand:
1) De la seconde personne du singulier bu, btr,
btci^, en parlant à un enfant, à Un jeune garçon ou à
une jeune fille, à un ami intime, même à Dieu, enfin
quand les membres d'une famille causent entre eux. Ex. :
ilRein @o]^n, meine ^oci^ter k, toarum l^afl btt ba9 getl^anl
Mon fils, ma fille etc. pourquoi cis-tu fait cela?
®ott, xéf l^offe auf 2)tc^! Mon Dieu, j'espère en toi.
ilRem Ihnb, ^afl bu beine ^ufgabe gelemt?
2) Par conséquent, l'on se sert de la seconde per-
sonne du pluriel tl^r, eud^ ic. lorsque adresse la parole
à deux ou plusieurs personnes de cette première ca-
tégorie. Ex.:
Wltïxit J^tnb'er, l^aBt tl^r eure ^ufgabe getemtl
Mes enfants, ayez-yous appris yotre leçon?
3) On employait autrefois tl^t it, en parlant aux
gens âgés de condition inférieure. Ex.:
^t, gute grau, mad H^t ilj^r p terfaufen?
Ëh, bonne femme, qu'ayez-yous à yendre?
Note, On se seryait aussi autrefois de la trois, pers. du
gulier, et, fie, en parlant à un domestique, à une seryante, à
un jeune homme, ou à une jeune fiUe du peuple* Ex.:
1) Moyennant une apostrophe, e9 se joint que
précédent. Ex.: 3^ \iw% je lai; id^ toitt*0 je le yi
Iquefois au mot
yeux.
Pronoms persO&nelB. 123
^ge (Sr feinem ^tcm dites à votre mattre . . •
Stage @ie biefen Sdxït\ auf bte $ofl portez cette lettre à la poste.
n faut cependant obserrer que cet usaee s'est tout à fait perdu;
dans le langage poU on doit toujours dire @ie«
4) Enfin on emploie @ i e avec la forme de la troi-
sième personne plurielle du verbe^ toutes les fois que la
politesse Texige. C'est donc la forme usuelle de toute
conversation et la seule dont les étrangers doivent se
servir. On remarquera que, pour distinguer cette forme
de la troisième personne du pluriel, la 1. lettre s'écrit
avec une majuscule. Ex.:
Çaben ®ie blc 3«^tïï^8 gcïcfen? arez-vous lu le journal?
ééf fti^icfe S^tten {dat.) ein ^nàf je vous envoie un livre.
Sknn @ie tooQen si vous voulez.
L'on observera aussi qu'à cette forme de politesse
©te correspond l'adjectif possessif SifX, votre (non pas
eticr). Ex.:
^aBett @tc 3^xt Xantt geMen? avez-vous vu votre tante?
Avec cette forme de politesse, le pronom ®te doit
toujours accompagner le verbe à l'impératif; donc il
faut dire:
Donnez-moi geBen ©te mit et non geBeit mir.
Venez lommen @te. — Dites-lui fagen ©te i^m se.
§ 2. Au génitif singulier on dit aussi, dans le style
poétique, en omettant la terminaison et: meiît, bein^
fctn, pour metner, bciner, feiner. Ex.:
®ebenfe metn souviens-toi de moi.
§ 3. Pour les expressions françaises: moirmétne, toi*
même, luir^éme etc. on dit: id^ fcttft, bu fetbft, et fettft îc:
mais c'est le cas seulement quand ces expressions sont
employées absolument^ c'est-à-dire sans verbe et sans
nom. Exemple :
Qui a apporté cette lettre? — Moi-même,
©er IJat bfefen ©rief gebrad^t? — 3d^ felbjl.
Toutes lés fois qu'elles se joignent à un verbe ou
à un substantif, les pronoms personnels td^, bU, et tz,
ne se répètent pas. Ex.:
Il vient Im-méme te tommt feïBjl. (Non pas: er fertfl.)
L'homme lui-même ber SWaitn feïBfl.
124 SlBçon 25.
J'ai apporté cette lettre moi-même,
3(!^ ^be biefen 8nef felBfl geBra^t.
Nous TaTonB vu nous-mêmes.
SBir ^aBen e9 fe(B{l gefe^en.
(L'on voit que et, t d^ et ID t r ne sont exprimés qu'une fois) .
§ 4. Les expressions françaises c'est moi etc. se
rendent en allemand par id^ (in ed etc. Ainsi:
C'est moi ié^ Bitt ed (Bin'd) Est-ce moi? lïxt td^ e9l
c'est toi bu Bi{l ed est-ce toi? Mfl bu e9?
c'est lui cr Ifl e9 est-ce lui? Ift et e«1
c'est elle {te ifl ed est-ce elle? tfl fie e9?
c'est nous toit flnb e9 est-ce nous? j!nb toit e8?
c'est TOUS @te finb e3 est-ce tous? fittb @ie ed?
ce sont eux (elles) fie finb c9. sont-ce eux (elles)? finb fie e8?
Imparf, C'était moi tc^ tt)ar eS. Était-ce vous? maren @ie e9^ etc.
§ 5. Comme en allemand il y a trois genres, tandis
qu'en français il n'y en a que deux; comme de plus le
genre des substantifs ne répond pas toujours au genre
des mots français, les pronoms de la troisième personne
„i?^ et ^eïle^ doivent être traduits tantôt par et, tantôt
par ed et tantôt par fie, et ainsi de suite dans les autres
cas. Cela dépend uniquement du genre du substantif
que le pronom il ou elle remplace; c'est à quoi il faut
toujours faire gi^ande attention.
Exemples du nominaHf,
Où est mon chapeau? Il est dans votre chambre.
S33o ifl mein $ut1 (S t tfl in Surent 3tmmer.
Où est mon chat? B est dans ma chambre.^
So ifl nteine fia^e (/Vm.)? @ie ifl in meinem 3tmmer.
Où est le cheval de votre oncle ? Il est vendu.
SBo ifl bas $ferb 3]^re9 Ol^etmS? (Sd ifl tierfauft.
La glace est-elle grande? Oui, eUe est très grande.
Sfl ber @^iegcï grog? Sa, et ifl feÇr grog.
A qui est cette maison? EUê est à M. MûUer.
SBem gel^Srt biefeS $an9 (n.)% (&» ge^ilrt bem $erm 2J2filIer.
§ 6. La place des pranoms-régimes est toujours après
le verbe, et dans les temps composés, après le verbe
auxiliaire. Quand il y a 2 pronoms, î'accus. est le premier.
Exemples de Vaccttsatif.
Connaissez-vous ce garçon? Oui, je /e connais,
fiennen @te biefen Stnaltxt^ 3a, i$ lenne i^tt«
Avez-vous vu mon chapeau? Oui, je Tai vu.
^aben @ie meinen Çut (m.) ge* Sa, i$ (abe i^n gefel^en.
fe^^en?
Pronoms personnels. 125
Lisez-Tous Séjournai? Non, je ne le lis pas.
2efm ©le bte Scttuug ifém.)^ ÏIttirt, lâf ïefc |lc nld^t.
Vendez-vous ce livre? Oui, \e le vends.
35erfoufeîi @tc blefcS ©udj (n.)? 3a, Id^ toerïaufe cô*
Avez-vous bâti cette maison? Mon frère Ta bâtie.
io^m ©te biefed $aii9 (n.) gérant? Wltïn Sruber l^at ei9 gebaut.
Exemples du daUf et de t accusatif ,
1m donnez-vous le livre? Oui, je /e lui donne.
®eBeit @ie t(m ba9 Siid^l 3a, i$ gebe e9 t^nt.
Lui (/.) as-tu prêté ton aiguille? Je la lui ai prêtée.
$afl bu i^r beine 9{abel geliel^en? 3($ l^abe fie i^r geUel)en.
Leur avez-vous dit cela? Non, je ne le leur ai pas dit.
$a6en ©te ba9 i^nen gefagtl 9{eiR, id^ l^abe e9 i^nen nid^t ge»
fagt.
§ 7. Le pronom neutre le équivalent à cela se tra-
duit toujours par ed:
Je le sais bien id^ toeig %% kool^L
§ 8. Au pluriel les genres ne se distinguent pas en
allemand; iU^ elles et les se rendent par fie:
Je Ue connais id^ fenne {te.
Yocabnlairei
bte SufgaBe le thème. ' e^ren honorer; td^ fe^e je vois.
ber S^rm le bruit. erja^Ien raconter.
bte ©d^ad^tet la boite. t)erf^red^en [dot.) promettre.
ber S^l^Ier la faute. tserjeil^ett [dot,) pardonner.
(Bien entendre. offtten ouvrir; fd^on déjà.
berBeffem corriger. ïet^en prêter; f^)ieîcn jouer.
bie ®efd^td^te Thistoire. Ûberfe^ung la traduction, version.
Exercice. 60.
1. 3d^ rebe. 2)u loBji mid^. Sïjhafttl^n. ©ic ïennt uttS»
3Btr ^ôrcn Sic. Wkx l^ôren fie. 3d^ unb mcin Srubcr- ©ajl
bu bettte U6erfe$ung gemad^t? 3a, id^ ^Be fie gemad^t. SBo
^afl btt betn Sud^? 3^ l^abe e« tocrlorcn. §a6t il^r eure
ïufgafce gelcïnt? 3a, totï ^6cn fie gcïemt. Sld^ten Sic bief en
SRatnt? 3lcin, id^ ad^te il^n ntd^t, er i(t nid^t el^rlid^ (honnête).
Son toem fprcd^cn ®ie? Wa fprcd^cn t)on i^m — t)on il&r —
»on 3l^nen — tjon il^ticn. SDîctnc aWuttct unb id^, (totr) l^attcn
fccn Satm gel^Brt.
2. Oat 3]^ï Satcr e« feI6|l gcfagt? (St l^at c8 nid^t fcttfl
gefagt* SWcin Ol^eim l^at c« mit gcfagt* Sommcn ©te ? ff ommen
©tc.i) (gï^a^Icn ©tel) il^tn biefc ©efd^id^tc. 3c^ l^afee fte il^nt
fd^on cïja^It. aScr tfl ba? 3d^ 6in c« — Sï ifl e«. — SBir
1) Le @ie de l'impératif ne se traduit pas en fr.
126 Leçon 25.
flîitj'S. SBoKcn Sic t9 mit tocrfprecS^cn? 3(3^ »crfi)re(3^e t9
3]^ncn. ®mt> ©te c«, metn ^crr? 3a, ^ Bhi e8 (td^ 6m'«).
iKctn Satcr, tocrjetl^cn Sic mit btcfcn gcl^Ier; td^ toerfpTC^c
3]^iicn, mtd^ ju (de) bcffem. Set (chez) tocm too^nt 3]^tc
Xante? @te iool^nt 6et und* aReine ©d^tt^ejlev tft alter ate i(^,
a(er t(^ Btn grëger atô fle«
Thème* 61*
1. Ma sœur et moi. Toi et ton frère. Je t'estime (§ 6).
Tu m'estimes. Il l'estime. Elle tous honore. Vous honore-
t-elle? Punirez-Yous le garçon? Non, je ne le punirai pas;
je lui pardonne. M' entendez-vous? Je vous entends.
Entendez-vous mon frère? Non, je ne l'entends pas. Où
est ma plume? Je ne la vois pas. Voulez-vous me prêter
cent francs? Je vous les prêterais volontiers (gem), si je
les avais. Qui est là? Est-ce hà? Non, ce n'esi pas lui,
c'est elle. Ce sont elles.
2. Lui {/,) pardonnerez-vous? Je ne lui pardonnerai
pas ; car (bentt) elle ne se corrige pas. Lui as-tu dit cela?
Où est votre maître? Je l'attends. Ouvrez-moi la porte.
Je ne vous l'ouvrirai pas. Qui m'a envoyé cette botte? Je
ne sais pas ; un homme l'a apportée. Nous [nous] moquons
(toiï f^)Otten) de lui i^én.) — d'elle — d'eux. Parlez-vous
de (t)on) lui ou d'elle? Je parle de lui. Qui veut (tolH) jouer
Avec moi? Je n'ai pas [le]^) temps déjouer avec vous (dat,).
Conversation.
ffîo ip S^x ¥ferb? 3d^ ^abe e9 nid^t me^r (plus); \^
l^abe c8 \)erîauft.
Ser liâtes gefauft? (Sin (Snoianber l^at ed gefauft.
ffîer l^at S^nen btefe fdluxM ge« ïïfltmt ^àftot^tt f^at fie mit ge-
QtUn (donné)? geben.
«iebft bu mïâf ? 3a, id^ litU bid^.
Stebjl btt anà) melne Wlnttttl ^a, ïéf lïtU fte anéf.
Sorum toorteten @ie nid^t? ^âf batte feine S^ït gu marteu.
iahtn @ie tneinen Srief erl^alten? 3a, xâf ^abe i^n erl^atten.
$abeTt@ie l^eute bie3ettiing gelefen? 3d^ l^abe fte nod^ ntd^t gelefen.
SBer \}at biefed icax9 gefauft? (St9 tfl nod^ nid^t t>etfauft.
Set kotrb t9 faufeni ' 3d^ toerbe t9 felbfi faitfen.
2Ble pnben @le ble[e iïlrfd^en? 3dJ finbe fie fel^r filg.
iBer l^at Sl^nen ble3 gefagtl 3* çabe e8 fcïbfl gefel^en.
iSQBo i\t S^xt Zantt^ Sdp toeig nid^t; i$ l^abe fie l^ente
nod^ ntd^t gefeÇett.
5S)enfen (Bit oft (souvent) an mid^? 3d^ benfe fel^r oft an @te.
^er ge^t ba (qui va là)? 3d^ bin'S.
1) Voyez la note au bas de la page 114.
127
Vingt-sixième Leçon.
2. Pronoms démonstratifs.
(Çtewetfcnbe gilrtoBrter.)
Les pronoms démonstratifs sont:
S)iefer/e, 8 celui-ci, celle-ci; bted ceci,
jener, e, 9 celui-là, celle-là; jentô cela.
ba9 ce, cela.
betienlge, bteieniô^ ba^lenige j ^^^^^ ^^^^
berfdBe, btefelBe, baSfelbe
(eBenberfdBe, ebenbtefelbe, ebenbadfelbe)
ber n^mlifSft, bie nSmUd^e, bas nSmti^
même,
même.
1) !Dtefer et téner sont les mêmes mots que les ad-
jectifs démonstratifs (voyez p. 66); mais en qualité de
pronoms, ils s^emploient seuls , sans substantif. Ex.:
2)iefer i^at eS get^att celui-ci l'a fait.
34 f)>ted^e ^on ienem (Don jener .
Je parle de celui-là (de celle-là).
S)iefet ip neu, iener ifl a(t.
Celui-ci est neuf, celui-là est vieux.
i) Les autres se déclinent de la manière suivante:
nuuc,
N. berieittge
O. be^ient^en
D. bemientgen
A. bcniettigen
/ém,
bieienige
berjtenigen
berjenigcn
bieienige
neiU,
badientge
be0ieni(ien
bemientgen
ba^ienige.
Forme abrégée.
phiriel.
biejlemgen
berjenigen
benientgen
bieienigen
ceux.
[pour les trois
genres,)
N, bct
O. bcffen
D, bem
A. beit
bie bas celui, celle
beren beffen de celui
ber bem à celui
bie bas celui, celle.
bie ceux, celles
berer*) de ceux
benen à ceux
bie ceux, celles.
h o «
S ^ V.
Exemples.
9Rein dut unb berieni^e (ou ber') meineS l^ruberd.
Mon chapeau et celui de mon frère.
Unfere iïinber unb biejenigcn (bie') unfere» 9îad^bar8.
Nos enfants et ceux de notre voisin.
1) Ce mot s'emploie devant un relatif; ailleurs on a beren {en).
128 Leçon 26.
Hemargnies.
1] Le pronom neutre ce, devant le verbe éiref se
rend par biei^ ou bai^, et devant un pronom relatif, par
bad, dans ce dernier cas bad est souvent omis. Ex.:
C'est mon père bled (ou bad) tfl metn IBater.
Ce sont mes livres bad (bte9) flnb même ^lid^er.
Sont-ee là vos gants? flnb ba9 34re Çanbfd^u^e?
C'est bon bad ïft gut.
Ce que vous dites là bad xoa9 (ou SBad) @ie ba fagen.
2j Quand le pronom en remplace un substantif , il
se rend par le génitif de berfe((e, soit au singulier
soit au pluriel, ou par fetn ou il^r; mais s'il remplace
une pensée [une proposition), il se traduit par beffeti
ou bat)on.
Quelle est cette ruef
SBa9 fiir eme ©trage tfl bte9 ou bad?
Je n'en connais pas le nom.
Sàf fenne ben ^amtn berfelBen ou tl^ren S^amen nid^t.
Etes-Tous sûr que votre père vienne f
aSiffen @ie getoig, bag 3^c SSater îommen totrb?
Ten suis sûr iâf Un beffett getotg.
3) Ceci et cela se rendent parbtcôet jiened. Ex.:
Il entreprend tantôt ceci, tantôt cela.
C^r untemtmntt balb Ut9, (a(b jened.
4) Si en français cela est régi par une pré-
position, il ne faut pas toujours traduire littéralement:
en allemand on se sert plutôt de certaines contractions
du pronom avec la préposition. Quand celle-ci com-
mence par une voyelle, on intercale la lettre r. Telles
sont les formes:
bamit avec cela, en. bafûr pour cela,
baburd^ par cela. bat>or devant cela.
ba\)on de cela, en. baju I ^ t
bagegcn contre cela. babcl J ' '*
baneben à côté de cela. barauf | sur cela
barin en cela, y. bariiBer ( là-dessus,
baraud de cela, en. bantm pour cela,
baran à cela, y. batunter parmi eux (elles).
5) !DerfeIbe sans substantif a la signification de le
même : ber nctmltd^e. La déclinaison est semblable à. celle
de bcrjicntgc, c'est-à-dire l'article bcr, bic, baô devant felbc
se décline à tous les cas, et le mot fetbe suit la déclinai-
son de l'adjectif précédé de l'article défini :
Fionoms déxnonstratifs. 129
N. beifelBe biefelBe badfelbe PL biefelBen
G. bcdfeïbett berf«f6«n be«fcîbcn berfeïbeit
J>. bemfeïbeti berfeïben bemfelbcn benfeïben
A, benfeïBcn biefctbe bûôfeïbe blcfeïbcn.
Exemple.
^df i)aU benfelben ^el^Ier gemad^t.
Pai fait la même faute.
Remarque, Pour berfelbe il existe encore deux anciennes formes:
berfelBtge et felbtger, qu'on n'emploie plus guère aujourd'hui.
6) ©crfelBc remplace quelquefois un pronom per-
sonnel pour éviter un malentendu ou la répétition désa-
gréable de ftc; par ex. si l'on traduisait cette phrase:
Lorsque Charles le vit, il pleurait afô Baxi xffn \a^, mctntc
et; cet er se rapporterait plutôt à ^ar( et non à il^n;
on dira donc : 8lfô Saxl x^n \a^, toetntc bcrfclBc, ou mieux
encore :
(Sr tveinte, al9 Stax\ ï^n fal^.
Autre exemple : En parlant de vos gants, on peut vous
dire: ©abcn ®ic fie tocrtoren? mais on peut dire aussi:
$aben @te biefeIl6eR t>erIoren?
7) (SBcnbCïfctBc et bcr nSmltd^c signifient le méme^);
tous les deux s'emploient tantôt avec un substantif,
tantôt seuls:
3(^ ffàbt bie9 um bett ttSmltd^en (ou nxn ebenbenfelben) $reU
aefauft.
J'ai acheté cela au même prix.
^er â^uQs ^at bad n&mli^e gefagt.
Le témoin a dit la même chose.
Yobabnlaire*
bad SBanh le ruban. bte @eele l'âme,
ber @d^iffa(rer le navigateur. bie l^toUne le violon,
bte ®efunb|eit la santé. ber @d6tnfen le jambon,
ber Stnf(ug l'influence. teuer cher. rt(i^ttg juste,
ber $tlixptt le corps. gelefett lu. gerufen appelé.
Exercice* 62.
1. a)tcfcr iiat c« gctl^an (fait), ntcS^t {cner* Sd^ ^a6c jcnc
gcrufcn, nt(^t btcfc. 3Btr fpTcd^cn t)on bicfcm unb J)on jcncm»
®a« tjl nièit rid^ttg. 3fl ba« 3^r Çferb? ©înb ba« S^xe
fttnbcï? 3a, ba« ftnb même Smbcï» ©ter tjl mcin Çut unb
bcïicmgc (ou bcr) mctnc« SrubcrS* 3]^ïc Çanbfd^ul^c flnb fd^ôncr
ai« bicicnigctt (bte) mctncr ®^tt)c(tcr. îDtcfcg 93u(6 tjl teucrcr
al« j[cnc«. 3)a« tjl bcrfcftc (ber namlid^e), mit toeld^cm ®ic
gclontnten jînb»
2. 3d& ]^a6c ba« nSmli^e (ba«fcl6c) gcl^ôrt* ©iefcr SWann
1) Le latin: sV^m.
OTTO, Grammûre allemande. d
130 Leçon 26.
l^at fcitt Çauô toerfauft unt> baôicmgc (ou tai) feme« Sïeffeu.
àd^ ]^a6c meine Sû^cr unb 'Dxe^) metneS Çreunt>c« tocriorcn.
$a6en @te nod^ ton betfelÊett £tnte? 3a, td^ l^aÊe ttod^ bat)on.
3jl t>eï «nabc tm Çof ? 3a, cr ijl battu» îCcnïcn ®ie batan?
Wvt f)>red^ett bat)on* 3(^ iool^ne baneBett. Od^ 6in ntd^t bamtt
jufrtebcn.
Thème. 68.
1 . Celui-ci est riche, celui-là est pauvre. Ceux-ci sont
plus sages que ceux-là. Ceci est pour mon cousin, cela
est pour ma cousine. Mon papier est plus blanc que celui
de Charles. Ceux-là ne sont pas les plus malheureux qui
se plaignent le plus (fld^ am mcijlcn bcHagcn). C'est mon
père. Ètes-vous content de (mit) votre violon? Oui, y en
suis content. Jai lu le même livre.
2. La Peyrouse et Cook étaient deux célèbres naviga-
teurs; celui-là était Français, celui-ci Anglais. L'enfant a
perdu ses gants et ceux de sa mère. La santé du corps a
beaucoup d'influence sur celle de l'âme. Voulez-vous ceci ou
cela? Donnez-moi cela. Cela ne vaut (taugt) rien. Votre
père est-il au jardin? Oui, il y est. Voici du jambon frais.
En voulez-vous ? Donnez-m'en, s'il vous plaît (toctttt c8 dl^nen
belicÉt) ♦ J'y pense. J'en (bamit) suis content. N'en parlez pas.
3. Des pronoms possessifs.
{SBefl^^anjclgcnbe Prtcifrter.)
1] Les pronoms possessifs se formont des adjectifs
possessifs ntctn, bctn, fctn, unfer, gtcr, SffX, tl^r en y ajoutant
la terminaison tge et en les accompagnant de l'article
défini. Ils se déclinent comme tons les adjectifs précédés
de ce même article:
ber tneintge bie meintge ba9 meinige le mien, la mienne
ber beitttge bie betnige bas beinige le tien, la tienne
ber fclntgc bie fetnige bas felmgc ( , . i .
ber tÇrtge bie litige ba8 l^rige») ( ^® *'®''' ^ "®'^°®-
FI. bie meinige tt, bie beinigen, bie feinigett, bie il^rigen.
ber, bie, ba9 unfrige le, la nôtre pi, bie unfrigen
ber, bie baô S^rige ou eurige le, la vôtre bie S^rigen
ber, bie, bad i^rige le, la leur bie i^gen.
Remarqtie. On dit aussi ber, bie, bad meine ; ber, bie, bas beine se.
au lieu de meinige, beinige 2C., cela surtout dans la conversation.
2) n y a une seconde forme non accompagnée de
l'article ; elle se décline avec les terminaisons de Tarticle
défini. On l'emploie surtout dans le discours familier:
1) Pour biejenigen. — 2; Voyez Bemarque 1. page 67.
Pronoms interrogatifs.
131
mtmtv
bciner
feiner
unferer
euerer
i^rer
meute
beine
feine
i^re
unfete
euere
meinei^ le mien, la mienne
beined le tien, la tienne
ibreS ( ^® *^®^' ^* sienne
unfcred le, la nôtre
i^reS le leur, la leur,
Déclinaison.
SinffuUer.
maso»
N, meliiCï
G. mêmes
D. meinem
A. meiiscn
meine
meincr
meiner
meine
neutre,
metitei^
melned
meinem
meineS
pour
pi. meine
„ beine
^ f eitt e
.. t^re
^ unfere
,J cure
. ( 3^r e
« iljre.
Pluriel,
les 3 genres.
meine
metn e x
meinen
mein e.
Seifen^] Stïnb ïft badi
A qui est cet enfant?
Seffen ^fid^er finb badi
A qui sont ces livres?
39 ba9 3(r @tod?
Est-ce là Yotre canne?
Exemples.
@9 ifi bas metnige ou meined ou
C'est le mien. [bad meine.
(St9 flnb bte unfrigen ou unfere.
Ce sont les nôtres.
il^ein, ed ifi ntd^t ber meinige (ou
meiner), e« ifi ber Sljrige (31^rer,
ber 3^re). Non, ce n'est pas la
mienne, c'est la vôtre.
4. Pronoms interrogatifs.
(Swgenbe gfirtoBrtcr.)
1) SBetf qui? qui est-ce qui? SBad quoi?
N. tûtt qui? qui est-ce qui? tt>a8 quoi? qu'est-ce qui?
Q, tocffen*) (\)on tt>em) de qui? teeffen (toon t»a8) de quoi?
I>. toem à qui? toaS que, quoi?
A. n>en qui?
SBer se rapporte toujours aux personnes, tant au
singulier qu'au pluriel. SB a 9 se rapporte aux choses.
Exemples.
)SSer tommt ba? qui vient là?
SBer finb btefe Çerreni qui sont ces messieurs?
SBeffen @tod l^aben @ie gerbrod^enl (de qui avez-vous cassé
la canne?) à qui est la canne que vous avez cassée?
SBem geben @te btefen 8rief? à qui donnez-vous cette lettre?
)SSad kooSen @ie? que voulez-vous?
%n tt)a8 ben!en @ie1 à quoi pensez-vous?
2) Quand le pronom interrogatif neutre ipad est
précédé d'une préposition, on les contracte d'ordinaire
1) ^effen suivi du verbe fein (être) dans le sens d appartenir
se traduit par à qui: SBeffeu $ut i^ bicfeS^ à qui est ce chapeau?
9*
132 Leçon 26.
en un seul mot : le pronom est représenté par la forme
tpo, mais par IDOt quand la prépos. commence pHr une
voyelle. Ainsi :
tt>o))on? « i^on mad? de quoi? kooran? à quoi?
moturd^^? par quoi, par où? kooraud? de quoi?
koomit? avec quoi? koorin? en (dans) quoi?
tt)oBci? près ou h, côté de quoi? ttîotauf? 1 .„, ^„^:o
iDofilr? pour quoi? œorilber? f "'*' ^^^^^
tt)03U^ à quoi? tDOVunter? sous quoi?
Exemples.
SBotoon f^red^en @ie? de quoi parlez-vous?
SQ3o)U (ou )u kDa9)'bient bas? à quoi cela sert-il?
SSoran (ou an koad) benffi bu? à quoi penses-tu?
3) Toutes les fois que les questions directes se trans-
forment en interrogations indirectes, les pronoms restent
les mêmes; ils adoptent seulement le caractère de pro-
noms relatifs, c^est-à-dire qu^ils exigent le verbe à la
fin de la proposition (v. p. 134). Ex.:
Question directe. Question indirecte,
Btx f)at bie9 gefagtl SBiffen @ie, ko er bief gefagt ^at?
Qui a dit cela? Savez- vous ^tit a dit cela?
SBaS koiinfd^en <Sie? ^a^tn @te mit, ko a 9 @ie ko fin -
Que désirez-vous? fcÇen.
Dites-moi ce que vous désirez.
SBoran (ou an koad) benfen ^\0. 3^ toeig, tooran ®te benfett.
A quoi pensez-vous? Je sais à quoi vous pensez.
SoriiBer \^é^i man? 3^ Begretfe nid^t, koorûBer ntait
De quoi rit-on? lad^t.
Je ne conçois pas de quoi Ton rit.
4j Outre toer? et tpad? les adjectifs interrogatifs
toctd^er, tocld^c, tocld^eô? feyw^/, laquelle^ et tt)a^ fur
etn? quelle sorte de^ s'emploient aussi comme /?r{mof7?5
interrogatifs absolus^ c. à d. qu'ils ne sont pas jointe
à un substantif. SBcId^cr ne change rien à sa décli-
naison ordinaire (voyez p. 16 et 66, § 2), ti). f. Ctn se
décline de la manière suivante.
Singulier,
masc, fém. neut.
JV. toa« filr elncr load filr tint koa« fllr cinc«
G. xoaB fiic eined toad fiir etn et toad fur etned
D. toa9 fiir etnem toad fût einer mai fût einem
A. toa9 far einen toa9 fiir etne koad fiir eine^.
Pluriel.
ko a 9 fiir (pour les trois genres).
Pronoms interrogatîfs. 133
Exemples.
^aBett @ie tnein ^nâ) gehtnteti? — ^tl&t»^
Avez-vous trouvé mon livre? — Lequel?
SSeld^er t>on Sl^ren @8^nen ^at ben ^retd gemcnneni
Lequel de vos fils a gagné le prix?
ÇoBcn @le cinc Ul^r geïauft? — Sa» fflr elne? — @iuc ptBerne
Avez-vous acheté une montre? — Quelle (sorte de) montre? —
Une montre d'argent.
Yooabnlaire*
bie <3Aere les ciseaux. 9c^^fPfi odieux.
bie BrieftafAe le portefeuille. teuer cher, l^art dur.
ber ffîogen la voiture. f^tDat) noir, tva^r vrai.
ba9 ^qxtïh'bnâf le cahier. flo^fen frapper.
bie 2ÛQt le mensonge.
Exercice. 6é*
1. SBcIé^cS tjl 31^r $ut, Wcfcr otjcr jcncr? ©tcfcr tjl e«.
Son t»eI(J^cm ^au^t jprcd^cn Sic? SBtr fprcd^cn Don t>cm (bcm*
jentgcn) bcô Çemt ®att. S)tcfcr ©artcn unb bcr meracô 9tad^«
bord f!nb 3U Derlaufen. 2Retn $aud tft iteu, bad dl^rtge (ou
3]^rc8) ijl ait ©cm Sleib tjï Blau, 3]^rc8 (t)a« Sl^rigc) tfl
grûn. SBer l^at biefed 93ud^ gekad^t? àè) f(^ret(e an tnetnen
Satcr, t>u f^ïctbfl an bcincn (t>cn bcmtgen), 8tobcrt fd^rctSt
an fetnen.
2. SBtc pnbcn ®tc mctncn ©attcn? 3(3^ pnbc il^n grôger
ate bcn tnctntgcn, afcet ïïctncr al« b c n (bcnjenigcn) tnctncr îante.
SBo flnb ai^TC gcbem? SBcId^c? 3]^rc ©tal^lfcbcm. ®tc finb
bci (avec) bcn Ol^rtgcn» §icr flnb cintge gcbem ; tocld^c tooHen
6ie? 3d^ totfl btc ^Srtcjlcn- a33a« foH ^ fagen? a33cl(^c« t)on
bicfcn iKcffcrn toollcn ®ie ïaufcn? Son toa3 (toot)on) fprc^cn
@ie? SBad ijl gel^Sffiget ate bte Sûge? SCotûbet beltagen @ie
pd^ (vous plaignez-vous)? SBoran bcnït 3^r ^cunb? SBoju
braud^en @te meine @(^ere? SComtt ^aben @ie ben $unb ge«
f^Iagett (battu ou frappé)?
Thème. 65.
1 . Quel est votre cheval, celui-ci ou celui-là ? Celui-ci
est mon cheval, celui-là est à mon frère. Vous parlez de
celui-ci et de celui-là. C^est bon. C'est mon père. Ce sont
mes sœurs. Voici mon portefeidlle et celui de mon père.
Voici mes gants et ceux de ma sœur. Qui vient là? C'est
moi. Laquelle de vos filles est fiancée ()>er{obt)? J'ai trouvé
un anneau. Quelle sorte d*anneau est-ce? Votre manteau
est vieux, le mien est neuf. Mon fils ne travaille pas beau-
coup; le vôtre est toujours appliqué.
2. Mon chapeau est aussi (ebenfo) beau que le sien. Vos
134 Leçon 26.
roses sont très belles, mais elles sont moins belles que les
miennes. Votre voiture est aussi chère que la mienne, mais
elle est moins chère que celle de T Américain. De quoi parlez-
vous ? A quoi pensez- vous ? Dites-moi à quoi vous pensez.
Qui est-ce qui frappe à la porte? Est-il vrai que vous ayez
vendu [r]un de vos chevaux? Oui, c'est vrai. Lequel? Le
noir. Lequel de vos élèves est malade? C'est Frédéric.
5. Pronoms relatifs.
(^t^çfXéit pnoBrtec.)
Les pronoms relatifs représentent un mot qui
précède. Ils e:!Ligent le verbe de la proposition incidente
à la fin. Ce sont:
qui 8^ emploient indifféremment. Yoy. Rem. 1.
Déelinaison de ^eld^etr, tteld^e, tteldled*
SinguUer.
Pluriel
masc.
fém.
neutre.
Pour tous le$ genre;
N. tocl^er
toeld^e
'mtXé^ti qui
beffett aont
tDeld^e qui
Q. bcffe»
beren
beren dont
D. toeld^em
tocIAer
tûtii^tm à qui
toeldben à qui
tDel^e que.
A. tatiéim
koeldpe
toel^eS que.
Déclinaison du
pronom relatif betr, bte, bai»*
Singulier,
PltmeL
mate.
fém.
neutre.
Pour tous les genres.
N. ber
bte
bad qui
bte qui
G. beffen
beren
beffett dont
beren dont, desquels
D. bem
ber
betn à qui
ben en à qui
A, ben
bte
bas que.
bte que.
Memarques.
1) ffictd^et et ber ont à peu près la même valeur;
le premier, étant de deux syllabes, a l'avantage. de
l'emphase, Tautre, étant monosyllabique, celui de la
brièveté. G^est donc Teuphonie qui doit décider. Cepen-
dant après un pronom personnel il faut employer ber,
bte, b a d , et quand il y a deux pronoms relatifs dans une
phrase, il ne faut pas employer deux fois le même. Ex.:
$ier ifi ber Sein, ben (ou toeïd^en] @te loerlangt ^Ben.
Voici le vin que vous avez demandé.
SBo ïft ber ^ann,, xotlâftx (ou ber) ben iBeutel Uaâ^tt, ben
{mié^tn) et gefunben (atl
Où est rhonune qui a apporté la bourse qu'il a trouvée?
Sàf fenbe 31&nen bte 2:afd^entiid^er, to eld^ e ou b t e @ie gefauft ^abcn.
Je vous envoie les mouchoirs que vous avez achetés.
Pronoms relatifs. I35
<Sr, ber (et non mlâftt) fo t>Ut ffir miâf getl^an l^at
Lui qui a tant fait pour moi.
Noté. 2)effen, beren etc. n'étant que possessifs, dont, de qui,
duquel, lorqu'ils n'ont pas ce sens, se rendent par bon avec le
pron. reL au datif: tûttqtm etc.; p. ex.:
2)er SD^onn (2)a9 fduâf) bon totlàftm <Sie f^rcé^en.
L'homme (le livre) dont vous parlez.
2) Quand le génitif dont beffen ou beren est ac-
compagné d^un nom marquant l'être possédé, ce dernier
se met immédiatement après beffen ou beren, et Ton sup-
prime l'article défini du français. Ex.:
SDcr «rbeiter, bcffctt grau gcjlcnt aeftorben tfl.
L'ouvrier dont la femme mourut nier.
2)er ^aiQofe, beffen &offn @ie lennen.
Le Français, dont vous connaissez le fih.
3) Quand une préposition précède le substantif ainsi
employé avec le génitif duquel^ de laquelle etc., en
allemand ce génitif beffen ou beren se place immédia-
tement après la préposition et précède le substantif, qui
perd Tarticle. Ex.:
Le comte avec le ftls duquel tous êtes arrivé.
2)er ®raf, mit beffen ©o^n @ie ongcfommen jinb.
Les domestiques à la probité desquels on peut se fier.
S)tc ©cbienten, anf beren @ïirtid^feit man fiti^ tjeiïaffen fann.
Note,^ L'accusatif XotXâ^tVL, koeld^e, tveldd e 9 , i?/. toel^e, s'emploie
quelquefois pour rendre le français^ m (bat>on). Il peut du reste
être omis en allemand, ce qui est fréquent. (Voyez Remarque 1.
p. 141 & 142.) Ex.: ^ V / 1 »
Avez-vous du vin? Oui, j'en aï.
ÇaBett @te ffîetn? 3a, id^ ^ûBe, ou ïé^ ^alèe toeidjen.
Voici des pommes; en voulez- Donnez-m'en, s'il vous plaît.
©icr flnb t'p\t\, njotten @ie ba- 31^nen BeïleM.
\)on (ou tocld^e?)
4) Quand les pronoms relatifs sont précédés d'une
préposition et qu'ils se rapportent à une chose et non à
une personne , la même contraction peut avoir lieu que
pour le pronom interrogatif (voyez p. 132); p. ex.:
toomit, au lieu de mit tocïd^em, mit toe%r, —en;
toortn, au lieu de in tt)eï(3^em, tu xot^tx, in toeli^en;
n}o)»on dont, — tooburd^ par quoi, — tooran à quoi etc.
Exemples.
S)er @d^îfi|îet, toomit (mit xot^tm) i(3^ bie ^^iire gffnete.
La clef avec laquelle j'ouvris la porte.
2)ie ®ï&fer, tooranô (ou an8 toeï^en) tuir getrunteu taBen.
Les verres dans lesquels nous avons bu.
136 Leçon 26.
^ad fleine Sitnmer, n^orin (ou in tt>eld^em) ià^ f^Iafe.
La petite diambre où je dors.
Tocabnlalre.
ber @d^nee la neige. ttUné^tm éclairer.
etDtg étemel. iiffneTt ouvrir.
Bebedt couvert. bte @(]^ad^tel la boîte.
ertD&rmen chauffer. tôt ou geflorBen mort.
bte @onne le soleil. ad^tttna8tt>ert respectable.
ber j3)teb le voleur. gerbro^en cassé.
ble 3JfIi(i^t Je deioir. l^Un, v. rég., compter.
Exercice. 66.
Çicr ijl ein armer SDtann, toclcl^cr (ou ber) um etu SHmofen
bittet (demande l'aumône) , îCer ©ut, toeld^cn (ben) @ie fur
S^xtn ©ol^n gcïauft l^aBcn, ijl fcl^r teucr. 3d^ ïcnne bie Çrau
nid^t, Don toelé^er ©te cmcn Sricf crl^attcn ^a6cn. fternien
©le bcn Çerm, t>on toeld^cm totr f})reé^ett? ©ter ijl ber ^a6e,
bem iif mm SSud^ geltel^en l^abe. (Sd gteBt (il y a) Serge,
toeld^e mit ctoigem ©^nee fcebcdtt flnb unb bte man ®Ictf($eï
(glaciers) nennt. ©te ©ame, beren ©ol^n 3]^r ©d^iUer ijl, t»trb
morgen anïommcn* S)tc ©onnc ijl e« (c'est), tocld^e bte Œrbc
crlcud^tct unb ertoSrmt.
Thème. 67*
L'homme qui a pris (§enommen) votre montre est un
voleur. La maison que vous avez vue est vendue. Le livre
que vous avez lu (gelcfen) est très connu. La femme dont
(de (j)Oît) laquelle) vous parlez est morte. Voici le mon-
sieur à qui j'ai ouvert la porte. L'Espagne est un pays
qui a beaucoup de hautes montagnes. Le pauvre qui remplit
ses devoirs est plus respectable que le riche qui les néglige
(t)ernad^Iafftgt] . On a trouvé la clef avec laquelle le voleur a
ouvert la porte. La boite dans laquelle était mon anneau est
cassée. Avez-vous encore le domestique isur (auf) la s pro-
bité 2 duquel (§ 3) vous comptiez? Non^ je ne l'ai plus:
il est mort. Où sont maintenant {\ti^t) les amis sur le se-
cours ($tlfe) desquels nous comptions?
Pronoms corrélatifs.
1) Les pronoms démonstratifs berjientge, berf e((e 2C.
joints à un relatif, s appellent j^ronom^ corrélatifs. Ce sont:
Jllaac. berienige, mtâftx (ber) ou ber, ft>eld^er celui qui.
berfeUbe, ebenberfed^e, toeld^er ou ber le même qui.
Fém. bieienige ou bie/melci^e ou bte celle qui.
biefelbe, ebenbiefefbe, tDeId^e*ou bte la même qui.
Pronoms corrélatifs. I37
Neut. badiemge, mettes celui qui, ou bas, toad ce qui, ce que.
baSfelBe, eBenbaSfeKe, toetd^ed ou bas le même qui.
Plur. bieientgett ou bte (fold^e), toeld^e ceux ou celles qui.
btefelben, ebenbiefelBen, melci^e ou bie les mêmes qiu.
Exemples.
a)erj[cttl0e (ou ber), toe^cr tiîgenb^aft Ifc tolrb gïMld^ feln.
Celui qui est vertueux sera heureux.
3)a8iemge (tfest-à-dire ©udj), koeld^es iâ^ eBen getefen IJaBc.
Celui que je viens de lire.
3)teientgen, toeld^e retd^ koerben mcflen }c.
Ceux qui désirent s'enrichir etc.
Soldée {Zïttt), tDcId^e tm SBinter fci^kfen }c.
Ceux (les animaux) qui donnent en hiver etc.
2) L'un et l'autre doivent être déclinés selon le
rôle qu'ils jouent dans la phrase. Ex.:
2)ericnige, bem id^ bief en ©ti^tilfîcï gcBe îc.
Celui à qui je donne cette clef etc.
3($ geBe ed bemienigen^ totiâ^tn iâ) am tneiflen lïtU.
Je le donne à celui que j'aime le plus.
3^ ïenne bcnjcnlgen {ace.) nid^t, ben (ou toeltS^en) @tc fennen.
Je ne connais pas celui que vous connaissez.
3} Ces pronoms corrélatifs sont quelquefois représen-
tés par un seul mot, savoir: berjentge xodâftx par 9Ber, et
ba^ienige meld^ed ou ba6 tx>a^ par SB a 9. Ils exigent ^-
lement le renvoi du verbe à la fin. Cette forme ne
peut s'employer que lorsque les deux pronoms corrélatifs
sont au même cas, généralement au nominatif ou à
laccusatif. Ex.:
SBer bie ïugenb tieBt, i|l QÎûdlïé).
Celui qui aime la vertu est heureux.
©a« jeredjt ip, bcrbient 2oB,
Ce qui est juste mérite des louanges.
Sa 9 [â^^n i% tfi nici^t immer qnt
Ce qui est beau n'est pas toujours bon.
4) 2Ber et toa^ sont quelquefois renforcés par l'ad-
dition de auçff, ou tmmcr, ou anàf tmmcr. Ex.:
et @ie aud^ fein mi5gen qui que vous soyez.
SBer aitd^ ou SBer auâf immer bte9 gefagt ^at.
Quiconque a dit cela.
SBad et an(ff ou Sa8 er attc!^ immer terlangt.
Quoi (que ce soit) qu'il demande. *
138 I^eçon 26.
5) La forme neutre ce qui, ce que, se rend par ta^,
toaô et non baôjentgc maô. Ex.:
®ad, toad fd^Sn x% tft ntd^t immer gut.
Ce qui est beau, n'est pas toujouis bon.
6] ToîU ce qui (g't^) se rend par Slded Voa^, et non
aaed bad mad. Ex.:
Sfled, toa9 @te toctten tout ce que vous youdrez.
Yocabnlaire.
tere^ren adorer. Unred^t tort. fegnett bénir,
bas ®etDtffen la conscience. bie SrBett le travail.
utQUfcieben mécontent. bad ®t]âftnt le cadeau,
bie @trafe la punition. bie SBal^rl^eit la vérité,
bie (S^rlid^Ieit la probité. bie WlzïnvmQ l'opinion,
bie Sfige le mensonge. gel^or^en obéir.
Exercice. 68.
2)cricntgc, tocIcS^cr ®ott ïcmtt, i)crcl^rt tl^n aud^. SBc^ct
9Rcnf(i^ tji gWdltd^cr: bcr, toel^cr arm, abcr jufriebcn tji, ober
bcr, toeli^cr rcid^ unb uncrfattïtcS^ (insatiable) ijl? ©cricntge,
tDctd^cï Tct(3^ tfl, tjl tttd^t tmmcr jufrtcbcn. S)tcicntgen, tocïdjc
unjufricbctt flnb, jtnb ntd^t gliidlii!^» SBer feine Çfltd^t (devoir)
crfiilit, ijl tin recj^tfd^affcncr Wtarm. 8te6et bte, bie eu(^ t>cr*
foïgcii; fegnet bie, bie eud^ l^affen. ©erjenige, toe^et Sl^tien
bicô (ba3) gefagt l^at, l^at nid^t bie SBal^rl^eit gefagt» ®c6ai
©ie biefe« 8u($ bemienigcn, toeîd^er am fïeigig^cn fein tottb.
©agcn Sic t9 bcnen (benjentgcn), tocl(!^c im ^mmex geMicboi
(restés) finb« St fagte mir, toad er iDoQte* SSet Unred^t tl^ut,
l^at cin 63je« ©ctotffen. 2Bcr feinen Sttem unb Sel^rcm ui^t
gel^oij^t, t)etbient (mérite) eine @trafe« Wit9, toa^ xif tefe, ifl gaU
Thème. 69.
Celui qui vous a fait ce cadeau est très aimable. On
n'a pas une bonne opinion de ())on) celui qui parle mal (935fed)
de ses amis. Ce qui est vrai est toujours bon. Ce que vous
me dites là est im mensonge. Il parle de tout ce qu'il com-
prend ())er{le]^t). Celui qui est content de (mit) peu est
heureux. Celui qui travaille ne trouve jamais (nie) le temps
long. Ceux qui sont mécontents sont malheureux. Ceux qui
ont de l'argent ont aussi des amis. Je donnerai ce livre à
celui qui sera le plus sage. Je vendrai tout ce que j'aL
Ceux qui n aiment pas le travail s'ennuient (taitglseilen ftâjf).
Conversation.
3fl 3^r @o]^n alter a(8 ber nteintge? ^dxi, metner if} jûnger*
9Bie ait tft er? @r ip 10 3a^re ait.
$ier ifl etn $ut; if} eS ber 31^rtge 9{ein, bas i^ ntd^t ber meintgc;
(ou givrer)? mciner ifl ganj ne».
Pronoms indéfinis. 139
8înb bas 3^re Çanbfd^u^c? Sa, ba9 finb metne.
Btlé)t9 finb bie $f[an)en, toe^on Staxtofidn, Stem (blé), 9ttï9 (ris)
toit leBen (TÎTons)? uni t>tele anbere.
SBomit l^afl bn Un SttuAtn ge« 3^ (aBe tl^tt mit tneinem &todt
fd^Iagen (frappé)? gef&Iagen.
3fi bief et ®arten )u berfaufen? iRtd(|t biefer, aber ber metneS 9laâ^*
tars.
Sad faote Sentit bet iBebiente? (Sr fagte mit, toa9 et ge(5rt ^atte.
Sdd^e aRcnfd^ finb bie nnglildt* 2)ieientgen, toel^e mit oHern un)u«
Hd^flen! frteben finb.
Seffen ^ttlUuâ^ ift bies? (Sd ifl bas Sj^res ^à^ûltti,
Xn (à) toen fd^reiBen @te biefen 3A fd^reibe t^n an meinen Serrer.
©ïief?
3^ ba9 tti^t mein ®(a91 92ein, es ifl bad bes Çerm (&tûxL
Set ^at immer gemig? S)er jnfriebene Sl^enfd^.
Bm ^aUn @ie getabeltl SDf^eine trSge ^d^iilerin.
IBaS ^offt ber 3fcenf(]^ am meifien 2)as, \oa9 er toiinfci^t.
(lejilus)?
let Ko
Set flo^ft aa bie S^Hre? 09 ifl ber ®d^neiber, meld^er Sl^ten
neuen 9to(f bringt.
9Ba9 toerben @ie t^unl 3(]^ toeig ntd^t» toaS iâf tl^un foO.
Vingt-septième Leçon.
Pronoms et nombres indéfinis.
I. Pronoms indéfinis.
(UnBefltmmte gfirtoBrter.)
Ces pronoms sont nommés indéfinis^ parce qu'ils
ne désignent les personnes ou les choses que d'une
manière vague et indéterminée. Ce sont:
^QLW on.
Cincr un (seul); — iïeiner ne — aucun.
®nanber Tun Vautre, l'une Tautre.
3ebermattn tout le monde.
3emanb quelqu'un.
^iemanb ne — personne.
@elbfl . . . même.
Sttvad quelque chose.
WicÇtfl ne — rien.
(9ar ntd^td rien du tout
Remarques.
1) (Etnanber est invariable et s'emploie comme ré-
gime direct ou indir. ; mais avec lui le pron. réfl. franc,
n'est pas rendu. Ex.:
jtart unb ffîil^elm tranen einanber (dot.)
Charles et Guillaume se fient l'un à l'autre.
140 Leçon 27.
2>ie ^totï %xantn tieBen einanber {ace).
Ces deux femmes «'aiment Tune l'autre.
2) Scbcrmann tout le monde, prend un d au géni-
tif; aux autres cas il reste invariable. Ex.:
®itte9 t^un t|l iebennannd ^jltd^t.
Faire le bien, c'est le devoir de tout le monde.
®tU iebermann {daê,), toad il^r (il^m) fdftulbig felb.
Donnes à chacun ce que vous lui devez.
3) Scmanb etSîtemanb prennent cô ou d au génitif;
au datif et èi Taccusatif, ils peuvent prendre en ou rester
invariables. Ex.:
Qeneibet memanbe9 ®tM.
N'enviez le bonheur de personne.
iDleitt ïflcL^hax let^t ntemanben (non pas ntemanbem] ®elb.
Mon voisin ne prête de l'argent à personne.
3d^ f^alt jemanb (ou iemanben) angetroffen.
J^ai rencontré quelqu'un.
4) @e(bft est un adjectif indéclinable et suit les
noms, comme en français lui-même, votes-même etc.; mais
alors le pronom personnel joint à même ne se traduit
pas (Voy. p. 123 § 3). Ex.:
Mon père lui-même mein S3ater felbfl.
J'irai à Paris mot-même,
3d^ toerbe felBfl naâ) $atl9 ge^en.
Yoeabnlaire.
ber iE)^ei|ler le maître. Begeonen rencontrer.
bet ffîeife le sage. ber î^aralter le caractère.
ber %t^tx le défaut, la faute. I^elfen aider, reif mûr.
ba9 ©etotffen la conscience. Kojpfen frapper.
ber $rei9 le prix. l^SfUd^ poli. Befd^etben modeste.
terleumben csdomnier. im ou tn9 Zîftattt au théâtre.
bie @timme la voix. gelel^rt savant.
Exercice. 70.
SRatt tfl ilMixâ), t)}entt man }uftteben tfl. Tlcat glauBt
ed ntd^t, toemt man ed ntd^t flel^t (voit)« ©old^e Dtnge fiel^t
man ntd^t {eben £ag. Stner tfl unfer Wlex^tt. Peiner ift ol^ne
Sel^Iet. ftetner t>on und l^at ben $retd getoonnen (gagné)*
debermann toûnfd^t retd^ }u fein. Sejal^It iebermann t)}a9 S^x
fd^ulbtg fetb (devez)! S(o))ft j[emanb? bii l^dre iemanben
@timme* 9{temanb t^ fo gele^rt, ba§ er oQed tDetg« Der loal^re
SEBetfe (eneibet bad ®tûd( ntemanbed; er i^erleumbet niemanb.
£]^ut nie (ne faites jamais) ettDad gegen euer Oetoiffen! 3)tc
9Renfc!^en foïlen einanber ^clfen*
Fronomfi indéfinis. 141
Thème. 71.
On chante, on joue et l'on danse. Tout le monde
veut (tDtU) être heureux. Soyez poli envers (gegen) tout le
monde. Personne [ne] fut plUs riche que Crêsus (ftrdfud),
et personne plus modeste que Socrate. Avez-vous vu quel-
qu'un dans ma chambre? Je n'y (battît) ai vu personne.
Nous avons quelque chose de meilleur. Savez-vous (ti)tf[en
@te) quelque chose de nouveau? Nous ne savons rien.
Nous n'avons rencontré personne. Y a-t-il (tfl) quelqu'un
à la maison? Non, tout le monde est aUé au théâtre.
Nous nous aidons l'un l'autre. Ils s'aideront les uns les
autres. Avez-vous quelque chose à me dire? Non, je n'ai
rien à vous dire. On ne peut pas connaître le caractère de
tout le monde.
II. Nombres indéfinis ou généraux.
La plupart de ces mots sont déclinables; ils sont
tantôt absolus, tantôt conjoints, c'est-à-dire qu'ils peu-
vent s'employer sans substantif ou avec un substantif.
Dans ce dernier cas ce sont des adjectifs indéfinis
(voyez p. 68), dans le premier de véritables |>ro»or/ii.
indéfinis. Dans ce chapitre nous ne les considérerons
qu'à ce dernier point de vue. Les voici :
3eber, t, t% ou ein ieber^) chacun.
(Siner, e, t% quelqu'un.
S)cr cine — bcr anbere, ^lur, bte cinen — blc anbercn l'un —
l'autre; les uns — les autres.
(Stit anberer un autre.
(Sinige quelques-uns; anbere d'autres, autrui.
SDland^er tel, maint homme, plur, mandée.
Seibe l'un et l'autre, tous les deux.
9Re]^rcre plusieurs. — 2)te meiflen la plupart.
Siel beaucoup; plwr. toiete bien des gens.
SBenig peu; jplur, toenige peu de gens.
Mes tout; plur. atte tous.
2)er, bte, bas nSmlid^e le même, la même chose
Aeiner, e, t% ne — aucun.
Srgenb cltter, t, es quelqu'un, une personne quelconque.
Remarques,
1) Il faut encore faire mention d'une expression, qui
peut être regardée comme une espèce de nombre indéfini,
1) SebtDeber et ein ieglid^er sont moins usités.
142 Leçon 27.
c'est: toîlâftn, meld^e, totiâft^, signifiant etnigen, etntge,
eintged, pour rendre le partitif fr. en. Ex.:
ÇaBen @lc guteti SBetn? 3a,^ »lr l^aBeii xotléftn.
Ayez-YOUB de bon vin? Oui, nous en avons.
SSoQen ®ie 8ter l^aBen? 3a, geben @ie mit toeldfted.
Youlez-yous de la bière? Oui, donnez-m'en.
S^erfaufen @te ZahaV. 3a, id^ terfaufe toeld^en.
Vendez-vous du tabac? Oui, yen vends.
ÇaBen @ie nod^ ton btefen (Si> 3a, i^ l^abe nod^ toeld^e ou babon
garren? ^ ou 3a, id^ babe nod^.
Avez-vous encore de ces ci- Oui, j'en ai encore,
gares?
Ce]}endant le mot en ne se traduit pas toujours; on pourrait
aussi bien dire simplement: 3a, toix l^aBen, — âa, id^ terfaufe K.
2j Le pronom français quiconque se rend en alle-
mand par: 3eber, ber, quelquefois aussi par toer anéf
nur ou toer auâf tmmer. Ex.:
Quiconque est riche peut faire de pareilles dépenses.
3eber, ber reid^ ifl, lann fold^en 9(uftt>anb mad^en.
Je le dis à quiconque veut l'entendre.
3d^ fage e9 Jebem, ber es l^Btett ïoiU.
Yocabnlaire.
ber Sellier le défaut. el^emals autrefois.
bic &fa^run^ l'expérience. ber itamerab le camarade.
(enciben envier. abfd^relBett copier.
petten mettre, tangen danser. fremb étranger.
tad^cn rire, f^otten se moquer. Befd^mu^en salir.
anl^ilren écouter. Berett prêt.
Exercice* 72.
®cr ctne tfl cin Sranjcfc, ber aubcrc etn ïmcrilaner.
Stntge fmb fletgtg , onbere flnb trSge. Seneibe ttid^t ba^ ®(ûcf
anberer. 9Rand^er lauft unb (ejal^It ntd^t. Dtefe jtDet ^a6en
^abcn cittonbcï gcfd^ïagcn (battus). Unfcr fjrcunb fprtd^t toon
aUem* débet (ou etn jeber) l^at fettte ^éf^ltt. Wlaaiit l^aben
bte nSmltd^e (Stfal^rmtg gemad^t. SRel^rere l^aBen bad nâmltd^e
gefel^cn» Sielc »o» meinen tJreunbcn pnb gcjtorten (morts).
@))ottet ntd^t ilSer anbere« Setner toax iexext
Thème* 78.
Chacun veut avoir raison (8ted^t). L'un était riche,
l'autre était pauvre ; l'un et l'autre étaient malheureux. Les
unes dansaient, les autres jouaient. Ces deux frères se res-
semblent (g(eid^en) Fun à Vautre, Ne blâmez pas les travaux
d'autrui. Tel rit aujourd'hui qui ne rira plus demain. Cha-
cun a ses défauts. La plupart de ces pommes sont mûres.
Pronoms indéfinis. 143
Pardonnez à chacun ses faiblesses ((Sd^toëd^en) ; car tout le
monde a les siennes. Quelques-unes de vos belles poires
sont pourries (faulj. Quelques-uns de mes camarades sont
malades. Le Aère et la sœur sont [tous] les deux [ou l'un
et l'autre] très aimables. JTai tout vu. Tel est riche au-
jourd'hui qui ne Tétait pas autrefois, et tel est pauvre au-
jourd'hui qui ne l'étsdt pas encore hier. Y a-t-il (gtebt e9)
des étrangers dans cette ville? Oui, monsieur, il y en a.
Quiconque salira ses cahiers devra les copier de nouveau
(noc^ emmal abfd^tetben)*
Conversation.
SSonn (quand) tfl mwx reid^l SBenn man ^ufrieben i^.
39 jiemanb bal Sfltixt, ed tft ntemanb ba.
SBoDon f^eé^en ®ie? SBtr f:t>red^en ton attem.
»a§ fûgte 3ïir Çrcunb? (gr fagte nld^tê.
fBU tiele ©d^ûTer l^al&en ete« 3i^ Ij^abe mel^rere.
(Segen tt>en foll man l^iiflitj^ feinl @egen iebermann.
93a9 mad^en biefe Sentcl 2)te einen tefen, bte anbem fd^reiben.
SBcig biefer ilJ^ann alle9? 91tentanb loetB alle9.
Sieben bie lOrilber einanber? 3a, fie Heben einanber.
fBer tp ol^ne geljiler? Peiner (92iemanb^.
SBcr tt>itt ^tiiaitd^ fetnl 3ebermann n>t1I e9 fein.
itennen ©teÇerm^rannobet^erm 3(b lenne Beibe. @ie tool^nen bcibc
(9rûn? in meinem Çaufe.
SBol^in fott id^ bie 8ûd^er ftetteni ©teHen @te iebed an feinen Pa^.
f&ct %9X ba9 <SeIb bqalj^UI @inige ton unfeten greunben.
2)aTf man ))on anbern S9fe9 (mal) Sl^an fott ton ntemanb (ou nie*
reben? manben) 8l}[cd reben.
SBa9 l^aben @ie gel^Srt? 3d^ ^abe alled gebBrt.
93a8 l^aben @te ^efel^enl 34 ^^^t ntd^td ge[e^en.
^NoBen @te ©d^tllers ©ebid^te ge» 3d^ l^abe eintge gelefen, aber ntd^t
lefeni aile.
3$on tt>em l^aben @ie blefen i^rief ®on jiemanb, ben @te nid^t lennen.
crl^alten?
Lecture*
Sin tettrer fto)if ttttb eitt tool^Ifeilet*
Une tête chère et ime à bon marché.
?H« bcr (cfetc ^nig tjon ?Poïcn nod^ rcgicrtc, brad^ (éclata)
euie 6uH)ôïungi gcgcn tl^n ^vl%. Sincr t}on bcn Smpôrcm^,
riii poïttifd^cr gûrjî, fcfetc einen ?Prct«3 Don 20,000 ®n(ben«
ûttf bcn ^o})f bc« fî5ntg«, unb l^atte fogar (même) bie grcd^*
^ett *, c« bcm fiônig felbp ju fd^reiben, um il^n ju erfd^redfcn.^
1) révolte. 2) rebelle. 3) un prix de . . . florins.
4) l'insolence. 5) effrayer.
144 Leçon 28.
W>tï bcr Sônig fd^ricb® tl^m ganj ïaltSIilttg^ foïgcnbc lurje
{(nttocrt: „S^xen ^rtef ^aU xif etnpfangen^ unb gelefen. Sd
^at mit enitged Sergnûgen gemad^t, bag tnetn So{>f 3^nett noc^
fo tjtcl tocrt* tfi; i^ ïann Sic Dcrfid^cm ^^ : filr ben Sl^rigcn
gcfcc id^ nid^t einen ÇcKcï*"^^
6) écrivit. 7) de sang-froid. 8) reçu. 9) vaut. 10) as-
surer. 11) liard.
Vingt-huitième Leçon.
Du verbe passif.
Le passif de tous les verbes réguliers aussi bien
que des irréguliers, se forme à F aide du verbe auxi-
liaire toerben, joint au participe passé du verbe actif.
Ex.:
geliebt toerben être aimé,
getabelt toetben être blâmé,
legiert toerben être gouverné.
Tableau de la conjugaison.
®tUU tterben être loué.
Indicatif.
Présent,
5^ toetbe . . geloBt îe suis loué
bu U)ir{l geloBt tu es loué
et tottb gelobt il est loué
totr toerbeit geloBt nous sommes loués
@lc teerben ûeïoM l „^,„ *♦*- i xz-x
l^r tecrbct gelobt } ^°"« **^" ^^"^(«^ I
\it toetben geloBt ils ou elles sont loués (louées). |
Imparfait.
Sd^ totttbe . . geloBt je fus ou j'étais loué /
bu tourbefi geloot tu tus ou tu étais loué
et toutbe gelobt il fut ou était loué
kDir tontben geloBt nous fûmes ou étions loués
Pe tourben geloBt ils (elles) furent ou étaient loué[e)s.
Futur,
^éf kDerbe geloBt toetben je serai loué
bu tofarfl peloBt tt>erbcn tu seras loué
cr (fie) tottb gelobt toetben il (elle) sera loué (louée).
Verbes passif s. 145
totr koetben geloBt l»erben nous serons loués
i^r tDiiibet ou @ie toerben gelolbt tverbett vous serez loué (s)
fie toerben gelobt tterben ils (elles) seront loués (louées).
Parfait.
3(^ (in . . geloBt tootben j'ai été loué
bu Btfi geloBt œorben tu as été loué
er ifl geloBt kootben il a été loué
loir finb getoBt toorben nous avons été loués
x\ii fcib gclol^t toorben ( ^^„^ .^^^ ,, , i«„x/„\
@ic llîib gcIoBt toerbcn } ^^^« *^^^ ^*^ 1°^^(«'
fte ftnb gelobt toorben ils (elles) ont été loué (e) s.
Pîus~que-parfait,
^^ XùQX geloBt tt>orben j'avais (j'eus) été loué
bu kvarfi gelobt tvorben tu avais (eus) été loué etc.
Futur antérieur.
3d^ toerbe geîobt toorben fein j'aurai été loué
bu loir|l geloBt toorben fein tu auras été loué etc.
Subjonctif.
Présent. Imparfait,
3^ trerbe gelobt 3d^ ttiirbe geloBt
(que) je sois loué etc. (que) je fusse loué etc.
bit loerbe^ geloBt bu miitbefi aelol^t
er loerbe geloBt ac. er l»iirbe gelobt :c.
Parfait, Plus-que-parfait,
3d^ fei gelobt toorben 3d^ xolxt gelobt tootben i)
(que) j'aie été loué etc. j'eusse été loué etc.
bn fet(e)jl geloBt toorben bu todrefi gelobt toorben
er fei geloBt toorben le. er toare gelolbt toorben :c.
Conditionnel.
Présent.
3(^ tofirbe gelobt toerbeu je serais loué
bu kofirbefi gelobt tcerbeu etc.
er toiirbe geloBt toerben.
Conditionnel passé.
3d^ ti>iirbe gelobt morben fein ou td^ toSre geloBt kvotben
j'aurais été loué
bu tviitbefl gelobt toorben fein etc.
er koiirbe geloBt toorben fein.
Impératif.
Sing, toerbe (ou fei) getol&t sois loué
Flur, kverbet geIol6t soyez loués.
1) Si j'avais été loué » toetlU id^ geloBt koorben ttiSte*
OTTO, Grammaire allemande. 10
146 Leçon 28.
Infinitif.
Présent, geloBt toerben ou geloBt ju toerbot être ou d'être loué,
um gelobt in toerbm pour être loué.
Faêêé. geloBt tootben fein ou ju fettt avoir été loué on d'avoir
été loué.
Participe.
Futur, gtt (oBenb^) à louer, qui doit être loué.
Tels sont:
gefhaft totxhta être puni. Beleibigt toerben être insulté,
ettoartet toerben être attendu. i»erBef[ert toerbett être corrigé,
belobnt toerben être récompensé, gel^agt toerbett être haï.
tet^tnbert toerbett être empêché. gead^tet toerbett être respecté,
ctbgefd^rteben tt>erbm être copié. t>etborben toerben être gâté.
Itemarque. Les prépositions de et par jointes à un verbe
passif, se traduisent par ^nn,
Yocabnlaire*
ber Snufinel^rer le maître de bie @^^rad^e la langue.
musique. ber Çof la cour,
ber ^rbelter l'ouvrier. artig sage, ttnartig méchant,
ber geinb l'ennemi. naé^ISfflg négligent,
el^rli^ honnête. ^\iiéf poli. koett parce que.
nod^ einmal encore une fois. get&ufd^t koerben être trompé.
jerftBrt détruit, — e. gef^îrod^ett parlé,
f^tden envoyer; ge^elït guéri, toerBeffert corrigé.
Exercice. 74.
U 3(!^tt>erbet>on metnem Sel^rer gelobt. Du n>tr fl tttd^t
gcIoBt, beim (car) bu fcifl ntd^t Pcigtg. SBcr toirb gcflraft?
3)er unaufmerifame Snabt tt>trb ge{iraft. Die arttgen ftnaBen
toerben getoSt, abet bte unarttgen ^a(en t^erben gefhaft.
SDtarte totrb tmmer i}on tl^rem SRuftKel^tet getabelt, toeU ^e nad^*
Idffig tft. SOÎetne Soufine tt>fob i}on jlebermaiin geltebt, tDetI fie
tmmcr arttg unb l^ôfltii^ tjt» 2)te}ctttgcn, tocld^c ficigtg pnb,
tt)erben belol^nt , unb bteienigen , toeld^e trSge finb , tDerben ge«
tabelt. Die ©tabt tourbe »on ben Çcmben jcrflBrt.
2. Dte ïufgaben ftnb »on bem Sel^rcr^crbeffcrt toorben*
ftarï tfl Bcjhaft toorben, toeti cr unarttg getocfen tfl. Die Ul^ïen J
flnb ntd^t t^erlauft toorben, toetl fie }ù fd^Ied^t toareu* Dteienigen |
9Rdbd^en finb na^ Çoufe gefd^tdt toorben, toeld^e il^re SufgaBen
gema^t l^atten. Die Srbetter finb gut be}a]^It toorben, toeil fie
i}ie( gearbeitet l^aben. 3fl btefe Sufgabe i^erbeffert ïoorben? 9letn,
1) En latin: laudandus, a, um. Ce participe s'ajoute en qua-
lité d'adjectif à un substantif et se décline comme tel: eine }U
tobcnbe $>anbtung une action qui doit être louée (louable).
Verbes passifs. 147
fie tfl neâi ntd^t i^erBeffert koorben. ®eIo6t toerben ifl Beffer, al9
getabcït tocïbcn»' 3)ic Sricfc mtff[cn no^ cinmaï a6gcfd^ric6ctt
tocrbctt»
Thème. 75.
1. Je stuê aimé de ma mère. Tu es aimé de ta mère.
Ce père ett aimé de ses enfants. Théodore ê$t toujours loué
de son maître, car (t>enn} il est très attentif et très appliqué,
La langue française est parlée dans [an) toutes les cours de
l'Europe. Hier je fus attaqué (angcflïtffcn) par un voleur.
États-je attendu? Oui, monsieur, vous é^'ez attendu. Les
écoliers furent punis. Mon voisin a été insulté par le jardi-
nier du comte.
2. Cet anneau lui a été donné par sa grand* mère. Le
malade a-t-il été soigné (9e))flegt)? Oui, il sera guéri. Henri
avait été attendu. Par qui cette lettre ««ro-t-elle copiée?
EUe doit être envoyée à la (auf bie) poste. Tout le monde
peut être trompé. Ma montre a été volée (geflol^Ien) . Votre
thème aurait été {cand. paesi) corrigé, si vous Tavies apporté
à temps (}U tester S^^xi)- Il sera corrigé demain. J'aime
mieux (td^ tDtQ Ite6er) être aimé que [d'Je/r^ haï. Par qui
ave»^ou8 été appelé (getufen)? Toi été appelé par mon père.
Remarques sur le passif.
1) Comme en français il n'y a qu'un seul verbe
auxiliaire pour rendre les temps passés des verbes neu-
tres [être arrivé anflcfomincn f ctn) et du verbe passif {être
aimé gcIieBt toerbcn), Télève éprouve une certaine diffi-
culté à distinguer exactement la différence qui sépare
ces formes ; pour lui la question est de savoir si le verbe
être, joint à un participe passé, doit se traduire par
fetn ou par toerben? H faut à cet effet qu'il examine
si le participe appartient à un verbe neutre ou à un
verbe actif. Dans le premier cas, être se traduit tou-
jours par f eitl« Ex.:
Je suis arrivé id^ 16 in attgefommen.
2) Quand le participe est celui d'un verbe actif
(voyez p. 109), il se traduit, régulièrement, par ttietrben.
si le passif exprime une action reçue par le sujet.
Le partie, passé de tpetben est getDOtben; mais quand,
à la forme passive, il est joint au partie, passé d'un
autre verbe, il perd la syllabe ge qui sans cela lui sert
de préfixe: et ift rctd^, ©otbat gctoorben)» Ex.:
10*
148 Leçon 28.
Forme active. Forme passive.
Wttin 93ater lieBt mi(^. 3d^ tvetbe ton meinem $ater ge*
Mon père m'aime. IteÊt. Je suis aimé de mon père,
2)er $et}oa Baute biefe9 ®d^Iog. 2)lefed @dbtog tourbe bon bem ^tx»
Le duc bâtit ce chÂteau etc. gog etoaut. Ce château fut
bâti ^ar ^e due etc.
2){e S^inbe l^aBen bte ^tabt nieber* 2)te @tabt ift toon ben Seinbett
gebrannt. Les ennemis ont niebergebrannt toorben* La Tille
biûlé la ville. a ^^ brûlée par les ennemis,
3) Quelquefois la personne ou Tobjet qui fait l'ac-
tion reçue par le sujet n'est pas indiqué; alors il faut
examiner si Tacte est déjà accompli, ce qui marque
Vétctt^ ou s'il s'exécute alors, ce qui marque Vctction'^
dans ce dernier cas il faut rendre le verbe être par
tDerbeti. Par exemple la phrase: Vous êtes souoent
blâmé marque l'action, car en traduisant ce passif par
le présent de l'actif, le sens reste le même: On vous
blâme souvent II faut donc rendre cette phrase-là en
allemand: ®te tDerben oft getabelt, mais on dit aussi
bien: SDÎan tabeft ®tc oft*
Supposé au contraire la phrase: Je suis habillé signi-
fiant: je suis déjà tout habillé, et non pas: on m'habille
maintenant où il faudrait dire: \d) iDerbe angeHetbet c. à
d., si le sens qu'on veut exprimer ne permet pas de
rendre le passif par le même temps de l'actif, il faut
traduire être par fcin et dire: je suis habillé iàf btn
angclteibct. En pareil cas le partie, est une espèce d'ad-
jectif; il indique un état et non une action. Voici
encore deux exemples.
Les portes de la ville sont fermées on se ferment tous les jours
îç 8 heures (on les ferme à huit heuresS
S)le ïbore ber @tabt toetbeii ieben îCag um 8 U^r gefd^Ioffen *), ou:
Élan \éflïtit bie %^oxt . . um 8 Uljir; mais:
Les portes de la ville sorU déjà fermées (on les a déjà
fermées).
2)te Xljiore ber «Stabt fitib fd^on gefc^loffen').
Exemples sur toerbeit.
Cette maison e«< admirée de tout le monde.
2)iefe9 ^avA toirb ton iebermann belounbect
Alcibiade fut banni d'Athènes.
^(ciBiabed tt>utbe and ^tl^en i^erBannt
1) En latin: elauduntur. — 2) En latin: clausae sunt.
Verbes passifs. 149
Cette leçon doit être apprise.
S)iefe S(ufgabe mu^ gelentt tt>etben.
Ces jeunes arbres <mt été plantés au printemps.
S)iefe iungen i^&ume finb tm Çdil^Iing ge^Panst morben.
Exemples gor les participes-a^ectifs.
Je mU disposé idb Bin genelgt.
Je suis accoutumé id^ "bin gemol^nt.
Nous étions étonnés ti>tr ko a r en erjlaunt.
Les bouteilles étaient vidées bie glûfd^cn toarcn gcleert (= teer).
Le chÂteau est détruit bad (Sd^Iog ifl jerflSrt.
Les cahiers sont salis bic Çeftc fînb befd^muÇt (= fd^mu^lg).
Yocabulaire*
ter Clt^eim (OnM) l'oncle. etmorben assassiner.
ber ©énteit^Ier le flatteur. etngetabett part. p. invité,
bie Slroeit l'ouvrage. toeraé^ten mépriser,
bie (Smte la moisson. l^elol^nen récompenser.
ba9 j?9nigreid^ le royaume. i»erbienen mériter,
bie 9îegcï la règle. ba« Sajler le vice,
bad Sod le peuple. beficden vaincre.
i»enounben btesser. friiljier autrefois,
bie ^d^Iad^t la bateille. tïtelteid^t peut-être,
btiben former. entbedcn découvrir.
beUibigcn offenser. grogmiitig généreux.
ber $alafi le palais.
Exercice. 76.
1. SWetn ©ol^n Çriebn^ toirb bon fcincm Sd^rer gcticBt»
®tcfc SKabd^en tocrbcn gc(o6t unb geUebt, toeti fie flci^tg unb
arttg finb« S)er 9îetfenbe tDurbe bon etnem StSuber (brigand)
crmorbct» S)cï ©otbat tft in ber ©d^ïad^t bcrtonnbet toorben.
®ic ïDCïben morgen bon metnem Dl^etm jum SWittagcffcn (dîner)
eingelaben tt>erben. dl^r Setter $aul ip avié^f etngelaben toor*
b c n ; abcr cr totrb ju Çaufe bîeiben. ©ufiab abolf , fiôntg bon
©c^toeben, tt>urbe in ber ©d^Iad^t bei (de) Sii^en getëtet*
2. SBann ip btefe« $an« gebaut toorben? (S« tfi bor (il y
a) jel^n Sal^ren geBaut toorben» S)ie Ul^r toirb nid^t berîauft
tocrbcn* 3)er bcrlorene 9îtng ifl totebergefunben (retrouvé)
tDorben. S)iefer SKann totrb bon {ebermann gead^tet. Sr tonrbe
frfll^er ntd^t gead^tet» î)ie ©d^meîd^ter berbienen, bon {ebermann
©erad^tet ju toerben. Dtefc Slrbeit tjî bie( betonnbcrt toorben»
!Die Srbeiten bon Srauletn 9îofa toerben aud^ betounbert toerben*
SSBtr fpred^en bon ber ju l^offenben (à espérer) 6mtc»
Thème. 77.
1. Je suis loué de mon maître. Nous sommes aimés
de notre père. Vous êtes estimé de votre voisin. Ce palais
150 Leçon 28.
est admiré de tout le inonde. La fille fut blâmée par sa
mère. La maison fut vendue hier. Le jardin sera vendu
aussi. Cent dix soldats furent tués et trois cents blessés.
Votre sœur a-t-elle été invitée au bal (}um 9aII]? Non,
madame, elle n'est pas ici. Elle aurait été invitée, si elle
avait été ici. Le vice doit être haï.
2. Charles aurait été loué, s'il avait été plus appliqué.
Vous achetez des choses (!ÎDmge) qui ne méritent pas d'être
achetées. Ai-je été soigné (se))flegt)? A-t-elle été consolée
(getrBflet)? César fut assassiné par Brutus et Cassius. Crésus
fut vaincu par Cyrus et dépotdllé (6etau6t) de son royaume.
Les langues ont été formées avant les règles. Le château
fut bâti en 1520. Louis XIV fut aimé et respecté de tous
ceux qui le connurent. Un prince juste et généreux sera
toujours aimé de son peuple.
Conversation.
Son totm toirb 31^r ©ol^n gelteBt? (Sr toix\> ton feinen Sel^rent geUeBt,
»e« et fïelgtg Ift.
3fl er anéf UU^nt toorbeni 3a, er ^at etnen $rei9 belommen.
S^ann tourbe bie ©d^îad^t bei grieb* %m 14. Suni 1807.
lanb geliefert (livrée)?
ffîer tjl befiegt koorben? 2)ie 9hif[en finb beflegt toorben.
SSann toirb bie[e9 $au9 tertauft (S9 ift f^on geflern i^erfauft tt>orben.
tocrben?
SBer ^at t» gefouft? (Sin xtiâfti itaufmann.
SBitb ber ®arten au^ terfauft ^tïn, btefer totrb nid^t berfauft xott»
toerben? ben.
Son koem ift itartÇago gerjlSrt Son bem rSmtfd^en $ton\nl ^i^b
tDorben? flfrtcanud.
tOSantm ifl btefer Wlann geflraft SQ3eU er eine golbene U^r geflo^Ien
toorben? (volé) l^at.
Son tDetn ifl <ESfar ermotbet toor* Son Srutus nnb Caff!n9, nnb
beni eittigen anbem.
Son totm ift bie Serfd^kDSrung Son bem rSmifd^en AonfuI Cicero.
(Satttina9 entbedt toorbcnl
@inb bie 9(rbeiten ton SrSuIein ®tfft f^iln, {le koerben ton iebcr*
Souife fd^Bnl mann betonnbert.
Sft biefed $>au9 fii^on a(t1 (S« t{l im 3a^re 1741 erbaut toor*
ben.
ffîar $>einrt(fi IV. ton granfretd^ ®etttg ; er tourbe ton feinen Unter"
ein anter JfBnial tbanen (sujets) toie ein Satet
geïleBt.
fBetd^ed toar fein (Snbeî (Sr n>urbe ton Stotaiflac cnnotbet.
151
Vingt-neuvième Leçon.
Des verbes irréguliers.
(Unregetmaglge â^ïttoMtx.)
On appelle verbes irréguliers tous ceux qui s'écar-
tent du modèle d'après lequel se conjuguent les verbes
réffuliers. En raison de la forme particulière que ces
verbes suivent dans leur mode de conjugaison, les
grammairiens allemands modernes leur donnât une autre
dénomination. Us les appellent terbes forts (ftaric ^t\U
U>9rter), tandis que les autres sont appelés verbes faibles
(fd^toad^c 3^ttm8rter). Voyez p. 110. Cette distinction
n'offrant rien qui puisse guider les étrangers dans la
conjugaison des verbes ou faciliter cette étude, nous
avons préféré conserver l'ancienne dénomination de verbes
irréguliers.
La conjugaison des verbes appelés irréguliers diffère
de celle des autres principalement à Timparfait et au
participe ptissé. Tandis que dans les verbes réguliers on
ajoute pour l'imparfait la terminaison ttk la radicale, les
irrégulters ne prennent aucune terminaison, mais trans-
forment la voyelle radicale ; par ex. de geBcn — q&b ; de
flie^ett — |[|>§. Comme il y a quatre voyelles caractéris-
tiques qui, de la sorte, viennent remplacer la voyelle
radicale, savoir a, i (te), et tt, nous les divisons en quatre
conjugaisons, de la manière suivante: Tous les verbes
qui prennent a à l'imparfait, forment la première^ ceux
qui prennent i (te) forment la seconde^ ceux qui prennent
composent la troisième^ enfin ceux qui prennent tl
composent la quatrième conjugaison. Ex.:
geBen donner, gaB » I.
ieigen mordre, ii| « II.
fd^llegen fermer, f^lo^ = III.
ttagm porter, ttitg = IV.
Le participe passé de tous les verbes irrégulters est
terminé en en: segeBett, gefd^rtebett, tandis que celui
des verbes réguliers se termine en t ou et. Quant à la
voyelle radicale, elle se modifie aussi dans la plupart
des verbes irréguliers. Quelques-uns pourtant la re-
tiennent, ce qui dans les trois premières conjugaisons
donne lieu à des subdivisions ou classes.
152 Leçon 29.
Outre V imparfait et \& participe passé, il y a encore
d^autres fonnes irrégulières, savoir: les seconde et ^rot-
sième personnes sing, du présent de Vindicatif, Timpératif
au singulier, et Timparfait du subjonctif.
a) Si à la seconde et à la troisième pers, du singulier
de rindicatif on a la voyelle t, elle se change générale-
ment en i ou te* Ex.*
iâf QtU, bu Qïtlft i^xlft), er giebt (gi(t).
b) Si la voy. est a, elle s'adoucit en &:
c) L^mpératif (singulier) est régulier, sauf dans les
verbes qui changent à la seconde personne Te de la
radicale en i« Ex.:
de fd&laaen, impératif fd^tagc (f(3^ïagcn @te),
de fd^re&cn, „ ^xtïbt (fé^reibcn @le),
de geben, „ gtei (geben @te).
^ L'imparfait du subjonctif se forme par Taddition
d'un e à Timparfait de Vindicatif, puis en adoucissant a, o
et u en â, 'à, u ; dans quelques v. a se transforme en
i ou en fi. Ex.:
de fd^reiben, imparf, de Vind, xé^ fd^rieB, subj, ic( fd^riebe,
de aeben, „ « ., idb aab, „ ti ûSBe,
defc^Uefien, . . . t^ f*Io6, . i? f^ïSffc,
de tragen, „ „ „ td^ trug, „ td^ trilge.
Toutes les autres formes du verbe sont régulières,
et, l'imparfait excepté, les terminaisons des personnes
sont les mêmes qu'aux verbes réguliers. Ainsi l'on
conjugue :
Présent.
Indicatif, Subjonctif,
3d^ fleBe je donne 3d^ 0eBc (que) je donne
bu aieBfl tu donnes bu gebefl (que) tu donnes
er gtebt il donne cr geBc (qu*)il donne
Xo\x geBen nous donnons totr geBen (que) nous donnions
fie geben ils (elles) donnent. {le geben (qu')ils (elles) donnent.
Imparfait,
3(^ gai je donnais (donnai) 3(^ g8(e (que) je donnasse
bu gabfl tu donnais (donnas) bu gSbefi (que) tu donnasses
et ga( il donnait (donna) er gabe (qu')il donnât
toir ^Itn nous donnions etc. toir gSbeu (que) nous donnassons
&tt„ ( 7Z J=b" lift i «i- -- *---•
fie gaben ils (elles) donnaient ou {le gaben (qu')ils (elles) donnas-
donnèient. sent.
Verbes iiréguliers. 153
Parfait.
3d^ l^aBe gegeben j'ai donné.
Futur,
3d^ toerbc geBen je donnerai.
Futur antérieur.
3d^ koerbe gegeBen ]{fal&en j'aurai donné.
3(i^ tDÛrbe gel6en je donnerais etc.
Remarques.
Pour faciliter Tétude des verbes irréguliers , nous
mettons en tète quelques indications générales.
1 ) Les verbes irréguliers qui ont e pour radical, ap-
partiennent ou à la première ou à la troisième conjugaison,
c'est-à-dire qu'ils ont à l'imparfait ou a ou 0. S'ils
prennent o, le partie, a également 0. Les 13 premiers
de la liste ont e au part, passé ; tous les autres changent
leur e en 0.
geBctt — gaB — gegcBcn ; |i fed^ten — f od^t — gefod^ten.
2) La plupart des participes passés en o proviennent
d'un verbe qui a pour radicale e ou ie. Ex.:
gefloéten de fle^ten tresser,
gcftoffen de fltegen couler.
3) Tous les verbes irréguliers qui ont et pour radicale,
ont à l'imparfait et au participe soit i soit te. Ex.:
beigen, Bt6 — ÇeBifîcn mordre.
fd^relBcît — ft^neb — gcfd^riebett écrire.
4) Ceux qui ont la voyelle a pour radicale , con-
servent cette voyelle au participe; celle de l'imparfait
doit être ou ie ou it (jamais o). Ex.:
Blafcn — lixti — gcBïafen souffler,
toafd^en — toiifc^ — gctoafd^en laver.
5) Tous ceux dont la syllabe radicale se termine en
inb, ttig et inl ont à l'imparfait a et au participe passé
». Ex. :
Ptiben — fttttb — geftinben trouver,
triiiten — tranï — getmnten boire.
Voici maintenant la liste des quatre conjugaisons
avec leurs différentes classes. Nous ne donnons de chaque
verbe que l'infinitif, le présent, l'impératif, l'imparfait
de rindica'tif et quelquefois celui du subjonctif, et le
participe passé, tout le reste étant parfaitement régulier.
154
Leçon 29.
Première conjugaison.
Imparfait en a«
Première classe : Participe passé en e«
Présent de Vindicatif.
Impératif,
Imparfait.
a
Part, passé.
e
1. (Stitn donner.
3d^ geBe, bu giebflr et
pie(t (aïU), tt)ir geBen,
t^r geoet (®ie geBett),
fie geSen.
glcbfglB),
geBen @ie
ou geBet.
iéf gsB r bu
gaBfl, er gaB^
mh gaBen se.
i^tift/ i(!^ gSBe.
Mthtn
donné.
Ainsi se conjuguent: anS'geBen*) dépenser, P.p
i^etgeBen pardonner ; ^umd'geBen rendre, P. /?. surficfgegeBen.
au«'gegeBeit;
""(6
3* effc, bu Iffell, er
igt, tDireffen, t^r effet,
(@U cffen) fie effeii.
2. Sffett manger.
ii- effet,
effen @ie.
/Su5;. td^ fige.
3* freffe, bu friffeft, er
ftlgt, tolr freffeu jc.
3. tlr^effett dévorer, manger.
frl6,
freffet.
iéf frafi.
Subj. ^ frSge.
4. SKeffett mesurer.
mig.meffet. id^ ma^.
meffett@ie. SubJ, ïéf mfige.
3d> meffe, bu mlffefl, er
migt, toir meffen :c.
De même: aB 'meffen mesurer.
5. Sefett lire.
gegeffen
mangé.
flefreffen
mangé.
gemefîen
mesuré.
5^ lefe, bu Uefefl, er lit%
mir iefett, i$r lefet 2C.
lied, tefet,
ïefen ®ie.
De même: burd^'Ufen parcourir (un livre).
6. @e^ett voir.
SubJ. i^ ïfife.
gelefen
lu.
3* feÇe,bu fleBfl, er fieBt 1 fteB, fe^et
tt>ir fe^en, i^r fe^et îc. | fe^cn @le.
Subj\ id^ fSl^e.
De même : eîn'fel^en voir; aud'fel^en avoir l'air.
7, fXttttn^) marcher sur.
gefel^ett
vu.
3* trete, bu trlttfl, er
tritt, tt)ir treten k.
trltt,
tretet.
De même: aB'treten céder; etn'treten entrer.
id^ trat.
SubJ. iât tr&te.
getreten
marché.
1} Pour les verbes composés voir les leçons 33 et* 34.
2) Les verbes marqués d'une croix f sont neutre$ et se oon-
vug^ent en général avec l'auxiliaire feitt, p. ex. id^ hiu gencfeit.
Tous les autres, étant des v. transitifs, se conjuguent avec ^en.
J
Verbes inégulien. I. Conj.
155
IV-éseni de Tindxcatif.
Impératif.
Imparfait.
Part, passé,
e
8. t®fttefett guérir.
3^ gcncfe, bn fltnefefl, er
genefet, toit gene|eit k.
genefe,
genefet
iâf gena9.
Subj, itb genSfe.
9. f ®ef <l^fl|ett se passer, arriver.
e« gcf^iel^t, (fie) geWel^m. | — | c« g e f (^ a Ç.
10. Sergeffen oublier.
iâf toergag.
S, ïâf t>erg&ge.
11. Sittett prier, demander.
5^ *)crgeffe, bn t)erglffeft t>crgi6,
er t>ergtgt, toit i»ergefTeQ. bergeffet.
3(^ Bitte, bu BitteP, er
bittet, toir Bitten k.
Bitte,
Bittet.
14 Bat.
iSii2>;. i(4 B5te.
12. fSi^ftti) être assis.
3(^ flfee, bu flfeeft er fltjt,
tDtr fl^n, içr fi^et 2C.
Met.
t<]^ fa 6.
Suy, i^ fSge.
genefen
guéri.
gef<l^el^en.
»ergeffe»
oublié.
geBeten
prié.
gefeffen
assis.
De même: Befl^eti posséder; Parf indéfini: lâi (aBe Befeffen.
13. tSirgetl^) être couché.
3(* Itfge, bu liegP, er liegc,
liegt, u>ir liegett k. Ueget.
De même: funterUegen succomber.
14. fStc^en*) être debout.
i«* lag.
gelegCK
couché.
3d& fte^e, bu fteîfcfl ou flel^fl,
er llel^t, tx>ir ^e^en k.
id^ flanb.i) i gefianben
Suhj, id^ flSnbe. | debout.
flc^^et, fle^t.
De même: Befte^en consister; fentfle^en naître; Herfle^eit com-
prendre, P. p. nerflaslieit*
Nous ajouterons à cette classe le verbe tl^nn qui présente ce-
pendant plusieurs autres irrégularités:
15. Sl^ttlt faire.
3(( t^ne, btt t^ufi, er tl^nt,
toit tinn, i^r t^ut, @ie
t^un, fie t^un.
tÇn(e),tî>u(e)t,
t^un eie.
id^t^at, bu t^atfl,
er tl^at.
Subj, xii t^ate.
getlifan
fait.
De même: anf'tljfun ouvrir; (inin'tljfun ajouter; koeg'tlifun enlever;
^tnein'tl^un y mettre.
YocabnlAire.
ein Xl^aler un écu. ber Xvam la tour,
bie i^irf^e la cerise. ba9 %Vi^ le drap,
^eu du foin. bie @ttmme la voix,
bas <Sh:a9 l'herbe. bie Seute les gens.
1) Ces 3. V. se conjuguent volontiers avec ^aBen, sauf dans
TAUemaene méridionale ; ranc. forme de fiel^en est à l'imparf . : ià^
ffunb, nSj, id^ fUiube.
156 Leçon 29.
ber Çafer l'avoine. ber ^aBe le corbeau,
ber Settler le mendiant. bte UBung l'exercice,
ber ^uc^en le gâteau. fd^toac^ faible. leife bas.
bte Setntvanb la toile. fremb étranger,
bie @IIe l'aune.
Exercice» 7 S.
U 3d^ gebc Sl^ncu cinc aïlarï. îCu gieifl mîr cinen
îl^alcr. aRciuSrcunb gai mtr einigc Sriefc. $a6cu ©te tl^m
bicfcIBcn jurûdgegcBcn? SRod^ ntd^t (pas encore); td^ tocrbc
Pc tl^nt ntorgcn jutûdgcBcn. SBaô t§t btefcr ffinaJe ba? (5r tgt
fttrf^cn. S)cr SKann a§ ju ttcl (trop) gteifd^. S)er Dd^fc
frtgt ®ra8 unb Çeu. S)ic $fcrbc l^aBcn aïlcn Çafer gefrcffcn.
SBaïum ïtefl bcï ©d^ûlcr fo (si) leifc? ®t l^at cinc fd^toa(!^e
©ttmmc. 3(]^ l^aBe 3l^r ©ud^ gcicfcn* S)er SUnbc fiel^t
nid^tô. ©tcl^, l^tcr flnb berne ©ûd^er. ©al^en ©te ben SJogeï?
3d^ fal^ tl^n ntd^t. 3d^ l^aBe nie cmen Slefantcn gefcl^en.
2. 3entanb l^at mtr auf ben gug getreten. S)eï Sranïc ip
genefen» @« gefd^iel^t toteï in ber SBcït, toa8 ntan ntd^t t)eïfle]^ctt
ïann. 3d^ tjergag, él^nen ju fagen, ba§ td^ Sl^ren altcn Çtcunt)
a* gefel^en l^abe. 3)cï ©d^ûler ^at ba« SBort toergeffen. S)cr
Sebtente l^at an ber îl^ûre ge^onben ; jtoei SKdnner jlanben bei
il^m. S)er ?lrme bat ntîd^ nnt ein Sllmofen (l'aumône); er l^at
fd^on t)tele Sente gebeten, il^m ettoa9 ju gcbcn» S)er Sîabe fag (12)
auf etncm l^ol^en Saunt. S33o ïag ber Çafe? Sr l^atte im ®ra«
geiegen, aber je^t ïiegt er ntd^t mel^r bort. SOSer ^t bte« ge*
tl^an? $etnrt(^ tl^at eS, îl^nn ©ie e« ntd^t ntel^r. Sr totrb
e3 nid^t ntel^r tl^un.
Thème. 79.
1 . Mon père me donne une montre ; ma mère me donna
un anneau. Donnez-moi, s'il vous plaît (gefdUtgP), cette plume.
Je vous la donnerai tout de suite (g(etd^) . Je mange du pain,
tu manges du gâteau ; Albert mange des cerises. Hier nous
avons mangé des pommes. Les bœufs mangent (3) du foin
et de l'herbe. Le cheval a-t-il mangé F avoine? Avais-tu
mesuré la toile? Je la mesurai il y a (tor) quelques jours.
Tu lis trop bas, mon fils. Lisez plus haut ((auter), mes
enfants. Le chat a mangé (3) deux souris. Que lisez-vous
Ik? Je lis une histoire. J'avais oublié de le (e^ ju) faire.
2. Que vois-je? Que vois-tu? Ne voit-il pas cette
tour-là sur la montagne? Qui veut faire cela? Je Tai déjà
fait. Avez-vous mesuré le drap? Combien d'aunes y a-t-il
(pnb Cô)? Trente aunes. Cela arrive quelquefois. Voulez-
vous être debout (14)? Non, je veux m' asseoir (être assis);
Verbes inéguliers. I. Gonj.
157
j'at été assez longtemps debout. Vous êtes tisiis trop bas (jtt
ttiebrig). Ne me donnes-tu rien? Que dois-je faire? Faites
ce que vous voudrez (toad @te tDoUen). M. Richard a fait
cela. Je ne le ferai plus.
CoiiTergatioii.
SBa« «ffen @ie ba? 3(i^ effc gîeifc^ unb ©rot.
SBer ^at €9 3^nen gegeBen? 3(1^ 'if^^^^ ^^ ^^^ gelauft.
®aBen @ie meinem ©ebimten biefett 3a, id^ gab il^m benfelBen toor fil
©rtcf? y a) «net ^tunbe.
$aben ©iebieScttitngfd^ongelefen? 3^9 ^abe fte geUfen; aber id^ b<tbe
SB3a0 gtebt ed 92eue9? nid^t9 9hue8 barin gefunbeti.
$aben éie t>ergeffett, bte SB^rter )u 3a, id^ i»ergag éd.
lemenl
93o fag ber ©ogeH (Sr fag auf bem ©aume.
Sag bte ^eber unter bem @tubl? Sîein, fie lag unter bem %\\6^,
ÇaBen @te S^teSRutter geflern ge« "Sitvx, id^ fal^ {ie gepem nic^t; id^
fel^eit? fa^ fie beute.
3ft fîe gcnefeit? 3a, jle l|l genefe».
SBad ip gefd^e^enl Sin Ungifid (accident) tfl gefd^eben.
SBarum fd^rett bief et Wlann fo fel^r? (Sr i^ toom 2)a(!^e gefaHen (tombé
du toit).
SSa9 l^at ber Jhtabe getbatt? (Sr b^t bad ©utterbrot (beurrée)
gegeffen.
Seconde classe: Impf, en a. Participe en o.
Présent de Vindicatif,
Impératif,
Imparfait.
a
Par^. pansé.
16. SJvec^ttt rompre, casser, briser.
^âf btccÇe, bit brid^fl, er
bridât, tolr brec^en îc.
id^ brad^*
^. t(b bra^ie.
gebroc^ctt
cassé.
befobfett
ordonné.
brtd^,
bred^en @te.
De même: ab 'brcdjen cueillir; burd^bred^en percer; nnterbred^en inter-
rompre ; setbrec^eit casser, briser. P. p, serbrod^en.
17. Seft^Ien ordonner, commander.
3(^ befebte, bu befte^lfï, beftebt, td^ befa^L
eriepe^U.mtrbefeblen. befeblet. S. iâ} befftble.
De même: em^feb^en recommander. P. p. em^fob^<^*
18. Sergrn ou fRîtitt^tn cacher.
3dbi><rberge, bat>erbirgfl, Derbirg, I tcb terbarg.
er»erbirgt,tt>lrï)erbergen. »erberget. | 8. i(b toerbSrge.
La racine ber g en ne s'emploie qu'en poésie.
19. f Serf^ftt crever.
toerborgcn
caché.
3d& berfle,bu(blrfl) berflefl, er
birj^ (ber9et),tt)ir berflen k.
birfl,
berflet.
id^ barp.
5. t(b biJrfle.
geborften
crevé.
160
Leçon 29.
Présent de Vindicatif. Impératif,
Part, passé.
39. f ©îtlttClt^) réfléchir, penser.
3(^ Ptiitc, bu fittnfl k. \ flnne. | id^ fann.
Be même : fid^ Beflnnen réfléchir, se rappeler.
40. @i|)i]ttteil filer.
I gefonnen.
3(^ \^inxLt, bu f^)intt|l w.
f<)ittnc.
Sd^ fd^tDtmme k.
3(^ lomme, bu fommft, er
lommt 2C.
S. \èi Wixmt.
41. f S^toimttten ^) nager.
fd^mimme. td^ fd^toamm.
/S. id^ fd^tDomme.
42. ffiommen venir.
îomm.
tc^ lam.
â^. td^ famé.
gef^ounett.
gefd^toommen
gelommeu
venu.
De même: f au 'fommeu arriver; Belommeu recevoir. P. ^. Belommeu.
bad @i9 la glace.
bte ^^auer le mur.
bad S^afd^entud^ le mouchoir.
ber @:))tegel le miroir, la glace.
bet i^ad^fle le prochain.
bad Stol^r le roseau.
ber ^\a6i^ le lin; afô lorsque.
ber SO^atrofe le matelot.
ber iD^iJrber l'assassin.
ber 2)oId^ le poignard.
ber i0lauu, ®ottc l'époux.
Yocabulaire*
ber <Steiu la pierre, bleid^ péde.
bie Steue l'abeille.
ber ^rjt le médecin.
bû« 3«ï le lîut. ber %xm le braa.
bte 92atton, bad 9$oIf la nation.
bad groge ![!o9 le gros lot.
augreifen attaquer.
ftdl> Blegen se plier.
erïauBen permettre.
retteu sauver.
pubeu trouver.
Exercice. 80.
1* SBer Beficl^ït ben ©olbatcu? ©te Dfpjtere Bcfa^lcn
ben ©oïbatcn, anjugrcifen» 3)cr Sôutg l^at b cfo 1^ îcu , etncn neuen
^alajl ju baucu. 3d^ Je garni gerabe (justement) mciue ^[rBctt.
att (lorsque) ber fjrembe cintrât. 3)ct ©efaugenc l^attc fttft
l^tntcr ciue SKaucr Dcrborgcn. STOcin ©ol^n, toarum t)cr6trgfi
bu betu ©eftd^t (visage)? !3)a9 @t9 tfl geborfleu. S)a« 9^ir
btcgt fid^, a6er e« bridât ntd^t. 3)cï ©cbtentc l^at bte îl^eetaffc
jerbrod^en* ®tc Jïrau crfd^raï, a(« fie mtd^ fal^» 3cber*
mann toar barûber etfd^rodfen. 2Bft8 gctoannen ®tc in bct
Sotterte? 3d^ l^aSc l^unbcrt STOarï gctoonnen.
2, SBcun bu bcmem SRdd^flen l^tlfjl, fo ^tïft cr btr auc^
iDtebcr. ®cr ®raf l^at t)iclen îlrmen gcl^olfen, S)a« ftinb ^at
bas SDteffer gcnommcu. SBatum nal^mcn ®tc c« ntd^t »cg(25)?
S)ic STOatrofen fd^tDammcn û6cr bcn gïug. 3)ic attc grau l^t
tÇîad^ô gef})onneu» S33oi)on l^aben bte Scutc gcfprod^cn? ®tc fag*
tcn, bag bet Çerjog Don SBeKlngton geflorten fet. ffitn Unfall
1) Ce verbe se conjugue aussi avec ]()aBen.
Verbes inégulien. I. Conj. 161
(accident) î^at mcinen grcunï) gctroffcn; et ifl t)cm ^fcrbc ge*
faflen unb ^at ben 2lrm gcBro^en* SBer l^at bte[en ©tctn gc*
toorfcn? ©in ^aBc toatf tl^ti in t>a« gcnjtcï* S)er ftud^cn
mat terborben, ald man tl^n brad^te^
Thème. 81.
Le général commande. Je lui commandai de faire cela.
Qui est-ce qui a commandé cela? Où avez-vous caché mon
mouchoir? Ne me cachez rien, mon ami. L'assassin cacha
son poignard sous son manteau. Tu casses le verre. Je ne
le casserai pas. Votre frère parle-t-il français? Il parle
français et anglais. Qui a cassé mon miroir? Jean l'a
cassé; il casse tout ce qu'il prend dans les mains. Ne
prenez rien ici. Aide ton prochain (dat.) , quand il est dans
le besoin (in bet 9!ot) . Les voleurs nous ont pris tout notre
argent. Votre frère prend toujours ma plume. Je prendrai
une de ces pommes, si vous le permettez (er(au6en).
82.
Monsieur R. me recommande (17) son fils. Le père m'a
recommandé de veiller sur lui (û6et tl^U ^U ïoaâ^en) . De qui
Henri parle-t-il? Il parle de son cousin Frédéric. Nous
avons parlé de tout. Marie a été [passif) piquée par une
abeille. Le voleur vole tout ce qu'il trouve. Il m'a volé
mes bottes, mes souliers et plusieurs de mes habits. La reine
est née en (tm dal^r) 1S20. Qui a jeté la pierre contre la
fenêtre? Je n'ai vu personne. Avez-vous atteint (35) le
but? Mon voisin a gagné le gros lot. Je traversai la rivière à
la nage (trad, nageai à travers (ûBet) la rivière) . Qui vient?
C'est moi. Il vint chez moi. Elle n'est pas venue avant
quatre heures. La viande était gâtée, nous ne pouvions pas
la manger. L'enfant est mort, le médecin n'a pu le sauver.
Conyersation.
SBer iat 3^nen Befo^Ien, bad ®e« 2)er $au^tmann l^at mir Befol^Ien,
tDe^r 2u labenl eS su tljfun.
$at bir (Sl^nen) ietnanb ae^olfenl ii'ïtemanb ^at mir ge^olfeit.
&o)>on f^alm @te gef^ro($en1 9Bir l^aBen t>on unferer frangiipr<^eit
^ufgaBe gcf^rod^en.
Sft ble Çcbcr no(i^ gut? ïlltitt, fit ifl t>crborBcn.
^at ^axl btefcn @tcttt getoorfeti 1 9'lcitt, ©clnrid^ f^ai ïffxt getoorfcK.
Çataiî>r<@(3^tt)eflerrttoa«gc»omtcn? 3a, jîc î^at elnen Çretd (prix) ge-
toonnen.
^aUn @ie bcn SSrm (bruit) gel^Srtl Sa, iéf Un fe^ft barûBer erfdjrodcn.
2Bcrlf^at31^ncnbefoîfIeit,meine@tlcfeï Witmanb U^a^î t9 mir; ïâ} trug jle
juin @d^u]^mad^er ju trageni ba^in, toeti fit }errtffen toaren.
Çabcn @te 3(re U^r nid^t me^r? ^ttxt, mon f^ot fit mxx geflol^Ien.
OTTO, Grammaire allemfinde. 11
162
L6çon 29.
SBobon f)>ra(^ btefer Wlann^ (Sr ]pïaât bom Stïitat mit ben Stuffen.
8ip bu t)erkDunbet? Qat bit ie* (Sine Miette l^at mtc^ in bieSBange
manb tta>a9 getl^an? (joue) aefioc^en, unb nnn ifi {te
0ef(!^U)ouen.
@te(ft ber @ta(^el (le daxd) not^ 9lem, man ^at ïffxt ^Uïâf l^eraud'
barinl ge^ogen (retiré, arraclié).
Troisième classe : Participe passé en n*
On reconnaît aisément les 18 verbes appartenant à
cette classe, car ils ont tous htb, iiig ou ittr dans leur
radical. Ils ne présentent aucune irrégularité au pré-
sent de rindicatif ni à Timpératif.'
Présent de Vindicatif.
Impératif.
Imparfait,
a
Part, passé,
«
43. Sinbtlt lier, attacher, relier.
Sd^ binbe, bu Binbefi, er
btnbet, U)tr bmben }c.
binbe,
btnbet
iéf Iiiinb«
S. iâf bdnbe.
gelinitbeit
Ué.
De même: an'binben attacher; berbinben obliger) panser (une bles-
sure); loS'btnben détacher.
44. f^ittbett trouver.
3<^ pnbc, bu flnbejl, er
finbet, toit flnben te.
flnbe.
iâf fanb.
S. iâf fSnbe.
gefunben
trouvé.
De même: erfinben inventer; imp. erfanb; p.p. erfunbeu; flatt'*
flnben avoir lieu; fld^ Beflnben se porter.
45. f Sd^toinbett disparaître, dépérir.
3(^ f<^n>mbe. | fij^minbe. | id^ f(!^t)}anb. | gef(!^u>ttnbeit.
De même: f toerfd^toinben disparaître.
46. SBittben tordre, tourner.
S^ tvinbe. | minbe. | i(!^ loanb. | gett)unben.
De même: iibettDtnben surmonter. P. p. iiberttunben.
47. fSrittgett presser, insister.
3^ brtnge. | bringe. | id^ brang. | gebrungen.
De même: •{• burd^bringen pénétrer, percer; f ein'bringen entrer, pé-
nétrer. P. p. etngebrungen.
48. t®fHltgett réussir.
(Impers,) (S9 gelingt mit
Je réussis.
gelungen.
e9 gelang mir
je réussis.
•^Tai réussi t9 ïft mit gelungen; migUngen manquer, échouer.
49. ftltttgett sonner, résonner.
3d^ fltnge. | fUnge. | id^ tUng. | gcKungeiL
De même: ferHingen résonner.
Verbes iiiéguliers. I. Conj.
16»
Présent dé findicaiif.
Impératif.
Imparfait.
a
Part, patêé*
n
I serungetu
50. Slittgett lutter.
3d& ringe. | ringe. | ié^ rang.
De même: etrtngen obtenir (en luttant).
NB. Umrtngen entourer, est régulier, p. p. nmringt.
51. S^Iittgett entrelacer, avaler.
3ti^ \éfixL^t. I fd^Itnge. | id^ f^tang. | gefd^Iunges.
De même: terfd^Iingeit déyorer; umf(i^Ungeti embrasser.
52. Sd^toittgett brandir, osciller, vanner.
3d^ f(^iotnge. I f^kotnge. | xà^ f(i^to an g. | gefd^toungen.
53. Siltgett chanter.
^éi flnge. I flng<. I id^ fan g.
54. f S^rittgen sauter.
3(^ ftringc. | (^ringe. | ^ f^rang.
De même: fierf^ringen crever, se fendre.
55. f Sittlen s'enfoncer, tomber.
3d^ flnfe. I jlnîc. | i(^ fanî.
De même: f IJlnaB jln!en, f berjlnïen couler à fond, p^ p. tcrfunïen.
56. Srinlen boire.
3^5 trinïe. | trlnïe. | i(i^ tranî. | getrunïen.
De même: +ertrmîcn se noyer, pdj 6ctrinîen s'enivrer.
57. 3^itt8^^ forcer, contraindre.
3(^ îtoingc. I îtoinge. | id^ jtoang. | gejtonngen.
De même: bQkDtngen vaincre; eqtDtngen forcer, extorquer.
Les trois verbes suivants appartiennent aussi à cette
classe ; mais on s'en sert moins souvent :
58. Sittgett louer. Imp. rég. xif bang ou biugte, part, p,
gebungen.
59. S^ittt^ett écorcher. Imp, fd^uub, part, p, gcfd^unben»
60. Stittlett puer, sentir mauvais. Imp. flanl, part, p.
geflunlen.
Tocabnlaire.
bad Sieb la chanson.
gefuttgm.
I gef^mngm.
I gefunfen.
ber @toc( le bâton,
bte Jtngd la balle.
bU 8m{l la poitrine,
bec Sttavii la guirlande.
ber ®ered^te le juste.
^er ®raben le fossé,
bas ©d^tff le vaisseau,
ber @trau6 le bouquet,
bte (Srcn^en les frontières,
bte @te(fnabel l'épingle,
ber iBud^Binber le relieur.
bte Xaffe la tasse.
bte %Qi]éit la poche.
ber ^ffe le singe.
bte ^uc^bmderfnnp l'imprimerie.
£affe trtnien prendre du café.
fd^tDûd^ faible.
na^en s'approcher.
fld^ nnterçalten s'amuser.
fd^mlicfen orner; Ij^iibfd^ joli.
frettDtllig volontairement.
11»
164 Leçon 29.
Exercice. 88.
1. S)et ®attner l^at baS SSdumd^en an ebten ^fal^I gebun^
bcn* SKan tcrbanb bic SBunbc bc8 ©olbatcn* Untcr bcr 9îc*
gicrung (règne) ftartt bc« VII. (©tcbcntcti) bran g en btc (ïng«^
ïanbcr in tJranlrcid^ cin. S)ic éugcl tfl bcm Dfftdcr bord^ bie
Srufl gcbrungcn. 3d^ fanb baô ftfaib f<!^ïafenb untet cmcnt
Soume* Sertl^olb ®^)a>(ai, ein SDeutfd^er, l^at untS SàS)X 1330
bas ©(i^icgpuÏDCï crfunbcn (44) ♦
2» ©oïratcô tronï ben ©iftbcd^cr (la coupe empoisonnée)
unb flarb bcn îob bc« ®erc(!^tcn» Çat cr tl^n frettotUtg gctïunïcnî
SBcr l^at tl^n gejtoungen, bteô ju tl^un ? S)a8 ^f crb frrang ûbcr
cincn brcitcn ©rabcn» S)a« ©(i^iff tfl gefunlen. 9Btc l^abc»
®ie fid^ gcpem abenb untcrl^alten? SSBtr ^abcn gef})icït, gefungcn
unb getrunlen. S)te SRabd^en l^aben Srdnje getounben, um bte
$aufer ^u fc^mûden.
Thème. 84.
1. Je trouvai ces violettes dans votre jardin et je les
liai en un bouquet. La servante a trouvé une épingle d'or.
On trouva une lettre dans la poche du prisonnier. Quel
relieur a relié ce joli livre? Le même qui relie vos livres,
M. Barry. L'ennemi a (tfl) pénétré dans la ville. Tu nage»
mieux que moi. Comment 1 vous n'avez rien bu? On ne
m'a rien donné à boire. Je n'ai (ed ifl mit « *) pas réussi.
Je ne réussis jamais.
2. Autrefois (el^eutald) je chantais de jolies chansons;
maintenant je ne chante plus. J'ai trop chanté. Voulez-vou»
prendre une tasse de café ? Merci, yen ai déjà pris. Le chat
sauta par-dessus (iibet occ.) la table. Deux vaisseaux ont
coulé à fond. Un singe luttait avec im chien. Un Allemand
a inventé (44) l'imprimerie. On a forcé ce jeune homme de
se faire (ju toetben) soldat. Le loup a dévoré (51) deux brebis.
Lecture.
Set l^nngtige Wtaitt^ L'Arabe affamé.
Cin Iraber l^atte ^ in bcr SBûflc (désert) tcrirrt^ unb
ba er (n'ayant) fcit mcl^ïcrcn îagcn nid^ts gcgcffcn l^atte,
fûrd^tctc er, t>t>x (de) Çungcr ju fier 6 en* Ênblid^^j^j^ ^ ^ji
eincn jencr Stunnen *, too bic ^aratoancn il^rc Somcîe* trSnïcn *
unb fal^ eincn ïcbcmcn Sad* auf bcm ©anbc-^ lie g en. Cr
l^ob» il^n aufs unb befûl^Itc» il^n. „®ott fci 3)anï!** ricf ^«^
cr au8, „ba0 flnb ©atteïn obcr $afcînûjîc."ii 3n bicfer fûgca
1) s'égarer. 2) enfin. 3) puits. 4) chameaux. 5) abreuver.
6) sac de cuir. 7) sable. 8) auf'^ebm, verbe sép. 3. ear^f. ra-
masser. 9) tàter. 10) s'éciia-t-il. 11) noisettes.
Verbes inéguliers. H. Conj.
165
ipoffnung Bcciïtc er jld^ (il se hâta), bcn ©ai ju Sffnen; afccr
er f aub fld^ fai fcincr Çoffnuiig gctSufc^t." S)cr ©ad roax mit
aérien gefiiat.
a)a tourbe ex traurig** unb fan! (tomba) auf fctnc ^tcc"
unb bat ®ott, ba§ et tl^n t>on fcincr 9lot^* crrettcn unb il^m
4piïfc** fd^idcn môd^tc* ©cin ®cbct' " tourbe cr^ôrt (exaucée);
benn (car) fci^on nad^ einer ©tunbe lam bcr Sfîann, ber ben
©ad t)erIoren l^atte, auf eincm $ame( rcitenb (monté) }u«
xûi, um il^n }u fud^en. Sr toar fel^r gliidltd^, il^n toieber ju
finbcn, l^attc SDlitleib ** mit bcm armcn Slrabcr, erquidte** tlÇn
mit ©peife unb £ran{, nal^m il^n ju ftd^ auf fein ^amel unb
hxaâ^H x^rt }u ber ftaratoane.
12) trompé. 13) triste. 14) genoux. 15) misère. 16) du
secours. 17) prière. IS) pitié. 19) rafraîchir, réconforter.
Trentième Leçon.
Deuxième conjugaison.
Cette conjugaison se caractérise par la voyelle t à
rimparfait* Dans la première classe de cette conjugaison
il y a t bref à Timparfait et au participe passé ; dans la
seconde il y a t long, écrit te, et dans la troisième, il y
a te à l'imparfait, puis au participe la voyelle de Tinfinitif.
Première classe: Imparfait et Part, en t bref.
Présent de Vindicatif.
Impératif,
Imparfait. Part, fasse.
X X
61. 8et§en mordre.
S^ Beige, bu Uiit% er
beift, toit beigen ic
Beife,
Beifet.
t^ Bi§«
S. iâ) Biffe.
62. SefKeigett [[lâ^) s'appliquer.
Sd^ Befletge mid^, bu Be«
fletgeft m , er Bef^eigt
fi4/ toir Befletgenund :c.
Befletge hiâf,
Befleigeteu^.
iâf Beflig mié.
8. iâf Bepijte
mtd^.
geBlffeu
mordu.
Bef(if[en.
Le verbe: fid^ Befleigigen Rappliquer, est régulier.
63. tSrtlet'd^ett pâUr.
3(!^ erBIeicBe, bu etBIeid^fi,
er erBIet(9t,totr erBIeid^eu.
xéi erBItd^'.
8. \6i erBItc^e.
décolorer.
erBIeidbe,
erBïeldçet.
De même: ftoerBïeid^en se ternir, se
Le verbe simple Bletd^en blanchir, est régulier.
64. ®re{feit saisir, prendre.
9W^ grelfc, bu greiffl, er greife, i^ jrlff.
erBU(^en<
^ aretfc, du greiffi, er gretfe, t^ flriff. ôcfiriffen.
«relft, tolr greifen jc. greifet. 8. td^ griffe.
De même : begretfen comprendre ; ergreifen saisir ; an'grelfen attaquer.
166
Leçon 30.
Frètent de Vindicatif.
Impératif.
Imparfait.
Part, passé.
t
Qtgiiïâfm.
65. @Het<l^ett (dat,) ressembler.
3* gïetdje, b» QÎt\é^% et gltïét,
iltïâft, loir gleid^en }c. gidéftt.
De même: Joergletd^eti comparer; tinp. ïâf toerglùi^; p. p. bergU^m.
66. t®Ieitett, attiSgIfttftt glisser.
^ ^litt.
iS. td^ glttte.
geglitten
glissé.
3éf diette, bu g(eite{l, er glette,
gleitet, mit gleiten k. glettet
iV]B. fôtQUittn accompagner, dérÎTé de geletten est régulier.
67. fttteifett pincer.
^ ïneift, bu fnelfjl, te
Ineift, toit fnetfett :c.
id^ Intff.
gcfniffen.
înelfe,
îneifet.
NB, Une autre forme fnet\)en pincer, est rég., mais inusitée.
68. Seibett souffrir.
3<!^ letbe, bu teibefi, er
leibet, to>ir leiben :c.
lelbe,
(etbet.
\éi Ut t.
8. x6i (itte.
gttttten
souffert.
69. ^fftfett siffler.
3<1^ i|3fetfe, bu ^felffl, er
^)feift, toir ^feifcn k.
^feifc,
i|)fetfet.
i* î>fiff.
5. t(!^ i|)Pffe.
i^flé.
ôeJ)Çf[en
8]
70. Stet^ett tirer fortement, arracher.
3<!^ relge, b» rei6e|l, er
relfit, tolr rcifien k.
reige, i i(!^ ri g. genffen.
reiget. | 8. id^ riffe.
De même : 5errei§ett déchirer ; p. p, serrijf en ; entreigen arracher.
71. f Steitett aller ou monter à cheyal.
3ci^ reite, bu reltejl, er
reitct, t»ir relten îc.
reitc,
reltet.
vSi ritt.
8. id^ ritte.
geritten.
De même: ftoorbei'reiten passer k cheval; f f)>a)ieren reiten se pro-
mener à cheval, p. p. {)>a3tereQ gerttten.
72. t@d^Ieid^fll aller furtivement, se glisser.
3* Wïeid^c, bu Wzm,
er fd^Ietc^t, mit f(]^Ieid^en.
f*ïeid^e,
fd^Ieic^et.
8. \6i f($U<l^e.
73. S^Ieifett aiguiser, repasser.
i(^ f^ïiff.
gefd^Ud^.
geWIiffen.
Se* Welfe, bu fd^Ieiffl, er | f*ïeife.
f^ïelft, tolr fd^ïeifeit îc. |
NB, Le verbe f d^ l e l f e n traîner ^ raser une forteresse est régulier.
74. ®ttetd^eit frotter, étendre.
3d^ fheid^e, bu jlrel4fl:c. | jlrci^e. | idj flrid^. | ge|ln<Çe«.
De même: aitd'ftreic^eit rayer, effacer; p.p. aufigeflrid^eu; «n*»
jheid^en peindre; unterjlreidjcn souligner.
Verbes iirégulierg. II. Conj. 167
JPrésent de Vindicatif*
Impératif.
Imparfait.
Fart, passé,
i
75. Sfl^ntrigett jeter avec force.
3^ Wmd6e, bu Wmeigcll. | ^meifie. | ic^ I*ml6- I 8cf*mif[en.
76. Sfl^tteibett couper, tailler.
3^ fd^ncibf, bu fd^ndbep. I Wneibe. | l* fd^nltt | gef^nitten.
De même: aB'[(i^neibm couper; )erf(^neiben couper en morceaux.
77. f Sd^reitett faire des pas, marcher.
3^ Wtxit, bu Wreitcjlîc. | Wreltc. | i^ fd^ritt. | gcfc^^ritten.
78. Strettett combattre, disputer.
3* jhcîte, bn Iheltefl jc. | flrcitc. | idj flritt. | fielhittm.
De même: Beflrettett contester.
79. fSBei^ett céder, faire place.
3^ m\6it, btt tocld^fl jc. | wcic^e. | t(]^ tt)l(|. | ôctt)l(]^en.
De même: f ettttoetti^en échapper, se sauver; -^avA** ou aB'tDetd^m
dévier, s'écarter.
NB. SBeid^en tremper, amollir, est régulier.
Yoeabnlaire.
bas Sein la jambe. ber gtnger le doigt.
bas Sager le camp. ber $am^f le combat.
ber ^auptmattn le capitaine. ba9 ^ûé^tn, @tgna( le signal.
ber 2)egcii, ba9 ©d^toert l'épée. bte UBerfe^ung la version,
ber ©tutm la tempête. ber Sanbfhetd^er le vagabond,
ber Kfl la branche. ber ^rieg la guerre.
ber2)ni(Qe]^(er la faute d'impression, ber Sad^ le ruisseau,
ber SGBinb le vent. ïjorbereiten rég. préparer.
Exercice. 85.
1. Stn$)mib l^at mié^i in bad Sein gebiffen« 3)eriunge
SRmm \jùi ft(^ fel^t B e f H f f e n , SDeutfd^ }u Iemen« SBarum Bt|l
bu fo f^neU getttten? liDad SRab^en glttt oud mib brad^
cm 9ein« 3(i^ to&te auci^ audgegittten, toetm man mid^ ntd^t
gel^alten (tenu) l^dtte. 3!)te f^etnbe l^atten bad Sager ange*
gïtffcn (64)» 5Deï Çauptmann crgriff fcineu 3)egcn. 3)tc
armen ®efangenen ^Ben ))te( gelttten. S)te Sod^ter gleid^t
livrer aWutter.
2. 3)cï ©tuïtn l^ût tteïc ïïjle Don ben SSaumen abgcrijîen*
SReine ©d^ul^e finb }errif[en« Unfere @otbaten l^aBen tote $e(ben
gefWtten ; fte fînb aScr cnbKd^ bem getnbe getoid^cn. S)cr 2Btnb
))ftff buT(]^ bte Saume. Sintge SDrudfel^Ier l^aben fi(^ in bad Sud^
eiitgefd6It(i^en. 3)ad ^nb l^at fid^ in ben Singer gefd^nttten. S)on
Otti^otte fd^lîff fein ©d^tocrt nnb Bcfal^I bem ©and^o Çanfa, fet*
nem trenen S)tener, fic^ 2^ etnem neuen ^ampfe Dor^uBereiten.
168 Leçon 30.
Thème. 86»
1. Le chien me mordit. Il mord tout le monde. Vous
a-t-il aussi mordu? Non, il ne m'a pas mordu. Le jeune
Français s* appliqua à apprendre Tallemand. Le tigre a dé-
chiré un cheval. Je comparai ma version à (mit) la v6tre et
je n*y trouvai pas de ({etne) fautes. Mon frère n'avait pas
autant à souffrir que moi. J'ai déjà beaucoup souffert.
Nous n'y (babet] souffrîmes pas autant que nos adversaires
(©cgner)*
2. Je voudrais qu'on eût saisi le vagabond. Ce village
a bien (t)te() souffert de la guerre. Voulez-vous donc (bemt]
que je souffre tout cela? Je ne le souffrirai plus. Qui a
taillé ma plume? Ton frère l'a taillée. Coupez-moi un mor-
ceau de pain, s'il vous plaît. Léonidas a combattu comme
un héros. Lequel de vous a sifflé? C'est moi, monsieur,
je sifflais sur mes doigts. Le lion marcha (77) lentement
à travers le ruisseau. Pourquoi avez-vous rayé (74) ce mot?
Seconde classe: Uimparfait et U participe en ie.
80. fSIfiiett rester, demeurer. Frh. ic^ 6Iet6e. Imp, v^ 6IteB«
Imf, dusubj. td^ Ukie. Part. p. geBlicbcn resté.
De même: int&d'UtïUn rester en arrière.
81. SAreiten écrire. Imp. td^ fd^tieb. Part, gefd^tteben, écrit.
De même: aB'fd^reiben copier; befd^reiben décrire, dépeindre; untec^
fd^reiben signer.
82. Stetien frotter. Imp. ic^ ricb. Part, geueben, frotté.
De même: auf'reiben écorcher, user, détruire; jerretben broyer.
83. Smtett pousser. Imp. id^ trieb* Part, gctricben.
De même: )>ertreiBen chasser, bannir; iibertretben exagérer.
84. Wttïbtn éviter, fuir. Imp. xâ) mieb. Part, gcmicbcn.
De même: Hermeibeit éviter; p. p, toennieben évité.
85. ®4eiben séparer, se s. Imp. td^ fd^teb. Part, gefd^tebeit*
De même: entf^etbeit décider; ttnterfd^eiben distinguer.
86. t®ebet^ett prospérer. Imp. td^ gcbicl^» Part, gcbicl^cn-
87. Sei^en prêter. Imp. td^ Itcl^. Part, geïicl^cn prêté.
88. Sd^reien crier. Imp. iâf fd^rte. Part, gefd^tteen crié.
89. ^ptitUf aiti^'f^fiftt cracher. Imp. td^ fpie. Part. gef))teen.
90. fRtXitVI^t» pardonner. Imp. id^ bctjtel^. Part. t>CïJtc]^cn.
NÉ. Le verbe simple geil^en aecttsery est peu usité.
91. ^retfett louer. Imp. xif pxit9. Part, gcprtcfcn*
92. SSeifen montrer. Imp. td^ »ic8. Part, gctotcfcn.
De même: Betoeifen prouver; ertoclfcn montrer, rendre.
Verbes irréguliers. II. Conj. 169
93. Sfl^eittett, 1) sembler, paraître, 2] luire. Imp, xif fii^ten.
Part, gefd^tcncn semblé, lui.
De même: ferfd^eitteit paraître, apparaître; p.p, erfd^ieiteit paru.
94. S^tOfigeit se taire. 7m/9. td^ f(!^t3)teg. Par/, gefd^totegeit tu.
De même: t>erfc^metgen celer, cacher, taire.
95. f@telgeit monter, /m;;, ic^ flteg. Par/, gefitegen monté.
De même: fab'fteigen, j-l^maB'Peigm ou (eraB'fletgen descendre;
IJinauf'Peigett, crfieigen monter.
96« S^tVJmtXif 1) V, a., ordonner, 2) v. n., s'appeler. Imp, \i^
l^tcg. Part, gd^cigeu (irr^y.).
Yocabnlaire»
ba9 J^affeel^auS le café. bie Jtfifte la côte.
bas ffîerl Touvrage. bie ®efe1If(Çaft la société.
ber SSerfaffer l'auteur. ber banquier le banquier.
ber Umgang le commerce, les ber )6aBb le volume.
eine @ette une pa^e. [relations, retten sauver.
bie @timme la voix. oft souvent.
ber 8&r Tours. aÙetn seul.
bie éonne le soleil. laut haut.
bie 2)ttmm(eit la sottise. I^eftig violent.
Exercice. 87»
1. SBo Bïteblt bu fo latigcl 3(!^ BHcB jtoci ©tutiben tn
bcm flaff ccl^auf e. SBie lange t fl è^r tïtcunb gcBHcfccn? Srtji
ttur ctnc ©tunbc gcblteBcn. âd^ tooflte (voudrais) , baÇ baS SBJet*
ter toâl^ïcnb beô ganjcn SDîonatô fo fd^ôn 6 IteBc ! SBer l^at jencô
SBcrï gefd^rieben? Sd^ ïcnnc ben Scrfajîcr titd^t; fciu SRame
tfl auf bem Sttel md^t angegeben. 2Bte (ange finb ®te auf bem
SaE geblieben? SBir bUebeti bi« SKtttemad^t (jusqu'à mi-
nuit). SBenn @tc ben Umgang biefe« SKannc^ Dcrmtebcn
l^atten, fo l^atten ®te tl^m letn ®e(b geltel^en. ©d^teten @te
ntd^t fo (aut. dd^ fd^rte, toeti id^ mtd^ fûtd^tete (parce que
j'avais peur) , alletn }u f ein. dd^ l^abe brei @etten gef^rteben.
2. Der gcrettete SKann prtcô ®ott mit lautcr ©ttmmc.
3)er 9tetfenbe toav auf ben 9aum gefltegen; at9 ber 9dr bte9
fal^, {Heg er aud^ l^tnauf. 3)te ®onne fd^ten fel^r toarm, aU
(quand) xovc bctt ©erg l^tnaufflicgen (95). SBer l^t 31^nen bie*
fe« ®clb geïtel^ctt? SKctn Slad^bar liel^ eô mir, utiter ber Se*
bingung (à condition), bag id^ ed tl^m tn ad^t £agen fld^er
)urûd(gebe. Sm l^eftiger ©turrn trteb unfer @d^tff an bie fiiifie.
ffite feigen Sic? 3d^ ^eigc fïriebrid^. SBie ^eigt ^xt aKuttcrI
@te ^eigt Sltfabet^. SBurbe fie nid^t SUfa ge^etgen? !Da8 mag
fem, id^ toetg e9 ntd^t. SBettn bu gefd^toiegen l^attefl, fo to&rbe^
bu jfetne 3)umm]^ett gefagt l^aben.
170 Leçon 30.
Thème. 88.
1. n restera ici. Je restai toute la journée à la
maison. Où ètes-vous resté si longtemps? «T évitais tou-
jours la société de cet homme. H n'a pas assez évité les
cafés. Tout le monde le louait auparavant (jut)0t). Il me
semblait trop faible. Écrivez-vous à monsieur votre père ?
Pardon, monsieur, j'écris à, mon ami à Francfort. Nous
nous sommes (^6en] écrit jusqu'à présent {ix9 \t^t) tous
[les] mois, mais il veut que je lui écrive plus souvent (5fter) «
2. A'^ez-vous écrit à votre banquier? Non, pas en-
core, je lui écrirai demain. Madame de Sévigné écrivait
souvent à sa fille. Taisez-vous 1 Je me serais tu, si Ton
m'avait laissé (gelaffett) tranquille. Le fils dit : Mon père,
pardonnez-moi mes fautes; et le père lui pardonna. L'em-
pereur parut très ému (gCïûl^ït). Ne vous ai-je pas prêté
le troisième volume de cet ouvrage? Non, monsieur, le
troisième volume n'a (tfl) pas encore paru (93).
Conversatton.
SBa9 t^nt ber ^unb? (Sr beigt.
$at er @ie aué^ gebtffen? 9ltïn, et l^at miti^ ntd^t gebiffen.
éon mem tourbe ber 9leifenbe an* îBon }t9et 9l&ubem (brigands),
gcgriffenl
Sent gïeid^t blefe« aRfibd^en? (Bit gteid^t i^ter SWutter.
SBar 3^r Onîeï lange franï? 3^^ er ^at tolele ©(i^metien ge«
litten.
JlSnnen 6te retteni 3a, iâf bin bte|en iDtorgen f^a^tercn
geritten.
3P iened ^an9 ait ober neu? (Sd if} ait; aber e« t^ nen (à
neuf) angefhicben.
3^r Singer (doigt) blutet (saigne), 3($ (ttBe mid^ (ou mir) ht ben
«ad ^aben ®ie i^tmaâ^fi Singer gefd^nitten.
@inb @ic lange in $ari9 ge« 3^ bin brei Wtonatt bort ge«
blieben? blieben.
Set l^at bief en 8rtef gef(!^rieben? SReine (Souflne ^at i^n gef<]^ebat.
SoUen @ie fo gut fein (avoir la S^ (abe tS nid^t, i(Ç ^abe ti
bonté), mir 3^r SBSrterbu^ iu nteinent grennb Subtotg gelie^n.
lei^en?
SBantm fd^reit baS Ëïnh fo fe^r (3d fd^reit, A)eil e9 ÇvatQtt (faim)
(tant)? l^at.
SBotten @ie mir )>er}eil^en? 3(^ ^abe 3^nen fd^on t>er)iel^en.
Skr ip auf ben i3aum gefliegen? ^einrid^ ifi ^tnaufgefHegen.
IBer ^at 31^nen ge^eigen bad )n 9liemanb, iâf tl^at e9 an9 freien
tl^un? ©tfiden (de mon propre mouve-
ment).
Verbes inégulien. LE. Conj.
171
Troisième classe : Himparfaii est en te, le part, passé
conserve la voyelle de Tinfinitif. La seconde et la
troisième personne sing. du présent de Vindicatif
radoucissent la voyelle.
Présent de Vindteatif.
Impératif.
Imparfait.
ie
Part, passé.
S
97. Slaftit souffler.
34 Blafe, bu (Iftfell, er
blafct, fie blafeti k.
Blafe, Ma9,
16Iafet.
t(^ BIted.
8. id» Bliefe.
98. Statett r6tir.
34 Brate, bu BrStft, er
Br5t, tt>ir braten, ^\t
Braten %z.
Brate,
bratet.
t4 Briet.
8. t4 brtete.
geBlafe»
soufflé.
geBraten
rôti.
t4 fte(.
^. i4 flele.
gefaSen
tombé.
99. tSfaSett tomber.
34 fane, bit fSUft, er 1 faSe,
f&nt, tttr faUen 2C. | fattet
De mdme: •{• l^feraB'falIen tomber (à terre); Befaflen attaquer; fetn*
faHen se rappeler; igef aUen^) plaire; fmigf attend déplaire;
î^erfaHen aechoir.
100. ^ttgett attraper, prendre.
34 fange, bu fSngP, er 1 fange,
fSngt, tDtr fangen 2C. | fanget.
De même: Stt'fsttgeit commencer; p. p. aitgefaitgeit ; em)>fangen
recevoir. P. p. em^fangen.
i4 fitttg ou gefangen
fin g. pris.
101. S^aiitn^) tenir.
t4 ^ielt.
ge^alten
tenu.
34 Mte, btt ^aitfl, er 1 ^alte.
B&It, loir ^alten k. |
De même: aB^alten empêcher; auf^alten, einl^falten s'arrêter; (e-
(alten garder; eripaUeit recevoir, soutenir; p.p. er^alten.
102. tl^attgtlt^) (ou l^ittgeit) pendre, être suspendu.
34 ^S^ ^» (^ngfi }c. I ^ng(e). |i4'!ficndf(tnd-l gt^ngen.
De même: oB^&ngen (toon) dépendre.
NB. Si^n^tVi pmdre, v. actif y est régulier; p.p. gel^Sngt.
103. Saffftt laisser (faire).
34 taffe, bn ISjfejl, er 1 laffeoulag, 1 i4 (ieg. getalfen
156 1, ^^ Mtn 2C* I taffen @ie. | laissé.
De même: Herlsffett quitter; p. p. Herleffen; St^^affen admettre;
|urii(!Iaf[en abandonner; V^terlaffen (inséparable) laisser.
NjB. ISeranlaffen causer , engager, est régulier.
1) {^ ait en, avec la préposition fiir, répond au français erotr«
jn ^eh.f prendre ou tenir an pour qch. Ex.: i4 l^alte i^n fiir einen
e^rlt4en Ttann je le crois honnête homme. — 2) se conj. av. (aBen.
172
Leçon 30.
Présent de Vindicatif,
Impératif,
Imparfait,
le
Part, passé,
t
104. Wateit conseiller.
3^ rate, bu rStjl, cr t &t,
koir raten ]C.
i^ rat(e). id^ rtet.
geraten
conseillé.
De même: erraten deviner; aBraten dissuader.
105. 6ll^Iafetl dormir.
Wûf(e).
l* f*nef.
3* Wafe, bu fd^tSfH, er
fd^Yaft^tolrWïafeuîC.
De même: feiu'fd^Iafen s'endormir ; p, p. eingef(!^Iafen endormi.
ge^tafen
dormi.
106. fSatlfett courir.
3$ taufe, bù tSuffl, er
I&uft, »tr laufen se.
lauf(e).
i($ Hef.
gelaufen
couru.
De même: fentlaufen échapper, s*enfuir; ina^Iaufen courir après.
107. $atietl couper, tailler.
3$ ^aue, bu ^au(e)fi k. | lEfau(e). | \âf IjfteB. I ge^auen.
De même: aBl^auen couper; nteber'^auen tailler en pièces.
108. -f&tfftn aller, marcher.
3àf jelje, bu gel^ft cr geÇt, gcl^e. td^ gicug ou
kotr ge^en 3C. fiing.
De même : f audgel^eu sortir ; f ^inetuge^en entrer ; f toerge^en périr,
passer; fDorBeige^en passer; f jurlldgel^en rentrer, retourner.
gegaugen
allé.
109. 6togetl pousser.
3d^ fioge, bu fliiSefl, er
j!6gt, ton flogen }c.
jloge.
id^ flteg.
gefloSen
poussé.
De même: anflogeu heurter; bcr{iogen repousser, rejeter.
110. 9ttlfttt appeler.
3(i^rufe, buruf^, erruftK.I rufe. | i(!^ rtef. | gerufen.
De même: aurufen implorer; auSrufen proclamer; )urfi(fmfett
rappeler.
Yoeabniaire.
ber Stoâf le cuisinier.
ber @^e(f le lard.
ber fiud^S le renard.
bae Vl(^ ipl. ïflt^t) le filet.
ber iRat l'avis.
bas ^avûpi la tête.
i^o^fme^ mal è la tête.
e^ematd autrefois.
ber ^trfd^ le cerf; ro^ cru.
bte <Sd^iIbkoad^e la sentinelle,
ber ^aâf le ruisseau,
bie ^ered^tigfeit la justice,
bte SD^SgMUng la tempérance,
bie ^ngel rhameçon.
toitb sauvage, féroce.
Be|reien défivrer; tôt mort,
fanft doux, doucement,
îod^en cuire, bouillir.
Veibes irrégpiliers. II. Conj. 173
Exercice* 89.
1. ©et SBinb il&\t nid^t flad; fleflem iVn9 cr jiadcr.
S)erfii>d^ l^at ba9 Sletfd^ ntd^t gut g eb rat en; e« tftnod^ ^Ib
to^. 3)et Soget fiel tôt nom Saume. ilRtt ©t^ed f&ngt
man9Rduf^« @m Sdtoe tourbe in etnem 92e^e g ef an g en. ^ik
rota f^àltft (prends) bu mtd^? 2)er dager l^telt ben Sud^0
hti ben £)]^ren. Stn ©d^toert l^ing ûBer bem Çaupte bed 2)a«
ntotled. ffîa9 rStfl bu mir: foQ iâf iUiitn ober ge^en? SRan
rt et i^m, ba ju Meibcn. îCer Çerr rief feinen 3)iener* Die*
fer fragte feinen Çerm: Çaben @ie mid^ gernfen?
2. S)a0 fiinb fd^laft fanft. S)er Sote lag ba, tote toenn
(comme si) er fd^Itefe. Çaben @ie bte Dorige (passée) Statut
gut gef d^Iafen ? èd^ ifcAt nur toenig gefd^Iaf en, toeil Oj fto)}ftoel^
"^atte. SBenn ber ^abe nod^ einmal (encore une fois) an ben
ïif^ flôgt, [fo] îtoirb ler beftraft loerben. SBarum lauft ba« SoH
btefem SOtanne nad^ ? Sr tft ein S)ie6 ; er l^at eine golbene Ul^r
geftol^len; man lâuft ïf^m nad^, nm (pour) tl^n ju fangen* @tnb
Sic aud^ geîaufen? 3d^ Uef mit ber SKenge (foule). SKan lie§
bie t^tau nid^t abreifen, toeil fie ju fd^toad^ toar.
Thème. 90.
1. Le vent souffle très fort. La viande est-elle rôtie?
Non, elle est bouillie. Votre chapeau me {dat) platt, mais
votre parapluie me déplaît. Ce qui (toaS) a plu une fois,
ne platt pas toujours. On croit (p. 171, note) les éléphants
les animaux les plus prudents. Autrefois ou prenait les feux
follets (bie 3rrïid^tcr) pour [des] revenants (® cfpenjlcr) . Mon
chapeau est tombé dans l'eau. La plupart des poissons sont
{jfasnf) pris dans des filets.
2. Avez-vous bien dormi cette nuit? Je dors toujours
bien. L'enfant dormait sous un arbre. Qui est-ce qui m'a
poussé? Je vous ai poussé [impr/.); car vous n'entendiez
pas que votre frère vous appelait. Pourquoi n'étes-vous pas
allé au théâtre avec les autres? Je suis allé (nnprf.) au
jardin avec ma tante. Le voleur a été pendu. D'où vient
( — ti\ que vous avez couru si fort? Laissez-moi tranquille.
On la laissa seule à la maison. J'ai conseillé à sa mère
de ne plus faire cela.
Lecture.
StdëixnëUë $ferb. Le oheval de Eosoluasko.
fto«îiu«ïo, ber ebïe ^oU, tooDte einfl (un jour) einem ©eifl*
lid^cn^ in ©oïotl^um (Soleure) einige glafd^en guten SBeine«
1) ecclésiastique.
174
Leçon 31.
^âfiden. Sr toa^Itc baju* cincn jungcn SKaim, 9lamcu8 S^^^^^^»
vaù> ûbcrlicg^ il^m fût btc 9tctfc* fcin cigcncô (propre) Sîcit*
pfcïb. attâ^Itttcr jurûdïam, fagtc ex: „SDlcm 5cft>^err*, td^
tocrbc il^ï $ferb ni^t totcbcr Tcitcn, tocnn* ©te mir nid^t*
juglcic^ O^ïc Sôrfc mitgcbcu." —
„a33ic mcincti ©te ba8 (comment cela)?" fragtc fto«jturto.
3cltncï anttooïtctc: „©o6aIb^ ein ïïmcr auf bcr ©tragc®
f cmcn $ut abnal^m •, unb um ciuXlmofcn^^ Bat, jlanb^^ ba«
Çfcïb Ptll" unb gtng^* n^t c^cr Don bcr ©tcHc^^ ix9 bcr
Settler^^ etn>a9 ent))fangen l^atte; unb al9 mit enbUd^ bad
®elb au^ging (vînt à me manquer), fonnte xii baS $ferb nur
baburd^ jufrtcbcn flcDcn " unb t)ortoSrt8 bringcn **, ba§ ici^ mid^
fiente (en feignant), al0 toenn id^ bem Settler ettt>a8 gSBe.
2) à cet effet. 3) fiBerlaffen confier. 4) la course. 5) général.
6) toenn . . ntt^t à moins que. 7) aussitôt que. 8) route. 9) ôter.
10) l'aumône. 11) fliQ fle^en s'arrêter. 12) l9on ber ©telle gel^en
avancer, bouger. 13) mendiant. 14) satisfaire. 15) faire marcher.
Trente-unième Leçon.
Troisième ooDJugaison.
La troisième conjugaison prend à Timparfaît et au
part, passé Vo comme voyelle caractéristique.
Première classe.
Brésent de Vindicatif.
Impératif.
Imparfait.
Part, poêêé.
111. Siegen pUer.
3âf biege, bn Biegfl, et btege.
(iegt, tt>ir Biegen )C.
ié Bog.
S. iâf BSge.
112. mtttn offrir.
3d^ Btete, bn Bietefl, et
Hetet, tt>ir Bieten 2C.
Biete.
ïâf Bot.
S. iâf BSte.
geBogen
plié.
geBoten
offert.
De même: att'Bietett offirir; p. p, tngeBoteii; berBteten défendre,
p. p. toerBoten; geBieten ordonner.
113. tfSfliegttt voler.
5^ piegc, bn f[ieg|l, er
f(iegt, ïoïï ffiegen }c.
Plege.
l* fïog.
S. x6f fl5ge.
gePoaen
volé.
De même: +fort'fltegen et +l»eg'fltegcn s'envoler.
Verbes inéguliers. III. Conj.
175
Présent de Vindiûotif,
Impératif.
Imparfait.
Part, passé.
114. tSfUe^ttt fuir.
34 pielfte, bu fltelftli, et
mt^
i4 flol^.
S. I4 \mi.
gefloÇen
fite^t, toit flie^m k.
fui.
De même: fentfïlel^en g'enfuîr.
115. tSrlieèeit couler.
3(^ ftiege, bu fliegep, cr
fliege.
i4 fUg.
gefïoffeu
fltegt, »ir fliegen se.
8. i4 fIBffe.
coulé.
De même: ftoerfïicÇcn s'écouler.
116. tSrtteteit avoir froid, geler.
3<^ friere, bu fricr^, et
ftiete.
i4 ftot.
geftoten
friert, toit friertu }C.
8, i4 ftSte.
gelé.
De même: +gefrlereu geler; •Ytx\dttta mourir de froid.
117. Seniegeti jouir.
34 gentege, bu geniegefi, et
geniege.
i4 genog.
geuoffcu
gentegt, toir geniegen 2C.
iS.t4gen9ffe.
joui.
118. Siegen verser.
34 giege, bu giege|l, et
giege.
i4 gi>S.
gegoffeu
giegt tt>it gtegen ic.
«. i4g8ffe.
versé.
De même: au9 'giegen verser; t>etgiegen répandre.
119. ®Iillt1lteil brûler sans flamme.
34 gnmme, bu gttmmp,
gtimme.
i4 glomm
geglonimen
et gtraimt, — gïimraen.
ou gUmmte.
ou gcglintmt.
1 19a. f Slimnten grimper; m^. td^ nontnt ; p. p. genontmett*
120. f Srieil^etl ramper.
34 fne4e, bu !ne4ft, et
Itie4e.
14 lto4.
gefto4en
ftte4t ^it Itie4eu se.
S. i4{til4e.
rampé.
121. Stieil^ttt sentir par Todorat.
34 tie4e, bu ne4ft, et
tie4e.
i4 to4.
geto4eu
ne4t, toit rie4en }c.
S. i4 tS4e.
senti.
122. Sli^iegeit tirer (une arme à feu).
34 Wiefie. b« f*iege|l, et
Wiege.
i4j4og.
8cf4ojfeu
tiré.
f4te6t, toit f4tegen k.
iS-. i4f4iiffe.
De même: Bef4iegen bombarder; etf4iegeu fusiller.
123. Sd^Iiegeit fermer (à clef], conclure.
34 f4nege, bu f4Iiegefl, et
f4Uege.
i4 r4Io6-
9ef4to|îett
f4tiegt, toit f4negen 2C.
i8f.i4f4I3ffe.
fermé.
De même : Bef4Iiegeu terminer, conclure, résoudre ; ein'f4Iiegeu en-
fermer; aud'f4negeu exclure; Oetf4'^^^6^^ serrer, fermer à
clef; auf'f4tiegeu ouvrir; îu'f4ïiegen fermer.
176
Leçon 31.
Présent de Vindicatif,
Impératif,
Imparfait
Part, posté.
124. Serbrie^en vexer (surtout imperson.).
Sd^ toerbriege, bu t>erbttegefl,
c9 terbrtegtmid^je suis vexé
)[>erbriege.
iS.^berbr9ffe
3d^ t>erliere, bu tecUerfl se.
125. Setlieteit perdre.
berltere.
berbtoffm.
vexé.
berloren.
td^ t>etIor.
iS.id^toetldre.
126. SSiegeit peser (act. ou n. se conj. avec l^aSett)*
3d^ kotege, bu totegfi }C. 1 toiege.
t(( ko 00.
S, td^ kodge.
gûoogen.
Le verbe actif toaaen peser, se conjugue à l'imparf. et au
part, passé de la même manière.
Un autre verbe actif totegen bercer, est régulier.
127. 3'^^^^ thxexy tratner; f marcher.
Sd^ %\t\it, bu )ie^fi se. | )te^e. t4 iog. ge)ogen.
I iS. td^ gSge.
De même: ait'slel^eit mettre (un habit); audliel^eit ôter, f dé-
ménager, p, p. andgesogeu; bor')te^en préférer.
n y a encore les verbes suivants qui suivent cette
conjugaison :
128. Sd^ieBeu pousser, /mp. id^ fd^o6« Par^. gefd^o6en poussé.
129. Stebeu [rég, et irr.) bouillir. Imp. xif fott» Part, gc»
fottcn bouilli.
130. fS^irtcftctt bourgeonner, /m/?. — fpïog» Par^. gcfj)ïoffcil*
131. f ®tte(ttt se disperser rapidement ( verhe défecHf) .
Imp. er jloB. Part, gcjlobeu»
132. Sriefeit [rég. et %rr.) dégoutter. Imp. xif troff. Part.
gctroffcn*
Yocabnlaire.
ber i^auartenoogel le serin (de bad 5H(ogramm le kilogr.
Oerlangen demander.
ber grûul [pi. — eu) le franc.
bie Xru))^en les troupes.
ber ^offer la malle.
muttg courageusement.
Canarie).
bas Saterlanb la patrie,
ber $trfd^ le cerf,
bie Suft l'air.
ba9 $utDer la poudre à canon,
bie i^artoffel la pomme de terre.
Exercice. 91.
9Btc»tcI 6 1 ber 3ube Ol^nen filr 3^r $f crb ? (Sr ^at mit
nur l^unbcrt SKorï gcbotcn. Çabcn @tc mcincn ffanaricut>ogc(
ntd^t gefel^en? 3a, er tfi Û6er bad Çau9 g ef ( o g en« Sor etutgen
da^ren to a r ber Sîl^etn j u g e f r o r e n. SOtan f agt t)on etnem Soba*
ten, ber nie tm £riege toar: (Sr l^at nod^ lein ^uber gero^en*
3)te iungen Seute }ogen muttg in bie ©d^lad^t; fte tDoQten ftegen
Verbes inéguliezg. III. Conj. 177
(vaincre) obct jlctJen* 3*^^^* ^^^^c ©ticfcï an. SQSir l^aBcn
fc!^on «nferc ©tï^ul^c anaejoflcn* 0(3^ toûtifd^tc, bag il^r cucrc
@ttefel an^Bget. SBteDtel Detlor dl^t £)^eim tm @{}ten Sr ^at
uuï cintgc SWarï Dcrlorcn. SBicmel toiegt btcfcr Roffcr? (Sr
tft nod^ ntd^t getoogett morben; aber td^ glauBe niiit, Dag et
25 fttlogromm toicgt. ©iîib bic ftortoffcln ft^^on gefottcn? Slciti,
fte fieben nod^; in jel^n SDttnnten toerben jîe gefotten fetn.
Thème. 92.
Le marchand demanda douze francs; je lui en offris
dix. Le juif m*a offert 800 francs pour mes deux cheyaux.
Avez-Yous fermé la fenêtre? Non, j*ai fermé la porte. Les
troupes ont fui au lieu de (anflatt «. }u) défendre leur patrie.
Le cerf fuit. Qui a tiré (122) sur le cerf? Je tirai plu-
sieurs fois en l'air. Combien pesiez-vous Tannée passée?
Je pesais 65 kilogrammes. On n'a pas encore pesé ma
malle. Le malheureux chien rampa jusqu'aux (6id }U ben)
pieds de son maître. Avez-vous perdu quelque chose?
Oui, j'ai perdu mes gants. Le char de Romulus fut traîné
par quatre chevaux blancs. Pourquoi avez-vous ôté vos
bottes? Elles me serraient (btûdten) trop.
Conversation.
ffîad iot maxt 3^nm ffir 3^r (&in Snbe Iftat mit 500 9ranf(en)
$ferb geboten? ÇeBoten*
SDorf maxt (ter eintreten (entrer)? 9ltin, tS tfl DerBoten.
^t man @te Derbroffen? 3a, man îfat mit ^ttbotm, audgn*
geBen.
9Bo (aben @te 3(ren S^ogell (Sr tfl fortgeflogen.
3|l e« ïatt (ente? 3a, ba8 SSaffer ifl gefrorcn.
SBer bat ba9 Saffer an^gegoffen? 34 (abe 3(te ^Inmen begoffen.
a^o ift metn $nnb? (Sr ift unter ba« Sett gelrod^en.
£Baren @te anf ber 3adb? $aben 3a, léf l^aU )ti>et ^afen gefd^offen.
Sic etmad gefd^offen?
SBamm (atten @te 3(re X(fire ge* SBeK t(( mi(( anlletbete (mlia-
f^Ioffen? billais.)
Çat ber Heine i^nabe letn Xa\â^tn* ^Itïn, er (at ed toerloren.
tnd?
Deuxième classe.
Présent de Vindicatif,
Impératif,
Imparfait.
Part, passé.
133. Semegen engager.
34 bemege, bu betoeg^, er betoege. t(( beioog
bemegt, toir beti>egen se.
J'engageai.
bettiogen
engagé.
NJB, Ce verbe se conjugue régulièrement lorsqu'il sigpiifie moi^
voir physiquement, mettre en mouvement, ou émouvoir.
iynOt Grammaire allemande. 12
178
Leçon 31.
Présent de îindieatif.
Impératif,
Imparfait,
Fart, passé.
134. SeUnnilteil seirer le cœur.
(S0 Beltemmt (impers.), \ — |eebeIIomm. | Beftommen.
135. SettSgeil tromper, déceyoir.
^ Betrfige, bit betrfigfl, er betrilge.
betrfigt, mit Betrûgett k.
i(!^ (etroa. t (etrogett
S. id^ betroge. | trompé.
NB, Le verbe simple ttfigejt ne s'emploie qu'au présent.
136. t StlBfll^ett s'éteindre.
td^ etlofd^.
8, \éi ertSfd^e.
erlofd^it
éteint.
3dft ertSfd^e, bu erttfd^efl, erltfti^.
er erlif^t, toir erlëld^en.
NB. Les verbes actifs I5f(!^en et auelSfd^en éteindre sont
réguliers.
137. f (Stfd^aKeil résonner.
3d^ erfd^aHe, bu erfd^attji, erf(!^a]Ie. . td^ erfti^oll. erfd^oHen.
et erfd^aiït mit erfd^. k,
NB. Le verbe simple fdjaïten «o«n«r est régulier.
138. fjfed^tett faire des armes, combattre. .
3d^ fed^te, bu fid^til, er
ftd^t, ti>tr fed^ten 3C.
P^t.
id^ fodbt.
iS. id^ fSd^te.
139. ^Iti^itn tresser, eutrelacer.
3(^ ffe($te, bu ftid^tfi, er
Pid^t, toir Ped^ten }c.
fïi^t.
td^ ftod^t.
S, id^ flSd^te.
gefod^ten.
geflod^ten.
140. f ®Srett fermenter.
3d^ gSre, bu gSrjl, er gSre.
gSrt, tt>ir gSren se.
iV!B. Ce V. est aussi régulier.
idj flor.
fi^. td^ gBre.
gcgoren.
3d^ (eBe, bu ^ebfi, er l^ebt,
»tr l^eben k.
141. $eieit lever.
l^eBe.
geboBen
levé.
td^ Bo^*
iS. td^ ^5be ou
^be.
De même: auf'^eben lever, ramasser; part, paesé mf§e|0fe«;
er^ebes élever.
142. Sftgett mentir.
3d^ tiige, bu mgfl, er Htge.
lûgt, xoix Ifigen 3c.
id^ log.
S. id^ lëge.
143. SRelfett traire.
3d^ melfe, bu meltfl, er
tneift, totr meden se.
mette.
\6i molf.
getogen
menti.
gemolfen
trait.
Verbes inégulien. Ul. Conj.
179
Présent de Vindicatif.
Impératif.
1
JF^r^ passé.
144. Satlgeit sucer.
3* fange, btt f<mg(l, et
foage.
i* fog.
gefogen
faugt, totr fougen )c.
-
(aussi {augte).
(gefaugt).
NB, fSttgen allaiter est régulier.
145. @d^erett tondre.
3* f*crc, Werp (Wier|l),
f<!^cre(Wier).
i* fâot.
gefii^oreit
f^ert (f^iert), fd^eren se.
iS. t^ f^Sre.
tondu.
1 146. fSfl^llteliett se fondre.
3* Wmefte, bu Wmtïac^,
Wmtïj.
t($ fd^mol}.
gcfdfmoïîen
er f<l^mUBt, totr fd^m. 3C.
iS. t^ fd^miJlie.
fondu.
NB. Comme v. actif \i^mtiltVi fondre est régulier.
147. f ®d^ttieSeit s'enfler, se gonfler.
3* Wtocttc, bu fdbwttïft f(^tt>i!ï.
er f^kotÏÏt, ti>tr \ifyco. se.
1d^ fd^tootf.
gefd^tDoIIen
iS. t(]^ fd^toStte.
enflé.
1 i^£. Comme y. actif fii^tocttett gonfler est régulier.
148. Sd^ttiBren jurer.
3* f^toBre, bu fd^to5rfl,
fd^toSre.
Id^fd^toor (ou
gefd^kooren
er fd^lôBrt, tttr f4». îc.
mieux td^fd^tDUr)
S. Ï6i fdbtoilre.
juré.
De même: Befd^tDSren conjurer.
149. 9Be(ett tisser.
, ^ koebe, bit loebfl k.
tt>ebe.
td^ tt>oB ou
getDoben ou
toebte.
gemebt.
• H y a encore les yerbes suivants qui suivent cette con-
jugaison.
150. $f(egett entretenir. Imp. id^ pflog. -P. p. gepflogcn.
NB. $f[egen est régulier, quand il signifie 1) prendre soin de
gn ou 2) avoir coutume,
151. f OtteSett sourdre. Imp. xij quoQ. Part. gequoQen.
152. ©attfeil^) boire. Imp, xif foff. Part, gcfoffen.
153. Sd^natliett 2) renifler. Imp. xif fd^noB. Part. gcfd^noBctt.
154; (Sirffiteit élire, choisir. Imp. xi^ erïoï. Part, erïoïcn»
Yocabulalre.
ta9 Setragen la conduite. ber ^d^nee la neige.
\>cA geuer le feu. )3erlaffen quitter, abandonner.
ber friebe la paix. Uni gaucne.
ber Âorb le panier. ta^fer vaillamment.
toerbienen mériter. t)onged 3al^r l'année passée.
1) ©aufen ne se dit que des animaux. — 2) aussi régulier.
12*
180 Leçon 31.
Exercice. 93.
aBa« bciooj bctt aKalcr, btefc ©tabt ju ©crïaffctt? 9<i^
toeig ntd^t, toaS t^n ba}u £ e to o g en \)at (Sm t^ember l^at mtd^
bctrogcn» îDa«gcuertjlcrïof^cn. ©te ïtl^cncr (les Athéniens)
l^aben ni bcr ©d^Iacj^t bct SKaratl^on to^)fct gcfo^tcti» 3)icfcr
èorS tfl fd^Ied^t (mal) geflod^ten. À5tmen @te btefen @tefai
l^cbcti? 3a, xii f^aie tl^n fd^on aufgel^oBcit» 2)cr ©d^ncc tjl
auf benSergen gefd^moljen. Soriged dal^t fci^molg er im
aWonat 3ttH» 9^ï Sctragcn l^at «i^ ©crbroffcn. S)tc glûffe
fbib bon bem ftarf en 9îegen gefd^tDoHen. S)tef e9 £ud^ tfl fel^r
gut getoeSt
Thème. 9é.
La guerre nous a engagés à quitter notre pays. Je ren-
gageai à aller ayec moi. La neige est fondue. Qui a ra-
massé mon crayon? Charles Ta ramassé. Ce panier n*est pa»
bien tressé. Il parait que le feu est éteint. Ce héros com-
battit comme un lion. Mon ami me conjura de rester auprès-
de lui (6et tl^m) . Mon yoisin m*a trompé : il trompe tout le
monde. Cette toile est mal tissue. Celui qui a menti une
fois, ne mérite plus qu'on le croie (tl^m glauÊe). Ne jurez,
pas. Les soldats jurèrent de ne pas quitter leur général.
Lecture.
£te (Stfmbnng M &la\të. L'invention du verre.
Êinfi (un jour) (anbeten bic ^Jl^ônijter (les Phéniciens) an
ber Storbfûfie^ 3lfnla«, too bad Slûgd^en 9e(u9 fid^ in ba9
SKccr crgog^* Sine toette ©anbflSt^^c* la g bor il^rcn ïugcn*
©te fud^tcn Stchie, nm tl^rc ffcffcï unb ?Pfanncn* û6cr bcnfelBcit
aufjufleOen; a6er ba fie letne fanben, l^ctten fie aud t^ren
©d^tffen @a())eterfletne ^, bte fie atô Sabung (cargaison) mit [xé^
fûl^rten. ©d^nell ]praff elte ^ bte lufitge é^^^ntme, unb fte g e n o f f e n
tl^r ctnfad^e^ SWal^F.
W>ex aBunbcr®! Son bcr Oetoaït (force) be« gcucr*
toaren bte ®al)}eterflehie gef^moljen unb l^atten fic^ mit ber
Sfd^e unb bem glûl^enben @anb Detmifd^t^, unb alS bte fliiffige-
(liquide) SKaffe fait gctooïben toar, jogen ^^ fte etne luette, buï(§*
Pd^ttge^i SDÎaffe l^erbor, bie auf ber ®rbc ïag — baô toar ® Ia«.
— ©0 tourbcn bie ^l^Bntjier bie Srftnber bicfc« unfd^SçBorcn**
OegcnflanbcS, ber un^ bie grôgten ©ienfle letflct (rend).
1) la côte septentrionale. 2) se jeter. 3) une plaine de sable. —
4)1. chaudrons et 1. poêles. 5) pierres de salpêtre. 6) pétiller. 7) repaa»
8) prodige. 9) mêler. 10) returer. 11) transparent. 12) inestimalble»
181
Trente-deuxième Leçon.
Quatrième conjugaison.
Elle contient neuf verbes dont la radicale est a* Ici
la voyelle caractéristique est tt à Vimparfait. Le participe
conserve Va de Tinfinitif . A la seconde et à la troisième
personne sing, du présent de Vindicatif Va ne se radoucit
que dans quatre ou cinq verbes.
Prisent de Txndieatif, Impératif.
Imparfait.
n
Part, ptusé,
a
155. Suftttt cuire au four.
3âf ladt, bu Ibadfl ou
M(fp, erbadtouMdt,
mir iadtn.
Bade.
iâfhniovLrég.
ï^ hadtt.
qthaûtn
cuit au four.
156. f fSfcK^tett aller en voiture^) (en bateau etc.).
34 fft^re, bu fS^rfi, er I fa^re. 1 i^ fu^r. i gefa^ren
fS^rt, U)ir fa^ren k. | \ S, ïâf filtre. | allé.
De même: faud'fa^ren, J^ajieren fal^ren se promener en voiture,
ab'fal^ren partir; erfal^reu apprendre.
NB. SBtlIfapreu accorder une demande est régulier (yoy. p.l88),
157. ®tabtn creuser.
34 QxaU, bu grSBfl, er grabe.
gr&Bt, toit graBen se.
De même: BegvaBen enterrer, p,p. Be^raBeit; ein'graBen grarer sur.
158. Sabeit charger.
iéf aruB.
S. r^ gtiiBe.
gegraBen
creusé.
34 lûbe, bu tabefi ou ISbfl,
er labet ou lSbt,tt)ir laben }C.
labe.
iâf (ubou(a>
betep.
gelaben
chaîné.
De même: aB laben décharger; aud'Iabett désembarquer ; Belaben
chaîner; eitt'Iaben inviter. P. p, eingelabett.
159. 6fl^affeit et erfil^affeti créer.
34 f4«lîe, bu Waffff, er
f4afft, U)ir f4affen te.
Wûffe.
iéf erf4uf.
gef^offeu,
er[4affen.
NB. ^^^tffen, dans le sens de travailler, est régulier; de
même berfc^affeu et an'f4affen procurer, et aB'f4affeu cUfolir.
160. ^ifia^tn battre, frapper, sonner.
i4 f4lu
fà
s. 14 f4uide. frappé.
gefd^ïagcu
34 f4tage, bu f4ïSgîl, f^toge.
eTf4ISgt, tt>irf4I. 2c.
De même:aB'f4tagen 1) abattre, 2) refuser; erf4Iogen assommer;
au9'f4tagen refuser; )erf4Iagen briser.
1) fa^ren veut dire aussi conduire {les chevaux) et prend BaBen*
182
Leçon 32.
Présent dé Vindicatif.
Impératif,
Imparfait
XL
Fart, passé,
a
161. Srageit porter.
Sàf trage, bn trfig^, et
tr>, tt>ir tragen k.
trage.
id^ ttug.
S. iàf tïû^t.
getragen
porté.
De même: ab'tragen user; ertragèn supporter; fld^ Betragen se con-
duire; Bei'tragen contribuer.
162. SBafll^eit laver, blanchir.
Se) toa^âfi, bu )a)^^(bt% toaf^e.
ertD S f d^ t ,tt>tr toafd^en 2C.
S, iâf toïi\é)i.
getDûfd^en
lavé.
De même: ab'n)af(]^en laver; aud'toafd^en rincer, laver.
163. fSBail^fett croître, grandir.
S^ tDaâ)]t, bu ki>5(i^fefl, et
ber SBSder le boulanger,
bas Wlt\)l la farine.
toaâf^t.
iâf tDud^d.
5. iéf toild^fe.
Yocabulaire.
ber Stvit\é^tx le cocher.
ber Sagen la voiture.
ba9 2)atn^fboot le bateau à va- ber ©raben le fossé.
getoad^fen
crû.
peur; gered^t juste,
bte (SifenBal^n le chemin de fer.
eine ^Bl^Ie une tanière, caverne,
ber XotengrSber le fossoyeur,
bas ®rab la tombe,
bie SafI la charge,
ber ©egner l'adversaire.
ber ^nfattg le commencement.
bte ^iflole le pistolet.
ber 3tnttnt la cannelle.
unartig méchant.
fc^mu^ig sale ; tief profond.
unfd^ulbig innocent.
^flanjen planter; nur ne — que.
Exercice. 95*
1. Çeute l^aben toit Snijen gebaden. SSSarum Bacft ber
»5tfer ïern Srot mcl^ï? SBetl cr ïein SWcl^I ^at. îDic uôd^pe
SBod^c totrb cr loicbeï batf en. ® cr fîônig f S 1^ r t mit fcd^« ^f er«
bcn. SBo^tn' f&l^r|l bu? Sa) fal^re mé) ©tragburg. Ocflcm
fttl^r metn f^eunb auâf bal^in (y)* 3fi cr mit (par) bent
2)am)}f6oot gcfal^ren? 3lm, mit ber Stfenbal^n. 3)cr Su^9
gr&bt fi(^ ctnc ÇBl^Ie. S)cr Siotcngrdbcr l^at ctn ®ra6 gc«
grabctt* SOtan 6 club (158) ben (Sfel mit btetcn ©âdciit 2)a9
$oI} tourbe auf ctncn SBagcn gctaben.
2. S)tefe£(ctber ftnb aBgetragcn. SBorum f(i^Iagt bte SKutter
ba9 ^ub ? SBetl e» fo fd^mu^tg t fi ; e« l^at fl(^ ntd^t getDftf(^en.
$tlatu9 tDufd^ ftd^ bte $Snbc unb {j^xai^ : Sâ^ Un unfd^utbtg ait
bem 2iobc btcfed ©crcd^ten. Sic jtl^ccipflanje (le thé) toat^^ tu
Sl^tna. WftmaU tonii^ ber STabaf nid^t in S)eutfd^Ianb ; aber
ie^t tDtrb biel ge{)flan3t. ilDtefcr dûngling i{i fcl^r gctoat^fen, feh
(depuis que) t^ il^n nid^t mel^r gefcl^cn l^abe. Xm Xufottg
f(i^uf ®ott Rimmel uub Srbe. S)ie SBelt tfi bon ®ott au9 nxâtt9
gefd^affen toorben*
Verbes irréguHers. IV. Conj. 183
Tbème. 96.
1 . Le boulanger a-t-il cuit du pain aujourd'hui? Non,
il n'en cuit pas tous [les] jours. Le cocher va [condtUt) trop
vite. Nous sommes allés en voUure à Francfort. Le prince
aUait dans une voiture magnifique à (mit) quatre cheyaux.
Les ennemis creusèrent un fossé très profond, dans lequel
ils enterrèrent leurs morts. La voiture était trop chargée.
Loffîcier chargea son pistolet et attendit son adversaire. Êtes-
vous invité au bal? Non, pas moi, mais mon frère est invité*
2. Dieu a créé le ciel et la terre. Il créa le monde
en six jours. Quelqu'un a-t-il porté ma lettre à la poste?
Je Ty (l^in) ai portée il y a (k)OT) une demi-heure. Mes
mouchoirs sont-ils lavés? On les lave à présent. La meilleure
cannelle croît dans (auf) Ttle de Ceylan. Le café ne croissait
autrefois qu'en Arabie; maintenant 2 il i croit aussi en
Amérique. Pourquoi avez-vous frappé mon chien? Parce
qu'il (toetl et) m'a mordu. Le petit Robert est un méchant
petit garçon; il bat tous les animaux.
Lecture.
Sie Stene unb bie Saube. L'abeille et le pigeon.
©n 93tcn(]^cn fiel in etnen S3ad^.^
SDie^ fal^ Don oBen etne Îau6c;
©te 'bxQiif em Slattd^cn t)ott ber Saubc^
Unb toatfd i^r ju. S)ad 9ten(]^en fti^toamm batnaci^,
Uni) ]^alf3 fid^ glitil^ au« bcm Sad^.
Slad^ luïjeï ^t\i fa^ unfre Saubc
3n Çrtcbcii iDtcbet auf bcï Saubc.
©u Oâgcr l^attc f(!^ott bcn Ça^n^ auf fie gcfpannt;*
SWcin Stcnd^cn ïam; '^\i\ ilad^*« tl^m in btc Çanb;
Çuff! 8 in 8 ber ©d^u§ bancben.
a)te îauBc flo8 bai)on.«— aBcm banïtc^ fie il^r geben?
1) ruisseau, 2) berceau. 3) se tirer. 4) chien (du fusil). —
5) armé le fasîl. 6) s'envola. 7) banfen au lieu de oetbanlen devoir.
Liste alphabétique des yerbes irréguliers.
No. No.
Baden, bul, gebaden 155 befinnen, BefanUr befonnen . . 39
befd^Ien, befa^I, Befo^Ien ... 16 bejt^en, befag, be[ef[en .... 13
beffelgen, bcflig, bcfliffen ... 62 bctrilgen, bctrog, betrogen ... 135
beâinnen, bcgann, begonnen . 36 betoegen, bemog, betoogen . . 133
betgen, blg, gebiffen 61 bUgen, bog, gcbogcn 111
bdneminen,benomm,benommen 134 bieten, bot, gcboten 112
bergen, barg, geborgen .... 17 btnben, banb, gebunben ... 43
+bcïjlm, barfc gcborflen ... 18 bittcn, bat, gcbcten U
184
Leçon 32.
Ko.
Blofen, hlit9, ge&(afen 97
•1-bielBcn, Bïieb, aeBItcBcn ... 80
Braten, Briet, gcBraten 98
hxt^tn, htaèf, geBro^en ... 19
♦Brcnnen*), Brannte, geBrannt —
♦Bringcn, Btcd^te, gcBwd^t . . —
*S)entett, boitte, geboc^t . . . —
bingen, b<mg ou bingte, ge<
bungen 58
btef^en, braf^ ou brof((, ge*
brofd^ett 26
fbtingen, brang, gebntngen . 47
<lm^fangen,em))fing,ein)>fangett 100
tmpMlm, em^fa^I, em^foBlen 16
ferBIeid^en, erBIid^, erBtidçen . 63
erïûren, erlot, crfotcn 154
ferï8f*en, ertofd^, crïoftijcn . . 136
ferfd^atten, tt^âfoU, erfd^oQen . 137
f erfd^reden, ttid^tat, erf<l^roden 21
«mSgen, emog, ertDogen ... 142
«ffen, ai gegejîen 8
156
99
100
138
44
139
113
114
115
3
116
140
23
1
115
86
99
108
48
22
8
117
104
9
37
+8faBren, fuÇr, gefaÇren .
îlaQen, M, gefallen . . .
fangen, flcng, gefangen . .
fed^ten, fod^t, gefod^ten . .
finben, janh, gefunben . .
fled^ten, f(o(]^t, geflod^ten .
iflieaen, ffog, gefîogen . .
f piebcn, fïoÇ, gejïoBcn . .
iffiefictt, flog, gefïoffeii . .
frcffen, frafi, gefreffcu . . .
frieren, fror, gefrorcn . . .
i^àxtn, got, gegorm . . .
g€B2iren, geBar, geBorett .
gcBen, gob, gegeBen. . . .
geBieten, geBot, geBoten. .
fgebetl^en, gebUB» gebte^en
gefallen, gefiel, gefallen . .
•i-geBen, ging, gegangen. .
+geUngett, gclang, geïungen
geltcn, galt, gegolten . . .
fgenefen, gcna«, genefen .
âeniegen, genog, genoffen.
tgeraten, gettet geraten .
fgcft^eBen, gef<i^aB, gef(^eÇen
getoinnen, gewann, getoonnen
giegen, gof, gegoffen 118
glei((en, gUd^, gegU^en. .
+aïelten, gïltt, gegïitten .
gltmmen, g(omm, geglommen
graBen, grnB, gegraBen .
gaifen, grlff, gegriffen .
4^alten, f^ittt, gel^alten .
Bangen, Bteng, geBangen
Bauen, f^ith, geBauen . .
BeBen, f^tilb, ge^oBen. . .
Bet^en, iit% geBeigen. .
Beïfen, B«ïf» fleBoïfen . .
♦Sïennen, ïannte, gefannt
f Himmen, Homm, getlommen
Ilinaen, Ilong, geflungen
ïnelfen, fniff, gelniffcn .
flommen, tam, gelommen
î^ttïtâftn, ïro^, gefro<l^en
Saben, Inb, gelaben. . .
laffen, ïieg, gelaffen . .
flanfen, ïlef, geïanfen .
lelben, Iltt, geïitten . . .
(eiBen, Xïà^, gelte^en . .
tefen, la9, gelefen. . . .
ïtegen, tag, geîegen . . .
Ifigen, ïog, getogen. . .
9Reiben, mteb, gemteben
mellen, moll, gemolfen .
meffen, mag, gemeffen .
miBfaÉen, migfiel, migfallen
ffttf^mtn, naffm, genommen
*nentten, nannte, genannt
ffelfen, ^)flfî, ge^flffen .
^fîegen, <)flog, Qtpfioam.
preifen, i>rted, ge^riefen .
fDueSen, quoll, geqnollen
9laten, tiet, geraten . .
reiBen, tieB, gerieBen . .
relgen, rlg, geriffen. . .
fteiten, ritt, gcritten . .
*+rennen, rannte, gcrannt
tie<l^en, rixBr gero<!^en . .
ringettr tang, gerungen .
ftinnen, rann, geronnen
rnfen, rief, gerufen . . .
©aufen, foff, gefoffen. .
fongen, fog, gefogen . .
No.
65
66
119
157
64
101
102
107
141
96
24
119»
49
67
42
120
158
103
106
68
87
5
13
142
84
143
4
99
25
69
150
91
151
104
82
70
71
121
50
38
110
152
144
1) Les verbes marqués d'un astérisque sont demî-irréguliers et
se trouvent à la page 118, § 7 et 8. Ceux marqués d'une f sont
les netUreê conjugués avec feitt être (v. pour les détails Leçon 36) .
Verbea inséparables.
185
No.
fd^affcn, Wuf, ge^affcn ... 159
fii^eiben, fc^ieb, geft^teben ... 85
f^einen, f^ien, geft^ienen. . . 93
léftitm, ^àfaSi, qt^èftHtm ... 26
\itxm, \éfcx, gefÀoren .... 145
\éfUUn, \(bob, gefd^oben ... 128
f^ieÇen, fd^og, geWoffen ... 122
fd^lnben, f^unb, gef(Vitnbett . 59
f(^Iafen, Wef, gefd^Iafen ... 105
f^Iageit, fd^Iug, gef((Iagen . . 160
•hfd^Iei^en, fd^llc^, gefd^Iid^en . 72
Wïelfen, WUff. gefdjïlffen . . . 73
fAUegett, W^i, gefd^Uffen . . 123
JAnnaen, Wam, gefd^lunaen. 51
{(çinetgen, fe^mig, gefd^miffen . 75
ff^melsen, (âfmoti, gefd^molgen 146
f^nauben, f^nob, gefd{fitoben . 153
fi^netben, f^nitt, gef^ttitten . 76
jéretben, f^rieb, gefd^rteben. . 81
fibreien, fd^rte, gef<!^neen ... 88
+fd^«iten, Writt, gef^rltten . . 77
f^tDcigen, f^toieg, gef^toiegen 94
ff^tDeUen, f^tooS, gef^ti>otten 147
if^iDtmineit , fd^toamm , ge«
f^toommen 41
ff^tomben,f4tt>anb,gefd^tt)unbm 45
fi^iobigen, \éftoanQ, gefd^koungm 52
f^toSren, fdfftoor, gef^tooren . 148
fel^cn, fûlj, gefcÇm ...... 6
•fcnbcn. faubte, gefonbt. . . . — -
Jcbcn, fott, gefotten 129
ngett, fang, gefungen .... 53
f {Inlett, \ani, gefunfen .... 55
Snvx, fann, gefonnen .... 39
ot, fag, gefeffen 12
f^len, frle, gefpletn 89
fi>tiraen, f^nit/ gef^onnen . . 40
fi^Tc^en, ipxaâf, ^t\ipn^tn, . . 27
frtiefien, f^rog, gcfjproffcn. . . 130
+f^rtegen, f^wng, gef<)rungcn 54
fU^ett, fitiâf, geflod^en 28
fPedm, 9at, gefUdt 29
?c^en, ftant, gcjlonben .
el^Ien, fla^I, geflol^Ien .
tllelgctt, |Hcg, gelliegen .
îflerben, flarb, geflorbm
fjlieben, pob, gefloben .
fixnUn, fiant gefhtnfen.
flogen, jlteg, gejlogen . .
Ilretd^en, fixïâf, gefhid^en
fhtiten, fhttt, gefhittm .
S^un, tf^at, get^an . . .
tragm, ttug, getragen. .
tre{fen, traf, getroffen . .
tretben, trieb, getrieben .
ftreten, trot, getrcten . .
triefen, trof, getroffen . .
trinlen, trani, getrunlen
trflgen, trog (betrogen) .
fl^eibergen, t^erbarg, Derborgen
t^erbieten, berbot, berboten .
berberben, berbarb, terborben
berbnegen, berbrog, ))erbrof[en
t)ergef[en, »eraag, bergeffen
berlleren, tjerlor, berïoren .
iberfd^ioinben, berf<!^n)anb, ber
f(ijtounben
Derjeil^en, ber^te^, berjiel^en .
f SBa^fen, tond^d, gemad^fen
xoàatn, tDOg, getoogen . .
toafd^en, toufdgi, getoafd^en
totUn, todb, âeti>oben . .
ftoe^en, toïq, gemi^en
toeifen, totes, getoiefen. .
*n>enben, loanbte, gemanbt .
toerben, toarb, gctoorben
toerfen, marf, getoorfen .
miegen, ti>og, getoogen .
totnben, loanb, geioitnben
^iffen, lougte, gettugt .
Seiien, jle^, ge^tel^en . .
gte^en, jog, gc^ogen. . .
atolngen, jtoang, gQ»nngen.
No.
14
30
95
31
131
60
109
74
78
15
161
35
83
7
132
56
113
17
115
32
124
10
125
45
90
163
126
162
149
79
92
33
34
126
46
90
127
67
Trente-troisième Leçon.
Des verbes inséparables*
(Untrennbare 3<ttto8rter.)
La plupart des verbes allemands prennent comme
préfixes une ou plusieurs particules pour modifier
186
Leçon 33.
leur sens. Ces particules sont ou inséparables, c'est-à-
diie qu'elles sont toujours liées au verbe, ou séparables^
c'est-à-dire qu'elles sont tantôt avant le verbe, tantôt
après. Les verbes de la première classe sont appelés
verbes inséparables. Ce quïls offrent de particulier, c'est
1) que la particule leur reste attachée comme préfixe,
2) qu'elle n'a jamais l'accent, 3) que leur partie, passé
ne prend pas la syllabe augmentative ge.
Les particules inséparables sont les onze suivantes:
(e, em)i, et; tnt, )»tx, jei:;
ge, mi^, tioll, l^iitter et toibcr.
1. Conjugaison d'un verbe inséparable.
Sebectett (r^y.) — (ebectte — Bebedt, couvrir
Présent»
3(^ bebede je coune toit Bebeden nous couvrons
bu bebedfl tu couvres i^r Bebecft vous couvrez
er bebecft il couvre fie Bebcden ils couvrent.
Impar/ait,
S^ Mtdit je couvrais; bu 6ebecltefl, er bebecfte )c.
Futur,
Séf ïOîxU bebeden je couvrirai; bu toïxft Bebeden îc.
F<usé indéfini,
3(!^ ^ûbe bebetf t j'ai couvert ; bu l^afl Bebedt }C. k.
Participes.
Tris, Bebedenb. Ttusé, Bebetft*
Ainsi se conjuguent:
Infinitif,
te: Belo^nen récompenser
be^lten garder
tm)^X em))ftnben sentir, ressentir
etn^fangen recevoir
ev: er^Ktlten recevoir
ferfd^etnen apparaître
eut: fentgel^en écKapper
entfemen éloigner
nev: toerloffen quitter
Derileren perdre
%ttx serflSren détruire
jerrelgcîi déchirer
ge: gel^ord^en obéir
gefaQen plaire
Slif : mtgfaHen déplaire
mipraud^en abuser
Présent, Participe.
«t.
l'A
ï6) Belol^ne
Belol^nt.
i(^ be(^alte
Be^alten.
16 em^ftnbe
xé^ emi) ange
empfunbciu
em^ongen.
xi erl^alte
er^ten.
xq erfd^eine
erf(!^ienen.
té entae^e
xq entfeme
entgangen.
entfemt*
\i terlaffe
toerlaffen.
té 'ottWttt
berlotcn.
xq jcrjIBre
aerjWrt
ii jerrctge
jerrlffen.
id^ gc^or^e
gejord^t.
lé gefatte
té mtgfalle
gefaQen.
migfaSen.
id^ mt|bTftU<!^e
milBiftwI^t.
Verbes inséparables.
187
Hofl: isoQBrtngen accomplir
loon^te^en exécuter
ttiber: toiberfjpred^en contredire
luiberjie^en résister
tinter : (interlaffen laisser
^intergel^en tromper
Nota, Les préfixes b il r (]^, fi (
Béparables tantôt inséparables, se
tdb boUbrmge
ûp bottjte^e
\& toiberfprcd^e
xq tolberflef^e
i^ (htterlaffe
ïé^ l^mterge^e
DoSbtad^t.
ta>tber{i)ro(i^ett.
tDtberflanben.
I^lnterïaffen.
^intergangen.
tx, un te r et 11 m , qui sont tantôt
trouvent expliquées, p. 197.
2. Verbes inséparables dérivés.
Les particules exposées ci-dessus s'ajoutent quelque-
fois à des verbes dérivés de substantifs ayant eux aussi
un préfixe, et rendent le tout inséparable. La première
particule reste inaccentuée.
Infinitif.
6eantragen, rég. proposer
Bean:
(eant:
be'Un:
Beitad^:
(eob:
bc'ttr:
Dcrab:
terur:
m m
teran:
Beantmorten,
Beunru^igen,
benad^rtd^tigen,
beobad^ten,
benrtetlen,
locrabfd^euen,
bentrfaéen,
berartetlen,
i»eranlûf[en.
répondre
inquiéter
informer
observer
juger
détester
causer
Présent.
éi beantrage
db beanttDoite
(b beunrul^ige
Participe.
beantragt.
beantiDortet.
beunruj^lgt.
4 benad^rid^tige benad^rid^tigt.
bcobad^tct.
beurtetle
td^ terabfd^eue
td^ t>erurfad^e
condamner tdb berurteUe
toernad^ : bentad^Idfrtgen,
beurtetlt.
toerabfd^eut.
t)erurfadjft.
toerurteilt.
beranlagt.
engaj^er ta beranlaffe
négliger tdp bernad^ïafftge bcmad^tafpgt.
migrer: tnigt}er{le^en, se méprendre | td^ tntgberfle^e tnigtoerflan*
sur, mal comprendre. ( ben.
Nota, Le verbe bebor'flel^en menacer, composé de bebor et
Pe^n, se trouve parmi les séparables composés p. 193, 2.
3. Verbes inséparables, composés d'adjectifs etc.
Ces verbes restent également inséparables, mais
ayant Taccent sur la première syllabe, ils prennent au
participe la syll. augmentative gc» Ils sont tous réguKers.
Présent,
Infinitif,
frû^lliiden déjeuner
aattoorteit répondre
urteilen juger
red^tfertigen justifier
Hebfofen caresser
ar^toSl^neti soupçonner,
toetsfagen présager, prédire
Tatf^Iaaen délibérer
ntutmaBen conjecturer
toettcifcm rivaliser
(anb^abcQ maintenir
branbfd^a^en mettre à contribution
ïé frû^flfidte
anttDorte
urteite
redBtferttge
Uebfofe
arQkbiJ(>ne
koetôfage
ratfd^Iage
mutma|e
d^ tDettetfere
é banb^abe
4 bronbfd^a^e
Participe.
gefrû^fUidt.
geanttDortet.
geurteitt.
gered^tfertigt.
geltebfofl.
geatQtvS^nt.
getoetdfagt.
geratfd^taat.
gemutmaÇt.
gctoettetfcrt.
ge^anb^abt.
gebranbfd^at^t.
188 Leçon 33.
Infinitif. Présent, Participe»
n>etterleu(]^ten faire des éclairs e8 koetterteu^tet gemetterleud^tet.
IteB^lugeln faire des yeux doux iA UeBSugle gelte(2luaett.
)Dal][fa$r(t}en faire un pèlerinage i^ tt>allfa$r(t}e gett>allfa9rt(et).
Remarque, Les deux verbes inséparables totHfal^r'eit accorder,
et \xeîiloa'tn pousser des cris dallégresse, ayant l'accent sur la
seconde syllabe, n'admettent pas Taugment ae au part, passé. Ex.:
(Sx l^at mtr totllfaljfrt il a accordé ma demande.
Tocabnlaire.
ber (SintDo^ner Thabitant. bie StBfld^t l'intention,
ber 9(]iffe(er l'inspecteur. fogtei^ tout de suite,
bas Sanb le pays. gunjlig favorablement.
ba8 ®efd^aft l'affaire. gemifl^ntt^ ordinairement,
bas ®tM la fortune. g&njlid^, aan) entièrement.
ba8 8etragen la conduite. ber @teg la victoire.
eroBern conquérir. bie Srage la question,
terjlel^en comprendre. ber Wônâf le moine.
Befolgen suivre; bunlel sombre. ber ©ebanle la pensée.
I9crf))re(!^en promettre. bie Sanbfd^aft le paysage.
Begiefien arroser. BeBauen cultiver,
cntfagen abdiquer. ge^or^en obéir,
criennen reconnaître. toerfdbieBen remettre.
bie @tubten pi. les études. toerf<ipUngen dévorer,
crratcn deviner. toermuten supposer,
orttg sage; bo^ pourtant. Beafinfligen favoriser,
ergretfen saisir. crftnben inventer.
Exercice. 97.
1. îDcr ®(l^nec6cbcdttttiaBintcvbic(Sïbc* S)tc flcigigcn
S^fllcr tocrbcn B dolent. S)tcfc Sûd^cr gcfalïcn mit ni^t.
®ic Sctnbc crobcrtcn bie ©tabt» 3d^ crlanntc Sic nld^t fo*
gletd^i toài ed butifel toax. Se italien ®ie, load @te l^Beit*
Çajl bu mic!^ tjerjlanben? 3a, id^ tjerfpre^c Ol^nen, dl^ren
9iat ju Befolgen. iKcin $crr, 31^r Sctragcn J)at mit fel^T
miéfallen. ®« migf allt jcbermann. SBibcrfpre^et mit,
lange (tant que) tl^ï tDoDt; am Snbe (fin) ^inerbct il^r \>oâf
agen, bag td^ red^t gel^aBt l^aBe. S)tefed ©d^Iog t{l «)on ber
@T&ftn 9. BekDol^nt.
2. S)er ©artner l^at isergeffen, metne jlmigen $flan)en ju
Begiegen. S)er fiënig l^at ju ©unjlen (en faveur de) fetned
@ol^ned bem îl^rone entfagt. $en SBalter l^at meut ^rxâ^ fel^r
gûnfltg Beurtetlt. S)ie red^tfd^affenen iDtenfd^en ))eraBfd^euen bad
iafttt. S)te 9tad^rtd^t Don bent @tege ber Çetnbe l^at unter ben
(Sintool^nem eincn grogcn ©d^redcn (frayeur) ^crurfad^t. îDer
Xuffel^er l^at fetne ©efd^dfte gan} t)emad^(Sfftgt. 3d^ l^aBe fetnen
Srief nod^ ntc^t Beontkoortet. 2)er ®ol^n bed Sorb St. ffot fetne
Stubten ganjltd^ t)emad^ISf{lgt«
Verbes inséparables. 189
Thème. 98.
1. L'eau courre le pays. La neige couvrait les mon-
tagnes. Vous perdrez votre argent. Je n'ai pas reçu votre
lettre du six avril. Les enfants sages obéissent à leurs
parents. Ce jeune homme était favorisé de la fortune. Les
paysans cultivent les champs. Ne remettez rien à demain.
Le tigre dévore tous les animaux qu'il peut saisir. Ne faut-
il (mu§ matl) pas admirer ce paysage magnifique? Nous
Tavons déjà admiré et nous l'admirons encore. Qu'avez-vous
perdu? Jai perdu ma bourse. Vous avez deviné ma pensée.
2. A quelle heure déjeunez-vous? Nous déjeunons
ordinairement à neuf heures; mais aujourd'hui 2nous lavons
déjeuné à huit heures et demie. Répondez-moi, s'il vous
plaît (gefaKigfl). Je vous aurais déjà répondu, si j'avais
compris votre question. La guerre a causé beaucoup de
dommage (®(j^aben) aux habitants de ce pays. Monsieur
Charles a justifié sa conduite ; on l'avait mal (fa(f(]^) jugé ;
on s'était entièrement mépris sur ses intentions. Pourquoi
ne m'avez-vous pas informé de (t)on) la mort de votre grand-
père? Je supposais que mon frère vous en (bat)on] avait
informé. La poudre à canon (bad ®(i^te§))u(t)er) a été inventée
par un moine allemand.
Conrersatioii.
Sad t^ateit bie getnbe? @ie eroBerten bte ®tabt.
Son totm tDtrb iene9 ^âfUi U» 93oit bem ©rafen g.
tDo^nt?
3|i cr ttiéf^ SWan lîcrmutct, bag cr feÇrrclcÇ ift
39 cr eût 2)etttf(!^er ober eht gran- ^ein9 t>on Beiben, er i{l etn StufTe.
Sarum W ber ©Srtner bie 8tttmen (âx kolrb {%t biefen ^benb begiegen.
tti(i^t BcgofTcnl
Sas ^tt\pxaaf ber Ihtabel (Sr t)erf^ra4, ju ge^ord^en.
Ser toon eud^ Ijfat mit totber- 9{iemanb t)on uni ^at Sl^nen tt)t-
\pxeâftxt1 berfprod^en.
Çat biefer Wtann fcm ®ef(i^Sft be- ïiltm, er ifat eS ^^xtiiiâf t)entadb-
forgt (fait)« Ififflût.
Çabcn @ic ctnen Srief t>on Sljfrem 3d^ erçatte oft ^rtefe Don i^m.
greunbc er^alten?
Çoben @ie i»iele grcunbe? 3cB ^abe bie metflen greunbe ber*
loren.
Sas tl^un bte 8auem1 @ie bebanen bie gelber.
ftSnnen @ic meine (Sebanlen cr- S^ ^abe fie oft cnaten, aber nid^t
raten? tmmer.
(aben bte geinbe bie @tabt aer- iRetn, [xt l^aUn fie nid^t jerflSit.
fl3rt?
iahm @ie ben 8rtef S^xti greun- 3d^ merbc i^n (y) in einigen 2^gen
bcs f^on beanttoortet'il beanttoorten.
190 Leçon 34.
ffîiffen @ie, tott biefeS ®ta8 itx* 92ein, ntetn Çerr, t^ toeig e« nid^t;
(rod^en l^at? id^ I^Be ed ntd^t jerBrod^en.
Çal^en @te tnetne Sorte red^t iitt* 3m ©egcnteit (au contraire), id^
patiben? l^aBe fte ganj migioerfiaxtben.
Trente-quatrième Leçon.
Dos verbes séparables (ou composés).
(ïrennbare 3«t»)6rtcr.)
Conformément à la définition des mots composés^
donnée à la page 9, les verbes composés sont ceux qui^
outre les syllabes dont est formé l'infinitif du verbe
simple, ont encore en tête, comme préfixe^ tine
préposition ou un adverbe, par ex. aniS^gel^eit sortir.
Cette particule est quelquefois détachée et placée à la
fin de la proposition, p. ex.:
3d^ gel^e btefen 9(enb atti9«
Cette séparation a lieu au présent^ à Timparfait de
Vindicatif et à T impératif ^ toutes les fois que le verbe
se trouve dans une proposition principale,
La particule reste en tête du verbe: à Tinfinitif et
naturellement aux temps qui en sont formés, ensuite
aux deux participes. Il faut seulement observer qu'au
participe passé, Taugment ge se place entre la particule
et le verbe {ouô^gc^flauflcn sorti, an^flc^fangcn commencé).
Il en est de même de la préposition }U à rinfinitiif,
quand elle est exigée: au djltgel^en de (à) sortir, anjm
fangen de (à) commencer.
Quant à l'accent, il y en a deux, Tun sur la pai-
ticule séparable et l'autre sur le verbe.
Conjagaison du verbe séparable: oB^fii^tetteit*
Présent de Vindicatif.
SiBgnlier. Plnriel.
Sd^ fd^rciBe — ab je copie toir fd^retben — ab noua copionB
biu fd^relbjl — ab tu copies l^r fd^relbt — ab vous copiez
er fd^retbt — ab il copie fie fdjfreibcn — ab ils copient.
Imparfait,
^. 3d^ fd^ricb — ab je copiais ou PL »ir fd^reibcrt — aB
bu fd^rieb|l — ob [copiai i^r fdjrtcbet — ab
cr Jd^rieb — ob p« fc^rleben — ab.
Futur,
3d^ toerbc . . abfd^reibcn je copierai.
Verbes séparables ou composés. 191
Passé indéfini.
5(Sf ^abc . . ab§ef(i^rteben j'ai copié.
PhiS-que-par/aît
3c^ ^atte . . a( g e fd^rieben j'avais copié.
Futur antérieur,
3^ tt>erbe . . aBgefci^neBen ^aBen j'aurai copié.
Conditionnel.
Présent,
Sd^ tofirtc . . aBfd^reiben je copierais.
Passé.
Sàf kofitbc . . aBgefd^rieben l^aBen j'aurais copié.
Impératif.
ê^relBe — aB copie. ©d^reiBen totr — aB copions.
^^retBen @le — aB copiez. ©d^rctBt — aB copier.
Infinitif.
XBfd^rciBeit ou aBsitfd^reiBen copier, de (à) copier.
Participes.
iV. SlBfd^reiBenb copiant. P. S(B g c (d^rieBen copié.
Subjonctif.
(sans séparation).
Présent.
®a6 ïâf aBfd^relBc, bag bu aBf^relBefl 2C.
Imparfait.
!3)aS iâf aBfd^rteBc, bag bu aBfd^rieBe{l 2c.
Voici la liste des particules séparables:
1. Particules séparables simples.
1) tb: faB'retfen partir. Prés, tâf rcife . . aB. Part, p. aBgereifl.
De même : aB'neljftnen ôter, aB'fd^tagen refuser, f aB'n>et(^en.
dévier.
2) a«: •^m'î&mmm arriTer. Prés, iâf tomme .. an. Part. p. ange^
tommen.
De même : an'fangen commencer, an'neljfmen accepter,
an'sieBen mettre, an'IIetben habiller.
3) ttttf : +auf'jlcl^en se lever. Prés, iâf ftt^t , , auf. Pp, aitfjejlanben.
De même: auf'BScen cesser, anf'ljfalten retenir.
4) titd: •{•auS'geBen sortir. IVés. iâf ge^caud. Part. p. au^gegattgen.
De même: auS'gcBen dépenser, auS'Iaffen omettre, au9'«
fpred^en prononcer, aud'fe^en exposer.
5) Bel : f Bet'fle^en assister. I^és. ïâ) jlc^e . . Bel. Part. p. Beige-
ftanben. De même: Bei'tragen contribuer.
192 Leçon 34.
6) btY: bar'fleHen représenter, bar'bnttgen offirir.
7) eitt: cut'ffil^ren introduire, ein'Iabcn inviter.
8) foYt: fort'tra^en emporter, fort'bauem durer, forffa^ren t. n,
continuer, f^i^'fc^en v. act, continuer, poursuivre.
9) %tti (er'bnngen apporter, ^er'fiil^ren amener.
10] ^eim: f^eim'Ie^ren retourner à la maison.
11) i^in: ^in'fleSen (y) mettre, poser, l^m'ge^en (y) aller.
12) M: tod'Ia{{en lâcher, loS'reigett arracher.
13) mit: mtt'teilcn communiquer, mtt'iutrlen coopérer, mtt'ne^ntcn
prendre avec soi, tnit'brittgen amener.
14) na^: j;méf1avL\tn courir après, •{•ttad^'folgen suivre, succéder.
15) itieber: meber'Iegen déposer, mettre à terre.
16) tôt: bor'jlellen présenter, Dorlefen lire à qn, i»or'gebcn pré-
tendre, feindre, bor'Iegen servir (à table).
17) loe§: tDeg'ne^meit enlever, tDeg'koerf en jeter.
18) loicbeT:^) koteber'Iefen (ou uoteber Iè]en) relire.
19) %n: Stt'laffen admettre, )tt'geben concéder, }tt'(8ren écouter,
)U'f^Uegen fermer {h clef), gu'lbringen passer. P. p. )ti«
gebrad^t.
Remarque. Pour les verbes composés des prépositions bttt^r
SB et, un ter et um, voyez la leçon suivante.
Toeabulaire*
ba9 Slnerbteten Toffre. audgie^en ôter.
ber @turm la tempête. anfhreid^en peindre, enduire.
bte @))etfeTt les mets, plats. bte @^et)'en abtragen desservir.
bte ffîa^r^ett la vérité. koUb féroce.
faudtreten déborder. frtfd^ adv. nouvellement.
angreifen attaquer. gu^Bren dai. écouter.
ba9 ®etoif[en la conscience. aufmerffam attentivement.
Exereice. 99*
d(!^ f (!^ r e i ( e btefe Xuf ga6e a B. 2Ber f ^ r i e ( biefen SBrtef
a(? ^arll^at tl^n a(gef(!^rieBem SBann ftngen@te an, tl^n
abiufd^retben? 3^ l^abe fd^on geflent 3(benb angefangen unb
btcfcn SWorgen fortgcfal^ïcn. S35tr jinb vim l^a(6 fcd^ô U^r ange*
fotnmen* 2)ad 9Rab(!^eit f (!^ I o g bte Sugen ) u. Séf nel^me mit
Sergnôgen S^x gilttged Xnerbteten an. @tel^et anf , fttnber! &
ifl 3^it' aufjujlel^en. Qâ^ ging niéit aud, ba td^ !ranf tnor* Wtcax
J)at mit btefe SRa^rtd^t mttgeteilt. ^ûxiitet ntd^td, id^ jlel^e tnà^
itil Scfctt ®ie mit bicfe« ®cbid^t t)or» ®c6cn @ic ^â^t (prene»
garde] , bte S^ilte t{l frif^ angefhid^en. 2)ie @)>etf en fuib fd^on
1) Un seul verbe composé de toteber est inséparable, savoir:
tDteberboIen répéter; voyez p. 199, Remarque.
Verbes séparables ou composés. 193
abgctragctt* @tnb btc ^nbcr angcttcibct? 3)a« ftinbcrmabd^en
fWbct pe an. SSScid^ct nie con bcr ïBia^x^tit ai. î)cr ©turm
^at aufgel^Srt.
Thème. 100.
Sortez-vous? Oui, je sors. Je sors tous les jours. Je
suis aussi sorti hier. Mon frère est parti pour (tiac^) Londres.
Le concert commence à sept heures. Je n'ai pas encore
[xicii nicJ^t) commencé mon travail. L*honnête homme expose
sa vie, mais non sa conscience. Les bêtes féroces attaquent
les hommes et les anima\ix. Le Nil déborde tous les ans.
Cette année le Rhin n'a (ijl) pas débordé. Je n* étais pas
encore habillé. Pourquoi avez-vous ôté vos bottes? Les
bons élèves écoutent attentivement leurs maîtres (clat.). Je
sers toujours à table. Vous ne servîtes pas hier. Votis ne
m'avez pas servi un bon morceau. Celui qui se lève tard
perd beaucoup de son temps. Je vous présenterai an comte ;
vous serez invité au (}Um) bal. Présentez-moi, s'il vous plaît.
Conrersatlon.
$aben @te 3(re âBerfe^ung fd^on 3d^ fd^ret^e fie eBen aB. 3d^ toerbe
abgefd^rieBen? auci^ bie bon geflern aBfd^reiben.
Um totcttel Uljfr ge^en &t btejen {^eute ge^e ïâf ntd^t au9.
KBenb and?
@tnb @te geflent anci^ ntd^t an9gc- ^t\n, td^ l^attc fetne ^tït, an8)tt-
gangen? gel^en.
SBer ^at ba9 ^inb an9ge!retbet? 2)ie Sl^^utter ffat t9 anfgeneibet.
@oS ïàf miéa anfteiben? 3a, fleiben @ie fidb an.
fBtt l^at meine 3ei(^nnng (dessin) 92temanb nimmt l^ter tt(oa9 koeg.
toeggenommeni
SBirb bcr Offljier ^eute lifter tootbei' SSermntlid^ , benn er rettct jebm
retteni S^ag ffïtv actUt
^ann gel^t (se lève) bie ^onne 3m @ommer ge^t {te um 3 U^r be9
anf? ^oxQtm auf:
Sann ge^t fie nnter (se couche) 1 Um 8 ul^r flbenb9.
S$ann fângt ba9 Sl^eater cai^. (S9 fSngt tm tinter nm 6 Ul^r, im
(Commet um 7 U^r an.
SBer ^at 3^nen btefe ïflaâfxiâfi miU Wltin iReffe Subtcig tetlte {le mtr
getettt? mit.
2. Farticiilea séparables composées.
Ce sont des adverbes qui se lient intimement aux-
verbes pour en modifier le sens d'une manière plus po-
sitive. L^accent est sur la seconde syllabe.
bel» or': ibeDorPe^en menacer. Prés. e9 {lej^t betoor'.
babei': +babclfle^en se tenir près. Prés, idjf fleÇc .. babel.
ba^er': fbal^erlDmmen s'approcher. Prés, iéf lomme ba^cr,
OTTO, Grammaire allemand*. J3
] 94 Leçon 34.
bal^ttt': ba^tnretgen emporter. Pré$, ïé^ retge .. bal^m.
bar an': baranbmben attacher. Tirés, id^ btnbe baran.
baraixf: barauflegen imposer. Bré$, id^ tege barauf.
ba)oon': fbat)onkufen s enfuir, se sauver. Brés, t($ laufe bat>on.
bat) or': bat>0T9eIIen placer devant. Prés, id^ fleUc bat)or.
ba)u': bajut^un ajouter. Prés, id^ t^ue bam.
bagmi'fd^ett: bostoifd^enlegen interposer. Prés, iq (ege bagtDifd^en.
etn^er': feinl^ergel^en aller, marcher. Prés, id^ ge^e ein^er.
en t g e'g en : fentge^enge^en aller au-devant. Prés, id^ ge^e entgegen.
e n t g to e t' : ent^tDetfd^tagen mettre en pièces. Prés, tdft fc^Iage entjmet.
^erab': ( f^ferabfîeigen, f^flnabpeigen descendre. Prés, idjf ^eige
^Inab': ( ^erab.
Beran': l^eranlommen s'approcher. Prés, td^ fontme j^cran.
çeranf: ( +^>eranf|leigen,f^thauffleigenmonter. iV^«.id^peigeberûuf.
^ t nau f : { bcraufbrtngen porter en haut. Prés, td^ brlnge . . ^erauf.
^ et an 9': ( ^inan^tragen, ^eranstraaen porter dehors.
Slnan«': ( \itx9XAxn\tn appeler (dehors). Prés. ï6^ mfe . . ]^erau«.
ereln': ) •fÇereinïommen, +^incmgeÇen entrer. Prés, td^ fomme
^inein': ( Serein.
éeril'ber: / l^erilbcrtoerf en jeter de ce côté-ci; ÇtnilberfUl^rcn con-
^tnû'ber: ( duire ou transporter de l'autre côté,
^ernn'ter: ( fljerunterfïiegcn, f<^inunterflUBen couler en bas. Prés.
^innn'ter: 5 e« flieSt ^emnter.
l^erbei': ( fl^erbeikufen accourir, ^fer^nrufen appeler. Prés. td(
èerjn': ( lanfc l^erbei etc.
^erum': ( Çerumtragen porter {autour). Prés. Id^ tragc..^crum
uml^er': ( ou nm^er'.
^ertoor': ^lertoorbrtngcn produire. Prés, id^ brlnge .. l^erbor.
è in tan': l^tntanfetjcn négliger. Prés, td^ fe^e .. ^intan.
^ i n tt> e g' : ^intoegne^^men ôter, enlever. Prés, id^ nel^me . . IJintoeg.
binjn': •j-^tnjueiïcn accourir. Prés, td^ elle .. ^nju.
ûberetn': •fflbercmtommcn convenir. Pr^». td^ ïomme .. ûberein.
um^er': fuml^crfd^lDeifen courir çà et là, rôder,
tooran': -ftoorûngcîien précéder. Prés, td^ geï>e .. boran.
toranS': ( torau^fetjen supposer, torl^crfagen prédire,
toréer': ( toorl^erfel^en prévoir. Prés, td^ fc^e toorÇer.
to r b e i' : ( f t>orbetge]^en \ passer, Dorbetfal^ren passer en voiture,
torûb'er: ( Itooriiberîlcl^en f P. p. borbetgefaçren.
jnrild': -i-îurildîei^ren retourner, jurilcfbegleiten reconduire, ju»
rild'gcben rendre, jnrfidffd^taen renvoyer.
3 n f a m m e n : f gufammen!ommen s'assembler, snfammenbringen amas-
ser, 3u|amnien[eëen composer. P. )ufammengefe^t.
Noie 1. Ces particules, tant les simples aue les composées,
peuvent être ajoutées à des verbes inséparables. La séparation
«e fait alors d'après les mêmes règles. Ex.:
an'toertrauen confier. Prés. \éi toertrauc — an. P. p. ant>ertrant.
cnf'ertegen imposer. Part, anferïcgt.
Uoranô'beiial^ten payer d'avance. Prés, td^ bejal^te — borauô.
P. id^ l^abe — toorausbejal^ït.
Note 2. Les expressions suivantes se trouvent quelquefois im-
primées en un seul mot, dans ce cas, elles doivent être traitées
conune des verbes composés séparables:
Verbes Béparablea on compoaêa.
{■ft^tf^tas*" allouer.
JTtt!t>TN(en acquitter.
■J-flUi^timintit équivali
fepfcBin fixer.
flinf4tD(ig<n e
fîattfinbut an
^o^ft^S^ni et
liant œerbtn
tea^Titt^inen
Pari.
le taire.
l'aperoeTOÎr.
Itemarqties,
1) La séparation de la particule n'a pas lieu dans
les piopositione incidentes, c'est-à-dire dane celles qui
sont régies soit par un pronom relatif, soit par une con-
jonctian transpositive ^] voyez la 41. Leçon. Ex.:
La lettre que je copie.
34 loQnl^t, bag Sic ^CQte ntt^t antge^cn.
Je désire que toub ne BOrtiex pa« aDJourd'hui,
ait t(Ë in ipatis anlam, ic.
Quand j'arrivai i Paris.
3Btnn bet ERtgen n4t aaf^Brt, ic
Si la pluie ne cesse pas.
2) Les particules composées de ^et (p. ex.: ^eiein,
^etauf, ^erab, ^^tûÉer ic.) indiquent toujours un mouve-
ment opéré vers la personne qui parle, tandis que celles
composées de ^ i n expriment un mouvement qui éloigne
de la personne qui parle.
Jîoniincn ®i< ^tit'in, mtin $eiT entrez, monsieui.
(La pertanne qui parle elt dans la chambre.)
aommm ®it gefatfigfi ^trauf montei, s'il vous plaît.
(Jm personnt qui parle est en haut — mouvement eeri elle.)
@(t(n @ic ^irtnuf montez.
®et So((r fpia*: ©Uigt !&tna6 in ba( î^i, ic.
Le pËre dît: BeBoendei dans ta vallée.
ttr SSJaSlK rélecteui.
bit Utiltmt^muna l'entreprise.
bic Sere^tiàteit la justice.
bcT Sobm le sol.
bit îfflion la légion.
bti Oegcnflanb Tobjet.
Tooabnl^re.
bcT Stlfe le 8
abbitnnen être oonsumé par le fen.
bet «an le bal.
jutûdlreitcn repousser,
niiifldi élire; audufcn s'écrier,
bttnuitll^ probablement
196 Leçon 34.
Exercice. 101.
a)cr SDieb ijl bation gcïaufeti. 3)cï ffaufmann rctjic tm
ganjen Sanbe uml^er (l^evum) • S)a9 l^abe i^ t)otaudgefagt« 2)er
ïrjt t(l t)or cmcr ©tunbc toorbetgcgangcn» SBcr gel^t itnfenn
Çtcutibc cntgcflcn? Saxi ijl il^m entgcgcngeganflcn* Hcmmcn
@te l^eruttter: iii l^abe dl^nen ettoaS }u fagett* 3^ fantt mift
l^muntcrlommcn ; btc îl^ilrc iji jugcfdjïojfcn ; Wirncn ®tc mift jtt
uttr l^craufïomtticti? 3d^ fcl^c t)orau«, bag 3l^rc Utitcrucl^muna
fel^ïfd^ïagen toîrb* a)tc Stad^rtd^t, tocïd^c t(| Sl^ncn gcjlcm mit*
teilte, toar fatf^. SBenn bu motgen audge^ft,^} fomm
cin tDcnig ju mir^ 3)ic SBSl^Ier ïamcn ilbcrciu, bcn a6gcorbnctcn
(député) nid^t mcl^ï ju tt)al;(cn» SBir l^aBen unfcïc gïcunbc
}uril(f6eg(ettet.
Thème. 102.
Entrez, monsieur. Les Komains accoururent et repous-
sèrent Tennemi. Je n'ai pas [le] temps de vous lire cette
histoire. Le sol produisait des fruits et des arbres de toute
espèce (aOer (et i^iicj^te). Eends-moi mes légions, s'écria Auguste.
La justice veut qu'on rende un objet trouvé. Le prisonnier
a été acquitté. Le bal n'a pas eu lieu hier; il a lieu au-
jourd'hui. Le voleur s'est enfui, et je n'ai pas envie (Suft)
de courir après lui (il^m). Tous ces verbes sont composés.
L'eau coule en bas. Le prince a passé en voiture ce matin.
Si vous descendez 1) ici, vous arriverez plus tôt (frû^Ct). Si
le vent ne cesse pas, 2 je 3 ne i sortirai pas. On descend
plus facilement une montagne qu'on [n'y] monte. Je désire
que vous copiiez ^) votre thème. Thaïes, l'un des sept sages
de la Grèce, prédit le premier (}Uer{l) une éclipse de soleil
(cinc ©onncnpujlcmiô) .
Conrersation.
3P ber SBebiente fd^on jitrildge^ D'^etn, er BtetBt imtnec fo tange toeg.
fotnmeni
^atbad^onjertgeflem flattgefunbcn? îfltïn, t9 flttbet l^eute {!att.
SBtc ^aben @ie Sf^ren Slbenb )tt« 5^ toar mit einem gteunbe flber«
gebrad^t? eingeTommen, auf ben 9att gu
ge^^en.
3Pbcr®cfangenetoentrtelIt»orbett? 3m OegentcU, er i^ frcigtf^)ro<i^en
tioorben.
3fl 3(te Xante tto^ fxanU 3a^ ba9 gieber baiiert no^ fort.
Çat bet ^(^netber meinen 9to(! mit« âr bat i^n mitgettommen, aber nc(i^
genommeni nlâft gurûtfgebrad^t.
IBer ge^t bem Ol^eim entgegeni Staxl unb id^ gel^en i^m cntgegen.
1) Voyez Remarque t, p. 195,
Verbes tantôt séparables, tantôt inséparables. 197
^onntc man bled loorl^ecfe^en? (SetDtg, e9 toar Uiéft )>or^er'}ufe]^eit.
SBolIen @ie etn kocntg ^erauf« 3d^ l^aBe je^t letne B^tt ^tnauf«
lomtnen? )uael^en.
i^Snnen @ie tnorgen ^erilBer* 3a, Td^ toerbe etnenStttgettBIid ^tn«
fommen ? û b e r lommett.
3fi t9 erlaubt, l^inetn )u ge^en? 3a, mein $crr, treten @ie nur l^cr-
etn.
9rtngttnantneine@a<i^en]^crann @te flnb fd^on oben (en haut). 3^
i)aU fie btnaiifgetragen.
Trente-cinquième Leçon.
Verbes tantôt séparables, tantôt inséparables.
Les prépositions burd^, flbcr, untcr et um sont
tantôt séparables, tantôt inséparables, selon la
signification du verbe. C'est laccent tonique qui indique
de quelle espèce ils sont. Toutes les fois que ces quatre
prépositions sont sans accent, le verbe est inséparable;
mais quand Taccent tonique repose sur la préposition,
alors c'est un verbe séparable^ et dans ce cas il faut
observer toutes les règles données pour les verbes sépa-
rables.
L'usage de ces verbes étant assez difficile pour ceux
qui ne connaissent pas encore bien T allemand, nous
allons ajouter quelques indications. En général on peut
remarquer ceci : Quand c'est sur le verbe queFon insiste
dans la composition, alors c'est un verbe inséparable;
mais lorsque c'est la préposition modifiant le verbe qui
est le mot essentiel, qu'elle conserve son sens propre et
n'est pas prise aujiguré^ le verbe est séparable.
Quant à la conjugaison de cette classe de verbes,
il faut observer que tous les inséparables sont actifs et
se construisent avec l^aben. Des verbes séparables la
plupart sont neutres et se conj. volontiers avec fetn; ils
sont marqués d'une f.
1. Verbes composés avec but^.
a) Inséparables (actifs):
bitrArcifen parcourir. bur^bI2ittern feuilleter.
bttr4 hxtâitn ne faire j our. buriç ft e d^ e n percer , passer à
travers.
198 Leçon 35.
burdbbringen pénétrer. burd^fitd^en fouiller.
burdçÊoÇren percer, trouer.
Ex.: éàf burd^reijle gatij 2)cutf d^ïanb je parcourus toute
l'AUemagne.
Farf. iâf ÇaBe ç^avi 2)eutî(!^ïanb bur^reijl.
b) Séparables:
fburd^reifen passer par. bur^fci^neiben couper par le
burd^flreid^en rayer. milieu.
(f)bur(!^jie]^en passer par. +bur^fa^rcn traverser en voi-
burd^Bringcn dépenser. ture ou en bateau.
Ex.: S)er ^5ntg rei^ oft ^ter ^mâi le roi passe souvent ici.
2)er St^xi\% tfl geflern ^ier burd^geretfl le roi a passé
hier par ici.
2. Verbes composés avec ùbet.
a) Inséparables (actifs):
fiÊerfetien traduire. iiberfaUeti surprendre.
ilBcrac|en passer, omettre. illScrïiefern livrer, remettre.
iiBerÇSufen combler. iibergeugen convaincre.
flbcr b r Iti g c n remettre. ilber g c b e n rendre, présenter, re-
ûberfélDemmen inonder. mettre.
iibertDtnben surmonter. ilberlefen repasser.
iÎBertreffett surpasser. iibernel^fmen se charger de qch.
Ex. : 3(^ iiber f e ^ e @($ tllerd Sil^eïm ZtVi je traduis Ghiillaume
TeU de Schiller.
3(^ l^abe fd^on bie Çaifte (la moitié) iiberfetst.
b) Séparables:
f ilber ïauf en*) déborder. filbergeÇen passer (à l'ennenii}.
•j- il b e r fal^vctt faire le traj et, passer -i* U b c r f e^en passer une rivière,
la rivière. âberkoerfen jeter par-dessus.
Ex.: 2)te mWHi ISuft Hber le lait déborde.
2)te Wiéi t{l ilbergetaufen.
3. Verbes composés avec un ter.
a) Inséparables (actifs):
ttnterfu^en examiner. itnterbrilden opprimer,
nnterne^men entreprendre. unterl^fatten entretenir,
itnteriod^en subjuguer. unterrid^ten instruire,
unter f d^ r e i b en signer, souscrire.
Ex.: UnterfiK^en @te jiene ^Ifle examinez cette caisse.
^{S^ l^abe fte f(!^on unterfud^t je l'ai déjà examinée.
1) Il y a très peu de verbes séparables de cette sorte. Le
plus grand nombre des verbes composés de ûber %ont xnêéparabUs,
\
Verbes tantôt séparables, tantôt inséparables. 199
b) Séparables:
f unteroe^en périr, se coucher (du soleil),
•j-unterpe^en se mettre à couvert,
nnterbrutgen placer, mettre à couvert.
Ex.: 2)ie <Sonne gef^t unter le soleil se couche.
^erculanum uttb ^om^eit finb untergegangeit, Hercu-
lanum et Pompéi ont péri.
4. Verbes composés avec utn.
a) Inséparables (actifs):
nmarmen embrasser. umfd^iffen doubler (un cap),
umringen / entourer. ummSlIen couvrir de nuages.
nmgeBen ( environner. utn g e'^ en éviter, contourner.
mnÇfillen envelopper.
Ex.: Umarme mié^, mein @o(n embrasse-moi, mon fils.
2)tc ^olt^n ^at ben Sater umarmt.
b) Séparables:
fumlommen périr. f umftnfen se laisser tomber,
iumfanen tomber (par terre). umtoenben (re)toumer.
umu>erfen renverser. f utn'ge^en en user (bien ou mal)
umneiben changer d'habits. avec qn, fréquenter qn.
umbringen tuer, assassiner. f umfel^ren (se) retourner.
Ex.. SDer @(^if[er latn um le batelier périt.
Wkt $a(fagiere finb untgefommen.
Remarque. Quelques grammairiens ajoutent à cette
classe les verbes composés de tDtebet, mais à tort, car
sauf le verbe tOtcbcrl^OÏcn répéter [prés, lif toicbctl^OÏc) , <
tous les autres verbes, composés de totebet, sont séparables,
p. ex. tDteberfommen revenir. Voyez la note au bas de la
page 192.
Vocabulaire.
beY$o(t}etbienetle sergent de police, bas SBrett la planche.
bie S^fd^e la poche. ber ^anb le volume.
bie ©el^ne le nerf, tendon. bie Uberfet^ung la traduction.
bie Seitung la direction. ber S^rann le tyran.
fibertreten enfreindre. ber iBarbar' le barbare.
bie <9ebulb la patience. ber S)amm la digue.
bie @(i^drfe la pénétration, finesse, ber ^anal le canal.
ber !8erÇanb 1 esprit, la raison. M^\ï6i tout à coup.
ber ©d^iffer le batelier. fud^en tâcher, chercher.
ber ©d^rtftfteffer l'auteur. o^fern immoler.
Exercice. 103.
1 ♦ a)cï fîatfcr tjott ÔjlctTcic!^ l^at btc ganjc îprotoinj burc!^*
ï c t jl. ©cjlcrn t P cr l^ier b u r d^ gcretjl^ S)ie JRfimcr l^abcn toiclc
SôBcï untcï i d^ t. a)cr ^PoUjcibicner l^at baê gonjc $au8 buté-
fud^t. SKan l^attc bcm ^fcrbc bie ©el^ncn buï^gcfci^mttcn.
/
/
/
200 Leçon 35.
ffîer bas ®efe$ ûiettxxtt, mitb 6e{fa:aft loerben. S)?em ©ol^n
l^at bte Settung bed ®ef(!^afte« û6erttommen* dl^re SBorte
]^a6en. m^ t)on ber SBal^tl^ett ber @a^e ftberjeugt -Snbtefer
©d^ule loerben bte ^a(en Btd jum 14ten Oa|re uttterr teinte t.
SBic lotmtct il^ c« untcrncl^mcn, btcê ju tl^un?
2, (S« rcgnct jlaTÏ, ïagt un8 untcrPcl^cn. ©^illcï flbcr*
trtfft allé bcutfd^cn îDid^tcr on îicfc be« ©efill^fô (profondeur,
force du sentiment); a(er et loirb k)on ©oetl^e ûSertrof f en an
@(i^arfe bed 9$erjlanbed. ©eflem tjl Oemanb tnt SBalbe um geBra(!^t
tooïbcn* SP bte« ber ©d^tffcr, tocld^cr utt« ûbcrgefeçt l^at?
Scnnen ®te bcn ©d^rtftjleller, toeïd^cr Samartme^ ©^rtften tn«
SDentfd^e û6erfe$t l^at? 3laéf einer @tunbe finb totr umgelel^tt.
ffîenben ®te bad 93Iatt nm. ^IB^ttd^ fal^en ta)tr unS k)on ben
Çeinbcn umrinflt^ Od^ bitte ©ie, batb tt>tebcrju!ommen. SRtt
®ebuïb fefet man !iac« bntd^^ SBonun l^aben ©te ba8 Capter
unterf^Tteben? iDtan l^at mtc!^ gebeten, e9 juunterfci^retben.
Thème. lOé.
J*ai parcouru tous les pays de l'Europe. L'empereur
€in{i\t)i-'iL passé ^) par ici? La balle a percé (troué) la planche.
Que faites-Yous là? Je feuillette ce livre; c'est le second
volume ; hier yen ai feuilleté le premier. Je ne puis trouver
mon canif. Fouillez^) vos poches et vous le trouverez. Je
les ai déjà fouillées ; il n'y (bartn) est pas. Il faut (©te milffen}
rayer ce mot. Celui que vous avez rayé était bien (red^t}.
^ Que traduisez-vous là? C'est un thème que je traduis en
allemand (tnd S)eutf(!^e}. Qui a traduit Shakespeare en alle-
mand? Plusieurs l'ont traduit, mais la traduction de Schlegel
est la meilleure. Avez-vous le temps de traduire ce livre
allemand en (ind) français? Si j'avais le temps, je ne le
ferais pas ; car c'est un mauvais livre.
1) bnré^'reifen, $ép. 2) burd^fn'^cn, insép.
105.
ÊteS'Vous venu par (ûbcï) le pont? Non, monsieur, nous
avons (flnb) passé ^j la rivière. Je suis convaincu que vous avez
tort. Je tâcherai de vous en (bat)on] convaincre. Qui vous
a remis cette lettre? Elle est venue par (mit) la poste. Celui
qui entreprend trop, ne réussit en rien(fe(t nid^td burd^) . Her-
cule a/otV mourir^) les deux tyrans Diomède et Busiris. Avez-
vous signé votre nom? Je ne l'ai pas encore fait, mais je
signerai tout de suite (fogleicj^). Qui instruit vos enfants? C'est
M. Bérat. Il a aussi instruit mon neveu Charles. Repassez')
votre thème, et corrigez les fautes. Les eaux du canal pér-
il filber'fal^ren, sép, 2) nm'bcingen, sép, 3) filbertefen, insép.
Verbes neutres. 201
cèrent ^) la digae et inondèrent ces belles campagnes (f^elber) .
n pleut, mettons-nous à couvert,^) La ville est entourée de for-
tifications (Sefefitgungen) ; il est impossible de la surprendre.')
1) bur(i^bre(i^en, imép, 2)*ixntcrfie6en, sép. 3) fiberrum^etn,
insép,
Lectnre*
2)et Sitofto* Ite Sirooo.
©ne t)cr grôgtcn Çlagcn^ fur ganj italien, Bcfonbcrô fût
SRcapcI unb ©ictiten, i|l ber ©iroîfo. 3n afrtla ^cigt ex
©amum, in bcr ©(!^toctj gfil^n. 3n Sttca})cl unb hi anbctn
îetlcn Stalicng toc^t ^^ cr tit^t fo ^cfttg » totc in ©iciacn, tDCÏ^c«
afriïa nal^cï licgt (est plus près de),^SIt* abcr mcl^Tcrc SBod^cn
an* unb i)CTbrcitct* SlMutloflgïcit^ unb 9îtcbergcf(!^ïagcn^ctt ^ ®r
iDcl^t^ in Slcapcï im Ouli fo l^ctg, bag bic 2Kcnfd^cn ganj cïfd^Iafft»
unb cntncrt)t ^ tocrbcn. ?lllc î^ttgîeit in bcm SWcnfd^cn cïjltrbt,
unb bic gcfSl^rK^jlcn goïgen * toûrbcn barau« entjlcl^en ^'^^ tocnn
er in ©icttten (dnger atô 30 (t9 40 ©tunben toel^te unb nid^t Don
cinem Sîorbtolnbc bcglcttct" toSrc, bcr bic SDîenfd^cn totcbcr flSrït.
©obaïb aï8 (dès que) ber ©troîîo ju tocl^cn anfdngt, jicl^t ^^
fiâf 3cbcmiann in bic Çaufcr jurild, maâ^t^ûxtxi unb Çcnflcx
}n obcr bcl^Sngt^', in Stmanaclung (faute de) tjon gcnjlerfcî^ci*
iea ^*, bic fjcnpcr unb anbcrc Dffnungcn mit naffcn îildjcm unb
SRattcn*" ïuf bcn ©tragcn flcl^t man Icincn SWcnfd^cn^ «ud^
in bcn fjeïbcm rid^tct (fait) bcr ©iroïlo l^Sufig grogcn ©^a*
bcn^* an unb tjcrfcngt^^ bic ©rdfcr unb ^flanjcn fo, bag man
Pc ju Çubcr jcnetbcn^* ïann, a(ô tocnn (comme si) pc au6
cincm l^ctgcn Ofcn ^* ÏSmcn* SBcnn ctn SWcnfd^ toon bicfcm SBinbc,
iDcId^cr ?lllc8bur(!^brtn8t, ûfccrfaïïcn toirb, fo ïommt cr um^
1) fléau. 2) souffler. 3) aussi fort. 4) durer. 5) répandre.
6) le découragement. 7) abattement. 8) abattus et énervés. 9) les
suites, conséquences. 10) résulter. 11) suivi. 12) se retirer.
13) tendre. 14) vitre. 15) de nattes. 16) ravages. 17) brûler.
18) broyer, pulvériser. 19) four.
Trente-sixième Leçon.
Verbes neutres ou intransitifs.
(Sntranfititoe 3cittt>ôrtcr.)
Les verbes qui n'expriment que Fétat du sujet ou
une action qui ne peut passer à un complément ou
régime direct, s'appellent verbes neutres ou intransi-
tifê. Ex.:
®i^en être assis; fommen venir; fé^aben nuire.
202 Leçon 36.
La conjugaison des verbes neutres ne diffère point
de celle des verbes actifs, excepté dans les temps com-
posés, où ils se conjuguent; du moins pour la plupart, i)
avec le verbe auxiliaire feftt,^) être. Ils sont, comme
les autres: réguliers ou irréguliers. Nous donnons ci-
après un exemple d'un verbe neutre régulier et d*un
irrégulier.
!♦ Sleifett voyager.
Indicatif. Subjonctif.
PriB. 3<^ reife je voyage. 3^ rcife (que) je voyage.
Impf. 3t^ rcipc je voyageais. 3dJ relfte (que) je voyageasse.
Fut, 3d^ ttjcrbc rcifcn. a)a6 \q rcifen tocrbc.
Cond. 3^3^ tourbe reifcn. — —
Passé indéfini.
3^ (in geretjl j'ai voyagé 34 fei geretfl (que) j'aie voyagé
bu Btfl geret^ tu as vovagé bu feifl geretfl
et ifl gerelfl il a voyagé er [et geretfl
toir {!nb gereifi nous avons voyagé toir [eten geretfl
W^x feib gereifl \ vous avez | il^r fetet geretfl
@le fînb gereifl ( voyagé j éie felen jereifl
f!e fmb geretfl ils ont voyagé. fie feten geretfl.
Flus-que-parfait,
3(4 tQttV geretfl j'avais voyagé 3(4 toSre geretfl (que) j'eusse
bu toarfl geretfl 2C. bu toSrefl geretfl [voyagé
er toar geretfl 2c. er toSre gereifl 2C.
Futur antérieur,
3(4 ttJ^î^fc^ 5.^"*!? f^*" j'aurai 34 toerbe gereijl fein
bu toirfl geret^ fetn [voyagé bu toerbefl geretfl fetn
:c. K. 2C. ÎC.
1) Le nombre des verbes neutres qui se construisent avec
(aieit, n'est pas grand; tels sont p. ex.:
atmcn respirer ruÇen se reposer
Betteu aboyer fdtafeu dormir
UiïfftnJUurir \qxtitn crier
Bluten saigner \éftotiQtn se taire
bauent durer ftegen vaincre
fe(4teu combattre ' f^re^ett parler
(anbein agir taujen danser
M^en chanter toaà^ta veiller
laéftn rire toetnen pleurer
leBen vivre tooÇneu demeurer
xanâftn fumer
et quelques autres.
2) Pour ceux qui inarquent une transition à un autre état, à
un autre lieu on peut être sûr qu'ils prennent fetn être, Voyei
la liste p. 203 et 204.
Verbes neutres. 203
Conditionnel passé,
3^ tofirbe gercifl fein ou ^ xoâxt gereifl
j'aurais voyagé,
bu tofirbefl gereifi f^in ou bu toSrefl geretfl.
ÎC. K,
2^ ®t^tn aller.
Indicatif. Subjonctif.
Prés. 3(^ de^c je vais. S^ gel^e (que) j'aille.
Jmpai/. 39 g lug j'allais, j'allai. 3(3^ ginac.
Futur, 39 toerbe ge^en j'uai. 34 ^ttbt gel^eu.
Con<i. 34 toflïbc gc^^cu j'irais. — —
Passé indéfini.
3<i^ Hn gegaugen je suis allé 3(^ [ei gegaugeu
bu Bifl gegangen tu es allé bu feifi gegaugen
et tfl gegangen 2c. er fei gegangen
toir f Inb gegangen »lr feien gegangen
j iljr felb gegangen J l^r feiet gegangen
) @ie ftnb gegangen j &t feien gegangen
fit ftnb gegangen. ^e feien gegangen.
Flus-q.-p. 3<3^»«r gegangen j'étais allé. 3<3^ tofire gegangen.
Futur ont. 3^ toerbe gegangen fein. Sàf toerbe gegangen feiu.
Cond. passé, 3^ toilrbe gegangen f ein ou i^ toSre gegangen.
Remarque. Naturellement les verbes neutres n'ad-
mettent pas la forme passive. Il y en a cependant
quelques-uns qui s'emploient à la 3. pers. du sing. passifs
mais comme imperson.j par ex. e9 U>irb gef^rod^en, eé
loirb gelad^t, e9 tt>irb gefto^Ien, e9 tt>irb gegeffen %c. on parle,
on rit, on vole, on mange etc.
Liste des verbes neutres
qtd prennent en allemand pour auxiliaire: fein*
ablanfen (3eit) expirer. Berflen crever, éclater,
al^alïen tomber. babonlaufen J „.a«i,„«^ .
abtoci^eu dévier. entknfen } réchapper.
Babreifen^) partir. Beilen courir,
antommen arriver. etnbiinaen pénétrer,
auffle^en se lever. einfd^Iafen s'endormir.
Bauftoa^en s'éveiller. entlommen, entflte^en échapper.
Baudarten dégénérer. txhUià)tn pâlir,
audgieiten glisser. erfd^einen (aplparaître.
Bbegepnen rencontrer; impers, er^rerfen s'efirayer.
arriver, se passer. ertrtnten se noyer,
bletben rester. fa^reu aller en voiture
l) B signifie verbe régulier. I
204
Leçon 36.
faSen tomber.
Bfaulen pourrir.
B flattent yoltiger.
piegen voler.
flieçen fuir.
piegen couler.
Bfoïgen suivre.
(gelfricren geler.
gebeil^en prospérer.
gel^ett aller.
gelingen, geraten réussir.
genefen recouvrer sa santé.
geraten (in ou nnter) tomber.
gertnnen se cailler.
gefci^e^en arriver, se passer.
çinoufge^en, 'fleigen monter.
&g:r i ^«-«^-
BHettern grimper,
fommen venir,
fried^en ramper.
Btanben aborder,
(aufen courir.
Bmarfd^ieren marcher,
teiten monter à cheval.
Brelfen voyager.
De plus, la plupart de ces mêmes v. composés avec
d'autres préfixes que tt. (Voyez ci-après § 3.)
Noie, Quelques-uns de ees verbes prennent le verbe ^abett,
lorsqu'on les emploie dans une signifieation particulière. Ex.:
3$ (aBe gefa^ren j'ai conduit (les chevaux);
er ]|at ni^t gefoigt il n*a pas obéi;
\â) %û%t gefroren j'ai eu froid,
tandis qu'on ait: La plante est gelée bie ^flan^e ift gefroren.
3) La plupart des verbes neutres deviennent actifs
et prennent l^aben, quand on les fait précéder de la
syllabe fie; p. ex.: du verbe neutre (eben vivre, on forme
(eleben, qui prend la signification: ranimer j vivier.
Tels sont p. ex.*
Brennen courir.
BroSen rouler.
Broflen rouiller.
Bfcdettern faire naufrage.
\â)Uiâ)m se glisser.
f(i^mel)en se fondre.
fd^totmmen nager.
flnfen s'enfoncer.
f))a)teren ge^en se promener.
Ii)rtngen sauter.
fte^en être debout.
jletgen monter.
fterben mourir.
Bflfii^en se précipiter, tomber.
ilbereinfommen convenir.
umtommen périr.
Bberbonen se sécher.
Bbern>el!en, berblfi^en se flétrir.
berfd^toinben disparaître.
]Dorbet« ou borilbergel^en passer.
Xoaâ)]tn orottre, grandir.
Btoanbem aller.
n^eid^en céder.
toerben devenir, se faire.
aciî/s,
6e!ommen recevoir.
Bben>a$en surveiller.
EbetDo^nen habiter.
Bbefotgen suivre,
beft^en posséder.
Bbeanttt>orten répondre à qoh.
befletgen monter.
Roeretfen voyager (en).
neutres,
de fommen venir,
de Btoad^en veiller,
de Btool^nen demeurer,
de Bfolgen suivre,
de fl^en être assis,
de Banttt>orten répondre,
de fletqcn monter,
de Bteifen voyager.
i
Verbes neutres.
205
4) De verbes neutres on forme également des verbes
actifs avec une signification catisattve, en changeant la
voyelle radicale ou une consonne. Ces verbes, ainsi
que tous les dérivés sont réguliers et se conjuguent avec
ffùhtn. Nous marquons les dérivés d'un astérisque.
Tels sont:
aciifa et régtiUers,
•Beugen plier, ployer.
♦einf^ISfcrn enaonnir.
♦fSttcn couper, abattre.
♦flîJgcn faire flotter.
*^&ngen pendre, suspendre.
*tegcn poser, coucher,
♦faugcn allaiter,
♦[eften placer, mettre.
*l>rcn9cti faire sauter [act.),
*t^t9emmeit (de l'eau) charrier,
entraîner de la terre.
*fcttïen plonger.
*j!cîgcm enchérir, augmenter.
*)>erfd^toenben dissiper.
*»e(fcn éveiller.
♦»Sgcn peser (P. gelDogcit).
neutres»
bteaen se plier.
etnf(^Iafen s'endormir.
fallen tomber.
ffUgen couler.
^angett pendre (être suspendu).
Itegen être couché.
fottgen sucer.
fi^ett être assis.
f)ningen sauter [neutr,),
f^mitnmen nager.
f!n!eit s'enfoncer, déchoir,
ftetgen monter,
berfd^toinben disparaître.
Btoad^en veiller (prend ^aBett).
kDiegen peser {neutre)
ti tt
j£r(în!en abreuver s'est formé de même de titnfen boire.
Tocabulaire.
ber SB^^ter le garde. ba9 @ofa le sofa.
ber SWitBilrgcr le concitoyen. • bic SWanttWaft l'équipage.
ber $oI}]^auer le fendeur de bois, ber SD'îattofe le matelot,
bûcheron. ba8 Ungtii(f le malheur.
bie (St($e le chêne. bie gri^ le délai.
ba0 9îeP le nid. erjieÇcn élever,
bie ^iifie la côte. l^erbet'etlen accourir.
bie Sabung la cargaison. bad Untemel^men l'entreprise.
bie K^tung l'estime. J^oQ^ttbtfc^ hollandais.
Thème. 106.
!♦ S)a« S3u(!^ Uegt auf bcm îifd^e* 9(i^ fd^ïtef utitcr ctncm
^Qûmt. 3)cr SBad^ter ^t am SEl^ore geflanbcn. SDic SWSbc^ctt
finb itt ben ®arten gegangen, um (pour) nad^ il^ren 8tofen ju
jcl^cn» SBir finb gcjiem t>om Sanbc jurûcîgelel^rt, n» toir brei
SBod^en gcBUeÊcn toarcn» SDtein tjreunb iji in (Stiglanb geboren
(né), aber er tji in Sranïreid^ crjogcn toorben* Sluf (à) bte
SRad^rid^t t>on ber ^anïl^eit fetneS ©o^neS i ji ber SSater |crbet»
gceiït» 3)er ffrieg jtotfdjfen btefen jtDei SSôRem l^at nod^ ntd^t
Begonncn» SBaô tjl il^m gcfti^el^cn? @r ijl gefaHen.
2* 3)aô groge Untcmel^men beô Çerm !î)uBot3 tjl ntci^t
gelungen» !î)tefcT SKcmn tfl in ber Sfd^tnng fctncr SRittûrgcr
fc^r gcfnnlcn» 35cr ©oïbat iji an (de) feinen SSBnnben gcjiorbcn»
206 Leçon 36.
3>« Science tfl gcfti^motjcn* S)tcfc« Slctfci^ tji titd^t gcnug gc*
bratcn (rôtie). S)cr Çoïjl^aucr l^at btc Sid^c gcfaUt. Stn Sîcfl
ifi l^cruntcïgcfaïïen» SSielc artcn (espèces) t)on îtercn ftnb t>on
bct Srbc t)erfd^ti)unbctt, wlé^c in fïill^cïen â^^t^ti barauf gcIcBt
^abtn. (ïin ]^ottanbtf(!^c« ©d^tff tjl on bcr Sûflc Sfrila^ gc'
fd^ettcrt; bîc ganjc Sabung tji gcfutilen. 2)cr grôgte îeiï bcr
5Kaimf(!^aft tjl umgeïommcn ; nur etnigc SDîatrofcn ftnb bcm îobc
etttgangen.
Thème. 107.
1. «Fat beaucoup voyagé. L'année passée je voyageai
en France. .^t?ez- vous aussi voyagé? Non, monsieur, je
n*ai jamais voyagé. Où est votre frère? Il est sorti. J'ai
glissé. Le délai est expiré. Nous avons marché toute la
nuit pour arriver avant huit heures. J'ai demeuré deux ans
à Lyon; maintenant j'habite Paris. Voici ce q\ii (ÇolgcubcÔ)
est arrivé. Je les {dai.) ai suivis de loin (t)on toeitem). Le
vaisseau est-il arrivé? Le garçon a grimpé sur un arbre
{ace.). Quand vous ètes-vous levé? Je me suis levé à sept
heures. Je me suis endormi très tard.
2. Nous sommes venus au (}Um) déjeuner. Votre oncle
est parti avant-hier, et il est revenu ce matin. L* officier a
passé devant notre maison. L'ennemi a cédé. Le vaisseau
a fait naufrage. Êtes-vous déjà jnonté à cheval aujour-
d'hui? Non, je suis allé à pied. Quel malheur vous est-tV
arrivé ? Les soldats qui avaient fui furent sévèrement (jireng)
punis. Les hommes ont une fois péri par les eaux [sing.),
et l'on croit qu*ils périront un jour (eîlljl) par le feu. Je
me suis endormi à onze heures. Il faut qu'on endorme
l'enfant. La jeune femme était couchée sur le sofa. Mettez
ces livres sur ma table. J'ai veiUé toute la nuit. Pour-
quoi m'avez-vous éveillé? Jean n'a pas encore abreuvé les
chevaux.
Conversatioii.
Ba9 iji gefAel^ett? (S9 ifi tttoa9 SBidBtiged gefd^e^ett.
Um toietotel U^r Tinb @ie )>on gran!« SSir |!nb ittn ^alb ftH^i abgerei^.
furt a6gem|l?
Unb toann ftttb @ie angefommenl ®egen ^el^n Ul^r.
SBann jie^ctt @ie bes STlorgend ©etoS^nUd^ um 6 U^r; aUx petite
auf ? bin l^ erfl (ne — que) itm 7 U^r
aufgeflanben.
©arum flnb @lc fo crfd^rorfcnl Sir ÇaBen eincn fard^tcrïld^en ^natt
(bruit, détonation} gel^Brt.
@ttib @le ganj affein nad^ 2. gc» S'îcm/tnem SBrubcr Ijlmitgcgangcn.
gangeti?
Verbes neutres. 207
3fi c9 toa^r, bag ein Btia'ot tnU dllûft nut emer, gtoei |!ttb mU
ïaiifcn i|l1 ïaiifcn.
ffîollen @ie ein icentg mit un9 SBtr banfen 3(nen. toit |inb l^eute
]paiïttm gcl^cnl. SWorgen f^oti gegongen.
3P ber @(!^nee ouf ben Sergen ge* Slein, e« ifl noâf px fait.
fd^moUenl
©aiitt Ip Sljr Çreunb jtttflrfgc» S5or brel SBod^cn; abcr er ijl nl*t
te^rt? l^ier aeblieben; tx'ïft icieber ab*
gcrelft.
93ie tontmt t9, bag biefer ^Oanm 2)er {>oI)(atter ^at i^n gefSlIt.
untgefallen ifll
S3arum Iteat bie Aartc <mf bem Siettei^t t^ |ie l^enttttergefallen.
iBoben (plancher)?
ffier IJat fie ba^^in gelegtl 3cï ï«nn e« nid^t fageti.
Çat tnatt bie $ferbe getrdnft? Sa, ber @tall!ned^t (yalet) (at fte
eben (vient de les) getrSntt.
Lecture.
Ser banfiare £3ttie. Le lion reconnaissant.
6tn armer ©llatoc, ber au9 bem ©aufe feineS Çerm cnt*
Pollen toax, tourbe jum îobe V)erurteilt^ SDîan fill^rte t^n auf
cincn grogen ^ia^, toeïd^cr mit SDtaucm (de mars) umgeBen
toar, unb lieg ^ cinen furc!^t6arett 86toen auf tl^n lo8 *. îaufcnbe
»oti SDîenfd^cn toaren S^vl^^^ biefeS ©(i^aufpteïô *.
©er SôiDc fpraug grimmtg* auf ben armen îKettfd^en ju;
aBcr pIBfcïi^* blteb cr jlel^cn, toebelte' mit bem ©cj^toeife, ppfte^
»on Çrcubc um il^n l^erum unb ïecîte® tl^m freunbïit!^ bie ©aube.
Oebcrmann toertonubcrte fi(!^ unb fragte ben (SMatoen, toic baô
fomme.
S)cr ©Ha»c erjdl^lte i$oïgcnbeô^®: „Ul9 td^ meinem Çerm
enttaufctt t»ar, t)crbarg Hi mi^ in cineÇôl^lc*^ in ber Silfie^^.
SDa lam auf einmal® biefer Sôtoe l^erein, toinfeltc*^ unb jeigtc
mir feine SEafec (patte), in ber ein groger îÊom** jial (était
enfoncée) . 3(!^ jog tl^m ben S)om l^erauô, unb t)on ber 3ctt an
Dcrforgte^* mit!^ ber Sotoe mit SBiïbbret^®, unb toir Icbten in ber
Çôl^Ie frtebtici^" beifammen. Sei ber ïe^ten 3agb tourben toir
gefangcn unb roon einanber getrennt *®. SÎun frcut fid^ baô gutc
lier, mt(!^ toteber gefunben ju l^abcn."
«ÏIe« «oïï toar iiber (de) bie 3)anttarïeit ^» btefc« totïbcn
Itères entjûcît^o, unb bat laut um ©nabe^i fur ben ©Katoen
1) condamner. 2) to9taf[en lâcher. 3) témoin. 4) spectacle.
5) avec fureur. 6) soudain, tout à coup. 7) remuer la queue.
8) sauter, bondir. 9) lécher. 10) ce qui suit. 11) caverne. —
12) désert. 13) pousser des cris plaintifs. 14) épine. 15) pour-
voir. 16) de gibier. 17) paisiblement. 18) séparer. 19) recon-
naissance. 20j enchanté. 21) grâce.
208 Leçon 37.
unb ben Sôtocn. S)eï @!Ia»c tourbe fretgclaffen utib crl^tclt Dtclc
©cfd^cnlc. 3)cr Sôidc foïgtc tl^m toie ctn trcucr ©unb unb 6Iteb
tmmer 6et il^m; ol^ne lemanb etn Setb (mal) ju tl^un.
Trente-septième Leçon.
Des verbes impersonnels.
(Un^erfBnltd^e SetttDSrter.)
Les verbes qui sont impersonnels de leur nature
n'ont, comme en français, que l'infinitif, le participe
passé et la troisième personne du singulier à tous les
temps. Ce sont pour la plupart les mêmes dans toutes
les langues. En voici la liste:
Infinitif. Présent,
regnen pleuvoir. e9 regnet il pleut.
fd^neien neiger. eS f(i(nett il neige.
^ageln grêler. e9 l^agelt il grêle.
bonnem tonner. e9 bonnert il tonne.
Bli^en faire des éclairs. e9 Bli^t il fait des éclairs.
frlcren (aefrlcrcu) geler. eô frtcrt (aefriert) il gèle.
tauen dégeler. t% faut il dégèle.
retfen faire de la gelée blanche. e8 reift il fait de la gelée blanche.
geècn y avoir. e3 gieBt (gibt) il y a.
Ils se conjuguent régulièrement, excepté e^ fïtert et
e^ gtcbt. Tous ont le verbe l^abcn dans les temps com-
posés : c« ]^ a t gcregnct, eô ^ a t gcbonncrt, e« ^at gcbliftt te.
Tableau de conjugaison.
Infinitif.
1« @^netett neiger.
Indicatif.
Fréaent, t% f^neit il neige.
Imparf. c8 [dunette il neigeait, il neigea.
Futur, es icitb f^neten il neigera.
Cond. préê, tS toûxht \âfndttt il neigerait.
Par/, ind, ed (at gefd^neit il a neigé.
Plu8-q.-pf, e8 l^atte gefd^nett il avait neigé.
Fut. antér. e8 n>irb ge{(!^nett f^aUn il aura neigé.
Cand. passé. e9 ^ût^e je^neit ^aben | .^ ^^^^j^ . ^
Verbes impersonnels. 209
Subjonctif.
Présent bag e8 fdbneie qu'il neige.
Imparfait, bag e9 fAneitc etc.
Futur, bag e9 [(^tteitn toetbe.
Tarfa/U. bag e9 gefdbneit l^abe.
Tlus-q.-pf. ba| ed gefcçneit V&tte.
2. m\ gteBt (giBt) a y a.
Fréêênt. es gieBt il y a.
Imparfait. e9 gab il y «vait, il y eut.
Futur, e9 tt)irb geoeuNil y aura.
C<md. prié, e9 toihrbe geben' (e9 g&be) il y aurait.
Farfait, ed Bat gegeben il y a eu.
Plu8-q,'pf. es patte gegeBen il y ayait (eut) eu.
Futur antér. ed toirb gegeBen ^aBen il y aura eu.
Cond, passé, t» toÛrbe gegeBen ^aBett il y aurait eu.
Btfinxttf. (e8 mag ou fann) geBen (il peut) y ayoir.
Remarques,
\) H y a doit se rendre par ei9 giefit, quand on ne
fait pas mention d'un endroit ou que Tendroit n'est in-
diqué que vaguement. L'objet est à raccusatif. Ex.:
(5« gieBt Sente, koeld^e bie @d^dnBeit ber înqenb i^oQteBcn.
Il y a des gens qui préfèrent la beauté à la yertu.
S« gieBt Sogelnefler,^) toe((]^e egBar flnb.
Il y a des nids d'oiseaux qui sont mangeables.
SBoS gieBt es 92eued? qu'y a-t-il de nouveau?
2) Mais il fiiut traduire il y a par ei9 t{i^ H fittb,
H y avait j t^ tDor, t^ ttiarett etc., toutes les fois que
l'endroit est strictement déterminé. Ex.:
(Ss ifl etn laSogel in bem iï&fig.
n y a un oiseau dans la cage.
(59 finb )tDei $i$gel in bief em StB,fiq.
Il y a deux oiseaux dans cette cage.
& toar fein SBaffer in bem ®U9.
n n*y avait pas d'eau dans le verre.
(S9 i^ teiu $Ia4 me^r Biet il n'y a plus de place ici.
3) Dans ce dernier cas, le pronom t^ est supprimé,
quand la proposition est interrogative ou inverse. Ex.:
1) La phrase: Il y a en Amérique (ou dans Us Indes) des
nids iPoiseaux qui sont manaetibles, doit néanmoins être traduite:
Se gieBt in Smerifa Sogelnejlet etc., parce qu'on n'indique pas de
place strietement déterminée.
OTTO, Onmaftire allemand*. (4
1
210 Leçon 37.
Sfl fBein in biefer Stafd^el
Y a-t-il du vin dans cette bouteille?
SBaren t>irîe Sente 'm Ston^txt%
Y ayait-îl beaucoup de monde au concert?
4) Four indiquer le temps et l'heure, on dît : e9 t ft,
e9 toax etc. Ex.:
SBad ffir ffîetter ifl ed? quel temps fait-il?
(Sd i fi fd^Snee SBetter il fait beau temps.
(S8 toat fi^Iei^ted SBettet il faisait mauvais temps.
a ift fait il fait £roid. t» ifl f^t il est tard.
t» ifl toarm il fait chaud. t» t^ na^t il fait nuit.
e« ifl mitbe il fait doux. a ift mittag il est midi.
e9 ifl tDinbia il fait du vent. eS ifl JfaXb fed^d U(fr il est cinq
es ifl bnntel il fait sombre. heures et demie.
5) Outre ces verbes impersonneh proprement ditSj
il y a d'autres verbes qu'on emploie accidentellement
à m forme impersonnelle. Voici xme liste des plus
usités :
e9 f^eint il semble. e9 nfit^t il est ayanta«reux.
eS betrifft il concerne. e8 f(!^abet il nuit, u n'est pas
e8 folat il s'ensuit. e9 \fiït ottf il cesse. [prudent.
ed fel^lt ou fel^Ien il manque. ed fSngt an il commence.
e8 gefci^ie^t il arrive. e9 fommt barauf an il s'agit, l'im-
e9 aeniigt il suffit. portant est de.
ed lautet on sonne. e9 ifl tein Zt^t\]t\ il n'est pas
ed bauert il dure. douteux, es Bebarf il faut.
e8 l^eigt on dit. eS ift Ibeffer il t>aut mieux.
ed erl^ettt il paraît, résulte.
Toeabnlaire.
bie (3r)&]ftlung le récit. ber C^mei^Ier le flatteur,
ber )^etcfiger le fourbe. regteren gouverner,
bie Brine sing. les lunettes. f^recfitd^ affreux,
ber Çiofen le port. bie <9e^enb la contrée,
bie )&oRen les nuages. ba9 ^ttma le climat.
<n)i9 étemel. toeife sagement.
Exerdoe. 108.
@(!^nett ed ? 9letn, t» fd^neit ntd^t, t% tegnet* Sd tottb Balb
^ageln. Sd more ^yxi, memt e9 fd^neite. @9 tnfitbe fd^neien,
tDenn ed nid^t fo lait mare. Sl&en l^at e9 (il vient de) gebonnert.
(Sd tntrb nod^ mel^r bonnem. S)te ^Slte ifl DorBet (passé), e9
tant. 3d^ glauBe, bag e9 morgen tauen tottb. Sd fSngt an,
l^eU }tt toerben. SBad nfi^t ed dl^nen, fo Dtele Sfid^er }tt fanfen,
toenn @te fie nid^t lefen? Sd erl^ellt aud dicter St}&^(ung, ba^
ber ftanfmann etn SSetrilger ift. Sd fe^Ien l^eute bret ©d^ilter.
@d gtebt ein etotged SeBen. SBenn ed fein etotged SeBen gdBe,
[fo] toaren bie 3Renfd^en unglûdflid^er ald bie Xiere. Sd gieBt
Verbes impersonnels. 211
SriHen fût aQe Xugen, folglti!^ (donc) toirb t9 artâf etne (en)
fût bte él^rtgen ge6en* (£d toor ein ^è^xeUiâfti SBetter, a(9 toit
ben Çafen t)erltef en ; bod^ bauerte (dura) ed nici^t (ange, bi9 bie
©onnc burd^ bic SBotfen brang (percer).
Thème. 109.
H pleut. Je crois qu*il pleuvra demain. «Tentends tonner.
En effet (totlIKi!^), il tonne. H vaut mieux qu*il pleuve. IL
est deux heures. Neige-t-il? IL a neigé toute la n\iit, mais
à présent il ne neige plus. Quel temps fait-il? Il fait froid ;
hier il fit très froid. Il a gelé. Y a-t-il encore du vin dans
cette bouteille? Non, il y a de Teau dedans (borfat) . IL 7 a
des hommes qui sont toujours mécontents. H fait chaud;
il faisait trop chaud dans votre chambre. IL n'y avait ni
hommes y ni femmes, ni enfants. Y avait-il beaucoup de
monde (itViie) au concert? Oui, il y [en] avait beaucoup,
n y aura cette année beaucoup de cerises. Il y a eu de
(}u) tout temps des fiatteurs. Il y a un Dieu qui gouverne
tout sagement. Il fait rarement (felten) beau, au printemps,
dans ces contrées où le climat est si variable (iDer&nbetlt^) .
H pleuvait, il neigeait, un vent violent hurlait (l^eulte) à
travers (bUY^) les arbres, en un mot, il faisait un temps
affreux, quand mes affaires (©efd^afte) me forcèrent à me
mettre en route (mtd^ auf ben S8eg }U mad^en).
Verbes impersonnels réfléchis.
6) Il y a aussi des verbes impersonnels qui ad-
mettent les pronoms personnels à V accusatif (mt(|, btd^,
t^n, fie, un3, ©te, fie), qui, de cette manière, peuvent
être appliqués aux trois personnes:
*e8 freut mi$^) je suis bien t% terbrtegt mtd^ il m'ennuie, je
aise. suis peiné.
€6 rent mi^ je me repens. t% tertangt xbCx^ il me tarde.
c9 fd^mer^t mid^ je suis peiné, *t% fd^tmbert mid^ je firîssonne, je
désolé, navré. fréniis.
*c« frlert mid^ j'ai froid. %% Bcfrcmbct mid^ je trouve
es jammert mi($ j'ai pitié. étrange,
ed tteU mt$ il me répugne. *e9 ^ungert mtd^ i'ai faîm.^
es biiiift mid^ (ou mir) il me semble. *e8 bilrflet tnid^ j ai soif.^)
*eS tt>unbert mid^ je m'étonne.
1) Ceux qui sont nuirqués d'un astérisque s'emploient aussi
aux autres personnes comme verbes complets: t(^ freue mid^, t(^
frtere, tdb tDunbece mtd^, id^ fd^aubere, td^ bungere }c.
2) On dit de préférence : ^Ha^ Hit (wtgtig ou id^ (aBe (ttltget;
iil^ (in bntftig ou id^ ]|aBe ^tirft.
212 Leçon 37.
Exemple de eoi^ngaisoii»
(S9 ftettt mtd^ je suis bien aise.
e9 freut bid^ tu es bien aise.
c8 freut ïf)n (fte) il (elle) est bien aise.
e8 freut utt8 nous sommes bien aises.
e9 freist eu^ (@ie) vous êtes bien aise(s).
e8 freut fie ils (eUes) sont bien aises.
7) Il en est d'autres qui s'emploient avec on pronom
au dat^:
t9 ifi ntir (eib | je suis fâobé.
e9 t^ut mit leib | je regrette.
e8 aef^t mtr je me plais.
e8 oelieBt mtr il me plaît,
es migfSlIt mit il me déplaît.
1 Tl^' Tl f*?'^»^^^* { la tête me tourne.
es etelt mtr j'ai du dégoût.
es ge^iemt mtr il me convient.
es a^nt mtr j'ai un pressentiment.
es bilttït mtr l jj ^^
es fcmmt mir toor /
es f&tlt mtr etn je m'avise, je me rappelle.
es geltngt mtr je réussis.
eS mtgltngt mtr je ne réussis pas, j'échoue.
es t|l mir angfi j'ai peur.
eS tft (totrb) mtr iibel je me trouve mal.
es tfl mtr too^I je me porte bien.
es tjl mtr toarm ( — ïaït) j'ai chaud ( — froid).
es trSumte mtr j'ai rêvé.
es Itegt mtr baran il m'importe.
Ces verbes se conjuguent de la manière suivante:
es tfi mir letb je suis fâché.
es ïft btr (etb tu es fâché.
es tft t^m (t^r) tetb il (elle) est fâché(e).
es tp uns (etb nous sommes fâchés.
es t|l mâ^ (S^ntn) letb vous êtes fâché(B).
es tft t^nen leib ils (elles) sont fâché (e)8.
9BaS fSSt Sl^nen etn? se traduit: de quai vous avùez-vouêf
SBie gel^t es 3(inen1 se traduit: eommMt eeia va-i-ilf
®aS fe^It S^nen? se traduit: Qu'aoez-eous?
8) Les suivants n'admettent que le pronom in-
déclinable \iàf:
es f^tdt fl* 1 ., es Begtebt fié» ( ., .
rt (ge)«emt fl^ \ il convient. eS tr> fl* ju { " *"*^®-
es gebttl^rt ftd^ j eS t>er|^el^t ft^ il sst entendu.
9) L'impersonnel U faut se rend en allemand par
Wftffett et; quand il a un objet, par ixanâftn qui ont
toutes les personnes.
a) il faut travailler man mug orBetten.
il me faut travailler id^ mug orbetten. (Voir p. 85.)
Veibes impersonnelfl. 213
il wms faut étudier t»it mfiffcn fhibieren k.
il faut que tous lestiei id 6ie ntfiffen ^ier Bleibcn.
il faut que le garçon écrive ber Stnait mug fd^reiben.
h) il tM faut ... Ut brau^e, — il nous faut tviv braué^eit.
il te faut btl braué^fl, — il vous fEiut ®ie broit^en te.
il me faut de l'argent id^ broute @elb.
combien vous en faut-il toietoiel braud^ett @ie1
e) t7 «'en /ati< {de) héaueoi^ se traduit c8 fe^lt biel.
|Mtf «'«n /a^ti^ e9 fefflte icenig ou nid^t bid.
10) On peut donner à tout verbe actif ou neutre la
forme impersonnelle, en faisant précéder le participe par
la forme passive: e9 iDtrb, ed tt>urbe )C.; cela se &it
surtout pour remplacer l'actif fr. avec on,
(S9 toirb In !^eutfd^Ianb bte( gefungen unb getan^t. (9R(m fUtgt
snb tangt loiel in 3)attf(!^lanb.)
En Allemagne on chante et Ton danse beaucoup.
69 tourbe Diel geta^t uub gefé^ei^t.
On riait et plaisantait beaucoup.
<Sd ifl ttel gegef[en, aber noé^ m^r getmsTett toorben.
On a beaucoup mangé, mais on a bu davantage.
11) Enfin le verbe prend quelquefois la forme
impersonnelle au singulier et au pluriel, selon le nombre
du sujet, lorsque par inversion ou transposition ce
dernier se met après le verbe et se trouve alors rem-
placé en tête de la phrase par le pronom éd. Cette
forme s'emploie de préférence en poésie.
68 trat eitt ^ann Ifferetn.
n entra un homme etc.
69 blet en {pL) fiéif oft (^elegenl^eUen bar.
n se présente souvent des occasions.
68 ^ingen bret Sager auf bte Sagb.
Trois chasseurs aUèrent à la chasse.
6« fleïett Çageï!8raer, fo grofi toie ïoubeneier.
Il tomba des grêlons gros comme des œufs de pigeon.
60 f^Iug se^n U^r dix heures sonnaient.
Yocabulaire*
bie ^5^e la hauteur. bie ©efeUf^aft la société,
bas ^ob le bois. bie 9{ed^nung le compte,
bie Sebanli^feit la persévé- ber SDlagne't l'aimant.
ranœ. ber StiUmtitt le kilomètre,
fibeiminben surmonter. toenben tourner,
bie €M(»>ierigtett la difficulté. tDaiff\tn croître.
Ezerciee. 110.
e« frcut mxâf, ba§ Sic fld^ fo tool^I bcftnbcn. (£« tl^ut mit
Ictb, bag ©te ttid^t gclommcn flnb. (ï« ïcut mi^, bag td^ gcficrn
m(^t naâf SOÎe^ gegangen Vm. (£0 tottb bid^ teuen, toenn bu bad
214 Leçon 37.
$fett> ttt^t fauf{l. 2Bie sef&Ut eddl^nen m$att«? (£« gefaOt
mit fel^r tool^I. (Sd fd^iotnbelt nttr auf biffer ^ël^e. & lounbett
miif, ba§ @te nod^ l^ier ftnb. (S9 ftonb etn SBagen Dot bem
Çaufe. S9 ging aQed gut* @d berbriegt mid^, bag id^ ntd^t ba
getoefen bin. ^omrnt e^ dl^nen nid^t Dot, afô ob (que) etn
£eil bon bief em $o(} geflol^ten tootben toSte ? Sd f el^tt i 1^ m on
®elb. Sd faUt mit ni^t ein, fo ettoad ))on dl^nen ju glouben.
Sd elett mit bot aOem. (Sd tent mid^, meine Ul^t betfouft }u
l^ben* SDtit Sel^otrltc^Ieit getingt e9 nnd, aOe @d^)9iettgletten
}tt âbetkoinben* (Sd gefiel mit fel^t too^( in bet ©efeOfd^aft bet
jnngen Sente*
Thème, lll.
Je suis bien aise de tous voir. Je me repens d'avoir
dit cela. J'ai froid, faites du feu. Nous étions fâchés de
ne pas le trouver à la maison // faut partir. Il vous faut
partir. Il nous fallait finir à quatre heures. Il fallait venir
plus tôt (friil^et). Ne faut-il pas lui pardonner? Il faut
que Charles reste à la maison. Il me fallut lui donner de
l'argent. Il faut que les enfants obéissent à Tinstant
(augenblidfltd^) . n a fallu qu'elle payât son compte. S'il n'y
avait pas de fer, l'aimant ne se tournerait pas vers lui.
n croit [pl,^ de beaux arbres dans ce jardin. Combien de
kilomètres y a-t-il (flnb eô) d'ici à Francfort? Il y a quatre-
vingt-dix kilomètres. Combien de temps (tote tange) y a-t-il
que vous apprenez l'allemand? Il y a six ou sept mois
que je l'apprends.
Conversation.
2)onnert edi 3d^ l^abe ntd^tô gelj^Brt.
^aben @ic Mitjen fe^en? 3a, e« ijat feÇr l^arï gcbllfet.
©lattben @ie, bag e9 l^ente nad^t 3(9 glaube ni^t, bag e9 frieren toirb ;
fricren toirb? abcr c« toirb fd^nctcn.
Ste gefSlIt e9 36tten in Sonbon? (S9 gefSHt mir fe^r too^.
^at ed 3(rem 8ruber in ^mettfa €9 fd^eint, bag eS i^m ntd^t fe^r
gefallen? aefallen (at.
3fl e9 fait? 9^cm, e8 ifl nid^t mel^r fait
%ùii\ etioas an biefem ®elbe? 3a, c8 fel^Ien brei Wxd,
®Ianben ®te, bag ba9 SBetter jld^ (Sd fd^eint mtr fo; toentgflenS fSngt
Snbert? t% an, toarm }n toctben.
ffîad Itegt 3(nen baran? %% lii^t mir ftl^r bicl baran.
ffîirb es biefe9 3a(r guten ffîem S)ie Seinbaner (viderons) fagm,
geben 1 bag ed fel^t Diel SBetn gdben tonb.
®enfigt es, ben Slamen gu untet' Wvx, @ie mfiffen ond^ bad !&atmn
fd^reibenl beifiigen (ajouter la date).
(Bas fei^It t^m? (Sd fel^Ien i^m ^teiber mtb @e(b.
Sas folgt baransl <S9 foigt baraud, bag id^ bttrogen
(dupé) bin.
Sktd ifi 3(nen begegnet? ^% fd^toinbelt mit.
Verbes pronominaux ou réfléchis. 215
ffîamm finb Gie fo tranrigl (B« fé^metgt tnié^, bafi iil^ memeti
^vmh ber(oren ^abe.
3? nod^ $la4 fiir mi(^ auf biefer ffîk kDetben S^fnett $1(4 ma^en.
Sauf (bano)?
<9tebt e9 ttxoca 92eue9l Sd^ toeig ni$t«, M (si ce n'est)
bag {>trc )^. geflent geflorben {|t
Trente-huitième Leçon.
Des verbes pronominaux ou réfléchis.
(SurfldBcjfigll^e 3cit»5rter.)
Quand Taction du verbe retombe sur le sujet lui-
même, on rappelle verbe réfléchi ou pronominal. Ces
verbes se conjuguent donc avec deux pronoms de la même
personne, Tun au nominatif, Tautre à Taccusatif; quelque-
fois au datif, par ex.: iàf bcflnbc mxàf je me porte; xâf
berfd^affc mi r je me procure. Ils prennent tous l'auxiliaire
^al6tn,^) par ex.: i^ l^afie miàf befunben je me suis porté,
n y a des verbes essentiellement pronominaux, c'est-
à-dire qui ne s'emploient jamais sans le second pronom,
p. ex. : [lâf cttibtlben s'imaginer ; fid^ toeigcm refuser ; mais
la plupart proviennent de verbes actift qui adoptent la
forme réfléchie, comme en français. Ex.:
x&é^n {aetif) venger — fici^ rS^ett se venger.
v&\fmtn {actif) vanter — fi^ rill^mett se vanter.
t>erteibtgm (aetif) défendre — fiâf Derteibigen se défendre.
Quelquefois cependant la forme réfléchie change
entièrement de signification, p. ex.: fteSen mettre, — fid^
ftcKctt feindre ; t}eïlaffen quitter, — fxàf t>crlaf[cn se fier.
1. Modèle de conjugaison.
@i^ frettett se réjouir.
Indicatif.
Présent. Imparfait.
34 frenc mtc^ je me réjouis 3âf freute mid^ je me ré-
bu freu(e)P bid^ tu te réjouis btt freutefl btd^ [jouissais
et freitt fid^ il se réjouit er freute fiâf etc.
Pc freut fid^ elle se réjouit |le freute fiiç
toir fretien imd nous n. réjouissons koir frettten uii«
lie fieueit {t(!^ ils, elles se réjouissent, fie freutett fidf.
1) La seule exception est: {id^ betougt fetn se sentir. .. , lequel
a aa f. indéf vif Un mit Uw^t getoefeit (le mot bett>tt6t étant
un adjectif).
216 Leçon 38.
Futur. CondiUovmeL
Sd^ toerbe mtd^ freuen 3d^ tofitbe mtd(i freuen
je me réjouirai je me réjouirais
bu kDirft bid9 freuen bu iciirbeft bt^ freueu
er tDtrb fi^ freuen 2C. er tourbe {!d^ freuen k.
Parfait, Phu-çue-par/ait,
S^ %aht mUff 0efreut je me suis S^ f^attt nti(i$ gefreut
bu ^afi bid^ aefreut [réjoui bu f^atuft bt^ gefreut
er f^at fid^ gefreut )c. er (atte f!d^ gefreut k.
JWur an^. 3^ tDerbe mi^ gefreut (aBen je me serai réjoui.
Cond. poêsé. 3c^ tofirbe mi^ gefreut ffahm je me serais réjoui.
Subjonctif.
Présent. Imparfait.
^ag i^^ mi^ freue 2)aB id^ mié^ freute
que je me réjouisse. que je me réjouisse,
baf bu bi(^ freueft k. baf bu bid^ freuteft )C.
Parfait, Plus-que-parfait.
^ag tdff mid^ gefreut j^abe ^ag id^^ mid^ aefreut $Stte
que je me sois réjoui. que je me fusse réjoui.
Impératif.
greue bid^ réjouis-toi.
freuen totr uns réjouissons-nous.
freuet eud^, freuen @te ftd^ réjouissez-vous.
Forme interrogative.
Prisent. Imparfait.
%ttm td^ mtd^? est-ce que je me greute id^ mid^l est-ce que je me
r^ouis? réjouissais?
freuft bu bid^? freut er fld^l k. frentefi bu bid^? :c.
Forme négative.
Présent. 3^ freue mid^ nidbt je ne me réjouis pas.
Imparfait, greute id^ midp niœt? est-ce que je ne me réjouissais j>a8?
Parfait 5^ l^aBe mid^ nidpt gefreut je ne me suis pas réjom.
» {>abe id^ mtd^ nid^t gefreut? ne me suîs-je pas rejoui?
Tels sont:
idb (ebtenen {gén,) se servir. fiA befinben se porter.
Idp BeeUen se hâter, se dépêcher, nq Befleigigen s appliquer.
\Â Bellagen (ÛBer) se plaindre. fid^ erinnem {gén.) ^) se sou-
idD Befd^afttgen (mit) s'occuper. venir.
\q Bemiiéen s'efforcer, se donner fld^ ^etoS^nen (an) s'accoutumer,
la peine. \é trren se tromper.
d^ BeneBmen | se conduire \é nSB^nt (dat.) s'approcher.
d^ Betragen ( se comporter. \iq fc^cu s'asseoir.
i
1) ou avec la préposition an iaec).
Verbes réfléohÎB. 217
fi£ entlftalten igén,) s'abstenir. ^âf unter^alten s'entretenir, sV
jl^ entfd^Uegen se résoudre, se muser.
décider. M toericren s'égarer,
fl^ ergeBen se rendre. flœ t>erlaf[en (auf) se fler à.
fi$ etfSItett se refroidir, s'en- flœ tDitnbern (ilber) s'étonner (de).
rhumer. m gttttagen.J na-aer airivaT
m crïunbigen (na*) s'informer fiS erclanen { "^ P^®®'' *"'^®'-
de qch. fidp )ittu(tiiel^en se retirer.
2. Terbes réfléchis arec le datif.
Plusieurs verbes réfléchis prennent le second pro-
nom au datifj et non à l'accusatif, par ex.:
Ir\f, fiéif tïnUVbm s'imaginer.
Prés, S^ bilbe mit ein je m'imagine
bu bUbefi bit ein tu t'imagines
er (fie) bilbet fi(^ ein il (elle) s'imagine
toïs bilben nns ein nous nous imaginons
Iftr biïbet ent!^ ein / ^^„_ ^^„^ :^o»;«*».
éie bilben fi^ ein f ^°^* ^°^« imaginez
{te bilben yi(Sf tin ils (elles) s'imaginent.
P. ind^f* 3<^ ^abe mit eingebilbet je me suis imaginé.
Tels sont:
Kborfienen se figurer. f!(i^ getranen oser,
loerf^offen se procurer. jl amnagen s'arr^o
fit!^ bekottgt fein savoir, ayoir {l(9 oudbitten demander qch.
loerf^offen se procurer. jlé amnagen s'arroger,
bekottgt fein savoir, ayoir fl(9 oudbitten demandai
oonscience. ft^ bie SRilf^e geben se donner la
f^meiti^eln se flatter.
)90xnebmen se proposer.
fut f^meiti^eln se flatter. peine
3. Terbes réfléchis en allemand qui ne le sont
pas en français.
flA auf Italien séjourner. fi^ ]àfamtn avoir honte,
flcp bebanten remercier. fxéf peKen (a(9 ob) feindre, faire
M htmûf^m tâcher. semblant.
4 befinnen réfléchir. fi(!b berfleflen dissimuler.
i
éf erbarmen {aén.) avoir com- fté^ toeigem refuser,
passion, pitié. ft^ gutragen (
M ffir(i(ten(bor)avoir peur,craindre.
fi^ in a^t ne^men prendre
M getranen ( [garde,
fk} nnterfle&en ( °"®'-
i? «eigSen } "'^^^'^' *« ?*«««'
i(i( (Ja<.) bie gcei^eit ne^men
prendre la liberté.
4. Terbes réfléchis en français qui ne le sont
pas en allemand.
s'arrêter fle^en bletben, anl^alten. s'endormir einfd^Iafen.
s'en aller fortgel^en. s'éveiller ertoad^en, auftoad^en.
■e baigner baben. s'enfuir entflleben.
218
Leçon 38.
s'éoriei attdrufen. se reposer ais6ru^en.
s'appeler ^etgen. se coucher \(Sfia\ta ge^eit.
se moquer, se rire de quelqu'un se leyer oufflej^en.
ilBer einm f^otten. s'écouler berfltegcit.
se taire fd^toeigm. se fier trauen.
se passer gefti^epen, — de tntl^ïta. se promener f)>a)ieren ge^cn.
s'envoler toegf^tegen. se repentir Jbtrmen (accus.).
se douter tcimutm. s'éTanouîr o^ntnad^tig toetben, Ht»
s'apercevoir mecfcn. fil^toinbett.
6. Phrases formées de Terbes réfléchis.
fBie Befinben @ie fi^? Comment vous portez-vous?
Snnil^en 0te \iâf nt(!(t ne vous donnez pas la peine.
@eben @ie ^éif bie SRû^e donnez-vous la peine.
3(^ erinnere ml(^ feiner ni^t je ne me souviens pas de lui.
été xaéfitn fid^ an il^ren geinben ils se vengèrent de leurs en-
nemis.
3i^ ^aBe mt<^ er!5(tet je me suis enrhumé,
^en (Sbuatb ^at ftd^ gttt Betcagen ou htnotmnm monsieur Edouard
s'est bien conduit.
HDie @tabt ^at flc!^ ergeBen (ÛBergeBen) la ville s'est rendue.
S3ic ^aBen ttnS gut untet^alten nous nous sommes bien amusés,
ète trren fiéif, metn ^etr, vous vous trompez, monsieur.
dt ^at fidif fe^r t^erSnbèrt il a bien changé.
2)a8 SBetter Bat flA ge&nbm le temps a changé.
S)er SStnb (e^t {!d^ le vent s'abat, tombe.
36 BegeBe mid^ nad^ ^anlfurt je vais à Francfort.
3^9 entBatte tntd^ bed SBeined je m'abstiens de boire du vin.
S8 erei^nete fl(B il arriva, il se passa.
SBir fd^d^en uns glilcflid^ nous nous estimons heureux.
S)te ^Bûre Sffnete fi^^ ^ porte s'ouvrit.
9^eBmen @te fia) in ad^t prenez garde.
2)ie Sctube )erfii:euten {Id^ les ennemis se dispersèrent.
Yocabulaire.
ber @d^ntt le pas.
bad ®lii(t le bonheur.
bie $i^e la chaleur. *
ber SBtifl le chrétien.
ber ^uftrag la commission.
bie â^friebenBeit la satisfaction.
)9oIIBringen achever.
unfd^ulbig innocent.
\M iOetragen la conduite.
ber QEBtifl le chrétien.
ber ^anbet le commerce.
ber ^l'iitt le courage.
ber ®eBraud^ l'usage.
utnfonfi en vain. tDÎrflid^ en effet,
bas ©efid^t la figure, le visage.
BereitBent enrichir.
ermerBen acquérir,
fid^ betirren s'égarer.
)oetlvunben blesser.
Beweifen prouver.
iiBerjeugen convaincre.
anfgeBett renoncer.
unterfti^reiBen signer.
toïï^ieBen exécuter.
Bettein mendier, ber Krm le bras,
bie !S)ummBeit la bêtise, sottise.
Exerciee. 112.
1. ®ie tnen fld^, mctn Çcrt; td^ Brn ntc^t bct (celui),
ben @te fud^en. ^ttitx^tn ®te, td^ l^aBe mtc^ mitlUd^ ^twcL
Verbes réfléchÎB. 219
3St(ttabe« fyit ftd^ burd^ bte ed^Iad^t 6et 9Raratl^on, S^emtfbtM
bsrd^ bte ©d^Iad^t itx @a(amt^ gtogen Stul^m enoorben. ®e«
tDdl^ne bic^ , frûl^ aufjttjlel^en. S)er SESoIf nSl^erte fid^ mit (M
auf jel^Ti ©d^rttte. été ^attl^ager (les Carthaginois) t^ertetbig*
ten fl4 ^i^ btelem SRute gegen bte StBtnet* sSenit bu btd^ ilbet
ba« ®Iûdt Snbeter freuji, fo bet»et{i bted, bag bu em guted
2. SBtt l^aSett iin^ bemfil^t, tl^n Don fetxiem Uttred^t (tort)
)tt ii6e¥}ettgen; àbtx uinfonfi. S>eT ftdtttg koetgerte fid^, ba9
S)efret ju mtterfd^retben* ®te kofirben ftd^ beffet befinben, toeitit
@ie fiil^ gett>5l^nteit , l^Sttfiget in ber frtfd^en Suft f))a)ierett )a
gel^eit. SSarutn ftttb ®te geflent ntd^t f))a}tereii gegangen? &
mot }U fait; td^ fûrcl^tete, ntid^ ju erlâlten* ©teOett ®te flt^
ttid^t fo unfd^ulbig. ©etraufl bu bit, btefen Suftrag ju Don^te*
^en? 5ii tserbe mtd^ (emii^en, aUc9 ju d^ter 3uf^t^^^^^^it
}u DoQbrtngen. Séi mfirbe mU^ fd^amen, fo ettoa^ ju tl^un.
Thème. 118.
1. Je me trompe. Tu te réjouis. Il se vante. De
quoi (tooriibet) vous plaignez-vous? Je me plains de la
chaleur. Pourquoi voulez-vous vous (ftd^) venger? Un bon
chrétien ne doit pas se venger. Les Anglais se sont enrichis
par le commerce. Démosthène s* est tué lui-même, en pre-
nant du poison (ttlbem et ®tft nal^m). Accoutumez-vous k
faire un bon usage de (t3on) votre temps. Il y a très long-
temps que nous ne nous sommes vus. Approchez-vous,
monsieur. Je me réjouis beaucoup (fel^r) de la voir. Mi-
thridate se défendit avec beaucoup de courage contre les
Romains.
2. Vous vous trompez, si vous croyez que je me
couche tous les soirs à dix heures. Vous ètes-vous baigné
ce matin? Non, je me baignerai ce soir. Retirons-nous
un peu dans le jardin. Pourquoi vous ennuyez-vous? Je
n*ai rien k faire. L* enfant s'est-il lavé la figure? Non, il
s'est lavé les mains. Charles s* est blessé avec son canif.
Les ennemis se sont rendus; s'ils ne s'étaient pas rendus,
ils auraient été tous tués. Mon bon monsieur, ayez com-
passion de moi (metnet) • Ayez honU de mendier, quand vous
avez des bras pour travailler. Taisez-vous, vous dites des
sottises.
Gonrersation.
3(^ fteue mtd^, @te gu fel^eu, 3d^ banle 3(nen, \^ befinbe mid^,
metn ^err, u^ie Befinben ®ie (dott fei 2)aitf ! rcdbt toobl.
220 Leçon 39.
Sic Befinbet fiâf 3^t 9tuber, ber (Sr Befinbet ^â^ nit^t too^I, er l^at
9err i^a^ttfin? rt<3^ erl&Itet.
^aUn @ie fld^ entfd^Ioffen, bie 3^ f^alt mi^ ttoii^ ntd^t entf^Iof*
9tetfe gu untentel^mestl fen: aber ïéf toecbe mid^ l^ettte
noq ent|d^Uegen.
9uf œen terlaffett (comptez) @te 3d^ terlaffe tntd^ auf bte ®ûte be«
fid^? i^atfers.
ffîcrben @tc 3(t $ait9 toerfaufen? @te tnen ftd^, td^ toerbe et nid^t
i»ettaufett.
^tauben ®ie ttid^t, bog id^ Sange* SEkm @ie arBettm, b>erbeK @U
kDcile ^aBen kDtrbel Icine Sangemeite baben.
Sor mem ffird^tm ®U {id( 3d^ f&:d^te mid^ )»or biefem Çitnbe.
benni
8Ubett @te fiéf da, oEem gete^rt iRein, aBer td^ glauBc, bie ^âft
gu feini Beffer )u Utfit^tn al8 @te!
e^Smt fid^ biefer 3fingUng nid^t (58 fd^eint, bag er ftd( fd^Smt ba er
fetned ^etragendl tttd^t me^r gu nn9 fomxnt.
^aBen @ie Snfl (envie) mit mit 3a, toenn @te toartett tooïïen, Bi9
in8 Zfftattt in ge^en^ (que) id^ mid^ angelleibet ^aBe.
SBte toeit f^ai ^àf ber SBotf bem (Sr bat jid^ ibxn Bi8 auf jebit ©d^ritte
35ger genSbertI genSbert.
Çaben 0ie ftd^ t^ertonubet? 3a, meine ^arib blutet (saigne); id^
babe tnt(b gefd^nitten.
ffiie f^eàf belief fidb (se monta) @ie belief fid^ auf brei unb ai^tsig
bte 9{e(bnung 3brtd SSirted aJlarf.
(hôte)?
SBomtt befd^aftigen @te fid^ gegen- 3db lefe @d(iïïer8 «^teb bon ber
tD^rtig (à présent)? ©Iode" (cloche).
SBirb 3^re Séante Balb ^ierberlom- 3db ertoarte fie; i^ tounbere mtd^,
meni bag fie notb nid^t bi^v ifi.
ffîarum finb &t ntd^t frfib^ gc* SBir baben un8 tm SBalbe berirrt.
lommen)
2)arf ber(£btifi fid^ an feiuen gein* ^tin, er fod fogar (même) feine
ben rfid^en? geinbe lieben.
fiber ma8 (kooriiber) BeKagen @ie Sir beflagen un8 fiber ba8 iOetragea
fid^? 3bre« SèetterS.
Trente-neuvième Leçon.
Des adverbes.
(Son ben Umfianb8to8rtem.)
1] Les adverbes sont des mots indéclinables qui
servent à modifier les verbes, les adjectifs et même
d autres adverbes, ou qui expriment des circonstances
particulières, par ex.*
AdTeibes. 221
lange BletBen rester longietnps;
ïàf gel^e langfam je marche lentement;
t9tr reifen l^eute ab nous partona aujourd'hui,
Hb marquent principalement : la manière, Tordre, le
temps, la place, la quantité, la qualité, tinterrogation^
Tafflrmation, la négation, le doute,
2) La plupart des adjectifs allemands s.^emploient
également comme adverbes, tant au positif qu^au com-
paratif et au superlatif, sans prendre une autre termi-
naison. Ex.:
S)er 2)iener murbe reid^ Mol^nt.
Le domestique fut richement récompensé.
2)iefer ^rief ifi gut (ou f^Stt) ^t\éfdtlm.
Cette lettre est hien écrite.
aReht ^rief ifi fé^Sner gefd^riebett al« ^ttx.
Ma lettre est mieux écrite que la vôtre.
3) Au superlatif cependant les adverbes ne peuvent
pas prendre Tarticle, bet^ bie, bad, ils sont précédés de
ant ou aufd, par ex.:
Km l^Sd^fien ou auf9 ^6(!(fie le plus haut.
Km prfjlen ou auf9 |i&rl^e le plus fortement. (Y. p. 98, Note.)
4) Quelques adverbes forment leiur superlatif, en ajou-
tant simplement ft; d^autres, en ajoutant ftené. Ex.:
a) ^^^% &u6er|l extrêmement.
Îlilttô^ avec la plus grande bonté.
Sng^ depuis longtemps.
cUigfl en très grande nâte.
anertieBfi charmant.
5) Iif9(i^flett9 tout au plus,
f^atejlend au plus tard,
meiflend pour la plupart.
BeftenS au mieux.
toenigflenS pour le moins.
Voici la liste des adverbes allemands^) classés
d'après leur signification:
1. Adverbes de lien.
)»o? { > a •fkoober'l d'où?
ttDOçntf'j \ çtet ICI.
1) Il ne faut pas oublier ce qui a été dit plus haut p. 74,
Rem. 4, que, si un adverbe commence la proposition, le verbe
précède le ei^'et,
2) Ceux qui sont marqués à*une petite croix s'emploient avec
les verbes de mouvement et répondent à la question tDOl^in? où^
vers quelle place J
222
Leçon 39.
f ^icr^er ici, par ici.
l^teraud d'ici, de là.
bofcïbjl ( ^^ y-
f baÇin, -fbortl^itt y.
barln y.
aiigen, braugen dehors.
-iton aupeit de dehors,
attdtoenbt^ en dehors,
tniten, brmncn | en dedans,
itikocnbtg ( à Tintérieur.
oben I en haut.
i^inauf en haut,
bintett, ba^inten (par) derrière.
faufkoSrtS en montant.
-i^BtD&rt9 en descendant,
f riidmSrtd I en arrière.
•friictUngd ( à reculons.
f^^omSctd en ayant,
ttnten, bntntett | en bas.
f^erunter, ^ecab ( là<bas.
t»om par devant,
audtoartd au dehors.
++feitto&rt8i) de côté.
•H-re*t8 à droite.
ffUnfô à gauche.
•H-bie8fclt« de ce côté-ci.
•j-iienfettd de l'autre côté,
baneben à côté,
briiben de l'autre côté,
geoenfiber en face.
AttbcrSkDO l «Il
niigenbs nulle part,
fibeiall * „.rf„„*
«jtttitt^aam ( P»'**'»*-
SflSimSt î ^°»^^^-
wett, fera loin.
S imb Brett i '" ^^
unttmtgS en chemin.
Remarque, Les adverbes ^ercin, ^inein; ^eratt9, l^inaitd
sont souvent précédés d'un substantif avec la préposition ^u. Ex.:
(Sr lam ^u ber %f}ûxt berctn il entra par la porte.
34 fab Xitm gen^er binausje regardai par la fenêtre.
(Pour la différence entre btn et (et, voyez p. J95, Remarque 2.)
2. ÂdTerbes de temps.
toann? quand?
thtn justement.
je^t, nun { à présent.
Îiegento&rtig ( maintenant.
emalS ou ie jamais,
niematd ou me ne — jamais.
meiflenS le plus souvent,
fonfc e^ebem ( ««trefoîs
ftQl^er, ebec plus tôt.
tor'bcr auparavant,
ttaii^'l^er après cela,
f^t tard ; f^Ster plus tard,
fnib^ ^ber f^ter tôt ou tard.
fogletd^ I
tout de suite.
~f«i«« I d'abord.
)Ulc^t enfin, à la fin.
iï^lfti jusqu'à présent.
tDieber de nouveau.
erjt ne — que, seulement.
enbli(b enfin.
batnaU alors.
itnmer toujours.
auf ou fiir itnmer à jamais.
einfhoetlen en attendant.
fd^on, berettd déjà.
noA encore.
lto4 uïâft pas encore.
1) Les adv. marqués de deux f s'emploient tantôt pour le mouve-
ment, tantôt pour le repoê; tous les autres marquent le repoa et
répondent à la question &)0? où?
I
Adverbes.
223
nenlid^ l'autre jour.
Wafitàf, iilnflp ( damiferement
in htT)em août peu.
is â^^nf^' Mnftig à ravenir.
moulinai )
mtodUn \ quelquefois, parfois.
mtocilett j
bonn nnb loantt quelquefois,
eft i>ftma(9 souTent.
^nfig fréquemment,
fcltett rarement.
iwtt nttn an | désormais.
Mn ie^t an ( dorénavant.
fcttbem depuis ce temps.
Mb bientôt.
^eute aujourd'hui.
ge^em hier.
)oorgeftem avant-hier.
motgen demain.
motgen \tiïff demain matin.
fi^ermorgen après-demain.
lana(e), lanje 3^^ longtemps,
tôgfid^ par jour.
iSÇrttd^ par an, tous les ans.
Sïï§ «<4 i p- ^ p-
^IJ^^Iid^ subitement, soudain,
auf ber @teïïe sur-le-champ.
augenbU(f(t$ dans le moment.
fhcadd / directement.
f[ug9 ( vite.
Locutions adverbiales de temps.
Voici les plus usitées:
hn 3a(t en, Van.
fan 0ontmer en été.
ma iDîorgcn ou be9 3Rorgen9 le
matin.
ftfi^ morgen9 de grand matin.
mittagS ou nm ilRittag à midi.
m £ag, (ci 5£ag le (de) jour.
bonnittagd l'avant-midi.
nat^mittagS Vaprës-midi.
axa 9Benb ou bed Slbenbd
soir.
KT *" I ' •«°'-
um 1 (ein) U^r à une heure,
tm 9nfang au commencement.
bci 9laàft, be« 9{a(i^t«, in ber ^aéft am (Snbe à la fin.
la nuit, de nuit,
(ent 3» S^ge de nos jours.
nS^fler S^age un de ces jours,
nm (an) Ojlem à Pâques,
gcgen 11 Ul^r vers onze heures.
h
dix mai.
am lOten 3Hai
ben lOten aj^at
biefen SJ^orgen ce matin,
eined £ag(e)9 (einfi) un jour.
eined 9Benb9 un soir.
le
Ui Za^t^anfituâf à la pointe du ^en flanjen ïag toute la journée.
bie gan)e Slad^t toute la nuit.
^ente fiBer aâftXaQt d'aujourd'hui
en huit.
^cute fiber tiet^el^n %a^t d'aujour-
d'hui en quinze.
£ag ffir Xag journellement.
auf etnige ^tit pour quelque
temps.
jour.
toor 8 5£agen il y a huit jours.
toc 14 Xagen il y a quinze
jours.
brei Sage long pendant trois
jours.
ihHimal be9 %a^H deux fois par
jour.
einen £ag um ] tous les deux eine S^ïtlan^ pendant quelque
ben anbem > jours, de 2 jours temps.
afie gtocl 2:age j l'un. ,jon 3clt ju 3elt de temps en
afle Sage ( . ^ . temps,
ieben ïcg j ^^® ^®^ J°^*- tjon Sag jn Sag de jour en jour.
224 Leçon 39.
@onntag8 le dimanclie. boqeiteti jadis.
am folgenben £ag(c), ont anbcra o^ne ScQua ( , ,, .
SWorgen le lendemain. UMtxfiglié { "^^ "®*"-
)ittn erften 9Rat(e) poux la pre- unouf^iSrndp sans cesse.
miëre fois. nSd^fieS ^a^x l'année prochaine,
sur Mi SIeçanberd du temps U^U9 Sa^x / l'année dernièrer
d'Alexandre. t>otige9 SàffX \ l'année passée.
Yoeabnlaire.
)u(8ren écouter. ba9 9etf^tcl l'exemple.
ber Sfingitng le jeune homme. juBiinaen passer.
antlaatn accuser. einn>tutgen consentir.
bie 9r}ttei la médecine. berf(j^ieben renvoyer, différer.
ba9 ®^ril(i(tt>ort le proverbe. arogmiltig généreux.
bie fianbbtng l'action. fr5^ti(j^ gai, gaîment.
ber ^enfl le serrice. bie S^ac^tigaK le rossignol.
ber 9rannttDein l'eau-de-yie. raf^ | rapidement.
ber 3<U6' ^® témoin. fcfinell j promptement.
ber Siéger le nègre. tetbenfi^aftUd^ passionnément.
bie @4nede le umaçon. langfam lentement.
ber SSffel la cuiller. reinltd^ proprement.
preng sévère.
Exerdee* 114*
1. 2)ad JKnb l^Btte aufmerlfam (adv.) }u* 2)erftnaBe
fc^reibt ntc!^t f d^ 8 n. Cr îct(3^nct b c f f et, SKctne îonte tfl g c •
f dl^tttd^ Iranf* SRetn SRuflflel^Ter tfî ungeteti^t oxigeKagt loorben.
ïBofftx lommen ®te? 3(!^ fomme t)on $attd. S)et 3Rann, toel*
d^en ®te fttd^en, tnol^nt ntd^t l^tet; et kool^nt koett t)on l^ier. dd^
6egegnete bem ftaufmomi untertoegd. S)er ftnabe fiel rûdltngd
in ben %hx^. Sii fag audtoenbtg itx bem ftutfcl^eT ; bte S)amen
fagen tnioenbtg tm Omnibus. 9ttngdum loaren t^ctnbe. SRan
ftel^t btefe piti dânglinge tmmer beifammen. SRetn $aud fianb
xtéit9, ba^ dl^ttge Itnfd. S)er Çerr t{l ntd^t ju Çaufe, fud^en
@te il^n anberdtoo. S)a^ S)orf (tegt (est situé) feittoart^. dft
ai^ïc aWuttcr untcn (brunten)? SRein, fie ifl obcn* ©ott id^
l^inaufgel^en unb t9 xffx fagen? SSetm fie fo gut fetn looDen.
2. 3)et ^anfe mug jiaiiblt(& eitten SBffel tooD (de) ar}itet
nel^men* 99Btt l^c^en ben £ag oufd frBl^ttd^fle jugebrad^t. Su'
fongd tnoQte id^ ttid^t, aber ^ule^t tstOigte t^ etn« Son jle^t on
metbe xâf fietgiger fetn; bt^l^et l^obe id^ ntd^t Dtel gearbettet.
Sttemate loerbe td^ jene ®tabt Dergeffen. SRetn S>tener erl^Sit
monatttd^ fûnfjel^n Wlaxl, aifo mxlxii jttfammen l^nnbert mtb
ad^tjig SRarl. 9îeultd^ tnar td^ â^uge einer grogmfittgen $anb«
Inng. Sonntttagd oxbette td^; nad^mtttagd gel^e td^ f))a)teten.
Unfcr ïrjt tfl mand^maï fcl^t fheng. ©ic milffen auf ber ©tcDc
bte ©tabt Derlaffen* SRon gel^t letd^ter nnb fd^neller ben 9erg
^inab a(ê l^tnouf.
AdverbeB. 225
Thème. 115.
1. Le temps passe (tetfltegt) rapidement. Agissez gé-
néreusement envers (gegen) les faibles. Mon fils apprend
facilement l'anglais. Qui (tDet] 2donne ipromptement donne
deux fois. Votre lettre est très mal écrite. Les nègres
aiment passionnément Teau-de-yie. Les exemples instruisent
plus facilement que les règles. Où demeurez-vous à présent?
Je demeure ici. Où est ma canne? La voilà (ba tfi eY«) —
Pourrez-vous bientôt venir ici? Je serai à Tinstant à votre
service. Ne renvoyez jamais à (auf) demain ce qTii peut être
fait aujourd'hui. Ce jeune homme est plus souvent au café
[bxi ^affee^ttd) qu'à la maison. C'est le livre le plus facile
que j'aie jamais lu. Il veut toujours avoir raison^ et il a
presque toujours tort.
2. L'àne va plus lentement que le cheval. Le limaçon
va le plus lentement. De tous les oiseaux le rossignol chante
le plus agréablement. Le temps est beau ; sortons à présent.
Si vous vous décidez à partir, venez me voir auparavant.
Vous êtes arrivé bien (fel^r) tard. Je me promenais souvent
au bord de la mer (am SReeredttfeT) . On perd trop de temps
pour des bagatelles (mit filemtgletten) . Partez tout de suite,
n m'écrivit l'autre jour une longue lettre. Mon cousin est
enfin arrivé. Vous n'êtes pas habillé proprement, habillez-
vous plus proprement. Travaillez d'abord , ensuite jouez.
L'avez-vous connu autrefois? Oui, monsieur, je le connais
depuis longtemps. On le voit rarement. Je le vois de temps
en temps à la fenêtre.
3. AdTerbes de quantité et de comparaison.
n)ie1 comment? ^inlSngliii^ suffisamment.
vokùitl, toit fel^r? combien? genug assez.
titl beaucoup. mna^t, fafl nresque.
me^r plus, davantage. nur, Blog, aueitt seulement.
am meiften le plus. ^9(^{len9 tout au plus.
|e^r, re^t très, fort, bien. tt>entg{len9 pour le moins.
iU feïfr trop. onber* | autrement.
îu »teï, aflau t>leï trop. fon^ ( ""**''"*^"''-
ni(^t9 rien. fo, ebenfo si, aussi.
gar xtïéfH rien du tout. eben fo fel^r autant.
cttt>a« quelque chose. tUn fo toenlg pas plus — que, pas
menig peu. davantage, tout aussi peu.
tccnigcr moins. ntel^r obcr toeniaer plus ou moins.
ein tocnig un peu. eBenfaïïS, gletd^faQd également.
\a »cn{g trop peu. gtci^fam pour ainsi dire.
OTTO, Grammaire allemande.
15
226
Leçon 39.
fogar, feKfl même.
nid^t eintnal pas seulement.
îanm à peine.
einigemtagen en quelque sorte.
ttoâf einmal encore une fois.
)temtt^ assez.
itm bte ^Stfte de moitié.
ungefS^r, ttxoa, (eilSufig à peu
près,
gerabe précisément.
ttm fo me^r d'autant plus,
um )o toeniger d'autant moins,
gan) tout à fait,
g&nglt^ entièrement , complète-
ment.
boUcnbS complètement,
teiltoetfe en partie,
befonberd surtout,
indbefonbere particulièrement.
f}anpt\&(Sflid) principalement,
fiber^au^t I en général,
ïrn angemeinm ( généralement.
4. ÂdTerbes d'affirmation , de doute et de négation*
ia, ia bo6, boéft oui, si.
la tDO^I on oui!
aUerbinaS certainement,
jebenfaltô en tout cas.
getDig ( assurément,
fté^ertid^ ( à coup sûr.
freiltt^ il est vrai.
filrtoaÇr, iDo^rïld^ en vérité.
n)trni(!^ réellement,
in bcr Xi^at en effet.
gufSdig par hasard.
£[««*' [ peut^tre.
fd^merUd^ il n'est guère probable.
ol^ne 3^cif^^ S&Q8 doute,
bitrt^aud absolument.
1
t)ergeMi4
tergebend > en vain.
«mïonfl ,
geloifTermagen en quelque sorte.
gem(e) volontiers.
nn^em à regret, à contre-cœur.
ne m non.
nic^t ne ^ pas.
feinedtDcgS aucunement.
caiâf ntdl^t non plus.
ntc^t einmal pas même.
nient al9 ne — jamais.
niti^t me^r, nimmer ne — plus.
nimmerme^r jamais.
tm ®egentei( au contraire.
tiettnel^r, e^er plutôt.
5. AdTerbes d'interrogation.
toann (koenn) quand?
toarum pourquoi?
koie comment?
toie fo comment cela?
lotebtcl combien?
tt)le tocit jusqu'où?
toie lange combien (de temps)
y a-t-il?
too où? — woljin' où?
tooÇer' d'où?
tooburii^ par quoi?
tooju à quelle fin?
6. ÂdTerbes d'ordre.
erfiend, fllr9 erfle premièrement.
jkoeitenS secondement.
brttten9 troisièmement,
tiertend quatrièmement eto.
barauf là-dessus,
^erna^ ensuite,
bann, fobann puis.
petÇ abord,
cnblici^ ( enfin,
xule^t 1 à la fin.
librtgend au reste,
einmat une fois,
^toeimal deux fois,
breimal trois fois etc.
Adveibea.
227
7« Degrés de comparaison.
Outre les adjectifs employés comme adverbes qui
admettent les degrés de comparaison, les adverbes sui-
vants les admettent également, mais d^une manière plus
ou moins irrégulière.
S?' t ^^"'
Balb bientôt,
gem volontiers,
oft souvent,
fe^ très,
ÛUt mal,
toid beaucoup,
toenig peu,
CampariUî/.
Beffer mieux,
W{« j plu. tôt,
lieber plus volontiers,
Sfterd plus souvent.
Superlatif.
am Ufttn ou anfs f6tftt
(pour) le mieux.
sîSbiîr ! ^ pi" ***•
am UeBfien le plus voient,
am ^àuflgflen le plus
souvent.
firflcr pis,
me^r plus,
ugcrjl (
l
extrêmement.
totnïatï (
(mittbtr) (
moms.
am Srgflen le pis.
am met^ett le plus.
am tocnigflett | ^^ .
(om mmbcjlen) J "*"""•
Semarques.
1) Les expressions aimer, aimer mieux ou préférer, aimer
le mieux avec un verbe à l'infinitif se rendent en allemand
par gcrn, Uebcï, am ïtcbflen, joint au verbe d*aotion,
mis au temps ou était aimer etc., par ex.:
3d^ f^tetc gent j*aime à jouer.
3d^ f^iele ïitbtt j'aime mieux jouer etc.
3d^ f^tele am lieliften ^âfaéf c'est aux échecs que j'aime le
mieux jouer.
2) n y a encore une autre manière de former des ad-
verbes allemands, c'est par l'addition du mot „tsetfe" à quel-
ques substantifs ou à tel adjectif mis au gén. fém. Ex.:
teilmeifc en partie.^)
^dttoeife par morceaux,
^anfentoeife par troupes,
maffentoeife en masse.
Promtocife par torrents.
ber 9le(el le brouillard,
bas @efiAt le visage,
ber 9ffe le singe,
bas Serf^red^en la promesse,
lo^en coûter.
I»erf4ki>inben disparaître.
tro^fenkoetfe par gouttes, goutte à
l^crbentDeife par troupeaux, [goutte,
einfâttigenvcife stupidement,
glficflid^ertoeife heureusement.
ungi1ïdii6ftttoti\t malheureusement»
Yoeabalaire.
fi(i^ t)er^f{i<i^teit s'engager.
tl)Mâft sot, fou, fol.
Qt\âfidt habile.
(SU a^ittag) f^eifen dîner,
angreifen attaquer,
ftiuen apaiser.
1) En latin: partim, minutatim^ ace9'vatim, gregaiim etc.
15*
228 Leçon 39.
tttnliâf fidèlement. iittmBgU^ impossible.
^Sgli^ laid, bltnb ayeugle. toilb sauvage.
ricÇttg correctement. to^fer vaillant.
Exercice. 116.
1* SBie l^aben @te gef(j^(afen, metn $err? ®tffx gut, iâf
bante dl^tten. mecitt ®elb l^aben ©te? 3^ l^oie ttt^t k>tel,
t(i^ l^abc fcl^ïtocnig» 6tn bcutf(]^cô ©prid^toort fagt: ^â^tocntg
tttib ju DicI, DcrbirBt (gâte) allcô ©picL" SBcig bcï ftnabc ge*
nug? Êr tocig gat ntd^t«* 3)cr ©encrai tfl ebenfo gïogmûtig
att topfet* îDcrjentge totrb ben ÇtcW erl^altcn, toeld^cr cm bePe»
ïefcti unb am bePen fci^retbcTi lann, 3)et 9îc6eï ifl nat^ unb nac!^
t>erf(]^tDunbeTi. Wlan l^at mit ntd^t etttmal geanttoortet. 3)ad ifl
burd^aud unmBgUd^. Sein 2Renf(i^ fann tmmet glâdlicl^ fein*
SBcrbcn ©te morgcn mit unô (ju mtttag) fpcifcn? SRorgcn
ïann td^ nt(i^t, aber ûbcïmotgcn tocrbc xif lommen» Ocl^cti êic
xtâft9, ïâf tocïbe Unte gcl^cn^
2, S)cr Muge SKann fcl^ït felten; ber unt)orjlc!^tigc fe^ït oft;
bcr tl^Sïid^te fcl^ït am ^ufigjlcn* 3)cr Ocfd^titePc toirb am met^
jlcti geïobt toerbcn* SBir l^aBcti lange getoart-et* ©ic l^dtten (vous
auriez dû) nod^ I&tger tDarten foQen. SSemt ber ^rtâfi bte iDttben
©tcncn angretft, fo tocrfen fie fid^ ^ufeniDctfc auf tl^n» SKe^r
a(9 einmal geloag ed bem fio(um6u9, bad SRutren (les murmures)
feiner ©c!^tff«mannf(]^aft ju |ttllcn; aber balb naâiJ^ex Bcgonnen pc
ton neucm ju mutten; enbïtd^ t)eïj)fïid^teten fie fid^, nod^ brci
S^gc SU gel^oTd^en* 9[m btttten Za^e fal^ man g(Ud((t(l^enDeife
Sanb, unb fd^on nad^ einigcn ©tunben fliegen fie an9 8anb irab
nal^men Scftfe (possession) Don bct 3nfeï tm Sflamen be« ftôntg«
ton ©panten*
Thème. 117.
1. Mon jardin est de moitié plus petit que le vôtre.
Le prince est aussi sage que vaillant. Autrefois les hommes
vivaient plus longtemps qu'aujourd'hui (de nos jours). Com-
bien de lièvres a-t-on tués? On en a tué à peu près cin-
quante. Sa santé est tout à fait ruinée (terborben) . Il est
complètement aveugle. Tout ce qu'il dit est en vain. L'ani-
mal qui ressemble le plus à l'homme par (ht SCnfel^ung bed)
le corps, c'est le singe. Ce cheval n'est aucunement aveugle.
Si vous cherchez bien, vous le trouverez sans doute. Nous
l'y trouverons probablement. Pourquoi pleurez-vous? D'où
venez-vous? Où allez-vous? Je vais quelque part.
2. Agissez généreusement envers les pauvres et les
faibles. Cette fille écrit bien^ mais ce garçon écrit encore
mieux. Cette maison est très mal bâtie. Je l'ai averti
Adverbes. 229
(getoomt) trois fois, mais il n*a pas écouté. Votre chapeau coûte
moins que le mien ; celui de mon cousin coûte le moins. On
le trouve le plus souvent au café. La pluie tombe goutte à
goutte. Heureusement nous n'étions pas encore partis. Les
ennemis s'approchèrent en masse. Je me porte maintenant
mieux. En général on peut dire que c'est (qu'il) est (un)
honnête homme. Louise écrit moins bien que sa cousine
Smma; elle écrit le moins bien de toutes mes élèves.
Conversation.
SBo^er fommen @ie, mein Çtatnb? 3d^ tomme t>on 9totterbam.
fKiBen eie biefe 9teife m (à) gug dltin, )u Saffer; ié^ retfe lieBcr
ober p ffîagm gemacpt? ju (par) SSaffet al9 ^u Sanbe.
3fi 3^re ^âtmfttc gu ^aufe? 9ltïn. \it ifl auSgegangen.
SBo tfi ^f^x «cuber 1 (Sr ifl ^eute na^ Srattffurt gereifl.
SSkinn tommt er suriict? Sd^ ^offe, l^eute iiber aàft Sage.
3(3^ l^abe @ie lange niâft gefe^en; 3^ ^<tc immer gu ^au(e, benn i^
too toaren @{e? n>ar fcan!.
<9e^t ber i^nabe gern (aime-t-il) 2)e9 ilRorgend gel^t er gern in bie
in bie ®éifnM ®éfnU, aBer nati^mtttage f^ielt
er ïieber.
9Bte t>iele 9B8rter foU id^ lemen? SenigflenS ^toet @etten (pages).
SBantm ifl bteferiD'^ann immer frani? ®t igt gewB^nlif]^ }u bief.
SBie finben @ie ba9 Çaud be9 (S9 i$ inmenbig fe^r fd^Sn, aber au9<
Çerm ®.1 n>enbig ifi e9 ^SgUd^.
SSoQen @te auf mi^ ttHtrten (m'at- (Sin n)enig, aber ni£^t lange.
tendre)?
SDiefer^rief ifl nic^t fd^Sngefd^rieben. Sd^ l^abe i^n in ber (Site (à la hâte)
SBie tommt edi gefci^rieben.
e^rt^t biefer SD^ann engltfd^^ (Sr \pxïàft t9 tortreffltti^.
SBann ermarten @ie S^ren greunb? S^ enoarte i^n biejen 92a(j^mittag.
SBSirb er aïïein tommen? Sr n)trb btelleit^t fetnen @ol^n mit«
bringen.
(Sffen@ieQern(e)@d^inIen(aimez- 3a, aber ïâf effe Heber 9raten
vous le jambon)? (le rôti).
Lecture,
^ie golbene Xabatëho^t^ La tabatière d'or.
Stn })ïctt6tf(i^cr Dbcïjl ^ jcigtc ctnfl bcn Offtjtcïen, btc 6ci
il^m f))et{len, bei £if(^ etne mvit, golbene S)ofe. (Stnige 3^^^
nod^l^er kooQte et etne $rife nel^men, fu(!^te in allen £afd^en unT>
fagte bcfliirjt^: „aBo ip meinc 3)ofc? ©el^cn ©te bod^ einmal,
meine Çerrcn, ob (si) nid^t ettoa ciner in Oebanlen ' fie in fcine
a:afd^e gepcrft* l^at." %Ue jlanben fogteid^ auf unb tocnbeten'^
t^re Xa\éitn um'^, aber btc SDofc fam nitgcnbô jum SSorf(i^ein,*
1) colonel. 2) consterné. 3) par distraction. 4) mise. 5) re-
tourner. 6) gum )93orf(i^etn lommen reparaître.
230
Leçon 40.
9îut cin Sal^nbrici^^ bïicb in fici^tÈarcr® SJcricgcnl^cit flfteu vaù>
fagte : „Sâ:i tsenbe même Xafd^en nid^t um ; ment S^rentoort, bag
t(i^ bie S)ofe nid^t I^a6e, fet genug," 3)te IDfftiiere gtngen Io))f*
f^fittetnb^ au^elnanbet, unb {eber l^telt il^n fur ben S)te6.
9m anbem SRorgen Ueg ber £)6erfi il^n tufen unb \}fxaif :
„3)te S)ofe l^at ftci^ tDtebergefunben : in memer Za\â^t toca ente
Sla^t^® aufgeganflen^^ unb btcîDofc toat jtotfd^en bcm Cutter >^
l^ntaSgefaOen. 9lttn fagen ©te mir a6er, toarum ®te dl^re
Safd^en xAéit jetgen tooQten; tsal^renb (tandis que) bod^ aQe anberen
ti gctl^an l^aben»" ï)cr Çal^nbrtd^ ertoibcrte : „él&nen allcin, Çerr
Dberjl, xoiU ^ e« gcmc bclcnnenJ* aWcme Eltem flnb fe^r
arm ; xii gc6e tl^nen baiser mcmen @oïb ^■*, unb effc niâft^ S35armc«*
9U td^ ju dl^nen etngelaben tourbe, l^atte iâ^ ment SRittageffen
fd^on in ber Za^âit] unb ba l^dtte td^ mid^ {a fd^Smen miiffen
toenn beim Umtoenben metner îafd^e ein ©tftdt fd^toarjcô 8rot
neSP einer SSSurP ** l^erau^gcfaDen i»5rc."
SDer OBerji fagte gcrûl^rt (ému): „®ie flnb ein fcl^r guter
@o^n. a)amit ©te Sl^re SItcm bejlo Icid^ter untcrjlilften *• lônnen,
foQen ©te Don nun an tagUd^ 6ei mtr effen." (Sr fûl^rte i^n in
ben ©peifefaal unb Werrcid^te il^m oor ben antocfcnben *^ Offl*
jieren, afô eincn Setoetô ^® feincr Çod^ad^tung ^®, bie golbene 3)ofe.
7) enseigne. 8) embarras visible. 9) en hochant la tête. —
10) couture. 11) défaite. 12) doublure. 13) avouer. 14) gages.
15) saucisse. 16) secourir. 17) présent. 18) preuve. 19) liaute
estime.
Quarantième Leçon.
Des prépositions.
(lOon ben 93om8rtem.)
Les prépositions sont des mots invariables qui ser-
vent à marquer le rapport qui existe entre deux autres
mots, surtout entre un verbe et un substantif. Elles
régissent différents cas, savoir V accusatif, le daUf ou le
génitif. (Voyez aussi la huitième Leçon, p. 37.)
1. Prépositions qui goiiTernent l'accusatif.
^imi^ par, à travers.
fiir pour.
gegen') contre, envers, vers.
ol^ne sans.
um . . . ((erum) autour de.
kotber contre.
1) Il existe une forme vieillie j^tVi** dans Texpression: ikn
Rimmel vers le ciel.
Prépositions. 231
De plus:
(inbUT^ au travers de, durant. l^munter, ^inah en descendant,
^inanf en montant. entkng le long de.
qui se placent après leur substantif.
Exemples.
2)ttrci^ ba9 ^or par (à travers) la porte.
^méf tDtiâ^t9 SRtttel par quel moyen?
giir bel ne ^âftotfUx pour ta sœur.
@egen mïéf contre (envers) moi.
®egen bas <^e(irge vers la montagne.
Cl^ne et lien ^ttltt sans un denier.
Um bie @tabt autour de la ville.
Siber feinen SBiticn contre sa volonté.
®iffm @ie bie @tiege l^inauf montez l'escalier.
2) en Stug cnttang le long de la rivière.
2. Prépositions qui régissent le datif.
fine de, par. nàéf\t, i^un&d^fi proche, auprès,
aitger hors (de), excepté. nebfl, fammt avec, joint à.
bei près de, chez, à. ob à cause de (vieilli).
Binnen dans l'espace de, en. fett depuis,
mit avec. bon de, de chez.
Uùàf après, d'après, à. bon .. an dès.
^u à, chez.
De plus les suivantes qui suivent leur substantif:
entgeaen au-devant de. sufofgci) conformément,
gcgenttber vis-à-vis, en face de. ^tttotber contre.
gemSg, selon, suivant.
Exemples*
9lu9 bem Çaufe, — aud bem Sarten de la maison, — du jardin.
9uger ©efa^r hors de danger.
9ei metnem S^eunbe chez mon ami.
Sel unferer ^nïunft à notre arrivée.
Sinnen ad^t Sagen en huit jours.
Sflaé ber ^laSft après la bataille.
9lad)^) biefer 9{egel d'après cette règle.
9lààfft (mn^à^ft) bem $uget auprès de la coUine.
9lthft (fammt) metnen ^inbern avec (accompagné de] mes
enfants.
@eit iener ^tit depuis ce temps-là.
3^ fjpted^e bon metnen (SItem je parle de mes parents.
^on meiner i^inbl^ett an dès mon enfance.
(Sx tam 3U m t r il vint chez moi.
1) Sttfolge^ dans sa position régulière avant son régime, gou-
verne le ffénitif (voir le n° 3), mais quand on le met après son
substantit, il gouverne le datif, Ex.: âufolge 3^re9 9[uftragd (8e*
fel^lS) ou àdtem fluftrag sufotge conformément à votre ordre.
2) 91 a é^ s d'après, se place qlqfs après le substantif. Ex.:
5^tx 9{ege( naâf d'après la règle.
232 Leçon 40.
3tt ^attfe à la maison. — 3^ SBaffer par eau.
34 gel^e meinem ©ol^n entge^ettje yaîs au-devant de mon fils.
2)ein 9{at^au8 gegenfiber yis-à-vis de l'hôtel de yiUe.
Sl^rem Sunf^e gemSg selon (suivant) votre désir.
2)a9 ifl bem 9[n|latibe )iitt)iber c'est contre la bienséance.
TocabnlAire.
ber fBaVb la forêt. ber 8efe(( l'ordre.
l^BfU^ poli. bie (Srlanbitid la permission.
bie @ee1e l'âme. ber grieben la paix.
bie ^trage la route, rue. bie mnbtiett l'enfance.
bie %xtp^ l'escalier. BeoBad^tett observer.
bie (Stfenbal^it le chemin de fer. fi^ ]»er^eiTaten se marier.
ber Su^^&nbler le libraire. baS SBort le mot. ^mm muet.
Exereice. 11$«
1« dd^ gtttg butd^ ben SBa(b* SRan l^at ettten @tetn butd^
ba« Çcnjicr flctoorfcn. ©cicn ©te ^ôfHd^ gcgcn icbcrmann. SDic
ncuc ®tra§c fûl^rt u m bie @tabt (l^erum) • D ^ n c ctncn §reitnb
t{i ntan tiid^t gliidltd^. SRetn @o]^n t{i to tb ex (ou g e g en) metnen
SÈBtUen ttad^ Setlin gegangett* ©el^en @te bte Steppe l^tnab
(ou ^ttiuntcr). SBiï gtngcn bie GifcnBal^n enttang fpajieren*
2. SEBol^et lontmen @te? dd^ lomme au 9 bem ®arten,
unb td^ gel^e jcfet ju meinem gel^rer. 8 et t»em tool^nt er? Sr
tool^nt 6 et bem Sud^^Snbler, ber $o{i gegeniiber* (Smorten @te
mt4 btnnen etner @tunbe. $arl gtng fetnem ®ater entgegen.
3)eT S)teneT l^anbelte meinem Sefel^Ie gem&g. Sa) l^aBe metnen
gteunb ®. fcit jtDeiSa^ren nid^t gcfe^en. 3)tefer Hetne Jhiabe
iji t)on (fcincr) «inbl^ett an bitnb.
Thème. 119.
1. Je passai (gtng) par la rue. Ce livre est pour mon
frère. L'amitié est un besoin (etn Sebiirfnid) pour Tàme.
Nous poussâmes contre la porte, mais nous ne pûmes Fouvrir.
Le voleur se dirigea (toanbte fld^) vers la forêt. La terre
tourne (btel^t fld^) autour du soleil, et la lune tourne autour
de la terre. Pourquoi ètes-vous sorti sans ma permission?
Je me promenai le long du chemin de fer. Je lobservai
à travers la fenêtre.
2. D'où venez-vous? Nous venons c^u jardin. Ne sortes
pas de la chambre. Il n'y avait personne hors mon frère.
M. Richard loge chez mon onde. IL a dtné hier chez nous.
J'aurai fini mes études dans un an. La poste est vis-à-vis
de l'église. Après la guerre vient la paix. Après la leçon
(@tunbe) nous jouerons. Il fut malade dès son enfance. Je
le connais depuis cinq ans. A (6et) ces mots, je restai muet.
Prépositions. 233
JTirai à (ttad^) Paris ou à Londres. Il agissait selon mes
ordres. Le jeune homme se maria contre la volonté de
ses parents. Le malade est hors de danger.
3. Prépositions qui régissent le génitif.
Snflatt ou ftatt au lieu de. I&ngS^) le long de.
auger^alb hors de {lieu). oBerl^alb au-dessus de.
btedfetts en deçà de. untecl^arb «in-dessous de.
jenfettô au delà de. tro^^) malgré.
intterl^alb en, dans l'espace de. um — totEen pour l'amour de, à
unbefd^abet sauf, sans préjudice ie. cause de, aans ^intérêt.
nngeac^tet malgré. termittelfl (ou mittelfl} moyennant.
nmoeit (nnfem) non loin. toStirenb pendant, durait.
*>«in3fle j . , teegen») à cause de.
Uait, fraft ( Sufotge suivant, confonvément.
NB. n y a encore Ifxlhtï et l^alBen, à cattse de, qui sont
vieillis. Ils se placent toujours après leur régime, comme n>itlen,
p. ex.: %lttc9 çatbett à Cfiase de Tâge. Quand ils se joignent au
génitif d'un pronom persoimel, on substitue la lettre t à hi lettre r.
Ex.: meittctl^alBen à couse de moi, betnetj^alBett àcausedetoi,
fcinettoegen à eatise de lui, Vim mtxntiXoxWtn pour moi etc.
Exemples*
•9(nflatt eined ^rlefed au lieu d'une lettre.
9(uger|^alb ber @tabt hors de la ville.
2)ie9feit9 be8 gluffeS en deçà de la rivière.
3enfett9 be8 mttm au delà de la mer.
^nnerl^ûlb eitteS Salure? dans l'espace d'une année.
Oberl^alb ber ^rficfe au-dessus du pont.
Um meiner (S^re toiOen pour mon honneur.
Um ®otte8 toillen pour l'amour de Dieu.
SBS^renb bed Sinterd pendant l'hiver.
SBcgctt be8 «ric0c8 ( v . , .
4. Prépositions qui gouTernent tantôt le datif^
tantôt l'accusatif.
n y en a neuf de cette catégorie, savoir :
an à. * liber sur, au-dessus.
aitf sur, à. Uiîter sous, parmi ,^ au-dessous.
^ in ter derrière. tor avant, devant, il y a.
in dans, en, à. ^loifd^en entre.
ncl^cn à côté.
1) 8âng8 et tro^ se mettent aussi avec le datif, p. ex.: Iâng9
bed ^(uffed ou I&ngd bem gluffe; trot} fetner SDrol^ungen ou trot}
feinen SDrol^utigen malgré ses menaces.
2) loegen peut se placer aussi après le substantif.
234 Leçon 40.
Ces prépositions gouyement le daUf^ quand elles dé-
signent le repos, ou même une action accomplie dans un
lieu où Tétre se trouve déjà; la question est en quel
endroit, ^ax ex.: !Dad 93ud^ Hegt auf itvxZx\àf le livre
est sur la table. Ceci a toujours lieu avec les verbes
qiii marquent un repos. —
Mais elles régissent Faccusatif, quand elles dépen-
dent d'un verbe qui marque un mouvement ou une direo-
tion d^un endroit vers un autre, p. ex.: 3(j^ %t%t in btv
©arten je vais au jardin; iâf tege bad 93ud^ auf ben
Zx\àf je mets le livre sur la table.
Exemples.
SBir ^e^en an bem gnge (dot.) M 9ttQt8,
Nous sommes au pied de la montagne.
@tellen @te ft(^ an bte [ace) %ffûxt.
Placez-vous à la porte.
(Sr Htte ben Çut auf bem j^o^fe.
Il avait le chapeau sur la tête.
©e^en @ie [xâ) anf biefen ®tn^U
Mettez-vous sui cette chaise.
SDer geinb jleÇt l^lnter ber SWauer.
L'ennemi est {est placé) derrière le mur.
$anae ben ^orb (linter bie 2:]^iire.
Pends le panier derrière la porte.
2)te Sifd^e (eben in bem (im) SBaffet
Les poissons vivent dans l'eau.
2)a« ^inb ifl in bad (tnd) SBaffer gefallen.
L'enfant est tombé dans l'eau.
^er $of ifl neben bem Çanfe.
La cour est à côté de la maison.
34 legte ba9 fBué^ neben bae ^utt.
Je mis le livre à côté du pupitre.
Ûber ber %ifûxt xoaï gefd^rieben :
Au-dessus de la porte était écrit:
mx fe^ten ûber ben glng.
Nous passâmes la rivière.
2)er $unb (iegt (f))ieU) unter bem Xi\éf.
Le chien est couché (joue) sous la table.
^ie 9a^t frod^ nnter bad 8ett.
Le chat rampa sous le lit.
8or bem Suf^ang^) ber <Sonne.
Avant le lever du soleil.
fBox einem Sal^r.
Il y a un an.
1) 9$0T joint à un temps, gouverne toujours le datif
Prépositions. 235
S)ie Xmpptn x&dttn (le tor bie €$tabt.
Les troupes s*ayancèrent jusque devant la yille.
SkiS $au9 liegt siotfc^en oem Çiigel itnb bem Sbad^.
La maison est située entre la colline et le ruisseau.
JRemarque.
Comme dans presque toutes les autres langues, en alle-
mand aussi, les prépositions sont chose difficile à s*appro
prier. Leur ustige particulier dépend généralement de la
signification du verbe qui domine la proposition ; dans un
grand nombre de cas, l'emploi de telle ou telle préposition
doit être considéré comme idiomatique. En conséquence,
pour ne pas embarrasser T élève par surabondance, nous
préférons renvoyer ces expressions idiomatiques à la seconde
partie du livre (Leçon 52).
Yocabnlalre.
ber <S)>erIing le moineau. fpasteren gel^en se promener.
f(cttem grimper. {l(^ loerfammeitt s'assembler.
ntl^en se reposer. oetrac^ten regarder.
ber ^â^aittn l'ombre. tooHenben achever.
ber Bug)>ogeI l'oiseau de passage, ber (Sinflug l'influence.
ber $fau le paon. ber Çebel le levier.
bie kié^'m la cuisinière. ber àttfentl^alt le séjour.
bie tt>eige 9tiïbt la rave. bie $ofl la poste.
ber @d^ug le coup de fusil. ber SufiBoben le plancher.
erfal^ren apprendre. ber $afn le coq.
ber ®efS^rte le compagnon. f(^n>er pesant.
Exercice. 120.
1. 6in ©pcrling fag auf bcm S3aumc. 2)cï StnaBc tjl auf
bcn SBaum flcHcttcrt. ®cr Çtrfd^ rul^tc im ©d^attcn cincr ffitd^c.
Sii\ep^ ifl toal^ïcnb cmigcr 3^'* ©ïtaDe 6 ci ^ottpl^ar getocfcn.
S)ic â"8*^^Ô^Ï terlaffcn unô im Çertft (automne) unb ïe|rcn im
grûl^Iing ju unô jurûcï. ®tc gamilie beô ©rafcn 83. tool^nt auf
bem Sanbc. 3)er ^fau tfl ber fd^ôttjlc un ter bcn SJôgcïn. 3)cï
Çmtb licf ctnigc SCRalc um baS ^aud (l^crum) unb fud^te fcincn
Çcrtn. S)ie Sôd^in l^at gctBc 9îilbcn (carottes) gcïod^t anjlatt
tocigcr 8îil6en. 3n ber 9ïad^t l^ôrtc id^ cincn ®é:iVL^ ; am anbcrn
SRotgcn (le lendemain) crful^t id^, bag mein Sïa^bar ftd^ et'
fd^offcn (tué) l^attc. ®cï fînaBc fpranfl im S^mmex l^ctum.
2. ®ic Damcn pnb ISng« bc8 Stuffcô fpajtercn gegangcn.
Sor fcd^d Ul^r toerbc ïâ^ ntd^t nad^ Çaufc fommen; toartcn @te
ïieber biô motgcn. SB e g en bc« toibrigen (contraire) SBinbc«
tonntc baô @^tff bcnÇafcn nlti^t t5Cï(aj|en. 33 ci ïagc^anbrud^
(à la pointe du jour) gingcn $o(um6ud unb feinc ©cfdfrten and
Sanb unb nal^mcn SScfiç (possession) » on ber Snfel im 9îa*
men be9 ^5ntgd Don @panten. SBâl^rcnb bicfer (Scrcmonten
236 Leçon 40.
tocrfattttttcïtcn fld^ bic 3nbtdncï um btc ©panier unb bctrad^tcten
6a(b (tantôt) bic frcmben toctgcn SWanncr, balb bic fd^toimmcn*
ben Çdufer, auf toeld^en fie iXiex ba9 SReer gefommen tooren.
Thème. 121.
t. J'ai pris le couteau au lieu du canif. Je loge hors
(de) la ville. Le château est siiué (Itegt) en deçà du Rhin.
Notre ami s'est établi (niebergelaffett) au delà de la mer. Nous
sommes allés au-devant de notxe père. L'ouvrage doit être
achevé dans F espace d'un mois. Les étoiles sont au-dessus des
nues (SBolIen) . On a planté des arbres le long de la route.
Le jeune homme obtint la place (bie @teUe) par l'influence de
son oncle. Moyennant un levier^ on peut lever les fardeaux
(Sajlen) les plus pesants. Je lui écrivis plusieurs fois pendant
mon séjour à Francfort. J'ai tout fait à cause de toi.
2. Qui est à la porte? C'est un mendiant. Affichez
(l^eften @ie) cette carte à la porte. Votre chapeau est sur la
chaise. Il a jeté son manteau sur le lit. La cour est ordi-
nairement derrière la maison. Les ennemis se placèrent der-
rière les murs de la ville. Où est votre mouchoir? IL est
dans ma poche. Portez cette bouteille dans ma chambre à
coucher. Mon maître dé musique demeure à côté de la poste.
Mettez ce livre à côté de l'autre. Les nues planent (fd^tDeÊen)
sur nos tètes. Ne jetez pas vos habits sur le plancher. J'ai
trouvé mon cahier parmi vos livres. Que portez-vous sous le
(dat.) bras? C'est un tableau que je porte chez ()u) mon
maître. La voiture est devant la maison. Le coq chante
(ïrS^t) avant le jour.
Conversation.
@eittoatttito)o]^tien@lctnblefcr@tabt? ^âf tool^ne ft^on J)ler SaÇrc l^ier.
SBel^ed ifl ber fd^Snfle unter ben 2)er $fau ijl ber f^Snfle unter ben
!69geln? Sëdeln.
SBo leben bie SBmen unb Slffenl 3n ben l^eigen SSnbem.
SBo fag ber j^anarienioogell (Sr fag auf bem SDad^e.
SBol^in' flog er nad^^er? (Sr flog (tuf einen ^aum.
SBannn>erIaffenbie3ugn>5geI(Suro^a1 3m $erb{l, loor bem SCnfang be9
SBinterd.
SBolifin gel^en fiel 3n fiibUd^e S&nber, mei^end naàf
afriîû.
ffîad l^at bie StW^ gelod^t? ©elbe MUn fiait j^artoffeln.
^aben @ie meinen $unb ni(^t ge« 5Do(^, er ifl eben nm ba8 ^n9
felj^enl bemmgelaufen.
IBo^nb^iebiefenay^orgengetoefen? 34 ^oht einen @^iergang Ulnge
be9 S^uffed gemûd^t.
SBann l^Brten @ie ben ©d^ugl iDlttten tn (au milieu) ber Sta^t.
SBo finb @ie bem Çerm ïfl. be« Slnger^atb ber@tabt, gegenfiberbem
gegnet? iSabn^iof (la gare).
Conjonctions. 237
ffîo^m gel^t ber Stùâ^^ <Sr gel^t auf ben ^atlt
So^m ge$t ber ®raf1 (Sr ge^t ûuf ba« Sûnb.
SBo lebt 3^re j^ante? ete (ebt im Nommer attf bem Sanbe,
tm SBinter in ber @tabt.
Lecture.
3)ad it¥iv0il^ene $ufetfen* Le fer à cheval cassé.
(Stn Sauer gittg mit fetnetn ^offnt, bem fleinen Sl^oma^,
m bic ©tabt. „©icl^," fagtc cr uutcrt»cg« ju tl^m, M Hcgt cm
@tit(f ))on einem $ufetfen auf ber @rbe, l^ebe ^ ed auf unb {iede
c« m berne 2:afd^e." — „S3a]^", tocrfc^tc î^oma«, „ba« ijl nid^t
ber SKûl^c toert^, bafe man fîd^ bafflr 6il(ït."« 3)eï »atcr cr-
toibcrte tii^tS, nal^m ba8 6ifcn unb jlccïtc e^ in fctnc SCafd^c^
3m nSd^Pcn !î)orfe terïauftc cr e« bem ©d^mteb* fur bret ÇeHcr*
unb ïaufte ftirfd^cn bafûr*
Çicrauf feçtcn fie il^rcn SBeg fort. 2)te ©onnc toar 6rcnnenb
[l^ctg]. aWan fal^ tocit unb Brcit® tocbcr ^avi9, nod^ SBaïb, noâf
Ottcâe (source) . î^omaS tocrging' fajl Dor (de) 3)urfl unb ïonntc
fetnem Sater nur mit SRitl^e fofgcn.
Da Kcg biefcr, toic burd^ â^M^» ^^^^ fttrfd^c faHcn» 2^o«»
ma9 ]^oB* fie fo giertg^ auf, aU tocnn c« ®oIb todrc, unb jlcàtc
pe fd^nclï in ben SWunb. Sinigc ©d^rittc (pas) tocitcr lic^ ber
SSatcr einc jtocitc ftirfd^c faHen, tocld^e 2^oma8 mit berfcttcn
®ierig!cit^® crgriff* !î)ic8 bauertc fort^S 6i3 cr fie aHe auf*
gcl^oben l^atte*
Site er bte Ic^tc tcrjcl^rt ^^ l^atte, toanbtc ber Sater fld^ }u
il^m l^in unb fagte: „&xt^\ toenn bu bid^ ein ein^iged SRal I^Sttefl
bôden tooQen, um bad Çufeifen aufjul^eben, fo tDtIrbcjl bu nid^t
ndtig gel^aBt l^aben, t9 l^unbert 3Rat fur bie Kirfd^en }u tl^un*"
1} auftfcBcn ramasser. 2} il ne Tant pas la peine. 3) se baisser.
4) forgeron. 5) liard, centime. 6) au loin. 7) ))erge]^en mourir.
8) hasard. 9) avidement. 10) avidité. 11) continuer. 12) ava-
ler, manger.
Quarante-unième Leçon.
Des coi\jonctions.
(S3on ben 8tnbett)Sctem.)
Les conjonctions sont des mots invariables qui ser-
vent à lier tantôt des mots, tantôt des propositions pour
les mettre en une certaine relation. Nous les divisons
en quatre classes selon l'influence qu'elles exercent sur
la position du verbe dans la phrase.
23S Leçon 41.
I. Classe. Coigonctions coordonnantes.
Ce sont celles qui ne changent pas la construction
de la phrase. Il y en a six:
ttnb et aber ou aUtïn mais.
ober ou. fonbem mais [après une négation).
benn car. fotoo^t — afô ainsi que.
Exemples.
^éf tniig pt Çaufe Bteiben, benn iâf bin Iranl.
n faut que je reste oliez moi, car je suis malade.
2)er @trau6 l^at ^iiael, aBererfann ni^t fliegen.
L'autruche a des ailes, mais elle ne peut pas Toler.
Remarques.
1) 9 6 ex se trouve quelquefois placé après le sujet. Ex.:
S)er Sater aBer fagte mais le père dit etc.
2] @onbetn indique le contraire de ce qui a été nié
dans la proposition précédente ; il ne peut donc être employé
que quand une négation précède. Cet emploi cependant a
seulement lieu quand la proposition est elliptique, c'est-à-dire
quand après mais il n'y a pas de verbe au mode fini. Ex.:
^âf l^alte i^n nid^t fur Bod^aft, fonbern fur nSrrif^.
Je ne le crois pas méchant, mais fou.
3d^ nûnnte ni(!^t feine %oà)ttt, fonbern felne ^xd^tt.
Ce n'est pas sa fille que je nommai, mais sa nièce.
Dans tous les autres cas, mais se traduit par aBet ou
adetn. Ex.:
3(^ l^aBe il^n nid^t gefel^en, aBer ïéf ^aBe il^m gefc^rieBen.
Je ne l'ai pas vu, mais je lui ai écrit.
(Sr toollte aufflel^en, aBer (allein) er fonnte nid^t.
Il voulut se lever, mais il ne pouvait pas.
(Sr ifl no^ ntd^t attgetommen , aBer loir ertoarten tl^n jiebett
augenBïid.
Il n'est pas encore arrivé, mais nous l'attendons à tout moment.
II. Classe. Coigonctions adyerbiales.
Ainsi que d^autres expressions adverbiales (v.p.74, 4.),
les conjonctions adverbiales exigent Vinversion du verbe
et du sujet. Les voici:
9Ufo donc. ferner en outre, puis, de plus,
an^ aussi. tnbef[en cependant.
augerbetn en outre, d'ailleurs. faum à peine.
baïb — Batb tantôt — tantôt. foIgUd^ / donc,
ba, bann alors. mitl^ln { par conséquent.
Conjonctions. 239
bajcr, b««tt)egen ( c^est pourquoi, niât bïo8 J ^ l — , mais,
bonim, beS^alb ( par conséquent. nidçtdbejlotDenigeT néanmoins,
bemnad^ d'après cela. (tto^ m.)
bomo^ pourtant. nnn alors, donc, or.
beffenungeaétet malgré cela. fo ainsi,
beiigleid^en de même. fonfl autrement, sans quoi.
bePo I d'autant plus {avec un Uïl9 — tetld soit — soit,
am fo ( comparatif), uBerbteS d'ailleurs,
bod^, jeDO^ / cex)endant, ilbrigenfl du reste,
gleid^ttjol^l I toutefois. tuebtr — nod^ (ni) — ni.
cnttoebcr — (ober) ou — (ou). laietme^r plutôt.
jwar à la vérité.
Exemples.
^ûat ^^tDefler t{l franf, aifo (ou bed^atB, beStDegett, barum,
baiser, mit^^in, jolatiïj^) ta nn fie nl(!^t airelfeii.
Ma sœur est malade, donc (ou par conséquent, c'est pourquoi)
elle ne peut pas partir.
j^oum Ht te er biefeS SS^ort gefproti^en.
A peine eut-il prononcé cette parole.
2)04 (iebo^, inbeffen) mar e9 f(^ott fp&t gen>orbett.
Cependant il s'était fait tard.
genter ^tte e9 toiel geregttet.
De plus, il avait beaucoup plu.
3toar fonnten n>tr nl^t fel^en, loer e9 xqox\ aber (aQeln) tDtr
erfannten bie @timme.
H est vrai que nous ne pouvions voir qui c'était; mais nous
reconnûmes la voix.
Vecabalalre.
bie ÎRal^rung la nourriture. bettetn mendier.
bie Slrbcit le travail. bet Sfiaxi le fou.
bas $t\xmci le climat. bie @tnfatnlcit la solitude.
bet ^eftt^ la visite. bie ©efeOfd^aft la société.
bie ^rmut l'indigence. Bequem commode.
i»erfd^tt)enbett dissiper. ber S3onourf le reproche.
Exercice. 122.
1. 3d^ l^obc bctt Sïtcf gcfd^ïtcbett unb mcin Srubct l^at tl^n
oigef^rteBen. ®te mûffen mtr ntetn 9ud^ ^uriidgeben ober etn
anbered laufen. 3d^ lantt @te nic^t bejal^len, benn 16) l^abe jie^t
lem ©elb. ©otool^I bet S$ater al 9 bie SDtutter ^aben ben @o]^n
gelobt. ®cr gered^te iKann fd^abet (ne nuit) to cber bem 9îeid^cn
nod^ bem Srmen. S)te Dd^fen btenen unS tttd^t nur }ut 9îa]^«
nmg, fonbern aud^ }ur ^rbeit.
2. 3)a8 ftïtnta btefcô 8anbc« tjl tocber fel^x toami, nod^
fcl^T !alt. ®ic ftab rnitool^ï, aifo (f otgtic]^) ÏBnnen ©te l^cute
irid^t auSgel^en; iiBetbted ertoarten @teben ^efud^ dl^ied i$reun«
bed* 3)ie Hufgabe t{i }toat fel^r fd^toer; tnbeffen (iebod^)
240 Leçon 41.
tDcrbc xâf fie mad^cn; fonji tocrbc xâ^ cinc ©trafe Bcfomtneu
(j'aurai)* ^aum toat cr aBgcreijl, (fo) !am cin Sricf ton
fctner ©d^tocpcr on»
Thème. 128.
1 . Je ne sortirai pas, car j'attends mon beau-frère. Ne
méprisez personne, car tous les hommes sont frères. Les
anciens ne connaissaient ni le café ni le thé. Ainsi la chose
est convenue (au^gemad^t) . Non seulement il a dissipé son
bien (Semtëgen, n,), mais il a encore Yolé celui des autres.
Je vous (dat) aiderais volontiers; mais mon indigence ne
me le permet pas. Ou il est fou, ou ^) il est sur le point
(tm Scgvtff) de le (cô) devenir.
2. Cet homme ne peut pas travailler; mais il ne veut pas
non plus mendier. L'homme a été créé — non pour l'oisi-
veté (ber SDtûgtggang), mais pour le travail; non pas pour
la solitude, mais^) pour la société. Ou il périra, ou [moi]
(je périrai). Cette maison n'est pas grande; mais elle est
commode. Vous [vous] aimez Tune l'autre, et cependant vous
vous faites des reproches. Charles est malade; néanmoins
il continue son travail.
III. Classe. Conjonctions transpositiTOS.
1) Toutes les conjonctions transposittves , qu'elles
soient simples ou composées (voyez p. 244), exigent le
verbe fini à la iin de la proposition, qui sera précédée
d'une virgule ou d'un autre signe de ponctuation ; si le
verbe est composé, l'auxiliaire vient en dernier lieu.
a) Simples,
818*) lorsque, quand. nac^bem' après que.
bet)or, e^e avant que. oB si.
bis jusqu'à ce que. feit ou feitbem depuis que.
ba*) comme, puisque. oBalei^' oBféoit' \ ^, .
ba6 que. obW' toieSoW } ^^*>^q'»®-
bamit pour que, afin que. fobatb (afô) dès que, aussitôt que.
fall9, im f^au en cas ^ue. fo lange (al9) tant que.
pteiii^tote comme, ainsi que. fo oft (até) toutes les fois que.
ttibem' en [avecle participe jprés.), ungea^tet quoique, bien que.
toâtiTenb pendant que, tandis que. toeil parce que.
mantt, ti^enn (sens général) quand, tt>te comme.
loettn si. [lorsque, toofem si, en ce que.
i] ober et fonbertl appartiennent à la première classe.
2) avec un temps passé.
3) Ce ba ne doit pas être confondu avec Vadv. ba » là, qui
n'exige pas le verbe à la fin, mais seulement, comme tous les aa-
verbes, l'inversion du sujet. Ex.: ^a fommt et.
Conjonotions. 241
. CBatten &t, %Ï9 id^ mcitten ®rief DoOntbct l^aBe.
Attendez que j'aie achevé ma lettre.
2) Dans les propositions qui commencent par une
conjonction transpositive, la séparation de la préfixe n'a
pas lieu (voyez p. 195, Remarque 1).
& toar i»ier W^x, aie bte @onne mtfaiitg.
n était quatre heures, quand le Boleil se leya.
3) Obsenrez en outre que, lorsque la phrase com-
mence par une conjonction transpositive , le second
membre subit l'inversion, c'est-à-dire que le verbe se
place avant le nominatif:
Snbetn er ht bas B^mmcr emtrat, fing et m gu totmtn.
En entrant dans la ohambre, il se mit à pleurer.
9la(i^bein tt>ir miteinonber gefrfil^pdt ^atten, gittgen toir
(non pas loir gingett) f^xaiercn.
Apre» avoir déjeuné ensemoie, nous allâmes nous promener.
SBS^nnb loir j^arten f^ieltett, (afett itnfere greunbe (non
unfere grcnnbc ïafenj bte 3«ttungcn.
Pendant que nous jouions aux cartes, nos amis lisaient les
journaux.
Nota, Le second membre de la phrase commence quelque-
fois par fo, qui ne s'exprime pas en français. Ex.:
Obgleici^ e8 regnet, (fo) gel^e t^ boci^ and.
Remarques sv/r les conjonctions.
m» hrsqu», qmnd, comme, que.
1) Cette conjonction a des significations différentes.
Quand eUe commence une proposition, elle marque le tempz
passé et rend le français lorsque ou quand; le verbe se met
alors à la fin, p. ex.:
9US ber $riit) in ba8 Btntmer trat —
Lorsque le prince entra dans la chambre —
2) Après un comparatif, ou après fo, ebenfo, elle répond
à la conjonction que. Ex.:
Staxl ift grBger aU Subioig.
Charles est plus grand que Louis.
34 bht nid^t fo geUl^rt a(8 bit.
Je suis moms savant que toL
3) Après un adverbe de négation comme ntd^td, ou
après tttemanb etc., que se traduit également par a 19:
9liéft» al8 bte Sa^rl^ett rien que la y^té.
9hemanb al9 Stire Séante nul autre/^e votre tante.
OTTO, ânminairê ftUêmandê. y^ 16
242 Leçon 41.
4) K9 marque aussi une condition et signifie en çUaUté
de, en. Ex.:
nu (Sl^rîp en qualité de chrétien.
<Sr l^anbelte aie S^ater il agissait en përe.
OBgleid^, oBfd^Ott, oBtOOl^I quoique , bien que.
Ces trois conjonctions signifient la même chose. Elles
ne régissent pas le subjonctif. La première syllabe oB ne peut
être séparée de la 2. que si Ton met un ou deux pronoms entre
les deux parties; mais 0. vaut mieux ne pas la séparer. Ex.:
Obgtetd^ i^ tl^tt ntd^t !entie bien que je ne le connaisse pas.
OBgtet^ i^ arm Btn ou oB id^ glei^ (ff^ott) oxm BUt.
Quoique je sois pauvre.
OBfd^on er mi^ (oB er mtd^ gteici^) !ennt.
Bien qu'il me connaisse.
Nota. Ces trois conjonctions, ainsi que toettlt (loann), toettn
gtei(^ et quelquefois ba, ont ordinairement le second membre de
phrase précéaé de fo, qui n'est pas rendu en français.
OBfd^on er er^ breigig Salure ait ifl, fo Bat er bo^ f($on gtaue
Çaare.
Quoiqu'il n'ait que trente ans, il a déjà les cheveux gris.
DB er gteltB feïBfl arm toar, fo ituterPt^te er bo^ bie 3trmett.
Quoiqu'il fût pauvre lui-même, il assistait les pauvres.
893atttt^ toetitt, oB quand, si.
1) La conjonction française quand? se traduit en alle-
mand par toann? quelquefois par tDettm Ex.:
SBatin JDerben @ie ïommen quand viendrez- vous?
SBamt @ie tDOÏÏen quand vous voudrez.
©agen @ie mtr, JDatttt @le ïommeit toerben (toottett).
Dites-moi quand vous viendrez.
SS^enn ed reanet, ge^t man nid^t \)ç>ai\txvx.
Quand il pleut, on ne va pas se promener.
2) Siy au commencement d'une proposition, avec sens
conditionnel, se rend en allemand par toetin. Quand le verbe se
trouve au présent ou au passé indéfini, on emploie MindÀcaUf:
SSenn i(^ îranï Bln, lieBe l(B Icme SBcfud^e.
Si (quand) je suis malade, je n'aime pas les visites.
Scnn \^ Beute einen ©rief er Balte, reife tïB.moracn ab.
Si je reçois une lettre aujourd'hui, je partirai demain.
Senn bu m(Bt tommen lannfl.
Si tu ne peux pas venir.
3) Mais lorsque, après «t conditionnel, le verbe est
à l'imprft ou au pL-q.-prft il est d'ordinaire au subjonctif. Ex.:
Conjonctions. 243
SBenn er ni(^t fommen f Bttnte.
S'il ne pouvait pas Tenir.
ffîenn er mir bte9 fdil^er gcfagt ^Stte.
S'il m'avait dit cela plus tôt.
4) Si, formant une question indirecte, après les verben
qui marquent un doîUe ou une incertitude, tels que fragetl,
b>if|en, }toetfeIn etc. (voyez p. 132, 3), se traduit par oB. Ex.:
SSiffen @te, ob $err WitUx ongefommen ifl?
Savez-Yous si monsieur Muller est arrive?
^ toetg niéft, o( er ifim geanttoortet l^at.
Je ne sais s'il lui a répondu.
Toeabnlaire.
ber SCrbetter l'ouvrier. bie ©rogmnt la magnanimité.
ber @tem l'étoile. bie @tSm la force.
ber ®t))fel le sommet. btenen servir, pbrittgen passer.
bas ®eloitter l'orage. l^eranna^en approcher.
ber ftouf le marché. au9t9eid^en éviter.
bie ^«utfeligleit l'affabilité. iiberfaUen surprendre.
ber ubeltl^âter le malfaiteur. fiSren troubler, déranger.
bie étul^e la tranquillité. îoSBreAeit éclater.
ba9 ®efângtti9 la prison. ûbergebett (insép.) remettre.
bie @i^er^ett la sécurité. ))Iiinbem piller.
bie ^tw)xam^ le dessin. fe^len manquer à ses devoirs.
offentli^ public. gegenloSrttg présent.
bad %nhmfm la mémoire. loUb féroce, tener cher.
Exercice. 124*
1. 3) a ber arbcitcr fcl^r fleigig toar, (fo) tourbe er gut
UiafflU 2)îan toeig titd^t, o 6 btc ©tente Betool^tit jlub obcr ut^t.
3(| fc^Kef noif , al 9 rnctn Sebtenter iu8 3^»^^ trat. ©o*
(atb (dd) id^ ben Srief em))fangen ^tte, tetfte iâf ai. ftaum
Catien totr ben Oipfel b*e8 S5erge« erjltegen (gravi), aU ba«
©ûDttter lo^Brad^» !î)te ©olbatcn ptilnbertcn bie ©tabt, 6t« ber
©eneraï tl^nen etn S^el (fin) fcfete. 6« tjl etu letd^ter ftauf,
toenn JJreuîibc burd^ Seutfeltgïeit getoonnen »>erben»
2. ®te gegetitoSïttgc 3ctt tjl bie bejie, » e t ï fie mtfere etgene
(le nôtre propre) ijl» ffienn man bie ©efal^r l^erantial^en ftel^t,
b ïonn ntan tl^r auôtDctd^eit ; aBer toenn fie un« f^Iafcnb flberfaïlt,
fo] »>trb jle unô fiti^crïtd^ toerberben» Sl^e man etnneueô îîteib
ongtel^t, ntug ntan bteÇdnbe rein toafd^en. ©o lange alS bie
SKenfd^en gefunb ffaib , benïen fie felten [baran] , bag fie aud^ fcon!
werben ïônnen. îBte Ûbeltl^ater toerben in bie ®cfdngnif[e gebrad^t,
bamtt fie bte ôffcntKd^e Sîul^e unb ©id^erl^ctt ntd^t nte^r flôren.
Thème. 185.
1. Je vous assure que je suis votre ami. Apportez-
moi vos dessins, lorsque vous viendrez [venez) . Tout le monde
16*
244 Leçon 41.
sait que Crésus était riclie. Vous ne sortirez pas, parce que
TOUS êtes malade. Si le garçon n* avait pas trop mangé, il
ne serait pas malade. Vous chantiez, pendant que nous tra-
vaillions. Si vous voulez être heureux, aimez la vertu et
fuyez le vice. Il faut pardonner à ses ennemis, parce que
Dieu r ordonne. La mémoire d'Henri IV sera toujours chère
aux Français, parce qu'il cherchait à les rendre heureux.
2. Le lion joint (teretntgt) la magnanimité à la fierté
(mit bem ©tolje) et à la force, tandis que le tigre est féroce
et cruel. Il faut que vous (@te mûffen) dîniez avec nous,
avant de quitter (avant que vous quittiez) notre ville. Vous
devriez travailler au lieu de passer (que vous passez) votre
temps à (mit) ne rien faire. Lorsqu'il vint, je lui remis le
paquet (ba9 ^add^en) . Comme (ba) il a manqué à ses devoirs,
il sera puni. Quoique nous soyons riches, nous ne pouvons
faire ces dépenses (SudgaBen). Quoiqu'il sott pauvre, il est
cependant (un) honnête homme. Après avoir déjeuné (trcid.
après que j'eus déj.), je partis pour (ncui^) Paris.
h. Can/anctions transpositiveê composées.
Ces conjonctions consistent en deux mots séparés.
Nous les traitons ici à part, uniquement pour ne pas
trop embarrasser la mémoire des élèves, et pour en faci-
liter l'emploi. Ce sont:
aï« totm ou [ S^^^^/'iS?? f^ Mï ••• ««* \ <1««1<1^« - H?®-
tt>ie »enn j ^•»»P«'7. «^J)- xoït ... anéi J (voir Bem.X)
M bag pour que, sinon que. fo koie ou gitiâ) koic ..., fo ainsi que.
cnflatt bag au lieu que. j-toofcm ... nlcjt | ^ ^
W8 bag jusqu'à ce que. ftoetitt ... nic^t ( * *"" " ^
tel San bag en cas que. +»enti ... an^ lbîenque,quoique.
Je - (belle) nlus - plus. j-toeii» ... olet* [ q^aSd Sème.
jie na^bcm selon que. rtotnn ... fcpon j ^
o^iie bag sans que. îtotan ... «ur pourvu que.
fo bag de sorte que. um ... Jtt {avec Nnfln.) pour.
Nota. Les coinonctîons auf bag pour qtte et (8 {etbenit, ba| è
moins que ont vieilli.
Setn(xrg[ue,
1) Les conj. marquées d'une croix veulent le sujet
ainsi que les pronoms personnels entre les deux termes de la
conj onction . Ex . :
SBenn et anâ) ait i{l bien qu'il soit vieux.
ffîofertt et mïâf nïéfi bqal^tt.
A moins qu'il ne me paie etc.
CoBJonotionf. 246
SSentt bet J^aifcr il^n nttr Begnabigt.
Pourvu que l'empeieur lui fagfe grAoe.
2) Les loGutionB quelque • . . que, <i . • • que, tout . . . que
ayec un adjectif se rendent en allemand par fo ou toi e suivi
de Tadjectif, puis du mot att^. Les pronoms, s*il y en a,
86 placent égtdement entre ces deux termes. Ex.:
9Si€ gele^rt aitd^ 3^r Sater fcin tnag.
Quelque {ou si) savant que soit votre père.
€$0 reie^ et aiiA i^, fo t^ er bod^ nïâfi glMid^.
Tout riche qu'il est, il n'est pas heureux.
6o fd^Sn fte auA fein mag, fo gefSSt fie mit bo(i( ttici^t.
Quelque {ou si) Dalle jti'elle soit, eUe ne me plait pas.
3] ©0 tDte ou gletd^ tDte correspond au mot français
de même que, ainsi que. Ex.:
€$0 tt)te bie @ontte ï^tt ^ixàffUn auf bU (Srbe fenbet, }c.
De même que le soleil envoie ses rayons sur la terre etc.
2)ct ÏHtih, fo tole iebe anbere Scibenfd^aft —
L'envie, ainsi que toute autre passion etc.
IV. Classe. Coi^oiictloiis relattyos*
Tous les adverbes dlnterrogatîon prennent dans les
questions indirectes le caractère de conjonctions relatives
et exigent le verbe à la fin de la proposition ; si le verbe
est composé, Tauxiliaire vient en dernier lieu. Ce sont :
tt>e91^at6,
toesmegett,
loamt,
tt)le,
(Voyez p. 226, 5 et p. 132, 2.)
3$ loetg ntd^t, toarum et metnen Srtef tti(!^t beanttoortet ^at.
@agen ëie mit, toie longe @te auf bem 8a0e gebUeBen finb.
3fl bieS bas t>attS, tooi»on @te geflent sef)>ro4en l^abenl
Sragen ©te i^tt, toann id^ il^n ju ^ufe |inben tt>erbe.
Tocabnlaire.
2)ie Unnt^e l'inquiétude. Ujltg rusé, berriidt fou.
nngefd^tctt maladroit. ntd^t loiffen ignorer.
(aftarl^aft vicieux. ftot) fier.
bie )6eleibiaung l'insulte. ber ^el^l Tordre.
bas ©tiHf^loeigen le silence. ber Sefer le lecteur.
beobad^teu observer, garder. ermilben fatiguer.
erlangen obtenir. bat (Snbe la fin.
bas 8Sfegelb la rançon. bie iBerebfamfett l'éloquence.
bro^en menacer, soiegctt peser. (intoifligen consentir.
toie lange.
toorin.
too,
tooran.
too^er.
loobet
loo^tn,
tooi^on.
koobun!^,
loorauf,
koomit,
toorunter k.
246 Leçon 41.
Exercice. 126*
!♦ 6« fd^ehit mtï, al 9 o6 td^ ï)tcfcn Çerm fd^on gcfel^cn
îfàtte. ©tcfcr jungc aRcnfd^ ifl fel^r ungcfd^tcït; cr titmmt nie
tta>a9 in bie Çanb, ol^ne bag ered )er6ri(j^t SBtr Unnen btefe
Slufgabe nid^t mad^en, toenn @ie und nid^t l^etfen. S)u totiîi
bclol^nt tocrbcn, je nad^bem bu fIciSig Biji. 3fc laflcrl^aftcr bic
SKcnfd^cn finb, bcjto mel^r Unrul^c l^afccn fie. ®iefc Seletbigung
i{i ju grog, aU bag id^ bad (StiKfd^toeigen beobad^ten !Bnnte«
(Sx l^at mir ntd^tô gcfd^rtefccn, al 8 ba§ (sinon que) fcine ®e«»
fd^Sfte gut gel^en.
2. 3)er ©cfangenc toitb feinc %xt\^e\t mâji crtangcn, c«
fet benn, bag cr cin l^ol^eô Sôfcgeïb bcjal^ïc. 3e fôtter bte
èuft ip, bejlo ntel^r totegt fie; {c toStmcr fte ifl, bcflo ïcid^tcr
ijl jte; beôtocgcn jireBt (tend) bie toarmc 2uft immcï auf*
toartô (à monter) ♦ SDîcin fjctnb ^at mtd^ ju fel^r 6cteibigt, aï«
bag id^ tl^m terjeil^en fonnte* SlBie grog aud^ ber 2fin^m biefed
gûrjien fcin ntag, ber fcinc« SSatcï« toar nod^ grôger* -Se mcl^ï
©te mit bïol^cn, beflo tocnigcr tocïbc id^ è^nen gcl^oïd^cn.
Thème. 127.
1. n a Tair (flel^t auS), de vouloir (traduisez: comme
s* il voulait) me tromper. L* enfant mort était couché ((ag)
sur son lit, comme s'il donnait. Il m'a trop offensé, pour
que je puisse lui pardonner. Quelque rusé qu'il puisse être,
il n'en est pas moins trompé. Tout savant que vous êtes,
vous ignorez encore bien des choses. Il parlait comme s'il
était fou. Plus il est savant, plus il devient fier. Bien
qu'il soit encore très jeune, il y a cependant lieu (©runb)
d'espérer qu'il fera de bonnes affaires. IL est venu pour
vous payer votre argent.
2. Je vous ai appelé, non pas pour me contrarier (um
mir JUtoibcr JU l^anbctn), mais pour obéir à mes ordres (dai,).
Quand même il a tort, il ne veut pas en convenir (e9 « * ein«
geflel^en). La plupart des lecteurs lisent et se fatiguent,
jusqu'à ce qu'ils soient arrivés à la fin. Le duc admirait
l'éloquence de son fils; «pourvu qu'il n['en] dise pas trop«,
pensa-t-H cependant. Je ne l'accompagnerai pas, à moins
qu'il ne vienne prendre congé (nm îlbfd^teb ju ne^mctt)» Nous
ne vous laisserons pas partir, à moins que votre père n'y con-
sente. Je veux bien lui donner de l'ouvrage, pourvu qu'il
me serve (Bebient) bien.
Conversation.
j^8tttten@te btefe $lrBeit)>oIIbrittgen? dUâfi o^ne bag ^te mir (elfen.
SBirb ber SrBettet belo^nt koerbeni 3a, totnn et fleigig ifl.
CoxgonotionB. 247
ffittibe ber (9efangettc freigegeBenl 9a, nad^bem cr ein l^ol^ed SSfegelb
Besa^It ^tte.
@mb@ieae{lemf^2terengeaangeit1 3a, obfd^on e9 geregnet l^at.
9fl <>en 3^. ein geUtfrter SDÏanit? (Sr ijl fel^r geUl{irt, beffemmgead^tet
i|i et ntd^t fiol^.
Santm joli t^ btefe Kufgabe Hùéf 2)amtt bu fie beffer lemfi.
etnmal fd^retBett?
itemten @te mid^? ÎRem, aBer es fd^eint mit, ald ob
id^ ®ie fd^on gefe^en b&tte.
3fi t9 gefrnib (sain), longe 311 9lm, ie I&nger man fd^I&ft, be^
fd^tafenl tr&ger mirb man.
ffîirb ber Serrer i^nt t)er3et^en? ÏHiâft e^er, al9 bis er fid^ beffert.
Çaben @ie mid^ b^er emartet? Sttïnt9mQ9\ uni fo mebr frêne ïâf
miâf, @ie ffïa gn finben.
ffîtrb ber Prfl btcr btetben? Sd^ ^toeifle, ob er bier bleibt.
@oQ i(b 3bi<<n 3bc ^ii(^ Snrild- 3e eber @ie e8 tbnn, beflo ange-
fibiden? nebmer toirb ed mit fetn.
3fl ber ihan!e anfgeflanben? 3a, ungeac^tet ber Slrgt es Ibm ter'
boten \fattt,
SBtffen^ie, n>atnm er nid^t !ommt? (Sr b^t t» mir nid^t gefagt.
Lecture.
fUtimitt in Xfttfa* Alexandre en Afrique.
îlïcçanber ber ©rogc îam cinfl in cinc cntïcgcnc^, goïbrctd^c
®egenb )>on 9frtla; bte Sintool^ner gtngen tl^m entgegen unb
I btad^ten il^m ©d^alcn^ bar, ^oU golbcncr Stpfei unb grûd^tc* —
■ „S^t mon btcfc Çrûd^te bet cud^?" fprad^ SHcçcmbcr; „td^ btn
> ntd^t gelomnten , ente Sîeid^tftnter gn fel^en , fonbetn )>on enten
I ©ittcn (mœurs) ju ïcrncn/' — 3)a fû^rtcn fie il^n auf bcn
(Sbcn trat cm Sûrgcr X)or unb fprad^ : „9d^ l^abc, ft3ntg,
toon bief cm SWaraïc cin Otunbflild* gcïauft, unb ate id^ ben
Sobcn burd^gTub*, fanb id^ cincn ®d^a|; bicfcr tfi nid^t mein;
bcnn id^ l^abe nur ba« ©runbflûd gcïauft, nid^t bcn barin rytt*
boTgcncn ®à^al^, unb bod^ toill i^n ber SScrïaufcr nid^t toicbcï
, nel^mcn." — Unb fcin ©egncr* anttoortctc: „3d^ bin cbcu fo
[ gctoiffcn^aff, ate mcin SKitbûrgcr®* 3d^ l^abc il^m ba« ganje
Selb )>crfauft unb a(fo ani^ ben ®d^a|."
SDcr fîôntg toicbcrl^ottc t^tc SBortc, bamit fie fSl^cn, ob er
Pc rcd^t ijcrjlanbcn l^Sttc. S)ann fprad^ cr: „®tt l^afl cincn
©o^n, Çrcunb?" — „Sa." — „Unb bu einc îod^tcr?" — „3a."—
„(gttrc fiinbcr licbcn fld^?" — „D fc^r!" — „5Run tool^I! t>cr*
l^eiratct' cure SHnbcr, unb gebet tl^ncn bcn gcfunbcnen ^éiai^
jur ÇciraWgabc 1® ! S)a« ijl mcinc entfd^eibung^M"
1) éloigné. 2) coupe. 3) rendre la justice. 41 champ, terre.
5) bêcher, fouiller. 6) adversaire. 7) consciencieux. 8) con-
citoyen. 9) marier. 10] dot. 11) décision.
248
Leçon 41.
Sfe^ronber erflaimte, ba et bief en Sudf})ru^ l^Brte: ,^abe
i^ unreii^t (mal] gertti^teti^'' fprati^ ber fidnig, „bag bu otfo er-
fiâimfi?" ,J0 ttefat/ ontïoortete SUe^onber, ,,aBer m tmferem
ganbe tourbe mon <rabcr« rt^ten." — „Unb »te bctm?" — „3)tc
SBal^rl^cit jit gejlcl^ett^'/* cmttoortctc SHcçanber, „totr toûtbeu bcn
©d^aft ffe bcH ftôntg m Scftfti* gcnommen l^c^cti."
3)a toimbcïte jlc^ bcr ftôrng imb frrac^: „®(^emt" beim
Bei eu(]^ oud^ bte ©onne? Unb Ia§t ber Çtntmel au(i^ ouf eu(!l^
Teflncn?" — ÎHc^onbcr «ittoortete: „9a/* — „®ann" mu^ c«,"
ftti^T er fort. „bcr unfd^ulbtgen Itère tocgen fem, bte te curcm
èanbe lebeu; bcim fo((i^c aWcufti^cri ijcrbtenen ïeme ©onne unb
leracn Sîcgcm"
12) jugei. 13) ayouer. 14) possession. 15) luîie. 16) alors.
Des interjections.
Les interjections sont des mots invariables qui ser-
vent à rendre brièvement les sentiments vifs et subits
de Tâme. La plupart consistent en des sons naturels;
mais il 7 a, en outre, comme en français; des locutions
interjectives.
a^! aâf\ d! ahl haï ohl
aàfl ahl hélas!
(e! (e ba! d! hél eh! ohé!
an! ah! aïe! ouf!
(n! haï
Uf^l bah!
oV* ^o! ohl ho!
ol^ toel^e! ouais! aïe! hélas I ohl
^fnil fil fi donc!
ialt! halte — làt
l^oOa! holà!
fftd^te! doucement!
loeg ba! axiiëie! gare!
f«tt! va-t'en!
^o(}! J dame! peste t
^o^tonfmbt | paibleul
^! {Ittt! silenoel chut!
(eiber! hélas!
mie! toaV. hein! hem!
]{ieifa! jiud^^e! hourra! ehl 6 gué!
fftal heini
niitt (9rt! ah càl
(SottloBI Dieu soit louél
3a tooÇl! oui — dàl
mo^lan! jehbienlaUonsI red^t fo! bien!
anf! auf benn! lalertel tormSrtS! en avant!
Kd^tung! gare! )U {>i(fe! au secours I
ffîunber! miraclel Çitmmd! ciel!
^tél^ ba! tenez! o htt&âfanUl ohl queUe honte
Çeil! vive! salut! ©ïfid Jtt! courage I
m\)t\ aïel malheur! $i){feit! bagateUes!
geuer! au feu!
I
J
I
I
249
Exercices généraux.^)
L Questions et réponses faciles.
1.
Ayes-Yous un frère? J'ai deux frères. — Avez-yous
aussi une sœur? Non, je n*ai pas de sœur. — Où est yotre
liyre? Le yoici (l^ter tft t9). — Où est Charles? Il est à
récole. — Est-il attentif? Oui, il est très attentif. — Le
jardin est-tV grand? Le jardin est très grand. — La maison
eai-elie neuye? La maison n'est pas neuye, elle est yieiUe.
2.
Qui est bon? Le père est bon; la mère est bonne. —
Qui est appliqué? L'écolier est appliqué ; l'écolière est aussi
appliquée. — Qu'est-ce que (SBad t{l) la terre? La terre est
un globe (etne ftugel). — Quelle forme a-t-elle? Elle est
ronde. — Qu'est-ce que le soleil? Le soleil est un globe de
feu. — Le chien qu'est-il? Le chien est fidèle. — Et le
chat qu'est-il? Le chat est faux (falfd^). — Qu'est-ce que
Dieu? Dieu est le créateur (ber @(!^9)>feT} du monde.
3.
Le cheyal est-il beau? Oui, il est très beau. — A qui
est cette canne? Elle est à mon frère. — Votre père a-t-il
un chien? Il a deux chiens. — Les cerises sont-elles mûres?
Oui, elles sont mûres. — Cette pomme est-elle mûre? Elle
n'est pas encore mûre. — Quels (toeld^e^) sont les quatre
éléments (Siemente)? Les quatre éléments sont le feu, l'eau,
la terre et l'air. ^ — Comment est l'hiver? L'hiyer est
froid. — Comment est l'été? L'été est chaud. — Quelles
sont les quatre saisons^? Les quatre saisons sont le prin-
temps. Tété, l'automne 3 et l'hiyer.
1) bit Suft. 2) 3a]^re8)etten. 3) bec ^ttlf.
4.
Comment est la tour^ de l'église? Elle est très haute.
Comment est la cour du château? Elle est large et carrée
(Dicrcdtg) . — Quel est le roi des oiseaux? C'est l'aigle. —
Qui était Mercure? Mercure était le messager (bet Soie)
des dieux et le dieu des marchands *^, — Comment appelle-t-on
la jeunesse'? On l'appelle le printemps de la yie. — Et la
yieillesse, comment l' appelle-t-on? On l'appelle l'hiyer de la
1) ber Xuxm, 2) Stan\ltuU. 3) bie Sugenb.
1) On peut intercaler successivement ces «Exercicesn à partir de
la 23ième Leçon.
250 Exeroioes générauz.
yie. — Votre thème est-il difficile? Je ne le trouye pas dif-
ficile. — Ayez-yous un canif? Non, je n'en ai pas (Ictnô)^ —
Que fait (t^Ut) la nourriture^? Elle fortifie (flatlt) le corpë.^
4) Slal^rung. 5) Stdxptx, m.
5.
Es-tu malade, Henri? Non, je ne suis pas malade,
mais je suis très fatigué^. — Pourquoi es-tu si triste? Mon
père est malade. — Votre yoisin est-t/ riche? Il était riche
autrefois; maintenant 2il lest pauyre. — M. Martin est-i/
arriyé? Oui, monsieur, il est arriyé. — Quand est-il ar-
riyé? n est arriyé hier (au) soir. — A (um) quelle heure?
A six heures. — Qu*ayez-youB là? J*ai une plume d'acier
(©tal^Ifcbcr) . Votre frère qu'a-t-il? Il a un crayon. — Qu'ayes-
youB acheté? J'ai acheté une paire ^ de gants.
1) mlibe. 2) tin $aar.
6.
Ayez-vous beaucoup Épamis? J'ai peu cTamis. — Ayez-
yous du yin? Non, je n'ai pas de yin. — Qu'ayez-vous
donc? J'ai un yerre cfeau. — Avez-yous enyie (8ujl) de
jouer? Ten ai bien envie, mais pas [le] temps. — Auras-
tu une paire de souliers? J'aurai une paire de sotdiers et
une paire de bottes. — Ai-je raison i? Oui, vous avez rai-
son. — Qui a eu tort 2? Frédéric a eu tort. — Qu'avez-
vous à faire? Je n'ai rien à faire. — Avez-vous quelque
chose à faire? J'ai mon thème à faire. — Votre frère qu'a-
t-il à faire? Il a une lettre à écrire. — Avez-vous trouvé
votre anneau*? Je l'ai trouvé. — Où était-il? Il était
sous l'armoire (©d^tatll). Que voulez-vous acheter? Je veux
acheter une canne. — Qui est heureux? Celui qui est con-
tent. — Qui est malheureux? Ceux qui sont mécontents^.
1) fUtâft 2) Unrec^t. 3) 9ttn0, m. 4) uit^ufrieben.
7.
Avez-vous acheté quelque chose? J'ai acheté du thé. —
Combien coûte la livre? La livre coûte cinq marcs. — Je
trouve cela très cher. — C'est à bon marché^. — Avez-yous
vendu votre cheval? Je ne l'ai pas encore vendu. — Le
vendrez-vous? Je le vendrai peut-être. — Pourquoi voulez-
Yous le vendre? Parce que j'ai besoin ^ cT argent. — Voulez-
vous boire du vin? Je préfère' de /"eau fraîche. — Que dites-
vous? Je ne dis rien (rien du tout*). — A qui (mit tocm)
parlez-vous? Je parle à mes enfants. — Qu' est-'ce-gut [toai)
relève (crl^31^t) la beauté du corps? La beauté de l'âme.* —
1) tDO^IfeU ou BtSig. 2) j'ai besoin \âf "bvantl^t (aee.). 3) iâf )te$e . .
loor. 4) gat ntd^td. 5) @eele, /.
Ezeroioeg généraux. 251
8.
Comment dÎTise^t-on Tannée? On la divise en douze
mois. — Combien d'années font un siècle (dal^tl^unbert, n.)?
Cent ans font un siècle. — D*où la teire reçoit ^elle sa lu-
mière'? La terre reçoit sa lumière du soleil. — Pour qui
aclietez->vous ce jeu? Je Tacheté pour mes petites cousines. — .
Les portes^ de la yiUe sont-elles fermées^? Oui, elles sont
fermées. — A qui appartient (gel^Stt) cette casquette? Elle
appartient à ce petit garçon-là. — Les riches sont-ils tou-
jours heuxeux? La richesse® ne donne pas le bonheur.^ —
Une bonne éducation^ est-elle un bienfait®? Elle est le plus
grand bienfait. — Est-ce que tous les lirres sont bons?
Non, û y a. d$ bons et <20 mauvais livres. —
1) teilt. 2) er^ft. 3) 8l^t, n. 4) ble ï^o». 6) ge^offen. —
6) ber dttiéftxm. 7) (Bmd, ». 8) bie (St^iel^ung. 9) SBo^ltl^at, /.
9.
Que voyez-vous au-dessus de vous (ûBcr Sfl^ticn)? Je
▼ois le ciel et les étoiles.^ — Que voit^n dans ce pays?
On y voit de larges rivières , de grands lacs ' et de hautes
montagnes. — Les champs sont-ils fertiles^? La plupart
des champs sont fertiles. — Les paysans allemands sont-ils
laborieux^? Ils sont très laborieux. — Que produit (brhtgt
. . . ]^ert)or) un bon arbre? Un bon arbre produit de bons
fruits. — Où trouve-t-on des fleurs odoriférantes®? On les
trouve dans les jardins et sur les montagnes. — Que dit-on
de (t)Ott) la mauvaise compagnie 7? La mauvaise compagnie
rend (tnad^t) le bon méchant, et le méchant pire^.
1) @tern, m. 2) fie^t. 3) eeeest, pi 4) fru^tbar. 5) orbettfam.
6) tootftne^ettb. 7) ®efe(l]'(i^aft, /. 8] fd^Itmtner.
10.
Cet homme a-t-il beaucoup cf esprit? Il a beaucoup
cT esprit, mais peu cf argent. — Ai-je des fautes dans ma
version^? Vous avez beaucoup de fautes dans votre version.
Où est le cahier de Ferdinand? Il est sur la table. — A
qai est cette balle 2? Elle est à Jules ou à Henri. — Co&-
naissez-vous ce fruit? C'est un gland 3. — De quel arbre
est-ce le fruit? Le gland est le fruit du chêne ((Std^e, /.). —
Le temps est-il aussi précieux^ que Tor? Le temps est plus
précieux que Tor et Targent. — L* oiseau-mouche ^ est-il
grand ou petit? C'est le plus petit ofseau.
1) fiberfe^ung,/. 2) SdaU, m. 3) (S^el,/. 4) fofibar. 5) ber ^^olibri.
11.
Ne mangeras-tu pas cette poire? Non, je ne la mangerai
pas. — Aviez-vous de bonnes plumes? Nos plumes étaient
i
252 Exeieices généraux.
très bonnes. — N'aTiez-Yons pas iTenere? Non, nous n'avions
pas if encre. — Avez-vous déjà dîné? Oui, monsieur,
j'ai dtné. — Quand ètes-yous arrivés T Nous sommes arrivés
bier matin. — Pourquoi ne bois-tu pas? Je n'ai rien à boire,
et je n'ai pas soif. — Veux-tu me prêter ton canif? Je l'ai
.perdu. — Combien if argent vous faut-il ((ran(!^en @te)? Il
me faut huit marcs. — Qui a cassé ces carreaux^? La
servante les a cassés. — Êtes-vous contents de vos enfants?
Oui, ils sont très appliqués. — Que ferais-tu à ma place'?
Je partirais tout de suite', si j'étais à votre place.
1) @^e»e, /. 2) ble ©teffe, /. 3) gïct^.
12. .
Ai-je la grammaire de Frédéric? Oui, vous l'avez. —
Avez-vous cueilli (ge)>f[ûdtt) des fleurs? Oui, j'ai cueilli des
roses et des œillets^. — As-tu mangé une pomme ou une
poire? J'ai mangé une poire. — La petite fille a-t-eUe un
cbapeau? Oui, elle a un cbapeau de paille {®txoff*). — Les
enfants ont-ils eu du pain? Ils ont eu du pain et des ce-
rises. — Où est votre père? U n'est pas ici; mais ma mère
est ici. — L'arbre est-t/ haut? Oui, il est très baut ; il est
sbaut [de] i trente 2 mètres. — Les noix seront-0/ZM bientôt
mûres? Elles ne seront pas mûres avant un mois; mais les
raisins' sont déjà mûrs. — Les cbapeaux de vos frères sont-
tlê noirs ? Non, ils sont gris K — Vos thèmes sont-f& tou-
jours faciles? Non, ils sont quelquefois^ très difficiles.
1) 9^eIIcii, pi 2) XrottBen. 3) grott. 4) most^moL
13.
Quel est le premier devoir (^fltd^t, /.) de tous les
hommes? C'est de servir ^ Dieu. — En quoi consiste' la vraie
gloire' de l'homme? Elle consiste dans la vertu. — Quel
est le meilleur remède ^ contre l'ennui [icca^ttotilt, /.)f C'est
l'occupation'. — Comment appelle-t-on l'Italie? On l'appelle
le^ jardin de l'Europe. — Que faut-il éviter'? Tout ce qui
est nuisible "^ à la santé. — Comment la terre ferme' est-
elle divisée? Elle est divisée en cinq parties qu'on appelle
les cinq parties du monde. — Quels animaux sont indis-
pensables (nottoenbig) à l'homme pour Tagriculture'? Les
chevaux, les vaches et les bœufs.
1) bunen. 2) Bejlel^t. 3) ÎHnW, m. 4) SJltttd, n. 5) Sefd^SftU
gnng, /. 6) t)ennetben. 7) fd^Sbtid^. 8) bas gefKattb. 9) ^dtthaa, m.
La suite de ces »Exeroices« se trouve à la fin de la i4Se-
conde partie* du livre.
SECONDE PARTIE.
SYNTAXE.
Quarante-deuxième Leçon.
Emploi spécial de Tarticle.
L'emploi de Tarticle n'étant pas toujours le même
dans les deux langues, nous donnons ci-après les règles
particulières à la langue allemande.
I. L'article défini s'emploie en allemand:
1) quelquefois devant les noms propres (voyez la
treizième leçon p. 59, 11). —
2) devant les noms des mois, des saisons, des jours,
et des rues:
Z>€C S>t^tmltx tDor \tf^x laU décembre fut très firoîd.
3m ^ril au mois d*ayril, en ayril.
2)er ^onittag ift ber Shtlftetag.
Dimanche est le jour de repos.
3à^ mo^ne in ber JtBntgdfhage 9îr. (9lumtner) 20.
Je demeure rue Royale n® 20.
3) devant les nombres et les épithèteê ajoutés aux
noms de princes:
iRa)>oteon ber 2)ritte Napoléon trois.
StaxX ber @roge Charlemi^e.
^tx (eilige Subtoig Saint Xouis.
4) Tarticle se place en allemand avant les mots ^err
et i^au monsieur et madams; de même avant tout, Ex.:
2)er $err $rofeffor Monsieur le professeur.
2)ie ^ott ^aronin Madame la baronne.
S)a8 gange ^onS toute la maison.
5) après les verbes: ernennen nommer; mad^en
faire; enx>â]^(en élire, on emploie ju; au singulier cette
prép. se contracte avec Tarticle indéfini =: jum. Ex.:
2)er OBerfl %, miirbe gum General emanttt.
Le colonel A. fut nommé généraL
2)er S&vX^ bat i^n jnm Çau^tmanit gemad^t.
Le roi Ta fait capitaine.
256 Leçon 42.
6) On met Tarticle défini dans les expressions sui-
vantes :
Unter ber Sebingttitg à condition.
Unter bem Sortoanb boub prétexte.
^aâf ber Sflatnx itiàfntn dessiner d'après nature.
Som $ferbe fietgen descendre de cheval.
3n ben SSagen fteigen monter en Toitnre.
in\ hit Stnitt faSeit tomber à genoux.
^tn Wtut t>er(iereit perdre courage.
2) et SReinunp f dit être d'ayis.
SSon ber ^ottttl k. f^red^en parler politique etc.
^iHf <m ben Xifd^ (jur Safel) fe^en k. se mettre à table.
II. On omet rarticle en allemand:
1) devant les noms de pays, de villes et d'îles.
(Voyez la 14^*"^ leçon); sont exceptés: bie ©d^toctj et
btc îflïlet.
2) devant les quatre points cardinaux, quand ils
sont précédés de la préposition gegett. Ex.:
gegcn Sf^orben vers le nord; — gegcti ®cjlen vers l'ouest.
3) devant les noms qui marquent une dignité, suivis
du nom propre; toutefois plus rarement:
(2)cr)i) 2)oïtDr SRlilïcr le docteur MuUer.
(2)erJ itSntg ^riebric^ Stttielm le roi Frédéric Ghiillaume.
(S)er) ^aifer vlapoUon /'empereur Napoléon.
Nota, n vaut mieux dire : ber ^5mg gr. SB., ber Stai\tx 91. 3C.
4) devant le substantif placé après le génitif possessif :
2)ed J(0ittg8 SBtOe la volonté du roi.
2)er ^ngettb So^n la récompense de la vertu.
5De8 alten )93ater9 em^ige f^reube Tunique joie du vieux përe.
5) après les pronoms relatifs beffenetbeten, dont:
5Der ©eneral, bef[en 92ame fo geffird^tet mar.
Le général dont le nom était tant redouté etc.
2)te ^amt, beren Xoâfttt ®it lennen.
La dame dont vous connaissez la fille.
6) dans le sens partitif y tant au singulier qu'au
pluriel (voyez p. 48 et 49). Ex.:
S^ effe )6rot je mange du pain.
ïrinîen @te ©ier ober ©cin?
Est-ce de la bière ou du vin que voub buvez?
qjo^ier, gcbem nnb ©teljlifte.
Du papier, des plumes et des crayons.
1) LeB mots mis ici entre () peuvent être employés ou omis.
. Emploi spécial de Tartiole. 257
é
7} On omet Bouvent l'axticle surtout dans les pro-
verbes devant les mots abstraits et les noms de matière
employés dans un sens général. Ex.:
Srmut ifl !eine ^d^anbe pauvreté n'eat pas vice.
(2)te) Sefd^fifttguna ifl ha9 be^ SRittel gegen Sangetoeile.
X'ocoapation est le meilleur remède contre l'ennui.
8) On ne met point d'article non pins dan« les ex-
pressions suivantes:
@ie b^t Haut tlugen elle a les yeux bleus.
^aéf fran)l$fi[(^er moht à la (mode) française.
@etett <^te mtfttcmmen soyes le bienvenu.
3^ lente gran^Slifc^ j'apprends le français.
34 ^^^^ n^^t itxt je n'ai pas le temps.
(Sr bat leinen {^eQer il n'a pas le sou.
$aben èie ftopjvot^ aves-vous mal ^ la tête?
^ein, t(b f)ait ^))ntoii^ non, j'ai mal aux dents.
©egen ^benb vers lé soir.
SBerçangene (leÇte) So(!be la semaine |)assée.
Songes 3abt 1 année passée (ou dernière).
9lBéfftt9 3Abt Tannée prochaine.
34 milttfcbe 3btten ®wd je vous félicite.
3(9 kDiinfdbe 3^nen guten %afi je vous souhaite le bon jour.
grieben jdçUegett faire /aj)aix.
ISioIlne, mSte îc. ftotcïen jouer du violon, de la flûte etc.
4èlat)iet f^uelen toucher le (du) piano.
9) On ne répète pas volontiers l'article ' quand plu-
sieurs substantifs au pluriel se suivent. Ex.:
j^ie ffîfitber nnb (bte) gelber les forêts et Us champs.
2)ie iD^^ner itnb grauett les hommes et les femmes.
111. On met l'article indéfini au lieu de l'article défini:
quand on décrit au singulier l'extérieur d'une per-
sonne ou d'un animal. Ex.:
(Sx l^at eine l^o^e @tint il a /a front haut.
(Sx ifat einen fleinen SD^unb elle a la bouche petite.
iV. On met l'article indéfini en allemand, tandis qu'on
l'omet en français :
1) dans T apposition y c'est-à-dire, quand un sub-
stantif sert à expliquer celui qui précède ; cette règle ne
s'applique cependant pas aux noms propres de personnes.
Exemples :
• OTTO, Grammaire allemand». . 17
258 l'eçon 42.
MxnlttQ, eine^) @tabt in 9aïtm.
Nuremberg/ .TÎUe de Bavière.
S)er <9ei)tge, eitt Suflf^iel t>on SDloUère.
L'Avare, comédie de (par) Molière.
Mais on dit:
®uftat) 9bo(f, i{9n{0 ton ®(!^œeben (non pas ein Jt^nig se).
2) dans les expressions suivantes:
. (Stn TlïiM finbcn trouver moyen.
(Stn 3<^<n d^^^ti faire signe,
^tn ©ef^enl gebcn faire présent.
(Sin @nbe ma£en mettre fin.
Sine @d^tad^t tiefmt livrer bataille.
@inen 2)taift let^n rendre service eto.
3) après le verbe être quand l'attribut est un sub-
stantii marquant un état ou un nom de nation. Ex.:
SD^ein Satec ifl (ein) SCtgt mon père est médecin.
2)ie[er {nnac ^mn ijl ein Çtanjofc.
Ce jeune nomme est Français.
Exercice. 128.
1* SDev (hmt toor fe^x n>arm« SDtein Ol^etnt n>o]^nt tn ber
grlcbrtci^«jh;a§c* $ctnri(i^ bcr SJtcrte toar ein tjortrcp^cï ftôntg*
SDatJtb tnuïbe jnm SBnlg t>on S^xacl gcfattt (oint) . SDte Scr»
fammlung l^at nii(i^ juni Çraflbcntcn crtoffl^ït SDer Çcrr Oraf
tjl afiflercljl. SDtc Sûr^cn ftnb SKcnfci^cn unb lônncn ni^t Immcr
l^clfcn. SDtc grau ©tSfin ijl onf bcn Safl gcfal^Tcn» Si^ ^oBc
|e$t nt(!^t 3^ir t>it\t9 9u4 ju lefen; anc!^ l^abe t(!^ ein tnentg
fio))fn)e]^. Snbe gut, aHed gut. (!J>te) STtagl^ett ift eine b5fe
Sigenfd^aft. ©etnalt gel^t t)or (passe) 9îe^t« ©retfe, Tl&anex,
0rauen, fttnber, aile tnoQten il^n fel^en»
2. dm Wtann, befien gutcr Sîuf t)erïoren ijl, tfl fcl^r un*
gtfidltd^. «jien (tegt gegen £)flen. Çter ijl ba9 9n<^, beffen
Scïfaffeï ®ie fo fefï bercl^rcn* 3n Stalien ijl ber Sanuar ntci^t
lait; bagegen ijl ber duft fel^r l^eig. 3(^ BoJ&e fd^on (Snglif^
gelemt, xil tnerbe an^ dtaltenifd^ lemen. SBlr. .merben gegen
fed^9 Ul^t einen ®))a}ietgang mad^en» S)er ©eneral mainte ber
^lûnberung ein Snbe* âjl bicfer {nngc iDîann ein amériïaner?
Slein, er ijl ein 3ïlanbcr, aBer feine SKutter ijl eine îlmeri*
tanerin^ (S^rijlo))]^ ^oIum(ud, ein ©enuefer, l^at 3lmenla entbedtt.
Thème. 189.
1. Sous le règne d'Auguste. Juillet fut très chaud.
Mars est le troisième mois de Tannée. Je suis arrivé lundi
1) Observez que l'apposition se met au même cas que le sub-
stantif auquel elle se rapporte. Ex.: (Sx ïcbt.ln Sf^ûrnèera, einer
8tabt {dot,) 2)eutf($Iant8.
Emploi spécial de l'article. 259
(otn SRoitfag). Où demeurez-youB à présent? Je Aerneture
rue [du] Théâtre n® 25. Frédéric second était roi de Prusse.
Pierre premier fat surnommé le Grand/ Charles XII était
roi de Suède. Monsieur B. a été nommé préfet (^t&feft) et
M. L., conseiller d*État (@taat^at) . Pharaon nomma Joseph
gouverneur^ d'Egypte, quoiqu'il fit Hébreu.'
2.. Madame la baronne est allée au théâtre. La France
est plus fertile que la Suède. L'Amérique est située (Kegt)
k l'ouest' de l'Europe. Connaissez-y ous le docteur Berg?
Dans le jardin de mon grand-père (H, 4] il y avait (fianb)
un vieux chêne ^ dont k tronc ^ était tout® creux. Voici le
petit garçon dont ie père a été tué. Je ne connais pas le
nom de cette plante dont la beauté est tant admirée. En (Dans
la) Suisse il y a des rivières, des lacs, de beaux villages,
de belles villes et de hautes montagnes.
1) }um ©titftl^alter. 2) tin^tbx^tt, 3) mefllid^ ton.(S. 4) (Std^e,/.
5) @tamm. 6) aam lo%
180.
En hiver nous tremblons souvent de (t)or) froid. Tou-
chez-vous^ du piano ou jouez-vous de la flûte? Ni l'un ni
l'autre (fetn9 )>on Betben), je joue du violon. Êtes-vous in-
disposée, madame? Oui, j'ai mal aux dents et mal à la gorge
($atô«). Cette femme a fpt bouche (III) petite et les yeux
bleus. J'apprends ^allemand. J'apprends aussi [à] dessiner
d'après nature. Mon frère lit Hamlet, tragédie^ de {oov)
Shakespeare. Ésope était de Phrygie, province' de l'Asie
Mineure.^ Notre mère est veuve. ^ Mon domestique est
Allemand, mon cocher® est Anglais. Le général était d'avis
de livrer bataille. Elle sera heureuse (,) de pouvoir vous
rendre service. On trouvera moyen de procurer^ une place
*" à ce jeune homme.
1) ]phïtrt. 2) 2:rauerf^iel. 3) ^xe\>imf. Voyez la note au bas
de la page 258. 4) ^lein^KIlen. 5) ffîttme. 6) itutfd^er. 7) t>tt:
Lectnre.
SRontaufter» Montausier.
iDeï Çerjofl t>on SWontauftcr ^cici^nctc jltî^ frûl^c \>uxâi fctuc
£af>fetfett mtb bttrc^ fehie ftlugl^ett au9^ ®etne jhenge ^ttifU
fd^a^cnl^cit ^ mad^tc, bag er cmdl^tt^ tourbe, um bie Srjicl^una '
bcô S)au})]^tn^, bc« ©ol^tic^ Subtoig^ bc8 Stcrjcl^ntcti, ju ïrftgi.f
(Sx frrac^ tmtncr mit bicfcm ?Pmjcn afô tugcnbl^aftcr ^arm, oer
1) probité. 2) choisi. 3) l'éducation. 4} conduire, diriger. —
17*
260 ■ Leçon 42.
died bev S&aSfxJ^xt utib bev iSenmttft attfo))fert«^ 3n einer t)OTt
il^rcii Unterrebuttgen® Btibete {t(^ bet ^rht) ein, ^oxt fetnem Sr^
}ie^^ etnen ®(^(ag eic^alten ju l^aBett: „fE&it, ment $err/' fagte
cï, „@ic fcl^Iagcti mi^! SKan Brtnge mtr rncmc Çtpoïcu." —
„Staigt mcincm gnabigflcn^ Çerm fctnc ^ifiolcn," ocrfcfttc* bcr
Çcïjog ïalt (& ISgt (fait) jlc tl^m te bic Çanbc flcBcn: „8c'
benlen @te, load @te 4un tDoOen!" S)er ^tte} fdllt ouf feme
ihttcc* — „©c]^cn ©te, wol^m bic 8eibcnf(^af tcn ^^ fûljrcn!"
(gtefl fûl^rtc cr bcn îîDattpl^m te cmc Saucm^ttc»" «©cl^cii
©te, tttete gttSbtgcr Çcït, unter bicfent ©tro^baci^, te btefcï arm*
feïtgeti ©tttfcc*^ tool^tten bcr Sîatcr, bicSKuttcr unb btcfttebcr,
toclci^c ol^nc Sfufl^ôrcn ** arbciten, mn ba^ ®clb ju Bcga^Icn, too*
mit 31^rc Çaïape gefd^mUcït fmb., unb totlâ^t Çutiflcr^ jlcrfcen,
mn bic ftojlen** ai^rcr'SEafcI ju bejireltcn."**
ïfô cr baô Slmt eineS ffirîtcl^erg niebergctcgt l^attc, fagte
er jum S)au}>T^in: „®n5btgPcr ^crr, tocnn ©te tin tugcnb^ftcr
SKann flnb, fo toerbcn ©ie mid^ KcBcn; fînb ©te t9 ntd^t, fo
tocrben ©te mi^ l^affen,^* unb t^ »crbc mid^ barûber trôjlen»"^*
5) sacrîfieT. 6) entretien. 7) gouyerneuT. 8) Monseigneur.
9) reprit. 10) les passions. 11) chaumière. 12) chambre. 13) sans
cesse. 14) subvenir aux frais. 15) haïr. 16) consoler.
Conyersatioii.
SSoburd^ Seié^nete ftd^ ber ^erjog 2)ur(j^ j£a^fer!eit unb JSIug^ett.
ton aiîontaufier frû^e au8?
XBas Betoirfte feine Prenge 9ttâ}U &t Betoirlte, bag er inm (Sqlt^tt
fd^affenl^eit? bed 2)au:|)]^in8 ertoafilt murbe.
ffîer vm ber 2)(tu^Bin1 2)er @o(n Snbioigd XIV.
XBie f^radb 9R. immer mit bcm ICfô tugenb^after Wtmn,
Çrinjen?
XBem. offerte er aOedI 2)er SBa^r^eit unb ber IBecnunft.
SBad Bilbete fid^ ber ^ritt) einmal (Sinen ^éjiaq ton iDlontauller er*
. eini ^alten ju çaBen.
SSeld^e ®entt0t(unng tooQte er ba« (Sr lieg fiâf ^iflolen Bringen.
{ûr B«Bcn?
XBad fagte ber ^etjog )u il^m? jOebenfen @ie, toad @te tl^un
toolïen.*
XBie mad^te ber ^rtn^ btefen ^e^er (Sr ftel auf feine Jhtiee unb Bat
toieber gut! ' feinen Sel^rer um IBetseiBung.
XBoBin fiiBrte SDlontanflaE eismol 3n eine ^uem^iHte.
ben ^rinjen?
SSa9 f^^rad^ er gu i^ml i»@d^en @ie/ gnSbtger Çerr, untec
* * btefem ^tro^bad^ loo^nt bie gon^e
gamiïie, toeld^e îc."
261
Quarante-troisième Leçon.
Bapport et régime des aubstantifis.
Lorsque deux substantifs entrent en un rapport im-
médiat , de sorte que Tun détermine Vautre , ce rapport
fieut être exprimé de difiTérentes manières, savoir: 1) par
e génitifs 2) par le nominatif --adjoint^ 3) par la préposition
ton 4) par %sne autre préposition,
I. Emploi du génitif.
1) Le rapport de possession et de dépendance s'ex-
prime ordinairement par le génitif , pourvu que le sub-
stantif déterminé ne soit pas pris dans le sens partitif.
Exemples :
2)er {^unb bed ©Srtnerd le chien du jardinier.
S)ad 2)a^ beS $aufe8 le toit de la maison.
2>ie garBe bcr ëlume la couleuz de la fleur.
^tc §leig eineS ®d^li(er8 Tapplication d*un écolier.
Souvent alors on a Tinversion, quand le génitif est
un nom de personne:
Sbt9 ®Sftiitx9 ^nxù> le chien du jatdinier.
^ed gfirflen ^nn^ le désir du prince.
^ed ]lai|erd 9t(ite les conseillers de l'empereur.
NJ3, Cette inversion ne s'emploie guère avec des noms féminins.
Exemples :
2)ie Mit ber |tatferin, plutôt que ber Stax\tx\n MU.
^tï Sunfd^ ber "SRutttc, mieux que ber Ttnttti SQSunf^.
2) On peut comprendre dans cette catégorie les suIh
stantifs composés^ formés fréquemment d'\m substantif
déterminé par un génitif ou par un autre complément,
mis comme préfixe sans terminaison caractéristique, de-
vant l'autre substantif.*) Ex.:
2)te aRi(d^fu]p^e la soupe au lait.
2)te $aii9t^fire (pour t)aiife9«t(iire) la porte d'entrée.
S>er ^âivXU\fctx (au lieu de ©d^uteleffrer) le maître d'éc<4e.
NB, Nous renvoyons les élèves à la dixième leçon ^ où nous
avons donné un petit nombre d'exemples de toutes les aéclinaisons ;
le nombre de ces mots composés est illimité; mais l'étranger en-
core novice doit éviter d'en former de nouveaux.
3] Celui qui entre le premier dans la compositien
allemande est toujours le seco^nd en français. Ainsi:
S)er 9{aubt>ogel l'oiseau de proie,
ber Obfibaum signifie l'arbre fruitier, mais :
bad i93attmobfi fruits d'arbre.
■ ■ r
1) Four le genre se rappeler que le dernier mot domine.
262 Leçon 43.
®cr ÔÏBaum rolivîer.%.*
ba9 8autni$I l'huile d'olives.
$ie ^audarBeit le travail domestique.
bad Urbeitôl^aud Iti maison de coneotîon.
4] n faut observer encore que dans la 'composition
il entre quelquefois une lettre euphonique (§, tt ou e).
Exemples :
2)er ©eBttrtStai) le jour de naissance.
SDie Sa^r^ettSiiebe ramour de la vérité.
S)te S^af^eitul^r la montre.
(Sine 9lofeitInof))e un bouton de rose.
2)er @ii]p^enlBffet la cuiller à soupe.
2)ad @^tt>einejtetfd^ la viande de porc.
II. Emploi du nominatif-adjoint.
Le rapport de deux substantifs s^exprime aussi par
l'addition immédiate' du second substantif au nominatif:
1) quand les noms de pays, àHles, de villes, de vil-
lages, de mois etc. sont joints à leur nom commun. Ex.:
2)a9 ^Snigreic^^^anien le royaume <f Espagne.
2)ie Snfel ïOldia l'île de Malte.
S)ie ©tabt $artd la ville de Paris.
2)ie Uniberfitfit ^eibelBerg l'université de Heîdelberg.
2)er Wlonat Wiaï le mois de mai.
2) lorsqu'un mot est employé partitivement après un
nom qui exprime une mesure, un poids , un nombre ou
une quantité. Ex.:
(Sine ^\^t ^etn une bouteille <2#vin.
3eî>n Suîcter Sclnttjanb dix mètres de toile.
(Sin ®la9 SBaffer un verre cfeau.
(Sin ^i(o lutter ime kilo^gramme) de beurre.
(Sin 9?eaiment @oIbaten un régiment de soldats.
(Stn @tu(t j^ot) un morceau <^e bois.
(Sine Çerbe @(|afe.un troupeau de moutons.
(Sin $aar $anb[(i^u]()e une paire de gants.
(Stn SDutjenb ^emben une douzaine de chemises.
Nota, Quand le second substantif est accompagné d'un ad-
jectif, il faut employer le génitif.^ Ex.: eine glafd^e 0Utenffîeine8.
Dans la conversation familière il est, cependJant, permis de sup-
primer la terminaison du génitif et de dire: eine glaf^e guten Sein.
Exercice; 181.
S)tc Sage be« ©d^toffeg tjt pra^tig. S)e« ftaifcrô SBittc
tttUg i^ift^tïi.^ 3)cr ^aben Çtetg tfl Éelol^ut tooïbcn» ©ringcn
(Sic într eine ftaffectaffc, einen ïl^eetôffeï unb eintge
SBctnglSfcr» Oc^l^aBcctnengolbcnenU^rfd^lûffcI toerïorcu.
SBeld^ eine f^ônc8îofenïnofpc!2 (gg ijl eine 2Roo«rofe*» 3d^
l^abc bief en SDÎorgcn jtoei^Paar §anbfd}u]^e unb fûnf SKetcr fd^toarjc^
1) se faire, s'accomplir. 2) bouton de rose. 3) rose moussue.
Mots composés. 263
Zaii gehtft* ^tet finb btet $Iaf(]^çn Stet unb em ©tûÀ Srot.
3)ic ©tabt Sotibon tjl grôgcr aW btc ©tabt ^ari« ; fie l^at ftBcr
t>ter SRtQtoTten (Smtool^ner* S)ie Çaudttete^ finb t>on gtogem
Kufectt** S)tc UtttecïfltSt Çctbcttcrg tfi bcrûl^mt*
4] les animaux domestiques. 5) utilité.
Thème. 182.
L'application ^ de T élève est constante. ^ Le bec' de
Taigle est crochu, (gebogen) comme les becs des oiseaux de
proie.*) Les enfants aiment beaucoup les aufs de Pâques.
Cette misérable chaumière^ est la demeure d'une famille de
pécheurs,^ La reine d'Angleterre aysiit épousé^ le prince Albert
de Saxe-Cobourg. La ville de Rome est très ancienne. Une
goutte dteau contient un grand nombre <f animalcules.^ Le
véritable^ bonheur de la vie consiste dans une bonne con-
science.* La réfraction (bte SSre^ung) des rayons du soleil
produit^® les couleurs de f arc-en-del,^^ Apportez-moi un
morceau de bois. Le jeune liomme a perdu une grande
somme ^2 d'argent. Voulez-vous prendre une prise (citic ?Pïtfc)
[de] tabac? Je vous remercie, je ne prends pas de tabac
(ti^ fd^nupfc tltd^t). Une foule ^^ d'enfants joyeux i* jouaient
dans la cour et au jardin. Le bottier a apporté trois paires de
souliers, deux paires de bottes et une paire de pantoufles. ^^
1) bcr gïclÇ. 2) Bclianbiç. 3) bcr ©*naBeî. 4) btc Çfltte. • 5) le
pécheur ber gi^er. 6) l^ciraten. 7) ÎCicrd^en. 8) toal^r. 9) ®e« •.
ïoiffcn, n. 10) ^>cî»or'6rtttgen. 11) bcr SRegenbogcn. 12} ©umme. —
13) eitte SDlenge. 14) frël^liii^. 15) $antoffeIn.
III. Emploi de )30tt«
Le rapport immédiat entre deux substantifs rendu
en français par de, s'exprime par bon:
1) après les mots qui înarquent un titre, un rang:
2)er ^Sitig toon <Sd^n>ebcn le roi de Spède.
2)ic ^Snl^in toon ^ngïattb la reine (f Angleterre.
2)cr $cr^O0 toon SJlalafoff le duo c^e Malakoff.
2)cr Srctficrr t)Oit 9lëbcrer le baron de Bœderer.
2) devant tous les nombres cardinattx. Ex.:
<Stn ^nabc bon p>U\ Sabrcn un garçon de 12 ans.
(Sine (Sntfcrnung t>on fe^9 J^itometcr une distance de 6 kilomètres.
@tnc Sangc bon l^uitbcrt SD^ctcr une longueur de 100 mètres.
. *
*) Dans ce thème, les mots imprimés en italiques doivent être
rendus par des mots composés.
264 l'eçon 43.
3) pour exprimer la matière dont une (^ose est
fidte. Exemples :
(Sitt ^ai|9 t)on '&tïn une maison de pierre.
(Stn ^ittg t»on (Solb un anneau d*or.
(Sine lOilbfSuIe Don SRarmor une statue de marbre.
. Nota, Pour exprimer la matière, on se sert aussi souvent
d'adjectifs: ein fleinerne9 ^ond, ein aolbener 9ttng, emc mar«
morne i6itbfSuIe k. Pareillement on dit aussi : btel^on&nbtf^e
£eintDanb la toile de Hollande; ber ruff tfd^e (Sefanbte l'ambassadeur
de Russie; ba9 fran)9fif(i^e ®elb l'argent de France, etc.
4) quand le mot déterminé se trotive employé dans
le sens partit^ et que l'autre n'est pas un terme de
quantité. Ex.:
S)ie M^t bon @tSbten le voisinage de villes.
S)er S3erfauf Don ^Ûàftm la vente de livres.
(Sine ^ammlung Don (SemSIben une collection de tableaux.
(Sine 9{ei(e Don S&umen une allée efarbres.
(Sine ©a^e Don SBert un objet de valeur.
@tn Steunb Don SBIumen up amateur de fleurs. .
(Sin uflann Don SBerbienji un homme de mérite. .
5) après les pronoms démonstratifs, relatifs et indé-
Jinis Ton emploie ordinairement la préposition i)pn, quel-
quefpis cependant aussi le génitif. Ex.:
S)eïieniae Don 31^ren ^é/SXtvx'^), toeld^cr îc.
Celui oe vos écoliers qui etc.
•SBeld^ed Don bief en $ferben ifl bad 3firige?
@inige Don nteinen J^reuitben ou mciner f^reunbe.
2)ie meiflen feiner @em&Ibe ou Don feinen ®em5(ben.
Nota, Après un superlatif ou un nombre ordinal on peut mettre
le génitif ou Don, souvent aussi nnter, suivant Teuphonie. Ex.:
2)ie f^Bnfle aOet ^anen ou Don (ou unter) aOen graucn.
2)er erpe meiner Untertl(ianen ou Don meinen Untertl^onen (sujets).
6) dans les expressions suivantes:
(Sin (SngISnber Don ©eBnrt un Anglais de naissance.
(Sin iD'lann Don ©tanbe un homme de bonne famille, qualité.
%\t (StntDol^ner Don ®rll{fel les habitants de Bruxelles.
(Sin $ferb Don Brauner ^arBe un cheval de couleur brune.
(Sin SJlann ))on Sl^rem @$Iage im homme de votre trempe etc.
IV. Substantif lié à l'aide de différentes prépositions.
Les substantifs qui sont dérivés d'un verbe ou d'un
adjectif et qui sont susceptibles de prendre un complément,
demandent ordinairement la même préposition que le
verbe ou l'adjectif dont ils sont formés. Ex.:
2)er (Sebanfe an ben Sob la pensée de la mort (de benlen an).
S)ie gnrci^t Dot ber ©efal^r la crainte du danger.
■
1) 2)erjienige Sl^rer ©défiler, toelc^er — serait trop dur.
Emploi de ))on. 265
7ln9 ftattgel ÇiJi ®tfb faute <f argent.
2)er fftttâftnm an i^enntniffen la richesse m connaissances.
S)ie Sorge fitr bie tinter la sollicitude pour les enfants.
^ie ^nl^dnglté^teit an ben J^8nig rattachement au roi.
Exereiee. 188.
2)er SKotrofe^ l^atte ein ^letb )3on tooKenem 2:u^e. 3)et
SRarfi^aQ ^ettffter erl^ielt t)om ftatfer Ka))oIeon ben 2:ttel etned
$crjog« t)ott aWaïdoff nnb ctnc }S^rï^c 9fcnte t)on 100,000
Sranten. 3)te ^dntgtn ))on Snglanb t{i jlolg^ anf tl^te SOtorine*
SBir emarten jeben £ag einen SSrtef ton C^^^^nt $« S)ie Stebe
3um Seben tfl allen Wlen^tn angefioten ^, bagegen bie §ur^t ))ot
beiti Xobe t{i tl^nen aner)ogen«^ SDod Sertangen^ nad^ 9tet^tum
Deranlagte^ bidfen SRomi, fo grogortige Untemel^mungen^ gu
mad^ctt» SBcï(3^er X)on btcfcn ftnabcn l^at bcn crficn ^rciê® cr»
Italien? (Sd toor dultud; et )D(tr ber erfte t)on fitnfgig @^Uem*
SWan Bout icftt. ganjc ©^tffc X)on Stfcn. Sfl biefcr 3ting ton
®oIb obcr X)ott @tl6er? (Sr iji Jjon ®oIb*
1) le matelot. 2) fiëre. 3) inné. 4) inculquée par l'éducation.
5) le désir, l'amour. 6) pousser. 7) entreprise. 8) prix.
Thème. 184.
Une rangée^ de d,ents blanches embellissait encore son
joli visage. 2 Faute <f argent, j'ai remis (i^erfd^oben) mon
voyage â^ Paris à (auf,. occ] la semaine prochaine. Son
attachement à la reine était si grand qu'elle ne voulait pas
la quitter. Une jeune fille de vingt ans sacrifia ^ sa vie pour
sauver^ son père. «Nous aperçûmes une petite maison de
bois à (in) une distance de deux kilomètres. L'empereur
partit avec une ajmée de 80,000 hommes (3Rann, sin^,). La
venu du poison^ est interdite.^ Mon professeur est (un)
Allemand de naissance. Votre chaîne^ de montre est-elle d'or
ou d'argent? Elle est d'or. Combien de kilogrammes de
silcre voulez-vous? Donnez-moi deux kilogrammes de sucre
et un kilo (gramme) de café. Une de nos sœurs est morte.
1) ÏRtïift (i>on).. 2) ©efld^t. n. 3) nd(^, voir (pag. 62, 6).*—
4).opfcm. 5) rcttctt. 8) bas @ift. 7) toerbote». 8) «ettc//.
Leetnre*
SUfoniS ber giteftc* Alphonse V.
Stifonô bcï S&tfte, ffi5ntg t)on SlïTagontcn, mit bcm S8cu
namen (surnommé) ber ®ro|ntilttger^ xoax ber Çelb fetne^
dal^Yl^unbertd ; ^ et bad^te nut baranf , anbere gliidtltd^ {u mad^en*
1) généreux. 2) siècle.
266 Leçon 43.
3)tefer ^rfi gfaig geme ol^ne ©efolge (suite) unb }u Sug burd^
btc ©tragctt f ctncr l5ttw?>tji<ibt. îlte roan tl^m craji SoïjleDungcn *
tocr bte ©cfal^r mcrd)tc, toclc^cr er fcmc ^crfon auôfcftte,* fo
anttoortctc et: „(£m SSatcr, tocïd^cr mtttcn unter fcmeti ftmbcm
uml^cr'gcl^t , l^at tiid^tô ju fûrci^tcn." -^ SWan Icmit foïgcnben
3tig* »ott fchicr grcigcbtglcit^: 813 cfaicr looti femcti ©d^aft»
metjlem ^ tl^m etne @um»e t)OTi taufenb S)u{aten bra^te, f o fagte
cmer t)oîi fcmcn Dfpjtercn, tocïci^cï cBcn jugcgen ® toar , ganj Ictfc
(bas) }u iemanb : „23enn t^ itur biefe @umme l^atte, tourbe i^
iVïiliàf fcm»" — „®a ©te etn SKcmn ftoti ftopf unb Çcrj Itnb,
fo tetbtenen ©te, ed ju fetn!" f))ta^ ber fi5atgr tottâ^ct e9 ge**
l^drt l^atte, unb Keg tl^n biefe taufenb 3)ulaten tntt fi^ itel^tnen*
kviâi bet foïgenbe 3*^8*^ 8^** ^^"^ Setoeiiî (preuve) toori
fehiem ebïcn Sl^arofter: Sine mit SKatrofen unb ©oïbaten bc*
iabeue ® ® aïcere ging unter ; er Beficl^It , tl^r Çiïfe ju ïeijlcn ; ^®
man jôgcrt" aug ^wcâ^t Jjor ber Oefal^r.^^ S)(j f})ringt aifoii«
feïbp in ein S3oot, inbem er (eu disant) ju bcnen, tocîci^e fiâ^
»or ber ©efal^r filrci^teten, fagte: „3^ toitt liebcr^^ ber ©efal^rte
ate ber â^^f^^^^** il^reô Sobeô fetn."
3) remontrance. 4) exposer, ô) ti^iit. 6) libéralité, générosité.
7) trésorier. 8) présent. 9) chargée. 10) porter secours. 11) hésiter.
12) danger. 13) j'aime mieux. 14) spectateur, témoin.
ConTersatioii.
Ser toar ^IfonS ber gilnfte? (Sr tx>ax ^Snig t)on ^rragontm.
i&tl(i)tn Setnamen ^atte er? (Sr ^ieg ber Srogtniittge.
SBotauf toar er nur Bebad^t? Sttbere gliittlii^ )u mac^en.
SBie ging er gem burd^ bie ©tragen O^ne (S^efolge unb ^u 0ug.
bet @tabt1
Sel^e ^orflellungen mad^te man 2>ag er feine ^erfon einer @efa(r
i^m bes^alb? ausfe^te. ^
SaS anttoortete er barauf ? (gin $ater ^at unter feinen J^lnbent
nid^td su ffttd^ten.
Sad Brad^te tl^m etnmal fein ©d^^* (Sine @umme <3elbe8.
mciper?
Ser toar gerabe gugegen? (gin Dffljier.
n<a fagte biefer Off^ier leife in ^d^ tourbe pmdflid^ fein, toemt td^
fetner (Segentoarti btefed (Selb (atte."
ffîieoiel toar biefed ®d\>% di toaren taufenb 2)u!aten.
SBad fagte barauf ber ^Bnig? ^enn biefe @umme btd^ glûdriid^
mad^t, fo foflfl bu fie l^aBen."
Sie Betoied er ein aubères îOlal 9{(S eine mit ^oïbaten Belabene (Ca-
féine aJflenfd^enfreunblid^feit (hu- leere unterfanï, BefaW er, i^nes
manité)? ju Çitfc ju eiten.
Unb al« niemanb l^elfen tooUte, (Er f^rang felBft in ein ®oot nnb
toaS t^iat er? rubcrtc (rama) iÇuen ju ©illfe.
®eld^e ebten SBorte ^pxaéf er Bci (gr fagte: ,5d6 toit! tieBer ber (»e«
biefer (S^elegenl^ett? f & B rt e aU ber 3 u f d^ a n e r {Bre9
2^obe9 fein.
267
Quarante-quatrième Leçon.
Remarques sur les auxiliaires modiflcatifs.
(Voyea la 19*n»« Leçon.)
G^ Terbes étant plus nombreux en allemand qu^en
français, leur emploi exige une attention particulière.
Nous croyons donc devoir fournir de plus amples ex-
plications.
1) JtSnnen exprime une possibilité physique, et ré-
pond aux verbes français pouvoir, être en état (tm ftanbe
fcin). Ex.:
(Sin Sal^mer iatm nk^t gel^en (i|l ni^t tm flanbe, in gefien).
Un paralytique ne peut pas maroher.
2) Il ne faut pas confondre l'imparfait de Vindicatif
lonnte avec le subjonctif fônntc, qui, comme bûrftc
et d'autres, s'emploie souvent en allemand après toetin
si, et dans le discours ' indirect (voyez la 47*™* Leçon,
sur le subjonctif lU, § 4). Ex.:
3* toflrbc ti tjnn, tocnti ïéf Ï3nnte.
Je le ferais, si je pouvais.
(Sr fggte, er tSnnte nid^it (ommett.
Il disait, qu'il ne pouvait pas venir.
3) En parlant de langues, à! arts et de capacités
qu'on acquiert par le travail, le verbe français savoir se
rend par I5nnen. Ex.:
Savez-vouB le français !Bnnen @le Çranjîflfd^? •
Non, je ne sais pas le français, mais je sais Tanglais.
9lem, td^ lann ntt^t ^ri^an^Brtf^^, aber xâ^ fann @ngtt)d^.
Mon frère ne «atY pas monter à ckeval.
SJ^eiti lOruber tann nic^t reiten.
Ce garçon sait lire, écrire et dessiner.
2)ie{er kticiht lann lefen, fi^reiBœ unb yàH^nm.
Nota, 3(i^ (ann tttd^t se traduit souvent y« ne saurais ^ et
ïâ^ fann ttid^t ntnl^in' in je ns puis in*empécher de,
1) 9)2&gen exprime une possibilité concédée par
celui qui parle, soit une permission, une concession. Pour
rendre ce verbe, il faut /se servir en français du verbe
pouvoir. En allemand aussi, il est quelquefois remplacé
par I8nnen. Ex.:
268 Leçon 44.
&t mSgen (ISttnen) l^erein lommen voug pouves entrer.
S)it ma0|i bm @todE ht^alttn tu peux garder la canne.
@te mSQtn ben ^ef Ufen vous pouvez lire la lettre.
•(Sd nuxg mal^r fem cela peut être vrai*
(Sr mag etn tfixltâfév Wlanxt fétu.
C'est peut-être ^n honnête homme.
2) 9)25 gen exprime aussi quWe personne aime
quelque chose, et se rend par aimer et f>ouloir. Je vou^
drais bien se rend par td^ mSd^te g etn. Ex.:
3(i^ ma^ btefeu Sein xxïHii je n'aime pas oe vin.
SDlag fie nid^t tan^en? ne veut-elle pas danser?
3(i^ ^Stte ba9 ®e[(^enf nid^t attne^tnen mSgen.
Je n'aurais pas voulu accepter le présent.
3) SDÏSgen sert à exprimer un oœu et répond au
subjonctif du verbe pouvoir (puiasé-je etc.). Ex.:
aSSti^te id^ ®tc Ba(b toteberfe^en!
Fuissé-je vous revoir bientôt 1
iDliid^ten @le glMid^ fetn! puissiez-vous être heureux!
1) Saffen signifie laisser:
3(^ min il^u fdblafeu laff en je veux le laisser dormir.
Saffen @te midp gel^en (ou in Stul^e) laisse»-moi tranquille.
Saffen @te mit ba9 i6uc^ laissez-moi le livre.
2) Saffen devant un infinitif signifie le plus sou-
vent yaerc
(Sr (ieg mid^ etne gan^e ^tnnbe toarten.
n mQjit attendre une heure entière.
Saffen @ie il^n ^ereinfommen faites (-le) entrer.
3d^ lieg fie f^ereinrufen je les fis appeler.
3d^ l^aBe bem armen SRanne etn $aar ©ttefel xadéita laff en.
l'ai fait faire une paire de bottes au pauvre homme.
SDer 9{id^ter lieg betLS)ieB fefinelj^men.
Le juge^< arrêter le voleur.
3) Saffen sert aussi à former la première personne
du pluriel de l'impératif:
Saffet nvA {ingen chantons.
Saffen (Sie ma f^oèieren ge^en allons nous promener.
Saffen @te un9 etne j£affe Gaffée trinfen.
Prenons une tasse de café.
4) Saffen joint au pronom réfléchi ftd^ exprime
ridée de possibUité (en français se peut, 6 est d , . .):
2)08 ISgt fd^ ntd^t begrelfen cela ne se conçoit pas.
* 2)aft lie g fid^ t)orau9fefiett frétait à prévoir.
2)atÛbet ISgt fid^ Mi9 fagen.
n y a beaucoup à dire là-dessus.
Remarques sm les anziliairee modificatifs. 269 .
Exerdce. 168«
ftomtfi bn mit fagen, txxmtm betn Sruber morgen tti^t ju
mtr lommen !ann? S)iefe SDtStmer ftnb im {lonbe, und ju
l^elfen. 2)er ^aBe lomt baS 99u^ bel^alten, ^ t^ hottc^e tô ni^t
mel^r* 993enn unfere @oIbaten bte @tabt 6e]^au))teTi fônittenr fo
tocre bcr ©tcg nt^t îtoctfeïlÇiaft** ftBttncxi ©te ©cutfc]^! 5Rcitt,
td^ foxm ed nod^ n^t, ftber xif (etne e9« 3(]^ l^&tte bott fetn
m5gctt* aaStr Hc|cn bic ^bcr bt« ad^t^Ul^t f(!^ïafcn- 3(!^ tocrbc
c« tjott bcm ©(i^tcmcr * ma(!^cn laffcn. SBcr l^at btcfc« ÇauS baucn
ïaffcn? SDtcbi ÏHai^iax l^at c« fllr fctncn ©ol^n Êaucn ïafîcn.
8a§* bcti ftutf^cr anfpanncn (atteler).* îDcr 3î^tcr Itcg bte
©efattgenen t>ot fid^ Itmtaat. "^tïa ^err, ©te l^afiert lange aitf
^ toatten taffen« S)er Sel^rer l^ot fente ©d^ftlet etne englifd^e
UÊerfe^mtg mac^en Iaffen«
1) garder. 2) douteux. 3) menuisier. 4) Dîtes au cocher
d'atteler.
Thème. 186.
PoTivez-vous venir demain au lieu <f aujourd'hui? Non,
monsieur, je ne peux pas. Vous pouvez rester où vous
êtes. Je ne pouvais pas apprendre ma leçon, car je n*ai
pu trouver mon livre. Je voudrais bien travailler, si je pou-
vais. iS'ao^'Vous lire? Oui, je sais lire et écrire. Ma sœur
sait très bien ^italien. Puisse-t-elle être heureuse 1 Puissions-
nous voir arriver (crïcîien) ce jourl N*aimez-vous pas ces
prunes?^ Non, je ne les aime pas. Laissez-moi faire cola.
On lui^^ dire tout ce qu'il avait vu. Le prince se fait peindre.^
Ne vous laissez pas tromper ^ par cet homme. Il se J^era
faire une autre paire de souliers. Sortons dlcil Essayons*
de sauver le pauvre enfant. D n'y a rien (baran la^t jt(!^ K*]
à changer^ à cela.
1) bte $f(anme, â^tt\âft. 2) tnalen. 3) Betriigen. .4) terfud^en»
5) Snbem.
lY. ©pttcn et mftffcn-
1) ©ollen exprime un devoir; mfiff en tine nécessité
phf/sique ou morale; 'il se rend part devoir , être obligé*
ou il faut. Exemples:
St9x\ f oli {lei^tg fein Charles doit être appliqué.
S)tt fonp nld^t flel^Ien tu ne voleras point.
©lefer ©crr foEtc fcine @d^uïben Bejal^ïcn.
Ce monsieur devrait payer ses dettes.
S)u pttefl betne Seftton (SufgaBe) temen fotteit.
Tu aurais dû apprendre ta leçon.
.270 Leçon 44.
ISkt $rtii) mug um i»ier Ul^r aBretfen.
Le prince est obligé de partir à quatre heures.
2) On remarquera surtout le changement de con-
struction dans remploi, du verbe impersonnel français t/
faut:,
@lc milffeit jtt Çanfe MeiBcn.
11 vous faut rester ou il faut que vous restiez à la maison.
2)ie ©d^iller milffen ((nfmerffam feiit.
n fayt que les écoliers soient attentifs.
3(^ toerbe bie ^tâfimn^ Be^alj^Ien miiffen.
n me faudra payer ou il faudra que je paie le compte.
3) ©ollte, après toenn, exprime quelquefois une
possibilité vague om un hasard^ et répond à Texpression
française nenir à, Ex.:
SBenn @te (etn>a) xCié^i m {>attfe fein fottten.
Si far hoBard vous n'étiez pas à la maison.
ffîenn \\^m ba9 ®elb att^gel^en (fe^Ien) foSte.
Si l'argent venait à lui manquer.
4) ©ollcn répond quelquefois à on dit, on croit etc.
(en latin dicitur etc.). Ex.:
@lc foll reld^ feln.
On dit qu'elle est riche.
2)er S)leB foH aud bem ©efSttpiffe eittfomtnen fein.
On dit que le voleur s'est échappé de la prison.
5) © ottcn marque quelquefois un ordre et remplace
ordinairement la troisième pers. du singulier et du pluriel
de l'impératif, ainsi que le subjonctif fran^çais. Ex.:
(Sr foE tommen qu'il vienne.
. ^ie foS bie SBafirfiett fagen qu'elle dise la vérité.
(Sr Befafil, bag man ^inaiisgel^ett follte.
Il ordonna qu'on sortit.
6)^@oIIcn est quelquefois employé elliptiquement,
de sorte qu'il faiit sous-entendre un verbe. Ex.:
Çlcr t|l So^ialtn, toaS foïï er!
Voici Jean, que doit-il /atraî
SSa« fotten blefe î^rSncnl
Que signifient ces larmes?
7). Quand on emploie en français \infinitif après
que, comment y où etc., de préférence à un mode per-
sonnel, il faut le compléter en allemand par le verbe
follcn. Ex.:
Où fuir? SoMn fott ^ flte^ctt?
Je ne sais que faire. 3^ toeig nid^t, toad XtSi^ tl^un foS.
Remarques sur les auxiliaires modiÔoatifs. 271
• •
8) Dtéssé^e se traduit par unb fotltc td^ ou tnû|te
td^ aitd^. Ex.:
Unb fonte (mfif te) id^ au(!^ umtotnmen dussé-je périr I
V. ^ûrfcit*
1) La sîgnîficatioii propre de bfirfen n'est pas,
comme on le traduit souvent , oêer^ mais avoir Ja per-
mission ou pouvoir. Ex.:
SHe Stlnhtx bfirfen biefen SCBenb f)>a)leren gel^en.
Les enfants pourront {ont la permission de) sortir ce soir.
$etnrt(^ barf bas 8ud^ nici^t Bel^atten.
ÊLenrî ne peut pas (On ne permet pas à H. de) garder, le livre.
. 2) Employé négativement, il signifie quelquefois ne
pas devoir j n'avoir pas besoin. Ex.:
2)n barffl nt^t audgel^en tu ne dois pa«c sortir.'
Sir bnrften fiir ni(i^t9 forgen. aUtê toax^ Bereit.
Nous n'ayions à nous inquiéter de rien; tout était prêt.
@le bfirfen fli^ nid^t barfiSer b^aaen.
Vous n'avez pas lieu de vous (Vous ne devez pas vous) en
plaindre.
Exerctce. 187«
U aaSir foDcn Oott unb btc SWcnf(!^cn Kcbcn* S)tt foDjî
bcracîn Sîd^jicn^ iit(!^tô Sôfeô nad^rcben (médire)* 3^x folltct
®ott banicn, ba§ ïS^x auô btcfcr ©cfal^r gerettct toorbcn fcib.
3Btr foDen burc]^ bic %à)lex anbcrer ïcmcn , unferc ctgenen ju
X)crbcf[cni. SBtïl^cïm mug bcu ganjcn îag ju Çaufc bïctbeu*
SDu l^attcjl* nt(]^t mit btcfcm îDîannc untgcl^cn^ foDen. Saïtguk
bcfal^ï, ba§ btc 9î3mcr tl^m gBttltd^c Sl^rc^ cmctfcn* foïlten.
a)cr ®raf foll auf bcr 3agb fctn* SDtorgcn foH ber ffiBmg tn
bic ©tabt lommctt. SaSa« foK btcfc cmflfaftc* SDîtcnc? SBa^
foDen alIc btcfc Complimente?
2. 3(!^ tDcrbc tl^n rcttcn , unb foUtc xii anc!^ mein Scîcn
o})f cm»' Si) barf Ictncn SBein trtnïcn. ©te bfirfen btefcn Srief
ïcfcn, tocnn ©tc-Suji l^abcn* S)cr Oefangcnc bntftc fcin SQîctb
unb fclnc fttnbcr ntd^t mel^r fclÇicn, bet)or cr anf baô ©ci^tff gc»
Bradjt toutbc* 5Dîan barf tl^m nnr in» (Se^iâ^f fcl^cn, fo crïennt
man ben S)ieb* ©orf td^ ©te morgcn Bcfnd^cn ? îîDtefc SKSb^cn
toerben l^cutc nid^t anf ben SSaU gcl^en bfirfen, tocnn tl^rc 9Rnttcï
utd^t Écffcr totrb*® ®arf mon fragen, tooran ©ic benïcn?
1 ) prochain. 2) fréquenter. 3) honneur divin. 4) rendre. —
5) s^ieux. 6) sacrifier. 7) en face. 8) se porter nueuz.
Thème. 188.
1. Dois-je rester? Non, vous devez partir. Elle ne
devrait pins penser à lui. Il faut vous (fîd^) battre. Il faut
272 Leçon 44,
♦ •
que Yotis soyez ici à quatre heures. H faut que les hommes
travaillent, s'ils veulent vivre. Il faut penser avant toutes
choses à son devoir. ^ Qu'il avoue ^ ses fautes 1 Dites-lui
qu*il vienne. Qu'on m'apporte xm verre d^eaul On dit que
le roi est dangereusement^ malade. On dit que le testament^
est faux. A quoi bon toutes ces plaintes? ^ Il voulait que
je partisse tout de suite. Que faire dans cet embarras?*
Quel partie prendre? Je ne sais lequel prendre. J'irai,
dussé-je y (baici) perdre la viel
2. Puis-je (b(n:f t^) sortir? Oui, je vous permets de sortir.
-PuM^je savoir [ce] que votre frère vous a écrit? Vous pouvez
lire la 'lettre vous-même. Le malade ne doit pas boire du vin,
mais il peut boire de l'eau sucrée.^ Monsieur, vous ne payerez
pas [devez pas payer) le dîner, je m'en charge' (ûbetnel^me ed).
Si votre maître venaii à savoir ^ que vous êtes ici, il vous gron-
derait ^^ joliment (tûiJ^tig). On dit que la paix^^ est signée.
1) blc W^t. 2) gcfteî>cn. 3) gcWrïld^. 4) ^cPametit, n. 5) bic
ifïagc. 6) bic SSerïegenl^ctt. 7) prendre un parti etnen @nt[(!^tu6 faffen.
8) 3tt(ïer»af[cr. 9) ctfa^^ren. 10) au«f(j^eftctt. 11) bcr Çrieben.
Lecture.
Ste feri^i^ 989ttlettt* lies six mots.
®c^ô SBBrttcin ticl^mcn^ m^ in Slnf))ru(]^^ icbeti ÎEag:
3d^ foU, i^ muer t^lanti, td^totH, tc^barf, td^mag»,
Qâ^ foU ip ba^'Oefcft, Jjon ®ott tnô Çerj gcfd^rtcbcn, .
S)aô S^tl, nad^ toeïd^cm td^ 6in t)on mtr fcttjï gctrid&en.*
Qâl mu 6/ baô tji btc (Sâfxanf^, in tocld^cr mtd^ btc SBeït
Son ctncr — bte Statut X)on anbrcr — @ettc l^alt*.
3d^ la un, baô ifl baô SDîag bcr mir Dcrïtcl^'nen Sraft,
S)er SEl^at, bcr gcrttgïeit*, bcr Sunjî unb SBifîcnfd^aft.*
3(]^ toi H, btc ^Bd^fle Sron* t^ bicfc«, btc mt^ fd^mûit,»
!ï)a« iji ber grcil^cit ©icgcï, bcm ©ciflc aufgcbrûrft
3(i^ barf , ba« tjî juglet^ bic Snfd^rtft^ 6ci bem ©fegcl,
Scim aufgct^ncn t^ox bcr grctl^ctt auâi ein 9ticgcL^
•3(!^ mag, ba9 cnblt^ tfl )x)a9 {toif^cn aQcn f(]^tDtmmt«. *
Sin lta6c|itmmtc«^ baU bcr augcnÊïtd Écjîtmmt.io
3d^ foU, t(i^ mug, td^ fann, ié^ )i)t(I, td^ barf, td^ ma^,
3)icfc ©cd^fc ncl^mcn mid^ in ïfnfprud^ jcbcn £ag*
9îur tocnn îîDu^^ flctô mid^ ïd^rjî, tocig id^, toaô jcbcn Sag
dd^ foU, id^ mug, id^ !ann« td^ toiU, id^ barf, id^ m<tg*
{Rfldett.
1) s'imposent à mol. 2) poussé. .3) la limite, borne. 4) li»-
bilité, dextérité. 5) science. 6) onfer. 7) inscription. 8) verrou
9) quelque chose de vague. 10) décide. 11) Toi, ô Di^
273
Quarante-cinquième Leçon. .
Remarques sur l'emploi des pronoms.
(Yoyex les 25., 26. et 27. Leçons.)
L Sur les pronoms personnels.
1} Après un pronom personnel de la première ou de
la 2. personne, tant au singulier qu'au pluriel, le pron.
relatif qui le suit comme sujet de T autre proposition,
se rend par ber, bte, bad suivi du pron. pers. répété. Ex.:
3d^, ber id^ il^n (enne moi qui le connais.
2)tt, ber b tt t^n niait gefefien ^a^ toi qui ne Tas pas tu.
.Sir, bie toit iung finb nous qui sommes jeunes.
2) Le génitif du pronom personnel s'emploie ordi-
nairement après des verbes qui gouvernent le génitif et
avant des nombres cardinaux. Ex.:
(Sr f))ottete meiner il se -moqua de moi.
3d^ erittnere mxé^ f et net Me me souviens de lui.
Unfer gel^n ({tngen nous allâmes au nombre, de dix.
@ie maren livrer elf ils étaient onze.
Quant aux expressions beinettoegen à causé de toi, utn
[einetminen à coum de lui, iljirettoegen }c. voyez p. 233 NJB.
3) Lorsque les pronoms lui, elle etc. employés conmie
régimes de la proposition désignent la même personne
que le sujet, ils sont rendus en allemand par le pro-
nom réfléchi \xà), au lieu de i^n, fie, i^m, i^nen etc. Ex.:
(5r f%>rld^t immer t>oti fl^ il parle toujours de lui,
@ie benft vlvlï an fid^ eue ne pense qu'à elle,
2)tefe ^erren l^aBett immer ®elb Bei fid^.
Ces messieurs ont toujours de l'argent sur eux.
4) Quelquefois le possessif français se rend en alle-
mand par un pronom personnel. Ex.:
(Sr ift ein greunb t)on mtr c^st un de mes amis.
@te fiel il^m Stt ^ûgen elle tomba à ses pieds,
ftit etiten i^nen in $tlfe nous courûmes à leur secours.
3^m (tl^r) )tt &fxtn en son honneur.
3)ie ffttilft iji an mit, an Sl^nen, îc. c'est mon tour, — c'est
votre tour, etc.
5) Lorsque le pronom réfléchi se marque la récipro-
cité, et qu'il est suivi de Fun F autre, il ne se traduit
pas, si le 2. terme est r^idu par etnanbet. Ex.:
OTTO, Orammftire allemande. 18
274 Leçon 45.
Ces deux sœurs ae ressemblent {fune à Voutxe)»
2)ie[e iioei @(!^t9efiem gteid^en fid^ ou gte^ett elttanber.
Ces gens-^ se sont insultés tun Vautré,
^iefe Seute l^aBett cinattbcr Befd^im))ft.
6) ï)ans Texpression française not^ a 2^^r 65 jFVanpaîs
etc. le mot autres ne se traduit pas en allemand. Ex.:
Nous outrée Allemands nous n'aimons pas les cérémonies,
ffîir Sbeutfd^m UeBm ble itom^limente md^t.
7) Dans la proposition principale on a souvent Tin-
version ; le sujet substantif suit le yerbe et le régit pour
le nombre, mais est remplacé en tête de la proposition
par le pronom démonstratif neutre éd. Ex.:
(S 9 (eBe ber Stlxtï^ vive le roil
(S 9 glauBt il^m ntemanb personne ne le croit.
(S 9 (amen %xoi\ %tcaita, bte nn9 ben ®eg ^etgtett.
Il vint deux femmes qui nous montrèrent le chemin.
8) Dans une réponse, les pronoms personnels le^lcLt'
les, eux etc. se rendent par ed, quand ils représentent
un adjectif ou un nom marquant une qualité, ou quand
ils remplacent une proposition entière. Ex.:
Êtes-Yous la mère de cet en-
fant?
Oui, je /a suis.
@mb <eie bte iDistter biefe9 ftin*
bes?
3a, t(^ bin e9.
3fl ^err %. )ufrieben1
SUm, et tfl e9 ntd^t.
@inb ba9 bte <S5(ne be9 <>erm 8.?
3a, fie fhtb éd.
M. A. est-il content?
Non, il ne Test pas.
Sont-ce là les fils de M. B.?
Oui, ce sont eux.
9) (Test suivi Hmi substantif, se traduit ed tft. Ex.:
(S9 ifl fc^abe um i^n c'est dommage pour lui.
n. Sur les pronoms possessiftu
(Voyez p. 130—131.)
1) Eif alletnand on emploie les pronoms possessifs
comme adjectifs sans aucune terminaison, pour rendre
le datif du pronom personnel à moi, à lui etc., quand
ceux-ci suivent le verbe être marquant la propriété, à
moins qu'on ne traduise ce dernier par ge^dxm. Ex.:
2)tefer @todE t|i metn (ou ge^Srt mit).
Cette canne est à moi,
3ener ^vA ifi fein (ou ^(ffixi il^m).
Ce chapeau-là est à lut,
' 2) Le mien propre, la mienne propre etc. se traduit
en allemand metn etgencT, metnc eigcnc. Ex.:
Remarques sur l'emploi des pronoms. 275
Sr BeurteUte Me $enen feiner grennbe xtaiSf feinem eigenen.
Il jugea dn oœur de ses amis par le sien propre.
Exercice. 189»
Sil, bcr td^ alleô mit ctgcncn^ Slugcn flcfcl^ctt l^aBc, îarm
ba« Bcpc S^H^^^^ 8^^^* ©iigcr griébe', bcr bu Jjom Çtm*
mcï ïommjl, erfûlïe mctn §cïj, î)lc jutigcn Scutc Dcrjcil^cn ehi*
onbcr ïri^t tl^ïc îl^orl^citcn*. SBcrbcn ®tc alïc Sfld^cr iéf^altm,
t>tc ic^ Ol^ticn jcjicnt gefcj^tiït l^aBc? 3^ ïann tioc^ rniit fagen,
i>£ t^ fie aile Be^altentoerbe; a&er bie Beibett, xoeliit tâi 6e«
fleHt* l^aBc, toetbe i^ getotg Bcl^aïten* ®inb ©te ber iéf)xex
t>iefe« ftnabcn! 3a, t^ Bta e«- Sô tjî etn Ungïûd, ïchtcxi
greunb ju l^aÊcn. 3(!^ Bra um feiitettoinen ^cjkaft toorben. Œr-
feotmen @te<^ fi^ mettier. S)ad SOî&bc^en fiel i^m }u f^ûgen
unb Bat tl^n um Scrjetl^ung ^* Çcrr 5KftDer tji efai Sertoanbtcr
(parent) t)on mit» (Sitier t)on euc^ mug ftevBeu, fagte ber
atouBcr* JU une. 3(i^ ïann Sl^ttcn n^t alïeô erjal^ïen, toaê ^
crIeBt* l^aBe* S3S ir Stanjofcu jtcl^en ^^ ben SBcin bem Stère t)or.
1) mes propres. 2) témoignage. 3)Daiz. 4) folies. 5) commander.
6) ayez pitié. 7) pardon, b) brigana. 9) subi. 10) préférer.
Thème. 140.
Moi qui suis ton ami, je ne te donne pas ce conseil.^
n ne se souvient pas d'eux. J^sii été puni à cause de È^,
Les hommes devraient se secourir^ les uns les autres. Nous
autres soldats, nous obéissons à nos supérieurs.^ Il entra un
étranger après moi. Vive la reine 1 s'écria le peuple.^ Sont-
ce là les nièces de madame L.? Oui, ce sont elles ; ce sont
deux jeunes filles très aimables. Ce jardin-ci est à lui,
mais celui-là est à moi. J attends de ses nouvelles. Tous
les assistants^ accoururent à son secours. C'est aujourd'hui
ma fête.* Qui est là? Ce sont des enfants. Il nous a fait
venir chez lui. Ce n'est pas mon tour, c'est votre tour. On
donna une grande fète*^ en notre honneur. Il prétend^ qu'il
est innocent,* mais il ne l'est pas.
1) 9lat, m. 2) fielfen. 3) l^orgefetstcn. 4) ba9 8o(I. 5) Umfie<
l^enben. 6) ber (SeBurtdtag. 7) etn %t% n. 8) Bel^ou^ten. 9) unfd^ulbtg.
in. Sur les pronoms interrogatlfls et relatifis.
1) Quand le pronom interrogatif tocld^er, t, eô?
quel? lequel? se trouve séparé du substantif par le verbe
être fetn, il se met au neutre, que le substantif auquel
il se rapporte soit au masculin ou au féminin, au
singulier ou au pluriel. Ex.:
18*
276 Leçon 45.
Seld^eS tfl 3(r ^nt quel est votre chapeau?
SBeld^e» ifl 31^re Zoiftn laquelle est votié fille?
SeMed {utb bie fltëgten Xuaenben?
Quelles sont les plus grandes vertus?
2) Le pronom relatif meld^et ou ber doit occuper
la première place de la proposition incidente ; le génitif
beffen, beren, marquant la possession^ est toujours immédi-
atement suivi de Têtre possédé; si ce dernier dépend
d'une préposition, celle-ci précède le pron. relat. Ex.:
2)er ^ttm, attf \x>tt&tu er fletterte.
L'axbre sur lequel û grimpa.
2)a9 $au9, au\ beffen 9aIfon mit ^aitbeA.
La maison sur le balcon de laqueUfi nous étions.
(Sr (at einige Sutoelen, berenSBerter vxé^i tennt.
Il a quelques joyaux dont îX ne connatt pas le prix,
(Stn greunb, auf beffen ^reunbfd^aft tocr limita.
Un ami sur îamitié duquel nous comptions.
NB. Le mot relatif fo, en remplacement de 'toelijex, e,
a vieilli et ne se trouve qu'en poésie. Ex.:
Spn atten, fo ba !amen de tous ceux qui venaient.
3) Qui que se rend par totx . . anâf; quoi que
UMid . . aud^. Ex.:
9Ber @te and^ feiett (ou fein tn5gen) qui que vous soyez.
SB a 9 er au A fage (ou faâen mSge) quoi qu'il dise.
' SBie bem an^ fei quoi qiril en soit.
4) Quel quHl soit se rend par met ed aud^ fei, et
qui que se soit ^ quiconque par XOtX auà) tmmet ou
tebermanti. Quand le dernier terme est accompagné de
la négation, il se traduit par ntetnatib ou fein SDlenfd^. —
(Sin re(i^tf(i(iaffener Wlcam, toer es ouâ^ fei (ou fein mag).
Un honnête homme quel qu'il soit.
SBer -es auâf fei , ber bte9 gcfagt (at ou Ser aud^ immcr bies
gefagt ifat, er ^at gelogen (il en a menti).
«
fiaf[en @ie iebermann eintreten. (S9 tfl ntemanb ba.
Laissez entrer qui que ce soit. B n'y a qui que ce soit.
5) Quoi que ce soit signifie ro a ^ ed auàf fetoumad
unâf immer, et avec la négation, ntd^td ou gar ntd^td,
bnrd^aud n\à)U. Ex.:
9lfi^ret bur(!^an9 (ou gar) nti^tô an.
Ne touchez à quoi que ce soit.
6) Lorsque ce quij ce que se rapporte au sens total
de la proposition précédente, on doit se servir de
RemarquM but Temploi^es pronoms. 277
•
toad; c'est à tort quW se sert quelquefois du neutre
ïotlèft9. Exemples:
(Sx tecfoufte feitte fbûéftt, t9(t9 fe^r trnre^t isHtr.
n vendit ses Uyies, ee qui était (ou en quoi il fit) très mal.
SBenn et biefc Sorte gef)»io(J^eti ^t toa^ id^ bQtDeifle, k.
S*il a dit ces mots, c€ que je révoque en doute eto.
7) Ce qui et ce que se traduisent au commencement
de la phrase par bad U)ad ou toad, au milieu par koad
' i€ut ce qui ou ttnU ce que, se traduit par alled load ,
et jamais par aUed bad load. Ex. :
(2)a9) ffîae mi^ Betoogen (at, biee m tSfvm, ifl . . .
Ctf ^» m'a engagé à faire cela, c est . . .
S^nn &t, xoa9 &t toeUm faites ee que vous voudres.
fRan mug nic^t alle9 fagett, mae man benft.
Il ne faut pas dire tout ce qt^on pense.
8) Ce qu'il y a suivi d'un superlatif se rend de la
manière suivante:
Ce qu'il y 9l de plus étonnant, c'est que . . .
SDad 9Rcit»iitbtgf!e babei x% bag . . .
Ce que vous pouvez faire de mieux, c'est de partir.
2>ae 9e fie, »ae @ie tl^un fSnnen, ip abjuteifen.
VI. Sur les pronoms indéfinis.
(Voyez p. 139—142.)
1) Le pronom indéfini français tout^ toute ^ suivi dun
article, se traduit au singulier par g an}, au pluriel par
aile, mais en allemand Tarticle s'omet au pluriel. Sa^s
aucun article, tout se rend par j[eber. Ex.:
2)te gan^e @tabt toute la ville.
%\U SD^enf^en (et non aSe bie SD^enf^en) tous les hommes.
34 ^abe ali{ flpfel 0egef[en j'ai mangé toutes les pommes.
3cbe €$ail^e ou jiebee ^ing toute chose.
2) Lorsque le pronom allemand ait est suivi d'un
adjectif démonstratif ou possessif masculin ou neutre, il
reste invariable au singulier. Ex.:
9 H biefer SBetn ifl fd^Ied^t tout ce vin est mauvais.
SU metn ®elb ifî terloten tout mon argent est perdu.
3(1^ btn aU mêmes ®e^5cfe9 berauBt -toorbeit.
Tai été dépouillé de tous mes effets.
3) ®an) tout, placé devant un nom de pays ou de
ville, reste également invariable. Ex.:
278 # Leçon 45.
®an) Sronheid^ toute la France. €k]t) Vaxï9 tout Paris.
3ti gan) (Staxopa dans toute l'Europe.
4) StUed signifie ordinairement tout, toute chose,'
quelquefois cependant il s'applique à des personnes dans
le sens de tous, tout le monde, Ex.:
011 c 9 t^ fort tout le monde est parti ou sorti.
fLUti remtet, rettet flii^tet (tout se sauve). [Schiller,]
5) (S t ko a 9 devant un adjectif ou un adverbe veut
dire un peu = ein »cnig :
<Sr ifl ettoae ha^ISffig il est un peu négligent.
6} Le pronom tel se rend de différentes manières:
M. an tel bet nnb ber $err ou Çerr f o unb fo.
Il est tel que son frère er ifl fo toie feix 8cubec.
Tel maître, tel valet toit ber ^tcf, fo ber i^ned^t.
Tel parle de choses qu'il n'entend pas.
Wlanâftx ]pxï6ft t}on 2)tngea, bie er nid^t berflel^t.
Il n'y a rieh de tel qu'une bonne conscience.
S9 gel^t ntd^te liber etn gute9 ©emiffen.
7) Tout — que et quelque — que, ti)tc — Ottci^^
fo — auàfj sont des conjonctions; voyez p. 244, b.
Exercice. 141.
U S23c^c« jînb3^reOanbfd^u^c, btcfcobcricnc? S23cïd^c«
flnb btc jt^éten SKanncr granïrctd^«? ®ebcn ®tc i^m btc ©c^
lol^nmtg,^ beren er koûrbtg ^ tfl. S)er ©atten, oon bem @ie
fpred^en, ifl ntd^t metn. S)er ^ante, an beffen ©enefuttg ' man
•jtoctfcïte, ifl totcbcr gcl^cilt* lodrbcn. Sij l^offc, ba§ bu mctn
©el^etmntd^ burd^aud ntemanbett fagen totrfl. 2Ba8 tl^r
auâf tmmer tebet, an toa9 il^r aud^ tmmer benlen md^tt, Bejtel^et
(rapportez) aUed auf ben Sîul^m^ ®otte9.
2» ©ter ftnb breigig gûnffranïenflflde unb jtoei Sontébor,
ko a 9 gerabe bte ©umme audmad^t, bie lif dl^nen f^ulbtg 6tn.
@agen @te il^m, toad ®te fiit gut finben. ^a9 geltngt,^ totrb
felten getabelt. 9Qe8 freut ftd^. <Ste l^aben^itd^t aQed gefel^en.
©0 ifl fetne Sage (position) ♦ SDÎit ail fcincm ©cfd^toSft* ijl er
ocrad^tltd^** Wian mu§ bte ©adjc nel^men, fo lote fîe ifl, &
gel^t ntd^td ûber 92etd^tum, um otele i^reunbe ju l^aben*
1) récompense. 2) digne. 3) rétablissement. 4) g^éri. 5) secret.
6] gloire. 7} réussit. S) bavardage. 9) méprisable.
Thème. 142.
1. Quelle est votre intention?^ Quel est le plus g^rand
Honneur? 2 Je connais la femme dont la fille est malade.
La femme, du fils de laquelle vous vous souvenez, m'a écrit
une lettre. La maison dont vous connaissez le propriétaire'
Bemarques aux Temploi des pronoms.- 279
Taut^ vingt mille francs. Le prince à la bonté duquel je
dois* cet emploi® est son ami. Malheureux 1 qui que tu
sois, je ne te trahirai ^ pas. Qui que ce soit, je veux lui
(mit tl^m] parler. Quoi que ce soit qui vous arrive, ne vous
décolbragez^ pas. Quoi que (TH. 3) vous fassiez, soyez honnêtes.
Ne médisez ^ de qui que ce soit. Je ne me suis plaint ^ de
qu^ que ce soit.
2. On lui fit de graves reproches ^^, ce qui n'était pas
convenable. ^2 Tout le pays fut dévasté. ^^ Toute chose a
son temps. Ce qui me* chagrine (betrûbt), c'est qu'il ne soit
pas venu me voir. Ce que j'ai vu de plus beau à Paris c'est
le Louvre. Tous les hommes sont frères. Mademoiselle
Marie est un peu trop fière.^^ Tout Rome, toute l'Italie
même fut alarmée. ^'^ Je le 'déteste^® avec toutes ses riches-
ses («m^.). Tel passe (gilt) pour (un) savant ^^ qui ne l'est
pas. Tel que vous me voyez, je ne le crains pas. Tel
arbre, tel fruit.
l)aWt/. 2) (gÇre, /. 3) «igentttmer. 4) Ift — iccrt. 5) Id^
Derbante. 6} bad Sltnt, bte SuifieSung. 7) Denaten. 8) ben SRiit t^er»
Iteren. 9) Qdfee rcbett t>on. 10) {!(^ BeHaaen. 11) fd^mere )6^mûrfe.
12) ^affenb. 13) tertvilftet. 14) fiol). 15) in Bâfxtdtn fe(}en. 16) toet'
abfd^tum. — 17) geUl^rt.
Lecture.
Sad bo)i)ieIte Setfoed^ett. Le double ôrime.
IDrei junge 9ctttc rctflcn mit c t n a n b c r rnib f anbcn ctncn
@(]^aft.^ 2)a fagtc bcr ctnc: bcr ©(i^aft t|l mctn, xâ) l^aBc tl^n
• ivi^ft 9c|c]^en; unb bcr anbcrc: Stctn, cr ifl mctn, bcnit iâf
Jfàbt tl^n aufgel^oben.^ !2)a \px(ié) ber btttte: Saffet un9 Btlltg
(justes) fctn, unb ben Sd^aÇ tctïcn,^ fo totc totr t^n gcfunbcn
Jfàbtn. Darauf tctitcn fie tl^n unb fefetcn il^tcn SBcg fort, in»
bcm* fie flcj^ ilter ben ®c6raud^ unterl^teltcn,* i)cn fie Don tl^ren
Stetd^tiimem mad^en tooQten. 3119 ta lie SeBen^mtttet,^ toeld^e {le
mit fid^ genommen l^atten, aufgeje^rt^ toaren, famen fie ûBeretn,^
bag einer k)on il^nen in bte @tabt gel^en foQte, um toeld^e (en)
gtt îaufen, unb bag ber iiingfle bief en ïluftrag® Wemel^men
foDte» 3)iefer gtng fort.
Uttterioegg» fagte biefer ju fic^ fettfl: M tfl fd^obe,!»
ba§ toir unfer brei getocfen ftnb ; td^ loilrbc r>ïel reid^er fetn,
tocnn xâf ben @d^a^ a Ile in gefunben l^Stte ... !iDiefebetben
l^aben tnid^ aU meineS 9îeid^tumd beraubt ... I5nnte id^ nici^t
1) trésor. 2) raifeassé. 3) partager. 4) tout en s'entretci^ant.
5) vivres, provisions. 6) consommer. 7) convenir. 8) commission
9) chemin ûdsant. 10) dommage.
\
280 Leçon 46.
•
'allcê toicbcï ieîommcn? (2« tourbe mtr Ict(!^t fcfai; id^ bûrftc^^
nuï btc Sefccnômittcl tocrgtftcu,^* bic td^ îaufcn fofl; fcct memcr
Slfidlel^r tDilrbe td^ fagett, ba^ xâf in ber ®tabt }u SRtttag ge*
fpcijl l^abc ; mctnc ©cfSl^ïten toûrbcn ol^uc 3Rt§traucn ^^ \>a'oon
ejfen, unb fie tDiit;ben flerSen* dd^ l^aBe jiet^t nur ben Mtten
j£et( be9 ©d^a^ed, unb bann koâtbe id^ a lied Betommen."
Onbeffen fagten bie beiben anbcm SRcifcnben juetnanbtT:
ffîad braud^en toit btefen iungen SRenfd^en, auf b e f f e n Ktt>lxd^'
ïeît^* tDtr ttn« gat ntd^t Derlaffen^* Knnen, Knger Bei un« ju
l^aben; totr l^aben ben ®d^a^ mit il^m tetlen mfiffen; fetn S^eil
I^Stte bie unftigen tytxmtf^xt,^^ unb toir toaten teid^cr, ate totr
ie^t finb. Sr toirb Ba(b totebertommen, toit l^aBeu gute S)oId^e
(poignards) . . .
©et îunge SKenfd^ fam mit tJcrgifteten SeBendmitteIn jurilcï ;
feine ©cfa^rten ermorbcten il^n, fie agen; Pc flartcn; unb ber
©d^a^ gel^drte niemanb*
©0 fanbcn afle brei il^ren t)erbienten *^ Sol^n.
11) je n'aurais qu'à. 12) empoisonner. 13) méfiance. 14) probité.
15) se fier. 16) augmenter. 17) mérité.
Questionnaire*^)
SBer reifle mit einanber?
Sa9 fanben fie auf bem Segel
ffîa9 fagte ber eine?
Sa9 antttwrtete ber anbere?
Sa9 tl^aten fte atdbann?
^U il^re SeBeKdmittel aufgejefirt toaren, ma9 Befd^(of[en fie, ju t^un?
SBer mugte biefen Xuftrag fiiernel^men?
SBaa fogte biefer ttnter»eg« ju fld^ feïBjl?
SBetd^en "^lan ^atten bie Beiben anbem in feiner ^(loefen^eit (ab-
sence) gemad^tl
Sae gefd^al^, al9 ber iunge Sl^ann 3urii(!fam?
ffîem gel^Srte atdbann ber ^â^aiè^.
Quarante-sixième Leçon.
Emploi des temps de Tindicatif.
L^emploi des temps en allemand diffère très peu du
français et présente, en conséquence, peu de difficultés.
En voici les règles essentielles.
i I. Présent.
\ Le présent peut remplacer le futur, quand Taction
est^pupposée devoir bientôt se passer ••
r ■ '■
* 1) A partir d'ici l'élèye doit former les réponses lui-même.
Emploi' des temps de l'indicatif. 281
Sàf leife bief en Kenb aB je partirai ce soir.
3n brei Za^tn font me id^ toieber.
Dans trois jours je reviendrai.
a^^ein OHm fommt morgett an.
Mon oncle arrivera demain.
@te fSntten fommett, toarm @ie moKen.
Vous pourrez venir quand vous voudrez,'
II. Imparfait.
Uùnparfait répond à la fois à Vimparfait et au dé-
fini français: quelquefois aussi au passé indéfini. En
allemand Vimparfait a un caractère essentiellement hts-
iorigtie ou narratif, c'est-à-dire qu'on remploie de pré-
férence danç les phrases où plusieurs faits ou événe-
ments sont racontés et mis en un certain rapport ou
limités par le temps. Ainsi donc Von s'en sert toujours
après la conjonction aie, pour exprimer un temps passé
simple. Souvent aussi il exprime une simultanéité.
3efù9 f^ra^ }u femen Sûngern; ®e^et ^ïn te,
Jésus dit à ses disciples: Allez etc.
^U \âf ïfju fommen fa^, Wo^ fté bie %\fûxt.
Lorsque je le vis venir, je fermai la porte.
SBtr gingett f^ajieren/ toal^renb unfere greunbe Staxttn jpittttn.
Nous nous promenions pendant que nos amis jouaient aux
cartes.
III. Parfait.
Le parfait exprime qu'une action est passée et ache-
vée sans aucun rapport avec un autre événement. Il s'em-
Î>loie donc principalement dans des plfrases simples , iso-
ées, quand l'action n'est point restreinte, à un moment
donné.
Sd^ (aBe geflem letnett iBrief ton i^m em^fangen.
Je n'ai pas reçu de lettre de lui nier.
2)er ^rbeiter tfi xtië^tliâf Belol^nt soorben.
L'ouvrier a été richement récompensé.
SEiït lange iinb @ie in S)eutf4(anb gebUeben^
Combien de temps êtes-vous resté en Allemagne?
5^ btn geflern auf bem 8aIIe getoefen.
J'ai été au bal hier.
S^ \faU @te fc^on (ange nid^t me^r ^efe^en.
Il y a longtemps que je ne vous ai vu.
Ôaben @ie fd^on ju SKlttag a^ptift (dîné)1
3âf l^abe (leute ntn 4 \Xf)t gef))eifl.
IV. Plus-que-parfait.
Le plus-que-parfait -correspond à deux temps fran-
çais : au plus-que-parfait et au passé antérieur. Ex :*
282 Leçon 46.
92a(!^bein (aie) ï& bie S^itmig gelefen l^atte, ghtg t^ aite.
Apiès avoir lu le journal, je sortia.
Gr (atte lo&^renb bee (B€ià>itttc9 gefil^Iafett.
Il avait dormi pendant l'orage.
fbot mtr ïofit niemanb bagemefen.
Avant moi, personne n'y avait éié.
Nota, Dans les 'propositions accessoires, l'auxiliaire f^attt ou
toar, est quelquefois omis, surtout en poésie. Ex.:
Unb al9 er lanm ba9 SS^ort gefproii^en. (eAtOei.)
A peine eut-îl prononcé ce mot ^
Unb tfft cr mid^ ncé gefe^en (^atte).
Et avant qu'il m'eût vu.
V. Futur.
1) En général le Jittur et le futur passé sont assu-
jettis aux mêmes règles dans les deux langues. Il y a
cependant des cas où celles-ci diffèrent. Âmsi Ton rend
parfois le futur français à Taide des auxiliaires foUen
ou woHen. Ex.:
2)u foSfi xii^t fle^Ien tu ne voteras point
SBad foÊ aud mit ttxrben que deviendrai-je?
Sir toollen fe^en nous verrons.
3âf toitt ed if^m fagett je le lui dirai.
2) Le futur immédiat, indique en français par je vaù
avec un infinitif, est exprimé en allemand par ic$ iDetbe-
gleid^ ou xdf (in baran, itn iSegrtffe )U, et /allais par tc^
tPoKte efeett ou xàf toax auf bem ^unfte, xm dégriffé ju. Ex.:
S^ tDi^rbe Qltïâ} fcmmen je vais venir.
iâf tocQte t^m ibcn fd^relBen j'allais lu! écrire.
Exereiee* 148.
1. 2)te @tabt 9tom Uegt auf fteben Çûgeln.^ iRad^ bem
fEixntex lommt ber ^l^Img. !2)te Stmut^ tno^nt oft nebenbem
ÛBcrfïuffc* SKorgcn abcnb rcifc i^ mâf ©trapurg; tooDen
®ie mit? !î)togene^ mol^ttte in emem $affe.^ ^uxéi men murbe
SBel getBtet? S)te duben lool^nten juerfi tm Sonbe ®ofen; f^et*
naâf }ogen fie in ba9 Srnib Sanaan* ^or brei SBod^en l^at ber
3ager etnen ffu(!^9 gef^offen. SBtt tnetben bad iDtel^I Bet einem
anbem SSder taufen. d(!^ l^aBe ntetne StBeit geenbtgt.
2« 9)ian f^at aUe Offijiere Beflraft; toeld^e bte ^al^nen ^ Dcr».
laflen l^aBen. S)te Si^tiet ^atten bnrd^ tl^ten @tf)($^ ben ftSnig
©efolhid gegen fld^ aufgeBrad^t (irrité), ber in È^tipita l^etrféte
unb fo ))tele Metd^e^ erobett l^atte. àd^ l^atte meine ©efd^âfte
f(^on Bcenbigt, al« td^ 3^tcn Srief cïl^tcït* . «tt cr.nitr bic ®e-
fd^td^te er^&l^rt l^atte , f^Iief er etn.% di ^at btefed dal^r ni(^t
. 1) colline. 2) la pauvreté. 3) abondance. 4) tonneau. —
5) drapeau. 6) orteil. 7) empire. 8) s'endormir.
Emploi des temps de Tindicatif. 283
Diele Xxauitn^ 8^fl^^^^* ®o(aIt) xâ^ metn ®elb er^altCr toerbe
i(^ bte @tabt t>erla{|en. !Du. follfl ntd^t tSten. dd^ toerbe S^xtn
Sriéf gletd^ auf bte $o{l tragen. dd^ tooUte e^ btr eben fagen«
9) raisins.
Thème. 144.
1 . L'histoire de chaque nation commence piff (mit) des
fahles.^ On n'aime pas toujours ce qu'on admire. Demain,
je ne serai pas à la maison. Dans une heure y aurai fini.
Les Égyptiens^ embaumaient ^ leurs morts, les Romains les
brûlaient. Charles XTI montait à cheval trois fois par jour,
se levait K cinq heures du matin, s'habillait seul et ne bu-
vait pas de vin. Lycurgue donna de sages lois^ à sa patrie,
la quitta ensuite et n'y retourna plus. J'ai cherché mon
livre et j'ai écrit mon thème. Ne lui avez-vous pas dit cette
nouvelle? Non, je ne l'ai pas encore vu.
2. Les brebis^ ont toujours craint les loups et les
craindront toujours. Combien de lièvres avez-vous tnés^ à
la chasse?^ Nous avons tué cinq lièvres et douze perdrix.*
Qui inventa la broderie?^ C'est Minerve, la déesse^® de la
sagesse et des arts. Aussitôt que j'eus eu l'occasion'^ de
parler à M. Barry, je me hâtai ^^ de vous écrire. Quand
j'eus terminé mes affaires, j'allai me promener. Nous sui-
vîtnes votre conseil (dat,) , Tu aimeras tes ennemis ; tu
prieras^' ^ur ceux qui te persécutent.'* Le joiir va finir.'*
1) Çal&eï, /. 2) bie t^t^pitt, 3) einBaïfamlcren. 4) ®cfc(jc, pi.
5) e^afe. «) ficf^ofîcii. — 7) auf ber Sagb. 8) gelbÇfiÇncr. 9) bie
BMtxtl 10) bte ©Stttn. — 11) ©elegen^eit. 12) fia) beellen. 13) ieteu.
14) terfolgen. 15) )u Q^nbe fetn.
Lecture.
Siit S^i^man» bem £e(ctt ^timxii» U» ïSinttn.
3)tc bcrûl^mte ®(3^ïad^t Don 3t)r^ Knntc aflcra Ocinrid^ IV.
unflerBIt^ mad^en. Site ÇeerfiH^rer^ unb @olbat }eigte et eben
fo t>tcl ® efd^ltfï^lcit «' aï« îopfcrïcit.* (St burt^titt bot bcm
îreffen bie éttïSfen (rangs) mit l^etteter SRiene, totlâft ben @ieg
toïl^er bcrlilnbctc,* unb fagtc ju fcincn ïruppcn: „^nbcr, toetm
bie ©tanbortcn* cud^^ fcl^lcn, fb berfammcït tné^ um meinen
toeifecn geberbufcj^,^ tl^r tocrbet i^n tmmcr auf bcm SBege ber
S^re unb bc« SRu^ut^ antréffen- ®ott tjl fût un0." —
SWan gïauBte, bag ex tm ©d^Iatî^tgetilmmcl ^ umgefommcn
toarc. Rarxm tam ex toieber jum SSorfd^ein,^ mit bem Slute ber
1.) trait. 2) général. 3) habileté. 4) "wileur. 5) annoncer. —
6) les enseignes, drapeaux. 7) panache. 8) la mêlée. 9] reparaître.
284 Leçon 47.
Seinbe htt>tdt, fo lourben feine ®o(baten $^elben. SDte Ser6ftn«
beten ^^ tourben in @tûde gel^auen. S)er SJlatfc^aK t>on Stron
lommonbierte bad 9iefer))e{or))8 unb l^atte, ol^tte eéen m ber ^l^e^^
it9 ©efec^teé }u fetn, ernen gtogen Slntetl am ®tege« Sr
mûnfd^te bem ftSnig mit biefen SSSorten ® (ftd : „@tre, @ie ^cAta
l^eute getl^ttr toad Siron — unb Siron, toai ber ftSnig tl^im
foHte*"
!î)te 3RiIbe ^^ . be« ©iegerft erl^Sl^te ben Sîul^m be9 2:riuntp]^9.
nSRcttct btc fÇïonjofcn," fd^ric ex, inbcm cr bic glild^tlingc t>cr»
foigte. — %I9 ber aRarfd^aQ b'^umont ma) einer ®(]^la<!^t
Sbenbd feine Sefel^Ie l^olte,^' fo umannte et il^n jSrtlid^, (ub il^tt
)um 9iad^tef[en ein, lieg il^n an feine Safel fl^en nnb fagte:
M ift ^^^ itOig (ivLste), bag @ie am ^efUnal^Ie^^ teilnel^-
men, toeii ©te mit fo gut bei mcincr ©od^jeit ** gebient J^aBeti*"
®icffc 3ûgc maïcn *« ben gtogen SWann, toeld^er bie fînnjl befag,
bie $eT}en jn getoinnen.
10) les li^euis. 11) au fort du combat. 12) clémence. 13) Te-
nir prendre. 14) banquet. 15) noce. 16) peindre.
({iieslionnaire.
ffîeld^e ^d^la^t l^at ben ïflamtn Çetnttd^s IV. mt|ier(U(l^ gemad^tl
SBa9 )etate er babei?
"^ Selti^e SBorte fbra^ cr «or ber ©d^Iad^t )u feinen ©olbateni
SSad toutben feine ©olbateni
SBer fommanbterte bad 9{efert)eIor^1
SD^it tottâftn S^otten lofinfÂtc biefer bem StM^ ®IM p fdnem
©iege? ^
SBle toar er aï« ©léger!
S3ie seigte er biee?
SSeie^e (S^re erjetgte er bem' ST^arfé^aS b'Humont!
Quarante-septième Leçon,
Emploi du subjonctif
En général le subjonctif semploie pour exprimer
l'action d'une manière indéterminée et douteuse ; toute-
fois l'on en fait moins usage en allemand qu'en français.
L'on s'en sert:
1) après quelques conjonctions;
2] après certains verbes;
3) dans le discours indirect.
1. Le subjonctif après des conjonctions.
1] Le subjonctif s'emploie après les conjonctions
bamit pour que, afin que et bamtt ntd^t de peur que:
Emploi du subjonctif. * 285
@agett @ie t9 t^m, bamtt et e9 miffc.
Dites-lui cela, poux qu'il le sache.
Serftecfen &t fiii^, bamit tnait 6ie l^tcr ntd^t finbe.
Caonez-Tous, de peur qu'on ne tous trouve ici.
2) Après ipenn si, quand le verbe est à Vimparfaii
ou au plus-que-parfait (voy. p. 242, 3):
SBenit \âf retd^ tt>&it si j'étais riche.
SDmn metn fBaUt 3ett ac^abt ^tte.
Si mon père avait eu le temps.
fÇ^enn et ttma9 ]^5tte, fo sofirbe et e9 ^eben.
S'il aoatt quelque chose, il le danneraU,
SBetm t^ t^it gefe^ctt f^&tit, fo tofirbc id^ i^m cttoaS gejie*
Ben boben.
Si je l'avaw vu, je lui aurais donné quelque Aiose.
(S9 tofire beffcr, tt>am er frilbci^ famé.
Il vaudrait mieux qu'il vint plus tôt.
Nota. MoyenAanf une inversion la conjonction we^n peut étre^
omise, mais cela ne modifie point la règle précédente; seulement
la phrase commence par le verbe. Ex.:
ÇStte iéf ®elb, fo sofirbe id^ ein $fetb faufen.
Si j'avais de l'argent, j'aonèterais un cheval.
SB2Ere t^ nid^t frani, fo tviirbe td^ mit 3bnen gel^n.
Si je n'étais pas malade, j'irais avec vous.
fBiigte et, bag iéf ^ier bin se.
S'il savait que je suis ici, eto*
3) Après aU \x>tnn, \x>it ipenn, aH oh comme si,
et après ald quand le mot ipenn est omis.
Far contre, après les autres conjonctions qui régissent
en français le subjonctif, on met Vindicatifs à moins
qu'une des règles suivantes n^inter vienne. Ex.:
Sr fle^t ans, ald iDenit (ou aU ob) er (tant toSre ou ttti
toSre er franf.
n a l'air d'être malade.
QS fd^etnt, a(d menn man ottd^ bctrfigeit mode ou aU moIU
man mid^ bettfiaen.
n semble qu on veuille me tromper.
li. Le subjonctif après certains verbes. •
1) On l'emploie après les verbes qui signifient prier^
ordonner, dire, vouloir, aimer, conseiller, souhaiter, per-
mettre, espérer, craindre etc. S'ils sont au présent ou à
r impératif, le verbe au subj. qui en dépend se met aussi
BU présent.
286 • I^eçon 47.
• •
iBitten ®ie SWn BaUt, bag et 3(nen (9elb gebe.
Priez Yotre père de vous dozmer de l'argent..
Sàf ffaU Qt((t *gem (id^ erlauB'e nt^t k,), baQ er nad^ $«1^9
Je n'aime (je ne permets) pas qu'il aille à Paris.
Sd^ min, bag mon mit gel^ord^e.
Je yeux qu'on m'obéisse.
Nota, Nous joindrons ici .l'expression : J&tUtt (Bttt plût a
Dieu, après laquelle on emploie l'imparfait. du subj. Ex.:
fSoSte ®ott, er fSme ou bag er tSme.
Ftût à Dieu qu'il vint.
lUmarquê, Après Befel^len et fagen on préfère remplacer le sub-
j onctif par f o H e tt. Ex. :
etU^tn 61e (fagett ®te) Sl^ren ^d^iilem, bag fie ru^ig fein
Éotten.
ez (dites) à vos élères d'être tranquilles.
2) Après les trois verbes tofinfci^en désirer , êou-
haiier, f^rd^ten craindre et iitttnprter^ quand ils sont
•à rimparfait, le subjonctif est généralement remplacé
par Tauxiliaire m&d^te.
3âf miinfd^te, bag ei (ter Meibett m9d^te.
Je voudrais qu'il restât ici.
(Sx bat mià), bag ÏA l^n Befud^en mSd^te.
Il me pria d'aller le voir.*
«
NJB. La conjonction bag peut être omise ^ si la proposition
précédente n'est pas négative. Ex.:
®ir fiird^teten, er mdc^te uttd tabeln.
Nous craignions qu'il ne nous blâmât.
3d^ iDfinfd^te, ei mSd^te l^ter hltïUn.
Exereiee. 145.
!• ©d^iden ©te bcï armen Çrau bcn Slad^€ (lin), bamlt
pc tl^n fptnne* ffier ftnaBc ïiegt ba, afô loeun cr fd^Itcfc»
S)er alte.SRann gel^t, al9 oB er (al^m^ n)are« (Sr fprad^, mie
tocnn cr toal^nflnntfl* idStc. Stttcn ©te Sl^rc ©d^toejler, bag
fte Balb l^ier^er lomme. debennann tD^nfd^t, bag ber ©entrai
bte ©d^Iad^t getotntte. 69 to&re }u toiinfd^en, bag ber ®enera(
bie ©d^Iad^t geto&nnc (ou gcioinnen mBd^te). SBtr fûrd^tcten,
bag baô (£t«* Bcrjic* (ou Bcrjlcn module). 3d^ Bcfel^ïc, bag cr
bad ]|tmmer lôerlaffe (ou t)erlaffen foQ)* 3d( loilnfd^e, ba| er
ialb genefc (ou gencfen mBd^te)»
2.^SBenn man enâ^ f)ïtx fSnbe, fo toSret il^r berbren.
3d^ ibilnfc^te, bag même Xod^ter Balb tame. $dttetd^ geiougt,
bag $eu' SDttQet l^tet ifi, fo tDiirbe td( il^n Befud^t l^aBen. SBenn
1) perclus. 2) insensé, fou. 3) la glace. 4) se fendre. —
Emploi 'du subjonctif. 287
et fletgtg loSre, fo loûrbe u^ il^n loitn. dd^ mfirbe e9 tl^im,
tDenn ic^ ettoad baiei gemStme. Unb laget tl^r im tiefflen ^ 96«
grunbe/ ®otte8 $anb (9nnte eut^ J^etaudjifl^en.^ SBenn Sâfor
ntd^t ermorbet toôtben loter fo l^atte er^ eBenfoiool^I aU 9tt«
gufhtd, bie 9timer an fetne ^evrfd^aft^ gemSl^nt.
5) profond. 6) abtme. 7) retirer. 8) domination.
. Thème. 146*
1. Fréquentez^ les hommes sages, afin que vous le
deveniez aussi par leurs bons exemples. Employez ^ bien le
temps de votre jeunesse poiir que tous puissiez un jour
remplir' dignement^ les devoirs de votre état.^ ^11 me
semble avoir [eommê si /avais) vu ce jeune homme quelque
part.^ Si j*avais assez d'argent, j'achèterais une maison.
S'il était plus laborieux, je le {dai,) paierais davantage.''
2. Si vous me refusiez^ ma prière,^ je me fâcherais ^^
contre vous. Priez votre mère de vous donner la per-
mission de sortir avec moi. Je ne permettrai pas qu'il fré-
quente^^ cette mauvaise société. Le roi veut qu'on obéisse
à ses ordres. Je voudrais que tu me rapportasses mon vio-
lon. ^^ Les anciens ne croyaient pas qu'il y eût un autre
monde. Je crains qu'il [ne] scit très fâché (aufgebrad^t) .
Nous craignions qu'il n'arrivât trop tard.
1) OeÇen €ie mit ... um. 2) oti'toenben, v, sép. 3) erffittcn. —
4) toiirbtg. 5) (^tanb, m. 6) irgenbtDO. 7) nod^ mel^r. S\ al6f(((iigen.
9) ©Itte, /. 10) U\t mtbtn ouf. 11) bcfu^en. 12) «loïme/.
ni. Le subjonctif dans le discours indirect
1) Quand une personne répète ou raconte à Vîîjp-
parfait ou au plus-que-parfait ce qu'elle-même ou une
autre personne a pensé, dit ou demandé, on emploie ce
qu'on, appelle le discours indirect ou oblique. Le vorbe de
la propos, subordonnée, marc^uant ce qui est pensé, dit ou
demandé, se met en allem. au subjonctif "prés. ou imparfait,
le sujet changeant de personne comme en franc., et se lie
à la principale par une conjonction ou un pron. interrog.
Cela se fait après les verbes qui expriment une pen-
sée, un discours, une demande, tels que croire^ penser,
t'imaginer, présumer, dire, raconter, avouer, répondrcL dé-
clarer , écrire, prétendre, supposer, demander etc. Tandis
q]a'on dit p. ex. dans le discours direct: (Sx fagte JU
tntr: „Sâ^ Un IxanV, Ton aura dans le discours ôbuque:
•
1) En latin oraiio obliqua.
2) En français le verbe est à l'imparfait de lindicatif.
288 Leççn 47.
Qx fagte mit, baÇ et IranI fet ou «are (qu'il était
malade). Ex«:
*S>ca Jhnb ftgte mît, bag feine SRittter ge^rbm loSte (ou fei).
L'enfant me dit que sa mère étqft morte.
(Sr fraate mt4* ob metn ^Sater beutf^ f^teti^e ou f^^rSd^e.
Il me demanda si mon père parlait allemand.
34 ftagte bett i^aufmann, mietoiel bas JSilo lofle.
Je demandai au marchand combien le kilo coûtait.
Çattcn @ic i^tn aefdbrieben, bag @ie franf feien (mlEren)?
Lui aviez-Tous écrit que tous étiez malade?
2)er Strbetter erftSrte, bag er ed nid^t maAcit t9nite.
L^ouYrier déclara qu'il ne pouvait pas le faire.
2)er 9letfenbe glaubte, bag man t^n befle^len tooUe.
lie voyageur croyait qu'on voulait le voler.
Nota i. La conjonction baS peut être omise, mais alors le
Terbe reprend sa place ordinaire. Ex.:
2)ad i^inb fagte mit, feine Wlntttx toaxt (fei) geflorben.
2)et Srbeiter erflarte, er fSnne (ou tSnnte) ed nic^t mad^en.
5àt glanbte, er fei (toSre) abgereifl.
Nota 2. Il ne faut pas confondre avec les rerbes mentionnés
au § 1, des verbes tels que voir, trouver, savoir, ou ceux qui ex-
priitaent une assertion, une conviction etc. Ex.:
3c^ ton%U, bag er SBort l^alten tourbe (non pas merbe).
Je savais qu'il tiendrait sa parole.
34 n>ar fiber^^eitgt, bag er t» getl^an ^atte (non pas (Stte).
J'étais convaincu qu'il l'avait fait.
2) Observons que, pour employer le subjonctif,
comme nous venons de le dire, le verbe de la première
proposition doît être à Yimparfait ou au plus-qtM^arfait
SU se trouve à un autre temps ^ il faut généralement
employer Vindicatif. Ex.:
i>QL% ^inb fagt mit, bag feine SDÏutter geflorben i^.
gragett @ie i^n, ob feitt Sater beutf^ f^rid^t.
(Sr glaubt (fagt) felBfi, bag er Untc^t b^t.
. 34 merbe ben ^aufmann fragen, toietoiel ba9 ^i(o foflet.
, jf^aben @ie il^m gefd^rieben, bag @ie frani finb?
2)er ^rbeiter erfUirt, bag er ed nid^t mad^en fann.
3) Cependant il arrive quelquefois que le présent ou
le parfait remplace le passé pour animer le récit, ce
qu'on reconnaît aisément par le sens. Il est clair que,
dans ce ci^s, il faut employer le subjonctifs comme si le
verbe était réellement à Timparfait. Ex.:
Qr bebontotet in feincm 8ud^e. bag iener iBerg 4000 9)?ctet \^
fei (ou ifi).
Emploi du Bubjonotif. 289
(Er fd^retBt^) mit, bag er ben Staï\tt gefe^en ^abc.
@ie fagm mtr^, bag i^ e^rgeqtg fei {que Je suie ambitieux),
4] Dans les exemples précédents on a observé que
Vimparfait français est traduit par le présent ou Vtmpar"
fait du subjonctifs Four le style ordinaire on ne fait
guère de différence. Mais dans la règle on devrait mettre
Vimparfait quand le présent du subj. et le prés, de
Vindicatif ont la même forme. Ex.:
SBir glanUtn, toit Idnnten {et non Idnnett) ni(!^t lommett. {Le
pluriel du présent de Vindicatif toit ISnnen ne diffère
pas du près, du subj,)
(Sr fragte uni, ob tt>tr (Sngttfc^ fprSd^en. {Le présent du subj,
.Xc\l\1pxt6itVLne diffère pas du présent de Vind,).
5) Après les verbes gtouBcn, ntctncn, fagenetc.
quand ils ne sont pas à Vimparfait ou bxl plus^que-parfaitj
il est souvent loisible de se servir de Vindicatif ou du
subjonctif; cela dépend entièrement de Tintention de celui
qui parle. S'il veut indiquer que la chose est certaine
pour lui, et qu'il n'en doute pas lui-même , il choisira
l'indicatif; si non, il emploiera le subjonctif. Cette
phrase , par exemple : Croyez-vous qiiil vienne , peut
être rendue par:
®lanUn @te, bag er lommen toirb? aussi bien que par:
®tattbcn @ie bentt, bag er Tomtnen toerbe?
Dans le premier cas, on indique qu'on le croit; dans le
second, la chose est laissée incertaine.
Cependant l'indicatif est généralement préféré.
6) Le subjonctif allemand répond aussi au subjonctif
français pour remplacer Vimpératif, Ex.:
(Sin ieber t^ue fetne $flid^t aue chacun fasse son devoir.
Sang lebe ber 5!dnta puisse le loi vivre loug-tempsi
2)te Stebe {et ol^ne ^alfd^ que l'amour soit sincère.
Nota. Quand le verbe se trouve à la troisième personne, on
peut aussi employer (oïïen (voyez p. 270, 5).
^Xn ieber fo(I feme $flt(!^t t^un.
'2)te Siebe foQ o^tte galfd^ fein.
(Sr foS femen ^nteil befommen (qu'il ait sa part).
1) n est évident que l'action d! écrire n'a pas lieu à présent,
puisqu'une lettre doit avoir été écrite avant d'être reçue.
2) @ie fagen tntr a vous venez de me dire. L'idée a été déjà
exprimée.
OTTO, Grammaire allemande. 19
290 Leçon 47.
7) De même pour exprimer un vœu:
ffîoSU <9ott, bag er gerettet iDSrel
Plût à Dieu qu'il fût sauvé 1
Exercice. 147.
SRoxt fagte, ber ®raf fei geflotien, alletit id^ f)ait fettbem
erfal^ren, bag btefe Sïad^rid^t fatfd^ toar. SDtentoT erjctl^lte mit oft,
loel^en 9îu]^tn Ult^ffed unter ben ®rie(!^en erlangt l^abe. 9}2an
^atte mid^ of t berft(^ert, bag bie ©lûdfeUgletten ^ bte fer SBelt nut
Douïurjcr ©aucr^ fctcn» Çilrjl, man tt)irb bit fagcn (H, 1), bu
fetefl aHm^d^ttg'; man totrb bit fagen, bu fete^ bon betttem
SoÙe angeBetet. SJlein ©ol^n fagte mit, er l^abe ^o^ftoel^. SD'îan
fé^rieB mit neultc^, bag Çerr (S. Irant koore unb bag fein Sruber
nac^ Smertta gegangen toSre. @r t{l ber $err, er t^ue, toad tl^m
tool^I gefSnt. ®ott frrad^: c« toerbe* Std^t, unb cô toarb gi^t-
D bSd^ten bod^ aile toie bu unb id^! ffî&re er bod^ aufrtd^ttg^!
O bag bie gute £6ntgin nod^ (eSte!
1) félicité. 2) durée. 3) tout-puissant. 4) . . soit. 5) sincëre.
Thème. 148.
Le jeune homme dit que son père était mort. L'Anglais
croyait qu'on voulait le tromper. J'ai demandé à son frère
s'il voulait vendre son cheval. Charles a dit lui-même qu'il
s'était trompé.^ L'enfant avoua ^ qu'il avait menti. Je lui de-
mandai s'il ne savait pas ce qu'il y avait (gdbe) de nouveau.
Je pensais que vous viendriez ici. Croyez-vous qu'il ait dit
cela? Que chacun se comporte ^ hieni Ohl que je fusse morti
On demandait à un jeune homme quels exploits^ il avait faits
dans les Pays-Bas.^ Il répondit qu'il avait coupé ^ les jambes^
à XLD. Espagnol. On lui répliqua que cette action^ n'avait
rien d'extraordinaire, mais que c'eût été quelque chose s'il
lui avait abattu^ la tète. Il répondit qu'il avait trouvé que
la tête avait ^^ déjà été abattue.
1) fia) imn, v. réfi, 2) geflel^en. 3) fld^ betra^en. 4) ^elbcntl^at
M, —en). 5) bie 9{teberlanbe. 6) abgebaum. 7) bie ^è^Vit, 8) Çonb'
lung, /. 9) aBgcWïogen. 10) Indicatif (voir p. 288, Note 2).
Lecture.
Ste ge)irftfte £rette« La fidélité mise à l'épreuve.
S)cr ftoKf SKutctoeM l^atte eiuen fremben arjt, 9îamcu«
© onatn , tocld^en er toegcn feiner grogen S33tf[eufd^aft \éfc eljfrte.
Emploi du subjonctif. 291
Smige $^of(eute mad^ten \f)m biefen iDtann t^erbSd^tig^ unb fagten,
ba§ man fic^ ouf feine Sreue ntd^t tool^l Derlaffen^ tBnne*), ba
ex ein Sudlonber^ fei. SDer fidif tt>uTbe uniul^ig unb t&eUtt
ï^n pïftfctt*, mtoiefern btcfcr Slrgtool^ii* Bcgrilnbct toâre. (Sx
(ieg tl^n }tt fié) lommen unb fagte, et l^aBe unter fetnen (Smim
einen gefal^rlid^en t^etnb, gegen toeld^en er toegen fetned fiarteit
Sbtl^anged * leine ® emalt geBraud^en t .3 n n e» !iDal^er 6 e f e 1^ ( e er
tl^m, bag et ein feined ®tft Béret te, ba9 an bem £oten teine
@))ur^ t)onfi(i^}ttritd(affe; ermoHe xJfxi morgen }u einem ® afl*
«la^I® einlaben, unb jîd^ fciner ouf biefe SBcife entïebtgen»' —
Çijnatn antmortete mntig, feme SBtffenfd^aft erflrede^^ flci^ nur
ouf 3lr}neten, bie bad Seben erl^alten; onbere tonne er ntd^t it*
reiten* <Sr l^abe flc^ anâ) nie Bemitl^t, ed }u erlemen, toeil er
glauBte, ba§ ber Sel^errf^er ^^ ber toal^ren ®lau6igen^^ îelne
fo^e fienntntffe t)on tl^m forbem ko ii r b e* SBenn er l^ierin Unred^t
getl^an 1^ a B e^ f o m 5 g e ed tl^m etlauBt fein, f einen Çof }u Derlaffen*
SWutctoeluI ertoiberte, bieô f et nur cinc lecrcÊntfd^uIbigung^';
toer bie l^eiCfamcn SRttteP* îenne, berîenne anâ^ bte fd^ablid^en*
— ®r hat, er brol^te, er t)erfj>ra(3^ ®ef(3^cnle» Umfonji ; Çonain
blieb bei feiner Urtmort. (gnbKd^ flcllte fic^ « ber ftalif erjûmt,
rtef bie SBac^c unb Befal^I, btefcn toiberfpenfligen** SWann in«
@efangni« ^u fûl^rcn. !î)a« gcf^al^ (ainsi fut fait); aud^ toarb
ein ftunbfc^aftcr" unter bem ©cj^eine eineô ®efangenen ju tl^m ge*
fe^t, ber il^n au^forfd^en unb bem ftalifen oon aQem , toa9 Ço^
nain fagen n)firbe, iRad^rid^t geben foHte. @o untDiHig^^ $onain
aud^ ûber etne foldbe Segegnung^^ toar, fo loerriet er bod^ mit
letnem SBorte feinem SJîitgefangenen , toarum ber ftattf auf tl^n
3firne^<^* SUed, toad er l^ierftber fagte, toor, bag er unfd^ulbig
toare* {La suite à la Jin de la leçon suivante,)
1) suspect. 2) se fier. 3) étranger. 4) mettre à Vépreuve.
5) soupçon. 6) parti. 7) trace. 8) repas, dîner. 9) se débarrasser.
10) 6*etendre. 11) le souverain chef. 12) croyants. 13) excuse.
14) remède. 15) feindre. 16) indocile. 17) espion. 18) tout
indigné que ... 19) traitement. 20) était f&ché.
(Questionnaire.
®a9 ffir einen 9tgt Batte ber StoXx\ WlvAtxcthxX an feinem Çofel
IBer mad^te iBn berbâd^tigl
Sud toelc^em (drunbeî
SBa« Befd^Iog bed^alB ber i^alif )u t^unl
SBa9 )Mriangte er ton Çonaini
SBann foSte bie ISergiftung flattfinben?
SBae anmxnrtete Çonain?
Sar ber JSaUf mit biefer ^Inttoort aufriebeni
®aB Çonain sule^t nad^?
*) Les mots en lettres espacées indiquent le discours indirect*
19*
292 Leçon 48.
ffia« t^t jttle^ Wluttù>thiU
Sar Çonam ouem m ®efSngni9?
fBa» \oUtt biefer îD^itgefangene tl^un?
@d^alt ber Srst ûber bie Ungered^tigfelt bed JlaUfeitl
Quarante-huitième Leçon.
Emploi de Tinfinitif.
I. L'infinitif est souvent employé comme substantif,
soit avec Tarticle neutre, soit sans article. Ex.:
2)a0 Steiten ifi eine angenel^me Setoegttng.
Monter à oheyal est un exercice agréable.
2)a9 Sefett ermûbet bie ^ugen.
La lecture fatigue la yue.
®eben t|i feliger aU 92el^men.
Il est plus agréable de donner que de recevoir.
il. L'infinitif simple, sans jn, est employé:
1] après les auxiliaires modificatifs foQen, \DoUm, m^*
\m, îimtn, môgcn, bfirfen et laffcn, comme en français. Ex.:
ffîir fSnnen betttfi^ f))re^en nous savons parler aUemand.
(5r lieg bot SDlîann tufen il fit appeler l'homme.
2) après les verbes suivants: fcl^cn, l^ôïcn, fûl^Icn,
lemcii, mad^cn, l^etÇen (ordonner) et l^clfcn (aider). Ex.:
5^ fal^ bie ^«u )>orBeige]^en je vis la femme passer.
a^etn ®offn Itmt (SnaUf(^ lefen.
Mon fils apprend à lire l'anglais.
3Ran j^ieg ben Jhtaben ^inaudgel^en.
On dit (ordonna) au garçon de sortir.
S^ ffMt meinett greunb in einet ©efellfd^aft flngen.
J'entendis mon ami chanter dans une société.
SBoSen @ie mit avUïtm ^elfen.
Voulez-Yous m'aider à travailler?
3) Tous ces verbes énumérés dans les §§ 1 et 2,
quand ils sont accompagnés d'un infinitif simple^ forment
leurs temps composés avec Tinfinitif au lieu du participe
passé. Ex.:
Çaben @ie ba9 )93u^ (iegen fel^etil
ffîtr ^aben fran^Sflfi!^ f^red^en Urnen (aussi gelentt).
3(^ l^abe fie fingen ^ëren.
Ttan ^at mïèf rufen laffen.
2)er iDÏann if ai mir arbeiten ^elfen.
Emploi de Tinfinitif. 298
4) L'infinitif sans }U s^emploie aussi dans certaines
expressions avec les verbes siuvants:
ge^en: f^sleren gel^en, f(^(afen ge^m (aUei se oouohei), Bettcln
gel^en (aller mendier),
fa^ren: [))a)terett fa^rett se promener en voiture,
ternen: \pttAm Itcntn, fennett Umen (faire la connaisBance).
lel^ren: fdbretBen Uifïtn, lefen le^ren, itï6fntn (e^ren.
le g en: fiSçIafcn leaen oouoher.
bletben: Uegen Blewen, ft^en Bleiben, flel^en Meiben.
Ces yerbes prennent dans les temps composés la forme
ordinaire, c'est-à-dire le participe passé. Ex.:
SBir finb f^)ieren gegangen — gefa^ren k.
34 l^a(e bad i^inb fd^kfen gelegt
2)iefeï gel^rer f^at mïéf f^rclben gelel^rt.
Wltïn ^t\t (cahier) i|i auf bem 2:i|d^e liegen geBIieBen.
SSo l^aien @te biefe 2)ame fennen gelernt?
Exereiee. 149»
1. Da« Saben tjl gefunb» î)a« 3^^^^^^ ^P rf^i^ angenel^mc
Sef^cifttguTtg. S)ad éad^en mand^er Seute ifl unangenel^m. S)ad
©pajtcrengc^en tjl fftr mtd^ fel^r ermilDcub. 3c^ l^afce btcfen Çcrm
in $ATtd leimen gelemt. $at iemanb metn Sud^ gefel^en ? dc^
^àbt e« ouf 3]^rcm £ifc!^c Kegcn \tf)en. Scfen unb @c!^ïetBen ijl
fût îcbennann nSttg* éc^ ^^bc nad^ îlmeriïa au«t)anbeni^ tooHcn»
3)a« ©c!^nupfcn^ tjl einc ûbfc ©cwol^nl^ctt ^ 3" ^i^^ fc^fafcn
t{l eBenfo ungefunb, ate gu )Dtel effen.
2. S)cn tootteu SBcrt* bcr 3cit ïernicn, l^cigt Icbcn» SBcr
^at bt(!^ gel^en l^eigen? 3d^ ]^a6e t^m atbetten ^etfen* (Sx ffat
mtd^ tanjen gelel^rt. Sij ^abe bad ^ud^ noc!^ nt(j^t lefen fônnen*
!î)er ftôtttg ^at mxâi jn fl(!^ rufen taf[en. Çaben ®ie lefen looHen ?
Sfîein, id^ l^abe f^reiben toollem @inb ©te gejlem f^jajtcren
gegongcn? Stem, td^ btn fpajieren gefal^ren. Çelfen ©te mtr
meine Ûberfelung maci^en* "ètt dHâ^ttx ^at ben ©efongenen
tn« ©efcmgntd^ fûl^ren laffen«
1) émigrer. 2) priser du tabac. 3) habitude. 4) prix,
valeur. 5) prison.
Thème. 150.
(Le) manger et (le) boire sont nécessaires^ pour vivre. Le
sommeil est un besoin^ pour tous les hommes. Il déteste'
la lecture. Mourir pour sa patrie [c*]est glorieux^. Bien
mourir vaut mieux que mal vivre. Lire, peindre, faire de
la musique, voilà l'unique occupation^ de sa vie. Voulez-
vous dîner avec moi? Je me fis faire une douzaine de
chemises. Est-ce que votre fille apprend à dessiner? Oui,
1) nSttg. 2) ®ebiirfni9, n. 3) betabf^etten. 4) rul^m)>ott. 5) bie
einjige )93e[$âftigung.
294 Leçon 48.
elle ' apprend à dessiner et à peindre** Je voudrais bien
vous aider à travailler, mais je n'en ai pas le temps. Votre
tante et moi [nous] sommes allées noua promener le long
du chemin de fer^.
6) malen. 7) bte (SifenBal^n.
III. L'infinitif avec jn est employé:
1] quand il dépend d^ un substantif précédent. Ex.:
ÇaBen @ie Suft (envie) inS Sl^eater ju gel^en?
(Sx l^atte ben Wiut, fiBer ben glug }u fd^toimmen.
Sann merbe iâf bas l6ergnûgen l^aben, ©te M mtr att fe^enl
2) après les adjectifs qui sont susceptibles d'un com-
plément. Ex.:
2)iefe9 ®ebt(^t t{tlei(^t)ulernett (facile à apprendre).
2)iefer )8rief ifi \éftotx )U Ufen (difficile à lire).
3âf Bitt Begterig (curieux) )u fe^en, tt>a9 et gefmtbeu l^at.
3] après tous les autres verbes qui ne sont pas nom-
més dans les trois paragraphes précédents (II, 1 — 3), même
quand en français il n'y a pas cfe ou à. Ex.:
(Sr ftng an (se mit) )n laéftn,
SBann merben @ie aufl^Scen (cesser) lu fc^relBen?
2)a9 ^nb \6ftint ^ngft ju ^aBen (paraît avoir peur).
2)er 3ûngting BemâB^e fxâ^, bte ®nnft feines ^txm )U criangen.
Le jeune homme s'efforça cTobtenir la faveur de son maître.
2)er i^a^it^n fiBerrebete ben gtentben, mit il^m gu gel^.
Le capitaine persuada l'étranger cTaller avec lui.
3âf gtauBe, @ie gefel^en )u ^aBen.
Je crois vous avoir vu.
3ffx fBattx i^ttt barauf, un9 bort in finben.
Votre père comptait nous y trouver.
4) Quand les auxiliaires l^aben et fetn sont suivis
d^im infinitif, celui-ci doit prendre )U, comme en français :
3éf ^aBc ni(^t9 gn tBun.
ÇaBen Bit mit et»a8 )U fagen?
iki9 ifi ba (qu'y a-t-il) %u tBun, su anttQorten k.1
(S9 ifi su Bebauem, bag btefer iD2amt geflorBen ifi.
Il faut (est à) regretter que cet homme soit mort.
(Sine S^er&nberung ifi fe^r su tofinfd^en.
Un changement est bien à désirer.
5) On met Tinfinitif avec )tt après les deux prépo-
sitions anftatt et ol^ne. Ex.:
Snflatt su laéftn, toeinte er.
<Sr ging an9, oBne mid^ m fragen.
Wlanâft imtt toerben gel^agt (haïs), ol^ne e9 s^ berbienen.
Emploi de Tinfinitif. 295
IV. L'Infinitif avec nm — 511*) ert employé:
1} quand on exprime xm dessein ou une intention. Ex.:
3d^ reife, nm bie ©elt fennen jn Ittntn.
34 ^raud^e ^^ter, um etnen )93rtef ;u f^retben.
^aBett @te ®elb er^alten, um ein $fecb a» faufeni
2) après les adjectifs qui sont précédés des adverbef
)U trop, et gcnug assez, où Ton a en français pour ou
pour que. Ex.:
€^te tfi 3U inng, um biefe SrBett au t)errtd^ten (faire).
$err 91. ifi ni^t reid^ genug, um biefeS Sanbgut (campagne) au
faufen.
V. En français l'on se sert quelquefois de l'infinitif,
là où, en allemand, il faut se servir d^une conjonction :
cela a surtout lieu après les prépositions avant, après,
par, pour, quand la préposition est suivie d'un infinité
composé. Ex.:
Avant de partir, U. vint me voix.
(Sl^e cr aBreifie, Befud^te er mt(^.
Après avoir lu la lettre, il la déchira.
9laâf\>tm er ben )8rtef gelefen B^tte, aerrtg er iBu.
n a été pendu pour avoir tué \m honmie.
(Sx i\t geBSngt toorben, toeti er emen Sl'^ann get9tet Bat.
Vf. Il existe en français un infinitif elliptique,
après qui, que, où, à etc., que généralement il faut rem-
placer en sdlemand par une proposition complète. Ex.:
Que faire toa9 foH i(B tBun?
Je ne sais où aller, id^ toelg ni(Bt tooBin iâ^ geBen foH.
A qui recourir' dans cette circonstance?
3u mem foU id^ iu bte[er Sage même ^uf^ud^t ne^menl
A /entendre, on dirait qu'il est innocent.
Senn man iBn J)'ôxi, m^â^tt mon fagen, er [et unfd^ulbig.
A vous voir, on croirait que . . .
SSenn man ëte fteBt, foUte (ou tourbe) man gtauBen 2C.
Exercice. 151.
fleimcn ©te ctn fld^erc^ SKtttel ^ btc SWaufe ju t)crttlgen ? *
SDÎem Stad^Bar l^attc bie î[Bfld^t^ fetn Çauô ju toerfaufcn, um
fclne ©d^uteen* Bcjal^Icn gu Wnncn. 3cl^ freuc mid^, ju l^orcn,
ba6 3^t ©ol^n fotd^e S^renBejcugungen (honneurs) empfangen \)aU
Sâf l^aBc ïeinc Çoffnung mel^r, meineu t)erIorencn ©ol^n toiebcT
1) moyen. 2) détruire. 3) l'intention. 4) dettes.
*) um — }U répond au mot français pour.
296 Leçon 48.
)tt finben* <Sr ffottt tttd^tô mit biefem fd^Ied^tett iDtenf^en }tt
fd^affcn.* ©cr 8ôfc l^at ntd^tô ju l^offcti- S)tefer ftranïe ^at
t)tele @(!^mer}en )u erbulben.* dd^ t)er(or même Srieftafd^e, ol^ne
ed )tt iemerlen.^ Sâf toax geflem in dl^tem Çaufe, o^ne ed }u
loiffen* S)tt iifl ttic^t toûrbig^ S^^B' ^^ ^^^f^ Selol^nmtg* 3tt
em)>fan8en* X)er $au))tmann D>ar 3U m&be, um @te nod^ }u
(efu(!^en. 3d^ frâl^flûdte , e^e iâf auSging. 9lad^bem er bied
gefagt l^atte, )og er fid^ jurûd.
5) à démêler. 6) souffrir. 7) s'apercevoir. 8) digne. 9) récompense.
Thème. 152.
Ayez la bonté de me dire quelle heure il est. «T aurai
le plaisir de tous revoir bientôt. C'est le seul moyen de lui
plaire. L'art d'écrire est très ancien. Je suis curieux^ de
savoir si (06) elle tiendra sa parole.^ Est-il disposé ^ à le
faire? Les jeunes gens sont las ^ de travailler. D est diffi-
cile de faire cela. Je crains de lui déplaire.^ On m'ordonna
de rester à Paris. Me permettez-vous d'accompagner ma
sœur à la promenade? Non, je vous défends d'y aller. Cette
langue n'est pas facile à apprendre. Il n'a pas daigné^ me
regarder; car il s'imagine être un grand homme. Le malade
commence à dormir. Cesse-t-il^ de pleuvoir? Non, il pleut
toujours. Si vous continuez^ à danser, vous vous fatiguerez.*
Peut-on espérer de vous revoir? On ne vit^* pas pour manger,
mais on mange pour vivre. Cet homme est bien à plaindre. ^^
1) Begierig, ncuglerig. 2) 2Bort, n. 3) gcneigt. 4) milbe. 5) mlg»
faSen. 6) gerul^t. 7) cesser, auf^dren. 8) fortfal^ren. 9) ermiibett.
10) leBt. 11) beflagen.
Thème. 158.
Avez-vous à travailler? Non, je n'ai rien à faire. Il
serait à désirer qu'il vînt plus régulièrement.^ Au lieu de
travailler, il joue toute la journée. Je l'ai cherché sans le
trouver. Au lieu de rester à la maison, il est allé se pro-
mener. Je suis venu (pour) vous voir. Je ferai tout pour
vous obliger. 2 n faut connaître le cœur humain ^ pour bien
(rid^ttg) juger ^ des autres. Dieu ne nous a pas donné un
cœur pour nous haïr les uns les autres. Il me faut^ du
papier et une plume pour écrire une lettre. Je suis trop
vieux pour entreprendre • ce voyage. Avant de partir, il faut
payer vos comptes.^ Nous descendrons®, après nous être ha-
billés. Charles a été puni pour tC avoir pas (Y.) écrit son
1) regelmSgig. 2) »er^)fît4ten {ace), gcfSlïlg fem [dat), 3) ba«
mvxWïâit S^txi, 4) ttrteilen iibei. 5) t(^ (raud^e. 6) untemel^meit.
7) 8îed(^mmg, /. 8) l^inaBfommen.
Emploi de Tinfinitif. 297
thème. Aoant de parler (ayant qu'on parle), il faut réflé-
chir.' n fut le premier à se jeter (qui se . . jeta) sur T ennemi.
9) na^batfen.
Lecture.
Ste ge^Jtftfte îreue. (Fin.)
3laif emtgen iDtonaten Iteg ber Ralx\ tl^n toteber t)ot fid^
Brhtgen* 9uf etnem Sifd^ lag ein Çaufen ®oIb, S)tamanten unb
UftUd^e @toffe ; baneben a6er fal^ matt etnen Renier ^ ftéfftn mit
cmcï ®ct§cl 2 in bcr Qcaù> unb einem ©(i^tocrt untcr bcm îlïme.
„îDii l^aji nun 3ctt genug gc^aBt/' f pra4 SKutctoeluI , M^ ju
Bebcnlcn^ unb baô Unre^t bciner SBtbcrfpcnfligïctt* etnjufcl^cn.
9hm toSS)U: enttoeber ntmm biefe 9îet(!^tilmer unb tl^ue ntetnen
SBilIen, obet Berette bid^ }tt einem fd^tm))fUd^en ^ Xobe!" $onatn
aitt anttooïtete : eô f et ntc!^t fé^tmpflic^, fût ein SerBrecl^en fcejlraft
gu loerben, loeld^ed man nici^t begangen ^ 1^ a6 e. @r lônne flerben,
ol^nc bie (Sl^re fctne« ©tanbeô unb fetner SBiffenfcl^aft ju befïedcn'»
ffier ftaltf fei bcr $en fetneô Scben^ ; er tl^ue, toaô x\m gcfanc»
„®el^t ]^tnau«!" fagtc bct Salif jU ben Umjleléenbcn ; unb
ate cr aHein xoax, retd^te ^ et bem getoiffcnl^aftcn Çonain bte Çanb
nnb fptac!^: „$onatn, t(!^ 6in mit bit jufrtebcn; bu bijl metn
greunb unb iâ^ bet beintge. SKan l^at mtr beine ïreue t)cr'
bSd^ttg gemacl^t ; xif mu^te betne Sl^xlid^lctt prilf en , um getotg •
}u toetben, oB td^ nttc!^ )DoIIIontmen auf btd^ t)eTlaf[en I5nne*
SHd^t aie eine Sctol^nung, fonbem aîô ein â^td^en mcinet Çi^cunb*
fd^aft toerbe id^ bit btcfc ©cfd^cnle fenbcn, bie betne Sted^t*
fd^affen^ett ntd^t t)erfû]^ren ^* lonnten/' — ©o f))rad^ ber talif
unb Befal^I, ba« ®oIb, bte ©betfletne unb bie ©toffe in $onain«
^an^ 2U ttagen*
1) bourreau. 2) fouet. 3) réfléchir. 4) indocilité. 5) hon-
teux. 6) commis. 7) tacher, souiller. 8) tendre. 9) m'assurer.
10) séduire.
Questionnaire.
SBie lange BlieB {^onain im ©efSngnidI
9lld SThitemetuI tl^n toteber ntfen \it% tca9 jeigte er il^ml
9Ba9 fal^ man baneBen flef^en?
SBad ^atte ber ^enfer in ber {^anb?
SQSad ipxaéf bann iD^utemeluIl
ffîa9 bertangte er Don f einem ^rjt?
SBa9 antn)i>rtete Çonain?
SBaô (eftte er no^ ^^^î^ï (ajouta-t-il)1
ffîa« fagte ber ^alif )u ben Umfle^enbenl
SBie ft^rad^ er }u ^onain?
SBarum toollte er feine (gl^rlid^Iett ^vû\tn^,
Um iî>m feine 2)anïbaï!eit ju Begeugcn, mai Bcfal^ï erl
298
Quarante-neuvième Leçon.
Des participes.
!• Du participe présent.
1) Le participe présent s'emploie souyent comme
adjectif. Ex.:
2)a9 fd^Iafenbe i^tnb reniant endormi (dormant).
dint {lerbenbe Srau une femme mourante.
2)ie toBenben SStnbt les yents mugissants.
2) Quand le participe présent français est accom-
pagné d'un régime simple , on peut le traduire tantôt par
le participe précédé de son régime et suiyi du substantif
auquel il se rapporte , tantôt par ime proposition relatiye,
c. à d. régie par un pronom relatif. Ex.:
Les rochers bornant le riyage. (Voir p. 304, 2.)
2)ie ba9 Ufer BegcetQenben gelfen.
Une jeune fille appartenant à un ouyrier etc.
(Sin funged WlShtiftn, xotlâfti einem fLxUïitï ge^Srte 2C.
3) Quand le participe présent français ne peut être
employé adjectiyement, ce qui a lieu surtout lorsqu'il
a un complément ou qu'il fait fonction de gérondif, il
faut le rendre par une conjonction ayec le y. au mode fini:
a) par aliS, nad^bem, inbem etc., quand Tidée de
temps préyaut;
b) par ba ou loeti, quand on yeut exprimer un
motif ou une cause;
c) par babuïd^ baÇ, ou tocnn, ou inbem, pour
marquer un moyen, une condition etc.
Exemples.
a) temps.
Ayant parlé si longtemps, il était épuisé.
9ïad|bem et [o lange çtef^roc^en l^atte, toar er erfd^S^ft.
En allant au château, je fus surpris par la pluie.
Snbem (a(d) ïà^ auf bad @^Iog ging, mutbe id^ t>om dleges
ilberfaHen.
En revoyant sa mère, il pleura de joie.
9U ec feme SD'îutttr toiebeqa^, toeinte er ^or fjreube.
b) motif et cause.
Désirant le voir, j'allai chez lui.
^a t(^ ll^n )u fel^ett kofinfd^te, ging i(^ In fein {^au9.
Ne Vayant pas trouvé, j'y retournai encore une fois.
2)a ic^ il^n nid^t getroffen l^atte, ging id^ nod^ einmal ^in.
Ma mère étant malade, elle ne peut sortir.
SBeil (ta) meine ^vAitx tranl ifi, fo fann fte nid^t anSge^en.
Faxtioipef. 299
c] moyen.
n se sauya en iauiarU par la fenêtre.
(Sx rettcte ftd^ baburd^, bag et ou» bem genfier f|>rang.
On diminue sa faute en la réparant promptement.
fJlan toerringert feinm gel^Ier baburi!^, bag man (ou toenit^)
ou inbem man) ll^n fd^neU toteber gut mad^t.
JVb^ 1. Sont exceptés les verbes neutres, dont le par-
ticipe présent peut s'employer comme tel au commencement
ou à la fin d'une phrase. Ex.:
Sac^ettb fagte er )U mit }C. il me dit en riant.
@te entfentten fid^ fd^toeigenb ils s'en allèrent en silence.
Nota 2. En poésie l'on se sert aussi du participe pré-
sent suivi ou précédé d'un régime. Ex.:
$atroIlud, bem licBen gteunbe gel^ord^enb (obéissant).
3^n umgfirtenb (ceignant) mit bem Çelbenfd^mert.
4) Quand le participe présçnt avec en (gérondif)
est ou n'est pas suivi d'un régime, on peut le traduire
quelquefois par l'infinitif du verbe employé substantive-
ment et précédé de l'article et d'une préposition. Ex.:
En sortant de réalise Bei bem $eraudge^en an9 ber ^ird^e.
M. A. fume en lisant et en écrivant,
^rr %, raud^t beim Sefen unb @d^retBen.
Exercice. 154.
$cïï WliïUcx Xùccc etn forgcnber Satcr unb etn KcBcnbcr
®atte.i 3)<ig gjift, PeHt^ etn Ia(!^cnbe8 ^nb t)0ï.2 ®te folgeube
îtufgaBc tfl ju ilberfc^en. Çattcn ©te bte Sl^tc, fctnc Seïatmt*
^é^aft jtt mad^cn? Sampe^ 8îo6ittfon Erufoe tjl etn fcl^r unter*
^altenbcô unb belcl^rcttbcô Sud^. ©terficnb fprad^ er nod^ ctntge
aSBorte, bte i(!^ ntemafô i)crgef[en tocrbc. 3^ttenib fagte fte mit
Wcô. Sacl^cnb fal^* er mtc!^ an. 3f^ fanb ctne Sïaf^c, toe^e
roten SBetn cntl^telt. S)urd^ ba8 Scobad^ten* btcfer Sîcgcl
ïann man »ie(c Çc^Ier uermciben.* Sâ^ toerbe fpajicrcn gel^cn,
inbem iâ^ même ®ef(!^afte beenbtgt l^abe. S)a td^ finbe, bag
e9 mtr nnmôglid^ fctn toirb, mein SJerfprecl^en ju Italien, fo
nel^me Hj mein SBort jurûi. 3d^ fanb btefc8 ^clcf^en btefcn
ST^orgen, atô xâ^ aud bem Çaufe gtng. S)a td^ l^eute ntcl^t aud«
gel^en lann, fo bitte xâ^ ©te, mi(| ju befud^en.
1) époux. 2) représente. 3) regarder. 4) observer. 5) éviter.
Thème. 155.
1 . L'Italie est un pays charmant. Le tableau représente^
une femme endormie (dormante) . Voici un livre très amusant.
1) IBenn pour le gérondif ne s'emploie qu'avec le présent.
SOO ^^'OÇon 49.
Les 2Boldat8 ifurieux^ pillèrent la ville. Uempereur Néron,
ayant appris que le sénat Tayait condamné^, se tua lui-même.
On augmente^ son bonheur en le partageant avec un ami.
Cette petite ville s* étant rendue, les Suédois mirent^ le feu
aux magasins. Le général, ne voulant pas se rendre, fut
percé de coups.
2. Ce monsieur se fait aimer (ma(!^t [lâ^ 6eIteBt) en obli-
geant tout le monde. Je Tai rencontré en allant au (itld)
théâtre. Ne sachant où vous trouver, je m en suis retourné.
Le ciel s'étant éclaire!^, nous continuâmes^ notre route. On
risque^ de perdre en voulant trop gagner. Il prit^ ce parti,
ne sachant que faire. On punit la vanité^^ en ne la regar-
dant pas. Je lis le journal en déjeunant. Tout en pleurant
(mtttcn xm SBcincn), il ne put s'empêcher^^ de rire.
1) fleUt — toor. 2) toiltcnb. 3) terurteiït. 4) Derme{ireti. 5) f^cd-
ten . . bie SW. ïn ©ranb. 6) aufgeÇefft. 7) fortfeften. 8) Ocfal^t ïaufen.
9) einen @nt|^Iug faffen. 10) bie (Sttetfeit. 11) Voyez la Note p. 267.
IL Dn participe passé.
1) Le participe passé s^emploie souvent adjective-
ment, comme en français, et est même susceptible de
prendre les degrés de comparaison.
2)er geUeBte $ater le père chéri.
Sber getBtete SWann l'homme tué.
2)er gefaiïene @d^nee la neige (qui est) tombée.
(Stn gebtildEteted Soll un peuple plus opprimé.
2)a9 gefegttetfle Sanb le pays le plus béni (prospère).
2) Le participe passé de quelques verbes indiquant
le mouvement se joint au verbe ïommcn. Ex.:
2)er Stnabt tant geUufen (0ef)>rungen, geritten, gefal^ren k.).
Le garçon vint en courant (en sautant, à cheval, en voiture etc.).
Nota. Une expression analogue est ))etIoren gd^en,
se perdre. Ex.:
@m ^tnttl tp Derloren degangen. Une bourse s'est perdue.
3) Le participe absolu peut se traduire en allemand
de deux manières, ou par une conjonction (nad^fcent' etc.)
et le verbe ^w«, ou en joignant adjectivement le parti-
cipe au substantif, régi alors par la préposition naâf. Ex.:
Le repas fini naé^bem bie iD^a^I^eit geenbigt toat ou naâf ge*
enbigter iD^a^Ijett.
Les mesures prises nad^bem bie iD^agregeln getroffen tooren ou na^
gctroffenen SWagtegeln.
4) Il faut encore remarquer Temploi du participe
passé allemand dans les expressions suivantes:
Faxtioipes. 301
2>a8 l^eigt gearBeltet cela s'appelle tzayailler.
^Cufgemerft! 9d^t aegcBen! (faites) attention 1
Sxi\âf auf! getnxnfen! allons I buvons 1
nfgefd^ant! gaie!
III. Da participe futur.
Ce participe, qui se. forme du participe présent pré-
cédé de }tt, a une signification passive et répond au par-
ticipe latin en -dus, da, dum. Il se place toujours avant
le substantif et se décline comme un adjectif. Ex.:
2)a9 p (obcnbe JKnb*) Tenfant digne d'éloge.
2)ie in l^offenbe Gmte la moisson à espéiei.
S)a9 su fârd^tenbe Ungifid l'accident {qui était) à oiaindre.
Exereiee. 166»
!• aWctnc gelieBte Eantc ifl gcfiorbcn* Çeter bcr ©rogc
toar ber geitlbet{le SRatin in 9îug(anb« 9lero toar ber gefûrci^tet^e
T3mtf<^c ftaifw* ®cr l^cute gcfaHcnc ©d^nee tjl bcitial^c ein aRctcr
^od^. S)tc ju cttoattenbc ïnlunft unfcrer gdicbtcn flônigin crfûllt aUt
ècïjcn mit grcubc. S)cr Dtcncr ïam gcïaufcn, um mit bte cr-
folgte anlunft ju mcïbcn* Dtc long gcnSl^rtc Çoffnutig tp cnb-
K(!^ crfiiat toorbcn- Î)a8 8«pi^«6te ©erg fû^tt ftc^ crlct^tcrt i am
Sufcn (sein) ctnc« geïtebtcn 5reunbc«. 3taâ(t)tm bte Scrtctlung
{distribution) bcr Scutc^ t)oHcnbet toor, btlcè nod^ ûBrig, ctncn
èônig ju cnoal^fcn.*
2. ©criil^rt (touché) t)on bcn SBortcn bcô altcn SDÎarmc«,
ôffnctc id^ bte Xf)ûxt unb Heg il^n ctntreten. Die ju erfilHcnbe
Çflid^t toat fd^wer. ©d^idfcn ©te mtr ben ju farbenben* $ut*
®te jtt gcbcnbe Dj>cr tjl »on SRofftni. (St tjl etn totrïKd^ ju
cnH)fe]^Ienbcr SDîann. Slbgefcl^en »on (abstraction faite) bem 6r«
folge (résultat), mug man btefe Untemel^mung Btllîgen** 35er
arme ©tubcnt , att fetneô ®elbeô bcraubt (dépouillé) , fcftte 6e«
trilbt fetnen SBeg fort, biô cr on etnem S)orfe atigeïommen, ganj
cnnilbet fid^ auf cine Sanï feftte. Çerr SRaâ^iax, getrunïen ! fjrifd^
an bte Srbeit gegangen, tl^r tragen ^abenî
1) allégé. 2) butin. 3) élire. 4} teindre. 5) approuver.
Thème. 157.
La fleur est flétrie.^ Une fleur flétrie 1 Voici une fenêtre
ouverte. L'aigle a le bec (un bec) recourbé. ^ Vous in*avez
apporté une lettre bien écrite. Montrez-moi un ouvrage achevé.
Les rois chéris' de leurs peuples méritent le respect du 2monde
lentier.^ Les plaisirs sont des fleurs semées^ parmi les ronces^
1) »«ttoe(ft. 2) gebogen. 3) gdicbt. 4) ganj. 6) (fien. 6) 2)pmen.
*) En latin: puer laudandus.
302 Le^n 49.
de la yie. La plante rendue à la liberté^ garde rinclinaison^
qu*on Ta forcée de prendre. Une malheureuse mendiante,^
appuyée ^0 sur ses béquilles, ^^ et entourée ^^ de ses enfants,
s'approcha de la comtesse [dat,] pour la (tl^r) remercier.
Épouvanté*' de tes paroles, je ne saurais** te répondre.
Allons I kve:b-vousI L'opération *^ achevée, le roi remonta à
(gu) cheval. Le tragédie*^ à jouer est de Racine. Les dettes
à jpayer se montaient à (6e(tefen fld^ auf) dix mille francs.
Le problème*^ à résottdre^^ était très difficile.
7) toteber freigekffen. 8) bie 92eigitng. 9) i^ettleritt. 10) gefiiit^t.
11) SMdtn, 12) umgeBen bon. 13) erf^recft. 14) tamt id^, voir la
note p. 267. 15) bie Opération. 16) ba9 Xrauerf^iel. 17) bie SlufgaBe.
18) ï«cn.
Lecture.
JKnblt^e £teie. Amour filial.
Etn berfll^mtcr preugtfd^cr Ocncraï toax in fctncr Sugcnb
Sbelftiabc (page) on bcm Çofc Çticbric^ô bc^ ©rogcn» Sr l^attc
ïcincnSSatcr mel^r, unb fetneaRuttct nal^rtc* fl(!^ lûmmcrltc!^* in
ll^rcm S33tttt)cnjlanbc.^ Stte (en) gutct @o5n toûnfd^tc cr, fie
unterjlflfeen ju ïônncn, abtx i)Ott fcincm gcrtngcn ® exalte* ïonnte
ex nt(3^t8 cntbcl^rcn.
SDoc!^ fanb ex ein SKtttcI, ettoaê fût ftc ju crt»crbeti»* 3ebc
^aâ^t mu|tc [nSmïtd^] ctner t)Ott bcn Sbclfeabcn in bcm 3i«ïtticï
t)or bem @(!^IafIa6tnett bed ^5ntgd toad^en, um btefem auf}utoar«
ten, toetm er ettioad ))er(attgte. S)ad SSaijexL toat mand^en }u
Bcf(!^tt)crlt(!^, unb ftc ûbcrtrugcn*^ baiser, tocnn bie dtex^e (tour)
<m fie ïam, il^rc SBac^cn anbcren» S)cr arme (gbcllnabc png an,
btefe SBacl^cn fût anbere ju ûbcmcl^men; er tourbe bafûr (en)
Bcjal^It, unb ba^ ®clb, ti)e^c« er bafûr erl^teït, fpartc* er ju«
fammen, unb fc^tdte e« bann fcincr SKuttcr»
Êtnmaï lonntc bcr Sôntg bc« Snaâ^ti niiit fcl^Iafcn unb
toolltc fld^ etxoaê »orïcfcn ïaffeu. Sr lUngcIte,' er rief, aicr
niemonb îam. SubKd^ flaub cr fettjt auf unb giug in ba^ Sic*
Bcnjtmmcr, um ju fcl^cn, ob Ictn ^age ba toare» Çtcr fanb cr
bcn guten 3flngnng, bcr bte SBad^e ftbcmommcn l^atte, am îtfd^e
flftcnb* SJor tl^m fag ein angcfangencr Srief an feine SKuttcr;
ûÏÏctn er toar ûber bem ©d^retben (en écrivant) etngefd^Iafen*
SDcr *3ntg ^éfixâ^ l^crbct unb Ia« ben îlnfang be« »rtefe« , toelc^cr
fo feutete:» «SKctne bejlc, gcHcbte SDîutter! a)a« ifl fd^on bie
brttte Sîad^t, tocld^e td^ fftr ®clb xoaâ^t. Setnal^e lann td^ e«
1) vivait péniblement, misérablement. 2) veuvage. 3) appoin-
tements. 4) gagner. 5) charger, remettre. 6) économiser. —
7) sonner. 8) ainsi conçue.
FartîoipeB. 303
ittc^t mel^t audl^alten*^ dnbeffen freue xif mxé^, bag td^ ntm xoif
ber it^n S^ater fiir @te ))erbtent l^abe, toeld^e id^ tttd^t f&ume,^^
3l^ncn l^ierbei (ci-indus) ju fc^ticn."
©erûl^tt û6er bad gute ^erj bed d&tglmg^ lagt ber fidntg
t^n f(!^kfen, gel^t in fetn 3iinmet, l^olt jtoet 9îoIIen mit IDufatetir
{iedt il^nt in iebe Zafd^e eine mtb legt flâf toteber fd^Iafen.
Ste ber Sbetlnaée ettoad^te nnb bad ®elb in feinen îafd^en
anb, lonnte er too^I benfen, tool^et e9 gelommen loar. (Sr freute
l(!^ jtoar fcl^r batilbcr, toctl ex nun fcinc SKnttcr nod^ 6cf[cr nntcr*
U^en lonnte; bo(!^ erfcl^ral er aud^ jugleld^, toeti ber fiontg il^n
d^lafenb gefunben l^atte. 31m SRorgen, fo6aIb er jum ftdnig lam,
Bat er bemûttg ^^ nm SJergcbung toegen fcineô S)ien|iîe]^ïer« nnb
bonfte V)m fur ba« gflttge Oefd^cnL S)cr gnte fiônig Io6tc fetne
ïinblid^c Sicbe, cmannte il^n foglcic!^ jnm ^^ Dfpjicr unb fd^cnltc
t^m nod^ ctnc ©cibfumme, um fid^ aHe« anfd^affen " jn lônncn,
toa« er gn femer ncucn ©telle i* brond^te.
©er »ortreffItd^c^l^o]^n flteg l^emad^ tmmer l^Sl^er unb biente
ben preugtfd^en fîônigen aï8 ein tapferer ©eneral 6tô in fera
l^ol^ed 9Iter«
9) y tenir, supporter, continuer. 10) nid^t fSumen s= s'em-
presser. 11) humblement. 12) voyez p. 310, 3. — 13) acheter, se
prociireT. 14) place, rang. 15) excellent.
Qnestioiiiiaire.
ffîa9 toax ein Berilbmter t^rengifd^er Mènerai in feiner 3ugenb1
Çatte er bamald feine (SItern Uûàf^
SBad toat bie iS^utter aI[o?
lonnte ber @o]^n |te unterfHil^enl
2Bcïd^c« aWitteï fanb çr, ettoaS fût fie gu ertoerBen?
Hn »effen ©teUc toad^tc er?
^arum toad^ten biefe nid^t felBfll
SBad mad^te er mit bem (Selbe, ba8 er auf biefe SBeife ertoarB?
fiU ber ^iJnig einmal Bei 92ad^t nid^t fd^Iafen fonnte, xoa9 t^at er!
9(ÏS niemanb ïam, n>a9 tBat er?
SBaS \a\f er in bem 9?eBen}immer?
S^ad l^atte ber (SbelfnaBe i)or fxâf liegenl
9n toen mar biefer ®rief gerid^tet?
©ie ïautete ber Sïnfang?
ffîietoiel ^atte er fdbon ettoorBenI
Secfte ber i^ënig t^n auf?
S3ad tl^t er iiBerbied?
%i§ ber (SbelInaBe ermad^te, toaè em^fonb er?
SBarum toar er erfd^rodfen?
SBa8 tBat cr am SD'iorgen?
IBie Betoied il^m ber ^ëntg fein ffîol^ItoolXen (bienveillance)?
SBaS tourbe er f))&ter nod^?
304
Cinquantième Leçon.
Syntaxe des adjectifs.
I. De l'adjectif qualificatif.
1] L'adjectif qualificatif doit s'accorder avec le sub-
stantif en genre^ en nombre et en cm. Il se met générale-
ment ayant le substantif. Ex.:
(Sin armer SJlattn.
2)ie fiet6igen ^^tt.
Nota 1. En poésie cependant on trouve nombre d'ex-
ceptions à cette règle. Ex.:
(Sttt 9{56lein rot une petite rose rouge.
2)ie ^{xdt fret unb feffellod les regards libres et sans limites.
^lein 9{oIanb au Heu de ber Heine S^otanb 2C.
Nota 2. n y a aussi quelques locutions pareilles en prose :
SKeine iKuttcr fetlq feu ma mère.
S^nf 3cntner engUfd^ cinq quintaux poids d'Angleterre.
2] Quand Tadjectif qualificatif est complété par un
adverbe ou par une addition quelconque, le tout précède
le substantif. Ex.:
@tne Sa^'in degeid^nete Sigitr une figure bien dessinée.
(Sine I&ng{l i)eraeffene ^efd^id^te.
Une histoire oubliée depuis long-temps.
^ïxi mit 3n(!em)af[er gefiiHteS ®IaS.
Un verre rempli d'eau sucrée.
€ine mit ©olbaten unb SD^atrofen Betabene ©aleere.
Une galère chargée de soldats et de matelots.
n. De Fadjectif attribut
1) L'adjectif attribut reste toujours invariable et sa
fdace ordinaire est après le verbe. Mais quand on veut
e faire ressortir, il peut être placé tout à fait au com-
mencement de la phrase devant le verbe. Ex.:
9{ei(!^ finb btefe Sente nid^t aBer tool^Il^aBenb.
Ces gens ne sont pas riches, mais à leur aise.
2) La même chose a lieu da:n8 une exclamation après
totcl Ex.:
SSie grog i|i biefer ®arten! Que ce jardin est grandi
SBie ^r&(^tig finb bie[e %\i^\tx \ Que ces vallées sont magnifiques 1
m. Du complément des ac|jectifiu
Les adjectifs qui sont susceptibles de prendre un
complément gouvernent l'accusatif, le datif ou le génitif.
Ce complément précède l'adjectif.
Syntaxe des adjectifs. 305
§ 1. Adjectifs qui gouvernent Taccusatif.
Ce sont ceux qui marquent la mesure ^ le poids,
Yâffe et le prix. Us se placent généralement après Tac-
cusatif. Ce sont:
fd^koer pesant. f^oâ^ haut.
lang long. tief profond.
Brett large. grog grand; bid gros.
att âgé. toert valant (qui vaut) etc.
Exemples.
3€^n JlUcgr. fd^toer pesant dix kilos.
2)te Wlaatt ï\t brcigia ai^eter (ang.
Le mur a trente mètres de long.
2)ie grau toax fed^^tg Salure ait.
La femme était âgée de soixante ans.
Cependant quand ils sont employés comme épithètes,
ils se placent avec leur complément avant le substantif.
(Voyez p. 304, 2.1 Ex.:
(Sin it^n j^uogr. [(^loerer Jloffer (maUe).
@tne breigig Wltttt lange SRauer.
§ 2. Adjectifs qui gouvernent le datif.
dlgeneigt, aBl^oIb mal disposé pour ; gitiâ) égal.
mal affectionné; indisposé gnabig gracieux, propice.
(contre qn.). $eilfam salutaire.
Sl^ntld^ ressemblant, semblable. l^olb favorable, propice, attaché,
angeboreit inné. ISflig onéreux, à charge,
angemeffen approprié. Ue(, teuer cher,
angene^m agréable. ncd^tcirig j „^:-îvi^
Beïonnt connu. WSbït(3^ ( ^^^fli^le.
begretflii^ concevable. nal^e proche.
Ibequem | commode, confor- natitcll^ naturel.
Bel^agUd^ ( table, agréable. nStta nécessaire.
"bt^âfXDttUi} gênant, pénible. nûlfiïâ) utile,
banfbat*) reconnaissant. t^ulbtg redevable,
btenlid^ propre, utile. treu, getreu fidèle,
etgen, etgentfimUd^ particulier, iiberlegen supérieur,
fremb étranger. [propre, ber^agt odieux,
ge^orfam*) obéissant, docile. Dorteill^aft avantageux,
gemein commun. toilllommen bienvenu,
geneigt enclin, bien disposé. gittrSglic^ profitable, avantageux.
getDOgen, gfinftig favorable. itntergeBen soumis,
getoa^fen égal, suffisant.
De même les adj. à sens opposé , p. ex.: uncll^nltd^
dissemblable; unaTlgettel^m désagréable; unÊefatmt inconnu;
unbequem incommode; untreu infidèle; unni^ttg k.
Il faut observer qu'avec ces adjectifs le datif précède*
*) banf^ar et ge^orfam prennent aussi la préposition gegeit.
OTTO, Grammaire allemande. 20
306 Leçon 50.
Exemples.
2>ie 2ie(e mr Çreil^eit i^ bem Wltn^â^tn angeboren.
L'amoui de la liberté est iimé dans rbomme.
2)te KrBeit toar \>tn @o(batett fôflig.
Le travail pesait (était onéreux) aaz soldats.
2)aS 8aben ifi ber ©efnnbl^eit fel^r jutrSglid^.
Les bains sont très avantageux pour la santé.
Exercice* 158.
Dcr tcute 93Jctn tji ntiÉ^t tmmcr bcr Bcjlc» Dtcfc îïugel tfl
uicl^r at« fûnf fttïo fcl^tocr- aBic lang tjl btcfe ©tragc? ©te
Ijl jtoctl^unbcrt unb fiebjig SKcter lang* S)tc Çctoc grubcn cmcn
t)tcr aRcter Brcttcn ©xaben. ïuf bcm ^ïa^e fle^t cinc utigcfal^r
brctjcl^n SKcter l^ol^c ©aulc.^ Dtcfc ®cfd^t(!^tc tji allcn Çranjofcn
too^I bclannt. â^ i)tel trtnlcn ifl ber ©cfunbl^ctt nad^tctltg*
S)er ^ôttig toat btcfcm Çoftnannc^ fcl^r gctoogen. @ctb cucrn
aSJol^ltl^dtcni jlctô banïbûT. ©ctb trie gefûl^Itog gegen btc gctbeti
euïcr aRttmcnf(!^en** Die lange SReife toor bem dten SKaime
jtt befd^tDeïKc!^ ; er lotmte fie ntd^t toeiter fortfeftcn.*
1) colonne. 2) courtisan. 3) prochain. 4) continuer.
Thème. 159.
Cet arbre a [esij 33 mètres [de] haut. Voici un mur
long [de] 20 mètres. Cette petite fille a cinq ans (est âgée
de 5 ans). Charles a apporté une malle pesant 22 kilos.
La plus haute pyramide ^ d'Egypte a 880 mètres de circon-
férence^ et une hauteur de 145 mètres. Votre cheval est
bien supérieur au mien. Je vous suis bien recoimaissant.
Le chien est fidèle à son maître. Le domestique est devenu
infidèle à son maître. Soyez obéissants à vos parents et à
vos maîtres. Ce livre m'est tout à fait (gau}) étranger. Le
fils est peu semblable à son père. Cette manière de parler
est naturelle à ce peuple.
1) $i;ramibe. 2) im Umfong.
§ 3. Adjectifts qui gouvernent le génitif.
Sf„ïï J j qui a be«,in. tt'^/qïi «at.
]6eb)ugt qui a connaissance , con- Io9 privé, délivré,
einaebent qui se souvient, [science. tnS^tig maître.
fSl^tg capable. ntiibe, fatt las, fatigué.
ftol^*) joyeux, bien aise. [(^ulbt^ coupable.
geU>&rtig qui s'attend h.. tetll^afUg participant.
*) fro^ prend ordinairement la prép. ûHv avec Paee.
Syntaxe des adjectifs. 307
fi(etbrû{fig las, ennuyé. berluflig qui perd, nrivé, déohu.
toerb&^tig suspect, soupçonné. toott plein; ttmrbtg oigne.
Joignez à ces adj. ceux qui expriment le contraire
quand Us ont la préfixe un: utiBetDU^t, uneingebeni, nu*
fSl^ig, unfd^ulbtg, unïDÛïbtç etc., et observez que pour
toute cette classe d^ adjectifs le génitif précède. Ex.:
2)te armm flnb be« ®elbe« bebilrfttg (BenSagt).
Les pauvres ont besoin d'argent.
2)er Soie ttHtr beS SegeS nici^t tnnbig (ou uniunbtg).
Le messager ns savait pas le chemin.
2)er Mènerai loar be9 Serrât^ toerb&^tig.
Le général était suspect de traliison.
§ 4. Adjectifs suivis de prépositions.
ottfmerffam mtf (aec,) L^^^^f^ itntoiffenb in ignorant de.
«^tf«« .*"'.," ', * toerfdjtoetibcrlf^ mit prodigue de.
etfertil^tig auf laloux de. jnfriebm mit content de.
eitci anf vain de.
ôoïè anf fier de. Begicrlp, glcrtg noA avide de.
r--jcxc rj -. X * -^-1 e^ïfie^iS »«* ambitieux de.
fmdbtBat «ii (<îa<.) fertile en. -» « *o -r
rei* an riche en. beWSmt il!»eï (occ.) honteux de.
.^ , , . , cmbftnbïié ûBer sensible à.
Bcfcrat «r (itm) en peine de. frob û^ «r bien aise de.
e]m>fangu4 fur susceptible de. , . ^ , .
l, . fret ou b«freit Hou exempt de.
bonttargegeiirecoimMSsantenvers. iibeneuat toon convaincu de.
aUt>lttg gegen mdifférent à. ^ ^ , r,
gcffii«o« gegen insensible à. ^û«0« »»lf effrayé de.
oroufam gegen cruel envers. fji^ig )tt capable de.
90^1^ gegen poli envers. tauglt^ 3U propre à.
Exemples.
^^itSL i^ frttd^tBar an 8aum&)otte.
L'Egypte est fertile en coton.
2)er SftngUng toar bepterta na(]^ jtemttniffen.
Le jeune homme était avide de connaissances.
Exercice. 160.
!3)er @d^ûler toor gIet(!^gUttg gegen aile Snnal^nttngen^ fet'
]te9 Sel^d. !3)te gfetnbe toaren mtd an 3<^^t ^^^^ â6erlegen ;
um fo flclier koaren toit auf unfem ®teg, tD^l^ienb ber feinbtt(!^e
® cneral ûbcr f ctnc Slicbcrlagc ^ bef c!^fimt toar. 9d^ Btn mtr ïci*
ne9 Unred^td betou^t. !3)te Xndtoanberer (tteben il^te^ Sater*
lonbe^ fletd eingebent unb toaren niematô gletci^gtltig gegen bad
©^idffal» be«feIBen. 9eber SKcnfc^ mng jietô be« îobe« ge»'
U)2iTttg fetn, benn ber £cb terfci^ont^ ntemanb. S)te !3)ame
erf(i^tal fo fel^r, bag fie ber ©praci^e ntd^t mel^r mSd^ttg toar.
1) exhortations remontrances.. 2)déiaite. 3) sort. 4) épargner.
20*
308 Leçon 50.
3Ran l^ielt t^n etner fotd^en fd^toatjen 2^at ntd^t fal^tg* „3d^
Un bc« 8ebcn« unb t)c8 Çcrrf^cnô mûbc," fo fptad^ bcr fjûrfl
jtt fetnen ®5]^nen« Sin mit femem (Sd^tdfale jufrtebenet SDtenfd^
tft immer gtiidlid^*
Thème. 161.
Je ne le croyais pas (l^telt tl^tt nt(!^t) capable d'une telle
action. Est-ce qu'on le croit capable de ce crime ?^ Il en
(beffen) est fort soupçonné. 2 Manger itrop est très nuisible à
la santé. Les jeunes gens doivent être polis envers tout le
monde. Je n'aime pas les enfants qui sont cruels envers
les animaux. Madame L. est vaine de sa beauté. Êtes-
vous content de vos élèves? Oui, monsieur, je suis bien
content d'eux, ils sont attentifs à mes leçons. ^ Le général
était fier de sa victoire.^ La vie humaine n'est pas exempte
de (k)01t) peine ^ et de chagrin.^ L'étranger me montra une
lettre écrite en caractères^ chinois [une en car. ch, écr. L).
Charles est un jeime homme avide de (ttcrd^) connaissances
(un de c, av, j, h,},
1) ^tAxtâftn, n. 2} Untmid^t, m. sing, 3) @teg, m. 4) SDlfil^e.
5) jbtmmer, m. 6) 8u^{iaBen.
Leeture.
Set fStann mit bet eifentett SRaSfe. L'homme au
masque de fer.
Srnige Wlonatt mSf bem Sobe bed fiarbmafd 3)ta}artn
eretgnete fld^ in ^anfeei^ eine Segebenl^eit,^ toel^e rtiâ^t il^ied
® (eid^en ^at. Wlan fd^tdte mit bem grdgten ©el^eimnid ^ in bad
©d^ïog bcr 3nfel ©t.'SKargûTeta, an ber Çroîocnccr ftûpc
einen mtbelonnten ©efangenen, bet gr5ger ald getoBl^nlid^» iung
mtb t)on ber fd^ënften nnb ebelflen ©e^alt' toar. !3)tefer ®t*
fongene tmg mttertoegd eine ÈtaUt, beren fimnftûd^ ®taffl*
febem ^ l^atte, toeld^e ^m bte S^etl^ett ttegen, mit ber 2RadIe ouf
fetnem ©efid^te ju effen* Sd toar Sefel^I gegeben, il^ }n tBten,
toenn er fld^ entbedte. (Sr blieb anf ber ^fel, 6t9 ein £)ffi)ier,
SBamcnô ©aint-SWarS, im Salure 1690 Dberanffel^cr* ber Sa-
fliUe tourbe. !3)tefer l^olte il^n auf ber %tfel ®t*«SRargareta
ai unb fûl^rte tl^n, immer t)erlark)t,7 in bie 8a{liSe* Sor fei*
ner Serfe^ung befud^te il^n ber SRarqnid t>on 8oui9otd auf |ener
dnfel nnb fprad^ mit il^m {iel^enb unb mit einer SÎd^tung (respect) ,
bie an S^rfur(!^t grengte*
1) événement. 2) secret. 3) figure. 4) mentonnière. 5) res-
sorts d'acier. 6) gouverneur. 7) masqué.
Kégime des yerbes. 309
2)tefer Unbelannte tourbe in bie SafltQe gefûl^rt, too et ettie
ebenfo (aussi) gute ffîol^nmtg tote in etnem Sd^Ioffe erl^iett. Wtan
terfagte t^m nid^tô ton bem, toad et oerlangte; et fanb fein
grBgted Sergnfigen an fel^r f etnem ffîetgjeug^ nnb on @))t|en;®
ex f )>te(te ouf ber 3^^^^* ^^ ^^n ^i^It iW ^i^^ f^^^ 0^^^^ ^^\^
nnb ber Dberonff e^er f e^te fi^ felten tor ï^m. (Ein alter Slrjt •
and ber SafliOe, ber oft btefen iDtenfd^en in feinen ftranll^eiten
bel^onbelt^^ l^atte, fagte, ba§ er nie fein Slngefîci^t gefel^en l^obe,
n)tett)o]^I er Sfterd feine 3^9^ i^^ ^^^ 9îe{i feine^ ftërperd un'
terfud^t l^atte. Sr toar augerjl fd^ën getoad^fen,^^ fogte biefer
ïrjt; feine Çant toar ein toenig geBraunt; er enegte Sntereffe
bur<^ ben blogen^^ Son feiner @timnie; nie (ellagte er fiâ^ il(er
feinen 3ttf^<^^' ^^^^ ^ic§ niemanb mer!en, toer er fein fônnte.
8) linge. 9} dentelle. 10) guitare. 11) traiter. 12) bien fait.
13) seul.
Questionnaire.
SBaS Uaal fiâf Mh naâf bem 2:obe be8 Jtarbtnald a^agartnl
SBen f<^t(fte man ouf ba9 ^d^Iog ber Snfel @t.'9J2argareta?
SBo Itegt biefe Snfel?
SBol^tn fai^rte t(n ®aïnUWlax9^
fBtt f^attt il^n bor feiner ^erfe^nng Befud^t?
SBte ^atte er fld^ geaen i^n benommen?
. Sas erl^telt ber Unbelannte in ber 8aflille^
SBoran fonb er fein ^rBgted Sergnliaen?
SBer bel^onbelte' itin m feinen ^anlçettenl
SBa9 fagte biefer ^nt 5fter9^
Cinquante-unième Leçon.
Du régime des verbes.
Les yerbes ont comme dépendances: ou des attri-
buts mis au nominatif, ou bien des régimes, soit directs
mis à V accusatif, quand l'action du verbe se porte
directement sur robjet, p. ex. tt)tr fcl^en il^n; soit indirects
et mis à un cas oblique, c. à d. au aémtif^ au datif
ou, avec une préposition, au cas qu'eue exige, quand
Faction se porte indirectement sur Tobjet, p. ex. id^
ban!e bit, lomm mit mit.
I. Verbes avec attribut au nominatif.
1) Les yerbes suivants peuvent avoir deux nomina-
tifs, dont Tun exprime le sujet, Tautre Vattribut.
fein être. fd^einen paraître,
toerben devenir, se faire. l^eigen s^appeler.
l^Ieiben rester.
310 Leçon 51. .
Exemples*
^Icûpoïton ïoax tin grog et gelbl^err.
Napoléon était un grand générai
2)cr ittnge 9Renf<^ tfl @oIbat gemorben.
Le jeune homme s'est fait soldat.
2)a9 f^eint etn gntet ^lan cela parait un bon plan.
2) Les verbes suivants, qui, à Tactif, régissent un
double accusatif, ont deux nominatifs quand on les
emploie à la forme pciasive.
nennen appeler, nommer. fé^hnpfm traiter de.
^eigen {act.) appeler. ]àfdttn qualifier de.
Exemple*
2)er StMQ 2ubtt>ig IX. toutbt bet {^eilige genannt.
3) Les verbes etnennen nommer; txto&i)Un élire,
et mad^eti faire, dont au passif le sujet et l'attribut sont
au nominat. en £r., ont en allemand la préposition }it
(avec l'article sing, = gum). (Voyez p. 255, 5). Ex.:
^n 9. tfl gum {^au)>tmantt entannt toorbm.
èr tfl 3ttm 2)oItor )}tomobiett toorbett.
II. Verbes avec rég. Indir. au datif.
1) Les verbes suivants gouvernent en allemand le
datif de la personne.
obtaten dissuader. etn(eu(!^ten être évident.
mittoortCtt répondre. fcîltflicl^en s'enfuir.
anl^angen adhérer. fentgel^en |
onPcl^en convenir. fcntïommen I , ,
fauêtocid^cn*) faire place, éviter, fcntïaufcn [ *PP®'-
éefel^Ien commander, ordonner, fentrfamen |
+6cgcgticn rencontrer, arriver, cutfprc^cn répondre, corresp.
(el^agen plaire, convenir. erlau6en permettre.
f 6etommen faire du bien ou du fel^Ien, pangein manquer.
ma/, se trouver ^'091 ou ma/ de. flu(!^en maudire.
it0OX^if)ttl être sur le point ffolgen suivre.
d'arriver, menacer. ge(fi|ren être dû.
Betfttmmen ) consentir. gefaUen plaire.
6ctj)fKc!^tcn / approuver. gc^ord^en obéir,
(etflel^en secourir, assister. gel^Sren appartenir,
banlett remercier. tfl^Itngen réussir.
btenen servir. genûgen suffire.
brol^en menacer. gerett^en tourner à qch.
t Ctnfaïïcn venir à Tidée. gcjicmcn ou jtcmcn convenir.
1) Les V. marqués d'une f se conjuguent avec fcin, être.
Régime des yeibes.
311
glauBen croire,
gleid^en ressembler,
^elfen aider, assister.
I^ulbigen faire hommage,
leui^ten éclairer.
naéia^mcn imiter,
jld^ nal^cm s'approcher,
nfi^en être utile, servir,
paffett conYenir.
raten conseiller,
àgen dire.
funterltegen succomber.
f{(!^ untertoerfen se soumettre.
t)er6ieten interdire^ défendre,
t t>orangel^en précéder qn.
k^orbeugen obvier, prévenir qch.
t>ortocrfcn reprocher,
toel^ren empêcher, défendre.
ftocid^Ctt céder.
ftoibcrfal^ïCtt arriver,
toibcrjicl^cn \ résister,
flc!^ toibcrfcftcn / s*opposer.
ci^aben, tocl^C tl^un nuire, faire toit)e^rf})tcc!^ctt contredire,
(^ebien sembler. [tort. tDtber{ite6en répugner.
f(j^metd^eln flatter,
fieuent remédier,
traueti, t)ettrauen se fier h.
mtgtrauen se méfier,
tro^en braver, affronter.
tDtUfal^ten condescendre , ac-
jul^5ren écouter. [corder,
t julommen tomber en partage,
appartenir.*
tîUt>or!ommcn prévenir qn.
et la plupart des verbes intransitifs composés de oi, an,
auf, Ux, m, entgegen, mâf, tinter, t>i>x, xoxitx, gu^
Exemples.
Sarum banfen @ie S^rem Sel^rer ntci^tl
2)er 2)ietter folate fetnem ^emt.
SBoSen @ie mit l^elfenl
34 brol^te bem @oIbaten, t^n ju erfd^iegen (tuer).
1] Les verbes suivants qui ont deux régîmes gou-
vernent la personneati datif, Tobjet à V accusatif :
anbictcn offrir. ncl^mctt prendre.
ant>ertrauen confier. fagen dire,
audfe^en allouer, léguer, f(!^enlen faire présent, donner,
brtngen apporter. [assigner, fd^itfctt envoyer.
empfel^len recommander.
CtttrciÇcri arracher.
ergSl^Ien raconter.
geBen donner.
geloSl^ren accorder.
Icil^en prêter,
leifîen rendre (service),
ïicfcm fournir,
mtttetlen communiquer.
^ulben devoir.
Icl^lcn voler.
k)erban{en être redevable èi qn
de qch.
t>er}et]^en pardonner.
t>crf(!^affcn procurer,
toïlcfcn lire h. qn.
totbmen dédier.
jetgen montrer.
Exemples*
®tUn ®te bem Jlnaben*) Ead 9u(!^.
*) Observez qu'en allemand le doHf précède Vaccusatif.
312 Leçon 51.
@agen @ie tntr bte Sa^rl^eit.
2)er Prfl fc^entte bem ^tnbe ixoti Wlaxî.
3d^ Ud ber &x^fin etn StcdpiUl (chapitre) toor.
Exercice. 162.
1. SWcin ScMcntcï iji cm c^riicJ^cr SKaira. Œin SRan BIciBt
intmer ebt 9tarr. !3)a8 fd^eint em ilMlxâ^ex ©ebonle (idée)*
tDlctn Slcffc ift Dfpjicr gctoorbcn» SDcr Snfembc toutbc fût: ctncn
SBctrflgcr^ crfiSrt. Sa) l^aBc mcincm Çrcunb abgcratcn, bicfc^
SBerl l^eraud^ugeben.^ ffîad l^at man dl^nen geantmortet? iDîati
}fat mh gor nt(!^td geantmortet. S)tefe SBol^Ttung ftel^t mtr tttd^t
<m; fie tfl ju Ilem ffir mtc!^. Xfô ber Sîebtier geettbtgt l^atte,
ihmmte ())fltt^tete) tl^m bte gonje Serfommlmtg itu SDer ^ûrfl
al^nte' bad Unglûd ntd^t, toel^ed il^m Bet^orflanb.
2« S^rmlen @te gem Ster? é(!^ triitle ed geme; abet ed
Belommt mit ntd^t gut ; ed fd^abet metner ©efunbl^eit. SDie ^m
ber, totlift il^rett SItem ni(!^t gel^ord^en, mtgfallen ®ott. @r
jeigte femem Sïcunbe bte Silber» SDiefer ftattttnerbiener btetttc
beat ©rofen t)on'$* bretgtg dol^re (ottg mit ber gr5gten S^reue
imb îlttl^&tglid^ïett* 3)tefe ©teDe* ift bem gelel^rten Çrofcffor
entgangen, fottjl tourbe er getoig eitte lattge Xb^anblimg^ borfiéer
gef^rteben ^aben. 2)er SDteb ifl bem ®efSngnt9toSrter^ etttlou^
fen. Oâ) (egegtiete l^eute einem meiner alten ^eunbe, toeld^er
gefomtett^ ift, biefed i^fil^jal^r^ na6f italien ju retfen* éif
riet il^m fel^r, fetne 9îeife tttd^t lattge ju t)erf(i^te(ett**
1) imposteur. 2) publier. 3) pressentir. 4) passage. 5) disser-
tation, traité. 6) geôlier. 7) a Tintention. 8) printemps. 9) remettre.
Thème. 16S«
1. Cet ouvrier est un homme appliqué. Mon frère veut
se faire (toerbett) soldat. Cet étranger ne me parait pas hon-
nête homme. Je serai bientôt un vieillard. L*empereur
d^Autriche actuel s'appelle François-Joseph. Cicéron fut
appelé le père de la patrie. La maison que vous voyez là-
bas, appartient èi mon grand-père. Ce tableau me déplaît,
il est mal peint. Montrez le chemin à l'étranger. Un bon
chrétien doit assister les pauvres. Croyez-vous ce menteur?
Non, je ne i(9 crois pas.
2. Le soldat a eu de la peine èi échapper à la mort. Il ne
faut pas flatter les grands. Voilà un homme distingué,
imitez-le. Où at^As-vous rencontré cet homme? Je Foi ren-
contré à la promenade. Si vous voulez m'écouter, je vous
lirai un chapitre^ de [ani) cet excellent ouvrage. IL voulait
me faire une visite, mais je Fat prévenu. Les Carthaginois
(ftartl^ager) menacèrent Régulus d'une (mit etnemj mort cruelle,
s'il ne réussissait pas^ à négocier ^ [la] paix avec les Romains.
1) ^a))ttel, n. 2) gelingen, verbe ir. et impers. 3) grieben f^Iic|eit.
Régime des yerbes. 313
• III. Verbes avec rég. indir. au génitif.
Quand ils on^ deux régimes, la personne est à ïac^
cusaiifj la chose au génitif.
anllagen, befi^ulbigen accuser, gebenlen se souyenir.
bcbûrfcn*) aycir besoin. (ad^en*) se rire.
betftttSen priyer, dépouiller. fd^otten*) ménager, épargner,
eut^inbeit dégager, dispenser. f))Ctten se moquer,
eutlaffen congédier. iïbetffthm épargner,
euttodl^nen désaccoutumer. ii6erf(il^ren conyaincre.
ermangein manquer de. berfld^em assurer,
emâi^nen*] faire mention. infirbtgen honorer.
Les suivants sont réfléchis:
fk^ amiel^men prendre soin de, ftd^ etbmem \ se rappeler,
s'intéresser à. fid^ entfUmen / se souvenir.
fUif bebtetten se seryir. fld^ erbarmen avoir pitié.
fUS^ bcfletgtgcn, rég, ou bcflcigen,
«T., s'appliquer.
td^ ertoel^ren se défendre.
xâl crfrcucn jouir.
fU^ (emad^ttgen s'emparer. fid^ rôl^men se vanter, se
fi^ entSugem se dépouiller. glorifier,
fi^ entl^alten s'abstenir. ftd^ fd^dmen avoir honte,
jid^ entlebigen | se débarrasser, ftd^ terfel^eu s'attendre à.
jid^ entfd^kgen ) se défaire.
Exemples.
S«r famt il^n be9 33errats be|d^u(bigen?
Qui peut l'aocuBer de trahison?
9Ran bat mïâf meined @elbe9 beraubt.
On ma d^ouillé de mon argent.
&tttnîm mt ber Srmen!
Souyenez-voufl des pauyres (songez aux pauyies)!
Nota. On obseryera encore les locutions suivantes avec
le génitif:
^ungerS jierbett mourir de faim.
6tne9 |)IBt}Itd^en XoU9 jterben mourir de mort subite.
@eine8 SegeS gel^en aller ou passer son chemin.
2)er SDteimmg ou ber Sfnfid^t fetn être d'avis ou d'une opinion,
(9ttte9 9Rttte9 fein ayoir bon courage.
Silknd fein se proposer.
2)e9 S^tit9 t)erfeplen manquer le but.
2)teS tfl nid^t ber Wilft toert cela ne vaut pas la peine.
(Sinen be8 SanbeS t>enoeifen exiler an du pays, proscrire.
jarret be9 ^erm espérez dans le Seigneur.
(S9 iamtnert miâf feiner j'ai pitié de lui.
3d^ laffe mtd( geme etneS 8effem belebren.
Je yeux bien qu'on me désabuse (me détrompe).
*) bebilrfe» (JVrf*. x6f bebarf), er»fibn«n et fdjonen pren-
nent aussi bien Taccusatif; (ad^en, f^otten, fid( erbarmen et
n^ fd^&tnen ont aussi la préposition îiber ayec l'accusatif.
314 Leçon 51.
Exercice» 16é« *
SSad fût etne9 Sexbred^etid ifl btefer Wtmm angellagt! SRan
Ilagt il^n eined iDîotbed ^ an« 2)te Srau l^at fi(!^ ))ed armett ftm«
be9 angenoututen unb il^ut etntge filetbungdftûde gegeÊen (gef d^enlt) •
SDte ^olijet l^at fi^ bet S)te(e t^erftd^ert* iDîeme ©rogmutter
erfreut fl^ in il^rem ^ol^en Xlter nod^ enter guten ©efimbl^eit*
SBarum Bebtcnt fl^ bief et SWatm emer fttftcïc?* SBeil er ciiien
lal^men i$u§ ^at« SStr tooQen bed em))fangenen Sdfen nid^t ge«
benlen. 3d^ (ebatf dl^red Setftonbed ^ ie^t n^t mel^t* Sntl^altet
eud^ be^ iBratmtmefatS,^ betm er }erft5rt bie ©efunbl^ett* (Stner
grogen i^ird^t finb totr ent(ebtgt« ffîill^etm tfl emer Untoal^rl^ett
ûberfiil^rt toorben* Sij grng an tl^r t)or6et nnb toûrbigte fie leined
mdti^ S)te 9îau(er 6ema(^tigten fid^ meine^ fiofferd.
1) meurtre. 2) béquille. 3) secours. 4) eau-de-yie. 5) regard.
Exercice* 166«
Sâf glaube ®te )u lennen, ment Çetr, aber ic^ lann mtd^
Sl^rer ntc^t erinnem. (Sntfd^Iagen ©te pdb btefer trûben ©ebonïen ;
©ie tocrben 3]^r Unglûdt nur nod^ t>crgrôéem.^ (grbarmet eud^ bcr
SIrmen unb UnglûdEIid^en* ©el^en ©te tnl^tg dl^red 9Beged, fonft
faUen ©te ber ^oltjei fat bte ^Snbe* $anet bed $erm (ou auf
ben $erm] , er totrb eud^ nid^t k)erlaffen* Sd ifl ber iDîiil^e toert,
btefe 9îeife ju untemel^nten. 3c^ (in ntd^t biefer %nftd^t ; id^ glaube
tjielmel^r, man foDte fid^ aller toeiteren ©d^ritte * entl^alten. 5Rad^*
bem id^ ntel^rere 9îcid^te getoad^t l^atte, lonnte id^ nttd^ bed ©d^Iafe^
ntd^t mcl^r ertoe^ren. fflîtr Ïe6cn ber Çoffnung, bag bie ^txttn
6alb 6ef[er toerben. 3Rein Çau^l^err' ift l^eute etned ))I5|lid^en
Sobed geflorben; geflem toar er noii gan} gefunb unb ntunter*
3)er ^ranïe «ing ber Sîul^e pflegen, fonjl ïann er nid^t genefen**
1) augmenter. 2) démarche. 3) propriétaire. 4) guérir.
Thème. 166«
1 . Le prisonnier est accusé d'un toI. ^ J*ai besoin d'un
couteau tranchant ^ pour couper cette viande. En hiver les
arbres sont dépouillés de leurs feuilles. Les soldats s'empa-
rèrent de la forteresse. 3 Bélisaire fut dépouillé de toutes ses
dignités^ et mis en prison. Les juifs s'abstiennent de porc *
selon la loi de Moïse. ^ N'ayant pas de ciseaujL,^ je me servis
d'un couteau. Depuis quand vous servez-vous de lunettes?®
Je m'en (berfeI6en] sers depuis ma dix-huitième année. Ayez
honte de votre conduite.^ Le général m'honora de sa visite.
On s'est assuré de sa personne. ^^
1) bcr 2)icl6fta]^I. 2) féarf. 3) bie geftung. 4) bie ©ftrbe. —
5) ®éfmmtfitï\ùf , n. 6) mi>]z9. 7) feine èd^ere {sing.). 8) einer
©rlttc [sing.). 9) «etragcn, n. 10) Çerfon, /.
Régime des yerbes. 315
•
2. C'était un devoir pour moi de m'assurer de la vérité.
L'homme de bien ^® oublie le mal ; mais il se souvient d*un
bienfait. ^^ Je ne me souviens plus de Tinstant où j*ouvris
les yeux. Vous souvenez-vous de mon frère Henri? Oui,
je me souviens bien de lui. Le livre dont vous faites
mention, s'est retrouvé. Je vois que vous jouissez encore
d'une bonne santé. Le roi se dépouilla de sa grandeur ^^ et
se retira dans la solitude.^' Je ne crois pas que l'empereur
soit de mon avis (opinion) . ^^ Les soldats de ce régiment ont
toujours eu bon courage pendant toute la campagne. ^^
10) ber red^tf^affene mam. 11) So^Itl^ot, /. 12) {^enli^fett.
13) (Sinfamfett. H) mûrnat^, f. 15) gelbsitg, m.
IV. Verbes suivis d'une préposition.
Le rég. indir. peut aussi, comme en franc., se lier
au verbe allemand par une préposition^ p. ex.:
3(!^ gittere bor $tUit je tremble de froid.
Voici une liste de verbes usuels avec la préposition
qui les accompagne.
Slbreffierett an [œc.) adresser (une lettre] èi.
SJeliten an [ace,] penser à.
@t(l^ getDdl^tien an [ace] s'accoutumer à.
©id^ tocnbcn an [ace] s'adresser à.
Ûbertreffen an surpasser en; {ter(en an [dat,) mourir de.
®tc!^ anlcl^nen an [ace,) s'appuyer contre.
©lauBen an [ace.) croire à, en ; f(!^ïcibcn an [ace.) écrire à.
îeilncl^mcn an [dat,) prendre part à.
3lDCifcïn an [dat.) douter de ; t)crîti>Ctfcïn an se désespérer.
Eïinncrn an [ace.) rappeler qch. à qn.
@td^ crinncm an [ace), gcbcnïcn an se souvenir de.
Çtnbcm an [dat,) empêcher.
©td^ ïSc!^en an [dat,) se venger de.
(Sd mangelt an 9rot le pain manque.
îln btc SEl^ilrc ïlopfen frapper à la porte.
«ttf.
Sfci^tgeBen auf [ace.) faire attention à.
©td^ t>CïIaffcn auf [ace,) se fier à.
ïnttoorten auf [ace,) répondre à; gS^Icn auf compter sur.
Sertrauen auf [ace.) avoir confiance en.
Scflcl^cn ou bcl^arrcn auf [dat.) insister sur.
SBarten auf [œc,) attendre qn ou qch.
®id^ Bcïaufcn auf [ace.) se monter à.
316 Leçon 51.
Xttf ber diagb fein être à la chasse,
ïuf bcm SBcg fcfal être en chemin.
Scrj^ten auf [ace) renoncer à.
Seflel^en aud se composer de. Û6exfe^en aud traduire de.
Srtnien au 9 boire dans. Xud ben Slugen loerlteteii
SBcrbCtt auÔ devenir qch. perdre de vue.
»«•
Sefd^toëren (et conjurer par.
®etb bet fld^ l^aBen avoir de Targent sur soi.
ffîol^neti Bet demeurer chez.
Sci bcr Çanb ncl^mcn prendre par la main.
Set ®ette (egen mettre h part.
Pt.
Selol^nen ffir récompenser de.
SÛTgCîl fût répondre de.
®ut flel^en fût etmad garantir qch.
SDonïcn fût ettoaô remercier de qch.
@orgen fiir ettoad prendre soin de qch.
Scjtrafcn filr punir de.
$aîten ffir considérer, prendre pour, croire.
®egett.
Serjlogen i^^tn manquer à.
3»-
©td^ mtf(!^cn ou mcngen tti (œe») se mêler de.
dn bie ®inne faQeit tomber sous les sens.
3m Settc ïiegen être couché.
3îi Sîcrîtoetfluna fctn être au désespoir.
®td^ in ben Sntger fd^neiben se couper au {ou s* entailler
le) doigt.
3 m Segrtff fein ou jîel^en être sur le point.
3nd £)$r fagen dire à Toreille; Beflel^en in consister en.
3nd ®efld^t fagen dire au nez (en face).
3n bte gflud^t fci^Iagen mettre en fuite.
3n bte Xnne nel^men prendre entre ses bras.
(Emtoilltgen in etmad (ace.) consentir à qch.
aRit.
Xnfangen mit etmad commencer par.
Wlit ©tiQfd^toeigen iiBergel^en passer sous silence.
3)ie ^txt mit ©pielen t>ertrei6en passer le temps à jouer.
@i(l^ aBgeBen mit se mêler de, avoir affaire avec.
®t(]^ Bef^Sftigcn mit s'occuper de ; Bcbccîen mit couvrir de.
Setabcn mit charger de; t>creinigen mit joindre à.
Régime des yerbes. 317
@)>re(l^en ou reben mit j[etnanb parler h qn.
Sergletd^en mit comparer h,
Scrfcl^cn ou terforgcn mit pourvoir de.
Scc^ren mit honorer de ; SKitIcib ^abcn mit avoir pitié de.
SBad mad^ett ®ie mit biefem ©elbe? que faites-vous de cet
ilRit §ûgen treten fouler aux pieds. [argent?
Exercice. 167.
Un toen beitlen ®ie? S6f tente an meiite Ttnttex. 2)te
!R5mer fi6ertrafen aSe iRattonen an Xapfei^eit* Séi toerbe an
S^xem ©piclc tctlncl^mcn* SBcnbcn Sic fic!^ an bcn Çcrm
SKinijlcr. SKan ïann fid^ nic!^t immcT auf bic SKcnfcî^cn t>cïlajîcn.
Xttf tt>cn toattcn Sic? Si) toctxte auf bcn SJricfttâgcr ; ex toixb
mit cincn Sricf Brtngcn. S6) trinïc ntd^t auô biefem ®Iaô ; e^
tji nid^t rein. ®ic ©c^ûIcr biefcr fiïajfe ûBcrfcien au8 bcm
ffranjôftfd^en inô îDeutfd^c. Scgcn Sic bicfe« Sn^ Bei ©eitc.
SBcr bilrflt fût ben erfolg (succès)? Sa) ^ielt bief en Çerm fur
cincn 3taïicner. ®ie geinbe toutben in bic ÇIu(^t gefcî^Iagcn.
SBomit Éefd^aftiflcn ©ie fi(^ jcçt? Sif fhibicre ©eutfd^. 3)cr
©cneral l^at mic!^ mit einem 93efu(!^e (eel^tt. ^àben @ie SRitleib
mit biefcï armen lïrau.
Thème. 168.
Frappez à la porte ; on vous ouvrira. Doutez-vous de
la vérité de cette nouvelle? Oui j*6n (batan) doute. Le pauvre
homme est mort de la fièvre.^ Savez-vous à qui je pense?
Je crois que vous pensez à moi. A qui avez-vous écrit?
J'ai écrit à mon beau-frère. Un bon chrétien ^ ne doit pas
se venger de ses ennemis. A qui vous fiez-vous? Je me fie
à Dieu et à vous. Répondez à ma question. ' Le compte^
du tailleur se monte à cent francs. Mon 'père est à la chasse.
Ne buvez pas dans ce verre ; il n*est pas propre.^ Que faites-
Tous là? Je traduis du français en ^ allemand. Qu'est devenu
Charles? Je ne sais ce qu'il est devenu, je crois qu'il s'est
fait [est devenu) soldat. Avez- vous de l'argent sur vous? Oui,
j'ai quinze francs. Prenez cet enfant par la main. Je vous
remercie de votre bonté. ^ IL faut prendre soin de ces
livres. Pour qxd me prenez-vous? Je vous crois (un) honnête
homme. Charles est couché. Il s'est blessé^ au pied. Ne
TOUS mêlez pas de cette affaire.^ La voiture était chargée
de pierres. Avez- vous parlé à votre père? Non, monsieur,
pas encore ; je bit parlerai demain.
1) glebcr, n. 2) (B^rtfl. 3) Çrage, /. 4) Slet^nung, /. 6) rein.
6) {««. 7) ®fite, /. 8) toertouttbet. 9) ®aâft, /.
318 Leçon 51.
XÊretfen naâ^ partir pour. Ex.: 3if tetfe mâf $arid*
©el^en nad^. Ex.: 3i) gel^e nad^ $aufe.
©i(^ bcgebcn naif (Çariô) se rendre à (Paris).
3teten nad^ viser à; {he6en nad^ aspirer à qch.
^agen nad^ demander qn.
@td^ fel^nen nad^, tïerlongen nad^ soupirer après qch.
@d^tdEen nad^ envoyer chercher qn.
@id^ rid^ten nad^ se conformer à.
®td^ nad^ ber iDîobe Heibeti s*habiQer à la mode.
iRad^ ffîem ried^en sentir le vin.
flitt.
ttxtcilcn ûbcr {ace.) juger de.
filagen ou fid^ (ellagen il6er (ac&.) se plaindre de.
SnBten fi(er [ace.) rougir de ; laif^n ûÊer (occ.) rire de.
@))Otten il 6 et (ace.) se moquer de.
Serfilgen Û6et (ace.) disposer de.
@tc^ tounbent ilber (ace) s*étonner de qch.
@td^ freuen il 6 et (ace,) se réjouir de, être charmé de.
5Radbben!cn ilbcr (ace.) \ ,^, ,. . ,
y?-"7 t fl iit / \ r réfléchir sur, ou à qch.
@td^ bcfinncn ûfeer (aœ.) j ' ^
©id^ untcrl^aftetl ûBct (aoc) s'entretenir de qch.
Çcrrfd^cn Û6cr (occ) régner sur.
®id^ crhtubtgctt ûfecr s'informer de.
®id^ fd^amcn ûbcr (ace,) avoir honte de. qch.
©tretten fi 6 et (aco.) se disputer de.
©id^ Srgcrn ûbcr (occ.) se fâcher de qch.
ttnt.
©picïctt um \®éÙ>} jouer de (r argent).
©id^ (6e)Ifimmem um se soucier de, s'inquiéter de.
Sittett um demander qch. à qn.
©td^ ftoetten um se disputer qch.
®td^ Betoerben um solliciter ou briguer qch.
Um Ser^eil^ung 6itten demander pardon.
(Sinem um ben $ate fallen se jeter au cou de qn.
(Sd tfl um mtd^ gefd^e^en c'en est fait de moi.
(£r l^at fid^ um 4 SOîarl geirrt* n^s'est trompé de 4 marcs.
ttntet.
fSHa^Un un ter (dat.) choisir de, entre, parmi etc.
Uutet ©egel gel^eu mettre à la voile.
3Baf[et uutet beu SBein giegen mettre de l'eau dans le vin.
Régime des yerbes. 319
»Ott.
©pre^en 19 on etmad parler de qch.
Çerfommen &on Jernanb yenir ou sortir de chez qn.
99efreten t>on libérer, débarrasser de.
S6)Detc^en t)on dévier de.
@td^ nal^ren ou Ie(en t>on se nourrir ou vivre de
@i(!^ fûtd^ten t>ot (c2ti/.) avoir peur de.
@t(l^ l^ôten DOT (<2(>/.] se garder de qch.
3ittem Dor (dot.) trembler de.
demanb toanten t)or (dai.) avertir qn d*un danger.
SBeinen tox ^enit pleurer de joie.
Sot Sfnlet Itegen être à Tancre.
Sor ftalte {terSen mourir de froid.
!iDen SotjUg ge6en t)OT (cîti/.) donner la préférence sur.
3tt-
3u 93ette gel^en se coucher, aller au lit.
3um ©efangenen mad^en faire prisonnier.
Exercice* 169é
9iad^ toem fragt man? SRan fragt nad^ dl^rem Sater« 3Ran
mvij^ ilexii nac^ bem ![t}t f^tden* Urtetlen @te ô6er meine
Scïtcgenl^cit ? * 3)ie gonjc tï<twt(tc frcutc fid^ ftbcr btc 8tûtfïcl^r
bc« Çcrni Çranj^ ©trcitcn tt>ir uid^t langer ûfect bicfc ©ad^c;
benn ieber toiU ted^t l^aben. dd^ trinle leinenSBein; td^ toerbe
unt etn toentg ffîaffer (ttten. ffîann ifl bad @d^tff unter @egel
gegangen? ^or etner @tunbe. 393ot)on fpred^en ®ie, meine
$crren? aBir unter^dten un« û6er Me aWuftï. ffienn bcr SBinter
\e^x tait x% flerben t>te(e S5gel t)ox Saite unb t>or $unger. S)er
eïcfant n&l^rt fld^ t)on ®ïaô, Slattcm, ^eu rnib »ïei«.2 ç^tcn
@ie fid^ k)or btefem j[ungen SRonne; et ift etn Saugentd^td.'
1) embarras. 2) de riz. 3) vaurien.
Thème* 170.
M. Barry est parti pour Paris. K enfant est malade, il
faut envoyer chercher le médecin. Cet homme sent le vin.
Jugez de ma surprise.^ De quoi vous plaignez-vous? Je me
plains de mon barbier.^ Ne vous moquez pas des malheureux.
Connaissez*vous M. Edouard? Non, mais je m'informerai
de lui. Réfléchissez un peu sur cette affaire. Je m* étonnai
de son courage. Le jeune homme sollicita une place. ^ Mon-
sieur, vous vous êtes trompé de vingt francs. De quoi parlez-
vous? Nous parlons de la mort de notre pasteur.^ Vous de-
vriez rougir de votre conduite.^ Les enfants ont peur de ce chien.
1 ) (Sr^aunen, n. 2) SdaxVitx', m. 3) ©telle, /. 4) ^faner. 6) ©e-
tragen.
320 Leçon 51.
Ne TOUS inquiétez pas de moi ; je trouYerai le cheniin. La
petite fille pleure de joie, parce que sa mère est arriTée.
Allez maintenant vous coucher, il est dix heures. Le général
fut fait prisonnier^ et amené ^ à Paris.
6) }ttm ©efangenen voyez p. 310, 3. 7) gefil^rt.
Ldetnre*
Set 9Rimtt mit ket eifentett fSlaStt. (Fin.)
S)tefer UnBelannte {tar6 tm Salure 1703 unb tourbe Bei Stad^t
in ber @t.'$attl^$f arrêt ^ begroien. 2Bad bad (Srfiaunen t>er«
bot)))elt, ifl, bag, a(d mon tl^n nad^ ber ®t*«3)l(trgaret'3nfef
fd^tdEte, in Suropa lein angefel^ener SRann t^erfd^toanb* Unb bod^
tDor biefer ©efongene o^ne 3^^M ^^ fold^er; benn f^olgenbeS
l^atte fld^ tn ben erjlen îagen, ba er auf ber dnfel toor, juge*
tragen^: îDer Dberauffel^cr peDte fettjl bte ©c^ûffeln auf ben îifd^,
unb nad^bent er tl^n eingefd^îoffen l^atte, ging er toeg. Stnfl fd^rteb
ber ©efongene etmod auf etnen filbemen Sceller unb n>arf ben
Seller }um t^enfler l^inaud, gegen ein @d^iff, toeld^ed ant Ufer
ïag, fap ont guge be8 îurmeô. S)er gifd^er, bem biefe^ ®<^iff
gel^5rte, ffei^ ben Seller auf unb brad^te il^n bem Dberauffel^er
}urildE* C^ount fragte biefer ben §ifd^er: „$aben @te getefen,
n>a9 auf biefem Seller gefd^rieben flel^t, unb l^at il^n j[emanb in
S^ren Çanben gcfcl^en ?" — SDtefer SWann tourbe f eftgel^aïten*, bt«
ber Sluffel^er fi^ tool^I terftd^ert l^atte, bag er ntd^t lefen ISnne,
unb bag ber SeQer ton ntemanb gefeben toorben fet. ..©el^en
@ie," fagte er, „@ie flnb fel^r glûdtli^, bag ©ie nid^t lefen Ï5nnen."
$en oon Sl^auitllart toar ber le^te SRintfier, ber unt biefe9
fonberbare^ ©e^einmid tougte* !3)er ilRarfd^all Sa ^eutOabe, fein
Sod^termann^, bat tl^n bei feinem Sobe auf ben ftnieen, il^m on»
juoertrauen, toer ber 3)îann toare» ben man nie anberd lannte, a(9
unter bem 9îamen: ^^SDer SRann mit ber eifemen Wlaitt.** Sl^amil^
(art anttoortete il^m, bag e^ ein @taatdgel^eimni8 ^ fei, unb bag
er einen Sib gelciftct (prêté) l^abe, e« nie ju entbedfen,
1) paroisse. 2) arrivé. 3) ramassa. 4) retenu. 5) étrange.
6) gendre. 7) un secret d'État.
Questionnaire*
Sann flarb biefer Unbefanntel
SBas t)erbo^^Ite bad (Srflaunen ber bamaligen Seit?
So tourbe er begraben?
Skt9 trug fid^ einji auf ber 3nfe( }U?
Sie fraate ber Oberauffel^er ben Sifd^er?
Sas gefd^a^ fobann biefem iD'lanne? .
ffîte longe tourbe er feftge^alten?
îD^it toeI$en SBorten tourbe er entlaffen?
SBer toar ber le^te, ber um btefed ©el^eimnts tougtf?
Seld^e Snttoort gab (SÇamtttart bem iD^arfd^all Ha geuiUabe?
321
Cinquante-deuxième Leçon.
Bemarques sur remploi des prépositions.
Dans une langue vivante, il est impossible de don-
ner des règles fixes sur Temploi des prépositions marquant
les rapports des substantifs, des verbes et des termes qui
les exigent à leur suite. Ayant indiqué déjà (40^*"* Leçon)
leurs significations diverses, nous allons citer un certain
nombre des locutions prépositives les plus usitées. De
cette façon F élève apprendra mieux que par une expli-
cation raisonnée, à connaître les 'divers rapports exprimés
par les prépositions. Pour faciliter les recherches, nous
suivons Tordre alphabétique.
Un, à.
Cette préposition signifie ordinairement à, p. ex.:
Wlan Ilopft an bie 3^pre on frappe à la porte.
Autre significations:
(Sin Sttef an miâ) (ou fût mtd^) une lettre pour moi [ou
h mon adresse).
6ô ift an mit gu fpieïcn c'est i moi de jouer.
ÏCn Dcn Uf cm bcô Sîl^Ctnê mr les bords du Rhin.
tJranïfnrt am (an bcm) ÏRam Francfort-«ir-le-Mein.
9îcid^ an Scrflanb (ou Oeijl) unb arm an ®clb»
Riche (f esprit et pauvre (f argent,
îln bcr Çanb (oxl bcm ïrm) crgrcifcn.
Saisir par la main, par le bras. #
Sttf, ordinairement sur.
SDa« S3ud^ ttcgt auf bcm Xi\6f le livre est 8ur la table.
De plus:
(Sr ift auf ntctncr @CttC il est de mon côté, de mon parti.
ïuf bem S3obcn ou bcn Scbcn à terre, par terre.
ïluf frcicnt ^tttt en pleine (ou rase) campagne.
ïuf mctne Soflcn à mes dépens.
ïuf bcm SBcgc, auf bcr 9îcifc fcm être en chemin, en voyage.
ïuf btc Çojl gc^cn aller à la poste.
ïïuf bcr 3agb fcin être à la chasse.
Sô ïommt auf ©ic an cela dépend de vous.
îluf bcr ©tragc dans la rue. — SI u f bcr ©cite du (ou de) côté.
®td^ auf bcn SBcg mad^cn se mettre en chemin.
ïluf mcincr SRcifc dans mon voyage.
ïluf l^ol^cr ®Ct en pleine mer.
ïluf aUc Salle dans tous les cas.
OTTO, Grammaire allemande. 21
322 Leçon 52.
3(uf morgen p<ntr demain ou à demain.
Slttf lurjc ^tïi pour peu de temps.
Suf bem Sanbe, auf bad Sanb à la campagne.
ïuf SEBtcbcïfcl^cn au revoir.
3luf btcfc IBctfc de cette m*anière.
2luf hnmer, auf ctotg pour toujours, à jamais.
Huf ber SSBelt c^am ce [ou au] monde.
2)a8 ^ctgt auf. bcutf^ ....
Cela s'appelle, cela signifie en allemand ....
Slltô^ oïdiiiairement de:
SKud bem ^ïxamtt (hors) cfe la chambre.
Slu3 bem gcnjicr tocrfcn jeter par la fenêtre.
3d^ Btn aud SSerltn je suis de Berlin.'
$(ud @(!^U)dd^e i^ar faiblesse.
5lu8 5ur(]^t jicrBcn mourir de peur.
Stu3 (Sïfa^TUng jtar expérience.
%Vi% Sîcrfel^en par méprise.
%ud aUen ^aften de toutes mes, (tes, ses etc.) forces.
Jlud ber SRobe lommen passer de mode.
^Mn (Sic e« auê ^reunbfd^aft (/?ar amitié) fur mid^.
Sri^ ordinairement jpr^s ou auprès.
Sei btefen SEBorten ô ces mots.
S5ci mctner îlnïunft à mon arrivée,
Set £ag de jour, le jour. — Sei 9lad^t d!e nuit, la nuit.
Set ^tii à temps. — Schtt ®J)icl om jeu.
Stetben @ff Bet mir restez avec moi ou auprès de moi.
Set Çofe fetn être à la cour. 93et .ft(!^ ]^a6en avoir sur soi.
3n ber ®(!^lad^t Bet SOtarengo â la bataille <^Marengo.
Set (ou in) guter ©efunbl^eit être en bonne santé.
Set £ageâan6ru(]^ à la pointe du jour.
Sei l^eïïem STage en plein jour.
Set ivS^i arSetten travailler à la lumière, à la chandelle.
Set ber Çanb fûl^ren mener par la main.
3d^ rief il^n 6et fetnem Slamen je l'appelai par son nom.
Seim l^erauggel^n auô ber ^rd^e au sortir de Téglise. '
Set ©trafc sous peine. — Set ïifd^e fetn être à table.
Set ben 9îBmem chez les Eomains.
^JXté^f ordinairement par.
3d^ Btn burd^ ben SBalb gegangen j'ai passé par la forêt.
îDte ganje ^Ai l^tnbur^ pendant tout le temps.
3)urd^ t)teïe8 Sitten à force de prier.
Durd^ Xodéft^ SWittel? par quel moyen?
Bemaïques sur l'emploi des piépositions. 323
S)ur(i^ bte 9lafe teben pader du nez.
SDut(i^ eut 8rett à travers une planche.
^iXf ordinairement pour.
Sel^olten ®te bad fur fld^ gardez cela pour tous.
t^ûr 6ared ®éù> laufen acheter argent comptant.
Stn SRtttel fût bad 3^^^^^^ ^^ remfde contre le mal de dents.
@tû(f fôr @tû(I pièce à pièce.
SBort fût SBort mot à mot,
@d^rttt fût ©d^rttt pas à pas.
Sitte SRarl fur ben SRami un marc par homme, par tète.
dd^ ^a6e btefed Sud^ fur gtoangtg t^anlen gelauft»
J'ai acheté ce livre vingt francs.
©egeu^ ordinairement contre, vers ou envers,
®cgcn bic SDÎaucr tocrfcn jeter contre le mur.
®(*gen fed^d Ul^ vers (les] six heures.
SRtlbtl^Sttg gegen bte Wmen charitable envers les pauvres.
Unem))ftnbUd^ ^e^ta insensible à.
®egett Bore SSejal^tung au comptant.
©egen metnen SBtUen malgré moL
@d fltib gegen j)oet £t(ometer il y a environ deux kilomètres.
(Sx îlidtt g en Rimmel il leva les yeux vers le ciel.
(Sx 6KeB tanB gegen meine Sttten il resta sourd à mes prières.
^Uf ordinairement dans, en,
3n fÇranïreid^ en France. — 9fn Çartô à Paris.
3m 5Rorben au nord. — 9m Çrill^Kng aw printemps.
3m ©d^atten à r ombre. — 3n etnem £on cfun ton.
^tttcn xm Sanbe au milieu du pays.
3tt bcr ©d^ule fein être à r école.
3n ber Sïôte be« ?ttter« à la fleur de Tôge.
3m (Smft sérieusement.
3n mctnem gonjen SeBen de ma vie.
Si) f^ait tl^n tn ber SRal^e gefel^en je l'ai vu de prk.
<Sr nal^m mtd^ m feine ^rme il me prit entre ses bras.
@o gel^t ed in ber SBelt.
Ainsi va (ou Voilà) le monde [Ut,: cela va ainsi dans le monde).
Bxereioe. 171«
3(1^ lomtte mente StSretfe ntd^t fcrtfelen, au9 SRattgel an
®elb. SDte @d^tffe flnb Berett« auf l^o^er <5ee. S)te St^gel, xceléft
nn9 tm ÇerBfle t)erlaffenr tel^ren tm ^rill^ting }urûfl. 69 toor
im ©iMttmcr Don 1840, 3fl ber Çerr ju Çaufe? 9lettt, er ifi
21»
324 Leçon 52.
auôflcgcmgcn [in bcr ©tabt]* Êr fpciji l^cutc m bcrStabt» Qd^
hxn auf offcncr ©tragc 6cf(!^tmpft* toorbcn» ©te ïtctnc ©d^ar^
tnad^tc pd^ Sal^n (jour) burd^ btc iJcinbe. SDîcm ©d^toagcr toirb
fpStcjlcnô m brct ïagcn anïommcn. ©icfcn ganjcn SWonat
l^tttbuïd^ l^at c« ntij^t cm cmjtgcô SDtaï gercgnct* l^nfangS l^attcti
btc 9îiJmer ïeinc Scjlungen; ^ jtc fe^tcn tl^r ganjc« Scrtraucn auf
tl^TC Çccrc, tocld^c fie ISîtgô ber 5tûf|e Icgtcn, i»o jtc t)Dît (Sut*
fcniung ju Cntfcmung ïûrmc errid^tctcn , * um btc ©olbaten
baritt mttcïjuSTmgcît* ÎHqranbcr bcr ®rogc jlarb in bcr Slûte *
bcô ScBcît^. ®cgcn îlScnb fal^ man a m $tmmcl ctnc feurtge
ihtgcL* Çcibcttcrg Kcgt on bot Ufetn^ bc« 3leiax9.
1) insulter. 2) troupe. 3) forteresse. 4) élever. 5) fleur. —
6] globe de feu, météore igné. 7) bords.
Thème. 172.
Voici une lettre pour vous. Heidelberg est situé * «ur
les bords du Neckar. Le voleur me saisit par le bras.
Portez cette lettre à la poste. Prètez-moi votre livre seulement
pour peu de temps. Je sais cela par expérience. Jetez ce
papier par la fenêtre. A mon arrivée rien n'était préparé.^
Quand j*ai beaucoup à faire, je travaille à la lumière. Puis—
je parler à M. Dubois? Non, il est à table. Portez cette
table et ces Aiaises au jardin (ace), nous voulons y travailler»
Hestez avec (Bet) nous ce soir, nous jouerons [aux] cartes.
C'est un pauvre sire^ auprès de (gcgcn, ace) son frère.
Assieds-toi à côté de (ncScUr o^.) moi. J'habite Franc-
fort-sur-VOder. Jouons dans la prairie. IL lui porta ^ un
coup^ qui lui traversa le (au travers du) corps. IL me fallait
recevoir (accepter] en (an) paiement un sac de blé.* Cet
liomme parait être insensible au froid. Ne soyez pas ingrats
envers vos bienfaiteurs.^
1) llcgt. 2) toïbercltet. 3) mâft 4) terfeftte. 5) @tldj, m. —
6) ®etreibe. 7) Sol^ttl^ateT.
9R{t^ ordinairement avec.
jtotnmcn @tc mit mit venez avec moi.
SRit lattgfamcn ©d^rittcn à pas lents,
3Rtt lautcr ©ttmmc à haute voix.
3Rtt ScBcitggefal^r au péril de la vie.
3Jlit gcnaucT (ou l^artcr ou tnappcr) 9lot à grand' peine.
5Dct SRatm mit bcr gtogcn 9tafc Thomme au grand nés.
2Ktt @(J^ncc bcbcit couvert de neige.
3ufricbCtt mit content de. — Slîtfûttctt mit . . . remplir de . .
Mît bcm ®Iafc in bct $)anb le verre en [ou à la] main.
Remaïques iBur l'emploi des prépositiong. 325
69 ftel^t fd^Ied^t mit il^m ses affaires vont mal.
SRtt etnem SOÎort en un mot.
IDttt gutem ®e)Dtffen en bonne conscience, en conscience.
Wtit ber ^ofl par la poste. — SRit ©ttoalt de force.
3d^ reife mit ber (Sifenbal^n je pars par le chemin de fer.
9taiif ordinairement après,
3)er 9Beg nad^ ber @tabt le chemin de la ville.
Sâ^ gc^e nad^ SBten je vais à Vienne.
3^ ^^^^ ^^^ SJcrKtt je pars joowr Berlin.
9îad^ Selicben à volonté.
^aé^ ber Sîatur cfopjr« nature.
92ad^ meinen SSefel^Ien ««/bn ou smvani mes ordres.
92ad^ Serlauf t>on j)oei SRonaten om ftou^ de deux mois.
92a4 meinem ®t\â^mai à mon goût.
9lad^ (in) alpl^aBetifd^er £)rbnung par ordre alphabétique.
fdtx, ordinairement mr ou au-desstis de.
U6er ben l^ol^en Sergen au-dessus des hautes montagnes.
(&9 ift ûBer ein l^albed Saf)X il y a j9^ ci^ six mois.
^enU Û6er ad^t Sage d'aujourd'hui en huit (jours).
S)ctt SBinter û6er pendant lliivei.
ÛBer einen ^a\m fpringen sauter par-dessus une haie.
^ad gel^t ÛBer meine fir&fte c'est au-dessus de mes forces.
USerÇald unb Kopf en toute hâte, précipitamment, à toutes jambes.
î)a« ©orf liegt flber bem Sïufîe.
Le village est situé au-delà de la rivière.
2)en @ommer ûBer tool^ne xé^ auf bem Sosbe.
Pendant l'été j'habite la campagne.
3(3^ reijle ûBer ©tuttgart mâ^ SDWnd^en.
Je me rendis par Stuttgart à Munich.
ttnt, ordinairement autour de,
Umd Seuer ^erum autour du feu.
Um bic SBette à l'envi.
Um loiet)teI Ul^r? à quelle heure?
Um ein Ul^r à une heure.
Um iloangig Wtaxt pour vingt marcs.
Um ® ottedtDtHen ! pour l'amour de Dieu!
(5r l^at fl(3^ um t)ier Sranïcn geirrt.
n s* est trompé de quatre francs.
S)er SBeg ifl um- neun fôlometer Iftrger.
La route est plus courte de neuf kilomètres.
326 Leçon 52.
Itttttt, ordinairement sous.
Xbttet gtDÔlf dal^ren au-dessous de douze ans.
ffîe^cr Unterfd^teb unter . • . quelle différence enirs . . .
Utttcr bcm ou bcn @(i^uÇ à rabri.
Utiter btefer Sebbtgmtg à cette condition.
Itnter bem Stfd^e ^txtcx de dssssus la table.
Unter freiem $immel en plein air, à la belle étoile.
Untcr bcn SRairacrn pamu- les hommes.
Unter ber 9îegterung Sarte bed ©rogen.
Sous le règne de Charlemagne.
®te Belommen ed ntd^t unter bteigtg Tlaxt
Yous ne Taurez pas à moins de trente Inarcs.
fSoUf ordinairement de ou par.
!&te Srennung t>on feinem Sater la séparation davee s. p.
lîom erjien gefimor an à partir du 1. février.
IJon = ))on @etten iemanbed de la part de qn.
(Ein 9îtng t)on ®oIb un anneau (for.
IJon gctnjem Çei^en de tout mon (son etc.) cœur.
Son ^ortd Btd Sonboxr de Paris à Londres.
Son ®runb ani de fond en comble.
2)tefc« S5ud^ tjl 't)on ©oetl^e âefd^rtcBcn toorben.
Ce livre a été écrit par Goethe,
Sont SRorgen bi9 jum SlBenb.
Depuis le matin jusqu^au soir ou du matin au soir.
fSotf ordinairement avantj devanty il y a.
Sor bret îagcn il y a trois jours. .
Sor jel^n Ul^r avant dix heures.
Sor ber Çanb en attendant.
Sor ber @tabt tool^nen demeurer [devant) hors de la ville.
S)te îîpre oor ber 5Rafe fd^ïieÇcn fermer la porte au nez.
jDted i^ t>or metnen Slugen gefd^el^en.
Cela s* est passé sous mes yeux.
3n, ordinairement à,
3u jencr ^txi dans ce temps-là. ^m réciter ^txi à temps.
2)te i^iebe gum 9îu]^m Tamour dis la gloire.
3nr 3ctt be« Slugujiuô du temps d'Auguste.
3u ^aufe fein être à la maison, au logis.
^if éegaS mtd^ gu il^m je me rendis chez lui.
3u Sl^ren ber ftëntgtn en Thonneur de la reine.
S)ad S^tviftXi yxvx %ngriff le signal de Tattaque.
an ÏBagcn en voiture. — ^Vi ^ferb à cheval.
Remarques sur l'emploi des prépositions. 327
3tt Çttg à pied. — 3tt glcid^cr 3^^* ^ même temps.
3u Sanb unb JU SBaf|cr /wr terre et jsar mer, wr t, et awr m*
3«tti ©lild /?ar bonheur. — ^um SBctfpicl |w»r exemple.
3u biefetn ®ébxaviâ^ (3^^^) ^ ^^^^ usage (effet, dans ce but) .
Exeroiee. 178.
Sïfoj) BIfltc jur 3^^* ©otoii«. S or brci Sctgen l^aBcti
î»tT ctttcn SEBoIf cricgt (tué), dd^ tocrbc t)oï ad^t ïagcn ntd^t
au^gel^cn; bcr ÏTjt l^at c« mtr t)Cï6otcn* 3d^ tocrbc ©te nad^
beu aWarltprctfen Seja^Icn. Çtanj bcr Srjlc tourbe in italien
gefangctt rntb mâ^ ©panicn afcgefiil^rt. SKein SSater tfl um jtoci
Uig abgereiji. 83 ci fcincr SlSrcifc toax bie ganjc ^ttwtUc t)cr*
fommdt,^ (5r totrb inÇari^ t)on fctncm 93ruber mit (à) offe*
nen armcn cmpfangcn tocrbcn. ©tnb ©te ju Sanb l^icrl^cr gc*
îoinmcit? 3a, id^ bin tnit bcr ÊtfcnBal^n gcïomtncn. 3Ran mu§
nti^t au« 6tgcttnu|2 \)a3 ®utc t^un, SRetfcn ©te ju Çfcrbe
ober JU SEBagcn? 9etne«* t)on bctbcn; td^ rcifc ju ©d^tffc^ 3d^|
Banb citi Safci^cntud^ um fcinen Slmt, îCcr Çunb fprang untcr
bem Zi^ ^ert)or. SSom Crjlcn 6i3 jum Se^tcn. ©ett toaitn tji
Suite eine SBaifc?* ©te tjl eg feit t^rcr Stnb^ctt.
1) assembler. 2) intérêt. 3) ni — ni. 4) orpheline.
Thème. 174.
Ce banc^ est plus long que l'autre de 60 centimètres.
Sa séparation d'avec sa mère lui coûta bien des larmes. Mettez
un peu d'eau dans votre vin. Pendant l'hiver j'habite la ville.
M. K. loge au-dessous de ma chambre. J'ai été trompé par
un filou. 2 Bientôt nous vîmes le sommet* du mont Ida au-
dessus des autres montagnes de l'île. Napoléon combattit
SUT terre et sur mer. Donnez-moi deux mètres et demi de
drap pour une redingote.* Avec la meilleure volonté^ je ne
puis le faire. J'ai beaucoup voyagé par terre et par mer.
La ville a été détruite de fond en comble. Ptolémée, à la
tète ® de la cavalerie macédonienne^ commença l'action ^ avec
intrépidité,® mais sans succès (Srfoïg). Annibal, débarqué •
en Afrique, fit camper ^^ son armée près de Zama [à] cent
cinquante kilomètres de Carthage.
1) blc ©auf. 2) ^pïiibnU. 3) bcr ©t^fcï. 4) bcr 9îo(ï. 5) SBlïïcn.
6)@j)itc,/. l)Ëamplm. 8) Uucrfc^rodcu^cît. 9) lanbcn. 10) ïagcrn.
9
Lecture» •
2nfaë ^anaif.
Sufaô iîranacj^ xoax nid^t nur bcr grôgte 9Katcr fcincr 3ctt,
fonbcm aud^ cb SKanit t)on cbïcm Çcrjcn unb grogcm SScrjlanb.
©d^on in fcincr Ougenb toenbctc cr fciuc 3cit fcl^r gut an, unb
328 Leçon 52.
baiser lam e9, ba§ er toctt^frû^cr ein nfl^ï^cr SKcnfd^ tourbe,
M onbcre* 9to ncrnijc^ntcn dal^rc fetnc« aitcrô Icmtc^ bcT
Aurfûrfi ))on ©ad^fen, do^ann ^riebrid^, tl^n ate etnen ge«
{(i^idten dihigimg lennen,^ unb nal^m tl^n auf fehter 9îetfe md
®eIo6te Sanb ^ mit ftd^. 3taéi ber Kiidlel^t tnd Satetlanb Sertef
cr tl^n an fetnen Çof itad^ SBtttenBetg unb mad^te il^n bafeI6fî
jum Sûrgenncijlcï.* ®in cinjtflcr Sh f^i^^ fc^ôncn ©cctc tfl
l^iuTcid^ienb (suffit) , fctncn Sl^araïtcr ju f(!^ilbcrn** Sllô fera Çcrr,
ber unglii^I^c fturfûrjl ^oljiann grtebrtd^, Ui SKûl^ttcrg te
©ad^fen, in bie ©efangcnf^aft* ftaifcr ftarU V. geratcn tt>ar,*
lieg ber fiaifer , ber jld^ je^t erinnerte , bag ihanad^ il^n ^U
ftnaSe gentalt l^otte, biefen eblen SRann in fein Sager lommen.
„9Bte ait toar i(|^ bamate, afô bu mtd^ maltefi?" fragte ber
llaifcr. — „(£ure SKajcjîat," outtoortete fcanad^, „i»ar ac^t dal^re
oit. @d gelang mtr nt(]^t el^er. Sure Snajefiat }um ©tiUft^en ju
bringcn, al3 Bi« 3]^r Çofmctjier* t)erfd^icbcnc ©affcn an bie ©anb
l^angen licg. SBal^renb bag ®ie btcfe !riegerif(!^ett' 3tojirtt»
mente mit unt>er)oanbten (fixes) Sugen Betrad^teten, l^atte iâ^ â^it,
3^r ®ilb ju enttoerfcn." — „Sitte (demande) bir eine Onabc
t)on mir au«, SKaïer!" fagte ber iîaifer^
S)emûtig fiel il^m £ranad^ gu $ilgen unb 6at, mit jîl^r&nen
in ben 3(ugen, nid^t um eine @umme ©elbed ober um einen JÎitel,
fonbcm um bie Çreil^eit feine« ffurfiirjlen* î)er SDîonard^ gcriet®
in bie grôgtc Serlegcnl^eit ; ® fein $erj toar burd^ biefen gered^ten
SQBunfd^ eincô treuen Untert^ancn fel^r gerûl^rt (touché), unb
bod^ glauBte er, ben rcd^tfd^affenen ftranad^ fûr« erjle' abwcifen^*
ju mûffen* „2)u 6i{i ein Brader SOtann," fagte er }u il^m; „aBer
e^ toSre mir lieBer getoefen, toenn bu um ettDad onbered geSetett
l^attep." a» nad^i einiger âeit ber fturfûrfl feine greil^cit erïongte,
lieg ^^ ber banîbare ©en biefen fcinen treuen S)iener nie Don ber
©eite^^; er mugte bejiSnbig iei il^m tool^nen unb fel6|i Bci ei^ren*
boHen*^ Oeïcgenl^eiten ncbcn il^m im SBagen jifeen.
1) lennen lemen faire la connaissance. 2) Palestine. 3) maire.
4) peindre. 5] avait été fait prissonnier par ... 6) gouverneur,
nréoepteur. 7) guerrier. 8) in 133erl. geraten se trouver embarrassé.
9) pour le moment. 10) éconduire, refuser. 11) )9on ber Seite loffen
quitter, se séparer de. 12) honorables.
Questionnaire.
SBer toax 2nta9 Sttanaâf'^
Sic tam t9, bag er frii{>er* aU anbete ein nil^Iid^er iD^enfd^ kourbel
ffîann lemte il^n ber ^urfiirjl t)on ©ad^fen fennen?
Sie l^ieg biefer turfiirfl?
SBo^in na^m er il^n mit ftd^^
©as t^at er nad^ feiner mâU^x'i
SBelïier fd^Sne (S^araîterjug n>trb toon jhranad^ erja^ltl
©eld^e grage ri^tete ber $aifer an ben Sl^alerl
De la construction allemande. 329
fBa9 aitttoortete ïffm ittaxtad^'i
SBeïd^e ®nabe Bat ftd^ ber Wlaltc bon bem taifer au9?
@en>â^rte t(m ber «aifer feine )6itte1
SQSa9 fagte er ju i^nt?
SBte e^rte ber ^urfiirfi nad^ erlangtergret^ett ben fD^aler?
Cinquante-troisième Leçon.
De la construction allemande.
(ffîortfolge.)
La construction allemande diffère passablement de
la construction française. Il faut d'abord distinguer les
propositions simples, les complexes et les composées. Pour
les premières, les deux langues ne diffèrent pas beaucoup,
mais bien pour les autres. Voici les règles principales.
L De la proposition simple ou principale.
((Sinfad^er ^a^}.)
Elle contient, comme en français, le sufet, le verbe et
un ou plusieurs compléments. Dans la construction ordi-
naire, le sujet avec tout ce qui en fait partie occupe la
première place, le verbe à un mode personnel la seconde,
et VcUtribut ou le régime la troisième place; viennent
ensuite les compléments divers, et en dernier lieu, quand
le verbe est à un temps composé, le participe passé ou
rinfinitif.
Exemples.
3)a9 jtinb [^tSft Venfant dort.
2)ie Âinber finb fran!.
2)er StmU W^t ben {>unb.
2)er Soie brac^te memem ISater einen Qrtef.
2!)eT grembe too^nt in einem (Safll^of (hôtel).
2)er f^rembe retfle geflern ttaâf $ari8.
2)eT^embe iflgeftem naâ^ $an9 abgereifl.
2)er ©ârtnet f^idte mir l^eute bte ttfttn SBIumen au9 meinem ®arten.
9lapoUùn Ift etn groger gelb^err getoefen.
^tin D^tim teirb Batb (ter an font m en.
II. De la proposition complexe.
((Smeiterter ou )nfammenge}cgener @a^.)
La proposition complexe est celle où se trouvent
plusieurs sujets, ou plusieurs verbes ou plusieurs com-
pléments directs joints ensemble par une conjonction
coordinative, telle que unb, obcr, cntweber — obcr, tocbcr —
noâf, — fonbem (voyez p. 238, I.). Les règles suivantes
se rapportent, selon les cas, à ces deux catégories de
propositions (simples ou complexes).
330 Leçon 53.
1) Lorsqu'il y a plusieurs sujets ou plusieurs attri-
buts, on les met en allemand dans le même ordre qu'en
français. Ex.:
2)te SJhitter unb bte ^So^ter ftnb ftetgtg unb tugenbl^aft.
2) Toutes les épithètes du nom, soit les adjectif b^ les
participes, les nombres etc. , précèdent le substantif. Ex. :
(gin atteô ^ctb. — 2)ic fransSfifd^e ©^srad^c.
®uter, roter SBem. -^ (Stn flerbenber ^reid «(yieillard).
Nota. Sont exceptées les épithètes qui forment une ap-
position: ^tiaxiii bcr SSiertc» — ÏHcçanber bcr ®Toge.
3) Lorsque les épithètes sont encore déterminées
par d'autres mots, le tout se place avant le sujet:
(Stn In tieïett Stiïn^tn erfal^rencr SWann.
Un homme versé dans bien des arts.
(glnc ISngjl t)ergcffcne ©ef^i^te. (Voyez p. 304, 2.)
4) Le régime se met toujours après le verbe; par
conséquent aussi les pronoms personnels qui ne sont pas
au nominatif. Ex.:
S)er ^ttabe fd^Iagt ben $unb.
3)cr «nabc fdblfigt i^n (le bat).
• 3<^ toilnfd^c â^ncn (cinen) gutcn Xa^,
SKcine SWuttcr bcfînbct fi^ ^cutc Beffcr.
34 ^tt^( fie nid^t gefel^en.
5) Lorsqu^il y a deux régimes, Tun à Taccusatif l'autre
au datif, celui qui marque la personne précède l'autre. Ex. :
2)er Sel^rer l^at bem @ déliter {dat.) ein SBiid^ (ace.) gelie^en.
©te b^ben ben armen SJÎann {aec) feinem @d^i(f[a( (Jat.) fiber-
taffen (abandonné à son sort).
6) Quand les deux régimes désignent des personnes,
Vaccusatif précède le datif.
3d^ ^be 3^ren ©olj^n bem gûrflen em^fol^ïen (recommandé).
7) Lorsque l'un des deux régimes est un pronom per-
sonnel, l'autre un substantif, le pronom précède. Ex.:
^err $etcr \)at mir ein ©efd^enf gemad^t.
@r ^at btr (S^nen, il^^m, i^r 2C.) einen guten 9iat gegeben.
Çaben @ie e« S^rem Çreunbe erj&fiït^
S)er iBiiefbote l^at und Otinen, i^nen) einen SBrief gebra^t.
Nota, n est entendu dans ce cas que le pronom per-
sonnel doit être simple, c'est-à-dire non précédé d'une prépo-
sition (voir 11).
8) Quand les deux régimes sont des pronoms per-
sonnels, celui qui est monosyllabe doit précéder l'autre;
De la oonBtruction allemande. 331
et quand rtin et l'autre sont monosyllabes, Taccusatif
précède ordinairement. Ex.:
iat er Sl^iteit (il^nen, tn^) bie 3a. et l^at fie mit {ï^ntn, eu^,
Sdû^tt gefd^idttl mî) fief^icft.
Ailnneit @te fi$ feiner (i^rer) ïïltin, ïâfîann mi$ fei net (titrer)
erittttern? nïiSft erinnem.
ÇaBen @ie S^rem <So$ne biefe ^)'^ii|}e 3a, iâf f^aU fie i^m gefauft.
gefattft?
SBem (at Stati f!$ borgeflellt (pié- (Sr l^at fi$ (ace.) mir loorgeflelCt.
sente)?
SBetn ^at Suife ba9 {^eft (cahier) @ie ^at e« mit geliel^en.
gelie^ett?
9) Quant à la place des adverbes et des locutions ad'
verbiales ^) de manière et de /tieu , il faut distinguer si le
Terbe est à un temps simple ou à un temps composé.
a) Dans le premier cas, l'adverbe se place après tous
les autres régimes et compléments. Ex.:
3)er SD^aitit fud^te fein Ainb fi6 était,
ffîir erfûllten unfere $flt(]^ten mit greuben.
S)ie^etnbe um^lenten bod ^an9 auf a II en @e1ten.
Les ennemis environnèrent la maison de tous côtés.
b) Mais quand le verbe se trouve à un temps composé,
l'adverbe se met immédiatement devant le participe
ou rinfinitif. Ex.:
2)eT Wlann \^at ba9 ^inb fi B et a II gefu^t.
2>er ^naBe l^at feine HufgaBe fe^r f$9n gefd^rieBen.
IDir folleit uitfere $f[i^ten mit greubett erfiiUen.
S)ie geinbe l^aBen bad ^avL9 auf ail en @eiten itmfletit.
10] Les adverbes et Jes locutions adverbiales de temps
précèdent les régimes directs et indirects, quand ceux-ci
sont des substantifs:
3âf ffaU gcjlern einen ©ricf gef(]^rieîen.
Wldn SBruber lam biefen SJlorgen t)on ÇamBurg guriid.
S)er ©eneral tDtrb eiligfl einen i93oten an ben Sfirfien fenben.
34 io.U neulid^ meinen gfreunb H. géfe^en.
SBir tt>erben in brei Sl.açen nad^ Çamburg reifen.
$err iOlfitter toirb in eintgen @tunben.ba9 $alet erl^alten.
11) Mais ils suivent les pronoms-régimes, à moins
que .ceux-ci ne soient précédés d'une préposition. Ex.
3$ l^abe t^n (ou fie) ^eute nid^t gefel^en.
@r toirb uns {^nâf, @ie, :c.) m or g en Befud^en, mais:
3<^ lft<ibe gefiern biefe9 ^nâf Bei 3^nen gefel^en.
iètx ffàhtn tooT ^ur^em einen @))ajiergang mit tl^m gema^t.
1) La locution est adverbiale, lorsque, pour indiquer une cir-
constance, on se sert d'un substantif avec une préposition en
332 Leçon 53.
12) S'il y a un adverbe simple et une locution ad-
verbiale de temps j c'est Tadverbe simple qui préeède. Ex.:
5àf n>erbe morgcn um geH U^r abrcifcn.
$en 9. ge^t immer be9 KBetibd fij^aiteren.
13) L'adverbe ni àft mit toujours le régime direct^):
3db finbe mein gebermeffer ni^t.
3^ ïann mein gcbcrmeffer niâft finbcn.
grtebri(( lemte feine $(ufgaBe ntd^t gut.
$àf f)aU ben ©eïbbeutel nid^t gefunben.
2)er 9J2tni{ler l^t bte 2)e:|}utatton nod^ ni^t em)>fangen.
14) Les adverbes de lieu et de manière suivent gé-
néralement la négation nxâft Ex.:
S)er ^Bntg tft ni^t l^ier getoefett.
^er J^ëttig i|l l^eute ntd^t (ier getoefen.
2)er SBote (lat ntâ)t { a tige geivartet.
iD^an ^at ben 2)ieB nid^timJïelIer gefunben.
15) De deux ou plusieurs infinitifs ou participes
(souvent un infin. mis pour un partie, p.) celui qui est
le premier en franc, se met le dernier en allemand. Ex. :
Wlaxt ^at mi^ tufeit lafjett on m'a fait api>elei.
jDiefer Wlann f)at mir axitïttn (etf en (m*a aidé à travailler].
(Voyez aiusi p. 292, § 3.)
Thème. 175.
L'enfant pleure. Ma mère est malade. Henri IV était
un bon roi. Le laboureur cultive la terre. Le chardon ^ est
une plante épineuse (bomtg) . IJn ami vertueux est un grand
trésor. Un ruisseau clair est Timage d'une vie tranquille.
Une terre bien cultivée produit «de bons fruits. Le sage
préfère une petite maison commode à de grands palais, et
une fortune^ médiocre à de grandes richesses. Nous avons
vu de grandes forêts, et [en] avons traversé plusieurs. La
mort nous talonne,^ et nous n*y pensons pas. Cette matière^
est difficile à traiter,^ il vouç faut y apporter (k)eT)oenben)
beaucoup d'attention. Il nous est arrivé un grand malheur,
nous ne nous y (beffen) attendions^ pas; mais nous tâcherons
de nous en consoler. L*or est un métal très précieux ; ce-
1) bie 2)ijlel. 2) ein mtttermSgiged $3ermSgen. 3) fo(gt nt)9 ouf
ber gerfe. 4) ber ©egenfianb. 5) Bel^anbeln. 6) berfal^en.
remplacement d'un adverbe, p. ex.: mitS3ergniigen avec plaisir
pourgerne volontiers; auf oetounberungdtoiirbige Seife pour
admirablement etc.
1) A moins qu'on ne veuille mettre un substantif en opposition
avec un autre, p. ex.: iâf rufe nid^t ben ^Srtner (fonbem ben Jcut[^r),
ou dans certaines questions: ^aBen @ie nid^t einen ^ruber?
De la construction allemande. 333
pendant nous n*en sommes pas fort désireux, ^ parce que
nous pouvons nous en passer.^ Notre salut ^ est la chose la
plus importante , et cependant (bo^) presque personne n*y
(boran) travaille.
7) ffaUn XDÏx Uïn grogeô ^Sertatigen barnad^. 8) t» entBe^ren. —
9) ©eetenl^cil, n.
De l'inversion.
Les règles précédentes s'appliquent à Vordre régulier
des mots dans la langue allemande. Cet ordre peut ce-
pendant être changé, et il y a inversion tou£e3 les fois
que Tun ou l'autre terme du discours est transféré de
sa place ordinaire et mis en tête avant le sujet. Les
termes qui sont susceptibles d'une pareille inversion sont :
le verbe, Tattribut, le régime et les adverbes.
1) V inversion du verbe a lieu:
a) lorsque la phrase est interrogative. Ex.:
' ® tau Ben @te biefem SD^annel
«ommt 3îir ©rubcr Baïbl
$at ber ^olt^eibiener bnt ^teB gefangen?
SBem l^aBen @ie ba9 gefagtl
©oUte ber ^«xm e9 ge^Brt l^aBen?
h) dans les propositions qui CQntiennent \m impératif
ou une exclamation. Au singulier cependant le pro-
nom est rarement exprimé. Ex.:
gange (bu) an gu tefen.
Sefen @ie biefe @eite gang Tant (à haute voix).
c) dans les propositions conditionnelles et exclamatives,
lorsque la conjonction tt)enn est omise. Ex.:
^liit i(^ bied gefletn çelougt (a lieu de loeun Id^ }c.).
SSre t($ gel^n 3atire àlter si j'avais dix ans de plus.
(Sd [d^emt, aïs tDOÏÏe m art mtd^ Betriigen.
O, ^&tte \éi bo4 feiueu 9îat Befoigt!
d) ou bien encore, et ce cas est très fréquent, toutes
les fois que la proposition commence par une ez^
pression adverbiale. • (Voyez p. 238, II.)
Aaum l^atte er fetne Î^Bûre gefd^Ioffen :c.
Rtoax lonnteu mir nid^t ^Bren, xdcl9 er fagte; aBer :c.
uBrigen6 toar er n^t fo mtgfûdiiâf aî9 te bad^te.
2] Ij inversion du régime ou de Vattribut a lieu, quand
on veut le faire ressortir. Alors le régime ou Vattribut
{irend la première place, le verbe la seconde et le sujet
a troisième ; p. ex. la phrase :
3d^ ne^me biefen ^orfd^ïag geme an.' •
J'accepte volontiers cette proposition.
334 Leçon 5a.
prend dans Tinversion cet ordre-ci.
2)iefeit iBorf^Iag ne^me i^ geme (m. De m6me:
2) en 9 eu tel f^t et toe^l gefunbeti, aber ni^t bas ®e(b.
2)iefe9 SDlanned laira i^ midb burd^aus ni^t erinnem.
il^i^t mtiâftam, sur âufrieben^ett tofinfée i ^ bit.
geige (l&ches) nenne léf hït, toel^e mtd^ betfotgen.
3) TJinversion peut s^appliquer à tous les adverbes
et locutions adverhuUes^ quand on veut y attirer Tatten-
tion. Ex.:
S)iefett9Rotgen ging ^txx ®rfin an meinem {^aufe torBei.
Çrettnblid^ brûdte er mtr bte ^anb.
Uberall fhtbet ber SD^enfd^ bie è))ureit ber SBeU^eit (9otte9.
Unter bem grogen @teine befanb \\éi etne ë^tange.
4) Dès qu'on veut mettre une expression en relief
comme idée principale, elle est mise en tète et entratne
l'inversion du sujet. Ex.:
SBir fSnnen bte[e9 ^U(^ lit Honbim nid^t Belomnteit.
Inversions :
S)iere9 iOu^ IBnnen totr in £onbon ni^t Befomnten.
3n Sonbon lifnnen b)ir btefe9 i93n^ ni^t Befommen.
SRein greunb (at ge^em na(!^ langem {>arren ben erfel^nten Ortef
bott fetnem IBater erl^alten.
Inversions :
@eflern ffat mein -grennb na^ langent Çarren ben erfel^nten
SBrtef Don fetnem Sater er^alten.
92a4 langent $arren ffat mein grennb gefleim ben erfel^nten
f&ïït\ povL feinem $ater er^alten.
2)en erfe^nten Qrief i9on feinem Sater l^at mein ^ennb
geflem tta^ langem {^arren er^atten:
Remarque, Il y a encore d'autres espèces d'inversions,
qui sont entièrement facultatives et ne se trouvent g^ëre
qu'en poésie.
III. De la proposition incidente.
1) Les propositions incidentes se mettent en général
immédiatement après le mot qu'elles expliquent ou com-:
plètent. Elles commencent ordinairement par le relatif
XùtXéftx, t, cô ; ber, btc, baô etc. , qui exige le verbe Jini
à \à, Jin; ou bien ce sont des propositions incomplètes^
c'est-à-dire un infinitif avec }U précédé ou non d*un
régime. Ex.:
2)er JtnaBe, toel^er'ben Qrief gebra^t ^at, ifl mein ©ol^n.
2)er SBein, n>eld^en-i<i^ t)on 3^nen lanfte, ifî nhi^t gnt.
De la construction allemande. 335
S^ f^aU bic ÛBcrfe^ung, blc @lc mit attfgegeBett ^abcn,
34 l^offe, meinen ^reunb gu fel^en.
2) Lorsque la phrase est négative ou qu'il y a le
mot xicâf, la proposition incidente suit le mot niâft, nxàft
xrn^x ou ntâf. Ex.:
34 finbe b<t9 )@it4 ni^t, ba9 @te geflent gebra^t f^aUn,
Çaben @lc blc Çcber no^, ble i^ Sl^ncn getlc^en IJabe?
34 broute ba9 $Bu4 ni^t tnel^r, ba9 i4 bet Sl^nen mitna^m.
3) Quand le verbe de la proposition principale est
à un temps composé, on peut mettre la proposition in-
cidente indifféremment avant ou après le participe ou
rinfinitif qui entre dans la composition de ce temps. Ex.:
34 ^<^^c ^^c âberfe^un^ no4 ni4t dema4t, bte @te mit aufge«
geben l^aben (ou bte uberfe^ung, bte @te 2C.).
^aUn @ie baS Qu4 gefunbeit, bas t4 in 3l^r Bitntner gelegt
l^abe (ou ba« ©u4, ba6 i4 «. —, gefunben)?
34 tooSte bte ©etegenl^eit , giite 8il4er gu laufen, ni4t borbei-
gel^en taffen ou 34 ^^^tt bte <$elegen^eit ni4t Dorbeige^es
kffen, gute Sbû^tt )u laufen.
Tlaxt l^at aiïeS geïefen, toa9 @te aef4neben l^aben ou ïOlan l^at
alle9, tt)a9 ©te gef4riebett l^aben, getefen.
4] Lorsque le temps composé de la proposition prin-
cix>&le est suivi d'un infinitif avec ju, il faut examiner
si ce dernier a un régime ou non. S'il a \m régime, il
vaut mieux placer l'infinitif avec son régime, surtout s'il
est un peu long, après le participe. En ce cas on met
une virgule après le participe. Ex.: »
SDfleine Wtutttc f^at mît erlaubt, audgugel^eR ou l^at mie audjugel^en
erlaitbt.
iD'^att l^atte mit befol^Ien, ^u Çaufe pt bletbett (moins bien: man
(atte mir gu $aufe gu bleibett befo^Iett).
34 ^A^c iljim geratett, aïïe feine ®4ulben gu bqa^Iett (mais non:
i4 l^abe il^m atte feine ©4"^^^^^ P be^al^Ien getaten).
jRemarçnte, Les règles sur les propositions incidentes qui
se forment au moyen d'une conjonction, se trouvent dans la
leçon suivante traitant de la proposition composée.
Thème. 176.
Quand votre père arrivera-t-il ? A qui avez-vous donné
l'argent? Allez-y. N'ayez pas peur. A peine eut-il reçu la
lettre, qu'il partit pour Londres. Dieu m'a donné la vie et
la santé, il me les ôtera un jour. Il nous aime, il nous a
créés tous y il nous nourrit tous , et néanmoins nous ne
336 Leçon 53.
raimons pas comme nous devrions Taimer. Auquel de vos
enfants donnerez-vous cette récompense ? ^ L'homme qui sait
s'occuper a assez de lui-même (an fîd^ fcïbjl). On se sert
de plusieurs noms pour exprimer la même chose. Ensuite
ils retournèrent auprès de (ju) Calypso, qui les attendait. Les
nymphes servirent ^ d'abord un repas ^ simple, mais exquis*
poûr^ le goût et pour la propreté. On apporta ensuite dans
des corbeilles ® tous les fruits que le printemps promet et que
l'automne répand^ sur la terre.
1) ©ctoÇnung. 2) auftragen. 3) SKa^gcit, /. 4) au8gcfud^t. —
5) ^mrt(^tïtd^ be9 ®t]6)mad9, 6) ^9rB^en. 7) t>erBrettet.
Lecture*
2)te (abif^en Siiget ttt $etiSfeIb«
S)ag Sa^x 1807 toar ctnc fc^^wcrc â«t fur unfcr Satcrïont)*
3fn 5?oïgc bc3 Sïicbcn« ^vl ïtiftt tourbe ba« ^rfûtpentum $ c f-
f en t)ott franîôfîf(!^en Zxnppta befcftt* -Sn bie ©tabt $er«f cib
tourbe ein {Régiment babtfd^cr Oâger t)crïegt (placé), benn bamalô
ntugten bcutfd^e ïruppcn ben Çal^nen bc3 ®robercî3 fotgcn unb
fur tl^n jbeiten. ®cn Çcrôfclbcm gepcl bte frembe Sefa^ung *
mift; Pc toSren KeBer unter il^rem bcutfci^en tïûrjlcn gcBKeben*
©a gaî eô natfirïtd^ aîStberfc^ïti^fctten,^ fcet t»cl(!^cn unter anbcm
ein franjôPfcî^cr Dfpjier um3 Seben tam. Um Sl^nttd^en Sor*
fatten tJorjuBeugcn,^ tooUte nun bcr franjBpfd^e ffiatfer etn ai*
f(!^redenbe8 * Scifptel aufPetten, unb ibcfal^I beêl^alB, bte @tabt
Çerôfelb ju j^ttubem, bann an t)icr Drten anjujiinben unb in
âfd^c JU ïegen»*
SDtefe* Çer^felb ip etn fDxt, ber Dtele ^^Brifen, unb baiser
aud^ t>tele retc^e unb tool^Il^aBenbe Stntool^ner l^at, unb etn SRen*
fd^enl^crj ïann tool^I emppnbcn, toie c« • nun ben amicn Seutcn,
ben SStem unb Wtûtt&m ju SIRute • toar, aï« pc bte ©d^frcdenô*
poP Dcmal^men.® 3)cr rcid^e SDîann, befîen ®ut mâji auf l^unbcrt
SBagen toeggefûl^rt toerben lonnte, i»ar je^t eBen fo ûBeî baron, ^
)Dte ber Slmte, ber aUed auf etnmal auf bem âlmte toegtragen
ïonnte» 3fn ber 2lf(!^e® pnb bte grogen $aufer auf bem ^la%
unb bte ïletnen tu ben SÈinïcIit' eBenfo gletc!^, afô bie retd^cn
Sente unb bte armen auf bem Jîtrd^l^of*^®
1) garnison. 2) acte d'insubordination. 3) prévenir. 4) inti-
midant, exemplaire. 5) réduire en cendres. 6) tDte e9 ben . . . jn
iKute toar ce qu'éprouvèrent les ... en apprenant la terrible nouvelle.
7) être dans une f&cheuse position. 8) cendres. 9) coin. 10) cimetière.
De la plirase composée. 337
(£« ïam ieooéi nxéii jum ©(^ïtmmpcit* îluf gûTBtttc *® bc«
ftotnmanbantcn m ftaflcï unb $cr«fclt> tourbe btc ©trafc fo gc
mtlbcrt:^* 68 foïlcn nut Dtcr ÇSufcr locrBrantit njcrbcn, unb baô
toat gïimpfït(^;i2 aJcr 6ci bcr ^tilnbcrung foHtc c« blctBcn;**
unb baô toar not!^ l^art g^^^fl* 3)tc uugïûdïicj^cu Smtool^ncr
toarcn au(^, atô fte btcfcn (cfetcn 93ef^eib ^^ l^ôrtcu, f o erfci^rodfctt,
fo attc« aOtutcô unb aKcr 93cfmnung Beraubt, bag bcr mcnfd^eu*
freunbîii^c ^ommanbaut fie fcïBcr crmal^ncu mugtc, jlatt bcô Dcr*
gcbïii^cn fîtagcu^ unb Sittcn«, bic ïurjc ^i^ (délai) ju Bc*
uûfecu** unb tl^r Scpe« uoc^ gcfd^totnb auf bic ©cite ju f(!^affen*i*
10) intercession, prière. 11} adoucie, mitigée. 12} modéré. 13) être
maintenu. 14) sentence, arrêt. 15) profiter. 16) mettre de côté.
Questionnaire.
3n totiâ^tm Salure tourbe bcr grtebc ju Sitjlt gcfdjïoffcu?
SBc^c goîgc (conséquence) îiatte biefcr griebc filr ^cffcu?
SBaô fur £ru:^:|)cn tourbcn naâ^ Çcrôfelb toerïcgt?
SBar bie frembe ^efa^ung beu Sintoo^nem angeuel^m?
SBad gab ed ba?
SBetàcS aBfd^redenbc 8eifî>ieï toollte 9'îa:|)otcon aufflellcul
2Ba« fur ein Drt ip Çergfctbl
SBurbe btefer i^efe^I Bud^flaMt($ ^ottgogeu?
SBlc tourbe bie @trafe geuiiïbert?
^U bie Sintool^ner bief en le^ten 8efc!^eib l^iirteu, toie toaren fiel
SBop emtal^nte fie ber ^ommanbant?
Cinquante-quatrième Leçon.
De la phrase composée.
La phrase composée est celle où se trouvent deux
ou plusieurs propositions simples ou complexes, jointes
ensemble par quelque conjonction. Ces deux proposi-
tions ayant déjà été développées, il s'agit ici principale-
ment d'exposer la manière dont elles peuvent se rattacher
l'une à l'autre. Cela se fait de deux manières: 1) par la
coordination; 2) par la subordination.
I. Propositions composées coordonnées.
La coordination peut avoir lieu de quatre manières :
1) Les deux propositions peuvent simplement être
mises l'une après l'autre sans aucune liaison. Ex.:
2)ie Sf^offe toiel^erten, e8 [(Çmetterten Zxompctm,
S)ic gal^nen flattertcn, bic gal^rt toarb angctrcten.
3d^ er^cil^Ite ïfym atted; er tougte ni^td bat)ou.
OTTO, Grammaire allemande. 22
338 Leçon 54.
2) Elles sont jointes par un pronom démonstratif:
Statl ber (Sroge unb ^topeiton towcttt itotï mS^tige Meger: iencr
t)erBanb (joignît) bie grUgte SBetdl^elt mit ber grSiftœ £a^fer«
leit; biefer eroBerte fafl gang (Suri))>a.
Olfidt unb Sugenb finb ntd^t tmmer t>erBunben; biee totrb burd^
bie ©efd^td^te aller 3eiten befiSagt.
3) à Vaide d'une conjonction coordonnante (voyez
p. 238, 1): unb, ober, aÉer (aHctn), benn, TxawXxà), fonbctn,
fotpol^t — att, mcbcr — nod^,
S)er SBinter berging (passa) unb ber grill^Ung lam.
3d^ Derlaffe @ie ie^t; aBer id^ toerbe Balb toieberfel^ren.
J!arl tourbe @oIbat, benn er toar ber SJÎigljfanblung fiBerbrilf|!g (las
du mauvais traitement).
4) à Taide d'une conjonction adverbiale (y. p. 238, II) :
S)ie geber ifl ^u (art, baiser taugt (vaut) fie nic^t jum ©^reiben.
^eranilgungen finb fur ben 9Reu{($eu notmeubig; jeboc^ bûrfen
fie uici^t mit Unm&gig!eit genoffen n>erben.
II. Propositions composées subordonnées.
1) Elles consistent en une proposition ^mctjoaJe et
en une incidente qui s'y rattache au moyen d'une con-
jonction transpositive (voyez p. 240, III; et p. 244, i), ou
d'une conjonction relative (voyez p. 245, IV). Toutes les
phrases subordonnées sont marquées par les particularités
suivantes :
a) Le verbe est mis à la fin de la proposition:
@d tDor Silwiii, cXi i($ in Sonbon an ta m.
b) Dans les verbes séparables la particide ne se sépare
pas du verbe. Ex.:
@r erful^r t% nid^t, \ot\X er nid^t au e g in g.
c) Aux temps compsés, le verbe auxUiaire suit le par-
ticipe. Ex.:
(Sr tourbe freigelaffen, nad^bem er feinen $ag borgejeigt
IJatte.
d) Quand il y a deux infinitifs ou un infinitif et un par-
ticipe, Tauxiliaire l^aBen précède les deux (voir p.
332, 15). Exemple:
92ad^bem id^ i^n breimal l^atte rufeu l^Breu, gaB id^ i^nt
Sïnttoort.
2) La proposition incidente peut aussi bien précéder
la principale; mais dans ce cas le sujet de la seconde,
qui est la principale^ se met après le verbe. Ce change-
ment est souvent indiqué par le mot fo, qui n'est pas
rendu en français, surtout dans les phrases qui commen-
cent par tpcnn, ba, xozxi, oBfd^on et oBglctd^.
SDa id^ tein ®etb l^aBe, lann id^ feine l^iid^er laufen ou 3c^
tann teine i^ûd^er taufen, ba id^ !ein ®elb l^aBe.
De la phrase composée. 339
SBeil er get^ig (ayaie) loar, (fo) gaB et ben Hnnett ttid^ts.
3) Comme en français, le sujet de la principale est
souvent placé dans Yincidente qui précède, et remplacé
par un pronom respectif dans la principale qtd suit. Ex.:
S)er SD>lattn ift bod^ te^t glUdiiâf, oBfd^ott er febr orm ïft.
3d^ ^abe 3]^ren 9ruber nid^t toieber gefe^en, feitbem.er bel mît
toar.
Ces deux phrases peuvent se changer en:
Cbfd^on ber 9Rann fe^t arm ïft, ifl er boA re^t glûdli^.
^eitbem Sl^r lOruber bei mir tDar, i^aU iéfif^n nic^t toieber gefe^es.
Exercice. 17 ?•
1. Si^ tooUtt nai^ (Sngtanb reifen, aSer xâf l^atte nid^t
®cft> gcnug. — (Sr ïotmtc ti^t ïommcn, bcnn cr toox kanï* —
Setgnûgungen {Inb fût ben SRenfc^en not)oent)tg ; adetn fie bûxfm
titd^t mit Unmagtgïctt (excès) gcnoffcu tocrbcn (en user). —
SDic artncn Sîctfcnben l^attcn ntd^t uitr ïctn ®clb, fonbcm, toaJ
nod^ fd^Kmmer n)ar, bte Sebendmtttel maren tl^nen auà) audge*
gangcîi* — ffir l^at mtc!^ jtoar fci^tocr bctctbtgt; bcRenuTigcai^tct
to 1 1 ï td^ tl^m îocrjcil^cn. — 2)cr 3Wenf(^ mug pd^ fcttp bel^erTfd^ctt
(maîtriser) ïôuncîl, fonji totïb Ct bcl^Cïrfd^t*
2. lÔbfd^ou bcr îtngcïlagtc fcmc Unfd^uïb bctcucrtc (pro-
testât de) , (fo) tourbe er bod^ jum £obe ijerurtcilt» — îltt mon
i^n fragte, tooburd^ (burd^ toa9 relat,) bted gefc^el^en fei, ard^
toortete er ntd^W. — SBa^ mtr bcfol^ïeu toorben tji, (baô) toerbe
t d^ pûnïtltd^ t^un. — STOein Dl^eim tjl au9 îlmcriïa gefommen,
um fcmc gamilte ju l^oleti. — 2)aburd^, bag toir baô Safier
l^affcn, beflarïen (affermir) toir rniô tu ber Sicbe jur îugeub. —
SBciï td^ ©te gcflcru ui(^t ju Çaufe autraf, (fo) l^interîteg id^
élue Saxtt. — SÊcuu ©te mir biuueu a(^t îageu uid^t bcja^tcu.
toad ®ie mir fc^ulbig fiub, fo toerbe id^ ®ie Dcrllagen.
Thème. 178.
1. Alexandre a détruit plus de villes qu'il [n*en] a
fondé. ^ Sept villes se sont disputé^ la gloire d'avoir donné
naissance à Homère (Çomcr l^crt^orgcbrac^t }U l^abcu). Après
avoir longtemps souffert les maux de la guerre, on sent
doublement le bonheur et le prix (beu SEUert) de la paix.
Les Égyptiens ont été les premiers à observer (tocld^c —
beobad^tetcu) le cours (beu Sauf) des astres et à régler'
Tannée. La terre ne se lasse ^ jamais de répandre ses biens
sur ceux qui la cultivent. Si chacun se contentait du (mit
bem) nécessaire, ce monde serait le séjour^ du bonheur.
1) gegtilnbet. 2) fheitig mad^en. 3) unb toeld^e — beflimmteu.
(t. p. 295. VI.). 4) toiïb uie mflbc. 5) bcr SBo^uort.
22*
340 Leçon 54.
Thémistocle et Aristide étaient contemporains® et se sont
rendus célèbres : l'un par sa probité, l'autre par sa présence
d'esprit.*^
2. Celui qui trahit^ le secret que je lui ai confié, est
capable de me trahir moi-même, si l'occasion s['en] présente.
Les compagnons de voyage^ de Colomb menacèrent de le
tuer et de retourner en Espagne, si dans trois jours ils
n'arrivaient pas au nouveau monde qu'ils cherchaient. César
et Alexandre le Grand ont été les plus grands conquérants
de l'antiquité, 10 l'un en Europe, l'autre en Asie. Le temps
est assez long pour celui qui sait en (fie) profiter. ^^ On
ne croit pas le (bem) menteur, lors même qu'il dit la vérité.
Ëpaminondas ne voulut pas permettre qu'on retirât la flèche
de (aud) sa blessure avant qu'il eût reçu la nouvelle de ()>oxi)
la victoire.
6) âdtacnoffen. 7) Ociflcôgcgmtoart 8) tocrratcu. 9) btc Sîctfe»
^efS^rten. 10) bad SlUertum. 11] benii^en.
4) La proposition incidente peut aussi être intercalée
au milieu de la principale , sans que pour cela il y ait
d'autres changements dans Tordre des mots. Ex.:
3d^ erful^r fogletd^, at$ id^ in WlUnâftn antam, ba9 Ungtûd
nteintô gteunbes.
5) Lorsqu'on omet la conjonction tpcnn ou ba§, le
verbe fini ne se met pas à la fin. Ex.:
$Stte iâf ed gefeben, fo koiirbe iâf e9 ^erBoten l^aben.
ër fagte, er l^aBe J!o]^fû}e^ (au lieu de bag et J!oik>f^c^ l^aBe).
6) Qu'il y ait outre la proposition principale^ deux,
trois ou plus SUnddentes dans une même phrase, cela
ne change rien à l'ordre des mots, chacune prenant la
place qui lui est due. Voici quelques exemples dans les-
quels les principales sont imprimées en lettres espacées ;
les autres sont des propositions incidentes, que nous mar-
quons chacune par de petits chifiEres.
Exercice. 179*
1* Çctuïtii^ bcr Sôtoc tourbe in btc Uâft cïïtfirt
(proscrit), itoctl cï fctncn Satfcr bcrïajfcn l^atte, 2att btcfer
mit bcn 8om6arbif(^ctt ©tabtcn ïampftc, stocli^c ^âf bcr ïaifcr*
U(^cn DBcïl^cïrfci^aft ju cntjtcl^cn (soustraire) jlrcbtcn. —
2. eiuc2Ratt&ubtf(!^c®cfaîibtfc^aft t>on fct^jcl^ii
abcliflcu SKânnern, an ibcrcn ©ptfec (tête) btc ffionfuln ber
©tabt flanbcn, Bcgab \iâ) nad^ 8obt, 2um mit bcm ftaifcr
ûbet bic Untcrtocrfung ju untcrl^onbcln (négocier) ♦
De la phrase oomposée. 341
3. i23ad mit }tt n)tf[en frommt (est utile), n)otan xHf
ol^ne ©efal^r metner @eele xAifi )ioetfe(n batf, ba9 tfi mit
teferli^er (lisible) @^rtft in meitt ©emiffen etnge«
graben*
4« 3)iefi(uft (abîme) )n)tf(i^en®ott unb bem aRett*
f(^ctt ip fo grog, ibag bcr SDÎcnft^ loctjtoetfctn mûgtc, 2j[cgu
tem Snfd^auen bed ÇBd^ften gu getaitgen, s toetm il^m ®ott ttt^t
feïbp cntgcgcn (au-<Jevant) fâmc.
5. ^l^ittpp bcr â^ctte ïaùntc bicîcniflcn, itoéliit
fidf unt etn Smt ietoaxben (solliciter), 2au(j^ el^e fie fid^ t>or^
jîellcn Itcgctt, fo gut totc t>on Çcrfom
6. $Iato CTgSl^tt, ibag ©o!ratc« auf ctncm fjcîbjugc,
2ben er mit 3(IctBtabed gemetnfi^aftlt^ mad^te, bon bem at]^entf(!^en
Çccrc gcfcl^cn toorbcn fct, stotc cr ctnjl ctncn ganjcn 2ag unb
eine ^aiji long Bid an ben anBted^enben SDtotgen unbeioegltd^
(immobile) auf ctttcï ©tcHc jlanb, mit ctncm Sîirfc, 4n)c((^cï
anjcigtc, sbag er fcl^r angcfhcngt ilbcr ctncn Ocgenjlanb naâf"
bad^te«
7. iSBcnn auii (bien que) cintgc îtcrc an ©cjlatt bcm
SKcnfci^cn Sl^nïtt!^ ftnb; 2iocnn anbcrc tl^n an ^ôrpcrïraft, an
©d^cirfc etnjcïncr ©tnnc iibcrtrcffcn (surpasser); stocnn no(^
anbcrc mcrîwûrbtgc SScioclfc Don ffïugl^ctt gcbcn: [fo] bIciBt
bod^ jtotfd^cn tl^ncn unb bcmSWenft^cn ctncunûbcr*
pcigïtci^c fttuft, 4 ftbcr tocïd^c btc îtcrc flt!^ auf leinc SBcife
anjunSl^cm bcrmSgcn (peuvent), b^ciI tl^ncn btc SJcmunft (la
raison) unb bcrcn ïu^brud, btc ©})ra(!^c, fc^tt.
Thème. 180.
Les anciens Romains auraient voulu (l^&ttcn gcm) sub-
juguer^ r Allemagne; mais les courageux habitants de ce
pays ne voulurent pas supporter leur joug.^ Quelque grande
que soit la distance [qu'il y a] entre nous et les planètes,
les astronomes la mesurent exactement. Les Turcs ont la
coutume, 3 lorsqu'ils trouvent à terre un morceau de papier
écrit ou imprimé,* de le relever* et de le garder, de peur
qu'il ne contienne quelque chose de leur Coran. Les Mu-
sulmans se lavent les pieds et les mains avant d'entrer
dans une mosquée (SRofd^Cc). Nous voyons des gens qui
ont de l'argent et des biens en abondance^, et qui cepen-
dant désirent toujours de nouvelles richesses. La plupart
des hommes se souviennent beaucoup mieux des services
1] untcrjod^en. 2) baô 3od^. 3) bie ©cloo^nl^elt. 4) gebrudtt. —
5) aufsul^eBen. 6) tm uBerflug.
342 • Leçon 54.
qu'ils rendent que de ceux qu'ils reçoivent. Les méchants
sont comme les mouches qui courent en tous sens^ sur
le corps d'un homme et ne s'arrêtent^ que sur ses plaies.^
7] iïbttatL l^enimlaufen. 8) fie^en BleiBen. 9) SBunben.
181.
n ne faut jamais rien (ettDa^) faire au moment de la
colère : ^ ce serait (bad ^te§e) s'embarquer ^ au milieu d'un
orage. H arrive souvent que les méchants paraissent heureux
sur la terre. Il ne dépend ^ souvent pas de nous d'être
pauvres, mais il dépend de nous de faire respecter notre
pauvreté*. Charles XII entra (bratig — Ctn) dans l'Ukraine,
quoique ses généraux s'opposassent^ à cette démarche^ té-
méraire, n n'y a rien de plus coûteux^ et de plus incom-
mode que de changer de logis. ^ Il serait à désirer que
vous eussiez réfléchi avant d'agir. La conscience d'avoir
rempli nos devoirs augmente nos plaisirs et adoucit^ nos
peines. Si vous aimez vos parents, si vous remplissez
exactement tous vos devoirs, Dieu vous bénira. Mes sœurs
auraient été invitées aux vendanges (}Ut SBetnlefe), si elles
n'avaient pas été malades. On [se] moque ^® souvent des
ignorants, quand ils ne savent ce qu'ils doivent répondre
aux questions les plus faciles. [Ce n'est] pas l'abondance ^^
des richesses [qui] peut nous rendre heureux, mais l'usage ^^
qu'on en fait. Lorsque nous eûmes le malheur de perdre
notre père, ma mère fut obligée de vendre notre maison.
1) Sont, m. 2) (IdJ einfd^tffen. 3) aBl^Sngcn. 4) STnnut /. 5) jl^
. . . tolbcrfcfetcn. 6) btcfcm ijemcgcnen ©d^rttt. 7) Jîopf:|)ieIi8cre«. 8) bte
Sol^nung 3U ïotâf\tin. 9) terfiigt. 10) f)>otten (ûBer). 11) bte pile, ber
u6erf[ug. 12) ber (SeBraud^.
Lecture.
3)ie (abifd^en Sfiget ttt ^eriSfelb. (Fin.)
2)ic f ilr(!^tcrïtc]^e ©tunbc f d^ïug ; b*a« SBtrBcIti * ber îrotnmeln
ûBcTtôtttc ba« ffilaggcfci^ret ber Ungtildfîtd^cn ; butc!^ ba« ®ctûm*
met 2 ber gtûtî^tcrtbcît, gltcl^cnben unb ©ctjnjctfctttbcn ciïtcti bte
©oîbatcn auf il^ren ®ammclp(a<j.* 2)a trat ber Brabc ftomman*
bant, cm Çcrr bon 8 1 n g g , bor bie SRcil^cn (rangs) f cmcr Babt»»
fci^eti 3dgcr, jleïlte il^ncn bor, ba§ citt Braber ©oïbat uur gegcn
SBcnjaffitete fitteg filière, bte Çtïflofctt aBer fd^ûfec, ft^iïberte il^ncu
bte traurigc Sage ber ÇamtUcnbater , ber SDlàtter unb fttnbcr,
1) Le roulement du tambour couvrait. 2) tumulte. 3) place
d'armes.
De la phrase composée. 343
î)a« SBcl^Hagcn* bcr l^tlflofcn ®rctfc vaù> bcr tjcrf (!^mad^tcnbcu *
ftranîctt, rnib ft^Iog l^tcrauf mit bcn SBorten: ..©olbatcn! bic
&Iatt6ni9 ju ))Iihtbem fangt ie^t an. 23et ba}u Sufl l^at, bet
ttctc l^erauô au« bcm ®Kcb (rang)."
@o \pxaâi ber ffommaitbant. ftetn SRamt trat an^ bem
®(}cb, m(^t cmcï! ®ct Slufruf* tourbe totcbcrl^oït* Stva gu§
BetBegte fid^; unb toodte ber fiommanbant, bag ge])Iiiitbet toetbe,
fo ^5ttc et fettcr gel^cn mûjfcti» Slbcr c« toar niemanb Ue6cr
ate tl^m, bag bte ©ac^e fo a6(tef;^ bad tfl Iet(!^t }U bemerlen*
2lte ^tc Sûrgcr ba« crful^tcn, toar eô tl^ncu ju SDîutc, totc etnem,
bcr ottS cmem f(!^tocrcn ïraum ^ ertoai^t. 31^Te greubc tjl nici^t
gtt Bcj;!^retBcn* ©te ^ijidten fogïctc!^ cine ©efanbtfd^aft an ben
^ommanbanten, ttcècn i^m fur btcfc SDltïbc unb ©rogmut banîcn,
unb Botcn tl^m au^ ®anlbarlctt etn grogc^ ®cf(!^cnl am SSBer
toetg, n)ad manii^er getl^an l^atte! Slber ber ^ommanbant fd^Iug
ba^felbe ab unb fagtc, ctnc gute 2^at (affe fxà) ntci^t mit ®ctb
Bejal^Ien* „9îur jum Slnbcnlcn an euc^," fejjte er l^inju, «et*
bitte ic!^ mir ctnc ftibcme 3)cnîmilnjc ®, auf toetc!^er ble ©tabt
$er«fctb Kub ber l^cutigc Stuftrttt^o bargejïcïlt tjl^ ®tc« fott
baô ©efd^cuï fcin, tocld^eô iâ) meincr Wnftigcn ®attin au« bcm
^egc mitlringcn toitt."
Stncn bcjfcm 6m})fc]^Iung«brtef ate foï(^' eine ©cnhnûnjc
totffcn toir ri^t ju nennen» ÏÏJcr bcbenït, bag bcr toadcrc Dfp*'
jter in icncn traurigcn â^i^cn ®efa]^r ticf, fur fcinc Sarml^ergig»
ïcit^* 3ai)xe ïang in cine geflung cingcfpent*^ q^^^x gar am
Scbcn gcflraft ju tocrbcn , bcr toirb bcn (Sl^rcnmann barum um
fo l^i^l^cr aijtn. S)cr Srjal^Icr l^at tl^n red^t gut gclannt. @r
ift Idngfl gcfloxben unb l^at im Çimmcl gctoig bcn Sol^n fur fcine
cble ^at gcfuubcn*
4) lamentations.
_, 5) tomber, mourir d'inanition. — 6) Tan^el,
rinvitation. 7) se passât, finît ainsi. 8) rêve, cauchemar. 9) méaaiUe
(commémorative). 10) scène. 11) compassion. 12) enfermer.
Questionnaire.
%U bte @oIbaten ouf bem Saf[en:|>Iatj t>erfammelt toaren, toeld^c
SBorfleOunaen maé^te ilj^nen ber ^ommanbantl
Ste l^ieg ber ^ommanbant?
3Kit toc^en Sorten fd^log erl
^ai at\àia^ l^ieiauf?
2118 bie ©iirgcr bic« erful^ren, toa« tl^atcn fiel
^a^m ber j^ommanbant bad ©efé^enl ani
2Sa« crbat er fl* aber?
SBel^e ©efa^r Itef ber ^ommanbant?
Sebt er ie^t nod^l
344
Exercices généraux.
Suite de la page 252.
14.
Que font les abeilles? ^ Elles recueillent ^ et préparent '
le miel et la cire.* — Comment étaient les lois de Lycar-
gue? Elles étaient très estimées de toute (gan)] la Grèce.
Qui fut Codrus? Codrus fut le dernier roi des Athéniens.^ —
Par qui F Amérique fut-elle découverte (entbcdt)? Elle fut
découverte par Christophe Colomb. — Les vins de fiance
sont-ils bons? Oui, ils sont très bons; ils sont meilleurs
que les vins d'Allemagne. — D*où vient le meilleuT café?
Le meilleur café vient d'Arabie. — Quelle est la capitale
de la Saxe? La capitale de la Saxe est Dresde. — Qui
fut vaincu* par César? Pompée.'' — Où fut tué le roi
Gustave Adolphe? Il fut tué à la bataille de Lttzen. —
A (in) quel âge? A Tâge de trente-sept ans. — Quel fut
le sort^ de la ville assiégée (Belagett)? Elle fut prise d'as-
saut (mit ©turm gcnommcn).
1) ©icnc, /. 2) [ommctii. 3) Bcrelteit. 4) ba8 Saci^«. 5) «tl^enet.
6) Bejlcgt 7) «Pom^)ciu8. 8) ba8 (Bâ)td\al
15.
Que demandez-vous? Je ne demande rien. — Que
cherchez vous là? Je cherche ma casquette. — Que voulez-
vous faire? — Je veux cacheter^ ma lettre. — Que faites-
vous là? Je copie mon thème. J'apprends ma leçon. —
Ferez-vous cela? Je le ferai avec plaisir. — Savez-vous,
s'il viendra? Oui, je le sais. Je n'en sais rien. — Qui
vous l'a dit? Je ne vous le dirai pas. — Quel est votre
avis? 2 Je suis de votre avis. — Connaissez-vous cet homme?
Je le connais très bien. Je le connais de vue.' Je ne
le connais pas. — Comment appelez-vous cela? On appelle
cela ... — Croyez-vous cela? Je ne le crois pas. —
Êtes-vous content de (mit) lui? Non, je suis mécontent
de lui. — Êtes vous satisfaits (bcfrtcbigt)? Nous sommes
satisfaits.
l) ficgeïn. 2) aReinuttg, /. 3) t)on Hnficrwït.
16.
Pourquoi aime-t-on les hirondelles (®(!^toaïBcn)? Parce
qu'elles mangent les mouches.* — Que mangent les vers 2
à soie? Ils mangent les feuilles des mûriers (WlaXilbcex*
taumc)?. — A qui nuit le froid?' Le froid nuit aux fleurs
1) gïieôc /. 2) bie ©elbentoflrmcr. 3) blc «aïte.
Exercices généraux. 345
et aux arbres. — A qui ressemble le renne ?^ Il ressemble
au cerf. — Où vit-il? Il vit en Laponie.^ — De quoi
parlent ordinairement les marchands? Ils parlent ordinaire-
ment du commerce^ et des marchandises.^ — Que fait le
maître? H enseigne. — Que font les écoliers? Ils appren-
nent à lire et à émre. — A quoi servent les plumes?
Elles servent à écrire. — Comment appelle-t-on celui qui
ne veut pas s'occuper?® On l'appelle paresseux.
4) bad ^tnntm. 5) So^blonb. a) loon bem ^anbel. 7) JiBaren. 8) M
Bcf^aftlgctt.
17.
Si vous servez votre prochain^ [daL), que fera-t-il à
son tour (feiîictfcttô)? Il vous servira aussi. — La déesse ^
Calypso que dit-elle à Télémaque? Elle lui dit: Quand tu
seras parti d'ici, tu t'en repentiras (totrjl bu eÔ Bctcuen.) —
Qu'est ce que Christophe Colomb obtint^ du roi Ferdinand?
n obtint de lui trois vaisseaux, avec lesquels il partit pour
un nouveau monde. — Qui a découvert le cap* de (bcï)
Bonne-Espérance? 5 Barthélémy Diaz, un Portugais.* — Que
produisent^ souvent les études superficielles (oBerfldd^I^e
©tubten]? Elles produisent souvent des hommes médiocres®
et présomptueux.* Le voleur a-t-il été pris?*^ Non, il a
(tji) échappé 11 à toutes les poursuites (SSerfoîgungcti) . — Que
faut-il rechercher, 12 et que faut-il fuir? i^ Il faut rechercher
la bonne société et fuir la mauvaise.
1) ber ^^\tt. 2) bte ®5ttm. 3) erlangte. 4) bad S^orgeBlrge.
5) ^offnung. 6) era ^ortugtcfe. 7) Bringcn . . . Jcrbor. 8) mittcl»
ntagtQ. 9) anmagenb. 10) gefangen. 11) entgangen. 12) auffu^en.
13) fitel^en, meiben.
18.
Combien émargent avez-vous dépensé (au^gegeBett)? J'ai
dépensé deux marcs (SRatl). — Combien de couteaux
a-t-il perdus? Il a perdu deux couteaux et un canif. —
Comment trouvez-vous ces tableaux? Je les trouve fort
beaux. — Le royaume i de Saxe est-t7 grand? Non, il est
petit; il n'a que (nur) 280 milles carrés (Duabratmeiïcn) . —
Le roi a-t-il beaucoup de châteaux? IL a beaucoup de
châteaux et de palais. — Quel est le jardin de monsieur
votre oncle? Voici (l^tct ijl) le jardin de mon ^ncle et
voilà le jardin de mon grand-père. — Quel est le nom
de cette ville? Elle s'appelle (l^Ct^t) Nancy. — A qui
donnez-vous cette fleur? Je la donnerai à ma cousine. —
Comment s'appelle votre cousine? Elle s*appelje Emilie. —
Combien de fenêtres cette maison a-t-elle? Elle a dix-huit
1) bas ^Snigretd^.
346 Exercices généraux.
fenêtres. — N*avez-vou8 pas vu la cuisinière?' Si fait (o
|a) , je Tai vue dans la cuisine ; ' si elle n*y est plus , eUe
sera dans la cour.
2) bie StJiâfïa, 3) Stûéft, f.
19.
Avez-Yous été en Allemagne? Oui, j*ai été deux fois
en Allemagpie; une fois à Bade, Tautre fois à Berlin. —
Cette femme est-elle pauvre? Oui, elle est très pauvre;
elle est toujours malade. — Trouvez-vous cette fleur belle?
Je ne la trouve pas très belle, mais je trouve qu'elle sent
[xxcift) bon. — Quelle espèce de (toaS fût ctuc) fleur est-ce?
C'est xm œillet.* — Pourquoi la porte est-elle fermée ?' Je
ne sais pas, mais je vois que toutes les portes sont fermées.
Monsieur le comte est-il content de (mit) son fils? Il n'est
pas tout à fait^ content de lui. — A-t-il d'autres enfants?
n a encore un fils de douze ans et xme fille de neuf ans. —
Esù-ce que vous n'avez pas retrouvé* votre broche?* Non,
j'ai cherché partout®, mais je n'ai pu la retrouver.
1) eine 92el!e. 2) aefd^Ioffen. 3) ganj. 4) toiebergefutibcn. 5} bte
9$orfte(fnabeI. 6) iiberau.
20.
Que négligent* ordinairement 2 les hommes qui aiment
le vin et le jeu? Ils négligent ordinairement leurs affaires. ^ —
Où était située * la grotte * de Calypso ? Elle était située sur
une colline. * — D'après quoi ne faut-il pas juger? ^ D'après
les apparences (®(!^cra, m. emg,), — Jusqu'où (totc toctt) a-t-on
poursuivi s l'ennemi? Jusque dans les montagnes. — Jusqu'où
la France s'étend-elle fetfbedft {t(!^)? Elle [ti) s'étend depuis
(DOîi) le Rhin et la Meuse® jusqu'à l'Océan. — Combien
^habitants*® a-t-elle? Elle [en\ a trente-sept millions. —
Est-il vrai que vous ayez mal** à la tête? Non, monsieur,
ce n'est pas vrai, je me porte* 2 très bien.
1) terna^rSfflgen. 2) getoB^nlid^. 3) ©efd^afte, ph 4) était située
« îag. 5) ble Orottc. 6) Çiiacl, m. 7) urteiïen. 8) berfoïgt. 9) bU
WlM^, 10) (Sintcol^ner. 11) ieo)>fU)e^. 12) \^ beflnbe.
21.
Connaissez-vous l'étranger qui vient d'arriver (bet
cBcn ani^îommcn tji)? Oui, je le connais. — Qui est-ce?
C'est un jeune Anglais. — Va-t-il (njtrb ct) demeurer ici?
Non, il ne demeurera pas ici; il habite Bruxelles; il ne
restera ici que trois jours. — Qui a écrit cette lettre anglaise?
C'est mon frère Charles. — Quand faut-il la porter à (auf)
la poste? Jean l'y portera après dîner.* — Lequel de ces
1) nad^ bem Sl^tttageffen.
Exercioes généraux. 347
deux tableaux est le plus beau? Celui de gauche ^ me parait^
être le plus beau. — Avez-vous joué [à la] balle (Saïl)?
Pas encore ; mais nous [y] jouerons cette après-midi. — Qui
(toen) aimez-vous? J'aime mes père et mère, mes frères et
mes sœurs, et j'en (ijott tl^tlCtl) suis aimé. — Votre neveu
qu'arrange-t-il ^ dans sa chambre? Il arrange ses livres et
ses gravures.* — Quand écrivez-vous vos lettres? Je les
écris le matin (bed SRotgend), quelquefois aussi le soir.
2) linfd. 3) f^eint. 4) orbnet. 5) J^u)>ferflt^e.
22.
Pourquoi n'avez-vous pas fait votre thème français?
Je Tai fait; mais ma sœur ne Fa pas fait. — Avez-vous
été chez M. B.? J'ai été chez lui, mais il n'était pas à
la maison. — Qui avez-vous vu, et à (mtt) qui avez-vous
parlé? J'ai vu sa femme ^ et je lui (mit tl^ï) ai parlé. —
Lui avez-vous remis ^ le billet ?2 Non, je l'ai rapporté, parce
que vous m'aviez dit de le remettre à M. B. lui-même. —
Faites^vous quelquefois de la musique? Très souvent, car
je l'aime beaucoup. — De quel instrument jouez- vous? Je
joue [du] violon (Stottnc) et ma sœur joue du piano. —
Voulez-vous avoir la bonté de me raconter quelque chose?
Je veux bien, mais que voulez-vous que je vous raconte? —
Une jolie anecdote,' s'il vous plaît.*
1) iiBeraeben. 2) ba9 i^iaet'. 3) Unelbote. 4) xotm ed SBnén
(elieBt.
23.
Ce drap vous convient-il?^ Non, il ne me convient
pas. — Pourquoi ne vous convient-il pas? H est trop gros-
sier (gTo6). — En avez-vous de meilleur? En voici d'autre
qui est plus fin. — Que me faut-il (mu§ xâsi) faire pour
apprendre l'allemand? Il faut étudier beaucoup. — Jusqu'où
votre domestique a-t-il porté ma malle (fioffet, m.)? IL l'a
portée jusqu'au chemin de fer. — A quelle heure l'y (ba»
l^tn) a-t-il portée? Il l'y a portée à onze heures et demie. —
Où (tDol^m) conduit 2 ce chemin? Il conduit au château. —
Avez-vous (flnb ©ic) voyagé en Italie? J'y ai voyagé il y
a ()30ï) trois ans. — Votre frère voyage-t-il souvent? Il
a voyagé beaucoup autrefois; mais maintenant il ne voyage
plus. — Avez-vous goûté* le vin qui est dans cette bou-
teille? Je l'ai goûté, il est très bon. — Le trouvez-vous
meilleur que l'autre? Non, l'autre était meilleur; il était
plus vieux. — Pourquoi voulez-vous vous chauffer (iDarutcn)?
Je veux me chauffer, parce que j'ai froid aux mains.*
1) gefSnt. 2) fii^ren. 3) t)erj[ud^en, v. rég, 4) avoir froid aux
mains an ben {)Snben frieren.
348 Exercices généraux.
24.
Pourquoi ètes-vous si triste? «Tai quelque chose qui
m'inquiète (bcuttrul^tgt) . — Et qu'est-ce? Je vous le dirai
quand nous serons seuls. — Mademoiselle votre cousine
est-^lle sortie aujourd'hui? Elle est sortie pour faire quel-
ques emplettes. 1 — Qu'a-t-elle acheté? Elle a acheté une
robe de soie verte et un chapeau de velours (®aittt) noir. —
Pourquoi parlez-vous toujours français et jamais allemand?
Parce que je n'en ai pas le courage ; je crains de faire des
fautes. Cela ne fait rien; parlez toujours. — Croyez-vous
que j'aie oublié ce que vous m'avez dit? Oui, je le crois ;
car vous ne l'avez pas fait. Je ne l'ai pas oublié, mais je
n'ai pas eu le temps de le faire; je le ferai demain. —
Pouvez-vous finir votre travail sans que je vous aide? Non,
je vous prie de m' aider et de m'expliquera toutes les diffi-
cultés'. — Oserais-je vous demander* un service (um Ctuc
©efâQiglett]? Que désirez-vous? Ayez la bonté de me prêter
cent francs ; je vous les rendrai * bientôt. — Je veux bien
vous les prêter, mais à condition (utttet bet Sebtngung) que
vous me les rendiez * dans peu de jours. — Que voulez-vous
faire de (mit) cet argent? Je veux payer le compte^ de
mon bottier.
1) @in!âufe. 2) erTISten. 3) ^âftoMfidttn. 4) Bitten. 5) ^uifidt-
geben. 6) bie Sled^nung.
25.
1. Comment sont les yeux de cette fille-là? Ils sont
bleus. Où vivent les poissons? Les poissons vivent dans
les rivières, dans les lacs et dans la mer. — Qui demeure
dans cette belle maison? Ma tante y (t)attn) demeure. —
Combien d'enfants a-t-elle? Elle a trois fils et deux filles. —
N'a-t-elle pas aussi une nièce avec elle (6et ftc^)? Oui, elle
a deux nièces avec elle. — Quel âge ont-elles (tote ait ftnb
fie)? L'une a dix-sept ans, l'autre quinze. — Quel est le
métal le plus pesant (f^n)erfle)? Le platine ^ est le métal
le plus pesant. — Est-il aussi le métal le plus utile? Non,
il est moins ^ utile que le fer ; mais il est plus cher, et l'or
est encore plus cher. - — Voulez-vous boire du vin ou du
cidre (S())feItoem)? Je boirai du cidre, s'il est bon.
2. Qui a quelque chose de bon? Moi. — Avez-vous
froid ou chaud? Je n'ai ni froid ni chaud, j'ai faim et soif.
Quel papier le marchand vend-il? Il vend toutes sortes de
(aïictict) papier. — Il vend aussi des plumes, des crayons,
de la cire à cacheter (©tegeHad) et des pains à cacheter
1) bas ÎJïatln. 2) ntd^t fo.
Exeroices généraux. 349
(Dblatcn) . — Y a-t-il longtemps que ^ous apprenez TanglaisT^
Non, monsieur, il n'y a pas long^mps. — Depuis quand
Tapprenez-Tous donc? Je ne rapprends que depuis six
mois. Est-il possible? Vous parlez déjà assez bien. —
Vous plaisantez, 3 je ne sais pas encore grand' chose ()>tel). —
Comprenez-vous^ tout ce que je vous dis? Je le comprends
foTt bien, mais je ne sais pas bien vous répondre.
2) QogUfd^, sans article. 3) \éftc^tn, 4) iBtt^tf)tn @ie?
II. Anecdotes, fables et petits contes.
1.
Avant la bataille dlvryi, 2 Henri IV (bcr StCïtc) idit
à ses troupes: »Je suis votre roi, vous êtes Français, voilà
r ennemi, suivez-moi. « — Une autre fois il dit: «Enfants,
si vous perdez vos enseignes^, ralliez-vous ^ à mon panache^
blanc; vous le trouverez toujours au (auf bcm) chemin de
Thonneur* et de la gloire. «•
1) Ut 3i>rV- 2) ble gal^nen. 3) fammeït tuâf um ... 4) bcr
gebetBut^. 5) dffxt, /. 6) Slul^m, m.
2.
Henri IV voyant à la journée* d*Ivry son avant-garde 2
plier 3 et quelques-uns prêts à fuir, cria: «Tournez la tête,
et si vous ne voulez pas combattre,^ du moins ^ voyez-moi
mourir. « Il ne fallut® pas davantage pour lui procurer "^ la
victoire.
1) ©d^Iad^t, /. 2) ble SSorl^ut. 3) tDel(!^en. 4) f5m]()fctt. 5) tomig-
flend. 6) ed oraud^te nïâfi me^r. 7) berfd^affen.
3.
Quand {al9) Phocion fut condamné* à (}um) mort, un
de ses amis lui demanda, s'il (o6 et) n'avait rien (,) à faire ^
dire à son fils : »Dites-lui, répondit-il, que je le prie d'oublier
l'injustice 3 qu'on a faite* à son père.a
1) ))erurtetlt. 2) fagen su (affen. 3) bie Ungered^tigfeit. 4) gttl^an.
4.
Un écrivain qui avait copié quelque chose avec un
soin * particulier, s'écria avec joie : »La fin couronne l'œuvre !«*
En prononçant ces mots, 2 il i prend l'encrier au lieu du sa-
blier,' et couvre d'une mer noire son pénible* travail.
1) ©orgfalt, /. 2) (gnbe gut, aUt9 gut; proverbe, 3) @anb-
Bfld^fc, /. 4) mfiWam.
5.
Un ignorant disait à l'un de ses camarades : »0n parle
toujours de nouvelles lunes*; mais quand elles sont vieilles,
1) monh {pi aRonbe).
350 Exercices généraux.
dis-moi donc^ ce' qu'eUes deviennent ?«' L'autre répondit:
»Commenty vous ne savez pas cela? Le bon Dieu les
coupe en (in) morceaux» pour^ en^ faire des étoiles. <
2) \>oéf. 3] toad an9 i^tten toirb. 4) um .. 3U. 5) baraud. •
6.
Lorsque Tannée des Perses s'approcha^ des Thermo-
pyles,^ on rapporta' àLéonidas, général des Spartiates,
que Tannée ennemi était si nombreuse que le soleil serait
obscurci* par la grêle * des traits • et des javelots (S3SuïffptC§c) ♦
»Tant mieux 1 ^ dit Léonidas, nous combattrons à T ombre. c
1) {tc^ n^tm, V. rég. 2) dat. ben Si^ennoi^t^ten. 3) BeriAten, v. rég.
4) ))erbutt!elt. 5) ^agel, m. 6) $fetle. 7) beflo Beffer!
7.
Les habitants d*xme ville allemande offraient au maré-
chal de Turenne une somme de cent mille écus, pour qu'il^
ne fit point passer ^ son armée sur leur territoire (®e6tet, n.).
Turenne répondit aux députés.' sComme (ba) votre ville
n'est* point sur la route par (auf) laquelle j'ai résolu' de
faire ^ marcher Tarmée, je ne puis accepter Targent que vous
m'offrez.»
1) bamit et feine S. 2) marfd^Uren. 3) SlBgeorbiteleit. 4) Uegt —
6) Befd^toffen. 6) ïaffm.
L'empereur Joseph H. alla voir (6cfu(!^tc) une pauvre
veuve qui occupait,^ dans une rue étroite de la capitale,
une petite chambre au troisième étage ^r deux chaises, un
mauvais lit et une petite table de bois' de sapin en com-
posaient* tout le mobilier'; c'était là toute la fortune' de
la veuve d'un officier de mérite. — L'empereur, à Taspeot
d'une telle misère, lui accorda (BetDtUtgte) une pension
viagère.^
1) Bctt)olJntc. 2) ber @to(f. 3) t)ott îanncnÇoïa. 4) mad^ten . . . att«,
5) bas aRobUiar. 6) l^ermSgen, n. 7) eine lebendlSngUd^e $enflon.
• 9.
A la bataille de (bet) Mantinée Épaminondas fut mor-
tellement^ blessé d'un [coup de] javelot. ^ D. se fit porter
dans sa tente' et demanda si son bouclier* avait été con-
servé? On le lui montra. Puis il s'informa' de Tétat de
la bataille ; on lui répondit que les Thébains ' étaient vain-
queurs. »J*ai assez vécu, s'écria-t-il , Thèbes^ est triom-
phante» (fiegretd^), et arrachant' aussitôt le fer de sa bles-
sure, 2 il 1 expira.'
1) tStlidJ. 2) bcr SBurffrlcfi. 3) 3clt, n. 4) bcr @d^ilb. 5) er-
ïunblgte er fH flbcr ben @tanb. 6) ble Sl^cbancr. 7) Sl^cBcn. 8) tnb«m
er . . . l^eran^rig. 9) parB.
Exercices généraux. 351
10.
Un paysan alla un jour chez son voisin, pour le prier
de lui prêter son &ne. Ce voisin, qui n'était pas disposé^
à le lui prêter , ^ lui répondit qu'il était bien fâché ^ [de
ce] qu'il ne l'avait pas demandé (terlotigt) plus tôt, qu'il
l'avait prêté à un autre. Comme il s'excusait ainsi, l'âne
se mit ' à braire : ' sAh I dit le paysan, voilà votre âne qui
assure que vous l'avez prêté à un autre ; il faut avouer que
vous êtes fort obligeant ?c^ ))Je vous trouve bien singulier,^
lui répliqua le voisin, de croire plutôt (el^er) mon âne (dat.)
que moi-même. <
1) geneigt. 2) e9 tl^ne ï^m fel^r ïeib. 3) f{ng ber (Sfel an lu fd^reten.
4) bienfîtfertid. 5) fonberto.
11. L'Arabe affamé.^
Un Arabe, égaré ^ dans le désert,^ n'avait rien mangé
depuis deux jours et se voyait menacé^ de mourir de faim
(t>or Çunger). En passant^ près d'un de ces puits (S3runnen)
où les caravanes abreuvent^ leurs chameaux, il voit sur le
sable xm petit sac de cuir. Il le ramasse, il le tâte.^ —
»Dieu soit béniî® dit-il, ce sont des dattes • ou des noi-
settes. «^® — Plein de cette douce espérance, il se hâta*^
d'ouvrir le sac ; mais à la vue de ce (6et bem SdtBItd beffen)
qu'il contenait, il s'écria, » hélas 1 ^^ ce ne sont que (nut)
des perles. «
1) ber IJungrige SlraBcr. 2) \)crlrrt. 3) blc SBfiflc. 4) Bebrojt.
5) iubem er — toorBelging. 6) tranïcn. 7) Bcta|lcn, Bcffiljïcn. 8) ge-
lobt. 9) 2)atteln. 10) {^afelniiffe. 11) j!d^ beeilen. 12) aâfl
12. La montre du grenadier ^ prussien.
Un grenadier du roi de Prusse portait, à défaut de 2
montre^ une assez (}temlt(^) grosse balle attachée à un cor-
don.^ Frédéric en fut averti. A la parade, il demande à
voir la montre du soldat, qui se défendit^ d'abord et finit
par obéir. ^ »Eh bien {rata), lui dit le roi, quelle heure
peut marquer cette balle?« — »Elle m'avertit,* reprit le
soldat, qu'à toute heure je dois être prêt (,) à mourir
pour votre Majesté. «^ Frédéric, charmé^ de la réponse,
tire sa montre et la lui donne.
1) ©renabier. 2) in (Srmattgelung eitter ... 3) an einer ©d^tuir. 4) méprit
5) unb inlt^t ge^ord^te. 6) le^rt mi^. 7) 97laie|!&t, /. 8) ent}û(ft ))on.
13. Bonaparte après la prise^ d'Aroole.
Après la prise d'Arcole, l'infatigable 2 Bonaparte par-
courait^ le camp dans la nuit. Il aperçoit une sentinelle
1) (Sinna^me. 2) unermiibU^. 3) burd^f^ritt.
352 Exercices généraux.
endormie: il lui enlève^ doucement, et sans réveiller, son
fusil, fait la faction^ à sa place et attend qu'on® vienne le
relever. • Le soldat s'éveille enfin: qaeV est son trouble,*
quand il aperçoit son général dans cette attitude I^ Il s'écrie :
que vois-je, je suis perdu 1 — Rassure-toi, mon ami, lui
répond le général; après tant de fatigues, ^^ il est bien
permis à un brave comme toi de s'endormir ^^, mais une
autre fois^ choisis mieux ton temps.
4) ntntntt... toeg. 5) flel^t @($tlbma^e. 6) Bis man il^n ahUft.
7) toie grog! 8) Serlegeitl^eit. 9) ©teDtung. 10) ^nprengung. 11} ein-
14. Diogène oherohe uzl homme.
Diogëne se promenait* avec sa lanterne sur la place
publique d'Athènes en plein jour.^ Un curieux lui demanda
pourquoi il portait une lumière? [C'est que] je cherche un
homme, dit-il. Comment cela, lui demanda-t-on? Je ne
vois autour de moi, répliqua-t-il, que des créatures qui sui-
vent leurs passions et leurs désirs, au lieu de consulter'
leur raison, et je ne puis m' empêcher* de les prendre pour
des animaux déguisés* sous une figure® humaine. Vous
n'êtes pas trop poli, lui objecta-t-on. ^ C'est ma façon
(Srt), repartit-il en tournant* le dos aux importuns (bcil
3uï)rmgUd^en) .
1) 2). ging . . . f^aitercn. 2) Bei Çcffem îCage. 3) Bcfragcti. 4) voyea
p. 267, Note. 5) tcrïlctbet. 6) ©efiatt, /. 7) toatf man i(>m cm.
8) voyez p. 298, a) 2. exemple.
15. Erreur d'un paysan.
Un paysan apportait un jour une corbeille de poires au
(dans le) château d'im grand ^ seigneur. Sur l'escalier il
trouva deux singes, qui étaient vêtus comme les enfants.
Leurs habits étaient très beaux et brodés d'or 2; ils avaient
aussi une petite épée au côté^ et un chapeau sur la tète.
Ces plaisants* animaux se jetèrent sur la corbeille du paysan,
qui ôta respectueusement^ son chapeau et se laissa prendre
une grande partie de ses poires. Dès que le seigneur vit
le panier à moitié vide (^alb Ittx), il demanda au paysan:
•pourquoi n'as-tu pas rempli le panier? a — Monseigneur,*
répondit le bon paysan, il était bien plein, mais messieurs
vos fils l'ont vidé à moitié. Ils ont trouvé les poires de
leur goût,^ et je n'ai pas eu le courage® de les leur refuser.*
1) einc8 toomcl^mctt ©crm. 2) mit @oïb gcflidt. 3) an bcr ©cite.
4) broffig. 5) cl^rcrbictig. 6) ©nSbigcr Çcrrl 7) jiat^ ll^rcm ®f
fd^mad. 8) 2Rut, m. 9) Dcrtocigcrn.
Exercices généraux. 353
16. Laffltte.
Lorsque Jacques Laffitte vint à Paris, il se présenta^
chez M. Perregaux dans T espérance d'obtenir une place ;
mais le banquier lui dit qu'il lui était impossible de satis-
faire^ à sa demande, les bureaux étant' au complet.
Laffitte, découragé par ce refus, ^ s'éloignait tristement.
En traversant* la coux de l'hôtel,® il aperçut à terre u^e
épingle; il la ramassa et la piqua ({tedEte) sur sa manche.
M. Perregaux vit l'action du jeune solliciteur,' en fut frappé
(Ûbcrrafd^t) et pensa <^'il devait être doué® d'un esprit®
d'ordre et d'économie. Il le fit (Ite^) rappeler et lui dit
qu'il pouvait compter sur une place dans sa maison. En
effet, peu de jours après, le jeune Laffitte entra chez le
riche banquier, et chacun sait ce qu'il est devenu.^®
1) ^ellte et jiâf bem ^emt $. bor. 2) feinem ®efu^e ^u toillfal^ren.
3) ha bie @<]^retBjhtBen Befe^t feten. 4) aBfd^ISaige ^ntmovt, /. 5) m9
ou inbem er burd^ ben $of f^rttt. 6) ba9 W^- ^) ^n ^e&erBer.
8) BegaBt mit. 9) (Sinn fiir Orbitung. 10) toaî au9 i^m getoorben i|i.
17. Alexandre, roi de Macédoine.
Pendant une marche longue et pénible dans un pays
aride, ^ Alexandre et son armée souffraient (Ittten) extrême-
ment de la soif. Quelques soldats [qui furent) envoyés à
la découverte,^ trouvèrent un peu d'eau dans le creux* d'un
rocher, et l'apportèrent au roi dans un casque.^ Alexandre
fit voir (}etgte) cette eau à ses soldats ( ,] pour les encou-
rager (,) à supporter la soif avec patience, puisqu'elle (c3)
leur annonçait une source voisine. Ensuite au lieu de
boire, il la jeta* à terre aux yeux® de toute l'armée.
Les Macédoniens applaudirent ' à cette abstinence ® héroïque,
ne pensèrent plus à leur soif et dirent au monarque qu'il
pouvait* les mener partout (,) où il voudrait (tooKc), qu'ils
ne se lasseraient^^ jamais de le (il^m) suivre.
1) bilrr. 2) ouf (întbcdung. 3) bie ÇS^Iung. 4) bcr ^ttm, —
5) fd^ûttctc cr e« auf bie (grbe. 6) toor ben Stugcn. 7) ïratf*tcn «eifall.
8) Cntl^altfamîett. 9) voyez p. 287. — 10) nie milbe »ilrbcn.
18. Force extraordinaire.
Le maréchal Prince de Saxe voulut un jour donner une
preuve^ de sa force. Il entra chez un maréchal-f errant, ^
BOUS prétexte 3 de faire ferrer^ son cheval. Il examina les
fers qu'on lui présentait et en cassa six l'un après l'autre,
en disant^ qu'ils ne valaient (taugten) rien et qu'on devait
lui en donner de meilleurs. Enfin il feignit* d'en trouver
1) ber ^tmï9 ou bie $roBe. 2) ber ^uffd^mieb. 3) unter bem ^ortDanb.
4) V. p. 268, m, §2.-5) inbem er fagte. 6) peffte er jl^ at8 oB er.
OTTO, Orammaire allemande. 23
354 Exercices généraux.
de convenables, et lorsque le cheval fut ferré, il donna au
maréchal deux écus de six francs.^ Celui-ci feignant^ à
son tour de trouver les écus mauvais, les cassa aux yeux
du prince, qui lui donna alors un louis ^ et avoua qu'il
avait ^^ trouvé son maître.
7) ©cd^sUtoretl^alcr. 8) inbcm blcfcr fld^ fciitcrfeitô ftcHte, aï« tocnn ...
es ffinbe. 9) SouUbor, m. 10) voyez p. 288, Note 2.
19. La vie humaine.
Un père sage se promenait avec son fils dans un beau
jardin. Ce jardin était orné ^ d'une foule (f arbres et de
toutes sortes de fieurs. Un jardinier assidu cultivait soi-
gneusement les plantes ; il les arrosait, débarrassait 2 la terre
des mauvaises herbes ^ et la rendait ainsi accessible ^ aux
trésors qui viennent du ciel. Le père dit à son fils: DLa
vie humaine est un jardin; les bonnes actions sont des
fleurs suaves^ et des arbres fertiles; et le jardinier qui les
plante et qui en prend soin,* c'est la bonne volonté de
rhomme. Sois sage, mon fils.c
1) gcf(]^ma(ît mit. 2) Jatetc ba« Untraut au«. 3) jugSngtti]^. —
4) tiebU(4. 5) ber fie ^flegt.
20. Le prunier.
Le petit Jules regardait d*un œil avide un prunier cou-
vert de (mit) beaux fruits mûrs. Il aurait eu bonne envie ^
d'en cueillir quelques-uns; mais son père le lui avait dé-
fendu ; et il se disait : »I1 n'y a ^ personne ici qui puisse
me voir; ni mon père, ni le jardinier ne sont là, et je
pourrais bien enlever quelques-unes de ces prunes, sans
qu'on s'en aperçût ; ^ mais je veux être obéissant ; je ne
veux pas, pour satisfaire ma gourmandise,^ enfreindre* la
défense qu'on m'a faite. a
Et Jules allait (tDoUte) s'éloigner. Son père, qui l'avait
entendu derrière un arbre, courut au-devant de lui et lui dit :
«Viens, mon cher Jules, viens, mon enfant, maintenant nous
aUons (tDoKenj cueillir des prunes.a Le père se mit® (,] à
secouer l'arbre, et Jules vit sa bonne action richement ré-
compensée.
1) gute Sufi. 2) (Ss ifl. 3) ol^ne bag man e9 benterfte. 4) bie
iRafd^giec. 5 ba9 IBerbot iibertreten. 6) fittg an — 3U f(^ûtte(n.
21. L'avare et la pie.
Un avare comptait son argent tous les jours. Une pie
s'échappa de (aud) sa cage, vint^ subtilement enlever^ un
1) nal^m leife einett Sout9bor tDeg.
Exercices généraux. 355
louis, et courut le cacher dans une crevasse ^ du plancher.
L'avare apercevant la pie : Ah 1 ah I s'écria-t-il, c'est ^ donc
(atfo] toi qui me dérobes mon trésor I tu ne saurais^ le
nier; je te prends* sur le fait,* coquine, tu mourras. —
Doucement,* répondit la pie, doucement, mon cher maître,
n'allez pas si vitel Je me sers de votre argent, comme
vous vous en (bejf eïbcn) servez vous-même ; s'il faut ^ que
je perde la vie (,) pour avoir ^ caché un seul louis ^ que
méritez-vous, dites-moi^ vous, qui [en] cachez tant de mille?
n arrive souvent (,) que les hommes se condamnent
eux-mêmes, en condamnant® les vices des autres.
2) «ne @}>atte. 3) bu Bip c8 atfo (voyez p. 124, §4). — 4) bu
!ann|i — nid^t. 5) i^ txtoippt Hâf auf ber tifat 6) @a($te! 7) toenn
iâf — niug. 8) todï Ï6) îc. (voyez p. 295, V). — 9) inbem fie ou ba*
burd^, bag Pc — ijerurtmen (voyez p. 299 c).
22. La oomeille et le oorbeaiu
Une corneille avait trouvé une huître : ^ elle essaya de
l'ouvrir avec son bec: toutes ses peines furent inutiles. Que
faites-vous là, cousine? demanda un corbeau. Je voudrais
(mbd^te gem) ouvrir une huître, répondit la corneille, mais je
ne peux en venir à bout (ju ©tanbc) . — Vous ^ voilà embar-
rassée 2 pour peu de chose,' vraiment, je sais un bon moyen
pour l'ouvrir. De grâce,* dites-le-moi. De tout [mon]
cœur: prenez votre proie,* élevez-vous dans l'air et laissez-
la tomber sur ce rocher que vous voyez ici près. La sotte
corneille suivit l'avis [dat.) du corbeau, qui se saisit^ de
l'huître et la mangea.
L'intérêt est^ souvent pour beaucoup' dans lés avis*
que l'on donne; il ne faudrait jamais demander conseil^ à
des gens artificieux et intéressés.
1) etne ^ufler. 2) ba Bi|l bu in Serlegenl^eit. 3) toegeu emer
^einigfett. 4) S^ bitte. 5) ^Mt, f. 6) «e «atnr deqeh,, \iéf etner
^éft BemS^tigeu. 7} f))telt oft etne groge S^oCe. 8) ^atf^lSge, pi.
9) uni dtat fragen (ace).
23. Un mensonge ridiculisé.
Un voyageur raconta un jour tout sérieusement dans
une société qu'il avait parcouru les cinq parties du monde,
et qu'entre autres curiosités, ^ il [en] avait rencontré une dont
aucun écrivain n'avait encore fait ^ mention. Cette merveille
était, à son dire,^ un chou si gros et si grand que cinquante
cavaliers bien armés auraient pu se ranger* en bataille et
manœuvrer sous une de ses feuilles. Quelqu'un des assistants
1) ©eltenl^eit. 2) SmSl^nung getl^an. 3) toie er fagte. 4} {td^ tu
@($Iad^totbnung fteHen.
23*
356 Exercices généraux.
ne jugea' point cette exagération digne de réplique; mais
il lui dit, avec le plus grand calme, que lui aussi avait
voyagé , et qu'arrivé au Japon ,^ il avait vu , à sa grande
surprise, plus de trois cents chaudronniers^ travailler à un
énorme chaudron, dans lequel se trouvaient plus de cent
individus^ occupés à le polir (mit $*]. «Que voulait-on
donc faire de (mit) cet immense chaudron ?« demanda le
voyageur. — »0n voulait y (bartn) faire cuire* le chou dont
vous venez 1® de pailer.a
5) ne juger pas digne d. r. teiner SInttDort toert l^alten. 6) in
9^n. 7} £({felfd^mtebe. 8) $erfonen. 9) faire cuire flebett, !o^en.
10) bon bem éie eBen gef^roc^ett l^aBen.
24. Frédéric, roi de Prusse.
Frédéric , roi de Prusse , aimait beaucoup (fe^t) les
enfants et permettait que les fils du prince^ royal entras-
sent chez lui à toute heure. Un jour qu'il travaillait dans
son cabinet, Taîné de ces princes jouait ^ au volant autour
de lui. Le volant tomba sur la table du roi, qui le prit,
le jeta' à T enfant et se remit k écrire. Le petit prince con-
tinue son jeu, et le volant tombe de nouveau sur la table.
Le roi le rejette encore,^ en regardant' d'un air® sévère le
petit joueur, qui promet que cela n'arrivera plus. Enfin,
pour la troisième fois, le volant vient tomber (tombe) jusque
sur le papier sur lequel Frédéric écrivait. Alors le roi prit
le volant et le mit^ dans sa poche.
Le petit prince demande pardon (um Setjeil^mtg) et
prie qu'on lui rende son volant. Le roi le refuse. L'enfant
redouble ses prières.^ On ne les écoute point. Enfin, las
de prier, le petit prince s'avance * fièrement vers le roi, met
ses deux poings sur ses côtés, et dit d'un air menaçant:
)»Je demande à votre Majesté si (oB) elle veut me rendre
mon volant, oui ou non?» Le roi sa mit à rire, tira le
volant de sa poche et le lui rendit en disant : »Tu es un
brave garçon, ils ne te reprendront pas la Silésiea (©c^Ieften) .
1) btr i(ron)>ritt3. 2) j\ au v. mit bcm gebeiBaH f^ielen. 3) p«
ttxirf. 4) »ieber. 5) inbem cr . . mit . . anfal^. 6) SWiene,/. 7) fledtc. —
8) «itte, /. 9) tritt . . jlotj toor bett «ôjiig.
25. Le sujet Adèle.
Lorsque en (tm 3clÏ)x) 1809 les Français marchèrent
sur Vienne, un paysan devait servir de [aii] guide à une
colonne de troupes avec laquelle on comptait exécuter, au
1) ge^en Sien, auf Sien los.
EzeroiooB généraux. 357
xnoyea^ d'une marche nocturne, un plan important. »Dieu
m'en préserve (Betoal^re) la dit le paysan, »je ne le ferai
jamais.a L'officier français qui commandait Tayant-garde le
pressa' vivement, mais le paysan persista^ dans son refus.
L'officier le fatigua^ de promesses et lui offrit une bourse
pleine d'or; ce fut en vain.
Cependant le gros® de l'armée française arriva, et le
général fut très irrité de trouver encore l'avant-garde. En
apprenant^ que le seul homme qui connût le chemin refu-
sait obstinément d'être leur guide, il se fit amener^ le paysan.
«Ou bien, a lui cria-t-il, «tu vas nous montrer le chemin,
ou je te fais' fusiller la — »Fort bien, a reprit le paysan,
«en ce cas je mourrai en (atô) honnête sujet et je n'aurai
pas besoin d'être traître ^^ à (de) ma patrie. a Là-dessus le
général étonné lui tendit (retd^te) la main et dit: «Retourne
chez toi, brave homme, nous saurons bien nous tirer d'af-
faire^^ sans guide. «
2) mtttelfl eined TtS<^t(t<]^en a}larf(!^e9. 3) brong . . in il^n. 4) Be*
^anb auf {dai.). 5) br&ngte i^n mit l@erf^re(!(ungen. 6) bte fran^Sfiffi^e
$au|>tannee. 7) %t9 te erftt^r. — 8) borfû^ren. 9) erfd^iegea kffen.
10) ein )Berr&tet (voyez p. 258, 3). 11) toit merben uns — su l^elfen
koiffen.
26. Suites de la perte d'un olou.
Un marchand avait fait de bonnes affaires à la foire ; ^
toutes ses marchandises étaient vendues, et sa bourse garnie
d'or et d'argent. IL voulait se mettre en route ^ pour arriver
chez lui avant la nuit. Il serra ^ son argent dans sa valise^,
qu'il plaça sur son cheval, et partit. A midi, il fit halte
dans une ville. Au moment de poursuivre^ son chemin^ le
valet d'écurie * lui amena ^ son cheval et lui dit : «Monsieur,
il manque un clou au fer du pied gauche de derrière (beé
Itnïcn Çtntcrfugc^).» — «n n'importe, « répondit le marchand,
«le fer tiendra bien encore les vingt-sept kilomètres qui me
restent à faire. Je suis pressé (etlig).»
Dans l'après-midi, comme il était descendu ^ de nouveau
pour faire donner du pain k son cheval, le palefrenier ® vint
à lui, et dit : «Monsieur, le fer manque à votre cheval, au
pied gauche de derrière. Faut-il le conduire au maréchal?«
«N'importe, a répondit le maître, «le cheval viendra^ bien à
bout, ^comme ça, des neuf kilomètres^ qui me restent à
faire. Je stiis pressé. a IL remonta et partit.
1) auf bcr SKeffe. 2) fldj ûuf ben ©eg mad^ett. 3) cin^arfcn. —
4) ber Tlanttl\a^. 5) at9 er toeiter teifen tooïïte. 6) ber ^iaViîmâft
7) borfii^resi. 8) etngefel^rt. 9) mirb )90^{ fo bte iuriidtegen
tBnneit.
358 ExeroîoeB généraux.
Mais bientôt le cheval commença à boiter. ^<^ Quelques
pas plus loin, il se mit à broncher ; ^^ il ne broncha pas
longtemps, car il tomba et se cassa une jambe. Le marchand
fat obligé de laisser là la bête, de détacher sa yalise, de la
prendre sur son épaule et de gagner à pied^^ sa demeure,
où il n'arriva que (erfl) bien avant ^' dans la nuit.
»Ce maudit ^^ clou, murmurait-il à part, c'est pourtant
lui qui est (la) cause de tout ce malheur.oc —
Hâtez-vous lentement. (Stle mit 993ei(e.)
10) l^ittfen. 11) liol^ertt. 12) gu Çuge mâf ^aufe gel^en. 13) ^}fiu
14) Dcrbammt.
27. Le service de l'égoïste.
Mathieu. Bonjour, voisin Simon. J'aurais (l^Sttej au-
jourd'hui trois ou quatre petites lieues à faire ; ne pourriez-
vous pas me prêter votre jument (<Stutc)?
Simon, Je ne demanderais ^ pas mieux, voisin Mathieu;
mais il faut que je porte trois sacs de blé au moulin tout
à l'heure. Ma femme a besoin de farine ce soir.
Mathieu. Le moulin ne va pas aujourd'hui. Je viens
d'entendre^ le meunier dire au gros Thomas que les eaux
étaient trop basses.
Simon, Est-ce vrai? Voilà qui me dérange.* En ce
cas il faut que je coure à bride abattue^ chercher de la
farine à la ville. Ma femme serait d'une belle humeur, si
j'y manquais.
Mathieu. Je puis vous épargner^ cette course.® J'ai
un sac tout prêt de bonne mouture ; ^ je suis en état de
vous prêter autant de farine qu'il vous en faudra (ate ©te
Simon. Oh I cette farine ne conviendrait ^ peut-être pas
à ma femme. Elle est si fantasque (touttberltd^) I
Mathieu, Quand elle le serait cent fois plus. C'est du
blé que vous m'avez vendu, le meilleur, disiez-vous, que
vous eussiez touché® de (m) votre vie.
Simon. C'est toujours du blé excellent, celui que je
vends. Voisin, vous savez qu'il n'y a personne qui aime ^®
à rendre service ^^ autant que moi ; mais la jument a refusé ce
matin de manger la paille. ^^ Je crains qu'elle ne puisse pas aller.
1) ^ tooïïte redjt 8«ni. 2) i(^ Çabc ebcn — fagcn }fixta. —
3) IbcA {ommt mit ungeiegen. 4) mit i»er]^Sngtem 3^0^^* ^) erf))aren.
6) (èm%,m. 7) guted SD'^e^l. 8) an^e^en, genel^mTem. 9) in^&nben
ael^abt. 10) ber fo geme ^ienfie leifiet ou (^f^tgfetten ertt>ei|i. 11) ba«
Exercices généraux. 359
Mathieu, N*ea soyea pas inquiet^^^ je ne la laisserai ^'
pas manquer d* avoine sur la route.
Simon. L'avoine est bien chère, voisin.
Mathieu, C*est vrai; mais qu'importe ? ^^ Quand on
va pour (tDegen) de bonnes affaires, on n'y regarde pas de
si près.
12) unBefotgt. 13) ^ iserbe c9 'ûft nid^t an $afer fel^Ien (affen.
14) toa9 Ilegt bacani
28. Suite.
Simon, Nous allons avoir du brouillard ; les chemins
seront glissants. Si vous alliez ^ vous démettre ^ une jambe.
Mathieu, Il n'y a pas de danger ; votre jument est sûre.
Ne parliez-vous pas tout à l'heure de la pousser vous-même
à bride abattue?
Simon. Oui, mais ma selle est en lambeaux,^ et j'ai
donné ma bride à raccommoder.
Mathieu. Heureusement j'ai une selle et une bride à
la maison.
Simon, Votre selle n'ira ^ jamais k ma jument.
Mathieu. Eh bieni j'emprunterai celle de René.
Simon, Boni elle n'ira pas mieux que la vôtre.
Mathieu. Je passerai chez M. le comte. Le valet
d'écurie est de mes amis, il saura bien en trouver une^
qui aille ^ parmi vingt qu'a son maître.
Simon. Certainement, voisin, vous savez que personne
n'est disposé comme moi à obliger* ses amis. Je vous
donnerais de tout mon cœur ^ ma jument ; mais voilà quinze
jours qu'elle n'a été pansée.^ Son crin n'est pas fait. Si
on la voyait une fois dans cet état, je ne pourrais plus en'
trouver dix écus, quand je voudrais la vendre.
Mathieu. Un cheval est bientôt pansé. J'ai mon valet ^^
[de ferme], qui l'aura fait dans un quart d'heure.
Simon, Cela peut être ; mais à présent que *^ j'y pense,
elle ^2 a besoin d'être ferrée. ^^
Mathieu. Eh bienI n'avons-nous pas le maréchal à
deux portes d'ici?
Simon. Oui-da I ^' un maréchal de village pour ma ju-
ment 1 Je ne lui confierais pas seulement mon âne. Il
1) alliez ne se traduit pas. 2) l>errenfen. 3) m ^tiiden, ^et'
riffen. 4) toirb nie — \)affen. 5) elnen ^affenben. 6) obliger qn
einem einen 2)ienfl letflen. 7) t>on Çerjen aern. 8) ge|lrtegelt. 9) ba«
fih. 10) ^nec^t, m. 11) ba. 12) fie mug b<[(^Iagen toerben. 13) eil
toaxnm mà^i gai.
360 Exerdoes généraux.
n'y a que le maréchal du roi^^ au inonde, pour la bien
ferrer.
Mathieu, Justement mon chemin me conduit par la yiUe
devant sa porte.
1) ber 9off<^mteb.
29. Suite.
Smon, (apercevant au loin son valet, l'appelle :] François 1
(Sranj) François I
François (s' avançant) . Que voulez-vous, maître?
Simon, Tiens, ^ voilà le voisin Mathieu, qui voudrait
emprunter ma jument. Tu sais qu'elle a une écorchure^
sur le dos, de la largeur de ma main. (Il lui fait signe ^
de Toeil.) Va tout de suite voir si elle est guérie. (François
sort en lui faisant signe qu'il l'a compris.) Je pense qu'elle
doit l'être. Oh otiil Touchez là,^ voisin. J'aurai donc le
plaisir de vous avoir obligé. IL faut s'entr' aider ^ dans la
vie. Si je vous avais refusé tout crûment,* eh bieni vous
m'auriez refusé à votre tour dans (Bet) une autre occasion;
c'est tout simple. Ce qu'il y a de bon (bad @ute) avec
(6et) moi, c'est que mes amis me trouvent toujours au
besoin.*^ (François rentre.) Eh bienl François, l'écorchure,
comment va-t-elle (tt>tc tjl cô mit tl^ï)?
Français. Comment elle va, maître? Vous disiez de la
largeur de votre main — c'est^ de la largeur de mes épaules
qu'il fallait dire.^ La pauvre bête n'est pas en état de
faire un pas. Et puis, je l'ai promise à votre compère*
Biaise, pour voiturer^^ sa fenmie au marché.
Simon, Ah, mon voisin, je suis bien fâché que les choses
tournent ^^ de cette manière. J'aurais donné tout au monde
pour vous prêter ma jument. Mais je ne peux pas dés-
obliger^' le compère Biaise. Vous m'en voyez au désespoir
pour ce qui vous regarde, mon cher .Mathieu.
Maihim, J'en suis aussi désespéré pour vous, mon
cher Simon. Vous saurez ^^ que je viens de recevoir un
billet de l'intendant** de monseigneur,*^ pour ^® l'aller trouver
sur-le-champ. Nous faisons quelques affaires à nous deux.*^
n m'avertit que, si j'arrive à midi, il peut*^ me faire ad-
1) 2)a, flel^e! 2) eine SBunbe, ©^toieU. 3) gieBt iBm einScid^en
mit ... 4) ^U^îXi @ie ein ! 5) fl^ gegenfeittg (elfen. 6) bon
bomBcrein, futjtoeg. 7) tuenn fie mid^ Braudf^m. 8) @ie B&ttm fagm
foïïen. 9) ©e^atter SlafhtS. 10} faBren. 11) bag bie ^aâ^tn fo ^el^en.
12) ungefSHig fein aegen. 13) @ie mûffen nSntl^ totffen. 14) ber
IBemalter. 15) gnabiger $>en. 16) bag ^ p i^m .. fommen foO.
17) gtoifci^en un9 beibett. 18) er Unxt mir ba9 gSHen... )uf(i^(agcit ou
Exercices généraux. 36]
juger la coupe ^^ d'une partie de la forêt. C'est k peu près
cent lotiis que je gagnerais dans cette affaire, et quinze à
vingt qu'il y aurait eu à gagner pour vous; car je pensais
à vous employer pour l'exploitation.^^ Mais
SnteUm. 19) Beim Uml^ouen.
30. Fin.
Simon. Comment I quinze à vingt louis, dites-vous?
Mathieu. Oui, peut-être davantage ; cependant comme
votre jument n'est pas en état d'aller, je vais demander le
cheval de l'autre charpentier du village.
Simon. Vous m'offensez; ma jument est^ tout à votre
service. Eh, François I François I va dire au compère Biaise
que sa femme n'aura pas aujourd'hui ma jument; que le
voisin Mathieu en a besoin, et que je ne veux pas la refuser
à mon meilleur ami.
Mathieu, Mais comment ferez-vous pour la farine?
Simon. Ohl ma femme peut s'en passer^ encore pendant
quinze jours (14 S^age).
Mathieu. Et votre selle qui est en lambeaux?
Simon. C'est de la vieille que je parlais. J'en ai une toute
neuve comme la bride. Je serai ravi que vous en ayez l'étrenne. '
Mathieu. Je ferai donc ferrer la jument à la ville?
Simon. Vraiment, j'avais oublié que le voisin l'avait
ferrée l'autre jour pour essayer. IL faut lui rendre justice,
il s'en est tiré^ fort bien.
Mathieu. Mais la pauvre bête a une plaie si large sur
le dos, comme dit François.
Simon. Ohl je connais le drôle . ^ Il se platt toujours à grossir
le mal. Je parie qu'il n'y en a pas de la largeur du petit doigt.
Mathieu. IL faudrait donc qu'il la pansât un peu; car
depuis quinze jours ....
Simon. La panser? Je voudrais bien voir qu'il y man-
quât® un seul jour de la semaine.
Mathieu. Qu'il aille ^ au moins lui donner quelque chose
à manger.^ Ne m'avez-vous pas dit qu'elle avait refusé la paille?
Simon. C'est qu'elle était rassasiée^ de foin. Ne craignez
rien, elle vous portera comme un oiseau. Le chemin est
sec; nous n'avons pas de brouillard. Je vous souhaite un
bon voyage et de bonnes affaires. Venez, venez monter;
ne perdons pas un moment! Je vous tiendrai l'étrier.^®
1) ^el^t. 2) !ann e9 ... entbel^ren. 3) ben er^en ®eBrau(i^ babon
maàftn ou il^tt eintoet^en. 4) er l^at t» fel^r gut geina($t. 5) ben
«nrf^en. 6) bag cr c8 unterllcge. 7) er foïï . . 8) ju frcffeii. 9) fatt
•oin ^ttt. 10) ben ©teidbûgel.
APPENDICE.
MORCEAUX CHOIS IS DE PO ÉSIE ALLEMANDE.
1. ©ebidîte.
1« Bit 3alitt9itittn*
tStWitii, @ommer, $er(fi unb SBhtter
@mb bed guten ©otted fttnber,
Stingen uttd bed ®uten t)ie(,
Sïumcn, gïflc^tc, fro]^c« ®ptcl.
(SnbKd^ totrb bte SBtefe grûn,
Scrd^cn^ ftngcn, SSciC^cn Slfl^tt;
Uttb t)a« ïlctnc mmm^ frcut
©id^ bcr l^otbcti^ Srûl^Kng^jcit.
Çïcubc t5nt* buïd^ SQSaïb unb gelb»
dfi'd nit^t fd^dn m ®otte« SEBelt?
3« Bais flai^Uim»
îCtt Sd(^Iem, ftïècrl^ea^ unb Har,
îDu ciljl' t)Oïûbcr tmmcrbar,
%m Ufer jicV ici^, Pnn' » unb flnn* :
ffio ïommji bu ^cr'? S33o gcl^ji bu l^in'?
„Séi ïomm' au« bunïlcr Seïfcn ©d^og;®
aRcin Sauf gcl^t Wcr Slum' unb aKoo6;i«
9uf metnem ®))teget fd^toebt^^ fo mt(b
SDed 6(auen $tmmetô fteunbKd^ ^^ ${()).
îDrum ]^û6' t(3^ frol^en fttnbcrfinn;
@9 tteibt mtd^ fort, toetg ntd^t tDol^tn.
©cï^^ mxéi 9crufcn au« bcm ©tein,
©et, bcnf id^, toirb mein ÇûI^ïcï fcm."
4« Bet nitige Çirfi^*
iS6 fltngcn brct 3agcï wol^ï auf bic Strfd^,**
®te tooUten erj[agen ben iDetgen $trf(j^.
®te legten ^lâ) unter ben 2)annen6aum,
Sa ^atten bte bret ebten feltfamen ^<^ Xraum.
1 ) les alouettes. 2) diminutif de SD'^fidespetite mouche. 3) aimable.
4) retentir. 5) çetit ruisseau. 6) Umpiae. 7) fuir rapidement.
8) réfléchir. 9) sem. 10) mousse. 11) se reflète. 12) suave, gracieux.
13) celui qui. 14) à la chasse. 15) étrange, singpilier.
Appendice. 363
^tx erfle.
aWtr^ l^at fletrSumt, ïéf Hopf » auf bcn Sufd^,»
2)er )tt>eite.
Utibal« cr fpTang mit bcr Çunbc Ocfiaff,*
SDa bramif ^« tl^m auf ba« gcH, ftff, faffi
2)er brltte.
Unb atô t(!^ ben Çtrfd^ an ber (Srbe fal^,
S)a fltcg'^ iâ) lujltg in« Çoni, traTa!
®o (agen fie ba unb f)}rad^en bte bret,
©a Toraitc® ber toeige Çtrfci^ tjorbet.
Unb cy bic brci dSgcr il^n xtâft gcfe^n,
©0 tt>ar cr batjon* û6cr ïicfcn unb ©ôl^'n.
©ufd^, l^ufd^! ftff, faff! trara! g.mianb. fiMi
5« Btr flltaHit ttitlli }^tt iia^mt.^^
Son UngcfSl^ï^^ mug cincn SUnben
iStn Sal^mcr auf bcr ©trage flnbcn,
Unb 3cbcr ^offt fd^on frcubcncoll,
2)a§ tl^n bcr anbrc (citcn^^ foD.
„2)tr," fpït^t bcr Sal^mc, „6ctjuPc]^en? —
Se) armer SJtann tann feI6fi ntc^t gel^en.
2)ot^ ft^eint'ô, bag bu ju emer 8aft^*
iStn paar gcfunbe ©d^uttcm ^afl*
Sntfd^tiegc bit^, miâ) fortgutragcn,
@o toiU tc^ btr bte SBege fagen;
®o »trb bein jiarïcr 5"§ wcin Sein,
aKein l^cHe* Sluge beineô fein."
S)er Sa^mc ^ongt mit fetnen firûden
©id^ auf be« SÏinben îrciten 3îûden. —
SSereint tt>ir!t^* alfo bicfe^ $aar,
SBad cinjeln leincm m5g(id^ toar. «eiuct. tnei
„®ott grûg' Sud^, aitcr! ©d^medEt^» ba« Çfeifd^cn?
SBeijt ^M6er ! — Sin ©(umentoff
Son rotem îl^on," mit goIb*nen àtcifci^en:"
2Ba« tooHt Ol^r fur ben ftoff?"i»
1) j'ai rêvé. 2) battre les buissons. 3} sortît. 4) onomatopée:
crao zest. 5) aboiments. 6) je tirai sur lui. 7) je sonnai du cor.
8) passa en courant. 9) parti. 10) paralytique. 11) par hasard.
12) conduire. 13) fardeau. 14) opère, fait. 15) est-elle de votre
goût. 16) montrez. 17) terre. 18) cercles. 19) la pipe.
364 Appendice.
Xd^ $err, ben fto)>f lonn td^ ntd^t (affen!
Sr bmmt t)oin 6ra)){ien SRonn,
3)er tl^n, ®ott loeig ed, tDeld^em ^affen^
$ei ^elgrab aBgetDann.
Xa, $en, ba ga( e^ redite Seute!
iS9 te(e ^tht) Sugen'!
3Ste ©Tummet^ fal^ man unfre Seute
S)cï îûïïcn ©Kcbcï^ mS^n-"
„Sm mibermal t)ott Suent Sl^aten;^
. $tcr, aitcr, fetb ïcin ÎTopf ! «^
Sie^mt biefen l)o)>)}eIten 3)ulaten
gûr (gucm Çfcifcnïoff!"
3dl Btn etn armer fterl unb (eBe
Son meinem Onabenfolb;*
©oc^, Çerr, ben Çfetfenïopf, bcn gcBe
Qâf ntd^t um aUt9 ®oIb.
95rt nur! (Stnfl iagten totr Çufaren
S)cn Çctnb nad^ Çerjenôluft;'
2)a fd^og ein Çuttb t)on danitfd^aren
2)en $au))tmann in bte Sruft.
3d^ ]^o6 i^n flug^ auf mcmen ©d^intmel* —
(Sx ^att* c« auc^ getl^an —
Unb trug tl^n fort auô bcm ®ctilmme(*
3u etnem (Sbelmann.
Sâf pflcgte fcttt.i® ©or fetnem (Snbe
SRetc^t' er mir aU fetn ®eïb
Unb biefen 9op^, brûdtt nttr bte QSnbe,
Unb Btte( tm Xob nod^ $elb*
2)a9 ®oIb ntugt bu bent SBirte fd^enlen.
©er bretmal Çïûnb'runfl " litt —
@o bad^f ic^; unb ^unt ^ngebenlen^^
yia^m iâf bte Çfetfe mit.
3c^ trug auf allen mefaten 3^9^»**
@te tDte ein Çeiligtum,
SQ3ir moc^ten toetd^en ober ftegen,
dm @tiefel mit l^erum.
©or Çrag Dcrïor id^ auf ber ©tretfc"
3)ad 8ein burd^ einen ®d^ug,
1) pacha. 2) de llierbe. 3) ran^s. 4) exploits. 5) imbéoille,
nigaud. 6) pension. 7) à cœur joie. 8) oneval blanc. 9) de
la mêlée. 10} je le soignai. 11) pulage. 12) souvenir. 13) cam-
pagnes. 14) incursion.
Appendice. 365
2)a griff xâf crjl* nad^ mcittcr ^fcifc
Uni) bautt nad^ mcmcm iJug/' —
£) fagt, tt>te l^icg ber aïlarm?
S)amit aud^ metti ^erj t^n ))ere^Yen
Unb t^n bctocmcn !ann."
«SKan l^tcg tl^n nur bcn tapfcm SBattl^er,
S)ort lag fcitt ®ut» am W^txn." —
«©a^ toar mctti Satcr, ïicbcï Slltcr,
Unb iencô ®ut tji rncin»
ftommt, gTcunb, S^x follt bci mit nun (cbenl
SScrgcffct (Sure 3îot!
ftommt, tïinlt mit mit tjon SQSaltl^er^ SRcbcn,*
Unb cgt t)on SBaltl^crg 35rot!"
„5Ruti, topp!^ 3]^r fctb fcin wadf'rcr» Sïbc!
3d^ jiel^e morgcn ctn,
Unb Suer ©an! foU, toexax xâ) jicïbc,
SDtC îiiïïCllffcifC fcitt!" tpfeffti. tl809.
2* Siebel
h Ber âd|it|eJ
SWit bem ^fcil unt) Sogcn
SDurd^ ©cbirg unb 2^al
ftoramt^ bcï ©ci^ûfe flcjogcn®
griil^ am SDîorgenfhal^L
2Bic im J»cid^ bcr Sûftc
«ônifl tji bcï ©cil^,»
îCuï^ ©ebiïg unb ffitiifte
^cnfd^t bcr ©d^û^c fret»
ai^m flcl^ôrt ba« ©cite ; i«
SBa« fein Çfcit crrcid^t,
3)a« ijl fcine Scutc,
SBa« ba fccud^t^^ unb ficuat»
3t. 0. @(^iUtr. tl805.
2. dbtfnnitn*
Sif gtng im 2Ba(be fo fih mid^ l^in,
Unb ni(|td ju fud^en, ba9 toar mcin ®inn.
1) d'abord. 2) lannes. 3) propriété. 4) vignes. 5) tope-là.
6) brave, honnête. 7) chasseur. 8) lommt gegogen sort, part. 9) le
milan. 10} Tespace. 11) ancienne forme pour fttegt unb fried^t vole
et rampe.
366 Appendice.
3m ©c^attcn fal^ ic^ cin Sïûmd^cn flcl^'n,
SSte ©terne leu^tenb,^ toit âugtem fc^dn.
Sii tt>oflt' e« bred^en, ba fa^t' c« fein:
„@oII ic^ jum SSBeïïen* gebroci^cn fem?"
9c^ flïuB'ô* mit atten ben SBûrjIehi au«;
âum ®artcn trug xâf9 am l^ûbfd^eti Çau«»
Utit) pflattjf c« toiebcï am fliïlen Drt,*
Sîun toad^P* e« wicber utit) blul^t fo fort»
®oet((. t 1832.
Sfifi^eYfitabe (fingt in bem ^al^n).
(gô Kd^elt ber ©ec, er ïabet® jum Sabe,
©er ^dbt fd^Kef etn am grûnen Oejiabe;
a)a l^ôrt er ein ^lingen' tote glôten fo \û%
SBie ©timmen ber (Sngel im ^arabtc«.
Unb »ie er ertoac^et in feïiger 8uji,
îDa fpûïen» bie ©affer tl^m um bie Srnfl.
Unb e« ® mft an« ben îief en : 8ieb* ^abe, bijl metn ;
3(i^ lorfe ben ©d^ISfer, id^ îicl^' il^n ^inein.
^ixtt ({ingt auf bem Serge).
3^x SKatten*® ïebt tool^ï,
3i)X fonnigen SBciben!^^
®er ©enne*^ mn6 f^eiben,
SDer ©ommer ift l^in»
SBir fal^rcn ju 8erg. toir ïommen loieber,
SBenn ber fiuïu! ruft, toenn ertoad^en bie Steber,
SBenn mit ©lumen bie ffirbe |td^ Weibct neu,
SS3enn bie Srûnnfein fïiegen im liebtid^en SKat»
3^x matten, lebt tool^ïî
dl^r fonnigen SBeiben!
S)er ©enne mug fd^eiben,
î)er ©ommer ip l^in.
3Sger (fingt auf bem Çelfen).
®8 bonnem bie Çôl^en, cô jittert ber ©teg,**
Sfîic^t grauet^* bem ©d^ûçen auf fd^toinbliti^em SBeg;
6r fd^reitet tsertoegen^* auf gelbem t)on @i3,
2)a ))ranget !ein ^iil^Hng, ba griinet tein 9îeid*
1) luisant. 2) pour me flétrir, dépérir. 3) déterrer. 4) endroit.
5) elle croît. 6) laben pour einlaben inviter. 7) air, musique.
8) baigner. 9) eS pour jiemanb ou etne ©timme une voix. 10) prés.
11) pâturages. 12) dénomination suisse pour Çirte vacher. 13) pont
de bois étroit. 14) le chasseur n'a pas peur. 15) hardiment.
Appendice. 367
Unb imter ben ^H^ta eut iteBHged Wtttt,
Sriennt et bie @tSbte ber 9)tenf(!^en ntd^t mel^r:
SDurd^ bcn «ig ^ nur bcr SBoIfcn^ crbliit cr bic fficlt,
Zief unter ben SBaffem bad grilnenbe t^elb.
6 (^ i 1 1 e T (® il^dm XeO. ) f 1806.
©d^Iaf cln, mctn Çerj, in gricbcn!
2)en milben Sugenliben^
!î)er S3(umen l^at gebrad^t
(Srqutdungdtau 2 bte 9{ac^t.
©d^laf cm, mcin Çcrj, in Sricbcn!
î)û« Scbcn fd^laft ^icntcbcn,^
S)cr aWonb in jliacr Çraci^t,
Sin S(u9e ©otted, tDad^t
®c^lûf citt, mcin Çcrj, in tïricbcn!
Son Surci^t unb Oram flcf(]^icbcn;*
SDcr* SBcltcn ^at bcbû($t,
9iimntt an(]^ ein Cet} in aâ^U
©d^laf ctn, mcin Çcrj, in gricbcn!
SSon (5fcm S^raum gcmiebcnr
©cfiorlt t>on ®lau6cndmac^t,
2$on $offnung an^éiaâ^U
©ci^laf cin, mcin Çcrj, in gricbcn!
Unb iDcnn bit ifl bcfd^icbcn*
©cr £ob l^icr in bcr Sîaci^t,
@o 6i{l bu bort^ crtoad^t nfideit. tisee.
ÇBrct, xoa9 id^ cud^ koiQ fagcn!
!Z)ic ®(od(' l^at }c^n gcfc^Iagcn*
Sle^t (ctct unb bann gcl^t }u 8ctt;
SDod^ lafc^t ba9 Sic^t au9, c^ il^r gcl^t;
@(j^laft fanft unb tDol^l! dm Çimmcl toad^t
Sin I(arc9 Sug* bic gan}c 9tad^t.
$)iJrct, toad id^ cuc^ toill fagcn!
S)ic ®Iod(* l^at clf gefci^Cagcn.
Unb tocr noc^ bci bcr arbcit fd^tolfet,*
Unb tocï Bcim SattcnfpicI nod^ fiçt,
1) à travers les nuages entr'ou verts. 2) construisez: bie ÎHa&t
^ bcn mfiben S(ugenltben ber i^Iumen (Siquidfungdtau (rosée rafrai-
cliissante) geBrad^t. 3) ici-bas. 4) séparé, délivré. 5) celui qui a
eu soin des mondes. 6) destiné, réservé. 7) dans Vautre monde.
8) chanson du guet. 9) suer, travailler durement.
368 Appendice.
S)cm fag' iâf9 laut unb bcutllc!^ nun:
'8 tfl l^ol^c S^xt, nun au^juru^'n*
Q5retr &)a9 td^ eud^ toiU fagen!
SDic ©loi' ^at jtoôlf gcfc^ïaflcn.
9Bo nod^ m ftiaer aRtttemad^t
Sht tranled Çer^ t)oII ftummer iDac^t,
®ott gcb' tl^m Zxo%^ \)etUxV t^m SKu^,
Unb fû]^ï*6 bem fanftcn ©c^Iummcr ju.
$Bret, toa9 tc^ eud^ tDtQ fagen!
S)te ©lotf* l^at etn9 gefd^Iagen.
. Unb t»o burc^ ®atan« Stfl unb {Rat*
(Sin Î)ic6 l^tnfd^fctcî^t auf bunHcm $fab,
Sil xoW9 ntc^t l^offcn; bo(]^ gcfci^te^rt!'
©0 fleV er ^cim, fcm SR^tcr flcl^rt»
$5ret, tDa9 tc^ eud^ totQ fagen!
S)ic ®lod* l^at jtoci gefd^tagcn.
Unb t»cm bte ©org' fc!^on, el^* t9 tagt,
©(j^tDCï an bcm toac^en Çcïjen nagt : •*
îDcr arme îropf, fcm ©(i^laf tfl fort;
®ott forgt, t)crla6 bic^* auf fctn SBort!
$5ret, toa9 td^ euc!^ totQ fagen!
©te ®lod' l^at brei gcfd^Iagcn.
jDie SRorgenflunb' am $)tntme( fd^toeBt;
2Bcr frtebet)on ben îag erlebt,*
S)cr banfe ®ott unb faffc 2Rut,
®e^' an« ®efd^aft unb ^alt' flc^ gut. wa* ^e»ei. tis».
6* ISit» Qetttfi^ett jl9ateclattDi«
SBa« tfl bc« SDentfd^cn Satcrlanb?
3fl'« Çrcugenlanb? 3fl'« ©d^toabenïanb ? ^
3fl'« 100 am SRl^etn bie SRcBc bfâ^t?
3fl'« too am Selt btc aRBDc» atcl^t?
D ncin! o nctn!
©ein Saterlanb mug grôger fcin*
SEBad tfl be0 SDeutfd^en SSaterlanb?
9fl*« Saterlanb?» 3fp ©tetcrlanb?io
3p 100 bc« SWarfen^i SRiub fic^ flrcit?
3fl'« too bcr SWarfer ffitfen retft?!*
£> nein! o netn! te. xc.
1) consolation. 2) ruse et avis = avis rusé. 3) s'il en est
ainsi. 4) ronge le cœur éyeillé. — 5} fie-toi. 6) qui vit jusqu'au
jour. 7) la Souabe. 8) mouette, goéland. 9) la Bayière. 10) la
otyrie. 11) le bétsdl des Marses, en Schleswig. 12) forge.
Appendice. 369
a33a« ijl t)c« ©cutfci^ett Satcrlanb?
3fl'« ^ommertenb? aScjîp^alcnlanb ?
3jl'«, too ber ©anb ber îDûncn toc^t?
3jl'«, »o btc îDonaui braufenb gcl^t?
D ncin! o ncin! k. îc.
aBa« tfl bc« S)etttf(!Çcn Sîatçrlanb?
@o nemie mit ba9 groge Sanb !
©ctotg, c« tjt bû« Ôjlcnet^,
9n @tegen unb an Sl^ren tetd^*
D ncin ! o ncin ! k. k.
2Ba« iji bc« îî)cutf(]^cn Satcïlanb?
©0 ncnne mit ba« grogc 8ahb!
3jl*« 8anb bcr ©cj^tociser, tji*« î^rol?
îDaô 8anb unb SSoH gcpcf mit tool^l.
S)^ ncin! bod^ ncin! k. k«
aBa« iji bc« îJDcutfci^en SJalcTlanb?
©0 ncnnc cnblic^ mir ba« 8anb!
©0 tocit^ bic bcutf(!^c S^^i^ ÏHngt
Unb Oott im Çimmcl Sicbcr fingt:
!î)a« foD c« fcin! bag foD c3 fcin!
S)a«, toad'ïcr 3)ctttf(!^cr, ncnnc bcin!
S)a3 ijl bc« S)cutfd^cn Satcrtanb:
SBo gibc» fc^toôrt bcr îDrutf bcr Çanb,
2Bo îrcuc l^cD Dont Slugc Hi^t*
Unb 8ic6c'toarm im Çcrjcn fiçt:
S)a« foD .c« fcin ! ba« foU c« fcin !
S)a«, toaâ'rcr 3)cutfd^cr, ncnnc bcinî
3)a§ ganjc Dcutfci^tanb foll cô fcin!
£) ®ott! t)om Çimmcï jtcl^ barcin;
Unb' gib un^ ad^tcn bcutfci^cn SDÎut,^
®a6 toir c« Iteécn treu unb gut!
S)a« foD c« fcin ! ba« f oH c«* fcin !
S)a« ganjc 3)cutfd^lanb foll c« fcin!
d. an. «tnbt, t 18W.
1« fiatbato|fa«
©cr altc Sarbaroffa, bcr fîaifcr gricbcrid^,
3m ttntcrirb'f(]^cn ® ©c^loffc l^Slt cr DcrjauBcrt^ fid^»
(Sr ifl ntcmafô gcjlorbcn, cr Icbt barin noc^ jcfet;
(Sx ^at im ©c^log k)crborgcn )um ©d^laf fid^ l^ingcfc^t.
1) le Danube. 2) aussi loin que. 3) serment. 4) brille. ^
5) sentiments. 6) souterrain. 7) retenu par un encbantement.
OTTO, Orammûre allemande. 24
370 Appendice.
(Sr l^at l^inaBgenommen beê 9îetd^ed^ Çettltd^fett,
Unb tDttb ein^ toiebev lommen mit tl^r }tt fetner 3^^^.
S)er @tit]^I tft etfenBefateni,^ koorauf bev ftaifer fl^t;
3)er Xtfd^ tft marmelflemem,' toorauf fetn $au))t ev flfi^t.
@etn Sort tft ntd^t t)oit ^ad^fe,^ ev tfl t>oti Seuerêglut,
3ft burd^ ben Xtfd^ getoad^feti, iDOYauf fem ftitm audrul^t.
(Sr nt(tt* olê tDie im S^raume, fem Sug' l^alB offen )tt>mlt;*
Unb le nad^ langem Staume er etnem ftnaéen totnlt.^
(Et ^pûâft im @d^taf jum ftnaBen: ®éff f)m t>or'd Sd^bg, o3tt>erg,^
Unb fiel^, o( nod^ bie 9îaBen® l^exfliegen um ben Serg.
tttib tDemt bte atten ^aim nod^ fliegeti immerbav,
@o mug id^ anif noc^ fd^lafen t)er)au6ert l^unbert dal^r.
9i. RfldCKt. t 186«.
% fier Sattger^i»
,^a« ]^5r' id^ braugen »or bem ïl^or,
aa3a« auf bcr Srttdtc fc^aDen?
Sagt beit ©efang t>ot unferm Dl^r
3m ©aale toiberl^allcn !"
3)cr ftônig fprad^'«, ber Cage fief;
S)cr ftnabe ïam, ber ftôntg ttcf :
„8a6t mit l^crcin ben aiten!"
„®egrû6ct" fctb mit, eblc Qextn,
©egrûgt, il^r fd^5ne 2)amenl
SBeld^' rcid^cr Rimmel! ©tcrn bet ©tem!
S33er fennet il^rc Slamcn?'
Sm @aal t)oII ^rad^t unb ÇerrUd^ïeit
©d^Uegt, SugeUr eud^; l^ier ifl nid^t S^ii,
®ic^ flaunenb ju etgB^en."
©et ©Sngcr bruit* bie Slugcn ein,
Unb fd^lugi* in t)oïIen îônen;
SDic Sîitter fd^auten muttg brein,
Unb in ben ©d^ogi» bie ©d^ônen.
®er JlBnig. bem ba« 8ieb gefiel,
Sieg, il^n ju el^ren fur fein ©piel
@ine golb'ne $ette 1^oIen«
„®ie golb'ne ftette gteb mir nid^t;
S)ie Settt gie( ben Sîittem,
1) empire. 2) d'ivoire. 3) de marbre. 4) couleur de lin,
blond. 5) il salue. 6) cligner. 7) faire signe. 8) nain. —
9) les corbeaux. 10) barde. 11) je vous salue. ^ 12) joua de la
haipe. 13) regardaient vers la poitrine ss baissaient les yeux.
Appendice. 371
Sot beten liil^nem Sngeftd^t
®eï gctnbc Sanjcn fpHttcnt.^
®icB fie bcm ftanjlcr,* bcn bu l^ajl,
Unb lag tl^n nod^ bie golb'ne Sajl'
3tt atibem Saflen tragen.
3éi ftnge, tote ber Soget ftngt,
3)eY in ben 3^^is^^ tool^net;
!î)a9 Steb, bad au9 ber ftel^Ie brinst,
3{l Sol^n, ber retc^Itd^ lol^net*
S)od^ barf t^ bttten, 6ttt* id^ (Em9:
gagt mtr ben bcjlen Seci^er SBelnô
dn yurem ®oIbe retd^en/'
Sr feÇf tl^n an, er trani tl^n cax^:
„D îranl x>oU fûger 8abc!*
£) iDol^l bem l^oc^éeglildten Çaud,
SBo ba« t|l* Ilctnc ®aBc!
(Srgel^t*^ eud^ tool^I, fo benlt an miif,
Unb banlet ®ott fo toarni afô id^
f^iir biefen Xmnl eud^ banle." «oet^c. fis».
SBcr rettet fo fpSt bnrd^ ^a6)t nnb aSBinb?
C« tP ber «atcr mit feincm ftinb ;
(Sx ffot ben ^a(en tool^l in bem %cm;
<Sr fagt il^n ^â^ex, er l^Slt i^n toarm*
.,SWein ©ol^n, i»a« BirgP bu^ fo bong bein ®eftd^tî"
— «©iel^p, »ater, bn ben (SrffSnlg nic^t?
®en (Srlenlônig mit ffron' unb ©d^weif?" —
,,SWein ©ol^n, e« tfl etn 9îe6eljhcif*8"
„3)u liebed fiinb, lomm*, gel^ mit mir!
®ar fc^Bnc ©fiele fptef i^ mit btr;
Tlanéf* Bunte 33(ume ftnb an bem ©tronb';
aReine SRutter l^at mand^* gillben® ®eïoanbJ'
«,9Rein Sater, mein Sater, unb l^Brefl bu nid^t,
aaSa« (ïrlenBnig mir leife tocrfprtd^t?" —
„®ei rul^iSr Bleibe ml^tg, mein Ainb!
afn. bilrrcn Slattem f5ttfe(t^<> ber SBinb."
wSEiDjl, feincr 9naie, bu mit mir ge^n?
SWeine Xhà^tex foUen bid^ toarten^* fd^ôn;
1) se fendre, se casser. 2) chancelier. 3) fardeau, charge.
4) boisson rafraîchissante. 5) où cela est considéré comme. 6) roi des
Aulnes. 7) pourquoi caches-tu? 8) une yapeur nébuleuse. 9) en
or. 10] murmure. 11) servir.
24*
372 Appendice.
aRcfaïc l^ttt fil^ïcn bcn uSci^tï^en SKct^u^
Unb toteflcn^ unb tanjcn unb ftngcn btd^ cm."
— „SKcra Sîatcr. mctn Satcr, unb ftcl^fl bu ntd^t bort
erBômgg îô^tcr am bûflcr'n Dît?" —
„SKcfai ©ol^n, mctn ©ol^n, iâ^ fc^ c« gcnatt;^
Sô fci^cmcn btc oltcn SBeibcn* fo grau."
,„,3d^ licBc btc^, mtd^ rctjt bcinc fd^ônc Ocrait;
Unb Btfl bu ntd^t toinig, fo Brauc^* td) ®ctoalt."" —
— „5Wcm Satcr, meta SJatct, jc^t fagt et mi(]^ ou;
ÊrBômg ^at mit cm 8etb«* gct|an»"
SDcm Satcr gTaufcf3,« cr rcitct gcfci^tomb;
(Sx f)alt m bcn amen ba« acj^jenbe Smb,
(Sxxtxâjt bcn Çof mit aRiil^e unb 5Kot:
3n fcmcn ÏÏTmen ba^ fttab xoccc tôt. ooet^e. ti832.
(£r jianb auf femc^ 3)ac^e« â'^îï^îi»®
®ï fd^autc mit t)crgnûgten ©innen
3(uf bad (cl^ertfd^te ©amo9 l^tn*
„©ie« allc« t|l mir untert^anig,"
Segann cr ju Stg^pten3 Sônig/
„®cile]^e, bag tc^ gfiidftid^ bin."
„®u l^ajl bcr ©iiter Ounji crfal^ren;»
. ®ie*^ tjormate beine§ Oîetc^en toaren,
®tc jtotngt jc^t bcmc« â^pterê SKat^^t.
®od^ eiuer tebt noc^, fie ju rSci^en;
SDic^ ïonn mein SDîunb ni^t gtiirflid^ fpred^cn,
©0 lang be« geinbeê 8luge xoaiiU"
Unb el^* bcr SBntg noc!^ geenbet,
®a jlellt" ftd^, t)on SKtlet gefenbct,
Êin Sotc bem î^tannen bar:
nMi $en:. ^c« DpfcïS ©ûftc^^ peigcn,
Unb mit beô SorBeerê muntern â^cigen
Sefcanjç bit bein fûTJltid^ Çaar.
®ctroffen fan! bem Çcinb t)om ©feerc.
mil fenbct mit bcr fro^cn a»arc«
îCctn treucr getbl^err Çol^bor;"
Unb nimmt and eincm fd^toarjcn Scdcn
1) danses nocturnes. 2) bercer. 3) distinctement. 4) saules.
5) mal. 6) le père frémit de terreur. 7) la ferme, maison. 8) plate-
forme. 9) éprouvé. 10) ceux qui. 11) se présente. 12) la fumé
du sacrifice, 13) message.
Appendice. 373
9îoci^ blttttg ju bcr bcibcn ©^rcdtcn,
Stn ton^MarmM $au))t l^ensor»
©et fiônig tritt jurild mit ©Taucn:
„®oci^ toatn* tc^ btd^, bcm ©(iidt ju traucn/*
SîcrfeÇt cr mit Bcforgtcm Slirf;
„ScbcnI*, auf ungctreucn aBcïïcn
— SBic ïcidÇt !ann fîc bcr ©tutm jcrfcl^cllcti, —
©d^totmmt beincr flotte jtocifcinb ©ïii*."
Unb c^ cr noc^ baê SBort gefprod^cn,
Çat il^n bcr OuBcH unterbroc^en,
©cr Don bcr SRl^cbe^ îaud^jenb fci^aHt.
SDîit frembcn ©d^afecn rctc^ fceïabcn,
Scl^rt JU bcn ^eimifd^en ©eflabcn
©cr ©coiffe ^ majlenretd^er SBaïb.
îDcr Wnigfid^e ®ajl crjiauuet:
«îDcin ©ïud ifl l^cutc gut gclautiet,
2)oc^ fûrd^tc feinen Unkjlanb.
3)cr ^ctcr nie bcfiegte ©d^arcn
Sebranen* bid^ mit Sricg3gcfal^ren,
©d^on nal^e flnb fie bief cm ©tranb/
Unb cl^' i\)m ni>â^ ba« SBort citifaïlcn,
©a flcl^t man*« »on bcn ©d^iffcn toaîlcn,
Unb taufcnb ©timmcn rufcn: ©icg! .
Son t5cinbc3 5Kot fmb toir fccfrcict,
îCie ^etcr l^at bcr ©turm jerjlrcuet:
Sîorbei, ç^ttuM ifi bcr ^tcg.
S)a« l^ôrt bcr ©ajlftcunb mit (Sntfcfecn:
„gilrtoa]^r, id^ mug bid^ glûdPïic^ fd^afecn;
SDod^," fpriti^t cr, „îittr' ic^ fur bcin $cit.
SDîir grauct^ t)or bcr ®ôtter Stcibc,
3)c3 8c6cn^ ungcmifd^tc g^eubc
SBarb* Icincm 5rbifd^cn jn tciL®
Mviàf mvc ip allc3 tool^l gcratcn : ^
SSci aUcn meinen Çerrfc^ertl^aten
Scgtcitct' miii bc3 Çimmcfô §utb;
îCod^ l^att* xii cincn tcucm Srben,
©en nal^m mir ®ott, ic^ \af) il^n jlcrBcn,
SDcm ©ïild bcjal^lt* id^ mcinc ©d^uïb.
1) cris de joie. 2) rade, poit. 3) les nombreux vaisseaux présen-
tant une forêt de mâts. 4) ancienne form pour Bebrol^en menacent.
5} je redoute. 6) échoir, tomber en partage. 7) réussi.
374 Appendice.
S)rttm, tDiOfl bu Vxif t)ot 8eib 6ett>a^ten,^
@o flel^e }u ben Unjt(6t(aren,
S)ag fie }ttm @liïi ben @^mer} ^tdtïfy*n*
ytcif ftemen fal^ td^ frSl^U^ enben,
Xuf ben nttt tmmer boQen ^Snben
Die ®8ttcr tl^rc OaBen jirctt'n.
..Unb toenn'ê bte ®Stter n^t geto&l^ren,
@o a(]^f auf beined gfreunbed Sel^ten,
Unb Tufe feI6{l ba9 UngUtf l^er;
ttnb toad t>on aDen bemen ©d^Sfeen
S)em Cet} om l^Bd^flen mag ergS^en,'
Daê nimm unb totrf*« m btcfe« SKecr."
Ilnb jener \pxxiit, t)on Sutd^t Bemeget:
„8îon aDcm toa« bte Snfcl l^egct,'
dft btefer Siing tnem ]^5d^{ted ®ttt.
3^n totQ td^ ben (Srtnntfen^ tt>et]^*n,
Db fie uiein ®(ûdt mit bann t)eïjciyn," —
Unb iDtrft ba« Jttetnob m bie Çlut
Ilnb iA be« nSd^fien ilRorgend Sid^te
Da trttt mit frBl^ltd^em ©efic^te
Sin Çifd^er t)or ben S^^P^tt ^in:
^ttc, btefen gifd^ l^ab* id^ a^f^^^flen,
SBte leinet nod^ in9 Sfte^ it^oxt^txi,
Dir jum ©efd^enfc bring' td^ il^n."
Unb aU ber ftod^ ben ^ifd^ }eYtei(et
ftomntt et be{lût}t l^erbetgeeilet
Unb tuft mit l^od^etflauntem SHd:
M®iel^, {^etTi ben 9îtng, ben bu getragen;
3d^ fanb il^n in bed ^ifd^ed ilRagen,»
D ! oljnc ®renjen « tjl bein ®W(!."
^ier tocnbet flc^ ber ®afl mit ®rattfen:
„@o lann id^ l^ier nid^t (ânget l^oufen;^ .
ilRein Stennb lonnfl bn nid^t toeiter fein;
3)ie ®ôtteï tooHen® bein Serberben:
Sort eir id^, nid^t mit bit ju jlerben."
8r fj)rad^*« nnb fd^ifftc fd^neD ftd^ ein. e^iiur. tiMt.
3tt iDtantna in Sonben^
Der treue Çofer toar;
1) garantir. 2) réionit, channe. 3) oontient. 4) Érinnyas,
Furies. 5) eatonlac. o) sans bornes, infini. 7) rester, séjourner.
8) veulent ta ruine ou perte. 9) dans les fers.
Appendice. 375
dn SRantua )um Xobe
gfl^rf V)n bcr gcinbc ©d^ar;
60 ((tttete ber Srflber $er),
®ait} 3)eutfd^tanb, ad^! ni ©d^mad^ unb Sd^tnet}!
9Rtt il^m baê Sonb X^rol.
Die $&ibe auf bem 9iûdFen
Sbibread Çofet ghtg
SWtt ru^tg fcjicn ©d^rtttcn,
31^01 fd^ien ber Xob gertng;
SDen Xo\>, ben et fo mand^eê îDlot
Sont dfelBerg eefc^tdt mi ^al
3m l^eirgen 8anb î^roU
2)od^ aU aud fterlergtttem^
3m fejlen SKantua
®ie trcttcn SBaffentrûbcr
®ic $5nb* er jhedtcn fal^,
S)a rief er laut: „®ott fet mit cud^,
îDttt bem t)enat*nen beutfd^ 9îeid^
Unb mit bem Sanb X^roU"
®em îamBottt toxi ber SBirÊeP
92id^t untetm ©d^fôgel^ t>or;
ai« nun ïttbreaô $ofer
©d^titt burd^ ba« pnji're SEl^or,
Snbread nod^ fat Sonben frei,
Dort jlanb er fefi auf ber Sajlei*,
S)er îDtann bom Sanb X^rol.
S)ort foll er nicberïnieen ;
(£r ffrad^: „3)a« tl^u' id^ nit!»
SESiQ {ler(en, mie id^ flel^e,
ffîia {ler(en mie id^ fhitt,
©0 mie ic^ jlcy auf biefer ©d^anj*,*
(£9 leB* mein guter ftaifer Sratt},
aRit il^m fein Sanb SEijrol!"
Ilnb t)on ber Çonb bie Sfatbe •'
9timmt il^m ber ftor))ora(r
Xnbreaê $ofer (etet
Sn^ier )ttm le^tenmat;
3)ann ruft er: „^un, fo trefft mid^ red^t!
®e6t Seuer! — %d^! mie fd^ie§t il^r fd^Ied^t!
îtbieu, mein Sanb ZtjxoV* 3. mofcn. t iw.
1) les grilles de la prison. 2) le roulement. 3) baguette. —
4) bastion. 5) nit pour nic^t. 6) fort, redoute.
376 Appendice.
4« Se]^t0ebi^te«
68 rcbcn unt? traumcn bie SKcnf(3^cn mcl
Son bcfîcrn, fûnffgcn S^agen;
9îad^ eincm glûrfltd^cn golbcncn 3^^'^
©icl^t man fie rcnnen unb jagen.
3)tc SBclt toiïb ait unb t»trb toicbcr }nr.g,
©oc^ bcr aRcnf(]^ l^offt immcr SerBctîcrung»
©ic Çoffnung fûl^rt tl^n tn^ Sebcn cm,
®ic umflattcrt^ ben frô^ltd^cn ^aben,
Dcn 3ûngKng bcgeiflert il^t â^^w^^^î^^ta''
®ic toirb nttt bcm ®rei« mijt bcgrabcn:
3)cnn befd^UcÇt et im ®ra6c ben milbcn Sauf,
9Î0(!^ am ©rabe pfïanjt er bte Çoffnung auf.
S« tji lettt îecrer, fd^mcid^eïnber SBal^n,
Srjeugt* tm ©el^ttne ber î^oren;
3m Çerjcn lunbet c« faut fîc^ an:
au t»ci«* ScRer'm ftnb mir geborcn»
Unb toaî bte innerc ©ttmmc fprt(!^t,
3)a8 taufd^t bte ^offenbe @ee(e ntd^t. eéiixitt. tisos.
3« fragment an^ Htm t^CieDi Dm (Bbibe/^*)
gejl gemauert* in bcr Srben
©tel^t bic goTui,^ att« gel^m® geBrannt;
§eutc mug bie ©Iode tocrben ! •
gïifc^, ©cfclïcn, fetb pr Çanb.
Son bcr ©ttrnc ^et|
SRtnnen mug bcr ©d^tocig,
©oD ba« aa?cr! ben aKetfler lobcn;
©oc^ bcr ©egen ïomnit bon obcn.
âuni SSerfc, baô rotr entjl bcTcttcn,
©ejtentt 1® fid^ tool^l ctn crnPc^ SBort;
SBcnn gutc 9îeben ftc begtetten,
3)ann fïie§t bte Slrbcit muntcr fort.
©0 lagt un8 jefet mit glcig bctracl^ten,
3Ba« bur^ bie fd^toad^c ffraft entf frtngt ; "
1) but, fin. 2) planer autour, entourer. 3) charme, lueur magi-
que. 4) produit, engendré. 5) toa9 pour etmaS. 6) maçonné. —
7) moule. 8) glaise. 9) être fondue. 10} convient. 11) est produit.
*) Voir la traduction dans le i> Corrigé des thèmes* p, 76.
Appendice. 377
S)cn fci^lec^ten SKaiin mug ntan Dcrad^tcti,
©et nie bcbaci^t,^ xoai ex toUbringt;
S)a« tjl'« ja, tta« ben 5Wcnfd^cn jicrct,
Unb baju toûTb* tl^m bcr ffierilanb,
!î)a6 er im titncrn Çcrjcn fpûrct,
a35a« cï crfci^afft^ mit fcincï Çanb.
Sîcl^met Çolj Dom gicl^tcnflammc,
3)i>c^ ïcci^t tïotfcn lagt c« j^in,
S)a6 bic citigcfïegtc glammc
©ciblage ju bcm ©d^toalc!^* l^incin!
ftod^t bc« Sui)f cï« Sïci ! *
©d^ncD baô â^"îï ^ertei.
■ 3)a6 bic jSl^c ®ïo(îcnfpeife«
gliegc na^ b^r rcci^tcn SBcife!
SBa^ in be« 3)ûmn!c« ticfcr ®vu6c^
îCic Çanb mit S^uer^ Çilfc baut,
^oif auf be« îurme^ ©(odtcnjlubc,®
S)a toirb cô t)on unô jcugcn* taut.
9tod^ baucrn totTb*ô in fpatcn SEagcn
Unb rul^ïcn bieïcr 9Dîcn|d^cn Dl^r,
Unb »irb mit bcm 33ctrû6tcn Hagen,
Unb jltmmen^® ju ber 2lnbac!^t^i Sl^or*
S33a8 unten ticf bem (Srbenfol^ne
©ag tocd^fclnbc Scrl^angni* ^^ Brmgt,
îî)û« fd^ïagt an btc mctall'nc ftrone,
!î)ic e« crbaulic^ i» tociter ïlingt.
®cnn mit bcr Çrenbc gcicrWangc
Scgrûgt fie** ba« gelicbtc ffinb
ïlnf feinc« SeBenô erjlcm Oangc,
S)cn e9 in @c^(afed Xrm bcginnt;
3fl^m ïul^cn noij im â^it^WoÇc^*
îCie fc^toarjcn unb bie l^eitern 8ofe;
a)cr SKuttcïItcbe jartc ©orgcn
Sctoac^cn fcinen golb'ncn SKorgcn» —
2)ic Salure fliel^en pfciïgefci^toinb»*®
Sîom aWSbci^en Tci§t flc^ Polj bcr ftnabc,
Sr flûrmt in^ 8c6cn toilb l^inauô.
1) réflécliît. 2) fut donné. 3) produit, crée. 4) ouyerture.
5) masse liquide. 6) fonte. 7) fosse. 8) beffroi. 9) rendre témoi-
gnante. 10) accompagner. 11) dévotion. 12) le sort. 13) d'une
manière édifiante. 14) elle, c'est-à-dire la cloche, salue. 15) sein
des temps. 16) rapide comme une flèche.
378 Appendice.
'Dur^migt bte SBelt am SBanber{la(e,
Sremb fel^tt ec l^etm tnê Sater^uê*
Utit) l^errlid^, m ber dugenb ^rangen,^
aSte em ®e(tlb auê $)imme»]^5Vn,
iIRtt )ii^ttgen, t>erf^amten SBongen
©iel^t cr bic dungfrau t)or ftd^ flc^n.
^a fagt etn notnenlofed Sel^nen^
Ded 3iing(mg| $er}, et htt aQem;
Xttê fetnen Sugen (red^en Xl^rSnen,
(Et fliel^t bet Srûber totibe Stet^n;
(forôtcnb foigt cr tl^rcn ©furen^
Unb ift t)on i^rem ®rug beglûdt ;
3)a6 ©d^ônjlc ftt(!^t cï auf bcn S^ïcn,*
SESomit er fetne Sie6e ^â^mMU
£)! )arte éel^nfud^t, fûged $offen,
©cr crjicn Stebc golb'nc 3«t»
2)a9 9ugc ficl^t bcn Rimmel offcn,
de f^tDclgt bas ^eq in @cttglctt.
)0! bag fie cmig gritncn (lte(c,
3)ic f^ônc ^tit bcr inngcn 8tc6c!
2)cnn koo ba9 ©trcngc mit bcm S^^^'
9Bo ©tarlcd ftd^ nnb îDtilbcê ))aartcn,
2)a gtcbt es eincn gutcn ftlang;
2)rum ))rûfe, n>cr ft^ eiDtg binbct,
)0( fld^ bas $)cr) gum ^^crgcn ftnbet!
2)cr SBal^n iji ïurj, bic SRcn' ifl lang.
3)tc Scibcnf^aft flicl^t,
S)tc Siebc mug bletben;
S)tc Slumc bcr6(ilt,
Die tïrud^t mu§ trciBcn;
S)cr SRann mug l^tnaud
3n« fcinblid^c gcbcn,
SRug toirlen unb fheSen
ttnb ))flan)cn unb fd^affcn,
iSrlijlcn, crraffen,
SRug iDcttcn unb toagcn,
S)a9 @IM 2U crjlagcn.
SBol^l! SRun ïann bcr ©ug* bcginncn;
@c]^6n gcjadet ifl bcr Srud^.
1) éclat. 2) déflir. 3) trace. 4) champs. 5) fonte.
Appendice. 379
îDod^, itt>ot t»tï'8 laRcn rlnncn,*
Setet emen frommen ^pruâfi
®ott imaJfi^ baê ^auê!
©togt t)en â^^t'f^ <^ii^*
9taud^enb in t>t9 ^enlelê Sogett
©d^icgrt* mit fcucïbrauncn SBogcn.
SESol^Itl^atifl ijl beê f^euerê SRad^t,
SESetm fie ber SRenfd^ (ejSl^mt, betoad^t;
llnb toaê er (t(bet, maê ev fc^afft,
SDad banb' er btefer Çtmmefôlraft.
S)o(i^ fur^tSar toirb bie $)tmmefôfraft,
©enn fie ber Çeffel fid^ entrafft,*
Œtnl^ertritt auf ber ctg'nen ©pur,
SDie frcie îod^ter ber Sflatur.
SBel^e, ïDenn fie lo9ge(affen,
SBad^fenb, ol^ne SEBiberfianb,
SDttrî^ bie loolttelebten ©affcii
SBSljt* ben unge^euren Sranb*!
SDenit bie Slemente l^affen
S)ad ®eBiIb ber 9Ret\fd^en]^anb.
Sud ben SBoden quiQt ber ©egen,
©trSnit ber Sîegen;
Sud ber SBoRe, o^ne SBal^I,
3u<ït ber ©tral^l!
$6rt il^r'd toimmern l^od^ t>om SEurm?
Daê ijl ©turm ! ^
Siot ïDie 9lut
3fl ber Çimmel;
S)a« ifl nic^t beê Xaged ®Iut!
ffîeld^' ©etammel
©tragen auf!
S)ant))f maUt auf!
Çïadembs ficigt bie geiierfaule,
S)urci^ ber ©trage lange 3^^'^'
SBSd^fl eê fort mit SBinbe^ette;
fto^enb tt>ie aud £)fen9 ^^ diaâfta
®(û]^*n bie Sûfte, Saden had^en,
Çfojlen jlûrjen, genfler Hirren/
ftinber {ammem, SOtiltter inen,
SEiere toimmem**
1) oouler. 2) la fonte se précipite. 3) il doit. 4) se dé-
banasse. 5) roule. 6) incendie. 7) le tocsin. 8) flamboyant. 9) file.
tO) fourneau. 11} gémissent.
}gO Appendice.
Unter bcn îrAmmcrw;
Xae9 rennet, rettet, pd^tet,
Xas^ell tjl bte iRad^t geltc^tet,
3)ur(i^ ber ÇSnbe tange ftette,
Um btc aOScttc^
t^Uegt beY Simer, l^od^ im Sogen
©pïtÇcn OucHcn^ SBafîcrtoogcn.
Çculcttb lommt bcr ©tunn geflogcn,
îDcr bic glammc fcraufenb fuci^t.
ÇïaRclnb in bic bûtrc gruc^t
^mt jlc tn bc3 ©pctc^cï« SRSumCr
3n bcr ©fatrcn biirrc Saumc,
Unb, al« tooDtc fie im SBe^en
SKit P^ fort bcr (grbc 2Bu(^t
9îci6cn in flct»a!t'flcr tjlud^t,
SBa^jl fie in bc3 Çimmefô ÇB^cn
Sîiefcttgrog !
$offnnna«Io«
aBcid^t bcr SKcnfc!^ bcr ©ôttcrftarfc !
SDÎûgig ficl^t cr feine SBerfc
Unb bctounbemb untcrgel^'n.
gccrgcBrannt
9jl bic ©tattc»
S33iïbcr ©tilrmc raul^cg Scttc.
3n bcn ôben Senjlcr^ô^ïcn
ÏBol^nt ba« Oraucn,^
Unb bc$ Çimmel^ SBoIfen fd^ancn
^eâf l^inetn.
Sincn 93Iid(
9lûd^ bcm Orafcc
©cincr Qabe^
©cnbct noâii bcr Wttn\é:j jurûi;
Orcift frBl^tid^ banrwjttm SBanbcrflabc :
aSû«* 5cncr3 aBnt ii^nt aud^® gcraubt,
Sin fiigcr îrojl ijl il^m gcbïtcbcn,
®r ja^ït bic ÇSuftcr fcincr Sicbcn,
Unb ficV ! i^m fe^lt !cin tcurcô Çaupt
Stnn jcrirec^t mir ba« OcbSnbc,^
©einc Sl6fi(^t ^at'« crfûDt,
©ag ftc^ Çcrj nnb ïïttgc tocibc®
l)àl'enyi. 2) pompes. 3) la place. 4)11iorreur. 5) de son* bien.
6) quoi que ce soit que. 7) le moule. 8) se réjouissent.
Appendice. 381
©c^tDinflt bcn Çammcr, f^tolngt,
St« ber SKantel fpmgt!
SBcnti bic ®lod* foU aufcrflc^cn,
2^ttg bie ^oxm in ©tilde gel^en.
a)er SDîcijier ïann bic Çonn jcrBtcd^en
SKit tocifcï Çanb, jut red^tcn ^eït;
^oil xoéf^e, toetrn. in tjïammcnèad^en
2)a« glû^'nbe erj^ ft^ fclÊjl bcfreit!
Stinbtoûtcnb ^ mit bc« ©onncrô ^ad^cn
âwfptengt^ c« baê geBorjl'ne Çauô,
Unb toic au« off*nem ÇôDcnrailen*
©peit cô SScrberben jiinbcnb anô;
SBo rol^c ffrâftc flnnïo« toaïtcn,
S)a fann pc^ Icin Ocbilb gcjlaïten ;
SBcnn flc^ bic «Bïlcr fctbft Bcfrei'n,
SDa fann bic SBol^Ifal^rt * nic^t gebeil^'n*
SBcy, tocnn fic!^ in bem ©c^og bcr ©tabtc*
SDer tïcucrjunbcï pin gc^anft,
Dad SoH, jerrcigcnb fcinc ffcttc
3ur Sîgcnl^iîfc f^rccîïid^ gtcift!
®a jcrret an bcr Oïodtc ©trangcn
S)cr anfrul^r, bag pc l^culenb fd^aUt,
Unb, nur gctoeil^t ju iJricbenôHangcn/
S)ic Sofnng® anpimmt jur ©ctoaît»
^eil^ctt unb Olctd^^eit! l^ôTt man fd^aHcn:
®eï rul^'gc Surget grcift jur SBcl^r*
®ie ©tragen fûDcn pd^, bie ÇaDcn,
Unb SBilrgerbanben jiel^'n uml^er»
©a tocrben SBeibcr jn Ç^anen
Unb tïciBen mit Êntfefeen ©c^crj:
9toc!^ judenb, mit bcô ^antl^cvS S^^^^f
3eneigen pc bc3 gcinbeô Çerj»
31x6^19 $eilige« ip^ mcl^r, t9 ïôfen
©i4 ciHc Sanbe frommcr ©(^eu;
©cr ®ute ïSumt bcn Çtafe bem Sôfcn,
Unb aUc îaper toattcn frci.
Ocfal^rïid^ ip'«, bcn îcn^ jn tocrfcn,
Sîcrbcïbïi^ ip bc^ îigcTô S^^^*
3ebod^ bcr fd^rerflid^Pe bcr ©(^rcdcn,
1) airain, métal. — 2) dans son aveugle fureur. 3) briser. 4) gueule
infernale, ô) le bien public. 6) signal. 7) il n'y a plus. 8) lion.
382 Appendice.
S)a« tfl ber SDlenf^ in fetnem SBal^n*^
SSel^' benen, bie bem (Stoigilitiben
S)e« Si^te^ $tmmettfad(el let^'n!
@ie fha^It i^tn ni^t, fie lann nur }ûiiben
tint) &f^ert @t&bt' mib Sonber etn.
Sfreube l^at mit ®ott gegeBen!
©el^et! toie ein golb'ner @tem
Xn9 ber Çillfe,^ ilùxtî unb e6en,
@d^alt fid^ ber metaÙ'ne ftem*
Son bem $e{m^ )nnt ftronj
©pielt'd n)te @onneng(an}.
Xttd^ bed SS$a))))end nette ®^t(ber
8obcn ben erfal^r'nen Sifbcr**
Çcrein! l^eretn!
©efeUen aUe, fd^Itegt ben Stei^'n,
!Da§ n)ir bie ®Ioie taufenb tocil^'n,
ftonlorbta foQ il^Y Sflanxt fetn.
3nr (Sintra^t, }tt ^et^innigem Sereine
Serfammie fie bie Ite6enbe ©entetne*
Unb bic« fei fortan il^r Scruf,
SBoju ber SKeijler fie erf^uf!
Çod^ ilber'm niebem (Srbenïeben
@oII fie, im (lauen Çtmmetôjelt,
!Die Sîad^barin beô ©onnerô, fd^eben,
Unb grSnjen an bie ©tementoelt,
@on etne @ttmme fetn t>on o6en,
SBie ber Oefltme l^eUe ®(i^ar,
S)te t^ren @^5))fer manbelnb Io6en
Unb fftl^ren bad Behanjte 3al^r.
Slur etotgen unb cmfien ©ingen
©et il^r metaH'ner SKunb getoeil^t,
Unb fiilnblid^ mit ben {(i^nellen @^totngen
Serû^r* im fjlûge fie bie â^^*-
©em ©d^iifal leil^e fie bie â^H^l
@e(6fl l^erjlod, ol^ne 3Ritgefai^I,
Seglette fie mit il^rem ©^wunge
S)ed Sebend n)e(!^feIt)oIIed ©pieL
Unb toie ber fi?tang im Dl^r bergel^et,
S)er maijtxQ t5nenb il^r entf(i^allt,
©0 Icl^re fie: bag nid^tô fcejlel^et,
2)ag alled û'bifd^e berl^aUt.
1) délire. 2] enveloppe. 3) chapiteau, cintre. 4) oonstmotear,
fondeur.
^
Appendice. 383
defeo, mit ber ftraft bed ©tranged,
SBtegt bte ®Iod' mit aud ber ®ruft,
3)ag fie fai ba0 9{et^ bed ft(ange«
@tetge, in bie $tmmetetuft :
âiel^ct, jicl^ct, l^cbtî
@ie betoegt [lif, f^toeSt!
Çreubc bicfct ©tabt bcbcutc,
Sricbc fci il^r crfl ©elautc. €*iiut. t laos.
5* 2)ratttatif^e ^xa^mtntu
(SSicrter Slufjug. îDrittc ©ccne.)
S)ur^ biefe ^ol^Ie ®af|e mug et lommen:
(£« fûl^rt ïcjn anbrct SBcg na(i^ ffilgnaii^t — ©ter
«oHcnb* i(i^*« — bic ©elcgen^cit ijl gûnjlig.
!Z)ort ber ÇoQunberfhaud^ ueriivgt mi(i^ il^m;
$on boTt ^exab îarm il^n mein $fetl erlangen:
S)ed SBeged Snge toel^ret ben Serfolgem*
ilRa^' beine 9îed^nung mit bem Çimmel, Sîogt!
gort mu§t bù, bcinc Ul^r ijl abaclaufcn.
dd^ leite {liO unb ^armlod — ba« ©ef^og
SBar auf be9 3Ba(bed Ziere nur geri^tet,
SWcinc ©cbanïcn toarcn rein bon aWorb, —
3)tt l^afl and meinem i^ieben mid^ l^eraud
@e\iixtit; in gârenb 3)tad^engift ^afl bu
S)ie 9)til(!^ ber frommen 3)enlart mit benoanbelt;
3um Ungcl^curcn l^ajl bu mid^ gctoôl^nt —
aBct \iii bc« ffinbcô Çaupt jum âiclc fcfetc,
S)er lann aud^ treffen in bad $er} bed i^einbed*
©ic armcn JKnbïcin, bic unfd^uïbigcn,
S)ad tteue SBeib mug id^ t)or beinet 9But
Scfd^ûftcn, Sanbbogt! — ®a, att id^ bcu Sogcnjhang
SIttjog — al« mit bie ^anb crgtttertc —
SUd bu mit graufam teufelifd^er Sufl
SRid^ 3toangfl, aufd Çaupt bed ftinbe^ onjulegen —
Site id^ ol^nmâd^tig flel^enb rang bot bit ;
2)amaid geloit' id^ mit in meinem Oinnem
SRit furd^tbar'm Sibfd^wur, ben nut ®ott gel^5rt,
2)ag meinem nad^flen @d^uf[e9 erfled S^cl
^
384 Appendice.
îDein Çcrj fcm foDtc — S35a8 id^ mtr geïott
3x1 jcnc^ îlugcnblidfcô ^Sncnqualcn,
éfl etne l^eirge @d^u(t); td^ toill fie ^al^Ien.
©u btjl mcm $cïr unb mcincS ffaifcr^ SSogt;
S)o(i^ ntd^t bcr ftdfcr l^attc ftd^ crlaubt,
SBaô bu. — Sï janbtc bi(i^ in Mefc ganbc,
Um SRed^t ju fpred^cn — flrengeô, bcnn cr îftrnct —
©oii^- niii^t, um mit bcr môrberifd^en Sujl
©ic^ jcbc« ®raueï8 flrafloô ju crfred^en:
Sd (ebt ein ®ott }U fhafen unb }u xàé^en.
Jîomm bu l^crtjor, bu Sringcr bitt'rcr ©d^mcrjen,
STOcin tcureô ftïcinob jc^t, mein l^ôc^flcr ©d^ৠ—
(Sin â^^ï ^iC ^ ^i^ fleBcn, ba« 6i8 jcfet
©et ftommcn 33ittc unburd^brîngïid^ toar —
2)0^ bit jon e« ni(!^t toiberflel^'n. — Unb bu,
Setrautc Sogcnfcl^nc, btc fo oft
5IKir trcu gcbicnt l^at in bcr tJreubc ©pieïcn,
SScrïafj' mxii nid^t im fûrd^terUd^cn Srnjl!
9tur jcfet no(^ l^attc fcjt, bu treucr ©trang,
®cr mit fo oft ben l^crBcn ^fcil befïiigett; —
(SntïSnn' cr jeÇo îrafito^ metnen Çanben,
3(!^ l^aBc ïcincn jtoeitcn ju îocrfenben*
îluf bicfe San! bon ©tein toitt id^ mid^ fefeen,
®em SBanbercr jur ÏUTjen 9tu^* écreitet —
©cnn l^ter t|l ïeinc ^eimat — jcbcï treibt
©id^ an bem anbem rafd^ unb fremb tJoriiBcr
Unb fragct nid^t nad^ feinem ©d^merj. — Çicr gcl^t
S)cr forgentjoïle ^aufmann unb ber ïcid&t
®efd^itr§tc ^iïgcr — bet anbâd^t'ge 2Wond^,
®cr biifl'rc 9tauBcr unb bcr l^eifre ©picïmann,
©cr ©aumer mit bem fd^toer bc(ab*ncn dto^,
3)er fcmc l^crïommt bon bcr SRenfd^en Sdnbcm,
S)enn jcbc ©trapc fûl^rt an*« (Snb' bcr SBcIt*
©ie attc jiel^cn il^reô SSBegeS fort
2ln i^r ®cf(^aft, unb meinc« — Ijl bcr SKorb!
©onfl, tocnn bcr Satcr au^jog, licbc ffinbcr,
S)a toar cln lïreuen, ïoenn er toiebcr ïam:
®cnn nicmafô ïcl^rt' cr l^eim, cr bradât* cud^ cttoaô
SBar'ê cinc fd^onc 2Hi)cnkume, x»ar*3
Sin fctfncr SSogcl obcr Slmmon^l^om,
SBie c^ bcr SBanb'rcr pnbet auf bcn Scrgcn —
Seftt gcl^t cr cincm onbcm SBaibxocrî nad^:
Appendice. 385
Xm tDtben SSBeg fl^t er mit iDtotbgebattlen;
2ft« gcinbcô Scbcn tp*«, toorauf cr lauert.
— Unb bo(i^ an tu if nur bcnft cr, Ucbc Jltnbcr —
aud^ icftt — tviài jtt ocrtctbtgcn, cure Unfci^ulb
3u f^û^en t>or bcr Stad^e bcd STt^raTincnr
'2BtQ cr jum iDtorbe j[cfet bcn Sogen fpatmcn*
3^ lau'rc auf eln cblc« SBtïb. — Sagt fic^'ô
3)er 3&gcr ntd^t Dcrbrtegen, Zagc lang
Uml^crjtt|lrctfcn in bcô SJintcrô ©trcngc,
©on tïcl« Jtt gcte bcn SBagcfprung ju tl^un,
$inan }u lUmmcn an ben glatten SBonbcn,
SBo cr fid^ anicimt mit bcm cig'ncn 9Iut,
Um cin armfelig ©ratticr ju erîagen.
Çicr gi(t cd cinen lôfUid^eren $rcid,
i>a9 Çcr) bcd Zobfcinbd, ber mxii wiQ t)crber(cn*
9Rcin ganjcd Sc6cn lang l^aV id^ bcn Sogen
©el^anb^ait, mid^ gcûit nad^ @d^ft^cnrcgel;
3d^ l^aie oft gcfd^offcn in ba9 ©d^toarjc
Unb mand^cn fd^ëncn $rcid mir l^eim gcBvad^t
Sïom fïrcubcnfd^icÇcn* — Ï6cr ^cutc toill id^
3)en iDteiflcrfd^u^ tl^un mtb baS Scfic mir
dm ganjen Umbcid bcd ©cBirgd gctoinncn.
(Sierter auftrittO
So^anna (aHetn).
SeBt tDol^I, il^r SScrgc, il^r gclicbtcn S:riftcn,
3^r traulid^ ItiQcn T^àUx, Uitt tDol^I!
dol^anna mirb nnn nid^t mcl^r auf ené^ toanbclu/
3o]^anna fagt cud^ etoig Seictool^L
3^x SBicfcn, bic Id^ toSffcrtc! 3^r SîSumc,
S)ic id^ gc))flanjct, grûnct frd^lid^ fort!
Scbt tool^I, il^r ®rottcn unb il^r lil^Ien Srunnen!
3)u (Ed^o, l^olbe ©timmc biefed X^aU,
S)ic oft mir Slnttoort ga6 auf mcinc Sicbcr,
dol^onna gel^t unb nimmer Icl^rt fie toteber!
S^x $I5fee aller mcincr (lillcn Çrcubcn,
Sud^ laff id^ l^intcr mir auf immcrbar!
âerfhcuct cud^, il^r Sdmmcr, auf ber Çciben,
3^r fcib icftt cinc l^irtcnlofe ©d^ar,
S)enn cinc anbrc $erbc mug id^ mcibcn,
îDort auf bcm Blufgcn Çclbc ber ©cfal^r,
OTTO, Grammûr» allemande. 25
386 Appendice.
®o ifl bed ®et|led 9îuf an mid^ ergongen;
mOi trctbt ntd^t citlc«, hbtfd^cô Sïcrlangcn. *
3)eiin ber )u iDîofen auf bed $ore(9 ^Bl^en
3m feurtgen S3uf(i^ ftd^ flommenb meberlieg,
Unb tl^m Êefa^I, bot ^l^arao )tt {lel^en.
©cr cinjl ben frommcn ^abcn 3fatô,
SDcn ^trteu, fld^ jum ©trcttcr auôcrfcl^cn,
®cr flct« bcti éirtctt gnSblg fld^ Bctotc«,
<gr fprad^ ju mtr avi9 bicfc^ ©aumcô â^^ifl^ï^-
„®cV ^ni ! ®u foOfl auf Srbcn fuit wid^ jcugcru
„9n tau]^c« (Srj foDji bu bic ©ttcber f^nûren,
9Ktt ©ta^ï bcbcdfcn bcine jatte ©rujl;
9tt(!^t aKannerUcbc barf bein Çcrj bcrûl^rett
SDWt fûnb'gcn ^ïcimmcn cittcr Sïbculujl;
Site tt)trb bcr Stautîranî berne Soie jieren,
©tr Bïil^tfem licBlid^ «mb au bctuet Srujl.
Sod^ toerbe id^ mit hiegertfd^eu Sl^ren
Sot aKçu Srbenfrauett btd^ t)crHarctt.
„®ettn, toenu m fiampf bic SKutigjlen bcrjagcu,
SBeuu grauïrcid^S ïcftteg ©d^idffal nuu fid^ ual^t,
©aun x»ir(l bu meiuc Oriflamme tragen,
Uub, toie bic rctd^e ©d^nittcriu bic ©aat,
3)en floïjeu Ûbertoinber nicberf(i^ïagett ;
Um'toaljen toirjl bu fetnc« Olildfeô SRab,.
©ncttuug briugen ^anîreid^^ Çelbcufôl^ncu,
Unb 8î]^eim« befrei'u uub beiuen ^5nig ïroncnl*
(5in â^'^^tt ^^^ ^^ Çimmcl mit ijcrl^eigcn,
(Sr fenbet mit ben Çeïm, er ïommt t)ou il^m;
aKit ©Btterïraft berû^rct mid^ feiu ©feu;
Uub mid^ burd^flammt bcr SDîut bcr Sl^crubtm;
3uS ftriegggetoûl^l l^tuetu toill c8 mid^ rcigcn,
©3 trcibt mtd^ fort mit ©turme« Uugcjliim;
®eu gcïbruf l^3r' td^ mad^tig ju mir briugcn,
©a« ©d^Iad^trog jlcigt uub bic Erompetcu ïliugcu.
387
VOCABULAIRE.
1. Partie allemande.
gr aniotnmen arriver.
^* %nîm\t, blc, l'arrivée.
3(Benb, ber, le soir, la soirée. ^nlage, bie, la disposition.
QbQt\âftizlîn copié. annS(^m s'approcher.
abÇongen dépendre. ^ttnebtnlt(]^lett, bte, l'a^ément.
dbm^mtn ôter, décroître. anrtd^ten causer, occasionner,
^bretfe, bie, le départ. anfd^auen regarder.
oBreifen partir. * anfe^ett regarder,
^fi^teb, ber, le congé. anfel^nlt(i^ considérable, — ^ment.
abf^Iapett abattre, refuser. ^ttft(i^t bte, la vue, l'opinion,
abf^i^ct^c^ copier. an{latt au lieu, à la place de.
9({t(S^t, bie, rintention. îlnttïi, ber, la part.
aâfîQthtn faire attention à. ^nttoort, bie, la réponse.
aé)tm estimer, respecter. anttcorten répondre.
É^tuttg, bie, l'attention, l'estime, attioertrauett confier.
%dtx, ber, le champ. antoenbett employer.
^dtxicat, ber, l'agriculture. %xtotnbnnQ, bte, l'emploi.
Sbler, ber, l'aigle. ^niaffl, hit, le nombre,
^bmtral, ber, 1 amiral. anjetgen indiquer, annoncer,
^ffe, ber, le singe. anjteçen mettre, attirer,
a^nen pressentir. an^linbett allumer.
â|ttU(]^ ressemblant, semblable. %^fel, ber, la pomme,
aftgemem général. 2[j)feIBaum, ber, le pommier,
attetn seul, mais. ^xH, ber, avril.
aïïeS tout. ^rBeit, bie, le travail.
^Slniofett, baê, l'aumône, la charité. arBetten travailler,
aïs lorsque, que, comme. arbettfam laborieux, actif,
afôbattn ensuite, puis. arm pauvre.
al\o ainsi, donc. Srm, ber, le bras,
ait vieux, âgé, ancien. ^rmut, bie, la pauvreté.
HIter, baê, 1 âge, la vieillesse. artig joli, gentu, sage.
^Itertum, bas, l'antiquité. ?îr}t, oer, le médecin.
fixât, ha9, l'emploi, les fonctions. Slr^nei, bie, la médecine,
anbauen cultiver. ^\'Oft, bie, les cendres,
cmbetett adorer, révérer. %% ber, la branche.
anBrec^en poindre. Sufentl^alt, ber, le séjour,
^nbenfen, baê, le souvenir. Sluffii^rung, bie, la conduite*
anber autre; — 9 autrement. SlufgaBe, bie, le thème,
tinfang, ber, le commencement, aufge^ett se lever,
attfangen commencer. aufçaîten arrêter; i^àf aufl^altett
aitfang9 d'abord. séjourner, demeurer.
9[nfii^rer,ber, le chef, le conducteur. aufl^eBen ramasser.
mtfiiÏÏen remplir. aufmerlfam attentif,
^gelegen^eit, bie, l'affaire. aufne^tnen recevoir.
(Utgene^m agréable, — ^ment. aufrid^ti^ sincère.
Slttgefl^t, baê, le visage. Sufrid^ttgleit, bie, la sincérité.
SlttÇSttgli^Ieit, bie, l'attachement, auffiel^en se lever.
an^Brett entendre, écouter. auffleften placer.
25»
388
Vocabulaire.
auftoarten servir,
auftoetfett réveiller.
SCuge, bas, l'œil.
HngenbUtf, ber, le moment.
SCnguft, ber, août.
Xudbilbunfi. bie, la culture.
anSbreitett étendre, répandre.
au9be^nen étendre, allonger,
9[tt8bnt(f, ber, Texpression.
onêforfdffen épier, sonder, examiner •
(msffi^ren exécuter.
auSgeBen distribuer, dépenser,
audgel^en sortir.
9[tt9l&nber, ber, l'étranger.
aoSmaâftn faire,
audnxfen s'écrier,
audru^en se reposer.
anSfeÇen avoir Tair.
fbxi^àft, bie, la vue.
oit^manbem, émigrer.
(m9to&1^(en choisir, élire.
axaXDtxâfttt éviter, éluder.
asaitîâ^ntn distinguer.
Sugerjl extrêmement.
%éf\t, bie, l'axe.
8a^, ber, (SBSd^Ieitt) le ruisseau.
8ab, bas, le bain.
baben baigner.
ba(b bientôt.
fkill, ber, la balle, paume'; le bal.
8atÀ, ber, le volume.
9anb, bas, le ruban, le lien.
SBanf, bte, le banc.
Safe, bte, U cousine.
bauen cultiver, construire, bâtir.
8aner, ber, le paysan.
Ôaum, ber, l'arbre.
bebauem regretter.
bebedten couvrir.
bebenfen considérer.
bebietten servir.
8ebtente, ber, le domestique.
bebiirfen avoir besoin.
93ebfirfni9,. bad, le besoin.
bee^ten honorer.
beetfern, fl(]^, s'empresser.
Beenbtgen finir.
befe^Iett ordonner.
Befoigen suivre, observer.
befragen questionner, interroger.
befreten délivrer, affranchir.
befriebtgen satisfaire, contenter.
begebett fld^, aller se rendre.
begeanett rencontrer arriver.
begeÇett commettre
begiertg avide, curieux.
begleitett accompagner.
begraben enterrer.
begreifett comprendre.
begtiinben fonder.
beçalten garder.
be^au^ten affirmer, soutenir
bel chez, près, auprès.
beibe deux, l'un et Vautre.
8ein, bas, Ja jambe.
beinal^e presque, à peu près.
93eif^tel, bas, l'exemple.
beitragen contribuer.
belannt connu.
9etannte, ber, |7er«. la connaissance.
8e{(mntfd^aft, bie, connaissance.
befemiett avouer.
bellagett plaindre.
betommett recevoir.
belagem assiéger.
beleprenb instructif.
beletbtgen offenser.
bellen aboyer.
belo^nett récompenser.
iBelo^nung, bie, la récompense.
bemSé^tigett, fl^, s'emparer.
bemerfen remarquer, apercevoir.
bemii^en, ftd^, s efforcer.
bena(]^ri4tigett avertir.
benn^en profiter.
beobad^tett avertir.
"btianbtn dépouiller, priver.
berelt prêt.
berett9 déjà.
iBerg, ber, la montagne.
berfi([tnt célèbre.
bef^&ftt^en occuper.
93e{d^Sfttgu]ig, bie, l'occupation.
bef(i^tot honteux.
befd^eiben modeste.
Sefœeibett^eit, bie, la modestie.
SBef(!9bt6,ber,la décision, conclusion.
befdbrSnfen limiter.
bef^reiben peindre, dép.
8efd^reibtmg, bie, la description.
bef(i^&>erU(^ pénible.
befe^en occuper.
beflegen vaincre.
93efinnung, bie, la connaissance.
befl^en posséder.
befonber particulier, spéciaL
Vocabulaire.
389
6efonber6 partioulièrement.
6efTent améliorer.
SefiSnbig continuel, constant.
Befle, ber, le meiUeur ; am ou p\m
beften le, du, au mieux,
befltmtnen fixer, déterminer.
IBeflitnmung, bie, la destination,
befnd^en visiter, fréquenter,
beten prier Dieu.
htttaqitn regarder, considérer.
Setragett, ha9, la conduite,
betrilgen tromper,
«ett, ba8, le lit.
Settler, ber, le mendiant.
Seutel, bcr, la bourse,
betorfle^en menacer,
betnaffnet armé,
betoa^ren conserver, garantir,
betoegett mouvoir, engager.
9ett>e0ttng, bie, le mouvement.
9ttoti9, ber, la preuve,
betool^nen habiter,
bettmnbem admirer.
Setounbentng, bie, l'admiration.
bei^al^Ien payer.
Miette, bte, l'abeille,
^ter, bas, la bière,
bieten ofirir.
IQilb. hai, l'image.
lOilbfSnle, bie, la statue.
bUbcn former, façonner,
billtgen approuver,
binben lier, nouer,
^ime, bte, la poire.
bt9 jusqu'à, — à ce que.
bt8 )e^t jusqu'à présent,
bi^toetlen parfois, quelquefois.
^ïttt, bit, la prière,
bttten demander, prier,
bitter amer,
leiatt, bas, la feuille,
blott bleu.
bleiben rester, demeurer,
^liif, ber, le regard.
bUnb aveugle.
I931i«, bcr, l'éclair,
bli^ett faire des éclairs, briller,
diurne, bie, la fleur.
16Ittt, ba9, le sang,
«(flte, bie, la fleur.
8oaen, ber, l'arc.
Sopne, bie, la fève, le haricot.
bSfe mauvais, méchant.
iBoot ba9, le bateau.
braudbbar utile.
braudçen avoir besoin, employer.
broun brun.
bred^en rompre, casfl||.
brennett brûler. ^
brett larçe.
93reite, bte, la largeur.
8rief, ber, la lettre, le billet.
^m\ta\âft, hit, le porte feuille.
bringen apporter, conduire.
8tot bad, le pain.
©ntber, ber, le frère.
9nâf, bas, le livre.
8ud^bru(ferfttnfl, bU, l'imprimerie.
Bni^nhitt, ber. le libraire.
^nq\tai>t, ber, la lettre.
biiden, fxâf, se baisser.
9ih:ger,ber.le bourçeois,le citoyen.
bûrgerltdff bourgeois, civil.
lutter, bic, le beurre.
<£•
(Safar César.
(ihtift, ber, le chrétien.
d^rifiné^ chrétien.
».
ba, babei, y, là, auprès.
^aâ}, baê, le toit.
baburi^ par là.
ba^er de là, c'est pourquoi, donc.
bamals alors.
bamit afin que, avec cela.
^anl, ber, le remeicîment.
banfbar reconnaissant.
2)antbarlett, bie, la reconnaissance.
banlett remercier.
baranf y, là-dessus, ensuite.
baraud de là, en.
baritt y, en cela, là-dedans.
barfleuett représenter.
barflber y, aessus, par-dessus.
bauem durer, subsister.
2>egen, ber, l'épée.
2)emut, bie, l'humilité.
bemilttg humble, — ment.
bemiitigen humilier.
benlen penser.
2)enhnmt}e, bte, la médaille.
benn car.
berfelbe le même.
beS^alb pour cela, c'est pourquoi.
be^o tant, d'autant.
beutfd^ allemand.
390
Vocabulaire.
2)e]itf(]^Ianb l'Allemagne.
btc^t épais, compacte.
Sid^ter, ber, le poète.
bid épais, nos.
î^ieb, ber, le voleur.
bienen servir.
btefer ce, cet.
2>tngj ha», la chose.
biedfett9 en deçà.
boc( pourtant, néanmoins, mais.
2)ontter, ber, le tonnerre.
2)otf, bas, le village.
brel^en tourner.
brol^en menacer.
bo^^elt double.
btnmn stupide, béte, sot.
bunlel sombre.
biiun mince.
2)un{l, ber, la vapeur.
bttrd^f(]^retten parcourir.
bûrfett oser.
2>urfl, ber, la soif.
burjlig altéré.
@.
(SBBe, bie, le reflux.
tbtn même, égal, uni.
eBenfalte également, de même.
eBenfo tout aussi.
ebel noble, précieux, exquis.
(SbztlnaU, ber, le page.
(Sbelmut, ber, la générosité.
(Sbeljletn, ber. pierre précieuse.
e^e avant que.
el^emaUg ancien, ci-devant.
c^emate autrefois, jadis, ci-devant.
(SÎxt, bte, rbonneur.
e^rett honorer.
QS^tenBegeigung, bie, les honneurs.
S^renmann, ber, l'homme de bien.
el^rerbietig respectueux.
(Sf)x\nxâft, hit, la vénération.
el^rli^ honnête, loyal, probe.
ÇS^xlïàfUtt, bte, l'honnêteté.
ai, ba9, l'œuf.
(SiAe, bte, le chêne.
(St^el, bie, le gland.
(Stb, ber, le serment.
Sifer, ber, le zèle.
ei^en propre.
(Stgenfd^aft, bte, la qualité.
(Sigentum, bad, la propriété.
einfad^ simple.
cinfSUig niais, nigaud.
cinçebenf qui se souvient.
etntg quelque, d'accord.
einmoT une fois, un jour.
einji un jour, jadis.
emfd^tafen s'endormir.
SifenBa^n, bie, le chemin de fer.
(StntDO^ner, ber, l'habitant.
einjig imique, seul.
i&\», ba9, la glace.
(Stfett, ba9, le fer.
eitel vain.
^telfeit, bte, la vanité.
(SIettb, bas, la misère.
&it, bie, l'aime.
em^fangen recevoir.
(^n^fepiungdBrief, ber, la lettre de
recommandation,
em^finbett sentir.
(Sittk>finbung, bie, le sentiment.
(Snbe, bas, la fin.
enge étroit.
(Sngknb l'Angleterre.
englif(^ anglais.
entBei^ren être privé,
ctttbeaett découvrir,
etttfemen éloigner.
(Sntfentung, bte, l'éloignement.
entgegenfetjett opposer,
ctttgel^en échapper,
eittlaufen s'échapper.
(Sntfd^Iug, ber, la résolution,
entfd^ulbtgen excuser,
ctttbeber oberou — ou, soit — soit,
ettttoerfen projeter.
erBarmen, ^àf, avoir pitié de.
crBUden apercevoir.
<SrbBeere, bte, la fraise.
(Srbe, bie, la terre,
ereignen, \iâf, arriver,
erfopren apprendre,
erfinbeii inventer.
erfûlXen remplir, accomplir.
er^aUen recevoir, conserver.
Srl^altunq, bie, la conservation.
er^eBett élever.
erinnem rappeler, faire souvenir,
erlenttett reconnaître.
trfIJirett expliquer, déclarer,
erfunbigen, fldÇ, s'informer,
erlangen obtenir,
erlaubett permettre.
(SrIauBni9, bie, la permission.
ermaBnen exhorter,
ermorben assassiner.
Vocabulaire.
391
emtûben fatiguer.
tmS^rett nourrir.
entennen nommer, désigner.
ecnfl, ernfl^aft, sérieux.
(Sxohtxtx, ber, le conquérant.
eroBern conquérir.
etregen exciter.
erriqten ériger, élever.
(Srf(]^etnung, bie, l'apparition.
crf^rcden s'efirayer.
erfej^en remplacer, réparer.
erjl premièrement, d'abord.
^rj^aunen, ba9, l'étonnement.
er|le, ber, le premier.
ertragett supporter, souffrir.
ertoartm attendre.
ertt)Sgen peser, considérer.
exto&Çlen choisir.
ertoerben acquérir.
etiâl^Ien raconter.
ei^iel^en élever.
(&xûtffnna, bte, Téducation.
erjumt fâché.
@feï, bcr, l'âne.
effen manger.
t^hax mangeable.
ettDad quelque chose, un peu.
tatx votre.
(Suro)>âer, ber, l'Européen.
taoxQ étemel.
fS^ig capable.
Îa^ren aller en voiture.
ai\^ faux, faussement.
famUte, bte, la famille,
alerte, bie, l'étendard,
fangen prendre, attraper,
j^arbe, bte, la couleur.
%a% bas, le tonneau,
fafl presque, à peu près,
faut pourri; paresseux,
geber, bie, la plume,
geberincjfet, baô, le canif
fe^Ien manquer.
ge^ler, ber, le défaut, la faute,
fetn fin.
;cmb, bcr, l'ennemi.
f$Ib, bas, le champ.
itU, bas, la peau,
jcnjlcr, ba«, la fenêtre,
fejl solide, ferme,
gcjiung, bie, la forteresse,
fett gras.
fendit humide.
euer, ba8, le feu.
teber, baê, la fièvre.
nben trouver,
pnper obscur, sombre.
ï^àf, ber, le poisson.
ifd^er, ber, le pêcheur.
Itï^âf, bas, la viande,
^letp, ber, l'application,
fteigig applique, studieuse
f^iege, bie, la mouche,
piegen voler.
ftieÇen fuir.
g(ii(]^tUng, ber, le fuyard.
Jtu6, bcr, la rivière,
ïûfftg lic^uide.
'olgen suivre, obéir,
olglic^ par conséquent, donc,
olgenbed ce qui suit.
otbem exiger,
gortfci^ritt, ber, le progrès,
fottfe^n continuer,
^age, bUr la question, demande,
^agen demander, interroger.
xanîxtiâf la France.
rajtaofe, ber, le Français.
anjiJJlfd^ français,
^rau, bte, la femme, madame,
fret libre; freigebta libéral.
grciÇcit, bte, la liberté,
grettag, ber, (le) vendredi,
fremb étranger,
freffett manger, dévorer,
greube, ble, la joie.»
freuen, fld^, se réjouir,
greunb, ber, l'ami; bie — fd^aft
griebe, ber, la paix. [l'amitié,
frteren geler,
frtfd^ frais.
frS^iid^ joyeusement,
grofd^, oet, la erenouille.
grud^t, ble, le fruit,
frud^tbar fertile,
frû^ de bonne heure.
grill^jHld, ba8, le déjeuner.
giid^0, ber, le renard.
fil^Ien sentir,
fill^rett mener, conduire,
givrer, ber, le guide,
fill^îen remplir.
giittffrottlenjliidE pièce de 5 frs.
filr pour, à la place de.
gutd^t, bte, la crainte» la peur»
furd^ten craindre.
392
Voeabulaiie.
fàxâftttlïâf terrible.
tTf^tfom oraintif .
\jàtft, ber, le prince.
' i%, ber, le pied.
dans, bie, l'oie.
(S^ottin, hit, l'épouse.
gon) tout, entier.
oStQUdff tout à fait, entièrement.
Oarten, ber, le jardin.
Clafl, btr, l'hôte, le conTive.
Clafhna^t, ba9, le repas.
(SebSttbe, ba9, le bâtiment.
oeben donner.
debraitf]^, ber, l'usage.
gebrau(]^en employer, se servir.
oebrSttttt bruni.
Oeburt, bie, la naissance.
®ebSAtnt9, ba9, la mémoire.
oebenlen se souvenir.
&cbQ(b, bte, la patience.
gebulbig patient.
®cfa(r, bu, le danger, le péril.
gefSbrlid^ dangereux.
gefauen plaire.
efallla complaisant.
efSQtgleit, oie, la complaisance.
efongenc, ber, le prisonnier.
efSttgniS, ba9, la prison.
defSbrte, bet, le compagnon.
Clefolge, bas, la suite,
oefrieren geler, se geler.
®efii^I, bas, le sentiment.
gefn^no9 insensible,
oegen vers, pour, contre, envers,
i&egenb, bie, la contrée.
gegentoSrtig présent.
®egner, ber, l'adversaire,
ge^eim secret,
de^eimttid, bas, le secret,
ge^ctt aller.
QtSfoxâftn obéir.
ge^Brett appartenir.
®cl|l, ber, l'esprit.
2eiftig spirituel, intellectuel.
hvfji^aU, ber, l'avare,
gefaig avare,
gelo jaune.
@elb, bas, l'argent.
®e(egen^ett, bte, l'occasion,
gele^rt savant.
geUngcn réussir.
Q^ema^l, ber, l'époux.
(S^emSIbc, bas, le tableau.
gcmSg conforme, convenable.
gemein commun.
gcmeinfdffafttii^ en commun.
geneigt enclin, disposé.
genefen guérir.
®enefuttg, bie, la guérison.
gcttiegett jouir, manger.
genng assez, suffisant, — amment.
Genufi, ber, la louissanoe.
geratett itt, tomber.
gerec^t juste.
®ere(]^ttglett, bte, la justice.
gcring petit.
gem volontiers.
2eriibrt touché, ému.
^efattg, ber, le chant.
Ckfanbtfd^aft, bie, l'ambassade.
Clef(i^&ft, ba9, l'affaire.
(8efÂenI, ba8, le présent.
®efdbi(i^te, bie, l'histoire,
gefd^tdt adroit, habile,
dcf^mad, ber, le goût.
def^B^f, ba9, la créature,
deférei, bas, les cris.
(Scfdpto&l, bas, le bavardage.
®efe^, ba9, la loi.
(^e|i($t, bas, la vue, le visage.
(Scrmnung, bte, le sentiment, l'in-
tention.
C^eflalt, bte, la figure, la taiUe.
gefiem hier.
gefttttb sain, bien portant.
®efunb]^ett, bie, la santé.
®etr&ttt, bas, la boisson.
®etreibe, ba9, le blé.
®etiiminel, ba9, le tumulte.
éttûalt, bte, la force,
getoimtett gagner,
getoig sûr, certain.
®etotffen, ba0, la conscience.
^tmïtttt, bad, l'orage, la tempête,
getoogen enclin.
detDo^n^ett, bie, l'habitude.
getDSbtten accoutumer.
getoSb^Ud^ ordinaire, — ^ment.
®ift, bas, le poison,
gifttg venimeux.
&\p\ti, ber, le sommet.
SlSttjen briller.
Haube, ber, la croyance, la foi.
glaubett croire.
g(ei(i^ égal, pareil; sur-le-champ.
gUtci^giUig indifférent.
Vocabulaire.
393
oleid^fam comme, pour ainsi dire.
®l&d, bas, le bonheur, la fortune.
alûdlid^ heureux.
mûd^tltaîtit, bte/ la féHcité.
®nabe, bie, la grâce.
®ott, ber, le dieu.
ûjJttït* divin.
&raf, ber, le comte.
®xaitn, htx, le fossé.'
©ratnmatil, hit, la grammaire.
®ïa9, ba9, l'herbe.
groufam cruel.
®xtï9, htt, le vieillard.
greiQen s'approcher, borner.
®xit6}t, btr, le Qrec.
®rie(i^en(anb la Grèce.
grog grand.
arogartia grand, vaste.
@rBge, vit, la grandeur.
@ro|mttt, bte, ta générosité.
®runbfa^, ber, la maxime, le prin-
grfltt vert;— en verdir, fleurir, [cipe.
grûgen saluer.
gut bon, bien.
gûttg bon, bénin.
$aar, ha9, le cheveu, le poil.
I^aben avoir.
I^afen, ber, le port.
Ça^n, ber, le coq.
ffaii à moitié.
iaitm tenir.
^ate, ber, le cou.
^anb, bte, la main.
$anbe(, ber, le commerce.
^anbeln agir, marchander.
^anblnng, bte, l'action, le com-
^art dur, — ement. [merce.
Çafe, ber, le lièvre.
l^aflen haïr.
^aufen, ber, le tas.
^(iui>tflabt, bie, la capitale.
Çaud, ba9, la maison.
$ait9tier, baS, l'animal dômes-
$aQt, bte, la peau. [tique.
$5(fte, bie, la moitié.
l^Sgltd^ laid, vilain.
^fiiiftg fréquent, nombreux.
^eer, ba9, l'armée.
(efttg violent, impétueux.
^eibe, ber, le païen.
Ijieilen guérir.
^cilfam salutaire.
Çeinrié^ Henri.
Ôeirat/ bie, le mariage.
l^eig chaud.
$e(b, ber, le héros.
l^ell clair.
l^erottStreten sortir.
^eranSjieÇen retirer.
ÇerBp, ber, l'automne.
^ttnaèf après, puis, ensuite.
^err, ber, le maître, monsieur.
\)tttii69 magnifique, délicieux.
^crrfci^aft, bie, rempire.
l^errfd^en régner.
âerumtaufen courir.
$er3, ba9, le cœur.
Ôeu, bad, le foin.
Ijieute aujourdh'ui.
^ier ici, en ce lieu.
^ter unb ba par-ci par-là.
^terauf y, à cela, là-dessus, ensuite.
^ilfe, bie, secours, aide.
Çimmel, ber, le ciel.
Çi(fIo9 abandonné.
VtttaB de haut en bas.
l^tnauf en haut, en montant.
^ineittge^en entrer.
l^tnter derrière.
$irf(]^, ber, le cerf.
^irte, ber, le berger, le pasteur.
^i^e, bie, la chaleur.
\foi haut, élevé.
^of, ber, la cour.
^BfUdff honnête, poli.
^il^e, bte, la hauteur.
l^ofhn espérer.
^offnung, bte, l'espérance, l'espoir.
^ofteute, bte, les courtisans.
l^o^I cfeux.
^olett aller chercher.
$o(}, bad, le bois.
$om, bad, la corne, le cor.
I^Sren écouter, entendre.
^VL^n, bas, la poule.
|)unb, ber, le chien.
l^ungern, l^ungrig fein avoir faim
^ut, ber, le chapeau.
^iigel, ber, la colline.
^iltte, bie, la cabane.
t^r son, leur,
tmmer toujours,
tnbeffen cependant.
3nfet, bie. l'île.
394
Vocabulaire.
Sntertife, ba«, Tintérêt.
irbifd^e, bas, eubst le mortel.
3agb, bie, la chasse.
3a$r, hcA, Tan, rannée.
3a$r^nnbert, ba9, le siècle.
Sanuar, ber, janvier.
3âger, ber, le chasseur.
i^^tlid^ annuel, — lement.
j[e jamais.
jeber chaque, chacun.
jebermann \out le monde.
iemojtb quelqu'un.
ie^t maintenant, à présent.
3ube, ber, le juif.
3ugenb, bte, la jeunesse.
3uliu8 Jules; ber 3uU juillet.
iung jeune.
Sunt, ber, juin.
SiingUng, ber, le jeune homme.
iîûlfer, ber, l'empereur.
Stalb, bad, le veau.
ïaït froid.
^amel, bad, le chameau.
jiammerbtener, ber, le valet de
chambre,
^art^ager, ber, le Carthaginois,
^artoffel, bte, la pomme ae terre.
St'iitt, bte, le froid.
àait, ber, le fromage,
taufen acheter,
ilattfmann, ber, le marchand*
laum à peine. .
letn aucun, nul.
îennen connaître.
^enntntS, bte, la connaissuice.
^ttogramm, bas, le kilogramme,
iittometer, ber, le kilomètre,
ilinb, ba9, l'enfant,
iltttb^ctt, bte, l'enfance,
iltrd^e, bte, l'église.
Stix\qt, bte, la cerise.
^age, bte, la plainte,
flar clair, limpide, serein.
JMetb, bas, l'habit,
fletben habiller.
J^IetbuttgSflilde, bie, les vêtements,
flettt petit.
Ilng prudent, sage,
illugçett, bte, la prudence,
^nooe, ber, le garçon.
^naÏÏ, ber, le bruit,
^nte, bas, le genou.
$toâf, ber, cuisinier ; ^ifc^tn — ière.
^S(n Cologne.
lomtnen venir.
iISntg, ber, le roi.
^6tttgrei(^, ba8, le royaume.
fSttnen pouvoir.
ilo^f, ber, la tête.
^orb, ber, la corbeille, le panier.
ilom, ba9, le grain, le ble.
iISrÇer, ber, le corps.
té^liàf délicieux.
^aft, bte, la force.
(rani malade.
^anf^eit, bie, la maladie.
fra^en chanter, croasser.
Stttnitx, ber. la cruche, le sou.
^teg, ber, la guerre.
^one, bte, la couronne.
Stmtl, bte, la balle.
^p, bie, la vache.
îilnftlg futur.
^un|l, bie, l'art.
filnflli(j^ artificiel, avec art.
^rfilr^, ber, Télecteur.
fur) court, bref.
^ii^e, bie, la côte.
^utfc^er, ber, le cocher.
fi.
iaâftn rire.
Sage, bte, la situation, la position.
Sager, ba8, le camp.
la^ttt perclus.
Samm, bas, l'agneau.
Sattb, baê, le pays, la campagne.
lange longtemps.
ïangfam lent, — ement.
(affen laisser, faire.
Safler, ha9, le vice.
Sauf, ber, la course, le cours.
laufen courir.
ïeben vivre.
Seben, ba9, la vie.
lebenbig vivant.
Sebenêmtttel, bad, l'aliment.
Seber, ba9, le cuir.
ïeer vide; ïeeren vider.
legett coucher, mettre, çoser.
(e$ren enseigner, instruire.
Serrer, ber, le maître.
8eib, ber, le corps.
(et^t léger, facile, — ment.
leibett soufirir.
Seiben, bad, la souffrance.
Selbentd^aft, bte, la passion.
Vocabulaire.
395
ïcife baô, doux, — cernent
letfkn rendie, accomplir.
leiten conduire, guider, mener.
lemen apprendre.
ttfen lire.
le^t dernier.
2mU pi., bte, les gens.
ivS^t, \cA, la lumière.
Steoe, bie, l'amour.
Ueben aimer.
8Ub, ba9, le chant, l'air.
(iegett être couché, situé.
tint gauche.
(inf9 à gauche.
ii% bie, la ruse, l'artifice.
lt{îig rusé.
loben louer.
So(]^, bas, le trou.
So^n, bet/ la récompense.
Sotoe, ber, le lion.
2uft, bit, l'air.
in% bte, l'envie.
m,
ma^en faire,
m&c^ttg puissant.
SD^agb, bte, la serrante.
STÎagnet, ber, l'aimant,
malien moudre.
SRailanb Milan.
^oX, bad, la fois,
ntalen peindre.
iDlaler, ber, le peintre,
man on.
manéerlet divers, différent,
mattcpmal quelquefois.
iERattgel, ber, le manque, le défaut,
mangeln manquer.
ilRann, ber, l'nomme, le mari.
• SWarf, ble, le marc.
STlarft, ber, le marché.
SD^at), ber, mars.
9Rag, ba9, la mesure.
mSgtg modéré, modique.
SD^atrofe, ber, le matelot.
Wtwxi, bie, la souris.
97{eer, ba9, la mer, l'Océan,
m'e^r plus, davantage.
SRetle, bte, le mille,
metn mon, ma.
nteift le plus, la plupart,
melben annoncer.
3Renf(^, ber, l'homme,
menfd^nci^ humain, — ement.
menfé^enfreunblif]^ humain.
merfett s'apercevoir.
merllDÛrbig remarquable.
meffen mesurer.
aneffer, bas, le couteau.
aifliene, bte, l'air.
mteten louer.
m\i6i, bte, le lait.
iD'ltlbe, bie, la clémence.
miPraud^ett abuser.
mi^fallen déplaire.
mit avec.
mitbrmgett amener.
SRttleiben, bas, la compassion la
SD^ittag, ber, le midi. Ipitié.
ilRitteC ba8, le moyer.
ntittetlen communiquez.
SHonar^, ber, le monarque.
Sfflonat, ber, le mois.
iD'lonb, ber, la lune.
morgen demain.
iD'lorgen, ber, le matin.
mSgen pouvoir, vouloir.
SDlotté^, ber, le moine.
SDlooS, ba9, la mousse
3)^oodrofe, bie, la rose moussue.
3Runb, ber, la bouche.
munter gai, éveillé, alerte.
ilRut, ber, le courage.
muttg courageux, — sèment.
SiRutter, bte, la mère.
miibe las, fatigué.
SD'^il^e, bte, la peine.
miiffen falloir, devoir.
SWilB^ÔÔ^ng, ber, l'oisiveté.
nad^ct^men imiter,
naé à, après, suivant, selon,
naa unb Xi^6^ peu à peu.
nacçbem après cela, selon,
nad^benlen réfléchir.
naifytx ensuite, après.
92a4foIger„ ber, le successeur.
na(^(&ffig négligent.
92ad^rid^t, bie, la nouvelle, l'avis.
iRSdbPe, ber, le prochain.
SRac^t, bte, la nuit.
na(!^teilig désavantageux.
9{ad^ttga]X, bte, le rossignol,
na^e voisin, proche.
iRa^ning, ble, la nourriture.
nSmlici^ c'est-à-dire, le même.
S'haïr, ber, le fou, le bouffon.
396
Vocabulaire.
92afe, bU, le nez.
9ltf\t, ber, le neveu.
sie^mett prendre, saisir.
9{eib, ber, l'envie.
neibifdff envieux.
nennen nommer, appeler.
^t\t, ba9, le nid.
nos neuf, nouveau, moderne.
neugtertg curieux.
ntci^td ne . . rien.
^tièfit» bte, la nièce.
nit, memal9 ne . . jamais.
ntebrig bas, vil.
sttemanb ne . . personne.
nod^ ni, encore.
ïflexhm, ber, le nord.
n5rbli(]^ septentrionaL
nBtig nécessaire, — ment.
ndtigen obliger, contraindre.
nnn maintenant, donc, eh bien.
trar seulement, ne . . qne.
iRug, bie, la noix.
nu^cn servir, être utile.
9ln^m, ber, le profit, l'utilité.
nfi^Ud^ utile, avantageux.
o.
obcn en haut; ober supérieur.
Obetanffe^er, ber, Tinspecteur.
cMtiâf quoique, bien que.
Dbfl, ba8, le fruit.
Oci^fe, ber, le bœuf.
offcn ouvert.
Bffentlidff public.
oft, 5fter8 souvent.
o^ne, o^ne ju sans.
0(, ha9, l'huile.
C^fer, ba9, victime, sacrifice.
opfem sacrifier.
Drt, ber, le lieu, l'endroit.
C)ftttïtïâf l'Autriche.
$aar, bas, la paire, le couple.
i^àdèfm, $a(fet, ba9, le paquet.
toaffcn convenir.
$erfon, bie, la personne.
$cter Pierre.
${lan)e, ble, la plante.
$fau, ber, le paon.
^fieaen soigner, avoir coutume.
ifctfcn siffler.
$feil, ber, la flèche.
pfennig, ber, le fenin.
$ferb, bas, le cheval.
tourne, bie la prune
$f[td^t, bte, le devoir
bftiigett labourer
$funb, bas, la livre
^^Snijier, ber, le Phénicien.
^a^, ber, la place, l'endroit.
^(54}U(^ soudain.
jplfinbem piller.
$Iiinberung, bie, le pillage.
$oUgei, bie, la police.
$ofl, bie» la poste, le courrier.
^tSd^ttg superbe, magnifique, —
^rotoin), bte, la province, [ment.
briifcn prouver, essayer.
$Qlt>er, bas, la poudre.
^ttfecn nettoyer, parer, embellir.
a
Oudie, ble, la souiee.
9t.
9tabe, bcr, le corbeau.
^aâftn, ber, la gueule.
xààfm venger.
dtat, bet, le conseil, le conseiller.
9l&ttber, ber, le brigand.
9laubtier, ha9, l'animal carnassier.
9lau^e, bie, la chenille.
xt^nm compter.
9{ed^t, bas, le droit.
tedfft droit, juste, convenablement.
red^td à droite.
Sied^tfAaffenl^ett, bie. l'honnêteté.
dtfbt, bie, la parole, le discours.
reben parler, dire.
9^ebli4feit, bie, l'honnêteté.
9îebner, ber, l'orateur.
9lebe, bie, la règle.
tegelmfigtg réguBer, — ièrement.
9le0en, ber, la pluie.
regtcrett régner, gouverner.
dlegieruna, bie, le gouvernement.
regnen pleuvoir.
ïfttïd^, ba0, l'empire, le règpie.
xtïâ} riche.
ïfttïâftVLm, ber, la richesse.
relf mûr.
ïdti^t, bie, le tour.
rein pur, propre, net.
reintgen nettoyer, purifier.
9tti\t, bie, le voyage.
reifen vovager.
rei)ettb charmant.
retten sauver.
'9le{l, bcr, le reste.
Vocabulaire.
397
reuen se repentir.
^xâfttx, ber, le juge.
Slod, ber, l'habit.
to( cru, rude, grossier.
SloUe, bie, le paouet, rouleau, rôle.
SlStner, ber, le JEtomain.
rSmif^ romain.
rot rouge.
Stfidfe^r, bie, le retour.
tfi(ftt)5rt9 à reculons, en arrière.
tfi^meit vanter, glorifier.
^fbi\, ber, la réputation.
rufm crier, appeler.
dlul^e, bie, le repos, la tranquillité.
9ht^in, ber, la gloire, l'honneur.
9tfiffe(, ber, la trompe.
&aâft, bte, la chose,
fagen dire.
@al3, ba8, le sel.
@amin(nng, bie, la collection,
&axt\tmnt, bie, la douceur.
@anb, ber, le sable.
@âfax, bie, la troupe.
@(l^abe, ber, le dommage, la perte.
fAaben nuire,
fép&bnc!^ nuisible.
^^a\, ba9, la brebis, le mouton.
@ASfer, ber, le bereer.
f^àmen, fl^, avoir nonte.
É^anbe, bie, la honte,
f^arf tranchant, aigu,
^^atten, ber, l'ombre,
fd^&^en estimer.
@d^auf)>iel, ba9, le spectacle,
fd^etnen luire, paraître.
^è^iïtt, ber, l'apparence,
f^iifen envoyer; ^âf fti^iden con-
venir.
®dfiâ!\at, ha9, le sort, le destin.
^^itipnUtt,ia9,là poudre à canon,
^(içiff, ba9, le vaisseau.
gilbem peindre.
i^Iag, ber, le coup.
Wa^tn battre, frapper.
@Ataf, bet, le sommeil,
ffl^lafen dormir; — ge^en aller se
coucher,
féted^t mauvais, méchant.
IiltiiS^tn se glisser.
(^Uegen fermer.
©AUmmfle, bad, le pis.
&qU% bad, le château.
@AIil|feI, ber, la clef.
^a^tatiâfltt, ber, le flatteur,
fd^tnelgen fondre,
©étner), ber, la douleur.
@(9inetterUng, ber, le papillon,
©d^mieb, ber, forgeron,
fd^mubtg sale.
iAmûatst orner, décorer.
&Amt, ber, la neige,
©d^neiber, ber, le tailleur,
f^neien neiger.
f^neQ vite, prompt, rapide.
fÂon déjà.
f^Sn beau.
@A8nbett, bie, la beauté.
®éfxtatu, ber, la frayeur.
f(!^retben écrire.
€k6rlftjlettcr, ber, l'auteur, l'écri-
@Attb, ber, le soulier. [vain.
@<9tt9ma(!^er, ber, le cordonnier.
@d^ulb, bie» la faute, la dette.
f(!^ulbtg coupable ; — fein devoir.
^â^ult, bie, l'école.
eâfûUx, ber, l'écolier, l'élève,
f^fi^en protéger.
fAfitteln secouer, branler.
\qtoa6i faible, mince,
©étoa^l^ett, bie, la faiblesse.
@(9loager, ber, le beau-frère.
@d^tD5gertit, bie, la belle-sœur.
@^tt)albe, bie, l'hirondelle,
fétoat) noir,
fd^toei^en se taire,
©d^toetn, bad, le cochon.
@étoei}, bie, la Suisse,
^éptoeijer, ber, le Suisse,
fd^toet pesant, lourd, difficile.
@âtoert, ba9, l'épée.
©(^toefter, bie, la sœur,
fd^toierig difficile.
@d^»ierigleit, bie, k difficulté.
[Atoimmen nager.
€)ee, ber, le lac; bie — la mer.
@eete, bie, l'âme,
fegnen bénir,
feçen voir, regarder,
feçr bien, fort, très,
fein son; v. aux. être.
@eile, bie, le côté,
elbp même,
elten rare, — ^ment.
enben envoyer, députer.
!Aer sûr, certain, — ement.
idptbar visible, — ^ment.
398
Vocabulaire.
@teg, ber, la Yictoiie.
@tegel, ba8, le cachet.
lUtgen chanter.
@mn, ber, le sens.
Ît^en être assis.
si, ainsi, tant, aussi, donc;
foeBen dans ce moment
fogar même, de plus.
@o(n, ber, le fils,
fold^e, — r, tel.
foÏÏett devoir, falloir.
Nommer, ber, l'été,
fonbcnt mais.
fonp autrement, autrefois,
ëonne, bie, le soleil,
©onntag, ber, le dimanche.
^paxtïtn l'Espagne,
^ipmitï, ber, l'Espagnol.
f))aTfam économe, rare,
époitergang, ber, la promenade,
ftoât tard.
ë)>eifefaal, ber, salle à manger.
f)>etfen manger.
^pitatt, ber, le miroir.
@j)ter, H9, le jeu.
fptelen jouer.
{i>innen filer.
èptaâft, Ut, la langue, le langage.
\pvtéftn parler,
j^ingen sauter,
etaat, bcr, l'Etat.
@tabt bie, la ville.
^tamm, ber, le tronc,
ftammen t>on venir de.
@tanb, ber, l'état, la position,
flart fort, gros, robuste.
©tSrIe, bte, la force, la grosseur.
flSrlen fortifier,
fle^en être debout.
@tetn, ber, la pierre,
©telle, bte, la place, l'endroit.
fttUtft mettre, placer, poser,
fletô toujours, continuellement.
ftiUfl^en rester tranquillement
@timme, bte, la voix. [assis.
@tim, bie, le front,
©toff, ber, l'étofie.
flol) fier.
©toli, ber, la fierté, l'orgueiK
©toré^, ber, la cigogne.
{}5ren dérançer, troubler.
@tcafe, bte, la punition,
ftrafen punir,
©trage, bie, le chemin, la rue.
flreiten disputer, combattre,
fireng sévère, rigide
©tria, ber, la corde.
@tro(, ba9, la paille,
©tro^bati^, bad, le chaume.
@trum)>f, ber, le bas.
©tttbent, ber, l'étudiant,
©tttttbe, bie, l'heure; la leçon.
@fiben, ber, le sud, le midi.
fiHxita précipiter, jeter.
\vi6^m chercher, tâcher,
©umme, bte, la somme,
fflg doux. ^
tabeitt bUmer.
Xaa, ber, le jour.
tSglic!^ journalier, quotidien.
tattjen danser.
S^fd^e, bte, la poche.
ta^fer vaillant, — amment.
£<ti>ferlett, bte, la valeur.
j£at6enttt(!^, bas, le mouchoir.
%anit, bie, le pigeon.
tougen valoir, être bon à . . .
5£eir, ber, la part, partie.
teilne^men prendre part, — ^b qui
teuer cher. [s'intéresse.
X^al, bas, la vallée.
S^l^at, bie, l'action.
tl^&ttg actif.
£^or, ber, le fou.
5£^or, ba9, la porte (cochère) .
j£l^or^eit, bie, la folie.
S^rSnen, bie, les larmes.
t^ttn faire.
5£l^fire, bie, la porte.
tief profond, -—ément.
S^ier, bad, l'animal.
Xï^éff ber, la table.
S^itel, ber, le titre.
Xoâfttx, bie, la fille.
Son, ber, le ton.
tSten tuer.
tragen porter, transporter.
S^raube, bie, le raisin.
5£rauerf)>iel, bad, la tragédie.
trSae paresseux.
£rag^eit, bie, la paresse.
5£renen, bad, la bataille, le combat.
treffli^ excellent.
treten marcher, entrer.
treu fidèle.
2:reue, bie, la fidélité.
trinlen boire.
Yocabulaiie.
399
trodten sec.
trodnen sécher.
Xxeia Troie.
Xxemmtl, tk, le tambour.
Xxù^^, ber, le nigaud.
trBflen consoler.
trfibe trouble, sombre, — ^ment.
%v&mmtx, pL bie, les débris, ruines.
Xnâf, ba9, le drap.
XuQtn't, hit, la vertu.
titgenb^aft vertueux.
Xûxtt, ber, le Turc.
Surm, ber, la tour.
tt.
ÛBel, ba9, le mal; Ûbtl mauvais,
ilben exercer. [mal.
iiBer sur, au-dessus, parrdessus.
ûBeraÏÏ partout,
perflûfftg abondant.
Ûberflug, ber, l'abondance,
iiberfû^ren convaincre.
fiBeretntommen convenir.
fiBeretnjltmmen s'accorder.
ÏÏbtt^avûpt en général.
ilBerlegen réfléchir, délibérer.
fiBerlegen <idj\ supérieur.
ÛBeme^men se charger.
perf<!^ti>einmen inonder.
Uberfetjung, bie, la traduction.
fiBcrîic^en couvrir, revêtir.
fiBrig restant, de reste.
uBitng, bie, l'exercice.
Ufer, ba«, le bord, le rivage.
U^r, bte, la montre, l'heure,
nm autour, à: ttm . . ^u pour,
nmormen embrasser,
txmberge^en se promener,
nmtomtnen périr,
tinifonft en vain.
Umflanb, ber, la circonstance.
Umfle^enben, bie, les assistants,
nmtoenben retourner,
ttttonaene^m désagréable.
mtBelannt inconnu.
nnbanlBar in^at.
itngef&(r environ, à peu près,
itngefnnb malsain,
nngeioig incertain.
ttngetoBl^nU^ inusité, extraordi-
Unglâdt, bad, le malheur, [naire.
nnglfidtltc!^ malheureux.
UngliicfSfan, ber, le revers.
unmBglt^l impossible.
itnre(i^t injuste, tort.
Unre^t, bas, le tort.
Uttfd^ulb, bic; l'innocence ; — ig in-
unfer notre. [nocent.
unjlerBIi^ immortel,
uttter sous, au-dessous; parmi.
iinterBrtngen mettre à couvert.
nnterbeJTen en attendant,
unter^altenb amusant,
untetjiod^en subjuguer,
unterlaffen omettre, laisser.
Unteme^mung, bie, l'entreprise,
nnteme^menb entreprenant,
nnterrùl^ten instruire,
uttterfiâtett supporter.
Untert^an, ber, le sujet.
Untertoerfung, bie, la soumission.
unteitoeg9 en chemin.
Untt>a^r$ett. bie, la fausseté,
nntoiffenb ignorant.
unjS^Ug innombrable.
Urfa(i^e, bie, la cause, le motif,
urteilen juger.
Sater, ber, le père.
SBatertanb, bas, la patrie,
l^erbrug, ber, le chagrin.
t)erad^ten mépriser.
^erSnberuTtg, bie, le changement.
t)erBergen cacher.
toerBeffent corriger.
SerBre^en, ba8, le crime.
loerBretten répandre.
DerBrennen brûler.
t)erba^ttg suspect,
berbienen gagner, mériter.
t)ere^ren honorer,
beretnigen réunir, joindre.
SJcrfaffcr, ber, l'auteur,
berfotgen poursuivre.
bergeBtt^ en vain, inutile.
Derge^en passer, périr.
Dergeffeit oublier.
)}ergleid^en comparer.
Sergniigen, bas, le plaisir,
bergniigt content, joyeux.
bergrSgem agrandir, augmenter.
i9er$etratet marié.
berBinbem empêcher.
Derfanfen vendre.
Derïangen désirer, demander.
t)er(aJTen quitter, abandonner.
t>erlaf[en, fi^, se fier.
400
Vocabulaîie.
8erlegen(eit, bie, Vembarriui.
t>erleiten séduire.
loerlo^nen Yaloir la peine.
toennetben éTiter.
benntnbern diminuer.
^tïmi\é^n mêler.
SermBgen, ha9, le pouvoir, la
fortune,
bermuten présumer, se douter,
bermutlic!^ apparemment.
bemad^Iaffigen négliger,
bente^men apprendre.
Semunft, bie, la raison.
t)erraten trahir.
t>erfagen refuser.
IBerfammlung, bte, l'assemblée,
berfammein assembler.
t>erf(ibaffen procurer, fournir.
t>erf(ipteDen différer.
Derfâieben différent, divers.
t>erf(9onen épargner,
toerfd^tuenben prodiguer.
berfd^tDinben disparaître.
Serfe^ung, bie, la transposition,
toerfe^en transférer.
Serjid^erung, bie, l'assurance.
t>etf($(nenr ftd^, se réconcilier.
t>erf!|>red^en promettre,
toerjie^en entendre, comprendre.
toerteUen distribuer,
bertilgen détruire.
f&txtcautn, ba8, la confiance.
toertreiBen chasser, expulser.
t)erutfa(^en causer, produire.
toerttHtnbeïn changer, transformer,
toertoanbt parent,
l^eitoanbte, ber, le parent.
t>ertt>erfen reîeter.
toertoiifîen dévaster, ravager,
toet^ei^en pardonner.
îBtqtï^fVittQ, bie, le pardon.
ber^tDetfeln désespérer.
Setter, ber, le cousin.
t>tet — e, beaucoup, plusieurs,
toietieid^t peut-être.
Sierteiftunbe, bie, le quart d'heure.
fboatl, ber, l'oiseau,
bouenbett achever.
Sod, bad, le peuple.
t>oITrei(^ peuplé, populeux.
DoUtommen parfait; adv. — ement.
t>oII plein, rempli.
Dor avant, devant, de.
borBeigel^en passer.
Sorfa^r, ber, ancêtre, --s.
t)or^er auparavant.
borig précédent.
t)orf$Iagen proposer.
borjld^tig circonspect.
Dorlefen lire à qn.
l^ortetl, ber, l'avantage, le profit.
t>ortref[U(^ excellent, exquis.
Dorfleuen représenter.
borto&rtd en avant.
Sortottrf, ber, le reproche.
borjte^en préférer.
bor^iigUd^ préférable, excellent.
s.
xoaâftn veiller.
toa^fen croître.
koader b^ve.
SBaffen, bie, les armes.
ffîagen, ber, la voiture.
toagen hasarder, risquer.
toaçr vrai.
SBal^r^ieit, bie, la vérité.
tDa^rfd^einlidb probable, — ment.
SBaife, bie, l'orphelin, — e.
ffîalb, ber, la forêt.
SBatt, ber, le rempart.
SBalfifd^, ber, la baleine.
SSanb, bie, le mur, la muraille.
tooxtn quand, lorsque.
tDarm cnaud.
SBarme, bie, la chaleur.
tolil^renb pendant, durant.
toartett attendre.
tooruml pourquoi?
SBaffer, ba8, l'eau.
toeber ni.
SBeg» ber, le chemin, la route.
toegen à cause, pour, de.
tDegfii^ren emmener.
loegnel^tnen ôter, enlever.
toegtragen emporter.
ffîeib, bad, la femme.
tûtïA mou, tendre.
XOiiqtn céder.
koeiaern, ft^, refuser.
toeil parce que, puisque.
SSein, ber, le vin.
toeinen pleurer.
toclfe saçe, — ment.
ffîetfe, bte, la manière, la façon.
SBei9^ett, bie, la sagesse.
toetg blanc.
toeit loin, éloigné.
Vocabulaiie.
401
ïDtiâf, ïDtlâ^tx quel, lequel, qui.
, SBelt bte, le monde» tunivers.
toenig peu.
tDenigfiend au moins, du moins,
meitit si, quand, lorsque.
tDerben devenir, se faire.
i SBerï, ba«, l'œuvre, l'ouvrage.
ICBer^eug, bas, Tinstrimient.
SSefett, bas, l'être.
SBcttcr, ba«, le temps.
tDid^tig important.
tDibmen vouer, consacrer.
tDtetoiet combien?
tt)teber(oIen répéter.
SSiefe, bie, le pré, la prairie.
tDtlb sauvage, féroce.
ffîiÙe, bcr, la volonté.
SBinb, bcr, le vent.
Shrtcr, bcr, l'hiver.
SBirlung, bie, l'effet, l'action.
tDtjfen savoir.
SBiffenf^aft, bie, la science.
SBittoc, bie, la veuve.
tDO où; tooburti^ par où, par quoi;
koo^er d'où.
SBo^e, bie, la semaine.
SBdrterbisd^, ba9, le vocabulaire.
tDO^I bien; bad SB., le bien, le
salut.
œo^Ifeil (à) bon marché,
mol^t^abenb aisé.
SBo^Ul^at, bie, le bienfait.
So^Ul^&ter, ber, le bienfaiteur.
tDol^It^atig bienfaisant.
ÎBoïf, ber, le loup.
SBo^nuttQ, bie, la demeure.
SBoIte, bte, le nuage.
SBSoQe, bie, la laine,
loollen aàj. de laine.
tDotten vouloir.
tDoran à quoi.
SBort, ba9, le mot, la parole.
iDttnbem étonner, surprendre.
SBurm, ber, le ver.
SBurfi, bie, la saucisse.
SBunfd^, ber, le souhait, le désir.
tDfinfd^en désirer, souhaiter.
SBur^d, bie, la racine,
toflrbig digne, — ^ment.
toiirbigen oaigner, apprécier.
s.
âûÇt, bie, le nombre.
ga^treid^ nombreux.
3a(n, ber, la dent.
Sâ^men apprivoiser, dompter.
^anlen ponder ; — jl(!^ se aisputer.
gel^n dix.
3ei(!^en, bas, le signe.
3ei(^ente]^rer , ber, le maître de
dessin.
ItïâfXttn dessiner, marquer.
3eid^nimg, bie, le dessin,
jeiçen montrer.
3ett, bie, le temps.
Seitung, bie, la gazette, le journal,
jerl^auen couper en pièces.
gerflSren détruire, ruiner,
jerfireuen disperser.
3ettgni9, bas, le témoignage.
Siège, bie, la chèvre.
3iel, bas, le but.
^immer, baS, la chambre,
jittem trembler,
gomig en colère, fâché.
in à, chez; pour; trop.
guBereiten préparer,
^ufrteben content.
3ufrieben(eit, bie, le contentement.
3itg» ber, le trait.
SUgeben permettre, accorder,
gnaïeit^ en même temps.
Suçbren écouter.
S^nat, bie, la langue,
gunepmen croître, augmenter,
jnrûdle^ren retourner,
jurfidne^men reprendre, révoquer,
gurfi^^ie^en retirer.
3uf^auer, bie, les spectateurs.
Buftenb, ber, l'état,
jutragen, fi^, arriver, se passer,
jutieî trop.
gUDor auparavant, l'abord,
gutoeilen quelquefois,
^loar à la vérité.
3toeifel, ber, le doute.
jtDeifell^aft douteux.
gtDeifeIn douter.
gtoSIfte, ber, bie, le, la douzième.
Stoingen forcer.
OTTO, Grammaire allemande.
26
402
Vocabulaire.
2. Partie française.
A.
AbaiBseï nleberBeugen, feitten.*)
abandonner terlaffen, v. ir,
abattre aBfd^Iagen, v. ir,
abdiouer abbanlen.
abeille bie ^itnt, /.
abolir aBfd^affen.
abondance ber uBerfïug.
abonder uberflug (aBm.
abord, d' — attfang^.
abreuver trantcn.
abri ^6fn^, m.; à T— gel^ii^t.
absence bie ^tDefenl^eit.
absent aBtoefenb.
absoudre fteif)>re(!^en, v. ir,
abus ber SERtgBraud^.
accabler nieberbriiden.
accepter anneljfmen, v. ir.
acciaent ber 3ufatt.
accompagner Begletten.
accorder betDtUtgen.
accourir (erbeilaufen, v. ir,
accoutumer getoSl^nen.
accueil bie ^ufnall^ine.
accueillir aufnel^men, v, ir.
accuser anflagen.
acheter taufen.
achever )}olienben.
acier ber ^tal^I.
acquérir crtoerBcn, v, ir,
acqjuitter ht^alfitn, fretf)>reti^en, «. tir.
actif t(Stig«
activité bie S^&tigfeit.
action bie ^nblung.
admettre julaffen, v, ir,
admirable tounberbar.
admiration bie ^etDunberung.
admirer BetDunbent.
adopter cnnel^men, v. ir,
adresser, s' — , ft^ menben an, aee.
adversaire ber ®egtter.
affaire baS ®tWà\t,
affamé (ungrtg.
affliger betriibett.
affranchir befreien.
affreux \6fztéliéf.
Afrique àfrita.
âge bas ^(ter, SebenSatter, n.
âgé ait.
agir ^anbeltt.
agrandir DergrSgem.
agréable (—ment) attgenel^m.
agrément bie Snne^mlid^teit, /.
agriculture ber Sltferbau.
aide ©iïfe; à 1'— de mit ©ilfe.
aider l^eîfen, o. ir,
aigle ber 9(Mer.
ai^ f^arf.
aile ber gliigel.
ailleurs anberdloo; d'— Ûberbted.
aimable Uebendtofirbig.
aimer IteBett; — mieux UeBer
ttolïen, V, ir,
aîné ber SItere.
ainsi fo, alfo.
air 1) bie Suft, 2) bad ^uSfe^en,
3) bie a^elobie.
aise, bien — froj.
ajouter (tn^uffigen.
aliment bad 9^a1^rung9mtttel.
Allemagne S)eutfd^Ianb, n.
Allemand, subst.^, ber 2)eutf^t.
allemand, aétf', beutf(!^.
aller gel^en, v. ir,
allumer anjiinben.
alors bamals.
Alpes bie ^l^en, pi.
amas ber ^aufen.
ambassadeur ber ©efotibte.
ambitieux e^rgeigig.
ambition ber S^rget}, m.
âme bie @eele.
amer bttter.
Américain ber ^mertlaner.
américain, adj,, amerifattif^.
Amérique ^mérita,
ami ber f^reunb, m.
amie bie greunbin, /.
amitié bie greunbfc^aft.
amour bie Siebe.
amusement bie Unter^altung.
amuser lutter^alten, v. ir.
an ba9 3a1^r.
ancêtres bie Sorfa^ren, pi,
ancien ait, el^emalig.
ancre ber ^nfer.
âne ber (Sfel.
*) Tous les verbes où Ton ne trouve pas ajouté w. ir.* sont
réguliers.
Vocabulaire.
403
anecdote bie Snefbote.
Anglais bet <SngI&nber.
anglais englifd^.
Angletene (Snglanb, n.
animal ba9 £ter.
anneau ber 9ling.
année baS 3a^r.
annoncer anflinbigen.
antiquité baS llltertum.
apaiser befSnfttgen.
apercevoir bemerlen.
apparence ber ®<iftin,
appartement bie ^Sol^nuttg.
appartenir ge^Bren.
appeler rufen, v. tr.
application ber f$Ieig.
appliqué fletgig.
appliquer antoenben.
apporter Bringen, v. ir,
apprendre lemen.
approcher et s' — ^âf n&(em.
approuver BtUigen.
appuyer ftfi^en.
après et d' — naéf.
après-demain ûbermorgen.
après-midi ber 92a(i^mittag.
Arabe ber 9(raber ; — , adj\ wcM\àf,
arbre ber 9aum.
arc ber Sogen.
arc-en-ciel ber d^egenbogen. •
archer ber 8ogenf(|iit}e.
ardeur bie $iÇe, ba9 ffeuer.
argent ba9 @tlber, bad (Selb.
arme bie SBaffe.
armée, bas $eer, bte Srtnee.
armer Betoaffnen.
arracher entretien, v, ir.
arranger orbnen.
arrêter an^alten, «. ir., Derl^aften;
B* — lleben bletben, v. ir.
arrivée bie Hnïunft, /.
arriver antommen, v. ir,
arroser begiegen, v. ir,
art bte ^unfi.
artificieux r&nteffid^tig.
artiste ber j|iln{lïer.
aspect ber ^nhiïd,
assassiner ermorben.
assemblée bte l^erfammlung.
assembler terfammeln.
asseoir, s' — ji^ fe^en.
assez genug.
assiéger belogem.
assiette ber XèSer.
assistants, pi., bie Umflel^enbeit.
assister betfte^en, belfen, v, ir,
associé ber Setll^aber.
assurer berfl(]^ent.
astre hai ©eflirn.
astronome ber ©tenthtnbtge.
Athènes ^t^en.
athénien at^entfc!^ ; wbst. St^ener.
attachement bie 9(n(SngU(i^teit.
attacher anbtnben, v. ir.
attaquer angretfen, v. ir.
atteindre tntïâftxt, treffen, v. ir.
attendre toarten, ertoarten.
attentif aufmerffam. [aé^tgeben,v.»r.
attention bte 91uf tnertfamfett; faire —
attirer angie^en, v. ir.
aubergiste ber Sirt.
aucun tein ; -ement burd^auS nïâft,
au-delà ieitfeitd.
au-dessus oBerl^IB.
au-devant entgegen.
au^enter termel^ren.
aujourd'hui bettte.
aumône bad ^Imofen.
aime bie (SSe.
auparavant toréer.
auprès na^e bel, Bei.
aussi au^.
aussitôt fogletd^ ; — que foBalb al9.
autant ebenfofel^r, eBenfottel.
auteur ber 193erfaffer, ^^riftfteQcr.
automne ber ^erbjl.
autour uttt, ace*
autre anbere.
autrefois e^emald, frii^er.
Autriche Ofierreid^, n.
Autrichien ber £)flerreid^er.
avancer tordiden.
avant t>or.
avantage ber Sorteil.
avantageux bortetl^aft.
avant-garde bte IBorl^ut, Sboitt*
avanl^hier t>orgeftem. [^arbe.
avare gei^ig; subst. ber (Setgtge.
avarice ber ©et).
avenir bie âutonft; à 1' — in S^*
avertirbena4ri(!^ttgen.[Iunft,tiinftig.
aveugle Blinb.
avide Begierig, giertg.
avis bte 'Slaé^xicit, bte aXeinung.
avocat ber 9[bt>otat.
avoine ber $afer.
avouer gefie|ett, v. ir.
avril ber fipxïi.
26*
404
Yooabulaire.
B.
Baj^telle bie itltm^Uït
baigner, se — Iboben.
bain ba9 9ab.
bague ber 9tiltg.
bdi ber SQoH.
baleine ber ffîaîfifé^.
balle bie Stn^tl, ber 9all.
banc bie 8ant.
banquier ber i^anquier, ffîed^9(er.
baron ber 8aron; — ne ^arontn.
barque bie Oarle, ber Ita^it.
bas, subêt., ber @tntnt)>f.
bas, adj\y 1) niebrig, 2) leife.
bataille bie @éficiâft
bateau ba9 ©d^iff, 8oot.
batelier ber @d^tf[er.
bâtiment baS ©eBSube.
bâtir Bauen.
battre fd^Ia^en, v. ir.
beaucoup totel, fe^r.
beau-frëre ber ë^toager.
beauté bie ©d^i^n^eit.
bec ber ^â^mîtt
Bélisaire Selifar.
belle-sœur bfe ^(^toSgerin.
berger ber @d^âfer.
bergère bie @d^5feriit.
besoin n8ti^.
bête bad îter.
bien tool^ï, gut; — aise frol^.
bienfait bie SBo^tl^at.
bienfaiteur ber SBol^Ul^&ter.
bientôt ba(b.
bière ba9 8ier.
billet bad «riefd^en, ba8 «iHet.
blâmer tabeln.
blanc tDeig.
blesser tertonnben.
blessure bie ffîunbe.
bœuf ber Oâf^t.
boire trinïen, v, tr. *
bois bad $o().
boisson bad ©etrSttl.
boite bie @(^ad^tel.
bon gut.
bonheur bad ©(iid.
bonté bie ®âte.
bord ber 9lanb.
borner befd^rfintett, Begrenjeu.
bottier ber ®âfu\fmaâftt,
bouche ber SWunb.
bouclier ber ©d^ilb.
boulanger ber 85der.
boucher ber SRe^ger.
bouillir tod^en, {leben, v. %r.
bourse ber 8ettteï.
bout ba9 (Snbe.
bouteille bie fftafd^e.
bras ber 9rm.
braye ta^fer, Brat>.
brebis ba8 @<i^af ; pi, — e.
bride ber B^fitl.
briser jerBredçen, v. ir., jerfd^ïagen,
brouillard ber 9?eBeI. [v, ir.
bruit ber S&rm.
brûler Brennen, iJerBrenneu, v, ir.
Bruxelles ©rûffeï.
but ber 3^^^ ba8 ^itt
O.
Cabane bie {^iitte.
cabinet bad tlrBeitSjimmer.
cacher t>erBergen, v. ir.
cadeau ba9 ©ef^ent.
cadet iiinger.
café 1) ber ftafftt; 2) ba9 taffee-
(au9.
cage ber ^Sfig.
cahier bas $eft.
caisse bie ^ifie.
calculer Bered^nen.
calme rallia; tubst, bie @titte.
camp bad Sager.
campagne bad Sanb, ba8 Çelb.
causa ber Stanal.
canif bas gebermeffer.
canne ber ^tod, bas 9îo(r. .
capable fS^ig.
capitaine ber {^au^tmann, J(a)>it5n.
capitale bie ^auptflabt.
captif gefangen.
car benn.
carte bie Aarte.
caractère ber (£ifaxaiitt.
Carthaginois ber ^artl^ager.
cas ber gatt; en — im Çatt.
casquette bie SRli^e.
casser jerBred^eu, v. ir.
cause bie Urfad^e, bie @(i^ulb.
causer vemrfad^en.
cayalier ber 9teiter.
caye ber IteHer.
cayeme bie ^^U.
céder nad^gcBen, v, ir., loeid^en, v. ir,
célèbre Berii^mt.
cendres bie ilfd^e, sing.
Vocabulaire.
405
cependant inbeffen, iebo^.
cerf ber $trf^.
cerise bie ^irf(i^e.
certain a'etoig, fiéftx.
César max.
cesser aufl^ëren.
c'est-à-dire bad (eigt, n&mltd^.
chacun jeber.
chagrin ber ^mmer, i93erbrttg.
chaîne bie Jîette.
chaise ber @tu(I.
chaleur bie Çi^e, SBSrme.
chambre baS Simmet.
chameau bad ^amel.
champ bad Çelb.
changer Der&nbern, toe^feln.
chanson baS Steb.
chant ber ©efang.
chanter fingen, o. tr.
chapeau ber $ut.
chapitre bad ^a)>itel.
chaque jeber.
char ber SBagen.
charger ïaben, v. ir., Beauftragen.
charitable miïbt^Stta. #
charité bie a»ilbt^&ttgleit.
Charles ^axl.
charmant ret^enb.
charpentier ber ^immtxmann,
chasse bie 3agb ; à la — , auf ber
3«gb.
chasseur ber Sâger.
chat bie Sta^t,
château ba9 ^â^lû^.
chaud \oaxm, (eig.
chaudron ber ÂeffeL
chef ber Slnfû^rer.
chemin ber Seg.
chemin de fer bie (StfenBal^n.
chemise baS $emb; pi. $emben.
chêne bte (Si(!^e.
cher teuer, Ueb.
chéri geliebt.
chercher fud^en; aller — ffoUn,
cheval ba9 $ferb.
cheyreuil ba9 8lel^ ; pi, — e.
chez bei.
chien ber $mtb.
Chine, la, (Sl^ina.
chinois (]^inefif4.
choix bie Sa^l.
choisir xoà^lm.
chou ber ^autIo)>f.
Chrétien, aubêt, ber (Sl^rijl.
chrétien, atff-, d^rifHiti^.
ciel ber Rimmel.
cire bad Sa^9.
clair l^ellr Itar.
classe bie iMaffe.
climat bas Stixmoi,
clou ber S^ogel.
cocher ber ihitfd^er.
cochon bad @d^toein.
cœur bad {^ern.
coffre ber âoffer.
colère ber Sont.
colline ber $iigel, ber 9erg.
colonne 1) bie $]6tei(ttng; 2). bie
©Me.
colonel ber Oberfi.
combat ber Aam^f.
combattre t&mpfen.
combien toietiell toie fel^r?
commander befel^Ien, v. ir,
commandement ber OBerbefe^I.
conmie loie; comment toie^
commencement ber 9[nfan0.
commencer anfangen, v, tr.
commerce ber $anbei.
commettre bege^en, v. ir.
commode bequem.
commun gemeinfd^aftïidb.
communément getD^l^nUci^.
communiquer mitteiteit.
compagnie bie ©efellfd^aft.
compagnon ber ®ef&^rte.
comparer terglet^en, v. %r.
compassion ba9 É'^itleib.
complaisance bie ®ef&Sig(eit.
complaisant gefctllig.
complètement toflffSnbig.
composer gufammenfe^en.
comprendre terfle^en, v. ir.
compte bie 9{ed^nung.
compter 5&(Ien, reé^nen.
comte ber (^raf.
comtesse bie ©rSftn.
concerner betreffen, v. ir.
concert bad ^onjert.
conclure fd^Uegen, befci^Iiegen, v. ir,
condamner terurteilen.
condition bie ^ebingung.
conduire fii^ren, ïeiten.
conduite bie ^uffii^rung, bas 8e«
confiance ba8 l^ertrauen. [tragen.
confier (an))»ertrauen.
conformément gemSg, in (Sem&6«
^eit.
406
Vocabulaire.
congé ber Sbfd^ieb, ber Urianb.
connaissance bie Sttnntniê, bie
Selanntf^aft.
connaître fennen, v. ir,
connu belannt.
conquérir eroBem.
conquête bie (SroBmtng.
conscience ba9 ®e)Dt[(en.
conseil ber 9^at.
conseiller, $ub9t., ber 9lat.
conseiller raten, v. tr.
consentir eintoiftigett.
considérer httcaqttn, ^alten fâr,
consister be^e^en, v. tr. [v. tr.
consolation ber £rofl.
consoler trBflen.
constamment befl&nbi^.
constance bie 8e{l5nbtgleit.
construire bauen.
contenir entl^aïten, v. tr.
content ^nfrieben.
continuer f ortfe^ett, fortfal^ren, v. «r.
contraire toibria; au — im ®e«
contre geaen, tmber. [genteil.
contrée bie ®egeitb.
convaincre fibetgeugen, fiberfill^ren.
convenable \^idiiq, ^affenb.
. copier abfd^reibe», v, ir,
coq ber {^al^n.
coquine bte ©d^isrlin, ©^i^biibin.
corbeau ber ^aht,
corneille bie Sttàîft.
corps ber ^St^er.
corriger terbeffent.
corrompre toerberbcii, v. tr.
côté bie @ette.
cou ber ^aU.
coucher liegen, v, tr.
coudre n&b^-
couler fliegen, v. ir,; — à fond,
iintergeBen, v. tr.; jinfen, v, ir,
couleur bte %axht,
coup ber ^d^Iag, ber ®te% @tid^.
couper f(]^neiben, Vs ir,
cour ber $of.
courage ber 9)htt.
courageux muttg.
courir laufen, v. ir,
couronne bie ^rone.
cours ber Sauf,
court fur),
cousin ber Setter,
cousine bie ©afe, (Sottfine.
couteau bad SReffer.
coûter tcflen.
couvrir bedten, Bebeden.
craindre fiird^tett.
crainte bie S^^td^t.
oravon ber SIeifiift.
Créateur ber <^d^S^fer.
création bie @d^5pfung.
créature bad ®efd^S|>f.
creuser graBen, v. ir,
creux (ol^I.
cri bas ét\âfxt\.
crin bas ($ferbe){>aar, SD^^S^ne.
critiquer Beurteilen.
croire glaisBen.
croître toad^^tn, v. ir,
cruauté bte ©raufamleit.
cruel graufam.
cueillir ^fliiden.
cuiller ber SBffel.
cuire {o(!l^en,Braten,o. tr.,Ba(Ien,t}.tr.
cuisine bie iRûâft,
cuisinier ber ^oâf.
cuisinière bte ^i^^in.
cuivre bad Alui^fer.
cultiver Biuen, anBauen.
curieux neugierig.
curiosité bie 9{eugierbe, Wlti^ûx^
[bigWt
D.
Daigner geru^en, toftrbigen.
dame bie ^amt,
danger bie ®efa(r.
dans in.
danser tanjen. ♦
Danube bie 2)onau.
davantage nod^ mel^r, tDeiter.
déchirer jerreigen, v, ir.
déborder auStreten, v, ir.
déclarer erftôren.
découvrir entbecfen.
déesse bie ©ëtttn.
défaire Befreten.
défaut ber gel^ter.
défendre terteibtgen ; bcrbieten, v. ir.
de^é ber ®rab.
déjà \âfon,
délicieux miïé}, tmiâf.
délivrer Befreien.
demain morgen.
demande bie grage, bie Sitte.
demander fragen, forbern, Bitten^v.tr.
demeure bie SBo^nung.
demeurer loo^nen, BCeiBen, v, ir.
demi, à demi l^atB.
Vocabulaire.
407
demi-lieue eine l^alBe STleile.
dent ber 3<t^n.
dépense bie ^udgaBe.
dépenser attdgel^en, e. ir,
déplaire migfallett, v. ir,
dépouiller berauben, ^Uinbem.
depuis feit, t)on; feitbem.
déranger fîSten.
dérober entgiel^en, v. tr.
dernier (e^t, toergangen.
dernièrement U^tl^in, neuU(i^.
désagréable unan^enebm.
descendre l^erabfietgen, v. ir,
description bie JBefé^reibitng.
désespéré Det^toeifelt.
désespoir bie Setjloeiflung.
désir bie Segie^be, ber ffîunfci^.
désirer loiinfd^en, beilangen.
dessein ber ^lan.
dessiner gei(j^nen.
détacher Îe9maâftn,
détruire gerfidren.
dette bie ©^ulb.
devenir toerben.
devoir fAulbi^ fein; foÏÏen, miiffen.
devoir, le, bte $fli(i^t.
dévorer Derfc^^tingen, v. ir., fref[en,
dimanche ber ©onntag. [v, ir.
dieu, le, ber <^ott.
différence ber Unterfd^ieb.
différent Derfd^ieben.
difficile [d^tDer, mutant.
digne koiirbig, toert.
dignité bie Sârbe.
dîner gu SWittag effeti, v. ir,, f^)eifen.
dîner, le, bad iOtittageffen.
dire fagen.
disposition bie 9(nlage.
dissiper terfd^wenben.
distance bie (Sntfernung.
distinguer unteif^eiben, v. »r., att9«
divin g3ttïi^. [jeid^nett.
diviser teilen.
docile geïe^ri|, folgfatn.
docteur ber 5Do!tor.
doigt ber glnger.
domestique IjfSudltti^; suhst, ber
Sebiente.
dommage ber @(^aben.
dompter bJinbtgen, begâ^men.
donc benn, bodp.
donner geben, v, ir.; fd^enten.
dormir f^Iafen, v, ir.
dos ber 9tfi(ten.
douceur Jbie @anftmut, smilbe.
doute ber 3)veifel.
douter jtoeifeîn.
doux, — cément \û% IxtUïéf, fonft.
douzaine ba9 2)ittjenb.
drap bas Xnâf.
droit gerabe, rec^t; subst baS îfttéft
duc ber ^et^og.
dur bart, rauÇ, fd^tccr.
durer to&l^ren, bauern.
E.
Eau ba9 Saffer.
échapper entgel^ett, v. ir., ettt-
éclair ber ©ïife. [Wil^fen.
éclairer leuc^ten, erleu^ten.
éclat, r— ber ©lanj.
école bie @d^ule.
écolier ber ^é^ûiti,
écolière bie @d^flîcrin.
économe f^)arfam.
économie bie ©iparfamîeit.
Écossais ber @(j^otte.
écouter ^htn, gub^ren, lauf^en.
écrier, s' — au«rufeii, v. ir.
écrire fd^rciBcn, v. ir.
écriture bie @d^rift.
écrivain ber ©(j^riftfieKer.
écu ber îl^aler.
écurie ber @tatt.
édifice bad ©eb^iube.
éducation bie ^rjiel^ung.
effet bie ©irïung.
efforce», s' — fl(| Bejlreben, fxâ) Be-
égal, — ement gteid^. [mlH^en.
église bie ^ir(]^e.
Egypte igî>^)ten.
Égyptien ber %t?!|>ter.
élément ba9 (SIement.
élève @d^ilter, —in.
élever erÇeBen, v. r., ergieben, v. ir.
éloquence bie ^erebfamfeit.
embarras bte ISerlegenbeit.
embellir t>erf(i^5nem.
emparer, s' — ftd^ Bemfid^tigen.
empê'cher l^inbein, toerbinbern.
empereur ber ^aifer.
empire bie Çerrfd^aft, ba9 ïittiâf.
employer antDenben, geBraud^en.
emprunter cntïei^>en, ïeiben, v, ir.
en in, an, naâ), )tt.
encore nod^, bennod^.
encre bie ^inte.
encrier bas 2:intenfag.
408
Vocabulaire.
endroit ber Ort, bie ^eb.
enfance bie ^tnbl^eit.
enfant baS ^inb.
enfermer etnfcj^tiegen^o.ir. einf^erren.
enfin enblid^, }ule^t.
enfuir, s* — ciitpic]^cn,t?.ir., entfprin»
enlever totqnt^mta,v, ir. [Qtxt,v. ir.
ennemi ber getnb; o^;. feinblt(^.
ennui bie SangtDetle.
ennuyer tangtoeilen.
énorme unge^uer grog.
enseignet lel^ren, untecrid^ten.
ensuite l^ernac!^, I^terauf.
entendre ^Sren, terfle^en, v. ir,
enterrer begraBen, v. ir,
entier ganj.
entièrement ganj, gSngtid^.
entourer umgeben, v. ir,
entraîner ^inreigen, v. ir., mit ^âf
fortreigen, v. ir.
entre jtDifci^en, unter, In.
entreprendre nnterne^tnen, v. ir.
entreprise bie Unterne^mung.
entrer l^ereln» ou Çtneingel^en, v. ir.
entretenir unter^aïten, v. ir.
enyers gegen.
envie ber 9'ieib.
envier Beneiben.
environ ungefcll^r.
environner umgeben,t?.»r. umringcn.
environs, les, bie Umgebungen.
envoyer \âfïdttt, fenben, v, ir.
épais bief, bi(]^t.
épaule bie @d^ulter.
épée ber 2)egen.
épingle bie ^tecfnabel.
épouse bie ®attm, ©emol^Iin.
épouser (eiraten.
épouvanter erfd^reden. v. ir.
éprouver toerfn^en, em^pnben v. ir.
erreur ber Srrtum.
escalier bie Xxtippt,
esclave ber @tkt>e.
espace ber 9ïaum.
Espagne @!|>anien; — ol franild^.
espèce bie ^rt.
espérance bie ^offnung.
espérer ^offen.
esprit ber ©eifi, ber ^erjlanb.
essayer Derfud^en.
essuyer abtrocfnen; erleiben, v, ir.
estime bie SC^tung.
estimer f(J^S|^en, ac^ten.
état ber <Stanb,ber3ujlanb, ber @taat.
été ber Nommer.
éteindre audlSf^ett.
étendard, bie ga^ne.
étendre oudbretten , auSbe^nen ;
s'étendre ^â^ erjlreden.
éternellement etotg, unouf^drlid^.
étoffe ber @toff.
étoile ber @tern.
étonner tertounbem.
étranger fremb ; subH, ber grembe.
étroit enge, [^mal. »
études, les, bte @tubten, pi.
étudiant ber @tubent.
étudier fhtbieren, erlemen.
Euiope (Suro^.
Européen euro)>&ifd^; subat. ber
(Suro)>aer.
éveiller auftt>e(f en; s' — aufwad^en.
événement bas (Sreignid.
éviter t>enneiben, audwet(i^en.
exagération bie Ubertreibung.
excellent idortreffli^.
exciter erregen, aurei^en.
exécuter audfû^ren, t)oC[flre(fen.
exemple ba9 iBeif))ieI.
exempt frei toon.
exercice bie ^ufgabe, uBmtg.
exhortation bie Srmal^nung.
exiger forbern, berlangen.
expérience bie Srfa^rung.
expli<}uer erllaren. «
exploit bie ^elbentl^at.
exposer au^fe^en.
extraordinaire augerorbentlid^.
extrême, — ment &ugerft.
F.
Fable bie gaBel.
fâché, je suis —, ed ifl ou ti t^ut
mir leib.
facile, —ment leidbt.
faciUté bie Set^tiglfeit.
faciliter erleid^tem.
facteur ber ^eftrâger.
fagot bie SBeUe, bad 8ûnbel ($oIa).
faible \âftoaâ^.
faiblesse bie @ti^toa<!^^eit.
faim ber ^unger.
faire mad^en, t^un, v. ir., berriil^tett,
be^e^en, v. ir.\ se faire toerben.
falloir milfîen, v. tr., braudjen.
fameux berii^mt.
famille bte gamiUe.
fardeau bie ^iirbe, bie Saft.
Vocabulaire.
409
farine bad Wltf^l.
fatiguer ermiit>en, (elafligen.
faute ber geljfler.
faux falfd^.
faveur bie (Bnnft ; en— )tt ©unjlett.
fayoriser Begiin|ltgen.
femme bie ^au.
fenêtre ba9 genfler.
fenin ber pfennig.
fer bas (Sifen.
fer à cheval bad ^ufeifen.
fermer fé^Iie^en, v. ir,
ferrer Befc^iïagen, v. ir,
féroce tDilb, xo\i.
fertile frud^tBar.
fête ba9 gefi.
feu bad geuer.
feuille bas ^latt,
feuilleter burd^lbl&ttent.
fidèle, — ornent trctt.
fidélité bie îreue.
fier, — ement {!oI), l^o^miitig.
fier trauen, t)ertraueR.
fimire bie gigur, bie ©eftalt.
fil ber gaben ; filet bas iRe^.
fille bie %oâfttt, ba9 SH&b^en.
fils ber @o(r. •
fin bas (Snbe; fin, adj. fein.
finir enbigen, DoUenben.
fixer feflfe^en, Befttmmen.
flatter fd^metd^eln.
flatteur ber &6fmtiàfltc.
fléau ber glegel, bie ®eigel.
flèche ber $fei{.
fleur bie mumt, bie 81fite.
fleuve ber gtug, ber @trom.
flot bie Selie, bie ^ut.
florin ber ©utbett.
flux bie glut.
flûte bie glSte.
foin bad ^eu.
fois (bas) mat.
fond ber ®runb, ber Soben.
fonder ariinben, fiiften.
fondre fd^meïgen, v. ir,
fosDe bie ^raft, bie @tSrte.
forcer gtoingen, v, ir,, jiôtigen.
forêt ber Sa(b.
forme bie <Se{iaIt.
former Btibeii, f(^ûffen, v, ir.
fort, aclf. ftaxt; adv, [e^r, florl.
forteresse bie gefiung.
fortifier flarïen, befcfltgen.
fortune ba9 ®\M, bad SermSgen.
fossé ber ®raBen.
fou n2trrt[(]^ ; tubêt, ber 9^arr.
foudre ber ^\ï%, ber donner.
foule bie iD^enge.
fourchette bie ®aBe(.
frais frifd^, liiljfl.
franc fret; 9ubêt, ber grant.
français frauîSfifcî^ ; s. ber grcttjofe.
France, la, granheid^.
Francfort granïfurt.
François S^^an}.
frapper fd^ïagen, v, ir,
fréquenter umgel^en, o. ir, oft Be«
frère ber ©rubcr. [fu(!^ett.
froid tait; mbst, bie ^alte.
fromage ber M\t,
froment ber Seijen.
front bie ©tint.
frontière bte (Srenje.
frotter rciben, v, %r,
fruit bie graciât, baô OBfi.
fuir fitel^en, v, ir,, meiben, v, tr.
fumer rau^en.
a.
Gagner getoinnen, v. ir,
gant ber Çanbfd^u^.
garçon ber AnaBe.
garder BeBalten, v. ir,, Betoad^en.
garnir Befe|^en.
gâteau ber ^u(^en.
gâter berberBctt, v. ir,
gauche tint; Un!ifd^.
gaulois gallifd^: aubst. ber ©aUter.
gazouiller jtDttfd^em.
géant ber S^tefe.
geler frieren, v. ir. erfrlereii, v. ir,
général aSgemein ; s, ber ©eneral.
en— , généralement im allgemeinen.
ffénéreux grogmfltig, freigebig.
Genève (Senf.
genou bas £nie.
gens, les, bte Seute.
gentilhomme ber (Sbelmanit.
géographie bie (SrbBefti^retBung.
George ®eorg.
glace bas (Sis.
gland bte (Si(^e(.
glissant gtatt, fd^Iâipfri^.
glisser auSateiten, v. ir.
globe bie ^ugel, bie (Srbtugel.
gloire ber SRu^m.
gourmand gefrSgig, nSf(!^tç.
gourmandise bte iRafd^l^afttgteit.
goût ber ®t\éfmad.
410
Vocabulaire.
goûter fd^mecfen; lo^eii.
goutte bet £ro)>fen.
gouYemement bie 9îegientng.
gouvemer reglereit.
grammaiiebie®rammatil,bte@^ati^«
grand grog. [(el^re.
gras fett.
ffrave fti^loer, cmfl.
Grec ber ®x\tâft; adj\ grted^ifti^.
Grèce ®rte(!^enlanb.
grêle ber $age{.
grenouille ber Çrofd^.
gris orctt.
gronder \éfttttn, v, tr., jantctt.
gros bid, grog, flarl.
grossir t)ergr5gem.
grossier greb.
grotte ble ©rotte.
guérir ^eilen; genefett, v. ir,
guerre ber Jhieg.
guerrier friegerifd^; «. ber JMeger.
guide ber ptl^rer.
guider (eiten, fii^reit.
Guillaume SBiïl^elm.
H.
Habile gefd^itdt, fa^ig.
habillement bie ^leibung.
•babiller fteiben, aniletben.
habit bas Aletb.
habitant ber (Sintoo^ner.
habitation bie So^nung.
habiter loo^nen, Betoo^nett.
habitude bie ©elool^n^eit.
haïr (affen.
halte ber $alt.
hasard ber 3»fûtt; par— îuffittig.
hâter, se, fia beetlen.
haut "^oàf, erçaben; tant
hauteur bie ^5Be.
Hébreu ein Çcbraer.
Henri Çeinrtd^.
herbe bas ®ra9.
héros ber Çelb.
heure bie @tunbe, bie U^r.
heureux gliicflid^.
hier jefern.
histoire bie ©ef^id^te.
historien ber ®ef(j^t(^tf(i^reiber.
hiver ber ©inter.
homme ber ÎDÎenfd^, ber iD^lann.
honnête e^rtid^, re^tf^afjen.
honnêteté bie dîed^tfd^affen^eit.
honneur bie (Sl^re.
honorer el^ren, Beel^ett.
horrible fd^redli^.
huile ba« OI.
humain tnenfd^tif!^.
humide U^â^t, nag.
humeur bie Saime.
I.
Ici ^ier.
ignorance bie Untoiffenl^elt.
ignorant ttntotffettb.
ignorer ni(!^t toiffen, v. ir.
île bie 3nfel.
image bad l^ilb.
imiter nad^a^men.
immense nnermegtid^.
immoler o))feni.
impératrice bie Itaiferin.
important loid^tiç.
importe, il, e9 Uegt baran, v. tV.
importun ISfHg, U^âfXotxliàf,
impossible unmi^gUé.
imprudent imDorfici^ttg.
incapable ttnf&l^ig.
inconnu unbelamtt.
inconstant unBejlânbig.
indigence bi»fl[rmiit.
indisposé untool^I.
indulgent naé^ft^tig.
infidèle ittttreu, treulod.
influence ber (Stnftug.
s'informer fiâf erhtitbigett.
injprat unbantBar.
injure bie 8ef(!^im)>fung.
injuste nnçered^t.
injustice bte Ungered^tigtett.
innocence bie Unf^uib.
innocent unfd^ulbig.
innombrable un)âl|^Iig, sal^Uod.
inonder ûBerf^toemmen.
inquiet unrul^ig.
inquiéter BeunruBigeit.
insecte hai 3nfelt.
inspirer einpgcn, Begeiflem.
instant ber llugenBUd; à 1'— fo«
g(eiti^. «
instruire unterri^ten, Belel^ren.
instrument 1) bad SBerheug, 2) ha9
insulter Bef(Bim)>fen. [ânfirument.
insupportable nnertrSgli^.
intention bie 9[Bfl(!^t.
intéressé eioenaâ^ig.
intérêt ber Borteil, ber (Sigemm^}-
intituler Betiteln.
Vocabulaire.
411
mutile ttxmfi^, Dergel^Ii^.
inyenter erfinbett, v. ir.
inyention bie (Srfinbung.
invitation bie (Sinlabung.
inyiter einlabnt, v. ir.
irrégulier untegelmS^^g.
irriter oufret^en.
Igraélite, T— ber afraelit.
Italie 3t(ilien.
Italien, subgt., bet Stolienet.
italien itttIiotif(^.
J.
Jamais {e; ne-jamais niemaU.
jambe baS 9ein.
lambon ber @d^inlen.
jardin ber ®arten.
jardinier ber ®5rtner.
iaune gelb.
ean 3o^anit.
jeter toerfen, v. ir.
jeu bas @^te(.
jeune ittng.
jeunesse bie Sugenb.
joie bie ^eube.
joindre, — à, tjerelnigen, berBtn*
ben mit, v, ir.
joU ^ûm^ artig, niebU(^.
Joseph 3ofep^.
jouer f^ielen.
jou^ bad 3o(!^.
jouir geniegen, v. ir., fld^ erfreuen.
jour ber S^ag: un jour, adv., einjl;
le — de fête ber gefltag.
journal bie 3c^tung.
journée ber %aQ; bie Bàftaâft
juge ber Slid^ter.
juger xiâfUxt, urteiten.
juffement, le, bad Urteil.
juif, le, ber 3ube.
iuin ber 3imi.
ules 3uïiu9.
jument bie @tute.
jurer \âfto'àxtn, ftud^en.
jusque Bis.
juste Qtttàft'
justement gerabe.
justice bie ©ere^tigfeit.
K.
kilogramme baS ^ilogramm.
kilomètre ber jHIometer.
L.
Là ba, bort, ba^in, bortl^in.
laborieux orBeitfam, tl^Stig.
labourer )>Pgen, atfem.
lac ber @ee.
laid ^&6U4 garflig.
laine bie ^Bofie.
laisser laffen, v. ir., tjerïaffen, v,ir.
lait bie 9»it(!^.
lampe bie S(un^e.
lambeaux, pi. bie %t^ta, @tâ(fe.
lancer fd^ïeubenr, »erfen, v. ir.
langage bie ^pxaéft.
langue bie ^iptaâft.
large Breit.
largeur bie 8reite.
larme bie Xlfxàxtt.
las mfibe, iiberbrfifffg.
latin (ateinifci^.
layer ma\ém, v. ir.
leçon bie Seltion, bie @tuttbe
lecteur ber Sefer.
lecture ba9 Sefen.
léger Uiâft.
légèreté, la, bie Seici^agfeit.
légion bie Segion.
légume bad Ôemûfe.
lendemain, le, ber (ben) folgenbe(n)
lent, — ement ïangfain. [2^«g.
lettre, la, ber SBuAjlabe, ber ©rief ;
les lettres bie SBi^enfci^aften.
leur ïffx; le — ber iyrige.
lever auf^eben, v. ir.; se lever
aufPel^ett, v. ir.
levier ber ©eBeî.
liberté, la, bie greijeit.
libraire ber ^udpl^anbler.
libre frei.
lier binben, v. ir.
lieuberCrt; avoir— flattflnben, «>.•>.
lieue bie ifteiïe, ©tniibe; -— car-
rée bie Ouabrattneite.
lièvre ber ^fe.
limaçon bie éé^ntât.
lion ber Siltoe.
lis, le, bie Silie.
lisse glatt.
lit ba9 9ett.
livre, le, bad 8u4.
livre, la, ba8 $funb.
livrer liefem.
loffer koo^nen, (ogieren*
loi bas ®efe^.
loin loeit, fem.
Londres Sonbon.
long lang; longtemps lange.
412
Vocabulaire.
lorsque aU, ba, tDatttt.
louer 1) ioitn, 2) ntieten.
Louis SubtDtj.
louis ou louisd'or etn SouUbor.
loup bcr Soîf.
lourd ]âftotx, pUattip,
Louyre ba9 Sou)>re.
lueur ber ©d^etn, ber @^immer.
lumière ba8 Si^t.
lune ber SRonb.
luxe bte ^xaâft, ber Snptd.
lutter rtngen, v, tr., f(îm!|}fen.
Lycurgue Slyhirg.
M.
Macédoine Sl^acebonien.
macédonien macebonifd^.
Macédonien ber 3Racebonier.
madame bte grau, bie SS)ame.
mademoiselle ba9 SrSuIetn.
magasin ba9 SD^^a^ajin; pi. — e.
ma^ifique px^âfti^, l^errl^.
main bte Çanb.
maintenant yti^t, nun.
mais aBer, attein, fonbent.
maison bad $au9.
maître 1) ber $err; 2) ber Sel^rer;
3) ber SKetflcr.
mal ûUl, Wt(ift'y mbst. bad Ubel,
ber @4aben.
mal à la tête Jto^ftDel^.
malheur ba9 Ungtiidt.
malheureux nngtiidUd^, elettb.
malle ber ^offer.
manger effen, v. ir.f freffen, v. ir.
manière bte Wci, bte Setfe.
manœuvrer man5)>rieren.
manquer fel^Ien, mangeln.
manteau ber SD^antel.
marc bte iD2arf.
marchand ber ^aufmann.
marchandise bte SBare.
marche, la, ber ^at\âf.
marché, le, ber WlaxU,
marcher tnarfci^tereit.
maréchal-ferrant ber $uff(]^mteb.
marié i»er^etratet.
marier t>er]^eh:aten.
matelot ber SD^atrofe.
matin, le, ber Wlox^tn.
maudire tertoiinfcl^en.
maudit i»erbammt, k>em)iinfd^t.
mauvais ilBel, fd^ïedjt, Bôfe.
maxime, la, ber ©runbfa^.
méchant fd^Iec^t, bSfe.
mécontentun}ufrtebeit,migi&ergniigt.
médecin ber ^^t, 2)oltor.
médecine bte 9r)net.
médiocre ntittetmSgtg.
médire ISfIent, berISumben.
meilleur beffer.
même fogar, felbfl; adj. berfctBe.
mémoire hai ©ebSd^ttttd, ha& 9(n«
menace bte 2)ro^ung. [benfeit.
menacer bro^ett.
ménager \paxtn, fd^otten.
mendiant ber ^ettler.
mener filÇreit.
mensonge bte Sdge.
menteur ber Siigner.
mentir (iigen, v. ir.
mention, la, bie @rtt>5]^nung ; faire
— ertofiîjnen.
menuisier ber ^tfd^Ier, ©(freiner,
méprisable loerSc^tlid^.
mépriser ïitxaâfttn.
mer ba9 SHeer, bte @ee.
Mercure Wttxlnx.
mère bte SThttter.
mérite baS Serblettfl.
mériter t>erbtenen.
merveille ha9 Suttber.
mesure bad SJ^ag.
mesurer nteffen, v. tr,
métal ha» mttaîi.
mètre ber Sl'îeter.
mettre (egeit, fe^en, jleQen; se —
à anfattgen, v. ir.
meunier ber iO^^iitter.
midi ber iO^ittag, ber @fiben.
miel ber Çontg.
mien, le, ber meintge.
mieux Beffer; le — ber 8e|le.
Milan aji^ailanb.
milieu bte Wtïttt ; au — mttteit in.
mille tcufenb; le — bie SJ^eile.
million, le, bie Tl\Xl\on,
Minerve Wtintïta.
ministre ber 9)ilimfler.
minuit bte ST^itteritaci^t.
minute bte iD^îtitute.
misérable elenb, itnglïidtU^.
Mithridate ilRitl^ribated.
modération bie SD^&gigung.
modeste befd^eiben, flttfam.
modestie bie ^efd^etbenl^ett.
mœurs, les, bte ^itten, pi.
moineau ber @^erUng.
Vocabulaire.
413
moins ^entper; au — toentgflenS.
mois ber SDfonat; pi •— e.
Moïse $Dh)fe9.
moitié bie Ç5Ifte.
monde bie SBelt; tout le — {e*
monnaie bie Wliinit, [bermann.
monseigneur ber gttfibige Çerr.
monsieur ber t^err.
mont ber SBerg.
montagne ber 8erg, ba9 ©eBirge.
monter flcigett, v. ir.; se — fiéf be»
montre, la, bie UÇr. [laufen, v, ir.
montrer jeigen, »etfen, v. ir,
monument bad 2)enfniat.
moquer, se, fpotten {ilber, ace).
morceau ba9 ëtiidt.
mordre beigen, v, ir.
mort, adj.f tôt.
mort, la, ber S^ob.
mortel flerbïi^.
mortellement tSbtid^.
mot bas S8ort.
motif ber Setoeggninb.
mou totiâf.
mouchoir ba8 S^afc^entud^.
mouillé na%,
moulin bie SJlfi^Ie.
mourir tlerBcn, v. ir.
mousse bad Wlooi.
mouton ber Commet, ba9 ®âfa\.
moyen bad iERittel.
muet fiumm.
mur, le, bie Natter, bte Sanb.
mûr retf.
murmurer mttrren.
musique bie Wtn^t.
Nager fd^totmmen, v. ir.
naître geboren merben^entfiel^en^f?. ir.
naissance bte @eburt.
nation bie ïflaûon.
nature bte 92atur.
naturel, — ^lement natfirïtd^.
naufrage ber ®âfïf{htviâf.
né geboren.
ne — pas, ne — point nldjt, îciti ;
ne — que nur ; ne — rien nid^t8.
néanmoins niii^tôbepotoeni^er.
nécessaire nSttg, nottoenbtg.
nécessité bte D^ottoenbigtett.
négligence bte 92a(i^I5ffig!ett. .
négligent itad^ISfftg.
négliger temaé^lifpgen.
neige ber ^âftttt.
neiger fd^neiett.
neuf, adj.j ntn.
neuf, nombre, nenn.
neyeu ber Sîeffe.
nez bie 92afe.
ni — ni toeber — no(^.
nid bad ïllt%
nièce bie ÏHiâftt.
nier leugnen.
noble abetig, ebeL
nocturne n&(!^tti(]^.
noir f^lDarj.
noix bie 9{ug ; pi. MWt.
nom ber 92ame.
nombre bie 3^4^. ^niofft
nombreux gal^flreic^.
nommer ntantn, v. ir., emennett,
V. ir.
non neitt; non plus anc^ nid^t.
nord ber 92orben.
notre unfer.
nourrir nS^ren, emS^ren.
nourriture bie ^^al^rung.
nouveau neu; de — toon neuem.
nouvelle, la, bie ^aâfxiâft, bie
iReuialeit.
nuage ba9 (^ett)Bff, bie IBotle.
nues, les, pi. bie SSoden.
nuire fd^aben.
nuisible fd^SbUc^.
nuit, la, bie ^aâft.
nulle part nirgenbd.
O.
Obéir gel^ord^en.
obéissant ge^orfam.
objet ber ©egenflanb.
obliger toerbinbcn, v. tr.; nBtigen,
einen ©efallen erto>etfen, v. ir.
obscurcir k>erbun{eln, toerfinflem.
observer beobad^ten.
obstacle bad $inbemi9.
obstinément ^artnScfig, eigenfinnig.
obtenir erlangeit; er^alten, v. ir.
occasion bte ®e(egen^eit.
occasionner i»eran(affen.
occupation bie ^t\âf^tianm.
occuper eitttte]^men,t}.tr.,befd^dftigetL
occident ber SBefien, ^Benb.
océan ber O^eatt, ba9 iD^eer.
odorat, odeur ber ®erud^.
œil ba9 ^uge.
œuf bas (St.
414
Vocabulaire.
offenser Beletbtfien.
officier ber Offl)teT.
offrir anbteten, v. tir., ontragoi, v. ir.
oie bte ®an9,
oiseau ber IBogel.
oisif miigtg, untl^Stig.
oisiveté ber ^ii^iggang.
ombre ber ©Aatten.
oncle ber 0(»etm, OnM.
onde bte IBelIe, bie SSogc.
opinion bie iEReinung.
opposer entgegenfe^.
or bas (Solb.
oracle bad OraTet.
orage ba9 ©etottter, ber @turm.
orageux fliirmifcl^.
orange bie ^omeranje, Orange.
orateur ber Stebtter.
ordinaire, — ornent getoSl^nlid^.
ordonner befel^Ien, v, ir.
ordre ber SBefel^t, bte Drbnung.
oreille bad O^r.
orgueil ber @toîg.
or^eilleuz flot), l^od^miitig.
orient ber Dflen, Orient.
oriental morgenlSnbifd^.
origine ber Urf^rnng.
ornement bie S^ttbt, ber ^d^mud.
oser ttHXgen, bÛrfen, v. ir,
ôter toegne^men, v. ir,, aBneljfmen
V, ir.
ou ober ; ou — ou entweber — ober.
oii too, mol^in; d'où tDol^er.
oublier tcrgcffen, v, ir.
ouïe bad @e^5r.
ours ber ®Sr.
ouvert offen.
ouverture bie Offnnng.
ouvrage bie ^rbett, bad SBerl.
ouvrir iJffnen, attfnta(]^en.
P.
Païen ber $etbe.
paille bas @tro(|.
paiement bte IBejàl^tttng.
pain ba9 SBrot.
paire ba9 $aar.
paix ber griebe.
palais ber $ata|l.
pâle Utïâf.
panier ber Stoih.
panser flrtegeln.
pantoufle ber ?5antoffeî.
papier ba9 $a^ier.
Pâques Oflem; les œufs de P— ,
bte Ofler>(Ster.
par bnrd^, (et, an, in, ml Don.
parce que tt>eil, ba.
paraître erfd^einen, v. ir,, {id( aeigen.
parcourir bnr^reifen, buriJ^lanTcn,
pardonner Der^ei^en, v. ir. [v. ir.
parent Dertoanbt ; pi. les — s bie
(SItem.
paresse bie gauH^eit, XxRif^ït.
paresseux faul, trSge.
parfait, — ement toolltontmen.
parier toetten.
parler reben, ^red^en, v, ir.
parmi nnter.
parole ba9 Sort; pi —t et SSSrter.
part ber j£etl; prendre — teilnel^men ;
partager teiïen. [à — bei @eite.
parti ber (gntfci^ru6 ; prendre un —
einen (Sntf^Iug fajfen.
particulier Befonber.
partie ber 2^et(; — du monde
ber Selttciî.
partir abreifen.
partout fiberaH.
pas ntci^t; pas de fein.
passer gel^en, v. ir., toergel^en, v. ir.,,
uerfïiegen, v. ir., toorbeigeÇen, ir.,
gel^alten toerben fur, v. ir.
passion bie Seibenf(^ft.
paternel t)&terli(i^.
patience bie ®ebn(b.
patrie ba9 IBaterlanb.
pauvre atm, biirftig.
payer Beja^ten.
pays bad Sanb.
paysage bie Sanbfd^aft.
paysan ber ©auer; vl. — n.
peau bieÇant, baô gett; pi. — e.
peindre ntaten.
peine bie âJlfi^e ; à — faum.
penchant ber Slb^ang; bie 9ltu
pendant tD&l^renb. [gung.
pendre ^Sngen, v. ir.
pénétrer einbringen, ir., burd^brin-
gen, ir,
pensée ber ®ebanfe.
penser benïen, v. ir., nteinen.
pente, la, ber Slb^ang.
percer buriJ^Bol^ren, bnr^bringen, t r.
perdre DerUeren,^. ir., Derberoen, tr.
perdrix, la, ba9 9{eb]^ul^tt.
père ber IBater.
péril bie Q^efal^r.
Vocabulaire.
415
péril )>erae(en,o.tr.itm{ommett,«.û-.
périssable t>ergSngU(i^.
permettre erlauBen.
fermission bie (SrtauBni9.
erse, la, Çerflen ; le — ber î^erfer.
persécuter, bg^olaen.
perséyéranoe bie iBel^anttd^tett.
persister Bel^anen, bej^el^en, v, tr.
personne, la, bie $erfon; ne —
niemanb.
persuader iibeneben, ii^erjeugen.
perte ber Serlufl, bad ^erberbett.
peser mSgen, toiegett, v, tr.
peste bie $efi.
petit Hein, gering.
peu menig.
peuple ba9 S3o(T.
peuplier bie $a^^el.
peur bie gurd^t; avoir — fûrij^ten.
?eut-étre toiefleid^t.
hénicien ^l^Sttiiifd^ ; watt, ber
Phrygie ^l^r^gieti.
piano bas ^Ia)»ter.
pie bie (Stfler.
pièce bae <Stfi(!.
pied ber gug.
Pierre Çcter.^
pierre, la, bêr @tein.
pigeon bie XavCbt.
piUer ]p(iinbern, raubeu.
pire, pis f^Ummer, fd^Ied^ter, &ger.
pitié %a9 SRitleib.
place ber ^la^, bie ©telle.
plaie bie SBunbe.
plaindre bebauern, bettagen.
plaine bie (Sbene.
plaire gefaSen, v. tr.
plaisir bad IBergnïigeit.
plan ber $Ian.
planche bad 8rett.
plancher ber gugboben*
planète, la, ber $lanet.
plante bie $f{an)e.
plat platt, fiaâf, ebett.
plat bie ^â)ûfitl
plein, — ement toS, toSQig, g5n)U(^.
pleurer toeineit.
pleuvoir regiien.
plier falten, Biegen, v, tr.
pliant biegiam.
plomb bae 8(ei.
ploi^er tau^en, untertau(!^ett.
pluie ber 92egen.
plume bie Çeber.
plupart» la, bie meiflen.
plus me^r.
poche bte %a]âft,
poêle, le, ber Ofen.
poêle, la, bie $fanne.
poème ba9 (Sebid^t.
poésie bie 2)i(]^tfunfl, 2)i(]^tung.
poète ber 2)icl^ter.
poing bie S^ufl.
poire bie ^ime.
poison bad ®tft.
poisson ber gifdb.
poli glatt, yà\m, aeflttet.
politesse bie $()fii($Ieit.
poltron feige; subêt. bie SJ^emme.
pomme ber ^p\ti; — de terre bie
«artoffeï.
Pompée ^om^eiud.
ponctuellement ^ûn!tli(!^.
pont bie i93rii(fe.
porc bas @(^toein, @(^toeinef{eif(!^.
port ber Çafen.
porte bie Xi^ûxt, ba9 Xl^or.
portefeuille bie ^xkha\6ft.
porter tragen, v.tr., bringen, w.tV.;
se porter flci^ be^nben, v, ir.
Portugais ein $ortu^iefe.
position bie Sage, bte @tettuug.
posséder befit^en, v. ir,
possesseur ber ^eft^er.
possible m^lià).
poste, la, bte $ofl.
potier ber Xlip\ti.
poudre ber @taub; ba9 $uber.
poule bad^ut^n, bieÇentte.
pour fiir, um . . . . toiHen, {iatt; utn
gu; —que ald bag, bamit.
pourquoi? toarum?
poursuivre terfolgen, fortfe^en.
pourtant bod^, bettnod^.
pourvu que menn nttr, tt>ofent.
pousser flogcn, v. ir., fd^ieben, v, ir.,
treiben, v, ir.
pouvoir fBnnen, i»enn5gen; auhst.
bie maâfi, bie ©etoalt.
prairie bie ffîiefe.
pratiquer iiben.
précepte bie 93orfdJrift.
précieux fofibar, fiifllid^.
précipiter 1) j^inabprgen, 2) be*
fddleunigen.
prédécesseur ber S3orgSttger.
prédire ti>ei9fagett, ^rcpt^ejei^ett.
416 Vocabulaire.
préférer ^ox^ïtittn, v. »r. proposer ijorfd^fagen , v. ir., tor«
premier ber er^e. ne^men, v. ir.
prendre nel^mcn, v. ir. , fangen, v, ir, propre , — ment etgen , taugï^,
préparer {t)or)Bcreiten. niïd^.
près nal^e, betnal^e, gegen. propriétaire ber @taentfitner.
présence bte ©egentoart. propriété 1 ) bas ®tgentittn, 2) bte
présent gugegcn ; à — ietjt. tfigenfd^aft.
presque fa]^, beina^e. prospérité bad®I(i(!, ber S3o(Iflanb.
pressé eittg, greffant. protection ber ©c^ufe.
presser bruden, brangen. protéger ht^éfûi^tn, ht\âf\xmm.
prêt Berett. prouver Betoeifen, v. ir.
prétendre Be^att^ten. Providence bic SBorfe^ung.
prêter tetl^en, v. ir. province bte Çrot)mj.
preuve ber ^ekoeid. prudemment Rug, t>emlinfttg.
prévaloir bie OBerl^anb Be^Itejtr prudence bte ^Itt^^eit.
V. ir., flBertoiegen v. ir. prudent fïug, tDei(e.
prévenir pborfomnten, v. ir., Be* prune bie $f{aume.
nad^riti^hgett. prunier ber $fïaumenBaijm.
prévoir borau8fel^en, v. ir, Prusse Çreugen.
prier Bltteii, t?.tr., — Dieu Beten. public BffentUd^.
prière ba9 ©eBet, bie SBttte. puis bann; puisque ha, toeil.
prince bev gilrfl, ber $rin). puissance bte ^aâfi.
princesse bte ^^i^P^^r $rin}eff!n. puissant mSd^ttg.
principal, — ement Çaul|)tffidjît(^, punir fhûfen, Be^aifen.
Dor^ugltci^. pur rein, lauter.
principe ber ©runbfa^. Pyrénées bte $)^ren5en.
printemps ber ÇriiBUng.
prison bad ®efdngni9. Q»
prisonnier ber ©efangeite. Quadrupède bterfiigia.
privilège ba9 fBont&t. qualité bie (Sigenfd^aft.
prix ber $rei9, ber Sert. quand toanit? al9, ba.
probablement toal^rf^einUc^. quantité bie ^enge.
probité bie Stebtiii^teit. quart ba9 IBierteL
problème bte SlufgaBe. que \>a% aU, toad?
prochain nSd^fl; stUfst. ber Md^fle. quel toeld^er? t]>a9 fftr etn?
proclamer auSrufen, v. ir. quelconque trgenb ein.
procurer lîerfcBaffen. quelque ein, elnige; — chose et»
prodigieux ûBerntSgtg, ungel^ener. n>a9; quelque... que t]>ie..a]t(l^.
prodigue t>erf<l^n>enberi[(]^ ; suM. quelquefois mand^mal, BidtDetlen.
ber SScrfci^tcettber. quelqu'un Jentanb.
production ba9 (Sr)engnt9, ^robnft. question bte grage.
produire l^ertoorBringen, v. ir. qui ber, bie, ba9, ttel^er, toer?
produit ber (Srtrag. quiconque j[eber, iebermonn ber.
professeur ber $rofeffor. quintal ber S^ntntx.
profiter getoinnen, ». tir., Benuften. quitter berïaffen, v,ir.
profond, — ément tief. quoi »a9?
propès ber ffortfi^ritt. quoique oBgleid^, oBf^on.
proie ber 9lauB, bie SBente.
promenade ber @^a)iergang. B.
promener, se, f!(>asieren gel^en, f>. ir. Raccommoder oudBeffem.
promesse bad ^tt^pxtéfttt. racine bie SSur^et.
promettre k>erf!(>re^en, v. ir. raconter er^Sl^Ien.
prompt \â}ntVi, gcf(i^tt)inb. rafraîchir erfrifdjen, aBfftÇten.
prononcer audf^rec^en, v. ir. raisin bie (Sein«)ScauBe.
Vooabiilaix0.
417
raison ^ie Sentmtft, ber ®mnb;
avoir — SJed^t l^abctt.
ramper ïriei^en; v. tr.
ranger orbnen, aufjleEen.
rapide fi^neU, reigenb.
rappeler jurilànifen, v, tr., ertnnent.
rapporter 1) inxUébxin^m, v, ir. ;
2) Uxiâfttn,
rare, — ^ment fettcn.
rareté ble Btittnfftit
rassasié gefSttiat.
rassurer bentl^tgeit.
rat bie mttt,
ravager tertollflen, ^tt^tittu.
ravi entjùcït.
ravissant fëjiltd^, reigettb.
rayer audfh:et(]^en, v. tr.
rayon ber ©trcl^ï.
recevoir Befommen, v,ir.y etl^alten,
V. ir,, anneÇmen, v. ir.
réchauffer emSrmen, er^tt^en.
récit bie (Sr^&t^Iung.
recommander em^fel^Ien, v. tr.
récompense bie âelol^ming.
récompenser Belol^nen.
reconnaissance bie 2)attfbai'{eit.
reconnaissant banfBar.
reconnaître erfennen, v. ir.
redoubler i»erbo^^(n.
redoutable fur(]^tbar.
réellement totdtid^.
refus bie Seigening.
refuser 1 ) i&emeigern, 2) ^âf toeigern.
regarder fe^en, v. ir., an^âfontn,
mxaâfttn.
régiment ha9 ^t^ïmtvA.
règle bie Steflcï.
règne bte Sîegierung.
regretter bebauem.
replier, — èrement tegelm&gig.
reine bie Jtënigin.
rejeter juriltoerfen, v. ir,
réjouir freuen, bcluplgen.
relier Binben, v.tr., etnbiuben,t».tr.
religieux fromm; aubst. UxWllinâf.
religion bie 9teItgion.
remarquable mertmfirbig.
remarquer Betnerfen.
remède ba9 Çeilmittet.
remercier banTen {dat.),
remettre jupelleit, iiBergeBen, v. ir.
inêépar,; se — toleber anfangen,
V. ir.
remonter toithtx auffleigett, v. ir.
OTTO, Grammaire allemande.
remplir erfûSen, DoS mad^en.
remporter batoontragen, v. ir., a*
i^alttn, V. ir,
renard ber gud^d.
rencontrer antreffen, v. ir., Be«
gegnen.
rendre )urii(fgeBen, v, ir., mad^en;
— un service elnen3)ienfl ïclpen.
renne ba9 Sîenntier.
renoncer entfagen, t)eïgi(3^ten auf.
rentrer tt)leber l^tttïntommtn, v. ir.
renverser itm|logen, v. ir.
répandre terBreltcn, bergiegen, v. ir.
repas bte SRa^l^eit
repentir, se, reue», ettt>û« Berenett.
réplique bie Knttoort.
répliquer ertolbent.
répondre anttoortett.
réponse bie Slnttoort.
repos bte 9{u(e.
reposer, se, tuBea, au9ru^en.
repousser |uril(f{iogen, v. ir,
représenter i»or{leI(en.
reprendre 1) pdidnel^men, v. ir.;
2) toerfe^ctt.
reprocher tortoerfen, v. tr.
reproche ber SSortcurf.
république ber grclflaat.
réputation ber ^uf, guter Sflamt,
résidence ber iEBoBnfii.
résolution ber (Sntf(!^(u6.
résoudre 1) Befd^Ûegett, v, ir., 2)a\x\*
Wfen.
respect bie $((!^tung.
respecter aâfttn.
respirer atmen.
ressembler gleid^en, v, ir., ^\\\i(Sf
fein.
rester fiBria fein, BletBen, v, ir,
retirer gurttdjIeBen, v. ir.; se —
^âf )ttrii(f|ieBen.
retour bie mdUffi, ^
retourner umfel^ren, lurfidtïe^ren.
retrouver tt>ieberflnben, v. ir,
réunion bie Sereinignng.
réussir gelingen, o.tr., gebei^en, tr.
réveiller toeaen.
revenir toiebertommen, v. tr.
rêver tr&umen.
revoir toleberfeBen, v. ir,
Ehin ber ^^tïn.
Rhône bie SÎl^one.
riche, — ornent ret(^, reid^Iid^.
richesse ber ^dâftxim,
27
418
Vocabulaire,
ridean ber Sor^g.
rien, ne — ntd^ts.
rigoureux jheng.
rigueur bie ©trenge.
rire laAett.
rivage ba9 Ufcr.
rivière ber gittg.
rix ber Steid.
robe ba9 (Srauen4!Ietb).
robuste {lart.
rocher ber ^e(d, gelfes.
roi ber JtSnig.
Rome 9lom.
romain xMi\âf ; ««6«^. ber 9îBmer.
rond rttnb.
rose bie 9{ofe.
rosier ber 9tofenfl0d.
rossignol bie 9^a(^ttgall.
rôti ber i^ratett.
rôtir braten, 9. tV.
rouge rot.
route bie ^tca^t, ber SBeg.
royal iSntgtid^.
royaume bad ^i^ntgretc^.
ruban bad 8anb.
rue bie @tra|e ; rue du Théâtre bie
jSl^edterflraBe.
rugir brilHen.
ruisseau ber ^ad^.
rusé Itfltg, f(]^Iait.
russe ruffifi^ ; suèst. K. ber %uffe.
Eussie 92ug(attb.
8.
Sable ber @anb.
sablier bie @anbbil(^fe.
sac ber ©ad.
sacrifier o^fem, aufo4>feni.
sage, — ^ment toeife, artig, tïttg.
sage, stibst, ber SBeife.
sagesse bie SBei9l^eit.
sain gefunb.
saint l^eilig.
saisir ergrcifeit, v. ir.
saison bte ^al^redgeit.
saluer grûgen.
salutaire Itieitfam.
samedi ber @am6tag, ©ottnabenb.
sang ba9 ^(ut.
sans ol^nt ol^oe gu.
santé bie ©efunbl^eit.
sapin bie Xanne.
saucisse bie SBurfl.
sauter f^riitaen, e. ir,, ^fi^fen.
sauvage tDtlo.
sauver retten.
savant gete^rt; itihst. ber ®elel^rte.
savoir toiffen, v. ir.
Saxe, la, ©ad^fen.
Saxon ber @ad^fe, ae{;. fSd^flfd^.
science bie ffîiffenfdffaft.
sec trodten, biirr.
sécher trodnen, toerborren.
second ber )ipeite.
secouer fd^fltteln.
secourir l^elfen, «.tr., unter{lfi(^ett.
secours bie $i(fe.
secret adj. ge^eim, l^eimltd^.
secret, le, ba9 ©ej^etnmid.
seigneur ber gn^tbtge ^err.
séjour ber ^ufentl^alt.
sel bas @at).
seUe ber @atte(.
selon naâf, gemSg.
semaine bie So^e.
semblable Sl^nlic^, gleid^.
sembler fd^einen, v. ir,
semer {Sen.
sénat ber@ettat.
sens ber @init.
sensible etn^finbtié.
sentiment ba9 <^efttl^(.
sentinelle bie ^âfiihtoaâ^t,
sentir em^flnben, v, ir., \^lm,
riedjeti, v, ir,
séparer trentteti, aBfonbem.
serein l^eiter.
sérieux, —sèment ernfUaft.
servante bie Sfflagb.
service ber 2)ien^.
servir bienen.
seul aQein, ein^ia, Blog.
seulement nur, blog.
sévère fheng, (art.
sévérité bie @trenge, bte ÇSrte.
siècle bad 3a(rl^unbert.
siège 1) ber@tit]^I, ber^i^; 2) bie
iSetagentng.
sien, le, ber feini^e, il^rige.
siffler ^feifen, v. tr.
signaler au^geli^nen.
signe ba8 ^tïéftn; faire — etn
^tiâftn gepen.
signer ttnterîeit^nen.
simple einfa^, blo§.
simplicité bie din^aâfitït
sincère anfrid^tig, n^a^t^aft*
Vocabulaire.
4id
singe ber 9ffe.
situation bie $!age.
société bie ©efeafd^aft.
sœur blc <BéfXot\ttt.
soie bie @eibe.
soif ber S)urjl.
soigner Beforgen, ^ftegen.
soigneux forgfSIttg.
soin bie ©orge, @orgfaIt.
soir ber Slbcnb.
sol ber $oben, ber ®ntnb.
soldat @oIbat.
soleil bie @onne.
solide fefl, bauerl^iaft.
solitude bie (Sinfamïeit.
somme bie @umme.
sommeil ber @(^taf, ba€ @(^ïafen.
sommet ber @i^feL
son, sa, fein, i^r.
son, le, ber S^on, ber Jîfattg.
sort \>a9 ©^idfal.
sortir an9^t\ftrt, v.ir.
sot bumm, einf&ttig; suhst ber
S>umm!o^f.
souffler blafen, v, ir,
souffrir tcibcn, ».tr., ertragcn, v, ir.
souhaiter ti)finf(^en.
soulier ber ^â^nf^.
soumettre utitermcrfctt, «. iV.
soupe bie @u)>))e.
soupirer feuften.
soupçon ber Serbad^t.
source bie Duette.
sourire I&ci^cltt.
souris bie '3!flavL9.
sous unter.
souvenir, se, fi(ff erinnertt.
souvenir, le, 1) bie Srintteruîtg,
2) ba9 ^nbenlen.
souvent oft, ïiauflg.
Spartiate ber ©partaner.
spectacle ba9 éâfan\pïtt
splendeur ber (Slanj.
subjuguer unterjoti^en.
succès ber (Srfolg.
successeur ber 9cad^fotger.
sucer faugen, v. ir,
sucre ber S^dtx.
Suède ©d^koeben.
suédois f(^tt>ebif(^.
suffire geitilgen.
Suisse, la, bie @d^n>ei}.
Suisse, le. ber ©d^weiser.
suite bie ^oÏQt, ba9 ©efolge.
suivant xtaâf, )uMge.
suivre folgen.
sujet, le, 1) ber Untertl^ah, 2) ber
(Srunb, 3) ber ©egenflanb.
superbe ^rSd^tig, :^ra(!^too]I.
superficiel ober^ad^Iid^.
superflu fiBerflâffig.
supérieur iiBerlegett.
superstitieux abergISuBig.
superstition ber ^berglauBe.
supporter ertragen, v, ir.
supposer i^orausfe^en, t)ermuten.
supposition bie S3oraudfe<}ung.
sur auf, flber.
sûr, adj. getoig, fd^er.
surface bie OberflS^e.
surpasser ilbcrtreffcn, v. ir, [ir.
surprendre (iberrafd^en, iiberfaQeit,
surprise bie uberrafd^uiig.
suspect t)erba(]^tig.
T.
Tabac ber %CLbaf.
table ber ZM, bie îTafeï.
tableau bad ©emalbe.
tâche bie Urbeit, bie ^ufgaBe.
tâcher fuc^n, ftd^ Bemii^en.
tailler fci^neiben, v. ir,, î^antn v.ir,
tailleur ber ©d^neiber.
taire t)erfci^tt>eigcn, v, ir.; se —
fci^iDcigen, v. ir,
talent bd9 liaient, bie S&^gfeit.
tandis aue to^t^renb.
tant fomeî, fo fel^r.
tante bte Séante,
tantôt Batb ; tantôt — tantôt
Balb — Balb.
tapis ber Xtppïàf,
tard f)}St.
tarder faunten, toertoeitett.
tas ber^anfett.
tasse bie j^affe.
taureau ber ëtier.
teindre fSrBen.
tel foïd^, foïd^ eiit, fo
témoignage \>cl9 S^nQ^ï9%
témoigner Bejeugen.
témoin ber 3^^d^*
tempête ber @turm.
temple ber S^em^et
temps 1) bie 3eit, 2) ba9 Setter,
tenare, aé^f. n)ei(^, }art, iMlid^.
tendresse bie B^^^^^^^tt.
27*
420
Vocabulaire.
tenir (altett, e. tr.
tente bad 3^^^*
terminer enbtgett.
terre bie (Sttht, bec Soben.
terreur ber ^éreden.
terrible \âfxtditéi.
territoire ba9 ®eBiet.
testament ba9 j£e|lament.
tête ber Stop\.
thé ber Zi^tt.
théâtre bad SCf)tattx; rue du Th.
bie 2:^eaterflrage.
Thébain bec î^ebattec.
Thèbes ^eBen.
thème bte ^ttfgabe.
Thermopyles bie Xfftxmo^ttUn, pi
tige ber <ètatnm.
tigre bec S^laec.
tmeul bie Smbe.
timide fur^tfam, BISbe.
tirer glel^eii, 9. tr.; fd^ieÇcti, v. ir,
toile bie Seitttoanb.
toit ba9 5Da(^.
tombe et tombeau bdS (9raB.
tomber faHett, v. ir,
ton, ta bein.
ton, le, bec %cn.
tonneau bie Sonne, ba9 gag.
tonner bonnern.
tonnerre bec 2)onner.
tort, le, bad Unce^t.
toucher câBcen, Beciil^rett.
toujours tmmec, Bejl&nbtg.
tour, la, bec ïucm.
tour, le, bie 9tei]^e.
tourmenter qualen, ^eintgen.
tourner bcel^en, toenben, fel^icen.
tout aVi, gan), iebec; tout à coup
pWiàf] tout à fait gSnaU(!^;
tout le monde jebermann.
traduction bie uBerfet^ung.
traduire itBeciet^en.
trahir benaten, v, ir.
trahison bec Secrat.
traîner fd^lep^)en ; jiel^en, ». tr.
trait 1) bec ^feiï, 2) bec âug.
traité bec ^ectcag.
traiter Bel^anbeln.
traître bec SîeccStec»
tranquille cul^ig.
tranquilliser Becul^igen.
tranquillité bie ïftn^t, ©titte.
transmettre ilBectcagen, ».tr., ilBcc
fenben, geïangen taffen, v, ir.
transporté, adj. entjfidtt, ottgec fl(i^ ;
— de joie ouficc jîd^ boc gceube.
transporter foctfd^affett.
travail bie Krbett.
trayaiUer acBciten.
travers, à — , burd^, mitten bur«]^.
traverser buci^fti^neiben , v. ir.,
hnxâf]âfif\tn, fibec ttaxa fe^ea.
tremblement bad 3ittecn; un —
de terre ein ©cbbeBett.
trembler gittecn, BeBen.
très fel^c.
trésor bec ^d^a^.
tresser fltâfttn, v. ir,
tribut bec S^ctBut, bie 9(BgaBe.
tricoter fhiden.
triomphe, m. bec ïcium^l^, @leg.
triompher, v.n. tcittmi|)ï>iecctt, ftegen.
triste, eidj. ( — ment, adv,) tcûurig.
tristesse, /. bie 2^cattcigfeit.
Troie ïcoja.
trompe bec Sîilffcï.
tromper tSufd^en, Betdlgen, v, ir,;
se — ^âf iccen.
tronc bec @tamm.
trône bec Sl^con.
trop ju bieï, ju fel^c, |tt.
trouble bie l^ectDiccung.
troubler tcfiBen, jlSccn.
troupe bie S^cu^^e, SJÎannld^af t ;
les —s, pi bie ZïW^pm,
troupeau bte Çecbe.
trouver finbeïi, ». tr., — mauvais,
iiBet nel^men, v, ir,
tuer tSten.
tumulte bec S^umult, bec SScm.
Turc, le, bec Sllcïe.
turc, aif. tiicfifd^.
tyran bec SCi^cann, SBûtecid^,
Tyr Xtfmi (@tabt).
Tyrien bec ïl^ciec.
U.
Uni, e, adi. eBen, gïatt; einfad^.
union bie ^cceintgun^, SSecBinbung.
unique, — ment cinjig.
univers ba9 SeltaS, bie Selt.
universel attgemein.
usage bec ©ebcaud^.
usé aBgenu^t, aBgetcagen.
user geBcaud^en, aBtcagen, v, ir,
usuel QthxMâflldf, QtxoUî^xdi^,
utile nll(jli(fi, t)octeil]^aft.
utilité bec mtim, bec «octeiï.
Vocabulaire. 421
y verser aicjjctt , v. ir, , elnf(i^enîctt.
yersion bie u6erfe^mtg.
Vacances, ol blc gerlctt. vert griln.
vache bte ^1^. vertu bie j£ugenb.
vagabond ber Sanbfirett^er. vertueux titgenbt»aft.
vague bie SBoge. ffîelle. vêtement bie ^(eibung.
vaulamment ta^fer. vêtir Hetben.
vaillant tai^fcr, mutig. vêtu gefïelbet.
vain (— ement, adv,) eitcï, tjergcBUdJ ; veuf ber Situjcr.
en -^ bergeBIi(3^. umfoiijî. veuve bte SBittoe.
vaincre fiegen, beflegen. veuillez {impér. de vouloir) feten
vainqueur ber @icger. @ie fo gut.
vaisseau ba9 @<$iff, ^oit^tna, viande ba9 gleifd^.
valet ber ^tâft, S)iener; le — vice ba8 Sajier, ber gcl^Ur.
d'écurie ber @ta!Iïne(]^t ; — de vicieux lajierÇaft.
ferme ber ^ned^t. victime ba9 <É(i^ta(!^to))fer, £)))fer.
valeur ber SGBert, bie ïa!|)ferïeit. victoire ber @icg.
vallée bad Sl^al. victorieux fiegreid^.
valoir toert fetn, geltcn, v,ir, , taugen ; vide ïeer.
cela ne vaut pas la peine ba9 vider (eeren, teer m<iéftn>
ifl^ rtiàft ber aKû^ie mxt ; il vaut vie ba« SeBen.
mieux t9 Ijl Beffer. vieil, vieille aît; voir: vieux,
vanité bie eiteïfelt. vieillard ber ®rei8, alte SDlann.
vanter rii^men. vieillesse bad (l^ol^ie) $(Iter.
vapeur ber 2)ambf, 2)unfi. vieillir ait toerben, altern.
varié mannigfaUtg. Vienne Sien,
varier terfinbern, t)erf(3^ieben feln. vieux, vieil, /. vieille aît.
vaste adj\ toeit, nngct>euer grog. vif, vive leb^iaft, l^eftig.
vaurien ber Saugentd^td. vivant tcadt^fam.
veau bad ^alb. vigne bte Utbt, ber 9{eBflo(ï.
vécu geïebt. vil \â)Uâft, gemetn, nlebrig.
veiller ïoaé^tn ; — à qcb. filr ober vilain garjlig , (fSgîic]^.
iiber ettoad toat^en. village ba9 ^orf.
veine bie ^ber. ville bie @tabt.
vendre i>erTaufen. vin ber Sein,
vendredi grettag. vinaigre ber @fflg.
vénéneux giftig. violent l^eftig, gewattfam.
vénérable e^irtolirbig. violette ba« %^tï[â)tn.
vengeance bie Statue. violon bie ®etge, bie 93ioIine.
venger rd(^en. visage ba9 ®e^(!^t, ^ngeft(^t.
venir eben lommen, v. ir., — de. . vis-à-vis de gegeniiber.
eben ettoa« get^ian l^aben ; il visible, —ment ficijtbcr.
vient de sortir er i{t eben avL9* visir ber ^ejier.
gegangen. visite ber©efuc]^; rendre — à qn
vent ber Sinb. jernanben einen SBe[uci^ maé^en.
ver, m. ber Surm; — à soie ber visiter Bcfud^en, befidbtigcn.
©eibentourm, bte <Seibenrau|)e. vite gefd^toinb, fé^neu.
verbe ba« 3ctt^^«>rt. vitesse bie ©^nettigfcit.
verdure bad ®riin. vivant tebenbig.
véritable, —ment toal^rl^aft, ^é)t vivement îeb^^aft, em<)flnbn(3^.
vérité bie Sa^irl^clt. vivre ïeben.
verre bad ©lad. vœu ba9 ©elilBbe, ber Sunfd^.
vers, stibst, ber S5er3. voici fleÇc ba, IJier tji, ^ier ftnb.
vers, prép, gegen, mtSf* voilà ftel^e ba, ba, bort i{t, ba ftnb.
422 Vocabulaire.
voile, le, bcr ^d^Ieier. voyage bie 9îeife.
Toîle, la, ba9 @egel. voyager reifen.
voir fe^c», v, tr.; faire — Me» voyageur bcr Sleifenbc
laffcn, V. ir,, jclgcn. vrai toafft, tét,
voisin itnaéfèavt, na^e. vraiment toaçr^aftig , ïoaffxliéf.
voisin, m. bcr Sîad^bor ; —eS'îa^» vue,/. 1) ba8 ©cftti^t (btc «ugcn),
bartn. berSEnbÛd; perdre de — an9 bcm
voisinage bic iRati^Barfi^aft, TîSl^c. ®cf!(^tc tocrltcrctt, 2) bicSnfld^t,
voiture, /. bcr ©agcn ; aller en — 3) bic S!tt8p<^t, 4) blc a^fld^t.
faîjrcn, ». tr.
voiturer fa^rcn, v. ir,, filÇrcn. X.
TouS'î^eSî.' ^^^' **^*'' **"'« *"" *"^*"-
volant bcr gcbcrbaS. _
volcan bcr ^nitaxt- ^*
voler 1) jicbïcn, f?.tr., 2)fïiegcn, ir. y ba, bort; il y a 1) e« gicbt;
voleur bcr 2)teB. 2) prép. ^ox,
volontaire, — ^ment frcltolttig.
volonté bcr Sittc, bic StOfar. Z.
volontiers gcm, œttttg. zèle bcr @tfcr.
volume bcr Sanb. zélé cifrtg.
vouloir tDcQcn, tolinfc^cn. zone bic 3onc.
Imprimerie deJalesOroos I Heidelberg.
Extrait
tiré de la Eevne littéraire (Litterarische Eandschan)
de M. J. B. Stamminger.
JSO*.
Manuels et livres d'enseignement
pour l'étude des langues modernes
publiés par le libraire^éditenr
Jules Oroos à Heidelberg.
La maison de librairie et d'édition Jules Groos à Hèi-
deiberg, s'est, dès Vannée 1850, vouée tout particulièrement à
la publication d'Ouvrages d'enseignement pour les Langues nk>-
dernes; et son catalogue compte déjà une liste imposante de
grammaires, manuels et abrégés destinés à faciliter l'étude des
idiomes européens les plus répandus. Aucun autre éditeur d'Aile'
magne n'a autant fait, croyons-nous, dans cette voie. Il a paru
jusquà présent une somme totale de 140 volumes de cette série,
tant gros que petits, et dans presque toute cette collection les
divers auteurs ont été fidèles à un même pHncipe ile
coînpositian. Il suffit d'ouvrir les ouvrages principaux, c'est-
à-dire les Grammaires, pour découvrir à l'instant quel est ce
principe; toutes ces grammaires se ressemblent comme sœurs:
qui connaît l'une s'oriente sans peine dans une autre en très peu
de temps, — avantage qui n'est pas à dédaigner au point de
vue pédagogique à une époque exigeante comme la nôtre, oà
Von ne se contente plus guère de la connaissance d*une seule
langue étrangère.
Le principe de ces ouvrages (enseigner à parler et
écrire couramment la langue étrangère aussi bien qu'à la
comprendre et à la traduire) ressort d'une part de l'arrangement
et du développement particuliers des règles; d'autre part d'une
méthode d'enseignement s'efforçant de mettre Vélève aussitôt que
possible à même de comprendre des morceaux d'un sens suivi en
langue étrangère, enfin et surtout l'amenant à s'exprimer
couramment dans cette langue. Ce dernier point caractérise
si spéciatement les livres d'enseignement de cette collection que
pour les distinguer, leurs auteurs ont ajouté au titre de Gram-
maire celui de: Conversation,
Pour la disposition et le développement des matières gram-
maticales, chaque Grammaire est divisée en deux Cours conte-
nant de nombreuses Leçons, et renferme, en introduction, un ex-
posé complet de la prononciation. L'un et l'autre Cours trai-
tent successivement de chaque partie du discours, le premier à
grands traits, le second avec détails épuisant le sujet, — suivant,
pourrait-on dire, le système d'expansion de vagues concentriques.
Dans le premier cours, on appelle l'cUtention de l'élève princi-
palement sur l'étude des désinences, dans le second davantage
sur la syntaxe, sans cependant séparer ces deux études d'une
façon absolue comme dans les grammaires systématiques. Les
règles nous ont paru être exposées clairement, simplement, sans
luxe inutile de phrases; la matière des exercices écrits et oraux
est, par contre, des plus abondantes.
Ces livres nous semblent se recommander (Vune façon toute
spéciale aux personnes désireuses d'apprendre une langue étran"
gère dans un but pratique, et voulant acquérir de la facilité à
la parler et à l'écrire, les règles étant, — par la façon dont
elles sont présentées, — des plus fctciles à saisir et à retenir.
Nous devons aussi féliciter Véditeur pour la belle impression
et la bonne disposition typographique des volumes. Ces qualités
réunies sont sans doute la cause du succès remarquable de ces
manuels, et de la rapidité avec laquelle les éditions de plusieurs
d'entre eux se sont succédé.
Notre admiration pour l'esprit d'unité et la richesse de cette
collection, s'accroît encore en présence de l'autre groupe de ces
livres, celui destiné aux étrangers.
La première division comprend les manuels à l'usage des
Français; elle se compose de 28 volumes, dont 7 pour la langue
dUefnande:
Grammaire allemande, plus ]e Corrigé; Petite grammaire
allemande; Lectures allemandes, 3 vol.; Convers. allemandes;
5 pour la langue anglaise:
Grammaire anglaise, plus le Corrigé; Petite grammaire
anglaise; Lectnres anglaises; ConTersations anglaises;
les manuels (avec leurs corrigés) pour les langues ita^
Uenne, néerlandaise, espagnole, russe:
Grammaire italienne, plus le Corrigé; Petite grammaire
italienne; Chrestomatbie italienne; ConTersations italiennes;
Grammaire néerlandaise, plue le Corrigé; Lectures néerlandaises;
Grammaire espagnole plus le Corrigé; Petite grammaire
espagnole; Lectures espagnoles; Grammaire russe, plus le
Corrigé; Petite grammaire russe, plus le Corrigé.
La division à l'usage des Anglais comprettd 36 volumes,
dont 19 pour V enseignetnent de VaMemand et du français:
German Convers.-Grammar, plus le Corrigé; Snpplementary
exercises to tbe German Grammar; Elementary German Gram-
mar; First German Book; German Beader, 3 vol.; Materials
for translating English into German. 2 vol., plus le Corrigé;
German Dialogues; Accidence of the German language; Englisôh.
and German Idioms; Dutch Conv.-Grammar, plus le Corrigé;
Butch Beader; French Convers.-Grammar, plus le Corrigé;
Materials for translating English into French; Elementory
French Grammar; French Dialogues; Italian Convers.-Grammar,
plus le Corrigé; Elementary Italian Grammar; Italian Beader;
Italian Dialogues; Bussian Convers.-Grammar, plus le Corrigé;
Elementary Bussian Grammar, plus le Corrigé; Spanish Convers.-
Grammar, plus le Corrigé; Elementary Spanish Grammar;
Spanish Beader; Spanish Dialogues;
la subdivision grecque renferme:
EIIITOMOS rEPMANIKH TPAMMATIKH (Kleine deatsche
Sprachlehre); rEPMANIKO] AIAAOrOI (Deutsche Oesprftche
fur Griechen).
la subdivision roumaine renferme:
Gramatic& german&, plus le Corrigé ; Slemente de Gramatid
frances&; Conversatinnï francese; Elemente de Gramatiei
german&; ConTersa|innï germane.
la subdivision néerlandaise renfertne:
Kleine Hoogdnitsche Grammatica.
La division destinée à Vusage des Italiens se compose de
13 volumes (trois pour Vanglais^ deux pour le français ^ trois pour
l'espagnol et cinq pour l'allemand):
Grammaticaingrlese, plus le Corrisé; Grammaticaelementare
délia lingiia inglese; éranunatica francese; Grammatichetta
francese; Grammatica spagnuola, plus le Corrigé; G-raminatica
elem. spagnnola; Grammatica tedesoa, plus le Corrigé; Gram-
matica elem. tedesca; Lettnre tedesohe; Conversaziomtedesolie.
Six volumes sont destinés à Vusage des Esp€ignols:
Nouvelle Gramâtica alemana, plus le Corrigé; Gramâtica
sacinta de la len^a alemana; Gramâtica sncinta delalen^a
francesa; Gramâtica sucinta de la lengua inglesa; Gramâtica
sncinta de la lengua italiana.
Trois volumes sont destinés à l'usage des P&i'tugais:
Grammatica allemâ, plus le Corrigé; Grammatica elemen-
tar allemâ.
LtC groupe à Vusage des Allemands comprend la subdivi-
sion anglaise avec les manuels suivants:
Eng'b'sche Konvers.-Grammatik, plus le Corrigé; Englisches
Konvers.-Lesebuch; Englische Gesprfiche; Eleine eng^lische
Sprachlehre; Materialien znm ffbersetzen ins Eng'lische fOr
vorgeriicktere Schiller; (morceaux suivis, de peu d'étendue, avec
des exercices de conversation); Eng^lische ChrestomatMe;
la subdivision arabe renferme:
Arabische Konvers.-Grammatik, plus le Corrigé;
la subdivision dan^aise renfe^'me:
Dftnische Eonvers.-Grammatik, plus le Corrigé;
la subdivision espagnole renferme:
Spanische Konvers.-Grammatik, plus le Corrigé; Spanisches
Lesebncli; Eleine spanische Sprachlehre; Spanîsdie Gesprftche;
Spanische Bectionsliste;
la subdivision française renferme:
Franzësische Eonvers.-Grammatik, plus le Corrigé; Fran-
zOsisches Eonvers.-Lesebnch, en 2 parties; FranzOsisches
Eonvers.-Lesebnch (à Vusage des Écoles de jeunes filles), en 2 parties;
Eleine franzOsische Sprachlehre; FraozOsische Gesprfiche.
la subdivision grec(j[ue moderne:
Neugriechische Eonvers.-Grammatik, plus le Corrigé;
la subdivision honf/roise:
Eleine nng^arische Sprachlehre.
la subdivision italienne renferme:
Italienische Eonvers.-Grammatik, plus le Corrigé; Italleni-
sohes Eonvers.-Lesebnch, ayant essentiellement en vue la langue
Ï>arlée: Italienische Chréstomathie ; Eleine italienische Spraoh-
ehre; Italienische Gesprfiche; ffbnngsstllcke zum Ûbersetzen
aus dem Deutschen ins Italienische;
la subdivision néerlandaise:
Niederlfindische Eonvers.-Grammatik, plus le Corrigé; Nieder-
Ifindisches Lesebnch; Eleine niederlftndische Sprachlehre;
la subdivision polonaise renferme:
Polnisohe Eonvers.-Grammatik, plus le Corrigé;
la subdivision portugaise renfertne:
Portng'. Eonver8.-G^raiii]iiatil[, plus le Corrigé ; Eleine portn-
SriMÎBolie Sprachlelire;
la subdivision russe:
RiUKiiBolie Eo]iyer8.-Graiii]natiky plus le Corrigé; Eleine
nusisohe Spraolilehre, plus le Corrigé;
la subdivision suédoise:
Schwediselie EonTers.-G'raiiimatilE, plus le Corrigé;
la subdivision turque:
TUrkische Eoiiver8.-Grammatik, plus le Corrigé;
N^ous nous faisons donc un piaisir de reconnaître
que cette coUection est aussi bien conçue pour le but
qu^on frétait proposé que réussie dans son exécu^
Uon. Les auteurs y ont dépensé une grande somfne
â^appUeaUon et de travail; et V éditeur a produit f
comme pvJbUcaUon de librairie, une couvre presque
unique en son genre.
Paderbom .... t.
Vêditeur ne cesse de vouer une attention continue à complé-
ter dans tous les sens le cours de ses publications d^ouvrages de-
stinés à renseignement; un certain nombre de nouveaux manuels
sont en préparation.
sS-A.
i
^
: 0» 2 2 -J-i'-
T'