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RKQ
DR RITES
— PRINCIPES
| LAN GUE F RAN COISE .
Auszug A
°
: der noͤthigſten +
Otundfäée. *
der .$
. franzoͤſiſchen
Spraͤche,
hauptſaͤchlich zur Grundlegung'
in den
COLLEGIIS GALLICIS,
fuͤr diejenigen welche die franzoͤſiſche Sprache
nach ibrer wahren Eigenſchaft und Be⸗
ſchaffenheit gruͤndlich lernen ñ
wollen,
abgefaſſet von
|
Iſaac von Colom,
der Weltweisheit D. und oͤffentlichen Drofefor auf be
… Georg: Auguft Univerfitat.
VNeue nach den wabren Gründen der franzoͤſiſchen
Sprache veraͤnderte Ausgabe
Goͤttingen J—
im Verlas der Wittwe Vandenhoͤct 176$. |
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_ MONSIEUR
MONSIEUR.
GÉRARD ANDRE |
DE REICHE, L
SECRÉTAIRE PRIVÉ D'ÉTAT,
Droffard d' IIfeld &c. au fervice de fa Mas :
jefté le Roi'de la Grande-Bretagne,
Eleëteur de Bronfvic-
Luneburg &c,
&
io
MONSIEUR
MONSIEUR.
7 OSSE CHRISTOF.
DE RFICHE,
INTENDANT DÉ LA CHAMBRE |
des Revenus de fa Majefté le Roi de 1a
Grande - Bréragne, Eleëteur de
_ Bronfvic- Lunebourg &a k
2
—*
|
MESSIEURS,
Que peu que le Livre que je me
donne l'honneur de Vous dédier réponde
à l'étendue de Vos lumieres, je n'ai pu
me difpenfer de Vous préfenter un Ou- :
vrage qui Vous apartient à jufie titre.
I doit fa naiffance aux nobles foins que
Vous vous êtes donnés pour lavance-
ment des connoiffances d'une Jeuneffe, 4
l'utilité de laquelle il fut particuliere-
mené compolé.
| _. +3 | Ce
so? 9 CS | 2 ⸗
s 4 ‘ 1 1, + ù
: 5 ss à o ° J e :
4 ° 3 n à 7 20
. FB CS
. Fr... ste
Ce fut fous Vos aufpices,-MEes-
SIEURS, que le deffein en fut forme a Il.
feld; l'exécution ſuivit de près Votre
énéreux encouragement ; & ce fut Vo-
tre Libéralité qui fit paroitre en public la:
prémiere édition de celte introduttion à
la Langue françoife,
Ce prockdé gracieux autorife la bar-
dieffe que je prens de Vous fr, MES-
SIEURS, un Traité que
ocafionnerent alors, & que j'ai pris foin
de rendre encore plus utile par une fe-
conde édition. En voici la troifième,
MESSIEURS, dans layuelle j'ai fait
de nouveaux arrangemens. ‘Toujours
atentif à ce qui peut faciliter les moyens
. &'aprendre la langue françoife, ‘j'ai fait
Ufage des réflexions que l'expérience a
pu me fournir, ES je leur.ai donné le
éour que j'ai jugé ébre le.plus convenable
ES le plus conforme au génie de cette lan- .
gue, pour éviter la méthode qui en con-
fond les principes avec ceux de la langue
datine.
_. ‘Soufrés, MESsrEURS, que mepré-
valant d'ane ocafion fi favorablé, je
Vous renouvelle les témoignages publics
os faveurs.
de ma très-fincere & humble reconnoif-
J Fe Jfan-
x
— nn |
fance.. Vos Bienfaits ne Jortiront ja-
mais de ma memoire; non plus. que la
maniere obligeante dont Vous avés dai-
gné agir envers. moi. Dans la facheufe
éuation où. je. me érouvai à la mort du
Prince mon Séréniffime Maitre Vous me.
fées, messieurs, [la grace de
m acorder la. place. que j ai ocupée quel-
— —
que tems, & ces avantages qui m ont
confolé de mon infortune, & qui onf
fait naitre ceux dont jai le bonbeur de
jouir maintenant. Vous n’avés ceffé
depuis de m honorer de votre eſtime.
… Ces Bontés me rendent Votre rede-
vable à jamais: Elles [ont autant, de
marques decettebumeur-bienfaifante, de
ce caraîtere d’ humanité, €5 de ceite.
nobleffe de fentimens que Vous avés fait
éclater en plufieurs ocafions , €5 qui Vous.
difiinguent fi avantageufement.
A tes Qualités éminentes Vous joi-
gnés, MESSIEURS, une érudition ſoli-
de, une valle capacité. dans les afaires, +
6 tous ces autres rares Talens qui
Vous ont fait confier par un des plus üfes
és des plus fages Monarques que P Hi-
Mſoire puille fournir, les emplois impor-
tans & délicats que Vous poffédes.
Voile,
. Voilà, MESSIEURS, une circon-
ffance qui fait en abrégé Votre Eloge, :
, bien mieux que je ne n'en aquiterois par
des expreffions que je pourrais choifir à
cet effet. Je né cefferai d'admirer Vos
Vecertus, & de Vous donner, MEs-
_SIEURS, en foute ocafiondes preuves con-
vVuaincantes de mon zêle, & du profond
reſpect avec lequel je ſuis,
⸗
MESSIEURS .
- à Gottingue E ao.
Décembre 164.
Votre très = humble
& très -obéiflant ferviteur.
AAC p£ COLOM pv CLOS.
LE
Vorrede.
I DXie Hauptabſicht dieſer Grund⸗
— ſaͤtze der franzoͤſiſchen Spra⸗
SSP che, it, daß man dieſelben
in den Collegiis gallicis, als eine Erleich⸗
terung sum Grunde lege, ſowohl die uͤbri⸗
gen franzoͤſiſch oder deutſch geſchriebene
Grammatiken zu verſtehen, als auch auf
eine gruͤndliche Weiſe die wahre Eigenſchaft
der franzoͤſiſchen Sprache einzuſehen.
J *25
Mau
Dorrede |
| Man Bat bisher ven Wahn ist
daß Die Grammatif gedachter Sprache
nach der Lateiniſchen muͤſſe eingerichtet
werden. Daher hat man Declinationes
oder verſchiedene Artikel, da doch nur ei⸗
ner iſt, mie auch die lateiniſchen Cafus,
als menn man im franzoͤſiſchen fleëtirte, .
eingefuͤhrt. Man hat keinen Unterſcheid
Bey den Modis completivis gemacht, ſon⸗
dern den Poſitivum mit dem Indicativo
verwechſelt, und daher die Copulam que
und andere Woͤrter, nach lateiniſcher Art,
regiren laſſen. Man hat die Tempora
nach dem lateiniſchen Leiſten einrichten wol⸗
len, und die lateiniſchen Benennungen
beybehalten. Viele haben den Syntax mit
vielen Regeln beſchweret, welche bloſſe Fol⸗
gen der wenigen allgemeinen Regeln ſind.
Hieraus und aus andern Einrichtungen
hat man den Zweck verfehlet, den Lernen⸗
den die wahre Natur und Eigenſchaft der
franzoͤſiſchen Sprache zu zeigen, mithin
auch verſaͤumet denſelben den wahren Ge⸗
ſchmack des franzoͤſiſchen Styli in Zeiten
beyzubringen. |
O6 nun gleich verſchiedene Sprachleh⸗
rer, da ſie dieſen Mangel eingeſehen, in ih⸗
ren Grammatiken hin und wieder gent
Ù oo û
Vorrede. | |
daß ſe erkenneten, wie die franzbſiſche Sora⸗
che von der Lateiniſchen abgehe: So habe
ich doch unter den Sprachlehren die ich be⸗
ſitze, und deren Anzahl ſchon uͤber hundert
ſteiget, keine als des Abbé Girard ſeine
gefunden, worin man ſich gewagt haͤtte
Die franzdſiſche Sprache nach ihren Génie
abzuhandeln, auſſer tas der Herr Chanu-
Jet, und die Verfaſſer des franzoͤſiſchen Lan-
gi, ſo jetzt einen andern Titel fuͤhret, an⸗
gebracht haben. |
Ich magete e8 ben der vorigen Ausga⸗
be dieſes Buches auch nicht, von der bishe⸗
rigen Methode gaͤnzlich abzugehen, weil
ich damals erſt angefangen hatte, das Ge⸗
ſchaͤfte zu uͤbernehmen, die franzoͤſiſche
Sprache ju lehren. Da ich aber in meis
nen Collegiis gallicis gefunden, daß ein
Lernender die Gründe dieſer Sprache a
priori gar wohl eingufeben im Stande if,
und alsdann nicht allein die Grammatifen
uͤberhaupt, fondern auch die Begriffe, die
Man ihm von dem franzoͤſiſchen Stylo gies
Bet, wie auch die beſonderen critiſchen Ans
merkungen über diefe Sprache leichter vers
fleben lernet; fo babe id ſolche Lebrart
angenommen, und babe erfabren, daß
man dadurch in kurzer Seit ſich einen bin,
| laͤng.
Dorrebe,
laͤnglichen Begrif von den wahren Grund⸗
ſaͤtzen der franzoͤſchen Sprache zu verfhaf:
fen, und jugleith einen gruͤndlichen Vor⸗
ſchmack von der Richtigkeit, Deutlichkeit
und Nettigkeit der franzoͤſiſchen Schreibart
bekommen koͤnne; ſo daß man alsdann in
den Collegiis ſtyli mit teichter Muͤhe fort:
kammt, zu deren Grundlegung ich meine
Réfiexions [ur le ſtile verfertiget babe.
Ich gehe daber in diefer neuen Ausga⸗
be meiner Principes de la langue françoi-
Je denfelben Weg, von dem ich im Vtert
Cap. jetztgedachten Handbuches und ju
Anfang meiner erausgegebenen Uebun:
gen Der franaôfifhen Sprache, einen
kurzen Begrifoorgeftellet babe. 96 id nun
gleich dieſe Principes nicht raifonnés betis
telt babe, fo wird doch der unpartheyiſche
Leſer leichtlich urtbeilen Fônnen, ob Ben
dieſen Grundſaͤtzen das Gedaͤchtniß mebr
zu thun habe, oder die Vernunft. Jedoch
habe ich die Conjugationes, welche eine
Sache des Gedaͤchtniſſes ſind, durch meh⸗
rere Tabellen zu erleichtern geſuchet, und
ich weiß auch aus der Erfahrung, daß mei⸗
ne Dispoſitio und Derivatio Temporum
eine merkliche Erleichterung demjenigen
verſchaffen koͤnne, der ſich die Muͤhe
| ges
Dorrede
geben will fi ſolche recht bekannt ju
machen. | , -
Es (ind zwar viele Neben : Anmerfun:
gen mit eingefireuet worden; allein viele
derfelben,- wie auch ganze Aufſaͤtze von
Subftantivis, Adjettivis, Adverbiis,
gewiſſen Verbis, und dergleichen, find
weggeblieben, weil dieſe Liſten, ais bloſſe
Vocabeln, zu meiner Abſicht, ein Leſebuch
zu den Collegiis herauszugeben, nicht ge⸗
bôreten. Man Fan ſolche in dem franzoͤ⸗
ſiſchen Langio finden, welche unter aller
Grammatiken die vollſtaͤndigſte iſt; und
die ich zu dem ebengedachten Endzwecke,
wie auch wegen der vielen critiſchen An:
merkungen, nebſt der zur Anwendung der
Grundſaͤtze dazu gehoͤrigen Grammaire
pratique, als gwen Repertoria empfehlen
Ban. Erſtere ift von neuem aufgelegt und
fübrt jest den Titel: Verbeſſerte Gram-
maire raifonnée &c. ich Babe fie mit Sr. L,
ângefubret.
Der geneigte Lcfer molle die eingeſchli⸗
chenen Druckfehler, die er, auflec den .
hinten Bemerften, etwa noch finden follte,
guͤtigſt verbeffern. Man hoffet uͤbrigens
durch dieſe Arbeit ſo wol den Lernenden,
als auch den Lehrenden, welche Colle-
| ga
Vorrede.
gia gallica theoretica und practica zu
halten pflegen, einen Dienſt gethan zu ha⸗
ben; und man iſt bereit fernerhin guten
MRath und Verbeſſerungen dankbarlich art
zunehmen. Sollte dieſe geringe Arbeit ets
nigen Nutzen ſchaffen, wozu man den goͤtt⸗
lichen Segen wuͤnſchet, ſo wird man den
allervornehmſten und wichtigſten Zweck,
den man ſich, wie es billig iſt, bey dieſer
Arbeit vorgeſetzet hat, erreichet haben.
Goͤttingen den r5ten December
| 1764. :
Die citivten Buͤcher (ind folgende. |
. : Gt. L. Grmuôfifher Langius &e. Dalle 17435 -
jetzt aber: Berbefferte Grammaire raifonnée &c. nach
der Methode und Ordnung der Langifhen Orammarif. :
eingerichtet. Dalle 1758 | |
. — Grainm. prat. Grammaire pratique, welche die
Anwend. Der fr. Sprachlehre in Er. scigt Dalle 1757.
. ‘Gr. Les vrais Principes de la langue françoile,
par À Abbé Girard, à Amit. 1747. | |
| _‘ Grim. Nouvelle Grammaire reduité en tables.
&c.-pat Mr, de Grimareft, à Paris & Bruxelles 1721.
| - ÿ. P. La véritable Politique des perfonnes de
.- Qualité &c. {par M. de Callierés }, | L
MNneine Buͤcher werden alſo citirt.
Uebungen find meine Uebungen zur Anwen-
dung der Grundſaͤtze in der Wortfuͤgung und Schreib⸗
art der fran, Sprache ꝛe. Goͤttingen 1761. |
Ref, Réflexions fur le file, & en particulter
fur celui des lettres &c, 4e. Edit. à Gotting. 1263.
, Mod, Modeiles de Lettres fur toutes fortes ‘de |
ſujets 8. à Gotting. Ire Ed. 1760. nouvelle Ed, 1764,
— In⸗
Inhalt.
Abth. Von der Ausſprache und *
Rechtſchreibung. Ppag
1. Cap. Bon der Ausſprache V
I = on ben Unterſcheidungszeichen z3
Ni » Bon der Rechtſchreibung 40
2. Abth. Bon den Grundſaͤtzen der Spra⸗
che in Abaͤnderung der Woͤrter und in
deren Gebrauch bey der Wortfu⸗
gung.
I. Cap. Von den Nominibus
as
U. = Yôn den Præpoſitionibu⸗ 80
ti. = Von ben Pronominibus 99
IV. -Von ben Adjedivis | 128
V. - Son ben Numeralibus | 149
VL - Von den Verbis | 158
1. Abſchnitt von ben Veraͤnderungen in
ben Verbis. 158
uU, Von den Verbis Auxiliaribus 208
IIi. Von den Verbis Adivis | 237
1V. Vo beu Verb. Paſſiv. u.Reciproc: 249 *
V. Neutra und Imperfonalia 267 .
VL irregularia und DefeQiva 276
VII. Cap. Von der Conftruétion 309
3, A0,
Inhalt. |
3. Abth, Folgen, Erlaͤuterung, Anmer-⸗
| fungen, Regeln und deren Anwen⸗
dung in Anſehung der Wortforſchung
‘und der Wortfuͤgung
XL Cap. Bon den Nominibus Subft. 337
E Abſchnitt von der Vorſtellung ber Subit.
nach den Begriffen. 337 :
IL, + Vom Cafibus und Præapoſ. 361
III.- Einige Anmerkungen uͤber die
Præpoſitiones 404
II. Cap. Von den Pronominibus 414
1. Abſchnitt von ben Pronominibus uͤber⸗
haupt. | 414,
II, - beſondere Anmerfungen uͤber eini⸗
ge Pronomina 433 :
-. A Cap. Bon den Adjedivis | 47
| IV, Von den Verbis . 459 ‘
= À Abſchnitt von den Modis, 459
| U. = von ben Verbis Paff, Rec, .
| Neutris unb Imperf, 4909
V. Cap. Von der Conſtruction 504
— 2
Erſte Abtheilung
der Ausſprache und der Recht⸗
ſchreibung. |
Das I. Capitel
von der Ausſprache.
| $. 1. .
Von den Pr aͤberhaupt.
Da
tau(w)xyz
I. Die Buchſtaben welche hier mit Curſiv-Schrift
gedruckt ſind, gehen zum Theil von der Deutſchen Aus⸗
ſprache ab, hum chei iſt nur etwas dabey zu bemerken.
Die andern ſind wie im Deutſchen.
2) Man muß ſich inſonderheit uͤben, bey dem
e, g, j, h, dem ſtummen e, dem u, wie auch ben
bem eu, ur, gn, oi, und bem flieffenden 1, die
die rechie Sprache ju go F
+ 2°
2 Ga Aueſpr. der Sebſt⸗ u. mitlauier.
§. 2
A) wegen der Ausſprache ſind zu |
bemertent :
a) Rolgende pre Selbſtlauter):
1) |
Dieſer Buchſtabe bac drey Haupt⸗ Aus⸗
ſprachen:
Wenn ein Accentus acutus (ein tri von .
der Rene sur Linken)) drauf ift, ſo wird
es ausgeſprochen wie ein deutſches e odet eh.
Als témẽérité, été.
Wenn ein Gravis ( vor der. Linken zur
Rechten, oder ein Circumflex, welcher im Grany. |
. Alfo ausfichet ">, brauf ift, fo lautet es wie a
in den beutfhen Woͤrtern: die dcfer, ein Baͤr,
eder ſelbſt, ich erklaͤre. Als après, bête,
Wenn nichts drauf ſtehet, fo iſt es ſtumm,
… und mirb nicht gehoͤret; als wenn man im Dents
ſchen lieſet: er lieb't, ihr hab't, er ruh t. Als
Dame, malade, fera.
CNB. Bou dieſem Buchſtaben fiche S. 1H)
2) J. J
Das sift int franzoͤſiſchen lang, und lautet
wie das Deutſche ie, in die. Als fini, finire,
inimitable,
Not, a) Es muß wohl vom ⸗ unkerſchieden werden. .
b) Es muf nicht flat j geſekzt werden.
ER
Ausſpr. der Selbſt⸗ u. Mitlauter. $ 2. à
3) D. :
u wird gelefen mie G; nicht aber fo mich als
bas weiche à in über, fügen, fonbern bärter,
| wie in Tuͤrk, Tüde, Gluͤck, büpfen. Als
bu, futur, tu. (1). |
- Not, Die Ausfprade muf deswegen recht
tein und hart fepn, bamites vom 2
wohl unterſchieden werde. Als dure
(batt} dire (fagen); lit{ Bette),
lat (Haute); tirelire und turelure,
St. L. P. 53 |
| : Das iſte Erempel,
témérité liberté été après
bête prèté dame malade
fera finira fini inimitable :
futur vu, vue mutilé luftucru
brulure tirelire turelure culbuté
. dire dure lit lüt
À 2 | g. 3*
Folgende Anmerkungen {nb die noth⸗
wendigſten; die uͤbrigen uͤberlaͤſſet man
dem Decenten, nach der Faͤhigkeit ſei⸗
ner Scholaren zu machen,
(1.) a) Das u iſt bald lang bald kurtz, als vu, vue,
| Turc, culburte.
b) u iſt ein Vasalis, v iff cit Confonans, man
innß daber fie nidt verwechſeln, wie éinige
im lateiniſchen thun. Nicht viure, r'aui, eua-
dé, vne, vtile, qui, fois ſchreiben; ſonderu
| vivre, ravi, évade, une, utile, qui; fuis
t
_#. -$ 3. Auoſprahe der mitlauter.
O. 3. :
b) Solgende Confonantes (Hautes )..
1) C.
c vor s, o und u, wie im Deutſchen k. Als car,
cocu (2).
c vor einem Confonante, und am Œnde der Woͤr⸗ |
* ter au tie k. Als clé, cri, avec, pic, fac, .
_ Duc (3).
cvote und i tie das deutſche ß. Als ceci, cela, -
placé, précife. (TBie im Deutfhen die Woͤr⸗
.: ter: Füü⸗ße, Schlie⸗ßung).
ç (mit einer cédille, oder das geſchwaͤnzte ç), |
auch wie ß. Als façade, leçon, façon, recu.
chivie ſch. Als charmé, charmant, cher, chofe (#e |
2) | G
s) Das g bat eine barte und cine ziſchende Aug
fprache. Die parte iſt vor a, o, u, und eini⸗ |
gen
. @) In fecond und canif, lautet es wie ..
(33) a) In ſecret und nécromant lautet es wie 8.
Man ſchreibt auch négromant. -
/
b) Wenn am Ende ein n vorhergehet wird es nicht
gebôtet, als blanc, tronec&cc.; auch nicht in
almanac, eftomac, tabac: Wenn aber ein
Wort bdrauf folget, das mit einem. Vocali
anfânat, ſo wird es mitgenommen; als efto-
mac échaufé,
(4) ch lautet mie ein k wenn ein Confonans folget.
als Chriſt; tie and in einigen griechiſchen und
bebräifen Wortern, als Bachus, Echo, Cher-
fonèfe, Joachim.
Ausſprache der Mitlauter. F. 3. 5
gen Conſonanten, die ziſchende vor e und i:
Allein es iſt ein halb gelinderes und laugſame⸗
res 3ifenals «b oder ſch. Als gène(Swang),
chêne (ice) (5).
g vor a, o, u, nicht fo hart als das k, auch nicht
durch die Kehle, ſondern wie in dber⸗ ⸗ Deutſch⸗
land g ausgeſprochen wird. Als garniſon, à
gogo, ambigu, agathe.
g vor einem Confonante eben fo. Als glace, gra-
cé, gros, garçon.
g vor e, und i helinder als ſch, «@ù zuruͤckge⸗
haltener Luft). Als page, logis, religion.
D) Will man ga, go, gu.sifhenè haben, fo ſetzt
man cin fiummese darzwiſchen. Als von lo-.
ger fommt logeons, logeant, von gager, ga.
1 geure, |
e) Will man ge, gi, bart lautenb maden, fs
ſetzt man ein ⸗ darwiſchen. Als von long
kommt longue, alfo auch guide, Daber wird
gué, gui, gelefen wie das barte g (6) und gea,
geo, geu, gelinber als fc, À fébleppend.
gn, tie # und ein darauf folgendes ſehr kurtzes
und ſtummes, als ligne mie im Deus:
{ 3 ſchen
(5) £ lautet am Ende wie ein k und wird geleſen, als
joug. bourg. Iſt aber am Ende ſtumm, wenn ein
n vorhergehet, alé long, fang, auffer wenn es
au dem folgenden mit cinem Vocali anfangenden
Worte genommen wird, als long efpace,
(6) Sn den ri die von aigu berfommen wird
L gelefen wie gw, als in aiguille, oder éguil-
éguifer, éguillon &c.
—
6 63. Ausſorache der mitlauter.
ſchen Linie, alſo auch eſpaxnol, campague
(7). Der Vocalis vorher muß ruhen, li-gae,
lor-gné, cam - pa - gne, di- gne.
3) J. ee
jwird vor allen Vocalibus geleſen wie das gvor
- und i. Als joli, Jacob, juite, Jeſus 8).
+ 4) Se ‘
{tm Ynfange der Sylben, wenn ein Confouans
odoorhergehet; mie aud im Anfange der Woͤr⸗
ter, tvitPaclefen eben wie das ç vor e und i,
das iſt wie ß. Als perféverer, obferver, fti-
"le, fans, fanté, fervi, fpiriuel,
ſzwiſchen zweenen Bocalen lautet wie ein gang
gelinbes f, (fo wie das fran. 3). Als pri-
fe ofé, réſolu, rafé, miſérable (oh |
9)
—— —
(7) ga wird in à tatciniféien Bitte gelefen wie im
Lateiniſchen, alé Gnome, ignée, incognito,
In figner und fignifier aber als menn kein e
da waͤre, Caud in progndſtiquer).
(8) ar muß kein à anftatt j ſetzen. Nicht ie, déia,
tetté, féiour, ſondern je, déja, j jetté, féjour
(0) Mon dem Lift zu merfen:
2) Daß es zwiſchen zweenen Selbſtlauter dennoch
wie ß lautet, in deu zuſammengeſetzten Woͤr⸗
tern, wenn bag Stanm « Bort gebraͤuchlich
iſt, als préféance, déſaiſir, préfentir, re.
fouder, wiederloͤten wie rßudeh; rélqu-
dre eneſchlieſſen, 6 wie —J
b) Yu
eq, —
Le dem.
Aus{prashe der Mitlauter. $. 3.
59) 7T. |
tlautet wie ß, (oder wie das franz. c vor e,
und i), wenn es mitten im Worte vor einem
À flebet, nad melhem ein Vocalis folget.
Da nemlih , wo man ès im lateinifiben wie
3 auszuſprechen pfleget (1). ‘As nation, .
réfolution, Dalmatie, Galatie, action, Dio-
clbétien, portion. |
Ausgenommen —
a) In den Woͤrtern, die auf tié, und tier
ausgehen. Als amitié, héritier.
b) In ben Woͤrtern, welche von folhen abs
flammen, da das t feinen natürlihen faut
bat. Als don parr, partir, fommt partie,
. partions, partiés; von fortir kommt for-
tions, fortiés; von êrre, étions &c
À 4 | - 9 In
—
pen
) In den Dartifen, welche das Binde /Wor
que nach ſich haben wird s geleſen, als in
lorsque, presque, puisque, jusque, Bent
aber die Woͤrter mit dem Artikel oder cinem
Pronomine zuſammengeſetzt find > fo wird s
verſchwiegen, als lesdits, lesquels, desquels,
Mesdames, Mesdemoifelles.
c) s iſt am Ende ſtumm, als permis, abus; auch
in franzoͤſiſchen Nominibus propriis, als Pa-
ris, Thomas, Jéfus- Chrift, Mars (der Mo⸗
nat Mertz): In fremden Namen wird es
gehoͤrt, als Atlas, Iris, Phillis, Mars (der
| Gott Macs).
(rc) And wird es wie ß gelefen in prophétie, chi”
romantie cc,
{
8 3. Auefprache der mitlauter.
c) In den Woͤrtern die von den lateiniſchen
kommen, wo das t bart iſt. Als portions,
portiés, portiere, von porrare, porta ; tien
von tuus; queftion, mixtion, von quæſtio,
mixtio; Sebaflien, Chrètien, von Sebaſtia-
aus, Chriflianus (11),
& V. I
v wie das deutſche w, nur etwas fanfter. Als
vivre, valet, vivacité, venir (12).
«
CT Xe.
x tir gelefen: —
1. Insgemein wie im Deutſchen, als excu-
ſe, extaſe. | oo
2. Zwiſchen einem e im Anfange und einem
Vocal mie gs, als exil, examiner, : |
3. Um Ende eines Wortes, iwelhes zu dem
folgenden mit einem Vocal anfangerden
Worte gezogen wird wie ein gelindes f,
ais dix écus. | | |
J 8)
— —
(ur) Die Woͤrter io ri tie Bi geſprochen wird, ſind
ſolche die von lateinifhenfommen, wo die Deuts
fhen das si tie si ausfpreden, und die fid in
tia, tianus, tiens, tio, endigen, als Egiptien,
licentie, ineptie, patient, patierce, dévotion.
Sr. L. pe ST. .
12) Man muf im Anfange der Woͤrter Feiu v finté
: u ſetzen, als union, nidt vnion. ©. mer, s.
Ausſprache der Mitlauter. $. 3. . 9
8) . Z.
2 tpie ein gang gelindes f, (rie im Deutſchen
ſauſen). Als zéro, zêlé, zéphir.
Not. Um Ende ift es ſtumm, als donnez,
Das e fo vorbergebet, muß wie eh aus:
gefprochen werden, obgleich fein Strich
. barauf fteben bdarf. $.12., als donnez,
lifez; manu thut aber beſſer, wenn mag
ein és machet: donnés, lifés.
| Se. L. p. 37. fega.
9) Aus dem vorbergebenden erbellet, bag |
ce, ci, bas geſchwaͤnzte ç bas von Anfang, und
nach einem Confonente, und das ti wo es im
lateinifen wie zi fautet, einerley Ausſprache
baben. Gerner das f tvifchen zweenen Vocali-
bus und bas z. Wie aud ge, gi und das j.
Das 2te Crempel.
. ca cé ci co cu cha ché chi cho chu
GA ce ci Go cu fa fé fi fo fu
ZA ZÉ 2i ZO zu ofa ofé ofi ofo ofu :
gea gé gt geo geu ja Jé Ji jo ju
ga gueguigo gu' va VÉ vi vo vu
‘gla glé gli go gla ſta fé ſti fo flu
gra gré gri gro gru gna gné gni gno gnu
a-gua a-gné a-gni a-gno a-gnu,
— 4 5. Das
Es.
10 $.3, Ausſprache der Mitlauter.
Das 3te Erempel.
er. eocu clé. ci avec pic
fec Duc ceci cela “placé . précife
façade ‘facon lecon ‘regu cher charmant
charmé chofe j'ofe page logis logé
logeant logeoris religion L gager gageure à gogo
gamnifonagathe ambigu gros glace. grace T
garçon longue langue guide guerre languir
juſte Jéfus file sbftenir obferver fanté
fervir fans fpirituel prife ofer . pérféverer
qufé rafé miſerable réfolu fel ftation-
Dalmatie prophétie Galatie. action nation
portion amitié héritier tien mixtion
chrétien vivacité vivre - valet venir
excufe explication exil ‘ exalté dix écus
zêlé Zéro. zephir donnez lifez
ignorant réghant digne ligne compagnon
efpagnol gagner grogner. gruger ignominie
8. 4 |
de Confonantes (Mitlauter) und das y
zuu bemerten, |
1) H,
h wird nidt gebôret, ais habit, habile, honnète,
homme. |
, *
H) Wegen einiger Abweichung find folgen- |
Auſſer
À
| | k
Ausſprache der Mitlauter. 6. 4. 11
Auſſer in einigen Woͤrtern ſo nicht vom lateint-
ſchen herkommen (13).
. ®) L.
Lwirt 4) in cinigen Woͤrtern nicht mitgeleſen,
darunter vornemlich folgende viere zu merken
il, er, im plur.ils, ſie.
le fs, der Sohn. quetque, einiges (ra).
Als il die ils font xc. fies : 1 Qi, i ßong, le fi,
Lei
Wenn ein Vocal folat, wird bey ben 3 er⸗
ſten das l oder s mitzugezogen, als il à.
b) Flieſſend, als fille, famille, davon ſiehe
6. 9. |
3). »* M. N. |
m und o am Ende einer Sylbe oder eines Wor⸗
tes, lautet et (af wie ng, gelinde, und machet
. einen
*
— — —
J 3) Die Woͤrter da Das h flurm if, fonmer ings
gemein aus dem lateiniſchen. Dicjenigen wo
das h cin menig angeſtoſſen wird kommen meh⸗
rentheils aus bem deutſchen und hollaͤndiſchen,
aber es find fremde Pamen. Da aber die Fran⸗
zoſen keinen Buchſtaben mit einem Hauch oder
aus der Kehle ſprechen, ſo iſt es hier nur ein
Schleifen fo kaum merklich, als le héros, la
hariee véhémenr, (tic webmang). Sr.
L. p.43
(14) Unter ben 16 bie 20 Woͤrtern, de das I nicht
gehoͤret wird, ſind, auſſer obigen 4, noch fol:
gende biebetannteften: baril, fufil, gentik, nom-
bril, outil, fotrcil. Die andern kommen ſelten
ver, Sr. L, P. 44 |
12 6. 4 Ausſprache der mitlauter.
einen Vocalem naſalem, alé bon, mon. Da:
von handelt der folgende S..9. |
4
q ſtehet nie ohne u, und wird biefes qu geles
fen wie. ein k. Als qui, quand, quiconque,
quelque (15 |
5 K.
r wird nicht geleſen: \
1. in notre, votre, quatre, wenn ein Adjeäi- ·
vum oder Subftantivum brauf folget, das
mit einem Confonante anfängt. Als notre
père, notre mère, quatre perfonnes.
Nour, Daber braudt in dieſem Balle n notre
und votre Fcinen Accent,
2: Um Ende der Woͤrter, welche auf er und
ir ausgeben. Als donner, porter, portier,
berger, fini, plaifir (6. 17).
St. L. p.48.
3. In Monfieur, J
J Das
pts
(15) Um Ende findct man das bloſſe qin à Woͤrtern,
cinq, fünf, und coq, der Babn. In coq
‘d'inde iſt es ſumm.
In einigen aus dem lateiniſchen genommenen
Woͤrtern lantet qu faſt wie im Deutſchen. Als
équateur, é éq ueftre, quadrupéde, quiétifte, quin-
quagéfime, in guarto, fo auch in frembden, als |
Quaker. Sr. L, p. 47.
(r6) Die Woͤrter in er, in welchen das r finale ges
boͤret wird ſind |
, ? 1) die
Ausſprache der Mitlauter. §. 4. 13
6) v. |
y wird tie 1 qelefen. Zwiſchen 2 Vocalen aber
faft wie cin deutſches j. Als ayant, rayon,
rayons, wie ajang, rajong und réjong.
Das ate Érempel.
Ha, he, hi, ho, hu, homme, honorer, habit, ha-
| bile, honnète.
il dit, il donna, ils font, ils parleront, le fils gâté,
quelque chofe, quelques livres.
il a, il écrit, ils ont, ils iront, le fils obciſſant.
quand, quel, qui, quelque, quiconque, quator”
ze, qu' on.
le nôtre, notre père, le vôtre, votre frere, quatre
perfonnes, |
donner, aportér, écolier, berger, finir, bâtir, plai-
ſir, venir, y, yvrogne, ayant, rayon,
, $. 5.
ms#
3) Die fremben nomina propria. Als Luther, Ju-
piter, Abner,
3) Golgende 12. Nemlich:
3 WVWoͤrter in ier : hier, fier, aîtier.
3 Adje@iva: cher, amer, leger.
3 Einſhlbige Subftantiva : fer, mer, ver,
3 Zweyſylbige Subitantiva: cancer, enfer,
hivet.
(17) Die Woͤrter in ir, wo das r gehoͤret wird, find
diefe 6. Défir, foupir, martit: Nadir, Saphir,
Zéphir, Auch in cuir, Sr. L. p.48.
14 6.5 Pocales nafsles.
$. 5. v
Von den Vocalibus nalalibun
1. Vocalem naſalem (einen Naſen-Vocal)
nennet man einen Selbſtlaͤuter, der mit dinem
darangebundenen m oder n, am Ende einer Syl⸗
be oder Wortes, wenn ein Confonans darauf.
folget, nur einen Gelbft: faut-aubmathet, und .
durch die Naſe gcftoffen wird. Als an, on, grand,
champ, bâton, langue, . long longue, banque, :
Etudiant, bonté, noh, nom. |
2. Vornemlich muß man ſie vor den Buch⸗
ſtaben, die wie ein gelindes oder ein ſtarkes ſ,
wie auch vor denen, welche wie ſch, oder faft fo .
lauten, recht ausſprechen lernen; und ſolche
Woͤrter ja nicht nach lateiniſcher oder deutſcher
Art ausſprechen. Als once, onze, confidération,
ponſer, conſoler, Donzelle,.ahge, danger, ron⸗
ger, bronchet, mahgeons, manchon,
3. Wenn ein Vocal barauf folget, | fo ziehet
man das n in feinem natuͤrlichen faute ju dem
Vocali. Als union, âne, ànon, trône, mon ami,
ron avis, on ÿ Va, En allant.
4 Auch bebalten m und n ihren natuͤrlichen
faut, wenn fie doppelt find. Als flamme, grams
| maire, annoncer, bonne année,
5. Man hat folgende Vocalésnäfèles; wobey
zu —5 daß das g ſo am Ende der Ausſpra⸗
Na
enklaug anzeigt.
che * iſt, gantz gelinde iſt. und nur den |
.
| am,
; | \
Vocales nafoler. .S$. , 1$
am, an, om, on, werden gelefen, wie ang, ong, /
gelinde. |
em ind en wie ein gelindes ang. Als empire,
entendu (18:19)
+" Nota, In der britten Perfoh{plurälis Verborum |
iſt ene ſtumm, als ils portent, ils diſent
ien-tie ein gelindes jeng; als bien, rien (20).
im und in wie ein gelindes eing; als Olimpe,
vin (21).
um und un wie ein gelindes ongz als humble,
brun. |
| - Das
- — — —e — — —
2 2 3 é CE | £ « =
(18) Fremde Woͤrter in ent und en behalten den Laut
dese, wie im Lateiniſchen; als Jérufalem. exae
men, amen, Caldéen. .
(19) Wann auf das en die Buchſtaben se folgen, ſo
klinget es wie fm Lateiniſcheu; als enrremi, ga-
renne, que je prenne.
In compoſitione wie a; als s’ennivter,
emmener. W
NB. femme, nenni, hannir, lauten auch wie
| a. femme, nanni, bar hi.
(ao) ien wird mie jang gelrſen, wenn ein € oder ein
t drauf folgt ; alé audience, expérience, patien-
ée, fapience, fcience; Orient, patient, expé-
dient, inconvénient, à bon éfcient, Sr. L.fpi14.
(23) Bou Anfang cines Wortes, wenn ein Conſo-
nans braut folget, wird im und in gekeſen faft
n wic ing; als imbu , inéapable, impoſſible, ins
\ convénient, infini. (Inde lautef ic Eingde).
In den lateinifhen Woͤrtern blcibet der la⸗
teinifche Ton; als ad interim, himne, gimnas
fe, index, in folio, in quarto,
. À
1
16 *. 5. Vocates nafaler.
Das ste Erempel.
jambe, tomber, grand, rond, bon, bâton, camp,
long, longue, champ, non, nom, étudiant, ane, :
oOn a, ‘“ânon, mon ami, flamme, annoncer,
. . bonne, année, à |
. tems, dent, entendre, empire, cendre, enfemble,
en allant, ennui. (ils portent, ils donnent, ils |
difent, ils firent. ) | |
bien, rien, combien, chien, le mien, la mienne,
bien écrit. .
vin, olimpe, brin, enclin, imiter, irifmitable, ex-
primer, badine, innocent, immédiat: :
un, brun, parfum, humble, alun, chacun, chacune,
parfume, une brunette, une plume, unir, union.
once, onze, bronze, bronche, mange, manche,
ange, fonger, danger, plancher, panfer, Don-
zelle, mangeons, maachon, confolation, men-
. -.tion, préférence, invincible, mince, prince,
princefle, quinze, rinfer, Belfunce,
oo §. 6,
Don den nôthigféen Diphrhongir; ſowohl
: Doppellautern als sufammengefisten .
Mitlautern.
* Eigentlich waͤren nur oi, ui, mie auch ia,’ ié,
uud Deraleiden, mabre Diphthongi, Man
verſtehet bier aber die sufammengefesten Vo-
cales, wovon einige auf i cinige auf u aus⸗
gehen. Wenn na den erſtern ein n fa
| To s
Don: dent Diphrhongir. (. 6 17
ſo nennt man fe Diphrhongos naſales. Que
let bat man. das flieffende 1, (welches ein
1 vor fi bat), mitgenommen (22).
a) Die auf i ausgehen: ai, ei, oi,
ai lautet wie à. Als mais, plaire, contraire (23).
Am Enbde eines Wortes wird es gelcfen wie
ein deutfhes kurzes e. Als j'ai, je parlai, ,
je parlerai (24).
ei tie aͤ. Als reine, peine, heige, peigne, feigle.
oo oi
adm“
(22) ae und oe tverden jedes beſonders auggefpros
en; als aeré, noel, poete ; Das æ der Lateiner
und Deutfhen bat man im fr, nicht, manfest
dafuͤr ein €; alé Egipte, prélent. Vor diefem
fhrib man Oeconome, oecuménique, jeft
_ économe, écuménique, Einige freiben noch
boete, coeffe, poele, welches wie oi gefprochen
wird; jeft freidt. man boite, coiffe, paile,
Se. L. p. 12. 28. . Bon den Übrigen mabren
Diphthongis fiebe Reflex, 6. 185.
© (23) aï in der Mitte, mo es die Sylbe ſchlieſſet, und
eine im Son ffeigende Sylbe folget, ift nicht fo
. belle als à, fundern obngefebr wie das deutſche
ſcharfe e; alé aimer, aider, raifon, maifon, plai-
fir, faifir, aigu, Was von aigu herkommt wird
jat mit é geſchrieben; als éguille, éguifer, &c.
In faifant, faifois, wird ai nicht gehoͤret, wie
ein ſtummes e; f'ſang, f'ſaͤb. Fr. L. p. 12. 13.
(24) In dieſen 3 Woͤrtern wird ai ant Ende wieaͤ
geleſen: vrai, effai, délai, Sonſt muß man den
Unterſchied zwiſchen parlai und parlois ; parlerai
and parlereis &e, wohl bemerken.
B
J 13 $- 6, Don des Diphibongin.
ai faft wie oaͤ, aber in einer Sylbe zuſammen.
Als Roi, moi, poiflon, voir, Danois (25.26).
Ausgenommen tie ä, in folgenden Gé:
{en, in welchen V oltaire, und andere neue
re Schriftſteller jebt ein as ſtatt os ſetzen.
1. In ben 3 Verbis croitre, connoitre, pa-
roitre, und was davon herkommt; als con-
noiflance, reconnoiflance..
2. In den Perfonen Der Temporum die feine
Præfentia find; als j’avois, tu étois, 1l pare
doit, je ferois, Îls avoient, ils ſeroient {27}.
3« In einigen Voͤlker⸗Namen; als François,
Anglois, Ecoflois, Irlandois, Hollandois,
Polonois, Milanois, ançoife, angloife &c.
(28).
ut-
mm
(25) oy wird etwas geſchleppet, aléjoye, und wenn
es zwiſchen zweyen Vocalen ſtehet wird es geleſen
faſt wie oaͤj, als voyant, royal.
(26) In pronunciatione oratoria lautet oi mehr
nach oa, als nach où, aber ſehr geſchwind in
einer Shlbe.
6 7) Diefe Tempora find das Præfens relativum und
das Futurum oder Tempus conditionatum. Gic
gehen aus auf ois, oi, oient ; bag leztere bat
ein r torber, rois, roit, roient,
(28) droit, adroit, endroit, étroit, froid, roide, foible,
und harnois, auch wohl je fois, lauten im gemeinen
Reden, und wenn man geſchwinde frs oder
liefet tie aͤ
Don den Dipérhegis. ‘$. 6,7. 19 *
ni tie di, aber zuſammen in einer Sylbe. Als
lui, nuit, je ſuis, puisque (29. 30).
Fr. L. D. 12. 13, 25. 29. 33
Das te Erempel.
maïs, fait, clair, vaine, faine, faigner, l’air,
j'ai, je dirai, donnerai, férai, parlai.
peine, pleine, peigne, reine, treize, feize, ſeigle.
moi, toi, foi, fois, voir, croire, moine, bois, poifon,
poiffon, boiffon, j joye.
| croitre, paroitre; connoitre, reconnoiffance. _
j'avois, tu avois, il avoit, ils avoient, je ferois,
lui, la nuir, je fuis, füivre, cuire, celui, bruit,
conduire, l’huile..
b) Die aufuausgehen; au, eau, eu, veu, ou,
au und eau, wie O oder oh. Als autel, faure,
beau, taureau.
eu und œu, wie 0. Als feu, Dieu, pleurer, vœu,"
nœud (31).
NB, Wenn ein f, oder 1, oder r nach eu die
Sdhyulbe ſchlieſſet, fo lautets als ein belles 6.
Als neuf, bœuf, feul, leur, cœur. Alſo
auch à jeun,
ou tvie 1. Als fou, nous, vous, pouſſer, boue.
Sr. L. p. 14. 25. 26. 31.
— Ba22. Das
(29) uy wird etwas gezogen, ohngefehr wie uͤij; als
fuye, fuyant, apuyer.
(30) ui iſt zweiſylbig in ruine, winer.
(31) eu tie uͤ im Anfange der Woͤrter; alé Euros
rope, Eugene, heureux: Alſo aug in eu, j'eus,
und jeuſſe |
20 S. 7-8 Don der Diphthongis, |
Das Jde Erempel. |
au, autre, jaune, j'aurai, autel, faute, taureau, _
beau, beauté, chapezu, tombeau. —
feu, Dieu, pleurer, veuve,- vœu, nœud, jeune, ?
le jeu, bleu,
œuvre, neuf, bœuf, feul, demeure, cœur, four,
” fleur, leur, fureur, ferviteur, à jeun.
nous, vous, boue, cou, coude, fou, cour, ja⸗
Joux, louer, louvre, pouſſ.
$ 8.
9 Die auf » ausgebèn , oder Diphibongé *
nafales, aim, ain, ein, in.
aim und ain, mie aͤing, gelinbe durch die Naſe. |
Als faim, pain.
ein eben fo wie Sing. Als plein, feinte (32).
oin faft als oding, in einer Sylbe. Als loin, foin.
SFr. L. ps 13. 29. 29. —
Das
t
(32) Den Unterſcheid in der Rechtſchreibung zwiſchen
in. ain, aim, und ein. fann man aus der Abſtam⸗
mung der Woͤrter aus dem Latriniſchen finden, .
Als vin von vinum; vain von veus; veine |
Don vena; fin VON finis; faim von femes; pin
bon pinus, pain von paris; plein bon plenuss
plaine von plans. So iſt eg and) mit am, an,
und em en; als commander Von smenderes
recommendes von commendares
— À
. =
…
Ausſprache der Bubffaben. $. 9. 21
| Das Ste Erempel.
Faim, pain, bain, plainte, fainteté, contrainte, vain,
reins, plein, feinte, ateindre, ceint, ceinture,
deffein.
loin, foin, pointe, moins, coin, joindre, foin,
befoin, |
| . 9, |
! Von. dem flicffendben L
ail, eil, ill, euil, ouil.
Dieſes naſſe, oder lieblich flieffende 1, (1 mouillée)
muf ſo zweifelhaft lauten, daß man nicht ei,
ob das i mebr vor; ober mebr binter bem 1 geh
Hret werde. Am beften iſt es daß man den Laut
des Vocalis oder Diphthongi etwas lang ſchleppe,
und dann das folgende wie lij ſpreche, wie im deut⸗
ſchen Familie, ſo audh-fa-mi. lle, Wenn dieſes
Lam Ende einfach ſtehet, ſo muß mau kurz ab:
| Brechen, mit einer gclinden Zerflieſſung: als mail
tie mabli, oder ein ſanftes mahlch.
ail und aill faft wie alj. Als ba-ta-illon, wie
Bastab:liong; alfo aud paille, travail
traVailler, |
- eilunb eill faft wie aͤlj. Als bouteille, réveil.
il faff wie ilj. Als f- Ie, fa-mi-Ile, wie
Fih⸗lje, Fa⸗mih -lje (33).
3 euil
G 3) Die Woͤrter ville, nebft bas daher ſtammende
village, tie auch mille, werden gelefen als wenn
nur ein D'ba ſtuͤnde. Sie haben ein boppelt 1
sum Uaurigier v vou ile, mile.
J | s \
22 (9. Aueſprache der Budfraben.
eyil faft wie lj. Als feuille, deuil.
ueil eben ſo. Dieſes ſchreibet man nach
‘bem harten c und g ſtatt euil; als re- |
cueil, orgueil.
… œil eben fo. Man findet es aber nur in |
œil, das Auge, und œiller, œillade,
fo davon abfiammen.
ouil faft wie ulj. Als bouillir, patrouille (34).
Sc. L. pe 27.
Das ote Erempel.
* Fille, famille, quadélle, coquille, babiller, pé-
rilleux.
bataille, betaillôn, travail, travailler, raillerie, bé.
tail, mail, éventail, j'aille.
‘boureille, vieillir, conſeil, conſeiller, foleil,
meilleur. |
| Ruille, deuil, feuillage, veuille, chevreuil.
vueillir, recueil, orgucilleux, orgueil, oil, œillet, |
œillade. .. :
mouiller, bouillir, patrouiller, brouillard, fouiller,
Citrouille, | |
!
1
6. 10.
— ———
Li
—
C3) uil findet man in dem Monats James Juillet,
LL lautet ds tie aͤli.
\
+
,”
,
{
\ Don der Ausfprache.
@ 10.
$. 10.
Das 1ote Erempel.
Zur Wiederholung der Ausſprache der
Confonuntium, Vocaliun und
accès
aigu
foin
calcul
chirurgien
généreux
Dipbthongoru.
_agneau à jeun
ayant barbouiller
boire brouillard
ceci chamailler
cicatrice Ciceron
confeiller: conclu
daigner deça
engager engeence
fauteuil futur
(gagnage) gagner
gencive gigot
goguenard grenouille grogner
grue
gueux
guider
honnêteté
chaſſer
lui
mangeons
mouiller
once,
plaindre
quarante
Queftion
gruger gu<rifon
gueufer Guillaume
quiter habiter
jaloux jamais
joye joyeux
luifant maiſon
meilleur même
neuf nuire
onze onzième
princeffe prife -
que je fache quelle:
quinze quoïque
3 4
Juin
23
befoin
cacher
chiche
cocu
connoitre
éloigner
étriller
gager.
gaïllard
gloire
grouiller
guérite
guide
hiftoire
jafer
je juge
manchon
moeurs
oblation
pénétré |
puisque
quenouille
rayer ‘
rayon
J 24 fre Von der Ausſprache.
rayon reconnoitre recueillir rejaillir
Roi desRois S'agenouiller faifon fans,
fauce feul fœur foleil
fonger fouci fplendeur - ftérile :
fuccès fujet . fûreté témoignage
trois fois verfeau vivre vivifié
Xénophon zêle zéphir zéro (35).
9. 11.
65) Exempel welche in den vorbergebenden
Moten vorkommen.
Ravi évadé unité ſecond canif ſeeret
. nécremant: blanc tronc aälmanac eſtomae
tabac Chriſt Echo (herfonefe Joachim
joug bourg éguille + éguifer Gnome in-
cognito figner fignifi:r déja féjour pré-
féance défaifir lesquels Mesdames Mes-
demoifelles Thomas Jefus - Chrift Atlas
Iris Mars prophétie union ‘le héros la
hardiefle fufñil coq coq-d' inde équateur
équeftre in quarto Jupiter hier fier al-
tier fer mer ver. cher amer leger cancer
enfer hiver défir foupir martir faphir
amen examen (Caldéen ennemi garenne
s’ennivrer - emmener la “femme patient
patience imbu imbécile incapable infini
impoflible inimitable index himne éco-
nome Egipte boete (boite) faifant je
faifois je parlai je parloïis j'ai . un jet
d'eau jeferai jeferois delafoye royal
froid foible adroit dela fuye «-
puyer {fuyant ruine Europe Euro 1 4
j eus euh j'eufle mille ville lage
Juillet cuiller. |
y
4
Dom Buchſtaben n ir 25
J | §. II. | |
Von dem Buchſtaben ».
(Sr. L. p.14- 24)
Das e ift hauptſaͤchlich dreyerley.
1. Das offene e, (eapertum, fr. e ouvert),
wird. ausgefpro@ben wie aͤ; es bat einen
Accentum gravem oder circumflexum, Als
près, après, même, être (36).
2. Das geſchloſſene e, (e tedum, ft. e fermé),
wird ausgeſprochen wie e oder eh, und
hat einen Accentum acutum. Als bonté,
été. . ° D.
3. Das ffuinme e, (e matum, fr. e muet),
wird.gar nidtausgefprochen, allenfalls nur
ſehr menig und war gang bunfel angeſtoſ⸗
ſen, (wie ein dunkles kurzes 0.) Es wird
daran erkannt, daß kein accent daruͤber ſte⸗
het. Als venir, revenu, redevenir, cela (37). .
3 s Abſon⸗
(36) Eigentlich iſt das offene e zweyerley, apertum,
(oder offen), als près, après, bonnet, perle;
und apertiflimum, (gany ofſen und lang, wie àb),
ſonderlich wenn ein Circumflex drauf iſt, ais
batème, bonnets, même, être, interêts,
(37) Das ſtumme so iſt nur ein ſpiritus lenis, als de
ne pas le faire, (d'n' pah'l fâbr”. Wenn nur
Ein Confonans porbergebet, ſo madt eg nur die
+ Gpibe lang , obngefebr mie bas deutiche b, als
une Dame malade, übn Dabm mablad’,
YBenn
]
26 6. 12. Vom Buchſtaben CA
Abſonderlich wird das e mutum voͤllig ver⸗
ſchluckt:
1) Am Ende der Woͤrter, als une Da-
me malide.
2) In den Monofÿllabis, deren 9 find:
-. ce de je, le me ne quefete. Als il
ne me le dit pas. |
—
— | $. 12.
Anmerkungen Über das e, das nicht accen-
° éviret, und dennoch gebôret wird.
Das e wird in gewiſſen Faͤllen mit Feinem
._ accent bezeichnet, und dennoch gelden, bald alé
ein gefchloffencs, balb ais ein offenes e.
a) Als ein gefcbloffenes e (eh).
1) Sn den Endungen er, ez, als porter,
portez, premier, dernier. (Siehe 6.3,
8, not. und q. 4, 5, 2 ), wie aud) bie
Ausnahme $. 4, nota 16.).
2) In bdiefen 6 einfotbigen Woͤrtern, ces,
des, les, mes, res, fes, menn ein Wort fol:
get, das mit einem Vocali anfängt; als
mes
Wenn 20 onſonantes vorhergehen, ſo machet
es den unmittelbar vor ihm icheuden nur ver⸗
nehmlich und hart, als une grande porte, uͤhn
grantt portt; denn wenn das e nicht da waͤre,
als un grand port,’ fo wuͤrde es geleſen oͤng
Ft, arang por. |
° ⸗
!
/
Vom Buchſtaben c. 6 1%. 27
, mes amis, tes arbres, fes armes, des ou-
vrages, les hommes. ,: .
b) Als ein offenes e (4).
1. Wenn mebr ais einConfonans, cbertvenn
Doppelte Confonantes drauf folgen. Als
perle, imperceptible, belle, nette, c eft.
2. Wenn die Woͤrter auf et ausgeben, da
es dann febr Eur iſt; im plurali aber
wird es lang gezogen. Als bonnet, bon-
nets, cabinet, fouflets (38).
3. Wenn in der Mitte eines Wortes ein r
folget. Als pere, mere, frere, lumiere,
fièrement (39).
4. Wenn auf diefe 6 Monoſyllaba, ces, des,
les, mes, tes, ſes, ein Wort folget das mit
einem Conſonante anfaͤngt Als mes
livres, des plumes: doch iſt es febr kurtz,
und etwas geſchleſſen 40).
Exem⸗
compas
es
(38) Et wird allezeit, auch vor cinem Vocali gele⸗
fen wie ch; eft tie ein kurtzes à, und ait wie
ein langes aͤh geleſen. Auch ec, ef, el, ep, wer⸗
den am Ende offen geleſen; als fec, chef, fel, fep.
(39) Viele bezeichnen dieſes e vor bent r mit einem
Gravi, alé père, lumière, {0 mic auch die Woͤr⸗
ter in ème und fe, Man muß alfo ja nicht
fhreiben, tie cinige thun, pére, mére, frére ;
denn —* hieſſe es pebr, mebr, frebr, welches
al
(40) Denn es iſt wirklich ein Mittel⸗Ton vorhan⸗
den, zwiſchen dem geſchloſſenen und offenen e,
welches durchs Gehoͤr von einem Lehrer, der ei⸗
ne gute Ausſprache hat, muß gefaſſet werden.
Y\_,
. 13. Vom Æden uͤberhaupt.
Exempel dieſer 4 Ausnahmen:
c’e/t le cabinet de mes freres.
| Das rite Exempel.
| près après auprès procès. fuccès bonnet fec fel
‘chef fep.
batème problème neuvième aprêt même être.
, été bonté générofité véhément élevé pénétré,
. demande une Dame malade venir revenir re»
devenir.
premier, je ne te le dis pas, que ne me le di-
tes vous, |
la grace que vous me ferés, comme cela, vous
le faites.
vous vous fâchés de,ce que je & redemande ce
qui m eft dû, IJ
oOon s’étonne de ce que je ne me le fuis pas a-
proprié.
Mmes amis, tes amours, fes ouvrages, , ces obſta-
cles, des habirans,
c'eft le cabinet de mes chers freres.
6. 13.
Was bey dem Leſen uͤberhaupt in Acht
zu nehmen.
1. Der Accent oder Ton lieget insgemein auf
der lezten Sylbe, auſſer wann ſie auf ein ſtum⸗
mes e ausgehet, in welchem Falle die vorlezte
ESdylbe ben on bekommt. Als jamais, j aimois,
ij' ai-
»
. Dom Leſen uͤberhaupt. 13. 29
j'aime, chandelle, chandelier, chanceler, j je chan-
cdle oder chancélle, Fr. L. p. 71.
.Wenn eine Sylbe auf einen Vocalem aug:
ee und die folgende von einem Confoñante an:
faͤngt, fo laffe man den Vocalem fein ruben,und
nehme nicht etwas vou dem Confonante dau;
auch fprede man nidt die Confonantes, aud)
nidt einmal die doppelten, ju hart aus; fons
Dern man richte fit nad der franzoͤſiſchen ſanf⸗
ten Ausſprache. Als a-gneau, ga-gner, con-
fei-ller, ba-ta-illon, fa-mi-lle, feu-illet,
mou-illé, ga-ger, gra-ci-eux, o-ca-fion,
pla: cer, a-fec-tion, ghtlers à netteté, arrivée,
Officier.
3. Der lezte Buchſtabe eines Wortes wird
insgemein nicht mitgeleſen. Fr. L. p.36.
Ausgenommen a, é, 1, O, u, , m, n,r (41).
Zuweilen aud andere barte Confonantes,
nachdem es die Umftände erfordern, fon:
derlih c, f, &c. ‘als avec, derechef, Das
Gehoͤr muf den Ausfhiag geben.
à. Au zweene Conſonantes werden am Ende
der Woͤrter verſchwiegen; ſind ihrer drey bey⸗
ſammen, ſo wird nur der erſte gehoͤret. Als
ils
me mme Loose
(41) Die Ausnahme da das 1 nicht gebôret mird,
fiche $. 4, 2. und not. 14; und wo dagr ver⸗
ſchwiegen wird, fiche 5. 4, 5. |
30 6. 13e Doi Leſen aͤberbaupt.
ils ſont Ruls, vingt foldats, les corps pores
Sr. L'?. 30. (423:
5. Die dren Buchſtaben en e fin À in den Ver-
bis eine Œndung ber zten Derfon des pluralis,
und werden nicht gelefen , afs ils donnent, ils
donnerent, ils dannoient, ils furent aimés. :
6. Im Leſen muf: man die Berbindung der
Woͤrter, und zwar an gebôrigem Orte,woblin
Acht nehmen (43). Fr. L.p. 55-59. Mauvillon
Cours compl. de la L. fr. p. 94. ſeqq. |
Dieſe Verbindung heiſſet theils Gonjun-
"io, theils Elifo. |
à) Conjunctio iſt, wann ein Wort auf einen
Conſonantem ausgehet, und das folgende
mit einem Vocali anfaͤngt, da dann der
| Con-
“in
—— —
(42) In oͤffentlichen Reden, (in pronuncintione ora-
toria), werden die End⸗Conſonantes vernehm⸗
lier; ſonderlich am Ende des Satzes, wenn
man langſam lieſet. Als: Il fit venir fon fils;
celui-ci étoit las; il n°eut pas la force de dire
un mot.
(43) 8 heiſſet an gebérigem Orte, wann hemlid
die Worte eigentlidh zuſammen gehoͤren, (das
iſt, einen nexum conſtructionis haben), und
der Wohlklang und das Gehoͤr nicht darunter
leyden: denn wann die Worte nicht eine noth⸗
wendige Verbindung unter fi habeun, oder gar
ein Comma darzwiſchen iff, ober wann fie zu
Bart in der Zuſammenziehung kliagen » ſo wer⸗
den ſie nicht verbunden.
Î Ù —.
Dom Leſen uͤberhaupt. . 13. 31
Conſonans ju dem folgenden Worte ſanfte
gezogen wird. Als il a, nous avons, vous
avés eu, les hommes. (Wie im deutſchen:
Er iſt ein Arbeiter).
b) Ebfo iſt die Verbindung zweyer Woͤrter,
davon das erſte auf ein ſtummes e ausge⸗
het, und das folgende mit einem Vocal
anfaͤngt. Als el/e a, une Dame agée, l’hon-
nête hemme, votre enfant votre habit;
Da dann der Confonans der vor bem ſtum⸗
meu e ftebet zu dem folgenden Worte ge⸗
gogen wird. (ell' a, wotr' abi tie im
deutſchen werd' ich 2e. ). |
7, Er wird. niemals mit dem folgenden Wor⸗
te verbunden: als et il dit, pas wird nur mit
un und emcére verbundenz pas un, pas encore
(44). oi |
Das 12te Erempel.
Zufoͤrderſt merke man, daß in der Ver⸗
bindung der Woͤrter, das » naſale (als an,
on &ec.) als ein hartes lateiniſches n; und
das f als ein w mit zu dem folgenden Worte
gezogen werden.
. #4) Conjuncfio. k oo.
H a dir à fon ami et à fon frère,
Que mor ami m° en a parlé,
Et
— —— —
(44) Mais:wird ſelten verbunden. In Verſen mers
den die Woͤrter im Leſen mehr verbunden, als
in proſa.
D.
. 14. Vom een ababeupt.
Et que ler amis de cet homme |
Avoienf us habit de neuf aunes de drap. _
1! est ici, et il doit arriver dans un mpment,
Mais il ne vous er a pas encore parlé.
b) PHliſio.
Une hiftoire à faire rire à la cour.
Elle a vu une Dame agée chés vorre ami, :
La quelle avoit foiflante ans paſſes.
J'ai vu un honnère homme à la cour,
Qui la vante er qui cherche à L'époufer.
S. 14
Zur Uebung im Leſen koͤnnen folgende zwey Stuͤ⸗
cke dienen. Das erſte iſt aus dem Pepliets,
das andere aus dem fransdfi [deu Langio ges
nomnien.
Das 13te Erempel. L —
Un homme qui avoit la vue honne, ;dit à un -
borgne qu "il trouva à la chaſſe: On m'a afluré, .
Monſieur, que vous prenés plus de gibier & de -
venaifon que mot, Îleft vrai, répondit le .
borgne, puisque je vois plus que vous. Je ge-
. ge que non, dit l’autre; et je gage qu'oui
( que oui) répliqua le borgne, Eh bien! dit
h . Pautre, gageons dis écus, qui voit le plus, Soit
fait, reprit le borgne; & vous navés qu’à me
compter cette fomme, car j'ai gagné la pageure, :
puisque vous n” ignorés pas que je vous “vois A
deux yeux, & que vous ne m’en voyés qu’! un,
—— WB Das
EPP
——
Dom Leſen dberbaupr. $. 14 83 |
Das -rate Erempel.
La vertu eflla chaine de toutes les perfedions,
ayant cela de propre et d’excellent, quelle per-
fe&ionne ce qu il y a de bon en l’homme; &
qu’étant toujours acompagnée de la piété, fa
chere fille, elle change en bien ce qu’elle ytrou-
ve de ‘mauvais'etd’ignominieux.
Elle eſt le centre de la félicité, & la reine qui
règne dans le ciel-& fur la terre; elle rend ceux
, qui la poflédent heureux, vaillans, et aimables à
leurs enneniis ; -elle eft le foleil du cœur, elle gagne
la faveur divine, & l’ifeQion des humains; tout le
refte n’eft rien 3 elle n’a befoin que Pite-iême.
: Je l’aimerai donc toute ma vie, à l'exemple
detant de mille ames chrêriennes, qui Pont aimée,
qui l’aiment, & qui l’aimeront à l’avenir,
" Suivés fes leçons, mes amis, puisque l'ex:
périence vous sprend et vous fnftruit, qu’elle
eft le vrai miroir, dans lequel on voit les vani-
tés temporelles, & la gloire éternelle refervée à
ceux qui la pratiquent. Les anciens Philoſo-
phes aſſuroient que fi la vertu étoit vifible, tout
le monde deviendroit paffonément amoureux de
L ſa beauté.
Si nous avons ce flambeau pour notre guide,
nous ne nous écartèrons jamais du chemin de la
juffice; mais nous agirons de fagon que chacun
dira que nous avons profité de. fes inftrudions,
que nous travaillons de bonne foi à notre fa-
lu, pour être un juur reçus dans le féjour des
Das
| dus glorifiés,
-
.
Ed
La
#
3* 5. Von den Unterſcheid. Zeichen
Das IT. Capitel.
: | Von ben uUnterſcheidungs ⸗ Zeichen.
. tif.
Der Gebrauch der Unterſcheidungs / Zelchen |
der Rede heiſſet im fr. die Punctuation, (a ponc-
raation). Dieſe Zeichen ſehen aus mie im Te.
teiniſchen (,:521) (45h
Coma feiffet franzoͤſiſch li virguie
Pundum ‘+. le point |
Coton - + les deux points
$emicolon + + point & virgule
Signum interropationis point d'interrogation.
Signum exclaationis point d’ Hiterrogati0n — —
| os oder d’admiration,
Sr. L, P. pr > | |
| ‘ ÿ. t 6,
— 4
(45) Die Franzoſen nehmen es mit der Punctation
ſpv genau nicht, als die Lateiner und Deutſchen;
ſonderlich in Anſehung des Commatis. Denn
wenn die pkraſis nicht ſehr lang iſt, fo wird vor
pvder nach que, (es mag als, oder daß, oder
welche bedenten), kein Comma geſetzt. Als,
A eſt plus grand que mon frere; je crois qu’il
eſt ici; le livre que j'ai acheté eft bon. In⸗
fonberbeit bite man ſich zwiſchen ce-qui, ce que, .
celui qui &c, ein comma zu ſetzen.
*
æ#" J L
.
Don den Uncerſcheid. Zeichen. S.16 34
. À. 16 ®
Œon: Aecenre fo 3:
+ Der Atutus C 7) L'accent aigu (46).
à Der Gravis ) l'accent grave
3 Det Cireumflex {*) l'accent cireonflexe,
no wird Det Acutus geſetzt?
Ueber das geſchloſſene e. Als bonté, été, pénétré,
2. Wo wird der Gravit gebraucht?
a) Ueber bas offene e. Als près, après, procès.
b) Ueber dieſe 3 Woͤrter: J
à, eine repos su Unterſcheide von à, bar,
la, da la, die, fie.
où, wo? + ou, oder.
aurh bee à (47) - J
3. Wozu dienet der Circum flex ?
Er wird gefegt uͤber einen ſolchen Vocalem
bet fang iſt, wenn es die Nothwendigkeit er⸗
dert.
ſot C 2 Ge⸗
-—
(46) Man nennet and den Acutum ed cinen
Accent, oder einen Strich; franzoͤſich Zirre,
dbaher ein é e sirré heiſſet
(47) çà beiffet môlan! iſt and din Partikel fo an⸗
gebünget t wirdz als venés cà, en deci,
| Exempel vom Gravi :
fa étudié 5 Halle, Er bat su Bale fhibire,
La table eft là, Die Tafel ift da. |
Ug eft-il? i ici ou à, Wo iſt er? hier oder da.
ça! luſtig! | j'a été, ‘8 iſt geweſen.
\
36 9. 15. Dom 4pofrphe,
Gemeiniglich koͤmmt er über einen ſolchen Voca-
lem, vor oder nach welchem in der alten Schreib⸗
art ein Buchſtabe, (beſonders ein s,) um die
Sylbe lang zu machen, geſtanden, der nun⸗
| mehr ausgelaſſen wird Als für, mdr, ſouͤris,
nôtre, même, rôle (48). |
Diefe wurden vor diefem gefhrieben meur,
feur, foufris, noftre, mefme, roole.
dr, L ps 73-74:
$ 17.
Dom Auelaffsngs- Seiden, oder
Apofiropho.
Sr. L, p. 6. 7e.
Wo wird der ——* (fr. apofropb)
gebraucht?
Bey gewiſſen einfplbigen Woͤrtern welche
ausgehen auf 4. e, oder i, wann ein Wort
darauf folget, bas mit einem Vocali oder ſtum⸗
men h anfängt (49).
1. Do
(8) Die Natur des Circumfler iſt, daß er die et |
be lang machet, daher man ihn mit Unterſcheid
brauchen muß.
(49) Daß Bon groß⸗ iſt nicht allemal ein Adjecũ-
vum, es iſt auch ein Adverbium, fo viel als
Oberz oder haupt⸗; als die Groſt⸗Mutter,
Die Ober ⸗Hofmeiſterin, die Sanpt: Wade,
In Diefem Salle branchen die Franzoſen bas
Wort grond, grahde, und | apoñrophiren das
ſoemi-
8F
Dom Apofrpho. $. 17. 37
1. Wo wird a apofropbivet ?
In dem einsigen Worte la, (die, fie). Als
- lame anftatt la ame; F heure anftatt la heure;
je l’aime ftatt je la aime.
2. Wo wird e ape ſtrephbirt?
In ben VNeun einſylbigen Woͤrtern, die anf
‘ein ſtummes e ausgehen.
ce de je, le me ne que ſe te.
Als c'eft ſtatt ce eſt: l'air ſtatt le air; l’homme
ſtat le homme; .qu'il ſtatt que il.
Folglich auch na ben Verbindungs⸗
woͤrtern, die auf que ausgehen. Als
parcequ’ on ſtatt parceque on; puisqu'il
oder puis qu’il ffatt puisque il,
3. Wo wird i ausgelaffen ?
In dem eintgigen Worte f, und zwar nicht eher
als wann il, er, oder ils fie, drauf folget.
Als sil, s'ils ſtatt fi il, fi ils; s’il vous plait,
s ils ont (so).
€ 3 __ $ 18.
foemininum grande ſowohl vor einem Confonan-
te als vor cinem Vocali. Als, la grand’ mere,
la grand’ gouvernante, la grand’garde, Alſo
aud in bem adverbiliféen 3 r frs.
al, j'ai grand'envie, grand’ foif &c. |
so) Wofern nach fi aidt il oder ils, ſondern andere
er folgeu, fo wird es nicht apoñtrophirt;
als fi inique, fi elle veut, fi on dit, fiun homme.
( qui wird niemals apoftrophitt .
D +
4
38 . 18 Dierifit,
1 g.
Von der Diæreſi, franz. la Diérèfe, oder
les points de Diérèfe. .
(Ses L. p. 75.)
1. Wo wird die Dierefs gebraucht?
Ueber einen Vocalem, welcher von dem vorigen
ſoll getrennet werden, damit kein Diphthan-
gus dardus exwachſe.
2. Ueber welche Vocales ſeset man dieſe
| Duncte ?
Mur über ce, and u; :denu a und o brauchen
es nicht. Als: contiguë, #mbiguë; ſtoique,
heroine, hair; Efaü, Emaüs (sv).
Ein anbers ift, fatigue. moine, haire, les
émaux.
3. Wo fe HS — falſch oder
rfluͤſſg.
9 galſch ſetzet —* uͤber einen Vocalem, der
nicht getrennet werden muß. Als! feuille,
loüer, voiant, roial; denn ſonſt laͤſe man,
foͤ⸗ ilje, lo⸗ Bret, ro=isal à.
b) Ueberfluͤſſig wuͤrde bie Dizrefis ſeyn, wo
wicht ein ſolſches Leſen ju beſorgen iſt. His,
loueèr,
1) an fete billich l'abbaïe.. le paiis, le Dale
fan, le païifage mit a à févetBen, weil fie fo aus
geſprochen werden; aflein.bie Gewohnheit tvifl,
daß man nur ein : mit-viner Diæereſi made:
L'abbaïe, lo pais, le palfin, Le paifige.
Le
Tiret oder Binde⸗Zeichen. 6. 19. | 30.
louër, fuër, muët, vuë, noël; denn aud ohne
diefe Puncte muͤſte mau doc leſen, lueh, ſuͤeb/
muͤa, wuͤh, noel.
$. 19. |
Don dem Binde Scichen.
(Se. L pe 76. u. 71.)
Wo wird das Binde: Seichen gebraucht?
Dieſes Zeichen, welches wie im Lateiniſchen
bas Hyphen ein Queerſtrichlein iſt, und im fran⸗
zoͤſſſchen Tiret, von den Buchdruckern Divie ges
nannt wird, hat ſeinen Platz
1. Am Ende der Zeile, wo ein Wort abge⸗
brochen wird, wie im Deutſchen; (52)
2. Wann zwey Woͤrter zuſammen verbun⸗
ben, oder au einander gehaͤnget werden,
daß ſie nur eines ausmachen, ſo wie auch
im Deutſchen, (als bey Reichs⸗ Hofrath)
geſchiehet. Als, le porte - manteau, larc-
en-ciel, peut-être, celui-ci, celui - à,
moi- même.
E4 . 3. Jus:
(3) Man cheilet im fronjüfifdien die Woͤrter mie
man Die, Sylben ausſpricht, als doc -teur,
res-peét, i-nes-ti-ma-ble, . es : pé- rer;
folallé muͤſſen gn und bic Endung oient nicht
getteunét werden: fonde thatetalfo : la cont-
pa-gnie, ga-gner, a-voient; nicht com-
pag · nie, a-voi-ent.
. —— — ——
dé G. 19. Tire oder Binde-Seihen,
3. Insbeſondere nach franzoͤſiſcher Art, wann
‘Die Pronomina perfonalia, wie auch ce, an
bas Verbum angebänget werden. ls
avés - vous, eft - il vrai, dit-il; eft-ce votre
ami ? donnés - -moi ; conduifés-nous-y.
4 Was iſt dabey su bemerken?
wen bas Verbum auf einen Vocalem ausge—
het, und bas Pronomen féngrvon einem Vo-
cali qn, (als il, ils, elle, elles, on }, fo fegt man
ein t mit zweyen Bindezeichen darzwiſchen.
Als a-t-il? aura-t-elle?. parle-c-on? Il
eft vrai, repliqua-t-il, je l'ai fait, ne voi-
la-t-il pas une borine excufe ?
Diefes t Peiffet Euphonicum, und machet
eine lifertion,
/
HS SSSSSESSSESSÉ EH |
Das Nil. Capitel.
Von der Rechtſchreibung oder
Orthographie. |
{Ste L. p.59 - - 68.)
Nota. san wird hier die Rechtſchreibung nicht aus⸗
fuͤhrlich abhandeln, ſondern nur das nôt |
* der often und nenen Grelbart PAT ;
k nuuntd zwar
*. Don ben lcaiten Bubſtaben. |
io ETS 6. 2e.
à
Vonder Rechtſchreibung. $. 20. QE 23 41
$ 20.
1). Yn ber often Orthographie behält n man
viele s und andere uͤberfluͤſſige Buchftaben, ſo
nicht ausgefprochen werden; als noſtre, meſme,
eſtat, traicter, veufve, foubs, aage.
20) In der neuen werden fie ausgelaſſen, und
nachdem es der Ton erfordert, hat der vor⸗
bergebende Vocalis entweder einen Circumfler, /
oder einen Acut, oder auch keinen Arcent, als
le nôtre, notre lhere, même, état, traiter, veuve,
fous, age, ,
Gs 21.
1) In ber alten Schreibart behaͤtt man das
eu in ben Sylben, da es wie à geleſen wird;
als veu, veue, beu, receu, deu, piqueure, meur,
feur,
2) In der neuen wird bas e ausgelaſſen; as
l VU, we, bu, reçu, dû, piquure, mûr, für.
3) Es wird aber nod) bepbebalten und wie à
gelefen :
a) Im Anfange der Nominum propriorum;
als Europe, Eugene, Euftache,
b) In ben Præteritis f’eur und ꝰ euſſe, wie
auch im Supino eu vom Verbo Avoir,
. . 22.
Doppelte Confonantes werden in der neuen
Orthographie nicht mehr gebraucht; es ſey dann
baß der Lor und die Ausſorache es durchaus er⸗
t.
C5 Alſo
\.
Aè
4 Gras. Von der Rechtſchreibung.
Alſo ſchreibt man ocaſion, adreſſe, afection,
Aiger, afrir, aporter; nicht occafion, addreſſe,
affedion, Miger offrir, wporter. (S. Richeles,
Girard Se.)
Hingegen ſchreibet man wegen der Ausſpra⸗
che belle, jeuneſſe, aſſurer, l' homme, comment,
j'offre; nicht hele, jeuneſe, aſurer, l'hame &c.
Nur merke man daß die doppelten Conſonante⸗
du Franzoͤſiſchen nicht ſo hart lanten, als im
Lateiniſchen und Deutihen, ſondern gelinder
wie einfache Conſonantes, aber vernehmli⸗
er, weil Der porhergehende Vocalis alsdann
beller und Dentliher wird.
2 Von den drep letzten Buchſtaben des
Al phabets. . J
. 4. 23
) Das xift bisber am Ende ber Subftanti-
vorum und Adjedivorum die auf au, eu unb ou,
tie auch einiger twenigen Subftantivorum in oi,
(53) gebraucht worden. As les chevaux, les
chapeaux, les tieux, les genoux, faux, heureux,
jaloux, la voix, la paix.
oo 2) An:
pepe
* pe
(53) Alſo auch la roux. le prix, la paix, und in den
ahlen deux; fix, dix, dix- fept, dix-huie, dix «
. neuf. Allein mau fhreibet jetzt allezeit ſoiſſan-
." 16, Bruflelles, la leflive, je veus, tu veus, tu
peus, und Die ausgenommenen Woͤrter bleus,
cous. fous, trous, Joupgarous matous, MOUS,
fous, les Rois.
\ ,
. Don der Rebtfibraibung..s. 24. 43
2) Andere brauchen dafuͤr ein «, und zwar
mit mebrerem Rechte. Als chevaus, heas hes |
reus, aus hommes, les loïs (54). -
Dan hat hierinnen feine Freiheit.
| $. 24
In Anfebung des y werden folgende Regeln
von den Beften Sérififellern beobachtet: |
. ee Das cinfylbige Wort y, (welches ein Er⸗
ſetzungs⸗Wort ift), bleibet mit einem y.
2. Zwiſchen zweeuen Bocalen febet an alles
geit ein y. Als bayonerte, crayon, royal, en-
voyer, j' aye, voyant (55)
3. Um Ende .der Woͤrter, oder in der Mit⸗
tu, wann ein Confonans folget, ſetzet man alles
zeit
prenne —
Ga): ch halte dafuͤr, daß man gar wohl ein aſtatt des
uchſtabens x brauchen koͤnne, beſonders in
aus, welches von à les zuſammengezogen ie
als aus ames, ffaft à les ames; fetier in den
Adjettivis, weil man doc im foemihino das x
ins verwandeln muß, alé jaloux, jalouſe, heu-
revx, heureuſe; mb warum nicht auch in den
andern Woͤrtern, ſonderlich im plurali?
(5) Sinige ſetzen zwiſchen 2 Vocalibus cin ï tit'a
Punkten. Da aber die Diærefis die Vocales tren-
net, fo wuͤrde darans eine falſche Ausſprache er:
wachſen, und man wurde roïal, envoïer, leſen
majfen ro-ï-al, en-vo-ï-er. Païs, païfan,
paiſoge, und abbaïc Doben die Diærefin 6, 18.
und not. ss.
44 Kat25 Von der Rechtſchreibung.
zeit eini(sé). Als Roi, lui, ivre, ivoire, miſtere,
Smbole. : :
4. Im Anfange der Woͤrter, wann ein Vo:
enlis folget, febat man ein y. As York, | les
yeux (57).
s. Anmerkung. Einige ten ein i am
Ende der Woͤrter zwiſchen einem Vo-
| el und einem e muto finali, als joie,
jenvoie, paie, aie. Andere folgen in,
dieſem Salle and, und zwar mit dtecht,
der ſo eben Nummer 2. angefuͤhrten
Hauptregel, und ſchreiben) joye, j'envoye,
ayve, paye.
oo 4. 258.
1. Das z wird am Ende der Woͤrter nid
miehr gebraucht, ſondern ein s an deſſen ſtatt ges
ſetzt: (58) Gehet ein e vorber, fo befommt es
einen acutum, welches ben ez nidt nôthig war.
Als: les fils, les mots, chés, aflés, les bontés,
Üs nu aimés (59)
2. Viele
7 6) Sie TT vom Griechiſchen berfommen, oder
uit, als miftére,
(s7) Auch bep den Nominibus propriis, wann auch
gleich ein Confonans folget, als Yves, Yver-
dun; alſo auch fremde Namen, als Mylord.
(58) Die Alten ſchrieben nicht allein bontez, ils font
. trouvez, fondern auch filz, motz, -vertuz,
__ " voyantz &c.
… {+9}. Ja der Mitte der Woͤrter, da bas 2 zwiſchen
aweenen Vocalibos J fn lommt, Jan M ou
Don der Rechtſchreibung. $. 25. 4
2. VBiele behalten noch ‘bas z in'ber zweyten
Perſon pluralis Verborupn, ſonderlich in gedruck⸗
ten Schriſten; in geſchriebenen aber wird an
flatt ez, bas és von allen guten @éreibern ge:
braucht (Go). |
Se. L. p.18. 55. Cor: p. 6e. Pepl. pig. Gir.
p.434. Reſt. Ip. 14. La T. p. 42. 4j.
falls ein s gebraucht werden; als hafard, bifarre,
Sa Zahlen pflegt man es gern beyzubehalten, alé
douze, treize, In onze, quatorse if es noth⸗
wendig. a LU Le
(60) Das z iſt nicht allein im Plurali Nominurh, {ons
dern aud im Plur. der Participiorum Fræteriti
(oder paſſivor.) gaͤnzlich abgeſchaffet; als les
bontés, des hommes ruinés, il'ine les a don.
nés. Nur fol ez noch) die Endſylbe der stvoten .
Perſon pluralis in den Verbis bleiben: Jus mas
für einem Grunde ift gar nicht einzuſehen. Iſt
dann der Pluralis Verborum nidt eben ſo wohl
‘ein Pluralis als Bey den Nominibus; und Fan
demnach der Pluralis der aten Perſon nicht chen
fo twobl mie bep der erfien Perſon mit dem s ans
gezeiget werden? Girard faget in feinen Princie
pes p. 434: C'eſt S & non à Z à qui le gé-
-hie de notre langue‘ donne la propriété de ca-
ratérifer le plurier : Was er aber wegen gedach⸗
ter ater Perjon hinzuſetzet: les yeux-perdroient
l'avantage de diftinguer les patticipes des fe-
condes perfonnes du Verbe, iftein Satz, der aus
einem Vorurtheile herruͤhret; denn das vor dem
Vetbo ſtehende Pronomen vous hebet fattfam die
Zweydeutigkeit auf. Vous rrouvés des moyens
que d'autres n’auroient jämais #rouvés, iſt eben
fo leicht ju unterfheiden, als Vous srowvez &c,
Siehe nicine Modeles de Lestresp. 749. lett. 579.
Zwote
*
48 : $- 70. Genus, Numérus,
§. 30.
t. Wenn man aus bem Mafculino ein Foe-
mininum machen will, fo feget man zu dem
Mafculino ein ffummese, ist
le marchand, der Kaufmann, f. Ja marchande,
le berger, der Schaͤfer, f: la bergere.
: Jecoufin, ber Better,, F. la coufine,
| : die Baſe.
le voifin, der Nachbar, F. la voifine.
2. Eben fo gebet és mit den Adje&ivis NES:
. grand, grof, ‘ f. grande
7. méchant, 6ôfe, + méchante ‘.
. mauvais, ſchlimm, - mauvaile
joli, attig, - jolie,
3 Den biefer Regel bat man: aber einige An⸗
merkungen und Ausnahmen zu machen. Als:
bon, gut, f. borne; heau, foin, f. belle
_ long, lang, - longue; doux, füf, - douces
heureux, gluͤckuich, f. heureuſe &e. 6.
G. 31.
esse
lateiniſchen génetis mafculini oder neutrius iff,
das iſt inégemein 1m fran. generis mule
Als la table, (rabulrs menfa ) der Tijd; la
cave, ( cella,) der Reller ; le monde, (undus),
bie Welt; le beurre. Gutyrum) die Butter.
b) Das beutide Neutrum es wird im frans. durch
Sales das duré cela; des BU réc:5 was
F ET que. due 2 nnd das was durch ce qui, «
que ausgedraͤct.
! . '
G. 31. 32. 33 Gens, Numerus. 49:
| by Dont Numére,
| §. 31e | |
| 1. Numeri find zwey. Der Singularis, und der
Pluralis, fr. /e Singulier et le Plurier oder Pluriel
2. Das Kennzeichen des Pluralis iſt ein s
welches zu dem Singulari gefebt wird. . Als:
le pere, der Bater, pl les peres
la mere, bie Mutter, - les meres
‘ lefrere, der Bruder, - les freres
le livre, das Bud, - les livres
l'ami, der Freund, = les.amis
P homme, der Denfd; - les hommes
So auch mir ben Adje@ivis. Als:
grand, gtof, f. grande; p/. grands, grandes.
bon, gut, - bonne; - bons, bonnes,
6." 32
© Die Nomina, (Subfantiva et Adjeétiva),
Die auf s oder x ausgeben, feben im plurali
nichts hinzu. Als:
le fils, der Sohn, pI. les fils
la voix, die Stimme, - Îles voix
confus, befhämt, :‘ - confus
_ jaloux, eiferfüchtig, .- jaloux
$. 33.
1) Die Nomina, (ſowohl Subflantiva als
Adjeétiva), welche im Singulari auf #7 ausge:
ben, und mebr ais Cine Sylbe haben, tes
fen im plurali das s weg Als:
PN enfant,
go -:Numerus, (, 33134.
:Penfant, bas Kinb, im p/. les enfans
le compliment, das Compliment - les complimens
méchant: bôfe, - méchans
content, zufrieden, vergnügt.- contens.
2) Die Einſylbigen Woͤrter beholient bas” t
(62) Als:
le pont, die Bruͤcke, im pl. les ponts
le chant, der Oefang, - les chants
la dent, der Sabn, - les dents
ſaint, beilig, . - cfaints
Jent, langfam, - dents
* Cent, bundert, bat im plurali vor einem
Subft. und Adi, Cens. Als trois cens.
hommes; deux cens gros canons; 300.
Mann; 200, ſtarke Éanonen.
$. 34
Die Woͤrter, welche auf a/ und ail ausge⸗
hen, haben im Plurali aux, (Einige ſchreiben
Avus (63). Als: |
Lo le mal
mena
(62) So aud bie Monofyilaba in nd, Als les
glands, die Eicheln; grands, grofie.
(63) Weil bis jetzt die Mehreſten in gewiſſen Plura-
libus, und ben gewiſſen Endungen der Adjeëtivo-
rum ein x ffaté cines s an Œnde bebalten; fo iſt
au wiſſen, daß ſolches die Endungen ae, eui, em,
und ox find. Als les animaux, die Thiere; les
beaux chevaux, die fchônen Pferde, les vœux,
die Wuͤnſche, Geluͤbde; heureux, gluͤclich,
les genoux, die Rnie; doux rue
Es werden aber weiche ausgenommen,
DS
\
| Numerus, 6. 35. 36. EL
le rhal, das Uebel, impZ ‘les maux “*
le cheval, das Pferd, =" les chevaux -
le Général, der General, = Généraux
. Jletravail, die Arbeit, les travaux
égal, gleich ‘= . égaux |
royal, koͤniglich, - royaux, ,
* Diervon werden einige quégenommen,
$. 35:
goigende ſind irregularia:
tout, alles,gans, impl tous
le ciel, der Dimmel, - : les cieux
l'ayeul, derGrofvoater, - les ayeux (Grofeltern) :
P œil, das Juge, -les yeux
le bécail, das Vieh, - les beftiaux.
x Einige rechnen dau la loï, des Geſetz
im pl. les loix. an fhreibt aber ble
les lois,
©) Don den Veraͤnderungen bey den
Subſtantivis, das iſt, von den
Modificatignibus.
| g. | 36. ..
1). Die Subftantive baben Saupts Deran:
derungen oder Modificationes;
À) in Anfebung der Begriffe; bies ift
Modüficatio Idearum.
8) in Abſicht auf ben Sufemmenbung,
| die Verhaͤltniſſe und Beziehun⸗
gen, in welchen ſie mit den Verbis E
| © 2 fes.
\ \
52 37. moaſumi idearùm. Artikel.
| ſtehen; dies ft, die Modificatio re-,
lationum.
2) Diefer Zuſtand, in welchem die Sub-
ſtantiva ſtehen, mufiauf eine begreiflite Art
vorgeftellet, unb aus gewiſſen Kennseichen
erlanni werden koͤnnen. |
A) Modif Gcatio iarom. LOT
4. 37° u
Die Modificatio Idearum ift ben den Sub-
ſtantivis viererley. Das ift:
Die Subftantiva koͤnnen auf viererlep Art,
in Abſicht auf die Begriffe, vorgeſtellet werden.
Denn man ſtellet ſie dar
1. Mit cine Beſtimmung oder Be⸗
ſchraͤnkung auf Einen Gegenſtand unter
mehreren.
2. Ohne Beſtimmungszeichen, wann
man es nicht beſchraͤnken darf oder will. |
3. In einer unbeſtimmten Æinbeit.
4 Als ein unbeftimmtes Stuͤck, oder einen
Tbeil, oder Etwas von dem Gantzen; oder
im Plurali afs einige Stüde oder unbeffimm-
te Theile zuſammen genommen von dem
Gantzen.
1. Die beſtimmte Vorſtellung des
Subftansivs,
\
$. 38.
Modifeario édearum, stitel 5. 3839. 53
$. 38. |
r. Die Beftimnunge : Worter, womit
man das Nomen Subitantivum auf dieſen oder
jenen Gegenftand beſchraͤnket, find im maſculi-
no le, im foeminino la, im P/uralt les. (64).
* Die Deutſchen haben der, die, das, im plur. die.
2. Diefe Beſtimmungswoͤrter riennet mat
den Artikel, franzoͤſiſch l Article,
| " $ 39.
Den Artifel, (oder. das Beftimmungstvort),
brauchet man, und ſetzet ihn vor das Subſtan-
tivum, wann man bas Nomen auf einen Ge⸗
genſtand insbefondere Beftimmen und beſchraͤn⸗
ken will, um es von andern zu unterſcheiden.
Dieſes fann geſchehen
a) Wie im Deutſchen, wann man unter
verſchiedenen Dingen Eines beſtimmet, wovon
man etwas bejahen oder verneinen will; (und
cn gleihfam mit bem Singer drauf teifet).
{$ :
Le ciel eft ferein, der Himmel ift beiter.
voila Ja chaife, da ift der Stul.
b) Mit einem Bey-⸗ oder Beſchreibungs—
Worte, (Adje&ivo). His: .
93: de
… C6+) Sicraus erbellet, daß man im fransdfifhen nur
Einen Artitel babe, und daß ein Arsiculus im-
-definitus cine Contradiio in AdjeËto me
und sue koͤnnten eher cin Unitaͤts⸗Artikel heiſſen.
s4 40. Modiféatio idcarum. Artikel.
. da table ronde, der runde Tiſch.
la plus grand homme, der groͤßeſte Mann
des bons enfans,. die guten Kinder. |
7 17 6) Bermittelft einer. beygeſehten unterſchei⸗
denden Redensart, Alss
a table qui eſt devant vous, der Tiſch der vor
euch iſt.
Le livre que je lis, bas Buch bas id leſe. |
Zes plumes que j'ai taillées ; die Federn die ich gen
ſchnitten habe.
4). Wegen einer Phraf is oder eines Wortes,
L drunter verftanben wird. . As: |
. Mettés votre chapeau fur La table, Leget eus
ven Qut auf den Tiſch. Remuch der
vor euch iſt, oder den ich da zeige).
Le Rhin, (nemlich der Fluß, ſo dieſen Nas
men figre).
Le premier, der erſte, Écjiebet fih auf ets
tas ausgelaſſenes beſtimmtes. So auch
le mien, der meinige ꝛc. |
$. 40.
3. Die Vorſtellung des Sabſtantivi ohne
Beftimmungewort,
| Obne Beſtimmungswort, oder Artikel ftes
Geu die Nomina, a) wann man nicht zu beftims
me brauchet, 6) wann man nicht beftimmen
D!
4) Man braudt nidt ben Artikel, wann
Die Woͤrter ohnedem den Gegenſtand aies
| | 9 li
/
_ Modificativ idearum. Artikel. S, 40. 4 r. 55
lich beſchraͤnken. Als da ſind die Nomina pro-
pria, die meiſten Pronomina, und uͤbrigen Woͤr⸗
ter die das Objectum obnebem darſtellen. As:
Paris, Alexandre, Jean, (obann) Novembre:
Moi, id; toi, bu; mon frere, mein Bruder;
Dieu, GOtt; Monf ieur, mein Herr ; rour, alles,
b) Man ſetzt keinen Artikel wann man nicht
ein Ding beſtimmen will, ſondern mit der bloſ⸗
ſen Benennung zufrieden ſeyn kann. Als:
P ai faim, id babe Hunger; à table zu Tiſche;
avec phaifir, mit Vergnuͤgen; courage! Muth;
livre de priere, Gebetbudb ; en Roi, als Koͤnig;
avoir patience, fid) gedulèen ; il eft Docteur, er
ift Doctor.
_ Faire réponfe, antworten, par ocaſion, gelegents
; lich.
$s at.
3. Vorſtellung mit dec unbeſtimmten
Einheit.
i. Um eine gewiſſe unbeſtimmte Einheit
anzuzeigen, braucht man die unbeſtimmten U⸗
nitaͤts- Partikeln, Un und ane, wie die Deut⸗
ſchen Ein und Eine. Ais:
un enfant, ein Kind; une perfonne, eine Petſon;
un homme, —* une autre, cine andte;
que voyés - vouè? je vois un æbre; Was febet
ibr? id febe einen Baum.
| D 4 2. Al⸗
\
re ..
46 (. au. Modificatio idsarum. Artikel.
2. Allein Dicfes ift im franzoͤſiſchen wobl zu
merkeu: Daß man die Unitaͤts⸗Partikeln, (un,
une), nicht eher brauche, als wann die deut⸗
ſchen Woͤrter ein, eine, fo viel bedenten als
ein gewiſſer eine gewiſſe, (lat. cerius, qui-
dam). |
3. Wofern die Woͤrter ein, eine, nicht ſo
viel bedeuten als ein gewiſſer 2c. ſo muß
man un und ure im franzoͤſiſchen nicht ſetzen,
| is: fie auch gleich im Deutſchen ba ſichen.
{is : :
* connois un jeune homme qui eft Officier,
et qui eft fils d' un Général &c. Ich fenne
einen (gewiſſen) jungen Menſchen, wel⸗
cher ein Officier, und ein Sohn eines
(gewiſſen) Generals iſt.
Il a reçu l” emploi de Préfident et la dignité
de Comte. Er bat bic Bedienung eines
Praͤſidenten und die Wuͤrde eines Grafens
bekommen.
4. Wann ben dem Subſtantivo mit ur und
une ein Adjedivum ſtehet, fo beftimmet (oder
Qualificirt) dieſes insgemein ein gewiſſes, da⸗
ber un und une alsdann ſtatt finden. Als:
Cet enfant a uxn bon here et une bonne mere,
Dieſes Rind fat einen guten Vater und |
eine qute Mutter,
: Un homme d' une profonde érudition, Gin
) LT von einer gruͤndlichen Selebeſam⸗
| * Modificatio idear. Artikel $. 42. 57
Jl'ya une grande diférence. Es ift babey
ein grofer Unterſcheid. (65) (66)
$. 42.
4. Vorftellung einer ungewiſſen
Quantitaͤt.
1. Mit der Quantitaͤts-⸗-Partikel de, (Par-
rticula extractiva oder quantitatis), ſtehen die
Subftantiva twenn man im Singulari Einiges
oder Etwas von dem Gantzen, oder im
Plurali etliche Stüde, ober Æinige aus
dem Gangen oder von Allen svorftellen
mil. (67) | .
D s … 2 Die
(65) Dieſes Kind bat einen auten Mater, bas if,
einen gewiſſen Vater den id gut qualificire, Al⸗
ſo auch; Es iſt dabey ein gewiſſer Unterſcheid
den id groß nenne. Denn ſonſt ſagte mar I1y
a grand’ diférence (nota 49), es iſt groß Unter⸗
ſcheid (Adv), das iſt, es iſt ſehr oder weit un⸗
terſchieden.
(66) Der Pluralis ton un, une, iſt der 6. 42 fols
gende quantitaͤts-⸗Begrif im plurali, ober man
macht ihn mif certains, quelques, phifieurs, di-
vers, diférens. Als des arbres, certains arbres,
‘quelques arbres, plufieurs arbres &c. Baͤume.
+ (67) Dieſes gefhichet um den quantitativifden, o⸗
der partitivifen, oder collettivifhen Begrif zu
erwecken. Als P argent, das beftimmte Gelb ;
de P argent, bingegen iftfo viel als Einiges Geld,
Etwas des Geldes, quelque argent, une certaine.
quantité de l'argent, Des hommes, Menſchen,
: . ; das
/
_$8 . 42. 43 Modificotio tdear. Artikel.
*
2. Die Deutfhen ſtellen dieſen „Juantitati ·
viſchen Begrif nicht ſo vor, wie die Franzoſen;
ſie ſagen nidt:. Gebet mir, oder das iſt des
Bieres, des Deldes, der Buͤcher, oder
von dem Biere, von dem Gelde ac. (fcil.
etwas}; fonbern um biefen Begrif zu ermeden
faffeu fie die Artifel (der, die, das) weg, und
fegen bas Nomen appellativum bloß bin, als
wenn es ein Nomen proprium waͤre: Gebet mir,
oder bas ift Bier, Geld; Gebet mir, oder bas
find Buͤcher.
3. Im frauzoͤſiſchen aber ſebetn man die Par⸗
| tite dé voi bas Gantze bin. nun das
Gaoanze durch den Artikel 4e, a, a. beftimmt
“wird, ſe fommt de vor dem Ariikel au ſtehen.
As: TT
la bierre, bas ie, das ganze Vier
Pargenr, das Geld, alles Geld
7 Pesprit, der ganze Verſtand
le vin, alle der Wein
les livres, aile Buͤcher, y Die Bacher.
Le .
das iſt quelques hommes, einige Menſchen (von
allen). Daher ein Unterſcheid iſt zwiſchen mit Ge⸗
dult, adverbialiter ohne Beſtimmung einer Quan⸗
nitat ſo viel als geduldig; und zwiſchen mit Ge⸗
vale, f vief als mit einiger Gedntt. 3. €. Je
foufre ma maladie avec patience, id) ertrage mei⸗
ne Krankheit mir Gedult, (di. gedultig); und
avec de Is paticece vous adoucirés votre maladie,
mif einiger, oder etwas) Gedult werdet we eus
te Krankheit linderu.
\
Modificatio idear, Artitel. $: 42:43 59
Hingegen;
de la bierre, Bier, (etwas von dem beſtimm⸗
ten Ganzen)
de D argent, Gefd. de l esprit, Verſtand.
du vin, (anftatt de Ze vin $. 51) Wein,
des Livres, (anftart de les livres Ÿ. 52) Buͤ⸗
her, von allen einige). (68)
| 6." 43. .
1: Wann man aber in dem Quantitéte Be⸗
griffe die Sache durch ein vorgeſetztes Adjedi-
vom beſtimmt und qulificirt, fo faͤlt folglich bas
Beſtimmungs Wort (oder Artikel) weg. Als:
de bonne bierre, gutes Bier, (nicht de 4)
de bon argent, gutes Geld, (nicht de P)
de bon vin, quter Wein, (nicht 44) .
de bons livres, gute Bidher, (nidt des) : (69).
2. Woll⸗
— —
(68) Man fan bald ſehen ob im plurali der Begrif
quantitativii iſt, wann man naddenft, ob imSine -
gulari un, une, ffchen koͤnnte. Als: Je vois des
arbres, id ſehe Baͤume, das iſt, id ſehe eines
gewiſſen Baum und noch einen Baum ind pod
einen 2. das iſt: VBaͤume. Hingegen Ces. Sol-
dats n° ont nipere ni mere, dieſe Soldaten bas
Ben weder Vaͤter noch Muͤtter, iff ohne quanti-
tativiſche Bedentung, denn im Singulari wuͤrde ich
nicht von Einem ſagen, il n° a ni an pere ni une
mere, et bat weder einen Vater nod eine Muts
. ter. {Nota 66)
(69) Miche von dem beftimmten, angezeigten gan⸗
zen Biere, von den sn aceigten Vuͤchern ſonderu
gutes Bier, gute B uͤcher.
. A
…
°
60 . 43-44 Modifiéatio idoar. Artitel.
2. Wollte man hingegen bas burch ein Adje-
Qivam qualificitte naͤher beftimmen, fo feget
man den Artikel oder Beſtimmungs⸗Wort, vor
das Adjedivum bin, wie im Deutfchen. Hs :
Gebet mir von dem guten Biere welches ihr
trinfet.
Donnés-moi de /z bonrie bierre que vous
e buvés.
Habt ibr von dem guten Gelde.bavon ‘wie
redeten,
_ Avés-vous du bon argent dont nous parlions?
Das iff: de cette bonne bierre, de ce bon
. argent von diefem guten Biere 20. (70) .
J $. er 44. |
Dotftellung der vier Begriffe.
1. Mit dem Beſtimmungsworte oder Artikel:
le pere, der Vater; la mere, die Mutter
l enfant, das Kind; 1 ame, die Seele
les peres, les meres, les enfans, les ames,
2. One Beſtimmung:
Paris, Paris; Dien, Goit; trois, béen :
mon,
, Go). Date n wann n ba. Adje&tivum nadgefegt wird,
auch der Artikel bleibet; alé de la bierre chaude,
des livres françois, das iff, von dem Biere
(etwas) bas warm iſt, ſey, (qui ſoit oder qui eft
chaude); bon den Biücera (cinige) bie franͤſiſch
geſchrieben find, qui font écrits en a françois,
Modificatio. Ideorum. (. 44. 61
mon, mein; qui, wer? Charles, Carl;
à table ju Tiſche; il eſt Docteur, er iſt Doctor.
3. Mit den unbeſtimmten Unitaͤts Partikeln:
un pere, une mere, un enfant, une ame.
4. Mit der Particula extractiva de:
"de l'argent, Geld; de l’encre, Tinte;
de la bierre, Bier; du pain, Brod; |
de bon papier, gutes Papiers d’ habiles gens,
geſchickte £eute. |
* Durch alle Begriffe:
Jai /a faim que j' avois l’année paflée dans
Ja même maladie ; Sd babe den (d. i. den-
felben) Sunger, ben id voriges Jahr
ben eben der Kranckheit Gatte. |
Jai faim, id, babe Sunger, (bas ift, mi.
7 Hungert).
ai une faim ‘que je ne ſaurois vous expri-
mer, ich habe einen Hunger den ich euch
nicht ausdruͤcken kan. |
Je me trouve un peu mieux, car j' aï de /a
faim, (oder de Papérir), id befinde mich
ein wenig befler, denn id babe Hunger;
(das ifteinigen Hunger oder etwas Hun⸗
get}. (71)
B) Mo-
pm
(72) Alfo aud: Voilà le Docteur dont j” ai parlé.
LL eft Doéfeur. Je parle d’ un Doéfeur que vous
avés connu autrefois, Il ya des Dodeurs qui
font d’ un autre fentimeat,
62 $. 45-46: Modifie relation. | |
B) Modificatio- Relationum. |
oder Beziehungo · Vnaͤnderungen. J
5. 45.
1. Modifcatio Relationum if bicerige Boes
ſtellung der Dinge, da man durch gewiffe vers
aͤnderte Rennzeichen zu erfennen giebet, was
die Sachen (Sæhfansiva) für einen Sufammens,
bang, ober für ein Verhaͤltniß, oder: für eis
ne Beziehung mit den Verbis in der Redens⸗
art (phraſi) haben.
2. Man muß alſo durch ein Rennzeichen
angeben koͤnnen, wie das Seyn, Wirken,
Leyden oder Verhalten ſich in Anſehung ei⸗
nes Dinges verhaͤlt; ob es zum Exempel
von demſelben, oder in, mit, nach bem:
felben, oder durch, für, obne, gegen :
daſſelbe ré.
iſt, entſtehet, wirket, leydet oder ſi ich
verhaͤlt. (72)
$. 46.
r. Diefe Verhaͤltniſſe werden genannt Faͤlle,
(Cafus),vermittelft melder man auf gewiſſe Fra⸗
gen dur gewiſſe Rennzeichen, fo-nad) Bees
fhiedenbeit der Fragen veraͤndert werden,
antwortet. | |
2, Bey allen Fragen alſo, welche man in
einer
ati
in
+ (72) Mit cinem Worte es ift die Relation aroifen
dem Verbo und Subftantivo, |
Modificat, Relat. oder Cafur. 6.46. 47 63
einerꝰ Phrañ, ‘in Anſehung der Beziehung des
Verhaltens oder Verbi auf das Subſtantivum,
anſtellen kan, muß man die Art des Verhaͤlt⸗
niſſes durch ein Rennzeichen angeben koͤnnen.
Als ein krennendes Vethaͤltniß, aufdie Frage Wovon?
ein vereinigendes, auf die Frage Wobin?
3. Dieſe Cafus oder Gülle werden in einigen
Sprachen, (als in der Lateiniſchen) mehren⸗
rentheils (73) durch gewiſſe Beugungen
der Endungen (Flexiones) angezeiget.
Als: Pater, patris, patri, patrem, patre.
9. 47.
1, Im Franuzoͤſiſchen hat man fein: Vlexio-⸗
nes); Endungs⸗Veraͤnderungen); denn
die Nomina bleiben unveraͤndert. (74)
2. Um nun durch ein Kennzeichen bas
Verhaͤltnis der Nominum mit den Verbis, in
dem Bortrage, anzugeben, brauchen die Frans
gofen (Prepoftiones), (Dorwôrter oder Dars
tikeln). |
\ Us
(73) Ich fage mebrentbeils, denn da die fleétirens
den Sprachen, nur cinige flexiones haben, fo
müffen fie bep andern Verhaͤltniſſen dod die Præ-
pofitiones braudjen,
(74) Die latcinifhen und deutſchen Dativi und Ace
cufativi bep den Pronominibus perfonalibus, tele
De wir burd me, te, fe, lui, leur, le, la, les
geben, find wohl eigentlich Fcine flexiones, denn
fie ſehen ben allen dreyen ganz anders ans als die
ominativi, :
I 64 6.47. 48: Modificot. Relat. oder Cafur, |
Als de, auf die Fragen: Weſſen? Im An⸗
ſehung weffen: Wovon? Woraus?
Woher“ von welcher Art; 2c, de la
ville; d’érudition, .
à, auf die Gragen: Dem? Do? YDo-
_ bin; Wozu? Wornach auf mes Wei⸗
+ fe? Worauf ?) rc. à la ville; à la françoife.
avec, auf die Grage: Womit? Begleitungss
oder Werkzeugsweiſe. Avec mon frere;
avec le couteau. ; :
par, auf die Gragen: Wodurch? dur
was Mittel? 20 par la porte, par mes
: amis. —W | |
peur, auf die Gragen: Wofuͤr? Für wen?
zu welchem Ende? 2e. pour mon fre-
re; pour (avoir) de P argent, |
(und fo meirer ; fiche vas ſolgende Cap.) |
3. Dieſe Præpoſitiones oder Vormôrter tver:
den vor die Nomina gefeft; biefe môgen mit,
oder. obne ben Artickel oder mit ur und une,
oder mit der Quantitts: oder Extract: Dartifel
de fteben. Als à la table, à table, à une table,
à des tables, |
_. $ 48
1. Es find bemnad fo viele Cafus oder Faͤl⸗
le, afs Fragen in einer Phraſi, in Abſicht auf
die Subftantiva, koͤnnen gemacht merden. Als:
. Nous venons de Berlin, wir kommen von
Berlin. Woher? |
Ils
| Modifcatio relationum, oder Cfa, . 48. 49. 65
. {ls vont à Paris, fe veifen nach Paris.
Wohin?
1 pañle par. Caſſel, er reiſet durch Caffeh
Doburh? .
Mettés cela fur la table, leget dieſes auf
dern Tiſch. Worauf: (localiter),
Je m' aplique à la langue françoife, id) [es
ge mic auf bie fr. Sprache. Dos
zu? Worauf? ad quid?
Il va avec fon frere, er gebt mit ſeinem
Bruder. Mit wem?
2. Weil aber die Menge det Feagen eine gar
zu groſſe Menge Præpoſitionen erfordern wuͤr⸗
de; ſo wird mit den meiſten derſelben auf meh⸗
rere Fragen, die einige Bewandniß mit einan⸗
der haben, geantwortet.
Man muß folglich ſich die Vorwoͤrter aus dem
folgenden Capitel wohl bekannt machen.
| $. 49. D
1. Der lateiniſche und deutſche Nomina-
tivus ift der Mame eines Dinges, (das Subje-
um), von welchem id etwas bejabe oder vers
neine. Er wird beffer le ubhjectif, der Subje-
éious, (oder das Subject) genaunt.
As, l’homme, Jean, un homme dit; det
Menf, Johann, ein Mann fagt.
de la bierre pour moi, du vin pour mon ami:
Bier für mid, Wein fuͤr meinen Freund.
E 2. Der
}
66 6.5 ©. Modificath relationum, oder Cafus. .
2. Der ſo genanute Accuſativus, ift der Ge⸗
genftanb, (das Objetlum), der Handlung, und
fet eigentiid ? obhjectif, ber Objéttivus.
des Berbaltens, oder das Gewirkte. Er beifs
Als, je vois l'hommé, Pierre, une table,
de l’ argent, et des amis; ich ſehe den
Mann, Petern, eine Tafel, Geld und
Freunde.
3. 4) Dieſe beyden Faͤlle brauchen kein Kenn⸗
zeichen, ſondern nur ihre Stelle, in der Zu⸗
ſammenfuͤgung, vor oder nach dem Verbo un:
terſcheidet fie.
b) Der Nominativus oder das Subjectum,
ſtehet vor, der Accufativur, oder bas Objedum,
ſtehet nach dem Verbo.
Als, le pere aime le fils, ec le mere aime, Ja,
fille; der Bater liebet den Sohn, und die.
Mutter liebet die Tochter. |
| $. 50. /
Nach demjenigen, was gefagt worden, be:
flebet die gange Syntax von den fo genannten
Cañbus: Oder die Angebung der Kennzeichen,
welche in dieſem oder jenem Foͤlle, das Verbhaͤlt⸗
LS
nif des Subftantivi in ber Phrafi auf biefe oder
jene Frage angeigen, in folgendem:
1. In Anfebung des Nominativi, Gupoie
Rrage: Wer?), und des Accuſativi, (auf die
Frage: Wen? oder Was ?), iſt zu beobachten.
a) Mit was fuͤr einen Begrif ich ihn dar⸗
ſtelle? Ob mit oder ohne Artikel, oder mit
ua,
Modificatio relarionum, oder Kafür. 6, ç0. 67.
un, une, oder im quantitativiſchen Begriffe
mit de? (.44 oo |
b) Die Grelle in der Conftrudtion. G. 49,
3,b) :
2. In Anſehung der uͤbrigen Faͤlle, ſtelle
mon die natuͤrlichſte Frage an, die ſich bey der
Phraſi am beſten ſchicket, und ſetze alsdann die⸗
jenige Præpoſition vor das Nomen hin, welche
ihrer Natur und Bedeutung nach am natuͤrlich⸗
ſten auf die Frage antwortet, ſo hat man den
rechten Caſum. (75) |
Als: Pafler wober ? de, wohin ? à, wodurch?
par, woruͤber ? fur, worunter ? buc, wofuͤr?
pour, wovor ? devant, woʒwiſchen? entre,
wogegen? vers, bey wem? chès, worin?
dans, vor wem? avan, nach wem?
après &c. $: $ 9. | |
| E 2 F. 51.
— —— ——
anges ‘hs
(70) Bey dieſer Grundregel bleiben die Franzoſen
in allen Faͤllen; da aber die Deutſchen vielfaͤltig
davon abgehen, ſo hat man ſich wohl in acht zu
nehmen, ob auch die deutſche Præpoſition in der
Phraf die rechte und natuͤrlichſte iſt oder ait,
Dieſe Abweichung der Deutſchen verurſachet die
vielen Regeln in den Grammatiken, da doch die
Franzoſen wirklich nur die einzige angefuͤhrte bas
ben. Als: Er liegt am Fieber krank, il eft ma-
lade de la fievre; (nicht à, denn man fraͤgt Wo⸗
von). Ich lege mich auf die franzoͤſiſche
Sprache, je m' aplique à la langue françoife;
(nicht far, denn man fraͤgt ad quid? ) Mit Ge⸗
legenbeit; par ocafion, (nidt avec denn es if
weder Inſtrument noch Begleitung.
+
e-
68 — re ç2« Modifcatio relat, oder Café” |
&. sr.
Ehe wir einige Muſter von den gedachten Abaͤn⸗
derungen geben, muͤſſen folgende 3 Anmer⸗
kungen vorangehen, welche man wohl in
acht zu nehmen hat.
1. Wann Le vor einem Conſonante zu ſiehen
kommt; das iſt: Wann in dem beſtimmten
Begriffe ein Mafculinum von einem Confohan-
te anfaͤngt, und man ſoll 4 oder à vor den Ars
tifel Ze feben : fo werden biefe beyden Præpoñti- |
ones mit dem Artickel /e contrahiret.
anſtatt de Le fagt man d4,
anſtatt à Je fagt man au.
Als le pere, du pere, au pere.
le livre, 44 livre, au livre,
anſtatt de le pere; à le pére &c.
2. Der Artifel im plurali (/es) ;. bas iſt; ber
Pluralis des beftimmten Begrifs, wird aflégeit
mit den Præpofitionibus de und à contrahiret,
die Nomina môgen ntit einem Confonante.oder
mit einem Vocali anfangeu, fie môgen generis
mafc. oder fœminini ſeyn; (als les peres, les
meres, les hommes, les ames.) ” |
-de les wird contrahiret in 4er, |
des -— ue aux oder aus,
Als des peres, des meres, des hommes, des”
- ame, | : -
| -. an
Modificatio relat. oder Cafus, J. 52:53: 69
anftatt de leg peres > de les meres, de les
* hommes de les ames.
. aux peres, aux meres, aux hommes, aux ames, |
anftatt à les peres, à les meres &c.
Es waͤre baber viel beſſer wenn man aus anſtatt
aux ſchriebe. S. mots Si.
$.. 53.
3. Wenyn man vor die Nomina, ſo im quan-
ütativiſchen Begriffe ſtehen, (F. 42. 43.), die
Præpoſition de feben ſoll, fo begnuͤget man fi
mit déc bloffen Particula de, damit fein Uebels
Taut erwachſe. Als im Nominativo;
de la bierre, de P argent du pain, des livres,
Bier, Geld, Brod, Buͤcher.
Nun muß man auf die Fragen: Wozu? Wo⸗
fr? anttvorten: .
à dela bierre, 2 de l’ argent, à dû pain, a des livres,
pour delabièrre, pour - Pour - pour
Aber auf die Frage: Wovon? bloß mit de:
im ſing. und plurali, im mafc. und fœminino,
. de bierre, d' argent, de pain, de livres, de
! bon argent
Nicht: de de la bierre, de de argent, de
du pain, de des livres, de de bon argent,
twelches uͤbel lautet.
Mau ſagt. Tai un pot (plein) de bierre,
Ein Topf voll (von) Bier ;
je parle d’ argent; id rede von Geid;
17 2. #3. ue
È " Î
D 0 $. PPT Madificiie relat, oder e Cifis
|‘uhe quantité de pain , ein Haufen Brodes;
plein de livres, voll von Buͤchern.
| une bourfe pleine de bon argent, eine
. Boͤrſe voll guten Geldes.
| $. 54.
Dieſes de fan’ Caſus quantitatis genaunt
werden, nach der Regel:
Mad allen Quantitéte: Woͤrtern, fie môs
gen viel oùer wenig bebeuten, einen Lebéts,
J fluß oder Mangel anzeigen, (copiæ et inopiæ),
| En das de vor das bloffe Nomen geſett; QG 6) |
(8: :
Œin Adv. beaucoup # argent, peu d esprit,
| viel Geld, menig Berftand; -
Ein Subft. une foule de gens, un manque
.: d'esprit, ein Saufen feute, ein Mangel
von Verſtand;
Ein Adj. plein de vin, volt Wein, |
Ein Verb. combler d’honneur, mit Œbren
| uͤberbaͤuft.
| §. 55.
Vorſtellung der Caſuum bey den Nominibur,
1. In der beftimmten Vorſtellung:
$. 38. 39e |
| Das
(76) Es waͤre bann vof man die Sache tirfli be⸗
ſtimmete. Als: j'ai encore beaucuup (oder ane
quantité) de l'argent que vous m' avés donné,
(fo tie es im deutſchen geſchiehet). F. 43, 2.
Modificatio relat. oder Cofur. <. 55. 71
Das Subjectum oder der Nominatiuus ſoll ſeyn
La mere; die Mutter ; enfant, das Kind
le pere, ber Vater; les Hvres, die Vuͤcher:
Welches zugleich, wenn es nad) dem Verbo
fiebet (6. 49, 3), bas Objectum oder ben
Accafatroum vorſtellet; den Vater 2e, (77) :
| | foem. male. vorm Vocal,
Mer? Yen? :c, la mere l’enfant .:
Weſſen? Wovon ? 26. dela - del -.
em? YWoran? 1e. à la - à l .…
Bomit? . avec la - avecl
Wodurch? parla - parl -
Wofuͤr? pour la - pourl -
| &c. &c.
maſt. vorm Conf. plural. gen. comm.
6(66. 51.) (5. 52)
Wer? Wen? le pere les livres
Weſſen? Wovon ? re. du .- ”, des -
em? Woran? 2. a + aux-
Womit? avecle. - avec les = ⸗·
Wodurch? : parle. - par les. - :
© Bofür? - : pourle - -- pourles -::
| E 4 2. Obs
(77) Man bat Bier nur 5 Præpofñtiones genommen
um die fran. Cafus ju geigen; ein jeber Fann die
uͤbrigen zuſcthen: Als ‘avons la mere, après la
mere &c. &c.
72 $. 55 Modificatio relat. oder Cafur.
2. Ohne Beſtimmungswort oder
| Artikel. (40.
Wer? Wen? Was? Dieu (78) Paris
Weſſen? Wevon? 2 de Dieu de Paris
Wem? Woran? x. à - à -
Womit? avec avee⸗
Wodurch? par - ‘ par -
Wofuͤr? v pour » pour -
Wer? Men? 2e. Paul mon frere
Weſſen? Wovon ? x. de - de - -
em? Woran? x. à - à -"
Womit? | avec - Avec = -
Wodurch? par - par - --
Weofuͤr? pour pour - -
3e Mit un und se, (ein, eine.) 6. 41.
Ein Sac. Eine Feder.
Wer? Wen? Was? un livre (78) une plume
Weſſen? Wovon ? ꝛc. d' un - d’une -
Wem? Woran? à. à-- -. à - -.
Womit? | AVEC - .:+ AVEC -
Wodurch? - PAT - - par »- -..-
Woofuͤr? pour pour-
4. Vor⸗
(78) Die Woͤrter welche mit einem Vocali anfan⸗
gen, fie moͤgen maſeulina oder fœminina ſeyn,
tuerden in allen Degriffent auf cinerlep Weiſe mit
den Prepoñitionca abgeundert ; folglich auch key
LA
.Modificatio relat. obet Cafe. $. 55. 73
4 Vorſtellung in der Dvantität. §. 42. 43.
Coder quantitativè, poſitivè, collectivè &c.)
a) Vor einem Sulſtantivo. . 42.
maſc. vor einem Voc. (75) foem, vor einem Poc.
Wer? Bas ? de l'argent, Geld. del encre, Tinte.
Weſſen? Bovon ? d'argent (F.5 3) 4’ encre(( 53.)
Wem? Woran? rc. à del’argent àAdel'encre
Womit? avec del - avec del -
Wodurch? par del” - ‘pardel -
Bofñr? - pour del” - pour del -
mac. vor einem Conſ. foem. nor cinem Conſ.
Wer? Was? du pain, Brod de la bierre, Bier
Wovon? de pain ‘(f.53) de bierre (53)
Wem? Woran ? à du pain à de la bierre
Womit? avec du - , avec de la —
Wodurch? par du - pardela -
Wofuͤr? pour du - pour de la. -
pluralis im mafc, (25) | pluralis im foem.
Mer 2 Ben? ic. desamis, Greunde des femmes,
| Frauen
Weſſen? Wovon? x. d'amis ($.53) de fem-
mes (ÿ.53) .
ŒE 5 Wem?
‘un, und une. Die Plurales find für alle einerley,
ſie moͤgen mafculina oder fœminina ſeyn, mit ei
nem Confonante oder Vocali anfangen; ſo tie
auch im a4ten Begriffe vor einem Adje@ivo bic
8
v
74 5. 55. Modificatio relax. oder Caſus.
Wem? Woran? 2e à des amis à des femmes
Womit? avee - avee·⸗
Wodurch? par - pare =.
Bofür ? . Pobr - - pour- -
b) Dot einem. Agedivo. Ç. 43.
mafr. (78) ſoem.
Wer? Was? ꝛc. de bon pain debonnebierre
—Weſſen? Wovon? debonpain($.s3) de bonne
| bierre ($.53) .
Wem? Woran? x, à de bon pain à debonne
bierre
Womit? avec - » = AVEC — -
Wodurch? . par + = - par - ee =
Wofuͤr? pour - - »pour- - -
plur. 78) .plr. L
er? Bas? debonsperes de bonnes
meres
Weſſen? Wovon ꝛc. de bons peres(5 3) de bonnes
meres (53)
Wem? Woran? àde e bons peres à de bonnes
| meres
YBomit? avec —- - = avec - - -
aBobur ? pat - - - pr - - -
Wofuͤr? pour - - - pour - - -
Und auf die vorigen Weiſen mit allen
Præpoſitionen, oder Vorwoͤrtern.
| $. 56.
Abaͤnderung des Sing, and Des Pluralis cinerley
iſt; féngt bas Adjeitivum mit einem Vocali an,
ſo wird de apoltrophict; ; als d' excellent vin.
—
Madifiatie relar, oder Cæſu. $.56 75
| §. 56.
Recapitulation desjenigen, was in diefem
Capitel, von. den Deranderungen
geſaget worden. :
Bet etwas zuſammen feben will, der
metfe ben ben Nominibus folgende drey Stuͤcke
worauf alles ankommt.
1. Man unterſcheide wohl die vier Begrif⸗
fe, in welchen bic Subftantiva vorgeſtellet werden.
Nemlich:?
Ob ſie mit, oder ohne Artikel, mit ur,
und une, oder mit de im quarititaivif@en oder
partitivifen Begriffe fteben ſollen. |
2. a) Man febe ob bas Subitantivum bas
Subjeëlum oder das Obiectum der Phrafis ift ;
Das ift ob es der Nominativus jft, (auf die
Srage Wer?), oder der Aceuſativus, (auf die
grage Wen? Das? ).
D) Im erſten Halle fegt man es, obne
Præpofition, pot das Verbum; im andern
Salle, auch ohne Præpoſition, nach dem
Verbo.
\ 3. Bey allen anbern Sällen, (79) ſtelle man
die natif rage an, welche Gen der
ra⸗
Re RES
(79) Das ift: In allen andern Caſibus die da vors
fallen koͤnnen, um dur ein Renniciden das Pers
bâltnif zwiſchen dem Nomine nnd dem Verbo ans
zugeben, jedoch vhne auf die deutſche Præpoſiti-
on zu achten, weil ſolche oft nicht natuͤrlich paſ⸗
ſet; ſondern der Natur der Prepoñition had.
76 . §.5 6. ANomina Sub,
Phrafi gemacht werden fan ; und nebme alsdann
diejenige Præpoſition, die fit, ifrer Natur und
Bedeutung nad am natuͤrlichſten und beſten
dazu ſchicket. J. 47.48 55. 59 fegqe ‘
| ‘ 7
| 4. Anmerkung.
Die Deutfoen folgen zwar auch in vielen
Faͤllen bicfen Regeln; fie geben aber überaus ofte
davon ab: Hingegen bie Franzoſen bleiben unver⸗
aͤudert ben ben in dieſem Capitel feſtgeſetzten
Gruudregeln ; Daher muß ſich ein Deutſcher wohl
in Acht nehmen, und muß wohl uͤberlegen 1) ob .
das Deutſche Nomen in dem gehoͤrigen Begriffe
vorgefiellet wird, und 2) ob die dentſche Præ-
poñition die natuͤrlichſte, der Bedentung na, iſt,
pder nidt? Denn wegen diefes Unterſcheides ent⸗
ſtehen die vielen ſogenannten ſyntactiſchen Regeln
in den meiſten Grammatiken, welche doch nichts
anders als Folgen der obigen allgemeinen Kez
geln, oder Anmerkungen uͤber die Anwendung der⸗
ſelben in beyden Sprachen ſind. Als:
Ich bin dec Meinung, je ſuis 4'avis; (denn
* iſt nicht beſtimmt.) U
Dieſe Vermehrung der Guͤter tar betraͤchtlich,
Cette augmentation de biens fut conſidéra-
| ble; (unbeftimmt).
Ich werde mich burd Leſung eures Briefes
tröſten, je me confolerai par Ia lecture de
votre lettre; (heſtimmt).
Grift zu Hauſe, il eft à /z maïfon; (in bem
beſtimmten Hauſe, wo cr nemlich wobnet
oder logirct/
Der Vater welcher Kinder hat, le pere qui a
de bons enfans; (im quantitativiſchen Be⸗
griffe.)
Die
Nomins Subt. 8. 56.5)1. 77
Die Mutter, welche boͤſe Kinder at, la me.
re qui a de méchans enfans ; (quantitati-
. viſch (So) :-- ;
ECs iſt ein Mann von tiefer Winſicht, c'eftun
‘ homme d' me profonde pénétration ; «(bon
einer gewiſſen Einſicht die ſehr gruͤndlich
iſt 5. 41, 4).
Er liegt am Fieber krank, il ef malade de la
‘ fievre, (Dovos nicht. ‘à $. 9; 1.)
Ich leac mic auf die fransdfifhe Gprade, je |
m’aplique à la langue françoife, (4 quid?
| nicht fér).
Er ift mit der Poſt gekvmmen, ile venu par
la poſte. (ermütelſt, nicht avec, 593 )
. 57. cu:
Eanuian aber die Ab ͤnderungen
der Begriffe.
a) Mit dem Beſtimmungsworre.
1. Ich habe die Buͤcher des Bruders meines Freundes.
Ihnr habet des groſſen Schuͤlers (écolier) Buch,
an des Schulmeiſters Tochter gegeben, und es
ar (il étoir) für ben Schuͤler von Der ape yten
(ſeconde) Claſſe.
2, Wo (où) iſt der Hund (le chien) ? Habet ihr den
Hund weggejaget (challé)? . Wo iſt des Hundes
Halsband (colier)? Gebet dem Hunde Brod
(oder von dem Brode); Der Hund des Jaͤgers
(chaf.
(0) Denn man wuͤrde im fingulari fagen: welche
em boͤſes Kind bar, nidt: welche bôfes Kind
bat. fupra nom 68, :
w
78 6. 67. Uebung der Subfantiv.
cchaſſeur) welcher in dem Dorfe (village) bes
Edelmanns (Gentilhomme) iſt. |
3. Die Magd welche 1e De Hanſe der Graͤfin N. iff.
Ich rede von der Magd der groſſen fau, welche
(que) ihr geſehen (vue) habet. Ich babe ‘den
Brief: (la lettre) .der Magd gegeben, und Die
Magd bat den Brief der Dofmeiftierin (gouver- ·
nante) gegeben. … W |
a. Die Blumen find bie Schoͤnheit (beauté) der Gaͤr⸗
ten (jardin). Die Schoͤnheit der Blumen erdoͤtzet
(charme) bas Geſicht. Sie gchen (elles don-
nent). ben Menſchen ein groſſes Vergnuͤgen
a D Dicfer Straus (bouquet) iſt gemacht
(fait) von den Blumen welche in dem Garten
find, der (qui) binter (derriere) dem Hauſe iſt.
b) Obne Beſtimmungswort.,
5. Johann Clean) bat Peters (Pierre) Bud Friede⸗
rien (Fréderic) gegeben; denn cr liebet Sriedes
rien, und er iſt geneigter (porté) für ihn als
für Peter, ——
6. Die Äbreiſe (le départ) meines Sohnes welcher
von Berlin fommt, iſt auf morgen feſtgeſtellet
(fixé). Ich gebe meinem Sohne bundert Duca⸗
| nes Gfpeie)
ce) Mit ur, und une (ein gewiſſer 2c.)
*Ich ete von einem Menſchen, welcher ein Dottor
iff, und Der (qui) ein Bud verfertiget (compo-
SE) bat, welches einen Mann von einer tiefen
Gelehrſamkeit (profonde érudition) entdecket (dé»
couvre).
8, Die Bediennng (la charge) eines Praͤſidenten if
cinem Manne qegeben morden (a été donnée),
welcher (ang) Mangel (faute) einer Ueberlegung
, (réflexion) einen Fehltritt (faux pas) getban jar. |
Ucbung der Subfantiv. (. 57 79
Er iſt ein Sohn eines Sbriffen (colonel) den (que
ihr bep Cchés) mir gefchen (vu) babet,
d} Im quantitæiviſchen Begriffe.
9. Dies iſt (c eſt) Wein; und id trinke allezeit Wein,
weil (parceque) der Wein geſunder (fain) .ift als
Bier. Denn (car) ein Glas (verre) Wein ſtaͤr⸗
ket (fortifie) mehr als zehn (dix) Glaͤſer Bier.
Er redet von Brod und Bier. Der Brantewein
eau de vie gefaͤllt· (plait) Arbeitslenten Couvri-
Eery), aber für Perſonen von Herkommen (qualité)
muß man (fl faut) Wein haben. —
10, Seidene Struͤmpfe (des bas de ſoye) ſind ftaͤrker
als (que) wollene Struͤmpfe. Weiſet montrés)
mir ſeidene Struͤmpfe. Ich habe ein Paar (une .
paire) wollene Struͤmpfe gekauft (acheté). Sie
gleichen (reſſemblent) ſeidenen Struͤmpfen. Ich
bin mit ſeidenen Struͤmpfen verſehen (pourvu).
11. Da iſt (voila) guter Wein und gutes Bier. Hier
find (voici) gute Buͤcher. Die Bouteille guten
Weins fofiet (coûte) einen Sulben (florin). Ich
denke (penfe) an guten Wein und an gutes Pier,
Er redet von qutem Weine. Ich gebe gutes Geld
für gutes Bier. | | |
#2. Gr ift geſchickt (propre) su groffen Anſchlaͤgen
(desféin). Er redet von groffen Anſchlaͤgen. Er
bat eine. Menge (quantité) von groffen Aufhià
gen im Kopfe (en têre). Er bat den Ropf vol
(remplie) vou groffen Anſchlaͤgen. ..
80 | $. 58. Praphfitiones. I
Das H. Capitel.
I Ven den Præpoſitionibus.
5. 588.
) Die 33 — in alphabetiſcher
Or dnung.
à, eigentl. an, ju hormis, |
après, na, (poſt)j. “hors, . ausgenommen
| avant, vor, vorher (ante) malgré, obngeachtet, trotz
avec, mit, : ‘moyennant, vermittelft -
chés, Ben, ein Haufe nonobſtant, unerachtet
contre, wider outre, auſſer
dans, in, brinnet par, burd, vermittelf
_ de, eigentl. von, aus parmi, unter:, drunter
. depuis, feit . pendant, wabrend
derriere, hinter pour, für, um ju
devant ; 60 (em) ſans, ofne
durant, daurend ſelon, nad,( fécundum)
en, in, (afs) . fous, unter, (/4b)
"entre, zwiſchen ſuivant, folgends, nach
envers, gegen, (erga) ſur, uͤber, auf
excepté ausgenommen touchant , betreffend
|: vers; gegen, (verfus)
b) In 7 Claſffen. Girard p.348: ſeqq.
1. Specificativæ: De, à, en.
2. Cullocativæ: En, dans chés, fous, fur, de-
vant, derriere; parmi, vers,
3e Qrdinales: Avant, après, entre, depuis.
4. Uni-
t
{
Prépofitioner. $ 58: 59 81 :
4. Unitive: Avec, felon, fuivant, par, outre,
. durant; pendant. -:
5. Separativæ: Sans, excepté, hors, hormis.
6. Oppoſtivæ- Contre, malgré, nonobftant,
7. Terminales: Pour, envers, touchant, (81)
$ 59.
1. Die Redensarten welche zuweilen das
Verhaͤltniß der Handlung in Anſehung des No-
minis angeigen, ſind eigentlich keine Præpoſiti-
nes, ſondern præpoſitiviſche Phrafes, welche els
ne præpoſition ‘bep ſich haben (ga) Wenn
man will kann man ſie zuſammengeſetzte Præpo-
ſitiones n nennen, als die folgenden. Bad:
2. Ei⸗
(81) à) & F nù demnad 33 3 Prepofitiones fimpli-
ces, oder eigentliche Vorwoͤrter, welche als
Kennzeichen des Verhaͤltniſſes des Nommis mit
ſeinem Verbo gebraucht werden. Weil nun
dieſes die franzoͤſiſchen Caſus find, fo mn
, man ſich dieſelbige, und pere Gebrauch wohl
bekaunt machen. $. 48.9. 66..
b) Es iſt 8 49 ſchon geſaget worden? daß die
Nomina, welche das Subjectum oder Das Ob-⸗
jectum, das iſt der Nominativüs oder Accuſa-
tivus der Phréfis find, keine Prapoſition brau-⸗
chen, weil fie durch die bloffe Confiruëtion un⸗
terſchieden und erkaunt werden.
6 Bislweilen ſiad dieſe Præpoſitianes compoſitæ
fur zuſammengeſetzte Præpoñtiones, als il a
paſſe par. de ſous de pont; aljo auch par de fus
la maifon; par devant ‘chés moi, Die meiften
beſtehen aus einem Norené oder Adverbio, 0e
*
S. 59. Prapofitiones. oo
82
1
2. Einige Prepofitiones compoñite.
à caufe de, wegen
àforce - , durch vieles
à la faveur - vermittelſt
à l'égard - in Anſehung
à l’entour - um berum
arriere - weg von...
au dedans - inwendig
au dehors - auferbalb
au delà - jenfeit
au devant - entgegen .
au lieu - anffatt
au milieu .— mitten in
au près - nabe ben
autour - um⸗herum
au trâvers -
à travers 4e ] hindurch
en deça de, disſeits
en dépit - tr0$
enfait - betreffend
en faveur-de, zum beften
es egard à, in Ruͤckſicht
auf
Faute, de, aus Mangel
joint 4, nebft
jusqu’ -, bisauf
le long de, laͤngſt
loin - -, anftatt
manque -, aus Mangel
par deflous /e, brunter
| | bin :
par deflus - , drüber bin
parlemoyen 4, vermits
sn telſt
Bezie⸗
Gang
pour l’amour de, tegen
près - , neben bey
proche - , nahe ben
quant à , anbelangend
vis.= à vis de, gegen
66o0.
par raport 4, in
71,
ber ein Interjettion, ‘und pet Præpoſition de
oder à; als én faveur de, ‘én confidération de,
… &c. Bisweilen find é8'Ciliprifdie Redensarten,
da etwas bdrunter verſtanden wird; als à moi,
das iſt, quantum attinet ad me; vu le cas
- qu'on en fait, Das iff, angeſehen oder wenn
man auf bas Wejen, (sder Werk), ficbet bas
man darau$ machet. Loin de le croire je —
bas iff, je fuis bien loin (ober éloigné) de le
croire car je —
Præpofitionei. $. 60. 83
5: 6, 60.
Gebrauch der Præpofſtionum.
1. 4) De wird gebraucht auf die Fragen:
Cujus? reſpecu cujus ? de quo? a quo? ex quo? \
8) Folguich auf die deutſchen Fragen:
Weſſen? in Iſnns weſſen? weswe⸗
gen? welchergeſtalt? wovon? woher?
(unde?) womit? (wenn der bjoſſe lateiniſche
Ablativus ſtehetjy woraus? von welcher
Art? ac. Daher nimmt de verſchiedene deut⸗
ſche Bedeutungen an: vice
€). Bann'd vor le, oder des zu fteben
kommt, fo entftebet baraus die Contraction du,
des, G. 51.52. vor. Prund le aber findet keine
Contraätion ftatt, als del ame, de l’argent, de
k plume. |
2. a) À wird geſcht auf die Frage: Gui? Ubi?
ad quid?
) Folglich auf die deutſchen Feagen:
Wem? an wen? Wo? Wohin“ wie
weit? bis zu was? Wozu? woran? wor⸗
nach? worauf? wobey? wie? (in der
Bedeutung auf was weiſe?) wie hoch,
Gu welchem Dreife)? ꝛc. Alſo bat aͤ vielek⸗
ley Bedeutungen, als an, su, nach, aufaic.
) Wann à vor Z oder Zer zu fteben
kommt, fo wird es contrahirt in au, aux, G 51.
52. vor und a aber nicht, als à l” ame ; à l
argent. à la plume. |
ie S2 3.4)
7
84. f. 60. Prepoñtioncs.
3. a) Avec beifet zwar mit, wird aber im
framgéfifhen nicht anders gebraucht als um ein
Inſtrument oder eine. Begleitung anzuzei⸗
gens; (in/ſtrumentaliter et comitativè),, Folglich
gciget es auch eine Geſellſchaft and eine Ver⸗
miſchung mit etwas an. (83 ous
As: | ue
Je P'ai Sie avec les cifesuk avec le. pincéau,
ich babe e es mit der Scheere/ mit dem
Pinſel gethan. .
Je ſuis forti avec mon frete. ich bin mit mei⸗
nem Bruder ausgegangen.
Les perſonnes avec qui on fe lie, die Perfos
— nen,“' mit welchen man ſich verbindet.
On les a mêlés, (confondus), les uns avec
les autres, man bat die einen mit den ans
dern bermifet, (verwechſelt).
4. 4) Par antwortet auf die Fragen: Wo⸗
durch? durch was hindurch? durch was
Mittel⸗ ue es cr
—
L À
D) ée
mm ml
(83) Avec iſt Das cum der Latciner, man muß es al
fo nicht, mie die Deutſchen ibr mit, da brauchen mo
Die Lateiner ibren bloffen Ablativum ſetzen. Als
je fuis pourvu de toutes chofes, id bin mit af
lem verfeben: Hier frâgt man guô ? quibus rebus?
worauf de folget (ſuprà nro. 1 ) tic im lat. der |
AbL inffrulus ſumM omnibus rebss.
.
Prapoftiones. $. 60! 85. .
6) Es ift alſo ‘ein Caſus tranſitivus, me-
diativus und repartitivus, und bedeutet durch,
hindurch, vermittelff, dermôge 2c. (84)
Als: paſſer par la porte, durch die Thuͤre
gehen. ——— |
Je J'ai convaincu par de bonnes raifons,
ich habe ibn durch triftige Urſachen über:
zeuget
par an, durchs Jahr hindurch, jaͤhrlich
par mes Protedeurs, durch meine Beſchuͤ⸗
tzer, vermittelſt meiner Beſchuͤter oder
Goͤnner).
5. Moyennant beift vermittelft, ift eigents
lich ein- Participium von einem alten Verbo
Moyenner, vermitteln, durch gewiſſe Mittel
auswircken.
Als: moyennant quelque argent nous l' au-
rons, wir werden es vermittelft einiges
Geldes, (oder dur einiges Geld), ere
halten. |
an fagt auch par le moyen ‘de quelque ar-
gent, |
6. a) Pour ftellt drey Haupt⸗Begriffe bars
Loco, für, anſtatt; In favorem, für, gum be⸗
S 3 ſten;
——— — CREER RER RERO RERO CEA Enr —ö—————
(84) Par zeiget alſo auch einen Hntrieb duech wel⸗
chen oder vermoͤge weſſen man angetrieben wird,
als par. amitié, aus Sreunofchaft , das iſt ane
getrieben our oder vermôge ꝛc.
\ _
. 4
° L'
86. . 60. prepare
ften : und 4d' quem finem, 3 bem Ende, um⸗
zu. Hnftart fur fagen die Deutfhen aud vor,
| beſonders in gewiſſen Provinzen. (85)
55 Es enthaͤlt alſo ben Begrif des fie
oder vor der Deutſchen, wie auch des umzu
als eines Bewegungsgrundes, Vorſatzes,
Zwecks oder Endzweckes; uͤberdem aber
auch eines Preiſes oder Tauſches, ꝛc.
Als:N'ecrivés pas, j'écrirai pour vous,
freibet nicht, id) merde für euch Res
ben, (anſtatt eurer). , ,
Je parlerai au Préfident pour vons & pour vo-
tre frere, id) werde für eud und euren
Bruder mit dem Praͤſidenten ſorechen,
(zum beften).
Je lis ce livre pour aprendre, ich leſe sis
Buch um zu ferneu.
J'ai eu ce cheval pour cent piftoles, id babe
bicfes Pferd fuͤr bundert Piſtoletten be⸗
kommen.
Je lui ai donné ma Grammaire pour fon Dic-
tionaire, id babe ibm meine Gramma:
tif für ſein Woͤrterbuch gegeben |
7. Dans,
- (es) Es ift aber nicht das pre ber Lafeiner, fo ges
meinialid im frausdfifhen dur fr, avans, pré.
Jérablement rc. ausgedruͤckt wird: Soudern es
iſt das an lieu de, en faveur de, und afin ber
Franzoſen. Zuweilen ſtehet es anſtatt envers und
: à l'égard de, Siebe die Anmerkungen dar⸗
über in der dritten Abtheilung diefes Buches. |
Prapoñitiones. 6. 60. 87
7. Danc, in » drinnen, (intus), iſt colloca-
tiviſch, und zeiget eine innere Stelle an, wel⸗
de eingeſchloſſen iſt, daher es auch inner⸗
halb, inwendig in, hedeuten kan.
Als: Il eſt denr la chambre, er if in der
Kammer.
La politeſſe règne plus dan- la capi⸗
tale que dans les provinces, die Hoͤf⸗
lichkeit berrfhet mebr in der Haupt⸗
fladt als in den Provinzen.
Ia beaucoup de paffions dans le cœur, et
fat viele Leidenſchaften im Herzen.
Dans trois femaines, innerhalb deep
Wochen.
8 a) Enjift bas unbeſtimmte in, (in),
der Deutfhen und $ateiner, im meitläuftigen
Berftande , und bexcidnet und fpecifiret, (als
eine fpecificativife Præpofition), bie Art und
Weiſe, nad dem Suftande, der Sigur, dent
Umſtande, der Eigenſchaft u. ſ. f. worin bie
Sache ift.oder vorgeftellet wird. (86)
54 I b) Biss
(86) Dieſes en wird daher viel gebraucht um Ad-
verbialiſche Redensarten su machen,\die eben das
beſagte ben dem Umſtande des Vekbaltens ans
zeigen. Als, en ami, (amicabiliter), als ain
Steund, en faveur, sum veſten, (in favorem)
en vie, lebendig ꝛc.
|
88 60. Prapoſitiones. |
| b) Bisweilen {ft en eine coHocativifde
Præpofñtion im weitlaͤuftigen Verſtande in An:
ſeehung der Zeit und des Orts. (87)
Als: 4) Une armée en bataille, ein Kriegsheer |
in Schlachtordnung.
Un homme ex colere, ein ann der
in Zorn gerathen. |
Une danfe en rond, ein Tantz in der
Runde
Habillé en Houſſard, als ein Huſſar ge⸗
kleidet, bas iſt, in der Kleidung ei⸗
nes Huſſaren.
Un ouvrage en ſept volumes, ein Wert
in ſieben Baͤnden.
Il Pa dit en riant, er bat es im lachen
geſaget.
Il eſt ſavant en Médecine, er iſt gelehrt
in der Artzneykunſt. |
à} En huit jours, in, oder über acht Tage.
Il eſt en Francez, & il ira en Angleter-
re, er iſt in Sranfreid und wird in |
Engelland hinein reifen.
9. Chés iſt der Caſus domicilũ, bey, im
Sauſe. Es wird für die Wohnung und fuͤr
das Vaterland gebraucht. x
| 6.
(87) Wann nach en der Artikel (le, la, les,) ſol⸗
gen ſoll, fo wird dans anſtatt en gebraucht als
dans le poile, dans la chambre, dans les villes,
Es ſchließet alſo en die Artikel au, -
r°
7
Als: Chés moi hs vous, en mic, bey euch
, im Saufe. |
, Venés "chés moi ou demeurés chbr vous,
fommet ju mir oder bleibet ju Hauſe.
Chés les Romains on avoit coutume dire,
ben den Roͤmern pflegte man zu. fagen.
| 10. 11, Sur, auf, uͤber; und Sous, un⸗
ter, find præpofitiones locales, (oder colloca-
tivæ }, welche fo wohl im igentlien als im
figuͤrlichen Berftande die obere oder die unter
re Sage anjeigen.
Als: Sur la terre & four le ciel, auf der -
Erde und unter dem Himmel. | |
Il a de l” afcendanc ſur L esprit du Prince,
et bat Gewalt über das Gemuͤth bes -
Fuͤrſtens; d. i. er vermag vieles uͤber
deſſen Gemuͤthe.
Nous vivons Sous le règne d’un Prince |
gracieux, tir feben unter der Regie⸗
rung eines gnaͤdigen Herrn. |
12. 4) Entre, 3wifchen, (unter), ift eis
te Præpofitio ordinalis, welche dagjenige anzei⸗ |
get was der Ordnung (oder der Zeit) nad avi:
ſchen zweyen (aͤußerſten) Dingen ift. (vom
lat. snter.)- Als:
Il eft affis'entre lui & moi, er fiét zwiſchen
mir und ihm.
N vit entre la crainte &r elpérance, er lebet
wiſchen Futcht und Hofnung. J
F5 | En-
90. L S. 60. Prepoftioner. J
Encre Pâques & la Pentécôte il y af ix femai-
nes, zwiſchen Oſtern und Vfiugſten ſind
ſechs Wochen.
b) Bisweilen zeiget es dasjenige comparativd
an, was darzwiſchen iſt.,
Als Il y a une grande diférence entre les. Cas
des Latins & les Cas des François, es ift
ein grofer Unterſcheid zwiſchen den latei⸗
niſchen und franzoͤſiſchen Caſibus.
13- Parmi, unter, (von fat. permixtus), iſt
.… eine Præpofitio collocativa, welche auſſer der
Stelle, aud eine unmgebende Menge an⸗
qeiget. |
Als: Je l'ai vu parmi uhe troupe de foldats,
| ich babe ibn unter eineri Haufen Sol⸗
daten geſehen. |
On trouve parmi les animaux comme par-
mi les hommes des Etres moins intelli-
gens, man finbet unter den Tbieren, fo
tie unter den Menſchen, Weſen die
tveniger Witz baben als andere.
14.15. Devant, VOL, (lat. coram), und
._Derriere, binter, zeigen Jocaliter die Stellen
und Lagen an, die einander entgegen geſetzt
find, erſtere ins Geſicht, die andern binterrücts,
Als: Il a paſſẽ devant moi, et ift vor mir vors
bengegangen.
Le jardin eſt derriere la maifon, der Gar⸗
. ten iſt hinter dem Hauſe.
| | 16.
)
\
\
_ D
f
Prepoñtionsr. 6. 60. 9 1
16.17. Avant, vor, (lat. aute), und Ap,
nach, (lat. poſt), find Præpoſitiones ordinales,
und zeigen derZeit nach was vorher oder nach⸗
her iſt, oder geſchehen iſt, oder geſchehen wird. Als:
NP a meseg moi, er hat es eber gefeben
als id. ° | |
NMon frere eft né avant moi, mein Bruder iſt
vor mir gebohren.
Je * aprés vous, id werde es nach euch
thun. | |
AL eſt venu après moi, er ift nad mir ges
fommen. J |
Je viendrai avant Pâques, & mon frere vien- .
dra après la faint Michel, id) merde vor
Oſtern, und meiu Bruder wird nach Mi⸗
chaͤli fommen,
18. Vers, ift eine Præpofirio loci & tempo-
ris, und beifet gegéen, um, (lat, verſus). Sie
geiget a) die Gegend eines Orts an, wo etwas
bin ift oder lieget; 6) einen unbeftimmten Zeit⸗
punct da etwas gefhiebet, geſchah, oder‘ges
fheben wird. |
A6: a) Vers la riviere, vers lafin, vers l
_ orient, vers moi, gegen den Sluf, ges
gen das Œnde, gegen Often, gegen
mid) fer. U
b) Il viendra vers la Noël, er wird gegen
Weynachten fommen. |
19. Envers, gégen, (lat. erga), beziehet fi,
(als eine Præpofitio terminalis), affein auf einen
Gegenftand der eine Perſon ift.
| | {8 :
{ |
1
‘}
92 . Go. Prapafriones.
Als: Soyés charitable : envers les pauvres, ſeyd
barmherzig gegen die Armen. —
Vorre amitié Anvers moi, eure e Freund⸗ |
ſchaft gegen mich. — |
1 en ufe mal. envers fon ami, et verfaͤhrt
uͤbel gegen ſeinen Freund.
20. Contre, wider, oder gegen in dem
Berftande des fat. contra; zeiget einen Wider⸗
ſtand oder Entgegenſetzung in Anfepung der
Meinung, des Betragens ꝛtc. |
Als: Parler contre la vérité, wider bie Webe—
heit ſprechen.
Il eſt fâché ‘contre moi, er iſt boͤſe pider
mich.
Cette a@ion eft contrè la loi, dieſe Hand⸗
lung iſt wider das Geſetz. |
21,22 Nonobſtant, ungeachtet und Mal-
gré, wider Willen, find (fo wie contre) op-
poſitiviſch, und zeigen einen Gegenſatz, Ent⸗
gegenſetzung, oder Widrigkeit einer Handlung
an. 4) Nonobſtant, zeiget, daß man übers
haupt bas dagegen geſetzte, (oder entgegen ſte⸗
hende) nicht achtet; 4) malgré, daß die Sands
lung wider Willen des entgenen fependen ges
ſchiebet, und alfo ein vorgefefer Widerſtand
da iſt.
Als: 4) lennem n’a point refpedé le tem”
ple nonob/ffant la fainteté du lieu , der
Feind bat den Tempel nicht gefhonet,
ungeachtet der Deiligfeit des Orts. n
99)
—*
Prapofitioncs, G. 60: 93.
5) I l’a fait malgré moi, er bats wider
meinen Willen gethan.
| ex) Il a fuivi fon caprice nonobſtant ober
malgré toutes nos exhortetions, ct
ft ungeachtet, aller unferer Ver⸗
mahnungen feinem Œigenfinne nach:
gegangen, (oder wider alle 2.)
23. Toichane, betreffend, wird von Sas :
den gebraucht, und zeiget den Zweck einer Nes
de, oder die Sache daruͤber man redet, u. dergl.
Es iſt ein Participium ; fo tie concernant, wel⸗
des zutveilen in bemfelben jeboch eingeſchraͤnkte⸗
rem Verſtande gebraucht wird.
Als: [l'a écrit un livre touchant la Religion des
Chinois, er bat :ein Buch geſchrieben
die Religion der Chineſer betreffend.
On: donné des avis particuliers concer-
«nant cette afaire-là, man bat mir bes
fondere Nachrichten diefe Sache betref:
⸗ fend gegeben.
(24.265. 4) Selon, nech, (lat, Jecundum),
und ſuivant, folgends, zufolge, (lat. juxta),
find Præpoñitiones ünitivæ der Aehnlichkeit
und Gleichfoͤrmigkeit mit dem was vorberges
Get oder folgets /c/om im meitläuftigeren, Nſui-
gant im eingefränfteren Verſtande.
Als: Selon moi, (b. i. felon mon opinion),
* & felon les avis qu’on a reçus la cho-
fe eſt poffi ble, meiner Meinung
| nach,
96 $. 60. ‘Prapofitiones.
⸗
der Winterszeit (im Winter) benoͤthi⸗
get iſt.
33. Depuis, ſeit, feitber, von : an, zei⸗
et den Terminum a quô eines Zwiſchenraumes
(der Seit, dés Orts, oder der Sache), in et
ner Fortdauer bis ba oder bort ber oder hin.
⸗
Daher gemeiniglich das Adverbium yjurque
drauf folget. IJ ce :
ls: Je ne l’ai pas vu depuis deux ans, ( fcil.
jusqu’ à prefent), id) babe ihn feit drey
Jahren her nicht gefeben. |
Depuis la naïflance jusqu’ à la mort,
von (feit) der Geburt an, bis an ben
> Tob. |
J y ai été ‘préfent depuis le commen-
cement jusqu” à la fin, id bin daſelbſt
von Anfana bis ju Ende zugegen geweſen.
(d. i. ſeit dem Anfange). n
3 (38) .
Ste L.. 208. p. 367-399. Girard p, 348-381 fegq.
Vayrac El Arte françes p. 252 - + 8227 Nouv.
Gramm. espagnole par le méme p. 421 -- gjo6.
$. . Gr. |
(us) Die Verfaſſer des franzoͤſiſchen Laugii obey
der verbeſſerten Grammaire railonnée rechnen
p. 400. die fransbfifhen Præpoſitiones auf 45;
allein ſie rechnen verfbicdene Adverbia dau.
Das Wort des, fhon, von << an, koͤnnte cher
fr eine Præpoñcion gelten, und zeiget es wie de
puis
LS
Prapofitioner, S. Gi. 97
$ 61.
a) Exempel sur Anwendung der Prepof-
tionen, als der fransôfifchen
É … Cajus - Seihen,. |
1. Er iſt su Berlin, und denfet (il penfe) an ſei⸗
. he Greunde, welche hier find.
2. Dieſes Jahr (année) iſt fruchtbar (fécomde) an
Segen, (nidt à; ) rer cit (doute) an dieſer Wahr⸗
beit, (nidt 2)?
3e Von wem (qui) rebet ihr? Ich rede von dem
Gtudenten aus Caſſel.
4 Er iff von feinem Bruder Befricbiget (apaiſe)
und gefrôftet worden, (nicht æ), er bat es (l'a) nus
Sr gethan / (nidt de), ſondern (angetrieben
acc}, .
se Ich babe die Feder mit Dem Federmeſſer (canif)
geſchnitten (raillé), und er bat sit biefer Feder ges
ſchtieben (écrie).
6. Er ift mit ibm ansgegangen (forti), und er hat
ihn mit (nidt avec) gnaͤdigen Augen (un œil favora-
ble) angefehen (regardé),
7: Er ift (a) durch viele Widerwaͤrtigkeiten (adver-
fités) gegangen (paflé)s aber er iſt durch Gites
Gnade jet (à préfenr) veranügt,
8. Er opfert (facrifie) fein Vaterland für feinen
Freund auf; er thut es (le) um feine Sreundfchaft su
. étigen (faire voit).
| 9. Ich
öö
LS
pais ben Terminum a qud An, wo man anfaͤngt
ju rechnen. Als: dès fon enfance, von ſeiner
Œugend an. Dès ce matin à quatre heures, ſchon
dieſen Morgen um vrr Uhr.
«
98 LL 6 Gr. Prapofitioner,
9. Ich danke (remercie) end ‘für die Guͤtigkeſt,
(nidt pour), Die (que) ibr gehabt (eue) babet fit .
mid (nidt pour) Gorge zu tragen (d’avoir foin),
10. Ich merde vor feinem Hauſe vorbeygehen (paf:
fer), und id merde alfo (ainſi) vor ibm (lui} in bie
Kirche céglile) fepn, er wird nach mir kommen Cvien-
dra), und et wird ſich binter mich ſetzen (mettra), auf
cine Baufe (un banc), welche unter der Éangel (chaire) -
| 4
11, Sd babe ibn gefunden (trouvé) in dem Vor⸗
ſaale (Veitibule) unter den Golbaten, bey einem Of:
ficicr melher in der Stadt N. (ville de N.) gegen Hal⸗
le in Sachſen (Saxe) ih einem Hauſe (maifon) woh⸗
met, welches zwiſchen den Haͤuſern meines Bruders und
meines Vetters (cobfin) gelegen iſt (firuée). |
12, Vach feinen Befehlen (fes ordres) find fie all
gekommen (venus), ausgenommen mein Brtfer, und
fie haben alles mitgebracht (aporté) mag (ce qui) sum
Schreiben (écrire) nôtbig iſt, ausgenommen bie Fe⸗
dern; auſſer dieſem (hors cela) hatten ſie alles, nach
den Erinnerungen (avis) die id ihnen gegeben hatte.
13, Seit zehen Jahren (ans) iſt er ohne Klankheit,
nachdem er “(après qu'il) von Jugend an ſchwach
. (foible) geweſen iff, unerachtet der Mittel (remédes)
welche man drey Sabre lang (oder daurender 3
Jahren) angewandt (employés) bat. Jetzt ifter uns
pâflih (indispofé), und ex fan waͤhrender Nacht
(nuit) nidt wohl fhlafen. n
14, Er ift bôfe (fiché) wider ibn, - aber gegen
mic bat er eine groffe Freundſchaft; auſſer feine Be
fanntfaft (connoiflance) babe ich auch feine Biblivs
thecé su meinem Dienfles |
15. Ich habe mir dem, Prâfibenten geſprochen (par-
10 beireffend den Proceß meines Bruders, er wird
ſich vermittelſt hundert Ducaten mit ſeinem Gegner
(fa partie adverſe) vertragen (s’acommodera).
b) Die
Prapaftines $. bi. 99
Die eigentliche deutſche Bedeutung
der Praæpqoſitionen in Alphabeti⸗
ſcher Ordnung.
Als, en nach, après, ſelon, ſuivant |
an, à vbne, fans
auf, fur : ohngeachtet, malgré
auisgenommen, hors, feit, depuis, dès
hormis, excepté tro$, malgré
auſſer, outre : über, fur
betreffend, touchant vermittelft, par, moyennant
ben, (imSaufe), chés um zu , pour
daurend, durant unerachtet, nonobftant
drinnen, dans - unter, parmi, entre, fous
brunter, parmi von, de
durch, par bon 5: = an, dès
folgends, fuivant vor, devant, avant
für, pour vorber, avant
gegen, envers, vers waͤhrend, pendant
binter, derriere tider, contre
in, en, dans zu, à
mit, avec zwiſchen, entre,
HSSISSS ISSN.
Das III. Capitel.
Von den Pronominibus.
* Die Pronomina oder Vice. Nomina werdin
a t anſtatt andrer Nominum, daher einis
oͤrter, welche zu den Pronominibus ges.
G 2 rech⸗
AE
100 . 6. 62-64. Pronomina..
rechnet werden, eigentlich nur Adjetlive de
des Beywoͤrter find, ſo bic Subftantiva bes .
. ffimmen oder denfelben eine Qyalitaͤt beyle⸗
gen. Als mon, cette, quel, plufieurs &e
Man mird aber bier bder allgemeinen Ge:
wohnheit folgen, bamit ein Deutfher fié
tbrer wahren Bedeutung nach id belauat
machen tdane.
.. 62.
Die Gattungen der Pronominum ff nd wie
im Lateiniſchen. Man hat
i. Pronomina Perſonalia.
IT. _ = Pofieffiva ,
IL, - - Demonttrativa
IV. Relativa
V. —Ilncerrogativa
VI. - = Suppletiva |
. VIL = . Indefnita
VII. - - Impropria ober Adjediva
| . Pronominalia
$. 63. |
Was ein Deutfher hauptſaͤchlich bey den
franzoͤſiſchen Pronominibus zu merken hat iſt die⸗
ſes, daß die allermeiſten eine allgemeine Abthei⸗
lung in zweene Theile haben; nemlich in Con-
dunctiva und Ab/oluta.
$. 64. |
2, Die ConsunéFiva (verbundene) find Die,
welche mit ihren Verbis, als die Perfonalia,.
| oder
l Pronomine aberhaupt. 6. 64.65, 10t
oder mit ihren Subſtantivie, als die übrigen als
“le, verbunden werden.
:. 2. Folglich bebeuten fie nidts, wann fie
ullein fteben. As: je, mon, ce, quel? &c.
t . 3 Sie duͤrfen nidt von ibren Verbis oder :
Subffantivir weggelaffen werden; (89) ſondern
werden beftindig mit bemfelben unzertrenn⸗
ich verbunden; daher fie auch inſeparabilia
heiſſen.
Als: Il m'a écrit, & il m'a prié de lui pré-
ter mon livre & mon encrier. @rbat
an mich gefhrieben und mich gebeten, .
ihm mein Bud und Tintefaf zu leyhen.
» 66
-. 1 Die Ab/oluta fleben vor fih allein, und
baben einen Verſtand vor fi. Als: moi, Je
mien, celui. la, lequel?
2. Folglich fteben fie niemals mit Verbis
und Subffantivis in Verbindung, fondern wer⸗
den obne diefelben, oder als; Subftantiva ges
braucht; daber fie auch dirjunéliva und /epara-
biléa beiſen.
G 3. Als:
rar
end
(89) Inſonderheit die Nominativi der Pronominum
perſonalium conjunctivorum, je, tu, il, ‘elle,
on, nous, vous, ils, elles. On vous aime &
. on vous honore, man liebet und chret end, Hire
gegen fallen fie weg, wann ein andrer Nomina-
tivus Da if. AIS: mon freres, mon livre,
Gicht ia).
102 s. 66. 67.. Pronomins uͤberh.
Als: 1 parle de moi; c’eft moi; eſt le
. mien; le vôtre eft meilleur. Er redet
von mir; id bin es, (imperlonaliter,
als fagte manu es iſt ich, ); es iſt das
meinige; das eurige iſt beſſer.
g. 66.
1. Will man bey den Pronominihus die
Verhaͤltniſſe anzeigen, die ſie mit dem Verbo
baben, ſo macht man es wie bey den —
vir. $ 47. $. 50.
2. Nemlich: bas Subjedum oder ber No-
minativus ftebet vor dem Verbo, das Objectum
oder ber Accufativus nad bem Verbo. In ben
uͤbrigen Faͤllen nimmt man die Præpoſition, tel:
che am fuͤglichſten auf die natuͤrlichſte Fra⸗
ge antwortet, Die man in der Phraſi auſtel⸗
len kann. H. 564 2: 3e |
. 67.
Bon dieſer alfgemeinen Regel geben ab.
© a) Die Pronomina perfonalia conjunctiva,
tele von ben £ateinern gewiſſe Verânderuns
gen, fo fie Dativum und Accufativum nennen,
augenommen haben; auch in allen andern Süllen
gze keiner Præpoſition koͤnnen gebraucht werden.
69.
b) Das Pronomen relativum qui, und das
Interrogativum quei, tele, wann ſie vom
Verbo regiert werden, ſich in que verwandeln.
Se 84 " $. 68.
1
'
Pronomina perfonalia. | 6. 68. 103
$. 68... J
| 1. Prenomina perfonalia. :
49 die Derfonen, |
Conjunctiva | Abfoluta
Singularis. |
1. je, ich (abfoluè) . moi, ich
2, tu, du ue toi, OU
3 il, er, es (im maſc.)-- lui, er
elle, fie,(imfæm.)- - elle, ffe
Pluralis. _ |
1. nous, wir (abfolutè) nous, Wit
2. VOUS, DE . - = vous, ihr
3. ils,fie,(immafc) — - eux, ſie
elles, fie{imfœm,. - - elles, fie
b) die unbeſtimmten Perfonaka
Le, ſich (im fing.u.plur) (abſ.) foi, ſich
on, man .. - perfonne,niemand
$. 60.
Don den Cafbur der Pronominum
perfonalium conjunéfivorum
4) Diefe Pronomina baben eigentlih feine
Caſus, denn fie leyden feine Præpoñition bey
fid. Man fan nicht fagen, de je, por je,
avec je, Sc. ſondern aan nimmt alsbann die
. dbfaluta, als de moi, pour moi, avec moi &c.
IJ G M Je⸗
104. 6. 69.70. Pronomina perfonalia.
b) Jedoch hat man, nach lateiniſcher und
deutſcher Art, gewiſſe Woͤrter angenommen,
um bey dieſen Fuͤrwoͤrtern die beyden Ver⸗
haͤltniſſe mit dem Verbo auszudruͤcken, wel⸗
che die Lateiner den Dativum und ben Accufati-
vium nennen.
| c) Folglich wann ſie bas Ohjectum, (der Ac
ex/ativur), auf die Frage wen? oder das Attri-
bButivum, auf Die Fragen cui? ad quem? (wem?
zu wem? an wenz 20 } find, fo verândern
ſich biefe Nominativi, auffer sous und vous, auf
folgende Weiſe; (90) in andern Faͤllen aber
find fie nicht gebraͤuchlich. |
| fe 70.
Die erſte Perſon.
En Sing, Plur.
Nominat, (wer?) je, id nous, tit
D.& A.(wem? wen?) me, mit, mich nous, uns
(mibi, me), (nobis, nos)
2. Die 2te Perſon.
Sing. Plur.
Nominat. (wer?) tu, du vous, ihr
Dat.& Acc.(wem? wen ?) te, dir, dich, vous euch,
Gibi ste) (vobis, vos)
3e Die
ss = cesse ue .
- (go) ann Fais die —* fe aud veraͤn⸗
dern, und eine Præpoñition dabey brauchen, als:
Et liebet mb, il #’aimes hingegen, er dentes.
. 68 mich: il penis à moi.
\ {
Pronomina perfonalia. (70.71, 310$
3. Die dritte Perſon.
Sing. Plur. .
Nominat. (wer?) il, fcelle, er,es, fie, ils, f elles, fie
Dativ. (we?) lui, ibm, ihr, leur, ibnen
Acc. (wen?) le, f. la, ibn, es, fie, les, fie.
4. Die unbeffimmten Perfonalia.
Das imperfonale fe, ſich, ift allemal der
Dativus oder Accufativus, (#bi, fe)
On ift nur im Nominativo gebraͤuchlich.
(91)
$ 71.
Mlle Pronomina perfonalia confunétiva , toie
auc bas imperfonale /e, ftefen vor dem Verbo.
Als: Je lui donne & vous me donnés, it
gebe eud, und ihr gebet mir. S,
§. 72.
Erempel sur Uebung der Pronominum
perſanalium.
"ich gebe rc. Je donne, tu donnes, il donne,
nous donnons, vous donnés, ils donnent.
G 5 Ich
(91) Dies fan eigentlich keine Declination oder Fle-
xion heiſſen; Denn was iſt für eine Aehnlichkeit
zwiſchen, ich und mir; ego und mibi; je und me?
Es find beſondere Woͤrter, welche ben den Perſo⸗
nen den Caſum objectivum und den Attributivum
ameigen, und gleich andern gelernet werden muͤſſen.
108 . $, 72. . Pronomine perfonalia,
Jeh gebe dir ein Bud (livre), und Ou giebſt
mir Geld (de l argent), —
Er giebt ihr das Buch, und ſie giebt ihm
Blumen (desfleurs) |
Wir geben euch Geld, und ibr gebet uns
Buͤcher. | | |
Da find (voilà) meine (mes) Bruͤder, fe ges
ben mir Geld, und id gebe ibnen
Buͤcher. | |
Da find meine Schweſtern (fœurs), ſie geben
ſich Muͤhe (de la peine), und wir geben
ihnen Geld.
J Ich ſehe 2c. Je vois, tu vois, il voit, nous
| voyons, vous voyés, ils, voyent,
Ich febe ihn, und er fichet mich. |
Du ficbeit mich, und wir feben dich.
Er ſiehet meine Schweſter und ihr ſehet ſie
aauch (auf) i
Wir gen euren Bruber, und ibr febet ibn
' au . | ‘ |
Ich ſehe meine Bruͤder, und du fibeft fie :
auch, aber (maïs) fiefeben uns nicht.
Ich febe meine Schweſtern, und ibr febet fie
auch, aber ffe feben euch nicht.
Ich febe es, und du ſieheſt es auch. | |
Mon fiebet fih, im Spiegel (dans le mi-
roir). |
$ n.
8
Pronomina polf:five. — 73. 107 : |
| 5. 73.
II. Pronomisa Poffiffive.
: Conjunétiva, | Abfüluta.
D Sür Eine Perſon oder Befiger.
Singularis.
Ma/culin.
mon frere, mein Bruber le mien, der meinige
ton - , bein # : lertien, der deinige
‘fon - , fein » #. efien, der ſeinige
Femmin.
ma mere, meine Mutter la mienne, die meinige
ta + , deine » # Îa tienne, Die deinige
f - k fine + # la fienne, die ſeinige
Pluralis.
Mafe.und fem. . Male.
mesfreres, mes meres les miens, die meinigen
meine Bruͤder, mei⸗ lestiens, die deinigen
—
ne Muͤtter. les ſiens, die ſeinigen
tes freres, tes meres, fæmin.
deine Bruͤder, dei⸗ les miennes, die meini⸗
ne Muͤtter. "gen
fes freres, fes meres, des tiennes, die deinigen
feine Bruͤder ſeine les ſiennes, die ſeinigen
Muͤtter.
b) Fuͤr mehrere Perſonen oder Beſitzer.
Singularis.
Mafi. und fem. Mac.
notre livre, unfer Bud le nôtre, der unfrige
- plume, unfre Feder le vôtre, der eurige
le leur, der ihrige
_ plu-
108 673.74: Pronomina poſſeſivs.
votre livre, euer Buch fœm.
| plume, eure Feder la nôtre, die unfrige
leu livre, ibr Bud . la vôtre, bie eurige
- plume, ihre Feder la leur, die ihrige
Pluralis.
Maſc. und fem.
nos livres, unfte Büder lesnôtres, bie unfcigen |
vos: = , cure s# « les vôtres, die curigen
leurs. ihre s + les leurs, die ifrigen
(92)
RE 74.
Mer ben Prônominibus Poſſeſſivis ifé zu
merken, daß wann nur von Einem befigens
den die Rede iſt, man anch in der dritten
Perſon ſœmininini generis, die Woͤrter ſon, ſa,
fes, und abſolutè, Ze fen, la fienne, les fiens,
des fiennes nebme, obgleid die Deutſchen ihr,
ihre gebrauchen. |
Ale
D mm nt fl
G 2) a) Man lerne wohl unterſcheiden bic polem.
va die auf ein eintziges beſitzendes, von denen
die auf mehrere beſitzende gcben. Serner die
Poffefliva leur, ihr, ibre, plur, leurs, ibre,
. bon dem Pronomine perfonali pluralis numeri.
leur, ihnen, welches ein s befommt.
5) Die Pronomina poſſeſſiva conjunétiva find
eigentlich Adjeltiva, und die abfoluta ebeufalls
— die zu Subſtantivis gemacht
À
Pronemina Denienfratia . 75. 76.
Als von einer Sqhweſter:
ai ſon papier, ſa plume & ſes liyres, id
habe ihr Papier, ihre Feder und ihte
Buͤcher.
. Foile fer, la ſenne, ler ſient. les ſennet,
id babe den ibrigen, bie iprige, bas
ibrige, die ibrigen.
Eben wie das male, for papier, fein Papier ꝛe.
(03)
| $. 75.
Bey biefen Pronominibus ift feèner ju mers
fen, daß Die Fœminina m4, ta, fa, in mon,
ton, fon, verwandelt werden, wann ein Sub-
flantivum oder Adjeétivum brauf folget » dos,
mit einem Vocali anfângt, |
Als: mon ame, meine Seele,
ton inclination, beine Neigung,
fon aimable époufe, fine liebenswuͤrdige
Gemahlin.
$. 76.
EII — —
(93) #) Das Genus und der Numerus richtet ſich |
nach der re poſſeſſa.
by Im Plurali aber, ba mehrere beſitzen⸗
de da ſind, ſagt man wie im Deutſchen leur
livre, leurs livres, ibe Bud, ibre Buͤcher.
c) Exercitia fiber die Pronomina polfeffiv.
Giche in den Uebungen Nro, 2 » 5.
A
| \
a“ .
L
4 J
no S. 77. 78. Pronomina Demomffrativà, |
9. 76
AIT. Promomins Demonfrativa.
4) Conjunétiva, ".
J Sing.
Majculinum: ce pere, dieſer Vater
vor einen Vocalis cet enfant, dieſes Kind
Fermininum: cettę mere, dieſe Mutter.
Plur. —
duͤr Alle: ces peres, ces enfans, ces meres,
dieſ Vaͤter, dieſe Kinder, dieſe Muͤtter.
$ 77
Dieſe Pronomina, (welche eigentlich Adje-
cftiva find), nehmen zuweilen des Nachdruckes
wegen die Sylben cé und a an, welche hinter
bas Subſtanti vum mit einem Binbjciden ange⸗
haͤnget werden.
Als: Ce livre - 4, dieſes Buch hier. Ce li⸗
vre-là, dieſes Bud) da, Get enfant- ci
Certe plume-là Ces enfans- ci, Ces.
- filles “à
|
§. 7 8.
8) pronomina demonſtrativæ.
Abſoluta.
Dieſe abſolura find m. velui, pl. ceux; f |
‘celle, pl. celles, es muß aber allemal ein Pro-
no-
_ Pronomina Demonfirätiva. 78.79. 11
nomen relativum unmittelbar drauf fofgen, oder
die Sylben #, Ja, (nicht fc) auf felgende
Weiſe. i
1.
Singul. Plural,
Mac. celui qui, derjenigé - ceux qui die jenigen
welcher ccllesqui] weiche.
Fæm. celle qui, diejenige welche
Alſo auch: Celui de qui je parle, derjenige,
(dasjenige) von welchem ich rede. Ceux
dont on parle, diejenigen von welchen
nan rebet. Celle à qui je penfe, diejeni⸗
ge an welcher id) denfe 16,
2, . :
Sin J Pluv.
maſc. celui-ci, dieſer bict + ceux ci, dieſe hier
celui. R, diefer ba,jener - ceux-là, diefe da
. fæm. celle ci, biefe biet - celles-ci, biefe bier
celle-là, dieſe ba, jene = celles là, dieſe da,
3. -
Die deutſchen Neutra abſoluta werden alſo
ausgedruͤckt: |
Ceci, dies, diefes. Cela, das, das ba, jenes
& 79.
Wenn celui, ceux, celle, celles bot dem
Pronomine relativo durch Zwiſchenſaͤtze getren:
net werden, daß bas Relativum nidt unmittel⸗
bar drauf folget, ſo haͤnget man die Gylbe la,
mit einem Bindzeichen daran. at
… $
… 6.79. 80. : Pronomins Relativa, ”
Us: : Celui- là eſt riche qui a de la vertu,
derjenige ift reid ber Œugend bat. (Au⸗
flatt celui qui a de la vertu eftriche, .
J'eflime celui - 12 pour le plus riche
qui &c. Ich halte benjenigen fuͤr den
reichſten, welcher ꝛc.
* Excrcitia über bieſe Pron. fiche in den es
bungen Nro. 6. 7.
$. go. |
‘IV. Pronomina Relativa.
Es find 3 Pronomina relativa, welche ſich al⸗
lemal auf etwas beziehen; daher werden ſie
nicht in Conjunétiva und Abfoluta eingetbeilet:
1. J
Maf. und Fœm, Sing. und Plur.
ann es regirt: Qui, welcher, welche, welches
. ann cs regirt ide Que, + - -
Vid, $. 8
& : |
Sing. Pur.
Mal. Lequel „welcher, welches. Lesquels, welche
Fæm. Laquelle, welche Lesquelles, -
3° |
Das deutſche Neutrum,
Ce qui, bas was, mas, (7 quod).
8r.
ite Anmerkung sum Pronbminé Qui. !
4) Das Pronomen gui verändert fid) in que,
wann es vom Verbo vegiret wird. gt
$
Pronomine Relative. $.81. 82. 13 |
As: Malheureux que.je fuis! Ungluͤckſeliger
der ich bin! |
Ah miférables que nous fonimes! Ach wir
Elende £eute (die wir find)!
L’ homme gwe je vois, der Menſch welchen
ich ſehe.
La femme que vous connoiſſes, die Grau wel⸗
che id fenne,
Les livres gue j'ai achetés, die Buͤcher die
ich gekauft babe. |
Les plumes que j'ai taillées, bie Sebern fo id
gefhnitren babe. (94)
- b) Eben fo gebet es mit bem Compoſito ce
qui; es wird qui in que verwandelt wenn es
vom Verbo regirt wird.
Als: Ce qui eſt icieft à moi, das was (oder
was ) Bier iff, ift mein.
Hingegen: Ce que vous voulés, bas was
(oder was) ihr wollet,
§. 82.
Wann eine Præpofici tion vor qui ftebet, fo
barf es nidt von Thieren und Sachen ge-
braucht
Conan
(94) #) Es mag im Latcinifden quem, quam, quod,
pet quos, quas, quæ, oder qui, quæ, quod,
oder qui, quæ, quæ, beiffen.
b) So heiſt aud dieſes Pronomen, wann
es regirt, allezeit qué Als: L’ homme qui, les
gens qui &c. 5
_ |
114 6. 82. 83. Pronomin. interrogat,
braucht werden; fondern man muß das 2te, le-
quel, la quelle & c, nehmen:
Als: Le livre duquel oder dont (os) je par-
le, bas Sud von welchem ich rede. (midi
de -qui)
La fcience à laquelle je m »aplique, die Wiſ⸗
ſenſchaft auf welche ich mich fege. (nicht
a qui).
La chambre” dons laquelle (95) je lai miss
die Kammer in welche ich es geleget habe.
(nicht dans qui). |
Lo plume avec laquelle ÿ écris, bie Feder
mit welcher id ſchreibe. (nicht avec qui).
. Le cheval pour lequel ÿ ai donné cent écus,
das Pferd für welches id 100 Thaler ge⸗
geben habe. (nicht pour qui). |
_$. 837 |
V. Prodomina Interrogativa,
Es find 4 Pronmina interrogativa, davon
Gines ein Pronemen Conjunctivum iſt. Die an⸗
dern 3 ſind Ab/oluta.
a) Das
it
(65) Don if ein Pronomen Suppletivum und wird
gebraucht ſo wohl anſtatt de qui, als auch anſtatt
du quel, de laquelle, desquels, desquelles.
Ou wird localiter gebraucht von einem Orte,
anſtatt à oder dans mit dem Pronomine relativo.
qe La maifon o$ ileft, anfiatt dans laquelle
ile
Pronomiua interrogat. (. 83. 11$
a) Das Conjunéfivnm: Quel? Was für ein ?
Mafc Fœm.
Sing. quel livre? was quelle plume? was fe
für ein Bud ? eine Feder?
Plur. quels livres? was quelles plumes, was
| für Buͤcher? fruͤr Sedern ?
b) Die Ab/oluta.
_ 1,
Maſc. und ſœm. Sing. und Pur,
Qui? Wer? (96)
Lo 2, -
” Maft. Fæœæm.
Sing. lequel? welcher? laquelle? welche?
Plur, lesquels ? mele? lesquelles ? welche?
(96)
3, |
Das deutfhe und lateinifhe Neutrum.
wird alſo ausgedruͤckt:
Quoi? Was? (Quid? quiduam?)
# Exercicia Giche in den Uebungen Nro. 8. 9,
H 2 $. 84e
— — —
mamans
(96) 4) Qui? frâgt überbaupt, lequel? genauer.
Als: Qria dit cela ? wer bat das gefagit ? Mon
frere, Mein Bruder. Lequel? l'aîné ou le ca.
der? Welcher der dltefte oder der jünafte ?
b) Quoi iſt cigentli cine Ausrufung, Als:
4oi/ on a dit cela. Was S (oder Wie s)Man
bat Dos geſaget. |
*
116 8.34. 85. Pronom. fuppletiva.
§. 84.
Yann quoz vom Verbo regirt wird, und
ſolglich der Cafus iſt, der im lateiniſchen Accu-
ſativus heiſt, fo verwandelt es ſich in que.
Us: Quoi? que dites- vous à? Was? (No:
minat.) was (Acc. ) faget ibr da ? J
Que voulés-vous? was wollet ihr? |
8. 85.
VI. Pronomina Suppletiva.
a) Die Pronomina Suppletiva find Erſe⸗
tzungs⸗Woͤrter, welche gebraucht werden,
wann man ein Wort oder mehrere, worauf ſie
ſich beziehen, nicht wiederholen oder brauchen
5) Eigentlich ſind es folgende 5.
Le, la, U les, Yo»
ihn, es; fie (ESing.) fie (PL) (07) |
e) Hierzu fan dont gerednet werden, tvels
en,
| des anfiatt eines Pronominis relativi mit bec
Præpoſition de geſetzt wird, und beifet wovon,
deſſen, deren, von welchem, von wels
her, von iwelchen 20 Siehe Not 96
$. 8e.
(97) y und eu haben im Deutſchen verſchiedene Be⸗
deutungen, denn nach dem die deutſche Phraſis iſt,
nehmen die Deutſchen auch andere Woͤrter.
; Pronomia. ippletiva. 6. 86. 87e 117
6: 86.
4) Le, la, ler, werden gebraucht, wie im
Deuiſchen, wann man ein Wort nicht wieder⸗
holen oder brauchen will, welches le, oder la,
oder les vor ſich hat.
Als: Voyés- vous le livre? Sehet ihr das
| Bud ? |
Antw. Je Ze vois, id febe es.
Voulés-vous Je vin quieft à? Wollet ihr
‘ben ein der da iſt?
Antw. Oui, je Ze veus, ja id will ibn.
Lifés- vous /a Grammaire ? £ofet ihr die
Gruammatik.
Antw. Oui, je la lis, ja ich leſe fie.
Ferés- vous les Thèmes? Werdet ihr die Ex-
ercitia machen ?
Antw. Je /er ferai, id werde fie machen.
5) Le, es, gebet aud auf eine gange Nes
densart die man ausläffet, fo wie im Deutſchen,
Als: Voulés-vous que nous allions nous pro-
mener? Wollt ihr daß wir fpazieren geben.
Antw. Je le veus bien, id will es wohl.
§. 87.
En wird gebraucht, wann man ein Wort,
oder mehrere ſuppliren will, da ein, de wuͤrde
vorgefebt worden ſeyn.
Mis: Venés-vous de. Paris? fommet ihr von
, Paris?
H 3 Antw.
18 $. 57.88 Pranomin. Sappltive. :
F
i
Antw. Oui, nous en venons, ja wir kom⸗
. mien daber.
Vous fouvenés vous de votre promeffe ? CA |
innert ifr euch eures Berfprechen ?
Antw. Oui, je m er fouviens, ja ich er⸗ |
. tinnere mic deſſen.
Avés vous de l argent et du crédit? Habt ihr
Geld und Credit?
Antw. Oui, j' en ai, ja ich babe welches.
Il a fait fouvenr des fautes, et ile fait en-
* core, Er bat ôfters Fehler begaugen,
und begehei noch welche.
Vous avés mon amitié, n’en doutés pis, ihr
haͤbet meine Freundſchaft zweifelt nicht
daran. (das iſt: ne doutés pas de mon
amitié },
J'ai reçu ce livre, et j'en fuis content, bas
ift je fuis content de ce livre), Yo.
babe biefes Buch bekommen, und ich
bin damit zufrieden.
. 88.
Y wird gebrandt, twann man ein Mort
ober mehrere fuppliten will, bavor à wuͤrde ge⸗
flunden haben. (08)
Als: |
(93) Da auf die Fragen Wo? Wobin nat
er Weiſe die Præpoſition 2 müffe geſetzt werden,
ſo folaet daraus daß > allemal den Ort fuppliren
muͤſſe, mann auch gleich, bep einigen Faͤllen im
framoſiſchen eine andere Peepoñirion bep dem San.
k Pronomin, fuppletrva. . 88.89. 119
Als: Allés-vous 4 Paris? reifet ibr nad) Paris : 2.
! A{ntw. Oui, nous y allons, ja wir rei⸗
| fen bin.
Penfés-vous à votre promefle? benfet ibr au
eucr Verſprechen.
Antw. Oui, jy penfe, ja ich denke
daran. | |
Il eft à la maiſon, et mon frere y eft aufli,
er iſt zu Hauſe, und mein Bruder (iſt)
auch (da).
Nous avons été à Leipſi ic, et nous y avons
acheté des livres, mir find ju £eipaig ges
weſen, und baben daſelbſt Sücdher
gekauft.
Votre cheval eſt mort, n° ? penfés plus, (bas
ift, ne penfés plus à votre cheval), eus
er Pferd ift todt, denket nicht mehr
dran.
§. 89.
Man ſiehet aus den Exempeln der beyden
vorhergehenden Regeln, daß man ſich nicht
nach den deutſchen Particulis ſuppletivis richten
H 4 muͤſ⸗
ſtantivo, oder die Adverbia ici oder la muͤſten ge⸗
braucht werden. ES iſt demnach auch y eine Par=
ticula fuppleriva lagalis. Als: Je fuis ici et
vous y êtes auſſi. Î Left /4 et mon frere y eft
. auf. Il eften France, et y vai auſſi. H eft
cbes moi, et votre coufin ) etauf,
120 6.89.90. Pronomin, fuppltiva,
muͤſſe, ſondern nad demjenigen, was im franc
zoͤſiſchen ausgelaſſen worden, ‘und man nicht |
wiederholen oder brauchen will.
Als: Je le fuivrai, (nemlid / ordre); id wer⸗
de dem folgen oder nachleben, ( nemlich
dem Befehle).
J en manque, (nemlich 4ꝰ argent); es fehlet
mir, oder, ich habe Mangel daran,
(nemlich Geld, an Geld).
1 y manque ſouvent, (nemlich à fon devoir);
er unterläffet ffe oft, oder, et läffet es
oft daran ermangeln, (nemlih Die
Schuldigkeit, an ſeiner Schuldigkeit).
* Exercitium hicruber fiche in der zten Abth.
$, 90.
VII. Pronomina Indeſinita. (99)
a) Simplicia.
autrui, ein andrer mème, fefbft, fo gar
chacun, e, ein jeber quelque - - chofe, etwas
un, bereine, f. l’une quelqu'un, jemand
’autre, der andere quiconque, jeder de
Pun l'autre, einander rien, nichts |
Punet l’autre, beyderſeits (100)
| b) Come
pepe
(99) Zu dieſen rechnet Gh ard die Pronomina on und
perfonne, 6. 68, 6); wie auch ce und celui &c.
F. 78. Das ce ift auch zuweilen ein Indefinitum,
als, c'eft, es iff,
(100) Das Pronomen quelconque, wird mit bierber
gerechnet. Es ſtehet hinter dem Subſtantivo
ein
Pron. indefin. [Lg impropr.. F. 90.91: | 121
| D) Compofita.
Ja plupart, die meiften, (anffatt la plus grande
partie du, de la, des), |
qui que, (quisquis), wer auch (nur). .
quoi que; (quicquid ) quidquid), was auch (nur).
quelque - chofe que, (quicquid), was au.
quel. que, (qualiscunque), LÉ quelle que, tas
auch für, was für einer, eine, auch. |
quelque - - qüe, - (qualiscunque, quan-
tuscunque), fie : : aud, wie febr 5 »
auch.
tout - - que, (guantumuis), ſo + : als auch,
S. 917.
VIII. Pronomina Impropria; oder Adije-
| ctiva Pronominalta. (101)
aucun, €, feiner nul, f. nulle, feiner
autre, andrer, andre pareil, dergleichen
certain, getvifler, .« « pas un, nidt einer
chaque, jeber plufieurs, verfchiedene,
diférent, unterfhiebener mehrere
divers, verſchiedene tel, ſolcher, der u. der
le même, derſelbe, tout, alles, ganz, . 92.
F. la même, diefelbige .toutle monde,jeberman
H $ 6. 92e
cinigen Redensarten; Als: Sans attention quel-
conque, ohne cinige Acht. Faͤngt aber an su
beralten.
Cro1) Su biefen rechnet Girard alle Pronomina Po/f-
feffve $ 73: Die Pronomina Demonfirativa con-
jandliva, $ 76; tie and) das Interrogativum
quel? 6, 33,2)
322 $.92.93. Pron. indef. & impropr.
| g. 924
Das Adjedivum pronominale
Tout, pl. tous; f, toute, pl. toutes
bedeutet, all, alles alle, gans, das Gans
sec. und bat alfemal den Artikel nach ſich.
(102) Als:
Sing.
Toutlejour, den toute la ville, bie
ganzen Tag, ganze Stadt
de tout /e jour de toute /4 ville
à cout le jour ä toute la ville
pour tout le jour pour toute la ville
dans cout le jour dans - -
Plur.
tôus es jours, alle toutes le⸗ femmes,
Tage, alle Srauen,
de - - = de - - -
pour - - - pour - = -
J 5. si
4) Einige Pronomina indefinita und'impro-
pria ſind gegen einander als Conjunctiva und
Acſoluta anzuſehen:
| Con-
paie
(102) In dem » rftande jedec, alle uno jede,
fat der Artickel weg, und ſtehet insgemein der
Singularis. Als: Tout homme eft mortel, En
svute OCafion, |
—
Pronos, indef, & impropr. (. 93. 94. 133
Conjinéiva, | Abſoluta.
- autre, ander l'autre, der andere
quelque, einiges quelqu'un, f. quelqu’une
irgend einer, Jemand
quelques, einige quelques uns, f: quelques
| einige, etliche.
chaque, jeder chacun, cin jeder
même, felbff - le même, berfelbige. |
b) Solgende 9. fônnen mit und obne No-
mine ftebrn :
Aucun, autre, même, nul, pareil, pas un,
plufieurs, tel, tout.
$. 94
Allgemeine Anmerkungen bey den
Pronominibus Hberbaupt.
1. Dieſe 12 Pronomina müffen in fofqen:
der Ordnung vor bem erſten Verbo der Redens⸗
art ſtehen:
me, te, ſe, nous, vous;
le, la, less
lui, leur; :
y, en.
Auffer im Imperativo affirmante, in welchem
Salle folgendes zu beobachten:
4) Daß biefe Pronomina binter das Verbum
geſetzt werden;
b) daß me und re im moi und toi oermantelt,
ce) daß le, la, und les, vor moi, toi, nus,
vous geſetzt werden. Als: | |
_ x, Don-
., .
J24 S. 94. Pronomina überbaupt.
1. Donnés -nous. Dites-le. Mangés-en.
2, Donnés-moi. Couche-toi. .
3 . Donnés-le mois Montrés- les nous.
2. Man verwechſele nicht ein Pronomen mit .
bem andern. Us:
a) Das Pronomen relativum ce qui ce que, |
mit Dem Incerrogativo quoi que. $. 80,
3. $. 81, $.
Das, oder das was, (id quod ; ) relativè
beiffet ce qui, und wann qui von bem dar:
auf folgenden Verbo regirt wird, heiſſet
es re que.
Was? (quid? ) interrogative heiſſet quoi,
und wann es vom Verbo regirt wird, que.
Als: Ce qui oſt ici eſt moi. Que voulés-vous?
Ce que vaus voulés. Was hier ift ge:
bôret mir. Was wollet ihr? Was
(das was) ibr wollet.
b) Das Pronomen interrogativum quel? mit
dem relativo qui oder que, oder lequel, laquel-
de c. J.
Als: La lettre que j'ai écrite; nicht quelle.
. L'amitié que eft entre nous; nicht quelle.
Je vous ferai voir la fincérité avec laquelle.
je fuis &c. nidt avec quelle. Ich werde
euch zeigen mit welcher Aufrichtigkeit ich
bin 2e.
à Die Pranomina poflefliva mit ben’ Perfo-
nalibus. Man fagt nidt Il eft un ami de
moi, et ift ein Sreund von mir; ſondern
L eft mon ami.
$. 95e
Pronomine uberhaupt. $: 95. LL 5
$ 95:
Déclinatio Pronominum. |
Von den Deranderungen bep den ren.
nominibus in Anfebung der Bezie⸗
bungen oder Derbaltniffe. .
in det Pbraf.
* Die Pronomina- haben ebeti ſo wenig eine
Declination als die Subſtantiva, es waͤre
denn daß man die Pronomina perſonalia we,
te; les la; les, lai, leur, eine Declinati-
on nennen wollte. san beobachte aljo fols
gendes:
+. Pronomina perſonalia conjundiva veraͤn⸗
dern ſich ſolgender Geftait;
Sinp.
| ité Perſ. rte Pet.
NMominat. je, td tu, du
Dat. & Acc. me ; mit, mich, te; dir, dich.
m. 3te Perſ. f.
Nominat. il, er, es elle, ſie
Dativ. lui, ihm lui, ihr
Aeccuſ. leoe, ihn, es la, ſie
| Plur,
ite Perſ. iteDerf
Nom. Dat. Acc. nous, wir, uns vous, ihr euch
w.
‘126 $ 95 Pronomiss Gherbaupr. |
Plur.
m. 3te Perſ. F.
Nominat. ils, fie elles, fie
- Dar. ‘leur, ifuen
Accuf.. .5 les, ſie
Andere Caſus haben dieſe Pronomina nicht.
. Die Pronomina ſo keinen Artikel vor fich
ben. faben eben die Rennsiden der Ver-
Aer fe wie die Subftantiva Die feinen Artikel bas
beu. 6. 47. $. 49. @ 55, 2
Hs: mer? wen? moi, mon, ce, qui,
wovon? de moi, de mon, de ce, de qui,
woran; à .- à à - à -
womit? avec - avé - - avec - avec - -
wofür? pour - jour - pour-pour-
&c.
3. Mit den Pronominibus, die den Artikel
vor fi) haben, verfaͤhrt man mie mit ben be:
ſtimmten Subſtantivis. F 47. 52. 55,1. Als:
le mien, la menne, lequel, lesquels
du - dela - = du + -: des +
au = Àla - -. au + “air
avec» avec la - 2. avec lequel, avec les.
quels
-parl - + Dp - al =
par le - p par par
\
ÿ. 96.
7. Pronomina uberhaupt. (96. 127
F. 96.
Uebungen
fiber einige Pronomina.
1. Ich babe es; wir haben es nicht; bat er es, oder
bat ſie es; er giebt es mir; er giebt ihm davon;
2 Mein Bruder und meine Schweſter find fleißig
(diligens), er bat ſein Bud geleſen (lu), und fie bat
ihr Bud gelefen, und ihre Leëtion (leçon) gelernet
C(apris). Unſere Bruͤder haben ibre Buͤcher. Mein
Better hat ſein Geſchaͤfte (afaire) geendiget (fini).
3. Dieſer Mann ift gluͤcklicher (heureux) als jener,
es iſt derjenige (der) mit welchem ich geredet habe.
Derjenige iſt gluͤcklich, welcher Freunde (amis) bat.
as Der Mann welchen ihr ſehet (voyés), und die
Frau welche ihr kennet (connoiſſ.s), find die Perſenen
welche die Briefe mitgebracht haben (ont aporté).
Was (das was) in dieſem Buche 'iſt, iſt die Erklaͤ—
rung (explication) deſſen was ich euch geſaget (dit)
babe, und das iſt das Buch, fur welches id à Duca⸗
ten gegeben babe.
5. Was für ein Mann, tas für eine Frau, mas
für Rinder habt ibr gefchen (vus)? Wer bat das ges
than (fair)? Œure Bebienten (domesrique),, Welcher
oder welche von meinen Bedienten? Der groſſe La-
quais, Was? Wovon (von es) redct ihr, und
was wollt ihr? |
6. Ich babe es gcichen, es ift (c’eft) cin autes
Bud ; id babe es auch aclcjen (lu), it habe oft das
bon geredet, und ich denfe noch oft daran.
7. Ein gewiſſer Mann bat mir geſagt (m’ a dir),
daß jedes Buch von eurer Dillivthee eingebunden
(relié) iſt in Franzband (en vean), ausqenommen eiz
nige Buͤcher, welche in Pergament (en parchemin)
eingebunden ſind.
+. En
128 $.96. Pronomina überhaupt.
8. Ein jeder ſoll (doit) einem andern qutes thun
J (faire. du bien), Der meiſte Theil der Menſchen lies
ben fith nidt einer den andern. Der eine weiß (fair)
envas, der andre, weiß nichts. Viemand glaubt
(ne croit) daß fie beyderfeits reich fcpen (foient). {Ein
jeder der cine Neuigkeit (nouvelle) weiß, faget fie
jemandem, und guteilen (quelque fois), an jes
dermann.
9. Ich habe kein Buch. JD babe verſchiedene
Buͤcher. Ich habe daſſelbige Buch. Ich habe ein
dergleichen Buch. Ich habe allee.
— ———
Das IV. Capitel.
Von den Adjectivis.
. 97.
a) Nomina Adjediva, ſind Benennungen,
vermittelſt deren man einem Dinge eine Be⸗
ſchaffenheit oder Eigenſchaft beyleget. Es
find alfo Beywoͤrter welche anzeigen wie eine
Sache beſchaffen iſt.
b) Den denſelben ift zu bemerken:
I, Ihre Motion, oder die Veraͤnderung
derſelben in Anſehung des Generis.
IL bre Comparation, oder Stuffen der
Beſchaffenheit. |
Il, Die Stelle derfelben in der Con-
&ion, |
° IV.
LS
Motio Adjictiverum. $.98. 129
IV. Ihre Uebereinffimmung mit bem
Subftantivo.
V. Die Compoſition Derfelben, oder wie
man Adjediva mit zuſammengeſetzten
Woͤrtern macbt. _
Vl. Ihre Wirkung im Regimine,
6. 98.
I. Motio Adjectivorum.
1. Alle Adjeddiva, welche auf ein ſtummes
e ausgehen find generis communis. Als: ſince-
re; honnète, fidèle, troifième, utile, habile,
(103). |
Un honnête homme, ein ebrlicher Mann,
Une honnète femme, eine ebrlihe Srau.
Votre fidèle frere, euer getreuer Bruder.
-_ Votre fidèle fœur, eure getreue Schweſter.
2. Ale übrige Adje@iva find Ma/culina, fie
.… môgen auf Confonantes oder auf Votales 4
en.
(ao3) Die Adjectiva welche von den Lateiniſchen in
slis herkommen, darin die penultima kurtz iſt,
enden ſich auf se, und find folglich gen. commu-
nis. Als fertile, sie, facile. Wenn aber die
penultima im Lateiniſchen lang if, ſo endet ſich
das Adjectivum img franzoͤſiſchen auf 7, und iſt
ein Mafcuïinum, IS: civil, pueril, fubril.
Ausgenommen /ervile von fervilis.
| 1 30 6 99: 100. . Motio Adréivorim. \
ben, Als grand, neuf (neu), bon, , parfait,
Joué (gelobet, : it. vermiethet), joli (artig),
beau (ſchoͤn) &c.
* Daher muß man wife, mie fic dre Fœmi-
nina machen.
| , . . F. 99.
4) Wann Man aus dem Mafculino ein Fœ-
wininum machen will, fo feget man ein ſtum⸗
mes e dazu. $ 30, 2 Als petit, fleins fœm.
petite, : |
mon cher frere, ma chere œur, ein lie⸗
ber Bruder; meine liebe Schweſter.
| left ſorti; elle eſt forsie. Er ift, Sie ift
ausgegangen. ,
b) Diè Adjediva bie gen. communis find,
bleiben unveraͤndert. $ 98, 1.
à Einige leyden nur eine geringe Veraͤnde⸗
rung oder einen Zuſatz. $ 100. |
4) Einige werden ganz beſonders verdudert,
und find irregularia, f ron
| ‘ 6. 100.
1. Von ben ſieben Adjedivis, welche auf
s ausgeben, haben drey im fœm. che, und
viere haben que. . |
| Blanc, weiß, im fém, blañche
-_ franc, fre « > franche
| fec, trocken = + -fèche J
caduc, Hinfällig - « caduqie
à publie,
*
Motio Adiectivorum. | §. 100. 131
public, oͤffentlich im ſœm. publiqgue
grec, griechiſhh - grèque
turc, tuͤrkiſch + turque.
2. Die in f'oerwandeln das / in ve.
vif, lebbaft, . im fæm. vive
neuf, neu, - = neuve
atentif, aufmerf{am - = atentive.
3. Die in eau verdndern es in. ele.
beau, fdjôn, /æem. bellé
nouveau, feu, - nouvelle |
4 Die fih endigen auf 7, #, r4 #, vers
boppeln den legten Buchſtaben: (104)
éternel, etvig, fem. éternelle
bon, qut - bonne
gras, fett - grafle
gros, bi - grofè
net, nett + nette
fujet, untertvorfen - fujette
b) Mur nidt bie fib endigen auf #, ïl, PA
ir, ns, tt; au nicht die ein n vor bem s bas
ben, als excellent, /. excellenre.
5. Dicjenigen, welche ein x in den Endun⸗
gen es, und on brauchen, müffen bemerfen, daÿ
folhes in fœminino. in s verwandelt merde;
As :
| J 2 heu-
matins Les
_ (os) Dieſe Endungen find eigentlich: el, eil, ol,
‘ul, ien, on, as, ès, os, at, et, ot, Siche
Die 3te Abibeuung dieſes D J
132 $. 101. 102. Motio Adiectivorum.
heureux, gluͤcklich, fæm. heureufe
jaloux, eiferſuͤchtig - jaloufe
$. ror. | ee |
Irregularia find unter andern folgende: (105)
crud f.crue, vob long f.longue, (ang .
doux - douce, fü$f. malin - maligne, boshaft
épais - épaife, dif : mou -molle, weich
favori- favorite, geliebt nud -hue, nadend
faux -faufle, falfd prèt “prête, bereit
fou -folle, naͤtrriſch roux -roufle, roͤthlich
frais fraiche, friſch verd - verte, gruͤn
gen - gentille, artig vieux - vieille, alt, *
. Ste Lip 143.
il, Comparatio Adjectivorum.
$+ 102.
a) Jedes Adjedivum an ſich iſt im Poſtivo
gradu, wie im Deutſchen.
b) Die Stuffen der Vergleichung find der
Comparativus und der Superlativus. € 103. 105, -
c) Man bat nod andere Vergleichungs⸗
Dartifeln, oder folhe die die Sachen gleich es
Gen oder erbeben, 6 109. 110.
J
Le]
6. | 108
Gros) Wenn ein Vocals folact fo faget man bel,
_ fol, mol, nouvel, ffatt beau, fou, mou, nou-
veau, daher tommen die Fœminina irre
—
Comparatio Adjeëtivor. (. 103, 104 133
$. 103. I F
Det Comparativas lan im franzoͤſiſchen ſtei⸗
gen oder fallen. Soll er fteigen fo feget man
vor das Adjedivum das Woͤrtlein plus; (ol er
fallen fo febt man moins davor, Als: |
- grand, grof, f, grande, p/. grands, f, grandes
Plus grand, grôffer plus - -
moins grand, minder grof moins - -
* moins grand beift aljo: minder groß, niche
fo groß, weniger groß, ſo viel als pas
ſi grand.
$. 104. J
x. Der Comparativus bat allemal que nach
ſich, welches das Deutſche als auodruͤckt.
(Midt de oder comme oder lorsque). (106) Als:
IL eft plus riche que vous; er ift reicher als ibr.
Elle eft moins grande que fon frere; fie ift tes
niger grof, (nicht fo grof) als ibr Bruder.
2. Alſo aud mit den übrigen Particulis bet
Vergleichung. Als: Si, aufli, tant, autant, |
d' autant plus &c. Diefe baben auch alfemal que
na fih. $.109.110.
3. Wann plus oder moins nicht comparirt,
fondern quantitative ftebt, fo folget de, S 54.
Als: | : TT
: J3 J'ai
(106) Als heißt 1) que nad) dem Comparativo,
(lat, qguam). 2) comme in dem Berflaude wie,
gleihtoie, (lat. quemadmodum, ficuti}. 3) lurs-
que wenn cé cin Adverb. temporis ift, (lat, cum).
4
+ .
_ ,
134 105. 106. - Comparatio Adicctivor.
Ja plus de mille livres; ich babe mehr dann
_… (als) tauſend Buͤcher.
il ne peut avoir moins de vingt mille écus;
er fan nidt weniger als (ann) 2C000.
Thaler baben. |
G. 110$.
" Der Superlgrivus oder hoͤchſte Grad wird
Pa
gemacht, wann man den Artifel Je, Zz, es,
vor den Comparativum ſetzet, dieſer mag regu-
laͤr oder irregulaͤr ſeyn. Als:
Pofitiv. Comparat. ſuperlativue
m. grand, plus grand, le plus grand, der groͤſſeſte
grande, plus grande, a plus grande, die -
Pl.m.grands, plus grands, ler plus grands, die se
!
pI.f.grandes,plus grandes,les plus grandes, sie" -
Alſo aud : grand, groß, moins grand, nicht
ſo groß, weniger groß, le moins grand, der
am wenigſten groß iſt; f. la moins grande;
pl. m. les moins grands; pl. f. les moins
_ grandes.
_ 106. oo
1. Dieſer Superlativus, der mit dem Artikel
gemacht wird, hat allemal de nach ſich, was auch
die Deutſchen vor eine Præpoſition dabey ſetzen
moͤgen, es ſey von oder in oder auf oder un⸗
ter. Als:
le
. .…Comparatio Adje£tivor. (.106.107. . 135
le plus grand de tous, der grôffefte von allen
> - - dela ville in der Gtabt :- :
… - - dPAcadémie - auf d. Academie
» + - demesfreres + unter meinen
| | (107) Bruͤdern.
2. Wann ein Pronomen poſſeſſivum vor dem
Superlativo ſtehet, fo faͤllt der Artikel weg. Als:
Elle dit du Bien de fes plus grands ennemis;
fie ſaget Gutes von ihren groͤßeſten Feinder.
Ceſt mon plus grand ami; es iſt mein groͤſſe⸗
ſter Freund.
§. 107.
1. Comparativi irregulares ſind folgende:
. | Comparat.
Bon, gut _ meilleur, beſſer
‘ Mauvais, ſchlim, bel pire, ârger
Petit, klein, fcledt moindre, getinger
2. Golgende Adverbia haben auch einen
Comparativum irregularem,
Comparat.
Bien, wohl; mieux, beſſer
Mal, uͤbel, ſchlimm; pis, aͤrger
Peu, wenig; moins, weniger
Beaucoup, viel; plus, mehr.
J4 3 Die
(107) Wann cine Phrafis folget, fo bat der Super-
—5 ein que mit dem Impoftivo Modo nach ſich.
Sreſt la pue belle perſonne que jaye vue; es iſt
die ſch nf Derfon, die ich gefeben babe.
Le plus beau livre qui fois. au monde; das ſchoͤn⸗
| fie Bud welches in der Welt iſt, (ſeyn mag).
136 $.107.108. Comparatio Adjectivor.
3. Die Superlativi dieſer Woͤrter werden
regulariter, mit Vorſetzung des Artikels, ge⸗
macht. À. 106, 1. Als: le meilleur, der be⸗
ſte; le pire, der drafte, le moindre, der ges
ringſte. Alſo auch die Adverbia, le mieux, le
pis, le moins, le plus.
4. Wo die Deutſchen nicht ſagen aͤrger,
geringer, ſondern vielmehr ſchlimmer, klei⸗
ner, da ſagt man auch im franzoͤſiſchen plus
mauvais, plus mal, plus petit.
5 Bonn man ferunter comparitt, fo ſagt
man moins bon, moins mauvais, moins bien,
moins mal, Nur nidt moins peu, nod moins
beaucoup,
$. 108.
1. Det Superlativus, der mit dem Artikel
gemacht wird, und Super/arivus definitus ju heiſ⸗
fen pflèget, ift derjenige, den aud die Deut:
feu haben, und der mit einer Dergleibung
von oder aus allen andern beraugs oder vorzie⸗
het; daher er gemeiniglid durch de oder durch eine
Phrafin beftimmt wird. Als:
Le plus puifant de l Europe, der maͤchtigſte
in Europa.
Le plus beau qu' on puiſſe voir, der ſchoͤnſte |
den man feben fan (fônne).
2. Allein im Franzoͤſiſchen hat man auch eine
Art in deu hoͤchſten Grad zu fegen, ohne zu vers
gleichen. Dieſes fan. der —
-
,
⸗⸗
7 A
Comparatto Adjéétiver. 6. 108. 109. | 137 |
rus oder abfilutus heiſſen, und id gemeiniglich
mit gemacht. (108)
] ai reçu votre lettre avec une —* -grande joye;
» id Babe euren Brief mit der groͤßeſten Freu⸗
de erhalten. (oder miteiner ͤberaus grofen.)
Je fuis avec un très-profond refpe&, Monfieur,
votre #rès - obeiffant ferviteur ; id) bin mit dec
. tiefffen Cbrerbietung, Mein Herr, Ihr ge⸗
horſamſter Diener.
§. 109.
1. Die Particula intenſiva oder intendendi der
Deutſchen, fo, beift im franz. AM, Als:
Profités d’un f trifte exemple; machet euch
ein fo trauriges Deifpiel zu Nutze.
vient Æ fouvent qu’il fe rend importun; et
fommt fo oft, daf er fi andern laͤſtig
macht. |
-2. In der Dergleibung brauchet man
#) Ben ben Adjedivis und Adverbiis #, fo,
fo ſehr;
b) Bey den Subitantivis und Verbis tant, fo
viel. |
à | Us:
_ des) unellen wird infiniment gebraucht; als je
vous ſuis infinimems obligé, id bin cuch unend⸗
lich verbunden. Es werden auch andere Adver-
bia gebraucht, als fort, extrèêͤmement, bien, ſebr.
tout-à- fait, gar 2, welche cine Erhebung anzei⸗
gen ohne das eine wirkliche Vergleichung dabey ſey.
138 6,109. Comparatio Adiectivor.
Als: a4) Mon frere n’eft pas M grand que vo-
ttre fœurs euer Brubder iſt nicht. fo groß als
eure Schweſter.
I · ne vient pas f ſouvent que vous; ee
kommt nicht ſo oft als ihr.
5) ll n'a pas tant d' argent que vous > et
"7" fat nicht fo viel Geld als ihr.
Vous n’avés: pas fant travaillé que lui;
ihr habt nidt fo viel gearbeitet als er.
(1C9).
3. Wenn aber der: Comparativus affirmati-
Jus iſt, und alſo nicht verneinet, ſo verwandelt
fi A, in auſſi, (eben fo), und sant in autant,
(eben {0 viel).
Als: 11 eft aff riche que vous; et ift (eben)
fo reich ais ibr. ee
Il vient 44/7 fouvent que vous: er kommt
(cben) fo oft ais ihr. |
Il a autant d'argent que vous * et fat (eben)
fo viel Geld als ir. |
Nous travaillons autant que vous; fit arbei⸗
(eben) ſo ſehr, oder ſo viel als
ihr.
Bey
pe
( 109) Anſtatt me pas f, ne pas tant fan. man ſetzen
moins -- Que $ 110, ale Ileft swoins
votre fœur, Il a moins d'argent que vous. .
\ .
1 ‘ , $
Comparatio Adjetlivor. S.110. 139
4. Bey dieſem Comparativo afrmante ift au
zu merfen, daß wann ein Verbum brauf folget,
dieſes ein ne vor fi baben muͤſſe (110). Als:
Je fais plus que je me doiss id thue mebr ais
ich ſoll.
‘Le fage penfe plus qu’il ne dit; der Weiſe
denfet mehr als er faget. :
* aber pas faͤllt weg. |
G. re.
Es giebt noch aubere Vergleichungs⸗
Woͤrter, unter welche man folgende merken kan:
1. Jer⸗je; ſe⸗/⸗deſto, giebt man durch
die bloßen Partikeln plus oder moins. (NB, ob:
ne que.) Als: | | |
Plus ila, plus il veut avoir; je mefr er bat,
deſto mebr will er baben.
plus il a, mous il donne; je mebr er bat, je
weniger giebt er.
moins on à d'esprit, #oins on doit fe vanter;
je weniger Verſtand man bat, bdefto weni⸗
ger muß man fit foben.
d | 2. Um
(110) Alſo gehet es aud nad den Woͤrten davanra-
ge, mehr, autre, ander, autrement, anders,
autre choſe, etwas anders; ſie haben auch ein
ne vor dem drauf folgenden Verbo. Als: Il eſt
tout autre que vous se penſẽs; er iſt gang ein ans
derer als ibrdenfet. Vous parlés autrement quee
vous ne penféss ihr ſprechet anders als ibr den⸗
ket. Il en dit davantage qu'il #’en croit; er
fagt mebr davon alé er davon glaubt.
1 40 $110, Compar atio Adjeétivor,
2. Um ſo viel : : jes Um defto = jé oder
weil Geiffet d“ autant plus - «: (NB. ohne parce
eder plus), Als:
Ma feconnoiffance eft d'autant plus vive que
vos bien faits {ont généreux. (nicht p/us-
que). Meine Erkenntlichkeit ift um fo viel
Lbbéfier, je großmuͤhtiger eure Wohltha⸗
then ſind.
Sa maladie me cauſe d'autant plus de chagrin
que je n'ai point de fes nouvelles. (nidt
parceque). Seine Sranfheit madt mir
um bdefto mebr Rummer, weil id feine
Nachricht von ibm babe. .
3. Nicht fo mobl : : «les. nicht fo ſehr
ss als, beift mosur - - que. Als:
Je vous honore moins par devoir que par incli-
nation; id verebre eu nidt fo wobl aus
Schuldigkeit, ais (vielmebr) aus (wahrer)
à Meigung.
Ce livre eft moint âgréable qu' utile; dieſes
Bouchh ift nicht fo ſehr angenchm als nuͤtzlich.
HN, Don Set Stelle der Miccivuum.
§. 1III.
1. Natuͤrlicher Weiſe ſtehet das Subftanti-
vum guerft, und afsbann das Adjectivum:
Denn das Subitantivum ift der Gegeuftand, und
bas Adjedivum ift das Bepwort, welhes Er:
flerem eine Eigenſchaft oder Beſchaffenheit
beyleget
| 2 Der⸗
Gtelle der Aieciver. fuir 141
"+ 2, Dergleichen find Adjectiva der Natio⸗
nen, Wuͤrden, Farben, der Figur, des Maafs
ſes, der Leibes⸗ und Gemuͤths⸗Tugenden und
Fehler, oder Maͤngel, der aͤußerlichen und in⸗
nrerlichen Eigenſchaften, Beſchaffenheiten und
Accidentien &c. nebſt allen Beſchreibungs⸗
Woͤrtern. Als: .
La langue françoile, die franjôfife Sprache |
le palais royal, der koͤnigliche PDallaft
le chapeau noir, "der ſchwarze But
la table ronde, der tunde Tiſch
une maifon fort large, ein ſehr breites Haus
une perfonne généreule, eine großmuͤhtige
Perſon
une lettre obligeante, ein hoͤfliches Schreiben
de l’eau fraiche, friſches Waſſer
un fils unique , ein einiger Sohn
“un homme trifle, ein trauriger Mani,
$& 112.
1. Wann die Adjeliva oder Beſchreibungs⸗
Woͤrter eine Erhebung des Subftintivi angei:
gen, und demſelben einen Nachdruck geben,
oder wann fie einen Affect vorftellen , oder me.
taphoriſch, (verblümt), gebraudt werden, fo
ſtehen fie vor bem Subftantivo,
2. Dergleihen Adjeétiva find die, damit man
lobet oder ſchaͤndet, erhebet oder verkleinert.
1
3 . Fer⸗
—
\ LA
142 | S: 1 2. Stelle der Adeciiver.
3. Ferner die Cardinal- und Ordinal - Zahlen,
Uri) tic auch die drey Comparativi und Super-
lativi irregulares: meilleur, le meilleur; pire, le
pires moindre, le moindre, $.107,
4. Insbeſondere folgende Adjediva, weil fle
kurz ſi ſind: Beau, bel, bon, méchant, grand,
petit, und dergleichen. (Doch muß bas Ge:
dhoͤr, nebſt den Regeln des Sté, ben Aus:
ſchlag geben).
Als: Le doux plaifir, bie fige su.
Quelle généreufe perfonne! Was fuͤr (Welch)
eine großmuͤthige Perſon! |
Je vous remercie. de 4’ obligeænte lettre que
vous m' écrivés; id banfe Ihnen für den
hoͤflichen Brief, deu fie mir fhreiben.
C’eft une indigne conduite; bas ift eine uns
anftändige (unwürdige) Auffübrung.
O la malheureufe perfonne! 0 bie ungluͤckliche
Derfon!
C’eft un sriffe état! es iſt ein trauriger Zu⸗
ſtand.
NMon cher ami, vous êtes mon enique confo-
lion; Mein theurer Sreunb, ihr ſeyd
mein einiger Troſt.
| Une
- (1) Im Unfübren, (allepiren), und bey den Po⸗
tentaten werden die Sablen binter das Subſtanti-
vüm gefest. AIS: Livre cinquième, Chapitre
quatre oder quatrième, page trois. Louis quin-
‘.:26, Fréderic fécond, Frangois premier, $ 122.
— Stelle der Adiectiv. $, 113. * 143
Une noire action; eine ſchaͤndlicht That. |
Le plus habile homme; der geſchickteſte
Menſch.
C’eft un méchant enfant; das iſt ein boͤſes
Kind.
C eſt un bon livre, mais j' ai de meilleurs li-
vrés chés moĩ; e8 ift ein gutes Buch, aber
id babe beſſere Buͤcher zu Hauſe.
g. 113.
Des Nachdrucks ohngeachtet ſtehen die Ad:
jediva hmter dem Subſtantivo, wann fie lang
ſind, oder mehrere beyſammen ſind, oder ei⸗
nen Anhang haben, folglich auch wann ſie
vom Subſtantivo regiret werden.
Als: Un fait extraordinaire; eine außerordent⸗
Un homtne favant, afeble et poli; ein gelehr⸗
ter, leutfeliger und Géflicher Mann.
Un einploi digne de votre mérites eine eurer
Berdienfte wuͤrdige Bedienung. |
Une montre d'argent; eine filberne Taſchen⸗
Ubr.
Les tems à venir; die gufünftigen Seiten,
IV. Don der Lebeveinffimmung der 44:
Jectivorum mit ihren Subffantivis,
$. 114.-
,
- 144 Gu: 114 Uchereinſtimm. de r Adi |
| € 114. :
7 Die Adjediva muͤſſen, (ie im éateinis
ſchen und Deurfen), mit ihren Subftantivis im
Genere und Numero übereinfommen. Als:
Un bon pere et une bonne mere. |
Ils ont des enfans bien faits; de beaux gar-
çons et de bellés files, Sie babe wobl:
gebildete Rinder; ſchoͤne Knaben und ſchoͤ⸗
ne Maͤdgen.
Un emploi important, ein wichtiges Amt.
VUne afaire importante, eine wichtige Sache.
Du papier. blanc, & de l’encre noire; weiß
Ppapier und ſchwarze Tinte.
… 2 Diefe Regel muß inſonderheit in Acht ges
nommen werden, wann die Deutfben die Adjedi-
va als ein Adverbium ohne Genus nachſetʒen. (112)
Les plumes font bonnes, et l'encre ef noire,
die Federn find gut; und die Tinte iſt
ſchwarz.
Cette charge eſt importante, dieſe Bedienung
iſt wichtig.
3. a) Dabeh iſt zu merken, daß wann meh⸗
rere Subſtantiva von einerley Genere das Sub-
jee
— ms ten —
(112) Da die dentſchen Adjedtiva dffers als Adver-
bia auéfeben, fo muß man wohl unterſcheiden ob
fie zum Verbo oder Subſtantivo gehoͤren; iſt es
Das erſte fo muß im franzoͤſiſchen ein Adverbium
ſtehen. Ich bringe meine Tage traurig zu; Jo
pale mes jours srifemenr, (nicht #rifles).
Uebereinſtimmung des Adject. 9. na· 145
jectum oder die Nominativi des Verbi Etre, oder
eines Verbi Subſtantivi, ſind, alsdann das Ad-
five in eben dem Genere im Plurali ſtehe.
{s :
Son coufin et on frere font favans: ſein Yet:
ter und fein Bruder find gelebrt. : :
b) Sind fie: von verfchiedenem Genere
oder Numero; fo ftebet das Adjectivum im Plu-
rali im Mafculino. Als: |
Son pere et fa mère font encore vivans; ſein
Vater und feine Mutter find noch leben⸗
dig (oder am Leben).
Mes freres et mes fœurs ont été loués, Meis
ne Bruͤder und meine Schweſtern find ges
lobet worden.
4. Sind bie Subftantive nidt Nominativ! des
Verbi Etre, oder eines Verbi Subftantivi, fo
wird
a) Das Adjedivum, fo vor dem Subftantivo
fteben fan, wiederholet;
5) Iſt es aber ein Adjedivum, welches nad
dem Subftantivo fteben muß, fo ridtet es fi
im Genere und Numero nach dem lebten. Als:
a) Une belle maiſon et un beau jardin; es iſt
ein fhônes Haus und ein fhôner Oarten.
b) Des brouillards et une chaleur exceffve;
uͤbermaͤßige Nebel und Hitze.
5. So gehets auch im Accufativo, (Obc&ivo),
und andern Süûllen, Ms! :
K | a) n
146 5. 115. Compoñtion der Acjectiv. cr
- a) Ra de beaux yeux et de belles dents; er
bat ſchoͤne Augen und Zaͤhne.
. &) La reſtitution des places et pais qui dois.
. / vent être rendus; die Erſetzung der Plaͤtze
und fänder, welche wie dergegeben werden
ſollen.
Ein mehreres fiche à in der 3ten Abtheilung ·
V. Von der Compof tion der
Adjectivorum.
— Ÿ 115.
1. Die Franzoßen haben ſo viele Aqjeciva
miicht als die Deutſchen, daher werben viele mit
Umſchreibungen gemacht. Dieſes geſchiehet auch
zuweilen aus Zierlichkeit.
2. Aus Nothwendigkeit werden die Adjedi-
va umſchrieben, die man im franzoͤſiſchen nicht
bat oder nidt von allen Dingen gebrauchet. Als:
Une montre d’or, eine gülbene Uhr
Le tems à venir, die zukuͤnftige Zeit
Mon peu de mérite, meine tenigen Vers
dienſte
La continuation de votre fouvenir, euer fers
neres Andenfen
Des bas d' Angleterre, engliſche Struͤmpfe
Un bourgeois de Strasbourg, ein / Strasbur⸗
ger Buͤrger.
3. Aus Zierlichkeit machet man im Scylo
auch Adjectiva compoſita. Als: |
Un.
Compoftion det Adiectiv. S. 15. 116, 147
Un homme de mérite, ein verdienter Mann
Un transport de joye, eine große Freude
La fincerité de mes fentimens, meine aufris
tige Gefinnungen |
Sans raifon, unvernuͤnftig. |
. # Dicfes” geſchiehet auch bep den Adverbiis,
AIS : avec douceur, gelinde ; par ocafion, ges
legentlich; d' un air indiférenc, gleichquͤltig,
»kaltſinnig. |
VI Don dem Regiminine der
; AE vorum
| $. 116. |
Die Adjeiva reairen eben fo tvie die Sub
ſtantiva, $. 47 -- 50. Dasift, nachdem die
Frage ben einem Adjedtivo fan angeftellet iver:
den, nachdem antworte id auch mit der Præpo-
fition, bic fi am beften dazu ſchicket. Als:
Je fuis content, it bin zufrieden, (womit?
guô?) de ma condition, mit meinent
Stande
Je fuis prèc, id) bin bereit, (wozu? ad quid?)
à vous rendre fervice, eu Dienfte ju
leiſten.
Ileft faux, er iſt falſch, (Worin ? ) dans le
.. Cœur, im Herzen
C’eft un moyen praticable, bles ‘ift ein Mifs
tel, welches gebrauchet werden fan, (zu
— weldem Ende?) pour le confondre,
um ihn ju beſchaͤmen.
57 Ra | 9. 117
TN
148 3. 17. Adedine bechaupt
| fs 117. |
Exercitium zur Ausuͤbung der
Aaqajectivorum.
Giehe and Uebungen Nro. 11-17.) .
1, Dieſe Tafel (cable) iſt Linger als das Tiſchtuch
nappe). Dieſer DRanh ift ſchoͤn, aber er ift nicht fo
oder minder) fhôn als fine Schweſter, und feine
Dochter ift fchôner als die Mutter, denn (car) fie ift
die ſchoͤnſte in der Stadt. Er ift am wenigften fleis
ig (affidu) unter feinen Brubern, aber er bat fo viel
erſtand (esprit) als ſie (eux).
2, Diefer Wein iſt Po, (oder eben fo) gut alé der
eurige, aber er iſt nicht fo qut als der (celui) welchen
id bey Hrn. Damon méinem beften Srennde getrunken
Cu) babe. Die Einbildung (imagination) ift aͤrger
ais cine Krankheit (maladie). Er bat bel gethan
(mal fait) und fein Bruder bat (es) noch aͤrger gemacht
(fair) als er (lui). Er bat nibs fo wobl Witz (esprit)
als Gluͤck. Gr ift reicher als er ſaget. Er bat mebhr
als (oder dann) tauſend Thaler (écus).
3. Et ift der reichſte in der Stadt (ville), und
fin Bruder iff der gelehrteſte (favane) * Mann der (qui)
in Deutfhland (Allemagne) iff **, Sein Vetter
(coufin) iſt uͤberaus gelebrt; Er bezeuget (témoigne)
mir die aufrichtigſte (fincere) Freundſchaft (amitié),
4. Er redet Anders (autrement) als er ‘denfeé
(penfe), und er iftgans anders (tout autre) als ihr
glaubet (croyés). Je mebr man über andere erhaben
iſt (élevé au deſſus des autres), deffo mebr bat man
Pflichten su erfüllen (devoirs à remplir), und defto
| we
— — —
42 Vor oder hinter dem Subſt.
wie. der ſeyn mag Impoſitive.
\ . v
* Numeralia, GS:Y18. . 49
| weniger iſt mon frep (libre). Dieſes macht mjr uni
fo viel mebr Vergqnuͤgen (plaifir), weil id es nié ge -
boffet (espéré) hatte. Diefe Bedienung (charge) iſt
um fo viel midtiger (importante) je ſchwerer es iſt
dazu zu gelangen (d'y parvenir). - Dies Bud iſt
a ”
_
nicht ſo wobl (oder ſebr) angenchm (agréable) als *
nuͤtzlich.
5. Ich danke (remercie) euch für (de) den hoͤlichen
(obligeant) Brief (lettre f.) welchen ihr mir geſchrieben
(écrire) habet. Ein ſchwartzer (noir) Hut. Eine
ſchaͤndliche (noire) That (action). Der beurige Tag
(aujourdhui). Euer ferneres (continuation) Andenken
(fouvenir), . | |
Das V. Œapitel.
Bon den Numeralibus.
+
$ 118. |
Die Zablwôrter find fünferley:' r) Die
Hauptzahlen; 2) die eine Ordnung, 3) eine
Vergleichung, 4) eine Bertbeilung, 5) eine Zu⸗
fammenfaffung einer gewiffen Menge angeigen.
1. Dauptiablen, Numeri Cardinales.
1 Un, f. Une ſept
2 deux 8 huit
3 trois | g neuf
aquatre to dix
cinq ___: tronze
6x 13 douze
. HR 3 iʒ treixe
’, ne
150 6. 118! Numeralia,
13 treize Jo - etdix :
. J4quatorze | 11 - etonze
. 1$ quinze _. 72 foiffante et douze
16 feize — 13 - ettreize
17 dix - fept 74 - et quatorze
18 dix-huit , 7$ -.et quinze.
1gdix-neuf J6 - cet feize
20 Vingt 77 - edix fept
22 - etun(#3) 78 - et dix huir
22 - deux ‘79 - et dix neuf
(23 - trois 80 Quatre-vingts
24 - quatre . 81 quatre vingt un |
26 — cinq ”: gr :- - deux éfe.
26 - fix . .goquatre vingt dix
27 - fept. _ 9H - - onze
28 — huis g2 - + douze
29 - neuf 93 * - treize
30 Trente 94 - - quatorze
31 trente et un 9$ - quinze
32trente deux ee 96 - - feize
40 Quarante 97 - - dix-{ept:
$o Cinquante 08 + .- dix-huit
60 Soïffinte- 99 -- - dix-neuf .
61 foiflante etun 1coCent | |
62 - et deux 101cæntun
63 - ettrois &c. 102 cent deux &c.
| |. 1204
(113) & wird nur vor bem cinigen mn gebrancdt in
21/31,41,$1, und durd) die ganze fechsigfte
und fiebensiafte Zahl; fonit wirds uͤberall wegge⸗
laſſen, auch ſelbſt vor nr nat quatre-vingt, een,
und fix-vingts, alé fix-vingt un, 121, Ste L.
Numeralre. Q-218. 519. 182
No [cent vingt oder fIoo onze cens
| fix vingts 1200 douzé cens &c.
121 cent vingtetun. 23000 deux mille &c.
122 cent vingt deux &c. 10000 dix mille
130 centtrente 100060 cent mille
140 cent quarante 200000 deux cent mille
150 cent cinquante ce. -
160 cent foifflante . 1060000 un million
170 centfoiflante & dix 10002000 dix millions
.280 oeſt quatre-vingt 10000200 cent millions
i cent quatre-vingt un 1000000900 mille mil-.
190 cent quatre-vingt dix , lions :
200 deux cens : ‘© 100000000000 cent
201 deux cent un mille millions
202 deux cent ‘deux &c. 1000 000 000 000 un
300 trois cens #6. . milliar.
1000 Mille (114) |
8. m9.
. 2 Numeri Ordinales.
fa) Diefe Ordnungs⸗Zahlen gehen alle
auf ème aus, außer le premier und ke
| fecond, und folgen auf die Frage: /e
quantième ? der vie vielfte > |
b) Yon deuxième an fan man 4 und /a
vorfegen, benn fie find gen. comm.
4 Le
+
(114) Gtatt mille fagt man in Jahrzahlen nur mi,
auch fegen die miedten alépang mur cm ſtatt cens.
.i Vis: l'an mil fept cent ſoiſſante quatre 1764.
\
143 LL $.119:#10. Numeralie, .
Le premier, der erſte le, la quarantième, 4ote
la premiere, die erfle - cinquantièfne, sote
les premiers,bdie erften,m. - foifläntième, 6ote
les premieres ..- - f. -;foiflante et dixième,
le fecond, ber andere, . cote -
| oderzte - quatre - vingtième,
la feconde, die +: gote
le, la deuxième, oder - quatre - vingt dixiè-
- - deufième, te : | me, pote
troifième, 3te _- centième, 10Dte : :
- quatrième, 4e' - centunième,loite ꝛc.
- vingtième, 2ote - deuxcentième;zoote
. vingt et unième, 21te - millième, 100te
- vingt deufième, 2ite - pènultième,vorlegter
* vingt troïfième,z3te 2e, le dernier, der Letzte
. crentième , 3ote la derniere, die tebte-
@ 7120.
3. Numeri Proportionales,
Dergleibunge:3cblen.
2 fa fimple 6 mal ⁊c. fix fois
3 : double | 10 fach dix fois &c.
3 # triple $o = cinquante fois &c.
4 s quadruple 100 : centuple, coder
5 fach, ober 5 mal cinq cent fois autant &c.
fois (plus oder autant) 1000 ; mille fois &c.
, §. 121, .
. &. Mæweri Difribuivi J Verthei⸗
| -Aunge ⸗ Sable n
R * ‘.. 7
* i. Un
v
° Numeralies So121. 122%: , 153
1. Unàun, eintzeln, allemal einer
deux à deux, zwey und zwey, paarweiſe 4
trois à trois, je drey und drey
quatre à quatre, zu vieren, vier und vier
cinq à cinq allemal fünf -
vingt à vingt, je zwantzig, ju zwantzigen ꝛc.
2. De deux jours l'un, . alle zwey Tage, um
den andern Tag
| de trois fois le une, um das dritte mal : :.
de dix il n° y en a pas un qui le fafle, der ze⸗
hende Theil thut es nicht.
3. demi, halb
un et demi, anderthalb
un tiers, ein Drittel
un quart, ein Viertel
un cinquième, ein Fuͤnftel
un dixième, ein Sebentel
trois et demi, viertebalb ꝛc.
$+ 122.
5) Numeri Collectivi, Zuſammennehmende
Zahlwoͤrter.
Une paire, ein Paar une demi- douzaine, ein
une fixaine, fehs Stuͤck, halb Duhent
7 (ein Stuͤck ſechs) une quinzaiue, ein Man⸗
une huitaine, acht Stuͤckk del
une dixaine, eine halbe une vingtaine, eine Stie⸗
77 Gtiege | ge
une douzaine, ein Du: une trentaine, ein halb
thent. Schock
5 une
154 ° $. 123 Numeralis. \ |
une quarantaine, 40 Gt. un demi-cent, ein halb
une cinquantaine, 50. hundert |
Gtü£ : .un quarteron, ein viers
une. foiffantaine, ein . tel hundert
Schock un demi quarteron, ein
une centaine, bunbert Achtel von bunbert
Gti un Quintal, ein Centner
Alſo fagt man Un millier ein Anzahl von
tauſend.
VUn milliar, tauſend mal tauſend Millionen *
un pouce, ein Zoll; un pié, ein Fuß;
un pas, ein Schritt; une toife, tine Ruthe
une braſſe, ein Klafter, une corde de bois,
eine Klafter Holtz &c.
F 8. 123.
Einige Anmerkungen zu den
Numeralibus.
1. Wann der Artikel, oder das Wort tous
au der Zahl deux fommt fo bedeutet fie auch
bevde. Als les deux freres, die beyden Bruͤ⸗
der; tous deux, obev tous les deux, alle beyde.
2. a) Ben regirenden Herren feet man bie
…. Zahl ohne Artikel hinzu, und man nimmt ins⸗
gent die Cardinanabt ſtatt der er Ordinalzabæ
LES
Louis
.4
. + Un milliocre, {ft cine Sabl von 24 Nullen und
eine 1'davor, fo mie une milliaffe eine nnenblige
Zahl Gedeutet, Ligentlich eine Zahl von 48 ne
len mit einer 1 davor.)
8
Numeralia. <. 123 _ 1j s
Louis Quinze, Roi dé France, ( anſtatt Louis
quinzième), Ludwig der XV. Koͤnig von
Frankreich.
LEmpereur Chotles ſix; (ſtatt Charles ſixiè-
me), eſt mort l’an mil ſept cent quarante,
der Ranfer Carl der VL ift im Jahr 1740
geſtorben.
b) Wenn das Beywort der erſte, der zwey⸗
te heißt, fo ſetzt man nicht Ur oder deux, oder
deufième, foudern premier und fecond. Us.
. François premier, Empereur d' aujourdhui ;
Franz der erfte, beutiger Kayſer.
réderic ſecond, Roi de Pruſſe; Friederich
der 2te, Koͤnig von Preußen.
3. Unième wird nur bey. jufammengefegten
Zahlen gebraucht, als le trente unieme; nicht
aber l'unième, ſondern allezeit Ze premier.
4. Wenn man allegiret pflegt man auch die
Cardinal : Safi flatt der Ordinal⸗ Zahl zu ſetzen.
Als: Chapitre trois, verſet douze, page cent;
Capitel drey, vers zwoͤlf, pagina hundert.
Aber wenn die Zahl voran ſtehet, ſetzet man al⸗
lezeit die Ordinalzahl. Als: c’eft au troifième
- Chapitre, es ffebt im dritten Capitel.
5. Mau datirt insgemein mit der Ordinal⸗
zahl. Als: à Gottingue, le (oder ce) 24. (vingt
quatrième) Juillet (oder de Juillet). Aber im
Reden nimmt man aud wohl die Carbdinalzabl,
doc allemal mit de. Als: le douze de Mai,
oder le douze du mois de May, den1 aten des
moymonates. *
de : Das
f
156. 6. 124, 125. Din den Verbis..
Das VI Capitel.
Von den Verbis.
I. Abſchnitt.
von den Veraͤnderungen in
den Ferbss.
$. 124
1) Verba find Woͤrter, ele ein Seyn,
Verhalten, Thun oder Lepden vorſtellen.
2) Die Verba find eigentlich viererlen: :
1. Auxiliaria, 2. Aliva, 3. Pafliva, 4. Reciproca.
Dazu kommen: |
ç. Neutra, 6. Imperfonalia, 7. Irregularia,
8. Defediva.
3) Bon allen biefen Gattungen fat man
dreyerley Berânberungen ju merfen, nemlich
‘in Anſehung der Weiſen oder Arten der Vor:
ſtellungen; ferner in Abſicht auf die Zeiten, und
auf die Perſonen. Es kommen daher dreyerley
Dinge dabey zu betrachten vor:
1. die Modi,
2. die Tempora,
3. die Derfonen:
6. 125. .
IL Von den Modss, |
1) Modi find gewiſſe Veraͤnderungen, ſo die
| Vetba leyden , um in gewiſſen Beziehungen ge⸗
wiſ⸗
Don den Verbin G. 125. 126. 157
wiſſe Arten oder Weiſen eines Verhaltens |
vorzuſtellen. |
2) Im franzôfi ſchen ſi ehet man nicht, in An⸗
ſehung der Modorum auf dieſe oder jene Wor⸗
te, die einen Modum regiren ſollten; ſondern
bloß auf die Saͤtze (Propoſitiones). Folglich
muß die geſunde Vernunft die Regeln | an, die
Hand geben.
3) Ueberbaupt bat man im franz. ben Mo-
dum Indicativum, Completivum, Imperdiiou, |
und Infinitioum. |
8. 126.
1. So lange eine Redensart, oder Satz,
oder Bortrag, (Phrafie, Propoſitio), einen vôle
ligen Berftand ausmachet, fo zeiget oder fins
diget er allemal eine Handlung oder ein Ver:
balten an; folglich ift er allepeit Indicativiſch,
das iſt in der anzeigenden oder ankuͤndigenden
Art ſich auszudruͤcken. Als:
Je lis un livre françois, id leſe ein franzoſi⸗
ſches Buch.
Vous avés dit cela à mon frere, ihr Dabet
diefes meinem Bruder geſaget.
Je veus écrire, id will ſchreiben. .
Je le dirai demain à mon pere, id wetde
es Morgen meinem Bater ſagen.
Je le croir, it glaube es.
Vous demandés qui eff cet homme-là, ihr
fraget wer dieſer Mann iſt.
2. Wann
\
_. d
.
⸗
158. “.126. ‘Von den Modir, :.
2. Wann mebr ſolche Phrafes zufammen ſte⸗
hen, davon eine jede einen ganzen (volligen)
Verſtand vor ſich ausmachet; (115) ſo ſind als
Le dieſe Redensarten Indicativiſch, (anzeigend).
Als: J
Vons me connoiſſes, et vous demandés pour-
tant qui je fuis; Ihr kennet mid, un
dennoch fraget ibr mer id bin.
Je me lève à cinq heures du matin pour étu-
dier; je dine à midi; je ſoupe à fept heu-
res du foir;. et je me conche quand j ai rés
pété mes leçons. Id ftebe frübe um
fuͤnf Ubr auf um ju ſtudiren; id fpeife
zu Mittage um 12 Uhr; Abends eſſe id
um? Uhr, und id lege mich nieder, wann
ich meine Lectionen wiederholet habe.
3. Hier iſt keine Schwierigkeit; wir ſind hier⸗
in den Deutſchen gleich. Hieraus folget dieſe
allgemeine Regel in Anſehung der erſten Pro-
poſition: I
Prima propoſitio ſemper eſt indicativæ
Das iſt der Vorderſatz iſt allezeit gewiß an⸗
zeigend, oder ankuͤndigend, und ſtehet da⸗
her im Modo Indicativo, J
S. 127.
Cris) So daß der folgende Satz nicht als cine Folge
oder als eine Ergaͤntzung des vorhergehenden Sa⸗
tzes anzuſehen it.
von den Mods. $,127.128. 159
f
; 6. ‘ 127.
1) TBann (bingegen) die angcigende Redens⸗
act oder Propofñtion nicht einen vôlligen Ver:
ſtand ausmachet, und folglich : bas angezcigte
oder angefündigte noch feblet, fo: muß man noch
… ue Phrafin (bas ift ein Comma, eine Propofi-
tion) binsufegen, um ben Verſtand ju ets :
gaͤntzen. (116)
2) Diefen hinzugeſetzten ergaͤntzenden Fol ⸗
geſatz nenne id einen Ergaͤntzungsſatz, oder
ginen Ausfuͤllungsſoatz . Es iſt eine
Propoſitio ſuhſequens oder Sabjunfiva ad come
Plendam ſenſum neceſſaria;
Kan alſo auch heißen: Propoſitio completiva.
F. 128 17
1) In diefem NB. ergansendem Folgeſa⸗
te fan das Derbalten auf dreyerley Art auss
| | ge⸗
ds
(116) A8, Je crois . . . Je vols ; ,. Vous di.
tes . . . Mon pere veut ; ., Je ne crois pas, .,
S’ il avoit des livtes ... Dieſes find lauter Vor⸗
derſaͤtze, die etwas ankuͤndigen oder. angeigen, ſolg⸗
lich alle inclicativiſch find; Allein fie machen noch
| cu einen voͤlligen, oder completen Sinn aus:
Daher muß man fie mit einer hinzugeſetzten Phraſt
completiren oder erqgaͤnzen: Je voisqu’il ff ici. Je
_he crois pas qu’il fo# ici S'il avoit des livres il
fereit content, Aber warum. ffebet in dieſen dreps
en Ergaͤnzungsſaͤtzen, das erſte mal 4/2, in bent
zwehten hingegen fois, und im dritten ſeroit? Die⸗
| js if die Schwierigkeit, die man in dem Folgen⸗
CUS Den zu heben ſuchet. —
\ .
Ÿ L]
J 160 6128. 129. Von den Modir.
gedruͤckt merben, nemli 1) in ber pofit tivi-
ſchen (oder wirklichen) Arts 2) in der im⸗
poſitiviſchen (oder ungerviffen) Art; 3) in
der. bediugten Art, : |
2. Dieſe Arten werden durch Veraͤnderung
der Endſhiben in der Conjugation angegeben, und
werden Senannt Modi.
3. Es find demnad) in Propofrione complitioa
Drey Modi zu merken:
A): Moëus poſitivus; J
.B) Modus impoſitivus, /éw incertus; J
C0 Modus condicionals, Jeu hypotheticus.
J 6: ‘129:
. 1} Die beyden erften Arten, des ergaͤnzen⸗
ol eſatzes, nemlich bie pofitivifche und im⸗
itivifcbe, merde an ben Vorderſatz durch
que (daß) gebunden: Die britte, nemlich bie
bedingte Art, wird unmittelbar, und nuͤr fel:
ten mit que gebunden.
2) In einer indireQten Frage wird der Er:
—— auch near, one que, an
mich, ter ich bin?
° $. 130.
1) Es ift alfo das Woͤrtlein que eine Copula,
welche nur anzeiget, daß das Folgende zur Aus⸗
fuͤllung des Vorderſatzes binzugefuͤget NE
Don den: Modis. G. 130. 161
daf es eine Phrafis completiva, oder eine Propo-
fitio fubfequens oder. fubjunéiva ad éomplen-
-dum fenfum fep (1:17):
2) Folglich regiret bas que nidts; fondein
bindet nur den completirenden Satz zu feinent
angcigenden oder anfündigenden Vorderſatze
(118). — J J
Que ef copula jungens propoſitionem ſulſe-
quentem completivam priori indicativæ.
—
.$ 131.
(117) Es mag dieſer Vorderſatz entweder 1) ausge⸗
druͤckt ſeyn, 2) in cine ſogenannte Conjunétion jus
ſammen gezogen, (K138,3) oder, auch 3) nur drun⸗
ter verſtanden werden (S138,4) Als:
1) Je ne veus pas que Vous lifiés ce vieux li-
vre; 2) afin gs- vous n’aprentés pas Île vieux
langage; 3; qu'on le jerte par la fenêtre,
1) Ich till nicht daß ibr biefes alte Buch le
ſet; 2) auf daß ibr nidt die alte Sprache
‘ Jernets 3) man merfe es zum Fenſter hinaus.
(d. i. ich will daß man e6 iwcrfe).
(118) Co tie , er dre, nidt regiren, und ne nicht
leugnet. Denn A sciget nur au, daß der Vorder⸗
fa bedingt fe, und der bedingte Môdus zur Er⸗
gaͤnzung folgen muͤſſe; et zeiget, daͤß das folgende
noch zum peréodo gehoͤre; ne kuͤndiget insgemein
nur an, daß der Satz negativiſch werden wird, ſo
bald durch tie 2te Negeuon die Verntinung wins
beſtimmt ſeyn. Ur
£
‘9
162 5. 131. Von den. Modir.
.- 5. 131. , *
A) Was iſt nun der Modus Pufitivés?
Der Modus poſitivus iſt ein Modus com-
… pletivus *, welcher geſetzt wird, wann der Vor⸗
derſatz ankuͤndiget, daß der Ergaͤnzungsſatz
wirklich, (bas iſt pofrive), iſt, oder geſchie⸗
Det, oder wirklich geſchehen iſt, oder ges
ſchehen wird oder muß. Daber diefe Megel.
. Modus poñitivus eff modus fubfequens Propoᷣſi-
tionem incompletam pofitivè indicantem.
Als: |
Propof. indic. Moad. puſit.
Je vois que vous éres bien avancé; oi
Ich febe daß ibr weit gefommen ſeyd.
- Vous dites que votre frere eff diligent ;
—Ihr ſaget daß euer Bruder fleißig iſt.
Je veus vous cbnvaincre que je lai fait;
5 till euch uͤberzeugen daß ich es gethan
abe.
Si vous croyés que je vous fais tort, vous
"t.avés raifon; Wenn ibr glaubet daß ich euch
Unredt thue, fo babt ihr Recht.
17 | | . 132. . ‘ | .
1) Det Form nach ift der PoMivus nicht
anders alé der Indicarivus: Er fan aber nicht
| ° mit
d—
*Oder fubfequens oder fubjunétivus ad compleu-
dam fenfum Propoñtionis indicativæ iacomplete,
1
#
Von den Modir. 6.132.133 163 .
mit Recht indicativiſch heiſſen, weil nidt. der
Ergaͤnzungsſatz, ſondern der Vorderſatz an⸗
kuͤndiget oder indiciret.
2) Man merke daß alle Fragen indicati-
viſch find; und wann man indireetè fraͤget,
fo ſtehet der Po/itivus auch im Ergaͤnzungsſatze.
Mis: Pourquoi faites - vous cela? Warum thut
er diefes? —
Ne le favés-vous pas? Wiſſet ihrs nicht?
Demändés-lui qui il e#? fraget ibn, wer er
ſey (iſt:)
me demande pourquoi je /xir ici? Er fraͤgt
mid warum id) bier feu. (bin >) |
Je ne fais, s'A veuf venir? id) weif nicht ob
er fommen till (olle) >
Savés-vous, comment il viendra? Wiſſet ibr,
soie er kommen werde?
S$ 133.
R) Was iſt der Modus Impofitivus ?
1) Der Modus. Impofrivus, (oder Incertus),
ift-ein Modus complerivus **, welcher geſetzt
wird, wann der Dorderfes ben foigenden
Ergaͤnzungsſatz nidt als poſitivè, (wirklich),
ſeyend oder geſchehend, ſondern mit einer Un⸗
gewißheit, das iſt Impoſitiviſch, ankuͤn⸗
diget. Daher dieſe Regel:
— { 2: Mo-
*
ö—
ème
*# Oder fubfequens oder fubjun@tivos ad complen-
“dam fenfum Propofitionis indicativæ incompletæ,
° J
164 S. 133. Don den Modi.
Modus impofitivus , (feu incertus); eft mo-
dus fubfequens propofitionem incom-:
pletam, aliquid impoñitive, (feu cum
incertudine aliqua), indicantem.
2) Diefe Ungewisheit dufert ſich, wann
man etwas mit dem Vorderſatze als eine unge⸗
wiſſe Folge, die noch ſeyn ſoll, oder einen
ungewiſſen Zweck ankuͤndiget, oder mit ei⸗
ner Arche hindzeng Zweifel, Ver⸗
langen, Wunſch, Wollen, verneinend,
vorausſetzend, conceffvè, indirectè und der⸗
gleichen anzeiget, (oder indicirt). |
3) Die Ungewisheit des impot tivifchen
Ausfuͤllungſatzes kan man aud im Deutfhen
durch bas Wort etwa, mie auch vermittelſt der
beutfhen Verborum auxiliarium, Mag, môge,
folle, moͤchte, tônnte, duͤrfte 2c. fennen
lernen, tann man ſolche in den Folgeſatz au⸗
bringen kan.
4) Diefe impoſitiviſche Art ſich auszudruͤcken,
das iſt, dieſen Modum, nenne ich deswegen
nicht ben Conjunctivum, weil es nicht auf die
, Derbindung ankommt: Denn der Poſitivus
wird ja eben fo wohl ais der Impoſitivus mit dem
indicativifhen Borberfage verbunden oder
conjungiret. G. 129. 131.
Ærempel. |
Indic, | Impofitiv.
Mon pere veut que je fois diligent;
Mein Bater till, daß id fleifig fev.
oo, Di-
. \
_ Don den Modis, S. 133.134. 165.
Dites-lui qu’il ſoit diligent;
Saget ihm, daß er fleißig fe.
Je ne crois pas qu' il vienne;
Ich glaube nicht, daß er kommen werde.
Vous fouhaités que je le fafe ;
Ihr wuͤnſchet, daß ichs chuͤn moͤge.
Vous, Monfieur, vous voulés me convain-
cre que j'aye fait cela! Ihr, mein Herr,
ihr wollet mic) uͤberzeugen, daß ich dieſes
ſolle gethan haben!
Si vous croyés que je vous faffe tort, vous
“vous trompés je n’y fonge pas; Wenn ihr
etwa glaubet, daß id) euch Unrecht thue,
fo irret ihr euch, ich denke nicht daran.
| . 134. |
Aus dem vorigen erhellet, daß nidts als
die gefunde Vernunft uns eine fihere und richti⸗
ge Regel in Auſehung diefer beyden Modorum
completivorum, des Poſitivi und des Impoſitivi
au bie Hand geben Éônne (119) Denn man
| . 43 fies
(119) Man bat im Impoſitivo nur zwey Temporg
fimplicia, und 2 compoſita, nemlid das Præfens,
als j’aye, und das Præter, (oder Præfens relati-
vum impol.) als j'eufe, und beren compoſita:
J'aye eu und Jj'euffle eu. Das deutfbe Futurum
impofitivum, als; def er es lefen werde, bas
ben wir nicht, ſondern man braucht dafuͤr das
Præfens Impoſittvi als: je ne crois pas gu' il le
difés
._
166 $: 134 135. Dont den Modir.
fiebet aus cinigen ber (S. HT. u. 133.) gegebenen ù
Exempelu, bof nach eben derfelben Phraf
bald der Pofrivus, bald der Impoſitivus, na: .
dem der Ginn des angekuͤndigten Verhaltens iſt,
gefegt merde; und daß folglih. das que
nichts regire. Alſo au
Dites à mon fils, qu'il ef diligènt,' cela
l’'animera; Saget meinem Sohne, daf er
(wirklich) fleißig iſt, das wird ihn auf⸗
muntern.
Dites à mon fils qu ‘il ſoit diligent , & foites:
lui une reprimande; faget meinem Sohne,
daß er fleifig fen, (ſeyn folle), und gebet
ihm einen Berncis.
Fignore qu'il Joit veüu ; ich wuͤßte nicht, (bee
mir ift unbefannt), daß er ſollte gekommen
ſeyn.
Vous n’ignorés pas que je fais à la campa-
gne; euch ift nidtunbefannt, daß id tjetzt)
auf dem Lande bin.
§. 135.
C0) Was iſt der Modus conditionalis?
1) Der Modus conditionalis (oder hypotheti-
eus) iſt ein Modus completivus, ſuhſequens,
Vubjunctivuc), /welcher geſetzt wird, wann der
Vorderſatz bedingungsweiſe ſiehet. Nach
der Regel:
Modus conditionalis eſt Modus fübfèqüens Pro-
ph itionem incomplesam. aomditionatam.
2) Dies
⸗
Don ben Mods $..135: 136. ‘167
3») Diefer Modus gebet allezeit auf rois aus,
und wird im Deutfhen gemeiniglich dur wir:
de, zuweilen burd follte, oder Pônnte oder
moͤchte ausgebrüt (120). Einige nennen
ihn auch den Modum potentialem und Optati-
vom. Girard nennêt ibn;den Modum Suppo/iti-
vum, weil et allemal etwas vorausfebet.
+ Ærempel.
Vorderſat NMachſatʒ
Si j'avais ce livre; je vous le donnerois; wenn
ich diefes Buch bâtte, fo wuͤrde ich es euch
geben
gi j étois riche, je vous donneroir de l’argent;
wenn id reid waͤre, ſo wurde id) euch
Geld geben
* Plût- à - Dieu que nous euflions dé l'argent,
nous ſerions plus contens. Wollte Got,
daß wir Geld bâtten, wir wuͤrden jus
friedener ſeyn.
§. 1 136.
1) Bisweilen wird (per trantpofitionem ele-
gantem) der indicarivi(dhe Bedingungoſatz |
nchgeſcht. Als:
(120) Oefters druͤcken die Deutſchen dieſen Modum
mit ihrem Corjunctivo aus, daher muß man ibn
zu unterſcheiden lernen. Ale: wenn er zu Paule
waͤre ſo gienge ich zu ihm; S'Ü:étoit au logis,
J'irois. Wenn er mich drum baͤte, ſo ibaie id)
«8; S'il m'en prioit je le fer ais.
168 $. 136. Von. den Modir,
Je vous donnerois ce livre; A je l'avois. Ich
wuͤrde euch dieſes Bud geben, wenn' ich
es haͤtte.
Le fils vous payeroit,cet argent, en cas que
le pere ne fût pas au logis; Der Sohn
wuͤrde euch bas Geld auszahlen, im Sal:
le der Vater nicht zu Hauſe waͤre.
2) Oefters wird der bedingte Satz nur drun⸗
ter verſtanden. Als:
Je voudrois être à Leipſic; id wollte daß ich
zu Leipzig waͤre, oder ich moͤchte wohl in
Liphi ſeyn.
Hier iſt der Vorderſatz drunter verſtanden, nems
lich: Wenn es moͤglich waͤre; wenn ich durch
meine Wuͤnſche dazu gelangen koͤnnte TA
Il m°a dit que fon frere viendroir ; er fat mir
gefagt, daf fein Bruder kommen wuͤrde.
Dieſes ſetzt cine Zedinguig voraus, nemlich:
Wenn es moͤglich iſt: Denn ſonſt wuͤrde
man ſetzen vendre, er wird gewiß kommen.
Croyẽs-vous qu'il le ſeroitꝰ Glaubet ihr
daß er es thun wütbde, ſollte, môcbte >
Nemlich: Wenn man ihn darum anſpraͤche,
baͤte re.
3. a) Diefer Modus bat nur Ein Tempus
Jimplex, ais * auroit, und Lin Tempus compo
fitum , als jaurois eu.
6) Das Tempus Amplex dieſes Modi ift
aualeich ein Prefens juweilen ein Futurum con-
ditionatum oder conditionale. Als:
S'il
Don den Modic. §. 136. I 37°: 169
. S’il avoit des livres françois, il m'en préte-
roit; Wenn er franzoͤſiſche Buͤcher haͤtte
ſo wuͤrde er mir (jetzt) welche leyhen.
Si j’avois de l’argent, J'érois (bientôt) en
… France; wenn id) Geld haͤtte, fo wuͤrde ich
(bald) nach Frankreich reiſien.
c) Das Tempus compo/itum beziehet ſich auf
eine vergangene Handlung die da wuͤrde geſchehen
ſeyn, wenn 2c. Iſt alſo das Præteritum dieſes
Modi.
Als: Si on me l’avoit permis,. } y ſerois allé;
wenn man mir es erlaubet bâcte, fo wire
de ic bingegangen feyn.
$. 137.
. h) Weil die Particula M (wenn) nichts ais
eine AnFündigunge - Partifel des bedingten
Vorderſatzes iſt, und nur anjeiget, daß im
ÆErgangungs Sage der Modus conditiona-
lis folgen folle, um den bedingten Borderfas zu
.completiren, fo ffebet fie allemal mit dem / ndi-
cativo im anzeigenden Gabe, wann auch gleich
dieſer (per transpoſitionem) nachgeſetzt wuͤrde.
2) Es fan daher 4, (in der Bedeutung)
wenn, durchaus nidt mit dieſem Modo fteben ;
und da bdiefe Dartifel Z auch nidt mit bem Mo-
do Impoſitivo fimplici, aud) nidt mit dem Fu-
25 turo
\
—
170 . 138. Don den Madic.
A
C2
turo (121) ſtehen kann; fo iſt es ain beften man
foolge dieſer Hegel:
Si ſtehet allemal mit dem Præſente relatibo,
fimplici oder compoſito..
Als: Aj avois, fi j' etois, Mje donnois &c, .
A j'avois eu, j'avois été, A j'avois don-
né &c. —W
| 4. / 136. | F
Anmerkungen su den Modis completivir,
dem Pofitivo, dem Impoſitivo und
os dem conditronali. |
1) Man bat oben (6. 125, 2) gefaget, daß
allein der Berftand oder Sinn der Redensart
die Modos regire, nicht aber que oder fonft eis
ne Conjuncfion. Allein, wird man fagen, es
giebt dod) Conjunétiones die eine Modum tres
giren, als parceque, ‘puisque den Indicativym,
(Pofitivum), afinque, de peur que deu Conjun-
divum, ({mpo/firivum) &c. Daher merfe man
folgendes. |
2) Conjunctiones fmplices als:
ainfi, auf diefe tvelje . mais, aber, allein, fon
car, denn | | Dern —
cependant, indeſſen, bennoc or, nun aber
comme, gleichtwie, Da . ou, oder
donc, dann, demnach, alfo quand: wann oi,
enfin, endlich fi, wenn, wofern, ob.
- et, und | &c. |
L ſte⸗
(121) Mit dem Præterito abſoluto ſimplici oder
coinpoſito Fan fi nur alsdann ſtehen, wenn ein vers
floßener periodus temporis angezeiget wird.
Man halte ſich daher an das Præf, relativum,
\
\
Von den Modis. (. 138 171
ftefen aflemal im Indicativiſchen oder Vorder⸗
Gage, und reairen folglih nidts, fondern vers
binden nur die Perioden, oder die Glieder der:
ſelben. | oo
3) Da bas que eine Conjunclion iſt, bie nur
gebraucht wird um den Ergaͤnzungsſatz (pro- :
pofitionem éompletivam) mit bem angeigenden
Vorderſatze zu verbinden ($130); fo iſt es na:
tuͤrlich, daß was vorbergebet einen fenfum Gas
ben muͤſſe. Es find demnad alle fo genannte
Conjunétiones die auf que ausgeben lauter zu⸗
ſammen gezogene Sage, (Propoñtiones con-
tracfai, welche, wann fie po/irivè anfünbigen,
den Modum pofitivum, und wann fie impoſiti-
ve aunfündigen ben Modum impoftivum nat
fi haben; daher aud) ôfters das que davon ge:
trennet wird, Als: oo
* Jene vous demande pas ce livre, parceque.
vous le /ifés à prélents id fordere euch
diefes Buch nidt ab, mel ibr es jebt
| fefet. 6
Hier bedeutet parceque oder par ce que ſo viel
als par cette raiſon, oder et je ne le fais pas
par cette raifon que, oder et la raiſon de cela eſt
que vous le lifés; und die Urfache davon iſt
diefe daf ibr es jeut wirklich leſet. Singes
gen fagt man: |
Je vous donne ce livre, affnqme vous le
lifiés ; id) gebe euch dieſes Bud auf daß
ibres leſet. moe .
| + Pier
172 $. 138. Von den Modis.
Hier bebeutst a fin que nicht daß er wirklich
das Buch lieſet, fonderh es zeiget einen Zweck,
deſſen Erreichung ungewiß iſt; ſo vicl.afs. wenn
ich ſagte: La fin que je me propoſe eſt que vous
le ifés; de Zweck finis) den ich mir vorfese.
iſt daß ibr es lefen môget, moͤchtet, folltet
2C. 131. welches aber nicht gewiß, ſondern
ungewiß iſt. (122). |
4. Bisweilen wird aud bie Propofitto con-
traëfa mit dem cinjigen que ansgedruͤckt, und
der ab drunter verftanden, Als:
Venés i ici, que je vous dife une nouvelles
Kommt ber, daß id) eu eine Neuigfeit
fage. Das iſt: afin que, oder faites-le à
cette fin que je puiffe vous dire oder que je
vous dife . . . |
4 on
(22) Alfo auch puisque, da doch, bedeutet *
quam, oder depuis que je reconnois; daher ſagt
man: puisque vous ſe voulés. De peur que, aus
Furcht, bedeutet car j'ai peur que; daher fagt
man: de peur qu’ ilne vienne, (denn ich fuͤrchte
mich daß er kommen moͤchte). Alſo enthaͤlt plut-
à4- Dien- que; wollte Gott! einen Wunſch, da⸗
ber der Impoſitivus folget; als, plût-à Dieu que
j' euſſe Y'ocafion de . . . Daber koͤnnen bisweilen
nad) einer Conjunétion (oder Propoftione contra-
€ta) beyde Modi bald der pofitivus hald der im-
pofitivus ſtehen. AIS: Je lui ai parlé de ſorte
qu’il le fais maintenant, Parlés-Ini de ſorte qu'il
le fafe.
Don den Modis. $.138 173
Qu'ꝰ on le faffe; Man thue es. Das ift:
J ordonne gw on le faffe, JO befehle daß
manie. J. ſequ. | ;
5. Die Conjundiones bienque, quoique, en-
core que , tele obgleich, obſchon, obmobl,
wie wohl, heißen, kuͤndigen nicht pAtivd,
ſondern conce/fuè oder indirectè an; daher ba:
ben fie dat Modum impoßtum nach fich (123).
Als: Quoi” quil foi tictre , vb er gleich reich iſt.
Bienque vous /oyés riche, obwohl ihr reich
ſeyd, (teich ſeyn moͤget). ct
Encore que je l’en aye averti, wiewohl ic
ibn deſſen erinnert babe.
6, a) Die Conjunianes quand même, wann
auch fbon, und autrement, fonften, find
gufammengezogene sugehende und bedingens
de Redensarten, (Propofirioner contractæ çon-
ceffve et conditionatæ); daher folget brauf der
Modus conditionalis, Us:
Quand même $’aurotr des ennemis, je ne les
crains point; wann ich auch fon Feinde
baben folfte, fo fuͤrchte ich fie nicht.
Je n’aï pas le tems onfrement je viendrois,
Ich babe nicht Zeit fonft wuͤrde ich kommen ˖
Alſo
(123) Quoique bedeutet quelque ſupoſition que je
ſaſſe que, oder ſupoſons une chofe que. Bienque
bedeutct je veus bien poſer le cas, oder circone
flance que. Encoreque bedeutet On me éoncede-
ra encore que. &c.
174 $. 138.139. Von den Mods.
Alſo auch: Quand même j’aurois en &c. . Au-
trement je /erois venu.
b) Bisweilen wird méme ausgelaffen.
Als; Quand cela feroit, il n° y arien à craindre ;
Wann auch ſchon biefes mâre, fo ift
doc uichts zu befürhten. (124) ” .
7) Die Copula fo, der Deutfhen, wird im
Frauzoͤfiſchen, eben. wie im Satcinifhen, wegge⸗
{affen, und der Nominarivus muf vor dem Ver-
, bo fteben bleiben,. is:
. Weil (da) ihr es baben mollet, fo merde
! .{ es thun; puisque vous le voulés,
Je le ferai. |
§. 139. |
: Dom Imperativo.. -
1) Der Modus Imperativus und Conceffivus,
die gebietende und zugebende Art fit auszu⸗
druͤcken, bat cigentlid nur fine Perſon im
Singulari, und 310 im Plurali
— — 2) Die⸗
(1 24) Bey quand même, (welches vor dieſem quand
bien oder quand bien mésne hieß), iſt dieſer Mo-
dus conditionalis ein Puturum ſuppuſitivum 0det
conceſſivum, als fagte man: Wann ich auch die⸗
ſes vorausſetzte oder zugaͤbe, daß dieſes ge⸗
ſchehen wuͤrde, ſo ꝛc. Als: Quand oder quand
mèêéme il lui en cofteroir la vie, il Pexécutera;
und wann eg ibm aud das Leben koſten folite,
wuͤrde, méchte, fo tir es ausfuͤhren. Das ift:
quand je ſupoſe même cette condition que s’il le
faifoit :/ lui en codteroit la vie, il l'exécutera,
Don Sen Modir.: (139.140. 275
2) Diefe werden gemacht wann man die
zwote Perſon Sing. und die erſte und zwote des
Pluralis Præſentis Indicativi nimmt, und den
Nominativum weglaͤſſet. Als:
Sing. Vens oder Vends, verkaufe (du)
Plur. vendons, laßt uns dertaufen jus
vendés, verfaufet (ibr). bye.
3) In diefen 3 Verbis: Avoir, Eve und Se-
voir nimmt man die Derfonen des Prafensis Im-
poſiti tivi. Als:
S. Aye, oder ayes oder aie, babe du
PL ayons, lafit uns haben RENE
ayés, babet (ibr).
Sing, n Plur.
Soyons, laßt uns ſeyn
ſois, ſey (du) foyés, ſeyet (ihr).
Alſo au, ſache, ſachons, ſachés.
4) Die zte Perſon des Imperarivi iſt nichts
anders, als die 3te Perſon Præſentis Impoſitivi,
vor welches man que ſetzet, weil ein Vorderſatz
drunter verſtanden wird. Als:
Sing. qu il vende, er verfaufe, laß ibn berfaufen,
Plur. qu’ils verident, luß ſie verkaufen.
§. 140.
| Dom. Modo Infinitivo.
1) Dire Modus enthaͤſt
a) ben Infnitiyum an fi ch CCR
9 das Participium | |
é) bas
. 176 J. 140. Don den Modis.
:,€) das Gerundium
_ À) das Supinüm, oder Pardcipium paf-
fivum,
2) Der Modus In féitions ift eine Art bas
blofe Verhalten vorjuftellen, ohne Beſtim⸗
mung der Zeit und der Perſonen: Er wird da⸗
her als ein Subſtantivum angeſehen, und kan
man auf gewiſſe Fragen, wie bey dem Nomine,
die Præpoſitiones davor ſetzen, die ſich daru
ſchicken.
3) Bismweilen wird der Infinitivus ju einem
beftimmten Subftantivo mit dem Artikel gemacht,
als /e boire, le manger, le; lever du foleil, das
Eſſen, das Trinten, das Aufgeben der
Sonne; und in dieſem Halle Fann er alle Præ-
poficiones. vor ſich baben tie die Subflantiva.
4) Ohne Artikel koͤnnen folgende krepoſi tio-
nes davor fteben :
de, qu F par, durch, vom |
à, 34 __. entre, zwiſchen, unter
pour, umzu aprðs, im Præter.. compo-
fans, ohne zu ſito, nachdem ꝛtc.
Vs : Lire, leſen , iſt der Nominat. u. Accuſat.
à €. Je veus lire, parceque fire c eſt le
principal ;
l’ocafion de lire, die Gelegenbrit ju leſen;
je penfe 4 à lire, ich denfe an.fefens …
je viens pour lire, ich fomme um' ju leſen;
il paſſe da! journée /ans lire, et bringt den
Tag ohne (zu) tefen bin;
com-
Vaon dén-Modis. $. 140. 179
commencés par lire la Grammaire, fanget mit,
cbey), dem tefen (durch das Leſen der Gram⸗
matik an.
entrélire & bien lire il y a de la diférence,
zwiſchen, (unter) £efen und gut Leſen iſt ein
Unterſcheid.
il s’en eſt allé après avoir lu la Gazette, er iſt
weeggegangen, nachdem er die Beirungen
. gekefen.
5) Wann die Kede von einerley Dets
(on ift, fo brauchen die Franzoſen ben Infiniti- .
vum mit oder obne Præpoñition, anſtatt baf bie
Deutfhen zwey Modos finitos mit.und, daf,
wenn, bis und anbern Partikeln verbinden,
As:
Je voudrois être en France, id wollte daß
ich in Frankreich waͤre.
Ayes la bonté do me venir voir; ſeyd fo qi:
tig und beſuchet mich.
Ï m’a ordonné de venir; er fat mir befohlen
daß ich fommen folle.
Vous vous trompés de croire que je ne fois
pas votre ami; ihr irret eud wenn ifr
glaubet daß ich nidit euer Freund fer.
J' oſe vous écrire fans avoir Tl’hon-
neur de votre connoiffance; id) unterftebe
mich an eud) ju fbreiben, ob id gleich
nicht die Ebre babe eud zu kennen. |
Qu'eft-ce qui Vous à engagé à lui faire ce
. tort? Bas bat euh dazu veranlaſſet, daß
ihr ibm dieſes Unredt getban babt? :
l
| 178 $. 140.141. Don den Modir,
"fl faut être fou pour le croire; Man muf ein
) Narr fon, wenn man es glauben wollte.
6) Es wird demnach der Infinitivus im frans
zoͤſiſchen viel bâufiger gebraudt als im Deuts
ben; und zuweilen hinter einander,: wenn die
Præpoſition abtmwedfeln fan. fs:
Je vous prie d’avoir la bonté 4e lui dire cela
de ma part, pour l'obliger à me répondre;
id bitte eud, daß ibr die Guͤtidkeit bas
"Bet, und ihm biefes meinetwegen faget,
auf daß ihr ibn néthiget, daß er mir
antworte.
7) Wenn aber die Perſonen ſich aͤndern,
ſo gehet im franzoͤſiſchen kein Infinitivus an.
Als: + Vous avourés (avouerés) que f’ai bien em-
ployé mon tems; (nidt d'avoir) Ihr ter:
det gefteben daß ich meine Zeit wohl anges
wendet babe.
CL fais ravi de ce’ que vous vous portés bien,
(oder que vour vous portiés bien). Ich
bin erfreuet daß ihr euch wobl befindet.
x Hingegen: Je ſuis ravi de vous voir en bonne
ſenté (nicht que je vous voye, oder de c ce
que je vous vois,)
| A | 9 141.
1) Das Participium activum gehet allezeit
aus auf aut, und Fan nicht flectirt werden, ſon⸗
dern bieibet unveraͤndert im maſc. fœm, ſing.
und plurali. |
n 2)Es
. | | L ,
Don den Modis, (141.141. 179
-2) Es wird gebraucht, wann man er oder
parceque, (und oder weil), vermeiden will.
(125) Us:
“Un homme mal élevé n ayant aucun mérite
- ne parvient à rien; ein übel ergogener
Menſch, und der feine Berdienfte bat ge:
langet zu nichts. (ober weil er feine Ver:
dienfte bat).
Mn frere ayant cu la fièvre fera plus fobre ;
Weil mein Bruder das Fieber gehabt
bat, wird er maͤßiger ſeyn.
| I . 142.
1) Das Gerundium wird mit dem Partici-
pio.adivo gemacht, mann man ex davor ſetzt,
als en donnanr, Es brücet bas lateiniſche Ge-
rundium in do aus, und’ wird im Deutfhen
durch als, wenn, mit, vornemlid aber durch
indem, im gegeben.
2) Es wird gebraucht, wann man drunter
verſtehet pendant que* , wabrend , indem ꝛc.),
oder bie Frage comment ? (wie ? welcherge⸗
ſtalt?)
* auch sandisque , | Jorsque.
M 2 a Als:
eq
(125) Es muf aber das Participium attivum einen
* Nominativum be fi haben, wovon es auf die
Perſon beftimmt wird; al$ mom frere ayant vu
cela, ift als fagte manu: Mein dicfes gfben
babender Bruder. : J'y ai été, et voyant qu’il
n’y avoit rien à fairé je me fuis retiré,
280 6.143. von den Modis
Als: Jai fait cela en me promenans à id babe ”
diefes im fpagieren geben getban, (d. i.
waͤhrend, nnterdeffen 2c.) |
‘Il répondit e# riant; er antwortete (wie ?
mit Lachen. (wie im ‘at, ridendo).
On fe perd en fuivant cette voye, (ſtatt lors-
que, À) Dan, gerärb ins Berderben (wie ?)
indem, wenn man diefem Wege folget.
| + 143.
1) Das Supinum wird auch genannt Pariïei-
pium paffivum, und gebet allemal aus aufe oder
4, oder #, außer in einigen irregularibus; als
fait, gemacht, pris, genommen 2.
2) Als Participium paflivum wird es angeſe⸗
hen wie ein Adjectivum,, und bat ein mc/culi-
num und fœmininum, einen Singularem und Plu-
ralem, als aimé, aimée, aimés, aimées,
3) Da in den Temporibus compofitis allemal
ein Supinum. oder Participium paſſivum fteben
muß, fo fan es in bem alle auch Participium
Prateriti genaunt werden. Dieſes wird nun
ebenfalls in gewiffen Sällen fledtirt, wovon
folgende Regeln zu beobachten:
4) Das Participium Præteriti wird im Gene-
re und Numero fleûtiret, voann es nichts
mebr zu regiven‘bat, und ein Accufativus,
(bas iſt ein Obse des Berbaltens), vorber-
gebet ; es mag mit Avoir oder mit Etre zuſam⸗
men geſetzt fepn. Als:
7 Le
“Von den Modis, (. 143. 181
. La ‘plume que ÿ ai cue ; bie Feder die id) ges
habt babe.
Je les ai ‘eus, nemlich die Buͤcher les li-
vres); id habe fie gehabt. |
Quvlles plumes avés-vous euer? Was vor Ses
dern babt ibr gebabt ?
..Mon frere & fa femme, Jaquelle ; je n’avois
pat encore vw, font ici; Mein Bruder
und feine Grau, die ich noch nidt gefeben
hatte, find Gier.
Les dificultés qu' ils ont euer; die Schwie⸗ |
rigkeiten, welche fie gebabt baben. |
_ Les devoirs qu’elle s eft préscrits ; die Pflich⸗
ten, Die fie fi vorgefrieben bat.
I nous à aimés; er bat uns geliebet. :
Ils /e font aimés; fie baben fich getiebet. :
5) Regirt aber bas Participium præteriti.
etwas nach fi, fo ift es allemal unveraͤnderlich,
ob aud gleich der Accufativus, CObjeéfivus),
vorpergebet. As: .
Elle a eu plufieurs livres; fie fat verſchiedene
Buͤcher gehabt. |
. Les plumes que j'ai fait tailler; die Gebern
die id babe ſchneiden laſſen.
Les dificultés qu' ils ont eu à ſurmonter; die
Schwierigkeiten, die ſie zu uͤberſteigen ge⸗
habt haben.
Les devoirs gw elleꝰ eſt propofé de remplir;
Die Pflichten die fie ſich zu erfuͤllen vorgeſetzt.
—M 3 6) Der
182 G. 143 144. Don. den Mois.
7 6) Der votftebende Nominativus, (Subjectio
vus), trâget zu dieſer Veraͤnderung nichts bey,
ſondern nur bloß der. Accuſativur, ten dieſer,
wie geſaget, vorhergehet. Als: À
"Elle a eu trois livres; fie bat 3 Buͤcher gehabt.
Ils ont eu de l argent ; fie baben Geld gebabr.
Elles ont fait une Poefñe; fie (die ung-
fern) baben ein Gedicht gemacht.
x In der Conftruétion bat daher daë Supinum
entweder allein, oder mit dem von ibm ves
girten Infinitivo, unmittelbar vor dem Caſu
Verbi ſeine gewoͤhnlich⸗ Stelle.
F. 144 | _
fÆtempel um den Modum sndicativum und
Die Modos completivos, den pofitivum,
uno conditionalem su üben.
($. 13. 1 — 138).
.. 1. Er iſt bp (chés) mir geweſen, nb id bin jey
ihm geweſen, wir baben zuſammen (enfemble) von Dies
fen (ses) Sade. (afaires) gefprocden, welche ihr mir
recommendiret habt.
2. Sd bebaupte, daß biefe Meinung wahr iſt (ſey).
Er ſagt, daß er kommen wird (werde). Er fragte ihn,
(ui demanda) was (ce que) er am beſten gelernet (le
” mieux apris) haͤtte. Ich habe vernommen (apris) ; daß
er qu Paris angekommen iſt (fep). Wenn man betrachs
tete (confideroit), wie ängencbm es iſt (ſey) der Tue
gend ſich zu ergeben (de s' adonner).
3. Mein Vater will nicht, daß id dieſes Bud bas
be. Ihr zweifelt mit Fleiß (à deſſein), daß dieſes
wahr (9, aus Furcht (de peur que) daß m man ſage, +
Don den Modis. G. 144. 145. 183
ibr zü leichtglaͤubig (crédule) ſeyd. Wir wuͤnſchen
(foubaitons), daß man es thue, (faire thun), und
id wolite (voudrois), daß ibr es heute thaͤtt. Ob
ibr gleich Geld habet (guoique d. i. was ihr auch
für Geld haben moͤget) fo ſeyd ihr nicht zufriedener
als id. Wenn id wuͤßte, (ſavrois) daß ihr es thaͤtet.
* in billig Gufte) daß ibr erkenntlich (teconnoiſſant)
eyet. .. W
4. Wenn er Geld haͤtte, ſo wuͤrde er Buͤcher haben.
Wenn mein Better waͤre zu Hauſe (chés Jui) geweſen,
fo waͤre ich bingegangen (das iſt; fo wuͤrde id hinge⸗
gangen ſeyn). Er mar verſichert (aflüré) daß er gluͤck⸗
lich in (en) dieſer Sache (afaire) ſeyn wuͤrde.
glanbete (croyois) nicht, daß er ſo hartnaͤckig (fi opi-
niatro) ſeyn wuͤrde. Wann er es auch ſchon (quand
meéme) waͤre, fo werde ich mit ibm reden (parlerai).
* Siehe Uebungen VUNro. 24, 29. 22e 33. 35
f 38. 40. 45. 48. Ce _
$. 145.
Uebung des Infinitioi. (ÿ.140— 142.
+, Er glaubt flcifig geweſen zu fepn (nidt 4). Cr
glaubt euh Morgen su (de) ſehen. Er darf nidt.(il
n’ofe pas)lefen, Er redet von lejen. Œr denfet (pen-
fe) allezeit an fpagieren geben (fe promener).“ Er iſt
gekommen (venu) um hier zu ſtudiren. Er faͤnget au
(commence) bey (par) dem Studiren (étudier) der Phi⸗
lofophie, Er Dringet feine 3cit su (pañle fon tems)
ohne zu ffudiren. I on .
2. Weil (ba) mein Bruder franzoͤſiſche Buͤcher hat,
fo lieſet er ſie (les) einen nach Dem andern (l’un après
l'autre). Weil mein Better dieſes Ungluͤck (malheur)
gehabt bat, ſo iſt er nicht aufgeraͤumt (de bonne hu-
meur), Ein vornehmer, (se qualité) Mann und Der
Geld bat, handelt (agit) oft wider die Tugend. Er
verdienet (gagne) @ sen er beftaͤnvig Eorinuen
4 e
!
184 6146. 147. Von den Modir.
Jement) arbeitet (travailler), Waͤhrender Zeit daf
id dieſes Bud las, entfland ein großes Gewitter (il
s’éleva un grand orage). É
„* Giche Uebungen VNro. 41. 58.
v J $. 146.
Anwendung der Regel von der Nexibili-
—
tât des Supini oder Participii
| | Prateriti (S. 143.
. 2 Ich babe cine Diſſertation gemacht (fait). Die
Differtation die id gemadt babe. Die Differtation
ie id babe abihreiben laſſen (fair copier), Die
iffertation telche id auszutheilen (diftribuer) befob-
en (ordonné) babe, Die Differtation welche ibr auf
meine Kammer gefeben (vu) habet. Die Differtarion |
welche (que) ibr gefeben babet daß id (fie) auf (à)
meiner Kammer batte (ÿavois).
2. Ich babe bieje Perjonen geſehen. Die Perſo⸗
men welche ich gefeben babe. Habet ibr fie (les) geſe⸗
ben. Ya, und meine Schweſter bat ibre (leur) Brie⸗
fe geſeben. Ich babe aud bdie Perfunen gefeben,
tuelhe ibr verfleidet (masqué) gefeben habet. Die
Muͤhe (peine) welche mein Bruder gehabt bat.
3. Sie haben ſich (ils fe fonc) felber (eux-mêmes)
borgefchlagen (propofé), Sie haben fih eine Reiſe
un voyage) vorgefenet (propofé). Die Reifen, wel⸗
De fie ſich vorgeſetzt haben. Die Reiſen, welche fie
fi zu thnn (fairé) vorgeſetzt haben. Sie bat ſich
(elle s eſt) bekehret (converti). Sie bat ſich malen
(peindre) laſſen (fait). Die Muͤhe welche ſich mein
Bruder gegeben bat (s’elt).
J $. 147.
IE Don den Temporibus. |
Tempora (oder Seiten) find in ben Verbis
die Gegenwartige, die Letgongene, und
die
’
| Don den Temparibur. $.148.149, 186
bie Zukuͤnftige; (Prefens, Prateritum et Fo- |
turum).
Sie werden im Franzoͤſiſchen ing à in
Tempors fimplicia und compofita.
(. 148$.
Die Tempora compoñta werden gemacht,
wann man die Tempora ſimplicia von einem von
den beyden Verbis Auxiliaribus, Avoir oder E-
tre nimmt, und das Supinum oder Participium
poſſivum des Verbi, fo man conjugiren tif,
binzuſetzet. Als:
j ai donné, que j'aye donné &c.
je fais allé, que je fois allé &c.
Es gebet alfo wie im Deutſchen; und ift weiter
feine Schwierigkeit dabey, wann man die Ver-
ba auxiliaria gelernet bat, welche baber am ets
ften muͤſſen erlernet werden, |
$. 149.
1) Die Franzoſen haben zu ibren Tempori-
bus fimplicibus Sieben Tempora, nemlich:
3 Præſenta
2 Præterita
1 Futurum
1 Præfens et Futurum conditionatum
| oder fuppoñitivum.
2) Die Drey Præfentia koͤnnen vorgeftelfet
werden als ein Triangel 7; die Ubrigen Vier
Tempora Gmplicia aber als ein Quabrat D |
ms 3) Go
—
186 $149. 150. Tempora.
3) So daß alle ſieben Tempora fimplicia
geordnet werden fônnen als ein Æriangel der
mit dem einen Winkel auf einem Quadrate ru⸗
- fers auf folgende EBeife: : !. —
. | 7
1. Ÿ | 0
_,. Prafens … | Præſons
indicat.et poſitivum impoſitivum
Præœſens relativm
ad actionem præteritam
Præteritum Præteritum (126)
abſolutum (fimpl.) impofitivum
Fyturus Prefens et Futurum
(indicat. & pofitiv.) conditionatum ſ. fuppolitivum,
| $. 150.
Pie Tempora compofita koͤnnen auf fois
gende Weiſe geordnet und genannt werden :
Indice, & Pofitiv. | Impofitivè
Præteritum | Præeæteritum
compoſitum compoſitum
Peæteritum relativ,
pofitivum |
Præterit. abfolutuni Præter. relativum
compofitum U impoſitivum
Fufurum relatiuum Conditionatum Præter.
oder compoſitum oder Suppoſitiv. Præt
J. 151.
(126) Beſſer nach dem G!ard (p. 61.) Preferis
| relativums impoitivum , OR impoftive relativam.
Siche Se rss F
A
Tempora, 151.1 52: 187
G. 152
I Das Prefens t1niicativum ; welchẽs zu⸗
gleich im Ergaͤnzungs⸗Satze —* iſt, brau⸗
Gen die Franzoſen wie die Deutſchen. Als:
Paime, id liebe; je-fuis aimé, ich werde
geliebet.
| 2) Bisweilen, au wie int Deuiſchen an⸗
ſtatt eines Puturi, und im ſtilo hiftorico anſtatt
eines Præteriti. Als:
oüqu aller-vous ce foir? Wo gehet ihr die⸗
ſen Abend bin? (d. i. Wo werdet ihr
hingehen?
_Le Roi arrive à l armée, il trouve. Les trou-
pes pleine d’ardeur, il attaque fon enne-
‘mi, et le défait, Der Rônig fommt zum
Kriegsheer, er trift die Truppen voller
Mubt an, er greift feinen Geind an, und
gerſtreuet ihn.
| §. 152. ‘
1) Das Prefens impoſtum wird aud wie im
Deutfhen im impolitivifhen Solgefage ge:
braucht. Als:
Je doute qu’il foit aimé ; ich mweiſte daß er
geliebet werde.
Il eft juſte qu’il m’aime, es iſ billig daß er
mich liebe.
2) Es iſt aber auch dieſe brelens im fran.
ein Futurum impoftiv * ‚welchen Namen ibm
auch Rafraus in ſeine rammaire zugleich beyle⸗
get;
d
1 ‘
4
| 188 . 152. 153. Tempora.
get; baber es ffatt des deutſchen Futuri impo-
Ativi geſetzt wird, weil man im Franjoſiſchen
kein ſoiches Foturum bat. * Als:
* Je doute que mob frere vienne, ich zweifle
daß mein Bruder kommen werde, (oder
komme).
Ne craignés pas qu’il vous fuſſe tort, befuͤrch⸗
tet nicht, daß ec eud) Unrecht thun wer⸗
de, (oder thue).
Je ne doute pas qu’il ne ſuive les traces. de
fon pere, id) zweifle uit, daß er den
Fußſtapfen feines Vaters folgen werde,
(oder folge). |
§. 153.
1) Das hræſens relativum jeiget ein Ver⸗
halten oder Sandlung an, fo von einer vers
gangenen Handlung gegenwaͤrtig angetroffen
wird. (127) Als:
Lors-
* Die Deutihen koͤnnen ſich in biefem Falle faſt
beſtaͤndig in beyden Temporibus ausdrucken. Sr.
L. D. 692.
(127) Daher es au, (weil es ein Præſens rélitivè
ad adctioneém quandam præteritam iſt), heißen
fan: Præſens præterito, oder actioni præteritæ
præfens. Die Lateinee und Deutſchen haben
diefes Tempus nicht, daber fie foles mit ibrem
Imperfeëto auésudriéen pflegen. Es iſt cigentlich
cin Participium , daß durch Perſonen flectirt wird, .
(quaſi ein Participinni perfonificatum), Als wann
| —mam.
. \- ‘ D L
Tempera. QG T53 189
Lorsque vous êter entré, ober lorsque, vous
entrates je liſcie; ais ihr herein gekommen
ſeyd, oder als, ibr herein kamet, las ich;
(das iſt, ich war juſt leſend, oder in
£efen bégriffen }.
Nous fommes allés au jardin, et nous y avons
trouvé notre couſin qui #éditoit. fur un
, probleme, (das ift mibiitant); wir find in
den Garten gegangen, und baben dafelbft
meinen Vetter angetroffen der einer Auf:
gabe nadbadtez {bas ift daruͤber nach:
denkend).
Lorsque nous srrivames à Hannovre le Roi
y étoit : Als wir in Hannover anfamen,
war der Koͤnig da.
2) Es wird baber diefes Præſens relativum
auch gebraucht, wann ein Verhalten oder ein
Seyn, MDarſeyn), drunter verſtanden wird,
waͤhrendem welchem etwas gegenwaͤrtig war,
oder geweſen. Daher braucht man es um die
Dauer oder Waͤhrung der Hendlung eine
oͤfte⸗ |
man fagt je liſdis, fo heißt es nicht cigentlid id
las, fondern id wat leſend, (/egens eram).
Alſo auch wann zwo Handlungen einander gegen⸗
waͤrtig ſi ſi ud: als, quand mon frere /ifiis je me
promenvis , d. 1, quand mon frere ésoir liſant
J'étois me promenant.
f
190 G+153. Tempora.
Sftere Wiederholung, ein Dflegen und
Gewohnheit 2c. anzuzeigen. ** Als:
Alexandre éfoit heureux dans (ex) fes entre
prifes; Alexander war gluͤcklich in ſeinen
Unternehmungen.
Lorsque j’ éfudioir à N. votre couſin y éroir
auffi, et nons allions enfemble aux lecons ;
als ich in N. flubirete, war euer Vetter
aud da, und wir giengen zuſammen in
die tectionen.
Ù fut allés heureux pour plaire à celui dont
il espéroit d'obtenir cette grace. : Œr tar.
ſo gluͤcklich, daß er dem gefiel von welchem
er dieſe Gnade zu erhalten hoffete.
Je favois bien qu’il ne le feroit pas; ich wuß⸗
te wohl, daß er es nicht thun wuͤrde.
3) Es ift aber auch dieſes Tempus, (als
J’avois), nebſt ſeinem compoſito dent Præterito-
relativo, (als 7” avois eu), dasjenige, was man
mit 4, in der Bedeutung wenn, wofern,
braucht, wann die Deuiſchen ihr Imperf. und
Plus-
** Als anfroortete man auf De Franc: quo tem.
pore? durante quo rempore? durante qua alia
actione, vel ſituationeꝰ &c. |
Î
Tempors. (. 154 191
plusquamperfeaum, (als haͤtte, haͤtte ge.
habt), dabey ſetzen (128) (129).
Als Si j’avois le tems, wenn id) (bie) Zeit haͤtte.
Si j'avois eu de l'argent, wenn id Geld
gebabt bâtte.
Siehe mebrere Exempel $ 135,2. $ 1163 3.
$. 1344.
* Tempora prærerita zeigen das vergangene an;
es iſt alſo, wann man ein Præteritum braucht,
allemal die Sandlung oder Das Verhalten,
ctio oder paſſio), vergangen: Allein es Fan
ein Zeitpunct oder Zeitraum, (Periodus Tem-
poris), angegeben werden, in welchem etwas
geſchehen iſt, und dieſer Fan entweder auch fe
wie das Verhalten vorbey ſeyn, oder noch
dauren; oder es wird gar kein Zeitpunct an⸗
gesiget. Nach diefen Augenmerken richtet ſich
die
hs
(128) Es find alfo dicfe beyden Tempora aud) Con.
ditionalia indicativa, welche fi auf tie Bedin⸗
gung besichen, die man bep dem, mas jetzt ges
ſchehen koͤnnte, oder was da haͤtte geſchehen
koͤnnen, im Vorderſatze hinzuſetzt,
(129) Im Præſente und Præterito compoſi to brau⸗
chet man im Deutſchen mie in Franz. den Iudica-
tivum mit wenn, aber int éwmperf. und Plus-
quamperf. nehmen die Deutfhen den linpuſitivum,
die Franzoſen bingegen das Præf relativum, und
das Præter, relativum, Anſtatt des lebteren Fan
man aud den Impoñtivum, (als ;’euffe ea), it
gemif Faͤllen brauchen, wenn noch ein Tempus
ofitum foigt, Allein da auch hier Fan: 7" avois
eu ff ben, fu balte man ſich vorerft Daran. $ 137,2.
. ‘ \ A | È
192 . 154 “Tempora - : .
bie fran. Eprade in Anſehung des Gebrauchs
des Preteriti ſiniplicis und des Præteriti compo-
pri, (130) VU
1) Das Præteritum fimplex wird gebraucht
wann ſo wohl die ackio, (das Verhalten),
als. auch der Perrodur. temporis vergangen iſt, fo
daß'man heute nicht mit hinein rechnen fun.
Als: hier, avanrhier, la femaine pañlee, &c.
2) Daber heißt es Præteritum alfilutum,
weil die Sache in Anſehung der Action und zu:
gleich in Anſehung des Periodi temporis vergan⸗
gen iſt. |
3) Es muf aber biefer vollkommen verbey
ſeyende Periodus temporis dabey genaunt, oder
doch aus den Umſtaͤnden deutlich koͤnnen erkannt
werden; ſonſt kann dieſes Tempu⸗ nicht ge⸗
braucht werden. (131)
WEWrxrem⸗
— —— —— —
(130) Ich habe daher der Gebrauch dieſer beyden
Temporum in dieſem und folgendem paragrapho
nacheinander gezeiget; ohngeachtet das Preter.
compof. nachher folgen ſollte.
(131) Ben dei Deutſchen iſt es in den meiſten FA
Len ziemlich gkidgulrig bey verflofienen Zeiten ihr
Imperf. oder ihr Perf. zu gehrauchen, im Sr. aber
nicht. Beyde koͤnnen daher das Præt. fimplex der
Franzoſen erklaͤren: Peas, id batte oder “babe
gehabt: es iſt aber beſſer ich hatte zu ſagen. NB.
So bald man vou beate redet, wenn es auch fr uͤ⸗
De oder die Nacht ſchon geſchehen iſt, ſo gehoͤret
dieſes nicht mehr zum Præt. ſimplici fogpern jun
Præt. compofñto..
Teppora. Su + 493
tÆrempel: L
Hier, wvantbier et la ſemaine palféc nous eu-
mes le plaïfir de voir quelqu’un de nes
parens chés nous; geftern, vorgeftern und |
vorige Woche batten wit bas Bergnüs
gen, (oder haben wir das Bergnügen ges
habt), einen unfrer Verwandten beyuns
« qu feben. |
Je fus P année palfée à Hannovre, et je Partis
did avec mon coufin; Ich bin voriges
Jahr in Hannover gewden, und id rei⸗
fete. mit meinem Better von bier ab,
La guerre de fuceflion ceſſa, (finir, prit fin),
pat la paix d Utrec; der Succeffions. Rrieg
nahm durd den Uirechtiſchen Frieden ein
Ende.
4) Aus den angefuͤhrten Urſachen flieſſet, das
das Præteritim abfolutum folgen müffe, wann
man eine geſchwinde Begebenheit, (adio-
nem momentaneam, ‘dder ſubitaneam) anzeigen
will, die nur einmal geſchehen, und quoad pe-
riodum temporis als voͤllig vergangen ju betrach⸗
teniff. (132) .
Ms: Anſſitôt qu'il entra je fortir; ſo bald als
et herein Fam, gieng id iweg, !
(132) Dieſer Umftanb zeiget ſich dard gewiſſe Conjun-
Ætiones, alé; uffitôt que, à peine (kaum), après-
que (nadbdem). ? lorsque (als) ꝛc. oder mann fols
de durch ein vorſtehendes Participium verſtauden
werden. N ——
194 © 155. Tempora. :
Il n' eut par plutôt fon argent qu il le perdit ; --
Er hatte kaum fein Geld, fo verlohr er es.
Le Roi allant. un. jour à la chaſſe rencontra
un païfan qui lui dit; Als der Rônig cinft
. auf der Jagd gieng, traf er einen Bauer
an, der ju ibm fagte x. |
5) Es wird daher diefes Tempus. in Erzeh⸗
lung vollfommenu vergangener Dinge gebraudt,
und wird von Einigen auch Præteritum Hiforé
cum genannt. |
mn 155. |
1) Das Praeteritum compoñitum. wird ge⸗
braucht, wann die aéfion zwar vergangen iff,
ober noch nicht der Zeitraum oder Periodus
temporic, fo daß ich noch heute mit in den Um⸗
fang der Zeit rechnen kan. Als: aujourdhui,
2cette nuit, ce matin, cette femaine, cette an-
née, maintenant, ces jours:Ci; en ce tems- cf,
de notre tems &c. (137)
. Ærempel
P ai btẽ —8* al' egliſe; id bin beute |
in die Kirche geweſen.
| ‘On
(133) Man ſiehet allemal auf den groͤßeſten oder
Haupt⸗Periodum temporis, wenn etiva ein Punct
oder Theil davon dabey beſtimmt wird. Als:
Nous fommes arrivés içi le troiſieme de ce moit;
ir find ben 3ten dieſes Monats hier angekom⸗
men. (La nuit paie gehoͤrt zu perse) |
.
4 —
CS |
Tempora, . 153.156. ‘195
On 4 ve dans notre fitcle plufieurs Monarques
qui ont mérité le nom de Grand ; Man bat
in unferm Jahrhundert verfhiedene Mo⸗
narchen gefebeh. welche den Namen des
Großen verdient haben. s
‘ 2) Hud wird das Prateritum compoſitum
gebraucht, wann man gat feinen Zeitpunct,
{periodum temporis ), der vergangenen Seit
ane fo wie e8 im Deutſchen aud geſchiehet.
Als:
Mon frere a été à Paris, et il a vule Roi de
France ; mein Bruder ift in Paris gewes
ſen, und hat den Koͤnig von Frankreich
geſehen.
AMvàs-vous vu mon frere à Hambourg? Habt
ihr meinen Bruder in Hamburg geſehen?
Je lui ai éerit, et il ne m' à pas répondu; id
babe ihm (an ihn) geſchrieben, und er
hat mir nicht geantwortet.
Ÿ 156.
Man fan den Gebrauch des Præteriti abfoluti,
oder fimplicis, und des Prær, compoliti kuͤrtz⸗
lich alſo faffen:
1. Wenn man keine vergangene Zeit nennet,
ſo ſetzt man das Præteritum compoſitum. G. 155,2,
2. Nennet man die vergangene Zeit und
der genannte Zeitraum iſt noch nicht vorbey,
ſondern dauret noch heute, obgleich das Ver⸗
halten vorbey iſt, ſo braucht man ebenfalls das
ræteritum compofieum 4§. 155 1.
M2 3. Nen⸗
196 §. 156. 157. Tempora.
3. Nennet man aber einen Zeitraum, deſſen
Umfang nicht den heutigen Tag mit einſchlieſſen
kan, ſondern der ſo wohl als das Verhalten,
(actio oder paſſio), voͤllig vergaugen iſt, oder
man giebt dergleichen Zeitraum, (wofern man
ihn nicht nennet), durch andere Umſtaͤnde hin⸗
laͤnglich zu erkennen, ſo ſtehet das Præteritum
abſolutum dder ſimplex &c (134)
Ÿ 157
1) Das Præteritum impofitivum wird ge:
braucht wie bas Imperfeum Conjundivi der
Deutfhen, mit dem es aud in der Bedeutung
Ubereinfommt, hat alfo weiter feine Schwie⸗
rigkeit.
2) Es iſt eigentlich ein Præſens relativum
impoſitivum, ſo daß es ſich allemal auf ein vor⸗
hergehendes Præteritum beziehet, und demſelben
| eine
(34) Kurtt:
a) Ohne Zeitbenennung das Pret. compof.
5) Mit Penennuna eine8 Periodi der nicht vos
bey iff; das Præter, compof.
€) Mit Benennüund eines Periodi dc vorbey
. ft, das Præter, fimplex,
Wann man in Erzehlung voͤllig vergangener Din
ge Die Narration unterbricht, um eine Sache ju
fagen die bon der vergangenen Handlung gegens
waͤrtig, oder in einer gewiſſen Waͤhrung (Dauer)
ungetroffen wird, fo ſetzt man bicfe letztere Hand⸗
lung im Prœfente relativo. $, 153, |
n Tempora. 6. 157 158: 197
eine Sache als gegenwaͤrtig ober als geſchehen
ſollend oder môgend darftellet. (Fr. L. p. 691).
Daher es oft bas moͤchte in ſich enthaͤlt. (135)
Als: 11 doutoit que je le #7; er ameifelte
daß is thaͤte. n
Je voudrois que vous Peuſſiec, id wollte daß
ihr es haͤttet.
On voulut que je ſuſepréſent, Man wollte
coder bat gewollt), daß id) gegentvärtig
waͤre oder feyn môchte. |
1l avoit fouhaité, et il a enfuite fouvent fou-
haité que j’alaffe chés fon frere; er batte
gewuͤnſchet, und er bat nadber oft ges
wuͤnſcht, baf id ju feinem Bruder giens
ge, (gehen moͤchte). |
$. 158.
1) Das Futurum wird gebraudt wie im
, Deutfhen, und ift allezeit pofrivè indicans;
fan alfo weder impofitivè, nod dubitativè, nod
conditionaliter gebraucht werden.
N 3 2) Will
(135) Es bejziehet fid alfo allemal auf etwas das
vorber in der Propofitione incertè feu impofitivè
indicante ſteht; Daber es infonderbeit na cinem
Wuͤnſchen, Zweifeln, Wollen ꝛc. gefest wird,
wann es auch nur drunter verſtanden wird; als:
Duffé.je perdre la vie, und ſollte ich auch das
Leben verlieren.
—
198 6.158. Tempora. |
2). Will man demnach bas Futurum Con-
jundivi der Deutfhen ausdruͤcken, fo muf man
das, Præſens Modi Impofñtivi nebmen, welches
Reſtaut auch deswegen Futurum Subjuntivi nen:
net. Siehe G. 152, 2.
Als: Je doute qu'il le faffe; id gtveifele daß er
| es than werde.
Ne croyés- vous pasqu' il le aiſe quand il
ne fera plus ici? Glaubet ibr nidt daß er
es fagen werde, wann er nidt mehr hier
ſeyn wird?
3) Mit A, in der Bebeutung wenn, wo⸗
fern kan das Futurum durchaus necht ſtehen,
ſondern dafuͤr muß das Præſens Indicativi geſetzt
werden, weil das Futurum allezeit poſitivè in-
dicans iſt. Hingegen wird Quands wann mit
dem Futuro gebraucht. (136)
Als: Attendés jusqu” à demain & f je ne fuir
-pas revenu, donnés-lui l’argént: wartet
bis Dergen, und wenn ich nicht werde
wie⸗
— —
(136. 4) Si zeiget eine Bedingung an, und heißt
wenn, wofern. Aber Luand wird von der
Zeit mit Gewisheit gebraucht und beift wann. -
Daber das Wenn und Yann t#obl zu unter⸗
ſcheiden.
5) Die halbe Frage der Dentſchen muß im
franzoͤſiſchen mit 4/ gegeben werden. Als:
Wollet ihr es ſeben, ſo kommet mit mir ꝛc.
A vous voulés le voir, venés avec moi, je vous
_de mohtrerai. |
Tempora. 6. 15. 160: 90
J wiedergelemmen ſeyn, ſo gebet ihm das
| eld.
“Quand vous rés ces lignes, Guvènés- vous |
de moi; wann ibr dieſe Zeilen leſen wer⸗
det, ſo errinnert euch meiner. :
Dingegen: Si vous liſt⸗ ces lignes &c.
n Ê
Q 159.
1) Bon dem Modo conditionali, fo vom Fu-
. turo berfommt, wann man rai in roir vers
aͤndert, ift der Gebraud oben ($ 135. 6136.
$ 138,6.) binlänglid gezeiget worden.
2) Er fan auch heißen Modus /4ppofr rivuc,
auch wohl potentialis et conceffivus ; und fan
nicht mit der Particula ſtehen, ($ 137,2. ſondern
et ergaͤnzet nur den bedingten Satz.
160.
Tempora compofita.
1) Die Tempora compofita haben eber die Ei⸗
genſchaft und den Gebrauch wie die fimplicie
davon fie zuſammen geſetzt ſind.
| 2) Sie merden gemacht, wann man. die
Temnra Ampliciæ bes Verbi Auxiliaris Avoir,
und bey einigen des Verbi Auxil. Etre nimmt,
und das Supinum des ju conjugirenden Verbi
dazu febet.
a) Der Gebrauch des Prateriti compoſiti
iſt $ 155 gezeiget worden.
: Ma 4) Das
209 . 160. 161. Tempora.
: 4) Das Preteritum compoſitum impoſitivum
wird gebraucht wie in Deutfhen, bat alſo kei⸗
ue Schwierigkeit. Es cigänbet einen impoſiti-
vè anfünbdigenden Satz. Als: |
Je ‘doute qu'il ait fair cela; ich zweifele daß
ex diefes gethan babe. |
J $ 16F. .
1) Das Prefens relativum eompoſicum, oder
beffer Præteritum relativum, jeiget an, daß eine
Handlung die andere fertig oder geſchehen ange:
troffen bat. (137)
2) Es wird baber au, wie das Præfens
relativum fimplex, gebraucht ben einem Umſtan⸗
de der Zeit der eine Gewohnheit und oͤftere
Wiederholung angeiget. 153.
3) Es wird infonderbeit. mit / in dent an
zeigenden Gabé gebraudt, um eine bebingte
Handlung anjudeuten, die. da haͤtte geſchehen
qe — —
ſollen, oder koͤnnen, oder inoͤgen, und be⸗
ziehet es fi ſolglich auf einen damals gegen:
waͤrtigen Umſtand, den man vorausſetzt.
Ætem:
4
Re Ce, GRR
(137) Es iſt alfo dieſes Tempus relativiſch, und
beziehet fih auf eine Sache die da vorbey if, nicht
allein in Anſehung der Seit da man redet, ſondern
auch in Beziehung anf einen gleichfalls jetzt, (da
man (prit), vorbepfenenden Umftand der nach
der, mif dicfem Præf. relativo compoſito ausge-
druckten Handlung (oder Verhalten) geſchehen if,
Tempora. $:161.162. . 201
+ _‘ ,Ærempel.
1. Lorsque vaus êtes venu j” avois achevé ma
lecture; ais ihr gefommen ſeyd, batte ich
eben mein Leſen zu Ende gebracht. (Das
iſt: Ihr habet mich eben geleſen ha⸗
bend angetroffen).
J'avois écrit mes lettres lorsque votre frere
partit; id batte meine Briefe geſchrieben
als euer Bruder abreifete.
2. Après qu’il avoit érudré il déjeunoit, et
« lorsqu'il avoit déjeuné il alloit aux leçons;
nachdem er ſtudiret batte, (nemiid da⸗
mals als er hier ſich aufhielt), fo fruͤh⸗
ſtuͤckte er, und wann er gefruͤhſtuͤcket bats
, te gieng et in die Collegia.
Alexandre étoit heureux dans fes entreprifes ;
Der Alerander war gluͤcklich in ſeinen Un⸗
ternehmungen.
"3. S'il avoit fait cela il n auroit pas eu des
reproches; weun er bas gethan bâtte, wuͤr⸗
de er keine Verweiſe befommen baben.
S'il avoit été chés moi, j’ aurois été chés lui;
wenn er ben mir geweſen waͤre, wuͤrde ich
auch ben ihm gemefen ſeyn.
, 162.
1} Das Preteritum. abfolutam compo/tum
wird in biftorifhen Erzehlungen unter eben den
Umſtaͤnden wie das Amplex gebraudt, (6154)
wann nemlich nidt allein J— Action (oder das
: LL.
Lt.
n J
Ver⸗
*
—XX
202 . . 162. 163: ° Tempora. °
Derbalten, fonbern auch der Periodys termporis
vôllig vorbey iſt, eber als véllig vergangen
angefeben wird. . {is . J
Après qu’il eut su fes livres il partit: nach⸗
bem er feine Buͤcher befommen batte, rei⸗
fete er ab. *
2) Daber. wird es infonberbeit gebrauct,
wann eine gefhwinde gefhebene Begebenbeit .
durch gewiſſe Partifeln angezeiget wird, die
man, quoad periodum temporis, als voͤllig
vergangen betrachtet. Als da ſind die Partikeln:
. à peine, kaum lorsque, ais, da
aprèsque, nadbem pas fitôr } nidt fo
auflitôt que | fo pas plutôt J. bald
d’abordque bald quand, als, ba
dèsque as &c.
Als; à peine fut-il arrivé qu’il mourut, faum.
war er angefommen, fo ftarb er.
$ 163% |
1) Das Praeteritum .relativum impofitivum
(138) wiro tie im Deutfhen und unter den
Umſtaͤnden gebraucht mie das ſimplex, nur das
1W es
—
(138) Girard nennet dieſes Tempus Præteritum re-
lativum Sabjunctivi, weil es ſich auf einen vorher⸗
gehenden Satz beziehet, der als vorbey betrachtet
wird, fo daß man wuͤnſchet, wollte, zweifelt ꝛtc.
daß dies oder jenes geſchehen waͤre, oder ſo daß
man ſaget, daß es haͤtte geſchehen koͤnnen.
er
\ L x cc
\
e
! LA
Tempora, $. 163. | : 203
es ſich auf etwas vergangenes beziehet, daß ge⸗
ſchehen ſeyn ſoll. | |
2) Mit A, wenh,. fann dieſes Tempus
flegen, a) in der Bedeutung pourvuque, plür-
à- Dieu que, (wenn nur, ad daß! 120.)
b) Wann ein Swppoftivus compoñitus, oder eben
diefes Præteritum impoſitivum compoſſtum damit
verbunden iſtt. |
3) Doch fann in biefen Faͤllen auch bas
Prefens relativum compoſitum bey Æ féeben: das
bec man fih, bis man. den andern Gebrauch
recht zu beurthcilen weiß, an das Præſ. und Pret.
_relativ. balten faun. 237,2.
| | Exempel.
1. Je voudrois que vous l’euffiés em; id
wollte daß ibr es gehabt haͤttet
Je ne favois pas que vous eufhés étudie icis
ih wußte nidt, daß ibr bier ſtudiret bâttet.
” J'ai apréhendé que vous ne fufiés tombé
malade; id bin beforget geweſen, daß
ihr franf geworden waͤret.
2. Si j euffe été à Leipzig, que j'aurois ache-
té de beaux livres; wenn ich nur, (ach daß
ich doch), in Leipzig geweſen waͤre, was
wuͤrde ich fuͤr fhône Buͤcher gekauft haben!
3. Si nous en euſſiont cu, (oder avions eu)
quelque foupçon, nous l’aurions (oder
nous ’etffiour) bien empéché ; wenn wir
nur einigen Argwohn davon gebabt bât:
ten, fo bâtten tir es fon verbinderu wollen.
§. 1 64.
LD
204 , 6,164 165$. Tempora,
6. 164 ,
| 1) Das Futurum compo/ftum oder Futurum
relativum ift allezeit poſi itiviſch, wie das ſimplex.
Es wird gebraucht von einer zukuͤnftigen Sa⸗
che, die aber in Anſehung einer andegn, die ges
fcheben fol, dennoch als gefcheben anzuſehen.
Sr. L. p. 67.
2) Es iſt daher ein Futurum Alativuim, (wie
es Girard nennt), weil es eine zukuͤnftige Hand⸗
lung vorſtellet, die man in Beziehung auf eis
uen andern Umſtand als vergangen betrachtet.
3) Es ſtehet insbeſondere mit quand, aber
nicht mit / . Quand j'aurai fini, nicht #.
Erempel.
{, Quand il aura été à Païis il parlera fran-
coiss wann er wird zu Paris geweſen
ſeyn, ſo wird er franzoͤſiſch reden.
I me rendra mou livre auſſitôt qu’il laura
du; er wird mir mein Bud wiedergeben,
fo bald er es wird gelefen baben.
2. J'aurai fint mon ouvrage à la fin de l’an-
née ; id werde meine Arbeit, (mein Werk),
gegen Ende des Jahres geendiget baben.
De main au foir nous aurons vu le Roi,
Morgen Abend werden wir den Rônig ge
feben baben,
| | Q 165.
1) Das Tempus conditionatum oder fuppo-
fieur Prateritum; oder dec Modus conditiona-
dis
Perfoné Verborum. G. 165. 166. 205
lis compoſitus, wird gebraucht wie das Tempus |
fuppofitivuin fimplex, um eineñ bedingten Gors
berfag auszufuͤllen; nur das es fi auf cine vers
gangene Zeit beziehet. S. S 135. 136. |
2) Es fan daher eben fo wenig als das
fmplex, mit ſteben. Als: |
Si ÿ avois eu (oder fi j’euffe eu) de Ÿ agent,
ÿ auroir acheté dès livrés; wenn id Geld
gehabt bâtte, fo wuͤrde ic Vuͤcher gekauft
baben. |
Je n’aurois jamais crû céla de mon frere,
id wuͤrde diefes nicmals von meinem Bru⸗
der geglaubt baben. (oder id haͤtte dies de.)
Alſo auch mit quand même, quand &c. Quand
même te quand) il aüroit eu de lé argent,
il ne vous en auroirpoincdonné; Wann ct
auch Geld gebabt bârte, fo würde er euh
doch feines gègeben baben.
à Don den Derfonen.
g. 166.
Die Derfonen welche eine Abaͤnderung éd
ten Verbis verurſachen, ſind:
⸗
Sing Plur.
die ïte J— ich Nous, wit
die te Tu, du Vous, ift
die zte »7. Il, er ._ Ils, fie
- f. Elle, ſie Elles, ſie
sm rf. On, man ! ;
r Ale
/
L 3
#
206 Ÿ. 167. Perſonæ Vitborum.
Alle Dinge von denen man ohne Pronomen per.
ſonale redet, ſind tertiæ perſonæ, und erfordern
folglich die Endungen der zten Perſon.
$. .167:
1) Die Perfonen euden fid tie folget: .
Singularis
die rte Perfon S. Nro. 2) und bie Derivation.
die 2te 7: gebet aus aufs
die 3te : eo # 2 t |
Ausgenommen wann die te Perf, auf e oder ai
ausgeht. —
Pluralis
die ite Perſon gebet aus auf ons
die te 5 £ we 0e és (139)
die 3te . r »s 7 + ent ff
Ausgenommen im Prær, abfoluro.
tt Ausg. wann die 1te Perf. fing, auf ai ausgeht.
Mis: j'avois, tu avois, il avoir, nous avions,
vous aviés ils avoient; welches ent der zten
Perf. pl, ſtumm ift, $ 13,5
| | 2) Die
hotodiehstéiht *
(139. 4) Sn gedruckten Buͤchern findet man faſt
durchgaͤngig es ſtatt &. Viele ſchreiben auch ex,
aber die geſchickteſten Leute in Frankreich ſchrei⸗
Ben in ihren Briefen és. 6 25, 2. .
6) Vous êtes, vous dires, vous faites, ibe
feyo, ihr ſaget, ihr thut, haben eîn flammes
e, duͤrfen aljo mit keinem z geſchrieben werden.
La
—
CR … N
_# . DS
Perfona Verborum, $. 167. 168. 207
2) Die Erſte Perſon ſinguiaris lernet man
aus der Derivation. Die Endung iſt folgende
Im Præſente, = ‘eobers
Im Præſ. impoſitivo, —
Im Præſ. relativ. W ois
Im Præter, abſoluto ai oders
Im Præter. impoſitivo ſſe
Im Furaro © = J mi
Im Suppofitivo oder Modo condit. rois.
"$ 168, |
1) Wann bdie erffe Derfon Sing. im Præ-
. fente auf ein ſtummes e ausgebet, fo bat die ste
Sing. kein : am Œnbe. Als: Je donne, du
donnes, il donne, Que je finiffe, que tu fi-
niſſe, qu'il ſiniſſe.
2) Wann die erſte Peeſon Sing, auf ai
ausgebet, fo bat bie 2te ar, die 3te a (obnes),
und bie 3te Perſon Pluralis ons. Mis:
P'ai Je donnerai Je vai
tu ds = tu donneras tu vas
ilz il donnera il va
pI. pl. ph
Ils ont | ils donnerons ils Vont
3) Der Pluralis des Præreriti abfoluti fat be:
fondete Endungen durch alle Verba, nemlid
mes, tes, rent, Als: nous fames, vous ſutes,
ij furent. — | |
rs s Le Conf.
À
208 469. Verba Auxiliarie.
. . 2 Conf. 2te u. 4te Con, Ite Conj.
ames . .imes |: tmes
ates ites utes
erent irent urent
IL Abſchnit.
Von den Vorbis Auxiliuribus.
Ÿ 169 | |
1) Da man in allen Verbis die Tempora
compoſita mit den Verbis auxiliaribus conjugi:
ret, fo muf man fich biefe zuerſt wobl bekaunt
2 machen. Im Franzoͤſiſchen bat man dieſe
Zwey:
1. Avoir, haben, bekommen. |
2. Etre, fepn, werden.
2) Avoir beift das Auxiliare activum, weil
die Tempora compofita Activi damit componirt
werden; mie auch die von ben Verbis Neurro-
activic. . Uls? j'ai porté; J'ai menti. :
3) Etre beift bas Auxilisre paflloum, weil
es bas gange Paſſivum machen bilft. Auch wetr⸗
den die Tempora compoſita Verborum Recipro-
rorum und Neutro paſivorum damit zuſammen⸗
geſetzt. Als: Je fuis aimé, ich werde geliebetz
J'aiété aimé, id bin geliebet worden. Je me.
fuis — id babe mich nicdergelegets je ſuis
alle, ich bin gegangen.
— +) Où
|. Verba Auxiliaria, “$.r69.170. 209
4) Die Conjugation Verborum Auxiliarium
wird formiret wie ben den Adivis; Daher muf
in den Temporibus compofitis des Verbi auxili-
aris Être das Verbum auxiliare activum (avoir)
genommen werden: nicht aber bas Auxilisre
paflivum wie in Oeutfhen. Us:
* P'ai été, id bin gemefen, (nicht je /uss été),
und fo in aflen Temporibus compofitis,
§. 1978. |
1) Suforberft mat man fit die Tempora.
der erften Perſon nad befannt, hernach bie
Flexion.
Æintheilung der Verborum mit den
deutfchen Namen. 9. 149, 3.
Avoir, haben. Ayant, der da hat. Eu, gehabt.
Indic. et Poſitiv. Imprfiriv.
Anjzeigende Art, und im Im Ergänsungsfane
Ergaͤnzungsſatze Pofitivis Ungewiſſe oder Impofiti⸗
x . p
ſche Art. iſche Art,
Temp, Amplicia.
Einfache.
Præſens Præſens
Gegenwaͤrtig | Gegenwaͤrtig
J' aii | | J'aye
Præſ. relativum
dem Vergangenen gegenwaͤrtig
j avois |
9 td
210 | | 6. 170. Verba Auxili aria.
Id. Pot. Impyfitiv.
Pret. abſolut. Præt. (od. Præſ. relat.)
Der Handlung u. zugleich Beziehungsweiſe
dem Zeitpunkte nach gegenwaͤrtig
vergangen |
j eus . jeufe'
Foturum Maod. conditionalis
Zukuͤnftig Bedingungsweiſe gegenwaͤr⸗
tig oder zukuͤnftig
j aurai | j aurois
Temp. compoſita
| Zufammengefegte. |
: Preteritum Præteritum
Allein der Handlung Vergangen
nach vergangen St
_ J'ai eu jaye eu
Præterit. relativum
Go eben vorbey, beziehungsweiſe
âuf das geſchehene
j' avois eu
Præter. abſolut. Præter. relativ
SDS vorbey in Bezie⸗ Vorbey in Beziehung au
hung auf etwas etwas damals gegen⸗
waͤrtiges
j' eus eu j euſſe eu
Futur. relativ. Conditionatum Præt.
Ruͤnftig bin vorbep Bedingungsweiſe in Bezie⸗
W hung aufs vergangene
J'aurai été . j aurais eu.
Imperat. aye, ayons, ayés,
+ ‘ 2) Es
_ Perba Auxilsaria, $, 10e | 21 1 |
2) Es ſind alſo nach der Difpofiti tion des
Æriangels und Qvabdrars (6 149, 3) die Tem-
pora dieſes Verbi folgende:
J'ai | Jaye
id Gabe | … i®' babe
j avois . ° *
id war habend
j'eus : j'euffe
id) hatte | ich haͤtte
j aurai I jꝰ aurois
ich werde haben | id wuͤrde haben
Die Tempora compofira a find dieſelbigen, wann |
mân das’ Supinum ex hinzuſetzet.
3) Alſo auch bas Verbum Auxiliare pafl-
vum Etre: ls: \
. Etre, ſeyn Etant, der da iſt été, geweſen.
Je ſuis, J je ſois
ich bin ich ſey
J étois
ich war ſeyend,
(ich war eben damals)
je fus — je fufle
id war ich waͤre
je ferai je ferois
id werde ſeyn ich wuͤrde ſeyn
O2 : . Temp,
\ X
#
213 F. 170.171 Verba Auxiliarie, |
Temp. compofis |
. Jai été I | j’aye été :
J ich bin geweſen | ich ſey geweſen
J'avois été
id war (bamals)
gemwefen
(als jenes gefcheben)
i'eus été |! jeu été
id tar gewefen . id) mûre geweſen
j aurai été ® : j'aurois été
ich werde geweſen ſeyn ich wuͤrde geweſen ſeyn
Pmperat. fois, ſey, ſoyons, laßt uns ſeyn, |
. foyés, ſeyd.
. 171.
Conjugatie Verbi Auxiliaris Aëtivi,
| A |
Inf. Particip. Supin,
\ Avoir Ayant Eu
haben der da hat gehabt
W | É In
LD
Verba Auxiliaria, $. 271, 4.) 2 13
In phraſi indicative, J In phraſi complétive
& completiva impofitiva
_ pofitiva |
Tempora fi mplicia.
Praf. Indie, & Poſttiv. Pref. Imbofitiv.
daß
Pai, ich babe que j aye, id babe
Tu as, du baft tu ayes, du habeſt
Ua, er bat | il ait, et habe
Elle à, fie bat (fem.)
On 4, man fat Crmperf. )
Pt.
Nous avohs, wir baben nous ayons tit haben
Vous avés, ihr habet vous ayés, ihr habet
Ils ont, fie haben ils ayent, fie baben
Elles ont, fie 6aben. fœm. | |
| Praſens relativum.
j' avois, ich war habend (140)
tu avois, du warſt habend
il avoit, ‘et war babend
pl.
nous avions, tit waren habend
vous aviés, ihr waret habend
ils avoient, ſie waren habend
O 3 In
(140) Die Deutſchen ſprechen zwar ſo nicht: Ich
war habend, ich mar ſeyend ꝛc. Da fic aber
diefes Tempus nidt haben, und es doc cigents
lid fo viel beift als: ch war juft babend:
(habens eram), ſot bat man es bergefeñt ; ſonſt mu
man das deutfche Imperfeétum achmen: ich Lu
se, ou hatteſt rc,
«.
4
A4 »*
F 14 . 171, 4) Verba Auxiliaria.
Lo phraſi indicative, In phrafi completiva
& compleriva impoſitiva
poſitiva ——
Prater. abſolutum Prat. impof. od. Praf.
relat. impoſ-
| j'eus, ich hatte (que) euſſe, ich haͤtte
tu eus, du hatteſt tu euſſes, du haͤtteſt
il eut, er hatte il eût, er fire
\ Lt
ph pl
. fous eumes, “pit hatten nous euſſions, wir bâtten
|. vous eutes, is battet vous eufliés, ihr bâttet
ils eurent, fie batten ils euſſent, ſi ſie baͤtten
Futurum Conditionat. /. Suppoñt.
j'aurai, id merde ha⸗ ÿ j’aurois,. id wuͤrde bas
ben | ben
tu auras, du wirſt haben tu aurois, bu wuͤrdeſt h.
il aura, er wird haben il auroit, er wuͤrde h.
Pl . pl.
. nous auroñs, wir 2. nous aurions, wir 2.
vous aurés, ihr 2. vous auriés, ibr x,
ils auront, .fie 2e. ils auroient, ſie . -
Ia
Verba Auxilisria, : K71.4) 219
In phraſi indicativa, In phᷣraſi completiva :
& completiva / impofñtiva.
pofitiva.
: Tempora compoſita. à
Prateriturs comp. . Preter, comp.
Ÿ ai eu, id bobe ges (que) j'aye eu, id habe
babt gebabt
tu as eu F tu ayes eu
il a eu ‘il ait eu
- pl. — pl.
nous avonseu ‘ ‘ . nous ayons eu
VOUS avés eu - vous ayés eu
. ils ont eu ils ayent eu
Prateritum relativ.
_j’avois eu, id hatte (fo eben damals) ges
habt (141) :
tu avoii eu
il avoit eu !
pl
nous avions eu
vous aviés eu
ils avoient eu, /
‘Sa J In
(141) Man koͤnnte es auch geben: Ich war gebabt
habend, oder ich. war ein gehabt habender:
es war eben geſchehen ꝛc. Die Deutſchen haben
dieſes Tempus eompofitum eben ſo wenig als das
ſimplex, oder Præſens relativum; darum giebt
Ps man ç$ durch: Jo batte gebabte
é
!
t°
., s /
\ 1
216 $ 171. 4) Verbe Auxiliaria.
In phrafi indicative, In phraf completiva
. &ccompletiva . impoſitivu
poñtiva
_Prater. abſolut. paf Prat. relat, in prf.
ÿ eus eu, id batte ges j' euffe eu, id bütte
habt gehabt
tu eus eu tu euffes eu
ileuteu °: .. il eût eu
pl pl.
nous eumes.eu nous euffions en
vous euteseu . vouseufliéseu.
ils eurent eu : ils euflent eu
. Fuvur, relati OÙ: comp... Conditianat. Preæter.
j'aurai eu, id tverde.j'aurois eu, ich wuͤrde
gebabt baben gebabt haben
tu auras eu : tu aurois eu |
il aura eu‘ il auroit eu
| pl. pl. |
nous aurons eu nous aurions eu
VOUS aurés EU vous auriés eu
er
ils auront eu ils auroient eu
| Imperativus.
Sing, | Plur.
aye, habe du ayons, laßt uns haben
TT ayés, babet ihr |
qu *il ait, laß ihn haben, er babe, und :
qu ils ayent, laß ſie haben, ſind 3452 perf. Praf.
‘imp:
| Ænfr-
ñ
4
Varbs Auxiliaria, 171 Æ) 117
Infinitivus. |
fimplex compoſitus
Avoir, haben avoir eu, gehabt haben
d’avoir, ju baben d’avoireu,gebabt su baben
àavoir, ju baben àavoireu, : :
pouravoir, um ju h. pour avoir eu, um ⸗
fans avoir, ohne jub. fans avoir eu, ofne :
par avoir, durch hab. après avoir eu, nadbem
&c. $ 140, 4. man gebabt baric
| Paurxticipium.
ayant, der da fat ayant eu, der da gebabt bat
Gerundium.
en ay. nt, in dem man fat en ayant eu, indem
man gebabt pa
. Supinum, |
eu, gehabt
(f. eue, pl. eus, f. eues. S 143.)
B.
Das Verbum Auxiliare Avoir negativè,
Tempora fimplicia, |
| Pref. Ind, & Pofit. Praf, Impof.
3 babe nicht (daß) ich nicht babe
Je ai. pas je n aye pas
tu #’as pas | tu #” ayes pas
il #’a pas il ait pas
Pl. — pl.
nous # avons pas nous #’ayons pas
vous #’avés par vous # ayés pas
ils #° ont pas ils n' oyent pas
- OS : Præſ.
218 Ÿ-171, B) Vorba Auxiliaria.
Præſ. relativum.
Ich batte nicht, (damals als
eetywas geſchah oder geſchehen).
7", . (Aie #’avois pas
0) tu wivois par
(s)ünavoit pas
(A) nou »’avidns pas : :
É (4) vous #'aviés pas - ‘
() ils »# avoient pus Lo
Praier. abfolus, | Prat, imp. od. Pr. relate
id batte nidt oo ich bâtte nicht
(pas plutôt, bier) ". - (plie-à-Dien que)
je n'euspas je a euſſe pas
_. &c , . Ciie&e . D
Futurum | Conditionat.
id werde nicht baben ich wuͤrde nicht haben
— (quand) oo (quand même)
je n’aurai pas je #’ auroïs pas
&c. | &c.
Temypora —D
Præter. conp. Præter. comp.
ich habe nicht gehabt (daß) ich nicht gehabt babe
jen’aipaseu : je #'aye pas eu
&c. | &c.
| Prater. relativ.
D ich batte nicht gebabt
(als etwas geſchah, ober gefhchen)
je n'avois pas eu
&c.
Cie. mit — 137, 2.) !
_ Prat,
!
. Ferba Auxiliaria. $.171. B) 219
Pret, abf. comp. . Prat, vel, imp. :
ich batte nicht gebabt ich bâtte nicht gehabt
je #° eus par eu | (que) je n’eufle pas eu
&c. I | &c. oo
Ed
Fur, rel. OÙ. comp Condit. pret. od. comp.
id) werde nicht gebabt 1h pee nids gehabt
haben |
je n'aurai. par cu Je »’ — pas eu
&c. &c.
Imperativus.
n aye pas, habe (du) nicht
# ayons pas, laßt uns nibt haben
Li ayés pas, babet nicht
qu'il a ait pas, et habe nicht; und qu'ils n° ayent pas
laßt (daß) ſie nicht baben » find ztiæ perf. Præ-
fentis impofitivi, wohey vorher etwas befehlendes
oder zugebendes verſtanden wird.
Infſenitivus.
Amplex.
n' avoir pas, nicht haben
de’ - ‘- nidtgu haben
"à - hit zu baben
pour - - nidt zu haben
Alſo auch par, entre &c.
&c.
|
220 5. 171. C) Verba Auxiliaria.
Inf.-Compoñtus.
Li avoir pas eu, nidt gebabt baben
de .- - - nicht gebabt zu haben
à, pour, #’avoir pas eu &c.
Participium.
Simpi. — Compo/ſ.
n ayant p n'ayant pas eu
der nicht fat der nicht gehabt hat
C.
‘Das Verbum Avoir interrogativè und in-
terrogativo-negativè,
Hier fallen bie beyden Tempora ſimplicia,
und die beyden compoũ ta des Impoñtivi tveg,
‘als f'aye, 13 euſe, f'aye eu und euſſe eu,
weil dieſe bep einer Frage nidt ſtehen koͤnnen.
Eben fo wenig kann der Modus Imperativus und .
der Infinitivus fragetveife ſtehen.
| Anterrogativè _ Anterrog. negativè
Tempora fimplicia.
Prafens indicativ. |
Ai-je ? n’ai-je par?
babe ich > habe id nicht?
as-tu? | * as-tu pas ?
a-t-1l? n'a-t- -il pas?
pi. pl.
avons - nous ? n’avons-nous pas ?
avés - vous? | n’avés- vous pas ?
ont-ils? n’ont-ils pas ?
Inter
‘?°
Interrogativè | , . Anterrogat, negativè
| Praſens relativum.
Avois- je? n’'avois je pas? |
batte ich? hatte id rit?
avOis - tu ? n'avois- tu pas ?
avoit - il? | n’avoit il pas ?
pl. CO Op:
avions - nous ? n’avions- nous pas?
aviés - vous ? n'aviés- vous pas ?
avoient - ils ? n’svoient - ils pas ?
Prateritum abfolutnm.
_ Eus-je? (142) n’eus-je par?
hatte ich?. hatte ich nicht?
eus-tu ? n’eus- tu par?
eut · ilꝰ 1 #’eut-il pas?
pl. . pl
eumes-nous ? # eumes . nous Par ?
eutes-vous ? n’eutes- vous pas?
eurent-ils | # eurent-ils par ?.
Feturum.
Aurai-je? n’aurai-Je pas ?
werde ich baben? werde icb nicht haben
auras - tu ? ñn'auras-tu pas ?
aura-t-il? n’aura-t-il pas?
pl
— ns m0
À
(142) Oder Eft- ce que j’ens? Denn man bat int
Franzoͤſiſchen die Art von rage, inſonderheit
wo die gewoͤhnliche nicht ont Flingt. Als: IN-
ce que je fais, & que je romps, anſtatt fais-fe,
& r'omps- je oder roMpr-je? Sv, L, p.203. 204,
+
!
'
Verba Auxiliarie. ©) 6. 171. 221
ve⸗
“
\
222 —XD C). Verba Auxiliaria.
pl. pl
aurons-nous? : ꝝ aurons - nous parer J
aurés - vous ? . n'aurés-vous pas? |
auront-ils? . #’auront-ilspas?
! . Tempora compofta.
Prateritum.
‘ai- jé eu? . n' ai -· je pas eu? .
babe ich sehabt: habe ich nicht geh.
as- tu eu? n'as-tu pas EU?
+ at-il eu? _ #a-t-ilperr
pl. "ph |
| avons-nous eu? #’ avons: nous pas eu ?
_ avés-vous eu? : »#’avés- vous par eu ?
ont-ils eu ? #’ont-ils pas eu? °°. -
Prateritum velativum.
Avois Jeeu? &c. #avois-Je pas eu?
batte id gebabt? batte ich nicht geb.
Praterit, abſolutum.
Eus- je eu? n'eus je · pa⸗ eu?
hatte ich gehabr? hatte id mit geh.
143) (143)
| Inter
(143) Dieſes Præteritum abfolurum compoñitum,
findet man eben nicht fragcmeife, weil die Partis
keln die es erfordern, nicht fragen. Wohl aber
findet man Das Pret. rélationm Impoſitivi fraqe-
weiſe wanu es anſtatt des Suppuſitivi geſetzt wird,
Als n' euſſᷣ· je pas raifon? Eft-ce que je n eiſ⸗
Je pas eu raiſon? Huſſiuns- nous eu toit? Euffiése
vous es ce courage? S'il eût fait cela n'ewr.il
pas eu t'aifon ? &c,
Interrogative
Verba Auxiliaris.
6.177. : D)
223
Interr, negas.
Futur. comp
_ Aurai- Je eu?
n' Autaï- je pas eu?
werde ich gebabt werde id nicht ges
Dcben
Conditionat.
Aurois - je eu?
baben
babt baben
Prater.
nsurois - je par eu?
wuͤrde ich gebabt wétde id nidt ges.
habt baben?
a)
Veraͤnderungen mit Pronominibus
perſonalibus und fuppletivis,
Or einem Tempore fimplici u. einem compofito)
Ich babe es,
ich bnbe es nicht.
je ne ai pas
tu ne l'as pas
il ne l’a pas
elle se l’a pas
TE
nous #e l'avons pas
vous ne l’avés pas.
ils #e l’ont par
ellesse l’ont pas
Prafens.
Ich habe davon
⁊c.
ich babe nicht davon 16.
je n' en ai pas
tu #’en as par
il?’ en a pas
elle #’ en a par
pl
nous #’eri avons pas
vous n’en avés par
ils #° eh ont pas
‘elles 1” en ont par
Gras
>
#
,
214 171. C) Verba Auxilidris,
Srogeweife ”
Habe id es Sabe ich davon +
Buabe ich es nibt$ Sabe ich nicht davon ?
ne L’ai-je? pas? n'En aï-je? par?
ne L’as-tu? par? n’En as-tu? par?
. ne L’'a-til? part n'Ena-t-il? par?
ne L’a-t-elle? pes? n’Ena-t-elle? par?
PL Pl
m L’avons-nous? par? n' En avons-nous? pas ?
ne L'avés-vous? par? n’En avés-vous? par? :
ne L'ont ils? pas? n° En ont-ils? pas?
ne L’ont-elles? pas? . n° En ont-elles? pas?
—— Præteritum.
Ich habe es gehabt Ich babe davon gehabt
ich habe es nicht geh. ich habe nicht davon geh.
js ne l’aipar eu * jenensipaseu
tu- l’as - eu tu-enas - eu
._-Pa - eu il -ena - eu
: flle = | elle = PS - —
. .
nous #e l'avons par eu n. #’en avons par eu
vous - l’avés - eu v. - enavés - eu
ils -lont - eu ils -enont - eu.
elles - - «+ eu elles - -
\
0 .
CI
\ Li
2 vers Auviliaria, D): s. 171. 233
Lrageweiſe
habe ich es gehobe ? babe ich davon gehabt?
habe ich es nicht gebi - babe id nicht dar. geh.
ne l’ai-je pas eu? * + n'en ai-je pas eu?
- Vas-tu -eu? - enas-tu - eu?
- Pat-il -eu? ‘ -ena-t-il - eu?
‘ la-celle - eu? . - ena-t-elle- eu?
pl on à PA
ne l’avons-nous pas eu? n’en avons” n, pas euꝰ
- l’avés - vous - eü?- enavés -v. - eu?
- lPonc-ils - eu?- en ont - ils - eu?
=. - -eles eles--
* Bedeutet das D, fo viel als Le, fie, im Fœmi-
nino, ſo wirb durdgängig ein e an Das Sup. ex
gefeft. Als: je lai eue, je ne l'ai pas eue;
ſtehet les im plur., fo ſetzt man ein staju. Als:
je les ai ens, im fœm, je les al tes. 11. ſ. w.
6143, 4. 5. 6. Als:
D 6) |
Fæm. la apoñtr, ? J—
je lai eue __ jene l'ai pas ue
&c. &c.
l'ai- je eue ? ne el'ai- je pas eue?
&c. &c.
pp Plu-
286 6. 171 172 D) Verba Auxiliaris.
| P lus als y des 9 fie,
mafe | fem
je me les ai par eus. je ns les ai par eues
tu - - 25 - - Une 4% - -
il - - a - - P - a - -.
n. - + avons - Me - avons -
V. - = avés v. — avéss
ils - - ont - “is - ont -
| Frageweiſe | |
ne les ai-je par eus? ne les ai-je pas eues? :
" &c Re
se food
ich babe ibm (nicht) babe ich ihm (niche)? ?
je ae lui ai pa⸗ ae lui ai-je pas?
ich habe daſ. welche, keine.) + GaBc id daſ. welche (eine?)
je#ycnaiper . s’yenai-je? pas?
jꝰ + neml. des livres S. 97.
WV
Verba Auxiliaria. .172 À) 227
F. 172.
« A F
Conjugatio des Verbi Auxiliaris Paſſivi.
. Etre . Eunt, été
Seyn, (werden)der da (wird)geweſen, geworden
Indie, & Pofſitiv. Impoſitiv.
Tempora fimplicia. |
Prafens Prefens impof,
Je fuis, id bin que Je fois, id ſey
tu ès, bu bift ⸗ tu fois, bu ſeyſt
il eſt, er iſt il ſoit, er ſey
elle ef, fie iſt | ele foit, Vie
on ff, man ift on fuit, mans
pl. pi.
nous fommes, wir find nous foyons, tv. fenen
vous êtes, ihr ſeyd vous foyés, ibr fenet
ils font, fie find ils foient, fie feven .
elles - fie : . elles + fie :
Praefens relativum,
Ich mar (eberii damals,) id) wa? Gyend)
Auch mit Si, wenn.
j' étois, (fi j etois)
tu étois
il étoit
ù pl.
nous étions
vous étiés
J ils éroient
. D 2 . Prat.
= L
228 $. 172, 4 Verba Auxiliaria, d
Preter. aſuuum © Praf, relat. impoſ.
(eder Præt. fimplex impoſ.)
je fu, id war : que jefufle, id waͤre
tu fus, du wareſt | tufufles, bu waͤreſt
ail fut, er tar , . À fût, er waͤre
ph, ph
nous fumes, wir waren n. fuflions, wir waͤren
vous futes, ihr waret v. fufliés, ibr waͤret
ils furent, fie waren ils fuflent, fie waͤren
Futurum Condition. (Pr. & Fur.
je ferai, ich werde ſeyn je ſerois, ich wuͤrde ſeyn
tu feras, du wirſt ſeyn tuſſerois, du wuͤrdeſt ſ.
il fera, er wird ſeyn il ſeroit, er wuͤrde ſeyn
| pl pl.
nous férons, wir werb. ſ. nous ſerions, wir wuͤrd. ſ.
vous ferés, ihr werdet ſ. vous feriés, ihr wuͤrd. ſ.
ils ſeront, ſie werden ſ. ils feroient, fie- wuͤrd. ſ.
Indicat. & Pofitiv. | Impof tiv.
| Tempora éompof ta.
Prateritum | Preteritum impof.
aujourdhui |
J'ai été, id) bin geweſ. 5 ye été, id ſey geweſ.
. tuasété :- tu ayes été.
ilaséé il ait été
Li, pl.
nous avons été nous ayons été
vous avés été vous ayés été
is ont été ils ayent été
Pre.
| Werba Auxiliaria. , 1 7, 4)
239
Prateritum relativ.
ich war (eben damals) geweſen,
(Auch mit A, wenn)
j’avois été . |
tu avois été
1l avoit été
pl.
nous avions été
vous aviés été
ils avoient été
Prater. abfol, compof. Prater. relativ. impof
disque, fo bad als
que
j eus été, id) mar getvef. jeufle été, id waͤre gets.
tu eut été 8
il eut été | \
pl
nous eumes été
vous eutes été
ils eurent été
Futurum relativ.
oder compo,
quand
FA merde getvefen ſeyn
J aurai été
tu auras été
il aura été
tu eufles été
il eûtété
L
nous euflions été
vous eufliés été
ils euffent été
Conditionatum Prater.
oder Juppoftiv. compofe
quand même
id wuͤrde geweſen ſeyn
j aurois été
tu aurois été
1 auroit été
D 3 72
. 230 6. 172. À) Verba Auxiliaria. |
nous aurons été nous aurions été .
vous aurés été . vous auriés été
ils auront été ils auriont été
L
J Emperativur. :
Ang. lur. |
foyons, laßt uns fepn
fois, ſey , ‘ foyés, ſehd ihr
qu’il ſoit, er ſeyʒ qu’ils ‘foient, ſie fepen, finb :,
3tie perfonæ Præfentis impofitivi, wobey man
etwas vorber verftebet.
Iiſinitivus. |
fimblex compoſitus
tre, ſeyn, werden avoir été gew. ſeyn
d’être, gu ſen d” - - gem.iuf.
à être, ⸗ à -_- - - +
pour être, um ju ſeyn pour - umgew. zu ſ.
ſans être ohn⸗ zu ſeyn ſans - one: : 5
Participium. | /
fimpl. compo/.
étant, der da iſt¶ ſeyend) ayant été, der geweſ. if
: Gerundium.
en étant, indem einer iſt, en ayant été, indem ei:
ner getvefen iſt
Supinum. |
été, geweſen, geworden
| | Vorba Auxiliarie. 6.173 B) 23r
B.
Das Verbum Etre, frageweife und verneis
nungsweiſe.
Negative Interr. D. interr. acg.
Præſcat Ind.
je ne ſuis pas ne Suis-je? pes?
id bin nicht bin id? nubt?
«tu n’ ès pas n Es-tu? pas?
il iꝰ eſt pas n'Eft-il? pas?
. .. pl pl
nous ne fommes pas #s Sommes nous? par ?
vogs n êtes pas n’ Etes-vous? par?
ils ne font pas ne Sont:ils ? pas?
Pref. impof. (fann nicht frageweiſe ſtehn)
que je ne fois pas, daß id nicht ſey
taue- fois - , ⸗ Du s fenft
il - foi - , © er s (y
| pl.
nous ne foyons pas, ⸗ tit ⸗ſeyen
vous - foyés -, 5 i
ils - foient - , + fie ſeyn
| Praefens relativ. |
id war nidt war ich? nicht?
je n° étois pas. a' Etois je? pes?
| tu n’étois pas n'Etois tu? pas?
il n° étoit pas # Etoit-il? pes?
pt. | pt.
nous n’ étions pas n'Etions-nous? pas?
. vous n’ étiés pas n' Etiés-vous? par?
"ils n’étoient pas n” Etoient-ils ? pas?
oi D 4 . Prater.
CU
222 . 171. C) Verba Auxüicria. -
pl . pl”
aurons - nous ? #’aurons - nous par?
aurés - vous ? . n'aurés-vous par?
auront - ils? #'auront-ils pas? |
oo Tempora compofta.
Prateritum.
ai-je euꝰ n’ai-je pas eu?
babe ich gebabt> habe id nicbt geb, >
as-tu eu? n'as-tu pas eu?
_ ast-il eu? „'a-t il pere
pl. oo. ‘pl .
avons - NOUS eu ? #’avons- nous pas eu ?
| avés-vous eu? n’avés- vous par eu ?
ont ils eu ? n' ont- ils pas eu?
Prateritum velativum.
Avois je eu? &c. #avois-Je pas euꝰ
batte ich gehabt? hatte ich nicht geh.
Praterit, abſolutum.
Eus - jé eu? n'eus je-par eu?
batte ich gehabr? hatte id nicht geb.
(143) « (143)
Inter.
(143) Dieſes Præeteritum abfolutum compofitum,
findet man eben nicht fraacmeife, weil Die Partis
Feln die es erfordern, nicht fragen. Wohl aber
findet man das Pret. relativum Impojirivi fradés
weiſe, manu es anſtatt des Suppufitiv: geſetzt wird.
Als n' euſſẽ -je pas eu raifon? Eft-ce que je n enſ-
fe pas eu rifon? Euſſiuns-nous eu toit? Buſſies-
vous es ce courage? S'il eût fait cela n'enr.il
pas ea faifon? &c,
Verba Auxiliarié, . 171. D) 223
Interrogative ‘ Interr, negat.
| Futur. compo].
Aurai - Je eu? n' Autai- je pas eu?
- merde ich gebabt werde icb nicht ge
Dbcben babt baben -
Conditionat, Prater. -
Aurois- je eu? n aurois- je par eu? |
wuͤrde ich gebabt wuͤrde ich nicht ge⸗
: baben habt haben?
Veraͤnderungen mit Pronominibus
perſonalibus und ſuppletivis.
(Sn einem Tempore ſimplici u. einem compoſito)
| Prafens. |
Ich babe es, | Ich babe davon tc.
ich habe es nicht. ich babe nicht davon 2e.
je ne ai par je n’ en ai pas
tu ne l'as pas tu #’en as pas
il ne l’a par __. irenapas
elle se l’a pas . elle #’ en aper
pl. pl
nous se l'avons pas nous #’en avons pas
vous ne l’avés pas, vous n’en avẽs par
ils #e l’ont par ils #’eh ont pas
ellesze l'ont pas
elles 1° en ont par
Sra⸗
| Frageweiſe
Habe ich es Sabe ich davon .
Babe ich es nibts Sabe ib nicht devons
ne L’ai-je? pas? n'En ai-je? pas?
ne L’as-tu? par? # En as-tu? par?
ne L’a-til? par? n'Ena-t-il? par?
ne L’a- t- elle? pas? n#’Ena-t-elle? pas?
PL pl
ne L’avoñs-nous? pas? n' En avons-nous? pas?
ne L'avésvous? par? n’En avés-vous? par? :
⸗ Te
, ° ®
L
+
ne L’ontils? pas? n' En ont-ils ? pas?
ne L'ont-elles? pas? , n° En ont-elles? pas?
- Præteritum. |
Ich babe es gehabt Jd bebe davon gebabt
id babe es nichs geb. ich babe nicht davon geb.
jo ne lai pas eu * je #’en aipas eu.
tu- las - eu tu-enas - eu
il - Pa - eu il -ena - eu
fle = elle - - - -
4
PL | pl.
nous ne l'avons par eu n. #’en avons par eu
‘vous - lPavés - eu v. - enavés - eu
ils : - l'ont - eu ils - en ont - eu.
elles - - « eu elles - - _
⸗ ⸗
—F
L Verbe Ausiliaria. D) ÿ . 171. 298 |
Lrageweiſe
habe ich es gehabe habe ich davon gehabt?
habe ich es nicht gebs - habe ich nidt bar. geh.
ne l’ai-je pas eu? *', n'enai-je pas eu?
- las-tu -eu? - enas-tu - eu?
= Pat-il -eu? ‘ -ena-t-il - eu?
‘ la-telle - éu? - ena-t-elle- .eu?
pl _ ° LL ° pl,
ne l’avons-nous par eu? n’en avons” n .par eu?
-. lavés - vous. - eü?- en avés -:v. - eu?
- Pont - ils - eu?- en ont - ils - eu?
_. - elles —i«- - - elles - -
# Bedeutet das l, ſo viel als Ze, fie, im Fœmi-
nino, fo mi durdigängig ein e an Das Sup. ex
geſetzt. AIS: je l'ai eue, je ne l'ai pas eue;
ſtehet les im plur., fo fegt man ein-dazu. Als:
je les ai es, im foœm, je les al es. 11. ; w.
6.143, 4. 5. 6. Als:
D b)
Fem, la spoñtr. * .
je l’ai eue _ je ne l'ai pas ce |
&c. &c.
l'ai-je eue ? _ ne lai-je pas eue?
&c. &c. ?
P . Plu-
226 §. 171. 172. D) verba Anxiliaris!
Pluralis, des, fie,
mafe . fem.
je ne les aipas eus. je ne les ai pas eues
tu - - 25 - - =. 4 - -
- i - - a -
= - NB, - -avons
- “'avés - V. — ravés
. . ils - -ont _
nu b
Frageweiſe
ne les ai-je par eus? ne les ai-je pas eues? :
àc &c.
_ Alſo auch
ich babe ihm (nicht) babe ich ibm (nicht)7
je ne lui ai pes . se lui ai-je pas?
td) habe daſ. welche, eine.) + babe id daſ. welche ?keine)
je #yconaïipar . s#’yenai-je? pas?
9—
—1 1 neml. des livres $. 87.
5. 2. si
. #
Verba Auxiliaria. .172. 4) 229
$. 172.
; A . .
Conjugatio des Verbi Auxiliaris Paffivi,
Etre Etant été
Seyn (werden)der da iſt, (wird) geweſen, geworden
Indic. & Pofitiv. Impofſitiv.
Tempora fimplicia.
Præſens Præſens impof,
Je ſuis, ich bin que Je ſois, ich ſey
tu ès, du biſt » tu fois, bu ſeyſt
il eſt, er iſt il ſoit, er ſey
él ef, fie iſt elle ſoit, ſie-
on eſt, man iſt on fit, man ⸗
pl. pl.
nous fommes, wir find nous foyons, w. fetien
vous êtes, ihr ſeyd vous foyés, ibr feet
ils font, fie find ils foient, fie fepen .
elles - fie : . elles = fie ⸗
Prafens relativum.
Ich tar (eberi damals,) id wad Gyend)
Auch mit Si, wenn.
étois, (fi j etois)
tu étois
il étoit
« pi.
nous étions
vous étiés
ils étoient
D 2 . Prat,
=
228 (6.172. 4 Verba Auxiliaris, ”
Prater. aſuuum Praf. relat. impof.
bier (ceder Præt. fimplex impof)
je fus, id mar : que je fufle, id wûre
tu fus, du wareſt . tu fufles, bu waͤreſt
Al fut, er war , . A fût, er waͤre
ph .. pl
nous fumes, wir waren n. fuflions, wir waͤren
vous futes, ihr waret v. fufliés, ibr waͤret
ils furent, fie waren ils fuſſent, fie waͤren
Futurum Condition. (Pr. & Fut.
je ferai, ic merde fepn je ſerois, ich wuͤrde ſeyn
tu feras, du wirſt ſeyn tuferois, bu wuͤrdeſt ſ.
il fera, er wird ſeyn il ſeroit, er wuͤrde ſeyn
J pl pl.
nous ſerons, wir werd. ſ. nous ſerions, wir wuͤrd. ſ.
vous ferés, ihr werdet ſ. vous feriés, ihr wuͤrd. ſ.
ils feront, fie werden ſ. ils ſetoient, fie wuͤrd. ſ.
_ Andicat. & Pofitiv. | | Impoſitiv.
| Tempora tompofita.
Præteritum Prateritum impof.
aujourdhui |
. J'ai &é, id bin getvef, É ae été, ich fey gervef.
tu as été E tu ayes été .
il a été il ait été
pl. À}.
nous avons été nous ayons été
vous avés été vous ayés été
ils ont été ils ayent été
Pre.
Verba Auxilierta. 172, 4)
[S [3
Prateritum relativ.
id) war (eben damals) getvefen,
Auch mit A, wenn)
jꝰ avois été .
tu avois été
il avoit été
" pl
nous avions été
vous aviés été
ils avoient été
239
Prater. abfol. compaf. Prater. relativ. Fmpefe
dèsque, fo bal als gqse
j eus été, id) war getvef. j eufle été, id waͤre gew⸗
tu eut été o⸗
il eut été
pe
nous eumes été
vous eutes été
ils eurent été
Futurum relativ.
oder compof,
quand
ich werde geweſen ſeyn
j aurai été
tu auras été
il aura été
tu eufles été
\ il eût été a
J.
nous euflions été
vous eufliés été
ils euflent été
quand même
j aurois été
tu aurois été
il auroit été
D 3
id wuͤrde gemefen ſeyn
Conditionatum Prater.
oder Juppoftiv. compof.
PA
ago G.172 A) Verba Auxilioria.
pl. 1, pl.
ndus aurons été __ nous aurions été
vous aurés été vous auriés été
ils auront été ils auriont été
. Amperativur. :
fing. | | | plur.
ſoyons, laßt uns ſeyn
fois, {en du : | | foyés à ſeyd ihr
qu’il ſoit, et (en qu’ ils foient, fie fenen, finb
3tie perfonæ Præfentis impofitivi, wobey man
etwas vorher verſtehet.
Iiſinitivur.
Amplex | compofitus
| être, fepn, werdeñ avoir été gen. ſeyn
d'être, gu fenn g + - gerv.iu ſ.
à être, s# : | ee -
pour être, um ju ſeyn pour umgew. auf.
fans être; ofne gu fepn fans - obne: :3:
⸗
Participium.
— Amp compof.
étant, der ba iſt (fepenb) ayant été, der geweſ. if
. Gerundium.
en étant, indem einer iſt, en ayant été, indem ei:
ner geweſen ift .
Supinum.
été, geweſen, geworden“ |
B.
Verba Auxiliaria. J 72. » | 23 1
B.
Das Verbum Etre, frageiveife und verneis I
nmungsweiſe.
Negative Interr. p. interr. neg.
| Prafens Ind,
je ne fuis pas ne Suis-je? pas? :
ich bin nicht biiin ich? nicht?
tu n ès pas . # Es-tu? par?
iln’eftpss n’Eft-il? pas?
. . bE pl.
nous ne fommes pas ae Sommes nous? pars ?
voys n'êtes pas aꝰ Etes-vous? pas?
ils ne font pas ne Sont:ils ? pas ?
Praf. impof. (kann nicht frageweiſe ſtehn)
que je ne fois pas, daß id nicht ſey
- tu.- fois - , # bu ss f(enft
CA - foit - , = er s fe
| pl. | |
nous ne foyons päs, ⸗ tir s °fenen
⸗
vous - foyés - , s ibe : ſeyd
cils - foient -, ⸗ fie : ſeyn
| Prafens relativ, |
id war nicht war ich? nicht?
je n° étois pas. a' Etois je? pes?
_ tun’étois pas n'Etois tu? pas?
il n° étoit pas ” Etoit-il? pes?
pl. pl.
nous n’étions pas CE "Etions-nous? pas?
- vous n’ étiés pas D Etiés-vous? par?
ils n’étoient pas n’ Etoient-ils? pas?
—Ma4 Prater.
v __
952 17% B) Verbe Auxiligris.
Preter. abjolut.
49 war nicht tar ich? midbts
je ne fus pas ne fus-je? pas?
tu - fus 4 = fus tu? e
il - fut - . +: - fall? -
7. pl .: pl. U
nous ne fumes pas ne fumes nous? pas?
vous - futes .- - futes-vous? -
ils - furent - - furentiils >" -
Praf.relat. impoñtiv, (Eau nicht frageweiſe ſtehen.)
que je ne fuſſe pas, daß id nidt mûre L
tu - fufles -
il -: fût -
pl
que nous ne fuſſions pas; daß wir wide waͤren
vous - fufliés - |
ils - fuflent -
. Futurum,
ich werde nicht fepn werde id nicht ſeyn?
je ne ferai pas ne ferai-je? pas?
tu - feras - =. feras-tn? -
il - fera - . . = féra-t-il?-
pl. . pl.
nous ne ferons pas ne ferons-nous ? pas?
vous - ferés — - ferés vous? -
ils - feront - - feront-ils? -
Mo-
Verbaiia Auxilaria,
.172.. 333
Modus Conditional..f. ſuppoſſtiv.
id mürbe nicht ſeyn
je ne ferois pas
tu - feruis -
il, - feroit -
ph.
nous ne ferions pas
vus - fériés -
ils - feroient-
wouͤrde ich niche fepn ?
. ne ferois-je? par?
- ferois-tu? -
._ feroit-il? -
pl.
.. #e ferions-nous? pas?
= feriés-vous? - )
- feroient-ils? -
Der Modus Imperativus und der Modus Inf-
nitivus fônnen nicht fragemeife ſteben.
Jinperativur. -
Jing. ne fois pas, {en nidt
plur. ne foyons ‘pas, laft uns nidt ſeyn
ne fayés pas, ſeyd nidt.
. qu'il nefoit pas, er fey nicht, unb qu’ils ne
foient pas, laß fie nicht feyn, ſind 3tiæ
perf. Præf, impof.
Anfinitivus.
fimpl. | compof.
n’ être pas, nicht n’avoir pas été, nicht
7 fepn getvefen ſeyn
de n’ être pas de nꝰ avoir pas été
- =- = à - — =
pour- - - Cpour- - - -.
PA = - - . après — 77
\
# .*
234 $ 172, C) _Verbs Auxiliaria,: :
" Participinn. D
Ampl. compo,
n'étant pas . :. u ayant pas été —
| Gerundium. |
. enm’étantpas f : . en n’ayant pas été
T Ditieé Gerund, fomméeben nidt vor,
Uebung mit einem Pronomine fuppletivo.
| _ L:- |
| Prafens.
ohne Juterr. ' mit der Interrog.
je ne le ſuis pas ne Le fuis-je? par?
tureléspar ne L'èstu? pas?
, i ne left pas ‘ neL'eitil? par?
pr * pl.
n. #2 le fommes par : _meLe fommes-nous? pas?
v. ne l’êtes par ne L’êtes-vous? par 2
ils se le font pas ne Le font-ils? pas?
Prateritum comp. .
affirmat, & negative.
je ne l’ai pas été, id) bin es nicht geweſen
tu - l'as - été, du biſt ⸗⸗ ⸗
- Pa - été, er iſt ⸗
pl
. nous ne l’avons pas été, wir finbes nicht gemef. ?
vous - l’avés - été ibrfepbs +:
is - l'ont - &é, fie find: ⸗ ⸗
Inter.
© Verba Auxiliarsa. $.172.. D) 72
| Intersog. © i inters. neg.
ne L' ai je pas été, bin id es nicht geweſen?
- L'agtu - - , biffdu « s
- L'ail = ,ife » 6 ce
Pl,
. #6 L’avons-nous pas été; find tir es nicht get.
- L'avés vous - 0 fe ibr's 5° 3:
- L’ont-ils - find fie a :
SL | |
affr m, (7 neg, interr, u. interr, atg.
Je n’y fuis par, ich bin #°y fuis-Je? par?
... * nidbt ba bin id nicht ba?
tu n’y ès pas | #yès-tu? pas?
iryetpas n'y eſt- il? par?
ph pl
NOUS # y fommes pas, n° y ſommes nous? par?
_ vous ny êtes pas, n’y êtes-vous? Pas?
is »’y font pas, s'y font-ils? pas 2
Pret, compof.
affirm. & nez.
je n’yai pas été, id bin nicht ba geweſen
tunyas - - , du biſt : 2 ⸗
nya - -,cerif # ⸗
| pl U
nous #y avons pas été, tir find nidht ba getv.
vous nyavés - -,ibrfenb : » :.
ils #y ont - -, fiefind + + :
PUY os | Interr,
»
⸗
a 16 | Verba Auxiliaria: $ 172. D) |
| Interr. & interr. neg. |
ny ai-je pas été? bin ich nicht ba geweſen?
#yes-tu - -? biffdu. # 5: :
a' y a-t·il · -?iffer + : ⸗
— Cp
#’ y avons-nous pas été? find w. nicht ba gew.?
'myavés vous - 7? fendift : = 7
# y. ont: ils - - ? find fie ” ss +
| | Infinitivus, |
yêtre, ba ſeyn. n’y être pas nidt ba ſeyn.
ane | bagu deny - - | nidt ba .
_àyêtre } ſeyn àny - - zu fepn
_ pour y être um da zu ſeyn, pour n’y être pas
fans y être, ofne: : &c
Compofitus.
après y avoir été, naddem man ba geweſen iſt.
fans - -. -, obne Da gewefen zu feyn
? | - — -, da getvefen ju ſeyn
Participium.
mon frere y étant, als mein Bruder ba war,
oder da, oder meil mein Bruder da ift.
mon frere y ayant éte, als, oder da, oder weil
mein Bruder da geweſen if.
I, Ab⸗
Verba Alive. $ 173. 174 | 237
ee IN Abſchnitt.
Don den Verbis Activis.
$ 173.
1 Die Verba Acktiva pflegen naͤch ihren
Endungen des Infinitivi in Vier Conjugationes
eingetheilet zu werden; nemlich die Verba in er,
ir, oir, und re. Folglich bat im Infinitivo
die 1te Conjugation er, als porter, aimer
die 2te — -ir, als finir, agir
die jte - - _oir, als devoir, recevoir
die 4te - =. re, als vendre, lire.
2. Mad der erſten Conjugation geben die
meiften Verba, daher man fit dieſe wohl muß
befannt matben. Die 3te Conjugation pat nur
6 Verba regularia; ; nemlic :
Devoir, ſollen apercevoir, gewahr werden
recevoir, befommen concevoir, begreifen⸗
decevoir, bintergeben redevoir, ſchuldig bleiben.
9. 174.
Die Temporæa werden in allen Conjugatio-
nibus derivirt vom Inſinitivo, Participio und Su-
pino; daher man fid ſolche guforderit merfeu
muß. |
Folg⸗
238 $ 174.175. Verba Activ. Deriv. Temp.
ſolglich werden bie Conjagationes alfo definirt; .
Infinitivus Participium Supinum
1. Porter portant , porté
2. Finir finiffanr fini
‘3. Devoir devant . du -
. 4 Vendre . vendant : vendu
| Alſo auch:
1. Aimer aimant aimé
2. Agir L agiffant _. agi
3. Recevoir recevant reçu .
4. Prétendre précendant prétendu
§. 175.
Die Derivation ift folgende:
Pre. ind. & pofi. Præſ. impoſitiv.
Vom Infinitivo vou der dritten Perſon plur.
r weg je porte, es, € des Præfentis indicativi
rins jefinis, 5, # … me toird weggclüjfen.
evoir in ois je dois, s,# que je porte, es, e
re its je vends, s, d je finifle, es, e
re ins je lis, s, # . je doive, es, e
* Pluralis je vende, es, e
vom Participio, ant, in ons je life, es, e
.n, portons, és, ils portent Der plur. endiget
n. finiffons, ° ils finiffent ſich in
n. devons, - ils doivent ions -
n. vendons, = ils vendent iés
n. lifons, - ils liſent ent
Pra-
e , /
ù N l
| Afiva. Derivat. Temp. . 135. 239
Præſens relativum
vom Participio , ant in ois
k je portois, s, t
. je fimflois, - -
je dévois, -
je vendois, - «
je lifois, - .
Plur, ions, iés, oient
Praeter, abfolutum |. Pref. relut. impof.
vom Supino vom bræſ. abf, fe binzu
in ai. Je portai, as, a, je portaſſe, aſſes, ât
zhinzu. je finis, is, it jefinifle, ifles, 3
⸗hinzu. je dus, us, ur je duffé, ufles, uͤt
“ini jevendis, is, it ‘je vendifle, iles, ît
sbinju. je lus, ts, ut jelufe, ufles, -ür
- PI. ames, ates, erent | PL aſſions, affiés, aſſent
C9
rs
imes, ites, irent . iffions, ifliés, iflent
umes, utes, urent uflions, ufñés, uflent
Futurum Modes conditionalis
vom Infinicivo vom Futuro, ai in ois
ai hinzn Je porterai, as, a je porteroïis, s, 2
sibingu je finirai,, + - jefimirois, -
oir in rai jedevrai, - % je devrois, + «
sit ai jevendrai, «+ + jevendrois -
sinai jelirai, + + jelirois ...
Plur, tons, rés, ront, P/ur. ions, riés, roient,
Vom Impetativo fiche $. 139.
4240. $ 176. Verba Activa.
$. 176.
Anmerkungen bey dem
‘ Conjugiren.
1. Im Prefente der aten Conjugation,
ſtoßen einige in beyden erften Derfonen auch das
deg, und (reibèn: je vens, tu vens.
2. Im Prefente der 3ten Conjugation
heißet die 3te Derfon pluralir nicht devent, re-
cevent, fondern ss reçoivent, ils doivent, weil
2 ober 3 flumme + da zuſammen kommen wuͤr⸗
ben; darum wird Das penultimum in of ver:
wandelt.
3. Das Prafens impoſitivum bekommt vor
der Endung der erſten und 2ten Perſon pu-
- ralis ein i zum Unterſcheide des Indicativi; als |
portions, portiés. |
4. Das Pretcritum abfolutum Kat in
3 perf. pl. prime Conjugationis die Endung srent
ftatt arent, als ils porterens.
5. Dieſes Præter. abfolutum kommt in ben
3 erſten Conjugationibus regularibus und in den
meiften Verbis irregularibus dem Laute nach
mit dem Supino überein.
6. Qu der ten Conjugation wird das
Præſens relutivum impoſitivum von der aten
Perſon des Præter. abſoluti mit dem Zuſatze /e
gemacht; als je portai, #u portas, im Impoſi-
tivo Je portaÿe. °
§. 177.
— — —
ee"
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Rs,
—
+
-
L
L]
= , — — — CRE LL ELA . _ mg rm + : _ *22—
Cal
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- A L] [ * *⁊
LI " . LE 8
* .
’ ° L]
! 1 8*
1
\ we, ‘ ° «'
Conjugationes.. 177 241
Se" 177
Die 4 Conjugationes regulares.
\
Ite Conjugation. |
Aimer Aimant” aimé: .
Pref Ind. et Poſit. EEraæſ. Impoñit,
J'aime, ich liebe que J'aime daß liebe
tu aimes tu aimes
il aime , il aime
nous aimons nous aimions
vous aimés NE vous aimiés toi
ils aiment ils aiment
Pre. relativum. |
j'aimoës, id) war liebend
tu aimois
il aimoit
nous aimions
vous aimiés
ils aimoient
t
Pret, abfolutum Praef. relat, Lubof
J'aimai, id) liebete que j'aimafle, daß ich liebete
tu aimas tu aimaſſes
il aima : il aimèt ,
nous aimames nous aimaſſions
vous aimates vous aimafñés ,
ils aimerent ils aimaffent
Futurum 7 Modus conditionalis
j'aimerai, ich werde lieben ' aimerois, ich wuͤrde L
tu aimeras tu aimerois
il aimera il aimeroit
nous aimerons nous aimerions
vous aimerés vous aimeriés
îls aimeront ils aimeroient
Amp. aime, aimons, aimés,
à Ute
e . ‘ . n AP :
SA, °
_‘Ilte Coingation. |
et | Fini * Fipiffanc “Ent :
, J J Pref. Ind. et Pofe. . ;
A Je: arr 14, endige
| ù finit — 9 finiſſo
J nous finiflons |
Præf —
| | nus finiffions … ou
. vous finiflés
| - vous finifiés J
J ils Grise Se ils finiffent
v — relativ.
Le . je finiffois 4. war endigend
tu ſiniſſois
° , “il finifloit 7 |
| nous finiflions « - ‘,
DES ‘vous finiffiés , ‘,
Su isfnioient
| Pré, ab{olut. 0 Præſ. relat, impofr.
je finis, ich endigte ‘que je finite, daß ch eudigte
tu finis
Te finit A 4 Fr
_ ‘nôusfinimes : : + nous finiffions
vous ſinitee -’- vous finifliés
ils ſinirent — L ils finiffent
nn Frtarums | Mod. Conditional.
oo! , je finicas, ch wirde enb.
je ſinirois, ich wuͤrde end.
tu finiras tu finirois
ilfnira DR
| il finiroit
nous finjron8 . - nogsfinirions
_ 1 vous finirés vous finiriés |
° ils Gairont * -, ‘ üs fiñiroient —
Enper. fnisy finiſſons, finiflés. .
1
à ‘
85 —*R
" * ‘ ‘ ‘
a . . . _ ‘ .
F J , à »
‘ 243. 7: 177. | Cage. | J IJ
LS
_
+
que je je rie vf id endige
D patiente * — | 243
J AIIlte Conjugation. | |
\
A de —* J Devant Du
Præſ. Ma. et Pofit. | . . Præſ —*
Je dois, ich for: que je doive, —
tu dois ’. J tu doives.
il doit “#". :.. ©." ‘. Hgdoive .
." nous devons” - nous devions
vous devés >: - . vous deviés ,
ils doivent : . - ils doivent :
| ” Pref. selat. |
je devois, ich war ſolend
tu devois |
. il devoit .
eut nous devions
vous deviés. ,
.
ils devoient k D big 0.
e Pret. abfèlut. Pref. relat. Impol.
je dus, id pue que je duſſe, daß ich folle:
tu dus J tu duſſes
il dut À ‘dàt
nous dumes un nous duſſios
vous dute vous duffiés +
ils durent | : flsduflént. _ … ,
Futur. | Modus Condit..
- is devrai, id werde ſollen je devrois, td wuͤrbe ſ.
| tu devras: -— tudevrois »
7 ildevra , *. | il devroit È
nous devronis . _ nousidevrions ". |
vous devrés . . , ous levriés ed
‘ ils devron” : ils devroient -
Imp. dois, devons . devés -:
Teçais) recevont, TÉCEVÉS,
a": 2 L "I. .
-
a44 r 177. Cofagetiones. à |
IV. ———
J Vendre Vendantt A ends
Præſ. ha. æ Poſu. J Dr |
"Je vens (vends) —R ie vende , sg va — |
u vens (verids)
| "vend lv vende .
- ! - nous vendons hous. vendians * :
vous vendés — ‘vous vendiés-
âls vendegs ils vendent. .
rſ.rala. U
1 je-vendois, ich war belanſin U
il vendoit
nous vendions F
‘vous vendiés : op
| ils vendoient
Prat. abſoh. PFraoſ. relat: impoſ.
je vendis, ich verte pe je vendiſſe, daß ich berk.
tu vendis tu vendiſſes
ilvendit il vendît
nous vendimes nous vendiffions
vous vendites. : vous vendifliés J
ils vendirent | is vendiflent
Rautur. Aba. Condit.
je vendrai, ich werde verk. je à vendrois ich wuͤrde v.
tu vendres tu vendrois
il vendra — il vendroit
nous vendrons - nous vendrions .
ous vendrés vous vendriés
- ils vendront ils vendroiïent
Imp. vers (vendi), vendons, vendés,
Inf. Porter
D
<
»
—
».
A) . .
ù os VE \
: Pirba d@ive, SV78 + #45
$. : 178.
Eine andere Vorſtellung der harmonirenben
Flexion der 4 Goniugarionen.
“Le
Part. Portant
Sup. Porté
je porte
tu portes
il porte
nous porton⸗
finiſſes recevés vendés
reçoivent vendens.
vous portés
ils portent
je porte
tu portes .
. il porte
nous portions
vous portiés
ils portent
Je portoi⸗
tu portois
il portoit
nous portions
vous portiés
ils portoient
2. 3. 4.
, Finir Recevoir Vendre
Finiflänt Recevant Vendaut
Fini , Reçu ° . . Vendu
Praqſ. Indicat. I J
finis regi vends : .
finis reçois .' vends
finit : reçoit. -' vend
Pluralis.
finiflons - recevons vendons
finiflent
Pref. Impef.
finifle reçoive vende
finifles regoives -vendes
finifle reçoive vende
finiflions recevions vendions
finifliés réceviés vendiés
finiflent reçoivent vendent
Praf. relativum.
finifloir recevoir vendoir
/
finiſſois recevois vendois
finifloit recevoit vengoit
finiſſiond recevions vendions
finifliés . reçeviés vendiés
finiffoient recevoient vendoient
Q 3 ee Præ-
246 .‘- 178. Verba Alive,
Préteritum abfolutum.
-jepottai ‘finir . reçus - vendir
tu portas finis - reçus. _vendis
‘porta : finit - reçut . vendit +:
nous portames finimes- reçuines. vendimes
Vous portates finites reçutes vendites
ils porterent finirent reçurent. vendirent
4: 7
Praf. rel. impo). -
.je portaflk finie reçufs' véndife
tuportafles finifles reçufles vendiſſes
il portât fintt reçûc vendit
nous port:flions finiflions reçuffions vendiflions
vous portails finiffiés recufliés vendifliés
ils portaffent finiflent recuſſent vendiflent -
Faturim fimplex. \
Je porteras finirai recevra vendra
tu porteras finiras recevras vendras
il portera finira recevra’ vendra
nous porterons finirons recevrons vendrons
vous porterés finirés recevrés vendrés
ils porteront finiront recevront vendront
.Conditionalis fimplex.
je porterois finirois recevrois vendrois
tu porterois finirois recevrois vendrois
il porteroit finiroit, recevroit vendroit
nous porterions — recevrions vendrions
vous porteriés finiriés recevriés vengriés
ils porteroient finiroient recevroient vendroient
Im-
Verba Activa. | —2 247
J Imperativns..
Porte finis . reçois vends
portons finiflonss recevons vendoris :
portés finiflés . recevés vendés .,
Gerundium.,
* . . | | |
en portant, finiflant, recevant, vendant.
| 4. 179. Le,
Mod ein anderes Schema von der
Derivation Temporum. .
J. Porter Portané | Porté
Prind, Sing. Pr. ind. Ph
Je porte =. mn. portowrs
tu portes v. portés
il porte . | . ils portent
re Pr. impofe je porte
Pref, xelat. je portoir
— — portai
— | ‘tu portas
| Pr rel, » imp. je porafé
Fu, je porterai
Gonditional. Je portéros,
9 4 Ces I Fi
. / LI à
ñ , - . \
248 $279. Verba Alive,
L Finir 5 Finiffené . Fini |
je finir =. n. finiflons
tu finis . v. finiflés L ,
A finit. ils ſiniſſent ——
+. _.* , ‘Je finite |
os 7 je finiflois on
—— ije finis
IJ | je finiſſo
lt je finirai | oi
Je finirofr : _ | LL
uL Recevoir Recevant Reçu,
Je recoir "h. recevons _
tu recois. v. recevés :
il reçoit ils reçoivent NB. .
| Je recoive
Je recevois
je reçus
- | je reçu/e
jerecevrai : ..
je recevrois
AV. Vendre Vendané Vendu
je vends : n.. vendo#s
tu vends v. vendés
: il vend : ils vende”nf
| je vende
je vendois
ie vends NB,
vend je véndiffe
Je vendraf
je vendrois
Ve Ab⸗
Paſſivum. $ 180. 1818 | #49
1
IV, Abſchnitt.
. Bon den Verbis Paflivis und -
\
Reciprocis.
A.
\
\
Don. den Verbis PafFvis.
. 180.
X ⸗
⸗
Das Paflivum wird gemacht, wann man
das Verbum auxiliare Paſſivum Etre, welches
alsdann werden heißt, durch conjugiret, und
das Participium paſſivum, (oder mit einem an⸗
dern Namen das Supinum), des Verbi conju-
gandi hinzuſetzet. Als ze de Puis aimé, ich wer⸗
de geliebet.
Weil nun das Verbum Werden, se
bas. Paſſivum formiret, foe wird es nochmals |
hergeſetzet.
—8—
Tempora —*
Pref. ind,
je fuis, id) merde
tu ès, Du wirſt
il eft, er wird
elle ft, fie wird
on ef, + man wird
? .
-nous fommes, wir werden
vous êtes, ihr werdet
ils font, fie werden
elles font , fie werden f.
Pref. impof.
que je fois, daß id werde
tu fois, du werdeſt
il foit, er werde
elle. fie ⸗
On man⸗
pl.
” nous foyons, tir werd.
vous foyés, ibr werdet
ils foient, fie werden
elles - eo ? ⸗ Î.
D $ Pre-
1
sf
⸗
250 e Sist. Pafroum.
\
- Prafens relativ, * 7
rj'étois, id tar werdend, ꝛc.
(ich ward damals als dieſes weſchah,
oder geſchehen iſt)
Prat, abſalut. Praæſ. relat. impoſ.
je fus, id wurde ꝛc. je e faife, ich wuͤrde
Faturum.
je ferai, ith merde werden je ferois, id wuͤrde vert.
\
/ L]
| tu feras, du wirſt werden ds. &cc.
—— Tempora Compofi fee. —
Præter. D. Pret, impofs
Ta été, id binges - . que j aye été, ic ſey ges
/
worden worden
Pyæt. relat, J
J'avois été, id war eben geworden,
7" (als jenes geſchahe, oder geſchehen iſt)
Præt. abſolut. compo. Pret relat. impof.
odet relut. que
j' eus été, id tar gemorden j euſſe été id waͤre ges
worden
r Fat, rel. oder comp, Condit. pret. OÙ, comp,
j'aurai été, id werde ges j’aurois été, ich wuͤrde ge.
: worden fepn : worden fepn
Imperat.
fois, werde
ſoyons, laßt uns werden
foyés, werdet
*. Infinitio. 7
Simpl. CLompoſ.
être, werben avoir été, geworden ſeyn
d'ètre, ju werden d'avoir été, gemorden à
| &e, | ſeyn
Part.
Q *
!
-
=
Pafroum. S 182, | 25 |
Per t. %
ant , werdend, der Da ayant été, der da gewor⸗
wird | : den iſt
Ger and. |
létant, im werden, in:,en ayant été, indem. man
dem man wird geworden iſt
J . 182. ;
vorſtellung eines Paſſhi.
1) Hier wird das Supinum fo im Deutſchen
bem Verbo Werden, und im franzoͤſiſchek
| dem Verbo Etre gefeft wird, ei Participi.
5 paflivum genannt, und wird allemal flectirt,
iher wenn eine Frau ſagt: Ich werde gelie⸗
et, man im frang, ein ſtummes e hinzuſetzet
30). Als: je Juis ajmée; der Pluralis bes
mmtein s (631). Als: ils. font aimés, fie
erden geliebgt, im fœminino, elles font ai-
ées. Nous fommes aimés; wit werden ge⸗ |
ebet, fœm, nous fommes aiméer.
2) Etre aimé, geliebet werden
(n° être pas aimé, nidt geliebet werden)
Tempora ſi piicia.
Præſ. Ind. & Pofi. Praf. Impof,
fuis aimé ; id werde ges que je fois aimé, daf id
liebtt gcliebet mèrde -
| ès aimé, du wirſt gel. Ce .
eft aimé, er wird gel. (144).
le eft aimée, fie tmied ge,
1 eftaimé, man wird gel. ,
\
| | —— È gas, D
9
nous fommes 5 simés ! tir weder geliebet
vous ktes aimés, Abe werbet
As font aimés, fie herden 2 49
s font aitnées, CAT ,, .
Prqæſ. ralatio. test —
fectois aimé, ich tard eben bamalé |
—. on : gciebe , ss.
| + Prof | DR . Prèf. relat, inpéf.
" fs aimé, id wurde je ſuſſe mé, id wuͤr⸗
.. ge eliehet =. be geliebet
ur. or J e . Conditionat. |
- —* mé, ich werde [je lerbis simé, ich wurde
J | ride werden , . dgeliebet mate
—
J TL empors copie, Don
, —* |
. va été diné, at” bin sl (que) re Peer daß
| liebet worden ich ſey geliebet worden
Ne. Prater. relativ.
” J'avois été aimés id war geliebet
worden
Vraus. abſ. compoſ. Pret. relat. impof.
j eus été aimé, id mar [ee j'éufle été aimé, daß
fie worden L id waͤre geliebet worden
Futur, vel, oder comp.
aurai été aimé, id) werde
rl geliebet order fepa
: Condition. pret.
j *auroistété aimé, ich wuͤr⸗
de gelichet worden ſeyn
Im-
_G49) In der zten Perſon braucht man gerne an
ſtatt des Paſſivi das Reciprocum. Als: Ce livre
mprime ici, dies Buch wird hier gedruckt.
Ces fruits ne ſe mangent P35 dieſe Fruͤchte wer⸗
den nicht gegeſſen.
après
0 Poffoums Sas
Imperstives. _—_
⸗
\
053:
* 7 J
—W
Pr aimé, merde geliebet 1 :
Plur, foyons aimés, laſt uns geliebei wader
foyés aimés, werdet geliebet
5555 finitions,
. Simplex,
Ere mé, geliebet werden
ꝓꝙe être aimé
à »
fans < gbne —W
Pour =." NM, ⸗-
… Participinm Paffoi.
Sim. étant aimé, der gelisbet-twird
Comp. ayant été aimé, da einer iſt geliebet worden
Paorticipium parent,
| aimé , oelichet, fem. aimée
nés
La
plurx.
‘ #9 fem. aiméos,: .
i mn mme | |
Ke.
+, avoir été aimé, geliebet toôcben ſeyn
Res es 6 uin ſeyn
pour — uUum Le — ss ss e
fans - + -vpne 4
= nuchdem elner if gi n pété
7
. 18
CA
35 |. fig paſtum
I 5. 183.
Ein Verbum Paſſivum, negativd und Inter⸗
rogativè. , Etre- puni, geſtrafet werden.
| | ‘Tempora fimplicia. k
- Pref. ind, & bof.
je ne fuis pas puni, : i ire fuis - - je Pas puni? wer⸗ |
werde nicht geſtrafet de ich nicht zeſtafet: ?
Præſ. impof..
que je ne fois pas puni, af id nicht geſtrafet werde
Praſ. relativ. |
ward nicht geſtrafet ich nicht geſtrafet?
| | Preter: abſolut.
je ne fus pas puni, fre fus - - je pas puni? wur⸗
wurde nicht geſtrafet de ich nicht gefrafts A
Pꝛ ef. relat, impof:
que je ne fufle pas puni, daf id nicht gefrafé wuͤrde
Futur.
je ne ferai pas puni, id}re ferai-je pas puni? wer⸗
Conditionat.
J je n étois pas puni, fair < étois « je pas puni? tard
werde nicht geſtr. merden| de id nicht gefir. werden |
je ne ferois pas puni, idfne feroïs.je pes puni? wuͤr-
wuͤrde nicht geſtr. merdenl be id niche geftr. werden?
Tempora compofita
Preter. .
je n'ai pas. été puni 3 ri n’ai- je pes été puni ? bin
i
bin nicht geſtraft worden lich niche geſtraft worden?
Fate |
-
aſum. $ 18. 255
Prat. into].
que je n' aye pas été puni, daß id) vidé ſey gefir, word.
Prat. relèt,
je n° avois pas été puni, ic }n” avois - je pas été puni ?
war nicht geſtraft worden war ich mic geſtr. worden?
+. Pret, al fe compof.
je nꝰ eus pas été puni , id) tar nicht geſtraft worden.
Pret. relat, impoſ (14 5.. | -
quejen euſſe pas été puni, daß ic nicht waͤre zar. torts
Futur. comp. [. relat.
je x aurai pes éte puni, id}” aurai-je pas été puni?
werde nidt geſtr. worden werde id) nicht geſtr. mors
ſeyn den ſeyn?
Couditiou. Pret, |
je n° aurois pas été puni | ’aurois . je pas Été puni ?
id wuͤrde nidt ꝛc. wuͤrde ich nicht oc.
Inſinit. |
n° être pas puni, nicht geſtrafet werden
de n'être pas puni, (à, pour, &c.) nicht geſtraft je
—5
n’avoir pas-été puni, nicht geſtraft worden. kom,
Past. \
n’ étant pas puni, nicht geſtraft werdend, ve uchte ge⸗
ſtraft wrd.
payant pas été puni, indem, da, einer nicht iſt ges
; ſtrafet worden.
, $. 184.
(145) Frageweiſe kommt dieſes Tempus vor, wann
es ſtatt des Modi fuppoñitivi odér condirionalis
geſetzt wird. Als euſſẽ · je été puni? n’euffé.je
pas été puni? n'eûteil pas été puni? &c.
356 41384. Verba Reciproca,
| §. 184 | Ve
ce BR
Von den Verbis Reciprocis.
1) Die Verba Reciproca werden conjugirt
wie die Verba Adiva; an merket aber (a) die
Reciprocation, (b) die Temporà compofñta.
2) (a) Die Reciprocation geſchiehet wenn
man die Pronomina auf folgende Weiſe recipro- :
cite: |
Sing. | _ Plur.
je me, id mich, mir nous nous, wir uns
tute, bu did, bit - vous vous, ihr euch
.ilfe, ecfid _ ilsfe, fie fi), m.
elle fe, fie fit elesfe,: 5 f
. on le, man ſich. |
D (&) Die Tempore compoñta Verborum
reciprocorum werden nicht mie im Deutſchen
mit dem Verbo auxiliari activo Avoir, haben,
fonderu mit dem Verbo aux. paflivo Etre, ſeyn,
aufammengefegt und conjugirt, worauf ein
Deutfher mobl At ju geben bat. Als? s'être
trompé fid betrogen baben; (nicht savoir)
4) Es ‘aiebt deutſche Verba Reciproca bie
es im Sranjôfifhen nidt find; Als: |
il arrive, es trâgt fihaulofer, fi unterfteben
changer de, fit aͤndern prendre la liberté, ſich
craindre, fit fuͤrchten die Freyheit nebmen
diffimuler, fih verſtellen remercier, ſich bedanken
feindre, ſich ſtellen câcher ſich bemuͤhen ꝛtc.
5) Hin—
- .
CE:
t ’
,
,À s .
*
E 3
Perba où nu à mal L Fa | 5
es in Deutſchen nie ſind; Al:
"agit, es fommt bar:[le biree dieu.
5) Hingegen giebt es franzoͤſiſche begero .
auf an ſſe laffer, muͤde — J
peller, beiffen | ‘1 lever, aufſtehen
tendre, à Q. vetmüs|fe mariér, bencatben
then, erwarten |fe pafler, eijtbehren ÿ
défier de q. einemife prévaloir. fid ju
nicht trauen : | Mubemaden
douter, muthmaſſen ſe promener, ſpatzieren
crier, ausrufen - |fe repentir, bereuen
ndarmir, einſchlafen ſe reveiller, aufwachen
aire, geſchehen, met, fe taire; féweigen
[fe tromper, irren
fer à q. einem trauen ſe vinter, pralen ie,
6) Einige Reciproca haben die Preñomins
xpletiva bey ſich, vornemlid en. Als:
n aller, weggehen |: ÿ inettre, ſich darau
nfuir, entfliehen
n prendre à q. ſich wmachen
an einen halten 5 prendre, anfangen
n retourner, wieder *
umkehren :: Ye
À ‘ ‘ .”
R . . . fiss. .
+
",
4 5 /
258 $ 185- Vorba Reciproca,
$ 185.
Configation eines Verbi reciproi.
Tempora fimplicia.
braſ. Ind. & prf. Præſ. impof.
‘je me porte (bien) que, je me porte
ich befinde mich (wohl) daß id) mit befinde
tu te portes u te portes
il ſe porte il ſe porte
F. elle fe porte f. elle fé porte
imp. on fe porte mp. on fe porte
pl pl |
nous nous portons nous nous portions
vos vous portés . vous vous portiés
ils fe portent ils fe portent
f. elles fe portent f. elles fe portent
| Praf. relativ.
Je me portois
ich befand mid) damals eben GS je me pores |
tu te portois EE ?
il fe e portoit
pl.
nous nous portions
‘vous vous portiés
ils fe portoient
Prat. abſol. ra ré vel, imp.
je me portai (bien) ue je me portaſſe,
ich befand mich (wohl), daß ich mich befaͤnde
tu te portas tu te portaſſes
il fe porta il fe portt
| | , pl.
Worba Reciproca... $ T8 259
EE ct
nous nôus pottames nous nous portaffions
Vous vous portatés vous vous portafliés
ils fe porterent ils ſe portaient
Futur. EL Conditionat,
je me porterai.. .. Je meporterois |
id werde mich befinben ; id wuͤrde mic befinden
tu te porteras tu te porterois |
il fe portera il fe porteroic
pl. du pl | .
nous nous portérons nous nous. porterions .
‘vous vous porterés vous vous porteriés
‘ils fe porteront ; : ils fe porteroient
Tempora compofita,
Praterit, | Prater. impaf.
. je me fuis (bien) porté que jé me fois porté
ich babe mich (wohl)bef. daß ich mic befund. hab
tu t' es porté | tu te {ors porté .
il s’'eft porté il fe foit porté
F. elle s’eft portée . fe elle fe foit portée
ple » | | | | pl. |
nous n. fommes portés n. n. foyons portés
vous v. êtes portés v. v. foyés portés
ils fe font portés ils fe foient portés
. fs elles fe font portées J. elles fe foient Bottées
:
_
4 #2 J pl.
\
/
\
a60 $ 185. Verba Reciprvca.
Præter. relativ.
je m’étois porté (146) |
ich batte mich damals eben beſunden
tu t’étois porté
il s’étoit porté
—n
nous nous étions portés
vous VOUS étiés -
ils s’étoient -
Prater, ab]. comp. Prax. rel. impof.
je me fus portẽ que je me fuſſe porté
id hatte mich befunden; das ich mich bef. haͤtte
tu te fus porté tu te fuſſes porté J
il ſe fau i ſefüt
I. pl.
nous n. fumes portés n. n. fuflions portés
vous v. futes - ‘v.v. fufliés -
ils fe furent - ilsfefuflen -
: Futur. relat, Conditionat. Prater,
je me ferai porté je me ferois porté
id werde mich befunden; id wuͤrde mich befundeu
. baben baben
tu te feras porté tu te ferois porté
Üfefera - ilfe feroïit -
‘ pl.
(49 Oder mi f beziehungsweiſe auf die Bedin⸗
gung? Si je m’étois porté, wenn id mich bes
funden bâttes fi tu v'étois porté, s’il s’écoit
. porté &cc.
Verba Reciproca. $48% . 267
pl . 3*6* pi.
nous, n, ferons portés n. n. ferions portés
vous v. ferés - v. v. feriés — |
ils fe feront . . ils feferoient - |
I Inperativur. |
S. Porte-toi (bien), befinde did (ob)
P. portons-nous, laßt uns uus befinden .
* portés- - vous; beſindet euch (147)
Nnitivus.
AMmpl. am. |
fe porter, fit Gefinden, s être. porté, f ſich hefun—
doeſn haben.
de, à, pour, . fans De, à, pour fans, après
ſe porter € porté |
-Particip..
fe portant (bien) . s'étant (bien) porté ‘
dec ſich (wobl)befinbet, der ſich (wobl) bef. fat,
| .… Gerund.
en {e portant #: en s'étant porté
inbem man ic ‘ inbem man.fi 4 ꝛc.
Particip. paſſ. oder Sup. x
Befunden. Porté, f. portée. Ci
7 pl portés, f. portées. :
LR R3 8. 186.
(147) Hier ſi aÿ die nad dem. Vérbo fichende Pros
nomina nicht Die. Nominativi, ſondern die Dativi
oder Accu fativi; (0 im Impérativo mgchoelche mei
4 dette $ 94, le à) b):
LL
A
1
\
— ⁊ \
S. 186. J |
Œin Verbum Reciprocum nggativè und
interrogativè.
1.) Tempôra fmplicia.
Praf: Iud. & po
je ne me porte pas bien [ne me porté- -je ? pas X(bien)
ich befinde mich nicht befinde id mi? nicht?
wohl (wohl)
_tunete portes ps” . ne te portes: tu? fus? 0
il ne fe porte + +. #e fe porte pe il:
s J.
nous ne nol portons pas men. portons- nous ? pas ?
VOUS de vous portés + .#mev pprtés-vous
Es
ils ne fe portent - nefeportent-ils? -
Pref. im pafs
qée je de me porte pas bien, daß id mich ne wohl
befinde.
Præſ. relat.
je ne me portoi pas ne me portois-je? pas? 2
| Prater, abfol. ï. ”
je ne me portai pas. ne mo portai : je? pas?
Pref. relat. impof,
que je ne me pottaſſe pas bien, daß id mic. nicht
wohl befaͤnde
Fatu—r. J
je ne me portetai pag. . ae me porterai - je ? pas?
Coaditionatum.
je ne me porterois pas. ae me porterois - -je ? pas?
2.) Témpora compofta.
von dem Verbo / coucher, ſich niederlegen.
4) Neg ativè, |
jene me füis pas couché , F habe mich nicht niedergeleget
tu ne t'ès pas couché, du Daft did n icht
il ne s’eft pas couché, er bat ſich ⸗ ⸗
elle ne s'en pas couchée, fie 1 0 ol
Ferba Repose. F 186.1. 268
pl
nous ne nous fines pas rouchés, tir haben uns
icht niedergeleget
vous ne vous êtes pas couchés, ihr habt euch nicht «
“ils ne fe font pas couchés, fie baben fi nicht + «
elles ne fe font pas ‘couchées, : fie à, F. |
Alſo aud: que je ne me fois pas couché,
Je ne m’ érois pas ‘eouché.
… Je ne me fys pas couché.
Que je ne me fuffe pas couché, °. . -
Je ne me férai pas couché. ;
Je ne me férois pas couché ẽẽ | :
Imperativus. J à
. Ne te couches pas, lege did nicht nieder ?
ne’nous cogchons'pas, laft uns nicht uns niederlegen
ne vous couchés pas legt euch nicht nieder.
&e.
5 Interrogativè,
/ Me fuis-j -je couché? babe id) dr mebergelegl?
t’ês-tu couché? baft bu d
S’eft-il couché? hat er ſich 3
s' eſt. elle couchée ? bat fie ⸗ ⸗
nous fommes - nous couchés ? haben tir. uns ⸗
vous êtés- vous couchés? habet ibr euch ⸗
fe font - ils couchés ? haben fie ſich ⸗ ⸗
ſe ſont· elles couchées ? f.. ‘ "
Alſo and: m'érois - je couché?» me fetois - L
. couché &c. à :
0) Interrogativo. DT
Nei me fais - je pas couché ? habe ich mich —*
eleget:
ne t' ès. tu pas couché? haſt bu dich nicht ⸗
nes’et-ilpas - ? Daterfid ⸗ ⸗
X +. pl.
64
F /
1
61 87. Conjugationes regulares,
4 .
ne nous fommes-nous pas couchés ?
ne vous êtes - VOUS e e
"ne fe fonc -ils ... |
Alſo aud': ne m'étois-j6 pas couché? .
Vorſtellung der Verborum, A&ivorum,
IL.
ne me ferois-je.pas couché? &c.
9. 187.
Paflivorum und Reciprocum
in der Kuͤrze.
a) die 4. Conjugationes regulares,
Porter. Portant Porté
je porte, je porte :
je portois Un
je portai . . . je portafle
je porterai |: je porterois.
Finir Finiffant Fini
je finis je finie |
| je finiflois | |
je finis . | je finiſſe
je finirai je finirois
IL Recevoir, Recevant > Reçu.
je reçois : ‘je recoive
| je reçevois W
je reçus : je reçufle
je recevrai - . je recevrois
! ee IV. Ven-
Werba Paffiva & Reciprocs. 187. 26$
IV. Vendre; Vendant, ‘ Vendu.
je vens J je vende
je vendois .
Je vendis je: ventliffe
je vendrai . . je vendrois,
b) Gin D'erbum Paſſivum.
Tempora fimplicta, .
étre porté, étant porté, porté, ée,és. les.
je fuis porté | Je fois porté
_e j étois porté ..
je fus porte | | je fufle porté :
je ferai porté ; je ferois porté
T'empora conmpoſta.
jai été porté ij aye été porté
javois été porté
ÿ eus été porté + j euſſe &£ Porté
} aurai été porté ‘. J'auroisété porté,
c) Gin Verbum Reciprocum,
feporter, ſe portant, porté: ée, és, écs,
| Tempora fimplicia.
je me porte | je me porte
je me portois .
je me portaï | je me porralle
je me porterai je me porterois
Tempora compoſita.
je me ſuis porté je me fois porté ;
je m'étois portẽ
je me fus portẽ je me fuſſe porté
Je me ferai porté ._ Jemeferoisporté
À 5 . J. 188.
—
266 . 6188. 189: “fExercitie,
Exercitium zur Uebung des Paſſivi.
Wir werden von einigen (quelques uns) geliebet,
und wir werden vou cinigen andern (quelques autres)
gebaffet Chats). Wenn wir von unfern Tettern gclies
bet mürben (F 137,2. 153, 3), ſo wuͤrden fie von
uns gelichet mwerden, Vor dieſem (autrefois) wurde
id von einer Perſon geliebẽt, melde von jedermann
(tout le monde) war verachtet worden (méprifée),
Man wird niemals von jebermann gelichet, und es ifé
genug Gil fufie) von tugendbaften Reuten (géns vertueux)
geliebet sir iverden *. Ich bin allegcit von. meinem
Freunde gelicbet worden, ſonſt (autrement) miürdeidÿ
nicht ſo wohl ſeyn empfangen worden, id boffe
(j'espere) daß ich allezeit von ihm merde geliebet werden.
* ier ſteht der Infinitivus anſtatt daß man gelie⸗
bet werde $ 140, 59.
.$. 139. Le
Exercitium. zur. Uebung eines Verbi reciproci.
Wie Gefindet fi euer Bruber? Er befand fi
wohl, alé (lorsque) ich mich ben ibm Befand **, Be
fandet ihr end) voriges Jahr (l'année pañlée) nicht
wohl? and euer Bruder beſand ſich derjelbe (il) auch
nicht (pas non plus) tmobl?. Wir haben uns. bisher
(jusqu'ici) wohl befunden, aber ibr, babet ibr eudÿ
nicht wohl befunden? Wenn ($ 137, 2. 8153, 3.)
id mich nicht wohl befunden bâtte, fo wuͤrde id) mid
nidt auf das Land (la campagne) begeben (rendu) bas
ben. Ich wollte (voudrois) daß wir uns wohl befune
deu haͤtien, tir wuͤrden uns die Ehre gegeben haben
euch zu beſuchen (aller voir). Meine Bruͤder werden
kommen. (viendrant}, wann ſie ſich wohl befinden wer⸗
ben. Waͤnn fie ſich auf dem Lande laftig gemacht
(divertis)haben terder, fo werden fie ſich beffer Befinden alé
fie fi Bisber befunden haben 109, 4) . .
** Sich befinden beifet fe porter, wenn von der Ge⸗
fundbeit die Rede iſt; von einem Orte aber fe v
⸗
Negra. Imperfoualia. $i9e. 267
V. Abſchnitt.
Dori Den Vérbi Voutri⸗ und
———
6. 190,
Verba Neutra.
1) Die Verba Neutra werden aingethellet
wie im Deutſchen, in Neutro -Adiva und Neu-
tro: Paſſiva. Sie ſind der Form nach, theils
regularia, theils irregularia.
29) Die Neutro-Adiva werden in den T'èm-
poribus compoſitis mit dem Verbo auxiliari adi-
vo Avoir, die Neutro- Paſſiva hingegen mit dem
Verbo aux. paſſivo Etre zuſammengeſetzt. As:
j'ai parlé je fuis allé
j ai dormi ‘je fuis venu
. j ai combattu Je.fuis tombé.
Ich babe gerebet, geſchlafen, aeftritteu: Ich
bin gegangen, gefommen, gefallen.,
3.) Cinige Néutra werden im Veutſchen
mit Seyn im Franzoͤſtſchen bingegen mit Auor
zuſammengeſetzet; und einige wenige umge⸗
kehrt. Als:
Ich bin roth geworden P ai rougi
Ich bin gefolget j ai fuivi
Ich bin guvorgefommen } ai prévenu
Ich bin gelaufen y ai éouru
Ich habe abgenommen je ſuit déchu
Er hat zugenommen il «jf accru.
| $. 191.
N
269 g igr. I92.. Neutre. Imperfonalis.
‘ ç. 197. i
. Conjugation eines Temporis compofiti
‘von deu Verbis Neutris:.
6 babe gewohnet : Yh bin geblieben. |
"© J'ai demeuré , Je fuis demeuré
tu. as demeuré .‘ituès - 8
il a demeuré _... ileft, - -
elle.» demeuré . ‘ … élle eft demeurée
ee PE ge pl.
nous avons demeuré : nôus fommes demeurés
vous avés s demeuré. vous ÊTES - _- —.
ils, ot demeuré ‘ilsfont … - -
és enf demeuré . elles font demeurées.
ANNE EEE . . |
CU ue Le 192
. , ° B)
Verba Imperfonalia.
... on) Die Verba Imperfènalia werden tof i un
Deutfhen mit 4; oder mit on, und der 3ten
Perſon Sinularis gemacht. AIS: |
Het, es iſt Le O8 die, min fs oo
il arrive , "es geſchiehet On fait, man madt, thut
ilpleut, es regnet Oneftaimé...man wird gel,”
il femble, es ſcheinet On fe trompe, man irret
il fe pale, ee trâgt ſich M'I1 me tarde, es gglanget
m ° ‘
2) Mit Ce wird nur das⸗ eſt, es iſt, ge:
macht. Doch ſagt man auch ce me. e fémble,
wich důnkt. |
5 Ei⸗
: Verba: Imperſonalia. $ 192, 269
| 3) Cinige deutſche Imperſonalia werden
im franzoͤſiſchen nicht imperſonaliter, ſondern
perſonaliter mit einer. Phraſi oder mit einem
bloſſen Verbo gegeben.: - His.
J'ai chaud, es ift mir warm
j'ai froid, es frieret mic
j'ai faim, mid bungert
J'aifoif, mid duͤrſtet
j'ai apétic, es geluͤſtet mich
J'aipitié, es jammert mid 4
je fuis chargé, es ift mir aufgetragen
je fuis bien aïfe, es ift mir lieb
je fuis fâché, es ift mir leyd
j ignore, e8 ift mir unbefaunt
je réuflis, es gelingt mir
je manque de, es feblt mir
Je me repens, es gereuet mid
je m’ennuye, die Zeit waͤhrt mir lang.
4) Man giebt oͤfters im franz. smper/oncs
Biter, was die Deutſchen pafivè in der 3ten
Perſon fing. und plur. oder mit man deber:
($182,n.144). Als:
. El fe dit bien des chofes fur cette affaire, es
wird vicles über dieſe Sache geſprochen;
oder man fpricht vieles davon, daruͤber ꝛc.
À fe vend plufieurs marchandiſes à cette foire,
es werden viele Waaren auf dieſem Sabre
markte verfauft; oder: Man verfauft 20
| g. 1 Ÿ3e
270 $193. | Imperſonalis. |
oi 8. 193.
Das deutſche Verbum Imperſonale
6. iſt.
welches auf fuͤnferley weiſe gegeben
1. Mit 7 eff, wann (a) ein Adjectivum
oder (D) ein Wort der Zeit folget. Als:
‘il eft facile, il eſt tems, il eſt quatre heures.
Il eft facile J quꝰ il ſoit facile
. iſt leicht daß es leicht ſey
| _.. . A étoit facile ‘.
ich war eben damals leicht als ꝛtc.
. il fut facile qu’il fût facile
es tar leiht dag es leicht mûre
il fera facile ” il ferait facile
es wird leiht fept es wuͤrde leicht ſeyn
* Alſo auch in Temp. compoſ. Il a été, quꝰ il
ait été, il avoit été, il eut été, qu'il eût
été, il aura été, ilauroit été facile. .
2. Mit c’eff, wann (2) ein Subſtantivum
oder Pronomen, ober (b) eine Dartitel folget.
Als c’eft un Officier, c’eft moi, c’eftaflés, c'eft -
pour vous, (148) |
Ceſt
(148) Man ſagt: C'eft moi, c'eft toi, c eſt Iui,
ceſt elle, vð eſt nous, c’ eſt vous; aber im Plurali fagé
man in der zten Perſon ce font eux, ce font el.
les, &c Alſo nr ce fera moi &c und ce fe.
ront eux. Nur nié wenn ce bigfer dém Verbo
ſtehet, als ft: ce eux qui le difent, nicht font-ce -
eux; auch nicht im Præef. relativo, im Conditio- -
hali und im Præt, compoñire, —-
.. 4 É + .
Imperfonsiia, $ 15 3 471
C° eft moi , | que ce {oit moi |
ich bin eß daß id es ſey
| c’étoit moi
id tar es eben
| ce fut moi que ce fut mol
ich war es | daß ichs waͤre
ce ſera moi ee feroit moi
ich merde es ſeyn icch wuͤrde eg ſeyn
* Alſo auch in Temp. compoſ. ç'a été moi, que
c'ait été moi, c’eut été moi, que c'eût été
moi, c’aura été moi, c'uroit été oi,
3. Mit 7 y a. tatin es iſt (2) bei einer
dvantitat db (b) ben cine Orte ffeber:
Als: l ya des gens qui le croyent, es find
Ces gicbt) Leute die es-glauben, Il y a quel-
. qu'un à la porte, es iſt jemand an be: Thuͤr.
Il y a (/ongtems) qu'il y aît |
es ift (lange ber) daß es (ep (fepen)
il y avoit
es war (waren) eben
il y eut ; qu'ilyeùt
es war (Ware) daß es waͤre (waͤren)
Il y aura — il y auroit
es wird (werden) fepn . es wuͤrde (wuͤrden) ſeyn
* Alſo auch im Infinitivo: Il doit y avoir, es
muß da ſeyn. Und in Temporibus com-
poſitis: Il y aeu, qu'il ait eu, s’il y avoit
eu, il ÿ eut eu, qu'il y eût eu, quand il
ÿ auf Eu, quand méme il ÿ auroit eu, y
ayant eu: J
| 4) Mit
_ 272 .. $ 193. ‘Imperfonalie. .
4) Mit à fair bey Beſchaffenheit (a) des
Wetters, oder (b)eèines Ortes. Als: 11 fairbeau
tems, Il fait bon vivre ici,
11 fait chaud qu’il faſſe chaud
difftwam daß e8 warm (cp
| il faifoit chaud |
es war cbeu warm
i] fit chaud quil fit chaud
es tar arm daß es warm waͤre
il fera chaud il feroit chaud
es wird warm ſeyn es wuͤrde warm ſeyn.
* Alſo auch in Temporibus compoſ. il a fait chaud,
qu'il ait fait chaud, s il avoit fait chaud &c.
5. Mit il vaut bey den Adverbiis (4) mieux
und (4) autant, Als: Il vaut mieux, es if£
beffet, il vaut autant, es iſt eben ſo gut;
worauf allemal der bloſſe Infinitivus folgt. Als:
Il vaut mieux faire cela, es iſt beſſer daß man
diefes thue, oder diefes su thun. It vaut
autant fe repoler, es iff eben fo gut daf
man ausruhe. . I
Il vaut iſt ein Verb. irregulare. Il vaut mieux,
qu’il vaille mieux, il valoit mieux, il valut
mieux, qu’il valüt mieux, il vaudra mieux,
il vaudroît mieux, il a mieux valu, qu’il
ait mieux valu, &c. il auroit mieux valu &c.
Inf. valoir mieux, $ 199, 45.
$e 194.
?
J — — sue à 273
$. 194 |
© Bow bem Verbo imperfonali il fau, |
man muf.
1. Das Verbum ÿ} faut ift ebenfalls ein
| ‘Irregulare wie il vaut und il fair, Die Deuts .
ſchen geben es insgemcin burd man muß: Es
heißt aber eigentlih es iſt noͤthhig, wird
auch fo conftruiret, und bat allegeit den Modum
Impoñiti tivum nach fid. His : |
IL faut q que jelife, es iſt ndthin 2 A le, Gé |
il faut que tu lies es iſt rtbto va ou tete, (ou
mußt lefen)
il faut qu'il life, es iſt nôtbig deß ee er muß
il faut que nous lifions, es if nt 8 wir ꝛc.
vous liſièts,,⸗ |
- - qu'ils difent, + s» ‘es ‘s
Alſo aud il fiudra que je life, es wird noͤthig fon, . |
daß ich lefe, Codec id merde lefen müffen), il
faudroit que je lufle, -e$ wuͤrde gothis ſeyn,
oder es mare noͤthig daß ich laͤſe, (oder
ich muͤßte leſen). In Temp. compof. Il a falu
que j'aye lu, id babe leſen muͤſſen ꝛc.
2. Daber fann mon nidt ſagen On faut, |
mon frere faut, fondernt Il faut qu’on life,
man muf lefen. Il faut que mon frere life,
mein Druder muß leſen- Bisweilen nimmt
man den Infinitivum; als, ile faut lire, man
muf leſen.
S 8. 195.
NS
L 274 $ 195: Inpéfnalie.
8. 195
Conpagaon bes Verbi inperfonals # fes.
. Faloic, falant. ſalu.
Pre Id, F Pof. Pref I mpof
U faut que je fafle, . qu’ il faille faire
ih muß thun daß man thun muͤſſe
Praſ. relat.
— ?'il faloit que je file
wenn ich thun müfte |
Pret. abfol, Prat. impoſ.
Il falut que je file qu'il falût que je fifle
id mußte thun dDaß ich thun muͤßte
Futur. Mod. Cond.
il faudra que je faſſe il faudroit que je fiſſe
ich werde thun muͤſſen ich wuͤrde thun muͤſſen
Tempora compof.
Præt. comp. Pret, comp. impoſ.
il a falu que j’aye fait qu’il ait falu faire
ich habe thun müffen Daf man babe thun müffen
Pref, relat. compoſ.
s’il avoit falu que j' euſſe fait
wenn id bâtte thun muͤſſen
Pret. ahſ comp- Præt. rel. impofe
il eut falu que j’eufle fait gw’il eût falu faire
id batte thun miffen daß man haͤtte thun men
Fatur, comp, Mod. cond. compof
quand il aura falu faire il auroit falu que j’ euſſe Zit
wann man wird haben ich wuͤrde haben thun
thun muͤſſen muͤſſen
(A 1 96: ?
/ ..
- Imperſonalia. S. 196. 275
Conjugatio eines deutfchen Verbi imperfonali,
ſo im frang:. perfonaliter mit den Verbis ‘
| auxiliaribus gemacht wird.
1. Mit J ai. Ce
, Temp, fmpl. | :
Paifroid : que j aye froid
mich frieret, daß mich friere
es frieret mich
j'avoïs froid
es fror mich eben damals
j eus froid que j' euſſe froid.
es fror mich daß mich frère
j' aurai froid ij' aurois froid
es wird mic frieren mmich wuͤrde fricren
| Temp, compo.
j'aieufroid que J'aÿe'eu froid
mich bat gefroren daß mid gefroven babe
J’avois eu froid
es batte mich eben gefroren
j eus eu froid __ que j’eufle eu froid
els mi gefroren hatte daß mich defroren bâtte
j'aurai eu froid J'aurois eu froid
mic twird.gefrorén haben: mid) mürbde gefr, haben,
| 2. Mit Je fuir.
Es ift mir lieb, je fuis bien-aife, oder (ren), Daë
if mir lieb, j'en Luis bien» aife. |
Daß es mir lieb fep, que je 1ois bien-aife oi
— GS à ERA
#
’
#
270 196.197. - Imperfonalia,
’
— *
Wenn es mir lieb waͤre, fi j'étois bien. aile
Es war mir lieb, je fus bien - aife |
Daß es mir lib waͤre, que je fuffe ravi
Es wird, wuͤrde, mir lieb feyn, je ferai , féroés , ravi
} oder bien - aife — =
Es iſt ſey, mir lieb geweſen, jai, ? aye, été. bien aiſe
Wenn es mir lieb geweſen mûre, ſi j'avois étébien aife
Es mar, waͤre, mir lieb gemcfeu ; j'eus, ’enffe, étéravi
Es wird, wuͤrde, mir lib geweſen jepn, j' aurai,
| Jaurvis, été bién-aife, der ravi J
Laß es dir, laſſet es uns, euch, lieb ſeyn, fois bien-
aiſe, ſoyons, foyés bien-aifes, oder ravis,
3 Flexion. |
jai froid mich fricret ‘ je fuis ravi, es iff mir lib
tuas + Did * tu ès. -, 5 » Dir »
ila - ibn ⸗ ilet - ⸗⸗ ibm » -
: elle 2° .5. ſie s elle eftravie, s © ihr ⸗
nous avons froid, un$ + n.fommesraviss ing s
vous àvés - end + v.éres 5 Use
ils ont + fie .* ils font - s ibnens.
ellesont - s jf. ellesfontraviess , f.
Alſo im p/. Temporis compoſ.
ils ont eu froid ils ont été ravis —
elles ont eu frorid elles ont été ravies
es hat ſie gefroren es iſt ihnen lieb geweſen.
VI. Abſchnitt.
Don den Arregularibus und Defectivis.
J . 197. |
1. Die Verba Irregularia find bie, tele
a. Dee ($ 175) fefigefebten Derivation ab: .
ÿ CC
| Verba Irregularia. | S 197. 7 477
2. Sie geben auch gemeiniglich tm Partici-
pio oder im Supino, ober in beyden zugleich ab,
daber diefe wohl zu merken. (149) .
La
3.. Die Tempora welche von ber Derivation
abpai$en fônnen, find : 1) Præſent Indicat.
2) Præſ. Impoſitiv. 3) Prateritum ahſolutum
oder Amplex. 4) —S (150) Folglich ſind
die Præſentia relativa ſowohl poſitivum als im-
poſitivum, wie auch der Modus conditionalis
oder ſuppoſitivus, nie irregulaͤr. Gs1)
‘4. 4) Det Verborum : irregularium ſind,
auſſer den Compoſitis ohngefehr 80, davon nur
50 zu lernen ſind, weil die abrigen nach einem
von dieſen funfzigen conjugiret werden. Man
wird dieſe so Verba irregularia in den beyden
folgenden Paragraphis nach ihren Temporibus
S 3 irre-
(149) Dieſe zwey Verbairr. aller, allaut, allé und
baïr, huiſſant, baï haben kein Particip. noch Sup.
irregularẽ. Da⸗ Verbum Envoyer ſchreiben eini⸗
ge im Futuro f’ervoyerai ind ſprechen es aus
denverrai es if aber beſſer daß man auch ewver.-
rai ſchreibe, und fo haͤtte es ein Futurum irre-
are.
(150) Doch ſind nur a. Verba irregularia, die it
dieſen 4 Temporibus abgeben. Die andern ae
ben enfiveder nur 3, oder 2, oder r, oder gat'F
Tempus finitum irregulare, $ 197, 4, b).
J Gs1) Savoir if. auch im Præfente rolativo irrégulr;
7, ja cs bat auch einen Imperartri iregtasem
. $ 199, 50 — *
278 S198. Verba Irregularra.
irregularibus vorſtellen, und fie nach denſelben
eintheilen. (152)
b) Demuad find deren
20 Die Fein Tempus irregulare baben; ſondern
nur im Participio u. Supino abgebeu ; ;
16 Die Bin Tempus irregulare haben;
76 Die Zwey Tempora irregularia Gaben ; ; k
6 Die 3 | “ 2 *
2 Die — W
. 108.
Dorléufige Anmerlungen
Bu den folgenden Verbis irregularibus.
1) In der atèn Conjugation mûffen die En⸗
bungen des :Infinitivi, rc, dre, tre, vreins
vermandelt merdeus die Verba ben welchen die⸗
fes geſchiehet, werden nicht fuͤr abweichend im
Præſente gehalten. Als: "Tire, je lir, vivre, je
vis, connoitre; Je connois, ”
. 2) Das Præfens ift auch. in der 3ten Conju- .
gation nicht abweichend, wann in einem Mono-
fÿllabo nur ur in oi⸗ verwandelt wird. Als vir,
Je vois. 3) Die
— —— — —
— ⸗
af s2) Dies fo Iregularia koͤnnten na ibren Conju-
gationen cingetbeilet werden. Die ite Dâtte r,
und wenn man envoyer dazu nimmt 2. (uot. 149),
Die 2te haͤtte 14. Sur 3ten wuͤrden 8 gehoͤren.
Sur aten die uͤbrigen. Da aber & v7<. cine allges
tee Flexion ſeſtgeſetzt fe Lo iR (ke LUS |
Verba Irregularis $ 198. : | 299
D Die 1te und 2te Perfon Plur. Prefentis
find nie irregulaͤr. Ausgenommen in Savoir,
deffen Imperativus aud) vom Impoftivo gemacht
wird.
4) Die 3te perf. Dur. Prefentis Indicativi
tidtet fit in 8 pois irregularibus nach der
3ten Singularis. Man. bat fie (C/cqu.) mit eis
rem Gteru (9) bezeichnet. Sie heiſſen alfo :'
ils boivent fic, trinfen ils peuvent. fie Fnnen
ils meuvent, fie betvegen ilsweulent, ‘‘mollen
ils aquierent, + erlangeh ils meurent, ; ſterben
ils vont, . « geben ils viennent, - fommen
Die Irregularia der 2ten Conjugation.
verheren (auſſer hair), die Sylbe 57 im Partici-
pio, und daher eine Sylhe im Præſente. Als
Pertant, je pars, id reife ab. |
6) Die Verba couvrir ‘und cueillir Gaben im
Præfente je couvre, id) bedecke, je cueille,
ich fammle,
7) Die Praterita abſoluta, ſo mit bem Supi-
no gleich find, als mis, je mér; priss je pris;.
ingleichen die, fo eine geringe Beraͤnderung ley⸗
den; und dem £aute nad) mit dem Supino gleidÿ:
find, ($ 176, 5.), als von dir, je dis, von cru,
je crus, werden für regulär gebalten.
8) Die Compofi ta geben nad ifren Primi-
tivis⸗ ausgenommen die meiffen Compofita von |
Dire, ferner die Compoſita pourvoir und prévoir,
von voir; wie auch prévaloir, von valoir,
Sa | $_ 199.
5
Là
280 | _F 199 Verba Trregularia. à
5. 167
Die Verba Irregularia. .
Die mit Carſiv · Schrift gedruckten Tempéra
ſind irregularia, die andern dber nidt.
4) Zwantzig Æregülaria Die fein Tem-
pus. finitum irregulare haben.
*” x Abfoudre,. abiolvant, | abfoùs,
— | loéfprecen
+ pabfous. "" j’abfolve -
| J abfolvois
KO * X |
j abfüudrai j abfoudrois
Abfoudre heißt losſprechen, bat im Sup.
= abfois ; fœm. abfoute. Alſo gehet auch Diſ-
ſoudre.
** Dieſe beyden Verba haben kein Præte-
ritum abſolutum oder ſimplex, folglich auch
kein Præſens relativum iwpoſ. oder lPræterit.
impoſitivum.
2. Circoncire, circonciſant, eirconcis
— beſchneiden.
je circoncis Je drconcifle &c: :.
3. Conclu#r, concluant, conclu.
| | ſchlieſſen.
Je conclus je conclue
je concluois
je conclus ije concluffe
je conclurai — je conclurois
Alſo auch Exclure.
E Con
… :
/
\ =
| Hrregularia. O- 6 I 99: 4) - 285 |
4. Confire, confifant ; confit. einmachen.
je confis je confife &c.
5. Connoitre, connoiſſant, connu-
FA kennen
je connoiis .‘ je connoiflée :
Je connaïflois te
.. je connus CC je connufle
Ca
je connoitrai je connoitrois
2) Die Comp. fi nb? reconnoitre, méconpoitre,
. b) Alſo geben auch: Croitre, accroitre, dé-
croitre, . Paroitre, comparoitre, difparoi-
tre, reparoitre &c.
6. Coudre, coufanr, coufu. naͤhen
je cous ..ie couſe-
je coufois |
je couſus je couſuſſe
je coudra ije coudrois,
Man fagt auch im præt, hift. je coufis. ‘
7 Die Compofita find: découdre, recoudre:
7. Croire, croyant, Cru. glauben.
je erois je croye &c. \
g. Fuir, fuyant, -ful. fliehen.
je fuis | Je fuye
: je fuyois |
e fuisß je fuiſſe
je fuirai * je fuirois
bas Compol. iſt: s'enfuir a
| Ss . ot
\
} #
287 gi 99. à) - Irregularia. 0 |
9. Lire! lifant, : lu, lefen
ie lis je life
je liſois
je lus . ‘je luffe &c.
Die Compol, find: élire, relire.
10. Mettre, mettant, mis.
, je mets | ; _je mette
. | je mettois .
jeimis * | ‘je mifle
je mettrai """ ije mettrols.
Die Comp. ſind: admettre, tommiéttre, dé-,
mettre, omettre, permettre, promettre,
rethettre, foumettre; transmettre &c.
11. Moudie, moujant, moulu. mahlen.
je mous je moule &c.
12. Plaire, plaiſant, plu.
je plais ua 0 je plaife &c,
s) Die Compol.. ſind, complaire, déplaire.
b) Alſo gebt au : fe. taire. Je me tais, je.
me taie &c.
13, Pourvoir , pourvoyant, pourvu,
verſehen.
je pourvois je pourvoye
| je paurvoyois .
aie pourvus je pourvufle
. Je pourvoïirai ...., je pourvoirois
ET * 14. Pren-
1*
F À prie d°. pm À | me. Le
Ls. Prendre. prenant. pris. fie: De
je prens | ru, Je prenne”
(Er prennent) ou CRE “si
ije prenois. hot
. je pris... : bi 4
je prendrai. ._ Je — *
Die Gompol fi find: BEN comprendie;
entreprendre, ſe éprendre; —
ſurprevdre. | | |
+ Repaire, repaifint, r
je tepais je —*
. Jorepalfois
je repus | je repuſſe
je repaitrai, ‘ je repaiciois
+ Réloudre, réane, réfolu. entr
ſchlieſſen.
je reſous "17"; ‘je rcſolee
tre 4 je réolvois - - :..° +
jerélolus :-." *:. je rélolufle
jeréfoudrai. . je réfoadrois. ‘
a 6
Rire, riant, ri. ſachen. cup
ljeris "+ té. je rie 8Cs
Das Chmpof. ift: ſobrire.
, Sufire. fufifant, fuf. gnug Cent.
je fus. :. ce File bc.
>
v*
-
: _ /
oui ect Su
LS
CS
19. Suivre, fuivant, fuivi. folgen
je ſuis je fuive
je füivois |
je ſuiviſſe
je ſuivis
je fuiviois
je fuivrai |
Die Compoſ. finb: s’enfuivre, pourfuivre.
20. Vivre, vivant, vécu.
LA vis je vive
. je vivois ——
je vécus je vécue
jevivrai .., : je vivrois
Die Compof. find: revivre, furvivre.
D Sechʒehn die Ein Tempus
irregulare haben.
(10. Im Præſente.)
21. () Boire * buvant “bu. trinken.
ils boivent OU je boive
| je buvois -
je bus je bufle
je boirai je boirois.
22. (I) Bouillir, “bouillait, bouille
je bons | je bille |
Hi Je bouillois
ije bouillis je bouillie
je bouillirai- je bouillirois
D ne. pen QC
-
a
hregularia. 1. 6. 189. D. a8s 25
(H) Dire, difint, dit. - 3
vous dites ije diſe
: je difois .
je dis WB je diſſe
je dirai : je dirois .
a) Alſo auch bas Compofitu tum Redire,
b) Das Compof. Maudire, bat im: Part, .
Maudiflant, folgtic im. pl. Pr. nous mau- :.
difions, und im Conj. je maudiffe,
c) Die Compofi ta contredire, dédire, inter. |
dire, médire, ufd prédire, machen ihr
Præſens regulariter, folglich in 2 perſ. Pl .:
| vous contredifés, dédifés &c,
. (IV) Dormir, dormant, dormi,
| : ſchlafen
je dors | je dorme
je dotmois a
"Je dotmis je dormiſſe
je dormirai ije dormirois
Die Compoſ. find: s’endormir, &c. |
. CV) Haïr, haïffant, haï, haſſen
_febais Je haiſſe
| je haïflois
je haïs se haie
je haïrai __-. je haïrois.
26. QD
A,
.286 : 4 199. b) Irregularia, 1.
26. (VD) Mentir, mentant, menti. luͤgen
Je mens je mente :
| je mentois
je mentis &c.”
\ a) Das Comp. iſt démentir Luͤgen ſtrafen.
b) Alſo gehen auch die Verba; /e Repentir,
und Sentir, nebſt deſſen compoſitis: con-}
ſentir, préfentir, reflentir,
27. (VIT) Mouvoir, mouvant, mu.
| bewegen
je meus * je meuve
(ils meuvent) |
Je mouvois
Je mus Je mufe
. je mouvrai . je mouvrois
a) Das Comp. ift émouvoir, welches qe:
braͤuchlicher, als fein primitivum.
b) Alſo gehet aud bas Imperfonale: Pleu-
voir. Il pleut, il pleuve, il pleuvoit, il .
plut, il pleuvra.
28 (VIII) Partir, partant, parti.
| abreifen
je bars . je parte
| Je pirtois |
je partis je partifle &c.
a) Die Compol. find: départir, repartir.
b) Alſo gebet auch das Verbum Sortir. befs
fen Comp. aber aflortir und reflortir find
répularia,
29. (IX)
CN " | ° 4
— I +. 199. b) 38?
29.- (IX) Servir, fervant, fervi. dienen.
Oo jefers I je ſerre J
| Je fervois ‘
je ſervis &e.
a) Alſo auch bas compoſ. defervie.
b) Das Compoſ. aflervir ift regulaͤr.
30 ) Treffilir,treffaillan, treffailli
| huͤpfen
dJe treſſaill | je trefaille
| je treffaillois
je treſſaillis je treſſailliſſe
je treffaillirai je treflaillirois
a) Man fagt auch im Fut, Je treflaillerai,
b) Alſo gebet auch afhillir, anfallen:
(6. Im Pret. bit.)
31. (XD) Ceindre, ceignant, ceint.
je ceins | je ceigné
Je ceignois
je ceignis je ceignifle
je ceindrai je ceindrois
Nach dieſem Verbo gehen: Epreindre, étein-
dre, étreindre, contraindre, reftraindre,
peindre, dépeindre, teindre, jfeindre,
craindre, plaindre, oindre, joindre, re-
Joindre, &c.
32, (XU)
_ —*
«
|’ 286 5 199. b) Irrçpularia. 1,
32. (XN) Cuire, cuifant, cuit. rot
Je cuis je cuife —
je cuiſois Lo
je cuiſia | je cuiſiſſe
, je cuirai | ‘Je cuirois :
a) Das Compof. iſt recuire. |
by Alſo gehn auch folgende Verba; Conduire
© reconduire, enduiré, déduire, induire,
introduire, produire, reduire, féduire, :
traduire, inſtruire, sonféruire » détruire,
0) Die Verba, Luire, reluire, und nuire,
geben aud nad Cuire, babeñ aber im .
Supino: ui, relui, nui, Ofners.
33. ID Ecrire, écrivant, écrit,
ſchreiben
j écris | j'écrivé
j écrivois |
Jécrivis _ J'écrivifle
J'écrirai j’ écrirois
Die Compofita find: décrire, infcrire,
préfcrire, récrire, foufcrire, tranſerire.
34 GEV) Naifre, naiffant, né, ge
bohren werden
je nais je naiſſe
ije naiſſois
. Je maquis je naquiſſe
je naitrai | je naitrois
Das Compot. ift: rénaitre,
- | 3 RVY
Irregularia, 1. 5)0) 8199. 289 |
38. (XV) Prévoir, prévoyant, prévu.
vorherſehen
je prévoye
je révoyoi :
. Je prévifle
je prévoirois
36 (XVI) Vaincre, vaincant, vaincu.
uͤberwinden.
je vaines &c. (der Fing. iſt nicht gebraͤuchl.)
nous vain quont
vous vain qués
‘ils vainquent
je vainquois
je vainquis
je vaincrai
je prévois
à .1 .
Je prévis
je prévoirai
je vainque
Je vainquiſſe
| je vaincrois
Das Compof. iſt: Convaincre,
Ph # 5 a
9 Sechs die2 Tempora Irregularia haben
(4 Im Pref. und Futur.)
37. (1) Aquérir, aquérant, aquis.. ets
Derben
j aquiers * j' aquiere
bils aquierent)
} aquérois U
j'aquis ÿ aquifle
ÿ aquerrai
ÿ aquerrois.
Die Compof. ſind: conquérit, s’enqüérir, re-
quérit.
⁊ ap. W)
4
290 Irregulario. 2. 199. c)
X
38. QD s Affeoir, s’afleyant, aſſis.
ſich mederfetzen.
Je m aſſiedd je m' aſſeye
. jé m’affeyois |
je m’aflis ije m' aſũiſe
jelm affeyerai je m'afleyerois
Diefes Verbum reciprocum wird aud) adive
gebraucht, aſſiede, ich ſetze; wie auch paf-
ſive, étre aſſis, ſitzen; je fuis fs, ich firse ꝛc.
0. CU madjeu biefes Verbum regulariter.
9. (I) Courir, courant, couru.
faufen.
fecours je coure
| je courois -
je courus je courufle
je courraï , je courrois
a) Der Infinitivus courre, ift ben der Vagd |
gebraͤuchlich. J
b) Die Compoſita find: acourir, concourir,
discourir, encourir, parcourir, recourir, :
fecourir.
40. ( IV) Cueillir, cuellane, cueilli.
fammien
je eeille, : je cueille
je cuejllois
je cueillis Je cueillife
Je cucillerai Je cueillerois
Das Compofitum ift, recueillir.
ee Ye
.
2
Irreguluria. 2. 199. 5h — 291,
(1 Im Pref: und Prer. fimpl) -
1, (V) Couvrir, couvrant, couvert,
bedecfen.
je couvre , je couvre
| je. couvrois. |
je couvris je couvrifle
je couvrirai . je couvrirois
a) Dig Compof. fiub: découvrir, recouvrir.
by) Alſo geben auch die Verba: Ofrir; Ouvrir -
"© und Soufrir, unb das Comp. entroùvrirs
S (1 Im Prat. fimp. und Futur.) :
42. (VD Voir, voyant, vu. ſehen. L
Alrlſo audy s’en aller.
je vois | . je voye
| je voyois
je vis W je viſſe
e verrai je verrois
.8) TT auch die Compof, entrevoir und re- ‘
VOIE, \
© b) Die Compofita Pourvoir und Prévoir
fiche No, 13. und 35. |
À À
d) Seche vie 3 Tempora Irrepularia haben
(4 Im Pr. ind, Pr, impof. und Fur.)
43. (1) Aller, allant, allé. geben.
je vai Gite vont) * J’ aïlla
| j'allois
j’allar j’allaffe
j'irai J'irois
2 ae )
292 6 199. d) Irregularia, 3. |
44, (D) Pouvoir, pouvant, pu. koͤnnen. |
je puis
| tu pets, —
il peut * — je puiſſe
(ils peuvent) ;
| je pouvois |
je pus | jepufle 7
. jepourrat . Je pourrois.
45. (1) Valoir, valant, valu. gelten.
je vaus oo je vaille
je valois .
Je valus È ije valuſſe
je vaudrai je vaudrois
a) Das Compofitum, Prévaloir, bat im
Præf, Impoſ. je prévale, regulariter: wie
aud das recipr. fe prévaloir.
b) Das Verbum Fair, gebet wie Valoir;
Es ift aber ein Imperfonale: ‘1 faut, il
faille, il faloit, il falut, il falût, #/ faudra,
il faudroit, und folgt allemal que, mit dem
Impoñtivo drauf. 6. 195.
46. (IV) Vouloir, voulant, voulu.
| Wollen, -
je veus * je veuille
(ils veulent)
Je voulois.
je voulus je voulufle.
fe voudrai Je voudrois
| a QNS
Irrrgularia. 3. 6 199." 4) 293
(Im Præſente. Pret. fnpi, und Fur.)
47. (V) Venir, venant venu. fommen,
, …jeviens * | je vienne
S (ils viennent) B
je venois
je vint je vinſſe I
je viendrai ije viendrois
2) Die Compofita find: Contrevenir, con-
venir, disconvenir, devenir, intervenir,
parvenir, prévenir, provenir, revenir, fe
fouvenir, fe reflouvenir, fubvenir, (Ave-
mir ift nue in der 3ten perf gebraͤuchlich;
il avient &c.)
| b) Alſo gebet auch Tenir, nebſt beffen com: .
poſitis: s’abftenir, contenir, détenir, en-
tretenir, maintenir, obtenir, retenir, fou- ..
tenir, apartenir,
48. (VD Mourir, mourant, mort.
erben.
| je meurs * , je meure
(ils meurent) |
, Je mourois
jemourus | je mourufle
= jemourraë" : je mourrois .
RX sx
Ts - 490
294 $ 199: o) Irregularia. 3
I
4 zwey die À Tempora Irregularia haben.
49. @ Faire, faifant, fait. machen.
vous faites | | ;
ils font "je folle
; je faifois | W
e ſie je fiſſe
je ferai Je ferois
A
:
Es _ "S
Die Compoſita find ; coïtrefaire, défaire, re
faire, fatisfaire , furfaire,
50. (ID) Savoir, fachant, fu. wiſſen.
je fais &c. | |
nous favons &c. je facbe *B
Je favois
je fus | je fuffe
Je faurai je faurois.
Nota: Dieſes Verbum ift bas einzige, in
welchem die 1te perf. plur. und das Praſ.
relat. irregul. find. Es bat aud einen
Imperativum irregulafem! ſache, facons,‘
fachës.
% # ie
ee De
Regiſter der Verb. — (A 199- 5.
f) Regiſter uͤber die Verba
_frregularia.
Die Ziffer zeiget die vor den Verbi⸗
s L
… Asruére losſprechen r
ä *abftenir, fic enthalten 47
-accroitre, zunehmeu
acourir, zulaufen
admettre, zulaſſen
aller, qeben, reifen
s’en aller, weggehen
apartenir, zugehoͤren
5
39
10
43
43
47
aprendre.fcrnen,erfabren 14
aquérir, erwerben
aſſaillir, anfallen
37
30
s' aſſeoir, ſich niederſetzen 38
aſſervir, dieuſtbar machenr9
aſſortir, zuſammen bring. 28
avenir, geſchehen
boĩire, trinken
bouillir, ſieden
ceindre, guͤrten
circoncire, beſchneiden
commettre, begehen
47
21
22
31
2
10
comparoitre, erſcheinen 5
complaire, gefallen
comprendre, begreifen
Cconchure, ſchlieſſen
concourir, beytragen
12
14
3
11
” conduire, fübren,Jeiten 32
confire,în Zucker einmach.4
connoitre , kenuen
conquérir, erobern
LS
LS
ÿ
37
angemerkte Nummer.)
conſentir, einſtimmen 26
eonſtruire, bauen
contenir. enthalten
contraindre, zwingen 31
contredire widerſprechen: 3
contrefaire, nachmachen 49
contrevenir, zuwider han⸗
deln
cuire, Foden
découdre , trennen
découvrir, entdecken
décrire, beſchreiben
décroitre, abnehmen
32
47
47
convaincre, uͤberzcugen 36
convenir,fid) vergleichen 47
coudre naͤhen 6
courir, laufen
couvrir, hedecken
craindre, fuͤrchten
croire, glauben
croitre, wachſen
cueillir, ſamlen, pfluͤcken 40
39
41
31
7
5
32
6
41
33
$ .
fe dédire, widerrufen 23
déduire, ab ehen ablei⸗
fen
défaire, abmachen
démentir, Luͤgen ffrafen 26
démettre, abſetzen, ver, :
& 4
renken
32
49
10
dé.
LL *
296 Regiſter der Vorb, Irreg. $ 199. f) |
départir, augtheilen 28.
fe départir, abtreten 28
dépeindre, abmalen 31
déplaire, miffallen 12
deffervir, fpeile abtragen 29
détenir, zuruͤckhalten 47
détruire, gerffüren 32
devenir, werden #7
dire, fagen L
disconvenir, nicht eins os
diféourir, Geſpraͤch alter
39
difparoitre, verſchwinden s
difloudre, aufldfen: :
dormir, ſchlafen 24
écrire, ſchreiben 33
élire, erwaͤhlen 9
émouvoir, bewegen 26
encourir. fi ch zuziehen 39
s * endormie, einfchlafen 24
enduire, überftreichen 32
s’enfuir, entflichen 8
s’enquérir, nachforſchen 27
s’enfuivre, baraugfolgen to
entreprendre, unterneh⸗
men 14
entretenir, unterbalten 47
entrevoir, erbliden 42
entéouvrir ; pale aufinas
41
| épreindre, adrien 31
éteindre, ausuͤfchen 31
étreindre, zuſammen zie⸗
hen 31
exclure, augflieffen +
faire, machen „thun 49
faloir, muͤſſen
feindre, ſich ſtellen
‘fuir, flichen ‘8
haïr, haſſen sf
induire, bineinffibren 32
infcrire, cinf@reiben 33
inftruire, unterrihten 32
interdire, unferfaacn 23
intervenir, dazwiſchen
| kommen 47
introduire, einfuͤhren 32
joindre, fuͤgen ꝛc. 31
lire, leſen 9
luiré 4 leuchten 33
maintenir, bandhaben 47.
maudire, verfluchei 23
meconnoitte nicht erken⸗
nen ꝛc. ÿ
médire, del reden 23
mentir, lügen 26
fe méprendre, fid verſehen
14
mettre, ſetzen, legen, ſtel⸗
len ꝛc. 10
moudre, mahlen, (in der
Muͤhle) 11
mourir, ſterben 48 ”
mouvoir, beivegen 27
naître, gebohren werden 34
nuire, {haben 32
obtenir, erbalten 47
ofrir, anbieten 4t
oindre, falben . 31
omettre, auslaſſen 10
ouvrir, Sfnen, aufmachen
41
parcourir, durchlaufen 39
——
? e .* \ | ‘ v t
Regiſter der Verb. Irreg. 1 99. f) ‘297
paroître, {cheinen . - s
partir, abreijen ’ ‘© 28
- parvenir, gclangen 47
peindre, mablen, abmab-
- len 3:
permettre, erlauhen yo
plaindre, beflagen 31
plaire, gefallen 13
pleuvoir, reguen 27
pourfuivre, fortfabren, ver⸗
foluet » 19
pourvoir, verſehen 33
pouvoir, foͤnnen
| " 44
prédire, zuvorſagen 23
prendre , nehmen 14
- préfcrire, vorſchreiben 33
préfentir, vorhermerken 26
prévaloir, überlegen ſeyn
45
fe prévaloir, ſich zu Nutze
machen 45
prévenir zuvorkommen 47
prévoir, guvorfeben 35
produire bervorbringen 3 2
promettre, verfprechen 10
provenir, herkommen, ent⸗
ſtehen ꝛc. 47
reconduire, wieder zuruͤck
fuͤhren 32
reconnoitre, erÉennen s
recoudre, wieder nâben 6
recourir, zuflucht nebs
men ꝛc. 39
recouvrir, wieder bedecken
| 41
récrire, wieder ſchreiben 33
recueillir, ſammlen 40
recuire, wieder kochen 32
redire, wieder ſagen ꝛc. 23
reduire, dahin bringen, -
zwingen “32
refaire, wieder machen 49
rejoindre, wieder anfugen,
cinbolen., 31
relire, wieder leſen 9
reluire, glaͤntzen 32
renaitre, wieder entſtehen
34
ſe rendormir, wieder ein⸗
fhlafen : ‘24
repaitre, ſpeiſen, weiden
14
reparoitre, wieder erſchei⸗
nen (S
repartir» antworten, ver⸗
fetzen ꝛc. 28
fè repentir, bereuen - 16
reprendre, wieder nebs
men 14
requerir, erfüchen 37
reflortir, tvicder ausgehen
28-
réfoudre, entſchlieſſen, auf.
loͤſen àc, 16
reflentir, empfinden 26
fe reflouvenir, ſich errin⸗ :
nern 47
reſtreindre, einziehen c. 31
retenir, zuruͤck halten 47
revenir, wiederkommen 47 |
revivre; wieder aufleben 20
revoir, wieder, ſehen 42
rire, lachen 17
fatisfaire, gnugthun l49
&s |
as
298 Regiſter der Verb. Irreg.
ſavoir, wiſſen 50
ſecourir, beyſtehen 39
féduire, verfuͤhren 32
ſentir, fuͤhlen, riechen ꝛc. 26
ſervir, dienen 29
ſortir, ausgehen 28
ſoufrir, leiden, erdulden 41
ſoumettre unterwerfen 10
fourire, laͤcheln 17
foufcrire, unterfreiben 33
foutenir, unterſtuͤtzen, be-
baupteit 47
fefouvenir, fih errin⸗
| nern ꝛc. 47
ſubvenir, zu Huͤlfe kom⸗
men 47
ſußre, gnug'ſryntꝛce. 18
19
49
(.
fuivre, folgen
furfaire, uͤberbieten
$ 199. f)
furprendre, dberfallen sc.
14
furvenir, drauf ju kom⸗
| men a47.,
futvivre, überleben 20
fe taire, ſchweigen 12
teindre, fârben 31
tenir, balteu 47
traduire, fibcricéen 32.
transcrire, abichreiben 33
transmettre, uͤberlaſſen 10
treſſaillir, huͤpfen vor
Freunden 30
vaincre, uͤberwinden 36
valoir, gelten, wehrt ſeyn 45
venir, kommen 47
vivre, leben 20
voir, ſehen 42
vouloir, wollen
200.
NB. «) unten flehen die Tempora die irregu-
laͤr find, und aubere Anmerkungen, na den
Rummern die die Verba vor ſich haben.
b) Die mit Curſiv-Schrift gedruckten
Endungen des Supini zeigen an, daß das
Præteritum abſolutum dem Laute nach uicht
damit ubereinſtimme, ſondern irregulaͤr ſeh.
A) Die so. Har upt⸗Verba irregularia.
in Alphabetiſcher Ordnung.
Infinitivus. Participium. Supinum. Temp. irr.
1. Abſoudre, abfolvant,
abſous. o. losſprechen
1. | Abioudre, und Diffoudre haben fein Præ-
teritum abfolutum.
\
LA
Irregularia ate Tab. § 200, 4) 299 . [
. Anfinitivur. Participium, Supinum. Temp. irr.
2. Aller, allant, allé. 3. geben
3. Aguérir, aquérant, aquis, 2. erwerben
4.5 Aſſeoir, s’afleyant, aſſis. 2. fit) ſetzen.
5. Boire buvant, bu. 1. trinken.
6. Bouillir, bouillant, bouilli. 1. ſieden.
7. Ceindre, ceignant, ceint. 1. guͤrten.
8. Circoncire circonciſant circoncis o. beſchneidẽ
9. Conclure, concluant conclu o. beſchlieſſẽ
“10.Confire, confifant, confit. o.einmad)en *
11. Connoitre, cpnnoiſſant connu. . ©. kennen
12. Coudre, coufant, coufu. ©, naͤhen.
L | ° J3e
———— — —
ö
2. Præ/. Je vai, tu vas, il'va, n. allons, v; .
allés, ils vont. Præſ. impof, j'aille. Fur. |
Jirai Iſt ein Neutro- paflivum, je ſuit
allé Se. |
3. Praf.ÿ aquiers G- aquierent)Put. ÿ aquerrai.
4. Praf. je m'aflieds. Fur, je m’afleyerai,
5. Die te Perſ. pluralis, ils boivent, |
6, Praf, jebous.
7. Pret. abf. | je ceignis.
21
NB. Hiernach gehen alle Verba in eindre,
aindre und vindre.
10. Einige ſetzen im Partibipio confiffant,
12. Man faget im Pres, abf. fo wobl je cou-
fis als je coufus.
13. Praf. je cours. Fur. je courrai, Iſt ein
Neutro - Activum: Jai couru, ich Gin LS |
Jaufen, .
\ 1, E
300 | 200. À) —** te. Tab,
_Anfinitivus. Participium. Supinum. Temp. ire.
13. Courir, couränt, couru 2. lauffen.
14. Couvrir, couvrant, couvers. 2, bedecken.
15. Croire, croyant, cru o.glaüben.
16. Cueillsr, cueillant, cueilli. 2. fammlen…
17. Cuire, cuifant, cuit, 1.fochen,.
18. Dire, diſant, dit, : 1. ſagen.
19. Dormir, dormant, dormi. i. ſchlafen.
20. Ecrire, écrivant, écrit. 1. fchreiben
| a Envoyer, envoyant, emmvoyé. 1, ſchicken.
22. Faire, 7 foifant, fuit. 4 machen.
| 2. Fuir, fuyant, fui . o.flicben
24. Haïr, haïflant, hai. 1. haſſen.
25. Lire, liſant, lu. o.lefen.
26, Méntir, mentant, menti ° 1, luͤgen.
27.
13. Praf, je cours. Fur, je courrai. . ft din ein
Neutro - A@iv, J'ai couru, id bin gelaufen.
14. Præſ. j Je couvre. Pret. abſol. je couvris.
_ 16. Praf. je cuciile, Fut, je cueillerai ;
17. Pret abfol. je cuiïfis. Alſo werden alle
Verba in uire conjugiret.
18. Die 2te Derf. pur. Vous dites.
19. Praf, je dors.
20. Prat. abfol. j écrivis.
21. Fut. j enverrai, Gen einigen j’envoyerai.
22. Pref, Te fais, tu fais, 1l fait, nous
faifons, vous faites, il font. Pra]. impof. j je
fafle. Pret. ab{ol, je fis. Fut. je ferai,
24. Praf. j je hais, tu hais, il hair,
26. 24. je mens.
‘ : !
“tié ‘a —
_
Infinitivus. Participium. Supinum. Temp. irr,
17, Mettre, mettant, mis. o. ſetzen.
28, Moudre, moulant, moulu. o. mahlen.
29. Mourir, mourant, mort. 3.ſterben.
30. Mouvoir, mouvant, mu. 1. bewegen
3 1. Naitre, haiflant, . né 1.gèb.m
32. Partir, : partant, parti., 1. àbréifen .
33, Plaire, plaiſant, plu. 0. gefallen
34. Pouvoir, pouvant, pu. 3 koöͤnnen.
35. Pourvvir, pourvoyant, pourvu. o. verſehẽ
36. Prendre, prenant, pris. ornehmen
37.Prévoir, prévoyant, prévu. 1. vorherſ.
38. Reſoudre, tefolvant, réſolu. 6 entſchlieſſen
39.
s 2* ü et —— —
28. Moudre, heiſſet mahlen in der Muͤhle,
peindre, malen tie die Maler. |
"29, Pref. je meurs, (ifr meurent), Prat, abj.
. je mourus. Fur, je mourrai. Iſt ein
Verbum Neutro-pañlivum. Perf. je fuis
mort. &c. | : |
30. Præſ. je meus. (ilr meudent). Alſo aud)
Pleuvoir, Il pleut. |
31. Prat abf. je naquis. Iſt ein Verb. neu-
tro-pallivum. Perf, je fuis né, &c.
. 32. Præſ. je pars. Iſt ein Neutro- paſſi-
vum, Perf. je fuis parti. +
"34 Præſ. je puis, tu peus, il peut, nous
pouvons, “vous pouvés, ilt peuvent, Prafs
impof. je puille, Fut. je pourrai,
* 37. Pret, abfol, je prévis.
294. $ 199. 9 —X 3. |
e) ʒwey die 4 Tempora Irrepularia fase:
49. @ Faire, faifant, fait. machen.
vous faites \
ils font 7 je folle
; je failois. : ,. ‘”
jeff ! je fifle
je ferai | Je ferois
Die Compof ta find; contrefaire, défaire, re·
faire, fatisfaire , furfaire,
5 (11) Savoir, fachant, fu. wiſſen.
je fais &c. |
nous favons &c. je ache “
Je favois |
je fus | Je ſuſſe
dJe faurai . je faurois.
Nota: Dieſes Verbum ift das eingige, in
welchem die 1te perf. plur. und das Pre.
relat. irregul. find. Es bat auch einen
Imperativum irregulafem? ſache, fachons,
fachés.
WU #5 Ji
ar
Regiſter der Verb. Irreg. G. 199. f).
Es
0
« #
29$
f) Regifter über die Verba
. Jrregularia. |
(Die Ziffer zeiget die vor den Verbis
angemerËte Nummer.)
À foudre. losiprehen r
s’abftenir, fich enthalten 47
-accroitre, gunelHmcit 5
acourir, zulaufen 39
admettre, gulaffen 10
aller, qehen, reiſen 43
s'enaller, twegachen 43
apartenir, zugehoͤren 47
aprendre.fcrnen,crfabren 14
aquérir, erwerben 37
aſſaillir, anfallen 30
-_ s’affeoir, ſich niederſetzen 38
affervir,dicufibar machen29
aſſortir, ʒuſammen bring. 28
avenir, gejeben . 47
boire, frinfen 21
bouillir, ſieden 22
ceindre, guͤrten 3r
circoncire, beſchneiden 2
commettre, begehen 10
comparoitre, erfcinen 5
complaire, gefallen 12
comprendre, begreifen 14
conclure, ſchlieſſen 3
concourir, beytragen 11
conduire, fuͤhren, Jeiten 32
confire in Zucker cinmach.4
connoitre, kennen 5
conquérir, erobern 37
conſentir, einſtimmen 26
eonftruire, bauen 32
contenir, enfhalten 47
contraindre, zwingen 31
contredire widerſprechen: 3
contrefaire, nachinachen 49
contrevenir, zuwider han⸗
deln 47
convaincre, uͤberzeugen 36
convenir, fi vergleichen 4
coudre, nâben
courir, laufen 39
couvrir, hedecken 41
craindre, fuͤrchten 31
croire, glauben 7
croitre, tvadfen
cueillir, ſamlen, pfluͤcken 420
cuire, kochen 32
découdre, trennen 6
découvrir, entdecken 41
décrire, befhreiben 33
décroitre, abnebmien s
fe dédire, tiberrufen 23
déduire, abiieben , ableis
ten 32
défaire, abmachen 49
démentir, Rügeu ſtrafen 26
démettre, abſetzen, vers :
& 4
renken 10
de-
. s
f' .
296 Regiſter der Vorb Irreg, $ 199. f) 1
départir, augtheilen 28
fe départir, abfreten 28
dépeindre, abmalen 31
déplaire, miffallen 12
deffervir,{peiie abtragen 29
détenir, zuruͤckhalten 47
détruire, gerfidren
devenir, werden 47
dire, fagen .: 23
disconvenir, nicht eins fepn
+ 47
diféourir, Gefprâch balten
nn 3
9
difparoitre, verſchwinden s
difloudre, aufild{en : 1:
dormir, ſchlafen 24
écrire, ſchreiben 33
élire, erwaͤhlen 9
émouvoir, betbegen 26
. erçourir, ſich zuziehen 39
s’endormir, einfchlafen 24
enduire, ÿberftreichen 32
s’enfuir , entfliehen 8
s’enquérir, nachforſchen 27
s’enfuivre, darausfolgen 19
entreprendre, unterneh⸗
men 14
entretenir, unterbalten 47
entrevoir, erblifen 42
entrouvrir, balb aufina:
__: den 41
épreindre, ausdruͤcken 31
éteindre, ausloͤſchen 31
étreindre, zuſammen zie⸗
en 31
exclure, augflicffen +
faire, machen ,tbun 49
32
: faloir, müffen 4$:
feindre, fit ſtellen 31
fuir, flichen "8
haïr, baffex . ss
induire, bineinfüibren 32
infcrire, cinfreiben 33:
inftruire, unterriten 32
interdire, gnferfagen 23
intervenir, dazwiſchen
kommen
introduire,
joindre, fuͤgen ꝛc. 31
lire, leſen
luire, leuchten 32
maintenir, bandbaben 47.
maudire, berflucheti 23
méconnoirre, nicht erken⸗
nen ꝛc. 5
médire, uͤbel reden 23
mentir, luͤgen 26
fe méprendre, ſich verſehen
47
14
mettre, ſetzen, legen, ſtel⸗
cinfübren 32
Len ꝛc. 10
moudre, mablen , (in der
, Müble) 14
mourir, fferben 48 ”
mouvoir, betvegen 27
naître, gebohren werden 34
nuire, ſchaden 32
obtenir, erhalten 47
ofrir, anbieten 4t
oindre, falben 31
omettre, auslaſſen 10
ouvrir, Dfnen, aufmachen
| at
parcourir, durchlaufen 39
—
Regiſter der Verb. Irreg. $ 199. f) 297
paroître, {deinen . . 5
partir, abreijen ! 28
parvenir, gclangen 47
peindre, mablen, abmab-
- {en 31
permettre, erlauhen vo
plaindre, beflagen 31
plaire, gefallen . 12
pleuvoir, regnen 27
pourſuivre, fortfahren, ver⸗
| foluert » 19
pourvoir, verſehen 33
pouvoir, koͤnnen44
prédire, zuvorſagen 23
prendre, nebmen 14
- préfcrire, vorfbreiben 33
préfentir, vorhermerken 26
prévaloir, übcrlegen ſeyn
45
fe prévaloir, ſich su Nutze
machen 45
prévenir, zuvorkommen 47
prévoir, guvorfeben 35
produire bervorbringen 3 2
promettre, verſprechen 10
provenir, herkommen, ente
ſtehen ꝛc. 47
reconduire, wieder zuruͤck
fuͤhren 32
reconnoitre, etÉennen fs
recoudre, wieder nâben 6
recourir, zuflucht nebe
men ꝛc. 39
recouvrir, wieder bedecken
41
récrire, wieder ſchreiben 33
recueillir, ſammlen 40
T5
recuire, wieder kochen 32
redire, wieder ſagen ꝛc. 23
dahin hringen,
reduire,
+ gmingen : “32
refaire, wieder machen 49
rejoindre, wieder aufugen,
cinbolen, 3x
relire, wieder leſen 9
reluire, glaͤntzen 37
renaitre, wicder entſtehen
34 :
fe rendormi, wieder ein:
fchlafen : 24
repaitre, ſpeiſen, weiden
14
reparoitre, wieder erſchei⸗
nen
repartir, antworten, ver⸗
feéen ꝛc. 28
fè repentir, bereuen : 16
reprendre, wieder nebs
men 14
requerir, erſuchen 37
reflortir, wieder ausgehen
28-
réfoudre, entſchlieſſen, aufs
loͤſen Ce 16
reflentir, empfinden 26
fe reflouvenir, ſich errin⸗
nern 47
reftreindre, einziehen ꝛc. 3 r
retenir, zuruͤck halten 47
revenir, wiederkommen 4a7
revivre; wieder aufleben 20
revoir, wieder, feben - 42
rire, lachen 17
fatisfaire, gnugthun l49
ae
1
298 Regiſter der Verb. Icrreg. § 199. 9
furprendre, aͤberfallen ie,
favoir, wiſſen 50
ſecourir, beyſtehen 39
féduire, verfuͤhren 32
ſentir, fuͤhlen, riechen ꝛc. 26
ſervir, dienen 29
ſortir, ausgehen 28
ſoufrir, leiden, erdulden 41
ſoumettre unterwerfen 10
ſourire, laͤcheln 17
foufcrire, unterihreiben 3 3.
foutenir, unterffüéen, be:
baupteu © 47
ſe fouvenir, fi ch errin⸗
nern ꝛc. 47
| fübvenie, zu Huͤlfe Fum-
men 47
ſufire, gnug:frpnle, 18
fuivre, folgen 19
furfaire, uͤberbieten 49
g.
14
furvenir, brauf zu kom⸗
„men 47
furvivre, uͤberleben 20
fe taire, ſchweigen 12
teindre, faͤrben 31
tenir, balteu 47
traduire, übcricéen 32
transcrire, abſchreiben 33
transmettre, uͤberlaſſen 10
treſſaillir, haͤpfen vor
Frenden 30
vaincre, uͤberwinden 36
valoir, gelten, wehrt ſeyn 4$
venir, kommen 47
vivre, leben :, 2e
voir, ſchen 42
vouloir, wollen 46
200.
NB. 4) unten ſtehen die Tempora die irregu-
laͤr ſind, und andere Anmerkungen, nach den
Nummern die die Verba vor ſich baben.
b) Die mit Curſiv-Schrift gedruckten
Endungen deg Supini gcigen an, daß bag
Præteritum abſolutum dem Raute nad nicht
damit aͤbereinſtimme, ſondern irregulaͤr ſey.
A) Die so. haupt⸗Verba irregularia.
in Alphabetiſcher Ordnung.
Infinitivus. Participium. Supinum. Temp, irre
1. Abfoudre, ahſolvant,
. abfous, o. losſprechen
1. Abioudre, und Diffoudre haben Fein Præ-
teritum abſolutum.
“Irregularia 2te Tab. $ 200 4 299 J
Infſinitivus. Participium, Supinum, Temp, irr.
2. Aller, allant,. allé, 3. geben
3. Aquérir, aquérant, aquis, 2. erwerben
4.5 Aſſeoir, s’afleyant, aflis, 2,. fi fegen:
‘s.Boire : buvant, ‘ bu. 1.trinfen.
6. Bouillin, bouillant, bouilli. 1. ſieden.
7. Ceindre, ceignant, ceint. 1. guͤrten. ⸗
8. Circoncire circonciſant circoncis o. beſchneidẽ
9. Conclure, concluant conclu o, beſchlieſſẽ
“10.Confire, confifant, confit. o.einmad)en :
11. Connoitre; cpnnoiflant connu... 0. fennen
12. Coudre, coufant, couſu. 0, naähen.
J | 13e —
#
2. Praf. je vai, tu vas, il va, n. allons, vi .
allés, ils vont. Præſ. impof. j'aille. Fur.
j irai. Iſt ein Neutro - paſivum. je fuis
alle &c.
3. Præſ. aquiers lil⸗ aquierent)Put.ÿ aquerrai.
4. Praf. je m’aflieds. Fut. je m’afleyerai,
5. Die te Perſ. pluralis, ils boivent, |
6, Praf, je bous,
7. Prat. abf. j je ceignis. .
NB. Hiernach gebeu alle Verba in cindre,,
aindre unb citidre. |
10, Ginige fegen i im Partilipio confiffant.
12. Man faget im Prer, abf. fo wobl je cou-
fis als je coufus.
13. Praf. je cours, Fut. je courrai. Iſt ein
Neutro - A&tivum: Jai couru, ich bin We⸗ |
Jaufen, .
\ ’
300 $ 200..4) Irregularie, 2tg Tab,
Infinitivus. Participium. Supinum. Temp. irr.
13.Courir, Couränt, couru 2,lauffen.
14. Couvrir, Couvrant, couvert. 2, bedecken.
15.Croire, croyant, cru. ©. glauben.
16. Cueillir, cueillant, cueilli. 2. ſammlen
17. Cuire, cuiſant, cuit, 1.fochen,
18. Dire, difent, dit, : I fagen. -
‘19. Dormir, dormant, dormi. i. ſchlafen.
io.Ecrire, . écrivant, écrit. 1. ſchreiben
21. Envoyer, envoyant, envoyé. 1, ſchicken.
22. Faire,” faifant, : fait. 4. machen.
23. Fur, fuyant, fui, . o.flichen
24. Hair, haïflant, hai. 1. haſſen.
2ç.Lire, liſant, lu. o. leſen.
26. Mentir, mentant, menti : 1. luͤgen.
| 27.
13. Pral. je cours, Fut, Je courrai, . ft ein ein
Neutro-Acdiv. j'ai couru, id bin gelaufen.
34. Praf.je couvre. Pret. abfol. je couvris,
16. Pref. je cuciile, Fut. je cueillerai ;
17. Prat abfol, je cuiſis. Alſo werden alle
Verba in uire conjugitet. |
18. Die 2te Perf. plur. Vous dites,
19. Praf, je dors.
20. Prat. ab{ol. ÿ écrivis.
21, Fut. j'enverrai, ben einigen j’envoyerai.
22. Præſ. Te fais, tu fais, il fait, nous
faifons, vous faites, il font. Praf. impof, je
fafle. Pret. ab{ol, je fis. Fut. je ferai,
24. Praf. j je hais, tu hais, il hait.
26. ra je mens.
æ
Irregularia. ate Tab. $ 200. 4) 301
Infinitivur. Participium. Supinum. Temp. irr.
7. Mettre, mettant, mis. o. ſetzen.
28, Moudre, moulant, : moult. o. mahlen.
29.Moùrir, mourant, mort. 3. ſterben.
0. Mouvoir, mouvant, mu. 1. bewegen
pr. Naitre, nailſant, né 1. geb. w.
32. Partir, partant, parti. 1. abreiſen
33. Plaire, plaiſant, plu. o. gefallen
34.Pouvorr, pouvant, pu. 3: koͤnnen.
35. Pourvoir, pourvoyant, pourvu. o. verſehẽ
36 Prendre, prenant, pris. onehmen
37. Prévoir, prévoyant, prévu. 1. vorherſ.
38-Réfoudre, reſolvant, réſolu. o enſſchlieſſen
39.
hr hé ee dsonae that —
28. Moudre, heiſſet mahlen in der Muͤhle,
peindre, malen tie die Maler,
29. Pref. je meurs, (ilt meurent), Prat, abj.
je mourus. Fut. je mourrai. ft ein
Verbum Neutro-paflivum., Perf. je fuis
mort, &c. |
30, Praf. je mes. (#2: meuvent), Alſo aud)
Pleuvoir, Il pleut. |
31. Prat abf. je naquis. ft ein Verb. neu-
tro-pallivum,. Perf, je fuisné, &c
32. Praf. je pars. Iſt ein Neutro - paſſi-
vum, Perf. je fuis parti. +
‘34 Præſ. je puis, tu peus, il peut, nous
pouvons, vous pouvés, ilt peuvent, Præſ.
impof. je puille, Fur. je pourrai.
” 37. Prat, abfol, je prévis.
\ ‘ | {
302 ç: 2C0. À) lrregularia. até Tab. ON
14
Infinitivur. Participium. Supinum. Temp. irr.
39. Rire, riant, © ri. o. lachen.
40.Savoir, -fachant,, fu. 4. wiſſen.
A1. Servir) fervant, ſervi. 1, dienen.
42. Sufire, fufifant, fuf. ognug ſeyn
, 43. Suivre, ſuivant, ſuivi. o folgen.
44. Treſſaillir, treſſaillant, treſſailli r hüpfen.
45. Vaincre, vainquant, vaincre, 1. uͤberwin.
46. Valoir, valant, valu. 3. gelten.
47. Venir, venant, venu. 5.fommen
48. Vivre, vivant, vécu, o leben.
49. Voir, . voyant, vw. 2.ſehen.
50. Vouloir, voulant, voulu. 3. wollen.
B) An⸗
— — — —
40. Praf. je fais, tu fais, il fait, nous ſuvons
&c. Praæf, impof. je fache, Pref, relat, je
favois. Fut, je faurai, Sat au einen Impe-
rativum Irregularem, fiche, ſachons, fachés,
41. Praf, je fers.
44. Praf. je treflaille,
45. Prat. abf. je vainquis.
46. Praf, je vaus. Præ/. conj. je vaille, Fur.
je vaudrai, .
47. Praf, je viens, tu viens, il vient, n.
venons, v. venés, ils viennent. : Preter,
abfol. je vins, Fur, je viendrai, Iſt ein
Neutro-paflivum. Je fuis venu, :
49. Prat, abfol, je vis. Fur, je verrai.
5°. Praf. je veus, tu veus, il veut, n, vou-
lons, vs voulés, fr veulent. Præſ. impof.
Je veuille, Fur, je voudrai, ..
?
Iregularia $ 200. B) 303
Indere Verba mebr entheils, Primitioa ir-
gularia, die nach andern vorſtehenden
gemacht werden. |
| Nro.
ffaillir, anfallen, wie Treſſaillir 44
onduire, fuͤhren - Cuire 17
onquérir, eroberi, Aquérir 3
ontraindre, gwingen,. - (Ceindre 7
raindre,, fürchten, - Ceindre 7
oitre, wachſen, — Connoïtre 11
iſſoudre, aufloͤſen, Abſoudre. 1
ire, erwaͤhlen, — Lire1865
eindre, austôfen, - Ceindre 7
xclure, ausflieffen, - Conclure ‘9
aloir, pf. muͤſſen, — Valoir -46.
cindre , ſich ſtellen/ - Ceindre 7
ftruire, unterrichten, — Cuire 17
troduire, einfüibren, :- Cuire 17
dindre, fügen, ‘ - (Ceindre - 7
uire, fheinen, - Cuire. - - 17
Vuire, fbadeu, : - - Cuire, 17
frir , anbieten, = Couvrir: 14
Ouvrir, : aufmachen, :- Couvrir 14
’aroitre, erfhcinen, - Connoitre 11
’eindre, malen, - Ceindre 7
22.
J
15. Luire und Nuire gehen zwar nach
Cuire, und haben im Pres. abfol. je luifis,
je nuifis. Im Supino aber baben fie kein
t, Luire, luifant, lui, Nuire, nuifant,.nut.
À
— | ci. A |
304 $200. B) Irreg. & Defééliva.
22. Plaindre, : : beklagen, Ceindre 7
Pleuvoir, Imp. regnen, - Mouvoit 30
. Reduire, ÿwingen, - Cuire : 17
2 Repaitre, foeifen, —- Connoitre 11
26, fe repentir, - bereuen, - Memtir , 26
#7. Sentir, füblen - Mentir . 26.
28. Sortir, ausgeben - Partir 32 *
29. Soufrir, leyden - (Couvrir 14
30. fe Taire, fchtwetgen, - Plaire 33
31. Teindre, fârben, ‘- Ceindre. 7
32 Tenir, halten, - Venir 47
| 63)
§. 201.
B.
Verba Defectiva.
a) Verba Defediva find ſolche welche nicht
alle Modos, Tempora und -Terfonen haben.
Von denen hiernaͤchſt angefuͤhrten, werden Die
meiffen gar felten qebrautt, und fommen im⸗
mer mebr und mebr ab; denn es find mebren:
theils veraltete Verba, an beren Stelle andere
aufqefommen, wovon aber noch etwa ein Mo-
dus oder Tempus gebraͤuchlich iſt.
b) Pier
et
(153) Revêtir, revétant, revêtu, bekleiden, iſt
auch irregulûr; es gehet zwar nach dem Defectivo
vétir bat aber alle Tempora. Es iſt irreg. in 2.
Temporibus : Pref. je revêts, Pret, abfolur.
je revêtis.
T
;
F- ’ ’
— — J
on | Verba Defectiva. Gior 306
5) Hier folgen die gkbraͤuchlichſten:
1. Ouir, hoͤren, Sup. ouï, kommt nur im
. Anfinitivo, Præt. abſoluto, und in Tempori-
bus compoñtis mit dem Infinirivo Dire { ſelten
mit parler und raconter) vor, Als: j' ai oui
dire, id babe fagen hoͤren. Sonſt ſagt
man entendre. ; :
2, Paitre, paiflant, weiden, In Temporibus
fimplicibus wird es nod ben Jaͤgern und
Schaͤfern gebraucht: Je pais, je paiſſois, j Je
je paitrois. Auch ben Imperativum
ſindet man: Pais mes brebis, weide meine
Schaafen Das Compofitum repaitre ſ ehe
202, 6) 4.
3. Querir, holen. Iſt nur im Infinitivo mit
ben Verbis aller, venir, envoyer , (faire),
gebraͤuchlich. Als: allés querir votre livre,
holet euer Buch; venés querir votre argent,
kommt und bolet euer Geld ab;'envoyer
oder faites querir du. vin, laffet Wein holen.
4. Ravoir iſt nur im Infinitivo: gebraͤuchlich.
Als voulés-vous ravoir votre livre? Wollet
ihr euer Buch wieder baben :
5. Seoir fommt in der Bedeutung ſitzen, nur
im Stylo curiæ, und zwar felteu, vor. Aber
in der Bebeutung wohl fteben, wohl ans
fteben, wird es in ben dritten Perſonen ges
braucht, aud) émper/onaliter, bat aber als:
dann feinen Infinitivum, fein Præt. abfolut.
und feine Tempora compoſita. Hat im Par-'
u tici-
. + ;
‘ 506 2 $ 20r. 202. Verba Defeéfiva,
ticipio féant, zuweiſen féyant. Pre. il fied,
ils fiéet ; Praf. relat. il feyoit, ils ſeyoient;
Futur. il fiera, ils fiéront; ſuppoſitivus il fié-
toit &c.
6. Vétir, vêtant, vêtu, kleiden gehet wie Re-
vdtir P ſupra not, 153.) Præſ. je vêts; Præt.
abſol je vêtis, die übrigen Tempora regula-
riter; wird aber nebft dem Compofi to devé- :
tir, auskleiden, nur felteu, in T'emporibus
compofitis etwas ôfter gebraucht. Man fagt
s habiller, ober mettre un habit,
§. 202: °
) Die übrigen Verbe defeiva ſi nd for:
. gende;
7. Accroire,. nut im Infinitivo: mit faire. En
faire accroire, weiß machen, aufbürden,
il s’en fait accroire, er bildet fich was ein,
8. Aparoir, erſcheinen. Man fagt nur il apa-
roit, und imperfon, il apert, es erbellet,
9. Bruire, bruyant, braufen, an findet
bruyoit,.uud bruyoient.
10. Choir odet cheoir, fallen, Sp. chu. Man
fagt jebt romber, Die Gompofita find déchoir,
in Derfall gerathen, und échoir, zu⸗
fallen. |
Déchoir, déchéant, déchu,
Davon fat man verfhiebene Tempora,
fo regulariter gemadt werden, auffer
das Futurum, welches beift: je dé-
cherrai. Iſt ein Neutro paſſivum.
Echoir,
⸗
. à .
LA
Le * Verba Defectiva. $ 202 ‘ 307
Echoir , échéant, échu,
Wird felten anders als imperfonalicer
gebraucht, bat im gtia perf, Præſ. il
échet, gebet fonft wie déchoir, Iſt æin
Neutro «pail.
21, Clorre, ſchlieſſen. Say. clos: Iſt ein
| Obfoletum. Man fagt fermer, und ftatt
. enclorre, fagt man enfermer. :
. Eclorre, bervortomment iſt gebraͤuchli⸗
cher, aber nur in 3tia perf. il éclor, ils
__ éclofent; il éclorra, &c. il eft éclos &c,
12. Faillir, faillant, failli, fehlen, ift nur im
Præt. abſ. und in Temporibus compof. ges
braͤuchlich: je faillis; j j'aifailli &c. Hatte
fonft in Præſ. fing, je. faus,. tu faus, il
faut &c.
,Défaillir, obnméchtig werden iſt ein
Obfolet,
13: Florir, blüber, an fagt Metaphorice,
il floriffoit, floriſſant, weiter ift nichts ges
braͤuchlich.
14. Frire, in der Pfanne braten. Man fin⸗
det davon den Sing. je fris, tu fris, il frit,
| das Fur, je frirai, das Suppoſitivum je fri⸗
rois, und die Tempora comp, | at frit &c.
Yan fagt licber Faire frire, oder Fricalfer.
15. Ge éfir, gifant , liegen, Jan findet hur int
. Epitaphiis impetfonsliter : Ci-git, hier
liegt, ci-gifent, ci-gifoit, |
1 à 16.
<
38 $202. Verba Defrétiva
16. Iſſir. Davon ift in der Heraldic 4m, bers
vorragend, und in der Genealogie #74,
entſproſſen.
17. Puir, oder Puer, puant, ſtinken. Pref,
7 * je pus, tu pus, il put. Die uͤbrigen Tem-
pora regulariter nad) der 1ten Conjugation.
Man faat lieber /ſentir mauvais. )
7 8. Saillir, faillant, failli, %n der Bedeutung
ſpringen braucht man dafuͤr Sauter.
Wann es heißt entſpringen, ſpruͤtzen,
braucht man es in ben 3ten Perſonen: Il
faillit, ils failliffent; il Billifloie, il faillit,
il faillira, il a failli &c. In der Bedeu⸗
tung hervorragen fagt man im Pre/. il
faille, und im Fur. il faillera &c. :
29. Surfeoir, furfoyant, furfis, aufitbieben,
ift nue im Stylo curiæ gebräudlit. Man
fagt dafuͤr diférer, renvoyer, fuspendre&c.
20. Traire, trayant, trait. zieben, melten,
Sat fein Prat, abſol. Man braucht es nicht
mebr im Stylo, fondern tirer du lair.
Die Compofita. Abftraire, abzieben,
Attraire an ſich 3ieben, fommen
nur im Infinitivo vor. |
Diftraire, abwwenden, Extraire,
auszʒiehen, Rentraire, ſtopfen, vers
nében, Souftraire, abziehen, find
auch nod im Pref. und Futuro Ind.
und in den Temporibus compofñtis
uͤblich.
by Au⸗
. !
Verba Defectiva. 520. | 309
b) Anmerfungen.
1) Die Verba 4/oudre, und Difrare ha⸗
ben kein Præter. abſolutum. S. 199, 1.
2) Das Verbum Revétir, bekleiden, iſt imn
figuͤrlichen Verſtande gebraͤuchlich S. $ 200,
not, - 153.
3) Inveftir, umvingen und Travefir, vers
kleiden, find Regularia."
4) Repaitre, ift gebraͤuchlicher als fein Pri-
mitivum und beift Speife su ſich nehmen. S.
$ 199, 15°
5) Affaillir und Treflailir von Sailir S.
S199, 30.
6) Die Verba Braire, ſchreyen wie — —
Ferir, ſchlagen, Forfaire, etwas ſtraͤfliches
thun, Poindre/ ſtechen, aufgehen, Soudre,
loͤſen, Surgir, anlanden, Titre, weben, (Sup.
tiflu), Portraire, malen, und rétraire, ʒurück⸗
ziehen, werden wenig mebr gefunden und f ind
folglich Obfoleta.
Das VII Capifel.
Von der Conftruétion.
1. Die Conſtruction iſt im franzoͤſiſchen
ziemlich natuͤrlich, und hat zur Grundregel:
—
U 3 RATES
zio Conſtructions-Ordnung. Ga03. 204.
Man ſetʒe erſt das regirende Wort und her⸗ J
nach Das regitte (154).
Vox-negans preponitur recle.
2) Hieraus fliefet folgende Ordnung.
a) zuerſt wird geſetzt das Fubijeckum, das iſt der
| Nominattvus,
B) Hernach bag Verbum (in Tempore compof.
bas Auxiliare),
€) Alsdann das Oheclum, das iſt der Aecufari
vuc.
Als: 24 — ce:
ci a de l'argent,
Er hat Geld.
Votre frere a la fièvre,
Euer Bruder bat das Bicber.
3) Weil aber mehrere Membra in einer
Conſtruction vorkommen koͤnnen, ſo muß man
folgende Ordnung in At nehmen: 2
$. 204.
J. Zwiſchen dem Nominativo (oder Subje-
éto) und dem Verbo ſtehen folgende 2 Membra:
1) Gleich hinter dem Nominativo die erſte Ne-
gation, ne,
2) Hier
—N ⸗ *
>
(154) Hiervon muß man ausnehmen die 204,1;
2) angefuͤhrten Pronomina, tele, 06 fie gleich
Cafus Verbi find, dennodb , des Wohlklangs we⸗
gen, vor Das Verbum geſett Wade
- /
1 *
* 1 1 ‘ *
CR |
\ ’ /
7, 2) Hierauf in folgender Oeduung biefe Pre»
nomina?e (entiwebet Eins oder mere
. $94r Te
.. me,te, fe, nous, vous, *
le, ‘1, les, - Te
‘ Jui, leur,
y-, on (155)
II. Zwiſchen dem Verbo und dem Accu-
ſativo (oder Objedo) ſtehende folgende 4 Membra.
+) Gleich nach dem Verbo die ate Negation,
ais Pas. J |
2) Hierauf das Adverblum {ober Mdifcatio |
Verbi), ais encore.
.3) Hernach das Supinum (oder Parsicipium
pallivum), alé voulu, ,
4) Alsbann der Infinitivus, (fo êfters vom
Supino regitt tird ) als envoyer. : -
III. Bor dem Nominativo fteben die Ver⸗
bindungs⸗Woͤrter, oder Verbindungs - Mes
densarten, ( Particule, Phrafes conne@ivæz),
welche die âge verbinden, als; puisque, par
con equent.
⸗
u 4 - | IV. 3w
Le Dieſes ſind die eintzigen Woͤrter, welche,
(außer der 1ten. Negation), zwiſchen dem Nomi-
nativo und dem Verbo ſtehen koͤnnen; daher die
YTeben = Nominativi, die Adverbia u. ſ. f. nas
geſetzt werden. Als ils diront rous, nidt
ils tous diront. Puisque . mori frere 1vaus
avoit fouvent. donné des livres, nicht vous {au-.
veut avoit, noch ſoxgen⸗ vous AVOits |
4 * A
1. .
© cnrs: Grbmg. $ 204. ju | J
312. Gieç. Conſtructions-Ordnung.
| A7, Zuletzt hinter bem Objedo oder Accu- "|
fativo fleben am Ende der Confirudion, die Præ-
poftiones mit ibren Subftantivis und Anhange;
als par votre couffin ; en confidération demon frere.
Exempel der Conffruttions : Ordnung.
Puisque par conféquent votre frere ne vous
\ en 4 pas encore voulu envoyer argent
J par votre couſin. W
Weil folglich eler Bruder euch das Geld
dafuͤr noch nicht durch euren Vetter hat
ſchicken wollen (i. e. gewollt).
§. 205. |
(A4) Die gange Conftrudtion fan alfo eigent⸗
id aus 12 Membris befteben, welche nach der
Syntaxi fimplici alfo auf einander folgen müflen,
wie folgende Conftruétions : Æabelle zeiget.
Nemlich:
1) Particule oder auch Redensarten, welche
zwo Propoſitiones verbinden, als:
a) Pronomina Interrogativa, und Relativa.
b) Adverbia interrogativa, auch andere Ad-
verbia.
€) Prapofitiones, (onberlid vor bem Verbo-
d) vornemlich Corjunéfiones.
2) Der Nominativus und ſein Anhang, es
ſey ein Nomen oder Pronomen.
3) Die ite Negation, ne.
. «) Die
v
7 22) Die Prap. mit en sbangrtiqe ABértern, |
* 1 2 D
| Dan ihr pabef uns mé aidé wegen
sy,
nous, vous, le, la, les, lui, leur:
5) Die Pronomiha fuppletiva YUNdem °°
:_ 6), Das J'erbum ſelbſt/ wenn es im tempore
_ fimplici ſteht; ift es. aber ein. Tempus compoſ.
fo ſteht hier allein bas Verbum auxiliare.
7) Die 2te Negation, als pas, point, &c.
8) Das Adverbium, oder Umftand des Verbi,
9) Das Supinum , oder Participium paffium, |
(fo in Temporibus compoñitis votfommen), -
10) Der Infinitivus; (fo von einem vorher⸗
gehendem Verbo regiret wird.)
11) Das Objeétum des Verbi, oder der A-c- |
*eufativur.
1 3 ,3 Es rs 6 7. 8
. Car vous ne nous eñ avés pas encore
9 + 11 12 |
voulu donner cuis àeaufe de notre
curiofité,
6 3,7 . 12 -
| Cnfratins Ordnung. $r0$. a |
# 4) Die Pronomina perfonalia, und bas Im-
perſonale ſe, folglich dieſe 103 me, te, fe, ou
wire eugiigtes Nadricht dabon gcen
wolen. Ode ù
1 12 12 17171232 6
Denn wegen unſrer Neugierigkeit . babet
2 4 8 37 $ . 11.
ihr mé no nicht davon Nachricht
10 Ti
geben molle
Us G CON-
Es
= Le
1
3r4 8203. Cofrutien -
— (8) | |
CONSTRUCTIONS - TABELLE
Partie. conneci.
1. Negatio 1. À L fi, Negatio 2. 1 |
, \ T | . .
» |a. Pron. perf. me, |
? te, fe, nous, veus, Vers. 3. Adverb |
Nour NATS le, la, les, lui, —A J Gasres Vers
_ I 3. Partic. obes Pro. compo.) : k Gcc.)
| nomina fappletive 3. Supin. & Ii-
- (7. | finiiv - |.
| ..— W Præpoſitio cum ſuo
Caſu |
Als Puisque Pour ne nous en Avés pas encore voulu donner Avis malgré —
nos prières,
37
an merkungen
zur Conſtructiont Ordnung.
Die Mothwendigkeit, der Wobllang und
"der Nachdrud verurfaden in der RS
Aion einige Berdnderungen, ‘von welchen
hier ein Aucug, nebſt einigen andern An⸗
merfungen folgen. IJ
I. Allgemneine Seebachang.
$. 206.
1) au ben Woͤrtern die in der Conftrudtion |
voran ſiehen gebôren auch insbeſoͤndere die Gras
ge⸗Woͤrter, als, quel, qui, comment, pour.
quoi, eft-ce que. Ferner die Præpoñtiones
vor einem Verbo &c, Als:
Eſt- ce que vous avés f fait cela? Hadet ihr bi |
fes gethan ? |
En imitant cet homme il fe. fait tort, durch
Nachahmung dieſes Menſchen chut er ſich
Schaden.
Je fuis fâché, de n’être, pas venu, es thut
mir leyd, daß ich nicht gefommen bin.
2) Die Worte, welche zuſammen gehoͤren
muͤſſen nicht getreunet werden; und die Woͤr⸗
ter, die da regiret werden, fteben ben beuen,
bon welchen ſie regivet werden, ſo uabe als
; msgid $ 208; i. 214 217
#
—
| . Z« Dom ,
,. 3 . . .
l ne :
ET 5 20ÿ. Conf Naminatité
| 2. Dom Nonimerfoi. |
. | 6 207 7 —
th x) In diner Frage wird bec Nomisariuns von
den Pronominibus perfonalibus, wie aud) ce bin
ter das Verbum geſetzt, und mit einem x Bind⸗ |
zeichen angebängt. Als:
Ectx-ilꝰ iſt erꝛ cor
Avés- vous lu? habt ihr gétefén?
k Eft- ce votre livre ? ift es euer Bud? .
2) Wenn aber der Nominativus, ein Nomen
iſt, ſo bleibet der Nominativus voran ſtehen,
aber das Pronomen perſonale wird noch dazu
hiinter das erſte Verbum angehaͤngt. (156) Als:
Votre frere eft- il au logi? Iſt euer Bruder
zu Hauſe?
Votre fœur en a-t- elle recu? fat eure
Schweſter melche befommen? ?
Ces fees fo font-5/s bonsé find dieſe Buͤcher
gut?
Vos livres vous ont-5/r besucoup couté ?
haben euch eure Buͤcher vieles géfoftet ?
ee | $. 208.
17 s
(156) Eben diefes geléiepet wann der Nominativu
ein Pronomen iſt, das al$ ein morrinans anjufes
ben, fo wie die deutſchen Neutra dieſes, das,
ieneas, franz. ceci, cela find. Als: Cela, (oder
ce quę vous de) , eft-il bien vrai +
2
⸗
u Cr Nominetise S 208. 317
. 208.
1) Der Nominativus darf nidt wegbleiben,
wie zuweilen im Deutſchen geſchiehet. Als
Quelques uns commencent bien, mais ilæ
finiflent mal, einige fangen gut an, enbis
gen aber ſchlecht. $ 219.
2) Die Worte die zum Nominativo gebôren, :
(oder beffen Anhang), müffen ben ibm ſtehen
bleiben. 206, 2. Als \
Le jeune homme homme que vous avés vu
chés mot a étudié à Leipfic, der junge
Menſch hat in Leipzig ftubirt, den ibr ben
mir gefeben babt.
Le livre que vous m avés recommendé eft bon,
bas Bud ift gut, bas ibr mir angepriefen
habt.
3) Der Nominativus darf nicht, wie im
Deutfien von feinem Verbo getrennt werden,
Als:
Je crois que quand il, oder votre frere aura
été à Paris il parlera françois, Ich glaube
daß, wenn er, oder euer Bruder, wird in
Paris geweſen ſeyn, er er franzoͤſiſch reden
wird. - (Nicht qu“ id oder que votre frere
quand il aura été à P. parlera fr.)
4) Wo keine Frage iſt, da bleibet der Nomi-
nativus vor dem Verbo ſtehen. Die Deuts
ſchen fegen ibn aber na, wann die copula ſo
Vs
. &'
À [l
PRE Le D
E —9— i1
+
5 4: 4
So"!
_ 318 $ 208. 209. Conf. Negative. :
vorbergehet oder brunter verſtanden wird; 5
frangéfifhen geſchiehet das nicht (1 57) , denn
dieſe Particula wird nicht geſetzt. Als:
Ob'er es gleich hoͤret, ſo will er es doch niche
hoͤren, quoiqu'il l’entende il ne veut pour-
taut pas l entendte.
Ob er gleich reich iſt, hat er doch niemals
gnug, quoiqu'il ſoit riche #/ n’a jamais
aflés.
3. Don der erften Negation.
9. 209,
a) Ben einem Verbo negante braucht man
im, Franzoͤſiſchen zwo Negationes. Die erſte
heißt allezeit ne, und wird unmittelbar nach bem
Nominativo, vor dem Pronomine perf, geſetzt.
56) Die zwote ift verſchiedentlich und ſtehei
unmittelbar nach dem erſten Verbo, folglich in
Tempore compoſito gleich nach dem Verbo au-
xiliari, und allemal vor dem Supino. Es find
folgende:
je
— — — —— — — —
(157) Dies thun die Dentſchen anch oͤſters nach den
Adverbiis, Conjunctionibus &c. Als: Oft hat
ein Reicher keine Freunde; nun aber iſt dieſer
Berr reich ꝛr. Im Franzoͤſiſchen bleibt der No-
minativus vor dem Verbo. Souvent an Riche n'a
point d'ami; of ce Monſieur eſt riche &c.
Cuonſir. Negationis x, 210. 319
T ne vois pass ich febe nié
, + he point, - = - gar nié
M. ne - point de, fin
ne NE + AUCUs Feinen (158)
je ne > fins + + | nidté
‘ ne + perfonne, niemand
- ne + jamais, + + niemals.
« ne - nullement, - + feineswegs :
ne - guères, + » nicht viel (158)
ne » plus, eo + nidt mer
se 4 que; - * nidtéals, nur
»s ne + ni., ⸗ weder, noch.
$. 210.
1) Die Verba timendi haben ne im Nachſa⸗
tze, wann ſie ſtehen:
Affirmative ohne Frage;
Negative mit einer Frage.
Als: Je crains qu’il ne vienne; ich befuͤrchte, daß
| et komme.
Ne craint- il pas qu’on ne vienne; befuͤrchtet
er nicht, daß man komme.
2) Die Verba dubitandi, (auch nexandi (159)
haben ne im Nachſatze, wann fie ſtehen:
Affr-
- * e « -
— — —
(158) Aucun heißt auch /aicht ein, ſo viel wie pas
un; man bat auch nul, keiner J 91. Gueres
heißt auch wenig, ſtehet ‘an ſtatt pas beaucoup.
(159) Verba negandi werden auch tie Me Verba
dubitandi confruire ſolche ſind nier, laͤugnen,
diſconvenit, in Abrede ſeyn, ignorer, nicht
wiſſen. je ne deseſpere pas, ich verzweifele
nicht ꝛc⸗
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v 8T
ps
320 f ao. Comſtr. Negationis 1.
È a
Affirmative mit einer Srage;
Negative ohne $rage.
Mis: Doutés-vous qu’il #e ſoit ici? zweifelt
ihr, daß er hier ſey?
Je ne doute pas qu’il ne ſoit ici ; ich zweifele
nicht, daß er hier ſey.
3) Auch ſtehet me im Nachſatze, wann nach
dem Comparativo afirmante ein Verbum folgt,
aber pas faͤllt baben weg. $ 109,4 Als: Il
a plus de livres qu'il #’en avoit autrefois ; er
bat mebr Buͤcher als er vor diefem batte.
4) Setner ſtehet me na folgenden Partikeln,
wann eine verneinende Mebensart vorhergehet;
aber pas faͤllt weg.
Je ne le ferai pas, id werde es nicht thun,
i. afinqw il ne fe fâche, auf daß er ſich nicht
erzuͤrne
2, à moinsqu'il re me l’'ordonnel'es fey dann
daß er mir es befeble, oder wofern er mir
es nicht befiehlet.
3. avant qu'il ne me le diſe, bevor daß er
mir es ſage; oder bis daß er mirs ſage.
* ee ur] qu'il me le voye; aus Furcht
daß ers ſehe; oder damit er es nicht ſehe.
6. pour qu'il ne me-blâme, auf def ober das |
mit (af) er mich nicht tadele,
à Een
4 5: Don
se Pron: pm, ë Sepi ans. 2: |
# 5. Don den Pronominihès" Poe
und ——— CUT,
— eric AE
À
‘ | 6. 2 i 1 —
: Ç Im Imperativo afirmante (160) weben
die bronomina perf. uud fuppletiva
me, te, nous, vous, le, la, les, lui, leur, y, en
hinter das Verbum, und ein Binoeyeicen dar⸗
zwiſchen geſetzt. Als? |
Dites- mous, ſagt uns. Donnes lu, gebt ihm.
Faites: Le, thut es. Alles? y, gehet hin.
2) (a) Auch werden, im Imperativo ſrman-
té, me und te, des bloſſen Wohlklangs res
gen, inmoi und r0f verwandelt. (6) Folget aber
ÿ oder en brauf, fo bleibt mme -und.re, weil der
Uebellaut ceſſiret. Als:
Nonnes-moiʒ gebt mir. Couche-#f, lege dich.
Donnés-m'ens gebt mir davon. Gouche⸗ t3
age dich Gin.
D Bey dieſem Impetativo 0bhe Negation
wird le, la, des, vor moi ; bot , NoUT ; dous qe
ſehzt, wie im Deutſchen. Als: Donrniés- /e moi,
donhés- ler nous. Gebet ès mit, gebet fiè unis,
Auch um den Uebellaut zu vermeiden.)
2 ns é 4
AIS: Ne #ous dités pas. Ne /ni donnés pa
1. me dondés pass Ne m'en patlés pas, Fy y *
dd TE
—
pas &c.
… (160) Nicht aber im. imperitivo negante, denn da
bleibt die gewoͤhnliche Conſtructions⸗Ordnn de
ee
* 4) Yann
— 212: Cofr Pabi — e
nt Wann zweene zuſammen verbundene me
perativi auf einander folgen, fo koͤnnen (aus ges
dachter Urfache), ben dem folgenden Imperativo
obgedachte Pronomina vot dem Verbo ſtehen.
Als: Ecrivés-mmé et me renvoyés mon livre;
ſchreibet mir und fhiet mir mein Buch
wieder.
. Prenés-e” et tn mangés nehmet und eſſet
os
s Don dem Vale.
EN
7*
. — F
9 In — rompoſitis wird nn bee |
Conftru@ions - Æabelle 4 205, B; das Verbum
auxiliare von feinem Supino oder Participio paf
ſivo getrennt, und ſtehet vor der ꝛten Negation.
Als Je nai pas eu. Je ne lui en af pas donné.
2) Man darf nidt wie im Deutfhen zuwei⸗
{en gefhiebet, das Verbum auxilisre weglaſſen.
Als: Die Briefe die er mir geſchrieben, (ſc. bat);
ſind mir geſtolen. (ſe. worden.)
Les Jettres qu’il mzécrites m’ont tæ volé cs.
Dieſes Kleid iſt in Paris gemacht. (ſc. wor⸗
den.) Cet habit a ẽtẽ fait à Paris.
3) Das Verbum muf vor feinem Cal ſte-⸗
ben. Als: Die Briefe Gabe id geſchrieben, Die
ihr gefeben habt. LÉ ai écrit les lettres que vous
avés vues,
Ù | . Te Don F
Conſir. Negat. 2. fiat, 3423
7 Don der aten Negation, |
4. 213
1) Die 2te Negation ftebet vor dem Supino,
*Als: je ne l'ai jamais eu, ich babe es niemals
gebabr.
2) Bisweilen macht man Die 2te Negation |
gum Nominativo ; als, perfonne, rien, jamais,
ni, ‘auch wohl aucun oder nul. In diefem Hal: :
le ſtehet diefe 2te Negation voran, (an die Gtel: : ;
le des Nominativi), und ne folgt darauf; pas
aber faͤllt weg. Als:
Perſonne ne l’a que votre ſœur; niemand bat
es als eure Schweſter.
Perfonne dc nous ne le connoit; niemand von
uns fennet ibn.
Rien n'eft plus doux que le miel; rire if
\ füfler als der Honig.
Rien ne me manque; nichts feblet mir.
| Jamais la fortune #e pouvoit venir plus à
propos: niemals fonnte das Gluͤck geles
. gener fommen.
Ni lui ni elle ne le feront ; weder er noch fie
werden es thun.
Nul ne vient au pere que par moi; Niemand
fommt jum Vater dann durch mic,
3) a) Ebenfalls fallen par und point weg, fo
balb eine andere Négatio ſecunda ba iſt; folgs
li auch ben plus, guère, jamats Sc. Us:
Je ne veus plur jouer; id will nicht mebt
ſpielen. |
X à ":
4
_
—
7 4 .
m4" Sas mn Ngan UE
Li LE
n'a guères d'esprit, & il » étudie jamais; . É
Er bat nicht viel Verſtand— und er ſtudien
ret niemals.
b) Inſonderheit muß bey que keine put
Negation fteben, als par, plur, rien &c. und 7
diefe 2te Negation que muß an den vechten Ott *
ftebeh, wo die Deutfhen das als fegen. Denn
fie bebeutet nichts als, nichts mebr als, und .
iſt voͤlig excluſiviſch. ls:
Je nai que dix écus; id habe nur, (nicht |
mebr als) zehn Tbaler.
Je ne defire que votre: amitié; id begehre
nichts als eure Freundſchaft. |
Je se vous ai voulu emprunter ce livre que
pour une heure; id) habe euch diefes Such
nur auf cine Srunbe gphorgen wollen.
(d. i. nicht weiter als auf ꝛc.)
4) Die 2te Negation (inſonderheit par und
point) faͤllt auch weg.
a) Wann zwo phrafes negantes einen fenfum
affirmantem ausmachen. Als: Il »’eft pas pof-
fible que vous #e l’ayés vus es ift nidt moͤg⸗
id, daß ibr ibn nicht ſolltet geſehen baben.
b) Im Nachſatze den den Verbis sémendi,
dubitandi, und negandi, in den Faͤllen ba ne
dau gefegt wird. (210, 1.2.
€) Nach dem Comparativo affirmante und ben
_ Particulis, ba bas ne hinzugeſetzt wird. $ 210,34.
d) Bey
LI : °
] r \ + { ;
æ
a * {
Fr L Conf. Niger 2 — sf.
pe BY Dev. einfgen Redensarten, der tebhafrig⸗
wir, ſavoir, ꝙer und ceſſer. Hs:
+, Jene fais, id weiß nicht.
Je ne faurois heißt ich kan nicht / p vie ds.
L jene puis, oder j jene puis PS
5) Non feulement heißt nicht allein; aber
ne = pas ſeulement, (oder ne --pas même), | |
heißt nicht einmal , ſo gar nicht, Das con.
ceſſiviſche Nur beißt —* Als;
Non fiulemens j'ai. odet jai #07 /eulement
des livres allemands, mais auflides françois ; id
babe n nidt allein — * ſondern auch franzoͤſi⸗
ſche Buͤcher.
Il eftignorant, & Î n’a a pas ſtuliment oder
& il #°a-pas même le ſens commun, oder le bon
ſens; er iſt unwiſſend, und er fat nid cinmal
oder fo gar nicht bie gefande Vernunft.
Dites - moi i féulemens votre fecret, dites. le
moi i eulement ; 5 faget mir nur euer Geheimniß,
ſaget es mir nur.
6) Non plus ift teine Negation ſondern ein
Adverbium nach einem negativiſchen Satze, ſo
wie au/f nach einem affirmativiſchen. Folglich
heiſſet . . pas non plus, auch nicht y und pas
salé, nicht duc. Als:
Je ne Pai pas & il ne l’a pas non plus; id Gas
be es nicbt, und er bat es auch nicht.
a. | Par
Freit wegen, inſonderheit nach ben Verbis pou,
\
è
L:
., 43 | Sara _ Conftr. Adverbior, DS
| 7 ai de É argent #’ en avés-vous pas af ‘
Ich habe Geld habet ihr nicht auch welches?
Mi moi an plus beift ich auch nicht, n
8. Don den Adverbiis.
. 2i4.
1) Die Adverbia find Modifcationes Verbt,
(Umſtands⸗Woͤrter bep einem Derbalten),
Sie ſtehen aifo gleich nad ibren Verbis, und
im T'empore compofito nad dem Verbo auxi-
Jiari gleid na der Negatione 2da, vor dem
Supino. $ 206, :
a) Des Nachdrucks tvegen ſtehen die Ad-
verbia (emphatica) oft ganz voran in der Con.
ſtrudion. Als: En vain vous vous flatés dy
parvenir; umfouft ſchmeichelt ihr eud) dahin zu
gelangen.
3) Die Adverbia, welche der 2ten Negation
einen Nachdruck geben, fteben vor derfelben.
Als; Ne viendra - t-il denc par! Bird er dann
nicht fommen !
Vous n'avés encore rien fait; ibr babt noch
nichts gethan.
Mine l'aura abſolument pas; et ſoll es durch⸗
aus nicht haben.
4) Die Adverbia loci & temporis pflegen
nach) dem Supino und Infinitivo zu ſtehen; weil
fie der Umftand der gangen Phrafis find. Als:
JL eft arrivé aujogrdbui ; ec iſt beute anges
kommen. u
Ti à u — — Le. |
NV Cnfr. PP Sète 37
-£#elnta pas vonln venir sc; er fat sig hier
herkommen wollen.
Ro ç) Des Wohlt langs weger werden die
ke Adverbis compofite und Pbrafes adverbiales oft
—1* geſetzt, wo ſie ſich am beſtenn, der Rich⸗
*tigkeit, bem. Verſtande und dem Gehoͤr nach, J
fé A8: .
“Je lui ai 'pailé à cheuel; is Gate je pate
+ sit ihm geredet.
nel a ſpas fait-de Bonne race; er Gat en
- nicht fit Anſtand gethan. —
Vous n'avés pas parlé d'un cœur Ancere ihr .
habt nidt aus aufrichtigem Herzen ge⸗
ſprochen. J
6) Die tutzen Adverbin die bas Verbum
modificiren, und ihm einen Nachdruck geben,
muͤſſen nidjt nad dem Supino ober Infinitivo ge⸗
- feét werden. Dergleichen find: bien, mieux,
mal, pis, peu, beaucoup, plus, tant, trop,
as, ; jamais , rien. Als: Il ne pouvoit mieux dE
- faire, J'ai cru bien faire. Ii l'a mieux pu faire
qu’un autre.
77 ge 10. Vom Supino und Infinitivo.
8. 215.
1) Man ſetzt nicht das Sapinum hinter dent
iaſnitivum, wie im Deuthchen bey einigen Ver-
1 ET
4 =
4 4
⸗
# #
Las ne bis
3 28 215. Confir. Sup. Infnie —* Verkk.
bis geſchiehet. (1601) Als: Cr hat ſagen wol⸗ |
len, (d. i. gewollt); il a voulu dire, ee
2) Au verbindet man nidt mit Partis
keln zweene oder mefrere Infinitivos, die zuſam⸗
men gebôren. As:
| Il veut venir faire faire l’inventaire des meu-
bless Er will fommen und faffen das In-
ventarium des Hausgeraͤths made.
Je viens vous voir, id fomme euch zu beſuchen.
3) Daher wird der Infiniquus ſtarck ges
brauchet, ftatt eines deutfhen Temporis finic
mit einer Conjundion. $ 140, 5%. Als:
Fuites - moi le plaifir de .venir ici; thut mic
den Gefallen und kommt her:
Il veut me défendre de fortir; er will mic
verbieten, daß id nicht ausgeben fol.
4) Vor dem Infinitiva fteben gern die Pro-
nomina die dazu gehoͤren. (206,2. Als: Vous
n' avés pas voulu m écouter, anſtatt vous new”
avés pas voulu écouter; ihr babt mid nicht hoͤ⸗
ven wollen. | |
1, Dom Accufativo Verbi,
| $. 216.
2) Der Accufativus (oder das Objectum)
ſtehet nicht vor fondern nach ſeinem Verbo,
doch vor der Præpoſition. Als:
J'ai donné aujourdhui ce livre à mon frere,
2) Wann |
, 660) Dicfe Verba find: doͤrfen, heißen, bôren,
nnen, laffen, lernen, mégen, müflen, fe:
ben, wollen 2e, Als er bat mid grifen laſſen.
U m'a fait ſaluer.
“+ Coxfr. Prapofirs 216. 217 329
2) Waͤnn aber der’ Accuſativus kurz iſt, fo
ſehet er vor dem Infinitivo. (162) As; .
II veut tout entreprendre & ne veut rien faire,
er will alles unternebmen und wil nichts
thun.
ai un mot à vous dire, id habe ei sin
Wort zu fagen,
3) Sollte aber der Accufrivus einen An:
Gang baben, fo ſtehet er wieder nach dem Inf-
nitivo. (162)
J'ai à vous dire ane nouvelle qui vous fera
plaifir, id babe eu eine Meuigfeit -
Machricht) ju ſegen, die euch gefallen
wird.
12. Don der Prepofsion
$e 217
r) Die Præpofition ſtehet zuletzt mit demje⸗
nigen tas zu detfelben gebôret. 6 206, 2. Wann
mebrere da find fo ſtehet die zuletzt die den laͤng⸗
ften Anbang Gat: (162) Als:
x 5 Venés
_ (162) Die Regeln des Styls worauf ſich dieſe Con.
ſtructiones gruͤnden. ſind +) Man muß die
Woͤrter nicht trennen die zuſammen gehoͤren.
8206)2. b) Die kuͤrtzern Saͤtze werden vor
die laͤngern geſetzt. c) Alle Sweioeutightit muf
vermicoen werden.
—
Lois, Ne ot
330 (217. . Confir. Prapofirs.
—
LES Yenés chés moi avec Mr. votre frere; kom⸗
met mit euren Hrn. Bruder zu mir,
1 m'a loué chès mon pere à rauſe des pro
ès que, j'ai faits; et hat mich wegen
+ Progreſſen, die ich gemacht habe, bey
mæeinem Vater gelobet. |
2) Wann mehrere Verba da ſind, ſo muß
die Præpoſitio tit ihrem Anhange gleich nach
dem Verbo ſtehen, von welchem ſie regiret wirb,
weil ſie dieſes Verhalten beſtimmet, (162) Ye:
, Je vous prie de me le doriner ;; ich Bitte. euch |
mir es zu geben. .
- J'espere de vous aller voir dans une: { demi-
heure (Midt: jespere dans une ‘demi-
heure) Sd boffe eud in Seit von einer
balben Gtunde zu beſuchen.
3) Folglich ftebet die Præpoſitio mit ihrem
Anhange vor dem Accuſativo, bey dem erſten
Verbo, wenn fie ju dieſem gehoͤret. (162) Als:
Vous honorerés de votre préſence une per-
ſonne qui vous confidere; ibr werdet eine
Perſon die euch hochachtet mit eurer Ge⸗
genwart beehren.
| , J'accepte avec: — le préfent qué
+, vous me faites; id nebme bas Geſchenk,
| — bas fie mit machen, mit Erkenntlichkeit an.
Pai donné à mon frere le livre que j'ai acheté ; -
ich babe meinem Bruber das Buch gege⸗
Ben, das id — habe.
An⸗
. Wiederholung in. der Confir. 6 218.219. 351 |
Andere Anmerkungen sur
Conqtruction.
aF $, ° 219. tt
| Oft werden Adverbia, auch Prapèfriones
mit ihrem Anhange ganz voran in der Conſtru-
dion geſetzt; theils wegen des Nachdrucks,
theils um beſſerer Verbindung willen mit dem
Vorhergehenden. Als: Ou.
Tout-4-coup on F des Troupes; Auf
einmal wurde man Truppen gewahr.
Sans argent vous n’y parviendrés jamais; oh⸗
ne Geld werdet ihr niemals dazu gelangen.
Je reconnois vivement vos bienfaits; dans ce
Jentiment je m’éforcerai de vous rendre
fervice; id erfenne eure Wohlthaten; ‘in
diefer Geſinnung werde id mich bemuͤ—
hen euch Dienſte zu leiſten.
$ 219.
1) Die kleinen Membra der Conſtruction
werden wiederholet, inſonderheit die Artikel,
die Pronomina fuͤrnemlich per/onalia, auch die
Partikeln, als kurze Adverbia, Præpoſitiones,
und Conjunctiones. Als:
Les peres & /es enfans font obligés; die Vaͤ⸗
ter und Kinder find verbunden ꝛc.
Je vous aime & je vous honore; id) liebe
und ebre euch.
î | | | L'hom-
* | N
__ - 4
332 6219. Wiederholung in der Conf.
L’homme qui m’a écrit & qui m’a promis Le
livre; der Mann der mir geſchrieben und
das Buch verfprochen bat.
Il eft fi honnête & A brave; er iſt © ebrlich .
‘ . und tapfer. |
Par devoir & par amitié; aus Pflicht und
Freundſchaft. |
son pere veut qu ’il étadie & qu’il aprenne
à vivre; fein Vater will daß er ſtudire und |
ſich auffuͤhren lerne. —
2) Auch Adjectiva und Verba werden ivieders
bolet, fo oft es die Deutlichkeit und der Y Nach⸗
druck etforbert. Als:
© Ha de grands biens & de grandes richeſſes;
er bat groffe Guͤter und Reichthuͤmer.
Avec la plus grande joye & la plus grande
fatisfa@ion du monde; mit der groͤſſeſten
Freude und Bufcicbenbeit von der Welt.
Je ne le fais pas par interèc. je le fais par
amitié; id thue es nicht aus Gigennug,
fondern aus Freundſchaft.
Il srompe les autres & ( de fe trompe lui - mê-
me; et betrůget ande und ſich ſelbſt.
Chapuzet bat in ner Syntaxe pratique folgenden
verfum memorialem von der frang, Con-
fttuQion :
Nomina, prima, Nega, Pronom, Particula, Verbum;
Altera, Mega, Adverb, Sep Cafus, Præpo, Ca Prepo,
* * * |
$. 2208
Lt OA APR
. CE *
D \ —
: Exercitis ʒur Conſtruct. 220: 333
$ 220. a
L . Exercitià ʒur Uebung der
J Conſtruction.
1 A | ,
Sd bitté (prie): id bitte euch; id bitte euch
darum (en): ich Bitte euch bep mir su Fommen. Jcᷣ
bitte nicht; id bitte euch nicht; id bitte euch nicht dar
um; id babe euch nicht barum gebeten.
Ich babe die Zeit (le remis); id babe nicht die
Zeit; id habe die Zeit gehabt; id babe nidt die Zeit
zu freiben (d’ écrire) gebabt. /
Idhnr gebet; ihr gebet mir; ibr gebet mit allezeit
ihr gebet mir nidt allezeit euer Bud. Ihr babet uné
nicht dabon (en) gegeben; Ihr babet uns nicht oft
- (fouvent) davon tin Merkmal (are marque) gegeben.
à . ,
Ih werde nicht geben; werdet ir geben ? werdet
ihr ibm geben? werdet ihr ihm morgen (demain) das
von (en) geben? werdet ihr ibn nicht Nachricht (avis)
davon geben? | |
Habet ibr ibm fon (dé7e) das Bud gegeben ?
Ich babe ihm noch (encore) nidt die Urſache Caiſon)
davon qu wiſſen (Javoir) gethan (Fait). Warum
(pourquoi) habet ihr ihm die Urſache davon noch nicht
durch euren Bruder wiſſen (avoir) laffen (fair) ?
Ihr wuͤrdet Unrecht Core) haben, euch su ruͤhmen
(vanter), daß ihr frengebig (libéral) mit (de) euren
Buͤchern ſeyd; denn (car) id) babe euch noch nicht wel⸗
che (er) an meinen Bruder geben ſehen (ur).
3. Ihr
334 $210. Exercitie ʒur Conſtruct. |
3.
Ihr habet enre Fehler (dfaurs) gebeſſert, weil
wir es euch oft aus (par) Freundſchaft geſaget haben,
und weil ihr uns oft von euren Fehlern vor (devanr) ets
rem Vater habet reden gehoͤret; gewis (certes) wir ſind
froh (ravis) geweſen eure Auffuͤhrung in guter Ordnung
(ordre) zu ſehen, wir hahen ench allezeit darum gebeten.
Weil ihr euch daſelbſt (y) noch nicht ein Haus
(maifon) habet bauen laffen (fait bâtir), um darinnen
(y) zu wohnen (demeurer), fo werdet ihr ohne Zweifel
(fans doute) hier bleiben (demeurer),
4.
Sat cuer Préceptor eud) nicht davon benadridti,
get ,'(averri) oder bat er tergeffen mit euch zu ſprechen?
Pat euch fein (le) Brief nidt gefallen (px)? Ich babe
ihn (lui) niemals ein Wort davon bep mir ſprechen (dire)
gehoͤrt (ont). Aber babe ibr ibu (ui)nidt (um) die Urſa⸗
he feines Stillſchweigens (Alence) gefraget, oder bat
er euch biefelbe (/a) von fi felber gefaget ? Er at fie
mir nicht gefaget, und id babe ibn nicht barum gebe⸗
ten; aber faget fie mir jetzt, wofern (A) er fie euch ges
aget bats wollet ibr dieſe Guͤtigkeit fuͤr mich baben ?
ntwortet mir doch. (donc) |
Se - |
Ins Finftige (à P avenir) evinnert (fouvenés) euch,
ben tugendhaften (vertueux) Leuten in der Noth (/e
befuin) qutes (du bien) zu thun.
Gewis, mein Herr, ich wuͤrde euch nicht ſo bald
CAitöt) Nachricht (des nouvelles) davon durch euren ri
der haben wiſſen laſſen; wenn ihr mich nicht ſo oft
durch eure Frennde haͤttet (aviés) darum bitten laſſen.
Denn ihr habet mir hierinnen (en) noch nicht dieſe
(la) Gnade um meines Bruders Willen pour l'amour de).
thun wollen. | |
Daß (M) id euch meine Meinung (mon avis) das
von no nicht babe durch einen Brief wiſſen laſſen, daë
madt, (cꝰ eſt) daß man mir es nicht fo bald bat mollen
berichten. (mauder). 6. Ich
\
— Æxercitia ʒur Confiruff, 220. 335
6. |
Ich babe eud no nicht alles freiben kͤnnen (px),
was ich euch babe fagen wollen, weil id nod nidt die
Zeit dazu (es) babe finden (trouver) koͤnnen; Uber id
werde nicht ermangeln, (manquerai) euch in allen Ge⸗
legenheiten ſehen su laſſen, (faire) da id bereit (prés)
bin, eu zu dienen, und daß ich ſey (ſuis) 10e ;
“ 7e \
Ich bitte euch, mir Den Gefallen (plaiſr) zu thun,
mir noch einmal die Buͤcher anzuzeigen (marquer), wel⸗
De ihr mir su kauſen (acheter) befohlen (ordonné) bats
tet; Ich babe euch no nidt welche (er) Faufen koͤn⸗
nen (ps), tveil id mich deſſen niemals weqen mejues
ſchwachen Gedaͤchtniſſes (forble memoire) babe crinnern
{Jouvenir) koͤnnen. Entſchuldiget biefen Sebler (faute) .
: EE daß ich niemals aufhoͤren (cferai) wer⸗
e zu ſeyn. |
. 8.
Ich habe ſchon Buͤcher, alſo ſchicket (envoyés) mit
nicht welche, (er) aber ſchicket welche an meinen Bru⸗
der, denn er wird keine (a'en) von Leipzig mitbringen
(aporters), oder laſſet uns auch Din (y) reiſen, (allons)
Denn mein Bruder wird nicht lange Congtems) da (y)
ſeyn, und wir werden koͤnnen zuſammen (en/emble) wie⸗
der kommen. | — |
WVeil (puisque) ibr von unferm Vetter dieſe
Nachricht (ces nouvelles) hekommen (en) babet, tvars
um fhreibet ihr mir fie nicht; berichtet (mandes) fe mir
eheſtens (au plutor) id) bitte euch darum, denn id ha⸗
be vernommen (apris) daß er der Familie meines Vet⸗
tern Briefe mitgebracht pape (a aporté) und daß mein
Better fie euch bat vorgelefen Cnesx, Ich ermarte eure
Antwort, und bin,
S to. Wars
36 220, Exercitia aux Conſtruct.
10.
Warum gebet ibr mir nicht von meinem Bette
Nachricht? Hat er euh nod nicht geſchrieben? Thut
mir den Gefallen und ſchreibet init (de m° écrire) oͤfter,
oder faget mit nicht mebr, daß id euh Unrecht (sort)
thue, wenn id) eud niemals euer Stillſchweigen vers
gcibe (pardonne) id lebe in der Hoffuung (J efpere)
daß ibr euch beſſern merdet (corrigerés). Aber id
fuͤrchte (crains) daß ihr allezeit nachlaͤßig (régligem) .
ſeyn werdet (foyés) ob id gleich (quoique) nicht zweifele
(doute) daß ihr mich livbet (Impoſitivus).
tt. (211.)
Werdet ihr nach Leipzig kommen (viendros) um
mir daſelbſt bas Geld zu bezahlen, (payer), welches
mir euer Bruder ſchuldig iſt (dois). Ihr meldet (mar-
qués) mir es nicht in eurem Briefe. Wenn eure Bruͤ⸗
der hin (y) kommen, ſo werde ich ſie deſſen daſelbſt er⸗
innern (ferai refJouvenir), Aber wenn ihr ſelber (vozs-
méme) binfoimet, ſo bringet es mir (aporsés); id
werde es an den Hrnu. Pitt auszahlen (payerai), denn
ich bin es ihm ſchuldig (dois). Meldet mir eure Ent»
—— gebet mir bald (hienrôr) Nachricht (avis)
davon. Schicket (envoyés) mir das Geld bin (y), und
fébreibet mir wegen (couchane) der Buͤcher. Bringet fie
mir mit, oder ſchicket fie mir mit (par) der Poſt.
12: $ 266,2, Û 216)
| Er glaubet mir cinen Poſſen (rowr) fpielen
Gouer) zu koͤnnen indem er jebermann 5 91) den Brief
weiſet (es montrant), Den id ibm gefchrieben babe.
Ich batte ‘ibm geſchrieben um ibn zu bitten, daß er
(de $ 140, 5. 6. $215, 3) das Paquet welches ich
ibm geſchicket hatte an meinen Vetter beſorgen remerrre)
moͤchte; aber er bat es aufgebrochen (ouvert), und bat
alles gelrfen mas id geſchrieben batte,
A * _
Dritte
RO
Dritte Abtheilung.
Folgen, Erlaͤuterungen, erweiterte
| Hnmerfungen :
und zierliche
Regeln und Antoendungen
der Grundſaͤtze der franzoſi ſchen Sprache,
in Anſehung der Wortforſchung
und der Wortfuͤgung.
| Das J. Capitel.
Von den Nominibus Subſſantivis.
J. Abſchnitt. |
Von der Dorfiellmg der Subflantivorum
na ch den Begriffen. |
. L Don der beſtimmten Vorſtellung, oder
| von dem Artikel. -
Aus bem was $ 39 gefaget worden / tan
maan dieſe Folgen ziehen:
121. |
a) Der Artikel wird in allen Redensarten vor
diejenigen Subſtantiva geſetzt die da beſtimmt
fe ind. | ” à
338 8221. Gebrauch des Artikels.
4..
Wo die Deutſchen es auch thun;
Ueberhaupt re
. 1) Wenn man eine Sache, sine Handlung,
ein Verfahren, oder eine Gattung der Dinge
beſtimmt und von andern unterſcheidet; als le
Ciel, la Terre, la Vertu, les Livres. Folglich
2) Bey Verbis ? Adjedivis, Particulis und
ganzen Phraſibus die Subftantivè genommen und
beſtimmt vorgeſtellet werden. Als:
Le lever du ſoleil. Le boire & le manger.
Le blanc & le noir. Les juftes.
Le dedans de la maifon. ‘
Le je ne fais quai, (bas weiß nicht was).
3) Wo die dabey ſtehende Beſchreibungs⸗
und Beywoͤrter, (Adjectiva und Epitheta), die
Sache beſtimmen. Als?
Dieu /e Pere, Louis le grand.
Le grand Alexandre, Alexandre le grand.
Genes la faperbe, (Genua die Gtolbe).
4) %o eine beftimmende und beſchraͤnkende
Redensart dabey iſt. Als:
Donnés-moi un verre du vin que nous bu"
mes hier, (43 43» 2.
On parle de la paix d' Aix- la- Chapelle, man.
redet von dem Achener Frieden.
Voila / pere de P enfant que vous avés chés
vous.
5) Folglich aud mo eine beſtimmende Re⸗
densart drunter verſtanden wird. Als: |
Gebrauch des Artikels. Haat. 339
Ni /e tems ni abſence ne mé fera perdre les
ſentimens, que j ai pour vous.
Ni la douceur ni la forcene peuvent!’ émou-
rs (Jcil, die man gegen ibn braucht).
Jamais les hommes ne font contens. (fcil. —5
6) Daher auch be den Ordinal-Bablen f119.
Als: Le premier, le fecond, le troifième, Le
quatrième (de) Novembre. . 6 123, 5 Und
.… ann. bie* Cardinal - Sabl anſtatt der Ordinal-
Zahl geſetzt wird. 123, 5. Als: : le quatre de
Novembre. (163)
Inſonderheit:
7) Ben den Superlativis; als: Le plus habile
. homme, Auch wann der Superlativus, nad
franzoͤſiſcher Art, nachgeſetzt wird. Als: L'hom-
me le plus habile de la ville. |
8) Ben Nominibus propriis wann fie auf bes
ſondere, beftimmte Gegenftände beſchraͤnkt, oder
auch Appellativa werdẽn. Us: |
Ce n’eft pale Henri qui fert chés monfrere;
das ift der Heinrich nidt ꝛc.
Les Alexandres de notretems. i. e. die Helden.
Je parle du Dimanche des rameaux; id rede
von dem Palmſontage.
D 2. Le
rs
(163) Wann die Ordinal- und Cardinal - Sablet,
nach dem Subftantivo ſtehen, als beym allegiren
und bep regirenden Herren, $ 123, 2, 4. ſd datf
Fein Artikel dabey ſtehen. Als Chapitre trois,
oder troifième ; verfet fept, page cent, Fréderic
premier, ſecond, troifième, Charles trois: &c,
L
340 Ga2r, 222, Gebrauch des Attikels
Le Dieu de Jacob. Le Ciceron de riotre
tems.
9) Vor ben Cardinaljablen bie auf en einen Ges
genſtand Beftimmt werden. Als:
Le trois de cœur; die Herzen drey.
Les douze Apôtres, Les dix commandemens
de Dieu,
10) Bey den Pronominibus poſſeſſivis abfo-
lutis, teil etwas drunter verfianden Bird. Als:
le mien, la mienne, les vôtres,
11) Den beftimmten und gewiſſen Wochen⸗
Tagen. Als: La Poſte part le Lundi & Ze ven-
dredi, bie Poſt gebet des Montags und des
Freytags ab.
12) Mad dem Adverbio feu, tie im Dents
fhen das Wort weiland. (164) Us:
Feu /e Roi, teiland der Rônig, oder der
hochſelige Rônig. |
Je parle de feu /e Préfidents id rede von
weiland dem Praͤſtdenten.
§. 222.
| .. B
Wo die Deutfhen den Artikel nicht, ober
nicht allemal zu feben pflegen, fondern einen
an:
(164) Feu iſt ein Adverbium, folqlié inflexibile,
Aber wann es, mie einige thun, nad dem Arti⸗
kel geſetzt wirb, ſo iſt es flexiel : als, la feue
Reine. Die Deutfhen fagen, dcr, ie, felige,
aber eigentlich prie es weiland.
+
L GSebrauch des Artikels. $ 222 8 34 |
andern Begrif darſtellen der 4 der beſtimm⸗
te ſeyn ſollte. 9 46, 4.
———
ON
2) Ben allen Beftimmten Redensarten, wann
J auch gleich das beſtimmende nur drunter ver⸗
ſtanden wird. Als:
Je nai pas de tems, Pocaſion, (Ji. de le |
faire).
Si j’ai / tems & fi j’en trouve / ocafion.
Si vous favés Je françois Vous ferés le bien
venu,
” Ayés toujours Dieu devant ler yeux,
II eft à la maiſon, au Logis, mais il ira après
midi à Z2 Cour pour faire /e paix.
Je me confelerai toujours par /a leäure de
votre lettre,
2) Bey den bdeutfhen Doppel: Subflantivis,
davon das Eine einen beftimmten Begrif dar:
ſtellen muß. Us:
Un Prince de PEmpire; ein Reichsfuͤrſt,
(nemlid des Roͤmiſch Veutſchen Reichs).
La clé de Ja chambre, der Kammer⸗Schluͤſſel.
Le valet du logis, der Hausknecht.
Un Gentilhommre de /4 chambre,
: Un homme de la cour, ein Sofmann, (nems
lich des biefigen); oder mit einem Zuſatze
de /z cour de Pruſſe.
3) Folglich auch bey regirenden Subitantivis,
| welche die Deutfen ohne Artikel nach dem ve:
D 3 83838ir⸗
L PT 223. GSebrauch des Artitels.
girten ſetzen, ob fie gleich voran ſtehen ſollten
(165). Als:
Le livre de ?'écolier ; bes Schuͤlers Sud.
L'homme dont je connois /4 vertu; de.
Menſch deffen Tugend id fenne. |
Celui qui eft le porteur de cette lettre; der⸗
jenige der biekes Briefes Ueberbrinaer ift.
$. 223.
b) Dnsbefonbere wird der Artikel
geſetzt:
1) Wann von sp Theile des Leibes,
vom Gemuͤthe,' und von einer natuͤrlichen
Eigenſchaft die Rede iſt, und ein Adjectivum
mit dem Verbo haben dabey ftebet. (166) Als:
Il a le eorps bien fait, les cheveux gris, la
memoire bonne, mais ? esprit inquiet ; er
hat einen wohlgeſtallteten Leib, gtaue
Haare, ein gutes Gedaͤchtniß, aber ein
unruhiges Gemuͤth. |
| Elle
— —
(165) Im franzoͤſiſchen muß allezeit das regirende
vor dem regirten ſtehen, $ 203; daher man-es
nicht tie im Deutichen nachſetzen, oder an deffen
Gtelle ibr vor das Subje&um ſetzen muf; als:
Meiner Schweſter (br) Buch, le livre de ma fœur.
(166) In dieſem alle brauchen die Deutſchen die
Woͤrter, ein, eine, oder derſelben Pluralem ben.
—— Begrif. Es muß aber der Arti⸗
kel ſeyn, das iſt der beſtimmte Begrif, weil
die Rede wegen der Beſchaffenheit des Ausdrucks
eigentlich beſtimmet iſt. |
papes UE
— d
Gebrauch des Artikels. 223. 343
‘Elle a Xr mains belles & Je teint beau; fie
bat ſchoͤne Haͤnde und eine ſchoͤne Ge⸗
ſichtsfatbe. |
Le fortune a les yeux bandęs.
,) Mad ben Verbis die, ihrer wahren Se:
deutung na, etwas beftimmtes anfüubigen
. und vorftellen, und ben welchen zuweilen etwas
drunter verſtanden wird. Als:
Faire ſtatt contrefaire. Il fait le grand Sei-
. gneur; et ſpielt den groſſen Herrn. Il fait
Pétonné; er ſtellt ſich an, als wenn er ſich ver:
wundere. — —
Je vous /oubaite le bon jour.
| Aimer, gern mégen, eigentiid) lieben.
G2296,
— Naime ZX vin, ich trinke gern Wein.
Sentir, riechen; Wornach? Cette chambre
fent (neml. aprèr) les fleurs; dieſe Stube
riechet nach Blumen. (Semir heißt auch
empfinden). |
On lui donne de ? Excellence, (nemlid le
titre); Man giebt ibm dem æitel Excellenz.
Il tranche du grand Seigneur; et flellt fich
wie ein groffer Herr an; oder er aiebt fic
für ginen groffen Hrn. aus. |
Da - DS
344 223. Gebrauch des Artikels.
3) Mad den Ebrentitel Monfeigneur, Mon-
ſieur, Madème, Mademoifelle, Meſſieurs
&c. (167) Ag:
Monfieur le Confeiller, der Serr Matt.
Meflieurs les Sénateurs, die Serren Rahs⸗
berren.
: Madame la Comtefle, die Grau Gréfin.
s 4) Mad den Præpofitionibus.
dès, von da an. vers
après, nach. con | teen
ur
ann von ber Uhr aeredet wird. Auch fonften
nad dr, wann die Sache beftimmt if. As:
après /es huit heures; nad adt Ubr.
dès /es quatre heures du matin, fon feit
vier Uhr frübe.
dès l’enfance, dès /e matin, &c.
5) Nach rout, $ 92. Us toutes Les ocaſions.
Dans toutes les ocaffons. (16$)
6) Ver
(167) Nicht vor dem Ebrentitel tie im Deutſchen;
benn man fan nidt fagen la Mademoifelle &c.
Nur bey Monfieur und Meſſſeurs geht les an: Le
Monfeur, les Meſſieurs que vous connoiflés.
Go gehet es auch mit ben Pronominibus. Mon-
fieur votre frere. Mademoifelle votre ſœur.
» 8
A
Monfeigneur le Prince. Vos Meflieurs font-ils .
au Logis ?
(168) Go auch mit ben Pronominibus; fie ſtehen
na tout, Als: Toute votre vie, Toute cette
Province, Tous mes gens.
D
I Gebrauch des Artikels. 6 224. 345
6) Bey dem Pronomine relativo und Inter-
rogativo, de quel, f# quelle. 680,2, 836) 2.
$ 95; 3° 7 —“
| | . 224 |
1) Ferner wird ber Artikel im franzoͤſiſchen
beſonders gebraucht:
Bey deu Namen der Laͤnder und Landſchaf—
ten (169). Als:
La France. L' Allemagne, La Saxe.
La defcription de la France, |
*Die Deutſchen thun es bey einigen Lândern,
als die Schweitz, die Tartarey, die Wetterau,
daos Eichsfeld ꝛc.
2) Der Artikel faͤllt aber weg, wann man
bey den Landſchaften fraͤgt Wo? und Wohin?
Deſnn man ſetzt alsdann die bloſſe Præpoſition ex
davor. Als:
Il eft allé ex France. Il eſt en Saxe.
Il demeure en Hollande,
3) Gerner faͤllt ber Artikel Ben Landſchaften
weg, wann man fraͤgt: Woher einer oder ets
| Ds... was
— of
(169) Nach deutſcher Art ſteht der Artikel auch:
8) Bey einiaen Italiaͤniſchen Poeten und Maler,
_ alé l’Ariefte, le Tafle, le Carache.
) Bey Sluͤſſen und Bergen, als Le Rhin, le
Vefer, la Leine, la Seine, le Danube. Le
Caucafe, le Parnafle. |
€) Nota. Mad mont folgt das bloſſe Wort; nach
montagne folgt de. Le mont Vefuve. La mon-
* gagne d'Etna, Les montagnes de vauge,
4
$
346 6225. Pebranch des Artikels.
was ift, oder kommt, ober den Namen fuͤhrt.
Als: |
Il eft Ze Suede. Il vient de Saxe.
Le Roi de Frence. Du vin de France.
@ 225
Beſondere Anmertungen,
1) Mad den Ehrentiteln, wie aud ben
den Beywoͤrtern und Superlativis die dem Sub- :
ftantivo nadgcfeft werden, wird keine Prepof-
tion gum Articulo gefeft, fondern er bieibt un: ‘
verdndert ſtehen, weil die Præpoſition die vor:
añgebet hinlaͤnglich iſt den Cafum ju zeigen, und
die Franzoſen nidt die Nomina fledtiren. Als:
De, à Monfieur le Capitaine; des, dem
Herrn Hauptmann.
A Sa Alajeſté e Roi de N. Ihro Maj. dem
Koͤnige von N.
Lbiſtoire de Fréderic le grand, die Geſchich⸗
te Friederichs des Groſſen.
Je parle de l’homme ZX plus célébre du
Royaume; id rede von dem beribmteften
Manne des Rônigreihs,
2) Bisweilen werden nad dem Artikel
Worte ausgclaffen; als fête, mode, maniere,
façon, Als: |
La Saint Michel, La St. Jean (fc. fête.)
A la françoife, à la turque, à la Houfarde,
(fc. mode, maniere, façon).
. 3) Das
Gebrauch des tits — 226. J 347 |
3) Das Verbum Aimer, gerne moͤgen,
haben, thun ꝛc. Belieben haben, wird auf
eine dreyfache Art conſtruiret.
4) Wenn ein Subſtantivum folgt, ſebet es
allein mit dem Artikel- Als: F aime la
danfe,
b) Wenn es ein Verbum regiret, ſtehet à
.bavor.” Als: Jaime à danfer.
c) Stehet mieux dabey, (ic) mag lieber),
fo foigt ber bloſſe Infinitivus und im Mach:
ſatze que de. Als: Paime mieux danfer que de
faire des armes. Ich mag lieber tanzen
ais fechten.
4) Da bas regirte allezeit nach dem regi⸗
renden ſtehn muf,( fupra nota 165 ){o muß man die
. boppelten Subftantiva der Deutſchen umkehren.
Als Ein Stroh⸗Hut iſt ein Hut von Stroh.
Der Korn⸗Markt iſt ein Markt zum Korn,
Un Chapeau de paille. Le marché au blé,
ii Don den Subfantrvis ohne Beſtimmungs⸗
Wort, oder vom Weglaſſen des
Artikels.
$, 226.
Aus demjenigen was 6 40 feſtgeſetzt iſt fol⸗
get, daß man im Sranjôfifden keinen Artikel
vor die Subftantiva feke :
A,
: *
2 +
J nen, Staͤdte, Doͤrfer, Monate, Tage
‘es
I —WR
2) Bey Titeln, Ueb ſchriſten ——
| — und in 2ffecr, — Ms :. |
— Interêt, honneur, confcience, tout eft ſaeri⸗
* —* Dom Danses
— Tr die — auch kemen sut |
wann ſie nemlich a) niche zu beſtimmen
—— und ê) nicht beſtimmen vel
1. 4). Licht brauchen, wie
1) Bey deu Nominibus propris, ter: Perſo⸗
Folglich auch bey Dieu, wenn es das Hoͤchne
Weſen bedeutet. (170)
Lettres Shoiles. Livre de prieres.
‘Académie Royale des Belles- Lettres. #
Tout cé qui reluit n’eft pas Or, 7
fié! Courage Soldars ! L
| 8) Ben ben Numeris cardinalibus in :
Pronomiuibus. (171) Als:
Trois hommes. Une fille de vingt ans,
‘Voila votre livre. De qui parlés-vous? -
\ Diverfes gens. Plufieurs hommes, -4
he l 5x - 4) *
(170) Bisweilen ſetzen die Deutſchen einen Aenta.
bep einem Nomine proprio einer Perſon, eines
Monates, eines Tages. Daher wohl zu
gen iſt, ob der Begrif beſtimmt iſt oder: nie
voder etwa cine Ellipfis ba iſt. D
(179) Dazu gebôren inſonderheit die — 4
definita und Impro — 6 90.91. Als quelques
‘‘ certain, divers , phieuss, pe, v A.
t
Sub. ohne Artikel. S 26. 349
4) In der Appoſitione, “und wenn bas fol⸗
gende mit dem erſten Worte ſo zu ſagen nur ei⸗
nen Namen ausmachen. (172). Us:
La lettre w n’eft pas françoife. La Vierge
Marie. Fréderic Roi de Prufle,
6) Wann man nicht beftimmen will,
5) Bey allen unbeſtimmten Redensarten.
His: Il eſt Docteur; nous ſommes amis, Ila
pere & mere; il n'a ni pere ni mere.
Folglich:
6) Bey den deutſchen Doppel s Subitantivds
vor dem Nomine bas im Franzoͤſiſchen nachſte⸗
7 Gen muf, wenn es nidts beftimmt. Als:
Un fils de Roi. Un homme de cour, Un
maitre de danſe. De Feau de pluye,
(Regenwaſſer). Une marque d’ amitié,
7) So bleibt auch der Artikel weg, wann ein
Subftantivum mit einen Verbo zu weiter nichts als
eine gewiſſe Art eines Verhaltens anzuzeigendienet,
and folglich mit demſelben nur Kin Wort aus⸗
macht. Als:
Avoir faim; donner avis; faire réponfe;
prendre patience ; rendre vifite; ils font
amis &c. 8) Glei⸗
(172) Im Nominativo maden eg Die. Deutſchen
mie die Franzoſen. Aber in andern Caſibus fes
tzen ſie zuweilen den Artikel; als; Die Geſchich—
te Friederichs des Koͤnigs in Preuſſen. Dies
muß man nicht nachthun, ſondern man (rt, Vv⸗-
foire de Fséderic Roi de Prufle.
en
350 6227. Don SbÆ. obne Attikel.
8) Gleichergeſtallt bleibt der Artikel mea,
nach allen Præpoñtionen, da man 4) nicht be⸗
ſtimmen will, und 6) ba man vielmehr Adver-
bialiter ſich ausdruͤcken will. (173) Ais:
a) Quantité de gens. Combler d honneur.
On parle de paix. Manquer d'argent.
Payer d’ingratitude. Mourir de chagrin.
Entre freres & fœurs il ya fouvens dispute.
b) Avec plaifir; par ocafion; fans reflexion ;
par lettres; en ami, (freundſchaftlich).
11 l’a fait comme Roi. Il paſſe pour Philofo-
phe, Il eft fans argent,
{. 2270
| B.
Insbeſondere wird der Artikel im Franzoͤ⸗
ſiſchen ausgelaſſen, obgleich die Deutſchen den
Artikel ſetzen, oder einen andern als den unbes .
ſtimmten Begrif vorſtellen:
1) Wann das Wort, das im Regimine ſte⸗
het, nicht beſtimmet feon fol. Als:
Le Dieu de miſéricorde; der Gott der
Barmherzigkeit.
La couronne de juſtice; die Krone der Ge⸗
rechtigkeit.
Je ſuis d'avis que &c. Ich bin der Meinung
daß ꝛc.
Pour
(173) Wann Landſchaften mit en oder de ohne Artis
kel ſtehen muͤſſen Siehe & ana, 2 4
Unitoͤts⸗Partirel. 8228. 351
. Pour recompenfe: zur Belobnung.
11 faut avoir un fonds de vertu,
+ 2) Ben den Ehrentiteln Monfieur, Madame
&c. Denn bas find Nomina qui propria. .
. Je parle de Madame N. Ich rede von der Mad. N.
3) Den Ordinal : und Cardinal:Bablen, wann
fe als Beywoͤrter oder in. Anfuͤhrungen nachge⸗
Le werden. Srrz, mor. EL g 123, 2.4. Als:
Charles ſept. Livre Dõoue, Chap. onzième.
* *7
II. von bem unbeſtimmten Unitaͤts⸗
Begriſe oder von der unbe
— ſtimmten Einheit.
| 6. 228:
* Aus demjenigen, mas g 41 geſaget wor⸗
den, flieſſet daß die unbeſtimmten Unitaͤts⸗Par⸗
tikeln wegfallen muͤſſen, obgleich die Deutſchen
ſie ſetzen, wc man nicht auf eine gewiſſe unbe⸗
ſtimmte Unitaͤt, ſondern nur auf die Bedeu⸗
tung, oder (quàali ſicativiſche) Denomination |
f ebet. Folglich: |
1) Mad ben Verbis Subftantivis; nemlich
nach Ftre und die dazu gehoͤren. As Il éft Roi. .
Ileft fils du Comte N.
Diefe Verba find : s’apeller, connoître, confhtu-
er. couronner, créer, croire, déchirer, de-
meurer, devenir, élire, envoyer, eftimer, faire,
le faire, mourir, naitre, nommer, patoirre,
tendre, fe rendre, fembler, fupofer, fe trou-
ver, vivre &c, x
8*8
353 S$ 229. Unitoͤts⸗Partikel, Un, Une.
Mis: Il a été créé Cardinal. Ils font devenus
Philofophes, Il a été nomme oder élu, mem-
bre de cette focieté, Ila été couronné Em-
pereur. left mort Juif, Je le crois, je P
eflime, je le fupofe honnétk - hommes EL pa-
roit bon Soldat,
2) Jedoch wird des Wohiklangs w wegen und
zur Vermeidung der Zweydeutigkeit, un und une
oft beibehalten; welches auch der Richtigkeit
Willen nach ce geſchiehet, mnſonderheit, wann
ein Relativum folget. Als:
Mr. Damon eſt un homme vertueux.
N° examinés point que je fuis ## ‘inconnu.
C’eft #n brave. C’eftune honte. ‘
C’eft #n homme qui a du cœur.
§. 229. |
Setner fällt Ur und une weg, 06 gleich bic
Deutfhen ein oder eine ſetzen:
1) Bey den Naminibus qualitatis, tbann bas
folgende Wort nidt ein gewiſſes Individuum
darffellet. (174)
Dergleichen find : qualité, dignité, nom, caraéte-
re, titre, profeflion, emploi, charge, ofice,
métier &c.
Hs:
(174) Alſo auch nath cinigen Nominibus Quantita:
tis, als ſorte, efpèce, &c. 3, E. C’ eft une espè
ce de petit-maitre, es ift eine Art bon einen
Stutzer.
1, + 77* NAT ur k F |
ii bar, Un Une, Sa. 353
: Ms: Le La charge de Conſeiller. La place de
. Préfidenc. La qualité :d’ honnéte- homme,
, La dignité d’ Ampaſſadeur.
en Wam der Senſus unbeſtimmt iſt. Ms:
1e bonne opinion de foi- même, &
* iamais homme ne fat plus content; il eft
#77 cependant acufé de négligence, ,
Un coup de canon, ein Schuß von einer
Canone.
9 Nach den Prepofit tionibus im unbeſtimm⸗
ten Verſtande. Siehe $ 226, 8. »Als: 11 eft
omme étranger dans fa patrie; er iſt wie ein
— * in ſeinem Vaterlande.
$. 230,
ASE
Anmerkung.
J Die Woeter Un und Une find hier nicht
“Bab en, welche bier einen numeralifben Begrif
—— haͤtten; ſondern es ſind Woͤrter,
{he aus der totalitate rerum einen Gegen⸗
Raftanb herausnehmen, um es als ein einzeles
LA aber unbeftimmt und unbefhränft auf
Es biefes oder jenes Objedum, barzuftellen. Die:
ES fe Woͤrter ſind demnach unbeftimmte Unitaͤts⸗
Partikeln, oder auch Pronomina impropria, ſo
vie certain, quelque, tel, die gtoat gewiſſe Ob-
Jeda bezeichnen, aber nicht unterſcheiden noch
beſtimmen welche es ſeyn. Sie thun mehren⸗
Etheils den Dienſt einer Particulæ extractivæ, um
LC
, cet
- La L
354 ga | Quant Bogr | —
ble Woͤrter im hiagulari quantitætivè oder —
tivè vorzuſtellen; fo wie im Plurel Jess oder
quelques, certains, divers, — thun,
414 nota 66.
*
sie tv. Don dem quentitativäfchen und per |;
viſchen Beyriffe; oder von der Vor⸗
ſtellůng einer un en, un⸗
beſtinunten Quantitaͤt. —
Ÿ. 2 3h
| Wie buͤſer Begrif vorgeſtellet 9 wann
er gebraucht werde, iſt $ 42 und 43
75). Man wird ſich alſo begnuͤgen folgende
Anmerkungen ju machen: de
Da biefer Begrif ſo viel bedeutet als quel
.que, certain, divers, Plufieurs » quelques, und
_affo durch 4, ‘de la, * einen quantitativiſchen, *
F oder partitiviſchen oder collectiviſchen Segtif :
darſtellet; So muß man ihn, eben ſo wenig
als un und ant brauchen, 4) wo dergleichen *
er:
Begrif nicht erwecket werden, ſondern die Gui
de gans ut su vorgeielle werden * *
— N — J
75) Dicfer Begrif TS partem oder quantitatent ali à
cujus Zotius, aber indeterminate an. $ 42, ‘ra
Nur muß diefer vorgeftellte Theil nicht den Pam *
des Ganzen verlieuen; z. €. die Wand iſt Hé
Stück des Saufes, weil es aber nicht dieſen Nas
men behaͤlt, fo wird es als ein beſonderes Subitan-"
⸗cirum angeſehen.
- ee ,
. A ‘ i
! -
| Soit auch nicht 8) Bey ben Verbir Sub an
| Quant Bei mai: | 355
R
Abvs, noch c) Bey den Partikeln die mit dem
Nomine einen unbeſtimmten Sinn ‚anzeigen.
8 226,8, 6) 6228, 1. Als:
nont temqiguè plus de ferveur que ceux-la.
9 ls font Doéteurs. Ces Meffieurs font fils
> . de mon ami; ils font devenus membres de
notre Univerfité, |
. €) Entre amis on n’y regarde pas de.f près
* — unter Freunden nimmt mans ſo genau nicht.
;.." Ils paſſent pour grands génies, fie werden:
BE für groffe Geifter gebalten.
6. 232.
1) fc der deutſchen Unitats Par⸗
keln, ein, eine, ſetzt man bey gewiſſen Re⸗
À insarten, den quantitativifchen Begrif !., wann
nan einiges druuter verftchen kann.
— ls: Ilya de ladiférence. J'en ai de P averſion⸗
# donne du dégoût par mes lettres. y trouve
+ du pläfir. _
LK ſetzet man an oder une, der Deutticfeit und
Michtigkeit wegen; weil die Sache durd eine’
ewiſſe qualitât von den andern unterſchieden
eo. $ 41, 4. 228, 2. Als:
D ya une grande diférence. P y remarque
Ê. une folide érudition, Cela m’a caufé un
fenfible chagrin. 3—
—— 3 à . Ste
M
À 2) Allein wenn ein Adjedivum babet iſt,
-* ° 4) Hn' ni argent ni amis. “Jamais Chcétiens |
# " ‘Cela lui caufera de la jaloufie, Je vous
316 6 233. —R dpt. -
Oder die Zweydeutigkeit zu vermeiden. Ms:
ee -
.! Je. .me ferai ax plaifir de vous.être ‘utile,
Denn je me ferai plaifr fan heiſſen: ich
werde mir Gefälligteit erweiſen. —
$ 233.
1) So mie, man vor die Adjediva fan de
” unbeftimmte Quaniitäts : Partifel de ſetzen, ſã
fan folhes auch bey den Pronominibus geſchehen.
Als:
Je n° ai point reçu de vos lettres ; Ich T
keine Briefe ven euh bekommen. oi
Voila de fes tours! bas fin Streiche von ip
Je ne fuis pas de ces gens qui importunent£
id bin nidt von den Leuten die beſchwet⸗ à
fig fallen. 3
Paibu d'autre vin; id babe andern Be 1
getrunfen.
J'ai de pareilles raifons; id) habe eben #
\ gleichen Urſachen. DE ..
2) Jedoch laͤſſet man gern quelques, vi
diférens, divers, ofne Particula —
weil dieſe Pronomina eben dieſe quantitativiſchh
und partitiviſche Bedeutung haben. Als:
Certaines gens croyent. gewiſſe Leute glau
ben. (So viel ais? Il y a des gens qu Le
croyent.) LES
J'ai die à quelques perfonnes, (i. e. des * *.
fonnes) : —
On y parvient ‘par’ divers oder diféresh
moyens,” (durch verſchiedene ) 16,
*
a — de tamis
J bé —
À ag be Bof Sam 7.
J a $. 234. oo,
— Schluß⸗ Regel. ..
A Die Deutſchen môgen die Nomins Sub-
Nantiva darftellen rie fie wollen, mit dem Ar:
rruikel, der, die, das; oder obne Artikel; oder
mit den iibéftinimten Unitaͤtswoͤrtern ein, eine; ,
ſo bleiben bob die Srangofen bep den F 39 : 40
gegebenen Grund⸗Regeln. $56, 4. Sie ſetzen;
1) Den Artifel, Le, Ja, les, nidt eher als
wann die Sache beſtimmt iſt und von andern
unterſchieden wird; laſſen ibn aber and nicht
weg, wo ein Senfus definitus iſt. 62215 6 226, .
7) Sie fcéen keinen Artikel, fondern laffen
M bas bloffe Wort fteben, wo man nicht zu bes
ſtimmen braudy; wo man nicht beſchraͤnken
Will; und uͤberall mo der Senfus indefnirus if.
Go hald aber das Subſtantivum determinirt
wird muß der Artikel dabey ſtehen. 236, 227.
m3) Gie brauden Un und ane in der phraſi
nicht cher als wann das Deutſche ein und eine
à Gien fann ein gewiſſer, ‘eine gewiſſe; es
mivûre dann, daß ein Beſchreibungs⸗ Wort (Ad-
edivum * oder fonft ein Umftand der Deutlich⸗
bit wegen es erforderte. $ 228: 230.
| 4) Sie fegen die Particnlam extraivam feu:
\ partitivam, de vor das durch ben Artikel oder
Dur cin Adjedivum beftimmte Totum, fo off
han Etwas von bem Ganzen oder einitge von
Allen quantitative, partitivè, oder colledivè
| vorſtellen till. $231: 58 233
8 3
$ 2250
7.
ss8 235. Abwechſelung der Begriffe.
5. 235.
Exercitia die abwechſelnde Vorſtellung
der Degriffe bep den Subfantivis
| zu uͤben. |
L
Hier ift insbefondere auf ben Gebrauch bes
Artifels ju feben.
1. Gebet mir cine Flafche von dem Weine, tel
den mir geſtern zuſammen Foffcten (gogrames). lle
Welt weiß es, und euer feliger (fex) Better bat «8 off +
gefaget. Der Herr Graf if angefommen, Dieſe Sa ⸗
De verurfadte Heinrich dem Groffen vice Unruhe
(inquiétude). | — |
2, Sd wuͤnſche, daß ibr gluͤcklich ſeyn moͤget
bis in das fpâtefte (/e plus avancé) Alter (age), ihr
und eure ganze Familie. Er bat des Herrn Barons
Hofmeiſter nach Frankreich geſchicket. Bey ſeiner
Ruͤckreiſe (7etou⸗) wird er durch Engelland (Angleterre)
reiſen (paſſer), aber er wird Holland nicht ſehen,
denn er wird von Engelland zu Waſſer (par eau) nach J
Hamburg wieder kommen, und er wird mir von En-
gelland Wein aus Portugal (portugieſiſchen Wein)
mitbringen. | R
3. Ich babe ibm geſchrieben mit (per) der Poſt⸗
welche des Gontages gegen (vers) Abend, oder in Det
Nacht gegen (fur) eilf Uhr abgehet (pers). Er hat
vft bon mir (6 233) Briefe bekommen. Groffe Vor
baben find ſchwer auszufuͤhren (aexécurer), es find
nur (ny a que) auſſerordentliche Manner die ſolche
L Gtande Bringen koͤnnen (qui peuvent eh venir à bout }4
ch gehe nach Hauſe, und vou dar nach Hofe. 5 4
v
Exercit, über die Modifie. Idiar. (235. 359
II.
Hier wird vornemlich auf das Auslaſſen
des Artikels geſehen.
1. Redet ihr vom Cicerone? Nein id rede von
andern Roͤmern. Ich rede von dem Horatius und von
verſchiedenen andern. Der eine ſagt dieſes, der ande⸗
re ſagt das J
2. Die Herren, welche hier geweſen ſind, ha⸗
ben fich mit den Jungfern verheyrathet (mariés), wel⸗
che auf Michaeli hier geweſen ſind. Sie ſind Verwand⸗
tinnen (parentes) von dem ſeligen (fes) Herrn Rathe,
und haben ein Erbfolge ucceſſion) Recht (aroit) auf
die Guͤter (biens) ihres Vetters.
HE.
Hier wird aud) auf das Auslaſſen des Ars
tikels gefeben.
1. SD Bitte (demande) eud um Verzeihung.
— Cr bat Abſchied (congé) genommen. Ihr babet nidt
Gebult gebabt. Er war cin ebrliher Mann; er ift als
in Lungenſuͤchtiger (Poulmonique) gefiorbeu. Er bat
file ein (en) Unbeſonnener (tourdi) gehandelt. Sd
“babe es ibm unter der Hand wiſſen laffen.
2. 2, Gewiſſe Lente baben mir gefaget, daf der
… Berg (mont) Pico febr hoch jey (7). Seyd tugend-
ft fo merdet ibr, als ein Derr (maitre) eurer
eidenſchaften, die Ruhe des Gemuͤths Cespris) zur Des
lohnung befommen. |
J 3. Ich werde es gelegentlich (per) thun. Sie
lieben ſich brüderlid) (comme). Er lebet Chriſtlich (en).
Er thut es verdrießlicher (chagrin) weiſe (avec). Ich
+ girage (apporte) meine Schmerzen mit Gedult.
8 4 IV.
360 235. Exereit, Über die Modific. Idear.
IV.
Hier muf man auf den Gebrauch der
Unitaͤts⸗Partikeln feben.
1. Ich kenne einen jungen Menſchen, welcher
ein Edelmann iſt, und der die Bedienung (Ia charge)
eines Raths ſuchet (recherche); Aber aus Mangel
(Jante $59, 2) einer Ueberlegung (réflexion) und einer
Erfabrung ift er nicht gnugſam unterriditet in (de) vies
leu (plufieurs) Dingen, welche er als cin Rath wiſſch
mübte (devroit ).
2. Der Koͤnig bat ibm cinen Gehalt (penſion)
gegeben. Man muf ein fo (auſſi) grofmüthiges Sert
baben, als es biefer Monard Dat, um cinem Men⸗
ſchen fo viel Gutes (tant de bien) zu thun, der dicfe
Aufmerkſaͤmkeit (atention) no nidt verdienet. Er
fllet fi (fai) arm, und ift dod reich. Cr hat
fonff cine aefunde Vernunft (box ſens ), und es iſt (y e)
din Vergnuͤgen (plaifr) ibn (à) zu hoͤren.
V.
Hier bat man inſonderheit den quantitati.
vifhen Begrif sum Augenmerf gebabr.
| 1, Ein Gtudirender muß Papier, Federn, Tin⸗
te und gute Buͤcher haben. Alle meine Bruͤder find
Officiere geworden (devenus), niemals haben mich
Nachrichten (rouvelles) mehr erfreuet (rejoui), als die
fe. Die groſſen Plauderer (parleurs) werden für Lens
te gebalten (paſſent), welche eine gar su gute Meinung
(opinion) von ſich baben. .
2, Gewiſſe Entwuͤrfe (profes) find üfters ge
faͤhrlich auszufuͤhren (à exécuter); man muf Zeit
baben fie wohl au uüberlegen (concerter), Ich bis
niht von jenen (ces) Leuten, welche belaͤſtigen
(iscommodent), Ich bleibe zu Hanſe aus (per) vers
ſchiedenen Urſachen. Mit Gedult und mit Bernunff .-
Pau man vicle (bien des) Widerwaͤrtigkeiten duerſt-
tés) uͤberſteigen. VI.
Caoſus ‘und Prapofiioner. 2136. 361:
| VL
Ueber einige Anmerfungen.
1. ein Bruder trinfet gern (aime) Wein, ich
aber trinfe (boire) gern (aimer) Waſſer sur Mahlzeit
(repas), aber auffer (hors) der Mablicit mag id licber
( gaimemnieus) ein Glas Wein su mir nehmen (prendre),
a
Waſſer trinfen, 6 225, 3.
2. Ein Kayſer. Da find Kayſer in Kupfer ges
ſtochen (gravés en taille douce), Das ift eine Kayſer⸗
Krone. Der Kayſer Carl ber fechfte war cin Schwie⸗
gervater (beau pere) deg heutigen Kayſers. Die Rap
fer Krone. Die Krone des Kayſers. Ich rede von
Alexander dem Groſſen.
* RX R
— E
II. Abſchnitt.
Von den Caſibus und Præpoſitionibus.
| 9. 236. |
1) Da bie Frangofen feine Flexiones bas
ben, fondern ihre Calus burd ein anderes Kenn⸗
.&tichen augeben, $ 473 fo ift es nidt noͤthig bie
* fateinifhen Namen beyzuhalten; es tûre dann,
daß man der Gewohnheit wegen die Namen:
J Nominativu und Accufotivus beybehalten woll⸗
te, um das Subjecfum und bas Objectum der
—
Mandlung oder des Verhaltens anzuzeigen.
35 2) Der
362 6236. Cafus und Prepoñsionsr.
2) Der Nominativus beift beſſer Subjecti-
vus, und ſtehet vor dem Verbo. Der Accu-
fativus beift eigentlicher Objectivus, und ftebet
nach dem Verbo. Verde beduͤrfen weiter fein
Kennzeichen. F49. 50, 1. 56,
3) Alle uͤbrigen Faͤlle werden im franz. mit
Prepoltionibur angegeben 47. 48. 56. und
nicht mit Flexionibus, deren fonfien gar ju vief
ſeyn müften. Will man nun den rechten Ca- -
fum treffen , fo nimmt man die natuͤrlichſte Pres
poſition. $ 50,2. 56,3. Man braucht alſo
die Benennungen: Genirivus, Dativus, Ablati-
vus (176 4) nidt, um Cafus zu bebeuten, denn
tir haben deren viel mebrere (176, b)3 und
| Die
(176. a) Die Grammatici nennen die Præpofitionem
de einen Genitivum und Ablativum, weil dé
Lateiner ibre fo benannte Cafus mebrentbeils
im franz. mit de gegeben werden. Aber wars
um zwo Venennungen, Eine mûre gnug: Allein
welche foil man nebmen : ? Deift auch ein Cafus
eaufalis, originis , extractivus, materialis, de-
rivativus, quantitatis, ſeparationis, inſtrumen-
talis, poſſeſſvus &c. Die Præpoſitionem
ſpecificativam à nennet man den Dativum; al⸗
Hein man giebt nicht allezeit, wann man à -
braucht, Es ift auch ein Cafus localis, motus
ad locum, attributivus, comparativus, defti-
nationis, figni, modi, propenfionis, intenſio-
nis, terminativus &ec.
b) Sum Exempel Par ift der Cafus tranfitivus,
mediativus, repartitivus &c. Avec if Der Cafus
‘«
comitativus, inftrumentalis, permixtionis &et. .:
Cha -:
té Fee ” *, *
‘4 ,e
. «
J— *
—E hne. (6, J
die Sateinee muͤſſen doch haufig in vielen Fallen |
au den Præpofñtionibus ſchreiten. Doch wollen
wir hier, weil man die Benennungen Sabſccti-
œuf und Ohjectivus nicht wohl gewohnt iſt, die
Mamen: Nominativus und —— beybe⸗
balten. 2.
à) Den Vocativum brauchen tir gar nié,
es iſt cine Ausrufung mit dem bloffen, obne
oder mit bem Artikel, ſtehenden Morte, vor
F2 zuweilen eine Interetion gefeht wird.
Scigneur, que faites - vous? |
:. , OCiel! ah malheureux ! Helas Madame!
: , : Ole plus fage de tous les Rois! oo
| | Hola l homme a aux lunettes ! Hier Brillens
_ Mann !
— in den Briefen die Vocativi: Sire, Mon-
ur, Monfieur, Madame, Mademoifelle,
Plurali: Meffeigneurs, Meflieurs, Mesdames,
= ssdemoifélles.
Di
| Chés if der caſus domicili &c. und fo mit al.
Len uͤbrigen Præpoñitionen, welche alle Œinen
Sal oder, wie die meiſten thun, nchrere Faͤle
oder Cafus angeben.
— D'OR
v Ê . J L
: sé Pr Dom. Nominatise, 7.
WW weden daunsch bande
+ Vom Nominativo, , —
I. Vom Accuſotivo. |
— III. Von den vornebmſten Pope.
— bus, (179) |
+. | 8. 237.
L Dom Nominativo. | ESS
3) Bcy dent Nominativo iſt zu bemerken: J
4) Wie et nach den Abwechſelungen bre ge
griffe eingerichtet merde. Hits
b) 9 Gtelle in der Conſtrucion. LS
L c) Delfen Uebereinftimmung mit dem Veibo, :
Bon dem erfien Puncte iſt in Der aten Abtheilung
5372244 gehandelt worden. |
Bon dem aten fiebe die Conſtructions-Ordnung.
Bon dem ten Stuͤcke —— man in dieſem Ab⸗
ſchnitte.
20) Die Haupt⸗Regel fe Der Nominati-
vus und beffen Verbum müffen im Numero und
in den Perſonen übercin fommen.
| | $. 238. il
⸗
|
(77) Was hier von den Subſtantivis geſaget wird,/
gilt auch von bem Infinitivo Verborum, ele,
da ſie ein gewiſſes Verhalten, cine Handlun,
oder Berfabren, oder Leiden anseigen, eben wie die
Subftantiva bebandelt werden, und entiveder ohne,
oder mit einer ſich dazu ſchickenden Præpoñtion is
‘ “Wen Cou angeben. $ 140,
” æ-
— F
bem Nominative. — * 139. 863 |
| AS 338. |
Wann di Nominaïtvus Pronominis —*2*
u- durch et" Pronomen relativum voi ſeinem
Verbo getrennet wird; fo muß dennoch das Ver-
bum mit ben Pronoming in gleicher Perſon
ſtehen. Als:
Wous êtes un homme riche qui dur Ocafion
de faire du bien.
Nous fommes de pauvres gens qui n° avons.
LUE | sien,
Eben fo als wann nad c'e der Koniauires |
| = Bei vor dem Relativo ftebets As: |
—8* C’eft vous qui l’avés fait,
#4 Ce n’eft pas moi qui l'as écrit,
Ke" a) Anmerkung.
es Die Nomina und Pronomina collectiva, (wel⸗
LE ge im Singulari ju ſtehen pflegen), und die 44.
D -berbia quantitatis ſtehen nicht unmittelbar vor
ihrem Verbo; ſondern das von ihnen mit de res
e Subftantivum muß dabey ſeyn, oder an defs
4 far bas Pronomen fuppletivum ex. Als:
4 Cet peu de chofe, Beaucoup de gens difents
J Folglich
$ Fe das tegirte LE
2) Da⸗
PR .
| Adjecini— und Participiis paffivis, As:
\ 7 8 —* CO RS 8F
21 * LE 4 . * R.
J * a . ° i
us as $239 | om” —E
2) Daber haben gedachte (Coledive, wie
auch -Adverbia quantitatis 4) das Verbum Ben
ſich im Singulars, wann das von ifnen regirte
Subitantivum im Singulari ſtehet; 2) bingegen
etforbern fie den Péurelem bes Verbi ann fie
ihr regirtes Subſtantivum im Plurali nach. ſich
haben. (178). Als:
45) Beaucoup de gens de lettres étudient de.
! grand matin, / en connois plufi ieurs qui. |
le font.
: Une partie de fes enfars ſint en * J
La plupart des hommes [ons intéreflés.
Ce qu’ily a (ober Tout ce qu'il ye) d':
“+ bonnêtes gens le fons un plaifi r de vous 3
être ütiles. F
) Une infinité de monde y fat préfent. F
Tout ce que j ai dargen eff à votre ſervice.
Trop de vin cauſe du mal, trop de ploifirs- *
donnent du dégoût. hi
Tout cela (i. e. routes ces chofes) fins‘:
des bagatelles. :
3) Eben biefe Regeln gelten au ben
— — —
(178) Man kann alſo nicht fagen : Beaucoup le de.
fent, peu le fonr; fonbern : Beaucoup de gens le.
difent, Mais il y eu a peu qui le font, oder
fent. So fagt man and nicht, on dit sant À.
votte louange, fonbertt ans de chofes à votre lou:
. ange, Alſo au umgekehrt; les biens de la For-
rune fons fi peu de chofe, .
- 1*
*
HE
DT ONE Re RON | L | I eo
FA. à
Von — fau. 367
‘Une trpupe de, gens ‘étour ds, |
Une partie du palais étoit brule,
4) Wenn ben le plupart (die meiften) kein
Subftantivum.ftefet, ſo wird der Pluralir fuppo= |
nirt. Als:
La plupart Le font. (179) 1.
.. 6, 240:
31) Zweene ober mehrere Nominarivi ets
fordern einen Pluralem. Als: Mon frere &
‘na fœur écrivent, ”
4." à) Es iſt erlaubt ben Singalarèm au gebrau⸗
, ann bie Nominativi.burdh eine andere
onjundion als & verbunben find; z. €. mit
— ⸗
partie, une partie, la moitié, le tiers, fan bag
| J Verbum im Sing. ſtehen, wann auch gleich bep
L biefen Woͤrtern Der Plur. if. Als:
Une partie des ennemis pris la fuite,
La plus grand” part des hommes fe laiſſe ſe-
Be duire,
‘Le E waͤre dann das ein Nomen im plur. mit dem
| “* Werbo être folgete. Als:
Uñe partie, de ceux qui étoient nos ennemis
fe font reconciliés.
& zweeten Sage aber ſtehet allemal der Pluralis,
La plus grande partie des homines, (fe fone
” Maire dr Univers
—
., ou, :
* —N Nach la plus grand’ part, la plus grande
oder) fe. fais yn honneur de fervir les .
. Grands; mais ils ne teulent pas fervic le.
—
+ menus.
« — ? 8
* LS . ° «
. “ d 8 ° —*
J La EE à
368 sé Dom Milan.
ou, autantque ; de même que dE bien de.
joint à, -non feulement - - @ais suffi &c. Als:
Le ciel o la terre l’4 produit. Mon. fere.
M de même que ma ſœr vous ſai firo des
. complimens,
3) Wann vie Nominativi Smine. fo, J
tie auch wann so, rien &c. die vorhergehen⸗
den Nominativos in ſich begreift, ſetzt man den
Singularem des Verbi. Ref $ 26 5e. $ 38, 8-
Als: —
La modération & Ja donceur # je Grade:
: 11" de l'homme fâge. Fr. L. PiGs. ea He
Son érudition, fa bpnté, fes maniere À
le rend aimable, Ft J FA
| 6. 241. ne
Bey Nominativis von unterſchiedenen Je:
fonen muf man beobadten : 73
1) Daß das Maſculiuum dem Fæminiuo vor
gezogen werde. Als: Mes freres & mes su? *
ſont morts. *
| 3) Daß die erfte Derfon dec zwoten,
die zwote der dritten vorgezogen werde.
Mon frère & moi vous félicicons. (1 8o) x \
\
\
(180) In dieſem Falle wiederholet man gere TES
vornehmſte Perſon im Plurali. ls: Mon frere
ma fœur & moi nows vous félicitons, 2"
Le
3 - , * -
#
Vom Nominativo. (242,243. 369
’
LA
(. 242: ,
Phrafes ʒur Uebung der Regeln
des Nominatiui. |
Du bift es Co eHtoi) der meiner Abſicht (le def-
Jein) zuwider iſt. Wir find Yeute von guter Familie
die Bedienungen fuchen. Viele ruͤhmen (vantent) die
Tugend, aber wenige uͤben fie aus. Ein Theil ſeiner
Einkuͤnfte (revenus) iſt verzehrt. Die Haͤlfte (la moirié)
ſeiner Leute iſt geſtorben. Allerhand (route forte) Lente
ſchleichen ſich hinein (y). Alles mas id an (de) Vexr⸗
gnuͤgen hatte iſt verloren. Die wenigen (/é peu de)
Exempeln die ſich von einer fo groſſen Tugend finden.
Die wenige (Je pes de) Aufrichtigkeit die ſich in der
Welt findet. Ein Haufen (foule) Volks licj su. Die
meiſten Leute (/4 plupart du monde) tviffen cé, Die
Haͤlfte unferer Geſaͤhrten (compagnons) blieb. Eure
ſchlimme Auffuͤhrung ſo wehl als cure Gleichaͤltiakeit
iſt Schuld (la cauſe) daran (en). Die Frende welche
mir euer Brief nebſt (joint à) der Nachricht von eurcr
Befoͤrderung verurſachet hat. Meine Bruͤder und mei—
ne Schweſtern ſind gelobet worden. Ihr, er und ich
find Verwandt (parens).
$ 243
IL Dom Accufativo,
1) Der Accufativus ift das Objectum (der
Gegenſtand), der Handlung oder des Verhal⸗
tens, folget alfo auf die Fragen: Wen? oder
Was: Folglich allemal auf ein Verbum A&i-
vum, und ftebet nach feinem Verbo.
2) Es werden aber vicle Neurra im Franzoͤ⸗
fiften qu Aéfivir gemadt: Daber baben wir
viele Activa, welche folglich den Accu/ativum ex:
Aa for⸗
370 « 247. Vom Accuſativo.
fordern, und die bingegen im Deutfhen als Neu-
tra mit dem Darivo fichen. is:
afettionner, guͤnſtig ſeyn incommoder, laͤſtig ſeyn
aider, bcljen jouer, jpiden (un)
ailiiter, beyſtehen obéir, gehorchen
braver, „tretzen pardonner, .f4ticilen
charzer, sinem auftragen précéder, verni
contro faire, nachmachin prévenir, juvorfommen
contredire, widerſprecheu semercier, danken
craindre, ſich fuͤrchten rencontrer, begeonen
croire, glauben fatisfaire, quua thun
défier, trotz bieten ſecourir, zu Huͤlſe kommen
devancer, vorfommen ſentir, ricchen (ugŸ) :
égaler, gleichen fervir, dicnen
favorifer, beginfigen fuivre, folgen &c.
imiter, nachahmen (181)
3) Daber koͤnnen dergleiden Activa ge:
wordene Verba auch pafhve ſtehen. Als:
IL.
ee en nn ne — es
(181. a) Die meiften Diefer Verborum folgen Dem .
Lateiniſchen, als, évritari aliquem; ſequi ali-
que.
b) Jouer bat den Accufativum der Sache die
und um welche man jpiclets Die Præp. de bey
muſicaliſchen Snfirumenten; Die Prep. à wann
von allerley Spielen die Rede if. Man fagt
aber joucr unair f#r le claveſſin. wann das Ju⸗
févument ſammt der Sache die manu ſpielt sus
fammen ſtehet. |
c) Sati ſuire erfordert die Præp. 4 wann «8 :
nicht cine Perfon, ſondern cine Sache iff Bey
Affecten Fan man es auch thun, doc iſt der
Accul, beſſer.
Prepofitiones. $ 244: | 371
I veut être cru, obéi, remercié, imité,
Un malheur eſt fuivi d un autre,
J'ai été prévenu par mon frere,
4) So wird auch der Acculativus Verbi
von einer Verbo regiret. Als: J'espere y être
demain, Je crois avoir raiſon.
F. 244
III. Don den vornehmſten
Præpoſit ionibur.
1) Da, auſſer dem Nominativo und Accuſa-
tivo, die franzoͤſiſchen (Cæ/u⸗- mit Præpoſitionen
. angegeben werden; fo bat man 860 bey einer
jeden bie Art und Weiſe gefest, wie fie die
Fhrafin modificiren, und folglid was für einen
Begrif fie in der Verbindung mit dem Verbo
und Subitantivo darſtellen.
2) Um nun den rechten Caſum ju treffen,
muß man diejenige nehmen, die am natuͤrlich⸗
ſten auf die natuͤrlichſte Frage antwertet, ſo
in der Redensart ſteckt, damit die Handlung
oder das Verhalten richtig und genau modifici-
pet werde. $ 50,22 À 56, 3:
3) Damit man fih in der Application Gen
fônne, wird mau bier die drey ipecificativifchen
Præpofitiones de, À, en, und .einige andere
vornehmen, und theils aus deren Begrif: Por:
ſtellung Folgen ziehen, theils ſelbige ſonſten mit
Anmerkungen erlaͤutern.
Aa 2 6: 245:
372 : 245. Prapofiio de.
§. 24 5. +
A) Don de Prapñtion De.
De wird gebraucht, nach $ 60, 1. anf bic Fra⸗
gen: Cujus? reff cujus ? de, a, ex
qnô. (182) Hieraus müffen die nachſolgen⸗
genden general - und fpecials Regeln folgen.
L Die Prepofñtion De wird ben einem No-
mine oder Verbo, von einem andern No-
mine regiret, auf bie Sragen: Weſſen?
Weswegen? Obder
Subffantivum regit alterum nec non Ver-
bum in flatu Particule de, (Oder
cum Præpofitione de).
2) Golalid fo wobl in Anſehung eines Verbi
916 eines Nominis, Xlsi |
La Capacité de travailler ; la capacité 4e P
esprit; die Faͤhigkeit au arbeiten (d. i. des
Arbeitens ); die Faͤhigkeit des Verſtandes.
Il
(182) De fpecificiret den Grund, die Urſache der
Wuͤrkung, des Leidens oder Zuſtandes oder Vers
haͤltniſſes, im hervorbringenden oder abbaͤn⸗
genden Verſtande. Wie auch eine Sache von
welcher etwas hergeleitet, hergenommen, oder
einen Ort von welchem etwas herbeweget wird, im
herleitenden und trennenden Verſtande. Es
bindet die Eigenſchaften, Matecrien ꝛc. an das
Objectum, oder das Prædicatum an das Subje-
ctum. Als: la porte, le maitre de la maiſon.
Le créateur du monde. L'ouvrage du créateur.
Une tabatiere d'argent. Un enfant d’un bon
naturel. &c. $ 236, n, 176,
5
#
| Prapoftio de. $ 245. 373
Il a la peine 7 écrire, l’autre a la peine 4
l'ouvrage; er bat die Muͤhe zu fhreiben
* (bd. i. des Schreibens), der andere bat
die Muͤhe der Arbeit. |
3) Alſo muͤſſen aud die Nomina propria,
welche den Appellativis angebängt werden, bie
Præpof, de vor fit haben; ob fie gleich im
Deutſchen weggelaſſen wird. (183). Als:
La ville de Paris, die Stadt Paris.
La Province de Flandres, die Provin;
| Flandern.
Le nom de Jean, der Name Johann.
4) Hierzu gehoͤren die Woͤrter, die man ma-
terialiter nimint (184). Als:
Le mot 4” Appcllatif défigne les Subftantifs
génériques; das Wort Appellativum zei⸗
get die, viele gleiche Gegenftände benen:
nende Subitanriva an,
Le mot # obéir régit |’ Accufatif,
Aa30 §. 246.
(183. 4) Nach fleuve, und riviere pfleget das No°
men proprium mafculinum ben Artikel, und
das Fœmininum feinen zu baben. Als La ri.
viere du Rhin. La riviere de Seine.
b) Bey Anzeigung des Monatstages fan
man de nach der Ordinalzabl weglaſſen, nicht
aber nach der Cardinalzahl. $ 123,5.
€) Bor faint wenn es cin Beynahme iſt faͤllt
weg. Als: La rue, l'égliſe, la porte Saint
can,
(184) Bey Woͤrtern die in Appoñitione ſtehen ift
de nicht noͤthig. $ 226,4. Als la lettre r eft
dificile à prononcer pour les enfans,
v
974 6246. Praepo/fitio de,
& 246.
Hte Hauptfolge oder Regel.
Alle Dvalitét bat die Præpofñition de bey
fih. Denn man frâget natuͤrlicher Weiſe
daben: . Wovon? oder Woher? oder
von welcher Ait? oder (von) welcher⸗
geſtalt? cin Gegenftanb fep. Als da find:
1) Alle Adje&ivifhe und adverbialifhe Res
densarten, die eine Beſchaffenheit, oder Ei⸗
genſchaft, oder Materie, oder einen Ort be⸗
ſchreiben, wovon, woher oder von welcher
Art, Einer, oder cine Sache iſt, Finge Als:
Une T abaticre d'or, eine gülbene Tabaks⸗
Dofe. wovon?)
Des bas d Angleterre, Engliſche Struͤmpfe.
c(Wwoher?
Un homme d'honneur & 4” érudition, ein
ebrfiher n und, gelebrter Mann. (von wels
cher ht)
11 parle d’un air chagrin, er redet verdrieglis
cher weiſe oder mit Verdruß, (welcherge⸗
ſtalt?)
Recevés cela’ d un regard favorable, nebmet
diefes guͤtigſt, oder mit günftigen Blicke
an. (quô?) 6251. .
2) Alſo auch nad ben Verbis bie ettvas
qualificiren, bas ift melche die Geftait oder die ”
Art und Beſchaffenheit beſchreiben. Als:
| ST Il
%
Prapofiio de. (246.247. 375
Il eft de mon age & de celui de mon frere’
er iſt von meinem und meines Bruders
Alter. |
Traiter de voleur; Einen afs einen Dieb,
diebiſch) behandeln. (welchergeſtalt?)
Cette afaire eſt d' importance, dieſe Sache
iſt wichtig. (von welcher Art?)
Je le ferai de tout mon cœur: & de mon
mieux, Ich werde es von Herzen, und aus
meinen beſten Kraͤften thun.
3) Daber ift es natñrlih, daß bie Adjeétiva
qualitatis das denad) ſich haben; mie fie im Latei⸗
nifhen und Deutfhen den Geniüüvum oder auch
den Ablativum regiren. Als:
Il eft digne de mon amitié, er ift meiner
Freundſchaft wuͤrdig.
Je ſuĩs fatigué du voyage, id $in muͤde von
der Reiſe.
Ce danſeur eſt agile der pieds, dieſer Taͤntzer
iſt hurtig mit den Fuͤſſen.
§. 247
III. Omnis Quantitas ex omnibus partibus
orationir, copiæ & inopiæ, regit Præ-
poñtionsm De. 54.
1) Die Urſache iff. weil alle Ovantitäts:
Woͤrter extractivè betrachtet werden, als ein
Theil einer ganzen Groͤße. Daber beziehen fi
fich wie pars ad totum; ſo vie man fagt: La
Aa 4 . | porte
376 6248. Præyoſitio de.
porte de la maiſon; une porte de maiſon; la porte
d’ une maifon, Un membre du corps; un
membre 4e corps humain. So fagt man and)
une multitude, une espèce, beaucoup de gens.
Un fac, une fomme d'argent &c.
2) Man merfe, daf die Qvantitätsmôrter
de vegiren, wann fie au nur brunter verſtan⸗
den werden. 6248, 12.
) Sie regiren das de fimpliciter, ohne
Artikel; es waͤre dann, daß man das von ih⸗
nen regirte Wort auf eine Sache beſtimmte und
befhränfte, $ 54, no. 76. und folglich im
Deutſchen auch ein Artikel dabey mûre. Sa 4 2
$ 221, 4.
. 248.
Bu den Ovantitaͤtswoͤrtern gebôren.
1) Subflantiva copie & inopiæ. Als:
Une paire, uneinfinité, quantité, foule, mul-
titude, une petite partie &c. Su welchen auch
die Subffantiva dev Gattungen gebôren. Als:
forte, espèce, façon, toute forte (185).
2) Adjectiva copie & inopiz, Als: cum-
blé; plein, rempli, chargé &c.
; 3) Pro-
_ 185) Wann auf:route forte (allerband) ein Plura-
Ais folget, fo iſt es aleich viel den Sing. oder beffen
ne Pluralem toutes fortes ju gebrauchen: Folget aber
ein Singularis, ſo ſetzet man nur ben Singularem
tonte forte. Als toute forte oder toutes fortes
de perfonnes.” Toute forte de prospérité.
2
4
Prepoftio de. $ 248. IJ 377
3) Pronomina copiæ & inopiæ. is:
Pluſieurs, quoi Acc. que, ce que, tout ce que
(186), quelque chofe, aucun, rien &c. Wo⸗
au die Pronomina gebôren, die, als Abſoluta
oder beutfhe Neurra, im Deutfhen von oder
unter na fi baben. Als: ceci, cela, qui?
lequel? celui, quiconque &c, | |
4) Verba copiæ & inopiæ. Als: remplir,
combler, charger, acabler, manquer, avoir
beſoin &c.
5) Aduérbia copiæ & inopiæ. Als da
ſind: Beaucoup, viel; tant, ſo viel; autant,
eben ſo viel; combien, wie viel, wie ſehr; trop,
zu viel; aſſes, gnug, plus, mehr; peu, wenig;
moins, weniger; (187). Auch que exclamati-
vè anſtatt combien, Folglich:
Aa 5 6) Die
(186) Tout ceci, tout cela gehoͤrt zu den Colle&ivis,
6239, wie aud ce que und tour ce que, welche
beyden letztere eine zierliche Umſchreibung des
Wortes Zous find. Als: Tour ce qu'il y a d’
honnêtes gens; alle ebrliche Leute. Ce que j'ai
de plus cher au monde; was mit in der Welt
am liebſten iff, oo
(187) Denn biefe Adverbia werden als Subſtantiva
betrachtet ; die eine Ovantitit vorftellen ; als beau -
coup, d'argent, beift ein vieles. von Geld u, f. f.
und fo werden au bie Adjeëtiva der Groͤße
hetrachtet, als long, haut &c. nro. 7. 8; als
haut de trois pouces, heißt das Maaß von ,
3 Sol boch, |
378 .$ 248. Prepoftio de.
6) Die Adverbia uegandi, welche als Ad-
veïbia inopiæ anzuſehen; als da find: point,
kein; rien, nidts; aucun, feiner, nidt einer;
perfonne, niemand; (188); plus, nicht mehr: .
guere oder gueres, wenig, nidt viel; mwelde
alle nebft der iten Negation ne ben einer vers
neinenden Phrafi fleben $ 209. ls: je ne
veus paint de vin, id) will Écinen TBein. Il ne
parle que de bagxelles, er redet nur von Klei⸗
higfeiten. Je »#e veus plus de vin, id will nicht
mebr Mein, oder keinen Wein mehr. Il »° y
aque vous de fage, nur ibr ſeyd Fug, teife,
artig, (fcil, perfonne). .
Folglich alle Groͤße die man fid) als Quantitaͤt
| vorftellen fan. (189) Als
7) Alle Woͤrter des Maaßes und es
wichts, oder der Abmeſſung, und Abwaͤgung,
As: Un pot, un verre, un fac, agé, pefant,
leger. 3. €. Un verre de vin. Agé de trente
ans. Il eft trop leger de deux grains,
8) Die
RERO eau EN REED
(188) Dieſe 3. perſonne, rien, und aucun ſind
viclmehr Pronomina 668, &) 690. $ 91, .
(139) Als cine Ovantitat die aus einem Toto ge
zogen, und aljo als extrattivè aus Der gansen
Grèbe zu Betrachten iſt. Daber Fommé der quane ,
titavifhe Begrif mit Vorſetzung derPræpolition de,
weil allemal quelque chofe, une partie , une por-
# tion, quelques uns und dergl. drunter verffanden
wird.
- Prapofitio de, 248. . 379
8) Die Woͤrter der Laͤnge, Dreite, Ties
fe, Weite, Hoͤhe, Ausdehnung und Ent⸗
fernung Subſt. und Adj. Als longueur, lar-
geur, profond, ample, haut, grand, étendue,
éloigné. &c, 3. ©. la longueur étoit de dix
piés. Quatre aures dedong. Long ae deux aunes,
9)9) Woͤrter der Seit und Theile. Als: Un
moment de patience. Quinze jours de tems.
L' espace de dix jours. Une partie, la moitié,
un tiers &c. |
ro) Die Sablen, Als; Voilà rrois ob-
ftacles de farmontés. La premiere heure que
j'aurai de libre. Il y a rois livres de reliés. Alſo
auch quantitativè : Avès-vous des livres de prêts?
11) Die Superlarivi. C'eſt ce qui me çau-
fé le plus de plaifir. 6106, 1. |
12). Endlid auch abtvefende Vocabula quan-
titacis, die drunter verſtanden werden. Als:
oint, (190) pendant le tems, l’espace Et.
ls: Nous ne pouvions trouver (Point) de fai-
fon plus favorable, Sans chercher (point) dau-
. tre raifon, Il n’a (point)-de curiofité que pour
des bagatelles, Il travaillé (peudant le tems) de
nuit & de joun Je le diférerai (l’espace) de
quelques jours. .
| $. 249.
ù
CE ne een a
(20) Auch wann pas fuͤr point geſetzt wird. Als:
C’eft n'avoir pas de Courage, das heißt kein
Pers Daben. Il n'aura pas d'ami véritable; er
wird keinen redtihaffenen Sreund bcfommen.
Aber Il n'aura jamais d” ami vérirable ; a WW
point brunter verſtanden.
380 $249 Praepofitio de,
F. 249.
Anmerkungen.
1) Das Adverbium bien (wohl, brav), iſt
fein Adverbium quantitatis ſondern qualitatis,
wird aber oft ſtatt beaucoup geſetzt; allein es be⸗
haͤlt den Accuſativum des quantitativiſchen Be⸗
grifs. Als: J'ai bien de la joye & du plaifir.
1l a bien de l'argent; als fagte man: Er bat
brav Oeld.. . .
2) Das Colletivum la plapart bat allezeit
einen beftimmten Begrif nach fih, darum bleibt
der Artikel. Als: La plupart des gens, du
peuple, de la populace. ! |
3) Na extrèmement, infiniment,terriblement,
mediocrement, fufifamment &c. fan der Artikel
tuegbleiben, man feget ibn aber lieber. is:
Il a extrèmement d’esprit, oder de l’esprit.
4) Nach plufieurr, certains, diféreni, divers :
und dem Worte force, (welches anfaͤngt ju vers
alten), muß kein de fteben, weil es nur Adjecti-
va Pronominulia find. Als: pluſieurs perſon-
nes; verſchiedene Perſonen.
5) Es verſtehet ſich, daß wann nach einem
Ovantitätsworte die Sache beſtimmt wird, als⸗
dan ber Artikel ſtehen muͤſſe, $ 221,4. Als:
Jai encore beaucoup oder quantité odet ude
partie de Pargent que vous m’avés donné,
6) Folglich baben bic Adverbia point du tour,
rien du tour, den Artikel; denn es beift: Nicht
einen Punct von dem Gantzen; nidts von dem
allen. §. 250.
Prapoſitio de. 6250. 381
. 250.
iv. Ale Handlungen, Derbalten und
Verrichtungen des Gemuͤths haben
die Præpoßtion de nach ſich, was auch
die Deutſchen fuͤr eine Præpoſition
brauchen moͤgen.
Actio & Paſſio animi régit Præpoſttionem De,
1) Dazu gebôren alle Phrafes mit Adjedi-
vis, Subftantivis und Verbis afeŒuum und foren-
fibus, mit einem Worte alle Gemuͤths⸗Ver⸗
richtungen und Bewegungen; weil man hier
natuͤrlicher Weiſe fraͤgt: à canfe, à l égard,
Weſſen? Weswegen? in Anſehung weffen :
und bie Urſache angiebt uni derentwillen,
oder von, aus welcher es gefthiebet; zuweilen
auch weil man frâgt qud? 6 /eg. (191) Als:
Etre
(191) Die Frage Momirs drift oft das Lateini⸗
.ſche guô und nidt cum quô aus; im letzten Salle
ſteht avec $ 60, 3; im erfiern aber de $ 50, 1.
Als: honorés.- moi de votre amitié. Il fe vante
de fon fivoir, (er pralet mitfeinem Wiſſen). Je
‘ fuis content de mon fort, Il m' importune de
fes lettres. Die Phrafes actionis animi enthalten
oft ein Subft. daber ftebt 4 $ 245. Vous m'obli-,
gerés de venir beift: vous me ferés plaifir de
venir.
382 $250.. Prapofiio de.
Etré curieux, jaloux, ingrat, reconnoiffant, ca⸗
pable (192), coupable, aculé, convaincu, in-
nocent, content &c.
Etre fâiché, être bien aife, confus, obligé, ins
commodé &c,
Reconnoiſſance, fenfibilité, ablolution, plainte,
fentimens,. paflion &c.
"Remercier incommoder, avoit peur, trembler,
douter, prier, acufer, abfoudre, convaincre , fe
plaindre, foupçonner, fe tourmenter, s * humilicr,
jouir &c.
z. E. Je fais curieux de ſaccir cela. Vous êtes
acufé de négligence. : Je vous füuis obligé de
cetté bonté, Je fuis bien aiſe de vous voir
en bonne fanté. Recerés ma reconnoiflance
des bontés que.vous m’avés témoignées. L’
abfolution de fes fautes, Je.vous prie 4 ve-
. nir. Jetremblé de peur. Il eft zculé & con-
vaincu de meutre, On l’a convaincu du cri-
me dont il étoit foupconné. Il fe plaint 4’ avoit
trop à faire, Jouïtlés un bonheur durable.
2) Grâgt man aber bey einer Verrichtung
des Gemuthes ad quid? fo folget à 254
Je me réfous à cela. Je n’aplique à la lan
gue françoife. Je n’en prendrai # vous .
Il s’arrète à des bagatelles,
3) Goff:
—— — — — — —
, (192) Capable fébig, incapable anfabig, gehen
an Gemuͤhth auf die capacité, daher folgt dé,
nicht à,
Prapoſitio de. Gast. 383
3) Sollte die Præpoſition 4 fon ein oder
mebr mal vorbergeben oder nachfolgen, ſo kan man
des Wohlkiangs wegen ben vielen Actionibus
animi pour nehuen. Als:
Agréés le jufte homriage 4 ma reconnoiflance
pour toutes les marques que vous me donnés,
de la faveur (de laquelle oder) dont vous
m’honorés,
4) Es giebt au Verba adiva, die Neutra
und gugleih Actiones animi werden, oder doc
die rage in Anſehung weſſen? enthalten.
As : craindre, changér. (193)
à ©. Je le crains; je crains de lui parler,
Le tailleur a ehangé mon habit, (adivè verz
éndert) Je change d’habit, de fentiment
(neutraliter ich nehme eine Veraͤnderung
an; reſpectu cujus?)
§. 3251.
V. Will man die Præpoſition De als eine
ſolche anſehen, die da geſetzt wird,
wann die Deutſchrn und Lateiner ih⸗
ren Ablativum brauchen; ſo wird ſie
geſetzt auf die Fragen: de quô? a qu;
ex quo? quo?
Folg⸗
— —— — à
_ ‘ . .
(193) Wenn ein Relarivum folget, das folglich die
Sache beffimmt, Ref. $ 26,115 fo ficbt der
Accuf. A8: Je change /a réfolution que avois
prife, —
⸗
4
384 $251 Prapoftio de,
Folglich:
1) Auf die Frage Woher? (Unde?) und
alſo auch von welchem Orte her? von wel⸗
cher Zeit an? dahin dann die deutfibeh Avec.
va nativnalia gehoͤren. Als: Il eft malade. de
la fièvre, Je viens de Paris. : |
Un Bourgeoïs de Francfort, Je ne l’ai vu
de trois jours. Auch Meraphoricé? Je fuis
revenu de cette opinion; id babe diefe Mei⸗
nung verlaffen, |
2) Wovon? (4, a, cx quô?); folglich
von wem? woraus? aus was? (194) Hier⸗
zu gehoͤren die Superlativi, Adjectiva Materia-
lia und Verba Paſſiva. Als:
ll a été reconnu des ennemis, Il eft ſorti
de prifon, Une maïfon de pierre, Des
bas de foye. Le plus habile artifan de la
ville. Je fuis aimé dé mon frere. Loin,
près, arriére de moi.
3) Auf die Frage Womit? menn es dur
den bloffen lateinifen Ablativum qué? gegeben
wird. Als:
te
(194) Dabin gebdren folglich auch die Fragen an
was? vor mass wenn es caufa efficiens if,
woraus etwas entſtehet. Als: Rougir de honte;
vor Schaam erroͤthen. Dormir de fatigue. Il .
eft mort 4° apoplexie; er ift an einem Schlag⸗
flufle geſtorben. |
© Enveid à bei Prape De Saga. 185
_ Je fuis content de cela; ‘oder d’avoir fait cela.
- 1Left tourmenté de la fièvre, Il f contente :
de peu": Un babit galonné, d'or.
4) Daher mub man das’ Womit? (qu?) ‘
wohl unterſcheiden von dem Womit? (sum que?)
«…— comitativè & inftrumentaliter. $ 60,3, nor. 83. .
M" 6250, mot. 191. 246, 1: 2. Als: Fraper
d'un bâton, baculo verbcrare), Toucher du
| Aoigt, Cdixito Fangere). (195)
r r $ ET
citia ʒut Uebung der Præponttion De
Ë. Lt $ 248 246) —
Ich habe nich die Glegenpeit es zu thun. Es iſt
J M cine kLuſt Cplaifr) es ju been Die Furcht vor
dem Tode. Die Univperſitaͤt Goͤrtingen iſt im Herzog⸗
iham⸗ Caleuberg. Man redet bald (canrér) von Frie⸗
"be, bald von Krieg. Ich fbreibe euch mit einem von
Freuden angefuͤlleten Ga i) Herzeu. Eine wichtige
cronſequence) Sache. Cr iffocridmenderifth prodigue)
mit dem Gelde. Ein deux bon à einem guten Gematheẽ
J —— n.
#
“ir 5) Weil bier Stock und Singer nidt eigentlich
2 ET find, fondern die Streiche und da⸗
' en daher kommen. Dieſes Womit?
kan gntveilen auch im Deutféen wodurch? und
. 4m Fr. par heißen. Als: Il a été tué d'un bder
". par un coup de canon; er iſt mit oder durch,
(vermittelſt), einen Eanoneuſchuß getoͤdtet wor⸗
den. Siehe Avec $ 29 | .
286 6 25 3. Exercitia Über die Pr«p. De,
IL, (247. 248, 249)
Gebet mir ein Glas Wein. Da ft (voila) ein
Haufen Bolfs. Das iſt voller. (plein) Fehler. Mit
Geſchaͤften uͤberhaͤufet (acablé). Allerhand Buͤcher.
Eine Gattung Waaren (warchandifes). Eine Art Klei⸗
der, Derjenige unter meinen Vruͤdern den ich am
liebſten habe. Was ſaget man gutes. Etwas neues.
Nichts neues. Er bat alt Crour ce qu’il avoir) ſein
Vergnügen vertoren, und. allen Ruhm ben er erwor⸗
ben (aquis) batte. Er bat Mangel (il marque) an
Berftand. Wie viel Geld habet ibr? Er bat viel Hets
und Klugheit anug. Rein Geld, kein Herz. Wie viel
(que) Frende! Wie viel (que) Quaal (tourment) vers
urſachet mir eure Abweſenheit! ES iſt (17 n° y a) nur
Herr N. getoͤdtet. Wenn mir nidt ein neuer Zufall bes
gegnet (arrive), Ans Mangel (faute $ 59,2) einer
Erfahrung. Ein Maas (por) Bier, cine Elle (aune)
Tuch, und ein Pfund' Zucker. Dieſer Tiſch iſt drey
Fuß lang, und zwey Fuß hoch. Die breite iſt Eine
Elle. Ich babe kein Kind als ihn (jen' ai quelui..).
Ohne Laͤrmen (bruit) ʒu machen. patte mir nies
mals einen groͤßern Gefallen (plaifr) thun koͤnnen. Ich
babe viele Gien), Freude euch su ſehen.
III. ($ 250.)
Ich bin Über eure Abweſenheit untrôfibar. Ich
Bin unſchuldig an dieſem Verbrechen. Ich bin betrubt
Cafligé) dieſes gethan zu haben. Ich danke end fuͤr
eure Wohlthaten. Ich freue mich uͤber eure Geſund⸗
heit. Ich babe keine Furcht (peur) vor ben Tod.
Ich wuͤnſche euch Gluͤck (vos félicite) su eurer Befoͤr⸗
derung (avancemem). Er raͤchet ſich an ſeinen Feind.
Et iſt unruhig (s’inquiére) daß ex (S140, 5.) allein
iſt. Warum argwohnet ihr als wenn id (me ſoupcon-
nẽs? vous) unbeſtaͤndig (inconſiance) waͤre? Biehret
mich mit eurer Freundſchaft. Cr iſt mir mit ſeinen Es
| en
X
Exereitia Gber die Præp. De, $ 253. 387
en laͤſtig (incommoder). Sein Berfpreden balten
(s’aquiter) Er verlieret (fe perdre) fcinen guten Ras
men (répuration), Ich ſchlafe vor Muͤdigkeit (farigue).
IV. (6251.)
Er kommt aus der Kirche. Ich habe es von Pa⸗
ris mitgebracht. Er kommt von Holland, ich habe
ihn in etlichen Wochen nicht geſehen. Dieſe Sache iſt
aus einer unnuͤtzen eine ſtrafbare (criminelle) geworden
(devenue). Ein hoͤlzerner Tiſch. Er wird von jeder⸗
mann verachtet. Er iſt vor Kaͤlte und an einer Wun⸗
de geſtorben. Man hat ihn von dem andern getrennet
Ucparé). Er uͤbertrift (/arpalle) ibn bey weiten
Geascoup). Er iſt mit einem Fieber befallen (ataqué).
Ich hahe es mit meiner eignen Hand geſchrieben.
A 253.
1) Es giebt viele Redensarten, bie von
ben Deutſchen abweichen. Dieſe muß man nicht
Nnach bem Ausdrucke hetrachten, womit die
Deutſchen denſelben Begrif vorſtellen; ſondern
ihrer innern franz. Bedeutung und Natur nach,
Folglich muß man die deutſche Phrafin aͤndern,
und ſie nach der franzoͤſiſchen einrichten, ſo
werden die Caſus ziemlich uͤbereinkommen.
2) Zum Exempel koͤnnen folgende Woͤrter
dienen, welche im franzoͤſiſchen die Præpoſition
. de nach ſich haben.
1. Abuſer, eigentlich, ſich nicht recht bedienen
2. Il s’agit, es iſt die Rede davon
3. ily va, es gehet was ab (ivovon!)
4: (s’) aprocher, ſich nâbetn
g. s’apercevoir, giner Sache gewahr werden
Bb à é, s'avi-
388 253 Exercitia Über die Prap. De.
6 s’avifer, cigentl. ſich einer Sade entſinnen
7. avoir beloin, bebiirfen
8. changer, fit) verdndern (in Anfchung weſſen7)
9. convenir, uͤbereinkommen (in Anſehung weſſn?)
10. demeurer d’acord, dire. ..
11, donner. de la tête, hinſtoſſen (womit?)
12, être, (anbelangen, beyſtehen, anſtehen) eigentli
in Anſehung, von der Parthey ſeyn, es iſt die Pfli te
13, 0 eſt fait, es iſt aus; (mit, guo?)
14. fe garantir, ſich huͤten Gin Anſehung weſſen d
15. guérir; heilen, (wovon +)
26. jouir, genieffen (weffen$)
17. je manque, id babe Mangel, bedarf
18. fe piquer, fid) reitzen laſſen (wovon +)
29. fervir, dienen (an ffatt eines)
“ao, tenir, etwas, ober eine Gleichheit an ſich haben
25. traiter, bebandeln (in Gleichheit einer ꝛc.) S 2462
22. trancher, abſchneiden (wopon *)
23. vouloir, zu thun haben wollen (mis) $ 251, j.
24 Ufer, fi d bedienen.
. &ec. Sr. L. p. 664,
3) Anwendung dieſer Woͤrter mit deuts
ſchen Rebensarten die, 06 fie gleich denſelben
Begrif vorftellen, von den franzoͤſiſchen abwei⸗
chen, dahin die beygeſetzten Zahlen weiſen.
V.
Ich glaude nicht daß ich eure Gedult misbrauche r,
wenn ich noch dieſe Nachricht (avis) hinzufuͤge. Die
Herzogin ifi mit einem Prinzen nicbergelommen (acos-
chée); e8 kommt jetzt auf die Zaufe an 2, denn es be
trift 3 deſſen Heyl (/alut), daß er getauft tverde
(d’être bâtiſe). Drr Herzog till ibn noch nicht taufen
laffen (faire). Die um den Herzog find 4, und ſein
Borbaben merFen 5, find auf eine Lift verfallen 6, nd
Fuercitia Über die Prep. De. (253: 389
fie baben fidi an den Beichtvater gewendet (adreſſes):
denn fie brauchen 7 feine Huͤlfe, um biefen Fuͤrſten
feine Meinung ândern 8 zu laffen (faire). Jeder⸗
mann geſtehet 9 die Nothwendigfeit der Taufe, aber.
man iſt über die Art (manlere) dieſes Riud zu taufen
mé gleicher Meinung 10. Der betruͤbte (aligé)
Beichtvater weiß nicht wo er fidb binwenden (oll ri,
denn dieſes Rind iff krank geworden (rombé). Was
die Raͤthe anbelanget (12. pour ce qui eſt), fo ſtehen
fie Dem Beichtvater bey 12 (être du parti), und der
Miniſter iſt auch auf ibre Seite (eſt auſſi des leurs)12 3
denn es ffebet einem ehrlichen Manne an 12, die beſte
Parthey zu waͤhlen (choifr), und id glaube, daß es
mit der andern Parthey aus iſt 13; Deun fie werden
ſich vor den Fallſtricken (piéges) nicht huͤten 14 koͤnnen,
Die man ihnen leget (tend). In dieſem Augenblicke
vernehme id (' aprendi), daß der Krankheit dieſes
Prrinzen abgeholfen werden 15, und das er cine ziem⸗
liche (Paſſable) Geſundheit genießet 16; id glaube das
her (donc), daß es dieſen Leuten nicht an Raͤnken (5uſes)
Fehlen werde 17, ſich ben Raͤthen su widerſetzen
(s” opofer), mit Huͤlfe (avec l aide) des Hrn. N. der
ſeinen Berftand will feben laffen 18, *° Er dienet 19
dem Sürften sum luftigen Rathe (Ponfon), und er aleiz
chet 20 ſeinem Bater febr, welcher die Vernunſt (rzi/0on)
eine Niedertraͤchtigkeit Gbaſſeſe) nannte 21; er wollte
für einen groffen pra (Seigneur) gebalten ſeyn 22:
aber niemand wollre mit ibm su thun baben 23, **
denn er brauchte 24 nichts als Raͤnke (ſfineſſe.
XOder: er bildet ſich auf ſeinen Verſtand etwas ein ꝛtc.
xx Oder: es war niemanden um ibn zu thun.
# # #
863 $. 254
392 884. Prapofiio à,
fe 354
B) Don der Prepofition à.
‘A wird, geſetzt, nad $ Go, 2. auf die Fragen:
Cui? Ubi?. ad quid? (196) |
N Die Folgen fo baraus gezogen werden find
ieſe; .— ° :
1. à wird geſetzt auf die Frage Wem?
Als: Je donne à mon frere, Il l’a dit à tout
le monde, Nous fommes /ujets à des foiblef-
fes & à faire beaucoup de fautes.
2) Folglich in der Comparation, wem?
(gegen wen?) etwas zu vergleichen. Als:
conforme aux loix. Rienn' eſt égal à fa beauté,
Comparer à quelqu’un ; comparable &c, Woʒu
auch à _
3) Supérieur und Inférieur gebéren. As:
Il eft infériéur à lui.
4) Folglich auch nad den Verbis impuran-
di und Juccedendi, wie au auf die Sragei
An wen? Us:
Im.
Am 55 ti ER
(196) à ift ein Cafus srerminativus, und beſtimmt
die Sache, den Ort, den Umſtand worauf, oder
wobin, auf was weife die Wirkung oder Das
Berbalten gerichtet ift, und zeiget cine Propenfios
nem corporis vel animi ad aliquid , zeiget auch lo-
caliter an, wo etwas ift oder geſchiehet. Es
kommt vom Deutſchen an und dem Lateiniſchen ad.
es
»
Praopoſtio à Gass 391
Jmputer quelque chofe à quelqu'un. La
joye fuccéde à la douleur. Jai écrit à
mon frere (an wen?). Il ne tient qu’à :
vous, es liegt nur an eu. ,
$+ 255 |
IL à wird gefegt auf bie Groge Wo?
nnd Wohin? (197) Als
1) Wo? Il eft à Paris Mon frere eft à l’
églife. J’ai mal à la tête. Il a mal aux dents,
Rien aü monde,
2) Wohin? (ad quem locum ?) Je vaï à l’églife,
H va a Berlin, On le lui a jetté à la tête,
Nous allons à la campagne, aufs Land. (198)
J $ 256.
IIL. à folget auf die Frage 47 quid? im
weitlaͤuftigſten Berftande.
Solalid) überbaupt auf dié Fragen:
1) Dou? As: Je me fuis réfolu au maria-
ge oder à me marier, Cela eft bon à manger.
"SE 4 .… Das
Tan * den Laͤndern ſteht anf die Fragen Wo®
Wohin? die Præp. en, 6 224, 2.
Go Nach folgendeu Verbis, die nidt cine Bewe⸗
gung; ſondern die Zubereitung dazu anzeigen
etzt man pour; Als partir pour N. oder pour al-
ler à N. abreiſen. Depêcher, abfertigen;
* embarquer, ſich einſchiffen, su Schiffe bege⸗
ben, ſe mettre en chemin, ſich auf den Weg
begeben. L'armée marche pour la Boheme,
oder pour aller en Boheme.
LP
ARR EMA ER r
HR .. “ 4
| a | fase. Praha ”
* geboören die Woͤrter der Zuneigung als: :
1 eſt enclin au mal. “Der Geſchicklichkeit. 1Îl
eſt propre à tout. : Je fuis porté à vous fervirs.
der Beſtimmung Cafinationts}à als: Un
verre à vin.
) Woran? Je penſe à mon livre, Alſo
aud an wen? 6 254, 4. Je:m’en' prendrai à
vous, ich werde mich an euch balten, Folg⸗
lich bey den PVerbir fignorum, woran? (oder
wohey nro.s.) man einen ober etivas kennet,
und unterfbeidet, alsi L'homme, à L'habic
chamarré, Le cabaret au Lion d'or, “Une ne r
‘pe à la bierte, -
3) Wornach? Je me ‘conforine à Vos vor
-lontés Proportionner f&dépenféà. fes revenus.
* A'afpire à faire une grande fortune, Il vit à la.
francçoife, Conformémène, à .vos ordres.
4) Worauf* (in bem Verſtande ad quid; :
nicht /uper oder fupra). Je m'en. raporte Cid
berufe mich) à mes voiſi ins. Je m "aphque à à |
faire des lettres,
5) Wobey? Ils arrête oder P amie x des
bagatelles. ‘ Je balance à faire cela.” Dahin die
Zeichen und Merfmale gehoͤren wobey man ete
was erkennet à. nro. 2. Ferner in ſorberlwelt
Senſible, geruͤhrt, dankbar, em
(wobey? ), und bas Gegentheil ele
Hs: Je fuis fenfible à vos bienfaits, + var
douleurs,
CN
J te
à
Prapofsio 2 256 393
6) Zu welcher Hit? (Wann? ad quod
tempus?). is, à mon retour. Au fiècle où
nous fommes, Il viendra à Paques; au mois
d’ Avril, à midi, demain au foir. |
Tnfonderbeit wann Usque dtunter verſtan⸗
den wird, als auf die Fragen:
7) Dis zu was? (wsque ad quid?) Als: Il
eſt malade à la mort oder à mourir. La diféren.
ce d’un homme à un autre .eft-elle fi grande ?
8) Dis wohin? wie weit? (usque ad quam
diflantiam?) Als: Ce village eft à une lieue de
‘Ja ville, Ileft à cent miles d'ici, |
o) Su welchem Preiſe? wie theuer? tie
hoch? (ad quod pretium?) C'eſt du drap à deux
écus. (199) On le vend à trois écus, II eft
à bon marché (woblfeil )
| Endlih auch
. 10) Auf was weife* Wie? (ad quem mo-
dum? um einen Modum anzuzeigen auf was
weiſe, voie und womit etwas gefthiebet? auf
was Art es gemacht oder gefheben iſt? (200)
Als: | |
B6 Fer-
ns
_ (199) Dies ift Tuch zu 2 Thaler. Man kan aud)
+ fagen: du drap de deux écus, qualificativè (146,
Dies iſt à Thalers : Tuch. |
(100) Es ift alfo ein Unterfheid zwiſchen diefem
Modo ad quem, (Auf was Art und Weiſe *) und
dem Modo quô, ex quo, unde , (woeldaex Geo?
| VO
La
ee L
294 $ 257. Prepoñitio à.
Fermer la porte à la clé (nidt Inſtrumentali-
ter avec la clé, fondern ad modum ) |
Allér à cheval, à pié Vendre à laune. |
Cela eft peint à l'huile, mit Oelfarbe.
Se battre à l’epée, aux piffolets.
f l'a fait au péril de fa vie, er fat es auf
(init) Gefabr feines Lebens getban.
Hier fan au“ unefoupe à labierre, aux cerifes &e,
hergerechnet werden. fupra nro, 3.
$ 257
Anmertungen, |
1) Das Vérbum Demander hbeißt eigentlich
abfordern und wird conſtruiret wie im Deut⸗
ſchen, mit dem Accuſativo bey der Sace, y und
mit à ben der Perſon. Us:
Jne demande rien aux'autres qui ne foit juftes
er forbert den andern nichts ab, welches
nicht billig ſey.
Die⸗
pon welcher Art?), wovon 6 246 bic Rede iſt.
Denn der Modus mit à zeiget wie, und auf was
Art die Sache oder das Verhalten iſt; Als: Par-
ler à cœur ouvert; der Modus mit de von wel⸗
ec Art die Sache ſey, und woher die qualifät
entipriche; als: Parler d’un cœur fincere.
VS:
l J
Prapoñtio à. $ 297. 395$
Diefes Verbum bebäft ſeine Conſtrucuon,
wann es auch gleich ſordern, begehren, fra⸗
gen, bitten (201) bedeutet. Als:
Vous lui demandés un livre françois, i roi |
dert von ihm ein franzoͤſiſches Buch.
Je ne demande à mon couſin que fon amitié,
id begebre von meinem Vetter nur feine
Freundſchaft. |
Ne leur demandés pes ur avis fraget fie
nicht um ibre Meinung.
.… J'ai demandé an emploi au Prince. id babe.
den Fuͤrſten um eine Bedienung debeten,
Alſo auch ; On vous demande, & on demande
mon frere, man fragt nach euch, und nad
‚meinem Bruder; (weil bier die Perſon
ſtatt der abgefoderten Sache ſteht).
2) Dos Verbum En/eigner, lehren, zeigen,
beybringen, und Æprendre in dem Verſtande
belebren, bevichten, wie auch Perſuader in
dem Verſtaude uͤberzeugend beybringen, bogen
| | ebeus
— e
(201) In der Bedeutung bitten hat Demander al⸗
lemal ein Sabſtantivum nach ſich; hingegen Prier
und Suplier allezeit ein Verbum mit de. Als: Je
vous demande pardon. Je vous prie oder ſuplie
de me pardonner.
\\
+
396 Prapofitio à. Q 257:
ebenfalls wie Demander und Dire (202), den
Accufativum der Sache und die Præp. à bey
der Derfon. Hs:
Il enfeigne le François à mon coufin. J’apren-
drai cette fiouvelle à mon ami. Jetâche-
cherai de le lui perfuader. |
3) Weil im frang. 2 Accufativi in einer Pro-
pofition uubdeutlid find, fo baben die Verba
. Encendre oder Ouïir, hoͤren / ſagen hoͤren,
Voir, ſehen, Faire, und Laiſſer, laſſen, wenn
ein Infinitivus mit einem Accuſat. (oder an deſſen
ſtatt eine Phraſis mit que), dabey iſt, die Præ-
poſition à ben bem Wirkenden (agente), ge⸗
meiniglich anſtatt par oder de, Sr, L. p. 671.
Grimareſt p.257. Als:
Je Pai entendu oder oui dire à mon pere,
J'ai vufaire une belle a@tion à ce Général, Il
s’eft Zaiffe emporter à fa paflions Votre
lettre fait espérer votre retour & mon
coufin, oder fait espérer 4 mon coufin
que vous viendrés, : | |
4) 3u
Le memes sr
+ >: à s
(202) Die Deutſchen verwechſeln oͤfters, vermittelft
des Wortes fprechen, Die Verba-fagen und re⸗
den, Im Franz. bat Dire allemal ben Acc. ober
que na fih, als, je dis cela, je dis que celaeft *
Vrai; Parler hingegen bat de nad fih, als, je
parle de cela; außer parler une langue oder un
langage, | |
Exercir, über die Prap. à, 6258, 3 97
4) Zu merfen find folgende 5 Partifein, mel:
ce ifrer Matur nad die Præpof. de nach ſich
baben:
eu égard, in Ruͤckſicht auf, babito reſpectu ad)
joint, nebft ( (Junctum ad oder cui)
jusque, bis, fo gar aud), (usque ad) .
par raport à, in Beziehung auf
quant, anbelangend, (gantum attinet ad).
près bat aud) die Præp. 4, wann bas Nomen
davor ftebet; als 4 cela près, auf diefes nach;
à une petite fièvre près, auf ein Éleines Sieber
nach. | (293) EN
§. 258.
Exercittum ʒur Uebung der Prepof. à,
_2 (8254255256)
Er iſt dem Trunke (boiſſon) ergeben getvefen, aber
jeft bat er dem Weine abgefaget (renonce); er giebt
der Bernuft nad (/e rend); und er bâlt fih (475 en
tiemr) an Bier. Wenn er eud nidt antivortet, fo
rechnet es (prenés- vous en) euver Nachlaͤßigkeit zu;
ihr ſetzet euch ſeinem Unwillen (indignation) aus , dent
| et
(203) Bey den Verbis die im Gran. à erfordern,
und die Deutſchen anders conftruiren, iſt eben
“bas su bemerken, mas 253, 2 von de iſt Jeſaget
worden; man muf fie in ibrer wahren Bedeutung
auffaffen. Als: Trouver à qui parler, ſeinen
Mann finden (Efipfs). Gagner au jeu, mit Spie⸗
len gewinnen, (beym). Pafler le tems à Q. feis
. ne Scit womit subringen (wobey * ) Cônfentie
à Q. ciugeben (feinen Confens wozu geben).
.“. Vous yétes, ibr habt es getroffen, (ihr fepb drauf),
.
Ar
——————————
398 Exercie, Gber die Præp. à.
er ifé fon lange (depuis longtems) iu N. sut (de
retour), und jetzt reiſet er (/ va) nad ſeinen Landguͤ⸗
tern (terres). Er iſt ſouſt geneigt (dailſturs dispofe)
euh Dienſte zu leiſten, und ihr wiſſet, daß er ſich um
euretwillen (pour l’amoar de vous) in Gefahr geſetzt
bat) (⸗ꝰ eſt expofe) das Leben qu verlieren.
2. (0255. 256.)
Er ift geſchickt (propre) su ben Leibesuͤbungen und
(& habile) aut die Sagd.. Das Kraͤuterweib und das
Apfelmaͤdgen figen (JE tiennent) jcét auf dem Fiſch⸗
markt. Ich nehme Antheil (part) an enre Rranfhcit,
Der Mann mit Dem ſchwarzen Kleide, der cine Milch⸗
fuppe mit mir gegeffen bat, iſt befoͤrdert (avancé) wors
ben; alles trâget (conspire der concoure) sn ſeinem
Ruhme ben, Er arbcitet an ein gelehrtes Werk, und.
er leget ſich (Y aplique) auf die engliſche Sprache, und
bat cin Kleid auf engliſche Art. Er bringet (paſſe)
feine Zeit mit Schreibden zu, und id Liebe ibn vor
(préférublement) allen fcinen Bruͤdern. Er mwar(étoir)
auf Oſtern ben dem Einzuge (entrée) des Geſandten,
and er wird auf Weynachten (Ze moe!) oder auf der
Leipziger Meffe (foire: nad Bellevue Fommen, welches
vier Meilen von hier iſt. Ihr babet eure Spitzen⸗ (den-
— Manſchetten fur einen geringen Preis (vil prix)
gekauft.
| > ($2574) |
Man begehret (demande) Geld vin meinem Brit
der, Ich bitte (demande) euch um die Ehre euret
Freundſchaft. Ich bitte (prie) euch nm die Juſtzun
(réfoudre) dieſer Schwierigkeit. Ich babe ibn hoͤren
eine Rede halten (prononcer), Laffet ibn ſehen wie
angenehm es iſt ſich der Tugend zu ergeben (attacber).
Man bat die Truppen den Fluß pañiren laſſen (fair).
Das Geruͤcht (raie) (eines Verfahrens (procédé) ift
bis an ben Magiſtrat gelanget, aber man bat es ihm,
in
; : — af CHR PU OR. —
© profs Avec, gas 899
>» ess af fine uses verziehen. Eure Gâtigs
tent eurer Freundſchaft Mb roche) ami. JS … :
ci m einen Brief in Deicbung (par raporr) auf |
eſe Gauche (vder deſerwegen gefbricben. Jr
7 — es; was mich anbelanget (ymemr) ſo glaube
äuch es micht; denn auf wengem nach {ft alles wider die
J ——— Allein man muß an Mann * nicht
bvergreifen (s ssaûuer} |
- “ , + 259. D. à
7 Von der Avec. —
1) Man hat ſchon LS 60, x. 83. 260,
4.191, und (262,3: 4 ) érinnert, daß man
die inſtrumentaliſche und comitativife Præpofi:
tion mit, der Deutihen, von dem Worte mit,
Dur weſches ſſe den bloſſen Abiativum
der datelner ausdrücken, wohl unterſcheir
ben mitffés o man fat, mie auftichti⸗ |
gem Detjen, fo kann man ſetzen⸗ À un cœur
. finceré, wann bié Sache aus einem aufrichtigen
füßer hingegen; avec wn cœur ſincere, waͤnn
man ſie mit einem ſolchen Herzen bégleiter.
2) Mangiebetbaber bas Werkzeug mit
de, wat man nur auf die Danvégung- odet
Wirkung des Inſtruments fichet. Alss.
Il a été tué d un coup de canon. |
Jel'aicoupé du couteau (/657. d’un éoûp de .
couteau); id) babe es mit, dem Meſſer
⸗ durchgeſchnitten; (wie im tat. raltro.
4) Man nimmt hingegen die Præp avet,
comitativas in/frumentaliter ; wann man fragert
pcs mit was vor Huͤlfe? Als: .
<
Le TS ONE
: a ere .! PTS cu
+: a6é. Grains Par Par.
J * peint avecle pinceau (it dem Pinſeh.!
«Jai taillé cette plume èveg le canif; ich babe
dieſe Feder mit:dbem ——* geſchnit⸗
. tens mit Huͤlfe elben).
à) Hingegen ie deß die Frage auf was vor
ie: folgt à 256,10. As fouler aux-
pies; mit ben — meten. !
6. 260. F
b von der Propoñtion Par, J
1) Die brypoſition ⸗ar iſt F66,4 ausgele⸗
get. Alſo fagt man On éprouve l'or parle.
feu. Ty. parviendra par votre recommendation, .
. 2) Man muß aber nid avec bafie LS : 42
wie die Deutſchen zuwelen Hhun. "AIS:
On commence Le Lee , — oder beym
Leſen).
Il eſt venupar la pote. mit da Pohhe —
On gagne fon pain par le travail ce feinee) .
Arbeit).
3) Par ſtehet A de hey einem Para,
wann von dufferl errichtungen die —
if. Als: Il a été pourſuivi, trompé &c. fer: -
fon frère, Hingegen: I eft aimé We fon frere,
à) Es druͤcket auch bas lateiniſche Proprer
aus. Als: Loués-le par fes belles qualités:
Ataché à vos volontés per les obligations que
je vous ai je nè manouerai pas de &e, Jan.
fagt: Conduire pa” 4 main; prendre per la...
main; weil es bé il bet Hand 73 ehet.
À L
” Prepoñit, Pour. . (263, ‘ 491
4, 261. «
E) Don der Prepvfition Pour.
1) Auſſerdem was von dieſer Præpoftion
$6o, 6. it gefaget worden iſt ju merfen,
daß man pour oder pour aller brauchen muͤſſe,
wann manu von Verrichtungen redet, die eine
Vorbereitung zu einer Bewegung nach einem
Orte hin anzeigen. Wegen der Frage: zu wel⸗
chem Ende! (256,n.198. Als: Partir paur
oder pour aller à Hambourg. (204). |
2) Pour ftebet anftatt envers, wann nicht von
_ einer Derfon.bie Rede iſt. Als: Je vous ferai
— voir par mon affiduité la paflien que j'ai pour
cette langue. (zu, gegen, erga). Yann
ein Verbum bep der Phrafi iſt, braucht man auch
pour, afs amitié que j'ai pour vous; fonft en-
vers, als mon amitié envers vous,
3) Es druͤcket die deutſchen Partikeln: Ans
ftatt r Dbfhon, weil, uud Wenn aus;
wann fie im Deutfhen das umzu bedcuten fén:
nen, Als:
Un
; ah :
En À
(204) Aller heißt veifen, und überbaunt alle Bewe⸗
gung, melche hernach modifieret wird; als, aller
à pié, en carofle.. Partir heißt abreiſen, if al:
fo nicht bas Reiſen felbit. Voyager Deift berum-
reifen, auf de Reiſe begriffen ſeyn.
, Ce
402 $262 Præpoft. En,
Un Parifien dit je vas pour dire dire je vai.
Il ne fe rebute pas four avoir eu un mauvais
fuccès. Pour être Roi il n’eft pas moins
homme.
Il le mérite pour avoir bien fervi l’é états
Il faut être fou pour le croire,
. 2632.
F) Don der Prepofition En.
1) En iſt von Dans etwas unterſchieden.
Diefes fchlieffet mebr ein; jenes ftebt in weit⸗
laͤuftigem Verſtande. $ 60, 7. 8. Daher bey
der Seit das Danr, in. innerhalb heißt; Er
aber heißt in, uͤber. Us: :
Dans trois ſemaines, in, innerhalb 3 Wochen.
En trois ſemaines, in, über 3 Wochen.
De demain en quinze jours.
2) En wird ben Laͤndern gebraucht, wann
man fraͤgt wo? und wohin? $ 224, 2 Man
fagt auch; 11 eft em ville, er ift ausgegangen,
gum Unterſcheide von Il eft à /a ville, er iſt
nach der Stadt hin.
3) Mit dieſem weitlaͤuftigen En werden al:
(erbant adjectiviſche und adverbialiſche unbes
ffimmte Medensarten gemadt, womit man mo-
dificiret, À 60, not. 86. Als:
en vie, lebenbig; en Roi, koͤniglich; en bon-
ne fanté, geſund; en cave, im Keller;
en Sampagne zu Felde; en perfeion,
voll⸗
| Prapoſit. En. 5263. 403
vollfommens en toute ocaſion, bey jeder
Geiegeuheit |
4) Es iſt alfo eine fpecificativife und mo-
dificirende Præpofiti tion, welche die Art, den Um⸗
ſtand, mit einem Worte den Modum in quoͤ aus
zeiget, ſo viel als
comme: en ami, en ture.
avec“ en confiance, en colere,
pour : en recompenfe, en faveur.
Bey en Prince, en colonnes, en quarré
&c. wird qualité, forme &c. drunter
! " perffanben.
5) En ſchlieſſet die Artikel aus, auſſer das
man fagen fan en l’autre monde,
6) Will man etwas beftimmen, fo muf ans
ſtatt em die Præpol. dans genommen werden.
Als:
Il eſt allé fe promener dans le jardin, dans la
fe, dans les chambres. On voit cela
dans les villages. On l’aporte dans les
villes.
| Fr. L.p. 374.
\ Die übrigen Præpoſitiones find $ 60 hinlaͤnglich
erklaͤret.
2 ll, Ab⸗
404 * * * 0 ) TX
III. Abſchnitt.
| Einige Anmerkungen uͤber die
| Præpofitiones.
À. 263.
1) Da bie Cafus im Franzoͤſiſchen mit Præ-
pofitionibus angegeben werden; fo braucet
man nur Eine vor einer Phrafñi, wann bie
Woͤrter sufammen gebôren. As: .
Je parle d'Alexandre le Grand ce formidable Roi
de la Grèce, Sd rede von dem Alexan⸗
der dem Groffen dem fuͤrchterlichen Koͤnige.
J'ai parlé à P homme /e plus habile. |
Au nom de Dieu /e Pere, Ze Fils & le Saint
Esprit,
2) Ullein man bat ben Bortheil, daf man
ben einer Complicatione Relationum mebrere Ca-
fus zuſammen feen fan. Als: -
Il fait diflinguer les bons d’entre (205) les
méchans. (On l’a ordonné 4 par le Roi.
Je viens de chés le marchand, Il a pañlé
par devant chés vous. Faites pañler cette
corde par en bas. Copier # après l’origiual,
3) Das
— —
(205) Um zu zeigen daß man ihn mitten unter den
andern heraus unterſcheidet. Im Deutſchen kan
man ſelten Præpoſitiones zuſammen ſetzen; Doch
ſaget man: von unten auf raͤdern.
Prepoñitiones Gberbaupt, 6264 405
3) Daber entfteben die Præpoftiones com-
pofite. Siehe 59, 2. und daſelbſt nota 82. Us:
Par deſſus la maiſon; à travers le bois.
§. 264.
Es werden die Præpoſitiones oͤfters ausge⸗
laſſen:
1) Per den Woͤrtern des Preiſes gour oder
5, (für, um). ls:
Je l’ai acheté quatre écus: id babe es für
4 baler gefaufet. Gager dix écus um
10 Thaler wetten.
2) Auch die Præpoſitio compoſita jusqu’ à
ſammt dem Worte prix oder quanriré. Als:
Le vin eftrenchéri de fix gros, & le blé de la
moitié, Der Wein iff um 6 Er. und
das Korn um die Haͤlfte theurer geworden.
(i. e. jusqu au prix oder à la quantité
fomme de &6.)
3) Ben ben Woͤrtern der Zeit. Als:
à Il arrivera Jeudi prochain ; er wird am kuͤnfti⸗
gen Donnerſtag eintreffen.
en firai l été qui vient; id werde (in) kuͤnf⸗
tigen Sommer Binreifen.
dant La poſte arrive l' hiver fort tard; die
Doft fommt im Winter ſpaͤt an.
pendant oder durant, Toute ma vie, Zeit
meines Lebens (ſcil. durant). Il fera ici-
trois ans; er wird (waͤhrend, pendant)
dren Sabre hier ſeyn.
Cc 3 jus-
406 6264 Prepañtiones Üiberbaupr.
jusque. Remertre à demain, bis auf Mors
gen auficbieben.
4) Au bie Præpafñitiones dans und pendant
fammt bem Worte l'espace, oder tems. 6248,
12 G25r, 1. Als:
Je ne voyage que & jour (fcil. pendant oder
dans le tems) nur ben age.
On a vu cela de notre tems, (fc. dans P espa-
ce) zu unfrer Zeit.
Abſonderlich in einer Phrafi negante. Als:
Praf. Puisque de quelques jours je ne vous
puis parler (fc. pendant l’espace :) in einis
gen ‘agen.
“Pret. Je ne vous ai vu de trois jours.
Fut. Il ne reviéndra de fa vie.
| 5) Vor bem Morte /ainr, wenn es ein
Beynahmen ift, bleibet De meg. Als, la rue,
faint Jean, 245, not. 187, €).
6) Aud bleibet die Particula extradiva de
eg, vor ben Adjeétivis pronominalibus plu-
fieurs, certains, diférens, divers. We, plu-
fleurs livres. |
7) Par bleibet vor elnigen Subftantivis weg,
die dadurch ſelbſt Præpofitiones tverden. Faure
d'expérience, & manque de foins; aus (per)
Mangel einer Erfabrung und Sorgfalt. re
$ 59, 2e
8) Ynfonberbeit mird die Prepoñit tion avec
zierlich ausgelaſſen, in Redensarten ba man
auch
Prapofitiones uͤberhaupt. $265, 407
auch ayant oder auch qui avoit brunter verfte:
ben fônnte. Als: |
Mentor les yeux baiflés fuivoit' Telemaque.
(ſcil. avec, oder ayant oder qui avoit)
Il me Pa dit les larmes aux yeux.
Il y va (la) cête levée, init aufgerichtetent
Haupte, ie. obne Scheu.
Mon ami me reçut le verre à la main.
$. 265.
Beantwortung einiger allgemeinen Sragen
bey den Subflantivis,
1 Wie fegt man die Groͤſſe?
Allemal mit de es mag vou einer Menge,
die Rede fepn, oder von Theilen, oder von
Mangel. (248
2. Die ſetzt man die Ovalitaͤt?
Mit de als einer Particula die den Cafum Ori-
ginis, materiæ, nationalem, und allerbanb
Beſchaffenheit angeiget. $247. S251.
3. Wie ſetzt man den Dreis*
a) Wie die Deutfhen mit pour, als pour un
écu. ‘Cela ne vaut pas le fer d’un cheval. Al⸗
lein man elidiret gern im Franzoͤſiſchen dieſe
Præepoñition für, um. 6 264, 1. |
. D) Brâget man su welchem Dreife fo (te:
bet a. $ 256, 9. .
4. Wie ſetzt man das Inſtrument?
a) Mit de wann man auf die Wirkung ſiehet
die vom Inſtrumente kommt. S259, 2.
Ç c 4 b) Mit
408 6 26 5. Prapofitiones uͤberhaupt.
b) Mit avec, um auf die Frage mit was
für Huͤlfe? ju antworten. 6259, 3.
c) Dit par, wann es durch und vermittelft
ſeyn fol. S260,r. 2,
d) Mit à, wann man fraͤgt: ad quem mo-
dum? (auf was für Art? 8256, 10,
5. Wie ſetzt man den Ort?
a) Mad Verſchiedenheit der Fragen. Auf
:… Do? und Wohin? folat z, und ben den
Laͤndern en. Auf Woher? folgt de. Auf
wodurch? folat par ce. Sas se S22@26251,
1. 261.
b) Mau merfe aber, daß wann der Termi-
nus à qua und ad quein beifammen, man den
febteren nicht, wie im Deutfhen, anzugeben
vergeffen müffe. Als;s | De
Francfort eft 4 23 miles de. Gottingue, Il
eft à deux doigts de la mort, Denn man
verftebet drunter; celegen, entfernt, ad
quam diflantiam? ( 255
6. Wie ſetzt man die Seit?
a) Eigentlich mit Adverbiis temporis; als:
aujourdhui, hier, demain: Weil man aber.
nit Adverbia fimplicia gnug dazu bat, fo
macht man compofita mit Huͤlfe der Præpoſitio-
hen, nad Verſchiedenheit der Sragen. Als:
. 9) Auf
Prepofitiones Uberbaupt, 6265. 409
6) Auf die Frage LDann : zu welcher Zeit?
mit de, à, en, par, pour, &c. Als? De Lun-
di à Samedi, à trois heures, à la St. Jean, en
automne, par femaine, pour un an, avant le
tems, avant Mardi, |
c) Auf die Frage Wie Lange, mit duranr,
pendant, pour, jusqu à &c. Als: Je vous
ai atendu pendant oder durant une heure, nne
heure durant. Pour quelques femaines, Tusqu’à
la mort. | |
d) Man fâffet aber gern ſowohl bep der Fra:
ge wann? als wie lange? bie Præpofitiones
weg, $221,, TT. 264, 3e 4e
Solgende zwo Kegeln find wobl zu merten :
e) Das Deurfhe über wird mit en, und wenn
es in beift mit duns gegeben. Als: Je viendrai
dans quinze jours, ou d’aujourdhui en trois fe-
maines; id werde über 14 Tage, oder beute
über 3 Wochen wiederkommen. $. 262,1.
f) Das beutfhe vor, heißt 7 y à auf bie
Frage: wie Lande ifts vorbey? Als: Je l’ai vu
il y a quinze jours; id babe ibn vor viergebn
Sage gefeben. Il y a langtems, vorlaͤngſt.
7. Wie fent man die Art und Weiſe?
a) Mit de, weldhes den Modum qualificati-
vum angeiget, auf die Srage: welchergeſtalt?
von welcher Art oder Materie? $ 246, r. 2.
(256, not. 200. As: Faites de maniere que
veus puifliés y être. Une dispute d’érudition,
Un habit de ſoye.
L Ce5 b) Mit
mio Doppel⸗Subſtantiva. 266.
b) Mit à welches den. Modum 44 quem ans
deutet, ben der Frage: auf was Weiſe?
$ 2567 10, | |
c) Mit en, fo der Modus in quo ifts um
anjugcigen in welchem Suftande, eine Sache
if, oder die Art und Weiſe worin fie ſich befin:
bet. 666,8. (262, 3. Us: Wie? en riant,
im Lachen. J U |
$. 266.
8. Wie fent man die Doppel:Sub/antiva
der Deutfchen ?
a) Die Doppel : Subftantiva der Deutſchen
werden mit gwen umgeſetzten Subftantivis ges
macht, weil bas Nomen regens voran fteben
mub. 6 226, 6: $ 222, 3, nor. 165.
b) Das letzte Subitantivum wird afsbann,
nad Verfhiebenbeit der Fragen, mit de oder
à, und nach Berfhiedenbeit der Begriffe, mit
oder ohne Artifel gefegt. |
1) Mit de auf die Grage Wovon? folglich
wann plein, fait, compofé brunter verfianden
wird. Als: ; |
Un homme de guerre. Un magafin de foin,
Un chapeau de paille. Un colier de per-
_ les. Un bien de fucceflion. Le valet du
logis. Un Prince de Empire. Un-coup
d'épée, |
2) Alſo
Doppels Subflantivas (266. 411
2) Alſo aud mit Deutfhen dreyfachen Sub-
ſtantivis. Als: Lin Juſtiz⸗Canzley⸗Aſſeſſor,
un Aſſeſſeur du conſeil de juſtite. Die Tuch⸗
hoͤndters Gilde, Le Corps des marchands de
rap.
3) Mit à wann man drunter verſtehet deſtiné,
propre, qu'on connoit, qu’on diſtingue, oder ad
quem modum? Nemlich wozu eine Perfon oder
Sache beftimmt und geſchickt ſey; woran man
fie unterfheide und fenne; auf was Art ein
Ding fn? $256. Us: Le marche au blé.
Une falle à manger. L’homme à la grande
bouche, Le cabaret au lion-d’or. Une foupe
au beurre. Du bois à bruler. Un verre à vin.
Un pipe à tabac. Des gens à réflexions. Un
jardin à promenades. |
. 4) Alſo auch wann die Dentfhen ein Adjeai.
vum zum Subftantivo fe$en, um den Modum ad
quem anzugeben. Als:
Ein zweykoͤpfigter Adler, un aigle à deux têtes.
Ein langſchweifiges Pferd, un cheval à lon-
| | gue queue.
5) Ce find alfo ben den deutſchen Doppel:Subft.
lauter Ellipfes ; nachdem nun die Ellipfis ift, (es
bet man die ſchicklichſte Præpoſition. Als:
Un verre de vin, à vin, au vin,
Un magafin de foin, à foin, au foin.
+ 6) Pan bat fonff einige Doppel: Subftantiva
im Franzoͤſiſchen. As: Le porte - manteau;
L’arc-
412 6267. Exerc. über die Prepoft.
L’arc-en-ciel; Du bon-fens; de la petite-
bierre, du petit lait. Einige beutfe Subftanti-
va werden mit einem Worte gegeben, als, la’
jarrettiere, bas Rnieband ꝛc.
$& 267.
Phrafes die Prapofitiones ʒu üben. |
1, (8259 : : 262)
Er bat ibm einen Streid) (coup) mit dem Degen
acacben. Ich babe es mit der Feder gescichnet (den).
Ihr babet mid mit (durch) eure Guͤtigkeiten
(euch) verbindlid gemacht tolige). Ich babe mit der
letzten Poſt Pricfe befommen. Mir find von dem -
Schatzmeiſter (eréforier) bezahlet worden. Er macht
ſich durch ſeine Laſter (vices) perhaßt. Man bat ibn
ben den Armen hinausgefuͤhrt (suis dehors). Er iſt
nach N. gereiſet (partir). Meine Geſinnungen (ſentimens)
gegen cu. Die Neigung, die ich zu guten Buͤchern
habe. Meine Schweſter wird uͤber zwey Jahre wieder
kommen, und mein Bruder uͤber 3 Jahre. Er iſt als
ein Jaͤger gekleidet (vetu). Nehmet dieſes mit euch in
die Kammer. |
2. (6262 : 265)
Ich rede von dem Rapfer Otto bem Groffen. Die
Geſchichte Georgs unfers groffen Monarchen. Unter⸗
ſchiedene (pluſieurs) unter euch hahen es geſehen. Ge⸗
het weg (orés- vous) vor mir (vor meinen Augen).
Ziehet es unter dem Kuffert heraus, und floffet es
( fuites - le paffer) unter dem Dette durch. Laſſet nn$
um cinen Grofhen ſpielen. Ich babe das Pfund fur ei
nen Shaler gefauft. Der Koffe iſt um 3 gl. wohlfeiler
geworden (ef rombé). Er ift die vorige Woche ven
| zten
Exercit. über die Prapoft, (26% 41
aten Det, des Abends angefommen, naddem (apres)
er 2 Sabre in Paris geweſen ift (avoir été). Ich mer.
de euch zeigen wie febr (à quel point) id aufrichtig bin.
Ich babe verſchiedene Perſonen da geſehen. Ich werde
eu in 3 Wochen nicht ſchreiben koͤnnen. Er lief zu
(à) ibm mit dem Degen in der Hand. Ich ſchreibe
euh mit einem von Dankbarkeit durdrungenen (ps-
nétre) Herzen. Lebe wohl auf allezeit. Ich babe
ſchon lange nicht die Ehre gehabt euch su ſehen.
| 3. ($ 366)
Sd babe von dent droféugigteh Manné, de eine
altmodiſche Perruͤcke trâget, ein Haus gefaufet, welches
am orne (2/5) Markte liegt (/ifuée), und einen gu-
ten Weinkeller bat. Ich laffe jebt ein Land. (compagne)
Haus bauen, und vinen fhônen Eßſaal; e8 iſt (77 > +)
aud ein Spañiers Garten dabey, ben id von ber
Schoͤnen mit den ſchwarzen Haaren qefauit babe, Ich
babe beute mit einem Hofmanne ein Glas Wein getruu-
fen, er batte jhône Wein⸗Glaͤſer; er hatte eben (5!
venoit de) (eine Weynachts. (noe/) Quartal. (quartier)
Beſoldung (apointemens) bekommen, er will Morgen
mit Poſt⸗Pferden abreiſen. Da iſt die Butter⸗Frau
und der Rubens (gateaux) Junge.
Das
aa + )oC *,*
Dos IL Capitel.
Son den Pronominibus.
L Abſchnitt.
Don den Pronominibus uͤberhaupt.
§. 268.
General⸗ ⸗Regeln von den Pronominibus.
J. Die Pronomina Coniunctiva muſſen 6e
ihren Verbis und Subftantivis unzertrennlich vers
bunden werden. $ 64 Daber fônnen nicht |
zwey zuſammen fteben.
II. Pronomina Ab/oluts koͤnnen nicht mit Ver-
bis unb Subftantivis verbunden werden.
III. Folglich muͤſſen weder die Conjundiva
und Abſoluta unter einander, noch kein anders
Pronomen mit dem andern verwechſelt werden.
IV. Auch koͤnnen gewiſſe Pronomina theils
gar nicht, theils nicht allemal von Thieren
und Sachen gebraucht werden.
V. Die Pronomina müffen in der Conſtructi-
on an den rechten Ort ſtehen.
VI. $ein Pronomen dterminativum, baß
die Perfon tegirt oder beftimmt, darf ausges ‘
laffen werden.
VIL
| Pronomina überbaupt, 6269. 415
VII Hingegen muf fein Pronomen über:
fluͤßig gefebet werden. |
VILL Man braudt oft der Deutlichkeit und
Ricbrigfrir mwegen einige Pronomina zierlich
anftatt anberer.
J. gF. 269.
Anwendung der allgemeinen Regeln
. von den Pronominibur.
- Weil die Pronomina conjunétiva unzertrenn⸗
lit 6e ibren Verbis und Subft. ſiehen müffen
(206), und folalih nidt zwey benfammen fte:
Gen fônnen (202); fo folget daraus:
1) Daf wenn mebrere Nominativi Pronominis
perfonalis, oder gmeerte oder mebrere Cafus def:
ſelben zuſammen Ffommen man bie Pronomina
abfoluta nebmen muͤſſe (208) Als:
Lui & moi aprenons enfemble, J'en ai acheté
pour vor, pour lui & pour moi. Je l'ai
dit à elle &à lus,
mines Cd
(206) Die Pronomina Conjunctiva bedeuten nichts,
wann fie nicht in Verbindung ſtehen, $ 64. Auch
nicht die Abſoluta celui, celle, ceux, celles, de
celui, à celui, par celui, pour celui dre, tovfern
nicht ein Relativum oder ci oder a dabey iſt. S78,
(207) Ausgenommen nad dem Nominativo Fan
gleich folgen me, 2e, fe, nous, vous, le, la, les,
ni, leur. Auch koͤnnen die $s lefte von der
gten Perfon unter fid, und init den 4 erficrn aus
ſammen ſtehen. C211.
(208) Das Verbum richtet ſich nach der vornehm⸗
ſten Perſon, $ 241.
416 . 269, Pronomina Conjunét.
2) Anmerkungen.
a) In dieſem Falle wiederholet man gerne
die vornehmſte Perſon. 6241, nor, 180. As:
Lui & moi nous fommes d'avis.
b) Auch fegt man aus Hoͤflichkeit die 1te
Perſon juleBt, Als: Vous, lui, & moi nous
irons ehfemble. | B
3) Wann zwey Pronomina Conjunctiva, ju:
ſammen kaͤmen, ſo muß, um ſolches zu vermeiden,
das Eine davon ein Abſolutum ſeyn, und bin:
ter dem Verbo ſtehn. In den Perſonalibus iſt
es der Dativus (70. Als: |
Je ne me fie pas à eux ; id) vertraue mic ih⸗
nen nicht an. Nicht: je ne me leur fie
pas. ?
I /e recommende à moi; er empfiehlet ſich
mir. Nicht: il /e me recommende.
Le jeune homme qui /e préfentera à your.
Nicht: qui /e vous préfentera. (209).
Man faat nicht; Ce mon avis; fondern? mon
avis oder cet avis de ma part, oder l' avis que Je
donne, | |
Mit: à vorre & de votre frere fanté;
fondern à votre fante & à celle de votre frere.
| Alſo
us
(209) Oder man nimmt eine Umſchreibung. Als
anſtatt: Ce qui me vous fait prier, (ayf man ce
qui me porte (rm engage} à vous que. |
Pronomina uͤberhaupt. § 270. 417
Alſo auch: je fais des voeux pour votre pros-
périté & pour la fienne, nicht pour votre
& fa prospérité, *
Nicht ce mon livre, ſondern ce livre qui eft
à moi oder mon livre que voila.
Man fagt: certe femaiñe & la fuivante nicht
aber, cetre & la ſuivante ſemaine.
Alſo auch: Mon ami & le vôtre, und nicht
.mon'@ votre amis. Mein und euer Freund.
Ii, §. 270.
Die Pronomina abſoluta brauchet man ohne
Verbindung eines Verbi oder Subſtantivi. Sie
dienen theils das Zuſammenkommen zweyer
oder mehrerer Pronominum Conjundivorum,
oder deren Trennung von dem Verbo oder No-
mine zu vermeiden, theils zur Deutlichkeit,
theils zum Nachdrucke.
1) Die Trennimg und das Zuſammenſtoſ⸗
ſen der Conjunctivorum zu vermeiden, wie im
vorigen Abſatze zu erſeben. Als:
Je m'abandonne à vour, ich uͤbergebe mich
euch.
2) Wegen der Deutlichkeit, um die Perfo:
nen oder Sachen recht zu beſtimmen. Als:
Ce livre- ci & celui-la, dieſes und jenes
Bud. Go tre dieſes eine Zweydeutigkeit:
Je me vour abandônie. Siche nn di und
6 269,3, Dieſes waͤre auch undeutlich:
Do W
ET $ 370. Pronomins uͤberhaupt.
Je le lüi (mafe) ) & lui (fæm.) si donné;
ich babe es ibm und ihr gefenfet. Man muß
ſagen: Je Lai donné à Jui & à elle.
3) Go ſetzt man bie Perfonalia Abſoluta bey
#) mèême und 5) feu, der Deutlihfeit wegen:
4) Bey même als: Je Pai fait moi-même,
weil même au ein Adv. iſt und bciffet
ſelhſt, ſo gar. Alſo auch: Vous me le
Ppermettrẽs à moi-meme; ihr werdet eb
mir ſelber erlauben. -Vous me le per-
mettrés vous-même; br felber werdet mit
e3 erlauben.
d) Dev feu. Als: Sie haben mich allein
angegriffen ils m'ont atiqué moi - feul ;
aber eux feuls heißt: Sie allein baben 1e.
Alſo auch Je P ai chaffé mo feul, iſt etwas
ànbers als ui feul.
4) Des Nachdrucks wegen. Als:
a) In Affect und im Gegenſatze. Als:
Moi, je le veus. Vous le croyés, moi
(d. i. quant à moi) je ne le crois pas.
Vous travaillés & moi, je me repofe. Je
demeure, & lui il va partir. Je ne veus
“pas vous donner du dégoût à vous qui favés
fi bien écrire.
6) Mad bem c eſt emphatice, Als: C’eft
moi qui le dis. C’eft à vous que je
m adreſſo. C’eft une vive douleur que
cele qu'on reflent à la mort d’un ami.
Get
—
.e ; RAC & — Med
*
vor — — Bron: San. u5
EC'eſt un rare exemple qué celui: que | vous”
donnés; das iſt ein et Depfptel das”
LS nn —
— — ‘4. °
*
L° —
if, . fi. — — ne rh
an * die Pronomina nicht mit anaaden
verwechſeln: daraus folgen dieſe Regeln: F
1) Man unterſcheide die Pronomina. perf. |
éonj. und abſoluta be gewiſſen Verbis und
merke, daß wann die deutſche fan
X
mit dem deutſchen Hacivo oder AccufatidaProno: -
- minis perfonalis gegeben werden, (210%)
im franséfifhen . ein. Pronomen Conjuñétivum F
kan man es aber nicht thun * dem Sinne
Gewalt anzuthun (2189 *Y, im : franfifien
ein Pronomen 7. gtbna ucht werden —
muͤſſe. Als: 7"...
Je vous échis, id id — féceise ain; “(beam |
man fau fagen, ich ſchreibe euch.)
_Je penfé à vous, ich benfe ai euch; (denn |
man fan nicht ſagen/ ich dente eucb,}' F
2) Man vermedfele nicht die Pronomina
Rolativa mit ben Interrogatiuis, noch dieſe mic
jenen, $94, 2. 9 9. qu commen.
Do ce.
* TES En .
(216 a) AU ba fab, die Veiba: voir, deman⸗
der, devenir, dite, écrire, envoyet, faire,
porter, volé cs
5) Als ba find die Verte penfer, der, en
apeller, avoirrecours ÿ »'ætathier , boire , eue
2. de Ge pe, — ðe·
se à
a ui
L 2
420 6371. Don Derwechfelung der Pron.
ce bien réuffit d'ordinaire; fondern ce/ui qui &c, .
Auch nicht die Poffefiva mit den Perfonalibus,
94,2, c)! Dan fage aud) nidt c’eftun parent .
‘ de vour, fonbern c’eft vorre parent, oder un de
. sos parens. Alſo aude [left de mes amis, oder
mon ami; und nicht un.ami de mor,
3) Man verwechſele nicht bas Pronomen im-
perfonale ſoi, (fich) mit den Pronominibus ab-
folutis perfonalibus , lui, elle, eux, elles. Da:
von ift folgendes ju merfen:
a) Soi, wird gebraucht wann man smper/o-
naliter vedet, und'alfo keine getviffe Per⸗
fon ober Sachen beftimmet, Als: Il faut
toujours faire réflexion fur /oi; man muß
. -immer auf fi act haben. Ordinaire-
ment on ne fonge qu’à ſoi. |
5) Wo han aber von beftimmten Derfonen
oder Sachen-redet, da braucht man Zur,
elle, eux, elles, Als: Les Savans font par-
tagés entre eux, die Gelebrten find unter
fi getbeilet. Ils ne penfent qu’ à eux,
Elle fe fie trop à elle - même,
c) Mit méme, (felbft), wird es fo genau
nidt genommen, fondern man Fan aud
gutveilen foi in ben beftimmten Redensar⸗
ten gebrauchen, Als: il fe défie de lui-
même, oder de /oi-méme, Mur nicht im
plurali.
4) Wenn chacun oder perfonne in der phraft
fteben, fo {et man foi ,dber lui , eux, cu
elles,
Pron, bey Thieren u. Sachen, 6 2724 421
elles, nachdem es die Deutlichkeit erfor⸗
dert. Als: |
Perfonne n’a rien à /oi, (vor ſich)
Perfonne n° a rien à 445, (das ibm gebôret)
Chacun s’ imagine qu’ on ne doit penfer qu’à
Ji, (an, auf ſich); qu’à lui, (an ibn)
IV. §. 272, .
Die Pronomina, welche, nach ber 4ten
Haupt-Regel, nidt von Thieren und Sa
ben, fondern nur von Perfonen gebraucht wer⸗
den koͤnnen, find folgende:
1) Die Pronomina Per/onalia lui, eux, elle,
elles; an beren flatt man in folhem Salle die
Pronomina /uppletiva, oder ein Aduerbium, oder
eine Umſchreibung brauchen muß. (211) Als:
Eft- ce À votre Grammaire? Oui ce ?’eft; ja
ſie iſt es. (nicht c’eft cle).
Vos chevaux font morts, il ne faut plus y
penfer; nidt penfer Meux. (an fie dbenfen).
Il a fait une Diſſertation, qu' en dites - vous?
nidt que dites- vous d’cle? (von der⸗
felben).
Db 3 ” Voila
(211) Mit bem c’eft emphatico, und wann man
Gachen als Perfonen vorftellet, vornemlich geift
liche nnd moralifhe Dinge koͤnnen Iui, eux, elle,
elles gebraucht werden. ls: L'Amour eft cap-
tieux, c’eft /#i qui conduit Les amans apan& ss
ne s’adreflent qu'à lui,
4
‘ * ro we Then. € —
EYE Vos un. “bel arbre, mettons- tous à Pen:
tour; nicht autour de lui, (tm denfelben), ;
Voila mom chapeau, je ne fors jamais fans
le prendre oder le mettre; nicht fans . Jus,
n (ofne ibn, obne denfelben), —
2) Die Pronomina Puf, fiva, fon, Ja, fes. .
leur, leurs, welche zwar in der eifte Propofition
von Thieren und Sachen koͤnnen gebraucht
werden, (Ge) aber nidt in der ———
Als:
Les animaux ſuivent Le penchant: il nes
faut: pas imiter les: aélions. Cnicht kevrs
. aéhions,) ed
Quoique votre douleur ’foit jte, il Be en
adoucir l’amertume. (nicht Jon). U
3) Das Pronomen Relativum, qui, weiche
mit einer Pravxoeſttion nur allein von Herſonen
gebrauchet — kan G Le D $ 8.
ME Se Re.
4 der Chaflru&ion PSS bie —
an den rechten Oxt ſtehen, 6211. und ſich
richtig auf die Worte beziehen, da fie binwei⸗ |
_fen. - — iſt tzlgendes sis *
4) Die
(212) Als pu apris le file françois , fa pureté
fa netteté, fa beauté,
(213) Es fep bann, dah man Thiere? und Sachen
ls Perſonen vorfele Qui mit der Præpoſition
à Pan sutéeilen vou LS: AUS À TA
Conffruttion einiger Pronom. 273 429
1) Die Pronomina perfonalia und die /xpple-
Hiva, S 94,1.$ 204,2. müffen unmittelbar vor dem
Infinitivo fteben, von welchem ſie regiret wer⸗
den. Als:
Vous n’avés pas voulu #° écouter, H ne
daigne pas nous honorer de fa préfence. Je ne
faurois mieux vous le faire comprendre, Il
ne veut.pas me le donner, Son amitié peut
vous être utile. Vous n’avés pas voulu nous
faire cejplaifir. On ne veut de voir. Jeveus
bien contribuer fans que Je. prétende ep tirer
avantage (214).
2) Die Accufativi der 3 Perfonen des Pron.
_perfonalis, tie aud) en ftefjen vor voici, voila,
(hier iſt, bier find, da ift, da find) Als:
Me voici. Le voilà, Les ‘voilà de re-
tour, En voici d’autres, Quoi, vous voilà
deja!
3) Die Pronomina relative, und die bezie⸗
henden Pronomina ſuppletiva, woʒu aud) dont
gehoͤret (215), duͤrfen ſich nicht auf ein Wort
beziehen, das ohne Artikel iſt, (Ref. F26, n);
auch muͤſſen ſie nicht in Verbindung der Saͤtze
in weitlaͤuftigem und unbeſtimmtem Verſtau⸗
D d. 4 de
es
(214) Singegen in dieſer Phrafñi: Nous enten-
drons prêcher, ſtehet le billig vor dem erſten
Verbo,
(215) Dont muß allemal (ein Subftantivum , tante
auf es ſich beziehet entre qot RO bib
424 274. Pronomina determinativa.
be fleben, (Ref. 626, 12, & 32. 7, 635,7); :
DE man widerbolet das Wort, oder braucht
ein anders. Als:
| Vous ètes content à Paris, dont vous de-
vés être bien aiſe; (febe c’eff dequoi). Lui
rendés - vous fetvice ? Oui je le fais; (nicht
je le lui rends, oder je lui en rends),
4) Insgemein pfleget gui auf das naͤchſt vor:
hergehende, Zequel auf das, vor dem lebten
Subftantivo ſtehende Nomen zu gehen. Als:
J'ai vu l’ami de Mr. Damon qui (Damon)
eft revenu de France; Zequel (ami) eft reve-
au de France.
| VI. GO 24 |
Kein Pronomen determinativum barf weg⸗
bleiben, Ref, À 5: IX, g 25,3 Folglich in:
fonderbeit:
1) Die Prongmina perfonalia conjunctiva
bey ihrem Verbo. (210) Als:
Il seft caſſe le cou; nicht il a caſſẽ le cou.
Je vous remercie de vos bontés; nidt je re-
mercie, Je vous prie de me faire ce plaifir
nicht je prie &c. 6 64, 3.
2) Aud wann aleih ein ander Pronomen
abfolutum da waͤre. ds:
1 Je
(216) Bann ein Nomien fon als Nominativus
J vorhergehet, ſo (ut der Nominativus Des Pro-
nominis perf. weg. MR, Mon pere & venu:
nicht il eſt.
=
Pronom, determ. fuperff. (275. 425
Je vous fouhaite toute forte de prospérité
à voûs & à votre famille. Atribués - vous en
la faute à vous-même. Il ne /eur refufe pas
leurs prieres. V. 6270, 3:
s) Auch darf fein Pronomen ſuppletivum weg⸗
bleiben; (217), As
Avés-vous du papier? Oui j'e7 ai une
rame entiere, Ja id babe ein ganges Rieß.
VIT. $ 275: L
Es darf aud fein Pronomen uͤberflußig
gefeht werden. Als: ST
1) Die Pronomina per/onalia conjunctiva.
a) Mad dem Relativa qui; tweil allemal
ein Pronomen perfonale ab/olutum von derſelben
Perfon, (oder bod ein Nomen au deffen ftatt)
vorberdeben muf. is: Mur qui fuis; ic,
der ich bin, eigentlih: der da bin (218).
Alſo au:
Dd 5 Sou-
(217) Daher kommen die vielen Redensarten, in
welchen die Pronomina ſuppletiva uͤberfluͤßig zu
ſeyn ſcheinen, und die ſich doch auf einen ausge⸗
laſſenen Terminum beziehen. Als: Je mm’ en vai,
je n’en ferai rien. il en eft de même, vous m'en
croirés fur «na parole, je n'es prendrai à vous,
en faut-il davantage ? Il y va de mon honneur,
vous ne m’y atraperés plus, on n° y voit goute.
Il ne /e cède à perfonne, la paſſion /’emporta fur
la réflexion. | - |
(218) Das Conjundivunr Fan hernach folgen, bey
der zten Perf, aber aud megbleiben. Als: Moi
qui favois cela je lui dis. Ma fœur out eh to
defle s’en fâcha, & lui qui a de Vespa Ÿ QU.
426 | $ 275. Pronom. fuperf.
Souvenés - vous de moi qui fuis votre fide.
le ami, Ils font à plaindre; eux qus fe font
donné tant de peine; de même que moi qui
n’aini Biens nirichefles, Nous qui préferons la
. vertu. Tu ès jufte, Seigneur, qui ès, qui
étais, & qui feras à jamais, (219).
5) Bann ein anbders Pron. perfonale,
odet ein Poſſeſſivum von derfelben Perfon fois
get. Als:
Je ne répondrai pas au billet que.ꝰ ai reçu de
vous ; oder je ne répondrai pas à votre bil-
let. Nicht abctt je ne vous répondrai
pas à votre billet &c. Nicht: Il Zur en-
“vie leur bonheur; fonbern Il envie leur
bonheur.
2) Die Pronomina poſſt Moa fallen weg:
a) Wann ein Pron. perſonale die Perſon
die da hat oder beſitzt, gnugſam anzeiget. Als:
La tête me fait mal; nicht me tête. | J'ai
changé de fentiment; nicht: de mon fenti-
| ment.
(219) Oder: Tu ès jufte, Seigneur, soi qui ès &c.
Das Verbum ridtet ſich nach der Perfon, $ 238.
Snfonderbeit kommt ſolches bep dem Imperfonali
cefl vor, $193/2 AIS: C'eit moi qui lat
fait, c’ eft toi qui l’as fait, c’eft lui qui l’a fait,
c’eft nous qui l'avons fait, c’eft vous qui Paves
fait, ce font eux qûi l'ont fait,
| pren apr: sam 43
ment. . Pour e recréer li esprit, um fn Ge.
mübt zu erquicken; nicht /on. (239). |
Wann . das Pronomen —— |
⸗
1
| duré eine Phrafin mit dem Relativo frites
Le vale qui ia Gi 1 Jongremi; at
mon valet qui. L’inclination que j'ai
elle: nicht: m0x incinarion gr. se 4
Die Fi sie —* thé mon. IJ
nicht wirklig einen Beſitz anzeigen will
de. pas L t F beige Reg * sp. #7 —— |
pa reçu la lertte qw'h: ‘vous a pla de nù —
J ecure; nichte vorr⸗ lettre. Nicht: Il ne
ſera pus ibgrat dé voire péîtie ; fonbern -de la
V pes que \ vous voudrés bien vous donner en
3) Ote Pronom. Dossnfrstivs fallen weg |
wann ein Rolativum odet ds Meiim- mit de
drauf folget As J
7 Je vous remercie de A bonté. que vous
m’ avés rémüignée richer de verte bonté,
' “Je
(39) Denis kan mou de adects und ber Dents
— —* wegen zuweilen dieſe Pronomina fegen.
2
lai vu de me. propres yeux. De tout
amos cæur; pou: Derien sen. JS ne puis plus
" po cé fur ete pi ANT
1 's !
Le F
NS PE J
Le. e]
Er ÊT un « LL. :
428 9276. BEinige Pron. ftatt andrer.
Je vous prie de me faire / plaifir de m'en
donner avis; nicht: ce plaifi ir. (221)
4) Man muf nidt, wie im Deutfhen ein
Pronomen /uppletivum überflüfig ſetzen, wann
nichts vorbergegangen, das ju erfeen -ift, fon:
dern vielmebr die Sache folget. (222). His:
Si tout le monde faifoit comme moi; fvenn
eg alle Leute fo machten wie ich.
me fais un plaiſir de vous être utile; id
mache mir ein Bergnügen daraus eud
nuͤtzlich ju ſeyn.
‘Je ne me foucie pas de ce que dent les au-
tres ; id bekuͤmmere mid nict darum
was andere ſagen (223).
VIH, . 276.
Cinige Pronomina werden theils ihrer Na⸗
tur nad, theils der Beqvemlichkeit, Deutz
lichkeit und Zierlichkeit megen flatt anderer ge:
braucht. Als da ſind: |
TU ù A) Die
— ——
(221) Des VNachdrucks wegen kan man dieſe Pro-
nomina hinzuſetzen. Als: Avés-vous vu cet
homme qui à éte chés moi? C’eft une effet de
cette rare générofité qui vous diftingue,
(222) Soll die Sache genauer beffimmt werden, fo
braucht man Adverbia oder Pronomina abfoluta,
Als: Mettés - vous à; nicht mettés vous y.
Voulés- vous de cela? nidbt: en voulés vous ?
(223) In emphatiſchen Ausdruͤcken ſtehen dieſe fup.
pletiva oft als uͤberfluͤßig voran. Als: Je les ad-
mire ces belles qualités qui brillent en vous,
Auch bey umſctans des Caſus Verbi. Ref
$ 39, 10.
La
LA
Einige Pronom, ſtatt andrer. 6276. 429
A) Die Poſſeſſiva, die Demouſtrativa, und
bas Relativum lequel, |
1) Die Pofefiva werden anftatt der Deut:
ſchen Perſonalium gebraucht, bey den Woͤrtern
lettres, nouveller, und andern Subſtantivis. Als:
Vous recevrés bientôt de mes lettres;
nicht: des lettres de moi. Donnés- moi
bientôt de vor nouvelles. Il 4 parlé à #7
avantage. #11 l’a fait en m4 faveur , en ma
confidération; nicht: de moi. Alſo auch:
de votre part, ffatt de vous, Cela me ren-
dra votre redevable ; nicht? redevable à vous,
2) Die Demonfirativa, ce, cette, ces; ſte⸗
ben gern anfiatt se/, oder pareil. Als:
Je ne mérite pas ce grand bienfait ; ftatt un
tel, Qui voudroit avoir de ces fentimens ;
ſtatt de pareils. $ 233, 1.
3) Die Pronomina relativa, lequel, laguelle |
é5c. twelche von den Interrogativis. geborget finb,
ffeben auftatt qus.
a) Im Nominatrvo und. Actufativo, nur bloß
. eine Zweydeutigkeit zu vermeiden; denn ſonſt
ſtehet allezeit qui und que. (224). Als
Le frere qui étoit habile; (welcher). Phil-
lis qui étoit habile; ( welche). Aber: Le
frere de Phillis lequel (nemlich der Bruder)
oder
(224) Im Stylo curiæ und dogmatico wird zuwei⸗
len lequel, laquelle, ec. im Nominat. und Acc:
auſtt quis que gebraucht. |
L .
+ 4
430 276. Æinige Pronom, ſtatt andrer.
oder laquelle (nemlich Phillis) étoit habile,
nicht qui. Alſo auch Zequel j'ai connu oder
Jaquélle j'ai connue; nicht gern que.
6) In Verbindung mit der Prepoftion, wird
bey Perſonen quel gebraucht wann etwa eine
Bivendeutigfeit zu befuͤrchten waͤre; fonft alles
mal que (225). As:
J'y ai vu l’homme ke plus riche des Cour-
tiſans, duquel (nicht de qui) j’admire enco-
re la magnificence. _:
Ben Thieren und Sachen affgeit Jequel &c.
Sn |
4) Das Interrogativum , quoi wird mit einer
Præ&pofition bey bem c’eft emphatico anftatt eis
nes Pronominis relativi neutraliter gebraucht,
As: C’eft dequoi je parle; c’eft à quoi je pen-
fe; c eſt furquoi je me fonde, Auch mit # y
a: Il ya de quoi rire, by rien € quoi Je
- ne fois dispofé,
297.
1) Weil ben dein Pronomine relatipo mit der
Præpoſition de oͤfters 2 Termini vorfommen,
auf welche es ſich beziehet; ſo wird es am beften
fn , daß man folgende Richtſchnur brauche,
Man
— ——
(225) Jedoch wird im Plurali von Perſonen alle
mal Zequel ſtatt qui geſetzt nach entre, parmi, uud
malgré, Als: Les deux freres entre lesquels il
demeute. Les Soldats parmi lesquels il, toit,
Mes freres malgré lesquels je Vas fair,
Binige Pron. ſtatr andrer. Gi: 43t
Man ſehe vornemfid auf ben 2ten Terminüm,
der nemlich regiret wird: —
a) Iſt er im Nominativo, oder im Accu-
fativo, fo brauche man dont nach dem erſten
Termino (226). Als: Le livre dont l’auteur
eft connu. Le livre dont je connois l’auteur,
b) Iſt ec mit einer Præpoſition, (0 btau⸗
che man beſtaͤndig duquel, de laquelle, &c.
und ſetze es nach dem andern Termino (237),
Als: Mon frere de la fincerité duquel. jé
fuis perfuadé. Le ciel avec le fecouts #4
quel on peut touts '
Deutſches Exempel:
der Mann das Buch
deſſen Guͤte mir bekannt iſt.
4 # 4 ich kenne.
ton Vs : ich uͤberzeugt bin.
an 7: 2 s ic) benfe.
ür :% #.s idy ftoûren wollte.
auf 97: : id mi verlaffe.
c) Beziehet ſich das Relativum mit de nur
auf Einen Terminum, ſo kan man dafuͤr al⸗
W | lezeit
main: TE .
(226) Golite aber die Deutlichkeit dugriel erfordern,
fo feft man es nad den 2ten Termino. Giché
6276, 3, b)
(227) Bon Perfonen Fônnte and in dieſem Falle a⸗
qui ſtehen; duquel iff aber beſſer. Ueberhaupt
ſuchet man im Stylo dieſe Conftruétion zu ver⸗
è meiden,
“
432 277 Einige Pron. ftatt andrer. .
lejzeit dons brauden, wenn feine andere Præ-
pofition vorbergebet, (wie gleich folget).
2) Dont iſt eigentlich ein Pronomen ſuppleti-
vum, S85,c, (82, n.95, welches anſtatt als
ler Relativorum mit de (als de qui, duquel &c.
kan gebraucht werden, aber nicht. 4) Wann ei⸗
ne Præpoſition vorbergebet, (Jupra uro. 2. b)
c). Als: La falle au defus de laquelle il loge;
der Saal fiber welchem er logiret. Nicht: a
defus dont.
b) Wann von einem Orte die Rede iſt. M6:
La maiſon d’ où il fort; dent la maiſon dont il
fort, beißt: woraus er entſproſſen fe
4) Où, d'où, par où, find Pronomina fupp-
Jetiva focalia, oder Particulæ fuppletivæ, ( 82,
n. 9$, anftatt det Pronominum Relativorum,
wann von einem Orte oder fonft woher Jocalirer
die Rede ift (228). Als:
L' endroit o4 je vai, La maifon o% il demeu-
re, La fituation o vous êtes, Le jardin
d’où hous fortons. La ville par où j'ai
. paſſe.
5) Que iſt bey drn Frarjoſen ein Pronomen
Cd
Jupblétivum, oder eine Particula ſuppletiva &
relativa generalis. Denn es wird geſetzet:
a) Anſtatt des Relativi qui und des Interrog.
quor, wann fie vom Verbo tegiret werden.
$ 3 $ 84. | b) An⸗
(225) Qnffatt auquel, à laquelle, dans s Hquelle
duquel; pat lequel &c.
L d
#Rinige Pron. ftatt andrer. $ 277. 433
by) Anſtatt der Relativorum mit Præpofitioni-
bus, als de, à, dans, par; infonderbeit nad
dem c eſt emphatico. Als: J'ai reçu ma lettre
par la même voye que vous l’avés reçue. C'eſt
de vous qu’ on parle. C'eſt à vous que convien-
nent ces belles qualités, C’eit dans ce jardin
que j'ai été, |
c) Localiter anftatt où und d’où; infonberbeit
mit dem c’eft emphatico, Als: C’eft à Paris
que j’aïété. J'ai été dans le même cas, que
vous avés été. C’eft -chés vous que je l'ai vu,
C’eft d' Angleterre qu' il vient. |.
d) Anſtatt allerband Adverbiorum und Phra-
fium remporis, wo die Deutfhen da, als (ft,
quand, lorsque) brauchen; infende:beit nach
dem c’eft emphatico. Als: Le (Au) même
jour que vous revintes de Paris. Tu moment
qu'un homme eft vertueux on l’eftime. C' eft
dans la jeuneffe fur tout gue les règles de con-
duite font néceffaire, C’eft aujourdhui qu'ꝰ il
arrivera,
—-
— —
——
II. Abſchnitt.
Beſondere Anmerkungen uͤber einige
Pronomina.
$. 278. |
Bey den Pronominibus per/onalibur ift
noch folgendes ju merfen :
! | Ee. 1) Wenn
⸗⸗
| 43 4 (279. Anmerk. zu den Pron. perſ. demonſtr.
| 1) Wenn auf bas deutſche Wir und Ihr
ein Nomen folget, das dazu gehoͤret, ſo ſetzet
man im franz. autres dazu, und wiederholet ges
meiniglich bas Pronomen. is: Nous autres
François (nous) avons une langue facile. On
vôus connoit, vous autres Meſſieurs.
2) Man brauchet das Imperfonale on ſtatt
07, a) Das Sufammenftoffen der Vocalium ju
vermeiden, aufler two ein Zeinenu Uebellaut
macht; 6) wann ein gleicher on vorbergebet
oder nachfolget. Von Anfang eines Periodi
ſteht allemal on. J |
a) Si Pon eft en état, - #) Il ne faut pas que
P on confonde les chofes. En cette oca-
fion Pon fait bien. Nicht aber: fi Pon le
loue, ſondern fi on, Sr: L. p.ss2
| 6. 299. -.
1) Die Pronomina demonſtrativa werden
oft mit voici und voilà gegeben. Als: Voici
ce que j'ai fait. Voilà qui eft beau, Le livre
que voici. Mon fils que voilà.
2) Celui, colle, ceux, geler, werden zier⸗
lich fuppletivifh gebraudt, die Wiederholung
gu vermeiden (229). Us: |
| J'ai
(229) Aud sierli von Anfang burd cine, Umfe-
una, da nichts zu wiederholen if. Als: D faut
cultiver celle de toutes les fciences pour laquelle
on fe {ent le plus de ten.
Anmerk. su den Pros, Rel. S180. 4%
J'ai les livres de mon frere & ceux de ma
fœur. Le vin de Rhin eft meilleur que célui de
Mofelle, Auch im zten Membro eines Periodi,
(230); als: Vous m' avés témoigné beaucoup
de politelles; je vous remercie fur. tout de cel-
les que vous me fites hier.
. 280.
Bey den Pronominibus relativis & interro-
gativis fan noch biefes bemerft werden:
1) a) Ce qui, (was, das was) bleibet bey
einem Verbo imperfonali uuverändert, weil: es
nidt von ibm regiret wird. Als: Marqués. moi
ce qui fe pañle, ce qui arrive. Je prens part à
ce qui vous regarde, :
b} Mann aber dieſes Pronomen von ei⸗
nem auf das Imper ſonale folgenden ausgedruͤck⸗
ten oder ſubintelligirten Inſinitivo regiret wird,
fo veraͤndert es ſich in ce que W8r, b). Us:
C'eft ce qu’il me refte à examiner, J'ai tout
ce qu'il faut (231).
Ce 2 2) Das
mn mt tant,
(230) Man muß ſich huͤten, daf nan mit re/ut
celle, &c. kein Wortſpiel und falſche Beziehung
mache. Als: Vous m' avés comblé de graces,
je vous rends celles que je vous dois. Ref?
6 16, 2.
(231) Alſo Fan man ſagen: Prenés tout ce qui vous
plaira; nebmet alles was euch anffeber. Singes
gen: Prenés tout ce gu’il vous plaira ((c. de
prendre); nebmet alles was eu) belioen wo
Ge, su nebmen).
436 6280. Anmerk. zu den Pron. Inter. ſuppl.
2) Das Interrogativum quoi wird per Ellip-
fin relative gebraudt mit der Præp. de, und
mit, aud wohl obne Inſinitiv. |
a) Fur Urſache: Je n’ai pas dequoi me plaindre,
b) Fuͤr Mittel: Il n° a pas dequoi vivre (232).
ce) Fuͤr Out, Geld, Dermôgen, obne
Infſinitivum. Ceft une perfonne qui a de-
- quoi. (in ſtylo familiai )
3) 4), Die Interrogativa und lequel, ſo ein
de nach fit baben, S 248, 5. bebalten biefe
Præpoñtion, wann fie auch bavon getrennet
wird, As: Qui fut le plus heureux de votre frere
ou de votre fœur ? —
4) Anſtatt wer, qui? fan à gui ſtehen,
bey elliptiſchen Redensarten, worunter die Fra⸗
ge Term? verborgen lieget. Als: Voyons à
qui gagnera ? Jouons à qui payera l’écot? (die
Sec). Das iſt: Wem es sreffen wird?
§. 281.
- Man bdarf nidt, um die deutſchen Partis
keln daraus, dadurch, Kamit, auszudruͤcken,
(233) die Pronomina en oder y brauchen; ſon⸗
dern Adverbia oder andere Phrafes. 1) Yann
232) Die Ellipfis ift: Je n'ai pas (que ë
Hurt (je puife) f er —X Denon
worüber $ Il y a dequoi régaler, Il y a dequoi
rire,
(233) Die Deutſchen haben ohngefehr 25 Particulas
ſuppletivas, als: Da, dabey, dafir, baber, da:
mit, daran, Darauf, daraus, darnach, bar:
uͤber, darum, darzu, baffelbe, penfehen die
, : 406
Anmerk. zu den Pron. impropr. Ki 280, 437
A 1) Yann das Weggelaſſene, worauf man
fi) beziehet, nicht de und 2, ſondern in einem
andern Cafu fteber. Als:
Vous m’obligerés par là oder par cette fa-
.veur; nicht: vous m'en obligerés (das
durch).
Le tems ne fauroit être plus favorable pour .
céla ; oder pour cet effet; nicht: n° y'fau-
‘roit être &c. (du welchem Ende?)
2) Wann es nidt auf ein Subftantivum, oder
Phrafin, fondern auf einen ganzen Periodum ge:
pet. Ref 6 32, 7. $ 35, 6. As:
Prenés vos mefures 42 - deffus ; nicht: prenés-
y vos mefures.
3) Den dem Adv. Nur, wennes das Wort
vor Verbo abſon dert. Als:
Je ne penſe qu'à cela, oder je pente ſeule-
ment à cela, oder je penſe à cela few,
(Nicht y).
| §. 282. |
1) Das Pronomen: improprium même, ſelbſt,
fan dem Subflantivo mit oder ohne Pronomine
Ee 3 per-
—
ſelbe, davon, deren, deſſen, deſſelben, des⸗
wegen, dort, hin, her, ſelbigen, ſolches,
welche, es u. dergl:
Darunter find viele, welche als Pronomina aug
ſehen; dieſes berurfachet, daß die Deutfchen theils
das le, la,.les, en und y an ben unrecten Ort
ſetzen; theils unredt fr. Pronemina brauchen.
Wan muf nur hierin den Regeln $phi 79 ſolgen.
438 6282. Anmerk. su den Pron, impropr.
perfonali angebänact werden. Als: La raifon
:cÜe-même le dicte; Dieu méme lordonne.
Aber wann es mit feinem Subftantivo genau.
verbunden ift; fo muß es allemal das Pronomen
perfenale:abfolutum mit einem Bindzeichen vor
fi baben, obglcich ein Pronomen conunbioum |
vorbergegangen. As:
Je lai fait moi - - même ‘tu l'as fait roi-mé.
me, ill’a fait lui - méme. (270,3, a) Alſo
au: C’eft un reproche que nous avons à
nous faire à nous-mêmes, Si vous ne vous
connoiffés pas vous - mêmes (234).
2) Tel (conjunAivè folcber, fo, abfolutè,
mancher , der und der, als da find), ift im
Franz. fein Adjedivum des Machbrucds; fon:
dern man ſetzt lieber, anſtatt des deutſchen ſol⸗
che, bey einem Subflantivo die Worter wr, une,
oder ein Pronom. demonftrativum, oder andere
Woͤrter. Als:
Il a eu ᷣnn bonheur qui ſeroit incroyable,
fi l’on ne connoifluit de ces : oder de ces for-
tes de) tours extraordinaires de la Fortune.
Alſo aud: Un pareil éclat ; une afaire de cette
nature; de pareils écrits. Un homme &
votre mérite, de votre air &c. nicht: un tel
homme comme vous. Ref $17,2
3) Das
(234) Même if aud ein Adverbium, und bciffeé
ja ! fo qar, Als: Ils fe font méme battus. Et
gêne , beiffet und fo gar, und zwar. De mò-
me heiſſet gleichwie aude
!
}
Anmerk. su den Pron. impropr, (282, 439
3) Das. Adjetivum Pronomiriale T out,
$ 92; wird verſchiedentlich gebraucht
a). Subſtantivè heiſſet es Alles, das Ganze.
I a tout, Il eft pourvu de tout. Voict le.
tout. DE
b) Adjectivòè im coleivichen Berftande ©.
$ y2. Im diſtributiviſchen Verſtande ohne
Artikel, zuweilen mit autre, heißt es: all und
jede, ein jeder. Als: Tout homme eſt mor-
tel; en toute ocaſion; toutes choſes. Tout
autre que vous; en tout cas. |
c) Adverbialiter heißt es gaͤnzlich, ganz und
gar, (p/anè, omnino) (235} is: 11 eft tout
. étonné; ils font tout aimables: elle eft toute
hors d’elle même; elles font toute. malades.
Zuweilen beifts lauter. Il'eft tout cœur,
Ee4 d) Wann
(235), Dieſes adverbialiſche, und qualificativifhe
tout iſt im Namèro inflexibrl, Fan alſo Fein s be⸗
kommen: Im Gesere aber bat es int fœm. fing,
und plur. soute. (Girard les vrais Principes de
la langue fransoife p.228), Als: Is font tour
furpris, Une loi soute célefte, Des fleurs toute
flêtries,
Eben fo verhaͤlt es ſich, wann es mit que ein
Pronomen compoſitum macht $g9o, 8). 6283,
6. Als: tour inconfolables qw'ils étoient; route
‘aimable qu'elle eft; foure grandes qu'elles font.
| ‘ Einige
L
+40 L 283: Pronomins compofita.
d) Wann que drauf folget, beiffet es fo : =.
$ 90, b). $ 284. As: Tout ingrat qu’ il
* je 'eſtime (235).
) Tout wird ben jebem Subftantivo wieder⸗
bolet ; und muß burd ein Adjeétivum, oder
durch ein Pronomen relativum beſtimmet wer⸗
den. Als:
Je fuis avec tout le refpe@ imaginable oder
poffble. Tai pour vous toute l'admiration qus
vous eft due. Je fuis avec. tour le zèle & out
Patachement poffible, |
f) Tout wird zierlich periphrafiret. Als:
tout ce qu’il avoitaquis de gloire, S. f 248,
NO 186 . (236)
| 6. 283.
Die Pronomina compaſita, $ go B) |
a) baben bie Particulam Jue nach fit mit bem Mo-
do impuſitivo, auffer tout - - que, [0 den Mo-
dum pofitivum bey fidj bat, :
b) Es pfleget alébann der Nominativus binter dem .
Verbo zu fteben, wann es nidt ein Pronomen
perfnale; oder das Proriomen ce iſt.
c) Das
Eigige wollen, es ſolle our allegcit auch vor
dem Fœminino, ’inflexibile ſeyn, als: rour in-
grate &c. und dech in dem einzigen Falle flexi⸗-
bile ſeyn wann eg vor einem Adjectivo fœm.
ſtehet, welches mit einem Confonante
anfângt-; alé foures charmantes. Dieſes tvird
mit Recht von Girard verivorfens
(236) Tous heißt auch sierlih: für alle, sur einzi⸗
gen 26. Als: Pour soute l'afeftion que vous
me devés. Il ne me refte pour tout bien que &c.
#“
Pronomina compos. 6283. 441
e) Das Pronomen quelque - - que ifi vor dein Sub.
flantivo im Numero flexibile, vor dem Adjectivo
aber inflexibile,
4) Die Berânderung von Tour - - que fiche in der
vorbergebenden Note 235.
I. Qui que, 1) wer auch nur, wer es s wolle
(quisquis); 2) Mit einer Negation, nie⸗
mand, (aucune perfonne),
Als: 1) Qui que ce foit. Qui de mes pa-
rensquece foit. Quique foit ce grand Sei-
gneur, De qui que ce foit que vous par-
liés. Qui que vous foyés.
2) Je n’ai rencontré qui que ce foit,
Qui que ce foit ne le fait. |
II. Quoi que, 1) was auch, was es wolle,
(quidquid); 2) mit ciner Nesation , nicht
das geringfte. As: - |
1) Quoi que ce ſoit. Quoi que diſe
mon frere. À quoi qu'on puifle latribu-
er. Quoi qu’en difent les gens. Quoi
que puifle dire ce médifant.
2) Je n’ai quoi que ce foit.
III. Quelque chofe que, if daſſelbige als quoi
que, und wird an deſſen ſtatt gebraucht,
um die Zweydeutigkeit mit der Conjuncti-
on quoique , obſchon, ju vermeiden. Ref.
$ 14, 5, His: Quelque chofe que vous
puifliés aléguer
Ces Av.
4423 6:84. Exercit. über die Pronomina.
IV, Quel que, was für ciner aud), was man
molle} (qualiscunque » Quantuscunque).
Us: Quel qu'il foi. Quels que puiffent
être fes avantages. Quel que foit yotre
pouvoir. De quels hommes ou de quel-
les femmes que ce ſoit.
V. Quelque - - que, wie ⸗⸗ au, * 2⸗ audy
wie ſehr auch, wie es wolle, (quan-
. tuthlibet, quantumuis). Als: Quelque
mérite que vous ayés. Qutlques afaires
qu’il ait. Quelques richefles qu'eût le
Roi Créfus. Quelque grande que feit ma
fatisfadion. Quelque habiles que fuffent
ces grands Génies.
vi. Tout - - que, ſo⸗ ⸗als auch , (quantum-
vis). is: Tout Philofophe qil eft.
Tout riches que font ces marchañds. Tou-
te ingrate qu eft la Fortune. Toute char-
mantes que font ces fleurs elles fe flètri-
ront.
$. 284
Exercitia zur Uebung der Pronominum ſupple-
tivorum y, en. $ 87e 88 273-281,
Le
Ich bin in Leipzig geweſen, und bin fente daher
wiedergekommen (reze2#); id babe franzoͤſiſche Bi.
er daher mitgchracht ; ich weiß nidt ob ihr welche
habet, aber ich zweifele daran; denn wenn id es mich
ohl crrinnerc (fouviens S 260); W Re mi El me
Ds \eN
LA
a
| Exercitia über die Pronomina. (284 443
ſemble) daß ibr fie an euren Bruder geſchenkt habet
. (aués fait préfent); wofern (/i) ihr welche noͤhtiq
(bejoin) habt, ſchreibet mir nur ein Wort davon; ich
babe welche zu eurem Dienſte; wenn ihr damit zufrie⸗
den ſeyd, fo gebt mir Nachricht (avis) davon.
2.
Wann (quand) ihr werdet nach Leipzig reifen
Grés), ſo kaufet daſelbſt franzoͤſiſche Buͤcher; es find
deren viele da (193,3). Ich babe Luſt (envie) noch
einmal hinzureiſen, um Buͤcher daſelbſt zu kaufen;
aber ich merde meinen Bruder bitten, mit mir bin us
reifen (aZer)> denn er vcrfichet fih (s”ezrerd) beſſer
Ddarauf als id; jehod mit Bedingmug (4 condition)
daß wir nicht large da bleiben merden (demeurerons);
denn man verzehrt (dépenfe) on viel Geld. Was faget
ipr onsus | |
3
Wo iſt euer Bruder? Ohne Zweifel erinnert ibr
euch (einer nicht mehr. Er iſt in Frankreich, und
wird ſich dorten lange aufhalten (arrérera). Es wuͤr⸗
de mir lieb geweſen ſeyn (192, 3) Nachricht (des
nouvelles) vor ibm jm haben; aber ich glaube, daß
er nicht die Zeit dazu bat finden koͤnnen. Seine Ab:
tocjenbeit gchet mir nabe (me touche) nnd id befinde
mid deswegen nidt wohl. Ich bringe (paſſe) meine
Bcit damit qu, (daß ich) daran gedenke. Aber es
ſcheinet (ſemble), daß mein Bruder ſich nicht darum
bekuͤmmere (füncie),
Phrafès: Was machet ihr oamits Ich nehme
meinen Theil davon. Ich brauche (ai beſbin) es.
Laſſet (faites) ibn deſſen daſelbſt errinnern. Ihr
ſeyd Schuld (a cauſe) daran. Ich babe nicht erman⸗
geln wollen euch ſolches qu berihten (informer),
Fe 9 J
—
*
444 9284. Fuercitia uͤber die Pronomina.
| 4,
a) Habet ibr Guüter (des Biens) in Deutſchland?
Wir haben deven vicle da, Wir haben niemals wel-
che da gebabt. Ihr babet doch welche in unfrer Nach⸗
barſchaft gebabt. Wir haben welche da gebabt, aber
tir haben keine mehr da.
65) Habet ihr die Buͤcher gehabt, welche euer
Bruder hatte. Wir haben fie nicht mehr. Wir hat⸗
ten pelche in Dem Hauſe des Herrn N. aber tir bas
ben fie daraus weggenommen (retirés). ,
c) end ibr in Berlin. getvefen? Ich bin nie .
mals da gemefen. Hat euer Bruder nicht daſelbſt
Briefe von mir (5 23. $276, 1.) befommen? ein,
er bat daſelbſt keine hekommen.
—
$, 285,
Exercirium fiber die Pronomina, infonderbeit
über das deutſche Ihr ind Sie,
A. Mein Herr, die Nachricht 1. von Ihrer berannas
benden Deprath 2. macht mir ein groſſes Vergnügen.
Ich, (8269,2.) meine Schweſter und mein Bruder
wuͤnſchen Ihnen demnach Gluͤck 3. zu dieſer vortheil⸗
haften Verbindung, 4. welche Sie mit dem vornehm⸗
ſten Geſchlechte s. unſrer Propinz geſchloſſen 6. haben,
und muͤſſen Sie ſehr vergnuͤgt daruͤber ſeyn. Dieſe Heyrath
7. wird ohne Zweifel gluͤcklicher ſeyn, als die in tel
che Sie ſich vor einigen Tagen GLS, 6, f.) einlaſſen
8. wollten; Jene Perſon, die Sie heyrathen 9. woll⸗
ten, hatte die guten Eigenſchaften nicht, welche dieſe
beſitzet: Was fuͤr ein Ungluͤck fuͤr Sie, Mein Herr!
wenn Sie ſich ihr ergeben haͤtten; ro. Aber auch
welch ein Troſt fuͤr die Eltern dieſes Frauenzimmers,
und fuͤr die Ihrigen, Mein Herr, wann ſie (K140, 5)
ſehen zwey Herzen ſich verbinden, 11. von welchen man
fagen kan, daß ſie ſcheinen eines fuͤr das andere gemacht
zu ſeyn. D L
- 1, La
Se
LS LOS
-
Egercitia über die Pronomina, 285, 445
1. La nouvelle. 2, Le mariage, NB. maſc. 3.
féliciter, 4, alliance. 5. maifon, 6. eontracter.
7. ce mariage. m. 8. s’engaget, 9. époufer,
10, fe lier, s’abandonner à &c. 311, s’unir,
B. Was mid am moiften erfreuet 1, iſt dieſes, daß
ich fee (S 140,5) wie 2. Ihr Herr Bater und Ihre
Frau Mutter gegen diefe gefchidte 3. Perſon cine.aufs
ribtige Freundſchaft hegen. 4. Die erſte tar nicht
nach ibren Ginn, 5 fie baffeten ibr bochmüthiges We⸗
fen, 6. ibren Stolz 7. und ibre trofige Manieren.
8. Endlich Daben Sie, Mein Herr, bdiefe verlaffen,
und haben ſich mit jeuer verfprohen: 9. Ihr Herr
Vater liebet ſie, Ihre Grau Mutter bat ibr ihre Ges
togenbeit und Liebe gefchenfet, fle haben ibr beidcr-
feits 10, un:brenthalben 11. diejenige vâterlihe Zaͤrt⸗
lichkeit aufgehoben, 12. welche fie für ibre etgne Rin:s
der baben ; und Gie, Mein Herr, verfpüren 13. Gie
nicht felber gegen fie die Deftigiie Neigung? 14.
1. donner de la joye, 2, que 3. perfonne de mé-
rite. 4. avoir, $, goût. 6, air orgueilleux. 7. la
fierté. 8. les manieres arrogantes, 9. fe prothet-
tre, 0der donner fon cœur. 10, l'un & l’autre,
11. pour l’amour. 42. referver. 13, fe fentir
pour. 14 une vive paſſion.
C. Nichts ift Ihren Eltern, Mein Herr, angeneh⸗
mer als Ihre loͤbliche 1. Entſchlieſſung; was für. cine
Freude werden 2. Sie ihnen durch dieſe Heyrath nicht
verurſachen, welche fie ſchon fo lange gewuͤnſcht ba:
ben; 3. und ich freue mich ihrentwegen 4. gleichfals 5.
daruͤber: Sie werden mich fragen: aͤus tag für Urfas
chen? 6. Aber was? bin ich ihnen nicht tauſend Dank
ſchuldig, 7. daß fie 6327, 2. mir, was id ohne ibre
Dülfe 8. vergebens 9. geſucht bâtte, zuwege gebracht
baben? 10, Hat Ihre Frau Mutter nicht ibr môgli-
es gethan, (pour) mir durch Huͤlfe 11. thres Bru—
derg die Bedienung mit weicher ich Defleidet bin 12,
auszuwuͤrken? 13. Es Fommt mir alfo ju, 14, ihr
| | mets
⸗ 7.
Es
LS
446 6 285: Exercitia dber die Pronomina.
meine Erkentlichkeit ju beseugen ; und ich wuͤrde es bcp.
15. Dicjer Gclegenbeit gethan haben; id wuͤrde Sie,
Mein Herr, abgerathen baben 16, jeune Derfon ju .
nebmen, und wuͤrde Ihnen geratben baben 17.
fih an dieſe zu madien > 18, wenn Gie: mir nicht
zuvorgekommen waͤren. 247, 2
1, Louable, 2. aller, 3. défirer. 4. pour l’amour.
5. de même. 6, par - -raifon? 7. avoir mille
obligations, 8. fecours, g. vainement, -en vain.
10, faire trouver. 11. par le moyen. 12. fe voir
revêtu, 13. procurer. 14, c’eftà moi, oder il
eft de mon devoir. 15. en 16, difluader, 17.
confeiller. 18. s’adrefler à. |
D. Dies iſt 1. bie Urſache meiner Freude, und ich |
wuͤnſche daß Ihre zukuͤnftige Gañablin 2. die Onelle3,
Der Sbrigen fep, und daß Sie beiderſeits 4. zuſammen
5. bis an bas Ende ihrer Sage in ciner vollkommenen
Einigkeit leben moͤgen. Allein ich denke 6, nicht dar:
an ($275,4) daß lange Briefe beſchwerlich fallen; 7.
meiner laͤuft Gefahr 8, Ihnen su misfallen; aber ent:
ſchuldigen Sie deffen (K 272, 2) Wäöitlaͤuftigkeit, 9. um
unfrer Freundſchaft Millet: 10, Ich wollte ibn wol
mit nn, eininen Wuͤnſchen ſchlieſſen, aber id weis ni-be,
tuelche ich waͤhlen r2. folle nater 13, allen denen els
ce in meinem Herzen aufachen; 14. Sd will Sie
Ihnen lieber 15. aus ber Freundſchaft su errathen geben,
16, mit welcher id perbatrre. ic,
1. Voilà ober c’eft la 2. future époufe. 3 . fource. .
4 lun & l'autre. 5, .enfemble. 6. Énger. Te.
incommoder. 8, courir risque, 9 lorigueur 10.
en faveur de 41, finir par 12. choiſir 13. d’en.
. tre 14. naître, 16. aimer mieux. 16. faire deviner.
KO Æ
HS
EX (o) +," 447
Das III. Eapitel.
Bon den Adjettivis.
J. Don den Superlativis ; wie auch)
von fi und tant, |
6. 286,
1) Es ift Srog, 5. 2. gefaget worden, daß
man im Granéfifhen. zweene Superlativos bas
be. Nun wird der Superlativus defizitar, der
mit plus und dem Artikel gemacht wird, und
fih folalid als ein relativus auf etwas beziehet,
nicht leicht blof bin als ein Beywort gebraucbt,
fondern fein tertium comparationis ftebet bey
ibm. Allein der Indefinitus fan als cin Bey⸗
wort (Epitheton) gebraucht werden, Als:
La plus belle perfonne du monde. L’hom-
me le plus afable que je connoifle,
Hingegen fagt man nidt: J’ai reçu votre lets :
tre avec la plus grande juye; fondern avec re
très - grande joye, Auch nicht: Je fuis avec
le plus profond refpeët; avec la plus fincere
amitié ; —* avec un trè-profond reſpect;
avec une très-ſincere amitié, Ref. Ç17, 6.
2) Beyde Superlativi (237) koͤnnen au
nachgeſetzt werden, der imdefinitus nidt gern
| | an⸗
J 4
ü— —— — —
(237) Einige Subſtantiva qualificativa laffen ſich auch
compariren. Als: homme de biea; pius dome
de bien; le plus homme de bien, |
\
4
e .e €." t
448 6226. Don den Dergleichunasftuffen.
anders, als wann es ein fanges Wort ift oder |
mebrere gufammen find. Als:
L'homme le plus habile du monde. Il a
la réputation de l’homme le plus ſavant de
l Allemagne. |
Da dann der Artikel unverändert bleibt. 6215,
1. Alſo auch ber Superlat indef,
- Il fait un froid très infuportable, (oder des |
plus infuportables), C’ eft une perfonne très-
polie & très- généreufe. |
3) Die 3 Superlativi irregulares können
nicht, binter dem Subſtantivo fteben. $rr2, 3.
es waͤre dann baf es die Adverbiamieux und moins
waͤren, die zu dem darauf folgenden Adjedivo
gehoreien. Als:
La perſonne /a micux (la moins) inftruite
: du monde,
4) Die Superlativi definiti lepben zierliche |
Umſetzungen, naddem es der Periodus und
der Nachdruck erfordert. Ref. 6,4. Us:
La plus fincere perfonne du monde, La :
perfonne /a plus fincere du monde. La per-
fonne du monde /a plus fincere. © Oder mit
Nachdruck: Une des plus finceres perfonnes
du monde. Une perfonne, une amitié des
plus finceres (238)
. 287.
(238) Rad un und bem plur. des fan Fein Superla-
tivus definitus ſtehen; ſondern es muß der indeñ-
nitus fepn. Nicht: voila ## homme le plus mal-
heureux du monde, oder des hommes les plus
malheureux du monde; fondern #rès malheureux.
demie
ENT, | 3
LS *
Don den Vergleichungoſtuffen. $287. 449
§. 287.
Bey ben Comparations - Partifeln Æ und
tant, Q109, 2, 3, ift noch ju merken:
1) Wann der Senfus negativus des Campa-
rativi wegfaͤllt, fo fan in der Vergleichung aff
und autant gebraucht werden. Us:
a) Mad einer andern Phraſi negstiva: Je
n’en ai pas une povifion a4/f grande que la
vôtre, Cela n' empêche pas que vous n’ayés
autant de Bien que lui,
6) Nach einer Frage und Wunſch: Neſt-
il pas auſſ“f riche que vous? Que n’ai- ie au-
tant d'argent que lui,
c) Rad einer Bedingung ober Suppofiti-
on: S’il n’étoit pas 44/f riche que fon frere, -
il ne pourroit pas faire cette depenſe. S'il
n’avoit pas autant d’ennemis que Damon, il
auroit pu mieux réuflit, :
Mit einem Worie es iſt das eben fo der Deut:
fen. Sr. L. p.344. Roux p. 420,
2) Yann auf f ein Infinitivus folget, ſo ſte⸗
Get que de davor. Als: Je ne fuis pas ſi com-
plaifant que de l'aprouver.
3) Die Vergleihungs : Pattifel d' autant plus.
que leidet feine Partikeln weder vor nod nad)
fi. ‘18: Sa maladie me caufe datant plus:
de chagrin que &c. nidt: me caufe beaucoup
de chagrin, d'autant plus que &c. Je l'ai
apris avec d'autant plus de douleur que &c.
nicht:
45 0 | $288. Stelle der Adje&rror.
nidt: - - avec d'autant plus de chagrin par-
ceque &c.
45 Wann vor d’autant plus eine negativiſche
Phrafis ftebet, ſo febet man: d’aurant que. Us:
Vous ne me refuferés pas cette priere d'autant
, que Mr. votre pere me l’a déja acordée.
5) a) Autant que heißt: in ſo weit, in ſo
feun, © weit als, 3. €: Il faut s’acommo-
der à l’humeur des gens autant que notre de:
voir le permet. 6) Entant que heißt: indem,
in fo feun, (ir tantum) ſo viel als en ualité
Als: Notre Sauveur doit être eonfidéré entaut
que Dieu, & entant qu’ homme,
6) Tant que, zuſammen, heißt: fo lande
als, (tandisque), Tant - - que, getbcilet,
heißt: fo wohl ⸗ ⸗ als. 3. E. Tant que vous
agirés de cette maniere vous n’ obtiendrés rien,
11 eft habile fart dans les fciences que dans les
arts, ,
II. Don der Stelle der Adjectivorum.
6. 288.
Die meiften Adjeiva koͤnnen bald vor bald
nachgeſetzt werden. (139) Doch merfe man die
Res:
(239) Das Gehoͤr, folalid der Wohlklang, wie
aud die Deutlichkeit, der Nachdruck, die erha⸗
bene oder gemeine Bedeutung, das fiqürlide ꝛc.
muß hierin den Ausſchlag gebeu, Sr. L. p. je2- -
sie. La Touche T. ï, p. 2
W
Stelle der Adiectivor. 6188. | 451
Regeln C111. 112. 113. welche der Stylus an
die Hand giebt, und folgende Anmerkungen.
1) Wann die Adjediva ein erhebendes Ad-
verbium ben fit baben, fo koͤnnen fie vor oder
nach ben Subftantivis ſtehen. Un jour A beau
un # beau jour. Un très favant homme; un
homme trèr-favant, (286, 2.
2) Im metaphorifhen Verſtande, und
Nachdrucksweiſe, ſtehen Adjectiva vor, die
ſonſt nach geſetzt wuͤrden. Als: Un chapeau
noir; une noire action. De l’eau pure; la pure
vẽérité. Un fils unique ; “mon unique confolation,
Alſo audi
Adroit, cher, fier, galant, gros, libre, ma-
lin, plaifant, prochain, propre, fage,
fimple, utile &c.
3) Daber gedacbte Adjediva und anbere ets
. tas anbers bedeuten, wann fie vor dem Sub-
ftantivo, als wann fie nach demſelben ſtehen.
Als: | |
Une groffe femme, ( eine dite Frauz
Une femme groffe, eine ſchwangere Frau;
Un homme fer, ein ſtolzer hochmuͤthiger
| Mann ;
Un fer héros, ein kuͤhner Seld ;
Une femme /age, eine fluge Frau;
Une fige femme , eine Hebamme ꝛc.
Sfr. :. III.
—X ve
l
452 6289. Uebereinſt. des Adjectivi.
IL Uebereinftimmung des Adjectivi.
$. 289.
Es iſt 114, 4. 5. gezeiget worden, daß
wann ein Adjedivum auf Subſtantiva von ver⸗
ſchiedenen Genere & Numero gehet, man es
entweder wiederholet oder nach dem letzten Sub-
ſtantivo einrichtet. Als:
Is étoit élevé un ſi furicux orage & une ff fu-
rieufe tempête,
Il tient un rang & unè place fi. 4vantageufe.
—
welches letztere auch geſchiehet, wann bie Sub- :
ſtantiva mit andern Partikeln als & verbunden
ſind:
Non ſeulement mon frere, mais auſſi ma ſœur
eſt diligente. ($240, 2).
2) Allein am beſten iſt es in dieſem Falle ein
Adjectivum das auf ein ſtummes ⸗ ausgehet,
folglich gen. communis iſt, wo moͤglich zu ge⸗ |
brauchen. Als:
IL a des talens & des qualités admirables.
Ober man ſuchet ben jebem Subflantivo ein Ad- .…
jetivum fynonymum anubringen. Als:
Il tient un rang confdérable & une place |
avantageufe.
C’ eft un #riffe deſtin & une fituation doulou-
reuſe.
Oder daſſelbige Adjedtivum einmal vor, einmal
nach. Als:
C’eft
Compoftio Adjetiivor. (290. 453
C’eftun douloureux deftin , & une fituation
également douloureufe.
3) 4) Das Wort Gens iftein Mafculinum,
wann es vor feinem Adjedivo ftebets bingegeu
ein Fœmininum, wann es nad dem Adjediva
febet. Als:
Ce font des gens polir, Ce font d’adroites
gens. Ce font de bonnes gens, mais un
peu éntérefér. u
b) Das Adjefivum Tour aber ſtehet vor
gens allezeit im Mafculino ,: auffer wann ein Ad-
jetivum bas nicht generis communis ift zugleich
mit vor gens ftebet, Als:
Tous. nos gens; fous les gens polis; tous les
honnêtes gens. Toutes les petites gens.
IV, Von der Sufammenfesung der
Adjcëtivorum und Adverbiorum,
$, 290.
Die Deutfhen baben in ibrer Sprache ei:
nen Vortheil, welcher der franzoͤſiſchen feblet.
Sie machen aus allerband Subfanrivis und
Dartiteln Adjedtiva Die Franzoſen muͤſſen
aber in biefem Salle Adjeëtiva compofita auf
folgende Art machen. S 115. |
1) Wenn das deutftbe Adjeñivum bas Pre-
dicatum, die Eigenſchaft, Beſchaffenheit, mit
einem Worte das befhreibende Beywort ift, fo
nimmt man das Sub/ſtantivum oder die Particu-
454 290. Compoitio Adjectivor.
Jam woraus es gemacht ift, und fegt es (a) mie
de, oder (b) mit einer ſchickiichen Præpoſition,
oder (c) mit einer Umfchreibung nath dem No-
mine, ZAlst
(a) Mit de um den Ort, (240) die Ma—
. terie, oder die Qvalitât anjuzeigen wober,
wovon etwas ift, oder bergenommen iſt.
4251, 1. S246,1.2. Als:
Du fromage d’hollande;. du vin de Fran-
ce; citoyen de Genève; Une montre or;
une difpute: d’érudition. (241) L’ Empereur
d aujourdhui; la porte de dévant;' la comé-
die d'hier. : | ; |
| (b) Mit andern Praepofitionibur, nachdem
fie fi. zu ben Subſtantivis, der Frage nach,
ſchicken. Als: |
Une ocafion & fouhaits une bête à quatre
piés; un meflager à cheval. 6 256, ro.
| . Un
(240) Man bat star cinige Adjeëtiva nationalia,
abber nidf viele, und fie werden nidt von Ca
Gen, fonèern vou Perjonen, und von Dincen bic
vom menflihen Berfiande berrübren gebraucht.
Als: Un Comte allemand; la langue françoile,
un vaifleau hollandois &c. Nicht aber: une mon-
tre angloife, des galons françoif, des points .ef-
pagnols ; fondern d’ angleterre, de france, d’es-
pagne. | .
(241) Wann das zweyte Subftantivum beſtimmt, fo
verſtehet es ſich , daß man alsdann den Artikel da⸗
bep ſetzen muͤſſe. Als: Les ennemis du dehors.
Une tabatiere & l'or le plus· ſin qu'on puiſſe
voir, Dans la fuite du terms”, oder des tems.
Compoñitio Adjectivor. ( 290. 455
Un homme en colere. Un difcours hors
de propos. Un entretien par lettres,
Une femme fass pudeur. Une beauté
fans égale.
(c) Mit einer Umſchreibung; es ſey
durch ein Verbum, oder Subitantivum,, oder
durch eine Phraßn. Us:
La vie à venir; il eſt à croire. Il y a du
danger, du plaifir.. Les bienfaits que vous
m’avés témoignés Une ocafion conforme
à mes fouhaits. Ref. F25. 39, 9. S 17, 7.
far, 4. 5.
2) Iſt bas deutſche Adjedivum Das Subje-
ctum der Redensart; fo wird bas Subſtantivum
oder die Particula, tvoraus bas beutfthe Adjecti-
vum gemacht iff, voran gefebt.
La continuation de votre amitié, bero fers
neres Andenken; la faveur de votre fouvenir,
euer qünftiges Guͤtiges) Andenken. Ce
peu de lignes, dieſe wenigen Zeilen; mon
peu de mérite, meine geringen Verdienſte;
le reſte des animaux (242).
Sf 4 $. 291.
(242) Es iſt alſo etwas anders: Le fouvenir de vo-
tre faveur, das Andenken eurer Gunſt, als la
faveur de votre fouvenir, euer guͤnſtiges Ans
denFen. Alſo au L’aurore eft une lumiere de
”_ faveur (Fontenelle); die Morgeurdthe ift ein gna⸗
denvolles Licht; àla faveur de la lumiere, bey
Beguͤnſtigung des Lichts. Le commun des
hommes, die Menſchen dberbaupt; les hommes
du commun, die gemeinen Leute.
456 6291. Compo/itio Adjectivor.
§. 291. |
Man fiebet alfo daß bie Franzoſen oft die
deutſchen Adje&tiva periphrafiren müffen, AL:
{ein fie thun es auch aus Zierlichkeit; infonders
heit mit zweyen Subitantivis, ba eines dem ans
dern eine Cigenfhaft benleget (243). Daber
Fommen folgende und dergleichen Redensarten:
.Un bomme de bien, de probité, d’hon-
neur, de credit, de mérite, de cœur, d’es-
prit, de qualité, du monde, de cour, d
‘étude, d’églife, de robe, de la faculté, d'
épée, de rien. Un air de compaflion. Un
transport de joye. 1l eft de droit & de pra-
tique. Le peu que j'ai de crédit, La fincé-
rité de mes fentimens, Il a peu d'équité.
(244). |
6. 292.
7 (243) Es muß aber folies mit guter Wahl, und
mit Unterſchied geſchehen; man ſiehet auch auf
ben Gebraud. Man faget wohl: C'eft une afaire
d'importance, nidt abcr: Sans vos confeils je -
me fens incapable de m'aquiter de la charge d
smportgnce que le Roi vient de me donner, Al-
fo fagt man au nidt: Une perfonne de votre
esprit, de votre richeffe,
(244) Eben fo fagt man: Ecrivés - moi un mot de
+ lettres, fdreibet mir ein Woͤrtgen. Item: un
drôle de garçon, cit naͤrriſcher Junge. Un fri-
pon de valet, ein diebiſcher Knecht; und in ane
dern ſchimpflichen Redensarten; obngefchr wie in
Deutſchen: Lin Betruͤger von einem Kerl.
} à es
” —
Adverbia compof, Exercit, Ÿ292,293. 457
$. 292. ,
Auf eben bdiefe Art macht man aud Adver-
bia compofita mit allerhand Præpoſitionen.
6226, 8. Refi. $ 39, 9. AS;
De'bouche, de la forte, d’une façon
grofliere, d’un cœur fincere, de tout tems,
d’un regard favorable, d’un air indiférent.
Il eft venu à pié, à cheval, en caroffe, à
tems, à la hâte, à cette heure, à la bonne
heure, Avec zêle oder paſſion, avec refpet,
avec franchife. En vie, de tems en tems,
de plus en plus. Par cœur, par lettres, par
ocañon. Sans doute, fans faute.: Pour tou-
jours.. Jusqu'à ce point, Après tout, Vis-
À- Vis. &c. |
4
»
6, 293.
| Pbrafes sur Uebung der umfchriebenen deuts
fben Adjectivorum und Adverbiorum.
Je
Da iff eine ciferne Thuͤr. Eine midtige (conſe⸗
quence) Sade, Der jetzige Rrieg. Eine langticrige
(longue durée) Krankheit. Eine Fursdaurende (course
durée) Luſt (plaiſir). Ein reitender Bote. Ein uns
vernuͤnftiger (aiſon) Mann. Eine koſtbare (grand prix)
Perle. Ein koͤnigliches (Roi) Eſſen. Wohlſchme⸗
ckende (bon göodt) Aepfel. Die anmuthige (charmes)
Jahrszeit. Ich Fan euch meine groſſe (excès) Freude
nicht ausdruͤcken. Er bat cine großmuͤthige (de la gran-
deur) Seele. Ich babe le rie tidrigen Um one
, $ es
458 8294. : Adjettiva bberbaupt,
(les obflaclet qui sopofoient à nos défirs) beficget (f«r-
monté}s Mit doppeltem (redogblemenr) Eifer.
2.
Ein verſtaͤndiger (esprir) Mann muß (Zi) ohne
Hitze (paffon) disputiren. Er weiß es von Wort zu
Wort. Ich merde es ibm noch empfindlicher (maniere
ſenſible), und auf einmal (coup), als ein (en) ehrli⸗
cher Mann ſagen. Er that alles verdrießlich (chagrin)
und mit (de) einem eiferſuchtsvollem Herzen. Ich bas
De es dankbarlich (reconnoiffence) empfangen, Er lies
Det mit einer vaͤterlichen (pere) Zaͤrtlichkeit. Er lebet
Uederlich (dibauche). Es iſt ctioas (choje) geringes
( peu).
@ 294+ ,
Behy ben Adje&ivis fôunte man noch folgen:
de Anmerkungen madhen: |
1) Adjeëtiva von verſchiedenem Regimine
ffellt man nicht in einer Propofition zufammen.
Ale: Il eft curieux & atentif aux nouvelles;
fonderWiedes befonders: Il eft curieux 4e nou-
velles, & il y eft atentif. Ref. 626,6. (36,6.
2) Adjediva werden oft zierlich zu Anfange
eines Periodi, (per Ellipfin), gebraudt. Als:
Plein de reconnoiffançe il luf rendit des fervices
confidérahles. Ref, 66,7. 6 38, 3, e)
.3) Die Adjediva geben zwar viele fône Epi-
theta an die Sand. Man muf aber im Gran:
aôfifhen darin behutſam fepn, und fie mobi zu
waͤhlen wiſſen; auch im Stylo nidt büufige Su-
perlativos gebrauchen, Man brauchet aud) in
Stylo lieber gwen Subitantiva, und andere Um⸗
ſchreibungen &c. Ref. $ 17. 639,9. $4r, 4.5
| Das
F *Y (eo) *,* 459
Das IV, Eapitel,
Bon den Verbis.
L Abſchnitt.
Bon den Modis,
$. 295.
I. Dom Jndicative und Pofitivo
Der Indicarivus und der Pofrivus, find der
Form nach einerley; C132, 1. Mur daf erfter
allemal im anseigenden oder Dorder: Sage,
der Pofitivus aber afs ein Modus completivus
im angekuͤndigten Ergaͤnzungs⸗Satze vors
kowmt; wie folhes à 126 bis 134 gezeiget
worden. : Ben biefen Modis bat man insbefon:
dere folgendes in Acht zu nehmen:
1) Das alle Fragen indicativiſch finb.
$ 132,23 inſonderheit mit den Pronominibus
und Adverbiis interrogandi, als qui, comment,
combien, pourquoi, folglich auch mit que ne,
welches exclamativè anffatt pourquor gefebt
wird. Als: Que n° ai-je étudié! Warum ba:
be ich doch nicht ſtudirt? oder Ach daß id ſtu⸗
diret haͤtte! |
2) Daß zwar nad 6132, 2, der Pofrivus
ben einer indirecken Srage fiche, fie muf aber
wirklich poſuiviſch ſeyn. Als: On lui deman-
da
460 62:95 Modus Indicat, & Pofitiv.
da qui étoit fon pere, & ce qu’il æboit le mieux
apris? Denn bas fragete man ibn wirklich und
poitivè.. Fraͤget man aber zweifelhaft, fo fol:
get nach der Generals Megel $ 134, und nach
der gefunden Vernunft, der Impoſitivuc. Als:
Pofiive: Dites- vous qu'il ef honnête - hom-
me? faget ibr in Ernſt, daß er wirklich
ein ebtliher Mann ift?
Impoftivé: Pouvés - vous dire qu’il ſoit hon-
nète-homme? fônnet ibr fagen, daß er
ehrlich ſey? fônnet ibr ibn bafür twof aus: -
geben? (ba er es doch nicht ift).
Pofitivè: Tgnarés -. vous que cela n’4f pas
ainfi? Wiſſet ihr nicht daß bis (wirklich)
nicht fo iſt? (daß es ſich nicht alſo verhaͤlt).
Impo/itivè : Ignorés - vous encore que cela ne
foit ainfi? Wißt ibr noch nicht, daß es fo
fen? (daß es fo ſeyn koͤnne; wolit ihr
noch dran zweifeln?) Fr. L. p. 350.
3) Die Deutſchen muͤſſen inſonderheit dar⸗
auf Acht haben, daß wann eine Sache gewiß,
wirklich, (poftivè), und alſo für wahr geſagt,
ausgebreitet, geglaubt, augenommen, geſchrie⸗
ben, bezeuget, in Erfahrung gebracht, dafuͤr
gehalten wird u. ſ. f. man im Franzoͤſiſchen mit
dem Pofitivo ben Satz ergaͤnze (245). Als: u
*
(245) Abſonderlich wann man mit folgenden Verbis po-
fiive anMindiget: aprendre, aflurer, convain-
cre, demander , dire, écrire, penfer ,. prétendre,
favoir, témoigner, il paroit, 1l femble, le bruit,
çourt u.ſ. f.
—
s Particula Si, 6 296, | 461t
Im'a dit que c’ef la vérité. Il fe ré-
pandun bruit que, votre frere cf malade.
J'ai apris qu’ilef arrivé à Londtes. Onm’a
écrit, (raporté, mandé,) que cette nouvelle
eft certaine. Il me femble qu’il n’ eſt pas de
bonne humeur, Je crois qu'il 4 été ompé,
§. 296, |
Weil bie Particula Si den Deutſchen einige
Schwierigkeit verurfachet, fo bebalte man fol: .
gendes: |
1) Man unterfheibe vorerft das S5 und
Quand. | |
Si heißt wenn in bem Verſtande woferri, und
ift alſo bedingt, als eine Particula con-
ditionalis (246). 1J |
Quand (quando) Geift wann, aug da, ais
damals, abſonderlich wann von der kuͤnf⸗
tigen Zeit, ben welcher auch allemal quand
und nidtÆ (wenn) im Sr. geſetzt wird.
2) Si ſteht aflemal im Borderfage, bat alfo
allemal den Indicativum ben fi; und wann es
aud fon aus Siertihfeit oder Wohl⸗
faut bisweilen cransponirt wird, fo ifé es doch
| l der
(246) Wann A ob bedentet Fan es mif dem Pofiris
vo, aud mit dem Futuro und conditionali oder
fuppofitivo ſtehen. Si iſt auch eine Particula ine
tendendi, und heißt ſo. J 109, 1: 2. 3.
462 $ 296. Particuls Si.
der indicativife Satz. S regtret folglich nichts,
fondern zeiget nur an, daß der Satz bedingt iſt.
(247) Siehe 9135. 136. 1373. |
3) Die Tempora des Indicativi, welche mit’
A ſtehen fônnen, find voretft das Præſens und bas
Pratcritum compofitum, wie im Deutfchen.
Mis: Sij’atletems. S'il a fait cela il a bien
. fait, )
. 4) Seiner fan bas Pretrritum abfoiutum,
(oder Æmplex) ben fs ſtehen; aber nicht eber ais
in der deutſchen balben rage, (unten not. 248),
ann von einem vergangenen Periodo temporis
die Rede ift, Srs4, 3. 6157, mor. 121. AIS:
S’il fat trompé ce fut fa faute; wurde er (da:
mals) betrogen, fo war es feine Schuld (248).
5) Bornemlid wird # mit dem Præſente re-
lative und deſſen compofto oder Praeterito relati-
vo gebraucht; und Dies find die Tempora bie
bem eigentlich zukommen. $137 8153, 3
7 ÿrér, 3.
6) Si fan burdaus nidt weder mit bem Fu-
turo jJimplici, oder compofito, (feu relativo)
not)
i à à 24 J . ae ———— — —
(247) Se wird nicht gern in ben folgenden Membris
Periodi wiederholet, ſondern man nimmt zierli⸗
her & que mit dem Impoſitivo, welches alsdann
bebeutet, & fupolè que dre. $ 298, 6.
(248) Auſſer ver haiben Srage Fan das Præter. abfol.
nicht bep 4 fcben. As: J’eus l'année pañlée
des ennémis & fi je n'en avois pas eu, je &c.
nicht & fi je n° en eus pas eu,
=. L 3
Particula St 6ogé, 463
nod mit dem Modo conditionali, (oder Juppof- .
tive), fimplici oder compoſito (feu relativo) fe:
ben. Mann alfo im Deutfhen bey
woenn, in bem Verſtande wofern, ain Futu-
°4#7.
D on COLA
*
MEET
rum ſtehet; fo febt man das Pra/ens Indrcativi :
Stehet aber das deutſche Imperfectum oder Plus-
quamperfebtum Conjunéfivi dabey, fo ſetzet man
im Gr. bas Præſent, oder das Pratcritum rela-
tivum. S158,3. (136.137 Als:
Wenn ihr etwa biefes lefen werder, ſo
denket an mich. Si vous /és cela, penfés à
mot,
Wenn er das thaͤte oder gethan bâtte,
(d. i. thun wuͤrde, oder wuͤrde gethan bas
ben), ſo wuͤrde man ihn ſtrafen, oder geſtra⸗
fet haben. S'il faifoit oder avoir fait cela
on P auroiït puni, |
7) Sn dem Tempore compofito fait man it
gewiſſen Faͤllen daſſelbige Tempus des Impofti-
vinebmen, welches die Deutſchen von ihrem
Conjunctivo brauchen, nemlich das Præteritum
. relativum impoſitivum, wenn ein gleiches, oder
der Modus conditionalis folget. &153, n. 129.
G163, 2.3. Si bekommt alsdann eine nachdruͤck⸗
lichere Bedeutung.
8) Anſtatt der deutſchen halben Frage, wie
auch ſtatt daß, witd Si im Anfange des Perio-
di geſetzt. Fr. L. p. 425. Als:
Muͤſſen Euch Eure Freunde beſchwerlich
fallen, fo ſchreibet es Curer Großmuth zu.
5
464 6297. Conjunéfiones mit dem Por.
Si vos amis vous importunent, prenés- vous
en à la générofité de vos fentimens,
Daß ich dieſes thue, (bas) ift meine
Schuldigkeit. Fi je le fais, (c'eſt que ) c’eft
mon devoirs | .
Iſt fie nicht reich, fo iſt fie tugendbaft.
Si oder Que fi elle n’eft pas riche, elle ef
vertueule,
| F. 297.
1) Die Conjunctiones regiren nichts, 5138,
1,2. und die auf que ausgehen find Propo/rio-
nes contrackæ, die nachdem fie bedeuten und an:
fünbigen biefen oder jenen Modum nach fi ha⸗
ben, S138, 3:96. D
2) Daber find einige die man bald mit bem
Poſitivo bald mit dem Impoñitivo, fegen fann;
nachdem der Verſtand ift, ben fie vorftellen. |
‘ 6138 not. 121. Als: Je n’ai rien contre lui
f ve neff qu'il ne répond pas. Si ce eff qu'il .
mé réponde bientôt, je ne lui écrirai plus; & fi
je le fais ce fera à condition qu'il fera exa ;
(ſeyn wird) oder qu’il /vit exact ſſeyn môge);
car je n’ai fait fa connoiſſance qu’à condition
qu'il féroit exa@ (Jos. wenn er die Detannts
ſchaſt unterbalten wollte). |
3) Dier find welche, die insgèmein den /en- |
Jam puſtivum haben. | |
à caufe.
Modus Impofñtivur. Ÿ29%. 465
à caufe que du
atendu q. ] angefeben
weil
parce que |) vüque daß
puisque, ba doch, lorsque, zur Zeit, ba als
d'aurant que ſintemal Îde façon d, 1
entant qd. in fo weit Îdemaniereq.! ſo daß
après que, nachdem de forte q. J
pendant q. in dem daf |
d'où vient que, woher |joint q. nebft bem daß
Fommté daß, warum.
Ÿ. 208.
1. Dom Modo Impoftivt,
Wann der Modus Impoſitivus folgen ſolle,
das muß aus dem anzeigenden Vorderſatze be⸗
urtheilet werden. F 133.134 Er wird nach
allen Redensarten gebraucht ble mit Ungewis⸗
heit etwas darſtellen; es mag der Satz, dar⸗
aus dieſe Ungewisheit erhellet, ausgedruckt vder
nur drunter verſtanden werden, 9 133, 2 3
Folglich insgemein! |
1) Mad dem Pronomine releërdo, ben einen
zweifelhaftem ungewiſſen Safe. Als: Je veus
un valet qui ſoit fidèle. Prétés : Moi un livre
que je puiffe lire en un jour. |
2) Mad einem Superlatiuo definito. Us!
C’ eft la plus bélle perfonne qui /osc dans la Pro
vince, |
3) Nach ben Vetbis rmendi, dubitandi, pes
gandi, und die eine Veraͤnderung anzeigen.
Als: Craindre, apréhender, avoir peur, Dou-
G tef,
465 6298. Modur Impoſitivus.
ter, fupofer. Nier $210, n.159. S? étonner,
être furpris &c. Solalid aus
4) Nach allen Verbis affectkuum, d. i. die da
Handlungen und Bewegungen des Gemuͤ⸗
thes anzeigen. F250. Als: Je ſuis bien fâché
qu’il ne /oir pas ici. (249) Permettés que je
vous faffe voir le contraire, |
5) Mad den Verbis Imperfonalibus mit il.
Als: 2 faut, il paroit, il femble, il arrivez
Auch nach eſt wenn ein AdjeQivum dabey iff.
(250) Als: I faut qu’il /oit ici; il arrive bien
qu’on fafe quelque faute; il eſt bon, jufte,
raifonnable que l’on faffe cela.
6) Wann que anftatt Æ in den, auf
die erfte folgenden Propoñitionen ffebet. S 296,
n.247. Als: Si vous l’oubliés & que vous
manquiés à votre parole vous ferés une grande
faute.
7) Mad ben Pronominibüs compoſiis.
$283, a). | |
8) Ven dem imperativifen und conceſſivi-
fhen Gebrauche der 3ten Perſon des Præfenris,
wie im Deutfhen ; da dann etivas fubintelligirt
wird. 139,4 Als: Qu'il ait; qu’il ſoit.
6. 299
(249) In dieſem alle wird que anftate de ce que
geſetzt. $3co,r,
(250) Auch nad c'e, wenn etwos dabey if, in
zweifelhaften Faͤllen. Als: C’eft dommage qu'il
ne ſoit pas ici, | |
Modus Impoſſtivus. $399: 467
k 8. 299, |
Anmerkungen.
Bey allen denen, im vorigen Patagrapho
angefuͤhrten Saͤtzen, merke man wohl, ob auch
der Vortrag wirklich und poſtiviſch (en oder
nicht. Denn es bleibet gleichwohl bey der
Hauptregel, die man allemal vor Augen haben
muß; daher wie 9134 geſaget worden ein Nachſatz
bald poſitiviſch bald impoſitiviſch nach eben der
Redensart ſeyn fan, je nachdem er angezeiget
wird; wie dus folgenden Exempeln erbellet:
J298, i. Prêtés- moi cé livre que je puis lire
en un jour, (wovon nemlich geſprochen
worden).
2. Ces Meſſieurs-Iâ font: Les plur favans de
tous ceux Qui /omt dans cette Société,
4. Si vous croÿés que je /uis honnête, pour-
quoi me haïffés - vous? Si l’on confidéroit
combien il ef agréable de fuivre la vertu
&c. .
5. Il ſufit que je l’a Il eft certain qu’il
vent, oder qu'il viendra,
6. Tout riche qu’il ef. (283; VL
- 7. Croyés que je /uir. ‘
Alſo Fan man fagen: Vous né m’avés pas dié
que votre frere fér ici, oder 6/7, oder éroit ici;
nachdem der fenfus iſt. &c.
Gg à . 6, 300.
268 300. Modur Impoſtivur
| $ 300.
1) Nach den Aétionibus animi fofget zwar
que mit dem Impoftivo; infonberbeit im Impe-
rativo; Als: Ordonnés qu’on fafle. Permet-
tés qu’on vous diſe. Allein ben den meiften
febt man lieber de ce que mit dem Pofrivo; (ons
derlich wann ein Pronomen baben iſt (251).
Am liebften nimmt man den Znfnitivum, oder
den Cafum. des Verbi wenn einer folgen Fan.
Ref. $aï,3 632,12. Mis:
Permettés-moi de vous dire,
Je fuis bien aife que vous vous portiés bien ;-
beſſer de ce que vous vous poriés bien;
nod beffer? de vous voir en bonne fanté,
Ne vous étonnés pas que Je prenne la liberté;
beffer, de ce que je prens la liberté; noch
befler de la liberté que je prens.
2) Nach den Verbis dubitandi, timendi und
negandi muß que nicht nad) beutfher Art mit
bem Futuro, aud) nicht bem Suppofrivo geſetzt
werden; ſondern allemal mit dem Impofrivo.
His :
Je ne doute pas qu’il ne ſuive ves traces,
nicht /uivra) (daß er folgen werde).
, Je craignois que vous ne le ſiſſies, nicht fe-
riés; (thun wuͤrdet).
3) Es
ne)
(251) Mur nicht allemal de ce que; und ſelten mit
dem Futuro. Als: Je fuis perfuadé que ma .
compagnie ne déplaira pas, nicht de ce que &c.
Modus Impoftivus, G3g306. 301. 469
3) Es wird éfters das que allein mit dent
Impoñtivo geſetzt, anftatt einer zuſammengeſetz⸗
ten Conjunction, oder einer andern Redensart,
auf welche dieſer Modus folget:
Als: Venés, qu'on ne nous voye; (fc. afin,
odet de peur &c. Ç1 38» 4)
Je ne.le ferai pas qu'il ne Joit ici; (Je. à
moins, oder avant, ober jusqu’à ce &c.)
Que je fache ; (fc. autant; fo viel id davon
wiſſen mag).
Qu’ on en connoi ſe un, on les connoit tous;
(Je. je fapofe).
Que je faffle ce qu il me die? Moi? (ec
Veut-on). |
4) Go iſt auch der Imperativus in der zten
Perſon eine beſtaͤndige Ellipſis der phraſium, j
ordonne, je veus, je pretends, je concède, Je
permets &c. As: Qu'il le fafe; qu on le
falle. $138, 4.
5) Bisweilen bleibt que gar weg. Als:
Duffé-je en perdre la vie. Fût-il cent fois
plus riche,
6) Que darf mit ſeinem completivifden Sas
be nidt vor feinen indicativifhen Satz geſetzt
werden, aud) nidt de ce que. Ref, $ 35, 7.
$e 301.
Die gewoͤhnlichſten Conjunctiones compo-
ſitæ (oder Propoſitiones contractæ) ʒuſammen⸗
gezogene Vorderſaͤtze gs! 3) welche ge |
dent
479 S3o1, Modus Impoſitivus.
dem Impofrivo ju fichen pflegen, (252) find
folgende 40.
à ce que, auf daß jusqu'à ce q. bis daß
a condition q. mit Beding. d. malgré q. trotz 1c,
à Dieu ne plaïfe! bebñtc|moyenmane g. vermittelſt
Gott! non obftant q. ungeachtet
afinque, auf daf non que, nit daß
à le charge qe mit dem Bed. | plüt - à- dieu q. wollte Gott
à moins que-ne, dafern nidt|pofé le cas q. geſetzt
bien — des [pour que-(ne) anf b. nicht
bien loinq, weit gefehlt d. hPurvu que, wenn Mur
bienque, obwohl, wiewohlduelque q. fo ſehr audi
ce n’eft pas q.nicht als wann quelq. peu q. fo wenig⸗
de) crineg ne] auf noie» ti
( q, “ne art fans que, ohne daf
de peur que -ne) bag |fce n'efl q.
Dieu veuille q. Gott gebe | ohne daß
en attendant q. indeffen ⸗ ss ae⸗
en cas q. im Fall daß — que, es ſey dah
encore q. obſchou [fupofé q. geſetzt daß
excepté q.-ne ] auſſer (253)
hormis que · ne] daß $ 302,
(252) Œinige von ben angefibrten Conjunctionen,
beſonders die mit Curfiv- Gbrift gedruckte, koͤn⸗
„nen, ivenn man pofitivè pder condirianare
redet, mit Dem Pofirivo, vornemlich dem Fururo,
und mit dem Modo conditionali ffehen.
(253) Die 4ote iſt À rent eff que. wenn dem alſo
iſt daß. Hierzu Fônnen gerechnet werden: peu
s’en faut, es fehlt nicht viel, tant s’en faut, ſo
fecn iff es, il s’en faut hien, oder beaucoup,
oder peu, weit, wenig gefeblet , il ne tient qu’à,
es liegt nur daran, und dergieichen Redensarten,
Ab mit que, und mit me unb bem Impoſitivo
een, ne
Praf. relat. Praterita, (302.303. 472
$. 302.
Einige Phrafes den Impofitivum ʒu uͤben.
Ich babe gewuͤnſchet mit end eine Correfpondens
au errichten (établir), welche nichts unterbrochen koͤnn⸗
te. Das iſt die ſchoͤnſte Perſon, die ich jemals geſe⸗
hen habe. Es iſt das groͤſſeſte Verbtechen, welches
Unterthanen (fiers) begehen koͤnnen. Ihr werdet
nicht aufhoͤren die liebenswuͤrdigſte Perſon zu ſeyn die
(auf Erden) lebet. Ich zweifele, daß ers thue. Ich
frene mich (je fais bien aiſe) daß er gekommen iſt.
Was will man daß id thues Ueberredet ibn daß ers
thue. Sie ſahen mich fur einen an (prenoiens pour
quelqu'un) der hieher zu ſtudiren kaͤme. Es iſt mit
leyd Cie ſuis fucho), daß ihr krank ſeyd.
* *
Der Gebrauch von dem Modo Conditionali iſt
6 136-136. 138, 6. und vom Imperativo
6 139, hinlaͤnglich gezeiget.
x*4 *
IL. Don einigen Temporibus.
§. 303.
Bou den Temporibus iſt in der iten Abthei⸗
lung $ 147 : : 165 umftänblid gebanbdelt wor⸗
den. Man merke nur noch dieſes:
1) Zu den Particulis die bey bem Præterito
abfoluto ſtehen, und einen geſchwind vorbey ges
gangenen Periodum temporis anzeigen, als:
fitôtque, d'abord que, pas plutôt que Gisq, n.
132. gebôren au comme, dèsque, lorsque,
Jamais; quand, welche aber alle aud mit bent
Gg 4. | _ Præ-
#
472 $ 303% Praf. relat. Prateritæ
Præterito cempofto fteben koͤnnen, wenn man
einen Periodum temporis im Sinne, ober in
der vorigen Rede genannt bat, der nod dauret,
8155. ls:
Désque je le vis je le reconnus (/cil. l’année
paflée), ..
Dèrque je l'ai vu je l’ai reconnu ( /ci, au-
jourdhui, ce matin &c.) (254)
2) Man bat im Franzoͤſiſchen auch ein Pau-
la-poft-Futurum, un ein Paulo-ante-Per-
fectum. |
a4) Diefes wird gemadt, wann man ve-
air vor den Infinitivum mit der Præpof, de (et.
Als: Je viens de lire; id) babe eben gelefen.
"É2s5) |
..? h) Jenes wird gemacht, wann man ar,
zuweilen s’en aller vor den bloffen Infinitivum
fegt. ist Ecoutés ce que je vai vous dire;
hoͤret was id euch gleich fagen werde (oder will)
(255). |
$e 394
(254) @benfo gehet es mit 72. Iſt der Perio-
dus der Zeit darin ich rede mit eingeſchloſſen, jo
fagt man: Il y a longtems, trois mois, un an
que je ne l'ai vu, ft der Periodus temporis
berfloffen, ſo ſagt man: 11 ÿ'eut hier un an que
je le vis pour la premiere fois. ”
(ass) Diefes find die beyden Verba mous. Venir
zeiget an, daß man ton ciner Verrichtung abge⸗
gangen, herkommt; Aler, daß manu zu' einer
Verrichtung ſchreite. Anſtatt venir de Fan man
jagen , je ne fais que de @c.
Praf. relat, Prater, 304. 473
G 304.
Exercitium um das Prafens relativum und
das Prateritum {0 wohl abſolutum als
compoſitum ʒu Uben.
Ihr wollet wiſſen, wie id meine Reiſe mit mei-
nem Bruder angeſtellet (fair) babe. Ich babe noch
nicht die Zeit gehabt an euch zu ſchreiben, ſonſt (autre-
ment 6138, €) wuͤrde id eurem Verlangen cher nach⸗
gekommen ſeyn (aurois répondu). Wir reiſeten * wie
ihr wiſſet, zu (ur) Ende des vorigen Monates von
Hamburg ab, und kamen den zoten ju Luͤneburg an,
Wir trafen bafelbft unfern Sreund den Herrn Damon
an, welcher im Begrif (ſur le point) war abaureifen *,
um bierber zu kommen. Er bat uus mit ibm die Poſt
au nehmen; aber mir waren fo muͤde (/ fatigués), daß
tir den Pofimagen (chariot de pofle) nicht mehr ertras
gen (/uportey) und folglid in den Vorſchlag (propafri-
on) unſers Freundes nicht eintvilligen (confenrir) konn⸗
ten. Wir lieſſen ihn abreiſen*, und den folgenden Tag
nahmen tir eine Kutſche (un caroffe), welche meinem
Better gehoͤrete, und welche er auf (4) unſere Bitte
die Guͤtigkeit hatte, uns zu leypen (preter). Wir ka⸗
men dieſen Monat (oder den 3ten dieſes Monats
Qiss, not. 133) allhier an: Aber wir haben noch nicht
alle unſere guten Freunde beſuchet (pu), und noch die⸗
ſen Morgen ($ 154 not. 131.) waren toit bey den
Herrn Alcandre, welchen wir geſtern nicht zu Hauſe
angetroffen (trreuvẽe) haben. So hoffe bald die Ehre
au haben euh su umarmen, und verharre ꝛc.
* Abreiſen, heißt partir. In dieſem Exercitio
ſehe man wohl sn, ob die Actiones fuccedentes
ſeyn; oder ob fie von einer vergangenen Acti-
on gegenwaͤrtig angetroffen werde.
Gas IV,
474 S 305. Infnitivur,
IV, Don dem Modo Infinitivo. J 140,
_ fe 304.
Der bloſſe Infinitivus wird infonderbeit an:
flatt des deutſchen zu, oder der Conjunéionen
und, daß ic, nad folgenden Verbis geſetzt:
1) Aimer mieux, j'aime mieux. Valoir
mieux, il vaut mieux. Oſer, duͤrfen, ſich
unterſtehen. Als: j' oſe vous écrire, Daigner,
geruhen, die Guͤtigkeit haben; welches nie
ohne einen Infinitivum Ben fit ju haben, ges
Praucht wird, Als; Daignés m' honorer de
votre amitié.
2) Die Verba Motus: Aller, (auch être an:
ſtatt aller), venir, revenir, retourner, courir,
envoyer ; mener &c.
3) Mad ſolchen Verbis bey welchen die Fra⸗
gen des Nominativi, oder des Accuſativi ſtatt
finden koͤnnen. Als da find: |
Convenir,. connoitre, croire, entendre,
eftimer, juger; paroïitre, penfer, reconnoi-
tre, favoir, fembler, fentir, foutenir, fupo-
fer, témoigner, voir, vouloir.
4) Bey folgenden und bergleihen, welche
zwar mit de fleben fônnen, befler aber, wegen
der Frage des Accufarivi mit dem Soffen 1 Infini-
tivo gefebt twerden. $ 243, 4e
Acſſu⸗
Infuitivus. 304. 475
Aſſurer, avouer, compter, confeſſer, dé-
clarer, efpérer, s’ imaginer, prétendre, ſou-
haiter &ç. (256)
6. 306. —
Anmerkungen.
1) Der Infinitivus ſtehet oft zierlich zu An⸗
fang des Satzes, ohne Præpoſition, oder mit
derſelben. Als: Vivre fans amis çe n'eſt pas
proprement vivre. De faire ce que vaus me
dites, je m’en garderai bien, À dire vrai ce
n’eft qu’une batagelle; à le voir on diroit qu’
ileft fage. Sans fonger à prendre congé il par-
tir Es find Ellipſes.
2) Oft merben die deutfheu Participia paf:
fiva, wie aud Adjediva und Subflantiva mit
bloſſen Infinitivis gegcben. Als: C’eft bien fai-
re que de fe promener. Voila ober c’eft là agir
prudemment. nfonberbeit mit den Verba
Faire um allerhand Partifein und Umftbreibun:
gen zu vermeiden. Als: Faire rire, faire es-
| . pérer, .
— — — *
—
(256) Hierzu gehoͤret auch dire in dem Verſtande
befehlen, und jurer, wenn es nicht zuſagen
heißt. NB. Wenn bey obigen Mo.; u. 4 an⸗
gefuͤhrten Verbis die Negation ne - - que zu ſte⸗
ben kommt, fo muß de nothwendig geſeht werden.
Als, je re deſire que de le voir, Iſt Bey ben
Verbis mous Nro. 3. tin Endzweck, ſo ſetzt
man pour 5312. .
476 $306. Infiniriour.
,
pérer, faire fuir, faire aspirer, fe faire efti-
mer (257). |
3) Bo man ein Derbalten vorftellet, da
muß im Gran. ein Verbum ſeyn, R. 628, 6.
Daber in folhem Salle die deutfhen Nomina
mit dem Infinitivo gegeben tverden. Als:
Er cilet mit der Antwort nidt; il ne fe hà-
te pas de répondre,
Ich bin eurer Freundſchaft verſi chert, um
deren Erhaltung id euch bitte; je ſuĩs per-
dene de votre amitié je vous prie de me
la sonferver.
4) Der
en Faire if ein Verbum fmulere, und man
fan: mit demſelben alle Neutra (aud Reciprocs)
zu Activis machen. Als: faire avoir, naitre,
Rs penfer, Es geiget bep einem Infinitivo
qu: 1) Ein Laſſen, alé je l’ai fait bâtir, idb ha⸗
Re es bauen Laffen : 2) cine uͤrſoche, 3) eine
Wirkung 4) eine Gelegenheit, 5) ein Mittel,
6) einen Bewegungsgrund, 7) lue fidt, 8) cie
ne Ueherredung, 9) cinen Zwang oder Nôthigung,
10) eine Lehren oder Lernen. Das deutſche Ma⸗
chen bey einem Adjectivo heißt im Franz. Rendre,
als il ſe rend aimable, er macht ſich beliebt.
Bisweilen iſt faire ein Verbum dererminativum,
die Wiederholung su vermeiden; als, jaime mon
coufin plus que je ne fais mon frere, oder que
ne fait mon frere, (mebr als mein oder meinen
Bruder. Il n'ai que faire de beift, id brauche
# dt, id bin nicht noͤthig. G, auch $ 257 3°
9 303, Doaffe I
Inſinitivus mit de, (on 477
4) Det Infinitivus Verborum auxiliarium, in:
fonderbeit von ére, wird oft ausgelaffen, als:
= Il paroït homme de bien, Jele crois au
logis, Quelque vive que je croye votre
douleur. Je lui crois trop d’esprit pour
fairé cela, d. i. je croïs qu’il 4 &c.
5) Auch ftebet der Infinitivus d4, wo in Aus⸗
rufungen und nad) Sragerortern die Verba
devoir, (258) pouvoir, fabir, vouloir u. deral.
ausgilaffen. Als:
Que faire! Moi, devenir Soldat! Je ne
fais comment répoñdre à vos politeffes. De-
quoi vous mettre en peine? Quoi! m’ oublier
de la forte! Reſt. $ 5, XII. $ 37, 1. 8 38, 12.
Don dem Infinirivo mit der Prapo-
Ationibur 6 1407 4
$. 307
De wird vor den Infinitivum geſetzt in eben
den Füllen, mie vor die Nomina, 6 60,1,
S245 59251. Folglich infonderbeit :
1) Yann das Subftantivum vorbergebet von
welchem es regiret wird. 245, 2
4) Mad
; =.
(258) Das Verbum ſollen, mird nidt allemal mit
devoir gegeben, fundern bermitelſ anderer Wen⸗
dungen. Als: Pourquoi vowlés- vous que cela ne
ſoit vrai? On dit qu'il eſt arrivé à Paris, 6 158,
1.2, Refl. $ 4tr 10,
453 63607. Infinitiour mit des
2) Mad) ben Qualitäts : Wôttern, Il eſt
digne d’être reçu. ( 246, 3;
3) Mach den Quantitats: Verbis. (248, 4.
Je fuis chargé: de le faire, J'ai manqué & lé -
fane,
4) Beſonders nat den Adionibus & Paſſio-
nibus animi, $ 250, Als nad prier, ordon-
ner, commander, permettre, perfuader, tà:
cher, s’éforcer, s’empreffer, être obligé, afec:
ter, s’aquiter, fe garder, n’avoir garde &c.
ç) Auf. bie Fragen Wovon? Womit?
$ 251. Als nad Achever; fe hâter, fe lafler &c.
6) Nach den Hmperfonalibus il eff, und c’ eff,
mit ibren Adjeéivis und Particulis; auch nach
il fufit &c. (anftatt que, daß). Als:
Il eft dificile, jufte, bon, de dire. Il pa:
roit aifé de faire. (C’eft une honte de né
pas écrire, Ce n’eft pas aflés de’ croire, Il
fufit de faire voir. |
Se 308
Das qué de kommt vor dem Infimitivo ji
ſtehen:
1) St den comparativiſchen Redensarten.
(259). As? Je n’ai point de plus grand plaiſir
que de vous écrire. Il vaut mieux fe taire que
de parler à eontretems. S'il eſt ſi hardi que de le
faire
0 " . _. . . . CO . ,
à CA "y . P 4
(259) Wann que zweene Infinitivos unmittelbar ver⸗
bindet, ſo fan das de inieilen tegfleitens als il
vant autant fe taire que (le) parier
Infinitivus mit de. ($329.310. 479
faire on le punira (160). Je mourrois plurôt
que de perdre l'honneur. Folglich aud)
2) Mad der Negation ne - - que, (nichts
als), Als: Jé ne prétends que de vous faire
voir que &c, |
4) Auch nad dem c’é/f emphatico, Als:
_C'eff un grand avantage que d' avoir dés amis.
| . 3093
Mit de, oder que dé ſtehen gerne folgeride
Conjunâiones, wann die Perfon einerler
bleibet: |
afin de, um zu faute de J aus Man dl
àmoins que de, es ſey dann Di hors de. auffer daß
avant que de, bevor (jusqu”) au point de; (9
au lieu de, anffûtt — ſehr, ſo gar daß
crainte de |] aus Furcht loin de, anſtatt
de crainte de j daß, damit plutôt que de, ehe dann
de peur de tit près de, bepnabe
fi- que de, ſo⸗ daß (260)
Als: Ille fait afin de vous plaire. Vous ne
pouvés vous taire à moins que de paſſer pour
infenfible,
$, 310:
Der lhfiniüvus wird mit 2 gebraucht wie
Die Subſtantiva, ( 254 : 259. Als mon em-
pref-
(260) SE. + que de muß nicht mit affes pour veu
wechſelt werden, teclhes sertie NN Sn 12
\ _
480 S 310.311. Infinitivus mu à.
preflément à vous fervir. Un cheval à vendre.
Ileft prêt à le faire. Je m’aplique à bien
écrire, Cela me porté à vous donner avis. Il
eft bien homme à faire cela (/cif. propre). Sns:
befoudere :
1) Math einigen Verbis, wegen der darin
liegenden Bedeutung.
Aprendre, lernen; enfeigner, febren,
aider, helfen; faillir, beynabe,
aimer, gerne môgen, Gefallen baben,
fe mettre, Îe prendre, anfangen, ſich wozu
begeben. u. d. g. Sr. L.p.704.
7) Mad Avoir und Etre. Als: j'ai à fai-
re, Vous n’avés qu’à vordonñer. Je fuis à
plaindre, Ce fruit eft bon à manger.
3) Nach 57 eſt und 5] y a um adjedivifhe
Redensarten su maden. Als: Ileftà préfumer.
Il ÿ à du danger à le faire. Auch ohne adjeai-
vifde Bedeutung: Il y a des délordres à cot-
riger (261). |
à) Bon Anfang des Satzes beift à beym
Infinitivo wenn man, und ift eine Ellipüs? à
le voir on tie lg croiroit pas. % 306, 1.
(. 311.
Weil die Deutſchen die beyden franz. Præ-
poſitiones 4e und àᷣ vor bem Infinitivo Ed bag
| oͤrt⸗
(261) C’eft à moi, à vous &c. bat zwar à nach fi,
zuweilen aberaud de. L'et àluiü vous rechercher;
Der ide vous rechèrehet, Grimareſt past.
\
Infinitivus mit de und à it 4êt
Woͤrtgen zu geben; fo Fan man, auffer: ben
Regeln, welche von de und 4 fhon gegeben
worden; auch diefe sum Kennzeichen nehmen:
1) à ſetzt man vor ben Infinicivum vornem⸗
li wanu eine Propenfio ad aliquid da iſt, folglich
aud auf die Frage Wobey? (IL y a de la di-
ficulté à aprendre cela),
2) de febt man insbefondere, ann man fas
gen fan daß (que); ferner ann das regirende
Vérbum durch ein Subftantivum fan ansgeleget
werden, als je fuis obligé de faire, D. i. jai
cette obligation, oder je ſuis dans cetté obliga-
tion; wie auch iwann man fragen fan, wegen
(refpeëlu cujus?) oder weſſen? ꝛc.
3) Daber eiaige Verba ziemlich gleichguͤt⸗
tig bald de bald à mit dem Infinitivo nach ſich
haben: Doch muß auf die Umſtaͤnde und auf
den Wohlklang geſehen werden. Als:
Commencer, conſentir, Continuer, contraindre,
demander, diférer, s’emprefler, (s’)engager, ef-
fayer, exhorter, hafirder, s’ofrir, risquer, folli.
citer, tâcher, tarder. &c. Sr. L. p. 703.
4) Œinige Verba faben den Infinitivum balb:
mit de bald mit à nach ſich, nachdem ibre franz.
Bedeutung if. Fr. L. ib, Als:
Ich erwarte (y atends), daß id bald eine Ver⸗
aͤnderung ſehe. Ich mache mie Soffnung (je matendt)
eine Belohnung zu bekommen.
Avoir coutume oder être acoutumé. Ich bin
gewobnt um zehn 10 Uhr mich niederzulegen. Wir
Par dieſes Kind gewoͤhnet um ſechs Uhr fhlafen zu
gehen.
H ÿ LS
Ë und
‘A8 S3II. : Infiniti. mit de und à,
Avoir peine. Er bat Muͤbe fortzukommen. Ich
babe Muͤhe es su glauben.
Conſpirer. Sie haben (fich) verſchworen die Stadt
zu uͤbergeben. Alle dieſe Sachen tragen etwas bey
uns gluͤcklich zu machen.
Foreer. Man iſt genoͤthiget ibn su loben. Ich wer⸗
de ihn zwingen dieſes zu thun. |
Se hſſer. Ich werde des Gtubirens bberorhfiqg
Ich ermuͤde beym Studiren.
Laiſſer (manquer) Er unterlaͤſſet nicht es zu thun,
oder er thut es doch. Laiſſer. (donner) Ich laſſe
euch urtheilen. Gonſt den Infinitiiv. Ich laſſe euch
machen).
Manquer, neg. Ich werde nicht ermangeln an ibn
zu ſchreiben. Manquer aff. warum habet ihr verſaͤu⸗
met an mich zu ſchreiben.
Obliger. Ihr werdet mich verpflichten, (oder ei⸗
nen Gefallen thun) wenn ihr kommet. Ich werde
ihn noͤthigen zu kommen. |
Oublier, Vergeſſet (verſaͤumet) nidt beute su
kommen. Ich babe das Tanzen verlernet.
Prendre garde. Sütet euch es zu glaubhen. sSabet
acht (febes su) recht su ſchreiben.
Prétendre. Er wil e8 than. (auch mit dem Infin.
$ 305.) Er gedenkt su hohen Aemtern ju gelangen.
Prier, Ich bitte eud mit mir su Mittage su fpeifen,
Prier (ffatt inviter), Ich lade euch sum Abendeſſen ein,
Réfoudre. Ich bin Willens nach Paris su reifen.
se réfoudte. Ich babe mich entfbloffen ibm zu
gen, |
Tacher. Ich werde mich bemuͤhen (trachten) es zu
beweiſen. Ich werde mich bemuͤhen euch nachzu⸗
ahmen. | |
Venir, Ich bebe es eben geleſen. S 303, 2.
Wenn er es etwan erfübre. $ 307, n, 265, (Sonſt
den Infinit: $ 205,3)
| | + EN
Infinit. mit pour, Particip. &312. 488
* Eben alfo gebet es mit der Phrafi: Etre en hu
meur de, £uftbaben. Etre d’humeur à, woʒu auf⸗
geraͤumt feyn. | | :
** Go ifts auch mit bem Adjettivo prés. Ein Sol⸗
bat muß allejeit fertig sum (à) marſchiren ſeyn. Er
war in Begrif abzureiſen (de) Mauvillon p. 72, +
$. 312.
1) Die Præpoſition Pour geiget bey bent
Infinitivo die Urſache und ben Endzweck,
(warum, und zu welchem Ende?) an; (262)
und druͤcket das deutſche um zu, auch damit,
oder auf daß aus; wie auch bas lateiniſche Ge-
rundium in dum, und di mit ęratia. Su deren
Gebraud, welcher 6 261 gezciget worden far
folgendes no gefebet werden: (263),
2) Wann vont einerley Perſon die Rede
ift, fo fégt man pour mit dem Infnirivo nach
trop und affes, um das deutſche als daß, oder
daß man ſollte auszudruͤcken. Als:
962 je
— —
(262) Daher brandt man pour inſonderheit um eine
Bemuͤhung und Anwendung der Kraͤfte anzuzei⸗
gen. Als ben Faire fes éforts, employer toutes
fes forces, faite fon poſſible, travailler, trou-
ver des moyens, mettre tout en pratique, fé
donnèr des peines &c, Hingegen nad s’ forcer,
‘ s’empreffer, tâcher pflégt de zu fichen, zuͤweilen
a; nat s’apliquer ſteht à Refl. 648, 16.
(263) Das Pour ſtehet sierlid von Anfang. As
Pour m'aquiter de mon devoir je ne ts
pas de vous &c.
a9à 313. Participium activ..
/
Je vous aime trop pour vous oublier.
Il eft affés hardi pour faire cela.
3) Dieſes geſchiehet aud nad trop peu,
fufifamment , il Jufit, c’eff affér. Als:
Il a trop peu de bien, pour exécuter ce projet,
Cela fufit , oder c eff aſſes pour me periuader.
(264)
4) Pour beift fon, umau, und /ans (ton
ohne au, brauchen alfo feinen Sufag von de.
$. 313 J
Das Participium activum und bas Gerun-
dium find ſchon C141 und 142 erklaͤtet wor⸗
den. Man merke nur noch folgendes:
1) Man muß das Participium an den rechten
Ort anbrigen, am beſten als ein Explanativum
des Nominativi F141, 23; und es muß durch
das folgende oder vorhergehende wohl determi-
niret werden; auch muß man es vom Gerundio,
und dieſes von jenem, wohl unterſcheiden; denn
bisweilen wird bey dem Gerundio das en ausge⸗
laſſen: Ref 35, 8. S38,4.5..
Prévoyant le profit que je tirerois de ſes en-
tretiens je l’écoutai avec atention & avec
plaifir,
| . Je
L \
(264) Wenn aber der folgende Anfinitivus das Sub-
jectum ber Propofition augmadt, und alfo nidt
mit als daß Fan gegeben werden, fo folget de.
AIS: Ce n’eft pas allés, pder il ne fufit pas de
favoir cela.
—
Inſinit. Part. Supinum. $ 314. 485
Je lai vu en me promeñant. . Je-Pai: vu fe
promenant,
‘2) Man merfe wohl den Unterſchied zwiſchen
dem Verbo mit de, dem Participio a@ivo, unb
dem Gerundio, Als: Ne fuis-je pas heureux
de demeurer feul, daf ich allein bleibe, ift
etwas anders als demeurant feul, da id, unb
en demeurant feul, indem ich ꝛc.
* Folgendes Exempel Fan sur Uebung des Infini-
tivi, Participii und Gerundii dienen. Gram-
taire pratique p. I7
$e 314
Après avvir atendu une demi - heure devant la porte .
d'un de mes amis je m' en afai chez moi fonper; &
après avoir foupé, je me promenai un peu. Un cer-
tain homme m’aborda_en rianr, Je fus curieux d’
aprendre ce qu'il me vouloit dire, En nous prome-
nant il me parloit à cœur ouvert de plufieurs chofes,
_ croyant que je ferois bien aife de les entendre, Mais
je n’entendis fes difcours qu’en #remblant, m° aper-
eevant qu’il vouloit parler d’un certain. Prince pour
lequel il n° étoit pas trop porté. Je lui dis: Mon-
fieur, ayant T honneur d’être de vos amis je vous
fuplié de me faire le plaifir de vous taire; autrement
Ÿ'aimerois mieux n être pas venu ici. On croit quel-
quefois /zvoir une chofe dont on n°eft pas bien infor- :
mé, & fans la. fzvoir à fond on fe mêle d’en raifon-
ner, &on fe plait à médire, 1! vaut mieux ſe taire
que (de) mal parler; nous avons aflés Z faire cher
nous &c. | J
486 6315. Sein oder Particrp. Paliv.
Dom Supino odex Participio paſſivo.
$A 315.
Bon dem Sepino oder Parsicipio pafrre |
oder Participio Prateriti, und deſſen Elexibili-
tôt fiebe $ 143. . Balgendes Fan hinzugethan
perden (265) + |
3) Dos Supinum été .ift unveraͤnderlich,
als, matheureufe que j'ai été; Denn es fau
fein Accufativus vorbergeben. |
As: La chaleur qu’il a fuir, La fortune qu’il
a couru ; les risqués qu’il a couru; denn es ftebt
imperfonaliter.
3) Wann aud gleid der Nominativus bin:
ter dem Participio Præteriti ftebet, fo ift diefes dod |
veraͤnderlich, wenn der Accufativus voranges
Det (266) | 4) Man
Les nas. mon lone-ner
— —
—
2) Die Supina Verborum Impoerſonalium, |
und Nessro - Adfivorum find unveraͤnderlich.
TRE |
(265) Es waͤre su wuͤnſchen daß die Participia paſſi-
va ſtets unveraͤnderlich waͤren, wie im Deutſchen
und Engliſchen. Denn warnm Fan man, wenn
die Rede von Briefen iſt, dieſes Supinum: je
n’en ai pas écrit, (u. nicht écrites), ſehr wohl
von den Briefen verſtehen? warum nidt aud, je
ne les ai pas écrit? Warum weiß man auf feuci-
* mens dieſe Redensart? Les fentimens que vous
avés fait éclater envers moi, ju referiren, da
doch nicht fasrs ſtehet?
(266) Einige bebaupten das Gegentheil. Allein
Girard, La Martiniere, Richelet, Grimore
und andere balten ſich mit Recht an die General
Regel. $143, 4 5.
Participia paliva. (315. 487 :
4) Man merle mobl 06 ber Anhang zer⸗
+ trennlidh oder unzertrennlich iſt. Iſt er zer⸗
‘ trennlich, fo ift bas Particip. paſſ. veraͤnder⸗
lich. Als: oo
Lo permiffion que vous m’avés donnée de
vous écrire. Denn das lefte gebôret zu
permiflion, La permiflion de vous écrire que
vous m’avés dunnée,
Iſt der Anhang ungertrennlih, fo daß er vom
Part, paſſ. vegirt wird, fo iſt dieſes unveraͤn⸗
derlich. Als:
La lettre que vous m’avés ordonné d’ écri-
re. Denn man fan nidt ſagen: La lettre d'
écrire que vous m’avés ordonnée. |
3) Eben fo gebet es, wann ein verſteckter
(ausgelaffener) Infinitivus nach dem Participio
paflivo verſtanden wird; es wird dadurch un⸗
veroͤnderlich. Als: |
J'ai pris toutes les précautions que j'ai ps, dé,
voulu, fu, nemlich prendre. |
6) Es iſt gleichfalls unverénderlih, wann
es ein Sulſtantivum, oder Adjectivum; oder ei⸗
en Inſinitivum mit einer Prepofition unjers
trennlid nach fih regirt (267) (268). |
64 4) Bis⸗
(267) Der Anhang ift aber zertrennlich, wann bic
Reciproca bloß paffvè su verfieben find. Als:.
Elle s’eft srowvée Maitrefle d’une grande Sei-
gneurie, (d. ‘elle eft devenue). Elle fe font
trouvées innocentes, (à, i. elles fe font trouvées
comme étant innocentes, pder elles ont été trou-
vées).
t
488 $ 316. Porticipia Pafiva. LS
7) Distveilen. ift dieſer unzertrennlihe An:
bang eine Phraffs, anſtatt des Subſt. oder Adjed.
oder Infinit. (267) Us: —
Ceux que vous avés vu qu' on diſtribuoit.
8) Gebet das Participium paflivum auf ein
Colleëtivum, ſo richtet es fit nad deſſen Regi-
mine, wie ein Adjedivum. 6 239, 3. Us:
Le peux d'amitié qu’il m' a témoignée. Le
. «peu de paroles qu’il m’a écrites.
. # Sr. L.p.64s. Folgende Erempel koͤnnen su. fers
nerer Uebung dienen,
| $. 316,
Exercitia über das Barticipium paſidum.
Xe
r, Elles fe font don | 1. Je ne fais quelle
né beaucoup de peine. |idée vous vous êtes fui-
Vous nous fommes ats-|te de moi, Madame je
re beaucoup de chagrin. ne vous ai point ofen-
lis ont achevé cet ou-l/ée. Les peines que na
vrage. J donnée cette afaire.
2. Elle
vées), , Girard (p.316) und andere. fagen, daß
manu and ein Subſt. ober ein Adject. oder folalid
cine Phrafis an beren flaft, cinen unzer⸗
trennlichen Anhang des Participii paſſ. madten,
dieſes doch muͤßte flectiret werden, (obgleich être
kan brunter verſtanden werden, fo eine Art von
Paſſivo macht), und daß der Gebrauch der beſten
Schriftſteller dieſen Satz bekraͤftigten. Als: La
penfée que j'ai reudue ſenſible. Les mots que
Ÿ'ai sommés Modificatifs, Les jeus que l'on a
défendus qu’on jouit.
(268) Man muß auch die Zweydeutigkeit vermeiden.
| CS Als: Sa vertu Parendu (w.) rendue (f:) aimable,
La
i D
Participia paſſiva. 316 489
2. Elle s’eft rendu] 2, Dieu les a bénis
‘ maitrefle de cette terre. |lut & fon frere. Elles
Le Pape les a créé. Car-|fe font vues en poſſeſſi-
dinaux, Elle s’eft clélon d’un grarid Bien.
plaindre. Je lui ai res-|lls font venus me voir.
du les fervices que j’ai| Voilà toutes les nou-
pu. La fcience que|velles que j'ai /wes, La
nous nous fommes pro-|réfolution que j’ ai prife
pofé d'étudier. Lesafai-|d’y aller, Je vous re-
res que j' avois préva| mercie de la peine que
que vous auriés. . : [vous : vous êtes donnée
de m'envoyer fa lettre,
3. Les chaleurs ex 3. La peine que ce-
ceffives qu’il a fait m’ila m’a donnée, Leur
en ont empêché, Delvanité es a rendus (ou)
la façon que j'ai dit: rendues, (rendu), mé-
lpriſables.
2.
1. Ich babe den (la) Brief bekommen, welchen
mir mein Bruder geſchrieben hatte, aber ich habe nicht
bekommen den Brief, welchen ihr mir geſchrieben
hattet, oder welchen ihr mir hattet ſchreiben laſſen*
2. In Anſchung 1. Der Buͤcher welche ihr verlan⸗
get habet, daß id (ſie) kanfte, die (les) babe ich
nicht bekommen; denn id bin nicht nach Leipzig ge⸗
reiſet, 2. wegen der groſſen Hitze die geweſen iſt.
6 193,4. Aber id Babe die Buͤcher bekommen, wel⸗
he ibr gebunoen 3 gefeben habet, und Diejenjgen,
welche ibr geſeben babet, (die) obne Band 4. (waren).
3. Meine Schweſter iſt ſehr flciffig, und id vers |
wyudere mi 5. über (de) 2 Muͤhe, welche fie fid
à * 5 ge⸗
f d
490 $ 316 Participia pafiva.
.gegeben bat: Gie bat fih nicht bas Bergnügen ge⸗
macht, 6. mit uus zu reiſen; 7. fie bat fid Lange
Ditten laſſen,x und dennod bat fie nicht wollen die
ER welche wir uns qu thun vorgenommen
en. 9.
I. À l'égard de, 2, aller, 3. relié. ‘4. la reliure,
J. s'étonner, 6. fe donner, 7, aller. 8. fe pra-
poſer. * faffen, faire, aora 257.
34
Ich babe die Bricfe bekommen, welche ibr mir
gefchricben habet, in Anſehnng (as ſujer) der Sade
(afaire), welche id eu vorgefchlagen 1. batte,
und nachdem id) fie (après les avoir) gelefen, fo babe
ich die Sache figlih (déicare) befunden, und einge⸗
n (j'ai reconns), daß wenn ich fe unternommen
2 bâtte, ich dabey (7) Hinderniffe (obſtacles) mürde
AN DL 3 baben, welche id nicht voraus geſe⸗
ben 4. hatte. Ich bin euch ſehr verbunden für (de)
die Muͤhe, welche ihr euch gegeben habet, an mich
(8 271, 1) zu ſchreiben, und für die Muͤhe (de celle
8279, 2) welche ſich alle bie (guten) Freunde gegeben
haben, die ihr ben (chés) euch hattet: Sie (5/5) bas
ben ſich auch die Muͤhe gegeben an mich su ſchreiben,
und ſie haben ſich nicht durch meine Feinde uͤberreden
laſſen 5. Sr. L. p. Mj.
1, Propoſer. 2. entreprendre, 3, trouver. 4. pré-
voir, $. laifler.
Je XX SJ
QF LS 26
I, Ab:
=
8
Pafiva Recipr. Neutra, 317 491
I. Don den Verbir Paffivis, Recipracis,
Neutris und Imperfonalibus,
\ F. 317. | IJ
"Sum Gebrauche des Paſſvi G'i go ſeq. fan.
man noch folgendg Anmerkungen rechnen:
1) Bey aͤuſſerlichen Handlungen pfleget
man lieber par als de nach dem Paſſivo zu ſetzen
$ 260, 3. Koͤnnen die Handlungen zu den in:
nerlichen und aͤuſſerlichen zugleich gerednet
werden, ſo iſt de und par ziemlich gleich: Doch
muß auf den Wohlklang und den Gebrauch
geſehen werden (269). Als: Il m’a été recom-
mendé de oder par pluſieurs de mes amis ,. qui
mont écrit en fa faveur,
2) Anſtatt der deutfchen Paflivorum braucht
man fiber im rang. défiva, aud in ber zten
Perſon Reciproca, perfonäliter und. imperfona-
liter, $ 182, nor. 144. Çi92, 4 Ref. S 141,
12 ss | WVW
Le Roi 4 établi une Régence pour gou-
verner fon païs; nidts une Régence a été
établie par le Roi. Alſo aud recipr, L’or
s éprouve par le feu, L’oifeau ſe connoit
aux
a
(269) Do fagt man: I a été ataqué d’une fiè-
vre, weil eg innerlid geſchiehet und man fragen
fan movons 6 251, 3,3, Yan fagt au: I
a été fuivi de ‘fon frere, lieber als par. Singes
gen: Il fut fuccédé par oder du Roi N &e
\ =.
493 $ 318. Pafiva Recipr, Neutra.
aux plumes. ‘Ces arbres fe-font beaux. II
fe dit bien des meafonges. Il fe trouve des
gens qui &c..
3) Es giebt Verba ble Pafliva werden koͤnnen,
und im Deutfhen nicht F 243,2. Als: Cet
homrie eft fuivi. 11 eft parlé dans ce livre de &c. .
4) Nach dem Paffivo findet fein Infinitivus !
mit de mebs fiat. Als: Voici le livre qu’on
m’a recommendé de vous envoyer, und nidt:
qui m'a été recommendé de vous envoyer.
$. 318. |
Yon den Verbis Reciprocis, und Neutris,
1842-191, fan man nod folgendes merken ;
1) Zufolge des vorigen $phi nro.2, müffen
die franzoͤſiſchen Reciproca ofte mit deutſchen
Paflivis gegeben werden,
2) Es find verfhicdene deutſche Neutra die
es im Franzoͤſiſchen nicht find, $ 243, ». 3.
3) Folgende Phrafes koͤnnen zur Uebung des: +
jenigeu dienen, 1was von den Neurris 6 190 und
6,243, 2 ift gefaget worden. J |
Ich bin ibm allejeit gemogen geweſen r, aber
weil er ſeine Auffuͤhrung geaͤndert bat, fo werde id
ihm nicht mehr beyſtehen 2 Ich habe ihm geſaget, daß
er mir zuvor gekommen 3, und dem rechten Wege 4.
nicht gefolget waͤre; und er iſt vor Schaam roth more ,
den 5. Er iſt ſehr abacfallen 6, ünd wann er: wird
durch verſchiedene Muͤhſeligkeiten 7, gegangen fepn 8,
fo wird et kluͤger werden, denn feine Zeil iſt nod nié ‘!
borbcy 8.
| LUS
Imperſonalia. 6319. | 493
1. afeftionner. 2, aſſiſter. 3. préveniri 4. le
droit chemin, 5. rougir de honte, 6. déchu.
7. adverfités,, 8. pañfler.
| $ 319.
: Don den Enperfonalibus uberhaupt.
| Bu demjenigen, was $ 192 von den Im-
perfonalibus geſaget worden Fan man noch biefe
Anmerkungen binzufefen : |
1) Im Deutfhen wird bisweilen der. Nomi-
nativus Es nicht ausgedruͤckt, im Franz. aber
nicht ausgelaſſen. Als: Du moins #7 n”y avoit
plus d’enfaris mâles. Je fouhaite qu’s/ ne nous
arrive jamais de plus grand malheur,
2) Wann nad dem: bdeutfcben Es noch ein
Nomen mit dent Artifel, oder mit dem Prono-
nomine pofl, oder, démonftr. afs Nominativus
Verbi folget, fo fegt man fein il. Als: Le
Capitaine, mon:ami, cet Oficier arrivera de
main; 6e wird der Hauptmann ic,
3 —
° §. 326, |
Exercitium Über die Imperfonalia.
Ÿ 192 319 |
Es bat mich gedurſtet;: bat end nicht auch ge⸗
durſtet?e Mein, aber mich bat gehungert. Es wird
einem (on) die Zeit bep ibm oͤſters lang. Iſt
es euch in eurem Procrffe delungens Es if mir nié
gelungen, und es thut (ift) mir levo, daß id (6 r4o,
5) dieſe Entſchlieſſung gcjaffct babe (7 avoir pris ce
parti), Es ift mit lib geweſen, daß der ‘anbre
een {0 viel (autant) terloren babe (air) als ihr; denn
es iſt mir nidt unbetannt, daß es ibm auch nicht
(nom pur) gelungen iſt. : —
—*
41
| 494 321. Imperſ. Es iſt, il ef.
⸗
Es hat mich nicht gereuet, daß id su N. gewe⸗
ſen bin (d’avoir eté); denn es Fam juſt zu der Zeit
(préci[ément alors) der Konig daſelbſt an(y arriva). Sind
($193, 3) aud Gelehrte da? Ihr müfet ($ 194)
felBer bin (y) fommen, fo merdet ibr es erfabren (&
vous le faurés), | |
II. Don den deutſchen Imperſonalibus
Es iſt und Man muß.
. 321 |
1) À! eff ftebet vor einem Adjedivo und vor
einem Zeitworte $ 103, 1. Folglich
2) Vor allen Adjedivifhen Redensarten.
As: eſt à préfumer; il ett à propos; il eſt
queftion; if eft en mon pouvoir. Auch nad
lateinifcbet Art, (ellipticè); il eft d’un honète-
homme ; il eft de la bienféance; il eft d’un.
homme fage (270). 3)4
assis —
(270. 4) I ef wird oft für 57 y à geſetzt. 1) In
der Poeſie allezeit. 2) Bey dem quantitativi-
ſchen Begriſſe; und vor den Adverbiis quanti-
tatis, injonderbeit Bey einer verneinenden phrafi;
als, 4! eff des gens qui croyent tout favoir; .
Ff}-il rien de plus avantageux? 7 # eff rien
que je ne fafle pour voustémoigner mon zèle :
él eſt point de vice plus odieux. 3) Bey
Sprichwoͤrtern 47 n° efl pire eau que l’eau qui
dort. 4) Mit Auslaſſung der Woͤrter rien de
meillenr; als, il eſt que d’être fin à la cour,
b) Wann aber bon cinem Befinden ‘oder
Dafcyn an cinem Orte die Rede ift, oder es
folgct ein Infiuitivus mit à oder pour, (0 Fan il
ef nidt fr y a%ten N°: Rrya que
des troupes dans cette ville, 1 nr yatien afavse.
Imperſ. Es if Cet 6322. 495
3) 1 en eſt, (fil fait), mit der Præpoſ. dé,
heißt: es ift damit beſchaffen; es bat die
Bewandniß. Ms: Il en eft des hommes
comme des animaux, Il n’en eft pas ainfi des
* méchans, |
: S: 322:
1) Cet (272) ſteht vor dem Subſtantivo,
Pronomine und vor einer Particula. $ 193, 2.
Folglich ach
2) Vor einem Infinitivo. Mg: C'eſt être
téméraire. Ceſt avoir de l' esprit. §140, 2.
Alsdann bedeutet es: das heißt; welches auch
mit voila gegeben wird. Als: C’étoit agir en
étourdi. Voilà répondre fagément. Obet C’e/
+ 18 répondre &ë. (2923 |
3) Folglich auch vor einem Paréicipio paffivo
ſo ffatt eines Subſt. gebraud}t wird; wie auch
got einem Adjectivo, wobey ein Subſt. ausge⸗
druͤckt oder drunter verſtanden. Als: Cet
ie ,
\
i ind ‘a É e DR "a . %
(271) Ceſt druͤckt cigentlid bas' deutſche: Dies iſt,
dns iſt, das ſind, aus; daher heißt: c’eff ce
qui me porte, dies iſts was mich beweget.
Man ſagt auch im plur. ce font, ce furent $ 193,
not, 148. Son dem C’eff moi &c. fiche ebendaf.
und 238,1. $ 276, #. 219, |
Gr) Das là wird sum c’e/f gefegt um einen Nach⸗
ruck zu geben, und beift: Das iſt eben, we
ches auch mit voila gegeben wird. Als: C’eft- 1à
mon avis, C’étoit- Jà ce que je cherchais. Nos
là ce que je veus, Voilà qui eft bien ect
: --
* \ =.
+
‘ . “.n =
. ‘ “ ⸗
="
496 322 Imperfon. Es iſt, C'eft.
bien dit (anftatt cel). Ceſt bien fait. Ceſt
un bon livre; c’en eft un mauvais; c’eft le
premier. |
4) Des Nachdruks und der Richtigkeit
wegen ſtehet ⸗ et ſtatt ef. a) Wann biefes A
vom Nominativo durch eine Phraſin getrennet
wird; und 46) wann ce qui oder ce que vorher⸗
gehet. Als: |
a) La dificulté que j’y trouve cel que je .
manque d’ argent, . La plus grande richef. :
fe de ce monde ? eff la piété.
; b) Ce qui me confole c’ ef que vous he M:
F ._ abandonnerés pas. ‘Ce que l’on doit re.
22— .
chercher le plus ardemment c’ef la vertu, *
(ft bas ef emph. inverfum $ eq.)
5) C’eff que, Canfiatt parce que, oder la |
rai[on de cela eſt que) heißt: die Urfache des «
von ift daß, das macht daß, darum daf,
darum weil, weil nemlich. is: C’eff que
je n ÿ ai pas penſẽ.
6) Ce n'eff pas que, it dem Modo simpof. .
tivo, ift das vorhergehende negativè, und heißt:
nicht als wenn, nicht zwar, zwar. Als:
Ce n’eft pas que je croye que vous m’ayés ou-
blié, . Ce n’eft pas que je ne le fache.
$. 323.
1) Das C’efl emphaticum oder explanati-
Vum iſt ein ſolcher Ausdruck, wodurch man ei⸗
nem Worte oder einer Phrafi einen Nachdruck
und
.
RAS
| C eft emphaticum. $ 323. 497
und zierliche Erweiterung giebet. Ven ben
Deutfhen pfleget man bdiefes nur mit Erhoͤ⸗
bung des Tons zu thun 3: (273) bingegen ift
im Franz. bdiefes c’ef febr gebraͤuchlich, une
eine Zierlichkeit. Ref, (6, 8e S 35, 7° 638, 3, &)
2) Man febet nemlid, bas was mit Nach⸗
druck foll vorgeftellet werden, von Anfang des
Satzes zwiſchen c’ef und der Particula que auch
bigveilen den Pronominibus relativis als qui,
dont, où Sc. Als: |
C’eff le mal que je haïs, c eſt la vertu que
j'aime. C'eſt ainfi qu' on fe fait eflimer.
C’ ef} la rofe qui eft une belle fleur. C'eſt
vous qui âvés fait cela. Ce font ces belles
qualités dont je vous ai déja parlé. r.
3) Soll bas Pradicatum den Nachdruck
baben,fo ſtehet es zuerſt zwiſchen c’efund que. Als:
C'eſt une belle fleur que la roſe. C/ à
vous que s'adrefle cette leçon. C'eſt alors,
mais trop tard, gw ils fe repentent. C'eſt
un grand avantage que de relever le méri-
‘ te par l’étude. Ce n’ef pas un mal que
d’avoir des envieux, N° e/-ce pas une
honte qus d’être ignorant? (274).
| 4) Bis⸗
(273) Wann man etwas franz. explicirt, ſo wird
dieſes c’ ef? que im Deutſchen ausgelaſſen.
(274) Es Fan ben einem Infinitivo, wenn es bag
Subjetum ift, das que wegbleiben. Als: C'eſt
un miracle de vous voir. C'eſt une perfdie de
parler mal de nos amis. Man ſetzt aber doch que
gern. Ji | |
' s,F ° |
2. 1e s
498 8323. C'eft emphaticum.
4) Bisweilen féebet der Infinitivus tordu, :
As: Ramper devant les grands 6’ cf? une baf.
fefle. Avoir cette penfée ce /eroit une témméri
_té. Cela eft fi dificile que de } entreprendre ce
ſeroit être téméraire. .… oo
5) Des Nachdrucks wegen wird das cf
emphat. auch mit voilà ausgedruckt. Als:
Voilà de plaiſantes gens que cesCourtifans! Voilà
pour m’acabler que cette nouvelle afaire. L
6) Bisweilen fâlit nad «ef und vbilà das
Mort darzwiſchen weg. Us: C’ef dequoi je
vous prie, (anftatt c’ef cela dequui). Voilà de-
quoi nous parlions.
7) Wann der Pegrif einer Dvantitét, und
aifo aud bie Negation nur (me-que). ben der
- Phrafi iſt, fo wird :/ y a ſtatt «ef geſetzt. Als:
_ n’y a point d’homme qui foit immortel. II
n° y a que vous qui puifliés me conſoler. /æ
8) Dieſes c’'e/f emph. wird auch vielfaltig
Srageweife, bey verſchiedenen Pronominibus
gebraucht. As: ou
- Je ne fais ve que c'ef} que cette afaire-là.
Qui ef -ce que je vois? Si on connoiſſoĩt quel
vice c’eff que l’ivrognerie. Qu' eſt.ce que
ceff que cela? Qu'’eft- ce que la mort? (275)
| $. 324.
1) Weil Iy a Ér93, 3, ben aller Dvans
titét des Ueberfluffes und des Mangels ges
braucht
(275) Das C'eſt emphaticum muf an den rechten
Drt angebracht und geſetzt werden. Re, S35, 7°
, Imperfonale: Ésift, ya 6324 499
braucht wird; ſo muß es auch insbeſondere bey
der Laͤnge einer verfloſſenen Zeit, bey Entfernung
und Entlegenheit eines Orts, und bep einer
Anzahl ficher, Als:
Il ya longtems, 6265,6, t); il y a deux
lieues; ilyena deux ; i y en a trop; ilny
a perfonne,
2) Folglich aud ben me -- que, ben wel⸗
them es aud) anftatt des c'efl empb. gebraucht
wird, 6323, 7 Als: Il #° y a que des per-
fonnes extraordinatres qui y parviennent, : Ïl #’ÿ
a rien de plus doux que l’amitié,
3) Weil es auch ben dem Loc gebraucht
wird, Fi93, 3; fo muß es vor dem quantitavi-
ſchen Begriffe ſtehen, ſo oft man einen Ort
dabey concipiren kann. Als:
Il y a des livres à vendre. Îly a des gens
qui croyent cela, 17 y a du monde, (276)
4) Ueberbaupt fo oft ben es ift die Particu=.
: la da, oder dabey, ſtehen fann (277).
Ji 1 ÿ 325.
(276) ẽ iche aud bep —— —5 —
um adjectiviſche Redengarten zu machen; (ſtatt
c'eft). AIS: Il y a du plaifir à l entendre, er
iſt ein Vergnuͤgen dabey.
(277) Eigentlich iſt das / IL das datur, dantu
der Lateiner, und drift ein Seyn oder Daſeyn
an einem Orte aus; wird alſo gebraucht wann
man in Deutſchen ſaget: Es iſt oder-fino das :
es giebt; es findet oder finoen ſich. Daher
feft man es gern in dieſem Verſtande wann man
nicht ganz poßtiveè ſprechen will, . Als: Il n° y à
perfonne qui foit plus que moi Vôtte ſincere amis
nY
ſ00o 8325. 326. m Eoiſt, jar J
$..
Il fair $ 593,4, ivelches ben Beſchaffen⸗
, beit bes Wetters und eines Orts (278) ge
braucht wird, bienet auch : |
1) Imperfonalia des Wetters zu machen, es
mag ein Verbum da ſeyn, oder nicht. Als: I
ait de ls pluyé, anftatt il pleut, Il fait des |
éclairs, es blitzet.
2) Die Beſchaffenheit der Tage. Wechſelun⸗
en anzuzeigen. Als: Il fait jour, nuit, ob-
cur. |
3) Reciproce belft es: Es wird, es will :
werden. Mis: Il fe fait tard; il fe fit nuic.
* Von valoir mieux fiche $ 193, 5.
| $. 326. J
Auſſerdem, mas $ r94u. 195 von bem
: Verbo II faut, man muß, gefaget worden,
fan folgendes noch bemerfet werden:
1) Man fan zwar bas Verbum il faut mit
dem Dativo Pronominis perfonalis (me, te,
nous, vous) conftruiren, wie im Deutfhen:
es ift mir noͤthig; aber nur in der rten und
aten Perſon, und nur ben Verbis Neutris, Als:
Il me faut étudier, Il vous faut changer de
vie,
Bey
(273) Wenn cin, Infinitivus mit der Præpoñition
folget, fo ſetzt man 47 ef} flatt l fair. IS: I
efi dangereux d’être fur mer au mois de No-
vembre,
imeer⸗ Es ift, faut, Man muß. 6327, LAS
Ben einem andern Vérbo, tie aid) ben der
ten Perſon macht es eine Zweydeutigkeit. Als:
il lui faut écrire fan beiffen ; man muf. ibm
_ fbreiben,
2) Auch ift dieſe Art nicht erlaubt, wann ein
Verbum Reciprocum oder ein ander Pronomen
perfonale brauf folget. 6 269,3. 6270, 1.
Nicht Il me faut me promener ; -il me faut vous
dire; fondern: il Fat que je me promène; il
faut que je vous dife (279).
g. 327.
1) À faur fan nicht allemal gebraucht wer⸗
ben: Denn erſtlich hat es keinen Imperativum,
kein Participium und kein Gerandium.
2) Auch kan il faut nicht gebraucht werden,
wann Der Nominativus ein Pronomen interro-
gativum oder relativum iſt; oder wann das
Pronom. relat. im Caſu der Præpoſition de da-
bey iſt. Alsdann ſagt man z. €. Qui.
. doit parler; à qui «f-ce à parler? Le frere de
qui doft oder eft cbligé de payer. Dont‘le pe-
re fur contraint de fe fauver &c. |
Si3 ..:3) Es
(279) Ueberbaupt iff die Conſtruction, welche 194.
19$ getiget die befle, und allenthalben ju ges
brauchen, zuweilen unumgaͤnglich. Uebrigens
muß man die Pronomina recht ſetzen. Als, il
vous faudra le prouver, {br werdet vs beweiſen
müffen; faudra vous le prouver, man wird cé
euch beweiſen muͤſſen.
LLTLE
02 6328. Fmperfonale: Man muß.
3) Es giebet daher Faͤlle, da man ſtatt #
faut theils nothwendig, theils lieber andere Ver-
ba gebraucht; inſonderheit wo das deutſche es
iſt nécbig fit nicht binfhider. Als da find:
Devoir, avoir befain, être, oder fe voir,
oder fe trouver, oder fe fentir obligé, forcé,
contraint, tem: C’eft a moi, à toi, à lui
&c.
§. 328.
Da Faloir, muͤſſen, und bas alte Faillir,
feblen, fi cinander ausbelfen, fo bat man da⸗
her folgende und derglcihen Redensarten:
Il me faut de l'argent, id branche Gelb.
En faut -il davantage? Iſt nod etwas mehres no:
thigi Seblt noch etivas ?
Eombien feut.il? wie viel iſt vonnoͤthen?
11 y faut de l'argent, es geboͤrt Geld dazu.
Comme il faut, gebôrig , wie ſichs gebuͤhret.
Il s’en faut beaucoup, es mangelt viel daran.
Pen s’en faut. es feblt nicht viel.
Tant s’en faut, S 301, ». 253. weit gefehlt (280)
IL.
(280) Daber kommen die Phrafes: Ich waͤre bald
oder faft gefallen; Peu s'en eft fau, oder il
s'en eft peu fau que je ne fais rombé, J'ai
failli à tomber, Man fagt auch: Jai penſe tom-
ber, J'ai manqué de tomber,
\
Parsicule, 329 403
H. Von den Verb. irregular. u. den Particulit.
6. 329. |
1) Bou den Verbis srregularibus und defc-
étivis bandelt der Vite Abſchnitt der zwoten
Abtheilung von S 197 bis 202 incl. Die Er:
lernung der /rregularium iſt um ſo noͤthiger, je
oͤfter ſie vorzukommen pflegen. Gramm. prati-⸗
que (88 -1593. |
2) Wo ein Verbum ift, da ift eine Phrafis;
und wo biefe. ift, da pfleget oft eine Particula
gu ſeyn, worunter man Adverbia, Præpofitio-
nes, Conjun@iones und Interjediones verftebet.
Die Prapofitiones nebft ihren Regimine bat man
58 : 61. 140, 4. 6 244 : 267 ac. dors
geftellet. Die Conjunétio que ftebt $ 129. 130,
138, 4 Æ S 296. Die übrigen Conjunâiones
$138, 2, 6 6297, 300, 3. $ 301. u. 6 309.
3) Die Adverbia lernet man als audere Vo-
cabula, Sie find entiweder fimplicia oder com-
pofita, von welchen 292. Bisweilen ift eis
ne Præpoftio jugleid ein Adverbium, als de-
vant, après &c. Vornemlich macht man fih.
ihre Stelle in der Conſtruction befannt Q 214.
Sie fteben da, two fie der Ordnung, der Deui⸗
lidfeit, des Nachdrucks und des Woblklangs
wegen ſich am beffen fhiden (281).
| Vi4 4) Hn-
(281) Man merfe insbefondere auf den Unterſcheid
verſchiedener Adverbiorum. fig: toujours, tout
le jour, tous les jours; aflés, plus, davantage; .
beaucoup, tant, combien, trop; du moins, au
moins,
sog 6330. Regeln des Styls.
4) Interjectioner ſind insgemein Sylben, oder
Worte, oder zuſammengeſetzte, oft elliptiſche
Redensarten, welche einen Affect anzeigen.
Die bekannteſten ſind: O, oh, ah, eh, hélas,
ho, hola) eh bien, su fi, Lab bon, &c,
Sr. L. p.441.
KSSSSSSSSSSSSSSA
Das V. Capitel.
Von der Conſtruction
s * Bon der Conftru&ion iff $203 5320 gehan⸗
delt worden. Man wird hier noch auf eini⸗
ge Schwierigkeiten, hauptſaͤchlich aber auf.
die Conſtructionem ornatam (then. ‘
| $. 330.
L Die Regeln des Styls.
Wenn man gut fhreiben will, fo muß
man zierlich, nach der Natur und Sigenfchaft
einer Sprache conftruiren. Dieſe erforbdert
aber, daß man ordentlid), deutlich, wohl⸗
Elingend, nachdruͤcklich, richtig in den Be⸗
griffen, genau in dem Ausdrucke derſelben, und
lebhaft ſchreibe; welcher Schreihart der zier⸗
lich⸗
moins, pout le moins; comme, comment, lors-
que; donc, ainfi; toute fois, toutes les fois ; Den Un-
terfchied des Adv, la und des Pronom. fuppl. yund
dergleichen, -
Regeln des Styls. 6330. 505
fie Ausdruck aus der Syntaxi ornata, und die
zierlichen Wendungen und grammaticalifge Fi—
guren zur Ausſchmuͤckung dienen. Refi. 45.
Hieraus folgen dieſe Hauptregeln:
1. Ordnung. |
Maͤn mub die Worte alſo conftruiren, daß
die Begriffe ſich in der deutlichſten und natuͤr⸗
lichſten Ordnung darſtellen. Daher ſetzet man
die Worte juſt dahin, wo ſie ihren Dienſt am
natuͤrlichſten, deutlichſten, ſtaͤrkſten, rich⸗
tigſten und zierlichſten thun koͤnnen.
2.
Kraft der flieſſenden Ordnung, welche
die richtige Zuſammenſetzung erfordert, muß
man die Worte nicht trennen, welche zuſam⸗
men gehoͤren, oder die als ein Umſtand (oder
Modification) zur Ergaͤntzung des vorhergehen⸗
den dienen; ſondern dasjenige das da regiret
wird muß an dasjenige welches daſſelbige regi⸗
ret ſo nahe geſetzt werden, als moͤglich.
3. Deutlichkeit. —
Da die Deutlichkeit eine der noͤthigſten Ei⸗
aenfaften des Styls iſt; fo muß man bie
Glieder der Conftrudtion und der Saͤtze, alfo
ordnen, ba alle Duntelbeir und Zweydeutig⸗
keit vermieden merde. —
Ji $ 7— 4e Wohl⸗
08 9330. Regeln des Stylz.
| 4 Wohlklang.
Damit die Saͤtze eine Annehmlichkeit und
Wohlklang, (Harmonie), bekommen, ſo
ſetzet man die Glieder der Conſtruction, oder
des Satzes, welche laͤnger ſind als die andern
nach denen die kuͤrzer ſind (282).
5. | I
Um den Uebellaut ‘ju vermeiden macht man
auch allerhand Veraͤnderungen und Verſe⸗
tzungen in der Cobftruétion und in den Woͤr⸗
tern ſelbſt (283).
Man muß die Gleichheit des Regiminis,
der Conſtruction und der Wendung der Saͤtze
in Acht nehmen. J
7. Nachdruck.
Die Worte welche den Affect anzeigen, wie
auch die, welche andern Worten oder Redens⸗
arten einen Nachdruck geben, werden denen
vorgeſetzt die dadurch den Nachdruck bekom⸗
men ſollen. |
| 8. Rich⸗
| (282) Wofern nur die Conſtruction es leyden kan
" CRE _n".
ohne das der Periodus dadurch dunkel und undeuts
lich werde.
(233) Solche Veraͤnderungen find zum Exempel,
wann a in mon verwandelt wird 677. Wann
man fagt il commenca d' aquérir anſtait 2 aqué=
rir de la gloire. SRaun de niniiirs Qté que
geſetzt wird $ a 40, 5. v DNA
+
Regeln des Styls. 6 330. 507
8. Richtigkeit. | |
| Man wiederholet gern bie Woͤrter welche
zum Nachdrucke, zum Wohlklange und zur
Richtigkeit der Rede beytragen.
Man ſoll baber nicht die Woaͤrter auslaſ⸗
ſen, male dienlich ſind den Begriff deutlich
und vollkommen auszudruͤcken (284).
10,
Hingegen muß man kein Wort oder Re⸗
densart uͤberfluͤßig ſetzen (285
Ian |
Die Umſchreibungen —— ſind
ſehr gebraͤuchlich, wann ſte die Rede deutlicher
und netter machen, oder den Saͤtzen eine Ruͤn⸗
dung geben (236),
12. Leb⸗
(284) Dieſe Woͤrter koͤnnen determinativiſche oder
beſtimmende Ausdruͤcke heiſſen. Es ſind Theile
der Rede, und ſonderlich Pronomina und Verba,
welche den Sinn auf die Perſon, Sache, Zeit,
Umſtaͤnde ꝛc. beſchraͤnken, und die von den Deut—
ſchen oft weggelaſſen werden. R. 6 25.
(285) Man muß keinen Pleonafmum machen, wo⸗
ferne der Gebrauch ſolchen nicht eingefuͤhret hat
R. 6 24
(286) Dicfe Regct der Umſchreibung grünbet ſich
auf dieote, Es werden infonderbeit die Prono-
mina pofleffiva, $276,2, b), die deutſchen Par-
ticipia pañliva, die Adjettiva und andere Woͤrter
der Qualitaͤt, wie auch qu kuen Revente qe=
v
\,
—
528 $ 331. Conſtr. Particular,
11. Lebhaſtigkeit.
Um den Redensarten und Ségen eine
Lebhaftigkeit ju geben, machet mau viele E.-
lipfes (Auslaſſungen (187),
2. Don den Perriculis conneéfivis,
$ 331
1) Daß die Adverbia, wie auch Prepoftiones
mit ihrem Anhauge des Nachdrucks und der
Verbindung wegen, zuweilen voran ſtehen, iſt
(214, 2. und J 2Zu8 geſaget worden. Re
$ 32, 5. ...
2) Die Conjunctiones aber, beſonders mair,
car, comme, c eſt pourquoi, parceque und alle
die auf que ausgeben, aud Præpofñitiones und
Verba auxiliaria, {ft man gern im Stylo ju
Anfange tes Satzes gar weg (288). Als:
prêtés - moi ce livre; j’en ai befoin. Ref. ( 35.
3) Daber laͤſſet man oft die Verbindungs⸗
Dartifeln, aud bie Persicipia activa weg, um
init cinem Participio paſſivo, ober Adjectivo,
oder Subffantivo ben Periodum anjufangen.
Ref. 66,7. $ 38, 3, c). ls: r
, OU
(237) Yafonderhcit werden Partikeln, bisteilen
Subftantiva, und Verba, vornemlid bie Auxilia-
via, und andere Woͤrter und Theile der Conſtructi-
où, bei ders im Mfect, ausgelaſſen. |
(288) D'eſes Auslaſſen gefhicoet au bep anbert
elliptifhen Redemgarim, M, Ve vous écris le
cœur pénétré de douleur. 264, %.
D di
Confir. Particular, 33 509
Tüuché de compaſſion il l aſſiſa. |
Incapable de reconnoitre vos bienfaits jé de-
meure votre redevable (289). |
Protecteur des Savans il ne fe laſſe pas de leur
_ faire du Bien. | |
4) So feit mau auch der Lateiner Ablativos
confequentié. Als: Le difcours fini il fe reti-
ra; (Sermone finito). Oder man làft die Dar:
tikel weg, unb\feft das Participium activum.
Als: Le Roi étant pris les Soldats fe difperfe-
rent; (rege capto), Ayant apris cette nouvelle
il tomba malide, | —
$. 332.
Phrafes ʒur Uebung des vorigen (pb,
Kaum (à peine) war er angekommen, fo (que)
that er ſich durch ſeine Thaten bervor (Je ſignala).
Man fan ohne eine aute Auffuͤhrung nicht in der
Welt fortkommen. Ihr habet mir einen groſſen Vor⸗
theil (avantage) zugeſtanden; nemlich die Ehre vont
eurer Freundſchaſt. Ich babe zeitlebens (de ma vie)
keinen (de) groͤſſeren Ignoranten geſehen; er iſt dennoch
ſtolz, (und) er verachtet jedermann in ſeiner Unwiſſen⸗
heit. Alphanſus ſagte an ſeine Schmeichler; Ich rech⸗
ne für nichts, was ihr an (er) mich ſo hoch haltet;
denn es iſt der der Ruhm meiner Vorfahren (ancérres)s
weil der wahre Adel nicht ein Erbgut (bien de ſucceſſion).
ſon⸗
nd
. . —e—
(289) Es muß aber die Perſon durch bas dranf fol:
gende Pronomen perſonale wohl beſtimmet wer⸗
den. Als: Incapable de reconnoitre vos blenfaits
je vous prie d’agréer ma bonne volonté ,N\R,
vous autés la bonté d’agréer à. | |
510 6333 Confir. Nomihativis
fondern bic Frucht und Belohnung der Tugend iſt.
Weil (oder nachdem) id von eurer Gewogenheit
uͤberzeugt bin, fo nehme ich die Freyheit ꝛc.
3. Vom Nominativo.
g. 333. J
Zu $ 207. gehoͤren noch folgende Anmer⸗
kungen: (290) |
1) Man fan aïle Fragen, belonbers im Sty-
lo familiari, mit ef ce que machen. $S323, & .
Alsdann bleibt der Nominativus vor dem Verbo .
ſtehen. Mis: | ‘
Qui eft-ce qui a dit cela? anffatt: qui à
dit cela? Qu’eft-ce que vous dites? Was
faget ihr dann? anffatt: que dites - vous?
4) Na einem Adverbio, dber einem Pro:
nomine interrogativo, , fan der -Nominativus
vor oder nach bem Verbo ſtehen. Als:
Quand votre ami eft-il arrivé? oder wurre
ami quand èft-il arrivé? oder Quand eft-
arri⸗
D
(290) Man mere daß obgleich in einer Frage der
Nominitativus binter Dem Verbo ſtehet; dennoch.
Die anbern Membra Conftrutionis davor ftehen
Bletben. Mg: Ne vous en ons-mous VIS Son?
1
Confir, Nominativi. : $ 33% 511
arrivé votre ami? Oder auch: quandeft-ce
que votre ami eft arrivé? (291) |
7 $ 334 | |
Auſſer der Grage fan der Nominativus nach
bem Verbo fer in ſechs Faͤllen, in welchen
drey erſten die Deutſchen es eben fo machen:
1) Nach den Verbis dicendi, welche tie in
Patenthef ftebeu, ais : äjouter, continuer, crier,
demander, diré, interrompre; pourfüivre, ré
pondre, repartir; répliquer, reprendre. Als:
Il eft vrai, répondit-il; je l'ai fait:
2) Im Wuͤnſchen und im Affect : Vive lé
Roi! Puififés- vous vivre encore longtems!
3) Mad ben Adverbus emphaticis (292),
Als: Ainf va le monde, Peut-être eft- il au
logis. A peine fat-il arrivé, qu’il mourut.
| 4) Alle
© (291) Doch muf auf den Ufum und auf die Dents
libfeit gefeben werven. Als: Qui. a apelé votre
frere: Wer Bht> Qui votre frere a-t- il ape.
1? Wen bat ꝛc. And) merFe man daß wenn der
: Nominat. nachſtehen joll, er, wenn es ein Prono-
men perfonale iff, na dem erften Verbo, menn
es ein Subft. iff, nadÿ dem Supino und Infinirivo
fiche, Als: Que veut: s/ faire? Que veut faire
cet homme? —
(292) Die Adverbia emphatica find inſonderheit:
. aparemment, à plus forte raïfon, ax moins, en
vain, peut-être, rarement; zuweilen encore, ja⸗
mais toujours und dergleichen, Iſt ber Nomina-
vus ein Subftantivum (0 ſtehet es voran, aber
das Pronomen wird nat den Verbo tyicderbolet,
AIS: En vain cet ambitieux fe flate · t· il de ques
venir à {on but,
LL d
W
Se
UT RU TS
512, 6334 Conſtr. Nominativi. *
4) Alle YTeben : Noménativi S 204, not, 155,
As: Nous viendrons tour. Si nous avions de
l'argent nous ne ferions pas pauvres fous les
deux. Nous l'avons fait enfemble, Je l’ ai fait.
moi même, oder moi-même je l’ai fait. Je fou-
haite que vous viviés ? un © l’autre en bonne
fanté. :
5) So oft nad ber Regel bes Wohl⸗
klangs 6 330,4. der Nominativus einen Anhang
bat der lânger ift als da Verbum, wofern nur
ein que vorbergebet, diefes que mag die Parti-
cula a) der Comparation, oder 8) der Accuf.
Pron, relativi, oder c) der Nachſatz des Pron. .
compoſiti oder des c’eft emphatici ſeyn. Als:
a) J'en ai plus de profit que n’en avoit cet
homme qui s’eft donné tant de peine, 4) .
Je m’aquite de tous les devoirs qu’exigent
les loix de la bienféance, c) Quelque
grande que foit ma fatisfa@ion. C'eſt à
midi qu'arrivera cet ami que j’atends de-
_puis longtems.
6) Mad combien, tant Ec. muß man nidt
auf beutfhe Art das Adject. vorſetzen. Als: Si
vous faviés combien la vertu eft agréable. Tunt
il étoit amoureux, |
F. 3z3z33.—
Erempel sur Uebung des Nominatiri.
Der Frernd gefaͤllt mir nicht deu ihr fo ſehr lo⸗
Bet. Die Großmuth ſoll uns bewegen, alles zu thun,
was diejenigen von uns fordern, welche uns zuerſt
(les premicre) Valid gmait hoben 3
«
Confir, Negat. (336. 513
Was bat der Bote (meſſager) für Nachrichten (row.
velles) von Hamburg mitgebradt? Wie bringet euer
Bruder die Reit bin? Wie! rief mein Freund mit Ver⸗
tunderung aus (s'écria), ibr lebet uoch ! Ich lan euch
meinen Eifer nidt fo febr gcigen (temoigner autant)
als mic bie Freundſchaft, mit welcher ibr mich beeh⸗
ret, dazu verbindet. Ich weiß nicht wie ſich mein
Freund befindet, der mir lange nicht geſchrieben. Wie
groß auch (quelque grandes que) ſeine Geſchaͤfte fepu,
ie will er ſich eutfulbigen? Wie beſchaͤftiget er auch
ſeyn mag, ſo verdienet er nicht die Annehmlichkeiten
—— deren (dons) Perſonen genleſſen die fi
ieben.
* Reſſi. 83275 3414, 36. 38» Mod. Lett. 167,
-. & Don den Negationibur,
Anffer dem, was 6 210 von. der erften
Negarion (ne) geſaget worden, Fan noch folgens
des bemerfet werden: . -
1) Mach den Verbis timendi &dubitandi fols
get der Modus impoſitivut. 133, 2. 298, 3.
und par faͤllt weg, wann re im Nachſatz ſtehen
muf. $213,4, 6). 16
2) Wann der Nachſatz oder die Grgaͤntzungs⸗
Phrafis negativif ift, ſo ſtehen beyde Negationes
baben, wie im Deutfhen bas nicht, Vie
dann auch gedachte Verba timendi & dubitandi
nad deutſcher Art conftruirt werden, auſſer in
den beyden $ 210, 1,2. angefübrten Faͤllen; ju
telchen nod bieler kommt:
_KRt À DS
a]
L -
J
D——2
- *
514 S 336 Coufir. Negat, .
3) Daß in Gonditione negativa, mit f,
pourvuque, à moins que, ebenfalls ben den Ver:
bis timendi das ne im Nachſatze zu fteben pfle:
ge. Mist $ je ne craignois pas qu’on #e le
maltraitât Pourouqu’il ne craigne pas qué
vous ne le maltraitics. Welches auch nach / an⸗
geſchiehet, wann das Verbum craindre-nad) ei:
ner verneinenden, oder fragenden Phraſi ſubin-
telligiret wird. Ms: Pouvés - vous le faire
fans (craindre) qu’on. ne vous punifle? Fr. L.
Po349 |
4) Mad biefen Verbis der Furcht und des
Zweifels, und mad) benen, welche eine Verhin⸗
detung, Derbot, Verwunderung oder Dors
ſichtigkeit u. bergl. anzeigen, wie auch nach
denen Sao, u. $ 309 angefübrten Partikeln,
febet man gern den Infinitivum, wann die Pere
fon einerley bleibet; F140, 5. In welchem
Falle alsdann die Negation ne auch wegfaͤllt.
His: Je craitis de lui parler. Il nie l'avoir
fait. Il veut me défendre de fortir. Votre in-
diférence ñe peut m’empécher de vous aimer.
Je ne doute pas de le voir demain; oder auch
mit einem Subftantivo; je ne doute pas de votre
amitié, anffatt que vous se foyés mon ami.
Alſo auch mit aprébender, détourner, fe dispen-
fer, s’étonnor, diffuader, éviter, fe garder,
Prendre garde, n'avoir garde und dergleichen.
x Golgeude Exercicia Pônnen zur Uebung dienen.
J. 33?
Nég. J. Verb, tim. & dub. 6337 515
! | 6. 337. TT
. Exercitia ʒur Uebung der rte Ner. inv⸗
n beſondere bey Verbis timeuadi
und dubitandi.
1, Verba timendi
| (NB.' Rad ge der Impofiriv.)
t. a) Ich befürdte daß ihr eure Meinung aͤndert
wann ihr werdet entfernet ſennn. —
b) Fuͤrchtet ihr end nicht, daß ein Freund
"tie id bin euch empfindliche Verweiſe Über éher
Stillſchweigen gebe? Aber id Fann: eÿ nicht thun
obhne daß ihr boͤſe werdet. —
0) Wenn id nicht befuͤrchtete, daß meine Brieſe
"eu beſchwerlich waͤren, (tre à charge, oder in-
commoder) ſo wuͤrde id euch alle Pofttage ſchreiben.
xIch beſorge daß ihr mir nicht fo ofte —*2*8* — als
zuvor. Beſorget ihr nicht daß er nicht kommen
werde? wenn ihr nicht beſorget daß er euch nicht
ſchreibe, fo gebet euch zufrieden. |
a) a) Warum fürdtct ihr euch daß ich euch vergefe,
da ihr mich mit Wohlthaten uͤberhaͤufet habet?
- b) Ich beſorge nicht daß ſich eure Freundſchaft je⸗
mals gegen mich aͤndern werde. | :
c) Wenn ibr beſorget daß ich euch vergeffen méchte,
warum ſchreibet ibr nicht fleifiger.
#* Warum fuͤrchtet ibr euch daß man eure Aufrich⸗
tigkeit nicht einſehen moͤchte (rendre juſtice à)
Ich fuͤrchte nicht daß er mir nicht ſchreiben ſolte.
Wofern ihr euch fuͤrchtet, daß ich euch nicht ſchrei⸗
be, ſo will ich euch durch meinen Fleis des Ge⸗
gentheils uͤberzeugen. |
à, Verba dubitandi,
1, a) Zweifelt ihr an (de) meiner Aufrichtigkeit?
zweifelt ihr daß mein Herz gegen euch alle die Nes
SE 2 y guus
si $ 337. Verb. dub. € timendi.
gungen empfinde, welche enre Guͤtigkeiten in dents
ſelben — können? (faire naitre).
b) Ich babe niemals gezweifelt daß ihr euch meiner
annehmen wuͤrdet. US |
* Wie koͤnnet ibr zweifeln, daß er nicht ein⸗Unrecht
vergeſſen ſolte, welches er euch ſchon lânaft vers
ziehen? Ich zweifele nicht daran $ 275. daß er
es nicht ſagen ſolte.
a a) Ihr laſſet mir nicht Gerechtigkeit widerfahren, da
ihr zweifelt daß id getreu fe. |
b) Werdet ibr nicht (»’alés-vous pas) ʒweiſeln daß
ich euer Freund (en, meil $ 26r, 3 ich eiumal vers
ſaͤumet babe an euch su freiben ? ‘ ,
“x Ich zweifele nidt daß er es nicht thun ſolte.
ane noch, daß dieſer Menſch Fcinen Ver⸗
and habe? |
c) Wenn ibr nicht zweifelt af er Fomme, fo 1.
3, Verba timendi,
Er befuͤrchtet daß ibr uͤbel vom ibm redet, über.
zeuget ibn eurer Ehrlichkeit, damit er euch nicht (&
peurque) Unrecht thue. Fuͤrchtet ihr euch daß ma
euch verfolge? wofern ihr befuͤrchtet daß man Euch
Unrecht thue, ſo ſeyd auf eurer Hut. Fuͤrchtet ihr
euch nicht, daß man end ungern ſehe? (egarder de
mauvais oeil.) Ich fuͤrchte mich nicht, (avoir peur)
daß ſeine Freundſchaft veraͤndert ſey. Ich beſorge
nicht (eprébender) daß ex eu nicht verzeihen merde.
Wofern (pourvuque) «x (nur) nidt befürcbter, daß
ihr ibn betrüget, und tvenn er nicht beforget, daß
ihr feiner fpottet. Ihr Fônnegzes nicht thun ohne daß
dieſes (cela) euch Nachtheil (préjudice) bringe.
4. Verba dubitandi.
Ich sweifele nicht, daß ihr mein Freud ſeyet. Ich
leugne nicht, daß ihr mir viele Gefaͤlligkeiten erwieſen
habet. Ihr werdet nicht in Abrede ſeyn, —
mir
Verb. time, & dub. (337: s17 |
sis) daß id eu Dienſte gcleiftet babe. Werdet ibr
allezeit zweifeln, daß id eucr Freund ſey? Kann eu d
unbekannt ſeyn, (ignorer) daß meine Freundſchaft
aufrichtig iſt? Zweifelt man nicht allezeit, daß die
Hoflente (courtiſan) aufrichtig ſeyn? Werdet ihr nicht
anch leugnen, daß id die Wahrheit geſaget habe?
5. S. $. 209, 6210. 2137 2. (336,
Ich babe nicht viel (gueres) Vergnuͤgen bavon ges
babt. Nichts vergnuͤgt mich mebr'als eure Freund⸗
ſchaft. Ich ziehe (rire) mehr Vortheil aus eurem
Briefwechſel, als ich aus vielen Buͤchern ziehen koͤnnte.
Ich fuͤrchte mich mit ihm davon zu reden. Ihr wer⸗
det mich nicht verhindern, daß ich davon rede. Neh⸗
met euch in Acht, daß ihr nicht fallet. Ich werde
nicht abreiſen, bevor (avantque) alles fertig ſey.
Es fehlt nicht viel dran (57 me s'en faut pas beaucoup).
daß er fo grof fep als ich ; es waͤre dann (moins que)
daß er ſeitdem gewachſen mûre (ai). Er iſt jetzt ficis
ßiger, als Da (/orsqu2) er bep ſeinem Vater mar.
$: 338
Bu bemjenigen was 6213 gefageti worden,
gebôren folgende Anmerfungen :
1) Mebrere Phrafes negantes ju verbinden
brauchet man zwar & me, & ne ‘pas, infonders
heit hber ni, Da dann bas pas wegfaͤllt. As:
Il ne boit #5 ne mange. Sans boire ni manger.
Il n’eft #5 pauvre nf riche. Vor dem Infiniti-
vo fieben gern beyde negationes gufammen,
2) Anſtatt des deutfhen einer, jemand, ets
tas, ben einem megativifhen Gage, brauchet
| J Kt33 man
518 338. 2te Negation.
man aucun, perfoune, rien. (293) Als: Vous
n’êtes pas fi grand qu'aucun de nous. Je ne
‘crois pas que perfonne le fache. Il ne vous ar-
rivera jamais rien à quoi je ne prenne part,
Alſo bey aegativiſchen Dartiteln. Als: Je ne
fuis jamais fans rien faire, Refléchiflés avant.
que de rien entreprendre,
3) Die ate Negation fâlit auch meg, 213,
a. nad eine Bedingung bdie eineu Affect bey
fid bar. His: St vous ne le faites, vous fe-
‘-rés puni, Auch bey gewiffen Verbir, (213,4,
4) worunter bouger gebôret. Je ne bouge de
Æhés moi. Ferner Bey familidren Redensar⸗
ten und Spruͤchwoͤrtern der Lebhaftigkeit we⸗
gen: (294,4) tie auch be zwoen Phrafbus ne-
gantibus, wann fie affirmiren $ 213,4, «)(294,b)
_ 4) Ne-que, Nur, braudet weber pas, rien
no ein ander Wort als autre chofe, plus &c. be
ſich, weil es gang exclufvifhift. Seulement, (nur)
| fan
(293) JRit dem Adv. jamais, tveles jemals und
nicmals heißt, iſt es eben fo. Als: Je ne crois
, pas que je vous revoye jamais.
(294. 4) Dieſe Redensarten find unter andern,
wann man ſagt, daß cine Sache nidt geſche⸗
hen ſey, oder nicht geſchehen werde. Als:
Vous ne me reverrés de trois jours; je ne l’ ai
vu de ma vie; und anbere, alé: Qui ne voit
qu'ilatort? n'importe &c.
b) Als: I n’y a point de fociété où il x’y
ait des lois. Denn wann die beyden phrafes
negantes feiden fenfum affirmantem machen, (0
fichet pas im aten Gake. AIS: Je ne m'éton-
ne pas que vous ne l’ayés pas compris,
ate Negation. S 339. 319
fau zuweilen fo viel als me-que bedeuten; als:
Pai écrit feulement une lettre; oder P ai écrit
“une feule lettre, Es ift aber eigentlid) das cou-
ceflivifche nur, Als: Dires- moi ulement vo-
tre avis; Obder ohne Verbum; als: Dix écus
Seulement, oder feulement dix écus. (295)
$. 3394
Exercitia ʒur Uebunt der 2ten Negation,
1,
ch Bitte euch, von dieſer Cache nicht au reden. Zur
tedten Zeit nidt fhmeigen koͤnnen (Javoir) iſt ein groſ⸗
fer Sebler. Es gehet Pein Tag vorbep, Da (que) id
nicht au end und an der zarten Freundſchaft denken
follte die uns verciniget. Das (cela) wird niche bin
Dern daß id euch nicht folte davon Nachricht geben.
Warum (que) ſaget ihr es nicht an euren Vater, auf
daß er nicht boͤſe werde; ich werde es nicht ſagen be⸗
vor er es mir befehle, und ich werde nichts thun wo⸗
ferne er es nicht erlaubet. Ich darf nicht ausgehen,
denn man boͤret nicht auf, mich zu verfolgen, und mei⸗
ne Freunde koͤnnen mir nicht gnugſam ausdruͤcken wie
erzuͤrnet man gegen mich ſey; daher ruͤcke id) mich nicht
aus dem Zimmer, und ich weis nicht wann ich ausge⸗
hen werde. Ich verwundere mich nicht, daß euer Va⸗
ter es nicht erfahren habe. Kk4 3, Ich
(295) Will man nur, nichts mehr, nichts an⸗
ders mit Nachdruck geben, fo muß man andre
phraſes nehmen. Als: je ne ſouhaite rien avec
plus d' ardeur. Das deutſche expletivum nur,
wird im franz. nicht geſetzt. Als: Ihr werdet
gewiß befoͤrdert werden, ich wuͤnſche euch nur ein
langes Leben. In ſolchem Salle nimmt man ans
dere Wendungen.
520 $ 339. 2te Negation,
2,
Ihr babet weder Federn nod Papier, denn ibr for.
Dert keine und kaufet keine. Kaufet welche, denn id
werde end weder welche geben, noch lephen, Euer
Bruder wird es auch nicht thun, und euer Better auch
nicht; Denn wir haben euch euer Dictionarium nur auf
eiuen Tag abgefordert, und ihr habet es uns
abgeſchlagen; die Urſach davon iſt nur euch bekannt.
Ich habe euch nur einmal darum gebeten, ich wolte
mich nur einen Tag deſſen bedienen, denn ich hatte nur
ein Exercitium zu machen. Wartet nur, fordert mir
nur meine Grammatik ab. Ihr ſolt fie nicht einmal
auf einen Augenblick haben, denn nicht allein branche
ich fie, (em) ſondern id will mich auch wegen eurer Un⸗
hoͤflichkeit raͤhen. Ein andermal leſet ohne jemanden
zu incommodiren.
3.
Sur Uebung beyder Noœationen.
Ihr verlanget (demander) von mir (Dativus) bic
Buͤcher, welche id fuͤr euch gefaufet babe; bat fie eud
euer Bruder noch nicht geſchicket? es iſt unmoͤglich, daß
er fie (nicht) (ſolte) bekommey haben. Wofern (4) fic
verlohren find, (fo) duͤrfet Cdevés) ihr nur die Schuld
davon (Ze faute) euch felber zuſchreiben. (asribser)
Golten (Opeativus) denn (donc) eure Buͤcher nidt
mebr unter Censre) den Haͤnden cures Bruders ſeyn?
Wenn bas iſt, ſo zweifle id nicht, daß er fie verkau⸗
fet habe, es ſey denn (à moinsque) daß er fie verſte⸗
cket babe, und (je ſuis tenté de le croire) id ſolte es
faft glauben, beun er Mt muthwilliger, als ibr den.
Pet; und iſt es nidt moͤglich, daß er mir nur dieſe
Buͤcher, um ſie zu verkaufen, in eurem Nahmen ab⸗
gefordert babe? (demander) Solten dieſe Buͤcher nicht
ſchon von (par) ihm verkaufet worden ſeyn? Examini-
xet ibn hieruͤber, à deſſus) denn er wird gewiß (ſu-
rement) nicht leugnen koͤnnen, daß er fie von mie _
Confir. Adverbior. 6 340. 521
pfangen babe; laſſet (faites) ibn beffen, (er) erinnern,
damit (afinque) et nicht ſage, daß id fe ibm nicht
gegeben habe 16e
5. Don den Aaverbiic.
$. 340.
1) Die Adverbis welche der 2ten. Negation
einen Nachdruck geben 8214, 3. find unter ans
Dern: abfolument, firémens. certainement,
donc, ercore, néanmoins, peut-être, pour-
tant, presque, fans doute, zuweilen feulement,
und fouvent. Als: Il n’a pourtant pas travaillé.
Je n’aiprefque pas une heure de refte. Ihre
Bedeutung verändert ſich aud, wann fie vor
und wann fie nach der Negation fteben, Als:
Il n° eft abfolument pas en votre pouvoir
de le faire; (durchaus nicht). Ilne dépend
pas abfolument de nous d être heureux, ce-
pendant nous pouvons y contribuer; (fo
eben nicht, nicht voͤllig, nicht gaͤnzlich).
2) Einige Adverbia ſtehen bald vor bald
nach dem Supino, nachdem ſie demſelben einem
Nachdruck geben oder nicht. Als ba ſind: bien-
tôt, tantôt, fitôt, dabord, quelquefois, fou-
vent, toujours. Als: Cela m’a toujours ré-
joui. Il a toujours parlé, Alſo auch bien,
mieux Se, G114,6. Als: Ila bien fu le per-
fuader.
Kk5 §. 341
522 6345. Exercit. su den Aduerbiis,
$. 341.
Exercitia ʒ3u den Aduerbiis.
FE,
Adverbia und Pronomina perfimalia.
Ich babe end) noch niemals mein Woͤrterbuch ver.
fagct, ob ibr mir gleich noch nicht bafir (ex) gedan⸗
ket babet. Weil ibr aber beute diefes Dictionarium
meines Greundes Bruder nicht habet leihen wollen, (fo)
werde idos euch nicht mehr leihen; In dieſer Entſchlieſſung
werde ich morgen zu (chés) euch Fommen, nm es euch
wieder abzufordern, (redemander) und es ibm zu ges
ben; oder ſchicket es mir, wenn ihr mir dieſe Muͤhe
nicht geben wollet. Jedoch (cependant) wenn ihr es
heute noch nicht geleſen habet, ſo werde ich es euch
noch einige Zeit laſſen, um einen (guten) Freund nicht
au erzürnen, welchen id hoch achte. Wenn ihr mif
den beyden Bruͤdern N. reden wollet, um euch zu ent⸗
ſchuldigen; (ſo) werde ich es ihnen ſagen.
2. Adverbia.
Wenn ihr noch nichts in meiner Sache gethan habet,
fo ſollet ihr gewis 1. das nicht haben (awrés) was ich
eu verſprochen babe, und id werde gewis 2, nie⸗
mals wieder ben euch kommen. Ihr battet mir gefas
get, daß ibr dieſe Gache beute mürdet geendigct bas
ben, und ibr habet fie nichts deffoweniger 3. noch
… mit angefangen. Dev gefchiftefte Menfd bat ofte
fcine Freunde, wegen feiner Nachlaͤſſigkeit. Das ae
bet euch an, Mein Herr, der ibr 275. fo viel vers
ſprochen battet : Muſte nan fo viel verfpreden, um
nichts zu balten? was mi betrift 4 fo babe id alles
seit mein Wort gebalten.
1. aflurément, 2. certainement. 3, néanmoins. 4.
pour moi. |
5. Vom
… Confir. Cafus Verbi. $ 342. 523
6. Vom Accufativa und von den Prepoftio-
| nibus mit ibrem 2nbange
fe 342.
1) De Derbindung, der Deutlichkeit,
des Wohlklangs und des Nachdrucks wegen,
wird der Cafus Verbi zuweilen vorangefegt,
9218. — |
2) Iſt es ber Accufativus ber voran ges
febt wird, ſo muß er im Nachſatze vermittelff
der Pronomifum fuppletivorum (4, /2, les,)
twicderbolet werden. Als;
Ces accidens le Chrêtien es bonfidere com-
= me la principale caufe de fon bonheur. E Ver,
Pol. ce, 44.) Ces généreux bienfaits que
vous m’avés témoignés je les reconnoitrai
p2r un atachement fincere, Tout Bien vient
de Dieu, mais la mauvaife fortune les
méchans fe 7 atirent eux - mêmes, . Auch mit
einer Transpofition (275, nor. 223,
Oder man febet anftatt des Pron. fuppl. ein Sub-
flantivum nachher. Ref, 635,6. 638, 3. Us:
La maniere dont vous m’avés obligé eft
une faveur que je recônnoitrai toute ma vie;
anſtatt je la reconnoittai. (296)
| 3), Ses
————— —
(296) Auf ſolche Art wird auch der Nminativus im
Nachdrucke wiederholet. AIS: 17 eſt fi rare ce
procédé, Ils font fi grands ces bienfaits que vous
-m’avés témoignés.
524 6 343 Conſir Cafus Verbi. |
3) Setzet man den Calum de voran, ſo
pfleget man ibn mit dem fuppletivo ex ju wie
berbolen. Als: |
Du livre que vous m’avés donné j'en ferai
un ufage conforme à votre intention. De
ces Principes j'en tire cette çonféquence,
Man fan aber zuweilen er weglaffen. Als:
De ces Principes tirons cgs conféquences.
4) Wenn man den Cafum à oder eine ans
dere Præpoſſtion voranfebet, fo braucht man
feine Biederbolung. Als: |
‘A ces bontés vous avés ajouté le fecours
d’une fomme confidérable d’argent. Par
. cette faveur vous me rendés votre redevable, |
$. 343.
1) Wann mebrere Cafus zuſammen Fommen,fo
muß man dienatürliche Ordnung, den Wohl⸗
tlang und bie Deutlichkeit in Acht nehmen.
Folglich muß das was einen Anhang bat nachs
ſtehen, wie aud der Umftand ben dem Worte
ſtehen wozu er gebôret, 6216. 217, und not,
162, $330,1::4 Denn ein anders iſt:
Jai denné le livre que j’avois acheté à
mon frere, id babe. bas Bud weggeges
ben, welches id meinem Bruder gefauft
hatte; und |
J'ai donné à mon frere le livre que j’avois
acheté, id babe bas Buch, das id gefauft
batte, meinem Bruder gegeben.
2) AV
Cafès Verbi Wiederholung. 5 344 348 525
2) Alſo aud die Zweydeutigkeit ju vermeis
ben: Rendés à mon frere Jon livre, Je mon-
trerai à mon ami les lettres. que j’ai écrites;
(nicht que j' di écrites à mon ami),
3) Det Harmonie mwegen, das Hürbere
vor: J'ai à Vous aprendre’une nouvelle fort in-
téreffante & qui vous fera un grand plaifir;
_.{nidt j'ai une nouvelle &t.), | h
§. 344.
Exercitium ʒur Uebung des Cafus Verbi.
Ich babe ben Verluſt den ihr gehabt (fair) habet;
ehen (mit venir 6303, 2) mit vielem Misvergnuͤgen
erfahren. Ein aufrichtiger Menſch hoͤret Dasienige
Was man ibm von feinen Sebler faget, obne boͤſe zu
werden an: und feine Sreunde erfahren vou ihm die ib-
nen fonft uͤberall verbeclete Wahrheit, über dasjenige
was fie angchet (V. P. 44,43. , Er ift in kurzer Zeit
weit gelommen (faire beaucoup de chemin), Ich (this
de die Driefe welche man mic ju ſchreiben anbefoblen
bat über Gaffel (par). Ich werde diefes Bud morgen
ohnfehlbar kaufen. Ich habe eud nod nidt alles
fOreiben koͤnnen, mas id euch babe fagen mollen.
7 Don der Wiederholung in der
Conſtruction.
§. 345.
Daß in der Conftrudion verſchiedene Mem-
bra, vornehmlich die kleinen, wiederholet wer⸗
den, welche die Deutſchen auslaſſen, ift ( 219
erinnert worden. Dieſes geſchiehet der Rich⸗
tig⸗
526 6345 Wicdabolung in der Cour.
tigkeit ! Deutlichkeit, Annehmlichkeit und
des Nachdrucks wegen.
Dieſe kleinen Membra ſind:
1) Der Articulut. Als: Le vertu, l’éru-
dition, la douceur & .ées belles manieres font
les qualités & /es talens qui vous font aimer de
tout le monde.
2) Pronomina conjunétiva. Als: Ni mes
parens ni mes amis, P admire votre mérite, vos
vercus & vos lumieres.
3) Pronomina Relativa & Suppletiva. Als:
Cet homme qui a voyagé & qui a publié fes
voyages. Vous me le donnerés ou me 4e prè-
terés: | |
4) Adverbia quantitatir, comparationis, lo-
ci &c. Us: Vous êtes #rcp juſte & trop équi-
table pour #e pas trouver mes raïfons bonnes,
& pour ne par me pardonner un filence qui eft
affés fenfible & 4f/ér douloureux pout moi,
5) Prapoñitiones. ‘Mist On ne peut rien
faire quand on eft ans argent, fans amis, fans
Protecteur, Il aprend à lire & à écrire, Je
fuis trop dans vos intérets pour vous le confeil.
ler, ou pour vous perfuader de le faire,
6) Conjunétiones. ‘Is: On ne connoïit la
valeur que dans la guerre, le fage que dans la
eolere, & l’ami que dans la mifere,
- ?
fr 346
Wiederholung in der Comfr S 346 527
$+ 346.
Es werden aud Adjectiva und Vrerba
wiederholet $ 210, 23 welches aus eben den
6 345 angefübrten Gründen geſchiehet.
I. Adjectiva. |
1) Wann fit bas Genus aͤndert, $ 289.
Mis? Il a le cœur bon & la confcience bonne.
Voila un beau château & un beau jardin,
2) Bey. Superlativir uhd andern éémiparati-
ons- Particulir beſonders wann eine Præpoſition
dabey iſt. Als; Je vis daris la plus grande pa-
tience & (denr) la plur grande réfignatiori
Dans uñé £ /age intention, & dans une conduite
f feage on voit éclater fa pénétration,
3) Wegen des ju wiederholenden Artikels
oder Pronominis. Als: Voili la fen/fble dou-
leur & la /enfble aflitioni dont il a été acablé,
Agréés mes foibles foins & mes foibles efforts.
II. Verba, .
1) Wann der eine Satz bejabet, der andes
ve verneinet. Als: Je ne le bais pas; je bais
ceux qui le lui ont confeillé,
2) Wann in demi einem Sake ein Prono:
men perfonale ober ein fuppletivum ftebet , in
dem anbdern aber nicht. is: Jaime mieux
m' incommoder que d'incommoder mes amis,
3) Ueberalf wo eine Zweydeutigkeit oder
eine falfbe Beziehung entfteben fônnte. Als:
Il
528 6347. Wiederholung in der Confir.
Il vous aime plus qu’il n' aime fon frere (297).
Sa table éoit magnifique & les viandes évoient
délicates. Ce n'eſt pas mon frere, c’ef ma
fœur qui m'a écrit, Ref 632, 9, 6 35, n.k)
$+ 347: .
Anmertungen über die kleinen Glieder
der Confiruélion. $ 345.
1) Der Artikel wird nidt wiederholet nach
ou, wann es die vorige Sade erklaͤret, wie
aud) wann mebrere Zahlwoͤrter vor Einem
Subftantivo ſtehen. Als: Chés les Princes ou
Grands- Seigneurs. Il y a plus de trois ou qua-
tre mois. | |
2) Un und ae braudt man nidt zu wieber:
bolen vor Adjedivis welche Beywoͤrter Œines
Subftantivi find. Als: C’eft une belle & vafte
plaine, Voilà de hell: & bonne viande, Ce
font de bons & braves Soldats.
3) Det Nominativus Proncminis perfonalis,
wird nidt wieberbolet nad) ni. Als: 17 ne le
fait nine le faura jamais, Je ne l’ai point va
nine veus point le voir, Sonſt aber allemal,
2083 infonberbeit wann es onift. Als: Or
vous aime & v# vous honore,
4) Die
(297) Denn il vous aime plus que ſon frere Eünnte
uͤberdem auch heiſſen: plus que fon frere ne vous
aime, Will man bag Verbum nidt wiederho⸗
len, fo kan man faire nebmen, $ 306, nor. 257e
Wiederholung in der Cofr. .S 348 529
4) Die Pronomina poffefivé werden nicht
wiederholet, wann ſie auf einerley Perſon oder
Sache gehen. Als: J'ai perdu mon ami & bien-
faiteur. J
5) Die Præpoſſtiones foͤnnen bey Synonymis
unwiederholet bleiben. Als: Faites-le pour le
bien & l’honneut de notre ami, (298)
6) Bon den Conjunétionibus, die Auf qué
ausgehen, wird nur das que wiederholet. Ref,
833,3. Als: Aprésque je fus rétabli & qur
j'eus fini mes afaires je partis |
$ 348
Éxercitia über die Repetition Dex
membrorum Confiruéfionis,
ls
Die Vaͤter dnd Mutter find verbunden, ihren Kin⸗
Dern und Bedienten 1. ein gutes Exempel zu geben,
ſelbige (les) wohl zu regiren, 2. und chriſtlich su ver.
mahnen, denn das Laſter wurzelt tief in die Herzen ein
3. wo kein Gruud der Engend iſt, (7/7 n°y à) und die
Vosheit bingegen herrſchet; 4. weil das Herz des
Menſchen geneigt iſt ſich nur nach (felon) ſeinen Lei⸗
denſchaften und Eigenſinn 5. aufzufuͤhren. Es iſt
dem⸗
— —— — — — — —
(298) Wann bdie Præpoſitiones it lang oder compo-
ſite find, fo wiederholet man fie nicht. Als:
Vis- a-vis de l’églife & du marché. Excepté mor
frere & ma fœur. Par rapurt aù livre & à l’
auteur, Entre muß bcp gewiſſen Saͤtzen ati
nicht wiederholet werden. Als: Entre eux &
leurs voiſins il y a toujouts dispute, & ſouvent
entre freres & fœurs, l
530 6348 Wiederholung in der Confr.
demnach (dose) noͤthig, daß Eltern die Rinder wohl
erziehen, und dieſelbe ſtrafen, um die Bosheit aus ihren
Herzen auszurotten, 6. und die Tugend darin einzufloͤffen 7.
1. domeſtique. 2. gouverner, 3. s’enracinen
4. régner, 5. le caprice. 6. déraciner, 7. inſpirer.
2e
Bey den Fuͤrſten oder groffen Herren wird ein ehr⸗
lier und gelehrter Mann oft mie (de) zwoen oder
dreyen Bedienungen bekleidet, 1. man liebet und ebret
ibn. Er faget ſeinem Herrn die Wahrheit, und ver.
fiellet 2. feine Meinung nicht, er ift nicht sufricben,
3. daß er für feinen Fuͤrſten arbeitet, ſondern betet
au für ibns Er iſt nidt ehrgeitzig, und
wird es nicht (mine) tuerden, denn er demuͤhtiget
ſich vor Gott, und bittet ibn 4. um ſeinen Beiſtand;
Folglich Fan er nicht durch die Liſt 5. und Nachſtel⸗
lung €, ſeiner Feinde geſtuͤrzet werden: 7. Er bemuͤhet
ſich ein gutes (rechtſchaſſenes) Hors und Gewiſſen zn
haben; er lebet in der groͤſten Demuth und Gelaſſen⸗
heit: 8. Seine groͤſte Freude und Zufriedenheit 9. iſt
die Tugend, auf welche cr fi beſtaͤndig leget, dieſes
(le) thut er nicht um ro, ſeinen Eigennntzzen, vr. ſon⸗
dern aus 10. Liebe zu Gott. Sehet bis find die Bots
theile and Kennzeichen eines chrliden Sofmannes; 12.
Ich liebe dicjenigen, welche diefe Eigenſchaften haben,
und liebe euch deswegen 13. auch; jeboch ibr wiſſet
wohl, daß ich euch liebe und ehre: ich habe es euch
oft gefaat, und werde es jederzeit durch die Ergeben⸗
heit beſtaͤtigen, mit welcher id verharre oc. |
1. Revétir, 2. déguifer. 3. fe contenter. de 4. de-
mander, 5. les rufes. 6. artifices. 7, perdre, ſu-
planter &c. 8. réfignation. 9, le contentement,
10.’ par, oder pour l'amour. 11, interèt, 12,
couttifan. 13, par cette raifon,
| 3.
Er bat mir alle moͤgliche Freundſchaft unb Hoͤflich⸗
keit erwieſen. Vergeſſet nicht eine Perjon die euch eh⸗
ret und zeitlebens lieben wird. Ich werde ihm es
ré
Wiederholung in der Conſtr. 6348 531 |
fhreiben und den Erfolg berichten (marquerai le fuc-
ces) Dies iſt weder gut nod ſchlimm gnug, Ihr
koͤnnet mir durch eucr Anſehen und Empfehlung bey⸗
ſtehen (ſeconder). Ich ſchreibe euch um euch su dans
ken und su bitten. Er thut nichts als (que) klagen
und ſeufzen (gemir). Er iſt fo tapfer und großmuͤthig.
Ich verſichere euch meiner aufrichtigen Freundſchaft
und Geſinnungen (ſentimens); id bezeuge fie (/es)
euch nicht sum Scheine (per maniere d°aquit), fondern
mit aller moͤglichen Aufrichtigkeit. Ich merde es mit
Vergnuͤgen ausrichten (Je m' en aquiterai), und tuer.
de mein môgliches thun um euch ju dienen. Er ift an.
gefommen, und wird morgen mieder kommen. Ihr
fhreibet mir nicht mebr und erkundiget euch nidt nach
(de) meiner Gefundbeit. Ich babe mir ein Verqnuͤ⸗
‘gen draus gemacht und babe mir alle etfinnliche Muͤhe
mit den drep oder vicrguten Sreunden, gegeben welche in
Gegenwart des Koͤnigs und der Koͤnigin von euch ges
ſprochen haben.
8, Von dem Regimine uͤberhaupt und von
| den grammaticalifthen Figuren.
| 6. 349. - ——
Von dem Kegimine uͤberhaupt iſt zu bemer⸗
ken, daß man nie Woͤrter die was verſchiede⸗
nes regiren, nach dem Regimine des einen als
lein einridhte. Réf 626, 6 32, 11. Als:
1) Die Verba und Adjediva bie nicht eis
nerley Ca/um nad fit baben: II fait bien faire
& juger d’une lettre; febe, il fait bien faire une
_ lettre & en juger. Il n’eft pas propre & capa-
ble de cette a@ion; febe il n’eft pas propre à
cette action & il n’ en eft pas capable,
£(2 2) Ein .
532 6 349, Regimen Hberbaput è
2) Gin Sub/fantioum und ein Verbum fini-
zum zuſammen mit que. Us: Soyés perfuadé
de ces fentimens & que je me fais un plaifir de
vous être utile; febe, Soyés perfuadé de ces
fentimens & du plaifir que je me fais &c. Il
aprit {a vérité & que {es ennemis étoient morts;
fee — & la mort de fes ennemis. (299).
3) Ein Subſtantivum und ein Irfinitivus in
derſelben Conftrudion. Als: Je m’efforce d’
aprendre à écrire une lettré & Je file hiftorique.
J'aime /a danfe & à me promener; ſetʒe: J'aime à
danfer & me promener; oder j’aime/4 danfe & Ja
promenade. |
4) Ueberbaupt fuchet man in der Conſtrudi-
on eine Gleichheit zu beobachten, und jedem
Worte dasjenige zu geben was ihm zukommt.
Als:
(298) La Touche, (TI. 2. p. 495. 496), misbilli⸗
get die nro. 2 angefuͤhrte Conſtruction nicht.
Boubours aber verwirft fie; wie fie dann auch
wirklich hart klinget. S. Bellegarde Refl. [ur le
ſtile p. 103.
Phraſes zur Uebung: Man muß den Befehlen
Gottes gehorchen (obéir) und folgen (ivre),
Als er ſeinen Bruder geſehen und geſprochen.
Die Koͤnige ſind Gott unterworfen und unterthan
(ſujets). Meldet (mandẽs) mir den Zuſtand eurer
Geſundheit und wie ener Herz gegen mich geſinnet
(dispofe) ſey. Sd bitte Gott end su erhalten,
und daß er euch eine dauerhafte Geſundheit ſchenke
(acorde). Ich werde alles ins Werk ſetzen (en prati-
que) und erfreuet (ravi) ſeyn euch nuͤtzlich zu ſeyn.
Grammaticaliſche Figuren. 6350 533
As: Je /us avois écrit & je ?’avois prié Fon-
dé fur les offres que vous me faîtes & fur l’ami-
_ tié que vous me témoignèt. |
| $ 350.
Voaon den Prammaticalifhen Figuren.
3) Su der Conftru&tione ornata, gebôrett
au die qrammaticalifhen Figuren. Diefe
find nicht allein der Grund welche verfhiedene
Schwierigkeiten in der Sprachlehre erflärens
fondern fie tragen aud) vieles zur Reinigkeit,
Nettigkeit und Zierlichkeit des Styls ben. So wie
auch zierliche Wendungen und Redensarten
(350). | |
2) Die befannteften finb: Suspenfo, Re-
petitio, Transpofñtio, Periphrafis, Pleonafmus,
Ellipfis &c. Hierzu fommt die Symcope im
| | 213 Schrei⸗
(300) Zum Exempel: Ne manquer pas (mit de)
heißt gewiß; Vous ne manquerés pas de faire
fortune, Ne laifler pas, dennoch; Quelque in-
diférent que vous paroiſſiés être envers moi, je
ne laïflerai pas de vous honorer. Avoir beau,
gut baben, immerbin: &c. Vous avés beau
parler, jè ne le ferai pas, ibr moͤget immerbin
ſprechen 1. vous avés beau faire, ihr môget thun
was ibr mollet, Il ne fait que de: venir, et iſt
eben gekommen; $ 303, n.2$$. Je-n’ai que .
faire de cela, id babe das nicht nothig. Vous
n’y avés que faire, ihr babt da nidts su thun.
Je ne faurois qu’ y faire. id Fan nichts dafür.
534 6350. Grammaticalſche Figuren.
Schreiben; als: p avourai anſtatt j j avouerai;
alſo auch le dévodment, j'agrérai, j'emploirai &c.
3) Bon der Suspenfione waͤre dieſes ein
Œrempel: Sa vertu, fon aplication, fes belles.
maniéres, tout le rend aimable. Alſo au:
Une fincere amitié, un ardent défir de vous
plaire, un vif empreflement à vous rendre fer-
vice, voila les fentimens que je conferverai tou.
te ma vie à votre égard, 6 226, 2. Ref, f 38,8
4) Noͤthige Wiederholungen der Woͤrter
dienen zur Deutlichkeit und Richtigkeit des Styls.
Als: S 219. À 342. u. not, 296 daſ. 6 275,
n, 223. $ 345$. 346. Ref. À 32, 9. $ 39, 10.
5) Vernuͤnftige Umſetzungen der Woͤrter
und der Glieder des Satzes find eine Zierlich⸗
keit. Reſi. 38. Als mit den Superlativis 286,
A. mit dem Pronomine interrogativo K 280,3.
mit den Demonftrativis 279 und n. 229. mit
dem Caſu Verbi 6 342, 343. mit ben Adver-
biis und Præpoñitionibus emphaticis $ 218,6 334,
not. 292. mit dem Nominativo Ÿ 334.335. gan⸗
ze Gâbe ; als: La vie des débauchés d’inutile
qu’elle étoit au commencement, devient enfui-
te criminelle & presque toujours malheureufe
Ver. Pol. ch. o, 5. Vornemlich mit dem c’eft
Emphatico. C'eſt un grand avantage que de
donner du relief à fa naïflance par Pétude des
connoiflances qui nous diftinguent.
6) Durch
Gram maticaliſche Figuren. F350. 535
6) Durch richtige, zierliche und lebhafte
Umſchreibungen wird gleichfalls die Deutlich⸗
keit, wie auch) der Wohlklang befoͤrdert. Reff.
$a5. 6 36, 7. 6 39,9. 6 28,5. Als ba find
. die Umfchreibungen der Adjedivorum $ 290,
_ 298 und Adverbiorum 6292. Der Prono-
minum pofleflivorum 275, 2,b). Alſo au:
Ses expreffions font plus nobles que k peuple,
fege que ne font celles du.peuple. Perfonne
‘n’eft plus que moi, ſetze il n’y a perfonne qui
foit plus fincerement que je le le fuis &c.
7) Pleunafmi koͤnnen gebraudt werden,
wann ſie die Sprache erlaubet, und dadurch
der Rede ein Nachdruck zuwaͤchſt. So iſt ben nous,
vous das Pronomen autres eingefuͤhrt $ 278, 1.
So hat aller zuweilen einen Nachdruck, als:
N'allée pas vous imaginer que je vous aye
oublié, bilbet eud ja nidt ein, baf ich euch
vergeffen babe. Alſo aud gewiſſe Pronomina
des Nachdrucks und der Deutlihfeit wegen, als
die perfonalia abf. 6 269. $ 270. demontftrati-
va Ü 275, n. 220. und in einer rage: Eft-ce
vous l’avés dit? anftatt Pavés - vous dit?
8) Die Elliphs ober Austaffung] iſt eine
Sigur, welche am meiflen vorfommt. Die
£Lebbaftigfeit der Mede 6 330, 12 ift darau
Guild. Dergleihen Redensarten find 3. €.
Combien y a-t-il? (/cil, de tems). H eft
homme à faire cela; (/ci. propre). Au ha-
fard de perdre la vie; (/cil, & quand je m' ex-
{5 . po-
*
536 635 Grammaticaliſche Figuren.
poferois au &c.) Si jꝰ éetois que de vous, wenn
id an eurer Stelle mâre; und fo bey einer
Menge anbdrer Mebensarten, da bald bdiefes
bald jenes megblcibt, wie in dieſem Buche vies
le Exempel ju finden. ; J—
9) Uebrigens bemuͤhe man fich in der Con-
ſtruction jederzeit die Deutlichkeit, die Rich⸗
tigkeit und Die uͤbrigen 330 befindliche
Grundregeln ftets vor Augen zu baben.
Ænde, .
Re
« er ganz ag Ende des Buchs.
: | Ruben ©
) Am Ende.
1. Wenn fe |
4 *B an ps 9 Ja table, Vous ne me donnerés pas.
: urarbor. Les ho d t.
b) In der Vi DO mmes aonnen
e 2 derivata à vohment , fiatt dévouement).
J 2. Subftantiue la propreté,
| —3 Adverbi: me ——
) Im —
Wenn zwé
Wird gefunden air.
ſouſſets.
einem Gravi bezeichnet werden. als:
r kann es wegoleiben).
Nota. i. Die amis.
kurzes 4. mes livres.
2. Die lateiniſchen gehabt. célébrer, véhé-
ms -
| 3. Naddie andere. Als: lever, je lève,
chandelier,
Dieſe 25 Bi, decours, das Abnehmen, dedans,
defaut lein, demanger, jucken, demeurer, demi,
Demouellejigen, (cb{ol ) devancer, zuvorkom—⸗
men, devarlons. )
_ : vvS
° >: "à
DORE HR NH OX K x E
CNRS CE
MU ne me me
egifier der vornehmſten Sachen.
Die Zablen zeigen den Sphum an: die Noten, die
durs ganse Buch in ununterbrochener 3abl
fortgchen, werden durch a.
| bexeidiner,
À.
A die Præpoſitio à 60, 2. fernerer Gebrauch 254⸗
9 258. auf die Frage wem? 254. Wo? 255.
ad quid? 266, bep actionibus animi 250. bep Par⸗
tikeln 257, 4. bey dem Infinitivo 3 10. 3 Il,
Ablativus der Deutfchen u. Lafeiner 251. cenfequen-
tiæ der Lateiner 331,4.
Accent, auf welche Sylbe 13, 1. 2. Son Aecente 16
Accufativus, was e8 ſey, und mie gemacht 49. so.
Gebraud 243, deſſen Stelle 56. 216, 342, Écine 2
in eine Propofition 297, 3e
Actiones & Pafliones animi mit de 250. mif à 250,2,
mif pour 250,3. mit dem Impofitivo 298,4 init de
ce que | | 3oo,1.
Acutus ein Son Accent, 16
Adjectiva tiberbaupt 97. genus 98, tom Lat. in is n.
103. Motion oder fœminina 99⸗- 101. Comparation
102108. wie diefe gebraucht werde 104. 106. 108,
zwiefacher Superlativus 108. 286, sufammengefeéte
und umfchrichene, oder adjeëtivifhe Redensarten
11$.290.291. Gtelle vor dem Subſt. 112. nach 111
113, Dald vor bald nadj 288 Regimen 116, diver-
ſi Regiminis nicht sitter 294,1, Uebereinſtimm.
5 mit
Regiſter. A,
mit dem Sub. 114, 289. Wiederholung im der
Conftr. 219, 289, 346. von Anfang 294, 7. als
Epitheta 294, 3e
Adjectiva affectuum mit de 250. Pronominalia 91:93
Adverbia beſondere n. 281. Stelle in der Conftruëtion
214,340, compofita 292, emphätica in der Conftr,
218.331,1, 334. 3-1. N. 292. Quantitatis mit de
54. 239. 247-249 fichen uit ohne de mit dem pl.
oder fing. Verbi 239. Wiederholung der Adverbior,
in der Conſtr. | 219.745
Aimer, deffen Conftr. 223,2. 225, 3. mit mieux 225,3
Aller, veifen, n. 284, paulo-poft futur. 393,2.
Apoitrophus, Gebrauth 17
Appoñitio 226,4 u. n. 172. 5 345 1. n. 184.
Aprendre, deſſen Regimen 277,2. 310,1
Après, Præpoſitio 60, 17
Artikel, Ze, la, les. Gebrauch 38. 39,:21:22$ , wo
ibn die Deutichen auch fchen 227. wo fic ibn nicht
feben 222, in befonbcren Sûllen 223.224. ohne Sue
faé 225, 1. Auslaſſung deffelben 40. bep Laͤndern
224, 2. 3. in befonderen Sûllen 227. wo ibn bie
Deutſchen auch auslaffen 226. Artifel nad den
Ovantitaͤts-Woͤrtern 221, 4. 247,2. 349, wird wie⸗
derbolet 219. 345. niché wiederholet 3 47
-. - - nitaté- Artifel der Deutfhen mif de 232
Affés - - pour tif bem Infinit. 312,2
Au, contraétio ton à le .fI
Avant, Præpofitio : 60,16
Aucun, deffen Gebrauch 338,12
Avec, Præpoſitio, deren Gebrauch 60, 3, 259. wird
ansgelaſſen 264,8
Avoir, 169 beffen Conj. 170, 171,
Auſſi ffatt /; in comparat, 109,287
Ausſpr. der Buchſt. 1214. des Buchſt.e, 11.12. uͤberh. 13
Autant ſtatt sant in comparat. 109. 287, d'autant
plus - - que 110, 2.297
Autres, pleonaftice ben nous und vou 278,1
Aux, contrahirf ton à les $3
(s 8.
4
Regiſter. B. C.
B.
Begriffe be Subſtantivis 37. 44. 56. 234, der be
ſtimmte 39.39. 55, 1. 221-225. ohne Beſtimmung
40. 55, 2, 226. 227, Der Unitäts: Pegrii +1. 55, 3.
228-230, der quantitativiſche 42, 434 55, 4:2315232
Beſtimmungs⸗Wort oder Artikel. ſ. Artikel
Lien, viel, bat den Artikel 249,1
Bienque bat den Impoñitivum 138$
Bindzeichen, deſſen Gchrauch | 19
Buchſtaben, wie aclejen 1-13. der lefte eines Wor⸗
tes verfhmiegen 12, 35, hbcrfiiffige 26 #22, die
3 lekten des Alphab. 232$.
C,
Cafus, was fie find 4547. 236, wie viel 48° 236,
2449267, derfelben General: Megel 50,56, 3. 244.
application auf die Nomina. 55. 236 complicatio
derjelben 263,2, s Quantitatis 54
Caſus Verbi in der Conſtr. 56. 216. 342. mehrere bey⸗
ſammen in der Conſtruction 343
Ce n' eſt pas que (nicht als wann) 322,6
Ce qui, Gebrauc ben ben Imperfonalibus 280
C’eft, es iſt, Imperf, 193,2, Gallicifmi baton 322.
- 323. vor dem Infinitivo 306,2e322,2
es emphaticum 323. ſtatt eft 322,4
- ,. là 322 n. 272, c eſt que | 322,
Changer 250, 4 U,n. 193
Chés, Præpofitio domicilii 60,9
Circumflex, cin Son, Accent 16
_ Compararivus deffen Gchraud 103. 104, irregularis
107. affirmans hat se nach fi 109, 4. 210,3,
comparativifche Partikeln 109,110
Complicacitio relationumi] 263; 2.
Conjugationes 177 » 179. Conjugar.. Tabelle 141
Conjuntiones Anmerkungen drüber 297. bep dem !n-
dicat, 138,2, 297. beb den Modis completivis 138
bald bey den Poftivo, bald beym Impoſitivo 138
n. 122,1, 6 297, bep dem Impof. 138,5. 301. ben
° dem
Kegifter. C D.
dem Infinit. mit de 309, die me nach ſich baben 210
4. wann ſie wegbleiben 331. wann ſie wiederholet
werden 249. 345
Conſonantes. Ausſprache 3.4, am Ende 13, 3.5
doppelte | | 22
Conſtructions⸗Ordnung 203 ⸗209. Tabelle 205 , B.
aligemeine Anmerk. drüber ; | 206
- = Membra, wiederholet 219, 345, 346, nicht wie⸗
derbolet | 347
Contre, Præpofitio, Gebrauch 60,10
E,
Dans, in, Præpofitio 60,7, ausgelaſſen 264, 6. ton
en unterſchieden 262, 1. 6
D'autant plus - - que 110, 2. 287
De, Præpoltio 60,1 ftebt bey der Frage weſſen wesz :
wegen? 245. bep der Ovalitat 246. bep der Ovans
tiÂt 54. 247-249 fallt bep derſelben meg 249. 4.
ſteht bey der actione & pañlione animi 250. als ein
Ablativus 251. nat gewiſſen Verbis 253. die Art
welchergeftalt anzuzeigen 265$. 7. mit dem Infinit.
307-309. 311, wird ausaclaffen vor /zime 264, 5.
wird wiederholet 345. nicht wiederh. 347
- Qrantitats + PartiFel 42. 43, 53. 231- 233.
wann es wegfaͤllt. 264, 6. 367,
Demander, conftruétion dieſes Verbi 257, 1. U. n. 201.
Depuis, Præpoſitio, ſeit, 60,33
Derivatio Temporum 17ç
Deriere, binter , Præpofitio 60, 15
Des, contrahiret ton de les 52
Dès, Præpofitio 60,n. 38
Devant, vor, Præpuofitio 60,14
Diæreſis, Gebrauch 18
Diphthongi, deren Ausſprache 6. 7, nafales 2
Dire von parler unterſchieden 2$7,n. 202
Dont, Pronomen fuppl. & relat. 85.277,23
Doppcl: Subftantiva der Deutſchen, wie int fr. 222, 2,
225, 4. 226, 0, 266
Du
Regiſter. E.
Du contrahiret von de le | st
Durant, Præpofitio 60,31
— | E.
E, beffen Ausſprache — 11, 1à
Cbrentitel, Mr. &c. beren Syntax 223, 3, u. n.167
. 22$}le 227,2
En, Præpoſitio. Gebrauch Go, 8. 262. vor dem In-
finit. 142. 313: 334. vor Dem Particip, Ibid, von
dans unterſchieden 362,181
- - Pronomen fuppletivum, Gebraud 87.281
Encore que mit dem Impoñitivo 138,5
Enfeigner, was e$ regirt 2573 2. 310,1
Entendré mit à bep der Perf. u. Acc. rei 247,3
Entre, Præpofitio 60,12
Envers, Præpoñrio | 60,19
Es ift auſ fuͤnferley Weiſe gegchen 193.321:3ç
Eft- ce que, in einer Srage 333,21
Etre, Auxilitre paſſvnm 1 69. deffen Conjugat. 170, 3.
172. Variation, Mit fe voir, fe trouver &c. 327 3
Eu, an diffen ffatt jetzt « 21
Excepté, Præpoſitio 60, 27
Exercitia übet die Adjcctiva 117. Adj. und Mu. com-
poſita 293. Adverbia 341. die Begriffe der Subſt.
57. 235. den Cafum Verbi 344. die Conſiruction
220. Den Modum Impofitiv. 302. Indicar. & com-
pletiv. 144. Infinitiv. 145$. die Negat. 2dum 339,
den Nominaut. 242, 335. Particip. pañliv. 146,316.
das Pafffoum 188. die Præpoſitiones uͤberhan pt 67,
267. dit Præpoſition à, 258. de 252. 25;,3. das
Præſens relativum und Preterna, 304, dic Prono-
nina uͤberhaupt 96. 285$, perfonalia 72. fuppletiva
284 das verſchiedene Regimen 349',n. 299. die
Verba imperfonalia 320. neutra. 318. reciproca
189. timendi, dubitandi u. negandi 337. die Vers
bindungs⸗Woͤrter 332, die Wiederholung in bei
Conftruétion 348.
b,
Regiter F. G. H. .
F.
Faillir beſondere Phraſes davon | 328
Faire tait à bey der Perſon u. dem Acc. reï 257,3, mit
dem Artikel 223, 2, Dor dem Infinitivo 306, 2,
Verbum famulare & determinativ. $ 306, n. 257.
| ._ $ 297.
. - I fzi,esift 193,4 32$
Faloir; Il faut, men muf 194. 326. 327,
beſondere Redensarten | 328
Fête arégelaffen % 225,2
Feu, Adverb. weiland 221,12
Flexibilitæt deg Participii paſſ. 143. 315
Fœmininum, wie gemacht 30. 99 1014
Fragen ſtehn mit dem Indic. u. Poſitivo 132
- — Die dentiche balbe Srage 136.b)
Fututum fimpl. 158. compof, vd, relat, 164
G.
Gemuͤthshandlungen vegiren de nad id 250
Cenera Nominum 29.30
Gens, Anmerkungen über dieſes Wort 289,3
Gerundiom, deſſen Gebranch 14 2e 313.314
Grand’ apoftrophirt | 17,n,49
Gravis, cin Son: Accent 16
Groͤſſe. Woͤrter der Groͤſſe ſtehn mit æ 265,1
H.
Hormis, hors, Præpoſitiornrnes 60, 18.29
| 4
Jamais, jemals 358;n, 293
Il ef, imperf. es iſt. 193, 1321. ffatti/ y &321,n.270.
> - Ileneit de, (esift onmit befchaffen) 321,3
U fait, es ift, imperſ. ° 193,4.32$
Al faut, man muf, imperf. 194,195 326 328
Il vaut, es iſt, imperſ. | 193,6
ü
Beſgiſter. J. L. M.
II Yà, es iſt, imperſ. 193,3. 324. emphaticè 323, ?.
mit de 248,10
Imperativüs Modus 139. 298, 8. affirmans mit den
Pron, perf. in Cünftr. 94,1, 311.
Imperſonalia Siehe Verba
Impofitivus Modus, Gebr, 133-134. 298.299
Indicativus, Gebrauch 126,295. imit f . 296
Infinitivus Gebr. 140. bloß, nach gewiſſen Verbis 305,
von Anfang 306. 323 4. ffatt bdeutfcher Partifeln
140, $r7. 215, 3. nicht damit gebunden 315,2.,
ſtatt eines deutſch. Subſt. 306, 3. mit faite 306,2
ausgelaſſen 306, 4. 5. in der Conſtr. 215.
mit de, und que de 307-309. mit à 310. bald
mit de bald mit à 311. mit pour 261, 3. 312
Inftrument. mit avec oder de | 259,24. 265,4
Interjettiones 329; 4
Jouer, deffen Regimen 443, n. 181
L, das flieſſende! J 9
La; Pronom. ſuppletiv. deſſen Gebrauch 36
Laiſſer mit à bey Der Perf, u. Acc. rei 257,3
Laͤnder mit dem Artikel und ohne Artikel 224
Le, Pron, ſupplet. deſſen Gebrauch 86
Lequel ſtatt qui | 3332. 272, 3. 276,3
Les, Pron. ſupplet. deſſen Gebrauch 36
Leſen uͤberhaupt, Anmerk. daruͤber
13
Leur, ein Pron. poſſeſſ. u. ein Pron, perfs Ÿ3,n.92
L'on und On, deren Gebrauch 278,4
M.
Malgté, Præpofitio 60,22
Même, deſſen Gebrauch 4270, 3. 281, 1
Modificatio Idearum 36244. 56
Relationum 4566
Modus. Wie viel Modi? 125. déren Gebr. 126: 146,
| 29$#316
.4= Com:
Regiſter. M. N.
ModusCompletivus, 127 - 129. 138. Conditionalis,136,
136. compofitus 165. Imperativus 139. 298, 8,
Impoñirivus 33° 134. 29%. 300. Indicativus 125.
29$. Infinitivus 140, 215. 30$ » 316. Poftivus
132134.:9$. 299. Suppofitivus 136. 136. Suppo-
fitivus compof. 16$
- - adquemi 2563 10. 2$9 , 4. welchergeftalr * 2
246, 260$, 7 ,
Moins que 110, |
Moyennant Præpofitio 60,
Muͤſſen, Verb. impcrf. wie es im fran. zu geben?
194. 19$ 326: 327
N.
Ne nach dem Comparativo affirmante 109, 4
Nesatio prima 209. ausgelaſſen 213,4. 336, 4 pleo-
naftice 210.336
- - fecunda 209. 213, 338: ton Anfang 213, 2
fallt mcq 213, 4. 3367 10 338, 3.
Negationes, 2 bep dem Verbo 269. die de nat fid
baben 248, 6
Ne - pas feulement, nicht einmal, 213,$
Ne - - que, nur 333,4
Ni- - ni, weder, noch 338
Nicht auch, pas auſſi 213,6
Nomina, deren Cintheilnng 26.27. Genus, 29. Mo-
tion, 36, Pluralis 31-3$. Veraͤnderungen oder Mo-
dificatior es s3-f
—8 propria mit den Art. 221, 8, ohne Art. 216,7.
mit de oo 245, 3e de
- - qualitatis ohne Beſtimmung, 229, r. mit &
246. 265, 2.
quantitatis oder copiæ und inopiæ mit de 248
Colledtiva mie dem plur, oder fing. 239
Nominativus, was er ſey, u. fic geſetzt 49. so. 236
Gebrauch 237 - 242. von unterſchiedenen Perſonen
241. mehrere zuſammen, 240. in der Conſtruction
207. Anmerk. daruͤber 209. In einer Frage 207.
333°
Regifter. N. 0. P.
353. nach dem Verbo 334. wiederholet oder nicht
345. 347, 3. Neben-Nominativus 334,4
+ - Fron. perfon. auszulaſſen oder nicht 64, n.89:
bom Verbo getretint : 23%
Nonobftant, Præpoſitio 60, 21
Non plus, ati niébt . 213,6
Non feulément, hidt allein : 213$
Numeralia 118-123. Anmerk. drüber 123
Numeri Cardinales 18. mit dem Art. 2àr,6.0. bhne
Art. 227, 3. anſtatt del Oïdinalgablen 123,2. 4.5:
221,6. 112, n. II.
Colledtivi 122
Piſtributivi — 121
è Ordinales 119. ohne Artikel 227,3
- = Proportionales 120
. O. 2
Objeétivus Cafus iſt der Accuſativus 236,2
On, und l’on, Gebrauch 276,2
Ort, in welchem Caſu? 265,5
Orthographie , | 20-if
Où; d'où; par où, Gebrauch. Bo,n. 95.6 277, 4
Ouir rit à bep der Perf, u. Acc. rei 247, 3
Outre; Prépofñtion 60,30
P.
Par, Præpolitio. 60, 4. 260. ausgelaſſen 264,7
Parler u. Dire, wie unterfchieden ? 257, n. 20
Parmi, Præpoſitio 60,13
Participium activum, Gebr. 141. 313. 314, elidirf
264. von Anfang eines period 313
. = - pañivum Gebrauch und Flexibilifâf 143, 3154
Gtelle in der Conftr. 212. von Anf 331,3
= - - Mit es oder Gerundium 142
Particulæ die à nach ſich haben 210, 4. Connectivæ in
der Conſtr. 206. 331. auszulaſſen 331. 11. n. 287,
Relative, Siehe | Prondii. fuppletive,
SR m Partir
Kegiſter. ¶.
Partir, abreiſen 216,1. 204
Pas fr poiut 248, n. 190. Pas und point, wann aus⸗
gulaffen? 213,254, 336,1, 32S, 8,3
Pafivum, conjugirf 180:183,mit par 260,3, 317
deutihe Pañliv. ju permeiden 317,
Paulo -ante - Perfectum. l'aulo. poft- Fur. 303, à
Pendant, Præpolitio, 60, 32. ausgelaſſen 264,4
Perfonæ Verbor, dcren Endigung 167.168
Perfonne, nesatio. (Sebr, 338, 2 borangelègt 213,2
Perfuader, deffen Regimen - 267,2
Plapart (la) mit dem Artik. 239, 4e 249,2
Pluralis, wie er geuacht werde 31-3f
Plus, comparativè & quancit, 164. je mebr 110
Point, wann es ausgulaffen 212, 254 336,1. 338,3
Pofñitivus Modus 132, 296. 299
Præpoñtio à 60, 2. 2$0, 2. 2$4-2$8. 310. 311. avec
60,3. 259. 264, 3. de 60, 1, $4. 245 -25 3. 264, 5.
26$, 7. 307-309.311. en 6C, 8. 142. 262.313,
314. par. 60, 4, 260. 264, 7. pour 60.6. 264.342,
Præpofitiones fimplices $ 8, 61. b) compofitæ 59. u. n.
82. find die frans,, Caſus 47. 236, tic vicl? 58,
n. 81, cine vor den Subft. 263, 1. complicatio der⸗
felben 263,4. ausgelaffen 264, 265, 3. wiederholet
219,345, nicht ivicberbolet 347,5. mit dem Infin,
140,4. zu Anfang eines periodi 218, 331, 1. mit
ihrem Subft. in der Conftr, 217
Præfens Indicar.,r$1. Impofñtiv. 152. Relativ. 153,
relat, compo. 161. relat, impofitiv, 157
Præteritum abſoluaum oder fimplex. Gebr, 154
156. 303, 1. abfol. compoſitum 162
= + + compofit. 155. 156. impofit, 160
= = fimpofitivum 157
- - + relativum 161, impolitiv, 163
Preis. Woͤrter des Preifes mie geſetzt? 264,1.2, 265,3
Prier allezeit mit dem Infinit. 257, n.201.
Pronomina Œintheilung 63. 65, 269, n.206. derfelben
Declin. 66, 67. 95, derfelben General, Regeln ges
LQe
Regiſter. P.
Fronom. nicht zu verwechſeln 94, 2. 271, determ,
nicht auszulaͤſſen 274. keine überflüffis 275. Cinia
ge ſtatt andrer 276. die nicht von Thieren u. Sa-
chen gebraucht werden 272. die de bey ſich haben
233. zu wiederholen 219. 2. 345. Stelle in der
Conſtr. 273. vor dem Verbo. 94. vor bem Infinit,
206, 2. 215, 4. bey dem Imperativo aſt. 94
+ - *+ Abfoluta 65, Gebrauch 269,27Q
+ + - Campofñta 283
+ - + Conjunétiva 64 nngerfrennlid 64.269, n.
206. 6 269. nicht beyſammen 269. fallen weg 275,
1. werden wiederholet 345. nicht wiederh. 347,3
+ - - Demonfirativa 76 - 79. fallen weg 275,3
mit voici, voila, 4, alé fuppletiva 279,1.
e + - Impropria 91-93
> + + Indefinita 90-93
* - «+ interragativa 83. 84, Befondrer Gebr, 280
= = + Perfonalia 67-72. 96. deren Declination
69. 70. 95. nicht aussulaffeu 64, n. 89. $274,r
. fallen eg 64, n. 89, $ 275, 1. Gtelle in der Conſtr.
71. 211. vor dem letzten Verbo 206, 2. 315,4 vor
dem Infinit, 273; le
- + - Pofleffiva 73-75. fallen weg 276, 2. peri-
phraſirt 275, 2, b. ſtatt der perfonal, 276, 1.
wann fie wiederholet werden oder nicht? 345. 347.4
e + - Relativa 80-82. be 2 Terminis 277, muͤſ⸗
fen richtig besichen 273, 3.4. wiederholet 345
- - + Suppletiva 85-89. muͤſſen fi richtig bezie⸗
ben 273, 3. fallen weg 275, 4. wann en und y
nicht ju gebrauchen 281, vor dem Infinit, 273,1,
Gtelle in der Conftr, 94.211. werden wiederh. 345
Propoftio complctiva 127-129. contraëta 138
Pun@a Dicrefeos 18
Pun@ation 1
D M à Q:
Regiſter. Q R F.
Q.
Êbalitétémôrter mit de 246. 265$ , ohne un 229
Quand, wann, Gehr. 157, 3. unrerfcicoen von £ 296
Quand même mit dem Modo condirionali 138,6
Dvantitäts- Begrif und Partifel vor ben Subſt. 42.
vor den Adj. 43. Gebr. 231-233/ ffatt der Unitaͤt
232. vor bem Pronom. 233, 1 faͤllt weg 231. 232.
s s + Wooͤrter haben de ohne Art. 54. 247. 248.
mit dem Art. tvann fie beffimmt find 221,4 247-
; 3. 249
Que, daß. Gebr. 129. regiré nichts 130. 134, 138
ſtatt eiuer Conjunétion 138, 4. 308, 3. nicht vor⸗
an 300,6. ſtatt combien 248, $, Que fappl. 277, 5
Que de beym Infinitiva 308.309
Qui, veraͤndert in que gr. v. Thieren u. Sachen, 82.
! * ° = 272; 3
Quoi, veraͤndert in que 84
Quoique mit dem Impoſitivo 135,5
R.
Rechtſchreibung 20:28
Reglmen, keine verſchiedene zuſammen 349
Regulæ ſtyli 330
Rien, in der Conſtr. voran 213, 2. etwas 338, 2
S.
Saint, leydet nicht de vor ſich 264, $
Sans , Præpofitio 60, 26
Satisfaire, deffen Regimen 24390. 181
Selon, nach, Præpofitio 60, 24
Seulement, nut 213, 5. 3384
Si, Particula intenfiva & çnmparativa 1C9. 287
- - Conjunêio, wenn, mif dem Indicat. in fpecie
dem Præf, relat. 137. 193, 3, U. n 129, mil ei⸗
nigen andern Temporib, 296. nicht mit dem Futur.
u. Conditionali 158, 3. 159
Soï, Pronom. imperf, Dr SbtNS 7113
SOS
Regiſter. 7.
Sous,'unter, Præpoſitiq 60, 11
Stylus, Regulæ ſtyli 330
Subjectivus iſt der Nominativus 216,2
* Subftantiva, beren Modificationes oder Vorſtellungen
na den Pegriffen 36-54. 234, nach deu Bezie⸗
bungen oder relationen 45 - $6. application Davon
2365267, mit Dem Artikel 38.39, 2215225. oh⸗
. ne Arf. 40, 224, 2. 3, 226, 227, mit #7 und wre
41.238230. mit der Duantitäts-Partifel 42.43.
2317233:
- - -« Locimitfäz2ss. Ooppel-Subftantiva 266 :
Suivant, Præepofitio 60, 25
Superlativus. 105. Gebr. 106. 286. definit. u. indef.
108. nach dem Subſtantivo 221,7. 225
Supinum ju der Conſtr. 212. 215. deſſen PFlexibilitaͤt
143. 3155
Suppoſitivus Modus. Siehe Mod. C.
dur, auf, über, Præpoftiq | 60, 10
7.
T, Euphonicum 19, 4
Tant u. autant, Gebr. im Comparat. 109. 287
Tel, Pronom, impr. deffen Gebr. 282,2
Tempora, Wie viel? 1475150, Namen uud Ord⸗
nung derfelben 149.150, Endungen 267 , 2. Deri-
vation 175
* compofita 160-165. præterita 154.303
Ton Accente 16
Touchant, betreffend, Præpofitio 60, 23
Tout, bat den Artikel nad fih, 92. 223, 5. vor
dem Pron, 223, n. 168, verſchiedener Gebraucd
282,3
Tout ce que; tout ce qu’il y a dé 248, n. 186
Toute forte 248,1, Un. 185
Très, Superlativ. indefinitus 108,2
Trop mit pour und bem Infinitivo 312, %
ë V, V.
Regiſter. V. P:
U, V.
Ueber, ein Zeitwort, fr. en 266, 6.e.
Venir als ein paulo - ante - perfe&tum 503, 2
Verba uͤberh. 124. muͤſſen vor ihrem Cafu fichen 212,
3, 216, wiederhol. 219, 2, 346. ausgelaffen 306,5.
Mit de 253, im Infinitiv. mit de 307 + 309. mit à
310, bald mit de bald mit à 311
»Adgtiva Endungen 173. Definitio 174. Deriva-
tio Temporum 175. Conjugatio 176 - 179. 187.
regiren den Accuſ. | 243
+ - Affe&uum oder AGionis & paſſionis animi tif
de, 250. mit que u. dem Impof. 298. mif de ce
que u. dem Pofit. 300, 1. mit Dem Infinit. 300.
307, 4
« - Auxiliaria 169-172. activum & pañiv. 169
Stelle in der Conftr. 212. auggelaffen 506, 4. 331,
3 nidt ausgulaffen 212. haben à nach fich 310,2
Defectiva 201.202
Daubitandi mit ne 210. mit dem Impoſ. 298, 3.
nicht mit Dem Fut. 300, 2. Conſtr. 336. 337. ohne
Pas 3363. 213:4.338,3
- - Imperfonalia uͤherhaupt 192#196, das Deuts
fhe es iff 193. 321-325. man muß 194, 195,
328, Conjugatio eines Verbilmperf: 196. ffebn mit
dem Impof. 298, 5. mit den Infinit. 307, 6. An.
merkungen tiber die Imperf, 319
- - Hrregularia uͤberhaupt 197, Anmerk. druͤber 198
deren Conjugation 199. 200
- + Motus 303, n. 255. 305, 2
Negandi 210. 336. 337
+ - Neutra 190. 191. mit de 250, 4. active und
paſſive 243
Paſſiva. Conjugation 180- 183. 187. Gebr.
317. mit par 260, 3. 317, 2. nicht gern gebraucht
317, 3- 318.
- Reciproca. Conjugat. u. Anmerk᷑. 184-186.187
" Subftaniva gone and Né uns ame, &c. 228
Net
. Regifter. V. W. x, —J. 2, a
Verba Timendi mit se 210. mif Dem Impof. 298, 3,
nicht auit dem Fur. 306, 2. Conftr. 336. 337. bhne
pas 2133 4 356, 3.338: 3
Verbindung der Woͤrter im Leſen 137 6.7
Berbindungs- Borter fallen meg . "331
s. 5 ss Zeichen 19
Vers, gegen, Præpofitio : 60,18
Un, une, oder Unitats » Æcgrif. Gebrauch 37. 41.
228, 2. 230. 232, 2. faͤllt weg 228. 229, nicht zu
wiederholen 347
Unterſcheidungszeichen IS .
Vocales, deren Ausſprache 2, ri, 12. tiafalés 5
Vocativus - 236,4
Voici, voila mit ben Pron. perf. u. en, 273, 2. ffaté
c’eft, s 323, 5.
Voir mit à bey der Perſ. u. Acc. rei 257; À
Vor, ein deutſches Zeitwort, fr. il y a 265,6, f
Vorſtellung der Begriffe, fiche Subſtant. and Pegriffe
W.
Werkzeug, Wie e8 su ſetzen? | 259
Wiederholunq der Gliever der Conftr. 219. 345. 346
wo uit ju wiederholen 447
Wochen-⸗Tage mit dem Artikel 221,11
Womit? als ein bluffer Ablat. 60,n,.83. $250,n.
191. 5251, 3° 4
À. F. z.
X am Ende einiger Woͤrter 235340. 69
Y, wo gebraucht? 24
- Pronomen füuppl. 88. wo es nicf ftében Fan 281
Z, wird am Ende nicht gebraucht 25
Sablen, ohne Urtifel beym allegsren 123, 2, 4 221.
"0.163, $ 227, 3. mit Dem UrtiF, 221, 6. 9, Car-
dinal ffatt der Ordinal-Zahl 123,$.221,6
Zeitwoͤrter, wie fie au ſetzen? 264, 3. 265, 6
N A Ve
Errata
P. 14 lin, alt.
Svprache
4. not. 3, . 4. trone
8. * 11, /.$. licentie
1, 16,
10.
15. 02.19. 1 6. hannir
19, lin. ult. jeufle
32 -
34.
24, dis ”
* 13. d'interrogation
58. not.l.s. Gedutt
8. paticece
73, lin, 2, politivè
80. -
9. cin Haufe
82. not. I. 4. à moi
89. L, 6.
113. Z. 8.
114. aura. 6$
dire .
1 kenne
123./ 6.7 quelgues
126, - 15.
144 7.
jour =
babe .
148 - 2, Ausuͤbung
152,- 13, 1oofc
160.- 16, werde
8. er
8. par
163. .
181,
187.- 20, énpofiturn
194. = 1, par
204. - 24. De maiu
264.- 9. Reciprocum
271.-11.çuroit
2$0.-1. 5 183.
309.- unt. ſetze
310.- 3.
413. - 10. 366
46$.- penuls,
CT D) °
Veraͤnderung
486.- 4, Elexibilitit
FA
zero zephit
—3
ließ
Ausſprache
tronc
licentic
zéro zéphir
hennir
j euffe
dix
d'exclamation
Gedult
patience
partitivè
im Hauſe
quant 4 Moi
de dire
ihr kennet
95
quelques uues
pour
haben
Uebung
1000te
werden
ihr
pas
impoſitivnm
pas
Demain
Reciprocorum
auroit
199.
$203
regens
266
Verwunderung
Flexibilitat.