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CEILLIER » HISTOl
AUTEURS SACRES
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TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LES XIV VOLUMES
DE
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L'HISTOIRE GENERALE
DES
AUTEURS SACRÉS
ET ECCLÉSIASTIQUES
ANGERS, IMPRIMERIE P. LACHÈSE, BELLEUVRE ET DOLBEAU.
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CONTENUES DANS LES XIV VOLUMES
DE
L'HISTOIRE GÉNÉRALE
DES
AUTEURS SACRÉS
ET ECCLÉSIASTIQUES
COMPOSÉE PAR
LE R. P. DOM REMY GEILLIER
Bénédictin de la Congrégation de Saint-Vannes et de Salnt-Hydulphe.
AVEC l'indication DES PRINCIPAUX ARTICLES PARALLÈLES QDI SE TROUVENT
DANS l'histoire LITTÉRAIRE DE LA FRANCE,
DONNÉE PAR LES RK. PP. BÉNÉDICTINS DE LA CONGRÉGATION DE SAINT-MAUR.
Celte table rédigée par laur.-Et. RONDET, auteur de la Table générale des matières qui termine l'Histoire ecclésiastique
de l'abbé Fleury a été revue, corrigée et augmentée par M. l'abbé BAUZOJi, ancien directeur de grand séminaire,
auteur de la nouvelle édition de Dom Ceillier.
TOME PREMIER
PARIS
CHEZ LOUIS VIVES, LIBRAIRE- ÉDITEUR
5, RUE DELAMBRE, 5
1868
l'I
i
A SON ÉMINENCE
i\\ONSEIGNEUP^ LANDI^IOT
Monseigneur ,
Votre Eminence a daigné encourager plusieurs fois de vive voix et par
écrit l'humble éditeur de V Histoire des auteurs sacrés et ecclésiastiques de
Dom Ceillier. Alliant, dans une juste mesure, l'amour des auteurs profanes
et des auteurs ecclésiastiques, vous savez. Monseigneur, exploiter avec un
rare bonheur la riche et féconde carrière ouverte par les saints Pères dans
leurs immortels écrits. Parfaitement au courant des travaux récents et des
éditions nouvelles, Votre Eminence comprend et apprécie le travail qu'un
éditeur consciencieux consacre à la science sacrée. C'est ce qui m'a valu,
Monseigneur, vos encouragements et vos conseils dans la réimpression de
l'œuvre considérable du savant Bénédictin avec les notes, les corrections, les
additions, les suppléments, les dissertations qui entrent dans la nouvelle
édition. Mais le travail le plus long, le plus considérable et le plus pénible a
été pour la confection et l'impression des tables générales des matières.
Votre Eminence comprenant toute l'utilité d'un pareil labeur , a daigné
accepter la dédicace de ces tables. Sous de tels auspices elles seront, je
l'espère, reçues favorablement du pubhc amateur des recherches scientifiques.
Daignez agréer l'assurance des sentiments pleins de respect avec lesquels
j'ai l'honneur d'être.
Monseigneur ,
de Votre Grandeur,
le très-humble serviteur,
L. BAUZON,
Ancien directeur de grand séminaire.
I
AVERTISSEMENT DE L'ÉDITEUR
Les tables appropriées à la nouvelle édition de Dom Ceillier sont attendues
depuis longtemps. Mais le public auquel elles s'adressent doit comprendre
qu'on ne fait pas un pareil travail en quelques jours. En effet, il n'a pas
fallu moins de cinq ans pour mener à bonne fin cette rude et difficile
entreprise. Il s'agissait, non-seulement de reproduire la table de Rondet,
véritable chef-d'œuvre en son genre, selon l'expression de M. Weiss dans la
Biographie universelle de Michaud; mais l'Éditeur devait mettre le chiffre
des volumes et des pages en rapport avec la nouvelle édition, resserrer et
fondre plusieurs passages répétés sans raison, revoir et corriger au besoin les
dates marginales ainsi que les erreurs relatives aux noms propres et à quel-
ques faits, découvrir les chiffres des pages que Rondet n'avait pu donner.
11 fallait en outre trouver et mettre à sa place tout ce que l'Editeur avait
ajouté au travail de Dom Ceillier, ce qui, d'après un examinateur compé-
tent, forme le cinquième de l'ouvrage. Cependant, malgré tant de peines,
on n'a pas la prétention d'avoir extrait complètement ce que renferment
les nombreuses additions. Comme le dit Rondet, dans de pareils champs
il reste toujours à glaner. Quelques fautes d'impression qui pour la plupart
ont disparu dans un nouveau tirage, sont indiquées et corrigées dans les
tables. Durant l'impression, on a pubUé de nouveaux ouvrages sur les
Pères, on a fait paraître de nouvelles éditions et de nouvelles traductions
de leurs ouvrages. L'Éditeur a signalé autant que possible ces travaux.
Loin de lui néanmoins la pensée de croire que la nouvelle édition n'offre
pas des imperfections, des lacunes, et même des fautes. Mais ce qui le con-
sole, c'est la conscience d'avoir voulu avant tout une œuvre sérieuse et
moins indigne du pubUc choisi auquel elle s'adresse. Rien n'a pu le
détourner de ses chères tables. Puissent ses efforts être utiles à l'étude
des sciences ecclésiastiques !
VIII AVERTISSEMENT DE L'ÉDITEUR.
Je dois adresser ici mes sincères remerciements à tous ceux qui m'ont
aidé, soit dans la rédaction de la nouvelle édition de X Histoire des auteurs
sacrés et ecclésiastiques, soit dans la confection des tables. Qu'il me soit
permis en particulier de nommer Son Excellence le cardinal Pitra, autrefois
mon professeur de rhétorique, le très-savant et très-complaisant M. Le Hir,
qu'une mort regrettable et prématurée a enlevé trop tôt à l'Eglise et à ses
nombreux amis. Trois ecclésiastiques du diocèse de Limoges, MM. Charbo-
nieras, curé de Linard, Dabrioux, curé de Bazelat, et Feigneux, curé de la
Chapelle-Baloue, et M. l'abbé Gras, curé dans le diocèse de Dijon, m'ont
beaucoup aidé dans la composition des tables. Qu'ils veuillent bien agréer
les sentiments de ma vive reconnaissance. Je prie aussi MM. Lachèse,
Belleuvre et Dolbeau, imprimeurs, M. L. Vives, libraire-éditeur, d'agréer
ma gratitude pour leur précieux concours.
Fê(e de l'Oraison de Kolre-Seipeur au Jardin des Oliviers, 19 février 1868.
J. M. J.
AVERTISSEMENT
[DE RONDET ']
Le succès de la table que j'ai donnée pour les trente-six volumes de
V Histoire ecclésiastique de M. l'abbé Fleury et du père Fabre, son conti-
nuateur, a fait désirer une table semblable pour les vingt-trois volumes de
y Histoire générale des auteurs sacrés et ecclésiastiques de Dom Ceillier ; et
afin qu'elle fiît entièrement semblable, on a désiré qu'elle partît de la même
main.
Ce travail, assez considérable par lui-même, me fut demandé lorsque
j'étais déjà chargé de quelques autres entreprises qui ne l'étaient pas moins :
mais l'étendue des travaux ne m'a jamais effrayé, parce que, avec le secours de
Dieu, l'assiduité du travail, et la patience de ceux qui désirent et attendent
l'ouvrage, on parvient à en voir la fin. Le public sait que j'ai fourni dans
ma vie plusieurs longues carrières : celle-ci a duré près de vingt ans ; mais
enfin, la voici terminée.
' Rondet (Laurent- Etienne), auteur de la Table des Auteurs sacrés et ecclésiastiques par
Dom Ceillier, naquit en 1717 et mourut en 1783. Il a fait paraître une multitude d'ouvrages
dont la plupart dénotent une grande érudition et une activité infatigable. On lui doit en
particulier la Bible de Vence ou d'Avignon, les Tables de l'Histoire ecclésiastique de Fleury,
celles des Historiens de France, etc. On regrette que cet érudit ait embrassé avec ardeur le
jansénisme et se soit appliqué à le soutenir dans beaucoup de ses écrits. (L'éditeur.)
X " AVERTISSEMENT [DE RONDET].
J'ai suivi dans cette table les mêmes procédés que dans celle de V Histoire
ecclésiastique de M. l'abbé Fleury : je n'y ai mis d'autre différence que celle
qui vient de la nature des matières que contiennent ces deux ouvrages. Ce
sont bien au fond à peu près les mêmes matières, mais présentées dans un
ordre très-différent. Dans M. Fleury, c'est \ Histoire générale de t Église
universelle : dans Dom Ceillier, c'est V Histoire particulière de chacun des
auteurs sacrés et ecclésiastiques : là c'est une suite de faits qui s'enchaînent
les uns à la suite des autres sans interruption ; ici c'est une suite de faits
successivement interrompus à la mort de chaque auteur. 11 en résulte qu'on ne
peut trouver ici d'autres suites que celles des faits qui regardent chaque
auteur en particuHer.
De là on aurait pu croire qu'il suffisait ici de réunir et fondre ensemble
les tables particulières qui sont à la fin de chaque volume. Mais l'expérience
m'ayant appris que, dans ce genre de travail, un seul homme ne voit pas
tout, ne recueille pas tout, et laisse toujours à glaner après lui; j'ai osé
entreprendre une table entièrement neuve, en me réservant de la conférer
ensuite avec les tables particulières, pour recueillir de celles-ci les articles
qui auraient pu m'échapper dans la nouvelle ; en sorte qu'il a fallu ici trois
opérations : une lecture entière de l'ouvrage, avec un extrait entièrement
neuf de tous les articles qui devaient former cette table ; ensuite l'arrange-
ment et la combinaison de tous ces articles ; enfin, la confrontation de la
nouvelle table manuscrite avec les tables imprimées, et le soin de recueillir
et de transporter de celles-ci dans la nouvelle, tout ce qui pouvait contribuer
à la compléter : voilà ce qui a prolongé le travail et ce qui a retardé la
publication de celte table, déjà depuis longtemps annoncée. J'espère qu'on
reconnaîtra aisément qu'elle est beaucoup plus ample que les tables particu-
lières, et que, par la réunion de tous les articles qui concernent un même
objet, elle offre un coup d'œil beaucoup plus avantageux.
La table imprimée à la fin du XXIIP et dernier volume, n'était pas même
une table des matières, mais plutôt une simple table des principaux som-
maires distribués sous les noms de chacun des auteurs dont il est parlé dans
ce volume. Mais ici les matières de ce dernier volume ont été extraites avec
autant de soin que celles de tous les autres, et distribuées comme toutes les
autres sous leurs différents titres.
Je considère ici, comme dans la table de V Histoire ecclésiastique, les
personnes, les Ueux et les choses.
Les personnes principales sont ici les auteurs sacrés et ecclésiastiques, et
je les distingue en mettant leurs noms en lettres majuscules. Sous leurs noms.
AVERTISSEMENT [DE RONDET]. xi
je donne d'abord l'analyse de l'article qui les concerne ; et s'il est parlé
deux ailleurs, je termine cette analyse par le signe — , après lequel je place
successivement les autres traits qui regardent le même auteur, dans le même
volume ou dans les autres, en suivant simplement l'ordre des volumes et
des pages.
Pour l'arrangement de ces noms, j'ai suivi le même ordre que dans la
table de VEisioire ecclésiastique. Dans les douze premiers siècles, auxquels
se borne l'ouvrage de Dom Ceillier, la plupart des personnages n'ont qu'un
seul nom ; il est très-rare qu'ils aient un prénom ou un surnom : et alors je
préfère communément leur nom principal.
Lorsqu'il y a plusieurs personnages du même nom, je les range, autant
qu'il m'est possible, dans l'ordre chronologique communément indiqué par
l'ordre même des volumes.
Si ce sont des Papes , des patriarches, ou autres grands personnages
distingués par premier, second, troisième du nom, et ainsi de suite jusqu'au
dernier; le premier attire les suivants, et je les mets tous à la suite les uns
des autres, en partant de la date du premier : après quoi, je reprends les
autres personnages du même nom qui ne se trouvent pas dans cette suite.
Ici, comme dans Y Histoire ecclésiastique, les lieux les plus mémorables
sont ceux où les Conciles ont été tenus ; mais dans Y Histoire ecclésiastique,
les Conciles se trouvent dispersés dans la suite des siècles, relativement à
leurs époques : c'est pourquoi dans la table de l'ouvrage de M. l'abbé Fleury,
j'ai dispersé le détail des Conciles sous le nom des lieux où ils ont été tenus;
et je n'en ai donné qu'une simple liste sous le mot Conciles. Ici au contraire,
Dom Ceillier en a formé un corps d'histoire séparé, qu'il a distribué à la fin
des volumes III, IV, V, X, XII et suivants, jusqu'à la fin'. J'ai cru devoir
analyser ce corps d'histoire comme tous les autres articles de cet ouvrage ; et
j'ai placé cette analyse sous le mot Conciles : c'est là qu'on trouvera le détail
de tout ce qui les concerne. Ce morceau est long; mais j'espère qu'on sera
dédommagé de sa longueur par l'intérêt du tableau qu'il présente. J'indique
en même temps, sous le nom des lieux où ces Conciles ont été tenus, le tome
et les pages où on les trouve.
Il faut se souvenir que dans l'impression de cette histoire des Conciles, il
est arrivé un accident qui en a interrompu et troublé la suite ^ La portion
' Dans la nouvelle édition les conciles se trouvent aussi à la fin des volumes II, III, IV,
VU, VIII, X et suiv. [L'éditeur.)
^ Ce désordre n'existe pas dans la nouvelle édition, {L'éditeur.)
XII AVERTISSEMENT [DE RONDET].
du manuscrit depuis l'an 786 jusqu'à l'an 1100 ayant été égarée pendant
l'impression du tome XXI, où elle devait être placée, on fut obligé d'y mettre
la suite de ces Conciles depuis l'an 1100 jusqu'à l'an 1212. On reprit dans le
XXir la portion omise depuis 786 jusqu'en 1002. On continua depuis 1002
jusqu'en 1099 dans le tome XXIII, où on reprit la suite du tome XXI,
depuis 1212 jusqu'en 1215. Ce désordre est réparé dans cette table, où la
chronologie des Conciles est soutenue sans interruption depuis le premier
Concile tenu à Jérusalem, au temps des Apôtres, jusqu'au quatrième Concile
deLatran tenu à Rome en 1215. Et c'est encore un avantage qui résultera
de la réunion de tous ces articles dans leur ordre chronologique sous le seul
mot Conciles.
Les choses les plus importantes dans V Histoire de t Eglise et dans celle des
auteurs ecclésiastiques et des Conciles, ce sont celles qui concernent le
dogme, la morale et la discipline. Ces trois objets se trouvent en quelque
sorte noyés dans V Histoire de l'Église ; mais ils tiennent un rang distingué
<lans V Histoire des auteurs ecclésiastiques et des conciles : de là vient que
je n'ai pu donner beaucoup d'étendue à ces trois objets dans la table de
V Histoire ecclésiastique, et qu'au contraire ils seront beaucoup plus déve-
loppés. Dom Ceillier joint à l'Histoire des auteurs ecclésiastiques une analyse
de leurs ouvrages et un précis de leur doctrine sur le dogme et sur la morale,
principalement pour les six premiers siècles de l'Église : et il donne une
traduction ou du moins une analyse des principaux canons des Conciles, pour
ce qui concerne la discipline. Ainsi, non-seulement sous le nom des Auteurs
principaux j'indiquerai et je détaillerai les principaux objets du précis que
Dom Ceillier donne de leur doctrine sur le dogme et sur la morale, mais
encore sous les titres de chacun des points du dogme et de la morale, j'indi-
querai ce qu'on en trouve dans les articles de ces différents auteurs. Pour ce
qui est de la discipline, je ne puis pas en détailler les objets dans l'article des
Conciles; il faudrait presque copier leurs canons : mais sous les titres de
chacun des points de discipUne, j'indique, autant que je le puis, les différents
canons qui s'y rapportent Au reste, il est aisé de comprendre que ce détail,
s'il était complet, serait immense ; et ce que j'en donne ici, je ne le pré-
sente que comme l'ébauche d'une collection qui pourrait être beaucoup plus
étendue. Ce n'est point ici un traité de jurisprudence canonique, mais une
simple histoire. Dom Ceillier ne s'arrête qu'aux objets principaux, et ce sont
aussi ceux auxquels, d'après lui, je me suis arrêté.
En général, je me suis appliqué à éclaircir toutes les difficultés que j'ai
rencontrées, et il en est résulté quelques notes qui se trouveront dispersées
AVERTISSEMENT [DE RONDET]. xiii
dans cette table : j'ai pris soin particulièrement de caractériser chaque per-
sonne par ses différents noms et par ses qualités, et chaque lieu par sa
situation, autant qu'il m'a été possible : cela sert principalement à distinguer
les personnes et les lieux de même nom ; et sur ces difTérents objets, on
pourra trouver dans cette table quelques éclaircissements qu'on ne trouve
pas dans l'ouvrage même.
J'avais projeté de mettre sur les marges de cette table les dates propres à
chaque article, comme je l'ai fait dans celle de \ Histoire ecclésiastique de
M. l'abbé Fleury; là, cela était également facile et utile, parce que M. l'abbé
Fleury suivant exactement l'ordre des années, il était facile de connaître les
dates que lui-même présente, et il en résultait sur nos marges une suite
bien soutenue. Mais Dom Ceillier ne suivant que la succession chronologique
des auteurs et des conciles, laisse beaucoup d'événements sans dates , et
passant successivement d'un auteur à un autre, ramène sans cesse son lecteur
d'un siècle postérieur à un siècle antérieur, ou de la fin d'un siècle à son
commencement ; et particulièrement dans la date des ouvrages , il nous
ramène souvent d'une année postérieure à une année antérieure. Je me suis
aperçu qu'il en résultait sur nos marges une confusion fort peu avantageuse,
et souvent des lacunes fort disgracieuses ; je me suis déterminé à élaguer ces
dates inutiles, en me réduisant uniquement à celles qui regardent le temps
auquel les auteurs ont vécu, et les principales circonstances de leur vie
depuis leur naissance jusqu'à leur mort : celles des Conciles sont marquées
sous le titre Conciles.
J'ai pris soin de faire mettre au haut de chaque colonne les trois lettres
initiales des articles qui y sont contenus. On s'est plaint avec raison de ne
pas trouver cet avantage dans la table de l'Histoire ecclésiastique. Ce fut bien
contre mon intention que ces lettres initiales y furent omises ; je les avais
marquées sur chacune des pages de mon manuscrit*.
J'ai cru devoir indiquer ici non-seulement les auteurs ecclésiastiques qui
font le principal sujet de l'ouvrage de Dom Ceillier, mais encore leurs
éditeurs et leurs traducteurs, marqués par Dom CeiUier à la fin de leurs
articles ; on n'en trouve pas un seul dans les tables imprimées qui sont à 'la
fin de chaque volume : c'est un morceau entièrement neuf, qui se trouvera
répandu dans toute l'étendue de cette table. On y trouvera chacun de ces
éditeurs et traducteurs en leur rang, sous la lettre initiale de leurs noms,
' C'est par mégarde que cette indication, mise dans le commencement du manuscrit de
la nouvelle édition, n'a pas été imprimée. {L'éditeur.)
XIV AVERTISSEMENT [DE RONDET].
avec l'indication des éditions et traductions qu'ils ont données : j'ai pensé que
cela pourrait faire plaisir aux littérateurs, et particulièrement aux biblio-
graphes.
Il m'a paru utile d'indiquer le rapport qui se trouve entre l'ouvrage de
Dom Ceillier et \ Histoire littéraire de la France pour les auteurs ecclésias-
tiques des Gaules ou de la France dans les douze premiers siècles de l'Église,
qui sont précisément ceux auxquels se terminent ces deux ouvrages*. C'est
pourquoi à la fin de chacun des articles qui concernent les auteurs gaulois
ou français, j'indique l'article parallèle qui les regarde dans Y Histoire litté-
raire de la France. J'ai présumé que cela pourrait être avantageux à ceux
qui voudraient confronter ces articles parallèles. Ces confrontations sont très-
utiles, quand on sait en profiter : si les auteurs s'accordent, il y a heu de
présumer qu'ils ont saisi le vrai ; s'ils ne s'accordent pas, on se trouve alors
invité à examiner de quel côté est le vrai, et ces recherches peuvent procurer
les éclaircissements qu'on ne trouve pas dans ces auteurs.
Je termine cette table par deux suppléments : l'un pour les articles relatifs
à l'ouvrage de Dom Ceillier, l'autre pour les Suppléments distribués dans les
onze derniers volumes de Y Histoire littéraire de la France.
Pour céder aux demandes du public, qui depuis longtemps désire et attend
cette table, j'ai consenti de mettre cet ouvrage sous presse lorsque je n'étais
encore qu'à la moitié de ma dernière révision. Il en est résulté qu'en conti-
nuant cette révision, et en rehsant les feuilles à mesure qu'on les imprimait,
j'ai découvert encore quelques fautes à corriger, et quelques omissions à
réparer. Ces corrections et additions forment le premier supplément".
Les auteurs de \ Histoire littéraire de la France ont eux-mêmes éprouvé,
en avançant dans leur travail, la nécessité de mettre à la tête de chacun de
leurs nouveaux volumes, des corrections et additions qui forment des supplé-
ments, non-seulement intéressants et utiles, mais même nécessaires. J'en
avais déjà bien senti toute l'importance ; et j'avais pris soin d'indiquer ces
suppléments en indiquant les articles auxquels ils ont rapport. Mais je me
suis aperçu qu'il m'en était échappé plusieurs ; et il m'a paru qu'ils n'étaient
pas tous rassemblés dans les tables mêmes de X Histoire littéraire ; d'ailleurs,
quand ils y seraient tous, il faudrait encore avoir la peine de les y chercher
* Une nouvelle édition de VHhtoire littéraire de la France, revue par M. Paris, est publiée
à Paris chez Palmé, libraire-éditeur. Les suppléments sont placés à la fin de chaque vo-
lume. [L'éditeur.)
* Ces corrections et ces additions ayant été mises à leur place, ce supplément n'existe pas
dans la nouvelle édition. {L'éditeur,)
APPROBATION ET PERMISSION DU SCEAU. xv
dans les tables de chaque volume;, puisqu'il n'y a point encore de table géné-
rale de cet ouvrage : j'ai donc cru faire plaisir à ceux qui ont l'ouvrage de
Dom Ceillier et \ Histoire littéraire, de leur présenter ici une table complète
des suppléments distribués dans les onze derniers volumes de ce dernier
ouvrage.
Je n'ai point oublié le supplément le plus important de ce savant ouvrage,
je veux dire, V Histoire littéraire de S. Bernard, abbé de Clairvaux, et de
Pierre le Vénérable, abbé de Cluny, volume in-4°, imprimé à Paris en
1773, et qui se débite chez la veuve Desaint; quoiqu'imprimé séparément, il
doit se joindre aux douze de V Histoire littéraire, et je l'ai indiqué à la fin de
l'article de chacun de ces deux saints et illustres personnages.
APPROBATION
J'ai lu par l'ordre de Monseigneur le Garde des Sceaux un manuscrit ayant pour
titre : Table générale des Matières contenues dans les vingt-trois volumes des Auteurs
ecclésiastiques de Dom Rémi Ceillier ; et je n'y ai rien trouvé qui en puisse empê-
cher l'impression. A Paris, ce 5 janvier 1782. Du Voisin.
PERMISSION DU SCEAU,
LOUIS, PAE LA GRACE DE DiEu, Roi DE FRANCE ET DE NAVARRE : A hos amés et féaux Con-
seillers, les Gens tenant nos Cours de Parlement, Maîtres des Requêtes ordinaires de notre
Hôtel, Grand-Conseil, Prévôt de Paris, Baillis, Sénéchaux, leurs Lieutenans Civils, et autres
nos Justiciers qu'il appartiendra, Salïït. Notre amé le sieur Crapart, Libraire à Paris, Nous
a fait exposer qu'il désireroit faire imprimer et donner au Public un Ouvrage intitulé : Fable
générale des Matières contenues dans les vingt-trois volumes des Auteurs ecclésiastiques de Dom
Rémi Ceillier; s'il Nous plaisoit lui accorder nos Lettres de Permission pour ce nécessaires.
A CES CAUSES, voulant favorablement traiter l'Exposant, Nous lui avons permis et permettons
XVI PERMISSION DU SCEAU.
par ces Présentes, de faire imprimer ledit Ouvrage autant de fois que bon lui semblera, et
de le faire vendre et débiter par-tout notre Royaume, pendant le temps de cinq années
consécutives, à compter du jour de la date des Présentes : Faisons défenses à tous Impri-
meurs, Libraires, et autres personnes, de quelque qualité et condition qu'elles soient, d'en
introduire d'impression étrangère dans aucun lieu de notre obéissance : à la charge que
ces Présentes seront enregistrées tout au long sur le Registre de la Communauté des Impri-
meurs et Libraires de Paris, dans trois mois delà date d'icelles; que ^impression dudit
Ouvrage sera faite dans notre Royaume et non ailleurs, en bon papier et beaux caractères :
que l'Impétrant se conformera en tout aux Réglemens de la Librairie, et notamment à celui
du 10 Avril mil sept cent vingt-cinq, et à l'Arrêt de notre Conseil du 30 Août mil sept cent
soixante-dix-sept, à peine de déchéance delà présente Permission; qu'avant de l'exposer
en vente, le Manuscrit qui aura servi de copie à l'Impression dudit Ouvrage, sera remis
dans le même état où l'Approbation y aura été donnée, es main de notre très-cher et féal
Chevalier, Garde des Sceaux de France, le Sieur Hue de Miromenil, Commandeur de nos
Ordres ; qu'il eu sera ensuite remis deux Exemplaires dans notre Bibliothèque publique,
un dans celle de notre Château du Louvre, un dans celle de notre très-cher et féal Chevalier,
Chancelier de France, le Sieur de Mabpeou, et un dans celle dudit Sieur Hue de Miromenil :
le tout à peine de nullité des Présentes; du contenu desquelles vous mandons et enjoignons
de faire jouir ledit Exposant et ses ayans-causes, pleinement et paisiblement, sans souffrir
qu'il leur soit fait aucun trouble ou empêchement. Voulons qu'à la copie des Présentes, qui
sera imprimée tout au long, au commencement ou à la fin dudit Ouvrage, foi soit ajoutée
comme à l'original. Commandons au premier notre Huissier ou Sergent, sur ce requis, de
faire pour l'exécution d'icelles, tous Actes requis et nécessaires, sans demander autre per-
mission, et nonobstant clameur de Haro, Charte Normande, et Lettres à ce contraires : Car
tel est notre plaisir. Donné à Paris le dix-septieme jour du mois d'Avril l'an de grâce mil
sept cent quatre-vingt-deux, et de notre Règne le huitième.
Par le Roi en son Conseil. Signé, LE BEGUE.
Registre sur k Registre- XXI de la Chambre Royale et Syndicale des Libraires et Imprimeurs
de Paris; N. 2345, fol. 670, conformément aux dispositions énoncées dans la présente Permission,
et à la charge de i^emettre à ladite Chambre les huit Exemplaires prescrits par l'art. C VIII du
Règlement de 1723. A Paris, le 19 Avril 1782. Le Clerc, Syndic.
TABLE GENERALE
DES MATIÈRES
DE L'HISTOIRE
DES
AUTEURS SACRÉS
ET ECCLÉSIASTIQUES
Les chiffres romains indiquent les tomes; les chiffres arabes, les pages, et lorsqu'on
ne répète pas le chiffre romain, c'est que Von continue d'indiquer le même tome. Les [ ]
indiquent les additions faites par l'éditeur littéraire. On suivra communément dans
chaque article l'ordre des pages, et même l'ordre des volumes.
A
ëes de
Christ.
79.
liS3.
AARON, premier pontife des Juifs, I, 14.
ABA, femme guérie par l'intercession de
sainte Thècle, X, 168.
ABACUC, prophète. (On prononce Abacuc;
mais selon l'étymologie on écrit Habacuc.)
Voyez Habacuc.
ABACUS, tables d'arithmétique dressées
par Gerbert, archevêque de Reims, depuis
pape sous le nom de Silvestre II, XII, 903.
— Commentaire d'Hériger, abbé de Lobes,
sur ces tables, XIII, 38.
ABAILLARD (Pierre), abbé de Saint-Gildas
(On le nomme communément Abélard; c'est
en latin Abœlardus ou Abailardus, et quelque-
fois par erreur des copistes Abailardus. Son
vrai nom pourrait être Abeillard, c'est-à-dire
docteur qui imite les abeilles. D. Ceillier le
nomme Abaillard). Sa naissance; ses études,
XIV, 317, 318. Devenu odieux à Guillaume
de Champeaux, son maître, il se retire à
Melun, où il ouvre une école, qu'il transfère
ensuite à Corbeil ; il revient à Paris ; ses
disputes avec Guillaume ; il retourne à
Melun, puis vient à Paris établir une école
sur le mont Sainte-Geneviève; chargé d'ins-
truire Héloïse, nièce de Fulbert, chanoine
TAB. I.
de Paris, il en devient amoureux, puis l'é-
pouse, 318. Vengeance que Fulbert exerce à
son égard; il se fait moine àSaint-Denys, 318.
11 ouvre une nouvelle école à Deuil, prieuré
dépendant de l'abbaye de Saint-Denys, 319.
Jalousie que ses succès occasionnent; on dé-
fère au concile de Soissons son traité de la
Trinité : il y est condamné; on lui donne
pour prison l'abbaye de Saint-Médard, puis
on le renvoie à Saint-Denys, 319, 320. 11
fonde le Paraclet ; ses envieux préviennent
contre lui saint Norbert et saint Bernard; il
est élu abbé de Saint-Gildas-de-Ruis en Bre-
tagne, et donne le Paraclet à Héloïse, qui s'y
retire avec quelques religieuses d'Argen-
teuil ; il est condamné au concile de Sens
et par le pape Innocent II; il se retire à
Cluny, 320. Sa mort, 321. Eloge que fait de
lui Pierre, abbé de Cluny; ses écrits; ses
lettres, 321 et suiv. Règle pour l'abbaye du
Paraclet, 324 et suiv. Autres lettres d'Abail-
lard, 326 et suiv. Sa première apologie, 328.
Seconde apologie, 328 et 329. Ses commen-
taires sur l'Oraison dominicale, le Symbole
des apôtres et celui de saint Athanase, 329.
Solution des problèmes d'Héloïse, 329 et 330.
1
«21.
H40.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLESIASTIQUES.
un.
Livre contre les hérésies, 330 [il n'est pas
d'Abaillard, 330, n. 1]. Commentaire sur
l'épître aux Romains, 330 et 331. [Remarques
sur ce commentaire, 331.] Sermons d'Abail-
lard, 331 et 332. Son Introduction à la théo-
logie, 332, 333. [En quel sens Abaillard prend
le mot (keologia, 332, n. 1.] Ses proses et
hymnes, 334. Sa Théologie chrétienne divisée
en cinq livres, 334, 335. Commentaire sur
l'ouvrage des six jours, 335. Morale d'Abail-
lard, 336. [Son sermon pour la fête des Saints
Innocents, 332. Ecrits d'Abaillard publiés de-
puis D. Ceillier : le livre Sic et non; ce qu'en
disent les auteurs de l'Histoire littéraire de la
France, 336, 337. Dialogue entre un philo-
sophe, un juif et un chrétien, 337, 338.
Abrégé de la théologie chrétienne, 338. Poé-
sies d'Abaillard, 338, 339. Ses autres écrits
qui n'ont pas été imprimés, 339. Jugement
sur les ouvrages d'Abaillard et d'Héloïse, 340.
Editions qu'on en a faites, [éditions de quel-
ques écrits d'Abaillard, 340. Ses écrits dans la
Patrologie, 341]. Reproches faits à la traduc-
tion des lettres d'Abaillard par Dom Gervaise,
341, n. 1. — [Ce que le pape Innocent II écrit
au sujet d'Abaillard, XIV, 267], Circonstances
de la vie d'Abaillard, écrites par lui-même
dans une de ses lettres, 317. Sa vie, par Dom
Gervaise, 341. Saint Bernard fait condamner
Abaillard au concile de Sens ; lettre de saint
Bernard contre Abaillard, 440. Lettre que le
pape Innocent II adresse à saint Bernard
contre les erreurs d'Abaillardj480. Traité de
saint Bernard contre les erreurs d'Abaillard,
481. Pierre le Vénérable fait l'éloge d'Abail-
lard, 510. Epitaphe d'Abaillard par le même,
522. Letlre écrite à Abaillard par Gauthier
de Morlagne, 6ti0. Epitaphe d'Abaillard par
Philippe de Bonne-Espérance, 687. Ecrits de
Guillaume, abbé de Saint-Thierry, contre
Abaillard, 388. Concile de Soissons où le
traité d'Abaillard sur la Trinité est déféré,
1095. Concile de Sens oîi saint Bernard dé-
nonce les erreurs qu'il avait trouvées dans
les écrits d'Abaillard, 1116. (Voyez l'article
d'Abaillard dans l'Histoire littéraire de la
France, t. XII, p. 86 et suiv.)
ABANDUS (ou ABAUDUS), abbé : son
traité sur la fraction du coi'ps de J.-C, XIV,
345. (Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire
littéraire de la France, t. XII, p. 444 et
suiv.)
ABBENDON, monastère d'Angleterre, ré-
tabli par saint Ethelvold, depuis évêque de
Winchester, XII, 867. ~ Le pèlerinage à
Sainte-Marie-d'Abbendon est autorisé par un
concile, XIII, 759.
ABBÉS. Canon sous le nom des Apôtres,
qui ordonne de déposer un abbé prévarica-
teur des commandements de Dieu et de la
sain te règle, II, 579, n. 6 .— L'abbé Barsumas,
au nom de tous les abbés de l'Orient, prend
séance avec les évoques au faux concile
d'Ephèse par ordre de l'empereur, X, 675.
Requête des abbés schismatiques au concile
de Chalcédoine, 690. Lettre du pape saint
Simplice aux abbés de Constantinople, 403.
Le nom d'Abbé donné aux curés parles con-
ciles attribués à saint Patrice, 706. Canon
du concile de Vannes, qui défend aux abbés
d'avoir plusieurs monastères, 713. Abbés
soumis aux évéques par le premier concile
d'Orléans, 745. — Fonctions des abbés; qua-
Utés qu'ils doivent avoir, selon la règle de
saint Benoît, XI, 162 et suiv. Dispositions du
concile d'Epaone qui concernent les abbés,
815. Le second concile d'Orléans défend aux
abbés de donner des lettres pacifiques, 848;
et prive de la communion ceux qui mépri-
sent les ordres des évoques, 849. Il est dé-
fendu aux abbés de s'absenter longtemps sans
la permission de l'évêque diocésain, 882.
Saint Grégoire défend de choisir pour abbé
un clerc attaché à quelque église particu-
lière, 496. Comment l'abbé doit être choisi
selon saint Grégoire, 511. Saint Grégoire veut
qu'un abbé devenu évêque laisse au monas-
tère les biens qu'il a acquis, 518. Quel doit
être l'abbé, suivant saint Isidore de Séville,
723. Règlement de Théodore de Cantorbéry
touchant les abbés, 797, 798. — Statuts de
saintSimpert touchant les abbés, XII, 21 9. Ar-
ticle d'un capitulaire de Charlemagne touchant
les abbés, 240. Autres règlements de Charle-
magne, 230, 234, 241. Un des canons du pa-
triarche Isicéphore prescrit à l'abbé, s'il est
prêtre, d'ordonner des lecteurs et des sous-
diacres dans son monastère, 386. Canon d'un
concile de Chalon-sur-Saône qui défend de
mettre deuxabbés dans un même monastère,
931.— A la fin du x" siècle, les évoques veu-
lent exiger des abbés le serment de fidélité ;
querelles que cela occasionne, XIII, 26, 27.
L'abbé de Cluny était élu par les profès de
ce monastère ; quels étaient ses droits , 474.
Un canon du deuxième concile général de
Nicéii permet aux abbés de conférer l'ordre
de lecteur; à quelles conditions, 630. — [11
leur est défendu de placer des prêtres dans
les églises paroissiales qui dépendent d'eux
TABLE GÉNÉRALE- DES MATIÈRES.
sans le consenlement des évêques, XIV, 267.]
Plaintes de saint Bernard contre les abbés de
son ordre, 466. Privilèges depuis accordés
aux abbés ; letlre de Piiilippe de Bonne-Es-
pérance qui explique le nom d'abbé, les
marqaes de sa dignité, ses fonctions et ses
devoirs, 684, 683. Abus que les abbés fai-
saient des privilèges que les papes leur ac-
cordaient, 771, Instructions que Pierre de
Blois donne à des abbés nouvellement élus,
773. [Union qui doit exister entre l'abbé et
les moines, sujet d'un sermon d'Alain de
Lille, 870. Les abbés ne doivent pas se rendre
caution ni emprunter à intérêt, 998.] Canon
du concile de Poitiers qui interdit aux abbés
l'usage des ornements pontificaux, 1076.
Abbé des abbés, titre usurpé par Ponce, abbé
de Cluny, et dont il est repris au concile de
Latran par le chancelier de l'Eglise romaine
qui l'adjuge à l'abbé du Mont-Cassin, 1088.
ABBESSES. Instructions que saint Césaire
donne à une abbesse, XI, 152, 153. Autres
instructions qu'il adresse à sa sœur Césarie,
153, 154. Témoignage de saint Grégoire de
Tours sur les abbesses, 393. Saint Grégoire-
le-Grand défend de les élire au-dessous de
soixante ans, 496 et 375. Elles étaient bénies
parles évêques, 395. Elles étaient incapables
de faire des testaments, selon le pape saint
Grégoire, 393. Lorsque dans une communau-
té, il n'y avaitpoint de tille capable d'être ab-
besse, saint Grégoire en envoyait d'ailleurs, à
la demande de l'évêque diocésain, 320. Lesab-
besses héritaient de leurs parents, suivant le
droit, mais la règle de saint Benoît le défen-
dait, 529. — Règlements qui concernent les
abbesses, XII, 230, 231, 234, 241. Abbesses
qui assistent et qui souscrivent au concile de
Béchancelle , 966. — Abbesses dans l'ordre
deCiteaux, qui bénissaient leurs religieuses,
et entendaient leurs confessions, etc.; le pape
Innocent III réforme cet abus, XIV, 1006.
ABBON, maître de la monnaie de Limoges,
à qui saint Eloi est confié dans sa jeunesse,
XI, 753.
ABBON ou GOERZE, évêque de Metz.
Lettre que saint Didier de Cahors lui écrit,
XI, 733. Lettre qu'il écrit à saint Didier de
Cahors, 734. (Voyez ce qui en est dit dans
V Histoire littéraire de la France, III, p. 583.)
siècle. ABBON, moine de Saint -Germain -des -
iiècie. Pi'és à Paris, confondu avec Abbon de Fleury,
XII, 789. Temps où il vivait, 790. Son poème
sur le siège de Paris par les Normands, 790.
Editions qu'on en a faites, 790 et 791. [Edi-
tions et traductions nouvelles, 791.] Ses ser-
mons, 791, 792. (Voyez son article dans
V Histoire littéraire de la France, t. VI, p. 189
et suiv., et l'addition qui est à la tête du t. X,
p. LV.)
ABBON, père de saint Odon, abbé deCluny, x siècle.
804. Il embrasse la vie monastique à la sol-
licitation de son fils, 803. Ce qu'en rapporte
saint Odon dans l'histoire de sa propre
vie, 809.
ABBON, abbé de Fleury. Sa naissance; il v. 958.
est offert par ses parents au monastère de
Fleury, où ensuite il prend l'habit monas-
tique, XIII, 24. Ses études; il est envoyé en ggs.
Angleterre pour instruire les moines de
Ramsey; saint Osvs'ald, archevêque d'York,
l'ordonne prêtre ; il revient à Fleury et en est
abbé après la mort d'Oybold; différentes né-
gociations dont il est chargé ; il met la ré-
forme dans plusieurs monastères; sa mort, looi.
24. Lettre circulaire des moines de Fleuri
sur sa mort, 32. Sa vie écrite par Aimoin,
23 et 41. [Ses écrits dans la Patrologie, 23,
n. 2 et p. 33.] Collection de canons, 25 et 26.
Son apologie adressée aux rois Hugues et
Robert; à quelle occasion il la composa,
26,27. Analyse de cette apologie, 27, 28. Ses
lettres, 28 et suiv. Sa Chronique des papes ;
vie de saint Edmond, roi d'Angleterre, 32.
Poésies d'Abbon, 32 et 33. Ses Cycles, 33.
Commentaire sur le cycle de Victorius, 33
et 34. [Prose attribuée à saint Abbon, 34,
n. 4.] Ouvrages qu'on attribue à Abbon; ju-
gement sur ses écrits , 34 . [Editions de ses écrits
dans Galland et dans la Patrologie, 34, 35].
— Lettre que lui écrit le pape Grégoire V, XII,
901. — Lettre que lui écrit Fulbert de Char-
Ires, Xîll, 81 . Il avait fait encore une introduc-
tion à l'Intelligence des canons sur la concorde
des évangiles, 152. Sa vie écrite non par
Helgaud, mais par Aimoin, 149. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. Vil, p. 159 et suiv.)
ABDALLAHAN (Saint), prêtre, compagnon
de l'évêque Ebed-Jésus, souffre le martyre
avec lui, III, 336, 337.
ABDAS (Saint), évêque en Perse, démolit
le temple du feu, et par cette action, donne
lieu à la persécution qui s'élève en Perse
contre les chrétiens, X, 49. Son martyre, 49.
— Actes de son martyre rapportés par As-
sémani, III, 337.
ABDÉCHALAS (Saint), prêtre et martyr de
Perse, III, 321 et 327.
ABDÈRAME III, ou plutôt II, roi de Cor-
4
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
V. uoo.
sli^cle.
doue, persécute les chrétiens de son état,
XII, 514. Histoire de sa persécution écrite
par saint Euloge, prêtre de Cordoue, 515 et
suiv. Sa mort, 519.
ABDÉRAME, roi des Sarrasins, qui vient
dans les Gaules, XIII, 717. (Ce fait est dou-
teux).
ABDIAS, prophète, I, 179. On ne sait rien
touchant sa vie ; objet de sa prophétie, 179.
[Commentaire surle prophète Abdias par saint
Ephrem, VI, 439 et 447]. — Commentaire de
Guibert, abbé de Nogent, sur ce prophète,
XIV, 196. Notes de Hugues de Saint-Victor
sur la prophétie d'Abdias, 349. Voyez l'ar-
ticle des douze petits prophètes.
ABDIAS, imposteur, qui a fabriqué de faux
Actes des apôtres, I, 276. — Sa vie de l'a-
pôtre saint André , abrégée par saint Gré-
goire de Tours, XI, 383.
ABDINGHOFF, abbayeàPaderborn, l'abbé
rachète plusieurs terres de son monastère
qu'il avait aliénées, XIII, 515.
ABDON, juge d'Israël, 1, 51.
ABÉCÉDAIRE. Psaume abécédaire de saint
Augustin contre les Donatistes, IX, 374.
ABÉDÉCALES (Saint), prêtre. Voyez Ahdé-
chalas.
ABEL, fils d'Adam. Ecrits supposés sous
son nom, I, 264. Livres de saint Ambroise
sur Caïn et Abel, V, 399. -~ Abel, sujet d'un
opuscule supposé sous le nom de saint Jean
Chrysostôme, VII, 335. — Pourquoi, selon
Photius, Dieu permit qu'Abel mourût avant
Adam, XII, 729. Différence des sacrifices
d'Abel et de Caïn, 729.
ABEL, établi archevêque de Reims par le
concile de Leptimes; saint Boniface demande
pour lui le pallium, XII, 30. 11 est chassé par
Milon, 130.
ABÉLARD (Pierre). Yoyez Abaillard.
ABELLEN, évéque de Genève, XI, 618.
ABÉLONIENS, hérétiques, IX, 16.
ABEN-EZRA, rabbin. Son sentiment sur
le Pentateuque, I, 20.
ABERCE (Saint), évêque de Hiéraple, I,
448. Lettre de saint Aberce à Marc-Aurèle,
448. Ecrits qu'on lui attribue, 448, 449. 11
n'est pas le même qu'A vircius Marcellus, 449.
[Actes de saint Aberce fabriqués par les
Grecs du Bas-Empire, 449, n. 1. Ce qu'ils
présentent de remarquable dans une épila-
phe dictée par le saint lui-même, 449. — Ex-
trait des actes de saint Aberce dans un ou-
vrage de Nicolas le Grammairien, XIII, 560.]
ABESAN, juge d'Israël, I, 51.
ABGAR , roi d'Edesse dans l'Osrhoène. i siéci.
Epîtres supposées d'Abgar à Jésus-Christ, et
de Jésus-Christ à Abgar, 1, 268. [D'où vient
le nom d'Abgar, 268, n. 2.] Actes supposés
de la guérison et de la conversion d'Abgar,
268. Preuves de la supposition de ces lettres
et de ces actes, 269. — Ces pièces sont rap-
portées par Eusèbe de Césarée, III, 203. —
L'histoire d'Abgar se trouve dans le testa-
ment de saint Ephrem, VI, 47. Ce qu'on en
disait du temps de saint Augustin, IX, 575.
— Sa lettre à Jésus-Christ, et la réponse
mentionnéesdans une poésie de saint Jacques
de Batna, X, 642. — Elles sont citées par
Fréculphe, évêque de Lisieux, XII, 419.
Constantin Porphyrogénète rapporte l'his-
toire de ces lettres et parle de l'image de
Jésus-Christ, 811, 812.
ABIBUS (Saint), diacre et martyr; poème
de Jacques de Batna en son honneur, X, 642.
— Discours d'Arétas en l'honneur des saints
martyrs Samone, Carie et Abibus, XI, 266.
ABIBUS, évêque de Dolique, déposé pour 434.
son attachement à Nestorius, VIII, 387, 603.
Lettres qui nous restent de lui, 387.
ABIBUS (autrement dit ABIB), ecclésias-
tique qui se rend accusateur d'ibas. X, 145.
ABIGAUS, prêtre espagnol. Lettre que lui 395.
écrivait saint Jérôme pour lui recommander
la veuve Théodora, VII, 623.
ABIMELECH, roi de Gérare. Punition de
son péché, IX, 493.
ABIMELECH, juge d'Israël, I, 31.
ABLABIUS, vicaire d'Afrique. Voyez Abla-
vius.
ABLABIUS, sophiste. Saint Grégoire de iv sièc
Nazianze lui écrit, V, 263.
ABLABIUS, évêque, à qui saint Grégoire
de Nysse écrivit, VI, 221, 222. Voyez Ai/am'ws. yy ^^^^
ABLANCOIJRT (Nicolas-Perrot d'). Voyez
Peri'ot.
ABLAVIUS (ou ^LAFIUS), vicaire d'Afri- 314.
que. Constantin lui écrit pour la convocation
du concile d'Arles, II, 628. — Extrait de cette
lettre, III, 133, 134. — On la trouve jointe
aux œuvres de saint Augustin, IX, 416.
ABLAVIUS, disciple de saint Grégoire de
Nysse qui lui écrit une ou deux fois sur la
Trinité, VI, 183.
[ABNÉGATION de soi-même, ouvrage ma
nuscrit d'Achard, prieur de S;iint-Victor et
ensuite évêque d'Avranches, XIV, 709.]
ABOLEN, monastère. Le pape Innocent lU
le soumet à la juridiction de l'évêque de
Lunen, XIV, 934.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
ABOMINATION prédite par Daniel; com-
ment saint Jean Chrysostôme l'explique ,
VII, 243.
ABONDANTIA. Voy. Abundantia.
ABONDANTIUS. Voy. Abundantius.
ABOUCARA (Théodore), métropolitain de
Carie. Voyez Théodore Aboucara.
écie. ABRA ou APRA (et non ABRAM), fille
de saint Hilaire de Poitiers, IV, 4 [et 7, n.
1]. Elle lui écrit dans son exil, 34, 53. Ré-
ponse qu'il lui adresse, 33. Hymnes qu'il lui
envoie, 53; [cette hymne est authentique, 53,
n. S].
ABRAGILA. Traité du Saint-Esprit qui lui
est adressé, XI, 74.
ABRAHAM , patriarche. Ecrits supposés
sous son nom, I, 266. Fausse Apocalypse
sous sonnom, 263, 283, 286. — Livre de saint
Ambroise sur Abraham, V, 401 et suiv. —
[Traité sur Abraham par saint Zenon, évéque
de Vérone, VI, 274]. — Homélies de saint Jean
Chrysostôme sur la Genèse, où se trouve tout
ce qui concerne Abraham depuis la trente-
unième jusqu'à la quarante-huitième, VII,
156 et suiv. Témoignages du même Père sur
Abraham, 161 , 336. Homélie attribuée à saint
Jean Chrysostôme sur Abraham, 97. Témoi-
gnage de saint Jérôme sur Abraham, 658.
— Réflexions de saint Cyrille d'Alexandrie
touchant Abraham, VIII, 263. — [De la dé-
faillance de la synagogue et du changement
du nom d'Abraham , livre perdu de saint
Cyrille d'Alexandrie, 362.] — [Sermon de
saint -Augustin sur Abraham, IX, 841.] —
Questions sur Abraham examinées par Théo-
doret, X, 28. Doctrine de Théodoret sur
Abraham, 122. Discours de Basile de Séleu-
cie sur Abraham, 165. — Discours de saint
Césaire d'Arles sur la vocation d'Abraham, XI,
129. Sur l'ordre que Dieu lui donna de lui im-
moler une vache, un bélier et une chèvre,
129.
139. ABRAHAM (Saint), l'un des martyrs de
Perse, sous le règne de Sapor II, III, 341.
181. ABRAHAM, évêque de Batne en Mésopo-
tamie, confesseur, assiste au concile de Cons-
tanlinople, IV, 618. Il se trouve joint à saint
Basile à la tête de la lettre aux Occiden-
taux, 446.
ABRAHAM, évêque d'Usimes dans la Syrie
Euphratésienne, nommé dans la même lettre
avec saint Basile, IV, 446.
siècle. ABRAHAM (Saint), sohtaire, Vie de ce
saint et de sainte Marie sa nièce, par saint
Epbrem, VI, 43 et suiv.
IV 011
V siècle.
448.
ABRAHAM, grec, père du pape Zosime,
Vn, 328.
ABRAHAM. Lettre de saint Augustin à
Pierre et à Abraham, IX, 192, 193.
ABRAHAM, abbé, visité par Cassien,
Vm, 192.
ABRAHAM (Saint), solitaire, dont Théo-
doret parle dans la Vie de saint Marcien,
X, 33.
ABRAHAM (Saint), solitaire, dont Théo-
doret parle à la suite de la Vie de saint Pal-
lade, X, 34.
ABRAHAM (Saint), solitaire, depuis évêque
de Carres. Sa vie écrite par Théodoret,
X, 58.
ABRAHAM, chorévêque, envoyé à Rome
par Théodoret, X, 23 et 74.
ABRAHAMjl'un des opposants au rétablis-
sement d'Ibas, X, 14.
ABRAHAM, abbé à Constantinople, chargé
parEutychès de se présenter pour lui au con-
cile de Constantinople, X, 671.
ABRAHAM (Saint), abbé de Saint-Cyrgues
en Auvergne. Vers que fait saint Sidoine pour
lui servir d'épitaphe, X, 393. — Lettre du
même à Volusien au sujet de ce saint abbé
et de son monastère ; vie de ce saint abbé
écrite par Grégoire de Tours, XI, 380.
ABRAHAM NEPHTAREN, né à Nephtar, viisiecie.
ville de Mésopotamie. Discours de l'Institu-
tion monastique, qu'on lui attribue, XII, 100.
ABRAHAM, évéque de Frisiugue, accusé
de crime, s'en justifie, XIII, 63.
ABRAM (ou ABRAHAM), qui fut obligé par
Théodoret de réparer ses vexations, X, 63.
ABRAMIUS, roi des Homérites, XI, 279.
ABRÉGÉ DE LA FOI, ouvrage attribué
faussement à Anastased'Antioche, XI, 363.
ABROSIME (Saint), disciple de saint Mile,
évêque de Suze. Son martyre. III, 330.
[ABSALON, fils de David. Sermon sur
Absalon faussement attribué à saint Léon-le-
Grand, X, 276.]
[ABSALON, abbé de Sprinckirsbach. Ce xiisfide.
qu'on sait de sa vie, XIV, 876. Ses sermons;
jugement sur ces sermons ; leur édition dans
la Patrologie, 877. D'après les continuateurs
de V Histoire littéraire de la France, il serait
un seul et même personnage avec Absalon,
abbé de Saint- Victor de Paris, 876.]
[ABSALON, évêque de Lunden en Dane- xii siècle,
mark. Son histoire fut écrite par saint Guil-
laume, abbé de Saint-Thomas du Paraclet;
il n'en reste qu'un fragment, XIV, 743. Tes-
tament d'Absalon, 743.]
6
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
I sIÈcIe
IV siècle.
V siècle.
toi.
412.
ABSAMIAS, syrien, auteur ecclésiastique,
VIII, 2.
ABSOLUTION, refusée par les Montanistes
aux adultères, etc., II, 83. Doctiine d'Origène
sur ce point, 176 et 243. Voyez 176, n, 2.
A qui elle doit être différée ou refusée selon
les maximes de saint Cyprien, 372. Canon du
concile d'Elvire sur la communion ou l'abso-
lution qui y dispose, 604, 603. — Doctrine de
saint Jean Chrysostôme sur le délai de l'ab-
solution, VII, 308. Canon 7 dans la lettre du
pape saint Innocent à Déceulius, évêque
d'Eugubio, sur l'absolution des pénitents,
S20. Absolution des péchés vendue par quel-
ques prêtres; homélie de sainl Maxime de Tu-
rin contre cet abus, X, 324. — Au viir siècle,
quelques moines s'arrogeaient, à cause de la
profession monastique, le pouvoir d'absoudre
les péchés, quoiqu'ils ne fussent pas prêtres,
XII, 84. — Lettre d'un citoyen de Spire contre
les absolutions données en général, XIII, 76.
L'absolution doit-elle être donnée par une
formule déprécative, 76. — Ce que dit Yves de
Chartres sur le délai de l'absolution, XIV,
118. Voyez Communion et Pénitence,
ABSTINENCE du sang des bêtes ordonnée
aux chrétiens dans les premiers siècles, I,
469, n. 5. — Abstinence du sang des animaux
ordonnée par les apôtres, II, S33. Cette or-
donnance a été observée pendant plusieurs
siècles, 533, 334. Elle est ordonnée par un des
canons attribués aux apôtres, 385. Abstinence
superstitieuse condamnée par un des canons
attribués aux apôtres, 583; et par un des
canons du concile d'Ancyre, 638. — L'absti-
nence du sangétait encore observée au temps
du concile de Gangres, III, 517. — Témoi-
gnage de saint Augustin sur l'abstinence des
viandes, IX, 348, 804. Doctrine de Théodoret
sur l'abstinence de la chair, X, 194. — Doc-
trine de saint Léon sur l'abstinence, 1 81 et 271.
— Règle de saint Benoît sur les abstinences,
XI, 168 et XIV, 164. — [Obligation de garder
l'abstinence les jours solennels, XIII, 514. —
Abstinence de vin; réponse de Ponce, abbé
deSaint-Ruf, consulté sur ce point, XIV, 247.]
ABUCARA (Théodore). Voyez Théodore
A boucara.
ABUNDATIA, mère desaint Benoit, XI, 136.
ABUNDANTIUS, à qui est adressé une pré-
tendue lettre de saint Jérôme, VII, 649, 630.
ABUNDANTIUS, prêtre convaincu de pré-
varication, IX, 16. Déposé par saint Augus-
tin, 89.
ABUNDANTIUS , général des troupes
d'Egypte , prend parti pour l'archidiacre
Timothée contre saint Cyrille, VIII, 256.
ABUNDFUS, évêque de Cosme. Lettre que
lui écrit Théodoret, X, 79. L'un des légats
envoyés à Constantinople par le pape saint
Léon après le brigandage d'Éphèse, 219.
Abundius rend compte de sa légation au
pape, 681 . Concile auquel il assiste après son
retour ; il y porte la parole pour Asinion,
évêque de Coire, et fait le rapport de sa lé-
gation, 219.
ABUNUIUS, prêtre, martyr à Cordoue,
XII, 519.
ABURGIUS. Lettre que lui écrivit saint
Basile le Grand, IV, 433.
ABUS. [Abus signalés par saint Clément,
pape, I, 330.] — Sentiment de saint Augustin
sur divers abus, IX, 70, 71, 74, 241. — Livre
des Douze abus du siècle, faussement attri-
bué à saint Cyprien, II, 374; — à saint Au-
gustin, IX, 287; —à saint Patrice, X, 447.
— Il est différent d'un écrit d'Hincmar de
Reims, intitulé : Des douze abus, XIT, 688.
ACACE, évêque d'Orient. Actes du témoi-
gnage qu'il rendit à Jésus-Christ dans la
persécution de Dèce, 11, 117, 118.
ACACE (ou AGATHE), soldat et martyr;
jugement sur les actes de son martyre, II,
101, 102.
ACACE, surnommé le Borgne, évêque de
Gésarée en Palestine, succède à Eusèbe ; ses
qualités personnelles ; il assiste en 341 au
concile d'Antioche ; est déposé par celui de
Sardlque ; ordonne sainl Cyrille de Jérusa-
lem; est un des fauteurs de l'intrusion de
l'anti-pape Félix; dépose saint Cyrille de
Jérusalem; est obligé d'excommunier Aëtius;
condamne la consubstanlialité et la ressem-
blance en substance dans le concile d'An-
tioche, IV, 322. Fait diviser en deux le
concile queConstantius avait dessein d'assem-
bler ; assiste à celui de Séleucie ; y est accusé
et déposé ; prévient l'empereur contre les
députés de ce concile ; est obligé d'anathé-
matiser l'écrit et la doctrine impie d'Aëtius;
assiste à un concile de Constantinople, y fait
déposer plusieurs évoques du parti des demi-
Ariens; s'intéresse dans l'élection de saint
Mélècepourle siège d'Antioche ; signe la doc-
trine de la consubstantialité sous l'empereur
Jovius; se réunit aux Ariens sous Valens, et
est déposé dans le concile de Lampsaque ; ses
écrits; saint Jérôme le met entre les plus
doctes commentateurs de l'Ecriture sainte,
323. — Il écrit la vie d'Eusèbe de Gésarée, son
IX
IV
339.
347.
350.
355.
358.
361.
363.
365.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
maître, III, 168. — Il écrit contre Marcel d'An-
cyre, IV, 303. [Fragments de ses ouvrages,
IV, 323.] 11 se trouve au concile d'Antiocbe
en 338 ; il est le chef du parti des Anoméens
au concile de Séleucie, S6o et suiv. 11 se
trouve au concile d'Anlioche en 363, 597.
Dépose saint Cyrille de Jérusalem, 578.
AGACE, abbé à qui saint Épipbane adresse
une lettre, VI, 382.
ACACE, prêtre, à qui saint Basile écrit,
IV, 481.
ACACE, aveugle-né, guéri par l'eucharis-
tie, IX, 552.
ACACE, évéque de Bérée en Syrie; sa
v. 332. naissance, son éducation ; il défend la foi à
V. 377. Rome; il est fait évêque; il assiste à divers
V. 379. conciles ; il est député à Rome, VIII, 238. 11
V. 403. se déclare contre saint Jean-Chrysostôme,
404. 238 et 239. Il ordonne Porphyre, évêque
V. 430. d'Antiocbe; il semble favoriser Nestorius; il
433. procurelapaixdePÉglise,239.[Edilionsdeses
lettres dans la Patrologie, 439.] Lettres d'Aca-
ce, à saint Épipbane; au pape Innocent :
cette lettre est perdue, 233. A saint Cyrille
d'Alexandrie; au concile d'Épbèse ou à
l'empereur: elle est perdue; lettres d'Acace
à Alexandre de Hiéraple, 240. Lettre d'Acace
à saint Cyrille ; réponse de saint Cyrille, 240
et 241. Confession de foi attribuée à Acace;
lettres d'Acace à saint Cyrille et à Atticus de
CoQStantinople, 241. — Il se trouve au concile
de Gonstantinople en 381, IV, 618. — Lettre
qu'il écrivit au pape saint Innocent ; réponse
que lui adressa ce pontife, VII, 516. Lettres
que lui écrit saint Cyrille au sujet de Nesto-
rius, VIII, 261 et 287. 11 veut engager saint
Cyrille à abandonner ce qu'il avait écrit
contre Nestorius avant le concile d'Épbèse ;
réponse de saint Cyrille, 301. Lettre que lui
adressa Alexandre de Hiéraple, 376. Lettre
que lui écrit l'empereur Théodose le Jeune,
597. L'empereur le sollicite de procurer la
paix de l'Église. 600, 601. Mouvements
qu'Acace se donne pour ce sujets 601 . — Il or-
donne évêque un bigame, X, 23. Il prie saint
Julien Sabas d'aller à Antioche, 52. Il visite
saint Marcien; lettre que saint Cyrille lui
écrit pour se justifier de quelques erreurs
qu'on lui attribuait; il envoie cette lettre à
Théodoret, qui lui écrit, 104.
390. ACACE, évêque de Mélitine : d'abord lec-
teur dans cette église ; chargé par Otrée, son
évêque, de l'instruction de saint Euthyme;
431. devient évêque de Mélitine; son écrit contre
Nestorius, dont il était ami; rend compte au
concile d'Épbèse d'un entretien avec Nesto-
rius, VIII, 388. Homélie qu'il prononça en
présence du concile, 388, 389. Reproches que
lui font les Orientaux : comment il y répond;
se joint h Rabbula pour empêcher le cours 437.
des écrits de Théodore de Mopsueste et de
Diodore de Tarse ; sa lettre à saint Cyrille 432.
d'Alexandrie, 389. Il impute à saint Cyrille 433.
d'Alexandrie de s'être trop relâché dans l'ac-
commodement qu'il avait fait avec les Orien-
taux; lettre que lui écrit saint Cyrille à ce 438.
■sujet, 292, 293. Autre lettre de saint Cyrille,
293. Autre lettre au sujet des livres de Théo-
dore de Mopsueste, 297 et 302. Ami de Nes-
torius, il tâche de le retirer de ses erreurs,
388 et 576. Le concile d'Épbèse l'oblige de
raconter ce qu'il avait ouï dire à Neslorius,
388 et 578. Il est accusé d'erreur par Acace
de Bérée, 389. — Il écrit aux évêques d'Ar-
ménie, X, 143. Lettres d'amitié que lui écrit
Firmus, évêque de Césarée en Cappa-
doce, 151.
ACACE, évêque d'Auside dans la Mésopo- 420 et 442.
tamie, célèbre par ses vertus X, 142. Il fait
vendre les vases sacréspourracbeter sept mille
Perses faits prisonniers par les Grecs, VIII,
522 et X, 142. Le roi de Perse souhaite de voir
Acace, X, 142. Socrate et Denys rapportent
ce fait avec des circonstances différentes; ils
varient aussi sur l'année où il est arrivé,
142, 143. Lettres canoniques d'Acace, 143.
ACACE, patriarche de Gonstantinople. Sa
douleur au sujet de la lettre circulaire de l'em-
pereur Ba silisque,qui condamnaitle concile de
Chalcédoine, et la lettre de saint Léon à saint
Flavien, X, 402. Lettre que lui écrit le pape
saint Simplice, qui le charge comme son lé-
gat de s'opposer à Timothée Elure, 403 et
suiv. Il consulte le pape sur différents ob-
jets, après le rétablissement de l'empereur
Zenon; réponse du pape, 403. Autre lettre
qu'il écrit au pape, et réponse du pape, 406,
407. Différentes lettres que lui écrit le pape,
407, 408. Choqué de ce que Jean Talaïa,
évêque d'Alexandrie, ne lui avait pasfaitpart
de son élection, il se déclare pour Pierre
Mongus, 408, 409. Il persuade à l'empereur 482.
de donner son Hénoticon, 409. Sa conduite
à l'égard du pape, 411. Reproches que lui
fait le pape Féhx III, 412, 413. Il force les 483.
légats à communiquer avec lui et avec Pierre
Mongus, 413, 414. Il est analhématisé dans
un concile de Rome, ce qui donne lieu à un
schisme entre l'Église d'Orient et celle d'Oc- 484.
cideut, 414. [S'il a été condamné deux fois,
475.
476.
477.
8
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
414, n. 1.] La conduite du pape justifiée, 414
et 415. Lettre que le pape lui écrit pour
marquer les motifs de sa condamnation, 413.
Sa condamnation notifiée à l'empereur, au
clergé et au peuple de Constantinople, et si-
gnifiée à lui-même, 415, 416. Il se sépare de
la communion du pape Innocent III , et
retranche son nom des diptyques, 416, 417.
489. Sa mort, 417. Le pape saint Gélase justifie la
conduite de l'Église romaine contre Acace,
487 et 493. Ce que disait Euphémius en fa-
veur d'Acace : réponse de Gélase, 487. Son
nom est effacé des diptyques, 624. Instruc-
tions que le pape saint Gélase donne aux
ambassadeurs de Théodoric au sujet du
schismeauquel la condamnation d'Acace avait
servi de prétexte, 497, 498. Lettre du pape
Anastase II à l'empereur Anastase pour faire
ôter des diptyques le nom d'Acace, 318,
519.
35J. ACACIENS ou ANOMÉENS. Ariens dont
AcacedeCésarée devient le chef; leur conduite
dans le concile de Séleucie, IV, 565 et suiv.
36ii. Ils assemblent un concile à Constantinople,
386. 374 et suiv. Ils tiennent un concile àAntioche,
586. Voyez Anoméens,
ACADÉMICIENS, philosophes : trois livres
de saint Augustin contre les académiciens,
IX, 37 et suiv. Lettre de saint Augustin relative
IV et à ces livres, 65, 66. Les sentiments des aca-
^ '^ '' démiciens sur les probabilités : témoignage
de saint Augustin, 803.
AGAIRE (Saint), évêque de Noyon. Voyez
Achaire (Saint).
ACCAS, évêque de Hagulstad : ce qu'on
sait des circonstances de sa vie; il succède à
saint Wilfrid, dont il était disciple ; sa lettre
709. au vénérable Bède ; écrits qu'on lui attribue;
Bède lui adresse plusieurs de ses ouvrages,
XII, 21 , [et plusieurs lettres, 13.] Voyez l'ar-
ticle de Bède.
ACCENT. Traité de l'accent, ouvrage de
Jean de Garlaude, XIII, 231.
ACCEPTION de personnes. Dispute entre
les cathoHques et les pélagiens sur ce point,
IX, 478 et 707.
374. ACCEPTUS, élu évêque de Fréjus, s'ac-
cuse d'un crime pour éviter l'ordination,
IV, 602.
ACCIAIOLI (Zénobe), dominicain. Sa tra-
duction latine du livre d'Eusèbe contre Hié-
roclès, 111, 316. — Sa traduction latine des
livres de Théodoret contre les gentils, X, 142.
— Sa traduction latine des scholies d'Olym-
piodore sur l'Ecclésiaste, XII, 913.
ACCLECH, en Angleterre ; concile teuu en
ce Heu, XIII, 632.
ACCURSE (Marie-Ange), savant critique.
Son édition des lettres et du traité de l'âme
par Cassiodore, XI, 254.
ACCUSATIONS : objet des canons aposto-
liques 74 et 73, II, 586. Cations 73, 74, 75 du iv sUcie.
concile d'Elvire sur le même sujet. 613. Ca-
nons 13 et l4duconciled'Arles,631,632. —
Canon 6 du premier concile œcuménique de 381.
Constantinople, IV, 624. — Canon 6 du concile 390.
deuxième de Carthage, 649. — Canon du con- 393.
cile d'Hippone, VII, 715. Canon de quelque
concile de Carthage, 720. Canon 105 sup-
posé du quatrième concile de Carthage, 733. 418.
— Canon d'un concile d'une ville d'Afrique,
VIll, 562. Canon 8 du concile de Carthage, 419.
564. Canon 19 du sixième concile de Car- 419.
thage, 563. Canons 19 et 20 du sixième con- 419.
cile de Carthage, 366. Six canons ajoutés au 419.
sixième concile de Carthage, 568. — Canondu
sixième concile de Tolède, XII, 920. — Règles
d'Abbon de Fleury sur les accusations des
inférieurs envers leurs supérieurs, XIII, 29.
Voyez Faux témoins.
ACÉMÈTES, moines de Constantinople;
autres moines établis en Occident à leur imi-
tation, X, 747. — Moines acémètes de Cons-
tantinople condamnés par le pape Jean II
comme coupables de oestorianisme, XI, 118.
ACÉPHALES, schismatiques; écrit de Jean
Maxence contre eux, X, 636. — Leurs erreurs
combattues dans l'ouvrage de Facundus,
évêque d'Hermium, pour la défense des trois
chapitres, XI, 283 et suiv. Ouvrage enferme
dedialoguecomposé contre eux par Rustique,
diacre de l'Église romaine, 300. Discours de
saint Euloge d'Alexandrie contre les Acé-
phales et les Garnîtes, 591. Traité de Jean
Philoponus contre ces hérétiques ; il estresté ^^g
manuscrit, 632. Leurs erreurs condamnées
dans un concile de Séville, 915; et un con- y. 622.
cile deThéodosiopolis, 916. —Traité de saint
Jean Damascène contre les Acéphales, XII,
82. Leurs erreurs combattues dans une lettre
de saint Théodore Studite, 307.
ACEPSIMAS (Saiut), évêque d'Adiabène iv siècle,
dans la Perse. Son martyre, III, 322. Ses
actes rapportés par Assémani, 338.
ACEPSIMÉ (Saint), solitaire dont Théodo- |
ret a écrit la vie, X, 37, 58.
ACÉSIUS , évêque novatien ; assiste au 324.
concile de Nicée, et eu approuve les déci-
sions, 111, 434. — Il persiste dans son schisme,
VIII, 534.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
9
ACHAIE, concile que l'on dit y avoir été
tenu contre les Valésiens, II, 533.
AGRAIRE (Saint), évêque de Noyon. Sa
mort, XI, 734.
H40. ACHARD, moine de Clairvaux, et maître
des novices. Ses sermons ; sa vie de saint Got-
celin, ermite, XIV. 346. [II doit être distingué
d'un autre Achard qui suit, 709.]
[ACHARD, prieur de Saint Victor et en-
suite évêque d'Avranches. Ce qu'on sait des
circonstances de sa vie, XIV, 708. Ses écrits
imprimés sont deux lettres ; ses autres écrits
manuscrits; éditionsdesdeux lettres d'Achard
dans la Patrologie, 709.]
ACHARD , usurpateur de l'archevêché
d'Arles, est déposé dans un concile d'Avi-
gnon, et Gibelin élu à sa place, XIV, 1070.
ACHATIUS (Saint), évêque d'Orient. Voyez
Acace (Saint).
ACHÉE, gouverneur de Palestine, con-
damne à mort saint Marin, II, 394.
ACHERI (Luc d'), bénédictin. Son édition
delà règle du prêtre Grimlaïc pour les reclus,
XII, 706.
«9. ACHILLES, évêque de Spolète, chargé par
l'empereur Honorius de célébrer à Rome les
fêtes de Pâques; à quelle occasion, VIII, 6,
7 et 570.
ACHILLES, préfet dans le Pont. Lettre que
lui écrit Firmus de Césarée en Cappadoce,
X, 130.
ACHILLES STATIO. Voyez Statio.
ACHOLE (Saint), évêque de Thessalonique.
Voyez Aschole (Saint).
ACILINUS, évêque de Barbalisse, chassé
de son évéché, VIII, 378.
AGIiNDYNUS, évêque qui assiste à la mort
de saint Paulin, VHI, 33, 34.
ACINDYNUS, préfet d'Orient. Jugement
mémorable qu'il rend à Antioche, IX, 788.
[ACIRCE, à qui saint Adesme adresse une
lettre ou le livre sur le Septénaire, sur les
mesures, les énigmes et les règles des pieds,
ouvrage publié en entier par le docteur
Giles, XI, 807.]
[ACOLITHIA, livre liturgique des Grecs»
XIII, 138.]
ACOLYTHES,marquésparsaintCyprien,II,
398. 338,363. — Canon sixième du quatrième con-
cile de Carthage, qui les concerne, VII, 728.
— [Cas d'un clerc ordonné sous-diacre et
diacre sans avoir reçu l'ordre d'acolylhe. Le
pape Innocent III décide qu'il sera promu à
la prêtrise après avoir reçu cet ordre, XIV,
973.]
ACRE, ville de Phénicie. Histoire de sa
ruine, XIII, 543.
ACRIDE. Livre adressé au roi d'Acride
sous le nom de saint Maxime, abbé de Chry-
sopolis, XI, 765.
ACROSTICHE, composé en autant de let-
tres que Jésus-Christ a passé d'années sur la
terre; oavrage de saint Fortunat, XI, 406.
ACT.\RD, évêque de Nantes, chassé de son
siège, a recours au pape Adrien II; lettres de
ce pape en sa faveur, XII, 588 et suiv. Il est
fait évêque de Tours; lettres du pape à ce
sujet, 591. Hincmar de Reims s'oppose à
cette translation, 682.
ACTES de Pilate, vrais et faux, touchant
Jésus-Christ, I, 280, 281.
ACTES DES APOTRES, livre sacré, I, 213
et suiv. Saint Luc écrivit ce livre sur ce qu'il
avait vu lui-même, 213, 214. Pour quelle
raison il l'a composé, [214, n. 1]. Excellence
de cet ouvrage, 214. Le texte original de ce
livre est grec ; en quel temps ce livre a été
écrit, 214. [Authenticité des Actes contre les
rationalistes, 215, n. 7.] Analyse de ce qu'il
contient, 214, 213. Canonicité de ce livre :
usage de le lire dans l'église; Actes des apô-
tres rejetés par les Manichéens, 213; — et par
Marcion, 11,501 . [Sur quoi il faut réformer l'arti-
cle du tome I où D. Ceillier ne parle que des
Manichéens ;]homéliesd'Origènesur les Actes
des apôtres, 167. Abrégé ou sommaire du
livre des Actes, par saint Pamphile, 328, 529.
— Diverses homélies sur ce livre, par saint
JeanChrysostôme, VII, 101 et suiv. Cinquante-
deux homélies de saint Jean Chrysostôme sur
le livre des Actes des apôtres, 260 et suiv. —
Témoignage de saint Augustin sur la lecture
des Actes des apôtres, IX, 85. — [Commen-
taire de Sévère de Sozopole sur le deuxième
chapitre des Actes, XI, 1 09.] — Actes des apô-
tres mis en vers par Arator, sous-diacre de
l'Eglise romaine, X, 373, 377; XI, 197. Notice
de cet ouvrage, XI, 197, 198. Homélies de saint
Jean Chrysostôme sur les Actes, recueillies
par Cassiodore, 230. Commentaire de Cassio-
dore sur le même livre, 242 et 254. — Com-
mentaire du vénérable Bède sur ce livre;
l'interprétation des noms de lieux dont il est
parlé dans les Actes n'est pas de lui, XII, 9,
Ses ré tractations et ses questions sur les Actes,
10. [Lettre du vénérable Bède sur l'exposi-
tion des Actes, 13 .] Commentaire sur les Actes,
attribué à Haimon d'Halberstat, 433. Com-
mentaire d'Œcuménius sur les Actes des
apôtres, 914, 915. [Le commentaire imprimé
1291.
10
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
sous le nom d'CEcuménius n'est pas de cet
auteur, 914.] — Comment et en quel temps les
Grecs lisent ce livre, XIII, 135. Commentaire
de Théophylacte, archevêque d'Acride, sur
les Actes des apôtres, 536. Commentaires
attribués à Nicétas d'Héraclée, 558.
• ACTES DES APOTRES (Faux), I, 276. —
Faux actes des apôtres rejetés par saint Au-
gustin, IX, 577.
ACTES (Faux) de saint Paul, I, 276.
ACTES (Faux) de saint Paul et de saint
Pierre, I, 276.
ACTES (Faux) de chacun des apôtres.
Voyez au titre particulier de chaque apôtre.
ACTES (faux) de sainte Thècle, I, 276. [Ce
que pensent plusieurs critiques des Actes de
sainte Thècle, p. 276, n. 4.]
ACTES (faux) du martyre de saint Clé-
ment, pape, I, 357 et suiv. [Voyez 358, n. 4.]
ACTES du martyre de saint Ignace d'An-
tioche. Analyse et autorité de ces actes ; édi-
tions de ces actes, I, 389.
ACTES du martyre de sainte Symphorose.
Autorité de ces actes ; analyse de ces actes,
I, 390.
ACTES du martyre de sainte Félicité et de
ses fils, I, 544 et suiv. Autorité de ces actes,
544, 543. Analyse de ces actes, 545 et suiv.
(Éditions de ces Actes, 545, n. 2.)
ACTES du martyre de sainte Sérapie et de
sainte Sabine sans autorité^ I, 391, 392.
ACTES du martyre de saint Eustache sans
autorité, I, 392.
ACTES du martyre de saint Ptolémée.
Leur authenticité, I, 408.
ACTES du martyre de saint Justin, 1, 447,
448. Preuve de la vérité de ces actes, 447.
Le saint Justin qui en est l'objet n'est autre
que le philosophe, 447 et 448. Analyse de
ces actes, 448.
ACTES du martyre de saint Pothin, de
sainte Blandine et autres martyrs de Lyon,
I, 468 et suiv. Autorité de ces actes, 468.
Analyse de ces actes, 468 et suiv. En quel
temps ils ont élé écrits, 470, 471.
ACTES du martyre de saint Alexandre et
de saint Epipode, martyrs de Lyon, I, 471,
472. Autorité de ces actes; ce qu'ils contien-
nent, 471. Martyre de saint Epipode et de
saint Alexandre, 471 et 472. Soin que l'on
prend de leurs reliques; leur verlu. Éditions
de ces actes, 472.
ACTES du martyre de saint Symphorien,
I, 472, 473. Autorité de ces actes; en quel
temps ils peuvent avoir été écrits, 472. Ce
qu'ils contiennent de remarquable, 473.
[Éditions et traductions de ces actes, 473.]
ACTES de plusieurs autres martyrs dans
les Gaules sous l'empire de Marc-Aurèle ; ils
sont sans autorité, I, ^'73. [Voyez 473, n. 4.]
ACTES des martyrs appelés Scillitains, I,
543, 544. Authenticité de ces actes; noms
des martyrs sciUitains; époque de leur mar-
tyre, 543. Analyse des actes de leur mar-
tyre, 543 et 544.
ACTES du martyre de sainte Perpétue, de
sainte Félicité et de leurs compagnons,!, 544
et suiv. Auteurs de ces actes; leur authenti-
cité, 544, 545. [Éditions de ces actes, 543,
n. 2.] Époque du martyre de ces saintes
femmes, 543. Analyse des actes de leur mar-
tyre ; les saints martyrs sont arrêtés ; ils sont
présentés au proconsul et mis en prison; vi-
sions de sainte Perpétue, 545. Les martyrs
sont interrogés et confessent le nom de Jésus-
Christ, 545 et 346. Dinocrate est délivré des
peines du purgatoire par les prières de sainte
Perpétue ; vision de saint Sature, 346. Sainte
Félicité, enceinte, est délivrée par les prières
des confesseurs ; les saints sont exposés aux
bêtes, 547.
ACTES du martyre de saint Léonide, de
saint Plutarque, de sainte Potamienne et de
quelques autres dans la persécution de Sé-
vère, I, 547 et suiv. Martyre de saint Léo-
nide, 547, 548. Martyre de saint Plutarque et
autres disciples d'Origène, 348. Martyre de
sainte Potamienne, de sainte Marcelle et de
saint BasiHde, 548 et 349. Conversions mira-
culeuses; apparitions de sainte Potamienne,
549.
[ACTES du martyre de sainte Cécile, t. Il,
99 et suiv. Voy. Suinte Cécile.]
ACTES des martyrs d'Alexandrie sous le
règne de Philippe, II, 101, 110. Martyre de
saint Mètre et de sainte Quinte ; martyre de
sainte Apolline, de saint Sérapion, 110.
ACTES du martyre de saint Saturnin ,
évêque de Toulouse, II, 110 et suiv. [Époque
où saint Saturnin fut martyrisé, IH, n. 1.]
Analyse de ces actes, 111, 112. Histoire delà
translation des reliques du saint, 112. [Édi-
tions et traductions de ces actes, 112 et 113.]
ACTES du martyre de saint Pione, prêtre
de Smyrne, II, 113 et suiv. Époque du mar-
tyre de saint Pione, 113, 114. Qui était ce
saint; analyse des actes de son martyre;
il est arrêté pour la foi, 114. Il est interrogé
juridiquement, il confesse Jésus-Christ, 114
et 115. Il est ramené en prison ; on le traîne
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
11-
dans le temple des idoles; il paraît devant le
proconsul qui le condamne à être brûlé vif.
[Éditions de ces actes, US.]
ACTES du martyre de saint Acace, évêque
d'Orient, II, 117.
ACTES du martyre de saint Maxime, mar-
chand en Asie, II, H7, 118.
ACTES du martyre de saint Pierre, saint
André, saint Paul et sainte Denyse, vierge,
à Lampsaque, II, 118, 119.
ACTES du martyre da saint Tryphon et de
saint Respice en Bithynie, II, 119, 120.
ACTES du martyre de saint Lucien et de
saint Marcien en Bithynie, 11, 120. [Autres
actes de leur martyre, 120, n. 4.]
ACTES du martyre de saint Hippolyle ,
prêtre de l'Église de Rome, II, 120, 121.
A CTES du martyre de sainte Agathe, vierge,
en Sicile, II, 121, 122. [Pièces relatives à
sainte Agathe, 122, n. 4.]
ACTES du martyre de saintCyprien, évêque
de Carthage, II, 386.
ACTES du martyre de saint Fructueux,
évêque de Tarragone, II, 387, 388. Ces actes
sont authentiques, 387. Précis de ces actes;
en quel temps ce saint a souffert le martyre,
387 et 388.
ACTES du martyre des saints Luce, Mon-
tan et de leurs compagnons, II, 388 et suiv.
Ces actes sont sincères ; en quel temps ces
martyrs ont soutTert, 388. Analyse de ces
actes, 388, 389.
ACTES du martyre de saint Jacques,
diacre, et de saint Marcien, lecteur, II, 390
et suiv. Ces actes sont sincères ; en quel
temps ces saints ont souffert, 390, 391. Ana-
lyse de ces actes, 391, 392.
ACTES dû martyre de saint Nicéphore,
martyr à Antioche ; ces actes sont sincères ;
analyse de ces actes, II, 392, 393.
ACTES du martyre de saint Cyrille, II, 393.
ACTES du martyre des saints Prisque,
Malch et Alexandre, II, 393, 394.
ACTES du martyre de saint Marin, II, 392.
ACTES de saint Félix, prêtre de Noie, et
confesseur, II, 394 et suiv.
ACTES du martyre de saint Etienne, pape,
II, 421 et suiv. [Jugement sur ces actes et sur
d'autres, rectificatif de celui de D. CeilHer,
422, n. 1.]
ACTES du martyre de saint Laurent, diacre
de Rome, II, 423 et suiv. Ces actes sont sin-
cères, 423, 424. En quel temps ce saint a
souffert, 424. Analyse des actes de son mar-
tyre, 424, 423.
ACTES des martyrs d'Utique appelés la
Masse-Blanche, II, 423, 426.
ACTES faux du martyr d'Athénogène, II,
463, 464.
[ACTES des martyrs Victorin, Victor, Nicé-
phore, Claudien, Diodore et Papias; leurs
actes publiés par Assémani ; analyse de ces
actes, II, 464,465.] Autre analyse de ces actes
publiés par Assémani, III, 343.
ACTES du martyre des saints Claude, As-
tère et Néon, et des saintes Domnine etThéo-
nille, n, 465 et suiv. Ces actes sont sincères ;
en 'quel temps ces martyrs ont souffert, 465.
Analyse de ces actes, 466.
ACTES du martyre de saint Genès, II, 467,
468. 11 était comédien à Rome ; en quel temps
il a souffert, 467. Analyse de ces actes, 467
et 468.
[ACTES des sept martyrs de Samosate :
Hipparque, Philothée, Jacques, Parayrus ,
Halicle, Romain et LolUen, II, 409 et suiv.]
Autre analyse des actes publiés par Assé-
mani, III, 347 et suiv.
ACTES du martjj-re de saint Maurice et des
autres martyrs de la légion thébaine avec
les actes du martyre de saint Victor, soldat;
les actes du martyre de saint Maurice sont
sincères, II, 471 et suiv. [Voyez aussi 473,
n. 3.] Analyse de ces actes, 473, 474. Mar-
tyre de saint Victor, soldat, 474.
ACTES de saint Donatien et de saint Roga-
tien, martyrs à Nantes, II, 473, 476. Ces actes
ont le mérite des originaux, 473. Analyse de
ces actes, 473 et 476.
ACTES du martyre de saint Boniface; ces
actes sont douteux ou du moins altérés ;
II, 476. [Authenticité de ces actes, 476, n. 4.]
En quel temps on suppose que saint Boni-
face a souffert, 476, 477. Analyse de ces
actes, 477.
ACTES de saint Victor, martyr à Marseille ;
en quel temps ce saint a souffert ; ces actes
sont sincères, 11,477. [Voyez 477, n. 6.] Ana-
lyse de ces actes, 478, 479. — Actes du mar-
tyre de saint Victor attribués à Jean Cassien,
VIIJ, 200.
ACTES du martyre de saint Maximihen,
h, 479, 480. Ces actes sont sincères; en quel
temps ce saint a souffert, 479. Analyse de ces
actes, 479 et 480.
[ACTES du martyre de sainte Stratonice
[et non Stratomie], de saint Séleucus son
époux, à Cyzique en Mésie, II, 481 et suiv.
Ces actes sont publiés par Assémani; au-
thenticité de ces actes ; analyse de ces actes.
HISTOIRE DES -AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
12
481 et suiv.] Voyez les actes publiés par As-
sémani, III, 345 et suiv.
[ACTES du martyr du saint prêtre Eusèbe,
II, 483, 484.]
ACTES du martyre de saint Marcel, cente-
nier, et de saint Cassien, greffier, tous deux
martyrs àTanger, en Mauritanie, 11,484,485.
En quel temps ces saints ont soufifert ; leurs
actes sont sincères, 484. Analyse des actes
de saint Marcel, 484, 485. Analyse des actes
de saint Cassien, 485.
ACTES des martyrs dans la persécution de
Dioclétien, III, 1 et suiv.
ACTES des martyrs de Palestine, III, 3 et
suiv. [Note sur ces actes, 4, n. 7; 7, n. 3.]
Ces actes sont recueillis par Eusèbe de Césa.
rée, 3 et suiv., 343. Martyre de saint Pro-
cope; en quel temps ce saint souffrit, 3, 4 et
351. Aulres martyrs qui souffrirent dans le
même temps ; martyre de saint Alphée et de
saint Zachée,4; de saint Romain et de saint
Barulas, 5, 6; des saints Timothée et Agape,
de sainte Tliècle et de huit autres, 6; de saint
Appien, 6, 7; de saint Ulpien, 7; de saint
Edèse, 7 et 8; de saint Agape, 8; de sainte
Tliéodosie et des saints Domnin et Auxence,
8, 9. Confesseurs de la Palestine, et martyre
de sainte Valentine et de saint Paul, 9, 10.
Cent trente confesseurs envoyés aux mines ;
martyre des saints Antonin, Zébinas et Ger-
main, 10; de sainte Ennathas, 10 et 11 ; de
quelques Égyptiens, des saints Ares, Promus
et Elle; de saint Pierre Apselame et d'Asclé-
pius Marcionite, H ; de quelques chrétiens
d'Egypte et de saint Pamphyle, prêtre de
Césarée, 11 et 12; de saint Porphyre et de
saint Séleucus, 12; de saint Théodule et de
saint Julien, 12 et 13; des saints Adrien et
Eubule ; des saints Pelée, Nil, Élie et Pater-
mouthi, 13; de saint Silvain, de saint Jean et
de plusieurs autres, 13 et 14.
ACTES du martyre de saint Théodote, ca-
baretier à Ancyre et de sept vierges, III, 14
et suiv. Les actes de saint Théodote sontsin-
cères; en quel temps il souffrit, 14. Analyse
de ces actes, 14 et suiv. Secours que Théo-
dote rendait aux confesseurs, 14, 15. Martyre
de saint Victor; suite des actes de saint Théo-
dote, 15. Martyre de sept vierges, 15 et suiv.
ACTES du martyre de saint Félix, évêque
de Thibare en Afrique ; ces actes sont sin-
cères ; analyse de ces actes ; saint Félix meurt
par le glaive, 111, 18. On a joint ces actes aux
œuvres de saint Optât, V, 142.
ACTES du martyre de saint Vincent, diacre
de l'Église de Saragosse en Espagne, III,
19, 20. Ces actes sont dignes de foi; analyse
de ces actes, 19. Mort de saint Vincent; son
corps est jeté aux bêtes; Dieu le conserve
miraculeusement, 20, 21.
ACTES du martyre des saints Saturnin,
Dative et autres martyrs de Carthage, III,
20 et suiv. Ces actes sont sincères, 20. Ana-
lyse de ces actes, 20 et suiv. Confession de
saint Dative et de saint Théhque ; confession
de sainte Victoire, 21. Confession du prêtre
Saturnin et d'Emérite, lecteur, 21 et 22.
Confession de Félix, d'Ampèle et de quel-
ques autres ; confession de saint Saturnin le
Jeune, 22. Seconde confession de sainte Vic-
toire, 22 et 23. Confession d'Hilarion, 23. — On
a joint ces actes aux œuvres de saint Optât,
V, 142.
ACTES du martyre des saintes Agape,
Quionie et Irène, sœurs, III, 23 et suiv. Actes
faux; actes sincères,23. Analyse de ces actes,
23 et suiv. Martyre des saintes Agape, Quio-
nie et Irène, 24, 25.
ACTES du martyre de saint Didyme et de
sainte Théodore, vierge, martyrs à Alexan-
drie, III, 23 et suiv. Ces actes sont sincères;
en quel temps ces saints ont souffert, 25.
Analyse de ces actes, 25 et suiv.
ACTES du martyre de saint Irénée, évêque
de Sirmich, et de saint Pollion, lecteur de
Cibales dans la Pannonie, III, 27, 28. Ces
actes sont sincères; en quel temps ces saints
ont souffert, 27. Analyse des actes de saint
Irénée, 27 et 28. Analyse des actes de saint
Pollion, 28.
ACTES dumartyre de sainte Sotère, vierge,
et de saint Pancrace, martyrs à Rome; his-
toire de sainte Sotère ; en quel temps elle a
souffert, III, 28, 29. Actes du martyre de
saint Pancrace ; il y a lieu de douter s'ils sont
sincères, 29.
ACTES du martyre de sainte Afre, m.ar-
tyre à Augsbourg, 111, 29 et suiv. Ces actes
sont sincères, 29. Analyse de ces actes, 29 et
suiv. Sainte Afre consomme son martyre par
le feu ; martyre de sa mère Hilaire et de ses
trois servantes. Digne, Eunomie et Entro-
pie, 30.
ACTES du martyre de saint Euplius; ces
actes sont sincères, III, 30,31. Analyse de ces
actes, 31.
ACTES du martyre des saints Taraque,
Probe et Andi-onic, III, 31 et suiv. Ces actes
sont sincères, 31 , 32. En quel temps ces saints
ont souffert, 32. Analyse de leurs actes, 32
TABLE GÉNÉRALE DÉS MATIÈRES.
13
et suiv. Premier interrogatoire , 32 , 33.
Second interrogatoire, 33, 34. Troisième in-
terrogatoire, 34, 35. Dernier combat des
martyrs, 35. Les chrétiens enlèvent les corps
de ces martyrs, 35 et 36. [Réflexions sur ces
actes, 36, n. 1.]
ACTES du martyre de saint Philippe, évo-
que d'Héraclée, et des saints Sévère, prêtre,
et Hermès, diacre, III, 36 et suiv. Ces actes
sont sincères, 36. Analyse de ces actes, 36
et suiv.
ACTES de sainte Crispine, martyre en
Afrique, 111, 38, 39. Ces actes sont sincères
38. Analyse de ces actes, 38 et 39.
ACTES de sainte Eulalie, martyre en Es-
pagne, III, 39, 40.
ACTES du martyre de sainte Agnès, III, 40
et 41. Ces actes ne sont pas sincères, 41, 42.
[Voyez pourtant 40, n, 8.] Analyse de ce
que les saints Pères ont dit de cette sainte,
40,41.
ACTES du martyre des saints Vital et Agri-
cole, III, 41.
ACTES de saint Julien, martyr à Brioude
en Auvergne; ils ne sont pas originaux, III,
41, 42. Histoire de ce martyr, 42.
ACTES de saint Ferréol, martyr à Vienne
dans les Gaules; ils ne sont pas originaux;
analyse de ces actes, III, 42.
ACTES du martyre de saint Cyr et de
sainte Julitte sa mère; ces actes ont été reje-
tés comme faux, III, 42, 43. Histoire de ces
martyrs lirée d'une lettre de Théodore ,
évêque d'Icône, 43, 44. — [Actes du mar-
tyre de saintCyr et de sainte Julitte par saint
Nicéphore , patriarche de Conslantinople ,
XII, 297. Voyez l'article de saint Cyr.]
ACTES des dix-huit martyrs de Saragosse,
ni, 44,
ACTES du martyre de sainte Engratide ou
Engratie, III, 44.
ACTES de saint Théodore, martyr à Ama-
sée, III, 44 et suiv. Ces actes ne paraissent
pas sincères, 44. Histoire du martyre de ce
saint, tirée de saint Grégoire de Nysse, 48
et suiv.
ACTES du martyre des saintes Bérénice,
Prosdoce et Domnine, leur mère, III, 46, 47.
Apologie de ces saintes, 46. Histoire de leur
martyre, 46 et 47.
ACTES du martyre de saint Apollone ,
diacre, et de saint Philémon, III, 49, 50. Ces
actes sont sincères, 49. Analyse de ces actes,
49 et 50.
ACTES du martyre de sainte Euphémie,
vierge; divers actes de sainte Euphémie;
ceux que nous avons de saint Astère sont
sincères, 111, 50, 51. Analyse de ces actes,
51.
ACTES du martyre de saint Serène, ces
actes sont sincères; analyse de ce qu'ils con-
tiennent, 111, 51.
ACTES dumartyrede saintPhiléas, évêque
de Thmuis et de saint Philorome, trésorier
d'Egypte, ni, 51 et suiv. Ces actes sont sin-
cères, 52, 33. Analyse de ces actes, 53, 54.
ACTES du martyre de saint Quirin, évêque
de Siscie, III, 54 et suiv. Ces actes sont sin-
cères, S5. Analyse de ces actes, 55, 56.
ACTES (Faux) du martyre de saint Pierre
d'Alexandrie, III, 56, 57. [Actes authentiques
publiés par Maï, 57, n. 4.]
[ACTES de saint Cyr et de saint Léon,
martyrs à Alexandrie, 111, 61, 62.]
ACTES (Faux) du martyre de saint Lucien,
prêtre d'Antioche, 111, 74.
ACTES du martyre de saint Balaam ; ces
actes sont tirés de deux homélies de saint
Chrysostôme, 111, 77, 78. Analyse de cequ'ils
contiennent, 78.
ACTES du martyr de saint Gordie ou Gor-
dius, III, 78 et suiv. Ces actes sont tirés de
saint Basile, 78. Analyse de ce qu'ils con-
tiennent, 78 et suiv.
ACTES du martyre de sainte Julitte; ces
actes sont tirés de saint Basile; analyse de ce
qu'ils contiennent, III, 80.
ACTES du martyre de sainte Pélagie, III,
80, 81. Les actes de cette sainte sont tirés de
saint Chrysostôme, 80. Martyre de la mère
et des soeurs de sainte Pélagie, 81 .
ACTES du martyi'e de saint Pierre Balsame,
III, 81, 82. Ce saint n'est pas le même que
saint Pierre Apselame, 81. Analyse des actes
de saint Pierre Balsame, 81, 82.
ACTES des quarante martyrs, III , 82 et suiv.
Ces martyrs ont souffert sous Licinius; quels
ils étaient, 83. Analyse de leurs actes, 83, 84.
ACTE S de plusieurs martyrs dont le temps
nous est inconnu, 111, 84 et suiv.
ACTES du martyre de saint Arcade, III,
84, 85. Ces actes sont fidèles, 84. Analyse de
ce qu'ils contiennent, 84, 83.
ACTES du martyre de saint Cassien, III,
85, 86.
ACTES du martyre des saints Fauste, Jan-
vier et Martial; jugement de ces actes; ana-
lyse de ce qu'ils contiennent, III, 86.
ACTES du martyre de sainte Drosis, vierge,
III, 86, 87.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
ACTES dn martyre de saint Genès, gref-
Cer à Arles, III, 87.
ACTES du martyre de saint Julien de Cili-
cie,in, 87, 88.
ACTES du martyre de saint Léon et de
saint Parégoire à Patare en Lycie, 111,88,89.
ACTES du martyre de saint Jules àDoros-
tore dans la Mésie, III, 89, 9i).
ACTES de saint Vicandre et de saint Mar-
cion, martyrs dans la Mésie, ID, 90, 91.
ACTES dumarlyre de saint Patrice, évêque
de Pruse dans !a Bithynie, III, 92.
ACTES du martyre de trente-sept Égyp-
tiens, III, 92, 93.
ACTES du martyre de saint Phocas de la
■ville de Sinope dans le Pont, III, 93, 94.
ACTES de vingt martyrs d'Afrique, III,
94, 95.
ACTES (Faux) de saint Athénogène, mar-
tyr, III, 93.
ACTES du martyre de saint Cyprien sur-
nommé d'Antioclie et de sainte Justine,
vierge, III, 93 et suiv.
ACTES de plusieurs martyrs qui ont souf-
fert dans les persécutions de Dioclétien, de
Galère et de Licinius, III, 99 et suiv.
ACTES divers qui ne peuvent passer pour
sincères, III, 99 et suiv. [Plusieurs notes rela-
tives à ces actes, 99.] Actes du martyre de
saint Sébastien, 99, 100.
ACTES du martyre de saint Sébastien
faussement attribués à saint Ambroise , V,
513.
ACTES de saint Prime et de saint Félicien,
de saint Sisinne et de saint Anthime, III,
100; de saint Quentin et de saint Denis de
Paris, 100 et 101. (Dom Ceiliier dit néan-
moins qu'on croit que saint Denis souffrit le
martyre en 273, sous la persécution d'Auré-
lien.) [Il est plus probable que ce fut au
1" siècle.] Actes de saint Janvier et de ses
compagnons, 101; de saint Acace, soldat,
101 et 102; de saint Gurie et de saint Sa-
mone, 102, 103 ; de saint Mammaire et de ses
compagnons, 103, 104.
ACTES des martyrs de Perse, III, 318 et
suiv. Actes du martyre de saint Siméou, ar-
chevêque de Séleucie en Perse, 319. Il con-
fesse la foi devant Sapor, 319 et 320. II con-
vertit l'eunuque Usthasade, qui soutfre
ensuite le martyre, 320. Saint Siméon eot
martyrisé et plusieurs autres avec lui, 320 et
321. Martyre des sœurs de saint Siméon,
321, 322. Martyre de saint Acepsimas, évéque
db la province d'Adiabène eu Perse; martyre
d'une multitude de personnes consacrées à
Dieu qui ont souffert sous le roi Sapor, 322.
Martyre de saint Mille, évéque en Perse,
322 et 323. Martyre de saint Sadotb, évêque
de Séleucie, avec cent vingt-buit autres, 323.
Martyrede saint Badème, abbé en Perse, 324.
ACTES des martyrs d'Orient et d'Occident
recueillis par Assémani, archevêque d'Apa-
mée, III, 324 et suiv. [Comment Dom Ceilliei'
annonce ce travail, 324, n. 1.] Actes des mar-
tyrs sous Sapor II, roi de Perse, 323 et suiv.
Ces actes ont pour auteur saint Maruthas,
324. Ce que contient le premier tome de cette
collection, 324et suiv. Actes de saint Siméon,
archevêque de Séleucie, 326 et suiv. Diffi-
cultés sur l'année de la persécution, 328.
Autres martyrs de Perse, 328 et suiv. Actes
de quelques autres martyrs qui ont souffert
dans la Perse, 338 et suiv. Martyrs en Perse
dans la persécution d'Isdegerde, 342, 343.
Actes recueillis dans le second tome, 343 et
suiv. Actes des martyrs d'Occident, 343 et
suiv. Vie de saint Siméon Stylite, 353 et suiv.
ACTES de plusieurs martyrs dans la per-
sécution de Julien l'Apostat, III, 401 et suiv.
Confession de Romain, soldat, et de quelques-
uns de ses compagnons, 401, 402. Martyre
de saint Cyiille, diacre à Héliopolis près du
mont Liban; de saint Émilien à Dorostore en
Thrace; des saints Eusèbe, Nestabe et Zenon
frères, à Gaze en Palestine, 402 ; de saint Nes-
tor, leur compagnon; des saints Macédonius,
Théodule et Tatien à Myre en Pbvygie ; mar-
tyre de deux jeunes hommes de Sessinonte
en Galatie, 403. Martyre de saint Basile,
prêtre de la ville d'Ancyre, 403 et suiv. Il
prêche la foi par toute la ville; il est mis en
prison et tourmenté ; sa confession devant
Julien, 403, 404. On lui fait souffrir de nou-
veaux tourments ; sa mort, 404, 403. Les actes
de saint Basile sont sincères ; martyre de
saint Eupsyque à Césarée en Cappadoce ;
quelle en fut l'occasion, 403. Martyie de saint
Théodore à Antioche, 403 et 406. Confession
de sainte Publie à Antioche, 406, 407. Mar.
lyre de saint Théodoret, prêtre d'Anlioche,
407 et suiv. Les actes du martyre de saint
Théodoret sont sincères, 407. Analyse de ces
actes, 407 et suiv. En quel temps ce saint
soutfrit le martyre, 409. Martyre des saints
Bonose et Maxiiuilien dans la légion hercu-
léenne; les actes de ces saints martyrs sont
sincères, 409, 410. Analyse de ces actes ; les
martyrs sont plongés dans une chaudière de
poix bouillante, 410. Ils sont mis en prison
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
dS
où le prince Hormisdas vient les visiter, 410
et 411. Ils consomment leur martyre avec
Jovien et Herculien, 411. Martj're de saint
Juventin et de saint Maximin; témoignage
que rendent ces saints martyrs h l'occasion
des fonlaines que Julien avait fait pol-
luer^ 411, 412. Us sont mis en prison; leur
martyre ; marlja-e d'Arlémius, duc d'Egypte ;
confession de Valentinieu, 412. Confession
de Philorome, 413.
ACTES supposés de divers martyrs que
l'on prétend avoir souffert dans la persécu-
tion de Julien : actes supposés du martyre de
saint Jean et de saint Paul; actes supposés de
saint Gordien, de saint Donat, de saint Hila-
rion, de saint Pelin et de saint Éliphe, IIT, 413.
ACTES du martyre de saint Sabas dans la
persécution d'Athanaric, roi des Goths, IV,
281 et suiv.
ACTES du martyre des saints anacliorètes
Paul, Isaïe, Sabas et les autres, tués par les
barbares dans les solitudes de Sinaï et de
Raïthe, IV, 283 et suiv. Leurs actes sont au-
thentiques, 283, 284. Analyse de ces actes,
284 et suiv.
ACTES du martyre des solitaires de Sinaï,
VIII, 231. Manière de vivre de ces solitaires,
230, 231. Les Sarrasins viennent les atta-
quer; ces barbares mettent à mort le prêtre
Théodule et plusieurs autres solitaires ; ces
solitaires sont lionorés comme martyrs, 234.
— [Actes des saints Speusippe, Eleusippe,
Méleusippe, XI, 631.]
[ACTES du martyre des solitaires de la
laure de saint Sabas, composés parle prêtre
Antiochus, XI, 697, 698.]
[ACTES des martyrs : règles données par
certains critiques pour juger de l'autlienticité
de ces actes démenties par des actes origi-
naux et authentiques, UT, 18, n. 1 ; 29, n. 4;
33,n.l; 36, n. l;39,n. 3; 45, n. 3. Plusieurs
actes jugés inacceptables par Dom Ceillier
sontreconnuscommeauthentiques, 99,n. 2 et
suiv., 100, n. 2, 3; 101, n. 2, 4, 9, lO; 102,
n. 1 ; 184, n. 6.] — On les lisait partout au
jour de la fête des martyrs au v^ siècle; à la
fin du V'' siècle, le Saint-Siège fait rédiger les
actes authentiques des martyrs, II, 100. —
En quelques endroits, les persécutions em-
pêchaient qu'on ne les écrivît, III, 19. Actes
des martyrs recueillis par les chrétiens, 32.
Actes des anciens martyrs recueillis par Eu-
sèbe de Césarée, 3 et suiv. et 349. — Témoi-
gnage du pape saint Grégoire qui répand des
doutes sur les actes qu'on a sous le nom de
plusieurs martyrs de l'Église de Rome ,
XI, 511.
ACTES (Faux) de saint Silvestre, pape,
VI, 89 et suiv.
ACTES de Pelage. Livre de saint Augustin
au sujet de ce qui s'était passé au concile de
Diospolis, IX, 443 et suiv.
ACTES des évêques de Toul; jusqu'où ils
s'étendent, XIII, 183, 186.
ACTES (Faux) du concile de Nicée ,
llî, 446.
ACTES. Au vi'^ siècle, dans la province
d'Anjou, c'était un diacre qui passait les
actes, XII, 712.
ACTION de grâces, sujet d'une homélie de
saint Basile le Grand, IV, 378, 379. — Homé-
lie de saint Maxime de Turin sur l'action de
grâces après le repas, X, 322.
ACTIONS. Doctrine de Tertullien, I, 81.
Doctrine d'Origène, 243, 244; — de saint
Éphrem, VI, 69; — de Cassien, VIII, 185.
Voyez Vertus, Vices et Œuvres.
ACYNDlNUS (ce nom qui vient du grec
doit s'écrire Acindynus). Voyez Acindynus.
AD, monastère de saint Épiphane en Pales-
tine, VI, 375.
[ADAI ou ADÉE, apôtre, livre apocryphe
des histoires des saints Pères, enseignement
de l'apôtre Adaï, I, 269.]
ADALANDE ou ADALAUDE, archevêque
de Tours, fait revenir à Tours les reliques de
saint Martin, XIII, 744. (On varie sur son
nom : Adalardiis, Adalandus, Adalaudus,
Adaladus, Adhelardus.)
ADALARD ou ADHALARD ou ADELHARD
(Saint), abbé de Corbie, XII, 274 et suiv. Sa y. 753.
naissance ; il est élevé à la cour du roi Pépin ;
il se fait moine à Corbie, puis fait un voyage
en Italie au mont Cassin; à son retour il est
élu abbé de Corbie; Charlemagne le donne
pour premier ministre à son fils Pépin qu'il we.
avait fait roi d'Italie, 274 Sa disgrâce sous
Louis le Débonnaire ; son innocence ayant
été reconnue, il retourne à son abbaye de
Corbie ; il fonde en Saxe la nouvelle Corbie; gas.
l'empereur confirme ce nouvel établisse-
ment; mort d'Adalard, 275. Son éloge, 275 gae.
et 276. Ses statuts, 276. Ses discours; juge-
ment prononcé par Adalard lorsqu'il gouver-
nait le royaume d'Italie; Ordre du palais, ou-
vrage de cet abbé, que nous n'avons plus, 277.
Sa vie, écrite par saint Paschase Radbert, 274.
Lettre que lui écrit Paul, diacre, en lui en-
voyant une copie de quelques lettres de saint
Grégoire le Grand, 146. Adalard fut quelque-
i6
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
fois nommé Antoine et Augustin. Durée de
son exil, 533. Églogue sur sa mort (peut-être
par saint Gérauld), 5M. Sa \ie, écrite par
saint Pascliase Radbert, retouchée par saint
Gérauld, abbé de Sauve-Majeur, 274, 544.
Églogue en vers sur sa mort par saint Gérard
(ou Gérauld) ; répons et antiennes pour son
office ; recueil de ses miracles par le même,
544. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la Ft^ance, t. IV, p. 484 et suiv.)
X siècle. ADALARD, évéque de Vérone, excommu-
nié par Jean VIII, pour s'être emparé du mo-
nastère de Xonantule, XII, 643.
ADALARD, abbé de Rlandigni ou Blan-
dimberg, auteur d'une vie de saint Dunstan,
archevêque de Cantorbéry ; idée de cette vie,
XIII, 58. (Voyez ce qui est dit de lui dans
l'Histoire littéraire de la France, t. VII
p. 228.)
ADALAUDE, archevêque de Tours. Voyez
Adalande.
9jig_ ADALBÉRON (Saint), évêque d'Augsbourg.
auparavant abbé d'Elvangen (il écrivit quel-
ques vies, comme celle de saint Hariolphe,
premier abbé d'Elvangen- : Dom Ceillier n'en
parle pas, mais voyez du Pin et Moréi'i) ; on
croit que c'est celui à qui Réginon a dédié sa
chronique, XII, 769. Présents qu'il fait à l'ab-
baye et aux religieux de Saint-Gall, 770.
ADALBÉRON, évêque de Metz, succède à
Bernon, XIII, 743. — Sa mort, XII, 868.
927, ADALBÉRON, évêque de Metz : sa lettre
circulaire au sujet d'un homicide pénitent,
XIII, 98. (Il reste à savoir si cette lettre est de
0 celui qui précède ou de celui qui suit.)
ADALBÉRON II, évêque de Metz : sa vie
et son épitaphe composées par saint Constan-
tin, abbé de saint Symphorien; analyse de
cette vie, XIII, 72.
ADALBÉRON IV, évêque de Metz, est élu
après la mort de Popon, XIII, 585.
ADALBÉRON, archevêque de Reims, fils
de Godefroi, comte d'Ardenne, est élevé à
gg9_ l'abbaye de Gorze ; succède à Odabric; éloge
de son administration; le roi Lothaîre le fait
987. son chancelier; il sacre Hugues-Capet qui le
constitue dans sa dignité de chancelier; il se
justifie sur le sacre de Hugues en montrant
que c'était plutôt l'ouvrage de l'État que le
988_ sien; sa lettre à ce sujet; sa mort; on lejus-
tifie contre les invectives de la petite chronique
de Reims; son discours lorsqu'il introduit
des moines au monastère de Mouzon qu'il
avait fondé , XII , 870. Ses lettres insérées
parmi celles de Gerbert, 870,871. Distique
qu'il avait fait graver sur le calice à son
usage; autre inscription pour une patène,
871. [Ses écrits dans la Patrologie, 871.]
Sentence d'excommunication qu'il prononce
contre Thibault, usurpateur de l'évêché
d'Amiens, 871. — Concile qu'il tient à Reims,
XIII, 760. Sa mort, 761. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. VI,
p. 444 et suiv.)
ADALBÉRON, écolâtre d'Utrecht. Voyez
Adelbéron.
ADALBÉRON (surnommé Ascelin), évêque
de Laon ; lettre que lui écrivit saint Fulbert
au sujet de l'assassinat d'Evrard, sous-doyen
de l'Église de Chartres, XIII, 83. Il veut se
donner un successeur avant sa mort : Gérard,
évêque de Cambrai, empêche l'exécution de
ce dessein, 163. [Poème d'Adalbéron adressé
au roi Robert, 163, n. 4.] (Il a laissé quelques
écrits. Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. VII, p. 290 et suiv.)
ADALBÉRON, désigné évêque d'Augs-
bourg à la demande de saint Udalric son
oncle, XIII, 758, 759.
ADALBERON ou ALBÉRON, archevêque
de Trêves ; [le pape Innocent II lui écrit, XIV,
265, 266]; lettre de reproches que lui écrit
Hugues Métellus ; saint Bernard prend sa dé-
fense, 333. Autre lettre que Hugues lui écrit,
366. Lettres que saint Bernard écrit en son
nom au pape Innocent II, 439. [Notices sur
Adalbéron, ses trois lettres, pièces qui le con-
cernent dans la Patrologie, 440, n. 6.]
ADALBERT ou ADELBERT ou ALDE-
BERT, prêtre gaulois, l'un des imposteurs
contre lesquels sévit le concile de Leptines,
est mis en prison, XII, 30. Ils sont jugés dans
un concile de Rome; ce que le pape Zacha-
rie ordonne à leur égard, 31. — Ses supers-
titions et ses erreurs condamnées au concile
de Soissons, XIII, 608. Quelles étaient ces
superstitions et ces erreurs; elles sont dé-
noncées au pape Zacharie qui les condamne
dans un concile, 609. (11 avait composé quel-
ques écrits. Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. IV, p. 82 et suiv.)
ADALBERT, évêque de Troyes; sa mort,
XII, 493.
ADALBERT, moine de Fleury, auteur de
l'histoire de la translation de saint Benoît,
confondu avec Adrevald, auteur de l'histoire
de ses miracles, Xil, 629. (Voyez ce qui est
écrit de lui à l'occasion d'Adrevald dans
l'Histoire littéraire de la France, t. V, p. 513
et suiv.)
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
17
[ADALBERT, évêque de Maurienne, cité à
un concile de Rome, XII, 648.]
ADALBERT, écolâtre de Saint-Vincent,
évêque de Metz ; ce qu'on sait des circons-
tances de sa vie; sa chronique, XII, 861. Son
abrégé des miracles de saint Grégoire; ces
deux ouvrages n'ont pas encore été impri-
més, 862. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. VI, p. 393, et le sup-
plément qui est à la tête du même tome,
p. xxvj.)
ADALBERT (Saint), premier archevêque
de Magdebourg , reçoit le pallium du pape
Jean XIII, XII, 834. Se retire à Rome dans un
monastère et est ensuite rappelé en Bohême,
837.
ADALBERT (Saint), évêque de Prague, est
envoyé à Magdebourg par ses parents pour y
être élevé sous les yeux de l'archevêque
Adalbert, XIII, 93, 96. Il succède à Dithmar,
évêque de Prague ; l'indocilité de son peuple
le porte à se retirer ; il revient à Prague et
envoie des missionnaires en Hongrie ; il aban-
donne Prague une seconde fois et va prêcher
la foi en Prusse ; il y est tué par les païens;
[son homélie pour la fête de saint Alexis;
profession de la règle de Saint-Benoît par
saint Adalbert, 96]. Sa Vie écrite par deux
anonymes, 96. — Il quitte son évêché pour se
retirer dans un monastère; le pape Jean XV
le renvoie à son évêché, XII, 837. — Les
mêmes faits répétés; concile de Rome qui lui
ordonne de retourner à son diocèse qu'il
avait quitté à cause de l'indocilité des peuples,
XIII, 760. — Sa Vie, faussement attribuée à
Gerbert, archevêque de Reims, XII, 910; —
et à Cosme, doyen de l'Eglise de Prague,
XUI, 93, 96. Elle est d'un moine de Saint-
Alexis de Rome, 95 [et n. 9. Editions de celte
Vie, 96].
ADALBERT, premier abbé du monastère
de Séon en Bavière, XIII, 99.
ADALBERT, clerc de Reims. (On a de lui
un fragment de sermon. Voyez ce qui en est
dit dans l'Histoire littéraire de la France, t. VII,
p. 436.)
ADALBERT, archevêque de Brème ou de
Hambourg, fait des reproches à Harlold (ou
Harold), roi de Norwége, XIII, 286. Concile
qu'il convoque, 290. — Sa mort, XIV, 201-
Histoire de son épiscopat par Adam de Brème,
203 et suiv, [Lettre qu'adresse à Adalbert le
pape Victor II, XIU, 240.]
ADALBERT, moine de Spaldingen en An-
gleterre. Ses extraits du commentaire de saint
TA6. I.
V. 1014.
865.
Grégoire sur Job; autres écrits que Pitséus,
lui attribue, XIV, 346.
ADALBERT, usurpateur de l'évêché de
Ravenne, est obligé de le céder à Arnoul ; on
lui donne l'évêché d'Aricie, XIV, 1037.
ADALGAIRE, évêque d'Autun. Le pape
Jean VIII lui accorde le paUium, XII, 643.
ADALGAIRE, moine de la Nouvelle-Corbie,
accompagne saint Rembert dans son évêché
de Hambourg; il devient ensuite son coadju-
teur, XU, 698. [Lettre du pape Formose à
Adalgaire au sujet du différend survenu entre
Adalgaire et Heriman, 739. Le pape Ser-
gius m écrit à Adalgaire, 743. Le pape
Léon VII lui écrit, 829, ainsi que le pape
Agapet II, 830.]
ADALGASE, abbé, fonde à Palmat en Pé-
rigord une communauté qu'il transfère en-
suite à Vabres en Rouergue, XII, 793.
ADALGISE, moine de Saint-Thierry de
Reims. (Il est auteur d'une relation des mi-
racles de saint Thierry. Voyez son article dans
V Histoire littéraire de la France, t. XI, p. 10
et suiv.)
ADALHARD (Saint), abbé de Corbie. Voyez
Adalard (Saint).
ADALOLFE, abbé de Saint-Bertin, fait faire
par le moine Folcuin le recueil chronologique
des chartes et diplômes de son monastère,
XII, 861.
ADALRAM, évêque de Salzbourg. Son épi- ix siècle,
taphe, XII, 477.
ADAM, premier homme, n'a rien écrit, I.
262. Ouvrages supposés sous son nom, 263
[et 263, n. 12]. Doctrine d'Athénagore sur
Adam, 485, n. 4. Erreur de Tatien sur Adam,
489; réfutée par saint Irénée, 308. Doctrine
de saint Irénée sur Adam, 528. Doctrine de
saint Clément d'Alexandrie, 602. — Doctrine
d'Origène, II, 249 et 230. — Témoignage de
saint Basile sur le lieu de la mort d'Adam,
IV, 375. — Hérétiques qui ont nié le salut
d'Adam, VI, 393. Témoignage de saint Épi-
phane sur Adam, 426. — Témoignage de
saint Jean Chrysostôme, VII, 334, 353. [Ho-
mélies de saint Jean Chrysostôme sur Adam
et sur Eve, 148.] Transgression d'Adam ; su-
jet d'une homélie attribuée faussement à Jean
de Jérusalem, 502. Témoignage de saint Jé-
rôme sur Adam, 657. — Doctrine de saint
Augustin sur Adam, IX, 143, 206, 309, 418,
727. Grâce d'Adam et son libre arbitre, 673,
676. Adam avait-il reçu le don de la persé-
vérance, 676 et suiv. Grâce des deux états,
681 et suiv. Quelle liberté nous avons perdue
18
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
par le péché d'Adam, 731. [Péché d'Adam
d'après saint Augustin, 838. Trois sermons
de saint Augustin sur Adam, Eve et la sainte
Vierge, 841.] — Sentiments de Théodoret sur
Adam, X, 27. Discours de Basile de Séleucie
sur la création d'Adam et sur sa chute, 164.
[Doctrine de saintMaxime de Turin sur Adam,
328.] Discours sur la chute d'Adam, ouvrage
d'un Arnobe, évêque et rhéteur, 335. — Té-
moignage de Laurent de Novarre sur Adam,
XI, 96. Trois questions au sujet d'Adam ré-
solues par Éphrem, patriarche d'Antioche,
173, 174. En quel sens, d'après saint Grégoire
le Grand, cette proposition : « L'âme d'Adam
a mourut par son péché » est catholique, S04,
SOS. — Doctrine de Pierre Lombard sur la
création du premier homme, XIV, 456. Sa
chute d'après Hugues, archevêque de Rouen,
603. Livre de Phihppe de Bonne-Espérance
sur le salut du premier homme, 685.
1059 ou 1000 , ADAM de Paris entreprend d'aller à Athènes
pour y acquérir les sciences des Grecs ; est
retenu à Spalatro en Dalmatie par l'évêque
Laurent qui l'engage à mettre en meilleur
style les actes des martyrs saints Domnius et
Anaslase, XIII, 237. Jugement sur ce qui nous
reste des actes de saint Domnius, 237 et 238.
On ne connaît plus ceux de saint Anastase
retouchés par Adam, 238. (Voyez ce qui est
ditde lui dans l'Histoire littérairede laFrance,
t. VII, p. 310 et suiv.)
1Q57^ ADAM, chanoine de Brème, est d'abord
chargé du soin des écoles de cette ville ; en
1077. 9"6l temps il est fait chanoine de Brème ; son
histoire des églises du nord; ses recherches
pour la rendre exacte, XIV, 201. Analyse de
cette histoire, 201 et suiv. Différentes édi-
tions qu'on en a faites, 206. [Autres éditions ;
traduction de cet ouvrage, 206.]
v. 1204. ADAM, abbé de Perseigne, est l'auteur de
l'éloge de saint Martin, attribué â saint Odon,
abbé de Cluny ; on a un recueil de quelques
lettres de cet abbé, XII, 807. (Dom Ceillier
parle de celles qui ont été données par Dom
Martène ; Baluze en avait donné cinq autres;
Adam avait composé des discours pour ses
religieux, des homélies sur les saints et sur
différentes matières, des commentaires sur
l'Ecriture sainte. Voyez Du Pin et Moréri.)
[Circonstances de la vie d'Adam, XIV, 881,
882. Ses lettres, 882 et suiv. Ses sermons,
885. Jugement critique, 883 et 886.]
1122. ADAM, abbé de Saint-Denis; sa mort,
XIV, 374.
1177. [ADAM, chanoine de Saint-Victor. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie, XIV, 713. Ses
séquences ou proses d'après M. Félix Clé-
ment, 713, 714. Ses proses dans la Patrolo-
gie , 714. Édition des œuvres poétiques
d'Adam de Saint- Victor par M. Léon Gautier,
714, 715. Des ouvrages d'Adam autres que
ses proses, 71S, 716. Hymnes et offices de
saint Victor et de saint Augustin, 716, 717.
Summa Britonis, ou des mots difficiles de la
Bible, 717 et suiv. Exposition sur les Prolo-
gues de la Bible, 721, 722. Du discernement de
l'âme, de l'esprit et de l'intelligence, 722, 723.
Ouvrages douteux, 723, 724. Ouvrages attri-
bués faussement à Adam de Saint-Victor,
724,723. Des proses d'Adam de Saint-Victor,
723, 726. De celles que M. Léon Gautier a
découvertes et publiées, 726 et suiv. Adœ an-
glici super epistolam ad Hebrœos , ouvrage
faussement attribué à Adam de Saint-Victor,
724. Liber Adam de arte dialectica n'est pas
l'œuvre d'Adam de Saint Victor, 724.]
ADAM, abbé d'Eberbach en Franconie,
XIV, 423, 426.
ADAM, d'abord de Tordre de Prémontré
puis abbé ou évêque de Case-Blanche en
Ecosse; il passe en France ; sa mort ; ses écrits,
XIV, 687. Analyse de son Soliloque de l'âme
688. [11 est auteur de cet opuscule, 709.]
ADAMANCE, auteur d'un dialogue contre
lesMarcionitesattribuéà,Origène, 11,193, 196.
ADAMANCE, prêtre et abbé en Syrie, dé- y
puté vers saint Cyrille d'Alexandrie, VIII,
303.
ADAMITES, hérétiques. Ce que saint Épi- jvsij
pliane dit de cette secte; ce sont les mêmes
que les Prodiciens, XI, 393.
ADAMNAN, abbé de Hi, succède à Fail- v. 6
béus; ce qu'on sait des circonstances de sa
vie; sa mort, XI, 800. Ses écrits; description 704c
de la Terre-Sainte, qu'il a rédigée sur le ré-
cit de l'évêque Arculfe qui avait fait ce voyage,
800, 801. Ce qu'il y a de plus remarquable
dans cette description, 801, 802. Vie de sainte
Colomba par Adamnan, 802. [Ecrits d'Adam-
nan et d'Arculfe dans la Patrologie et écrits
qui les concernent, 802.]
ADASTON, moine de Corbie, Voyez Ad-
daston.
ADDAS, disciple de Manès, sème ses er-
reurs dans l'Orient, VI, 402.
ADDASTON, moine de Corbie. (II avait
écrit sur le prophète Daniel. Voyez l'Histoire
littéraire de la France, t. IV, p. 233, et t. VI,
p. 73.)
ADEFONSE, évêque de Salamanque. Son ms
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
19
épitaphe par Pierre de Poitiers, grand prieur
deCluny, XIV, 751.
ADEGRIM, compagnon de la retraite de
saint Gdon au monastère de la Baume en
Bourgogne, XII, 804, 803.
ADÉLAÏDE , reine de France , seconde
femme de Louis-le-Bègue; le pape Jean VIII
refuse de la couronner, XII, 634, et XIII,
722.
ADÉLAÏDE (Sainte), impératrice, épouse
de Tempereur Othon I", XIII, ISd. Sa Vie
n'est point de Gerbert, mais de saiat Odilon
de Cluny, 131, 133. Ce saint écrit sa Vie, 153.
On réfuie les raisons alléguées par ceux qui
doutent qu'il en soit l'auteur, 153 et 154. Édi-
tions qu'on a faites de cette Vie, 153, 154. Ce
qu'elle contient de remarquable, 134, 155.
Année de la mort de cette princesse ; saint
Odilon joint à l'histoire de cette Vie celle de
quelques miracles opérés par l'intercession
de celte princesse, 155.
ADELARD (Saint), abbé de Corbie. Voyez
Adalard.
ADÉLARD, archevêque de Cantorbéry;
pouvoirs que lui donne le pape Léon III,
XII, 400.
ADÉLARD, abbé de Saint-Trond au dio-
cèse de Liège; sa mort; troubles dont elle
est suivie, XIII, 397.
ADELBÉRON, écolâtre d'Utrech. (Il avait
composé une chronique. Voyez ce qui en est
dit àaxiiV Histoire littéraire de la France, t. VII,
p. 97.)
ADELBERT, prêtre gaulois. Voyez Adal-
bert.
ADELBERT, écolâtre de Saint-Vincent de
Metz. Voyez Adalbert.
ADELBERT, archevêque de Bourges. Sa
mort, XIV, 99.
[ADELBERT, archevêque de Mayence. Le
pape Honorius II lui écrit, XIV, 234.]
[ADELBERT ou ALBERT, archevêque de
Salzbourg, persécuté par l'empereur Frédé-
ric, XIV, 730.]
ADELBOLDE, évêque d'Utrecht. [Notices
sur Adelbolde, XIII, 74, n. 3.] Son éducation;
combien de temps il fut évêque, 74. Ses écrits ;
Vie de l'empereur saint Henri, 74 et 75. [Edi-
tion de cette Vie dans la Patrologie, 75. Pertz
n'ose se prononcer sur l'authenticité de cette
Vie, 75, n. 1. La Vie de sainte Walburge, 75,
n. 3.] Abrégé de la Vie de sainte Walburge;
lettre- au pape Sylvestre II, 75. Livre en
l'honneur de la Croix et de la sainte Vierge,
75 et 76. Traité sur l'Avent, 76, [Ses écrits
XI sîèclc.
990.
dans la Patrologie, 75, 76. Son traité de la
Musique, publié par dom Gerbert, 75. Son
traité manuscrit de la Quadrature du cercle,
76, n. 2.] (Voyez son article dans Y Histoire
littéraire de la France, t. VII, p. 232 et suiv.)
ADÈLE, fille de Guillaume le Conquérant
et femme d'Etienne, comte de Chartres. Let- i097.
très de son mari qui lui sont adressées, XIII, ioqs.
581, 582. Elle confirme la donation faite par
son mari à l'abbaye de Marmoutier, 582. —
Elle fait assigner à sa justice un archiprêtre ;
Yves de Chartres s'en plaint, XIV, 109.
ADÈLE, femme d'Élienne, comte de Blois,
sœur de Henri I", roi d'Angleterre. Lettres
que lui écrit Hildebert, évêque du Mans, XIV,
210. Lettre que lui écrit Pierre le Vénérable,
302.
ADELÈRE , moine de Fleury , continue
l'histoire des miracles de saint Benoît, XII,
330. (Voyez ce qui est dit dans l'Histoire lit-
téraire de la France, t. V, p. 649 et suiv.)
[ADELGARIUS ou ADELGOT, archevêque
de Magdebourg. Sa lettre pour réclamer des
secours contre les païens, XIII, 602.]
ADELHAIRE, écolâtre d'Epternach, suc-
cède à Rudiger; il en devient ensuite abbé;
sa chronique d'Epternach n'a pas encore été
imprimée, XII, 883. (Voyez ce qui en est di^
dans l'Histoire littéraire de la France, t. VI,
p. 330.)
ADELHARD (Saint), abbé de Corbie. Voyez
Adalard.
ADELHELME ou ADELIN, moine de Saint-
Calais, dans le Maine, puis évêque de Séez;
il écrit la Vie de sainte Opportune; éditions et
traductions de cette Vie, XII, 760. Recueil de
bénédictions, composé par Adelhelme, 760 et
761 . (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. VI, p. 130 et suiv.)
ADELHER, évêque dont le siège n'est pas jx 5,^^,^
connu; analyse d'un traité de piété qu'il
composa pour une recluse nommée Non-
suinde, XII, 702.
ADELIN , évêque de Séez. Voyez Adel-
helme.
ADELIN, évêque de Brescia. Voyez Adel-
mann.
ADELIN, abbé. Lettre que lui écrit Lan- xisiècie.
franc au sujet de quelques moines sortis du
monastère et qui demandaient à y rentrer,
XIII, 455.
ADELMANN ou ADELIN, écolâtre de Liège
et depuis évêque de Brescia ou Bresce. Incer-
titude où l'on est sur le pays de sa naissance ;
étant sous-diacre dans l'Eglise de Liège, il
V. 876.
20
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
vient étudier à Chartres dans l'école de Ful-
bert ; il s'y trouve avec Bérenger, XIII, 254.
Réginald, son évéque, le réclame, 234 et 235.
V. 1024. 11 est fait écolâtre de FÉglise de Liège; il se
retire eu Allemagne et passe de là dans la
Lombardie où il est fait évéque de Bresce,
V. 1061. 233. Sa mort; lettre qu'il écrit à Bérenger
v. io«. pour lui représenter le scandale que ses er-
reurs causaient en Allemagne et en Italie,
163 et 233. Analyse de cette lettre, 233, 236.
Éditions qu'on a faites de ce qui nous en
reste, 236. Autres éditions, 236 et 237. Ré-
ponse pleine d'aigreur que lui fait Bérenger,
168, 169, 173, 174, 237. Quelle était en par-
ticulier l'erreur sur l'Eucharistie dont il ac-
cusait Bérenger, 163. Autres lettres d'Adel-
mann; ses rhythmes alphabétiques; éditions
qu'on en a faites, 237. (On ne sait comment il
n'est pas fait mention d'Adelmann dans la
table particulière de la nouvelle édition. Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. VU, p. 342 et suiv.)
ADELME ou ALTHELME (Saint), abbé de
Malmesbury, puis évéque de Schirburn ou
Salisbury, d'une famille noble, est élevé dans
l'abbaye de Saint-Augustin de Cantorbéry;
se fait moine, puis est élu abbé de Malmes-
7Q5_ bury; il devient évéque de Schirburn après
la moi't de saint Heddi, évéque de Worches-
709_ ter; sa mort; son traité contre les Bretons
qui célébraient la Pâque suivant l'ancien
usage, XI, 804. Traité à la louange de la vir-
ginité, 804 et 803. Traité des huit vices;
énigmes et lettres de saint Adelme; ses poé-
sies en langue vulgaire, 803. [Édition des
écrits de saint Adelme dans la Patrologie
d'après celle du docteur Giles; quatorze nou-
velles lettres dont deux ne sont pas de lui;
analyse de ces lettres, 803 et suiv. Deux Irai-
tés; œuvres poétiques; le poème sur les au-
tels, faussement attribué à Rhaban Maur, est
de saint Adelme; autres pièces de poésie,
807.] Poème qui lui avait été attribué, 628.
— Sa Vie, écrite par saint Egwiu, arche-
vêque de Cantorbéry, XII, 1109. Lettre de ce
saint évéque à Heddiou Hedda, 794. — Sa
Vie, attribuée à saint Osmond, un de ses
successeurs; deux autres Vies du même,
XllI, 524. — Sa Vie, écrite par Guillaume de
Malmesbury ; analyse de cette Vie ; éditions
qu'on en a faites, XIV, 314.
ADELME ou ADÉMAR, moine qu'on fait
auteur des Annales des rois de Fi'ance, qui
sont d'Eginhard, XII, 337.
309. ADELPHIUS, évéque d'Gnupbis en Egypte;
lettre que lui écrivit saint Athanase, IV, 143,
144.
ADELPHIUS, laïque, un des chefs des Mes- i
saliens, IV, 643. Condamné dans un concile
d'Antioche, 646. — Saint Nil et Théodoret
parlent de lui, VIII, 210, 211 ; X, 47.
ADELPHIUS, évéque d'Egypte, est banni
pour la foi ; est surpris par Apollinaire ,
V, 87.
ADELPHIUS, jeune homme à qui saint ivsi
Grégoire de Nazianze écrit, V, 264, 263.
ADELPHIUS, scholastique à qui saint Gré-
goire de Nysse écrivit, VI, 221 .
. ADELPHIUS, que l'on disait avoir été con-
damné à Ephèse, XI, 303.
ADELPHIUS, évéque de Tolède, XI,
907.
ADELSTAN ou ETHELSTAN, roi d'Angle-
terre, fait traduire l'Écriture sainte en langue
saxonne, XII, 794. Lettres que lui écrit Rat-
bod, prévôt de l'ÉgUse de Dolen Bretagne, en
lui envoyant des reliques, 793, 794. — Ses
lois pour la police ecclésiastique et civile,
XIU, 743.
ADÉMAR ou AIMAR de Chabanais, moine
de saint Cibard d'Angoulême. Ce qu'on sait '^^ ^'
des circonstances de sa vie, XIII, 102. Sa
Chronique, 102 et 103. [Edition de cette Chro-
nique par Pertz, 102. Style d'Adémar, 103.]
Sa notice des abbés de Saint-Martial de Li-
moges, 103. Lettre sur l'apostolat de saint
Martial; à quelle occasion elle fut composée,
103 et 104. Analyse de cette lettre, 104, 105.
Discours que lui attribue Baluze ; autres écrits
qn'on lui attribue, 103. [Ecrits d'Adhémar
dans la. Patrologie, 102, 103, 104, 103.] (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. VII, p. 300 et suiv., et à la tête du
t. XII, p. xxij.)
ADÉMAR, évéque du Puy. Voyez Ad-
hémar.
ADÉMAR, évéque de Poitiers. DiflEicultés
sur son élection, qui est enfin confirmée par
le pape Innocent 111, XIV, 933.
ADÉODAT, fils de saint Augustin, LX, 2.
ADÉODAT ou DIEUDONNÉ, pape. Son g,
pontificat, XI, 783. [Lettres et privilèges de
ce pape dans la Patrologie, 783, n. 3.]
ADEODAT, évéque de Toul, assiste à un
concile de Rome, XII, 943.
ADÉODAT, à qui Fulbert de Chartres écrit
une lettre sur la trinité, le baptême et l'eu-
charistie, XUI, 79, 80.
ADÉODAT, auteur d'une légende fabuleuse yusi
de saint Taurin d'Évreux. (Voyez ce qui eu
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
21
est dit dans l'Histoire littéraire de la France,
t. III, p. 332, et t. V, p. 99 et suiv.)
ADHÉMAR ou AYMAR DU MONTEIL,
évêque du Puy. On lui attribue l'antienne
Salve Regina, XIII, 184. 11 fut légat du pape
Urbain II à la croisade; sa mort^ 328. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. VIII, p. 468 et suiv.)
ADIABÈNE ou HADIABÈNE , province
d'Assyrie. Actes des martyrs de l'Adiabène,
rapportés par Assémani, IH, 332.
ADILBERT, prieur de l'abbaye de Saint-
Udalric d'Augsbourg, écrit la vie et les mi-
racles de saint Sirapert, XII, 219,
ADIMANTE , manichéen. Livre de saint
Augustin contre cet hérétique, IX, 337, 338.
ADJUTEUR (Saint), moine de Tiron. Sa Vie,
écrite par Hugues, archevêque de Rouen,
XIV, 608.
ADMONT, monastère de Bavière, fondé
par Gébehard, archevêque de Saltzbourg,
sous le nom de la sainte Vierge et de saint
Biaise, XIII, 399.
ADOLE, solitaire. Ce qu'on en dit dans
l'Histoire Lausiaque de Pallade, VII, 489.
ADON, archevêque de Lyon. Sa mort,
Xll, 251.
ADON (Saint), archevêque de Vienne. Son
éducation; ses voyages; il succède à Ogil-
mar; le pape saint Nicolas I" lui accorde le
pallium et lui donne plusieurs marques de son
estime, Xll, 619. Il prend la défense des dé-
crets de ce pape; il sollicite Lothaire de ces-
ser ses poursuites avec Thietberge ; il fait or.
donner Bernaire évêque de Grenoble; son
zèle pour la discipline; sa mort, 620. Ses
écrits ; son Martyrologe, ,620, 621 . Editions
qu'on en a faites, 621. [Écrits d'Adon dans la
Patrologie, 622.] Chronique d'Adon, 691. Les
Actes de saint Didier de Vienne, martyr,
retouchés par lui; Vie de saint Theudie; au-
tres écrits d'Adon, 622. — Sa Chronique, im-
primée avec l'Histoire de France de saint
Grégoire de Tours, XI, 398. — Lettre qu'il
écrit au pape saint Nicolas I" sur le divorce de
Thietberge avec Lothaire; réponse du pape,
XII, 576. Sa lettre à Adrien II; réponse
d'Adrien, 587. Lettre que lui écrit Anastase
le Bibliothécaire, 715. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. V, p. 461 et
suiv., et le supplément ajouté à la tête du
t. X, p. xlviij, et du t. XI, p. xxj. Il a paru
une nouvelle édition du Martyrologe d'Adon
à Rome en 1743.)
ADOPTIF. Félix d'Urgel et Elipand de To-
lède enseignent que Jésus-Christ est fils adop-
tif; ils sont réfutés par saint Paulin, patriar-
che d'Aquilée, XII, 157, 158 ; par Alcuin dans
ses livres contre Félix d'Urgel, 168 et suiv.,
et dans sa lettre à Elipand, 182.
ADOPTION par la réception des cheveux,
XI, 783.
ADORATION. L'adoration due à Dieu n'est
légitime que dans l'Eglise de Jésus-Christ,
IV, 530. — Doctrine de saint Augustin sur
l'adoration, IX, 61, 64, 69. — Traité de saint
Cyrille d'Alexandrie sur l'adoration en esprit
et en vérité, VIII, 263 et suiv. Doctrine de
saint Cyrille d'Alexandrie sur l'adoration due
à Jésus-Christ, 329, 330. —Les différents sens
dans lesquels se prend le terme d'adoration,
expliqués par Anastase , patriarche d'An-
tioche, XI, 360. Adoration de l'empereur et
du pape prise pour un simple hommage de
respect, 731. — Le terme d'adoration est ex-
pliqué dans les lettres du second concile de
Nicée à l'empereur et à l'impératrice Irène,
XIII, 628. Homélie de Théophylacte d'Acride
sur l'adoration de la croix au milieu du ca-
rême, 556. — Discours de Zonare sur l'ado-
ration de la croix, XIV, 158.
ADREVALD, moine de Fleury. Ce qu'on
sait de sa personne ; Sigebert et Trithème lui
donnent le surnom d'Adalberl, mais ce sont
deux auteurs différents ; raisons qui le prou-
vent; sa mort, XII, 629. Ses écrits; Histoire 877 ou 878.
des miracles de saint Benoit, 629 et 630. Ré-
futation des inepties de Jean Scot sur l'Eu-
charistie, 607 et 630. Vie de saint Aygulphe ;
autres écrits d'Adrevald ; opinion singulière
de cet auteur touchant les supplices des
damnés, 630. (Voyez son article dans l'His-
toire littéraire de la France, t. V, p. 315 et
suiv.)
ADRIEN, empereur, profane les lieux
saints, VIII, 71 .
ADRIEN ( Saint ) , martyr de Palestine ,
m, 9.
ADRIEN, évêque de Thèbes, persécuté par
Jean, évêque de Larisse,a recours à l'empe-
reur Maurice et au pape saint Grégoire; let-
tres de ce pape sur ce sujet, XI, 490.
ADRIEN , auteur d'une Introduction à v. 533.
l'Écriture sainte ; temps oii il florissait selon
Ussérius; jugement que porte Photiusdeson
ouvrage; éditions qu'on en a faites, XI, 95.
[Édition dans la Patrologie, 93.]
ADRIEN, notaire de Palerme, commis par
le pape saint Grégoire pour faire droit aux
plaintes d'Agathosa, XI, 522.
309.
692.
600.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
772.
774.
785.
790.
794.
781.
795.
867.
ADRIEN, abbé de Saint-Pierre de Cantor-
béry, refuse l'archevêché de Cantorbéry que
le pape Vitalien voulait lui donner, il accom-
pagne en Angleterre Théodore qu'il avait
désigné à sa place, l'aide dans son ministère
et est fait abbé de Saint-Pierre, XI, 776.
ADRIEN, abbé de Saint Augustin de Can-
torbéry; sa Vie écrite par le moine Gosce-
lin, XIII, 531, et XIV, 233. — Histoire de la
translation de son corps par le même, XIV,
233.
ADRIEN I", pape. Ses commencements; il
succède an pape Etienne III; ses démêlés
avec Didier, roi des Lombards ; il demande
des secours au roi Charles, XH, 134. Il dé-
to urne Didier d'entrer sur les terres d e Rome ;
distinction avec laquelle il reçoit le roi Char-
lemagne qui venait à Rome, 134 et I3S. Il lui
fait présent du code des canons de l'Église ro-
maine ; l'impératrice Irène l'invite à venir au
concile général indiqué pour confirmer l'an-
cienne tradition de l'Église sur les images , 135 .
Lettre d'Adrien à l'empereur et au patriar-
che, 135 et 136. Ses légats président au second
concile de Nicée ; sa lettre aux évêques d'Es-
pagne au sujet des erreurs d'Elipand de To-
lède et de Félix d'Urgel; il envoie des légats
au concile de Francfort, 136. Charlemagne
lui envoie les livres Carolins avec sa confes-
sion de foi sur les images, 136 et 137. Adrien
les réfute article par article, 137, 138. Il bap-
tise Carloman dont il change le nom en celuj
de Pépin, le sacre roi d'Italie, et sacre roi
d'Aquitaine son frère Louis, 139. Différentes
lettres qu'il écrit à Charlemagne, 138, 139-
Il confirme aux monastères de Saint-Denis et
de Saint-Martin de Tours le privilège d'avoir
des évêques particuliers, 139, 140. Lettres à
Charlemagne sur les affaires d'Italie ; sa lettre
à Tilpin, archevêque de Reims à qui il oon.
firme les anciens droits et privilèges de celte
Eglise; cette lettre paraît supposée; autres
lettres du pape Adrien dont Gretser a donné
les sommaires, 140. [Ses lettres dans la
Patrologie; son style, 141.] Sa mort, 140.
Attachement du roi Charlemagne pour ce
pape; il compose son épitaphe, 141 et 248.
Autre éloge que le même écrivit à la tête du
psautier dont il lui fit présent, 248. Inscrip-
tion pour être mise sur son tombeau, compo-
sée par Théodulfe, évêque d'Orléans, 269.
Lettre que Taraise , patriarche de Constan-
tinople, lui écrit, 153. Lettre que lui écrit
Alcuin, 194.
ADRIEN II, pape, succède à saint Nico-
las Y'\ soupçonné d'être opposé au pape son
prédécesseur, il s'en justifie, XII, 587. Ses let-
tres sur ce sujet aux évêques de France ; lettres
au roi Lothaire, 587 et 588. Lettres à Louis
de Germanie, 388. Lettre au sujet d'Achard,
évêque de Nantes, 388 et 589. A l'empereur
Basile et au patriarche Ignace, 589, 590. Au roi
Charles et à Hincmar de Reims, touchant les
étatsdeLothaire,590.Réponsed'Hincmar,679,
680. Lettres en faveur de Carloman, 590, 591.
Aux évêques de France et au roi Charles, 391 ,
592. Au sujet d'Athanase, évêque de Naples;
à l'empereur Basile ; mort du pape Adrien,
392. [Ses lettres dans la Patrologie, 592. Ca-
lomnie contre Adrien repoussée, 588, n. 3.
On le justifie, 590, n. 2, Jugement sur le
pape Adrien II, 592, n. 1. Lettre que lui
écrit l'empereur Lothaire, 575, n. 1.] Lettre
que lui écrit Hincmar de Reims, 679, 680. —
Sa Vie, écrite par Guillaume, le bibliothécaire
de l'Église romaine, XIII, 344. Concile des
évêques de Gaule et de Bourgogne pour ré-
pondre à deux lettres du pape Adrien II, 701,
Huitième concile général, quatrième de Cons-
tantinople, auquel il préside par ses légats.
702 et suiv. Ses lettres pour la réunion, 702_
ADRIEN III, pape, succède à Marin I", et
ne siège que quinze mois et dix-neuf jours;
il refuse de reconnaître Photius comme pa-
triarche deConstantinople ; lettre pleine d'in-
jures que l'empereur Basile lui écrit ù, ce sujet,
XII, 651. Lettre que lui écrit Foulques, ar-
chevêque de Reims, 706. [Ses lettres dans la
Patrologie, 651, n. 8.]
ADRIEN IV (Nicolas Brec-Spese), pape ; ses
commencements, XIV, 912. Anglais de nais-
sance, il passe en France et s'arrête à Arles
pour ses études; prend l'habit de chanoine
régulier à Sainl-Ruf^ près Avignon, dont en-
suite il devient abbé; ses religieux l'accusent
auprès du pape Eugène III qui, connaissant
son mérite, le fait évêque d'Albane et cardi-
nal; sa légation en Norwége où il fait des
conversions ; il est fait pape après la mort
d'Anastase IV; son éloge; il ordonne q-u'on
chasse de Rome Arnaud de Brescia ; il cou-
ronne empereur Frédéric Barberousse;
brouilleries avec Guillaume, roi de Sicile; la
paisse fait ensuite entre ce pape et ce prince;
bulle qui en contient les conditions, 912.
Différend entre le pape et l'empereur; à
quelle occasion; comment il s'arrange, 912
et 913. Autre différend au sujet de ce que
l'empereur s'était fait rendre l'hommage par
les évêques de Lombardie , 913. Mort
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
23
m.
iècle.
d'Adrien IV; ses lettres, 914 et suiv. [Ses
écrits dans la Patrologie, 914, n. 2 et917, 91 8.]
Autres écrits de ce pape, 918.
ADRIEN DE SEPT-FONTS. Nom sous lequel
dom Bernard a donné une dissertation en fa-
veur des ouvrages de saint Denis TAréopa-
gite, X, S43, 344.
ADRUMET, ville d'Afrique dans la Byza-
cène. Concile général d'Afrique qui y fut
tenu, Vn, 716. — Zèle de saint Augustin
pour rétablir la paix dans le monastère de
cette ville, IX, 21. Dispute sur la grâce entre
les moines d'Adrumet, 313. Livres que saint
Augustin leur adresse à cette occasion, 313
et suiv.
ADSON, abbé de Saint-Basle, fait écrire la
Vie de ce saint par Adson, abbé de Montier-
en-Der, Xll, 887. Son épitaphe fut faite par
le même abbé, 888.
ADSON, abbé de Montier-en-Der, est élevé
à l'abbaye deLaxeuil; saint Gauzelin, évêque
de Toul, le charge du soin de son école épis-
copale; devenu abbé de Montier-en-Der,
après la mort d'Albéric, il rétablit le bon
ordre dans cette abbaye; on le charge de ré-
former l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon,
XII, 884, Son voyage en Italie , il entreprend
avec le comte d'Arcy, qu'il avait converti, le
pèlerinage de Jérusalem, et meurt en che-
min; son corps inhumé dans l'île de Stam
palia, 883. Ses écrits : Traité de l'Antéchrist,
883, 886. Vie de saint Frodobert, 886. Vie de
saint Mansui, 886 et 887. Vie de saint Basle,
887. Vie de saint Walbert, 887 et 888. Vie de
saint Bercliaire ; ses poésies, 888. [Ses écrits
dans la Patrologie, 888.] — Il est auteur d'un
traité de l'Antéchrist attribué à saint Augus-
tin, IX, 288. — A Alcuin, Xll, 186, 187, et à
Raban-Maur, 473. — La Vie de saint Man-
sui se trouve dans les Anecdotes dedomMar-
tène, XIII, 193. (Voyez l'article d'Adson
dans l'Histoire littéraire de la France, t. VI^
p. 471 et suiv., et l'addition qui est à la tête
du t. X, p. Ixj.)
ADSON, abbé de Luxeuil. On le fait auteur
de la Vie de saint Walbert, mais elle est d'Ad-
son, moine de Montier-en-Der, XH, 887.
ADULATEURS. Canon 56 du quatrième
concile de Carthage, VII, 731.
ADULTERE. Quarante - huitième canon
apostolique, II, 384. Canon 7, 8 et 9 du con-
cile d'Elvire, 603, 606. Canon 19 du même
concile, 607. Canon 30 du même concile, 608.
Canon 47, 610. Canons 63, 64 et 63, 612, 613.
Canons 68, 69 et 70; canon 72, 613. Canon
78, 614. Canon 19 du concile d'Ancyre, 639.
Canons 1 et 8 du concile de Néocésarée, 640.
— Doctrine de saint Hilaire sur l'adultère,
IV, 26. Canon 7 dans la première épître ca-
nonique de saint Basile-le-Grand, 468. Canon
31 dans la seconde épître canonique du
même, 467. Canon 34,467 et468. Canons 36
et 37; canon 39, 468. Canon 58 dans la troi-
sième épître canonique, 473. — Sentiments
de l'Abrosiaster sur l'adultère, V, 311. — Ca-
non 4 dans l'épître canonique de saint Gré-
goire de Nysse, VI, 157. Loi de l'empereur
Constant contre les adultères, 339. — Re-
marques de saint Jean Chrysostôme sur
l'adultère, VU, 108. Canon 2, attribué à
Théophde d'Alexandrie^ 443. Canon 12 dans
la lettre du pape saint Innocent à saint Vic-
trice de Rouen, 508. Canon 4 dans la lettre
du même pape à saint Exupère de Toulouse,
311. Histoire d'une femme de Verceil accu-
sée faussement d'adultère, 384. — Deux li-
vres des mariages adultérins, ouvrage de
saint Augustin, IX, 272 et suiv. Partage de
sentiments dans l'Afrique sur l'absolution des
adultères, 779, 780. — Les Goths se croyaient
permis de tuer l'adultère surpris avec une
femme, XI, 213. — Réponse de Raban sur
le cas d'adultère entre parents XII, 465. Ju-
gement de Chrodobert, évêque de Tours, sur
une femme adultère, 762. Canon du concile
de Berghamstède contre les adultères, 967.
— Décret du patriarche Michel Cérularius
sur un prêtre dont la femme était adultère,
XllI, 223. Deux personnes coupables d'adul-
tère excommuniées par Lanfranc, 433. — Les
Suédois punissent de mort l'adultère, XIV,
203. Poëme de Philippe de Bonne-Espérance
sur une femme faussement accusée d'adul-
tère, 687.
ADVENTIUS, évêque de Metz, autorise le
divorce de Lothaire avec Thietberge ; Charles-
le-Chauve écrit au pape en sa faveur; sa lettre
au pape en faveur de Lothaire, Xll, 577. Dif-
férents conciles auxquels il assista; son dis-
cours à la cérémonie du couronnement de
Charles comme duc de Lorraine; son dis-
cours au concile de Douzi, 609. Ses écrits
sur la validité du mariage de Valdrade
avec Lothaire, 609 et 610. Sa mort ; son
épitaphe composée par lui-même, 610. [Ses
écrits dans la Patrologie, 610.] Variété
de sentiments sur l'année de sa mort, 610.
Lettre que lui écrit Hincmar de Reims sur les
cérémonies de l'ordination d'un évêque, 680,
706. (Voyez son article dans l'Histoire lit-
IV ou
V siècle.
405.
'VII siècle.
X( siècle.
855.
866.
875.
24
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
téraire de la France, t. V, p. 429 et suiv.)
V . 420. ADVERSAIRE . Deux livres de saint Augus-
tin contre l'Adversaire de la loi et des pro-
phètes, IX, 353 et suiv.
ADVERSITÉS. Deux traités de saint Jean
Chrysostôme sur ce sujet, VII, 123 et suiv.
Homélie du même sur le même sujet, 341.
Doctrine de saint Jérôme, 701, 702.
ADZENAIRE, abbé de Saint-Remy de
Reims. Son décret par lequel il ordonne des
aumônes, XIII, 514, 515.
^DLIBERT, évêque. Lettre que lui écrit
Alcuin, XII, 194.
.^DILHARD, archevêque de Cantorbéry,
Lettres que lui écrit Alcuin, XII, 193 et
195.
iEDILLHILDE, reine de Northumbre. Lettre
que lui écrit Alcuin, XII, 194
y siècle. jEGEATES (Jean), prêtre nestorien. Voyez
Jean yEgeates.
FLAVIUS, vicaire d'Afrique. Voyez Abla-
vius.
.^LFRIÇ (Saint), archevêque de Cantor-
béry. Voyez Alfric (Saint),
vu siècle. ^LRAN, prêtre irlandais. Voyez Aileran.
1166. .^LRÈDE ou ETHELRÈDE, abbé de Ried-
val ou Reverbi. Principaux points de sa vie ;
sa mort, XIV, 620. [Ses écrits dans la Patro-
logie; pièces qui le concernent, p. 620, n. 1 .]
Ses écrits historiques, 620. Sermons sur le
prophète Isaïe, 620 et 621. Sermons du
temps et sur les saints, 621. Le Miroir de la
charité, 621, 622. Traité de l'Amitié spiri-
tuelle, 622. Discours sur Jésus âgé de douze
ans, 622 et 623. Histoire d'Angleterre com-
posée par JElrède ; ce qui reste de cette his-
toire ; autres écrits qu'on lui attribue ; juge-
ment sur ses écrits, 624. — Livre de la vie
érémitique qui lui est attribué, IX, 65. — On
trouve à la suite de saint Bernard les onze
sermons d'^lrède sur Isaïe; et son traité sur
Jésus enfant de douze ans, XIV, 492.
jENÉE, évêque de Paris. Voy. Ènée.
jENÉE, philosophe qui immole au démon,
VIII, 203.
jEONIUS, évêque d'Arles. Voyez Eonius.
IV siècle. AÉRIENS. Ce que saint Épiphane dit de
cette secte, VI, 407, 408.
IV siècle. AÉRIUS, chef des Aériens. Son histoire et
ses erreurs, VI, 407, 408. — Ses erreurs com-
battues par saint Augustin, IX, 764 et suiv.,
et 784. [C'est par erreur qu'on a imprimé
Aélius à la page 764 du tome IX.]
IV siècle. AÉRIUS, à qui saint Grégoire de Nazianze
écrit, V, 260.
^RIUS, homme de lettres à qui Théodoret
écrit, X, 66 et 68.
STERNUM et SEMPITERNUM. Lettre
d'Alcuin à Charlemagne sur la diflférence
entre les mots œternum et sempiternum, XII,
178.
AÉTIENS, hérétiques, disciples d'Aétius, iVsieci
réfutés par saint Basile, IV, 420.
AÉTIUS, prêtre à qui saint Basile écrit, iv sieci
IV, 481.
AÉTIUS, hérésiarque, VI, 262. Quel il était, iv sieci
262 et 263. Ses écrits, 263. Ce que saint Gré-
goire de Nysse dit d'Aétius, 256. Ses erreurs
exposées et réfutées par saint Épiphane, 408,
[par saint Éphrem,461 et suiv.] — Il est con-
vaincu de blasphèmes et Constance l'exile,
IV, 572. Il est confondu juridiquement par les
oflSciers de l'empereur, 573. Il est condamné
au concile de Constantinople, 375. Il est en-
voyé en exil ; il y fait divers écrits; ses let-
tres, 576, 577. Basile d'Ancyre entre en con-
férence avec Aétius, qui est vaincu dans la
dispute, et ensuite banni par rempereur,32I.
Voyez Aétiens.
AÉTIUS, patrice et capitaine romain, ca-
lomnie le comte Boniface, IX, 18. — Envoyé
parl'empereur conti'eThéodoric; reçoit avec
honneur saint Orient, VIII, 422. Commande
les troupes de l'empire dans les Gaules; res-
crit qui lui est adressé contre saint Hilaire
d'Arles, 437. — Son différend avec Albin, X,
169. Il songe plus à abandonner l'Italie qu'à
la défendre ; ses gens tuent Valentinien le
Jeune, 175. Rescrit qui lui fut adressé parce
prince contre saint Hilaire d'Arles, 204.
AÉTIUS , archidiacre de Constantinople ,
présente une requête au concile de Chalcé-
doine; pourquoi Analolius l'ôte de sa place
et lui en substitue un autre, X, 225. Il est ré-
tabli, 226 et 231. Lettre que lui écrit le pape
saint Léon, 233. Il paraît avec éclat au con-
cile de Chalcédoine où il fait les fonctions de
promoteur, 684 et suiv.
jEVUM. Lettre d'Alcuin à Charlemagne
sur les mots sœculum, cevum et tempus, XII,
178.
AFFAIRES séculières. Défense aux évê-
ques, prêtres et diacres de s'en mêler, sep-
tième canon apostolique, II, 580. Affaires des
églises, trente-neuvième canon apostolique,
584. Affaires publiques et séculières, quatre-
vingt-unième canon apostolique, 587. — Af-
faires séculières interdites aux clercs, canons
6, 8 et 9 du premier concile de Carthage, III, 348 o.,!»
500. — Canon 16 du troisième concile de 39
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
25
304.
Carthage, VII, 721. Interdites aux évêques,
canons 18, 19 et 20 du quatrième concile de
Carthage;, 729. — Affaires des pauvres, règle-
ment du concile général de Carthage, VIII,
538. Affaires de l'Église, règlementdu concile
général de Carthage, S43. Affaires séculières,
canon 16 du sixième concile de Carthage,
565. — Affaires temporelles, canon du con-
cile de Chalcédoine qui défend aux clercs et
aux moines de s'en charger, X, 696, 697.
[AFFECTIONS DÉPRAVÉES. Qu'il faut ré-
primer les affections dépravées de l'esprit;
sermon de saint Ephrem, VI, 497.]
AFFLICTIONS. Poëme de saint Grégoire
de Nazianze sur ses afflictions, V, 271. Épi-
grammes du même sur les afflictions, 305.
Parole qu'il attribue à saint Pierre sur les
afflictions, 355. — Homélie de saint Jean
Chrysostôme sur les afflictions, VII, 105.
Doctrine du même Père sur les afflictions,
59, 62, 63, 189.
AFFLIGHEM. Abbaye à quelques lieues de
Bruxelles; temps de sa fondation, XIV, 190.
[Chronique d'Afflighem, 346, n. 6.]
AFFRANCHIS. Dispositions du concile
d'Agde qui les concernent, X, 736. — Ce
qu'ordonne à leur égard le troisième concile
de Tolède, XI, 902. Canon du cinquième con-
cile de Paris qui détend de contraindre les
affranchis de l'Église à servir le public, 912.
— Loi des Ripuaires touchant les droits des
affranchis, XII, 227. Canon du quatrième
concile de Tolède concernant les affranchis
des églises, 919. Canon du sixième concile
de Tolède, 920. Canon du neuvième concile
de Tolède, 934. Affranchis déclarés par le
treizième concile de Tolède incapables d'exer-
cer aucune charge dans le palais ou dans les
terres royales, 957.
AFFRANCHISSEMENT. Acte d'affranchis-
sement dressé par saint Ennode, évêque de
Pavie, X, 576.
AFRE (Sainte), martyre à Augsbourg dans
la Souabe,III, 29, 30. [Discours sur saint Nar-
cisse et sainte Afre par Oliva, évêque de
Vich, XllI, 122.]
AFRICAIN (Jules). Voyez Jules Africain.
AFRICAIN, magistrat. Saint Grégoire de
Nazianze lui écrit, V, 256.
AFRIQUE. Vingt martyrs d'Afrique, III,
94, 95. — Effets de la persécution de Dioclé.
tien en Afrique, V, 142 et suiv. — Lettre de
l'empereur Constantin aux évêques et au
peuple d'Afrique, III, 136. — Lettre de saint
Athanase aux évêques d'Afrique, IV, 141,
142. — Lettre du pape saint Sirice aux évê-
ques de cette province, VI, 103, 104. — Pre-
mière lettre du pape saint Zozime à Aurèle de
Carthage et aux autres évêques d'Afrique sur
la profession de foi de Célestius, VII, 529,
530. Seconde lettre à Aurèle et aux autres
évêques d'Afrique au sujet de la lettre et de
la profession de foi de Pelage, 530 et suiv. Let-
tre des évêques d'Afrique au pape Zozime au
sujet de Pelage et de Célestius, 533. Réponse
du pape Zozime, 533, 534. Lettre de Zozime
à tous les évêques des Gaules, de l'Espagne
et d'Afrique, 534, 535. Lettre du pape Zo-
zime à saint Augustin et aux évêques d'Afri-
que ; lettre des évêques d'Afrique au pape
Zozime, 540. — Lettre d'Atticus de Constan-
tinople à l'Église d'Afrique, VIII, 16. — Con-
cile général d'Afrique tenu à Hippone, VII,
712 et suiv. Concile général tenu à Adrumet,
716. — Lettre du pape saint Célestin aux
évêques d'Afrique et des évêques d'Afrique
à saint Célestin touchant l'affaire d'Apia-
rius, VIII, 127. [Observations sur la lettre des
évêques d'Afrique, 127, n. 2 et 569, n. 1.] Dé-
putation des évêques d'Afrique à saint Cyrille
d'Alexandrie au sujet de la célébration du
jour de Pâques, 258. — Lettre du pape saint
Félix III aux évêques d'Afrique, X, 419. Per-
sécution des Vandales dans l'Afrique, décrite
par saint Victor, évêque de Vite, et non
d'Utique, 449 et suiv. Notice de l'Afrique,
attribuée au même saint Victor, évêque de
Vite, 464 Lettre du pape Symmaque aux
évêques d'Afrique en Sardaigne, 527. — Saint
Grégoire-le-Grand prend soin des églises d'A-
frique, XI, 434. Lettre de saint Martin, pape,
aux évêques d'Afrique, 749. — Conciles te-
nus en Afrique contre les Monolhélites; let-
tres synodales des évêques, XII, 925, 926.
Elles sont lues au concile de Latran, 927. —
Lettre du pape saint Léon IX aux évêques
d'Afrique, XIII, 205, 206.
AGANON, chanoine de Châtillon-sur-Seine.
Son discours en l'honneur de saint Vorleavec
l'histoire de la translation des reliques et des
miracles du même saint, XIII, 77.
AGANON, évêque d'Autun, assiste au cou-
ronnement du roi Philippe I, XIII, 491.
[Lettre qu'il écrit avec les évêques de la pro-
vince de Lyon à Raoul, archevêque de Tours,
491 .] Différents conciles auxquels il se trouve,
491 . Il en tient un à Autun où le roi Philippe,
le roi Henri et l'anti-pape Guibert sont ex-
communiés; sa conduite à l'égard de Régi-
nard son frère qui vexait ses vassaux ; acte
426.
XI siècle.
1059.
1094.
26
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
de l'accommodement fait à ce sujet; autre
acte pour la fondation de l'église de Saint-
Germain et de Saint-Saturnin à Planèse, 491.
1098. Sa mort, 491 et XIV, 80. — Robert, duc de
Bourgogne, se réconcilie avec lui,XIV,1064.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire de
la France, t. VIII, p. 461 et suiv.)
AGAPE (Saint). Il y en a trois de ce nom.
Voyez Agapius.
304. AGAPE (Sainte), martyre à Thessalonique
avec sainte Quionie et sainte Irène, III, 23 et
suiv. — Comédie de Rosvithe, religieuse de
Gandershein sur le martyre des saintes vier-
ges Agape, Quionie et Irène, XII, 876.
IV siècle. AGAPE, dame espagnole, séduite par Marc
de Memphis, communique son erreur à Pris-
cillien, IV, 613.
AGAPES ou repas de charité ; Tertullien
les décrit. II, 28. Ce qu'en disent les Consti-
tutions apostoliques, 599, 600. — Canons 27
et 28 du concile de Laodicée, 111, 511. Canon
11 du concile de Gangres, 517. — Épigram-
mes de saint Grégoire de Nazianze contre les
abus qui s'y étaient glissés, V, 304. — Aga-
pes au tombeau des martyrs, zèle de saint
Augustin contre cette pratique; lettre qu'il
écrivit sur ce sujet à Aurèle, évêque de
Carthage, IX, 12. — Agapes interdites par le
concile Quinisexte, XII, 963.
404. AGAPET, à qui saint Jean Chrysostôme
écrit une lettre, VU, 135.
AGAPET, évêque dans la Pouille. Lettre
du pape saint Innocent qui lui est adressée,
VII, 525.
AGAPET, disciple de saint Marcien, fon-
dateur d'un monastère à Apamée, X, 52.
535. AGAPET ou AGAPIT (Saint), pape, suc-
cède à Jean II; il fait brûler les formules
d'anathème contre la mémoire de Dioscore,
XI, 118. Lettre que lui écrit l'empereur Jus-
tinien; réponse qu'il y fait, 118 et 119. Sa
lettre aux évêques d'Afrique sur la manièi'e
de recevoir les évêques ariens qui se conver-
tissaient, 119. Ses deux lettres à saint Cé-
saire d'Arles, 119 et 120. Son voyage à Cons-
tantinople, 120. Il fait chasser le patriarche
Anthime, eutychien, et établit Mennas à sa
place ; sa lettre sur ce sujet à Pierre, évêque
536. de Jérusalem, 120. Il meurt à Constantin ople
et son corps est transporté à Rome, 121.
[Éditions de ses lettres, 121.] La lettre à An-
thime qu'on lui attribueest supposée, 121. —
Décrétale qui lui est faussement attribuée,
VI, 95. — Lettre de Réparât, évêque de Car-
thage, au pape Agapet; réponse du pape.
946.
956.
949.
XI, 119. Miracle que rapporte de lui saint
Grégoire-le-Grand, 475. Son éloge, attribué
au pape saint Grégoire, 537.
AGAPET ou AGAPIT II, pape, succède à
Marin II; il tient plusieurs conciles au sujet
de l'archevêché de Reims disputé par Hugues
et par Artaud ; il règle le différend entre les
Eglises de Lorch et de Saltzboarg ; lettre qu'il
écrit à Gerhard à ce sujet ; sa lettre à Aymar,
abbé de Cluny; privilèges qu'il accorde à
cette abbaye, XII, 830. Sa mort, 831. [Ses
lettres dans la Pa^ro^ïe; lettres nouvelles,
830,831.] —Concile qu'il tient à Rome, XUI,
750.
AGAPET, diacre de l'Église de Constanti- vi siècle,
nople. Ses soixante-deux avis importants
donnés à l'empereur Justinien ; éditions qu'on
en a faites; analyse de ces avis; [autres édi-
tions], XI, 266.
AGAPET, moine du monastère de Saint- 590.
Georges à Orviète, se plaint de l'évêque
d'Orviète, XI, 481.
AGAPÈTES. On donnait ce nom à des vier-
ges qui habitaient avec des ecclésiastiques et
des solitaires ; épigrammes de saint Grégoire
de Nazianze sur les abus et les dangers de
cette cohabitation, V, 303. Les pères, les
conciles et les empereurs ont condamné ces
abus, 303 et 304.
AGAPIUS (Saint), évêque d'Afrique, mar- 259.
tyr, II, 391, 392.
AGAPIUS (Saint), martyr en Palestine, 304.
m, 6.
AGAPIUS (Saint), martyr en Palestine, III, 3o6,
8. Ses actes rapportés par Assémani, 352.
AGAPIUS, évêque de Césarée enPalestine, ivsiècie.
prédécesseur d'Eusèbe. Témoignage qu'Eu-
sèbe lui rend, III, 169. Sa mort, 170.
AGAPIUS, évêque prétendant au siège de
Bostre, métropole de l'Arabie, VII, 717.
AGAPIUS, évêque de Digne, déposé au eso.
concile de Châlons-sur-Saône, XII, 932.
AGARÉISIENS , barbares qui prirent la :
ville cie Thessalonique, XII, 798.
[AGARINUS, qui avait écrit pour la dé- ix siècle,
fense de l'Alcoran, est réfuté, XII, 103.]
AGATHE (Sainte), vierge en Sicile. Actes 250.
de son martyre, II, 121, 122. [Panégyrique
de sainte Agathe par saint Adbelme, 122.
Note sur les Actes de sainte Agathe, 122,
u. 4.] — Translation de ses rehques ordon-
nées par saint Grégoire-le-Grand, XI, 485.
Les Ariens s'emparent de l'église de Sainte-
Agathe ; elle est ensuite rendue aux catholi-
ques, 496. — Discours de Méthodius de Cons-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
27
tantinople en l'honneur de sainte Agathe,
XII, 424. — Collégiale à Crémone, sous le
nom de Sainte-Agathe, dotée par le pape
Urbain II, XIII, 420.
AGATE du cabinet du roi, représentant
l'apothéose de Germanicus ; on prétend qu'elle
a été apportée de Constantinople par le car-
dinal Humbert, XUI, 249.
[AGATHIAS, poète et historien grec; ce
qu'on sait de sa vie; il continue l'Histoire de
Procope; ses épigrammes ; jugement sur cet
écrivain, XI, 692.]
AGATfllUS, moine à qui saint Nil adresse
un de ses traités, VllI, 209.
AGATHON confesse la foi àThessalonique,
m, 2-3.
era. AGATHON (Saint), pape, succède à Dom-
nus; sa réponse à la lettre que l'empereur
Constantin avait écrite au pape Domnus; il
^''- tient un concile à Rome, XI, 783. La lettre
adressée à Ethelrède, roi des Merciens, à
Théodore, archevêque de Cantorbéry, et aux
alliés d'Angleterre, qu'on a donnée sous son
nom, est une pièce supposée, 783 et 784. Sa
mort, 784, [Ses lettres dans la Patrologie,
682. 784. J — Conciles qu'il assemble à Rome et
auxquels il préside, XII, 943, 944. Sa lettre
aux évêques d'Orient contre les Monothé-
lites, 944. Elle est lue dans le sixième con-
cile général; mort de ce pape, 955.
AGATHON, homme marié, écrit à saint
Grégoire-le-Grand, XI, 506.
:ii siècle. AGATHON, diacre et garde-chartes de la
grande église de Constantinople, écrit les
actes du sixième concile général et y joint la
lettre synodique du patriarche Jean au pape
Constantin, XII, 36. Poëme eucharistique
que lui adresse André de Crète, 58.
600. AGATHOSA, femme qui se plaint au pape
saint Grégoire de ce que son mari s'était fait
moine sans son consentement ; ce qu'ordonne
le pape à ce sujet, XI, 523.
I siècle. AGAUNE, aujourd'hui Saint-Maurice-en-
Valais. Lieu du martyre de la légion thé-
béenne, II, 473. — Le monastère fondé en
ce lieu sous le nom de Saint-Maurice est ré-
tabli parSigismond, roideBourgogne, X, 554
et 746. Concile que ce prince y assemble
pour régler la discipline de ce monastère,
\ 746. Donation qu'il fait pour fournir à ses
besoins, 747. — Autre concile tenu en ce
888. lieu, XIII, 731 . — [Lettre du pape Eugène II
en faveur du monastère d'Agaune, XII, 404.]
506. AGDE, ville du Languedoc. Concile tenu
en celte ville, de l'agrément d'Alaric, roi
des Visigoths en Espagne, X, 736 et suiv.
AGE de l'homme. Sentiment de saint Au,
gustin sur l'âge des premiers hommes, IX ,
313. — ^^ Age exigé par le concile d'Agde pour
l'ordination des diacres, des prêtres et des
évêques, et pour donner le voile aux reli-
gieuses, X, 738, 739. — Age prescrit par le
troisième concile d'Orléans pour la promo-
tion aux ordres supérieurs, XI, 856. — Age
fixé par le troisième concile de Latran pour
être promu à l'épiscopat et pour les dignités
inférieures et bénéfices à charge d'âmes,
XIV, 1139. Voyez Ages.
AGÉLIUS, évêque des Novatiens à Cons-
tantinople, IV, 639. Il ordonne Sisinnius et
Marcien pour lui succéder, 657.
AGEN, ville d'Aquitaine. Histoire de saint
Phébade, l'un de ses évêques, V, 372 et suiv.
AGERIG (Saint), évêque de Verdun. Voyez
Airic (Saint).
AGÉRUGHIE, veuve. Lettre que lui écrivit
saint Jérôme, VII, 638, 639.
AGES du monde. Comment saint Augustin
les distingue, IX, 266. — Traité du sixième
âge , ouvrage où saint Julien de Tolède
prouve contre les Juifs que le Messie est venu ;
comment il distingue les six âges du monde,
XI, 793, 794. — Chronique ou livre des six
âges du monde, ouvrage du vénérable Bède,
Xn, 4, 5. Lettre du même sur le sixième âge,
13. — Des six âges du monde; la Chronique
d'Hermann Contract est ainsi intitulé, XIII,
182.
AGGAR. Saint Léon fait informer sur son
ordination, X, 199.
AGGÉE, prophète. Temps auquel il a com-
mencé de prophétiser; analyse de ses pro-
phéties, I, 1 82. Psaumes qui lui sont attribués,
131. — Sermon de saint Augustin sur ce pro-
phète, IX, 236. Voyez l'article des Douze
petits prophètes.
AGILAN, l'un des ambassadeurs du roi
d'Espagne à la cour de France. Sa conférence
sur la refigion avec saint Grégoire de Tours ;
il embrasse la religion catholique, XI, 366.
AGILE (Saint), moine de Luxeuil, est fait vti «lècie.
premier abbé de Rebais en Brie, XI, 756.
AGILES (Raimond d'), chanoine du Puy
en Velay. Voyez Raimond.
AGILON (comte), dont saint Perpétue, évê-
que, fait mention dans son testament, X, 439.
AGILULFE, roi des Lombards, ravage
l'exarchat, à l'occasion de l'infraction de la
paix faite par l'exarque romain, XI, 435. Il
reprend Pérouse et assiège Rome, 435 et 452,
IV ou
V siècle.
V siècle.
572.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
28
599. n consent à une nouvelle paix qui est encore
rompue, 438, 439 et 517. Il reçoit saint Co-
V. 612. lomban avec distinction, 615.
AGINULFE, moine de Montmajour, avait
laissé quelques écrits. (Voyez ce qui est dit
de lui dans VHistoire littéraire de la France,
t. VII, p. 427.)
AGIO ou AGIUS, abbé de Vabres, puis ar-
912. clievéque de Narbonne, succède à Arnuste;
il est troublé par Gérald et maintenu par le
pape Jean X qui lui accorde l'usage du pal-
)26ou927. lium, XII, 792. Sa mort; ses écrits, 793.
(Voyez son article dans VHistoire littéraire de
la France, t. VI, p. 199 et suiv.)
AGIOGRAPHES. Voyez Hagiographes.
X siècle. AGIUS (et non Argius, comme on l'a im-
primé), prêtre et moine de Corbie, écrit la
Vie d'Hatumode, première abbesse de Gan-
dershein, XII, 877. (Voyez ce qui en est dit
dans l'Histoire littéraire de la France, t. V, p.
448 et suiv.)
III siècle. AGLAÉ, dame romaine; son histoire, II, 476.
AGLAIDE, païen, veut attenter à la pureté
de sainte Justine, III, 97. Sa conversion, 98.
AGNAN (Saint), évêque d'Orléans. Poëme
du roi Robert en son honneur, XIII, 108. —
Dédicace del'église de Saint-Agnan d'Orléans,
XIV, 1043.
AGNEAU PASCAL. Témoignage de saint
Basile sur la manducation de l'agneau pascal,
IV, 498. — Témoignage de saint Éphrem,VI,
53. Explication de Raban Maur sur ce su-
jet, 469.
AGNEAU, figure de Jésus-Christ. Le con-
cile Quinisexte défend de représenter Jésus-
Christ sous la forme d'un agneau, XII, 963.
AGNEAU béni à Pâques. L'usage s'en
était introduit au ix» siècle ; Walafride Stra-
bon en parle, XII, 413, 567. — Autre vestige
de cet usage, XIll, 56.
[AGNEAUX. Sermon de saint Augustin sur
cette parole de Jésus-Christ : « Je vous envoie
comme des agneaux au milieu des loups , »
IX, 841.]
555. AGNELLUS, d'abord diacre, puis arche-
vêque de Ravenne; sa mort; sa lettre à Ar-
ménius dans laquelle il établit contre les
Ariens la consubstantialité du Verbe, XI. 349.
[Éditions de cette lettre, 349.]
690. AGNELLUS (autrement dit Agnel), évêque
de Fondi. Lettre que lui écrit le pape saint
Grégoire, XI, 480. 11 accepte l'évêché de Ter.
racine, ce qui est approuvé du pape saint
Grégoire, 491. Autre lettre que lui écrit le
pape saint Grégoire, 511 et 380.
AGNÈS (Sainte), vierge'et martyre, III, 40.
[Voyez la note 4.] Fausseté de ses Actes at-
tribués à saint Ambroise, 350. Analyse de ses
vrais Actes publiés par Assémani, 350, 351.
— Le pape saint Damase fait son éloge, V,
22. — Hymne du poète Prudence en son hon-
neur, VIII, 102. — Homéhe de saint Maxime
de Turin sur cette sainte, X, 321. [Elle est
douteuse, 326.] — [Hymne du Vénérable Bède
pour la fête de sainte Agnès, XII, 4.] Poëme
de saint Rosvithe de Gandersheim en son
honneur, 877. — Sa Vie fut écrite en verset
en prose par .ambroise, moine de Saint-
Ouen, XIV, 187. (Voyez dans VHistoire litté-
raire de la France, t. X, p. 264.) Poëme du
vénérable Hildebert sur le martyre de sainte
Agnès, 222. Son martyre en vers élégiaques
par Philippe de Bonne-Espérance, 687. Ser-
mon de Guillaume d'Auvergne en son hon-
neur, 1027.
AGNÈS, que sainte Radegonde avait faite
abbesse de son monastère à Poitiers, est bé-
nie par saint Germain, évêque de Paris, XI,
316. Dispositions du testament de sainte Ra-
degonde à son égard; mort d'Agnès, 905.
AGNÈS, impératrice, épouse de l'empereur
Henri III, est chargée du gouvernement pen-
dant la minorité de son tlls Henri IV, XIII,
240. Elle se retire à Rome et se met sous la
conduite de saint Pierre Damien ; éloge que
Pierre fait de cette princesse, 321. Recueil de
prières et de méditations composé pour elle
par Jean, abbé de Fécamp, 328. Autres opus-
cules de piété composés pour la même prin-
cesse, 329. Lettres que lui écrit saint Pierre
Damien, 306. (Elle avait écrit quelques let-
tres : il en reste une. Voyez ce qui est dit de
cette princesse dans VHistoire littéraire de la
France, t. VR, p. 153.)
AGNÈS de Méranie, reine de France. Phi-
lippe-Auguste l'éloigné de lui, XIV, 962.
AGNÈS, veuve d'Hélie, comte du Mans, et
fille de Pierre, duc de Poitiers, se consacre à
Dieu dans un monastère, XIV, 209.
AGNOITES, hérétiques qui attribuaient à
Jésus-Christ l'ignorance de quelques choses,
XI, 592. Leur erreur réfutée dans une lettre
de saint Grégoire, 439, 519. Discours de saint
Euloge d'Alexandrie contre eux, 592.
AGNUS DEI. Suivant le rite ambrosien,on
ne le dit jamais à la messe, sinon lorsqu'on
la dit pour des morts, XIII, 6.
AGNUS DEI, pains de cire bénits par le
pape. Leur origine, X, 576. — Amalaire en
parle, Xll, 342.
304 ou 305.
XI slicle.
h99.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
29
AGOBARD ou AGUEBAUD, archevêque de
Lyon. Incertitude où l'on est sur le lieu et
804. l'année de sa naissance ; il est ordonné prêtre
par Leidrade, qui ensuite le fait chorévêque
813. ou vicaire général; il devient archevêque de
Lyon après la retraite de Leidrade; il combat
818. l'hérésie de Félix d'Urgel; il s'oppose à di-
vers abus ; il entre dans la révolte de Lo-
thaire contre Louis-le-Débonnaire, XII, 363.
840. Il rentre dans son siège, 363, 366. Sa mort;
ses écrits contre Félix d'Urgel; contre les su-
perstitions des Juifs, 366. Lettre contre les
Juifs, 366 et 367. Consultation au sujet des
Juifs, 367. Lettre à Hilduin et à Vala, 367 et
368. Lettre à Nébridius, 368. Livre contre la
loi de Gondebaud touchant les combats sin-
guliers, 368 et 369. Traité des privilèges et
des droits du sacerdoce, 369. Livre sur le
tonnerre et la grêle, 369 et 370. Réponse
~ d'Agobardauxreprochesquelui faisait l'abbé
Fridugise, 370, 371. Lettres à Barthélemi, à
Matfrède et au clergé de Lyon, 371. Traité
des images, 372. Livre de la dispensation des
biens ecclésiastiques ; livres des sentences di.
vines contre les épreuves superstitieuses;
traité de la vérité de la foi, 373. Lettre à
l'empereur Louis-le-Débonnaire, 373 et 374.
Traité de la comparaison du gouvernement
ecclésiastique avec la politique, 374. Apolo-
gie pour les enfants de Lous-le-Débonnaire,
373. Attestation d'Agobard sur la pénitence
imposée à l'empereur, 376. Traité sur l'espé-
rance et la crainte, 376 et 377. Traité de la
divine psalmodie^ 377. Traité contre les qua-
tre livres d'Amalaire sur les offices divins,
377 et 378. Poésies d'Agobard; jugement
sur son style; éditions qu'on a faites de ses
écrits, 378. [Ses écrits dans la. Patrologie, 318.
Note sur sa conduite pohtique, 1109.] Lei-
drade l'avait désigné pour son successeur,
251 . Dispute de l'abbé Fridugise avec Ago-
bard, 333. — Agobard est cité au concile de
Crémieu, XIII, 669. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. IV, p. 567
et suiv.)
AGONIE de Jésus-Christ. Discours sur ce
sujet attribué à Théodoret, X, 100.
AGONOSTICON, ouvrage de Rathérius,
évêque de Vérone. A quelle occasion il fut
composé, XII, 448. Analyse de ce traité, 448
et suiv.
AGONYCLITES, hérétiques dont parle saint
Jean Damascène;, XII, 69.
314. AGRÈGE, évêque de Trêves, assiste au
concile d'Arles, II, 629, — [Sa Vie, publiée
506.
527.
Vil siècle.
624.
418.
V siècle.
par Evervin, XIII, 121, n. 5. Vie de ce saint,
composée entre 1030 et 1070, et faussement
attribuée à Lambert de Liège, 362.]
AGRÈGE, prêtre dont l'ordiDation fut con- iv siècle,
traire aux canons, VI, 102.
AGRÈGE, évêque de Sens. Lettre que lui
écrit saint Sidoine-Apollinaire, X, 381 et
391.
AGRÈGE ou AGRICE, évêque d'Antibes,
assiste au concile d'Arles; lettre que l'on
croit lui être adressée par Salvien, X, 376.
— Il est suspendu pour un an au concile de
Garpentras, XI, 832.
AGRESTE ou AGRESTIN, d'abord secré-
taire du roi Théodoric, puis moine à Luxeuil,
excite du trouble dans ce monastère, XI, 61 8.
Ilpéritmisérablement, 620. — Il calomniait la
règle de saint Colomban ; elle est approuvée
au concile de Mâcon, XII, 914.
AGRICE, évêque d'Antibes. Voyez Agrèce.
AGRICOLA, préfet des Gaules, VII, 340.
AGRICOLA, fils d'un évêque pélagien, ré-
pand les erreurs de Pelage dans la Grande-
Bretagne, VUI, 143. — Il est condamné dans
le concile de Saint-Alban, X, 667.
AGRICOLA, beau-frère de saint Sidoine-
Apollinaire, Lettre que saint Sidoine lui écrit,
X, 383. Autre lettre du même, 383.
AGRICOLAUS ( Aurélianus ), vicaire des
préfets du prétoire, condamne à mort saint
Marcel, centenier, II, 483.
AGRICOLAUS, évêque de César ée en Pa-
lestine, assiste au concile d'Ancyre, II, 633.
AGRICOLE (Saint), martyr à Bologne en
Italie, in, 41.
AGRICULTURE. Auteurs qui en ont traité
indiqués par Cassiodore, XI, 233. — Ouvra-
ges faits sur l'agriculture par ordre de l'em-
pereur Constantin Porphyrogénèle, XII, 813.
AGRIPPA, surnommé Cassor, défenseur de ii siècle,
la vérité etde la religion. Ce qu'il a écrit con-
tre les erreurs de Basilide, I, 403, 404.
AGRIPPA, disciple et successeur du savant
abbé Eusèbe, dont parle Théodoret, X, 53.
AGRIPPIN, évêque de Garthage au com- m siècle,
mencement du m' siècle, U, 261 et 343. Il
introduit l'usage de rebaptiser les hérétiques ;
concile qu'il tient à ce sujet, 545. — Il sou-
tient le premier qu'il faut rebaptiser, VIII,
458.
AGRIPPIN, comte à qui saint Euphrone
d'Autun adresse une lettre, X, 358.
AGRIPPIN, évêque d'Autun, confère le
diaconat et la prêtrise à saint Germain, de-
puis évêque de Paris, XI, 307,
295.
314.
304.
30
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
AGUEBAUD, archevêque de Lyon. Voyez
Agobm^d.
[AGUIRRE (d'), cardinal. Son édition delà
Chronique de Jean de Biclar, XI, 426.]
AGYLÉE (Henri). Sa traduction latine du
Nomocanon de Pholius, XII, 723.
AHIALON, juge d'Israël, I, SI.
252. AHYMNIUS, évêque de Byzacène, écrit à
saint Cyprien, II, 316.
AICADRE (Saint), second abbé de Ju-
miège. Sa Vie, retouchée par Fulbert, moine
de Saint-Ouen, XIII, 469.
X siècle. ÂIGARD, usurpateur des biens de l'église
de Valence, excommunié par l'évêque avec
ses complices, Xll, 864.
AIGE, abbé de Castres. (Il écrit l'histoire de
son monastère. Voyez dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. VI, p. 42.)
VIII siècle. AIGRADE, moine de Fontenelle, auteur de
la Vie de saint Landebert, archevêque de
Lyon, et de celle de saint Ansbert, archevê-
que de Rouen, XI, 8H et XII, 21. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. IV, p. 33 et suiv.)
[AIGUILLON de l'amour, ouvrage d'Ecbert,
XIV, 399.]
AIGULFE ou AYGULPHE, abbé de Saint-
63g_ Denis, fait confirmer par le roi Dagobert les
immeubles de son monastère, XII, 921.
AIGULFE ou AYGULPHE ou vulgairement
AIOU (Saint), abbé de Lérins. Sa Vie, écrite
par Adrevald, moine de Fleury, XII, 630. —
Monastère fondé à Provins sous son nom par
Thibaut, comte de Champagne ; cette fonda-
tion est confirmée dans un concile de Sens
qui met ce monastère sous la dépendance de
l'abbaye de Montier-la-Celle, XIV, 1054.
vu siècle. AILERAN (Saint), Irlandiùs, Son explica-
tion mystique et morale des noms de ceux
que l'Evangile compte entre les ancêtres de
Jésus-Christ, XI, 629, 630.
AIMAR de Chabanais, moine de Saint-Ci-
bard. Voyez Ademar.
H87. [AIMERIC, patriarche d'Antioche. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie; son livre de
l'institution des moines ; ses deux lettres au
roi Louis le Jeune ; sa lettre à Hugues Hété-
rien, XIV, 793.]
™„ AIMOIN, moine deSaint-Germain-des-Prés
à Paris, exerce dans cette abbaye les emplois
d'écolâtre et de chancelier; on ignore le
temps de sa mort, XII, 700. Son histoire de la
translation de saint Vincent, 700 et 701 . Il la
met en vers ; histoire de la translation des
martyrs de Gordoue, 701 . Livre des miracles
de saint Germain, évêque de Paris, 701,702.
Histoire de Ja translation de saint Savin qu'on
lui attribue ; on lui attribue aussi sans fonde-
ment l'histoire de l'invention des reliques de
saint Placide et de ses compagnons, 702.
[Édition des écrits d'Aimoin dans la Patrolo-
gie, 701, 702. Jugement sur son style, 702.]
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire de
la France, t. V, p. 641 et suiv.)
AIMOIN, moine de Fleury. Ce qu'on sait
des circonstances de sa vie ; il accompagne
Abbon en son voyage à la Réole et le voit mas-
sacrer sous ses yeux ; temps de sa mort; son looiouioi
histoire des Français, XIII, 40. Éditions de
cette histoire ; poëme sur la translation des
reliques de saint Benoît; discours en l'hon-
neur de saint Benoît, 41. Histoire des mira-
cles opérés par saint Benoît à Fleury, 41 et
42. Vie de saint Abbon; Vie des abbés de
Fleury, ouvrage perdu ainsi qu'un autre; la
Vie de saint Abbon est de lui, 149. [Juge-
ment sur les ouvrages d'Aimoin; leur édition
dans la Patrologie, 41,42.] (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. VII,
p. 216 et suiv. et à la tête du t. XI, p. xxvij.)
AIMON, évêque d'Halberstat. Voyez Bai-
mon.
AIMON, évêque de Valence, n'est connu
dans l'histoire que par l'excommunication
qu'il prononça contre Aicard, usurpateur des
biens de son éghse, XII, 864, 865. Durée de
son épiscopat, 865. (Voyez ce qui est dit de lui 943-976.
dans l'Histoire littéraire de la France, t. VI
p. 421.)
AIMON, abbé deSaint-Pierre-sur-Dive. Ce v. ilso
qu'on sait des circonstances de sa vie, XIV,
589. On a de lui une lettre sur une confrérie
singulière relative à la fondation des églises,
589, 590. [Éditions des fragments qui restent
de cette lettre, 590.] (Voyez son article danS
l'Histoire littéraire de la France, t. XII, p. 357
et suiv.)
AINARD, moine de Saint-Evre. (On a de
lui un lexicon. Voyez dans l'Histoire littéraire
de la France, t. VI, p. 58 )
AINARD, abbé de Saint-Pierre-sur-Dive. xi siècle
Son épitaphe par Durand, abbé de Troarn,
XIII, 461. (11 avait laissé quelques écrits.
Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire litté^
raire de la France, t. VIII, p. 43 et suiv.)
AIOU (Saint), abbé de Lérins. Voyez Ai-
gulfe.
AIRIC (Saint), évêque de Verdun, exorcise
une femme qui avait un esprit de Pithon,XI,
370. Son éloge par Fortunat, 403.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
31
AIRY, château au diocèse d'Auxerre. Con-
cile tenu en ce lieu, XIV, 1039, 1040.
AITHILAH (Saint), diacre, martyren Perse.
Ses actes rapportés par Assémani, III, 338,
339.
AITON, évêque de Bâle. Voyez Hetton.
AIX, ville épiscopale de Provence. Sa dé-
pendance de réglise d'Arles, X, 324, S25.
AIX-LA-CHAPELLE, ville d'Allemagne.
Conciles tenus en cette ville, XlII, 637, 640,
642, 650, 654, 660, 667, 693. — XIV, 1040.
AIZAN, princed'Auxumeen Éihiopie à qui
Constance écrit, VI, 344.
AJO, moine anglais. Son histoire du mo-
nastère de Croiland; temps de sa mort, XII,
843.
ALAGUS , chanoine de la cathédrale
d'Auxerre, aide le moine Heiric à composer
l'histoire des évêques d'Auxerre, XII, 641.
(Voyez ce qui en est dit dans V Histoire litté-
raire de la France, t. V, p. 541, et dans l'ad-
dition qui est à la tète du t. X, p. v etsuiv.)
ALAIN ou ALANIS, abbé de Farfe . Ce qu 'on
sait des circonstances de sa vie ; sa mort ; son
homiliaire, XII, 14S. [Voyez un autre article,
119.] (Voyez ce qui en est dit dans l'avertis-
sement qui est à la tête du t. V de l'Histoire
littéraire de la France, p. x et suiv.)
ALAIN FERGENT, duc de Bretagne. Sa
mort, XlII, 331.
ALAIN, moine de Clairvaux, puis abbé de
la Rivoure ou Larivour, est fait évêque
d'Auxerre , il quitte son évêché et retourne à
Clairvaux; sa mort; il compose la vie de saint
Bernard d'une manière plus exacte et plus
suivie, XIV, 494. (Voyez l'article suivant con-
sacré à ce prélat.)
[ALAIN, évêque d'Auxerre. Ce qu'on sait
des circonstances de sa vie, XIV, 784. Ses
écrits, 785 et suiv.: 1° ses lettres, 783. 2° Sa
Vie de saint Bernard, 783, 786. Ouvrages
qui lui sont attribués; jugement critique,
786. Édition de ses écrits dans la Patrologie,
786 et 787. Ses lettres à Louis le Jeune, 491,
n. 1.]
[ALAIN de Lille, dit le docteur universel.
Ce qu'on sait des circonstances de sa vie,
XIV, 863 et suiv. Ses écrits imprimés, 863 :
1° L'Encyclopédie, 867 et suiv. 2° Les gémis-
sements de la nature; 3° Paraboles, 869.
4° Proses rimées, 869 et 870. 3° Commen-
taire sur le Cantique des Cantiques, 876.
6° De l'Art de la prédication; 7° Sermons;
8° Des sentences, 870. 9° Sur les six ailes
des chérubins, 870, 871. 10° Livre pénitent lel;
11° De la foi catholique, 871. 12° De l'Art
ou des articles de la foi catholique, 871 et 872.
13° Sur les prophéties de Merlin, 872, 873.
14° Vie de saint Thomas de Cantorbéry. 873,
874. 15° Theatrum chimicum, 874. Écrits non
imprimés, 874 et 873. Critique et jugement,
873 et 876. Éditions, 876. Le docteur Gilesa
publié quatorze lettres d'Alain, 667, n. 2.]
ALAINS, peuples barbares, ravagent l'Es-
pagne, X, 2.
ALANIS, abbé de Farfe. Voyez Alain.
ALARIC, roi des Goths, prend Rome, VI, «o.
338 et VII, 306. — Il brûle la ville de Rhége,
VII, 460.
ALARIC, roi des Visigoths en Espagne,
protège les catholiques et leur permet d'as-
sembler le concile d'Agde en 506; il publie
le recueil de lois appelé le Code théodosien,
X, 736. — Il se laisse prévenir contre saint 505.
Césaire d'Arles et l'exile à Bordeaux ; il recon-
naît son innocence et le renvoie à son église
XI, 126. Clovis le défait et le tue, 80.
ALBAN (Saint), martyr. Monastère bâti en 793 et 794,
son honneur, XIII, 636.
ALBANIUS, ecclésiastique qui se rend ac- 506.
cusateur d'Ibas, X, 143.
ALBÉNÉCA, femme qui voulait sans le
consentement de son mari renoncer au siècle.
Lettre que lui écrit sur ce sujet saint Théo-
dore Studite, XII, 303.
ALBÉRIC, évêque de Langres. On a de lui
deux lettres à Frothaire, évêque de Toul,XII,
399. (Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire
littéraire de la France, t. V, p. 56.)
ALBÉRIC, comte de Tusculum, parvient à ,033.
force d'argent à faire élire pape son fils Théo,
phylacte qui prend le nom de Benoît IX, XII],
195, 196.
ALBÉRIC, moine du Mont-Cassin et cardi-
nal-diacre du titre des Quatre-Couronnés, se
dispute avec Bérenger qu'il oblige de rétrac- io79.
ter ses erreurs sur l'Eucharistie; sa mort,
XlII, 494. [Sa préface à la vie de sainte Scho-
lastique et son homélie sur cette sainte, 494.]
Son apologie de Grégoire ; son traité du corps
et du sang du Seigneur contre Bérenger; ses
autres écrits, 494. Opuscules de saint Pierre
Damien en réponse à ses questions, 319.
ALBÉRIC, seigneur de Meslant. Sa cruauté
à l'égard de Hugues, évêque de Châlons ; il
est excommunié par l'archevêque de Reims;
il rend la liberté à l' évêque de Châlons, XIII,
588.
ALBÉRIC (Saint), second abbé de Cîteaux, noo,
met son monastère sous la protection du
32
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
Saint-Siège ; sa mort ; Etienne Harding lui
succède ; son oraison funèbre par Etienne,
XIV, 230.
ALBÉRIC, trésorier de l'église d'Aix. Voyez
Albert.
un. ALBÉRIC, l'un des directeurs de l'école de
Reims. Sa jalousie contre Abailard, XIV, 319.
Il est confondu par Abailard, 320. Il fut de-
puis archevêque de Bourges, 426. Sa mort,
309. (Voyez son article dans V Histoire litté-
raire de la France, t. XII, p. 72 et suiv.)
ALBÉRIC, cardinal-archevêque d'Ostie, lé-
gat du pape contre les Henriciens, XIV, 446,
447. [Sa lettre aux moines de Saint-Orient
d'Auch, 446, n. 2.]
XII siècle. ALBÉRON, évêque de Verdun. (On a de
lui une lettre et deux chartes. Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. XII, p. 317 et suiv.)
XII siècle. ALBÉRON, archevêque de Trêves. Voyez
Adalbéron.
Xll siècle. [ALBÉRON, élu évêque de Liège, à qui
Innocent II accorde le pallium, XIV, 263. Le
même pape lui écrit, 266,]
ALBERT (Saint), martyr à Mayence. Sa Vie
attribuéepar erreur àHeiric,moined'Auxerre,
XII, 641.
ALBERT, moine de Fleury. Voyez Adal-
hert.
ALBERT le scholastique. Son épitaphe par
Gerbert, XII, 904.
ALBERT, abbé de Mici. Sa lettre au pape
Jean XVIIl pour lui demander la confirma-
tion d'une donation faite à son monastère,
XIII, 30. (Il y en a une autre à Jean XIX.
Voyez dans V Histoire littéraire de la France,
t. VI, p. 39.)
XI siècle. ALBERT ou ALPERT, moine de Saint-Sym-
phorien de Metz, écrit l'histoire de son temps,
XIII, 72. Idée de cet ouvrage ; édition que
M. Eccard en a donnée, 72 et73. [Autres édi-
tions de cet ouvrage, 73. Son ouvrage sur les
évêques de Metz, 72, n. 7.] On croit aussi
Albert auteur d'un traité sur le comput, 73.
Lettre que lui écrit Bouchart, évêque de
Vorms, 93. (Voyez son article dana l'Histoire
littéraire de la France, t. Vil, p. 248 et suiv.)
ALBERT, abbé de Gemblours. Voyez Al-
bert,
2063. ALBERT, abbé de Marmoutier. Sa mort ;
Barthélemi lui succède, XIIl, 346. (Il avait
recueilli les cou tûmes de son monastère. Voyez
ce qui est dit de lui dans l'Histoire littéraii^e
de la France, t. VU, p. 353 et suiv.)
XII siècle, ALBERT, trésorier de l'église d'Acqs (ou
d'Aix en Provence). Son|histoire de l'expédi-
tion de Jérusalem, XIII, 333, 534. [Édition de
cette histoire dans la Patrologie ; traduction
par M. Guizot, 533.]
ALBERT, anti-pape, élu pour succéder à
Guibert, est enfermé à Saint-Laurent, XIV,
129.
ALBERT, cardinal, chancelier de l'Église «
romaine, est élu pape et prend le nom de
Grégoire VllI, XIV, 93o.VoyezGre(/oî>-e VIII.
ALBERT LE GRAND. Les huit traités
sur le livre de Gilbert de la Porrée, intitulé :
Des Six principes, XIV, 343.
[ALBERTAN, théologien de Berne. Son
édition du commentaire d'Élie de Crète sur
les discours de saint Grégoire de Nazianze,
VI, 246.]
ALBIEN, solitaire de Nitrie. Son histoire, i-^
ouvrage de saint Nil, solitaire de Sinaï, VllI, ^^
213.
ALBIGEOIS, hérétiques. [Lettre de Pierre, xu siè«
cardinal de Saint-Chrysogone, contre les Al-
bigeois, adressée à tous les enfants de l'Église
sur la foi catholique apostohque, XIV, 749,
750. Histoire des Albigeois par Pierre, moine
de Vaulx-Cernay, 904 et suiv. Jugement sur
cette histoire, 907. Éditions qu'on a faites,
907 et 908. Efforts du pape Innocent III con-
tre ces hérétiques, 989. Il les fait évangéli-
ser, 1002, 1003.] Canons du concile de Tou- «2»
louse, assemblé pour les réprimer, 1108.
Canon du concile de Tours contre ces héréti- iieSi
ques et ceux qui les protégeaient, 1130. Con-
cile de Lombers oîi les Albigeois sont inter- H76'
rogés juridiquement et condamnés, 1136.
Canon du concile de Latran contre les Albi- «79^
geois et autres hérétiques, 1142. Prétendu
concile deMontpeUier contre eux,H49. Croi-
sade publiée contre eux; traitement odieux
qu'on fait subir à Raymond, comte de Tou-
louse, à leur occasion, 1130. Lettre du pape
Innocent III au roi et aux seigneurs de France
pour les engager à détruire les Albigeois par
les armes, 989 et 1003. Sentence prononcée
par le concile général de Latran contre les 1215.
hérétiques albigeois et ceux qui les proté-
geaient, 1163.
ALBIGNAN (Pierre). Sa préface sur le dé-
cret de Gratien, XIV, 761 .
ALBIN, général des Romains. Son diffé-
rend avec Aétius, X, 169.
ALBIN de Liège. Son office pour la Sainte-
Trinité, inséré dans l'Antiphonaire du pape
saint Grégoire, XI, 544,
ALBIN, abbé de Saint-Pierre de Cantor-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
33
béry. Lettre que lui écrit le vénérable Bède,
XII, 14, 13.
ALBIN ou ALBINUS-FLACCUS. Alcuin n'a
jamais pris ce nom, mais quelquefois celui de
Flaccus-Albinus, XII, 163. Voyez Alcuin.
ALBINE, dame romaine, mère de sainte
Marcelle, VII, 578.
ALBINE, dame romaine, mère de Mélanie
la Jeune et belle-mère de Pinien, écrit à saint
Augustin; lettre que lui écrivit saint Augus-
tin, IX, 114. Autre lettre du même à la
même, US. Pinien, Albine et Mélanie écrivent
à saint Augustin; livres qu'il leur adresse en
réponse, 448, 449. — Albine visite saint Cy-
rille d'Alexandrie en allant en Palestine,
VIII, 258.
ALBISON, évêque, porte une lettre de saint
Euphrone à saint Sidoine, X, 394.
ALBOFLÈDE, sœur du roi Clovis , est
baptisée après lui ; sa mort ; lettre que
saint Rémi écrit à Clovis pour l'eu consoler,
XI, 79.
ALBOlN, roi des Lombards, infecté de
l'arianisme, XI, 203.
ALBOIN, prêtre. Ses deux lettres sur le cé-
libat des prêtres, XIII, 403.
ALBRIC, évêque d'Utrecht. Sa Vie, attri-
buée à saint Lutger, évêque de Munster, XII,
218. (Voyez ce qui est dit de lui dans l'Aver-
tissement du t. V de V Histoire littéraire de la
France, p. xj et suiv.)
ALBUGIEN, vicaire de Macédoine. Loi de
Tliéodose qui lui est adressée, VI, 363.
ALBUIN, prêtre et reclus. Son recueil de
passages de l'Écriture etdes Pères sur la pra-
tique des vertus chrétiennes; on ne lui a at-
tribué le livre de l'Antéchrist que parce qu'on
l'a confondu avec Alcuin, XII, 911. — Sa
lettre à Héribert de Cologne en lui envoyant
son recueil de passages de l'Écriture sur les
vertus, XUI, 76. [Éditions de cette lettre dans
la Patrologie, 77.] Voyez ce qui est dit d'Al-
buin dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VI, p. 553 et suiv.)
ALCHER, moine de Clairvaux. On lui at-
tribue un traité de l'âme et quelques autres
écrits, IX, 286. [Traité de l'âme qui est
adressé à Alcher par Isaac, abbé de l'Étoile,
XIV, 696.] (Voyez ce qui est dit d'Alcher dans
l'Histoire littéraire de la France, t. XII, p. 683
et suiv.)
ALCIBIADE, l'un des martyrs de Lyon,
I, 470.
ALCIME, l'une des filles de saint Sidoine,
X, 379.
TÂB. I.
ALCIME-AVIT (Saint), évêque de Vienne.
Voyez Avit (Saint).
ALCORAN. Livre attribuée Mahomet; son
origine, XII, 103. — Traduction latine de
l'Alcoran par Pierre de Tolède et Robert de
Rétines, XIV, 510 et 316. Pierre le Vénérable
y joint l'abrégé de l'histoire de Mahomet,
510. Réfutation de l'Alcoran par Pierre le
Vénérable, 316 et suiv.
ALCUIN (le bienheureux), abbé de Saint-
Martin de Tours; différents noms qu'il a
portés ; sa naissance ; ce qu'on sait de sa fa- y 735
mille ; il est élevé dans un monastère d'York ;
il y enseigne les lettres, XII, 165. 11 va à y. 766.
Rome; à son retour, il est connu du roi 7gQ_
Charles qui le retient auprès de sa personne,
165 et 166. Il retourne en Angleterre, puis
revient en France avec la permission de son
souverain ; il établit une espèce d'académie
dans le palais de Gharlemagne; ce prince
l'envoie en Angleterre traiter de la paix avec 790.
Ofita; il est nommé à l'abbaye de Saint-Mar-
tin de Tours, et il y rétablit la règle et les 795.
études; sa mort, 166. On le justifie d'avoir ^^
possédé plusieurs abbayes à la fois, 166,
167. Son éloge, 167. [L'Eglise ne rend aucun
culte à Alcuin, 167. Edition des œuvres d'Al-
cuin par Froben, 167, n. 3.] Ses livres sur
l'Écriture sainte ; commentaire sur la Genèse,
167, 168. Explication de ces paroles : Fai-
sons l'homme à notre image, 168. Explication
des Psaumes; traité de l'usage des Psaumes,
168 et 169. Distribution de l'Office pour
chaque jour de la semaine, 169. Lettre à
Daphnin sur une parole du Cantique des
Cantiques; commentaire sur l'Ecclésiaste,
170. [Interprétation des mots hébraïques des
ancêtres de Notre-Seigneur, 170, 171. Com-
mentaire sur l'Évangile de saint Jean, 171.
Son commentaire sur l'Évangile selon saint
Matthieu; on doute si Alcuin a commenté tout
cet évangile ; ses commentaires sur les Épîtres
à Tite, à Philémon et aux Hébreux, publiés
par Froben, 172. Commentaire sur l'Apoca-
lypse, publié par Maï, 172, 173.] Poëme sur
la Bible, 173. Œuvres dogmatiques d'Alcuin,
173 et suiv. Livre sur la Trinité, 173. Ana-
lyse de cet ouvrage, 173 et suiv. Questions
sur la Trinité à Frédégise, 176. Traité de la
procession du Saint-Esprit, 176, 177. Ana-
lyse de cet ouvrage, 177. Lettre à Charle-
magne sur la signification des mots œter-
num, etc., 177, 178. Lettre à la vierge Eulalie
sur la nature de l'âme, 178. Analyse des sept
livres d'Alcuin contre Félix d'Urgel, 178 et
3
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
34
suiv. Analyse de ces livres, 179 et suiv.
Lettre à Charlemagae sur cet ouvrage, 181,
182. [Ouvrage d'Alcuiu pour la confirmation
de la foi catholique, publié par Foggini et re-
produit dans la Pat?-ologie; ce qu'il contient,
179, n. 1.] Lettre à Elipand, 182. Ses
livres contre Elipand, 182, 183. Livre des
Offices divins; cet ouvrage n'est pas d'Alcuin,
184. Lettre à Gharlemagne sur les noms de
Septuagésime, Sexagésime et Quinquagé.
sime,etc; lettre au prêtre Odvin sur les céré-
monies du baptême, 184. Lettre à Gharlema-
gne surle même sujet; ellen 'estpoint d'Alcuin,
184 et 183. Lettre aux moines de l'abbaye de
Saint-Martin, 183. Livre des sacrements ou
Sacramenlaire, 183 et 186. [Six messes de
saint Augustin contenues dans ce Sacra-
mentaire ont été ajoutées par une main
étrangère, 183, n. 6.] Homélies attribuées
à Alcuin ; la Vie de l'Antéchrist n'est pas
non plus de lui, 186 et 187. Traité des ver-
tus et des vices, 187. Analyse de ce traité,
187 et suiv. Traité sur les sept arts libéraux ;
il ne nous en reste que ce qui regarde la
grammaire et la rhétorique, 189. [Il est de
Gassiodore, 189, n. 1. Traité de l'Ortho-
graphe, publié par Froben ; traité surle cours
de la lune et de l'année bissextile, 189.] Au-
tres ouvrages d'Alcuin ; Vie de saint Martin
de Tours, 189. Vie de saint Vaast, évêque
d'Arras, 190. Vie de saintRiquier ; Vie de saint
Willibrode, 191. Lettres d'Alcuin, 191 et
suiv. [Lettre d'Alcuin à Lucie et à Colombe,
172, u. 2. Lettre d'Alcuin à Félix en 793,
179, n. 2. Époque à laquelle la lettre à Eli-
pand a été écrite, 182, n. 2. Lettres d'Alcuin
dans Mabillon et dans la Patrologie, 197.] Ses
poésies, 201,202. [Nombre des poèmes d'Al-
cuin dans l'édition de Froben, 201, n. 2.] Sa
confession de foi, 202 et suiv. Preuves de son
antiquité, 202, 203. Elle est véritablement
de lui, 203, Réponse aux preuves, 203 et
204. Réponse aux objections, 204^ 203. Ce
que c'est que cette confession, 203, 206.
Livre intitulé Cornes (qui signifie non le comte,
mais le compagnon), 206. Homiliaire d'Al-
cuin, 206 et 207. Écrits d'Alcuin qui sont
perdus, 207, 208. [Écrits nouveaux : Exposi-
tion des dix paroles de la loi par Alcuin, 168,
Commentaire sur le Cantique des Cantiques,
170. Ses commentaires sur les Épîtres de saint
Paul à Tite, à Philémon, aux Hébreux, 172. Ses
commentaires sur l'Apocalyse, 172, 173, Ses
Épigrammes, 173. La lettre à Gharlemagne,
attribuée à Alcuin, est d'Amalaire, ISS.JDoc-
trine d'Alcuin sur l'Écriture sainte, 208, 209,
Sur la Trinité et l'Incarnation, 209. Sur le
hbre arbitre et sur la grâce, 209 et 210. Sur
le Baptême et la Confirmation , 210. Sur
la Confession, 210, 211. Sur l'Eucharistie;
sur l'intercession des saints, la prière pour
les morts ; sur Tautorité de l'Eglise romaine,
211. Jugement sur le style et les écrits d'Al-
cuin, 212. Éditions qu'on a faites de ses œu-
vres, 212 et suiv. [Edition des homélies d'Al-
cuin dans la Patrologie, 186. Lettres publiées
par Froben et reproduites dans la Pati-ologie,
199 et suiv. Edition complète des œuvres
d'Alcuin dans la Patrologie, 213, 214. Ouvra-
ges d'Alcuin regardés comme perdus et pu-
bliés par Froben, 207, n. 5, 6, 16, 21, 22,
29.] Lettre que Gharlemagne lui écrit au su-
jet d'un clerc qu'il avait reçu dans son mo-
nastère pour le soustraire à une sentence de
Théodulfe, son évêque, 233. Autre lettre que
lui écrit Gharlemagne, 244, 243. (Voyez son
article dans l'histoire littéraire de la France,
t. VI, p. ix et suiv., et au t. VIII, p. x et
suiv.)
ALCYSON, évêque de Nicopolis, Sa mort, sig^ni
X, 616.
ALCYSON, évêque de Corcyre ou Corfou, eos.
Ses plaintes contre Jean, évêque d'Eurie en
Epire, portées au pape saint Grégoire, XI,
533. Lettre que saint Grégoire lui écrit au
sujet des reliques de saint Donat d'Eurie,
534.
ALDEBALD, moine de Cluny. Ses addi- xisièc
lions à la Vie de saint Maïeul, abbé de Cluny,
écrite par le moine Syrus, XII, 889, et XHI,
149. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. VU,' p. -409 et suiv.)
ALDEBERT, prêtre gaulois. Voyez Adal-
bert.
ALDEGONDE (Sainte), première abbesse
deJVIaubeuge. Différentes Vies qu'on a faites
de cette sainte, XII, 801. Celle qui fut écrite
par Hucbald, moine de Saint-Amand, 801
et 802.
ALDHERIUS, abbé. Lettre de saint Boni- yiii
face qui lui est adressée, XII, 50.
ALDIBERGE, reine d'Angleterre. Voyez
Berthe.
ALDOALDE, fils de Théodelinde, reine des
Lombards, XI, 534.
ALDON, évêque de Limoges, ordonne
Vulfade, archevêque de Bourges; sa mort,
XH, 580.
ALDREVALD, moine de Fleury, Voyez
Adrevald.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
35
ALDRIC (Saint), archevêque de Sens. Sa
naissance; il est fait abbé de Ferrières; il
succède à Jérémie dansTarchevêclié de Sens;
il reste fidèle à Louis le Débonnaire ; sa mort ;
sa lettre à Frothaire, évêque de Toul ; privi-
lège qu'il accorde au monastère de Saint-
Remi de Sens, XII, 339. (Voyez son article
dans V Histoire littérah^e de la France, t. IV,
p. 329 et suiv.)
ALDRIC (Saint), évêque du Mans. Noblesse
de son extraction ; il est élevé à la cour de
Charlemagne; il quitte la cour et entre dans
le clergé de Metz, XII, 444. Louis le Débon-
naire l'appelle à la cour et le fait son confes-
seur; il est élu évêque du Mans; il assiste au
concile d'Aix la-Chapelle et à celui de Paris;
sa mort ; sa lettre aux évêques du concile de
Compiègne; son recueil de canons; seslesta-
ments;sonrèg]ementpourle luminaire de sa
cathédrale; ses statuts synodaux; formules de
messes, 445. Le décret du pape Grégoire IV
donné en sa faveur est une pièce supposée,
404. Les gestes d'Aldric. 446. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. V, p. 141 et suiv.)
ALÉRIA, ville de Corse, érigée en évêché
à l'occasion de la conversion des idolâtres de
nie, XI, 510.
ALÈIHE de la maison de Montbart, mère
de saint Bernard, XIV, 418.
ALÉTHIUS (et non ALÉTIUS), prêtre et
depuis évêque de Cabors. Témoignage que
lui rend saint Jérôme, Vil, 373. — 11 avait
écrit ÙL saint Paulin; réponse que saint Pau-
lin lui adresse, VIII, 73, 74. (Saint Paulin, fai-
sant l'éloge de son éloquence, donne lieu de
présumer qu'on avait de lui quelques écrits.
Voyez son article dans l'Histoire littéraire de
la France, t, II, p. 83 et suiv.)
ALETRAN, abbé de Lobes. Sa mort, XII,
872.
ALEXANDRA, recluse près d'Alexandrie.
Ce qui en est dit dans l'Histoire Lausiaque de
Pallade, 489.
ALEXANDRA, dame à qui Théodoret écrit,
X,72.
ALEXANDRE LE GRAND, roi des Macé-
doniens. Parole remarquable de ce prince
rappelée par saint Basile, IV, 431. — Saint
Jean Chrysostôme fait sentir le ridicule de
l'apothéose d'Alexandre le Grand, VU, 311.
ALEXANDRE, ouvrier en cuivre dont parle
saint Paulin, X, 79.
ALEXANDRE (Saint), pape. Décrélales qui
lui sont faussement attribuées, VI, 81 .
1064 ou 1067
1073.
ALEXANDRE II (Anselme), pape, est élu lœi.
pour succéder à Nicolas II ; son élection ayant
été faite sans le consentement de la cour
d'Allemagne en est désapprouvée; Cadaloûs
est élu pape sous le nom d'Honorius II par
les intrigues de Guibertde Parme, chancelier
d'Italie ; concile d'Osbor en Saxe où Cada-
loiis est déposé et l'élection d'Alexandre II
confirmée ; concile de Mantoue sur le même
sujet, XIII, 285. Durée du pontificat d'Alexan-
dre; sa mort, 287. Ses lettres, 287 et suiv.
[Ses lettres et ses diplômes dans la Patrologie,
287.] Ses lettres et les conciles qu'il tint à
Rome ; décrets qui yfurent faits, 287. Autres
lettres de ce pape, 287 et suiv. [Lettre
d'Alexandre au clergé de Crémone, 291.
Lettre au marquis Guillaume, 292. Privilèges
à des monastères et à des églises, d'après la
Patrologie, 293, 294. Autres lettres d'Alexan-
dre, 294, 293, 296.] Constitutions faites par
son ordre pour l'Eglise de Milan, 289, 290.
Autres lettres d'Alexandre II, 290 et suiv.
Bulles pour l'abbaye de Ripouille; Alexan-
dre termine la contestation sur la primatie
d'Angleterre, 293. Lettre qu'il écrit â Béran-
ger pour l'exhorter à quitter ses erreurs, 170.
Lettres que lui écrit saint Pierre Damien,
298 et 313. Lettres que lui écrit Sigefroi, ar-
chevêque deMayeuce, 403, 406. Il se recon-
naît disciple de Lanfranc et lui rend honneur,
441. Ditïérentes lettres de Lanfranc qui lui
sont adressées, 431, 432. — Son élection
confirmée, XIV, 1062. Il est reconnu seul
pape légitime, 1064. (Alexandre fut aupara-
vant connu sous le nom d'Anselme, évêque
de Lucques. Voyez son article.)
ALEXANDRE Ul (Roland), pape, est élu ,159.
par le très-grand nombre des cardinaux pour
succéder à Adrien IV ; Octavien est élu en
concurrence par une faction et prend le nom
de Victor III, XIV, 918. L'empereur Frédéric
Barberousse assemble un conciliabule àPavie
où il fait casser l'élection d'Alexandre et
confirmer celle d'Octavien, 918 et 919. Les
rois de France et d'Angleterre reconnaissent
Alexandre ; il se réfugie en France ; il retourne
à Rome après la mort d'Octavien, 919. L'em-
pereur Frédéric, qui avait fait élire un autre
anli-pape, oblige Alexandre à sortir de Rome ;
il se retire àBénévent, 919 et 920. Il excom-
munie l'empereur et délie ses sujets du ser-
ment de fidélité ; dans une conférence qui se
tient à Venise, il fait la paix avec ce prince, 1177.
qu'il absout de l'excommunication; il rentre
dans Rome; il tient le troisième concile gé- ins.
1160.
1161.
1165.
36
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
H79. néral de Latran pour remédier aux maux
1181. causés par le schisme; sa mort, 920. [Juge-
ment sur Alexandre III, 920, 921 .] Ses lettres,
921 et suiv. [Ses lettres dans la Patrologie,
922, n. 1, 927 et suiv. Il écrit aux chanoines
de Saint-Victor, 698. Richard, prieur de
Saint-Victor, lui écrit en faveur de saint Tho-
mas de Cantorbéry, 70S. Lettre de consola-
tion qu'adresse à ce pape Odon, moine de
Saint-Victor, 712. Alexandre III entretient un
grand commerce de lettres avec Henri, ar-
chevêque de Reims, 731. Lettres de Henri à
ce pape, 731 et 732. 11 résiste à cet arche-
vêque, 732. Il écrit à Nicolas, ancien secré-
taire de saint Bernard, 733. Ses lettres àGui-
chard, archevêque de Lyon, 746. Son estime
pour Pierre, cardinal de Saint-Chrysogone,
748. Lettre de ce cardinal à Alexandre sur
les célébrités contemporaines de la France,
750. Ce pape ordonne la célébration du ma-
riage d'Alix, fille de Louis VII avec Richard,
fils de Henri II, roi d'Angleterre, 749. Lettres
qu'Arnoul, évêque de Lisieux, lui écrit tou-
chant la mort de saint Thomas de Cantor-
béry; touchant Gilbert, évêque de Londres;
Josselin, évêque de Sarisbéry; ceux qui
avaient pris parti contre saint Thomas ;
autres lettres du môme à ce pape, 459.
Pierre Monocule lui écrit , 787. Six let-
tres que lui adresse Henri, abbé de Haute-
Combe, plus tard cardinal, 799, 800. Lettres
de Maurice de Sully à ce pape, 820.] Il est
excommunié au conciliabule de Pavie, 1127.
Écrits faits en sa faveur, 1127, 1128. Il est
reconnu par le concile de Nazareth ; il est
reconnu dans les conciles de Neuf-iVIarché et
de Beauvais, 1128; et dans celui de Tou-
louse, 1128, 1129. Concile de Lodi où il est
excommunié; concile de MontpeUier où il ex-
communie l'antipape et tous ses fauteurs,
1129. Concile de Tours où il demande du
secours contre les partisans de l'antipape,
1129 et 1130. Concile de Latran où il ex-
communie l'empereur Frédéric, 1133, 1134.
Concile de Venise pour confirmer la paix
qu'il avait faite avec l'empereur Frédé-
ric, 1138. Sa conduite dans le différend
qu'il y eut entre Henri H, roi d'Angleterre,
et saint Thomas de Cantorbéry, 663 et
suiv., 669 et suiv. Lettres qu'Arnould de
Lisieux écrit en sa faveur, 731, 752, 754 et
suiv.
[ALEXANDRE VI autorise le rit ambrosien,
XIII, 5.]
Il siècle. ALEXANDRE (Saint), martyr de Lyon, I,
471, 472. — Homélie de saint Eucher de
Lyon à son honneur, VllI, 454.
ALEXANDRE (Saint), évêque de Jérusa-
lem et martyr, II, 122 et suiv. Ses études; il
est fait évêque en Cappadoce et confesse
Jésus-Christ; sa lettre à l'Éghse d'Antioche,
122. 11 est fait évêque de Jérusalem, 122 et
123. Il y dresse une célèbre biblothèque; il
confesse une seconde fois Jésus-Chiist et
meurt en prison, 123. Ses lettres, 122, 123,
124. Témoignage qu'il rend à Clément
d'Alexandrie, 564. Denis d'Alexandrie parle
de sa mort, 403. Étant devenu évêque de
Jérusalem, il donne à Origène la prêtrise; il
prend la défense de son ordination, 135 et
552. Son voyage à Jérusalem, VI, 217.
ALEXANDRE (Saint;, martyr de Césarée
en Palestine, II, 393.
ALEXANDRE (Saint), martyr d'Alexan- „,
drie sous Dèce, II, 402.
ALEXANDRE (Saint), soldat, martyr à m.
Marseille, U, 477, 478.
ALEXANDRE (Saint), Égyptien, et un
autre saint Alexandre de Gaza, tous deux
martyrs de Palestine, III, 83.
ALEXANDRE, gouverneur d'Isaurie, con- g^^
damne sainte Julitte, III, 43.
ALEXANDRE (Saint), patriarche d'Alexan-
drie, III, 104 et suiv. En quel temps il est fait
évêque ; ses vertus ; il fait bâtir l'église de
Théonas, 104. II est accusé par les Mélé-
ciens ; ses disputes avec Crescence ; affaire
que lui suscite Arius ; conférence qu'il tient
pour convaincre Arius ; il assemble à Alexan-
drie un concile dans lequel Arius est chassé
de l'Église, 105. Il écrit aux évêques contre
Arius ; réponse des é vêques à saint Alexandre;
Eusèbe de Nicomédie et Arius lui écrivent
aussi, 106; il compose un écrit pour la défense
de la vérité, 107. Lettre de l'empereur Cons-
tantin à saint Alexandre, 107 et 137. Saint
Alexandre assiste au concile de Nicée; il dé-
signe en mourant saint Athanase pour son
successeur, 108. Analyse de la lettre de saint
Alexandre à tous les évêques de l'Église ca-
tholique, 108 et suiv. Analyse de la lelti-e de
saint Alexandre, évêque d'Alexandrie, à saint
Alexandre, évêque de Constantinople, 110
et suiv. [Discours sur l'âme et la passion du
Seigneur, 114.] — Saint Alexandre cite un
des canons attribués aux apôtres, II, 574. —
U frappe d'analbèrne Eusèbe de Césarée, III,
170. Fragment d'une des lettres qu'Eusèbe
de Césarée lui adresse, 252. Il assemble
un concile où Arius et ses sectateurs sont
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
37
condamnés, 415. Lettre de saint Alexandre
contre Arius; lettres d'Arius à saint Alexan-
dre, 416. Constantin écrit à saint Alexandre
pour le réconcilier avec Arius, 418. — Lettre
de saint Alexandre aux évêques catholiques
contre Arius, IV, 125.
ALEXANDRE (Saint), évêque de Byzance
ou Constantinople; lettre que lui écrit saint
Alexandre, évêque d'Alexandrie, au sujet de
l'hérésie d'Arius, III, 107. Il assiste au con-
cile de Nicée,420. Il refuse de recevoir Arius
dans la communion de l'Église; Arius meurt,
458, 459. Mort de saint Alexandre, 459. —
Saint Grégoire de Nazianze se fait gloire de
marcher sur ses traces, V, 222.
ALEXANDRE, évêque de Thessalonique,
écrit au comte Denis pour arrêter la conspi-
ration des Eusébiens contre saint Athanase,
111,452.
ALEXANDRE, prêtre de Rome, député à
Milan contre Jovinien, IV, 652.
ALEXANDRE, évêque d'Egypte, exilé pour
la vérité, IV, 485.
ALEXANDRE, moine, depuis évêque de
Corydales, IV, 475.
ALEXANDRE, ami de saint Grégoire de
Nysse, VI, 219.
ALEXANDRE (Saint), portier de l'église
de Trente, martyr, VI, 267, 268.
ALEXANDRE, moine à Toulouse, uni avec
Minerve son parent; saint Jérôme leur
adresse son commentaire sur Malachie, VII,
577. Lettre qu'ils écrivent à saint Jérôme;
réponse qu'il leur adresse, 577 et 578.
(Voyez sur ces deux moines l'Histoire litté-
raire de la France, t. II, p. 143 et suiv.)
ALEXANDRE (Saint), évêque d'Antioche,
rétablit deux évêques injustement chassés du
temps de saint Jean Chrysostôme, VII, 12.
Rétablit dans les diptyques la mémoire de
ce saint évêque, 12 et 517. Lettres que lui
écrivit le pape saint Innocent, 516. Lettre
canonique du même pape à saint Alexandre,
517, 518. — Saint Zenon le prie de distri-
buer une partie de son bien aux pauvres,
X, 56.
ALEXANDRE, évêque de Basilinople en
Bithynie, défenseur de saint Chrysostôme,
VIII, 27.
ALEXANDRE (Saint), instituteur des Acé-
mètes, passe pour un chef des Messaliens,
VIII, 411.
ALEXANDRE, moine à qui saint Nil écrit,
VIU, 217.
ALEXANDRE, évêque d'Apamée, écrit au
concile d'Éphèse; acte qu'il y signifie, VIII,
245.
ALEXANDRE, évêque d'Hiéraple. Son
union avec Nestorius, Jean d'Antioche et
Acace de Bérée contre saint Cyrille d'Alexan-
drie; sa lettre à Acace, VIII, 374, 375. Sa
lettre à Parthène et réponse de Parlh en e , 37 5. 43i .
Alexandre s'oppose à la paix de l'Église; ses
lettres à Acace de Bérée, à André de Samo-
sate, à Théodoret, etc., 375 et suiv. !1 ap-
prouve de nouveau la condamnation de saint
Cyrille; ses lettres à André de Samosate,
377, 378. 11 s'obstine dans le schisme; lettres
que lui écrit Théodoret ; réponse d'Alexandre
à ces lettres, 378 et suiv. Il est chassé de son
église el relégué aux mines de Phamothin 433.
en Egypte, 380 et 604. Il y meurt, 380. Acace 435.
de Bérée lui avait envoyé la lettre de saint
Cyrille contre Nestorius ; il la rejette, 239.
Lettres que lui écrivit Acace de Bérée, 240. v. 432.
n vient au concile d'Ephèse ; acte qu'il y si-
gnifie, 245. Lettre que lui écrivit Jean, évê- v. m.
que d'Antioche, au sujet de la réunion des
Orientaux avec saint Cyrille; Alexandre re-
fuse d'entrer dans celte réunion, 248. Il dé-
pute au pape Sixte III pour se plaindre de la
réunion de Jean avec saint Cyrille, 254.
Lettrequelui écrivitAndré deSamosate, 380.
11 se prête aux propositions pour la paix de
l'Église après le concile d'Éphèse, 601. Son
attachement pour Nestorius, 602. — Théo-
doret est nommé vicaire d'Alexandre de Hié-
raple, X, 21 . Alexandre de Hiéraple demeure
inflexible, 22. Lettre que lui écrit Théodoret
où il lui rend compte de ce qui s'était passé
pendant que les députés des Orientaux
avaient été à Chalcédoine, 102.
ALEXANDRE, disciple de saint Arsène,
VIII, 400.
ALEXANDRE, amba ssa deur de l'empereur y siècle.
Zenon, assiste à l'élection de l'évêque de Car-
thage, X, 452.
ALEXANDRE, évêque d'Abyle, s'oppose 553.
à la réception des actes du second concile
général de Constantinople, XI, 881. Son exil;
sa mort, 881 et 882. 557.
ALEXANDRE, chanoine de Liège . Son His- xi siècle .
toire des évêques de cette ville, XIII, 231, 232.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. VII, p. 479 et suiv.)
ALEXANDRE, empereur d'Orient, suc- 911.
cède à Léon VI, XH, 775. Il chasse le pa-
triarche Euthymius et rétablit Nicolas, 776.
ALEXANDRE, abbé de Télési au royaume xii siède.
de Naples. Son Histoire des actions et ex-
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
H3i.
ploits mémorables de Roger, roi d'Italie,
XIII, 509, 310. Différentes édilions qu'on en
a données, 510.
XII siècle. [ALEXANDRE, évêque de Liège. Le pape
Honorius II lui écrit, XIV, 2.37, n. ^.]
ALEXANDRE, usurpateur de l'évêché de
Liège, est déposé au concile de Pise, XIV,
1090.
"39' ALEXANDRE , évêque de Lincoln , se
brouille avec Etienne, roi d'Angleterre, XIV,
1115. Ses voyages à Rome; il gagne la bien-
veillance du pape Innocent II, qui le fait légat
apostolique en Angleterre ; concile qu'il
tient en cette qualité, 1118.
XII siècle. ALEXANDRE, moine de Chypre. Incerti-
tude où l'on est sur le temps où il a vécu ;
son discours en l'honneur de l'apôtre saint
Barnabe et sur l'invention de ses reliques;
autre discours historique sur l'Invention de la
Sainte-Croix, XIV, 655. Ses erreurs histori-
ques et chronologiques, 655 et 656.
V. 1200. [ALEXANDRE, moine de Jumiège. Son
Épitre théologique ; éditions qu'on en a faites,
XIV, 822.]
303. ALEXANDRE (Sainte), vierge et martyre
à Ancyre, III, 15.
[ALEXANDRE (Charles). Sa belle édition
des livres sybillins, I, 308.]
[ALEXANDRÉIDE, oudes actions d'Alexan-
dre, par Gauthier de Ghâtillon, XIV, 833.]
ii[ siècle. ALEXANDRIE. Saint Pantène y enseigne
III siècle, tes lettres, I, 559. Clément lui succède,
563. — Ammone Saccas, philosophe chré-
m siècle, tien, y enseigne. Il, 97. Martyrs d'Alexandrie
sous le règne de Philippe, 109, 110. Origène
y fait Técole des catéchèses, 130. Conciles qui
y furent tenus contreOrigène,133, 136. Saint
Denis, évêque d'Alexandrie, 397 et suiv.
État déplorable de cette ville au temps de
saint Denis, son évêque, 402, 403 et 409.
Piérius y exerce l'office de catéchiste, 462.
Premier concile d'Alexandrie contre Origène,
552. Second concile contre Origène, 332 et
353. Concile qui y fut tenucontreMèlèce, 615,
616. — Saint Pierre, patriarche d'Alexan-
drie et martyr, m, 56 et suiv. Saint Alexan-
dre, évêque d'Alexandrie, 104 et suiv. Con-
cile qui y fut tenu contre Arius, 106. Lettre
que l'empereur Constantin écrit à l'Église
d'Alexandrie, 141 et 445. Lettre du pape
saint Jules à l'Église d'Alexandrie sur le re-
tour de saint Athanase, 378, 379. Premier
concile d'Alexandrie contre Arius, 414, 415.
Second concile d'Alexandrie au sujet d' Arius,
418. Ganoo tie Nicée touchant les préroga-
tives de cette Église, 432, 433. Lettre du con-
cile de Jérusalem à l'Éghse d'Alexandrie,
437. Concile qui fut tenu à Alexandrie pour
saint Athanase, 460. Lettre des évêques de
ce concile contenant l'apologie de ce saint
évêque , 460 et suiv. Lettre synodale du
concile de Sardique à l'Eglise d'Alexandrie,
490. Concile qui y fut tenu par saint Atha-
nase, 501 — Saint Athanase, patriarche de
cette ville, docteur et confesseur, IV, 89 et
suiv. Concile que saint Athanase y assemble,
95. Autre concile que saint Athanase y tient,
101. Autre concile tenu par saint Athanase,
102, 103. Autre concile, 104. Écrits des ca-
tholiques d'Alexandrie au sujet des persécu-
tions exercées par les Ariens, 124. Lettre de
saint Athanase aux fidèles d'Alexandrie, 149.
Concile qui y fut tenu, 587 et suiv. Autre
concile qui y fut tenu, 593. Lettre de saint
Basile le Grand aux fidèles de cette Église.
455. Timolhée, archevêque de cette ville,
619. — Didyme l'aveugle, docteur de cette
église, V, 603 et suiv. Pierre, évêque de cette
ville, auteur ecclésiastique, 273 et suiv. Lu-
cius, faux évêque d'Alexandrie, auteur ec-
clésiastique, 279. Lettre de l'empereur Cons-
tantlnle Jeune àl'Église de cette viUe touchant
saint Athanase, 339. — Théophile, patriarche
de cette éghse, VII, 438 et suiv. Concile qui
y fut tenu contre Origène, 733. — Conciles
dont les actes sont envoyés au pape saint
Célestin, VIII, 132 et 137. Lettre synodale à
Nestorius pour lui servir de monition, 137.
Saint Cyrille est fait évêque d'Alexandrie,
236. Les évêques d'Alexandrie étaient char-
gés d'annoncer aux autres Eglises quel jour
on devait célébrer la fête de Pâques, 278.
Lettre de saint Cyrille d'Alexandrie au clergé
et au peuple d'Alexandrie, 290. Deux con-
ciles tenus en cette ville par saint Cyrille
contre les erreurs de Nestorius, 573. — Arius
y jette les semences de sa doctrine, X, 43.
Cruautés que Grégoire exerce sur l'Eglise de
cette ville, 45. Persécutions qu'elle éprouve
de la part des Ariens après la mort de saint
Athanase, 47. Lettre de saint Léon au clergé
d'Alexandrie , 238. L'évêque d'Alexandrie
réglait le jour de Pâques et le faisait con-
naître au pape, 270, et IV, 147, n. 2. — Re-
quête des Alexandrins au pape Anastase II,
X, 519. Concile tenu à Alexandrie, dans
lequel Jean Talaïa est élu évêque , 408.
— Saint Euloge, patriarche, XI, 589 et
suiv.
ALEXIADE. Histoire de l'empereur Alexis
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
39
Gomnène, écrite par Anne Gomnène, sa fille,
XIV, 146.
ALEXIS (Saint), pèlerin. Sermon de saint
Pierre Damien sur saint Alexis, XUI, 308. — Sa
Vie, écrite en vers par Marbode, XIV, 229.
ALEXIS ou ALEXIUS, abbé de Stude et
ensuite patriarche de Constantinople ; à
quelle occasion l'empereur Basile le nomme
patriarche ; il tient un concile à Constantinople ,
XIV, i044. Autre concile auquel il préside,
d043. Décrets de ces deux conciles, 1043 et
suiv. Quand il cessa d'être patriarche, 1044.
[Les Constitutions synodales d'Alexis sont
reproduites au tome CXIX de la Patrologie
grecque.]
ALEXIS COMNÈNE, empereur d'Orient.
Ses commencements ; il parvient à l'empire ;
il est couronné par le patriarche Cosme ; il
demande la pénitence pour les violences qui
s'étaient commises lors de sa proclamation,
et l'accomplit avec exactitude, XIV, 139. Il
perd une bataille contre Robert Guiscard,
duc de Fouille; bulle par laquelle il justifie
l'usage qu'il avait fait des richesses des
églises pour rétablir les finances de l'em-
pire, 139 et 140. Différents avantages que le
comte Bohémond remporte sur lui ; inquié-
tudes que lui donnent les croisés ; il traite
avec eux; il manque à ses engagements; son
zèle pour la foi; il condamne les hérétiques
Bogomiles, 140. Ses soins pour la conversion
des Pauliciens, 140 et 141. Son attachement
à l'Église romaine ; sa mort, 141 . Sa novelle
touchant l'élection des évêques, 141 et 142.
Ses autres constitutions, 142, 143. Son tarif
des impôts et des monnaies ; autres écrits
d'Alexis Gomnène, 143. Son épithalame par
Théodore Prodrome, 149. [Les Constitutions
d'Alexis qui regardent les affaires ecclésias-
tiques sont reproduites au tome CXXVII de
la Patrologie grecque.] — Il poursuit les Mes-
saliens, IV, 647. — Lettre que lui écrit Di-
dier, abbé du Mont-Gassin, pour l'engager à
supprimer le tribut qu'il avait imposé sur les
pèlerins qui allaient visiter les saints lieux,
Xin, 417. Lettre que lui écrit le pape Ur-
bain Il pour l'engager à favoriser la croisade,
436. Sa lettre à Robert, comte de Flandres,
pour lui demander du secours contre les in-
fidèles, 514. Sa conduite à l'égard des croi-
sés, 324 et suiv. Discours de Théophylacte,
archevêque d'Acride, à la louange de ce
prince, 357.
ALEXIS m l'Ange ou Gomnène, empereur
d'Orient. Ses lettres au pape Innocent III qui
le pressait de donner du secours aux croisés,
et d'envoyer des députés à un concile, XIV,
972.
[ALEXIS, gendre de l'empereur Manuel.
Lettre que lui adresse Nersès IV, patriarche
des Arméniens, XIV, 638, n. 1.]
ALEXIS ARISTÈNE, économe de la grande
église de Constantinople. Ses scholies sur la
synopse des canons; consulté par un concile
de Conslantinople, il produit un canon contre
Nicéphore, patriarche de Jérusalem, XIV,
653.
ALEXIUS , patriarche de Constantinople.
Voyez Alexis.
ALFANE, moine, abbé et ensuite arche-
vêque de Salerne. Voyez Alphane.
ALFONSE. Voyez Alphonse.
ALFRED LE GRAND, roi d'Angleterre, at-
tire à sa cour plusieurs savants pour rétablir
les études dans ses états; bienfaits dont il les
comble, XII, 780. Ses soins pour le progrès
des études, 780 et 782. Sa piété; lois qu'il a
recueillies; différents ouvrages qu'il a com-
posés ou traduits avec l'aide des savants qui
étaient àsa cour; sa mort, 782. Sa Vie, écrite
par Asser, évoque de Schirburn, 781. Lettre
que lui écrit Foulques de Reims, 709. Autre
lettre au même roi ; elle paraît supposée ,711.
[La préface à ses lois et ses lois elles-mêmes
dans la Patrologie, 782, n. 8.]
ALFRIG, moine d'Abbendon, disciple de
saint Ethelvold, écrit sa Vie ; poésies qu'il a
composées, XII, 868.
ALFRIG (Saint), archevêque de Gantor-
béry, d'abord moine d'Abbendon, puis évê-
quede Wilton ; il succède à Sirice sur le siège
de Gantorbéry, XIII, S2. Sa mort et ses écrits
selon Pitséus ; difficulté de les distinguer de
ceux d'un autre Alfric, archevêque d'York,
qui vivait cinquante ans après; sa lettre à
Waulfîn sur l'observation des canons, 53.
[Edition de cette lettre dans la Patrologie, 53.]
Ses homéhes, 33 et 34. Ses ouvrages sur
l'Écriture, 54. [Ses opuscules traduits du
saxon sont interpolés, 33.]
ALFRIC, archevêque d'York. Ses ouvrages
difficiles à distinguer de ceux de saint Alfric,
archevêque de Gantorbéry, XIII, 33, 54.
ALFRID, roi de Northumbre ; sa mort, XI,
801.
ALFRID, moine de Groiland, écrit en lan-
gue saxonne la vie de saint Gutlach, XII, 128.
ALFRID, évêque de Munster, écrit la vie
de saint Lutger, l'un de ses prédécesseurs,
Xm, 69.
XII siècle.
V. H60.
1166.
9U1.
IX siècle.
X siècle.
1106.
XI siècle.
X siècle.
40
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1152.
ALGAR, évêque de Constance. Son épita-
phe, composée parArnould deLisieux, XIV,
7S9.
*<"• ALGASIE. Lettre de saint Jérôme à cette
dame en réponse à diverses questions, VII,
575. (Voyez ce qui est dit de cette dame dans
l'Histoire littéraire de la France, t. II, p. 4 et 5.)
ALGER, diacre et sctioliastique de Liège,
XIV, 379. Dégoûté du monde, il se fait moine
à Cluny, 379 et n. 4. Donation qu'il fait à cette
abbaye ; on ne sait pas bien le temps de sa
mort, 379: [Autre notice sur Alger, 379, n. 4.]
Son traité sur l'Eucharistie, 379. Analyse de
ce traité : Livre I, 380. Livre H, 381 et suiv.
Livre III, 383, 384. Jugements qu'on a portés
sur cet écrit ; éditions qu'on en a faites, 384.
[Autres éditions, 384.] Traité de la Miséri-
corde et de la Justice, 384. [Note sur ce livre,
384, n. 1, 2, 3.] Analyse d« cet ouvrage di-
visé en trois parties, 384, 385. Histoire de
l'église de Liège, 385. Traité de la grâce et
du libre arbitre, 386. [Traité du saint sacri-
fice delà messe, publié par Mai; éditions de
cet écrit, 386.] Voyez l'article d'Alger dans
l'Histoire littéraire de la France, t. XI, p. 158
et suiv.)
ALIÉNATION des biens de l'Église. Voyez
Biens de l'Église.
**™- ALIX, fille de Louis le Jeune, roi de France ;
lettre du pape Alexandre III au sujet de son
mariage avec le second fils du roi d'Angle-
terre, XIV, 925.
[ALLARD (l'abbé). Sa traduction française
de l'Apologétique de Tertullien, II, 87.]
ALLATIUS (Léo), garde delà bibliothèque
vaticane. Son édition du Banquet des vierges,
ouvrage de saint Méthode ; ses notes et dis-
sertations sur les ouvrages du même, III, 73.
— Ses prolégomènes sur les oeuvres de saint
Jean Damascène, XII, 98.
m siècle. ALLÉGORIES. Commentaires d'Origène
pleins d'allégories, II, 204. Livre de Népos
m siècle, intitulé : La Réfutation des Allégories, 564.
— Témoignage de saint Augustin sur le sens
allégoriquede la Genèse, IX, 15. — Définition
de l'allégorie par l'abbé Nestéros, VIII, 182.
— Allégories de l'Ancien et du Nouveau Tes-
tament, ouvrage de saint Isidore de Sèville,
XI, 775. — 'Traité de Rhaban Maur des allé-
gories de l'Écriture, XII, 452. — Explica-
tions allégoriques de l'Ancien et du Nouveau
Testament attribué à Hugues de Saint-Vic-
tor, XIV, 349.
ALLELUIA. Saint Jérôme apporte de Jéru-
salem à Rome, du temps du pape Damase, la
coutume de chanter Alléluia hors le temps
pascal, V, 23. — L'hérétique Vigilance voulait
qu'on ne chantât Alléluia qu'à la fête de Pâ-
ques, VII, 607. — L'usage de le chanter au
temps pascal vient d'une ancienne tradition,
IX, 619. On le chantait tous les dimanches
à l'autel, 766. [Sermon de saint Augustin sur
V Alléluia, 836 et 841.] — Sozomène pré-
tend faussement qu'on ne chantait à Rome
V Alléluia que le jour de Pâques ; le contraire
attesté par saint Jérôme, VIII, 532 et 534.
— C'était anciennement l'usage de chanter
Y Alléluia dans les obsèques des chrétiens,
XI, 415. Par qui le chant à' Alléluia fut intro-
duit; en quel temps on doit le chanter, 514.
Variété des églises dans le chant de 1'^ lleluia,
717. — Le quatrième concile de Tolède dé- '^^3'
fend de le chanter pendant le carême, XII.
917. — Bulle de Benoît VIII qui permet au i"^
monastère de Ripouil de le chanter le jour
de la Purification lorsque cette fête arrive
après la Septuagésime, XIII, 192. Reproches
que les Grecs font à l'Église latine sur l'usage
011 l'on est de ne point chanter V Alléluia au
carême; écrits pour et contre cet usage, 214
et 216.
ALLEMAGNE. Lettre du pape saint Zacha-
rie aux évêques établis en Allemagne, XII, 30.
Autre aux évêques de France et d'Allemagne,
32. Mission de saintBoniface en Allemagne, 46
et suiv. — Concile d'Allemagne convoqué par
le duc Carloman et présidé par saint Boni-
face, archevêque de Mayence, XIII, 606 . Autre
concile tenu en Allemagne sous saint Boni- 7*5,
face, 609. — Autre concile qui y fut tenu,
XIV, 1054.
ALLEMANN, écolâtre de Liège, puis évê-
que de Bresce. Voyez Adelmann.
ALLEMANDS. On commence à parler
d'eux; leurs premiers chefs, XIII, 65. Voyez
Allemagne.
ALLIANCE de Dieu avec les Israélites, I,
13, 14. Violée par l'adoration du veau d'or,
14. — Alliance de Dieu avec les nations;
doctrine d'Eusèbe de Césarée, III, 188 et 189.
Elle est prédite dans les saintes Écritures :
en quel sens elle est appelée nouvelle, 188.
Elle est subrogée à l'ancienne, 188 et 189.
ALLIRE (Saint), évêque de Clermont.
Voyez Illidius.
ALLIX (Pierre), ministre calviniste à Cha-
renton. Sa dissertation sur la vie et les ou-
vrages de Tertullien, II, 86. — Sa traduction
française du traité de Ratramne sur l'Eucha-
ristie, Xn, 561.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
41
ALMA REDEMPTORIS MATER. Antienne
à la Vierge dont Hermann Contracte est l'au-
teur, XIII, 184.
ALMANN ou ALTMANN, moine de Haut-
villiers. Ses écrits, XII, 696, 697. Ce que
Theudoin nous apprend de sa personne;
on ignore l'année de sa mort, 697. — Il écri-
vit l'histoire de la translation des reliques de
sainte Hélène, XIII, 524, 525. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. V, p. 618 et suiv., et l'addition qui est à la
tête du t. X, p. lij et suiv.)
ALMANN, écolâtre de Liège et ensuite
évêque de Bresce. Voyez Aldemann,
ALMONDARE, prince des Sarrasins, em-
brasse la religion chrétienne, et se fait bap-
tiser par un évêque catholique, XI, 104.
ALNE ou ALNE WICK, bourg d'Angleterre.
Concile qui y fut tenu, XIII, 604, 605.
ALOGES, hérétiques. Ce que saint Epi-
phane dit de cette secte, VI, 395. — Ils reje-
taient l'Apocalypse de saint Jean, IX, 573.
ALPERT, moine de saint Symphorien de
Metz. Voyez Albert.
[ALPHABET desPhéniciens, des Égyptiens
et des Hébreux, I, 80, n. 4.] — L'alphabet
hébreu n'est composé que de vingt-deux
lettres, VII, 552 et 651.
ALPHANE, moine du Mont-Cassin, puis
abbé et ensuite archevêque de Salerne ; ce
qu'on sait des circonstances de sa vie ; éloge
que Pierre Diacre fait de lui ; ses différents
opuscules; quelques poésies publiées récem-
ment; sa mort, XIII, 493.
ALPHANE II, archevêque de Salerne.
Temps de sa mort, XIII, 493. On lui a attri-
bué plusieurs opuscules qui sont du précé-
dent, 493 et 494. Deux épitaphes qui sont
véritablement de lui, 494.
ALPHÉE (Saint), martyr de Palestine, RI,
4, [n. 7.] Ses actes, publiés par Assémani,
351.
ALPHIE, évêque d'Apamée en Syrie, as-
siste au concile de Néocésarée dans le Pont,
n, 640.
ALPHIUS AVITUS, poète confondu quel-
quefois avec saint Avit de Vienne, X, 569.
ALPHONSE III, roi d'Espagne ou desAstu-
ries. Deux lettres que lui écrit le pape
Jean VIII, XII, 649.
ALPHONSE VI, roi d'Espagne ou de Léon
et de Castille. Donation qu'il fait au monas-
tère de Cluny, XIV, 53. Statut en sa faveur,
53 et 54.
ALPHONSE, comte de Saint-GiUes. Saint
Bernard lui écrit contre les Henriciens, XIV,
447.
[ALPHONSE, roi de Portugal, institue l'or- H67.
dre religieux et militaire de Saint-Michel;
règles qu'il lui donne, XIV, 626, 627. Privi-
lèges qu'il accorde au monastère de Saint-
Jean, 627.]
ALPHONSE (Pierre), juif. Voyez Pierre-
Alphonse.
ALTACH, abbaye d'Allemagne où la pro- 990.
fession monastique est rétablie par les soins
de l'empereur Othon III, XIII, 96.
ALTÉUS, évêque d'Autun. Le pape Léon IV
lui refuse lepallium, XII, 407.
ALTFRID, évêque de Munster, auteur de
la Vie de saint Lutger, XII, 218. (Voyez son
article dans Y Histoire littéraire de la France,
t. V, p. 57 et suiv.)
ALTHELME (Saint), évêque deSchirburn.
Voyez Adelme (Saint).
ALTICUS, à qui Firmus de Césarée en
Cappadoce adresse une de ses lettres, X, 150.
ALTINO, ville épiscopale de la province de
Vénélie, X, 203. — Coucile tenu en cette
ville, Xn, 163, 164, et XIR, 640.
ALTMANN, moine de HaulviUiers. Voyez ix siécie
Almann.
ALTON (Saint), abbé en Bavière. Sa Vie,
par Othlon, moine de Saint-Emmeran de
Ratisbonne, XIII, 282.
ALTWIN, moine. DiEférentes lettres que
lui écrit Loup de Ferrières, Xll, 503, 504.
ALULFE, moine de Saint Martin de Tour-
nai, qui vivait dans le xP siècle. Ses extraits
des ouvrages du pape saint Grégoire dont il
composa un commentaire sur les livres de
l'Ancien et du Nouveau Testament, XI, 551.
— Ce qu'on sait des circonstances de sa vie,
XIV, 71, 72. Ses extraits des livres de saint
Grégoire le Grand auxquels il donne le titre
de Grégoriale, 72. — Différentes éditions du
Livre III de ses extraits de saint Grégoire sur
le Nouveau Testament, XI, 551 et 986.
ALVAR, prêtre de Cordoue. Saint Euloge ix siècle,
lui envoie son Mémorial des martyrs de Cor-
doue pour l'examiner, XII, 522. Lettres que
saint Euloge lui a écrites, 521 . Lettre d'Alvar
à saint Euloge sur son ouvrage, 521 et 322.
Sa Vie de saint Euloge ; autres écrits qu'on
lui attribue ; ce qu'on sait des circonstances
de sa vie, 322. [Écrits d'Alvar d'après la
Patrologie, 522, 523.]
ALVISE, abbé d'Anchin, reçoit ordre d'ac-
cepter l'évêché d'Arras, XIV, 260. [Autres
lettres que lui écrit le pape Innocent II, 260,
XI et
XII siècle.
42
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
un.
n. 6.] Il prétend nommer l'abbé de Mar-
chiennes; le concile de Lagny maintient les
moines dans leur droit d'élection, 1117.
ALWALON. Sa lettre par laquelle il de-
mande d'être absous de l'excommunication,
XllI, 70, 71. [Édition de cette lettre dans la
Patrologie, 71.]
ALYPIENNE, nièce de saint Grégoire de
Nazianze, V, 190.
V. 380. ALYPIUS , gouverneur de Cappadoce.
Lettres que lui écrivit saint Grégoire de
Nazianze, V, 254.
IV siècle. ALYPIUS, à qui saint Grégoire de Nazianze
écrit, V, 260.
IV siècle. ALYPIUS, mari de sainte Gorgonie, sœur
de saint Grégoire de Nazianze, V, 299.
IV Siècle. ALYPIUS, comte, chargé par Julien l'Apos-
tat de rétablir le temple des Juifs, VI, 349.
ALYPIUS (Saint), évêque de Tagaste, dé-
390. puté de la province de Numidie au concile
de Carthage en 390, IV, 648. — Il est un des
■416. cinq évêques d'Afrique qui écrivirent au pape
417. saint Innocent, VII, 521. Lettre de ce saint
pape aux cinq évêques d'Afrique, 522. Lettre
de saint Jérôme à saint Augustin et à Aly-
pius, 633. — Lettre que lui écrivit saint Pau-
lin, évêque de Noie, VIII, 36. Lettre que lui
écrit le pape Sixte III, 234. — Saint Augus-
tin l'avait engagé dans l'erreur des Mani-
chéens, IX, 4. Conversion de l'un et de l'au-
tre, 6 et suiv. Alypius se trouve dans la
dispute de saint Augustin contre les Acadé-
miciens, 38. Lettre que lui écrivit saint Au-
gustin, 74. Autre lettre du même, 92, 93.
Troisième lettre de saint Augustin à Alypius,
114. Autre lettre, 181. Lettre d' Alypius et de
quatre autres évêques d'Afrique au pape
saint Innocent ; réponse de ce pape, 150 et
559. Il porte en Italie le second livre de saint
Augustin sur le mariage et la concupiscence;
il envoie à saint Augustin les livres que Julien
y avait opposés, 538.
ALYPIUS, neveu de saint Marcien et exar-
que des moines de Cyr, porte une lettre de
Théodoret au pape saint Léon, X, 23, 24 et
74. Bâtit un oratoire dans la ville de Cyr pour
y mettre le corps de son oncle, 53 et 133.
431. ALYPIUS, curé de l'église des Apôtres à
Constantinople. Lettre de félicitation qu'il
écrit à saint Cyrille d'Alexandrie sur la dé-
position de Nestorius, VIII, 291, 394, 395 et
595.
ALYPIUS, évêque. Lettre que lui écrit
Firmus de Gésarée en Cappadoce, X, 150.
447. ALYPIUS, consul, X, 210.
AMACHIE, gouverneur de Syrie, fait souf-
frir le martyre à Macédonius, Théodule et
Tatien, VIII, 518.
[AMADÉSIUS (J. A.) Sa dissertation sur
Ravenne, X, 16.]
AMALAIRE, curé de Prévilli, auquel sainte
Perpétue fait un legs, X, 440.
AMALAIRE dit FORTUNAT, archevêque
de Trêves, avait d'abord été moine de Médé- sio.
loc ; il est envoyé en Saxe pour y rétablir la 8i3.
religion chrétienne ; député à Constantinople
pour ratifier la paix conclue avec l'empereur
Michel ; sa mort, XII, 222. Son traité des ce- 814<
rémonies du baptême, attribué par erreur à
Alcuin, 184, 185. Raisons qui prouvent que
ce traité est d'Amalaire, 185. Analyse de ce
traité, 222. Il avait écrit son ambassade à
Constantinople, 223. [Ses écrits dans la Pa-
trologie, reproduits d'après Froben , 223.]
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. IV, p. 418 et suiv.)
AMALAIRE, prêtre de l'église de Metz et
chorévêque de Lyon, confondu quelquefois
avec Amalaire, archevêque de Trêves, XII,
340 et 478. Il n'a pas été évêque de Metz,
349, n. 4. Adémar d'Angoulême luidonnele
prénom deSymposius; ce qu'on sait des cir.
constances de sa vie; sa mort; l'Église de v. 837.
Metz l'honore comme un saint, 340. Analyse
de la règle qu'il a composée pour des cha-
noines, 340 et 341. Traité des Offices ecclé-
siastiques, 341 et suiv. Analyse du premier
livre, 341 ; du deuxième livre, 343 ; du troi-
sième livre, 343 et suiv.; du quatrième
livre, 343. Antiphonier d'Amalaire, 343, 346.
Églogue sur l'office de la messe, 346.
Lettre d'Amalaire, 346 et suiv. [Ses écrits
dans la Patrologie, 330. ] Raisons des repro-
ches que lui ont faits Florus, Agobard et
Rémi, 348. On le justifie sur les trois prin-
cipaux chefs d'accusation formés contre lui
par Florus, tant au concile de Thionville
qu'à celui de Quierci, 349, 330. Traité d'Ago-
bard de Lyon contre les quatre livres d'Ama-
laire, 377, 378. Florus fait censurer ses expli-
cations liturgiques, 478. Ecrits de Florus
contre Amalaire, 483. Ses sentiments sont
condamnés au concile de Quierci-sur-Oise,
484. — Ses livres des Divins offices ont été
copiés par Adémar, moine de Saint-Cybard
d'Angoulême; Adémar n'est point auteur du
supplément au quatrième livre ; il n'en est
que le copiste comme du reste, XIII, 105. Con-
cile de Quierci contre les ei-reurs qui étaient
attribuées à Amalaire, 683. (Voir son article
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
43
dans l'Histoire littéraire de la France, t. IV,
p. 531 etsuiv.)
AM AL AIRE, diacre de Trêves (peut-être le
même qu'Amalaire de Metz ; il avait écrit sur
la prédestination. Voyez l'Histoire littéraire
delà France, t. IV, p. 264.)
AMALAIRE, abbé d'Hornebacb, paraît être
le même qu'Amalaire, prêtre de l'église de
Metz, XII, 340.
AMALASONTE, veuve de Théodoric, roi
d'Italie, gouverne pendant la minorité d'Atba-
laric son fils, XI, 209. Théodatle fait mourir,
210. Ses lettres écrites parCassiodore; éloge
que Cassiodore fait de cette princesse, 217.
* AMALBERGE (Sainte), vierge. Homélie de
saint Radboden en son honneur, XII, 783. —
Sa Vie, retouchée par le moine Goscelin qui
y joint l'histoire de la translation de son
corps, XIII, 550. Sa Vie, attribuée à Thierry,
abbé de Saint-Tron, 597.
AMALGÈRE, évéque de Civitella (et non
Constance comme on lit dans la première
édition.) Lettre que lui écrit le pape Alexan-
dre II, XIII, 292.
AMALPHI, ville d'Italie. Concile tenu en
cette ville, XIV, 1061.
AMANCE, acolythe, l'un des trois qui fu-
rent chargés de porter une lettre et les au-
mônes de saint Cyprien aux confesseurs, II,
338.
AMANCE, gouverneur de la Remanie ou
Pannonie, condamne à mort saint Quirin,
n, 55.
AMANCE, évêque de Nice, se trouve au
concile d'Aquilée, IV^ 629.
AMANCE , diacre de l'anti-pape Ursin ,
exilé avec lui, V, 13.
AMAND et ÉLIEN. Leur révolte dans les
Gaules, II, 473.
AMAND (Saint), évêque de Bordeaux. On
croit que c'est à lui que saint Jérôme écrit une
lettre, VII, 571. — Lettres que lui écrit saint
Paulin, VIll, 56, 59, 60, 61, 63, 66, 67, 75.
Témoignage que lui rend saint Pauhn, 80.
(Dans la table du VHP volume, on a eu tort,
suivant Dom Ceillier, de distinguer Arnaud
de Bordeaux d'un Amand de Barcelone.
Voyez l'article de saint Amand dans l'His-
toire littéi^aire de la France, t. II, p. 175 et
suiv.)
AMAND, ami de Sanctes. Lettre de saint
Paulin, évêque de Noie, à Sanctes et à Amand,
VIII, 78.
AMAND (Saint), évêque de Mastricht, con-
sulte le pape saint Martin 1" sur des clercs
tombés dans l'impureté; réponse du pape,
XI, 749. (Sa Vie fut premièrement écrite par
Baudemond, son disciple. Voyez Baude-
mond.) [Vie de saint Amand par un anonyme
et pièces qui le concernent, 749, n. 3.] — Sa
Vie, écrite en vers par Milon ; discours du
même en son honneur, XIII, 334. Monastère
sous son nom , au diocèse de Tournai , 1067.
consumé par un incendie ; on promène les
reliques de saint Amand pour exciter les fi-
dèles à contribuer par leur charité aux frais
des réparations ; histoire de cette procession,
écrite par le moine Gilbert ; poëme du même
sur l'incendie du monastère; sermon pour le
jour de la fête de saint Amand, 487. Lettre
de Radbod, évêque de Noyon^ à Lambert
d'Arras en faveur des moines de Saint-
Amand, 490. Anselme, comte de Ribemon,
fonde, ou plutôt donne une partie de ses
biens à l'abbaye de Saint-Amand, 512. Vie
de saint Amand, évêque de Mastricht (et non
d'Utrecht), écrite par le moine Gonthier, 561.
— Autre vie de saint Amand, évêque de Mas-
tricht(et non d'Utrecht), par Philippe deBonne-
Espérance, XIV, 687. (La méprise des deux
noms vient du latin Trajectum, commun aux
deux villes. Trajectum ad Mosam, c'est Mas-
tricht. Trajectum ad Rhenum, c'est (Jtrecht.)
AMAND DU CHASTEL, abbé de Marchien-
nes. (On a de lui une lettre sur la vie du
B. Odon, évêque de Cambrai. Voyez son ar-
ticle dans VHistoii'e littéraire de la France,
t. XI, p. 211 etsuiv.)
AMANDE. Lettre de saint Paulin, évêque 406.
de Noie, à Apre et à Amande, sa femme,
VIII, 79.
AMANT (Saint), évêque de Rhodez. Sa Vie,
attribuée à Fortunat, XI, 412.
AMASÉE, ville du Pont. Saint Astère, ar-
chevêque de cette ville, docteur de l'Église,
VI, 291 et suiv.
AMASTRIS, ville du Pont. Lettre de Denis
de Corinthe à l'Eglise de cette ville, I, 462.
AMAT, archevêque de Bordeaux, Voyez
Amé.
AMATEUR (Saint), évêque d'Auxerre. Sa
Vie, écrite par le prêtre Etienne, XI, 323. Il
transporte dans son église les lettres de saint
Cyr et de sainte Julitte, 400.
AMAÏUS, évêque italien. Voyez Amé.
AMAURI, patriarche de Jérusalem, recon-
naît Alexandre m, XIV, 919.
AMAURI, chef d'une nouvelle secte d'hé- 1209.
rétiques. Ses erreurs condamnées dans un
concile tenu à Paris, XIV, 1152.
IV siècle.
Il siècle.
VI siècle.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
IV siècle.
X siècle.
III siècle.
340.
374.
378 ou 379.
380.
381.
382.
381 et ;
383.
38i.
AMAZONE, ami de saint Grégoire de Na-
zianze, V, 259.
AMAZONIE, vierge, parente de saint Gré-
goire de Nazianze, V, 261.
AMBITION. Doctrine de saint Jean Chry-
sostôme sur l'ambition, VII, 263.
AMBLARD, moine de Fleury, puis abbé de
Solignac, fait copier la Vie de saint Éloi;
lettre par laquelle il adresse cette copie à
Hervé, trésorier de Saint-Martin de Tours,
XII, 911. (Voyez ce qui est dit de lui dans
l'Histoire littéraire de la France, t. VI, p. 551
et suiv.)
AMBOISE (François d'), conseiller d'état.
Son édition des œuvres d'Abélard et d'Hé-
loïse, XIV, 340.
AMBON ou tribune dans l'église, XI, 539.
[Description de l'ambon , par Paul Cyrus
Florus, 346.]
AMBRESBURI, ville d'Angletere. Concile
qui y fut tenu, XIII, 759.
[AMBROISE, ctirétien qui adresse un dis-
cours aux Gentils ; cet Ambroise est peut-
être le même que le suivant, I, 412.]
AMBROISE, homme de lettres et de qua-
lité, instruit par Origène, quitte l'hérésie des
Valentiniens, II, 132, 133. 11 excite Origène
à travailler sur l'Écriture et lui en fournit
tous les moyens, 134. — 11 est accusé d'avoir
mis trop précipitamment au jour quelques
ouvrages d'Origène, Vil, 613.
AMBROISE, préfet des Gaules, père de
saint Ambroise de Milan, V, 378.
AMBROISE (Saint), archevêque de Milan,
docteur de l'Église, V, 378 et suiv. Histoire de
sa vie ; sa naissance ; son éducation ; il suit le
barreau, 378. Est fait gouverneur de l'Emi-
lie, 378 et 379. Il est fait évêque de Milan,
379,380. Sa conduite pendant son épiscopat;
il donne son bien aux pauvres, s'instruit des
sciences ecclésiastiques; ses vertus; son
amour pour la virginité, 380. Sa fermeté; il
rachète les captifs ; mort de son frère Satyre;
saint Ambroise obtient une loi en faveur des
femmes chrétiennes, 381. Il s'oppose aux
desseins de Justine; il fait élire Anémius
évêque de Sirmium, 381 et 382. Il fait dépo-
ser Pallade et Secondien dans le concile
d'Aquilée ; il obtient la destruction de l'autel
de la Victoire; il prédit la disgrâce de Macé-
donius et obtient la vie à un officier, 382. Il
préside à un concile tenu à Milan ; concile de
Rome où il assiste, 382 et 383. Il est député
par Valentinien II à Maxime et conclut la
paix avec lui, 383. 11 empêche le rétablisse-
387.
388 et 38
390.
390.
391.
392.
394.
395.
396.
397.
ment de l'autel de la Victoire, 383 et 384.
Saint Ambroise est persécuté par Justine, 384 385.
et suiv. Lois pour les hérétiques; Justine 386.
persécute de nouveau saint Ambroise ; on at-
tente à la vie de saint Ambroise; révélation
des rehques des saints Gervais et Protais, sse.
386. Baptême de saint Augustin, 386 et 387.
Saint Ambroise est député une seconde fois
à Maxime, 387. Il s'oppose au rétablissement
d'une synagogue; il tient un concile à Milan
contre Jovinien, 388. Il refuse l'entrée de
l'église à Théodose, 389. Il absout Théodose;
il fait sortir ce prince du chœur; saint Am-
broise reçoit la visite de deux seigneurs de
Perse ; il travaille à la paix d'Antioche ; il
est mandé par Valentinien qui veut recevoir
le baptême de ses mains; saint Ambroise ne
veut ni écrire à Eugène, ni le voir, 390. Il va
à Bologne, à Florence et revient à Milan ; il
implore la clémence de Théodose pour les
coupables; il fait l'oraison funèbre de ce
prince ; il fait la découverte des corps des
martyrs saint Nazaire et saint Gelse, 392. Il
reçoit des ambassadeurs de la reine des Mar-
comans, 392 et 393. II va à Verceil pour
l'élection de saint Honorât ; il sacre un évê-
que de Pavie ; il tombe malade et meurt ;
son éloge, 393. Catalogue de ses œuvres,
394. Écrits de saint Ambroise sur l'Écriture
sainte, 394 et suiv. Son Hexaméron; en quel
temps il l'a composé ; sa méthode ; il n'a pas
suivi en tout saint Basile, 394. Ce que l'Hexa-
méron de saint Ambroise contient de remar-
quable, 394 et suiv. Livre du Paradis, 397,
398. En quel temps il a été écrit, 397. Ana-
lyse de ce livre, 397 et 398. Livres sur Caïn
et Abel ; en quel temps ils ont été écrits ; idée
de ces livres, 399- Livre sur Noé et sur l'ar-
che, 399 et suiv. Dessein de cet ouvrage, 399,
400. En quel temps saint Ambroise l'écrivit,
400. Ce qu'on peut remarquer dans ce livre,
400 et 401. Les deux livres sur Abraham,
401 et suiv. En quel temps ils ont été écrits, 387.
401. Ce que contient le premier de ces livres,
401 et suiv. Idée du second de ces livres,
403. Livre sur Isaac et sur l'âme, 407 et suiv. 387.
En quel temps il a été écrit, 403. Idée de ce
livre, 403 et suiv. Livre du bien et de la
mort, 405 et suiv. En quel temps il a été 387.
écrit, 405. Analyse de ce livre, 405 et suiv.
Livre de la fuite du siècle; en quel temps il 3S7.
a été écrit, 407. Analyse de ce livre, 407 et
408. Les livres de la vie bienheureuse et du
patriarche Jacob, 408 et suiv. En quel temps
ils ont été écrits, 408. Analyse du premier 387.
375.
375.
379.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
45
livre, 408 et 409. Exhortation aux Néophytes ;
en quoi consiste le bonheur du sage, 409.
Analyse du deuxième livre, 410, 411. Exem-
ple du vrai bonheur dans la vie du patriarche
Jacob; éloge des marlyis Machabées, 411.
Livre du patriarche Joseph, 4H, 412. En
387. quel temps il a été écrit, 411. Analyse de ce
qu'il contient, 4H et 412. Livre des bénédic-
f, S87. tions des patriarches ; en quel temps il a été
écrit; analyse de ce qu'il contient, 412. Livre
d'Élie et du jeûne, 412 et suiv. En quel
390. temps il a été écrit, 412. Analyse de la pre-
mière partie de ce hvre, 412 et suiv. Analj^se
de la deuxième partie; analyse de la troi-
sième partie, 414. Livre de Naboth, 414 et
suiv. En quel temps il a été écrit, 414.
Analyse de ce livre, 414 et suiv. Livre de
Tobie, 416 et suiv. En quel temps il a été
écrit, 416. Analyse de ce livre, 416 et suiv.
Les quatre livres de l'interpellation de Job
et de David, 418 et 419. Ces livres sont de
saint Ambroise, 418. En quel temps ils ont
été écrits, 418 et 419. Ce que contiennent les
deux premiers livres ; ce que contiennent les
deux derniers, 419. Apologie de David, 419
et suiv. En quel temps elle a été écrite, 419,
420. Analyse de cette apologie, 420, 421.
Explication du psaume l, 421. Autre apologie
de David, 421 et suiv. Elle est faussement at-
tribuée à saint Ambroise, 421, 422. Ce que
contient cette apologie, 422. Doctrine de
cette apologie, 422 et 423. Explications de
saint Ambroise sur douze psaumes, 423 et
suiv. Homélie sur le psaume i, 423. Homé-
lies sur les psaumes xxxv, xxxvi, xxxvii,
xx^tviii, XXXIX et XL, 423, 424. Homélies
sur les psaumes xliii, xlv, xlvii, xlviii,
liXi, 424. Exphcation du psaume cxviii, 424,
425. Pensées morales de saint Ambroise ti-
rées de ses exphcations des Psaumes, 425 et
suiv. Commentaire de saint Ambroise sur
saint Luc, 429 et suiv. Ce commentaire est
une suite de discours sur cet évangile, 429.
En quel temps il a été écrit, 429 et 430. Quelle
méthode saint Ambroise a suivie dans ce
commentaire, 430. Jugeaient qu'en ont porté
les anciens, 430 et 431. Quelques endroits
remarquables de cet ouvrage, 431 et suiv.
Traité des offices des ministres, 433 et suiv.
Dessein et méthode de cet ouvrage, 433. Son
utilité, 433 et 434. En quel temps il paraît
avoir été écrit, 434. Analyse du premier livre
des offices, 434 et suiv. Usage que l'on doit
faire de la parole, 434. Ce que l'on entend
par le nom d'offices, 434 et 435. Devoirs des
jeunes gens, 435,436. Devoirs des ecclésias-
tiques, 436, 437. Vertus cardinales; en quoi
consistent la prudence et la justice, 437, 438.
En quoi consiste la force, 438, 439. En quoi
consiste la tempérance, 439. Moyens de ré-
primer la colère ; pardon des injures ; amour
des ennemis, 439 et 440. Analyse du second
livre, 440 et suiv. Idée de la béatitude, 440,
441. De la libéralité et de l'aumône, 441 et
suiv. Analyse du troisième livre ; du bien
honnête et du bien utile suivant les maximes
de la rehgion chrétienne, 443 et suiv. Livres
des vierges, 445 et suiv. Us ont été écrits à
la prière de Marcelline; en quel temps, 445.
Beauté de ces livres, 446. Analyse du pre-
mier livre, 446, 447. Analyse du deuxième
livre, 447 et suiv. Analyse du troisième livre,
450, 451. Livre des veuves, 451, 452. En
quel temps et à quelle occasion il a été écrit,
451 . Analyse de ce traité, 451 et 452. Ce traité
est cité par saint Jérôme, 452. Ce que saint
Ambroise y dit de l'âge des veuves, 452.
Livre de la virginité, 452 et suiv. En quel
temps ce livre a été écrit, 452. Analyse de
ce livre, 452 et suiv. Lettre de l'institution
d'une vierge, 454 et suiv. Il est adressé à
Eusèbe, citoyen de Bologne; à quelle occa-
sion il a été écrit ; en quel temps, 454. Ana-
lyse de ce traité, 454 et suiv. Avantages du
sexe dans la réparation du péché d'Adam et
d'Eve, 454, 455. Réponse aux objections
contre la virginité perpétuelle de Marie, 455.
Preuves de la virginité perpétuelle de Marie,
455 et 456. Figures de la virginité de Marie;
preuves de la divinité de Jésus-Christ, 456.
Prière à Dieu pour la vierge Ambrosie, 456
et 457. Exhortation à la virginité, 457, 4S8.
En quel temps ce livre a été écrit ; analyse
de ce livre, 457. Traité contre une vierge qui
s'était laissé corrompre , 458 et suiv. Ce
traité est de saint Ambroise, 458, 459. Ana-
lyse de ce qu'il contient, 459 et suiv. Livre
des mystères ou des initiés, 461 et suiv. Ce
livre est de saint Ambroise; en quel temps il
fut écrit, 461. Analyse de ce livre, 462 et
suiv. Cérémonies du baptême; cérémonies
delà confirmation, 462. Cérémonies de l'Eu-
charistie, 462 et 463. Présence réelle, 463,
464. Les six livres des Sacrements, 464,465.
Antiquité de cet ouvrage; il est postérieur au
siècle de saint Chrysostôme, 464. Il n'est pas
de saint Ambroise, 464 et 465. Ce qu'il y ade
remarquable dans ce traité, 465. Les deux
livres de la pénitence, 465 et suiv. Ces livres
sont de saint Ambroise, 465 et 466. En quel
377.
V. 377.
V. 378.
V. 391.
V. ;
Après 387.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
V. 384.
377.
381.
379.
379.
V. 381.
381.
384.
V. 385.
386.
Entre 385
et 387.
387.
46
temps il les écrivit, 466. Analyse du premier
livre de la pénitence, 466 et suiv. Erreurs
des Novatiens, 466, 467. Répoiiseaux objec-
tions des Novatiens, 467. Le salut est promis
à tous ceux qui croient en Jésus-Christ; con-
duite des prêtres envers les pécheurs, 467 et
468. Le pécheur doit recevoir dans cette vie
même le fruit de sa pénitence, 468, 469.
Analyse du deuxième livre, 469 et suiv. Il
n'est point de péché irrémissible aux vrais
pénitents, 469, 470. Exhortation à la péni-
tence, 470, 471. Les cinq livres delà foi, 471
et suiv. En quel temps ils ont été écrits, 471,
472. Analyse du premier livre ; analyse du
second, 472. Analyse du troisième, 472 et
473. Analyse du quatrième, 473. Analyse du
cinquième, 473 et suiv. Les trois livres du
Saint-Esprit, 473 et suiv. Ils ont été écrits à
la prière de Gratien ; en quel temps ; juge-
ment que l'on a porté de ces livres, 473.
Analyse du premier livre, 475 et 476. Ana-
lyse du second, 476, 477. Analyse du troi-
sième, 477. Livre de l'Incarnation, 477 et
suiv. A quelle occasion et en quel temps il a
été écrit, 477 et 478. Analyse de ce livre,
478, 479. Fragment d'un livre intitulé : Expo-
sition de la foi, 479, 480. Lettres de saint
Ambroise, 480 et suiv. On n'a pu recouvrer
toutes les lettres de ce père ; dans quel ordre
on a rangé celles qui nous restent, 480. Pre-
mière classe des lettres de saint Ambroise
qui contient celles dont on peut fixer l'époque,
480 et suiv. Lettre à Gratien, 480. Lettre à
Constantius, évêque de la Romagne, 480 et
481. Lettres à Félix, évêque de Côme, 481.
Lettres à byagrius, évêque de Vérone; his-
toire de la vierge Indicie, 481 et suiv. Let-
tres à Just, peut-être l'évêque de Lyon, évê-
que de Riom; lettres touchant le concile
d'Aquilée; lettres àrempereurïhéodose,483.
Lettre au clergé de Thessalonique et àAny-
sius, évêque de cette ville, 483 et 484. Lettre
à Valenlinien en forme de requête touchant
le rétablissement de l'autel de la Victoire,
484, 483. Autre lettre de saint Ambroise à
Valentinien sur le même sujet, 483 et suiv.
Lettre à Vigile, évêque de Trente, 487. Lettre
de sainte Marcelline, 487 et 488. Lettre à
Valentinien , 488 , 489. Discours contre
Auxence, évêque arien, 489, 490. Lettre à
sainte MarceUine ; relation de l'invention des
reliques des saints martyrs Gervais et Pro-
lais, 490 et sniv. Lettre aux évêques d'Emilie ;
lettre à Valentinien, 492. Lettres à Studius,
magistrat, 492 et 493. Lettres à Irénée, prêtre ;
lettres t\ Orontien, 493. Lettres à Simplicien,
493 et 494. Lettre à Faustin, 494. Lettre à
l'empereur Théodose, 494 et 493. Lettre à
sainte Marcelline, 493, 406. Lettre au pape
Sirice; lettres à Orontien, 496. Lettres à Sa-
bin, évêque de Plaisance, 496 et 497. Lettre
àChromace, évêque d'Aquilée, 497. Lettre à
l'empereur Tbéodose, 497 et 498. Lettre à
Titien; lettre à Théodose; lettres à Eusèbe
de Rologne ; lettre à Théophile , évêque
d'Alexandrie, 498. Lettre touchant Bonose;
elle n'est pas de saint Ambroise, mais du
pape Sirice; lettre à l'empereur Eugène;
lettre à Sabin, évêque de Plaisance, 499.
Lettre à Sévère, évêque en Campanie, 499,
et 500. Lettre à Paterne; lettre à l'empereur
Théodose, 300. Lettre à l'église de Verceil,
300 et suiv. — Seconde classe : Lettres de
saint Ambroise dont on ne peut fixer l'épo-
que, 302 et suiv. Lettres à diverses person-
nes, 502, 303. Lettres à Orontien; lettres à
Bellicius, païen converti; lettre à des clercs,
303. Lettre à Marcel, évêque, 303 et 504.
Lettre à Sisinnius ; lettres sur divers sujets,
504. [Lettre de saint Ambroise à sainlJérôme,
634. J Livres de saint Ambroise sur la mort
de Satyre, son frère, 304 et suiv. Le premier
livre est l'oraison funèbre de Satyre ; analyse
de ce discours, 304, 503. Le second livre sur
la mort de Satyre est intitulé : De la foi en la
résurrection ; analyse de ce livre, 305, 506.
Oraison funèbre de Valentinien ; analyse de
ce discours, 306, 307. Oraison funèbre de
Théodose ; analyse de ce discours, 507, 308.
[Trois sermons publiés à Rome en 1834; leur
authenticité, 508. Les deux premiers traitent
des perfections divines; dans le troisième il est
question delà charité, 308. Analyse de ces ser-
mons, 308 et 509.] Hymnes de saint Ambroise,
509, 510. [Autres hymnes qui lui sont attri-
buées, 510, n. 3.] Ouvrages faussement attri-
bués à saint Ambroise, 510 et suiv. Livre
des quarante-deux campements des enfants
d'Israël, 310. Commentaire sur les Épîlres de
saint Paul, 510 et 5U. Livre de la Trinité, ou
sur le Symbole des apôtres; livre de la divi-
nité du Fils; livre de la dignité sacerdotale;
livre de la virginité ; sermons sur divers su-
jets, 311. Lettres à diverses personnes, 511,
512. [Deux lettres sur un énergumènene sont
pasdesaintAmbroise,3H, 312.] Prières pour
la messe ; commentaire sur l'Apocalypse ;
livre de la Pénitence; livre du Saint-Esprit;
concordance sur la généalogie de Jésus-
Christ ; livre sur la dignité de la condition
388.
389.
390.
392.
394.
396.
379.
392.
395.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
humaine ; exorcismes ; autres livres attribués
à saint Ambroise; commentaire sur le Can-
tique des Cantiques, 512. Autres livres attri-
bués à saint Ambroise ; actes du martyre de
saint Sébastien, S13. Traduction deTbistoire
de la guerre des Juifs, écrite par Hégésippe
ou Josèpbe, 513 [et n. 8, VII, 465]. [Explica-
tion du Symbole pour ceux qui doivent être
initiés, publiée par Mai ; elle n'est pas de saint
Ambroise, 513. Le livre de l'Exposition de la
divinité du Fils et de rincarnation a été publié
aussi par le même éditeur; il n'est pas de saint
Ambroise, 513, n. 5. La traduction de Tbis-
toire d'Hégésippe et de Josèpbe est de saint
Ambroise, 513, n. 8.] Ecrits de saint Am-
broise qui sont perdus, 514 et suiv. Com-
mentaires sur Isaïe ; livre contre Platon ; livre
sur Élis; bvre à Pansophe; lettre àFritigile,
reine des Marcomans,514. Lettres à diverses
personnes, 514 et 515. Livre contre Apolli-
naire; bomélies et bvres sur l'Écrituie; sur
le mariage de saint Josepb avec la sainte
Vierge ; sur Samson; livre contre Apollinaire,
515. Livre sur l'immortalité de l'âme, 515 et
516. Doctrine de saint Ambroise, 516 et suiv.
Sur l'inspiration de TÉcrilure sainte, 516. Sur
la manière dont s'est faite cette inspiration ;
sur l'obscurité de l'Écriture, 517. Sur les di-
vers sens de l'Écriture, 517 et 518. Sur les
textes et versions de l'Écriture, 518. Sur
l'abus que les hérétiques font de l'Écriture,
518 et 519. Différentes leçons de l'Écriture,
519 et suiv. Sur le livre des Psaumes, 521 et
suiv. Sur la division du Psautier, 523. Sur la
canonicitéde diverses parties del'AncienTes-
tament,523 et 524; et du Nouveau Testament,
524 3t 525. Sur divers endroits de l'Ancien
Testament, 524 et suiv.; et du Nouveau Tes-
tament, 528 et suiv. Sur la lecture de l'Écri-
ture sainte et ses avantages, 530, 531. Sur la
tradition et les conciles, 531, 532. Sur la
Trinité, 533 et suiv. Sur la procession du
Saint-Esprit, 534. Sur le péché originel, 534
et suiv. Sur l'Incarnation, 536, 537. Sur la
distinction des deux natures et l'unité de
personne en Jésus-Christ, 537 et suiv. Sur la
communication des idiomes et les deux vo-
lontés en Jésus-Christ, 539 et suiv. Sur la
sainte Vierge et sur saint Joseph, 541 et suiv.
Sur les anges, 545 et suiv. Sur les démons,
547, 548. Sur la nature et l'origine de l'âme ;
sur le libre arbitre, 548. Sur la grâce, 548 et
suiv. Sur la mort de Jésus-Christ pour tous
les hommes et la prédestination, 552, 553.
Sur le sacrement de baptême et sur celui de
47
confirmation, 553 et suiv. Sur l'Eucharistie
comme sacrement et comme sacrifice, 556 et
suiv. Sur la pénitence, 560 et suiv. Sur le
pouvoir des clefs et la confession, 562 et suiv.
Sur la satisfaction; réponse à une difficulté,
565. Sur l'ordre, 565 et suiv. Sur le mariage,
567 et suiv. Sur l'Église, 570. Sur la pri-
mauté de saint Pierre, 571, 572. Sur la puis-
sance temporelle, 572. Sur l'intercession des
saints et leurs reliques, 572 et 573. Sur l'état
des âmes après la mort, 573. Sur le purga-
toire, l'enfer et Téternité des peines, 574. Sur
divers points de discipline, 574 et 575. Sur
le jeûne du carême, 575, 576. Sur les moines
et les vierges, 576. Sur divers points de mo-
rale, 576 et suiv. Sur l'histoire, 578 et suiv.
Jugement des écrits de saint Ambroise, 581
et suiv. Sa méthode dans l'explication de
l'Écriture, 581, 582. Ses oeuvres de morale;
ses œuvres de controverse; titres que ses ou-
vrages lui ont mérités, 582. Son style, 582 et
583. Éditions de ses œuvres, 583 et suiv.
[Éditions nouvelles, 585, 586. Traductions
nouvelles, 586. Saint Martin assiste en esprit
aux funérailles de saint Ambroise, 675 dans
les Additions.] — Saint Ambroise lève de
terre les corps des martyrs saint Vital et
saint Agricole, III, 41. — Il donne avis à
l'empereur Gratien au sujet de la convoca-
tion du concile d'Aquilée, IV, 628, 629. Il a
la principale part dans ce concile ; il tient des
conférences particuhères avec les Ariens ,
629. Sa conférence publique avec unévéque
arien, 629 et 630. Il préside à un concile
d'Italie, 634. Demande un concile à Rome,
636. Se trouve au concile qui y fut tenu, 638.
Assemble un concile à Milan contre Jovi-
nien; sa lettre au pape Sirice au nom du
concile; éloges qu'il donne au pape, 652.
Lettre à Théophile d'Alexandrie au sujet du
concile de Capoue, 654. Lettre que lui écri-
vit saint Basile le Grand, 464. — Saint Am-
broise rejette les Priscilliauistes, V, 18. —
Discours faussement attribué à saint Am-
broise contre une fille appelée Suzanne, VU,
647. — Hymne à son honneur faussement
attribuée à saint Paulin, évêque de Noie, VIII,
87. Vie de saint Ambroise faussement attri-
buée à saint Paubn, 88. — Saint Ambroise
reçoit saint Augustin à Milan, IX, 5. 11 ex-
plique les passages les plus difficiles de l'An-
cien Testament, 6. Il baptise saint Augustin,
9. 11 est persécuté par l'impératiice Justine,
32. Il découvre les corps de saint Gervais et
de saint Protais, 33. Témoignages de saint
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
IV siècle.
V. 465
V m siècle.
778.
Ambroise cités par saint Augustin, 452, 485,
489, 490, 492, 543. — Son élection au siège
de Milan, racontée par Théodoret, X, 47. Il
a'omitrien pour faire rentrer le jeune Valen-
tinien dans la doctrine de l'Église, 49. Homé-
lies de saint Maxime de Turin attribuées à
saint Ambroise, 323. Vers à sa louange par
saint Ennode, 376. — On lui a attribué plu-
sieurs discours que Ton croit être de saint
Césaire d'Arles, XI, 128, 129. — Monastère
sous son nom à Milan ; piùvilégedu pape Gré-
goire V qui en confirme les droits et posses-
sions, XII, 901. — Saint Ambroise est regardé
comme auteur de la Liturgie qui porte son
nom; en quel sens, XIII, 5. Ce que contient
cette Liturgie, 5 et suiv — Sermon de Guil-
laume d'Auvergne en son honneur, XIV,
1027. (Voyez sur saint Ambroise l'Histoire
littéraire de la France, t. I, part. II, p. 323 et
suiv., et le supplément à la tête du t. II.
p. xjx et suiv., et t. V, p. j, et t. XII, p. vj
et suiv.)
AMBROISE d'Alexandrie, disciple de Di-
dyme. (Il avait fait un commentaire sur Job
et un traité contre Apollinaire. Voyez Dupin
et Moréri.)
AMBROISE, évéque à qui saint Sidoine-
Apollinaire adresse une de ses lettres, X, 393.
AMBROISE et BÉATUS, jeunes gens à qui
saint Ennode de Pavie adresse une instruc-
tion, X, 573.
AMBROlSE-AURÉLIEN,Romain,éluroipar
les Bretons de la Grande-Bretagne, X, 617.
AMBROISE, vicaire de Rome. Lettres que
lui écrit Cassiodore,XI, 218. Autre lettre par
laquelle il le charge de faire de grandes pro-
visions, 220.
AMBROISE (Saint), évêque de Cahors. Est-
il auteur des livres des Sacrements attribués
à saint Ambroise de Milan? V, 464. — [Notice
sur sa vie, XII, 119, 120. Il n'est pas l'auteur
du traité des Mystères et des Sacrements,
120.] (Voyez son article dans YHistoire litté-
raire de la hrance, t. IV, p. 137 et suiv.)
AMBROISE- AUTPERT (le bienheureux),
abbé de Saint- Vincent, près de Bénévent,
XII, 120 et suiv. Sa naissance ; il embrasse la
profession monastique dans l'abbaye de
Saint-Vincent-sur-le-Voiturne ; ses études;
il est élevé au sacerdoce; il est choisi pour
succéder à l'abbé Jean; sa mort, 120. Son
commentaire sur l'Apocalypse, 120 et suiv.
Analyse de cet ouvrage, 121 . Ce qui est dit
sur l'Eucharistie, 121, 122. Sur la grâce, 122.
Sur le culte des anges, 122 et 123. Traité des
combats, des vices et des vertus, 123. [Édition
de ce traité, 123, n. 7.] Vies des saints Pal-
don, 'Tason et Taton, 123. Autres ouvrages
sur l'Écriture sainte qu'on attribue à Am-
broise-Autpert, 124. Ses homélies, 124 et
123. [Édition des écrits d'Ambroise-Autpert
dans la Patrologie, 123, 126.]
AMBROISE, prêtre de l'église de Milan,
consulté par Atton de Verceil sur le mariage
du jQlleul avec la fille de son parrain; lettre
que lui écrit Attou au sujet des femmes ap-
pelées prêtresses et diaconesses, XII, 823.
AMBROISE, seigneur de la cour de l'em-
pereur Othon. Lettre que lui écrit Rathérius,
évêque de Vérone, XII, 854.
AMBROISE, moine de Saint-Ouen. Il écri-
vit la vie de sainte Agnès, XIV, 187. (Voyez
{'Histoire littéraire de la France, t. X, p.
264.)
AMBROISE LE CAMALDULE. Sa version
latine des dix- neuf discours de saint Éphrem,
VI, 70. — Sa version latine du dialogue de
Pallade sur la vie de saint Jean Chrysos-
tôme, VII, 493. — Sa version latine du dia-
logue d'Énée de Gaze sur la nature de l'âme
et la résurrection des corps, X, 492. Sa ver-
sion latine des œuvres attribuées à saint
Denis l'Aréopagite, 533. — Sa version latine
du Pré spirituel, XI, 703.
AMBROSIE, vierge consacrée à Dieu par
saint Ambroise, V, 434. Prière qu'il fait à
Dieu pour elle, 437. Témoignage que saint
Ambroise lui rend, 498.
AMBROSIE et EUSïATHIE, sœurs ver-
tueuses que saint Grégoire de Nysse trouve
à Jérusalem ; lettre de saint Grégoire de
Nysse à Eustathie, Ambrosie et Basihsse,VI,
124.
AMBULEIUM sur le Menzo. Lieu de la
conférence de saint Léon avec Attila, X, 173.
AME de l'homme. Doctrine de saint Justin
sur l'âme, I, 440. Doctrine d'Athénagore,
485. Sentiment de Tatien sur l'âme, 489.
Doctrine de saint Irénée, 527. Doctrine de
Minutius Félix, 554. Doctrine de Clément
d'Alexandrie, 597, 398. Doctrine de saint
Hippolyte, 640. — Livre du témoignage de
l'âme, ouvrage de Tertullien avant sa chute,
II, 30, 31. Traité de l'âme, ouvrage de Ter-
tulhen après sa chute, 39 et suiv. Doctrine de
Tertullien sur l'âme, 72, 82, 83. Doctrine
d'Origène sur l'âme, 210, 222, 223, 524.
Traité de l'âme, attribué à saint Grégoire de
Néocésarée, 446, 447. Sentiment d'Arnobe
sur l'âme, 492. Doctrine de Lactance, 512.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
49
Erreur de quelques Arabes combattues par
Origène, 554. — Doctrine de saint Méthode,
évêque de Tyr, III, 63, 70. [Doctrine de Ma-
caire Magnés, 156.] Livre de saint Eustathe
d'Anlioche sur l'âme, 161, 162. Opuscule at-
tribué à Eusèbe de Césarée sur Fâme de
l'homme, 228. Doctrine du même Eusèbe sur
l'âme, [225,] 23 8, [257, 258,] 280, 281.— Doc-
trine de saint Hilaire de Poitiers sur l'âme,
IV, 71. — Remarque de Claudien Mammert
touchant la doctrine de saint Hilaire sur ce
point, X, 352. — Doctrine de saint Alhanase,
IV, 204. Erreurs des Manichéens sur l'âme,
333. Doctrine de saint Sérapion, évêque de
Thmuis, 334, 335. Erreurs des Priscillianistes
sur la nature de l'âme, 614. — Doctrine de
saint Cyrille de Jérusalem, V, 80. Doctrine
de saint Philastre, 175, 176. Doctrine de saint
Grégoire de Nazianze, 223, 286, 287, 322,
323 et 548. Livre sur l'immortalité de l'âme,
ouvrage perdu de saint Ambroise, 515. Doc-
trine de saint Ambroise, 406, 407, 548,
373 , 574. [Ames des Justes jouissent du
bonheur du ciel avant la résurrection, 621.
Doctrine de Didyme sur la préexistence des
âmes, 624. Immorlahté de l'âme d'après
le même; son état en l'autre vie, 630.] ~
Livre intitulé : De l'Ame, faussement attri-
bué à saint Grégoire de Nysse, VI, 155. Traité
de l'âme et de la résarrection : ouvrage de
saint Grégoire de Nysse, 192. Analyse de ce
traité, 192 et suiv. [C'est par erreur qu'on a
mis dans la table du VI= volume, article saint
Grégoire de Nysse, que cet ouvrage n'était
pas l'œuvre de ce saint.] [Doctrine de Némé-
sius, 283 et suiv. De l'âme négligente, ser-
mon de saint Éphrem, 507.] — Doctrine de
Rufin d'Aquilée, VII, 480. Dialogue entre
saint Augustin et saint Jérôme sur l'origine
de l'âme, ouvrage supposé, 648. — Doctrine
de Bachiarius, VllI, 47. Doctrine de Gassien,
170 et suiv.; d'Evagre, 427, 428; de saint Isi-
dore de Péluse, 493. — Livre de l'immortalité
de l'âme, ouvrage de saint Augustin, IX, 45.
Livre de la quantité ou de la grandeur de
l'âme, ouvrage du même saint docteur, 46,
47. Livre de l'esprit et de l'âme, ouvrage faus-
sement attribué à saint Augustin, 286. Livre
des deux âmes, ouvrage de saint Augustin,
336. Quatre livres de l'âme et de son origine,
ouvrage de saint Augustin, 466 et suiv. [Trois
sermons de saint Augustin sur l'édification de
l'âme ; un du même sur la sainteté de l'âme et
sur les sortilèges, 841.] Doctrine de saint Au-
gustin sur l'âme, 40, 41, 44, 45, 46, 47, 62,
TAB. I.
63, 67, 140, 143, 144, 160, 203 et suiv., 281,
309, 321, 466 et suiv., 469, 470, 471, 472,
796, 797. — Doctrine de Théodoret, X,
86. Livre où Fauste de Riez traite de la na-
ture de l'âme, 348 et 423, 424. Traité de
Mammert-Glaudien sur la nature de l'âme,
contre Fauste de Riez; analyse de cet ou-
vrage, 348 et 423. Autre ouvrage du même
Mammert sur la dififérence entre les êtres
spirituels et les êtres corporels, 354. Éloge
que fait saint Sidoine des ouvrages de Mam-
mert sur la nature de l'âme; diiïérentes édi-
tions qu'on en a données, 359. Dialogue
d'Énée de Gaze sur l'immortalité de l'âme,
490, 491. Traité de l'âme, ouvrage perdu, at-
tribué à saint Denis l'Aréop agite, 552. Traité
de la nature de l'âme et de ses qualités,
ouvrage perdu de Julien Pomère , 588.
— Sentiment de saint Fulgence de Ruspe
sur l'origine de l'âme, XI, 63. Traité de l'âme
et de ses facultés, ouvrage de Cassiodore; en
quel temps et à quelle occasion il a été com-
posé, 238. Analyse de ce traité, 238 et suiv.
Pourquoi l'âme est ainsi appelée, 238. Défi-
nition del'âme; elle est spirituelle et immor-
telle, 238 et 239. Qualité substantielle de
l'âme, 239, 240. Sa forme ; ses vertus morales
et naturelles; origine de l'âme, 280. Siège de
l'âme; construction du corps humain; com-
ment on connaît les bons et les méchants,
241. État de l'âme après la mort, 241 et 242.
Éditions de ce traité, 254. Traité du prêtre
Eustratius : De l'état des morts après cette
vie, 347, 348. Doctrine de saint Grégoire de
Tours sur l'âme, 387. Dialogue de saint Gré-
goire le Grand sur l'immortalité de l'âme,
477 et suiv. Commentaires de Jean Philopo-
nus sur les livres de l'âme, ouvrage d'Aris-
tote, 631. Dissertation de Jean sur les trois
facultés de l'âme ; son traité de la résurrec-
tion où il est question de l'âme, 652. Saint
Sophrone condamne l'erreur de ceux qui en-
seignaient la préexistence des âmes, 704.
Traité de l'âme, ouvrage de saint Maxime,
abbé de Ghrysopohs, 767. Deux lettres du
même sur la nature de l'âme, 768. — Visions
d'un moine sur l'état d'une âme après la
mort, XII, 50. Réponse de Jean de Saba sur
l'état des âmes après la mort, 99. Lettre d'Al-
cuin à Eulahe sur la nature de l'âme, 178.
André, évêque de Césarée en Gappadoce,
examine dans sa thérapeutique où vont les
âmes après la mort, 426. Traité de Rhaban
Maursur la nature de l'âme, 458, 459. Quel-
ques fragments du traité de Ratramne surla
4
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
SO
nature de l'âme, 368. Traité de la nature de
l'âme, ouvrage d'Hincmar, archevêque de
Reims, 666. Traité d'Olympiodore de l'état
de l'âme après sa séparation d'avec le corps,
912. — Traité de l'âme par Moïse Bar-Cépha,
XIII, 48. Traité de l'âme par Michel Psellus ;
ses quatre discours sur l'âme et le corps de
l'homme, 337. Canon du quatrième concile
869. général de Constantinople contre ceux qui
disaient qu'il y a deux âmes dans l'homme,
709. — Traité de l'origine de l'âme, ouvrage
de Guillaume de Champeaux, XIV, 193. Sen-
timent de Guibert de iNogent sur la manière
dont les âmes sont punies ou récompensées
dans l'autre monde, 199. De la plainte et du
combat de la chair et de l'âme, ouvrage du
vénérable Hildebert, évéque du Mans, 218.
[Extrait de saint Augustin sur la nature de
l'âme, par Honoré d'Autun ; il est inédit,
302.] Quatre hvres du cloître de l'âme, ou-
vrage de Hugues Foliet, attribué à Hugues
de Saint- Victor, 350. Quatre livres de l'âme
et de ses afifections; ce que c'est que cet ou-
vrage ; traité de la médecine de l'âme, ou-
vrage attribué à Hugues Foliet, 3S1 . Traité de
la sagesse de l'âme de Jésus-Christ, ouvrage
de Saint-Victor, 3S4. Traité de la nature du
corps et de l'âme, par Guillaume de Saint-
Thierri, 387. Lettres de Hugues de Ribomond
sur la nature de l'âme, 407. Traité d'Odon
d'Orléans sur l'origine de l'âme, 412. [Vision
des âmes après la mort et miracle de Sainte*
Laurent de Liège, ouvrage de Jean, moine de
Saint-Laurent, 417]. Sentiment de saint Ber-
nard sur l'état des âmes après leur sépartion
du corps, 486, 487. [Lettre d'isaac , abbé de
l'Étoile, à Alcher, moine de Clairvaux, sur
l'âme, 696.] Opuscule de Michel Glycas sur l'é-
tat des âmes séparéesdu corps, 642. [lia été pu-
blié par Maï; ce qu'il contient; fragment d'un
anonymesur le même sujet, 1177. Traité du
retour des âmes de l'enfer, ouvrage de Hugues
Etérien, 657, 658. Lettre dans laquelle Gau-
thier de Mortagne réfute cette proposition de
Hugues de Saint-Victor, que l'âme de Jésus-
Christ avait une science égale à celle de la
nature divine, 661. [Division de l'âme et de
l'esprit, ouvrage manuscrit d'Achard, prieur
de Saint-Victor et ensuite évêque d'Avran-
ches, 709. Sur la stabilité de l'âme, ouvrage
d'un anonyme du xii" siècle, 909.] Le cloître
de l'âme, opuscule du pape Innocent III, 1017.
Traité de l'immortalité de l'âme, ouvrage de
Guillaume d'Auvergne, évêque de Paris, 1022a
Traité des âmes humaines, ouvrage du même
évêque, 1028. Voyez l'article de l'Homme.
[AME des bêtes, d'après Didyme l'Aveugle,
V, 620.]
AMÉ, moine du Mont-Cassin, ensuite évê- x
que ; on ignore de quel siège ; Baluze et Dom
Mabillon pensent que c'est de Bordeaux, Xtll,
494. Raison de leur conjecture, S52. Poëme
d'Ame sur les actes des apôtres saint Pierre
et saint Paul; autres ouvrages que Pierre,
diacre lui attribue; aucun n'a été imprimé,
494. [On a une version française de son His-
toire des Normands, 494.]
AMÉ, archevêque de Bordeaux, est d'abord
élevé pour son mérite sur le siège d'Oléron,
XIII, 5S1, 532. Le pape saint Grégoire VII
l'établit son légat dans la Gaule Narbonnaise,
la Gascogne et l'Espagne; il tient à Poitiers
un concile pour la dissolution du mariage de
Guillaume, duc d'Aquitaine, avec Aldéarde,
sa parente ; il est envoyé légat en Espagne ; jq,
il tient un concile à Gironne, 332. Actes de
ce concile, 353. Autres conciles auxquels il
préside en quahté de légat; il est fait arche- joj
vêque de Bordeaux; il assiste au concile de jqç
Clermont; sa mort; raisons qui ont déter- ^^^
miné Baluze et Dom Mabillon à le regarder
comme le même qu'Ame, moine du Mont-
Cassin ; cependant, on ne peut avec certitude
lui attribuer les ouvrages de ce moine, 532.
Lettres d'Ame de Bordeaux, 332 et 353. Il est
auteur des Actes du concile de Gironne, 353.
[On a encore de lui deux diplômes, 333.] Ju-
gement qu'il rend en faveur du monastère de
Sainte-Croix de Bordeaux, 333 et 593. [Ses
écrits dans la Patrologie, 553.] — Il est trans-
féré du siège d'Oléron à celui de Bordeaux,
XIV, 1070.
AMÉDÉE, abbé de Haute-Colombe, puis
évêque de Constance ou de Lausanne, XIV,
624. [Notice sur Amédée et ses écrits dans la
Patrologie, 623, n. 4.] Ce qu'on sait de sa
personne; sa mort, 624. Ses sermons à la
louange de la sainte Vierge, 623 et 624. [Ju-
gement sur ses sermons, 623.] Différentes
éditions qu'on en a faites, 623. [Traductions
françaises de ces mêmes sermons; lettres
d' Amédée ; pièces qui le concernent, 624.]
(Voyez son article dans i'Histoire littéraire
de la France, t. XII, p. 575 et suiv.)
AMÉLIUS, évêque de Paris, député auqua- j^^,
trième concile d'Orléans, XI, 859.
[AMÉLIUS, prêtre établi abbé du monas-
tère de Saint-Gai, XII, 631.]
[AMÉLIUS, évêque d'Uzez. Le pape Ser-
gius m lui écrit, X1I,743.]
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
SI
AMEN. Conclusion ordinaire de la prière,
I, 443; 11, 116; III, 17, 38, 42. — Les fidèles
répondaient Amen, II, 127, 407, S97, S98 ; IX,
748, 766, 768.
AMERBACH (Jean), savant imprimeur de
Bâle. Son édition des Œuvres de saint Am-
broise, V, 583. — Sa version latine de l'An-
chorat de saint Épiphane, VI, 437. — Son
édition des Capitulaires, XII, 226.
AMI DE LA VÉRITÉ. Titre d'un des ou-
vrages de Sévère de Sozople contre le con-
cile de Chalcédoine, XI, 108.
AMICHUS, abbé de Murbacb, succède à
Haribert, XII, 218.
AMIDE, métropole de Mésopotamie dont
fut évêque saint Acace, X, 142. Le roi des
Perses s'empare de cette ville, S85.
AMIEN (Saint), fondateur d'une école de
vertu et de piété entre Antioche et Bérée; il
presse saint Eusèbe de prendre la conduite
de ce monastère à sa place, X, 53.
AMIENS, ville de Picardie. Chronique de
l'Église d'Amiens, par Baudri, chantre de
Térouane, XUI, 482, 483.
[AMIS. Sermon de saint Augustin sur les
faux amisj IX, 836, Combien ils sont à crain-
dre, 838.]
AMITIÉ. Maxime de saint Basile sur l'ami-
tié, IV, 439. — Doctrine de saint Ambroise
touchant les devoirs de l'amitié, V, 445. —
Doctrine de saint Jean Chrysostôme, VII,
236. Sentence de saint Jérôme sur l'amitié,
380. — Doctrine de saint Augustin sur l'ami-
tié, IX, 29 et 253. Livre de l'Amitié, ouvrage
supposé sous le nom de saint Augustin, 286.
— Pûëme de Théodore Prodrome intitulé :
L'Amitié bannie du monde, XIV, 149. Traité
de l'amitié spirituelle , ouvrage d'^lrède,
abbé de Riedval, 622. Traité de l'amitié
chrétienne ou de l'amour de Dieu et du pro-
chain, ouvrage de Pierre de Blois, 781.
AMMIA, prophétesse de Philadelphie, II,
339.
AMMON, soldat, confesseur sous Dèce,
n, 402.
AMMON, évêque de Bérénice en Egypte;
saint Denis d'Alexandrie lui écrit contre Sa-
bellius, II, 413.
AMMON, convaincu des erreurs d'Arius,
est chassé de l'Église par saint Alexandre,
évêque d'Alexandrie, III, 106.
AMMON, moinedeTabenne,depuisévêque,
IV, 233.
AMMON DE NITRIE (Saint). Voyez Amon
(Saint).
AMMON, solitaire qui se coupe l'oreille pour
n'être pas évêque, VI, 112. Voyez Ammone.
AMMON, évêque de Lyco en Egypte. Lettre
canonique qui lui est adressée, VII, 445, 446.
Lettre de Théophile à Ammon, 447.
AMMON (Saint), supérieur des moines à
Tabenne. Ce qui est dit de lui dans les Vies
des Pères écrites par Rufin d'Aquilée, VII,
474. — Il est visité par saint Pétrone, X, 160.
AMMONARION (deux saintes), martyres à
Alexandrie, sous Dèce, II, 402.
AMMONE (ou AMMONIUS) SACCAS, phi-
losophe chrétien, II, 96 et suiv. [Actions fa-
vorables et défavorables à Ammonius, 99,
n. 4.] Profession d'Ammone; ses études; sa
manière d'enseigner, 96, 97. Ses disciples,
97. Ses écrits, et particulièrement sa Con-
cordance, 97 et suiv. Éditions de cet écrit,
99. Autres écrits qui lui sont attribués, 97,98.
Jugement qu'on a porté d'Ammon, 98 et 99.
Il meurt chrétien, 99. — Plotin et Origène
prennent des leçons de lui, X, 94.
AMMONE et ISIDORE, moines qui accom-
pagnent saint Athanase à Rome, instituent en
Italie la vie monastique ; Ammone, élu évê-
que , prend la fuite et se coupe l'oreille
droite, IV, 225.
AMMONE, solitaire à Ganople en Egypte.
Ce qu'il a écrit touchant le martyre des soli-
taires du Raïthe et de Sinaï, IV, 283, 284.
AMMONE, solitaire. Réponse de Timothée
d'Alexandrie à son sujet, V, 92, 93.
AMMONE, l'un des quatre grands frères.
Ce qui en est dit dans l'Histoire Lausiaque
dePallade, VII, 474et488.
AMMONIUS, prêtre païen d'Alexandrie,
célèbre professeur de grammaire, retiré à
Constantinople, VIII, 514.
[AMMONIUS LE SCHOLASTIQUE. Lettres
que lui adresse Sévère de Sozopole,XI, 109.]
AMOG, moine à qui saint Éphrem écrit,
VI, 12.
AMOENUS. Georges Fabricius lui attribue
le Manuel de l'Ancien et du Nouveau Testa-
ment, qui est du poète Prudence, VIII, 106.
AMOLON (ou AMULON), archevêque de
Lyon, succède àAgobard,XII,429. Sa mort,
429 et 614. Ses écrits ; lettre à Theutbalde,
évêque de Langres, 429, 430. Lettre à Go-
thescalc sur la prédestination et la grâce,
430, 431. Opuscule sur la grâce, la prédesti-
nation et le hbre arbitre, qu'on lui attribue,
et qui est de Florus, diacre de Lyon, 431,
432. Autre opuscule qu'on lui attribue sur le
même sujet, 432. Recueil de sentences de
IV siècle.
IV ou
V siècle.
395.
IV ou
V siècle.
ni siècle.
Il siècle.
IV siècle.
IV siècle.
V siècle.
IV siècle.
840.
852,
S2
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
saint Augustin, 432 et 433. Traité contre les
Juifs, 433. [Écrits d'Amolon dans la Patrolo-
gie, 433.] (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. V, p. 104 et suiv., et
dans l'Avertissement, p. xvj.)
356. AMON, abbé. Lettre que lui écrivit saint
Athanase, IV, 147. (On doute si c'est le même
que le suivant.)
AMON (ou AMMON) (Saint), fondateur des
solitaires de Nitrie ; il garde le célibat dans
le mariage, se retire à Nitrie; il y établit di-
vers monastères ; il écrit à saint Athanase,
3*5 IV, 314. Sa mort, 314, 315. Ses écrits; ce
qu'ils contiennent de remarquable, 31S.
AMOR (ou AMOUR) (Saint), diacre dont
les reliques reposent à Bélise, près de Ton-
gres; sa Vie, attribuée à Ecbert de Liège,
XIII, 236.
AMORION, ville de Phrygie, prise par les
X siècle, musulmans; martyrs de cette ville, XII, 799.
789av, j.-c. AMOS, prophète, I, 178, 179. Il était ber-
ger de profession ; temps auquel il commence
de prophétiser, 178. Style de ce prophète,
178 et 179. — [Commentaire de saint Éphrem
sur le prophète Amos, VI, 439 et 447.] —
Commentaire sur ce prophète, faussement
attribué à Rufin d'Aquilée, VII, 477, 478. —
Saint Augustin remarque l'éloquence qui se
trouve dans le livre d'Amos, IX, 395. — Com-
mentaire de Guibert, abbé de Nogent, sur le
prophète Amos, XIV, 195. Voyez l'article des
douze Petits Prophètes.
AMOS, patriarche de Jérusalem. Lettre
597, que lui écrit saint Grégoire le Grand, XI, 510.
AMOUR. Livre delà substance de l'amour,
ouvrage faussement attribué à saint Augus-
tin, IX, 286.
AMOUR DE DIEU ET DU PROCHAIN.
Doctrine d'Origène, II, 244 — Doctrine de
saint Augustm, IX, 197 et 517, 807, 808. —
Discours de saint Golomban sur l'amour de
Dieu et du prochain, XI, 623.
AMOUR DE DIEU. Opuscule attribué à
Eusèbe de Césarée sur ce sujet, III, 234. —
Doctrine de saint Basile le Grand, IV, 513 et
542. — Doctrine de saint Ambroise, V, 577.
— Doctrine de saint Grégoire de Nysse, VI,
253. — Doctrine de saintJean Chrysoslôme,
VII, 177 et 273. — Amour de Dieu et amour
des biens périssables, morale de saint Au-
gustin, JX, 226. Excellence de la charité, 227.
Livre de l'amour de Dieu, ouvrage attribué à
saint Augustin, 286. Doctrine de saint Augus-
tin sur l'amour de Dieu, 64, 197, 499, 694,
807 , 808. [ Sermon du même sur ce
sujet, 841.] — Doctrine de saint Cyrille
d'Alexandrie, VIII, 264. — Doctrine de saint
Pierre Chrysologue, X, 12. — Livre des di-
vins amours, ouvrage de Siméon le jeune,
abbé de Saint-MamasdeConstantinople,XIII,
226, 227, 228. — [Ce qu'Anselme de Laon dit
de l'amour de Dieu, XIV, 183.] Soliloque
d'Hugues de Saint- Victor sur l'amour de
Dieu, 351. Discours sur l'amour de l'époux
et de l'épouse, 332. Traité de la nature et de
la dignité de l'amour divin, ouvrage de Guil-
laume, abbé de Saint-Tbierri, 387. Traité de
saint Bernard sur l'amour de Dieu, 475 et
476. [Adam, abbé de Perseigne, parle de
l'amour de Dieu dans plusieurs de ses let-
tres, 883.] Voyez Charité.
AMOUR DU PROCHAIN. Sermons dou-
teux de saint Augustin sur ce sujet, IX, 243.
Doctrine de saint Augustin, 128, 138 et 317,
807. [Sermon du même sur ce sujet, 841.]
— Huit discours de saint Césaire d'Arles sur
l'amour du prochain, XI, 139, 140.
AMOUR DES ENNEMIS. Doctrine de saint
Ambroise, V, 439, 440 et 577. — [Deux ser-
mons de saint Augustin sur ce sujet, IX, 841.]
AMOUR PATERNEL. Doctrine de saint
Grégoire de Nazianze, , 277. Doctrine de
saint Ambroise, 410, 411.
AMOUR. DE SOI-MÊME. Doctrine de saint
Augustin, IX, 197.
AMOUR DU VRAI BIEN. Doctrine de saint
Augustin, IX, 70.
AMOUR DES BIENS DU MONDE. Doc-
trine de saint Augustin, IX, 18.
AMOUR DE L'ARGENT. Discours de saint
Valérien de Cémèle sur les mauvais effets
que produit l'amour de l'argent, X, 159.
AMOUR (Saint), diacre. Voyez Amor.
AMPÈLE (Saint), martyr d'Abitine à Car-
thage, III, 20. Sa confession, 22.
AMPHILOCHIA. Traité de Photius, ainsi
intitulé, parce qu'il répond à des questions
proposées par Amphiloque, métropolitain de
Cyzique ; idée de cet ouvrage, XII, 733. [Du
nom, de l'origine et du but de l'Amphilo-
chie, 969, 970. Photius est l'auteur de tou-
tes les questions de l'Amphilochie, 970. Ma-
tières traitées dans cet ouvrage, 971, 972. Ma
nuscritBprincipauxderAmphilochie,972,973.
La nouvelle édition dans la Patrologie, 973.]
AMPHILOQUE, père de saint Amphiloque
d'Icône, se retire avec son fils, V, 364. Se
plaint de l'élection de son fils, 465.
AMPHILOQUE (Saint), archevêqued'Icone,
V, 364 et suiv. Commencement de la vie de
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
53
saint Amphiloque; il professe la ré;thorique
il paraît dans le barreau ; il se retire dans la
solitude, 364. Il est fait évêque d'Icone, 364
et 365. Il va à Gésarée; il prend soin de
l'église d'Isaurie, 365. Saint Basile désire le
voir pour le consulter sur diverses affaires,
365 et 366. Saint Amphiloque assemble un
concile; lettre de saint Amphiloque à quel-
ques évéques macédoniens; saint Amphi-
loque envoie des présents à saint Basile, 366.
Il assiste à divers conciles, 366 et 367. Il va
à Parnasse à la prière de saint Grégoire de
Nazianze, 367. Il assiste à la dédicace de
l'église de Rufin et au concile de Constanti-
nople ; il combat les Messaliens, 367, 368,
369. Sa mort, 368. Ses écrits ; la plupart sont
perdus, 368 et 369. Ouvrages qui lui sont
faussement attribués, 369 et suiv. [Homélie
sur le paralytique, 370. Discours sur la femme
pécheresse, 370, n. 4. Discours sur la Nati-
vité de Jésus-Christ, 369, n. 19. Sur la Vie de
l'évéque Basile, 370, n. H. Homélie sur le
Samedi saint, 370, n. 6.] Jugement des
écrits de saint Amphiloque, 373. Éditions
des écrits de saint Amphiloque, 372. [Doc-
trine de saint Amphiloque sur la présence
réelle, 675.] — Saint Amphiloque tient un
concile à Icône, IV, 605. Il se trouve au concile
de 381 à Constantinople, 618. II assemble un
concile à Side pour condamner les Messa-
liens, 646. Saint Basile compose à sa prière
son livre du Saint-Esprit; lettre que lui écri-
vit saint Basile le Grand, 419. Ordination
d' Amphiloque ; autre lettre que lui écrivit
saint Basile, 457. Première lettre canonique
de saint Basile adressée à saint Amphiloque,
458 et suiv. Lettre que lui écrivit saint Basile,
463. Seconde lettre canonique de saint Basile
adressée à saint Amphiloque, 465 et suiv.
Troisième lettre canonique de saint Basile
adressée à saint Amphiloque, 472 et suiv.
Lettre de saint Basile jointe à celte lettre
canonique, 475. Autres lettres que saint Ba-
sile lui écrivit, 478, 479. — Il signe le testa-
ment de saint Grégoire de Nazianze, V, 191.
Lettres que lui écrivit saint Grégoire de Na-
zianze, 249, 265, 266, 267. Poëme à Séleucus,
faussement attribué à Amphiloque ; ce poëme
est de saint Grégoire de Nazianze, 290. —
[Voyez cependant V, 369, n. 13.]
AMPHILOQUE, laïc. Lettre que saint Gré-
goire de Nazianze écrit en sa faveur, V, 264.
AMPHILOQUE, homme distingué par sa
science. Épigrammes de saint Grégoire de
Nazianze en son honneur, V, 298.
AMPHILOQUE, rhéteur. Épigramme de
saint Grégoire de Nazianze en son honneur,
V, 298.
AMPHILOQUE, ami de saint Grégoire de
Nysse. Lettre que ce saint lui écrivit, VI, 219.
AMPHILOQUE, évêque de Side, assiste au
concile d'Éphèse ; homélie qui peut lui être
attribuée, V, 370. — Sisinius de Constantinople
lui écrit contre l'hérésie des Messaliens, VIII,
572.
AMPHILOQUE, métropolitain de Cyziqae,
pourrait être auteur de huit homélies qui
sont attribuées à saint Amphiloque d'Icone,
y, .369. — Écrit que Photius lui adresse en
réponse à ces questions, XII, 733, 769 et
suiv.
AMPHION (Saint), évêque d'Epiphanie, as-
siste aux conciles d'Ancyre et de Néocésarée,
n, 635, 640.
AMPRUCLA, diaconesse. Lettre que lui
écrivit saint Jean Chrysostôme, VII, 132.
AMULON , archevêque de Lyon. Voyez
Amolon.
ANACÉPHALÉOSE, ou récapitulation des
preuves de la foi, ouvrage de saint Épiphane,
VI, 416 et 522.
ANACHORÈTES (Saints) tués en Egypte
par les Sarasins, VIII, 168. Origine et profes-
sion des anachorètes, 186. — Leurs mortifi-
cations ordinaires, X, 55, 56. Voyez Moines.
[ANACHORÈTES. Des solitaires et des ana-
chorètes, sermon de saint Éphrem, VI, 500.]
ANACLET (Saint), pape. Décrétâtes qui lui
sont faussement attribuées, VI, 80.
ANACLET n (Pierre de Léon), antipape, est
élu en concurrence du pape Innocent II, XIV,
256. Différents conciles où il est anathéma-
lisé et Incocentll reconnu papelégitime, 1111
et 1113. Sa mort, 257. (On a de lui quelques
lettres.) [Notices sur l'antipape Anaclet, ses
lettres dans la Pafrologie, 257, n. 1.]
ANAGNI, ville d'Italie. Lettre du pape
Alexandre III qui exempte de toute charge
les commensaux de Tévêque et de l'église
d'Anagni,XIV,926.
ANAGOGIE. Sa définition par l'abbé Nes-
téros, VIII, 182.
ANAGRATES, vieux château des Vosges,
aujourd'hui Anegrai. Saint Colomban y éta-
blit un monastère, XI, 613.
ANALYTIQUES, ouvrage d'Aristote tra-
duit par Boëce, X, 663. — Commentaire de
Jean Philoponus sur ce traité, XI, 651.
ANANIAS (Suint), prêtre et martyr de
Perse, III, 321 et 327.
IV siècle.
IV siècle.
V siècle.
IX siècle.
IV siècle.
404.
374.
1130.
1138.
XII siècle.
344.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
34
*«"• ANAPSYCHIE, femme de Marcellin, gou-
verneur d'Afrique. Lettre que saint Jérôme
leur écrit, VII, 633; IX, 145, 146.
ANASTASE (Saint), pape et confesseur, VI,
398. 334 et suiv. En quel temps il est fait pape;
son zèle pour la foi catholique, 334. Apologie
de Rufin au pape saint Ana stase, 334 et 335.
401. En quel temps elle peut avoir été écrite ;
sentimens différents sur cette apologie, 335.
Lettre de saint Anastase à Jean, évêque de
Jérusalem, 335 et 336. Le pape saint Anas-
tase a-t-il véritablement condamné Rufin,
336, 337. [Note sur la lettre relative à cette
condamnation, 336, n. 9. Lettre à saint Sim-
plicien, évêque de Milan, 337.] Autres lettres
de saint Anastase que nous n'avons plus,
337, 338. Divers règlements attribués au pape
saint Anastase, 338. Sa mort ; éditions de ses
écrits, 338. Décrélales qui lui sont fausse-
ment attribuées, 94. — Lettre que lui écrivit
Rufin d'Aquilée, VII, 452, 453 et suiv. Lettre
d' Anastase contre Rufin, 433. A-t-il séparé
Rufin de sa communion, 461, 462. Lettre de
Jean de Jérusalem à saint Anastase ; lettre de
saint Anastase à Jean de Jérusalem, 301.
Apologie de Rufin au pape Anastase, 433 et
suiv. Lettre de ce pape à Jean de Jérusalem,
438. — Lettre que lui écrivit saint Paulin,
évêque de Noie, VIII, 67. — Sa Vie, écrite en
vers latins par Rosvithe, religieuse de Gan-
dershein, XII, 877.
ANASTASE II, pape, succède à saint Gé-
lase ; il députe à Constantinople pour la réu-
nion de l'Église, X, 318. Il écrit à l'empereur
Anastase pour faire ôter des dyptiques le
nom d'Acace , 518 et 319. Requête des
Alexandrins au pape Anastase, 519, 520. Sa
mort, 518. Lettre qu'il écrivit au roi Clovis
496. pour lui témoigner sa joie de ce qu'il avait
embrassé la foi chrétienne, 520. Lettre à
Ursicia où Anastase explique le mystère de
l'Incarnation, 520 et 521. Règlement au sujet
des privilèges de l'Église de Vienne, 321.
[Édition de ses lettres dans Mansi, 518, n. 2.
On ne les retrouve pas dans la. Patrologie ;
trois fragments, publiés par Baluze, ne sont
pas de saint Anastase, 320^ n. 3.]
855. ANASTASE, antipape élu par une faction
opposée à Benoît III, XII, 409.
9H. ANASTASE III, pape, succède à Ser-
gius m, XII, 743. Lettre que lui écrit Nico-
las, patriarche de Constantinople, 743 et 777.
913. Sa mort, 744. [On a de lui deux privilèges
reproduits dans la Patrologie,^. 745.]
1163. ANASTASE IV (Conrad), pape, succède à
402.
400.
401.
40!2.
Ï99 et 401.
400.
496.
Eugène III et ne siège qu'un an et quelques
mois; ses lettres, XIV, 911.
ANASTASE, à qui saint Augustin écrivit
une lettre, IX, 128.
ANASTASE, successeur de Rufus dans le
siège de Thessalonique ; tient deux conciles,
VIII, 230. Lettre du pape Sixte III pour con-
firmer sa supériorité sur les évêques d'Illy-
rie, 452 et suiv. — Lettre que lui écrit le pape
saint Léon pour le même sujet, X, 202. Il
abuse de son pouvoir ; saint Léon lui en fait
des reproches et lui ôte l'ordination des mé-
tropolitains, 203, 206. Lettre que lui écrit
saint Léon à l'occasion d'Eutycbès, 216.
ANASTASE, prêtre d'Antioche, amené par
Nestorius à Constantinople, commence à nier
que la sainte Vierge soit mère de Dieu ; Nes-
torius le soutient, VIII, 369.
ANASTASE, évêque de Nicée, prétend aux
droits de métropolitain sur une partie de la
Bithynie. Le concile de Chalcédoine s'oppose
à sa prétention, X, 695. — Réponses aux
questions des orthodoxes qui lui sont attri-
buées, XI, 363. Il n'est point l'auteur des
quatre-vingt-treize questions qui lui ont été
attribuées, 601.
ANASTASE, surnommé DICORUS, empe-
reur d'Orient, succède à Zenon, X, 419 et
485. Le pape Félix III lui écrit une lettre de
félicitation, 419. Il n'est couronné par le pa-
triarche Euphémius qu'à condition de don-
ner sa promesse de conserver la foi catholi-
que, 483. Il s'indispose contre le patriarche
Euphémius, le fait déposer et le relègue à
Eucaïtes, 488 et suiv. Il emploie toutes sortes
de moyens pour engager Macédonius, qu'il
avait fait patriarche à la place d'Euphémius,
à se déclarer contre le concile de Chalcé-
doine, 488 et 489. Ne pouvant y réussir, il le
fait enlever et le relègue à Eucaïtes, 489.
Lettre que lui écrit le pape saint Gélase, 493
et 301. Lettre du pape Anastase, 518, 319.
11 veut faire recevoir par le pape l'Hénotique
de Zenon, 521. Lettre que lui écrit saint Avit
de Vienne ; deux autres au nom du roi Sigis-
mond, 362. Édit par lequel il délivre des
tributs tous les habitants de la Mésopotamie,
386. Il s'adresse au pape Hormidas pour
apaiser les troubles de Scythie et de Mésie;
lettres qu'il écrit à ce sujet; il propose un
concile à Héraclée, 613. Conditions auxquel-
les le pape consent à se trouver au concile,
615. Lettre que l'empereur écrit au pape en
renvoyant ses légats ; son but n'était que de
l'amuser et de se mettre en état de ne plus
U54.
491.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
55
512.
599.
610.
craindre Vitalien, 615 et616. Le papel'exhorte
à finir la réunion qu'il avait commencée, 617,
618. Il congédie les légats du pape avec igno-
minie ; le ttre où il marque au pape qu'il ne peut
souffrir ses commandements, 619. Sa mort,
621. Il fait déposer le patriarche Euphémius et
confirmer l'Hénotique de Zenon, 722. Il con-
voque un concile à Sidon où il prétend faire
condamner celui de Chalcédoine, 750. —
[Panégyrique de cet empereur par Procope
de Gaze, XI, 180.]
ANASTASE, dit ARTÉMIUS, proclamé em-
pereur d'Orient après la déposition de Phi-
lippique Bardane, XII, 23 et 36. Sa lettre au
pape Constantin, 23.1 est déposé et relégué
à Thessalonique, 37.
ANASTASE, abbé, dont le pape saint Gré-
goire parle dans ses Dialogues, XI, 474.
ANASTASE I (Saint), patriarche d'Antio-
che. Note sur ce saint, XI, 359, n. 5. Il se rend
odieux à l'empereur Justin qui le faitchasser
de son siège et fait mettre à sa place Gré-
goire, abbé du Mont-Sina; motifs de cette
disgrâce, 356. Après la mort de Grégoire, il
est rétabli à Antioche, 359. Diflférenles let-
tres que lui écrivit le pape saint Grégoire,
tant pour le consoler que pour le congratuler
sur son retour, 359 et 360. Autres lettres que
lui écrit ce pape, 480, 482, 510. Sa mort, 359.
L'empereur Maurice le charge de traduire en
grec le Pastoral de saint Grégoire, 360 et
528. Discours sur l'Annonciation de la sainte
Vierge; autre sur la Transfiguration du Sau-
veur, 360. Autre sur la Trinité, 360 et 361.
Autre sur Tincirconscrit, où il établit Tim-
mensilé de Dieu, 361. Autre sur l'Incarna-
tion, 361 et 362. Autre sur la Passion de
Jésus-Christ, 362. Autre sur la Résurrection,
362 et 363. Le discours sur les trois carêmes,
les réponses aux questions des orthodoxes,
et l'abrégé de la foi, sont trois ouvrages qui
ne peuvent être d'Anastase, patriarche d'An-
tioche, 363. Ouvrages d'Anastase qui sont
perdus ou qui n'ont pas encore été impri-
més, 363 et 364. [Son discours sur la paix,
594, n. l.J Éditions qu'on a faites des ouvra-
ges d'Anastase, 363, 364, 365; [et XI, 594,
n. 1.] Il doit être distingué d'Anastase sur-
nommé le Jeune et d'Anastase le Sinaïte, 594.
ANASTASE II (Saint), surnommé le Jeune,
patriarche d'Antioche , succède à Anastase
l'Ancien; il est tué parles Juifs dans une sé-
dition, et on l'honore comme martyr, XI, 594.
ANASTASE, médecin. On lui défend l'en-
trée d'un monastère de filles, XI, 499.
ANASTASE, prêtre de Jérusalem que le
pape saint Grégoire charge de réconcilier
son évêque avec le supérieur du monastère
de Néas, XI, 509.
ANASTASE (Saint), moine persan, mar-
tyr. Le vénérable Bède a corrigé la traduc-
tion de sa Vie ; celte traduction avait été faite
sur le grec, XII, 15. — [Prologue de Gré-
goire, clerc, sur la passion de ce moine, XIII,
602.] Ses actes retouchés par Adam de Paris;
on ne les connaît plus, 237. Sermon de
Pierre Damien sur le martyre de ce saint,
308.
ANASTASE le Sinaïte (Saint), prêtre et
moine du montSinaï. Estime qu'ont pour lui
les nouveaux Grecs; ses voyages; ce qu'on
peut conjecturer sur le temps ou il a vécu,
XI, 594. L'Hodègos, ou Guide du vrai che-
min est d'Anastase Sinaïte, 594 et 595. Ana-
lyse de cet ouvrage, 595 et suiv. Considéra-
tions anagogiques sur la création du monde,
autre ouvrage d'Anastase, 599. Ce qu'il con-
tient de remarquable, 600. Ses cent cinquante-
quatre questions ; éditions qu'on en a faites,
601. Analyse de ces questions, 602 et suiv.
Discours sur la sacrée synaxe, 604 et suiv.
Deux discours sur le psaume vi; autres écrits
attribués à Anastase Sinaïte, 608. [Discours
publiés par Bandini, 608, 609. Fragments di-
vers publiés par Mai ; édition complète de
ses œuvres dans la Patrologie, 609. Écrits
nouveaux, 610.] Livres perdus, 609, 610.
[Édition des écrits de saint Anastase Sinaïte
dans la Patrologie, 610.]
ANASTASE (Saint), disciple de saint
Maxime opposé au monothélisme. L'empe-
reur Constantin le fait enlever de Rome où
il était avec saint Maxime, 760. Ils sont ame-
nés à Constantinople, mis en prison ; ce qu'ils
souffrent pour la foi, 760 et 762. Sa mort,
762. Sa lettre aux moines de Sardaigne,772.
[Éditions de cette lettre, 772.]
ANASTASE (Saint), apocrisiaire de l'Église
romaine, opposé au monothélisme, est en-
levé avec saint Maxime et a part à tous les
mauvais traitements, qu'on lui fait souffrir,
XI, 761, 762. Sa mort, 762. Sa lettre à Théo-
dose, prêtre de Gangres, sur les souffrances
de saint Maxime et de ses compagnons; quoi-
qu'on lui eût coupé la main droite, il a écrit
plusieurs ouvrages ; il parlait distinctement,
quoiqu'on lui eût coupé la langue jusqu'à la
racine, 772.
ANASTASE, chanceher, à qui Cassiodore
écrit, XI, 219.
596,
VII siècle.
663.
655.
56
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
VI siècle.
IX siècle.
IX siècle.
853.
860.
870.
V. 886.
[ANASTASE, évêque d'EIeuthéropIe. Dis-
cours funèbre sur cet évêque par Choricius,
XI, 180.]
ANASTASE, que Canisius qualifie abbé du
monastère de Saint-Euthymius et qu'il dit
avoir vécu dans le viiP siècle, XII, 59. Diffi-
culté sur ce dernier point; il est plus vrai-
semblable qu'il a vécu au ix" siècle ; analyse
de son traité contre les Juifs, 60. [Le texte
grec publié par Maï est reproduit dans la Pa-
trologie, 61.] Erreur dont il est accusé, 80.
[On doit distinguer cet Anastase d'Anastase
le Sinaïte et d'Anastase, disciple de saint
Maxime, 61.]
ANASTASE (Saint), moine et martyr à
Cordoue, XII, 519.
ANASTASE, cardinal du titre de Saint-
Marcellin, antipape, déposé par Léon IV dans
un concile, XII, 409 et XIII, 685, 686.
ANASTASE, cardinal du titre de Saint-
Marcel, et bibliothécaire de l'Église romaine,
déposé par Adrien II dans un concile, XII
712, 713. Doit être distingué d'Anastase le
Bibliothécaire dont nous avons différents
écrits, 713.
ANASTASE LE BIBLIOTHÉCAIRE est dé-
puté par l'empereur Louis au huitième con-
cile général, XII, 712. Son attachement au
pape Nicolas I" ; il donne avis de sa mort à
Adon, archevêque de Vienne, et de l'élection
d'Adrien II, 587 et 713. Le pape Adrien II le
tire d'un monastère au delà du Tibre, dont
il était abbé , et le fait bibliothécaire de
l'ÉgUse romaine; il traduit en latin les actes
du huitième concile général, 713. 11 traduit
aussi les actes du septième concile; on lui at-
tribue encore la traduction des actes du
sixième, 713. Vies des saints, traduites par
Anastase, 713 et 714. Son histoire ecclésias-
tique ou chronographie tripartite ; sa collec-
tion de monuments pour l'histoire des Mono-
thélites, 714. Autre traduction de diflérentes
Vies de saints, 714 et 715. Sa lettre à Adon
de Vienne; autres à Hincmar de Reims ; tra-
duction d'un discours de saint Théodore Stu-
di te, 715 . Vies des papes, recueillies par Anas-
tase, 715 et suiv. Preuves de l'authenticité de
ces vies et qu'elles sont véritablement d'Anas-
tase, 715 et 716. [Ces Vies ne lui appartien-
nent pas, d'après les auteurs des Origines de
l'Église romaine, 715, n. 7.] Incertitude où
l'on est sur le temps de la mort d'Anastase ;
jugement sur ses écrits, 718. [Le cardinal
Maï a publié quelques-unes de ses traduc-
tions, 715. Les Œuvres d'Anastase le Biblio-
thécaire dans la Patrologie, 714, 715, 718.
— Sa lettre à Landuléus au sujet des reliques
de saint Etienne, IX, 328. — Il est chargé par
le pape Adrien II de prononcer l'excommu-
nication contre la ville de Naples, XII, 592.
[Le t. CVIII de la Patrologie grecque contient
en latin seulement l'Histoire ecclésiastique
tirée de Nicéphore, de Georges le Syncelle
et de Théophane.]
ANASTA SE (Saint), d'abord moine au mont
Saint-Michel, embrasse la vie monastique,
XTII,407, 408. Saint Hugues l'engage avenir
s'étabhr à Gluny; 'il est envoyé en Espagne
prêcher la fui aux musulmans; il se retire
dans les monts Pyrénées; sa mort; son traité
en forme de lettre sur l'Encharislie, 408.
Analyse de ce traité, 408 et 409. [Sa repro-
duction dans la Patrologie, 409. L'auteur n'a
jamais été disciple de Bérenger, 52.] —
Lettre que lui écrit saint Hugues, de Cluny;
époque de sa mort, XIV, 52. [Ses lettres
dans la Patrologie, 912.] (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. VIII,
p. 162 et suiv.)
ANASTASE, moine d'Angers. (On a de lui
une profession de foi. Voyez Dupin.)
ANASTASE, archevêque de Césarée en
Palestine. Son traité du jeûne que l'Église
grecque observait avant la fête de l'Assomp-
tion de la sainte Vierge, XIII, 571. [Le tome
CXXVIII de la Patrologie grecque contient sur
cet archevêque une notice tirée d'Oudin, le
traité du jeûne dont parle domCeillier, et on
renvoie à un autre volume pour l'Artzibu-
rius ou le jeûne contre la fausse religion des
Arméniens.]
ANASTASIE , église des catholiques de
Constantinople, V, 185, 186. Poëme de saint
Grégoire de Nazianze sur cette église, 272.
Poëmes de saint Grégoire de Nazianze sur les
maux de cette église, 306.
ANASTASIE, église des Novatiens à Cons-
tantinople, V, 186.
ANASTASIE (Sainte), vierge et martyre
dont les reliques furent rapportées à Cons-
tantinople, V, 186.
ANASTASIE, femme de Pompée. Son at-
tachement pour la foi catholique; sa lettre
au pape saint Hormidas, X, 490.
ANATHÉMATISMES proposés à Nestorius
par saint Cyrille d'Alexandrie, VIII, 286 et
suiv. Différents écrits de saint Cyrille pour la
défense de ces anathématismes,309 et suiv.
Écrit perdu, 324. Marius Mercator fait une
traduction latine des anathématismes do saint
431.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
57
Cyrille et de, ceux de Nestorius, en réfutanl
ces derniers, 505, 506. — Écrits de Tbéodo-
ret contre les douze anathématismes de saint
Cyrille, X, 99, 100. Livre de Gennade, pa-
triarche de Gonstantinople, contre ces ana-
thématismes ; fragment qui en reste, 345.
Anathématismes des moines de Scythie, X,
636.
ANÂTHÊME différent de l'excommunica-
tion, IV, 649. — Discours de saint Jean Chry-
sostôme contre Tanathême, VII, 52. — Lettre
de saint Augustin sur l'anathéme, IX, 188,
189. Doctrine de saint Augustin sur l'ana-
théme, 781, 782. — Traité de l'anathéme,
attribué au pape Gélase, X, 505, 506. —
Beprésentations de saint Pierre Damien au
pape Alexandre II sur l'abus de mettre l'ana-
théme à la fin de toutes les épîtres décré-
tales, XIII, 298, 299.
ANATOLE (Saint), évêque de Laodicée ; il
se trouve renfermé dans Alexandrie lors-
qu'elle est assiégée par les Romains; secours
qu'il y donne dans cette occasion ; il est or-
donné évéque et gouverne l'Église de Lao-
dicée avec Eusèbe; il succède à Eusèbe, II,
433. Écrits de saint Anatole, 433 et suiv. Son
canon pascal, 434. [Éditions de ce canon ou
cycle pascal, 435. J
ANATOLE , solitaire de Sinaï , écrit à
Évagre de Pont. Lettre d'Évagre en réponse
à Anatole, VI, 115.
ANATOLE, patrice, ami de Théodoret.
Lettres que lui écrit celui-ci au sujet de sa
disgrâce, X, 22, 24, 67, 68, 69, 72, 73. Après
son rétablissement, 74.
ANATOLE, préfet de la milice, fait faire
pour les reliques de l'apôtre saint Thomas
une châsse d'argent, X, 144. Il assiste au
concile de Chalcédoine, 683.
ANATOLE, ecclésiastique qui se rend ac.
cusateur d'ibas, X, 145.
ANATOLE, archevêque de Gonstantinople,
députe vers saint Léon, VIII, 472. — Se ré-
concilie avec ce saint pape, X, 218. Lettre
qu'il écrit au pape saint Léon après son élec-
tion ; réponse de saint Léon, 220. Autres let-
tres que lui écrit ce pape, 221, 222, 226,231,
233, 234, 235. Il dépose l'archidiacre Aétius
pour lui substituer André, 225. Il le rétablit
et dépose André, 231. Il fut ordonné évêque
de Gonstantinople après la mort de saint
Flavien, 680. Il tient un concile où il sous-
crit la lettre de saint Léon, 680, 681. Lettre
que lui adresse l'empereur Marcien pour la
tenue d'un concile général, 174 et 682. Il as-
siste au concile de Chalcédoine, 683 et suiv.
Il souscrit à la condamnation de Dioscore,
688. Sa mort, 344.
ANATOLE, diacre de Rome. Lettre que lui
écrit Ferrand, diacre de Garthage, contre
l'hérésie d'Eufychès, XI, 88. Autre lettre
qu'il lui écrit, ainsi qu'au diacre Pelage, sur
la condamnation des trois chapitres, 88 et
suiv.
ANATOLE, scholastique , propose cinq
questions à Éphrem d'Antioche. Réponses à
ces questions, XI, 173.
ANATOLE, nonce du pape saint Grégoire
.*i Gonstantinople. Lettre que lui écrit le pape
au sujet de Jean, évêque de la Première Jus-
tinienne, XI, 523.
ANATOLE, à qui Cassiodore écrit, XI,
219.
ANAXARQUE, philosophe. Sa constance,
V, 302,303.
ANAZARBE, ville de Cilicie. Concile qui
s'y tient contre saint Cyrille d'Alexandrie,
VUI, 602.
ANGHIALE (Michel), patriarche de Gons-
tantinople, Voyez Michel Anchiale.
ANGHIN, abbaye dans le Hainaut, fondée
par Anselme, comte de Ribemont, XIII,
512.
ANCHORAT, ouvrage de saint Epiphane
où sont recueillies les preuves des dogmes de
la foi, VI, 414.
ANCIEN TESTAMENT. Voyez Testament.
ANCYRE, métropole de Galatie. Concile
qui y fut tenu, II, 635 et suiv. [Comment
l'Église romaine lisait le canon neuvième du
concyle d'Ancyre, 638, n. 1.] — Marcel,
évêque de cette ville, IV, 314. Basile, évêque
de cette ville, 304. Lettre de saint Basile le
Grand à l'Église de cette ville sur la mort
d'Athanase, leur évêque, 432. Concile qui y
fut tenu par les Semi-Ariens, 550, 551, Con-
cile qui y fut tenu par les Ariens, 603, 604.
ANDIBÈRE. Lettre que lui écrivit Théodo-
ret pour lui recommander un ecclésiastique
qui lui était attaché, X, 74.
ANDOCHE (Saint), martyr, II, 473.
ANDRAGATHIUS (et non ADRA GATHIUS),
philosophe, maître de saint Jean Chrysos-
tôme, VU, 1.
ANDRÉ (Saint), apôtre. Faux Évangile qui
lui est attribué, I, 273, Faux actes de saint
André ; actes de saint André sous le nom des
prêtres et des diacres d'Achaïe, 276. [Le plus
grand nombre des érudits catholiques admet
l'authenticité des Actes de saint André, 277,
451.
4S8.
600.
Après 431.
XI siècle.
374.
314.
IV siècle.
IV siècle.
358.
375.
Il siècle.
IV siècle.
58
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
X siècle.
250.
V siècle.
n. 2 et 12. Voyez aussi XI, 383, n. 3.] — Us
sont reçus parles Priscillianistes, IV, 614. —
Saint Grégoire de Nazianze témoigne que
saint André a prêché dans l'Épire, V, 355.
Les Encratites se servaient des faux actes de
saint André, VI, 394. [Éloge de saint André
par saint Éphrem, 485;, 486.] Témoignage de
saint Épiphane sur saint André, 428. —
Éloge de saint André par saint Procle de
Constantinople, VIII, 413. — [Un sermon de
saint Augustin pour la fête de saint André,
IX, 836 et 841.] — Les Manichéens avaient
de prétendus actes de saint André, X, 207.
— Ce que dit saint Grégoire de Tours de son
tombeau, XI, 374. Livre des miracles de saint
André, ouvrage du même saint Grégoire,
383. Monastère fondé à Rome sous le nom
de saint André par saint Grégoire, depuis
pape, el dans lequel il embrasse la profes-
sion monastique, 432. — Saint Fortunat et
saint Grégoire croient que saint André prê-
cha l'évangile dans l'Achaïe, 406 et 553. Pa-
négyrique de saint André par le prêtre Hési-
chius, 656. — [Hymne du vénérable Bède
pour sa fête, XII, 4.] Vers en son honneur
attribués à André de Crète, 57. Témoignage
de Druthmar sur les rehques de saint André,
420, 421. — [Hymne pour la fête de saint
André, XIII, 23.] Sa Vie, écrite par Épiphane,
moine et prêtre de Jérusalem, 51. Discours
de Pierre Damien pour la fête de saint André,
309. — Sermon du vénérable Hildebert en
l'honneur de ce saint, XIV, 215. Sermons de
saint Bernard sur la vigile et la fête de ce
saint apôtre, 484. Sermon de Nicolas de
Clairvaux, 492 [et 736.J Homélie de Théo-
phanes Céraméus sur saint André, 654. Trois
sermons de Guillaume d'Auvergne pour la
fête de cet apôtre, 1026.
ANDRÉ (Saint) de Lampsaque, martyr, II,
118.
ANDRÉ, solitaire de Raïthe, échappé du
massacre de ses frères, contribue à leur don-
ner la sépulture, IV, 285.
ANDRÉ, évêque de Samosate. Ses écrits
contre saint Cyrille d'Alexandrie, VIll, 380.
Il se réconcilie avec saint Cyrille et Rab-
bula; lettres qui nous restent de lui; temps
de sa mort, 381. 11 est chargé de réfuter les
anathématismes de saintCyrille ; saint Cyrille
lui répond, 309, 310. Lettres que lui écrit
Alexandre d'Hiéraple, 376 et suiv. 11 va
en Mésopotamie pour se réconciher avec
Rabbula, 378 et 603. Sa lettre aux éco-
nomes de l'église d'Hiéraple 378. Retenu
par une maladie, il ne peut venir au con-
cile d'Éphèse, 580. Il se rend au concile de
Zeugma, 602. S'unit de communion avec 433.
saint Cyrille; se réunit avec Rabbula, 603.
— Ses écrits sont condamnés par Rabbula ;
il en écrit à Alexandre d'Hiéraple, X, 143.
ANDRÉ, moine de Constantinople à qui
Théodoret adresse une de ses lettres, X, 77.
ANDRÉ, ami d'Eutychès, est substitué à
Aétius, archidiacre de Constantinople, X,
225. Il est déposé; saint Léon permet de
l'ordonner prêtre, à condition qu'il aban-
donnera les erreurs de Nestorius et d'Euty-
chès, 23.
ANDRÉ, diacre, envoyé par un concile de
Constantinople vers Eutychès, X, 669. Rend
compte de sa commission, 670.
ANDRÉ, évêque de Thessalonique, rentre
dans la communion de l'Église romaine, X,
419. Il refuse de condamner nettement Acace;
lettre du pape Gélase à ce sujet, 494.
ANDRÉ, évêque de Tarente. Différentes 592.
plaintes portées contre lui au pape saint
Grégoire, XI, 493.
ANDRÉ, moine, falsifie une lettre d'Eu-
sèbe, évêque de Thessalonique, et compose eoo.
divers discours sous le nom du pape saint
Grégoire , XI, 527. Ce pape le condamne
dans un concile comme faussaire, 536 et 908.
ANDRÉ DE DAMAS, archevêque de Crète, ym 3,^,
Ce qu'on sait des circonstances de sa vie, XII,
57,58. Plusieurs discours et poésies qu'on lui
attribue, 58, 59. Tous ces écrits ne sont pas
de lui; on discute ceux qui lui appartien
nent; un commentaire sur l'Apolypse, qu'on
lui attribue , est d'André de Césarée , 59.
[Ses écrits dans la Patrologie, 59.]
ANDRÉ, évêque de Césarée en Cappadoce, y gjj
auteur d'un commentaire sur l'Apocalypse,
XI, 265 et XII, 426. [On ne doit pas le con-
fondre avec André de Damas, 57.] Discussion
sur le temps oîi il a vécu, 426 [et n. 1.] Juge-
ment sur ce commentaire ; éditions qui en
ont été faites; Thérapeutique, autre ouvrage
du même auteur, 426. [Le t. CVI de la Patro-
logie grecque contient, avec une notice tirée
d'Oudin, le commentaire de l'Apocalypse; il
est suivi des notes de Sylburge.]
[ANDRÉ DE BERGAME. Sa chronique, XII, jx 5,^
693. J
ANDRÉ, prêtre, auteur de deux chaînes ou
deux commentaires sur les Proverbesde Salo-
mon et sur le prophète Isaïe, vivait dans le ^^
xiir siècle, XII, 426.
[ANDRÉ (Le bienheureux) écrit la Vie xisièc
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
de saint Arialde, son maître, XIII, 289.]
ANDRÉ SALUS ou TINSENSÉ (Saint). Sa
Vie, écrite par Nicéphore, prêtre de l'Église
de Constantinople, XIII, 881. Analyse de
cette vie, 882.
ANDRÉ, évêque de Pérouse, obligé de se
désister des droits qu'il s'arrogeait sur le
monastère de Saint-Pierre-hors-des-Murs de
sa ville, XIII, 196.
ANDRÉ, moine de Fleury, a laissé quel-
ques écrits. (Voyez son article dans V Histoire
littéraire de la France, t. VII, p. 349 etsuiv.)
[ANDRÉ, roi de Hongrie. Sept constitu-
tions de ce prince, XIII, 413.]
ANDRÉ n, roi de Hongrie. Ses lettres au
pape Honorius III, XIII, S38.
ANDRÉ, abbé de Saint-Michel, près Bam-
berg, auteur d'une Vie de saint Otton, évo-
que de Bamberg, XIV, 180, 181.
ANDRÉ, évêque d'AIéria, dans l'île de
Corse; sa préface surlesŒvres deLactance,
II, 320.
[ANDRÉONI (Antoine). Sa traduction ita-
lienne de deux discours de saint Grégoire de
Nazianze, V, 362.]
ANDROMAQUE, sénateur. Traité du pape
saint Gélase contre Andromaque qui voulait
rétablir à Rome les Lupercales, X, 306,
S07.
ANDRONIG (Saint), martyr en Cilicie, III,
31 et suiv.
ANDRONIG, duc. Lettre que lui écrivit
saint Basile le Grand, IV, 430.
ANDRONIG, gouverneur de la Pentapole
Cyrénaïque, est excommunié par Synésius,
archevêque de Ptolémaïde, VIII, 25, 28.
ANDRONIG GAMATÈRE, parent de l'em-
pereur Manuel Comnène. Ses différents ou-
vrages, XIV, 630. Son traité de la procession
du Saint-Esprit contre les Latins, 630 et 631.
Réfuté par Jean Veccus, patriarche de Gons-
tantinople, 631.
ANDRONICIEN, auteur dont le siècle est
incertain. Il écrivit contre les Eunomiens,
IV, 410. — Idée que Photius donne de ses
deux livres contre les Eumoniens, XI, 433.
ANEAU (Barthélémy), luthérien, dont on
a une traduction en vers de la lettre de saint
Eucher de Lyon à Valérien, VIII, 433.
ANEGRAI dans les Vosges. Monastère
fondé par saint Golomban, XI, 613.
ANÉMIUS, évêque de Sirmium. Son élec-
tion; conciles où il assiste, V, 382.
ANGARDE, moine de Fontanelle. Voyez
Aigrade.
39
ANGÉLIQUES, hérétiques. Ce qui en est iv siècle,
dit par saint Épiphane, VI, 397. — Saint
Augustin en parle, IX, 736.
ANGELOMEj moine de Luxeuil. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie; sa mort, 855.
XI, 442. Son commentaire sur la Genèse, 442
et 443. Sur les quatre livres des Rois, 443.
Sur le Cantique des Cantiques, 443 et 444.
Sur les Évangiles; autres ouvrages qu'on lui
attribue; jugement sur le style d'Angelonne,
444. [Édition de ses écrits, 444.] Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. V, p. 133 et suiv.)
ANGELRAMNE (ou INGELRAM ou EN-
GUERRAN), évêque de Metz. Son éducation ;
il est fait abbé de Sénones ; après la mort de
saint Chrodegand, il devient évêque de Metz, veg.
et porte comme lui le titre d'archevêque ; at-
tachement que lui témoigne le roi Charles ;
il se sert de son crédit pour soumettre l'ab-
baye de Sénones à l'Église de Metz, XII, 132.
Sa mort; collections de canons qu'il rédigea 791.
dans un démêlé qu'il eut avec les évêques
des Gaules, 433. [11 en est le véritable au-
teur, 133, n. 3.] Il est le premier qui ait fait
usage des fausses décrétales, 133 et [n. 3.]
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire de
laFrance, t. IV, p. 173 et suiv.)
ANGERS, ville capitale de l'Anjou. Concile 453.
qui y fut tenu, X, 708 et suiv. — Formules
d'Angers ou d'Anjou, XII, 712.
ANGES. Dieu parle à Moïse par le minis-
tère des anges, I, 13, n. 3. Doctrine d'Her-
massurles anges, 331, 333, 333, 336, 337. Doc-
trine de saint Ignace, 386, 387. Doctrine de
Papias, 400. Doctrine de saint Justin, 439, 11 siècle.
440. Doctrine d'Athénagore, 482et483. Doc-
trine de saint Irénée, 521 et 326. Doctrine m siècle,
de Clément d'Alexandrie, 396. Doctrine de m siècle,
saint Hippolyte, 603. — Doctrine de Terlul- ni siècle,
lien, II, 71, 72, 74, 82. Doctrine d'Origène, m siècle.
[157], 220, 221, 222. Doctrine de saint Cy- m siècle,
prien, 331. [Doctrine de saint Denis d'Alexan-
drie, 418.] Doctrine de saint Grégoire Thau- m siècle,
maturge, 440. Doctrine de Lactance, 312. —
Doctrine de saint Méthode, évêque de Tyr, ly siècle.
III, 70. [Doctrine de Macaire Magnés, 134,
135.] Doctrine d'Eusèbe de Césarée sur les iv siècle,
bons anges, [238], 277, 278, 279. Culte su-
perstitieux des anges, canontrente-cinquième
du concile de Laodicée, 512. — Doctrine de iv siècle,
saint Hilaire de Poitiers, IV, 70. Doctrine de iv siècle,
saint Athanase, 223. Doctrine de saint Basile
le Grand, 375, 493, 514, 513, 316, 544et suiv. iv siècle.
— Doctrine de saint Cyrille de Jérusalem, V, iv siècle.
60
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
IV siècle.
IV siècle.
IV siècle.
IV siècle.
IV et
V siècle.
V siècle.
IV et
V siècle.
IV et
V siècle.
V siècle.
70. Doctrine de saint Philastre, 175. Doctrine
de saint Grégoire de Nazianze, 273, 278,
286, 302, 306, 321, 340, 341. Doctrine de
saint Ambroise, 546, 547. Doctrine de Di-
dyme l'Aveugle, 617 et [624, 627, 630.] —
Doctrine de saint Éphrem, VI, 10, 58. Doc-
trine de saint Grégoire de Nysse, 239. Doc-
trine de saint Jean Chrysostôme, 43, 84,152,
236, 259, 355, 379, 380. Homélie, ou dis-
cours sur les anges, faussement attribué à
saint Jean Chrysostôme, 260. Autre frag-
ment d'une homélie attribuée au même père,
259. — Doctrine de saint Jérôme, VII, 665.
— Doctrine de Synésius, VIII, 32. Doctrine
de saint Nil, solitaire deSinaï,226. —Doctrine
de saint Augustin, IX, 204, 205, 260, 305,
307, 309, 364, 522, 678, 734, 735. — Discours
où Théodoret fait le parallèle du culte que
les païens rendaient aux démons et de celui
que les chrétiens rendent aux anges ; il ex-
pose la doctrine des uns et des autres sur ces
créatures spirituelles, X, 93, 94. Doctrine de
Théodoret sur les anges, 27, 85, 86, 117, 118.
Doctrine de Basile de Séleucie, 164. Doc-
trine de Mammert Claudien, 353. Doc.
trine de Fauste de Riez, 349. Doctrine du
pape saint Gélase, 507. Ce qui est dit des
anges dans le livre de la Hiérarchie céleste,
attribué à saint Denis TAréopagite, 454. —
Doctrine de saint Fulgence, XI, 52, 64, 67.
Doctrine du moine Jobius, 183. Doctrine de
Cosme d'Egypte, 188. Doctrine d'Arétas de
Césarée, 265. [Doclrine de Licinien, 429.]
Doctrine de saint Grégoire le Grand, 444,
449, 564. Doctrine d'Anastase le Sinaïte sur
les anges, 600. Doctrine de saint Jean Cli-
maque, 688. Homélie de saint Sophrone de
Jérusalem en l'honneur des saints anges,
705. Doctrine de saint Gai, 736. Doctrine de
Jean de Thessalonique, 787. — Doctrine de
saint Jean Damascène, XII, 95. Sentiments
singuliers d' Ambroise Autpert sur les anges,
122, 123. Un capitulaire de Charlemagne
défend de leur donner aucun nom in-
connu, 240. [Ce que saint Théodoret Studite
ditdes anges, 311.] Discours de Michel, prêtre
de Jérusalem sur les saints anges, 362. Té-
moignage du pape Etienne V sur les anges,
635. Ce que dit Rathérius de Vérone sur les
anges, 827. Prose en l'honneur des anges,
attribuée à Gerbert, 994. — Histoire des an-
ges, attribuée àHermau Contracte, XllI, 184.
Discours de Jean Mauropus sur la synaxe des
saints auges, 230. [Dieu se sert-il des bons
et des mauvais anges pour punir les pé-
cheurs, question adressée à saint Pierre Da-
mien par Buccon : réponse du saint, 308.]
Pourquoi, selon Pierre Damien, on disait le
lundi la messe en l'honneur des anges, 318.
Sentiment de saint Bruno sur nos anges gar-
diens, 576. — Homélie de saint Otton, évè-
que de Bamberg sur les anges, XIV, 180.
Sentiment d'HildeberlduMans sur les anges,
219. [Habitations des anges, d'après Honoré
d'Autun, 300 ] Réponse de Hugues Métellus
à ces deux questions : 1° Pourquoi , dans
l'Écriture, les anges sont appelés animaux?
2° Pourquoi Dieu a racheté les hommes et
non les anges? 367. Doctrine de Robert de
Pullussurles anges, 393 et 396. Doctrine de
saint Bernard sur les anges, 465 et 486. Doc-
trine de Pierre Lombard sur les anges, 555,
556. [Un sermon de Nicolas, secrétaire de
saint Bernard, sur les anges, 736.]
ANGILBERT (Saint), abbé de Centule ou de
Saint-Riquier. Son origine; il épouse Berthe,
fille de Charlemagne; il devient primicier,
c'est-à-dire premier ministre de Pépin, roi
d'Italie; ses liaisons avec Alcuin; lettre qu'il
reçoit de lui, XII, 219. 11 quitte la cour et se
retire au monastère de Saint-Riquier oii il
embrasse la vie monastique, 219 et 220. II est
chargé de conduire à Rome Félix d'Urgel,
condamné au concile de Ralisbonne ; il de-
vient abbé de Centule ; ses autres voyages à
Rome; à quelles occasions; sa mort; son
poëme à Pépin, roi d'Italie; autre poëme à
la louange de saint Riquier et de saint Eloi ;
augmentations qu'il fait à son abbaye ; il écrit
lui-même tout ce qu'il avait fait pour l'avan.
tage et l'ornement de son monastère, 220.
Règlements ou statuts qu'il a donnés à cette
abbaye, 220 et 221. Il fut envoyé à Rome par
Charlemagne, 232. [Édition des écrits de saint
Angilbert dans la Patrologie , 221.] — Sa
Vie, écrite par Hariulfe, abbé d'Aldenbourg,
XIV, 234. Autre Vie du même, par Anscher,
moine de Saint-Riquier; le pape Pascal II le
met au nombre des saints; translation de son
corps, 235. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. IV, p. 414 et suiv.,
et le supplément à la tête du t. XI, ^.xiiij.)
ANGILBERT, abbé de Corbie. Deux pièces
de poésie de sa composition pour être jointes
au traité de la doctrine chrétienne de saint
Augustin, qu'il avait fait copier pour le roi
Louis, frère de Carloman; sa mort, XII, 702.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire de
la France, t. V, p. 648 et suiv.)
ANGILBERT H, archevêque deMilan, XIII,
790.
793.
794.
814.
890.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
61
680, n. i. [Écrits qui le concernent ; privilège
qu'il accorde, 680.]
r.465. ANGLETERRE. Concile d'Angleterre où
Ambroise Aurélien est élu roi des Bretons,
X, 617. — Saint Grégoire s'intéresse à la
conversion des Anglais; à quelle occasion,
XI, 430, 431. Il envoie des missionnaires en
leur pays; un grand nombre se convertit,
437, 438. Il achète déjeunes Anglais pour en
faire des missionnaires, 504. Il écrit à divers
évêques pour leur recommander les mission-
naires qu'il envoie en Angleterre, 306. Trois
lettres du pape Boniface V sur la conversion
des Anglais, 646. Le pape Honorius I envoie
des missionnaires en Angleterre, 647. —
Histoire ecclésiastique des Anglais, ouvrage
du vénérable Bède, Xll^ 5 et 6. Lettre de
I siècle, saint Boniface, archevêque de Mayence,
adressée à tout le clergé d'Angleterre, 49. —
Primatie d'Angleterre confirmée à l'arche-
vêque de Cantorbéry, XIII, 293. Concile tenu
en Angleterre vers 903, 740. Concile natio-
nal sous saint Dunstan, 757, 738. Assemblée
ou concile où se trouva le roi Edgar, 759.
— Livre de Florent Bravon, de la race royale
des Anglais, ou généalogie des rois d'Angle-
terre, XIV, 243, Histoire des rois d'Angle-
siècie. terre, par Guillaume de Malmesbury, 311
et suiv. Supplément à cette histoire sous le
titre d'Histoires nouvelles; les Gestes des
évêques d'Angleterre, par le même, 313.
Histoire des Anglais, écrite par Henri Hung-
tington, 315. Histoire des rois d'Angleterre
et de Danemark, par Siméon de Durham,
316, 317. Continuée par Jean d'Hagustad,
317. Concile dont on ignore le lieu, 1133.
(Les autres conciles d'Angleterre, dont le lieu
est connu, se trouvent indiqués sous le nom
du lieu où ils ont été tenus.)
ANGOULÊME, autrefois ville capitale de
l'Angoumois, chef-lieu du département des
deux Charentes. Chronique d'Angoulême,
écrite par un auteur de la fin du x' siècle,
XII, 892. — L'histoire des évêques d'Angou-
lême n'est qu'une compilation de divers écri-
vains ; l'auteur n'est pas Adhémar, mais un
chanoine d'Angoulême qui vivait dans le
xn' siècle, XllI, 105. — Concile tenu en cette
ville, XIV, 1091.
ANHAM en Angleterre. Concile tenu en
cette ville, XIV, 1033, 1036.
,gj ANIANE en Languedoc. Fondation de ce
monastère par saint Benoît , surnommé
d'Aniane, XII, 257. Lettre de saint Benoît
aux religieux d'Aniane, 260.
ANICET (Saint). Comment il reçoit saint ii siècle.
Polycarpe,I, 393: — Prétendu concile tenu à
Rome sous ce pape, II, 537. Saint Anicet re-
çoit avec respect soint Polycarpe sans con-
venir de lui avec la pâque, 340. — Décrétale
qui lui est faussement attribuée, VI, 82.
ANICIUS BASSUS, consul, accusé fausse- 431.
ment d'avoir agi contre Sixte III , VllI ,
236.
ANIEN, chancelier d'Alaric, roi des Visi-
goths en Espagne, publie le code Théodo-
sien, X, 736.
ANIEN (ou ANNIEN) le Pélagien. Voyez
Annien.
ANIMAUX purs et impurs. Distinction
connue de Noé et prescrite aux Juifs par la
loi de Moïse, I, 33. — Recueil des propriétés
des animaux, ouvrage de saint Épiphane, VI,
420. — Animaux dont le pape Zacharie in- vili siècle,
terdit aux chrétiens d'Allemagne de manger
la chair, Xll, 27. [Voyez la note 3.] Animal
singulier qui avait deux têtes, 194. — AnL
maux mentionnés dans la Sainte Écriture,
traité sur ce sujet, attribué à Hugues de
Saint-Viclor, XIV, 353. Animaux suffoqués.
Voyez Sang des animauv.
ANION, comte, voulait construire un ora- gQi_
toiie dans son château. Ce que prescrit le
pape saint Grégoire, XI, 528.
ANJOU. Diverses chroniques d'Anjou, XIII,
327, 328.
[ANMERKR et ROSSLER. Leur traduction
allemande de quelques extraits d'Eusèbe de
Césarée dans leur Bibliothèque des Pères,
III, 313.J
ANNALES des rois de France écrites par
Éginard, XII, 354.
ANNALES DE FRANCE composées par
saint Prudence, évêque de Troyes. Ce qu'en
dit Hincmar ; elles paraissent être, au moins
en partie, les mêmes que les Annales de Saint-
Berlin, XII, 499. [Voyez la note 4.]
ANNALES DE SAINT-BERTIN. Elles ne jx siècle,
portent ce titre que parce qu'elles ont été
trouvées dans l'abbaye de Saint-Bertin, mais
elles ont été composées en France; en com-
bien de parties elles sont divisées; idées des
trois premières parties; la quatrième partie
est de saint Prudence, évêque de Troyes, XII,
690. La cinquième partie, attribuée à Hinc-
mar de Reims, n'est certainement pas de cet
archevêque, 690 et 691. [Editions qu'on a
faites des Annales de Saint-Bertin, 691, 692.
(Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. V, p. 594 et suiv., et le
62
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
supplément à la tête du tome XI, p. xxj.)
IX siècle. ANNALES DE FULDE. Idée de ces An-
nales; l'auteur paraît avoir été moine de
Fulde. XII, 692. (Voyez ce qui en est dit dans
VHistoi7^e littéraire de la France, t. V, p. 597
et suiv., et le supplément à la tête du t. XI,
p. xxj ei suiv.)
IX siècle. ANNALES DE METZ. Notice de ces An-
nales, XII, 692, 693. (Voyez ce qui en est dit
dans VHistoiî'e littéraire de la France, t. V,
p. 599 et suiv., et le supplément à la tête du
t. XI, p. xxij.)
IX siècle. ANNALES. Différentes Annales composées
dans le ix" siècle, XII, 693.
[ANNALES du ix= siècle dans la Patrologie ;
Annales des anciens Francs, XII, 693.]
ANNALES DE SAINT- WAAST. (Voyez ce
qui en est dit dans l'avertissement qui est à
la télé du t. XI de l'Histoire littéraire de la
France, p. xxij et suiv.)
ANNALES DE SIMÉON LOGOTHÈTE, XII,
798,799. Cet auteur paraît être Simon Méta-
phraste, 817, 818.
[ANNALES DE FLEURY. Leur édition dans
la Patrologie, XIII, 35.]
X siacie. ANNALES D'EUTYCHIUS, patriarche d'A-
lexandrie, XIII, 45, 46.
[ANNALES D'HILDESHEIM, XIII, 66.]
ANNALES DE WISEMBOURG, XIII, 66.
ANNALES DE CHARLEMAGNE par un
auteur anonyme, XIII, 184.
[ANNALES DE SAINT-EMMÉRAN de Ra-
tisbonne, XIII, 187.]
ANNALES DE SAINT-VITE, XUI, 259.
ANNALES D'HÉPIDANN, moine de Saint-
Gai, XIII, 323.
ANNALES DE ZONARE. Estime qu'on en
doit faire ; division de ces Annales, XIV, 136.
Éditions qu'on en a faites, 156 et 157.
[ANNALES DE BAMBERG, XIV, 182.]
ANNALES DE MICHEL GLYCAS, XIV,
642.
[ANNALES DE NICÉTAS C HENIATE, XIV,
1176. Éditions de ces annales; leur impor-
tance, 1176.]
ANNATES. Leur origine, XI, 259.
387. ANNE, mère de Samuel. Sujet de cinq ho-
mélies de saint Jean Chrysostôme, VII, 168
et suiv.
ANNE (Sainte), mère de la sainte Vierge.
Tradition ancienne sur sainte Anne, rappor-
tée par saint Épiphane, 433. — Vers en son
honneur sous le nom d'André de Crète, XII,
SB. Il parle de sainte Anne dans son discours
sur la Nativité de la sainte Vierge, 59. [Pères
qui ont parlé des parents de la sainte Vierge,
39, n. 2. Discours de Pierre d'Argos sur
sa conception, 624.] Discours de Cosme, pro-
tovestiaire, en l'honneur de sainte Anne,
795.
ANNE, la prophétesse. Ce qu'en dit saint
Augustin, IX, 617. — On a, sous le nom de
Méthodius, un discours sur le vieillard Siméon
et la prophétesse Anne, III, 67 et XII, 442.
ANNE, reine de France, épouse Henri P.
Lettre que lui écrivit saint Pierre Damien au
nom du pape Nicolas II, XIII, 247 et 306.
ANNE DALASSÈNE, mère de l'empereur
Alexis Çomnène, XIV, 139 et 143. Son éloge,
142, 143.
ANNE COMNÈNE, fille de l'empereur
Alexis Comnène. Sa naissance; elle fait de
grands progrès dans les sciences; elle est
fiancée avec Constantin Ducas; son mariage
avec Nicéphore de Brienne; sa mort; son
Alexiade, ou histoire de l'empereur Alexis
Comnène, son père, XIV, 146. A quelle occa-
sion elle la composa, 146 et 147. Ce qu'elle
contient; éditions qu'on en a faites, 147. [L'é-
dition Possin est reproduite au tome CXXXI
de la Patrologie grecque.]
ANNEAU donné aux filles qui se consa-
crent à Dieu, XIV, 288. Les abbés, au
xu° siècle, ne portaient l'anneau que par pri-
vilège du saint-siége, 535.
ANNEAU, ou dialogue d'un chrétien et
d'un juif, ouvrage de Rupert, abbé de Tuy,
XIV, 288.
ANNÉE NOUVELLE. Sujet d'une homélie
attribuée à saint Jean Chrysostôme ou à Sé-
vérien, évêque de Gabales, VU, 257. Homé-
lie sur l'indication de la nouvelle année,
faussement attribuée à saint Jean Chrysos-
tôme, 258, 259. Dans l'Orient, on commen-
çait l'année au mois de septembre, 52 et 261.
— La lettre que le vénérable Bède avait
écrite sur les années bissextiles est perdue,
XII, 13. — Année de l'Incarnation disculée
par Hériger, abbé de Lobes, dans sa lettre à
Hugues, XIII, 57. Poëme de Fulbert de Char,
très sur l'année et ses divisions, 88.
ANNÉES DE PROBATION au nombre de
trois, pour être admis dans les monastères,
ordonnées par les Novelles de Justinien et le
pape saint Grégoire, XI, 510.
ANNIEN LE PÉLAGIEN. On lui attribue
la version lati ne des sept panégyriques de saint
Paul composés par saint Jean Chrysostôme,
VII, 86. On lui attribue aussi la version des
vingt-six premières homélies du même Père
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
63
sur saint Matthieu, 212. Livre qu'il avait
écrit, 633. Il assiste au concile de Diospolis,
4i2. — Pièces qui le concernent, IX, 339.
ANNIE N, moine égyptien. Ses écrits,
VIII, M.
ANNIUS, auteur d'une version latine de
onze lettres de Synésius, VIII, 33.
[ANNIVERSAIRE. Acte de fondation de
l'anniversaire de saint Guillaume, abbé de
Saint-Thomas-du-Paraclet, XIV, 843.]
I siècle. ANNON (ou HANNON) (Saint), archevêque
de Cologne, assemble un concile à Osboren,
Saxe, où Cadaloûs est déposé, et l'élection
d'Alexandre II confirmée ; Cadaloûs faisant
de nouveaux mouvements, Annon passe en
Italie où il fait tenir le concile de Mantoue
qui réitère la déposition de Cadaloûs et la
confirmation de l'élection d'Alexandre II,
XIII, 283. Privilège que ce pape lui accorde
pour l'abbaye de Sigeberg qu'il avait fondée,
290. Lettre que lui écrit saint Pierre Damien,
301. Temps de sa mort, 466. [Ce qu'on sait
des circonstances de sa vie, 333, 334. Sa Vie,
par un anonyme ; deux privilèges qui restent
de cet archevêque, 334.]
ANNONCIATION DE ZACHARIE. Homélie
de Moïse Bar-Cépha pour cette fête, XIII, 50.
— [Sermon d'Alain de Lille sur l'Annoncia-
tion, XIV, 870.] (C'est la fête qui a été aussi
nommée Conception de saint Jean- Bap-
tiste.)
ANNOxNCIATION DE LA SAINTE VIERGE.
Discours sur ce sujet, faussement attribué à
saint Jean Cbrysostôme, VII, 287. Sujet d'un
opuscule attribué à saint Jean Cbrysostôme,
333. — [Sermon de saint Augustin sur l'An-
nonciation, démontré authentique, IX, 245.
Le même sermon de saint Augustin sur l'An-
nonciation, 836. — Sermon de saint Pierre
Chrysologue sur l'Annonciation, X, 11. Dis-
cours de Basile de Séleucie sur l'Annoncia-
tion, 166. [Sermon de saint Léon le Grand sur
ce sujet, 276.] — Discours d'Anastase, pa-
triarche d'Antioche, sur l'Annonciation, XI,
360. [Discours sur ce sujet par saint Sophrone
de Jérusalem, 706, 707. — Discours sur
l'Annonciation par saint Germain, patriarche
de Constantinople, XII, 43.] Discours sur
l'Annonciation, attribué à André de Crète,
57. Prose sur le même sujet qui lui est aussi
attribuée, 58. Vers pour la fête de l'Annon-
ciation, attribués à saint Jean Damascène,
83. Deux homélies de ce saint sur ce mys-
tère, 86. Le dixième concile de Tolède fixe
la fête de l'Annonciation au 18 décembre,
656.
934. — Homélie de' Moïse Bar-Cépha pour Xsiècie.
l'Annonciation, XIII, 50. Office pour cette
fête, attribué à HermanContracte, 184.0n pro-
pose de célébrer cette fête hors du carême et v. looi.
le 8, ou plutôt 18 décembre ; l'ancien usage
qui l'avait fixée au 25 mars prévaut, 765. —
Sermond'Yves de Cliartres pour l'Annoncia-
tion, XIV, 122. Sermon du vénérable Hilde-
bert sur l'Annonciation, 215. Poëme deMar-
bode, 228. Sermon d'Abailard, 331. Trois
sermons de saint Bernard, 484. Sept sermons
de Pierre de Celle sur l'Annonciation, 681.
Sermon d'Arnould de Lisieux, 753, 734; de
Guillaume d'Auvergne, 1027.
ANNONIUS, évêque de Sébennyte, quitte
le parti de Dioscore ; ordonne saint Protère,
X, 230.
ANOMÉENS, sorte d'Ariens ; ils reçoivent 358.
la seconde formule de Sirmium, IV, 330.
Concile d'Ancyre assemblé contre eux; ils y
sont condamnés, 350 et suiv. Ils signent les
décrets de ce concile, 552. Ils persuadent aux
députés du concile de Séleucie de recevoir 35g.
la formule de Rimini , 573 , 374. Homélie
vingt-quatrième de saint Basile le Grand iv siècle,
contre les Anoméens, 390 et suiv. — Leurs
erreurs réfutées par saint Grégoire de Nysse, jy siècle.
VI, 129. Ce que saint Épiphane dit de cette 386.
secte, 408, 409. — Homélies de saint Jean
Cbrysostôme contre les Anoméens, VII, 41 et
suiv. Objections des Anoméens, 43, 44. Suite
des homéhes contre les Anoméens, 44 et 394.
suiv. Erreurs des Anoméens réfutées par les
homélies de saint Jean Cbrysostôme sur
l'Évangile selon saint Jean, 233 et suiv. Ré-
ponses aux objections que ces hérétiques
tiraient de cet évangile, 254 et suiv. Autres
fragments de ce Père contre les Anoméens,
voyez Acaciens.
ANOMODE (ou ANOMOTE), auteur d'un ix siècle,
recueil de formules, XII, 712.
[ANON, auteur d'une petite chronique re- xii siècle,
lative aux conquêtes des Normands, XIII,
511, n. 3.]
[ANONYMES. Traité d'un anonyme sur les
solennités, les sabbats et les néoménies, I,
540, 541. Fragment d'un anonyme qu'on croit
être Caïus, 562. — Anonyme qui écrit vers
334 une nécrologie et un calendrier, IV, 323.
— Scholies de deux anonymes sur les dis-
cours de saint Grégoire de Nazianze ; com-
mentaire d'un autre anonyme sur deux dis-
cours du même, V, 247. Paraphrases d'un
anonyme sur le poëme du même sur les livres
canoniques, 362. Anonyme qui cite le corn-
64
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
mentaire de Didyme sur les Psaumes, 620.
— Quatre fragments historiques d'un ano-
nyme du vi" siècle, XI, 201. Anonyme qui a
écrit contre les Manicliéens, 342. Anonyme
qui écrit un sermon sur les dix vierges; ano-
nyme qui a composé une règle ; autre ano-
nyme, 739. — Anonymes des Yin° et IX' siècles
édités dans la Patrologie, XII, 150, ISl, 152,
153, 477, 704. — Anonymes du x= siècle,
XIII, 34, 35, 61, 62. Anonymes du xi» siècle,
77, 117, 259, 347. Anonymes du xii' siècle,
498, 511 , n. 3, 526, n. 3, 540, 602 ; XIV, 174,
192, 667, 668, 836, 908 et suiv., 1177. Le
t. CV de la Patrologie grecque contient la Vie
de saint Nicolas Studite par un anonyme qui
écrivit vers l'an 890. Plusieurs anonymes sur
la liturgie et la morale sont au t. CVI. Les
t. CVIII, CIX en contiennent aussi. Un ano-
nyme de l'an 929 a fait une chronique des
papes qui est reproduite au t. CXI; un autre
anonyme de l'an 950 a écrit la Vie de saint
Lucie Jeune ; on y trouve indiquée, sous l'an
951, la Vie de saint Clément, évêque des Bul-
gares, par un anonyme; elle est reproduite
dans le t. CXXVl. — Vers politiques alpha-
bétiques d'une âme souffrante, au t. CXVIII.
— Vie de saint Nil le Jeune, abbéede Crypta-
Ferrala dans le ïusculum, précédée d'un
commentaije sur les lieux et une chronolo-
gie, par un contemporain, au t. CXX. — An-
tiquités de Gonstantinople en vers et eu
quatre parties, par un anonyme. Autre ano-
nyme qui a fait le Testament de Salomon,
t. CXXII. Le tome CXXXIII renferme plu-
sieurs anonymes du xii" siècle.]
ANSBERT (Saint), archevêque de Rouen,
quitte la cour pour se retirer à l'abbaye de
Fontenelle dont il est fait abbé ; il succède à
V. 684. saint Ouen dans l'évêché de Rouen ; sur une
fausse accusation, il est relégué dans le mo-
nastère d'Aumon en Hainaut; il y compose
divers traités de piété ; nous ne les avons
point, XI, 811. Sa Vie, par Aigrade, 811 et
IJ39. XII, 21. — Deux sermons qu'on lui attribue
sans fondement, XI, 811. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. III,
p. 646 et suiv.)
8,g_ ANSBERT (ou ANSPERT), archevêque de
Milan. Différentes lettres que lui écrit le pape
Jean VIII, XII, 643, 645, 648. Il est excom-
ggi_ munie, 646. Se réconcilie avec le pape, 648.
[L'impératrice Engelberge intercède pour lui,
646. Il est déposé dans un autre concile, 722.]
ANSCAlRE(ouANSCHAlREou ANSGARE),
gQl_ archevêque de Hambourg. Sa naissance, son
éducation ; il est envoyé en Danemark pour
y prêcher la foi; il passe en Suède où il fait
plusieurs conversions; il est ordonné pre-
mier archevêque de Hambourg; son voyage
à Rome; le pape Grégoire IV confirme l'érec-
tion du siège de Hambourg et déclare saint
Anschaire son légat dans les pays du nord,
XII, 524. Hambourg ayant été incendié, le
diocèse en est uni à celui de Bremen (ou
Brèmes) et saint Anschaire va s'établir dans
cette dernière ville, 525. Sa mort, 525 et 698.
Saint Rembert lui succède, 698. Sa Vie, écrite
par saint Rembert, son disciple, 525 et 698.
Autre Vie de saint Anschaire, composée en
vers par Gualdon, moine de l'ancienne Cor-
bie, 698. [Son biographe le plus remarqua-
ble, 525, n. 2.] Ses écrits; sa lettre aux évê-
ques pour recommander sa mission à leurs
prières, 525 et 526. Vie de saint Villehad,
premier évêque de Bremen ; sentences choi-
sies de l'Ecriture et des Pèressur toutes sortes
de sujets de piété; [édition des écrits de saint
Anscaire dans la Patrologie, 526. Lettre que
le pape Sergius II écrit à saint Anscaire, 406.]
— [Sa Vie en vers, attribuée à Gualdon >
moine de l'ancienne Corbie, XIII, 325.] — Il
convertit les Danois et devient successive-
ment archevêque de Hambourg et de Brème,
XIV, 202. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. V, p. 277 et suiv.]
ANSCAIRE (ou ANSCHAIRE), sous-diacre
de l'Église de Langres, se fait éhre évêque
par un parti; il renonce à l'évêché et recon-
naît Isaac, XII, 637. Il est accusé au concile
de Savonières d'être parvenu à Fépiscopat
par des voies illégitimes, 637 et XIII, 690.
ANSCHER, abbé de Saint-Riquier, succède
à Gervin ; il compose la Vie de saint Angil-
bert; élégie d'Hariulfeen son honneur, XIV,
235. (Voyez son article dans l'Histoire litté.
raire de la France, t. XI, p. 611 et suiv.)
ANSE, abbé de Lobes. Voyez Anson.
ANSE, Ville du Lyonnais. Conciles qui y
furent tenus, XIV, 1041 et 1077.
ANSÉGISE, abbé de Fontenelle. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie, XII, 332. Sa
collection des capitulaires de Charlemagne
et de Louis le Débonnaire, 226 et 332. Son
Testament et autres ouvrages qui lui sont at-
tribués, 333. [Ses capitulaires dans la Patro-
logie; sa Vie et sa constitution dans la Pa/^'o-
logie, 333.] (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. IV, p. 59 et suiv.)
ANSÉGISE, archevêque de Sens. Le pape
Jean VIII le déclare son vicaire dans les
826.
865.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
65
Gaules, XII, 681. Hincmar de Reims s'y op-
pose, et compose, à cette occasion, son traité
sur le droit des métropolitains, 681 et 682.
L'empereur Charles le Chauve entreprend de
le faire reconnaître, au concile de Pontion,
primat des Gaules et de Germanie ; — oppo-
sition qu'il y éprouve, XIII, 718, 719. [Voyez
718, n. 2.]
ANSEL, écolâtre de Fleury. On a de lui le
récit d'une vision, XIII, 77. [Éditions de cet
écrit, 77.] (Voyez dans l'Histoire littéraire de
la France, t. VI. p. 233, et à la tête du t. X,
p. Ivii)',)
[ANSEL publie avec Mittarelli quelques
monuments anciens de Liturgie, XIII, 23.]
ANSELME II, archevêque de Milan. Le pape
Jean VIII confirme les privilèges de son
Église, XII, 649.
ANSELME m, archevêque de Milan, réta-
bli dans son siège par Urbain II, XIII, 420.
— 11 meurt à Constantinople, XIV, 1077.
ANSELME,moine de Saint-Remi de Reims,
écrit sous le nom d'Itinéraire du pape saiut
Léon ]X l'histoire de la dédicace de l'église
bâtie par l'abbé Hérimar et la relation du
voyage de Léou IX, XIII, 213. [Editions de
cet ouvrage, 213, 214. Jugement qu'on a
porté de cet écrit, 214.] (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. VII,
p. 477 et suiv.)
ANSELME, doyen de l'église de Liège et
non de Namur. Ce qu'on sait des circons-
tances de sa vie ; il accompagne à Rome l'é-
véque Théoduin ; il détermine l'élection de
Thierri à l'abbaye de Saint-Hubert; son His-
toire des évêques de Liège, XIII, 231. [Édi-
tions de cette histoire, 36, 231, 232.] (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. VII, p. 472 et suiv.)
ANSELME I", évêque de Lucques, est en-
voyé à Milan avec saint Pierre Damien pour y
remédier à la simonie et à l'incontinence des
clercs, XIII, 244. Relation de cette légation
par saint Pierre Damien, 311. Anselme, élu
pape pour succéder à Nicolas II, prend le
nom d'Alexandre II, 283. Voyez Alexan-
dre II.
ANSELME II (Saint), évêque de Lucques,
très attaché au pape saint Grégoire VII ; il suc-
cède au pape Alexandre II dans l'évêché de
Lucques ; il refuse d'en recevoir l'investiture
de l'empereur Henri IV ; le pape saint Gré-
goire Vil l'oblige de recevoir cette investi-
ture, puis il lui confirme l'ordination; An-
selme, en ayant du scrupule, se fait moine
TAB. I.
à Cluny; saint Grégoire l'oblige à revenir à
son évêcfaé ; son différend avec les chanoines i079.
de sa cathédrale, qu'il voulait obliger à la vie
commune; l'empereur Henri le chasse de
Lucques; il se retire auprès de la comtesse
Mathilde dont il était le directeur, XIII, 391.
Saint Grégoire VII le fait son légat dans
toute la Lombardie ; sa vie èdifianle ; [por- lose.
trait de saint Anselme tracé par le proles-
tant Voigt, 392] ; sa mort; sa Vie, écrite par
Bardus, son pénitencier, 392. Ses écrits :
Apologie du pape saint Grégoire VII, 392 et
suiv. Traité des biens de l'Église, 394. Ses
autres écrits, 394 et suiv. Sa Collection de
canons, 394, n. 6. [Titres des trente livres
de sa Collection de canons, d'après Maï, 396,
397. Autres écrits de saint Anselme et écrits
qui le concernent, 397.]
ANSELME, seigneur du diocèse d'Arras xi siècle,
qui vexait les moines de Saint-Amand. Lettre
que Radbod, évêque de Noyon, écrit à son
sujet à Lambert, évêque d'Arras, XIII, 490.
ANSELME, comte de Ribemont, emploie
une partie de ses biens à fonder différentes
abbayes; il prend parti dans la première
croisade où il est le premier après Godefroy
de Bouillon ; il est tué au siège du château ^f^
d'Arschots; sa relation de la prise de Nicée
est perdue, XIII, 312. Dom d'Achery a pu-
blié sa relation de la prise d'Antioche et des
circonstances qui l'accompagnèrent; ana-
lyse de cette relation, 312 et 313. Charte de
la fondation du monastère de Ribemont,
écrite de la main d'Anselme ; Fabricius lui
attribue par inadvertance une description de
la Terre-Sainte, qui est d'un frère mineur du
xvi° siècle, 313. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France,t. VIII, p. 496
et suiv.)
ANSELME (Saint), archevêque de Cantor- y_ 4534
béry. [Auteurs à consulter sur saint Anselme,
XIV, 1 . ] Sa naissance ; son éducation ; il passe
en Normandie et se met sous la discipline de
Lanfranc qui enseignait à l'abbaye du Bec ;
il prend l'habit monastique dans cette ab-
baye, 1, II en est fait prieur ; célébrité qu'ac- ^ ^^^
quiert l'école de ce monastère sous son gou-
vernement, 1 et 2, Il est unanimement élu ij^g^
abbé du Bec après la mort d'Herlouin ; son
premier voyage en Angleterre ; second
voyage qu'il fait en ce royaume ; à quelle ^^gj
occasion, 2. 11 est fait archevêque de Cantor- 4093.
béry, 2 et 3. Sa conduite dans l'épiscopat ;
le roi Guillaume le Roux s'indispose contre
lui; à quelle occasion; il veut quitter son
5
66
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
Autres lettres de saint Anselme, 37,
1097.
1098.
il 00.
H02.
1103.
1107.
1109.
archevêché; Hugues, archevêque de Lyon,
l'en dissuade^ 3. L'indisposition du roi con-
tinue, 3 et 4. II feint de lui rendre ses bon-
nes grâces; Anselme passe à Rome, 4. Ses
entrevues avec le pape Urbain II; il assiste
au concile de Bari, 4 et 5. Il ne peut obtenir
justice du pape; il part de Rome et revient
en Angleterre; il tient un concile à Lon-
dres, 5. Il se brouille avec le roi Henri I" au
sujet des investitures; son second voyage à
Rome, 6. Il sort de Rome; son séjour en
France, 7. Par l'entremise de la comtesse de
Blois, il se réconcilie avec le roi d'Angle-
terre, 7 et 8. Son retour en Angleterre ; as-
semblée à Londres où le roi renonce à l'in-
vestiture et se contente de l'hommage; sa
difficulté avec l'archevêque d'York; sa mort,
8. L'Église le met au nombre des saints et
des docteurs, 9. [Son éloge, 9.] Ses écrits, 9
et suiv. Monologue, 9. Prologue, 9 et 10.
Réponse à Gaunilon, 10. Livre de la Trinité
contre Roscelin, 10 et 11. Traité de la Tri-
nité et de l'Incarnation, 11, 12. Traité de la
procession du Saint-Esprit, 12, 13. Livre de
la chute du diable, 13, 14. Les deux hvres :
Pourquoi Dieu s'est fait homme? 14. Analyse
de ce traité divisé en deux livres, 14, 15.
Traité de la conception virginale et du pé-
ché originel, 13. Analyse de ce traité, IS et
16. Traité de la vérité, 16. Traité de la vo-
lonté, 16, 17. Traité du libre arbitre, 17.
Traité sur la concorde de la prescience, de
la prédestination et de la grâce avec la li-
berté de l'homme, 17, 18. Traité du pain
azyme et du pain fermenté, 18. Lettres de
Valeranne à saint Anselme, et de saint An-
selme à Valeranne, 18 et 19. Traité des
Clercs concubinaires, 19. Traité des Maria-
ges entre parents, 19 et 20. Traité du Gram-
mairien; livre de la Volonté de Dieu; Homé-
lies de saint Anselme ; Exhortation au mépris
des choses temporelles, 20. Avertissement à
un moribond, 20 et 21. Lepoëme du Mépris
du monde n'est point de saint Anselme,
mais de Roger de Caen, 21. Méditations de
saint Anselme, 21 et suiv. Ses Oraisons, 22.
Preuves qu'elles sont de lui, 23. Hymnes en
l'honneur de la Vierge; son Psautier, 23 et
24. Lettres de saint Anselme, 23 et suiv.
Livre premier, 23, 26. Livre second, 27, 28.
Livre troisième, 28 et suiv. Livre quatrième,
31 et suiv. Lettre sur l'Eucharistie, 33. Traité
de la Paix et de la Concorde, 33 et 34. Ou-
vrages qui ne sont pas certainement de saint
Anselme ou qu'on lui a attribués, 34 et suiv.
38.
Oraison sur la Passion; traité ascétique ; au-
tres lettres de saint Anselme, 38. Doctrine
de saint Anselme sur l'Écriture sainte, 38, 39.
Sur le péché originel ; sur l'Incarnation, 39.
Sur la volonté de Dieu de sauver tous les
hommes, 39 et 40. Sur l'Eucharistie; sur la
confession; sur l'excommunication, 40. Sur
les clercs, 40 et 41. Sur les évêques; sur le
pape; sur l'ÉgUse, 41. Sur la consécration
des églises, 41 et 42. Jugement des écritsde
saint Anselme, 42. Editions particulières
qu'on en a faites, 42 et 43. Éditions géné-
rales, 43. [Éditions et traductions nouvelles,
43, 44.] Théologie de saint Anselme, 44. Sa
Vie, écrite par Eadmer, son disciple, 43. —
Incertain dans le choix d'un état, il est dé-
terminé à se faire moine par Maurille, ar-
chevêque de Rouen ; le même prélat l'oblige
à rester prieur du Bec, XUI, 268. [Lettre de
Wallram à saint Anselme sur la variété des
cérémonies, 493.] Lettres_de Hugues, arche-
vêque de Lyon, qui lui sont adressées, 393.
— Lettre que lui écrit le pape Pascal H en
réponse à plusieurs questions qu'il lui avait
proposées, XIV, 133. Lettre que lui adresse
Gilbert, évêque de Limerick en Irlande; ré-
ponse qu'il y fait, 177. Sa Vie, par Jean de
Sarisbery, 679. Son épitaphe, par Philippe
de Bonne-Espérance, 687. Son sacre; il veut,
contre le gré du roi, aller demander le pal-
lium au pape, 1073. (Voyez son article dans
l'Histoire littérai?'e de la France, t. IX, p. 398
et suiv. et à la tête du t. XI, p. xxxij.)
ANSELME, abbé de Gemblours, l'un des
continuateurs de Sigebert, XIV, 61. (Voyez
son article dans IHistoire littéraire de la
France, t. XI, p. 62-3).
[ANSELME, consacré évêque de Tournai
par le pape Eugène, 111, 274, n. 1. Lettre du
même pape concernant cet évêque, 274.]
ANSELME, abbé de Saint-Edmond et ne-
veu de saint Anselme, archevêque de Can-
torbéry, est élu évêque de Londres ; ce qui
empêche cette élection d'avoir lieu, XIV,
1113.
ANSELME DE LAON, d'abord chanoine,
puis doyen de la cathédrale de Laon ; il
s'oppose à l'élection de Gaudri, élu évêque
de Laon; il est cependant le seul qui lui té-
moigne de l'attachement dans ses disgrâces ;
éloge que Guibert de Nogentfai tde sa science ;
sa mort, XIV, 182. Ses écrits : Glose inter-
linéaire sur l'Écriture sainte, 182 et 183.
Sa lettre où il donne des règles pour conci-
1113.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
67
lier les contrariétés apparentes de quelques
endroits de l'Écriture ; son Recueil de sen-
tences et de questions; Explication de quel-
ques endroits des Évangiles et Commentaires
qu'on lui attribue sur les Epîtres de saint
Paul, 183. Commentaire sur saint Matthieu,
183, 184. Commentaire sur le Cantique des
Cantiques et sur l'Apocalypse; autres écrits
que Trithème lui attribue, 184. VersdeMar-
bode à sa louange, 228. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. X,
p. 173 et suiv.)
ANSELME, évéquede Havelburg (ou Ha-
137. velberg), envoyé ambassadeur à Gonstanti-
nople par Tempereur Lothaire II ; ses con-
férences avec les évoques grecs pour les
dogmes qui les divisaient avec l'Église ro-
lie. maine; il est guéri miraculeusement par
j (4g saint Bernard; son voyage en Italie; le
pape Eugène III le charge de mettre par
écrit le détail de ses conférences avec les
Grecs, XIV, 413. Traité de l'Uniformité de
l'Église, 413, 414. Analyse de ses Dialogues
contre les Grecs, 414 et suiv. [Édition de ses
écrits dans la Patrologie, 413.] Apologie
qu'on lui attribue de l'ordre des chanoines
réguliers ; raisons de douter qu'elle soit de
lui; autres écrits d'Anselme d'Havelburg,
416. [Sa mort, 416.]
siècle ANSELME, auteur de l'Apologie de l'ordre
des chanoines réguliers, doit être distingué
du précédent, XIV, 416.
ANSELME, évêque de Morsi. -Ses notes
sur les révélations du bienheureux Cyrille,
ermite du Mont-Carmel, XIV, 830.
ANSEMUNDUS. Lettre que lui écrit saint
Avit de Vienne, X, 562.
^i^^i^ ANSFROI, abbé de Préaux. Sa conférence
avec Bérenger, XIII, 167.
ANSGAR (Saint), archevêque de Ham-
bourg. Voyez Anscaire (Saint).
ANSGRADE, moine de Fontenelle. Voyez
Aigrade.
ANSOALDE, évêque de Poitiers, engage
Urbain à écrire la Vie de saint Léger, XI, 811 .
: siècle. AN SON, abbé de Lobbes, écrivit la Vie de
saint Ursmar, XII, 850 (et celle de saint
Erme ou Erminon. Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. IV, p. 203
et suiv.)
ANSPËRT, archevêque de Milan . Voyez Ans-
bert.
siècle. ANSTÉE, abbé de Saint- Arnould de Metz,
XII, 865.
ANTAPODOSIS. Titre que Luitprand, évê-
que de Crémone, a donné à son histoire; ce
que signifie ce terme, XII, 874.
ANTECHRIST. Doctrine de saint Justin, T, n siècle.
440. Doctrine de saint Irénée, 515 et 528.
Livre de l'Antéchrist, ouvrage de saint Hip-
polyte, 619 et suiv. Autre livre de l'Anté-
christ, faussementattribué à saint Hippolyte,
634. — Selon saint Cyprien, on doit fuir les m siècle,
hérétiques comme des antechrists, II, 344.
Saint Cyprien croyait que la venue de l'An-
téchrist était proche, 379. Saint Victorin de
Petau croit que Néron ressuscitera pour être
l'antechrist, 461 . — Doctrine de saint Cyrille
de Jérusalem sur l'antechrist, V, 47. — Dis-
cours de saint Ephrem sur la consommation
du siècle et sur l'antechrist, VI, 24, 25.
Poèmes sur le même sujet, attribués à saint
Éphrem, 25. — Livre de l'Antéchrist, ou-
vrage attribué faussement à saint Augustin
(on croit que c'est celui d'Adson), IX, 288.
— Ce que dit Théodoret sur l'antechrist, X,
87. — Ce que dit saint Grégoire de Tours,
XI, 368. Ce qu'en dit saint Isidore de Séville,
720. — Ce qu'en dit saint Jean de Damas,
XII, 73. La Vie de l'antechrist, attribuée à
Alcuin, est d'Adson, abbé de Montier-en-
Der, sur la fin du x^ siècle, 186, 187, 459,
885. Le même traité, attribué à Rhaban
Maur, 459 et 888. [Ce traité est l'ouvrage
d'Adson, abbé de Montier-en-Der ; il n'estni
de Raban, ni d' Alcuin, encore moins de saint
Augustin, 885.] Analyse de ce traité, 885,
886. — Opuscule de Pierre Damien sur l'an- xii siècle,
techrist, XJII, 322. —Traité de l'Antéchrist, nos.
ouvrage de Géroch, prévôt de Reichersperg,
XIV, 632. Un concile assemblé à Florence
combat l'opinion de l'évêque Fluentius, qui
croyait que l'antechrist était né, 1079.
ANTENOR, évêque régionnaire. (Il écri- viilsiicie.
vit la vie de saint Sylvain, évêque de Thé-
rouanne. Voyez ce qui en est dit dans l'His-
toire littéraire de la France, t. IV, p. 49.)
ANTÈRE (Saint), pape. Décrétale qui lui 467.
est attribuée faussement, VI, 85.
ANTHÉMIUS, prêtre, souscrit au faux
concile d'Ephèse pour Patrice, évêque de
Tyanes, X, 679.
ANTHÉMIUS, reconnu empereur d'Occi-
dent, protège l'hérétique Philothée, X, 339.
Son panégyrique, par saint Sidoine ApoUi- 457.
naire, 396.
ANTHÈME, sous-diacre de l'Église ro-
maine et recteur du patrimoine d'Italie.
Différentes lettres que lui écrit le pape saint 595.
Grégoire, XI, 482, 505. Ordre que lui donne ce
m
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
pape, 308. Autres lettres de ce pape, 527, 531 .
m siècle. ANTHIME (Saint), prêlre etmartyr, III, 100.
303. ANTHIME (Saint), évêque de Nicomédie,
martyr, III, 74.
ANTHIME et BONIFACE (Saints), martyrs.
Sermon de Pierre Damien pour le jour de
leur fête, XIIl, 308.
372. ANTHIME, évêque de Tyanes, dispute
avec saint Basile de Gésarée au sujet des
églises de Cappadoce. II empêche saint Gré-
goire de Nazianze de prendre possession de
l'église de Sasimes, V, 183 et 253. Lettre qu'il
lui écrit, 253. 11 veut l'obliger à le reconnaître
pour son métropolitain, 253 et IV, 358. —
Il éclaire saint Basile sur une fausse lettre,
IV, 440.
ANTHIME, évêque, à qui Firmus de Gé-
sarée en Cappadoce adresse une lettre ,
X, 150.
ANTHIME ou ANTIME, compose des can-
tiques et les catholiques s'assemblent chez
lui pour les chanter, X, 343.
ANTHIME, évêque de Trébizonde, suc-
cède à Epiphane sur le siège de Constanti-
nople ; le pape Agapet l'oblige de retourner
à Trébizonde, XI, 120. La lettre qu'on dit
que ce pape lui a adressée est visiblement
supposée, 121. Lettre que lui écrit le pape
Vigile, 193. Il est nommé patriarche de
Gonstantinople par le crédit de Théodora,
304 et 851. Déposé dans un concile tenu par
le pape Agapet, 304 et 851, 832. 11 est ana-
thématisé dans un autre concile tenu par
Mennas avec Sévère d'Antioche et ses par-
tisans, 852, 853, 854.
ANTHIME, sous-diacre de l'Église ro-
maine. Voyez Anthème.
ANTHOLOGIUM, livre à l'usage de l'Église
grecque qui contient les offices pour les fêtes
de Notre-Seigneur, de la sainte Vierge, etc.,
XIII, 137.
ANTHOLOGIUM d'Arcudius, à l'usage des
voyageurs, XllI, 137, 138.
ANTHROPOMORPHITES, [combattus par
saint Ephrem, VI, 466 ; par saint Chrysos-
tôme, Vn. 177.] Leurs erreurs réfutées par
Théophile d'Alexandrie, 445. — Analyse de
l'ouvrage où saint Cyrille d'Alexandrie ré-
fute leurs erreurs, VIII, 319. — Livre contre
les anthropomorphites attribué par Trilhème
à Fauste de Riez, X, 436. — Leur hérésie
réfutée par Rathérius de Vérone, XII, 837,
IV siècle ANTHUSE, mère de saint Jean Ghrysos-
tôme, VU, 1.
IV siècle. ANïlDlCOMARlANITES , hérétiques. Ce
535.
535.
536.
IV ou
V siècle.
que saint Epiphane en dit, VI, 410. — Ils
sont réfutés par saint Jérôme, VII, 664.
ANTIENNES. Pourquoi elles sont ainsi
nommées. Leur origine, XI, 311. — [Com-
mentaire sur les neuf antiennes qui pré-
cèdent la fête de Noël, par Régnier, moine
de Saint-Laurent de Liège, XIV, 796.]
ANTIKEIMENON, ou Concordance des en^
droits de l'Écriture qui paraissent contraires,
ouvrage attribué à Berthaire , abbé du
Mont-Cassin, XII, 696.
ANTILOGIES ou contrariétés apparentes
de l'Écriture : Ouvrage de saint Julien de To-
lède. Celui qu'on a d'abord donné sous son
nom est de l'abbé Berthaire, XI, 794. [De
Lorenzaua prouve qu'il est de saint Julien
de Tolède, 793.]
ANTILOGUE contre les Juifs. Opuscule de
saint Pierre Damien, XIII, 310.
ANTIME. Voyez Anthime.
ANTIOCHE, ville capitale de Syrie. Le
nom de chrétiens y a commencé. II, 536. —
Faux concile d'Antioche rapporté au temps
des apôtres, 334 et suiv. — Saint Ignace est
fait évêque d'Antioche, 1, 326 et suiv. —
Lettre de saint Alexandre, depuis évêque
de Jérusalem à l'Église d'Antioche, II, 122.
— Saint Denis d'Alexandrie travaille à réta-
blir la paix dans l'Église d'Antioche, 398.
Concile qui y fut indiqué en 252, 539, Pre.
mier concile contre Paul de Samosate en 264
566. Second concile, 367 et suiv. Troisième
en 269, 367, Symboles attribués à ce con-
cile, 371, 572, — Saint Lucien, prêtre d'An-
tioche et martyr, III, 73 et suiv. Lettre de
l'empereur Constantin au peuple d'An-
tioche ; autre au concile assemblé en cette
ville, 140. Saint Eustathe, évêque d'An-
tioche, 158 et suiv. Concile tenu à la suite
du concile de Nicée ; autre concile dans le-
quel saint Eustathe est accusé et déposé,
159. L'empereur Juhen fit fermer la porte
de la grande église d'Antioche, et refusa de
faire rouvrir les autres que le comte Julien,
son oncle, avait fait fermer, 401. Canon de
Nicée touchant les prérogative.s de cette
ÉgUse, 432, 433. Concile qui y fut tenu
contre saint Eustathe, évêque de cette ville,
et Asclépas de Gaze, 449. Concile dans le-
quel les Eusébiens ordonnent Piste, évêque
d'Alexandrie à la place de saint Athanase,
459, 460. Concile à l'occasion de la dédicace
de l'éghse bâtie dans cette ville, 464 et suiv.
Concile tenu à Antioche par les seuls Eusé-
biens conti'e saint Athanase, 472. Concile
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
69
où les Eu'sébiens dressent la formule ma-
crosti(^e, 473, 474. — Tome ou lettre de
saint Athanase à l'Église d'Antioche, IV,
135, 136. Histoire du schisme de cette
Église, 584. Concile qui y fut tenu par les
Anoméens, 550. Concile qui y fut tenu pour
l'élection d'un évêque de cette ville, 584,
585. Autre concile tenu par les Acaciens,
586. Autre concile tenu par les Macédo-
niens, 595. Concile qui y fut tenu par les
catholiques, 599. Autre concile qui y fut as-
semblé de tout l'Orient, 611. Foi des catho-
liques d'Antioche approuvée par le canon
cinquième du premier concile œcuménique
de Constantinople, 623, 624. Autre concile
d'Antioche, 644. Concile qui y fut tenu
contre les Messaliens, 645. Lettre de saint
Basile-le-Grand aux fidèles de cette Église,
455. Saint Mélèce, évêque de cette ville,
584 et 585. Discours de saint Mélèce, 585.
Concile tenu par saint Mélèce, 597. Concile
des Orientaux à Antioehe. Saint Mélèce y
assiste, 610. — Saint Ambroise travaille à
la pais de cette Église, V, 390. Diodore de
Tarse prend soin de l'Église d'Antioche, 586.
— Saint Flavien, évêque de cette ville, VI,
310 et suiv. Paulin, évêque des Eustathiens
dans Antioehe, 314 et suiv. Lettre de l'em-
pereur Gonstantius à l'Église de cette ville
au sujet d'Eudoxe , chef des Ariens, 345,
346. — Homélies de saint Jean Chrysostôme
sur la sédition d'Antioche ou sur les statues,
VII, 53 et suiv. Bains interdits à Antioehe en
punition de la sédition, 68. Cette ville fut
aussi privée du titre de Métropole, 70. Té-
moignages de saint Jean Chrysostôme sur
cette ville, 430. Autorité de cette Église : Su-
jet du canon premier dans la lettre du pape
saint Innocent à saint Alexandre d'Antioche,
517. Conduite de saint Jérôme par rapport
au schisme de cette Église, 546. — Jean,
évêque de celte ville, VIII , 244 et suiv.
L'Éghse d'Antioche prétend avoir les droits
de métropole sur celle de Chypre, 589, 590.
Décision du concile d'Ephèse sur ce sujet,
590. Concile tenu à Antioehe par Jean con-
tre saint Cyrille, 599. — Accord confirmé
au concile de Ghalcédoine entre Maxime
d'Antioche et Juvénal de Jérusalem : le pre-
mier se réservant les droits métropoMtains
sur les deux Phénicies et l'Arabie, consent
que Juvénal prenne le titre de patriarche
avec juridiction sur les trois Palestines, X,
17 et 343. A la mort de Julien l'Apostat, on
fait des réjouissances à Antioehe, 46. Divi-
V. «7.
518.
sion dans l'Église d'Antioche, 48, 49. Con-
cile tenu en cette ville par Domnus au sujet
d'Ibas, accusé de Nestorianisme 145. Con- **'•
cile tenu en cette ville pour l'affaire d'Atha-
nase, évêque de Perrha ; autre concile
au sujet d'Ibas d'Edesse, 666. Poëme d'I-
saac-le-Grand sur la ruine de cette ville
(renversée par un tremblement de terre)
vers 459, 578. Concile où Pierre-le-Foulon
est déposé, et Etienne mis à sa place, 717.
— Ephrem, patriarche d'Antioche, XI, 171
et suiv. Incendies et tremblements de terre
sous l'empereur Justin, 418. Lettre du pape
saint Martin aux églises d'Antioche, 750.
Lettre du clergé d'Antioche à Jean, pa-
triarche de Constantinople, qui contient le
détail des violences de Sévère, leur évêque,
821, 822. — Relation de la prise d'Antioche
par Anselme comte de Ribemont, XIII, 512,
513. — Droits de cette Église reconnus par
le pape Pascal II, XIV, 134. Concile tenu à
Antioehe par Albéric évêque d'Ostie, 1116.
ANTIOCHE, ville de Carie. Concile qui y
fut tenu par les Demi-Ariens, IV, 600.
ANTIOCHUS-EPIPHANE , roi de Syrie,
violences qu'il exerce contre les Juifs. Saint
Grégoire de Nazianze en parle, V, 217.
ANTIOCHUS, prêtre. Lettre de saint Atha- 37i.
nase aux prêtres Jean et Antiochus , IV ,
146, 147. — On soupçonne que c'est celui
qui fut depuis évêque de Samosate, V, 5.
Voyez son article.
ANTIOCHUS. Écrits supposés de saint
Athanase à Antiochus, IV, 180.
ANTIOCHUS, à qui est adressée une lettre 373,
de saint Basile-le-Grand, IV, 455.
ANTIOCHUS ou ANTIOQUES, évêque de
Samosate, neveu et successeur de saint Eu-
sèbe assiste au concile de Constantinople,
IV, 618. — Son oncle l'envoie à Samosate ;
il est relégué en Arménie, V, 4. Il succède
à son oncle, 5.
ANTIOCHUS, évêque de Ptolémaïde, fa- iv siècle,
meux prédicateur. Il avait laissé plusieurs
homélies, un sermon sur l'aveugle-né et un
discours sur l'avarice. On a de lui quelques
fragments. Voyez Moréri et Dupin.
ANTIOCHUS ou ANTIOQUE (Saint), soli-
taire dont Théodoret a écrit la Vie, X, 60.
ANTIOCHUS, préfet du prétoire et consul,
porte à saint Célestin une lettre et des écrits
de saint Cyrille d'Alexandrie, VIII, 132; une
lettre et des homélies de Nestorius, 371.
ANTIOCHUS, l'un des opposants au réta-
blissement d'Ibas, X, 147.
70
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Yll stèle.
ANTIOCHUS, l'un des métropolitains de
rillyrie orientale écrit à saint Léon qui lui
répond, X, 206.
ANTIOCHUS, moine de saint Sabas, XI,
697. Son abrégé de l'Écriture sainte intitulé
Pandectes, 697 et 698. [Edition de cet écrit,
p. 698.] Sa relation du martyre des qua-
rante-quatre moines de la Laure de saint
Sabas, 698.
V. 460. ANTIPATER ou ANTIPATRE, évêque de
Bostres en Arabie Ce qu'on sait de sa per-
sonne et du temps où il vivait; sa réfutation
de l'apologie de saint Pampbile pour Ori-
gène; différentes homélies qu'on lui attri-
bue, XII, 427. [Quelques-unes sont repro-
duites dans la Pairologie, 427.] — Ses
ouvrages y ont été condamnés comme con-
tenant les erreurs d'Origène, XI, 173.
ANTIPHONAIRE du pape saint Grégoire ;
autre antiphonaire qui lui est attribué, XI,
IX siècle. g4.4_ Editions de l'antiphonaire de saint Gré-
goire , 386. — Antiphonaire d'Amalaire ,
XII, 343. De la correction de l'Antiphonier,
ouvrage d'Agobard, 377. — Antiphonaire de
Gui d'Arezzo approuvé par le pape Jean XIX
et adopté dans plusieurs églises, XIII, 130.
— Antiphonaire à l'usage de Cîteaux corrigé
par saint Bernard, XIV, 482.
IV siècle. ANTIPODES. Lactance ne croyait pas
qu'il y en eût, II, 499 et 314. — Saint Au-
gustin était dans le même sentiment, IX,
314, — ainsi que Procope, XI, 177. — [Ob-
servation sur ce sentiment, IX, 314, n. 1.
Ni le pape Zacharie ni les Pères de l'Église
n'ont condamné la doctrine qui admet les
Antipodes et la rotondité de la terre, XII,
32, n. 1.]
ANTIQUAIRES. On désignait les copistes
par ce nom, XI, 233, 234.
IV siècle. ANTIRRHÉTIQUE, ouvrage d'Évagre de
377. Pont, VI, 114. Antirrhétique ou traité contre
Apollinaire, ouvrage de saint Grégoire de
Nysse, 148 et suiv. — Antirrhétique du pa-
triarche saint Nicéphore contre les Icono-
clastes. Analyse de ce qui nous reste de ses
ouvrages, XII, 282 et suiv. [Les antirrhéti-
ques du même contre Copronyme, 290 et
suiv. ; son antirrhétique sur les témoignages
de Magnes, III, 136, et XII, 294; son antir-
rhétique contre Eusèbe de Gésarée, 295,
296, et III, 250, 231; son antirrhétique
contre les iconoclastes, XII, 296. Analyse
de cet ouvrage, 296 et 297. Analyse de ceux
composés par saint Théodore Studite, 301,
et 302.]
ANTITYPES. Nom que quelques Pères
ont donné aux espèces de l'Eucharistie avant
la consécration, XIII, 626. »
ANTOINE (Saint), premier Père des soli- ^
taires d'Egypte, III, 382 et suiv. Histoire de
sa vie ; sa naissance , son éducation. Il zsi.
abandonne ses biens et les donne aux pau-
vres ; il se retire dans le désert, 382 ; il 285.
commence à former des disciples ; il visite 3o5.
ses disciples et les exhorte à la vertu, 383 ;
sa vie ordinaire ; il cherche le martyre à 3U.
Alexandrie ; il se retire sur une montagne 3i5,
fort reculée, 384; son respect pour les mi-
nistres de l'Église ; son éloignement pour les
hérétiques et les schismatiques, 383 ; il va
visiter saint Paul, ermite; il enterre son 3«.
corps, 383 et 386 ; il va à Alexandrie com-
battre les Ariens, 386 ; il confond divers 355.
philosophes païens, 387, 388; sa mort, 388, 356.
389 ; écrits de saint Antoine ; lettre de ce
saint à l'empereur Constantin ; à divers mo-
nastères, 389; aux Arsénoïtes, 390; au duc 34i.
Balacius; à saint Théodore de Tabenne, 353 ou 3
391; écrits attribués à saint Antoine, 391,
392; éloge de saint Antoine; éditions de
ses lettres , 392 ; [ éditions récentes 392 ; ]
lettre que l'empereur Constantin écrit à
saint Antoine, 141. — Saint Athanase va le
visiter, IV, 90. Vie de saint Antoine écrite
par saint Athanase, 138. — Il est visité par
saint Macaire d'Egypte, V, 596. Saint An-
toine visite Didyme l'Aveugle, docteur de
l'éghse d'Alexandrie, 606. — Sa vie écrite
par saint Athanase, citée par saint Ephrem,
VI, 7, — et par saint Ghrysostôme, VII, 216.
Saint Antoine visite saint Paul, premier er-
mite et l'ensevelit, 393. — Il se montre zélé
pour le soutien de la foi des fidèles, VllI,
47. — [Homéhe de Sévère de Sozopole sur
saint Antoine, XI, 109.] — Sermon de Guil-
laume d'Auvergne en son honneur , XIV,
1027.
ANTOINE, prêtre arien, maître d'Aétius, ivsif,
et ensuite évêque de Tarse, VI, 262.
ANTOINE, moine à qui saint Jérôme écrit 376
une lettre. Vil, 382.
ANTOINE, auteur du poëme contre les
païens attribuée à saint Paulin, évêque de
Noie, Vlll, 87.
ANTOINE, évêque de Fussale. Son his-
toire, VIII, H, 12, il se conduit mal; saint Au-
gustin en écrit au pape Célestin, 127. — II est
déposé par saint Augustin, IX, 19. Il en ap-
pelle au pape; fin de cette atfaire, 171.
ANTOINE , évêque de Ghalcide, prêtre
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
71
à Antioche. Erreur qu'il y enseigne , VIII,
379.
ANTOINE , évêque de Germe dans 'Hel-
lespont, persécute les Macédoniens qui le
font assassiner, VIII, 367.
ANTOINE , disciple de saint Siméon Sty-
lite auteur d'une de ses Vies, X, 63.
ANTOINE, évêque arien en Afrique, fait
mettre saint Eugène en prison, X, 461.
ANTOINE, prêtre et solitaire de Lérins.
Sa vie écrite par saint Ennode, X, S73.
650. ANTOINE, évêque de Bacate. Lettre que
lui écrit le pape saint Martin I" pour le
prier de s'unir à Jean de Philadelphie
qu'il avait établi son vicaire en Orient, XI,
750.
it 800. ANTOINE , moine du monastère de saint
Siméon, traduit en arabe la traduction
grecque des dialogues de saint Grégoire le
Grand, XI, 472.
u*. ANTOINE, évêque de Sylée, se déclare
pour les Iconoclastes, XII, 279. Sa dissimu-
lation envers Nicépbore, patriarche de Cous-
is, tantinople qu'il maltraite et qu'il oblige de
quitter son siège, XII, 279. — [Il n'était point
métropolitain de Sylée, XIII, 648, note 2.]
ANTOINE, surnom donné à Adalard, abbé
de Corbie, frère de Vala, XII, 333.
95- ANTOINE II, surnommé Gaulée, patriar-
che de Constantinople, succède à Etienne et
ne siège que deux ans ; sa mort, XII, 794 ;
son oraison funèbre par Nicépbore le philo-
sophe, 794, 795.
15. ANTOINE III, surnommé Studite, élu pa-
triarche de Constantinople après la déposi-
tion de Basile Scamandrin; sa retraite et sa
iwo. mort, XIII, 759.
iécie. ANTOINE, surnommé Mélisse. Conjec-
tures sur le temps où il a vécu, XIII, 567,
568. On ne peut le dire disciple de saint Jean
Damascène qu'en ce qu'il a imité son genre
d'écrire, 570. Ses extraits des Pères distri-
bués en lieux communs. Editions et traduc-
tions qu'on en a faites, 570. — Autre article
sur le même auteur. D'où lui vient le sur-
nom de Mélisse, XIV, 651 . On ignore dans
quel siècle il a vécu, 651 et 652. Son re-
cueil de maximes. Différentes éditions qu'on
en a faites, 632.
[ANTONELLI (Nicolas) publie en armé-
nien et traduit en latin les sermons de saint
Jacques de Nisibe, III, 372. — Son édition
de l'interprétation des Psaumes ou des titres
des Psaumes , par saint Alhanase , IV ,
169.]
ANTONIEN, évêque de Numidie , écrit iiisiéci..
plusieurs lettres à saint Cyprien ; lettre de
saint Cyprien à Antonien, II, 313.
ANTONIEN (Jean), dominicain. Son édi-
tion des œuvres de saint Paulin, évêque de
Noie, VIII, 97.
ANTONIN TITUS, surnommé le Pieux. iso.
Apologie que saint Justin lui adresse pour
les chrétiens, I, 413 et suiv.
ANTONIN (saint), prêtre, martyr de Pa- 308.
lestine, III, 10.
ANTONIN , évêque d'Ephèse , accusé de- *oo.
vant saint Jean Ghrysostôme, VII, 3. Il
meurt avant la décision du procès, 4. Il fut
accusé par Eusèbe, évêque de Valentiniauo-
ple, 3, 4, el 492.
ANTONIN, à qui saint Augustin écrivit 390-
une lettre, IX, 70.
[ANTOLINI (Vincent) a donné une traduc-
tion italienne des hvres sibyllins, î, 308.]
ANTONIN (Saint), solitaire dont Théodo-
ret a écrit la vie, X, 60.
ANTONIN, évêque de Mérida, métropoli-
tain de la Lusitanie ; son zèle contre les
Manichéens, X, 342, 667. Turibe, évêque
d'Astorga lui envoie les actes de ses infor-
mations contre les Priscillianistes, 667.
ANTONIN (Honorât), évêque de Constan- v siècle,
tine ou de Cirthe, X, 466, 467, 468. Voyez
Honorât Antonin.
ANTONIN, recteur du patrimoine de Da)-
matie, XI, 482. Lettre que lui écrit le pape
saint Grégoire pour le charger de veiller à
l'élection d'un évêque de Salone, 492.
ANUBE, frère du saint abbé Pémeu, se
retire avec lui à Scété ; règle qu'il prescrit
aux moines de Scété ; saint Pémeu l'aide
dans le gouvernement de cette communauté,
VIII, 468.
ANULIN, proconsul d'Afrique, envoie
saint Félix de Thibare au préfet du prétoire,
III, 18. Fait tourmenter quarante-neuf chré-
tiens, 20 et suiv. Condamne à mort sainte
Crispine, 38 et suiv. Lettre que l'empereur
Constantin lui écrit, 132, 133, et V, 144,
145. — Lettre qu'il écrit à l'empereur, V,
144.
ANUPHE, confesseur. Ce qui est dit de
lui dans les Vies des Pères écrites par Rufin
d'Aquilée, VU, 473.
ANYSIUS (Saint), évêque de Thessaloni- 384.
que, écrit à saint Ambroise au sujet de son
élection. Lettres que saint Ambroise écrit à
ce sujet au clergé de Thessalonique et à
Anysius, V, 483. — Lettres que lui écrit le 385 et 386,
592.
313.
IV ou
V siècle.
72
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
pape saint Sirice, VI, 103. Autre lettre de
392- saint Sirice à Anysius , 107. — Lettre que
*06. lui écrivit saint Jean Chrysostôme, VII, 134.
V siècle. — Lettre que lui écrivit le pape saint Inno-
cent, S06, Anysius lui répond, 507. — Le
pape saint Sirice lui avait donné la commis-
sion d'agir en son nom dans toutes les pro-
vinces de ITllyrie, X, 202.
Vsiècic. ANYSIUS , gouverneur de la Pentapole.
Discours de Synésius de Ptolémaïde à l'é-
loge d'Anysius, X, 32.
ANYSIUS, prêtre, père d'Eulampie, mère
de Philostorge, l'historien, se laisse engager
dans l'erreur des Eunomiens, VIII, 509.
V siècle. ANYSIUS, notaire et lecteur de Firmus
de Césarée, député à Nestorius par le con-
cile d'Ephèse, VIII, 578.
AOD, juge d'Israël, I, 51.
[AOSTE, ville d'Italie ; privilège accordé
au chapitre d'Aoste par le pape Sergius III,
743.]
518. APAMÉE, ville de la seconde Syrie. Lettre
du clergé de cette ville contre Pierre, son
évêque qu'ils accusent de beaucoup de cri-
mes et de violences, XI, 822.
IV siècle. APATHIE, livre de l'Apathie attribué à
Evagre de Pont, VI, 115. — Dogme de l'a-
pathie enseigné par Pelage, VII, 166.
iT siècle. APELLÈS ou APPELLES, disciple de
II siècle. Marcion. Évangile sous son nom, I, 273. Ses
erreurs réfutées par Rhodon, 494, — par
Ht siècle. TertuUien, II, 42, —par saint Epiphane,
VI, 393.
M2. APELLION à qui Théodoret écrit, X, 66.
303. APER, prêtre de Thibare en Afrique, 18.
APER, prêtre souscrit dans un concile en
présence et par ordre de son évêque, V,
532.
APER ou APRE (Saint), évêque de Toul,
VU, 77.
APER, avocat et depuis prêtre. Voyez
Apre.
APER , évêque. Lettre que Salvien lui
écrit, X, 388. Lettre que lui écrit saint Si-
doine, 389.
APHRAATE ou APHRATEZ, Persan, so-
litaire. Entretien qu'il a à Antioche avec
l'empereur Valens à qui il reproche son at-
tachement à l'arianisme, X, 48 et 54. Sa vie
écrite par Théodoret, 54.
APHTONE, médecin manichéen, meurt
vaincu dans une dispute par Aétius, arien,
VI, 262.
APHTONE, Samaritain. Lettre que lui
écrit saint Nil, VIII, 217.
APHTONE, solitaire, depuis évêque, X,
53. Peut-être le même que celui à qui Théo-
doret écrit, 75.
APIARIUS , prêtre de Sicque , excommu-
nié par son évêque, appelle au pape, VU,
537, 541. — [Voyez sur l'affaire d'Apiarius,
Vn, 537, note 3 et 541, note 1.] — Concile
tenu à Carthage à l'occasion de l'afifaire de
ce prêtre, VIII, 562 et suiv. Lettre synodale
du sixième concile de Carthage au pape
Boniface touchant l'affaire d'Apiarius, 568.
Lettres de saint Célestin pape, aux évêques
d'Afrique, et des évêques d'Afrique à saint
Célestin, touchant l'affaire de ce prêtre,
127. Poursuivi pour ses crimes, il revient à
Rome où en ayant imposé au pape il est
renvoyé en Afrique avec un légat pour être
rétabli, 570. Concile tenu à Carthage à son
sujet, où il confesse ses crimes et est re-
tranché du corps de l'église, 570 et 571 .
APINIEN, duc de Mésopotamie. Jean
d'Antioche lui écrit, VIII, 246.
APION, grammairien. Livres de Josèphe
contre lui, 325.
APION , auteur ecclésiastique ; ses ouvra-
ges, I, 537.
[APIS, taureau adoré par les Egyptiens, I,
14, n. 4.]
APOCALYPSE DE SAINT JEAN. En quel
lieu et en quel temps elle a été écrite.
A qui elle est adressée ; analyse des trois
premiers chapitres ; analyse des seize cha-
pitres suivants, I, 257. Analyse des trois
derniers chapitres, 257 et 258. Jugements
qu'on a portés de l'Apocalypse, 258. On a
douté que saint Jean en fût l'auteur, 258 et
259. Preuves que l'Apocalypse est de saint
Jean, et qu'elle est canonique. Les plus an-
ciens Pères grecs et le plus grand nombre
des Pères latins l'ont reçue comme de saint
Jean et canonique. Elle renferme des traits
qui ne conviennent qu'à saint Jean, 259 et
suiv. Solution des diÊQcultés de saint Denis
d'Alexandrie qui doutait que l'Apocalypse
fût de saint Jean. Quoique saint Jean n'ait
pas mis son nom à ses autres écrits il a pu
le mettre à celui-ci, et s'il y a quelque diffé-
rence de style, elle peut venir de la matièi'e
qui en fut l'objet, et de la manière plus ra-
pide dont fut écrite l'Apocalypse, 261. Il est
évident qu'on a eu tort d'attribuer l'Apoca-
lypse à Cérintlie, 259. Voyez la n. 1. Apo-
calypse citée sous le nom de saint Jean par
saint Justin, 437. Par saint Irénée, 521. —
Par Terlullien, II, 69. par Origène, 208. —
418.
419.
426.
426.
96,
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
73
Commentaires sur l'Apocalypse faussement
attribués à saint Hippolyte, [, 634. — L'au-
teur d'un traité contre Novatien attribué à
saint Cyprien cite l'auteur de l'Apocalypse
sous le nom de Jean, II. 343. Sen1;iment de
siècle, saint Denis d'Alexandrie sur ce livre, 405.
siècle. Commentaire sur l'Apocalypse que l'on croit
être de saint Victorin, évêque de Pettau,
460, 461. L'Apocalypse ne se trouve pas au
rang des livres canoniques dans les canons
apostoliques , 587. — Saint Méthode cite
/ l'Apocalypse sons le nom de saint Jean ,
/ III, 68. Eusèbe de Césarée fait de même,
/ 267. [L'Apocalypse de saint Jean n'était pas
reçue au iv' siècle dans la province d'An-
tioche, IV, 23. n. 5.] Saint Athanase la cite
sous le nom de saint Jean l'Évangéliste, 179.
Saint Basile aussi, 497. — Saint Cyrille de
Jérusalem la cite, quoiqu'il ne la mette pas
au rang des écritures canoniques, V, 63.
Commentaire de Tichonius, donatiste, sur
ce livre, 104. Saint Pacien cite ce livre
comme inspiré, 166. Sentiment de quelques
hérétiques sur ce livre, 177. Commentaire
sur l'Apocalypse faussement attribué à saint
Ambroise. On croit que c'est celui de Beren-
gaud, 512. Saint Ambroise cite l'Apocalypse
sous le nom de saint Jean l'évangéliste, 524.
— Saint Ephrem la cite sous le nom de
saint Jean qu'il nomme le Théologien, VI,
51. Saint Grégoire de Nysse la cite sous le
nom de saint Jean l'Évangéliste, 225. Saint
Epiphane reconnaît que c'est l'ouvage du
Saint-Esprit, 424. Les Aloges rejetaient
l'Apocaftypse, 425. — Saint Jean Chrysos-
tôme ne là cite point, et on ne le trouve
point dans la synopse qui lui est attribuée,
VII, 203. Explication et commentaire sur
l'Apocalypse : Ouvrages attribués à saint
Jérôme, 650. — Dix-neuf homélies sur l'A-
pocalypse : Ouvrage attribué à saint Augus-
tin. Il est postérieur à Bède, IX, 229. Senti-
ment de saint Augustin sur l'Apocalypse,
593. — [Commentaire de Gennade sur ce
livre, X, 606.] — Commentaires sur l'Apo-
calypse rassemblés par Cassiodore, XI, 230.
Commentaire de Cassiodore sur l'Apoca-
lypse, retrouvé par le marquis Mafiféi et im-
primé par ses soins, 242 et 254. Commen-
taire sur l'Apocalypse par Aprijius, évêque
de Badajoz ; commentaires sur l'Apocalypse
par André et Arétas, évêques de Césarée en
Cappadoce ; idée du commentaire d'Arétas.
Editions qu'on en a faites, 265. Commen-
taire de Primase, évêque d'Adrumet, 283.
— Commentaire du vénérable Bède, XII, 9.
[Lettre du même sur l'Apocalypse. 15.] Le
commentaire sur l'Apocalypse attribué à
André de Crète est d'André de Césarée, 59.
[Jugement sur ce commentaire. Editions
qu'on en a faites, 246.] Commentaire sur
l'Apocalypse d'Ambroise Autpert, 120, 121.
[Commentaire d'Alcuin sur l'Apocalypse ,
172, 173.] Alcuin attribue l'Apocalypse à
saint Jean l'Évangéliste, 209. Commentaire
sur l'Apocalypse attribué à Béatus, moine
des Asturies. Il n'est pas arrivé jusqu'à
nous , 217. Commentaire attribué à saint
Méthodius de Constantinople, 425. Commen-
taire attribué à Haimon d'Halberstadt, 123
et 436. Ce n'est guère qu'un abrégé de ce-
lui d'Ambroise Autpert, 123. Le quatrième
concile de Tolède ordonne de recevoir l'A-
pocalypse comme un livre divin, 917. Com-
mentaire sur l'Apocalypse attribué à Wé.
rembert, moine de Saint-Gall, 694. Com-
mentaire de Bérengaud, moine de Ferrières,
702, 703. C'est le même commentaire qu'on
avait attribué à saint Ambroise, 703. Com-
mentaire de Rémi, moine d'Auxerre, 757.
[Chaîne d'OEcuménius sur l'Apocalypse,
814.] — Comment et en quel temps les
Grecs lisent ce livre , XIll , 135 , 136. Le
commentaire sur l'Apocalypse attribué à
Bérenger est de Bérengaud, moine de Fer-
rières, 175. Homélies de Guillaume de
Monde sur l'Apocalypse conservées manus-
crites à l'abbaye de Saint-Evroul, 269. Com-
mentaire de saint Brunon de Ségni, S07. —
Commentaire sous le nom de saint Anselme.
On l'attribue à Anselme de Laon, XIV, 36
et 184. Le commentaire faussement attribué
à saint Ambroise est vraisemblablement de
Bérengaud, moine de Ferrières, et non de
Bérengose , abbé de Saint - Maximin de
Trêves , 238 , 239. Commentaire de Ru-
pert, abbé de Tuy, sur l'Apocalypse, 283.
[Commentaire de Richard, prieur de Saint-
Victor sur ce livre, 701.] Commentaire de
l'abbé Joachim, 830. [Ce que Martin, cha-
noine de Saint-Isidore de Léon, dit de l'Apo-
calypse, 834.]
APOCALYPSES (Fausses), I, 285, 286.
[APOCALYPSE D'ADAM, livre apocryphe.
Fragments de ce livre édité récemment, I,
263.]
APOCALYPSE DE MOÏSE, Uvre apo-
cryphe, I, 38.
APOCALYPSE D'ÉLIE, livre apocryphe,
IV, 614.
633.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
74
APOCALYPSE D'ESDRAS , livre apo-
cryphe, L 75 [et XII, 297].
APOCALYPSE DE SAINT PAUL, livre
apocryphe, IX, 576 [et Xn, 297].
APOCALYPSE faussement attribué à Mé-
liton, 1,461.
APOGRISIAIRES, nonces ou légats. Il n'y
en a eu en Occident que vers le commence-
ment du n' siècle, VI, 80.
APOCRYPHES (Livres). On a quelquefois
donné ce nom aux écrits qui n'étaient point
dans le canon des Juifs quoiqu'ils fussent
dans celui de l'Église, I, 91.
APOCRYPHES (Livres de l'Ancien et du
Nouveau Testament), I, 262 et suiv. Les
livres apocryphes sont ceux qui ne sont pas
dans le canon des divines Ecritures, 262.
Voyez la note 1. Les uns ne contiennent
rien que de pieux et d'utile. Les autres sont
remplis de fables et d'erreurs, 262. — Livres
apocryphes cités par Origène, II, 208, 209.
Canon apostolique contre les livres apocry-
phes, 585. — Livres apocryphes rejetés par
Eusèbe de Césarée, HI, 266, 267. — Livres
apocryphes condamnés par le pape saint
Innocent, VII, 512. Témoignage de saint
Jérôme sur les livres apocryphes, 552. —
Doctrine de saint Augustin sur les livres
apocryphes, IX, 574 et suiv. — Décret con-
tre les livres apocryphes, X, 725. Il n'est
pas du pape saint Hormisdas, mais du pape
saint Gélase, 633 et 723.
APOCRYPHES (Livres) de l'Ancien Testa-
ment, I, 262 et suiv. Livres faussement at-
tribués à Adam, 262, 263. Psaumes qui lui
sont faussement attribués ; autres livres qui
lui sont faussement attribués , 263. [Livre
d'Adam, pubhé par M. Dillimann, 263,
n. 12.] Evangile et prophéties attribués
faussement à Eve, 263, 264. Écrits fausse-
ment attribués à Abel ; livres faussement
attribués à Seth ; ouvrages faussement attri-
bués à Enos, 266. Livres faussement attri-
bués àHénoch, 266 et 267. [Découverte et
importance du livre apocryphe d'Hénoch,
265.] Écrits faussement atttibués à Noé, 26.
Ouvrages faussement attribués à Sem , à
Cham et à Caïnan. Psaume faussement
attribué à Melchisédech; ouvrage fausse-
ment attribué à Abraham, 266. Écrits
faussement attribués à Isaac , à Jacob , à
Joseph et aux douze enfants de Jacob, 266
et 267. Écrits attribués à Heldam et Modal,
à Balaam, à Jannès, à Mambrès, à Marie,
sœur de Moïse, 267. Ouvrages attribués à
Moïse, 37 et suiv. A Josué, 49, 50. A Phi-
nées et à Samuel, 267. Psaumes attribués à
David et à Salomon, 134. Autres ouvrages
attribués à Salomon, 149. Ouvrages attri-
bués à Élie, 267. A Isaïe, 159. Oraison de
Manassès, roi de Juda. La véritable est per-
due. Celle que nous avons est apocryphe ;
ce que contient cette prière, 267. [Ascension
ou vision d'Isaïe, livre apocryphe publié par
M. Lauwence, p. 159.] Lettre attribuée à
Baruch, 167. Écrits attribués à Daniel, 175,
176. Livres attribués à Ananias, Azarias et
Misaël, 267. Troisième et quatrième livre
sous le nom d'Esdras, 69 et suiv. [Versions
arabe et éthiopienne du IV« livre d'Esdras,
71. Les tomes XI, Xll des Études religieuses
par des Pères de la Compagnie de Jésus,
contiennent quatre articles très-savants de
M. Lehir sur le IV° livre d'Esdras.] Autres
livres attribués à Esdras, 74, 75. Troisième
et quatrième livre des Machabées, 189. 190.
Pour les apocalypses apocryphes attribués
aux patriarches et aux prophètes, voyez
après l'article Apocalypse de saint Jean.
APOCRYPHES (Livres) du Nouveau Tes-
tament, I, 268 et suiv. Lettres de Jésus-
Christ à Abgare et d'Abgare à Jésus-Christ.
[D'où vient le nom d'Abgare, p. 268, n. 2.
Auteurs qui soutiennent l'authenticité des
lettres d'Abgare à Jésus-Christ, 270. n. 2.]
Actes de la guérison et de la conversion
d'Abgare, 268 et suiv. Preuves de la suppo-
sition de ces lettres, 269, 270. Preuves de
la supposition de ces actes, 270. En se te-
nant pour la date à la version de l'histoire
d'Eusèbe par Rufin, l'époque n'en serait pas
moins fausse, 270, 271 . Le sentiment d'Eu-
sèbe, de saint Ephrem, et de quelques au-
tres auteurs, n'est pas suffisant pour faire
ci'oire de pareils faits; autres écrits attribués
faussement à Jésus-Christ, 271. Sentences
attribuées à Jésus-Christ, 271 et 272. Faux
évangiles, 272 et suiv. Évangile selon les
Hébreux cité sous le nom d'Évangile des
Nazaréens ; Évangile selon les Égyptiens ;
Évangile de l'enfance du Sauveur, 272.
Autre sous le nom de Nicodème, 272 et 273.
Autre sehm les Syriens, 273. Autres faux
évangiles de saint Philippe, de Marcion,
d'Apellès, de Basilide, 273 et 274. Celui de
Cérintbe. Autre à l'usage des Ebionites. Ce-
lui de Tatien à l'usage de Encratites, 274,
Autres à l'usage des Gnostiques, des Simo-
niens, des Valentiniens, des Manichéens, des
Caïniles, 274, 275. Evangile éternel condamné
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
73
175.
au feu par Alexandre IV ; autres évangiles
apocryphes condamnés par le pape Gélase,
275. [Éditions des livres apocryphes du Nou-
veau Testament, 275.] Faux actes de saint
Paul et de saint Pierre ; actes des apôtres
attribués à Abdias ; actes de saint André, de
saint Philippe, de saint Thomas, de saint
Jean, 276. Autres actes de saint André, 276.
et 277. [Voyez 277, n. 2, où l'on soutient
l'authenticité de ces actes. Voyez aussi le
n. 12.] Deux lettres adressées à saint Lin
touchant la passion de saint Pierre et saint
Paul, 277. La Vie de saint Jean par diffé-
rents auteurs, 277 et 278. Les actes du mar-
tyre de saint Mathias. Traditions du même
apôtre ; autres actes de saint Phihppe ; de
saint Barnabe, 278. De saint Marc, 278 et
279. L'Itinéraire de saint Thomas ; actes at-
tribués aux apôtres assemblés ; le livre de
la prédication de saint Pierre, 279.] Épîtres
apocryphes, 279 et suiv. Épîtres faussement
attribuées à la sainte Vierge, 279. Épîtres
faussement attribuées à saint Paul et à Sé-
nèque, 279, 280. [Voyez 280, n. 5.] Épîtres
attribuées à saint Pierre, 280. Vrais et faux
actes de Pilate, 280, 281. Épître de saint
Barnabe, 281 et suiv. Analyse de cette
épître, 283 et suiv. [Éditions de cette épître,
285, note, 3.] Fausses apocalypses, 285, 286.
Apocalypses d'Adam, de Moïse, d'Isaïe, des
patriarches et des prophètes, 285, 286.
[Fragments du livre gnostique intitulé : Apo-
calypse d'Adam, publié par M. Renan, 263.]
Apocalypse de saint Pierre, de saint Paul,
de saint Thomas; deux faux apocalypses
de saint Jean ; apocalypse de Cérinthe,286.
Écrits faussement attribués à saint Luc, 215,
216. A saint Paul, 241, 242. A saint Jacques,
242 bis, 243 bis. A saint Pierre, 249, 250.
[Livre des histoires des saints Pères ; ensei-
gnement de l'apôtre Adaï ou Adée, 269.]
APODÊME (Saint), martyr de Saragosse,
III, 44.
APOLLINAIRE (Saint), évêque de Ra-
venne est le seul des évêques de cette église
qui l'ait honorée par le martyre ; sermon de
saint Pierre Ghrysologue sur ce saint évêque,
X, 15. — Maxime, évêque de Salone, se
purge par serment devant son tombeau, XI,
516. — [Hymne en l'honneur de saint Apol-
linaire ; autre hymne en son honneur ; office
en son honneur, XIII, 23.] Trois discours de
saint Pierre Damien sur ce saint, 308.
APOLLINAIRE (Claude), évêque d'Hié-
raple apologiste de la religion ; en quel
temps il florissait ; son apologie pour les
chrétiens, I, 463. Autres écrits d'Apolli-
naire; Ses écrits contre les hérétiques, 464.
Jugement de ses écrits, 464 et 465. Éditions
de ses écrits, 465. — Concile qu'il tient
contre les Montanistes, II, 539.
APOLLINAIRE L'ANCIEN, prêtre de iv siècle.
Laodicée. Ses ouvrages, V, 86, 87.
APOLLINAIRE LE JEUNE, fils du précé-
dent, évêque de Laodicée en Syrie et héré-
siarque, V, 85 et suiv. Histoire des pre-
mières années d'Apollinaire, 85, 86. Son
union avec saint Athanase. Son zèle pour la 349.
foi ; il est fait évêque de Laodicée, 86. Il Ira- v. 362i
vaille pour les études et pour l'Église sous
Juhen, 86 et 387. Ses poésies ; la doctrine 362.
d'Apollinaire est condamnée mais non pas
sa personne, 87. Apolhnaire fait schisme à
Antioche. Il est condamné à Rome, 87 et 88. 378,
Autres condamnations d'Apollinaire, 88. Ses 379 et 38i
ouvrages sur l'Écriture sainte, 88, 89 et 92.
Autres écrits d'Apollinaire, 89. Lettres d'A-
poUinaire. Écrits qu'on lui attribue. 90, 91.
[Éditions des paraphrases des Psaumes, 91.
Fragments des écrits d'Apollinaire publiés
par Maï, 91 et 92. Fragments des commen-
taires sur saint Luc, sur les Proverbes, sur
Isaïe, sur Ezéchiel, sur le Cantique des Can-
tiques, 92.] — Il embrasse le parti des Mil-
lénaires et écrit deux volumes contre saint
Denis d'Alexandrie pour leur défense , II,
405. — Livres de saint Athanase contre
Apolhnaire, IV, 144 et suiv. Erreurs d'Apol-
linaire et son schisme, 605, 606. Il est con- 377 ou 378.
damné avec ses disciples dans un concile de
Rome, 606, dans un concile d'Antioche, 611, 379.
dans un concile de Rome, 612. Concile d'Italie
pour examiner sa doctrine, 634 et suiv. Son
hérésie condamnée dans le second concile de
Constantinople, 637. Apollinaire se vantait
d'avoir reçu plusieurs lettres de saint Séra-
pion, 335 et V, 90. Lettres supposées de saint
Basile le Grand à Apollinaire, et d'ApoUi-
naire à saint Basile, IV, 488, 489 et V, 90. —
Saint Grégoire de Nazianze oppose ses vers
à ceux d'Apollinaire, V, 192. Erreur d'Apol-
linaire sur la Trinité, 245. Les livres de
saint Ambroise contre l'hérésie d'Apolli-
naire sont perdus, 514. — Livres d'Apolli-
naire qu l'on a prétendu avoir été collés par
saint Ephrem, VI, 50. Antirrhétique ou traité
contre Apolhnaire, Ouvrage de saint Gré-
goire de Nysse, 148 et suiv. — Saint Jérôme
prend les leçons d'Apollinaire pendant quel-
que temps, VII, 546. — Témoignages de
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
249.
76
Théodoret sur Apollinaire, X, 48 et 81.
Voyez Apollinaristes.
APOLLINAIRE , aïeul de saint Sidoine
Apollinaire. Son tombeau fouillé par des
fossoyeurs ; épitaphe que saint Sidoine com-
pose pour y être placée, X, 386.
APOLLINAIRE, évêque de Glermont, l'un
des fils de saint Sidoine ; lettre d'instruction
que lui écrit son père, X, 379. Deux lettres
de saint Avit qu'on croit lui être adressées,
559.
APOLLINAIRE , sénateur , ami de saint
Sidoine à qui il écrit, X, 384 et 389.
APOLLINAIRE et THAUMASTE, frères,
parents de saint Sidoine. Lettre que saint
Sidoine leur écrit, X, 387.
APOLLINAIRE, frère aîné de saint Avit,
évêque de Vienne, X, 554. Devient évêque
de Valons. Lettres que lui écrit saint Avit,
558, 559, 562.
APOLLINARISTES. Hérétiques. Leurs er-
reurs, V, 244 et suiv. Première lettre de
saint Grégoire de Nazianze à Clédonius,
prêtre, contra ces hérétiques, 243 et suiv.
Seconde lettre de saint Grégoire à Clédonius
contre les mêmes, 246. Lettres du même
saint à Olympius contre les mêmes, 259,
260. Erreurs des Apollinaristes, 318. Saint
Ambroise combat les Apollinaristes sans les
nommer, 478. — Lettre de saint Grégoire
de Nysse à Théophile d'Alexandrie contre
les Apollinaristes, VI, 194, 195. Ce que saint
Epiphane dit de cette secte, 409, 410. —
Apollinaristes combattus par Théodore ,
évêque de Mopsueste, VIII, 20. — Et par
saint Augustin, IX, 646, 647. — Traité de
saint Cyrille d'Alexandrie contre ces héré-
tiques, VIII, 325. Origine de leur hérésie'se-
lon l'historien Socrate, 517. — Saint Mar-
cien avait un grand éloignement pour eux,
X , 53. Ils sont combattus par Théodore ,
prêtre d'Antioche, 587. — Traité de Léonce
de Bysance contre les fraudes des Apolli-
naristes, XI, 670. — Leur erreur touchant
l'humanité de Jésus-Christ renouvelée par
un moine de Gluny, XIV, 507.
APOLLINE (Sainte), vierge, martyre
d'Alexandrie, II, 210.
APOLLON PYTHIEN. Les reliques de saint
Babylas l'empêchent de rendre des oracles,
VU, 88 et 91 et X, 46. — Son temple et sa
statue sont brûlés par le feu du ciel, 91 , X, 46.
APOLLON, solitaire d'Egypte près la ville
d'Hermopole. Ce qui est dit de lui dans les
Vies des Pères écrites par Rufin d'Aquilée,
V[I, 474. Il est visité par saint Pétrone, 474
et X, 160.
APOLLONE, (Saint), évêque de Corinthe,
selon le Prœdestinatus, condamne Cerdon,
II, 537.
APOLLONIUS DE TYANES. Fausseté de
sa mission et de ses miracles démontrée par
Eusèbe de Césarée, III, 173, 176. Sa Vie co-
piée par saint Sidoine Apollinaire pour
Léon, ministre d'Euric, 381.
APOLLONIUS (ou APOLLONE) (Saint),
sénateur romain, martyr. Son Apologie pour
les chrétiens, I, 493, 494.
APOLLONIUS, auteur ecclésiastique. Ses
écrits contre les Montanistes, II, 90. [Édi-
tions des fragments de ses écrits, 90. J
APOLLONIUS (Saint), diacre. Son mar-
tyre, III, 49, 50. — Miracles qui se faisaient
à son tombeau rapportés dans les Vies des
Pères écrites par Rufin d'Aquilée, VII, 473.
— Pétrone apprend son histoire dans les so-
litudes d'Egypte, X, 161.
APOLLONIUS COLLATIUS (Pierre), prê-
tre de l'église de Novare. On l'a placé à tort
parmi les auteurs du vu" siècle. Il ne vivait
que dans le xv" ; ses poésies, XI, 743.
APOLLOPHANE, païen, dont il est parlé
dans une des lettres atti'ibuées à saint Denis
l'Aréopagite, comme ayant vu l'éclipsé au
temps de la Passion, X, 351, 352. Sa con-
version, 552.
APOLOGÉTIQUE pour les chrétiens, ou-
vrage de Tertullien avant sa chute, II, 22 et
suiv.
APOLOGÉTIQUE du pape Symmaque
contre l'empereur Anastase, X, 525.
APOLOGÉTIQUE de Rathérius, évêque de
Vérone, contre les calomnies de son clergé,
Xn, 832.
APOLOGIES des chrétiens par saint Qua-
drat, évêque d'Athènes, I, 401 et suiv. Par
Aristide, philosophe athénien converti, 403
et 404. Par Ariston de Pella, juif converti,
404, 403. Première apologie de saint Justin,
413 et suiv. Seconde apologie du même, 417
et suiv. Apologie de la religion chrétienne
par Méhton, évêque de Sardes, 433 et suiv.
Par Claude Apollinaire, évêque d'Hiéraple,
463. Par Athénagore, philosophe d'Athènes,
481 et suiv. Par Miltiade , 493. Par saint
Apollone, 494. Par Minutius Félix, 550 et
suiv. — Par Tertullien, II, 22 et suiv. Par
Origèue contre Celse, 179 et suiv.
APOLOGIE de la religion chrétienne par
saint Lucien d'Antioche, II, 75.
Y. 186.
It siècle.
m siècle.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
71
APOLOGIE pour les chrétiens contre les
Juifs par Léonce, évêque de Naples, XI, G63
et suiv.
siècle. APOLOGIE d'Origène, par saint Pamphile,
II, S24 et suiv. [Éditions de cette Apologie,
703.]
351. APOLOGIE de saint Atlianase , par lui-
même contre les Ariens, IV, H9 et suiv.
■ siècle. APOLOGIE de saint Grégoire de Nazianze,
379_ par lui-même, V, 203. Autre contre les
3gg, Ariens. 220, 221. Autre contre ceux qui
l'accusaient d'avoir brigué le siège de Cons-
tantinople, 222.
icttoi APOLOGIE de Rufin d'Aquilée par lui-
même dans sa lettre au pape Anastase, VII,
433 et suiv. Autre en deux livres contre
saint Jérôme, 457 et suiv. Elle est rappelée
dans l'article de saint Jérôme, 615. Ces deux
apologies ont été jointes aux œuvres de
saint Jérôme, 648.
395^ APOLOGIE de Jean, évêque de Jérusalem,
adressée à Théophile d'Alexandrie, VII, 501 .
393. APOLOGIE de saint Jérôme par lui-même
touchant ses lettres contre Jovinien , VII,
(401. 601, 602. Autre en deux Mvres contre Rufin,
«02. 613. Autre formant un troisième livre contre
Rufin, 615.
APOLOGIE d'Orose contre Jean de Jéru-
salem qui l'avait accusé de blasphème, VII,
501 et X, 5 et 6. — Analyse de cette apolo-
gie, X, 5 et 6.
[APOLOGIE (grande) , ouvrage de saint
Nicéphore patriarche de Gonstantinople
contre les Iconoclastes, XII, 292. Analyse de
cet écrit, 292 et 293. Choses remarquables
c«ntenues dans cette Apologie, 293.]
[APOLOGIE (Petite), ouvrage de saint
Nicéphore, patriarche de Gonstantinople
contre Léon l'Arménien, XII, 293.]
APOLOGIE des saints martyrs de Gor-
doue, par saint Euloge, XII, 519 et suiv.
APOLOGIE d'Abbon, abbé de Fleury. A
quelle occasion elle fut faite, XIII, 26 et
suiv. Analyse de cette apologie, 27, 28.
APOLOGIES d'Abailard. Première apolo-
gie , XIV, 328. Seconde apologie, 328 et 329.
APOLOGIE de saint Bernard, XIV, 433,
434, 470 et suiv.
APOLOGIE de Pierre le Vénérable, XIV,
503 et suiv.
[APOLOGIE de Pierre Lombard contre
Jean de Cornouailles, XIV, 568.]
APOLOGUES MORAUX, imprimés sous le
nom de sai^t Cyrille d'Alexandrie sont d'un
auteur latin et récent, VIII, 324.
APONIUS (et mieux APPONIUS), auteur
qui vivait sur la fin du vu" ou au commen-
cement du vin" siècle. Son commentaire sur
le Cantique des Cantiques, XI, 807, 808.
Abrégé de ce commentaire, 808. [Apponius
vivait au vi" siècle d'après Maï, 807. Raisons
qui l'établissent, 807 et 808. Commentaire
d'Apponius sur le Cantique des Cantiques :
le cardinal Maï en a publié les livres VII,
VIII et une partie du IX". Choses remar-
quables contenues dans ce commentaire,
808.]
APOSCHITES, secte des Jacobites. Pour-
quoi ils sont ainsi nommés. Leurs erreurs,
XI, 809.
APOSCHITES ou DOXARIENS, Héréti-
ques dont parle saint Jean Damascène,
XII, 70.
APOSTATS. 46" canon du concile d'El-
vire, II, 610. Canon 22" du concile d'Arles,
632. — Cas où il peut arriver que l'on se
rende coupable d'apostasie selon Eusèbe de
Césarée, III, 233. — Livre de Lucifer de Ca-
gliari : des Rois apostats, IV, 253, 254. Ca-
non 3" du concile de Valence, 601. Canon 73"
dans la 3" épître canonique de saint Basile le
Grand, 474. — Règlement du pape saint Sirice
sur les apostats, VI, 100. Canon 2" de l'é-
pîlre canonique de saint Grégoire de Nysse,
156, 157. Loi de Valentinien II contre les
apostats, 362. Lois de Théodose contre les
apostats, 366, 367, 372. — Canon du second
concile d'Arles contre ceux qui étaient tombés
dans la seconde persécution, VIII, 612. —
Dispositions d'un concile de Rome à leur
sujet, X, 720, 721. — Canon 29" du concile
d'Epaone concernant les apostats qui reve-
naient à l'Église, XI, 816. — Réponse du
pape Nicolas I""^ aux Bulgares sur les apos-
tats, XII, 583.
APOSTOLIQUES. Secte d'hérétiques. Ce
qui en est dit par saint Epiphane, VI, 398.
APOTACTIQUES. Les mêmes que les
Apostoliques, VI, 398.
APOTHÉOSE ou poëme sur la divinité par
Prudence, VIII, 103, 104.
APOTRE. Livre de l'apôlre à l'usage des
Grecs dans la célébration des mystères. Ce
que c'est, XIII, 133, 136. [Édition lécente,
136.]
APOTRES (Les douze). Actes des Apôtres
écrits par saint Luc, I, 213 et suiv. Évangiles
apocryphes sous leurs noms, 272 et suiv.
Faux actes des apôtres, 276 et suiv. Fausses
épîtres des apôtres, 279, 280. Fausses apoca-
IV siècle.
78
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLESIASTIQUES.
lypses sous leurs noms ; 283, 286. Liturgies
attribuées aux apôtres, 286 et suiv. Symbole
des apôtres, 290 et suiv. Voyez chacun de
ces articles à leur titre. Doctrine d'Hermas
sur les apôtres, 331, 338. Doctrine de saint
Irénée, 321 et suiv. Témoignage de Clément
d'Alexandrie, 602, 603. Traité sur les douze
apôtres attribué à saint Hippolyte, 634, 633.
— Doctrine de ïertullien sur ce qui con-
cerne les apôtres, II, 15 et 74. Livres apo-
cryphes de la doctrine des apôtres, 346 et
389. Doctrine de saint Cyprien, 317 et 337.
Témoignage de Lactance, 517. Concile des
apôtres à Jérusalem, 531 et suiv. Conciles
faussement attribués aux apôtres, 334 et
suiv. Les canons qui portent leurs noms ne
sont pas d'eux, 573 et suiv. Voyez Canons
apostoliques. Les constitutions qu'on nomme
apostohques ne sont point des apôtres, 389
et suiv. Voyez Constitutions apostoliques. —
— Témoignage d'Eusèbe de Césarée, III,
301. De quelle manière les apôtres ont pro-
posé la morale évangéhque, 189. Preuve de
la vérité de ce qu'ils ont écrit de Jésus-
Christ , 190, 191. [Ce qu'Eusèbe dit des
apôtres dans un écrit publié récemment,
226.] Leur changement est une preuve de
la résurrection de Jésus-Christ, 232, 233,
Autre preuve tirée de leurs prédications,
233. Ils ont vécu dans la continence. Ils ont
tous souti'ert le martyre, 301. —Doctrine de
saint Hilaire de Poitiers, IV, 77. Témoignage
de saint Athanase, 223. — Témoignages de
saint Cyrille de Jérusalem, V, 80, 81. Poëme
de saint Grégoire de Nazianze sur les douze
apôtres, 274. — Témoignage de saint Jean
Chrysostôme sur le nom d'apôtre, VII, 102.
Témoignage du même Père sur les apôtres,
181. Homélie sur les douze apôtres attribuée
faussement à saint Jean Chrysostôme, 256.
Homéhe à la louange des douze apôtres atti'i-
buée faussement à Jean de Jérusalem, 502.
— Parallèle des apôtres avec les législateurs
grecs et romains, par Théodoret, X, 96. Té-
moignage de saint Léon sur les apôtres ,
262, 263. — Ce que dit saint Grégoire de
Tours du martyre des apôtres, XI, 374 ; de
leurs images , 388. Témoignage de saint
Fortunat sur le pays où ils ont annoncé l'É-
vangile, 406. Témoignage de saint Grégoire
le Grand , 336. Voyages des apôtres ; ou-
vrage plein d'impertinences dont Photius a
donné l'extrait, 643, 644. Épigramme attri-
buée au pape Honorius sur l'étonnement des
apôlresen voyant Jésus-Christ monter auciel.
648. — Manière dont les apôtres célébraient
la messe d'après Walafride Strabon, XII,
413. Vers en l'honneur des douze apôtres
attribués à Walafride Strabon, 416. [Si les '
apôtres et les prédicateurs évangéliques ont
soigné leurs compositions, 522.] HoméUes
de David Nicétas sur les apôtres, 736. —
Traité des douze apôtres ; ouvrage attri-
bué à Hippolyte le Thébain, XIII, 43.
[Hymne sur la disparition des apôtres par
Godescalk, 117.] Discours d'Othon, moine de
Saint-Emmeran de Ratisbonne en l'honneur
des apôtres, 281, 282, Un concile de Saintes jq97_
ordonne de jeûner toutes les veilles des
têtes des apôtres, 436. Voyez chacun des
apôtres à leurs titres particuliers.
APOTRES DES JUIFS. Ce que c'était,
VI, 348, note 13.
APPARITIONS de Dieu attribuées aux
anges comme étant ses ministres, I, 13,
note 13. — Témoignages de saint Augustin
sur diverses apparitions, IX, 141, 252, 364,
— Apparitions rapportées par Ditmar, XUI,
62, et par Glaber, 146.
APPELLATION à Rome blâmée par saint ,„ ^jj^.,
Cyprien, II, 358, 359. [Voyez pourtant note 3
de la page 358 et note 1 de la page 339.] —
Canons 3, 4 et 5 du Concile de Sardique, jy ^j^^,
ni, 483, 486. [Voyez 485, n. 7.] — Le pape
saint Zozime appuie ces appellations sur les
décrets du concile de Sardique, VII, 537 et
541, [Voyez 537, n. 3, et 538, n, 1.] — Abus
des appellations importunes et téméraires re-
montré avec force au pape saint Célestin par
un concile d'Afrique, VIII, 127. Elles sont
combattues par les évêques d'Afrique, 363
et suiv. [Voyez 563, note 2.] — Le pape saint
Léon maintient l'usage des appellations à
Rome, X, 199. [Voyez la note 1,] Doc-
trine du pape saint Gélase sur les appella-
tions au Saint-Siège, 496, 497. — Les pré-
tendus privilèges de l'Eghse de France allé-
gués comme défendant ces appels, XII, 578,
rejetés par le pape saint Nicolas, 379. Ap-
pellations reconnues légitimes par Hincmar
de Reims, 662, 663. Traité d'Hincmar de
Reims contre les appellations au pape, 683.
— [De la Liberté des appellations, second
livre de la Collection de saint Anselme de
Lucques ; analyse de ce livre, XIII, 396. Ap-
pellation au métropolitain et aux autres
juges supérieurs de l'Église catholique, ca-
non du quatrième concile général de Cons-
tantinople, omis par Fleury. Réflexions sur
ce canon, 710.] — Inconvénients qu'y trou-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
79
vait Yves de Chartres, XIV, 117. Elles com-
mencent à être employées en Angleterre ;
inconvénients qui résultaient de ces appella-
tions selon le vénérable Hildebert , 213.
[Voyez la note 1]. Abus que saint Bernard y
relève, 439 et -463. Elles commencent à être
employées en Angleterre. [Réponse de saint
Anselme sur l'usage contraire en Angleterre,
1123.] Canon du concile de Latran pour en
modérer l'abus, 1140. Voyez Appels.
APPELLE, cà qui écrit Théodoret, X, 74.
APPELLÉIENS. Ce que saint Epiphane
dit de cette secte, VI, 392, 393.
APPELLES, disciple de Marcion. Voyez
ApelVes.
APPELS. [Droit d'appel au pape. Auteurs
favorables et défavorables, III, 485, n. 7.J —
LesDonatistes appellent du concile de Rome
à l'empereur qui les en blâme, V, 112. — (Is
appellent encore du concile d'Arles à l'em-
pereur qui les condamne, III, 134. — Évéque
condamné à l'amende pour avoir appelé de
la sentence d'un concile à un magistrat sé-
culier, IV, 600. — Appels au concile de la
province. C'est le sujet du canon 14" du
concile de Sardique, III, 489. [Note sur l'ap-
pel au pape, 490.] — Canon d'un concile
d'une ville d'Afrique sur les appels, VIII,
S63. [Voyez la note 2]. Canon 28' du 6'= con-
cile de Carthage, 567. Appels de l'évéque au
concile de la province autorisés par le con-
cile de Vaison, 610. — [Ce que dit le pape
Innocent II des appels dans une lettre aux
archevêques et évêques d'Allemagne ; à
Henri, archevêque de Sens, XIV, 265, à
d'autres, 266. Ce que décida le pape Gré-
goire VIII pour remédier à la multiplicité
des appels comme d'abus, 936. Réponse du
pape Célestin III relativement aux appels,
944.] Canons du concile de Latran concer-
nant les appels dans les jugements, 1168.
APPHIEN (Saint), martyr de Palestine,
III, 6, 7. Ses actes donnés par Assémani,
353.
APPION et CANDIDUS. (Ils sont regardés
comme auteurs d'un commentaire sur l'ou-
vrage des six jours. Voyez du Pin.)
APPRENDRE. Traité de Hugues de Saint-
Victor de la manière d'apprendre et de mé-
diter, XIV, 358.
APRA ou ABRA, fille de saint Hilaire.
Voyez Abra.
APRE , (Saint) , évéque de Toul, paraît
différent de celui qui suit, VIII, 77.
APRE, avocat et ensuite prêtre. Lettres
que lui écrivit saint Paulin, évéque de Noie,
VIII, 77. Autre lettre de saint Paulin à Apre
et à Amande sa femme, 79. (Ce pourrait être
le même qu'Aper, à qui Salvien écrivit.
Voyez l'article d'Aper , prêtre d'Aquitaine
dans V Histoire littéraire de la France, tome II.
p. 99 et suiv.)
APRIGIUS , évéque de Badajoz, en Es-
pagne, auteur d'un commentaire sur l'Apo-
calypse que nous n'avons plus, XI, 807,
808. [Son commentaire sur le Cantique des
Cantiques ; abrégé de ce commentaire ;
livres VII, VIII et une partie du IX" publiés
par le cardinal Mai, 808.]
APRINGIDS, proconsul. Lettre que lui
écrivit saint Augustin, IX, 120, 121.
APRONIEN, ami de Rufin, qui lui adresse
son apologie , VII, 453. Sa traduction de
quelques discours de saint Grégoire de Na-
zianze, et celle des sentences de Sixte, 466.
APRONIEN, mari d'Avita, nièce de sainte
Mélanie. Païen, il se convertit, VII, 459.
APRONIEN, comte des domaines. Lettre
que lui écrivit Théodoric, roi des Goths en
Italie, XI, 214, 215.
APRONIUS, à qui saint Jérôme écrit une
lettre, VU, 646.
APRUNCULUS, évéque. Lettre que lui
écrit Rurice, évéque de Limoges, X, 609.
APSELAME (Pierre) (Saint) , martyr de
Palestine, III, 11 et 81.
AQUARIENS, hérétiques qui n'offraient
que de l'eau dans les saints mystères, V,
175.
AQUARIENS. Nom donné aux Encratites.
Pourquoi, X, 130.
AQDILA de Pont. Apostat judaïsant, au-
teur d'une version grecque de l'Ancien Tes-
tament, II, 142, 143. — Ce que saint Epi-
phane dit de sa version, VI, 418.
AQUILA, évéque de Saltzbourg. Lettres à
lui adressées, XH, 198, 199, 200. Voyez
Arnon.
AQUILÉE, ville célèbre d'Italie qu'on ap-
pelait la seconde Rome, VII, 448 et 494. —
Concile qui y fut tenu, IV, 628 et suiv. For-
tunatien , évéque de cette ville , 317. • —
Rufin, prêtre d'Aquilée, auteur ecclésias-
tique, VII , 448 et suiv. Saint Ghromace ,
évéque de cette ville, 493 et suiv. -^ Lettre
de saint Léon à l'évéque d'Aquilée, X, 206.
— Le pape Honorius réunit à l'Église
Aquilée et toute l'Istrie, XI, 647. — Con-
cile tenu en cette ville, XII, 968. — Le pa-
triarche d'Aquilée prétend prouver qu'il doit
406.
412.
417.
V. 130.
381.
381.
IV siècle.
V siècle.
IV et
V siècle.
80
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1047.
avoir la préséance sur les archevêques de
Ravenne et de Milan. Elle est accordée à
celui de Ravenne, XIII, 198. — Lettre de
Théodore Balsamon au patriarche d'Aquilée,
où il prétend prouver qu'il n'a aucun droit
au titre de patriarche, XIV, 826.
AQUILÉE (Nouvelle). Voyez Grado.
AQUILIN , avocat célèbre de Gonstanti-
nople guéri de la fièvre par saint Michel,
VIII, 525.
AQUILIN, évêque de Barbalisse, déposé
,j34^ par Jean d'Antioche ; il se réunit à sa com-
munion, Vin, 603.
IV siècle. AQUILIUS SÉVÉRUS, Espagnol. Ses
écrits, IV, 347.
[AQUIN (Charles d'). Son édition des écrits
de saint Damase, V, 25.]
IV et AQUITAINE (Sulpice-Sévère), prêtre d'A-
V siècle, quitaine, VIII, 110 et suiv. — Concile
d'Aquitaine, XIII, 697.
ARABES. Leur incursion sur la Laure de
jji gi^j,g_ saint Sabas, XI, 697. — Lettre du pape saint
Etienne aux égUses d'Arabie, II, 422. Con-
243^ ciles tenus dans l'Arabie, 554, 555. — Saint
IV siècle Grégoire de Nysse visite les églises d'Ara-
bie, VI, 123.
AB-ABIEN ou BRABIEN, auteur ecclésias-
tique, I, 537.
ARABIEN, évêque d'Ancyre. Concile de
Constantinople auquel il assiste, VII, 716.
ARABIQUES (Les canons) attribués faus-
sement au concile de Nicée, III, 440, 441.
Quelle peut être leur origine, 441.
^Qg_ ARABIUS, ami de saint Jean Chrysos-
tôme. Lettre que ce saint docteur lui écrivit,
VII, 131.
ARANÉOLE, femme de Polémius célébrée
daus les vers de saint Sidoine Apollinaire,
X, 397.
ARANSIUS, évêque de Tolède, dont parle
saint Ildefonse , quoiqu'il n'ait rien écrit,
XI, 699.
ARATOR, évêque, frère de la mère de
saint Rustique , évêque de Narbonne , X ,
199.
ARATOR, poète chrétien, d'abord inten-
dant des domaines de l'emperem" ; le roi
Théodoric l'envoie en députation vers Atha-
laric, puis le fait comte des domestiques ;
Arator embrasse l'état ecclésiastique et est
fait sous-diacre de l'Église romaine ; son
j^^ poëme des Actes des apôtres qu'il présente
au pape Vigile, XI, 197. Idée de ce poëme,
197 et 108. Éditions qu'on en a faites, 198.
[Éditions des écrits d'Arator dans la Patro-
III siècle.
.394.
logie, 198.] Lettre que lui écrit Ennode
pour le détourner des sciences profanes ; il
met en vers les Actes des apôtres et les dé-
die au pape Vigile, X, 573. — Bède se sert
de ce poëme pour faire son commentaire
sur les Actes des apôtres, XII, 9.
ARBALÉTRIERS. Un concile de Latran
leur défend d'exercer leur art contre les
chrétiens et les catholiques, XIV, 1115.
[ARBELLOT (L'abbé). Sa dissertation sur
l'Apostolat de saint Martial XII, 897. Ses
observations sur les actes de saint Julien,
évêque du Mans, 897 et 898.]
ARBESTAS, évêque de Syracuse, déposé
pour ses crimes, XII, 720.
ARBITRE. Voyez Libre arbitre.
ARBOGASTE, comte, tient sous le joug
Valentinien II ; le fait étrangler ; donne à
Eugène le titre d'empereur, V, 391. Se tue
après la défaite d'Eugène, 392.
ARBOGASTE , comte , gouverneur de
Trêves, (depuis évêque de Chartres), con-
sulte saint Sidoine sur quelques dififlcultés
de l'Écriture, X, 388. Lettre que lui écrit
saint Auspice, évêque de Toul, 400. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, tome II, p. 548 et suiv.)
ARBOGASTE, évêque de Strasbourg. Du-
rée de son épiscopat; ses homélies en forme
de commentaire sur les Épîtres de saint
Paul ; sa vie écrite par Uthon l'un de ses
successeurs, XI, 781. [Édition de cette vie
dans la Pairologie, 781.] (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. III,
p. 622.)
ARBORIUS, préfet de Rome. Sa fille est
guérie par l'attouchement d'une lettre de
saint Martin, VIII, 125.
ARBRE. Qu'est-ce que le bon et le mau-
vais arbre dont il est parlé dans l'Évangile,
IX, 498. Sentiment de saint Augustin sur
l'arbre de vie, 558.
ARCADE (Saint), martyr dans VAchaïe,
m, 84, 85.
ARCADE. Trésorier des revenus particu-
liers du prince, IV, 429. Lettre que saint
Basile le Grand lui écrit, 429, 430.
ARCADE, empereur. Requête des deux
prêtres Marcelhn et Faustin aux empereurs
Théodose, Valentinien et Arcade, V, 150 et
suiv. — Arcade fait élever saint Jean Ghry-
sostôme sur le siège de Constantinople,
VII, 2. Conduite qu'il tient dans le différend
qui s'élève entre Théophile et saint Jean
Ghrysostôme, 3 et 6. Il exile le saint évêque
H39.
670-6!
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
81
et le rappelle presque aussitôt, 6 et 7. Dé-
putation des Occidentaux , du pape Inno-
cent I et de l'empereur Honorius à Arcade
en faveur de saint Jean Ghrysostôme, 11.
Arcade fait un édit contre ceux qui demeu-
raient attachés à saint Jean Clirysostôme,
491. Lettres à cet empereur faussement at-
tribuées au pape Innocent, et de cet empe-
reur à ce même pape, 527. — Synésius, de-
puis archevêque de Plolémaïde, est député
vers cet empereur au nom de la ville de
Cyrène, VIII, 24. — Lettre du concile du
Chêne à cet empereur contre saint Jean
Ghrysostôme. Il le bannit, VII, 749. —
Arcade défend d'offrir aucun sacrifice au
démon, VIII, 203. Saint Nil se plaint à lui
de l'injure qu'on faisait à saint Jean Ghry-
sostôme ; il a recours aux prières de ce
saint, 206. Il avait été tenu sur les fonts de
baptême par saint Arsène qui depuis fut
chargé de son éducation, 398. Ses enfants,
•471. — Il succède à Théodose et imite sa
piété, X, 49.
ARCADE (saint), et ses compagnons, ban-
nis pour la foi catholique par Genséric, roi
des Vandales, X, 466 et suiv. Lettres que
Honorât Antonin, évêque de Cirthe, leur
écrit pour les fortifier dans la foi, 466, 467.
Leur martyre, 467. — [Traité de saint Ze-
non, évêque de Verceil, sur saint Arcade,
VI, 274.]
ARCADIE, fille de l'empereur Arcade,
embrasse la virginité, VIII, 471.
ARCADIOPOLIS, évéché uni à celui de
Byze, VllI, 591.
ARCADIUS, évêque à qui saint Basile
écrit une lettre, IV, 437, 438.
ARCADIUS (ou ARCADE), évêque, l'un
des légats envoyés par le pape saint Céles-
tin au concile d'Ephèse, VIII, 139.
ARCADIUS, évêque des Gaules, à qui le
pape saint Gélestin écrit en faveur de saint
Augustin, X, 277.
ARCADIUS, archevêque de Chypre, avait
composé la vie de saint Siméon Stylite le
jeune, XI, 676.
ARCHANGES. Cosme d'Egypte croit qu'il
y en a qui sont députés à la garde de cha-
que nation et de chaque royaume, XI, 188.
ARCHE DE NOÉ. On en voyait encore
les débris, au temps de saint Théophile, sur
les montagnes d'Arménie, I, 480. — Arche
de Noé, figure de l'Église selon saint Cy-
prien, II, 355. — Livre de saint Ambroise
sur l'arche et sur Noé, V, 399, 400. — Té-
TAB. I.
moignage de saint Ephrem sur l'arche de
Noé, VI, 52. — Témoignage de saint Jean
Ghrysostôme, VII, 202. Témoignage de saint
Jérôme, 335. — Sentiment de saint Augus-
tin sur l'arche de Noé, IX, 615. — Traité de
la ressemblance de l'arche à l'Église, faus-
sement attribué au vénérable Bède, XII, 5.
— Traité de l'arche mystique et morale at-
tribué à Hugues Follet, XIV, 331, 332.
ARCHE D'ALLIANCE. Explication allégo-
rique du vénérable Bède, sur ce qui est dit
dans l'Exode, de la construction de l'arche
d'aUiance, XII, 8. Traité de Tarche d'al-
liance et de la sortie d'Égyple. — Ouvrage
de Geofifroi de Vendôme, XIV, 167, 168.
ARCHÉLAUS (saint), évêque de Gaschare
dans la Mésopotamie; Disputes d'Archélaus
contre Manès, II, 433. [Authenticité des ac-
tes de la Conférence d'Archélaiis, 454.] Ori-
gine et progrès des erreurs de Manès, 454.
Lettre de Manès à Marcel. Ses erreurs ; Ma-
nès entre en conférence avec Archélaûs,
433. Analyse de cette Conférence, 433 et
suiv. Dispute de Diodore contre Manès ;
lettre de Diodore à Archélaûs ; réponse de
cet évêque, 457. Seconde Dispute d'Arché-
laus contre Manès, 437 et 458. Troisième
Conférence d'Archélaus, 438. Remarques
sur la doctrine d'Archélaus , 458 et 439.
[Éditions de ses Conférences, 453 et note 3,
et 459.] Saint Cyrille de Jérusalem rapporte
une partie de cette conférence, V, 40.
ARCHÉLAUS , comte, tâche de réconci-
her saint Jérôme avec Jean de Jérusalem,
VII, 500.
ARCHEMBALD, archevêque de Tours, at-
taque les privilèges des chanoines de Saint-
Martin. Lettre d'Abbon de Fleury à ce su-
jet, XIII, 28, 29. Archembald est suspendu
de la communion par un concile de Rome,
764.
ARGHEMBAUD, archevêque de Mayence,
succède à Willégise ; sa mort ; Aribon lui
succède, XIII, 67.
ARGHEMBAUD, sous -doyen d'Orléans,
tué ; son meurtrier excommunié, XIV, 239.
ARCHEMBALD, évêque de Strasbourg,
voyez Erkembald.
[ARGHÉUS, évêque de Lepta, I, 542.]
ARCHEVÊQUE. Mélèce, évêque de Lyco-
ple, en Egypte, prend ce titre, III, 427. —
Ce titre était connu dès le temps de saint
Athanase, IV, 221. — Ce titre était in-
connu du temps des apôtres, VI, 78, 80,
81, et même dans les trois premiers siè-
6
Î77.
X siècle.
1011.
1020.
lion
III siècle.
IV siècle.
82
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
clés, 78, 80. [Mais la chose était connue,
78, note 3.] — Le titre d'archevêque de
l'Église universelle donné au pape , X ,
490. — Prérogatives des archevêques sui-
vant Hincmar de Reims, XII, 674. — Règle-
ments d'un concile de Paris touchant les ar-
chevêques et évêques, XIV, 1156.
[ARCHEVÊQUES et patriarches de Cons-
tantinople des différents siècles. Leurs sen-
tences synodales et sanctions pontificales
constituant le droit canonique grec romain
de l'Église orientale sont reproduites au
tome CXIX de la Patrologie grecque.]
ARCHIDIACRE, nom inconnu du temps
du pape saint Clément, VI, 79. — Statuts
IX siècle. d'Hincmar de Reims qui règlent la manière
dont les archidiacres doivent faire la visite
des paroisses dépendantes de leur juridic-
tion, XII, 664. Statut de Vautier d'Orléans
sur les ai'chidiacres pour les examens des
curés, 703. — Canon d'un concile de Paris
touchant les archidiacres, XIII, 663. — Ca-
nons d'un concile de Londres, XIV, 1155.
[Fonctions de l'archidiacre dans la visite des
églises d'après le pape Innocent II, 266.
D'après le même pape les archidiacres et
les doyens doivent recevoir les ordres sa-
crés, 998.]
ARCHIMANDRITE, terme employé par
l'auteur des constitutions attribuées à saint
Basile, IV, 409. — Lettre de saint Léon aux
archimandrites de Constantinople, X, 314.
[ARCHIERATICON , livre liturgique des
Grecs, XIII, 138.]
ARGHINIME (Saint), martyr, ou plutôt
confesseur en Afrique pendant la persécu-
tion des Vandales, X, 452.
ARCHIPRÊTRES. [Le litre d'archiprêtre
donné à un évêque, XII, 523.] Canon d'un
concile de Reims qui détend de prendre un
laïque pour le faire archiprêtre dans une pa-
roisse, 915.
ARCHITAS, philosophe dont saint Am-
broise rappelle une sentence, V, 437.
IV siècle ARCHONTIQUES, hérétiques. Ce que
saint Epiphane dit de cette secte, VI, 392.
ARCUDIUS (Antoine), prêtre. Grec de na-
tion. Sa traduction latine d'une partie du
Ménologe, XIII, 132. Son Antologium à Tu-
sage des voyageurs, 137, 139.
VII i<! ARCULFE, évêque gaulois. Son voyage
en Terre-Sainte, XI, 800, 801. A son retour,
il est jeté par la tempête sur les côtes de la
Grande-Bretagne ; il aborde à l'Ile de Hi où
il est accueilli par l'abbé Hadamnan, 801. Il
raconte ses aventures à cet abbé, qui les
met par écrit et en compose une description
de la Tei're-Sainte. Ce qu'elle contient de
plus remarquable, 801 et 802. [Edition de
cette description dans la Patrologie, 802.]
ARDENTS. Maladie des ardents. Ce que
c'était, XIII, 147.
ARDENT (Raoul) orateur. Voyez Raoul
Ardent.
ARDOBERT, établi archevêque de Sens
par le concile de Leptines. Saint Boniface
demande pour lui le pallium, XII, 30.
ARDON , surnommé Smaragde , moine
d'Aniane ; ce qu'on sait des circonstances
de sa vie; sa mort, XII, 394. Il écrit la vie
de saint Benoît d'Aniane, 394 et 258. Le
discours qui accompagne cette Vie dans les
imprimés n'est pas de lui. On lui a attribué
d'autres ouvrages qui sont de Smaragde,
abbé de Saint-Mihiel, 394. (Voyez son arti-
cle dans VHist. littér. de la France, tome V,
p. 31 et suiv.)
AREUIUS, fondateur d'un monastère où
il introduit la règle de saint Basile, IV,
393.
ARÉDIUS, homme illustre à la cour de
Gondebaud, favorise les ariens, X, 735.
ARÉGIUS, évêque de Gap. Le pape saint
Grégoire l'invite à un concile, et lui permet
l'usage des dalmatiques, XI, 518.
AREOBINDE, général de l'Orient, Voyez
Aréovinde.
ARÉOPAGITIQUES,composésparHilduin,
abbé de Saint-Denis. Ce qu'ils contiennent,
XII, 384, 385.
ARÉOVINDE, Patrice. Lettre que lui écrit
Théodoret pour l'engager à faire quelques
remises aux fermiers des terres qu'il avait
dans le diocèse de Cyr, X, 66. Général de
rOrient, il se signale dans la guerre contre
les Perses, 490 et S85.
ARES ( Samt ) , martyr de Palestine , 308
III, 11.
ARÉTAS ou ARÉTHAS ( Saint), prince de
la ville de Nagran; son martyre, X, 644,
645.
ARÉTAS, évêque de Césarée en Cappa- x siècit
doce. Son commentaire sur l'Apocalypse, yfj'jj'
XI, 263. Editions et traduction qu'on en a
faites, 266. [Autres éditions, 266.] Son dis-
cours en l'honneur des saints martyrs Sa-
mone, Carie et Abibus, donné par Surius,
266. — II n'a vécu qu'à la fin du ix' ou au
commencement du x° siècle, XII, 426. [Ce
sentiment parait faux, 426, note 1. Voyez
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
83
aussi XI, 265, note 2.] 11 a ^té placé à tort
parmi les auteurs du yi" siècle. Deux ma-
nuscrits dont la date prouve qu'il vivait au
commencement du x'= siècle, 814. [On com-
bat ce sentiment. Cependant les éditeurs
de la Patrologie grecque ont placé cet arche-
vêque sous l'an 910. Ses œuvres reproduites
au t. CVI comprennent : 1° Le commentaire
sur l'Apocalypse ; 2° un discours sur les
saints martyrs Samone, Caria et Abibus, tiré
de Surius en latin seulement; 3° un discours
sur la translation de saint Euthymius, pa-
triarche de Constantinople, tiré de Lipoman.
Elles sont précédées d'une notice de Fabri-
cius, du jugement du traducteur Hentenius
sur les commentaires de l'Apocalypse, sur
le séjour de saint Jean à Pathmos et sur la
révélation de l'Apocalypse.]
ARÉTHUSE. Supplice que les habitants
de cette ville font souffrir à l'évêque Marc.
Ils apprennent de lui les premiers principes
de la religion chrétienne, X, 46.
ARÉTIN (Gui), moine. Voyez Guid'Arezzo.
ARÉTIN (François). Ses corrections sur
une ancienne version latine des homélies de
saint Jean Chrysostôme sur l'Evangile de
saint Jean, VII, 436.
ARÉTIUS (Jean). Sa traduction latine de
quelques ouvrages de saint Alhanase, IV,
231.
[ARÉVALO (et non ARÉVOLO). Son édi-
tion des œuvres de Prudence, VUI , 107.
Son édition des écrits de Sédulius, 109. —
Son édition des écrits de Draconce, X, 587.
— Son édition des écrits de saint Isidore,
XI, 727.]
ARGENTEUIL, monastère près Paris.
[Réforme de ce monastère ordonné par le
pape Honorius II, XIV, 256, et par le pape
Innocent II, 262.] Un concile de Paris or-
donne de remplacer les religieuses qui l'ha-
bitaient par des moines plus réguliers, 1110.
ARGOLICUS, préfet de Rome, X, 648.
ARûRlM, évêque de Langres, sacré par
Aurélien, archevêque de Lyon , XII, 633 et
741. Confirmé par le pape Jean IX, 741.
Lettres du pape Benoît IV, à son sujet, 742.
— Concile de Rome qui prononce en sa fa-
veur, XIII, 740.
ARGYRE, duc d'Italie, chargé de faire
tenir au pape saint Léon IX les lettres de
l'empereur Constantin Monomaque et du
patriarche Michel Cérularius, XIII, 214. Ca-
lomnies dont le charge le patriarche Michel,
221, 223, 224.
ARIALD (saint), Diacre de Milan, martyr.
Sa mort, XIII, 289. [Jugement sur ce saint loee.
martyr ; les actes de son martyre ; ses trois
discours, 289.]
ARIALD, moine du Mont-Cassin, auteur xisiède.
de quelques ouvrages qui ne sont pas con-
nus, XIII, 494.
ARIANISME. Abrégé de l'histoire de l'a-
rianisme, III, 414. Naissance de l'hérésie
arienne, 414 et suiv. Le premier concile 321.
d'Alexandrie condamne Arius et ses secta-
teurs ; Arius met le trouble partout ; Con-
ciles d'Egypte à cette occasion ; Arius écrit
à Eusèbe de Nicomédie ; lettre de celui-ci à
Paulin de Tyr, 413. Lettres de saint Alexan-
dre contre Arius, 416. Arius écrit sa Thalie
et diverses chansons. Il engage Constancie
dans ses erreurs, 416 et 417. Sa lettre à
saint Alexandre, 417. Concile de Bithynie
en sa faveur, 417 et 418. Constantin écrit
pour réconcilier Arius avec saint Alexan-
dre ; second concile d'Alexandrie assemblé 324,
par Osius, 418. Concile œcuménique de Ni- 325.
cée où la condamnation d'Arius est confir-
mée, 423 et suiv. Le terme de consubstantiel
est approuvé par ce concile comme opposé
à l'erreur d'Arius, 424. Symbole de Nicée
contre l'erreur d'Arius, 425. Lettre syno-
dale de ce concile, 443. Lettre de Constantin
à toutes les églises et en particulier à celle
d'Alexandrie, 445 et 446. Le concile de Ni-
cée est reçu dans toutes les églises, 447.
Concile d'Antioche contre saint Eustathe, gg,^
évêque de cette ville, et Asclépas de Gaze,
448, 449. Concile de Césarée en Palestine 333.
où les Eusébiens s'unissent avec les Mélé-
ciens contre saint Athanase, 449. Concile de
Tyr où saint Athanase est déposé, 449 et 335,
suiv. Concile de Jérusalem où Arius est reçu
par les Eusébiens à la communion de l'É-
glise, 456, 457. Lettres de ce concile à l'é-
glise d'Alexandrie et à l'empereur, 457.
Concile de Constantinople contre Marcel 336.
d'Ancyre , 457 et suiv. Autre concile de
Constantinople contre Paul, évêque de cette 333 ou 339.
ville, 439. Concile d'Antioche où Pistus est
ordonné évêque d'Alexandrie, 459 et 460.
Concile d'Alexandrie pour saint Athanase ; 339.
lettre des évêques de ce concile pour la dé-
fense de ce saint évêque, 460 et suiv. Con-
cile de Rome pour saint Athanase ; Marcel 341.
d'Ancyre y est reçu à la communion de
l'Éghse, et Asclépas de Gaze rétabli, 464.
Concile d'Antioche, dit de la Dédicace, à la
suite duquel les Eusébiens s'unissent contre 342.
84
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
345.
344 on
345, 346.
347 [ou
plutôt 343.]
347 [ou
plutôt 343 ]
347.
349.
350.
351.
352.
353.
354.
355.
356.
357.
358.
358.
359.
359.
saint Athanase, et ordonnent à sa place
Grégoire de Cappadoce ; saint Athanase se
réfugie à Rome, 472. Députation des Orien-
taux à l'empereur Constant , 473. Concile
d'Antioche où les Eusébiens dressent la for-
mule macrostiche, 473 et 474. Concile de
Milan où les Eusébiens présentent cette for-
mule , 474. Concile de Sardique où saint
Athanase, Marcel d'Ancyre et Asclépas de
Gaze sont absous et les chefs des Eusébiens
anathématisés, 475 et suiv. Faux concile de
Sardique tenu par les Eusébiens à Philippo-
pole, dans lequel ils datent leur lettre de
Sardique, 494. Concile de Milan où les Eu-
sébiens déposent Photin, 497. Retour de
saint Athanase à Alexandrie; concile de Jé-
rusalem en sa faveur ; il tient un concile à
Alexandrie, 501 . Les évêques -veulent se rap-
procher de lui ; concile tenu à Milan à ce
sujet ; Ursace et Valens y rétractent les ca-
lomnies dont ils avaient chargé ce saint
évêque, 501 et suiv. Subtilités des Orien-
taux contre saint Athanase dans le premier
concile de Sirmium, 503, 504. Second concile
de Sirmium; formulaire de foi qu'ils y dres-
sent, 504 et suiv. Les Eusébiens font de
nouveaux efforts contre saint Athanase ;
concile de Rome tenu à ce sujet, 519, 520.
Concile tenu à Arles ; violences exercées
pour parvenir à faire condamner saint Atha-
nase, 520, 521. Le pape Libère demande
un concile, 521, 522. Concile de Milan où
saint Athanase est condamné, 522 et suiv.
Concile de Béziers où les Ariens s'élèvent
contre saint Hilaii^e de Poitiers, 524. — Con-
cile de Sirmium ; formule de foi qui y fut
dressée ; seconde de Sirmium, IV, 549, 550.
Les Anoméens reçoivent celte formule dans
le concile d'Antioche, 550. Concile d'Ancyre
tenu par les Serai-Ariens, 550 et suiv. Les
Anoméens signent à Sirmium les décrets
d'Ancyre, 552. Concile de Sirmium; formule
de foi qui y fut faite ; troisième de Sirmium,
552 et 553. Formule de Basile d'Ancyre et
de quelques autres Demi-Ariens, 553. Con-
cile de Rimini, 555 et suiv. Concile de Sé-
leucie par les Demi-Ariens, 565 et suiv. Les
députés de Rimini, chefs des Ariens, font
souscrire la formule de Rimini par les dé-
putés de Séleucie, 573, 574. Concile de
Constantinople assemblé par les Acaciens,
574 et suiv. Un grand nombre d'évêques y
sont déposés, 577 et suiv. Les évêques dé-
posés sont exilés et révoquent la signature
du formulaire de Rimini, 579, 580- Ce for-
mulaire est envoyé pour être signé dans les
provinces d'Orient et d'Occident , 580 et
suiv. Concile dans les Gaules contre les
Ariens ; concile de Paris, 582 et suiv. Con-
cile d'Antioche pour l'élection d'un évêque
de cette ville, 584 et suiv. Autre concile
d'Antioche tenu par les Acaciens, 586. Con-
cile indiqué à Nicée tenu par Constantius
qui meurt avant de l'avoir assemblé , 586 et
587. Concile d'Alexandrie tenu par les évê-
ques rappelés de leur exil, 587 et suiv. Con-
cile des Macédoniens ou Semi-Ariens à Zèle
et à Antioche, 594, 595. Conciles tenus à
Alexandrie et à Antioche sous la protection
de l'empereur Jovien, 595 et suiv. Concile
tenu à Lampsaque par les Macédoniens ,
598, 599. Concile tenu à Nicomédie par les
Ariens ; conciles tenus en Sicile et à Singi-
don par les Semi-Ariens, 599. Les Semi-
Ariens demandent, dans un concile assem-
blé à Thyanes, qu'il en soit tenu un à Tarse,
599 et 600. Concile tenu à Antioche dans la
Carie; on y rejette le mot de consubstantiel
et l'on ordonne de s'en tenir à la confession
de foi de la Dédicace d'Antioche , 600. Con-
ciles d'Ancyre, de Nysse et de Cysique te-
nus par les Ariens, 603 et suiv. Concile de
Constantinople où fut terminée en Orient
l'afifaire de l'arianisme, 616 et suiv. Symbole
de ce concile, 621, 622. Lettre du concile à
Théodose ; loi de Théodose en faveur de
l'Église, 625, 626. Ce concile est reconnu
pour œcuménique, 626 et suiv. Concile d'A-
quilée où s'assemblent les évêques d'Occi-
dent, 628 et suiv. Actes de ce concile. Doc-
trine qu'ils renferment, 629 et suiv. Diverses
lettres de ce concile, 633 et suiv. Deuxième
concile de Constantinople dans lequel les
erreurs d'Arius sont condamnées, 636, 637.
Concile de Rome où se trouvent quelques
Orientaux, 638. Troisième concile de Cons-
tantinople; les Ariens y sont confondus,
638 et suiv. — Constantin travaille à étein-
dre l'arianisme, III, 124, 125. Il assemble le
concile de Nicée et s'y trouve ; après avoir
exilé Arius, il le rappelle, 123. Écrits d'Eu-
sèbe de Césarée sur l'arianisme avant le
concile de Nicée, 252, 253.— En quel temps
les Gotbs sont tombés dans cette hérésie,
IV, 279. Arianisme introduit chez les Goths
par Ulphilas leur évêque, 290 et 346. — Lois
de Théodose pour terminer les troubles cau-
sés par l'arianisme, VI, 364 et suiv. Voyez
Ariens, Arius.
ARIANZE en Cappadoce, lieu de la nais-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
85
sance et de la retraite de saint Grégoire de
Nazianze, V, 178 et 191.
ARIBON CYRINTJS, abbé en Bavière, puis
évêque de Frisingue. Il compose la vie de
saint Corbînien, XIII, 129. Il avait aussi
écrit celle de saint Emmeran. (Voyez son
article dans YHist. littér. de la France, tome
IV, p. 165 et suiv.)
ARIBON , comte, fonde le monastère de
Séon en Bavière, XIII, 99.
ARIBON, archevêque de Mayence, suc-
cède à Archembaud, XIII, 67 et 129. Son
voyage à Rome; sa mort, 129. Ses liaisons
avec Bernon, abbé de Reichenau, 125, 128.
Ses écrits, 129.
ARIBON le scholastique , surnommé le
musicien. Son traité de musique, XIII, 129.
[Editions qu'on en a faites, 129.]
ARIDIUS ou ARIGIUS, élu évêque de Gap
à la place de Sagittaire, déposé au concile
de Châlon-sur-Saône, XI, 518.
ARIDIUS, évêque de Lyon, préside au
concile de Ghâlon-sur-Saône qui, à l'insti-
gation de la reine Brunehaut, dépose Didier
évêque de Vienne, XI, 909.
ARIENS. Zèle de saint Eustathe d'Antio-
che contre les Ariens, III, 159. Livres ou
discours du même contre les Ariens, 160,
161. Liaison d'Eusèbe de Césarée avec
les Ariens, 172 et suiv. Saint Antoine va
à Alexandrie pour combattre les Ariens,
386. — Saint Hilaire s'oppose aux Ariens,
IV, 3 et suiv. Leurs accusations contre
saint Athanase, 92. Nouvelles accusations
contre cet évêque, 94, 95. Les Ariens irri-
tent Constantius contre lui, 98. Nouvelles
accusations, 98, 99 et 100. Apologie de saint
Athanase contre les Ariens, H 9 et suiv.
Discours de saint Athanase contre les
Ariens, 125 et suiv. Conciles et formulaires
des Ariens rapportés par saint Athanase,
134, 135. Remontrances que les Ariens
adressent à l'empereur Jovien contre saint
Athanase; accusations qu'ils forment contre
ce saint évêque auprès de cet empereur ;
les Ariens enferment Lucifer de Gagliari
pour l'exclure du concile de Milan, 240. Ils
maltraitent saint Eusèbe de Verceil, 273,
274. Ils citent Marcel d'Ancyre au concile
de Jérusalem, et le déposent dans celui de
Conslantinople, 303, 306. Ils refusent de dis-
puter avec saint Hilaire de Poitiers au con-
cile de Gonstantinople, 575. Théodore, évê-
que d'Héraclée , en Thrace , favorise les
Arieus, 316, 317. Homélie vingt-quatrième
de saint Basile le Grand contre les Ariens, iv siècle.
390 et suiv. -— Discours de saint Grégoire
de Nazianze adressé aux Ariens, V, 227, 379.
228. Saint Grégoire de Nazianze expose les
cruautés qu'ils exercent sous l'empire de
Valens, 357, 358. Leurs artifices surpren-
nent saint Phébade évêque d'Agen au con- 359.
cile de Rimini, 373. Traité de saint Phébade
contre les Ariens, 374 et suiv. Ils sont sou-
tenus par l'impératrice Justine ; saint Am-
broise l'emporte sur eux par son zèle et sa
fermeté, 381, 382. Justine persécute àcause
d'eux saint Ambroise, 384 et suiv. Loi qu'elle
obtient de Valentinien H en leur faveur,
386. Elle continue de persécuter à cause
d'eux saint Ambroise, 386 et 387. [Ils sont
réfutés par Didyme l'Aveugle, 627.] — Saint
Grégoire de Nysse est persécuté par les
Ariens, déposé et banni, VI, 121. [Discours
contre les Ariens, 316, 328, 329. On doute
s'il est de Diadochus, évêque dePhotice; ce
qu'il contient, 329.] Loi de Valentinien II en
faveur des Ariens, 363. Lettre de l'empe-
reur Maxime à Valentinien II au sujet de la
loi de celui-ci en faveur des Ariens, 363 et
364. Loi de l'empereur Théodose, appelée
Cunctos populos, pour terminer les troubles
causés par les Ariens , 364 , 365. Loi de
Théodose contre les Ariens, 369, 370. Ce
que saint Epiphane dit de ces hérétiques,
404. — Canon contre eux attribué à Théo-
phile d'Alexandrie, VU, 445. — Leurs er-
reurs réfutées avec force et solidité dans le
traité de saint Cyrille d'Alexandrie intitulé :
Trésor de la sainte Trinité, VIII, 286 et
suiv. ; et dans ses dialogues sur la Trinité,
272 et suiv. Les Ariens sont persécutés par
Nestorius, et causent un grand incendie à
Conslantinople, 518. Raisonnement de saint
Isidore de Péluse contre les Ariens, dont il
confond la secte avec celle des Eunomiens,
484, 492. Valens les protège et persécute
les cathohques, 518. — Les Ariens combattus «e.
par saint Augustin, IX, 222 et 366. Ecrits de iv siècic.
saint Augustin contre les Ariens, 357 et suiv.
Ouvrages allribués faussement à ce Père
contre les Ariens, 369 et suiv. [Une épître ou
traité de saint Augustin contre les Ariens,
482.] Ce q ui se passe parmi eux sous le rè-
gne de Constantius ; différents survenus
entre eux et les partisans d'Eunomius, X,
45. Ils persécutent l'Église d'Alexandrie
après la mort de saint Athanase ; ils sont
chassés de l'Église sous Gratien, 48. Ce
qu'ils enseignent sur l'Incarnation, 72 et
380.
385.
386.
374,
375 et37G.
386.
IV siècle.
380.
IV siècle.
IV on
V siècle.
86
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
481.
535.
207. Ils rejetaient l'Épître aux Hébreux, 110.
Erreurs des Ariens marquées par saint
Léon; Traité ou lettre de Fauste de Riez
contre les Ariens et les Macédoniens, 423,
424. — Victorin, célèbre rhétoricien, écrit
contre eux, IV, 328, 329 et X, 443. — Con-
férence tenue à Carttiage contre les Ca-
tholiques et les Ariens, 434 et suiv. Con-
férence de Lyon sous Gondebaud entre les
évéques catholiques et les Ariens, 354 et
733. — Objections proposées à saint Ful-
gence, évéque de Ruspe, par les Ariens sur
l'égalité du Père et du Fils. Réponse de
saint Fulgence, XI, 46 et suiv. Evoque arien
confondu par saint Rémi dans un concile,
82. L'empereur Justin veut détruire les
Ariens dans ses états ; Théodoric, roi d'Ita-
lie, l'en empêche, 113. Lettre du pape Aga-
petaux évêques d'Afrique sur la manière de
recevoir les évéques ariens qui se convertis-
saient, 119. Erreurs des Ariens réfutées dans
la lettre de saint Nicétius de Trêves à Clodo-
sinde, femme d'Alboin, roi des Lombards,
203, 204. Lettre où Agnellus, archevêque de
Ra vanne, établit la consubstantialité du Verbe
contre les Ariens, 349. Deux disputes de
saint Grégoire de Tours avec les Ariens, 366.
Ecrits de saint Léandre contre les Ariens,
423. Témoignage de saint Grégoire le Grand
sur la manière de recevoir les Ariens, 526,
527. L'écrit que saint Colomban avait fait
contre les Ariens est perdu, 629. Concile de
Carthage oij l'on délibère sur la conduite
qu'on doit tenir avec les évêques ariens qui
rentrent dans l'Église catholique, 830. Con-
version des Ariens en Espagne , 900. Vingt-
trois anathèmes du concile de Tolède contre
les erreurs des Ariens, 900 et 901. Disposi-
tions du concile de Sarragosse à l'égard des
Ariens réunis à l'Église catholique, 906.
Voyez Semi-Ariens, Eusébiens , Eunomiens,
Arianisme, et Arius.
IX siècle. ARIES, (pièce de vers intitulée:) de l'é-
vêque Aries, XII, 477.
ARIGISE le' (ou ARIULFE), duc de Béné-
vent, ne consent que sous certaines condi-
tions à la paix entre les Lombards et les
Romains, XI, 433. Celte paix est rompue et
il ravage les environs de Rome, XI 433. Il
se joint à Ariulfe, duc de Spolète, pour at-
taquer Naples, 488.
ARIGISE II, duc de Bénévent. Vers adres-
sés à ce prince attribués à Paul Diacre, XII,
146.
ARIGIUS, évêque de Gap. Voyez Aridius.
535.
586.
589.
ARIOBINDE, maître des offices. L'empe-
reur Théodose le commet pour entendre le
silentiaire Magnus, X, 674.
ARISTÈNE (Alexis), économe de l'Église
de Constantinople. Voyez Alexis Aristène.
ARISTIDE, apologiste. Sa patrie, sa pro- ii siècle. '
fession, I, 403. Son apologie, 403 et 404.
ARISTIDE, à qui Jules Africain écrit, m siècle,
11, 93.
ARISTOBOLE, traduit en grec une lettre
de saint Grégoire le Grand qui lui écrit à
ce sujet; sa lettre à Parthénius, XI, 483.
ARISTOLAUS, tribun et notaire, porte à
saint Cyrille d'Alexandrie une lettre d'Acace
de Bérée et des propositions de paix, VIII,
240, 247, 600. L'empereur lui donne com-
mission pour réconcilier ces deux évêques ;
il retourne à Constantinople avec une lettre
de Jean d'Antioche, 247. Il est chargé par
l'empereur de faire signer la condamnation «s.
de Nestorius, 249. 11 est chargé par l'empe-
reur d'obhger les Orientaux à anathémati- «5 et 43e
ser Nestorius, 302. Saint Cyrille lui écrit et
lui envoie une nouvelle déclaration de foi,
302 et 389.
ARISTON de Pella, juif converti; son livre
pour les chrétiens, sous le titre de />wpM^e i40.
de Jason et de Papisque ; jugement de cet
ouvrage, 1, 404. 11 a été écrit en grec. Ce
qu'il y avait de remarquable dans cet ou-
vrage, 403. [Éditions des fragments qui nous
en restent, 403.]
ARISTON, médecin apostat, coupe la lan-
gue à saint Romain et la garde comme une
relique, III, 5 et 6.
ARISTON, prêtre, souscrit au faux concile
d'Ephèse pour Eunomius de Nicomédie, X,
679.
ARISTOTE , philosophe. Ouvrage contre
lui mis sous le nom de saint Justin, 1, 430.
Vie d'Aristote faussement attribuée à Am-
mone Saccas, philosophe chrétien. 98. —
En quoi Aristote met le bonheur de l'hom-
me, X, 97. Plusieurs ouvrages de Boëce qui
sont des commentaires sur quelques ti'aités
d'Aristote, et des traductions de quelques
autres, 663, 664. Écrit sur les Topiques d'A-
ristote et de Cicéron, 664. — Commentaires
de Jean Philoponus sur quelques livres d'A-
ristote, XI, 651. — Commentaire d'Ëustrace,
métropolitain de Nicée , sur le second livre
des Analytiques et les Morales d'Aristote,
XIV, 148. Commentaire sur la Logique d'A-
ristote attribué à Zonare, 158. La lecture de
plusieurs ouvrages d'Aristote défendue dans 1215.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
m
ti. les écoles, permise ensuite, 545. Ces ou-
vrages commentés par Albert le Grand et
saint Thomas d'Aquin , pour concilier la
forme scholastique avec l'Evangile, 546. A
0. l'occasion des erreurs d'Amauri, les livres
de métaphysique d'Aristote sont brûlés et la
lecture de ceux de physique interdite par
un concile, H52.
ARITHMÉTIQUE. Deux livres de Boëce
sur l'arithmétique, X, 665. — Traité de l'a-
rithmétique par Cassiodore, XI , 236. —
I siècle. Charlemagne établit plusieurs écoles d'a-
rithmétique dans ses états, XII, 236. Diffé-
rents traités de Gerbert sur l'arithmétique,
903. — Traité de Raoul de Laon sur l'arith-
métique, XIV, 183.
592. ARIULFE, duc de Spolète, ravage les en-
virons de Rome, XI, 435.
699. ARIULFE, duc de Bénévent. Voyez Ari-
gise.
ARIULFE, chef (et non pas roi) des Lom-
bards, paraît vouloir attaquer Rome, XI,
486. ( C'est peut-être le même qu'Ariulfe,
duc de Spolète ou de Bénévent.)
(Siècle. ARIUS. Hérésiarque, est ordonné diacre
par saint Pierre d'Alexandrie qui le chasse
ensuite de l'Église ; la vision qu'on attribue
à ce saint patriarche touchant Arius est
supposée, III, 56. Achillas l'élève à la prê-
trise, 57. Il lui confie le soin d'expliquer au
peuple les divines Écritures, 57,414. Qui était
Arius, 105. Conférences que saint Alexan-
dre, évêque d'Alexandrie, tient pour le con-
vaincre, 105, 106. Concile tenu à Alexan-
drie, par lequel Arius est chassé de l'Église,
106. Suite du zèle de saint Alexandre con-
tre l'hérésie d' Arius, 106 et suiv. Arius et
siècle, ses partisans écrivent à saint Alexandre
d'Alexandrie, 106, 107. Arius et ses secta-
335 teurs reçus à la communion de l'Église dans
33g un concile tenu à Jérusalem, 126. Mort de
324_ cet hérésiarque, 126, 127. Lettre que l'em-
pereur Constantin écrit à Arius, 137. Lettres
325. de cet empereur contre Arius, 138, 139.
336. Ordre que l'empereur Constantin adresse à
siècle. Arius, 141 . Ses écrits et sa personne condam-
siècie. nés par cet empereur, 147. Eusèbe de Césa-
rée prend sa défense, 170. Saint Jacques de
siècle. Nisibe obtient de Dieu le châtiment d'Arius,
siècle. 370. Osius, évêque de Cordoue, travaille à
apaiser les troubles causés par l'hérésie
320. d'Arius, 393. Commencements d'Arius, 414.
Condamné dans un concile d'Alexandrie,
415. Sa conduite depuis cette condamna-
tion, 415 et suiv. Lettre qu'il écrit à saint
Alexandre, son évêque, 417. Lettre que
Constantin écrit pour le réconcilier avec
saint Alexandre, 418. Arius est présent au 325.
concile de Nicée. On y dispute contre lui,
423 et suiv. Ses partisans y sont confondus,
423. Son erreur y est condamnée, 424 et
suiv. 11 est banni, 426. Arius est reçu à la
communion de l'Église au concile de Jéru- 335.
salem , 456 , 457. Les Eusébiens assem-
blés h Constantinople veulent rétablir Arius 336.
dans la communion de l'Eglise. Il meurt à
Constantinople, 457 et suiv. — Lettre de saint
Athanase touchantlamortde cethérésiarque,
IV, 118. Dispute entre Arius et saint Atha-
nase. Ouvrage faussement attribué à ce saint
évêque, 179. Conférence avec Arius attri-
buée à saint Athanase. Dispute contre Arius,
Sabellius et Photin attribuée au même. Ces
deux ouvrages sont de Vigile deTapse, 183.
Ecrits de Victorincontre cethérésiarque, 328, iv siècle
329, et X, 443. — Requête de Marcellin et
de Faustin où l'on voit rappelée, sur la mort
d'Arius, une circonstance qui ne se trouve
point ailleurs, V, 152. [La pénitence d'Arius
fut simulée, 631. — Sermon de saint Gré-
goire de Nysse contre Arius et Sabellius, VI,
125 et 205, 206.] — Opuscule faussement at-
tribué à saint Jean Chrysostôme, contre l'im-
piété de cet hérésiarque, VII, 335. Témoi-
gnage de sainl Jean Chrysostôme sur Arius,
429 . — Écrit de saint Cyrille d'Alexandrie
contre cet hérésiarque, Vlll, 268 et suiv. —
Arius commence à répandre ses erreurs, X,
43, 44. 11 change la doxologie parmi ceux
de sa secte, 113. N'ose changer la forme du
baptême quoi qu'il en ruine le sens, 122.
Dispute contre Arius ; ouvrage de Vigile de
Tapse , faussement attribué à saint Atha-
nase, 481 et 482. Deux exemplaires de cet
ouvrage fort différents l'un de l'autre; con-
jectures sur ce sujet, 481. Analyse de cet
ouvrage, 481 et 482. Voyez Ananisme et
Ariens.
ARLES, ville de France , concile qui y 314,
fut tenu contre les Donatistes, II, 628 et
suiv. [Le pape saint Sylvestre y assiste par
ses légats, 628, note 6.] Canons de ce concile,
630 et suiv. [Observation sur le saint canon,
630, n. 4.] Concile qui y fut tenu contre 353
saint Athanase, III, 520, 521. — Dispute en-
tre les évêques d'Arles et de Vienne sur la y. «o.
primauté. Décret du concile de Turin sur les
droits de cette Éghse, VII, 528. Le pape Zo-
sime soutient les privilèges de cette ÉgHse,
529. — Saint Hilaire, archevêque d'Arles,
88
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
m.
413.
446.
451.
500.
511.
V. 452.
Vin, 433 et suiv. L'archevêque d'Arles dé-
pouillé de la juridiction qu'il avait sur la
province de Vienne^ 437. Second concile
tenu en cette ville. DifiScultés pour en assi-
gner l'année, 6H. Raisons qui portent à le
placer eu 443, 611, 612. 11 donne à l'évêque
d'Afles le pouvoir d'assembler des conciles
à sa volonté, 613. — A l'occasion du diffé-
rend de saint Hilaire avec saint Léon, pour
la déposition de Quélidoine, le droit de mé-
tropole est ôté à l'Église d'Arles et donné à
celle de Vienne, X, 172. Rétablie dans son
droit de métropole, mais avec moins d'éten-
due, 218. Lettre des évéques de cette pro-
vince à saint Léon, 217, 218. Lettre de saint
Léon aux évêques de la province d'Arles,
218. Concile tenu à Arles pour approuver la
lettre du pape saint Léon à Flavien, 681.
L'étendue de la juridiction d'Arles diminuée
en faveur de l'Église de Vienne par le pape
Anastase II , 521 . Symmaque rétablit les
choses suivant le règlement fait par saint
Léon, S23, 524, 525. Second concile d'Arles
dont il a été parlé plus haut, 708. Concile
v.455ou46i. d'Arles où on règle les droits de l'évêque de
Fréjus sur l'abbaye de Lérins, 710. Conciles
463. tenus en cette ville sous l'évêque Léonce,
475J 715, 716. Concile d'Arles où fut traitée l'af-
faire du prêtre Lucidus , 717, 718. — Sup-
plique de l'abbé Gilles au pape Symmaque
pour les privilèges de l'église d'Arles, XI,
100. Saint Césaire, évêque d'Arles, 123 et
suiv. Arles assiégée sans succès par les
Francs et les Bourguignons, 126, 127. Le
pape Symmaque permet aux diacres de l'É-
glise d'Arles de porter des dalmatiques
comme les diacres de l'Église romaine; il
confirme tous les privilèges de cette Église,
127. Saint Aurélien, évêque d'Arles, 199 et
524. suiv. Quatrième concile d'Arles, 823, 824.
554. Concile tenu en cette ville, 882. — Autre,
813. XIII, 642, 643. — Autre, XIV, 1154. —
— [Diptyques de l'Église d'Arles, XIII, 62.]
1152. ARMAGH, ville d'Irlande. On y établit
un archevêché qu'on déclare primatie d'Ir-
1171. lande, XIV, 1123. Concile qui y fut tenu,
1134.
ARMÉNIE, province d'Asie. Mouvements
des moines d'Armrnie pour la condamnation
des écrits de Théodore de Mopsueste, VIII,
296. Les évêques d'Arménie consultent saint
Procle de Constantinople, 404. Lettre ou
tome de saint Procle aux Arméniens, 404 et
suiv. — Rabbulas d'Edesse et Acace de Mé-
litine écrivent aux évêques d'Arménie, X,
143. — Arméniens, disciples de saint Sabas,
XI, 274. Mémoire sur le schisme des Armé-
niens ; écrit que le père Combéfis attribue
à Démétrius de Cyzique ; idée de cet écrit,
810. — Deux lettres de Photius sur la réu-
nion des Arméniens avec les Grecs , XII,
977, 978. En quoi consiste leur hérésie,
978. — Traité de saint Nicon contre les er-
reurs et les pratiques impies des Arméniens, Xsléde.
XIII, 47. Formule de leur réconciliation à
l'Église dressée par le même, 48. Liturgie
des Arméniens, 134. Lettre du pape saint loso.
Grégoire VII aux Arméniens, 368. — Concile
d'Arménie , 697. Députation des évêques
d'Arménie et de leur patriarche au pape Eu-
gène III, XIV, 269, 270. Erreur des Arméniens
sur la foi et la discipline, 634. Conférences
de Théorien envoyé par l'empereur Manuel
Comnène, avec Norsesis, patriarche des .ar-
méniens, sur ces erreurs, 634 et suiv. In-
vective du patriarche Isaac contre leurs er-
reurs, 644 et suiv. [Réunion des Arméniens H99.
à l'Église romaine, 998.]
ARMÉNIUS, à qui Agnellus adresse une vi siècle,
lettre sur la consubstantiahté du Verbe, XI,
349.
ARMENTAIRE, homme distingué. Lettre 4ii.
de saint Augustin à Armentaire et à Pauline
sa femme, IX, 115.
\RMENTAIRE, évêque d'Auch après saint «i-
Orient, VIU, 421.
ARMENTAIRE, nommé irrégulièrement 438.
évêque d'Embrun ; le concile de Riez le
réduit au rang des chorévèques, VIII, 433.
Il avait été élu évêque d'Embrun par une
troupe de factieux ; il reconnaît la nullité 438.
de son élection et se retire; il revient à
Embrun et ordonne quelques clercs, 605.
Il est déposé au concile de Riez, 605 et 606. 439.
Dispositions du concile à son égard, 606. —
Sa déposition, X, 200.
ARMENTAIRE, ou ARMENTARIE, mère
de saint Grégoire de Tours, XI, 365. Poëm.e
de Fortunat à sa louange, 409.
ARMENTAIRE, épouse de saint Grégoire,
depuis évêque de Langres, XI, 381.
ARMES. Pourquoi les chrétiens refusaient iiisiècu
de les porter, II, 479, 494. Sentiment de
Lactance sur la profession des armes, 513, iv siècii
514. Canon du premier concile d'Arles sur
ce sujet, 630. — Lucifer de Gagliari ne veut
pas qu'on emploie les armes pour défendre
la religion, IV, 270. — Le pape saint Sirice
défend d'admettre dans le clergé ceux qui
ont porté les armes depuis leur baptême, VI,
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
89
108. — L'empereur ôtait ses armes lorsqu'il
entrait dans l'église, Yll, 123. Le pape saint
Innocent renouvelle la défense du pape saint
Sirice, S07 et 525. — On voit par une lettre
de saint Isidore de Péluse que de son temps
li était indécent à un soldat de porter l'épée
dans la ville en temps de paix, et de paraître
dans les places publiques avec des armes et
en habit de guerre, VIII, 480. — Doctrine de
saint Augustin sur la profesion des armes,
IX, 160. — Canon d'un concile de Girone qui
défend aux clercs de porter les armes, XIII,
533.
ARMOGASTE, otfieier de Théodoric, fils
de Genséric, roi des Vandales. Ses souffran-
ces pour la foi, X, 452.
ARNALLI, moine de Saint-Victor de Mar-
seille. Voyez Raymond Arnalli.
ARNAUD, évêque du Mans, veut distraire
le monastère de Visoin de celui de Marmou-
tier, auquel il avait été uni ; lettre que lui
écrit à ce sujet l'abbé Barthélémy, Xlil,
346.
ARNAUD DE BRESCIA, hérésiarque. [Ce
que le pape Innnocent II répond relative-
ment à lui, XIV, 267. Il avait répandu ses
erreurs à Rome ; la désobéissance des prê-
tres de Rome qu'il avait séduits réprimée par
le pape Eugène III, 278.] Lettres que saint
Bernard écrit contre lui, 442, 443. Troubles
qu'il occasionne à Rome; lettres de saint Ber-
nard sur ce sujet, 447. Il est livré au pape
qui le fait condamner au feu, 911. Ses er-
reurs condamnées au concile de Latran, 1114.
ARNAUD, abbé de Saint-Pierre-le-Vif de
Sens, est invité par son archevêque à se
trouver au concile de Beauvais en 1120,
XIV, 237, 238. [Trois lettres de cet abbé
dans la Patrologie, avec une notice, 237,
n. 3.]
ARNAUD, abbé de Bonneval, succède à
Bernier; persécutions qu'il a eu à souffrir;
ses voyages à Rome ; il quitte son abbaye et
retourne à Marmoutier ; sa mort; ses liaisons
avec saint Bernard, XIV, 616. Ses écrits :
Continuation de la Vie de saint Bernard,
commencée par Guillaume de Saint-Tliierry,
492 et 616. Traité des œuvres cardinales de
Jésus-Christ, 617. Ce qu'il contient de plus
remarquable, 617 et 618. Des sept paroles
de Jésus-Christ sur la croix ; sermon sur les
louanges de Marie, 618. Traité de l'ouvrage
des six jours ; autres écrits qu'on lui attri-
bue; ses lettres, 618, 619. — Il est auteur
du Traité des douze vertus cardinales qu'on
attribue à saint Cyprien, II, 346.— Ilestauteur
d'un sermon sur le Saint-Esprit, attribué à
Salvien, X, 377. Lettre de saint Bernard qui
lui est adressée, 452 et 616. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. XII, p. 533 et suiv.)
ARNAUD, abbé de Cîteaux, légat du pape
Innocent III contre les hérétiques d'Albi,
XIV, 1149. [Le mot féroce qu'on lui prête
au moment où les croisés allaient monter à
l'assaut n'a point été prononcé, 906, 907.]
ARNAUDISTES, sectateurs d'Arnaud de
Brescia. Leurs erreurs condamnées au con- H85,
cile de Vérone tenu par le pape Lucius III,
XIV, 931.
ARNAUD D'ANDILLY (Robert). Sa tra-
duction des Œuvres de l'historien Josèphe,
I, 328. — Sa traduction de la Vie de saint
Antoine, écrite par saint Athanase, IV, 232.
— Sa traduction des Confessions de saint
Augustin, IX, 813. — Sa traduction de la
lettre de saint Eucher de Lyon à Valérien,
VIII, 456. — Sa traduction de l'Histoire de la
persécution des Vandales en Afrique, par
Victor de Vite, X, 463. Sa traduction de la
Vie de saint Épiphane, composée par saint
Ennode, 377. — Sa traduction de la Vie de
saint Séverin, apôtre du Norique, écrite par
l'abbé Eugyppius, XI, 86. Sa traduction de
l'Échelle sainte de saint Jean Climaque, 691.
Du Pré spirituel, 703,
ARNAUD (Antoine), docteur de Sorbonne,
frère du précédent, révoque en doute la
lettre de saint Basile à Césarie touchant la
fréquente communion, IV, 447. — Sa tra-
duction française des Commentaires de saint
Augustin sur les Psaumes, IX, 813; et de
plusieurs de ses opuscules, 814. Son analyse
du livre de la Correction et de la Grâce,
818.
ARNOBE L'ANCIEN, orateur. Histoire de
sa vie, II, 486 et suiv. Sa patrie; ses em-
plois; il renonce aux superstitions païennes ;
il écrit contre la religion païenne et reçoit le
baptême, 486. Lettre d'Arnobe contre les
païens, 486 et suiv. En quel temps ces livres 303.
ont été écrits, 486. Analyse du premier li-
vre, 487, 488. Analyse du second livre, 488,
489. Analyse du troisième et quatrième li-
vres; analyse du cinquième livre, 489. Ana-
lyse du sixième et septième, 489 et 490. Doc-
trine d'Arnobe, 490,491. Erreurs attribuées
à Arnobe, 491, 492. Jugement des écrits
d'Arnobe, 492, 493. Éditions de ses écrits,
493. [Éditions nouvelles, 493 et 494]. — On
90
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Ta surnommé l'Ancien pour le distinguer du
suivant, X, 330.
ARNOBE LE JEUNE. Pourquoi ainsi sur-
V siècle, nommé ; on a lieu de croire qu'il vivait vers
le milieu du v° siècle; son Commentaire sur
les Psaumes, X, 330. Arnobe paraît avoir
été semi-pélagien, 330 et 331. Éditions du
Commentaire d'Arnobe sur les Psaumes ; an-
notations qu'on lui attribue sur les Évangiles ;
dispute entre Arnobe et Sérapion, 332. Ce
que c'est que ce dialogue, 333. L'ouvrage
intitulé Prœdestinatus est attribué à Arnobe ;
mais l'auteur n'en est pas connu^ 333 et 334.
Éditions de cet ouvrage et censure qu'on en
a faite, 33-4. Discours sur la chute d'Adam,
qui portait le nom d'un Arnobe et qui ne se
trouve plus, 335. [Traduction d'une épître
pascale de saint Cyrille par Arnobe, 335.]
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire de
la France, t. II, p. 342 et suiv.)
ARNOBE, évêque et rhéteur. Auteur d'un
discours sur la chute d'Adam qui ne se
trouve plus, X, 335.
XI siècle. ARNOLD LE SAXON, chanoine de Her-
feld. La Vie qu'il a donnée de saint Gode-
bard, évêque d'Hildesheim, est la même que
celle écrite par Wolférus, à laquelle il n'a
fait qu'ajouter quelques miracles, XIII, 67
et 97.
XI siècle. ARNOLD, évêque d'Halberstat. Sa lettre
à Henri, évêque de "Wirtzbourg, au sujet de
l'érection de Bamberg en évêché, XIII, 93,
94. [Édition de cette lettre dans la Patrolo-
gie, 94.]
XI siècle. ARNOLD (ou ARNOLF ou ARNULPHE),
prévôt de Saint-Emmeran de Ratisbonne;
son livre des Miracles de saint Emmeran ;
Dialogue des vertus des saints qui ont été
enterrés au monastère de Saint-Emmeran,
XIII, 94. [Édition des deux livres d'Arnold,
94. Ses autres écrits, 95, n. 2 et 3.] Sa lettre
à l'abbé Burchard où il lui rend compte des
premières années de sa conversion et de ses
études, 94 et 95. Son homélie sur les huit
béatitudes, 95.
1019. ARNOLD, abbé de Pouthières, déposé au
concile de Reims tenu par le pape saint
Léon IX, XIII, 165.
xrsi6cie. ARNOLD, moine de Saint-Malhias de
Trêves. Son traité du Comput ecclésiastique ;
son Cycle pascal ; son livre en vers sur les
Proverbes de Salomon,XIII, 562.
H48. ARNOLD j archevêque de Cologne, est
privé de ses fonctions au concile de Reims,
XIV, 1121
ARNOLD, premier abbé de Morimond,
quitte son abbaye. Lettre que saint Bernard H2
lui écrit sur ce sujet, XIV, 425, 426. Sa
mort, 425. i
ARNOLD, archevêque de Mayence, tué, i
XIV, 1129.
ARNOLD, abbé de Lubeck, continuateur xiiisièci.
de la chronique d'Helmold, XIII, 545.
ARNOLD (André) de Nuremberg. Son édi-
tion d'un opuscule de Théodore Aboucara
sur l'Incarnatioîi, XII, 625.
ARNOLD (Geofifroy). Sa traduction alle-
mande de la lettre de l'Église de Smyrne
touchant le martyre de saint Polycarpe, I,
407, 408. [Son édition et sa traduction alle-
mande des Récognitions, 361.] — Son édi-
tion des homélies de saint Macaire d'Egypte,
V, 604. De l'Ascétique de saint Nil; de ses
Sentences, VIII, 229.
[ARNOLD (W.) Sa traduction allemande
des homélies de saint Chrysostôme sur les
épîtres de saint Paul, VH, 438.].
ARNOLF, prévôtde Saint-Emmeran. Voyez
Arnold.
ARNON , surnommé Aquila , évêque de
Juvave ou Saltzbourg, était frère d'Alcuin,
XII, 165. — Explication de plusieurs psau-
mes qu'Alcuin composa à sa prière et qu'il
lui adressa, 168. Alcuin écrit à Arnon, 196,
197 et [199, 200]. Il est envoyé à Rome par
Charlemagne, 223. Il va prêcher la foi aux viiisièo!
Huns, aux Slaves, 476, 477. Il ordonne un neg.
évêque pour les Slaves; son épitaphe, 477. H80.
(Voyez ce qui est dit d'Arnon dans l'Avertis-
sement du t. VI de l'Histoire littéraire de la
France, p. xij et suiv.)
ARNON, prévôt de Reichersperg; succède
à Géroch, son frère; sa mort, XIV, 633.
[Pièces relatives à Arnon dans la Patrologie,
633, n. 2.] Son écrit sur l'Eucharistie contre
Folmar, prévôt de Friefenstein; son Bouclier
des chanoines réguhers, 633.
ARNOUL, prévôt de l'Église de Metz. Sa xii sièci.
lettre à Pierre Lombard, XIV, 567.
ARNOUL (Saint), évêque de Metz. Sa
Vie, imprimée parmi les Œuvres de Bède ;
elle fut écrite par Paul, diacre d'Aquilée, 7.
Abbaye de Metz sous son nom; l'évêque
Ada'.béron y substitue des moines à la place g^.
des clercs, 870. Histoire de l'origine de cette
abbaye, écrite par un anonyme qui vivait
dans le xi" siècle, XIII, 273. Charte del'évê- v. i07î.
que Herman eu faveur de cette abbaye,
464.
ARNOUL (Saint) de Mouzon. Discours en
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
91
son honneur joint à la chronique de Mouzon,
XIII, 110.
ARNOUL (Saint), archevêque de Tours.
Deux Vies de ce saint composées, l'une par
un anonyme, l'autre par Lezcelin, qu'on
croît abbé de Crespi en Valois, XIII, HO.
siècle. ARNOUL, roi de Germanie. Lettre que lui
écrit Foulques de Reims en faveur du roi
Charles le Simple, XII, 709. Couronné em-
396. pereur par le pape Formose ; serment qu'il
prête à ce pape, 739. — Concile qu'il assem-
ble à Tibur et auquel il assiste, XIII, 734 et
suiv.
ARNOUL, archevêque de Reims. [Pièces
dans la Palrologie qui le concernent, XUl,
761, n. 1.] — Procédure contre lui au concile
de Râle, conduite par Arnoul d'Orléans, XII,
895 . Discours contre lui au concile de Mouzon ,
par Gerbert, son compétiteur, 903. Lettre de
Gerbert au sujet de cette afifaire, 907, 908.
Lettre du même devenu pape sous le nom
de Silvestre II portant un décret pour le ré-
tablir, 908, 909. — Comment il avait étéélu,
Xm, 761. — Il est déposé, XII, 896 et XIII,
761. — Il est mis en prison, XII, 903. — Son
différend avec Gerbert; il revient à son
Eglise, Xlll, 761. (11 avait fait quelques écrits.
Voyez son article dans l'Histoire littéraire de
la France, t. VII, p. 245 et suiv.)
S70. ARNOUL I", évêque d'Orléans, succède à
Ermenthée, son oncle, XII, 894.
ARNOUL II, évêque d'Orléans. Différent
d'un évêque de même nom qui l'avait pré-
cédé, XII, 894. Sous son épiscopat, Robert,
que Hugues Capet avait désigné pour son
1. successeur, est sacré à Orléans par Séguin,
archevêque de Sens, 894 et 893. Arnoul
991. siste au concile de Bâle où il est char-
gé de conduire la procédure contre Ar-
noul, archevêque de Reims, 895. Analyse
des discours qu'il prononça dans ce concile,
895 et 896. Éloge que fait de lui Aimoin,
moine de Fleury, 896. Gerbert adresse des
lettres à Arnoul, 896 et 897, — Sa dispute
avec Abbon, abbé de Fleury, dont il voulait
exiger un serment comme feudataire, XIII,
26, 27. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. VI, p. 521 et suiv.)
ARNOULD LE SAXON. Voyez Arnold.
ARNOUL, prévôt de Saint -Emmeran.
Voyez Arnold.
1 siècle. ARNOUL, moine de Saint-André à Avi-
gnon. Sa Chronologie; son Martyrologe ; son
Traité des poids et des mesures ; traité des
auteurs qu'on doit recevoir ou rejeter; au-
cun de ces ouvrages n'a été imprimé, XIII,
73. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. VII, p. 231 et suiv.)
ARNOUL, moine que Sigebert fait auteur xi siècle.
d'un recueil en vers des plus belles senten-
ces de Salomon ; on ne sait si c'est le même
qu'Arnoul, moine de Saint-André d'Avignon,
XIII, 73. (Voyez ce qui en est dit dans l'His-
toire littéraire de la France, t. VII, p. 252.)
ARNOUL, frère de l'empereur saint Henri,
est nommé archevêque de Ravenne; il tient
un concile, XIV, 1037.
ARNOUL, chantre de TÉglise de Brione.
Parole qu'il dit à Bérenger, XIII, 168.
ARNOUL, comte. Insulte qu'il fait à Henri, W79.
évêque de Liège, Xltl, 467.
ARNOUL, historien de Milan. Ce qu'on xi siècle,
sait des circonstances de sa vie; idée de son
Histoire de Milan ; éditions qu'on en a faites,
XIU, 306.
ARNOUL, abbé de Lagny. (Il écrivit la Vie
de saint Fursy. Voyez ce qui est dit d' Ar-
noul dans l'Histoire littéraire de la France,
t IX, p. 290 et suiv.)
ARNOUL (Saint), évêque de Soissons. Son
élection, XIV, 1071. Il est canonisé dans un iiso.
concile de Beauvais ; son corps levé de terre, H2i.
1094.
ARNOUL, patriarche de Jérusalem. Son ms-
élection; il est déposé dans un concile pour
sa vie scandaleuse, XIV, 1074. Il se fait ré-
tablir; année de sa mort, 1086. ms.
ARNOUL, Flamand, prédicateur de la croi- xii siècle,
sade. (On a de lui une relation de la prise de
Lisbonne. Voyez ce qui en est dit Aa.w&l' His-
toire littéraire de la France, t. XII, p. 292 et
suiv.)
ARNOUL, évêque de Lisieux, succède à H4i.
Jean, son oncle ; son élection est confirmée
par le pape Innocent II malgré l'opposition
de Geoffroy de Plantagenet, comte d'Anjou,
XIV, 751. II accompagne le roi Louis VII à «47.
son voyage en Palestine, 751 et 752. Alexan-
dre III le nomme son légat en France et en 1149.
Angleterre ; il engage le roi d'Angleterre à 1159,
le reconnaître pape ; il assiste au concile de nos.
Tours; sa conduite dans le différend entre le
roi d'Angleterre et saint Thomas de Cantor-
béry, 732. Sa retraite à l'abbaye de Saint-
Victor de Paris; sa mort; ses écrits : Traité hsî.
du schisme à l'occasion de l'élection de
l'anti-pape Anaclet 11, 753. Sermon sur l'An-
nonciation, 753 et 754. Ses lettres, 734 et
suiv. Ses poésies, 759. Discours qu'il pro-
nonce à l'ouverture du concile de Tours, 732.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
XII siècle.
XII siècle.
1114 ou 1115
112i.
S12.
1090.
[Autre discours qu'il prononça le lendemain,
752. Jugement sur Arnoul, 753. Édition de
ses écrits par le docteur Giles, 753.] Ses let-
tres à Arnaud, abbé de Bonneval, 758. Ses
lettres à saint Tbomas, archevêque de Can-
torbéry, 671 et 755. [Autres lettres d'Arnoul,
758. Collection complète des lettres d'Arnoul
dans la Patrologie , d'après l'édition du
docteur Giles", 758 et 759. Ses poésies,
760.]
ARNOUL (Saint), premier abbé d'Alden-
bourg. Sa Vie, écrite en deux livres par Ha-
riulfe ; Lisiard, évêque de Soissons, y ajoute
un troisième livre contenant ses miracles,
XIV, 234.
[ARNOULF, élu abbé de Gerablours, XIV,
266.]
ARNOUL, évêque de Rochester. Voyez
A.TYl'Ul'ûhB»
ARNOUL LE SCHOLASTIQUE. Lettres de
Guibert de Gemblours qui lui sont adressées,
XrV, 862.
[ARNOUL, moine de Boéri. Son Spéculum
monachorum, XIV, 483.]
ARNULPHE, prévôt de Saint-Emmeran.
Voyez Arnold.
ARNULPHE ou ERNULPHE, évêque de
Rochester, d'abord moine de Saint-Lucien
de Beauvais, passe au monastère de Cantor-
béry; il devient abbé de Burck, puis évêque
de Rochester; temps de son épiscopat; sa
mort ; histoire del'Éghse de Rochester qu'on
lui attribue; elle n'a pas encore été impri-
mée, XIV, 235. [Une partie a été imprimée,
235, n. 7.] Sa lettre à Walquelin, évêque de
Windsor, sur la question de savoir si une
femme coupable d'adultère avec le fils de
son mari doit être séparée, 235, 236. Autre
lettre à un nommé Lambert, contenant ré-
ponse à plusieurs questions qu'il lui avait
proposées, 236, 237. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. X, p. 425
etsuiv.)
ARNULPHE, évêque de Lisieux. Voyez
Arnoul.
ARNUSTE, archevêque de Narbonne. Sa
mort; Argius lui succède, XII, 792.
[ARNTZEN. Son édition des écrits de Sé-
dulius, Vm, 109, — d'Arator, XI, 198.]
AROASIA, congrégation de chanoines ré-
guliers instituée par le pape Urbain II, XIII,
425.
ARPHAXAD, roi des Mèdes, le même que
Phraortes, 1, 97.
ARQUEBIUS, évêque de Panéphise, qui
avait été trente-sept ans solitaire, VIII, 147
et 157.
ARRAGON. Concile dont le lieu est in-
connu, XIV, 1063.
ARRAS, autrefois ville des Pays-Bas,
maintenant de France. Concile qui y fut tenu
contre les Manichéens, XIII, 160. Bulle du
pape Urbain II qui sépare l'évêché d'Arras
de celui de Cambrai; concile de Reims à ce
sujet; Lambert de Guines en est élu évêque,
427. La bulle d'Urbain II est lue et confir-
mée au concile de Clermont, 433. Gestes de
l'Eglise d'Arras recueillis par Lambert ; dé-
tail des monuments qu'ils contiennent, 433.
— Concile tenu à Arras, XIV, 1040, 1041.
ARSACE, pontife païen de Galatie. Lettre
que Julien l'Apostat lui écrit, V, 352.
ARSACE, patriarche intrus sur le siège de
Constantinople, VII, 134 et VIII, 13. —Il est
la cause de l'exil de saint Chrysostôme, VII,
13, n. 13.
ARSACE, solitaire de grande vertu, prédit
un tremblement de terre à Nicomédie et y
périt lui-même, VIII, 530.
ARSÈNE, évêque. Saint Athanase est ac-
cusé de l'avoir tué et de lui avoir coupé une
main ; il paraît plein de vie et avec ses deux
mains, III, 451.
ARSÈNE (Saint), solitaire d'Egypte. Chargé
par Tempère ur Théodose de l'éducation d'Ar-
cade etd'Honorius, Vin, 398. Quitte le monde
et embrasse la vie solitaire au désert de
Scété, 398 et 399. Ses austérités; son désin-
téressement, 399. Il va à Troé, puis à Canope,
399 et 400. Il retourne à Troé ; sa mort, 400.
Discours de saint Arsène; ses instructions,
400 et suiv. [Fragment d'un discours contre
le tentateur de la loi, 403. Éditions des écrits
de saint Arsène, 400, n. 5.] — Arsène
fut visité par Théophile d'Alexandrie, VII,
439.
ARSÈNE, évêque d'Engubio , soutient
l'antipape Anastase, XII, 409.
ARSÈNE, évêque d'Orla en Toscane, légat
du pape saint Nicolas I" en France, XII, 576,
579.
ARSÈNE, moine du mont Athos. Sa Col-
lection de canons rédigée par ordre de ma-
tières; ce que contient cette collection ; on
n'a plus une collection semblable qu'il avait
faite des lois des empereurs, XIV, 650.
ARSÈNE, moine, puis patriarche à Nicée
et ensuite à Constantinople, n'est pas le
même que le moine du mont Athos, auteur
d'une Collection de canons, XIV, 650.
1025.
1092.
1093.
1095.
1095.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
93
' siècle.
ARSÈNE, surnom donné à Vala, abbé de
Corbie, XII, 333.
ARSINOÉ en Egypte. L'évêque Népos y
répand les erreurs des Millénaires, II, 398.
Conférence qui y fut tenue à ce sujet par
saint Denis, évêque d'Alexandrie, 398 et 405,
406 et 364, 363. — Ce qui est dit des moines
d'Arsinoé dans les Vies des Pères écrites par
Rufin d'Aquilée, VII, 473. — Lettre de saint
iT ou Antoine, père des solitaires, aux Arsinoïtes,
siècle. 1IJ390.
ARTACHIS, cousin de sainte Radegonde.
Poème que lui adresse Fortunat sur la mort
d'Hermanfroi, son oncle, XI, 4H.
931. ARTAUD ou ARTAULD, archevêque de
Reims, établi par le roi Raoul, XIII, 747. Ses
contestations avec Hugues, fils d'Herbert,
comte de Vermandois, au sujet de cet arche-
g^ véché; différents conciles qui le maintien-
961. nent, 747 et suiv. Sa mort, 752. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VI, p. 293 et suiv.)
jjgg ARTAULD, évêque d'Elue, sacré par le
pape Urbain II sur le refus de l'archevêque
de Narbonne; par erreur, Gratieu le dit
évêque d'Arles, XllI, 420.
ARÏÉMIE, épouse de Rustique, VII, 638.
ARTÉMISE, veuve d'un homme qui avait
voulu s'ériger en tyran, VII, 33.
3g2_ ARTÉMIUS (Saint), duc d'Egypte, martyr
à Antioche, III, 412. — Il avait été chargé
de chercher saint Atbanasedans sa fuite, IV,
235. [Commentaire historique sur ce saint
martyr, extrait de Philostorge, 510, n. 4. —
La passion d'Artémius par saint Jean Damas-
cène, XII, 99.]
j,^ ARTÉMIUS, évêque d'Embrun au concile
de Valence, IV, 600.
jgg ARTÉMIUS , prêtre , député du pape
Sixt3 III au concile de Thessalonique, Vlll,
250.
ARTÉMIUS, prêtre, à qui Théodore de
Mopsueste écrit, VIII, 21 .
ARTÉMIUS, archevêque de Tarragone,
592. préside à un concile tenu à Sarragosse, XI,
906.
iisiècie. ARTÉMON, hérétique. Écrit d'un anonyme
contre lui ; on ne sait qui était cet anonyme,
I, 538. — Artémon fut condamné à Rome
dans un concile, II, 544.
ARTHMAIL , roi de Galles, excommunié
dans un concile pour avoir tué son frère
Elised, se soumet à la pénitence qui lui est
imposée, XIII, 760.
ARTISANS. On fournissait aux pauvres
artisans de quoi exercer leur métier, II,
378.
ARTHUR. Voyez Artus.
ARTOTYRITES, hérétiques de Galatie iv siècle,
dont parle saint Philastre, V, 175. — (On
les y a nommés par méprise Artorytes). Ce
que saint Epiphane dit de cette secte, VI,
394.
ARTS. Épigramme de Philippe de Bonne-
Espérance sur la langueur des arts par le dé-
faut d'argent, XIV, 687.
ARTS LIBÉRAUX. Traité de Cassiodore
sur les sept arts libéraux, XI, 235 et suiv.
— Traité d'Alcuin sur les sept arts libéraux.
11 n'en reste que ce qui regarde la gram-
maire et la rhétorique, XII, 189. [Froben a
publié un traité d'Alcuin sur l'orthographe,
189.] Poème de Théodulphe, évêque d'Or-
léans, sur les sept arts libéraux, 269. Livres
de Marquard, écolâtre d'Epternach, sur les
sept arts libéraux, 840. Traité de Brunon,
moine de Gladbac, sur les sept arts libé-
raux, 911. Traité du vénérable Bède sur
l'art poétique, 4. Autre attribué à Werem-
bert, moine de Saint-Gai, 694. Deux livres
de Diéthelme sur l'art poétique, 840. —
[Opuscule en vers sur les sept arts libéraux
par un anonyme, XIII, 61.]
ARTUS ou ARTHUR, comte de Bretagne,
neveu de Jean roi d'Angleterre, tué par son
oncle, XIV, 1148.
ARULE en Catalogne. Concile tenu en
cette abbaye pour en confirmer l'immunité,
XIV, 1053.
ARUSPICES. Lois de Constantin qui les
concernent, III, 123. — Lois de Constantius,
VI, 342.
ARVANDE, préfet des Gaules, accusé de
crimes de péculat et de lèse-majesté, obtient
grâce de la vie, sur les sollicitations de saint
Sidoine Apollinaire, X, 383.
ARVOGASTE, comte et depuis évêque de
Chartres. Voyez Arbogaste.
ARZUNITIDE ou AZANÈNE, province de
Perse, X, 142.
ASAPH, lévite, l'un des chefs de la musi-
que du temple du Seigneur. Quoiqu'il soit
nommé voyant ou prophète, il n'a point
exercé d'autre fonction que celle de chantre
ou chef de musique, I, 129.
ASGAGNE, évêque de Tarragone. Sa con-
duite à l'égard de Silvain , évêque de Cala-
horra, qui faisait des ordinations irréguliè-
res, X, 338. Lettre décrétale que lui adresse
le pape saint Hilaire, 339.
94
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
ASCALON, ville de Palestine. Martyrs qui
y soutfrirent, X, 46.
vm siècle. [ASCARIC, évêque espagnol. Sa lettre à
Tusarède, autre évêque du même pays, XII,
150, 151. Réponse de celui-ci, 151.]
ASCELIN (Adalbéron), évêque de Laon.
Voyez Adalbéron.
1050. ASCELIN, moine du Bec, assiste à la con-
férence de Brione où il confond Béreuger,
XIII, 167, 168 et 258. Lettre que lui écrit
Bérenger pour se plaindre de la manière
dont on l'avait traité dans cette conférence,
168 et 238. Réponse que lui fait Ascelin,
238. Ses sentiments sur l'écrit de Jean Scot,
168. (Voyez ce qui en est dit dans V Histoire
littéraire de la France, t. VII, p. 554 et suiv.
[ASCENSION ou vision d'Isaïe, livre apo-
cryphe, I, 159.]
ACENSION. Opuscule sur l'Ascension de
Jésus-Christ, attribué à Eusèbe de Césarée,
iv siècle, m, 231. — Discours de saint Grégoire de
Nysse sur l'Ascension de Jésus-Christ, VI,
IV siècle, 203, 204. [Homélie sur l'Ascension par Dia-
dochus, 316 et 328]. — Homélies de saint
Jean Chrysostôme sur ce sujet, VII, 84. Dis-
cours sur ce mystère faussement attribués à
saint Jean Chiysostôme ; homélie sur le
même sujet faussement attribuée à ce père,
141. Opuscule sur ce sujet faussement attri-
bué à saint Jean Chrysostôme, 312. Autre
également faussement attribuée au même
saint docteur, 333. Homélie faussement at-
tribuée à Jean de Jérusalem, 502. — Témoi-
gage de Sulpice Sévère sur le lieu oîi s'o-
péra l'Ascension Jésus-Christ, VllI, 115.
l^f ou Trois discours de saint Nil sur la fête de
l'Ascension, 215. Sermon de Nestorius sur
l'Ascension de Jésus-Christ, 373. [Sermon
d'Eusèbe d'Alexandrie sur ce sujet, 383.
Sermon sur le même sujet par saint Procle
de Constantinople, 415.] — Sermons de saint
IV ou Augustin sur ce sujet, IX, 239. Fragment
d'un sermon de saint Augustin sur ce sujet,
243. [Sermons du même saint sur l'Ascen-
sion ; sermon du même sur le temps entre
l'Ascension et la Pentecôte, 841. Deux ser-
mons sur l'Ascension faussement attribués à
saint Augustin, 836.] — Sermons du pape
saint Léon sur ce mystère, X, 193. Autre
sermon sur le même sujet qui lui est attri-
bué, 198. Trois homélies de saint Maxime de
Turin sur l'Ascension, 325. [Un sermon du
même sur l'Ascension, 326.] Vers de saint
Ennode sur le mystère de l'Ascension, 576.
— Homélie du pape saint Grégoire pour le
V siècle.
V siècle.
jour de l'Ascension, XI, 459, 460. Témoi-
gnage d'Adamnan sur les vestiges de l'As-
cension de Notre-Seigneur, 801 . — [Hymne
du vénérable Bède pour l'Ascension, XII,
4.] Vers pour la fête de l'Ascension attribués
à saint Jean Damascène, 85. Hymne de
de Rhaban Maur pour la fête de l'Ascension,
459. Discours de l'empereur Léon VI sur ce
mystère, 775. [Sermon d'Alton de Verceil
sur ce sujet, 826.] Sermons de Rathérius
de Vérone sur l'Ascension, 838. Poëme de
Rosvithe, religieuse de Gandersheim, surce
mystère, 876, 877. — Poëme du roi Robert
sur ce mystère, XIII, 108. Sermon de saint
Odilon, abbé de Cluny, sur l'Ascension, 133.
— Sermon d'Yves de Chartres sur ce mys-
tère, XIV, 123. Sermon de Geofifroi de Ven-
dôme sur l'Ascension de Jésus-Christ, 169.
Deux sermons du vénérable Hildebert sur
ce sujet, 214. Poëme de Marbode sur l'As-
cension de Jésus-Christ, 228. Cinq sermons
de saint Bernard pour la fête de l'Ascension,
484. Trois sermons de Pierre de Celle sur
l'Ascension, 681. [Sermon d'Isaac abbé de
l'Étoile, sur ce sujet , 694. Trois sermons
d'Odon, chanoine de Saint-Victor, sur cette
fête, 712. Trois sermons d'Absalon, abbé
de Springkirsbach , pour cette fête, 877.]
ASCÈTES. Nom qu'on donnait à ceux qui jy siècle
faisaient profession de vivre d'une manière
plus austère que les autres, II, 523. — Ca-
nons, 12, 13, 15, 16 et 17 du concile de
Gangres sur les ascètes, III, 517, 518. Canon
21, 518. Voyez àloines et Vierges.
ASCÉTIQUES. On comprend sous ce nom jy ^^^^^^
tous les ouvrages moraux de saint Basile le
Grand ; on applique aussi particulièrement
ce nom à trois discours de ce saint docteur,
IV, 392i Occasion, sujet et analyse de ces
trois discours, 392 et suiv. Deux autres dis-
cours ascétiques attribués à saint Basile,
398, 399. Discours ascétique ou lettre faus-
sement attribuée à saint Basile le Grand,
490. — Discours ascétique attribué à saint jy siècle.
Ephrem, VI, 36. Discours ascétique à l'imi-
tation des Proverbes par saint Ephrem, 36
et 37. Autre discours ascétique de saint
Ephrem, 37. [Autres discours ascétiques,
509 et suiv.] — Dix discours ascétiques, ou- iv on
vrage de Grégoire, abbé en Palestine, VIII, V siècle.
2, Ascétique ou traité de la Vie monastique; jy ou
ouvrage de saint Nil, solitaire de Sinaï, 208, ^ *'*'='*•
209. Ti'aité de la Pauvreté volontaire, suite
de l'Ascétique de saint Nil, adressé à Magna,
210 et 211. Ascétiques, livre qui contenait
tablï; générale des matières.
9S
131. les erreurs des Messaliens condamné par le
concile d'Éphèse, 591. — Livre ou discours
ascétique de saint Maxime, abbé de Ghry-
sopolis, XI, 763, 764. — Traité ascétique de
saint Anselme, archevêque de Cantorbéry,
XIV, 38. Voyez Moines et Vierges.
ASCHOLE ou ACHOLE (Saint). (Les Grecs
écrivent Aschole, et les Latins Achole.) Il
était évêque de Thessalonique; il est auteur
de la lettre de l'Eglise de Gotbie sur le mar-
tyre de saint Sabas, IV, 283. Lettres que lui
écrit saint Basile à ce sujet, 283. Autres let-
tres que lui écrivit saint Basile, 456 et 457.
Saint Aschole et cinq de ses collègues évo-
ques de Macédoine, rejettent l'ordination de
Maxime le Cynique pour le siège de Cons-
tantinople, 618. Il assiste en 382 au concile
de Rome, 638. — 11 baptise l'empereur
Théodose, V, 17, et VI, 364. Le pape
saint Damase lui écrit et à cinq autres évo-
ques de Macédoine, V, 17. Saint Aschole
est appelé au concile de Constantinople
après la mort de saint Mélèce, 189. II visite
saint Ambroise, 383.
ASCLÉPAS, évêque de Gaze. Saint Ale-
xandre d'Alexandrie lui écrit contre Arius,
m, 106. 11 est persécuté par les Ariens. Eu-
sèbe de Césarée lui est favorable, 172. As-
clépas est déposé dans un concile d'Antio-
ehe, 449. 11 est rétabli par un concile de
Rome, 464. 11 se trouve au concile de Sar-
dique, 479. 11 y est absous, 484.
ASCLÉPIADE, auteur d'un traité intitulé:
De la Providence du souverain Dieu, cité par
Lactance, II, 517.
ASCLÉPIADE, évêque novatien deNicée,
VIII, 14.
ASCLÉPIADE, à qui saint Nil écrit, VIII,
223.
ASCLÉPIADE, diacre député à Rome par
Anatolius, X, 220.
ASCLÉPIUS, de la secte des Marcionites,
est brûlé avec saint Pierre Apsélame ,
m, 11.
ASCLÉPIUS ou ASCLÉPIE (Saint), soli-
taire dont Théodoret a écrit la vie, X, 61.
ASCLÉPIUS , évêque en Afrique , dont
parle Gennade. Ses écrits contre les Ariens
et contre les Donatistes sont perdus, X, 469.
ASELLE (Sainte), vierge romaine. Ce qui
enest dit dans l'Histoire Lausiaque de Pal-
lade, Yli, 490. Saint Jérôme fait son éloge,
588. Lettre que lui écrivit sainlJérôme, 592.
ASELLICUS, évêque. Lettre que lui écri-
vit saint Augustin, IX, 166.
418.
418.
585.
[ASHTON édite les deux apologies de saint
Justin, J, 445.]
ASELLUS, prêtre. Instruction du pape
Zosime à l'évêque Faustin et aux prêtres
Philippe et Asellus, ses envoyés en Afrique,
Vn, 537, et IX, 418.
ASIATIQUE, commandant des troupes en
Phénicie, détourne l'empereur Anastase de
chasser de leur siège Cosme d'Epiphanie et
Sévérien d'Arélhuse, opposés à Sévère de
Sozople, XI, 107.
ASIATIQUE , archevêque de Tarragone, 599,
préside à un concile de Barcelone, XI, 907.
ASIE. Concile qui y fut tenu contre les er- 246.
reurs de Noët, II, 554, 555.
ASILE DES ÉGLISES. Exemple remar-
quable sous saint Basile, rapporté par saint
Grégoire de Nazianze, V, 350. — Loi de
Théodose au sujet des débiteurs qui se ré- 392.
fugiaient dans des églises, VI, 373. — L'eu-
nuque Eutrope est oMigé d'avoir recours à 441.
l'asile de l'éghse, VII, 119. — Dispositions
du concile d'Orange au sujet de ceux qui se
réfugient dans l'église , VIII, 607, 608. —
Canons du premier concile d'Orléans en fa-
veur du droit d'asile, X,743. Le droit d'asile
confirmé par un concile de Mâcon; avec
quelle religion le roi Gontran l'observe, XI,
326. Gontran-Boson, capitaine, accusé d'un
meurtre se réfugie dans l'église de Saint-Mar-
tin de Touis, 370. L'asile des éghses s'éten-
dait à tous les heux renfermés dans leurs en-
ceintes, 388. Canon du quatrième concile
d'Orléans contre ceux qui violaient le droit
d'asile, 861. Canon du deuxième concile de
Mâcon. 897. Canon d'un concile de Paris sur
les asiles des églises, 913. — Clotaire II main-
tient le droit des asiles ; lois des Allemands et
des Bavarois touchant les asiles, XII, 227.
Une dame, nommée Marie, est mise en péni-
tence pour avoir violé le droit d'asile dans
l'église, 307. L'église du monastère de Sal-
gensladt avait droit d'asile, 355. Dispositions
d'un concile de Reims sur les asiles des
églises ; l'église de Saint-Denis était regar-
dée comme un asile, 915. Le droit d'asile
confirmé par le douzième concile de Tolède,
957. — Abbon de Fleury défend ce droit,
XIII, 25.
ASINION , évêque de Coire, au concile de
Milan, X. 61.
[ASLEBEN (M.-J.). Son projet d'édition et
de traduction de saint Éphrem, VI, 73, 74.]
ASPAR, consul et patrice à qui Théo-
doret écrit, X, 77. L'empereur Léon est
625.
451.
96
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
V siècle
IV siècle.
let II siècles.
II siècle.
III siècle.
IV siècle.
IV siècle.
380.
IV siècle.
390.
375.
IV siècle.
IV siècle.
mis sur le trône par son autorité , 2.33.
ASPASIE, abbesse. Lettre que saint Di-
dier de Cahors lui écrit, XI, 733.
ASPÉBÈTE, prince des Sarrasins, baptisé
sous le nom de Pierre et ensuite consacré
évêque de sa nation, XI, 273.
ASPHALE, prêtre d'Antioche, disciple
d'Aétius, député vers Constantius, VI, 345.
ASPHALE, autre prêtre d'Antioche qui
faisait à Conslanlinople les affaires de son
clergé, Vm, 587.
ASPONE, ville de Galatie; Pallade en est
fait évêque, VII, 486.
[ASSÉMANI (Joseph-Simon), chanoine de
Saint-Pierre, a publié rédition de Rome des
œuvres de saint Ephrem avec le concours de
son neveu, Étienne-Évode, et du père Pierre
Benoît, VI, 439 et suiv.]
ASSEMANI (Étienne-Évodius), archevê-
que d'Apamée, neveu du précédent ; sa Col-
lection des actes des martyrs d'Orient et
d'Occident, III, 324 et suiv. — [Il édite le
sixième volume de l'édition romaine des
Œuvres de saint Ephrem, VI, 440.]
[ASSARADON, d'après plusieurs critiques,
n'est pas le même que Nabuchodonosor, I,
99, n. 2.]
ASSEMBLÉES des fidèles. Les jours n'en
étaient pas encore réglés du temps de saint
Ignace, I, 384. Assemblées des fidèles à l'oc-
casion des martyrs, 386. Témoignage de
saint Justin sur les assemblées des chré-
tiens, 443. — Témoignage de Tertullien II ;
Constitutions apostoliques sur ce point, 598,
599. Canons vingt-unième et quarante-si-
xième du concile d'Elvire, 607 et 610. — Té-
moignage d'Eusèbe de Césarée, III, 290, 291.
Canons cinquième et sixième du concile de
Gangres, 527. — Témoignage de saint Atha-
uase, IV, 217. Canon dix-septième dans la
deuxième épître canonique de saint Basile le
Grand, 465. Assemblées des femmes; canon
premier duconciledeSarragosse; assemblées
secrètes ; canons deux et quatre du même
concile, 615. Assemblées des fidèles et célé-
bration des saints mystères; canon neu-
vième du deuxième concile de Carthage,
649. — L'empereur Valentinien défend les
assemblées illicites, V, 15. Assemblées des
fidèles ; témoignage de saint Cyrille de Jéru-
salem, 77. Témoignage de saint Grégoire de
Nysse, 250. Témoignage de saint Epiphane,
434, 435. — Assemblées des hérétiques et
des schismatiques ; canons soixante-dixième,
soixante-onzième et soixante-douzième du
quatrième concile de Carthage, Vil, 731. —
[Assemblée des ordres ecclésiastiques ; dis-
cours de saint Théodore Studite sur ce sujet,
XU, 3H.]
ASSER, surnommé MÉNÈVE, du Heu de
sa naissance , aujourd'hui Saint-David, em-
brasse la vie monastique dans le monastère
de Saint-David, XII, 781. Le roi Alfred l'at-
tire auprès de sa personne à cause de sa
piété et de sa science ; il le fait évêque de
Schirborn ou Salisbury; sa mort, XII, 781.
11 écrit la vie du roi Alfred ; idée de cette
Vie, 782 et 781. La Chronique de Saint-Néot
est attribuée à Asser, 782, 783.
ASSIDUITÉ des clercs ; canons quarante-
neuvième et cinquantième du quatrième
concile de Carthage, VII, 730. Canon cin-
quième du premier concile de Tolède, 740.
ASSISES ET BONS USAGES DE JÉRU-
SALEM. Ce que c'est que cette Collection;
différentes éditions qu'on en a faites, XIII,
527.
ASSOCIATIONS de prières et de suffra-
ges, XIV, 514.
ASSOMPTION de Moïse; livre apocryphe,
1, 38.
ASSOMPTION DE LA SAINTE VIERGE.
Sujet de deux discours faussement attribués
à saint Jérôme, VII, 647. — - Sujet d'un traité
faussement attribué à saint Augustin, IX,
288. [Le sermon 208 de l'Appendice sur l'As-
somption est de saint Augustin, 244, 245 et
841. — Saint Grégoire de Tours n'est pas
le premier qui ait parlé de l'Assomption de la
sainte Vierge, XI, 372, n. 2.] — Homélie
d'Ambroise Autpert sur l'Assomption de la
sainte Vierge, XII, 126. Hymne pour cette
fête, attribuée à Paul Diacre, 147. [Homélie
sur l'Assomption par Paul Diacre, 148.] Ser-
mon sur cette fête dont l'auteur est incer-
tain, 810. [Sermon d'Alton de Verceil sur
cette fête, 826. — Hymne pour cette fête,
XIU, 23.] Sermon de saint Odilon sur
cette fête; hymne du même, 155. Opinion
commune de son temps sur ce point, 156.
Discours de Michel Pellus sur le trépas et
l'assomption de la sainte Vierge, 337. Hymne
du cardinal Albéric pour la fête de l'As-
somption de la sainte Vierge, 494. Homélie
de Grégoire de Teri^acine sur cette fête, 498.
Jeûne qui précédait cette fête dans l'Église
grecque, 571. — Trois sermons du vénéra
ble Hildebert pour la fête de l'Assomption
de la sainte Vierge, XIV, 215. Son sentiment
sur ce point, 216. Sermon sur l'Assomption
398.
909.
398.
400.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
91
de la sainte Vierge, faussement attribué à
Hugues de Saint-Victor, 353. Quatre ser-
mons de saint Bernard sur cette fête, 484.
Autre sermon qu'on lui attribue, 492. [Trois
sermons d'Isaac, abbé de l'Étoile, sur ce su-
jet, 694. Ce que cet orateur dit de l'Assomp-
tion dans le premier sermon, 695.] Huit ser-
mons de Pierre de Celle sur l'Assomption de
la sainte Vierge, 681. [Sermon de Guarin,
abbé de Saint- Victor, sur cette fête, "lil.
Sermon de Nicolas, secrétaire de saint Ber-
nard, 736. Trois sermons d'Absalon, abbé
de Springkirsbach , 877.] Deux sermons de
Guillaume d'Auvergne sur l'Assomption de
la sainte Vierge, 1027.
ASSON, abbé de IWontier-en-Der. Voyez
Adson.
ASSUÉRUS, roi de Perse, époux d'Estber,
le même qu'Arlaxercès Longue-Main, 1, 107
etsuiv. [D'après l'opinion la plus probable, il
serait le même que Xercès, fils de Darius e*
père d'Artaxercès Longue-Main, 108, n. 1.
Assuérus est un nom commun à plusieurs
rois de Perse, 108, n. 4.]
ASSURES, ville d'Afrique. Lettre de saint
Cyprien au peuplade celte ville et à Épictète,
leur évêque, II, 317.
ASTÈRE URBAIN, prêlre, U, 88 et suiv. Il
est l'auteur de trois livres contre lesMonta-
nistes; en quel temps il a écrit ; idée de ces
trois livres; ambition de Montan; commen-
cement et suite de son schisme, 88 et 89.
Mort ignominieuse de Montan et de ses pro-
phétesses; les évêques s'opposent aux er-
reurs deMontan ; fausseté de ses prophéties,
89. Différence entre les vrais et les faux pro-
phètes ; prophètes de la loi nouvelle, 89 et
90. [Roulh a recueilli les fragments qui nous
restent de cet auteur, 90.]
ASTÈRE, sénateur romain. Ses vertus,
II, 395.
ASTÈRE (Saint), martyr à Egée en Phé-
nicie, II, 465, 466.
ASTÈRE (Saint), évêque de Pétra en Ara-
bie, découvre au concile de Sardique les
mauvais desseins des Eusébiens,lII, 480. —
Il assiste en 362 au concile d'Alexandrie,
IV, 588.
ASTÈRE, sophiste qui fut regardé comme
Favocat des Ariens. Ses écrits, IV, 317, 318
et VI, 309, 310. 11 fut réfuté par Marcel
d'Ancyre, 305 et VI, 310. — Il répond à
Marcel d'Ancyre et l'accuse de sabellianisme,
IV, 305. — Il paraît auteur d'une homélie
attribuée à saint Jean Chrysostôme, VII, 193.
TAB. I.
ASTÈRE, sophiste que les Ariens firent iv siède.
évêque et que saint Julien Sabas fit mourir,
IV, 318 et X, 52.
ASTÈRE, assesseur et ami de saint Gré- iv siècle,
goire de Nazianze. Lettre que ce saint lui
écrivit, V, 256.
ASTÈRE, solitaire dont saint Grégoire de
Nazianze fait l'éloge, V, 276.
ASTÈRE de Scythople. Ses écrits, VI, vi siècle.
309.
ASTÈRE, solitaire à qui saint Julien Sabas
sauve la vie, X, 31.
ASTÈRE, comte d'Orient, fait conduire
saint Jean Chrysostôme à Gonstantinople,
VU, 2.
ASTÈRE (Saint), archevêque d'Amasée
dans le Pont, docteur de l'Église, VI, 291 et
suiv. Ce que l'on sait de sa vie ; jusqu'à quel 4oo.
temps il a vécu, 291. Ses écrits : Discours ou
homélie sur le mauvais riche, 292, 293. Sur
l'économe injuste, 293, 294. Discours contre
l'avarice, 294, 295. Contre les étrennes,295.
Contre le divorce, 295, 296. Sur l'histoire de
Daniel et de Suzanne, 296, 297. Sur l'aveu-
gle-né, 297, 298. Discours sur saint Pierre
et saint Paul ; sur saint Phocas, martyr, 298
et suiv. Sur les saints martyrs, 301 et suiv.
Sur le martyre de sainte Euphémie, 303,
304. Sur la pénitence, 304, 305. Sur le com-
mencement des jeûnes, 305 et suiv, Sur
saint Etienne, premier martyr, 307, 308.
Discours de saint Astère qui sont perdus,
308. Écrits attribués à saint Astère, 309.
Éditions des homélies ou discours de saint
Astère d'Amasée, 310. [Éditions et traduc-
tions récentes, 310.] — Il décrit le martyre de
sainte Euphémie, III, 51. — Le Traité de la
pénitence qui se trouve dans les (Euvres de
saint Grégoire de Nysse est de saint Astère,
VI, 161. — 11 est auteur d'un des discours en
l'honneur de saint Etienne, attribués à saint
Procle, Vni, 412.
ASTÈRE (ïyrsus Rufus et non Turcius
Rufius), consul et patrice, publie le poëme
pascal de Sédulius, Vlll, 107, 108. On lui at-
tribue un poëme contenant la Comparaison
de l'Ancien avec le Nouveau Testament; ce
poëme est l'ouvrage de Sédulius, 108 et XI,
100. — Saint Sidoine se trouve à l'ouverture
de son consulat, X, 379.
ASTÈRE, fondateur d'un monastère dans
le territoire d'Antioche, VIII, 238.
ASTÈRE, évêque, l'un des légats de saint
Léon à Constanlinople, X, 219 et 681.
ASTÈRE, prêtre, avertit d'une falsification
,7
98
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
153.
755.
756.
V siècle.
IV on
V siècle.
tV siècle.
358.
IX siècle.
faite aux actes d'un concile de Constantino-
ple, X, 674.
ASTÈRE, évêque à qui le pape Pelage I"
adresse une lettre, XI, 333.
ASTÈRE, comte d'Orient, accuse sur di-
vers chefs Anastase, patriarche d'Antioche,
qui se Justifie, XI, 337.
ASTHON. Son édition des Apologies de saint
Justin, II, 443.
ASTOLFE, roi des Lombards. Mauvaise foi
dont il use à l'égard du pape Etienne II, XII,
142. Forcé par les armes des Francs, il fait
un traité avec ce pape, puis il le rompt ; il
assiège Rome; Pépia passe en Italie et oblige
Astolfe à promettre d'exécuter le traité; sa
mort, H3.
ASTORGA, ville d'Espagne. Concile tenu
en cette ville contre les Manichéens, X,206.
[ASTRIC, devenu évêque de Colocza sous
le nom d'Anastase, XII, 909.]
ASTROLABE, espèce de globe céleste.
Discours de Synésius de Ptolémaïde sur ce
sujet, VIII, 31. —Traité de l'astrolabe, at-
tribué au vénérable Bède, XII, 4. Ouvrages
de Diéthelme, écolâtre de saint Mathias de
Trêves, sur l'astrolabe, 840. Traité attribué
à Gerbert sur la composition de l'astrolabe,
903. — Traités de la mesure de l'astrolabe
et de ses utilités, ouvrages d'Hermann Con-
tracte, XIII, 183.
ASTROLABE (Pierre), fils d'Abélard et
d'Héloïse, XIV, 318 et 340. [Avis que lui
donne Abélard. 338.] Élégies qui lui sont
adressées sur les moeurs, 339.
ASTROLOGIE défendue aux chrétiens, II,
38. Canon 36 du concile de Laodicée contre
les astrologues, 312. — Le peuple d'Emèse
en Phénicie se soulève contre Eusèbe son
évêque, parce qu'on le disait adonné à l'as-
trologie, IV, 318. Saint Basile combat l'as-
trologie judiciaire, 369. — Les astrologues
combattus par Diodore de Tarse, V, 389, 390.
— Par saint Grégoire de Nysse, VI, 134.
[Par saint Éphrem, 452 et suiv.] Loi de Cons-
tance contrôles astrologues, 342. — Doctrine
de saint Augustin sur l'astrologie judiciaire,
IX, 188, 248, 298 et 794,795. Ceux qui fai-
saient profession d'astrologie n'étaient ad-
mis à la communion qu'après une pénitence
publique, 13. — Astrologie combattue par
saint Grégoire le Grand, XI, 579. — Ouvrage
du vénérable Hildebert contre l'astrologie
judiciaire, XIV, 222.
ASTRONOME (L'). Nom sous lequel est
connu un anonyme, auteur d'une Vie de
Louis le Débonnaire, XII, 396. Idée de cette
Vie; éditions qu'on en a faites, 397. [Autres
éditions et traductions, 397.] (Voyez son ar-
ticle dans VHistoire littéraire de la Finance,
t. V, p. 49 et suiv. et le supplément à la tête
du t. XI, p. xix et suiv.)
ASTRONOMIE. Astronomes combattus par
Diodore de Tarse, V, 589, 590. — Synésius
parle avantageusement de l'astronomie ,
VllI, 31. [Sermon d'Eusèbe d'Alexandrie sur
les astronomes, 383, 384.] — Traité d'astro-
nomie par Cassiodore, XI, 237, 238. — Li-
vre du cardinal Albéric sur l'astronomie,
XIII, 494.
ASYNGRITIE, à qui saint Jean Chrysos-
tome écrit une lettre, VII, 133.
ATANE, lieu du Limousin où saint Yrieix
fonde un monastère qui depuis a pris son
nom, XI, 323.
ATARBIUS (ou ATHARBE), évêque de
Néocésarée, dans le Pont, accusé de Sabel-
lianisme, IV, 360. Lettres que lui écrit saint
Basile, 440, 441, 432.
[ATENUPH, prince de Bénévent. Le pape
Agapet II lui écrit, XII, 830.]
ATER (Saint), martyr à Alexandrie, II,
402.
ATERBIUS, moine, accuse publiquement
Jean de Jérusalem, saint Jérôme et Rufin
de suivre les erreurs d'Origène, VII, 431.
ATHALARIC , roi des Golhs , en Italie,
succède à Théodoric son grand-père, XI,
114 et 209. Lettre par laquelle il confirme
l'élection du pape Félix IV, 209. Il donne
occasion à un schisme lors de l'élection du
pape Boniface II, 114. Sa lettre au pape
Jean II qui renouvelle la défense de faire
aucune brigue pour obtenir les évêchés,
116. Il continue Cassiodore dans ses emplois
et lui accorde toute sa confiance ; il le fait
préfet du prétoire, 209. Sa mort, 210. Ses
lettres écrites par Cassiodore, 213, 216.
ATHANARIC , roi des Goths , persécute
les Chrétiens, IV, 278 et suiv. En quel
temps commence cette persécution, 278. —
Sa mort, V, 475.
ATHANaSE (Saint), patriarche d'Alexan-
drie, docteur de l'Église et confesseur; his-
toire de sa vie, IV, 189 et suiv. [Voyez 89,
n. 3, Chroniques très-anciennes sur saint
Athanase, 91, n. 12]. Sa naissance, sa pa-
trie, ses études, 89, 90. Il a pour maîtres
des martyrs ; a-t-il baptisé des enfants sur
le bord de la mer, étant lui-même enfant;
il va voir saint Antoine, demeure avec lui
SIC
TABLE GÉNÉRALE DES MATJÈRES.
99
et embrasse la vie ascétique, 90. Il entre
dans le clergé, est fait diacre, 90 et 91. Il
assiste au concile de Nicée ; il est fait évê-
que d'Alexaiidrie, 91 . Il ordonne Frumen-
tius évéque des Ethiopiens, 91 et 92. Il est
accusé par les Méléciens et par les Ariens.
Chefs d'accusation ; il refuse de se trouver
au concile de Césarée , 92. Il se rend au
concile de Tyr, 92 et 93. Il va trouver l'em-
pereur Constantin à Constantinople. Il est
exilé à Trêves, 93. Il se rend au lieu de son
exil. Constantin refuse de le rappeler, 93 et
94. Constantin le jeune le renvoie à Alexan-
drie, 94. Les Ariens proposent de nouvelles
accusations contre lui, 94 et 93. Pistus est
ordonné évêque d'Alexandrie par les Eusé-
biens ; saint Athanase y assemble un con-
cile ; il va à. Rome au concile indiqué par le
pape saint Jules ; les Eusébiens mettent à
sa place Grégoire de Cappadoce, 95. L'em-
pereur Constant fait venir saint Athanase à
Milan, 93 et 96. Saint Athanase est déclaré
innocent dans le concile de Sardique, 96. Il
va trouver Constance ; il retourne à Alexan-
drie, 96, 97 et 98. Il y tient un concile ; les
Ariens travaillent à irriter Constance contre
saint Athanase, 98. Le pape Libère est tenté
par les Orientaux de se séparer de la com-
munion de saint Athanase , 98 et 99. Le
saint évêque ne veut point quitter Alexan-
drie ; nouvelles accusations des Ariens con-
tre saint Athanase, 99. Il est condamné au
concile d'Arles et dans celui de Milan, 99 et
100. On tâche de l'intimider pour le faire
sortir d'Alexandrie. Dieu le sauve des mains
du duc Syrien, 100, 101. Il est obligé de se
retirer dans les déserts d'Egyple, 101, 102.
Il revient à Alexandrie d'où il est de nou-
veau cbassé, 102. Il retourne à Alexandrie ;
il y tient un concile, 102 et 103. [Mouve-
ments populaires et accusations contre saint
Athanase en 363, 366, 103, n. 7.] Il est en-
core obligé de sortir d'Alexandrie; il se
tient caché dans le tombeau de son père,
103. Il reprend le soin de son Église ; il y
tient un concile, il excommunie un gouver-
neur de Libye, 103 et 104. Mort de saint
Athanase, 104, [et n. 8. Jugement sur sa
personne, 104 et 103.] Catalogue de ses
écrits, lOS. Écrits de saint Athanase, 103 et
suiv. Discours contre les Gentils, 105, 106
et suiv. En quel temps il fut composé, 103,
106. Analyse de ce discours, 106, 107. Ori-
gine et progrès de l'idolâtrie, 106. Preuves
de la vanité des idoles, 106 et 107, Preuves
de l'unité de Dieu, 107, Discours sur l'in-
carnation, 107 et suiv. Analyse de ce dis-
cours, 107. Causes de l'incarnation 107, 108.
Causes de la mort de Jésus-Christ; preuves
de l'incarn.'ition contre les Juifs, 108. Ré-
ponses aux objections des païens, 108 et
109. Exposition de la foi, 109 et suiv. Cet
ouvrage est de saint Athanase ; on ne sait
en quel temps il l'a composé, 109. Analyse
de cet ouvrage, 109 et 110. Traité sur ces
paroles de Jésus-Christ : Toutes choses m'ont
été données par mon père, 110 et 111. Ce
traité est de saint Athanase, 110, Ana-
lyse de ce traité, 110 et 111. Lettre de
saint Athanase aux évêques orthodoxes ;
Analyse de cette lettre, 111. Apologie de
saint Athanase contre les Ariens, 111 et
suiv. En quel temps elle a été écrite, 111,
112. Analyse de cette apologie, 112, 113.
Traité ou lettre sur les décrets du concile
de Nicée ; en quel temps cette lettre a été
écrite ; quelle en fut l'occasion, 113. Ana-
lyse de cette lettre, 113 et 114. Apologie de
saint Denis d'Alexandrie, 114, 113. A quelle
occasion saint Athanase l'écrivit. L'époque
en est incertaine, 114. Analyse de cette apo-
logie. 114 et 115. Lettre de saint Athanase
à Draconce, 113 et suiv. En quel temps elle
fut écrite, 113, 116. Analyse de cette lettre,
116, 117. Lettre circulaire aux évêques
d'Egypte et de Libye, 117, 118. En quel
temps elle fut écrite, 117. Analyse de cette
lettre, 117 et 118. Apologie de saint Atha-
nase à Constance, 119 et suiv. Analyse de
cette apologie, 119. Réponse au premier
chef d'accusation, 119. Réponse au second
chef, 119 et 120; au troisième, 120; au
quatrième, 121 . Apologie de saint Athanase
sur sa fuite, 121, 122. En quel temps il l'a
écrite, 121. Analyse de ce qu'elle contient,
121 et 122. Lettre de saint Athanase à Séra-
pion touchant la mort d'Arius ; en quel
temps elle a été écrite ; quelle en fut l'occa-
sion ; analyse de cette lettre, 122. Lettre de
saint Athanase aux solitaires , 122 et suiv.
Eu quel temps il l'écrivit, 122, 123. Cette
lettre est divisée en deux parties : la pre-
mière dogmatique que nous n'avons plus
est dififérente des discours contre les Ariens,
123. Analyse de ce qui nous reste de la se-
conde partie de cette lettre, 123 et 124. Elle
est historique et ce que nous en avons ne
commence qu'après le concile de Tyr, 123.
Persécution sous Constance ; la vérité ne se
prêche pas avec l'épée, mais par la persua-
341.
351.
Entre 350
et 355.
354 ou 355.
356.
356.
357 ou 358.
358.
357 ou 35S.
100
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
sion, 124. Pièces jointes à la lettre aux soli-
taires, 124 et 125. Les quatre discours contre
358. les Ariens, 125 et suiv. En quel temps ils
ont été écrits, 125. Analyse du premier dis-
cours : Que le nom de secte ne convient qu'à
des hérétiques. Quelle était l'hérésie des
Ariens, 125 et suiv. Réponse à la première
objection des Ariens ; la génération éter-
nelle du Verbe ne suppose point la propa-
gation qui n'a lieu que dans les créatures,
126. Réponse à la seconde objection : s'il
est dit que Jésus-Christ a été oint, qu'il a été
élevé, c'est selon son humanité. En quel sens
il a reçu un nom plus excellent que celui
des anges, 126, 127. Analyse du second dis-
cours ; en quel sens il faut entendre quel-
ques passages de l'Écriture dont les Ariens
s'autorisaient, 127. Analyse du troisième
discours : Lnité du Père et du Fils, 128 et
suiv. Réponse aux objections des Ariens :
C'est en nature et non en volonté seulement que
le Père et le Fils sont un, 128. Jésus-Christ
étant Dieu et homme , les propriétés de ses
deux natures sont attribuées à un seul su-
jet, parce que deux natures sont unies en
une seule personne; c'est par nature, et
non par volonté et avec délibération, que
le Père a engendré son Verbe ; analyse du
quatrième discours ; unité de substance et
distinction des personnes du Père et du
Fils ; éternité du Verbe ; le Verbe fait chair
est le Christ; Réponse aux objections des
Eusébiens; le nom de Fils ne doit pas se
prendre comme appellatif ; le Fils est con-
substantiel au Père, 129. Réfutation de di-
verses erreurs sur la Trinité, 129 et 130.
Lettres de saint Athanase à Sérapion, 130
v 360. et suiv. En quel temps elles ont été écrites,
130, 131. Analyse de la première lettre à
Sérapion, 131, 132. Réponses aux objec-
tions, 131. Preuves de la divinité du Saint-
Esprit, 131 et 132. Analyse des autres let-
tres à Sérapion, 132. [Lettre à Sérapion,
340 ou 341. écrite de Rome, pubhée par le cardinal Maï,
132, 133. Analyse de cette lettre, 133.]
Traité des synodes , 133 et suiv. En quel
359. temps saint Athanase a écrit, 133, 134.
Analyse de ce traité, 134, 135. Récit de ce
qui s'est passé dans les conciles de Séleucie
et de Rimini, 134. Conciles et formulaires
des Ariens, 134 et 135. Défense du terme
362, de consubstantiel, 133. Tome ou lettre à
l'Église d'Antioche, 133 et 136. A quelle oc-
casion elle fut écrite, 133, 136. Analyse de
363 cette lettre, 136. Lettre de saint Athanase à
l'empereur Jovien, 136, 137. Analyse de ce
qu'elle contient, 137. Remontrances que les
Ariens adressent à l'empereur Jovien contre
saint Athanase, 137, 138. Accusations qu'ils
forment contre ce saint évêque auprès de
cet empereur, 138. Vie de saint Antoine,
138 et 139. Cette Vie est écrite par saint
Athanase ; en quel temps il l'écrivit, 139. 355
Lettres de saint Athanase à Orsise, 139 et
140. Comment saint Athanase apprend de
deux saints la mort de Juhen; traité de l'in-
carnation, 140, 141. Ce traité est de saint
Athanase, 140. Analyse de ce qu'il contient,
140 et 141. Lettre de saint Athanase aux
évêques d'Afrique, 141, 142. En quel temps ggg
elle a été écrite, 141. Analyse de ce qu'elle
contient, 141 et 142. Lettre à Épicièle, 142, 3^9
143. Quelle en fut l'occasion, 142. Analyse
de cette lettre, 142 et 143. Lettre à Adel-
phius, 143, 144, En quel temps elle fut ^^g
écrite, 143. Analyse de cette lettre, 143 et
144. Lettre à Maxime ; en quel temps elle
fut écrite , analyse de ce qu'elle contient,
144. Livres contre Apollinaire, 144 et suiv.
Ces livres sont de saint Athanase ; en quel
temps il les a écrits, 144, 145. Analyse du ^^^_
premier hvre. Détail des erreurs d Apol-
hnaire, 143. Analyse du second livre;
preuve que Jésus -Christ est véritable-
ment homme, 143 et 146. Livre de la Tri-
nité et du Saint-Esprit ; ce livre est de
saint Athanase; analyse de ce qu'il contient,
146. Lettres de saint Athanase, 146 et suiv. ^^^
Lettres aux prêtres Jean et Antiochus , 146,
147; à Pallade, à Amon, 147. Lettre tou- . ,,,
' ' ' , Avant 31
chant la Pâque ; canon des Ecritures, 147 et
148. Lettre de saint Athanase à Ruffinien,
148. Lettres à Lucifer de Cagliari, 148 et
149. Seconde lettre aux solitaires ; aux fidè-
les d'Alexandrie, 149. [Lettre aux prêtres et
aux diacres d'Alexandrie , 149. Lettres aux
églises de la Maréote, 149 et 150. Letti-es
pascales de saint Athanase retrouvées et pu-
bhées; fragments qu'on en possédait; lettres
qu'on a retrouvées, 130. Chronique athana-
sienne, écrite en syriaque, servant d'intro-
duction à ces épîtres, 150 et ISl. Époque
de la première épître, 131. Analyse de cette
épître 151 et 152. Date de la deuxième épi-
tre, 152. Analyse, 152 et 153. Date et ana-
lyse de la troisième, 133, 134. Date et ana-
lyse de la quatrième, 134 ; de la cinquième,
134 et 153 ; de la sixième, 155, 156 ; de la
septième, 156 et suiv. Pourquoi saint Atha-
nase n'écrivit pas de lettre en 336 et 337,
360.
364.
356.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES,
101
p. 158, Date et analyse de la dixième lettre,
158 et 159 ; de la onzième, 159 et suiv. Saint
Athanase n'écrivit point de lettre pascale en
340, 161. Date et analyse de la treizième
lettre, 162 ; de la quatorzième, 162, 163. Ce
que dit la chronique pour les années 343,
344; lettre pascale en 345, 163; en 346,
163 et 164. Date et analyse de la dix-neu-
vième lettre pascale, 164, 165 ; de la ving-
tième ; fragments des autres lettres pascales,
165. Endroits remarquables sur le dogme,
la morale, la discipline et l'histoire, 165 et
166. Jugement sur les lettres pascales, 166.]
Lettre à Marcellin sur les Psaumes, 166, 167.
Analyse de cette lettre, 167. Commentaires
sur les Psaumes, 167 et suiv. Ces commen-
taires sont de saint Athanase, 167, 168. Il
faut faire exception de quelques endroits
qui ne sont pas de lui ; Jugement de ces
commentaires, 168. Préface sur ces com-
mentaires ; ce qu'elle contient, 168 et 169.
[Interprétation des Psaumes ou titres des
Psaumes ; cet ouvrage est de saint Atha-
nase, 169. Analyse de cet ouvrage, 169 et
170.] Ce que nous avons de saint Athanase
sur le livre de Job, ne prouve pas qu'il en
ait fait un commentaire ; saint Athanase a
fait le commentaire de l'Ecclésiaste et du
Cantique des Cantiques, 170. Les fragments
de commentaire sur saintMatthieuque nous
avons sous le nom de saint Athanase ne
sont pas de lui, 170 et 171. Nous avons
aussi quelque chose sur saint Luc, sous le
nom de saint Athanase, 171. [Fragments
de ce commentaire publiés par Mai, 171.]
On est en doute s'il a expliqué quelques en-
droits des Épîtres de saint Paul ; frag-
ments contre les hérésies de Valentin et
d'Apollinaire, 171. Explication du Symbole
des apôtres, 172. [Elle est publiée d'une
manière plus étendue par MingareUi, 172.]
Fragments contre l'hérésie d'Eutychès ; au-
tres fragments ; ce qu'il en faut penser ; le
grand discours sur la foi est de saint Atha-
nase ; analogie de ce discours ; fragments
historiques touchant Paul de Samosate, et
la conspiration d'Etienne d'Antioche contre
les défenseurs de saint Athanase, 172. Écrits
qu'on doute être de saint Athanase ; le
traité sur l'Incarnation est-il de saint Atha-
nase? 172 et suiv. Raisons qu'on apporte
pour le lui attribuer, 172, 173. Raisons qui
prouvent qu'il n'en est pas l'auteur, 173,
174. Traité pour la consubstantialité des
trois personnes en Dieu; lettre circulaire
aux évêques d'Egypte, de Syrie et de Phé-
nicie, 174. [Passage sur la procession du
Saint-Esprit. 174.] Écrit contre Mélèce, 174
et 175. Épître touchant l'incarnation du
Verbe ; écrit contre les Sabelliens, 175.
Écrit intitulé : Que Jésus-Christ est un, 175
et 176. Traité des sabbats et de la circonci-
sion ; homélie sur la semence, 176. Livre
de la Virginité, 176 et 177. La Synopse de
l'Écriture, 177, 178. Ce qu'elle contient de
remarquable, 178, 179. Discours sur la pa-
tience et sur la fête des palmes, 179. Divers
fragments, 179 et 660. [Opuscule sur les
azymes, 179.] Des livres attribués fausse-
ment à saint Athanase, 179 et suiv. Dispute
entre Arius et saint Athanase, 179. Discours
contre toutes les hérésies ; l'histoire de
Melchisédech ; opuscule à Jovien ; les défi-
nitions ; divers écrits à Antiochus ; l'histoire
du miracle de Béryte, 180. Discours contre
les Latins, 181. L'instruction des moines,
181 et 182. L'institution à la vie monasti-
que ; deux lettres à Castor ; diverses homé-
lies ; sur la nativité de saint Jean ; sur l'An-
nonciation ; sur l'enregisti'ement de la sainte
Vierge et de saint Joseph ; sur la naissance
de Jésus-Christ ; sur la présentation de Jé-
sus-Christ au temple ; sur l'aveugle-né ; sur
l'entrée de Jésus-Christ à Jérusalem; sur la
trahison de Judas ; sur la passion de Jésus-
Christ ; sur les saints prophètes ; sur la
pâque ; sur les nouveaux baptisés; surl'As-
cension de Jésus-Christ ; sur saint André ;
sur les devoirs de l'homme chrétien ; cinq
dialogues sur la Trinité, 182. Vingt opus-
cules contre diverses hérésies, 182 et 183.
Autre opuscule sur la Trinité ; huit livres
sur la Trinité ; diverses intructions et trai-
tés ; conférence avec Arius ; dispute avec
Arius , Sabelhus et Photin ; lettres suppo-
sées, 183. Vie de sainte Synclétique, 183 et
184. Exhortations aux moines et à une
vierge ; le symbole Quicumque, 184. N'est
pas de saint Athanase, 184 et 185. Antiquité
de ce symbole, 185. Versions différentes de
ce symbole, 185 et 186. Opuscule sur la pâ-
que, 186. Écrits de saint Athanase qui sont
perdus, 186 et 187. Lettres de saint Atha-
nase qui sont perdues , 187. Doctrine de
saint Athanase, 187 et suiv. ; sur l'Écriture
sainte, 187 ; sur la tradition, 190, 191. sur
la vérité de la religion, 191 ; sur la na-
ture d'un Dieu en trois personnes, 192 et
suiv. ; sur la personne du Père ; 194, 195 ;
sur celle du Fils, 195 et suiv. ; sur le Saint-
102
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
IV siècle.
326.
335.
335.
336.
335.
IV siècle.
IV siècle.
IV siècle.
IV siècle.
iV siècle.
333.
335.
Esprit, 201 et suiv. sur la création et l'état
de rhomme après le péché, 203 et suiv.;
sur la réparation du genre humain par Jé-
sus-Christ, 203 et suiv. sur la loi de Moïse,
sur l'Église et ses caractères, sur l'autorité
des conciles, sur la foi, 209 et suiv.; sur la
nécessité et l'efficacité de la grâce, 213 et
214; sur le baptême, 214 et suiv.; sur
l'eucharistie, les églises et les assem-
blées des fidèles, 216 et suiv.; sur la pé-
nitence, 218, 219; sur les divers degrés
du ministère ecclésiastique, 219 et suiv.;
sur la sainte Vierge, les apôtres et les anges,
222 et suiv. ; sur les martyrs, 224 ; sur les
moines et les vierges, 224 et suiv. ; sur les
hérétiques et les schismatiques, 226 ; sur le
jeûne et la prière, 226 et 227 ; sur le péché
et le jugement, 227, 228 ; sur diverses ma-
tières , 228. Jugement des écrits de saint
Athanase, 229, 230. Catalogue des éditions
de ses œuvres en latin, 230, 231. Éditions
grecques et latines, 231 et suiv. [Éditions
récentes, 231, 232, 233. Édition dans la Pa-
trologie, 232.] — Saint Athanase justifie saint
Denis d'Alexandrie contre les Ariens, 11,
400, 401. — Saint Alexandre, évêque d'A-
lexandrie, désigne saint Athanase pour son
successeur, III, 108. Saint Athanase est dé-
posé dans un concile tenu à Tyr, 126 et
455. II est exilé par Constantin, 126 et 437,
Constantin en mourant ordonne son rappel,
128. Lettre que l'empereur Constantin lui
écrit, 141. Eusèbe de Césarée se joint à ses
ennemis dans le concile de Tyr, 175 et 430.
Saint Athanase est reçu avec honneur par
saint Pacôme, 358, 339. Les Eusébiens écri-
vent au pape Jules contre saint Athanase,
373. Saint Athanase est justifié dans un
concile de Rome, 374. Par une lettre du
pape saint Jules aux Orientaux, 378 et suiv.
Sa justification confirmée par le concile de
Sardique, 483, 484. Son retour dans son
Église, 501. L'empereur Constance ne peut
obhger Osius évêque de Cordoue à condam-
ner saint Athanase, 393, 394. Lettre d'Osius
à Gonstantias sur ce sujet, 394, 393. Saint
Athanase étant simple diacre assiste au con-
cile de Nicée, 422. Il y combat contre Arius
et ses partisans, 422 et 423. Élu évoque
d'Alexandrie, il refuse d'admettre Arius à
sa communion ; concile tenu contre saint
Athanase à Césarée en Palestine, 449. Il est
accusé de divers crimes au concile de Tyr,
450, 451. Il se justifie, 451. Députation et
information contre lui dans la Maréote, 431
et suiv. Protostation du clergé d'Egypte
contre ces informations, 453, 434. Saint
Athanase continue de se justifier, 454, 455.
Il se sauve de Tyr; il est déposé par le con-
cile, 453. Il se plaint à l'empereur du juge-
ment rendu contre lui à Tyr, 455 et suiv.
Il demande un concile légitime , 455 et 456.
Concile tenu pour lui à Alexandrie ; lettre
des évêques de ce concile contenant son
apologie, 460 et suiv. Concile tenu à Rome
pour saint Athanase, 464. Concile d'Antio-
che tenu contre lui par les seuls Eusébiens,
465 et suiv. Il se trouve au concile de Sar-
dique, 477. Sa cause est examinée dans ce
concile; il y est absous, 483, 484. Son re-
tour à Alexandrie ; il tient un concile à
Alexandrie, 501. Ursace et Valens se ré-
tractent des calomnies dont ils l'avaient
chargé, 501 et suiv. Ils excitent l'empereur
Constance contre lui. 493. Les Eusébiens
s'efforcent de dominer dans plusieurs con-
ciles pour faire condamner ce saint Évêque,
496. — Saint Théodore, abbé de Tabenne,
lui envoie deux de ses religieux, IV, 234,
235. Ce saint abbé prédit le retour de ce
saint évêque ; il reçoit saint Athanase, 233.
Lettre de saint Athanase au sujet de la mort
de saint Théodore, 236. Lucifer de Cagfiari
s'oppose à la condamnation de saint Atha-
nase au concile de Milan, 240. Lettres que
saint Athanase lui écrit, 242, 243. Livres de
Lucifer de Cagliari pour saint Athanase,
247 et suiv. Marcel d'Ancyre se justifie au-
près de ce saint évêque, 308. Il lui députe
Eugène, diacre d'Ancyre, 308 et suiv. l'Em-
pereur Jovien écrit à saint Athanase et lui
demande une instruction sur la foi, 393,
596. Saint Athanase assemble un concile à
Alexandrie et écrit à l'empereur au nom
des évêques de ce concile, 596. Il est con-
sulté par saint Amon, fondateur des soli-
taires de Nitrie, 314.11 excommunie le gou-
verneur de Libye; lettre que lui écrivit
saint Basile le Grand, 440. Autres lettres de
saint Basile, 441 et 444. Saint Basile le
Grand tâche de faire entrer saint Mélèce
dans la communion de saint Athanase, 443.
[Lettre de Potamius de Lisbonne à saint
Athanase, 549. Osius ne consentit jamais à
condamner saint Athanase, 350, n. 1.] —
Union d'Apollinaire de Laodicée avec saint
Athanase, V, 86. Ce saint docteur combat la
doctrine d'Apollinaire, 87. Timothée, de-
puis évêque d'Alexandrie, défend saint
Athanase au concile de Tyr, 92. Panégyri-
339.
355.
363.
335.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
103
que de saint Athanase par saint Grégoire de
Nazianze, 216, 217. Son écrit de la Vie de
saint Antoine traduit en langue syriaque,
VI, 7. Lettre de l'empereur Constantin le
Jeune à l'Église d'Alexandrie pour le réta-
blissement de saint Athanase^ 339. Édit de
l'empereur Constance contre saint Atha-
nase, 341. Lettres de cet empereur pour et
contre saint Athanase, 343 et suiv. Lettres
de l'empereur Julien contre saint Athanase,
350 et suiv. Lettres de l'empereur Jovien à
saint Athanase, 354. Saint Athanase sou-
tient par ses lettres l'Église de Suèdres en
Pamphylie. — L'histoire de saint Athanase
est mal exposée par Rufîn, VII, 469. —
Lettre de saint Athanase à Épictète, cor-
rompue par les Nestoriens , Vlll, 243. —
— Pratique de saint Athanase pour le chant
des Psaumes, IX, 33. Il demeure ferme au
milieu de ceux qui abandonnent sa cause,
541. — Traits de l'histoire de saint Atha-
nase rapportés par Théodoret, X, 45 et suiv.
Il donne mission à Frumentius pour les
Indes, 138. Ouvrages de Vigile de Tapse
qui lui sont attribués , 481. Le symbole
qu'on attribue à saint Athanase parait être
de Vigile de Tapse, 484. — [Saint Germain de
Constantinople cite une lettre de saint
Athanase qu'on ne connaissait pas, XII, 40.]
ATHANASE , père d'Athanase, évêque
d'Ancyre; lettre que saint Basile lui écrit,
IV, 431.
ATHANASE, évêque d'Ancyre. Lettre que
saint Basile le Grand lui écrit, IV, 431, 432.
Lettre de saint Basile à l'ÉgHse d'Ancyre
sur la mort d'Athanase leur évêque, 432.
ATHANASE, moine sorti de son monas-
tère. Lettre que saint Nil lui écrit , VIII ,
217.
ATHANASE , établi évêque de Dohque
par Jean d'Antioche, VIII, 603.
ATHANASE, évêque de Perrha, chassé de
son Église et déposé, sollicite son rétablis-
sement, VIII, 300. On indique un concile à
Antioche pour juger son affaire, 381. 11 se
retire à Constantinople ; saint Procle écrit
en sa faveur, 407, 408. — Comment il entra
dans cet évêché, X, 75. Concile d'Antioche
où il est condamné, 673. Son affaire agitée
au concile de Chalcédoine; déposition du
concile, 696.
ATHANASE, évêque de Busiris, quitte le
parti de Dioscore ; ordonne saint Profère,
X, 230.
ATHANASE, diacre de Basile de Séleucie,
595.
IX slëcle.
IX siècle.
X siècle.
témoin de la conversation des députés du
concile de Constantinople avec Eutychès, X,
670.
ATHANASE , prêtre d'Alexandrie , neveu
de saint Cj'rille; accusations qu'il forme m.
au concile d'Alexandrie contre Dioscore, X,
688.
ATHANASE, prêtre et moine du monas-
tère de Tamnac ou de Saint-Mile en Licao-
nie ; accusé d'avoir parlé contre la défini-
tion du concile d'Éphèse, est justifié dans
un concile, XI, 504 et 906.
[ATHANASE (Saint), évêque de Méthon.
Son oraison funèbre par Pierre d'Argos,
624.]
ATHANASE (Saint), évêque de Naples,
persécuté par Sergius, son neveu. Lettre
du pape Adrien II en sa faveur, XII, 592.
[ATHANASE, archevêque de Corinlhe.
Fragment de son commentaire sur saint
Luc, pubhé par Maï, XII, p. 899.]
ATHANASE LE JEUNE, évêque de Na-
ples, excommunié par le pape Jean Vill
dans un concile de Rome à cause de ses
liaisons avec les Sarrasins , XII , 648 et
XIII, 728.
ATHANASE, patriarche grec de Jérusa-
lem. Lettre que lui écrit Georges métropo-
litain de Gorfou; réponse d'Athanase, XIV,
653.
[ATHANASE, évêque des Corinthiens,
vers 920. Au tome CVI de la Patrologie
grecque on trouve sur cet évêque une notice
tirée de Lequien, et un extrait des quatre
livres de Zotus le jacobite.]
ATHANASIENS, nom que les Ariens don-
naient aux catholiques, IX, 623.
ATHÉLARD, évêque de Rochester. Dis-
cours qu'il prononce sur les immunités ec-
clésiastiques, XIII, 636.
ATHELVOLD (Saint), évêque de Win-
chester. Voyez Elkelvold.
ATHÉNAGORE, apologiste de la religion
chrétienne, I, 481 et suiv. En quel temps il
florissait ; l'Apologie qui porte son nom est
de lui ; elle fut présentée à Marc-Aurèle et y. n7.
à Commode, 481. Analyse de cette Apologie,
481 et suiv. Les chrétiens y sont justifiés
d'athéisme, 482 ; des incestes ; des repas de
chair humaine ; traité d'Alhénagore tou-
chant la résurrection des morts, 483. Ana-
lyse de ce traité, 483 et 484. Écrits attri-
bués à Athénagore, 484. Jugement de ses
écrits. Ce qu'ils contiennent de remarqua-
ble, 484 et suiv. Leurs éditions, 486, 487.
104
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
[Éditions parues depuis D. Ceillier, 487.]
ATHÉNAIS, femme de l'empereur Théo-
dose le Jeune. Voyez Eudoxie.
II siècle. ATHÈNES, ville de Grèce. Saint Quadrat,
évêque de cette Église, I, 401. Lettre que
H siècle, saint Denis de Corinthe écrivit aux Athé-
niens, 461, 462. — Extravagances que les
anciens écoliers faisaient subir aux nou-
veaux venus, V, 216, 217. — Sentiment de
saint Jérôme sur l'inscription de l'autel d'A-
thènes, dont parle saint Paul, "VII, 660.
ATHÉNIUS, gouverneur de la Mauritanie
Césarienne. Ses violences, V, IIS.
III siècle. ATHÉNODORE, frère de saint Grégoire
Thaumaturge. Firmilien, évêque de Césarée
en Cappadoce, le fait connaître à Origène,
II, 433. Il étudie cinq ans sous Origène,
437. Il assiste au premier concile d'Anlio-
che contre Paul de Samosate, 567.
m siècle, ATHÉNOGÈNE (Saint), martyr. Son hymne
est perdue. H, 463, 464 et IV, 423. —
Athénogène est cité par saint Basile, IV,
423.
ATHIES, maison royale en Vermandois
où fut élevée la reine Radegonde , XI ,
315.
ATTALE (Saint), de Pergame, martyr
sous Marc Antonio, II, 428.
ATTALE, prêtre arien, assiste au concile
d'Aquilée, IV, 629. Il y est condamné, 633.
ATTALE, empereur dans les Gaules,
Vm, 99.
ATTALE (Saint), abbé de Bobio. Sa vie
écrite par le moine Jonas, XI, 617.
ATTICUS, archidiacre, puis patriarche de
^06. Constantinople, VIII, 13 et suiv. Il est intrus
sur le siège de Constantinople, 13 et 257.
407. L'Éghse romaine ne veut pas le recon-
naître avant qu'il rétablisse la mémoire de
saint Jean Chrysostôme, 13 et 14. Atlicus
i2i. • "^eut attribuer de nouveaux droits à son
425. Église ; il rejette les Pélagiens ; sa mort, 14
422. et 403. Ses écrits, 14 et 15. Lettre d'Atticus
425. à saint Cyrille d'Alexandrie, 15 et 298 ; à
Pierre et à Edésius, diacres; à Calliope prê-
tre; à l'Église d'Afrique ; discours d'Atticus
sur le jour de Noël ; lettre à Eupsychius ;
traité de la foi et de la virginité adressé à
Pulchérie et à Flaccille, 16. Paroles attri-
buées à Atticus, 16 et 17. Jugement qu'on a
porté de cet auteur, 17. [Voyez 16, n. 8.
Éditions de ses écrits dans la Patrologie, 17.]
Atticus succède à Arsace, patriarche in-
trus sur le siège de Constantinople, VII, 11.
[Il est cause de l'exil de saint Chrysostôme,
181.
VU siècle.
13, note 13.] — Lettre que lui écrivit le
sixième concile de Carlhage, VIII, S69. Le
pape saint Célestin fait son éloge, 135, 136.
Lettre que lui écrivit Acace de Bérée, 241. m.
Atticus rétablit la mémoire de saint Jean
Chrysostôme, 257 et 298. Obtient la com-
munion de l'Éghse romaine, 258. Lettre 425.
qu'il écrit à saint Cyrille d'Alexandrie pour «7.
lui rendre raison des motifs qui l'avaient
porté à rétablir la mémoire de saint Jean
Chrysostôme et l'engager à faire de même,
298, 299. Réponse de saint Cyrille, 299. At- us.
tiens baptise un juif paralytique qui se
trouve guéri en recevant le baptême, 522.
ATTICUS, évêque de Nicople, métropole
de l'Épire. Vexations qu'il éprouve de la
part d'Anastase de Thessalonique, X, 205.
ATTICUS, archidiacre de Constantinople,
député à l'empereur Marcien par les évo-
ques assemblés à Nicée, X, 683.
ATTICUS (ou ATTIQUE), prêtre de Cons-
tantinople, s'élève contre le concila deChal-
cédoine ; il proteste qu'il n'a que de l'aver-
sion pour Eulychès, X, 233.
ATTIGNY-SUR-AISNE , bourg de Cham-
pagne. Concile qui y fut assemblé par le roi
Pépin , Xlll. 616. Autres conciles tenus en
ce Heu, 657, 667, 713.
ATTILA, roi des Huns, sur le point de 452,
saccager Rome , est arrêté par les remon-
trances du pape saint Léon, fait la paix et
repasse le Danube, X, 174, 175. Il avait pris
Milan et avait répandu l'effroi dans toute la
Ligurie, 323. Il est détourné par saint Loup
d'attaquer la ville de Troyes ; son respect
pour ce saint évêque, 357.
ATTON, évêque de Verceil. Ce qu'on sait 945-960.
de sa personne ; durée de son épiscopat,
XII, 819, 820. [Il y a eu deux évêques de
Verceil nommés Alton, controverse sur ce-
lui à qui appartiennent le Testament, le Po-
lyptique et les sermons, 820, n. 1. Édition
des œuvres d'Alton par Buronzo, 820, n.
5.] Ses homélies; son Polypticum ou Per-
pendiculum, 820. Analyse de son Capitulaire,
820 et suiv. Son livre des Souffrances de l'É-
glise ; analyse de cet ouvrage, 823, 824.
Lettre à Waldon, évêque de Côme, sur la
fidélité due aux souverains ; lettres contre
quelques superstitions, 824. Autres lettres
d'Alton de Verceil, 824 et suiv. [Édition des
écrits d'Alton dans la Patrologie d'après l'é-
dition de Buzonzo, 820. Écrits nouveaux :
ses commentaires sur les Épitres de saint
Paul, ses discours, le Tolytique, son Pesta-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES,
105
ment, 826, 827. Ce que contient rAppendice
mis à la suite des œuvres d'Atton , 827.
Dissertation sur les œuvres d'Atton, 826.]
(Voyez son article dans l'Histoire littè'aire
de la France, t. VI, p. 281 et suiv.)
îiécie. [ATTON, archevêque d'Ausone ou de Vich
en Catalogne, XII, 836.]
siècle. ATTON, moine du Mont-Cassin et aupa-
ravant chapelain de l'impératrice Agnès.
Ce qu'on sait de sa personne et de ses
écrits, XIII, 495. (Voyez ce qui en est dit
dans l'Histoire littéraire de la France, t. VII,
p. 100 et suiv., et dans l'Avertissement,
p. Ivj.)
159 ATTON j évêque de Verdun, accusé au
concile de Savonières d'être entré dans
l'épiscopat par des voies illégitimes, XIII,
690.
ATTON, évêque de Troyes. (On a de lui
quelques lettres. Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. XII, p-
226 et suiv.)
ATTRIBUTS DIVINS conviennent au Fils
88i. comme au Père. Doctrine de saint Ambroi-
se, V, S33. — Témoignage de saint Au-
gustin sur les attributs divins, IX, 364.
►89. AUBE. Suivant le concile de Narbonne,
tous les clers doivent être en aube pendant
la célébration des saints mystères, XI, 904.
AUBÉPINE (Gabriel de 1'), évêque d'Or-
léans. Son édition des œuvres de saint Optât
de Miiève, V, 149. Sa note sur un texte de
saint Optât touchant l'unité de l'Église, 137,
note 10.
AUBERT (Saint), évêque d'Arras. Sa vie
écrite par le docteur Fulbert^ différent de
l'évêque de Chartres, XIII, 89.
AUBERT AMBROISE. Voyez Ambroise
Autpert.
1826. AUBERT, moine de Corbie, accompagne
saint Anschaire dans sa mis.sion en Dane-
mark ; sa mort, XII, 324.
AUBERT (Jean), principal du collège de
Laon et chanoine de Laon, interprète du
clergé, est chargé avec Bourgeois de donner
une édition des œuvres de saint Ephrem,
VI, 72. — Il a donné une édition des ou-
vrages de saint Cyrille d'Alexandrie, VIII.
343. — Il est chargé par le clergé de France
de donner une nouvelle édition des œuvres
de saint Jean Damascène, ne peut l'exécu-
ter, XII, 98.
isiède. AUBIN (Saint), évêque d'Angers. Sa vie
écrite par Fortunat, XI, 411 et 384. — Ab-
baye sous son nom à Angers. Diflérend de
cette abbaye avec celle de Vendôme au su-
jet du prieuré de Craon, XIll, 510, 511.
Écrits concernant cette affaire, 511, 512.
AUCH, ville de Gascogne. Au v^ siècle, il
y avait encore beaucoup de païens dans le
diocèse d'Aucli, VIII, 422. — Concile tenu
en cette ville ; on y ordonne que toutes les
églises du pays paieront à la cathédrale le
quart de leurs dîmes, XIV, 1063.
[AUCHER (J.), méchitariste. Son édition
du texte arménien de la Chronique d'Eusèbe,
III, 181, 182 et 313.]
AUDAX , évêque. Lettre que lui écrivit ly „„
saint Augustin, IX, 190. "^ "^<^'=-
AUDÉE, chef de l'hérésie des Audiens.
Voyez Audius.
AUDENGE, mère de saint Avit, évêque de
Vienne, X, 333.
AUDENTIUS, espagnol. Ses écrits, 347, ly siècle.
348. Son livre de la foi contre les héréti-
ques, 348.
AUDICOUR. Lettre de saint Bernard aux n^o.
chanoines d'Audicour, XIV, 423.
AUDIENCES, ou assemblées séculières.
Canon d'un concile d'Erford , qui les défend
les dimanches, les fêtes et les jours déjeune,
XIII, 746.
AUDIENS, schismatiques qui célébraient iv siècle,
la Pâque en même temps que les Juifs, III,
467. — Ce que saint Epiphane dit de cette
secte, VI, 405. — Us croyaient que Dieu
avait une forme humaine, X, 47. Prétextes
qu'ils alléguaient pour se séparer des catho-
liques, 121. Leurs pratiques ridicules dans
la pénitence, 123. Voyez Audius.
AUDITEURS. Premier degré du catéchu- jy siècie.
menât. Canon cinquième du concile de Néo-
césarée, II, 642. — Canon cinquième du
concile de Laodicée, III, 509.
AUDIUS, chef des Quartodécimains oppo- ly si^cie.
ses au décret du concile de Nicée sur la Pâ-
que, III, 429. — Ce que saint Epiphane dit
de lui, VI, 403. — Ce qu'en dit Théodoret,
X, 47. Voyez Audiens.
AUDOEN, archevêque de Rouen. Voyez
Saint-Ouen.
AUDRADE, chorévêque de Sens, célèbre
par ses visions ou révélations; son voyage 349.
à Rome ; il présente ses écrits au pape Léon
IV ; il est déposé ainsi que tous les autres
chorévêques, XII, 440. Recueil de ses révé-
lations ; ce qui nous en reste, 440 et 441.
Son poëme intitulé: Fontaine de vie ; Casi-
mir Oudin l'a mal à propos attribué à Hinc-
mar de Reims, 441. [Édition de ses écrits
106
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
dans la Patrologie ; lettre d'Andrade à Hinc-
mar de Reims, ML] (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, tome V,
p. 131 et suiv.j et le supplément à la tête
du tome XI, p. xx.)
AUDULFE, abbé de Saint-Maixent en Poi-
tou, engage Ursin à écrire la vie de saint
Léger, XI, 811. (Il avait lui-même écrit
l'histoire de la translation du corps de saint
Léger à l'abbaye de Saint-Maixent. (Voyez
V Histoire littéraire de la France, tome III, p.
630.)
AUGE en latin AUGENTIUS (Daniel d'),
professeur royal en langue grecque ; sa tra-
duction trançaise de l'ouvrage de Philon in-
titulé De la vraie noblesse, I, 313. — Sa ver-
sion latine du Dialogue de l'âme, ouvrage de
saint Grégoire de Nysse, VI, 239. — Sa tra-
duction française du livre de Synésius, de
la Manière de gouverner, VIII, 33.
AUGENDE, complice du crime de Féli-
251. cissime, excommunié par saint Cyprien, II,
263.
AUGENTIUS, professeur royal en grec.
Voyez Auge (d').
[AUGER (l'abbé). Sa traduction française
de plusieurs écrits de saint Basile , IV, 547.
— Sa traduction française de plusieurs écrits
de saint Cbrysostôme, VII, 437.]
AUGSBOURG, ville d'Allemagne. Concile
tenu en cette vide, XIII, 730, 731.
259. AUGURE (Saint), diacre, martyr en Es-
pagne, II,- 387, 388.
AUGURES. Loi de Constance contre eux,
VI, 342, 343. — Doctrine de saint Augustin,
625. IX, 793. — Canon d'un concile de Reims
qui défend d'observer les augures, XII,
913.
AUGUSTAL, lecteur de saint Fructueux de
Tarragone, II, 388.
AUGUSTE, empereur. Paix, sous son rè-
gne, favorable à l'établissement de l'empire
de Jésus-Christ, II, 231.
[AUGUSTI (J.-C.-G.), Son édition des
discours attribués à Eusèbe d'Émèse, IV,
320.]
m siècle. AUGUSTIN (Saint), martyr à Capoue,
sous Vulérien, II, 341.
AUGUSTIN (Saint), évêque d'Hippone et
docteur de l'Église, IX, 1 et suiv. Histoire
de sa vie. [Auteurs à consulter sur saint
354. Augustin, 1, n. 1.] Sa naissance, 1. Son édu-
cation; il est fait catéchumène ; l'oisiveté le
370, 371. fait tomber ; il va à Carthage, 2. Il perd son
371. père; il commence à aimer la sagesse; il
IV et
V siècle.
entend sans maître les livres des philoso-
phes, 2 et 3. Il tombe dans l'hérésie des
Manichéens, 3, 4. Il commence à se défier
de ces hérétiques ; il enseigne à Carthage,
4. Il quitte Carthage et va à Rome et à Mi-
lan, 3. Il demeure catéchumène dans l'E-
glise catholique, 6. Sa conversion, 6 et suiv.
Il se retire à la campagne; ses occupations,
8 et 9. Il reçoit le baptême à Milan; il quitte
Milan et perd sainte Monique, sa mère, 9.
Il retourne en Afrique et demeure quelque
temps à Carthage, 9 et 10. Il se retire près
de Tagaste et donne son bien aux pauvres,
10. Il est fait prêtre d'Hippone, 10 et 11. II
établit un monastère à Hippone, 11. Il écrit
à Aurèle de Carthage au sujet des agapes,
12, 13. II est fait coadjuteur d'Hippone, 13.
Sa conduite pendant son épiscopat, 13 et
14. Communauté qu'il forme auprès de lui
et dont il devient le modèle, 13. Il bâtit une
église et un hôpital ; son soin pour les pauvres,
14, 15. Sa conduite envers les pécheurs, 13,
16. Sa conduite contre les ennemis de l'É-
glise et pour l'Église ; il dépose le prêtre
Abundantius, 16. Les Donatistes attentent à
la vie de saint Augustin, 16 et 17. Il est
longtemps absent; il veut quitter le manie-
ment des biens de rÉghse, 17. Il exhorte
Démétriade à la virginité, 17 et 18. Il dé-
tourne le comte Boniface de quitter le mon-
de, 18, 19. Il combat les Pélagiens; il reçoit
les reliques de saint Etienne; son désinté-
ressement et celui de son clergé, 19. Lettres
de saint Augustin aux religieuses d'Hippone,
19 et 20. Il désigne Héraclius pour son suc-
cesseur au siège d'Hippone, 20, 21. Il tra-
vaille à apaiser les troubles du monastère
d'Adrumette ; les Vandales entrent en Afri-
que ; ils assiègent Hippone ; saint Augustin
tombe malade, 21. Il meurt; samémoireest
en vénération dans toute l'Église, 21 et 22.
[Ses reliques, 22, n. 2.] Ses ouvrages 23 et
suiv. Écrits de ce saint docteur contenus
dans le premier tome de ses œuvres ; deux
livres des rétractations ; pourquoi ils sont
mis les premiers; en quels temps ils ont été
composés ; en quel ordre ils ont été écrits,
23. Ce qu'ils contiennent, 23 et 24. Quel en
est le dessein ; estime qu'on a faite de
ces livres, 24. Confessions de saint Augus-
tin, 24 et suiv. Gomment elles ont été re-
çues ; ce que saint Augustin en dit, 24, 23.
Eu quel temps elles furent écrites, 23. Elles
sont divisées en treize livres : Analyse du
premier livre, 23 et suiv. ; du deuxième,
374.
378.
384.
386.
387.
395.
307.
401.
411.
411 et 414
424.
427.,
Dès 4là.
424.
427.
428.
430.
430.
428.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
107
27 ; du troisième, 27 et suiv.; du quatrième,
29; du cinquième, 29 et 30 ; du sixième,
30, 31 ; du septième, 31, 32; du huitième,
32 ; du neuvième, 32 et 33 ; du dixième, 33,
34 ; du onzième, 34, 35 ; du douzième, 35,
36 ; du treizième, 36, 37. Trois livres con-
tre les Académiciens, 37. En quel temps
ces livres ont été composés, 37 et 38. Ana-
lyse du premier de ces livres, du deuxième,
du troisième, 38. Livre de la Vie bienheu-
reuse, 40, 41. En quel temps il a été écrit,
40. Analyse de ce qu'il contient, 40 et 41.
Deux livres de l'Ordre, 41 et suiv. En quel
temps ils ont été faits, 41, 42. Analyse du
premier livre, 42. Analyse du second, 42 et
43. Deux livres des Soliloques, 43, 44. En
n 387. quel temps ils ont été écrits ; pourquoi ils
sont nommés Soliloques , 43. Analyse du
premier livre, 43, M. Analyse du second,
44. Livre de l'Immortalité de l'âme ; en
quel temps il a été écrit ; ce que saint Au-
gustin dit de cet ouvrage ; analyse de ce
livre, 45. Livre de la Quantité ou de la Gran-
deur de l'âme, 43 et suiv. En quel temps il
a été écrit, 46, 47. Analyse de ce livre, 47,
48. Six livres de la Musique, 47 et suiv. En
quel temps ils ont été écrits, 47. Difficulté
qu'il y a d'entendre ces livres ; quel en est
le dessein, 47, 48. Analyse de ces livres, 48,
49. Livre du Maître ; en quel temps il a été
écrit ; ce qu'il contient, 49. Trois hvres du
et 395. Libre arbitre, 49 et suiv. En quel temps et à
quel dessein ils ont été écrits, 49, ^0. Ana-
lyse du premier livre, 51. Analyse du se-
cond, 51 et 52. Analyse du troisième, 52 et
suiv. Deux livres sur la Genèse contre les
389. Manichéens, 34 et suiv. En quel temps ils
ont été écrits, 54, 53. Analyse du premier
livre, 55 ; du second, 55 et 56. Remarques
sur ces deux livres , 56. Deux livres des
Mœurs de l'Église catholique et des Mœurs
I. des Manichéens, 56 et suiv. En quel temps
ils ont été écrits, 56, 57. Analyse du pre-
mier hvre, des Mœurs de l'Église catholi-
que, 59 et suiv. Analyse du second livre,
des Mœurs des Manichéens, 60. Livre de la
[390. Vi'aie Religion, 60 et suiv. En quel temps il
a écrit ; ce que saint Augustin en dit dans
ses Rétractations, 60 et 61. Analyse de ce
livre, 61 et suiv. Règle de saiut Augustin,
64. Ouvrages attribués faussement à saint
Augustin, 64, 65. Livre de la Gramnaaire,
64. Livre des Principes de la dialectique ;
livre des dix catégories ; Principes de rhé-
torique; Règle aux clercs ; seconde Règle ;
livre de la Vie érémitique, 65. Écrits conte-
nus dans le second tome des œuvres de saint
Augustin , 65 et suiv. Ses lettres ; en quel
ordre elles sont distribuées, 65. Lettres de
la première classe, 65 et suiv. Lettre P° à 386.
Hermogénien, 6», 66. II à Zénobius ; III à 337.
Nébridius ; IV, V et VI de Nébridius à saint 388.
Augustin, 66. Lettre VII de saint Augustin sgg.
à Nébridius, 67 et 68. VIII de Nébridius à y. 388.
saint Augustin, 68. IX, X, XI, XII, XIII et
XIV de saint Augustin à Nébridius, 68 et 69.
Lettre XV à Romanien ; lettre XVI de 390.
Maxime à saint Augustin ; XVII de saint
Augustin à Maxime, 69. XVIII de saint Au-
gustin à Célestin ; XIX à Caïus ; XX à An- 391.
tonin, 69 et 70. XXI à Valère, 71. XXII à
Aurèle de Carthage ; XXIII à Maximin, 71 392.
et 72. XXIV et XXV de saint Paulin à saint
Augustin, 72. XXVI de saint Augustin à Li- 394 «t 395
centius, 72 et 73. XXVII à saint Paulin, 73.
XXVIII à saint Jérôme, 73 et 74. XXIX à y. 395.
Alypius, 74, 75. XXX lettre de saint Paulin, 396.
74. Lettres de la seconde classe, 73 et suiv.
XXXI lettre de saint Augustin à saint Pau-
lin, 75. XXXII de saint Paulin à saint Au-
gustin, 75 et 76. Lettre XXXIII àProculien,
76. Lettres XXXIV et XXXV à Eusèbe, 76.
et 77. XXXVI à Gasulan, 77, 78. XXXVII à y. 397.
Simplicien, 78. XXXVIII à Profuturus, 78 et
79. XXXIX de saint Jérôme à saint Augus-
tin ; XL de saint Augustin à saint Jérôme ;
XLI de saint Augustin à Aurèle ; XLII et
XLV à saint Paulin, 79. XLIII à Glorius, 398.
Éleusius, Féhx et Grammaticus, 79 et 80.
XLIV aux mêmes et aux deux Félix, 80, 81.
XLVl de Pubhcola à saint Augustin, 81,
XLVII de saint Augustin à Publicola, 81 et
82. XLVIII à Eudoxe; XLIX à Honorât; 399.
L aux habitants de Suffecte ; LI à Grispin, y. 400.
évoque de Calame, 82. LU à Séverin ; LUI à
Générosus, 83. LIV à Janvier, 83 et suiv.
LV à Janvier, 85, 86. LVI et LVII à Celer, 401.
86, 87. LVIII à saint Pammaque ; LIX à
Victorin, 87. LX à Aurèle, 87 et 88. LXI à
Tbéodoret, 88. LXII et LXIII à Sévère, 88
et 89. LXIV à Quintien ; LXV à Xantippe, 402
89. LXVI à Grispin, 89 et 90. LXVll et
LXVIII à saint Jérôme ; LXIX à Castorius ;
LXX à Naucelion; LXXI, LXXII, LXXHI,
LXXIV, LXXV, LXXXI , LXXXH de saint v. m.
Augustin à saint Jérôme, et de saint Jérôme
à saint Augustin ; LXXVI de saint Augustin
aux Donatistes, 90. LXXVII à Félix et à Hi- v. «4.
larin, 90 et 91. LXXVIII au clergé d'Hip-
pone, 91, Q^. LXXIX à un prêtre mani- y. 405.
108
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
405. chéen ; LXXX à saint Paulin ; LXXXIII à
Alypius, 92 et 93. LXXXIV à Novat, 93.
LXXXV à Paul, 93 et 94. LXXXVI à Céci-
lieu ; LXXXVII à Émérit, 94, LXXXVIII à
406. Janvier, 94 et 95. LXXXIX à Festus, 95,
408. 96. XC, XGI, GUI, CIV lettres de Nectaire à
saint Augustin et de saint Augustin à Nec-
taire, 96, 97. Lettres XCII et XCIX à Itali-
que, 97, 98. XCIII à Vincent le Rogatiste,
98 et suiv. XCIV de saint Paulin à saint Au-
gustin, 101, 102. XCV de saint Augustin à
saint Paulin, 102. XCVI et XGVII de saint
Augustin à Olympius, 102, 103. XCVIII à
V. 409. Boniface, 103, 104. G à Donat; CI à Mé-
mor, 104. Cil lettre ou livre à Deogratias,
409. 104 et suiv. CV aux Donatistes, 107. CVI,
CVII et CVIII à Macrobe, 107 et suiv. CIX
de Sévère à saint Augustin ; CX de saint
Augustin à Sévère, 109. CXI de saint Au-
V. 410. gustin à Victorien, 109 et 110. CXII à Do-
410. nat ; CXIII, CXIV, CXV et CXVI à Cresco-
nius, à Florentin, à Fortunat et à Généro-
sus, 110. CXVII de Dioscore à saint Augus-
tin, 110 et 111. CXVIII de saint Augustin à
Dioscore, 111. GXIX de Consentius à saint
Augustin, 111 et 112. CXX de saint Augus-
tin à Consentius, 112, 113. CXXI de saint
Paulin à saint Augustin ; CXXII de saint
Augustin au clergé d'Hippone, 113. CXXIII
de saint Jérôme à saint Augustin, 113 et
114. Lettres de la troisième classe, 114 et
suiv. CXXIV à Albine, 114. CXXV à Aly-
V. 411. pius, 114 et 115. CXXVI à Albine 115.
CXXVII à Armentaire et à Pauline, 115 et
116. CXXVIII et CXXIX à Marcellin, 116 et
V. 412. suiv. CXXX etCXXXI à Proba 118 et suiv.
412. CXXXII à Volasien ; CXXXIII à Marcellin,
120. CXXXIV à Apringius, 120 et 121.
CXXXV et CXXXVI de Volusien et de Mar-
cellin à saint Augustin, 121. CXXXVII de
saint Augustin à Volusien, 121 et suiv.
CXXXVIII et CXXXIX de saint Augustin à
Marcellin, 124, 125. CXL à Honorât, 125,
126. CXLI aux Donatistes, 126, 127. CXLII
à Saturnin et à Eufrate ; CXLIII à Marcel-
lin, 127. CXLIV à ceux de Cirthe, 127, 128.
V. 413. CXLV à Anastase ; CXLVI à Pelage, 128.
414. CXLVn à Pauline, 129, 130. CXLVIII à For-
tunatien, 130, 131. CXLIX à saint Paulin,
414. 131 et suiv. CL à Proba et à Julienne sur
Démétriade leur fille et petite-fille, 133. CLI
à Cécilien, 133 et 134. CLII de Macédonius
à saint Augustin, 134, 133. CLIII de saint
Augustin à Macédonius, 135 et suiv. CLIV
de Macédonius à saint Augustin, 137. CLV
de saint Augustin à Macédonius, 137 et 138.
CLVI d'Hilaire à saint Augustin, 138.
CLVII de saint Augustin à Hilaire, 138 et
suiv. CLVIII d'Évodius à saint Augustin , V. 415.
140, 141. CLIX de saint Augustin àÉvodius,
141, 142. CLX, GLXI, CLXH, GLXIH et
CLXIV, d'Évodius à saint Augustin et de
saint Augustin à Évodius, 142, 143. CLXV «o.
de saint Jérôme à Marcellin et à Anapsy- 4i5.
quie, 143, 144. CLXVI et CLXVII de saint
Augustin à saint Jérôme, 144 et suiv. CLXXII
de saint Jérôme à saint Augustin , 146.
CLXVIII de Timasius et de Jacques à saint
Augustin, 146 et 147. CLXIX de saint Au-
gustin à Évodius, 147, 148. CLXX à Maxi-
me, 148, 149. CLXXI à Péregrin, 149.
CLXXIH à Donat, 149 et 150. CLXXIV à 4i6.
Aurèle de Cartbage ; CLXXV lettre du con-
cile de Cartbage au pape saint Innocent ;
CLXXVI du concile de saint Milève à saint
Innocent ; CLXXVII d'Aurèle, d'Alype, de
saint Augustin, d'Évodius et de Possidius à
saint Innocent, 150. CLXXVIII de saint Au-
gustin à Hilaire, 150 et 151. CLXXXI du
pape saint Innocent aux pères du concile de
Cartbage ; CLXXXII de saint Innocent aux
pères du concile de Milève ; CLXXXIII de
saint Innocent à Aurèle, à Alype, à saint
Augustin , à Évodius et à Possidius ;
CLXXXIV de saint Innocent à Aurèle et à
saint Augustin, 150. CLXXIX de saint Au-
gustin à Jean de Jérusalem, 151. CLXXX à
Océanus, 151 et 152. CLXXXV à Boniface,
152 et suiv. CLXXXVI à saint Paulin, 154 et 4i7.
suiv. CLXXXVn à Dardanus, 158, 159. v. 4i8.
CLXXXVm à Julienne, 159, 160. CLXXXIX 4i8.
à Boniface, 160. CXC à Optât, 160 et suiv.
CXCI à Sixte; CXCH à Célestin, 162. CXCIH
à Mercator, 162 et 163. CXCIV à Sixte, 163
et suiv. CXCV de saint Jérôme à saint Au-
gustin ; CXCVI de saint Augustin à Aselli-
cus, 166. CXCVnàHésycbius,167. CXCVHI
et CXCIX d'Hésycbius à saint Augustin et
de saint Augustin à Hésychius, 167 et 168. 419.
ce de saint Augustin à Valère, 168, 169.
CCI lettre des empereurs Honorius et Théo- 4i9.
dose à Aurèle de Cartbage et à saint Augus-
tin; CCIIlettre de saint Jérôme à saintAugus-
tin ; CCIII de saint Augustin à Largus, 169.
CCIV à, Dulcilius, 169 et 170. CCV à Con- 420.
sentius, 170, 171. CCVI à Valère ; CGVH à 421-433.
Claude ; CCVIII à Félicie ; CCIX à Célestin,
171. CCX à Félicité et à Rustique, 171 et
172. CCXI aux religieuses du monastère de
Rustique. Elle contient une règle, 172 et
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
109
542C. suiv. CCXII à Quintilien ; CCXIII acte de
l'élection d'HéracIius, 174. CCXIV et CCXV
427. de saint Augustin à Valenlin, 174. et suiv.
CGXVI de Valentin à saint Augustin, 176.
CCXVII de saint Augustin à Vital, 176 et
suiv. CGXVIII à Palatin ; CCXIX à Proculus,
179. CCXX à Boniface, 179 et 180. CCXXIde
Quod vult Deus à saint Augustin, 180, 181.
CCXXII de saint Augustin à Quod vult Deus;
GCXXIII de Quod vult Deus à saint Augus-
tin ; GGXXIV de saint Augustin à Quod vult
Deus; CCXXV et GGXXYI de Prosper et
d'Hilaire à saint Augustin ; GGXXVII de
saint Augustin à Alypius, 181. GGXXVIII à
29 Honorât, 181 et suiv. GGXXIX à Darius;
CGXXX de Darius à saint Augustin ; GGXXXI
I de saint Augustin à Darius, 183. Quatrième
classe des lettres de saint Augustin, 183 et
suiv. GCXXXII aux habitants de Madaure,
183, 184. GGXXXIII de saint Augustin à
Longinien ; GGXXXIV de Longinien à saint
Augustin ; GGXXXV de saint Augustin à
Longinien, 184. GCXXXVI à Dentérius, 184
et 185. GGXXXVII à Gétérius, 185.
GGXXXVIII et GGXXXIX à Pascentius, 185,
186. GGXL de Pascentius à saint Augustin ;
GGXLI de saint Augustin à Pascentius, 186.
CCXLII à Elpidius, 186 et 187. GGXLIII à
Laetus ; CGXLIV à Ghrisime, 187. GGXLV à
Possidius, 187 et 188. GCXLVI à Lampa-
dius ; CGXLVII à Romulus ; GGXLYIII à Sé-
bastien ; GGXLIX à Restitutus ; CCL à Auxi-
lius ; et tragment d'une lettre de saint Au-
gustin à Glassicien, 188. GGLI à Pancarius ;
GGLII à Félix ; GGLIII et GGLIV à Bénéna-
tus; CGLV à Rustique; GGLVI à Christinus;
CGLYII à Oronce ; GGLVIII à Martien , 189.
GGLIX à Gorneille, 189 et 190. GGLX et
GCLXI à Audax, 190. GGLXII à Cédicie, 191.
CGLXIII à Sapida ; GGLXIV à Maxima, 191.
CCLXV à Séleucienne, 191 et 192. GGLXVI
à Florentine ; GGLXVII à Fabiole ; GGLXVIII
au peuple d'Hippone ; GCLXIX à Nobilius ;
CGLXX d'un inconnu à saint Augustin, 192.
Lettre de saint Augustin à Pierre et à Abra-
ham, 192 et 193 ; à Optât, 193, 194. Frag-
ment d'une lettre de saint Augustin à Maxi-
me ; lettres attribuées faussement à saint
Augustin , à Boniface , à Démétriade ; de
saint Augustin à saint Gyrille de Jérusalem,
et de saint Gyrille de Jérusalem à saint Au-
gustin ; dispute de saint Augustin avec Pas-
centius, 194. Écrits contenus dans le troi-
sième tome des œuvres de saint Augustin,
194 et suiv. Quatre livres de la Doctrine
chrétienne, 194. En quel temps ils ont été v. 397.
écrits ; plan de cet ouvrage 19S. Analyse du
premier livre, 195 et suiv.; du second livre,
197, 198; du troisième livre, 198 et suiv.;
du quatrième hvre, 200, 201. Livre impar-
fait sur la Genèse ; en quel temps il a été 393.
écrit, 201, 202. Ge qu'il contient, 202. Douze
livres sur la Genèse et la lettre, 202 et suiv.
En quel temps ils ont écrits et publiés, 202, 401 et «5.
203. [Sommaire des douze livres sur la Ge-
nèse, publié par Maï, p. 203, n. 2.] Ge qu'il
y a de remarquable dans ces livres, 203 et
suiv. Dans le premier, 203 ; dans le second,
203 et 204 ; dans le troisième ; dans le qua-
trième, 204; dans le cinquième, 204 et 205;
dans le sixième; dans le septième; dans le
huitième, 205 ; dans le neuvième, 205 et
206 ; dans le dixième, 206; dans le onzième,
206 et 207. dans le douzième, 207, 208. Lo-
cutions ou façons de parler des sept pre-
miers livres de la Bible ; en quel temps cet y. «9.
ouvrage a été écrit ; ce qu'il contient, 208.
Questions sur la Genèse, 208, 209. Ques- ng^
lions sur l'Exode, 209 et suiv. Questions sur
le Lévitique, 211, 212. Questions sur les
Nombres, 212, 213. Questions sur le Deuté-
ronome, 213. Questions sur Josué, 213, 214.
Questions sur les Juges ; Notes sur Job ; en 402.
quel temps elles ont été écrites ; ce qu'elles y, 402.
contiennent, 214. Miroir tiré de l'Écritui'e, 427.
214 et 215. Autres miroirs attribués à saint
Augustin ; 215. [Miroir publié par le cardi-
nal Maï, 215 et 216.] Quatre livres de l'Ac-
cord des évangélisles, 216 et suiv. Eu quel
temps ils ont été écrits, 216. Dessein et di- v.399ou4oi.
vision de cet ouvrage ; Analyse du premier
hvre, 216 et suiv. Ge qui est contenu dans
les deuxième, troisième et quatrième livres,
218. Deux livres sur le sermon sur la mon-
tagne, 218 et suiv. En quel temps ils ont été v.393ou394,
faits; difficultés sur ces deux hvres, 218. Ge
qu'ils contiennent de remarquable, 218 et
suiv. Deux livres de Questions sur quelques
endroits de l'Évangile ; en quel temps ils y. 400.
ont été écrits; ce qu'ils contiennent; dix-
sept questions sur saint Matthieu attribuées
à saint Augustin, 220. Traités ou homélies
de l'Évangile selon saint Jean et sur la pre-
mière épître de cet apôtre, 220 et suiv. En
quel temps elles ont été faites, 220, 221. m.
Méthode de saint Augustin dans ces homé-
lies ; il interrompt les homélies sur l'Évan-
gile selon saint Jean et explique la première
épître de cet apôtre ; authenticité de ces
homélies sur saint Jean ; préface sur ces hQ-
'ilo
HISTOIRE DES AUTEURS SACHES ET ECCLÉSIASTIQUES.
V. 394.
394.
mélies ou traités; quel est le dessein de ces
homélies, 221. Il y combat les Ariens,
221 et 223 ; les Manichéens , 222 , 223 ;
les Donatisles, 223, 224; les Philosophes,
224, 225. Conduite de l'Église envers les
hérétiques; ce qu'on doit penser de leur
martyre, 225, 226. Comment se doit faire
la correction fraternelle ; on ne doit ja-
mais désespérer du pardon de ses péchés ;
ne s'attacher qu'à Dieu et non pas aux biens
périssables, 226. Observation des comman-
dements et excellence de la charité, 226 et
227. Ne pas négliger les péchés légers ; en
quel esprit il faut faire les bonnes œuvres ;
utilité de la crainte, 227. Questions sur l'É-
pître aux Romains; quelle en fut l'occasion;
Explication de cette Épître ; en quel temps
elle a été faite ; ce qu'il y a de remarqua-
ble, 228. Explication de l'Épître aux Gala-
394. les ; ce qu'elle contient de remarquable,
228, 229. Ouvrages faussement attribués à
saint Augustin ; trois livres des merveilles
de l'Écriture sainte ; livre des Bénédictions
du patriarche Jacob ; Questions sur l'Ancien
et le Nouveau Testament ; dix-neuf homé-
lies sur l'Apocalypse, 229. Écrits contenus
dans le quatrième tome des œuvres de saint
Augustin : Exphcations des Psaumes, 229
et suiv. A quelles occasions et dans quel
v.4UetM6. temps elles ont été faites, 229, 230. En
quelle manière saint Augustin a expliqué
les Psaumes, 230. En quel lien il les a expli-
qués, 230 et 231 . Division de l'ouvrage ; de
quelle version saint Augustin se servit ; les
préfaces sur les Psaumes ne sont pas de
saint Augustin ; estime qu'on a faite de ces
commentaires, 231. Méthode de saint Au-
gustin dans l'explication des Psaumes, 231
et 232. Réflexions remarquables dans ces
explications, 232 et suiv. Prière de saint
Augustin après ses discours, 234, 235. Ex-
plication du psaiime quatorzième attribuée
à saint Augustin, 235. Écrits contenus dans
le cinquième tome des œuvres de saint Au-
gustin, 235 et suiv. Ses sermons ; de quelle
manière et en quelle langue saint Augustin
prêchait, 235. Première classe des sermons
de ce père sur l'Écriture sainte, 235 et suiv.
Sur la Genèse et l'Exode, 235, 236 ; sur le
jugement de Salomou, sur Élie et la veuve
de Sarepta, sur un endroit du livre de Job ;
sur les Psaumes ; sur les Proverbes et sur
l'Ecclésiastique ; sur les prophètes Isaïe ,
236; Ezéchiel, Michée et Aggée, 236 et
237 ; sur les quatre Évangélistes, 237 et suiv.;
sur les Épîtres de saint Paul, de saint Jac-
ques et de saint Jean ; ce que ces sermons
contiennent de remarquable, 237. Seconde
classe de sermons : sermons du temps ; ce
qu'ils contiennent de remarquable, 239, 240.
Troisième classe : sermons sur les fêtes des
saints, 240, 241. Quels en sont les sujets,
240. Ce qu'ils contiennent de plus remar-
quable, 240 et 241. Sermon de saint Augus-
tin sur son oi'dination, 241. Quatrième clas-
se : sermons sur divers sujets, 241 et suiv.
Ce qu'ils contiennent de remarquable, 241.
Cinquième classe : sermons douteux, 243,
244. [Sermon sur la naissance de Jésus-
Christ, donné comme authentique par Maï,
243, n. 1.] Sermons attribués faussement à
saint Augustin, 244, 245. [Plusieurs sermons
regardés comme supposés sont de saint Au-
gustin, 244, 245, et 244, n. 1.] Écrits conte-
nus dans le sixième tome des œuvres de
saint Augustin, 245 et suiv. Solutions des
quatre-vingt-trois questions, 245. En quel
temps et à quelle occasion cet ouvrage a
été fait, 245, 246. Analyse de ces questions,
246 et suiv. Deux livres à Simplicien ; en
quel temps ils ont été écrits, 249. Saint Au-
gustin y réforme ses premiers sentiments
sur la grâce, 249 et 250. Analyse du pre-
mier livre à Simplicien, 250, 231. Analyse
du second livre, 231, 252. Solution des
questions de Dulutius, 252. En quel temps
cet ouvrage a été écrit, 252 et 253. Analyse
de ces questions, 253, 254. Livre de la
croyance des choses qu'on ne voit pas, 254,
253. Ce livre est de saint Augustin; en quel
temps il l'a écrit, 234. Analyse de ce livre,
255. Livre de la foi et du symbole, 255, 256.
En quel temps il a été écrit, 253. Analyse
de ce livre, 255 et 256. Livre de la foi et
des œuvres, 256 et suiv. En quel temps il a
été écrit, 236, 257. Analyse de ce livre,
257, 258. Manuel à Laurent ou traité de la
Foi, de l'Espérance et de la Charité, 258 et
suiv. En quel temps il a été écrit, 258. Ce
livre est une réponse aux questions propo-
sées par Laurent, 258 et 259. Ce livre est
connu sous le titre d'Enchiridion ou Manuel
à Laurent, 259. Analyse de la première par-
tie, de la Foi, 250 et suiv. Analyse de la se-
conde partie, de l'Espérance ; analyse de la
troisième partie, de la Charité, 263. Livre
du Combat chrétien, 263, 264. En quel
temps il a été écrit, 263. Analyse de ce
traité, 264. Livre de la Manière d'instruire,
264 et suiv. Temps où il a été écrit, 264.
422.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
m
Analyse de ce traité, 265, 266. Livre de la
Continence, 266, 267. Ce traité est de saint
Augustin, 266. Analyse de ce qu'il contient,
266 et 267. Livre du bien du Mariage, 267
. 401. et suiv. En quel temps et à quelle occasion
il a été écrit, 267, 268. Analyse de ce traité.
268, 269. Comment saint Augustin y répond
aux objections de Jovinien, 269. Livre de la
401. sainte Virginité, 269 et suiv. En quel temps
il a été écrit, 269. Analyse de ce livre, 269
et suiv. Livre du Bien de la Viduité, 271,
272. Ce livre est de saint Augustin ; en
ai. quel temps il a été écrit, 271. Analyse de
ce livre, 271 et 272. Deux livres des Maria-
419. ges adultérins, 272 et suiv. En quel temps
et à quelle occasion ces livres ont été écrits;
analyse du premier livre, 272, 273. Analyse
du second livre, 273, 274. Livre du men-
395. songe ; en quel temps il a été écrit, 274.
Analyse de ce livre, 274 et 275. Livre Con-
tre le mensonge à Consentius, 273 et suiv.
420. En quel temps il a été écrit, 275. Analyse
de ce livre, 273 et suiv. Livre du travail des
moines, 277 et suiv. Quelle en fut l'occa-
400 sion ; en quel temps il a été écrit, 277. Ana-
lyse de ce livre, 277 et suiv. Livre des Prê-
tre 406 dictions des démons ; temps et occasions où
'■ il fut écrit, 279. Analyse de ce livre, 279,
280. Livre du Soin pour les morts, 280 et
421. suiv. En quel temps et à quelle occasion il
a été écrit, 280. Analyse de ce livre, 280 et
. 418. suiv. Livre de la Patience, 282, 283. Quatre
sermons sur le Symbole ; il n'y a que le
premier qui soit de saint Augustin, 283,
284. [Voyez pourtant 283, n. 1.] Analyse de
ce premier discours, 283, 284. Sermon de
la discipline chrétienne ; sermon du nou-
veau cantique et quelques autres qui parais-
sent attribués à saint Augustin ; sermon sur
l'utilité du jeûne, 284. Sermon sur la prise
de Rome, 283, 286. Ouvrages attribués faus-
sement à saint Augustin , 286 et suiv. Livi'e
des vingt et une questions ; livre des
soixante-cinq questions; livre de la foi
à Pierre ; livre de l'esprit et de l'âme ; livre
de l'amitié ; livre de la substance de l'a-
mour ; livre de l'amour de Dieu ; les solilo-
ques de l'âme ; livre des méditations, 286.
Livre de la contrition du cœur ; le manuel ;
le miroir ; autre miroir ; livre des trois ha-
bitations ; l'échelle du paradis ; livre de la
connaissance de la vie ; livre de la vie chré-
tienne ; livre des enseignements salutaires;
livre des douze abus du siècle ; traité des
sept vices, et des sept dons du Saint-Es-
prit ; traité du combat des vices et des ver-
tus ; livre de la sobriété et de la chasteté,
287. Livre de la vraie et de la fausse péni-
tence, 287 et 288. Livre de l'antechrist ; le
psautier; explication du Magnificat; traité
de l'Assomption. de la Vierge; deux livres de
la visite des infirmes, et deux sermons de
la consolation sur les morts ; traité de la
conduite chrétienne ; discours sur le sym-
bole et quelques autres discours; traité des
douze pierres; soixante-seize sermons aux
frères du désert, 288. Écrits contenus dans
le septième tome des œuvres de saint Au-
gustin, 288 et suiv. Vingt-deux livres de la
Cité de Dieu, 288. A quelle occasion ils fu-
rent écrits, 288, 289, En quel temps saint ^ ^^^
Augustin les a commencés ; en quel temps ^^^ ^ ^^^^
il les a achevés, 289. Estime qu'on a faite
de ces livres, 289 et 290. Dans les dix pre-
miers saint Augustin réfute les sentiments
des païens, 289. Analyse du premier livre,
290 et suiv. ; du deuxième, 292 et suiv. ; du
troisième, 294, 295 ; du quatrième, 293 et
suiv. ; du cinquième, 298 et suiv. ; du
sixième, 300 ; du septième, 300 et 301 ;
du huitième, 301 et suiv. ; du neuvième,
303 ; du dixième, 303 et suiv. Dans les dou-
ze suivants, saint Augustin expose les sen-
timents de l'Église sur l'origine, les progrès
et la fin de la cité de Dieu et de la cité du
monde, 305. Analyse du onzième livre, 305
et suiv.; du deuxième, 307 et suiv.; du
treizième, 309, 310; du quatorzième, 310 et
suiv.; du quinzième, 312 et suiv.; du sei-
zième, 314, 313 ; du dix septième, 313 et
suiv. ; du dix-huitième, 316 et suiv.; du dix-
neuvième, 319, 320; du vingtième, 320,
321 ; du vingt-unième, 321 et suiv. ; du
vingt-deuxième, 323 et suiv. Écrits touchant
l'invention des reliques de saint Etienne,
327 et suiv. Lettre d'Avite, 327. Relation de
Lucien 327 et 328. Lettre d'Anastase à Lan-
duléus, 328, 329. Lettre de Sévère à toute
l'Église, 329. Livre des Miracles de saint
Etienne, 329 et 330. Écrits contenus dans le
huitième tome des œuvres de saint Augus-
tin; Traité des hérésies, 330 et suiv. 11 a été
fait à la prière de Quod vult Deus. En quel y 428.
temps, 330, 331. Dessein de cet ouvrage ; il
devait être distribué en plusieurs livres,
331. Augustin y parle de quatre-vingt-huit
hérésies ; estime qu'on fait de cet ouvrage ;
traité contre les juifs ou discours sur l'In-
carnation ; on ne sait en quel temps il a été
écrit ; analyse de ce qu'il contient, 332,
H2
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
394.
397.
V. 4o4.
Livre de l'Utilité de la foi, 332 et suiv.
391. En quel temps il a été écrit, 333 et suiv. 11
est adressé à Honorât, 333. Analyse de ce
livre, 333 et suiv. Excellence des livres de
l'Écriture sainte, 333, 334. Les lois ne dé-
fendent pas d'embrasser la foi catholique ;
autorité de l'Église catholique, 334. Motifs
qui engagent à la reconnaître ; qu'on doit
s'instruire et prier pour arriver à la vérité,
391. 333. Livre des Deux âmes; en quel temps il
a été écrit ; analyse de ce qu'il contient,
336. Livre contre Fortunat, manichéen, 336
392. et 337. En quel temps et à quelle occasion
il a été écrit, 336. Analyse de ce qu'il con-
tient, 336, 337. Livre contre Adimante, ma-
nichéen ; en quel temps il a été écrit, 337.
Analyse de ce qu'il contient, 337 et 338. Li-
vre contre l'épître du fondement, 338, 339.
En quel temps il a été écrit ; pourquoi l'épî-
tre de Manichée est intitulée du Fondement,
338. Analyse du livre de saint AugusSin con-
tre cette épître, 338, 339. Trente-trois livres
contre Fauste le manichéen, 339 et 340. En
quel temps ils ont été écrits et à quelle oc-
casion 339, 340. Analyse de ce qu'ils con-
tiennent, 340 et suiv. Analyse du premier
et du deuxième livre, du troisième, du qua-
trième, 340; du cinquième, 340 et 341 ; du
sixième, du septième et huitième (l'analyse
du neuvième manque), du dixième, 341 ;
du onzième, 341 et 342 ; du douzième, du
treizième, du quatorzième, 342; du quin-
zième et du seizième, du dix-septième et du
dix -huitième , du dix-neuvième , 343 ; du
vingtième, 343 et 344; du vingt-unième,
344; du vingt-deuxième, 344 et suiv. ; des
vingt-troisième, vingt-quatrième, vingt-cin-
quième, vingt -sixième, vingt-septième,
vingt-huitième, vingt-neuvième, 347, 348;
du trentième, du trente-unième, 348 ; du
trente-deuxième, du trente-troisième, 348
et 349. Deux livres contre Félix le mani-
404. chéen, 349 et suiv. En quel temps et à
quelle occasion ils ont été écrits, 349, Ana-
lyse du premier livre, 349 et suiv. Analyse
du deuxième livre, 3S1. Livre de la Nature
du Bien contre les manichéens, 3S1 et 3S2.
V. 404. En quel temps il a été écrit, 331, 332. Ana-
lyse de ce livre, 332. Livre contre Secondin,
405. 3.32 et 353. En quel temps il a été écrit, 332.
Analyse de ce qu'il contient, 332 et 333.
Deux livres contre l'Adversaire de la loi et
V. 420. des prophètes, 353 et suiv. En quel temps
et à quelle occasion ils ont été écrits, 353,
354. Analyse du premier livre, 334, 355.
Analyse du deuxième livre, 355, 356. Livre
à Orose contre les Priscillianistes et les Ori-
génistes, 336, 337. En quel temps et à
quelle occasion il a été écrit, 336. Analyse
de ce livre, 356 et 357. Écrits contre les
Ariens, 357 et suiv. Réponses de saint Au-
gustin à un discours des Ariens, 357 et suiv.
En quel temps saint Augustin a composé cet
ouvrage, 357. Analyse de ces réponses 357
et suiv. Conférence avec Maximin, évêque
arien, et deux hvres contre cet hérétique,
359 et suiv. La Conférence et les deux livres
contre Maximin sont de saint Augustin,
359. Analyse de la Conférence, 339 et suiv.
Analyse du premier livre, 360. Analyse du
deuxième, 360 et 361. Quinze livres sur la
Trinité, 361 et suiv. En quel temps ils ont
été faits, 361, 362. Jugements que l'on a
portés de ces livres ; dessein de cet ouvra-
ge, 362. Analyse du premier livre, 362, 363;
du deuxième, 363, 364 ; du troisième, 364
363 ; du quatrième, 363, 366 ; du cinquième,
366 ; du septième, 366, 367 ; du huitième,
367 ; du neuvième, 367 et 368 ; des di-
zième, onzième, douzième, treizième, 368 ;
du quatorzième, du quinzième, 368 et 369.
Ouvrages attribués à saint Augustin, 369 et
suiv. Traité contre les Cinq hérésies, c'est-
à-dire contre les Païens, Juifs, Manichéens,
Sabelliens et Ariens, 369. Discours intitulé
du Symbole, ou traité contre les Juifs, les
Païens et les Ariens, 369, 370. Dispute en-
tre l'Église et la Synaguogue ; livre de la foi
contre les Manichéens ; de la manière de
recevoir les Manichéens; traité de l'unité
de la Trinité ; questions sur la Trinité et sur
la Genèse; deux livres de l'Incarnatioa;
livre de la Trinité et de l'unité de Dieu ; li-
vre de l'essence de la Divinité, 370. Dialo-
gue de l'unité de Trinité, 370 et 371 . Livre
des dogmes ecclésiastiques ; supplément à
ce livre parle cardinal Maï, 371. Écrits con-
tenus dans le neuvième tome des œuvres
de saint Augustin, 371 et suiv. Précis de
l'affaire des Donatistes, occasion de cet ou-
vrage, 371 et suiv. Psaume abécédaire con-
tre les Donatistes, 374. Réfutation du grand
Donat, 374 et 375. Cet ouvrage est perdu,
375. Trois hvres contre la lettre de Parmé-
nien, 375 et suiv. En quel temps cet ouvrage
a été fait, 373. Analyse du premier livre,
373 et suiv. ; du deuxième, 377, 378; du troi-
sième, 378, 379. Sept hvres du Baptême,
380 et suiv. En quel temps ils ont été écrits;
Dessein de cet ouvrage, 380. Analyse du
415.
V. 418.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
113
premier livre, 380, et suiv. ; dn deuxième,
382, 383 ; du troisième, 383, 384 ; du qua-
trième, 384 et suiv. ; du cinquième, 386 et
suiv.; des sixième, septième livres, 388,
389. Réfutation de ce qu'a apporté Centu-
rius ; cet ouvrage est perdu, 389. Trois li-
vres contre la lettre de Pétilien, 389 et suiv.
Occasion de cet ouvrage, 389. Quel était Pé-
tilien, 389 et 390. Précis de la lettre à la-
quelle saint Augustin répondit, 390. En quel
V. 400. temps fut écrit le premier livre ; analyse de
402. ce livre, 390, 391. En quel temps fut écrit
le second, 391. Analyse de ce qu'il contient,
291 et suiv. Analyse du troisième livre, 393,
394. Livre de l'unité de l'Église ou lettre
contre les Donatistes, 394 et suiv. Cet ou-
402. vrage est de saint Augustin ; en quel temps
il a été écrit, 394, 39S. Analyse de ce qu'il
contient, 395 et suiv. Quatre livres contre
1. 406. Cresconius, 399 et suiv. En quel temps et à
quelle occasion ils ont été écrits, 399. Ana-
lyse du premier livre, 399 et 400 ; du dexi-
xiènie, 400, 401; du troisième, 401 ; du qua-
trième, 401 et 402. Livre de l'unité du Bap-
tême contre Pétilien, 402 et suiv. En quel
. 4J1. temps ce livre a été écrit, 402. Quelle en fut
l'occasion, 403. Analyse de ce livre, 403 et
404. Abrégé de la conférence avec les Do-
, 411. natistes, 404 et suiv. En quel temps et à
quelle occasion il a été fait, 404, 405. Ana-
lyse de cet abrégé, 405 et suiv. Premier
jour de la conférence, 405, 406, 407. Second
jour, 407. Troisième jour, 408, 409. Livre
418 aux Donatistes depuis la conférence; quelle
en fut l'occasion, 409, 410. Analyse de ce
418. livre, 410. Discours au peuple de Césarée,
de Mauritanie, en présence d'Émérite, évé-
. que donatiste, 410, 411. Conférence de saint
Augustin avec plusieurs évèques en pré-
sence d'Émérite, 411 et suiv. Deux livies
contre Gaudence, 413 et suiv. En quel
'. 420. temps et à quelle occasion ils out été écrits,
413. Analyse du premier livre, 413 et 414.
Analyse du deuxième, 414, 415. Ouvrages
attribués faussement à saint Augustin ; dis-
cours touchant le sous-diacre Rusticien; livre
contre Fulgence le donatiste, 415. Monu-
ments pour l'histoire des Donatistes, 415 et
suiv. Ecrits contenus dans le dixième tome
des œuvres de saint Augustin, 417 et suiv.
Écrits contre les Pélagiens ; origine du Pé-
lagianisme, 417. Deux livres des Mérites,
des Péchés et de leur rémission, ou livres à
Marcellin sur le baptême des enfants, 417 et
412. suiv. En quel temps ils ont été écrits, 417,
TAB. I.
418. Analyse du premier livre, 418 et suiv.;
du deuxième livre, 422 et suiv. ; du troisiè-
me, qui est une lettre à Marcellin, 425 et
suiv. Livre de l'Esprit et de la Lettre adres-
sés au même, 427 et suiv. En quel temps et v. 412.
à quelle occasion il a été écrit, 427. Ana-
lyse de ce livre, 427 et suiv. Livre de la
Nature et de la Grâce contre Pelage, 433 et
suiv. En quel temps il fut écrit, 433. Quelle 415.
en fut l'occasion, 434. Analyse de ce livre,
434 et suiv. Livre de la Perfection de la jus-
tice de l'homme, 440 et suiv. En quel temps v. 415.
il a été écrit ; quelle en fut l'occasion, 440.
Analyse de ce livre, 440 et suiv. Livre des
Actes de Pelage, 442 et suiv. En quel temps v, 4n.
et à quelle occasion il fut écrit, 442, 443.
Analyse de ce livre 443 et suiv. Livres de la
Grâce de Jésus-Christ et du Péché originel,
448 et suiv. En quel temps et à quelle occa- 413.
sion ces livres furent écrits, 448, 449. Ana-
lyse du hvre du Péché originel, 449 et suiv.
Deux livres du Mariage et de la Concupis-
cence, 457 et suiv. Le premier de ces livres
est adressé au comte Valère ; en quel temps v. 419.
il fut écrit, 457. Analyse de ce livre, 457 et
suiv. Second livre du Mariage et de la Con-
cupiscence, 461 et suiv. Il est adressé i Se-
cond ; en quel temps il a été écrit, 461, 462. v. 420.
Analyse de ce livre, 462 et suiv. Quatre li-
vres de l'Ame et de son origine, 466 et suiv.
En quel temps ils ont été écrits et à qui ils v. 4S0.
sont adressés, 466, 467. Analyse du premier
livre adressé au moine René, 467 et suiv.
Analyse du second livre adressé au prêtre
Pierre, 469, 470. Analyse du troisième livre
adressé à Victor le rogatiste, 470 et suiv. Ana-
lyse du quatrième livre adressé au même, 472
et suiv. Quatre livres adressés au pape saint
Boniface contre les Pélagiens, 474 et suiv.
En quel temps et à quelle occasion ils ont v. 420.
été faits, 474. Analyse du premier, 474 et
suiv. ; du deuxième, 477 et suiv. ; du troi-
sième, 479 et suiv. ; du quatrième, 481 et
suiv. Six livres contre Julien , 483 et suiv.
Quel était Julien ; ses écrits, 483, 484. En
quel temps il faut placer les livres de saint v. 42i.
Augustin contre Juhen, 484. Analyse du
premier livre, 484 et suiv. ; du deuxième,
488 et suiv.; du troisième, 491 et suiv. ; du
quatrième, 495 et suiv. ; du cinquième, 503
et suiv. ; du sixième, 507 et suiv. Livre de
la Grâce et dn Libre Arbitre adressé à Valen-
tin, 512 et suiv. En quel temps et à quelle v. 427.
occasion il fut écrit, 512, 513. Analyse de
ce hvre, 513 et suiv. Livre de la Correction
. 8
114
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLESIASTIQUES.
et de la Grâce adressé aussi à Valentin, 518
V. 426. et suiv. A quelle occasion et en quel temps
il fut écrit, 518, 519. Analyse de ce livre,
519 et suiv. Principes établis dans le com-
mencement de ce livre, 519, 520. Réponses
aux objections du moine d'Adrumet, 520 et
suiv. Lettres que saint Prosper et Hilaire
adressent à saint Augustin, et qui furent
l'occasion des deux livres de ce Père sur la
Prédeslination des saints et sur le don de la
persévérance, 524 et suiv. Sentiments des
fidèles de Marseille touchant la doctrine de
saint Augustin ; ces sentiments donnèrent
lieu à la lettre de saint Prosper, 524 et suiv.
Analyse de la lettre d'Hilaire, 526, 527.
Analyse du livre de la Prédestination des
saints adressé à saint Prosper et à Hilaire,
527 et suiv. Ouvrage imparfait contre Ju-
^ ^3g lien, 538 et suiv. En quelle année et à quelle
occasion cet ouvrage a été composé, 538,
V. 422. 339. Huit livres du pélagien Julien furent
l'occasion de l'ouvrage de saint Augustin ;
analyse du premier livre contre Julien, 539 ;
du deuxième, 546 et suiv. ; du troisième,
550 et suiv. ; du quatrième, 553 et suiv. ;
du cinquième, 554, 555 ; du sixième 555
et suiv. Ouvrages faussement attribués
à saint Augustin , 558 , 559. Six livres
intitulés Hypomneslicon , 558, 559. Traité
de la Prédestination et de la Grâce; livre
de la Prédestination de Dieu ; réponse aux
objections de Vincent ; écrits touchant les
Pélagiens ; lettre à Probus et fragment
d'un discours attribué à saint Augustin ,
559. Vie de saint Augustin et catalogue
de ses ouvrages par Possidius , 559 et
suiv. Quelques particularités de la vie de
Possidius; sa liaison avec saint Augustin ;
ses écrits, 562, 563. Doctrine de saint Au-
gustin, 564 et suiv. Sur l'Écriture sainte,
564 et suiv. Son inspiration, 564. Son infail-
libilité, 564 et 565. Sa vérité et son autori-
té, 565 et suiv. Règles pour distinguer les
livres canoniques, 567, 568. Canon des
Écritures, 568, 569. Livres contestés par les
catholiques ou rejetés par les hérétiques,
569 et suiv. Livres perdus cités dans les
Écritures, 573 et suiv. Livres supposés ou
apocryphes, 577, 578. Prophètes plus an-
ciens que les philosophes, 577. Ce qui dis-
tingue les prophètes inspirés d'avec les
faux prophètes, 577 et 578. Obscurité des
prophètes, 578, 579. Prophéties, preuve de
la religion chrétienne, 579 et suiv. Psau-
mes : David en est l'auteur, 582, 583. Titres,
distribution et mesure des Psaumes, 583,
584. Utilité des Psaumes, 584, 585. Impré-
cations contenues dans les Psaumes, 585.
Évangiles, caractère des évangélistes, 585,
586. Symboles qui désignent chacun des
quatre évangéhstes, 586, 587. Du rang et
de la dignité des évangélistes, 587, 588.
Dessein de chaque évangéliste ; ce qui dis-
tingue saint "Jean des trois autres, 588, 589.
Les trois premiers nous tracent l'image de
la vie active, saint Jean la vie contempla-
tive, 589. Objections des païens contre les •
Évangiles, 589 et suiv. Jésus-Christ ayant
conduit la main des évangélistes, on peut
dire que c'est lui-même qui a écrit l'Évan-
gile ; effet des contrariétés apparentes de
l'Évangile, 591. Les omissions des évangé-
listes n'empêchent pas qu'ils n'aient dit ce
qu'ils devaient dire, 591 et 592. Il n'y a
point de contrariété entre les évangélistes,
592, 593. Quoique les évangéhstes dififèrent
dans l'ordre de rapporter les faits, ils s'ac-
cordent pour le fond des choses, 593, 594.
Éloquence des divines Écritures , 594 et
suiv. Obscurité de l'Écriture ; respect qu'on
doit lui porter, 596, 597. Divers sens de
l'Écriture, 597 et suiv. Gomment il faut
s'appliquer à l'étude de l'Écriture sainte,
599. Règles pour l'inteUigence de l'Ecriture,
599 et 600. Utilité des traductions, 600 et
suiv. Comment il faut corriger un défaut de
traduction, 602, 603. D'où l'on doit tirer la
connaissance des locutions inconnues, 603,
604. Quelles sont les meilleures versions,
604, 605. Utihté de la connaissance des lan-
gues pour l'intelligence des Écritures, 605.
Utilité de la connaissance de la nature et de
la propriété des choses, 605, 606. Utilité de
la connaissance de l'histoire, 606, 607. Com-
ment on peut ôter l'ambiguité des mots, 607
et suiv. Comment il faut entendre les ex-
pressions qui renferment un précepte, 609 ,
610. Histoire de la version des Septante ;
son autorité, 610 et suiv. Autorité du texte
du Nouveau Testament, 612. Lecture de
l'Écriture sainte, 612 et suiv. Divers points
de l'Ancien Testament, 614 et suiv. ; du
Nouveau Testament, 616 et suiv. De la tra-
dition; son autorité, 618, 619. Autorité des
Pères de l'Église, 619 et suiv. Autorité des
conciles, 621 et suiv. Caractères del'Éghse;
sa catholicité, 623 et suiv. Sa visibilité, 626,
627. Son indéfectibihté, 627, 628. Réponse
à l'objection tirée des temps de nuages et
d'obscurité, 628. Quels sont les membres
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
115
de l'Église, 629 et suiv. Observation sur le
mélange des bons et des méchants dans
l'Église, 631 et suiv. Il n'y a point de salut
hors de l'Église, 633. Primauté de saint
Pierre, 633 et suiv. Église romaine ; respect
pour la chaire de saint Pierre, 63a, 636.
Existence de Dieu ; ses perfections ; sa na-
ture, 636 et suiv. Trinité des personnes en
Dieu, 638 et suiv. Missions divines et pro-
cessions du Saint-Esprit, 640. Règles pour
l'explication de certaines difficultés touchant
la 'Trinité, 640 et suiv. Incarnation ; con-
duite de Dieu dans ce mystère , 642 et suiv.
Divinité et humanité de Jésus-Christ, 644.
Les deux natures en Jésus-Christ ne sont
qu'une seule personne, 643 et suiv. Néces-
sité de la foi en Jésus-Christ pour le salut,
647 et suiv. Volonté en Dieu de sauver tous
les hommes, 630. Différentes explications
de ces paroles : Dieu veut que tous les
hommes soient sauvés, 630 et suiv. Mort de
Jésus-Christ pour tous les hommes, 633,
634. Péché originel ; preuves de ce péché,
654 et suiv. Jésus-Christ n'est point né avec
lui, 637, 638. Les enfants des fidèles con-
tractent le péché originel, 638. Comment le
péché originel se transmet des pères aux
enfants, 638 et 659. État des enfants qui
meurent sans Baptême, 639 et suiv. Réponse
à l'objection des Semi-Pélagiens louchant
ces enfants, 661, 662. Prédestination; ce
que c'est, 662, 663. Jésus-Christ est le mo-
dèle de la prédestination des élus, 663, 664.
Prédestination gratuite dans les enfants,
664, 663. Prédestination gratuite dans les
adultes, 665, 666. La prédestination est un
secret même pour les élus, 666, 667. Certi-
tude du salut des prédestinés, 667, 668.
Moyens par lesquels Dieu accomplit le dé-
cret de la prédestination, 669, 670. Les ré-
prouvés vivent pour l'utilité des prédestinés,
670. Réprobation, 670 et suiv. Manière de
prêcher la prédestination, 672 et suiv. Grâce
d'Adam et son libre arbitre, 673, 676. Adam
avait-il reçu le don de persévérance ; 676 et
suiv. Grâce des deux états, 681 et suiv. Nos
Ijonnes pensées viennent de Dieu, 686, 687.
Dieu nous inspire le désir du bien, 687. Ré-
ponse aux objections des Pélagiens, 687 et
688. Nécessité de la grâce pour les actions
de piété eilafuitedumal, 688, 689. Nécessité
de la grâce contre les tentations , 689 et
suiv. Nécessité de la grâce pour la péni-
tence et la conversion du pécheur, 691, 692.
Nécessité de la grâce pour aimer Dieu, 692
et suiv. Possibilité des commandements de
Dieu, 694. Nécessité de la grâce pour ac-
complir les commandements de Dieu, 694 et
suiv. Il faut demander à Dieu ce qu'il nous
commande. 696 et suiv. La foi est un don
de Dieu ; la foi n'est pas donnée à tous, 700.
La prière est un don de Dieu, 700 et 701.
La persévérance aussi , 701 et suiv. La na-
ture est commune à tous les hommes, mais
non la grâce, 703 et suiv. La grâce est don-
née gratuitement, 703, 706. Nos mérites
sont des dons de Dieu, 706, 707. Réponses
aux objections des Pélagiens contre la gra-
tuité de la grâce, 707, 708. La grâce ne suit
pas, mais précède la volonté, 708, 709. En
quoi consiste la grâce, 709, 710. Comment
elle agit, 710 et suiv. Force de la grâce,
714, 715. Pouvoir de Dieu sur la volonté des
hommes, 713, 716. Réponses à quelques
objections sur ce point de doctrine, 716 et
suiv. Comment Dieu prépare la volonté de
l'homme et comment l'homme se prépare ;
comment Dieu opère en nous afin que nous
veuillons, et coopère avec nous lorsque nous
voulons, 720. Accord du libre arbitre avec
la grâce, 720 et suiv. La grâce ne détroit
pas le Ubre arbitre et n'introduit pas le des-
tin, 'f23, 724. Explication de ces paroles ;
cela ne dépend pas de celui qui veut, ni de
celui qui court, mais de Dieu qui fait misé-
ricorde, 724, 723. La vocation à la foi pré-
vient le mérite de l'homme, 723, 726. Pour-
quoi les Tyriens et les Sidoniens n'ont pas
cru en Jésus-Christ, 726, 727. Le libre ar-
bitre ne détruit pas la nécessité de la grâce,
727 et suiv. II est libre à l'homme de con-
sentir ou de ne pas consentir aux sugges-
tions du démon, 729, 730. Sentiments des
Pélagiens sur le libre arbitre, 730, 731.
Quelle hberté nous avons perdue par le pé-
ché du premier homme, 731 et suiv. La na-
ture humaine est rétablie dans le bien
qu'elle a abandonné, 733, 734. Liberté des
bienheureux, 734. Doctrine de saint Augus-
tin sur les anges, 734 et suiv. Sur la sainte
Vierge, 737, 738. Sur les sacrements ; les
sacrements sont nécessaires à la rehgion ;
différence entre les sacrements de la Loi an-
cienne et ceux de laLoi nouvelle, 738. Circon-
cision, 738 et 739. Baptême de saint Jean,
739, 740, Nécessité du sacrement de Bap-
tême pour être sauvé, 740, 741. Effets de ce
sacrement, 741, 742. Matière et forme de ce
sacrement, 742, 743. Ministre du Baptême,
743, 744. Rebaptisation, 744, 743. Exorcis-
H6
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
mes et autres cérémonies du Baptême, 743
et suiv. Sacrement de Confirmation, 747.
Sacrement de l'Eucliaristie, 747 et suiv.
Présence réelle de Jésus-Christ dans ce sa-
crement, 747. Les méchants comme les bons
reçoivent le corps de Jésus-Christ, 730, 731.
La chair de Jésus-Christ dans l'Eucharistie
est adorable ; comment les fidèles la man-
gent, 751. Réponses à quelques objections
que les adversaires de la présence réelle
prétendent tirer de saint Augustin, 751 et
suiv. Sacrifice de la loi nouvelle, 760 et
suiv. Comment Jésus-Christ est prêtre et
victime dans l'Eucharistie, 762. Le sacrifice
n'est dû qu'à Dieu seul, 762 et 763. Figure
et prophétie du sacrifice de la loi nouvelle,
763, 764. Sacrifice et prières pour les morts,
764 et suiv. Cérémonies du saint sacrifice,
766 et suiv. Fréquente communion, 7fi8,
769. Dispositions pour recevoir l'Eucharis-
tie, 769, 770. Doit-on donner l'Eucharistie
aux pécheurs occultes, 770, 771. Nécessité
de l'Eucharistie, 771, 772. Sacrement de
Pénitence, 772 et suiv. Rémission des pé-
chés ; péché contre le Saint-Esprit, 772,
773. Confession faite à Dieu et à ses minis-
tres. Pouvoir de lier et délier, 773, 774. Sa-
tisfaction; sa nécessité, 774, 773. Trois sor-
tes de pénitence, 775 et suiv. Péchés sou-
mis à la pénitence puMique, 777 et suiv.
Excommunication, 780 et suiv. Sacrement
de l'Ordre, 782 et suiv. Excellence du sa-
cerdoce, 782, 783. Dignité de l'épiscopat,
783, 784. Divers degrés de la cléricatuie,
784, 783. Célibat des clercs et vœu de virgi-
nité, 783. Moines, anachorètes et cénobites,
783 et suiv. Sacrement de Mariage, 787 et
suiv. Sainteté et indissolubihté du mariage,
787, 788. Fait singulier touchant la fidélité
conjugale, 788, 789. Doctrine de saint Au-
gustin sur les images de la croix et des
saints, 789 et suiv. Sur les reliques, 791,
792. Sur l'invocation et l'intei-cession des
saints, 792. Sur les superstitions, 792 et 793.
Sur les augures et l'astrologie judiciaire,
793 et suiv. sur les ligatures ; sur le sort,
798. Sur les miracles, 793 et 796. Sur l'état
des âmes au sortir du corps et sur le bon-
heur de l'autre vie, 796, 797. Sur le purga-
toire, 797, 798. Sur l'éternité des peines des
damnés, 798, 799. Sur le schisme et l'héré-
sie, 799 et suiv. Sur la puissance tempo-
relle, 802, 803. Sur la personne sacrée des
rois, 803. Sur le bonheur des rois, 803 et
804. Sur l'abstinence et le jeûne, 804, 805,
Sur quelques autres points de discipline,
805. Sentiment des Académiciens sur la
probabiUté, 805 et 806. Doctrine de saint
Augustin sur la crainte, 806, 807. Sur l'a-
mour de DieUj 807, 808. Jugement des ou-
vrages de saint Augustin, 808 et suiv. Ses
ouvrages sur la philosophie et la reMgion
chrétienne ; ses lettres, 808. Ses commen-
taires ; ses discours ; ses œuvres morales,
809. Ses livres pour la défense de la reli-
gion, 809 et 810. Ses ouvrages sur la grâce,
810 et suiv. Éditions particulières des œu-
vres de saint Augustin, 812 et suiv. Des li-
vres de la Cité de Dieu, 812. De ses Confes-
sions, 812 et 813. Des commentaires sur les
Psaumes et des discours sur l'Écriture, 813.
Des opuscules, 813 et 814. Des lettres, 815.
Éditions générales d'Amerbach, d'Érasme
et de Louvain, 815 et suiv. Édition des Bé-
nédictins de Saint-Maur, 813 et suiv. Con-
testations qui s'élèvent sur cette édition,
816 et suiv. Édition d'Anvers faite sur celle
des Bénédictins, et augmentée d'un dou-
zième tome contenant un appendice de Jean
le Clerc ; réimpression des deux premiers
volumes de l'édition des Bénédictins à Pa-
ris, 818. [Éditions et traductions nouvelles de
saint Augustin, 812 et suiv. Miroir de saint
Augustin, publié par le cardinal Maï, 215,
216. Abrégé des six livres de la Musique,
48. Grammaire latine de saint Augustin, 64,
n. 1. Sommaire ou chapitres sur la Genèse,
pubhés par Mai, 203, n. 1. Sommaire ou
prologue du livre de l'Utilité de la Foi publié
par le cardinal Maï, 333, n. 1. Sommaire des
quinze livres' sur la Trinité publié par le
môme, 362, n. 7. Fragments nouveaux de la
Vie de saint Augustin, par Possidius, 564, n. 1 .
Editions de cette Vie, 564, n. 2. Écrits de
saint Augustin pubhés depuis D. Ceillier ;
vingt-cinq sermons publiés par Denys, 882
et suiv. Sermons publiés parFontani: 1° sur
la prière; 2° sur les quatre degrés de la
charité ; 3° sur le deuxième dimanche de
l'A vent, 883 ; sur la circoncision de Notre-
Seigneur. Dix sermons publiés par Fran-
gipane, 834 et suiv. Éditions qu'on eu a
faites ; analyse de la préface de l'éditeur,
834. Aaalyse de ces sermons, 834 et 835.
Sermons publiés par M. Caillau, 835 et suiv.
Publication de ces sermons ; débats qu'elle
occasionne, 835, 836. Division des sermons
pubhés par M. Caillau. 836, 837. Pensées
développées dans quelques-uns de ces ser-
mons, 837, 838. Sermons édités dans le
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
117
tome XL VII de la Patrologie latine ; analyse
de ces sermons, 838. Sermons édités par
le cardinal Maï, 838 et suiv. Préface de l'é-
diteur, 838, 839. Tables du premier volume
de la Palrum nova Bibliotheca où sont con-
tenus ces sermons, 839. Authenticité des
sermons publiés par le cardinal Maï, 839 et
suiv. Division de ces sermons, 8-41 et suiv.
Choses remarquables contenues dans les
sermons publiés par Maï, 842 et suiv. Pré-
sence réelle de Jésus-Christ dans l'Eucharis-
tie ; processions du Saint-Esprit et de la Tri-
nité, 8-42. Confession, infaillibilité de saint
Pierre, 8-13. Sur les rois mages; sur les parti-
sans exclusifs de la raison naturelle, 884.] —
Occasion du livre de saint Augustin sur le
Soin qu'on doit avoir des morts, II, 396.
Quel est le concile plénier auquel il attribue
d'avoir terminé la question du baptême des
hérétiques, 632 et suiv.. — Saint Augustin
cite saint Basile sur le dogme du péché ori-
ginel, IV, 309. — Il voit à Milan saint Pi-
lastie, évêque de Brescia, V, 172. Baptême
de saint Augustin, 387. — Saint Augustin
paie pour un homme réfugié dans son égli-
se, VI, 373. — Il fait voir que saint Jean
Chrysostôme est d'accord avec les autres
docteursde l'Église sur le péché originel, VII,
380 et suiv. Lettre de saint Augustin à saint
Jérôme au sujet de sa dispute avec Rufin d'A-
quilée, 438, 439. Lettre qu'il écrivit à Jean
évêque de Jérusalem, 501. Lettre de ce
père à saint Pammaque, 503. Lettre du pape
saint Innocent à Aurèle de Carlhage et à
saint Augustin, 312, 513. Saint Augustin
fut un des cinq évêques d'Afrique qui écri-
virent au pape saint Innocent, 521. Lettre
de ce saint pape aux cinq évêques d'Afrique,
523, 523. Lettre du pape Zosime à saint Au-
gustin et aux évêques d'Afrique, 540. Lettre
de saint Jérôme à saint Augustin, 625. Let-
tre de saint Augustin à saint Jérôme, 626.
Autre, 626 et 427. Autre de saint Jérôme à
saint Augustin ; de saint Augustin à saint
Jérôme, 628. De saint Jérôme à saint Au-
gustin, 628 et 629. De saint Augustin à saint
Jérôme, 629. De saint Jérôme à saint Au-
gustin, 629 et suiv. Autre de saint Augustin
à saint Jérôme, 631. Lettres de saint Jérôme
à saint Augustin ; lettre de saint Jérôme à
saint Augustin et à Alype, 633. Lettre de
saint Augustin à Julienne. Elle est fausse-
ment attribuée à saint Jérôme, 646, 647.
Lettre de saint Augustin à Janvier sur la
Pâque ; elle est encore faussement attri-
buée à saint Jérôme, 647. Trois lettres de
saint Augustin à saint Jérôme; Homélie des
pasteurs ou quarante-sixième sermon de
saint Augustin attribué à saint Jérôme;
dialogue entre saint Augustin et saint Jé-
rôme sur l'origine de l'âme, ouvrage sup-
posé ; éloge des vertus et des miracles de
saint Jérôme, ouvrage faussement attribué
à saint Augustin et à saint Cyrille de Jéru-
salem, 648. Saint Augustin explique le Sym-
bole dans le concile tenu à Hippone en 393,
712. — Lettre de saint Augustin au pape
saint Boniface, VIII, 9. Lettre écrite à saint
Augustin par saint Paulin, évêque de Noie,
56 ; autre, 58 ; autre, 79 ; autre, 80. Lettre
de saint Augustin au pape Célestin, 127. On
continue d'attaquer sa doctrine dans les
Gaules; saint Célestin écrit aux évêques des
Gaules pour sa défense, 139 et 140. Saint
Augustin est en vénération dans l'Église ro-
maine, 140. Il reçoit Léporius, travaille à le
détromper, l'aide à dresser l'acte de sa ré-
tractation, 233. Lettre de saint Augustin à
Proculus et à Cylinnius, évêques des Gaules,
touchant Léporius, 236. Lettre que le pape
Sixte III lui écrivit; deux lettres qu'il écrivit
au pape Sixte III, 254. Lettre que Capréo-
1ns de Cartage écrivit à l'empereur Théo-
dose sur la mort de saint Augustin, 418.
Lettre de saint Augustin Mercator, 499.
Lettre synodale du concile de Cirthe ; cette
lettre est de saint Augustin, 547. Saint Au-
gustin assemble un concile à Hippone pour
se désigner un successeur, 371. Il est invité
au concile d'Éphëse ; la lettre de convoca-
tion arrive en Afrique quelques mois après
sa mort, 373. — Cause de la chute de saint
Augustin dans l'erreur des Manichéens, IX,
29. Règles de morale qu'il donne, 42. Son
caractère à l'égard de ses amis, 66. Règles
qu'il donne à un monastère de filles, 172.
Lettre synodale du concile de Cirthe ; cette
lettre est de saint Augustin adressée aux
Donatistes, 547. Lettre écrite à D. Ceillier
contenant l'explication d'un passage de saint
Augustin, 819 et suiv. [Remarque pour
bien saisir la controverse du Pélagianisme,
ce qui embrouille le plus la controverse
de la Prédestination; moyen de l'éclaircir,
843, 846. Jugement de Pénélon sur l'édition
des œuvres de saint Augustin par les Bé-
nédictins, 846 et suiv.] — Paul Orose vient
consulter saint Augustin ; écrit que saint
Augustin adresse à Paul Orose, X, 2. C'est
par le conseil de saint Augustin que Paul
118
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
Orose écrit son Histoire, 3. Lettre que Paul
Orose lui écrit, 6. Ses livres contre les Pé-
lagiens font naître quelques difficultés par-
mi plusieurs fidèles de Marseille ; lettre que
lui écrit saint Prosper d'Aquitaine, 276.
Analyse de cette lettre, 278, 279. Saint Cé-
lestin écrit en sa faveur aux évoques des
Gaules, 277. Sentences de saint Augustin
recueillies par saint Prosper, 311. Fauste
de Ries se déclare contre ce saint docteur,
422. En voulant le réfuter il donne dans
l'erreur des Semi-Pélagiens, 427. Le pape
saint Gélase appelle saint Jérôme et saint
Augustin les lumières des maîtres ecclésias-
tiques, 499. — Recueil des sentiments et des
pensées de saint Augustin, extraites de ses
œuvres par Eugippius, abbé de Lucullane,
XI, 86. Le pape Jean I" témoigne que l'É-
glise romaine suit et observe la doctrine de
saint Augustin, 118. On a attribué à saint
Augustin cent deux discours que l'on croit
être de saint Césaire, 128. Sentences tirées
de ses ouvrages par Taion, évêque de Sar-
ragosse, 776, 777. — Son corps déposé dans
l'île de Sardaigne , transféré à Pavie par les
soins de Luitprand, XII, 5. Charlemagne
prenait plaisir à la lecture des livres de saint
Augustin, 224. Recueil des sentences de
saint Augustia sur la grâce et la prédesti-
nation par saint Amelon, 432, 433. Eloge
de saint Augustin et de sa doctrine par Pru-
dence de Troyes, 494. Autorité de saint Au-
gustin reconnue de part et d'autre dans l'af-
faire de Gothescalc, 619. — Lettre attribuée
à saint Augustin où il est parlé des offices
divins, Xlll, 21. Origine des méditations at-
tribuées à saint Augustin, 328. [Plusieurs
ouvrages de saint Augustin dont nous n'a-
vons pas même les titres sont cités dans un
catalogue du xii° siècle, 459, note 1.]
Oraison en son honneur attribuée à l'abbé
Guillaume, 463. — [Raimbauld prévôt de
Saint-Jean-de-Liège cite un premier livre de
saint Augustin contre les Marcionites, ab-
solument inconnu, XIV, 183.] Commentaire
de Hugues de Saint-Victor, sur la règle de
saint Augustin, 350. Vie de saint Augustin
par Philippe de Bonne-Espérance, 687.
[Sermon de Guarin, abbé de Saint-Victor
sur saint Augustin, 711. Hymnes et office
de saint Augustin par Adam de Saint-Vic-
tor, 716, 717. Sermon par Alain de Lille
sur saint Augustin, 870. [Un sermon sur
saint Augustin par Absalon abbé de Spring-
kirsbacb, 877.] Sermon de Guillaume d'Au-
vergne pour la fête de saint Augustin, 1027.
AUGUSTIN (Saint), prieur ou prévôt du
monastère de Saint-André à Rome, puis ar-
chevêque de Cântorbéry, est chargé par le
pape saint Grégoire de la mission qu'il en-
voyait en Angleterre, XI, 437, 506. Il arrive
en Angleterre ; comment il est reçu par le
roi Ethelbert, 437, 438. Succès de sa mis-
sion; il baptise le roi et un grand nombre de
ses sujets; il est établi archevêque de Cân-
torbéry et métropolitain de douze évêques
qui devaient recevoir l'ordination de lui, 438.
Différentes lettres de saint Grégoire au su-
jet de cette mission, 506, 521. Saint Augus-
tin envoie au pape saint Grégoire un mé-
moire où il lui propose plusieurs difficultés;
réponses du pape, 324 et suiv. Autre lettre
que le même pape lui écrit concernant l'é-
tabhssement des évêchés en Angleterre ;
saint Grégoire lui accorde l'usage du pal-
lium, 527. Concile que saint Augustin tient
àWorchester au sujetde la Pâque, 908, 909.
Monastère qu'il bâtit à Cântorbéry en l'hon-
neur de saint Pierre et saint Paul, 910. —
Vie de saint Augustin de Cântorbéry dans
l'appendice des œuvres de Lanfranc, XIII,
459. Sa Vie écrite en deux manières par le
moine Goscelin; histoire de la translation
de ses reliques faite par le même, 550. La
solennité de la fête est recommandée par le
concile de Cloveshou, 611. — Les deux dif-
férentes Vies de ce saint composées par Gos-
celin, moine de Cautorbéry ; Histoire de ses
miracles, et de la translation de ses reliques
par le même, XIV, 233.
[AUGUSTIN DE FAVIAN. Sa Vie par Eu-
gippius, XI, 86, n. 3.]
AUGUSTIN (Antoine), archevêque de Tar-
ragone. Son ouvrage intitulé de la Correc-
tion de Gratien, XIV, 761.
AUGUSTINEIZAT, ville d'Angleterre ap-
pelée aujourd'hui Worchester, XI, 909.
AUGUSTINUS (Aurélius), nom donné à
saint Adalard, à cause de son attachement
à la doctrine de saint Augustin, XII, 533.
AUJULFE, évêque. Sa lettre à saint Didier
de Cahors, XI, 734.
AULBÉRI (Georges), secrétaire de Char-
les m, duc de Lorraine. Sa traduction fran-
çaise de la vie de saint Sigebert roi d'Aus-
trasie, XIV, 63.
AUMALE, ville de Normandie. L'église
d'Aumale érigée en abbaye par Hugues, ar-
chevêque de Rouen, XIV, 601.
AUMONE recommandée par saint Bar-
595.
600.
601.
747.
il3(
I sièi
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
119
nabé. I, 285 ; jiar Hermas, 334. Doctriae
d'Hermas sur l'aumône, 337. Témoignage de
saint Justin, 443. — Traité de l'aumône ;
ouvrage de saint Cyprien, II, 288 et suiv.
|i siècle. Doctrine de saint Cyprien, 273, 374. Troncs
pour les aumônes, 378. Aumônes de saint
Etienne pape aux Églises éloignées, 422.
Aumônes pour les morts selon les Constitu-
tions apostoliques^ 399. — Règles de saint
Pacôme sur la pauvreté et l'aumône, IH,
366. Aumônes envoyées en Afrique par
l'empereur Constant, 498, et V, 140. —
— Doctrine de saint Athanase sur l'aumône,
IV,227, [499.] Doctrine de Lucifer de Cagliari,
269. Doctrine de saint Basile, 542. — Doc-
trine de saint Grégoire de Nazianze, V, 294,
333, 354, 333 ; de saint Ambroise, 441, 374.
— Discours de saint Grégoire de Nysse sur
l'aumône, "VI, 161, 162. Doctrine de saint
Eplirem, 499. — Homélie de saint Jean
Chrysostôme sur l'aumône, VII, 111, 112.
Discours de saint Jean Chrysostôme intitulé
du Jeûne et de l'Aumône, 143, 144. Homé-
lie sur l'aumône attribuée à saint Jean
Chrysostôme, ou à Sévérien, évêque de Ga-
baleSj 239. Discours sur ce sujet faussement
attribué à saint Jean Chrysostôme; autre
discours sur le même sujet aussi faussement
attribué à ce père, 287. Opuscule attribué
faussement à saint Jean Chrysostôme sur
l'obligation de faire part aux autres des
dons qu'on a reçus de Dieu, 312. Opuscule
sur l'aumône attribué faussement à saint
Jean Chrysostôme, 333. Doctrine de saint
Jean Chrysostôme sur l'aumône, 54 , 76,
158, 194, 263, 319. Canon dixième attribué
à Théophile d'Alexandrie sur l'aumône, 446.
Aumône, sujet d'une homélie attribuée à
saint Jean de Jérusalem, 302. Grandes au-
mônes de Pammaque après la mort de sa
femme, 504, et VIII, 61. — Maximes de
saint Jérôme sur l'aumône, VII, 372 et 704.
Aumônes désapprouvées par Vigilance, 607.
Aumônes envoyées à Jérusalem, 617. Canon
dix-septième du quatrième concile de Car-
thage sur l'aumône, 729. — Maximes de
saint Gaudence sur l'aumône, VIII, 39, 40.
Discours de saint Paulin, évêque de Noie, sur
l'aumône, intitulé du Tronc, 74, 73. [Ser-
mon sur l'aumône parEusèbe d'Alexandrie,
383, 384.] — Sermons douteux de saint Au-
gustin sur ce sujet, IX, 243. Discours attri-
bué à saint Augustin sur la prière et l'au-
mône, 243. Autre discours aussi faussement
attribué à ce Père ; autre intitulé de la Généra-
lité des aumônes, 288. Doctrine de saint Au-
gustin sur l'aumône, 19, 190, 192, 234, 323.
— Pensée de saint Pierre Chrysologue,X, 14,
15. Pensées de saint Valérien de Cémèle sur
l'aumône, 156, 157. Six sermons du pape
saint Léon sur l'aumône, 179,180. Autres dis-
cours où le même Père parle de l'aumône,
181, 194. Doctrine du pape saint Léon sur
l'aumône, 272, 273. Homélie de saint Maxime
de Turin, sur l'aumône, 322, 323. Doctrine
de ce Père sur l'aumône, 324. Doctrine de
Salvien sur l'aumône, 263, 264, 263, 266,
267, 268. — Homélie de Laurent de Novarre
sur l'aumône, XI, 97. Discours de saint Cé-
saire d'Arles sur le même sujet, 132, 133,
136, 138, 140, 143, 146. Eloge de l'aumône
par Fortunat, 409. Aumônes abondantes de
saint Grégoire le Grand, 481, 482, 485. —
Opuscule de saint Pierre Damien sur les
avantages de l'aumône, XIII, 312. Maximes
du concile de Cloveshou sur l'aumône, 6H,
612. — [Traité de l'aumône par Gonthier,
moine de Clteaux, XIV, 896.] Traité du pape
Innocent III sur l'aumône, 1016.
AUNACAIRE ou AUNAIRE (Saint), évê- .
que d'Auxerre, Ce qu'on sait des circons-
tances de sa vie; il tient un concile dont 573.
il fait confirmer les statuts par le roi Con-
tran; comment il règle les processions dans
son diocèse; ordre qu'il met dans la ma-
j:ière de célébrer les vigiles dans la cathé-
drale, XI, 323. Il charge le prêtre Etienne
d'écrire la vie de saint Amateur et de saint
Germain, ses prédécesseurs; deux lettres
que lui écrit le pape Pelage II ; édition de 580-586
ces différentes pièces, 324. Concile qu'il as-
sembla, 897. (Voyez son article dans l'His-
toire littéraire de la France., tome II, p. 493
et suiv.)
AURE (Sainte), première abbesse du mo- yii siècle,
nastère de saint Éloi à Paris, XI, 753.
AURÈLE (Marc), empereur. Voyez Marc
Aurèle.
AURÈLE CYRÈNE (Saint), évêque et mar-
tyr, H, 339.
AURÈLE (Saint), martyr en Afrique, II, m siècle.
299.
AURÈLE, lecteur ordonné par saint Cy- m siècle,
prien, 310.
AURÈLE, évêque de Cartbage. Il avait
assisté en 390 au concile tenu à Carthage
sous Génethlius, son prédécesseur, IV, 648.
— Le pape Damase ne lui a point écrit, V, 406.
22. — Lettre que lui écrivit saint Jean 406.
Chrysostôme, VII, 134. Lettre du pape saint 412.
120
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Innocent à Aurèle et à saint Augustin, SI2,
416. 513. Autre lettre du même pape à Aurèle,
313. Aurèle fat un des cinq évêques d'Afri-
417. que qui écrivirent au pape saint Innocent,
521. Lettre de ce saint pape aux cinq évê-
ques d'Afrique, 523, 524. Lettres du même
417. pape à Aurèle de Carthage, 524. Première
lettre du pape Zosime à cet évêque et aux
autres évêques d'Afrique au sujet de la pro-
fession de foi de Célestius, 329, 530. Seconde
lettre à Aurèle et aux évêques d'Afrique au
sujet de la profession de foi de Pelage, 330
et suiv. Aurèle lui répond avec son concile,
V. 392, 333. Concile général d'Afrique qu'il assem-
ble à Hippone, 718. — Lettre que lui écrivit
saint Augustin au sujet des Agapes, IX, 12.
392. Autre lettre que lui écrivit saint Augustin,
^4iT' '^0- A-utres encore, 79, 87, 88. Autre ; lettre
d' Aurèle et de quatre autres évêques d'A-
frique au pape saint Innocent ; réponse de
419. ce pape, 150. Lettres des empereurs Hono-
rius et Théodose à Aurèle et à saint Augus-
tin, 169. Saint Augustin adresse à Aurèle
son livre des actes de Pelage, 443. — Au-
rèle préside au concile de Carthage en 401,
VIII, 336. Il assiste au concile de Milève en
402, 539. Il préside à celui de Carthage en
403, 540. Il signe au nom de tous les évê-
ques assemblés à Carthage en 404, 541. Il
préside aux conciles de Carthage en 407,
542 ; en 408, 543 ; 409 et 410, 344 ; en 411,.
344 et 349 ; en 416, 533, 534 ; en 417, 533,
426. 536 ; en 418, 356 et suiv. et 562 ; en 419,
563 et suiv. Il préside au concile tenu à
Carthage au sujet d'Apiarius, 370, 371. Let-
tre que le pape Sixte III lui avait écrite, 234.
Lettre que lui écrit saint Cyrille d'Alexan-
drie pour lui annoncer la pâque, 300. — Il
dédie à Jésus-Christ le fameux temple de la
déesse Céleste, X, 313.
IV siècle. AURÈLE, diacre. Lettre que lui écrivit
Sulpice Sévère, VIII, 118.
416. AURÈLE, évêque de Macomade, assiste
au concile de Milève en 416, VIII, 334.
AURÈLE, évêque d'Adrumet en Afrique,
assiste au concile de Chalcédoine, X, 683.
AURÈLE, l'un des surnoms de Gassiodore,
XI, 207 et 216.
AURÈLE que l'on croit frère du patrice
Dyname, vit dans la retraite avec lui ; lettre
de consolation que lui écrit le pape saint
Grégoire sur la mort de Dyname, XI, 401.
852. AURÈLE (Saint), martyr de Cordoue. Re-
lation de son martyre et de celui de Sabigo-
the sa femme, écrite par saint Euloge, XII,
517, 318. Ses reliques apportées à Paris,
611. Histoire de cette translation, 701. ^s^-
AURÈLE (Saint), évêque dont le corps fut
caché en Allemagne pendant les incursions v. 1049.
des Normands, et découvert par le pape
saint Léon IX, XIH, 211.
AURÉLIEN , empereur persécuteur ; sa m siècle,
mort, II, 306.
AURÉLIEN, consul et préfet d'Orient. Il
est exilé et saint Jean Chrysostôme obtient
son rappel, VII, 3. Discours de saint Jean
Chrysostôme au sujet d'Aurélien et de Sa-
turnin, 120, 121. — Auréhen fut deux fois
préfet d'Orient, VUI, 29.
AURÉLIEN (Saint), évêque d'Arles, suc- 545.
cesseur d'Auxanius, XI, 196 et 199. Le pape
Vigile lui accorde le pallium et le fait son 546.
vicaire dans les Gaules, 196. Il écrit au pape 550.
à l'occasion de l'affaire des trois chapitres ;
réponse que lui fait ce pape, 199. Il fonde à
Arles un monastère d'hommes ; règles qu'il
lui donne, 199 et 200. Autre règle pour les
rehgieuses ; lettre d'Aurélien au roi Théo-
debert, 200. Il assiste au cinquième concile 549.
d'Orléans; sa mort, 200 et 201. Édition 552.
des écrits d'Aurélien dans la Patrologie,
201. (Voyez son article dans V Histoire litté-
raire de la France, t. III, p. 232 et suiv.
AURÉLIEN, moine de Réomé que Sige- jx siècle
bert qualifie par erreur clerc de l'Église de
Reims ; son traité de la musique, XII, 423.
(Voyez ce qui est dit de cet auteur dans
l'Histoire littéraire de la France, t. V, p. 98
et suiv.)
AURÉLIEN , abbé d'Ainai, puis arche-
vêque de Lyon, fonde le monastère de Ses-
sieu ; cette fondation confirmée au concile
de Sisteron, XIII, 692. Conciles de Chalon-
sur-Saône auxquels il préside, 730 et 734.
AUREMOND, abbé du Maire en Poitou,
auteur d'une Vie de saint Junien, premier y. gas,
abbé de ce monastère ; sa mort, XI, 693. —
— Celte Vie fut ensuite retouchée par Ulfin
Boèce, XII, 364.
AURIGÈNE, évêque à qui Théodoric ren-
voie la supplique d'un nommé Julien qui
se plaignait des sujets de l'évêque, XI, 214.
[AURORA, ouvrage en vers de Pierre de
Riga, chanoine de Reims, sur la Bible ; pré-
face de l'auteur, XIV, 886. Ce poëme est
corrigé, annoté et augmenté par Pierre de
Paris, 886, 887. Éloges donnés à Pierre de
Riga par différents auteurs, 887. Autres
écrits de Pierre de Riga, 887 et 888. Nom-
breux manuscrits qui contiennent l'Aurora ;
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
121
cet écrit n'a jamais été imprimé, 888. Idée
de ce poëme, 888 et suiv. Imitations de ce
poëme ; fragments de l'Aurora dans la Pa-
trologie, 890.]
964. AUSBERT, évéque de Cambrai. Sa mort;
Wibold lui succède, XII, 839.
AUSON, prêtre à qui Firmus de Gésarée
en Cappadoce adresse une de ses lettres, X,
ISO.
?• siècle. AUSONE, moine de Tabenne, IV, 233.
393. AUSONE, professeur à Bordeaux, chargé
de Féducation de l'empereur Gratien, VlII,
SO. Saint Paulin fut son disciple, SO, 51.
Deux poëmes de ce saint adressés à Auso-
ne, 83. (Ausone a composé quelques poésies
chrétiennes qui pourraient lui donner place
au rang des auteurs ecclésiastiques. Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. I, part. II, p. 281 et suiv. ; et le
supplément à la tête du t. II, p. xix.) [Ses
écrits sont reproduits au tome XIX de la Pa-
trologie latine.]
AUSONE ou VIG, ville de Catalogne. Cette
907. Église et son évêque exemptés du tribut
qu'ils payaient à la ville de Narbonne, XIII,
971. 7-41. — [Elle est érigée en archevêché, XII,
834. Bulle relative à cette élection ; privilè-
ges qui sont accordés à cette Église, 836.]
— Dédicace de la cathédrale, XIV, 1048.
439. AUSPICE, évêque de Vaison, assiste au
1441-442. concile de Riez, VlII, 433 et 603, 606. A ce-
lui dOrange, 433 et 606, 607. Le concile de
Vaison se tient dans sa maison, 433 et 610.
iv siècle. AUSPICE (Saint), cinquième évêque de
Toul, se rend célèbre parmi les évêques des
Gaules ; estime que faisait de lui saint Si-
doine Apollinaire, X, 400. Sa lettre au
comte Arbogaste, 400 et 401. Différentes
éditions qu'on en a faites ; autres éditions,
401. (Voyez son article dans Y Histoire litté-
raire de la France., tome II, p. 478 et suiv.)
AUSPICIOLE, fille de Salvien, prêtre de
Marseille, et de sa femme Palladio, X, 360.
AUSTÉRITÉS DES IMOINES. Théodoret
les attribue à l'amour de Dieu qui leur don-
nait la force de les pratiquer, X, 136.
AUSTREBERTE (Sainte), abbesse au pays
de Caux. Sa vie par Enguerran, abbé de
Saint-Riquier, XIII, 112.
AUSTRÉGISILE (Saint), archevêque de
Bourges. Sa mort, XI, 732.
AUSTREMOINE (Saint), premier évêque de
Glermont, XI, 367. [Sa légende, 780, n. 1.]
AUSTROBERT. On ne connaît point d'ar-
chevêque de Vienne de ce nom, au temps
741.
du pape Zacbarie. Ainsi, la lettre qu'on
prétend lui être adressée par ce pape est
supposée, XII, 34.
AUTEL. Quel est l'unique autel légitime isiéde.
selon saint Ignace, I, 383. — Saint Gyprien
nomme autel la table du saint sacrifice, II, m .lècie.
368. Offrandes qu'on mettait sur l'autel, 380.
Autel où saint Cyprien avait offert le sacri-
fice ; autel érigé contre autel, ou assemblée
schismatique à Carthage , 6i2, — Divers
témoignages de saint Optât de Milève sur
les autels, V, 136, 137, 138, 139. — Autel
du saint sacrifice; témoignage de saint Gré-
goire de Nysse, VI, 244. — Soin que les
prêtres prenaient des autels, VU, 606. —
Origine de l'autel dressé à Athènes au Dieu
inconnu, VIII, 494. Autels en l'honneur des v. 40i,
martyrs ; canon quatorzième du cinquième
concile de Cartilage, 336. —Décret du pape
saint Hormidas qui défend d'ériger un autel
dans une église consacrée, sans la permis-
sion de l'évêque, X, 633. Ce qu'il faut pour
la consécration des autels selon le concile 517.
d'Agde, 738. — Sainte Radegonde employait
les fleurs du printemps à orner les autels, XI,
408. Usage de nommer à l'autel les évêques
vivants des grands sièges, 493. Treize autels
dans une église, 306. Le concile d'Epaone
défend de consacrer avec l'onction du chrême
d'autres autels que ceux de pierre , 817.
Les ministres de l'autel étaient vêtus de
blanc, 904. Il n'est point permis de consa-
crer des autels là où il y a eu des corps enter-
rés, 913. — On ne doit point consacrer d'au-
tels avec de l'huile sainte, s'ils ne sont pas de
pierre, XII, 63 et 237. Défense aux femmes
de s'approcher de l'autel lorsqu'on célèbre
la messe, 264 et 939. L'autel doit être cou-
vert de linges propres et décents, 408. L'u-
sage des autels n'est point particulier à l'É-
glise chrétienne ; autels tournés à l'Orient,
au Midi et au Nord, 412. Autrefois on n'of-
frait sur l'autel que du pain, du vin, du blé,
du raisin et de l'huile, 413. Défense aux évê-
ques do dépouiller les autels, etc. , pour sa-
tisfaire leurs ressentiments, 937, — Autels
donnés en bénéfice à des laïques, XIII, 83.
Dans le xi° siècle on appelait autels les obla-
tions et le casuel d'un bénéfice, 431. Dispo-
tions du concile de Glermont sur ces autels,
431 et 432. Autel portatif donné par le pape
Alexandre II à Baudoin, abbé de Saint-Ed-
mond, 433. — Saint Anselme prétend qu'il
faut bénir de nouveau une pierre transpor-
tée d'un autel détruit à un autre, XIV, 42.
122
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUEb.
Yves de Chartres pense de roême, 107.
AUTEURS SACRÉS. Voyez les articles de
chacun d'eux en particulier.
AUTEURS ECCLÉSIASTIQUES dont les
ouvrages sont déclarés apocryphes par le
décret du pape saint Gélase, X, 725. Traité
des auteurs qu'on doit recevoir ou rejeter, ou-
vrage d'Arnoul, moine de Saint-André à Avi-
gnon, XIII, 73. Voyez jE'cr?uamsecc/esms;î"5'Mes.
AUTEURS PROFANES. Manière dont on
doit les lire selon saint Basile, IV, 390.
AUTHARIT, roi des Lombards, àrien, dé-
fend de baptiser les enfants de sa nation
dans l'église catholique à la fête de Pâque,
X[, 481 . Clef d'or qu'il envoie à saint Gré-
goire, 509. Sa mort, 481.
VI siècle. AUTMONDE, évêque de Toul, compose la
Vie de saint Evre, l'un de ses prédéces-
seurs, et des répons pour l'office de sa fête,
XI, 323.
AUTOLYQUE, païen à qui saint Théophile
d'Antioche adresse ses trois livres sur la re-
ligion chrétienne, 1, 276 et suiv.
AUTORITÉ. Alcuin distingue trois degrés
de l'autorité souveraine, celle du pape, celle
del'empereur et celle du roi, XII, 192. — [En
quel sens on peut dire que l'autorité royale
ne vient pas de Dieu, XIII, 361, n. 4.]
AUTPERT (Ambroise), abbé. Voyez Arn-
broise Aufpert.
836. [AUTPERT, appelé aussi Ambroise le
Jeune, abbé du Mont-Gassin. Son homélie
sur saint Mathias, apôtre, XII, n. 1. Ses au-
tres écrits, 125, n. 4.]
AUTUN, [ville de l'ancienne Bourgogne,
maintenant sous-préfecture dans le départe-
IV siècle, raent de Saône-et-Loire.] Saint Rétice, évo-
que d'Autun, in, U5. Privilèges accordés à
g02. deux monastères et à un hôpital d'Autun
confirmés par le pape saint Grégoire, XI,
529. — Concile tenu en cette ville, XII, 338,
339. Autre concile tenu en cette ville, XIII,
429. Autres encore, XIV, 1064 et 1068. [Pri-
vilèges accordés à l'Éghse d'Autun par le
pape Jean X, 745. — Lettres de Jean XI au
clergé et au peuple d'Autun sur la liberté
dans les élections des évèques, XII, 745.]
AUVRAY (Pierre). Nom sous lequel M. de
Barcos s'est caché pour donner la censure
du Prœdesiinatus, X, 334.
AUXANIUS, évêque d'Aix, député à Rome
au sujet d'Hermès, évêque de Béziers trans-
féré ù Narbonne, X, 337 et 427. Il se trouve
ig2 à un concile tenu à Rome par le pape saint
Hilaire, 337. Il y obtient un décret contraire
à l'union que saint Léon avait faite des égli-
ses de Cémèle et de Nice, 337 et 338. Ce dé-
cret est révoqué par le même pape saint Hi-
laire, 338.
AUXANIUS, évêque d'Arles, successeur 543.
de saint Césaire, informe le pape Vigile de
son élection ; le pape lui accorde le paUium 545.
et le fait son vicaire dans les Gaules, XI, 196.
AUXANON, prêtre Novatien avec qui l'his-
torien Socrate fit connaissance, VIII, 515.
AUXENCE (Saint), jnartyr de Palestine, 307.
m, 9.
AUXENCE, évêque de Mopsueste, reçoit 360.
Aétius banni, IV, 576.
AUXENCE L'ANCIEN, évêque de Milan, 364.
fait devant saint Hilaire de Poitiers une con-
fession forcée de la divinité de Jésus-Christ,
IV, 6. Livre de saint Hilaire contre Auxence, 365.
60, 61. Auxence est combattu par saint Eu- 364.
sèbe de Verceil, 276. — Il est condamné a . 370.
dans un concile de Rome, V, 13 et 15. — Sa
mort, X, 47.
AUXENCE LE JEUNE, dont le nom véri-
table était Mercurin, évêque arien à Milan.
Il excite l'impératrice Justine à soulever le
peuple contre saint Ambroise, V, 384. Dicte
et écrit une loi de sang en faveur des
Ariens ; demande à défendre sa cause con-
tre saint Ambroise en présence de l'empe-
reur, 386. Discours de saint Ambroise con-
tre lui, 489. — Auxence est auteur de la loi
de Valentinien II en faveur de ces héréti-
ques, VI, 363. (On a eu tort dans la table du
cinquième volume (premier tirage) de ne
pas distinguer Auxence l'Ancien d'Auxence
Mercurin. C'est Auxence l'Ancien qui fut
condamné au concile de Rome).
AUXENCE, jovinianiste, condamné par le iv siécie.
pape Sirice, IV, 632.
AUXENCE, abbé de Clermont, X, 393.
AUXERRE, ville de l'ancienne Bourgogne,
maintenant chef-lieu dans le département
de TYoune. — Histoire des évoques d'Au-
xerre composée par le moine Heiric, XII,
641. Synode tenu en cette ville parTétrique v. 695.
pour régler la manière dont les abbés et les
archiprêtres des diverses églises du diocèse
devaient venir faire l'office à l'église cathé-
drale de Saint-Étienne, 967. — Ravage des 1206.
biens de cette église par les officiers du roi
Philippe-Auguste après la mort de l'évêque
Hugues; réparation que le roi en fait. 11 1207.
donne à perpétuité à l'église d'Auxerre ses
droits sur la régale pendant la vacance du
siège, XIV, 1004.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
123
445.
IV ou
V siècle.
X siècle.
IV siècle.
791.
IV siècle.
IV siècle.
IV siècle.
AUXILIARIS OU AUXILIARIIÎS , autrefois
préfet des Gaules. Ses .liaisons avec saint
Hilaire d'Arles, VIII, 437. Éloge qu'il fait des
lettres de ce saint, 439.
AUXILIUS, évêque. Lettre que lui écrivit
saint Augustin, IX, 188.
AUXILIUS, évêque d'Irlande du temps de
saint Patrice, X, 447.
AUXILIUS, prêtre français. Analyse des
trois traités qu'il a composés pour prouver
la validité des ordinations faites par le pape
Formose, XII, 748 et suiv. Le premier, 748,
749. Le second, 749, 7S0. Le troisième, 750
et suiv. Jugement sur ces ouvrages ; édi-
tions qu'on en a faites, 752. [Édition dans
la Patrologie, 753.] (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. VI, p. 122
et suiv.)
AUXONE, préfet du prétoire, bannit Eu-
nomius, VI, 261.
AUXONE, évêque des Gaules, l'un de ceux
à qui le pape saint Célestin écrit en faveur
de saint Augustin, X, 277.
AUXUME, ville de l'Ethiopie, VI, 344.
Saint Frumentius en est fait évêque, 345.
AVARES, peuples établis en Pannonie.
Charlemagne remporte sur eux une victoire
complète, XII, 232. — Ils étaient idolâtres,
VII, 317.
AVARICE, principe de tous les maux, I.
397, note 6. — Homélie de saint Basile le
Grand sur l'avarice, IV, 380,381. — Poëmede
saint Grégoire de Nazianze sur l'avarice, V,
283. Autre du même, 294. Indulgence de
Novat à l'égard des avares, 334. — Saint
Grégoire de Nysse se plaint de ce qu'il n'y a
point de peines contre l'avarice, VI, 158.
[Traité de saint Zenon, évêque de Verceil,
contre l'avarice, 274.] Discours de saint As-
tère d'Amasée contre l'avarice, 294, 295.
Loi de Valentinien I" contre l'avarice, 356.
L'avarice n'était point soumise à la péni-
tence publique. [Le chiffre est mal indiqué dans
la table du VIII" volume de l'ancienne édition,
je nai pa trouver le véritable.] — Saint Jean
Chrysostôme combat l'avarice, VII, 237. Pu-
nition de l'avarice d'un solitaire de Nitrie,
558. — Homélies de saint Maxime de Turin
sur l'avarice, X, 322, 323. Traité de Salvien
contre l'avarice, 361 et suiv. Ce traité est le
même que celui intitulé Timothée, 361. Ana-
lyse de cet ouvrage, 362 et suiv. Poëme de
saint Colomban contre l'avarice, XI, 628. —
Ce que dit saint Pierre Damien sur l'avarice,
XIV, 317. — Poëme du vénérable Hildebert
contre l'avarice, XIV, 222. Épigramme de
Philippe de Bonne-Espérance sur l'avare, 687.
AVE, MARIA. Prière à la sainte Vierge.
Méditations sur l'Ave, Maria, attribuées à
saint Anselme de Lucques, XIII, 397. —
Poëme d'Éberhard sur cette prière, XIV, 247.
AVE, PER QUAM. Hymne sur la sainte
Vierge, composée par Hériger, abbé de Lo-
bes, XIII, 38.
AVE, PRiECLARA MARIS STELLA.
Hymne à la Vierge dont Hermann Contracte
est l'auteur, XIII, 184.
[AVEDIGHIAN (Gabriel), méchitariste. Sa
traduction italienne de la Liturgie des Ar-
méniens, XIII, 134].
AVÈNEMENT DE JÉSUS -CHRIST (Pre-
mier). Paraphrase d'un scholiaste sur le
poëme de saint Grégoire de Nazianze sur
ce sujet, V, 304, 305. — [Plusieurs dis-
cours de saint Éphrera sur ce sujet, VI,
483, 483. Homélies de saint Maxime de
Turin sur ce mystère, X, 320, 321. — Deux
discours de saint Césaire d'Arles sur ce
sujet, XI, 134. — [Sermon sur l'avènement
de Notre-Seigneur par Atton de Verceil,
XII, 826.] — De l'avènement du Seigneur
et de la bienheureuse Marie, sermon de Ni-
colas, secrétaire de saint Bernard; XIV, 736.
AVÈNEMENT DE JÉSUS -CHRIST (Se-
cond). Opuscules de saint Éphrem sur le ju-
gement dernier et le second avènement de
Jésus-Christ, VI, 23, 24, 25, 26, [503, 504.]
Discours de saint Éphrem sur le second
avènement de Jèsus-Christ et sur la péni-
tence, 36. — Sujet d'une homélie fausse-
ment attribuée à saint Jean Chrysostôme,
VII, 312. — [Sermon d'Eusèbe d'Alexan-
drie sur le second avènement de Notre-Sei-
gneur, VIII, 383.] Discours d'Yves de Char-
tres sur le dernier avènement de Jèsus-
Christ, XIV, 122.
AVENT. Temps destiné à célébrer la
mémoire de l'attente du premier avènement
de Jésus-Christ; — Homélie ou traité de
saint Augustin sur le deuxième dimanche
de l'Avent, IX, 834. Deux sermçns du
même sur l'Avent. Trois sermons sur l'A-
vent faussement attribués à saiut Augus-
tin, 836.] Canon du concile de Mâcon qui
prescrit des jeûnes avant Noël; ce qu'on
regarde comme l'origine de l'Avent, XI,
895. — Statut de Ratbier de Vérone sur
l'Avent, XII, 856. — Les offices de l'Avent
commençaient dans l'Église gallicane à la
fête de saint Martin, XIII, 7. Traité où Hé-
XI siècle.
58i ou 582.
124
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1036.
IV siècle.
riger, abbé de Lobes, établit que l'Avent
ne doit pas avoir plus de quatre dimanches,
38. Traité d'Adelbolde sur la variété des
usages dans l'observation de l'Avent, 76. In-
certilude où l'on était au xi° siècle sur le
temps de l'Avent , 125 , 126. Traité où
Bernon , abbé de Richenow , établit que
l'Avent ne doit jamais commencer plus tôt
que le 27 novembre, ni plus tard que le 3
décembre, 126. Homélies de Guaifer sur
l'Avent, 496. — Sermons du vénérable Hil-
debert sur l'Avent, XIV, 214. Il y recom-
mande l'abstinence dans l'Avent, 216. Sept
sermons de saint Bernard sur l'Avent, 484.
[Sermon sur l'Avent par Odon , abbé de
Morimoud, 625.] Sermons de Pierre de Celle
sur l'Avent, 681. Sermons de Pierre Comes-
tor pour l'Avent, 745. [Cinq sermons d'Ab-
salon, abbé de Springkirsbach pour le temps
de l'Avent, 877.] Sermons du pape Innocent
III sur l'Avent; [autres du même, 1009.]
Sermons de Guillaume d'Auvergne, évoque
de Paris, sur l'Avent, 1023. Abstinence et
jeûne de l'Avent proposé par un concile d'A-
vranches, 1133. Voyez Avènement de Jésus-
Christ.
AVENTITIUS (Saint), martyr. Homélie de
saint Maxime de Turin sur le saint martyr
Aventitius et ses compagnons, X, 322.
AVERTISSEMENT. C'était le goût dans le
v'^ siècle de donner ce titre à différents ou-
vrages, VIII, 422. — Avertissement dOrieu-
tius, évêque d'Aucb ou d'Elvire, 422, 423,
et XI, 100, n. 2 et p. 101. — Avertissement
de Vincent de Lérins. Traduction française
de cet ouvrage par le P. Bonnet de l'Ora-
toire, X, 467. — Avertissement aux prêtres.
Écrit que l'on croit du temps de Charlema-
gne et dont on ne connaît point l'auteur,
Xll, 149, 130. — Avertissement aux clercs
et aux laïques. Ouvrage d'Othlon, moine de
Saint-Euimeran de Ratisbonne, XIII, 280.
AVESGAND, évêque du Mans ; sa mort ;
Gervais, son neveu, lui succède, XIII, 263.
AVESGAND, abbé de Saint-Vincent au
Mans, mis à la tête de cette communauté
par l'évèque Gervais son parent, XIII, 263.
AVEUGLE-NÉ. Discours de saint Astère
d'Amasée sur l'aveugle-né de l'Évangile,
VI, 297, 298. — Homélie sur ce sujet attri-
buée à saint Jean Cbrysostôme ou à Sévé-
rien, évêque de Gabales, VII, 237. Homélie
sur l'aveugle-né et sur Zachée faussement
attribuée à saint Jean Cbrysostôme, 258; et
à Jean de Jérusalem, 502. — [Sermon de
saint Augustin sur l'aveugle-né, IX, 841. J
AVIÉNUS, consulaire. L'empereurl'envoie
demander la paix à Attila, X, 175.
AVIGNON, [ville de l'ancienne Provence,
cbef-lieu du département de Vaucluse.] Con-
ciles qui y furent tenus, XIV, 1070 et 1133.
AVILA, ville de la vieille Castille, autre-
fois dans la Galice, IV, 616.
AVIRCIUS MARCELLUS n'est pas le mê-
me que saint Aberce, évêque d'Hiéraple, I,
448 et 449.
AVIS SPIRITUELS. Sujet d'un opuscule
faussement attribué à saint Jean Cbrysos-
tôme, VII, 333. — 11 ne faut pas tant compter
sur les avis que les peser, maxime de saint
Julien le Pélagien, accordée par Augus-
tin, IX, 491. — Avis importants donnés à
l'empereur Justinien par le diacre Agapet,
XI, 266. — '■ Avis salutaires tirés des écrits
des saints Pères, ouvrage de saint Paulin
d'Aquilée dont on n'a imprimé que la pré-
face, XII, 164. Avis à l'empereur Louis le
Débonnaire, ouvrage revu par Éginhard ,
357.
AVIT (Saint), (Sextus Alcimus Ecditius
Avitius), évêque de Vienne. Sa naissance;
son éducation, X, 533. Il est fait évêque de
Vienne ; il fournit à saint Épiphane, évêque
de Pavie, ce qui lui manquait d'argent pour
racheter des captifs; il se concilie la confiance
de Gondebaud et de Clovis, 534. Il porte la
parole à une conférence qui se lient à Lyon
entre des évêques catholiques et ariens, 554
et 733. 11 contribue à la conversion du roi
Sigismond, 554. 11 prononce au concile d'A-
gaune un discours dont il ne nous reste que
le titre, 746. Sa mort, 534. [Ses lettres;
nombre de ses lettres, 554, n. 6.] Lettres de
saint Avit à Gondebaud : ¥<' 554, 553. II,
333. 111, 555 et 336. IV, 336, 357. V, VI, à
Victoi-ius, évêque de Grenoble ; VII, à Jean
de Cappadoce ; VIII, à Eustorge de Milau,
537. IX, à saint Césaire ; X, à Magnus de
Milan ; XI et XII, à Apollinaire de Valence ;
XIII, à Contuméhosus de Riez, 358. XV et
XVI, à Victorius de Grenol)le, 558 et 359.
XVII, à Viventiolus, prêtre, depuis évêque
de Lyon; XVIII, au papeSymmaque; XXllI,
à l'évèque de Jérusalem ; XIX et XX, à
Gondebaud ; XXI, à Sigismond, fils de Gon-
debaud ; XXII et XXIIl, à Apolhnaire, peut-
être fils de saint Sidoine, 539. XXIV, ù
Etienne de Lyon, 559 et 560. XXV, à Apol-
linaire de Valence ; XXVI, à un évêque :
XXVII, au pape Symmaque; XXVIII, à Gon-
490.
494.
515.
518.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
12o
debaud, 560. XXIX et XXX, à Sigismond,
560 et 561. XXXI, à Fauste etàSymmaque,
sénateurs; XXXVI, à Sénarius, patries;
XXXVII, à Pierre de Ravenne ; XXXVIII, k
Eufrasius, évêque ; XXXIX, à Gondebaud ;
XLI, à Clovis, 561. XLII, à Vitallien, séna-
teur ; XLIII, à Gélérus^ sénateur ; XLIV, au
roi Sigismond ; XLVII , à Héraclius , ora-
teur ; XLVIII, d'Héraclius; XLIX,àAnsé-
mundus, 562. Autres lettres, 562 et 563. LI,
à Viventiolus, rhéteur ; LXI, à Constantius,
évêque; LXV, à Maxime; LXIX, à l'empe-
reur Anastase; LXXVIII, à Apollinaire de
Valence ; LXXX , à Quintieu , évêque ;
LXXXIII et LXXXIV, à l'empereur Anas-
tase, 562. LXXXVII, au pape Hormisdas;
bomélies sur les Rogations ; 563 et 564.
Fragments des homélies de saint Avit, 564,
565. Ce qu'il y a de remarquable dans ces
fragments et dans ces lettres, 565, 566.
Poëmes de saint Avit, 566, 567. Autres
poëmes, 567, 568. Jugement sur les écrits
de saint Avit, 568. Éditions qu'on en a
laites, 568, 569. Autres éditions, 569. Saint
Avit obtient du pape Anastase un règlement
qui étendait sa juridiction sur les évêques
voisins, nommément sur celui d'Arles, 521.
Ge que prescrit le pape Symmaque à cet
égard, 521 et 523. Lettre que saint Avit
écrit au nom des évêques des Gaules au su-
jet de la conduite qu'on avait tenue à Rome
à l'égard du pape Symmaque, 522, 523.
Lettre que le pape lui écrit au sujet des
prétentions de l'Église de Vienne, 524. Lettre
du pape Hormisdas à saint Avit, 617. —
Saint Avit préside au concile d'Épaone, XI,
814. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. III, p. 115 et suiv.)
AVITAC. Saint Sidoins Apollinaire y avait
une maison de campagne, X, 384. Descrip-
tion de cette maison, 397.
3U. AVITIEN, évêque de Rouen, assiste au
premier concile d'Arles, II, 629.
AVITUS [ou AVITE], prêtre espagnol. Let-
409. tre que lui écrivit saint Jérôme sur les écrits
v siècle. d'Origène, VII, 640. — Il assiste au concile
de Jérusalem en 415, VIIJ, 550. — Lettre
qu'il écrivit touchant les reliques de saint
Etienne, IX, 327. — Il va à Jérusalem et en
apporte en Espagne le livre des Principes
d'Origène, traduit par saint Jérôme, X, 1.
Il traduit en latin la relation de 1 invention
des reliques de saint Etienne ; il envoie
cette relation avec quelques reliques à Pal-
conius, évêque de Braga^, eu Lusitanie, 31
AVITUS, autre Espagnol, va à Rome et
en rapporte les ouvrages de Victorin contre
les Ariens, X, 1.
AVITUS, solitaire, visite saint Marcien,
X, 52.
AVITUS [ou AVITE], beau-père de Sidoine
Apollinaire, est proclamé empereur, X, 379. 455.
Son panégyrique est prononcé par son gen- 456.
dre, 379 et 396; — et adressé par lui à
Prisque Valérien , préfet des Gaules, VIII,
444. (Voyez l'article de l'empereur Avitus
dans l'Histoire littéraire de la France, t. II,
p. 333 et suiv.)
AVITUS, parent de saint Sidoine Apolli-
naire, donne une terre à l'éghse de Cler- 473011474.
mont. Lettre que lui écrit saint Sidoine pour
l'en remercier, X, 285.
AVITUS I" (Saint), évêque de Clermont,
donne le diaconat à saint Grégoire de Tours,
XI, 365. Son éloge par Fortunat, 406.
AVOCAT, maxime de saint Grégoire de
Nazianze sur la profession d'avocat, V, 283.
— La profession d'avocat interdite aux ec- joto.
clésiastiques et aux moines par une ordon-
nance de Jean Xiphilin, patriarche de Cons-
tantinople, XIII, 338. — Canon d'un concile
de Clermont qui en interdit les fonctions
aux moines et aux chanoines réguliers, XIV,
1110.
AVOCATS ou AV OUÉS des éghses. Voyez
Avoués.
AVOLD (Saint), monastère fondé par saint viii siècle.
Cbrodegand, évêque de Metz. Il se nommait
d'abord Saint-Pierre, XII, 106.
AVORTEMENT. Canon vingtième du con-
IV siècle.
cile d'Ancyre, II, 639. — Canon du concile
Quinisexte sur les avoriements, XII, 964.
AVOUÉS des églises. Ce que c'était, XII,
232. Leur origine selon Albon de Fleury ; ^ siècle
ses plaintes contre eux, XIII, 25. Décret de
l'empereur Henri IV contre les avoués de Lo-
bes, 598. — Ctinon d'un concile de Reims qui
leur détend de rien prendre au delà de leurs
droits, XIV, 1055.
AVRANGHES, [ville de l'ancienne Nor-
mandie , chef-lieu de sous-préfecture du
département de la Manche]; concile qui y
fut tenu, XIV, 1134.
AXITHEE, un des personages du dialogue
d'Enée de Gaze sur la nature de l'âme et sur
la résurrection du corps, X, 490 et suiv.
[AUBEBT, moine et reclus de Tournai, ^ii siècle
Le pape innocent II lui écrit, XIV, 264.]
AYGULFE ou AYGULPHE, voyez Ai-
gulphe.
126
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
AYMAR DU MONTEIL, évêque du Puy,
Voyez Adhémar.
949. AYMARD, abbé de Cluuy. Lettre que lui
écrit le pape Agapet, II, XII, 830.
AYOUL (Saint), monastère fondé à Pro-
vins. Voyez saini Aigulfe, abbé de Lérins.
AYRIC (Saint), évêque de Verdun. Voyez
saint Airic.
AZAD, eunuque du roi Sapor II. Son mar-
tyre rapporté dans les Actes publiés par As-
sémani, III, 328.
XI siècle. AZEL, évêque de Paris. Lettres de Ful-
bert de Chartres qui lui sont adressées, XIII,
81, 83, 84.
AZIMES. [Opuscule sur les azimes, ou-
vrage de saint Athanase, IV, 179.] — Deux
opuscules des azimes attribués à saint Jean
Damascène, ne sont pas de lui, XII, 84. —
Commencement de la dispute entre les
Grecs et les Latins au sujet des azimes,
XII, 203. Ce qu'en dit saint Léon IX dans
sa lettre à Michel Cérulaire, 207. Hurnbert
réfute les Grecs sur ce sujet, 215. Traité de
saint Brunon de Segni sur le pain azime
pour l'Eucharistie, SOI. — Traité de saint
Anselme sur le pain azime el le pain fer-
menté pour le sacrifice de la messe, XIV,
18. La question des azimes agitée entre les
évoques Grecs et Anselme d'Havelburg, 413.
Opuscule de Michel Glycas sur le pain dont
Jesus-Clmst s'est servi dans la dernière
cène, 642. Concile de Rome où la ques-
tion des azimes est agitée, 1038. — Disser-
tation du père Le Quien sur les azimes
de la dernière pâque de Jésus-Christ, XII, 98.
AZOLIN, évêque de Laon, déposé dans
un concile. Lettre que lui écrit le pape Sil-
vestre II, pour le citer à Rome, XII, 908.
AZON, évêque de Côme. Lettre que lui
écrit Alton de Verceil, XII, 824, 825.
AZON, abbé de Montier-en-Ders. Voyez Xsiècie.
Adson.
[AZUT, prince des Arméniens à qui Pho-
tius écrit, XII, 977, 978.]
B
BABION (Pierre), Anglais. Son commen-
taire sur l'Évangile de saint Matthieu, attri-
bué à Anselme de Laon, XIV, 183. Ses ho-
mélies attribuées aussi à Anselme de Laon,
184.
BABOLEN (Saint), premier abbé du mo-
nastère des Fossés près Paris. Répons pour
le jour de sa fête composés par le moine
Odon, XIII, 234.
IV siècle. BABYLAS (Saint), évêque d'Antiocbe,
martyr. Son corps enterré à Daphné près
d'Antioche, III, 412. — Eglise bâtie en son
iionneur par saint Mélèce, V, 12. — Ses re-
liques rendent muet l'oracle d'Apollon, VII,
88 et 91. Son panégyrique par saint Jean
382. Chrysostôme, 90 et 91. Livre de ce même
père sur saint Babylas ; ce livre est intitulé
contre Julien et contre les Gentils, 91, 92.
— Témoignage de Philostorge sur les ou-
trages que Julien rA])ostat fit aux reliques
de saint Babylas, VIII, 312. — Témoignage
de Théodoret sur l'ordre que Julien donna
de les trcinsporler hors du lieu où elles
étaient, X, 46.
BâBYLONE. Homélie sur les trois enfants
de Babylone attribuée faussement à Sévé-
rien, évêque de Gabales, Vil, 209. Autre
homélie sur le même sujet faussement attri-
buée à Jean de Jérusalem, 302.
BACANCELD ou BÉCANCELD ou BÉ-
CHANCELLE en Angleterre. Conciles qui y
furent tenus, XII, 963, XIII, 636.
BACCAUDE, évêque de Formies. Lettre 590.
que lui écrit le pape saint Grégoire, XI ,
480.
BACCHANALES. Fêtes en l'honneur de
Bacchus défendues par le sénat avant Jésus-
Christ, IV, 311.
BACCHIARIUS,philosophechr6tien.Voyez
Bachiarius.
BACCHYLLE, évêque de Corinthe. Voyez
Bachylle.
BACCILLUS , évêque porteur d'une lettre
de saint Léon, X, 209.
BACHIARIUS, [ou mieux BACCHIARIUS], v.iécie.
philosophe chrétien, moine, VIII,44et suiv.
Quel il était, 44. Son pays; était-il prêtre
ou évêque, 43. Ses écrils; son livre de la
foi, 43 et suiv. Lettre de Bachiarius à Jan-
vier, 48, 49. [Éditions de cette leltre et du
livre de la foi, 50.]
BACHYLLE [ou mieux BACCHYLLE], évé- „ ^,^„,,.
que de Corinthe, auteur d'une lettre syno-
dale sur la pâque, I, 335, II, 542.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
127
590.
586.
BADÊME (Saint), abbé en Perse. Son
martyre, IIJ, 324. Ses actes rapportés par
Assémani, 412.
BADIUS (Josse), imprimeur de Paris. Ses
notes sur les cinq livres de la Consolation, de
Boëce, X, 665.
BAGADIUS, évéque de Bostres, déposé,
VII, 716.
BAGAIA, ville de Numidie. Concile qui y
fut tenu par les Donatistes, IV, 6S9, 660.
BAGAUDES, rebelles des Gaules défaits
par Maximien Hercule, II, 473.
BAHANES, patrice, assiste au nom de
l'empereur Basile au quatrième concile de
Constantinople, XIII, 702, 703, 704.
[BAHRDT (Cb.-Fréd.), éditeur des Hexa-
ples d'Origène, II, 253.]
BAILLEMENT. Coutume des fidèles de
faire sur leur bouche le signe de la croix
lorsqu'ils bâillaient, XIII, 53.
BAIN de sainte Cécile, II, 102.
BAINS. Canon trentième dw concile de
Laodicée sur les bains, lll, 511. — Bains
établis en Perse par le roi Cavadès, X, 586.
BAISER DE PAIX, témoignage de Clé-
ment d'Alexandrie, I, 570. — De TertuUien,
II, 76 ; d'Origène, 139 ; de saint Cyprien,
364 ; d'Archélaûs de Caschare, 457. Des
Constitutions apostoliques, 596. — d'Eusèbe
de Césarée, III, 112. — De saint Cyrille de
Jérusalem, V, 76. — De saint JeanChrysostô-
me, VII, 309 et 4H. — De saint Augustin,
IX, 768. — D'Anastase le Sinaïle, XI, 606.
BALAAM, devin. Livres qui lui sont attri-
bués, I, 267. — Sa prophétie conservée par
tradition dans l'Orient jusqu'aux mages, III,
273. — Ce que Théodoret pense du pro-
phète Balaam, X, 30.
BALACIUS, duc. Lettre que lui écrit saint
Antoine, père des solitaires, III, 391.
BALiEUS, Syrien, auteur ecclésiastique,
VIII, 1 et 2.
BâLAIN (Saint). Abbaye sous son nom au
diocèse dTvrée en Piémont, XIII, 107. Voyez
Frutare.
BALBIN, évêque de Roselle, chargé par
le pape saint Grégoire de prendre soin de
l'Église de Populonium, XI, 481.
[BALBO (César). Sou jugement SLir saint
Grégoire Vil, XIII, 389.]
BALGONE, évêque de Brague, à qui fut
envoyée une confession de foi par ordre de
saint Léon, X, 668.
BA.LDÈGIS1LE, évêque du Mans. Temps
de sa mort, XI, 632.
BALDÉGOTON. Lettre que lui écrit saint m.
Euloge pour l'informer du martyre de sainte
Flore sa sœur, XII, 521.
BALDÉRIC. Voyez tous les personnages
de ce nom sous le nom de Baudri.
[BALDI (Bernardin). Sa traduction ita-
lienne des livres sibyllins, I, 308.]
BALDON, évêque en Germanie. (Il avait
composé plusieurs écrits, V. Ce qui en est
dit dans l'Histoire littéraire de la France^ t.
V, p. 212.)
BALE, concile tenu en cette ville, XIV,
1062.
BALÉARES (Iles), dans la Méditerranée.
Décret du duc Haie touchant ces îles, XIV.
1061.
BALFORÉUS ( ). Son édition de l'His-
toire du concile de Nicée par Gélase de Cy-
zique. Le troisième livre y manque, X,
533.
[BALLERINI (Les frères). Leur édition
des opuscules de saint Hilaire d'Arles, VIII,
442. — Leur édition des œuvres de saint
Léon le Grand, X, 273 et 276. — Leur édi-
tion des œuvres àà Rathier, XII, 848. —
Leur disserlution sur les collections antiques
de droit canon, XIII, 568.]
BALLINI (Jules). Sa traduction italienne
des sermons de saint Basile de Césarée, IV,
548.
BALMAY (Ponce de). Voyez le B. Ponce
de Babnay.
BALNEOLE, monastère. Bulle du pape \mi.
Benoit VIII en sa faveur, XIII, 192.
BALSAME (Saint Pierre), martyr. Actes
de son martyre, 111, 81, 82.
BALSAMON (Théodore), patriarche d'An-
tioche. Voyez Théodore Balsamon.
[BALTHAZAR, roi de Babylone, ne doit
pas être confondu avec Evilmérodach, 1,171,
note 1.]
BALTHASAR, nom donné à l'un des trois
mages ou rois, XIV, 926.
BALTRANNE, évêque de Strasbourg;
Voyez Waltramne.
BALUZE (Etienne), professeur royal en
droit canon. Son édition des œuvres de saint
Cyprien, évéque de Carthage, aclievée par
P. Prudent Maran, II, 383, 384. — Difl'é-
rentes éditions qu'il a données des œuvres
de Salvien, X, 378. — Son édition des Ca-
pitulaires de nos rois, XII, 226 ; des œuvres
d'Agobard, archevêque de Lyon, 366 et 378;
des œuvres de Loup, abbé de Ferrières,
513 ; de la coll. clion de Régiuon sur la dis-
d2S
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
cipline ecclésiastique et sur la religion
chrétienne, 772 ; [de quelques lettres d'A-
dam, abbé de Perseigne, XIV, 882 ;] desleltres
du pape Innocent III, 931.
1007. BAMBERG , -ville d'Allemagne détachée
du diocèse de Wirtzbourg et érigée en évé-
ché, XIII, 93 et 189. L'empereur Henri II
donne cette ville et cet évêché à l'Église ro-
maine, 66. L'érection de cet évêché est con-
firmée par le pape Jean XVIII, p. 93, 189.
Bulle de Benoît VIII en faveur de cette
Église, 192. Lettre de Glémenl II à cette
Église dont il avait été évêque, 197, 198,
Cet évêché cédé à l'empereur Henri III par
le pape saint Léon IX en échange de Béné-
vent, 202. Deux bulles du même pape pour
l'Église de Bamberg, 209. Dédicace de l'É-
glise cathédrale de Bamberg nouvellement
érigée en évêché, 66, 323, 326. [Lettre de
Wattram à l'Église de Bamberg, 403.] —
Son érection en évêché ; confirmation de
cet établissement, XIV, 1033. Concile tenu
en cette ville à l'occasion de la dédicace de
la cathédrale, 1036. Lettres du pape Cahxte
il qui confirment les privilèges de l'Église
de Bamberg, 1098.
BANCOR , célèbre monastère d'Irlande,
XI, 613.
[BANDINI (Marie). Son édition des épi-
grammes de saint Grégoire de Nazianze, V,
361. — Son édition des deux premiers livres
de l'Histoire de saint Cyprien et de sainte
Justine, martyrs, par sainte Pulchérie, VIII,
476, note 2.]
BANDONlNIEouBANDONIVlE, religieuse.
Voyez Baudonivie.
BANDURI (D. Anselme), bénédictin. Son
projet d'une édition des œuvres de Nicé-
phore, patriarche de Constantinople, XJI,
288. — [Son édition et sa traduction latine
du discours de Nicétas Choniate sur les mo-
numents détruits pari es croisés, XIV, 1176.]
BANQUET DES VIERGES, ouvrage de
saint Méthode, évêque de Tyr, III, 62 et
suiv.
BANTIN, Abbaye dont le pape Urbain II
consacre la nouvelle église ; privilèges qu'il
accorde à ce monastère, XIII, 419.
BAPTÊME DE SAINT JEAN, < 'est-à-dire
donné par saint Jean. Doctrine d'Eusèbe de
Césarée, III, 240; — de saint Hilaire, IV,
25 ; de saint Athanase, 213 ; de Tite, évêque
de Bostre, 344 ; de saint Basile, 518 ; — de
saint Cyrille de Jérusalem, V, 79 ; de saint
Optât, 121 et 134; de saint Grégoire de Na-
IV siècle.
1088.
zianze, 323. — Trois homéhes de saint Jean
Ghrysostôme sur ce sujet, VII, 217. Doctrine
de saint Jérôme, 669 ; — de saint Augustin,
IX, 386, 387, et 739, 740; —de saint Pierre
Ghrysologue, X, 12 ; — de saint Grégoire le
Grand, XI, 565 ; de saint Ildefonse de To-
lède, 774. — d'Alcuin, XII, 210.
BAPTÊME DE JÉSUS-CHRIST, c'est-à-
dire reçu de la main de saint Jean par Jé-
sus-Christ. Raison qui, d'après Clément d'A-
lexandrie, a porté Jésus-Christ à recevoir le
baptême, I, 389. Homélie de saint Hippolyte
sur ce sujet, 616,617. — Pourquoi Jésus-
Christ a voulu recevoir le baptême, II, 313.
— Discours de saint Grégoire de Nazianze
sur ce sujet, V, 235, 236 ; — de saint Gré-
goire de Nysse, VI, 201, 202. — Homélie de
saint Jean Ghrysostôme, VII, 79 et suiv.
Opuscule faussement attribué à saint Jean
Ghrysostôme sur l'Epiphanie et sur le bap-
tême de Jésus-Christ, 312. Homélie de saint
Ghromace, évêque d'Aquilée, sur ce sujet,
493. — [Sermon d'Eusèbe d'Alexandrie sur
le baptême de Jésus-Christ, VIII, 383. —
Sermon de saint Augustin sur le même su-
jet, IX, 836 et 841] — Ce que saint Léon dit
du baptême de Jésus-Christ, X, 209. — [Ser-
mon de Grégoire d'Antioche sur le baptême
de Notre-Seigneur, XI, 358, 359.] Homéhe
de Pantaléon sur ce sujet, 791. — [Sermon
sur la Vigile du jour du baptême de Notre-
Seigneur par saint Théodore Studite, XII,
311.]
BAPTÊME institué par Jésus-Christ. Doc-
trine de saint Barnabe, I, 284; d'Hermas,
334, 337, 338; de saint Ignace d'Antioche,
383; de saint Justin, 441, 442; de Théo-
phile, 477 ; de saint Irénée, 300 et 323 ; de
Clément d'Alexandrie, 389 et 399 ; de saint
Hippolyte, 617 et 640. — Traité du Bap-
tême ; ouvrage de Tertullien avant sa chute,
II, 4 et suiv. Doctrine de Tertullien sur le
même sujet, 61, 62, 73 et suiv., 83. Doc-
trine du pape saint Corneille, 126, 127.
Doctrine d'Origène, 237, 238. Changement
que le baptême produit dans saint Cyprien,
238, 239. Questions sur le baptême des hé-
rétiques et des schismatiques agitées du
temps de saint Cyprien, 327 et suiv. Voyez
l'article suivant sur le Baptême des héréti-
ques. Traité contre la réitération du baptême
attribué à saint Cyprien, 343 et suiv. Doc-
trine de saint Cyprien sur le baptême, 363
et suiv. Novatien baptisé par aspersion dans
son lit, 424. Doctrine de saint Victorin, 461;
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
129
de Lactance, S12. Conciles tenus au sujet du
Baptême des hérétiques, 344 el suiv. Voyez
Tarticle suivant sur le Baptême des héréti-
ques. Témoignage d'un concile de Garthage
sur le baptême des enfants, 361, 362. Paul de
SamosHte changeait la forme dubaptême usi-
tée dans l'Église, 567. Canons apostoliques
sur le baptême. Canons quarante-sixième et
quarante-septième, 384. Canons quarante-
neuvième et cinquantième, 384 et 383. Ca-
non soixante-huitième , 583. Constitutions
apostoliques, 594, 593. Canons trente-sep-
tième et trente-huitième du concile d'Elvire,
608 et 609. Canon quarante-deuxième du
même concile, 609. Canons quarante-qua-
trième et quarante-cinquième , 609, 610.
Canon quarante-huitième, 610. Canon soi-
xante-dix-septième, 613,614. Canon sixième
du concile de Néocésarée, 641. — Histoires
sur le baptême rapportées à l'épiscopat de
saint Pierre, patriarche d'Alexandrie; juge-
ment de ces histoires, III, 60, 61. Doctrine
de saint Méthode, évêque de Tyr, 70, 71.
Doctrine d'Eusèbe de Césarée, 294. Canon
quarante-septième et quarante-huitième du
concile de Laodicée, 313. — Doctrine de
saint Hilaire de Poitiers, IV, 26 et 73. His-
toire d'un prétendu baptême donné par
saint Athanase, enfant, à des enfants, 90.
Doctrine de saint Athanase, 214 et suiv.
[Discours aux baptisés par saint Athanase,
660.] Erreurs desMessaliens sur le baptême,
643. Profession de foi faite publiquement
par Victorin avant de recevoir le baptême,
323. Formule du baptême changée par Eu-
nomius, 410. Homélie de saint Basile le
Grand, 384 et suiv. Témoignage de saint
Basile, 421, 422. Canon premier de la pre-
mière épitre canonique de saint Basile, 459.
460. Canon vingtième dans la seconde épî-
tre canonique, 466. Canon quarante-sep-
tième dans la même épitre, 468, 469.
Les deux livres du Baptême faussement
attribués à saint Basile, 490, 491. Doc-
trine de saint Basile, 313 et suiv. Canon
d'un concile de Capoue, 635. — Doctrine de
saint Cyrille de Jérusalem, V, 63, 64, 72 et
suiv., 77; de saint Optât, 110, 120, 121, 133
et suiv. Discours ou traité sur le Baptême ;
ouvrage de saint Pacien, 163 et suiv. Doc-
trine de saint Pacien, 168, 169. Discours de
saint Grégoire de Nazianze sur le sacrement
de Baptême, 236 et suiv. Doctrine de saint
Grégoire de Nazianze, 323 et suiv. Diverses
sortes de baptême, 323. Ministre du sacre-
TAB. I.
ment de baptême, 324, 323. Baptême des
adultes, 323. État des personnes qui meu-
rent sans baptême; peines qu'elles souffrent
dans l'autre vie, 323 et 326. Baptême des
enfants, 326. Forme dubaptême, 326 et 327.
Effets du baptême ; fidélité aux promesses
du baptême, 327. Temps propre à l'admi-
nistration de ce sacrement, 327 et suiv.
Quelques-unes de ses cérémonies, 329. Cé-
rémonies de ce sacrement expliquées par
saint Ambroise dans son traité des Mystè-
res, 462. Doctrine de saint Ambroise 353,
[Doctrine de Didyme l'Aveugle, 628, 629.
Triple immersion au temps de Didyme l'A-
veugle ; à cette époque il était conféré tous les
jours et à toute heure, 631 . — Doctrine de saint
Ephrem, VI, 61, 62. Règlement attribué à
saint Clément, pape, 79. Doctrine de saint Si-
rice, 99 et 100. Décrets sur le baptême faus-
sement attribués à ce pape, 109. Discours de
saint Grégoire de Nysse contre ceux qui dif-
féraient leur baptême, 159 et suiv. Histoire
tragique d'un jeune homme qui avait différé
son baptême, rapportée par saint Grégoire
de Nysse, 160. Doctrine de saint Grégoire
de Nysse, 240, 241. Doctrine de saint As-
tère, 309 Les Archontiques avaient en exé-
cration le baptême, 392. [Sept invitations à
la fontaine baptismale par saint Zenon de Ver-
ceil ; sept traités du même aux néophytes
ou nouvellement baptisés, 274. Dialogue de
Hiéronyme sur l'effet du baptême et sur les
marques du chrétien, 333. J Doctrine de saint
Epiphane, 430, 431. — Doctrine de saint
Jean Chrysostôme, VII, 393. Doctrine de
saint Chromace, 493. Erreur de Pelage sur le
baptême, 522 et 344. Doctrine du pape saint
Zozime, 329. Témoignage de saint Jérôme,
584 et 660. Doctrine de saint Jérôme, 669 et
suiv. Doctrine du même sur le baptême des
enfants, 672, 673. Sur l'état des enfants
morts sans baptême, 673. Canon trente-
quatrième d'un concile d'Hippone ; canon
quarantième, 715. Canons trente-quatrième
et trente-cinquième du troisième concile de
Carlhage, 722, 723. Canon sur le baptême,
tiré de quelque concile de Garthage, 726.
Canon centième du quatrième concile de
Garthage, 733. Canon sixième du cinquième
concile de Garthage, 734. — Doctrine de
saint Paulin, évêque de Noie, sur le bap-
tême, VIII, 91, 92. Doctrine de saint Nil,
solitaire du Sinai, 227. Doctrine et témoi-
gnage de saint Cyrille d'Alexandrie sur le
baptême, 316 et 336, 337. Témoignages de
9
130
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
l'historien Socrate, 522. Règlement du con-
cile général de Carthage, 538. Canon sep-
tième du concile de Rome sous le pape
saint Innocent, 545. Canon dix-huitième du
sixième concile de Carthage, 5G4. — Lettre
de saint Augustin à Festus sur l'erreur des
Donatistes touchant le baptême, IX, 95, 96.
Lettre de saint Augustin à Boniface sur le
Baptême, 103, 104. Lettre de saint Augustin
à Hilaire où il combat l'erreur des Péla-
giens sur le baptême, 139. Lettre de saint
Augustin à Séleucienne sur le Baptême ,
191. Lettre de saint Augustin à Pierre et à
Abraham sur les enfants morts sans bap-
tême, 192, 193. Ce que saint Augustin dit
des dispositions nécessaires pour le baptême
dans son livre de la Foi et des Œuvres, 257.
Sept livres du Baptême , ouvrage de saint
Augustin, 380 et suiv. Livre de l'Unité du
Baptême ; ouvrage du même Père contre
Pétilien, 402 et suiv. Livres du Baptême des
enfants ; ouvrage de saint Augustin adressé
à Marcelhn, 417 et suiv. Ce que saint Augus-
tin dit du baptême dans son premier livre à
Boniface, 476 ; dans le troisième livre, 479,
480. Ce que saint Augustin dit du baptême
dans son sixième livre contre Julien, 507 et
suiv. Ce qu'il en dit à la fin du deuxième
livre de l'ouvrage imparfait contre Julien,
550. Témoignages de saint Augustin sur le
baptême, 618, 619. Doctrine de saint Augus-
tin sur l'état des enfants qui meurent sans
baptême, 157, 419, 506, 548. 659 et suiv.
Réponse à l'objection des Semi-Pélagiens •
touchant ces enfants, 661, 662. Doctrine de
saint Augustin sur le sacrement de baptê-
me, 740 et suiv. Nécessité du sacrement de
baptême pour être sauvé, 740, 741 . Eflets
de ce sacrement, 741, 742. Matière et forme
de ce sacrement, 742, 743. Ministre du bap-
tême, 743, 744, Rebaptisation, 744, 745.
Exorcismes et autres cérémonies du baptê-
me, 745 et suiv. — Doctrine de saint Pierre
Chrysologue sur le baptême, X, 12. Témoi-
gnage et doctrine de Théodoret, 47 et 86,
87. Ouvrage mystique de Théodoret sur le
baptême, 107. Doctrine de ce Père sur le
baptême, 119 et 122, 123. Règles que pres-
crit le pape saint Léon à l'égard de ceux
dont le baptême était incertain, 201 et 237.
Les églises de Sicile donnaient le baptême
solennel à la fête de l'Epiphanie ; le pape
saint Léon s'y oppose, 209 ; et à celui des
évêques de Campanie qui le donnaient aux
fêtes des martyrs ; il en fixel'administiation
solennelle aux fêtes de Pâques et de la Pen-
tecôte, 237. Doctrine du pape saint Léon sur
le Baptême et ses cérémonies, 192, 209, 248
et 257, 258. Doctrine de saint Prosper sur
les effets du Baptême, 293. Homélie de saint
Maxime de Turin sur la grâce du Baptême,
320 et 323. [Trois homélies ou traités sur
le Baptême, par le même, 327.] Livre de la
Grâce spirituelle du Baptême, attribué par
Gennade à saint Maxime de Turin, 325. [Cé-
rémonies du baptême d'après saint Maxime
de Turin, 329.] Miracle opéré dans la béné-
diction solennelle des fonts baptismaux, 202
et 270. Les Ariens rebaptisent par force les
catholiques, 461, 462. Ordonnance du pape
saint Gélase sur le Baptême, 502. Cérémo-
nies prescrites par le Sacrementaire du pape
saint Gélase pour le baptême solennel, S12
et suiv. Celles pour les catéchumènes ma-
lades, les énergumènes et les païens, 315.
Cérémonies du baptême décrites dans le
livre de la Hiérarchie ecclésiastique attribué
à saint Denis l'Aréopagite, 547, 549, 550.
Lettre de saint Avit à Clovis sur son baptê-
me, 561. Doctrine de Gennade de Marseille
sur le baptême, 603 et 605. Canon quator-
zième du concile de Chalcédoine sur le bap-
tême, 698. Canon du second concile de saint
Patrice sur le baptême ; autre touchant le
catéchuménat et le baptême, 707. Canon du
premier concile d'Orléans sur le baptême,
745. — Différentes Questions sur le Baptême
proposées à saint Fulgence de Ruspe ; ré-
ponses de saint Fulgence, XI, 37 et suiv.
Doctrine de ce saint, 33, 64 et suiv. Doctrine
des évêques d'Afrique, 42. Solennité du
baptême de Clovis et des Francs, 79. Doc-
trine de Laurent de Novarre, 96. Livre des
Rites du baptême et de la communion à l'u-
sage des chrétiens de Syrie, ouvrage attri-
bué par les uns à Sévère de Sozople, et par
d'auti'es à Sévère, patriarche d'Alexandrie,
108. Discours de saint Césaire contre le Dé-
lai du baptême, 133. Autres discours où
saint Césaire parle du baptême, 138, 143,
144. Règlements du pape Vigile sur le bap-
tême, 195. Décision de Trojanus, évêque de
Saintes, sur un enfant qui ne se souvenait
pas d'avoir été baptisé, 202. Doctrine de
Cassiodore sur le baptême, 248, 249. Senti-
ment de Facundus sur le baptême donné au
nom de Jésus-Christ, 287. Formule où se
trouvent les cérémonies du baptême, 342.
Discours où se trouvent les cérémonies du
baptême, 358. Témoignage de saint Grégoire
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
131
de Tours sur le baptême, 389. Lettre du
patriarche Jean le Jeûneur sur le Baptême,
427. Lettre de Licinien, évêquede Carthage,
sur le même sujet, 428. Témoignages du
pape saiut Grégoire sur le baptême, 512,
328, S3o. Doctrine du pape saint Grégoire
le Grand sur le baptême, 563 et suiv. Ditfé-
rence du baptême donné par saint Jean et
du baptême institué par Jésus-Cbrist ; effets
du baptême et cérémonies qu'observait l'É-
glise romaine eu administrant ce sacrement,
565. Ministre ordinaire du baptême ; temps
de l'administrer, 566. Traité du Baptême,
ouvrage de Marc l'Ermite, 639, 640. Témoi-
gnage d'Auremond, abbé de Maire ; canon
du premier concile d'Auxerre, 693. Statut
de Sonnace de Reims sur le baptême, 694.
Témoignage de Jean Moscb, 700 et 702,
Doctrine de saint Isidore de Séville, 712,
713. Livre de la Connaissance du baptême ,
ouvrage de saint Udefonse de Tolède, 774.
Articles du Pénitentiel de Théodore de Can-
torbéry sur le baptême, 797, 798. Canons
d'un concile de Brague sur le baptême, 886.
Canon d'un concile de Valence, 896. — Dé-
cisions du pape Grégoire II sur le baptême,
XU, 24 ; du pape Grégoire 111, 27 ; du pape
Zacharie, 31, 32. Canon attribué à saint Bo-
niface, archevêque de Mayence, 34. Homélie
de saint Boniface, archevêque de Mayence,
sur les Renonciations du baptême, 33. Ca-
non sur le baptême dans le Recueil d'Egbert,
évêque d'York, 64, 65. Doctrine de saint
Jean Damascène sur le baptême, 80 et 93.
Différentes Questions sur le baptême, déci-
dées par le pape saint Etienne II ; le bap-
tême par immersion était encore le plus en
usage au viii° siècle, 113. Statut sur le bap-
tême dans un ancien avertissement aux prê-
tres, 150. Lettre d'Alcuin au prêtre Odvin
oii sont expliquées les Cérémonies du bap-
tême, 184. Autre lettre sur le baptême
adressée à Charlemagne et attribuée à Al-
cuin , elle est d'Amalaire, archevêque de
Trêves, 184 et 183. Diverses lettres d'Alcuiu
touchant le Baptême, 195, 196. Doctrine
d'Alcuin sur ce sacrement, 210. Doctrine de
Béatus, prêtre espagnol, 214, 215. Traité
d'Amalaire sur les Cérémonies du baptême,
222. On l'a attribué à Alcuin ; raisons qui
prouvent qu'il n'est pas de lui, 183 et 222.
Analyse de ce traité, 222. Autre traité des
Cérémonies du baptême adressé à Charle-
magne ; l'auteur n'en est pas connu ; autre
traité sur le même sujet dont l'auteur est
aussi inconnu, 223. Article d'un capitulaire
de Charlemagne, 232. Lettre de Charlema-
gne à Odilbert, archevêque de Milan, qui
contient plusieurs questions sur le baptême,
238. Lettre de Charlemagne à Garibalde,
évêque de Liège; article d'un ancien Péni-
tentiel touchant le baptême, 246. Réponse
d'un évêque aux questions proposées par
Charlemagne, 248. Traité du Mystère du
baptême, ouvrage de Magnus, archevêque
de Sens, 230, 231. Réponse de Maxence,
patriarche d'Aquilée, aux questions que
Charlemagne avait proposées sur le baptê-
me, 231. Réponse de Leidrade, archevêque
de Lyon, aux questions proposées par Char-
lemagne sur le baptême, 252, 253. Autre
traité du même sur les Renonciations qui se
font avant le baptême, 253. Livre du Bap-
tême, ouvrage de Théodulphe, évêque d'Or-
léans, 266, 267. Canon sous le nom de Ni-
céphore touchant le baptême, 286. Traité de
Jessé, évêque d'Amiens, sur le Baptême, en
réponse aux questions que Ciiarlemagne
avait proposées, 338. Doctrine d'Amalaire
de Metz dans son livre des Offices ecclésias-
tiques, 342, 343. Doctrine de Jouas, évêque
d'Orléans, sur le baptême, dans son Institu.
tion des laïques, 389. Article d'une instruc-
tion du pape Léon IV, 408. Doctrine de Wa-
lafrid Strabon, 414. Doctrine de Rhaban,
archevêque de Mayence, dans son livre de
l'Univers ou l'Universel, 448 ; et dans son
livi-e de l'Instittution des clercs, 434. Article
concernant le baptême dans une instruction
pastorale de Raoul, archevêque de Bourges,
554. Réponse du pape saint Nicolas aux
Bulgares touchant le baptême, 582, 383,
S84. Statut d'Isaac de Langres sur le bap-
tême, 639. Décision de Jean VIII concernant
le baptême, 646. Instruction d'Hincmar de
Reims sur l'administration du baptême, 686.
Témoignage d'Alton, évêque de Verceil, sur
le baptême, 821. Le quatrième concile de
Tolède ordonne de conférer le baptême par
une seule immersion, 916. Canon d'un con-
cile de Méiida sur le baptême, 937. Canons
du concile Quinisexte, 962 et 964. [Réponse
de Pholius à quelques points relatifs au bap-
tême, 978, 979.] — Doctrine de saint Ful-
bert de Chartres sur le baptême, XIII, 79.
Doctrine de Gérard, évêque de Cambrai, 160,
161. Ordonnance du pape Nicolas II sur le
baptême, 247. Témoignage d'un anonyme
sur la fin du xi° siècle, 492. Canon d'un con-
cile de Complègne, 615. Règlement d'un
132
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
concile de Mayence, 644. Canon d'un con-
cile de Gelchyte, 654. Règlement du sixième
concile de Paris, 663. Canon d'un concile de
Meaux, 674. Canon d'un concile de Rouen,
727. — Doctrine de saint Anselme, XIV, 16.
Discours d'Yves de Chartres surlelîaptême,
122. Traité de Geoffroi de Vendôme sur le
Baptême, la Confirmation, etc., 168. Doctrine
de saint Otton, évêque de Bamberg, 179.
[D'après le pape Innocent II, l'omission du
baptême ne nuit pas à celui qui croit avoir
été baptisé s'il a persévéré dans la foi de
l'Église et dans la confession du saint nom
de Jésus-Christ, 267. Les prêtres, après avoir
oint la tête du baptisé, la recouvraient d'une
mitre, 296. Destinée des enfants morts sans
baptême, 301.] Actes d'un concile de Lon-
dres sur le baptême, 330. Doctrine d'Abé-
lard sur ce sacrement, 357. Doctrine de Ro-
bert Pullus, 394, 393, 396. Baptême au nom
de Dieu et de la vraie et sainte Croix ap-
prouvé par saint Bernard, 438, 459. Traité
de saint Bernard sur le baptême, 479. Dis-
cours du même, 484. Témoignage du même,
488. Doctrine de Pierre Lombard, 562, 363.
Réfutation des héréliques qui voulaient
qu'on ne donnât pas le baptême aux enfants,
609. [Du très-excellent Baptême de Jésus-
Christ, ouvrage de Richard, prieur de Saint-
Victor, 704. Solution d'un cas touchant la
validité du baptême des enfants que l'on
plonge dans l'eau en disant au nom du Père,
du Fils et du Saint-Esprit, sans exprimer
l'action par ces paroles sacramentelles : Je
te baptise, 878. Celui qui baptise un enfant
contracte avec la mère une affinité spiri-
tuelle qui lui interdit le droit de l'épouser ou
celui d'exiger d'elle le devoir conjugal si le
ministre et la mère étaient mariés, 878,
879.] Doctrine du pape Innocent III sur le
baptême, 976. [Ce pape prescrit de faire
donner le baptême et les ordres à un hom-
me qui avait reçu les ordres sans être bap-
tisé, 802. Il veut qu'on donne le baptême
aux Juifs, et aux Sarrasins qui le deman-
dent, 1023.] Canon d'un concile de Londres
sur le baptême, 1146. Opuscule du pape In-
nocent III, 1017. Doctrine de Guillaume
d'Auvergne. Voyez Rebaptisation et les arti-
cles qui vont suivre.
BAPTÊME DES HÉRÉTIQUES. Baptême
négligé et altéré par les Marcosiens, I, 500.
— Lettre de saint Cyprien sur le baptême
des hérétiques, II, 327 et suiv. Lettre à Ma-
gnus, 327 et suiv.; aux évêques deNumidie
et à Quintus de Mauritanie, 329 ; au pape
saint Etienne, 329 et suiv.; à Jubaïen, 332
et suiv.; à Pompée, 334, 335. Lettre de Fir-
milien à saint Cyprien sur le captême des
hérétiques, 335 et suiv. Erreur de saint Cy-
prien sur le baptême des hérétiques, 381.
Saint Denis d'Alexandrie écrit au pape saint
Etienne sur la question du baptême des hé-
riques,406, 407. Autre lettre du même au
pape saint Sixte, 407. Baptême des Nova-
tiens, 322 et 427, n. 5. Des Paulianistes,
332. Lettres du pape saint Etienne à saint
Cyprien et à saint Denis d'Alexandrie, au
sujet du baptême des hérétiques, 422, 423.
Lettre de Firmilien, évêque de Césarée, sur
le même sujet, 433, 436. Lettre de saint De-
nis de Rome à saint Denis d'Alexandrie sur
le baptême, 448. Conciles tenus au sujet du
baptême des hérétiques, 544 et suiv. Con-
cile de Carthage sous Agrippin, 544, 545.
Conciles d'Icône, de Synnades et d'autres
lieux, 543, 546. Concile de Carthage ; pre-
mier de saint Cyprien, 546. Concile de Car-
thage ; second de saint Cyprien, 547 et suiv.
Concile de Carthage ; troisième de saint Cy-
prien, 549 et suiv. Actes de ce concile, 350
et suiv. Paul de Samosate, accusé de chan-
ger la forme du baptême, 567. Canon hui-
tième du premier concile d'Arles sur le bap-
tême des hérétiques, 631. Est-ce dans le
concile d'Arles que la question du baptême
des hérétiques a été décidée? 632 et suiv,
— Canon huitième du Concile de Laodicée,
III, 512, 313. — Doctrine de saint Athanase,
IV, 214, 215 ; de saint Basile, 459 et 468,
469. — De saint Cyrille de Jérusalem, V,
74 ; de saint Optât, 134 ; de saint Pacien,
170. — Canon troisième dans la lettre du
pape saint Innocent à saint Alexandre d'An-
tioche, VII, 316. Doctrine de saint Jérôme,
671. — Lettre de saint Augustin à Crispin
sur le baptême des Maximianistes, IX, 82,
83. — Erreurs des Manichéens sur le bap-
tême réfutées au concile d'Arras, XIII, 160,
161. — Lettre de Gauthier de Mortagne sur
le baptême conféré aux enfants par des hé-
rétiques, XIV, 639.
BAPTÊME DES MORTS ou pour les morts.
Baptême donné aux morts, I, 338. — Ce que
c'est que le baptême pour les morts selon
saint Isidore de Péluse, VIII, 484. — Doit-
on baptiser les morts qu'une mort préci-
pitée a empêchés d'être baptisés? XI, 37.
Réponse de saint Fulgence , 38. — Dis-
sertation sur le sentiment d'Abélard tou-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
133
755.
458.
«3.
345.
346.
chant le baptême pour les morts, XIV, 34 1 .
BAPTISTÈRE d'Alexandrie, IV, 216. —
Témoignage de saint Paulin sur les baptis-
tères, VIII, 91. — Témoignage de saint Ger-
main de Paris, XI, 311. Baptistère du mo-
nastère de Saint-André à Rome, 493. [Té-
moignage des évêques de Syrie, 822. ] —
Canon du dix-septième concile de Tolède
qui ordonne de tenir le baptistère de l'église
fermé depuis le commencement du carême
jusqu'au jeudi saint, XII, 966. — Suivant un
canon du concile de Verneuil, il ne devait y
avoir de baptistère public que dans les pa-
roisses où l'évêque l'aurait ordonné, XIII,
614. Voyez Fonts baptismaux.
BARAC, juge d'Israël, I, 51.
BARADAT (Saint), solitaire, engage Théo-
doret à la paix, X, 21. Théodoret a écrit sa
vie, 63. Lettre qu'il écrit à l'empereur Léon,
381, 382.
BAR-ANANIA, juif qui enseigne l'hébreu
à saint Jérôme, VII, 348.
BARBARES d'Afrique, font une irruption
en Numidie, II, 287. Barbares d'Orient, font
une irruption dans l'Asie, 444. — Constan-
tin contribue à la conversion des barbares,
IV 229. — Discours de saint Jean Chrysos-
tôme sur les barbares convertis à la foi, VII,
342. — Discours contre les barbares, ou-
vrage attribué à saint Nil, solitaire de Sinaï,
VIII, 213. — Sermon attribué faussement à
saint Augustin sur le déluge et la persécu-
tion des barbares, IX, 284.
BARBARICINS, peuples de Sardaigne.
Leur conversion, XI, 436 et 497.
BARBARIE, dame de Naples à la prière
de laquelle le corps de saint Séverin est
transféré au château de Lucullane, XI, 83.
[BARBARIE, sermon de saint Augustin
sur les temps de barbarie, IX, 842.]
BARBASCÈME ou BARBASYME (Saint),
évêque de Séleucie et de Ctésiphon. Ana-
lyse des Actes de son martyre rapportés par
àssémani, III, 333.
BARBATIEN, moine de Milan, apostat, IV,
630, et V, 501.
BARBATIEN (Saint), prêtre et confesseur.
Discours de saint Pierre Damien pour le
jour de sa fêle, XIII, 309.
BARBE. Ancien usage de tondre la barbe
par cérémonie de religion pratiqué par saint
Paulin, Vm, 93. — Saint Colomban obli-
geait les diacres à faire raser leur barbe,
XI, 497 et 620. — L'usage où étaient les
prêtres de l'Église romaine de se raser la
barbe justifié par Rati-amue, XII, 566 ; par
Énée, évêque de Paris, 601. — Canon d'un
concile de Girone qui défend aux clercs de
nourrir leur barbe, XIII, 533.
BARBE (Sainte). Homélie en son honneur
attribuée à saint Jean Damascène, XII, 87.
BARBE-D'OR, Doyen de l'Église de Paris. ■
Lettre que lui écrit Hugues, archevêque de ii60.
Sens, sur la mort de l'évêque Pierre Lom-
bard, XIV, 549.
[BARBULIUS (Démétrius). Son édition des
œuvres de Salvien, X, 378.]
BARCELONE, ville d'Espagne. Saint Pa-
cien, évêque de cette ville, V, 156 et suiv.
— Saint Paulin y est fait prêtre, Vlil, 30. —
Concile tenu en cette ville, XI, 839. Autre,
907, 908. — Autres, XIV, 1035, 1059 et
1064. Confirmation des donations faites à
l'Église de cette ville, 1035. Cette ville est
donnée par le comte de Tarragone Ray-
mond III à l'évêque Aldégaire et à ses suc-
cesseurs ; cette donation confirmée par le
pape Gélase II, 1091.
I3AR-CÉPHA (Moïse), évêque syrien.
Voyez Moïse Bar-Cépha.
B ARCOS (Martin de), abbé de Saint-Cyran.
Sa censure du Prœdestinatus, X, 334.
BARDARE (Philippique), empereur d'O-
rient. Voyez Philippique.
BARDAS, frère de l'impératrice Théodora,
excomnyinié par le patriarche saint Ignace, 859
pour ses débauches, le fait exiler, puis dé-
poser, XII, 369. Il devient suspect à l'empe-
reur Michel qui le fait mourir, 574 et 720,
723. Lettre que le pape saint Nicolas pre- ses.
mier lui adressait, 369. Ce fut par ses intri-
gues que Photius fut placé sur le siège de
Constantinople, 720. Lettres de Photius à Bar-
das, 724. — Bardas fait chasser le patriarche
Ignace qui l'avait excommunié, XIII, 689.
BARDELLE ( ). Sa traduction italienne
des ouvrages de l'historien Josèphe, I, 328.
BARDESANE le Babylonien, hérésiarque, il siècle.
I, 465 et suiv. Son origine et ses études ;
son zèle pour la religion catholique ; il em-
brasse les erreurs des Valentiniens, 465.
Son fils Harmonius le suit dans ses erreurs,
466. Écrits de Bardesane, 466 et 467. Frag-
ment de son livre du Destin, publié par le
docteur Cureton, 466. Son histoire et celle
de sa secte par Frédéric Struntzius, 467. —
Sa doctrine réfutée par Diodore de Tarse,
V, 589. -- [Par saint Ephrem, VI, 432 et
suiv.] — Témoignage de Théodoret sur les
erreurs de Bardesane, X. 72.
134
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
IV siècle.
XII siècle.
X[ siècle.
XI siècle.
354.
IV siècle.
BARDESANISTES, disciples de Bardesa-
ne. Ce que saint Épiphane dit de cette secte,
VI, 396.
BAROEWICH, aujourd'hui VERDEN, en
Saxe. Ancienneté que la Chronique de Saxe
donne à cette ville et à son Eglise, XIII,
183.
[BARDJN ou BANDIN et BAUDIN. Sa
Somme Ihe'ologique, XIV, 549, el n. 7.]
[BARDON, archevêque de Mayence. Be-
noît IX lui accorde des privilèges, XIII, 193.]
BARDUS, pénitencier de saint Anselme
évêque de Lucques, écrit sa vie, XIII, 392.
[BARGINI. Sa traduction italienne des
livres moraux et catholiques de Tertullien,
II, 87.]
BARHADBESCIABÉ (Saint), diacre, mar-
tyr en Perse. Ses Actes rapportés par Assé-
mani, III, 334.
BARI, ville d'Italie. Concile qui y fut tenu
par le pape Urbain II. XIII, 437.
BARLAAM ( Saint), martyr d'Antioche.
Actes de son martyre, 77, 78. — Homélie
attribuée à saint Basile le Grand sur saint
Barlaam, IV, 388. — Panégyrique de saint
Barlaam par saint Jean Ghrysostôme, VII,
92.
BARLAAM, ermite. Son Histoire attribuée
à saint Jean Damascène, XII, 87. [Cette Vie
est véritable, 87, n. 50.J
BARNABE (Saint), apôtre des gentils.
Épltre qui lui est attribuée, I, 281 et suiv.
Analyse de cette épitre, 283 et suiv. [Notes
relatives à cette épître, 288, n. 1 et 6, et
283,n,2, 3,5, 7, 8.] Éditions de cet ouvrage,
285 ; [autres éditions de cette épître, 285,
n. 3.] On a attribué à saint Barnabe l'Épître
aux Hébreux, 237. Faux évangiles et faux
actes sous le nom de saint Barnabe, 273 et
278. — Tertullien lui attribue l'Épître de
saint Paul aux Hébreux, II, 69. Origène cite
son épître comme Tune des Épîtres cathoH-
ques,208. — Saint Philastre observe qu'onlui
attribuait l'Épître aux Hébreux, V, 174. —
Saint Jérôme parle avantageusement de l'é-
pitre de saint Barnabe, VII, 635. — Témoi-
gnage de Théodore, lecteur, sur l'invention
des reliques de saint Barnabe, XI, 105. —
Discours d'Alexandre, moine de Chypre, en
l'honneur de cet apôtre, et sur l'invention
de ses rehques, XIV, 657. Sermon de Guil-
laume d'Auvergne sur la fête de ce saint
apôtre, 1027.
BARNARD (Saint), archevêque de Vienne.
Voyez Saint Bernard de Vienne.
BARONIUS (César), cardinal. Réflexion
qu'il fait au sujet de la conduite du pape
saint Léon à l'égard de saint Hilaire d'Ar-
les, VIII, 438.
BARRE (René de la). Son édition des
œuvres de TertulUen, II, 85 ; et d'Arnobe,
493.
BARE (Laurent de la). Son édition du
commentaire d'Arnobe le Jeune sur les
Psaumes, X, 332; — et du Martyrologe d'U-
suard, XII, 612.
BARSABIAS (Saint), martyr avec quel-
ques autres. Actes de leur martyre publiés
par Assémani, III, 331.
[BARSANUPHE (Saint), anachorète. Sa
vie ; son traité contre les moines tombés
dans l'origénisme ; sa doctrine sur les opi-
nions d'Origène, d'Evagre et de Didyme,
XI, 175.]
BARSANUSSITES ou SÉMIDALITES, hé-
rétiques dont parle saint Jean Damascène,
XII, 69.
BARSAUMA, évêque de Nisibe. Lettre à
son sujet, X, 644.
BARSUMAS, disciple de Théodore de
Mopsueste, VIII, 19.
BARSUMAS, abbé, se trouve au faux con-
cile d'Éphèse au nom de tous les archiman-
drites d'Orient, X, 675. Il consent au réta-
blissement d'Eutychès, 678. Il concourt à la
déposition de Flavien et d'Eusèbe, 679. Re-
quête qu'il présente au concile de Chalcé-
doine conjointement avec d'autres abbés et
moines, 690.
BARTHÉLEMI (Saint), apôtre. Évangile
attribué à saint Barthélemi ; parole citée
sous son nom, I, 273. — Sur quels fonde-
ments quelques-uns lui attribuent un livre
de la théologie mystique, X, 531. — Son
panégyrique par saint Théodore Studite,
XII, 309, 310. Traduction de ce discours en
latin par Anastase, le bibhothécaire, 715. —
Discours de Pierre Damien en l'honneur de
saint Barthélemi, XIII, 309. — Sermon de
Guillaume d'Auvergne pour la fête de ce
saint apôtre, XIV, 1027.
[BARTHÉLEMI (Saint). Église de Liège;
charte en sa faveur par Vazon, XIII, 141.]
BARTHÉLEMI, moine d'Édesse. Son traité
contre les Mahométans ; [autre traité sur la
même matière, XII, 103.]
BARTHÉLEMI, archevêque de Narbonne.
Lettre que lui écrit Agobard, archevêque
de Lyon, XII, 371.
BARTHÉLEMI, abbé de Grotta-Ferrata,
Vrilsièc
IX siècl
1048.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
133
détermine le pape Benoît IX à renoncer
pour toujours au Saint-Siège, XIII, 199.
[BARTHÉLEMI, archevêque de Tours.
Lettre que lui écrit Hugues II, évéque de
Nevers, XIII, 239.]
BARTHÉLEMI, abbé de Marmoutiers, suc-
cède à Albert ; il est chargé par Raoul, ar-
chevêque de Tours, de déchiffrer une lettre
du pape saint Grégoire VII; sa mort, XIII,
346. Sa lettre à Arnaud, évêque du Mans,
au sujet du monastère de Vivoin, soumis à
Marmoutiers, 346 et 347. Autres unions faites
de son temps à Marmoutieis, 347. (Voyez ce
qui est dit de lui dans l'Histoire littéraire de
la France, t. VIII, p. 134 et suiv.
BARTHÉLEMI, évêque de Laon, succède
à Hugues, XIV, 193. (Il se retire au monas-
tère de Foigni, où il se fait moine. On a de
lui une lettre apologétique dans les conciles.
Voyez son article dans l'Histoire littéraire de
la France, t. XII, p. 524 et suiv.)
BARTHÉLEMI, évêque d'Oxford. (Il a
laissé un Pénitentiel manuscrit. Voyez Du
Pin.)
BARTHÉLEMI, évêque de Paris. Sa mort,
XIV, 1029.
BARTHIUS (Gaspard), savant d'Allema-
gne. Ses notes sur le livre d'Hermas, 1, 338.
— Son édition du traité de saint Phébade
contre les Ariens, V, 377. — Ses notes sur
le poëme eucharistique d'un Paulin diffé-
rent de saint Paulin, évêque de Noie, VIII,
100. — Ses notes sur le traité de Mammert
Claudien, de la nature de l'âme, X, 333. Sa
traduction latine du dialogue d'Enée de
Gaze sur la nature de l'âme et sur la résur-
rection des corps, 492. — Ses notes sur le
Dialogue de la création du monde et sur le
traité contre les Manichéens, ouvrages de
Zacbarie de Mitylène, XI, 270. — [Son ju-
gement sur Alain de Lille, XIV, 873, 876.]
BARUGH, prophète. Histoire de sa vie, I,
164, 163. Sa naissance illustre ; il s'attache
à Jérémie ; il a part aux persécutions de ce
prophète, 164. Revient à Jérusalem, 164 et
163. [11 a écrit après la l'uine de Jérusalem
et du temple, 164^ n. 11 .] Il écrit son livre à
Babylone, la quatrième année du règne de
Sédécias ; réponse à l'objection contre ce
sentiment; l'original hébreu de ce livre est
perdu ; canonicité de cehvre, 163. Pourquoi
il est attribué quelquefois à Jérémie ; ana-
lyse et division de ce livre, 166. Lettre que
les Syriens attribuent à Baruch, 167. — [Le
livre de Baruch admis comme canonique
par Didyme l'Aveugle, V, 628.] — Saint Jé-
rôme n'a point traduit ce livre, VII, 633. —
Commentaire de Théodoret sur la prophétie
de Baruch, X, 39.
BARULAS (Saint), enfant, martyr de Pa-
lestine, III, 5.
BASILE (Saint), évêque d'Amasée, assiste
aux conciles d'Ancyre, II, 633 ; et de Néo-
césarée, 640. — Son martyre ; saint Astère
fait son éloge, VI, 308.
BASILE (Saint), prêtre d'Ancyre. Actes
de son martyre, III, 403 et suiv.
BASILE, évêque d'Ancyre, défenseur des
Ariens. II avait été médecin; les Eusébiens
le font évêque d'Ancyre; il est excommunié
par le concile de Sardique et rétabli par
l'ordre de Constance, IV, 320. Il assiste au
concile de Sirmium contre Photin, 320 et
321. Il favorise l'instruction de l'antipape
Félix ; il était un des chefs des Semi-Ariens,
321. Il assemble un concile à Ancyre contre
les Anoméens ou purs Ariens, 321 et 350.
11 est député vers Constance, 322 et 351. Il
souscrit au nouveau formulaire de Sirmium,
321 et 552. Sa confession de foi, 533. Il fait
avec ceux de son parti une confession de
foi ; il assiste au concile de Séleucie, 321 et
322. Il est déposé par un concile de
Constantinople, 322 et 377. Il adresse
une requête à l'empereur Jovien, 377. Ses
écrits ; il ne reste de lui que son exposition
de foi, 322. — Il fut mis à la place de Mar-
cel, déposé par les Eusébiens, III, 458.
BASILE, père de saint Basile le Grand,
IV, 349, est enterré dans l'église des Qua-
ranle-Martyrs, 352.
BASILE (Saint), archevêque de Césarée
en Cappadoce, confesseur, docteur de l'É-
glise, IV, 349 et suiv. Sa naissance, 349. Sa
patrie, son éducation, ses progrès dans les
sciences; il va à Constantinople et à Athè-
nes, 349, 350. Il quitte Athènes; est baptisé;
fait divers voyages ; est fait lecteur, 330. Il
va à Constantinople ; il est ordonné prêtre ;
division entre saint Basile et Eusèbe son
évêque, 333. Il se retire dans le Pont, 332,
333. Il assiste les pauvres dans une famine;
mort de sa mère ; saint Basile va à Samo-
sate; est élu archevêque, 333. Sa conduite
pendant son épiscopat, 334. Il travaille pour
la paix des églises ; est prié de s'opposer à
la division de la Cappadoce ; combat pour la
vérité, 355. II résiste à Modeste, préfet du
Prétoire, 336. Reçoit Valens dans l'Église,
356 et 357. Protection de Dieu sur saint Ba-
ses.
IV siècle.
336.
347.
351.
355.
358.
359.
360.
363.
329.
355 ou 356.
357.
358.
359 et 362.
364.
364 ou 365.
367 ou 368.
360.
370.
370 et 371.
372.
371.
371 et 372.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
136
sile, 357. Saint Basile est persécuté au sujet
d'une Dame, 358. Différent de saint Basile
sra. avec Anthime au sujet des églises de Cap-
padoce, 360. Voyage de saint Basile en Ar-
ménie et à Samosate, 359, 360. Saint Basile
373. se plaint de l'ordination illégitime de Fauste ;
fait un second voyage en Aménie, 360. Ses
374. difficultés avec Eustatlie, 360 et 361. 11
tombe malade ; va à Nazianze ; tombe ma-
376. îade, 361. Va en Pisidie et dans le Pont,
362, 363. Les amis de saint Basile persécu-
376. tés ; saint Basile désapprouve la députation
376. aux Occidentaux ; il écrit publiquement con-
377. tre Eustatbe ; il ne peut venir au concile de
378j Lycaonie, 363. Dernières actions de saint
379. Basile, 363 et 364. Sa mort ; estime qu'on
fait de saint Basile, 364. Catalogue de ses
écrits : ses Homélies sur l'Hexaemeron ; es
lime qu'on en a faite, 365. Elles sont au
nombre de neuf ; saint Basile les a compo-
sées étant encore prêtre ; sa méthode dans
l'explication de rÉcriture sainte ; ses homé-
lies sur l'Hexaemeron traduites en latin,
366. Analyse des homélies première, deu-
xième, troisième, 367, 368. Analyse des ho-
mélies quatrième, cinquième et sixième,
368. Analyse des homélies septième, hui-
tième et neuvième, 369. Homélies sur
l'Hexaemeron faussement attribuées à saint
Basile, 369, 370. Homélies sur les Psaumes.
Saint Basile a expliqué les Psaumes étant
prêtre; il ne les a pas expliqués selon leur
ordre, 370. Il ne nous reste de lui que treize
homélies sur les Psaumes, 370 et 371. Elles
ont été prêchées au peuple, 371. Prologue
sur les Psaumes, 371 et 372. Les anciens ont
connu ces homélies ; en combien de maniè-
res expliquent-elles les Psaumes ; saint Ba-
sile n'a pas copié le commentaire de Théo-
dore d'Héi-aclée, 372. Remarques sur les
homélies de saint Basile, 372 et 373. Com-
mentaire sur Isaïe ; difficultés sur l'auteur
de ce commentaire, 373. Réponse à ces dif-
ficultés ; preuves que ce commentaire est de
saint Basile, 373, 374. Suite des réponses
aux objetions, 374. Ce qu'il y a de remar-
quable dans ce commentaire, 374 et suiv.
Homélies de saint Basile sur divers sujets,
376 et suiv. Première homélie sur le Jeûne,
376, 377. Deuxième homélie sur le jeûne,
377. Troisième homélie sur ces paroles :
Veillez sur vous-mêmes, 378. Quatrième ho-
méhe de l'Action de grâces, 378, 379. Cin-
quième homélie sur sainte Julitte, martyre,
379, 380. Sixième homélie contre l'Avarice,
380, 381. Septième homélie contre les Ri-
ches, 381, 382. Huitième homélie sur la Fa-
mine et la Sécheresse en 368, 382. Neuvième
homélie. Que Dieu n'est pas auteur du mal,
383. Dixième homélie contre Ceux qui sont
sujets à la colère, 383, 384. Onzième homé-
lie sur l'Envie, 384. Douzième homélie sur
le commencement des Proverbes, 384. Trei-
zième homélie sur le Baptême, 384 et suiv.
Quatorzième homélie sur les Ivrognes, 386.
Quinzième homéhe sur la Foi, 387. Seizième
homélie sur ces paroles de saint Jean : Au
commencement était le Verbe , 387 , 388,'
Dix-septième homélie snr Balaam ; dix-hui-
tième homélie sur saintGordie; dix-neuvième
homélie sur les Quarante Martyrs, 388.
Vingtième homélie sur l'Humihté, 389. Ins-
truction pour les Jeunes gens ; vingt-troisième
homélie sur saint Mamas , martyr , 390.
Vingt-quatrième homélie sur les Sabellieus,
390 et suiv. Homélies de saint Basile qui
sont perdues, 392. [Deux ont été retrouvées
et publiées par Mai ; on a aussi publié un
Discours aux prêtres ; un discours sur les
Femmes qui logeaient avec les prêtres, 392.]
Ascétiques de saint Basile ; ce qu'on entend
sous ce nom, 392. A quelles occasions saint
Basile les a composés ; estime qu'on en a
faite, 392 et 394. Analyse du premier dis-
cours, 393 et 394. Analyse du deuxième,
394. Analyse du troisième, 394 et 395. Trai-
tés du Jugement de Dieu et de la Foi; ordre
différent des deux traités dans les différentes
éditions ; le dernier est perdu, 395. Le traité
du Jugement de Dieu et la lettre de la Foi
sont de saint Basile, 395 et 396. Analyse du
traité du Jugement de Dieu, 396, 397. Ana-
lyse de la lettre touchant la Foi, 397. Morales
de saint Basile écrites en 361 ; à quelle oc-
casion ; ce que sont les Morales ; la division
de cet ouvrage ; ce qu'il contient, 397. Les
deux discours ascétiques paraissent être de
saint Basile, 398. Analyse du premier, 398
et 399. Analyse du deuxième, 399. Les
grandes et les petites Règles de saint Basile,
399 et suiv. Préface des grandes Règles ; ce
que c'est que les grandes Règles, 399, 300.
Saint Basile les compose dans sa retraite ;
Rufin les traduisit ; difficultés sur ces Règles,
399, Réponse à ces difficultés, 401, 402. Ce
qu'il y a de remarquable dans les grandes
Règles, 402 et suiv. Ce qu'il y a de remar-
quable dans les petites règles, 404 et suiv.
Preuves que les grandes et les petites Règles
sont d'un même auteur ; Constitutions mo-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
137
nastiques ; ce que c'est que les Constitutions
monastiques, 406. Elles ne sont pas de saint
Basile, ni d'Eustathe de Sébaste, 406 et suiv.
Ce qu'il y a de remarquable dans ces Cons-
titutions, 408. Les règlements pour la puni-
tion des fautes ne sont pas de saint Basile,
408 et 409. Livres de saint Basile contre Eu-
nomius ; qu'était Eunomius, 409, 410. Ses
écrits et ses erreurs ; les anciens ont cité les
livres de saint Basile contre Eunomius ; en
quel temps ils ont été composés, 410. A
quelle occasion, 410, 411. Analyse du pre-
mier livre contre Eunomius, 411. Réfutation
des principes d'Eunomius, 411 et suiv. Ana-
lyse du deuxième livre contre Eunomius,
413. Faux raisonnement d'Eunomius réfuté,
413 et suiv. Analyse du troisième livre, 415,
416. Réponse à l'objection d'Eunomius, 416.
Difficultés sur le quatrième et le cinquième
livre contre Eunomius, 416, 417. Analyse
du quatrième livre, 417, 418. Analyse du
cinquième livre, 418. Livre du Saint-Esprit;
le livre du Saint-Esprit est de saint Basile,
419. A quelle occasion et en quel temps ce
livre a été écrit, 419 et 420. Analyse de ce
livre, 420 et suiv. Approbation du livre du
Saint-Esprit, 424. Lettres de saint Basile
avant son épiscopat, depuis l'an 337 jus-
qu'en 370 ; lettre de saint Basile au philoso-
phe Eustathe en 357, 424 ; à saint Grégoire
de Nazianze en 338, 424 et 425 ; à Candi-
dien vers 338, 423, 426 ;' à Olympien vers
338; à Nectaire et à sa femme, 426; à saint
Grégoire de Nazianze vers 338 ; 426 et 427.
Lettres de saint Basile à ses religieux en
360, 427, 428; au philosophe Maxime vers
l'an 361, 428, 429; à une veuve, à un de
ses amis, vers l'an 361 ; à Olympius vers
l'an 361 ; au même vers le même temps ; à
saint Grégoire de Nazianze vers l'an 363 ;
429 ; à Arcade, trésorier des revenus parti-
culiers des princes, vers 363, 429 et 430.
Lettre contre Eunomius vers 363 ; à Origène
vers 363 ; à Macaire et Jean vers 363 ; à
saint Grégoire de Nazianze vers 364 ; à
Léontius, sophiste, en 364 ; au même Léon-
tius vers le même temps, 430. Lettre tou-
chant la perfection de la vie monastique
avant l'an 366, 431. [Elle est authentique,
430, n. 1.] Lettre à un moine vers l'an 366;
à Athanase, père d'Athanase évêque d'An-
cyre, vers l'an 366, 431 ; à Athanase d'An-
cyre vers l'an 369, 431 et 432. Lettre à Cé-
saire en 368 ; à saint Eusèbe de Samosate
on 368 ; à l'église de Néocésarée sur la mort
de Musonius en 368, 432 ; à sainte Eusèbe
de Samosate sur le même sujet en 369, 432
et 433 ; au préfet Sophrone et à Aburgius
en 369, 433; à saint Eusèbe de Samosate en
369 ou 370, 433 et 434. Lettre pour Léonce
et pour un curé de village 370; lettre à saint
Grégoire de Nysse vers 370, 434. Lettre de
Julien l'Apostat à saint Basile, 434, 435 et
436. Lettre de saint Basile à Julien l'Apos-
tat; lettre à Chilon; exhortation à déjeunes
solitaires ; lettres à un moine qui avait quitté
sa profession ; à un autre moine qui était
tombé dans le crime d'impureté, 436 ; h
une vierge qui avait commis un crime d'im-
pureté, 437. Lettres de saint Basile depuis
son épiscopat; lettre de saint Grégoire de
Nazianze touchant l'élection de saint Basile
en 370, 437. Lettres de saint Basile à saint
Eusèbe vers 371, 437; à Arcadius, 437 et
438; à Bosphore vers 371 ; à des chanoines-
ses vers 371, 438; aux chorévêques vers
361 ; autre lettre aux chorévêques vers 371;
lettre à Parégoire, prêtre, vers 371, 439 ; à
Peryame vers le même temps; lettre à saint
Mélèce, 439 et 440 ; à saint Grégoire de
Nysse en 371 ; à saint Grégoire, son oncle,'
en 372 ; à saint Athanase vers 372 ; à l'Église
de Parnasse, 440; au principal de Néocésa-
rée, à Hésychius, à Artabius, à saint Atha-
nase en 371, 440 et 441 ; à saint Mélèce et à
saint Athanase en 371, 441; au pape Dama-
se en 371, 441 et 442 ; à saint Grégoire de
Nazianze en 371, 442, 443; à Hésychius, à
Callisthène, à Martinien en 371, 443 ; à So-
phrone, intendant du palais, pour Théra-
sius et pour Helpidius en 371, 443 et 444; à
Eustathe de Sébaste en 371 ; à saint Atha-
nase en 372; à Innocent, 444; à saint Atha-
nase et à divers officiers de la Cappadoce
en 372, 444 et 445 ; à saint Mélèce et aux
Orientaux, 443^ 446 ; à Césarie, touchant la
fréquente communion, 446 et 447 ; à Élie,
gouverneur de la Cappadoce, en 372, 447 ;
à saint Eusèbe de Samosate, à Sophronius,
au sénat de Tyanes, à saint Eusèbe de Sa-
mosate en 372, 448 ; au comte Térence et à
saint Eusèbe de Samosate, 448 et 449. Let-
tre de consolation aux magistrats de Satales;
deuxième lettre au peuple de Satales ; let-
tres au préfet Modeste en 373, 449 ; aux
filles du comte Térence, à un soldat, 449 et
450. Lettres à Julitte, veuve, et pour elle en
372 ; lettres au préfet Modeste, au duc An-
dronic, 450 ; à l'Église de Tarse en 372 ; à
Simplicie, hérétique; lettre à Firmin en 372
138
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
et réponse de Firmin ; letlre de saint Basile
à Eustatbe en 372, 451 ; à saint Mélèce en
374; la lettre cent vingt-cinquième est la
profession de foi que saint Basile propose à
Eustathe, 452. Lettres de saint Basile à Alar-
hius et à saint Eusèbe de Samosate en 373,
452, 453; à saint Mèlèce en 373 ; à Théo-
dote et à Olympius, touchant Eustathe, 453 ;
à Diodore d'Antioclie en 373, 454; à saint
Eusèbe de Samosate en 373 ; aux Alexan-
drins et à l'Église d'Antioche, 454 et 435.
Lettres à diverses personnes en 373 ; à saint
Amphiloque,435; à saint Aschole en 373; à
Evagre en 373 ; à. Eupater et à Diodore,
456 ; à saint Amphiloque ; lettres touchant
l'affaire de Glycérius, 457. Lettres à Sophro-
ne, à une veuve, à Théodoret, à Magninien,
437 et 458 ; à Otrée de Mélitine, aux prê-
tres et aux magistrats de Samosate et à
Eustathe, 458. Première lettre canonique de
saint Basile à Amphiloque en 374, 438 et
suiv. Lettres à Eustathe, médecin, en 374
ou 375, 462, 463; à saint Amphiloque en
374, 463, 464; à saint Ambroise, évêque de
Milan, en 373, 464 ; à saint Eusèbe de Sa-
mosate, 465. Lettre à saint Amphiloque, qui
est la seconde canonique, 465 et suiv. Let-
tres aux évèques des villes maritimes et à
ceux de Néocésarée en 375, 469. Troisième
lettre canonique à saint Amphiloque, 472 et
suiv. Lettres au clergé de Samosate, à ceux
de Bérée, à ceux de Chalcis, 473, 476 ; à
Démosthène en 375, 476. Lettres touchant
la translation d'Euphronius de l'Église de
Colonie à celle de Nicople, 477. Lettres à
saint Amphiloque, 478; aux Occidentaux,
479 ; aux Évésiens, 480 et 482 ; aux moines
persécutés en 376 ; à saint Épiphane vers
377, 481 . Lettres à Optime en 377, 482, 483 ;
aux Sozopolitains et à Urbicius, 483 ; aux
Occidentaux, aux confesseurs et à Pierre,
483 et 484 ; à un chorévêque, touchant un
rapt, 484 ; à Hamatius et à Maxime, vers
378, 485. Autres lettres de saint Basile pen-
dant son épiscopal;, 486 et 487. Lettres de
saint Basile dont l'époque n'est point con-
nue ; pourquoi on n'a pas donné d'analyse
de plusieurs lettres de saint Basile, 481.
Lettres à Festus, à Magnus, à des moines et
à des scribes, 487 et 488. Lettres fausse-
ment attribuées à saint Basile, 488, 489.
Ouvrages faussement attribués à saint Ba-
sile ; homélies sur le Saint-Esprit; contre la
Colère, 489 ; sur la Naissance de Jésus-Christ,
489 et 490; sur la Pénitence; homélies con-
tre Ceux qui accusaient les catholiques d'a-
dorer trois dieux ; discours sur le Libre ar-
bitre ; homélie sur ces paroles : Ne vous lais-
sez pas aller au sommeil; homélie sur le
Jeûne. Discours ascétiques, 490. Les deux
livres du Baptême, 489, 490, et 491. Litur-
gies attribuées à saint Basile, 492, 493. Dis-
cours de Consolation et quelques autres,
493. Discours de saint Basile traduits par
Rufin, 490 et 494. Vingt-quatre discours
composés par Métaphraste de divers endroits
de saint Basile, 494. Livre de la Virginité à
Létoius, évêque de Mélitine , 494 et 493.
Autres ouvrages attribués faussement à saint
Basile ; ouvrages de saint Basile qui sont
perdus, 495. Philocalie, ouvrage de saint
Basile et de saint Grégoire de Nazianze, 493
et 496. Doctrine de saint Basile sur l'Écri-
ture sainte, 496 et suiv. ; sur la tradition,
500, 501 ; sur les conciles, 501, 302 ; sur la
Trinité, 503 et suiv. ; touchant le Père et le
Fils, 504, 505; touchant le Saint-Esprit, 503
et suiv.; sur le péché originel, 309, 310;
sur l'incarnation de Jésus-Christ, 510 et
suiv. ; sur la grâce, sur le libre arbitre de
l'homme, sur le mérite, sur la possibilité
d'observer les commandements de Dieu et
sur les bonnes œuvres, 512 , 313 ; sur la
sainte Vierge et saint Joseph, sur les anges
et les démons, 514; sur le Baptême, 317 ;
sur la Pénitence, 320 et suiv.; sur l'Eucha-
ristie et le Sacrifice de l'autel, 322 et suiv.;
sur les ministres de l'Église et sur l'ordina-
tion , 524 et suiv. ; sur les charges et immu-
nités du clergé, 528; sur l'Église, 329; sur
la prière, 530 et suiv.; sur le jeûne, 532 ;
sur la continence, 532 et 533; sur le mariage,
333 et suiv.; sur les martyrs, 533, 536 ; sur
l'église romaine [et sur la juridiction uni-
verselle du pape, 336;] sur les moines et
l'état monastique. 536 et suiv. ; sur divers
points de morale, 341, 542; sur l'excommu-
nication, 343, 344 ; sur le schisme et l'héré-
sie, 544. Jugement des écrits de saint Basile,
544 et 543. Catalogue des éditions de saint
Basile, 343 et suiv. [Éditions et traductions
récentes, 547, 548. — Ce que saint Basile
écrit à saint Aschole au sujet de la persécu-
tion de l'Église de Gothie, IV, 436. Les
Ariens veulent le déposer, 604. Son livre du
Saint-Esprit est lu publiquement dans un
concile tenu à Icône par saint Amphiloque,
603. Il justifie saint Mélèce et saint Eusèbe
de Samosate , accusés d'arianisme, 607. —
Saint Eusèbe de Samosate travaille à son
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
i39
éleclion, V, 1,2, 183. Il écrit à saint Basile,
2. Autres lettres à saint Basile, 2 et 3. Au-
tre, 3. Liaison de saint Basile avec saint
Mélèce d'Antioche ; il tâche de le faire ren-
trer dans la communion de saint Athanase,
10. Commencement de sa liaison avec saint
Gr'^goire de Nazianze, 180. Il établit un mo-
nastère dans le Pont ; saint Grégoire de Na-
zianze s'y relire auprès de lui, 181. Il est
ordonné prêtre par Eusèbe de Césarée en
Cappadoce ; division qui s'élève entre lui
et cet évèque ; saint Grégoire de Nazianze
les réconcilie ; saint Grégoire de Nazianze
travaille à le faire choisir pour évèque de
Césarée, 183. Saint Basile fait saint Grégoire
de Nazianze évèque de Sasimes, 183 et 184.
Épigrammes ou épitaphes que saint Gré-
goire de Nazianze compose à sa louange,
184 et 282. Oraison funèbre de saint Basile
par saint Grégoire de Nazianze, 185 et 213,
216. Lettres que lui écrivit saint Grégoire de
Nazianze, 248, 249, 250, 251, 252. Épi-
taphe de saint Basile ; Poëme de saint
Grégoire de Nazianze , 282 , 283. Épi-
gramme de saint Grégoire de Nazianze
en l'honneur de la famille de saint Basile,
300. Liturgie faussement attribuée à saint
Basile, 363. Saint Amphiloque écrit à saint
Basile touchant l'Église d'Isaurie ; réponse
que lui fait saint Basile, 365. Saint Basile
souhaite de voir saint Amphiloque pour le
consulter sur diverses affaires, 363 et 366.
Son livre intitulé du Saint-Esprit est produit
dans le concile tenu par saint Amphiloque ;
Saint Amphiloque envoie des présents à
saint Basile, 366. Vie de saint Basile fausse-
ment attribuée à saint Amphiloque, 370. En
quoi l'Hexaemeron de saint Ambroise difière
de celui de saint Basile, 394. Estime de
saint Basile pour Diodore de Tarse. Ce qu'il
répond aux reproches qu'on lui en fait, 588.
— Saint Basile est visité par saint Ephrem,
VI, 3, 4 et 42. Poèmes et hymnes composés
à sa louange par saint Ephrem, 4. Son éloge
par saint Ephrem, 42. Ce qu'il dit de ses
écrits, 259. Saint Grégoire de Nysse tra-
vaille à réconcilier saint Basile avec Gré-
goire leur oncle, 120. Le traité intitulé de la
Trinité adressé àEiastathe et attribué à saint
Grégoire de Nysse est de saint Basile, 183,
Le traité de la différence des termes de
substance et hypostase, attribué à saint Gré-
goire de Nysse, est de saint Basile, 186. Pa-
négyrique de saint Basile par saint Grégoire
de Nysse , 209. Saint Grégoire de Nysse
donne de grands éloges à saint Basile, 257.
[Trois traités attribués à saint Zenon de Ver-
ceil sont de saint Basile, 274.] — Quelques dis-
cours de saint Basile traduits par Rutin d'A-
quilée, VII, 466. — Sermon dogmatique de
saint Basile attribué faussement à saint Nil,
solitaire de Sinaï, VIII, 211. L'église de Bérée
députe vers saint Basile pour lui demander
quelque consolation ; saint Basile écrit à Aca-
ce et à Paul alors abbés à Bérée, 238. Éloge
de saint Basile par Isidore de Péluse, 481.
Témoignage de Philostorge sur saint Basile,
313. — Saint Basile cité par saint Augustin
contre Julien, IX, 486. [Deux sermons nou-
veaux de saint Basile cités par Victor de
Capoue, XI, 303.] — Discours sur saint Ba-
sile attribué à André de Crète, XII, 57. [Huit
hymnes en l'honneur de saint Basile par saint
Jean Damascène, 89.] Vie de saint Basile at-
tribuée à saint Amphiloque, traduite en latin
par Anastase le bibliothécaire, 714. — Hymne
de Jean Mauropus en l'honneur de saint Ba-
sile, XIII, 229. Discours du même sur saint
Basile, 230. — Lettre du pape Alexandre III
qui est une confirmation de Tinstitut de
l'ordre de saint Basile, XIV, 926. [M. Fialon
(Eugène), professeur de rhétorique au lycée
impérial de Reims, a pubhé en 1866, chez
Auguste Durand, à Paris, une Étude histo-
rique et littéraire sur saint Basile; elle est
suivie de l'Hexaemeron, traduit en français.]
BASILE, religieux, mis auprès de saint
Basile le Grand, le calomnie, IV, 431.
[BASILE, écrivain grec du x^ siècle, ses
Scholies sur les discours de saint Grégoire
de Nazianze, V, 246.
BASILE le Minime, évèque de Césarée au
x" siècle, ses scholies sur trois discours de
saint Grégoire de Nazianze, V, 247.]
BASILE, évèque de Raphanée en Syrie,
ami de saint Jean Chrysostôme, VII, 2, 32
et 33. — Il ne faut pas le confondre avec
Basile de Séleucie, X, 162.
BASILE, prêtre de Capoue, VIH, 63.
BASILE, abbé à Constantinople , mal-
traité par Nestorius, VIII, 369 et 396. Pré-
sente une requête à l'empei-eur et demande
la convocation d'un concile, 370 et 396. Sa
profession de foi, 397.
BASILE, moine catholique de Constanti-
nople, maltraité par Nestorius, sollicite la
convocation d'un concile général, VIII, 260.
BASILE , évèque d'Éphèse après Mem-
non, VIII, 393 et 408. Il fut nommé à
cet évèché par saint Procle ; sa mort , Avant m.
430.
140
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Après 431.
4*8.449.
449.
451.
Avant 460.
444. 408. — Concile qu'il tient à Ephèse, X, 666.
BASILE, archevêque de Séleucie en Isau-
rie, confondu par erreur avec un autre Ba-
sile ami de saint Jean Ghrysostôme ; il pro-
nonce un discours à la louange de sainte
Tliècle ; il devient évêque de Séleucie après
la mort de Dexien, X, 162. 11 assiste à deux
conciles de Constantinople où il combat Eu-
tycbès, 162 et 669. Il se trouve au faux con-
cile d'Éphèse où il tombe dans l'erreur, 163
et 673. Dans celui de Clialcédoine, il se ré-
tracte, 164 et 689. Sa mort; on lui donne le
titre de bienheureux, 164. Ses discours, 164
et suiv. Jugement de ses discours ; sa lettre
à l'empereur Léon, 167. Vie de sainte Tbè-
cle, 167 et 168. Différentes éditions qu'on a
faites des œuvres de Basile de Séleu-
cie, 168 et 169. [Édition dans la Patrologie ;
ses scholies sur saint Grégoire de Nazianze,
169. — Lettre que Théodoret lui écrit, X,
70, 71,72.
BASILE, ami de saint Jean Ghrysostôme,
X, 162.
BASILE, diacre qui porte une lettre de
Julien de Cos à saint Léon, et la réponse de
saint Léon à Julien de Cos, X, 213.
BASILE, prêtre, l'un des légats du pape
saint Léon à Constantinople, X, 219. Ordres
que saint Léon lui donne, 221. Il fut un de
ceux qui assistèrent au concile de Chalcé-
doine, 221 et 681, 682.
BASILE, autre prêtre de Constantinople,
vient à Rome chercher la paix et une doc-
trine assurée, X, 221.
BASILE, élu évêque d'Antiocbe, néglige
d'en informer le pape saint Léon; lettre
que saint Léon lui écrit à ce sujet, X. 223.
BASILE, évêque, chargé de négocier avec
les Visigoths; lettre que lui écrit saint Si-
doine Apollinaire pour lui recommander les
intérêts de la foi, X, 391.
BASILE, sénateur romain, convaincu de
magie et puni, X, 648.
BASILE, préfet du prétoire ; son statut
qui défend d'élire l'évêque de Rome sans le
consentement du roi d'Italie, infirmé par un
502. concile de Rome, X, 728 et 729.
V. 520. BASILE de Cilicie, selon Photius, est au-
teur d'un traité contre Nestorius; il écrit un
Dialogue contre Jean de Scythople; son His-
toire ecclésiastique que nous avons perdue
ainsi que ses autres écrits; idée que Pho-
tius donne de son Dialogue, XI, 110.
599. BASILE, évêqueenSicile,reprisparlepape
saint Grégoire de ce qu'il faisait des fonctions
déshonorantes pour son ministère, XI, 519.
[BASILE, gouverneur à qui saint Théo-
dore Studite écrit, XII, 311.]
BASILE, abbé, auteur d'un commentaire
sur la règle de saint Benoît, qui paraît être
un abrégé de celui d'Hildemar, XII, 363.
BASILE, évêque d'Ancyre, abandonne la
secte des Iconoclastes et se réunit à l'Église
catholique dans le concile de Nicée, XIII,
620.
BASILE I" LE MACÉDONIEN, empereur
d'Orient, est associé à l'empire par Michel ;
il devient seul emperenr ; il cbasse Photius
du siège de Constantinople et rétablit saint
Ignace, XII, 624. Lettre du pape Adrien II
à ce sujet, 389. Autre lettre du même pape
à ce prince, 392. Basile assemble un concile
général à Constantinople contre Photius, et
assiste à plusieurs des sessions, 624. Après
la mort de saint Ignace, il se laisse séduire
par Photius qu'il rétablit patriarche ; sa
mort; ses Exhortations à son fils Léon, 623.
Ses lettres aux papes Nicolas I" et Adrien
II, 624, 625. Il ne reste que quelques frag-
ments du livre de droit qu'il avait fait com-
poser, 625. Lettres que lui écrit le pape
Jean VIII, 644. Lettre d'injures qu'il écrit au
pape Adrien III; réponse qu'y fait Etien-
ne V, 631. Lettre que Photius écrit à Basile
le Macédonien pour se plaindre des mauvais
traitements qu'on lui faisait dans son exil,
726. Vie de Basile le Macédonien écrite par
Constantin Porpbyrogénète son petit-fils ,
796 et 811. [Trois odes de Photius adressées
à Basile, 976, 977.] — Députation que Ba-
sile le Macédonien envoie au pape Adrien II
pour le remercier de l'extinction du schisme,
XIII, 702. Il assemble un concile à Constan-
tinople. Lettre que le pape lui écrit, 702 et
suiv. Il assiste à plusieurs des sessions du
concile, 703, 706, 707, 708. 11 y souscrit, 710.
Il s'indispose contre les légats, 711 . 11 se trouve
à une des sessions du concile pour le réta-
blissement de Photius et propose de publier
le symbole de Nicée; à quel dessein, 723.
[BASILE LE JEUNE, dit Porpbyrogénète,
empereur d'Orient. Ses Constitutions novelles
sont reproduites au tome GXVII de la Patro-
logie grecque.] Ménologe composé par son
ordre, XIII, 132.
[BASILE (le bienheureux), métropolite de
Néopatias en Thessalie. Prologue d'une in-
terprétation des douze prophètes, au tome
CXI de la Patrologie.]
[BASILE, dit le Petit, évêque de Gésarée
787.
867.
868.
859.
869.
886.
931.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
141
en Cappadoce, a laissé des commentaires
sur les discours de saint Grégoire de Na-
zianze contre Julien ; sur l'éloge d'Héron le
philosophe et sur l'oraison funèbre de son
frère, avec une lettre à l'empereur Constan-
tius ; les commentaires sont reproduits au
tome XXXVI de la Patrologie grecque; la let-
tre est au tome CXI de la même Patro-
logie.]
BASILE LE JEUNE (Saint), anachorète à
Constantinople. Sa vie écrite par Grégoire
son disciple, XII, 793 et 798, et XIII, 132.
[Elle est reproduite en partie au t. CIX de la
Patrologie grecque.]
10. BASILE 3CAMANDRIN, patriarche de
Constantinople, succède à Polyeucte ; il est
'5. déposé dans un concile et on lui donne saint
Antoine Studite pour successeur, XIII, 7S9.
BASILE, auteur de l'hérésie des Bogo-
miles, anathématisé dans un concile par le
patriarche Nicolas le Grammairien, XIII, S39
et XIV, 140 et 653. Il est condamné au feu
et brûlé vif, 140. Voyez Bogomiles.
lécie. BASILE D'ACRIDE, archevêque de Thes-
salonique. Sa lettre au pape Adrien IV au
sujet de la réunion des deux églises, XIV,
651 et 915. Sa réponse touchant les maria-
ges dans les degrés de consanguinité, 651,
652.
•9. BASILE, archevêque de Zagora. Sa lettre
au pape Innocent III pour la réunion des
Bulgares à l'Église romaine, XlV, 977. Il est
député au pape par le roi Joannice ; les
Grecs lui ferment le passage ; il reçoit le
pallium et est fait primat, 978.
«de, BASILIDES, hérésiarque. Évangile sous
son nom, I, 273, et V, 516. Sa doctrine fut
combattue par Agrippa, surnommé Castor,
404. Ses erreurs, 404, 500. Elles sont réfu-
tées par saint Irénée, 506. Ses disciples fê-
taient le jour du baptême de Jésus-Christ,
604. — Jovinien renouvelle les infamies de
Basilides, IV, 650, — Témoignage de Tliéo-
doret sur Basilides, X , 72. Voyez Basili-
diens.
... BASILIDES (Saint), disciple d'Origène ,
martyr ; actes de son martyre, I, 549.
. BASILIDES, évêque de Léon et d'Astor-
ga en Espagne, déposé par les évêques de
sa province, surprend le pape saint Etienne,
11,265 et 471. Sa déposition est confirmée
par un concile tenu à Carthage, 563.
,cie. BASILIDES, évêque de la Pentapole d'E-
gypte. Lettre canonique que lui écrit saint
Denis d'Alexandrie, II, 410.
475.
«6.
BASILIDIENS. Ce que saint Épiphane dit iv aiêcic.
de cette secte, VI, 386.
BASILINE (et non GALLA), mère de Ju-
lien l'Apostat, donne des héritages à l'Église
d'Éphèse, VII, 3,
BASILINOPLE, ville détachée de Nicée. A
quelle occasion, X, 695.
BASILIQUES des martyrs. Épigramme de ivsiécie,
saint Grégoire de Nazianze contre les repas
qui se faisaient dans ces lieux, V^ 304. Basi-
liques de Milan, 457, 484, 485, 487, 489.
Basilique ambrosienne à Florence, 457. —
Basihques de saint Pierre et de saint Paul à
Rome ; saint Grégoire entreprend de les re-
bâtir, XI, 439, 440.
BASILIQUES. Corps de droit rédigé par
l'empereur Léon VI; éditions qu'on en a
faites, XII, 774. Elles sont revues par l'em-
pereur Constantin Porphyrogénète, 811.
BASILIQUE (Saint), évêque de Comanes,
martyr, apparaît à saint Jean Chrysostôme,
VII, 12.
BASILISQUE, empereur d'Orient, se dé-
clare l'ennemi de la foi orthodoxe par une
lettre circulaire adressée à tous les évêques;
leltre que lui écrit le pape saint Simplice,
X, 402. Saint Daniel Stylite s'oppose à ses
entreprises contre l'Église, 404. Basilisque
révoque sa lettre circulaire, abdique l'em-
pire, et est relégué dans un château où il
périt de faim, 405.
[BASILISSE. Lettre de saint Grégoire de
Nazianze à Basilisse, V, 367. Cette personne
est sans doute la même qui suit.]
BASILISSE, dame à qui saint Grégoire de
Nysse adresse une lettre, VI, 124. Ce que
contient cette lettre, 217.
BASINE, fille du roi Chilpéric, religieuse
à Sainte-Croix de Poitiers, se joint à Ghro-
dielde qui voulait déposséder l'abbesse Leu-
bouère pour se mettre à sa place ; elle est
excommuniée au concile de Poitiers, XI,
905. Elle se réconcilie avec son abbesse, et
est rétablie dans la communion de l'Église
au concile de Metz, et rentre dans son mo-
nastère, 906. Saint Grégoire de Tours fut
choisi pour pacifier ces troubles, 366.
BASEE (Saint), solitaire. Sa Vie écrite par
un anonyme ; autre Vie composée par Ad-
son, abbé de Montier-en-Der, XII, 887.
BASSACE, abbé du Mont-Cassin. Samort,
XII, 695.
BASSIEN, évêque de Lodi, assiste au con-
cile de Milan contre les Jovinianistes, IV,
633. — Et au concile d'Aquilée, V, 481.
379.
590.
856.
142
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
IV on
V siècle.
444. BASSIEN, évêque d'Éphèse après Basile;
451. reqaêle qu'il présente, à Valeiitinien, VIII,
409. L'empereur Théodose s'intéresse à lui;
son élection est reconnue canonique, 472.
— Il avait été ordonné malgré lui évèquo
d'Évazes ; il succède à Basile dans l'évèché
d'Éphèse, X, 666. Celte aflaire est traitée
au concile de Chalcédoine, 694. Il y est dé-
posé, 693.
BASSULE, belle-mère de Sulpice-Sévère,
VIII, 110. Lettre qu'il lui écrit, 118.
[BASSUS, homme riche et vertueux, fait
ensevelir les martyrs de la légion Thébaine,
II, 471.]
BASSUS , gouverneur de Thrace , fait
mourir saint Philippe évêque d'Héraclée,
III, 36 et suiv.
IV siècle. BASSUS (Saint), évêque et martyr. Sujet
d'une homélie attribuée à saint Jean Chry-
sostôme, VII, 97.
BASSUS, Cappadocien, homme vertueux
tué par des voleurs, V, 299.
BASSUS ANICIUS, cousu!. Voyez Anicius.
BASSUS, prêtre dont il est parlé dans la
vie de saint Siméon Stylite, X, 61.
rx siècle. [BATHERIC (Saint), évêque de Ratisbonne
à qui un anonyme adresse un ouvrage, XII,
704.]
BATTHÉE, solitaire, VI, 27.
BATULFE (Saint). Sa vie écrite par le
moine Folcard, XIII, 334.
BAUCALIS ou LE BAUCALIEN, prêtre
d'Alexandrie, jette la division entre Ariuset
le patriarche Alexandre, VllI, 310.
BAUDEMOND, abbé de Blandigni, disci-
ple de saint Amand, évêque de Maëstricht.
(Il a écrit la vie de saint Amand. Voyez ce
qui est dit de lui dans l'Histoire littéraire de
la France, tome II], p. 642 et suiv.)
[BAUDET (Louis). Sa traduction de plu-
sieurs ouvrages de Tertullien, II, 87.]
VI siècle. BAUDONIVIE ou BAUDONLNIE, religieuse
du monastère de Sainle-Croix à Poitiers,
écrit kl Vie de sainte Radegonde, Xi, 318 et
414. Idée de cet ouvi-age, 413. [Édition de
cette Vie dans la Patrologie, 413. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. III, p. 491 et suiv.)
BAUDOIN I", comte de Flandre, excom-
munié pour avoir enlevé Judith, fille du roi
Charles, XIII, 693, et Xll, 580. — Il obtient
des lettres favorables du pape saint Nicolas 1",
XII, 580. Charles le Chauve le reçoit en ses
bonnes grâces, 695.
BAUDOIN II, comte de Flandres. Lettres
de remontrance que lui écrit Foulques de
Reims, XII, 710. — Il est menacé d'excom-
munication, XIII, 734.
BAUDOIN V, comte de Flandre. Sa ré-
conciliation avec Godefroi, duc de Lorraine,
XIV, 1059.
BAUDOIN VI, comte de Flandre, rétablit
l'abbaye de Hasnon. Son éloge par le moine
Thomel, XIII, 344, 343.
BAUDOIN, évêque de Noyon et de Tour-
nai. Sa mort, XIII, 490.
BAUDOIN, abbé de Saint-Edmond. Son
différend avec Herfaste , évêque de Thed-
ford, XIII, 433.
BAUDOIN I", roi de Jérusalem. On a de
lui une lettre au pape Pascal IL (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. X, p. 204 et suiv.)
BAUDOIN, archevêque de Canlorbéry,
auparavant abbé de Winchester. (On a de
lui quelques ouvrages. Voyez Du Pin.)
BAUDOIN, moine de Saint-Remi. (Il est
auteur d'une relation des miracles de saint
Cyprien. Voyez ce qui en est dit dans l'His-
toire littéraire de la France, tome XII, p. 234
et suiv.)
BAUDOIN (François), jurisconsulte. Son
édition du dialogue de Minutius Félix, I,
336. — Son édition des livres d'Arnobe, II,
493. — Ses éditions des œuvres de saint
Optât de Milève, V, 149. — Son édition de
l'Histoire de la persécution des Vandales,
par Victor de Vite, X, 465.
BAUDRI I% ou BALDRIC, évêque de
Liège. Protestation de Rhatérius de Vérone
contre son élection, XII, 831. Sa mort, 844.
BAUDRI II, évêque de Liège , fonde le
monastère de Saint-Jacques dans l'île à la
porte de Liège, XIII, 142.
BAUDRI, chantre de l'Église de Térouane,
auteur de la Chronique de Cambrai ; on l'a
confondu mal à propos avec Baudri, évêque
de Noyon; d'où vient cette erreur; raison
décisive qui prouve que Baudri, chaulre de
Térouane, est différent de l'évêque de
Noyon; il est pourvu d'un bénéfice à la ca-
thédrale de Cambrai, et fait les fonctions du
secrétaire de saint Lietbert, puis de Gérard II;
il oblient de celui-ci la permission d'aller
dans le diocèse de Térouane ; dimissoiro
qui lui est donné à cet etfel ; il est pourvu
de la dignité de chantre de l'église de Té-
rouane, 481. Analyse de sa Chronique de
Cambrai, 481 et 482. [Éditions nouvelles de
cette Chronique, 482. Il n'a pas écrit les
V. I
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
143
Gestes de Lietbert, 481, a. 13.] Sa Chroni-
que des Églises de Térouane et d'Amiens,
482, 483. On ne doute pas qu'il ne soit au-
teur de la Vie de saint Gaucherie et de
celle de saint Lietberg, 483. (Voyez son ar-
ticle dans VEistoire littéraire de la France,
t. VIII, p. 400 et suiv.)
1098. BAUDRI, évêque de Noyon, confondu avec
Baudri, chantre de Térouane , et auteur
d'une Chronique de Cambrai ; raisons déci-
sives qui prouvent qu'il faut les distinguer,
XIII, 481. — Lettres qui restent de lui, XIV,
1H3. 113. Sa mort. (Voyez sou article dans l'His-
toire littéraire de la France, t. IX, p. 578 et
suiv.)
BAUDRI, moine, puis abbé de Bourgueil,
et ensuite évêque de Dol ; son Histoire de
la croisade, XIII, 530, 531.11 assiste au con-
1095. cile de Clermont, 531. Ses prétentions à l'é-
1098. véché d'Orléans; ce qu'Yves de Chartres écrit
au pape à son sujet, 532. 11 est fait évêque
1108. de Dol, 530 et 532. Son voyage à Fécamp,
530, 531. Il va à Rome; il prend soin de la
pompe funèbre d'Alain, duc de Bretagne ;
ii09. sa lettre à Pierre, abbé de Maillezais, 531.
131. Sa mort ; sa lettre aux moines de Fécamp,
532. Ses autres écrits et ses poésies, 531. H
fait l'épitaphe de Renaud, archevêque de
Reims , 489. (Voyez son article dans l'His-
toire littéraire de la France, t. XI, p. 98 et suiv.)
siècle. BAUDRI, scholastique de Liège. (II est
auteur de la vie d'Adalbéron, archevêque
de Trêves. Voyez ce qui en est dit dans
l'Histoire littéraire de la France, tome XII,
p. 677.)
BAUGENCY, ville de l'Orléanais. Conciles
qui y furent tenus, XIV, 1078 et 1123.
779. BAUGULFE, abbé de Fulde, succède à
Sturme, XII, 272. Sa vie composée par le
moine Candide, 387. Lettre de Charlemagne
qui lui est adressée, 243. [Dans l'ancienne
édition on a mis à tort Daugulfe.]
BAULDRY (le père), dominicain. Son édi-
tion de la traduction française de l'Histoire
sacrée de Sulpice-Sévère par Filleau, VU,
122.
ècie. BAULEN, abbaye du diocèse de Besan-
çon, soumise à celle de Cluny par le pape
Adrien IV, XIV, 915.
BAUME (La). Celle usurpée par un nom-
mé Bernard, et rendue à l'abbaye de Gigni,
XUl, 733.
BAUME (La). Monastère soumis de nou-
veau à celui de Cluny par le pape Innocent
III, XiV, 937.
BAUTON, comte, maître de la milice sous
Valentlnien, V, 487.
BAVAROIS. Histoire de la conversion des
Bavarois, des Huns, des Slaves et des Corin-
thiens, Xn, 476, 477.
BAVIÈRE, province d'Allemagne. Instruc-
tion du pape Grégoire II pour y rétablir la
religion, XII, 25, 26. Saint Boniface vient y y. 740.
prêcher l'Évangile et y rétablit quatre dio-
cèses, 47. Poésies sur les principales églises
de Bavière, 477. Les évêques de Bavière
écrivent au pape Jean IX pour se plaindre
des Moraves qui voulaient se séparer d'eux,
742.
BAVON (Saint), confesseur de Gand. Son
épitaphe par saint Livin, XI, 741. Sa vie par
un auteur du xn' siècle, 742. — Précis de
l'histoire de sa vie par Othelbold, XIII, 110.
Sa vie retouchée par Thierry, abbé de Saint-
Tron, 561, et 597. — Monastère de saint xisîèdc.
Bavon à Gand ; lettre de l'abbé Othelbold
contenant le détail des reliques qu'on y con-
servait, et la description du monastère, XIII.
109 et 110.
BaVON, abbé de Corbie en Saxe. Voyez
Bovon.
BEATI IMMACULATI. Voyez Psaumes.
BÉATITUDE. Morale de saint Ambroise
sur la béatitude de son traité des Offices, V,
440. — Discours de saint Ephrem sur les
Différentes Demeures du ciel, VI, 10. Autre
discours du même sur la Demeure des bien-
heureux, 23. [Discours du même sur les
Joies de Téternelle béatitude, 448.] — Ho-
mélie de saint Jean Chrysostome sur les Dé-
lices de la Vie future, VII, H6. — Livre de
la Vie bienheureuse ; ouvrage de saint Au-
gustin, IX, 40, 41. Ce que saint Augustin
dit sur la béatitude de son XI= livre de la
Cité de Dieu, 305, 306. Doctrine de saint
Augustin ; liberté des bienheureux, 734. En
quoi consiste, selon ce Père, le bonheur de
l'autre vie, 796, 797. — Sermon de saint
Léon sur les Degrés de la béatitude, X, 197,
198. — Traité de la Béatitude et de la Féli-
cité de la céleste patrie; ouvrage d'Eadmer,
disciple de saint Anselme, XIV, 46.
BÉATITUDES. Trois opuscules de saint
Ephrem sur les Diverses Béatitudes, VI, 22,
23. Huit homélies de saint Grégoire de Nysse
sur les Huit Béatitudes, 142 et suiv. — Les
huit béatitudes expliquées par saint Jean
Chrysostome, VII, 218 et suiv. Homélie de
saint Chromace, évêque d'Aquilée, sur les
Huit Béatitudes, 493. — Homélies de saint
144
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLESIASTIQUES.
185.
796.
XI siècle.
XI siècle,
HM.
Boniface de Mayence sur les Huit Béatitudes,
XII. S3. — Homélie d'Arnold, prévôt de
Saint-Emmeran de Ratisbonne, sur les Huit
Béatitudes, XIII, 93.
BÉÂTRIX, duchesse et marquise de Tos-
cane. Lettre que lui écrit saint Pierre Da-
mien, XIII, 306.
BÉATUS et AMBROISE , jeunes gens à
qui Ennode de Pavie adresse une instruc-
tion, X, 573.
BÉATUS, prêtre et moine dans les mon-
tagnes d'Asturie, s'élève contre l'erreur d'E-
lipand de Tolède; lettre qu'Élipand écrit
contre lui ; réponse que Béatus, conjointe-
ment avec Etliérius, fait à cette lettre, XII,
214. Analyse de ce traité où il établit la di-
vinité de Jésus-Christ, 214 et suiv. Élipand ,
après avoir rétracté ses erreurs, se réunit à
Béatus et Ethérius, 216, 217. Commentaire
de Béatus sur l'Apocalypse, 217. [Édition de
l'écrit d'Elipand dans la Patrologie, 217.]
Mort de Béatus^ 217.
BÉATUS RHÉNANUS, savant allemand.
Ses éditions des œuvres de Tertullien, 11,
B4. Et d'Origène, 235. — Ses scholies sur le
traité de Synésius du manque de chevelure,
VIII, 33. — Son édition de l'Histoire ecclé-
siastique de Théodoret, X, 141. Et de celle
de la persécution des Vandales par Victor
de Vite, 465. — Son édition des capitulaires,
XII, 383.
BEAUGHAMP (P. -F. Godard de). Sa tra-
duction française des lettres d'Abaillard et
d'Héloïse, XlV, 341.
BEAUGENCY. Voyez Baugency.
BEAUGENDRE (Antoine), bénédictin. Son
édition des œuvres du vénérable Hilde-
bert, XIV, 224. Et de celles de Marbode,
225.
BEAULIEU, près de Loches, en Anjou,
monastère fondé par Foulques Nerra et sou-
mis au Saint-Siège, XIII, 144 et 189. Sa dé-
dicace, 189.
BEAUVAIS, ville de France. Conciles qui
y furent tenus, XIII, 673, et XIV, 1085 et
1094. Lettre touchant les hmites respectives
des diocèses de Paris et de Beauvais, XIV,
784.
BEAUX AMIS (Thomas), carme. Son com-
mentaire sur la Confession de foi imprimée
sous le nom de saint Martin, VIII, 123.
BEC (Le), abbayi de Normandie, devient
célèbre pour les études, par la réputation de
Lanfranc, XIII, 440, 441. Giironique de cette
abbaye, 459. — ' Les privilèges de cette ab-
baye confirmés par Hugues, archevêque de
Rouen, XlV, 601 .
BÉCANGELD, en Anglelerre. Voyez Ba-
canceld.
BÉCHÈDE (Grégoire), Limousin. Voyez
Grégoire Béchade.
BECHRÉ, monastère de filles établi en
Thébaïde par saint Théodore, IV, 235.
[BECUCCI, curé de Saint-Félix à Florence,
éditeur du livre intitulé Dogmata orthodoxa
par un anonyme, XII, 152.]
BEDE (Le Vénérable), prêtre et moine de
Jarrow. Sa naissance, son éducation, XII, 1.
Il est ordonné diacre, puis prêtre, 1 et 2.
Ses disciples; son éloge; sa mort, 2. Cir-
constances de sa mort rapportées dans une
lettre de Cuthbert, son secrétaire, 2. Pour-
quoi il est surnommé le Vénérable, 2 et 3.
Ses écrits distribués en huit tomes ; livres
du premier tome qui paraissent supposés ou
douteux ; ouvrages qui sont de Bède dans le
premier tome ; traité de l'Art poétique des
figures et des topes de l'Écriture sainte et
de l'orthographe, 3. [Quatorze hymnes at-
tribuées au vénérable Bède, 4.] Ouvrages
contenus dans le second tome, et qui sont
de lui, savoir : livre de la Nature des choses,
de l'Ordre du temps, des Six âges du monde,
4, 5. Opuscules qui lui sont faussement at-
tribués ; la lettre sur l'Équinoxe du prin-
temps est de Bède ; autres ouvrages suppo-
sés, 5. Ecrits dans le troisième tome, 4 et
suiv. Histoire ecclésiastique des Anglais, 3,
6. Ce que contient celte Histoire, 6. Les Vies
de saint Cuthbert et de saint Félix sont de
Bède, 6. Vies supposées, 6 et 7. Martyro-
loge de Bède ; livre des Lieux saints ; ou-
vrages supposés ; ouvrages contenus dans
le quatrième tome, 7. Commenlaire sur l'on,
vrage des six jours, 7 et 8; sur le Pentateu-
que; sur les livres des Rois; les trente Ques-
tions sur les livres des Rois; commentaires sur
Esdras et Néhémie ; sur le livre de Tobie ;
le commentaire sur le livre de Job n'est pas
de lui ; commentaires sur les Proverbes et sur
le Cantique; Explication allégorique de ce
qui est dit de l'arche, du tabernacle et des
habits sacerdotaux, 8. Ouvrage contenus
dansle cinquième tome, 8 et 9. Sur les quatre
Evangiles; sur les Actes des Apôtres; sur les
sept Épitres canoniques , 9. Sur l'Apoca-
lypse ; ouvrages contenus dans le sixième
tome, 9 et suiv. Rétractations siirles Actes des
Apôtres, 9 et 10. Questions sur les Actes; com-
mentaire sur les Épitres de saiut Paul; les
613.
735.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
145
sept homélies à la louange de saint Paul
sont de saint Gtirysostôme, 10. Ouvrages
contenus dans le septième tome, 10 et 11.
Homélies attribuées à Bède, 10. Véritables
Homélies de Bède, !0 et 11. Homélies sup-
posées, 11 et 12. Etincelles ou Lieux com-
muns sur les Vertus et sur les Vices ; traité de
la Femme forte; on n'a point de preuves que
ces ouvrages soient de Bède, 12. Le livre des
Offices et le traité des Allégories sur les Pro-
phètes ne sont pas de Bède ; ouvrages con-
tenus dans le huitième tome; Explication du
Temple de Salomou ; traité sur l'Ouvrage des
six jours; les Questions sur plusieurs livres
de l'Écriture ; autres ouvrages qui ne sont
pas de Bède, 12 et 13. Ouvrages de Bède
qui ne se trouvent point dans les éditions de
ses œuvres, 13 et suiv. Commentaire sur
Habacuc; Poëme sur le Jugement de Dieu;
Lettres, 13 et 14; lettre à Albin; hvre de
Prières, 14. Histoire des abbés Wiremouth
et de Jarrow, 14 et 15. Écrits de Bède qui
sont perdus, 14. [Plusieurs lettres sont pu-
bliées depuis dom Ceillier, 14.] Doctrine de
Bède sur la grâce, !S, 16 ; sur l'Eucharistie,
16, 17 ; sur les messes et les prières pour
les morts, 17 ; sur les images, 17 et 18 ; sur
la virginité perpétuelle de saint Joseph et
de la sainte Vierge ; jugement des écrits du
vénérable Bédé, 18. Éditions qu'on en a
faites, 18 et 19. [Éditions récentes ; diffé-
rentes autres pièces qui le concernent; Vies
du vénérable Bède dans la Pairologie, 19.]
Lettre que lui adresse Accas, évêque d'Ha-
gulstad, 2] . — Église dédiée sous son nom
par saint Wulstan, évêqae de Worchester,
XIV, 314.
[BÉGEL (A.) a édité le panégyrique de
saint Pamphile en l'honneur d'Origène, II,
448.]
[BEELEN , professeur à l'université de
Louvain. Son édition syriaque et sa traduc-
tion latine des deux lettres de saint Clé-
ment, pape, sur la virginité . I, 344 et suiv.]
[BEKRER. Son édition de la Bibliothèque
de Photius, XII, 723. —Son édition des An-
nales de Michel Glycas, XIV, 642. De la
Chronique de Constantin Manassès , 643.
Son édition des cinq premiers livres des
Annales de Nicétas Choniate, 1176.]
BEL, idole des Babyloniens. Observations
sur le fragment qui concerne cette idole
dans le livre- de Daniel, I, 172 et suiv. Saint
Hippolythe regarde ce fragment comme au-
thentique, 636. — Sentiment de saint Jérô-
TAB. I.
me sur ce fragment, VII, 653. — Sulpice
Sévère regarde ce fragment comme canoni-
que, VIII, 125.
BEL (Philippe le), docteur de Paris. Sa
traduction française des sermons, des opus-
cules et de quelques lettres de saint Ber-
nard, XIV, 499.
BELHOMME (Humbert), bénédictin, abbé
de Moyen Moutier, auteur d'une Histoire de
cette abbaye, XIII, 71 et 252.
BÉLISAIRE, ancien poète latin, fait l'éloge
de Sédulius, VHI, 108.
BÉLISAIRE, patrice. Victoire qu'il rem-
porte sur Gélimer, roi des Vandales, X, 465.
— Il prend Naples et Rome sur les Goths;
il veut engager Silvérius à condamner le
concile de Chalcédoine et à approuver la
doctrine des Acéphales, XI, 192. Sur son
refus, il le fait déposer, fait recevoir à sa
place Vigile, et exile Silvérius à Patare, en
Lycie, 192 et 193. Il livre Silvérius à Vigile,
193.
BELLATOR, auteur ecclésiastique qui yisiède.
n'est connu que par ce qu'en dit Cassiodore,
et dont les écrits sont perdus, XI, 284 et
285. Il était prêtre ; son commentaire sur la
Sagesse mentionné par Raban Maur, XII,
451.
BELLEFOREST (François de), littérateur.
Sa traduction française des sermons de saint
Cyprien, évéque de Carthage, II, 385. —
Ses observations sur les livres de saint Au-
gustin de la Cité de Dieu, IX, 812. — Sa tra-
duction française de l'Histoire de la persé-
cution des Vandales en Afrique par Victor
de Vite, X, 465. — Sa traduction du discours
de Théodore, abbé de Raïte, sur l'Incarna-
tion, XI, 787,
BELLEG ARDE (L'abbé de). Voyez Morvan.
BELLE-ILE ou GUÉDEL, île des côtes de xi siècle.
Bretagne, donnée au monastère de Redon
par le duc Geoffroi, pour y établir une com-
munauté de moines, XIII, 158.
BELLÈRE (Balthasar de), imprimeur à
Douai. Son édition de l'Histoire de Jérusa-
lem de Jacques de Vitry, XIII, 537,
BELLICIUS , païen converti. Lettre que jv siècio.
lui écrivit saint Ambroise, V, 503.
BELLIER (Pierre). Sa traduction française
des oeuvres de Philon, I, 312.
BELZUNCE DE CASTELMORON (Henri-
François-Xavier), évéque de Marseille. Sa
traduction française du livre de saint Au-
gustin : de la Grâce et du Libre arbitre, IX,
814.
10
146
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLESIASTIQUES.
814.
387.
BENEDICTINS de la congrégation de
Saint-Maur. Ils ont donné beaucoup d'édi-
tions des Pères de l'Église, et enti-e autres
celle de saint Augustin, IX, 815 et suiv. [Ju-
geaient de Fénelon sur l'édition des œuvres
de saint Augustin par les Bénédictins, 846
et suiv.] Les Bénédictins desservaient les ca-
thédrales d'Angleterre, XIII, 293.
BÉNÉDICTION. Terme employé par quel-
ques conciles d'Espagne pour désigner l'or-
dination, XI, 906, 907, 908.
BÉNÉDICTION DE DIEU. Traité d'un
anonyme qui enseigne comment on doit bé-
nir et louer Dieu par le chant des Psaumes ;
il est dédié à Balhurie, évéque de Ratisbon-
ne ; idée de cet ouvrage, XII, 387. [Il est re-
produit dans la Patroloyie, 704.]
BENEDICTIONNAIRE du pape saint Gré-
goire, XI, 543.
BÉNÉDICTIONS. Recueil de bénédictions
IX siècle, composé par Adelhelme, évêque de Séez,
XII, 760, 761.
BÉNÉDICTIONS DES PATRIARCHES : ou-
vrage de saint Ambroise sur ce sujet, V, 412.
— [Bénédictions des patriarches, ouvrage
de Paulin, diacre de Milan, VU, 477.] —
Traité sur les Bénédictions attribué à Rhaban-
Maur, XII, 469. Traité de ces Bénédictions
attribué à Adrevald, moine de Fleury, 630.
Bénédictions de Jacob. Voyez Jacob.
BÉNÉDICTIONS ECCLÉSIASTIQUES. Bé-
nédiction donnée à la fin du sacrifice selon
les Constitutions apostoliques, II, 598. Canon
du concile d'Elvire. 614. — Les princes
chrétiens baissaient la tête devant les évo-
ques pour recevoir leur bénédiction, IV, 78.
— On voit par le concile de Riez qu'en Oc-
cident les prêtres ne donnaient les bénédic-
tions que dans les maisons particulières, et
que les bénédictions dans les églises étaient
réservées aux évêques, VIII, 606. — Céré-
monies de la bénédiction d'un moine décri-
tes dans le livre de la Hiérarchie ecclésias-
tique, attribué à saint Denis l'Aréopagite,
X, S48, 549. — Bénédiction du cierge pas-
cal, X, 576, XI, 522. — Prières pour la bé-
nédiction d'une reine, XI, 543. — Bénédic-
tions en usage en France, blâmées par le
pape Zacharie, XII, 33. Canon du quatrième
concile de Tolède qui décide que la bénédic-
tion épiscopale doit être donnée après l'o-
raison dominicale, 917. Bénédiction de l'é-
vêque ou du prêtre ; comment elle se don-
nait au peuple dans le ix" siècle, 760, 761.
— Bénédiction donnée par un moine. Ce
qu'en dit Yves de Chartres, XIV, 103. Traité
des bénédictions des évêques ; ouvrage de
GeofFroi de Vendôme, 168.
BENEDICTUS, cantique de Zacharie tra- ixsiècie.
duit en langue ludesque, XII, 596.
BÉNÉFICES. Origine des bénéfices ecclé-
siastiques, X, 524. — Article d'un capitulaire
de Charlemagne sur les bénéfices, XII, 239.
Règlement du pape Léon IV sur les béné-
fices, 408. — Règlement du pape Alexan-
dre II sur les bénéfices, XIII, 276. Règle-
ment du pape Alexandre II, 287. Canon
d'un concile de Plaisance, 430. D'un concile
de Clermont, 432. Traité de Guillaume
d'Auvergne, évêque de Paris, sur la colla-
tion des bénéfices, XIV, 1030. Canon d'un
autre de Reims, X, 1093 ; d'un autre d'Avran-
che, 1135; et du troisième concile de La-
tran, 1141. Canons du quatrième concile de
Latran, 1168.
BÉNÉNATUS , évêque. Lettres que lui iv on
écrivit saint Augustin, IX, 189. ^ ^'^°'''-
BÉNÉNATUS, évêque de la première Jus- 550.
tiuienne , ennemi déclaré des Trois-Chapi-
tres, est déposé pour ce sujet, XI, 301.
BÉNÉNATUS, évêque de Misène. Saint
Grégoire le Grand lui écrit, XI, 487.
BÉNÉTI (Cyprien), de l'ordre des Frères-
Prêcheurs. Son édition du traité d'Arnaud
de Bonneval des Œuvres cardinales de Jé-
sus-Christ, XIV, 618.
BÉNÉVENT, ville d'Italie. On prétend que
le corps de saint Barthélemi y a été apporté
de l'ile de Lipari, XH, 310. [Privilège ac-
cordé à l'Église de Bénéveut par le pape
Marin il, 829.] — Béuévent est érigé en ar- ggg,
chevêche par le pape Jean XIII, XIII, 758
[et XII 834.] Cette ville est cédée au pape
Léon IX en échange de Bamberg, 202. Con-
cile tenu en cette ville par le pape Urbain II,
425. Poëme d'Alphane, archevêque de Sa-
lerne, sur le martyre des douze frères de
Bénévent, 493. — Conciles tenus en cette
ville, XIV, 1061, 1062, 1067, 1072, 1081,
1084, 1088, 1089 el 1094.
BÉNÉVOLE, secrétaire d'État sous Valen- iv sièci.
tinien le Jeune, aime mieux perdre sa char-
ge que de dresser un rescrit en faveur des
Ariens, V, 172, 488, VI, 363, VHI, 35. — Il
engage saint Gaudence à mettre ses sermons
par écrit, VIII, 35.
BÉNIGNE (Saint), martyr à Dijon. Les ac- irsiède
tes de son martyre sont peu considérés, I,
473. — Église à Dijon sous son nom ; de
prétendues reliques déposées dans cette
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
147
328.
église y occasionnant des convulsions ; let-
tre d'Amolon à ce sujet, XII, 429, 430. [Pas-
sion de saint Bénigne par Wolfaid, XIII,
74. Etude historique et critique sur les Actes
et la mission de saint Bénigne, par M. l'abbé
Bougaud, 74, n. 6.] — Monastère de Saint-
Bénigne, à Dijon, réformé par Guillaume,
faon abbé, XIII, 106. Lettre d'Alinard, arche-
vêque de Lyon, aux moines de Saint-Bénigne ;
Chronique de ce monastère écrite dans le
XI' siècle par un anonyme, 178. Quatre lettres
du pape Benoît VIII en faveur de ce monas-
tère, 192. Statuts de ce monastère, 479.
BÉNIGNE (Saint), évêque. Vers d'Ennode
à sa louange, X, S77.
BÉNIGNE, évêque , se fait moine à Saint-
Bénigne de Dijon, XIII, 192.
BÉNILDE (Sainte), l'une des martyres de
Cordoue, XII, 519.
BENJAMIN (Saint), diacre, martyr en
Perse, X, 49.
BENJAMIN, Juif à qui saint Nil écrivit,
VIII, 217.
[BENJAMIN MINOR, ouvrage de Richard,
prieur de saint Victor, XIV, 999, 700].
BENJAMIN MAJOR, ouvrage de Richard
de Saint-Victor, XIV, 700.]
BENNADE ou BENNAGE, évêque de
Reims, à qui succède saint Rémi, XI, 77.
BENNARTIUS. Ses Commentaires sur les
Uvres de Boëce intitulés de la Consolation
de la Philosophie, X, 665.
BENNINGDON, ville d'Angleterre. Concile
tenu en cette ville, XIII, 682.
BENNON, cardinal. Ses deux lettres con-
tre le pape saint Grégoire VII, XIII, 378.
Différentes éditions qu'on en a faites, 378 et
404.
BENOIT (Saint), patriarche des moines
d'Occident. Sa naissance et son éducation,
XI, 156. Étant encore fort jeune, il se retire
à Sublac où il s'enferme dans une caverne,
156 et 157. Ce qui lui arriva dans cette soli-
tude pendant les trois ans qu'il y demeura ;
Il est fait abbé du monastère de Vicovarro ;
L'indocilité des moines, qui attentent même
à sa vie, l'oblige à le quitter; il retourne à
sa première solitude ; beaucoup de person-
nes se font ses disciples ; il bâtit douze mo-
nastères, 157. Miracle qu'il opère à l'égard
de saint Placide ; cédant à l'envie d'un prê-
tre nommé Florentins , il abandonne ses
douze monastères et en bâtit un nouveau au
Mont-Gassin ; règle qu'il donne à ses reli-
gieux, 158. Le patrice Tertullus fait, au mo-
nastère de Cassin, donation de tous les biens
qu'il avait dans le voisinage ; saint Benoît
fonde le monastère de Terracine en Gampa-
nie, et plusieurs autres en Sicile, en Espa-
gne et en France ; il prédit la ruine du mo-
nastère du Mont-Cassin, 159. Le roi Totila
vient le voir ; récit de leur entrevue, 159 et
160. Mort de saint Benoît, 161 et 475. Son
éloge, 161. Analyse de sa Règle, 161 et^uiv.
Distinction de quatre sortes de moines, 162.
Qualités et fonctions de l'abbé et des autres
supérieurs, 162 et 163. Autres officiers du
monastère, 163. Réception des novices, 163
et 164. Offices divins, 164, 165. Travail des
mains et lecture, 165 et 166. Habits, 167.
Nourriture, 167 et 168. Malades, hôtes,
voyages, 168, 169. Corrections, 169, 170.
Eloge de saint Benoît et de sa règle ; lettre
et exhortation de saint Benoît, 170. La lettre
qu'on suppose qu'il a écrite à saint Rémi,
évêque de Reims, pour le prier de délivrer
une possédée , n'existe point, 82 et 170. —
Saint Benoît cite la lettre de saint Basile,
IV, 393. — Sa Vie occupe le second livre
des Dialogues du pape saint Grégoire, XI,
474, 475. Vers à sa louange par Marc, un
de ses disciples ; autres par saint Simplice,
abbé du Mont-Gassin, 634. — Comment Paul,
diacre, raconte la translation du corps de ce
saint du Mont-Cassin en France, XII, 142.
Vie de ce saint attribuée à Paul, diacre, 144.
[Une hymne sur les miracles de saint Be-
noît par le même, 144, n. 7.] Homéhe en
son honneur par le même, 144. Commen-
taire sur sa Règle attribué au même, 144 et
145. Poëme en son honneur composé par
Gauzbert, moine de Fleury, 524. Histoii'e
de la translation de son corps par Adalbert,
moine de Fleury ; Histoire de ses miracles
par Adrevald, moine de Fleury, 629. Conti-
nuée par Adelère, aussi moine de Fleury,
630. Poème de saint Berthaire , abbé du
Mont-Cassin, en l'honneur de saint Benoît ;
autres poèmes du même, 696. Règle de saint
Benoît commentée par Hucbald, 802. Dis-
cours de saint Odon, abbé de Cluny, en son
honneur, 807 . [Sermon pour la Vigile de la fête
de saint Benoît, par Laurent, moine et ensuite
évêque, 811 .] Traduction de la Règle de saint
Benoît en langue saxonne, 868. — [Hymne
en l'honneur de saint Benoît, XIII, 23.] Ab-
bon, moine de Fleury, envoie au pape Gré-
goire V l'Histoire de la Translation des reli-
ques de saint Benoît, 28. Traité d'Abbon de
Fleury sur la translation des reliques de
534.
543.
148
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
573.
577.
6Si.
saint Benoît, 32. Ce traité mis en vers par
Gérard, disciple d'Abboii, 35. L'Histoire de
la translation des reliques de saint Benoît
mise en vers par Aimoin, moine de Saint-
Fleury ; discours du même en l'honneur de
saint Benoît ; suite de la relation des mira-
cles opérés depuis la translation, 41. [(Cet
écrit a été continué par André, moine de
Fleury. Voyez dans l'Histoire littéraire de la
Finance, tome VII, p. 349.)] [Homélie sur saint
Benoît par Paul, diacre, 91.] Histoire de Fil-
iation des reliques de saint Benoît écrite par
Thierry, moine de Fleury, 100, 101. Sermon
de saint Pierre Damien pour la veille de la
fête de saint Benoît, 308. Ses miracles écrits
en quatre livres par Didier, abbé du Mont-
Cassin, 417. Statuts pour l'ordre de saint
Benoît recueilhs par Laufranc, 448. Analyse
de ces Statuts; ce qu'il y a de remarquable,
448 et suiv. Premièi'e édition qu'on en a
faite, 451. Poëme en l'honneur de saint Be-
noît par Alphane, archevêque de Salerne,
493. — [Continu;] tion de l'Histoire des Mi-
racles de saint Benoît, opérés en France et
principalement à Fleury, par Raoul Tor-
taire, XIV, 78.] Preuves qu'on alléguait à la
fin du xi'^ siècle pour montrer que les reli-
ques de saint Benoît étaient restées au Mont-
Cassin, 496. Sermon de Geoffroi, abbé de
Vendôme, sur saint Benoît, 169. Panégyri-
que de saint Benoît par saint Bernard, 484.
Hymne de Pierre le Vénérable pour la fête
de saint Benoît et la translation de ses reli-
ques, 511 etS22. Relation de l'Invention du
corps de saint Benoît dans l'église de Mont-
Gassin écrite par Piei-re, diacre, 583, 584.
[Sermon pour la fête de saint Benoît par
Odon, abbé de Morimond, 625. Sermon de
Nicolas, secrétaire de Bernard, 736.] Ser-
mon de Guillaume d'Auvergne sur saint Be-
noît, 1027. Dissertation d'Ange de la Noix,
abbé du Mont-Cassin, pour prouver que le
corps de saint Benoît est encore dans cette
abbaye, 583. Reliques de saint Benoît ti-ans-
férées d'une châsse dans une autre à l'ab-
baye de Fleury-sur-Loire, 1081. Voyez Rè-
gles de saint Benoît.
BENOIT I", surnommé BONOSE , pape,
élu pour succéder à Jean 111; sa mort,
XI, 334. — Décrétale qu'on lui attribue
faussement^ VI, 96.
BENOIT H, pape, succède à Léon II, et
ne siège que huit mois et dix-sept jours;
ses lettres, XI, 785. [Leur édition dans la
Patrologie, 785.] Sous son pontificat, l'em-
pereur Constantin envoie à Rome les che-
veux de ses deux fils Justinien etHéraclius;
c'était une espèce d'adoption usitée en ce
temps-là, 783.
BENOIT m, pape, succède à Léon IV.
Une faction fait élire Anastase qui s'empare
de Rome, et met Benoît en prison ; on re-
connaît la légitimité de son élection et il est
sacré ; sa mort, XII, 409. Ses lettres ; pi-ivi-
léges qu'il accorde à l'abbaye de Corbie ;
autre qu'il accorde à celle de Saint-Denis,
410. [Edition des écrits de Benoît III dans la
Patrologie, 416.]
BENOIT IV, pape, succède à Jean IX;
ses deux lettres pour le rétablissement d'Ar-
grim sur le siège de Langres, XII, 742. Sa
mort, 743. [Édition des écrits de Benoît IV
dans la Patrologie, 743.]
BENOIT V, pape, succède à Jean XII ;
il est déposé par l'empereur Otton, qui le
relègue à Hambourg où il meurt, XII, 832.
— Différentes circonstances de sa vie rap-
portées par Dithmar, XIII, 63, 64. Son corps
est rapporté à Rome, 64. Son élection et sa
déposition ; il se soumet, 733.
BENOIT VI, pape, suoce.de à Jean XIII,
et n'occupe le Saint-Siège que dix-huit mois ;
sa lettre à Frédéric, évêque de Saltzbourg,
qu'il constitue son vicaire apostolique dans
le Norique et dans la Pannonie, XII, 835.
[Edition de cette lettre et de quatre privi-
lèges dans la Patrologie, 835.]
BENOIT VII, pape, succède à Douus II ;
sa mort; sa lettre par laquelle il confirme le.
règlement fait par le pape Agapet II sur la
Juridiction des archevêchés de Saltzbourg
et de Lorch, XII, 835. [Édition de cette let-
tre et de vingt-sept autres dans la Patrolo-
gie, 833 et 836.] — Conciles qu'il tient à
Rome, Xm, 760.
BENOIT VIII , pape , succède à Sergius
IV ; un parti qui lui était opposé élit Gré-
goire ; Benoît, obligé de sortir de Rome, se
retire auprès du roi Henri qui le ramène et
le rétablit, XIII, 190. Il le couronne empe-
reur, 144 et 190. Il chasse les Sarrasins de
la Toscane ; il passe en Allemagne deman-
der du secours à l'empereur Henri contre
les Grecs ; sa mort, 190. Son jugement en fa-
veur de l'abbaye de Faifa, 190 et 191. Sa let-
tre aux évêques de Bourgogne, d'Aquitaine
et de Provence contre les usurpateurs des
biens de l'abbaye de Cluny, 191. Concile de
Pavie oi"! il invective contre l'incontinence
des clercs, 191 eH92. Deux bulles de Benoît
855.
858,
900.
903
964.
965.
972.
984.
lOlî.
10U1.
102U
llKl.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
149
047.
048,
VIII : l'une en faveur de l'église de Bam-
berg, l'autre confirmative des privilèges du
monastère de Bremet en Italie ; concile de
Rome où il confirme la fondation du monas-
tère de Frutare; lettre de Benoît VIII en fa-
veur du monastère de Saint-Bénigne de Di-
jon, 192 et XIV, 1037. — [Recuejl de ses
lettres et privilèges dans la Patrologie, XIII,
192 et 193.] — Sa lettre contre les usurpateurs
des biens de l'abbaye de Cluny, XIV, 1036.
BENOIT IX, THÉOPHYLACTE, pape, suc-
cède à Jean XIX n'ayant guère que douze
ans, XIII, 195, 196. Il tient un concile à
Rome qui décide en faveur de l'abbé de Saint-
Pierre hors le? murs de Pérouse , contre
l'évêque de cette ville ; il est chassé de Rome,
et rétabli par l'empereur Conrad ; il dispense
de ses vœux le prince Casimir ; il envoie à
Trêves un légat pour la canonisation de
saint Siméon ; il est chassé à cause de la
dépravation de ses mœurs. Ses parents le
rétablissent j 196. Enfin, moyennant une
somme d'argent, il cède le pontificat à l'ar-
chiprêtre Jean Gratien, qui prend le nom de
Grégoire VI, 197. Après la mort de Clé-
ment II, il remonte sur le Saint-Siège pour
la troisième fois, et abdique huit mois et dix
jours après, 199. [Recueil de ses lettres dans
la Patrologie. 196.] Lorsqu'il rentra pour la
troisième fois sur le siège de Rome, il dutson
rétablissement aux représentations que
Vazon, évêque de Liège, avait faites à l'em-
pereur Henri le Noir, 141.11 avait été élu
irrégulièrement et ensuite chassé de son
siège, 147. Il dispense du vœu de chasteté
le roi Casimir, diacre de Gluny, 131.
BENOIT X (Jean) , regardé communé-
ment comme antipape, élu par une fac-
tion après la mort du pape Etienne IX, se
maintient quelque temps par la force des
armes ; informé que le pape Nicolas II te-
nait contre lui un concile à Sutri, il se retire ;
il se jette aux pieds du pape qui lève l'ex-
communication prononcée contre lui, et le
dépose de l'èpiscopat et de la prêtrise; les
Romains lui donnent par dérision le surnom
de Mincio, c'est-à dire stupide, XIII, 243.
[Le Diario romain le met dans le catalogue
des papes, 243.] Son élection et sa déposi-
tion, XIV, 1061.
BENOIT, jeune moine vivant à 40 milles
de Rome. Ce que rapporte de lui le pape
saint Grégoire, XI, 476.
BENOIT BISCOP (Saint), fonde les deux
monastères de Wiremouth et de Jarrow; sa
mort, XI, 802. — Son histoire écrite par le
Vénérable Bède, XII, 14.
[BENOIT (Saint) , Ci'ispus, archevêque de
Milan, XII, 20 ; ses écrits, 20 et 21 .]
BENOIT, abbé d'Aniane, sa naissance ;
après avoir passé quelque temps à la cour
de Charlemagne, il se retire au monastère
de Saint-Seine où il embrasse la vie monas-
tique ; il quitte ce monastère dont on vou-
lait le faire abbé et en fonde un nouveau
dans une terre de son patrimoine, 237. Il
rétablit la discipline monastique en plusieurs
monastères ; il défend la foi contre Félix
d'Drgel ; Louis le Débonnaire lui donne
l'inspection sur tous les monastères de son
royaume ; sa mort, 238. Ses ouvrages : Code
des règles, 238 et 239. Concorde des règles,
239, 260. Ses lettres, 260, 261. Quatre opus-
cules contre l'hérésie de Félix, 261 . Péni-
tentiel attribué à saint Benoît, 261 et 262.
Commentaires sur les Épîtres de saint Paul
et autres ouvrages, 262. [Édition des écrits
de Benoit d'Aniane dans la Patrologie, 262.]
Raisons de le faire auteur du dialogue entre
Euticius et Théophile sur l'état de l'Église,
313, 314. Sa Vie écrite par Ardon Smaragde
son disciple, 238. Lettre des moines du mo-
nastère d'Inde, qui contient un abrégé de sa
vie avec les principales circonstances de sa
vie, 260. (Voyez son article dans Y Histoire
littéraire de la France, t. IV, p. 447 et suiv.)
BENOIT. Un des chantres donnés à Char-
lemagne par le pape Adrien I", pour éta-
blir eu France le chant grégorien, XII, 224.
BENOIT, diacre de l'Église de Mayence.
Sa collection des Capitulaires pour suppléer
à celle d'Anségise, XII, 394. Idée de cette
collection, 394 et 393. Éditions qu'on en a
faites, 393. [Édition dans la. Patrologie, 393.]
(Voyez ce qui est dit de Benoît dans VHis-
toire littéraire de la France, t. IV, p. 389 et
suiv., et son article dans le t. V, p. 33 et suiv.)
BENOIT, abbé de Cluse , en Piémont ,
combat fortement l'apostolat de saint Martial
103. Lettre que lui écrit Adémar en faveur
de cet apostolat, XIII, 104. Sa Vie écrite par
le moine Guillaume ne se trouve plus, 490.
BENOIT II, abbé de Cluse ; année de sa
mort; sa Vie écrite par le moine Guillaume;
deux épitaphes et une hymne en son hon-
neur, XIII, 490.
BENOIT PAULIN, bordelais. V. Paulin.
BENOIT GUAIFER, moine duMont-Cassin.
Voyez Guaifer.
[BENOIT, prêtre. Son Prologue des actes
V. 725.
V. 7,')1.
774.
V. 780.
794.
821.
1\ siècle.
1028.
1031.
1091.
XII siècle.
150
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
des saintes Digne et Mérite ; son Prologue
de la passion de sainte Forlunate, XIII, 602.]
xn siècle. [BENOIT, abbé de Petersborough. Sa Vie
de saint Thomas de Gontorbery, XIV, 667.]
BENSÉLIUS ( ), son édition projetée
des œuvres de Philon, I, 312.
BÉORNIN, prêtre. Lettre que lui écrit
Alcuin pour se justifier d'avoir manqué de
lidélité au roi Ofïa, XII, 194.
BÉQUET THOMAS. Voyez saint Thomas
Béquet, archevêque de Cantorbéry.
BÉRALD, père de saint Odilon, abbé de
Gluny, Xm, ISO.
1089. BÉRARD, abbé de Farfa. Sa mort ; ses
Règlements, XIII, 477.
1097. BÉRARD, archidiacre de Lyon, est fait
évêque de Mâcon, XIV, 80.
BÉRAT-SATIA, lieu où furent trouvées les
reliques du prophète Michée, VIII, 533.
BÉRAULD (Nicolas) , savant Orléanais.
Son édition de plusieurs ouvrages de saint
Athanase ou de plusieurs autres qui lui sont
attribués, IV, 230.
BERCHAC[etnonDERCHAC]enThuringe.
Assemblée tenue en ce lieu entre les parti-
sans de l'empereur Henri IV et de ceux qui
lui étaient opposés, XIII, 399.
BERGHAIRE, premier abbé de Hautvil-
liers et de Montier-en-Der. Sa Vie attribuée
<i Almanne, moine de cette abbaye, XII,
697. Elle fut écrite par Adson, l'un de ses
successeurs ; la relation de ses miracles
ajoutée par un anonyme, 888. — ■ Recueil de
ses miracles fait par Brunon, abbé de Mon-
tier-en-Der, XIII, 347.
375. BÉRÉE, ville de Syrie. Lettre de saint
Basile le Grand au clergé et au peuple de
Bérée, IV, 475, 476. Lettre de Théodoretau
clergé de Bérée, X, 68.
BÉRENGARIENS, disciples de Bérenger,
partagés en divers sentiments, XIII, 517.
IX siècle. BÉRENGAUD, moine de Ferrières. Son
commentaire sur l'Apocalypse, XII, 702;
703. Ce commentaire a été faussement attri-
bué à saint Ambroise, 703, — et à Bérenger,
archidiacre d'Angers, XIII, 173. —Le moine
Bérengaud dont il est fait mention dans les
lettres de Loup, abbé de Ferrières, est vrai-
semblablement l'auteur du commentaire sur
l'Apocalypse faussement attribué à saint
Ambroise, XIV, 238, 239. (Voyez ce qui est
dit de Bérengaud, moiae de Ferrières, dans
l'Histoire littéraire de la France, t. V, p. 653
et suiv.)
xn siècle. BÉRENGAUD, abbé de Saint-Maximin de
Trêves. Ce qu'on sait des circonstances de
sa vie ; ses trois livres de l'Invention de la
croix de Notre-Seigneur ; livre du Mystère
du bois de la croix ; ses Sermons, XIV, 238.
On examine s'il peut être l'auteur du com-
mentaire sur l'Apocalypse faussement attri-
bué à saiut Ambroise, 238 et 239.
BÉRENGER, évêque de Verdun, obtient
du pape Jean XIII des privilèges pour des
monastères, XII, 833. [Le pape Jean XII, lui
avait écrit, 832.)
BÉRENGER, duc de Frioul, se fait cou-
ronner empereur, XIII, 738.
BÉRENGER, vicomte de Narbonne [et non loss.
de Toulouse, comme on l'a imprimé]. Sa
plainte contre l'archevêque Guifroi, XIII,
238. (Voyez ce qui en est dit dans VBistoire
littéraire de la France, t. VII, 493.)
BÉRENGER, scholastique de Tours et ar-
chidiacre d'Angers. Ses commencements ; il
est chargé du soin de l'école de Tours ; par-
tage de sentiments sur sa science et ses
talents, XIII, 164. Confondu par Lanfranc,
abbé du Bec, il se met à donner des leçons
sur l'Écriture sainte ; ses erreurs ; il combat 1047.
les mariages légitimes, le baptême des en-
fants, et principalement la foi de l'Église sur
l'Eucharislie ; représentations qu'Adelmanne
son condisciple lui fait à ce sujet, 163. Ses
erreurs sur l'Eucharistie sont refutées par
Hugues, évêque de Langres, 163 et suiv.
Lettres de Bérenger à Lanfranc qui s'était
déclaré contre lui; Bérenger condamné dans
un concile de Rome ; il va en Normandie. loso.
Conférence de Brionne. Il y est confondu.
Sa lettre aux clercs de l'Église de Chartres,
où il accuse d'hérésie l'Église romaine et le
pape saint Léon IX; son erreur est con- loso.
damnée au concile de Verceil, 167. Sa lettre
à Ascelin, moine du Bec. Réponse d'Ascelin,
167, 168. Concile de Paris. Bérenger n'ose inso.
y paraître. Son erreur y est anathématisée ;
ses lettres à Richard et au trésorier de
Saint-Martin de Tours. Il les écrit parce que
le roi l'avait privé du revenu de son cano-
nicat; concile de Florence contre Béren- loss.
ger , concile de Tours où il comparait et
anai;hématise ses erreurs, 169. Concile de
Rome où il abjure de nouveau son hérésie i059.
et signe une profession de foi catholique,
169 et 170. De retour en France, il désavoue
son abjuration et publie un écrit contre le
concile de Rome ; plusieurs autres conciles
où son erreur est combattue et condamnée,
170. Il semble de nouveau rétracter ses er- io79.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
131
1080.
1088.
H91.
reurs dans un concile de Rome et désavoue
ensuite sa profession de foi, 171 et 367. Con-
cile de Bordeaux où il rétracte de nouveau
son hérésie ; on a lieu de croire que cette
rétractation fut sincère, 171. Sa mort, 171 et
172. Doctrine de Bérenger tirée de ses écrits,
172. Doctrine de Bérenger selon les écri-
vains contemporains, 172 et 173. Variations
de cet hérésiarque ; ses écrits ; ses lettres ;
réponse au traité de Lanfranc, 173. Ses ré-
tractations des professions de foi qu'il avait
faites en différents conciles ; ce que c'est
que l'écrit intitulé : Serment de Bérenger ;
prière qu'il composa sur la fin de ses jours;
deux écrits sur l'Eucharistie adressés à Pau-
lin^ primicier de Metz, 174. Ouvrages attri-
bués à Bérenger ; jugement sur ces écrits,
175. — Abus qu'il faisait d'un texte de saint
Augustin au sujet de la présence réelle de
Jésus-Christ dans l'Eucharistie, IX, 731 et
suiv. — Saint Fulbert, évêque de Chartres
étant au lit de mort, le fait chasser de sa
chambre, XIII, 79. Erreurs de Bérenger,
condamnées par saint Léon IX à Rome et à
Verceil, 201. Lettre de Bérenger à Adel-
manne, 257 ; ses erreurs sur l'Eucharistie re-
futées par Lanfranc , 443 et suiv. ; par
Durand, abbé de Troarn, 459 et suiv. Quan-
tité de lettres et de pièces intéressantes pour
l'histoire de l'hérésie de Bérenger, données
par D. d'Acheri, dans son édition des œuvres
de Lanfranc, 438. Erreurs de Bérenger, ré-
futées par Wolphelme, abbé de Brunswiller,
484 ; par le cardinal Albéric, 494 ; par Guit-
mond, évêque d'Averse, 517 et suiv. —
Conciles tenus contre ses erreurs , XIV ,
1057. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. VIII, p. 197 et suiv. On
a découvert en 1771, dans la bibliothèque de
Wolfembuttel, une apologie de Bérenger ; il
en est parlé dans la Gazette littéraire des Deux-
Ponts, et à la fin de l'épître dédicatoire qui
est à la tête de la nouvelle édition d'Eschine,
donnée par M. Reiske, en 1771, à Leipsick,
in-8°.)
BÉRENGER (Pierre), disciple d'Abaillard,
XIV, 327. [Son Apologie d'Abaillard, 341.]
Voyez Pierre Bé?'enger.
BÉRENGER, abbé de Formbach. Sa Vie
écrite par Géroch, prévôt de Reichersperg,
XIV, 630.
BÉRENGER, évêque de Lérida. Sa trans-
lation à l'archevêché de Narbonne, XIV,
943.
[BÉRENGER, archevêque de Narbonne.
Sa mauvaise administration , XIV , 976 et l'-^s-
988. Il est suspendu et déposé, 1002]
BÉRENGOSE , abbé de Saint-Maximin de
Trêves. Voyez Béi'engaud.
BÉRÉNICE (Sainte), fille de sainte Dom- 304.
nine. Voyez Domaine {sainte).
BERGHAMSTÈDE, en Angleterre. Concile 69"'.
tenu en cette ville, XII, 966.
BERGTESTAD. Lettre du pape Calixte II "22.
qui approuve l'institut des chanoines régu-
liers de Bergtestad, XIV, 1098.
BÉRHARD, évêque de Verdun. Sa mort, 879.
Dadou, son neveu, lui succède, XII, 792.
BERHENNA, abbesse de Poussai, pla- «is.
cée par Brunon, évêque de Toul, XIII,
210.
BÉRINGAIRE, moine de Saint-Denis. (Il
composa quelques vers. Voyez ce qui en est
dit dans l'Histoire littéraire de la France , t.
V, p. 398.)
BÉRINIEN, métropolitain de Perge en
Pamphylie. Lettre que Sisinnius de Gons-
tantinople lui adresse, VIII, 576.
BERLENDE (Sainte), vierge de Merbeck
Brabant. Sa Vie écrite par Hériger, abbé de
Lobes, XIII, 38.
BERNAHARD, abbé de Saint-Gai. Voyez
Bernhard.
BERNAIRE , évêque de Grenoble succède 869.
à Ebbon, XII, 620.
BERNALD ou BERNALDI, qu'on croit le xi siècle,
même que Berthold, prêtre de Constantino-
ple. Difiërenls écrits dont il est auteur, XIII,
403, 404. [On a tort de le confondre avec
Berthold, p. 403, n. 5.]
BERNARD, roi d'Itahe. Sa révolte contre
l'empereur Louis le Débonnaire, XII, 263.
BERNARD ou BARNARD , archevêque de jx siècie.
Vienne. Lettre d'Agobard de Lyon et de
Bernard de Vienne contre les Juifs, XII,
366, 367. Lettre du pape Pascal à Bernard
de Vienne ; lettre du pape Eugène II, 403.
L'Histoire de la translation de son corps
n'est point d'Adon, l'un de ses successeurs ,
622. [Histoire de sa translation et de ses mi-
racles, 622.] — Il fut cité au concile de Cré-
mieu, Xni, 669.
BERNARD, abbé de Saint-Gai. Voyez 5fr-
nhard.
BERNARD, moine français. Relation de v. sio.
son voyage à la Terre-Sainte, XII, 597. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. V, p. 375 et suiv.)
BERNARD, scholastique d'Angers. (Il a
composé quelques écrits. Voyez son article
152
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
VII, p. 308 et suiv.)
BERNARD, clerc on chanoine de l'Église
d'Utrechl, auteur d'uu commentaire sur les
Églogues du prêtre Théodulus , XII, 879 et
H20. XIII, 551 . — On l'a confondu par erreur avec
Bernard, surnommé Silvestre , XIII, S5I.
Lettre par laquelle il adresse son voyage à
Conrad, son évêque, 513. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
VIII, p. 677 et suiv.
X siècle. BERNARD, abbé de Beaulieu en Limou-
sin. On lui oflfre l'évêché de Cahors moyen-
nant une somme d'argent ; lettre que lui
écrit Abbon de Fleary pour le détourner de
l'accepter; il veut quitter son abbaye; au-
tre lettre que lui écrit Abbon à ce sujet; il
devient ensuite évêque de Cahors, mais par
les voies canoniques, XIII, 31.
BERNARD, comte de Bésahi. Lettre que
Gauzelin, archevêque de Bourges, écrit à
Oliba, évêque de Vich, à l'occasion de sa
mort, XIII, 90.
BERNARD, abbé de Richenow [ou Reiche-
nau]. Voyez Bernon.
1065-1079. BERNARD , abbé de Saint-Victor de Mar-
seille. Lettre que lui écrit un de ses moines
qui voulait se fixer à Pise pour étudier la
jurisprudence, XIII, 261. Le comte Bernard
le prie de se charger du gouvernement du
monastère de Ripouille ; autres lettres qui
lui sont adressées, 262.
XI siède. BERNARD, comte de Toulouse, prie l'ab-
bé de Saint- Victor de Marseille de se char-
ger du gouvernement du monastère de Ri-
pouille ; diplôme par lequel il soumet ce
monastère à celui de Saint-Victor de Mar-
seille, XIII. 262.
XI siècle. BERNARD, moine de Cluny, fait un re-
cueil des anciens usages de cette abbaye,
XIII, 269 et 479, et XIV, 90. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VII, p. 595 et suiv., et le Supplément, t. X,
p. lxv_&\. suiv.)
XI siècle. [BERNARD, le même que Bernai ou Ber-
noul, doit être distingué de Berthold, prêtre
de Constance, auteur d'une Chronique et de
plusieurs autres écrits, XIII, 403, note 3,
D.Geilher l'a confonduavec Berthold, p. 403,
404.]
BERNARD, archevêque de Tolède, après
avoir quelque temps suivi le parti des armes,
embrasse la vie monastique à Saint-Orens
d'Auch ; saint Hugues, abbé de Cluny, l'en-
voie en Espagne pour rétablir la régularité
au monastère de Saint-Fagon ; il gagne les
bonnes grâces du roi Alphonse qui le fait
élire archevêque de Tolède ; il se saisit à
main armée de la grande mosquée et y éta- loss.
blit le culte catholique ; le pape Urbain II le
fait, primat et son légat en Espagne ; con-
ciles auxquels il présida ; il entreprend le
pèlerinage de la Terre-Sainte ; le pape le
dispense de son vœu et l'oblige à retourner
à son évêché ; sa mort , XIV, 89. Quatre v. U26.
discours sur le Salve Regina qui lui sont at-
tribués ; raison de douter qu'ils soient de
lui, 89, 90. Idée de ces discours. 90. — Le
pape Urbain II le rétablit dans les droits de
primat sur toutes les Églises d'Espagne elle
fait son légat, XIII, 420. Il tient un concile
à Gironr.e, 436. — Lettre que lui écrit le
pape Pascal II au sujet de Maurice Bouj-din,
qu'il venait d'excommunier au concile de
Bénévent, XIV, 1089. Lettre que lui écrit
Gélase II au sujet du même, devenu anti-
pape, 1089, 1090 et 1091. Bulle conBrmant
la primatie de Tolède, 1090. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. XI, p. 56 et suiv.)
BERNARD, abbé de Marmoutier. Lettre ii90.
du pape Urbain II qui lui est adressée, XIII,
424.
BERNARD, évêque de Préneste. Son épi-
taphe par Alphane II, archevêque de Saler-
ne, Xm, 494.
BERNARD, moine de Corbie en Saxe, au- xi siècle,
teur d'un écrit satirique contre l'empereur
Henri IV, XIV, 90.
BERNARD, moine à Bayeux. (Il a corn- xu siècle,
posé l'Histoire de quelques translations de
reliques. Voyez ce qui en est dit dans l'His-
toire littéraire de la France, tome IX, p. 293
et suiv.)
BERNARD H, vicomte de Béarn et deBi-
gorre. (Il a fait recueillir les anciennes cou-
tumes de ses états. Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, tome X, p.
20 et suiv.)
BERNARD, archidiacre de Brague. (Il
écrivit la vie de saint Gérald, archevêque de
Brague. A'oyez ce qui en est dit dans l'His-
toire littéraire de la France, tome XI, p. 118
et suiv.)
[BERNARD, évêque de Paderborn, reçoit "33.
le pallium pour lui et pour ses successeurs,
XIV, 264.]
BERNARD , patriarche d'Antioche. Sa
mort; Raoul, archevêque de Mamislra lui
succède, XIV, 1116.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
133
1145.
1148.
Hi5.
1147.
1152.
1116.
XII siècle.
BERNARD DE CHARTRES, surnommé
Silvestre, auteur de quelques écrits, XIII,
531. — On l'a- confondu avec Bernard, clerc
de l'Église d'Dlrecht, XII, 879, et XIII, 551.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. XII, p. 261 et suiv.)
BERNARD, abbé du monastère de Suint-
Anastase , est élu pape et prend le nom
d'Eugène III, XIV, 269. Voyez Eugène 111.
BERNARD, évêque de Menêve, ou Saint-
Davids ; son différend avec Thibaud, arche-
vêque de Cantorbéry, XIV, 271.
BERNARD DE MORLAS, moine de Clu-
ny, auteur d'un poëme sur le Mépris da
monde, XIV, 21. Et d'une homélie sur le
fermier d'iniquité, 76, 77 et 492. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. XII, p. 236 et suiv.)
BERNARD DES PORTES, d'abord moine
bénédictin à Ambournai, bâtit la Chartreuse
des Portes d'où il prend son surnom ; ses
liaisons avec saint Bernard auquel il de-
mande ses sermons sur le Cantique des can-
tiques ; il se démet du prieuré de la Char-
treuse des Portes; sa mort, XIV, 400. Ses
lettres, 400 et 401. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, tome XII,
p. 422 et suiv.)
BERNARD DES PORTES, chartreux et
évêque de Belley. (On a de lui une lettre ; il
en avait écrit quelques autres à saint Ber-
nard. Voyez son article dans l'Histoire lit-
téraire de la France , tome XII , p. 420 et
suiv.)
BERNARD (Saint) , fondateur de l'abbaye
de Tiron. Sa Vie écrite par Galfrède ou
GeoËfroi le Gros, moine de ce monastère,
XIV, 404. Il quitte son abbaye de saint Cy-
prien de Poitiers et fonde celle de Tiron,
404 et 93. Sa mort, 403. (On lui attribue des
règlements et des lettres. Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. X,
p. 210 et suiv.)
BERNARD, doyen de l'Église de Soissons.
(Il a fait quelques vers sur saint Geoffroi,
évêque d'Amiens. Voyez ce qui en est dit
dans l'Histoire littéraire de la France, t. X,
p. 268.)
BERNARD, chanoine de Tours. (Il est au-
teur d'une Histoire de la translation des re-
liques de sainte Fare. Voyez ce qui en est
dit dans l'Histoire littéraire de la France,
t. XH, p. 77.)
BERNARD, moine de la Chaise-Dieu. (Il
est auteur d'une vie de saint Robert, fonda-
teur de cette abbaye. Voyez ce qui en est
dit dans l'Histoire littéraire de la France,
t. XII, p. 627 et suiv.)
BERNARD (SainI), premier abbé de Clair-
vaux et docteur de l'Église, XIV, 417 et
suiv. Sa naissance, 417. Ses études ; il se I090ouio9i.
fait moine à Citeaux ; sa conduite pendant ui3.
son noviciat; il fait profession avec plusieurs UH.
gentilshommes qui l'avaient suivi, 418. Il
fonde le monastère de Clairvaux et en est
fait abbé ; succès de cet établissement ; fon-
dation du monastère de Trois-Fontaines et ms.
de celui de Fontenay ; ses exhortations por-
tent Humbeline sa sœur à renoncer au iii9.
monde, 419. Son voyage à Paris ; il assiste 1122.
à plusieurs conciles, 419 et 420. Il refuse 1130.
divers évêchés ; de quelle manière il reçoit
à Clairvaux le pape Innocent II ; il l'accom-
pagne à son retour en Italie ; il passe en Al- 1132.
lemagne pour réconcilier Lothaire avec les usa.
neveux de son prédécesseur, 420. Son se-
cond voyage en Itahe ; il assiste au concile 1134.
de Pise; il engage les Milanais à reconnaître
le pape Innocent II, 420 et 421. L'augmen-
tation de sa communauté l'oblige à rebâtir
un monastère dans un lieu plus étendu et
plus commode ; il va en Aquitaine et y fait 1135.
reconnaître le pape Innocent II ; son troi-
sième voyage en Italie ; ses travaux pour 1137.
éteindre le schisme, 421. Il le fait finir en_ nsg.
tièreraent, 421 et 422. Ses représentations
au pape nu sujet de Pierre de Pise; il fait
condamner Abaillard au concile de Sens ; il luo.
fonde divers monastères ; il réconcilie le roi n4t.
Louis VII avec Thibaud, comte de Champa-
gne ; avec quel succès il prêche la seconde 1145.
croisade, 422. Il combat et confond les Hen- 1147.
riciens, 422 et 423. Il convainc d'erreur la n48.
doctrine de Gilbert de la Porée sur l'essence
divine ; pour consoler le pape Eugène III
dans ses afflictions, il compose ses livres de
la Considération ; sa mort, 423. Son éloge ; 1153.
témoignages rendus à sa sainteté et à sa
doctrine, 423 et 424. Sa Vie écrite par diffé-
rents auteurs, 424. Ses ouvrages : ses Let-
tres, 424 et suiv. Livres de la Considération,
460 et suiv. Eu quelle année ils ont été com-
posés, 460. Analyse de cet ouvrage; premier
livre, 460 et suiv. Second livre, 462,463.
Troisième livre, 463, 464. Quatrième livre,
464, 465. Cinquième livre, 463. Traité des
Mœurs et des Devoirs des évêques, 466, 467.
Livre de la Réforme des clercs, 467. Livre du
Précepte et de la Dispense, 467 et suiv. Apo-
logie de saint Bernard au sujet de son livre
154
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
contre les moines de Cluny, 470 et suiv.
Quelle en fut l'occasion, 470, 471. Analyse
de cet ouvrage; première partie, 471. Se-
conde parlie, 471 et 472. Livre à la louange
des chevaliers du Temple, 472 et suiv. Traité
des Degrés d'humilité et d'orgueil, 474, 475.
Rétractation de saint Bernard, 475. Traité
de l'Amour de Dieu, 47S et 476. En quel
temps il fut écrit, 475. Analyse de ce traité,
475 et 476. Traité de la Gnlce et du Libre
arbitre, 476 et suiv. A quelle occasion il fut
écrit, 476. Analyse de ce traité, 476 et suiv.
Traité du Baptême; jugement sur ce traité,
478, 479. [Observations de l'éditeur, 479.]
Traité contre les erreurs d'Abaillard; Vie
de saint Malachie, archevêque d'Irlande, 480
et suiv. Ce qu'il y a de remarquable dans
cette Vie, 481, 482. Traité du Chant ou de la
Correction de l'Antiphonier, 482, 483. Ser-
mons de saint Bernard, 483 et suiv. Carac-
tère de ces sermons; en quels jours saint
Bernard prêchait ; à quelle heure, 483. Il
prêchait en latin aux religieux et en langue
vulgaire aux frères convers. Sermons du
temps ; sermons des saints; sermons sur di-
vers sujets, 484. Sermons sur le Cantique des
cantiques, 484 et 485. En quel temps ils ont
été composés ; ils sont au nombre de qua-
tre-vingt-six. Recueil des Sentences de saint
Bernard. Chronologie de sa vie, 485. Ce
qu'il y a de remarquable dans les discours
de saint Bernard, 485 et suiv. Sentiment de
saint Bernard sur l'état des âmes après la
séparation de leur corps, 486, 487; sur l'Eu-
charistie ; sur la grâce, 487; sur l'usage des
biens de l'Église et sur l'abus qu'on en fait,
487 et 488 ; sur les enfants morts sans bap-
tême, 488. Doctrine des hérétiques de Colo-
gne réfutée par saint Bernard dans deux de
ses sermons, 488 et 489. Différents ouvrages
faussement attribués à saint Bernard, dont
on a depuis découvert les véritables auteurs,
489 et suiv. Vie de saint Bernard par Guil-
laume de Saint-Thierri, 493 ; par l'abbé de
Bonneval ; par Geoffroi ; recueil de ses mi-
racles, 494. Autres Vies de saint Bernard,
494 et 495. Doctrine de saint Bernard sur
l'Eucharistie, 495. Autres lettres de saint
Bernard, 495, 496. Hymne sur saint Mala-
chie, 496. Jugement sur les écrits de saint
Bernard, 496, 497. Catalogue des éditions et
traductions qu'on en a faites, 497 et suiv.
[Le pape Innocent II lui écrit ; réponse à
une lettre, 267.] Lettre qu'il écrivit aux car-
dinaux sur l'élection du pape Eugène III,
269. Lettre que lui écrit Abaillard, 326, 327.
Lettre de Hugues Métellus qui lui est adres-
sée, 363. Sa Vie commencée par Guillaume,
abbé de Saint-Thierri, 390 ; continuée par
Arnaud, abbé de Bonneval, 616. [Un livre
sur sa mort par Odon, abbé de Moriraond,
625.] Son épitaphe par Philippe de Bonne-
Espérance, 687. [Relations de saint Bernard
avec Richard, prieur de Saint-Victor, 698.
Lettres de Henri, archevêque de Reims, à
ce saint, 731. Il dénonce Nicolas, son secré-
taire, au pape Eugène, 732. Ce que Nicolas,
moine de Saint-Alban, dit de l'opinion de ce
saint sur l'immaculée conception de Marie,
737, 738. Saint Bernard fait élire Alain,
évèque d'Auxerre; il écrit à ce sujet à Louis
le Jeune, 784. Vie de saint Bernard par
Alain d'Auxerre, 785 , 786.] Sermons de
Guillaume d'Auvergne pour le jour de sa
fête, 1027. Saint Bernard dénonce, au con-
cile de Sens, les erreurs qu'il avait trouvées
dans les écrits d'Abaillard, 1116. Il se trouve
au concile de Vézelay oii il prêche la croi-
sade, 1118. Il refuse d'en être le chef, 1119,
(Voyez l'Histoire littéraire de saint Bernard
formant un supplément à l'Histoire littéraire
de la France.)
[BERNARD, curé d'une église de Sala-
manque. Lettre dti pape Honorius II au su
jet des biens qui avaient été enlevés à son
église, XIV, 253.]
[BERNARD, évêque de Saint-Davids, re-
fuse de reconnaître l'archevêque de Cantor-
béry pour son métropolitain ; le différend est
porté devant le Saint-Siège, XIX, 277.]
[BERNARD, différent de saint Bernard,
abbé de Clairvaux, consulte Richard, prieur
de Saint- Victor, qui lui adresse deux traités,
703.]
[BERNARD DE COMPOSTELLE. Son Re-
cueil de décrets du pape Innocent III ,
1017.]
BERNARD, abbé de Fontcaud. On a de
lui un traité contre les Vaudois. [Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie, 803. Son
traité contre les Vaudois, 803 et 804.]
BERNARD, prieur de Cluny. Son épitaphe
par Pierre le Vénérable, XIV, 522.
BERNARD (Dom), religieux de Sept-Fonts.
Sa dissertation pour prouver que les ouvra-
ges attribués à saint Denis l'Aréopagite sont
véritablement de lui, X, 543, 544.
BERNE, nommé évêque d'Autun par le
roi Charles le Chauve, XII, 505.
BERNELIN, disciple de Gerbert. (Il com-
1125.
XIII siècle.
XII siècle
XII siècle.
IX siècle.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
155
1097.
V.948.
X siècle.
IX siècle.
1008.
1013.
lOU.
1132.
posa quelques écrits. Voyez ce qui en est
dit dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VI, p. 69 et suiv., 579 et 581, et le Sup-
plément, t. XII, p. XX et suiv.)
BERNER, abbé de Homblières. Voyez
Bernier.
BERNER, élu abbé de Dol après la mort
d'Adelbert, archevêque de Bourges, XIV, 99.
BERNHARD, abbé de Saint-Gai, succède
à Hermonte ; instruction qu'il adresse à un
de ses moines qui allait à une académie de
belles-lettres pour se perfectionner, XII ,
747. (Il en est parlé dans l'Histoire littéraire
de la France, tome IV, p. 245 et suiv.)
BERNIER ou BERNER est tiré de l'abbaye
de Saint-Remi de Reims pour élre fait abbé
de Homblières ; il y établit des moines à la
place des religieuses qui y étaient aupara-
vant ; il réforme plusieurs autres monas-
tères; temps de sa mort; ses opuscules sur
sainte Hunegonde, première abbesse de
Homblières ; son sermon sur la nativité de
la sainte Vierge ; son traité sur la commé-
moraison de la sainte Vierge qu'on fait le
samedi, XII, 864. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, tome VI, p.
403 et suiv.)
BERNIER, abbé de Marmoutier, établi
par saint Maïeul, calomnié par les anciens
moines, XIH, 29.
BERNOLD, du diocèse de Reims. Sa Vision
racontée par Hincmar, archevêque de Reims,
XII, 648.
BERNON (le Bienheureux), abbé de Gi-
gny, de la Baume et de Gluny. Lettre que
lui écrit le pape Formose, 738. Il reçoit au
monastère de la Baume Odon, depuis abbé
de Cluny, 804, 805. Odon lui succède, 805.
— Bernon rebâtit Cluny et y rétablit l'ob-
servance régulière, XIII, 155. Charte delà
fondation de l'abbaye de Cluny sous son
inspection, 473, 474. Ses plaintes au concile
de Varennes au sujet du monastère de la
Baume, 733.
BERNON, abbé de Richenow, succède à
Immon, XIH, 123, 124. Rétablit le monas-
tère et rappelle les moines que la Irop
grande sévérité d'Immon avait fait en aller;
il accompagne à Rome l'empereur saint
Henri et assiste à son couronnement : il fait
confirmer les privilèges de son monastère,
et oblient pour lui celui de célébrer avec
les sandales et autres ornements pontifi-
caux ; on l'oblige à se désister de ce privi-
lège : sa mort. 124. Ses écrits ; traité de la
925.
992.
1001.
1022.
Messe, 124 et 125. Le traité de l'Office de la
messe, ou Micrologue, n'est pas de lui ;
traité du Jeûne des Quatre-Temps ; traité du
Jeûne du samedi, 125. Traité sur l'Avent,
125, 126. [Traités de Musique ; ils ont été
publiés par Dom Gerbert ; sont reproduits
dans la Patrologie, 126]. Lettres de Bernon,
là et suiv. Vie de saint Udalric; Vie de saint
Méginrad, qu'on lui attribue, 128. Vers at-
tribués à Bernon, 128 et 129. Lettre d'Aribon
archevêque de Mayence qui lui est adressée,
129. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France , t. VII, p. 375 et suiv.)
BERNON, ermite du mont Eccel, près
Zurich, est nommé évêque de Melz par le
roi Henri ; ses ennemis lui arrachent les
yeux et lui font d'autres outrages; concile
tenu à ce sujet ; il se démet et Adalbéron
est élu pour lui succéder, XIII, 745.
BERNOUARD (Saint), évêque d'Hildes-
heim; sa naissance, son éducation; ilsuccède
à Gerday dans l'évêché d'Hildesheim, XHI,
66. Son différend avec Wiligise, archevê jue
de Mayence, au sujet de l'abbaye de Gan-
deshem, 66 et 67, et XIV, 1033. — Sa mort;
sa canonisation par le pape Céleslin III.
Bulle de ce pape à cet effet, XIII, 67, [XIV,
944.] — Sa Vie écrite par Tangmar, prêtre
d'Hildesheim, XIH, 66, 67. Continuée par un
anonyme; Recueil des Miracles opérés à son
tombeau, 67. [Sa Vie et le Recueil de ses
Miracles dans la Patrologie, 70.]
BERNOUIN, évêque de Besançon, sous-
crit au testament de Charlemagne , XII,
274.
BERNOUL, prêtre de Constance. Voyez
Bernard.
BERNOWIN, évêque de Clermont. Petites ix siècie.
pièces de poésies qui nous restent de lui,
XII, 274. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. IV, p. 481 et suiv.)
BERNRIED : lettre du pape CalUxte II qui uga.
approuve l'institution des chanoines régu-
liers de Bernried, XIV, 1098.
BÉROLD, bibliothécaire de l'église mé-
tropohtaine de Milan, auteur du plus ancien
Recueil des rites de la Liturgie ambrosienne,
XIH, 5.
BÉRON et HÉLIX, réfutés par saint Hippo- m siècle,
lythe, I, 626 et suiv.
BÉRONICIEN, évêque de Tyr, fait diffi-
culté d'accéder à tout ce qu'exigeait saint
Cyrille d'Alexandrie, ce qui détermine celui- «g.
ci à adresser un nouveau formulaire contre
Nestorius, VIII, 302.
156
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
V. H88.
856.
884.
915.
600.
BÉRONIGIEN, secrétaire du consistoire au
concile de Chalcédoine, X, QSi.
BERTAD, moine d'Inde, (l'un des quatre
qui écrivirent une lettre touchant saint
Benoît d'Aniane). (Voyez ce qui en est dit
dans ï Jïistoire littéraire de la France, t. V,
p. 34.)
[BERTAUT (Jean), abbé : sa traduction
française avec annotations de quelques opus-
cules de saint Ambroise, 386.]
BERTCHRAN, évéque du Mans. Voyez
Bertrand.
BERTECHILDE. Son éloge par Fortunat,
XI, 406, 407.
BERTEGYSILE, abbé. La lettre à saint
Didier de Caliors, XI, 734.
[BERTÈRE ou BERTIER, auteur de deux
pièces de vers latins sur les Croisades ; édi-
tions qu'on en a faites, XIII, 546.]
BERTHAIRE (Saint), abbé duMont-Cassin
succède à Bassace ; il fait environner de
murs son monastère et bâtir une ville au
pied de la montagne ; il reçoit au Mont-
Cassin l'empereur Louis et l'Impératrice En-
gelberge sa femme, XII, 695. Les Sarrasins
brûlent le monastère et font mourir Ber-
thaire ; on l'honore comme martyr; ses
écrits, 696. [On n'a publié que le poème sur
saint Benoît et sur sainte Scholastique et
l'écrit sur le jeune, 696.] — Il est auteur des
antilogies attribuées à saint Julien de To-
lède, XI, 794. Du Pin le met au xi' siècle,
d'après Trithème. (Voyez l'article de saint
Berthaire dans VHistoire littéraire de la
France, t. V, p. 606 et suiv. et le Supplé-
ment, t. X, p. Ij et suiv.)
BERTHAIRE ou BERTHIER, prêtre de
l'Église de Verdun, auteur de l'histoire des
évêques de cette ville, XII, 772, 773. —
Elle est continuée par un anonyme et en-
suite par Laurent de Liège , XIII , 239.
(Voyez son article dans VHistoire littéraire de
la France, t. VI, p. 134 et suiv.)
BERTHE, fille de Caribert, roi de France,
et épouse d'Ellielbert, roi d'Angleterre. Le
pape saint Grégoire lui écrit au sujet de
saint Augustin de Canlorbéry, XI, 521.
BERTHE ou BERTHADE, reine de France,
épouse de Pépin le Bref et mère de Cbarle-
lemagne. Lettre que lui écrit le pape
Etienne IH, XH, 118.
BERTHE, fille de Cliarlemagne, épouse
Angilbart, depuis abbé de Cenlule ou de
Sainl-Riquier, XII, 219.
BERTHE, reine de France, épouse du roi
Robert. Son mariage déclaré nul par le
pape Grégoire V, XIII, 28.
BERTHE, reine de France, épouse du roi
Philippe. Ce prince la quitte pour épouser
Bertrade, XIV, 491.
BERTHGUID, successeur de saintOudocée
dans l'évêché de Landaff, XI, 883.
BERTHIER, prêtre de Verdun. Voyez
Berthaire.
BERTHOLD ou BERTHOU, prêtre de xi sièci..
Constance. Sa Chronique, XIII, 403. On le
croit le même que Bernald, ou Bernaldi, ou
Bernard auteur de quelques écrits, 403 et
404 ; [mais on a tort, 403, note 3]. Cette
Chronique est la continuation de celle
d'Hermann Contracte, 403. Berthold dou-
tait de la sincérité du retour de Bérenger,
172.
BERTHWALDE, archevêque de Cantor-
béry. Lettre que lui écrit le pape Constantin
au sujet du monastère de Covesham, XII,
23. [Autre lettre du pape Constantin à Ber-
thwalde, 23, n. 3.] Bertbwalde préside au
concile de Béchancelle, p. 966 et à celui de
Bergamstède, 967.
BERTIN (Saint), abbé de Sithiu. Sa Vie
attribuée à Folcain, abbé de Lobes, XII,
873. Différentes Vies qu'on a de ce saint ;
Histoire de l'invention et de la translation de
ses reliques par l'abbé Bouen, XIII, 260.
Deux Vies de ce saint composées par Folcard,
abbé de Torney, 260 et 343. Sa Vie écrite
par le moine Folcard, 353. — Recueil chro-
nologique des chartes et diplômes du mo-
nastère de Saint-Bertin, XII, 861. [Observa-
tions de M. Guérard dans sa préface du
Cartulaire de Saint-Bertin, 860, note 4.] —
Chronique de ce monastère, XIII, 186.
[Continuation du Recueil des Miracles de
saint Bertin, 260.] Bulle du pape Victor II
pour l'élection libre des abbés de Saint-
Bertin, 240. Privilège accordé à cette abbaye
par Baudoin, comte de Flandre; Victor II
accorde aux moines la liberté de choisir leur
abbé, sans la participation de l'évêque de
Térouane, 260. — Lettres de saint Bernard
à l'abbé et aux religieux de Saint-Bertin,
XIV, 457.
BERTIUS (Pierre). Ses notes sur les livres
de Boëce de la Consolation de la Philo-
sophie, X, 663.
BERTHOLD, moine de Mici ; il est auteur ix siède.
d'une Vie de saint Maximin. (Voyez ce qui
en est dit dans VHistoire littéraire de la
France, t, V, p. 7 et suiv.)
1052.
1056.
1057.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
586.
623.
IX siècle.
m siècle.
242.
ion.
BERTRADE ou BERTHE, reine de France,
épouse de Pépin le Bref. Voyez Bertlie.
BERTRADE DE MONTFORT, femme de
Foulques Rechin, comte d'Anjou. Le roi
Philippe l'épouse, XIV, 49d . Voyez Philippe,
roi de France.
BERTRAM. Nom sous lequel on a mis à
l'index le traité de l'Eucharistie composé
par Ratramne, moine de Gorbie, XII, SS6.
BERTRAND, évéque de Bordeaux, accusé,
XI, 366.
BERTRAND ou BERTCHRAN, évéque du
Mans, succède à Baldégisile ; différentes
affaires dans lesquelles il est employé ; ses
fondations; samort^ XI, 631. Son testament,
632, 633. Éloge que Fortunat fait de ses
poésies. Nous n'en avons rien conservé ;
Fortunat fait deux poëmes eu son honneur,
632. [Édition du testament de Bertchran dans
la Patrologie, 632.] (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. III, p. 527
et suiv.)
BERTRAND, moine de Gharroux. Il est
auteur d'un poëme sur la Musique. (Voyez
ce qui en est dit dans l'Histoire littéraire de
la France, i. y, p. 662.)
BERTRAND , moine de la Ghaise-Dieu.
Voyez Bernard, moine de la Ghaise-Dieu.
BERTRUDE ou BERTRADE , reine de
France, épouse de Pépin le Bref. V. Berthe.
BERTULFE (Saint), abbé de Bobio. Sa Vie
écrite par le moine Jonas, XI, 6i7 et 737.
BERTULFE , ordonné archevêque de
Trêves contre le gré de Louis de Germanie,
XII, 609. Lettre d'Hincmar de Reims à cette
occasion, 685.
BÉRYLLE, évêqne de Rostres, en Arabie,
n, 136 et 420. II tombe dans l'erreur, 136
et 420. Les évèques s'assemblent pour le
tirer de l'erreur. Il est converti par Origène ;
les écrits de Bérylle sont perdus. En qi'el
temps il a fleuri, -420. Goncile qui fut assem-
blé contre lui, 533, 554.
BÉRYTE, ville de Phénioie. Histoire du
miracle qui y arriva à l'occasion d'une image
du Sauveur, IV, 180. — Goncile tenu en
cette ville, X, 145. Elle est érigée en métro-
pole, puis réduite à son premier état au
concile de Chalcédoine, 690, 691.
[BESALU : érection de cette Église en évê-
ché, 193.]
BESANÇON, [ville de l'ancienne Bour-
gogne, chef-lien du département du Doubs.]
On croit que le concile où l'évêque Quéli-
doine fut déposé, fut tenu dans cette ville.
157
VIII, 436 et 613. — Elle eut pour évêqiie
saint Protade, XI, 632. — Opuscule de saint
Pierre Damien, adressé à l'archevêque de
Besançon, XIII, 319. — Autre concile tenu
en cette ville, XIV, 1037.
BÉSAS (Saint), martyr à Alexandrie, II,
402.
[BESNARD. Sa traduction allemande des
écrits de Tertulhen, II, 87.]
BESSA, abbesse d'un monastère à Jéru-
salem. Lettre que lui écrit l'impératrice
Pulchérie, VIII, 474.
BESSAN, église disputée entre les abbés
de Saint-Tibéri et de la Chaise-Dieu, adjugée
à celui de Saint-Tibéri, XIV, 600.
BESSARION, abbé. Ce qui en est dit dans
l'Histoire Lausiaque de Pallade, VII, 489.
BESSIN (Guillaume), bénédictin. Sa Pré-
face et ses Notes sur les lettres du pape saint
Grégoire le Grand, XI, 583.
BÊTES. Pourquoi les bêtes sauvages nous
inspirent de la crainte, VII, 147.— Comment
les bêtes ont été transportées dans les îles,
IX, 314.
BÉTHÉLIE, bourg du territoire de Gaza,
dont l'historien Sozomène était originaire,
VIII, 525.
BETHLÉEM, ville de la Palestine. Du
temps d'Origène, on y montrait la grotte où
Jésus-Christ était né, IL 249.— Du temps de
saint Jean Chrysostôme, on y venait des ex-
trémités de la terre, VII, 360. Du temps de
saint Jérôme, on y montrait la grotte et la
crèche où Jésus-Christ avait reposé, 700.
[BETHMANN : soné dition du Pontifical de
Gondecbar, XIII, 326, n. 4. Son édition de
la Chronique d'Arras par Baudri, 482. Son
édition de l'histoire de Milan, par Landulphe,
307. Il édite avec Waltcmbach l'Histoire de
l'abbaye de Saint-Hubert, 596].
BETTY (Joseph). Sa traduction française
de l'Apologétique de Tertulhen, II, 86.
BÉTULÉE (Xiste), savant allemand. Son
édition des hvres Sibyhins, 1, 307.— Ses Com-
mentaires sur les œuvres de Lactance, II, 520.
[BEUGNOT (Arthur) , son édition des
Assises de Jérusalem, XIII, 527.]
BEUVÉRUS ou BÉVRÉRUS (Jacques). Sa
version latine de plusieurs lettres de saint
Basile, IV, 348, — ei de dix homélies de
saint Jean Chrysostôme, VII, 433
BÉVÉRÉGUISouBÉVÉRIDGE (Guillaume)
évéque de Saint-Asaph, en Angleterre. Ses
Notes sur le commentaire de Théodore
Balsamon sur les canons, XIV, 826.
251.
453.
H34.
V siècle.
m siècle
138
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
II siècle.
BÈZE , monastère rétabli par Albéric ,
évêque de Langres, qui fait confirmer dans
un concile les donalions qui lui avaient été
faites, XIII, (J66, 667.
BÈZE (Théodore de), ministre de Genève.
Sa version latine du discours de Théodore,
abbé de Raïthe, sur l'Incarnation, XI, 787.
BÉZIERS, ville de Languedoc, concile qui
y fut tenu. Saint Hilaire de Poitiers y dé-
nonce les protecteurs des Ariens, III, 524 et
IV, 3. — Signes extraordinaires qui parurent
en cette ville au v* siècle, VIII, 432.
BIANCHINI (François), chanoine de sainte
Marie-Majeure. [Son édition du manuscrit
des évangiles do saint Eusèbe de Verceil,
IV, 277.] — Son édition des Vies des papes re-
cueillies ou composées par Anastase le Bi-
bUothécaire, XII, 715 et 718.
BIBLE. Livre des Saintes Écritures : exem-
plaire manuscrit de la version de lu Bible
par Ulphilas, évêque des Goths, conservé
dans la bibliothèque d'Upsal, en Suède, IV,
346j, 347. — Deux poèmes de ïhéodulplie
d'Orléans pour être mis au commencement
et à la fin d'une Bible, XII, 268. Bible dont
Vivien, abbé de Saint-Martin de Tours, fait
présent à Charles le Chauve, 439. Voyez
Ea-iture Sainte.
BIBLIOTHÉCAIRE. Ses fondions dans
l'Ordre de Cluny, XIII, 475.
BIBLIOTHÈQUE de saint Pamphile mar-
tyr, à Gésarée de Palestine, II, 523. — Acace
de Césarée et Euzoïus travaillent à la réta-
bhr, IV, 323.
BIBLIOTHÈQUE d'Eberard , comte de
Frioul. Catalogue des livres qui la compo-
saient, XII, 613.
BIBLIOTHÈQUE de Photius ou sommaire
des livres qu'il avait lus, XII, 721 et suiv. Idée
de cet ouvrage, 722. Éditions qu'on en a faites,
722, [723 et979.]Traduction projetée parl'ab-
bé Gédoyn, 723. [Autres traductions, 723.]
BIBLIOTHÈQUE LORRAINE deD. Calmet.
Erreur relevée dans cet ouvrage au sujet de
Pierre Strohol, XIH, 448.
BIBLIOTHÈQUE. Remarques de Raban-
Maur, sur les bibliothèques, XII, 448. — Bi-
bliothèque estimée aussi nécessaire dans un
monastère qu'un arsenal dans une forte-
resse, XIV, 410.
BIBLIS (Sainte), martyre de Lyon. Son
martyre, I. 469.
BIGLAIR, monastère fondé dans les Pyré-
nées par Jean, depuis évêque de Girone,
XI, 425, 426.
[BICRELL, éditeur de l'Histoire des con-
ciles, H, 536.]
BIEN. Morale de saint Ambroise sur le
bien honnête et le bien utile, dans son livre
des Offices, V, 443. — Livre de la Nature du
bien contre les Manichéens, IX, 10, ouvrage
de saint Augustin, 349 et suiv. Origine du
bien moral, selon la doctrine de saint Au-
gustin, 479. Ce que saint Augustin dit du
souverain Bien dans sa lettre àDioscore, III.
— Sentences des Pères sur le souverain
Bien, recueiUies par Fulbert de Chartres,
XIII, 88.
BIENHEUREUX. Sentimentde saintPaulin
sur l'occupation éternelle des bienheureux
après la résurrection, VIII, 79. Voyez Saints.
BIENS DE CETTE VIE : Il ne faut point
s'y attacher. Homélie vingt-unième de saint
Basile le Grand, IV, 389, 390.
BIENS DES CHRÉTIENS consacrés à Dieu,
I, 528.
BIENS DE L'ÉGLISE ou des CLERCS, ou
des moines ; emploi qu'on faisait des biens
de l'Église dans les premiers temps ; témoi-
gnage de saint Cyprien, II, 295 et 378.
L'Église avait des biens-fonds dèsle iv" siècle,
519. Canons apostoliques, trente-neuvième
et quarante-unième sur les biens del'Égfise,
584. Canon quatorzième du concile d'Ancyre,
638. — Lettre de Constantin au proconsul
Anulin, pour la restitution des biens de
l'Église, m, 133 et 143. Édit du même
prince pour la restitution des biens enlevés
aux fidèles, 145. Canons vingt-quatrième et
vingt-cinquième du concile d'Antioche sur
les biens temporels des églises, 470. — Ar-
gent et ornements des églises enlevés par
Julien, V, 199. Témoignage de saint Grégoire
de Nazianze sur les biens des églises, 331,
352. Témoignages de saint Ambroise, 574.
— Canon seizième du concile d'Hippone, Vil,
713. Autres canons du même concile, 716.
Canon treizième du troisième concile de Car-
thage, 729. Canon quarante-neuvième, 725,
726. Canon de quelque concile de Carthage,
726. Canon trente-unième et trente-deu-
xième du quatrième concile de Carthage, 729.
Canon quatrième du cinquième concile de
Carthage, 734. — Règlement du concile géné-
ralde Carthage, VIII, 538. Canons d'un concile
d'Hippone, 562. Canon vingt-deuxième du
sixième concile de Carthage, 566, 567. Ca-
non trente-troisième du même concile, 567.
— Lettre de saint Augustin à Alypius sur les
biens des moines, IX, 92, 93. — Saint Léon
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
dS9
défend aux évêques de Sicile de dissiper les
biens des églises, X, 210. Aliénation des
biens des églises défendue par saint Hilaire,
pape, dans une lettre aux évêques des Gaules,
337. L'aliénation en est défendue par un
concile de Rome, 716 ; par un autre concile
de Rome, 729. Décrets d'un autre concile de
Rome contre les usurpateurs de ces biens,
732, 733. Dispositions du concile d'Agde,
737, 739, 740, 742, 743. Canons du premier
concile d'Orléans, 743. — Aliénation des
biens de l'Église défendue par les Novelles
de Justinien, XI, 257 ; permise en certains
cas, 237, 258, 259, 260. Inventaires des biens
de l'Église oi'donnés par saint Grégoire le
Grand, 496. Comment les biens doivent être
partagés selon le pape saint Grégoire, 524.
Canons du concile d'Epaone sur les biens dos
églises et des monastères, 814, 813. Aliéna-
tion des biens d'église défendue par le troi-
sième concile d'Orléans, 857, par le qua-
trième, 839, 860, par le cinquième, 863.
Canons du troisième concile de Paris, 883.
Canon d'un concile de Brague, 883. Canons
du deuxième concile de Tours, 890. Autres
canons d'un concile de Brague, 891, 892.
Aliénation défendue par un concile de To-
lède, 901. Canons du cinquième concile de
Paris sur les biens de l'Église, 912. — Or-
donnances du pape saint Grégoire II, XII, 26.
Traité de la Dispensation des biens ecclésias-
tiques, ouvrages d'Agobard, archevêque de
Lyon, 373. Statut de Riculfe, évêque de
Soissons sur les biens de l'Église, 746.
Traité d'Alton de Verceil, oùl'auteur s'élève
contre l'abus que l'on faisait des biens de
l'Église, 823, 824. Ce que dit Ralhérius de
Vérone sur les biens de l'Église, 831. Ca-
nons du quatrième concile de Tolède, 918.
Canons d'un concile de Chalon-sur-Saône,
931. Canons du neuvième concile de Tolède
concernant les biens de l'Église, 933. —
Lettre de Fulbert de Chartres sur l'usage
des biens ecclésiastiques, XIII, 83. Ce que
dit saint Pierre Damien contre l'aliénation
des biens d'églises, 302, 303. Traité ou
recueil de passages dans lequel saint An-
selme de Lucques prouve que les biens
de l'Église ne sont point à la disposition du
roi, 394. Concile de Cloveshou contre les
usurpateurs des biens d'églises, 640. Canon
d'un concile de Chalon-sur-Saône, 646, 647.
Remontrances des évêques d'Aix-la-Chapelle
au roi Pépin, sur les usurpations des biens
ecclésiastiques, 668. Canon d'un concile de
Touzi,693 ; réitéré dans un concile deDouzi,
716. Lettre synodale d'un concile de Fismes
sur les biens de l'Église, 730. Canons d'un
concile de Mayence, 731, 732. Canon d'un
concile de Vienne, 734. Concile de Fismes
contre ceuxqui s'en emparaient et les pillaient
746. Constitution de l'empereur Othon III,
764. — [Pénitence imposée aux ravisseurs
des biens de l'ÉgHse, XIV, 279.] Ce que dit
saint Bernard sur l'usage des biens de
l'Église et sur l'abus qu'on en fait, 487, 488.
Concile de Poitiers qui ordonne aux usur-
pateurs des biens de l'Église, de les resti-
tuer, 1047. Décret de Guillaume, comte de
Barcelone, contre les usurpateurs des biens
d'Église, 1059. Canon d'un concile de Poi-
tiers sur les biens ecclésiastiques, 1076. Ca-
non d'un concile de Guastalle, 1079. Canon
d'un concile de Reims, 1093. Canon du pre-
mier concile général de Latran, 1096. Gauoa
d'un concile de Dalmatie, 1145.
BIGAMES. Témoignage d'Origène sur les
bigames, II, 235. Canon apostolique dix-
septième sur les bigames, 382. Canon
trente-huitième du concile dElvire, 609. —
Canon attribué au concile de Nicée, 111,431.
Canon premier du concile de Valence, 601.
— Décrets d'un concile de Rome, IV, 612.
Canons quatrième et douzième dans la pre-
mière épitre canonique de saint Basile le
Grand, 460 et 462. — Témoignage de saint
Ambroise, V, 442 et 532. —Décrets du pape
saint Sirice, VI, 102. — Canons quatrième
cinquième et sixième daus la lettre du pape
saint Innocent à saint Victrice de Rouen,
VII, 507 et 506. Décisions de ce pape dans
sa lettre aux évêques d'Espagne, 310. Ca-
non premier dans la lettre du même pape
aux évêques de Macédoine, 314. Canon deu-
xième dans la lettre du pape saint Innocent
à Félix, évêque de Nocéra, 523. Décision
du pape Zosime, 536. Lettre de saint Jé-
rôme à Océanus sur les bigames, 634. Sa
réponse aux reproches que Rufin lui fuit à
cette occasion, 614. Son sentiment sur ce
point a été rejeté, 614 et 680. Canon soi-
xante-neuvième du quatrième concile de
Carthage, 731. Canons troisième et qua-
trième du concile de Tolède, 739, 740, 741.
— Le pape saint Célestin défend de les éle-
ver à l'épiscopat, VIII, 130. Saint Procle ap-
prouve l'ordination d'un bigame, 409. Or-
donnance du concile de Telle ou Télepte,
561. Le concile d'Orange défend d'élever les
bigames au-dessus du sous-diaconat, 609.
160
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Dispositions du second concile d'Arles con-
tre les bigames, 612. —Exemples de quelques
évêques bigames, X, 23. Les bigames doivent
être exclus des ordres sacrés ; saint Léon
met au nombre des bigames ceux qui avaient
épousé des veuves, 261. Bigames exclus des
ordres supérieurs au y" siècle, 3S8. Canon
d'un concile de Rome sur ce point, 716. Dis-
positions du concile d'Agde à leur sujet,
736. — Bigames exclus du sacerdoce eu
Espagne, XI, 428. Témoignage de saint Gré-
goire le Grand sur l'exclusion des bigames,
530 et 372. Canon du concile d'Espagne
qui exclut des saints ordres les bigames ,
814. Canon du quatrième concile d'Orléans
qui les exclut, 860. — Pénitence imposée
aux trigames, XII, 774. Canon du concile
Quinisexte contre les bigames, 960. — Ceux
qu'on doit regarder comme bigames selon
le pape Innocent III, XIV, 969.
BIGLINIZA ou VIGILANTIA, mère de
l'empereur Justinien, XI, 254.
BIGNE (Margarin de la), docteur de Sor-
bonne. Son édition des œuvres de saint Isi-
dore de Séville, XI, 727.
BIGNON (Jérôme), avocat au parlement
de Paris. Son édition des Formules de Mar-
culphe, XI, 741.
BILI, évêque de Saint-Malo. (Il est auteur
d'une légende de ce saint. Voyez dans l'His-
toire littéraire de la France, tome IV, p. 194.)
[BILLARDON (Ed.-L. de Sauvigny). Sa
traduction française des œuvres de saint Si-
doine Apollinaire, X, 399.]
BILLY [en latin BILLIUS] (Jacques de),
abbé de Saint-Michel en l'Herm. Ses notes
sur saint Justin, I, 445. — Sa version latine
des œuvres de saint Grégoire de Nazianze,
V, 360. — Son édition des œuvres de saint
Épiphane de Salamine, VI , 437; — et de
celles de saint Jean Chrysostôme, VII, 434.
Sa traduction des trois premiers livres des
lettres de saint Isidore de Péluse, 498. —
Son édition des œuvres de saint Jean Da-
mascène, XII, 97, 98.
BINGUE, lieu près duquel sainte Hilde-
garde bâtit le monastère du mont Saint-Ru -
perl, XIV, 591.
[BIRGH , éditeur de VAuctarium codicis
apocryphi Novi Testamenti, I, 273.]
BIRCHEllMER. Sa traduction latine du Dis-
cours ascétique de saint Maxime, abbé de
Chrysopolis, XI, 764.
BIRR (Sixte de), surnommé Bétulée, sa-
vant allemand. Voyez Bélulée.
BISSŒUS (Edouard). Sa version latine
d'un écrit attribué à Pallade d'Hélénople in-
titulé des nations de l'Inde et des Brahmanes,
VII, 493.
BJTHYNIE, province d'Asie. Concile de
Bithynie en faveur d'Arius, III, 417, 418.
BIVAR (François), moine de Citeaux. Son
comnaentaire sur la chronique de Dexter,
VI, 279.
[BLAISE, évêque de Sébaste et marlyr.
Neuf hymnes en son honneur par saint Jean
Damascène, XII, 89 et suiv. Godescard a eu
tort de dire que la vie de ce saint nous était
inconnue, 91.]
BLAITMAIG (Saint), martyr. Poème de
Walafride Strabon en son honneur, XII,
417.
BLAMPIN (Thomas), bénédictin de la con-
grégation de Saint-Maur. Son édition des
œuvres de saint Augustin, IX, 816.
BLANC (Richard le). Sa traduction fran-
çaise du traité de saint Jean Chrysostôme
sur le Sacerdoce, VII, 437.
[BLANC (l'abbé). Sou récit des différentes
phases de la liturgie, XIII, 2 et suiv.]
BLANCHE , comtesse qui s'était faite reli-
gieuse. Opuscule que lui adresse saint Pierre
Damien, XIII, 320.
BLANCHE-SELVE [en latin Sylva candida.
Privilèges accordés à l'église de Blanche-
Salve par le pape Sergius III, XII, 743.] —
Bulle du pape Victor II qui accorde à l'église
de Blanche-Selve les offrandes qu'on ferait
sur le grand autel de Saint-Pierre le jeudi
et le samedi saint jusqu'à la fin de la messe
du jour de Pâques, XIII, 240.
BLANCHINI(François),chanoinedeSainte-
Marie-Majeure. Voyez Bianchini.
BLANCKWALT (Just). Son édition des
lettres de sainte Hildegarde, XIV, 593.
BLANDINE (Sainte). Son martyre. Homé-
lie de saint Eucher de Lyon en son honneui',
VIII, 434.
BLANDUS, prêtre, l'un des légats du pape
Hormisdas à Constantinople, X, 621.
BLANDUS, évêque d'Orta, retenu à Ra-
venne par le patrice romain, XI, 483.
BLASPHÉMATEURS. Zèle de saint Jean
Chrysostôme contre eux, VII, 59. — His-
toire d'un enfant accoutumé à blasphémer,
XI, 478 et 565. — Article d'un capilulaire
de Louis le Débonnaire contre les blasphé-
mateurs, XII, 382. — Canon d'un concile
d'Ingelheim, XIII, 660. Loi de Renneth, roi
d'Ecosse, 670.
1057.
TABLE GENERALE
BLASPHÈME CONTRE LE SAINT-ES-
PRIT. En quoi il consiste selon saint Basile,
IV, 398 et 405. — Selon saint Pacien, V,
168. — Traité du B. Odon, évêque de Cam-
brai, sur ce péché, XIV, 76. [L'esprit de
blasphème n'est-il autre chose que le blas-
phème contre le Saint-Esprit? question exa-
minée dans un opuscule par Richard, prieur
de Saint-Victor, 705.]
iisiécie. BLASTE, prêtre schismatique. Lettre de
saint Irénée à Blaste,!, 517. — Son schisme,
ir, 540 et 544.
384. BLÉSILLE , fille de sainte Paule. Saint
Jérôme lui promet l'explication du livre de
l'Ecclésiaste, VII, 563, 564. Lettre de saint
Jérôme à sainte Marcelle sur la conversion
de Blésille ; lettre de saint Jérôme à sainte
Paule au sujet de la mort de Blésille, 589.
BLEURVILLE dans le Saintois. Bulle du
pape Léon )X pour ce monastère, XIII, 202.
II siècle. BLITERON, auteur d'un ou deux poëmes
lugubres. (Voyez ce qui en est dit dans
l'Histoire littéraire de la France, tome XI, p.
137 et suiv.)
BOBBON, trésorier du roi Clotaire II.
Saint Éloi se met sous sa conduite, XI, 753.
V. 612 BOBIO, lieu d'Italie ou saint Colomhan
établit un monastère, XI, 616.
BOBOLÈNE, moine de Luxeuil ou de Gran-
fel. (Il a composé la Vie de saint Germain,
abbé de Granfel. Voyez ce qui en est dit
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
m, p. 631 et suiv.)
BOBON, évêque de Digne, déposé, XII,
932,
BOBON, diacre qui se fit juif et se maria,
XII, 690.
BOCARD (Jean). Édition qu'il donne avec
Josse Clichtou des œuvres de saint Bernard,
XIV, 497.
BOCQUILLON (Noël), de l'Académie de
Soissons. Sa traduction française des dis-
cours de saint Ephrem d'Édesse sur la com-
ponction, VI, 73.
BOECE (Flavius), consul, père du suivant;
sa mort, X, 645.
470. BOECE (Anicius-Manlius-Torquatus-Seve-
rinus-Boetius), sénateur romain. Sa nais-
sance ; il va à Athènes faire ses études ;
490. après la mort de son père il revient à Rome,
est fait patrice ; ses deux mariages ; sa ma-
500. gnificence lors de l'entrée de Théodoric à
Rome lui concilie la bienveillance de ce
prince, X, 645. Il assiste à une conférence
sur les erreurs d'Eutychés et écrit contre
ÏAB. I.
DES MATIÈRES. 161
lui ; par ordre de Théodoric, il réforme les
monnaies qui avaient cours dans l'empire,
et règle les poids et mesures, 646. Il envoie
au roi Clovis des musiciens, et au roi Gon-
debaud des cadrans solaires et des hydrau-
liques, 646 et 647. Il fait chasser de Rome
les manichéens et les magiciens, 647 et 648.
Il est fait consul. Lettre de félicitalion que 5io.
lui écrit saint Ennode , évêque de Pavie,
648. Il prend la défense de saint Césaire
d'Arles, accusé devant Théodoric, 648 et
649. On lui offre une seconde fois le consu- 52ï.
lat; il le fait déférer à ses deux fils, 649. II
est calomnié auprès de Théodoric qui le fait 525.
mourir, 649 et 650. Ses écrits : Traité des
Deux Natures et d'une Personne en Jésus-
Christ, 650 et suiv. Analyse de ce traité,
650. Livre de l'Unité de Dieu, 654 et suiv.
Traité sur cette question : Si le Père, le Fils
et le Saint-Esprit peuvent être affirmés sub-
stantiellement de la Divinité, 656, 657.
Traité sur cette question : Si tout ce qui est
est bon ; Profession de foi de Boëce ; il en
est véritablement l'auteur, 657. Analyse de
cette profession, 658 et suiv. Les cinq livres
de la Consolation de la philosophie sont de
Boëce, 660. Analyse de cet ouvrage, 660 et
suiv. Écrits de Boëce sur Porphyre, 663;
sur Aristote, 663 et 664; sur Cicéron; Traité
de l'Un et de l'Unité ; la Discipline des étu-
diants ; ouvrage attribué à Boëce et qui ne
peut être de lui ; ses livres sur les Mathé-
matiques ; ses écrits perdus ; jugement des
écrits de Boece, 664. Éditions et traductions
qu'on en a faites, 665. [Éditions nouvelles;
Trois écrits de Boëce pubhés récemment
par Ang. Maï, 665.] Vie de Boëce par l'abbé
Gervaise avec l'analyse de ses ouvrages ,
etc., 665. — Il est arrêté et mis à mort, XI,
113. Il n'a point accompagné le patrice Ter-
tullus au Mont-Cassin, 159. — Ëpigramme
pour son portrait composée par Gerbert ,
XII, 903, 904
BOECE ( Anicius-Manlius-Severinus), fils
du précédent, consul sur le refus de son 522.
père, X, 649.
BOECE EPON, paraît être auteur du traité
de la Discipline des étudiants attribué au
philosophe Boëce, X, 664.
BOECE (Wlfin), auteur d'une vie de saint tx siècle.
Junien de Maire, XI, 693. (Du Pin et Baillet
le font évêque de Poitiers. Cependant les
auteurs du Gallia Christiana qui parlent de
lui à l'occasion de saint Junien, ne le met-
tent point au rang des évèques de Poitiers.
. 11
162
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
865.
S66.
Peut-être a-t-on rapporté à Boëce ce qui
regardait Maire dont il pouvait être moine,
que l'on nomme Mairé-l'Evescan en Poitou.)
Voyez Dlfin Boéce.
BOÉMOND. Voyez Bohémond.
BOERNÉRUS (Frédéric), entreprend une
traduction latine de la Bibliothèque de Pho-
tius, XII, 723.
BCESA (Dominique). Son édition des œu-
vres de Gassien, VIII, 204.
. [BGîSEK, éditeur du Codex diplomaticus
Moraviœ, XIII, 96. J
BOÉTIUS. Deux ou trois auteurs de ce
nom. Voyez Boëce.
BOGOMILES, hérétiques qui ont pour au-
teur un médecin nommé Basile, XIII, 359.
— Ils sont condamnés par l'empereur Alexis
Comnène; leur chef brûlé vif, XIV, 140. Dé-
tail des erreurs des Bogomiles, selon Euty-
mius Zigabène, ISO, 153 et 653. Lettre
d'Eutymius contre les Bogomiles, 133, 653.
[Le pape Innocent III demande au roi de
Hongrie, contre les Bogomiles répandus en
Bosnie , l'application des peines portées
contre les hérétiques, 975, Ses efforts pour
réprimer cette hérésie, 983.] Leurs erreurs
condamnées dans un concile de Constanti-
nople, 1117.
BOGORIS rois des Bulgares, se fait bap-
tiser et prend le nom de Michel, XII, 382. II
consulte le pape saint Nicolas P' sur plusieurs
points; réponse du pape, 382 et 583. Lettre
que lui écrit le pape Jean VIII pour l'enga-
ger à se séparer des Grecs, 644.
BOHÈME, contrée d'Allemagne. Chroni-
que de Bohême par Gôme, doyen de l'Église
de Prague, XI V, 173 et suiv.
• BOHÉMOND, prince d'Antioche, fils aîné
de Robert Guiscard duc de Pouille, écrit à
Godefroi de Bouillon ; réponse, XIII, 527,
528. Comment il s'engagea à la croisade,
529, 330. — Devenu prince d'Antioche, il
accomplit le vœu qu'il avait fait étant pri-
sonnier des Sarrasins, de venir en pèleri-
nage au tombeau de saint Léonard à Noaillé,
XIV, 1080.
BOILEAU (Jacques), docteur de Sorbon-
ne. Son édition du traité de Ratramne sur
l'Eucharistie ; sa traduction française de ce
traité, XII, 557.
[BOISSONADE, éditeur des Anecdota grœ-
ca, XI, 280, XII, 59. — 11 pubHe divers trai-
tés de Psellus, XIII, 337, n. 2. — Quelques
fragments des écrits de Constantin Manas-
sès avec notes et traduction, XIV, 643,J
BOLESLAS II, duc de Bohême. Lettre que xsié
lui écrit le pape Jean Xlli pour l'érection
d'un évêché et la fondation d'un monastère,
XII, 833.
BOLESLAS, duc de Pologne, procure la
convei-sion de la Poméranie , XIV, 178 [et
181.]
BOLESWILLER. Monastère fondé pour xi si
des filles dans la Forêt-Noire, XIII, 470.
BOLOGNE (ou Boulogne), ville d'Itahe.
Saint Pétrone, évèque de cette ville, X, 161.
[Immunité des chanoines de cette ville ac-
cordée par le pape Jean XIII, 833.]
BOLOTIN (Payen), chanoine de Chartres.
Voyez Payen Bolotin.
BON. Traité où le philosophe Boêce exa-
mine si tout ce qui existe est bon, X, 637.
[BONACGHI (E.), auteur de deux disser-
tations sur les sermons et le martyre de
saint Zenon, VI, 273 et 273.]
BONACURSE, Milanais. On a de lui un xic sied,
traité contre les Cathares et autres héréti-
ques de son temps. Voyez du Pin. [C'est le
même qui est nommé comte romain ; son
livre contre les Cathares, XIV, 802, 803.]
BONAVEN, village de Bretagne, où na-
quit saint Patrice, X, 444.
BONET (Saint), évêque de Clermont. (On
lui attribue un traité contre les hérésies de
Novatien et de Jovinien.)
BONPRÉRIUS (Jacques), jésuite. Son édi-
tion du livre d'Eusèbe sur les pays de la
Terre-Sainte ; sa version latine du même
ouvrage, 111, 316.
BONGARS (Jacques), savant critique. Son
recueil des historiens de la Croisade, sous
le titre de Gesta Francorum, XIII, 329.
[BONGIOVANNI (Antoine). Son édition de
l'Apologie de Chalcédoine par Léonce de
Byzance ; c'est un extrait du livre contre les
Monophysites publié par Mai, XI, 673.]
BONHEUR de l'homme. Doctrine de Lac-
tance, II, 308, 309. — Deux poëmes de saint
Grégoire de Nazianze sur le bonheur de
l'homme, V, 273. Livres de Jacob et de la
Vie bienheureuse, ouvrage de saint Am-
broise, 408 et suiv. — Doctrine de Boëce,
X, 661, 662. Voyez Vie heureuse, Bienheu-
reuse, Béatitude.
BONHOMME (Alfonse). Sa traduction la-
tine de l'écrit de Samuel de Maroc, rabbin
converti, XIII, 348.]
BONIFACE (Saint), martyr à Tarse, II, ^^'
476, 477. [Authenticité des actes de son
martyre, 476, u. 4, et 477, n. 6.]
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
163
418.
m.
420.
422.
419.
422.
529.
531.
601.
BONIFACE, évêque d'Afrique. Lettre que
lui écrivit saint Augustin, IX, 102, 103.
BONIFACE , comte de l'empire romain.
Saint Augustin le détourne de quitter le
monde, IX, 18. Lettres que saint Augustin
lui écrit, 152 et suiv., 160, 179 et 180. Let-
tres supposées de saint Augustin àBoniface
et de Boniface à saint Augustin., 194.
BONIFACE I" (Saint) , pape et confes-
seur, Vin, s et suiv. ; il est élu pape ; diffi-
culté sur son élection, o. Lettre du concile
d'Afrique à Boniface, 7. Lettre de Boniafce
à Patrocle d'Arles et aux autres évêques des
Gaules, 7 et 8. Lettre de Boniface à Rufus
de Thessalonique, 8 et 9. Lettre de saint
Augustin à Boniface, 9. Lettre de Boniface
à l'empereur Honorius, 9 et 10 ; à Rufus et
aux évêques de Thessalie ; à Rufus et aux
évêques qui devaient s'assembler à Corinthe,
10, 11 ; à Hilaire de Narbonne, 11 ; à Valen.
tin, primat de Numidie, 11 et 12. Zèle de
Boniface contre les Pélagiens ; décrets at-
tribués à saint Boniface, 12. [Lettre de Bo-
niface aux trois légats en Afrique, 12. Lettre
de Boniface à Juste, évêque de Cantorbéry,
12; on s'est trompé en l'attribuant à ce pape,
elle est de Boniface V. Éditions des écrits de
saint Boniface, 12 et 13.] — Il est le même
que le prêtre Boniface à qui le pape saint
Innocent écrivit une lettre, VII, S13. — Qua-
tre livres de saint Augustin à ce saint pape
contre les Pélagiens, VllI, 9, et IX, 474. Let-
tre synodale du sixième concile de Carthage
au pape Boniface touchant l'affaire d'Apia-
rius, S68. Époque de la mort de saint Boni-
face, 12 et 127. Il fut élu pape après la mort
de Zosime, 569 et 570. Schisme occasionné
par l'élection d'Eulalius faite par un autre
parti; il prend le gouvernement de l'Église,
570.
BONIFACE II (Saint), élu pape. Il fait
anathématiser l'antipape Dioscore après sa
mort ; dans un concile il se fait autoi'iser à
se désigner un successeur; il annule ensuite
lui-même ce décret ; concile qu'il tient à
Rome pour examiner les plaintes d'Etienne
de Larisse, XI, 114. Sa mort; la lettre à Eu-
lalius, évêque d'Alexandrie, est supposée ;
preuves ; la lettre à saint Césaire d'Arles est
certainement de saint Boniface II, 115. Ce
qu'elle contient, 115 et 116. — Décrétale
qui lui est attribuée faussement, VI, 95. —
Il approuve et confirme les canons du con-
cile d'Orange sur la grâce, XI, 837.
BONIFACE III, pape, succède à Sabinien,
610.
617
XI, 645. Concile quïl tient à Rome, 910. Il
ne nous reste rien de ses écrits, 645.
BONIFACE IV, pape, succède à Boni- gos.
face III ; il obtient de l'empereur Phocas la
conservation de la primauté de son Église
contre les prétentions des patriarches de
Constantinople, XI, 645. [Ses écrits dans la
Pafroloffie, 645, note 5;] sa mort, 645. Lettre ^^
que lui écrit saint Colomban pour justifier
l'usage où il était de célébrer la Pâque le
14 de la lune, 645 et 627. Autre lettre qu'il
lui écrit en faveur des défenseurs des Trois
Chapitres, 645. Concile que ce pape tient à
Rome, 910, 911.
BONIFACE V, pape, succède à Deusde-
dit ; analyse de ses trois lettres sur la con-
version des Anglais, X, 646. [Lettre à Juste,
archevêque de Cantorbéry, 646. On a eu
tort de l'attribuer à saint Boniface P'', VIII,
12.] Édition des lettres de Boniface V dans
la Patrologie, 646. Mort de ce pape, 647.
BONIFACE VI, pape, succède à Formose
et ne siège que quinze jours, XII, 739.
BONIFACE VII , élu pape du vivant de
Benoît VI, est chassé après sa mort et se
l'etire à Constantinople, XII, 835. Il revient
après la mort de Benoît VII , s'empare du
siège de Rome, et fait périr Jean XIV; sa
mort après onze mois de pontificat, 846.
BONIFACE, prêtre de l'Église romaine, un
des légats envoyé par le pape saint Léon au
concile de Chalcédoine, X, 174, 220 et 582.
Plaintes qu'il y forme, 688.
BONIFACE (Saint), diacre, martyr sous
Hunéric, X, 462, 463.
BONIFACE, évêque arien, parle pour son
parti dans la Conférence de Lyon, X, 554.
BONIFACE, primicier des notaires. Ana-
lyse de la lettre que Denis le Petit lui a
écrite sur la Pâque, XI, 123, 124.
BONIFACE, évêque de Carthage, assem-
ble un concile où la primauté de l'évêque
de Carthage sur les églises d'Afrique est
reconnue, XI, 528 et suiv.
BONIFACE, diacre de l'Église romaine, en-
voyé à Constantinople en qualité de nonce par
le pape saint Grégoire, XI, 440 et 531. L'em-
pereurPhocas se prend d'amitiépourlui,440.
BONIFACE, évêque de Férente, dont parle
le pape saint Grégoire dans ses Dialogues,
XI, 474.
BONIFACE, auteur de la Vie de saint Li- yjj ji^^,^^
vin dont il était contemporain, XI, 742.
(Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. VI, p. 546 et suiv.)
896.
973.
985.
451.
525,
603.
164
HISTOmE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
BONÎFACE (Saint), archevêque de Mayen-
ce. [Ouvrages à consulter sur saint Boniface,
V. 680. XII, 43, n. 7.] Sa naissance et son éduca-
719. tion, 45, 46. Il forme le dessein d'aller an-
noncer l'Évangile aux infidèles et reçoit sa
mission du pape saint Grégoire II; il prêche
723. en Allemagne ; il informe le pape Grégoire
de ses succès, vient à Rome et est ordonné
évêque régionnaire ; Charles Martel le prend
sous sa protection ; Bonitace retourne dans
la Hesse et dans la Thuringe où il continue
d'exercer sa mission, 46. Le pape saint Gré-
,3i_ goire m lui envoie le pallium ; il fait un se-
738-739 cond voyagc à Rome, où le pape le retient
quelque temps ; il vient en Bavière, où il réta-
blit la foi et érige plusieurs évêchés ; il pré-
7.i2 743 side à deux conciles ; il fonde l'abbaye de
74i. Fulde et plusieurs autres monastères ; il est
V745. établi archevêque de Mayeuce ; il choisit le
prêtre Lulle pour son coadjuteur; il va en
Frise où il convertit beaucoup de monde, 47.
755. Il est tué par les païens avec tous ceux de sa
suite, 47 et 48. Sa Vie écrite par deux au-
teurs différents, 48. Recueil des Lettres de
saint Boniface ; ce qu'elles contiennent de
remarquable, 48 et suiv. [Différentes édi-
tions des lettres de saint Boniface, 48, n. l.
Lettre de saint Boniface aux hommes reli-
gieux des Gaules ; indication de sept lettres
qui lui sont adressées^, 48.] Canons ou sta-
tuts qui lui sont attribués, 52, 53. Analyse
des quinze homélies qui lui sont attribuées,
53 et suiv. Fragment d'un écrit qui porte le
nom de saint Boniface, sur la manière d'a-
bréger la pénitence, 55. Ecrits de saint Bo-
niface perdus, 55 et 56. [Sa grammaire la-
tine publiée par Mai, 56. Jugement de ces
ouvrages ; éditions qu'on en a faites, 56.
[Éditions récentes ; édition dans la Patrolo-
gie, 56 et 57.] Serment qu'il prêta au pape
saint Grégoire II le jour de son ordination, 24.
Différentes lettres que lui écrivent les saints
papes Grégoire II, 24 et 25; Grégoire III, 27,
28 ; et Zacharie, 29. Lettre que lui écrit saint
Egbert, archevêque d'York, 66. Sa Vie par
Willibald , évêque d'Eichslat , 129. Vers
d'Alcuin en son honneur, 214. Sa vie par
Lutger, évêque de Munster, 218. La trans-
lation de son corps décrite par Candide,
moine de Fulde, 383. Sa Vie écrite en vers
par Ruthard, moine d'Hirsauge, 353. — Sa
vie écrite en vers par Méginfroid, prévôt de
Magdebourg, XIII, 95. Sa Vie retouchée par
Othlon, moine de Saint-Emmeran de Ratis-
bonne, 283. Il présida àplusieurs conciles, 606
et suiv. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, tome IV, p. 92 et suiv.)
BOiNIFACE ou BRUNON (Saint), apôtre
des Russes. Voyez Brunon.
BONIFACE, évêque d'Albane, cardinal.
Lettre que lui écrit saint Pierre Damien ,
Xni, 300.
BONISON, abbé de Saint-Pierre hors des i036.
murs de Pérouse, est maintenu dans ses
droits contre André^ évêque de cette ville,
XIII, 196.
BONIZON, évêque de Sutri, puis de Plai-
sance, est chassé de Sutri pour son attache-
ment au pape saint Grégoire VII ; se re-
tire à Plaisance ; les partisans du pape
l'élisent évêque; violences qu'exercent con- 1089.
tre lui les partisans de l'antipape Guibert;
il meurt de ses blessures, XIII, 562. Sa
Chronique des papes et ses autres ouvrages,
562 et 563. [Écrits publiés depuis D. CeiUier :
Livre à un ami; analyse de cet ouvrage, 563
et 564. Opuscule sur les sacrements, 564 et
suiv. Fragments de ses Vies des souverains
pontifes, 566. Le Décret ou recueil de dé-
crets, 566, 567. Jugement sur ces écrits,
567.]
BONNES ŒUVRES. Voyez Œuvres.
BONNET DE L'ORATOIRE. Sa traduction
française du Mémoire de Vincent de Lérins,
VIII, 467 ; — et des œuvres de Salvien, X.
378. — [De l'Histoire de France par saint
Grégoire de Tours, XI, 399.]
BONNON, abbé de Gorbie en Saxe. Voyez
Bomn.
BONCEUIL SUR MARNE , près Charen-
ton. Concile tenu en ce lieu, XIII, 688, 689.
BONOSE (Saint), soldat romain, martyr. 3G2.
Actes de son martyre, III, 409, 410. — Il
est assisté par saint Mélèce, V, 9.
BONOSE, évêque de Sardique, accusé au 39i.
concile de Capoue, IV, 655. Le concile le
renvoie aux évêques de Macédoine, 656. —
L'hérésie de Bonose réfutée par saint Am-
broise, V, 455. Lettre touchant l'affaire de iv sièci.
Bonose faussement attribuée à saint Am-
broise ; elle est du pape saint Sirice, 496. —
Lettre du pape saint Sirice à Anysius de
Thessalonique sur l'affaire de Bonose, VI,
107. — Lettres du pape saint Innocent au
sujet des clercs ordonnés par Bonose^ VII,
514, 513. Voyez Bonosiaques.
BONOSE, ami de saint Jérôme. Sa retraite,
VII, 580.
BONOSE, évêque, père de saint Rustique,
évêque de Narbonne, X, 199.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
163
443.
BONOSE, le même que Hatton, abbé de
Pulde, Xir, 4S8.
BONOSIAQUES. Dispositions du concile
d'Arles à leur sujet ; on les a confondus
sans raison avec les Photiniens, VIII, 612.
— Ils sont combattus par Justinien, évêque
de Valence en Espagne, XI, 264. Décision
du pape saint Grégoire sur leur baptême,
526.
BONRECUEIL (Joseph Durantyde). Voyez
Duranty.
BONS. Comment, selon Cassiodore, on les
distingue des méchants, XI, 241.
BONS-HOMMES. Nom que prenaient les
hérétiques albigeois, XIV, 1137.
BONUS, moine, suit les erreurs de Lépo-
rius, VIII, 233.
■ BOOZ, époux de Ruth. Son éloge par
Théodoret, X, 32.
BORADES, barbares, font une irruption
dans le Pont, II, 444.
it siècle BORBORIENS, hérétiques, J, 502.
1023. BORCET, monastère. Discussion entre
l'archevêque de Cologne et l'évêque de Liège
pour la juridiction sur le monastère de Bor-
cet, la quelle est adjugée à l'évêque de Liège,
XIV, 1040.
BORDEAUX , [ville de France , autrefois
384. capitale de la Guyenne]. Concile qui y fut
tenu contre les Priscillianistes, IV, 640. —
1080. Autre contre Bérenger, XIII, 171. — Au-
1093. très, XIV, 1037, 1069 et 1074.
[BORDIER (Henri). Sa traduction de l'His-
toire ecclésiastique des Francs par saint
Grégoire de Tours ; du livre des Miracles et
des autres opuscules de saint Grégoire de
Tours, XI, 399.]
BORDIER (François), abbé de Saint-Vic-
tor. Son édition des œuvres de Hugues de
Saint-Victor, XIV, 349.
[BOREL traduit en français quelques let-
tres de saint Bernard, XIV, 500.]
VII siècle. BOSA, évêque d'Agulstad, XII, 21.
XI siècle. BOSON, abbé du Bec. Son épitaphe par
Milon Crispin, XIII, 459. (On lui attribue
quelques écrits. Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. XI, p.
619 et suiv.)
879. BOSON^ duc de Lombardie, se fait élire
roi d'Arles au concile de Mantes, près
Vienne, XHI, 728.
BOSON, évêque de Saintes, déposé, XIV,
1072.
BOSPHORE,. évêque de Colonie en Cap-
381. dadoce, assiste au concile de Constantino-
ple, IV, 618, et V, 266. — Lettre que saint
Basile le Grand lui écrit, IV, 438. — Lettres
que lui écrivit saint Grégoire de Nazianze,
V, 249. Lettres du même saint en faveur de
Bosphore, 266. Sa conduite justifiée par les
soins de saint Amphiloque d'Icône, 367.
BOSPtIORIE, femme du comte Sévérien, vsièoic.
VII, 483. Ce qui en est dit dans l'Histoire
lausiaque de Pallade, 490.
BOSQUET (François), évêque de Lodève
et ensuite de Montpellier. Son édition de la
Synopse des lois de Michel Psellus avec une
traduction latine et des notes, XIII, 336. —
Son édition de plusieurs livres de lettres du
pape Innocent III, XIV, 931.
BOSTRES en Arabie. Bérylle, évêque de m siècle.
Bostres, II, 136 et 420. — Tite, autre évê- ivsiécie.
que, IV, 339 et suiv. Lettre de l'empereur
JuHen aux Bostriens, 339.
BOTONIATE (Nicéphore), empereur de
Gonstantinople. Voyez Nicéphore Boloniate.
BOTRUS, l'un des auteurs du schisme de m siècle.
Carthage, H, 621.
BOTULFE (Saint), abbé d'Ilianoam en
Angleterre. Sa Vie attribuée à Folcard, abbé
de Torney, XHI, 344.
BOUC ÉMISSAIRE. Explication mysté-
rieuse qu'en donne saint Cyrille d'Alexan-
drie, VHI, 293 ; —et Théodoret, X, 30.
BOUCHARD [ou BOUCHART ou BUR-
CHARD ou BROCARD], évêque de Worms,
né dans la Hesse, de parents nobles, fait ses
études d'abord à Coblentz, puis :\ Lobes, en-
suite à Liège ; il s'attache à Willègise, ar-
chevêque de Mayence; l'empereur Otton III loosou loos.
le fait évêque de Worms; il se fait instruire
par le moine Olbert ; sa vie pénitente, XIII,
91. Il assiste au concile de Sélingstad, dont 1022.
il nous a conservé les canons, 91 et 92. Sa
mort ; sa Vie par un anonyme ; son Décret 1026.
ou recueil de canons ; par qui il fut aidé
dans la composition de cet ouvrage ; des-
sein qu'il s'était proposé, 92. Sommaire de
ce Décret, 92 et 93. Editions de ce Décret,
93. [Pourquoi l'ouvrage de Bouchard a été
appelé Brocardia ou Brocardianum opus, 91,
n. 2, Notices sur l'auteur, 91. Edition de
son Décret dans la Patrologie, 93.] Abrégé
de ce Décret par un anonyme ; lettre de
Bourchart à Alpert qui lui avait dédié son
traité de la Variété des temps, 93. [Édition
de cette lettre dans la Patrologie, 93.] Ses
fondations ; époque de son épiscopat, 93.
BOUCHARD H, archevêque de Lyon. An- joag.
née de sa mort, XIII, 131.
166
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
BOUCHARD, comte de Melun et de Cor-
beil, informé des désordres qui régnaient
dans l'abbaye de Saint-Maur-des-Fossés ,
entreprend d'y rétablir le bon ordre, XIII,
1012. 233, 234. Il meurt dans cette abbaye après
y avoir pris l'habit monastique, 234. Sa vie
écrite par Odon, moine des Fossés; éditions
et traductions qu'on en a faites, 233. [Édi-
tion de sa Vie dans la Patrologie; traduction
et notice par M. Guizot, 233.]
V. 1096. BOUCHARD, fondateur de l'abbaye de
Murbach pour des chanoines réguliers, XIII,
S83.
BOUCHE, discours de saint Valérien de
Cémèle, sur l'insolence de la bouche, X, 136.
BOUCHE DE PORC , nom du pape Ser-
gius IV, selon Ditmar, XIII, 189.
BOUCHER [en latin BUCHERIUS], (GiUes),
jésuite. Sa traduction latine du Cycle pascal
de saint Hippolyte, I, 641 ; — et de celui de
Victorius, X, 340.
BOUCHET (Jean), procureur à Poitiers.
Sa traduction française de la Vie de sainte
Radegonde par Fortunat, XI, 318.
[BOUCHITTÉ. Sa traduction du Monologue
et du Prologue de saint Anselme, XIV, 43.]
[BOUGAUD, aumônier de la Visitation de
Dijon, actuellement vicaire-général de Mgr
l'évêque d'Orléans. Son Etude historique et
critique sur la mission, les actes et le culte
de saint Bénigne, 631.]
BOUHÉREAU (Élie), ministre protestant.
Sa traduction française de l'ouvrage d'Ori-
gène contre Celse, II, 255, 236.
BOUILLART (Jacques), bénédictin. Son
édition du Martyrologe d'Usuard ; sa lettre
au P. du SoUier sur ce martyrologe, XII,
612. Différence des deux éditions du P. Sol-
lier et de D. Bouillart, 613.
[BOUILLON, cLûteau en Flandres. Triom-
phe de Bouillon, ouvrage de Régnier, moine
de Saint-Laurent, 796.]
BOUILLON (Jean). Sa traduction française
du traité de la Vie contemplative de Julien
Pomère, X, 399.
[BOUIX (D.), défend la mémoire de saint
Grégoire VII, XIII, 371 et suiv.]
BOULANGER ou BOULENGER (Jules-Cé-
sar), jésuite. Ses observations sur Arnobe,
II, 493.
[BOULANGER, abbé. Sa traduction fran-
çaise des Confessions de saint Augustin, IX,
813.]
1043. BOUON, moine, puis abbé de Saint-Ber-
tin, succède à Roderic ; il écrit l'Histoire de
l'invention et de la translation du corps de
saint Berlin, XIII, 260. Privilèges qu'il ob- I056-io57
tient pour son abbaye, 260 et 261 . Sa mort, loes.
261.
[BOUQUET, bénédictin. Son Recueil des
historiens de France, XI, 399.]
[BOURASSÉ, chanoine de Tours. Son édi-
tion des écrits du vénérable Hildebert, XIV,
223 ; des écrits de Marbode, 225.]
BOURDIN (Maurice), antipape sous le
nom de Grégoire VIII ; ses commencements ;
il passe en Espagne où il est fait évêque de 1095.
Coïmbre, puis archevêque de Braga; son luo.
voyage à Rome ; le pape Pascal II le fait iU5.
son légat pour traiter de la paix avec l'em-
pereur Henri IV ; il passe ses pouvoirs et
couronne ce prince; il est excommunié pour un.
ce sujet au concile de Braga ; l'empereur le
fait élire pape en concurrence de Gé- lus.
lase II ; lettres de Gélase à son sujet, XIV,
1089. Il est pris dans la ville de Sutri et en- U2i.
voyé au monastère de Cava, 1098.
BOURG, sur la Garonne. Description de
la maison qu'y avait le sénateur Pontius,
par saint Sidoine, X, 397.
BOURGEOIS (Jean), abbé de la Chaise-
Dieu ou plutôt de la Merci-Dieu, chargé par
le clergé de France de donner avec Aubert
une édition des œuvres de saint Ephrera,
VI, 72.
BOURGES en Berry. Concile qui y fut
tenu. Saint Simplice en est élu évêque, X,
717. — Autres conciles de Bourges, XIII,
670, 671, XIV, 1043, 1044 et 1118.
BOURGOGNE, [autrefois duché et pro-
vince de France, formant maintenant plu-
sieurs départemeuts.] Concile qui y fut tenu,
Xm, 731, 732.
BOURGOIN DE VILLEFORE (Joseph-
François). Ses traductions françaises de plu-
sieurs ouvrages de saint Augustin, IX, 814.
— Traduction française des Lettres de saint
Bernard; Vie de saint Bernard, XIV, 499.
BOURGUIGNON, orateur. Lettre que saint
Sidoine lui écrit sur quelques difficultés de
grammaire, X, 195.
BOURGUIGNONS, peuples étabHs dans les
Gaules. Époque de leur conversion, VI, 94. v.4nou«c
— Cette conversion rapportée par Socrate,
VIII, 522. — Description du caractère de ce
peuple par saint Sidoine, X, 397. Témoi-
gnage de Boëce, 647. — Ils sont vaincus
par les Goths d'Italie, XI, 220.
BOURSE, en latin FOLLIS, somme d'une
certaine valeur, III, 133, note 3.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
167
BOUSSARD [et nonBOUFPARD] (Geoffroi),
docteur de la faculté de théologie de Paris.
Son édition de l'Histoire ecclésiastique d'Eu-
sèbe traduite par Rufîn, III, 31-4.
BOVIUS (Jean-Charles), archevêque de
Brindes. Sa version latine des œuvres de
saint Grégoire de Nysse, VI, 260.
BOVON ou BAVON ou BONNON, abbé de
Corbie en Saxe. (Il composa une Chronique.
Voyez son article dans V Histoire littéraire de
la France, t. IV, p. 233, et t. V, p. 654 et
suiv.)
BOVON, abbé de Saint-Bertin. (Il com-
posa quelques écrits. Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. VII, p.
S64, et suiv., et le Supplément, tome X,
p. Ixv.)
BRACHION, abbé, fondateur de plusieurs
monastères. Sa Vie par saint Grégoire de
Tours, XI, 381.
[BOWDEN. Son ouvrage sur le pape saint
Grégoire VII, XIII, 374.]
1039. [BRACILIO, duc de Bohême. Ses lettres
pour la réforme des mœurs, XIII, 41S.]
BRAGUE [ou BRAGA], ville d'Espagne.
Concile supposé tenu dans cette ville, VIII,
548, 549. — Décrets de ce concile, 549. Let-
tre du prêtre Àvitus à l'Éghse de Brague, X,
3. — Lettre du pape Adrien IV qui ordonna
à l'archevêque de Brague de reconnaître
celui de Tolède pour primat, XIV, 915. —
Conciles tenus en cette ville, XI, 891, et XII,
941. Concile de Fussel ou Huziilos, qui ré-
tablit l'Église de Braga dans son ancienne
dignité de métropole, 1079. Lettre du pape
Callixte II confirmant ses privilèges, 1098.
[BRAIDA. Son édition des œuvres de saint
Ghromace, VII, 495,]
BRAINE, maison royale à quelques lieues
v. 580. de Reims. Concile assemblé en ce lieu par
ordre du roi Chilpéric, XI, 895, 896.
BRANDEFORT en Angleterre. Voyez
Brendford.
IX siècle. BRANIMIR, prince des Slaves, demande
à revenir sous l'obéissance du siège de
Rome. Lettre que lui écrit le pape Jean VIII,
XII, 646.
BRANQUIDES, lieu célèbre par un oracle
d'Apollon, III, 2.
BRAS SÉCULIER. Le concile d'Antioche
permet d'y avoir recours , III , 467. Voyez
Puissance temporelle.
BRASSICAN (Jean-Alexandre). Son édi-
tion des œuvres de Salvien avec des scho-
lies, X, 378.
BRAULION, évêque de Sarragosse, ami
de saint Isidore de Séville, XI, 710. Retou-
che le traité de ce saint évêque sur les Ori-
gines des étymologies, 711. Ce qu'il dit des
autres ouvrages de saint Isidore, 714. Suc-
cède à Jean, son frère, dans l'évêché de 627.
Sarragosse ; assiste à différents conciles ; sa
mort ; il est auteur de l'Éloge et du Catalo- '^- ^w.
gue des ouvrages de saint Isidore de Séville
et d'une Vie de saint Émilien avec une
hymne en son honneur , 728. [Ses lettres
dans la Patrologie ; analyse de ces lettres,
728 et suiv. Vie de saint Émilien, hymne
pour le même saint, hymne en l'honneur
de saint Milhau, 731, 732. Actes des mar-
tyrs de Sarragosse, parBraulion; éditions
de ces écrits, 732.] Saint Isidore lui adresse
deux lettres, 722, [et une troisième, 729. Au-
tres lettres adressées à Braulion, 729 et suiv.]
BRAVON (Florent), moine de Worchester.
Voyez Florent Bramn.
BREC-SPÈSE (Nicolas), Anglais, élu pape, H54.
prend le nom d'Adrien IV, XIV, 911.
BREGENTS, petit pays d'Allemagne. Saint v. 612.
Colomban y prêche la foi et y bâtit un mo-
nastère, XI, 516.
BREGWIN (Saint), archevêque de Can-
torbéry. Sa Vie par Eadmer, disciple de
saint Anselme, XIV, 46.
BRÈME ou BREMEN, évêché d'Allema-
gne. On y unit celui de Hambourg, XII, 525.
Le pape saint Nicolas I" confirme cette union,
526. [Décision du pape Formose par rap-
port à l'Église de Brème, 739.] — Préten-
tions de l'archevêque de Cologne sur l'évê-
ché de Brème, XIH, 733.
BRÉMET [et non BRENET], en Italie. Bulle ,ou
du pape Benoît VIII confirmative de tons les
droits et privilèges de ce monastère, XIII,
192.
BRENDFORD ou BRANDFORD, en An-
gleterre. Concile qui y fut tenu, XIII, 755.
BRENTIUS (Jean). Son édition des cinq
premières homéhes de saint Astère d'Ama-
sée, VI, 310.
[BRÉQUIGNY (de). Son édition des lettres
inédites du pape Innocent III, XIV, 980 et
suiv.]
BRESSE [ou BRESCIA], ville d'Italie. Saint
Philastre en est évêque, V, 171. — Saint
Gaudence aussi, VIII, 34 et suiv.
BRETAGNE (Grande-). Les Pél-agiens y
sèment leur hérésie ; saint Célestin y envoie
saint Germain d'Auxerre, auquel les évo-
ques des Gaules adjoignent saint Loup de
168
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
Troyes, VIII, 145, et X, 556 et 667. — Dis-
cours de saint Gildas sur la ruine de la
Grand-Bretagne, et sur les dére'glements du
clergé de cette île, XI, 319 et suiv. Évêques
de la Grande-BrelMgne soumis à saint Au-
gustin de Cantorbéry, 526. Traité de saint
Adelme de Schirburn contre les erreurs des
Bretons touchant la Pâque, 804. Concile de
Worchester pour les ramener au sentiment
commun, 908, 909.
BRETAGNE, [autrefois province de Fran-
ce, divisée actuellement en plusieurs dépar-
tements.] Lettre du pape Léon IV aux évêques
de Bretagne pour répondre à diverses ques-
tions par eux proposées principalementr su
la simonie, XII, 407. Lettre du pape Jean XIII
aux évêques de Bretagne pour les engager à
reconnaître l'archevêque de Tours pour leur
métropolitain, 833. [Autre lettre de ce pape
relative à cette affaire, 834.] — Les évêques
de Bretagne excommuniés par le pape saint
Léon IX et cités au concile de Verceil parce
qu'ils refusaient de reconnaître l'archevêque
de Tours pour leur métropolitain et qu'ils
étaient accusés de simonie, XIII, 208. Con-
cile tenu par les évêques de Bretagne, 679.
Lettre du concile de Savonières pour les
engager à rentrer sous l'obéissance de l'ar-
chevêque de Tours, 691.
BRETONS, peuple de la Grande ou Petite
Bretagne. Voyez Bretagne.
BREUL (Jacques du), bénédictin. Son édi-
tion des œuvres de saint Isidore de Séville,
XI, 725. — Son édition de l'Histoire des
Français par Aimoin, XIII, 41. — Son édi-
tion de la Chronique du Mont-Cassin par
Léon d'Ostie, 497, et XIV, 583.
BRÉVIAIRES. [Le bréviaire romain ne
mérite pas la critique exagérée de D. Ceil-
lier, II, 619, note 5.] — Origine des bréviai-
res dans le travail de Musée, X, 471. — Es-
pèce de bréviaire dressé par Alcuin, XII,
169. Bréviaire attribué à Etienne, évêque
de Liège, 786. — Ce nom commence à pa-
raître pour désigner un livre ecclésiastique
vers le xii° siècle, XIII, 594. [Bréviaire de
Fontavellano ; ce qu'il contient, 23.]
BREYER (Rémi), chanoine de l'Église de
Troyes. Sa traduction française de la Vie de
sainte Maure écrite par saint Prudence, évê-
que de Troyes, XII, 499.
[BRIAL (Dom), bénédictin, continuateur
de l'Histoire littéraire de la France. Son édi-
tion de la continuation de la Chronique de
Cambrai, XIII, 482, Il est réfuté par rapport
250.
327.
VI siècle.
à ce qu'il dit sur Adam de Saiut- Victor, 715
et suiv. Il publie trente-deux lettres d'É-
tienne de Tournai, 881.]
[BRIANT (Jacques), a publié en latin les
Doctrines du juif Philon, I, 313.]
BRICE, prêtre de Carthage, II, 262.
BRIGE (Saint), évêque de Tours, chassé
de son évêché, se retire à Rome. Justifié, il
remonte sur son siège, VIII, 255. — Il bâtit
une église en l'honneur de saint Martin, X,
441. — Accusé de plusieurs crimes, il est
justifié, XI, 368.
[BRICCIUS, évêque de Nantes. Le pape
Innocent II lui écrit, XIV, 264.]
BRIGIÏIÉSUS (Saint), martyr en Perse,
compagnon de saint Jonas, III, 340.
BRIDFERTH, moine de Ramsey, auteur Xsiède.
d'une Vie de saint Dunstan, archevêque de
Cantorbéry ; ses autres érits, XIII, 58.
BRIÈVETÉ DE LA VIE. Distique de For-
tunat sur ce sujet, XI, 407.
BRIGIDE (Sainte), abbesse de Kildare en
Irlande. Sa vie écrite par Gogitosus son ne-
veu, XI, 348. [Cette sainte est la même que
la suivante.]
BRIGITTE (Sainte), vierge écossaise. Sa
vie écrite par cinq auteurs différents, XII,
129, 130, 131.
BRIONE, ville de Normandie. Le duc
Guillaume le Bâtard y fit tenir une confé-
rence avec Bérenger qui y est confondu, XIII,
167, et XIV, 1057.
BRIOUDE, ville d'Auvergne. Concile tenu
en cette ville, XIV, 1074.
BRISON, eunuque de l'impératrice Eu-
doxie, ami de saint Jean Chrysostôme,
VII, 6.
BRISSON, évêque, ami et défenseur de
saint Jean Chrysostôme, VII, 491.
BRITOUALDE (Saint), archevêque de Can-
torbéry, préside au concile de Béchancelle,
XII, 966; et à celui de Berghamstède, 967.
BRITTON, évêque de Trêves, protège l'é-
vêque Ithace, IV, 640.
BRIXIUS. Sa version latine des homélies
de saint Jean Chrysostôme contre les Gen-
tils, VII, 435. Son édition des seize premiè-
res homélies du même sur l'Épître aux Ro-
mains, 436.
[BROCKIE (Marien). Son Codex regularum,
m, 368, XI, 739.]
[BRONTÛLOGIE, livre prohibé par saint
Nicéphore, patriarche de Gonstantinople ,
Xn, 297,]
BROSSE (de la). Sa traduction française
694.
697
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
169
du traité de Tertullien des Prescriptions, II,
86.
BROSSE (Pierre de la). Ses notes sur les
œuvres de Cassiodore, XI, 234.
BROWER (Christophe), jésuite. Son édi-
tion des œuvres de Fortunat, évêque de
Poitiers, XI, 4H.
BRUMAS, évêque de Cagliari, permet à
saint Pulgence de bâtir un monastère près
de cette ville, XI, 8.
BRUiN DESMARETTES (J.-B. le). Son
édition des œuvres de Lactance, II, 520; —
el de saint Paulin, évêque de Noie, VIII,
98.
isiècie. BRUNECHON, prévôt de Worms, aide
l'évêque Bouchart dans la composition de
son Décret, XIII, 92.
[BRUNEAU, conseiller et avocat du roi.
Sa traduction française du traité contre les
Pétrobusiens par Pierre le Vénérable, XIV,
318.]
BRUNEHATJT, femme de Sigebert, roi
d'Austrasie. Lettre que lui écrit saint Ger-
main , évêque de Paris , pour l'engager à
porter à la paix les rois Chilpéric et Sige-
bert, XI, 307, 308. Témoignage d'une Chro-
nique anonyme sur sa mort, 400. Son épi-
thalame par Fortunat, 406. Poëme à sa
louange par le même, 409. Lettre que lui
écrit le pape saint Grégoire pour lui recom-
mander le prêtre Candide, 304. Elle de-
mande le pallium pour Syagrius , évêque
d'Autun. Lettre que lui écrit saint Grégoire
à cette occasion, 513, 314. Autre lettre que
lui écrit le même pape, 529, 530. A quelle
occasion elle s'indispose contre saint Colom-
ban ; elle pousse son fils, le roi Théodoric,
à l'exiler, 614. Elle exile et fait mourir saint
Didier, évêque de Vienne, 909.
BRUNELLI (Jérôme), jésuite. Son édition
des Apologies de saint Justin, I, 446. — Son
édition de quelques poëmes choisis de saint
Grégoire de Nazianze, V, 360. — Sa version
latine des dix homélies de saint Jean Chry-
soslôme, VII, 433.
[BRUNEMAN. Son édition des écrits de
Lactance, II, 520.]
[BRUNET (Gustave), a traduit en français
les apocryphes, I, 275.]
[BRUNET DE PRESLE. Son Examen cri-
tique de la succession des dynasties égyp-
tiennes, III, 182.]
BRUNNERUS. Sa version latine des let-
tres de saint Ignace, martyr, I, 387.
V. 1040. BRUNO (Saint), instituteur des Chartreux.
Sa naissance ; ses études, XIII, 374. Il est
fait chanoine de Reims , et chargé de la di-
rection des études de cette église, 574 et wn-
264. Démarche qui le brouille avec l'arche-
vêque Manassès; il est chassé de Reims; lost.
il fonde un monastère dans le désert de la
Chartreuse ; il est appelé à Rome par le v. lopo.
pape Urbain II ; ne pouvant s'accoutumer
au tumulte de la cour, il se retire au diocèse
de Squillace en Calabre, où il fonde la se-
conde maison de son ordre, 574. Il refuse
l'archevêché de Reggio ; sentant approcher
sa fin, il assemble les religieux et fait en
leur présence sa profession de foi; sa mort; **"*•
ses écrits: Commentaire sur les Psaumes;
il est véritablement de lui, 573. Idée de ce
commentaire, 376. Commentaire sur les Épî-
tres de saint Paul, 577. Lettre à Raoul le
Verd, prévôt de l'Église de Reims, 377 et
378 ; aux moines de la Grande-Chartreuse,
378. Éditions des ouvrages de saint Bruno,
576. [Édition dans la Patrologie; on y trouve
un discours de saint Bruno sur le Mépris
des richesses et la Confession du saint, 576.]
— Saint Bruno avait été maître des écoles
de la cathédrale de Reims, 264. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. IX, p. 233 et suiv.)
[BRUNO-BRUNI, éditeur des œuvres de
saint Maxime de Turin, X, 323 et suiv. ; —
des œuvres de saint Brunon de Segni, XIII ,
499.]
BRUNON (Saint), archevêque de Cologne,
fils de l'empereur Henri l'Oiseleur. Sa nais- s^s.
sance; ses études ; il est fait abbé de Lau-
reshem; il succède à Wicfrid, archevêque 953.
de Cologne, XII, 838. Le roi Otton, son frère,
l'étabht gouverneur de Lorraine, 838, 839.
Ses soins pour mettre la paix entre les en-
fants de Lothaire, roi de France, et les en-
fants de Hugues le Grand ; sa mort, 838. Sa 965.
Vie écrite par le moine Rotger, 838 et 839.
Son éloge; ses écrits, 839. [Il confirme un
échange, 839. Éditions de sa Vie, 838.] On
l'a confondu avec Brunon d'Ast, évêque de
Ségni, 839. (Voyez son article dans l'His-
toire littéraire de la France^ tome VI, p. 304
et suiv.)
BRUNON, neveu de l'empereur Otton III,
élu pape, prend le nom de Grégoire V, XII, 995.
899. Voyez Grégoire V.
BRUNON, moine de Saint-Vite ou de v. 985.
Gladbac, chargé du soin des écoles de cette
abbaye ; écrits que Trithème lui attribue,
XII, 911. (Voyez ce qui en est dit dans l'His-
170
HISTOIRE DES AUTEERS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
toîre littéraire de la France, t. VI, p. 552 et
suiv.)
980 BRUNON, évêque de Langres. Ses gran-
991 des alliances, XIII, 70. Il assiste au concile
ioi.".. de Saint-Basle, 70 et 761, 762. Sa mort;
sa lettre à Hildric, abbé de Saint-Germain
d'Auxerre ; ses chartes , 70. Lettres que lui
ëcrit le pape Benoît VIII en faveur du mo-
nastère de saint Bénigne de Dijon, 70 et
192. [Ses écrits dans la Patrologie , 70.]
(Voj'ez ce qui est dit de cet auteur dans
l'Histoire littéraire de la France, t. VII, p. 232
et suiv.)
X siècle. BRUNON (Saint), apôtre des Prussiens,
recommandé à Piiigrin, évêque de Passau,
par Otton III, XII, 98.
1033. BRUNON, évêque de Wirtzbourg, succède
1045. à Méginhard ; sa mort ; son Commentaire sur
le Psautier et ses autres ouvrages, XIII, 116.
[Édition de ses écrits dans la Patrologie, 116
et 117.] Jugement sur Brunon, 817.
BRUNON, évêque d'Angers, soupçonné
de favoriser les erreurs de Bérenger sur
l'Eucharistie, XIII, 170 et 275. 11 ne setrou-
1050. ve point au concile de Paris, 170. Il efface,
1062. par une profession de foi catholique , les
souopçons qu'on avait conçus sur sa doc-
trine, 170 et 275. Ce qu'on sait des circons-
1081. tances de sa vie ; sa mort, 275. Sa lettre à
Bérenger, 170 et 275. (Voyez son article
dans V Histoire littéraire de la France, t. VIII,
p. 99 et suiv.)
XI siècle BRUNON ou BONIFACE (Saint), obtient
du pape Jean XVIII la permission d'aller
prêcher Tévangile chez les Russes , XIII ,
189.
lOis. BRUNON, évêque de Toul, élu pape dans
une diète de Worms, XIII, 199. Voyez Léon
/X (saint).
BRUNON, abbé de Montier-en-Der, béni
1050. par le pape saint Léon IX qui lui fait pren-
dre son nom, XIII, 209, 210. Bulle de ce
pape à lui adressée, 209. Circonstances de
sa vie ; sou recueil des miracles opérés par
saint Berchaire, 347. (Voyez ce qui est dit de
lui dans l'Histoire littéraire de la France, t.
VIII, p. 155 et suiv.)
XI siècle. BRUNON, moine. Son Histoire de la guerre
de Saxe, XIII, 402.
BRUNON D'AST (Saint), évêque de Sé-
gni, puis moine, et ensuite abbé du Mont-
Gassin. Ses commencements; à quelle occa-
1079. sion il est fait évêque de Ségni ; il se fait
moine à l'abbaye du Mont-Cassin ; vains ef-
forts pour lui faire reprendre son évêché ;
il est fait abbé du Mont-Cassin après la mort ii04.
d'Otton ; on indispose contre lui le pape iiov.
Pascal II qui l'oblige à se démettre de son
abbaye ; il retourne à son évêché ; sa mort; 1125.
le pape Lucius III le met au catalogue des
saints, XIII, 499. [Édition plus complète de
ses écrits donnée par Bruno-Bruni et repro-
duite par la Patrologie, 499 et 500.] Com-
mentaires sur l'Écriture sainte, 499 et 500,
501. Ses sermons; traité sur les Azymes;
traité des Mystères, 501. Vies du pape Léon
IX et de saint Pierre, évêque d'Anagni, SOI
et 502. Traité de l'état de l'Église dans le
xi'= siècle, 502, 503. Ses lettres, 503, 504.
Les six livres des Sentences ou des Louanges
de l'Église, 504. Jugement sur ses ouvrages,
504 et 505. — Il est auteur des homélies at-
tribuées à Eusèbe d'Émèse, IV, 319. — On
l'a confondu avec saint Brunon, archevêque
de Cologne, XIII, 839. On a de lui un Com-
mentaire sur les Psaumes, 500 et 575.
[BRUNON, archevêque de Trêves. Lettre ma.
qu'il écrit à saint Otton de Bamberg, XIV,
181.]
BRUNON, évêque de Strasbourg, accusé H3i.
d'être intrus dans ce siège, renonce à sa di-
gnité, XIV, 1112. [Pièces qui le concernent
dans la Patrologie, n. 4.] (On a de lui deux
lettres. Voyez son article dans l'Histoire lit-
téraire de la France, tome XI, p. 156 et suiv.)
BRUNON, archevêque de Cologne, XIV, H32-
425, 426. Lettre que lui écrit saint Bernard
qu'il avait consulté pour savoir s'il devait
accepter l'épiscopat, 426.
BRUTIENS, peuple d'Italie. Lettre du
pape Gélase aux évêques des Brutiens, X,
502 et suiv.
BRUUN, surnom donné à Candide, moine
de Fulde, Xïï, 385.
BRYENNE, époux d'Anne Comnène. Voyez
Nicéphore Bryenne.
BUBALE, faussaire de Macédoine, VII,
516.
[BUGHHOLZ. Sa traduction allemande
d'une grande partie de l'Histoire ecclésiasti-
que d'Adam de Brème, XIV, 206.]
BUCHNER (...). Ses notes sur le poëme
de Fortunat sur la RésuiTcction, XI, 414.
[BUCHON. Sa traduction française du Dia-
logue de Minucius Félix, I, 557. — Son édi-
tion française des œuvres deTertullien, 11,87.]
BQDÉ (Guillaume), savant français. Sa
traduction latine du livre de Philon, de la
Création du monde, I, 313.
BUFA (Martyrius) , diacre d'Alexandrie, .'
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
171
réside à Constantinople pour les affaires de
son Église, ^^11, 283.
BUGGE , abbesse en Angleterre. Voyez
Edburge.
BUISSON ARDENT. Saint Cyrille d'A-
lexandrie croit y trouver une figure de la
sainte Vierge, VIII, 322.
BULGARES, peuple d'un pays situé entre
le Danube et la mer Noire, embrassent la reli-
gion chrétienne, XII, 419. A quelle époque.'
550. Réponses du pape saint Nicolas I" aux
consultations des Bulgares, 582 et suiv. Le
manicbéisme se répand parmi eux, 623. —
Conférence au quatrième concile de Cons-
tantinople touchant les Bulgares, pour sa-
voir s'ils seraient soumis à l'Église ro-
maine ou à celle de Constantinople, XIII,
711, 712. — Ils se soumettent au Saint-Siège
sous le pape Innocent III ; le pape y envoie
un légat, XIV, 977. Archevêchés établis
dans le pays, 978. [Lettres d'Innocent III et
d'autres personnes touchant les affaires reli-
gieuses de la Bulgarie, 977 et 986 et suiv. — -
Réunion d'une partie des Bulgares à l'Église
romaine, XII, o82, n. 2.]
BULLES. Le pape Pascal II n'est pas le
premier qui ait fait ajouter au revers du
plomb des bulles les têtes de saint Pierre et
de saint Paul séparées par une crois, XIV,
138.
BULTEAU (Louis), frère oblat chez les
Bénédictins. Réfutation de l'usage qu'il fait
d'un texte de saint Basile, IV, 403, note 1.
— Sa traduction française des Dialogues de
saint Grégoire, XI, 586.
[BUNSEN, ambassadeur prussien, éditeur
des sept épîtres de saint Ignace d'Antioche ;
Monographie sur saint Ignace et l'époque
où il a vécu, I, 366.]
BUNTWIDE, écolâtre de Reichenau. (Il
composa qeelques écrits. Voyez dans VHis-
toire littéraire de la France, tome IV, p. 237.)
BURABOURG, ville de Hesse. Saint Boni-
face y établit un évêché, XII, 47.
BURCHARD (Saint), premier évêque de
Wirsbourg. Lettre que lui écrit le pape saint
Zacharie, XII, 30. Il est envoyé à Rome au
sujet de Pépin qu'on voulait déclarer roi, 34.
— Sa Vie écrite par le moine Elzilvard, XIII,
180, 181. Autre Vie par un anonyme, 181.
BURCHARD, nommé à l'évêché de Char-
tres, rejeté par les évêques, ordonné par
ordre de Charles le Chauve, XII, 441.
BURCHARD, archevêque de Lyon. (On a
de lui un statut. Voyez ce qui en est dit
dans VHisto\re littéraire de la France, tome
VI, p. 8.)
BURCHARD, évêque de Worms. Voyez xi siècic.
Bouchard.
BURCHARD ou PURCHARD , abbé de xi siècle.
Saint-Emmeran de Ratisbonne. Lettre que
lui écrit Arnold, prévôt de ce monastère,
XIII, 94, 93. Peut-être le même que celui à
qui est adressée une lettre par Bernon, abbé
de Reichenau, 127.
BURCHARD, évêque de Metz, sacré à la
place d'Hérimann, XIV, 53. Remarque sur
son ordination, 36,
BURCHARD, premier abbé de Balerne. xii mécie.
Sa lettre à saint Bernard ; réponse , XIV,
436, 437.
BURGLEN, abbaye en Brisgau. Sa Chro-
nique par Conrad, abbé de Moury, XIV, 341.
BURGONDION ( ), jurisconsulte et ci-
toyen de Pise. Sa traduction latine du livre
de saint Jean Damascène de la Foi ortho-
doxe, XII, 97. — Sa traduction latine de
l'ouvrage de Némésius intitulé de la Nature
de l'homme, et du Commentaire de saint
Jean Chrysostôme sur saint Matthieu ; temps
de la mort de ce traducteur, XIV, 280. ii94.
BURGOS, ville d'Espagne. Conciles tenus
en cette ville, XIV, 1071 et 1113. Concile de losoet use.
Fussel ou Huzillos qui fixe les limites des luss.
diocèses de Burgos et d'Osma, 1079.
[BURIEL, jésuite, prépare une édition de
la collection des canons attribués à saint
Isidore de Séville, XI, 727.]
BURNET (Gilbert), évêque de Salisbury,
Sa traduction anglaise du traité de Lactance
de la Mort des persécuteurs ; sa traduction
française du même, II, 521. [Elle est plutôt
de Basnage, 321.]
[BURONZO. Son édition des œuvres d'At-
ton de Verceil, XII, 820.]
BURTON (Guillaume). Sa traduction an-
glaise de la première Lettre de saint Clé-
ment, I, 361.
[BURTON. Son édition de l'Histoire ecclé-
siastique d'Eusèbe de Césarée, III, 315.]
[BURTON (E.). Son édition des Annotatio-
nes variorum in historiam ecclesiasticam, VIII,
525.]
BUSCHUS. Son Commentaire sur le poëme
de Fortunat sur la Résurrection, XI, 414.
RUSÉE (Jean), jésuite. Son édition de la
Vie de saint Wigbert, abbé de Fritzlar, par
Loup de Ferrières, avec deux homéhes et
deux hymnes en l'honneur du même saint,
XII , 311 , 312. Son édition des œuvres
'172
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1099.
d'Hincmar de Reims, 689. — Son édition de
l'abrégé chronologique de la vie des papes
par Abbon Pleury, avec celui de Luitprand,
XIII, 32. — Son édition des œuvres de
Pierre de Blois, XIV, 783 ; et des sermons
de Pierre Gomester qu'il attribue à Pierre
de Blois. 744»
[RUSÉE (le docteur). Son Histoire alle-
mande de saint Paulin de Noie, VIII, 55.]
BUSSI-RABUTIN (Roger de). Voyez Ra-
butin.
BUSTE (Matthieu). Son édition de plu-
sieurs des Épigrammes de Jean Mauropus,
métropolitain d'Euchanie, XIII, 229.
BYSANCE, archevêque de Trani, deman-
de au concile de Rome la permission de
poursuivre la canonisation de saint Nicolas
Pérégrin ; il fait bâtir une église en l'hon-
neur de ce saint, XIII, 438.
BYSE, évêque de Séleucie, condamne les
Messaliens, IV, 646.
BYTIEN, général célèbre par une victoire
qu'il remporta sur les Perses, X, 167.
BYZACÈNE, province d'Afrique. Lettre
du pape saint Zosime aux évêques de cette
province, VII, 538. — Conciles de cette
province, XI, 859, 909.
BYZE, ville de Thrace. Du temps du con-
cile d'Éphèse, l'évêque de Byze l'était aussi
d'Arcadiopolis, VIH, 591.
418.
CABALES interdites aux ecclésiastiques
et aux moines, X, 699.
CAB ARETIERS qui mêlent de l'eau dans
le vin. Paroles du prophète Isaïe dont saint
Astère d'Amasée fait usage, VI, 306 — et
sur lesquelles saint Maxime de Tarin a fait
une homélie, X, 323.
CABARETS interdits aux clercs par le ca-
non 54 des Canons apostoliques, II, 585. —
IV siècle. Canons 24 et 25 du concile de Laodicée, III,
393. 511. — Canon 28 du concile d'Hippone, VII,
397. 715. Canon 27 du troisième concile de Car-
thage, 722. — Article d'un capitulaire de
Charlemagne, XII, 237. Article d'un statut
de Riculphe, évêque de Soissons, 747.
393. CABARSUSSI dans la Byzacène. Concile
qui y lut tenu par les Donatistes, IV, 658.
[CACCIARI (le père Th.), professeur à la
Propagande ; son édition de l'Histoire ecclé-
siastique d'Eusèbe, III, 314 — Son édition
des œuvres de Rufin d'Aquilée, VII, 483. —
Son édition des œuvres de saint Léon le
Grand, X, 275.]
1061. CADALOUS, évêque de Parme, antipape
sous le nom d'Honorius II, élu par une fac-
tion opposée à Alexandre 11 ; attaque Rome
pour y rentrer à main armée ; est fait pri-
sonnier et retourne à Parme ; est déposé au
concile d'Osbor, puis à celui de Mantoue,
où l'élection d'Alexandre 11 est confirmée; il
rentre à Rome, où il se maintient encore
deux ans, XIll, 285. Sa mort, 285 et 286.
Lettres de saint Pierre Damien qui lui sont
adressées , 300. Lettre du même sur lé-
lection de Cadaloûs, 301. Opuscule du même
à l'occasion de son élection, 310, 311. —
Gomment il fut élu, XIV, 1062. Il est dé-
posé, 1063. Sa condamnation confirmée,
1063.
CADFRID [ouLADFRlD]à quisaintAdelme
de Schirburn écrit une lettre, XI, 805, 806.
[La première édition et la table de Rondet
portent Gadfrid, mais il faut lire Eadfrid.]
CADRANS SOLAIRES envoyés à Gonde-
baud par Théodoric, X, 647.
[CADOAL, roi des Anglo-Saxons ; sa mort
à, Rome ; épitaphe de ce prince par Benoît
Crispus, Xn, 20.]
GADROÉ (Saint), abbé de Vassor, puis de
Saint-Vincent de Metz. Sa Vie écrite par le
moine Reimanne ou Osmanne, XII, 882, 883.
CAEN , ville de France en Normandie.
Concile qui y est assemblé, XIII, 267. Ori-
gine de l'abbaye de Saint-Étienne et de celle
de la Trinité, 411. L'abbaye de Saint-
Étienne de Caen devient célèbre pour les
études sous Lanfranc, son premier abbé,
441 . — Deux conciles tenus en cette ville,
XIV, 1054.
CAERLÉON. Métropole de la Cambrie, ou
province de Galles. Concile qui se tient en
cette ville, XI, 823.
CAGLIARI. Ville de Sardaigne. Lucifer,
évêque de Cagliari, IV, 239 et suiv.
[GAILLAU (le Père), prêtre de la Miséri-
corde, Éditeur des Selecti Patres en la-
tin, 130 vol. in-8°, comprenant les Pères
apostoliques jusqu'à saint Augustin inclusi-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
173
vement. Il est cité sous chacun des Pères
qu'il a édités. Son édition des œuvres de
saint Grégoire de Nazianze, V, 361, 362. —
Son édition des sermons inédits de saint
Augustin, IX, 835 et suiv. Il avait publié en
1838 et 1839 deux volumes d'une nouvelle
édition des Auteurs sacrés et ecclésiastiques
de D. Ceillier, chez de Saint-Paul, imprimerie
de Belin Bandar; ce sont les IIP et IV= vo-
lumes : les deux premiers étaient réservés
aux Auteurs sacrés.]
GAIN, premier fils d'Adam. Témoignage
d'Eusèbe de Césarée sur Gain, III, 240, —
de saint Basile, IV, 483. — Livres de saint
Ambroise sur Gain et Abel, V, 399. — Té-
moignage de saint Jean Ghrysostôme, VII,
31 et 353. Gain fait le sujet d'un opuscule
faussement attribué au même saint, 333. —
[Sermon de saint Augustin sur Gaïn et Abel,
IX, 841.] — Discours de Basile de Séleucie
sur Gain et Abel, X, 164.
GAINAN, fils d'Arpliaxad. Ouvrages qu'on
lui a attribués faussement, I, 266.
GAINITES, hérétiques. Leur faux évan-
gile, I, 273. Témoignage de saint Irénée sur
les Gaïnites, 502, — de saint Basile, IV,
483, — de saint Philastre, V, 173, — de
saint Épiphane, VI, 391, 392, — de saint
Isidore de Péluse, VIII, 492, — de Théodo-
ret, X, 110. (Il faut hre ici GAINITES et
non GAIAiNISTES ou GAIANISTES.)
GAIS. Monastère de la congrégation de
Tabenne, IV, 233.
CAIDS, prêtre de Rome, évêque des na-
tions , docteur de l'église ; florissait sous
Garacalla, I, 561. Sa dispute avec Procle,
Montaniste, 561 et 562. Écrits attribués à
Caïns, 561, 562, 563. [Éditions des frag-
ments de Caïus, 562. — Il n'est pas l'auteur
des Pkilosophumena, II, 201, note 10.] (Voyez
l'article de Gaïus dans VHistoire littéraire de
la France, t. I, partie I, p. 336 et suiv.)
CAIUS (Saint), pape, Décrétale qui lui est
faussement attribuée, V, 88.
CAIUS (Saint), martyr à Sarragosse, III,
44.
CAIUS, évêque de Parétoine, IV, 639.
CAIUS SOLLIUS APOLLINARIS. Voyez
Sidoine Apollinaire.
CAIUS, moine. Lettres qui lui sont adres-
sées, attribuées à saint Denis l'Aréopagite,
X, 531, 552.
[CAIOT : sa version française de l'Histoire
de l'Église de Verdun, XII, 773.]
CAJETAN (Constantin), abbé bénédictin.
Son édition des œuvres de saint Pierre Da-
mien, XIII, 324.
CALABRE, province d'Italie. Lettre du
pape saint Gélestin aux évêques de Pouille i29.
et de Calabre, VIII, 130.
CALAME , ville d'Afrique. Soulèvement,
qui s'y forme de la part des païens contre
les chrétiens, IX, 96. Prise de Galame par 403.
les Vandales, 563.
CALAMITÉS. Poème de saint Grégoire de 3S3.
Nazianze intitulé : Des Calamités de son
âme, V, 271. — Discours de saint Gésaire
d'Arles sur les calamités, XI, 142.
CALAMON (le mont). Erreurs de quelques
moines de ce lieu réfutées par saint Cyrille
d'Alexandrie, VIII, 319.
CALANDION ou GALENDION, élu évêque
d'Antioche, informe le pape de son élection,
X, 407 et 718. Addition qu'il fait au Trisa-
gion de Pierre le Foulon, 408. Il recom-
mande au pape l'affaire de Jean Talaïa, 410.
Il est exilé dans l'Oasis pour son attache-
ment à la foi catholique, 417.
[GALANDOLOGIE ou PHYSIOLOGUS, li-
vre prohibé par saint Nicéphore, patriarche
de Gonstantinople, XII, 297.]
CALATRAVA, ville d'Espagne en Cas-
tille, dont un ordre militaire porte le nom.
Le pape Innocent III met l'ordre de Calatrava
sous la protection du Saint-Siège, XIV, 969.
CALCÉDOINE. Voyez Chalcédoine.
CALCHUT ou CELCHYT, dans le royaume
de Mercie (Angleterre). Conciles tenus en
cette ville, XIII, 617 et 653.
GALGIDE, désert. Voyez Chaldde.
CALGIDIE ou CHALCIDIE, à qui saint
Jean Ghrysostôme écrit une lettre, VII, 133.
CALCUL ou COMPUT ecclésiastique.
Voyez Comput.
GALCULUS. Surnom qu'on donne quel-
quefois à Guillaume de Jumiége, XIII, 409.
CALDONE, évêque d'Afrique. Saint Gy-
prien en fait son vicaire, II, 262. Lettre de
Caldone à ce saint, 304, 305. Lettre de saint
Gyprien à Caldone, 355. Autres lettres des
mêmes, 311.
CALENDES de janvier. [Sujet d'une homé-
lie de Sévérien de Cabales, VII, 208. — Ser-
mons de saint Augustin sur ce sujet, IX, 239.
— Homéhes de saint Maxime de Turin sur le
même sujet, X, 323. — Une autre attribuée
à Sédalus, évêque de Béziers, XI, 324.
CALENDRIER des Martyrs. Ouvrage d'un iv siècle
anonyme, IV, 323, 324. [Voyez p. 324, n. 1 .]
[Calendrier ecclésiastique de l'Église de
404.
m siècle.
IV ou
V siècle.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
174
Garthage, 324.] — Calendrier sacré et pro-
fane composé par Salvius, évêque d'Oc-
todure ou Marlignac, VIII, 432. — Traité de
Raban Maur sur le Calendrier, XII, 464. —
[Calendriers anciens, XIII, 22.]
CALÉS ou CALAIS, KALAIS (Saint). Ab-
baye au diocèse du IVIans. Ses privilèges
contre les prétentions de l'évéque du Mans,
M5 sont confirmées au concile de Boneuii, eten-
862. suite à celui de Pistes, XIII, 689, puis à ce-
863. lui de Verberies, 697.
ui siècle. CALICES, vases sacrés. On y gravait l'i-
mage du Sauveur du temps de TertuUien,
II, 36. — Saint Athanase accusé d'avoir
rompu un calice, III, 431. — Le calice était
à la garde de l'évéque et des prêtres, IV,
217. Usage de mêler l'eau avec le vin dans
le calice, 523. — Calices rompus par les
DonatisteSj V, 136. — On croyait avoir con-
servé le calice dont Jésus-Christ se servit dans
la Cène, XI, 801. — Canon attribué au pa-
triarche saint Nicéphore sur la consécration
du calice, XII, 286. S'il est permis à une re-
ligieuse de boire de l'eau dans un calice,
308. Règlement de Riculte de Soissons sur
le calice, 747. Règlement d'Alton de Verceil,
821. — Lettre d'Yves de Chartres sur ce
que dans la consécration du calice on dit
ces paroles : Mystère de foi, XIV, 120. —
Canons du concile de Tribur sur l'usage du
calice, XIII, 735.
tu siècle. CALIXÏE I" (Saint), ou CALLIXTE, pape.
[Fausseté des accusations portées contre
lui, II, 202.] — Décrétâtes qui lui sont faus-
sement attribuées, VI, 85.
CALIXTE II, pape, nommé auparavant
Gui, et archevêque de Vienne. [Pièces con-
cernant ce pape dans la Patrologie, XIV,
1092, n. 5]. Son illustre naissance ; il suc-
H19 cède au pape Gélase II ; ses lettres par les-
quelles il fait part de sa promotion aux évê-
ques des principaux sièges ; il est reconnu
en Italie, 1092. Il tient un concile à Toulou-
se ; canons de ce concile, 1092 et 1093. Il
tient un autre concile à Reims ; conférence
avec l'empereur Henri V, 1093. Henri et
l'antipape Maurice Bourdin sont excommu-
niés; entrevue de Calixte II et de Henri l",
roi d'Angleterre, à Gisors ; Calixte passe en
1120 Italie et arrive à Rome d'où il est obligé de
sortir un mois après, 1094. A quelles condi-
tions il fait la paix avec l'empereur, 1096.
Premier concile général de Latran, 1096 et
1097. Rescrit par lequel Calixte II déclare
les moines de Saint-Macary soumis à l'ab-
usa.
1123.
bé de Sainte-Croix de Bordeaux, 1097. Ses
lettres, 1097 et suiv. Lettre du roi Louis le
Gros au pape Calixte H, 1098, 1099. Sa bulle
en faveur du monastère du mont Vulturne ;
Autres lettres de Calixte II, 1099. [Autres
lettres et privilèges dans la Patrologie,
1099 et suiv.] Lettres écrites à Calixte, 1102.
Écrits faussement attribués à Calixte, 1103
et suiv.] Sa mort, 231. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
X, p. 503 et suiv.)
CALIXTE III, antipape. Voyez Jean, abbé
de Strum.
CALIXTE, préfet d'Egypte, massacré à
Alexandrie, VIII, 279.
[CALIXTE (Frédèric-Ulric). Son édition
du livre du Bien de la Patience, par saint
Cyprien, II, 384.]
[CALIXTE (Georges), père du précédent.
Sa préface de l'édition du livre de saint Cy-
prien, n, 384.]
[CALO (Jean ou JOHANNICE), roi des Bul-
gares, Voyez Jofiannice.]
CALLIEU (Pierre). Ses notes sur les livres
de Boëce de la Consolation de la philoso-
phie, X, 665.
CALLIGONE, eunuque, grand chambel-
lan, menace saint Ambroise de lui faire
couper la tête et est lui-même décapité, V,
384 et 411.
CALLIMAQUE. Comédie de Roswithe, re-
ligieuse de Gandershein, sur la résurrection
de Callimaque et de Drusiane, par saint
Jean, XII, 876.
GALLINIQUE, petite ville de l'Osrhoène.
Les chrétiens y brûlent une synagogue ;
l'empereur Théodose ordonne à l'évéque de
la rebâtir; saint Ambroise s'y oppose, V, 388.
CALLIOPE, évêque en Thessalie. Le pape
Boniface le déclare séparé de sa commu-
nion, Vm, 10.
CALLIOPE, prêtre de Nicée. Lettre que
lui écrivit Atticus de Constantinople, VIII, 13.
CALLISTHÉNE. Lettre que lui écrivit
saint Basile le Grand, IV, 443.
CALMINIUS, ami de saint Sidoine qui lui
écrit, X, 389.
CALOMNIATEURS. Canon quatorzième du
premier concile d'Arles, II, 632. — Décret
attribué au pape saint Damase, V, 23. —
Calomniateur excommunié, XI , 394. Un
autre condamné au fouet et à l'exil, 527. —
[Collection de décrets contre la calomnie
par Odoranne, XIII, 114.]
CALOSYRIUS, évêque d'Arsinoé, à qui
1124.
422.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
175
saint Cyrille d'Alexandrie adresse son livre
contre les Antliropomorphites, VIII, 319.
CALPDRNIUS, diacre, père de saint Pa-
trice^ X, 444.
CALUPPAN (Saint), Reclus. Sa Vie par
saint Grégoire de Tours, XI, 381.
CALVAIRE, montagne qu'on dit située au
milieu de la terre, VI, 33.
CALVISIEN, gouverneur de Sicile, III, 31.
CAMATÈRE (Andronic). Voyez Andronic
Camatère.
CAMATÈRE (Jean), patriarche de Cons-
tantinople. Voyez Jean Camatère.
I siècle. CAMBRAI, [maintenant ville de France.]
Lettre des clercs de Cambrai qui se plaignent
de ce qu'on voulait les réduire à une seule
prébende , et les obliger à quitter leurs
femmes, XIII, 276, 277. L'évêché d'Arras
1092. en est disirait par une bulle du pape Ur-
«93. bain II; concile de Reims à ce sujet, 427.
Chronique de Cambrai par Baudri, chantre
de Térouane, 481, 482. Concile de Rome au
sujet des usurpations faites sur l'Église de
Cambrai, 763.
CAMDEN (Guillaume), savant anglais.
Son édition de la Vie du roi Alfred, par As-
ser, XII, 782.
GAMÈNlATE{Jea.n).YoyezJeanCamemafe.
CAMÉRARIUS (Joachim), Allemand, théo-
logien protestant. Sa version latine de quel-
ques discours de saint Grégoire de Nysse,
VI, 259. — Sa version d'un traité attribué à
Pallade d'Hélénople, intitulé : Des nations
de l'Inde et des Brahmanes, VII, 493. — Sa
version du traité de Synésius de la manière
de gouverner, VIII, 33. — Sa version de
l'Histoire ecclésiastique de Théodoret, et de
son Histoire religieuse, X, 141. — Sa ver-
sion de la Chronique de Nicéphore, XII, 282.
CAMÉRARIUS (Guillaume), Écossais,
théologien catholique. Son édition de quel-
ques opuscules dont un de saint Fulgence
de Ruspe, XI, 76.
CAMILLE, l'un des prêtres de Gênes qui
consultèrent saint Prosper sur le vrai sens
de quelques propositions de saint Augustin,
X, 300.
CAMILLE, père de saint Ennode, évêque
de Pavie, X, 569.
CAMPANIE, province d'Italie. Lettre de
saint Léon aux évêques de cette province,
X, 202. Les évêques de Campanie donnaient
le baptême solennel même aux fêtes des
martyrs ; le pape saint Léon s'oppose à cet
abus, 237.
GAMPANUS , philosophe de Lombardie xi siècle,
dont les ouvrages sont perdus. (Voyez Du
Pin.)
CAMPEMENTS des Israélites dans le
désert. La lettre que le vénérable Bède
avait écrite sur ce sujet est perdue, XII,
15. [Elle est publiée dans l'édition du doc-
teur Giles, reproduite dans la Patrologie,
15.]
[GAMUZAT (Nicolas). Son édition de l'His-
toire des Albigeois de Pierre de Vauls-Cer-
nay, XIV, 908.]
G AND ALLA. Ses traductions latine et
française du Pimandre de Mercure Trismé-
giste, I, 299.
CANDIDE, auteur ecclésiastique. Ses ou- n sièdc.
vrages, I, 537.
CANDIDE (Saint), officier de la légion nt siècle,
thébéenne, martyr, II, 473, 474.
CANDIDE (Saint), martyr du nombre des 320.
Quarante, III, 82 et suiv.
CANDIDE, ami de Victorin, écrit en fa-
veur de l'hérésie arienne, IV, 326. Est réfuté
par Victorin, 326 et 328,
CANDIDE, prêtre et abbé à qui Théodoret
adresse une de ses lettres, X, 75.
CANDIDE, évêque à qui saint Grégroire
le Grand écrit, 487.
CANDIDE, prêtre, recteur du patrimoine
de saint Pierre, en Gaule, XI, 504, 508,
313, 314.
CANDIDE, abbé du monastère de Saint-
André à Rome, XI, 510.
CANDIDE, moine de Fulde, disciple du
saint abbé Eigil, XII, 272. On l'a confondu
quelquefois avec un autre Candide disciple
d'Alcuin ; ce qui doit les faire distinguer,
385 et 386. Il est chargé du soin de l'école 822.
du monastère de Fulde, 385. Il écrit la Vie
de saint Eigil, abbé de Fulde, 383 et 386.
Son Explication de la passion de Jésus-
Christ ; écrit où il répond à la question : Si
Jésus-Christ vivant sur la terre a pu voir
Dieu son Père des yeux du corps, 386. Sa
Vie par Baugulfe, alDbé de Fulde, est per-
due, 387. [Édition de ses deux écrits dans
la Patrologie, 387.] Son Image du monde est
restée manuscrite, 387. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. V,
p. 10 et 11.)
CANDIDE, disciple d'Alcuin, doit être dis- ix sii^cie.
tingué de Candide, moine de Fulde, XII,
383, 386. On lui a attribué deux écrits, mais
ils sont plutôt du moine de Fulde ; le disci-
ple d'Alcuin n'est connu par aucun ouvrage,
d76
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
et il n'y a point de preuves qu'il ait été
moine, 386.
358. CANDIDIEN , ami de saint Basile le
Grand. Lettre que ce saint lui écrivit, IV,
423, 426.
IV siècle. CANDIDIEN, gouverneur de Cappadoce.
Saint Grégoire de Nazianze lui écrit, V,
266.
CANDIDIEN, évêque, porteur d'une lettre
du pape Sirice, VI, 103.
CANDIDIEN, à qui saint Nil écrit, VIII,
219.
CANDIDIEN, diacre, porteur d'une lettre
d'AIypius, curé de Gonstantinople, à saint
Cyrille, VIII, 291, 292.
m. CANDIDIEN, comte, capitaine des gardes
de l'empereur Théodose le Jeune, vient au
concile d'Éphèse avec des troupes ; nommé
par l'empereur pour assister de sa part au
concile, mais seulement pour maintenir le
bon ordre, VIII, 573. Il prend le parti des
Orientaux; il demande qu'on attende leur
arrivée pour commencer le concile ; ses re-
présentations n'étant point écoutées, il sort
de l'assemblée et fait une protestation dont
il envoie copie à l'empereur, 576. Sa partia-
lité pour Nestorius, 579, 580. Il vient à l'as-
semblée tenue par Jean d'Antioche et l'in-
dispose contre le concile, 380 et suiv. Il
veut empêcher les évêques de célébrer les
saints mystères, 581. Le concile demande
qu'il soit rappelé, 582. Le comte Jean lui
donne la garde de Nestor! us, 26 et 593. Il
fait à l'empereur une relation infidèle de la
déposition de Nestorius, 37i et 582.
CANDIDIEN, ami de saint Sidoine. Lettre
qu'il lui adresse ; réponse de celui-ci, X,
383.
CANDIDUS (Donatus), éditeur des Ques-
tions de Loup, abbé de Perrières, XII, 512.
GANGE (du). Voyez Fi^esne (du).
CANISIUS (Pierre), jésuite très-distingué.
Son édition des œuvres du pape saint Léon,
X, 274.
CANISIUS (Henri), jurisconsulte , neveu
du précédent. Son édition de quelques frag-
ments de la Chronique d'Idace, et de l'a-
brégé qui en a été fait au temps de Charle-
raagne par un chronologiste français, X,
342. — [Il insère l'Histoire de la prise de Gons-
tantinople par Gonlhier dans ses Lectiones
antiquœ, XIV, 896.]
[CANNOM (Grégorio), travaille à l'édition
des œuvres de Rupeit, XIV, 292.]
CANON DES DIVINES ÉCRITURES chez
les Juifs et chez les Chrétiens, I, 87 et suiv.,
91, 92. Canon des Écritures selon Méliton, m siècle
évêque de Sardes, 449, 430. — Selon Ori-
gène, II, 203 et suiv.; selon les Canons
apostoliques, 387. — Canon des Écritures faus-
sement attribué au concile de Nicée, III,
439. Canon des Écritures selon le concile de iv siècle
Laodicée, 313 ; — selon saint Hilaire de iv siècle
Poitiers, IV, 67, 68 ; et selon saint Athanase, iv siécie,
187 et suiv. — [Canon des Écritures attribué
à saint Damase, V, 23.] Canon des Écritures
selon saint Cyrille de Jérusalem, 62, 63 ;
selon saint Grégoire de Nazianze, 274, 307,
308 ; — selon saint Épiphane, VI, 424 ; —
selon saint Jean Chrysostôme, VII , 350 et
suiv.; selon Rufm, 480, 481; selon le pape
saint Innocent, 512. Canon des livres saints
de l'Ancien Testament chez les Hébreux,
selon saint Jérôme, 631, 632. Canon des
livres du Nouveau Testament, selon le même iv ft
Père, 652. Canon des livres saints selon le
concile de Carthage, 723. — Canon des di-
vines Écritures selon le sixième concile de 419.
Carthage, VIII, 566. — Canon des divines
Écritures rapporté par saint Augustin, IX,
568, 569. — Canon des divines Écritures
contenu dans le décret du pape Gélase, X,
723. — Canon des divines Écritures rapporté
par Cassiodore, XI, 231. Canon des hvres
saints selon Léonce de Byzance, 668; selon
saint Isidore de Se ville, 712 et 716; — se-
lon saint Jean Damascène, XII, 92 ; selon
Alcuin, 208, 209; et selon le patriarche
saint Nicéphore, 282. Voyez Canoniques.
CANON DE LA MESSE. Le pape saint Gré-
goirele Grandes! le premier qui appelle canon
les prières de la Messe qui se disent après
le Sanctus, XI, 533. Paroles qu'il y ajoute,
338, et XIII, 1. — Canon de la Messe exph-
qué par Rerai d'Auxerre, XII, 758. — Antre
explication par Pierre de Chartres, XIII ,
111. — Autre par le B. Odon, évêque de
Cambrai, XIV, 73, 74. Canon de la Messe
expliqué par Odon d'Orléans ; Canon d'un
concile de Londres qui ordonne de pronon-
cer distinctement les paroles du Canon delà
Messe et des offices divins, 1146. V. Messe.
CANON PASCAL. Voyez Ctjcle.
CANON ÉPISCOPAL, ou institution d'un
évêque, ouvrage de Pierre de Blois, XIV,
779, 780.
CANONICITÉ des livres saints. C'est h
l'Église qu'il appartient d'en juger, I, 113.
CANONIQUE des évêques. Ce que c'est ;
à quoi elle est fixée par une constitution
1200.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
177
de l'empereur Alexis Comnène, XIV, 142.
CANONIQUES (Livres). Quand a-t-on com-
mencé à dresser un canon exact des Écri-
tures, I, 90, 91. Règle pour distinguer les
Écritures canoniques de celles qui ne le sont
pas ; on a quelquefois donné le nom d'apo-
cryphes à des livres qui sont regardés
comme tels chez les Juifs, mais qui sont re-
çus comme canoniques chez les Chrétiens,
91. A qui il appartient de discerner des li-
vres canoniques, 113. — Le décret touchant
les livres canoniques ou apocyphes n'est pas
du pape saint Hormisdas, X, 633 ; mais du
pape saint Gélase, 633 et 723. — Livres cano-
niques de l'Écriture sainte selon saint Gré-
goire le Grand, XI, 552, 553. Voyez Écri-
ture sainte et Canon des divines Ecritures.
CANONISATION DES SAINTS. Comment
le. elle se faisait au temps de saint Grégoire de
Tours, XI, 376. — Premier acte authentique
de la canonisation des saints, XIII, 762. —
Suivant le pape Eugène III, elle ne devrait
se faire que dans des conciles généraux,
XIV, 272. Jusqu'au dixième siècle, elle se
faisait par les métropolitains; dans la suite,
les papes se la sont réservée, 922.
,e. CANONS ÉVANGÉLIQUES d'Eusèbe de
Césarée, III, 240, 241. [Rhythme sur les ca-
nons d'Eusèbe, 241. — Canons sur les épîtres
de saint Paul, par Priscillien l'hérésiarque :
le cardinal Maï a publié cet écrit, VI, 265,
266.] — Canons des Évangiles dressés par le
B. Odon, évêque de Cambrai, XIV, 76. Voyez
Concordance et Concorde.
CANONS DE DISCIPLINE doivent être
observés dans les Églises pour lesquelles ils
ont été faits, II, 561. — Sous quelles peines
ou 349. ils doivent être observés : canon 14 du pre-
mier concile de Garthage, 111, 501. — Selon
le pape saint Innocent, il n'est pas permis
aux évoques d'ignorer les canons, VII, 525.
Respect qui est dû aux saints canons ; sujet
d'un canon de quelque concile de Garthage,
726. — Sujet du canon 18 du sixième con-
cile de Carthage, VIII, 565. — [Ce que saint
Nicéphore, patriarche de Gonstantinople, dit
des canons ecclésiastiques, XII, 294. Recueil
de canons rédigé par le même saint Nicé-
phore, 297, 298.] Origine des canons, selon
Jessé, évêque d'Amiens, 338. Du Mépris des
canons, ouvrage de Rathérius, évêque de
Vérone, composé contre les désordres du
clergé, 851. Canons reçus par le concile in
TruUo, 960. — Leur observation recomman-
dée par Charlemagne, XIII, 642.
TAB. I.
CANONS ECCLESIASTIQUES DES TROIS PREMIERS
SIÈCLES.
CANONS APOSTOLIQUES, II, 573 et suiv.
Époque à laquelle les canons ont été écrits,
573 [n. lOj. Signification du mot canon apos-
tolique, 573 [n. 11]. Les canons qui portent
le nom des apôtres ne sont point d'eux ; pre-
mière preuve ; ce n'est qu'au concile d'É-
phèse qu'ils ont pris ce nom, 573. Seconde
preuve ; plusieurs de ces canons supposent
des cérémonies et des usages qui ne se pra-
tiquaient pas du temps des apôtres; d'autres
attaquent des hérésies et répondent à des
questions qui ne se sont élevées que long-
temps après les apôtres, 573 et 574. Ils ont
été recueillis au plus tard vers le commen-
cement du iv" siècle ; première preuve ; un
de ces canons est cité avant la tenue du con-
cile de Nicée, 574. Seconde preuve ; plu-
sieurs de ces canons ont été confirmés parle
concile d'Antioche tenu en 341, 574 et 575.
Troisième preuve ; ces canons étaient con-
nus du temps de saint Athanase, de saint
Basile, et cités dans plusieurs conciles avant
le milieu du v= siècle , 575. Quatrième
preuve ; plusieurs de ces canons paraissent
avoir rapport à des conciles particuliers te-
nus avant le concile de Nicée, 576. Réponses
aux objections du ministre Daillé qui dit que
ces canons n'ontétéfaits que dans le v'siècle,
576 et 577. Quand même les trois livres des
Machabées seraient reconnus pour livres ca-
noniques dans un de ces canons, cela prou-
verait encore que l'auteur vivait avant que
le nombre des livres canoniques fût fixé ; à
l'égard des Constitutions apostoliques, ce qui
en est dit dans le canon 85 est visiblement
ajouté par l'auteur même des Constitutions,
576. Si ces canons ne se trouvent point dans
le Code des canons de l'Église universelle,
c'est que l'auteur de ce Code a négligé beau-
coup de canons des trois premiers siècles,
576 et 577. Eusèbe et saint Jérôme n'au-
raient pas manqué de parler de ces canons
s'ils avaient eu à prouver qu'ils n'étaient pas
des apôtres; mais l'opinion qui les leur
attribue n'était pas encore connue; plu-
sieurs pères des quatre premiers siècles ont
cité ces canons; quant à la censure du pape
Gélase qui déclare ces canons apocryphes,
elle ne prouve pas que ces canons soient
moins anciens que plusieurs autres écrits qui
ne sont déclarés apocryphes que parce qu'ils
s'éloignent en quelque chose de la doctrine
12
178
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLESIASTIQUES.
325.
341.
347 [mais
mieux 343].
348 ou 349.
Entre
341 et 381.
380.
374.
380.
381.
390.
734.
375.
IV siècle.
IV siècle.
de l'Église, 577. Autre preuve de l'antiquité
de ces canons ; sentiments du pape saint Inno-
cent I" et d'Hincmar, archevêque de Reims,
qui favorisent celte antiquité, 578. Autorité
de ces canons dans l'Église romaine, 578 et
579. Leur autorité dans l'Église grecque, 579.
[Ces canons se trouvent dans le recueil à
l'usage de l'Église des Nesloriens par Ebed-
Jésus ; ils y sont suivis de vingt autres ca-
nons attribués aussi au pape saint Clément,
580 et 588, n. 1.] Analyse des canons apos-
toliques, 579 et suivantes. Editions de ces
canons, 587, 588. [Autres éditions, 588;
traduction française , 589. ] Plusieurs des
canons d'Antioche ont été tirés des canons
apostoliques, 574, 575. — Quand on a com-
mencé de citer les canons des apôtres, VI,
23 [et n. 3],
CANONS qui se lisent sous le nom de saint
Hippolyte, I, 635.
CANONS DU QUATRIÈME SIÈCLE.
CANONS du concile d'Elvire, II, 603 et
suiv. Du premier concile d'Arles, 630 etsuiv.
Du concile d'Ancyre, 636 et suiv. Et de celui
de Néocésarée, 640, 641.
CANONS du concile général de Nicée, III,
429 et suiv. Canons arabiques attribués au
concile de Nicée, 440, 441 . [Fragments coptes
où l'on trouve le canon 6 sur la suprématie
des souverains pontifes, 443, 444. Canon du
même concile sur la Pâque, 527.] Canons du
concile d'Antioclie, ditde la Dédicace, 466 et
suiv. Du concile de Sardique, 485 et suiv.
Du premier concile de Garthage, 498 et suiv.
Du concile de Laodicée, 509 et suiv. Du con-
cile de Gangres, 517, 518.
CANONS du concile de Valence dans les
Gaules, IV, 601, 602. Du concile de Sarra-
gosse en Espagne, 615, 616. Du premier
concile œcuménique à Constantinople, 622
et suivantes. Ces canons sont adressés à
l'empereur Théodose, 625. Autorité de ces
canons, 626 et suiv. Du deuxième concile de
Garthage, 648 et suiv.
CANONS de saint Basile le Grand dans sa
première lettre canonique, IV, 459 et suiv.
Dans sa deuxième, 465 et suiv. De sa troi-
sième, 472 et suiv.
CANONS de saint Grégoire de Nysse dans
son épitre à Létoius, VI, 156 et suiv. — Ca-
nons du concile d'Antioche allégués contre
saint Jean Ghrysostôme, rejetés par le con-
cile de Sardique, VII, 7. Canons attribués à
Théophile d'Alexandrie, 445, 446. Autres du
même, 446.
CANONS du concile d'Hippone, VII, 712
et suiv. Du troisième concile de Garthage,
719 et suiv. Canons tirés de quelques con-
ciles de Garthage, 726, 727. Canons du qua-
trième concile de Garthage, 727 et suiv. Du
cinquième concile de Garthage, 734, 735.
D'un concile de Tolède, 739 et suiv.
CANONS DU CINQUIÈME SIÈCLE.
CANONS exprimés dans les lettres du pape
saint Innocent ; dans sa lettre à saint Vic-
trice, évêque de Rouen, VU, 507 et suiv.
Dans sa lettre à saint Exupère, évêque de
Toulouse, 511, 512. Dans sa lettre aux évê-
ques de Macédoine, 514 et suiv. Dans sa
lettre à saint Alexandre d'Antioche, 516.
Dans sa lettre à Décentius, évêque d'Eugu-
bio, 518 et suiv. Dans sa lettre à Félix, évê-
que de Nocéra, 524, 525.
CANONS ou règlements du concile général
de Garthage, VIII, 537 et suiv. Du concile
général de Milève, 539,540. D'un autre con-
cile général de Garthage, 542, 543. Du con-
cile de Rome sous le pape Innocent, 544 et
suiv. Du concile général de Garthage contre
les Pélagiens, 536 et suiv. Du même concile
pour la réunion des Donatistes, 559, 560. Du
concile de Tusdre ; de Telle ou Télepte, 561.
De divers conciles d'Afrique, S61 et 562. Du
sixième de Garthage, 563 et suiv. Autres
canons de ce concile, 568.
CANONS du concile général d'Ephèse, VIII,
592 et suiv. Du concile de Ries, 605, 606. Du
concile d'Orange, 607 et suiv. Du concile de
Vaison, 610, 611. Et du deuxième concile
d'Arles, 612, 613.
CANONS du concile général de Ghalcé-
doine, X, 696 et suiv.
CANONS du premier concile attribué à
saint Patrice, X, 705, 706. Du deuxième con-
cile , 706 et suiv. Du deuxième concile
d'Arles, 708. Du concile d'Angers, 709, 710.
De Tours, 711, 712. De Vannes, 712 etsuiv.
Et de quatre conciles de Rome, 715, 716,
720, 721, 723 et suiv.
CANONS DU SIXIÈME SIÈCLE.
CANONS du concile d'Agde, X, 736 et suiv.
Autres canons attribués au concile d'Agde,
742, 743. Canons du premier concile d'Or-
léans, 743 et suiv. Du concile de Tarragone,
747 ei suiv. Uu concile de Girone, 749, 730.
393.
397.
398.
401.
400.
404.
405.
414.
415. ,
416.
401.
402.
407.
Âpres 404
418.
431.
451.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
179
CANONS du concile d'Epaone, XI, 814 et
suiv. Du concile de Lyon, 818. Du concile
d'Arles, 824. Du concile de Lérida, 824 et
suiv. Du concile de Valence, 826 et suiv. Du
deuxième d'Orange, 832 et suiv. Du concile
de Vaison, 838, 839. Du deuxième concile de
Tolède, 839, 840, Du deuxième d'Orléans,
848, 849. De celui de Clermont, 849, 850. Du
troisième d'Orléans, 856 et suiv. Du qua-
trième concile d'Orléans, 859 et suiv. Du cin
quième concile d'Orléans, 862 et suiv. D'un
concile d'Arles, 882, 883. De Paris, 883. De
Brague, 885, 886. Du deuxième de Lyon,
887. Du deuxième de Tours, 887 et suiv. Du
deuxième de Brague, 891, 892. Du concile
de Mâcon, 894, 895. Du troisième de Lyon,
895. Du deuxième de Mâcou, 896, 897. Du
concile d'Auxerre, 898. Du troisième de To-
lède, 901 et suiv. Du concile de Narbonne,
904, 903.
CANONS DC SEPTIÈME SIÈCLE.
CANONS du cinquième concile de Paris,
XI, 912, 913. D'un autre de Paris, 913. —
Canons du concile de Reims, XII, 914, 913. Du
quatrième de Tolède, 916 et suiv. Du hui-
tième, 920. Du sixième, 920 et 921. Du sep-
tième, 921. Du concile de Latran sous le pape
saint Martin, 930, 931. Du concile de Cha-
lon-sur-Saône, 931, 932. Du huitième, neu-
vième et dixième de Tolède, 932, 933 et suiv. ;
934, 935.
CANONS du concile deMérida, XII, 936 et
suiv. D'Autun, 938, 939. D'Hereford, 939,
940. Du onzième de Tolède, 940, 941. Du
concile de Brague, 941, 942; du douzième,
treizième et quatorzième de Tolède, 956,
937, 958, 959. Du concile Quinisexte ou in
Trullo, 960 et suiv. Du seizième et dix-sep-
tième de Tolède, 965, 966. Du concile de
Bergamstède, 967.
CANONS DU HUITIÈME SIÈCLE.
CANONS d'un concile de Worms, XIII,
603. De Rome, 603, 606. D'un concile d'Al-
lemagne, 606, 607. De Leptines , 607.
De Soissons, 607 et 608. De Rome, 608,
609. De Cloveshou, 610 et suiv. De Ver-
berie, 612, 613. De Verneuil, 613 et suiv.
De Metz. De Compiègne , 613. De Cal-
chut, 617. Du deuxième général de Nicée,
629 et suiv.
CANONS du concile de Frioul, XIII, 633,
634. Du concile de Francfort, 633, 636. [Du
concile de Risbach, 638, 639. Du concile
de Salsbourg, 639.]
CANONS DU NEUVIÈME SIÈCLE.
CANONS du concile d'Arles, XIII, 642,
643. De Mayence, 643 et suiv. De Reims,
643. De Tours, 643 et 646. De Chalon-sur-
Saône, 646 et suiv. De Celchyte, 633 et 654.
D'Aix-la-Chapelle, 634, 635. [De Perse en
Séleucie, 655.] De Rome, 660, 661. Du
sixième de Paris, 661 et suiv. D'Aix-la-Cha-
pelle, 667, 668. De Thionville, 672. De Ver-
neuil, 672 et 673. De Meaux, 673 et suiv. De
Mayence, 677, 678. De Pavie, 680 et suiv.
De Soissons, 683,684. De Quiercy, 684, 683.
De Rome, 685, 686. De Valence, 686, 687.
De Langres, 690, 691. De Touzi, 683. De
Constantinople , 694. De Rome, 698. De
Worms, 701, 702. Du quatrième de Cons-
tantinople, 708 et suiv. De Reims, 716,717.
De Ravenne, 719, 720. De Troyes, 721. De
Rouen, 727, 728. De Cologne, 730, 731. De
Mayence, 731, 732. De Metz, 732, 733. De
Vienne, 734. De Tribur, 735, 736. De Nantes,
736, 737. De Rome, 738.
CANONS. DU DIXIÈME SIÈCLE.
CANONS du concile de Troslé, XIII, 742,
743. De Coblentz, 744. D'Erford ou Erfurth en
Allemagne, 746. D'Ingelheim, 749. D'Augs-
bourg, 751. De Ravenne, 763. De Rome, 764.
CANONS DU ONZIÈME SIÈCLE.
CANONS de quelques conciles des Gaules,
XIII, 765. — Du concile d'Anham,XIV, 1035,
1036. De Pavie, 1037. De Sélingstad, 1038,
1039. De Bourges, 1043, 1044. De Reims,
1055, 1056. De Rouen, 1036, 1037. DeCoyac,
1037, 1038. De Narbonne, 1039. De Toulouse,
1060. De Rome, 1061. De Winchester, 1068.
De Poitiers, 1069. De Lillebonne, 1070, 1071 ,
De Saint-Omer, 1074.
CANONS DU DOUZIÈME SIÈCLE.
CANONS du concile de Poitiers, XIV, 1076,
1077. Du concile de Toulouse, 1092, 1093.
De Reims, 1093. Du premier général de La-
tran, 1096, 1097. De Londres, 1103. D'un
autre concile de Londres, 1106. De Rouen,
1107. De Placentia, 1108. De Toulouse, 1109.
De Clermont, 1110. De Londres, 1114. Du
deuxième général de Latran, 1113. De
Reims, 1121. De Tours, 1129. De Cassel en
Irlande, 1134. D'Avranches; de Londres,
180
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1135. Du troisième général de Latran, 1139
et suiv. Du concile de Dalmatie, 1145. De
celui de Londres, 1146.
CANONS DU TREIZIÈME SIÈCLE.
CANONS du concile d'Avignon, XIV, H51.
De Paris, 1155. De Pamiers, H37. De Mont-
pellier, 1139. Du quîitrième général de La-
tran, 1162 et suiv.
COLLECTIONS DE CANONS. Collection
attribuée à Tliéodoret, X, 108. — Collection
des canons des conciles d'Orient et d'Occi-
dent faite par Ferrand de Carthage, XI, 94,
95. Editions qu'on en a données, 95. Gode
des canons des conciles d'Orient et d'Occi-
dent recueillis par Denis le Petit ; il est d'a-
bord adopté par l'Église romaine puis reçu
dans toutes les Églises d'Occident, 122. Dif-
férentes éditions qu'on en a faites, 122 et
123. Canons sous le nom de saint Gildas de
Ruis, 320. Collection de canons faite par
saint Martin de Dume, évêque de Brague,
350, 351. Collection de canons de l'Eglise
grecque conaposée par Jean le Scholastique,
355 et 1000. Abrégé de cette collection ap-
pelé Nomocanon; édition donnée par Justel,
355. [Collection de canons attribuée à saint
Isidore de Séville, 727, 728. Cette collection
ne contient que des pièces authentiques,
728.] Collection de canons par Cresconius,
évêque en Afrique, 808, 809. — Deux re-
cueils de canons faits au viii° siècle, XII,
28, 29. Recueil de canons attribué à saint
Boniface, archevêque de Mayence, 52, 53.
Recueil de divers extraits des canons par
Egbert, archevêque d'York, 64, 65. [Quinze
canons sous le nom de cet archevêque, 65 ]
Recueil de canons d'Angelramne , évêque
de Metz, 133. Code des canons de rÉghse
romaine, donnés à Charlemagne par Adrien
I", 135. Recueil de canons composé par
Remy, évêque de Coire, à l'usage des Égli-
ses d'Allemagne, 223. Canons ecclésiastiques
de saint Nicéphore, patriarche de Constanti-
nople, 285 et suiv. Collection de canons par
Florus, diacre de Lyon ; ce qui nous en
reste, 485. Collection de canons faite par
Réginon, abbé de Prum, 771. Recueil des
canons des conciles rédigé par Rotger, ar-
chevêque de Trêves ; on ne l'a point impri-
mé, 793. [Collection de canons de l'Eglise
grecque d'après le père D. Pitra, 982.] —
Collection de canons par Abbon, abbé de
Pleury, XIII, 25, 26. Recueil de canons at-
tribué au pape Nicolas II, 240. Collection de
canons attribuée à saint Anselme, évêque
de Lucques, 394. [Ce que Maï a publié de
cette collection, 393 et suiv.] Polycarpe ou
collection de canons par le cardinal Gré-
goire, évêque de Sabine, 568. Autre collec-
tion de canons par le cardinal Deusdedit,
569. — Commentaire de Zonare sur les Ca-
nons des apôtres, sur ceux des conciles et
sur les épîti'es canoniques des Pères Grecs ;
diiïérentes éditions qu'on en a faites, XIV,
157. [Quinze canons sous le nom d'IsaacIII;
collection de canons par Jean le Stylite avec
les réponses d'Isaac et d'autres évêques,
643.] Collection de canons par Arsène ,
moine du mont Athos, 650. Scholies d'A-
lexis Aristène sur la synopse des canons,
653, 654. Synopse des canons par Siméon
Logothète ; Synopse de Nil Doxapater, 654.
[Collection de canons ou traité de la Justice
et du droit par le cardinal Laborant, 805 et
suiv.] Commentaire de Théodore Balsamon
sur les canons ; son Exposition du Nomoca-
non de Photius, 826. [Le cardinal Pitra pu-
bhe actuellement à Rome un Recueil des
canons de l'Église grecque.]
[CANONS FUNÈBRES ou NÉCROSIMES
au nombre de 85 par saint Éphrem, VI, 512
et suiv. Division des canons, 512. Analyse
des huit premiers sur les funérailles des
évêques, 512 et 513. Neuvième et dixième
sur les funérailles des prêtres et des dia-
cres, 513. Treizième sur les funérailles des
diacres, 513 et 514. Quatorzième, quinzième
et seizième sur les funérailles des moines,
514. Dix-huitième à vingt-septième inclusi-
vement sur les funérailles des clercs, 514 et
515. Vingt-huitième sur les funérailles des
princes et des riches, 515, 516. Vingt-neu-
vième sur les funérailles d'un étranger ;
trentième sur les funérailles d'un père de
famille ; trente-unième sur les funérailles
d'une mère de famille, 516. Trente-deuxiè-
me, trente-troisième sur les funérailles des
femmes, 516, 517. Sur les funérailles des
jeunes gens, trente-quatrième, trente-cin-
quième, 517. Trente-sixième à quarante-
quatrième inclusivement sur les funérailles
des enfants, 518. Canons communs depuis
le quarante -cinquième jusqu'au quatre-
vingt-cinquième ; canon soixante-troisième
et soixante-quatrième pour un temps de
peste, 519.]
CANONS PÉNITENTIAUX. Leur origine
dans ceux du concile tenu à Carthage en
251, II, 559, 560. — Canon de saint Pierre
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
181
d'Alexandrie sur la pénitence, III, 57 et
suiv. — Canons pénitentiaus attribués faus-
sement à saint Jérôme, VII, 646. — Discours
de saint Césaire d'Arles sur les canons pé-
nitentiaux, XI, 133. — [Canons pénitentiaux
attribués à saint Métliodius, patriarche de
Gonstantinople, XII, 425.]
CANOPE, dans la Basse-Egypte. Lieu de
retraite de saint Arsène, VIII, 399, 400. Il
en sort, 400.
[CANOSSE, ville d'Italie. Privilège accordé
à l'église des saints ApoUin et Ursicin, XII,
835, 836.]
CANTÉRUS (Guillaume), savant hollan-
dais. Ses éditions de plusieurs ouvrages de
Synésius, VIII, 33.
CANTÉRUS (Théodose), savant hollan-
dais, frère du précédent. Ses notes sur Ar-
nobe, II, 493.
CANTIANE (Sainte), martyre, XI, 333.
GANTIANILLA (Sainte), GANTIANUS
(saint). Voyez Caniius (saint).
CANTIQUE DES CANTIQUES , livre sa-
cré. Ce livre a pour auteur Salomon. Il est
le seul qui nous reste des cantiques de ce
prince ; l'époque de ce livre est incertaine,
1,143. Fausse opinion de quelques critiques
touchant le sens de ce cantique, 143 et 144.
Sentiment de Théodoret, 143, 144. Ce livre
est un épithalame spirituel ; précautions
qu'on doit apporter pour le lire, 144, 145.11
est composé en forme de dialogue; il a tou-
jours été reconnu pour divin ; jugement de
ce livre, 143. Commentaire de saint Hippo-
lyte sur le Cantique des Cantiques, 611. —
Ouvrages d'Origène sur le Cantique des Can-
tiques, II, 138, 169 [etn. 2.] [Origène attribue
le Cantique à Salomon, 158.] — Ouvrages de
saint Athanase sur le Cantique, IV, 170. —
Commentaire sur ce livre faussement attribué
à saint Ambroise, V, 510. Quinze homélies de
saint Grégoire de Nysse sur le Cantique des
Cantiques, 137 et suiv. ^- Deux homélies
d'Origène traduites par saint Jérôme, VII,
564. Quatre homélies d'Origène faussement
attribuées à saint Jérôme, 648. — Commen-
taire faussement attribué à saint Nil, soh-
taire de Sinaï, VIII, 213. — Commentaire
de Théodoret, X, 37 et suiv. Dans quel sens,
selon ce Père, on doit interpréter le Canti-
que des Cantiques, 37 et 112. — [Commen-
taire sur ce livre attribué à Procope de
Gaze, XI, 179.] Commentaire de Cosme
d'Egypte sur ce livre ; nous ne l'avons plus,
191. Commentaire attribué à Cassiodore ;
raisons qui prouvent qu'il n'est pas de lui,
226 et 242. Commentaire de Juste, évêque
d'Urgel, 263. Commentaire du pape saint
Grégoire ; il est véritablement de ce pape,
547, 348. Idée de ce commentaire ; autre
qui n'est pas de saint Grégoire, 548. Corq,-
mentaire attribué à saint Isidore de Séville,
725. Commentaire d'Aponius, 809. [Livres
VII, VIII, et une partie du livre IX, publiés
par Mai, 809.] Abrégé de ce commentaire
fait par Luc, abbé du mont Saint-Corneille,
809. — Commentaire du Vénérable Bède,
XII, 8 ; d'Ambroise Autpert, 124. Lettre
d'Alcuin sur une parole de ce livre, 170.
[Commentaire d'Alcuin sur ce livre, 170.]
Commentaire de Liutbert sur ce livre; il n'a
pas été imprimé, 439. Commentaire d'Ange-
lome, 443; de Remy, moine d'Auxerre;
éditions de ce commentaire, 753. — Com-
mentaire attribué à Bérenger, XIII, 173.
Paraphrase en vers sur le Cantique des
Cantiques par iVIichel Psellus; autre com-
mentaire du même, 336. Commentaire de Ro-
bert, abbé de Saint-Vigor, 465; de saint
Brunon de Ségni, 300. [Le véritable com-
mentaire est publié par Bruno-Bruni, 500.]
Autre attribué à Nicétas d'Héraclée, 538.
Epithalame de Walram , abbé de Mers-
bourg, 561. — Commentaire sous le nom
de saint Anselme, attribué à Anselme de
Laon, XIV, 36 et 184. Commentaire allégo-
rique et moral en vers, ouvrage de Marbo-
de, 229. Commentaire de Rupert, abbé de
Tay, 282. [Explication du Cantique des Can-
tiques par Honoré d'Autun ; éditions qu'on
en a faites, 295.] Commentaire d'Hugues de
Saint-Victor, sur le septième verset du qua-
trième chapitre du Cantique des Cantiques,
361. Sermons de saint Bernard sur ce livre,
au nombre de quatre-vingt-six, 484, 483.
Quarante-huit sermons de Gilbert de Hoil-
lande qui en sont la suite, 489, 490. Com-
mentaires de Guillaume de Saint-Thierry,
389 et 490, 491. [Sermon de Wolberon,
abbé, sur ce livre ; éditions qu'on en a
faites ; but que l'auteur se propose dans ce
commentaire ; jugement sur ce livre, 633.
Exposition sur le Cantique par Gilbert Fo-
lioth, 669, n. 3. Commentaire de Philippe de
Bonne-Espérance; moralité du même sur le
Cantique des Cantiques, 683. [Commentaire
d'Isaac, abbé de l'Étoile , sur ce livre ; il est
resté manuscrit, 696. Explication du livre
des Cantiques par Richard de Saint- Victor,
701. Commentaire sur ce livre par Thomas
182
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
IV siècle.
597.
605.
de Gîteaux, 823. Commentaire par Jean
d'Allegrin ; éditions de ces commentaires
dans la Palrologie, 825. Commentaire d'A-
lain de Lille, 870.]
CANTIQUES composés en l'honneur de
Jésus-Christ, II, S69. — Le concile de Lao-
dicée défend de chanter dans l'église des
cantiques qui ne soient pas de l'Écriture
sainte, III, 513. — Cantique spirituel attri-
bué à saint Ephrem, VI, 26, 27. Cantiques
sur la naissance de Jésus-Christ et l'adora-
tion des mages attribués à saint Ephrem,
47. — Sermon attribué à saint Augustin sur
le nouveau cantique, IX, 284. — Différence
entre psaume et cantique, psaume-cantique
et cantique-psaume, XI, 224. [Ouvrages de
Vérécundus sur les cantiques bibliques,
345.] Différentes sortes de cantiques selon
saint Grégoire le Grand, 348. — Cantiques
ou odes et hymnes de saint Jean Damas-
cène, XII, 85 et [89 et suiv.] Commentaires
d'Haimon, évéque d'Halberstat, sur six can-
tiques de l'Église, 434. Commentaires de
Rhaban Maur sur les cantiques de l'Eglise,
451. Cantiques du bréviaire bénédictin tra-
duits en langue tudesque, 596. — Commen-
taire de Brunon, évêque de Wirtzbourg, sur
les cantiques de l'Ancien et du Nouveau
Testament, XIII, 116. Cantiques de l'Écri-
ture joints au Psautier des Grecs, 136. Can-
tiques de Jean IMaurepus, métropolitain
d'Euchanie, 230. Traduction de l'Écriture
en vers grecs par Jean le Géomètre, 232.
Traité de saint Brunon de Ségni sur le can-
tique de Zacharie, 501. — Commentaire
d'Euthymius Xigabène sur les Psaumes et
sur les Cantiques, XIV, 153, 154. Cantiques
et anastasimes de saint Jean Damascène
expliqués par Zonare, 157. Commentaires
du moine Hervé sur les cantiques de l'É-
ghse, 403. Discours de saint Bernard sur le
cantique d'Ezéchias, 484.
[CANTIQUE de Louis par le moine Huc-
bald, XII, 801.]
CANTIUS, CANTIANUS et GANTIANILLA
(Saints). Homélie de saint Maxime de Turin
sur ces saints martyrs, X, 323. — Leurs
Actes, XIII, 21. Ces actes sont supposés, 21
et 22.
CANTORBÉRY, ville d'Angleterre érigée
en métropole, XI, 438. Assemblée tenue en
cette ville, mise au nombre des conciles,
910. - Conciles tenus en cette ville, XII,
959. — Autre concile qui y fut tenu, XIII,
618. Donation faite à l'église de Gantorbéry,
confirmée au concile de Kingston, 669. Ed-
gard confirme à l'église de Cantorbéry la
quaUté de mère et maîtresse de toutes les
églises du royaume, 755. La primatie lui
est adjugée sur l'archevêque d'York, 295,
442, 452. Discours de Lanfranc sur ce sujet
dans le concile de Winchester, 456. — [Le
pape Alexandre III décide que le couronne-
ment des rois d'Angleterre ne pourra se
faire que dans la province de Gantorbéry,
XIV, 928.] Diplôme du roi Canut en faveur
de l'église de Gantorbéry, 1036. Concile tenu
à Cantorbéry, 1073. Suite des contestations
de l'archevêque de Gantorbéry avec celui
d'York, 1136.
CANUT 1", sui'nommé .le Grand, roi de
Danemark et d'Angleterre. Lettres que lui
écrit saint Fulbert, évêque de Chartres,
XIII, 85. [Son histoire par un anonyme,
117. Ses lois et ses diplômes dans la Patro-
logie, 414, et XIV, 1047, 1048. Il mourut en
1036. 11 se trouve à Rome au couronnement
de l'empereur Conrad; ses plaintes sur les
vexations que ses peuples avaient à souffrir
des Romains ; lettre qu'il écrit à ses sujets
pour leur recommander de payer exacte-
ment le denier de saint Pierre et les rede-
vances aux églises, XIII, 194.
CANUT VI, roi de Danemark. [Lettre
qu'il écrit au pape Célestin III, XIV, 839.
Lettres de saint Guillaume, abbé de Saint-
Thomas, à ce prince, 844.] (L'article de Ca-
nut était tout à fait inexact dans la table de
Rondet.)
CAPELLA (Céciiius), gouverneur de By-
zance, VI, 396.
CAPELLA (Marcianus). Commentaire de
Rémi d'Auxerre sur lui, XII, 759.
CAPHAR, bourg du territoire d'Eleuthé-
rople, où fut trouvé le corps du prophète
Zacharie, VIII, 534.
GAPHAR-GAMALA, bourg près de Jéru-
salem où fut trouvé le corps de saint Etien-
ne, X, 3.
CAPITOLIN, gouverneur de Thrace sous
Julien l'Apostat, X, 46.
CAPITON, évéque donatiste, signe une
requête adressée à Constantin, V, 111.
CAPITULAIRES des empereurs. Ce que
c'est, XII, 225, u. 5. Différentes collections
de capitulaires ; éditions qu'on eu a faites,
225. [Edition de Perlz reproduite dans la Pa-
trologie, 225.] Capitulaires des rois prédé-
cesseurs de Charlemagne, 225 et suiv. Capi-
tulaires de Carloman, 228, 229 ; de Pépin,
1027.
i
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
183
229. Détail des capitulaires de Gharlema-
gne, 229etsuiv. [Autres capitulaires de Char-
lemagne, 841 et suiv.] Capitulaires de Charle-
magne et de Louis le Débonnaire recueillis
par Anségise, 332, 333. Capitulaires de Louis
le Débonnaire, 379 et suiv. Leurs éditions,
383. Collection de capitulaires faite par Be-
noit, diacre de l'Église de Mayence, pour
suppléer à celle d'Anségise, 394, 395. Capi-
tulaires de Charles le Chauve, 631 et suiv. ;
de Louis le Bègue, 634, 633. [Capitulaires
des rois de France à partir de la division de
Charlemagne, 635.] — Capitulaires de Char-
lemagne, en 803, au concile d'Aix-la-Cha-
pelle, XIII, 641. Autre de 813 à Aix-la-Cha-
pelle, 648. Capitulaire de Louis le Débon-
naire en 816 ; autre en 823, 657 ; en 826,
*660. Capitulaire de 844 sous Charles le
Chauve, 671. Autre en 844, 672. Capitulaire
de l'empereur Louis en 850, 682. Capitulaire
de Charles le Chauve^ en 862, contre les
pillards, 695.
CAPITULAIRES de différents auteurs. De
Théodulphe, évêque d'Orléans^ adressé aux
prêtres et principalement aux curés de son
diocèse, XII, 264 et suiv. Autre du même,
270. Capitulaire d'Hetton évéque de Bâle,
336, 337. Capitulaires d'Hincmar de Reims;
ce qu'ils contiennent de remarquable, 663
et suiv. Capitulaire d'Atton, évêque de Ver-
ceil, 820 et suiv.
CAPITULES ou règles abrégées de la vie
spirituelle par l'abbé Hypéréchius, XI, 697.
CAPITULES sur les livres du Nouveau
Testament. Ouvrage du Vénérable Bède qui
est perdu, XII, 15.
CAPOUE, ville d'Italie. Concile qui y fut
tenu, IV, 653 et suiv. — Les évêques d'Oc-
cident y rendent leur communion à ceux du
parti de Flavien d'Antioche, VIII, 238. —
Cette ville est érigée en archevêché par le
pape Jean XIIT, XII, 834. — Conciles tenus
en cette ville, XIV, 1072, 1073, 1089.
CAPOUE. Lieu d'Allemagne ainsi nommé
parce qu'on le disait de la dépendance de la
ville de ce nom. Assemblée qui y est tenue
au sujet du roi Henri IV, XIII, 398.
CAPPADOCE, grande province de l'Asie-
Mineure, divisée en deux. Saint Basile s'op-
pose à cette division, IV, 335. Lettres de
saint Basile le Grand à divers officiers de
cette province, 443, 444.
CAPPADOCIENS, peuple de Cappadoce.
Mauvaise idée que donne d'eux saint Isidore
de Péluse, VIII, 483.
[CAPPELLETI (Joseph). Sa traduction la-
tine des œuvres en prose de Nersès IV, pa-
triarche des Arméniens, XIV, 638, n. 1.]
CAPPERONNIER (Claude), professeur
royal en langue grecque, entreprend une
traduction latine de la Bibliothèque de Pho-
thius, XII, 723.
CAPPIDUS, prêtre, natif de Straven en
Frise. Ouvrages qu'on lui attribue; il n'en
reste que quelques fragments et une Vie de
saint Odulphe, XIL 819.
CAPRAIS ou CAPRAISE (Saint), abbé de
Lérins, auprès duquel se retire saint Hono-
rât, VIII, 439 et 440.
CAPRÉOLUS, évêque de Carthage, VIII,
417 et 375. Invité au concile d'Éphèse ; ce
qui l'empêche de s'y rendre, lui et les autres
évêques d'Afrique, 573. Il envoie un diacre
faire ses excuses, 417. Sa lettre lue et ap-
prouvée, 417, 418 et 575. Sa lettre à l'empe-
reur Théodose le Jeune sur la mort de saint
Augustin, 418. Analyse de sa lettre à Vital
et à TonantiuSj 418 et 419. [Editions de cette
lettre, 420.]
CAPTIFS. Zèle de saint Ambroise pour
leur rachat, V, 381. — Loi de Théodose pour
le rachat des chrétiens captifs, VI, 368.
CAPTIVITÉ DE BABYLONE. Son époque.
IX, 317.
CARACTÈRES HÉBREUX ou SAMARI-
TAINS. Leur invention attribuée à Adam, ],
263. A Seth, 264, et à Hénoch. 265.
CARACTÈRES CHALDÉENS, substitués
aux caractères hébreux ou samaritains dans
les saintes Écritures parEsdras, I, 80 et suiv.
Quand et par qui ce changement a été fait,
81, 82.
CARAFFE (Antoine), cardinal, traducteur
du Commentaire de Théodore! sur les Psau-
mes, X, 140. — Ses remarques ou mémoires
sur les lettres du pape saint Grégoire le
Grand, XI, 351.
CARALDE, scholastique dans l'Église de
Metz. (Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire
littéraire de la France, t. XH, p. 445 et suiv.)
CARAMTOC, abbé du monastère de Salice,
envoie des assistances à celui d'Anegrai, XI,
613.
CARAUNE (Saint). Poëme de Fulbert de
Chartres en l'honneur de saint Caraune ,
XIII, 88.
CARAUSE, grand capitaine qui se rendit
maître de la Grande-Bretagne , Il , 472 . (Voyez
472, n. 2.)
CARBACGHIUS (Nicolas). Son édition de
X siècle.
431.
IV siècle.
384.
V[ siècle.
184
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Vtll siècle.
H81.
III siècle.
II siècle.
IV siècle.)
380 et 389.
l'ouvrage de saint Prosper sur la grâce et le
libre arbitre, X, 318.
CARDAMAS, comédien converti et reçu
dans le clergé, VIII, 63.
CARDINAUX. Prince cardinal de Rome qui
suivait toujours le roi ; il en est parlé dans la
formule du vicaire de Rome rapportée par
Cassiodore, XI, 215. Au temps du pape saint
Grégoire le Grand on nommait cardinaux les
évêques, les prêtres et les diacres attachés à
une certaine église, 481, 488, 496. — Le pape
Etienne III ordonne que les sept cardinaux
semainiers qui servaient dans l'église du
Sauveur, célébreraient tous les dimanches la
messe sur l'autel de saint Pierre, XII, 119.
Constitution attribuée aupapeJean VIII tou-
chant les cardinaux, 650. Titre de cardinal
donné aux prêtres d'une cathédrale, 822. —
Origine du droit attribué aux cardinaux
d'éhre le pape, XIII, 243, 244. Témoignage
de saint Pierre Damien sur les prérogatives
des cardinaux, 300. Lettre de saint Pierre
Damien aux évêques cardinaux du Saint-
Siège, 317. — C'est à l'élection du Lucius III
que les cardinaux commencent à s'attribuer
le droit d'élire le pape à l'exclusion du clergé,
XrV, 929.
CARÊME. Jeûne qui précède la solennité
de Pâques; témoignage deTertulhen, 11,79.
Les catholiques ne célébraient qu'un carême,
les montanistes en célébraient trois, 538.
Canon 69 apostolique touchant le carême,
586. — Canons 45, 46, 49, 50, 51 et 52 du
concile de Laodicée, III, 512, 513. — Lois
de Théodose touchant le carême, VI, 365 et
370. — Canons du concile d'Agde sur le ca-
rême, X, 738. — Canons du huitième concile
de Tolède, XII, 932. Du concile Quinisexte,
962, 963. — Témoignages de saint Athanase
dans les lettres pascales, IV, 151 et suiv. Té-
moignages de saint Basile, 532. — De saint
Cyrille de Jérusalem, V, 77. De saint Gré-
goire de Nazianze, 278 et 350. De saint Am-
broise, 575. — De saint Éphrem, VI, 68.
D'une fausse décrétale, 81, 82. — De saint
Jean Chrysostôme, VU, 49, 62, 69, 70, 144.
Discours sur l'abstinence du carême, fausse-
ment attribué à Théophile d'Alexandrie,
447. Discours faussement attribué àsaint Jé-
rôme, 647. Témoignage du même, 691, 692.
— De saint Pauhn, VIII, 94,95. Témoignage
du poète Prudence, 102. [Deux discours sur
le carême attribués à Paulin de Béziers,
432.] Témoignage de saint Cyrille d'Alexan-
drie, 278. De Socrate et de Sozomène tou-
chant les différents usages des Églises dans
l'observation du carême, 520, 521 . — Sermons
de saint Augustin, IX, 239 [et 841]. Témoi-
gnages du même, 239 et 804. ~ [Quatre ser-
mons de saint Maxime de Turin sur le carême,
X, 326.] Discours de saint Valérien de Cé-
mèle, 159. Douze sermons du pape saint
Léon, 186, 187. Homélies de saint Maxime
de Turin, 323 et 326. Discours d'Isaac l'An-
cien, 579. Homélie de saint Jacques de
Batna, 642. Le jeûne du carême fixé à qua-
rante jours par le premier concile d'Orléans,
746. — Trois discours de saint Césaire d'Ar-
les sur le carême, XI, 134. Autre discours
qui lui est attribué, 147. Comment les Grecs
observaient le carême, 262. Discours sur les
trois carêmes, attribué faussement à Anas-
tase d'Antioche, 363. De saint Grégoire le»
Grand, 457. Règlement attribué à saint Gré-
goire surle carême, 537. Homélie de saint So-
phronede Jérusalem sur le jeûne du carême,
705. — De saint Boniface, archevêque de
Mayence sur le jeûne du carême, XII, 54.
Lettre de saint Jean Damascène sur le ca-
rême ; quelques Églises jeûnaient sept se-
maines , quelques autres huit ; comment
s'observait le jeûne, 82. Témoignage de
Théodulphe, évêque d'Orléans, sur le jeûne
du carême, 265. [Carême des Grecs, d'après
saint Théodore Studite, 314, 315.] Lettre
d'Amalaire, prêtre de Metz, 349. Ratramne,
moine de Corbie, justifie les usages de l'Église
latine pendant le carême contre les reproches
des Grecs, 566. Réponse de saint Nicolas I"
aux consultations des Bulgares sur le ca-
rême, 582, 583. Comment le carême était
observé à la cour de Charlemagne et par les
gens de sa cour, 695. Trois discours de l'em-
pereur Léon VI surle carême, 775. Selon les
capitulaires d'Atton de Verceil, le carême
durait sept semaines, mais on ne jeûnait
point le dimanche ni le jeudi, 822. Sermons
de Rathérius, évêque de Vérone, sur le ca-
rême, 857. Canons du concile Quinisexte
relatifs à l'observance du carême, 962, 963.
— Quand le carême commençait en Angle-
terre, XIII, 55. Opuscule de saint Pierre Da-
mien sur le carême. 317. — Sermons d'Yves
de Chartres pour le premier dimanche de
carême, XIV, 123. Sermons du Vénérable
Hildebert sur le carême, 214. Le commen-
cement du carême, d'après Robert Paululus,
357. Sept sermons de saint Bernard, 484.
Homélie deThéophanes Céraméus surle pre-
mier dimanche de carême, 655. Dix-huit
511.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
185
sermons de Pierre de Celle sur le carême,
681. Sermons de Pierre Comestor, 745. Ser-
mons de Guillaume d'Auvergne, 1025. Voyez
Jeûne.
[CARETTE. Inscription trouvée parM.Ca-
rette, II, 392.]
CARIE (Saint). Discours d'Arétas en l'hon-
neur des saints martyrs Samone, Carie et
Abibus, XI,266.
iisièoie. CARINTHIENS, peuple de Garinthie. His-
toire de leur conversion, Xil, 476, 477.
CARIOBANDUS, abbé à qui saint Sidoine
écrit, X, 393.
CARIOPHYLUS (Jean-Matthieu), archevê-
que de Cogny. Sa traduction latine du traité
de Clément d'Alexandrie intitulé : Quel riche
sera sauvé, 1, 606.
CARISIAC. Lieu situé en Picardie. Voyez
Quierci-sur-Oise.
CARISIUS, lecteur de l'église de Saint-
Éleuthère à Constantinople, puni de ses dé-
sordres d'une manière extraordinaire, X,
344.
CARLOMAN, duc des Francs, oncle de
Charlemagne. Ses capitulaires, XIT, 228, 229.
[Lear édition dans la Patrologie, 229 et 153.]
— Il devient moine au Mont-Cassin, est dé-
puté en France pour demander le corps de
saint Benoît, XIII, 469. (Voyez ce qui est dit
de lai dans l'Histoire littéraire de la France,
t. IV, p. 80 et suiv.)
754. CARLOMAN, frère de Charlemagne, sacré
roi avec lui par le pape Etienne III ; après
768. la mort de Pépin, il partage le royaume avec
son frère et est couronné à Soissons ; sa
771. mort, XII, 228. Lettre que lui écrit le pape
Etienne m, 116.
781. CARLOMAN, fils de Charlemagne, baptisé
par le pape Adrien I", qui change son nom
en celui de Pépin et le sacre roi d'Italie,
XII, 139.
CARLOMAN, fils de Charles le Chauve ré-
volté contre son père, XII, 590, 591. Ses
complices sont excommuniés, 673. — Con-
cile d'Attigny où son père le fait condamner
et où il reçoit la tonsure cléricale, XIII, 713.
Concile de Sentis où Carloman est déposé de
tout degré ecclésiastique, 716.
CARLOMAN, fils de Louis le Bègue. Ins-
tructions que lui adresse Hincmar de Reims,
XII, 668, 669.
[CARMES, religieux. Ouvrage d'Aimeric,
patriarche d'Antioche, sur les Carmes, XIV,
793.]
GARMEL, montagne de Palestine. Il n'y
avait point de moines du temps de Jean,
évéque de Jérusaleni, VII, 502.
GARNÉADE , philosophe académicien ,
IX, 38.
CARO (Annibal), abbé, savant Itahen. Sa
traduction italienne du premier discours de
saint Cyprien sur l'aumône, II, 385. — Sa
traduction italienne de deux discours de saint
Grégoire de Nazianze, V, 362.
CAROLINS (Livres). Voyez Livres Caro-
lins,
CAROSE, métropolitain de l'IlIyrie-Orieu-
tale, écrit à saint Léon, qui lui répond, X,
206.
CAROSE, abbé eutychien, réprimé, re-
nonce à ses erreurs, X, 233. Ce qu'il avait
fait auparavant, 681 et 690.
CARPASIE, ville de l'île de Chypre. Phi- iv siècle.
Ion, évêque de celte ville, auteur ecclésias-
tique, VI, 287, 288.
CARPENTRAS, ville de Provence. Concile 527.
tenu en cette ville, XI, 831, 832.
CARPOGRAS ou CARPOCRATE, hérésiar-
que. Ses erreurs, I, 500, 501. Elles sont ré-
futées par saint Irénée, 304, 505.
CARPOCRATIENS. Ce que saint Épiphane iv siècle,
dit de cette secte, VI, 387.
CARPOPHORUS, évêque de Garthage, V,
141.
[GARPZOW, en latin CARPZOVIIIS (Jean-
Benoît). Son édition des deux Dialogues de
Hiéronyme, VI, 333. — Son édition du dis-
cours dogmatique de Théodore , abbé de
Rhaïte, XI, 787.]
CARRÉ (François D.), bénédictin, moine
de Bec, continue la Chronique de ce monas-
tère, XIII, 439.
[CARTAN, auteur de la secte des héréti-
ques nommés Cartanites ou Joaniciens, XII,
152.]
CARTÈRE, solitaire, ami de saint Gré- rv siècle,
goire de Nazianze et son maître dans la vie
spirituelle, V, 276. Épigrammes du saint
docteur à la louange de Cartère, 299.
GARTÉRIUS, évêque d'Espagne, VII,
634.
GARTÉRIUS , père de l'historien Philos-
torge, VIII, 509.
CARTES GÉOGRAPHIQUES dessinées sur
des tables d'argent, XII, 238, 239.
GARTHAGE, ville principale de l'Afrique
occidentale. Tertullien y était né, II, 1. Saint u siècle.
Cyprien, l'un de ses plus illustres évêques, m siècle.
257 et suiv. Lettres de saint Cyprien au
clergé de Garthage; première lettre ; seconde,
186
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
m siècle.
255.
256.
311 ou 312.
V.348ou34!i.
390.
393.
316.
355.
IV siècle.
394.
397.
398.
IV ou
V siècle
403.
404. 405.
407.
408.
409.
410.
411. 416.
417, 418.
295. Troisième, 296. Quatrième, 297, 298.
Cinquième, 298. Sixième, 298 et 299. Sep-
tième, 300, 301. Huitième, 301, 302. Neu-
vième, 302, 303. Dixième, 305. Onzième,
306. Douzième et treizième, 308 et 309. Qua-
torzième, quinzième et seizième, 310. Dix-
septième, 339, 340. Lettres de saint Cyprien
aux confesseurs de Cartilage ; il y en a cinq,
293, 299, 300. Lettre de saint Cyprien au
peuple de Gartliage, 301. Lettre de saint Cy-
prien à son clergé et à son peuple, 310. Let-
tre de saint Cyprien à son peuple, 311 . Lettre
du clergé de Rome au clergé de Carthage,
296. Lettres des confesseurs à saint Cyprien,
304. Lettre des Pères du concile de Carthage
en 252 à saint Corneille et à Fidus, évêque
en Afrique, 316, 317. Réponse des martyrs
à la cinquième lettre de saint Cyprien, 338,
339. Conciles tenus à Carthage sur le bap-
tême des hérétiques, 544 et suiv. Concile
sous Agrippin, .^M, 543. Trois conciles sous
saint Cyprien, 346 et suiv. Actes du troi-
sième, 350 et suiv. Concile de Carthage avant
249, 535, 556. Autre en 249, 556. Autre en
251, 536 et suiv. Autre en 252, 359 et suiv.
Autre en 254, 362, 563. Conciliabule tenu à
Carthage, 621 et suiv. — Concile que l'on
nomme le premier de Carthage à. cause de
ses canons, III, 498 et suiv., et IX, H. —
Autre concile en 390, IV, 647. Concile qu'on
appelle le second de Carthage à cause de ses
canons, 697 et suiv. [Observation sur ce con-
cile, 647, n. 7.] Concile tenu à Carthage par
les Donatistes, 658. — Donat, évêque schis-
matique de cette ville, V, 97 et suiv. Parmé-
nien, évêque donatiste de cette ville, 99 et
suiv. Letire de Macrobe, donatiste, à l'église
de cette ville, 106. — Concile tenu à Car-
thage, VII, 716, 717. Concile qui y fut tenu
avant le concile général de l'année 397, 717,
718. Concile général ou troisième de Car-
thage, 718. Canons de ce concile, 719 et
suiv. Quatrième concile général, 727, 728.
Canons de ce concile, 728 et suiv. Cinquième
concile, 733, 734. Canons de ce concile, 734,
735. — Autre concile général de 401, VIII,
536, 337. Autre, la même année, 337. Règle-
ments de ce concile, 537 et suiv. Autre con-
cile général, 540. Autre, 540 et 541. Autre,
541, 542. Autre, 342. Règlements de ce con-
cile, 542 et 543. Conciles généraux tenus à
Carthage, 343. Concile provincial de Car-
thage ; concile général, 548. Autre concile
de Carthage, 544 et 549, 530. Autre, 553,
334. Autre, 535, 336. Concile général, 556.
Canons de ce concile contre les Pélagiens,
536 et suiv. Canons du même concile pour
la réunion des Donatistes, 559, 560. Concile
tenu à Carthage à l'occasion de l'afiaire
d'Apiarius, 362, 563. Sixième concile de
Carthage, 563 et suiv. Canons de ce concile,
564 et suiv. Autres canons du même con-
cile, 567, 568. Lettre synodale de ce concile
au pape Boniface touchant l'affaire d'Apia-
rius, 568, 369. Lettres du même concile à
saint Cyrille d'Alexandrie et à Atticus de
Constantinople, 369. Concile tenu en cette
ville au sujet des Manichéens, 370. Concile
au sujet d'Apiarius, 570 et 371. — Prise de
Carthage par les Vandales, IX, 564, et X,
449. — Corruption de cette ville avant l'in-
vasion des Vandales, X, 375. Saint Eugène,
évêque de Carthage, 452 et suiv. Conférence
indiquée à Carthage par Hunéric, 454. —
Concile qui y fut tenu par l'évêque Boniface
et où la primauté de l'évêque de Carthage
fut reconnue, XI, 828 et suiv. Concile tenu
à Carthnge par l'évêque Réparât, 850, 851.
Prééminence de son évêque reconnue parle
pape saint Agapet, 851. — Lettres du pape
saint Léon IX qui confirment à cette ville le
droit de métropole de l'Afrique, XIII, 205,
206.
GARTHAGÈNE, ville d'Espagne. La pro-
vince de Carthagène reconnaît dans un con-
cile l'évêque de Tolède pour son métropoli-
tain, XI, 911.
[CARTHUIT, évêque. Sa Vie de saint
Etienne de Hongrie, XIV, 1048.]
[CARTULAIRE, officier du siège de Rome,
XI, 486.]
[CARTULAIRE de saint Mayeul, XII, 889.
D'Aymard, 889. — Cartulaire de Weerden
dans la Patrologie, XIll, 69. Cartulaire de
Farfa, 477.]
CARTULAIRE de Saint-Vanne, rédigé par
les soins de l'abbé Richard; l'original s'en
conserve à Dijon, XIII, 121. Cartulaire de
Cluny rédigé par les soins de saint Odilon,
137. [Cartulaire du Saint-Sépulcre, 346.]
CAS DE CONSCIENCE. Comment décidés,
II, 445. Cas réservés à l'évêque au temps de
Rathier de Vérone, XII, 836. — Cas réservé
au pape par un concile d'Avignon, XIV, 1132.
CASAUBON (Isaac), protestant. Son édi-
tion de la lettre de saint Grégoire de Nysse
à Eustathie et Ambrosie, VI, 239.
CASAUBON (Emeric), protestant, fils
d'Isaac. Ses remarques critiques sur les ou-
vrages de saint Justin, I, 443. — Son édi-
418.
419.
4-21.
525.
535.
1053.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
187
tion des œuvres de saint Optât de Milève,
V, 149.
II siècle. GASCHARE, ville de Mésopolamie. Arché-
laiis en est évêqiie, II, 453 et suiv.
H52. GASHEL ou CASSEL, ville d'Irlande où
l'on établit un arctievêclié; concile qui y fut
tenu, XIV, 1134.
CASIMIR I", roi de Pologne, chassé de
ses États, se retire à Gluny où il embrasse
la vie monastique, XIII, 131. Il est rede-
mandé par ses sujets; le pape Benoît IX le
1041. dispense de ses vœux, et il retourne dans
son royaume, 131 et 196. Conditions de la
dispense du pape, 196.
m siècle. CASIMIR II, duc dePologne. Ses constitu-
tions concernant la succession des évêques,
confirmées par le pape Alexandre III, XIV,
923.
CASSANDRE, ofiBcier du guet à Thessa-
lonique, III, 24.
CASSANDRE ou CASSANDER (Georges),
théologien. Ses annotations sur le poëraede
la résurrection par Fortunat, XI, 414. —
[Son édition de l'Inévitable, ouvrage d'Ho-
noré d'Antun, XIV, 295.]
[CASSEDER. Sa traduction allemande des
œuvres de saint Macaire, V, 604.]
304. CASSIE, confesse la foi à Thessalonique,
III, 24.
29S. CASSIEN (Saint), greffier, martyr en
Afrique, II, 484, 483.
304. CASSIEN (et non CASSUS, comme on a
imprimé dans la table) (Saint), martyr de
Carthage, III, 20,21.
CASSIEN ou CASSIUS (Saint), martyr
dans la Romagne, à Imola où il était maître
d'école, III, 83 et 86. — Hymne du poète
Prudence en son honneur, VIII, 102. — Dis-
cours de saint Pierre Damien en son hon-
neur, Xin, 309.
CASSIEN (Jean), prêtre et abbé de Mar-
seille. Histoire de sa vie, VIII, 147 et suiv.
V. 360. gj^ naissance; son éducation, 147. Il va en
V.' lo": Egypte, 147 et 148. Il va à Gonstantinople
V. 415. OÙ il est fait diacre ; il est fait prêtre ; il vient
Y. 426. à Marseille, 148. Gassien cause du trouble
V. 428. par ses écrits, 148 et 149; il écrit contre Nes-
V. 433. torius ; mort de Gassien, 149. Ses écrits, 149
et suiv. Institutions monastiques ; Gassien les
écrit à la prière de Castor, évêque d'Apt;
V. 418. gn quel temps cet ouvrage est divisé en
douze livres, 149 et 130. Analyse du premier
livre, 150. Du deuxième, 150 et suiv. Du
troisième, 132, 153. Du quatrième, 153 et
suiv. Da cinquième, 136, 157. Du sixième,
157, 158. Du septième, du huitième, 138,
139. Du neuvième, du dixième, 159. Du on-
zième, 139 et 160. Du douzième, 160, 151.
Conférences de Gassien, 161 et suiv. En quel
temps et à quelle occasion elles ont été écri- 418 428.
tes ; elles sont au nombre de vingt-quatre,
161. Analyse de la première conférence, 161
et suiv. Be la deuxième, 163, 164. De la troi-
sième, 164 et suiv. De la quatrième, 166 et
suiv. De la cinquième, 168. De la sixième,
168 et suiv. De la septième, 170 et suiv. De
la huitième, 173, 174. De la neuvième, 174
et suiv. De la dixième, 176, 177. De la on-
zième, 177, 178. De la douzième, 178, 179.
De la treizième, 179 et suiv. De la quator-
zième, 182, 183. De la quinzième, 183, 184.
De la seizième et dix-septième, 184, 183. De
la dix-huitième, 185 et suiv. De la dix-neu-
vième, 187, 188. De la vingtième, 188. De la
vingt-unième, 188 et suiv. De la vingt-
deuxième, 190, 191. De la vingt-troisième,
191, 192. De la vingt-quatrième, 192, 193.
Sept livres de Gassien touchant l'Incarna- v. 428.
tion, contre Nestorius, 193 et suiv. Gassien
a écrit ces livres à la prière de saint Léon ;
en quel temps, 193, 194. Analyse du pre-
mier livre, 194, 195. Du deuxième et troi-
sième, 193. Du quatrième, 193 et 196. Du
cinquième, 196, 197. Du sixième, 197 et
suiv. Du septième, 199, 200. Ouvrages attri-
bués à Gassien, 200- Jugement des écrits de
Gassien, 200 et suiv. Éditions particulières
des œuvres de Gassien, 204. Éditions géné-
rales, 204 et 203. [Édition dans la Patrologie,
204.] — On attribue à Gassien les Actes de
saint Victor de Marseille, 11^ 477. — Étant
diacre de Gonstantinople, il vint à Rome sous
le pape seint Innocent, VII, 312. — Une de
ses conférences adressée à saint Honorât et
à saint Eucher; une autre adressée à saint
Encher, VIII, 442. Abrégé de ses ouvrages
fait par saint Eucher de Lyon ; il semble que
cet abrégé avait été traduit en grec, et que
Photius ne connaissait les ouvrages de Cas-
sien que par cet abrégé, 432. Ce n'est point
saint Eucher, mais Victor, évêque de Marty-
rite, qui a retranché des conférences de Gas-
sien ce qu'il y a de mauvais touchant la
grâce, 433. — Ouvrage où saint Prosper ré-
fute les sentiments du Conférencier, c'est-à-
dire de Gassien sur la grâce, X, 303. Analyse
de cet ouvrage, 303 et suiv. — Éloge que fait
Gassiodore des écrits de Gassien ; d'après
lui, on doit néanmoins lire avec circonspec-
tion les endroits où il est parlé de la grâce,
188
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
XI, 21 1 et 233. — Ce que dit de Cassien,
Bernon,abbé de Reichenau,XIII, 127. Scho-
lies,ou notes de Lanfranc sur les conférences
de Cassien, 443 et 458. (Voyez son article
dans l'Histoire liltéraire de la France, t. II,
p. 215 et suiv., et le Supplément, t. X,
p. X.)
CASSIN (le mont). Voyez Mont-Cassin.
CASSIODORE aïeul et CASSIODORE, père
du célèbre Cassiodore. Dignités dont ils fu-
rent revêtus, XI, 207.
CASSIODORE, chancelier et premier mi-
nistre de Théodoric, roi d'Italie, et ensuite
abbé de Viviers. Antiquité et noblesse de
la maison de Cassiodore^ XI, 207. Sa nais-
sance vers l'an 469 ; ses études, 207 et 208.
II est fait comte des domaines, 476, et en-
suite des largesses, par Odoacre, 208. Théo-
doric l'emploie dans le ministère et lui
donne toute sa confiance, 208 et 209. Atha-
laric se sert du ministère de Cassiodore et
lui donne la même confiance, 209, 210. Cas-
siodore pense à établir des écoles à Rome
pour les saintes lettres, 210. Il fait rendre
les vases sacrés de l'église Saint-Pierre mis
en gage pour fournir aux frais du voyage du
pape Agapet, 210. Il se retire dans le mo-
nastère de Viviers qu'il avait fondé, 210 et
211. Sa mort vers l'an 563, 211. Son éloge,
213. Ses écrits, 212 et suiv. Ses lettres, 212.
Ses cinq premiers livres, 213 et suiv. ;
sixième et septième, 213 ; huitième et neu-
vième, 215, 216 ; dixième et onzième, 216
et suiv ; douzième, 219, 220. Histoire ecclé-
siastique appelée Tripartite, 220, 221. Sa
Chronique, 221, 222. Son Comput pascal;
son Histoire des Goths ; son commentaire
sur les Psaumes, 222. En quel temps et à
quelle occasion il le composa, 222 et 223.
Analyse de ce commentaire, 223 et suiv.
Commentaire sur le Cantique des Cantiques
qui lui est attribué, 226. Son livre de l'Ins-
titution aux lettres divines; occasion et des-
sein de ce livre, 227 et 228. Analyse de cet
ouvrage, 222 et suiv. Traité des Sept arts
libéraux; de la Grammaire, 233; de la Rhé-
torique; de la Dialectique ; de l'Arithméti-
que ; de la Musique, 236; de la Géométrie
et de l'Astronomie, 236 et 237. Son traité
des huit parties de lOraison; son traité de
l'Orthographe, 237. Des Tropes ou figures de
l'Ecriture, 237, 238. Son traité de l'Ame; en
quel temps et à quelle occasion il a été fait,
238. Analyse de ce traité, 238 et suiv. Livres
de Cassiodore qui sont perdus ; ouvrages
qui lui sont attribués, 242. Sa doctrine sur
l'Écriture sainte, 243; sur la tradition et les
conciles, 243, 244 ; sur la foi, 244 ; sur la
nature de Dieu, 244 et 245 ; sur la Trinité,
245 ; sur l'Incarnation, 245 et suiv. ; sur
l'Église, 247, 248 ; ses ministres, 248 ; les
sacrements de Baptême et de Pénitence,
248 et suiv. ; le péché originel et l'amissibi-
lité de la justice, 248; sur l'Eucharistie,
230; sur l'Ordre, 251; sur la grâce et le
libre arbitre, 251, 252; sur la Féhcité des
saints avant le jugement, 232. Jugement des
écrits de Cassiodore, 253. Editions qu'on en
a faites, 253 et 234. [Edition dans la Patro-
logie, 235. Fragments des auteurs qui exis-
taient du temps de Cassiodore ; deux autres
fragments publiés par Maï, 254.] Vie de Cas-
siodore par D. Denys de Sainte-Marthe ;
Dissertation par laquelle D. Garet prétend
prouver que Cassiodore a été moine béné-
dictin, 234. — Témoignage de Cassiodore
sur quelques ouvrages de saint Augustin,
IX, 24 et 55. — Cassiodore fait traduire par
Épiphane le Scholastique les Histoires ecclé-
siastiques de Socrate, de Sozomène et de
Théodoret, dont il compose ensuite son His-
toire tripartite, XI, 102.
CASSIOPE, ville de l'île de Corfou. Jean,
évêque d'Eurie, s'y retire avec son clergé
et veut la soustraire à la juridiction de l'é-
vêque de Corfou, XI, 533.
CASSIUS, évêque de Tyr, au concile de
Césarée, H, 541.
CASSIUS (Saint), martyr. Voyez Caste
(saint).
CASSIUS, commandant des troupes ro-
maines dans les Gaules, VIII, 434.
CASSIUS (Saint), évêque de Narni. Éloge
que fait de lui le pape saint Grégoire le
Grand, XI, 461. Ce que raconte de lui le
pape saint Grégoire, 476.
CASTALION, CASTILLON (Sébastien),
Calviniste. Voyez Cliâtillon.
CASTE et CASSIUS (Saints), martyrs.
Leurs actes écrits par Grégoii'e de Terraci-
ne ; hymnes en leur honneur par le même,
XIII, 498.
CASTEL, monastère dépendant de celui
de Viviers en Calabre, fondé par Cassiodore
pour des ermites, XI, 211.
CASTÈRIUS , prêtre de Constanti -
nople , député par Anatolius à Rome ,
X, 220.
CASTIN, père du pape saint Simplice, X,
401.
603.
II siècle.
VI siècle.
V siècle.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
189
376.
402.
695.
596.
394.
405.
392.
854.
CASTOR, à qui saint Grégoire de Nazianze
écrit, V, 462, AU.
CASTOR (Saint), évêque d'Apt, écrit à
Jean Gassien, VIII, 148. Monastère qu'il
établit ; Gassien écrit à sa prière les livres
des Institutions monastiques, 149; et ses
Conférences; mort de Castor, 161. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. II, p. 140 et suiv.)
CASTOR, père du pape Félix IV, XI, 114.
GASTORINE, tante de saint Jérôme, VII,
54S. Lettre qu'il lui écrivit, S82.
CASTORIUS, évêque de Bagaïe ou Va-
gine, à qui saint Augustin écrit, IX, 90. Son
élection, 90, et VIII, 539.
CASTORIUS, notaire et nonce du pape à
Ravenne. Lettre du pape saint Grégoire le
Grand au sujet d'un libelle affiché contre
lui, XI, 303.
CASTORIUS, évêque de Rimini. Lettre
que lui écrit le pape saint Grégoire le
Grand, XI, 488. Il se démet entre les mains
de ce saint pape, 308.
CASTORIUS, cartulaire de l'Eglise ro-
maine ; il se réconcilie avec Maxime, évê-
que de Salone, XI, 316.
[CASTRIUS (Léon). Son édition des deux
lettres de Jules Africain, II, 96.]
CASTRUCE, à qui saint Jérôme écrivit une
lettre, VII, 643.
CASTULE, prêtre arien à Milan, retiré
des mains du peuple par saint Ambroise, V,
384 et suiv.
CASTUS, l'un des quatre prêtres d'Antio-
che auxquels saint Jean Chrysostôme écrit
une lettre, VII, 133.
GASULAN, prêtre. Lettre que lui écrit
saint Augustin, IX, 77.
GATA ou GÉADDA, évêque d'York à la
place de saint Wilfrid, XU, 21 et 63. Sa Vie
par Etienne Heddi, 22.
CATACOMBES, cimetière de Rome. Té-
moignage de saint Jérôme, VII, 701.
[CATALOGUE des papes attribué à saint
Damase, V, 24, n. 9.]
CATALOGUE des hommes illustres par
saint Jérôme, VII, 395. Catalogue des douze
docteurs ; ouvrage faussement attribué à
saint Jérôme, 648. — Catalogue des ouvra-
ges de saint Augustin par Possidius, IX, 560
et suiv. — [Deux catalogues anciens de l'É-
glise de Besançon, XI, 633.] — Catalogue
lumineux de ceux qui avaient été mis à
mort pour la foi de Jésus-Christ, ouvrage
d'Alvar, prêtre de Gordoue, XII, 322 et 323.
[Ce que c'est ; analyse de cet ouvrage, 323.]
Catalogue ou canon des divines Écritures.
Voyez Canon des divines Écritures.
[CATALOGUE des hommes illustres ou
traité des écrivains ecclésiastiques par Ho-
noré d'Autun; ce qu'il contient; il est d'Ho-
noré ; éditions qu'on en a faites , XIV ,
299.]
CATALOGUES des papes, XE, 717, 718.
CATANE, ville de Sicile. Privilège ac-
cordé à l'église de cette ville par le pape
Urbain H, XIII, 423.
CATANI et non GATINI (François), cha-
noine de Florence. Sa traduction italienne
des Offices de saint Ambroise ; sa traduction
de l'Hexaméron, V, 383.
CATAPHRONIUS , sacrificateur de la
Thrace, III, 37.
CATAPHRYGES, hérétiques montanistes.
Loi de Constantin contre eux, III, 146.
CATASTASE, ouvrage de Synésius de
Ptolémaïde sur la désolation de sa province,
Vm, 32.
GATEAU-CAMBRÉSIS, ville du Cambré-
sis, où Gérard, évêque de Cambrai, fonde
un monastère, XIII, 160.
CATÉCHÈSES ou INSTRUCTIONS. Les
dix-huit Catéchèses de saint Cyrille de Jéru-
salem, V, 30 et suiv. Les cinq Catéchèses
mystagogiques du même, 33 et 52 et suiv.
Méthode que saint Cyrille a suivie dans ses
Catéchèses; arguments qu'il y emploie; qui
sont ceux qu'il y attaque, 81 et 82. — Grande
Catéchèse de saint Grégoire de Nysse, VI,
187 et suiv. — Catéchèse de saint Jean
Chrysostôme, VII, 73 et suiv. Petite Caté-
chèse sur la Pâque, faussement attribuée à
saint Jean Chrysostôme, 329. — Catéchèse
ou discours de Salvien sur les mystères;
ouvrage qui est perdu, X, 377. — Catéchèses
de saint Théodore Studite, XII, 308, 309.
[CATÉCHÈSE chronique ou jours de
jeûne des Grecs, ouvrage de saint Théodore
Studite, XU, 314, 313.]
CATÉCHUMÈNES. Ceux que l'on prépa-
rait au baptême. Témoignage d'Origène ,
II, 237. Témoignage de saint Gyprien, 379.
Durée du catéchuménat selon lesconstitulions
apostoliques, 394, 595. Prières pour les ca-
téchumènes ; Constitutions apostohques, 596.
Catéchuménat des Flamines ; canon qua-
trième du concile d'Elvire, 604, 605. Caté-
chumènes énergumènes ; on leur donnait le
baptême à la mort; canon trente-septième
du concile d'Elvire, 608, 609. Catéchuménat
1091.
412.
IV siècle.
IV siècle.
IV siècle.
3(i7.
III siècle.
IV siècle.
190
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
IV siècle, donné aux gentils dans le cas de maladie ;
canon trente-neuvième du concile d'Elvire,
IV siècle. 609. Catéchumènes nommés chrétiens ; ca-
non quarante-cinquième du concile d'Elvire,
610. Canon sixième du concile d'Arles, 630,
IV siècle. 631. Canon cinquième du concile de Néocé-
sarée, 641. — Canon quatorzième du con-
cile de Nicée, III, 436. Canon dix-neuvième
325. du concile de Laodicée, SIO. Canons qua-
rante-cinquième et quarante-sixième du
même, 512, 513. — Canon quatrième du
concile d'Hippone , VII, 714. Canon cin-
quième du troisième concile de Carthage,
719. Canon quatre-vingt-cinquième du qua-
trième concile de Carthage, 732. — Dispo-
sitions du concile d'Orange à l'égard des
catéchumènes, VIII, 608, 609. — Témoi-
gnage de saint Méthode, III, 71 ; — de saint
Basile, IV, 319; — de saint Cyrille de Jéru-
salem, V, 51 et 72, 73. Réponses première,
deuxième, quatrième et sixième de Timo-
thée d'Alexandrie, 93, 94. — Deux catéchè-
ses de saint Jean Chrysostôme aux caté-
chumènes, VII, 73 et suiv. Témoignages du
même sur les catéchumènes, 224, 306, 410,
411. Discours aux catéchumènes qui lui est
faussement attribué, 287. Témoignages de
saint Jérôme, 670; — de saint Augustin,
IX, 257, 624, 74.^, 746. Traité de saint Au-
gustin : De catechizandis rudibus , 264 et
suiv. — Saint Léon défend d'admettre les
catéchumènes à l'épiscopat, X, 203. Diffé-
rents examens prescrits par le Sacramen-
taire du pape saint Gélase, pour préparer
les catéchumènes au baptême, 312, 313. —
Sentiment d'Alcuin sur les catéchumènes,
XII, 203. — Renvoi des catéchumènes avant
la messe ; quand il a cessé, XIII, 12.
CATÉGORIES. Livre des dix Catégories
attribué faussement à saint Augustin, IX,
65.
CATGUCAN, roi d'Angleterre, excommu-
nié et rétabli dans la communion de l'Égli-
se, XIV, 1059.
CATHARES ou NOVATIENS. Voyez No-
vatiens.
CATHARES , hérétiques condamnés au
1185. concile de Vérone tenu par le pape Lucius III,
XIV, 930. [Ils renouvelaient les erreurs des
Manichéens ; treize sermons ou discours
dans lesquels Egbert réfute dix de leurs
erreurs; éditions de ces discours; jugement
de ces discours, 599. Les erreur sdes Catha-
res dénoncées par Bonacurse , comte ro-
main, 802.]
4M.
CA.THARIN (Ambroise), dominicain, ar-
chevêque de Couza. Texte de saint Am-
broise sur lequel il s'est mépris, V, 343.
CATHÉDRATIQUE, droit de visite dû aux
évéques, et fixé à deux sous d'or par le
deuxième concile de Brague, XI, 543.
C.4THÉMÉRIN0N, ou hymnes de chaque
jour par Prudence, VIH, 101, 102, [sous le
titre de liber KaBiitiEpivoMv ou Quotidianorum,
Prudence a réuni une série d'hymnes pour
toutes les heures du jour qui doivent être
consacrées à la prière, et quelques autres
pour les principales époques de l'année
chrétienne. Il commence par la prière de
nuit que l'Église commande de faire au chant
du coq.]
CATHERINE D'ALEXANDRIE (Sainte).
[Prologue de sa passion par Pierre de Na-
ples, XIII, 602.] — Sermon de Guillaume
d'Auvergne pour le jour de sa fête, XIV,
1027.
CATHOLIQUES. Lettre de Constance à 3i4.
tous les évêques catholiques, III, 134, et V,
143. Lois du même en faveur des catholi-
ques, 146. — Le nom de catholique distin-
gue la vraie Eglise, V, 78. L'empareur
Théodose ne reconnaît pour adorateur du
Dieu tout-puissant que les catholiques, 154.
— Deux livres des Mœurs de l'Église catho- 389.
lique et des Mœurs des Manichéens , ou-
vrage de saint Augustin, IX, 56 et suiv. Re-
marque de saint Augustin sur le nom de
cathoUque, 624.
[CATULFE , auteur d'une Instruction
adressée à Charleœagne, XII, 152.] (Voyez
ce qui en est dit dans ï'ffistoù'e littéraire de
la France, t. IV, p. 201 et suiv.)
GATON, philosophe. Témoignages de saint
Augustin, IX, 505 et 793.
CATTURE, vierge à qui Salvien adresse
une lettre sur les avantages de la maladie,
X, 376.
CATULIN, vicaire d'Afrique à qui une loi
est adressée, VI, 339.
CATWALON, qu'on dit frère de Geoffroi,
duc de Bretagne, d'abord moine de Redon,
établit une communauté de moines à Belle-
Ile ou Guédel; succède à Mainard, abbé de joas.
Redon, et rétablit ce monastère; combien ^49,
de temps il gouvei'na; ses deux lettres, XIIJ,
138. [Édition qui en est faite dans la Patro-
logie, 158.] (Voyez ce qui en est dit dans
l'Histoire littéraire de la France, tome VII,
p. 426.)
[CAUBÈRE (le Père), a traduit en français
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
191
quelques ouvrages de TertuUien, II, 87.]
siècle. CAUSES ECCLÉSIASTIQUES réservées
aux juges ecclésiastiques selon saint Hilaire
de Poitiers, IV, 78 ; selon saint Athanase,
222 ; selon saint Basile, 330 ; selon saint
Grégoire de Nazianze, V, 347, 348; el saint
I Ambroise, 488. — Saint Jean Chrysostôme
allègue les canons qui défendent de juger
les causes des évêques hors de leur pro-
vince, VII, 5. Causes majeures dévolues au
Saint-Siège selon le pape saint Innocent,
507.
CAUTION interdite aux clercs. Canon ving-
tième apostolique, II, 582.
CAVADE (ou CAVADÈS), roi de Perse,
prend le fort Tzundader par les prières d'un
évêque, ce qui le porte à favoriser les chré-
tiens dans ses états, XI, 104. — Il ne peut
prendre la ville d'Édesse, X, 586.
1089. CAVE, abbaye au royaume de Naples.
Bulle du pape Urbain -Il pour la confirma-
lion des biens et des droits de cette abbaye,
XIII, 422.
CAXUME, autrefois AUXUME, ville d'E-
thiopie, VI, 344.
CÉADDA. Voyez Cata.
CÉCILE, prêtre, convertit saint Gyprien,
depuis évoque de Carthage; il lui recom-
mande en mourant sa femme el ses enfants,
II, 238.
CÉCILE, évêque de Bilta , en Afrique.
Voyez Cécilius.
CÉCILE (Sainte), martyre. [Les actes de
son martyre sont véridiques. L'assertion
contraire est en contradiction avec les tra-
vaux récents de D. Guéranger. Rédaction
de ces actes, II, 99. Leur authenticité, 100
et suiv. Objections et réponses, 102 et suiv.
Analyse de ces actes, 106 el suiv. Epilbalame
de sainte Cécile et de saint Valérien, 109,
note 2] — Relation de l'invention du corps
de sainte Cécile dans une lettre du pape
Pascal, XII, 402, 403. [Pièce de vers sur
sainte Cécile par le moine Théodoric, XIII,
602j] — Abbaye de filles sous le nom de
873. sainte Cécile, fondé par Gonthier, archevê-
que de Cologne ; cette fondation confirmée
dans un concile de Cologne, Xlll, 716. —
Sermon de Guillaume d'Auvergne pour la
fêle de celte sainte, XIV, 1027.
CÉCILE, fille aînée de Guillaume le Con-
1075. quérant, se consacre à Dieu, XIII, 330. Son
éloge par Baudri, évêque de Dol, 531.
304. CÉCILIEN (Saint), martyr de Carthage,
III, 20.
CECILIEN (Saint), martyr de Saragosse, soi.
III, 44.
CÉCILIEN, archidiacre de Carthage, en
est élu évêque. Schisme contre lui, II, 621
et suiv. 11 est condamné par les Donatistes,
623. Protection que lui accorde Constantin, iv siècle.
623. Concile tenu à Rome à son sujet; il est
absous par ce concile, 623, .626. Déclaré
innocent au concile d'Arles, 629. — Lettres 3i4.
que lui éci'ivit Constantin, III, 133. Autre, 313.
133. Il est déclaré innocent au concile d'Ar- 315.
les, 135. Il est le seul de l'Afrique au concile
de Nicée, 420. — Cécilien déposé par les
Donatistes, V, 96. Il est absous par le con-
cile de Rome, 97. Actes de sa justification, 320.
143. — Sa condamnation et sa justification,
IX, 19, 80, 485.
CÉCILIEN, évêque dans la Mauritanie de
Stèfe, VII, 712.
CÉCILIEN, gouverneur de Numidie , et 405.
ensuite vicaire d'Afrique, IX, 9 et 16. Lettre
que lui écrivit saint Augustin, 94. Autre, v. 4i4.
133, 134.
CÉCILIUS, évêque de Bilta en Afrique, m siècle.
Lettre de saint Cyprien à Cécilius, II, 323 et
suiv. Concile de Carthage où il opine le pre-
mier, 323, note 10 et p. 550, 551.
CÉCROPIUS ou CÉCROPS, évêque de Ni-
comédie, II, 613. — Périt dans le tremble- 358.
ment de terre de cette ville, IV, 334.
CÉCROPIUS, évêque de Sébastopolis,
s'oppose, dans le concile de Chalcédoine, à
ce qu'on fasse une nouvelle formule de foi,
X, 688. Il demande un règlement pour faire
observer partout les canons sans égard aux
lois impériales, 691.
CÉCROPS, premier roi des Athéniens, VIIT,
312.
CEDDE, évêque d'Irlande, assiste à la con-
férence de Streneshal, XII, 933. Embrasse
l'usage de l'Église romaine sur la pàque, 936.
CÉDICIE, dame à qui saint Augustin écrit iv ou
une lettre, IX, 190, 191. ^ ^'^'="^-
CEDRÈNE (Georges), moine grec. Voyez
Georges Cedrène.
CÉILLIER(DûmRemi), bénédictin, prieur xviUsiècie.
titulaire de Flavigny. Lettre qui lui est écrite,
et qui contient l'explication d'un passage de
saint Augustin, IX, 820 et suiv. — Il est seul
auleur de la Bibliothèque des auteurs sacrés
et ecclésiastiques, XIII, 487. — Sa lettre au
pape Benoît XIV, par laquelle il lui présente
les dix-sept premiers volumes de son his-
toire des auteurs sacrés et ecclésiastiques ;
réponse du pape, XIV, 1172. Seconde lettre
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
V. 400.
VI siècle.
ni siècle.
421.
492.
423.
426.
V. 426.
428
423.
V . 430.
192
que lui écrit le même pape en le remerciant
du 18° tome, qu'il lui avait fait présenter
par le cardinal Passionéi, 1173. — [Nouvelle
édition à laquelle M. l'abbé Bauzon a tra-
vaillé plus de dix ans. Approbations données
à cette édition, en tête du XIIP volume. —
Sa Sainteté Pie IX loue le projet de la nou-
velle édition, XIV, 1173. — Biographie de
Dom Ceillier" en tête du I" volume.]
CEINTURE DE LA SAINTE VIERGE. Dis-
cours d'Euthymius Zigabène sur ce sujet,
XIV, 153.
CELA, lieu où furent trouvées les reli-
ques du prophète Habacuc, VIII, 533.
GÉLANTIA ou CÉLANCIE, dame de qua-
lité. Lettre à cette dame, faussement attri-
buée à saint PauHn, évéque de Noie, VII,
646 et VIII, 88.
CELCHYTE en Angleterre. Voyez Calckui.
CELER, homme distingué. Lettre que lui
écrit saint Augustin, IX, 86.
CELER, général des troupes de l'empe-
reur Anastase. Son voyage à Edesse pour
confirmer l'alliance avec les Perses , X ,
586.
CÉLERIN, confesseur. Sa lettre à Lucien,
II, 303. Lettre de Lucien à Gélérin, 304.
Il est fait lecteur, 309, 310.
GÉLÉRIN, père d'Agéruchie, VII, 638.
GÉLÉRINE, dame k qui Théodoret écrit,
X, 72. ^
CÉLÉRUS, sénateur. Lettre que lui écrit
saint Avit de Vienne, X, 562.
CÉLESTE, divinité honorée à Garthage.
Son temple détruit, VIIL 370 et X, 429.
CÉLESTIAQUE, sénateur de Garthage,
chassé par les Vandales, recommandé par
Irénée, évêque de Tyr, X, 65, à d'autres
personnes, 66. Sa conversion, 66 et 67.
GÉLESTIN, diacre, consulte le pape saint
Innocent au nom de Décentius, évêque d'Eu-
guho, VII, 521.
GÉLESTIN, à qui saint Augustin écrivit
une lettre, IX, 69.
GÉLESTIN (Saint), pape, VIII, 127 et suiv.
Il est élu pape; lettre de saint Augustin à
ce pape ; lettres de saint Gélestin aux évê-
ques d'Afrique, et réponse de ceux-ci, 127.
[Note relative à cette réponse, 127^ n. 2.]
Lettre de saint Gélestin aux évèques d'Illyrie,
127, 128. Lettre aux évêques des provinces
de Vienne et de Narbonne, 128,129. A ceux
de Pouille et de Galabre, 130. Lettre de Nes-
torius au pape saint Gélestin, autre du même,
130 et suiv. Lettre de saint Cyrille d'Alexan-
drie à saint Gélestin, 132. Saint Gélestin tient
un concile à Rome. Lettre de saint Gélestin
à saint Cyrille, 133. A Jean d'Aatioche et
autres évêques, 134. A Nestorius, 135, 136.
Au clergé de Contantinople, 136, 137. Lettre
de Nestorius au pape saint Gélestin, 137,
138. Lettre de saint Gélestin à saint Cyrille,
138. Au concile d'Ephèse, 138 et 139. A
l'empereur Théodose. Lettres du concile
d'Ephèse au pape saint Gélestin, 139. Lettre
de saint Gélestin aux évêques des Gaules,
139 et 140. Recueil touchant l'autorité des
évêques de Rome, au sujet de la doctrine de
la grâce, 140 et suiv. Lettre de saint Géles-
tin au concile d'Ephèse, 143, 144. A Théo-
dose ; à Maximilien de Constantinople, 144;
au clergé et au peuple de cette ville,
144 et 145. Autres lettres perdues , 143.
Saint Gélestin chasse Célestius de l'Italie,
145, Il envoie en Angleterre saint Germain
d'Auxerre. Lettre perdue de saint Gélestin
à un évêque nommé Tuentius, 143. Lettres
sur la translation des évêques attribuées à
saint Gélestin, 143 et 146. Zèle de saint Gé-
lestin contre les Novatiens ; décrets attribués
à saint Gélestin ; mort de ce saint pape, 146.
Pièces relatives à saint Gélestin et ses écrits
dans la Patrologie, 146. — Le pape saint
Gélestin fait chasser Célestius de toute l'Ita-
lie, VII, 544. — Lettres que saint Augustin
écrivit à saint Gélestin avant qu'il fût pape,
IX, 162, 171. Gélestin condamne dans un con-
cile les erreurs de Nestorius, VIII, 371. Lettre
que lui écrit saint Cyrille d'Alexandrie au
sujet des erreurs de Nestorius, 286 ; sa ré-
ponse à saint Cyrille ; ses lettres à Jean
d'Antioche, Juvénal de Jérusalem, etc., 278.
Nestorius, 371. Trompé par le prêtre Apia-
rius excommunié en Afrique, il le rétablit
dans la communion, et le renvoie en Afrique
pour être rétabli ; sa lettre aux évêques d'A-
frique, 370. Réponse des évêques assemblés
en concile oii ils lui font sentir l'inconvénient
des appellations au pape et de ce qu'ils ap-
pellent les prétentions de l'Eglise de Rome,
570 et 571. [Voyez la note 2, p. 127.] Ses
lettres à Nestorius et à saint Cyrille, 573. On
ne voit rien qui marque qu'il ait eu part ù
la convocation du concile d'Ephèse, 574. Il
envoie à ce concile des légats chargés de ses
instructions, 374, 575. Sa lettre insérée dans
les actes du concile, 584, 385. — Sa lettre
aux évêques des Gaules en faveur d'Hilaire
et de saint Prosper, et pour défendre la
doctrine de saint Augustin, X, 277.
430.
43i.
432.
432.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
193
H43. CÉLESTIN II, pape, XIV, 267. Lettres
qui nous restent de lui, 267 et 268. [Voyez
Hi4. aussi 267, n. 1;] Sa mort, lettre d'ArnouI,
évêqne de Lisieux, qui lui est adressée, 268.
1191. CÉLESTIN III, pape ; il couronne empe-
reur Henri VI et la reine sa femme, XIV,
H98. 940. Sa mort, 941. Ses lettres, 941 et suiv.
[Collection de ses lettres dans la Patrologie,
944 et suiv. Autres écrits qui lui sont attri-
bués; jugement sur les lettres de Célestin III^
946. Lettre de Guariu, abbé de Saint-Victor^
à ce pape, 711. Lettre de l'archevêque de
Drontheim à ce pape ; lettre de Guillaume
abbé au même, 841.]
iM5. CÉLESTIUS, hérésiarque, disciple de Pe-
lage. Quel il était, VII, S43. Ses erreurs, 343
et 344 ; il est condamné dans un concile de
Carthage ; chassé de Constantinople et de
Rome; ses erreurs condamnées dans un con-
cile de Palestine ; assemblée tenue à Jéru-
salem au sujet de l'hérésie de Pelage et de
Célestius, 344. Confession de foi que Céles-
lius présente au pape Zosime, 329. Lettre de
ce pape à Aurèle de Carthage et aux évo-
ques d'Afrique au sujet de la profession de
foi de Célestius, 329 et suiv. Lettre de ces
évêques et réponse du pape, 333 et 334.
— Il est chassé de l'Italie par le pape saint
Célestin, VIII, 143. 11 se retire à Constanti-
nople où il trouve de la protection dans Nes-
torius, 368. Ses erreurs y sont dévoilées et
il est proscrit par un édit de l'empereur
Théodose, 368 et 501. Nestorius lui écrit
pour l'en consoler ; il le porte à intenter une
accusation contre le prêtre Philippe, 368. —
Caractère de Célestius, IX, 417. Réfutation
de ses écrits par saint Augustin, 440 et suiv.
Ses erreurs, 446, 447 et 453. Sa condamna-
tion et sa profession de foi, 417 et 433.
siècle. CÉLEUSIUS, ecclésiastique de Carthage,
l'un des auteurs du schisme contre Gécilien,
II, 621.
,,^. CÉLEUSIUS, officier de la ville de Na-
zianze. Lettre que lui écrit saint Grégoire de
Nazianze, V, 247.
CÉLIBAT des chrétiens [selon saint Clé-
iiècie. tnent pape, I, 334. Voyez note o;] selon
siècle. Athénagore, 483. Selon Minucius Félix, 533.
Selon Tertulhen, II, 77. [Célibat des clercs
d'après l'auteur des Philosophumena, 201.]
Traité de la Singularité ou du céHbat des
clercs attribué à Grigène et à saint Cyprien,
347. — Pour quelles raisons le célibat a été
reçu chez les chrétiens ; doctrine d'Eusèbe
de Césarée, IIl, 89 [et 223.] Son témoignage,
TAB. I.
299. Canon 3 du concile de Nicée, 430, 431.
Différents usages sur ce sujet, 531. — Té-
moignage de saint Cyrille de Jérusalem, V,
77. Le célibat des prêtres n'était point géné-
ral dans l'Orient du temps de saint Grégoire
de Nazianze, 179. Son témoignage, 180 et iv .siècle.
347. Doctrine de saint Ambroise, 567. — De iv siècle,
saint Epiphane, VI, 433. — De saint Augus- v siècle,
tin, IX, 783. — Sentiment de l'évèque Véran
sur le célibat des clercs, X, 710. Règle-
ment du concile de Gironne sur ce su-
jet, 749. — Doctrine du pape saint Gré-
goire le Grand, XI, 372. Témoignage de
saint Isidore de Séville sur le célibat néces-
saire pour parvenir à l'épiscopat, 718. —
Célibat des prêtres justifié par Ratramne ix siècle,
contre les reproches des Grecs, XII, 366;
par Enée, évêque de Paris, 600. Le célibat
n'est point exigé des prêtres grecs, 961. —
Canon d'un concile de Pavie sur le célibat
des clercs, XIII, 191. Règlement d'un con-
cile de Rome, 244. Lettres des clercs de Cam-
brai et de Noyon, 276, 277. Règlement d'A-
lexandre II, 289. Lettre de saint Pierre
Damien, 304; de Gonthier, évêque de Bam-
berg,326. Règlement de saint Grégoire VU,
334. Il en poursuit l'exécution, 336. Canon
du concile de Worms, 701. — Témoignage
du Vénérable Hildebert, évêque du Mans,
XIV, 217. Témoignage de Robert Pullus,
398. Voyez Continence.
CÉLICOLES, sectaires peu connus, IX, 81.
CÉLIDONIUS, évêque de Besançon, Voyez
Quélidoine.
CELLARIUS (Christophe), protestant. Ses
notes sur le Dialogue de Minutius Félix, I,
337. — Sur Lactance, II, 520. — [Son édition
des écrits du poète Prudence, VIII, 107 ; de
Sédulius, poëte, 149.]
CELLE, ville de Thrace. Au temps du
431.
concile d'Éphèse, l'évèque de Celle l'était
aussi de Gallipoli, VIII, 591.
CELLE (la), dans la forêt Noire. Fondation xi siècic.
de ce monastère, XIII, 470.
CELLE-NEUVE. Monastère en Espagne,
XIV, 933.
CELLERIER, devoirs du cellerier et des
autres officiers dans la règle de saint Benoît,
XI, 163.
CELLOT (Louis), jésuite. Son édition de
plusieurs opuscules d'Hincmar de Reims,
qui servent à compléter l'édition des œuvres
de cet archevêque donnée par Sirmond,
Xn, 689.
CELLULE, livre des quatre exercices de
13
194
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
la cellule, ouvrage de Gui, prieur général de
la Chartreuse, XIV, 402.
C02. GELMENTIN, primat de la Byzacène. Con-
cile ordonné par le pape saint Grégoire le
Gi-and pour examiner les plaintes formées
contre lui, XI, 909.
GELSANUS (Barnabe), son édition de la
traduction latine de quelques ouvrages de
saint Athanase faite par Omnibonus de Lo-
nigo, IV, 230. [C'est par erreur que la Table
de Rondet porte Longiuo.]
Il siècle. CELSE, chrétien, traducteur de l'ouvrage
d'Ariston de PeUa, intitulé : conférence de
Jason et de Papisque, 1, 405 et VI, 269.
ii[ siècle. CELSE, philosophe païen. Livres d'Ori-
gène contre ce philosophe ou Apologie des
chrétiens contre les calomnies de ce philoso-
phe, II, 179 et suiv. — Témoignage de saint
Jean Chrysostôme sur Celse, VII, 253.
CELSE et NAZAIRE (Saints) , martyrs.
Voyez Nazaire.
315. CELSE (Saint), évêque de Trêves. Histoire
de l'invention de ses reliques, et discours
pour le jour de sa fête par Thierry, moine
de Saint Mathias de Trêves, XIH, 101, 102.
CELSE, vicaire d'Afrique. Lettre que l'em-
pereur Constantin lui écrit, III, 135 et IX,
416. — Celse, fils de Pneumace, parent de
saint Paulin, VIII, 50. Poème de saint Pau-
lin sur sa mort, 86, 87.
CELSE, abbesse du monastère de Saint-
Césaire à Arles, XI, 695.
CELSIN, évêque de Toul, X, 400.
CELLES (Conrad), savant allemand. Son
édition des ouvrages de Rosvithe, religieuse
de Gandersheim, XII, 877.
CÉMELE, autrefois ville considérable, près
de Nice en Provence, avec le titre de cité et
un siégp épiscopal, VIII, 144. — Saint Léon
réunit ce siège à celui de Nice; état actuel
de ce lieu, X, 154. L'union de l'Église de
Cémèle à ceUe de Nice est confirmée par le
pape saint Hilaire, 338.
GENCIUS, préfet de Rome. Sa conjuration
contre le pape saint Grégoire VU, XIII, 359.
CENCIUS, camérier du pape. Son ordre
romain écrit sous le pontificat de Célestin III,
XIV, 941.
CENDRES. Imposées sur la tète au com-
mencement du carême; homélie de saint
Maxime de Turin pour le jour des Gendres,
X,320. — Onpropose de joindre au jeûne du
mercredi des CendresceluidesQuatre-Temps,
XIII, 164. — Sermon du pape Innocent III
sur le jour des Cendres, XIV, 1009.
CENDRIERS. Nom que Vigilance donne
aux catholiques, VII, 607.
CÈNE. Dernier repas mystérieux que Jé-
sus-Christ fit avec ses disciples la veille de sa
mort et dont la mémoire se renouvelle dans
la célébration des saints mystères ; homélie
de Saint Cyrille d'Alexandrie sur la cène
mystique, VIII, 280. [Sermons de saint Augus-
tin sur la cène du Seigneur, 836, 841.] —
Comment, selon saint Fulgence, il faut en-
tendre le récit que fait saint Luc sur la cène,
XI, 41. — Quatre sermons d'Abbon, moine
de Saint-Germain-des-Prés à Paris, XII, 791.
— Sermon de Bernon, abbé de Reichenau,
sur le même sujet, XIII, 127. [De sacra cœna
adversus Lanfrancum , deuxième livre de
Bérenger, 173.] Sermon de saint Pierre Da-
mien, 308. Homélie de Guaifer, 496. — Ser-
mon d'Yves de Chartres, XIV, 123. Sept
sermons du Vénérable Hildebert, 214. Livre
de la Gène mystique ou des sept ordres de
la messe, ouvrage de Jean de Cornouailles ,
358. Homéhe du pape Innocent III sur la
cène, 1012.
CÉNONS. Nom de dignité parmi les Mon-
tanistes, II, 538.
CENSORIA DE PR^SENTIBUS EUROPE
CALAMITATIBUS, etc. Titre dune édition
du traité de Salvien sur la Providence, don-
née à Lyon en 1647, X, 378.
CENSORIUS, comte, envoyé par Aétius
pour rétabhr la paix en Espagne, X, 341 .
CENSURES ECCLÉSIASTIQUES. Témoi-
gnages de saint Grégoire de Tours, XI, 393.
GENSURIUS (Saint), évêque d'Auxerre,
sollicite le prêtre Constance de publier la Vie
de saint Germain qu'il avait composée, X, 400.
CENTENIER. Voyez Centurion.
GENTIUS. Voyez Cencius.
CENTONS de Virgile et d'Homère, ouvrage
de Faltonia Proba, VI, 286, 287. — Le Cen-
ton d'Homère, poëme attribué à l'impéra-
trice Eudoxie, VIII, 476.
CENTULE, abbaye. Voyez Saint-Riquier.
CENTUPLE que Dieu promet dans l'autre
vie; ce que c'est, selon saint Avit devienne,
X, 566.
CENTURION dont Jésus-Christ loue la foi ;
sujet d'un opuscule faussement attribué à
saint Jean Cln-ysostôme, VII, 312. — Cen-
turion qui, au temps de la passion de Jésus-
Christ, le reconnut pour Dieu, fut, dit-on,
évêque dans la Cappadoce, VI, 233. — On
a prétendu qu'il avait souffert le martyre,
VU, 231.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
195
CÉOLFRIDE (Saint), abbé de Wiremouth
et de Jarrow, engage l'abbé Adamnan à se
conformer aux usages de l'Église romaine
toucbant la pâqae, XI, 800. Son voyage à
Rome avec saintBenoîtBiscop, après la mort
duquel il devient abbé de "Wiremouth et de
Jarrow, 802. Soin qu'il prend de ces deux
monastères, 802 et 803. Il entreprend le
voyage de Rome avec le prêtre Bède ; la fa-
tigue lui occasionne une maladie dont il
meurt à Langres ; son éloge ; sa lettre à
Naïton, roi des Pietés, sur la célébration de
la pâque et la tonsure des clercs, 803. [Édi-
tion de cette lettre et du décret sur la pâque
dans la Patrologie, 803.] — Son voyage à
Rome; sa mort, XII, 2. Son histoire, écrite
par le Vénérable Bède, 14.
CÉOLULFE (Saint), roi de Northumbre,
XII, 6.
CÉPÉRANO, ville d'Italie. Concile qui y
fut tenu, XIV, 1085.
[CÉPHAS. D'après plusieurs critiques, Cé-
phas, dont il est parlé dans l'Épître aux Gâ-
tâtes, est différent de l'apôtre saint Pierre,
I, 245, n. 1.]
CÉPONIUS, évêque, auquel Turibiusd'As-
torga écrivit en lui envoyant la réfutation des
blasphèmes des Priscillianistes, X, 206 et 342.
CÉRAMÉUS (Théophanes). Voyez Théo-
phanes Céi'améus.
[CERANA. Ce qu'on entendait par ce mot,
XII, 153.]
CÉRAUNE (Saint), évêque de Paris, reçoit
de Varnahaire les Actes de quelques martyrs
de l'Église de Langres, XI, 630, 631. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. III, p. 526 et suiv.)
CÉRAUNIA, épouse de Namace. Lettre que
lui écrit saint Rurice, évêque de Limoges,
X, 608.
GERBONE (.Saint), évêque de Populonium,
dont parle le pape saint Grégoire le Grand
dans ses Dialogues, XI, 476.
[CERCLE. Maï a publié trois fragments de
la quadrature du cercle, ouvrage de Psellus,
Xm, 341, n. 15.]
CERDA (Jean-Louis de la), jésuite espa-
gnol. Son commentaire sur les ouvrages de
Tertullien, II, 85.
GERDON, hérésiarque. Son hérésie, I, 501.
— Temps et lieu où il dogmatisa, II, 337.
CERDONIENS. Ce que saint Epiphane dit
de cette secte, VI, 392.
CÉRÉAL, consul et préfet de Rome, VI,
342. — Veut épouser sainte Marcelle, VII, 641 .
CÉRÉAL, évêque de Castel-sur-Rive dans
la Mauritanie-Césarienne, se trouve à la con-
férence de Carthage; sa dispute avec un
évêque arien, nommé Maximin; son écrit
contre cet évêque, X, 468.
CÉRÉMONIAL de l'empereur Constantin
Porphyrogénète, XII, 813.
CÉRÉMONIES DE L'ANCIENNE LOI. Doc-
trine d'Eusèbe de Césarée, III, 293, 294.
CÉRÉMONIES DE L'ÉGLISE [pratiquées dès
le temps des apôtres, II, 574, n. 1.] — Té-
moignage de saint Cyrille de Jérusalem sur
ditl'érentes cérémonies de l'Église, V, 73 et
76, 77. — Esphquées allégoriquement dans
la Mystagogie de saint Maxime, abbé de
Chrysopolis, XI, 770. — L'ouvrage mystique
sur les cérémonies de la liturgie, intitulé
Théorie, est d'un patriarche de Constanti-
nople, nommé Germain, qui vivait au com-
mencement du xiii" siècle, XII, 42. [C'est le
même ouvrage nommé Contemplation et que
Galland attribue à saint Germain de Constan-
tinople, 43.] Traité de l'Institution des clercs
et des cérémonies de l'Égiise ; analyse de cet
ouvrage de Rhaban Maur, 452 et suiv. — Les
cérémonies ecclésiastiques défendues par
Gérard , évêque de Cambrai , au concile
d'Arras, contre les mépris des Manichéens,
XIII, 161. [Waltram se plaint de la variété
des cérémonies admises par les différents pas-
teurs, 403. Cérémonies de l'Église usitées
pour l'Eucharistie d'après Bonizon, 565.] Ca-
non du quatrième concile général de Cons-
tantinople qui défend de contrefaire les céré-
monies de l'Église, 709. — Livre des Cérémo-
nies, des sacrements, des offices et des rites
ecclésiastiques par Robert Paululus, XI"V,
356, 357. [Rapports de quelques cérémonies
de l'Église avec les cérémonies du paga-
nisme, 795.] Voyez Liturgie, Offices.
CÉRÉMONIES PAYENNES. Canon aposto-
lique, II, 586. Canon cinquante-septième du
concile d'Elvire, 611.
CÉRÉTIUS, évêque. Lettre que lui écrivit
saint Augustin, IX, 183.
CERF (le petit). Jeu profane chez les
païens, V, 419.
CÉRINTHE, hérésiarque. Evangile sous son
nom, 1,274. Son Apocalypse, 286. Ses erreurs
réfutées par saint Irénée, 501 .— Quelques hé-
rétiques lui attribuent l'Apocalypse, V, 174.
— Ses erreurs réfutées par Théodoret, X, 87.
CÉRINTHIENS, disciples de Cérinthe. Ce
que saint Epiphane dit de cette secte, VI, 387.
CERISIERS (René de), jésuite. Sa traduc-
464.
IV siècle
TV ou
V siècle.
T siècle.
IV siècle.
196
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
tion française des livres de saint Augustin de
la Cité de Dieu, IX, 812. De ses Confessions,
813.
CÉRULAIRE (Michel), patriarche de Cons-
tantinople. Voyez Michel Cérulaire.
CÉSAIRE (Saint), médecin, frère de saint
Grégoire de Nazianze, V, 179. Saint Gré-
368. goire de Nazianze tâche de le retirer de la
cour, 183. Sa mort, 183 et 203. — Il laisse
son bien à son frère pour le distribuer aux
pauvres, IV, 433, et V, 183, 203. Son corps
269. fut inhumé à Nazianze, V, 203, 230. Son
Oraison funèbre par saint Grégoire de Na-
zianze, 2o0 et 206. — Lettre que saint Basile
lui écrivit, IV, 432. — Lettres que lui écri-
IV siècle, vit saint Grégoire de Nazianze, son frère, V,
249, 230. Témoignage que lui rend son frère
dans sa lettre à Sophrone, 230. Les Ques-
tions et réponses qui lui sont attribuées ne
sont pas de lui, 363.
IV siècle. CÉSAIRE, préfet de Constantinople. Let-
tres que saint Grégoire de Nazianze lui écrit,
V, 264.
IV siècle. CÉSAIRE, maître des offices, envoyé de
Théodose àAntioche, VII, 63.
V siècle. CÉSAIRE, moine. Lettre au moine Césaire
faussement attribuée à saint Jean Chrysos-
tôme, Vn, 138 et suiv=
470. CÉSAIRE (Saint), évêque d'Arles, XI, 123
et suiv. Sa naissance ; son amour pour les
pauvres ; il entre dans le clergé, puis se re-
tire, à Lérins ; venu à Arles pour se faire
traiter d'une maladie, l'évêque le fait diacre,
501. puis prêtre, et le désigne pour son succes-
seur ; il devient évêque d'Arles; éloge de
Césaire par saint Ennode, 123. Sa conduite
pendant son épiscopat, 123 et 126. Il est ac-
V. 505 cusé de trahison ; le roi Alaric l'exile à Bor-
deaux, puis reconnaissant son innocence, le
500. renvoie à Arles, 126. 11 préside au concile
d'Agde, 122. Soupçons des Goths sur Césaire
pendant le siège d'Arles; mauvais traite-
ments qu'il souffre, 122 et 127. Sa cha-
rité envers les Francs et les Bourguignons
faits prisonniers, 127. Il est accusé de nou-
veau et mené à Ravenne où il se justifie
pleinement et se concilie l'amitié et le res-
pect du roi Théodoric;il va à Rome; le pape
V. 5U. Symmaque lui donne le pallium, et confirme
les privilèges de rÉghse d'Arles; il revient
52t. dans son diocèse ; il tient un concile à Arles ;
542. assiste à plusieurs autres, 127. Sa mort ; sa
Vie, écrite en deux livres par plusieurs de
ses disciples, 128. Écrits de saint Césaire
d'Arles ; ses sermons, 128 et suiv. Ils ont été
attribués à saint Augustin, à saint Ambroise
et à d'autres ; comment on les distingue,
128, 129. Ce qu'ils contiennent de remarqua-
ble, 129 et suiv. Autres sermons de Césaire,
142, 143. Sermons supposés, 146. Quelques
homélies attribuées à saint Césaire ; Règles
de saint Césaire, 147. Analyse de la Règle
pour des religieuses, 147 et suiv. Analyse de
celle pour les moines, 150 et suiv. Discours
aux refigieuses, 131, 132. Lettres de saint Cé-
saire, 132 et suiv. A Oratoire; à une vierge,
132. A sainte Césarie, 152 et 133. Discours ou
lettre sur les anciens canons touchant la pé-
nitence, 153. Requêtes au pape Symmaque,
133, 134. Lettre à Rurice; Testament de saint
Césaire; sesécritsperdus, 134. Jugement sur
les écrits de Césaire, 133. Difiérentes éditions
de ses écrits, 133 et 136. — [Autres éditions et
traduction, 156.] Lettre du pape Félix à saint
Césaire, X, 420. — Son homélie sur le Compte
que nous devons rendre à Jésus-Christ, X,
436, 437. Il adresse unMémoire au pape Sym-
maque où il lui propose la réformatiou de
plusieurs abus qui s'étaient introduits dans
les Églises des Gaules, 323, 324. Réponse du
pape; Requête de saint Césaire pour la con-
servation des droits de l'Église d'Arles, 324.
Il est chargé par le pape Symmaque de
veifier aux affaires de la religion dans les
Gaules, 523. Lettre que lui écrit saint Avit
devienne, 357. Il est calomnié auprès du roi
Théodoric ou Thierry, et est bien accueilli
de ce prince, 373. Lettre que lui écrit saint
Rurice, évêque de Limoges, pour s'excuser
de ce qu'il n'assiste pas au concile d'Agde,
609. Réponse de saint Césaire, 610. Césaire
accusé auprès de Théodoric; Boëce prend
sa défense, 648, 649. Concile d'Agde auquel
il préside, 736. — Lettre par laquelle le pape
Félix IV confirme le règlement renouvelé
par saint Césaire, portant défense d'élever à
l'épiscopatceux qui n'avaient pas servi dans
le clergé, XI, 114. Lettre du papeBoniface II
qui confirme sa doctrine sur la grâce préve-
nante, 113. Autre lettre où Jean le charge
d'exécuter la sentence portée contre Contu-
méliosus, évêque de Riez, 118. Deux lettres
que lui adresse le pape saint Agapet : l'une au
sujetdes aumônes qu'il lui avait demandées,
l'autre au sujet de Contuméliosus, 119, 120.
Lettre que lui écrit le pape Vigile au sujet
d'un homme qui avait épousé la femme de
son frère, 196. Césaire préside au second
concile d'Orange, 832. (Voyez son article
dans VHi&toire littéraire de la France, t. III,
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
197
p. 190 et suiv., et le supplément, t. X, p. xv
el suiv. et t. XII, p. vij.)
GÉSAIRE, archevêque de Tarragone. Con-
cile de Compostelle où il est élu et sacré,
XIII, 737.
CÉSAR (Philippe). Son édition de la Vie
de saint Villehad par saint Anschaire, et de
celle de saint Anschaire par saint Rembert,
XII, S26.
siècle. CÉSARÉE en Cappadoce. Firmilien en est
évéque, II, 433 et suiv. Lettre de saint Denis,
pape, aux fidèles de Césarée en Cappadoce,
siècle. 448. — Mauvais traitement fait à cette ville
par Julien l'Apostat, III, 405. — Saint Basile,
siècle, archevêque de Césarée, docteur de l'Église,
IV, 349 et suiv. — Lettre de saint Grégoire
de Nazianze, père, au peuple de cette ville
et aux évéques qui y étaient assemblés, V,
230, 251.
siècle. CÉSARÉE en Palestine. Saint Pamphile,
prêtre de cette Église, II, 522 et suiv. Con-
96. cile tenu à Césarée, 341. — Lettre d'Eusèbe
de Césarée à son Église, 111, 170. Concile de
i33. Césarée contre saint Athanase, 449. — Saint
Athanase refuse de s'y trouver, IV, 92.
Acace, évêque de Césarée, 322 et suiv. Gé-
iiècie. lase, évêque de cette ville, 618. — Au temps
. du concile d'Éphèse, l'évêque de Césarée
^*- était métropolitain de la Palestine, VIII, 591.
— L'Église de Césarée, autrefois métropole
de Palestine, ne s'oppose point à l'accord
entre Maxime d'Antioche, et Juvéual de Jé-
rusalem, accord qui donnait à ce dernier le
titre de patriarche et le droit de métropoli-
tain sur les trois Palestiues, X, 17.
72. CÉSARIE , patricienne. Lettre que lui
écrivit saint Basile le Grand, IV, 446, 447.
CÉSARIE (Sainte), sœur de saint Césaire
d'Arles. Son frère lui donne la conduite d'un
monastère de religieuses qu'il avait fait bâ-
tir, XI, 126. — Règle qu'il donna à ce mo-
nastère, 147 et suiv. Deux lettres de saint
Césaire à sa sœur Césarie, 152, 153. Dispo-
sitions du testament de saint Césaire à son
1524. égard, 154. Temps de sa mort, 317.
CÉSARIE (Sainte), abbesse du monastère
de Saint-Jean d'Arles, différente de la précé-
565. dente. Sainte Radegonde lui demande une
copie de la lettre de saint Césaire ; lettre
qu'elle lui écrit en lui envoyant cette copie,
XI, 317. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, tome III, p. 274 et
suiv.)
i2. GÉSÉNA, ville d'Italie. La vie commune et
régulière est établie parmi les clercs de la
cathédrale ; concile tenu en cette ville, XIV,
1033.
CÉTHÉGUS, patrice. Lettre que lui écrit
le pape Pelage P% XI, 333.
CHABANAIS (Adémarou Aimar de). Voyez
Adémar de Chabanais.
CHAIDOC (Saint), confesseur. Son épita-
phe par saint Angilbert, abbé de Saint-Ri-
quier, XII, 220.
CHAINE SUR SAINT MARC. Ouvrage at-
tribué à saint Cyrille d'Alexandrie , VIII ,
324.
CHAIR DE JÉSUS-CHRIST. Traité de la
chair de Jésus-Christ, ouvrage de Tertullien ne siècle,
après sa chute, II, 41 et suiv. — Comment,
selon saint Augustin, Jésus-Christ est connu
selon la chair, IX, 342. Selon saint Augus-
tin, la chair de tous les hommes, à l'excep-
tion de celle de Jésus-Christ, est une chair
de péché, 506, 307. — Ephrem d'Antioche
soutient que Jésus-Christ a conservé sa chair
après sa résurrection, XI, 173.
CHAIR DE L'HOMME PÉCHEUR, poëme
de saint Grégoire de Nazianze contre la chair, 382.
V, 273. — De la plainte et du combat de la
chair et de l'âme, par le Vénérable Hildebert,
XIV, 218.
CHAIR DES ANIMAUX. Chairs étouffées :
le concile de Jérusalem défend d'en man-
ger, II, 333. Canons apostoHques cinquante-
unième, cinquante-troisième, soixante-troi-
sième touchant l'usage de la chair, 383, 386.
— Canon deuxième du concile de Gangres, iv siècle.
III, 517. — Chair salée permise aux moines,
IV, 408. — Témoignage de saint Jean Chry-
sostôme sur l'usage de la chair des animaux,
VII, 154. — Pourquoi Dieu permit aux hom-
mes d'en manger, X, 136. — Cosme d'Egypte
pense que la chair des animaux était inter-
dite avant le déluge, XI, 187. Saint Cuméen,
abbé en Hibernie, défend de manger de la
chair des animaux suffoqués, 788.
CHAIRE ÉPISCOPALEcouverte d'un linge, m siècie.
II, 266.
CHAIRE DE SAINT PIERRE. Témoignage
de saint Optât sur la Chaire de saint Pierre,
V, 129. — Sermon du pape saint Léon pour
la fête de la Chaire de saint Pierre, X, 198.
— Comment le pape saint Grégoire s'exprime
sur cette chaire, XI, 309. — Hymne de saint
Pauhn d'Aquilée pour la fête de la Chaire de
saint Pierre à Rome, XII, 162. — Discours de
saint Odon, abbé de Cluny, sur cette fête,
XIII, 807. — Discours d'Yves de Chartres
pour cette fête, XIV, 122. Sermon de Guil-
198
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLESIASTIQUES.
laume d'Auvergne pour la même fête, 1027.
CHAISE-DIEU (La), abbaye près du Puy.
XI siècle. Bulle du pape saint Léon IX pour sa fonda-
tion, XIII, 209.
«1- CHALCÉDOINE. Concile général tenu h
Cbalcédoine contre Eutychès et Dioscore, X,
222 et suiv. Voyez à l'article des Conciles.
CHALCÉDONIUS, abbé d'un des monas-
tères de Cassiodore. Exhortation qui lui est
adressée, XI, 234, 233.
CHALCIDE, désert de Syrie babité par di-
vers solitaires, VII, S94.
CHALCIS. Lettre de saint Basile le Grand
au peuple de Chalcis, IV, 476.
A. 470. CHALON-SUR-SAONE. Conciles tenus en
cette ville, X, 717; XI, 894, 910; Xïï, 931; XIII,
646 et suiv.,669, 713, 717,730,734, 744; XIV,
1063, 1067, 1086. — [Privilège qae le pape
Alexandre III accorde au doyen du chapitre
de Châlon-sui'-Saône et au chapitre de cette
ville, XIV, 928. — Lettre du pape Alexan-
dre II en faveur de l'église de Saint-Vincent
de Chalon-sur-Saône ; le pape y fait l'éloge
de l'attachement de cette Eglise au Saint-
Siège, XIII, 296. Concile que saint Pierre
Damien préside en cette ville, 323.]
CHALONS-SUR-M ARNE . Conciles tenus en
cette ville, XIV, 1086 et 1107.
CHAM, fils de Noé. Ouvrages qu'on a mis
sous son nom, I, 266.
CHAMART (Nicolas), abbé de Bonne-Es-
pérance. Son édition des œuvres de Philippe
de Bonne-Espérance, XIV, 683.
CHAMPEAUX (Guillaume de). Voyez Guil-
laume de Champeaux.
[CHAMILLARD. Son édition des poésies
de Prudence, VIII, 107.]
CHAMPIER (Symphorien). Sa traduction
française des livres sibyllins, I, 308. Son édi-
tion des lettres interpolées de saint Ignace,
martyr, 387. — Son édition des lettres de
saint Antoine, III, 392.
[CHAMPOLLION-FIGEAC. Son édition de
la version française de l'Histoire des Nor-
mands et de la Chronique de Robert Viscart
par Ame, XIII, 494.]
GHANAAN, fils de Cham. Témoignage
de saint Jean Chrysostôme sur la malé-
diction prononcée contre Chanaan , VII ,
336.
CHANANÉENNE, femme dont il est parlé
dans l'Évangile. Homélie de saint Jean Ghry-
IV siècle, sostôme sur elle, VII, 123. — [Sermon de
saint Augustin sur elle, IX, 841.] — Et de
Laurent de Novare, XI, 96 et 98.
CHANCELIER du prince. Son ministère,
selon Cassiodore, XI, 219.
CHANCI (Jean). Ses notes sur un traité
anonyme du xi'' siècle touchant les sacre-
ments, XHl, 492.
CHANDELLE ÉVANGÉLIQUE : Traité de
théologie composé par Gerland, XIV, 406.
CHANOINES, établis par saint Chrodegand vm sièc
qui leurdonneune règle, XII, 106. Analyse de
cette règle, 106 et suiv. Autre Règle d'un
anonyme, 109. Règle d'Amalaire, 340, 341.
Dispositions des capitulaires d'Hincmar à ix sièci
l'égard des chanoines, 664. Canon du con-
cile de Mérida, où se trouve l'origine des
chanoines, curés primitifs, 937. — [Les cha-
noines doivent assister au chœur; peines
contre les délinquants, XIII, 22.] Témoignage
de Vazon, évêque de Liège, sur l'état des cha-
noines, 140. OpusculesdesaintPierre Damien
qui les concernent, 316, 317. Canon d'un
concile de Mayence, 644. Règles qu'on donne 813.
aux chanoines et aux chanoinesses dans le
concile d'Aix-la-Cbapelle, 650 et suiv. Let-
tres de Louis le Débonnaire au sujet de ces
règles, 633. Décret d'un concile de Rome i059
portant abrogation des règles du concile
d'Aix-la-Chapelle, 427, 428. Décret d'un con-
cile de Reims sur les chanoines, 716. — .
[Chanoines repris parce qu'ils s'absentaient
sans cause raisonnable, XIV, 279. Cha-
noines de Reims; Guarin, abbé de Saint-
Victor, leur écrit une lettre pour les répri-
mander de ce qu'ils avaient quitté la vie
commune, 711. Henri, archevêque de Reims,
et le pape firent des eiïorts impuissants pour
rétablir la discipline parmi eux, 731.] Eu
quel cas, selon Pierre de Blois, un chanoine
est dispensé de résider, 776. [Lettre d'É-
tienne de Tournai qui les concerne, 879.]
Canon du concile de Latran concernant les lai;
chanoines, 1097.
CHANOINES RÉGULIERS. Quelle était
leur vie depuis le concile d'Aix-la-Chapelle, loe;
XIII, 247, 248. Canon d'un concile de Rome
qu'on croit avoir donné lieu à leur étabhs-
sement, 287. Institution des chanoines régu-
liers d'Aroasia, 423. La règle des chanoines
réguliers attribuée à saint Pierre Damien
n'est pas de lui, 323. Statuts pour les cha- v. «
noines réguliers recueilUs par Gui, abbé de
Bobio,479. —Éloge des chanoines réguliers
recueillis par Letbert, abbé de Saint-Ruf, xii si
XIV, 70. Yves de Chartres blâme ceux qui
voulaient les exclure du gouvernement des
âmes et de la desserte des cures, 107 et 117.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
199
Lettre d'Abailard sur les chanoines régu-
liers, 326. Apologie de l'ordre des chanoines
réguliers attribuée à Anselme d'Havelburg,
416. Bouclier des chanoines réguliers, ou-
vrage d'Arnon, prévôt de Reichersperg, 633.
[Leurs obligations exposées dans une lettre
d'Odon de Sainte-Geneviève ou de Saint-
Père, 712.] Canon d'un concile qui leur per-
met plusieurs fonctions ecclésiastiques inter-
dites aux moines, 1069.
CHANOINESSES. Lettre de saint Basile le
Grand à des chanoinesses, IV, 438. — Règle
pour les chanoinesses, XII, 340, 341. —
Canon d'un concile de Chalon-sur-Saône,
XIII, 648. Règlement d'un concile d'Aix-
la-Chapelle pour les chanoinesses , 652 ,
6S3.
CHANSONS. Eusèbe de Césarée condamne
les chansons déshonnétes, III, 297. — Un
concile de Chalon-sur-Saône défend de chan-
ter des chansons sous lesporches des églises,
XII, 931. — Chansons sur les principaux
événements du temps, commencent à se ré-
pandre, Xlli, 346.
CHANT ECCLÉSIASTIQUE. Quand on a
commencé à chanter à deux chœurs, I, 381.
Chant des hymnes et des cantiques en usage
dans l'Église pour honorer le triomphe des
martyrs, 389. — Chant des psaumes dans
les églises, et jusque dans les repas des fi-
dèles, III, 299. Canon quinzième du concile
de Laodicée sur le chant des églises, 510.
— Chant permis aux femmes dans les églises
par les apôtres et ensuite aboli à cause des
abus, VIII, 481, 482. —Origine du chant des
psaumes à deux chœurs; Mammert Claudien
enseigne aux ecclésiastiques le chant des
psaumes, X, 137 et 346. — Chant des psau-
mes établi par saint Césaire d'Arles; son
sermon à ce sujet, XI, 142. Le chant des
psaumes se faisait de différentes manières
et on y employait diverses sortes d'instru-
ments, 224. École pour le chant établie à
Rome par le pape saint Grégoire le Grand,
544. — Quelques moines français sont en-
voyés à Rome pour être instruits dans le chant
ecclésiastique, XII, 116. Pépin le Bref veut
abolir le chant gallican pour y substituer
le chant grégorien, 231. Charlemagne in-
troduit en France l'usage du chant grégo-
rien, 224j 231. École pour le chant grégo.
rien, 231. École pour le chant grégorien éta-
bhe à Metz, 133. [Chants de plusieurs saints,
803. — Traités d'Odoranne sur le Chant et
la Musique, XIII, 112.] — Traité du Chant,
ouvrage de saint Bernard, XIV, 482. Voyez
Chantres.
CHANTELLE en Bourbonnais. Ville dans
le voisinage de laquelle vivait Vectius, X,
387.
CHANTELOU (Claude), bénédictin (avait
donné les règles de saint Basile en latin). Il
fut chargé de donner une nouvelle édition
des œuvres de saint Bernard, XIV, 498.
[CHANTREL, auteur de l'Histoire popu-
laire des papes; sa Vie de saint Grégoire VII,
XIII, 374. Jugement qu'il porte de ce pape,
388, 389.]
CHANTRES. Canon apostolique, II, 582.
— Canons quinzième et vingt-troisième du
concile de Laodicée, III, 510, 511. — Canon iv siècle.
dixième du quatrième concile de Carthage, 398.
VII, 728. — Ce que prescrit le concile de
Chalcédoine pour le mariage de chantres,
X, 698. — Canon d'un concile de Rome qui
ordonne que les chantres élevés au diaconat
cesseront leur première fonction, XI, 907.
— [Au xii« siècle, les chantres avaient des
bonnets sur la tête et des bâtons à la main ;
autres fonctions des chantres, XIV, 296.]
CHANULPHE. Sa lettre à saint Didier de vu siècie.
Gahors, XI, 733.
CHANUT (Pierre), abbé d'Issoire, aumô-
nier de la reine-mère Anne d'Autriche. Sa
traduction française de la grande Apologie
de saint Justin; il l'a donnée sous le nom de
Pierre Fondel, I, 446.
CHAPELAINS des châteaux. Canon d'un
concile de Tours qui les concerne, XIV, 1130.
CHAPELLES. Canon quatorzième du cin-
quième concile de Carthage sur l'érection
des chapelles, VII, 735. — Canon d'un autre
concile de Carthage, VIII, 538. — Disposi-
tion du concile d'Agde, X, 739. Canon du
premier concile d'Orléans, 746. — Canons
d'un concile de Londres, XIV, 6. Canon d'un
concile de Reims, 1122.
CHAPITRE des moines. Traité de Geof-
froi de Vendôme ; de quelle manière les
moines doivent se comporter dans le chapi-
tre, XIV, 168, 169. [Quatre sermons d'Absa-
lon,abbé de Springkirsbach devant l'assem-
blée du chapitre, 877.]
CHAPITRE GÉNÉRAL de Cîteaux. Sa pre-
mière assemblée qui servit de modèle aux me.
autres ordres, XIV, 1088.
CHAPITRES (les Trois). On nomma ainsi
trois écrits dont la condamnation fit beau-
coup de bruit ; lettre de Ferrand, diacre de
Carthage, sur la condamnation des Trois
200
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Chapitres, XI, 93 et suiv. Les Trois Chapi-
V. 546. très sont condamnés à la sollicitation de
Théodore de Gappadoce, par un édit de Jus-
tinien ; Ephrem d'Antioche souscrit à cette
condamnation, 175. Lettre de Pontien à Jus-
linien sur cette affaire, 198. Edit de l'empe-
reur Juslinien portant condamnation des
Trois Chapitres, 263. Douze livres de Fa-
cundus, évêque d'Hormiar.e, pour la défense
des Trois CÎàapitres, 28S et suiv. Lettre sur
le même sujet, 298, 299. Editions de ces ou-
vrages, 299. Les Trois Chapitres défendus
par Sébastien et Rustique, diacre de Rome,
299 et 300. Condamnés par Bénénatus, évê-
que d'Afrique, 301. Défendus par Victor de
Tunones, 302. Lettre du pape Pelage I" à
VI siècle, l'occasion du schisme occasionué par la
condamnation des Trois Chapitres, 327, 328.
Lettre de Pelage II, 33o et suiv. Eutychius,
patriarche de Constantinople, condamne les
Trois Chapitres, 333. Les Trois Chapitres
547. sont condamnés dans un concile de Cons-
553 tantinople, 862. Concile général de Constan-
tinople assemblé à leur sujet, 865 et suiv.
Division occasionnée par leur condamnation,
881 , 882. [Caractère de la discussion sur les
Trois Chapitres, 917 et suiv.] Lettre du pape
591. saint Grégoire le Grand à tous les évéques
défenseurs des Trois Chapitres, 490. — Con-
C98. cile d'Aquilée, tenu par les défenseurs des
Trois Chapitres, XII, 968.
CHAPITRES (les dix). Livres des dix cha-
pitres de Marbode, XIV, 228.
CHAR D'ÉZÉCHIEL. Discours d'Isaac
l'Ancien sur ce char, X, 578.
CH ARARIC , roi détrôné par Clovis et or-
donné prêtre, XI, 395.
[CHARDON et LARCHER traduisent en
français plusieurs articles de la Bibliothèque
de Photius, XII, 723,]
IV siècle. CHARGES PUBLIQUES. Canon septième
du concile d'Arles, II, 630.
562 ou 563. CHARIBERT ou CARIBERT, ou CHERE-
BERT, roi de Paris, excommunié par saint
Germain à cause de ses mariages illicites,
XI, 307 et 394. Il maintient sur le siège de
Saintes, Émérius que Clotaire avait établi,
887. Il était le fils aîné de Clotaire P^ 369.
Il est loué par Fortunat, 307.
CHARiCLÈS, prêtre à qui saint Nil écrit,
VIII, 222.
CHARIMIR ou CHARMER, référendaire
de Childebert II et ensuite évêque de Ver-
dun, XI, 375.
CHARINUS (Lucius). V. Lucius Charinus.
CHARISIUS, prêtre et économe de l'Eglise
de Philadelphie en Lydie, présente au con-
cile d'Ephèse un symbole de Théodore de
Mopsuesle, VIII, 21. Représentations qu'il
fait an concile d'Éphèse ; il se plaint de sa \
déposition. Conduite du concile à ce sujet,
589.
CHARISTICÂIRES ou DONATAIRES des 1027.
monastères, XIII, 571. Traité de Jean, pa-
triarche d'Antioche, contre cet abus, 570,
571. — Décrets de deux conciles de Cons-
tantinople concernant les charisticaires,
XIV, 1045.
CHARITÉ. Doctrine de saint Clément sur i siècle,
la charité, I, 361 ; de saint Ignace d'Antio- iiMécie.
che, 376 ; de saint Polycarpe, 397; de saint u siècle.
Justin, 444; de saint Irénée, 525 ; de Clé- 11 siècle,
ment d'Alexandrie, 598 ; d'Eusèbe de Césa- 11 siècle,
rée, III, 297; de saint Basile, 464; — [de iv siècle
saint Ambroise, V, 509 ;] — de saint Ephrem,
VI, 69. — Deux discours de saint Jean Chry- ivou
sostôme sur la charité fraternelle, VII, 116. ^ ''^'='°-
Homélie du même saint, 202. Discours qui
lui est faussement attribué, 287. Discours où
saint Jean Chrysostôme montre la nécessité
et les avantages de la charité, 302. Charité
envers Dieu ; sujet d'un opuscule fausse-
ment attribué au même saint, 312. Autre
opuscule sur la charité pareillement suppo-
sé, 335. — Doctrine de saint Cyrille d'A-
lexandrie sur la charité, VIII, 264. [Sermon
sur la charité par Eusèbe d'Alexandrie, 383.]
— Doctrine de saint Augustin sur la charité,
IX, 113, 159, 160, 161, 192, 227, 263, 440,
437, 552. Sermons du même, 241. Manuel
du même à Laurent, ou traité de la foi, de «1.
l'espérance et de la charité, 258 et suiv.
Troisième livre de cet ouvrage où saint Au-
gustin traite de la charité, 263. Discours
faussement attribué au même saint, 288.
[Sermon dans lequel saint Augustin parle
de la charité, 832. Sermon de saint Augus-
tin sur les quatre degrés de la charité, 834.
Autres sermons du même sur la charité,
841, 842.] — Doctrine de Théodoret sur le
même sujet, X, 52. Discours sur la charité ;
ouvrage de Théodoret qui paraît être une
espèce de péroraison de son Histoire des so-
litaires, 98. Doctrine de saint Léon, 179,
180, 250. — Doctrine de saint Fulgence, XI,
15. Lettre du même sur la charité ou l'amour
de Dieu, 29, 30 et 86. Sermon du même sur
la charité, 70. Deux sermons de saint Cé-
saire d'Arles sur la charité, 134. Auti-es
du même sur la charité, 139. Quatre cents
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
201
maximes de saint Maxime, abbé de Chryso-
polis, sur la charité ; Opsopœus les attribue
à tort à saint Maxime de Turin, 464. — Ho-
mélies attribuées à saint Boniface , archevê-
que de Mayence, sur la foi et la charité, XII,
53, 54. Eloge de la charité ; poëme de Ra-
ban, 459. Traité de saint Paschase Radbert
de la Foi, de l'Espérance et de la Charité,
540 et suiv. Le troisième livre traite de la
charité, 542. — Livre de Thierri, moine de
saint Matthias, à Trêves, sur la Charité, XIII,
561. — Eloge de la Charité; ouvrage de
Hugues de saint Victor, XIV, 351. Lettre de
saint Bernard où il traite de la charité, 426.
Traité de la Charité faussement attribué à
saint Bernard ; ce n'est qu'une compilation
dont on ignore l'auteur, 491. Miroir de la
Charité : ouvrage dans lequel ^Irède, abbé
de Riedval , traite de la charité et des
autres vertus chrétiennes, 621. [Des Degrés
de la charité ; deux traités de Richard,
prieur de Saint-Victor, ainsi intitulés, 703.]
Éloge de la Charité par le pape Innocent III,
1014.
[CHARITÉ, monastère de France. On y
priait pour ceux qui persécutaient les reli-
gieux et pillaient leurs biens, XIV, 1008.]
722. CHARLES-MARTEL, duc des Austrasiens
et des Francs. Lettre que lui écrit le pape
saint Grégoire II pour lui recommander
saint Boniface, XII, 24 et 46. Saint Grégoire
III lui demande du secours contre les Lom-
bards, 28. Il favorise les travaux de saint
Willebrod et de saint Boniface, 46, 47. Fable
de la damnation de Charles-Martel, 633. (On
a de lui une lettre de recommandation pour
saint Boniface. Voyez ce qui en est dit au
tome IV de YHistoire littéraire de la France,
p. 107.)
CHARLES P' ou plutôt CHARLEMAGNE,
742. empereur. Sa naissance ; il est sacré roi en
754. même temps que Carloman, son frèi-e puîné ;
768. Carloman étant mort, Charles est seul roi,
771. XII, 223. Ses guerres contre les Saxons
qu'il oblige à se faire baptiser, 223 et 224.
Son amour de la discipline de l'Église et des
lettres., 224. Son zèle pour la saine doctrine ;
814. sa piété, 224 et 225. Sa mort ; l'empereur
Frédéric Barberousse le fait canoniser au
xii= siècle par Pascal III, antipape, 223. Les
Capitulaires de Charlemagne, 223 et suiv.
Éditions qu'on en a faites, 226. Capitulaire
de l'an 769, 226. Autres ai 779, 229 et 230.
Lettre circulaire aux évêques pour les ex-
horter à s'appliquer à bien parler et à bien
écrire ; constitution pour la correction des
livres de l'Écriture, 230. Capitulaire de l'an
788, 230 et 231. Autre de 789, 231. Autre
de 793 pour le royaume d'Italie, 232. Au-
tres de 794 et de 797, 232 et 233. Autres
capitulaires, 233, 234. Capitulaire de l'an
803 contenant onze articles ajoutés à la loi
salique, 234, 233. Autre de l'an 804, 233,
236. Quatre de l'an 803, 236, 237. Six de
l'an 806, 237. Autres des années 808 et sui-
vantes, 237 et 238. Testament de Charlema-
gne, 238, 239. Son ordonnance pour la te-
nue de cinq conciles, dont le résultat forme
le capitulaire de 813, 239. Capitulaires dont
la date est incertaine; autres capitulaires de
Charlemagne, 240. Lettres de Charlemagne,
243 et suiv. Ses diplômes et donations ; ses
poésies, 248. Les livres Carolins; éditions
qu'on en a faites, 248 et 249. [Édition des
œuvres de Charlemagne dans la Patrologie,.
249, 230.] On attribue à Charlemagne le re-
cueil des lettres des papes depuis saint Gré-
goire III jusqu'à Léon III, 249. Ses capitu-
laires recueillis par Anségise, 332. Lettre de
saintLéonlII à Charlemagne, 400. Différentes
lettres adressées à Charlemagne par le pape
Etienne III, 118. Charlemagne passe en Ita-
lie à la sollicitation du pape Adrien et as-
siège Didier dans Pavie ; son voyage à
Rome, 134. Il retourne à Pavie, force le roi
Didier à se rendre à discrétion, et détruit
ainsi le royaume des Lombards, 135. Il as-
semble un concile à Francfort, 136. Les li-
vres Carolins sont ainsi appelés parce qu'il
les adopte ; le pape Adrien.!" les réfute ar-
ticle par article ; Charlemagne sollicite le
pape Adrien de déclarer hérétique l'empe-
reur Constantin IV ; pour quel motif, 137.
Réponse du pape à ce sujet, 138. Différentes
lettres que lui écrit le même pape, 138 et
139. Attachement de Charlemagne pour le
pape Adrien \" ; il compose son épitaphe et
la fait graver en lettres d'or sur une table
de marbre, 141. Sa lettre en vers latins .'i
Paul, diacre, pour le féliciter de ce qu'il
avait embrassé la vie monastique au Mont-
Cassin, 142. Charlemagne ordonne par une
circulaire en forme d'édit, de se servir de
l'Homiliaire de Paul, diacre, dans les offices
publics, 144. Son voyage au Mont-Cassin
dont il confirme les privilèges, 143. Il en fait
venir des religieux pour rétablir la disci-
pline monastique en France, 143 et 146. Son
goût pour les sciences et les savants, 148.
Poëme d'un anonyme intitulé : De Charle-
202
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
823,
869.
875.
877.
magne et de la venue du pape Léon vers ce
prince, ISO, 151. Autre poëme de Godescalc
en l'honneur de Charlemagne, 151. [Catulfe
lui adresse une instruction sur les devoirs
delà royauté, 152.] Fragments de quelques
lettres adressées à Charlemagne par Paulin
d'Aquilée ; discussion sur la date de celle
où il le prie de confirmer les règlements
faits au concile d'Allino^ 163. Charlemagne
établit dans son palais une espèce d'acadé-
mie dont Alcuin était le chef, 166. Diffé-
rentes letlres d' Alcuin adressées à ce prince,
192, 193, 197, 199, [200]. Différents poëmes
de Théodulphe d'Orléans qui lui sont adres-
sés, 269. Sa vie pnr Eginhard, 353. Son épi-
taphe par Agobard, 378. [Sa lettre à Offa,
401.] Histoire de Charlemagne écrite par un
anonyme moine de Saint-Gall, 694, 693.
Idée de cette histoire ; éditions qu'on en a
, faites, 693. — Ses Annales par un anonyme;
son Eloge funèbre par le même, XIII, 184.
Son différend avec Tassillon, duc de Ba-
vière, 631, 632. Il écrit aux évéques d'Espa-
gne contre l'erreur d'Elipand, 633. Concile
qu'il assemble à Aix-la-Chapelle et où il pu-
blie un capitulaire, 640,641. Autres conciles
d'Aix-la-Chapelle assemblés par cet empe-
reur, 642 et suiv. Voyez Capitulaires. —
[Son éloge par Bonizon, XIII, 563.] Epitapbe
de Charlemagne par Marbode , XIV, 228.
(Voyez l'article de Charlemagne dans l'His-
toire littéraire de la France, t. IV, p. 368 et
suiv., et le supplément t. XI, p. xij et suiv.)
CHARLEMAGNE. Ce nom a quelquefois
été donné à Charles le Chauve, XII, 556 et
611.
[CHARLES LE JEUNE, roi, fils de Char-
lemagne : Alcuin lui écrit, XII, 200.]
CHARLES II LE CHAUVE, roi de France
et empereur. Sa naissance, XII, 630. De-
vient roi de France ; il s'empare des Etats
de Lothaire, roi de Lorraine, qu'il partage
ensuite avec Louis de Germanie ; couronné
empereur à Rome; sa mort, 631. Analyse
de ses capitulaires, 631 et suiv. Compliment
que Walafride Strabon fit à ce prince à son
arrivée à Richenow, 416. Chant lugubre sur
sa mort. Il n'est point de Rhaban, mais de
Colomban, abbé de Saint-Tron , 459. Diffé-
rentes lettres que lui écrit Loup , abbé de
Ferrières, 504, 505, 506, 510. Autres du
pape Adrien II, 588, 589, 590, 591, 592. 11
se fait couronner roi de Lorraine, 590 et
631. Ses lettres au pape au sujet de Carlo-
man, 591, 392. [Jean Scot lui adresse un
livre de poésie, 609.] Cérémonie de son cou-
ronnement à Metz, 655. Deux discours que lui
adresse Hincmar de Reims, 664 et suiv.
Lettre que ce prélat lui écrit pour le prier
de défendre le pillage à ses soldats, 667.
Autre pour lui représenter l'injustice de son
procédé envers Hincmar de Laon, 673. Au-
tre au sujet de Pépin son neveu, 685. Sa
mort, 664. Deux poëmes d'Hucbald, moine
de Saint-Amand, qui lui sont adressés, 800,
801. — Requête de Charles le Chauve au
concile de Savonières, contre Vénilon, ar-
chevêque de Sens, XIII, 690, 691. Charles
le Chauve, couronné roi de Lorraine au
concile de Metz, 713. Les évêques de Tos-
cane et de Lombardie le choisissent pour
protecteur et seigneur, 717. Concile de
Rome où son élection est confirmée, 719.
Sa mort, 720. (Voyez son article dans VHis-
toire littéraire de la France, tome V, p. 483
et suiv.)
CHARLES m dit LE GROS, couronné
empereur par le pape Jean VIII, XII, 642 et
648. Lettres que ce pape lui écrit, 648. Let-
tre d'Hincmar de Reims, à ce prince, pour
le prier de veiller à l'éducation des rois
Louis et Carloman, 708. Lettre de Foulques
de Reims pour le prier de protéger la France
contre les Normands, 708 et 709.
CHARLES III dit LE SIMPLE, couronné
roi de France dans un concile de Reims,
XII, 708, et Xm, 734. — Lettre de Foul-
ques de Reiras en sa faveur, XII^ 708. Let-
tre que lui adresse Jean IX, 741. Autre de
Jean X, 744.
[CHARLES, archevêque de Mayence : le
pape saint Nicolas lui écrit sur plusieurs
questions de discipline, XII, 586.]
CHARLIEU, abbaye dans le Maçonnais.
Toutes les donations faites à cette abbaye
sont confirmées dans un concile, à Chalon-
sur-Saône, XIII, 730. Concile qui y fut tenu
et qui lui fit rendre dix églises qu'on lui
avait ôtées, 745.
CHARMOSYNE, prêtre, agent de saint
Cyrille d'Alexandrie à Constantinople, VIII,
295. 11 se retrouve à Chalcédoine, où on lui
signifie la sentence de Dioscore, X, 519.
CHARRONNE, monastère près Paris. As-
semblée qui y fut convoquée pour montrer
aux fidèles les reliques de ce monastère,
XIV, 1071.
CHARROUX ou KAROFFE, abbaye dans
le Poitou. L'union de trois monastères qui y
avait été faite est confirmée au concile de
893,
1082
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
203
Verberie, XIII, 713. Conciles tenus à Char-
roux, 760,761 et XIV, 1041.
CHARTE (La) pour la grande Litanie, at-
tribuée à saint Grégoire le Grand, est dou-
teuse, XI, 536.
CHARTE de saint Patrice. Écrit supposé,
X, 447.
1119. CHARTE de cbarité, dressée dans un cha-
pitre général de Cileaux ; confirmée par
une bulle du pape Callixte II, XIII, 230. Ce
qu'elle contient, 231. Éditions qu'on en a
faites, 232.
[CHARTES. Choix de Chartes des plus il-
lustres français et allemands du viii° siècle,
xn, 1S3.]
CHARTÉNIUS, évêque de Marseille, dont
parle saint Avit, X, 560. (Il se trouve omis
dans la succession des évéques de Marseille
et on ne le connaît que par cet endroit.)
CHARTRES, ville de France. Cathédrale
1020. de Chartres brûlée avec une partie de la
ville ; rebâtie par Fulbert, XIII, 78. Consti-
tution d'Etienne, comte de Chartres, pour
abolir la coutume de piller la maison de l'é-
vêque de Chartres, après sa mort, 582. —
Concile tenu en cette ville, XIV, 1119.
CHARTREUSE. Désert, près de Grenoble,
cédé par l'évéque Hugues à saint Bruno, qui
y établit la première maison de son ordre ;
ce désert appartenait originairement à l'ab-
baye de la Chaise-Dieu, XIII, 574.
CHARTREUX : Ordre établi par saint
Bruno. D'où leur vient ce nom ; ses com-
mencements, XIII, 574. Quelle était la vie
des premiers chartreux ; lettre de saint
Bruno à ses moines, 578. — Statuts des
Chartreux rédigés par le bienheureux Gui-
gnes, XIV, 306, 307. Témoignage de Pierre
le Vénérable sur l'institut des Chartreux,
522. Lettre par laquelle le pape Alexan-
1166. dre III confirme cet ordre et le prend sous
la protection de l'Église romaine, 926.
CHASSE interdite aux ecclésiastiques par
le concile d'Epaone, XI, 814. — Par un ca-
pitulaire de Carloman, XII, 228. Charle-
raagne défend aux ecclésiastiques d'avoir
des chiens de chasse, 234. [Chasse défendue
aux évêques, aux prêtres, aux diacres, aux
abbés et aux moines par un capitulaire de
Charlemagne, 242.] — Chasse interdite aux
ecclésiastiques. Raisons qu'en donne Pierre
de Blois, XIV, 770.
CHASTEL (Amand du), abbé de Mar-
chiennes. Voyez Amand.
CHASTETÉ. Exhortation à la chasteté.
1084.
1084.
Ouvrage de TertuUien avant sa chute, II,
36, 37. Ce qu'il dit de la chasteté des païens,
81. — Poème de saint Grégoire deNazianze
sur la chasteté, V, 288. — Trois discours de
saint Ephrem sur la chasteté, VI, 19 et 20.
— Témoignage de saiut Jean Chrysostôme
sur la chasteté, VII, 194. Doctrine du même
saint, 424. Homélie sur la chasteté, sous le
nom de Jean de Jérusalem, 502. Doctrine
de saint Jérôme, 705. — Traité de la chas-
teté faussement attribué au pape Sixte III,
VIII, 255. — Doctrine de saint Augustin,
IX, 127, 128, 457, 458. Livre de la so-
briété et de la chasteté. Ouvrage faussement
altribaé à saint Augustin, 287. — [Sermon
de Maxime de Turin sur la chasteté, X,
326.] De la louange de la chasteté : poëme
de saint Avit, évoque de Vienne, 567. —
Quatre sermoas de saint Césaire d'Arles sur
la chasteté, XI, 142. — Poëme de Fulbert
de Chartres sur la chasteté et les moyens
de la conserver, XIII, 88. Des moyens de
conserver la chasteté. Opuscule de saint
Pierre Damien, 320. — Éloge de la chasteté
et des autres vertus, par Marbode, XIV, 227.
Voyez Virginité.
CHASUBLE. Habit ecclésiastique, XH ,
228.
CHATEAUDUN, au diocèse de Chartres,
érigé en évêché par Gilles, archevêque de
Reims, XI, 872. Cette érection est proscrite
par le quatrième concile de Paris, 892 et
893. Elle n'a lieu que pendant le reste du
règne de Sigebert, 893. — Lettre d'Yves de
Chartres aux rehgieuses de Châteaudun ,
XIV, 100.
CHATEAU-DU-LOIR. Ville du Maine [main-
tenant du département de la Sarthe]. Gervais,
évêque du Maus y fonde une collégiale, XIII,
263.
CHATEAU-THIERRY. Concile tenu en
celte ville, XIH, 746.
[CHATELUS (de). Sa traduction française
des deux ouvrages d'Adam de Brème n'a
point paru, XIV, 206.]
CHATILLON, [ou CASTILLON, ou CAS-
TALION] (Sébastien), calviniste. Sa traduc-
tion latine des Hvres sibylHns, I, 307.
CHATIMENTS DE DIEU. Doctrine de
saint Jérôme, VII, 701.
CHATZITZARIENS. Secte de Jacobites.
Pourquoi ainsi nommés ; leurs erreurs dé-
crites par Démétrius de Cyzique, XI, 809.
— et combattues dans un écrit de Philippe
le Sohtaire, XIV, 84.
m siècle.
IV siècle.
IV el
V siècle.
573.
XI siècle.
IV et
V siècle.
204
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
CHAUDRON de bois incombustible, XI,
377.
1094. CHAUMONSEY. Maison de chanoines ré-
guliers mise sous la dépendance de l'abbaye
de Saint-Léon de Toul. Son différend avec
l'abbaye de Remiremont pour la cure de
Chaumonsey, XIII, 600.
CHAUMONT ou HANNEMOND (Saint).
Voyez Delphin (saint).
[CHAUSSIER, supérieur du petit sémi-
naire de Metz. Sa dissertation sur la fonda-
lion apostolique de l'Église de Metz ; son
édition de l'Histoire de l'Église de Metz avec
le Catalogue des évéques de cette Église,
XII, 143.]
CHAUSSURE des diacres de Messine,
semblable à celle des évêques, XI, 5H.
IV 0,. CHAUVES. Écrit de Synésius de Ptolé-
V siècle, aiaïde intitulé ; Éloge de la calvitie , VIII,
29. — Poëme d'Hucbald, moine de saint
Amand, à la louange des chauves. Singula-
rité de ce poëme de 136 vers dont tous les
mots commencent par la lettre C, XII, 800.
CHEKE (Jean), savant anglais. Sa traduc-
tion latine de la Tactique de l'empereur Léon
le Philosophe, Xn, 775.
[CHÉLIDONIUS, abbé de Bénédictins, pu-
blie l'Abrégé de la théologie de Pierre Ban-
din, XIV, 549, n. 7.]
CHELLES, monastère près Paris. Concile
tenu en ce lieu, XIV, 1035.
CHÊNE, bourg près Chalcédoine, VII, 6.
403 Concile qui y fut tenu contre saint Jean
Chrysostôme, 746 et suiv.
[CHEREBERT, roi de Paris. Voyez Chari-
bert.]
CHERMER ou HARMER. Voyez Hadmère.
CHÉRUBINS faits par Moïse. Opuscule de
Nicéphore, patriarche de Constantinople,
XII, 284. — [Sur les six ailes des chéru-
bins, ouvrage d'Alain de Lille, XIV, 870,
871.]
CHESNE (André du), savant historio-
graphe. Son édition des œuvres du bienheu-
reux Alcuin, XII, 213. Son édition de l'His-
toire de Luitprand dans sa collection d'his-
toriens, 875.
CHESNEAU (Nicolas), doyen de Saint-
Symphorien de Reims. Sa traduction fran-
çaise de l'Histoire de l'Église de Reims, par
Frodoard, XII, 843. — Sa traduction fran-
çaise d'une partie du traité de Piei're le
Vénérable contre les Pétrobusiens , XIV,
518.]
[CHEVAL. Note relative à la demande
faite par saint Boniface deMayence s'il était
permis de manger de la viande de cheval,
xn, 27, n. 3.]
CHEVALIERS. Canon d'un concile de
Londres qui défend aux abbés de taire des
chevaliers, XIV, 6. [Chevaliers de Saint-
Michel, institués par Alphonse, roi de Portu-
gal ; règle de cet ordre, 626, 627. Chevaliers
d'Evora et d'Avis en Portugal. Leur institu-
tion et leur règle, 626.]
CHEVEUX. Divers usages sur les cheveux
des vierges et des veuves qui se consa-
craient à Dieu. Les uns les coupaient, les
autres défendaient de les couper, VII, 698.
— Le concile d'Arles ordonne aux clercs de
couper leurs cheveux : pourquoi, X, 639. —
Au VI' siècle, c'était la coutume en France
de couper les cheveux à ceux qui étaient en
pénitence; on les coupait aussi à ceux qui
embrassaient la profession monastique ; ou
coupait les cheveux aux rois pour marque
de leur dégradation, XI, 394. Une manière
d'adoption en usage au vu'' siècle était de
recevoir les cheveux d'un jeune homme ,
783. — Énée de Paris reproche aux Grecs
de laisser croître leurs cheveux, XII, 601.
— Un concile de Rouen défend aux hommes
de porter de longs cheveux, XIII, 434. — Il
était d'usage chez les anciens de se couper
les cheveux pour attester la vérité de sa pa-
role, XIV, 211.
CHEVEUX DE LA SAINTE VIERGE : re-
liques envoyées à la comtesse de Boulogne
par Osmond, évoque d'Astorga, XIII, 524.
CHICANEUR, puni d'excommunication par
saint Basile, IV, 643.
CHICHESTER. Ville d'Angleterre. Concile
qui y fut tenu, XIV, 1127.
CHIENS DE CHASSE : défendus aux ecclé-
siastiques par Charlemagne, XII, 234. —
Dès le xi° siècle, on allait à Saint-Hubert
pour être guéri des morsures de chiens en-
ragés, Xm, 596.
CHIFFLET (Pierre-François), jésuite. Son
Paulinus illustratus, VIII, 98. — Son édition
de l'Histoire de la persécution des Vandales
en Afrique par Victor de Vite, X, 463. Son
édition des œuvres de Vigile, évêque de
Tapse, 483. — Son édition de quelques
opuscules de saint Fulgence , évêque de
Ruspe, XI, 76; des lettres de Ferrand, diacre
de Carthage, 87. — De l'Histoire ecclésias-
tique des Anglais, par le vénérable Bède,
xn, 19.
CHILDEBERT I", roi de Paris. Lettre que
H67.
1096.
V. 1059.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
205
lui écrit Léon, évêque de Sens, XI, 202.
556. Différentes lettres que lui écrit le pape Pe-
lage I", dans lesquelles il lui fait sa profession
de foi, 331 , 332. Son ordonnance contre les
restes d'idolâtrie, 883. Son diplôme pour la
fondation de l'abbaye de Saint- Vincent, au-
jourd'hui Saint-Gerpjain-des-Prés , 883 et
884. Son ordonnance contre les ravisseurs
des veuves et des filles consacrées à Dieu,
558. 884. Temps de sa mort, 883. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. III, p. 268 et suiv.)
CHILDEBERT II, roi d'Austrasie. Traité
de paix entre lui et Gontran ; il envoie Gré-
goire de Tours en ambassade auprès de Gon-
tran, XI, 366. Poëme à sa louange par Fortu-
nat, 409. Épigramme du même, 411. Lettre
qu'écrit le pape saint Grégoire le Grand à
Childebert II, 303, 304. — Ses ordonnances
» XII, 226. (Voyez son article dans YHistoh^e
littéraire de la France, t. III. p. 397 et suiv.]
CHILDEBRAND, oncle paternel du roi
Pépin fait continuer la chronique de Frédé-
gaire, XI, 746.
CHILDÉRIC II, roi de France, fait enfer-
mer à Luxeuil Ebroïn et saint Léger, XI, 780.
siècle. CHILIEN, moine bénédictin d'Inis-Keltre
en Hibernie, auteur d'une Vie de sainte Bri-
gitte, XII, 129.
siècle. CHILON, solitaire. Lettre que lui écrivit
saint Basile le Grand. Elle est attribuée à
saint Nil, IV, 433.
siècle. CHILPÉRIG I", roi de Soissons. La guerre
entre lui et Sigebert, roi d'Austrasie , ne
peut être ralentie par les instances de saint
Germain, évêque de Paris, XI, 307, 308. Il
dresse un édit par lequel il ordonnait qu'à
l'avenir on nommerait la sainte Trinité Dieu
simplement, sans distinction de personnes.
Horreur que lui en témoignent saintGrégoire
de Tours et Salvius, évêque d'Alby ; il com-
pose des hymnes et des collectes qui ne sont
point approuvées, 314. On lui attribue l'épi-
taphe de saint Germain, évêque de Paris,
rapportée par Aimoin, 308 et 314. Il est as-
184. sassiné , 314. Lettre de sainte Radegonde
aux rois Chilpéric et Sigebert, 316. Saint
Grégoire de Tours détourne Chilpéric de
donner un édit touchant la sainte Trinité,
366. Son traité avec Childebert II et sa
mort, 369. Poëme de Fortunat sur le ma-
riage de Galswinde avec Chilpéric, 407. Son
éloge par le même, 408. (Voyez sou article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. III,
p. 338 et suiv.)
341.
CHILPÉRIC, moine de Grandfel. Voyez
Helpéric
[GHINDASVINTHE, roi d'Espagne. Lettres
de Braulion à ce prince ; réponse dn roi ;
autre de Braulion, XI, 731.]
CHINON, ville de Touraine. Conférence
qui y fut tenue, XIV, 1133.
CHIRTON (Odonde). Voyez Odonde Chirion.
CHLORE (Constance). Voyez Constance
Chlore.
CHORÉVÊQUES., ou vicaires des évêques
dans les bourgs ou principaux villages. Canon
douzième du concile d'Ancyre; c'est la pre- iv siècle,
mière fois qu'il est parlé d'eux, II, 638. Canon
treizième du concile de Néocésarée, 640. —
Leur droit. Canon dixième du concile d'An-
tioche, III, 468. — Cborévêques ou sufifra-
gants. Lettre de saint Basile à ses cborévê-
ques, IV, 439. Lettre de saint Basile le Grand Après 374.
à un chorévêque, 486. Règles de saint Basile
pour l'élection d'un chorévêque, 487. —
Lettre faussement attribuée au pape saint
Léon sur les fonctions des chorévêques, X,
239. — Témoignage de saint Isidore de Sé-
ville sur les chorévêques, XI, 719. — Un
capitulaire de Charlemagne défend d'en v. soo.
établir à l'avenir, XII, 233. Autre capitulaire
qui leur interdit les fonctions épiscopales
234. Concile de Paris où les chorévêques 849.
sont déposés, 440. Pourquoi ils avaient été
établis, 433. Traité de Rhaban-Maur des
Chorévêques, 462, 463. Éditions qu'on en a
faites, 463. Lettre du pape saint Nicolas I" ix siècle,
sur le pouvoir des chorévêques, 581. Statut
d'Isaac, évêque de Langres, 639. Réponse
du pape Léon VII, 829. — Dispositions d'un
concile d'Aix la-Chapelle contre les choré- sos.
vêques, XHI, 641.
[CHORICIUS, sophiste de Gaze : ses dis- vi siècle.
cours, XI, 180, 181.]
CHOSES QU'ON CONNAIT PAR L'ESPRIT
ET PAR LES SENS : Ouvrage perdu, attri-
bué à saint Denis l'Aréopagite, X, 553.
CHOSES ECCLÉSIASTIQUES. De l'Origine
et du progrès des choses ecclésiastiques,
ouvrage de Walafrid Strabon, XII, 411 et
suiv.
[CHOSES SAINTES : sermon de saint Au-
gustin sur ces paroles de l'Écriture : Ne don-
nez pas les choses saintes aux chiens, IX,
841 .]
CHOSES TEMPORELLES. Exhortation au
mépris des choses temporelles et à l'amour
des choses éternelles, attribuée à saint An-
selme, XIV, 20.
206
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
CHOSES VISIBLES : discours d'Othlon,
moine de Saint-Emmeran de Ratisbonne ;
commenl on peut lire dans les choses visi-
bles, XIII, 283.
[CHOSES ADMIRABLES ou SURPRENAN-
TES (des), grand ouvrage en vers par Raoul
Tortaire : ce traité est resté manuscrit, XIV,
79.J
CHOSRGES II, roi de Perse, reçoit avec
distinction Grégoire, patriarche d'Antioche
que l'empereur Maurice lui envoyait en am-
bassade, XI, 359. Il enlève le trésor de l'é-
glise d'Apamée, mais y laisse le bois de la
vraie croix, 416. — 11 enlève à Jérusalem la
sainte croix et l'emporte en Perse, XII, 86.
CHREME (le saint), huile consacrée par
IV sièci. l'évéque ; canon d'un concile de Carthage
sur le saint Chrême, IV, 648. — Doctrine de
saint Optât, V, 132, 133. — Canon trente-
393. sixième du concile d'Hippone, VII, 715. Ca-
397. non trente-sixième du troisième concile de
398. Carthage, 723. Canon trente-sixième du
quatrième. 730. Canon vingtième du pre-
400. mier concile de Tolède, 742. — Canon
419. sixième du sixième concile de Carthage ,
VllI, 564. Canons d'un concile d'Orange,
607; d'un concile de Vaison, 610. — Règle-
ment du pape saint Gélase sur le saint
Chrême, X, 502, 503. Cérémonies de la con-
sécration du saint Chrême décrites dans le
livre de la Hiérarchie céleste, attribué à
saint Denis l'Aréopagite, 548. Gondebaud,
roi des Bourguignons, demande à saint Avit
de lui donner en secret l'onction du saint
Chrême, 564. — Témoignage de la Liturgie
de saint Germain sur le saint Chrême, XI,
311. [Cas relatif au saint Chrême proposé
par Eugène III, archevêque de Tolède à
Braulion et réponse de celui-ci, 742, 743.]
Canon du concile d'Epaone sur le saint
531. Chrême, 815. Lettre de Montan, évêque de
Tolède, contre des prêtres du territoire de
Palenza qui avaient consacré le saint Chrême,
841. Le saint Chrême doit être distribué gra-
tuitement, 891 . — Témoignage du pape saint
Zacharie sur la consécration du saintChrême,
XII, 33. Témoignage d'un auteur anonyme
sur la garde du saint Chrême, loO. Loi de
Carloman sur le saint Chrême, 228. Lois de
Cliarlemagne, 233, 235, 237. Témoignage de
Leidrade, 233. Ordonnance du pape Léon IV,
408. Témoignage de Ratramne, touchant les
usages des Grecs el des Latins à l'égard du
saint Chrême, 567. Règlement d'Alton de
Verceil, 821. Canon du concile de Mérida,
937. — Témoignage de Wolstan, XIII, 55 ;
de Lanfranc, 454. Canons d'un concile d'Ar-
les, 643 ; de Metz, 732 ; de Ravenne, XIV,
1037.
CHREST ou CRESCENT, évêqne de Syra-
cuse. Lettre que Constantin lui écrit, II, 628,
III, 133, 134, IX, 416. 11 se trouve au concile
d'Arles, II, 629.
CHRÉTIEN, abbé de Saint - Germain
d'Auxerre, XII, 419.
CHRÉTIEN, moine de Fleury ou Saint-
Benoit-sur-Loire, XII, 419.
CHRÉTIEN DRUTHMAR, moine de Cor-
bie. Ce qu'on sait des circonstances de sa
vie ; conjecture sur le temps oii il vivait,
XII, 419. Il est appelé à Stavélo pour expli-
quer l'Écriture aux moines de cette abbaye,
420. Analyse de son commentaire sur saint
Matthieu, 420 et suiv. Ses Scholies sur saint
Lac et saint Jean ; éditions qu'on a faites de
ces commentaires, 422. [Édition dans la Pa-
trologie, 422 et 423.] (Voyez l'article de Chré-
tien Drulhmar dans l'Histoire littéraire de la
France, t. V, p. 84 et suiv.)
CHRÉTIEN, nom que prit Guitmond lors-
qu'il passa en Itahe ; l'Anonyme de Molk ne
le connaît que sous ce nom, XIII, 516. Voyez
Guitmond.
CHRÉTIENS, ce qui en est dit dans Tépî-
tre attribuée à saint Barnabe, I, 284. Témoi-
gnage de saint Justin, 414 et suiv., 425 et
suiv., 442, 443 ; de Théophile, 478; d'Athé-
nagore, 482, 483, 486 ; de Bardesane, 466 ;
de Tatien, 491 ; de Minutius Félix, 551 et
suiv. ; de Clément d'Alexandrie , 567 et
suiv. — Témoignage de TertulUen sur les
assemblées des chrétiens, 28, 78, 79 ; sur les
mœurs des chrétiens, 50, 80 et suiv. Témoi-
gnage d'Origène sur les chrétiens, 236, 240
et suiv., 245 et suiv. 250. Leurs mœurs selon
Lactance, 514, 515. Divers noms qui leur
ont été donnés, 534. Le nom de chrétien
donné aux catéchumènes. Canon quarante-
cinquième du concile d'Elvire, 610. — Edit
de Dioctétien contre les chrétiens, III, 2 et
80. Témoignage d'Eusèbe de Gésarée en fa-
veur des chrétiens ; leur perfection ; pour-
quoi ils ont reçu leur célibat ; pourquoi ils
n'offraient point de sacrifices d'animaux,
189. Témoignage d'Eusèbe sur les assem-
blées des chrétiens, 290, 291. Sur leurs
mœurs, 298 et suiv. — Caractère du vrai
chrétien, selon saint Athanase, IV, 211. Ca-
non quarante-cinquième dans la deuxième
épître canonique de saint Basile le Grand,
IV siècle.
IX siècle.
I sièeled
II siècle.
III siècle.
.1
III siècle.
IV aiècl^.i
375.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
207
468. — Témoignage de saint Cyrille de Jé-
rusalem sur les mœurs des chrétiens, V, 40.
Témoignage de saint Grégoire de Nazianze
sur leur conduite envers les païens, 199.
Maximes pour distinguer leur conduite de
celle des païens, selon le même saint, 201.
Témoignage de saint Ambroise sur le carac-
tère des chrétiens, 427, -428. — Trois traités
de saint Grégoire de Nysse, sur la perfection
chrétienne, VI, 19S et suiv. Deux lois de Va-
lentinien I", en faveur des chrétiens, 3S3. —
Doctrine de saint Cyrille d'Alexandrie sur
les devoirs des chrétiens, VIII, 263. — Traité
de Fastidius sur la vie chrétienne, X, 1.53,
154. Comment les chrétiens doivent passer
la journée, selon saint Maxime de Turin,
322. — Doctrine de saint Césaire d'Arles,
XI, 131. Deux sermons du même sur les de-
voirs des chrétiens, 138, 139. — [Ce que les
chrétiens doivent savoir d'après un capitu-
laire de Gharlemagne, XII, 242. Le pape
Pascal écrit aux chrétiens du nord, 403. —
De tribus usitatis christianorum actibus : Ora-
tione, Jejunio, Eleemosyna, ouvrage attribué
à Gauthier, moine de Citeaux, XIV, 897.
Analyse de cet ouvrage, 897 et 898.] Voyez
Apologie des chrétiens, et Assemblée des chré-
tiens.
[CHRÉTIEN. Un nommé Chrétien écrit à
Honoré d'Autun; réponse de celui-ci, XIV,
298.]
[CHRÉTIEN , archevêque de Mayence ,
prélat guerrier : sa mort, XIV, 932.]
CHRISIME, à qui saint Augustin écrivit
une lettre, IX, 187.
CHRISMAL, ce que signifie ce mot dans
la règle de saint Colomban, XI, 620.
CHRIST ou OINT. Origine de ce nom, se-
lon saint Justin, I, 438. — Tradition des
Juifs : que le Christ devait venir la nuit, II,
462, note 13. — En quel sens ce nom con-
vient à Jésus-Christ, selon Eusèbe de Césa-
rée, III, 192. Voyez Jésus-Christ et Antéchrist.
CHRISTE, FOTENS RERDM. Le poëme
qui commence par ces mots, n'est ni de Ma-
mert Glaudien, ni de Claudien d'Alexandrie,
mais du pape saint Damase, X, 336.
CHRISTIANISME. [Le christianisme n'est
pas le résultat des progrès de la raison, II,
201. — Propagation rapide du christianisme,
III, 262.] — Histoire du christianisme par
Haimon d'Halberstat, XII, 437. Sermon d'Al-
bon, moine de Saint-Germain, sur l'établis-
sement et l'accroissement du christianisme,
79 1 . Voyez Religion chrétienne.
CHRISTINE (Sainte), vierge et martyre.
Les Actes de son martyre et deux hymnes en
son honneur par Alphane, archevêque de
Salerne, XIII, 493.
CHRISTINE, sœur de Poppon, archevê-
que de Trêves, se fait recluse à l'exemple de
saint Siméon, XIII, 122.
CHRISTINUS, à qui saint Augustin éciivit
une lettre, IX, 189.
CHRISTODULE, patriarche d'Alexandrie;
ses statuts, XIII, 46.
GHRISTOLITES, hérétiques dont parle
saint Jean Damascène, XII, 69.
CHRISTOPHE (Saint), martyr. Discours de
Pierre Damien sur ce saint, XII, 743. —
Deux sermons du Vénérable Hildebert sur
saint Jacques et saint Christophe, XIV, 21S.
CHRISTOPHE, primicier et conseiller du
Saint-Siège, fait chasser l'antipape Constan-
tin, s'oppose à l'intrusion de Philippe et fait
élire Etienne III, XII, 117. Son zèle pour
l'Église romaine lui attire la haine du roi
Didier qui le fait périr, 118, 119.
CHRISTOPHE, patriarche d'Alexandrie.
Temps de son pontificat, XII, 362. Sa lettre
à l'empereur Théophile, en faveur du culte
des images, souscrite par un grand nombre
d'évêques et de prêtres, 362 et 363. Son dis-
cours sur la vie humaine, 363. [Éditions de
ces écrits, 363.]
CHRISTOPHE, pape, succède à Léon V, et
est chassé quelques mois après; son diplôme
en faveur de l'abbaye de Corbie, XII, 743.
[CHRISTOPHORE, premier secrétaire. On
a de lui une exhortation aux Israélites en
deux chants; elle est reproduite au t. GXVII
de la Patrologie grecque.]
CHRISTOPHORSON (Jean), évêque de Chi.
chester en Angleterre. Son édition des œu-
vres de Philon, I, 313. — Sa version latine
de l'Histoire ecclésiastique d'Eusèbe, III,
314 ; — de celles de Socrate et de Sozomène,
Vm, 523 et 333 ; — de celle de Théodoret,
X, 141 ; — de celle d'Evagre, XI, 420,
CHRODEGAND (Saint), évêque de Metz.
Ses commencements : Charles Martel le fait
référendaire ou chancelier, XII, 103. Il suc-
cède à Sigebald dans l'évêché de Metz; ses
fondations; il établit dans sa cathédrale une
communauté de chanoines réguliers aux-
quels il donne une règle ; il est député à
Rome pour en amener le pape Etienne II,
qui lui donne le pallium avec le titre d'ar-
chevêque ; il préside au concile d'Attigny-
sur-Aisne; sa mort, 106. Analyse de la
XI siècle.
IV ou
V siècle.
X siècle.
VIII siècle.
804 S37.
903904.
Vers le
XII siècle.
742.
752.
765.
766.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
590.
VII siècle.
Avant 374.
381. 388.
404.
407 ou 414.
208
règle que saint Chrodegand donna à ses
chanoines, 106 et suiv. Charte de fondation
du monastère de Gorze, 109, 110. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. IV, p. 128 et suiv.; le Supplément,
t. X, p. xlvij et suiv.)
C HRODEGAND, évêque de Séez. Ses Actes
attribués à Hérard, archevêque de Tours,
XII, 602.
CHRODIELDE, fille du roi Caribert I", re-
ligieuse à Poitiers, entreprend de faire chas-
ser l'abbesse Leubnuère, et de se faire élire
à sa place ; ses plaintes contre Leubouère ;
accompagnée d'une troupe de scélérats, elle
force le monastère et met l'abbesse en pri-
son, XI, 366. Concile de Poitiers où elle est
excommuniée ; nouvelles calomnies qu'elle
répand contre Leubouère, 905. A la prière
du roi Childeberl, elle est réconciliée au
concile de Metz, et se relire dans une terre
que le roi lui donne, 905 et 906.
CHRODIN, général d'armée : son éloge
par Fortunat, XI, 408.
CHRODOBERT, archevêque de Tours. Ce
qu'on sait de sa personne, XII, 761. Son Ju-
gement sur une femme adultère, 761 et 762.
[CHRODOGAIRE, comte, à qui Alcuin écrit,
XII, 200.]
CHROMACE (Saint), évêque d'Aquilée et
confesseur, VII, 493 et suiv. Ses parents ; il
entre dans le clergé, 493. Il assiste au con-
cile d'Aquilée; il est fait évêque; il inter-
pose sa médiation entre saint Jérôme et Ru-
fîn ; son zèle pour saint Jein Chrysostôme ;
mort de saint Chromace, 494. Ses écrits, 494
et suiv. Trois homélies [ou traités] de ce saint
évêque, 494, 495 ; l'une est sur les huit béati-
tudes, 495. [Note sur ce traité, 494, n. 7.]
Autre homélie sur l'Oraison dominicale ;
autre sur le Baptême de Jésus-Christ, 494.
[Édition des écrits de saint Chromace dans
la Patrologie d'après Braida, 495, 496.] Ecrits
perdus de s^iint Chromace ; lettres et homé-
lies faussement attribuées à ce saint évêque,
496. — Lettre que lui écrivit saint Ambroise,
V, 497. — Il écrit à l'empereur Arcade en
faveur de saint Jean Chrysostôme, VII, 2.
Lettre que saint Jérôme lui écrivit, 582. Let-
tre de saint Chromace et d'Héliodore à saint
Jérôme, et réponse de saint Jérôme à ces
deux évêques : ouvrages supposés; autre
lettre de saint Chromace et d'Héliodore et la
réponse de saint Jérôme ; écrits supposés, 648.
CHRONIQUES. Chronique samaritaine sous
le nom de Josué, 1, 30. [Voyez aussi note 1.]
CHRONIQUE de saint Hippolyte et celle
qui lui est attribuée, 630, 631. [Éditions de
cette Chronique, 631.]
CHRONIQUE de Jules Africain, II , 91 et
suiv.
CHRONIQUE d'Eusèbe de Césarée, III,
178 et suiv. [Découverte et publication de la
chronique d'Eusèbe, 178, n. 6, et 181.] —
Lettre de saint Jérôme à Vincent et à Gai-
lien pour servir de préface à la traduction
de cet ouvrage, Vil, 645, 646.
[CHRONIQUE athanasienne écrite en sy-
riaque, IV, 150, 151.]
[CHRONIQUE latine sur saint Athanase,
IV, 151.]
CHRONIQUE de saint Jérôme, VU, 645,
646.
CHRONIQUE de saint Prosper, X, 312,
313, défigurée par un ennemi de saint Au-
gustin, 313. Éditions qu'on en a faites, 313
et 319.
CHRONIQUE d'Idace ; continuation de celle
de saint Jérôme, X, 342. Édition de cette
Chronique, 342 et343. [Autres édilions, 343.]
[CHRONIQUE placée à la suite de l'His-
toire de Victor de Vite, X, 465.
CHRONIQUE de Josué Stylite, X, 583 et
suiv.,
CHRONIQUE du comte IMarcellin, XI, 98,
99. [Éditions qu'on en a faites.]
CHRONIQUE d'Alexandrie. Elle est en
partie l'ouvrage d'un arien, V, 7, et XI, 746,
747, Éditions qu'on en a faites, 747. [Autres
éditions, 747.] Cosme d'Egypte n'en est pas
l'auteur, comme le prétend Léon Allatius,
191. Voyez Chronique pascale plus loin.
CHRONIQUE de Cassiodore, XI, 221, 222.
Editions qu'on en a faites, 254.
CHRONIQUE attribuée à Dacius, évêque
de Milan, XI, 264.
CHRONIQUE de Victor de Tunones ; édi-
tions qu'en en a données, XI, 302.
CHRONIQUE d'Édesse par un auteur in-
connu ; ce qu'elle contient de remarquable,
XI, 342, 343.
CHRONIQUE anonyme qu'on croit avoir
été écrite vers le commencement du vi° siè-
cle ; ce qu'elle contient de remarquable, XI,
343, 344.
CHRONIQUE de Marius, évêque d'Avan-
ches, en Suisse, XI, 399, 400.
CHRONIQUE de Jean , abbé de Biclar,
puis évêque de Girone, XI, 425, 426.
CHRONIQUE générale de saint Isidore de
Séville, XI, 714, 713,
m siècle.
III siècle.
iVsièclg
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
209
CHRONIQUE particulière des Goths, des
Vandales des Suèves, du même auteur,
XI, 713.
î siècle. CHRONIQUE de Frédégaire, XI, 744 et
suiv. Ses quatre continuateurs anonymes ;
éditioDS qu'on en a faites, 746. [Autres édi-
tions et traductions, 746.]
CHRONIQUE PASCALE. Pourquoi elle
porte quelquefois le titre de Chronique d'A-
lexandrie, XI, 746, Différentes éditions qu'on
en a faites, 746, 747. [Autres éditions, 747.
Jugement sur cette Chronique, 747, note 2.]
CHRONIQUE de Ternace, évêque de Be-
sançon, XI, 781.
[CHRONIQUE de Denis de Telméra, XI,
813.]
[CHRONIQUE ancienne publiée par Mai,
Xn, 19.]
siècle. CHRONIQUE de Fontenelle, XII, 334, 335.
Autre du même monastère, 333,
CHRONIQUE abrégée d'Eginhard. Ce que
c'est, XII, 357.
CHRONIQUE de Fréculphe, XH. 418et419.
CHRONIQUE attribuée à saint Méthodius,
patriarche de Constantinople, XII, 425.
[CHRONIQUE de Jean le Sicilien, XII, 553.]
CHRONIQUE d'Adon, archevêque de
Vienne, XII, 621, 622. L'addition qu'on y a
faite est très-ancienne ; éditions de cette
Chronique, 621.
[CHRONIQUE d'André de Bergame, XII,
693.]
[CHRONIQUE de Pierre le Bibliothécaire,
XH, 693.]
[CHRONIQUE anonyme où l'on trouve les
vies de quelques papes, XII, 717.]
CHRONIQUE de Réginon, abbé de Prum.
On ignore quel était l'Adalbéron à qui elle
est dédiée, XII, 769. Analyse de cette chro-
nique, 769 et 770. Éditions qu'on en a faites,
770, 771. [Autres éditions, 771.] Voyez sa
Contitnuation plus loin.
CHRONIQUE d'Echempert, moine du
Mont-Cassin, XH, 779, 780.
CHRONIQUE de Saint-Néot, appelée ainsi
parce qu'elle a été trouvée dans le monas-
tère de ce nom, XII, 782, 783. On l'attribue
à Asser, 782.
CHRONIQUE de saint Ratbod, évèque
d'Utrecht. Il en reste un fragment, XII, 783.
siècle. CHRONIQUE anonyme de S. Gai, XII, 794,
CHRONIQUE de Jean d'Antioche, sur-
nommé Malélas ; éditions qu'on en a faites,
[éditions plus récentes,] XII, 796.
CHRONIQUE attribuée à saint Odon, abbé
TAB. I.
de Cluny . Elle est de Thomas Coches, XII, 810.
CHRONIQUE de Frodoard, chanoine de
Reims. Raisons qui prouvent qu'elle est vé-
ritablement de lui, XH, 843, 844. Idée de
cette Chronique ; éditions qu'on en a faites,
844. [Autres éditions, 844.] Cette Chronique
continuée par un anonyme, 844.
CHRONIQUE d'Adalbert, écolâtre de Saint-
Vincent de Metz, XII, 862.
CHRONIQUE attribuée àLuitprand, évèque
de Crémone, et qui n'est pas de lui, XII, 873.
CHRONIQUE de Réginon, continuée par
Romérius, XH, 878.
CHRONIQUE d'York, XH, 891. xsiède.
CHRONIQUE d'Augoulême, XH, 892.
CHRONIQUE de Reims, XII, 893. X siècie.
CHRONIQUE d'Ethelwerd, XIH, 43, 44.
CHRONIQUE d'HippoIytele Thébain, XIH,
44, 43.
CHRONIQUE de Dilmar, évêque de Mers- xisiède.
bourg. Analyse de cette Chronique, XIII, 62
et suiv. Différentes éditions qu'on en a
faites, 64, 63. Jugement porté sur elle, 63.
CHRONIQUE anonyme de Saxe ou de xisiède.
Quedhmbourg, XIH, 65, 66. [Éditions de
cette Chronique, 66.]
CHRONIQUE d'Adémar de Chabanais,
moine de Saint-Cybard d'Angoulême, XIII,
102, 103.
CHRONIQUE de Mouson. Sa continuation,
XIII, HO.
CHRONIQUE d'Odoranne, XIH, 113.
[CHRONIQUES de Reichenau ; il y en a xi siède,
deux, Xm, 129, n. 3.]
[CHRONIQUE des évêques de Metz par un xil siéde.
anonyme, XIII, 153.]
CHRONIQUE de Tours, XIH, 173.
CHRONIQUE de Saint-Bénigne de Dijon,
écrite dans le xi" siècle par un auteur ano-
nyme, XIII, 178, 179. [Elle est reproduite
dans la Patrologie, 179.]
CHRONIQUE d'Hermann Contracte, moine
de Reichenau. Différentes éditions qu'on en
adonnées, XIII, 182, 183. Continuation qu'on
en a faite ; notice sur cette Chronique, 183.
CHRONIQUE des papes saxons. Compila- xi siède.
tion; éditions de cette Chronique, XIII, 184.
CHRONIQUE de Saxe, où sont rapportées xi siède.
les fondations des principales églises d'Alle-
magne, depuis le règne de Cbarlemagne jus-
qu'à celui d'Othon P% X IH, 184, 185.
CHRONIQUE de Toul, XHI, 185, 186.
CHRONIQUE d'Ebers-Munster, XIH, 186. xisiède.
CHRONIQUE de Silhieu, ou de Saint-Ber-
tin, XIII, 186.
■ 14
210
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
XI siècle.
XI stècle.
XII siècle.
CHRONIQUE de Waste ou Watte (ou Wat-
ton, ou Guastines), écriteparEbrard, moine
de ce monastère, XIII, 186, 187 et 467.
[CHRONIQUE de Benoît, moine de Saint-
André de Soracte, XIII, 187.]
[CHRONIQUE de Roricon, XUI, 187, 188.]
[CHRONIQUE de Jean, diacre de Venise,
XIII, 188.1
[CHRONIQUE de Rainaud, archidiacre
d'Outremaine, au diocèse d'Angers, XIII, 327.
CHRONIQUES angevines ou d'Anjou, XIII,
327, 328.
CHRONIQUE de Sulcard, moine de West-
minster, XIII, 344.
CHRONIQUE de l'abbaye de Hasnon, au
diocèse d'Arras, par le moine Tliomel, XllI,
186 et 343.
CHRONIQUE de Lambert de Schafna-
bourg, Xin, 400.
CHRONIQUE de Marien Scot, XIII, 401.
Abrégé de la même, 486, 487.
CHRONIQUE de Berthold, prêtre de Cons-
tance, XUI, 403.
CHRONIQUE du Bec, XHI, 458, 439.
CHRONIQUE de l'abbaye de Vassor, XIII,
466.
CHRONIQUE de Cambrai, par Baudry
chantre de l'Église de Thérouaime, XIII, 481^
482.
[CHRONIQUEdes Églises de Thérouanne et
d'Amiens écrite par Baudry, chantre de
Thérouanne, Xliï, 482, 483.]
[CHRONIQUE des rois d'Italie, XHI, 507.]
CHRONIQUE du Mont-Cassin, XHI, [498] et
507.
CHRONIQUE de LoupProtospataire, XIII,
507.
[CHRONIQUE de Falcon-, XHI, 52S.]
CHRONIQUE de la Terre -Sainte écrite
par Radulphe, abbé de Coggeshale, XIII,
342, 543.
CHRONIQUE anglaise par le même, XIII,
543,
[CHRONIQUE universelle d'Ekkehard;
éditions récentes, XHI, 542, et XIV, 405, 406.]
CHRONIQUE d'Otton, évêque de Frinsin-
gue, XIII, 543, 544; continuée par Othon,
abbé de Saint-Biaise, 544.
[CHRONIQUE de Wurtzbourg ; éditions
récentes, XHI, 542.J
CHRONIQUE d'Helmold, prêtre de Bo-
soau, continuée par Arnold et ensuite par
un anonyme, XIII, 545.
CHRONIQUE attribuée au moine Gosce-
lin, XIII, 550.
CHRONIQUEdeGeorgesCédrène,Xm,560.
CHRONIQUE de Jean Scyhtz, XHI, 560.
CHRONIQUE des papes par Bonison, évê-
que de Sutri ; usage qu'en a fait le P. Pagi ;
Martin le Polonais en avait fait aussi grand
usage, XIII, 563.
CHRONIQUE de Sigebert de Gemblou,
XIV, 60, 61. Éditions qu'on en a faites, 61.
CHRONIQUE de l'abbaye de Gemblou,
XIV, 63.
CHRONIQUE de Verdun. Titrequ'on donne
ordinairement à la Chronique d'Hugues de
Flagny, XIV, 82.
CHRONIQUE d'Hugues, abbé de Flavigny,
XIV, 81, 82. Utilité de cette Chronique, 82.
On l'a attribuée, à tort, à Yves de Chartres,
124.
CHRONIQUE des rois de Fiance attribuée
à Yves de Chartres, XIV, 124. [Editions de
cette Chronique ; ime partie est traduite en
français, 124.]
CHRONIQUE de Bohême, par Cosme,
doyen de Prague, XIV, 173, 174. [Editions
de cette Chronique, 174.]
[CHRONIQUE du monastère de Bèze par
Jean, moine de Bèze ; sa continuation, XIV,
186.]
[CHRONIQUE d'Afittighem par un ano-
nyme, XIV, 192.]
[CHRONIQUE (Petite) du monastère d'Ou-
dembourg, XlV, 243, n. 8. Autre Chronique
du même monastère, 243.]
[CHRONIQUE (Grande) du monastère
d'Oudembourg, XIV, 234, n. 8.]
CHRONIQUE de Saint-Riquier, continuée
par Hariulfe, XIV, 234.
CHRONIQUE de Saint-Pierre le Vif, par
Clarius, XIV, 237, 238.
CHRONIQUE de Saint-Trond par l'abbé
Rodulphe, XlV, 239, 240. [Mérite de l'édi-
tion de Kœpke ; continuation de cette Chro-
nique, 239, n. 6.]
CHRONIQUE des Gaules depuis Phara-
mond jusqu'à Philippe I". Ouvrage d'Hugues
de Sainte-Marie, moine de Fleury, XIV, 243.
CHRONIQUE de Florent Bravon, moine
de Worchester, XIV, 245.
CHRONIQUE des papes et des empereurs
par Hugues de Saint- Victor, XlV, 361.
CHRONIQUE des évêques d'Hildesheim
attribuée à Eccard [ou Ekkehard,] abbé de
Saint-Laurent d'Uragen, XlV, 403.
CHRONIQUE du Mont-Cassin, commencée
par Léon d'Ostie, et continuée par Pierre
Diacre, XIV, 582. Preuves que cette conli-
XI sied
XII stèâ
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
241
nuation est véritablement de lui ; éditions
qu'on en a faites, 583.
[CHRONIQUE des comtes de Nevers par
Hugues de Poitiers. Précis de cet ouvrage,
XIV, 693, 694.]
CHRONIQUE de Constantin Manassès,
XIV, 643.
CHRONIQUE attribuée à l'abbé Joachim,
XIV, 830.
[ CHRONIQUE universelle d'Hélinand ,
moine de Froidmont; on n'en a que la der-
nière partie. Jugement sur cette Chronique,
XIV, 898.]
[CHRONIQUE universelle de Siccard, évê-
que de Crémone ; Muratori n'a publié que
la deuxième partie, qui va de Jules César à
l'an 1213. Ce que l'auteur dit des croisades,
899 et suiv. Reproduction de l'édition de
Muratori dans la Patrologie, 902.]
CURONOGRAPHIE de Georges Syncelle,
XII, 156. Editions de cet ouvrage, 156.
— Clironograpliie de Théophane, XII, 156.
— Chronographie de Nicéphore , patriar-
che de Constantinople, XII, 281,282. Rai-
sons qui prouvent qu'il en est l'auteur.
Éditions qu'on en a faites, 282. — Chrono-
graphie tripartite. Ouvrage d'Anastase le
Bibliothécaire, qui a réuni les trois précé-
dentes, Xll, 714. — Chronographie de Jean
Mauropus, métropolitain d'Euchanie. On ne
sait ce qu'elle est devenue, XIII, 229.
CHRONOLOGIES. Celle qu'Eusèbe a sui-
vie est diiïérente de celle des Hébreux, III,
181. [Chronologie du peuple hébreu d'après
Eusèbe ; des autres peuples, 182.] — Fautes
de chronologie dans le catalogue des héré-
sies par saint Philastre, V, 174. — On pré-
tend que saint Chrysostôme n'était pas fort
exact en chronologie, VII, 112. — Chrono-
logie attribuée à saint Cyrille de Jérusalem,
V, 61. — Chronologie selon l'hébreu, attri-
buée à Claude de Turin, XH, 351, 352. —
Chronologie d'Arnoul, moiue de Saint-An-
dré d'Avignon, XIII, 75. — [Chronologie
(Petite) par Honoré d'Autun, XIV, 298.] —
[Chronologie des rois de Juda et d'Israël
conciliée par Richard, prieur de Saint-Vic-
tor, XIV, 701.]
CHRONOPE, évéque déposé, à l'occasion
duquel Valentinien I" fit une loi, IV, 600 et
VI, 356.
CHRYSANTHE et DARIE, martyrs. Trans-
lation de leurs reliques à l'abbaye de Prum,
XII, 598. Histoire de cette translation attri-
buée à Waadalbert, 599.
CHRYSANTHE, recherché par les Nova-
tiens qui veulent l'ordonner évéque de leur
secte, IV, 658.
[CHRYSANTE, rhéteur. Poëme à sa
louange attribué à saint Damase, V, 673.]
CHYSAPHIUS, ministre de l'empereur
Théodose le Jeune, engage l'impératrice
Eudoxie dans le parti d'Eutychès, VIII, 475,
et X, 75. — Sa disgrâce et sa mort, X, 75.
Protecteur d'Eutychès auprès de Tliéodose
le Jeune, 210. On croit que ce fut lui qui
obtint la convocation du faux concile d'B-
phèse, 675.
CHRYSARGYRE. Impôt sur les personnes
de basse condition, XI, 418.
CHRYSEROTE, sophiste à qui saint Nil
écrit, Vlli, 217.
CHRYSOBERGE (Luc), patriarche de
Constantinople. Voyez Luc Chrysoberge.
CHRYSOCHÉRIS, chef des Manichéens
d'Arménie, XII, 622,
CHRYSOGONE à qui saint Jérôme écri 376.
une lettre, VH, 582.
GHRYSOLAN (Pierre). V. Pierre Chrysolan.
CHRYSOLOGUB. Voyez Saint Pierre Cliry-
sologue.
CHRYSOMALE (Constantin). Voyez Cons-
tantin Chrysomale.
CHRYSOPHORE, fille chrétienne à qui saint „ ^lède.
Denys deCormthe adresse une lettre, I, 461.
CHRYSORÈTE, grand chambellan de
l'empereur Théodose le Jeune, Vliï, 115,294.
CHRYSOSTOME. V. Saint Jean Chrysostôme.
CHUNON, abbé de Sibourg, puis évéque
de Ratisbonne. Voyez Cunon.
CHUNON ou CONRAD, abbé de Moury, en
Suisse. Ce qu'on sait des circonstances de sa
vie avant qu'il fut abbé ; il succède à l'abbé
Ronzelin; il obtient du pape Adrien IV une
bulle qui lui permet de célébrer l'office di-
vin pendant l'interdit jeté sur le pays ; au-
tre bulle confirmative de tous les droits et
privilèges de son monastère; il se démet de
son gouvernement ; sa mort, XIV, 539. Ses
actes de l'abbaye de Moury ; ce qu'ils con-
tiennent de remarquable, 539 et 540. Les ,
actes et la généalogie de la maison de Habs-
bourg, ne sont ni du même auteur ni du
même temps, 540. Chronique du monastère
de Burglen, autre ouvrage de l'abbé Chu-
non, 541. Voyez Moury et Habsbourg.
CHYPRE. Concile qui y fut tenu contre y. 400.
les livres d'Origène, VII, 737. — L'église de
Chypre déclarée indépendante de celle 431.
d'Antioche, VlII, 590.
1145.
H59.
H66.
H88.
212
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
CIACONIUS (Pierre), prêtre espagnol- Son
édition de la règle de saint Pacôme, III, 368.
— el des œuvres de Cassien, VIII, 204.
[CIBARIA. Ce qu'on entend par ce mot,
XII, 108, n. 2.]
CICÉRON, orateur et philosophe païen.
Julien le cite. Ce que répond sur ce point
saint Augustin, IX, 501. Ce que saint Au-
gustin pensait de son éloquence, 596. Saint
Augustin parle du mépris de Cicéron pour
les augures, 793. — Écrits de Boëce sur les
Topiques de Cicéron, X, 664.
IV siècle. CIEL. [Témoignage d'Origène sur le ciel,
II, 157. — Témoignage d'Eusèbe de Césa-
rée, III, 226.] — Discours de saint Ephrem
sur les difiërentes demeures du ciel; autre
discours de saint Ephrem sur la demeure
des bienheureux, VI, 10. [Bonheur et récom-
pense du ciel d'après saint Ephem, 495.] —
Saint Augustin remarque que les ignorants
ravissent le ciel, tandis que les savants enflés
de leur science en négligent la voie, IX, 7.
Quel est le ciel que Dieu créa au commen-
cement, 35. Voyez Cieux.
III siècle, CIERGES et torches à l'enterrement de
saint Cj'prien, II, 267. Cierges allumés pour
l'enterrement des martyrs, 379. Cierges al-
lumés dans les assemblées nocturnes des
chrétiens, 424. Cierges et parfums à la ré-
ception des reliques de saint Boniface, 477.
— Cierges allumés dans les temples des
faux dieux, III, 88. — Cierges dans les égli-
ses sur des chandeliers attachés aux mu-
railles, IV, 217. — Cierges portés aux fu-
nérailles des fidèles, V, 205. — Témoignage
de saint Jérôme sur l'usage des cierges, VII,
607, 608, 687 et 697; - de saint Paulin,
VIII, 94; — et du moine Béatus sur les
cierges allumés devant le livre des Évan-
giles, XII, 216.
CIERGE PASCAL. Bénédiction de ce
cierge sous le pape Zosime, VII, 540. Traité
attribué à saint Jérôme sur le cierge pascal,
647. — Hymne de Prudence pour le temps
où l'on allumait le cierge pascal, VJII, 101.
— [Sermon de saint Augustin sur le cierge
pascal, IX, 828, 829.] — Ce qu'on deman-
dait à Dieu dans la bénédiction de ce cierge,
X, 576. — Prières que l'archevêque de Ra-
venne récitait en le bénissant, XI, 522, —
Canon du quatrième concile de Tolède sur
la bénédiction du cierge pascal, XII, 917.
CIEUX distingués par Clément d'Alexan-
drie, I, 596. — Saint Jean Chrysoslôme
combat la pluralité des cieux, Vil, 145,
CILICE en usage parmi les moines, IV, 539.
CILICIE, province d'Asie. Lettre de Théo-
doret aux évoques des deux Cilicies, X, 70.
CILINIE (Sainte), mère de saint Rémi,
évêque de Reims, XI, 76. — Sa Vie attribuée
à Hucbald, moine de Saint- Amand. Ce qu'on
en sait, XH, 801.
CIMETIÈRES. Lieux d'assemblées des
chrétiens qui leur sont interdits par Valé-
rien, III, 399. Canons trente-quatrième et
trente-cinquième du concile d'Elvire, 608.
Cimetières des hérétiques, III, 510. — Té-
moignages de saint Athanase, IV, 218; —
de saint Optât, V, 139; — de saint Ephrem,
VI, 68. — Homéhe de saint Jean Chrysos-
tôme sur la croix et le cimetière, VU, 82. —
Au temps de saint Grégoire de Tours, la bé-
nédiction des cimetières était réservée aux
évoques, XI, 317. —Témoignage de Robert
Pullus sur la sépulture des enfants morts
sans baptême, XIV, 393. Règlement de Guil-
laume, archevêque d'York, concernant la
coupe des arbres et des herbes dans les
cimetières, 1124.
CIMIEZ, nom moderne de l'ancienne ville
de Cémèle, X, 154. Voyez Cémèle.
CINNAM (Jean), grammairien. Voyez
Jean Cinnam,
CINTHILA, roi des Goths en Espagne,
succède à Sisenand, son frère ; il assiste au
cinquième coucile de Tolède dont il con-
firme les canons; il convoque le sixième
concile de Tolède, XII, 919.
CINTHIUS, préfet de Rome. Lettres que
lui écrit saint Pierre Damienpour le féliciter
de ce qu'il s'acquittait de sa charge avec
honneur ; il harangue le peuple dans l'é-
ghse, XllI, 307.
CIRCATEURS. Leur office dans l'ordre
de saint Benoit, XIII, 450.
CIRCINE, lie d'Afrique, en laquelle saint
Fulgence, évêque de Ruspe, bâtit un mo-
nastère, XI, 9.
CIRCONCELLIONS, secte de donatistes.
Leurs cruautés au rapport de saint Optât,
V, 117. — Leur irruption dans l'éghsed'Hip-
pone, IX, 75. Leurs cruautés, 95 et 120.
CIRCONCISION. Doctrine de saint Justin,
I, 441 ; de saint Irénée, 528; — de Tertul-
hen, II, 75. Traité de Novatien sur la cir-
concision, 427. — Témoignage d'Eusèbe de
Césarée, III, 294. — Traité des sabbats et
de la circoncision, attribué à saint Atha-
nase, IV, 176. Témoignage de saint Basile,
518. — Témoiguage de saint Optât, V, 133.
III sli
636
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
213
Homélie attribuée à saint Amphiloque sur la
circoncision de Jésus-Christ, 369. — Doc-
trine de saint Grégoire de Nysse sur la cir-
concision, VI, 240. Doctrine de saint Epi-
phane, 430; — de saint Jean Chrysostôme,
VII, 273 et 274. Traité de la vraie circonci-
sion faussement attribué à saint Jérôme,
647. Doclriue de saint Jérôme, 669. — La
fête de la circoncision de Jésus-Christ n'était
point encore établie du temps de saint Pau-
lin, 'VIII, 89. [Homélie de saint Procle sur la
circoncision, 415.] — Doctrine de saint Au-
gustin, IX, 313, 470, 655, 739. [Taité de
saint Augustin sur la circoncision de Notre
Seigneur, 834. Sermon sur la circoncision
faussementattribué àsaint Augustin, 836. Ser-
mon du même sur lacirconcision, 841;] — Doc-
trine de ïhéodoret, X, 122 et 123. — Homélie
de saint Maxime de Turin pour le jour de la
circoncision, 320. — Sermon de saint Ful-
gence de Ruspe, XI, 73. Doctrine du pape
saint Grégoire, 365. — Discours sur la cir-
concision attribué à André de Crète, XII,
58. Doctrine de saint Jean Damascène, 93.
Sentiment de Photius, 729 et 730. — Dis-
cours d'Yves de Chartres, XIV, 122. Sermon
du Vénérable Hildebert, 214; d'Abaillard,
331. Doctrine de Robert Pulltis, 393. Trois
sermons de saint Bernard sur la circonci-
sion de Notre-Seigneur, 484. Sentiment de
saint Bernard sur la circoncision, 486. Plu-
sieurs lettres des évéques de Paris pour l'a-
bolition de la fête des fous, et le rétablisse-
ment de la fêle de la circoncision au premier
de janvier, 784. Sermon de Guillaume d'Au-
vergne, 1026.
CIRCULATION DU SANG connue du
temps de saint Ambroise, V, 401.
CIRIN, évêque de Frisingue. Voyez Ari-
bon Cyrinus.
CIRQUE. Canon soixante-deuxième du
concile d'Elvire, II, 612. Canon quatrième
du concile d'Arles, 630. — Discours de saint
Jean Chrysostôme contre les jeux du cirque,
VII, 57. Homélie sur ce sujet attribuée à
saint Jean Chrysostôme ou à Sévérien, évê-
que de Gabales, 237. Voyez Spectacles.
CIRTHE, capitale de Numidie, [la même
ville que Constantine, II, 392.] Concile qui
y fut tenu, 619, 620. — Constantin la réta-
blit et la nomme Constantine, 111, 136. —
Lettre de saint Augustin aux habitants de
Cirthe, IX, 127, 128. — Concile qui y fut
tenu, VIII, 346. Lettre synodale de ce con-
cile, 347, 348.
CISOIN, abbaye en Flandre, fondée par ix siècle.
Eberard, comte de Frioul, XII, 613.
CITÉ DE DIEU. Vingt-deux livres de la De «3 à 427.
Cité de Dieu, ouvrage de saint Augustin,
IX, 288 et suiv. Dans les dix premiers, saint
Augustin réfute les sentiments des païens,
290 et suiv. Dans les douze derniers, il ex-
pose les sentiments de l'Église sur l'origine,
les progrès et la fin de la Cité de Dieu et du
monde, 303 et suiv. — [Cité de Dieu, ou-
vrage d'Henri, cardinal d'Albane, sur TÉ-
giise, XIV, 800, 801.]
CITEAUX, abbaye en Bourgogne. Fonda- v. loso.
tion de ce monastère par saint Robert, abbé
de Molesme, Xlll, 393. Albéric en estle pre-
mier abbé ; bulle du pape Pascal II, en fa-
veur de Cîteaux, 394. — Le Petit Commen-
cement de Tordre de Cîteaux , ouvrage
d'Etienne Harding, XIV, 231. Le pape Eu-
gène m assiste au chapitre général, 271. [Il
confirme les constitutions de Citeaux, 279.]
Différend des moines de Cîteaux avec ceux
de Cluny ; apologie de saint Bernard, 470
et suiv., 506, 507. Lettre de sainte Hilde-
garde aux moines de Citeaux, 594. Bulle du
pape Alexandre III qui confirme les statuts
et les privilèges de l'ordre de Cîteaux, 925.
Premier chapitre général tenu à Citeaux, xii siècle.
1088. Lettre du pape Callixte H qui confirme
les statuts de l'ordre de Citeaux, 1097.
CITHARISTE, paroisse d'Arles, VU, 529.
CITTA, bourg du diocèse de Cyr, X, 20.
CITZMAN (...). Ses notes sur quelques
ouvrages de Boëce, X, 665.
CLAIR (Saint), disciple de saint Martin,
vm, 111.
CLAIRVAUX, monastère de l'ordre de
Cîteaux, établi en Champagne par saint Ber-
nard, XIV, 418. L'augmentation du nombre
des religieux oblige le saint abbé de rebâtir
le monastère dans un lieu plus étendu et
plus commode, 421. Privilège accordé au
monastère de Clairvaux par le pape Inno-
cent II, 455.
CLAIRVAUX, monastère de l'ordre de Ci-
teaux, à deux milles de Milan; sa fondation, usa.
XIV, 436.
CLAPHIUS, fait bâtir une église dont
saint Sidoine Apollinaire fait la dédicace, X,
388.
CLAREMBAUD, archidiacre de l'Église
d'Arras, auteur d'un commentaire sur le
traité de Boëce touchant la Trinité. (Voyez
ce qui en est dit dans V Histoire littéraire de
la France, t. XII, p. 443.)
1U5
H35.
214
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
II siècle.
190.
597.
IV ou
V siècle.
CLARENDON, ville d'Angleterre. Concile
quiy fut tenu, XIV, H30.
CLARIUS, moine d'abord à Fleary, puis
à Saint-Pierre-le-Vif, à Sens, XIV, 237, as-
1120. si.ste au concile de Beauvais, à la place d'Ar-
naud son abbé, député par l'archevêque
Daïmbert, 238. Sa Chronique de Saint-Pierre-
le-Vif, 237, 238. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. X, p. 501
et suiv.)
[CLARKE. Sa traduction anglaise de l'his-
torien Josèphe, I, 329.]
CLARUS, évêque de Ptolémaïde. Concile
de Césarée où il assiste, II, 541.
CLASSE, monastère dans le voisinage de
Ravenne. Règlement que fait le pape saint
Grégoire pour le défendre des entreprises
des évèques de Ravenne, XI, 511.
CLASSICIENj homme de considération.
Fragment d'une lettre de Glassicien à saint
Augustin, IX, 188, 189.
CLAUDE I", empereur, fait élever une
statue à Simon le Magicien, V, 39.
CLAUDE APOLLINAIRE (Saint), évêque
d'Hiéraple. Voyez Saint Apollinaire.
CLAUDE, médecin, l'un des juges de la
dispute d'Archélalis avec Manès, II, 455.
CLAUDE (Saint), martyr à Egée, en Cili-
285 cie. Actes de son martyre, II, 466.
320. CLAUDE (Saint), mai tyr, du nombre des
quarante martyrs, III, 83.
CLAUDE, évêque de Picénum, IV, 564.
CLAUDE, proconsul d'Afrique, IV, 600.
421 CLAUDE, évêque. Lettre que lui écrivit
saint Augustin, IX, 171. Saint Augustin lui
adresse ses six livres contre Julien, 484.
CLAUDE, père de saint Fulgence, XI, 1.
CLAUDE, élevé à la prêtrise par saint
Rémi, à la prière de Clovis, XI, 80. L'indul-
gence de saint Rémi à son égard excite les
plaintes de plusieurs autres évoques ; lettre
que leur écrit saint Rémi, 81.
597_ CLAUDE, abbé de Saint-Jean-de-Classe,
près Ravenne, mentionné dans une lettre de
saint Grégoire à Jean, évêque da Ravenne,
XI, 489. Lettres du pape saint Grégoire à
son sujet, 505 et 511. Privilèges que saint
Grégoire lui accorde pour son monastère,
601. SU. Sa mort, 529. Recueil de ses écrits,
529, 545 et suiv. Il n'est pas auteur d'un
commentaire sur les seize premiers chapi-
tres du premier livre des Rois, 543 et suiv.,
ni du commentaire sur le Cantique des Can-
tiques, 547, 548.
CLAUDE à qui est adressée une lettre sur
la procession du Saint-Esprit; cette lettre ne
peut être de saint Isidore de Séville, XI,
722.
CLAUDE II (Saint), évêque de Besançon, vu si]
qui vivait à la fin du vu' siècle, différent de
Claude I"^ qui vivait au commencement du
vi'^. (Voyez son article dans V Histoire litté-
raire de la France, t. III, p. 649 et suiv.)
CLAUDE, évêque de Turin , originaire
d'Espagne, élevé sous la discipline de Félix,
évêque d'Urgel; il passe en France, et après
avoir été prêtre du palais, il est chargé du
soin de l'école établie par Charlemagne, XII,
350. Louis le Débonnaire le fait évêque de i
Turin, 350 et 351 . Voulant réformer les abus S
qui s'étaient introduits dans le culte des
images, il donne dans l'excès opposé, et fait
abattre toutes les images et même les croix ^
dans les églises de sa dépendance, 325 et I
351. Il fait l'apologie de sa conduite; Dun- 1
gai, Théodemir et Jouas le réfutent ; il ré- *
pond avec hauteur; sa mort, 351. Ses com- Avanta
mentaires sur plusieurs livres de l'Ecriture
sainte, 351 et 352. Trithème l'a confondu
avec Claude Clément, 352. [Écrits de Claude
dans la Patrologie, 352.] Ecrits de Théode-
mir contre lui, 325, 326. Écrits de Dungal,
reclus, contre lui, 326 et suiv. ',;
CLAUDE (Jean), ministre calviniste. Sa
doctrine sur l'Eucharistie réfutée, IX, 755
et suiv.
CLAUDIA, sœur de Sulpice Sévère. Let-
tres qu'il lui écrivit, VIII, 119.
CLAUDIANISTES, secte de Donatistes, IV,
658.
CLAUDIE (Sainte), vierge et martyre à
Ancyre, III, 15.
[CLAUDIEN (Saint), de Corinthe, martyr,
II, 464, 465.]
CLAUDIEN, prêtre, légat du pape Sil-
vestre au concile d'Arles, il, 629.
CLAUDIEN MAMERT. Voyez Mamert.
CLAUDIOPOLIS, ville dans le Pont, X,
679.
CLAUDIUS-MARIUS VICTOR ou VICTO-
RIX, rhéteur et poète de IMarseille. Voyez
Victor et Vicforin.
CLAUSER (Conrad), savant suisse. Sa ver-
sion latine des livres de saint Théophile,
évêque d'Antioche, à Autolyque, 1, 480; —
des œuvres de saint Denis l'Aréopagite, X,
553 ; — et de Procope de Gaze, XI, 179.
CLÉDONIUS, prêtre d'Icône, attaché à
l'église de Nazianze, signe le testament de
saint Grégoire de Nazianze, V, 191. Pre-
IV
V sied
f
303,
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
115
mière lettre que lui écrivit ce saint contre
les Apollinaristes, 243 et suiv. Deuxième
lettre, 246. Poëme de saint Grégoire de Na-
siècie. zianze contenant un abrégé de ses deux
lettres au prêtre Clédonius, 295. Autres let-
tres du même saint à Clédonius, 2*34. Ce
Clédonius paraît être le même que celui qui
se trouve parmi les solitaires dont saint Gré-
goire de Nazianze fait Téloge, 276.
[CLEF. Livre de la Clef de Mélilon, I, 449
et suiv.]
[CLEF de la physique, ouvrage d'Honoré
d'Autun, XIV, 302.]
CLEF miraculeuse envoyée par saint Gré-
goire à Théoctiste, sœur de l'empereur Mau-
rice, XI, 509. — Pouvoir des clefs de lier et
de délier, donné à l'Église, IX, 772 et suiv.
Voyez Pénitence.
[CLÉMENCET, bénédictin. Son édition
des œuvreâ de saint Grégoire de Nazianze,
V,361.]
CLÉMENT (Saint), pape, disciple des apô-
tres. Histoire de sa vie; sa conversion; il est
M. fait évêque ; il succède à saint Anaclet, I, 339.
100. Sa mort, 339 et 340. Ses écrits, 340 et suiv.
Sa première lettre aux Corinthiens ; il ré-
crit au nom de l'Église romaine ; à quelle
occasion et en quel temps il écrivit cette
lettre, 340. Analyse de ce qu'elle contient,
340 et suiv. Deuxième lettre ; elle est véri-
tablement de saint Clément ; en quel temps
91. elle a été écrite, 343. Analyse de cette let-
tre, 343 et suiv. Écrits faussement attribués
à saint Clément, 354 et suiv. Livres des Ré-
cognitions; ce que c'est que ces livres, 354.
Quelques anciens les ont attribués à saint
Clément, mais à tort, 354 et 355. Ils ont été
écrits vers le iii'= siècle, 355. [Voyez la note
12.] Analyse de ces livres, 355 et 356. Juge-
ment sur ces livres. Clémentines faussement
attribuées à saint Clément, 336. Autres
écrits qui lui sont faussement attribués, 336
et 337. Actes du martyre de ce saint, 337 et
suiv. Preuves de la fausseté de ces actes ;
l'histoire de Sisinne paraît être une fiction ;
la qualité de comte des offices donnée àPu-
blius n'était pas connue du temps de saint
Clément, 357. Il ne pouvait y avoir un si
grand nombre de chrétiens qu'on le sup-
pose, relégués en ce temps dans la Cherso-
nèse, 357 et 338. On ne peut supposer qu'il
se bâtit un si grand nombre d'églises dans
cette province, dans l'espace d'un an ; le
président envoyé par Trajan ne se serait
pas contenté de faire mourir saint Clément,
pour venger l'honneur des dieux ; la fon-
taine miraculeuse paraît n'être qu'une fa-
ble, 338. Le silence de saint Grégoire sur
ces actes est une preuve de leur fausseté,
338 et 359. [Ce que le Bréviaire romain nous
apprend relativement à l'exil et au martyre
de saint Clément, 340, n. 1, et 338, n. 4.]
Remarques sur les lettres de saint Clément,
359 et suiv. Jugement sur la première, 359.
Réponses aux difficultés de Photius sur cette
lettre. Les mondes que saint Clément sup-
pose au delà de l'Océan ne sont autres que
les antipodes ; saint Clément n'est pas le
seul auteur qui ait parlé du phénix comme
d'un oiseau véritable ; si ce saint parle sou-
vent de l'humanité de Jésus-Chrit, il exprime
sa divinité en termes formels, 359 et 360. Ce
que l'on doit penser des endroits où saint
Clément paraît s'éloigner de ce qui est dit
dans l'Écriture sainte, 360. Doctrine de
saint Clément sur l'Écriture, la tradition,
la hiérarchie ecclésiastique, la grâce de Jé-
sus-Christ, les deux natures en sa personne,
la charité, 360 et 361. Editions des lettres
de saint Clément, 361. Editions et traduc-
tions nouvelles, 361 et 362. On lui a attribué
l'Épître aux Hébreux, 237. Liturgie qu'on lui
a aussi attribuée, 289. [Les deux épîtres de
saint Clément sur la virginité, 344 et suiv.
Découverte et publication de ces deux épî-
tres ; différentes éditions et critique de ces
éditions, 344 et 345. Authenticité des deux
épîtres sur la virginité, 345 et suiv. Preuves
extrinsèques : 1" Témoignage de saint Épi-
phane ; objections et réponses, 345. 2" Té-
moignage de saint Jérôme ; objections et
réponses, 346, 347. 3° Fragment de la pre-
mière épître tirée d'un manuscrit du vF siè-
cle ; 4° témoignage de Mgr Samihiri, 347.
Preuves intrinsèques : 1° Preuves négati-
ves ; 2° preuves positives, 348. Objections
et réponses, 348 et 349. Analyse de la pre-
mière épître, 349 et suiv. Analyse de la
deuxième, 351. Importance de ces deux épî-
tres pour l'histoire du christianisme , pour
la morale et le dogme, 353. Jugement sur
ces deux lettres, 333 et 334.] — Les deux
épîtres communément reçues sous le nom
de saint Clément, sont mises au rang des
livres sacrés dans les Canons apostoliques,
II, 387. C'est faussement que les Constitu-
tions apostoliques sont attribuées à saint Clé-
ment, 591. — Il est cité par saint Cyrille de
Jérusalem, V, 50. L'Épître aux Hébreux lui
a été attribuée selon saint Philastre, 174. —
216
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Décrétales qui lui sont faussement attri-
buées, VI, 78, 79. — Œuvres qui lui sont
attribuées, traduites par Rufin d'Aquilée,
VII, 465. — Lettre adressée à saint Clément,
attribuée à saint Denis TAréopagite, X, 533.
— Lettre de Ratramne sur ses écrits, XII,
568. — [D'après Bonizon, saint Clément au-
rait été le troisième pape après saint Pierre,
XIU, 566.] Sa Vie attribuée à Jean, diacre
de l'Église romaine, 719. — [Hymne en son
honneur, XIV, 23.] Sermons de saint Ber-
nard pour le jour de sa fête, 484. [Relation
sur l'enlèvement et la translation du cbef de
saint Clément, écrite par Rostang, moine de
Cluny, 856. Le continuateur de l'Histoire
littéraire de la France, à qui ce récit est em-
prunté, se permet des rétlexions contraires
à la vérité et tout à fait inconvenantes. Le
lecteur comprendra qu'elles ne sont pas de
l'éditeur. Hymne sur le même saint Clé-
ment par Rostang, 858.] Sermon de Guil-
laume d'Auvergne, 1027. Monastère de l'île
de Casaure sous le nom de saint Clément ;
Le pape Adrien IV le met sous la protection
du Saint-Siège, 915.
1046. CLÉMENT II, pape, élu à la place de Gré-
goire VI, XIII, 141. Sa lettre à l'Église de
Bamberg, dont il était évèque, 141 et 197,
198. II approuve la translation de l'évêcbé
de Pestane à Saleine ; il tient un concile k
Rome ; il suit l'empereur Henri le Noir en
1047. Allemagne où il assiste à un concile convo-
qué pour remédier à la simonie; il canonise
sainte Wiborade ; son retour en Italie ; sa
mort après neuf mois de pontificat, 198.
[Ses lettres et ses privilèges dans la Patro-
logie, 198 et 199.] Sa famille et les divers
degrés par lesquels il parvint au pontificat,
exactement détaillés dans la chronique des
papes saxons, 184. Lettre de saint Pierre
Damien, 298. — Son élection au concile de
Sutri,XIV, 1061.
CLÉMENT III, antipape. Voyez Guibert,
archevêque de Ravenne.
H87. CLÉMENT III, pape, XIV, 936. Son traité
H88. avec les Romains au sujet de la ville de Tus-
H91. culum ; son zèle pour la croisade ; sa mort,
937. Ses lettres, 936 et 937. [Collection des
lettres de Clément III dans la Patrologie,
938, 939. Décrets de Clément III, 939, 940.
Lettre de Richard au pape Clément ; accord
entre ce pape , le peuple de Rome et les
sénateurs, 940. — Lettre que Guarin, abbé
de Saint-Victor, écrit, avec d'autres abbés,
à ce pape, 711.]
CLÉMENT XI, pape. Son bref approbatif
des éditions des saints Pères données par
les Bénédictins, IX, 817.
CLÉMENT, prêtre d'Alexandrie, docteur
de l'Église, 1, 363 et suiv. Histoire de sa vie,
563, S64. Sa conversion, ses voyages, ses
maîtres; il est fait catéchiste à Alexandrie ;
ses disciples; sa manière d'enseigner, 563.
Il quitte Alexandrie ; il va en Cappadoce ;
témoignage que lui rend saint Alexandre de
Cappadoce ; sa mort, 564. [L'Église romaine
ne donne point le titre de saint à Clément
d'Alexandrie, 564.] Écrits de Clément,
565 et suiv. Exhortations aux païens; en
quel temps elle a été écrite ; analyse de cet
ouvrage, 563. Les trois livres du Pédagogue.
En quel temps ces livres ont été écrits; ana-
lyse du premier livre, 566 ; du deuxième et
du troisième, 567 et suiv. Hymne de Clé-
ment d'Alexandrie, 370. Stromates ou Tapis-
series de Clément d'Alexandrie, 571 et suiv.
Pourquoi ces livres sont ainsi appelés ; en
quel temps ils ont été composés ; la division
de cet ouvrage en huit livres est ancienne,
et Clément d'Alexandrie est certainement
auteur des sept premiers, 371. Analyse du
premier livre, 372; du deuxième, 573; du
troisième, 574; du cinquième, 577; du
sixième, 578; du septième, 580. Le huitième
n'est pas de Clément d'Alexandrie, 581,
382. [Cependant Moelher lui attribue ce
huitième livre ; pourquoi, 582, n. 8.] Traité
intitulé : Quel riche sera sauvé? 582 et suiv.
Ce traité est de Clément, 382, 583. Analyse
de ce traité, 383 et suiv. Hypotyposes de
Clément, 586 et suiv. Ce qu'elles conte-
naient, 586 et 587. Jugement qu'en a porté
Photius, 587. Les exemplaires des Hypoty-
poses ont été corrompus, 587 et 588. Ou-
vrages faussement attribués à Clément d'A-
lexandrie, 388, 589. Commentaires sur les
Épîtresde saint Pierre et de saint Jean, 588.
Abrégé tiré de Théodote de Byzance ; Ex-
traits des prophètes, 588 et 589. Ouvrages
de Clément que nous n'avons plus, 589.
Doctrine de Clément sur l'Écriture, 591 et
suiv. ; sur la tradition, 593 ; sur la Trinité ;
la dinviité des trois personnes ; le temps de
la naissance de Jésus-Christ et son apathie,
594 et suiv. ; sur la sainte Vierge ; sur les
Anges et la gloire des saints; sur les dé-
mons, 596; sur la nature de l'homme, le
hbre arbitre, et la nécessité de la grâce, 396
et suiv. ; sur les causes et les remèdes du
péché ; sur les effets de la charité et de la
l
!
189.
210.
Â.vaatin
V. 19».
r
I
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
217
crainte, 598 ; sur l'Église et ses ministres,
598 et 599; sur le baptême, la confirmation
et l'eucharistie, 599, 600 ; sur le mariage,
les secondes noces et la virginité, 600 ; sur
le serment et le mensonge, sur les images,
les heures de prière et les jours de jeûne,
600 et 601 ; sur l'utilité de la philosophie,
601, 602; sur Adam, sur les apôtres et sur
la pâque, 602, 603 ; sur le purgatoire et
quelques autres points remarquables, 603,
604. Jugement des écrits de Clément d'A-
lexandrie, 604, 605. Éditions de ses œuvres,
605, 606. [Éditions et traductions nouvelles,
606.] ^
siècle. CLÉMENT, sous-diacre de Carthage, va à
Rome, n, 296.
CLÉMENT (Saint), premier évêque de
Metz. Sa translatioQ par l'évêque Herman;
histoire de cette translation par le même,
XIII, 464.
CLÉMENT D'ANGYRE (Saint), martyr.
[Homélie de saint Procle de Constantinople
sur ce saint, VIII, 415 et416.] — Discours de
l'empereur Léon VI en son honneur, XII, 775.
CLÉMENT, Écossais, un des imposteurs
contre lesquels sévit le concile de Leptines,
est mis en prison, XII, 30, 31. Ils sont jugés
dans un concile de Rome, puis le pape Za-
charie remet l'affaire à la disposition de saint
Boniface, 917, 918. — Autre récit de la
même affaire, XIII, 609, 610.
le. CLÉMENT, moine de Landevenec, auteur
de quelques hymnes. (Voyez ce qui en est
dit dans l'Histoire littéraire de la France, t.
IV, p. 250, et t. V, p. 626.)
CLÉMENT (Claude), évêque de Turin.
Voyez Claude.
[CLÉMENT (Félix), éditeur des Carmina
seleeta, traducteur de l'ouvrage intitulé les
Poètes chrétiens, V, 25. — Notice sur Adam
de Saint- Victor par le même, XIV, 713. Sa
traduction française de vingt-cinq séquences
du même, 713 et 714.]
e. CLÉMENTINES, homélies attribuées à
saint Clément, pape, I, 356.
CLÉMENTINUS (ou CLÉMENTIUS), pri-
mat de la province de Byzacène, à qui saint
Grégoire écrit, XI, 909.
CLÉOMÈNES, hérétique dont les erreurs
sont renouvelées par Noët, II, 554.
CLERC (Jean le), professeur de belles-
lettres à Amsterdam. Son édition des livres
d'Hermas, I, 338. — Son édition du livre
d'Eusèbe des Pays de la Terre-Sainte, III,
316. — Ses notes sur Sulpice Sévère, VIII,
122. — Edition des œuvres de saint Augus-
tin, IX, 818.
CLERC (l'abbé le). Sa traduction française
des douze premières homélies du pape saint
Grégoire sur Ezéchiel, XI, 586.
CLERCS. Traité de la Singularité des clercs
attribué à Origène, II, 198 ; et à saint Cy-
prien, 347. Témoignages de saint Cyprien sur
les clercs, 292, 378. Règlements de l'Église de
Carthage concernant les clercs, 555 et suiv.
— Exemptions que Constantin accorde aux
clercs, III, 133 et 136. Largesses qu'il leur
fait, 133. — Témoignage de saint Athanase
sur les clercs, IV, 221, 222; de saint Basile,
467, 472, 528, 529. — Loi de Théodose sur
les clercs, V, 93. Lettre de saint Ambroies
en forme d'exhortation à des clei-cs, 503. —
Règlement du pape saint Sirice touchant les
clercs, VI, 101 et suiv. Loi de Constance pour
l'immunité des clercs, 340. Lois de Valenti-
nien l<" touchant les clercs, 356 et 358. [Ca-
nons sur les funérailles des clercs par saint
Ephrem, 514, 515.] — Deux livres de saint
Jean Chrysostôme contre la cohabitation des
clercs avec les femmes, VU, 28 et suiv. Rè-
glements du pape saint Innocent sur les
clercs, 507 et suiv., 510 et suiv., 514 et
suiv., 520. Lettre de saint Jérôme à Népotien
sur la conduite des clercs, 603 et suiv. Ety-
mologie du nom de clerc selon saint Jérô-
me, 604. Lettre supposée de saint Jérôme à
Océanus sur la vie des clercs, 648. — Lettre
de saint Augustin au sujet d'un clerc qui se
trouvait lié à deux églises, IX, 88. Sermons
de saint Augustin sur les mœurs et la vie
des clercs, 242. Son témoignage sur les
clercs, 779, 784,785. — Stabihté des clercs
recommandée par saint Léon, X, 203. Ser-
mon de saint Maxime contre les clercs qui
trafiquaient, 324. Règlements du pape saint
Gélase concernant les clercs, 502 et suiv.
Ordonnance d'Ennode de Pavie touchant
les clercs, 575. Qui sont ceux qui doivent
être exclus de la cléricature selon Gennade
de Marseille, 604. — Dispositions des No-
velles de Justinien concernant les clercs, XI,
256, 257. Divers règlements de saint Gré-
goire le Grand sur les clercs, 496, 497, 499, 500
et suiv., 504, 510, 517, 522, 523, 524 et suiv.
Doctrine du même sur les clercs, 571 et suiv.
Témoignage de saint Isidore de Séville,
718. Décision du pape saint Martin sur les
clercs, 749. — Règlements du pape caint
Zacharie, XII, 29, 30; d'Egbert, évêque
d'York, 64, 65; du pape Etienne II, 115.
III siècle.
IV siècle,
218
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Lois de Carlomaiij 229. Lois de Charlema-
gne, 229 et suiv. [Examen que les officiers
royaux de Cliarlemagne devaient faire sur
le clergé, XII, 242. Autres capitulaires de
Charlemagne qui regardent les clercs, 242,
243.] Ouvrage de Rhaban-Maur intitulé : De
l'Institution des clercs et des cérémonies de
l'Église, 452 et suiv.] Novelle de l'empereur
Léon VI sur la cléricature, 774. Statuts de
Vautier de Sens touchant les clercs, 789.
Règlement d'Alton de Verceil, 821, 822. —
Discours du pape Benoît VIII contre les dé-
règlements des clercs, XIII, 191. Décrets
d'un concile de Pavie, 191 et 192. [Chasteté
des clercs maintenue par le pape saint Léon
IX, 210.] Décrets d'un concile de Rome, 244.
Lettres des clercs de l'Église de Cambrai,
276, 277; de Noyon, 277. Constitutions pour
l'Église de Milan contre les vices des clercs,
289, 290. Saint Pierre Damien s'élève conti'e
les clercs qui défendaient leurs biens les
armes à la main, 302. [Les clercs doivent
garder la chasteté, 309.] Opuscule de saint
Pierre Damien concei'nant les clercs et cha-
noines réguliers, 316. Lettre de Lanfranc sur
un clerc accusé d'apostasie, 433. — Disci-
pline observée à l'égard des clercs dans le
xi" siècle, XIV, 40, 41. [Compte que les
clercs et les moines rendront à Dieu d'après
Anselme de Laon, 183. Le pape Eugène III
écrit pour réprimer l'incontinence des clercs
et les autres vices commis en Moravie et en
Bohême, 277.] Comparaison des clercs et des
moines par Abailard, 326. Discours de saint
Bernard sur la réforme des clercs, 467. Dia-
logue sur la différence des clercs réguliers et
des séculiers, ouvrage de Géroch, prévôt de
Richersperg, 631. Traité de Jean de Saris-
béry contre le vices des clercs, 679. Traité
de Philippe de Bonne-Espérance sur la di-
gnité des clercs, 686. Lettre de Pierre de
Blois sur les clercs qui vivent à la cour, 766.
[Vêtements des clercs et leurs devoirs d'après
Grégoire VIII, 836.] — Canons apostoli-
ques touchant les clercs, II, S80 et suiv.
Constitutions apostoliques qui les concer-
nent, 393 et suiv. Canons du concile d'Elivre,
607, 608 ; du concile d'Arles, 630 et suiv. ;
d'Ancyre, 636 et suiv. — Canons du concile
de Carthage, III, 499 ; de Laodicée, S12 ; de
Valence, 601, 602 ; de Rome, 642; — d'un
concile romain, VIII, 346 ; d'Orange, 607.
— Plusieurs ordonnances du concile de
Chalcédoine sur les clercs, X, 697 et suiv.
Canons, attribués à saint Patrice, réglant la
conduite des clercs, 703 et suiv. Canon du
concile d'Angers qui défend aux clercs de
plaider devant les juges séculiers, 709. Au-
tre concile de Vannes qui renouvelle la
même défense, 713. Canons du concile de
Tours, 711, 712; de Vannes, 713, 714;
d'Agde, 736 et suiv. ; de Tarragone, 747 et
suiv.;— d'Epaone,XI, 813 et suiv.; d'Arles,
824 ; de Lérida, 824 et suiv. ; de Valence,
826 et suiv. ; du deuxième de Tolède, 839
et suiv.; du deuxième d'Orléans, 848; du
concile de Clermont, 849, 830; du troisième
d'Orléans, 836 et suiv. ; du quatrième d'Or-
léans, 860 et suiv.; du cinquième d'Orléans,
862, 863; du concile de Lyon, 887; du
deuxième concile de Tours, 888 et suiv. ; du
concile de Mâcon, 894, 893; du troisième de
Lyon, 893; du concile de Narbonne, 904 ;
d'un concile de Rome, 907 ; du concile d'E-
gara ou Terassa, 911, 912; du cinquième
concile de Paris, 912 ; d'un concile de Fran-
ce, 913; du concile de Séville, 914, 913 ; —
du concile de Reims, XII, 915 ; du quatrième
concile de Tolède, 917 et suiv. ; de Mérida,
937, 938; du concile Quinisexte, 960 et
suiv.; — de Constance et d'Autun, XIII,
428, 429; d'un concile d'Allemagne, 606,
607 ; de Rome, 608 ; du deuxième général
de Nicée, 630 et suiv. ; d'un concile de
Frioul, 633: d'Ingelheim, 660; de Rome,
661 ; du sixième de Paris, 664 ; d'Augs-
bourg, 731. — Canons d'un concile de
Clermont, XIV, 1110; du deuxième de La-
tran, 1141; d'un concile de Dalmatie, 1145.
Statuts du cardinal Galon, légat en France,
1149, 1130. Canons d'un concile d'Avignon,
1151. Décrets d'un concile de Paris, 1155.
Canons du quatrième de Latran pour la ré-
formation des mœurs des ecclésiasliques,
1166 et suiv.
CLERMONT, ville de France. Saint Si-
doine Apollinaire l'un de ses évêques, X, 379
et suiv. Cette ville tombe sous la domination
des Visigoths, 381 . — Conciles tenus en cette
ville, XI, 849, 864, 899, XIII, 431 et suiv.,
XIV, 1068, 1083 et 1110.
CLICHI, maison royale près Paris. Con-
ciles qui y furent tenus, XII, 913 et 933.
CLICHTOU (Josse), chanoine et théologal
de Chartres. Son commentaire sur les œu-
vres de saint Denis l'Aréopagite, X, 533. —
Son édition de quelques ouvrages de saint
Grégoire de Tours, XI, 398. — Ses commen-
taires sur le livre de saint Jean Damascène,
de la Foi orthodoxe, XII, 97. — Edition
«1.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
219
qu'il donne avec Jean Bocard des œuvres de
saint Bernard, XIV, 497. [Son édition des
séquences de saint Victor, 714.]
CLIMAQUE, surnom donné au saint abbé
Jean, auteur du traité intitulé : Echelle
sainte, XI, 676.
CLIMAX ou protestation de Rathérius de
Vérone contre l'élection de Baldric à l'évè-
ché de Liège, XII, 831.
II siècle. CLINIQUES. On appelait ainsi ceux qui
recevaient le baptême dans leur lit ; ce qu'on
pensait de ces chrétiens, II, 126. Canon
siècle, douzième du concile de Néocésarée qui les
concerne, 641.
CLOCHES. Un capitulaire défend de bap-
tiser les cloches, XII, 231. Origine de leurs
noms : Campanœ et Nolœ, 412. — Cloches
données à l'église de Chartres par une reine
d'Angleterre, XIV, 112.
CLODOBERT, fils de Chilpéric P^ Son
épitaphe par Fortunat, XI, 408.
CLODOMIR, fils du roi Clovis. Sa naissance
et son baptême, XI, 78.
A. 563. CLODOSINDE, épouse d'Alboin, roi des
Lombards. Lettre que lui écrit saint Nicétius
de Trêves, XI, 203.
CLOITRE. [Traité sur la vie du cloître par
Honoré d'Autun, XIV, 301.] Quatre livres
du Cloître de l'âme, ouvrage de Hugues Fo-
llet faussement attribué à Hugues de Saint-
Victor, 350. Traité de la Discipline du cloî-
tre, ouvrage de Pierre de Celle, 682.
CLOTAIRE I", roi de France , épouse
sainte Radegonde ; elle le quitte et se con-
sacre à Dieu, XI, 31S. Il tente en vain de la
reprendre, 313 et 316. Son ordonnance gé-
nérale pour l'observation de la justice, 884.
561. Sa mort, 884. (Voyez son article dans VHis-
ioire littéraire de la France, tome III, p. 277
et suiv.)
V. 610. CLOTAIRE II, roi de France. Prédiction de
saint Colomban à son égard; il reçoit avec
distinction le saint religieux et lui donne une
escorte pour le conduire sur les terres de
613. Théodebert, XI, 616. Il devient seul roi des
Francs; il invite saint Colomban à revenir à
Luxeuil ; lettre que lui écrit le saint, 617. Bap-
tême de Clotaire, 906. Il assemble le cin-
quième concile de Paris, 912. Son édit portant
confirmation des décrets de ce concile, 913.
— Son éditsur les immunités ecclésiastiques,
XII, 227. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. III. p. 341 et suiv.)
CLOTILDE (Sainte), fille de Chilpéric, roi
des Bourguignons, épouse de Clovis. Ses
soins pour l'engager à embrasser la religion
chrétienne, XI, 78. Après la mort de Clovis,
elle se retire au tombeau de saint Martin,
368.
CLOUD ou CLODOALD (Saint), fils de Clo-
domir. Son éloge historique par un anonyme
du X" siècle, XH, 894.
CLOUS de la passion envoyés à Constan-
tin par sainte Hélène, VII, 483 et 668. —
Sainte Hélène les fait mettre au casque de
Constantin et au mors de son cheval ; pour-
quoi, VIII, 316, et X, 44.— Selon saint Gré-
goire de Tours, les clous avec lesquels le
Sauveur fut attaché à la croix étaient au
nombre de quatre, XI, 372 et 389.
GLOVESHOU, ville d'Angleterre. Conciles
tenus en cette ville, XIII, 610 et suiv,, 640,
636, 657.
CLOVIS I", roi des Francs, succède à 481.
Childéric, son père; il fait la conquête des
Gaules, XI, 78. Épouse Clotilde, et sur ses
instances , se fait instruire de la religion
chrétienne, 78 et 79. Son baptême, 79. Let- 496.
tre que lui écrit saint Rémi sur la mort
d'Alboflêde, sa sœur, 79 et 80. Autre lettre
011 saint Rémi lui donne des avis sur le gou- 5o6ou507,
vernement de ses peuples ; lettre circulaire
que Clovis écrit aux évèques des Gaules
après la défaite d'Alaric ; il fonde le monas-
tère de Mici ; sa mort, 80. — Lettre que lui su.
écrit le pape Anastase pour le féliciter de ce
qu'il avait embrassé la foi chrétienne, X,
520. Il donne sa confiance à saint Avit de
Vienne, 554. Lettre que cette évêque lui
écrit pour le féliciter sur son baptême, 561.
Il congratule le pape saint Hormisdas sur son
élection et lui envoie des présents, 612. De-
mande un musicien au roi Théodoric, 646. —
Il fait assembler le premier concile d'Or-
léans, 743. — Histoire de Clovis et de ses
enfants attribuée à saint Grégoire de Tours,
XI, 383. — Témoignage d'Hincmar de Reims
sur le sacre de Clovis, XII, 633 (Voyez l'ar-
ticle de Clovis I" dans VHistoire littéraire
de la France, t. III, p. 63 et suiv.)
CLUNY [avant la révolution française], ab-
baye dans le Maçonnais, rétablie par saint
Odon, XII, 805. [Privilèges accordés à l'ab-
baye de Cluny par le pape Jean X, 743 ;] par
le pape Agapet II, 830; [par Léon VII, 829.]
— Ce monastère est regardé comme le plus
réguher dans le x' siècle, XIII, 144. Lettre ioi6.
dans laquelle le pape Benoît VIII prononce
l'excommunication contre tous les usurpa-
teurs des biens de l'abbaye de Cluny, 191. Son
220
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
exemption confirmée par une bulle du pape
saint Léon IX, 200. Autre bulle du même
en faveur de l'abbaye de Cluny, 202 et 209.
Recueil des anciens usages de cette abbaye
fait au xi" siècle par un moine nommé Ber-
nard, 269 et 479, et XIV, 90. Le pape
XI siècle. Alexandre II confirme toutes les donations
faites à ce monastère et l'exempte de toute
juridiction épiscopale, XIII, 294. Privilège
accordé à ce monastère par le pape Ur-
bain II, 420. Bulle d'immunité accordée par
le même pape, 430. Usages de l'abbaye de
Cluny recueillis par le moine Ulric, 471.
Analyse de ces usages, 471 et suiv. Les
usages de Cluny sont reçus à Rome, à Far-
fe, à Hirsauge ; les moines d'Allemagne con-
sultent ceux du Mont-Cassin sur ces usages,
479. Donations que Hugues, archevêque de
Lyon, fait à l'église de Cluny, S92. — [Do-
XI et nations faites au monastère de Cluny sous
XII siècle, jg gouvernement de saint Hugues, XIV, 33.]
Permission accordée à l'abbé de Cluny de
se servir de la mitre et des habits pontifi-
1,18. eaux, 133, 136. Privilèges de Cluny con-
firmés par le pape Honorius II, 232 ; par
le pape Innocent II, 260. [Lettre du pape
1125_ Honorius II aux moines de Cluny, 233, 254.
Epoque de la consécration de l'église de
Cluny, 262. [Contestation entre l'abbaye de
Cluny et celle de Saint-Gilles, terminée par
ce pape, 261. Lettre de Clément II qui con-
firme la donation faite de l'église de Saiut-
Vincent-de-Salamanque à l'abbaye de Clu-
ny, 267. Ses privilèges confirmés parle pape
Lucius II, 268. Différend des moines de Clu-
ny avec ceux de Gîteaux ; apologie de saint
Bernard contre les moines de Cluny, 470 et
suiv. Réponse de Pierre le Vénérable aux
imputations de saint Bernard, 303 et suiv.
Statuts de Cluny réformés par Pierre le Vé-
nérable, 322 et suiv. Etat de l'abbaye de
Cluny dressé par le même, 5i3. Charte de
910. la fondation de l'abbaye de Cluny, par Guil-
laume, duc d'Aquitaine, 324, 523. Concile
de Châlons-sur-Saône où les privilèges de
Cluny sont lus et approuvés, 1063. Lettre du
pape Gélase II qui confirme à cette abbaye
tous les biens qu'elle possédait à la mort de
l'abbé Hugues, 1090. Bulle du même pape
en faveur de ce monastère, 1091.
XI siècle. CLUSE, autrefois abbaye dans le diocèse de
Turin.Fragments de l'Histoire de cette abbaye
écrite par le moine Guillaume, XIII, 490.
II siècle. CNOSSIENS. Lettre que saint Denis de
Corinthe leur écrivit, I, 462.
COADJUTEUR d'un évêque. Premier m siècle,
exemple. H, 123.
COBLENTZ. Conciles tenus en cette ville,
XIII, 692, 693, 744. j
COCCIUS. Son édition des œuvres du pape
saint Grégoire le Grand, XI, 584.
COCHARIC, roi des Allemands, X, 7. i
COCHLÉE (Jean), chanoine de Breslau. ^
Sa traduction allemande du traité, attribué
à saint Cyprien, de la Singularité des clercs,
I, 383. — Son édition des œuvres de saint
Optât de Milève, V, 148. — Son édition des
commentaires de Brunon, évéque de VS'irtz-
bourg, sur le Symbole des apôtres et sur
celui attribué à saint Athanase, XIII, 116.
— Son édition de plusieurs ouvrages de
Rupert, abbé de Tuy, XIV, 292. [Son édi- i
tion de plusieurs ouvrages d'Honorius d'Au-
tun, 296.]
COCON. Lieu situé dans le diocèse de Ma-
guelone. Les dîmes de ce lieu revendiquées
par l'église de Saint-Andoche de Nîmes,
sont adjugées à celle de Saint-Jean-Baptiste,
Xm, 737.
CODES. Code des canons de l'Église ro-
maine , titre donné à une édition du code
de Denis le Petit, XI, 122. Le pape Adrien
le donne à Cliarlemagne, XII, 133. — Code
des canons de l'Église grecque confirmés au
concile de Chalcédoine ; quel en est le com- 45i.
pilateur, X, 696. — Code des règles, ou re-
cueil des règles monastiques, par saint Be-
noît d'Aniane, XII, 258, 259. — Code Théo-
dosien, recueil de lois composé par Anien
et autorisé par Alaric, roi des Visigoths en
Espagne, X, 736. — Code de Justinien, ou
code des lois choisies des empereurs, revu ^
et publié par ordre de l'empereur Justinien, ^
XI, 261. Ce qu'il y a de remarquable sur les
matières ecclésiastiques, 261 et 262. — Code
de Godefroi de Bouillon, roi de Jérusalem,
nommé Assises de Jérusalem, XIII, 327.
CCENA, évéqae, à qui une des lettres de vin siècle,
saint Lulle est adressée, XII, 132.
COENRÈDE, roi des Merciens, embrasse 709.
à Rome la vie monastique et y meurt, XII,
23. [Ses chartes, 24.]
COEUR. De la Garde du cœur : lettre de
Jean, moine de la Chartreuse-des-Portes,
ainsi intitulée, XIV, 401.
COGITOSUS, irlandais, qui a écrit la Vie vi siècle,
de sainte Brigitte, sa tante, XI, 348, et XII,
129, 130. [Édition de cette Vie dans la Pa-
trologie, XI, 348.]
COGNAT, évêque d'Edesse, HI, 102.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
221
[COIMBRE, ville de Portugal Cette Église
est détachée de la métropole de Brague et
donnée à l'aixhevêque de Gompostelle, XIV,
236].
COLARBASE , hérétique valentinien, II,
536.
[GOLDRORN. Son édition des œuvres
choisies de saint Basile et de saint Grégoire
de Nazianze, IV, 548.]
COLCUS, lecteur en Ecosse. Lettre que
lui écrit Alcuin, XII, 197.
COLEMANN, moine. Ses Mémoires sur la
vie de Ulftan, évêque de Worchester, dont
1113. il avait été disciple ; sa mort, XIV, 314.
'siècle. COLÈRE. De la Colère de Dieu, ouvrage de
siècle. Lactance, II, 303, 304. — Homélie de saint
Basile le Grand, IV, 383, 384. Autre qui lui
est faussement attribuée, 489. — Poëme de
saint Grégoire de Nazianze, V, 293, 294.
Doctrine de saint Arabioise, 436, 437 ; —
de saint Jean Ghrysostôrae, VII, 173 et 220;
— de Cassien, VIIl, 158 ; — de saint Au-
gustin, IX, 219, 220. — Traité de la Colère
par saint Martin de Dume, ouvrage qui est
resté manuscrit, XI, 331. [II a été imprimé
depuis, 352.]
[COLESSE. Sa traduction française du li-
vre de la Consolation, de Boece, X, 663.]
[COLGANI (Jean), auteur de la Triade
thaumaturge, XIV, 416.]
COLLATEUR ou CONFÉRENCIER. Voyez
Jean Cassien.
COLLATEURS des bénéfices. Canon d'un
concile de Reims, X(V, 1093; d'un concile
d'Avranches, 1135. Canon du troisième
concile de Latran qui les concerne, 1141 ;
1215. du quatrième concile de Latran, 1168.
COLLATION ou repas permis le soir en
carême ; son origine, XIII, 653.
COLLATION des bénéfices. Traité sur ce
sujet composé par Guillaume d'Auvergne,
évêque de Paris, XIV, 1028 et suiv.
COLLECTE ou assemblée des fidèles pour
la célébration des saints mystères, III, 22.
COLLECTES ou quêtes pour les pauvres
dans les églises de Rome, X, 179 et suiv.,
et 213. Voyez Quêtes.
siècle. COLLÈGUE. Titre que les évêques se
donnaient entre eux, II, 539.
COLLETET (Guillaume). Sa traduction
française du traité de saint Augustin, de la
Doctrine chrétienne avec le moine Laurent,
IX, 814.
[COLETTI (les frères). Leur édition des
œuvres de Lucifer de Gagliari, IV, 271.]
' siècle.
[COLLOMBET et GRÉGOIRE. Leur traduc-
tion française des Prescriptions de Tertul-
lien, II, 87. — Leur édition et leur traduc-
tion française des œuvres choisies de saint
Jérôme, VU, 711; — des écrits de saint Eu-
cher, VIII, 456 ; des écrits de saint Vincent
de Lérins, 467 ; — des écrits de Salvien, X,
378; des œuvres de saint Sidoine Apolli-
naire, 399.]
COLLUTHE, prêtre d'Alexandrie, fait ivsiècic.
schisme avec saint Alexandre; il fait des
ordinations; il ordonne prêtre Ichyras, III,
105 et 418.
COLLUTHIENS, disciples de Collathe,
III, 103.
COLLYRIDIENS. Ce que saint Épiphane iv siècle,
dit de cette secte, VI^ 411.
COLMANN, évêque de Lindisfarne, Irlan-
dais, défend dans la conférence de Strenes- 664.
hall les usages des Bretons sur la célébra-
tion de la Pâque, XII, 62 et 935, 936.
COLMANN (Saint), Écossais, entreprend
le pèlerinage de Jérusalem, XIII, 138, 139. A
son arrivée dans la Basse-Autriche, on le
prend pour un espion et on le fait mourir; son ioi2.
innocence reconnue, on l'enterre honorable-
ment dans un lieu où s'est formé depuis le-
monastère de Molk; il est honoré comme
martyr. Histoire de sa mort et de ses mira-
cles, écrite par Erchinfroid, troisième abbé
de Molck, 139.
COLMAN, mpine. Voyez Colemann.
COLMIEU (Jean de). Voyez Jean de Col-
mieu.
COLOGNE, ville d'Allemagne. Concile sup- 345.
posé y être tenu pour la déposition d'Eu-
phratas, évêque de celte ville, III, 474, 475.
(Voyez notes 2 et 8 de la page 475.) — Cette
ville est choisie pour métropole de la nou- 743
velle Église d'Allemagne ; ce choix con- 751,
firme par le pape Zacharie, XII, 31. Ensuite,
on donne à Mayence le titre de métropole x siècle,
et Cologne lui est soumise, 34. Le pape Gré-
goire V nomme Héribert archevêque de Co- ^^^
logne, un des électeurs à qui le pouvoird'é-
lire l'empereur était dévolu, 900. — Conciles
tenus en cette ville, XIII, 617 et suiv., 714.
715, 730, 731, XIV, 1039, 1086, 1087, 1090.
Les statuts de Gonthier pour les chanoines
de la cathédrale de Cologne, confirmés
dans un concile, XIII, 717. PrétenLions de
l'archevêque de Cologne sur l'évêché de
Brème, 733. — Traité historique des divers §73,
progrès de l'Église de Cologne, XIV, 863.
COLOMB, évêque .en Numidie. Différentes 591,
222
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
565.
598.
560.
610.
612.
613.
615.
lettres que lui écrit le pape saint Grégoire
le Grand, XI, 489 et 306.
COLOMB, prêtre. Saint Grégoire le Grand
lui envoie un exemplaire du Pastoral, XI,
499.
COLOMBAN ou COLOMBA (Saint), sur-
nommé l'Ancien , apôtre des Pietés , bâtit
en Irlande le monastère de Dermach; il
passe en Ecosse où il prêche la foi aux Pie-
tés septentrionaux ; il établit dans l'île de
Hy un autre monastère, dont l'abbé avait
juridiction sur toute la province ; sa mort ;
Varœus lui attribue une règle pour ses
moines et une hymne à la louange de saint
Kieran, XI, 350. [Edition de cette letlre dans
la Pairologie.] Il est surnommé l'Ancien pour
le distinguer du suivant, 612. Sa Vie par
Cumnénéus Albus; autre par Adamnan,
852. [Voyez sa Vie racontée dans Y Histoire des
moines d'Occident, par M. de Montalembert.
COLOMBAN (Saint), premier abbé de
Luxeuil, XL 612 et suiv. Sa naissance et son
éducation ; il embrasse la vie monastique au
monastère de Bancor, 612. Il quitte l'Ir-
lande et passe dans les Gaules, où il se re-
tire, à Anegrai dans les Vosges ; il bâlit les
monastères de Luxeuil et de Fontaines, 613.
On a lieu de douter qu'il ait établi la psal-
modie perpétuité à Luxeuil, 613 et 614. Il
est inquiété sur le temps où il célébrait la
pâque, 614. Sujet de la haine que lui porte
la reine Brunehaut ; son entretien avec le
roi Théodoric ou Thierry ; il est exilé et re-
vient, 614 et 61S. Il est exilé une deuxième
fois et embarqué sur la Loire pour être ra-
mené en Irlande, 615. Il se retire dans les
états du roi Théodebert et prêche la foi à
Zug ; il vient à Brégents où il fait beaucoup
de conversions ; il y établit un monastère ;
il passe en Italie et s'arrête à Bobio, où il
établit un monastère, 616. Le roi Glotaire
l'invite à revenir à Luxeuil; lettre qu'il écrit
à ce prince ; mort de saint Golomban ; sa
Vie écrite par Jonas et par d'autres, 617.
Ouvrages de saint Golomban, 617 et suiv.
Sa règle, 617. Seconde partie de la règle
de saint Golomban ou le pénitentiel, 620,
621. Autre pénitentiel, 621, 622. Instruc-
tions ou discours de saint Golomban, 622 et
suiv. Ses lettres, 624 et suiv. Ses poésies,
627 et suiv. Ses ouvrages perdus, 629. Ju-
gement et éditions de ces écrits, 630. [Ses
écrits dans la Patrologie, 630, note 1.] Let-
tre de saint Golomban au pape saint Gré-
goire au sujet des difficultés qu'on lui faisait
sur la célébration de la Pâque, 518. — Deux
hymnes de Notker le Bègue en l'honneur de
saint Golomban, XII, 766. — Hymnes et ré-
pons pour son office, composés par le cardi-
nal Humbert, et notés par le pape saint
Léon IX, XII, 252. (Voyez son aiticle dans
l'Histoire littéraire de la France, tome III, p.
505 et suiv.)
GOLOMBAN, abbé de Saint-Trond, auteur
d'un poëme sur la mort de Gharlemagne.
(Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. IV, p. 422.)
COLOMBAN, moine qui mit en vers la gé-
néalogie de nos rois, par ordre de Charles
le Chauve. (Voyez ce qui en est dit dans
l'Histoire littéraire de la France, t. V, p. xviij
et 513.)
COLOMBE (Sainte), vierge et martyre de
Sens. Discours de Pierre Damien en son
honneur, XIII, 309.
COLOMBE (Sainte), vierge et martyre de
Gordoue, XII, 519.
COLOMBES d'or et d'argent suspendues
sur les fonts sacrés et sur les saints autels,
XI, 821. — Livre des trois colombes attribué
à Hugues de Saint-Victor, XIV, 353.
COLOMBIERS, monastère d'hommes fondé
par saint Patrocle, XI, 381.
COLOMIEZ (Paul), protestant. Sa traduc-
tion française du livre de Tertullien aux
martyrs, II, 87.
[COLON, diacre élu évêque de Rieti, XII,
409.]
COLONIE, ville de Cappadoce. Lettre de
saint Basile le Grand au clergé, au peuple
et aux magistrats de cette ville, IV, 477.
COLORBASIENS. Ce que saint Epiphane
dit de cette secte, VI, 391.
GOLOSSIEN. Lettre que lui écrit Firmus
de Césarée en Cappadoce, X, 151.
COLOSSIENS, fidèles de Colosses. Épître
de saint Paul aux Golossiens, I, 228, 229.
COLUMBA ou GOLUMBAN, abbé de Hy.
Voyez Colomba ou Colomban l'Ancien.
GOLUMBUS (Jean), Suédois. Son édition
du livre de Lactance : De la mort des per-
sécuteurs, II, 521.
COLVENIER (Georges), chancelier de l'U-
niversité de Douai. Son édition de la Chro-
nique de Cambrai, par Baudry, chantre de
Thérouanne, XIII, 482.
COLVIUS (Pierre). Ses notes sur les œu-
vres de saint Sidoine Apollinaire, X, 399.
COMASIUS, rhéleur et ensuite moine à
qui saint Nil écrit, VIII, 217.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
-223
COMBAT SPIRITUEL. Opuscule de saint
Ephrem sur ce sujet, VI, 36 [et 509. — Traité
de saint Augustin sur ce sujet, IX, 837.]
[COMBAT de la chair et du corps. Saint
Zenon, évêque de Verceil, en traite dans un
de ses sermons, VI, 274.]
COMBAT CHRÉTIEN. Ouvrage de saint
Augustin, IX, 263, 264. Doctrine de saint
Augustin sur le combat de l'esprit contre la
chair, 493, 494, 499 et S41.
COMBAT DE L'AME. Poëme de Pruden-
ce, VIII, 101.
COMBAT DES VERTUS ET DES VICES.
Ouvrage attribué à saint Ambroise, V, 512 ;
— à Jean Cassien, VIII, 200; — à saint Au-
gustin, IX, 287 [et 837 ; ] — au pape saint
Léon, X, 274 ; — à saint Isidore de SévlUe,
XI, 725. — II est aujourd'hui reconnu
comme un des ouvrages d'Ambroise Aut-
pert; idée de ce traité, XII, 123. — On l'a
encore attribué au pape saint Léon IX, XIII,
210, 211. [Ce que contient ce traité, 211.]
COMBAT de l'hiver et du printemps. Pasto-
rale de Milon, moine de St-Amand, XII, 334.
COMBATS singuliers. Voyez Duels.
COMBEFIS (François), dominicain. Sa
traduction latine du livre de saint Hippolyte
sur l'Antéchrist, 1, 642. — Ses éditions de
ditlerents ouvrages de saint Méthode, III,
73. — Ses objections contre les grandes et
petites règles de saint Basile réfutées, IV,
400, 401. Son travail pour une édition des
œuvres de saint Basile, archevêque de Cé-
sarée, 546. — Son édition d'un discours de
saint Jean Chrysostôme, VII, 435. — Son
édition des œuvres de saint Maxime, abbé
de Chrysopolis, XI, 771. — Il est chargé par
le clergé de France de donner une nouvelle
édition de saint Jean Damascène; ce qui
l'empêche de l'exécuter, XII, 98. Ses notes
sur la Chro^^que de Théophanes, 156.
COME, ville d'Italie. Description qu'en fait
Cassiodore, XI, 219. Le pape saint Grégoire
fait rendre à l'église de cette ville des biens
qu'elle réclamait sur l'Éghse romaine, 513.
COMÉDIENS. Lettre de saint Cyprien à
leur sujet, II, 369, 370. Canons soixante-
deuxième et soixante septième du concile
d'Elvire, 612, 613. Canon cinquième du
concile d'Arles, 630. — Deux lois de Valen-
tinien 1=' touchant les comédiens, YI, 357,
358. Deux lois de l'empereur Gratien tou-
chant les comédiennes, 362. Lois de Théo-
dose, 374. — Canon d'un concile de Gartha-
ge, VIII, 536.
COMÉDIES. Six comédies pieuses compo-
sées à l'imitation de celles de Térence, par
Roswithe, religieuse, XII, 876.
COMES. Sacramentaire ou Lectionnaire
attribué à saint Jérôme sous ce litre, VII,
650 et 709.
COMES. Titre du lectionnaire d'Alcuin,
XII, 206. (Ce titre ne signifie point le livre
du comte, mais le compagnon.)
COMESTOR (Pierre), chancelier de l'église
de Paris. Voyez Pierre Comeslor.
COMESTOR (François), docteur de Sor-
bonne. Son édition des œuvres de saint
Bernard, XIV, 498.
COMÈTES. Fausse idée des astrologues sur
les comètes, IV, 490. — Discours d'Isaac
l'Ancien à l'occasion d'une comète, X, 578.
COMITOLO (Paul), jésuite italien. Son
édition d'une chaîne sur Job, qu'il attribue
à Olympiodore et qui est de Nicétas d'Héra-
clée, XII, 913.
COMMANDEMENTS DE DIEU. Doctrine
d'Hermas, 1, 335 et 337; de saint Hippolyte,
641 ; — d'Origène, II, 243 ; — de saint Ba-
sile, IV, 542 ; — de saint Ambroise, V, 577;
— de saint Jérôme, VII, 668 ; — de saint
Augustin, IX, 227, 438, 449, 517.Possibihté
des commandements de Dieu, 694. Nécessité
de la grâce pour accomplir les commande-
ments de Dieu, 694 et suiv. Il faut deman-
der à Dieu ce qu'il nous commande, 696,
697. — Doctrine de ïhéodoret sur les com-
mandements de Dieu, X, 52 et 53.
COMMELIN (Jérôme), imprimeur à Hei-
delberg. Son édition des œuvres de saint
Athanase, IV, 231 ; — et de saint Jean
Chrysostôme, VII, 434.
COMMÉMORAISON DES MORTS. Oldoïni
attribue au pape Sylvestre 11 une bulle pour
l'établissement de cette solennité, mais elle
ne paraît nulle part, XII, 910. — Saint Odi-
lon établit cette solennité à Cluny; elle est
ensuite adoptée dans un grand nombre d'é-
gUses, Xni, 152.
COMMERCE interdit aux clercs par le
pape saint Gélase, X, 503. — Doctrine de
Pierre de Blois sur ce point, XIV, 767.
GOMMERCI, ville de Lorraine. Près de
cette ville , une fille d'environ douze ans
demeure deux ou trois ans sans prendre de
nourriture, XII, 354. ■
COMMODIEN, auteur ecclésiastique. Il
embrasse la rehgion chrétienne, 111, 148 et
suiv. En quel temps il peut avoir fleuri.
Ecrits qu'il compose contre les païens sous
I siècle.
m siècle.
IV et
Y siècle.
224
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
le titre d'Instructions, 148. Analyse de cet
ouvrage, 148 et 149. Jugement qu'on en
peut porter; éditions qui en ont été faites,
149. [Poëme apologétique contre les Juifs et
les Gentils, publié par D. Pitra, 149, 150.
Analyse de cet ouvrage, ISO et suiv. Juge-
ment sur cet écrit, 153. — Ses Instructions,
corrigées par dom Pitra, XI, 346.]
Yi siècle. COMMOGEL ou CONGAL, abbé de Ban-
cor, reçoit dans son monastère saint Colom-
ban, XI, 613.
COMMUNAUTÉ de clercs formée par saint
Augustin, IX, 13, 242.
COMMUNION EUCHARISTIQUE. [Témoi-
gnage de saint Clément, pape, I, 354.] Ce
qu'en dit Clément d'Alexandrie, 599, 600.
Ecrit de saint Hippolyte sur ce sujet, 632,
m siècle. — Communion sous l'espèce du pain, et à
jeun, selon TertuUien, II. 12. Témoignage
de saint Gyprien, 366 et 379. Canon d'un
concile de Carthage, 549. Communion des
fidèles ; dixième canon apostolique ; com.
munion des clercs; neuvième canon aposto-
lique, 581. Prêtres et diacres ou autres
clercs réduits à la communion laïque, 585.
Constitutions apostoliques sur la commu-
IV siècle, nion, 597, 598. Communion refusée à la
mort; canons premier, deuxième, troisième,
sixième, septième, huitième, dixième, dou-
zième, treizième, dix-septième, dis-neu-
vième , quarante-septième , soixante-troi-
sième, soixante-quatrième, soixante-cin-
quième, soixante-sixième, soixante-dixième,
soixante-onzième, soixante-douzième, soi-
xante-treizième, soixante-quinzième du con-
cile d'Elvire, 603 et suiv. Les énergumènes
reçoivent la communion à la mort ; canon
treute-septième du concile d'Elvire, 607, 608,
Canon seizième du vingt-deuxième concile
d'Arles sur la communion, 632. Commu-
nion accordée à la mort ; canon deuxième
tv siècle, du concile de Néocésarée, 641. — Commu-
341. nion eucharistique et communion de prière;
canon deuxième du concile d'Antioche, III,
465. Canon septième du concile de Cartha-
ge, 500. — [Communion même en dehors
de la messe; témoignage de saint Athanase,
IV, 165.] — Communion laïque; témoignage
de saint Basile, 528. — Réponses troisième,
cinquième, septième, douzième, treizième
et seizième de Timôthée d'Alexandrie, V,
93, 94. Témoignage de l'auteur du livre des
Sacrements attribué à saint Ambroise, 464.
[Témoignages de saint Ephrem, VI, 463.]
V^siècie, "^ Doctrine de saint Jean Chrysostôme sur
ce sujet, Vn, 95, 134, 232, 246 et suiv., 299;
sur les dispositions à la communion, 247,
248, 300, 301, 402 et suiv.; sur la fréquente
communion, 404 etsuiv.;surles communions
indignes, 407 et suiv. Canon septième attri-
bué à Théophile d'Alexandrie, 446. Diverses
pratiques sur la communion, 490. Canon
deuxième dans la lettre du pape saint Inno-
cent à saint Exupère, évêque de Toulouse,
511, Témoignage de saint Jérôme sur la
communion, 602, 622, 673, Canon d'un con-
cile de Carthage, 726. Canons treizième et
quatorzième du premier concile de Tolède,
740, 741. — Doctrine de saint Synésius sur
la communion, VIII, 31 ; de saint Gaudence,
36. Pourquoi, selon saint Isidore de Péluse,
on a donné le nom de communion à la par-
ticipation des mystères, 484. Doctrine de lyei
saint Augustin, IX, 768 et suiv. Fréquente '^^'™'
communion, 768, 769. Dispositions pour
communier, 769, 770. Doit-on donner la
communion aux pécheurs occultes, 770, 771 .
Nécessité de communier, 771, 772. — Ca-
non du second concile de saint Patrice sur
la communion pascale, X, 707. Canon du
concile d'Agde qui prescrit de communier
trois fois l'année, 738. — Question sur les
enfants morts subitement entre le baptême
et la communion, XI, 37. Réponse de saint
Fulgence, 39. Témoignage de saint Grégoire
de Tours sur la communion, 390, 391. Doc-
trine de saint Grégoire le Grand, 538, 568,
569. Règlements de saint Grégoire, 526. Té-
moignage d'Anastase le Sinaïte, 602, 603,
605, 606, Règlement de saint Colomban de
Luxeuil, 620. [Témoignage de saint Sophorne
de Jérusalem, 708 ] Ce que dit saint Isidore
de Séville sur la communion, 717 et 720, Ca-
non du concile d'Epaone qui défend de don-
ner la communion à un prêtre, à un diacre,
qui voyagent sans avoir des lettres de l'évê-
que, 814, Témoignage de Jonas, abbé d'El-
none, sur la communion sous les deux es-
pèces, 737. — Sentiment du Vénérable Bède
sur la communion, XII, 14, 17. Règlement
d'un évêque anonyme, 170. Témoignage du
moine Béatus, 216. Règlement de saint An-
gilbert, 221. Loi de Charlemagne, 234. Ca-
nons attribués au patriarche saint Nicé-
phore, 286. [Ce que saint Théodore Studite
dit de la communion eucharistique, 314,
315.] Sentiment d'Amalaire, prêtre de Metz,
sur la fréquente communion, 349. Témoi-
gnage de Jonas, évêque d'Orléans, 390. Rè-
glement du pape Léon IV, 408. Témoignage
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
225
de Walafrid Strabon, 413. Sentiment de Ra-
ban Maur sur la fréquente communion, 433.
Sentiment de Raoul, archevêque de Bourges,
33.4. Réponse du pape saint Nicolas I" aux
consultations des Bulgares, 382, 583. Hymne
de Ratpert, moine de Saint-Gai pour être
chantée pendant la communion, 700. Règle-
ments d'Atton de Verceil, 822 ; de Rathier de
Vérone, 833. Canon da quatrième concile de
Tolède, 917. Canon d'un concile d'AuLun,
939; da concile Quinisexte, 961. [Si on peut
faire porter la communion par des femmes
aux chréliens détenus cbez les Sarrasins ; si
on peut admettre à la communion les en-
fants qui ont été corrompus par des Sarra-
sins, 979.] — Témoignage de GezoiT, abbé
de Tortone, XIII, 20. Témoignage de saint
Abbon, moine de Fleury, 26. Témoignages de
Gébehard, prêtre d'Augsbourg, 56; de Guil-
laume et d'Ascelin, moines du Bec, 168 ; de
Siméon le Jeune, 226. Canon du concile de
Clermont, 432. Ce que dit Durand, abbé de
Troarn, sur la fréquente communion, 460.Té-
moignage de l'auteur anonymed'un traité sur
les sacrements, 492. Canon d'un concile de
Cloveshou, 611. Canon d'un concile de Rouen
sur la communion, 727. — Lettre du pape
Pascal II sur un abus qui s'était introduit de
donner la communion en trempant l'espèce
du pain dans celle du vin; les deux espèces
doivent être prises séparément, XIV, 134.
Raison que donne Arnulphe, évêque de Ro-
chester, de l'usage qui s'était introduit de
tremper l'hostie dans le sang, en donnant la
communion, 236. Pourquoi l'on reçoit sépa-
rément le corps et le sang de Jésus-Christ,
237. Doctrine de Hugues, archevêque de
Rouen, 609. Voyez Eucharistie.
de. COMMUNION DE PRIÈRES : Canons apos-
toliques onzième, douzième, treizième, II,
581. — Communion de prières avec les héré-
tiques : canons neuvième et trente-troisième
du concile de Laodicée, III, 310 et 311. —
Communion ou association de prières entre
divers monastères, XIV, 514. — Communion
ecclésiastique. Saint Basile déclare qu'il est
uni de communion avec toutes les églises,
IV, 362. — Doctrine de saint Augustin sur la
J siècle, communion avec les méchants, IX, 377. —
Communion prise au sens d'absolution, 11,603,
m. 604 et 608. Le concile dOrange ordonne de
donner à ceux qui meurent pendant le
cours de leur pénitence, la communion,
sans l'imposition des mains élablie pour
la réconciliation. Ce qu'on doit entendre
TAB. I.
par ce terme de communion, VIII, 607.
COMNÈNE (Alexis). Voyez Alexis Comnène.
COMNÈNE (Isaac), frère de l'empereur
Alexis, XIV, 139 et suiv.
COMNÈNE (Anne). Voyez Anne Comnène.
COMNÈNE (Manuel et Jean), empereurs.
Leur histoii'e, par Jean Ciname, XIV, 641,
642. Voyez Manuel Comnène. [Les Constitu-
tions Novelles de Manuel Comnène, au nom-
bre de vingt, sont reproduites au t, CXXXIII ,
de la Patrologie grecque.]
[COMPASSION de la sainte Vierge. Traité
sur ce sujet, faussement attribué à saint Au-
gustin, IX, 837.]
COMPÉTENTS. On désignait par ce nom iv siècle,
tous ceux qui postulaient pour le baptême,
III, 313. — Sermon de saint Augustin aux
compétents, IX, 239. — Sermon de saintCé-
saire d'Arles adressé aux compétents, XI, 139.
COMPIÈGNE, viUe de France. Parlement
tenu en cette ville pour la déposition de l'em-
pereur Louis le Débonnaire, XII, 376. [Note
sur la conduite des évoques eu cette occa-
sion, 1109.] Lettre de saint Aldric du Mans
aux évoques du concile de Compiègne, 443.
— Conciles tenus en cette ville, XIII, 615,
667; XIV, 1072.
[COMPLAINTE de la sainte Vierge au pied
de la croix, par Nicolas le grammairien, XIII,
360.]
[COMPLAINTE sur la mort de Hugues, fils
de Charlemagne, XII, 477.]
COMPLICE. Canon soixante-onzième dans 375.
la troisième épître canonique de saint Basile
le Grand, IV, 474.
COMPONCTION. Quatre discours de saint iv siècle.
Éphreni sur la componction, VI, 20, 21. Dis-
cours de saint Éphrem, intitulé : De la Pa-
tience et de la Componction, 23. Autre sur le
jugement et la componction, 23. Traité de
saint Éphrem sur la componction, 37, 38.
[Discours de saint Éphrem sur la pénitence
et la componction, 306.] — Deux livres de 370.
saint Jean Chrysostôme sur ce sujet, VII, 23
et suiv. — Lettre de saintFulgence deRuspe,
XI, 29. Discoursde saint Colomban, 623, 624.
COMPOSTELLE, ville d'Espagne. Conciles
tenus en cette ville, XIH, 737,738, 1060, 1061,
1086. [Histoire de cette Éghse, XIV, 341 , 342.]
COMPUT PASCAL. [Différents computs an-
ciens sur la Pâque, I, 540. Comput d'un ano-
nyme, 340 et suiv.; comput de Murin d'A-
lexandrie;] comput de Cassiodore, XI, 222.
— Comput vulgaire attribué au Vénérable
Bède, XII, 3. De la Manière et de l'Ordre du
15
226
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
comput, ouvrage du vénérable Bède cité par
Heiric qui écrivit sur la même matière, 4.
[Hymnes du Vénérable Bède sur les règles du
comput, 4.] Traité de Raban Maur sur le com-
put, 464. Traité sur le comput, faussement at-
tribué à Heiric, moine d'Auxerre ; il estd'Hil-
péric, 641. Traité du comput ecclésiastique,
ouvraged'Hilpéric, écolâtre de Grandtel, 862.
— Traité du comput, attribué à Albert ou Al-
XI siècle P^''^' Dioiiîe de Saint-Symphorien de Metz,
XIII, 73. Comput ecclésiastique de Jean de
Garlande, 230. Comput ecclésiastique, attri.
buéàHépidam, moine de St-Gal, 323. Traité
deFrancon, écolâtre deLiége, sur le comput,
341. Livre du calcul ou comput, par Pandul-
phe, moine du Mont-Cassin, 493. Traité du
comput ecclésiastique, ouvrage de saint Ma-
thias de Trêves, 362. — Comput ecclésias-
tique dressé par Sigebert, moine de Gem-
blours, XIV, 67, 68. [Traité de Jean de Cou-
tances sur le comput, 247, 248.] Comput
ecclésiastique de Gerland, 366. Voy. Calcul,
CONANTIUS, évêque de Palenzo en Espa-
gne. Hymnes et prières que lui attribue saint
Ildefonse, XI, 699.
CONCEPTION DE LA TRÈS-Sie VIERGE.
Traité de sa conception passive ; discours sur
le même sujet, XIV, 33. — L'Immaculée Con-
ception a-t-elle été définie dans un concile des
Apôtres, II, 336. — [Discours sur la conception
de la sainte Vierge par Jean d'Eubée, XII, 61.
Ce qu'il contient, 61 et 62, La fête de l'Imma-
culée Conception était une des plus célèbres
auvin=siècle, 62.]— Ce qu'en apensé le Vé-
nérable Hildebert, XIV, 216. [Poëme sur la
Conception de la B.V. par lemême, 223.] Let-
tre de saint Bernard qui s'oppose à l'établisse,
ment de cette fêle dans l'Église de Lyon, 438,
439. Raisons qu'il allègue pour preuves que
Jésus-Cliristseulaété conçu sans péché; [sou-
mission anticipée de saint Bernard au décret
de l'Église, 439.] Docirine de Godefroi, abbé
desMonts, 588. [Discussion au sujetde la Con-
ception immaculée de Marie entre Nicolas,
moine de Saint-Alban et Pierre de Celle, 737.
Ce que Nicolas dit à ce sujet de saint Ber-
nard, 737 et 738.] Sermon de Pierre Gomes-
ter sur l'Immaculée Conception, 745. [Jean
Beleth , théologien , se déclare pour la
fête de la Conception , 793. Maurice de
Sully n'admettait p;is le privilège de la con-
ception immaculée pour Marie, 819. Martin,
chanoine de Saint-Isidore , défend cette
prérogative, 834. Ce que Siccard, évêque
de Crémone, dit de cette fête, 904.]
CONCEPTION DE SAINT JEAN- BAP-
TISTE. Voyez Annonciation de Zacliarie.
CONCILES. Importance de la matière des
conciles, II, 529, 530. Autorité de leurs déci-
sions, 330, et n. 3. On n'en connaît qu'un seul
dans le premier siècle; il y en eut peu dans
le second, 531. Ils commencèrent à devenir
plus communs dans le troisième; comment
on a pu s'en passer dans les premiers siè-
cles, 530. [Les conciles ne furent pas aussi
rares, que le prétend dom Ceillier, dans les
premiers siècles, 530, n. 9. Les hérésies des
premiers siècles n'ont pas été détruites
comme le prétendl'auteur, 531, n. 3et6.J —
Témoignage de saint Ignace d'Antioche sur les
concile?, 1, 384. — Canon trente-huitième des
Canons apostoliques sur les conciles, II, 383.
— Témoignage de Constaniin sur l'autorité
des conciles, III, 137, 138. Témoignage du
concile de Nicée sur l'examen de ce qui a été
décidé dans les conciles, 438, 439. Concile
provincial; ce qui le rend légitime; canon sei-
zième du concile d'Antioche; en quel temps
on doit tenir les conciles provinciaux; canon
vingtième du même concile, 469. Canon qua-
rantième du concile de Laodicée sur les con-
ciles, 312. — Témoignage de saint Hilairesur
les conciles, IV, 79. Témoignage de saint
Athanase, 142, 211 et suiv., 222. Doctrine de
saint Basile le Grand, 301. Les prêtres et les
diacres assistaient quelquefois aux conciles,
646. — Doctrine de saint Grégoire de Na-
zianze, V, 312, 313. De saint Ambroise, 532.
— Canons du concile d'Hippone touchant la
célébration des conciles, VII, 713. Canons
sixième et huitième du même concile, 714,
713. Canon deuxième du troisième concile
de Carthage, 719. Canon vintgt-unième du
quatrième concile de Carthage, 729. Canon
septième du cinquième concile de Carthage,
734. Canon dixième du même, 734 et 735. —
Doctrine de saint Cyrille d'Alexandrie sur
les conciles, VIII, 327. Quel est l'esprit de
l'Église dans les conciles, selon Vincent de
Lérins, 463. Règlement du concile général
de Carthage, 538, 542, 343. Canons du con-
cile de ïusdre ; ordonnances du concile
de Telle ou Télepte, 564. Canons de plu-
sieurs conciles de quelques villes d'Afrique,
562. Canon dix-huitième du sixième con-
cile de Carthage, 365, 560 Le concile d'O-
range ordonne qu'un concile ne se sépa-
rera point sans en avoir indiqué un autre,
610. — Docirine de saint Augustin sur
l'autorité des conciles, IX, 621 et suiv.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
227
Doctrine du pape saint Léon sur les conciles,
X, 268, 269. Les conciles, même généraux,
doivent être confirmés par le pape , 269.
Les papes n'ont point assisté aux conciles
tenus dans l'Orient, 333. Le pape saint Hi-
laire ordonne aux évêques des Gaules de te-
nir tous les ans un concile des provinces
dont on pourra l'assembler, 337. La coutume
des conciles catholiques est de faire des dé-
crets à mesure que les nouvelles hérésies les
y obligent, 479. Lorsqu'une hérésie a été con-
damnée dans un concile, ce qui a été décidé
doit demeurer invariable, 495. Différence
qu'établit le pape saint Gélase entre les con-
ciles légitimes et les conciles illégitimes, 496.
Canon du concile de Chalcédoine qui ordonne
de tenir deux conciles chaque année, 699.
Conciles reçus par l'Église romaine, selon le
décret du pape saint Gélase, 724. — Témoi-
gnages de Ferrand, diacre de Carthage, sur
l'autorité des conciles généraux, XI, 93, 94.
Conciles recueiUis par Cassiodore, 230, 231.
Doctrine de Cassiodore sur les conciles, 244.
Loi de Justinien qui ordonne de tenir des
conciles tous les ans, 259. Témoignage du
papePélagel" sur lesconciles généraux, 330.
Témoignage du pape Pelage H, 338. A quelle
occasion et comment les conciles s'assem-
blaient au vi'^ siècle ; un évêque condamné
dans un concile particulier pouvait appeler
au Saint-Siège, 393. Doctrine du pape saint
Grégoire le Grand sur les cinq premiers con-
ciles généraux et sur lesconciles particuliers,
434, 482, 505, 507, 554, 5.=)5. Les rois de
France ne trouvaient pas bon que les évê-
ques tinssent des conciles sans leur permis-
sion et sans les informer du motif de la con-
vocation, 734. Le pape Léon II envoie aux
évêques d'Espagne la définition de foi du
troisième concile de Conslantinople, sixième
œcuménique, 784. — Avec quel soin les actes
du sixième concile furent écrits et conservés,
XII, 36. Traité des six conciles généraux,
ouvrage de saint Germain, patriarche de
Constantinople, 40, 41. [Le véritable traité
de saint Germain a été publié par Mai, 41.]
Doctrine de saint Jean Damascène sur les
conciles généraux, 76, 78, 93. Règlement du
roi Dagoberl sur les conciles de son royaume,
228. Charlemagne ordonne qu'on en tienne
deux chaque année, 237. Conciles dont la
tenue est ordonnée par Charlemagne, 239.
Les sept premiers conciles généraux reçus
par saint Nicéphore, patriarche de Constan-
tinople, 283 ; et par saint Théodore Studite,
300. Règlement du pape saint Nicolas P' sur
les conciles provinciaux , 577. Forme des
conciles prescrite en détail parle quatrième
concile de Tolède, 916. Il était d'usage dans
les actes ecclésiastiques de nommer concile
les évêques d'une province, quoiqu'ils ne
fussent pas assemblés, 944. Conduite du
quatorzième concile de Tolède touchant les
conciles cinquième et sixième, 938. Canon
du dix-septième concile de Tolède touchant
les conciles, 966. — Selon saint Léon IX, on
ne peut tenirde concile général sans l'ordre
du Saint-Siège, XIII, 206. Traité des sept
conciles œcuméniques en vers par Michel
Psellus, 336. — Pascal II observe- que les
conciles n'ont point fait de lois pour l'Église
romaine, parce que c'est elle qui donne l'au-
torité aux conciles, XIV, 130. [D'après Eu-
gène III, l'Église romaine est le soutien des
conciles, 277.] Décrets du concile général de
Latran qui renouvelle les anciens canons
pour la tenue des conciles provinciaux, 1064,
TABLEAU DES CONCILES.
CONCILES DU PREMIER SIÈCLE.
CONCILE des apôtres à Jérusalem, II,
531 et suivantes. Quelle en fut l'occasion,
531. En quelle année il fut tenu. Ce qui s'y
passa, 532. Lettre synodale du concile de
Jérusalem, 532, 533. Remarques sur cette
lettre synodale, 433, 334. Concile de Jéru-
salem, modèle des conciles suivants, 534.
CONCILE (faux) d'Antioche, II, 534 et suiv.
CONCILES attribués faussement aux
apôres, II, 536.
CONCILES supposés des premiers siècles,
II, 536 et 337.
CONCILES DU DEUXIÈME SIÈCLE.
CONCILES contre les Montanistes, II, 538
et suiv. Origine de l'hérésie de Montan, 538.
En quoi elle consistait, 538 et 539.
CONCILES contre les Montanistes, II, 539.
CONCILES des Montanistes, II, 54, note 2.
CONCILE de Rome contre Praxéas et Va-
lentin, I, 532, et II, 541.
CONCILES au sujet de la Pâque, I, 533,
et II, 541 et suiv. — Usage des Églises sur la
fête de Pâques, II, 540.
CONCILE de Gésarée en Palestine, II, 341.
CONCILE de Rome, II, 341 .
50 ou 51.
171 ou 172.
196.
228
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
231.
S55.
256.
256.
23»,
V. 240.
Y. 243.
V. 246.
Avant 249.
249.
251.
251.
252.
252.
254.
CONCILES du Pont, des Gaules, de Co-
rinlhe et de l'Osroène, II, 542.
CONCILE d'Éphèse, II, 342 ei 543. Le pape
Victor veut excommunier les Asiatiques,
543, 544.
CONCILE attribué au pape Victor contre
quelques hérétiques, II, 544.
CONCILES DU TROISIEME SIECLE.
CONCILES au sujet du baptême des héré-
tiques, II, 544 et suiv.
CONCILE de Carthage sous Agrippin ,
II, 544, 543.
CONCILES d'Icône, de Synnades etd'autres
lieux, II, 545, 346.
CONCILE de Carthage, II, 546 et suiv.
CONCILES de S. Cyprien (premier), II,
546. Second concile de S. Cyprien, 347
et suiv. Troisième concile de S. Cyprien»
349 et suiv. Actes de ce concile, 550 et suiv-
CONCILES d'Alexandrie, de Lambèse,
d'Arabie, d'Asie et d'Achaïe, II, 332 et suiv.
CONCILES (deux) assemblés contre Ori-
gène. II, 135 et 552, 353.
CONCILE (premier) d'Alexandrie assemblé
contre Origène, II, 332. Second concile
d'Alexandrie contre Origène, 133 et 532.
CONCILE de Lambèse contre Privât, hé-
rétique, II, 553.
CONCILE en Arabie au sujet de Bérylle
de Bostres, II, 553 et 534.
CONCILE en Arabie contre quelques nova-
teurs, II, 534.
CONCILE en Asie contre les erreurs de
Noët, II, 354 et 553.
CONCILE d'Achaïe contre les Valésiens,
II, 555.
CONCILES de Carthage, de Rome et d'An-
tioche. II, 335 et suiv.
CONCILE de Carthage, II, 535.
CONCILE de Carthage, II, ,556.
CONCILE de Carthage (autre), II, 556.
Suite de ce concile. Canons pénitentiaux qui
y furent dressés, 536 et suiv.
CONCILE de Rome, II, 125 et 358.
CONCILE indiqué pour Antioche avant la
mort de Fabius, II, 559.
CONCILE de Carthage, II, 559 et suiv. —
On y traite du baptême des entants, V, 326.
— Lettre synodale de ce concile à Pidus, II,
561, 562. L'hérétique Privât se présente ù,
ce concile. On ne veut pas l'écouter, 562.
CONCILE de Carthage, II, 362 et 363.
CONCILES de Narbonue, de Rome et d'An-
tioche, II, 563 et suiv. On n'a rien de cer-
tain touchant le concile de Narbonne, 563,
364.
CONCILE ou conférence d'Arsinoé, 364,363 255.
CONCILE de Rome, II, 563, 566. ses.
CONCILE d'Antioche contre Paul de Sa- 264.
mosate, II, 566, 367. Second concile contre
le même, 567.
CONCILE d'Antioche par lequelPauI de Sa- 269 et m<L
mosale est condamné,III,567. Lettre synodale ^
de ce concile écrite par Malchion, 368 et suiv.
En quel temps ce concile a condamné le terme
de consubslantiel, 510, 571. Suite de la con-
damnation de Paul de Samosate : il est con-
damné par le pape Félix, 571. Symboles
attribué au concile d'Antioche, 571 et 372.
Autre symbole aussi faussement attribué au
concile d'Antioche, 572.
CONCILE de Rome (faux) contre Paul de
Samosate , II, 572.
CONCILE de Mésopotamie contre Manès,
II, 572 et 573.
CONCILES DU QUATRIÈME SIÈCLE.
CONCILE d'Elvire, II, 602 et suiv. (Il s'est 300 o.,30i
tenu à Elvire dans la Bétique), 602 et 603.
En quelle année, 603. Analyse des canons
de ce concile, 603 et suiv. Autorité de ces
canons. Éditions de ce concile, 614, 615. -
On y permet aux laïques de baptiser dans
les cas de nécessité, V, 323.
CONCILE d'Alexandrie au sujet de Mélèce, 301. ,
II, 613, 616. En quel temps; Mélèce y est
déposé, 613. Origine du progrès du schisme
de Mélèce, selon S. Épiphane, 613 et 616.
Ce que l'on doit penser de ce rapport de
S. Épiphane, 616.
CONCILE de Sinuesse (faux), 616 et suiv. 303.
En quel temps, II, 617. Le pape saint Marcel-
hn n'a pas sacrifié aux idoles, 617 et 618.
Preuves delà supposition de ce concile, 618,
619. Éditions de ce concile, 619.
CONCILE de Cirthe, II, 619 et suiv. En 305.
quel temps, 619, 620. Il se tient dans une
maison particulière. Nous n'avons qu'un ex-
trait de ses actes, 620. Contenu de cet ex-
trait, 620 et 621. Silvain, traditeur, élu
évéque de Cirthe, 621.
CONCILIABULE de Carthage, II, 621 et 3H0..3
suiv. A quelle occasion, 621. Cécilien or-
donné évêqae de Carthage par Félix d'Ap-
tonge, 621 et 622. Schisme contre Cécilien,
622. Les schismatiques le citent à leur con-
ciliabule, 622 et 623. Il est condamné avec
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
229
Félix et tous ceux de leur communion, 623.
Les scliismatiques écrivent contre Céciiien
par toute l'Afrique, 623 et 62-4. (Voyez au
tome IX, p. 80.)
CONCILE de Rome touchant l'affaire de
Céciiien, II, 624 et suiv. Les Donatistes
troublent. l'Église, 624. Ils demandent des
juges à Constantin contre Céciiien, 624 et 623.
Constantin indique un concile à Rome pour
juger l'affaire de Céciiien, 623. En quel
temps, 623 et 626. Actes de ce concile, 626.
Céciiien est absous, 626 et 627 ; III, 135 ; et
IX, 80.
CONCILE d'Arles touchant les Donatistes,
II, 627 et suiv. Les Donatistes se plaignent
du concile de Rome, 627 628. Justification
de Félix d'Aptonge, 628. En quel temps il
fut tenu, 628. Nombre des évéques qui y
assistèrent, 628, 629. Céciiien y est déclaré
innocent, 629, 630. Canons de ce concile,
630 et suiv. Autorité du concile d'Arles.
Peut-on lui donner le titre de concile plé-
nier? Est-ce dans ce concile que la question
du baptême des hérétiques a été terminée?
632 et suiv. — Ce fut Constantin qui con-
voqua ce concile, III, i34.
CONCILE d'Ancyre en Galatie, II, 635
et suiv. Conciles fréquents vers l'an 314^
633. Évêques qui assistèrent au concile
d'Ancyre, 633 et 636. Canons qui y furent
faits, 636 et suiv. Variété des exemplaires
de ces canons, 640.
CONCILE de Néocésarée dans le Pont,
II, 640 et suiv. Canons de ce concile, 640.
CONCILE de Rome (faux) II, 642, 643.
Preuves de la fausseté de ce concile, 643.
CONCILE d'Alexandrie contre Arius, III,
106, 414 et 413 et suiv.
CONCILES d'Egypte au sujet d'Arius, III,
415.
CONCILE de Bithynie en faveur d'Arius,
111,417, 418.
CONCILE d'Alexandrie au sujet d'Arius,
m, 418, 419.
CONCILE œcuménique de Nicée, III, 419
et suiv. Occasion et convocation de ce con-
cile, 419. En quel temps ce concile fut tenu.
Nombre des évêques qui s'y trouvèrent,
419, 420. Pourquoi ce concile fut assemblé
de toutes les parties du monde, 420. Le pape
y préside par ses légats, 420 et 421. Les
évêques tiennent des conférences sur les
matières de la foi, 421. Philosophe vaincu
par un vieillard, 421 et 422. Le concile s'as-
semble dans le palais. L'empereur y vient.
422. Commencement du concile. On dispute
contre Arius, 422 et 423. Lettre d'Eusèbe de
Nicomédie lacérée en plein concile. Mouve-
ments de Constantin pour la réunion des
évêques, 423. Les Eusébiens présentent une
profession de foi qui est rejetée et lacérée.
Ils inventent de nouveaux termes pour ap-
puyer leurs erreurs, 423 et 424. Le concile
approuve le terme de consubstantiel , 424.
Les Eusébiens rejettent ce terme. Comment
ils sont réfutés dans le concile. Antiquité de
ce terme, 424 et 423. Symbole de Nicée,
423, 326. Adhésion des évêques à ce sym-
bole, 426, 427. Le concile reçoit les Mélé-
ciens, 427, 428. Décret pour célébrer la
Pâque en un même jour, 428, 429. [Ce décret
est retrouvé et publié par D. Pitra, 327.] Ca-
nons du concile de Nicée, 429 et suiv. Pre-
mier, touchant les eunuques, 429, 430.
Deuxième, touchant les ordinations des néo-
phytes, 430. Troisième, célibat des ecclé-
siastiques. Remontrance de Paphnuce, 430
et 431. Quatrième, touchant l'ordination des
évêques, 431,432. Cinquième, touchant leur
juridiction, 432. Sixième, touchant les privi-
lèges des grands sièges, 432 et 433. Sep-
tième, touchant les prérogatives de l'évêque
de Jérusalem, 433 et 434. Huitième, tou-
chant les Novatiens, 434. Neuvième et
dixième, touchant l'ordijiation des clercs,
434 et 433. Onzième et douzième, touchant
la pénitence, 433, 436. Treizième, touchant
le Viatique que l'on donnait aux mourants ;
quatorzième, touchant la pénitence des ca-
téchumènes, 436. Quinzième et seizième,
touchant la translation des évêques, des
prêtres, diacres et autres clercs, 436 et 437.
Dix-septième, touchant l'usure, 437. Dix-
huitième, touchant les diacres, 437 et 438.
Dix-neuvième, touchant les Paulianistes;
vingtième, touchant la posture qu'on doit
garder en priant à certains jours, 438. Autres
ordonnances du concile de Nicée, 438 et 439.
Décrets faussement attribués au concile de
Nicée, 439, 440. Canons arabiques fausse-
ment attribués à ce concile, 440. Les canons
arabiques sont tirés de divers conciles des
premiers siècles, 441. [Publications et frag-
ments coptes sur le concile de Nicée, 441
et suiv. Premier fragment , 441 , 442.
Deuxième, troisième et quatrième fragments,
442. Choses nouvelles contenues dans ces
fragments, 442 et 443. Le sixième canon re-
latif à la suprématie des souverains pontifes,
443, 444.] Lettre synodale du concile de Ni-
230
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
325.
331.
333.
335.
cée, 445. Lettre de Constantin à toutes les
Églises, et en particulier à celle d'Alexandrie,
445 et 546. Lettre faussement attribuée au
concile de Nicëe, 446. Actes qui lui sont
faussement attribués, 446 et 447. Constantin
donne un festin aux évéqaes de ce concile.
Ils retournent à leurs Églises, 447. Le con-
cile de Nicée est reçu dans toutes les Églises,
447 et 448. [Concile de Rome pour la confir-
mation du concile de Nicée, 528, 529. De la
confirmation du concile de Nicée par le Sou-
verain Pontife, 529 et suiv.] — Constantin
assemble le concile de Nicée et s'y trouve,
124, 125. Lettre qu'il écrivit à toutes les
Églises, et particulièrement à celle d'Alexan-
drie, après la conclusion de ce concile, 137,
138. Saint Eustathe d'Antioche assista à ce
concile et y souscrivit, 159. Eusèbe de Cé-
sarée y assiste. Comment il y souscrit, 170
et suiv. Osius, évêque de Cordoue, avait
conseillé à Constantin d'assembler ce concile.
Il en dressa le symbole, 393. — Témoignage
de saint Grégoire de Nazianze sur le concile
de Nicée, V, 312. — Témoignage 'de saint
Ambroise, 489 et 532 ; de saint Jean Chry-
sostôme, VII, 369. — Histoire de ce concile
écrite par saint Maruthas, évêque, auteur
syrien, VIII, 4. Vénération de saint Cyrille
d'Alexandrie pour ce concile, 327. — His-
toire de ce concile écrite par Gélase, de Cy-
zique, X, 533. — Hincmar de Reims, par-
lant de ce concile, l'appelle mystique et
compose sur cela un petit traité, XII, 685.
CONCILE d'Antioche tenu par saint Eus-
tathe, in, 159.
CONCILE d'Antioche contre saint Eustathe,
évêque de cette ville et Asclépas de Gaza, III,
159, 448, 449. Lettre que l'empereur Cons-
tantin écrit aux évêques de cette ville, 140.
CONCILE de Césarée en Palestine. Les Eu-
sébiens s'associent les Méléciens pour accuser
saint Athanase dans ce concile, III, 449.
CONCILE de Tyr contre saint Athanase,
III, 449 et suiv. De quels évêques ce concile
était composé. Quelle conduite y tinrent les
officiers de l'empereur, 449, 450. Saint Atha-
nasey est accusé de divers crimes, 450, 451.
11 se justifie touchant le fait d'Ischyras, 451.
Députation dans la Maréote. Alexandre de
Thessalonique s'y oppose, 451, 452. Protes-
tation du clergé d'Egypte contre les infor-
mations de la Maréote, 453, 454. Saint Atha-
nase réfute les autres calomnies dont on le
chargeait, 454, 455. Saint Athanase se sauve
de Tyr. Il est déposé par le concile qui écrit
partout contre lui; le concile reçoit les IMé-
léciens à la communion de l'Église. Il donne
à Ischyras le nom d'évêque, 455. Saint
Athanase se plaint à l'empereur du jugement
rendu contre lui à Tyr. Il demande un con-
cile légitime, 455, 456. Ce fut par Constan-
tin que ce concile fut assemblé, 125. Lettre
de Constantin aux évêques de ce concile,
141, 142. Eusèbe de Césarée y assiste, et
s'yjointaux ennemis de saint Athanase, 173.
CONCILE de Jérusalem, III, 456, 437. Ce
fut par Constantin qu'il fut assemblé, 125.
Les Eusébiens y reçoivent Arius à la com-
munion de l'Église, 456. Lettre de ce concile
à l'Église d'Alexandrie et à l'empereur, 456,
457. Marcel d'Ancyre y fut cité, 457 et IV,
305.
CONCILE de Constantinople contre Marcel
d'Ancyre, III, 457 et suiv. et IV, 306.
CONCILE de Constantinople contre Paul,
évêque de cette ville, III, 459.
CONCILE d'Antioche. Pistus y est or-
donné évêque d'Alexandrie, 111, 459, 460.
CONCILE d'Alexandrie pour saint Atha-
nase. Lettre des évêques de ce concile pour
la défense de ce saint évêque, III, 460 et
suiv.
CONCILE de Rome pour saint Athanase.
Marcel d'Ancyre excommunié y est reçu à la
communion de l'Église, et Asclépas de Gaza
déposé y est rétabli, III, 464.
CONCILE d'Antioche, dit de la Dédicace,
III, 464 et suiv. De quels évêques ce concile
est composé. L'empereur Constantin y
assiste, 464, 465. Première formule d'Antio-
che faite par les seuls Eusébiens, 465. Se-
conde formule, première du concile, 465 et
466. Troisième formule du concile, 466.
Canons du concile d'Antioche sur divers
points de discipline, 466 et suiv. Autorité de
ces canons. Ils sont tous de ce concile. Ré-
ponse aux objections contre ce sentiment,
471, 472, Lettre synodale du concile d'An-
tioche, 472. — La doctrine de Marcel d'An-
cyre est condamnée dans ce concile, IV, 305.
CONCILE d'Antioche des seuls Eusébiens
cont'.J saint Athanase. Ils ordonnent en sa
place Grégoire de Gappadoce et le mettent
sur le siège d'Alexandrie, III, 473.
[CONCILE tenu à Naisse auquel assiste
saint Athanase, IV, 163.]
CONCILE d'Antioche tenu par les Eusé-
biens qui y dressent la formule macrostiche,
III, 473, 474.
CONCILE de Milan. Les Eusébiens y pre-
ssa.
336.
339.
339.
341
3«.
au.
3i5.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
231
sentent la formule qu'ils avaient dressée à
Aniioche, III, 474.
346. CONCILE de Cologne pour la déposition
d'Euphratas, évêque de cette ville, 111, 474.
Preuves de la fausseté des actes de ce con-
cile, 474 et 473. [Notes relatives à la réalité
du concile de Cologne, 473, notes 2 et 8.]
UN plutôt CONCILE de Sardique, III, 473 et suiv. [Da-
-" 213- te véritable de ce concile, 163 et 473, n. 8.]
Histoire de ce concile, 473 et suiv. Les évoques
demandent un concile à l'empereur Constant,
celui-ci écrit à son frère Constantin pour ce su_
jet, 473, 476. Les empereurs s'accordent pour
la convocation d'un concile et l'indiquent à
Sardique, 476. [Ce concile fut convoqué par
l'autorité du pape, 476, note 6.] Nombre des
évoques qui assistèrent à ce concile, 476,
477. Osius, évéquede Cordoue, préside à ce
concile, et après lui les légats du pape saint
Jules ; Protogène, évêque de Sardique, est
l'un des principaux chefs de ce concile, 477.
Principaux évêques qui y assistèrent, 477 et
478. Les Eusébiens viennent à Sardique au
nombre de soixante-seize ou quatre-vingts.
Noms des principaux de leur parti, 478,
479. Saint Athanase et les autres évêques
accusés se trouvent à ce concile. On y porte
de tous côtés des plaintes contre les violen-
ces des Eusébiens, 479. Les Orientaux crai-
gnirent d'abord de venir à Sardique. Ils ne
laissèrent pas de se mettre en chemin dans
l'espérance de dominer ce concile, comme à
l'ordinaire ; mais voyant que les choses se
tournaient autrement, ils complotèrent en-
tre eux de s'enfuir de Sardique aussitôt qu'ils
y seraient arrivés, 479 et 480. Ils se logent
dans le palais et ne permettent à aucun des
leurs de venir dans le concile. Deux d'entre
eux les abandonnent et découvrent dans le
concile leurs mauvais desseins, 480. Les Eu-
sébiens demandent que saint Athanase et les
autres accusés soient exclus de l'assemblée
des évêques. On refuse et on les cite eux-
mêmes au concile, 480 et 481. Vains
prétestes des Eusébiens pour ne pas se pré-
senter au concile, 481, 482. Ils proposent
une nouvelle information dans la Maréote.
Raisons pour ne pas accepter ce moyen;
Osius les presse de produire leurs preuves
au moins devant lui seul. Il leur offre même
d'emmener avec lui saint Anathase en Espa-
gne pour le bien de la paix, 482. Les Eusé-
biens s'enfuient de Sardique durant la nuit.
Prétexte qu'ils inventent pour pallier leur
fuite, 482 et 483. Ce qui se passa au concile
après la fuite des Eusébiens. On refuse défaire
quelque chose de nouveau touchant la foi,
pour s'en tenir au concile de Nicée, 483. Le
concile examine la cause de saint Athanase et
l'absout, 483 et 484. Il absout de même Mar-
cel, Asclépas et les autres accusés, 484. Il
dépose et anathématise les chefs des Eusé-
biens, 484 et 483. Canons du concile de Sar-
dique, 483 et suiv. Contre les translations
des évêques, 483. On permet aux évêques
déposés dans un concile de la province d'en
appeler à l'évèque de Rome, 485 et 486.
[Sur l'appel à Rome, voir 486, note 7.] On
doit passer outre à l'ordination d'un évêque
élu, encore qu'il y en ait de la province qui
refusent de s'y trouver. Défense d'ériger de
nouveaux évêchés dans les petites villes,
486. Contre les fréquents voyages des évê-
ques à la cour, 486 et suiv. Défense d'or-
donner évêques ceux qui ne sont pas passés
par les autres ordres, 488, 489. Règlements
touchant la résidence des évêques dans leur
diocèse, 488 et 489. Défense de recevoir à
la communion un clerc qui en a été privé
par son évêque. On permet à un diacre ou
à un prêtre déposé ou excommunié par son
évêque, d'en appeler aux évêques de la pro-
vince, 489. Diverses lettres synodales du
concile de Sardique, 490. Analyse de celle
qu'il écrivit à l'église d'Alexandrie, 490 et
491. Lettre circulaire à tous les évêques
491, 492. Lettre au pape Jules, 492. Lettre
aux empereurs, 492 et 493. Autorité du con-
cile de Sardique et de ses canons, 493, 494.
Le pape Jules avait demandé ce concile et y
présida par ses légats, 378. Osius de Cor-
doue en obtint la convocation et y présida,
393. — Entre les collections des canons faites
par les Grecs, celle de Jean le Scholastique
est la seule qui contienne les canons du con-
cile de Sardique, XI, 333.
CONCILE de Sardique (Faux) III, 494 et s. 3i-,„„^ie„^
[Date véritable de ce conciabule, 163 et 494, <'" 3*^-
note 3.] Les Eusébiens assemblés à Philippo-
polis datent leur lettre de Sardique. Quel
était le but de cette fiction, 494, A qui cette
lettre fut adressée, 494, 493. Analyse de
cette lettre, 493, 496. Formule de foi du
faux concile de Sardique, 496. Marcel d'An-
cyre y est de nouveau condamné, 496 et
IV, 307.
CONCILE de Milan contre Photin, III, 347 „„ 346.
497, 498. Histoire de cet hérésiarque, 497.
Il est retranché et déposé dans le concile de
Milan. Il ne se soumet pas, 497 et 498. On a
232
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
348ou3i3.
349.
349 ou 350.
349.
350.
351.
Entre
341 et 381.
V. 380.
352.
355.
356.
357.
confondu ce concile avec celui de Sardique,
498.
CONCILE de Carthage (Premier). Quelle
fut l'occasion de ce concile; date de ce con-
cile, m, 498. L'évêque Gratus propose la
question de la rebaptisation, et en fait la
matière du premier canon de ce concile,
498 et 499. Autres canons de ce même con-
cile, 499 et suiv. — Premier canon de ce
concile, V, 140.
CONCILE de Jérusalem. Saint Athanase y
est muni de lettres en sa faveur, III, SOI.
CONCILE d'Alexandrie tenu par saint
Athanase, III, 501.
CONCILE de Milan, le second contre Pho-
tiu, m, SOI. Ursace et Valens y rétractent
leurs calomnies contre saint Athanase, et en
écrivent à ce sujet au pape saint Jules, 501
et suiv.
CONCILE de Sirmium : troisième contre
Photin, III, 503. Formule des Orientaux
dans ce concile, 503 et 504.
CONCILE de Sirmium : quatrième contre
Photin, III, 504 et suiv. Photin y est chassé
et déposé, 504. Formulaire de foi de ce con-
cile, 504 et 505. Ce qu'on a pensé de celte
formule. Elle est orthodoxe, 505 et suiv.
Photin obtient la permission de disputer con-
tre les évoques du concile. Il est confondu, 507.
CONCILE de Laodicée, III, 508 et suiv. Le
temps de ce concile est incertain, 508, 509.
Canons de ce concile, 509 et suiv. Ce con-
cile était composé des évêques d'Asie, 513,
514.
CONCILE de Gangres, III, 514 et suiv.
L'époque de ce concile est incertaine. En
quel temps on peut le mettre, 514. Eustathe
qui y fut déposé est Eustathe de Sébaste,
514 et 515. Qui était Eustathe de Sébaste,
515 et suiv.
517, 518.
CONCILE de Rome où l'on examine l'af-
faire de saint Athanase, III, 519, S20.
CONCILE d'Arles. Les Eusébiens s'effor-
cent d'y faire condamner saint Athanase,
III, 521 et suiv.
CONCILE de Milan. Constance y demande
la condamnation de saint Athanase, III, S22
et suiv. et IV, 100.
CONCILE de Béziers. Saint Hilaire y dé-
nonce les protecteurs de l'hérésie arienne,
m, S26.
CONCILE de Sirmium. Formule impie qui
y fut dressée. Elle est condamnée dans les
Gaules, IV, 349, 350.
Canons du concile de Gangres,
CONCILE d'Antioche. Les Anoméens y
reçoivent la précédente formule de Sirmium,
IV, 530.
CONCILE d'Ancyi'e par les Semi-Ariens,
IV, 330 et suiv. Lettre du concile d'Ancyre
lue à Sirmium, 551, 332. Décrets d'Ancyre
signés à Sirmium par les Anoméens, 531,
532.
CONCILE de Sirmium. Formule ou con-
fession de foi qui y fut faite, IV, 552, 333.
CONCILE de Rimini, IV, 335 et suiv. Quels
évêques s'y trouvèrent; lettre deConstantius
aux évêques de ce concile, 535. Les Ariens
présentent au concile la dernière formule de
Sirmium, 555 et 556. Argument des évêques
catholiques contre celte formule, 356. Décret
de ce concile, 556 et 557. Condamnation
d'Ursace, Valens, Caïus et Germinius, 557,
558. Les catholiques envoient leurs députés
à l'empereur. Les Ariens députent aussi vers
ce prince, 538. Lettre du concile à l'empe-
reur, 558 et 559. L'empereur reçoit favora-
blement les députés des Ariens. Ceux des
catholiquesne peuvent parvenir à lui parler,
559. 560. Lettre de Constantius au concile.
Réponse des pères du concile à l'empereur,
560. Chute des députés du concile. Ils sous-
crivent à la formule appelée de Nice ou de
Rimini, 560 et 361. Retour des députés.
Chute du grand nombre des évêques; Res-
titut, évêque de Carthage, et les autres dé-
putés des catholiques font un acte de réunion
avec les Ariens, SGI. Constance donne des
ordres pour faire souscrire la formule de
Rimini, 361 et 562. Lettre des évêques
ariens à l'empereur, 562. Les Ariens sur-
prennent saint Phébade d'Agen et saint Ser-
vais de Tongres, 563, 564. Conclusions du
concile, 563, 564. Protestation de Valens,
564. Fin du concile. Les Ariens sont députés
vers l'empereur, 565. — Saint Phébade,
évêque d'Agen, assiste au concile de Rimini,
V, 372. Sa fermeté dans ce concile; il se
laisse surprendre aux artifices des Ariens,
373. Témoignage de saint Ambroise sur ce
concile, 488 et 332. — [Note relative au con-
cile de Rimini, IV, 565, note 4.]
CONCILE de Séleucie, IV, 565 et suiv.
Quels évêques y assistèrent; saint Hilaire de
Poitiers y est reçu favorablement, 563, 366.
Artifice des Ariensdans ce concile, 566. Quel
était le parti d'Acace de Césarée, 566 et 567.
Les Acaciens rejettent le symbole de Nicée
et prennent pour règle la troisième formule
de Sirmium ; ils refusent la profession de foi
358.
350.
359.
359.
359.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
233
360.
de la dédicace d'Antioche; ils se retirent du
concile sur le refus que saint Cyrille de Jéru-
salem fait d'en sortir, 567, 368. Les Semi-
Ariens souscrivent au formulaire d'Antioche ;
formule équivoque des Acaciens, 568. Léo-
nas, officier de l'empereur, produit au con-
cile un acte des Acaciens, 568 et 569. Saint
Hilaire de Poitiers découvre les sentiments
des purs Ariens, 569. Nouvelles disputes dans
le concile; Léonas le rompt pour favoriser
les Acaciens, 569, 370. Les Semi-Ariens dé-
posent les é vaques Ariens; ils rétablissent
dans son siège saint Cyrille de Jérusalem,
déposé par Acace de Gésarée, 570. Le con-
cile envoie des députés à l'empereur; les
Acaciens les préviennent et disposent l'es-
prit de l'empereur, 370 et 571. Les députés
sont reçus de l'empereur ; ce prince découvre
les blasphèmes d'Aétius, 37i, 572. Opiniâ-
treté des Ariens; fermeté des évoques du
concile, 372. Constance assiste au jugement
contre Aétius; cet hérétique est confondu;
les évêques députés du concile de Séleucie
veulent engager Ursace et ceux de leur parti
à condamner les blasphèmes d'Aétius; les
chefs des Ariens, au contraire, communi-
quent avec ceux que le concile de Séleucie
avait déposés ; ils s'élèvent contre saint Hi-
laire de Poitiers, 573. Les Anoméens persua-
dent aux députés de Séleucie de recevoir le
formulaire de Rimini; l'empereur entre dans
cette proposition et use de son autorité pour
la faire signer, 573 et 574. — Témoignage de
saint Grégoire de Nazianze sur ce concile, V,
216 et 312.
CONCILE de Constantinople assemblé par
les Acaciens, IV, 574 et suiv. Saint Hilaire
est à Constantinople pendant la tenue de ce
concile, 374, 373. Les Ariens refusent de dis-
puter avec lui ; formulaire de Constantinople,
575. Aétius condamné dans le concile de
Constantinople, 575 et 576. Il est envoyé en
exil ; il y compose divers écrits, 576, 577. Ses
lettres ; évêques déposés dans le concile de
Constantinple ; Macédonius en est un, 577. Ba-
sile d'Ancyre, déposé, 577 et 578 ; avec Eusta-
the de Sébaste, Eleuse de Cyzique, Héortase
etDraconce, Silvain et Sophrone, Néonas,El-
pidius, 578, et enfin saint Cyrille de Jérusa-
lem, 578, 379, etV, 28. Les Acaciens, après
avoir déposé ces évêques, les font exiler, IV,
379. Les évêques exilés révoquent la signa-
ture du formulaire de Rimini ; évêques mis
en leur place, 579 et 380. Eudoxe sur le
siège de Constantinople; ses impiétés dans
les discours à l'occasion de la dédicace
de l'église de Sainte-Sophie ; autres évêques
intrus, 580. Formule de Rimini envoyée pour
être signée dans les provinces d'Orient, 580,
381 . Elle est aussi envoyée dans les provinces
d'Occident, 381, 582.
CONCILE de Mélitine, IV, 382. Avam 360.
CONCILE d'Achaïe (Faux), IV, 382.
CONCILES des Gaules contre les Ariens, 360.
IV, 382.
CONCILE de Paris, IV, 582. Lettre syno- 360ou36i.
date de ce concile, 382 et suiv. — Saint Phé-
bade paraît y avoir assisté, V, 373.
CONCILE d'Antioche, IV,584etsuiv. Saint 36i.
Mélèce est ordonné évêque de cette ville,
584. Il prononce un discours sur le verset 22
du huitième chapitre des Proverbes ; il est
chassé et Euzoïus mis à sa place, 583. Eu-
sèbe de Samosate refuse de rendre le décret
de l'élection de saint Mélèce, 585 et 586. —
Élection de saint Mélèce dans le concile
d'Antioche, V, 5 et suiv.
CONCILE d'Antioche tenu par les Aca- 36i.
ciens, IV, 586.
CONCILES et formulaires des Ariens rap-
portés par saint Athanase, IV, 134, 133.
CONCILE d'Alexandrie, IV, 587 et suiv. 362.
Retour des évêques exilés; ils s'assemblent
à Alexandrie, 587, 588. Actes de ce concile,
588. Décret de ce concile touchant les tom-
bés; ce décret est confirmé partout, 388 et
589. Divinité du Saint-Esprit établie par ce
concile, 589, 390. Question sur le sens des
termes de substance et â'hypostase exami-
née dans ce concile, 590, 391. Doctrine de ce
concile sur l'Incarnation, 591, 592. Lettre
synodale de ce concile, 592, 593. Évêques
qui y souscrivirent ; profession de Paulin
d'Antioche, 593. Autres lettres du concile
d'Alexandrie, 393 et 394.
CONCILE de Théveste en Numidie, tenu 362.
par les Donatistes, IV, 394 et V, 113. Leurs
violences à Lémelle dans la Mauritanie, IV,
594.
CONCILES des Macédoniens à Zèle dans le 362.
Pont et à Antioche, IV, 595.
CONCILE d'Alexandrie, IV, 595. Lettre de 363.
saint Athanase au nom de ce concile, 396,
597.
CONCILE d'Antioche, IV, 597. Lettre syno- 363.
dale de ce concile, 397 et 398.
CONCILE de Lampsaque par les Macédo- 365.
niens, IV, 598, 599.
CONCILE de Nicomédie par les Ariens, IV, gge.
599.
234
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
36G.
367.
367.
369.
370.
372,
373.
374.
375.
375.
376.
377.
375 011 377.
378.
CONCILE des Semi-Ariens de Sicile et de
Sing-idonJV, 599.
CONCILE de Tyanes. Les Semi-Ariens de-
mandent lin concile à Tarse, IV, 599, 600.
CONCILE d'Antioclie dans la Carie. II est
ordonné de s'en tenir à la confession de loi
de la dédicace d'Antioclie, IV, 600.
CONCILE de Rome sous le pape saint Da-
mase, V, 13.
CONCILE dont on ignore le lieu, et dans
lequel nn évêcjae nommé Chronope est dé-
posé, IV, 600.
CONCILE de Rome sous le pape saint Da-
mase, V, 13.
CONCILE de Rome sous le même pape,
IV, 14.
CONCILE de Nicople où saint Basile se
trouva, IV, 360.
CONCILE de Valence dans les Gaules, IV,
600 etsuiv. Quelsévéquesy assistèrent, 600,
601. Sujet de la convocation de ce concile,
601. Canons de ce concile, 601 et 602. Lettre
de ce concile ; décrets attribués à ce concile,
602.
CONCILE d'IUyrie. Motifs de la convocation
de ce concile, IV, 602. Lettre synodale et dé-
cret du concile, 602 et 603. Rescrit ou loi de
Valentinien en faveur du concile, 603. —
Lettre des empereurs Valentinien I" et Va-
lens en faveur de ce concile, VI, 357, 358.
CONCILE d'Ancyre tenu par les Ariens,
IV, 603, 604. Démosthène y fait déposer
Hypsius, évéque de cette ville, 604. Saint
Grégoire de Nysse y est cité, 604. Témoi-
gnage de saint Basile sur ce concile, 476. —
Accusations qui y furent formées contre saint
Grégoire de Nysse, VI, 121.
CONCILE de Nysse tenu par les Ariens,
IV, 604 et VI, 121.
CONCILE de Cyzique. Blasphèmes expri-
més dans la profession de foi d'Eustathe de
Sébasle, IV, 604.
CONCILE d'Icône tenu par saint Amphilo-
que, évêque de celte ville, IV, 605. Lettre de
ce concile, 605 et V, 366. Saint Basile fut
invité à ce concile ; son livre du Saint-Esprit
y tient sa place, IV, 363 et 424.
CONCILE de Rome, 605 et suiv. Les er-
reurs d'Apollinaire y sont condamnées, 606,
607; V, 87. Dispute entre Pierre d'Alexan-
drie et Dorothée, député des Orientaux dans
ce concile, IV, 607, 608. Décret du concile;
décret attribué à ce concile, 608.
CONCILE de Rome, 608etsuiv.Quelleenfut
l'occasion, 608. Autres motifs de la convoca-
tion de ce concile, 608 et 609. Lettre du con-
cile aux empereurs, 609, 610. Loi deGralien
à cette occasion, 610, 611. — Apollinaire fut
condamné dans ce concile, V, 17 et 88.
CONCILE d'Antioche. Quelle en fut l'occa-
sion ; actes de ce concile, IV, 611. Apolli-
naire y est condamné, 611 et V, 88. — Saint
Grégoire de Nysse y assiste, VI, 121.
CONCILE de Rome, IV, 611 et sinv. En
quel temps, 611. Confession de foi qui y fut
dressée, 612, 613; V, 17.
CONCILE de Saragosse contre les Priscil-
lianistes, IV, 613 et suiv. De quels évêques
il fut composé, 615. Canons de ce concile,
615 et 616.
CONCILE œcuménique de Gonstantinople
(Premier), IV, 616 et suiv. Pourquoi il fut
assemblé ; nombre des évêques qui le com-
posaient ; les évêques Macédoniens sont ap-
pelés au concile, 618. Présidents du concile ;
honneurs rendus à saint Mélèce par l'empe-
reur Théodose, 618 et 619. Saint Grégoire de
Nazianze, nommé évêque de Gonstantinople,
619. Saint Mélèce, qui présidait au concile,
étant mort, saint Grégoire préside à sa place,
619 et 620. Contestation dans le concile sur
le choix d'un évêque d'Antioche ; Flavien est
élu pour ce siège, 620. Les évêques d'Egypte
et de Macédoine arrivent au concile; leur
murmure contre saint Grégoire ; il quitte le
siège de Gonstantinople, 620 et 621. Nectaire
est mis à sa place, 621. Symbole de Gons-
tantinople, 621 et 622. Les Macédoniens se
retirent du concile, 622. Canons de ce con-
cile, 622 et suiv. Lettre du concile de Gons-
tantinople à Théodose, 625. Loi de l'empe-
reur pour l'exécution de ce qui avait été ré-
glé par le concile, 625 et 626. En quel temps
finit ce concile, 626. Autorité des canons de
ce concile ; il est reconnu pour œcuménique,
626 et suiv. — Apollinaire y fut condamné,
V, 88. Discours de saint Grégoire de Nazianze
au sortir de cette ville aux évêques du con-
cile, 190. — Témoignage de Théodoret sur
ce concile, X, 48.
CONCILE d'Aquilée, IV, 628 et suiv. Con-
vocation de ce concile par l'empereur Gra-
tien, 628, 629. Les évêques d'Orient n'y
viennent pas; quels furent ceux d'Occident qui
y vinrent, 629. Saint Valérien préside au
concile ; saint Ambroise y a la principale
part, 629, et V, 382. Actes du concile d'A-
quilée ; conférence de saint Ambroise et de
Pallade, évêque arien, IV, 629 et suiv. Doc-
trine de ce concile, 630 et suiv. Éternité du
379.
379.
380.
381.
381.
379.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
233
Fils de Dieu, 630, 631. Divinité du 61s de
Dieu; incorruptibilité et immortalité du Fils
selon sa génération divine ; sa sagesse, sa
bonté, sa puissance, 631, Egalité du Fils de
Dieu, 631 et 632. Condamnation de Pallade,
de Secondien et d'Attale, 632, 633. Lettre
du concile d'Aquilée aux provinces qui
avaient envoyé des députés au concile ;
Lettre du concile aux trois empereurs pour
les informer du succès du concile, 633. Au-
tre lettre du concile aux empereurs, mais
proprement pour Gratien au sujet du schisme
d'Ursin, 633 et 634, Y, 18. Autre lettre aux
empereurs, mais particulièrement à Tbéo-
dose, pour procurer entièrement la paix à
l'Église, IV, 634. — Ces quatre lettres se
trouvent entre celles de saint Ambroise, V,
483. Ce qui se passa dans ce concile, 18.
381. CONCILE d'Italie contre les erreurs d'A-
pollinaire, IV, 633 et suiv — Saint Am-
broise y préside, 633, et V, 382, 383. —Pre-
mière lettre du concile à Théodose, IV, 635.
Seconde lettre, 633 et 636.
382 CONCILE de Constantinople (Deuxième),
IV, 636 et suiv. L'empereur Théodose re-
fuse à saint Ambroise l'autorisation de faire
tenir le concile à Rome; il l'indique à Cons-
tantinople, et y invite saint Grégoire de Na-
zianze, 636, et V, 191. Lettre synodale de ce
concile en réponse à celle des évoques occi-
dentaux, IV, 636, 637. [Observation sur cette
lettre, 637, n. l.J Condamnation de l'hérésie
d'Apollinaire, 637, 638, et V, 88.
382. CONCILE de Rome. Quels évoques y assis-
tèrent, IV, 638.
383. CONCILE de Constantinople (Troisième),
IV, 638 et suiv. Il se trouve à ce concile des
évêques de toutes les sectes, 638. Ce qui se
passa dans ce concile, 639, 640.
384. CONCILE de Bordeaux contre les Priscil-
lianistes, IV, 640, 641.
385. CONCILE de Trêves tenu par les Ithaciens,
IV, 641, 642.
386. CONCILE de Rome, IV, 642 et suiv. Ordon-
nances de ce concile; réponse aux objections
contre ce concile, 642 et suiv. [Note sur le
premier canon de ce concile, 642, n. 1.]
389. CONCILE de Nimes, IV, 644.
Mou 389. CONCILE d'Antioche, IV, 644, 645.
390. CONCILE d'Antioche contrelesMessaliens,
IV, 645, 646.
190 ou 391. CONCILE de Side contre les Messaliens,
IV, 646, 647. — Saint Amphiloque y pré-
side, V, 368. — Saint Maruthas y assiste,
VIII, 3.
CONCILE de Carthage où l'on indique ce- sgo.
lui qui va suivre, IV, 647.
CONCILE de Carthage (Deuxième), IV, 390.
647 et suiv. Canons de ce concile 648 et
suiv.
CONCILE de Rome contre Jovinien, IV, 390.
60O et suiv. — Jovinien y est condamné, V,
389.
CONCILE de Milan contre Jovinien ; lettre
de ce concile, IV, 632, 633. — Jovinien y
est condamné, V, 389.
CONCILE de Milan (peut-être le même)
contre les Itliaciens, IV, 653.
CONCILE de Capoue tenu pour traiter 39i.
du schisme d'Antioche, IV, 653 et suiv., et
VIII, 238. Quelles furent les suites de ce
concile, IV, 654, 655. Décrets du concile de
Capoue, 655. Ce concile traite de l'affaire
de Bonose, 653 et 636. Suite de cette affaire,
636. — L'hérésie de Bonose y est condamnée,
V, 454. Le concile renvoie aux évêques d'E-
gypte le jugement du différend d'Évagre et
de Flavien pour le siège d'Antioche, 498. —
Ce qu'il prononça sur Bonose, VI, 107.
CONCILE de Sangare tenu par les Nova- 392.
tiens, IV, 637, 638. Quelle fut l'occasion de
concile, 657. Décret de ce concile, 657 et
658. Dans ce concile, on cite un décret d'un
concile de Paze touchant la Pâque, 657.
CONCILE de Carthage tenu par les Dona- 393.
tistes, à l'occasion du schisme qui s'élève
entre Maximien et Primien, IV, 658.
CONCILE de Carbasussi tenu par les Do- 393.
natistes, 638, 659. Primien y est déposé ;
Maximien y est mis à sa place, 659.
CONCILE de Bagaïa contre l'élection de 394.
Maximien, IV, 639, 660.
CONCILE général d'Afrique tenu à Hip- 393.
pone, VII, 712 et suiv. A quelle occasion il
fut tenu ; saint Augustin y explique le sym-
bole, 712. Canons de ce concile, 712 et suiv.;
touchant la pâque, 712, 713 ; touchant la
célébration des conciles, 713 ; touchant la
primatie de Stèfe, 713, 714. Difficultés sur
l'abrégé des canons du concile d'Hippone,
714. Ce que contiennent ces canons, 714 et
713. Autres canons du concile d'Hippone,
713, 716.
CONCILE de Carthage dont les actes sont 394.
perdus, VII, 716.
CONCILE général d'Afrique, tenuà Adru-
met, et dont les actes sont perdus, VII,
716.
CONCILE de Constantinople, VII, 716, 717. 394
Quelle en fut l'occasion, 716. Actes de ce
236
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
concile ; ce qui s'y est passé de remarqua-
ble, 7d7.
397. CONCILE de Cartbage tenu avant le con-
cile général de la même année, VII, 111,
718.
397. CONCILE général ou troisième de Car-
tbage, VII, 718 et suiv. Ce qui s'est passé
dans ce concile, 718, 719. Canons de ce con-
cile, 719 et suiv. Conclusion de ce concile ;
autres canons d'un concile de Carthage^
726.
3!!8. CONCILE général ou quatrième de Car-
tbage, VII, 726 et suiv. Difficultés sur les ca-
nons de ce concile, 726, 727. Canons de ce
concile, 727 et suiv.
400. CONCILE cinquième de Cartbage, VII, 733
et suiv. Difficultés sur l'époque de ce con-
cile, 733, 734. Canons de ce concile, 734,
735.
399 ou 401 CONCILE d'Alexandrie contre Origène,
VII, 735. Lettre synodale de ce concile,
735 et suiv.
399 ou 400. • CONCILE de Chypre contre les livres d 'Ori-
gène, VI, 379, 380 et VII, 737. Lettre de Théo-
phile d'Alexandrie à saint Epiphane au sujet
de ce concile, VI, 379 et VII, 445.
CONCILE de Constantinople au sujet des
livres d'Origène, VII, 737.
CONCILE de Turin, VII, 737 et suiv. L'é-
poque de ce concile est incertaine, 737, 738.
Décisions de ce concile sur les droits de l'É-
glise de Marseille, 738.
400. CONCILE de Tolède, VII, 739 et suiv.
Quelle en fut l'occasion, 739. Canons de ce
concile, 739 et suiv. Autres actions du même
concile, 742. Sentence prononcée dans ce
concile, 742 et 743. L'extrait des actes de
ce concile paraît avoir été fait plusieurs an-
nées après ; confession de foi attribuée à ce
concile, 743. Lettre du pape saint Innocent
aux évêques de ce concile, 509, 510.
400. CONCILE de Constantinople, VII, 743 et
suiv. Eusèbe, évéque de Valentinianople,
accuse Antonin, évêqued'Épbèse; comment
saint Jean Chrysostôme reçoit ces accusa-
tions; Eusèbe persiste; on instruit le procès
d'Antonin, 744. Antonin empêche qu'on en-
tende des témoins, 744 et 745. Il s'accom-
mode avec Eusèbe, 745.
CONCILES DU CINQUIÈME SIÈCLE.
401. CONCILE d'Éphèse, VII, 745, 746. Saint-
Jean Chrysostôme s'y transporte pour l'or-
dination d'un évêque, 745. Les évêques si-
moniaques sont condamnés à ce concile,
745 et 746.
CONCILE du Chêne contre saint Jean 403.
Chrysostôme, VII, 746 et suiv. Quelle en
fut l'occasion, 746. Quels évêques y assis-
tèrent, 746 et 747. Actes de ce concile, 746.
Procédure contre saint Jean Chrysostôme,
747. Députation du concile contre le saint
archevêque, 747 et 748. Seconde députation.
On maltraite les évêques du parti de saint
Jean Chrysostôme, 748. Autres accusations
contre saint Chiysostôme. Il est déposé par
le concile, 748 et 749. Lettre synodale du
concile du Chêne au clergé de Constanti-
nople; lettre du concile à l'empereur Arcade
qui bannit saint Jean Chrysostôme ; le pape
saint Innocent refuse de cond imner le saint .'»
archevêque ; autres actions de ce concile, i
749. Voyez aussi ce qui en est dit au même |
volume, p. 6. -^
CONCILE généfal de Cartbage, VIII, 536. 40i.''
537. En quel temps il fut tenu, 536. Ce qui
y fut fait, 536 et 537.
CONCILE général de Cartbage et ses rè- 40i.
glements, VIII, 537 et suiv.
CONCILE général de Milève, VIII, 539. 402.
Canons de ce concile, 539 et 540.
CONCILE général de Cartbage; ce qui s'y 403.
passa, VIII, 540.
CONCILE général de Cartbage, VIII, 540 404.
et 541.
CONCILE général de Cartbage, VIII, 541 405.
et 542.
CONCILE général de Cartbage, VIII, 542. 407.
Règlements de ce concile, 542 et 543.
CONCILES généraux de Cartbage; en quel 408.
temps ils furent tenus et ce qui y fut fait,
VIII, 543. :
CONCILE provincial de Cartbage, VIIl, m:
543, 544. En quel temps il fut tenu, 544.
CONCILE général de Cartbage ; en quel 410.
temps et à quelle occasion il fut tenu, VIII,
544.
CONCILE ou Synode de Ptolémaïde ; en 411.
quel temps et à quelle occasion il fut tenu,
VIII, 544.
CONCILE de Rome,
sous
suiv.
le pape saint
Canons de ce
Innocent, VIII, 544 et
concile, 544.
CONCILE de Cirtbe, VIII, 645 et suiv. La
lettre synodale de ce concile adressée aux
Doualistes est de saint Augustin, 547. Ana-
lyse de cette lettre, 547 et 548.
CONCILE de Brague, paraît faux, VIII,
548, 549. Décrets de ce concile, 549.
413.
411.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
237
CONCILE contre les Pélagiens, VIII, 549
et suiv.
CONCILE de Carthage, VIII, 349. En quel
temps il fut tenu et ce qui s'y passa, S49
et 530.
CONCILE de Macédoine, VIII, 330.
CONCILE de Jérusalem, VIII, 330. Actes
de ce concile, 5o0,531.
CONCILE de Diospolis ou de Palestine,
VIII, 551 et suiv. Actes de ce concile, 532,
553. — Ce qui s'y passa, VII, 332 et 542. —
Jugement que porta sur ce concile le pape
saint Innocent, IX, 453.
CONCILE de Carthage ; en quel temps il
fut tenu. Ce qui s'y passa, VIII, 333 et 354.
Lettre de ce concile au pape saint Innocent,
554 et VIT, 521, 322, et IX, 130. — Lettre
de ce pape aux pères du concile, VII, 522.
CONCILE de Milève, VIII, 554. Ce qui s'y
passa, 554 et 553. — Lettre du concile à saint
Innocent et réponse, VII, 322, 523.
CONCILE de Carthage, VIII, 555, 656. En
quel temps et ce qui s'y passa, 556.
CONCILE général de Carthage, VIII, 536
et suiv. En quel temps il fut tenu, 336. Neuf
canons de ce concile contre les Pélagiens,
556 et suiv. Dix canons du même concile,
touchant la réunion des Donatistes, 559,
560. Confirmation des décrets contre les Pé-
lagiens, 560.
CONCILE de Tusdre, VIII, 560. En quel
temps il fut tenu ; ce qui s'y passa. Canons
de ce concile, 560 et 561.
CONCILE de Telle ou Télepte, VIII, 561,
562. En quel temps il fut tenu; ordonnances
de ce concile, VI, 103, 104.
CONCILES tenus dans le même temps et
canons que l'on a recueillis de ces différents
conciles, VIII, 561, 362.
CONCILE de Carthage à l'occasion de l'af-
faire d'Apiarius, VIII, 362, 363. En quel
temps il fut tenu et ce qui s'y passa, 363.
CONCILE (sixième) de Carthage, VIII,
563 et suiv. En quel temps il fut tenu et ce
qui s'y passa, 563, 364. Canons de ce con-
cile, 564 et suiv. Prolongation du concile ;
canons qui y furent ajoutés, 368. Lettre sy-
nodale de ce concile au pape Boniface tou-
chant l'affaire d'Apiarius, 7, 568, 569. [Note
relative à cette lettre, 569, note 1.] Lettres
de ce concile à saint Cyrille d'Alexandrie et
à Atlicus de Constantiaople, 569.
CONCILE de Ravenne convoqué par l'em-
pereur Honorius, pour terminer le schisme
qui s'était élevé dans l'Église de Rome au
sujet de l'élection d'un pape, VIII, 569, 570.
CONCILE de Carthage au sujet des Mani-
chéens, Vin, 570.
CONCILE de Carthage au sujet d'Apiarius, 421.
VIII, 570, 571. Lettre synodale du concile au
pape Célestin, pour revendiquer les droits 426.
des églises particulières contre ce qu'on ap-
pelle les prétentions de l'Église de Rome, 371.
[Note sur cett lettre, 127, n. 2.]
CONCILE d'Hippone, où saint Augustin 426.
désigne le prêtre Héraclius pour son succes-
seur, VIII, 571.
CONCILE de Gonstantinople pour l'élection 426.
d'un évêque de cette ville, VIII, 571, 372.
Sisinnius est élu, 572.
CONCILE tenu à Gonstantinople par Nés- 428 ou 4
torius, VIII, 572. Il y fait condamner ses
adversaires, 370.
CONCILE d'Alexandrie, où les erreurs de
Nestorius sont condamnées, VIII, 239, 369,
572, 373.
CONCILE de Rome, où les erreurs de Nes-
torius sont dénoncées, VIII, 133, 259 371 , 373.
CONCILE d'Alexandrie, où saint Cyrille
produit ses douze anathématismes contre les
erreurs de Nestorius, VIII, 239, 373, 374.
CONCILE d'Éphèse, troisième œcumé-
nique. L'empereur Théodose le Jeune en
fait la convocation par une lettre circulaire ;
le pape saint Célestin n'a eu aucune part à
cette convocation , VIII, 374. Il y envoie
ses légats, 574 et 573. L'évêque de Carthage
y députe un diacre ; saint Cyrille et Nesto-
rius s'y rendent avec beaucoup d'autres
évéques ; ordre que l'empereur établit dans 434.
le concile, 373. Jean d'Antioche se fait at-
tendre longtemps. Occupation des évéques
avant l'ouverture du concile, 575 et 576. Le
concile s'assemble le 22 juin, 576, 577. Pre- 22 juin,
niière session à laquelle préside saint Cyrille,
577 et suiv. Les erreurs de Nestorius sont
condamnées, et lui déposé; la sentence de
déposition est signifiée à Nestorius, 579.
Relations défavorables envoyées à l'empe-
reur par le comte Gandidien et par Nesto-
rius, 579 et 580. Lettre du concile à l'em-
pereur, 580. Arrivée des Orientaux àÉphèse.
Ils déposent saint Cyrille et Memnon, 380
et suiv. Le concile fait parvenir à l'empereur
une lettre qui lui fait connaître la vérité des
choses, 582, 583. Nouveaux nuages qui se
répandent. L'empereur confirme la déposi-
tion de Nestorius, de Cyrille et de Memnon,
383, 584. Arrivée des légats du pape à,
Éphèse. Seconde session du concile, 384, lo juillet.
430.
430.
430.
430.
238
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
H juillet.
16 juillet.
17 juillet.
32 juillet.
31 juillet.
433.
583. Troisième session. La déposition de
Nestorius est confirmée, S83, 586. Qua-
trième session. Le concile dresse une en-
quête en plainte contre Jean d'Antioclie, qui
ensuite est cité pour rendre compte de son
entreprise, 586. Cinquième session. Jean et
ses adhérents sont cités pour la troisième
fois, et retranclaés de la communion ecclé-
siastique, 586, 587. Le concile écrit i l'em-
pereur pour l'informer de ce qui s'était
passé, 587, 588. Lettre au pape. Autres
lettres. Les schismatiques écrivent de leur
côté à l'empereur, 588. Sixième session.
Définition de foi, 588 et 589. Septième et
dernière session. Plainte des évêques de l'ile
de Chypre contre les entreprises de l'Eglise
d'Antioche, 589 et suiv. Affaires particu-
lières décidées dans cette même session,
591, 592. Canons du concile d'Éphèse; le
comte Jean entreprend de réunir les évêques
des deux partis, 592. Il fait un rapport infi-
dèle à l'empereur. Les évêques catholiques
s'en plaignent, 592 et 593, Députés du con-
cile à l'empereur, 593 et suiv. Les députés
des deux partis arrivent à Chalcédoine et
ont plusieurs audiences de l'empereur, 596,
597. Les députés catholiques appelés àCons-
tantinople pour y ordonner un évêque. Re-
présentation des Orientaux à ce sujet, 597,
598. Maximien est élu évêque de Conslanti-
nople. Concile dans la même ville, 598, 599.
Troubles qui suivirent le concile d'Éphèse.
Concile de Tarse et d'Antioche, 599, 600.
L'empereur travaille à la paix, 600, 601.
Elle est enfin rétablie, 601, 602. Quelques
Orientaux refusent d'y accéder. Conciles de
Zeugma et d'Anazarbe, 602. — Lettre du
pape saint Célestin aux évêques du concile
d'Éphèse, 138, 139. Lettres du concile
d'Éphèse à saint Célestin, 139. Autre lettre
de saint Célestin au concile d'Éphèse, 142.
Lettre d'Acace de Bérée à ce concile ou à
l'empereur, 240. Acace de Bérée envoie
Paul d'Emèse au concile, 239. Jean, évêque
d'Antioche y arrive tard; concile tenu à
Éphèse par Jean, évêque d'Antioche. Saint
Cyrille d'Alexandrie et Memnou, évêque
d'Éphèse, y sont déposés, 245. Jean d'An-
tioche est séparé de la communion du con-
cile d'ÉpBèse, 245 et 246. Lettre du pape
Sixte III aux évêques d'Orient qui avaient
assisté à ce concile, 230, 231. Convocation
du concile d'Éphèse. Son commencement;
Nestorius y est condamné, 260. Le concile
écrit deux lellres à Théodose qui avait été
surpris, 561. Marins Mercator traduit les
actes de la sixième session du concile d'É-
phèse, 506, 507. — Juvénal, évêque de Jé-
rusalem, tient le second et quelquefois le
premier rang au concile d'Éphèse, X, 17.
CONCILE de Tarse tenu par Jean d'Antio-
che ; saint Cyrille y est déposé, VIII, 246,
539.
CONCILE d'Antioche tenu par Jean d'An-
lioche contre saint Cyrille, VIII, 599.
CONCILE de Constantinople tenu par Maxi-
mien. Plusieurs évêques du parti de Jean
d'Antioche y sont déposés^ VIII, 599.
CONCILE d'Antioche tenu par le patriarche
Jean, pour sa réunion avec saint Cyrille
d'Alexandrie, Vil, 247, 380.
CONCILE de Zeugma pour la paix de l'É-
glise après le concile d'Ephèse, VIII, 377,
602.
CONCILE d'Anazarbe où fut réitérée l'ex-
communication prononcée contre saint Gy-
rille, VIII, 377, 378, 602, 603.
CONCILE de Rome tenu par saint Sixte lll
contre les Pélagiens et les Nestoriens, VIII,
250.
CONCILE d'Edesse où l'évêque Rabulas se
sépare de la communion de Jean d'Antioche,
X, 143, 144.
CONCILE de Thessalonique tenu par Anas-
tase, évêque de cette ville pour faire recon-
naître son autorité dans toute l'Illyrie, VIII,
250.
CONCILE de Thessalonique sur le même
sujet, VIII, 250.
CONCILE d'Orient dont parle le pape
Sixte III dans sa quatrième lettre aux évê-
ques d'Illyrie, VIII, 253, 254. Il y a lieu de
croire que c'est celui tenu à Constantinople
en 437, 404, 406.
CONCILE de Riez en Provence pour remé-
dier aux désordres que l'élection d'un évê-
que avait causés dans l'Église d Embi'un ;
saint Hilaire préside à ce concile ; évêques
qui y assistèrent, VIII, 603. Décrets de ce
concile, 605 et 606. Armentaire intrus sur le
siège d'Embrun y esi réduit au rang de cho-
révêque, 606.
CONCILE d'Orange présidé par saint Hi-
laire d'Arles, VIII, 606 et suiv. Canons de
ce concile, 607 et suiv. Faux décrets que
Gratien et quelques autres attribuent à ce
concile, 610.
CONCILE deVaison, VllI, 610. Canons de
ce concile, 610 et 611.
CONCILE d'Arles (second). Difflcullé d'en
1
m
432.'
V.
433.
j
433.^
433. r
t
V. 433.
435.
436.
437.
439.
442.
443.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
239
44.
.44.
flxer l'année, VIII, 611, 612. Raisons qui dé-
cident pour l'année 443 ; dispositions de ce
concile contre les bigames, 612. Principaux
canons de ce concile, 612 et 613.
CONCILE qu'on croit avoir été tenu à Be-
sançon et où l'évéque Quélidoine fut déposé,
VIII, 436, 613.
CONCILE de Rome qui rétablit Quélidoine
déposé par saint Hilaire, VIII, 436.
14 à 444. CONCILE d'Ephèseau sujet de l'ordination
forcée de Bassien pour l'évêché d'Evazes,
X, 666.
44. CONCILE de Constantinople en faveur de
Bassien intronisé évêque d'Ephèse, X, 666.
43. CONCILE d'Antioche au sujet d'Athanase,
évêque de Perrha, X, 666, 667.
ou 444. CONCILE de Rome tenu par le pape saint
Léon contre les Manichéens, X, 667.
CONCILE d'Hiéraple où Sabinien est or-
donné évêque de Perrha, X, 667.
ou 446. CONCILE d'Astorga en Espagne contre les
Manichéens, X, 667.
iècie. CONCILE dans les Gaules contre les Pé-
lagiens, X, 667.
iècie. CONCILE de Saint-Albans en Angleterre
contre les Pélagiens, X, 667.
CONCILE d'Antioche où Ibas d'Edesse est
justifié, X, 667, 668.
«8. CONCILE de Constantinople au sujet d Ibas
d'Edesse, X, 668.
447. CONCILE de Tolède contre les Priscillia-
nistes, X, 668, 669.
. 447. CONCILE de Galice contre les mêmes, X,
669.
447. CONCILE d'Antioche tenu par Domnus
pour examiner l'affaire d'Ibas, accusé de
Nestorianisme, X, 144.
448. CONCILE de Tyr tenu par Photius sur
l'affaire dlbas, X, 144.
448. CONCILE de Béryte où Ibas, évêque d'E-
desse, se justifie de ce dont on l'accusait, X,
145.
418. CONCILE de Constantinople où Eutychès
fut condamné. Quelle en fut l'occasion ; pre-
mière session. Eutychès est dénoncé par
Eusèbe deDorylée, X,669. Seconde session.
On y déclare la foi de 1 Église sur l'union des
deux natures en Jésus-Christ, 669 et 670.
Troisième session. On y rend compte de la
première sommation faite à Eutychès de
comparaître au concile, 670, 671. Il est cité
une seconde fois, et une troisième fois, et
refuse toujours de sortir de son monastère ;
qualrième session. L'abbé Abraham se pré-
sente de la part d 'Eutychès, 671. Cinquième
session. Eusèbe de Dorylée renouvelle sa
dénonciation, 671 et 672. Sixième session.
Eusèbe continue ses poursuites, 672. Sep-
tième session. Eutychès avoue son erreur
et y persiste, 672 et 673. Sentence portée
contre cet hérésiarque, 674, 675.
CONCILE de Constantinople convoqué à la 449.
sollicitation d'Eutychès. On y discute les
actes du concile précédent, X, 675.
CONCILE d'Ephèse (Faux) convoqué sur les
sollicitations d'Eutychès et deDioscore, évê-
que d'Alexandrie, X, 675 et suiv. Le pape et
les évêques y sont invités, 675. Ouverture 449.
de ce concile. Dioscore y préside, 675, 676.
Requête présentée par Eutychès où il se
plaint de ce qui avait été fait contre lui au
concile de Constantinople, 676 et suiv. Eu-
tychès déclaré absous et rétabli ; saint Flavien
est condamné, malgré la réclamation des
catholiques, 678 et suiv. Horreur que l'É-
glise a eue de ce faux concile, qui ensuite
n'a été désigné que par le nom de brigan_
dage, 680. Juvénal de Jérusalem y paraît
comme défenseur de Dioscore, évêque d'A-
lexandrie, 17. Ibas d'Edesse y est condamné,
146. Saint Léon y envoie ses légats, 173.
Lettre de ce pape adressée à ce concile, 214.
Saint Hilaire, légat du pape saint Léon à ce
concile. Conduite qu'il y tint, 173, 333, 675
et 679, 680.
CONCILE de Rome tenu par le pape saint «9.
Léon après le brigandage d'Ephèse, X, 680.
CONCILE de Constantinople tenu par Ana-
tohus. Eutychès y est anathématisé, X, 680,
681.
CONCILE de Milan où la lettre de saint 451.
Léon à Flavien est approuvée, et Eutychès
anathématisé, X, 681.
CONCILE d'Arles où la lettre de saint Léon 451,
à Flavien est approuvée, X, 681.
CONCILE de Chalcédoine, quatrième œcu- 451,
ménique indiqué d'abord à Nicée par l'em-
pereur Marcienqui en écrit à saint Léon, X,
681 et suiv. Le concile s'assemble à Nicée et
est ensuite transféré à Clialcédoine, 683. Ou-
verture du concile. Première session, 683,
684. Dioscore est accusé, 684, 685. Saint
Flavien justifié, 685, 686. Seconde session.
On propose d'établir la vérité de la foi, 686,
687. Troisième session. Dioscore est cité au
concile et condamné, 087 et suiv. Quatrième
session. Plusieurs évèques sont rétablis, 689,
690. Requête des abbés schismatiques, 690,
691. Cinquième session. On y lit une défini-
tion de toi dressée pai' les principaux évê-
240
HISTOIRE DES AUïEtRS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
ques, C91, 692. Sixième session où se trouve
l'empereur. La définition de foi sur les deux
natures en Jésus-Christ y est acceptée, 692,
693. Septième session. On confirme l'accord
t'ait entre Maxime d'Antioche et Juvénal de
leur juridiclion, 693. Huitième session où
l'on traite l'affaire de Théodoret, évéque de
Cyr, qui est renvoyé dans son siège, 692 et
693. Neuvième et dixième sessions. Ibas est
reconnu pour orthodoxe et rétabli dans lé-
piscopat, 694. Onzième et douzième sessions.
On y termine l'affaire de Bassien et d'Etienne,
évêque d Ephèse, 694 et 695. Treizième ses-
sion. L'évêque de Nicomédie est maintenu
dans les droits de métropolitain sur toute la
Bithynie, 695. Quatorzième session. On y
termine le différend entre Athanase et Sa-
binien, pour le siège de Perrha, 695 et 696.
Quinzième session. On accorde à l'évêque de
Constantinople une préférence d'honneur
sur tous les autres évêques, après celui de
Rome, 696. Canons du concile de Chalcé-
doine, 696 et suiv. Autorité de ces canons,
701. Seizième session. Les légats du pape s'y
opposent à ce qui avait été décidé dans la
session précédente, concernant l'évêque de
Constantinople, 696 et 702. Différents exem-
plaires des actes du concile de Chalcédoine;
Raisons de cette différence, 702. Discours du
concile à l'empereur, 702 et 703. Lettre du
concile au pape saint Léon, 703. Lois pour
l'observation des décrets du concile, 703 et
704. — Convocation du concile de Clialcé-
doine, VIII, 473. Eloges que ce concile donne
à l'impératrice Pulchérie, 473 et 474. — Ju-
vénal de Jérusalem y est rétabli dans la
communion de l'Église, X, 17. Théodoret y
est reçu. 24. Ibas d'Edesse y est rétabli,
146, 147. Saint Léon en avait sollicité la con-
vocation et y envoya ses légats, 174. Il en
confirme les décisions, 175. Lettre qu'il écrit
à ce concile, 222. Les pères de ce concile lui
en envoient lesactes, 224. Lettre de saintLéon
aux évêques qui avaient assisté à ce concile,
226. Accusations que les Eutychiens for-
maient contre ce concile, réfutées par Vigile
de Tapse, 476 et suiv. Ses décrets confirmés
par Euphémius de Constantinople, 487, et
par saint Macédonius son successeur, 488.
— Epîtres synodales écrites à l'empereur
Léon pour la défense de ce concile, recueil-
lies par Epiphane le Scholastique, XI, 102.
[Apologie de ce concile par Ephreui pa-
triarche de Constantinople, 171, n. 6. Abrégé
des actes du concile de Chalcédoine par Vé-
récundus, 346.] Justification de ce concile
contre les imputations des Sévériens, dans
la conférence tenue à Constantinople, 843 et
suiv. Saint Grégoire ne comptait pour actes
du concile de Chalcédoine que les sept pre-
mières actions, 495. Concile de Chalcédoine
falsifié dans un endroit par l'Éghse de Cons-
tantinople selon saint Grégoire, 505. Ré-
ponse de Léon de Byzance aux objections
des schismaliques contre le concile de Chal-
cédoine, 668, 669. Dieu autorisa par un mi-
racle les décrets du concile de Chalcédoine,
312. — [Lettre des Grecs aux Amenions pour
les décrets du concile de Chalcédoine, XII,
39. Cette lettre est de saint Germain patriar-
che de Constantinople, 39 et 40. Ce qu'elle
contient, 40.]
CONCILES de saint Patrice. Ce que c'est ;
le premier paraît en effet avoir été tenu en
Irlande, X, 704. Canons de ce concile. La
plupart sont pour régler la conduite des clercs,
705, 706. Second concile attribué à saint
Patrice. On ne peut rien décider sur le lieu
ni sur le temps de ce concile, mais il est très
ancien, 706. Canons de ce concile. La plupart
paraissent être des réponses à des difficultés
proposées aux évêques assemblés, 706 et
suiv.
CONCILE douzième d'Arles : temps de ce
concile; ses canons sont presque tous tirés
des conciles précédents, X, 708. C'est le
même qui se trouve mis en 443 au VHP vo-
lume, p. 611, 612.
CONCILE d'Angers, présidé par Léon
évêque de Bourges, X, 708, 709.
CONCILE de Jérusalem tenu par le pa-
triarche Juvénal, X, 18.
CONCILE de Galatie. Témoignage qu'il
rend à Timothée d'Alexandrie, V, 93.
CONCILE d'Arles. On y règle les droits
de l'évêque de Préjus sur l'abbaye de Lérins,
X, 710.
CONCILE de Constantinople tenu par le
patriarche Gennade. Lettre circulaire contre
la siraonie, X, 345, 710, 711.
CONCILE de Tours présidé par saint Per-
pétue. Ses canons, X, 711, 712.
CONCILE de Vannes, en Bretagne, assem-
blé à l'occasion de l'ordination de l'évêque
Paterne, X, 712. Canons de ce concile ; ils
sont semblables à ceux du concile de Tours,
712 et suiv.
CONCILE de Rome, sous le pape saint Hi-
laire, au sujet d'Hermès, devenu évoque de
Narbonne, X, 715.
i
V siècle.
452.
453.
453.
458. 1
V. 4G0,
461.
V. 465.
463.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
241
CONCILE de Rome au sujet de Silvain,
évêque de Calahorra, X, 716.
CONCILE d'Arles, tenu par l'évêque
Léonce, au sujet d'une entreprise de saint
Mamert, évêque de Vienne, sur l'Église de
Die, X, 7iS, 716.
CONCILE d'Espagne au sujet de Silvain,
évêque de Calahorra, X, 716.
CONCILE d'Angleterre pour l'élection
d'un roi, X, 716, 717.
CONCILE de Chalon-sur-Saône tenu par
saint Patient, pour élire un évêque de cette
ville, X, 717.
CONCILE de Bourges où saint Simplice
est élu évêque, X, 717.
CONCILE d'Antioche. Pierre le Foulon y
est déposé et Etienne mis à sa place, X, 717.
CONCILE d'Arles. Les erreurs du prêtre
Lucide sur la prédestination et sur la grâce
y sont condamnées, X, 717, 718.
T. m. CONCILE de Lyon, sous Patient, au sujet
de quelques erreurs, X, 718.
479. CONCILE de Laodicée. Etienne, évêque
d'Antioche, accusé de nestorianisrae, est
justifié, X, 718.
V. 482. CONCILE d'Alexandrie où Jean Talaïa est
élu évêque, X, 718.
CONCILE de Rome où les légats prévari-
cateurs du pape Félix III sont déposés, X,
414 et 719.
CONCILE de Rome. Sa lettre synodale
adressée aux clercs et aux moines d'Orient,
X, 719.
CONCILE de Rome concernant les afi'aires
de l'Église d'Afrique, et principalement la
manière dont on devait se conduire à l'é-
gard de ceux qui étaient tombés dans la
persécution, X, 719 et suiv.
492. CONCILE de Constantinople où Euphé-
mius fait confirmer les décrets du concile de
Ghalcédoine, X, 722.
496. CONCILE de Constantinople où le patriar-
che Euphémius est déposé, et l'Hénotique
de Zenon confirmée, X, 723.
494. CONCILE de Rome tenu par le pape saint
Gélase. On y dresse le catalogue des livres
de l'Ancien et du Nouveau Testament que
l'Église romaine reçoit avec vénération; rai-
sons pour et contre d'attribuer ce catalogue
au pape Gélase, X, 723. Autres décrets de
ce concile, 724, 723. Voyez l'article du pape
saint Gélase.
495. CONCILE de Rome où IMisène, l'un des
légats qui avaient trahi leur ministère, est
rétabli, X, 723, 726.
TAB. I.
484.
485.
487.
504.
506.
CONCILE de Rome qui interdit toutes bri- «a.
gués pour parvenir au pontificat, X, 726.
CONCILES DU SIXIÈME SIÈCLE.
CONCILE de Rome où le pape Symmaque 5M.
est justifié des crimes dont on l'avait fausse-
ment accusé, X, 726 et suiv. Première ses-
sion, 726, 727. Seconde session; un tumulte
empêche le pape d'y comparaître, 727, 728.
Troisième session ; le pape est absous, 728.
Voyez aussi p. 322.
CONCILE de Rome présidé par le pape 502.
Symmaque. On y infirme le statut du préfet
Basile, qui défendait d'élire l'évêque de
Rome sans le consentement du roi d'Italie,
X, 728, 729.
CONCILE de Rome où on ht l'apologie du 503.
pape Symmaque, composée par Ennode, X,
729 et suiv. On renouvelle les anciens ca-
nons qui défendent aux fidèles d'accuser
leurs pasteurs^ excepté en certains cas ,
732.
CONCILE de Rome contre les usurpateurs
des biens de l'Église, X, 732, 733.
CONCILE d'Agde tenu sous les auspices
d'Alaric, roi des Visigoths, en Espagne, X,
736. Canon de ce concile, 736 et suiv. Vingt-
cinq canons cités par Gratien comme étant
de ce concile, mais qui sont presque tous
tirés du concile d'Epaone, 742, 743.
CONCILE de Toulouse dont les actes ne
sont pas venus jusqu'à nous, X, 743.
CONCILE d'Orléans (Premier), assemblé
par ordre du roi Clovis, X, 743, Canons de
ce concile, 743 et suiv.
CONCILE d'Agaune tenu par ordre du roi
Sigismoud. On y règle ce qui concerne le
monastère d'Agaune renouvelé par Sigis-
mond, X, 746. Authenticité de ce concile,
746 et 747. Editions des actes de ce concile,
747.
CONCILE de Tarragone tenu pour main- 516.
tenir l'ancienne discipline et prévenir quel-
ques abus, X, 747 et suiv.
CONCILE de Girone, X, 746. Canons de sn.
ce concile, 746 et 730.
CONCILE de Sidon convoqué par l'empe- v. 512.
reur Anastase, pour détruire l'autorité de
celui de Chalcédoine, X, 730.
CONCILE d'Epaone. Analyse des canons 517.
de ce concile, XI, 814 et suiv.
CONCILE de Lyon assemblé au sujet de 5i7.
l'inceste commis par un nommé Etienne
avec Palladia, XI, 817, 818.
16
507.
SU.
515.
242
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
518.
518.
518.
518.
519.
521.
524.
524.
524.
524.
525.
527.
529.
529.
529.
631.
530.
531.
CONCILE de Gonstantinople tenu par le
patriarche Jean, où Sévère est condamné,
et les noms de Macédonius, d'Euphémius,
etc., rétablis dans les diptyques, XI, 818,
819.
CONCILE de Jérusalem où l'anathème
prononcé contre Sévère est approuvé, XI,
819, 820,
CONCILE de Tyr sur le même sujet, XI,
820.
CONCILE de Rome sur le même sujet, XI,
823.
CONCILE de tous les évêques de la Gran-
de-Bretagne, tenu à Caerléon, pour extirper
les restes de l'hérésie pélagienne, XI, 823,
824.
CONCILE en Sardaigne où les évêques
exilés d'Afrique expliquent leur sentiment
sur la grâce et le libre arbitre, XI, 824.
CONCILE d'Arles (Quatrième), présidé par
saint Césaire, XI, 824.
CONCILE de Lérida. Analyse des seize
canons de ce concile, XI, 824 et suiv.
CONCILE de Valence, en Espagne. Ana-
lyse de ses canons qui regardent principale-
ment ce qui doit être observé pendant la
vacance du siège d'une Église, XI, 826 et
suiv.
CONCILE de Janque présidé par Libérât,
primat de la Byzacène, XI, 828.
CONCILE de Cartbage présidé par l'évê-
que Boniface, XI, 828 et suiv.
CONCILE de Carpentras où on règle la
manière d'administrer les revenus des pa-
roisses de la campagne, XI, 831, 832.
CONCILE d'Orange (Deuxième), présidé
par saint Césaire, XI, 832. Canons de ce
concile, 832 et suiv. Sentiments de ce con-
cile sur la grâce et le libre arbitre, 836, 837.
Autorité de ce concile sur ces matières ; sa
doctrine confirmée par le pape et par l'É-
glise universelle, 837, 838.
CONCILE de Valence, en Dauphiné, où
les matières de la grâce sont encore agitées,
XI, 838.
CONCILE de Vaison dont les canons re-
gardent principalement l'arrangement de
l'office divin, XI, 838, 839.
CONCILE de Tolède présidé par l'évèquc
Montan. Canons qu'on y fait sur la disci-
pline, XI, 839 et suiv.
CONCILES de Rome assemblés par le
pape Boniface II, XI, 841.
CONCILE de Rome, par le même, au su-
jet d'Elienne, évêque de Larisse, déposé
dans un concile de Gonstantinople, XI, 841
et suiv.
CONCILE d'Orléans (Deuxième). On y
traite divers points de discipline, 847. Ca-
nons de ce concile, XI, 848, 849.
CONCILE de Clermont, en Auvergne. Ca-
nons de ce concile concernant la discipline,
XI, 849, 850. Lettre synodale du concile au
roi Tbéodebert, 850.
CONCILE de Carthage. On y délibère sur
la conduite qu'on devait tenir avec les évê-
ques Ariens qui rentraient dans TÉglise ca-
tholique, XI, 850, 851. Ou consulte le pape;
sa réponse, 850. Décision de ce concile con-
cernant les monastères, 850 et 851.
CONCILE de Constantinople tenu par le
pape saint Agapet. Anthime y est déposé et
Mennas ordonné à sa place, XI, 851, 852.
CONCILE de Gonstantinople tenu par le
patriarche saint Mennas. Sévère d'Anlioche,
Pierre d'Apamée et leurs partisans sont ana-
thématisés, XI, 852 et suiv.
CONCILE de Jérusalem où l'on confirme
les anathèmes prononcés contre les Sévé-
riens par le concile de Constantinople, XI,
855, 856.
CONCILE d'Orléans (Troisième), sur la
discipline. Canons de ce concile, XI, 856 et
suiv.
CONCILE de Barcelone. Ses canons, XI,
859.
CONCILE de la province de Byzacène, en
Afrique, confirmé par un rescrit de l'empe-
reur Justinien, XI, 859.
CONCILE d'Oriéans (Quatrième). Analyse
des canons de ce concile, XI, 859 et suiv.
CONCILE de Gonstantinople où les Trois-
Chapitres sont condamnés, XI, 862.
CONCILE d'Orléans (Cinquième) assemblé
pour juger Marc évêque d'Oriéans, qui y est
justifié, XI, 862. Canons de ce concile, 862
et suiv.
CONCILE de Clermont (Deuxième), en
Auvergne, qui confirme les canons du cin-
quième concile d'Orléans, XI, 864.
CONCILE de Toul tenu par saint Nicet,
archevêque de Trêves, à l'occasion d'in-
sultes que lui firent quelques Francs qu'il
avait excommuniés, XI, 864, 865.
CONCILE de Mopsueste. On y constate
que le nom de Théodore de Mopsueste n'é-
tait point dans les diptyques de cette Église,
XI, 366 et suiv.
CONCILE de Constantinople, cinquième
œcuménique et le deuxième tenu en cette
535.
536.
536.
538.
540.
541.
541.
547.
549.
549.
850.
550.
553.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
243
ville, XI, 865, 866. On. convient d'assembler
en nombre égal les évêques d'Orient et
d'Occident pour traiter l'affaire des Trois-
Chapitres, 868. L'empereur, sans égard à
cette convention, se hâte d'assembler le
concile. Première conférence ou session :
on y lit une lettre de l'empereur Justinien,
et la profession de foi du patriarche Euty-
chius; on invite le pape Vigile à s'y rendre,
668 et 869. Seconde conférence : on y rend
compte des démarches faites auprès du
pape Vigile pour l'engager à venir au con-
cile ; on invite Primase, évêque d'Adrumète,
et trois évêques d'Illyrie, à s'y rendre, 869,
870. Troisième conférence ; les évêques font
leur profession de foi, 870. Quatrième con-
férence : on discute les écrits de Théodore
de Mopsueste, 870, 871. Cinquième confé-
rence : on y fait le rapport de ce que les
pères, les lois impériales et les historiens
ecclésiastiques avaient dit pour ou contre
Théodore de Mopsueste, 871 et suiv.
Sixième conférence : on y dispute ce qui
concerne Ibas; sa letti'e à Maris est déclarée
hérétique, 873 et suiv. Septième conféren-
ce : on y lit difiérentes pièces contre le pape,
873, 876. Huitième conférence : on y
prononce le jugement contre les Trois-Gha-
pitres, 876, 877. Quatorze anathèmes contre
différentes erreurs de Théodore de Mop-
sueste et de Nestorius, 877, 878. Neuvième
conférence : on y prononce quinze anathè-
mes contre les Origénistes, 878. Autre con-
damnation d'Origène par le même concile,
878 et 879. Le pape Vigile approuve les dé-
cisions du concile ; sa lettre au patriarche
Eutychius sur ce sujet, 879. [Jugement sur
cette lettre, 879 et 880.] Sa Constitution par
laquelle il condamne les Trois-Chapitres,
880, 881. Le cinquième concile général
est reçu en Orient , mais il occasionne
un schisme en Occident, 881, 882. [Ce con-
cile n'est devenu œcuménique que par la
confii'mation subséquente du pape Vigile,
868.]
553. CONCILE de Jérusalem qui approuve les
actes du second concile général de Constan-
tinople, XI, 879.
551. CONCILE de Paris (Deuxième) assemblé
pour l'examen de la cause de l'évèque Saf-
farac, convaincu d'un crime considérable,
XI, 882.
554. CONCILE d'Arles oii se font quelques ca-
nons de discipline, XI, 882, 883.
557. CONCILE de Paris (Troisième). Ses canons
contre les usurpations des biens de l'Église,
XI, 883.
CONCILES de Landaff tenus par saint Ou-
docée, XI, 884, 883.
CONCILE de Brague contre les Priscillia-
nistes et pour réformer quelques abus ; ca-
nons de ce concile, XI, 883, 886.
CONCILE de Saintes où Emérius, évêque
de cette ville, est déposé, XI, 886, 887.
CONCILE de Lyon. Analyse des six canons
de ce concile, XI, 887.
CONCILE de Tours (Deuxième) tenu par
l'archevêque Euphronius, XI, 887. Canons
de ce concile, 887 et suiv. Lettre du concile
qui est une exhortation au peuple, 890, 891.
Sainte Radegonde s'adresse à ce concile pour
obtenir la confirmation du monastère qu'elle
avait établi à Poitiers, 887, 890, 891.
CONCILE de Brague (Deuxième) tenu par
l'archevêque saint Martin deDume, XI, 891.
Canons de ce concile, 891 et 892.
CONCILE de Lugo convoqué par le roi
Théodoric. Lugo y est érigé en métropole,
XI, 892.
CONCILE de Lugo convoqué par Ariamir,
XI, 892.
CONCILE de Lugo présidé par Nitigius,0Tà
on confirme ce qui avait été fait dans le pré-
cédent, XI, 892.
CONCILE de Paris (Quatrième) au sujet de
l'érection de l'évêché de Châteaudun, XI,
893, 894.
CONCILE de Paris (Cinquième) oii saint
Prétextât, archevêque de Rouen, est con-
damné, XI, 893, 894. Saint Grégoire de Tours
y assiste, 366,
CONCILE tenu en ce temps contre les Sa-
maritains, XI, 592, 393.
CONCILE de Chalon-sur-Saône, où Sa-
lone, évêque d'Embrun, et Sagittaire, évêque
de Gap, sont déposés pour leurs désordres,
XI, 894.
CONCILE de Mâcon. Dix-neuf canons de
ce concile dont la plupart ne font que renou-
veler ceux des conciles précédents, XI, 894,
895.
CONCILE de Lyon (Troisième) qui fait six
canons de disciphne, XI, 893.
CONCILE de B raine où saint Grégoire de
Tours, accusé d'avoir calomnié la reine Bru-
nehaut, se justifie, XI, 895, 896.
CONCILE de Valence eu Dauphiné qui
confirme les donations faites et à faire par
le roi Gontran, par sa femme et par ses filles,
XI, 896.
V. 460.
563.
562 ou 563.
566.
566.
572.
562.
572.
572.
573.
577.
579.
581 ou 582.
583.
V. 583.
584.
244
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
585. CONCILE de Mâcon (Deuxième). Analyse
de ses canons, XI, 896, 897.
CONCILE d'Auxerre. Sa date précise pa-
raît postérieure à celle du second concile de
Mâcon, XI, 897, 898. Canons de ce concile,
898, 899.
585 ou 588. CONCILE de Clermont en Auvergne. On
y donne à Théodose, évèque de Rodez,
plusieurs provinces qu'il réclamait sur Ursi-
cin, évèque de Cahors, XI, 899.
587. CONCILE de Conslautinople oîi Grégoire,
patriarche d'Antioche, est justifié des crimes
dont on l'accusait, XI, 899.
589. CONCILE de Tolède assemblé par le roi
Reccarède pour affermir la conversion des
Golhs à la foi catholique, XI, 900. Vingt-
trois articles avec anathèmes contre les er-
reurs des Ariens, 901. Canons du concile de
Tolède, 901 et suiv. Confirmation de ces ca-
nons par le roi Reccarède, 903. Discours de
saint Léandre, 903 et 904.
589, CONCILE de Narbonne, tenu par l'évêque
Migétius, 904. Canons de ce concile, 904 et
905.
589. CONCILE de Sauriciac dont parle saint
Grégoire de Tours, XI, 905.
589. CONCILE de Rome dont il est fait mention
dans une lettre aux évêques de Germanie et
des Gaules, faussement attribuée au pape
Pelage II, XI, 905.
690. CONCILE de Poitiers au sujet des troubles
excités dans le monastère de Sainte-Croix;
Ghrodielde et Basine sont excommuniées et
l'abbesse Lebouère est rétablie, XI, 905.
590. CONCILE de Metz, d'abord assemblé à
Verdun, Gilles, évèque de Reims, convaincu
de trahison, est déposé ; l'afiaire de Sainte-
Croix de Poitiers y est terminée, XI, 905, 906.
591. CONCILE de Nanterre convoqué pour le
baptême de Clotaire II, XI, 906.
592. CONCILE de Saragosse. On y fait diffé-
rentes dispositions concernant les Ariens
réunis à l'Église catholique, XI, 906.
595. CONCILE de Rome tenu par le pape saint
Grégoire. On y fait plusieurs canons de dis-
cipline, XI, 906, 907.
597. CONCILE de Tolède. On y fait deux ca-
nons; l'un ordonne la continence aux évê-
ques, aux prêtres et aux diacres; l'autre
donne le revenu de l'église au prêtre qui la
dessert, XI, 907.
598. CONCILE d'Huesca, On ordonne aux évê-
ques de veiller à ce que la continence soit
gardée par les abbés, les prêtres et les dia-
cres, XI, 907.
599.
«02.
V. 602.
CONCILE de Barcelone. Ses canons contre
la simonie, XI, 907.
CONCILES DU SEPTIÈME SIÈCLE.
CONCILE de Rome tenu par le pape saint goi.
Grégoire à couvert des vexations des évê-
ques, XI, 908.
CONCILE de Worchester tenu par saint gu1ou606.
Augustin, archevêque de Cantorbéry, pour
amener les Bretons à célébrer la Pâque, sui-
vant l'usage de l'Église romaine, Xi, 908, 909.
CONCILE de la Byzacène tenu à l'occasion
des plaintes formées contre Telmentin, pri-
mat de la province, XI, 909.
CONCILE de Mâcon assemblé pour savoir
de quelle manière on se conduirait à l'égard
de saint Colomban qui persistait à célébrer
Pâques le 14 de la lune, XI, 623. Lettre de
saint Colomban à ce concile, 625 et 626.
CONCILE de Chalon-sur-Saône où Didier, c03.
évèque de Vienne, est déposé à l'instigation
de Brunehaut dont il blâmait les désordres,
XI, 909.
CONCILE de Numidie assemblé par ordre eua ou 603
du pape saint Grégoire, pour examiner les
plaintes du diacre Donadéus contre l'évêque
Victor, et celles de quelques clercs maltraités
par l'évêque Paufiu, XI, 910. *
CONCILE de Cantorbéry assemblé pour la eos.
confirmation du monastère que saint Augus-
tin y avait bâti en l'honneur des apôtres
saint Pierre et saint Paul, XI, 910.
CONCILE de Rome tenu par le pape Boni- 606.
face III pour réformer les abus qui se com-
mettaient dans l'élection du pape et des au-
tres évêques, XI, 910.
CONCILE de Rome tenu par le pape Boni- eio.
face IV. On y décide que les moines élevés
au sacerdoce peuvent en exercer le minis-
tère, XI, 910, 911.
CONCILE de Tolède où les évêques de la eio.
province de Garthagène reconnaissent celui
de Tolède pour leur métropolitain, XI, 911,
CONCILE d 'Egara ou Terrassa qui confirme eu.
le décret fait par celui d'Huesca sur la con-
tinence des clercs, XI, 911, 912.
CONCILE de Paris où on fait quinze ca- eis.
nous de disciphne, XI, 912, 913. Confirmés
par un édit du roi Clotaire II, 913.
CONCILE tenu en France, confirmatif du gis ou 616.
précédent. Les canons qu'on y fit se trouvent
à la suite du précédent, XI, 913.
CONCILE de Kent où les évêques Mollit, 6i7.
Laurent et Just conviennent d'abandonner
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES,
245
l'Angleterre qui retournait à l'idolâtrie, XI,
913,914.
619. CONCILE de Séville tenu par saint Isi-
dore. Ou y fait plusieurs canons de disci-
pline, XI, 914 et suiv.
> . 622. CONCILE de Théodosiopolis ou Gharne
tenu par Jeser Nécainus, patriarche d'Armé-
nie pour réunir les églises de sa dépendance
à l'Église catholique dont les Acéphales les
avaient séparées, X, 916.
624. CONCILE de Mâcon où la règle de saint
Golomban est approuvée et les calomnies
d'Agrestin rejetées, XII, 914.
625 CONCILE de Reims présidé par Sonnace,
XII, 914. Canons de ce concile, 914 et 915.
628. CONCILE de Cliohy. Ce qu'on sait de ce
concile dont on n'a point les actes, XII, 915,
916.
633. CONCILE de Tolède (Quatrième) présidé
par saint Isidore de Séville, XII, 916. Canons
de ce concile, 916 et suiv.
636. CONCILE de Tolède (Cinquième) dont les
canons regardent la sûreté et l'affermisse-
ment de la puissance royale, XII, 919, 920.
638. CONCILE de Tolède (Sixième). Analyse de
ses dix-neuf canons, XII, 920, 921.
646. CONCILE de Tolède (Septième). Ses ca-
nons, XII, 921.
634 ou 645. CONCILE d'Orléans où un Grec monothé-
lite est confondu et condamné, XII, 921.
636. CONCILE de Clichy à l'occasion du ser-
ment de fidélité que les Gascons prêtèrent
au roi Dagobert, XII, 921.
638. CONCILE de Paris où ce i-oi confirme les
immunités accordées à l'abbaye de Saint-De.
nis, XII, 921.
646. CONCILES de Numidie, de Mauritanie, de
Byzacène et de la Province-Proconsulaire,
contre les Monotbélites. Lettres synodales
des évêques d'Afrique, XII, 925, 926.
649. CONCILE de Latran présidé par le pape
saint Martin pour condamner le Monothé-
lisme, XI, 749 et XII, 926 et suiv. Evêqoes
qui y assistèrent, XII, 926. Première session.
Le pape y expose le motif de la convocation
du concile, 926 et 927. On condamne l'Ec-
thèse, et l'on reconnaît deux opérations en
Jésus-Christ. Seconde session. Requête pré-
sentée par Sophrone patriarche de Jérusa-
lem. Plusieurs abbés, prêtres et moines grecs
demandent qu'on anathématise le Type, et
que l'on confirme la foi catholique, 927.
Troisième session. On examine canonique-
ment les écrits de Théodore, de Cyrus, de
Sergius et de Pyrrhus, 927 et 928. Qua-
trième session. On examine la lettre de Paul
de Constantinople et le Type dont il était
l'auteur, 928, 929. Cinquième session. On
produit les passages des Pères qui ont éta-
bli les deux volontés en Jésus -Christ, et les
livres hérétiques opposés à ce dogme, 929,
930. Canons du concile de Latran. Jugement
porté contre le Monothélisme , 930, 931.
Lettre circulaire du pape saint Martin en en-
voyant les actes de ce concile, 931. — On
condamna dans ce concile Didyme l'Aveugle,
V, 619.
CONCILE de Chalon-sur-Saône. On y fait 644on650.
vingt canons. Analyse de ces canons, XII,
931, 932.
CONCILE de Tolède (Huitième) assemblé 653.
par le roi Récesvinthe, XII, 932, 933.
CONCILE de Tolède (Neuvième), présidé 655.
par l'archevêque Eusèbe, XII, 933, 934.
CONCILE de Tolède (Dixième), par le 656.
même. On y fait sept canons, XII, 934. Po-
tamius, archevêque de Brague s'y avoue
coupable d'un péché d'impureté. Il est mis
en pénitence, 934 et 935.
CONCILE de Nantes qui permet à saint y. 658.
Nivard de bâtir le monastère de Hautvillers,
XII, 935.
CONCILE de Clichy comvoqué par le roi 653 ou 659.
Clovis II. On y accorde un privilège à l'ab-
baye de Saint-Denis, XII, 935.
CONCILE ou conférence de Streneshal en 664.
Angleterre, où on agite avec les Irlandais la
question du temps de la fête de Pâques. Les
Anglais adoptent l'usage de l'Église romaine,
XII, 935, 936.
CONCILE de Mérida assemblé par ordre du 666.
roi Récesvinthe, XII, 936. Canons de ce con-
cile concernant tous la disciphne, 936 et suiv.
CONCILE de Rome tenu sous le pape Vi- 667.
talien. Jean, évêque de Lappe dans l'Ile de
Crète y est déclaré innocent de la faute pour
laquelle l'avait condamné son métropolitain,
XII, 938.
[CONCILE de Sens au sujet des privilèges
de Saint-Pierre-le-Vif, en 657.]
CONCILE de Sens où on accorde un privilège ctoou 659.
à l'abbaye de Saint-Pierre-le-Vif , XII, 938.
CONCILE d'Autun dont les statuts regar- e70[ou 66i.]
dent presque tous la discipline monastique,
XII, 938, 939. [Autres règlements publiés par
D. Pitra, 939. Date de ce concile, 938, n. 5.]
CONCILE de toute l'Angleterre tenu à 673.
Herford, XII, 939. Canons de ce concile.
939 et 940.
CONCILE de Tolède (Onzième) assemblé 675.
246
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
675.
679.
par ordre du roi Vamba, XII, 940. Canons
de ce concile, 940 et 941.
CONCILE de Brague. Différents canons
sur la discipline, XII, 941, 942.
CONCILE de Milan. Lettre synodale écrite
à l'empereur d'Orient pour la condamnation
des Monothélites, XII, 942, 943.
679. CONCILE de Rome tenu par le pape saint
Agathon. Wilfrid, évèque d'York, déposé en
Angleterre, y est justifié et rétabli, XII, 943
et suiv.
fiso. CONCILE de Romeoùlepape saint Agathon
nomme des députés pour assister au concile
qui devait se tenir contre les Monothélites,
XII, 943 et suiv. Deux lettres de ce concile
adressées à l'empereur : l'une au nom du
pape Agathon, 944, 945 ; l'autre au nom du
pape et du concile, 945. Députés nommés
pour aller à Constantinople, 946. Les deux
lettres sont lues et approuvées au concile
général, 948.
680. CONCILE de Hetfeld en Angleterre, où
les évêques d'Angleterre adhèrent à la con-
damnation des Monothélites faite au concile
de Latran, XII, 945.
680. CONCILE de Constantinople (Troisième)
sixième œcuménique tenu contre les Mono-
thélites. Sa convocation par l'empereur
Constantin Pogonat, XII, 945 et suiv. Pre-
mière session. On lit les actes du concile
d'Ephèse, 946, 947. Seconde session. On lit
les actes du concile de Chalcédoine, 947.
Troisième session. On lit les actes du second
concile général de Constantinople, dont on
rejette le discours de Menas à Vigile, après
en avoir prouvé la fausseté, 947 et 948. Les
légats du pape s'inscrivent en faux contre
deux Hvres qui y avaient été insérés sous le
nom du pape Vigile, 947. Quatrième session.
On y fait la lecture des lettres du pape
680 et 681. Agathou et du concile de Rome. Cinquième
et sixième sessions. Macaire d'Antioche pro-
duit deux volumes de passages des Pères
comme favorables au monolhélisme. Les
députés du pape demandent à en faire voir
la falsification. Septième session. On lit les
passages des Pères qui prouvent les deux
volontés en J.-C, 948. Huitième session.
Macaire d'Antioche soutient son sentiment.
On vérifie les passages qu'il alléguait. Ils se
trouvent tronqués ou falsifiés. On ôte le pal-
lium à Macaire, 948 et 949. Neuvième ses-
sion. On continue de vérifier les passages
allégués par Macaire. Il est déclaré déchu
de toute dignité et fonction sacerdotale.
L'abbé Etienne, son disciple est chassé de
l'assemblée, 949, 950. Dixième session. On
vérifie les passages allégués par les députés
du pape et de son concile. Onzième session
On lit la lettre de saint Sophrone de Jérusa-
lem à Sergius de Constantinople. Plaintes
contre Macaire d'Antioche, 950. Douzième
session. Suite des procédures contre Ma-
caire, 930, 951. Treizième session. Les
lettres de Sergius et d'Honorius sont re-
jetées comme contraires à la doctrine de
l'Église , et conformes aux sentiments des
hérétiques. Les chefs des Monothélites sont
anathématisés. L'abbé Théophane est or-
donné patriarche d'Antioche, 931 et suiv.
Quatorzième session. On vérifie la supposi-
tion du discours de Menas à Vigile, et de
ceux de Vigile à Justinien et à Théodora. Les
faussaires sont anathématisés, 933. Quin-
zième session. Polychrone, prêtre et moine
accusé et convaincu de soutenir les erreurs
de Macaire, est dégradé et anathématisé,
933 et 934. Seizième session. Constantin,
prêtre de l'Église d'Apamée, est anathéma-
tisé parce qu'il refusait de reconnaître une
volonté humaine en J.-C. depuis sa résur-
rection. On renouvelle les anathèmes contre
les chefs des Monothélites, 934. Dix-septième
session. On y dresse la définition de foi. On
en fait la lecture. Elle est souscrite parl'évê-
que et par l'empereur, 934. Lettre du con-
cile au pape Agathon, 954 et 933. Edit de
l'empereur contre les Monothélites ; sa let-
tre au pape Léon II et aux évêques d'Occi-
dent, 955. Réponse du pape Léon qui adhère
aux décisions du concile de Constantinople,
955 et 936. Les actes de ce concile reçus à
Tolède, 958. Traduction latine des actes de
ce concile de Constantinople attribuée à Anas.
tase le Bibliothécaire, 713. [Jugement sur la
condamnation prononcée par le troisième
concile de Constantinople, 951, note 1.]
CONCILE de Tolède (Douzième) , où l'on
confirme la renonciation que le roi Vamba
avait faite à la couronne, et l'élection d'Er-
vige qu'il avait désigné son successeur, XII,
936. Canons de ce concile, 936, 937.
CONCILE de Tolède (Treizième) où l'on
fait plusieurs règlements conformément aux
intentions du roi Ervige, XII, 957, 938.
CONCILE de Tolède (Quatorzième) où l'on
approuve les actes du sixième général de
Constantinople, 958.
CONCILE de Tolède (Quinzième). On y
explique quelques expressions du concile
681.
683.
684.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
247
précédent qui faisaient de la peine au pape.
On y résout deux difficultés proposées par
le roi Egica sur les serments qu'il avait faits
au roi Ervige, XII, 938, 939.
G85 ou 678. CONCILE teuu dans les Gaules. On ne sait
dans quel lieu. Ebroin, maire du palais, y
fait déposer et condamner à mort saint Lé-
ger, évêque d'Autun, et Didon, évêque de
Chalon-sur-Saône, XII, 959.
V.685. CONCILES de Cantorbéry, XII, 939, et
XIII, 618.
V. CS5. CONCILE de Twiford en Angleterre. Saint
Cutbbert y est élu évêque de Lindisfarne,
XII, 959.
«91. CONCILE de Saragosse où l'on fait plu-
sieurs canons de discipline, XII, 959.
684. CONCILE de Constantinople appelé Qui-
niseste ou in Trullo, assemblé pour suppléer
aux deux derniers conciles généraux tenus
à Constantinople, qui n'avaient point fait de
canons, XII, 939 et suiv. Canons de ce con-
cile, 960 et suiv. Les Grecs regardent ce con-
cile comme général. Les Latins l'ont rejeté,
964, 765. — Dans ce concile, on condamne
Didyme l'Aveugle, V, 619.
693. CONCILE de Tolède (Seizième). On y fait
treize canons suivant le mémoire présenté
par le roi Egica, XII, 965, 966.
694. CONCILE de Tolède (Dix-septième). Ca-
nons qui y furent dressés, XII, 966.
694.' CONCILE de Béchancelle en Angleterre,
assemblé par Witherède, roi de Kent. Ce
prince y témoigne son zèle pour la conser-
vation de la liberté et de l'immunité des
Églises et des monastères, XII, 966.
697. CONCILE de Berghamstède en A ngleterre .
On y fait vingt-huit canons qui peuvent être
regardés comme des lois, le roi de Kent les
ayant confirmés, XII, 967.
695 ou 696. CONCILE OU syuode d'Auxerre. On y ré-
gie de quelle manière les abbés et les archi-
prêtres des diverses églises du diocèse
d'Auxerre devaient venir faire l'office dans
l'église cathédrale de Saint-Etienne, XII, 967.
CONCILE d'Utrecht où il est résolu qu'on
enverrait des prédicateurs dans les provinces
voisines pour y prêcher la foi aux infidèles,
XII, 967, 968. [Ce concile se tint en 719 et non
en 697.]
698. CONCILE d'Aquilée (Faux) où les défen-
seurs des Trois-Chapitres rejettent le cin-
quième concile général et se séparent de
l'Église catholique, XII, 968.
. 700. CONCILE de Worms. On y fait douze ca-
nons de discipline, XIII, 603.
CONCILES DT) HUITrEME SIECLE.
CONCILE de Tolède regardé comme le 70iou70i.
dix-huitième et dernier, assemblé par le roi
Vitiza : les actes en sont perdus, XIII, 603.
CONCILE de Nesterfleld contre saint Wil- ™3-
frid : on veut l'obliger à se démettre de son
évêché ; il en appelle au pape, XIII, 603.
CONCILE de Rome : saint Wilfrid y est ™4
pleinement justifié et on ordonne son réta-
blissement, XIII, 603, 604.
CONCILE de Nid où saint Wilfrid est réta- ™5-
bli, XIII, 604.
CONCILE d'Aine où l'on confirme les dona- 709.
lions faites du monastère d'Evesham, 604, 605 .
CONCILE de Constantinople, convoqué par 112.
l'empereur Philippe Bardane qui y fait con-
damner le sixième concile général, 605-
CONCILE de Rome tenu par le pape saint ''21.
Grégoire II; on y anathématise ceux qui
avaient contracté des mariages avec des fem-
mes consacrées à Dieu, XII, 26 et Xlil, 605.
CONCILE de Rome tenu par le pape saint 724.
Grégoire II au sujet du saint évêque Corbi-
nien, XIII, p. 603.
CONCILE de Rome tenu par le même au 726.
sujet du culte des images, XIII, 606.
CONCILE de Rome tenu parle pape Grégoire 73i.
m touchant le culte des images, XIII, 606.
CONCILE d'Allemagne, convoqué par Car- 742.
loman, duc et prince des Français, et présidé
par saint Boniface, archevêque de Mayence,
XIII, 606et607.Canonsfaits en ce concile, 607.
CONCILE de Leptines convoqué par Car- 743.
loman et présidé par saint Boniface, arche-
vêque de Mayence, XIII, 607.
CONCILE de Soissons. On y ordonne qu'on 74i.
publierait partout la foi établie par le concile
de Nicée, XIII, 607 et 608. On y condamne
Adalbert qui entraînait les peuples dans
plusieurs superstitions, 608.
CONCILE de Rome, tenu par le pape saint 743 ou 744.
Zacharie pour le maintien de la foi et de la
discipline ; canons de ce concile, XIII, 608
et 609. [Date de ce concile, 608, n. 3.]
CONCILE d'Allemagne sous saint Boni- 745.
face, XIII, 609.
CONCILE de Rome sous le pape saint Za- 745.
charie; Adalbert et Clément y sont déposés,
XIII, 609 et 610.
CONCILE de Cloveshou, en Angleterre, 747.
présidé par Guthbert, archevêque de Can-
torbéry, XIII, 610. On y fait trente canons
de disciphne, 610 et suiv.
248
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
CONCILE de Verberic convoqué par le roi
753. Pépin. On y fait vingt-et-un canons dont la
plupart regardent les mariages incestueux,
XIII, 612, 613. [Observations sur quelques
canons de ce concile, 613.
754. CONCILE de Quierci-sur-Oise, XIH, 613.
755. CONCILE de Constantinople tenu par les
iconoclastes. Définition de ce concile con-
traire à la doctrine catholique, XIII, 619 et
619. Elle est discutée et réfutée au second
concile général de Nicée, 624 et suiv.
754. CONCILE de Verneuil convoqué par le roi
Pépin, XIII, 613. Canons de ce concile ten-
dant à un rétablissement de l'ancienne dis-
cipline et à la réformation de plusieurs abus,
613 et suiv.
753 ou 756. CONCILE de Metz. Canons de ce concile
contre les incestes, XIII, 613.
757. CONCILE de Compiègne assemblé par le
roi Pépin, XIII, 61S et 616.
759. CONCILIABULE d'Allemagne où saint
Othmar est condamné sur une fausse accu-
sation, XII, 616.
761. CONCILE de Rome qui approuve la fon-
dation d'un monastère fait par le pape
Paul I", XIII, 616.
765. CONCILE d'Attigny-sur-Aisne. Ce qui nous
reste des actes de ce concile, XIII, 616.
767. CONCILE de Gentilly, près Paris. On y
agite la question de la procession du Saint-
Esprit ; on y examine aussi s'il était à pro-
pos de peindre dans les églises les images
des saints, XIII, 616.
769. CONCILE de Rome où l'antipape Constan-
tin est condamné, et les Iconoclastes sont
anathématisés, XIII, 616.
770. CONCILE de Rome dont on ne sait rien,
XIII, 616.
771. CONCCLE de Valenciennes dont on ne
sait rien, XIII, 616.
772. CONCILE de Worms dont on cite un dé-
cret touchant la manière dont un prêtre ac-
cusé doit se justifier, XIII, 616.
772. CONCILE de Dingolvingue convoqué par
Tassilon, duc de Bavière, XIII, 616. Canons
de ce concile, 616 et 617.
773. CONCILE de Gènes asssemblé par Ghar-
lemagne, XIII, 617.
777. CONCILE de Paderborn où l'on fait plu-
sieurs règlements touchant les Saxons nou-
vellement coonvertis, XIII, 617.
779. CONCILE de Duria au sujet de la Saxe.
Canons de ce concile, XIII, 617.
780. CONCILE de Lippe pour régler le gouver-
nement ecclésiastique de la Saxe, XIII, 617.
781.
[CONCILE de Germanie, en présence de
Charlemagne, pour la translation du siège ,
épiscopal de Ratisbonne de l'église Saint-
Emmeran dans celle de Saint-Etienne, XIII,
617.]
CONCILE de Cologne où Charlemagne re- 782.
çoit les députés de diverses nations, XIII, 617 .
CONCILE de Calchut, en Angleterre. On 782.
y fait vingt canons de discipline, XIII, 617
et 618.
[CONCILES des Merciens. On ht et ex- 782 ou 787
phque les canons du concile de Calchut,
XIII, 617, n. 7.]
CONCILE de Paderborn où l'on fait plu- 786.
sieurs règlements touchant les Saxons nou-
vellement convertis, XIII, 618.
CONCILE général de Nicée (Deuxième), 786,787.
septième œcuménique. Ce qui a donné lieu
à la tenue de ce concile, XIII, 618 et suiv.
Le concile est d'abord indiqué à Constanti-
nople, 619, 620. Les évêques iconoclastes
en empêchent la tenue. Seconde convoca-
tion du concile indiqué à Nicée, en Bithy-
nie ; grand nombre d'évêques s'y assem-
blent. Première session, 620. Plusieurs évo-
ques demandent à se réunir à la foi de l'É-
ghse cathohque sur le culte des images, 620
et 621. Seconde session : Grégoire, évêque
de Néocésarée, est réconcihé, 621. On lit
les lettres du pape Adrien ; le patriarche
Taraise et le concile y adhèrent, 621 et 622.
Troisième session : on y lit la lettre de Ta-
raise aux Orientaux ; leur réponse et la
lettre synodique de Théodore, patriarche de
Jérusalem, 622. Quatrième session : on al-
lègue les passages de l'Écriture et des Pères
favorables au culte des images, 622 et 623.
Confession de foi sur le culte des images,
lue au nom du concile et souscrite par tous
les Pères, 623, 624. Cinquième session : on
l'emploie à montrer que les Iconoclastes
n'avaient fait qu'imiter les Juifs, les Sarra-
sins, les Païens, les Manichéens et d'autres
hérétiques, 624. Sixième session : on y lit
la réfutation de la définition de foi faite dans
le concile que les Iconoclastes avaient tenu
à Constantinople en 734, 624 et suiv. Sep-
tième session : confession de foi du concile,
et son décret touchant le culte des images,
626, 627. Observations sur ce décret, 627,
628. Lettres de Taraise et du concile pour
instruire la cour et les églises de Constan-
tinople de ce que le concile avait décidé,
628. Huitième session qui se tient à Cons-
tantinople : l'empereur et l'impératrice
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
249
787.
791.
793.
794.
79-i.
Irène y assistent ; la décision du concile est
confirmée et les Iconoclastes sont anathé-
matisés, 628 et 629. Canons du deuxième
concile de Nicée, 629, 630. Discours du dia-
cre Épiphane, 630. Lettre du patriarche Ta-
raise au pape Adrien, 630 et 631. Deux tra-
ductions latines des actes du concile de Ni-
cée ; difficultés formées en France, contre
la décision du concile de Nicée, sur le culte
des images, 631. — On y condamne Di-
dyme l'Aveugle, V, 619. — La tradition sur
le culte des images y fut confirmée, XII, 125.
Ce concile est rejeté par celui de Francfort,
136, 137. Il est taxé d'erreur dans les livres
carolins, 137. Justifié par le pape Adrien l"'
qui réfute ces livres, 137 et suiv. Actes du
concile de Nicée traduits par Anastase le Bi-
bliothécaire, 713. — L'Église romaine reçoit
les décrets de ce concile, Xlll, 724.
CONCILE de Worms où Charlemagne fait
des plaintes sur la mauvaise foi de Tassil-
lon, duc de Bavière, XIII, 631, 632.
CONCILE d'Ingelheim (ou plutôt assem-
blée séculière) où Tassillon, convaincu de
plusieurs crimes, est condamné à perdre la
vie, XIII, 632.
CONCILE de Narbonne assemblé princi-
palement pour condamner les erreurs de
Félix d'Urgel, Xlll, 632.
CONCILE d'Acclech dont les actes ne sont
pas venus jusqu'à nous, XIII, 632.
CONCILE de Pincenhalle dont les actes
ne sont pas venus jusqu'à nous, XIII, 632.
CONCILE de Frioul où l'on établit la pro-
cession du Saint-Esprit et la divinité de
Jésus-Christ, XIII, 632 et 633. Canons de
ce concile, 633, 634. — Comment on fixe
l'année où il fut tenu, XII, 160.
CONCILE de Ratisbonne où l'erreur de
Félix d'Urgel est condamnée, XIII, 634.
[CONCILE d'Espagne tenu par Élipand,
XIII, 634.]
CONCILE de Francfort où les erreurs de
Félix d'Urgel et d'Élipand de Tolède sont
réfutées, XIII, 634 et suiv. Actes de ce con-
cile, 634, 635. Canons du concile de Franc-
fort, 635, 636. On y condamne les erreurs
d'Élipand ; on y rejette le deuxième concile
de Nicée, parce qu'on n'en comprend pas
les textes, XII, 225.
CONCILE de Vérulara au sujet de la fonda-
tion du monastère de Saint-Alban,XlII, 636.
CONCILE de Finchallend où l'on traite di-
vers points de discipline, XIII, 634.
CONCILE de Rome où le pape Adrien
condamne l'erreur d'Elipand et de Félix
avec leurs personnes, XIII, 634.
CONCILE d'Aix-la-Chapelle où Charlema- 707.
gne pubhe un capitulaire en onze articles,
XIII, 636 et 637.
[CONCILE d'Aix-la-Chapelle, en la même
année, pour la construction du monastère
de Saint-Paul à Rome, XIII, 637.]
CONCILE de Bancancel, où l'évêque de vgg.
Rochester fait un discours sur les immuni-
tés ecclésiastiques, XIII, 636.
[CONCILE de Rome où l'erreur de Félix 799.
d'Urgel sur la divinité de Jésus-Christ est
anathématisée, XIII, 636.]
CONCILE d'Urgel où Félix est invité, à 799.
venir, devant le roi, rendre raison de sa
doctrine, XIII, 636.
CONCILE d'Aix-la-Chapelle où Félix d'Ur- 799.
gel est déposé de l'épiscopat et donne une
rétractation sincère de ses erreurs, XIII,
637 et 638.
[CONCILE de Risbach où l'on fait trente 799.
canons, XIII, 638, 639.]
[CONCILE de Saltzbourg où l'on fait seize 799.
canons, XIII, 639.]
CONCILE de Rome où le pape saint Léon 800.
III se justifie, par serment, des accusations
formées contre lui, XIII, 639 et 640.
CONCILE de Gloveshou contre les usur- v. 800.
pateurs des biens de l'Église, XIII, 640.
CONCILES DU NEUVIÈME SIÈCLE.
CONCILE de Gloveshou contre les usur- 803.
pateurs des biens de l'Église, XIII, 640.
CONCILE d'Altino tenu par saint Paulin, 803.
patriarche d'Aquilée, au sujet du meurtre
du patriarche de Grade, que le duc de Venise
avait fait précipiter du haut d'une tour,
XIII, 640.
CONCILE d'Aix-la-Chapelle présidé par 803.
saint Paulin, patriarche d'Aquilée, comme
légat du pape saint Léon, XIII, 640 et 671 .
Capitulaire de l'empereur Charlemagne
dressé en ce concile ; on y abolit les choré-
véques, 641 .
CONCILE de Constantinople au sujet du 806et809.
mariage de l'empereur Constantin avec
Théodore, XIII, 641 et 642.
CONCILE de Saltzbourg tenu par l'arche - sov.
vêque Arnon, on y règle l'emploi des dîmes,
XIII, 642.
CONCILE d'Aix-la-Chapelle assemblé par 802.
l'empereur Charlemagne : ce prince y re-
commande l'observation des canons par le
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
250
clergé et par le peuple, et l'observance de
la règle de saint Benoît par les moines ; ca-
pitulaire en dix-neuf articles fait en ce con-
cile, XIII, 642.
809. CONCILE d'Aix-la-Chapelle où l'on exa-
mine la question de la procession du Saint-
Esprit, XIII, 642.
813. CONCILE d'Arles présidé par l'archevêque
Jean ; canonsde discipline faits en ce concile,
XIII, 642 et 643.
813. CONCILE de Mayence oii l'on fait plu-
sieurs canons de discipline, XIII, 643 et suiv.
813. CONCILE de Reims où l'on fait plusieurs
canons de discipline, XIII, 645.
813. CONCILE de Tours où l'on fait cinquante
et un canons de discipline, XIII, 645 et 646.
813. CONCILE de Chalon-sur-Saône ; ses ca-
nons de discipline, XIII, 646 et suiv.
814. CONCILE de Constantinople tenu par le
patriarche Nicéphore, on y dit anathème
aux Iconoclastes, XIII, 648, 649.
815. CONCILE de Constantinople, tenu par les
Iconoclastes, XIII, 649.
8)4. CONCILE de Noyon, où l'on convient que la
rivière d'Isère sera désormais le partage des
diocèses de Noyon et de Soissons, XIII, 650.
V. 814. CONCILE de Trêves; Frothaire, évêque
de Toul, en fait mention dans sa lettre à
Hetti, XIII, 650.
816. CONCILE d'Aix-la-Chapelle; on y dresse
un règlement pour les chanoiaes et les cha-
noinesses, XIII, 650 et suiv.
816. CONCILE de Gelchyt, en Angleterre ; on
y fait plusieurs canons de discipline, XIII,
653, 654.
816. [CONCILE de Gompiègne; les actes sont
perdus ; on y entendit des députés d'un roj
des Sarrasins dans l'Arabie Pétrée, XIII, 654.]
817. CONCILE d'Aix-la-Chapelle; l'empereur
Louis le Débonnaire y fait le partage de ses
États entre ses enfans, XIII, 654. Statuts
qu'on y fait pour rétablir la discipline dans
les monastères, 654 et 655.
818- [CONCILE de Venise ; le siège de cette
Église est rendu à Fortuuat, et l'usurpateur
Jean est déposé, XIII, 655.]
820. [CONCILE de Perse ou de Séleucie ; on y
dressa cent trente canons touchant la disci-
pline ecclésiastique, XIII, 655.]
821. [CONCILE de Constantinople ; les évêques
catholiques, malgré la demande de l'empe-
reur Michel le Bègue, refusent d'entrer en
conférence avec les Iconoclastes; témoignage
qu'ils rendent à la primauté du pontife ro-
main, XIII, 656.]
CONCILE de Thion ville ; ses canons contre 82i.
ceux qui seraient convaincus d'avoir frappé
un clerc, XIII, 656.
CONCILE de Cloveshou, où Wulfrède, ar- 822.
chevêque de Cantorbéry, se plaint des mau-
vais traitements qu'il avait reçus du roi Que-
nulphe, XIII, 656et657.
CONCILE de Cloveshou, pour terminer le 824.
différend entre Hébert, évêque de Vorchester,
et les moines de Bercley, au sujet du mo-
nastère de Westbury, XIII, 657.
CONCILE d'Attigny, où l'empereur Louis 822
le Débonnaire se soumet à la pénitence, à
cause de la rigueur dont il avait usé envers
le roi Bernard et ses partisans; capilulaires
qu'on attribue à ce concile, XIII, 657.
CONCILE de Paris, au sujet du culte des 825.
images, XIII, 657 et suiv. Différentes édi-
tions qu'on a faites des actes de ce concile,
659, 660. [Si cette assemblée fut un concile,
les évêques qui la formaient ne furent pas
entièrement excusables, 658, n. 2.]
[CONCILE d'Aix-la-Chapelle : on y exa- 825.
mine les actes du concile de Paris et on les
envoie au pape ; on y décrète la translation
des rehques de saint Hubert de Tongres au
monastère qui porte son nom, XIII, 660.]
CONCILE d'Ingelheim ; capitulaire qui y 826.
fut dressé par ordre de l'empereur Louis le
Débonnaire, XIII, 660.
CONCILE de Rome, tenu par le pape Bu- 826
gène II; ses trente-huit canons de disci-
pline, XIII, 660 et 661.
CONCILE de Paris ; règlements faits en ce 829.
concile, XIII, 661 et suiv. Lettre des évêques
de ce concile à l'empereur Louis le Débon-
naire, 665, 666.
CONCILE de Worms, qui défend l'épreuve 829.
de l'eau froide, XIII, 666.
CONCILE de Langres, où les donations 830.
faites par l'évêque Albéric au monastère de
Bèze sont confirmées, XIII, 666, 667.
CONCILE de Nimègue. Jessé , évêque 83i o.. mu
d'Amiens, y est déposé, XIII, 667.
CONCILE de Saint-Denis en France, par 832.
ordre de Louis le Débonnaire. On s'y occupe
de la réforme du monastère de Saint-Denis,
Xlll, 667.
CONCILE de Worms : on transfère le mo-
nastère de Saint-Remi du faubourg de Sens
à Varcilles, XIII, 667.
CONCILE de Londres, assemblé pour avi-
ser aux moyens d'empêcher l'irruption des
Danois en Angleterre, XIII, 667.
CONCILE d'Atligny, où l'empereur Louis
833.
833.
834.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
2S1
le Débonnaire travaille à réparer les maux
occasionnés par les guerres précédentes,
XIII, 667.
835 CONCILE de Thionville, assemblé par
Louis le Débonnaire, XIII, 667.
836. CONCILE d'Aix-Ia-Ghapelle, où l'on re-
nouvelle les canons d'un concile tenu précé-
demment au même lieu, XIII, 667 et 668.
835. CONCILE de Mantoue, où l'on adjuge au
patriarche de Frioul quelques évêchés qui
lui étaient disputés par celui de Grade, XIII,
668.
836. CONCILE de Stramiac ou Crémieu. On y
cite Agobar de Lyon, et Bernard de Vienne,
qui s'étaient enfuis en Italie après le réta-
blisement de Louis le Débonnaire, XIII, 668
et 669.
. 837. CONCILE de Quierci-sur-Oise. Les senti-
ments d'Amalaire y sont condamnés ; Flo-
rus en dresse les actes et y joint divers
textes qui les confirment, XII, 484.
.837. CONCILE de Thionville. Lettre de Florus
de Lyon aux évêques de ce concile, pour les
engager à confirmer ce qui avait été décidé
contre Amalaire au concile de Quierci-sur-
Oise, XII, 484.
338. CONCILE de Kingston, où l'on ratifie une
donation faite à l'Église de Cantorbéry par le
roi Baldrède, XIII, 669.
m. CONCILE de Châîon-sur-Saône, où Louis
le Débonnaire fait reconnaître roi d'Aqui-
taine Charles, son fils, XIII, 669.
i40. CONCILE d'Ingelheim, où Ebbon, arche-
vêque de Reims, est rétabli dans son arche-
vêché, XIII, 669.
m. CONCILE de Pontenay, tenu en ce lieu
après la bataille que s'étaient hvrée les en-
fants de Louis le Débonnaire, XIII, 670.
Î42. CONCILE d'Aix-la-Chapelle. L'empereur
Lothaire est déclaré déchu de ses états qui
sont donnés à ses deux frères, Charles, roi
de France, et Louis, roi de Bavière, XIII, 670.
!42. CONCILE de Bourges, où l'on prouve
qu'Ebbon avait été déposé canoniquement,
XIII, 670 et 671.
îi2. CONCILE de Constantinople, assemblé par
l'impératrice Théodora; on y confirme le
second concile de Nicée, et l'on dit anathème
aux Iconoclastes, XIII, 671.
Î43. CONCILE de Villa-Colonia (Coulène), près
du Mans, où le roi Charles le Chauve publie
un capitulaire, XIII, 671.
i43. CONCILE de Lauriac, en Anjou. On y fait
plusieurs canons contre ceux qui attente-
raient à la dignité royale, XIII, 671.
CONCILE de Thionville, tenu du consen-
tement des enfants de Louis le Débonnaire
réconciliés. On y pourvoit aux désordres oc-
casionnés par les guerres, XIII, 671 et 672.
CONCILE de Vernenil-sur-Oise, assemblé
par le roi Charles le Chauve. On y fait douze
canons de discipline, XIII, 672, 673.
CONCILE de Beauvais : Hincmar y est élu
archevêque de Reims. Huit règlements pro-
posés dans ce concile, XIII, 673.
CONCILE de Meaux : on renouvelle les
canons des conciles de Thionville, de Lau-
riac, de Coulène et de Beauvais, dont on fait
plusieurs autres, XIII, 672 et suiv. Plusieurs
canons de ce concile sont rejetés par les
seigneurs laïques assemblés à Épernay, 676,
677.
CONCILE de Paris; on y interdit à Ebbon
toute prétention sur l'archevêché de Reims.
Lettre des évêques du concile au roi Charles
le Chauve, XIII, 673.
CONCILE de Mayence, tenu par l'arche-
vêque Raban, XIII, 677. Canons de disci-
pline faits en ce concile, 677 et 678. Lettre
du concile à Louis, roi de Bavière, 678.
CONCILE de Mayence, au sujet de la doc-
trine de Gothescalc, sur les deux prédesti-
nations, XIII 678, 679.
CONCILE de Bretagne, au sujet des ordi-
nations simoniaques, XIII, 679.
CONCILE de Quierci-sur-Oise, où Gothes-
calc est déclaré hérétique, et condamné à
une prison perpétuelle, XIII, 679.
CONCILE de Tours ou de Paris ; lettre de
reproches que les évêques écrivent à Nome-
noy, duc de Bretagne, XIII, 679 et 680.
CONCILE de Pavie, présidé par Angilbert,
archevêque de Milan : on y fait vingt-cinq
canons de disciphne, XIII, 680 et suiv.
CONCILE de Sens ou de Moret, en Gâti-
nois : il n'est connu que par la lettre que
Loup de Perrière écrivit, au nom de cette
assemblée, à Ercanrade, évêque de Paris,
XIII, 682.
CONCILE de Benningdon; Bertulfe, roi
des Merciens, accorde plusieurs terres au
monastère de Croyland, XIII, 682.
CONCILE deRingesburi, assemblé par le
roi Bertulfe pour diverses affaires du
royaume, XIII, 682.
[CONCILE de Mayence ; canons qui y fu-
rent dressés, XIII 683, n. 1.]
CONCILE de Soissons, au sujet da roi
Pépin, neveu du roi Charles, révolté contre
lui, XIII, 682.
844.
844
845.
845.
846.
847.
847.
848.
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849.
849.
850.
850.
850.
851.
851.
851,
252
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
851.
852.
S52.
853.
853.
853.
853.
853.
854.
855.
855.
855.
855.
857.
CONCILE de Cordoue : il déclare que ceux
qui se seraient offerts d'eux-mêmes à la per-
sécution ne seraient point mis au nombre
des martyrs, XIII, 682 et 683, et XII, 518.
CONCILE de Mayence; il en est parlé dans
les Annales de Fulde, XIII, 683, et XII, 446.
CONCILE de Sens, où le privilège accordé
au monastère de Saint-Remi est confirmé,
XIII, 683.
CONCILE de Soissons. Différentes affaires
qu'on y traite, XIII, 683. Canons de ce con-
cile, 683 et 684.
CONCILE de Quie.rci-sur-Oise. On y signe
les quatre articles dressés par Hincmar de
Reims contre la doctrine de Gothescalc, XIII,
684 et 685. — Les quatre articles dressés
par Hincmar, XII, 618. Ce que saint Rémi,
archevêque de Lyon, y trouve à redire, 618
et 619. Ouvrages composés par Hincmar
pour soutenir ces quatre articles, 688etsuiv.
CONCILE de Qaierci-sur-Oise contre les
erreurs attribuées à Amalaire, XIU, 685.
CONCILE de Verberie, où le roi Charles le
Chauve fait agréer les capitules qu'il avait
pubhés au concile de Soissons, XIII, 685.
CONCILE de Rome, tenu par le pape
Léon IV, XIII, 685. Canons de ce concile.
Plusieurs sont les mêmes que ceux faits par
le pape Eugène II, 685 et 686. [Deux conciles
de Rome, 685, n. 2. Le quarante-troisième
canon du concile tenu à Rome le 8 décem.
bre, 685, n. 3.]
CONCILE de Constantinople, tenu par
saint Ignace. Grégoire, évêque de Syracuse,
y est déposé, XIII, 686.
CONCILE de Valence en Dauphiné, où
l'on établit une doctrine contraire à celle
contenue dans les quatre articles qu'Hinc-
mar, archevêque de Reims, avait proposés
au concile de Quiercy, XIII, 686 et 687. Ca-
nons de discipline faits en ce concile, 687,
et XII, 658.
CONCILE de Pavie, assemblé par l'empe-
reur Louis, fils de Lothaire, pour réformer
plusieurs abus dans la discipfine de l'Eglise,
XIII, 687 et 688.
CONCILE de Winchester, où l'on statue
qu'à l'avenir la dixième partie de toutes les
terres du royaume d'Ouessex appartiendrait
à l'Église, XIIL 688.
CONCILE de Bonœuil ou Bonoil, où l'on
confirme les privilèges de Saint-Calais contre
les prétentions de l'évêque du Mans, XllI,
688 et 689.
CONCILE de Quiercy, assemblé pour re-
médier aux violences et aux pillages, XIlI,
689.
CONCILE de Mayence, où l'on agite plu-
sieurs questions touchant les droits de
l'Église, XIII, 689.
CONCILE de Constantinople, tenu par
Photius, où saint Ignace, exilé par les in-
trigues de Bardane, est déposé, XIII, 689.
CONCILE de Quiercy, où les évêques
écrivent à Louis de Germanie, qui leur avait •
ordonné de s'assembler à Reims, XIII, 689
et 690.
CONCILE de Metz, pour moyenner la paix
entre Charles le Chauve et Louis de Germa-
nie, XIII, 690.
CONCILE de Langres, où l'on fait plu-
sieurs canons de doctrine sur la prédesti-
nation, XIII, 690 : ces canons sont adoptés
par le concile de Savonières, 691.
CONCILE de Savonières, près de Tout,
pour détruire le schisme, rétablir la disci-
pline et ramener à l'obéissance ceux qui
avaient manqué de fidélité à leurs souve-
rains, XIII, 690 et suiv. On y examine les
plaintes portées contre Tortold dcBayeux,
Anscaire de Langres et Atton de Verdun
accusés d'être parvenus à l'épiscopat par
des voies illégitimes, 670. Requête du roi
Charles contre Vénilon, archevêque de Sens,
690, et 691. Lettre du concile aux Bretons,
691, Canons du concile de Savonières, 691
et 692.
CONCILE de Constantinople, où Photius
fait condamner saint Ignace, Xlll, 692, et
XII, 720.
CONCILE de Sisteron, où l'on confirme la
fondation du monastère de Sessieu, XIII,
692.
CONCILE d'Aix-la-Chapelle, tenu au sujet
du divorce de Lothaire avec Thietberge, XIII,
692, et XII, 575.
CONCILES de Metz et de Rome, pour con-
firmer la paix entre les princes, XIII, 692
et 693.
CONCILE de Touzi : ses canons sur les
mœurs ; lettre du concile à ceux qui s'étaient
emparés des biens do l'Église, XIII, 693.
CONCILE de Constantinople, où Photius
fait injustement déposer et dégrader saint
Ignace, XU, 720, et XIII, 693, 694. — Ca-
nons de ce concile, XIII, 694, 695.
CONCILE de Rome, tenu par le pape saint
Nicolas, qui proteste contre la déposition de
saint Ignace et l'intrusion de Photius, XII,
720.
857.
858.
858.
859.
859.
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860.
860.
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S6I.
861.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
253
CONCILE de Rome, tenu par le pape saint
Nicolas, pour écouter les plaintes formées
par les habitants de Ravenne contre Jean,
leur évêque, XIII, 695.
CONCILE de Sens, au sujet d'Hériman,
évêque de Nevers, XIII, 695.
CONCILE de Pistes, où le roi Charles le
Chauve publie un capitulaire contre les pil-
lards; Rothade, évêque de Soissons, y ap-
pelle an Saint-Siège de la sentence prononcée
contre lui par Hincmar de Reims ; on y con-
firme les privilèges du monastère de Saint-
Calez, XIII, 693.
CONCILE de Soissons, où Hincmar de
Reims prive Rothade de la communion épis-
copale, et fait élire un autre évêque à sa
place, XIII, 695, et XII, 677.
CONCILE de Soissons, à l'occasion du
mariage de Judith, fille du roi Charles, avec
Baudoin, comte de Flandres, qui l'avait en-
levée, XIII, 695.
CONCILE de Rome, où le pape saint Ni-
colas I condamne ceux qui renouvelaient
l'hérésie de Valentin, de Manès, d'Appol-
hnaire et d'Eutychès, XIII, 695.
CONCILE d'Aix-la-Chapelle, au sujet du
divorce de Lothaire avec Thietberge, XIII,
693 et 696.
CONCILE deSablonnières, où le roi Charles
le Chauve se réconcilie avec Lothaire, XIII,
696.
CONCILE de Rome, où le pape saint Ni-
colas I casse tout ce que Photius avait fait
contre saint Ignace, et prive Photius de tout
honneur sacerdotal et de toute fonction clé-
ricale, XIII, 696 et 697 et XII, 720.
CONCILE de Metz, au sujet du divorce de
Lothaire avec Thietberge, et de son mariage
avec Valdrade, XIII, 697.
CONCILE de Senlis, au sujet de Rothade,
évêque de Soissons, XIII, 697, et XII, 578.
CONCILE d'Arménie, où l'on condamne
les erreurs de Nestorius, d'Eutychès, de
Dioscore et de leurs sectateurs, XIII, 697.
CONCILE d'Aquitaine, tenu sur les plaintes
formées par le comte de Toulouse contre
Etienne, son gendre, XIII, 697.
CONCILE de Verberie, assemblé par le roi
Charles le Chauve ; différentes affaires y sont
traitées, XIII, 697.
CONCILE de Rome, où le légat Rodoalde
est déposé et excommunié, XIII, 697 et 698.
CONCILE de Rome, où Rothade, évêque
de Soissons, déposé par Hincmar, est rétabli,
XIII, 698.
CONCILE de Soissons, où Wulfade et les
autres clercs, déposés pour avoir été ordon-
nés par Ebbon, sont rétabhs, XIII, 699, et
Xn, 379.
[CONCILE d'Attigny, présidé par le légat
Arsène, XIII, 698, 699. On force le roi Lo-
thaire de répudier Valdrade pour i-eprendre
Théotberge sa femme légitime. On con-
firme l'excommunication d'Engeltrude ; on
reconnaît Rothade comme innocent et on le
reçoit comme évêque, 668 et 699.]
CONCILE de Constantinople , tenu par
saint Photius, qui dépose le pape Nicolas I,
XIII, 699.
CONCILE de Troyes. On y dresse une re-
lation de ce qui s'était passé au sujet d'Eb-
bon et des clercs qu'il avait ordonnés, et on
l'envoie au pape saint Nicolas, XIII, 699 et
700.
CONCILE de Rome, où le pape saint Ni-
colas I casse ce que Photius avait fait au pré-
tendu concile général de Constantinople, et
le frappe d'anathème, XIII, 700.
CONCILE de Quierzi, où Willebert est
reconnu évêque de Châlons-sur-Marue, XIII,
700 et 701.
CONCILE des évêques des Gaules et de
Bourgogne, pour répondre à deux lettres
du pape Adrien II, XIII, 701.
CONCILE de Worms sur la discipline ec-
clésiastique, XIII, 701. Canons de ce concile,
Xni, 701 et 702.
CONCILE de Constantinople (quatrième),
que l'on compte pour le huitième général.
Légats que le pape Adrien II envoie pour
présider de sa part au concile, XIII, 702.
Première session : les légats montrent leurs
pouvoirs ; on lit la formule de réunion faite
par le pape, 702, 703. Seconde session : plu-
sieurs de ceux qui avaient suivi le parti de
Photius sont réconciliés , 703. Troisième
session : plusieurs évêques ordonnés par
Méthodius et par Ignace refusent de signer
la nouvelle formule de réunion ; imprécations
contre Photius, 703 et 704. Quatrième ses-
sion : deux évêques qui refusaient de donner
leur confession de foi sont chassés de l'as-
semblée, 704. Cinquième session : Photius est
forcé de répondre aux accusations formées
contre lui ; sa réponse extravagante, 704 et
705. Sixième session : l'empereur Basile y
assiste, 703. Les évêques ordonnés par Pho-
tius prétendent que leur ordination était va-
lable, 705. Leurs raisons refutées par Métro-
phane de Smyrne, 705 et.706. Septième ses-
866.
865.
866.
867.
868.
BISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
869.
809.
8G9.
870.
870.
870.
871.
234
sion: Photius et ses partisans sont anatbé-
matisés, 706. Huitième session : on y brûle
les écrits que Photius avait fabriqués contre
le pape saint Nicolas I, les actes des conciles
qu'il avait tenus contre saint Ignace, 706 et
707. On anatbématise les iconoclastes, 707.
Neuvième session : on reçoit les députés du
patriarche d'Alexandrie, qui adhère à ce que
le concile avait décidé, 707. Pénitence im-
posée à ceux qui avaient porté faux témoi-
gnage contre saint Ignace, 707 et 708. Im-
précations contre Photius. Dixième et der.
nière session du concile : on y publie plu-
sieurs canons, 708; analyse de ces canons^
708 et suiv. Profession de foi lue dans le
concile, 7i0. Souscription du concile, 710 et
7H. Deux lettres synodales du concile, l'une
circulaire, qui contient la relation de tout
ce qui s'est passé; l'autre adressée au pape
Adrien 11; supercherie des Grecs, 711. Con-
férence pour savoir si les Bulgares seraient
soumis à l'Église de Rome ou à celle de
Constantinople, 711 et 712. Les légats indis.
posent l'empereur contre eus; leur départ
pour Rome, 711 et 712. Traduction des actes
du concile, 712, et XIl, 713. — Ce qui est
dit de ce concile, XII, 624, 625. [Observa-
tions sur un canon du nn" concile, XIll,
708, 711. Conséquences mémorables duviii»
concile, XIII, 712.]
CONCILE de Verberie, tenu pour esami.
ner les accusations formées contre Hincmar
deLaon, XIII, 712, 713. On y confirme
l'union de trois monastères à celui de Clair-
vaux, 713.
CONCILE de Metz, oij le roi Charles le
Chauve est couronné roi de Lorraine, XllI,
713.
CONCILE de Pistes, où l'on confirme les
donations qu'Egile, archevêque de Sens,
avait faites à un monastère et à une église
de son diocèse, XIII, 713.
CONCILE d'Attigny, où le roi Charles le
Chauve fait condamner son fils Carloman ;
on y procède aussi contre Hincmar de Laon,
XIII, 713.
CONCILE de Vienne qui adjuge au mo-
nastère de Saint-Oyen, une église que le
curé de Saint-Alban lui avait enlevée, XIII,
713 et 714.
CONCILE de Cologne, où l'on règle plu-
sieurs points de discipline, XIII, 714.
CONCILE de Douzi, où, sur les plaintes
du roi Charles le Chauve, Hincmar de Laon
est déposé, XIII, 714. Lettre synodale et
actes du concile adressés au pape Adrien II,
714 et 713.
CONCILE de Compostelle, tenu à l'occa-
sion de la dédicace de l'église de Saint-Jac-
ques, Xm, 713.
CONCILE d'Oviédo, pour l'érection de
cette ville en métropole, Xlll, 715.
CONCILE de Chalon-sur-Saône^ qui rend
aux chanoines de Saint-Marcel l'éghse de
Saint-Laurent, usurpée par les évêques,
XIII, 713.
CONCILE de Cologne, qui confirme les
statuts faits par Gonthier pour les chanoines
de la cathédrale, et approuve la fondation
du monastère de Sainte-Cécile, Xlll, 715 et
716.
CONCILE de Senlis, où Carloman, fils de
Charles le Chauve, est déposé de tout degré
ecclésiastique, XIII, 716.
CONCILE de Douzi, pour arrêter le cours
des mariages incestueux et des usurpations
des biens de l'Église. Décret de ce concile
au sujet d'une religieuse abusée par un prêtre
XIII, 716. '
CONCILE de Reims, où Hincmar publie
cinq articles pour les prêtres de son diocèse,
XIII, 716 et 717.
CONCILE de "Ravenne , où Dominique ,
abbé d'Altino, est autorisé à recevoir les
revenus de l'évêché de Torcelle, XIII, 717.
CONCILE de Toulouse contre les Juifs.
Ses actes n'ont point d'autorité, XIII, 717.
CONCILE de Chalon-sur-Saône, où l'on
confirme les donations faites à l'abbaye de
Tournus, XUI, 717.
CONCILE de Pavie, où les évêques de
Toscane et ceux de Lombardie élisent le roi
Charles le Chauve pour leur protecteur et
leur seigneur; canons de discipline faits en
ce concile, adoptés en celui de Pontion,
xm, 717.
CONCILE de Pontion, assemblé par
Charles le Chauve, XIII, 717 et suiv., et
XII, 633. Différentes attaires qui y sont trai-
tées; on y tint huit sessions, XIII, 717. Ar-
ticles rejetés par le concile de Pontion. Autres
actes faits par ce concile, 719. — Ces actes
sont attribués à Odon, évêque de Beauvais,
XII, 639.
CONCILE de Rome, où l'élection de l'em-
pereur Charles le Chauve est confirmée,
XIII, 719.
CONCILE de Ravenne, où l'on fait dix-neuf
canons sur la discipline et les immunités de
l'Église, XIII, 719 et 720.
873
873.
873.
874.
873.
875.
876.
876.
877.
877.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
CONCILE de Neustrie, assemblé au sujet
des ravages commis par Hugues, fils naturel
du roi Lothaire, XIII, 720.
CONCILE de Troyes, tenu par le pape
Jean VIII; différentes affaires traitées dans
ce concile où l'on tint cinq sessions, XIII,
720 et suiv. Autres actes du concile de Troyes,
— [Observations sur la discussion entre les
deux Hincmar et la nécessité de recourir au
Saint-Siège^ XII, 721.] Jean Vlll y couronne
Louis le Bègue, 634.
CONCILE de Rome, tenu par Jean VIII,
pour l'élection d'un empereur, XIII, 722.
CONCILE de Rome, où Anspert, archevê-
que de Milan, est déposé, XIII, 722.
CONCILE de Rouen, qui fait seize canons
de discipline, XIII, 727, 728.
CONCILE de Constantinople pour le réta-
blissement de Photius, XIII, 722 et suiv.
Après la mort de saint Ignace, Photius
usurpe de nouveau le siège de Constanti-
nople. De quelle manière il trompe le pape
Jean VIII, qui envoie à Constantinople des
légats pour présider au concile où Photius
devait être solennellement rétabli, 722. Dif-
férentes éditions et traductions qu'on a faites
de ce concile. Première session, 722 : elle
se passe en comphments. Seconde session ;
on y lit les lettres du pape à l'empereur, à
Photius et aux évêques du concile. [Altéra-
tions faites à ces lettres, 723.] Troisième
session : on y lit encore quelques autres
lettres da pape et l'instruction des légats,
723 et 724. Quatrième session : on propose
les articles qui devaient servir de fondement
à la réunion ; les légats assistent à l'office
célébré par Photius, 724. Cinquième session:
on reconnaît le second concile deNicéepour
le vii° général ; Métrophane de Smyrne, tou-
jours opposé à Photius, est séparé de la com-
munion ecclésiastique, 724 et 725. Souscrip-
tion des décrets du concile. Sixième session:
l'empereur Basile y préside et propose de
publier le symbole de Nicée dans le dessein
de faire condamner tacitement l'addition Fi-
lioque; le concile y consent, 725. Lettre at-
tribuée au pape Jean VIII contre l'addition
Filioque, faite au symbole de Nicée ; elle est
supposée, et fabriquée probablement par
Photius, 725 et 726. Compte que les légats
rendent au pape Jean de ce qui s'était fait
dans le concile; lettres mesurées qu'il écrit
à l'empereur et à Photius; ayant ensuite
découvert la prévarication de ses légats, il
députe en Orient l'évêque Marin, avec pou-
255
voir d'annuler tout ce qu'ils avaient fait de
contraire à leurs instructions et même d'a-
nathématiser Photius, 725 et 726. Autres
preuves de la supposition de la lettre attri-
buée à Jean VIII; ce concile de Constanti-
nople est regardé dans l'Église catholique
comme un concile sans autorité, 726.
CONCILE de Mantes près de Vienne en Dau-
phiné, où Boson se fait roi d'Arles, XIII, 728.
CONCILE de Reims, où Hincmar prive de
ses fonctions un prêtre débauché, et menace
d'excommunication deux époux parents qui
ne voulaient pas se séparer, XIII, 728.
CONCILE de Rome, où Athanase, évêque
de Naples, est excommunié povir ses liaisons
avec les Sarrasins, XIII, 728.
CONCILE de Fismes, où l'on fait huit ca-
nons de discipline, XIII, 728 et suiv.
CONCILES de Landafî, au nombre de sept,
dont on ne peut fixer les années, et dont on
sait peu de choses, XIII, 730.
CONCILE de Chalon-sur-Saône , pour le
rétablissement de la paix et de la tranquil,
lité publique : on y confirme toutes ledona.
fions faites à l'abbaye de Charlieu, XIII, 730.
CONCILE de Port, diocèse de Nîmes,
contre un clerc espagnol qui avait usurpé
l'archevêché de Tarragone, XIII, 730.
CONCILE de Cologne : on y confirme l'é-
lection de Drogon, évêque de Minden; on
renouvelle les canons contre ceux qui piL
laient les éghses, XHI, 730 et 731.
CONCILE d'Agaune, où Rodolphe, fils de
Conrad II, se fait élire et couronner roi de
Bourgogne, XIII, 731.
CONCILE de Mayence , tenu par ordre
d'Arnoul, roi de Germanie : canons de dis-
cipline faits en ce concile, XIII, 731 et 732.
CONCILE de Metz : Analyse des treize ca-
nons qui y furent faits, XIII, 732, 733.
CONCILE de Varennes, qui rend à l'ab-
baye de Ligny celle de la Baume, usurpée
par un nommé Bernard, XIII, 732.
CONCILE de Valence, où Louis, fils de
Boson, est élu roi, XIII, 733.
CONCILE de Worms, au sujet des préten-
tions de l'archevêque de Cologne sur l'évê-
ché de Brème, XIII, 733.
CONCILE de Vienne : ses quatre canons,
XUI, 733 et 734.
CONCILE de Reims , où Charles, fils de
Louis le Bègue est proclamé roi, XIH, 734.
CONCILE de Rome, tenu par le pape
Formose. Il n'est connu que par ce qu'en
dit Flodoard, XIII, 733.
879.
879.
881.
881.
IX. siècle.
887.
888 ou 891.
890.
893.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
894.
895.
897.
897.
897.
900.
V.900.
901.
9oloii904,
ou 905.
904.
906.
906 et 907.
907.
236
CONCILE de Chalon-sur-Saône, pour exa-
miner l'affaire de Gerfroy, moine de Flavi-
gny, accusé d'avoir empoisonné Adalgaire,
évéque d'Autun, XIII, 733.
CONCILE de Tribur, convoqué par l'em-
pereur Arrloul, qui assiste à ses délibéra-
tions, XIII, 733. Analyse des cinquante-huit
canons de ce concile, 733, 736.
CONCILE de Nantes, dont on ignore l'é-
poque précise, XIII, 736, 737.
CONCILE de Rome, assemblé par le pape
Etienne VI, pour faire le procès à Pormose,
son prédécesseur, XIII, 737,
CONCILE de Port, qui rend à l'église de
Saint-Jean-Bap liste de Nîmes les dîmes de
Cocon, prétendues par l'église de Saint-An-
doche, XIII, 737.
CONCILE de Gompostelle, où l'abbé Cé-
saire est élu et sacré archevêque de Tarra-
gone, XIII, 737 et 738.
CONCILE de Rome tenu parle pape Jean IX .
On en ignore la date précise ; les évêques qui
s'étaient déclarés contre Formose se rétrac-
tent et demandent pardon, XIII, 738. Canons
de ce concile ; la procédure contre le cada-
vre de Formose est annulée, 738 et 739.
CONCILE de Ravenne, tenu par le pape
Jean IX, XIII, 739 ; capitules de ce concile,
739 et 740. Difficultés sur la date de ce con-
cile, 740.
CONCILES DU DIXIÈME SIÈCLE.
CONCILE de Meun, qui ordonne qu'à l'a-
venir l'archevêque de Sens n'ordonnerait
aucune assemblée pour le monastère de
Saint-Pierre qu'il n'eût été élu librement par
la communauté, XIII^ 740.
CONCILE d'Angleterre. On y érige plu-
sieurs évêchés dans la province d'Ouestsex,
Xm, 740.
CONCILE de Latran, qu'on ne connaît que
par ce que Flodoard en a rapporté, XIII, 740.
CONCILE de Saint-Oyan, au sujet d'une
chapelle possédée par les moines de Saint-
Oyan, réclamée par les chanoines de Saint-
Vincent de Mâcon, XIII, 741.
CONCILE de Narbonne, pour exempter
l'Église d'Ausone et son évéque du tribut
qu'ils avaient payé à l'Église de Narbonne,
XIII, 741.
CONCILE devienne, qui adjuge à Aribert,
abbé de Romane-Moutier des dîmes sur une
chapelle que lui disputait Bernard, abbé de
Saint-Maurice, XIII, 740.
CONCILE de Jonquères, au diocèse de
Magaelone, pour absoudre d'excommunica-
tion le comte Sinuarius, XIII, 740.
CONCILE de Troslé. Hervé, archevêque
de Reims, y fait un discours sur les maux de
l'Église et de l'État, XHI, 741 et 742. Canons
de ce concile, 742, 743.
CONCILE de Narbonne, où l'on termine
le différend qui s'était élevé sur les limites
des diocèses d'Urgel et de Pallaria, XIII,
742 et suiv.
CONCILE de Tours, qui fixe au 13 dé-
cembre la fête de la translation des rehques
de saint Martin, XIII, 744.
CONCILE de Chalon-sur-Saône, qui fait
rendre au prêtre Bérérius une métairie dé-
pendante de l'église Saint-Marcel, usurpée
p un archiprêtre, XIII, 744.
CONCILE de Troslé, où Hervé, archevê-
que de Reims, lève l'excommunication qu'il
avait prononcée contre le comte Erlebald,
Xni, 744.
CONCILE de Coblentz; ses huit canons,
dont trois sont perdus, XIII, 744.
CONCILE de Reims, qui règle la péni-
tence qu'on devait imposer à ceux qui s'é.
talent trouvés à la bataille de Soissons, XIII,
744 et 745.
CONCILE de Troslé, où le comte Isaac se
réconcilie avec Etienne, évéque de Cambrai,
XIII, 74S.
CONCILE de Tours, au sujet des dîmes
contestées entre les églises de Saint-Satur-
nin et de Saint- Vincent, XIII, 745.
CONCILE de Charlieu, qui ordonne de ren-
dre à l'abbaye de Charlieu dix églises qu'on
lui avait ôtées, XIII, 745.
CONCILE de Troslé, qui admet à péni-
tence le comte Herluin, lequel da vivant de
safemmeenavait épousé une autre, XIII, 743.
CONCILE de Wisbourg ou Duisbourg, à
l'occasion de l'insulte atroce faite à Bernon,
évéque de Metz, XIII, 745.
CONCILE de Gratéléan, assemblé par le roi
Ethelstan, qui y fait plusieurs lois pour la
police civile et ecclésiastique, XIII, 745 et746.
CONCILE d'Erfurth ou d'Erford en Thu-
ringe, dont il nous reste cinq canons de dis-
cipline, XIII, 746.
CONCILE de Château-Thierri, où Hilde-
gaire est ordonné évéque de Beauvais, XIII,
746.
CONCILE de Fisme contre ceux qui pil-
laient les biens ecclésiastiques ou qui s'en
emparaient, XII, 746.
909.
909.
9H.
912.
915.
921.
924.
926.
927.
933.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
2S7
(,42. CONCILE de Soissons, où Herbert, comte
de Vermandois, veut faire ordonner arche-
vêque de Reims Hugues, son fils, XHI, 746,
Ul.
9«. CONCILE de Londres, où le roi Edmond
fait un grand nombre de lois, XIII, 747.
944. CONCILE de Tournas, pour redemander
les reliques transportées à Saint-Portien,
Xni, 747.
9^. CONCILIABULE de Gonstantinople , où
Romain, empereur d'Orient, fait déposer le
patriarche Tryphon, son confidentiaire, XIII,
747 et 748.
947. CONCILE de Fontaine, au diocèse d'Elne.
Les évéques de Girone et d'Urgel y sont dé-
posés^ puis rétablis ; on y règle le rang de
l'évéque d'Elne, XHI, 748.
947. CONCILE de Verdun. Hugues refuse d'y
comparaître; Artaud estmaintenu dans l'ar-
chevêché de Reims, XIII, 748.
948. CONCILE de Mousson. Hugues ayant en-
core refusé d'y comparaître, est excommu-
nié, et Artaud confirmé archevêque de Reims,
Xni, 748.
948. CONCILE d'Ingelheim. On y examine de
nouveau la contestation entre Hugues et Ar-
taud pour l'archevêché de Reims ; Artaud est
confirmé dans la possession de cet archevê-
ché, XIII, 748 et 749. Canons faits en ce con-
cile, 749.
948. CONCILE de Laon. Hugues, comte de Pa-
ris, y est excommunié, XIII, 749.
948. CONCILE de Trêves, où la contestation
sur l'archevêché de Reims est terminée à
l'avantage d'Artaud; Hugues, comte de Pa-
ris, y est excommunié de nouveau, XIiI,749
et 750.
948. CONCILE de Londres, où le roi Edrède
donne à TurquetuUe monastère de Croyland,
Xni, 750.
949. CONCILE de Rome, où le pape Agapet
confirme ce qui s'était fait au concile d'In-
gelheim, XIII, 750,
950. CONCILE de Landaflf, où le roi Nougui se
soumet à la pénitence pour avoir usurpé les
biens de cette Église, XIII, 750.
952. CONCILE d'Augsbourg, assemblépar l'em-
pereur Othon ; on y fait onze canons de dis-
ciphne, XHI, 750 et 751.
953. CONCILE de Saint-Thierry, où le comte
Régenold est cité pour ses ravages, XIII,
751.
954. CONCILE de Ravenne, qui ordonne la res-
titution des biens enlevés à l'évéque de Fer-
rare, XIH, 751.
TAB. I.
CONCILE de Landaff au sujet d'un diacre 955.
qui avait été tué devant l'autel, XIII, 751.
CONCILE tenu en Bourgogne au sujet des 955.
biens de l'abbaye de Sainl-Symphoriend'Au-
tun usurpés par Isuard, XIII, 751 et 752.
CONCILE de Meaux, assemblé sur ce que 962.
Hugues prétendait rentrer dans l'archevêché
de Reims après la mort d'Artaud, XIII, 752,
753.
CONCILE de Rome, où l'empereur Othon 963.
fait déposer le pape Jean XII, XHI, 753.
[Conduite d'Othon, par rapport au pape, bien
différente de celle de Charlemagne, 753, 754.
Conduite des évoques en cette circonstance,
754. — Le pape fait déposer ces évêques,
XH, 832.]
CONCILE de Gonstantinople au sujet du 9,33.
mariage de l'empereur Nicéphore Phocas
avecThéophanie, veuve de Romain, XIII, 754.
CONCILE de Rome, tenu par le pape Jean 954.
XII contre l'empereur Othon et Léon VIII que
ce prince avait fait élire à sa place, XIII, 754.
CONCILE de Brandefort, où le roi Edgar
964.
répare les dommages faits aux évêques par
Edwiu, son frère, XIII, 755.
CONCILE de Rome, où Benoît, élu pape 954.
par les Romains, est déposé, et Léon VIII
confirmé, XIH, 755,
CONCILE de Ravenne, assemblé par l'em- 937.
pereur Othon; différentes affaires qui y sont
traitées, XIII, 755, 756. [Sur différentes cir-
constances de ce concile, 755, n. 1, 2, 3.]
CONCILE d'Angleterre, qui fait plusieurs 959.
canons sur la discipline ecclésiastique, XIII,
757, 758.
CONCILE de Rome, où Bénévent est érigé 969.
en archevêché, XIII, 758.
CONCILE de Londres, où le roi Edgar fait 970.
confirmer ses donations au monastère de
Glassembury, XIII, 758.
CONCILE de Rome, où par une bulle, le 971.
pape Jean XIII confirme les dosations du roi
Edgar au monastère de Glassembury, XIII,
758.
CONCILE en Tardenois au sujet de l'éta- 972.
blissement d'un monastère à Mouzon, XIII,
758.
CONCILE d'Ingelheim, où l'on , désigne 972.
Adalbéron pour succéder à saint Udalric,
évêque d'Augsbourg, XIII, 758, 759.
CONCILE de Marzaglia, qui termine la con- 972.
testation entre Albert, évêque de Bologne,
etUbert, évêque de Parme, au sujet de cer-
taines terres qu'ils prétendaient l'un et
l'autre leur appartenir, XIII, 759.
17
258
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
973. CONCILE de Modène sur un différend entre
deux frères qui se contestaient des terres,
XIII, 759.
974. CONCILE d'Angleterre, où le roi Edgar
prend la résolution de mettre des moines
dans le monastère de Malmesbury à la place
de chanoines qui y étaient, XIII, 759.
g,g CONCILE de Gonstanlinople, où le pa-
triarche Basile Scamandrin est déposé, XIII,
759.
975. CONCILE de Reims, où Thibaud, évéque
d'Amiens, est excommunié comme usurpa-
teur de cette Église, XIII, 759.
975. CONCILE de Winchester, où les clercs
chassés des différentes églises par le roi Ed-
gar, sollicitent en vain leur rétablissement,
XIII, 739.
978. CONCILE de Ketling ou Katlage, qui auto-
rise le pèlerinage à l'église de Sainte-Marie
d'Abbendon, XIII, 759.
978. CONCILE de Kent, où les clercs deman-
dent encore de rentrer dans les églises d'où
on les avait chassés, XIII, 759.
978. CONCILE d' Ambresburg, dont on ne sait ni
le sujet, ni la date précise, XIII, 759 et 760.
980. CONCILE de Sens, oùl'archevèque accorde
au monastère de Saint-Pierre-le-Vif quatre
églises de son diocèse, avec les revenus en
dépendants, pour leur subsistance, XIII, 760.
983. CONCILE de Rome, à l'occasion de la
translation de Gisiler, de l'évêché de Mers-
bourg à l'archevécLé de Magdebourg, XIII,
760.
983. CONCILE de Rome, où l'on fait des décrets
contre les ordinations simoniaques ; on croit
que c'est le même que le précédent, XIII,
760.
985. CONCILE de Reims qu'on ne connaît que
par les lettres de convocation écrites par
l'archevêque Adalbéron, XIII, 760.
988. CONCILE de Landaft', où Arthmail, roi de
Galles, est anathématisé pour avoir tué son
frère, puis est réconcilié, XIII, 760.
989. CONCILE de Rome, qui ordonne que saint
Adalbert, évêque de Prague, retournerait à
son diocèse qu'il avait quitté à cause de l'in-
docilité des peuples, XIII, 760.
ggg CONCILE de Gharroux, qui anathématisé
les pillards, XIII, 761.
989. CONCILE de Reims, où Arnoul est élu ar-
chevêque après la mort d'Adalbéron, XIII,
761.
990. CONCILE de Senlis, qui interdit les églises
de Reims et de Laon, XII, 761.
•m. CONCILE de Reims, où l'archevêque Ar-
noul est déposé, et Gerbert mis à sa place,
XIII, 761. [Tout ne fut pas canonique dans
ce concile, 761, n. 2.]
CONCILE de Reims, où l'on invite ceux 993.
qui avaient pillé les biens de l'Église à les
restituer, XIII, 762.
CONCILE de Rome, où saint Udalric, évè- 993.
que d'Augsbourg, est mis au nombre des
saints, XIII, 762.
CONCILE de Mouzon. Gerbert y défend 995.
sou élection à l'archevêché de Reims; on lui
ordonne de s'abstenir de l'office divin jus-
qu'à la tenue d'un autre concile, XIII, 762.
CONCILE de Reims, où Gerbert est dé- 995.
posé, et Arnoul rétabli, XIII, 762. [Conduite
et langage du légat du Pape, 762, n. 4.]
CONCILE de Rome tenu par le pape Gré- 996.
goire V au sujet des usurpations faites sur
l'Église de Cambrai, XIII, 763.
CONCILE de Ravenne tenu par Gerbert, 993.
devenu archevêque de cette ville ; on y fait
trois canons de discipline; les collecteurs des
conciles se trompent sur la date de celui-ci
en le plaçant sous l'année précédente, XIII,
763.
CONCILE de Pavie, où le pape Grégoire V 997.
anathématisé le sénateur Crescence qui l'a-
vait chassé de Rome, XIII, 763.
CONCILE de Saint-Denys en France. On 995.
veut ôter les dîmes aux laïques et aux moi-
nes pour les rendre aux évêques ; tumulte
que cette proposition occasionne, XIII, 763,
764. Erreur sur la date de ce concile, 764.
CONCILE de Rome tenu par le pape Gré- 993.
goire V en présence de l'empereur OthonlII ;
on y traite différentes affaires, XIII, 764.
CONCILE de Rome, où Gisiler est accusé 999,
de posséder en même temps les deux évê-
chés de Mersebourget de Magdebourg, XIII,
774.
CONCILE de Poitiers, convoqué par Guil- ,000.
laume V, duc d'Aquitaine; pour rétablir la
paix, la justice et la discipline dans l'Église,
XIII, 765.
CONCILES DU ONZIÈME SIÈCLE.
CONCILES tenus en Italie et dansles Gau- looi ou ii
les. On ne sait ce qu'en dit Raoul Glaber,
XIII, 763.
CONCILE de Rome où le différend entre looi.
Bernouard, évêque de d'Hildesheim, et Wil-
ligise, archevêque de Mayence, au sujet du
monastère de Gandesheim, est décidé en fa-
veur de Bernouard, XIV, 1033.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
259
inor.
loOi
lOOl.
1009.
1009.
1012.
1015.
CONCILE de Polden , en Saxe , sur la
même afifaii-e. L'archevêque de Mayence y
est suspendu de toutes fonctions épiscopales,
XIV, 1033, 1034,
CONCILE de Francfort sur la même af-
faire. On convient que ni l'un ni l'autre des
contendants n'exercera de juridiction jus-
qu'à la décision d'un autre concile, XIV, 1034.
CONCILE de ïodi où l'on désapprouve la
conduite de Willigise, archevêque de
Mayence, à l'égard de Bernouard, évèque
d Hildesheim, XIV, 1034.
CONCILE de Rome, où l'on fait convenir
Conon, évêque de Péroase, que le monas-
tère de Saint-Pierre, près Pérouse, étail sou-
mis immédiatement au Saint-Siège, XIV,
1033.
CONCILE de Dortmund, convoqué par
l'empereur Othon III pour le rétablissement
de la discipline ecclésiastique, XIV, 1034.
Confraternité de prières établies entre tous
ceux qui assistèrent au concile, 1034, 1035.
CONCILE de Rome, qui confirme l'érec-
tion de l'évèché de Bamberg, XIV, 1033.
CONCILE de Francfort, où l'érection de
l'évèché de Bamberg est de nouveau confir-
mée, XIV, 1033.
CONCILE de Cbelles tenu par le roi Ro-
bert en son palais; on y accorde de nou-
. veaux privilèges à l'abbaye de Saint-Denys,
XIV, 1033.
CONCILE de Barcelone, où l'on confirme
les donations faites à l'Église de Barcelone,
XIV, 1035.
CONCILE d'Anbam, assemblé par le roi
Éthelrède ; canons de ce concile, XIV, 1033,
1036.
CONCILE de Bamberg, assemblé à l'occa-
sion de la dédicace de la cathédrale de Bam-
berg, XIV, 1036.
CONCILE de Besançon, présidé par Vic-
tor, archevêque de Besançon, XIV, 1037.
CONCILE de Pavie tenu par le pape Be-
noit VIII. On y déclare que les enfants des
clercs concubinaires seront serfs des églises
où servent leurs pères, XIV, 1037.
CONCILE de Ravenne tenu par l'archevê-
que Arnoul, XIV, 1037. [Date de ce concile,
note 3.]
CONCILE de Rome, où le pape Benoît VIII
accorde un privilège à l'abbaye de Frutar,
XIV, 1037, 1038 ; et XIII, 192.
CONCILE de Pavie tenu par le pape Be-
noît VIII. Discours de ce pape contre l'in-
continence des clercs, XIII, 191. Canons de
1022.
1022
1030.
1021.
ce concile, 191, 192; confirmés par un dé-
cret de l'empereur Henri, 192.
CONCILE d'Orléans tenu contre de nou-
veaux Manichéens, XIV, 1038.
CONCILE de Séhngstad, assemblé par Ari-
bon, archevêque de Mayence. Canons de
discipline faits en ce concile, XIV, 1038,
1039. Formulaire des cérémonies à observer,
dans la tenue des conciles ; [il 'est inséré
dans le Pontifical,] 1039.
CONCILE d'Airy, convoqué par le roi Ro-
bert ; ce qu'on écrit de ce' concile, XIV, 1039,
1040.
CONCILE de Winchester, où le monastère
de Saint-Edmont est exempté de la juridic-
tion des évêques, XIV, 1040.
CONCILES de Dijon, de Beaune, de Lyon.
Les actes en sont perdus, XIV, 1040.
CONCILE d'Aix-la-Chapelle, où l'on dis-
cute les prétentions de l'archevêque de Co-
logne et de l'évêque de Liège sur le monas-
tère de Barcet, XIV, 1040.
CONCILE de Mayence, où l'on sépare le
comte d'Hamernstein d'avec Irmengarde, qui
n'était point sa femme légitime, XIV, 1040.
[Date de ce concile, 1040, n. 5.]
CONCILE d'Arras contre les Manichéens)
XIV, 1040, 1041. — Analyse des actes de ce
concile où les erreurs des Manichéens sont
réfutées, XIII, 160 et suiv.
CONCILE d'Anse, près de Lyon, où Gaus-
lin, évêque de Mâcon, se plaint de ce que
Bouchard, archevêque de Vienne, avait or-
donné des moines de Cluny, XIV, 1041.
[Conclusion mal fondée que Fleury tire d'un
canon de ce concile, 1041, n. 2.]
CONCILE de Francfort, qui conserve à
l'évêque d'Hildesheim la juridiction sur le
monastère de Gandesheim, XIV, 1041.
CONCILE de Mayence, où un homme ac-
cusé d'avoir tué le comte Sigefroi est admis
à se justifier par l'épreuve du fer chaud, XIV,
1041.
CONCILE de Karofife ou Gharroux, assem- I028oui03i.
blé par Guillaume IV, duc d'Aquitaine, pour
le rétablissement de la paix, XIV, 1041 , 1042.
CONCILE de Limoges, où l'on agite la
question de l'apostolat de saint Martial, XIV,
1042, 1043. [Date de ce concile, 1042, n. 1.]
CONCILE de Bourges, qui décide en faveur
de l'apostolat de saint Martial; canons de
discipline faits en ce concile, XIV, 1043,
1044.
CONCILE de Limoges, où l'apostolat de
saint Martial est unanimement reconnu ; les
1023.
1023.
1025.
1025.
1027,
1028.
1028.
1031.
1031.
260
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
1020.
1029.
1027.
1027.
1031.
1031.
1032.
1032.
1023 et non
1032.
d03C.
1036.
1037.
1088.
1038.
1040.
1040.
1040.
canons du concile de Bourges y sont adop-
tés; autres affaires trailées dans ce concile,
XIV, 1042, 1043. [Concordai entre l'évêque
de Limoges et l'abbé de Saint-Marlial, 1042,
n. 3. L'évêque Jourdain admet le titre d'a-
pôtre pour saint Martial, n. 4.]
CONCILE d'Orléans tenu à l'occasion de la
dédicace de l'église de Saint- Agnan, XIV,
1043.
CONCILE de Palith, où l'archevêque de
Mayence renouvelle ses prétentions sur le
monastère de Gandeshem, XIV, 1043.
CONCILE dû Coustantinople tenu par le
patriarche Alexis. On pourvoit à l'indemnité
des métropolitains qui avaient payé les taxes
pour leurs suffragants ; autres canons de ce
concile, XIV, 1045.
CONCILE de Constanlinople tenu la même
année par le même patriarche Alexis. On y
prononce un décret touchantles monastères et
leurs biens, XIV, 1043, 1046.
CONCILES de France à l'occasion d'une
famine affreuse, XIV, 1046. Décrets qui y
turent faits, 1047.
CONCILE de Tribur, convoqué par l'em-
pereur Conrad, XIV, 1047.
CONCILE de Poitiers. On ordonne aux
usurpateurs des biens d'église de les resti-
tuer, XIV, 1047.
CONCILE tenu au monastère de Ripouille,
qui en confirme les privilèges, XIV, 1048.
CONCILE de Pampelune, pour rétablir
l'évêché de cette ville.
CONCILE de Tribur. Ou y fait promettre
à Otton de Sumvard de se séparer de Ma-
thilde, fille du ducBolesIas, qu'il avait épou-
sée, XIV, 1048.
CONCILE de Poitiers, qui rétablit la paix
entre plusieurs particuliers, XIV, 1048.
CONCILE de Rome, où André, évêque de
Pérouse, renonce à ses prétentions sur le
monastère de Saint-Pierre, XIV, 1048.
CONCILE de Girone tenu à l'occasion de
la dédicace d'une église, XIV, 1048.
CONCILE d'Ausone ou de Vie tenu à l'oc-
casion de la dédicace d'une église, XIV,
1048.
CONCILE d'Urgel tenu à l'occasion de la
dédicace d'une église, XIV, 1048.
CONCILE de Vendôme tenu à l'occasion de
la dédicace de l'église du monastère, XIV,
1048.
CONCILE de Venise, où l'on règle divers
points de discipline ecclésiastique, XIV,
1032.
CONCILE de Céséna, qui rétablit la vie 1049g
commune et régulière parmi les clercs de la
cathédrale, XIV, 1052, 1033.
CONCILE de Coxano, qui règle que le
prieuré de Tremes-Aigues dépendrait du
monastère de Coxane, XIV, 1053.
[CONCILE de Narbonne contre les usur-
pateurs des biens de l'Église, XIII, 122.]
CONCILE de Coxane tenu contre les usur-
pateurs des biens de cette abbaye, XIV,
1033.
CONCILE de Constance, où le roi Henri i0i4.
se réconcilie avec tous ses ennemis, XIV,
1053.
CONCILE d'Arule, qui confirme l'immu- io^6-
nité de ce monastère, XIV, 1053.
CONCILE tenu par Guifroi, archevêque '"^s.
de Narbonne, pour confirmer les privilèges
de l'église de Saint-Michel en Lampourdan,
XIV, 1053.
CONCILE de Pavie dont parle Herman i046.
Contracte, XIV, 1033.
CONCILE de Sutri, où Grégoire VI abdi- 1046.
que le souverain pontificat; Clément II est
élu à sa place, XIV, 1053.
CONCILE de Rome, où la préséance est io47.
adjugée à l'archevêque de Ravenne sur ceux
de Milan et d'Aquilée, XIV, 1033 et XIII,
198. On y travaille à extirper la simonie, 198.
CONCILE de Téluges, au diocèse d'Elue, 1047.
qui prescrit l'observation de la trêve de
Dieu, XIV, 1033.
CONCILE d'Allemagne contre les Simo- i""-
niaques, XIV, 1054, et XIH, 198.
CONCILE de Caen, pour l'observation de 1047.
la trêve de Dieu, XIV, 1034.
CONCILE de Caen pour l'observation de 1047.
la trêve de Dieu, XIV, 1034.
CONCILE de Sens qui confirme la fonda- 1048.
tion du monastère de Saint-Ayoul de Pro-
vins, XIV, 1054.
CONCILE de Rome au sujet des ordina- 1049.
lions simoniaques, XIV, 1034, 1033, et XIII,
200.
CONCILE de Pavie tenu par le pape saint 1049.
Léon IX, XIV, 1053, et XIII, 200.
CONCILE de Reims tenu par le pape saint io49.
Léon IX, pour remédier à plusieurs abus,
XIV, 1035. Canons de ce concile, 1033 et
1036. Autres circonstances de ce concile,
1036. Voyez aussi tome XIII, 163, 200.
CONCILE de Mayence tenu par le même
pape, XIV, 1036.
CONCILE de Rouen; canons de ce concile,
la plupart contre la simonie, XIV, 1036.
TABLE GÉiNÉRALE DES MATIÈRES.
261
CONCILE de Coyac, au diocèse d'Oviédo;
canons de discipline faits en ce concile, XIV,
1037.
[CONCILE de Saint-Tibéri contre les usur.
pateurs des biens de ce monastère, XIV,
1058.]
CONCILE de Siponto où le pape Léon IX
dépose deux archevêques simoniaques, XIV,
1058.
CONCILE de Rome où le pape saint Léon
IX met au nombre des saints le bienheu-
reux Gérard, évêque de Toul, XIV, 1038.
Bérenger y fut condamné, XIII, 183 et 201.
CONCILE de Verceil tenu par le pape
saint Léon IX. Le livre de Jean Scot sur
l'Eucharistie y est condamné ; la doctrine
de Bérenger sur l'Eucharistie y est exami-
née et condamnée, XIII, 167.
CONCILE de Paris assemblé par le roi
Henri l" contre Bérenger; ses erreurs y
sont condamnées, XIII, 169.
CONCILE de Rome où Grégoire, évêque
de Verceil, est déposé pour adultère, XIV,
1038. [Plaintes de Jean, évêque de Sabines,
1038.] — On y fait divers règlements sur la
continence des clercs, XIII, 201.
CONCILE de Mantoue tenu par le pape
Léon IX, XIV, 1038.
CONCILE de Rome où l'on agite la ques.
tions des azymes, XIV, 1038. — On y dé-
cida que Grade serait la métropole des deux
provinces de Vénétie et d'Istrie, XIII, 202,
203.
CONCILE de Limoges où Itérius est élu
évêque, pour succéder à Jourdain, XIV,
1038.
CONCILE de Saint-Denys , en France, où
l'on fait la reconnaissance des reliques de
saint Denis, XIV, 1039.
CONCILE de Narbonne. Ses canons pour
l'observation de la trêve de Dieu , XIV,
1039.
CONCILE de Barcelone où on lit le décret
de Guillaume, comte de Barcelone, contre
les usurpateurs de l'Église, XIV, 1039.
CONCILE de Florence où le pape Victor II
confirme les décrets de saint Léon IX, son
prédécesseur, contre Bérenger, XIII, 169.
CONCILE de Tours présidé par Hilde-
braud, depuis pape sous le nom de saint Gré-
goire VII.
Bérenger y abjure ses erreurs.
1055.
1055.
1056.
XIII, 169.
CONCILE de Cologne où le pape Victor II
réconcilie Baudouin, comte de Flandres,
avec Godefroi, duc de Lorraine, XIV, 1039.
CONCILE de Saint-Gilles pour l'observa- lose.
tion de la trêve de Dieu, XIV, 1039.
CONCILE de Landaff où le roi Catgucan i056.
est excommunié, XIV, 1039.
CONCILE de Lisieux où Manger, arche-
vêque de Rouen, est déposé, et Maurille mis
en sa place, XIV, 1060.
CONCILE de Rouen tenu par l'archevêque
Maurille, pour rétablir la discipline, XIV,
1060.
CONCILE de Toulouse où Bérenger, vi-
comte de Narbonne, forme de grandes
plaintes contre Guifroi, archevêque de Nar-
bonne; canons de discipline faits en ce con-
cile, XIV, 1060.
CONCILE de Compostelle dont les actes i056oui03i.
ont été donnés par le cardinal d'Aguirre,
XIV, 1060, 1061.
CONCILE de Rome qui rétablit dans son
premier état l'évêché de Marsi, qu'on avait
depuis peu divisé en deux, XIV, 1061.
CONCILE de Narbonne tenu à l'occasion
de la dédicace de l'église de cette ville, XIV,
1061.
CONCILE d'Elne tenu à l'occasion de la dé-
dicace de l'église de cette ville, XIV, 1061.
CONCILE de Barcelone où on lit un dé-
cret touchant les îles Baléares, dépendantes
de ce diocèse, XIV, 1061.
CONCILE de Sutri où l'archevêque Be-
noit, surnommé Mincius, est déposé et privé
des fonctions du sacerdoce, XIV, 1061.
CONCILE de Rome tenu par le pape Ni-
colas IL On y fait treize canons de disci-
phne, XIV, 1061. — Bérenger y abjure de
nouveau ses erreurs, XIII, 169, 170. On y
règle la forme de l'élection du pape, 243,
244. Les décisions de ce concile sont noti-
fiées aux évêques et aux fidèles des Gaules,
244. Les règles pour les chanoines et les
chanoinesses, approuvées au concile d'Aix-
la-Chapelle, y sont abrogées, 247, 248.
CONCILE d'Amalfi où le pape Nicolas II
dépose l'évêque de Trani, XIV, 1061.
CONCILE de Bénévent où le même pape
fait rendre à l'abbé de Saint- Vincent un
prieuré dont le moine Adalbert s'était em-
paré, XIV, 1061, et XIII, 248.
CONCILE de Reims où Philippe, fils aîné
d'Henri P', est couronné roi de France ,
XIV, 1061.
CONCILE de Vienne tenu par le légat
Etienne, XIV, 1061, et XIII, 246.
CONCILE de Tours tenu par le même,
XIV, 1061, 1062.
1057.
105U.
1058.
1058.
1059.
1059.
1050.
1050.
1053.
1060.
1060,
262
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1060.
1035 ou 1063.
1061.
1C6I-1062.
1061.
1062.
1063.
1063.
1063.
1064 ou
plutôt 1067
1064 ou
plutôt 1068.
1065.
1065.
1065.
1066.
CONCILE de Jacca, en Âragou. On trans-
féra à Jacca le siège épiscopal de Huesca ;
autres canons de ce concile, XIV, 1062.
CONCILE de Rouen tenu par l'archevêque
Maurille. Profession de foi contre les erreurs
de Bérenger, XIII, 170, 267.
CONCILE de Caen présidé par Maurille, ar-
chevêque de Rouen, XIII, 267. Statuts et rè-
glements faits en ce concile, 268, et XIV, 1062.
CONCILES de Bénévent pour terminer un
différend entre l'évêque de Dragonara et
l'abbé du monastère de Sainte-Sopliie, XIV,
1062.
CONCILE de Bâie où l'impératrice Agnès
fait élire pape Cadaloiis , qui fut l'antipape
Honorius II, XIV, 1062.
CONCILE d'Osbor, en Saxe, où l'antipape
Honorius II est déposé, et l'élection d'A-
lexandre II conBrmée, XIV, 1062, 1063.
CONCILE d'Aragon qui ordonne que l'é-
vêque de Pampelune sera choisi d'entre les
moines de Leyre, XIV, 1063. Voyez 1048.
CONCILE de Chalon-sur-Saône où les
privilèges de Cluny sont lus et approuvés,
XIV, 1063.
CONCILE de Moissac tenu à l'occasion de
la dédicace de l'éghse de ce monastère, XIV,
1063.
CONCILE de Rome tenu par le pape
Alexandre II ; ses canons stir la simonie ;
lettre circulaire par laquelle ils sont noti-
fiés à tous les évêques catholiques, XIII,
287, et XIV, 1063.
CONCILE de Mantoue où Alexandre II
est reconnu seul pape légitime ; discussion
sur la date de ce concile, XIV, 1064.
CONCILE de Barcelone où Alexandre II
est reconnu seul pape légitime, XIV, 1064.
Discussion sur la date de ce concile, 1064 et
1065.
CONCILE de Rome qui condamne ceux
qui autorisaient le mariage entre parents
dans les degrés prohibés, XIV, 1064.
CONCILE d'Autun dont la date est incer-
taine. Hugues, abbé de Cluny, réconcilie
Robert, duc de Bourgogne, avec Aganon,
évêque d'Autun; Canon de ce concile qui
défend aux moines d'attirer, dans leur mo-
nastère, les chanoines réguliers, XIV, 1064.
CONCILE de Tulujes. On y confirme la
trêve de Dieu, XIV, 1064.
CONCILE de Westminster tenu à l'occa-
sion de la dédicace de l'église de cette ba-
baye. On y confirme les biens et les privi-
lèges de l'abbaye, XIV, 1064, 106S.
CONCILE d'Auch qui ordonne que toutes
les églises du pays paieraient à la cathé-
drale le quart de leurs dîmes ; l'abbaye de
Saint-Orens et quelques autres églises sont
exemptées de cette imposition, XIV, 1065.
CONCILE de Toulouse. Plusieurs ecclé-
siastiques, accusés de simonie, y sont trai-
tés suivant la rigueur des canons ; l'évêché
de Lectoure est rétabli, XIV, 106S.
CONCILES d'Auch et de Girone, pour
établir eu Espagne le rit romain en la place
du rit gothique, XIV, 1065.
CONCILE de Mayence qui obhge le roi
Henri IV à se réunir à la reine Berthe, sa
femme, XIV, 1063.
CONCILE d'Anse qui soumet le monastère
de Saint-Laurent à celui de Saint-Martin,
en l'île Barbe, XIV, 1065, 1066.
CONCILE de Winchester où Stigand, ar-
chevêque de Cantorbéry, et plusieurs de ses
suffragants, sont déposés, XIV, 1066.
CONCILE de Windsor où Égelric, évêque
de Sussex, et plusieurs abbés, sont déposés,
XIV, 1067.
CONCILE de Londres assemblé par Lan-
franc, archevêque de Cantorbéry. On y or-
donna que les chaires épiscopales établies
dans des villages ou dans des bourgs, seront
transférées dans des villes ; procédure con-
tre saint Wulstain, évêque de Worchester,
qu'on veut obliger à se démettre , sous pré-
texte d'incapacité, XIV, 1067.
CONCILE de Pédreda où l'on termine l'af-
faire concernant les terres usurpées par
l'archevêque d'York sur l'évêché de Wor-
chester, XIV, 1066.
CONCILE de Winchester, discours que
Lanfrano y prononça, XIII, 432 et 436.
CONCILE de Mayence, sous l'archevêque,
Sigefroi, au sujet de Charles, nommé évê-
que de Constance, XIII, 406.
CONCILE de Rouen, tenu par l'archevê-
que Jean, pour le rétablissement de la dis-
ciphne, XIII, 331. Canons de ce concile, 331
et 332.
CONCILE de Windsor où l'affaire de la
primatie de Cantorbéry tut terminée, XIII,
452, et XIV, 1066.
CONCILE d'Auch tenu par Girald, évêque
d'Ostie, légat du pape saint Grégoire VII,
XIV, 1067.
CONCILE de Chalon-sur-Saône convoqué
par le même légat, XIV, 1067.
CONCILE de Saiut-Genès au sujet de saint
Anselme de Lucques, XIII, 391 , et XIV, 1067.
1068.
1068.
1038.
lOO'J.
1070.
1070.
1070.
1070.
lOJl.
1072.
1071.
1072.
1072.
1073.
i
1073$
107*.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
263
CONCILE de Rouen tenu par l'archevê-
que Jean. Canons de ce concile, XIII, 332,
333.
CONCILE de Rome, premier tenu par le
pape saint Grégoire VII. L'incontinence et
la simonie des clercs y sont condamnées,
XIII, 333 et suiv., et 391.
CONCILE de Bénévent au sujet du mo-
nastère de Sainte-Sophie, XIV, 1067.
CONCILE général d'Angleterre où l'on
décide que l'on ne devait point obliger à
prendre le voile les filles et les femmes qui,
pour éviter l'insolence des soldats, s'étaient
retirées dans les monastères, XIV, 1067.
CONCILE de Londres où l'on travaille au
rétablissement de la discipline, XIV, 1067,
1068.
CONCILE de Rome, second sous le pape
saint Grégoire VII. Ses décrets contre les
investitures, les simoniaques et les clercs
concubinaires, XIII, 358.
CONCILE de Poitiers où Bérenger est ana-
thématisé, XIII, 170.
CONCILE de Saint-Maixent. Bérenger y
donne une nouvelle rétractation de ses er-
reurs, XIII, 170.
CONCILE de Winchester présidé par Lan-
franc, archevêque de Gantorbéry. Canons de
ce concile sur la discipline ecclésiastique,
XIV, 1068.
CONCILE de Rome (Troisième) sous le
pape saint Grégoire VII. Le roi Henri IV y
est privé de la dignité royale et anathéma-
tisé, XIII, 360.
CONCILIABULE de Pavie où le pape saint
Grégoire VII est excommunié, XIII, 361.
CONCILE d'Anse dont les actes sont per-
dus, XIV, 1068.
CONCILE de Clermont, en Auvergne, où
l'on dépose les évêques du Puy et de Cler-
mont, XIV, 1068.
CONCILE de Dijon où les clercs simonia-
ques sont déposés, et d'autres mis à leur
place, XIV, 1068.
CONCILE d'Autun. Manassès, archevêque
de Reims, y est suspendu de ses fonctions,
XIV, 1068. Autres affaires traitées en ce
concile, 1068 et 1069. Voyez aussi XIII, 348
et 592.
CONCILE de Girone tenu par Amé, évê-
que d'Oléron, légat du Saint-Siège, XIII,
552. Canons de ce concile sur la disciphne,
533.
CONCILE de Poitiers. Canons faits en ce
concile, XIV, 1069. [Sur les prétextes des
princes contre la tenue des conciles, 1069,
note 2.]
CONCILE de Rome, quatrième sous saint
Grégoire VII, qui y confirme toutes les ex-
communications portées contre ses ennemis ;
lettre aux Allemands et aux Français, XIII,
365.
CONCILE de Rome, cinquième sous saint
Grégoire VII. Les rois Henri et Rodolphe y
envoient des députés; Nicéphore Boloniates
est excommunié comme usurpateur ; diffé-
rents canons de discipline, XIII, 366.
CONCILE de Rome tenu par le pape saint
Grégoire VII, Bérenger y abjui'e encore ses
erreurs, XIII, 171.
CONCILE de Rome tenu par le même.
Bérenger y signe une profession de foi ca-
tholique, Xin, 171.
CONCILE de Bordeaux où Guillaume, duc
d'Aquitaine, fait agréer le dessein qu'il avait
de fonder un monastère où l'on fit des
prières pour son salut, XIV, 1069.
CONCILE de Bretagne tenu par le légat
Amé, pour réformer les abus qui se com-
mettaient dans l'administration du sacre-
ment de pénitence, XUI, 352, et XIV, 1070.
CONCILE de Rome, sixième tenu par saint
Grégoire VII. On y traite de la matière de
l'Eucharistie; Bérenger abjure son erreur;
autres affaires qui y sont traitées, XIII,
367.
CONCILE de Rome, septième tenu par
saint Grégoire VII. Le roi Henri y est déposé
et Rodolphe confirmé rai, XIII, 368, 369.
CONCILE de Bordeaux, le dernier assem-
blé contre Bérenger. Il y fait une rétractation
de ses erreurs qu'on a lieu de croire sin-
cère, XIII, 171, 172, 552. — ■ Guillaume, duc
d'Aquitaine, y fait confirmer la fondation
qu'il avait faite du monastère de Sauve-
Majour ; autres affaires traitées en ce con-
cile, XIV, 1070.
CONCILE de Wirtzbourg assemblé pour
discuter les droits de Henri IV et de Ro-
dolphe, son compétiteur à l'empire d'Alle-
magne, XIV, 1070.
CONCILE de Lyon où Manassès, archevê-
que de Reims, est déposé, XIV, 1070.
CONCILE d'Avignon où Achard, usurpa-
teur du siège d'Arles, est déposé, et Guibe-
Hn élu à sa place, XIV, 1070.
CONCILE de Sens, dont les actes sont per-
dus, XIV, 1070.
CONCILE de Lillebonne, convoqué par le
roi Guillaume le Conquérant, XIV, 1070.
1078.
1078.
1078.
1079.
1079.
1079.
1079.
1080.
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1080.
,1080.
1080.
264
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1080.
1080.
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1081.
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1083.
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1084.
1085.
1085.
1085.
1087.
1087.
Analyse des treize canons faits en ce concile,
1070 et 1071.
CONCILE ou Synode du diocèse de Lan-
gres, assemblé par l'évêque Raynaud, XIV,
1071.
CONCILE de Saintes, qui décide que le
monastère de la Réole, prétendu par l'évêque
de Bazas, dépendrait de l'abbaye de Saint-
Fleury, XIV, 1071.
CONCILE de Meaux, où Urcion, évêque de
Soissons, est déposé, et Arnaud mis à sa
place; Lambert de Térouanne y est aussi
déposé, XIV, 1071.
CONCILE de Burgos, pour substituer en
Espagne le rit romain au gothique, XIV,
1071.
CONCILE de Rome, huitième tenu par
saint Grégoire VII ; il excommunie |de nou-
veau le roi Henri et ses partisans, XIII, 371.
CONCILE d'Issoudun, qui confirme la do-
nation que Richard, archevêque de Bourges,
avait faite de l'église de Saint-Martin à l'ab-
baye de Marmoutier, XIV, 1071.
CONCILE de Meaux, où l'on confirme les
exemptions et donations faites à l'abbaye de
Moutier-en-Der, XIV, 1071.
CONCILE de Rome, neuvième tenu par
saint Grégoire VII ; le roi Henri empêche la
plupart des évêquesde s'y rendre, XIII, 371.
CONCILE de Saintes, où Guillaume, duc
d'Aquitaine, remet à l'abbé de Cluny le mo-
nastère de Saint-Eutrope pour y rétablir le
service de Dieu, XIV, 1072.
CONCILE de Saintes, où Ramnulfe est or-
donné évêque de Saintes à la place de Boson,
XIV, 1072.
CONCILE de Rome, dixième et dernier
tenu par le pape saint Grégoire VII; il y ex-
communie de nouveau le roi Henri, l'anti-
pape Guibert et leurs partisans, XIII, 372.
CONCILE de Compiègne, tenu par Rai-
naud, archevêque de Reims, pour travailler
au rélabhssement de la discipline ecclésias-
tique; on y confirme les privilèges de l'Église
de Saint-Corneille, XIV, 1072.
CONCILE de Quedhmbourg, tenu par le
parti opposé au roi Henri IV, XIII, 399.
CONCILE de Mayence, où la déposition
de saint Grégoire VII est confirmée, et Gui-
bert est reconnu pour légitime, XIII, 399.
CONCILE de Gapoue, où Didier, abbé du
Mont-Cassin, fut élu pape sous le nom de
Victor m, Xm, 416.
CONCILE de Bénévent, où se trouva le
pape Victor III, XHI, 399.
CONCILE de Fussel ou Ulsillos, qui rend
à l'Église de Brague son ancienne qualité
de métropole, XIV, 1079.
CONCILE de Rome, tenu par le pape Ur-
bain II, pour régler ce qui concernait les
excommunications, XIII, 421.
CONCILE de Melfe : le duc Roger y fait
hommage lige au pape Urbain II et reçoit
de lui l'investiture de la Pouille ; canons de
ce concile, XIII, 422.
CONCILE de Saintes, où Amé, évêque
d'Oléron, est nommé archevêque de Bor-
deaux, XIV, 1073.
CONCILE de Narbonne, sous l'archevêque
Dalmace, qui y reconnaît les droits de l'abbé
de Grasse, XIII, 423.
CONCILE de Toulouse, tenu parles légats
du pape Urbain II; on y corrige plusieurs
abus en matière ecclésiastique, XIII, 424.
CONCILE de Bénévent, tenu par le pape
Urbain II; on y réitère l'anathème contre
l'antipape Guibert et ses fauteurs ; canons de
ce concile, XIII, 423.
CONCILE de Léon en Espagne; on y règle
beaucoup de choses touchant les offices di-
vins, XHI, 425, 426.
CONCILE d'Étampes, où Yves de Chartres
est accusé de s'être fait ordonner à Rome,
XIII, 426.
CONCILE de Soissons, qui condamne les
erreurs de Roscelin sur la Trinité, XIV, 1073.
CONCILE de Paris, dont les évêques sous-
crivent au diplôme que Philippe, roi des
Francs, accorde à l'abbaye de Saint-Cor-
neille de Compiègne, XIV, 1073.
CONCILE de Cantorbéry à l'occasion du
sacre de l'archevêque saint Anselme, XIV,
1073.
CONCILE de Reims, où l'évêché d'Arras
est séparé de celui de Cambrai, XIII, 427.
CONCILE de Troie en Pouille. Discussion
sur la date de ce concile, 423. Ses disposi-
tions pour réformer l'abus des mariages
entre parents, XIII, 427.
CONCILE de Bordeaux, XHI, 428.
CONCILE de Rome, tenu par le pape Ur-
bain II, XIII, 599.
CONCILE de Constance, tenu par Geb-
chard, évêque de cette ville : on y fait plu-
sieurs canons de discipline, XIII, 428.
CONCILE de Reims, où le roi Philippe I"
se propose de faire approuver son mariage
avec Bertrade, XIII, 428, 429.
CONCILE d'Autun, tenu par Hugues, ar-
chevêque de Lyon. On y renouvelle l'cxcom-
1088.
1089.
1089.
1089.
1090.
1090.
1091.
1091.
1092.
1002.
1093.
1093.
1093,
1093.
1093.
1093.
1094.
1094.
1094.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
265
1094.
1097.
1097.
1097.
1098.
1098.
1099.
manication contre le roi Henri, l'antipape
Guibert et ses adhérents; le roi Philippe l"
est excommunié pour son mariage avec
Bertrade, XIII, 429.
CONCILE de Rockingam, tenu à l'occa-
sion de ce que, contre le gré du roi, saint
Anselme voulait aller demander le pallium
au pape Urbain II, XIV, 1073, 1074.
CONCILE de Plaisance, tenu par le pape
Urbain II, XIII, 429.
CONCILE de Clermont, tenu par le pape
Urbain II, XIII, 431, S52, S82, 587, 589. Ca-
nons de ce concile ; ce qu'ils contiennent
de remarquable, 552. Autres décrets et rè-
glements de ce concile, 432, 433, 489. Dé-
crets touchant la croisade qui y est résolae,
433, 434.
CONCILE de Brioude ou de Dol, qui levait
l'excommunication injuste portée par l'ar-
chevêque de Tours contre les moines de
Marmoutiers, XIV, 1074.
CONCILE de Limoges, tenu par Urbain II,
qui y dépose l'évêque Humbaud, XIII, 434.
CONCILE de Rouen, tenu par l'archevêque
Guillaume : ce qu'il ordonne à l'égard de la
trêve de Dieu ; autres canons de ce concile,
XIII, 434.
CONCILE de Tours, tenu par le pape Ur-
bain II, qui y confirrae les décrets du con-
cile de Clermont, XIII, 434, 435.
CONCILE de Nimes, tenu par le pape Ur-
bain II ; on y fait seize canons, XIII, 435.
CONCILE de Latran, tenu par le pape Ur.
bain II ; les actes en sont perdus, XIII, 435 , 436.
CONCILE de Saintes : discussion sur la
date de ce concile ; ce qui fut décidé en ce
concile, XIII, 436.
CONCILE de Girone,tenu par Bernard, ar-
chevêque de Tolède, pour travailler au ré-
tablissement de la discipline et au maintien
des libertés de l'Église, XIII, 436.
CONCILE tenu en Irlande pour l'érection
de l'évêché de Waterford, XIV, 1074.
CONCILE de Bordeaux, dont les actes ne
sont point connus, XIV, 1074.
CONCILE de Bari, tenu par le pape Ur-
bain II, pour tâcher de réunir les Grecs et
les Latins; on y dispute sur la procession du
Saint-Esprit, XIII, 437. Discussion sur la date
de ce concile, 437 et 438.
CONCILE de Rome, tenu par le pape Ur-
bain II, XIII, 438, 593; discussion sur la
date de ce concile ; ordre de la séance des
évêques; canons de ce concile; on charge
Bisance, archevêque de Trani, de suivre la
canonisation de saint Nicolas Péregrin, 438.
Les moines de Molesme se plaignent de la
retraite de Robert, leur abbé, 438 et 439.
CONCILE de Saint-Omer, assemblé à la 1099.
prière de Robert le Jeune, comte de Flan-
(]res, et des seigneurs de sa cour, prêts à
partir pour la croisade, pour pourvoir à la
sûreté de leurs biens pendant leur absence,
XIII, 586, 588, et XIV, 1074.
CONCILE de Jérusalem, tenu après que 1099.
cette ville eût été prise par les croisés; Go-
defroy de Bouillon y est élu roi, et Arnoul,
patriarche de Jérusalem, XIV, 1075.
CONCILE d'Étampes, où Philippe, évêque iioo.
de Troyes, est cité pour répondre à diverses
accusations formées contre lui, XIV, 1075.
CONCILE de Valence, assemblé pour juger uoo.
l'affaire de Norigaud, évêque d'Autun, ac-
cusé de simonie, XIV, 1076.
CONCILE de Poitiers. Norigaud y est dé- uoo.
posé; le roi Philippe, excommunié avec Ber-
trade, etc.; canons de ce concile, XIV, 1076.
CONCILE d'Anse, assemblé par Hugues, uoo.
archevêque de Lyon, qui en obtient les sub-
sides nécessaires pour son voyage à Jéru-
salem, XIV, 1077.
CONCILES DU DOUZIEME SIECLE.
CONCILE de Milan, assemblé au sujet de iioi.
l'archevêque Grassulan, accusé de simonie,
XIV, 1077.
CONCILE de Ville-Bertrand, tenu à l'oc- iioa.
casion de l'église de Notre-Dame, XIV, 1077.
CONCILE de Latran, tenu par le pape 1102.
Pascal II; formule d'anathème contre les
partisans de l'antipape Guibert; l'excommu-
nication prononcée contre l'empereur Hen-
ri IV est confirmée, XIV, 1077, 1078.
CONCILE de Londres,, tenu par suint An- U02.
selme, archevêque de Cantorbéry. Différents
canons de ce concile sur la discipline, XIV,
1078.
CONCILE de Rome, tenu par le pape nos.
Pascal II, au sujet de Grassulan, archevêque
de Milan, XIV, 1078.
CONCILE de Troyes ; Hubert, évêque de 1104.
Sentis, accusé de simonie, se justifie ; l'élec-
tion de Geoffroy ponr l'évêché d'Amiens est
confirmée, XIV, 1078.
CONCILE de Rome, dans lequel le pape iioi.
Pascal II excommunie tous les fauteurs des
investitures en Angleterre, et tous ceux qui
les avaient reçues, XIV, 1078.
266
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1104.
1104
1104.
110».
1106.
1106.
1105.
1 105.
1105.
H 06.
1106.
1107.
1107.
U07.
1107.
1108.
CONCILE de Beaugenci , convoqué pour
absoudre le roi Philippe et Bertrade ; diffi-
cultés qui en empêchèrent l'effet, XIV, 1078.
CONCILE de Paris, où le roi Philippe et
Berlrade sont absous par Lambert, évêque
d'Arras, XIV, 1078.
CONCILE de Fusse! ou Huzillos, où il fut
question de fixer les limites des évêchés
d'Osma et de Burgos, XIV, 1079.
CONCILE de Pussel ou de Huzillos, qui
rend à l'église de Bragiie son ancienne qua-
lité de métropole, XIV, 1079.
CONCILE de Florence, où l'on combat la
fausse opinion de Fluentius, évêque de cette
ville, que l'antechrist était né, XIV, 1079.
CONCILE de Guastalle, où la province
d'Emilie est soustraite à l'archevêché de Ra-
venne; décret concernant ceux qui aban-
donnaient le parti de l'empereur pour se
réunir à l'Église romaine, XIV, 1079.
CONCILE de Quedlimbourg ou de Northus,
tenu par les partisans du roi Henri V, révolté
contre l'empereur son père, XIV, 1079, 1080.
CONCILE de Mayence, où l'on oblige
l'empereur Henri IV à renoncer à l'empire,
et à remettre les marques de sa dignité à
son fils, qui est élu une seconde fois roi de
Germanie, XIV, 1080.
CONCILE de Reims, où Odon est élu évê-
que de Cambrai à la place de Gaucher, XIV,
1080.
CONCILE de Poitiers, où l'on prêche la
croisade, XIV, 1080.
CONCILE de Lisieux, assemblé par ordre
du roi d'Angleterre, Henri I", XIV, 1080.
CONCILE de Jérusalem, où Bbremar, mis
sur le siège de Jérusalem à la place de
Daimbert, est déposé, et Gibelin élu pa-
triarche, XIV, 1080, 1081.
CONCILE tenu à l'abbaye de Fleury-sur-
Loire, pour la translation des reliques de
saint Benoît d'une châsse dans une autre,
XIV, 1081.
CONCILE de Troyes, tenu par le pape
Pascal II ; décrets qui y furent prononcés,
XIV, 1081.
CONCILE de Londres, tenu par saint An-
selme, archevêque de Canlorbéry; on y con-
vient de s'y conformer au règlement du pape
Pascal II, qui accordait au roi d'Angleterre
les hommages, et lui défendait les inves-
titures, XIV, 1081.
CONCILE de Bénévent, tenu par le pape
Pascal II; la défense des investitures y est
renouvelée, XIV, 1081.
CONCILE de Rouen, tenu par l'arche-
vêque Guillaume et ses sufiragants, XIV,
1082.
CONCILE de Londres, tenu par saint An-
selme, XIV, 1081.
CONCILE de Loudun, assemblé pour juger
le différend en l'église de Nantes et l'abbaye
de Tournus au sujet de l'abbaye de Saint-
Vital; on y décide aussi celui entre l'ab-
baye de Marmoutier et les chanoines de Che-
millé, au sujet de la chapelle de Saint-
Étienne, XIV, 1082.
CONCILE de Reims, supposé pour juger le
différend entre l'évêque d'Amiens et les
moines de Saint-Valeri. Raisons qui prou-
vent la supposition de ce concile et la faus-
seté de l'histoire qu'on prétend y avoir
donné lieu, XIV, 1082, 1083.
CONCILE de Rome, lenu par le pape Pas-
cal II, qui renouvelle les décrets contre les
investitures, XIV, 1083.
CONCILE de Cuau près Clermont, au sujet
de la cruauté commise parle doyen de Mau-
sac sur un chapelain, XIV, 1083.
CONCILE de Fleury, sur la même affaire,
XIV, 1083.
CONCILE de Toulouse, dont nous n'avons
plus les actes, XIV, 1083.
CONCILE de Jérusalem, convoqué par le
légat Conon, pour excommunier l'empereur
Henri V, XIV, 1083, 1084.
CONCILE de Latran : le pape Pascal II y
réclame contre la violence que l'empereur
Henri V lui avait faite, XIV, 1084.
CONCILE de Vienne, où l'empereur Hen-
ri V est excommunié, XIV, 1084.
CONCILE d'Anse, indiqué par Joceran,
archevêque de Lyon : il n'en reste aucun
décret, XIV, 1084.
CONCILE de Bénévent, où le pape Pas-
cal II adjuge aux moines du Mont-Cassin les
églises usurpées sur eux, XIV, 1084.
CONCILE de Windsor : Raoul, évêque de
Rochester, y est élu archevêque de Cantor-
béry, XIV, 1084,1085.
CONCILE de Cépérano, où Landulfe, ar-
chevêque de Bénévent, est déposé pour ses
violences, XIV, 1085.
CONCILE de Beauvais, présidé par le lé-
gat Conon : l'empereur Henri V y est ex-
communié ; on y défère les Manichéens dé-
couverts près Soissons ; la ville d'Amiens se
plaint de l'évêque Godefroy qui l'avait aban-
donnée ; règlement du concile sur la pres-
cription, XIV, 1085, 1086.
nos.
1108.
i
1109.
Il 01.
1110.
1110.
1111.
1112,
1112.
1112,
1113,
Mil.
1114.
1114,
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
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nu.
au.
1114.
1115.
1115.
1115.
iH5.
1)15.
1115.
1115.
1U6.
H 16.
IIIG.
1116.
1117.
CONCILE de Palentia , pour donner un
évêqne à l'Église de Lugo, XIV, 1086.
CONCILE de Compostelle; on y fait vingt-
cinq canons de discipline, XIV, 1086.
CONCILE d'Oviédo : ses décrets contre les
voleurs, les sacrilèges, XIV, 1086.
CONCILE de Soissons, qui enjoint à Go-
defroi, évêque d'Amiens, de retourner à son
évêché, XIV, 1086.
CONCILE de Reims, tenu par le légat
Conon^ qui y réitère l'excommunication
contre l'empereur Henri V, XIV, 1086,
CONCILE de Cologne, tenu par le légat
Gonon , qui y réitère l'excommunication
contre l'empereur Henri V, XIV, 1086.
CONCILE de Chalon-sur-Saône; le légat
Conon y réitère l'excommunication contre
Henri V, et excommunie les évéques de Nor-
mandie qui n'étaient pas venus an concile,
XIV, 1086.
CONCILE de Syrie, où Arnoul, patriarche
de Jérusalem, est déposé pour sa vie scanda-
leuse, XIV, 1086.
CONCILE de Troie, en Fouille, où la trêve
de Dieu est jurée pour trois ans, XIV, 1087.
CONCILE de Tournus, assemblé pour ter-
miner les diflférends entre l'église de Saint-
Étienne et celle de Saint-Jean, à Besançon,
au sujet de la chaire épiscopale. XIV, 1087.
CONCILE de Dijon , assemblé pour le
même sujet, XIV, 1087.
CONCILE de Cologne , où l'empereur
Henri V est excommunié de nouveau, XIV,
1087.
CONCILE de Latran, appelé général, à
cause du grand nombre d'évêques, d'abbés
et de seigneurs que le pape Pascal II y avait
invités, XIV, 1087. Ce qui se passa en ce
concile, 1087 et 1088.
CONCILE de Verberie, assemblé par le
roi d'Angleterre, Henri I, pour faire recon-
naître son fils Guillaume son successeur à la
couronne, XIV, 1088.
CONCILE de Langres, assemblé pour cher-
cher les moyens d'arrêter les pillages et les
brigandages qui se commettaient en France,
XIV, 1088.
CONCILE de Dijon, qui ordonne aux cha-
noines réguhers de Saint-Étienne, qui s'é-
taient retirés dans leur solitude, de retour-
ner dans leur maison, XIV, 1088.
CONCILE de Bénévent, où le pape Pascal II
excommunie Bourdin, archevêque de Bra-
gue, pour avoir couronné empereur Henri V,
XIV, 1088.
CONCILE de Tournus, qui confirme à
1117.
1117.
ni8.
1118.
l'église de Saint-Étienne de Dijon le patro-
nage de celle de Saint-Martin d'Arc-sur-
Tille, XIV, 1089.
CONCILE de Milan, qu'on ne connaît que
par ce qu'en dit Landulfe le Jeune, XIV,
1089.
CONCILE de Capoue, où le pape Gélase II
excommunie l'empereur Henri V et l'anti-
pape Maurice Bourdin, XIV, 1089, 1090.
CONCILE de Cologne, où l'empereur iii8ouiii9.
Henri V est excommunié, XIV, 1090.
CONCILE de Fritzlar, où l'empereur Hen- iiiSou iii9.
ri V est excommunié, XIV, 1090.
CONCILE de Rouen. Le pape Gélase II y
envoie un clerc demander des secours de
prières et d'argent contre l'empereur Henri V
et l'antipape Bourdin, XIV, 1090.
CONCILE de Toulouse, qui ordonne une
croisade contre les Maures d'Espagne, XIV,
1091.
CONCILE d'Angoulême, où l'on confirme
l'élection de l'archevêque de Tours et de
deux autres évêques, XIV, 1091.
CONCILE de Vienne en Dauphin é, dont
parle la Chronique d'Usperg, XIV, 1091.
CONCILE de Toulouse, tenu par le pape Ca-
lixte II; canons qui y furent faits, XIV, 1092,
1093.
CONCILE de Reims, tenu par le pape Ca-
lixtell, XIV, 1093; canons de discipline faits
en ce concile; l'empereur Henri V et l'anti-
pape Maurice Bourdin sont excommuniés,
1093 et 1094.
CONCILE de Lisieux, assemblé pour con-
firmer la paix faite à Gisors, XIV, 1094.
CONCILE de Rouen, où l'on défend aux
prêtres tout commerce avec les femmes,
sous peine d'anathème, XIV, 1094.
CONCILE de Bénévent, où l'on dit ana-
thème à ceux qui pillaient les églises, XIV,
1094.
CONCILE de Beauvais, où l'on procède à
la canonisation de saint Arnoul, évêque de
Soissons. Discussion sur la date de ce concile,
XIV, 1094.
CONCILE de Naplouse, convoqué pour
exhorter les peuples à la pénitence, XIV,
1094 et 1095.
CONCILE de Quedlimbourg, convoqué par
l'empereur Henri V; différentes affaires y
sont agitées, XIV, 1093.
CONCILE de Soissons, où le livre d'Abai-
lard sur la Trinité est condamné au feu,
XIV, 1093.
lus.
1119.
1119.
1119.
1119.
1119.
1119.
1120.
II20.
1121.
Il2l.
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HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
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1129.
1120.
1129.
1129.
1129.
1129,
1129.
1130.
1130.
CONCILE de Worms, qui termine l'aflfaire
des investitures entre l'empereur Henri V et
le pape Caliste II, XIV, 1095, 1096.
CONCILE général de Latran, convoqué
par le pape Calixte H ; canons de ce concile,
XIV, 1096 ; plainte des évêques contre les
moines, 1097.
CONCILE de Londres ; ses canons pour la
réformation des mœurs et de la discipline,
XIV, 1105, 1106.
CONCILE de Nantes, tenu par Hidelbert,
archevêque de Tours; règlements qui y fu-
rent faits, XIV, 1106.
CONCILE de Londres, tenu par Guillaume
de Corbeil, archevêque de Cantorbéry ; règle-
ments qui y furent faits, XIV, 1106.
CONCILE de Troyes, qui approuve l'ordre
des Templiers, et lui donne une règle par
écrit, XIV, 1106, 1107.
CONCILE de Ravenne, où les patriarches
d'Aquilée et de Grade sont déposés, XIV, 1107.
CONCILE de Rouen, tenu par le légat
Matthieu, évêque d'Albane, XIV, 1107.
CONCILE de Paris, pour la réforme de
plusieurs monastères, et nommément de
celui d'Argenteuil, XIV, 1107.
CONCILE de Châlons-sur-Marne, assemblé
contre Henri, évêque de Verdun ; il y re-
nonce à l'épiscopat, et on lui donne pour
successeur Ursion, abbé de Saint-Denys de
Reims, XIV, 1107, 1108.
CONCILE de Londres, convoqué par le roi
Henri I, pour empêcher les prêtres d'avoir
des femmes ou des concubines, XIV, 1108.
CONCILE de Placentia, en Espagne; ca-
nons de discipline qui y furent faits, XIV,
1108.
CONCILE d'Orléans, auquel Geoffroi, abbé
de Vendôme, refusa d'assister, XIV, 1108.
CONCILE de Toulouse, présidé par le lé-
gat Romain de Saint-Ange, XIV, 1108; ses
canons contre les hérétiques du diocèse de
Toulouse, de celui de Narhonne et des dio-
cèses voisins, 1109.
CONCILE de Narhonne, qui confirme la
donation faite par l'archevêque Dalmace aux
chanoines réguhers de Saint-Jean d'Oneillan,
XIV, 1110.
CONCILE du Puy-en-Velai, assemblé par
saint Hugues, évêque de Grenoble : Inno-
rent II y est reconnu pape, et Anaclet, son
compétiteur, excommunié, XIV, 1110.
CONCILE de Clermont, tenu par le pape
Innocent II ; il y est reconnu pape légitime ;
canons de ce concile, XIV, IIJO.
CONCILE de W^irtzbourg, convoqué par
Lothaire. On y confirme l'élection du pape
Innocent n, XIV, 1111.
CONCILE d'Étampes, où le pape Inno-
cent II est reconnu légitime pape, XYV, 1111.
CONCILE de Jouarre, au diocèse de Meaux.
Les auteurs du meurtre de Thomas, prieur
de Saint-Victor, y sont excommuniés, XIV,
un.
CONCILE de Liège, présidé par le pape
Innocent II; l'antipape et ses fauteurs y
sont excommuniés, XIV, 1111.
CONCILE de Reims, tenu par le pape In-
nocent II, qui y est reconnu par l'empereur
et les rois d'Angleterre, d'Aragon et de Cas-
tille, etc., XIV, un, 1112.
CONCILE de Mayence, où Brunon, évêque
de Strasbourg, accusé d'être intrus dans ce
siège, renonce à sa dignité, XIV, 1112.
CONCILE de Plaisance, tenu par le pape
Innocent II, XIV, 1112.
CONCILE de Creixan^ nu diocèse de Nar-
honne ; sauve-garde établie à Creixan, XIV,
1112.
CONCILE de Northampton : Robert y est
élu évêque d'Excester ; on y pourvoit aussi
à remplir deux abbayes vacantes; erreurs
des collections des conciles sur la date de ce
concile, XIV, 1112.
CONCILE de Pise : l'antipape Anaclet et
ses fauteurs y sont excommuniés; autres
affaires traitées dans ce concile, XiV, 1112,
1113.
CONCILE de Narbonne, qui ordonne une
quête pour l'évêque d'Elne, engagé à fournir
une somme d'argent aux pirates sarrasins,
XIV, 1113.
CONCILE de Montpelher, au sujet d'un
différend entre les abbés de la Chaise-Dieu
et de Saint-Thierry, XIV, 1113.
CONCILE de Londres, assemblé à West-
minster par le roi Etienne, XIV, 1113.
CONCILE de Burgos, assemblé pour éta-
bhr en Espagne le rit romain dans les offices
divins, XIV, 1113.
CONCILE de Valladolid, assemblé pour le
même sujet, XIV, 1113.
CONCILE de Lago-Pésole, où l'empereur
Lothaire réconcilie les moines du Mont-
Cassin avec le pape Innocent II, XIV, 1114.
CONCILE de Londres, tenu par le légat
Albéric : canons de ce concile sur la disci-
pline, XIV, 1114.
CONCILE général de Latran (deuxième),
convoqué par le pape Innocent II; actes de
1130.
1130.
1131.
3131.
1131.
1131.
1132.
1132.
1)35.
Il3i.
M34ou lUO.
1134.
113C.
II3G.
1137.
ll?7.
1138.
1139.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
269
ce concile, XIV^ 1114; analyse de ses ca-
nons sur les mœurs et la discipline ecclé-
siastique, 1113.
CONCILE de Winchester, assemblé au
sujet de l'emprisonnement des évêques de
Sarisbury et de Lincoln, arrêtés par ordre
du roi Etienne, XIV, lllS, 1116.
CONCILE de Sens, où saint Bernard pro-
pose les erreurs qu'il avait trouvées dans les
écrits d'Abailard, XIV, 1116.
CONCILE d'Antioche. où Raoul, patriar-
che d'Antioche, est déposé, XIV, 1116.
CONCILE de Jérusalem ; on y traite des
articles de la foi avec les catholiques d'Ar-
ménie, XIV, 1116.
CONCILE de Constantinople, où les écrits
de Constantin Chrysomale sont condamnés,
comme remplis des erreurs des Bogomiles,
XIV, 1117.
CONCILE de Véroli, tenu par le pape Pas-
cal II, pour obliger Grimald, archichanoine
de Saint-Paterne, qui se prétendait exempS,
à reconnaître l'évêque diocésain pour son
supérieur, et à lui obéir; erreur de Fabri-
cius sur la date de ce concile, XIV, 1117.
CONCILE de Winchester, où Mathilde est
reconnue reine d'Angleterre, XIV, 1117.
CONCILE de Westminster, qui ordonne
de reconnaître Etienne , roi d'Angleterre,
XIV, 1117.
CONCILE de Lagny, qui maintient les
moines de Marchiennes dans le droit de
nommer leur abbé, contre l'évêque d'Arras,
qui prétendait le nommer, XIV, 1117, 1118.
CONCILE de Constantinople, tenu par le
patriarche Michel Oxite, qui y condamna
plusieurs erreurs, XIV, 1118.
CONCILE de Londres contre ceux qui pil-
laient les églises, frappaient les clercs et les
mettaient en prison, XIV, 1118.
CONCILE d'Angleterre, tenu par Alexan-
dre, évêque de Lincoln, XIV, 1118.
CONCILE de Bourges, où le roi Louis le
Jeune déclare le dessein qu'il avait formé
de se croiser, XIV, 1118.
CONCILE de Vézelay, où le roi Louis le
Jeune, accompagné de saint Bernard, invite
le peuple à se croiser; succès de ce concile,
XIV, 1118, 1119.
CONCILE de Chartres, assemblé pour ré-
gler le voyage de la Terre-Sainte : saint
Bernard refuse d'être le chef de la croisade,
XIV, 1119.
CONCILE d'Étampes, on y règle la route
et on y fixe le jour du départ pour la croisade.
L'abbé Suger et GuiUaume, comte de Ne-
vers, sont élus régents du royaume, XIV,
1119.
CONCILE de Constantinople où le patriar-
che Cosme l'Attique est déposé pour son
attachement au moine Niphon, XIV, 1119.
CONCILE de Paris assemblé pour exami-
ner les sentiments de Gilbert de la Porrée
sur la Trinité, XIV, 1119.
CONCILE de Trêves tenu par le pape Eu-
gène III. Affaires qui y furent traitées, XIV,
1119, 1120, 1122.
CONCILE do Reims tenu par le pape Eu-
gène III. Éon de l'Étoile est condamné ; le
sentiment de Gilbert de la Porrée sur l'es-
sence divine est condamné et ses écrits la-
cérés, XIV, 1120. Autres actes du concile
de Reims; canons qui y furent faits, 1121,
1222. Voyez aussi ce qui est dit de ce concile
dans l'ai'ticle cki pape Eugène III, 270, et
dans celui de Gilbert de la Porrée, 342.
CONCILE de Lincopen assemblé pour éri-
ger un siège archiépiscopal en Suède, XIV,
1123.
CONCILE de Beaugency où, sous prétexte
de parenté, le roi Louis VII est séparé de la
reine Elëonore, XIV, 1123.
CONCILE de Londres. On y appehe à
Rome pour trois diverses affaires, XIV,
1123.
CONCILE de Melhfont où on établit quatre
archevêchés en Irlande, XIV, 1123.
CONCILE de Londres où l'on renouvelle
les lois ecclésiastiques du roi saint Edouard,
et l'on confirme les coutumes du royaume,
XIV, 1124.
CONCILE de Soissons assemblé par le roi
Louis le Jeune, la paix y est jurée pour dix
ans, XIV, 1124.
CONCILE de Constantinople assemblé
contre l'erreur de ceux qui croyaient que
dans le sacrifice de la messe l'oblation ne se
faisait pas au Fils comme au Père, XIV,
1124. [Date de ce concile; analyse de ses
actes d'après Maï, 1124 et suiv.J
CONCILE de Cbichester assemblé au sujet
d'un privilège accordé à une abbaye du
diocèse de Chichester que l'évêque voulait
faire annuler, XIV, 1127.
CONCILE de Waterford qui ordonne de
mettre en liberté les Anglais prisonniers en
Irlande, XIV, 1127.
CONCILE de Roscomen, en Irlande. Les
actes en sont perdus, XIV, 1127.
CONCILE de Reims au sujet de quelques
1147.
1147.
II48.
1 148.
1148.
1152.
1151.
1152.
1154.
1155.
1155 [mieux
en 1156]
1157.
1158.
1158.
1158.
270
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1160.
1160.
1160.
1161.
ii6r.
1161.
1161.
llC2.
I1G2.
1163.
1164
ll6i.
nos.
1166.
1166.
donations faites aux Prémontrés de Laon,
XIV, il27.
CONCILE de Pavie où l'empereur Frédé-
ric fait confirmer l'élection de l'antipape
Victor III, et excommunier le pape Alexan-
dre m, XIV, 1127, 1128.
CONCILE de Nazareth où le pape Alexan-
dre III est reconnu pour pape légitime, XIV,
1128.
CONCILE d'Oxford où l'on condamne une
secte d'hérétiques qui avaient pour chef un
nommé Gérard, XIV, 1128.
CONCILE de Neuf-Marché, diocèse de
Rouen. Le pape Alexandre III y est reconnu
pape légitime, XIV, 1128.
CONCILE de Beauvais qui décide de même,
XIV, 1128.
CONCILE de Toulouse. On y examine l'é-
lection de l'antipape Victor III, et celle du
pape Alexandre III ; on se déclare pour ce
dernier, XIV, 1128, 1129.
CONCILE de Lodi tenu par l'empereur
Frédéric et l'antipape Victor III. Le pape
Alexandre III et ses partisans y sont excom-
muniés, XIV, 1129.
CONCILE de Londres où Thomas Becket
est élu archevêque de Gantorbéry, à la
place de Thibault, mort l'année précédente,
XIV, 1129.
CONCILE de Montpellier où le pape
Alexandre III excommunie l'antipape et tous
ses fauteurs, XIV, 1129.
CONCILE de Tours présidé par le pape
Alexandre lll. Il demande du secours contre
les partisans de l'antipape Victor III, XIV,
1129. Analyse des dix canons faits en ce con-
cile, 1130.
CONCILE de Glarendon où saint Thomas,
archevêque de Gantorbéry, refuse de recon-
naître les coutumes d'Angleterre, XIV, 1130,
1131.
CONCILE de Norlhampton où saint Tho-
mas est condamné comme traître et parjure,
XIV, 1131.
CONCILE de Wirtzbourg où l'empereur
Frédéric fait reconnaître l'antipape Pas-
cal III, qui avait succédé à Victor III, XIV,
1131.
CONCILE de Constantinople qui condamne
l'erreur d'un nommé Démétrius, qui préten-
dait que le Fils de Dieu n'était pas en tout
égal à son Père. Canons de ce concile, XIV,
1131.
CONCILE de Constantinople on y révoque
un décret qui permettait le mariage entre
parents du sixième au septième degré ,
XIV, 1131 et 1132. [Actes de ce concile pu-
bliés par Maï, 1132, et V, dans les Addi-
tions.]
CONCILE de Chinon au sujet du différend
entre le roi d'Angleterre Henri II et saint
Thomas de Gantorbéry, XIV, 1133.
CONCILE de Londres où les évêques
d'Angleterre interjettent appel au pape des
sentences de l'archevêque de Gantorbéry,
XIV, 1133.
CONCILE de Latran où le pape Alexan-
dre III excommunie l'empereur Frédéric,
XIV, 1133, 1134.
CONCILE d'Armach, en Irlande, qui rend
la hberté à tous les Anglais prisonniers dans
l'Ile, XIV, 1134.
CONCILE de Gashel ou Gassel, en Irlande,
où Henri II, roi d'Angleterre, est reconnu
roi d'Irlande. Canons de ce concile, XIV,
1134.
CONCILE d'Avranche où le roi d'Angle-
terre, Henri II, reçoit l'absolution du meur-
tre de saint Thomas de Gantorbéry, XIV,
1134. Canons faits en ce concile, 1133.
CONCILE de Londres lenu par Richard,
archevêque de Gantorbéry, légat du Saint-
Siège, XIV, 1135. Analyse des canons de ce
concile, 1135 et 1136.
CONCILE de Windsor où le roi Henri U
accorde au roi de Conangt, en Irlande, de
posséder les mêmes terres dont il avait joui
auparavant en en faisant hommage, XIV,
1136.
CONCILE de Norlhampton qui déclare les
églises d'Ecosse exemptes de la juridiction
de l'Eghse d'Angleterre, XIV, 1136.
CONCILE de Londres où l'archevêque de
Gantorbéry et celui d'York se disputent la
préséance, XIV, 1136.
CONCILE de Lombers tenu contre les Al-
bigeois. Interrogation qu'on leur fait sur leur
doctrine, XIV, 1136 et suiv. Sentence pro-
noncée contre les hérétiques, après qu'on
eut réfuté leurs erreurs, 1137.
CONCILE de Norlhampton assemblé par
le roi d'Angleterre, Henri H. Difiërentes af-
faires qui y sont traitées, XIV, 1138.
CONCILE tenu en Ecosse par le cardinal
Vivien, XIV, 1138.
CONCILE de Venise, tenu par le pape
Alexandre III , pour confirmer la paix qu'il
avait faite avec l'empereur Frédéric, XIV,
1138.
CONCILE de Hohenau, en Bavière. Les
1166.
1166.
1167.
1171
II7I
1172.
1175.
1175.
1176.
1176.
1176 ou II
1177.
1177.
1177.
1178.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
271
actes de ce concile sont perdus, XIV, 1138.
1179. CONCILE général de Latran (Troisième),
convoqué par le pape Alexandre III. Grand
nombre d'évêques et d'abbés qui y assistent,
XIV, 1138, 1139. Temps des sessions, 1139.
Analyse des canons qui furent faits en ce
concile, 1139 et suiv. Divers actes du con-
cile tirés des auteurs contemporains, 1142.
Appendice donné par le pèi-e Labbe, 1143.
1185 CONCILE de Vérone tenu par le pape Lu-
cius 111, en présence de l'empereur Frédé-
ric. Décret fait en ce concile; quels sont les
hérétiques condamnés par ce décret, XIV,
930.
iigg CONCILE de Sens assemblé pour exami-
ner l'affaire du doyen de Nevers, et l'abbé
de Saint-Martin de la même "ville, accusés
d'hérésie, XIV, 1143. Actes de ce concile,
H44.
i[99. CONCILE ou conférence entre Andelys et
Vernon, pour procurer la paix entre les rois
de France et d'Angleterre. On convient d'une
trêve, XIV, 1144.
ijgg CONCILE de Dijon, où le légat Pierre de
Capoue prétend contraindre, par les cen-
sures ecclésiastiqaes , le roi Philippe-Au-
guste à se réconcilier avec la reine Inge-
burge, XIV, 1144.
,2Q0 CONCILE de Vienne, en Dauphiné, où le
roi Philippe-Auguste est excommunié ; l'in-
terdit y est jeté sur la France, XIV, 1144.
1199. CONCILE de Dalmatie pour réduire cet
État à l'obéissance de l'Église romaine ;
analyse des canons faits en ce concile, XIV,
114S.
1200. CONCILE de Londres assemblé par Hu-
bert, archevêque de Cantorbéry, XIV, 1145.
Canons de ce Concile, 1146.
1200. CONCILE de Néelle où l'interdit jeté sur
la France est levé, et le roi Philippe-Au-
guste reprend Ingelburge, XIV, 1146, 1147.
CONCILES DD XIII" SIECLE.
1201. CONCILE de Soissons où l'on agite la
question du mariage du roi Philippe-Au-
guste avec Ingelburge. Le roi le termine en
déclarant qu'il ne veut plus en être séparé,
XIV, 1147.
1201. CONCILE de Paris où Evraud est con-
vaincu d'hérésie, et livré au bras séculier,
XIV, 1147.
1201, CONCILE de Perthe, eu Ecosse, pour la
réformation des mœurs, XIV, 1147.
CONCILE de Meaux assemblé pour ména-
ger la paix entre Jean, roi d'Angleterre, et
Philippe-Auguste, roi de France, XIV, 1148.
CONCILE de Lambyt tenu par Etienne
Langton, archevêque de Cantorbéry, XIV,
1148, 1149.
CONCILE de Redingue dont on n'a pas les
actes, XIV, 1149.
CONCILE de Montpelher au sujet des Albi-
geois. Ce concile paraît supposé, XIV, 1149.
CONCILE de Montélimar au sujet de Ray-
mond, comte de Toulouse, XIV, 1150.
CONCILE d'Avignon tenu par Hugues,
évêque de Riez, et Milon, tous deux légats
du pape. Analyse des canons de ce concile,
XIV, 1151, 1152. Ce concile est le même
que celui où Raymond, comte de Toulouse,
fut excommunié , et dont le père Labbe fait
un second concile qu'il date de l'année sui-
vante, 1153.
CONCILE de Paris au sujet d'une nouvelle
secte d'hérétiques, XIV, 1152.
CONCILE de Saint-Gilles. Le comte de
Toidouse s'y présente pour se justifier du
crime d'hérésie et du meurtre du légat
Pierre do Gastelnau, XIV, 1153, 1154.
CONCILE d'Arles où le comte de Toulouse
est excommunié, XIV, 1154.
CONCILE de Rome où l'empereur Ot-
ton IV est excommunié par le pape Inno-
cent m, XIV, 1154.
CONCILE de Paris tenu par le légat Ro-
bert Corçon. Analyse des canons de ce con-
cile, XIV, 1154 et suiv.
CONCILE dePamiers assemblé par Simon,
comte de Montfort. Articles de ce concile,
XIV, 1154.
CONCILE de Lavaur qui rejette les propo-
sitions du roi d'Aragon, lequel en appelle au
pape. Lettre du concile au pape Innocent 111
pour justifier la conduite des évêques, XIV,
1157, 11S8.
CONCILE de Dunestable tenu par l'arche-
vêque de Cantorbéry, pour s'opposer aux
vexations du légat de Nicolas, XIV, 1158,
1159.
CONCILE de Londres où le roi Jean-sans-
Terre soumet au pape l'Angleterre et l'Ir-
lande. Il est ensuite absous de l'excommu-
nication, et l'interdit jeté sur ses royaumes
est levé, XIV, 1159.
CONCILE de Montpellier, pour la réfor-
mation de la discipline, la dénonciation des
hérétiques et de leurs fauteurs ; canons de
ce concile, XIV, 1189, Décret du concile qui
1204.
12(16.
I207.
1209.
I209,
1210.
|2|2.
I2l2.
I2l3.
I2l4.
I2l3.
1214..
|2|5.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
272
proposa de donner le comté de Toulouse à
Simon de Montfort, 1160.
1213 CONCILE général de Latran (Quatrième),
tenu par le pape Innocent III. Bulle de con-
vocation; objets que le pape se proposait de
i2i5. traiter dans ce concile; grand nombre de
prélats y assistent ; affaires discutées un
mois avant la tenue du concile, XIV, 1160.
Ouverture de ce concile ; discours du pape ;
second discours du pape, 1161. Soixante-
dix canons dressés dans ce concile et tra-
duits en grec ; exposition de la foi catholi-
que, 1162. Analyse des canons du concile
de Latran, 1162 et suiv. Décret pour la croi-
sade, 1171. Autres décrets du concile; le
patriarche des Maronites se réunit à l'Église
ron)aine ; iîn du concile, 1172.
1850. [CONCILE de Bordeaux : on y demande au
souverain Pontife le titre de docteur pour
saint Hilaire de Poitiers, IV, 7.]
CONCORDANCE de quelques passages de
l'Écriture sainte. Raisons qui semblent prou-
ver que cet ouvrage est du pape saint Gré-
goire le Grand, XI, 550. — Concordance
des endroits de l'Écriture qui paraissent
contraires, attribué à Berlhaire, abbé du
Mont-Cassin, et à d'autres auteurs, XII, 696.
CONCORDANCE de l'Ancien et du Nou-
veau Testament. Le poème sur ce sujet n'est
point de Mammert Claudien. On l'attribue à
différents auteurs, X, 356. — Concordance
de l'Ancien et du Nouveau Testament, ou-
vrage de l'abbé Joachim, XIV, 829.
CONCORDANCE des quatre Évangélistes.
Canons évangéliques dEusèbe de Césarée,
III, 240, [et 241.]
[CONCORDANCE des Evangélistes, ou-
vrage de saint Jérôme, cité par Alcuin, XII,
179.]
CONCORDANCE, par le prêtre Hésychius,
XI, 656. — Autre ouvrage de Marianus
Scotus, XIII, 401. — Canons des Evangiles,
dressés par le B. Odon de Cambrai. XIV, 76.
CONCORDE ou Harmonie des quatre Évan-
giles , par Ammonius II , 99. [Éditions de la
Concorde, 99.]
CONCORDE des règles monastiques, par
saint Bruno, abbé d'Aniane, XII, 259, 200.
CONCORDE des deux Testaments : dis-
cours d'Yves de Chartres sur la concordance
des deux Testaments, XIV, 122.
CONCORDE des canons discordants. Titre
donné par Gratien à son décret, XIV, 760.
CONCORDE de l'ancien et du nouveau
sacrifice, poëme d'Hildebert, XIV, 221.
CONCORDE entre les fidèles ; sermon de
saint Augustin sur la concorde, IX, 241. —
Traité de la paix et de la concorde, par saint
Anselme, XIV, 33, 34.
CONCORDE, diacre de l'église d'Arles, se
trouve à l'élection du pape saint Hilaire, et
en informe Léonce, son évêque, X, 336.
CONCORDIUS, évêque d'Arles, au concile
de Valence, IV, 600.
CONCUBINAGE : zèle de saint Éloi contre
ce désordre, XI, 735.
CONCUBINAIRES : canons dû concile de
Girone contre les concubinaires. Traité de
saint Anselme contre les clercs concubi-
naires, XIV, 19. — Lettre contre eux de
Pascal II, 135. Les enfants des clercs con-
cubinaires déclarés serfs des églises servies
par leurs pères, 1037.
CONCUBINES de deux sortes. Constitu-
tions apostoliques qui les concernent, II,
594. — Loi de l'empereur Constantin qui 320.
défend les concubines, VII, 741. — Canon 400.
dix-septième du concile de Tolède sur les
concubines, Vil, 741. — Canon neuvième après M
du concile de Rome, sous le pape saint In-
nocent, VIII, 546.— Lettre d'Yves de Char-
tres sur le mariage des concubines, XIV,
101. [Concubines dont il est parlé dans le
livre des Juges. Commentaire sur cette his-
toire par Rilinde, abbesse, 634.]
CONCUPISCENCE. Deux livres du Ma- 410 eMS
riage et de la Concupiscence. Ouvrage de
saint Augustin, IX, 457 et suiv. Doctrine de
saint Augustin sur la concupiscence, 33, 311 ,
422, 455, 457, 460, 466, 511, 553, 558.
CONDAT ou CONDATISCONE , aujour-
d'hui Saint-Claude, monastère fondé au Y
siècle par saint Romain et saint Lupicin, XI,
379, 380.
CONDESCENDANCE. Saint Théodore Stu-
dite exphque jusqu'où elle peut aller en ma-
tière de religion, XII 303.
CONDUITE CHRÉTIENNE. Ouvrage sur
ce sujet faussement attribué à saint Au-
gustin, IX, 288.
[CONEN (Jean), Prémontré : son édition de
l'Inévitable, d'Honoré d'Autun, XIV, 293.]
CONFÉRENCE d'Archélaus avec Manès, i,,,
II, 435 et suiv. et V, 40; de Jason et de Pa-
pisque, 347, n. 2 et VII, 269; — de saint Au-
gustin avec le manichéen Félix, IX, 349 et
suiv. ; du même avec Maximin, arien, 359 et
suiv. du même avec les Donatistes, 404 et
suiv. Ce qui en fit publier les actes, 492.
CONFÉRENCE à Jérusalem contre les Pé- 4i5.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
273
,500.
664.
11119.
Islécle.
«lècle.
Biècle.
lalècle.
lagiens ; résultats de cette conférence, X, 2.
CONFÉRENCE de plusieurs évêques en
présence d'Emérite, évoque donatiste, IX,
410 et suiv.
CONFÉRENCE ordonnée par Hunéric, roi
dès Vandales, entre les Catholiques et les
Ariens, X, 4S4 et suiv. Elle se tient à Car-
thage, 434, 453; elle est rompue, 433. Pro-
fession de foi des évêques catholiques, 453,
436et437. Cette profession de foi augmente
la persécution. Les évêques sont exilés, 457
et 458.
CONFÉRENCE à Lyon entre les évêques
catholiques et ariens, en présence de Gonde-
baud, roi de Bourgogne, X, 334 et 360. Frag-
ments qui nous restent de cette conférence,
X, 339, 362 et 733 et suiv.
CONFÉRENCE à Rome sur les erreurs
d'Eulychès, X, 446.
CONFÉRENCE de saint Fulgence avec les
Ariens, en présence du roi Trasamond, XI, 74.
CONFÉRENCE de Catholiques avec les
Orientaux ou Sévériens, tenue à Constauti-
nople, XI, 843 et suiv.
CONFÉRENCE de Streneshall, en Nor-
thumbrie. On y convient d'adopter la cou-
tume de l'Église romaine sur la célébration
de la Pâque, XII, 63 et 933, 936.
CONFÉRENCE de Brionne en Normandie,
où Bérenger est confondu, XIII, 167.
CONFÉRENCE de Mouron entre Calixte II
et Henri V, XIV, 1093, 1094.
CONFÉRENCE de l'Esprit avec l'Ame, ou-
vrage de Marc l'Ermite, XI, 642.
CONFÉRENCES de Cassien, abbé de Mar-
seille, VIII, 16i et suiv. — Notes de Lan-
franc sur ces conférences, XIII, 448 et 438.
CONFÉRENCES de Tbéorien avec les Ar-
méniens, XIV, 634 et suiv.
CONFÉRENCES rurales, ordonnées par
Riculfe, évêque de Soissons, XII, 747 ; et
par Otton de Verceil, 821.
CONFESSEURS DE LA FOI. Lettres de
saint Cyprien aux confesseurs de Carthage :
première, II, 293 ; deuxième, 297 ; troisième,
298; quatrième, 299 et 300; et cinquième,
338. Confesseurs morts en prison, mis au
rang des martyrs, 298. Constitutions apos-
toliques concernant les confesseurs. Confes-
seurs élevés aux ordres selon les consti-
tutions apostoliques, 594. Canon vingt-cin-
quième du concile d'Elvire touchant les con-
fesseurs, 607, 608. Canon neuvième du
concile d'Arles, 631. — Confesseurs qui se
sont présentés eux-mêmes ; canons de saint
TAB. I.
Pierre d'Alexandrie concernant ces confes-
seurs, 111, 38. Edit de l'empereur Constantin
en faveur des confesseurs, 124. — Lettre de
saint Basile le Grand aux confesseurs, IV^
484, 483. — Canons quarante-deuxième et
quarante-troisième du iv° concile de Car-
thage touchant les confesseurs, VIII, 730.
— [Sermon de saint Augustin sur le com-
mun des confesseurs, IX, 841. — Sermon
de saint Maxime de Turin sur la fête de plu-
sieurs confesseurs, X, 326.] — Livre de la
Gloire des Confesseurs , ouvrage de saint
Grégoire de Tours, XI, 373 et suiv. — Gé-
rard de Cambrai soutient que les confes-
seurs méritent un culte particulier, XIII, 162.
[Sermon du pape Innocent III pour la fête
d'un confesseur, XIV, 1009, n. 2.J
CONFESSEURS ou ministres établis pour
recevoir les confessions des fidèles. Canon
attribué au patriarche saint Nicéphore sur
la conduite qu'ils doivent tenir, XII, 286.
Témoignage de Jonas d'Orléans sur le de-
voir des confesseurs, 390. — Règlement de
l'empereur Alexis Comnène touchant les
confesseurs, XIV, 142.
CONFESSION DE FOI du concile de
Rome, IV, 612. —Confession de foi attribuée
au premier concile de Tolède, VII, 743. Con-
fession de foi de Pelage, attribuée à saint
Jérôme, et employée par Alcuin, 530, 531.
— Confession de Pascentius, arien, IX, 185.
— Confession attribuée à Acace de Bérée,
VIII, 241. — Confession d'Alcuin, attaquée
comme n'étant pas de lui, XII, 202. D. Ma-
billon prouve qu'elle est effectivement de
lui, 202 et 203. Raisons de Basnage pour
infirmer les preuves du P. Mabillon, 203,
204. Réponses aux objections contre cette
confession de foi, 204, 205. Analyse de cette
confession, 203, 206. — Confession théolo-
gique attribuée faussement à Cassien de
Marseille, VlII, 200. — Confession chré-
tienne en vers élégiaques, par Jean le Géo-
mètre, XIII, 232. Confession théologique de
Jean, abbé de Fécamp : ce que c'est que cet
ouvrage, 328. Voyez Profession de foi. —
Confession de saint Cyprien d'Antioche, et
non de Carthage, III, 96. — Confession de
saint Ephrem, VI, 38,71, 73.— Treize livres
des Confessions de saint Augustin, IX, 23
et suiv. [Voyez la table du IX" vol. au mot
Confessions.] — Confession de Prosper d'Aqui-
taine, attribuée à saint Prosper, X, 313.
Confession de saint Patrice, et analyse de
cet ouvrage, X, 446, 447.
18
323.
377.
398.
379.
400.
IV siècle.
T. 400.
274
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
II siècle.
III siècle
rV siècle.
IV
et V siècles.
IV
et V siècles.
CONFESSION DES PÉCHÉS. Doctrine de
saint Irénée, I, 524 ; — de Tertullien, II,
77; d'Origène, [157,] 251, 242. [Témoi-
gnage de l'auteur des Pki/osophumena, 2,01 .]
Confession des péchés marquée par saint
Cyprien, 279 et 371. — Confession des pé-
chés, faite à Dieu, selon le témoignage d'Eu-
sèbe deCésarée, HI, 295. [Autre témoignage
d'Eusèbe, 257.] — Doctrine de saint Hilaire,
IV, 76, 77 ; de saint Athanase, 219 [et 165] ;
de saint Basile, 375, 495, 521. La coulpe ,
confession monastique, 404. — Doctiine de
saint Pacien sur la confession des péchés, V,
169; de saint Grégoire de Nazianze, 282; de
saint Ambrolse, 564, 565; — de saint
Ephrem, VI, 64, [493 et 505] ; de saint Gré-
goire de Nysse , 136; de saint Astère, ar-
chevêque d'Amasée, 305; — de saint Jean
Chrysostôme, VII, 156 et 416 et suiv.; du
pape saint Innocent, 520;' de saint Jérôme,
676, 677. — [Confession faite aux prêtres :
témoignage d'Eusèbe d'Alexandrie , VIII,
384.] — Discours sur la confession fausse-
ment attribué àHéraclius, prêtre d'Hippone,
IX, 243. Doctrine de saint Augustin, 773,
774 [et 843. Sermon de saint Augustin sur
la confession, 836.] — Doctrine de saint Ful-
gence, XI, 55, 56. Sermon de saint Césaire
d'Arles sur la nécessité de confesser ses pé-
chés, 136, 137. Méthode de confesser ses
péchés à son père spirituel : ouvrage attri-
bué au patriarche Jean le Jeûneur, 428. Né-
cessité de la confession des péchés, selon le
pape saint Grégoire le Grand, 570. [Témoi-
gnage de saint Grégoire d'Agrigente, 589.]
Doctrine d'Anastase Sinaïte, 605, 606. Té-
moignage de saint Colomban de Luxeuil, 620.
Confession faite par écrit, 661, 662. Confes-
sion publique d'un voleur pénitent, 680. Doc.
trine de Jean, abbé de Raïthe, 691. [Opus-
cule de saint Sophrone de Jérusalem sur la
confessiondespéchés,707.]Premier exemple
de confession générale en la personne de saint
Eloi, 753. Témoignage de saint Théodore de
Cantorbéry sur la confession , 758 ; — de
saint Boniface de Mayence, XII, 52, 53.
Lettre surla confession attribuée à saint Jean
Damascène ; elle n'est pas de lui, 84. Té-
moignage de saint Pirmin, 105 ; de saint
Cbrodegang, 107; de saint Paulin d'Aquilée,
160. Diverses formules de confession données
par Alcuin, 169. Lettre d'Alcuin aux moines
de Saint-Martin de Tours sur la confession,
185. Ce que dit le même sur la confession,
18S, 195. Sa doctrine sur le même sujet, 210,
211. Formule de confession, en langue tu-
desque, attribuée àCharlemagne, 249. Com-
ment la confession auriculaire se pratiquait
au ix° siècle, 270. [Réponses de saint Nicé-
phore, patriarche de Constantinople , aux
diiîérentes questions faites sur la confession;
ce que dit saint Nicéphore sur le pouvoir de
lier et de délier, 294. Canons de saint Théo-
dore Studite relatifs à la confession des pé-
chés, 315, 316.] Témoignage de Jouas, évê-
que d'Orléans, sur la confession, 390. Rè-
glement du pape Léon IV, 408. Témoignage
de Rabau Maur, 455 ; de saint Paschase Rad-
bert,536; de Vulfade, archevêque de Bourges,
628; d'Isaac, évêque de Langres, 638;
d'Hincmar de Reims, 685 ; de Réginon, abbé
de Prum, 771 ; de Rathier de Vérone, 855;
— du moine Jean, dans son Pénitentiel,
XIII, 32; deDitmar, dans sa Chronique, 64,
Lettre d'un évêque sur la fréquente confes-
sion des péchés, 76. Traité du secret de la
confession, attribué à Lunfranc, archevêque
de Cantorbéry, 456. Autre témoignage du
même, 457. Témoignage d'un anonyme, au-
teur d'un traité sur les sacrements, 492. Té-
moignage d'Antoine Mélisse, 568; de Raoul
Ardent, 579, 580; de saint Anselme, XIV,
40; de Philippe le Solitaire, 83; de Geofl'roi
de Vendôme, 163, 166, 168. Traité de Hu-
gues de Saint-Victor sur la confession, 361.
Pratique de l'abbé Suger sur la confession,
375. Témoignage de Robert Paululus, 357;
de saint Bernard, 474 et 487. Traité de la
confession sacramentelle, ouvrage de Pierre
de Blois, 779. Témoignage du pape Inno-
cent III, 1013; de Guillaume d'Auvergne,
1023. — Canon d'un concile de Reims sur
la confession, XIII, 645; canon d'un concile
de Cliâlon-sur-Saône, 647. Article d'un ca-
pitulaire de Charlemagne, 648. Article de la
règle des chanoinesses, 653. Décision de
l'assemblée de Fontenay, 670. — Canon
d'un concile de Toulouse, XIV, 1109. Canon
du iv° concile de Latranqui oblige les fidèles
à la confession annuelle, 1166. V. Pénitence.
CONFIRMATION, sacrement. Doctrine de
Clément d'Alexandrie, I, 599 ; — de Tertul-
lien, II, 75; de saint Corneille, pape, 126;
de saint Cyprien, 365. Confirmation mar-
quée dans les actes des saints Donatien et
Rogalien, 476 ; dans un concile de Gartha-
ge, 551; dans les Constitutions apostoUques,
595. Confirmation administrée par les évê-
ques, trente-huitième canon du concile d'El-
vire, 609. Les Novaliens ne donnaient pointla
1215.
II siècle.
III siècl*
Illsièeti
IV siècle
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
275
IV siècle. Confirmation, III, 434. — Doctrine de saint Hi-
laire de Poitiers, IV, 75 ; — de saint Cyrille
de Jérusalem, V, 53 et 74 ; de saint Pacien,
163, 168, 169. Cérémonies de ce sacrement
387. expliquées par saint Ambroise dans son
traité des Mystères, 462. Doctrine de saint
Ambroise, 555, 556. Témoignage de l'auteur
du livre des Sacrements attribué à saint
IV siècle. Ambroise, 465. — Doctrine de saint Ephrem,
VI, 61 [470 et 450.] Règlement du pape saint
ly Sirice, 99. — Doctrine de saint Jean Ghry-
etv siècles, g^gt^j^g^ yu, 395, 396. Canon troisième
406. dans la lettre du pape saint Innocent à Dé-
IV cenlius, évéque d'Eugubio, 519. Doctrine de
stvsiècies. gjjjj^j. Jérôme, 671 ; — de saint Augustin,
V siècle. IX, 747; — du pape saint Léon,X, 258,
259.; du pape saint Gélase, 502. Cérémonies
de la Confirmation selon le Sacrementaire
du pape saint Gélase, 515. Canon d'un con-
cile de Tarragone, qui défend de réitérer la
Confirmation, 749. — Au vi" siècle, on donnait
le sacrement de Confirmation immédiate-
ment après le Baptême, XI, 389. Doctrine
du pape saint Grégoire le Grand, 493 et
566, 367. On infère d'un passage d'une de
ses lettres que, dans un cas de nécessité, un
prêtre peut l'administrer, 567. Règlement
de Sonnace, évêque de Reims, 694. Témoi-
gnage de saint Isidore de Séville, 713 ; de
saint Ildefonse, archevêque de Tolède, 775;
de saint Théodore de Cantorbéry, 798 ; [de
Braulion , évêque de Saragosse , 743 ;] —
du pape Grégoire II, XII , 23 ; de saint
Boniface, 54; d'Alcuin, 210; de Magnus,
archevêque de Sens, 230, 251; de Maxen-
ce , patriarche d'Aquilée , 251 ; de Lei-
drade, archevêque de Lyon, 251, 232,
233 ; de Jonas, évêque d'Orléans, 389 ; de
Rhaban Maur, 453. Règlement du pape saint
Nicolas I", 581. Témoignage d'Énée, évéque
de Paris, 601. — Règlement du pape Léon
VII, 829. La Confirmation n'est point mise
au nombre des sacrements dans un traité
des sacrements fait en vers hexamètres à
XI siècle ^^ ^'^ ^^ ^^° siècle, XIII, 492. Suivant saint
Brunon de Ségni, on doit réitérer le sacre-
ment de Confirmation aux hérétiques qui
reviennent à l'Église, 503. [Ce que Bonizon
dit du sacrement de Confirmation, 366.] —
Témoignage d'Yves de Chartres, XIV, 122.
Traité de GeoÊTroi de Vendôme sur le Bap-
tême, la Confirmation, etc., 168. Témoi-
gnage d'Otton de Bamberg, 179. Témoi-
gnage de Robert Paululus, 337 ; de Ro-
bert PuUus, 395; de Pierre Lombard, 563.
Réfutation des hérétiques qui rejetaient xn siècle,
comme inutile le sacrement de Confirma-
tion, 608, 609. Témoignage de Guillaume
d'Auvergne, 1023. Canon d'un concile de laoo.
Londres sur la confirmation, 1146.
[CONFLIT. Du Conflit de deux chefs :
opuscule en vers de Régnier, moine de
Saint-Laurent de Liège, XIV, 796.]
CONFORTATORIUS. Livre de Gotcehn,
moine de Cantorbéry, XIV, 233, 234.
CONGAL, abbé de Bancor. V. Commogel.
CONIGASTE , seigneur de la cour de
Théodoric. A quelle occasion il devient l'en-
nemi du philosophe Boëce, X, 648. Il le ca-
lomnie auprès du prince, 649.
CONIMBRE, aujourd'hui COIMBRE, ville
de Portugal. Plusieurs lettres du pape Inno-
cent III pour maintenir les droits de i'évê-
que de Coïmbre, XIV, 959.
CONJECTURE sur l'état d'une certaine
personne. Ouvrage où Rathérius de Vérone
répond aux censures que ses ennemis fai-
saient de sa conduite, XII, 851, 832.
[CONNAITRE. Ce que saint Hilaire de
Poitiers entend par le verbe ne pas connaître
employée par l'Evangile au sujet de la sainte
Vierge et de saint Joseph, IV, 32.]
CONNAISSANCE. Doctrine de saint Au-
gustin sur les connaissances des anges, IX,
204, 203 ; sur celles des hommes, 350. Livre
de la Connaissance de la vie, faussement at-
tribué au même saint, 287. [Connaissance
de la vie ou traité de Dieu et de la Vie éter-
nelle, ouvrage d'Honoré d'Autun, XIV, 297.
Analyse de ce traité , 297 et 298. Jugement
de cet ouvrage, 298.] Connaissez-vous vous
même, titre donné à un traité de morale
composé par Abaillard, XIV, 336.
CONON, évêque d'Hermopolis en Egypte, m siècle.
Saint Denis lui écrit, II, 461.
CONON, évêque d'Édesse, XI, 343. eoo.
CONON, élu abbé de Lérins. Lettre que
lui écrit le pape saint Grégoire le Grand,
XI, 320.
CONON, un de ceux qui écrivirent pour
défendre la résurrection des morts contre
Jean Philoponus, XI, 652.
CONON, pape, XIII, 180. 687.
CONON ou CONRAD (Saint), archevêque
de Trêves. Sa vie écrite par Thierry, moine
de Tholei, XIII, 334. — [Il est mis au nom-
bre des saints, XIV, 1102.]
CONON, cardinal légat dans la Terre-
Sainte, excommunie l'empereur Henri V dans
plusieurs conciles, XIV, 1084, 1083. Il ex-
276
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCL..SIASTIQUES.
communie les évêques de la Normandie,
1086. Il rend compte de sa légation dans le
concile de Lalran, 1088. [Pièces qui concer-
nent ce légat, 1083, n. 6.]
1002. CONON. Voyez André, évêque dePérouse.
GONOPS, prêtre de Pisidie, VI, 414.
CONQUES, abbaye dans le Rouergue. Do-
nation qui lui est faite de Sainte-Poi-du-
Châtelet et de Saint-Victor, XIII, 590.
9)2. CONRAD I", empereur d'Occident.
1027. CONRAD II, le Salique, couronné empe-
reur avec Gisèle, sa femme, par le pape
1038. Jean XIX, XIII, 194. Son voyage à Rome
pour rétablir Benoît IX, 196. Son histoire
écrite par Vippon, son chapelain ; elle est
estimée pour quantité de faits qu'on ne
trouve pas ailleurs. Chant lugubre sur la
mort de ce prince, 176. [Lettre de Pierre
diacre à cet empereur, 90. Constitulions et
diplômes de Conrad le Salique, dans la Pa-
trologie, 414.]
H47. CONRAD III, roi d'Allemagne, entreprend
1152. une croisade ; mauvais succès de cette expé-
dition, XIII, 543. Lettre que lui écrit le pape
Eugène III, XIV, 272. [Ce pape lui recom-
mande de procurer l'union entre l'Église
grecque et l'Église romaine, 277. Il lui écrit
après le désastre de la croisade, 278.] Quel-
ques actes de cet empereur, 532, 533. Sa
mort, 534.
[CONRAD, usurpateur de la Poméranie.
Excommunication prononcée contre lui par
saint Otton de Bamberg, XIV, 181.]
[CONRAD, archevêque de Saltzbourg, écrit
à saint Otton de Bamberg, XIV, 181. Le
pape Hoaoï'ius II lui écrit, 256.]
[CONRAD, évêqueintrusdeToul, XIV,253.]
CONRAD , prêtre, continuateur de l'His-
toire de saint Gall, XIV, 879.
CONRAD (Saint). Voyez Conon (saint), plus
haut.
XII siècle CONRAD, moine de Brunwiller, écrit la
vie de l'abbé Wolphelme, XIH, 483, 484.
1076. CONRAD, évêque d'Utrechl, succède à
Guillaume; son attachement pour l'empereur
1085, Henri IV, dont il avait été précepteur ; son
discours dans l'assemblée de Gerstungeu con-
1087. ^^^ ^^^ actes de saint Grégoire VII; il contirme
les statuts de ses prédécesseurs et y en
ajoute quelques-uns; autres ouvrages qu'on
lui attribue en faveur de Henri IV, XIII,
513. Ouvrage de Bernard le Scholastique ,
adressé à Conrad, 513. (Voyez l'article de
Conrad dans l'Histoire littéraire de la France,
t. Vm, p. 500 et suiv.)
CONRAD, clerc de l'Eglise romaine, en- ni8.
Yoyé par le pape Gélase II au concile de
Rouen, XIV, 1090.
CONRAD, moine saxon, de l'ordre de Cî-
teaux. Son épitaphe de Frédéric, duc d'Au-
triche, XIV, 247.
CONRAD, abbé de Moury en Suisse. Voyez
Chunon.
CONRAD, évêque de Sabine, succède au
pape Eugène III, et prend le nom d'Anas-
tase IV, XIV, 535. Voyez Anastase IV.
[CONRAD, évêque de Wurtzbourg, assas-
siné. Punition de sesassassins, XIV, 982,983.]
CONSCIENCE. Doctrine de saint Jean
Chrysostôme, VH, 149, 185 et 230; —de
saint Bernard, XIV, 467. Traité faussement
attribué à ce saint, 491. Traité de la Cons-
cience, ouvrage de Pierre de Celle, 682.
[Autre Traité de la Conscience, ouvrage
d'un anonyme du xii" siècle, 909.]
CONSÉCRATIONS. Consécration du Chrê-
me : concile de Carthage, IV, 647. Canon 390.
troisième du deuxième concile de la même
ville, 648. — Consécration des autels et des
églises. Deux discours de saint Césaire d'Ar-
les sur ce sujet, XI, 135. Cérémonies qui
s'observaient pour la consécration d'un ora-
toire selon saint Grégoire de Tours, 388. —
Doctrine de saint Anselme sur la consécra-
tion des églises, XIV, 41, 42.
CONSÉCRATION des évêques. Prière pour
la consécration d'un évêque, attribuée à
saint Léon , X, 198. — Sermons du pape
Innocent 111 sur cette cérémonie, XIV, 1009.
CONSÉCRATION des vierges : concile de 390.
Carthage, IV, 647. Canon troisième du
deuxième concile de la même ville^ 648.
CONSENTIUS, homme de lettres, écrit à v. 4io.
saint Augustin, et celui-ci lui répond, IX,
m, 112. Autre lettre que lui écrit saint 420.
Augustin, 170. Livre de saint Augustin cou- 420.
tre le mensonge, adressé à Consentius, 274.
CONSENTIUS, homme de lettres, peut-
être fils du précédent. Lettre que lui écrit
saint Sidoine Apollinaire, X, 393. Poëme
que lui adresse le même saint, 397.
CONSIDERATION. Cinq livres de la Con-
sidération, ouvrage de saint Bernard adres-
sé au pape Eugène III, pour le consoler
dans ses afflictions, XIV, 460. Analyse de
cet ouvrage, 460 et suiv.
CONSOLATION. Discours sur ce sujet dans jy siicie.
les ouvrages faussement attribués à saint
Basile le Grand, IV, 493. — Lettre de con-
solation adressée par saint Augustin à Ita-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
277
lique, dame romaine, IX, 97, 98. — Le
discours de la consolation faussement attri-
bué à saint Basile n'est pas celui qu'avait
composé Victor de Cartenne, X, 469. Con-
solation de la philosophie, ouvrage de Boëce,
660. Analyse de cet ouvrage, 660 et suiv.
Editions qu'on en a faites; différentes tra-
XII sWcie. ductions, 663. — Livre de la Consolation,
attribué à l'abbé Joachim, XIV, 831. Cer-
tains hérétiques du xii' siècle ne faisaient
des sacrements de Pénitence, de Confirma-
tion et d'Extrême-Onction qu'une seule céré-
monie appelée par eux Consolation, 330.
CONSOMMATION du siècle. Traités de
saint Ephrem, VI, 22, 24, 23 [et 304.]— Su-
jet d'une homélie faussement attribuée à
saint Jean Chrysostôme, VII, 343.
CONSORCIE (Sainte), vierge, qu'on croit
fille de saint Eucherde Lyon, Vlil, 442.
879. CONSPERT ou COSPERT, nommé évéque
de Verceil par le roi Carloman, ordonné par
le pape Jean VIII, XII, 646 et XIII, 722.
CONSTANCE, vertu. De la Constance dans
ce qu'on s'est proposé : lettre de Jean,
moine de la Chartreuse des Portes. Lettre
d'Etienne de Chalmet sur le même sujet,
XIV, 401.
CONSTANCE en Suisse. Conciles tenus
en cette vihe, XTII, 428, XIV, 1033.
304. CONSTANCE CHLORE. V. Constantiusl".
CONSTANCE, évêque de Faënza dans la
Romagne, II, 623.
CONSTANCE, évêque d'Orange, assiste au
concile d'Aqnilée, IV, 629.
CONSTANCE, évêque, député à Rome par
saint Hilaire d'Arles. A quel sujet, VIII, 437.
CONSTANCE ou CONSTANTIN, prêtre de
Lyon, détermine saint Sidoine Apollinaire à
donner au public le recueil de ses lettres,
473. X, 382, 383. Il vient à Clermont, gagne les
esprits, et persuade aux habitants de cette
ville de se réunir pour leur commune dé-
fense contre les Visigoths, 385, 389. Lettre
que lui écrit Sidoine pour l'en remercier,
383 et 400. Autres qu'il lui écrivit au sujet
du recueil de ses lettres, 393, 394. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie, 399, 400.
Il écrit la vie de saint Germain, évêque
d'Auxerre ; saint Isidore de Séville lui donne
le titre d'évêque. Il y a lieu de croire que
c'est une faute, 400. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. II, p. 343
et suiv.)
CONSTANCE, missionnaire d'une église
de Saint-Etienne près d'Ancône. Ce qu'en
441.
raconte le pape saint Grégoire dans ses Dia-
logues, XI, 474.
CONSTANCE, évêque d'Alby. Ses deux va siècle,
lettres à saint Didier, évêque de Cahors, XI,
734. Lettre qu'il écrit avec saint Ouën, 737.
(Voyez ce qui est dit de lui dans l'Histoire
littéraire de la France, t. III, p. 583 et 628.)
CONSTANCE, moine et professeur à Lu-
xeuil. (Voyez ce qui est dit de lui dans l'His-
toire littéraire de la France, t. VI, p. 53, et
le Supplément, t. Vif, p. Ixxxij, et suiv.)
CONSTANCE ou CONSTANGIE. Voyez 342.
Constantia.
CONSTANT [en latin Constantius] I",
empereur, fils de Constantin le Grand,
instruit par le pape saint Jules, écrit à
Constantius, son frère, pour l'informer de
la conduite des Eusébiens, III, 378, 376.
Il reçoit la députalion des Eusébiens à ce
sujet; il obtient le consentement de l'em- 347 ou mieux
pereur Constantius pour la convocation du ^*^'
concile de Sardique. Ils s'unissent pour le
convoquer, 476. Lettre synodale du concile
de Sardique à cet empereur, 492, 493. Au-
mône qu'il envoie en Afrique, 498. — Il v. 345.
fait venir saint Athanase à Milan, IV, 93, 96.
— Donatde Carthage refuse de recevoir ses 340.
aumônes, V, 99. — Ses lois touchant la re- 339.
ligion, VI, 339 et suiv. — Il est tué par le 341.
tyran Magnence, VIII, 612.
CONSTANT II, empereur d'Orient, voyez
Constantin 1 V.
CONSTANT, lecteur de l'Église de Cler-
mont, X, 334.
[CONSTANT, prêtre. Son traité delaPassion
ou du martyre de saint Emmeran, XII, 132.]
CONSTANTIA, sœur de l'empereur Cens- iv siècle,
tantin le Grand. Lettre d'Eusèbe de Césarée
à cette princesse, III, 230 et suiv. [D. Pitra
l'a publiée en grec, 251, 232; voyez aussi
119, n. 2,] Arius engage Constantia dans ses
erreurs, 417.
CONSTANTIA ou CONSTANCE, reine de
France, épouse du roiRobert le Pieux. Lettre ^^■
que lui écrit le pape Grégoire V au sujet des
torts faits à Julien, évêque d'Angers, XII, 901 .
CONSTANTIN LE GRAND, premier em-
pereur chrétien, III, 118 et suiv. Histoire de
sa vie ; naissance de Constantin, 118; son 274.
éducation, son mariage avec Minervine; il 29g.
sort de Nicomédie et se rend auprès de Cons-
tance son père, 119. Il est déclaré Auguste 308.
par ses soldats; Galère s'y oppose, 119 et
120. Son attention pour le rétabUssement
des éghses; Hercule lui donne le titre d'Au- 307.
278
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
guste, et Pauste en mariage ; Hercule veut
308 et 310. trahir Constantin et lui ôter la vie ; Constan-
tin découvre ses intrigues et l'en punit;
3H. Constantin qui se prépare à la guerre contre
Maxence, a recours à Dieu. Jésus-Christ lui
fait voir la croix, 120. Constantin embrasse
31Ï. la religion chrétienne. Il défait Maxence au-
près de Rome, et y entre victorieux, 121,
122. Constantin sort de Rome, passe à Milan
et de là dans les Gaules, où il défait les
Francs. Loi en faveur des chrétiens, 122.
[Largesses de Constantin. Ses donations à
313. saint Sylvestre, 122, note 7.] Séjour de Cons-
3U. tantin à Trêves ; il convoque un concile à
315. Trêves et s'y rend. Loi de Constantin tou-
chant la nourriture des enfants pauvres, 122.
315. Constantin célèbre à Rome la dixième an-
316. née de son règne, 122 et 123. Il juge l'afifaire
319. des Donatistes à Milan. Ses lois touchant les
320 pi 321. aruspices; autres lois en faveur de la reli-
323. gion chrétienne, 123. Il défait Licinius à
Andrinople, à Byzance et à Chrysopolis, près
Chalcédoine. Ses victoires étaient l'effet de
ses prières, 123 et 124. Constantin fait re-
vivre l'abondance dans les provinces d'O-
rient et y fait adorer le vrai Dieu. Son édit
pour le rappel des confesseurs. Il bdtit des
324. églises, ruine l'idolâtrie, 124, 125. Il tra-
vaille à éteindre l'arianisme, 124. Il assemble
325. le concile de Nicée et s'y trouve en per-
sonne, 124 et 125. Défauts qu'on peut re-
330. prêcher à ce prince, 123. Constantin trans-
porte en Orient le siège de l'empire. Dédi-
cace de Constautinople, 12 et 126, 127.
332. Eglises que Constantin y fait bâtir. Guerre
de Constantin contre les Goths et les Sar-
mates ; les Goths embrassent la religion
333. chrétienne. Constantin écrit au roi de Perse
335. en faveur des chrétiens; il assemble un con-
cile à Tyr et un autre à Jérusalem, exile
336. saint Athanase; il veut faire recevoir Arius
dans la communion de l'Église, 126. Cons-
tantin se prépare à la guerre contre les
Perses : il leur accorde la paix, 127. Son
baptême, d'après Eusèbe, 127 et 128. [Bap-
tême de Constantin à Rome, par saint Syl-
vestre, 127, note 6, et VU, p. 647, note 1.]
Testament de Constantin : il ordonne le rap-
337. pel de saint Athanase. Sa mort; ses funé-
railles, 128, 129. [Son culte dans l'Église
d'Orient et dans plusieurs églises d'Occident,
129.] Discours de piété de Constantin, 129
et suiv. Ce prince compose un grand nombre
de discours et les récite en public. Quelle
était sa méthode, 129. Avec quel respect il
parlait de Dieu, 129 et 130. Ces discours ne
produisaient point de fruit, 130. Analyse du
discours adressé à l'assemblée des saints,
130 et 131. Discours de Constantin au con-
cile de Nicée, 131, 132. Lettres de Cons-
tantin, 132 et suiv. ; à Anulin, proconsul
d'Afrique, 132,133; à Cécilien, évêque de
Carthage ; au pape saint Melchiade, 133 ; à
Ablavius, vicaire d'Afrique, et à Chrest,
évêque de Syracuse, 133 et 134 ; aux évêques
catholiques, 134, 123 ; à Probien, proconsul
d'Afrique; à Cécilien et aux évêques dona-
tistes ; à Celse, vicaire d'Afrique ; à Eumale,
aussi vicaire d'Afrique, 133 ; aux évêques
et au peuple d'Afrique; aux évêques de Nu-
midie; à Eusèbe de Césarée, 136; à saint
Alexandre d'Alexandrie et à Arius, 136 et
137 ; à toutes les églises, touchant les déci-
sions du concile de Nicée, 137, 138. Deux
lettres de Constantin contre Arius, 138, 139.
Lettre à l'église de Nicomédie ; à Théodote
de Laodicée, 139; à Macaire, évêque de Jé-
rusalem, 139 et 140. Lettres de Constantin
au peuple d'Antioche; à Eusèbe de Césarée,
au concile assemblé à Antioche, 140, 141 ; à
Sapor, roi de Perse ; à Eusèbe de Césarée ;
à saint Antoine; à saint Athanase; à Jean,
chef des Méléciens ; à Arius, 141 ; aux évê-
ques du concile de Tyr, 141 et 142; aux Eu-
sébiens et à Dalmace, son frère ; à Optacien,
142. [Recueil des lettres de Constantin dans
la Patrologie, 142 et 143.] Edits de Cons-
tantin, 143 et suiv. Edit pour la liberté de
la religion chrétienne; autre édit pour la
liberté de toute religion, 143. Rescrit pour
la restitution des biens de l'Église et pour
l'immunité des clercs, 143 et 144. Lois tou-
chant le supplice de la croix et les enfants
des pauvres; contre les Juifs ; en faveur des
esclaves; en faveur de la virginité; pour le
dimanche et les fêtes ; contre les cérémonies
profanes, 144; pour les confesseurs, 144 et
143; pour le comte Joseph; pour la conver-
sion des païens, 145; contre l'idolâtrie, 145
et 146; contre l'usure; en faveur des catho-
liques; contre les Juifs, 146; pour la juridic-
tion des évêques, 146 et 147 ; contre les écrits
et la personne de Porphyre et d'Arius, 147.
Donation attribuée à Constantin en faveur de
saint Sylvestre, 147. [Voyez p. 122, note 7.]
Jugement des écrits de Constautin. [Recueil
de tous les édits de Constantin dans la Palro-
logie, 148.] — Eloges que Lactance donne à
Constantin, II, 497 ; il le regarde comme le
premier empereur chrétien, 513. Edit de
325.
313.
313.
313.
314.
315.
316.
323.
324.
325.
331.
333.
335.
325.
312.
313.
315.
316 et 321.
320.
321.
322.
323.
323.
353.
325.
325.
326.
335.
335.
336.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
279
338.
Constantin en faveur des chrétiens, 519.
Lettre que Constantin écrit à Cécilien de
Carthage, 624. Sa conduite dans l'affaire des
Donatistes, 624 et suiv. — Ses édits eu fa-
veur des chrétiens, III, 49. Sa lettre à saint
Alexandre, évêque d'Alexandrie, au sujet
d'Arius, 107, lOS.Discoursàl'empereurCons-
tantin attribué à saint Eustatlie d'Antioclie,
159. Harangue que lui adresse Eusèbe de
Césarée au concile de Nicée, 171, 172. Son
estime et son amitié pour cet évêque, 172,
173. Panégyrique de Constantin par Eusèbe
de Césarée, 214. Livres de la vie de Constan-
tin, ouvrage d'Eusèbe de Césarée, 221, 222.
[Contradictions qui s'y trouvent et falsifica-
tion aux chapitres, LXI et LXII, p. 222, n. 13.]
Trois discours d'Eusèbe de Césarée pronon-
cés devant Constantin, 253, 234. Lettres de
saint Antoine, père des solitaires à Cons-
tantin, 389. Osius, évêque de Cordoue, est
aimé de l'empereur Constantin ; il conseille
à ce prince d'assembler le concile de Nicée
et celui de Sardique, 393. Constantin écrit
pour réconcilier Arius avec saint Alexandre
d'Alexandrie, 418. Il convoque le concile de
Nicée, 419 ; il y assiste, 422; il écrit à toutes
les Églises après la conclusion du concile de
Nicée, 443, 446; à l'Église d'Alexandrie, en
particulier, 446. Plusieurs autres lettres de
Constantin contre Arius et ses sectateurs,
446. Il donne un festin aux évêques qui
avaient assisté au concile de Nicée, 447.
Saint Athanase, déposé par le concile de Tyr,
porte ses plaintes à Constantin, qui mande
sur cela les évêques du concile, 433, 436.
Lettre du concile de Jérusalem à Constantin,
457. Constantin exile saint Athanase, 437,
et IV, 92, 93 ; — ordonnne qu'il soit rappelé,
IV, 94. — Les Donatistes lui demandent des
juges contre Cécilien de Garthage^ V, 96.
Lettres de cet empereur, 96 et 97. Témoi-
gnage de saint Grégoire de Nazianze sur
Constantin, 336 ; de saint Ambroise, 379. —
Donation de Constantin, VI, 91. — Témoi-
gnage de saint Jean Chrysostôme sur Cons-
tantin, VII, 430. Témoignage de saint Jé-
rôme sur Constantin, 688 ; — de Sulpice
Sévère, VIII, 114; deSocrate, 316; de Sozo-
mène, 527 et suiv. ; — de Théodoret, X, 43,
44, 133, 138. [Constantin fut baptisé par le
pape saint Sylvestre, d'après Bonizon, XIII,
563 et 567.] — Sa donation rejetée comme
une pièce supposée, XIV, 534.
CONSTANTIN LE JEUNE, empereur, ren-
voie saint Athanase à Alexandrie, IV, 94.
648.
— Lettre qu'il écrivit touchant ce saint à 338.
l'Église d'Alexandrie, VI, 339. (Voyez l'arti-
cle de ce prince dans VHistoire littéraire de
la France, tome I, part. II, page 99 et suiv.)
CONSTANTIN III ou CONSTANT, empe- vu siècle,
reur d'Orient, fils d'Héraclius. Lettre que
lui écrit le pape Jean IV, y il réfute l'er-
reur des Monothélites, XI, 649, et XII, 926.
CONSTANTIN IV ou CONSTANT II, em- em-
pereur d'Orient, fils du précédent. Lettre
que lui écrit le pape saint Martin I" en lui
envoyant les actes du concile qui avait con-
damné les Monothélites, XI, 749. Il fait en- 6^3.
lever ce pape, 731. Mauvais traitements
qu'il lui fait soufïrir; reproches que lui en
fait le patriarche Paul, 751 et 752. Persécu-
tion que Constantin fait souffrir à saint
Maxime, abbé de Chrysopolis, opposé au
monothélisme, 761 et suiv. Lettre que lui
écrit Fabbé sainl Maxime pour l'exhorter à
la pratique des commandements de Dieu ,
768. Il renouvelle les privilèges de l'Église ^58.
de Rome et lui fait des présents, 782. — Le ^ii.
pape Théodore et les évêques cathohques le
pressent de révoquer l'Ecthèse, XII, 926.
Il la supprime et donne son Type qui occa-
sionne de nouveaux troubles, 927.
CONSTANTIN V, POGONAT. [D'où lui en-
vient ce nom de Pogonat, XII, 945, note 2.]
— Sa lettre au pape Domnus, XI, 743, n. 3,
est remise au pape Agaton. Ce qu'elle con-
tient, 783. Ses lettres au pape Léon II, cou- 683.
firmatives des décrets du concile de Cons-
tantinople contre les Monothéhtes, 704. Let- ^84.
tre au clergé et au peuple de Rome par la-
quelle il ordonne qu'à l'avenir on n'enver-
rait point à Constantinople le décret de
l'élection des papes, et qu'il suffirait que
l'exarque de Ravenne consentît en son nom
à l'élection ; il envoie à Rome les cheveux
de ses deux fils, Justinien et Héraclius, les
faisant adopter par le pape; sa mort, 785.
Il avait assemblé un concile à Constanti-
nople pour condamner l'erreur des Mono-
thélites, XII, 945. Histoire de ce concile,
946 et suiv. Il en souscrit la définition de
foi, 954. Son édit contre les Monothéhtes ;
sa lettre au pape Léon II, 955. Réponse du
pape, 933 et 956. [Notes relatives à ce con-
cile, 955, n. 1 et 3.]
CONSTANTIN VI, surnommé Copronyme,
empereur d'Orient, fait excommunier saint
Jean Damascène ; faux concile qu'il fit tenir,
XII, 68. - Il se déclare contre les saintes
images, XIII, 619.
685.
631.
280
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES,
VIII siècle. CONSTANTIN VU, empereur d'Orient, fils
d'Irène. Lettre que lui écrit le pape Adrien
795. pr^ XII, 135. Malgré les représentations du
patriarche Taraise, il répudie l'impératrice
197. Marie pour épouser Théodote; sa mort, 154.
Lettre de saint Théodore Studite au sujet du
second mariage de Constantin, 393. Son
mariage avec Théodote excite de grands
troubles, 298. — Sa mère convoque en son
nom le concile général de Nicée contre les
Iconoclastes, XIII, 619. Il en souscrit avec
elle les décrets, 628. Conciles de Constanti-
nople au sujet de son mariage avec Théo-
dote, 641, 642.
CONSTANTIN Vni, empereur d'Orient,
fils de Basile le Macédonien. [On ne le
compte pas ordinairement parce qu'il mou-
rut avant son père.]
959. CONSTANTIN IX, (VI ou VII) PORPHY-
ROGÉNÈTE, empereur d'Orient. Durée de
son règne; d'où lui vient le surnom de Por-
dhyrogénète ; 11 est empoisonné par Ro-
main, son fils; sa mort; ses soins pour faire
refleurir les sciences et les arts dans l'em-
pire, XII, 811. Il charge Léonce de Bysance
de continuer l'Histoire Byzantine , 796 et
811. Il écrit lui-même l'histoire de Basile,
son aïeul, 811. [Elle est reproduite au tome
CIX de la Patrologie.] Différents écrits de
Constantin, 811. Discours sur la translation
de l'image miraculeuse de Jésus-Christ d'É-
desse i Constantinople, 811 et 812. Discours
sur la translation des reliques de saint Jean
Chrysostôme, 812, 813. Extraits de diflé-
rents ouvrages faits par son ordre; Cérémo-
nial dressé par ce prince; [éditions de ce
Cérémonial, 813, n. 2.] Histoire de son rè-
gne écrite par un anonyme , 796. [On la
trouve au tome CIX de la Patrologie grecque.
Le tome GXII et une partie du tome CXIII
de la Patrologie grecque renferment les œu-
vres de Constantin Porphyrogéuète. Les
livres I" et IP de la Cour byzantine sont re-
produits dans le tome CXII, d'après l'édi-
tion de Reisk, donnée à Leipsik en 1734.
Le volume s'ouvre par une préface des édi-
teurs, une notice de Fabricius sur tous les
ouvrages de Constantin , une préface de
Niebuhr à l'édition de Bonn, en 1829 ; une
préface de Reisk, un commentaire de H.
Llicke sur la vie et les écrits de Constantin.
La suite des œuvres comprend , dans le
deuxième volume, les deux livres de la Dispo-
sition de l'empire Oriental et Occidental, inti-
tulés aussi Thèmes ou des Régions de l'Orient
6t de l'Occident. Ils sont reproduits d'après
l'édition de Banduri; ils sont précédés de la
dédicace du livre I" des thèmes de B. Vul-
canius; de l'édition de 1588; de la dédicace
du livre IP par Fréd. Morel ; de l'édition de
1609, de la préface de Meursius pour le livre
de l'Administration de l'empire, d'un extrait
de celle de Bauduri, de la préface de l'édi-
tion du deuxième livre , donné par Fréd.
Tafel à Tubingue, 1847. Le Synecdeme ou
énumération des soixante-quatre provinces
et des neuf cent trente-cinq villes soumises
à l'empire romain par Hiéroclès le Gram-
mairien, vient à la suite des Thèmes. Cet ou-
vrage est suivi de l'Administration de l'em-
pire, du récit du transport de l'image de
Jésus-Christ, du choix abrégé des lois d'a-
près l'édition de Leunclavius, des Novelles
constitutions d'après l'édition de Niébuhr,
Bonn, 1829; des légations des Romains chez
les différentes nations, d'après l'édition de
Bonn ; des vertus et des vices, d'après Va-
lois, et avec ses notes sur les extraits des
légations. Celles-ci ont elles-mêmes d'am-
ples et de nombreuses préfaces empruntées
aux éditions précédentes. Les Vies de Basile
le Macédonien et de Léon le Sage, sont au
t. CIX. On a mis au tome CVII les prières
hturgiques.] — Il tait apporter à Constantino-
ple le corps de saint Grégoire de Nazianze,
V, 192. — Instruction que lui adresse Théo-
phylacte , archevêque d'Acride, qui avait
été son précepteur, XIII, 534, 535. Éditions
qu'on en a faites, 533.
CONSTANTIN X, empereur d'Orient, fils
de Romain Lécapène.
CONSTANTIN XI, empereur d'Orient, fils
de Romain le Jeune.
CONSTANTIN XH , empereur d'Orient,
surnommé Monomaque. Lettre que lui écrit
le pape saint Léon IX, XIH, 206, 207. Il écrit
au pape Léon IX, pour lui témoigner son
désir de rétablir l'union entre l'Éghse grec-
que et l'Église latine, 214. Il reçoit avec
honneur les légats envoyés par le pape, 213.
Par son ordre, l'écrit du cardinal' Humbert
contre Michel Gérularius, et celui contre Ni-
cétas Pectorat, sont traduits en grec, 216 et
220. Il s'oppose aux violences de Michel,
220. Sa mort, 224. Poèmes de Jean Mauro-
pus en son honneur, 230.
CONSTANTIN XHI, surnommé DUCAS,
empereur d'Orient. Sa mort, XIII, 333.
CONSTANTIN, tyran, maître des Gaules,
VH, 531, n. 3.
1053.
1054.
1054.
1067.
407.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
281
715.
727.
767.
769.
X siècle.
681.
Ivm siècle.
CONSTANTIN, ami de saint Augustin,
IX, 405.
CONSTANTIN, prêtre de l'Église de Lyon.
Voyez Constance.
[CONSTANTIN, diacre. Ce qu'on sait de
sa vie; son panégyrique des martyrs, XI,
267. Analyse de ce discours, 267 et suiv.
Réfutation du symbolisme païen, 266. Éloge
des martyrs, 268, 269. Prière aux martyrs ;
exhortation aux fidèles. Édition de ce dis-
cours, 269.]
CONSTANTIN, abbé du Mont-Gassin après
la mort de saint Benoît ; temps de sa mort,
XI, 634.
CONSTANTIN, pape, succède à Sisinnius;
son voyage à Constantinople dont on ignore
le sujet ; il rejette la lettre de l'empereur
Philippique Bardane où ce prince se décla-
rait pour le monothélisme ; sa lettre à Ber-
thuvalde, archevêque de Cantorbéry, XII,
23. [Autre lettre à Berthuvalde, 23, n. 3.]
Mort du pape Constantin, 23. Lettre que lui
écrit Jean, patriarche de Constantinople, 36.
CONSTANTIN, évêque de Nacolie en
Phrygie, déclaré contre le culte des images.
Le patriarche Germain tâche de le ramener
à la foi cathohque; il le charge d'une lettre
pour l'évêque de Synnade, son métropoli-
tain, mais Constantin la tient secrète ; lettre
de Germain à ce sujet, XII, 37.
CONSTANTIN CABALIN. La lettre en fa-
veur des images qui lui est adressée n'est
point de saint Jean Damascène, XII, 84.
CONSTANTIN, évêque de Haram en Mé-
sopotamie. Ce qu'on sait de ses écrits contre
les Monophysites, XII, 100.
CONSTANTIN , antipape , élu par une fac-
tion ; il est chassé du palais de Latran ;
Mauvais traitements qu'il essuie après l'é-
lection d'Etienne III, XII, 117. Il est déposé
dans un concile, et ses ordinations déclarées
nulles, 117 et 118.
CONSTANTIN le Philosophe , invente les
lettres slavonnes, XII, 647.
CONSTANTIN, fils de Grégoire, Nomen-
clateur, excommunié pour conspiration con-
tre le pape Jean VIII, XII, 649.
CONSTANTIN, moine de Fleury, à qui
Gerbert a adressé plusieurs de ses ouvrages,
XII, 903.
CONSTANTIN, prêtre de l'Église d'Apa-
mée, est anathématisé au sixième concile
général pour son attachement au Monothé-
lisme, XII, 934.
CONSTANTIN, évêque de Ratisbonne, à
1004.
1024.
1064.
qui on attribue un écrit. (Voyez ce qui en
est dit dans l'Histoire littéraire de la France,
t. IV, p. 199.
CONSTANTIN, troisième abbé de Saint-
Symphorien de Metz, succède à Siraude; sa
mort; il est auteur de la Vie et de l'Épita-
phe d'Adalbéron II, évêque de Metz; ana-
lyse de cette Vie, XIII, 72. [Edition de cette
Vie dans la Patrologie, 72.] (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VII, p. 247 et suiv.)
CONSTANTIN, évêque d'Arezzo. Lettre
que lui écrit le pape Alexandre II, XIII,
CONSTANTIN LICHUDÈS, patriarche de "58.
Constantinople, succède à Michel Cérula-
rius ; son éloge ; les empereurs Constantin
Monomaque et Isaac Comnène, l'honorent
de leur confiance ; sa mort, XIII, 337. Mi-
chel Psellus fait son oraison funèbre. Ses
Constitutions synodales, 338.
CONSTANTIN , moine du Mont-Cassin, xi siècie.
très-savant dans la médecine et dans les
langues, XIII, 494. On a de lui plusieurs ou-
vrages qui concernent la médecine ; [édition
dans la Patrologie de l'ouvrage intitulé : De
communibus medico cognitu necessariis lo-
cis, 493.]
CONSTANTIN, évêque. Réponse de Nicé-
tas d'Héraclée à ses consultations, XIII, 538.
CONSTANTIN CHRYSOMALE, Bogomile. ii40.
Ses écrits condamnés dans un concile de
Constantinople, XIV, 1117.
CONSTANTIN MANASSÈS, historien. Sa xii siècle.
Chronique ; différentes éditions qu'on en a
données, XIV, 643. [La Chronique est repro-
duite au tome CXXVII de la Patrologie grec-
que, avec notice tirée de Fabricius. Ses au-
tres écrits, 643.]
CONSTANTIN HARMÉNOPULE, juge de
Thessalonique, que plusieurs placent vers
le milieu du xii° siècle, n'a vécu que vers le
milieu du xiv«, XIV, 648. [Deux traités
d'Harménopule, 648, note 1.]
CONSTANTINE, impératrice, épouse de 593.
l'empereur Maurice, demande au pape saint
Grégoire le Grand le chef de saint Paul ; le
pape le lui refuse, VI, 96, et XI, 497. —
Raisons qu'il lui donne, XI, 497, 498. Lettre 594
du même pape au sujet de Jean le Jeûneur,
301. Autres lettres, 502.
CONSTANTINE, ville de Numidie, [aujour-
d'hui de l'Algérie.] Voyez Cirthe.
CONSTANTINOPLE , ville de Thrace, bâtie iv siècle,
par Constantin. Sa dédicace ; elle devient le
siège de l'empire, III, 123. Concile qui y fut 336.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
339.
360.
379.
3S1.
383.
IV siècle.
m.
V siècle.
400,
394.
399.
400.
403.
433.
V' 430.
V siècle.
426.
282
tenu contre Marcel d'Ancyre, 437 et suiv.
Autre contre Paul, évêque de cette ville,
459. — Autre tenu par les Acaciens, IV,
574 et suiv. Etat où se trouvait l'Église de
cette ville lorsqu'on y assembla le premier
concile œcuménique, 616, 617. Saint Gré-
goire de Nazianze est chargé du soin de
cette Église ; trouble excité par l'ordination
de IMaxime le Cynique, 617. Maxime est re-
jeté par Théodose et par les évêques de Ma-
cédoine, 617 et 618. Concile assemblé à
Constantinople, depuis réputé œcuménique,
618 et suiv. Saint Grégoire, établi évêque de
Constantinople, 619. Il quitte le siège de
cette ville, 629, 621. Nectaire, évêque de
cette ville, 621. Symbole de Constantinople,
621 et 622. Rang distingué du siège de
Constantinople. Canon troisième du pre-
mier concile œcuménique de cette ville, 623.
Autre concile, 636 et suiv. Autre encore,
638 et suiv. — État de l'Église de Constan-
tinople sous saint Grégoire de Nazianze, V,
186 et suiv. Maxime le Cynique entreprend
d'usurper le siège de cette ville, 17 et 187.
Il est rejeté, 17 et 188. Parallèle de Cons-
tantinople avec Rome, par saint Grégoire de
Nazianze, 268. Poème du même saint sur
les églises de Constantinople, 272. Il y ré-
tabht la foi orthodoxe sur la Trinité, 300. —
Incendie de la grande église de cette ville,
VII, 10. Lettre du pape saint Innocent au
clergé et au peuple de cette ville, 312. Con-
cile qui fut tenu à Constantinople, 716, 717.
Nectaire, patriarche de Constantinople, tient
le premier rang, 717. Autre tenu au sujet
des hvres d'Origène, 737. Autre, 743, et
suiv. Lettre synodale du conciliabule du
Chêne au clergé de Constantinople, 749. —
Témoigaage du pape saint Boniface sur le
rang du siège de Constantinople, VIII, 10.
Lettre de saint Célestin au clergé de cette
ville, 136, 137. Autre lettre du même pape
au clergé et au peuple de Constantinople,
144. Une partie de cette ville est incendiée,
207, [non inondée comme porte la table de
Rondet.] Jean d'Antioche écrit au Sénat et
au peuple de Constantinople, 246. Lettres
an saint Cyrille d'Alexandrie à quelques
personnes de Constantinople, 284; aux
clercs qu'il y avait envoyés, 283; au peuple,
au clergé et aux abbés de cette viUe, 290.
Concile tenu en celte ville où Sisinnius est
élu évêque de Couslanlinople, 571, 572.
Autre concile tenu par Nestorius, 572. Re-
présentations que fait à l'empereur le clergé
de Constantinople, an sujet de la persécu-
tion que souffrait le concile d'Éphèse, 394.
— Constantinople menacée du feu du ciel,
selon le témoignage de saint Augustin, IX,
283, 286. — Lettre de Théodoret aux moi-
nes de Constantinople, X, 78. Autre à ceux
qui y soutenaient le parti de Nestorius, 104.
Le concile de Chalcédoine donne à l'Église
de Constantinople le second rang, la pré-
séance sur celles d'Alexandrie et d'Antio-
che, et la juridiction sur l'Asie, le Pont et
la Thrace; ce qui est exécuté malgré les op-
positions de saint Léon, 174, 173, 700 et
suiv. Lettre de saint Léon à ce sujet, 224 et
suiv. Différentes lettres de saint Léon aux
Archimandrites, au clergé et au peuple de
Constantinople sur l'hérésie d'Eutychès,
214, 216, 217, 236. Concile tenu en cette
ville au sujet de Bassien, 666 ; autre au su-
jet d'Ibas d'Edesse, 467, 468 ; autre contre
Eutychès, 669 et suiv.; autre contre le
même, 674, 683 ; autre où est reçue la let-
tre de saint Léon à Plavien, 480, 481. Lettre
du pape saint Félix III au clergé et aux peu-
ples de Constantinople ; autre aux moines,
416. Concile tenu en cette ville par le pa-
triarche Gennade, 344 et 710, 711. Concile
où le patriarche Euphémius fait confirmer
les décrets du concile de Chalcédoine, 487
et 722. Concile où Euphémius est déposé et
l'Hénotique de Zenon confirmé, 722. —
Concile assemblé en cette ville, XI, 818,
819. Conférence qui y fut tenue entre les
Catholiques et les Orientaux ou Sévériens,
843 et suiv. Conciles tenus en cette villci
831, 832 et suiv., 862, 868 et suiv., 899.
Témoignage d'Évragre sur la prérogative
du siège de Constantinople , 417. Concile
tenu en cette ville, XII, 370, 624. Sixième
concile général, 943 et suiv. Concile Quini-
sexte ou m Trullo, 939 et suiv. Le concile
Quinisexte confirme au siège de Constanti-
nople ses privilèges, 962. — L'ÉgUse de
Constantinople était en communion avec
l'Église romaine sous le pontificat de Jean
XVIII, XIII, 189. Conciles tenus en cette
ville, 603, 613, 641, 648, 649, 636, 671,686,
689, 692, 702 et suiv., 722 et suiv. 747, 734,
739.— Autres, XIV, 1044, 1043, 1039, 1117
et suiv. Autres, 1124, 1131 et suiv. [Lettre
du pape Innocent II aux fidèles de Constan-
tinople, XIV, 266. Histoire de la prise de
cette ville par les croisés, ouvi'age de Gon-
thier, moine de Cîteaux, 896, 897. Éditions
de cet ouvrage, 896. Lettre sur la prise de
451.
444.
448.
448.
449.
450.i
553.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
283
Constantinople par les croisés, par un ano-
nyme, du xii° siècle, 910. Appréciation de
l'historien Hurter sur la conduite du pape
Innocent III, relativement à la conquête de
Constantinople par les croisés, 990 et suiv.
Ce que fait Innocent III pour la conservation
de Constantinople et de l'empire grec, 995.]
— Histoire de la prise de cette ville par les
Turcs, XIII, 343.
CONSTANTIUS !"■ CHLORUS ou CONS-
TANCE CHLORE, empereur, père de Cons-
tantin le Grand, protège les chrétiens, III,
48 et note 7, 140 et 579.
CONSTANTIUS [ou en français CONS-
TANCE ] II , empereur , fils de Cons-
tantin le Grand, ne peut obliger Osius, évè-
que de Cordoue, à condamner saint Atha-
nase, III, 393, 394. Lettre d'Osius à cet
empereur, 394, 393. Constantius fait con-
duire Osius à Sirmium où il le retient pen.
dant un an, 395, 396. 11 fait déposer Paul,
évêque de Constantinople, 459. 11 assiste au
I.] concile d'Antioche, 465. 11 accorde à Cons-
tant, son frère, la convocation du concile de
Sardique; ils s'unissent pour le convoquer,
I.] 473, 476. Lettre synodale du concile de Sar-
dique à cet empereur, 492. Constantius per-
met à saint Athanase de retourner à Alexan-
drie, 501. Il se laisse surprendre par Ursace
et Valens pour faire condamner saint Atha-
nase. 519, 320. Edit de ce prince pour la con-
damnation de ce saint évêque, 520. Députation
du pape Libère à cet empereur pour obtenir
un concile, 321, 522. Violence avec laquelle
Constantius veut faire condamner saint
Athanase au concile de Milan, 522 et suiv.
— Il exile saint Hilaire de Poitiers, IV, 3. 11
. le renvoie dans les Gaules, 4, Livres de saint
Hilaire de Poitiers à l'empereur Constantius,
53 et suiv. Livre du même contre le même,
58 et suiv. Saint Athanase va trouver Cons-
tantius à Antioche, 96, 97. Les Ariens irri-
tent Constantius contre saint Athanase, 98.
Apologie de saint Athanase à Constantius,
dl9 et suiv. Persécution sous cet empe-
reur, 124, 123. Députation qui lui est faite au
sujet des Ariens, 239, 240. Ce qu'il fait au
concile de Milan, 240 et suiv. Lucifer de Ca-
gliari écrit ses livres à Constantius, 242. Il
les lui fait présenter en son nom, 242. Cons-
tantius attire saint EusèbedeVerceil à Milan
et ensuite l'exile, 272. Lettre du pape Libère
à cet empereur, 287, 288. Constantius as-
siste au concile de Milan, 289; persécute le
pape Libère, 290, 291. Ce pape défend la
concile. Réponse
l'empereur, 560.
ordres pour faire
vérité en présence de Constantius, 291-
Constantius interroge Libère, 291 et suiv. ;
il l'exile, 293. Lettre du pape Libère à Cons-
tantius, 295. Constantius reçoit les députés
du concile d'Ancyre, 332. Il indique un con-
cile général à Nicée, puis à Nicomédie, en-
suite àSéleucie et àRnnini, 553, 534. Lettre
de l'empereur au concile, 355. Lettre du
concile à l'empereur, 558, 539. De quelle
manière l'empereur reçoit les députés du
concile, 559, 560. Lettre de Constantius au
des pères du concile à
Constantius donne des
souscrire la formule de
Rimini, 561. Lettre des évêques ariens à
l'empereur, 562. L'empereur se laisse sur-
prendre par les Acaciens au sujet du con-
cile de Séleucie, Il reçoit les députés du
concile de Séleucie, 571. Il découvre les
blasphèmes d'Aétius, 571 et suiv. Il le fait
condamner juridiquement et assiste à son
jugement, 573. 11 fait signer la formule de
Rimini par les députés du concile de Séleu-
cie, 574. Il assemble un concile à Antioche,
584 et suiv. ; en indique un à Nicée et
meurt avant de l'avoir assemblé, 386, 587.
Ce que les docteurs de ce temps ont dit de
Constantius, 587. — Il bannit saint Mélèce
d'Antioche, V, 7. Lettre de Saint Cyrille de
Jérusalem à cet empereur, 57, 38. Témoi-
gnage de saint Grégoire de Nazianze sur
l'empereur Constantius, 201, 217, 356, 357.
— Lois de ce prince touchant la rehgion,
VI, 339 et suiv. Son édit contre saint Atha-
nase, 341 . Ses lettres pour et contre ce saint,
343 et suiv. Lettre du même empereur au
sujet de l'ordination de Frumentius, 344,
345. Lettre de cet empereur à l'Église d'An-
tioche au sujet d'Eudoxe, chef des Ariens,
343, 346. — Constantius [et non Constantin]
transfère à Constantinople les reliques de
saint André, de saint Luc et de saint Timo-
thée, VII, 687. — Témoignage de Philostorge
sur Constantius, VIII, 612. — Témoignage
de Théodoret, X, 43, 46.
CONSTANTIUS, évêque de la Romagne.
Lettre que lui écrivit saint Ambroise, V,
480, 481.
CONSTANTIUS, prêtre d'Antioche. Lettre
que lui écrivit saint Jean Chrysostôme, VII,
136 , 137. Lettres du prêtre Constantius,
137, 138. Qui était Constantius, 136, 137.
Analyse de ses lettres, 137, 138.
CONSTANTIUS, évêque, à qui Pelage
écrit, Vn, 542, et IX, 452.
357.
IV siècle.
358.
359.
359.
361.
361.
351.
341 à 361.
353,
IV siècle.
3T9.
;404.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
418.
449.
592.
593.
594.
600.
IV siècle.
CONSTANTIUS, préfet du prétoire, se si-
gnale contre les Pélagiens, VII, 538.
CONSTANTIUS, préfet, à qui écrit Théo-
doret, X, 67.
CONSTANTIUS, diacre et apocrisiaire
d'Eutychès, appelé au concile de Constanti-
nople en 448, X, 672. Eutychès l'envoie à
celui de 449, 674.
CONSTANTIUS, évêque d'Uzès, X, 337.
CONSTANTIUS , évêque , à qui écrivit
saint Avit de Vienne, X, 362.
CONSTANTIUS , père du pape Jean I",
XI, 112.
CONSTANTIUS, évêque de Milan, XI,
436. Lettres que lui écrit saint Grégoire,
494, 49S, 499, S13, 516. Sa mort, 520.
CONSTANTIUS, moine de Classe, XI, 328.
CONSTANTIUS, doyen de Mici : sa ré-
volte contre l'abbé Robert, XIII, 30.
CONSTITUT, archevêque de Sens, XI,
882.
CONSTITUTIONS : Constitutions aposto-
liques mises au rang des livres sacrés dans
les Canons apostoliques, II, 587. [Leur titre,
leur auteur, leur falsificateur, 590, note 7.
Versions copie et syriaque de ces écrits,
590.] Les Constitutions qu'on nomme apos-
toliques ne sont point des apôtres, 589.
Celles que nous avons aujourd'hui ne sont
pas les mêmes que saint Épiphane a citées,
589 et 590; elles ont été composées de di-
vers écrits qui portaient le nom des apôtres,
par un écrivain du v" siècle, 590. Les Cons-
titutions apostoliques sont faussement attri-
buées à saint Clément romain, 590 et 591.
Ce qu'elles contiennent de remarquable,
591 et suiv. ; touchant les évoques, 591, 592,
593 ; touchant les prêtres et les diacres, 593 ;
touchant les sous-diacres et autres clercs in-
férieurs, 593 et 594; touchant le mariage
des clercs, 594 ; touchant le baptême, 594
et 393; touchant la liturgie, 393 et suiv.;
touchant les jours et les heures d'assem-
blée, 398, 399; touchant la sépulture des
morts et les prières qu'on faisait pour eus,
599; touchant les agapes, 399 et 600; tou-
chant les jeûnes, 600; touchant la péni-
tence, 600 et 601 ; touchant les jugements
ecclésiastiques, 601, 602. [Editions des Cons-
titutions apostoliques, 602 ; éditions récentes,
602.] — Constitutions monastiques, ouvrage
attribué à saint Basile ou à Eustathe de Sé-
baste,IV,406 et suiv. ; — [elles sont de saint
Basile, XII, 313]. [Constitutions ecclésias-
tiques, recueil de canons, rédigé par saint
Nicéphore, patriarche de Constantinople,
XII, 297, 298.] [Constitutions du monastère
de Stude, par saint Théodore Studite, XII,
315.]. — Constitutions de saint Odon, arche-
vêque de Cantorbéry, XIII, 60. [Constitu-
tions synodales de Nicolas le Grammairien,
560.] — Constitutions de l'empereur Manuel
Comnène, XIV, 656. [Constitutions syno-
dales d'Odon de Sully, évêque de Paris,
éditions qu'on en a faites, 890 et 892.]
Constitutions ecclésiastiques : collection de
constitutions ecclésiastiques faite parThéod.
Balsamon, XIV, 826 et suiv. [Les constitu-
tions des empereurs qui regardent les affai-
res de l'Église, sont reproduites au tom-
CXXVII de la Pvtrologie grecque.'] Constitu-
tions décrétâtes dinnocent III, 1017.
CONSTITUTUM : décret rendu par le pape
Vigile au sujet des trois Chapitres pendant
la tenue du second concile général de Cons-
tantinople, XI, 283, 284 et 873. Analyse de
ce décret, 873 et suiv. Le concile le met en
opposition avec le Judicatum du même pape,
876, 877. [Voyez l'appréciation de la con-
duite du pape et de celle du concile, sup-
plément, 917 et suiv.]
[CONSTRUCTION spirituelle de la maison
de Dieu; explication donnée sur ce sujet
par saint Zenon, évêque de Verceil, VI, 274.]
CONSTRUCTION des églises : société de
laïques qui s'était formée pour aider à la
construction des églises, XIV, 606.
CONSUBSTANTIALITÉ. Saint Denis d'A-
lexandrie est accusé de nier la consubstan-
tialité du Verbe. Il s'en justifie, II, 399, 400.
La consubstanlialité reconnue par les deux
saints Denis de Rome et d'Alexandrie, 572.
— En quel sens elle est admise par Eusèbe
de Césarée, III, 307 et suiv. Voyez 308, n. 6.
— Consubslantialité des trois personnes en
Dieu; traité sur ce sujet attribué àsaint Atha-
nase, IV, 174. Consubstantialité condamnée
dans un concile d'Antioche, 550. — Saint
Macaire d'Egypte défend la foi de la con-
substantialité, V, 397. — Témoignage de
saint Jean Chrysostôme, VII, 374 ; — de
saint Augustin, IX, 558, 559 ; — de Théo-
doret, X, 44.
CONSUBSTANTIEL. Le terme de consubs-
tantiel était usité avant saint Denis d'Alexan-
drie, II, 417. [Voyez aussi 417, note 8, et
447, note 6.] En quel sens le concile d'An-
tioche condamne ce terme, 570 et 572. Les
deux saints Denis de Rome et d'Alexandrie
ont recounu la consubstantialité du Verbe
553
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
285
longtemps avant ce concile, 572. — Le terme
de consubstantiel est approuvé au concile
de Nicée pour exprimer la doctrine de l'Église
contre l'hérésie d'Arius. Vrai sens de ce
siècle: terme. Son antiquité, III, 424. — Ce terme
justifié par saint Hilaire de Poitiers, IV, 38.
Défense de ce terme par saint Athanase, 133,
et 211, 212. Ce terme condamné dans le
concile d'Ancyre, 551. Traité de Victoria
pour la défense de ce terme, 328. — Saint
Grégoire de Nazianze reproche aux Ariens
de l'avoir retranché, V, 243. — Témoignages
de Théodoret sur ce terme, X, 44, 45, 46,
Voyez le mot Consubstantialité.
CONSULS. Pin des dates par les consuls,
XI, 328.
CONSULTATIONS ou délibérations de Za-
chée, chrétien, et d'Apollonius philosophe,
sur la religion chrétienne. Analyse de cet
ouvrage, dont est auteur Evagre, disciple
de saint Martin de Tours, VIII, 425 et suiv.
CONTE (Antoine Le), nommé en latin
Contins, jurisconsulte. On lui attribue un
commentaire sur la chronologie de Nicé-
phore, XII, 282. — Il a donné une édition
du Décret de Gralien, XIV, 761.
CONTEMPLATION. [Deux sermons de
saint Ephrem sur la cont emplation de la Pro-
vidence, VI, 496, 497.] Le livre intitulé De la
divine Contemplation est le second livre des
prières et méditations composées par Jean,
abbé de Fécamp, à l'usage de l'impératrice
Agnès, XIII, 328. — [Contemplation mys-
tique, ouvrage de saint Germain, patriarche
de Gonstantinople : ce qu'il contient, XII,
43.] — Traité de la Contemplation de Dieu,
ouvrage de Guillaume , abbé de Saint-
Thierry, XIV, 388 et 490. [Il n'est pas de
Guiges, 310, n. 4.] Traité des Trois Genres
de contemplation, ouvrage d'Adam, abbé
de Case-Blanche, en Ecosse, 687.
CONTINENCE. Amour des chrétiens pour
la continence. Témoignage de saint Justin, I,
445. — Doctrine de TertuUien, II, 73 et 77.
Continence des chrétiens du temps de Ter-
tuUien, 77; du temps d'Origène, 246; —
d'Eusèbe de Césarée, III, 238.— Doctrine de
saint Basile le Grand, IV, 532. —[Traité delà
continence, par saint Zenon de Verceil, VI,
274;] — de saint Jean Chrysostôme, VII,
32. Homélie du même sur Joseph et sur la
continence, 202. Doctrine de saint Jérôme,
703, 706; —de saint Gaudence, VIII, 38;
— de saint Augustin, IX, 113, 134, 139, 314,
514, 804, 803. Sermon du même aux conti-
nents, 242. Livre de la continence, ouvrage
de saint Augustin, 266 et suiv. — Canon du
concile d'Orange sur le vœu de continence,
VIII, 609, 610. Canon d'un concile d'Arles
sur la continence des pénitents, 611. — Let-
tre que Salvien écrit à Hypace, son beau-
père, qui désapprouvait la résolution que
Salvien et sa femme avaient prise de vivre
en continence, X, 360. — Lettre de saint
Fulgeuce, évêque de Ruspe, sur le vœu de
continence fait par une femme, sans le con-
sentement de son mari, XI, 23, 26. Saint
Gésaire recommande aux fidèles la conti-
tiuence dans le carême, 134. La continence
devait être observée par ceux qu'on met-
tait en pénitence, 838. — Témoignage du
Vénérable Bède sur la continence, XII, 14,
Témoignage du prêtre Beatus, 216 ; de Théo,
dulphe, évêque d'Orléans, 266; de Jonas,
évêque d'Orléans, 390; Réponse du pape saint
Nicolas ï" aux consultations des Bulgares,
583. — Témoignage de Ditmardans sa Chro-
nique, Xlil, 63. — Continence des clercs,
treute-troisième canon du concile d'Elvire,
II, 608. Continence des prêtres, canon pre-
mier du concile de Néocésarée, 640, — Con-
tinence des clercs, des vierges et des veuves ;
canons troisième et quatrième du P' concile
de Carthage, III, 499. — Continence des prê-
tres et des diacres: lettre dupapesaintSirice,
IV, 642. Continence des clercs ; concile de
Carthage, 647. Canon deuxième du IP concile
de Carthage, 648. — Elle n'était pas géné-
ralement observée dans l'Orient au temps
de saint Grégoire de Nazianze, V, 179, 180
et 347; mais elle l'était dans l'Occident au
temps de saint Ambroise, 567. — Règlement
du pape saint Sirice touchant la continence
des clercs, VI, 101. — Témoignage de saint
Epiphane sur la continence de clercs, 433.—
Canons neuvième et dixième dans la lettre
du pape saint Innocent à saint Victrice de
Rouen, VII, 508. Canon premier dans la
lettre du même pape à saint Exupère, évêque
de Toulouse, 511. Canon quatrième dans la
lettre du pape saint Innocent à Félix, évêque
de Nocéra , 525. Doctrine de saint Jérôme,
696, 697. Canon vingt-sixième du concile
d'Hippone, 715. Canon vingt-cinquième du
troisième concile de Carthage, 721. Canon
troisième du cinquième concile de Carthage,
734. Décret huitième du concile de Turin ;
Canon premier du premier concile de To-
lède, 739. — Règlement du concile général
de Carthage, VIII, 537. Canon troisième du
IV siècle.
IV siècle.
IT siècle.
348 ou 349.
386.
390.
405.
V siècle.
tVet
V siècle.
393.
397.
IV ou
V siècle.
040.
401.
Après 40S.
286
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
418. concile de Rome, sous le pape saint Inno-
419, cent, S45. Ordonnance du concile de Telle
ou Télepte, 561. Canons troisième et qua-
trième du sixième concile de Cartbage, 564.
461. Canon vingt-cinquième du même concile,
566. Continence recommandée aux prêtres
517. et aux diacres par un concile de Tours, 711,
712 ; et par celui de Girone, 748, 749. Avis
Vt siècle, d'un évêque nommé Véran sur la continence
des clercs, 714. — Ecrit de saint Véran,
528. évêque de Gavaillon, sur la continence des
prêtres, XI, 322, 323. Continence prescrite
533. même aux sous-diacres par le deuxième
concile d'Orléans, 848. Continence prescrite
aux évêques, aux prêtres et aux diacres par
un concile de Tolède; par celui d'Huesca,
907 ; par celui de Terrassa, 912. — Conti-
nence ordonnée aux clercs par le huitième
concile de Tolède, XII, 932; par le neu-
vième, 934. [Loi d'un concile de Carthage
citée par le concile Quinisexte sur la conti-
nence des clercs, 961, note 1.] — Continence
des clercs recommandée par Benoît VIII^
XIII, 191, 192. Règlement sur ce point dans
un concile de Rome sous saint Léon IX, 201.
[Constitution pour l'Église de Milan sur la
continence des clercs, 291, 292.] Loi d'Ed-
mond roi d'Angleterre, 747. Décret d'un
concile d'Angleterre, 757, 758. — Statuts du
légat (jolon, XIV, 1149. Voyez Célibat, In-
continence et Concubinaires, [Clercs.]
CONTINENTS hérétiques. V. Encratiles.
CONTIUS. Voyez Conte (Antoine Le).
CONTRACTE, surnom donné à Hermann,
auteur d'une Chronique et d'autres ouvrages,
XIII, 182.
CONTRARIÉTÉS apparentes de rÉcrilure
sainte. Règles données par Anselme de Laon
pour les concilier, XIV, 183.
CONTRITION. Livre de la Contrition du
cœur, ouvrage faussement attribué à saint
Augustin, IX, 287.
GONTUMELIOSUS, évêque de Riez. Saint
Avit, évêque de Vienne, lai adresse une de
V. 534. s^s lettres, X, 538. — Le pape Jean II l'in-
terdit de toutes ses fonctions et le condamne
à être renfermé dans un monastère, XI, 118.
Il appelle au pape saint Agapet, qui reçoit
son appel, 120.
XI siècle. GONVERS ou FRÈRES LAIS. Guillaume,
abbé d'Hirsauge, en est regardé comme
l'instituteur, XIII, 484, 483.
[CONVERSATION. De la conversation des
frères dans une mutuelle concorde et dilec-
tion; sermon de saint Ephrem, VI, 508. —
De la rectitude de la conversation; sujet
d'un sermon de saint Eloi, XI, 760.]
CONVERSION. Doctrine de saint Jean
Chrysostôme, VII, 17. — Doctrine de saint
Augustin, IX, 314. Nécessité de la grâce
pour la pénitence et la conversion du pé-
cheur, 691, 692.
CONVERSION DE SAINT PAUL. Deux
sermons de saint Bernard pour cette fête,
XIV, 484. Discours de Pierre de Blois sur ce
sujet, 778. Sermon de Guillaume d'Auver-
gne pour cette fête, 1027.
CONVIÉS. Homélie du pape saint Gré-
goire le Grand sur la parabole des conviés
qui s'excusent de venir au festin du père de
famille, XI, 461 .
CONVOYON, abbé de Redon, député à
Rome, assiste à un concile qui condamne la
simonie, XII, 407.
CONVULSIONS dont étaient saisies plu-
sieurs personnes au tombeau de saint Fir-
min, XII, 371. Lettre d'Agobard sur ce su-
jet, 371 et 429, 330. Convulsions opérées à
l'occasion des reliques déposées dans l'église
de Saint-Bénigne de Dijon, Lettre d'Amolon
sur ce sujet, 429.
COPIATES ou fossoyeurs clercs. Immu-
nité que Constantius leur accorde, VI, 342.
Témoignage de saint Epiphane, 432.
COPISTES ou ANTIQUAIRES. Eloge que
Cassiodore fait de leur talent, XI, 233, 234.
COPRÈS (Saint), solitaire d'Egypte, V, 234.
— Ce qui est dit de lui dans les Vies des
Pères, écrites parRufin d'Aquilée, VII, 474.
— Il est visité par saint Pétrone, X, 160.
COPRIEN. Nom que les païens donnaient
par dérision à saint Cyprien, II, 259.
COQUÉE (Léonard), de l'ordre des ermites
de Saint-Augustin. Ses commentaires sur
les livres de la Cité de Dieu, IX, 812.
GORACION, chef des Arsénoïtes millé-
naires, se rend à la vérité, II, 398 et S65.
CORAN (Ambroise). Voyez Coriolan.
CORBAN, mot syriaque : interprétation
que saint Avit en donne, X, 534, 355.
CORBEIL, [ville de France.] Abaillard y
transfère l'école qu'il avait étabhe à Melun,
XIV, 318.
CORBIE, viUe de [France autrefois de
la province de] Picardie. Statuts de saint
Adalard pour l'abbaye de Corbie, XII, 276.
Privilège du pape Benoit III en faveur de cette
abbaye, 410. Lettre de Foulques de Reims
aux moines de Corbie qui avaient chassé
leur abbé, 710, 711. Diplôme du pape Chris-
IV
Vslè
V. 6
IXslè
IXslè
IV
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
287
toplile en faveur de l'abbaye de Gorbie, 743.
[Privilèges nouveaux et confirmation des an-
ciens, 837.] — Bulle du pape saint Léon IX en
faveur de ce monastère, XIII, 209. Nécrologe
de cette abbaye écrit par le moine Névelon,
S25. — Le pape Innocent III permet à l'abbé
de Gorbie de porter l'anneau, XIV, 967.
GORBIE LA NOUVELLE en Saxe, Voyez
Corivey.
[CORBIEN (Thomas Pierre). Son édition
des Prescriptions de TertuUien, II, 86.]
Après 794. GORBIGNY, ville [dans l'ancien] Nivernais.
Manassé, abbé de Fiavigny, obtient de Ghar-
lemagne son consentement pour la construc-
tion dumonastère de Corbigny, XII, 243, 246.
Il n'est cependant bâti que sous Charles le
Ghauve, 246.
GORBINIEN (Saint), premier évêque de
Fressingue. Etant moine et se trouvant im-
portuné des visites qu'on lui rendait, il vient
conter ses peines au pape saint Grégoire II
qui l'ordonne évêque. Il prêche en France
avec succès, puis se retire dans sa cellule
près de Châtres; il retourne à Rome pour
conjurer le pape de le décharger du minis-
724. tère, XII, 603. Un concile lui ordonne de
reprendre ses fonctions. Il passe en Bavière
ovi il fonde l'évèché de Friessingue, 603 et
606. Sa Vie écrite par Aribon Cyrinus, 129.
CORÇON ou GOURÇON (Robert de). Voyez
Robert de Corçon.
CORDER ou GORDIER(Balthazar), jésuite.
Son édition grecque et latine des ouvrages
attribués à saint Denis l'Aréopagite, X, 553.
— Son édition du commentaire de Jean Phi-
loponus sur l'ouvrage des six jours, et de son
traité sur la Pâque, XI, 631.
CORDES (Jean de), chanoine de Limoges.
Son édition de plusieurs opuscules d'Hinc-
mar de Reims, XII, 689.
TV sièeie. GORDOUE, ville d'Espagne. Osius, évêque
de cette ville, III, 392 et suiv. — Elle de-
vient la principale ville d'un royaume établi
par les Mahométans, XII, 514. Persécution
qui s'y élève contre les chrétiens, 514 et
suiv. Mémorial des saints, ou les trois livres
des martyrs de Gordoue, ouvrage de saint
Euloge, 515 et suiv. Histoire de la transla-
tion des reliques de quelques martyrs de
Gordoue à Paris, par Aimoin, 701. Concile
tenu en cette ville au sujet des martyrs, 518
efXIlI, 682, 683.
GORÉ, DATHAN et ABIRON. Leur révolte
contre Moïse, I, 13.
Il siècle. GORINTHE, capitale de l'Achaïe. Saint
Denis, évêque de cette ville, I, 461, 462. —
Concile qui y fut tenu sur la Pâque, 533, et
II, 542. — Lettre synodale de ce concile, 1, 533.
CORINTHIENS. Epîtres de saint Paul aux j 3,è<.,e.
Corinthiens, 1, 222 et suiv. Première et j siècle,
deuxième épître de saint Clément aux
Corinthiens, 540 et suiv. Lettre de saint n siècle.
Soter, pape, aux Corinthiens, 464.
CORIOLAN (Ambroise) , augustin. Son
commentaire sur la lettre qui porte le nom
dérègle de saint Augustin, IX, 815.
CORMERI, bourg de Touraine. Son mo-
nastère dépendant de l'abbaye de Saint-
Martin de Tours, rétabli par Alcuin, XII, 166.
CORNARIUS (Jean), médecin allemand.
Voyez Haguenbot.
CORNEILLE le centenier. Témoignage
que lui rend saint Augustin, IX, 529.
CORNEILLE (Saint), pape et martyr, I,
124 et suiv. Il est fait pape. Eloge qu'en a fait 251.
saint Cyprien, 124. Novatien s'élève contre
lui, 124 et 125. Concile que saint Corneille
tient à Rome, 123. Sa lettre à Fabius d'An-
tioche, 123 et suiv. Ses lettres à saint Cj'-
prien, 127 et 128. Autres lettres de saint 252.
Corneille qui sont perdues, 128. Martyre de
saint Corneille, 129 et 321. [Editions et tra-
ductions des lettres et fragments des écrits
du pape saint Corneille, 130.] Lettres de
saint Cyprien à saint Corneille, 312. Autre
lettre de saint Cyprien à saint Corneille.
Réponses de saint Corneille. Autres de saint
Cyprien, 313. Saint Cyprien prend la dé-
fense de saint Corneille contre les calomnies
des schismatiques, 313 et suiv. Lettre des 252.
pères du concile de Garthage en 232 à saint
Corneille, 316, 317. Lettre de saint Cyprien
à saint Corneille, 318. Autre, 319 et suiv.
Lettre de saint Denis d'Alexandrie à saint
Corneille, 403. Concile tenu à Rome par
saint Corneille, 123, 558. — Décrétâtes faus-
sement attribuées à saint Corneille, VI, 86.
— Eglise bâtie à Rome en l'honneur de saint
Corneille par le pape saint Léon, X, 178. —
Son éloge par saint Maxime de Turin, 325.
— [Histoire de la translation de ses reliques
de Rome à Compiègne, XII, 704.] — On met
la réforme dans l'église de Saint-Corneille,
à Compiègne, en chassant les chanoines et
mettant à leur place des moines de Saint-
Denis, XIV, 374 et 378. Privilèges de cette
église confirmés dans un concile tenu en
cette ville, 1062. Diplôme du roi Philippe
accordé à cette abbaye dans un concile de
Paris, 1073.
288
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
CORNEILLE, disciple de saint Pacôme,
III, 359.
IV ou CORNEILLE, à qui saint Augustin écrivit
""'"■ une lettre, IX, 189, 190.
CORNEILLE, instituteur de saint Pierre
Chrysologuc dans les exercices de la vie mo-
nastique. Devenu évêque, il le consacre au
service des autels, X, 6.
CORNUTUS, ou hexamètres moraux de
Jean de Garlande, XIII, 230.
GOROTIC, prince de Galles. Son incursion
V siècle, en Irlande, X, MS. Lettres que lui écrit saint
Patrice à ce sujet, 44S et 446.
[GORPET. Sa traduction française des
poëmes de Paulin de Périgueux et de For-
tundt, sur la vie de saint Martin, VIII, 122.]
CORPORAL. Grande nappe d'autel au
temps de saint Grégoire, XI, 539.
CORPS HUMAIN. Erreur des Manichéens
sur la nature du corps de l'homme, IV, 334.
— [Discours où saint Ephrem prouve que le
corps n'est point mauvais pr lui-même et que
le démon n'en est pas l'auteur, VI, 434, 458.]
— Difiërences observées entre le corps et
l'âme par Mammert Claudien, X, 354, — Ré-
flexions de Cassiodore sur le corps humain,
XI, 241. — Livre d'Alphane, arclievéque de
Salerne, surles quatre humeurs dont le corps
humain est composé, XIII, 493. — Traité
de la nature du corps pt de l'âme, par Guil-
laume de Saint-Thierry, XIV, 387,388. Voy.
Résun^ection.
CORPS DE JÉSUS-CHRIST. [Saint Ephrem
prouve qne le démon n'est pas l'auteur du
corps de l'homme par la réalité du corps de
Jésus-Christ, 458, 459, 460.] Question pro-
posée par le comte Régin : Si le corps de
Jésus-Christ était incorruptible. Réponse de
saint Fulgence de Rusp, XI, 50, 51. — Ho-
mélie sur le corps et le sang de Jésus-Christ
attribuée à saint Jean Damascène. Elle n'est
point de lui, XII, 84, 83. Traité de saint Pas-
chase Radbert sur le corps et le sang de Jé-
sus-Christ, 333. Analyse de cet ouvrage,
533 et suiv. Editions qu'on en a données,
548. Ecrits anonymes à l'occasion de ce
traité, 549 et suiv. Ouvrage de Ratramne,
moine de Corbie, sur le même sujet, 536 et
suiv. Autre par Gerbert, depuis pape sous le
nom de Sylvestre II, 904. — Autre par Gé-
zon, abbé de Tortone, XIII, 18 et suiv. Autre
par Hériger, abbé de Lobes, 38. Autre faus-
sement attribué à Guy d'Arezzo, 131. Autre
par Hugues, évêque de Langres, contre Bé-
renger, 163, 166. Autre par le B. Lanfranc,
443 et suiv. Autre contre Bérenger, par Al-
bérlc, moine duMont-Cassiu, 494. Autre par
Guitmond, évêque d'Averse, 517 et suiv.
Autre par Nicolas, évêque de Méthone, 571,
572. — Autre par Geoffroi, abbé de Ven-
dôme, XIV, 166. Traité de Guibert, abbé de
Nogent, sur la vérité du corps de Jésus-
Christ dans l'Eucharistie, 196, 197. Traité
de l'abbé Abandus sur la fraction du corps
de Jésus-Christ,343.
CORRECTION FRATERNELLE. Comment
elle se faisait parmi les moines, IV, 537. —
Doctrine de saint Jean Chrysostôme, VII,
188 et 236. — Morale de saint Augustin sur
la correction fraternelle, IX, 171, 172, 226,
227, 228 et 238.
CORRECTION FRATERNELLE. [Sermon
de saint Maxime de Turin, X, 326.]
[CORRECTION de soi-même, sermon de
saint Ephrem, VI, 509.]
CORRECTION. Livre de la Correction et de
la grâce, ouvrage de saint Augustin, 519 et
suiv.
CORRECTION des évêques et des papes.
Ce que c'est que cet écrit de saint Pierre
Damien, XHI, 323. — De la Correction de
Gratien; ouvrage d'Antoine Augustin, ar-
chevêque de Tarragone, XIV, 761.
CORRECTIONS. Ce que prescrit la règle de
saint Benoît à l'égard des corrections, XI,
169, 170. — Opuscule de saint Pierre Da-
mien sur l'utilité des correc-tions, XIII, 320.
CORSE : île de la Méditerranée. Conver-
sion des idolâtres de cette île, XI, 438. Let-
tre du pape saint Grégoire le Grand concer-
nant les affaires de cette île, 485, 486. Let-
tre du même au sujet des progrès de la foi
dans cette île, 309, 510.
CORTASSE (Pierre-Joseph), jésuite. Sa
traduction française du livre des Noms divins
attribué à saint Denis l'Aréopagite, X, 553.
CORWEY ou CORBIE LA NOUVELLE, en
Saxe. Son monastère fondé par saint Ada-
lard, XII, 275. — On y réunit Kaminat et
Visbika, deux monastères de filles, XIV, 529,
COSALD, prêtre de l'Église de Verdun.
Lettre que le pape Alexandre II écrit à son
sujet à l'archevêque de Trêves et à l'évêque
de Verdun XIII, 291.
COSME et DAMIEN (Saints), martyrs,
[Sermon de saint Augustin pour leur fête,
XI, 836 et 841.] Monastère fondé sous leur
nom par saint Benoît, 157. — Homélie de
Georges de Nicomédie eu leur honneur, XII,
733.
416.
V. 427.
598.
590.
596.
XII siècle.
XI siècle.
V. 520.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
289
COSME, prêtre de Phanir, bourg de Célé-
syrie, auteur d'une Vie de saint Siméon
Stylite, et d'une lettre au nom du clergé et
du peuple de Phanir, adressée à ce saint.
Ces deux écrits conservés manuscrits au Va-
tican, X, 380. — [lis ont été publiés par
Assémani dans sa collection des Actes des
Martyrs d'Orient et d'Occident, III, 333.]
Analyse de la lettre et de la Vie de saint
Siméon, 333 et suiv. Voyez aussi X, 380,
381.
CQSME, évèque d'Epiphanie, et Sévérien
d'Aréthuse, se séparent de la communion
- de Sévère, faux patriarche d'Antioche. Ils
lui font signifier un écint par lequel ils le
déposent de l'épiscopat. L'empereur Auas-
tase ordonne à ce sujet que les deux évêques
soient chassés de leur siège, puis il change
de sentiment, XI, 107.
VI siècle. COSME d'Egypte , surnommé Indico-
pleusiès, à cause de sa navigation dans les
Indes. Après avoir longtemps exercé le
commerce, et voyagé au loin, il embrasse
la vie monastique. Sa Topographie chré-
tienne divisée en douze livres, XI, 186. Des-
sein de cet ouvrage, 186 et 187. Ce qu'il
contient de remarquable, 187 et suiv. Sa
Cosmographie générale. Ses Tables astrono-
miques et autres ouvrages qui sont perdus.
Jugement sur son style. Editions de sa Topo-
graphie données par le père Montfaucon,
191. [Editions de ses œuvres dans la Patro-
logie, 186.]
COSME, diacre de Thèbes, XI, 490.
COSME, diacre d'Alexandrie. Traité sur
la distinction des deux natures en Jésus-
Christ, que lui adresse l'abbé saint Maxime,
XI, 768. Lettres qu'il lui écrit, 768 et 769.
[siècle. COSME L'ANCIEN, abbé de Jérusalem,
est différent de l'évêque de Majume. Ses
poésies, XI, 790. [C'est le même que
Cosme, religieux italien dont il est parlé plus
bas, 490, note 4, et XII, 68, note 4.]
743. COSME (Saint), évêque de Majume : [il
est celui qu'on appelle Cosme le Jeune, XI,
790, note 4, et XII, 68, note 4.] Ce qu'en dit
Suidas. Ses poésies, XI, 790. Collection et in-
terprétation des histoires dont saint Grégoire
de Nazianze fait mention dans ses poésies,
790 et 791. [Elle est publiée dans la Patro-
logie grecque], V, 362. — Commentaire de
Théodore Prodrome sur ses hymnes en fa-
veur de Jésus-Christ, XIV, 149.
iti siècle. COSME, rehgieux italien, fait prisonnier
sur mer, etracheté parle père de saint Jean
TAB. I.
'II siècle.
Damascène, qui le donne pour instituteur à
son fils, XII, 67. — [C'est lui qui est sur-
nommé Cosme l'Ancien, XI, 790, note 4, et
XII, 67, note 4.] Il se retire dans la laure de
saint Sabas; il est fait évêque de Majume en
Palestine; saint Jean Damascène lui dédie
plusieurs de ses ouvrages, 67. [C'est Cosme
le Jeune, ami et condisciple de saint Jean
Damascène, qui devient évêque de Majume.
Voyez XII, 67, note 4.]
[COSME Japyge de Matera. Son pëme en xi siècle,
l'honneur de Théopompe et de ses compa-
gnons martyrs, XII, 794. J
COSME, protovestiaire de l'empereur Léon x siècle,
le Philosophe. Ses discours en l'honneur de
plusieurs saints, XII, 793. [Le discours sur
saint Joachim et sainte Anne, parents de la
sainte Vierge, est imprimé au tome CVI de
la Patrologie grecque ; il est précédé d'une
notice d'Oudin, et est suivi d'un canon pour
la fête de la Conception de la très-sainte
Mère de Dieu, avec des strophes en acros-
tiches. On place la mort de Cosme vers 920.]
COSME I", patriarche de Gonstantinople, losi.
couronne l'empereur Alexis Comnène, et sa
femme Irène. Pénitence qu'il impose à l'em-
pereur et à toute sa famille, XIV, 139.
COSME II, l'Attique, patriarclie de Gons- nie.
tantinople, succède à Michel Oxite. Il est
déposé dans un concile pour son attachement
au moine Niphon, XIV, 119.
COSME, doyen de l'Église de Prague,
confondu par plusieurs auteurs avec Cosme,
évêque de Prague, mort à la fin du xi" siècle.
Année de sa mort, XIV, 173. Sa Chronique n25_
de Bohême, 173 et 174. Editions qu'on en a
faites, 174.
COSME, évêque de Prague, confondu par io9i-i098.
plusieurs auteurs avec Cosme, doyen de la
même Éghse et auteur de la Chronique de
Bohême, XIV, 173.
COSMOGRAPHIE générale : ouvrage de
Cosme d'Egypte, qui est perdu, XI, 191.
Auteurs sur la cosmographie indiqués par
Cassiodore, 232, 233. — [Abrégé de Cosmo-
graphie donné par Honoré d'Autun, XIV,
298.]
COSROES II, roi de Perse : voyez Clm-
roës II.
[COSTADONI édite avec Mittarelli un sa-
cramentaire ancien, XIII, 23.]
COSTER, COSTIER, ou COSTERS (Jean),
chanoine régulier de Saint-Martin de Lou-
vain. Son édition des œuvres de saint Am-
broise, V, 583. — Ses soins pour une édition
19
290
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
des œuvres de saint Augustin, IX, 815. — Son
édition du traité de saint Paschase Radbert :
du Corps et du Sang de Jésus-Christ, XII,
549. — Son édition des traités de saint Pas-
chase Radbert, de Lanfranc et de quelques
autres sur l'Eucharistie, XIII, 448.
GOTELIER (Jean-Baptiste), professeur de
langue grecque. Son édition des Pères apos-
toliques : saint Barnabe, I, 283 ; Hermas,
338, 339; saint Clément, 361; saint Ignace
d'Antioche, 388 ; saint Polycarpe, 398. —
Son édition de quatre homélies de saint
Jean Chrysostôme sur les Psaumes , VII ,
436.
COULAINE, en Touraine, ou COULÈNE,
près du Mans. Concile tenu en ce lieu, XIII.
671.
COULÉON, l'un des chefs des Pauliciens,
se convertit à la foi catholique, XIV, 141.
34j_ GOULPE, pratique monastique, IV, 404.
COUR des princes. Voyage des clercs et
des évêques à la cour de l'empereur ; ca-
non deuxième du concile d'Antioche, III,
468. Voyages des évêques à la cour; ca-
nons septième, huitième, neuvième et ving.
3 47 [ou 343] ^'^"^^ •iu conciic de Sardique, 486, 487,
488, 489.
COUR de Rome. Livre de Jean de Saris-
bury : De l'État de la cour de Rome, XIV,
679.
ni siècle. COURONNE. Livre de la Couronne du sol-
dat, ouvrage de Tertullien après sa chute,
II, 62, 63. Couronnes des idolâtres : canon
cinquante-cinquième du concile d'Elvire,
611. — Poëme des couronnes par Prudence,
VIII, 102, 103.
[COURONNÉS. Les quatre saints couron-
nés, martyrs : Prologue de leur passion par
Pierre de Naples, XIII, 602.]
COURONNEMENT des rois et des reines.
Bénédictions et prières à ce sujet, XII , 663.
Couronnement des papes et des empereurs.
Innovations faites à ces cérémonies dans le
xii° siècle, XIV, 941.
COURSE SPIRITUELLE, ouvrage d'Othlon ,
moine de Saint-Emmeran de Ratisbonne.
Idée de cet ouvrage, XIII, 280.
COURTIN (Jacques de). Sa traduction en
vers français des hymnes de Synésius, VIII,
34.
COURTISANES. Ce que dit saint Ephrem
à une courtisane d'Edesse, VI, 2. Conver-
sion d'une fameuse courtisane de Phénicie,
VII, 235.
COURTISANS. Polycratique ou amuse-
ment des courtisans, ouvrage de Jean de
Sarisbury, XIV, 676.
COUSIN, l'un des chefs des Pauliciens,
soutient les erreurs de la secte contre l'em-
pereur Alexis Comnène, XIV, 141.
COUSIN (Louis), président en la Cour des
monnaies. Sa traduction française de l'Ex-
hortation aux Gentils, ouvrage de Clément
d'Alexandrie, I, 606; — du traité d'Eusèbe
contre Hiéroclès, III, 311, 312 ; de son His-
toire ecclésiastique ; de la Vie de Constan-
tin, 316 ; — de l'Histoire tripartite, VIII ,
523; — de l'Histoire ecclésiastique de Théo-
doret, X, 141; — de l'Histoire de Théodore
le Lecteur, XI, 103 ; de l'Histoire ecclésiasti-
que d'Évagre, 420; — de la Vie de Charle-
magne écrite par Éginhard, XII, 354 ; de la
Vie de Louis le Débonnaire, par Thégan,
396; de celle qui fut écrite par l'Astronome,
397 ; de l'Histoire de Nithard, 496. — [Sa
traduction française des neuf premiers livres
des Annales de Nicélas Choniate, XIV,
1176.]
[COUSIN (Victor). Son édition des œuvres xixsièci
d'Abailard, XIV, 332, 336, 338, note 3, et
341.]
COUSINS GERMAINS. Traité de Zonare
pour prouver que deux cousins germains ne
peuvent successivement épouser la même
femme, XIV, 157 et 1046.
COUSTANT (Pierre), bénédictin de la Con-
grégation de Saint-Maur. Son édition des
œuvres de saint Hilaire de Poitiers, IV, 88.
— Il est auteur de la critique et des tables
des sermons faussement attribués à saint
Augustm, IX, 816.
COUTUME. Doctrine de Tertulhen, II, 65 ; m siède.
— de saint Jean Chrysostôme, VII, 162. —
Variété des coutumes, observées dans diflé-
rentes églises, VIII, 520, 521 et 532, 533.—
Les coutumes des éghses étant différentes,
saint Grégoire peimet au moine Augustin
de choisir les meilleures pour les inti'oduire
en Angleterre, XI, 524, 525. — Coutumes
d'Angleterre qui ont fait le sujet du diffé-
rend entre Henri II et saint Thomas de Can-
lorbéry, XIV, 662 et suiv.
COUVENIER (Georges), chancelier de l'u-
niversité de Douai. Son édition de l'Histoire
de l'Église de Reims, par Frodoard, XII, 843 . i
COVESHAM, monastère situé dans le ter- y. 7io.
l'itoire de Worchester. Histoire de sa fonda-
tion, Xn, 23.
COXANE, abbaye dans la province deNar-
bonne. Conciles quiy furent tenus, XIV, 1053.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
291
COYAC, ville située en Espagne dans le
diocèse d'Oviédo. Concile qui y fut tenu,
XIV, 10S7.
COYSSARD (Michel), jésuite. Sa traduc-
tion française des Dialogues de saint Gré-
goire, XI, 586.
GRABBE (Pierre), franciscain , l'un (Jes
éditeurs des lettres du pape saint Léon, X,
274. — Son édition du Breviarium du dia-
cre Libérât avec une appendice, XI, 305.
CRAINTE. Doctrine de saint Ignace, I,
387, n. 6 ; de Clément d'Alexandrie, 576 et
598; — de Tertullien, II, 73; d'Origène,
243; de saint Hilaire, IV, 79; de saint Atha-
nase, 227 ; de saint Basile, 542 ; — de saint
Ambroise, V, 408 et 557. [Crainte servile
d'après Didyme l'Aveugle, 628. — Traité de
la crainte par saint Zenon, évêque de Ver-
I siècle, ceil, VI, 274. Discours de saint Ephrem in-
titulé : De la crainte de l'esprit, 598.] —
«6. Doctrine de saint Jean Chrysostôme, VII, 68.
IV on — Sermons de saint Augustin sur la crainte
'^siècle. ^g jjjg^^ j^^ 2^^^ j-g^^^ g^2 .j j3Qj,^j.i„g ^^
siècles, même, 144, 227, 428, 439, 476, 806, 807. —
Discours d'Isaac l'Ancien sur la crainte de
Dieu et de la mort, X, 578. — Traité d'A-
gobard sur l'espérance et la crainte, XII,
376, 377. — Poëmes de Fulbert de Chartres
sur la crainte, l'espérance et l'amour, XIII,
88. Doctrine de Robert PuUus sur la crainte
des peines de l'enfer, XIV, 396.
[CRAMER. Ses chaînes sur le Nouveau Tes.
tament, X, 346.]
'. 1072. CRAON, prieuré en Anjou. Différend en-
tre l'abbaye de Vendôme et celle de Saint-
Aubin d'Angers au sujet de ce prieuré, XIII,
463 et 510 et suiv. Ecrits concernant cette
affaire, 511, S12.
[siècle. CRÉATION. Doctrine de saint Irénée, I,
503, 504. — [Témoignage d'Origène, II,
r siècle. 12^ î] ■" \.^^ Macaire Magnés, III, 156 ;] —
j siècle. ^^ ®''^'°'' A-thanase, IV, 203. [Doctrine de l'o-
rateur Victorin, 330 ;] — de saint Ephrem,
' siècle. ^ï' 36 et [443, 453 et suiv., 461.] - Six ho-
mélies de saint Sévérien, évêque de Caba-
les, sur la création, VII, 205 et suiv. —
Poëme de Prudence sur la création du mon-
de, VIII, 106. — Doctrine de saint Augus-
tin, IX, 35, 36 et 68. Discours attribué au
même sur la création du premier homme,
288. [Création du monde d'après saint Au-
gustin, 828.] — Discours de Théodoret, X,
93 ; de Basile de Séleucie sur la création du
monde ; sur celle des anges et de l'homme,
164. — Réponse de saint Fulgence à une
304.
question sur la création, XI, 36, 37. Doctri-
ne de saint Fulgence sur la création, 64.
Dialogue de la création du monde, ouvrage
de Zacharie, évêque de Mitylène, dans le-
quel il prouve que-le monde n'est pas éter-
nel, 270, 271. Considérations d'Anastase le
Sinaïte, 599. 600. Discours de Léontius, évê-
que d'Arabisse, sur la création, 645. — Ou-
vrage sur la création attribué à Siméon Lo-
gothète, XIV, 654. Voyez Hexaméron.
CRÉATURES. Traité des créatures par
saint Méthode, évêque de Tyr, III, 66, 67.
[Ce qu'en dit saint Ephrem, VI, 453 et suiv.
11 invite chacune des créatures à célébrer les
années de l'Enfant Jésus, 484.] — De l'ordre
des créatures, ouvrage de saint Isidore de
Séville, XI, 725,726.
CRÉDIBILITÉ. Motifs de crédibilité à l'é-
gard de la religion chrétienne, IX, 255 ; à
l'égard de l'autorité de l'Église, 334, 335.
CREIXAN. Concile tenu en cette ville,
XIV, 1112.
CRÉMENCE (Saint), martyr à Saragosse,
III, 44.
CRÉMIEU, petite ville du Dauphiné. Con-
cile qui y fut tenu, XIII, 668, 669.
[CRÉMONE, ville d'Italie. Lettre du pape
Alexandre II au clergé de Crémone, XIII,
291, 292.]
CRESCENCE, avec qui disputa saint
Alexandre, évêque d'Alexandrie, au sujet
de la pâque, III, 105.
CRESCENCE, sénateur puissant à Rome,
chasse le pape Grégoire V et met à sa place
Philagathe, qui prend le nom de Jean XVI;
l'empereur Otlon III lui fait couper la tête,
XII, 900. — Grescence est frappé d'analhème,
XIII, 763.
CRESCENT , philosophe cynique , cause n siède.
du martyre de saint Justin, I, 410.
CRESCENT, évêque de Syracuse. Voyez
Chrest.
CRESCONIUS, évêque de Villerège. Sujet
d'un règlement du concile général de Car-
thage, VII, 723. — On y revient encore dans
un concile postérieur, VIII, 538.
CRESCONIUS, tribun à qui saint Augus-
tin écrit une lettre, IX, 110.
CRESCONIUS , grammairien , donatiste.
Quatre livres de saint Augustin contre lui,
IX, 399 et suiv.
CRESCONIUS, moine d'Adrumet, va trou-
ver saint Augustin à Hippone, IX, 513.
CRESCONIUS, évêque en Afrique. Sa col- vu siècle,
lection de canons, XI, 808, 809. [Edition de
IV slëcle.
997.
397.
410.
406.
292
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
cette collection;] nous n'avons plus le
poëme en vers hexamètres où il décrivait
les victoires de l'empereur Léon sur les Sar-
rasins, 809.
1000. CRESPY en Valois, dans l'Ile de France
[aujourd'hui du département de l'Oise]. Le
prieuré de cette ville était une abbaye ;
temps de sa fondation, XIII, 110.
X siècle. CRÈTE, île de la Méditerranée. Histoire
de la prise de cette île écrite par Théodose,
diacre de Conslantinople, XIII, 31.
CRIBELLIUS (Georges), prêtre. Son édi-
tion des œuvres de saiat Hilaire, évéque de
Poitiers, IV, 87 ; — des œuvres de saint
Ambroise, V, 583.
CRIMES. Le soixante-unième canon apos-
tolique défend d'admettre à la cléricature
ceux qui sont convaincus de crimes, II, 585.
— Différence que saint Augustin remarque
entre le crime et le péché, IX, 476. —
Comment Paul Orose les distingue, X, 5.
Sentiment de Fastidius, 153. — [Capitulaire
1215. ^^ Charlemagne relatif à la punition des
crimes, XII, 243.] — Canon du concile de
Latran qui prescrit la manière de procéder
pour la punition des crimes, XIV, 1164.
^05^ CRIMINELS. Poursuite des criminels :
objet du canon cinquième dans la lettre du
pape saint Innocent à saint Exupère de Tou-
louse, VII, 511. — Les évêques peuvent-ils
intercéder pour eux? Saint Augustin répond
à cette question, IX, 134, 133, — Dans le
IX' siècle on ne refusait point, en France,
les sacrements de Pénitence et d'Eucharis-
tie, ni la sépulture aux criminels condam-
nés à la mort, XII, 710.
CRINITUS (Pierre). Son édition des œu-
vres de saint Cyprien, II, 382.
CRISPE, fils de Constantin le Grand, ac-
- cusé de divers crimes et mis à mort, III, 123.
CRISPIN , gouverneur d'une partie des
Gaules, III, 42.
CRISPIN, auteur de la vie de saint Par-
thène, évêque de Lampsaque, VI, 291.
CRISPIN, évéque donaliste. Lettre que lui
écrivit saint Augustin, IX, 82 ; autre,88. Pos-
sidius entre en conférence avec Crispin, 563.
CRISPIN, père du pape saint Hilaire,
X, 335.
CRISPIN. Généalogie de la maison des
Crispin, XIII, 439. Voyez Milon, Guillaume,
Gislebert,
304. CRISPINE (Sainte), martyre en Afrique,
III, 38 et suiv. — [Ses actes sont sincères,
XII, 713.]
IV siècle.
CRISPION, archidiacre de saint Epiphane,
VI, 380.
CRITHOPHAGE, surnom da saint ana-
chorète Macédonius, X, 57.
CRIVELLI [et non CRINELLI] (Hubert), ar-
chevêque de Milan et cardinal, est élu pape
et prend le nom d'Urbain III, XIV, 933.
Voyez Urbain III.
CROISADES. Projet de croisade formé par io74.
le pape saint Grégoire VII, XIII, 357. Croi- io95.
sade ordonnée par le concile de Clermont,
431 et 433. Prêchée par le pape et les évê-
ques, 433 et 434. Histoire de la croisade sous
Urbain II, par Grégoire de Terracine, 498.
DijËférents historiens de la croisade, 512, 529
et suiv. Histoire de la croisade, par Jacques
Bongars, sous le titre : Gesta Dei per Fran-
cos; pièces qu'elle contient, 529 et suiv. Ano-
nyme sur la croisade, ou Abrégé de l'histoire
de la croisade, par Pierre Tudebode, 529 et
530. [Voyez 529, note 3, où l'on prouve que
cet ouvrage est celui de Pierre Tudebode.]
Histoire de la croisade, par le moine Robert,
530. Autre, par Baudri, évêque de Dol, 330
et 531. Autre, par Raimond d'Agiles, cha-
noine du Puy, 532, 533. Histoire de l'expé-
dition de Jérusalem, par Albert, trésorier de
l'église d'Acqs, 533, 534. Histoire du pèleri-
nage des Finançais à Jérusalem, parFoucher,
moine de Chartres ; Histoire des guerres
d'Antioche, par Gautier; Histoire de Jérusa-
lem, par Guibert, abbé deNogent, 534 et 535.
Histoii'es anonymes de la croisade, 333. His-
toire de la croisade, par Guillaume de Tyr,
535 et suiv. Histoire de Jérusalem, par Jac-
ques de Vitri, évêque d'Acre, cardinal, 537,
338, Histoire anonyme de Jérusalem. Mo-
numents concernant la croisade ; autres mo-
numents. Description géographique de la
Palestine et des provinces voisines, par Ma-
rin Sanuti ; Histoire de la croisade de Conrad
et de Louis VII, par un anonyme, 538. His-
toire de la croisade, par Pierre Tudebode, 538
et 539. [Histoire de la croisade de Louis VII,
par Odon de Deuil, 539, 540.] Histoire ano-
nyme de la guerre sainte ; histoire de la croi-
sade, par Foulques, 540. Autre, parGilonde
Paris, 540 et 341. Les Actions de Tancrède,
par Radulphe, 341. Histoire de Jérusalem,
par Ekkehard, 541 et 342. Histoire de la croi-
sade, par un anonyme ; chronique de la Terre
Sainte, 343. Chronique de l'Angleterre rela-
tivement à la croisade, 342, 543. Histoire de
la croisade, par Guillaume de Tyr [et sa con-
tinuation] ; Histoire de la prise et de la ruine
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
293
d'Acre, 342. Chronique d'Otton et de Frisin-
gue, 543 et 544. Annales de Roger de Hove-
den, 344.Ex;pédition de Frédéric Barberousse
contre les Turcs, 544 et 545. Croisades des
Saxons ; ce que c'est, 543. [Autres documents
sur les croisades, 545 et 546. — Histoire en
vers de la première croisade, par Raoul Tor-
taire est restée manuscrite, XIV, 79.] Poëme
de Marbode sur l'ulilité de la croisade, 228.
Seconde croisade publiée par le pape Eu-
1U6. gène III, 271. Prêchée par saint Bernard,
422, 449 et 453. Traité de Pierre de Blois en
faveur de la croisade, 778. [Efforts du pape
Célestin Illpour provoquer une nouvelle croi-
sade contre lesTurcs, 944, 946. Lettres d'Inno-
cent III relatives à la croisade et aux croisés,
980etsuiv.,990,999 etsuiv.] Constitution du
pape InnocenllII touchant la croisade, 1016.
1215. Décret du concile de Latran concernant la
croisade, 1096. Décret du concile de Toulouse
qui ordonne une croisade contre les Maures
d'Espagne, 1091 . Croisade de Louis le Jeune ;
ce prince en déclare le dessein ; il y invite
les peuples, 1 1 18 ; saint Bernard les y exhorte,
mais il refuse d'en être le chef; on en règle
la route et on fixe le jour du départ, 1119.
Croisade contre les Albigeois, 1150. Lettres
d'Innocent III relatives à cette croisade,
1009.
CROISÉS. [Chant des croisés, par Berthier,
XIII, 546.] — L'empereur Alexis Comnène
dresse des embûches aux croisés, 436, et XIV,
140. Ils écrivent au pape Pascal II; réponse
du pape, XIV, 129. Conduite des croisés en-
vers les Juifs, 174. [Discours de Nicétas ChO'
niale sur les monuments détruits parles croi-
sés, 1176.] Canon du premier concile géné-
ral de Latran sur les croisés, 1096.
CROIX DE JÉSUS-CHRIST. Divers témoi-
II siècle, gnages des anciens sur la croix ; témoignage
m siècle, de saint Justin,!, 443; de saint Irénée, 529;
de Minutius Félix, 555 ; — de Tertullien, II,
79; d'Origène, 218, 219. Autre, dans les ac-
iVaiècie. t^s de saint Boniface, 477. Témoignage de
Lactance, 518. — Autre, dans les actes de
saint Théodote, III, 16. Témoignage de Ju-
IV siècle. liusMaternus,312 ; — de saint Cyrille de Jéru-
salem, V, 78; de saint Ambroise, 329; — de
saint Jean Chrysoatômej VII, 47, 82, 142,
420 ; de saint Jérôme, 687 ; — de saint Pau-
lin, VIII, 72. [Éloge de la croix, par Easèbe
d'Alexandi'ie, 304. HoméHe sur la croix et la
transfiguration, par Timothée, prêtre d'An-
tioche,386.] Témoignage du poëte Prudence,
103 ; — de saint Augustin, IX, 311, 767 et
789, 790 ; de saint Léon X, 189, 190; — de
Rustique, diacre de Rome, XI, 301 ; d'un
concile de Tyr, 821. — Mystère de la croix;
discours de saint Éphrem sur la croix du
Sauveur, VI, 41. — Homélie de saint Jean
Ghrysostome sur la croix et le cimetière,
VII, 82. Deux homélies de saint Jean Chry-
sostôme sur la croix et le bon larron, 82, 83.
Homélies sur la croix, attribuées faussement
à saint Jean Chrysostôme, 259. Plusieurs ho-
mélies sur la croix, faussement attribuées à
Jean de Jérusalem, 502. — [Sermon de saint
Augustin sur la croix et le bon larron, IX,
841.] — Différents poëmes de Fortanat en
l'honneur de la sainte croix, XI, 404. Dis-
cours de Marc l'Ermite sur la croix; il est
encore manuscrit, 642. — Hymne de saint
Théodore Studite sur la croix, XII, 309. Deux
hvres de Raban Maur en l'honneur de la
croix; idée de cet ouvrage singulier, 448,
449. Poëme de Raban Maur sur la croix, 459.
Deux poëmes en vers héroïques en l'hon-
neur de la croix, attribués à Milon, moine de
Saint-Amand, 604. — Des louanges de la
sainte croix, ouvrage d'Adelbolde, évêque
d'Utrecht, XHI, 75. Vers de Fulbert de Char-
tres sur la sainte croix, 88. Sermons de saint
Odilon, abbé de Cluny, pour les fêtes de la
sainte croix, 133. Homélie du patriarche Jean
Xiphilin sur la croix, 338. — Traité de la
mesure de la croix, faussement attribué à
saint Anselme, archevêque de Cantorbéry,
XIV, 35. Sermons du vénérable Hidelbert
sur la sainte croix, 215. Livre d'Arnaud, abbé
de Bonneval, intitulé : Des sept paroles de
Jésus-Christ sur la croix, 618. Epigramme
d'Arnould de Lisieux sur Jésus-Christ atta-
ché à la croix, 739. — Signe de la croix ; té-
moignage de Tertullien sur l'usage du signe
de la croix, II, 79. Anciens témoignages sur
l'usage du signe de la croix, 518, 630, III,
60, 79, 97.— Témoignages d'Eusèbe de Césa-
rée, m, 239, 383,388; — de saint Athanase,
IV, 228 ; — de saint Cyrille de Jérusalem,
V, 46, 78; de saint Grégoire de Nazianze,
197, 302 et 328 ; — de saint Éphrem, VI, 33,
36, 41,68, 69 [et 464, 463] ; — de saint Jean
Chrysostôme, VII, 47, 183, 233, 234, 253,
420; de Rufin d'Aquilée, 454; de saint Jé-
rôme, 588 et 687, 688. — Vertu du signe de
la croix; témoignage de saint Nil, solitaire
du Sinaï, VIII, 72 ; de saint Cyrille d'Alexan-
drie, 226, 227, 315, 335. Témoignage du
poëte Prudence, 102 et 106. — Témoignage
de saint Augustin, IX, 767 et 790; -— de
294
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Théodoret, X, 134. L'usage du signe de la
croix recommandé par saint Maxime de Tu-
rin, 322. • — Signe de la croix imprimé sur
des pains, XI, 389. Usage fréquent du signe
de la croix chez les moines de saint Colom-
ban, 620. — Signes de la croix au canon de
la messe, XII, 34. Signe de la croix employé
à toutes les fonctions ecclésiastiques, 327.
Manière de faire les signes de la croix sur
des oblations, 408. Les laïques peuvent bénir
la table avec le signe de la croix, S83. Véné-
ration pour le signe de la croix, recomman-
dée par le concile Quinisexte, 963. — Bois
de la croix : témoignage d'Eusèbe de Gésa-
rée, qui peut regarder l'invention de la croix,
m, 223. — Témoignage de saint Cyrille de
Jérusalem, V, 78; de saint Ambroise, 329 ;
— de Rufin d'Aquilée, VII, 469 et 482, 483;
— de saint Paulin de Noie, VIII, 71, 72 ; de
Sulpice Sévère, 114, 113; de l'historien So-
crate, 516; de Sozomène, 328 i — de Théo-
doret, X, 134. — Fragment de la vraie croix
donné à l'église de Saint-Pierre de Rome par
sainte Hélène, XII, 573. — Parcelle de la
vraie croix dans l'anneau da sainte Macrine,
VI, 233. — Une parcelle de la vraie croix
éteint un incendie, VIII, 93. — Un morceau
de la vraie croix envoyé par Jean, évoque de
Jérusalem, à saint Avit de Vienne, X, 538. —
L'empereur Justin envoie à sainte Rade-
gonde un morceau de la vraie croix qu'elle
dépose dans le monastère fondé par elle à
Poitiers, XI, 411. Un grand morceau de la
vraie croix, conservé à Apamée, est suivi
d'une lumière miraculeuse pendant qu'on le
portait en procession dans l'église, 416. Huile
qui découlait du bois de la croix, 512. La
sainte croix est emportée de Jérusalem par
les Perses, 697. Portion de la vraie croix con-
servée et honorée dans une église de Cons-
tantinople, 802. — Traité de Francon, éco-
lâtre de Liège, sur le bois de la vraie croix,
XIII, 341, 342, — Poëme du vénérable Hil-
debert sur l'invention de la sainte croix, XIV,
222. Trois livres de Bérengaude sur le même
sujet; autre dumêmesurle mystère du bois
de la croix, 238. Morceau du bois de la croix
donné à saint Bernard, 439. Discours d'A-
lexandre, moine de Chypre, sur l'invention
de la sainte croix, 633. Sermon deGuillaume
d'Auvergne sur la fête de l'invention de la
sainte croix, 1027. — Culte de la croix : té-
moignage sur l'adoration de la croix dans les
actes de sainte Euphémie, III, 30. — Homé-
lie sur l'adoration de la croix, faussement
attribuée à saint Jean Ctirysostôme, VII, 142.
Opuscule faussement attribué à saint Jean
Chrysostôme sur l'adoration de la croix, 333.
Témoignage de saint Jérôme sur l'adoration
de la croix, 687. — Hymne composée par
Fortunat, XI, 316. Au vi" siècle, on adorait
le bois de la vraie croix le mercredi et le
vendredi de chaque semaine, 372 et 389. Il y
avait une croix qui demeurait en tout temps
sur l'autel, 389. La vénération que les chré-
tiens ont eue pour la croix justifiée contre les
Juifs, 664, 663. Deux homélies de saint So-
phrone de Jérusalem sur l'exaltation et l'ado-
ration de la sainte croix, 703. Homélie de Pan-
taléon sur l'exaltation de la sainte croix, 791.
— Deux discours d'André de Crète sur cette
fête, XII, 37. Vers attribués au même sur
cette fête, 58. [Discours de saint Germain,
patriarche deConstantinople, sur l'adoration
de la croix, 42.] Doctrine de saint Jean Da-
mascène sur le culte qu'on doit aux images
de la croix, 96. Discours de saint Théodore
Studite sur l'adoration de la croix au milieu
du carême, 309. Le culte de la croix défendu
par Dungal contre Claude de Turin, 327.
Traité d'Eginhard surle culte de la croix, 357.
Témoignage de Jouas, évêque d'Orléans,
sur le culte de la croix, 393. Réponse du pape
saint Nicolas I" aux consultations des Bul-
gares surle culte dû à la croix, 588. — [Pièce
de vers par Jean Scot sur le crucifiement de
Jésus-Christ, XII, 609. Discours de Pierre de
Sicile sur la vénération due à la croix, 624.]
Homélie de David Nicétas le Paphlagonien
sur le culte dû à la croix, 736. Discours de
Léon VI sur l'exaltation de la croix, 773. —
[Hymne sur la sainte croix, par Héribert,
évêque d'Eischtœdt, XIII, 117.) Le culte de
la croix défendu par Gérard de Cambrai
contre les mépris des Manichéens, 162. Dis-
cours de Pierre Damien pour l'exaltation de
la croix, 309. Témoignage d'Ulric, moine de
Cluny, sur l'adoration de la croix, 473. —
Témoignage de Pierre Alphonse, juif espa-
gnol converti, XIV, 172. Témoignage de
Pierre le Vénérable sur le culte de la croix,
319, 520. Statut de Cluny, 323. [Éloge de la
croix, par Lebert ou Egbert, 399.] Homélies
de Théophane Céraméus sur l'exaltation de
la sainte croix, 653. [Sermon de Nicolas, se-
crétaire de saint Bernard, sur cette fête,
736. Répons et leçons attribués au même
pour lafêtJ de la croix, 737. Sermon d'Alain
de Lille sur le mystère de la croix, 870.]
Sermon de Guillaume d'Auvergne sur la
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
293
même fête, 1027. — Monastères ou églises en
l'honneur de la sainte croix ; l'église de la
Sainte-Croix à Paris, nommée depuis Saint-
Vincent, et aujourd'hui Saint-Germain-des-
Prés, fut bâtie par le roi Childebert et dédiée
par saint Germain, évêque de Paris ; depuis
quand elle porte le nom de Saint-Germain,
XI, 309. Monastère bâti à Poitiers par sainte
Radegonde en l'honneur de la sainte croix,
315. — Capitulaire de Louis le Débonnaire
concernant ce monastère, XII, 381. Lettre
d'Hincmar de Reims aux religieuses de cette
abbaye qui se disposaient à élire une ab-
besse, 686. — Privilège accordé au monas-
tère de la Sainte-Croix à Bordeaux, par le
pape Benoît IX, XIII, 196. L'église de Notre-
Dame de Solac lui est adjugée, puis récla-
mée par l'abbaye de Saint-Sever ; jugement
du légat Amé qui assure à l'abbaye de Sainte-
Croix de Bordeaux la possession de l'église
de Saint-Michel, 593. — L'église de Sainte-
Croix d'Engle est soumise à certains égards
au monastère de Sainte-Croix de Poitiers,
XIV, 103. — Croix miraculeuses; croix lu-
mineuse qui apparaît à Constantin et à ses
soldats, III, 120, 121. — Autre croix lumi-
neuse qui fut vue à Jérusalem, V, 26. Diffi-
cultés sur la date de cette apparition, 37 et
suiv. Lettre de saint Cyrille à Constantin sur
ce prodige, 57. — Témoignage de Sozomène
sur ce prodige, VIII, 530. — Autres croix
miraculeuses au temps de Julien l'Apostat,
200, 201, VI, 330 et VII, 183. — Diverses
remarques sur la croix : croix sur le casque
de l'empereur Constantin et sur le bouclier
de ses soldats ; statue de Constantin tenant
nue croix, III, 131. Constantin fait mettre la
figure de la croix sur divers ouvrages pu-
blics, 126. Il défend le supplice de la croix,
144. — Sainte Macrine portait à son cou une
croix de fer, VI, 252. — Les empereurs por-
taient la croix sur le front, VII, 183. Les
moines de saint Pacôme portaient sur leur
coule une croix rouge, 490. — La croix pec-
torale au M" siècle n'était pas un ornement
particulier aux évêques, XI, 373. — Croix
plantées dans les campagnes, devenues un
objet de superstition, et supprimées par ordre
du concile de Soissons, XIII, 608. [Hymne du
vénérable Bède sur saint André devant être
dite près de la croix, XII, 4.] Ce que c'est que
se tenir àla croix, 107. Épreuve de la croix dé-
fendue par Charlemagne et par Louis le Dé-
bonnaire, 379. [Vers de Jean Scot sur les
croix, 609.]
CROME (Saint), prêtre et solitaire, VII,
485. — Visité par Pétrone, X, 161.
CROMION (Saint), martyr d'Alexandrie, m siècle.
II, 402.
CRGSOLAN ouCHRYSOLAN (Pierre), ar-
chevêque de Milan. Voyez Pierre Grosolan.
CROSSE, ou bâton pastoral. Témoignage
de l'abbé Rupert, XIV, 287. [Témoignage '
d'Honoré d'Autun, 296.]
CROYLAND. Histoire de ce monastère,
par le moine Ajo, XII, 845. Histoire de cette
abbaye, continuée et compilée par l'abbé
Ingulphe, XIII, 601, 602. Plusieurs terres 850.
accordées à ce monastère par le roi Ber-
tulfe, 682. Rétablissement de cette abbaye 948.
par le roi Edrède, 730. — L'histoire de cette
abbaye, continuée par Pierre de Blois, XIV,
783.
CRUCIFIX couvert par un ordre du ciel,
XI, 375.
[CRUCIUS MAGNUS, doyen de la faculté de
théologie protestante àGottingue. Ses deux
dissertations sur Macaire Magnés, III, 156.]
[CRUICE (Ms'), évêque de Marseille. Son xix siècle,
choix des écrits de saint Jean Chrysostôme,
Vn, 43.]
CTÉSIPHON, à qui saint Jérôme écrivit m5.
contre les erreurs de Pelage, VII, 615 et
suiv.
CUAU, près Clermont en Auvergne. Con-
cile tenu à Cuau, XIV, 1083.
CUCUSE, petite ville située dans les dé-
serts du mont Taurus. Lieu de l'exil de saint
Chrysostôme, VII, 10, 11.
CUDARUS, sarrasin , à qui Manès écri-
vit, IV, 343.
CUENCE (Saint) , martyr de Saragosse , 304.
ni, 44.
CUEVERET (Pierre). Sa traduction fran-
çaise de plusieurs discours de saint Ephrem
d'Edesse, VI, 71.
CUJAS (Jacques), jurisconsulte. Son édi-
tion des œuvres de Lactance, II, 520.
CDLCIEN, gouverneur d'Egypte, III, 53; 307.
condamne à mort saint Philélas et saint Phi-
lorome, 34, 55.
CULTE. Du vrai culte. Sixième livre des ly siècle.
lûstitutions divines de Lactance, II, 501. ly siècle.
Doctrine de Lactance sur le culte de Dieu,
508, 509. — Doctrine de saint Augustin sur
le culte des reliques, IX, 59, 324 et suiv. ;
sur le culte d.es idoles, 184, 220 ; sur le culte
des saints, 240, 303 ; sur le culte de Dieu,
303. — Doctrine de saint Pierre Chrysologue
sur le culte ecclésiastique, X, 15. — Culte
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
296
de latrie et culte de dulie distingués par
Chrétien Druthmar, XII, 420.
CUMANUS : poëme qui contient la des-
cription de la prise et du démantellement de
la ville de Côme par les Milanais, XIII, 507.
CUM-DIUS (Laurent). Son édition d'une
chaîne sur Job, par Nicétas d'Héraclès, XII,
913.
vu siècle. CUMÉEN, ou GUMIAN, ou CUMIN, abbé
en Hibernie. Son Pénitentiel qui a beaucoup
de rapport avec celui de saint Colomban, XI,
627 et 738. Lettre donnée sous son nom par
Ussérius. Edition de son Pénitentiel ; [édi-
tion des écrits de Guméen dans la Patro-
logie latine], 738.
CUMNÉNÉUS ALBUS, auleur d'une Vie
de saint Colomba, apôtre des Pietés; lettre
qui lui est attribuée, XI, 802.
CUNÉGONDE (Sainte), impératrice, cou-
ronnée par le pape Benoît VIII (et non XII)
XIII, 64.
CUNON, abbé de Sibourg, puis évêque de
Ratisbonne, à qui l'abbé Rupert dédie plu-
sieurs de ses ouvrages, XIV, 280 et suiv.
CUPERT (Gisbert). Sa préface au traité
de Lactance : De la Mort des persécuteurs,
II, 521.
CUPIDITÉ. Doctrine de saint Augustin; sur
la cupidité, IX, 451 . — Homélie d'Ambroise
Autpert, XII, 124.
CURÉS, Témoignage de Riculfe, évêque
de Soissons, sur les curés, XII, 746, 747. —
Canons d'un concile d'Allemagne qui les
concernent. XIII, 606.
[CURETON, ministre anglican, publie trois
letti'es de saint Ignace, traduites en syriaque,
I, 365, 366; une version syriaque des actes
du martyre de saint Ignace, 369 ; plusieurs
fragments des écrits de saint Méliton, 461 ;
des fragments du livre du Destin de Barde-
sane, 469, l'Histoire de l'Église, par Jean
d'Éphèse, XI, 420 et suiv.]
CURIOSITÉ. Commentaire de Jean Philo-
ponus sur les quatre premiers livres de la
curiosité naturelle d'apprendre les choses
secrètes, XI, 652.
CUROPALATE (Jean Scylitz). Voyez Jean
Scylitz Curopalate.
CURTAM, village sur les bords de l'Eu-
phrale oh naquit saint Jacques, évêque de
Batna en Mésopotamie, X, 639.
CURTÉRIUS ou COURTIER (Jean); son
édition des fragments du livre d'Eusèbe de
Césarée touchant les Vies des Prophètes, III,
256 et 316 (on doit lire Courtier et non Cou-
tier). — Son édition du commentaire de
Procope de Gaza sur le prophète Isaïe, avec
une traducfion latine, XI, 179.
CUSAN, abbaye. Lettre d'Aliba, évêque
de Vie, aux moines de Cusan. Concile qui y
fut tenu, XIII, 122. [Ouvrage du moine Gar-
cia sur ce monastère, 348.]
CUTHBERT (Saint), évêque de Lindis-
farne. Sa Vie écrite par le Vénérable Bède,
XII, 6. — Il fut élu au concile de Twifort ;
il fallutle contraindre à accepter l'épiscopat,
XIII, 618. Lettre de Thomas, archevêque
d'York sur un miracle opéré par son inter-
cession, 547.
CUTHBERT, archevêque de Cantorbéry.
Lettre que lui écrit saint Boniface, XII, 51, 52.
CUTHBERT ou Eathbert, abbé de Jarou,
un des disciples du Vénérable Bède. Comment
il raconte sa mort. Il devient abbé de Wire-
mouth et de Jarou, XII, 2. Il est l'auteur
de la Vie de Bède, 3 ; fut secrétaire du Vé-
nérable Bède, les dernières années de sa
vie. Analyse de la lettre où il raconte les
circonstances de la fin de la vie de Bède. Il
succède à Huetbert dans les abbayes de
Wirmouth et de Jarou. Ses liaisons avec
Lulle, disciple de saint Boniface. Lettre qu'il
lui écrit, 63. Ses autres écrits n'ont pas été
imprimés, 64. Lettre que lui écrit saint Lulle,
132. ,
CUTHWIN, disciple du Vénérable Bède.
Lettre que lui écrit Guthbert sur la mort du
Vénérable Bède, XH, 63.
CUYCK (Henri), évêque de Ruremonde.
Ses notes sur les œuvres de Cassien, VIII,
204.
CYANEUS [et non Cyanous] (Louis). Sa
traduction française de l'Histoire tripartite
de Cassiodore, VHI, 524, et XI, 254.
CYBÈLE, mère des dieux. Saint Théo-
dore, soldat, met le feu au temple de cette
déesse, III, 45.
CYCLE PASCAL de saint Hippolyte, I,
628 et suiv; — de saint Anatole de Laodicée,
II, 434. — Cycle attribué à Eusèbe de Cé-
sarée et autorisé par le concile de Nicée,
III, 428. [Ce cycle n'est pas de l'invention
d'Eusèbe, 250, note 1.] — [Cj^cle pascal,
mieux connu par les lettres pascales de saint
Athanase, IV, 166.] — Cycle composé par
Théophile d'Alexandrie, VII, 442, 443.—
Cycle de Rome, cycle d'Alexandrie : variété
entre ces deux cycles sur le temps de Pâques,
X, 170 et 176. Cycle de Victorius : à quelle
occasion il fut dressé, 176 et 340. Quand il
VIII siècle.
VIII siècle.
380.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
297
ne.
fut publié, 176, 335 et 340. Ce que c'est que
ce cycle,, 340. Le quatrième concile d'Or-
léans ordonne que la fête de Pâques soit
célébrée selon ce cycle, 340, et XI, 860.
[Fragment de l'ouvrage de Victor de Capoue
sur le cycle pascal, 305.] — Commentaire
d'Abbon de Fleury sur ce cycle, XllI, 33. —
Cycle attribué à saint Prosper d'Aquitaine,
X, 313. — Cycle de 95 ans, composé par
Denis le Petit; cycle de 532 ans, composé
par Denis le Petit, XI, 123. — Abbon de
Fleury entreprend de le corriger, XIII, 33.
— Cycle de Victor de Capoue, XI, 305 ; de
Métrodore. Il est attaqué entre autres par
un anonyme qui le réfute, 644. Cycle pascal
donné par le P. Pétau, sous le nom de saint
Maxime, abbé de Chrysopolis, 767. —Cycle
d'André de Crète, XII, 58 ; de saint Jean
Damascène, 83. Cycle solaire et lunaire de
Georges, évéque des Arabes, 102. — Cycle
d'Abbon de Fleury, XIII, 33 et 35 ; d'Oliva,
moine ou abbé de Notre-Dame de Ripouil,
123. Cycle lunaire et solaire de Pandulphe,
moine du Mont-Cassin, 496. Livre d'ArnoI,
moine de Saint Matthias de Trêves, sur le
cycle pascal, 562.
CYLINNIUS, évêque des Gaules. Rétrac-
tation de Léporius, prêtre d'Hippone, adres-
sée à Proculus et à Cylinnius, évoques des
Gaules, VIII, 233, 234. Lettre de saint Au-
gustin à Proculus et à Cylinnius touchant
Léporius, 236.
CYMACE, évêque de Gabales ou peut-
être de Palte, IV, 244.
CYNÉGIDS, préfet du prétoire ; rescrit
que lui adresse l'empereur Théodose, V,
154. — Lettre que lui écrivit saint Grégoire
de Nysse, VI, 219.
CYNÉGIDS, enterré dans l'église de
Saint-Félix de Noie, VIII, 63.
CYNÉ6IUS (comte), à qui Firmus de Cé-
sarée en Cappadoce adresse une de ses let-
tres, X, 150.
GYNÉTU. Voyez Maurice, roi de Clamor-
gan.
CYNOCÉPHALES, monstres qu'on préten-
dait avoir une tête de chien. Lettre de Ra-
tramne sur ce sujet, XII, 568.
CYPRIEN (Saint), docteur de l'Église,
évêque de Cartbage et martyr. Histoire de
sa vie, sa patrie, sa famille, II, 257. Quel il
était avant sa conversion, 257 et 258. Con-
version de saint Cyprien. Changement que
le baptême fait en lui, 258, 259. Il embrasse
la continence, donne son bien aux pauvres.
Ses études, 259, 260. Il est fait prêtre et en-
suite évêque de Cartbage, 260, 261. Sa con-
duite dans l'épiscopat, 261. 11 fuit la persé-
cution et se retire par l'ordre de Dieu. Il est
proscrit, 261 et 262. Sa vigilance dans sa
retraite pour le gouvernement de son Église,
262. Schisme de Félicissime, 262 et 263.
Saint Cyprien retourne à Cartbage où il
tient un concile, 263. Paix rendue à l'Église.
Retour des confesseurs schismatiques à l'u-
nité, 263 et 264. Saint Cyprien tient à Car-
tbage un nouveau concile, 264. Persécution
de Gallus. Conduite de saint Cyprien dans
cette persécution, 264 et 265. Charité de
saint Cyprien durant la peste ; il tient divers
conciles, 265. Son exil, 265 et 266. Son re-
tour. Il se cache pour pouvoir mourir à Car-
tbage, 266. Son martyre, 266, 267. Eloge que
les anciens ont donné à saint Cyprien, 267,
268. Catalogue de ses ouvrages, 268. Ecrits
de saint Cyprien, 268 et suiv. Livre àDonat,
269, 270. Epoque où il fut écrit, 270. Ana-
lyse de ce livre, 271 Traité de la vanité des
idoles, 271 et suiv. [Note sur ce traité, 270
note 2.] Analyse de ce traité, 272 et suiv.
Les idoles ne sont pas des dieux. Dieu est
un, 272. Jésus-Christ est Dieu et auteur de
notre salut, 271 et 272. Les trois livres des
Témoignages de l'Écriture à Quirin contre les
Juifs, 271 et suiv. Ces livres à Quirin sont
de saint Cyprien : en quel temps il les écrivit,
271, 272. [Jugement sur ces livres, 271,
note 4. ] Analyse du premier livre ; du
deuxième, et du troisième, 272. Traité de
la Conduite des vierges, 273, 274. [Juge-
ment sur ce livre, 274.] En quel temps saint
Cyprien a écrit ce traité, 273. Analyse de cet
ouvrage, 273 et 274. Traité de l'Unité de
l'Église catholique, 274 et suiv. En quel
temps saint Cyrien l'a écrit, 274, 275. Ana-
lyse de ce traité, 275, 276. [Jugement sur
ce livre, 276, note 1.] Traité de Ceux qui
étaient tombés dans la persécution, 276 et
suiv. En quel temps il a été écrit, 276, 277.
Analyse de ce livre. 277 et suiv. [Jugement
sur ce livre, 278, note 2.] Traité de l'Oraison
dominicale, 279 et suiv. Quel est le mérite
de cet ouvrage. En quel temps il a été écrit,
279. Analyse de ce traité, 279 et suiv. [Juge-
ment sur ce hvre, 281, note 2.] Traité de la
Mortalité, 281 et suiv. En quel temps il a été
écrit, 281, 282. Analyse de ce livre, 282,
283. [Jugement sur ce livre, 283, note 2.]
Exhortation au martyre, 283 et suiv. En quel
temps écrite, 283, 284. Elle est bien de saint
248.
250.
251.
252.
Depuis 253
jusqa'en256.
257.
258.
258.
250.
V. 2H ou
248.
V. 247.
251.
251.
V. 252.
V. 252 ou
253.
252.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
298
Cyprien, 284. Analyse de cette Exhortation,
284 et 285. [Jugement sur le chapitre cin-
quième, 283, note 3.] Traité Contre Démé-
252. trius, païen, 283 et suiv. En quel temps il a
été écrit, 283. Quel était ce Démétrius, 285
et 286. Analyse de ce traité, 286, 287. [Ju-
gement sur ce livre, 287, note i .] Traité de
253. l'Aumône, 287 et suiv. En quel temps il a été
écrit, 287, 288. Analyse de ce traité, 288,
289. Traité du Bien de la Patience, 289 et
256. suiv. En quel temps saint Cyprien l'a écrit,
289, 290. Analyse de ce traité, 290, 291. [Ju-
gement sur ce livre, 291, note 1.] Traité de
256. la Jalousie et de l'Envie, 291, 292. En quel
temps il a été écrit, 291. Analyse de ce
traité, 291 et 292. [Jugement sur ce livre,
292, note 5.] Lettres de saint Cyprien, 293
et suiv. ; à l'Église de Furnes, 292, 293 ; à
Eucrace, 293 ; à Rogatien, 293 et 294 ; à
Pompone, 294 ; à son clergé, 294 et 295 ; à
Sergius, à Rogatien et aux autres confes-
seurs; à son clergé, 293. Lettres du clergé
de Rome à saint Cyprien et au clergé de
Carthage. Lettre de saint Cyprien au clergé
de Rome, 296. Autre lettre aux martyrs et
aux confesseurs, 297. Troisième lettre à
son clergé, 297 et 298; autre, 298; à Ro-
gatien et aux autres confesseurs; à son
clergé , 298 et 299 ; aux martyrs et aux
confesseurs, 299, 300 ; à son clergé, 300,
301 ; à son peuple , 301 ; à son clergé ,
301 et 302; à son clergé, 302, 303; au
clergé de Rome, 303. Lettre de Célerin
à Lucien, 303 et 304 ; de Lucien à Célerin ;
lettre des confesseurs à saint Cyprien, 304,
Lettre de Caldone à saint Cyprien, 304 et
303; de saint Cyprien à Caldone; de saint
Cyprien à son clergé, 303 ; au clergé et aux
confesseurs de Rome ; à son clergé, 303 et
306 ; du clergé de Rome à saint Cyprien,
306, 307. Lettres des confesseurs de Rome
à saint Cyprien et de saint Cyprien à son
clergé, 307, 308. [Observations sur quelques
expressions de D. Geillier sur cette lettre,
308, note 1.] Lettre de saint Cyprien aux
tombés, 308; à son clergé et à celui de
Rome, 309. Lettre du clergé de Rome à saint
Cyprien, 309 ; de saint Cyprien aux confes-
251. ' seurs de Rome, 309 et 310. Trois lettres de
saint Cyprien à son clergé et à son peuple,
310, 111 ; à Caldone, au sujet de Félicissime,
et réponse de Caldone; à son peuple, 311;
au pape saint Corneille, 311 et 312. Lettre
de saint Cyprien aux confesseurs de Rome
et à saint Corneille, 312, 313. Lettres de
saint Corneille à saint Cyprien, et de saint
Cyprien à saint Corneille, et des confesseurs
de Rome à saint Cyprien, 313, Lettres de
saint Cyprien à Antonien, 313 et suiv.; à For-
tunat, 316. Lettre de saint Cyprien et des
pères du concile de Carthage à un évêque
nommé Fidus et à saint Corneille, 316 et
317. Letttre de saint Cyprien au peuple
d'Assurés et à Epictète leur évêque, 318 ;
aux Thibaritains, 318, 319 ; à saint Corneille,
au sujet du schisme de Félicissime, 319 et
suiv. [Jugement sur cette lettre, 321, note 1.]
Lettre de saint Cyprien à saint Corneille pour
le féliciter à l'approche de son martyre,
321, 322; à saint Luce, élu pape après le
martyre de saint Corneille, 322, 323; aux
évêques de Numidie, 333 ; à Cécilius évêque
en Afrique, 333 et suiv. ; à Puppien, 323,
326; aux peuples de Léon et de Mérida, 326;
au pape saint Etienne au sujet de Marcien
évêque d'Arles, 326 et 327 ; à Magnus, sur
le baptême donné par les hérétiques, 327 et
suiv.; aux évêques de Numidie et àQuintus,
sur le même sujet, 329; au pape saint
Etienne, sur le même sujet, 329 et suiv.
Lettre à un évêque nommé Jubaïen, sur
le même sujet, 332 et suiv.; à Pompée,
aussi évêque, sur le même sujet, 334, 333.
Lettre de Firmilien à saint Cyprien, à l'oc-
casion de la question du baptême, 335 et
suiv. Lettre de saint Cyprien aux confes-
seurs qui étaient dans les mines, 338. Ré-
ponse des martyrs, 338 et 339. Lettre de saint
Cyprien à Successus, 339. Dernière lettre à
son clergé, 339 et 340. Lettres perdues, 340,
341. Ecrits qui lui sont attribués faussement,
341 et suiv. Traité des Spectacles, 341, 342.
Traité du Bien de lapudicité, 342. Traité de
la Louange du martyre, 342 et 343. Traité
Contre Novatien, 343. Traité Contre la réité-
ration du baptême, 343 et suiv. Traité Contre
le jeu de dés. Traité des Montagnes de Sinaï
et de Sion. Oraisons. Traité des douze ac-
tions cardinales de Jésus-Christ, 346. [Poëme
à Félix sur la résurrection, 347.] Traité de
la Singularité des clei'cs, 344. Autres écrits,
347 et 348. [Trois lettres attribuées à saint
Cyprien par Baluze et D. Maran, 340, n. 3.
Exhortation à la pénitence publiée par Trom-
beUi. Il n'est pas sûr qu'elle soit de saint
Cyprien, 343.] Doctrine de saint Cyprien, 348
et suiv. ; sur l'Ecriture sainte, 348, 349 ; sur
la tradition, 349, 330; sur la vérité de la
religion chrétienne, 350; sur l'existence d'un
Dieu en trois personnes, 330 et 351 ; sur
252.
352.
253.
254.
255.
256.
256.
257.
258.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
299
l'Incarnation du Verbe, les deux natures en
Jésus-Christ et le fruit de sa médiation, 351;
sur l'intercession des saints, le ministère
des anges, la cause de leur chute, 351 ; sur
les divers états de l'homme après la mort,
la prière pour les morts et le lieu de leur
sépulture, 331, 352; sur le péché originel et
le péché actuel ; sur la nécessité et la force de
la grâce, et sur le libre arbitre, 352 et suiv. ;
sur l'Église, 335 et suiv. ; sur l'Église de
Rome, 357 et suiv.; sur les évêques, 359 et
suiv. ; sur les prêtres, les diacres et autres
clercs, 362, 363; sur le baptême, 363 et suiv.;
sur la confirmation, 363, 366; sur l'Eucha-
ristie, 366 et suiv.; sur la pénitence, 369 et
suiv.; sur l'excommunication, 373; sur l'au-
mône et la prière, 373 et suiv.; sur le schisme
et l'hérésie, 376, 376; sur les indulgences, le
vœu de virginité et les martyrs, 376 et suiv.;
sur les biens de l'Église, l'emploi qu'on en
faisait, le soin des malades, la dîme et les vi-
sions accordées aux fidèles, etc., 378, 379.
Eloge de saint Cyprien. Jugement sur ses
écrits, 379 et suiv. Son erreur sur le bap-
tême des hérétiques, 381, 382. [Ce qu'il faut
penser de la résistance de saint Cyprien au
pape saint Etienne, 381, note 3. Quelques-
uns nient l'authenticité de cette controverse
et des pièces qui s'y rapportent. Voyez en
particulier l'ouvrage paru à Rome en 1862
sous ce titre : La célèbre contesa fra san Ste-
fano et san Cypriano. L'auteur est M^' Tie-
sani, archevêque de Nisibe. M. Bouix en a
rendu compte au tome VIP de la Revue des
sciences ecclésiastiques.] Éditions latines des
œuvres de saint Cyprien, 382 et suiv.; édi-
tions françaises, 384, 385. [Éditions et tra-
ductions récentes des œuvres de saint Cy-
prien, 385.] Vie de saint Cyprien, écrite par
saint Ponce, 383 et 383, 386. Actes du mar-
tyre de saint Cyprien, 386. Vies de saint Cy-
prien par D. Prudent Maran et par D. Ger-
vaise, 386 et 387. [Autres vies de saint Cy-
prien, 386, note 3.] Lettres écrites à saint
Cyprien par saint Corneille, pape, 127 et
suiv. Conciles de saint Cyprien sur le bap-
tême des hérétiques, 544 et suiv. — On a
confondu saint Cyprien de Carthage avec
saint Cyprien, martyr d' An tioche, 238 etlll,
96. — Témoignage de saint Pacien sur saint
Cyprien, V, 170. Saint Grégoire de Nazianze
parait avoir confondu saint Cyprien de Car-
thage avec le saint martyr d'Antioche, 212.
Témoignage de saint Grégoire de Nazianze
sur saint Cyprien, 348. — Pelage imite un
des livres de saint Cyprien, VIT, 542. Postu-
mien va à Carthage visiter le tombeau de
saint Cyprien, VIII, 120. Hymne du poëte
Prudence en l'honneur de saint Cyprien,
102. — Sermon de saint Augustin sur ce saint
martyr, IX, 241, [841. Son éloge par saint
Augustin, 831.] [Sermon sur saint Cyprien,
faussement attribué à saint Augustin, 835.
Sermon de saint Augustin pour la fête de ce
saint martyr, 836.] Témoignages que saint
Augustin rend à saint Cyprien, 387, 486,
489,490,532, 634 et 792.— Sermon sur saint
Cyprien parmi ceux de saint Pierre Chryso-
logue, X, 8 et 13. Homélie à sa louange,
par saint Maxime de Turin, 322, Autres at-
tribuéesau même auteur. 323, 323. Homélie
en l'honneur de saint Cyprien attribuée à
Victor de Vite, 463. Vers à sa louange par
Ennode, 376. — Sermon de saint Fulgence
de Ruspe à l'honneur de ce saint, XI, 70.
Témoignage de Cassiodore sur saint Cyprien,
232. Sa vie, ou les actes de son martyre at-
tribués à Paul, diacre, XII, 144. Description
en vers de la translation des reliques de
saint Cyprien, de saint Spérat et saint Pan-
taléon. Ouvrage d'Agobar, archevêque de
Lyon, 378. Poëme de Florus, prêtre de l'É-
glise de Lyon, sur les reliques de saint
Cyprien, 490, 491.
CYPRIEN (Saint), auteur d'un poëme sur
la résurrection, à la suite des œuvres de
Tertullien. Voyez les Dictionnaires de Moréri.
CYPRIEN (Saint), évêque d'Antioche, III, 304.
96 et suiv. — On l'a confondu avec saint Cy-
prien, évêque de Carthage, 11, 238 et III, 96.
— En quel temps il faut placer son martyre ;
histoire de sa vie, III, 96 et suiv. Histoire de
sainte Justine, 97 et suiv. Conversion de Cy-
prien, 97. Il reçoit le baptême ; il est fait
évêque d'Antioche, 98. Martyre de saint Cy-
prien et de sainte Justine, 98 et 99. — Ou-
vrages attribués à ce saint martyr, II, 346,
347. — Discours de saint Grégoire de Na-
zianze en l'honneur de ce martyr, V, 212,
213. — Leur histoire écrite en vers par l'im-
pératrice Eudoxie, VIII, 475.
CYPRIEN, prêtre. Lettre que lui écrivit 399,
saint Jérôme, VH, 562.
CYPRIEN, diacre, porte une lettre de
saint Augustin à saint Jérôme, , 628, 629.
CYPRIEN, évêque chassé de l'Afrique, re-
commandé par Théodoret à Ibas , évêque
d'Édesse, X, 67.
CYPRIEN, évêque de Bordeaux, assiste au soe
concile d'Agde, X, 736.
300
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
594.
VIU siècle.
314.
CYPRIEN, évêque de Toulon, écrit la vie
de saint Césaire d'Arles, XI, 128. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. m, p. 237 et suiv.)
CYPRIEN, diacre, recteur du patrimoine
de Sicile. Lettre que lui écrit le pape saint
Grégoire le Grand, XI, 499, 500.
CYPRIEN, arcliiprêtre de Cordoue en Es-
pagne. Ses épigrammes, XII, 803 [et 523].
CYPRIEN (Salomon-Ernest). Son édition
du livre de Gennade des Écrivains ecclésias-
tiques, X, 601.
[CYPRIEN, moine du Mont-Cassin. Son
hymne pour la fête de saintBenoit, XII, 105.]
CYR, ville de la Syrie Euphratésienne,
dont Théodoret est fait évêque ; témoignage
avantageux que Théodoret rend à ses habi-
tants, Xj 19. Il y fait bâtir une église et plu-
sieurs édifices publics, 20. Scandale arrivé
dans une ville que l'on croit être Cyr, 79.
CYR et JEAN (Saints), martyrs. [Leurs ac-
tes, m, 61, 62.] — Traduits en latin; on en at-
donne la traduction à Anastase le Bibliothé-
caire, XII, 715. [Le cardinal Maï les a publiés
plus au long, 715.]
CYR (Saint) et JULITTE (sainte), mar-
tyrs. Leurs actes, III, 42 et suiv. Relation
des miracles qui s'opéraient par leurs reli-
ques, écrite par Tétérius ; il n'en reste que
la préface, XI, 400. [Leur éloge et leurs mi-
racles, par saint Sophrone de Jérusalem,
707. Deux autres traités du même sur ces
martyrs, 708.] — Histoire de leur martyre,
par Hucbald, moine de Saint-Amand, XII,
801. — [Leur Passion, d'après Pierre deNa-
ples, XIII, 602.] — Les Actes de leur mar-
tyre, par PhiUppe de Bonne-Espérance; His-
toire de la translation de saint Cyr ou Cyric
au monastère de Saint-Amand, par le même,
XIV, 687.
CYR (Saint), évêque de Carthage, IX, 561.
CYRE (Sainte), compagne de sainte Ma-
rane dans ses austérités ; sa Vie, par Théo-
doret, X, 63, 64.
CYRÉNIUS, duc, gouverneur de Péluse,
VIII, 483.
CYRIAQUE (Saint), martyr. Monastère
fondé en son honneur à Constantinople, X,
345. — Répons pour son office, composés
par le cardinal Humbert et notés par le pape
saint Léon IX, XllI, 212.
CYRIAQUE (Saint), martyr. Voyez Domi-
nique, surnommé Cyriaque.
CYRIAQUE, diacre, légat du pape saint
Sylvestre au concile d'Arles, II, 628.
CYRIAQUE, homme distingué de la ville 372.
de Tarse, Lettre que lui écrivit saint Basile
le Grand, IV, 451.
CYRIAQUE, l'un des quatre prêtres d'An- «s.
tioche auquel saint Jean Chrysostôme écrit
une lettre, VII, 133.
CYRIAQUE, évêque de Synnade. Lettres M*.
que lui écrivit saint Chrysostôme, VII, 133, i
134.
CYRIAQUE, diacre, porteur d'une lettre
du pape saint Innocent, VII, 513.
CYRIAQUE, sous-diacre de la Macédoine,
VII, 516.
CYRIAQUE, évêque de Thessalie, excom-
munié par le pape Boniface, VIII, 19.
CYRIAQUE, évêque de Lodi au concile de
Milan, X, 681.
CYRIAQUE, diacre au concile de Chalcé-
doine, chargé d'avertir les évêques de s'as-
sembler, X, 684.
CYRIAQUE, abbé de Saint-André à Rome,
contribue à la conversion des Barbaricins,
XI, 436 et 497. [Une faute d'impression l'a
confondu à tort dans la table du onzième
volume avec le suivant.]
CYRIAQUE, patriarche de Constantinople, 595.
successeur de Jean le Jeûneur, prend comme
lui le titre d'évêque œcuménique, XI, 436,
437. Il en est dépouillé par l'empereur Pho-
cas, 440. Il fait part de son élection au pape 596.
saint Grégoire; lettres que ce pape lui écrit
à ce sujet, 506, 507 et 531. [La table du on-
zième volume, par une faute d'impression,
le confond à tort avec le précédent.]
CYRIAQUE, évêque de Carthage. Lettre lovs.
que lui écrit le pape saint Grégoire VII, XIII,
353
CYRILLA, patriarche des Ariens en Afri-
que. Personnage qu'il joue à la conférence
indiquée par le roi Hunéric, X, 455 et 722.
Il fait rebaptiser plusieurs personnes contre
leur gré, 461.
CYRILLA, nourrice de saint Benoît, XI,
156.
CYRILLE (Saint), martyr, III, 83.
CYRILLE (Saint), diacre, martyr à Hélio-
polis, près le mont Liban, III, 402 et X, 46.
CYRILLE, évêque en Arménie, IV, 369.
CYRILLE (Saint), archevêque de Jérusa-
lem, docteur de l'Église, V, 2S et suiv. His-
toire de sa vie, 25. Saint Cyrille né à Jéru- 3i5.
salem, 25, 26. Ses études ; il est ordonné v. 346.
prêtre; élu archevêque de Jérusalem, 26. 350et35i.
Déposé par Acace de Césarée, 26 et 27. Il 357 ou 358.
appelle de la sentence de déposition, 27. Il
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
301
est rétabli dans le concile de Séleucie, 27 et
360. 28. Il est dépose de nouveau dans le concile
362. de Constantinople ; il est rappelé sous Ju-
lien; ce qui se fit de son temps pour le réta-
367. blissement du temple de Jérusalem ; il est
chassé de son Église par les Ariens sous Va-
378. lens, 28. Il est rappelé par Gratien ; il tra-
vaille au rétablissement de la paix et des
381. mœurs dans son Église, 29. Il assiste au con-
386. cile de Constantinople, 29 et 30. Sa mort;
Catalogue de ses écrits, 30. Ses Catéchèses;
authenticité de ces Catéchèses; elles sont de
saint Cyrille, 30 et suiv. Première preuve de
leurauthenticité, 30, 31. Seconde preuvetirée
du lieu où ces Catéchèses ont été prêchées,
31, 32. Troisième preuve tirée du témoignage
des anciens, 33, 34. Les cinq Catéchèses
mystagogiques sont de saint Cyrille, 34, 35.
Réponse aux objections contre les dix-huit
catéchèses, 33, 36. Réponse aux objections
contre les catéchèses mystagogiques, 34, 35.
Analyse des dix-huit catéchèses de saint Cy-
rille, 35 et suiv. Analyse delà préface de ces
catéchèses, 35. Analyse de la première ca-
téchèse, 35 et 36; de la deuxième; de la
troisième, 36; de la quatrième, 36 et suiv.;
de la cinquième, 38, 39 ; de la sixième, 39,
40; de la septième ; de la huitième, 40; de
la neuvième, 40 et suiv.; de la dixième, 42,
43; de la onzième, 43; de la douzième, 43
et suiv.; de la treizième, 45, 46; de la qua-
torzième, 46, 47; de la quinzième, 47, 48;
de la seizième, 48, 49 ; de la dix-septième,
49, 30 ■; de la diz-huitième, 50 et suiv. Re-
marques sur les Catéchèses mystagogiques ;
analyse de la première, 52 ; de la deuxième,
52 et 53; de la troisième, 53; de la quatrième,
53 et 34 ; de la cinquième, 54 et suiv. Ho-
méhe sur le paralytique, 56, 57. Elle est de
_ 34,_ saint Cyrille ; en quel temps il l'a composée,
56. Analyse de cette homélie, 56 et 57. Let-
3B1. tre de saint Cyrille à Constantius ; elle est
de cet auteur, 37 et suiv. Réponse aux ob-
jections contre cette lettre, 37 et 38. Diffi-
culté sur la date de l'apparilion de la croix,
58. Analyse de la letlre de saint Cyrille à
Constantius, 58 et 59. Fragments de quel-
ques discours de saint Cyrille, 39, 60. [Le
texte grec de ces fragments a été publié par
Mai, 60, note 1.] Discours de saint Cyrille
qui sont perdus, 60. Discours sur la fête de
la Purification, faussement attribué à saint
Cyrille, 60, 61. Chronologie, faussement at-
tribuée à saint Cyrille, 61. Lettres qui lui
sont aussi faussement attribuées, 61 et 62.
Fragment cité par saint Thomas sous le nom
de saint Cyrille, 62. Doctrine de saint Cyrille,
62 et suiv.; sur l'Écriture sainte, 62, 63; sur
la tradition, 63, 64; sur la doctrine de
l'Église, 64, 63; sur la Trinité, 65, 60; sur
la divinité du Fils, 66 et suiv.; sur la divinité
du Saint-Esprit, 69, 70; sur la sainte Vierge
et les anges, 70 ; [sur l'union de la sainte
Vierge et de saint Joseph, 45, note 3;] sur
la grâce et le libre arbitre, 71, 72; sur le
baptême, 72 et suiv.; sur la confirmation,
74; sur l'Eucharistie, 74 et suiv.; sur la litur-
gie, 76, 77 ; sur les ministres et les assem-
blées de l'Église ; sur le carême, 77, 78; sur
l'Église, 78; sur le jeûne et le culte des re-
liques, 78 et 79; sur la virginité et le vœu
de continence ; sur le mariage et les secon-
des noces et sur les bonnes œuvres, 79; sur
le baptême de saint Jean, 79 et 80; surl'im-
mortahté de l'âme, 80; sur divers points
d'histoire et de disciphne, 80 et 81. [Erreurs
de saint Cyrille dans le calcul des 70 semai-
nes, 44, n. 3.] Jugement des écrits de saint
Cyrille, 81, 82. Méthode qu'il sut donner
dans ses catéchèses ; arguments qu'il y em-
ploie, 81. Qui sont ceux qu'il attaque; son
style, 82. Éditions de ses oeuvres, 82 et suiv.
[Éditions et traductions nouvelles, 84.] —
Saint Cyrille, déposé par Acace de Césarée,
se trouve au concile de Séleucie, IV, 567.
Les Acaciens refusent de s'y trouver avec
lui, 568. Le concile le rétablit dans son siège,
570. Il est déposé au concile de Constanti-
nople, 368. — Saint Jérôme envoie sa pro-
fession de foi à saint Cyrille, VII, 384. Ex-
phcation du symbole adressée à saint Cy-
rille, 647. Éloge des vertus et des miracles
de saint Jérôme, ouvrage faussement attri-
bué à saint Cyrille et à saint Augustin, 648.
— Lettres supposées de saint Augustin à
saint Cyrille et de saint Cyrille à saint Au-
gustin, IX, 194.
CYRILLE (Saint), patriarche d'Alexandrie,
docteur de l'Église et confesseur, VIII, 256
et suiv. Sa naissance, ses éludes. Il est fait
évêque d'Alexandrie, 256. Sa conduite dans
l'épiscopat. Il chasse d'Alexandrie les Nova-
tiens et les Juifs, 236 et 257. Il refuse de
rétabhr la mémoire de saint Jean Chrysos-
tome, puis il la rétablit, 237, 258. Il réfute
l'hérésie de Nestorius ; celui-ci forme une
accusation contre lui, 258. Il écrit à Nesto-
rius. 258 et 239. Il assemble un concile à
Alexandrie ; il est chargé d'examiner la sen-
tence contre Nestorius, 239 ; il écrit sur la
413.
41 4, 415.
418,
430.
302
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
*3i- condamnation de Nestorius, 2S9 et 260. Il
va au concile d'Éphèse où il préside ; il est
déposé par les Orientaux; il demande jus-
tice contre eux; il s'oppose à Juvénal de Jé-
rusalem, 260. Il est arrêté avec Memnon et
Nestorius, 260 et 261. Il retourne à Alexan-
437 et 438. flrie, 261. Il écrit contre Théodore de Mop-
«*• sueste, 261 et 262. Sa mort, 262. Écrits de
saint Cyrille : ses ouvrages sur l'Ecriture
sainte, 262 et suiv. Idée de l'ouvrage inti-
tulé : De l'Adoration en esprit et en vérité.
263 et suiv. Glaphyres sur le Pentateuque,
263. Commentaires sur Isaïe, 265 et 266; sur
saint Jean, 266 et suiv. Traité sur la Trinité
et sur l'Incarnation, 268 et suiv. Analyse du
Trésor de la sainte Trinité, 268 et suiv. Pas-
sage faussement attribué à saint Cyrille,
272. Dialogues sur la Trinité, 272 et suiv.
Dialogue sur l'Incarnation, 274 et suiv. Ho-
mélies sur la fête de Pâques, 278, 279. Ho-
mélies sur divers sujets, 279 et suiv. Lettres
de saint Cyrille : lettres aux solitaires, 281
et suiv. ; à Nestorius, 283; autre au même,
283 et 284. Lettre à quelques personnes de
Gonslautinople, 284, 285 ; à un ami de Nes-
torius, 283; aux clercs qu'il avait envoyés
à Constantinople, 285, 286; au pape Cé-
lestin^ 286, 287 ; à Jean d'Antioche ; à Acace
deBérée; à Juvénal de Jérusalem, 287; à
Nestorius, 287 et suiv. ; au peuple, au clergé
et aux abbés de Constantinople ; au clergé
et au peuple d'Alexandrie, 290. Lettres sur
la déposition de Nestorius, 290 et 291. Let-
tre à Maximien de Constantinople et aux
évêques qui l'avaient sacré, 291, 292; à
Jean d'Antioche, 292; à Acace de Mélitine,
292 et 293; autre au même, 293; à Euloge,
prêtre, 293 et 294; à Successus, 294 ; à Théo-
gnoste et autres prêtres et diacres; à Donat
de Nicopolis; à Maximien de Constantinople;
àValérien, évêque d'Icône, 295. Explication
du symbole de Nicée, 293 et 296. Lettre à
Gennade, prêtre ; àMaxime, 296 ; à Jean d'An-
tioche, 296 et 297; à Acace de Mélitine; à
Lampon, prêtre, et autres clercs députés à
Constantinople; à Procle, 297; à Rabblula.
Qui était Rabblula ; ses lettres, 297 et 298.
Lettre de saint Cyrille à Atticus de Constan-
tinople, 298 et suiv. ; àDomnus; aux évêques
de Libye et de la Pentapole, 300 ; à Aurèle
et aux autres évêques du concile d'Afrique,
300 et 301 ; à Gptimus, à Acace de Bérée,
et à Rabbula, 301 , 302 ; à Acace de Mélitine ;
à Aristolaûs, 302 ; à l'empereur Théodose,
302 et 303 ; à Maxime, à Jean et à Tlialasse;
à Musée ; à Nestorius ; aux moines de Phua,
303. A quelle occasion et en quel temps
furent écrits les cinq livres contre Nestorius,
306. Analyse de ces livres , 306 et suiv.
Explication des douze Anathématismes, 309.
Leur apologie contre André de Samosate ,
309 et 310. Défense de ces anathématismes
contre Théodoret, 310. Apologie de saint
Cyrille à l'empereur Théodose, 310 et 311.
Dix livres contre Julien l'Apostat, 311. Ana-
lyse de ces livres, 312 et suiv. A quelle occa-
sion fut écrit le livre contre les Anthropo-
morphites. Lettre à Colosyrius, 318, 319.
Réponse aux questions sur la création de
l'homme contre les Anthropomorphites ,
319 et suiv. Le livre de la Trinité n'est point
de saint Cyrille, 322, 323 ; ni les Explica-
tions morales sur l'Ancien Testament, 323.
Quelques ouvrages de saint Cyrille omis dans
l'édition de Paris, 323 et 324. Liturgie attri-
buée à saint Cyrille, 324. Écrits de saint
Cyrille qui n'ont pas encore été imprimés
ou qui sont perdus, 324, 325. Doctrine de
saint Cyrille sur l'Écriture sainte, 325 et
suiv. ; sur les conciles; sur l'autorité des
Pères, 327 ; sur la Trinité et la génération
du Verbe, 327 et 328; sur la procession du
Saint-Esprit, 328; sur l'Incarnation du
Verbe, 329; sur l'adoration due à Jésus-
Christ, 329 et 330. Réfutation des erreurs
attribuées à saint Cyrille sur l'Incarnation,
330, 331. Doctrine de saint Cyrille sur la
volonté en Dieu de sauver tous les hommes,
331, 332; sur la prière de Jésus-Christ pour
les élus, 332; sur la loi de Moïse, 332, 333.
La vraie religion était dans les seuls Israé-
lites, depuis la loi de Moïse, 333, 334. Doc-
trine de saint Cyrille sur la grâce ; sur le
libre arbitre, 334; sur la sainte Vierge, 334
et 333 ; sur le signe de la Croix et le culte
qu'on lui rendait, 333 ; sur le culte des mar-
tyrs, 335 et 336; sur le temps du silence
des oracles, 336; sur le baptême, 336 et
337; sur l'Eucharistie, 337 et suiv.; sur
l'excellence de l'Eucharistie, 340, 341 ; sur
l'union avec Jésus-Christ dans l'Eucharistie,
341, 342; sur les dispositions pour recevoir
l'Eucharistie, 342, 343 ; sur les lieux où l'on
doit offrir le sacrifice, 343 ; on conservait
l'Eucharistie plusieurs jours, 343 et 344.
Doctrine de saint Cyrille sur la primauté de
saint Pierre, 344. Jugement des écrits de
saint Cyrille, 344. Edition de ses écrits, 344
et suiv. [Edition dans la Patrologie, 346.
Ecrits de saint Cyrille d'Alexandrie publiés
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
303
récemment. Explication des Psaumes, VIH,
34, 849. Fragments sur le cantique de Moïse,
sur celui d'Anne, sur les Proverbes, sur le
Cantique des Cantiques ; fragments sur Ba-
ruch, Ézéchielj Daniel, 349. Commentaire
sur saint Luc, 349, 350. Jugement sur le
commentaire publié par Mai; version sy-
riaque, 350. Ciâoses remarquables contenues
dans ce commentaire, 330 et suiv. Frag-
ments du commentaire sur les Actes des
Apôtres, 352. Explication de l'Épître aux
Romains, 332, 333. Choses remarquables
contenues dans cette explication, 333. Com-
mentaire de la deuxième Épître aux Corin-
thiens ; fragments du commentaire sur l'Épî-
tre aux Galates et aux Colossiens ; commen-
taire de l'Épître aux Hébreux. Fragments
des commentaires sur les Épîtres catho-
liques, 334. Traité de la Trinité. Analyse de
ce traité, 334 et suiv. Traité de l'Incarnation.
Analyse de ce traité, 336 et suiv. Dialogue
avee Nestorius, 339. Traité contre ceux qui
ne veulent pas accorder à la sainte Vierge
le titre de mère de Dieu, 339. Analyse de ce
traité, 339 et suiv. Fragments d'ouvrages
perdus, 362 et suiv. Quatre lettres : deux à
Rufus, une à Maxime et une à Amphiloque,
364,363. Trois discours sur saint Cyr et saint
Jean. Fragments d'autres discours, 363. Ju-
gement sur les ouvrages de saint Cyrille pu-
bliés récemment, 363, 366.] — Lettre adres-
sée à saint Cyrille par Atticus de Constanti-
nople, VIII, 14, 13. Lettre que lui écrivit le
quatrième concile de Carthage ; il envoie à
Garthage une copie authentique des canons de
Nicée, 369. Lettre qu'il écrivit à saint Céles-
tin, 132, 133. Lettre du pape saint Célestin à
saint Cyrille, 134, 133. Autre du même, 138.
Lettre d'Acace de Bérée, 238. Autre du
même, et réponse de saint Cyrille, 240.
Autre d'Acace à saint Cyrille, 240 et 241.
Paul, évêque d'Emèse, est député vers lui,
241. Lettre de Paul à saint Cyrille présent,
241 et 242. Entretien de Paul avec saint
Cyrille, au sujet de la lettre de saint Atha-
nase à Épictète, corrompue par les Nesto-
riens, 243. Lettre que lui écrivit Jean d'An-
tioche. Saint Cyrille est déposé dans un con-
cile tenu à Éphèse par Jean d'Antioche,
243. Saint Cyrille rétabli est déposé de nou-
veau dans un concile tenu à Tarse par Jean
d'Antioche, 243 et 399. Saint Sixte III, pape,
travaille à réunir Jean d'Antioche avec saint
Cyrille, 246. L'empereur Théodose écrit à
Jean d'Antioche et à saint Cyrille pour les
réunir, 246 et 247. Concile tenu par Jean
d'Antioche pour sa réunion avec saint Cy-
rille. Lettre de Jean d'Antioche et des Orien-
taux à saint Cyrille, 247, 248. Lettre que lui
écrivit Jean d'Antioche, 247. Lettre de. saint
Cyrille à Jean d'Antioche, 248. Procle de
Constantinople se réunit à saint Cyrille pour
gagner les Orientaux, 249. Lettres que lui
écrivit le pape Sixte III, 231, 232. Alexandre
d'Hiéraple, l'un de ses plus ardents adver-
saires, 374 et suiv. Lettre qu'écrit Acace de
Mélitine à saint Cyrille, 389. Saint Cyrille
adresse à Pulchérie deux de ses écrits contre
Nestorius, 471. Saint Isidore de Péluse lui
écrit pour le porter à rétablir la mémoire de
saint Chrysostôme, 477, 478; il lui écrit au
sujet de sa paix avec les Orientaux, 478.
Marins Mercator traduit ses anathématisraes
et en prend la défense, 303, 506. Il traduit
l'apologie que saint Cyrille fit de ses ana-
thématismes, 306. Concile que saint Cyrille
tient à Alexandrie contre Nestorius, 373. Il
se rend à Éphèse pour le concile convoqué,
573. Il y préside au nom du pape, 377. Il
est déposé par les Orientaux, 381. — Théo-
doret écrit contre lui, X, 21, et se réunit
avec lui, 21 et 140. Témoignage de Théo-
doret en sa faveur, 103. Lettre que lui écrit
Firmus deCésarée en Cappadoce, 131, 132.
Gennade, patriarche de Constantinople, écrit
contre saint Cyrille d'Alexandrie, 343 et 343.
— Doctrine de saint Cyrille sur les deux na-
tures en Jésus-Christ, justifiées dans la con-
férence de Constantinople entre les Catho-
liques et les Sévériens, XI, 844 et suiv.
CYRILLE, diacre de saint Hilaire d'Arles,
guéri miraculeusement par ce saint, VIII,
434, 433.
CYRILLE, évêque de Celle. Représenta-
tions qu'il fait au concile d'Éphèse, VIII,
591.
CYRILLE, surnommé de Scythople, du
nom d'une ville de Palestine où il avait pris
naissance. Ce qu'on sait des circonstances
de sa vie, XI, 272 et suiv. Il écrit la vie de y 55g
saint Euthymius. Analyse de cette Vie, 272.
On l'engage aussi à écrire celle de saint Sa-
bas. Analyse de cet ouvrage, 274 et suiv.
Vie de saint Jean le Silencieux : autre ou-
vrage de saint Cyrille de Scythople, 277,
278.
CYRILLE (le Bienheureux), ermite du 1235.
Mont-Carmel; ses révélations; il les envoie
à l'abbé Joachim qui en fait la traduction ;
Editions qu'on en a données, XIV, 830.
304
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
CYRIN, évêquede Prisingue. Voyez Ari-
bon Cyrinus.
CYRUS, roi de Perse. Circonstances de
sa mort, VI, 227.
303. CYRUS, lecteur de Thibare en Afrique,
confesseur, III, 18.
CYRUS, à qui saint Isidore dePéluse écrit,
Vm, 485.
CYRUS, prêtre d'Edesse, l'un des accu-
sateurs d'Ibas, X, 144 et 147.
v siècle. CYRUS, médecin d'Alexandrie et ensuite
moine. Son traité contre Nestorius, X, 471.
649. CYRUS , évêque de Phaside , et depuis
patriarche d'Alexandrie, Monothélite, XI,
703. Condamné au concile de Rome, tenu
par le pape Martin \", 749. Anathématisé
par le pape Léon II, 784. — Etant évêque
de Phaside, il fut sollicité par l'empereur
Héraclius d'embrasser le parti des Monothé-
lites. Il écrit sur ce sujet au patriarche Ser-
626. gius. Lettre que lui écrit Sergius pour l'en-
traîner dans l'erreur des Monothéhtes. De- 630. ,
venu patriarche d'Alexandrie, il l'embrasse,
et s'unit avec Théodore de Pharan. Il réunit
les Théodosiens malgré les remontrances de
Sophrone. Ses neuf articles, XII, 922. Il re- e
çoit l'Ecthèse d'Héraclius, 925. Reproches
qui lui sont faits au concile de Latran, 926
et suiv. Ses neuf articles sont examinés et
condamnés dans ce concile, 926 et 930.
CYRUS FLORUS. Voyez Paul le Silen-
tiaire.
CYSINIUS, moine à qui saint Nil écrit,
VIII, 217.
CYTHÉRIUS, homme de qualité. Poëme 400.
de saint Paulin, évêque de Noie, qui lui est
adressé, VIII, 85. (Voyez son article dans
VHistoire littéraire de la France, t. II, p. 163
et suiv.)
CYZIQUE, ville de l'Hellespont. Concile 376.
qui y fut tenu par les Ariens, VIII, 403.
D
304.
541.
VI siècle.
V siècle.
DACIEN, gouverneur en Espagne, devant
qui fut amené saint Vincent, III, 19. — Il
bannit saint Valère, évêque de Saragosse, II,
603.
DACIEN (Saint), martyr de Carthage,
III, 20, 21.
DACIEN, métropolitain de la Byzacène,
assemble un concile dont l'empereur Justi-
nien confirme les décisions par un rescrit,
XI, 859.
DACIER (André), de l'Académie française.
Sa traduction latine du dousième hvre de
l'Hexaméron d'Anastase le Sinaïte, XI,
599.
DACIUS, évêque de Milan, chargé par
Cassiodore de la distribution du blé dans le
Milanais, XI, 220 et 264, Ce qu'on sait des
circonstances de sa vie. Chronique qu'on lui
attribue, 264. Il s'oppose à l'édit de l'em-
pereur Justinien contre les Trois-Ghapitres,
11 se retire avec le pape Vigile au palais
d'Hormisdas. Violences qu'il y éprouve, 867.
Miracle que saint Grégoire le Grand rapporte
de lui, 264 et 475.
DADIN DE HAUTESERRE (Antoine). Ses
Ilotes et observations sur l'Histoire de France
de Grégoire de Tours, XI, 398.
DADOÈS, un des chefs des Messaliens,
IV, 645.
DADOLÈNE (Sainte), vierge dont saint Per-
pétue, archevêque de Tours, fait mention
dans son testament, X, 439.
DADON (Saint), archevêque de Rouen.
Voyez Saint-Ouen.
DADON, évêque de Verdun, succède à
Berhard, son oncle. Il attire auprès de lui
plusieurs savants. Il assiste aux conciles de
Metz et de Tibur. Sa mort. Ses écrits, dont
il ne nous reste que quelques fragments,
Xn, 792. [Sa lettre formée, 792.] Malheurs
arrivés à la ville de Verdun sous son épis-
copat, 792. Poèmes de Salomon III, évêque
de Constance, qui lui sont adressés, 785 et
792. (Voyez son article dans VHistoire litté-
raire de la France, t. VI, p. 196 et le Sup-
plément, t. X, p. Ivj.)
DAGILA (Sainte), femme du maitre d'hô-
tel de Hunéric. Ses souffrances pour la foi
catholique, dans la persécution des Van-
dales en Afrique, X, 460.
DAGOBERT, fils de Chilpéric P'. Son épi-
tapbe par Fortunat, XI, 408.
DAGOBERT I", roi de France, donne toute
sa confiance à saint Éloi, XI, 753, 754. [Ses
Gestes, par un anonyme, XII, 153.] Ses Ca-
pitulaires, 227, 228. (Voyez son article dans
VHistoire littéraire de la France, t. III, p. 554
et suiv. et le Supplément, t. XII, p. viij.)
[DAGULFE, écrivain latin. Son Psautier,
XII, 218.]
879.
895.
923.
TABLEÎGÉNÉRALE DES MATIÈRES.
305
HOi.
«07.
1088.
1089.
D AILLÉ (Jean), ministre de Charenton.
Son sentiment sur le canon des apôtres ré-
futé, II, 573 et suiv. Réponse à ses objec-
tions, 376 et suiv. Il corrompt un passage
de saint Ambroise, 468, note 3.
DAIMBERT, archevêque de Sens, succède
à Richer, XIII, 590. Hugues, archevêque de
Lyon, s'oppose à son sacre, exigeant de lui
le serment , comme à son primat. Lettre
que lui écrit à ce sujet Yves, évêque de
Chartres. Réponse de Hugues. Daïmbert
s'arrange avec lui. Accusations formées
contre Daïmbert. Lettre que lui écrit Hugues,
591. — Il fait à Orléans le sacre de Louis le
Gros, XIV, 92. Lettres d'Yves de Chartres
touchant l'élection de Daïmbert, 105, 106.
Lettres du même adressées à Daïmbert, 111,
112, 113, 117, 118, Sa mort. Henri lui suc-
cède, 466.
DAIMBERT, archevêque de Pise, élu pa-
triarche de Jérusalem, XIII, 529. — Chassé
injustement de son siège, il vient porter ses
plaintes à Rome. Il est renvoyé à Jérusalem
et meurt en Sicile, XIV, 1080.
DALMAGE, frère de l'empereur Constan-
tin. Lettre que cet empereur lui écrit, III,
141, 142.
DALMAGE, tribun et notaire, signifie à
saint Ambroise un ordre de l'empereur Va-
lentinien, V, 488.
DALMAGE (Saint), abbé de Gonstanti-
noble, célèbre par ses vertus, VIII, 393.
Saint Cyrille d'Alexandrie lui écrit au sujet
de la déposition de Nestorius, 290. Il signale
son zèle pour la foi, 370. A la tête de tous
les moines de G. P., il présente à l'empe-
reur la lettre du concile d'Ephèse, 395, 396
et '594. Sa lettre au concile, 396. [Édition de
cette lettre dans la Patrologie, 376. J II se
scandalise de la conduite d'Ibas, 406. [Dans
la table du VIII» volume, on a eu tort de
distinguer saint Dalmace de l'abbé Daimace.]
DALMAGE, moine, élu évêque de Gyzique
au préjudice de saint Procle, nommé par
Sisinnius, VllI, 403.
DALMACE , archevêque de Narbonne,
refuse de sacrer Artauld, élu évêqe d'Elne ,
XIII, 420. Son voyage à Rome pour soutenir
ses droits sur la province de Tarragone.
Lettres qu'Urbain II écrit à ce sujet, 423.
DALMATIE. [Lettre du pape Léon VI aux
évêques de Dalmatie : ils ont ordre d'obéir à
l'archevêque deSpalatro, XII, 749.] — Lettre
du pape Alexandre II à Pierre, archevêque
de Dalmatie, où sont détaillées les églises
TAB. I,
qu'il soumettait à sa juridiction, XIII, 286,
287. [Lettre du même pape aux évêques et
au roi de Dalmatie, sur l'incontinence des
clercs, 290. — Concile teuu en Dalmatie,
XIV, 1145.]
DALMATIQUB, habit des diacres. Le pape
Symmaque permet aux diacres de saint Cé-
saire de porter des dalmatiques comme ceux
de Rome, XI, 127. Le pape saint Grégoire
en accorde l'usage à l'évêque de Gap et à
son archidiacre, 518. Canon d'un concile de
Rome qui défend de couvrir de dalmatiques
les corps des papes qu'on portait en terre,
907 . Voyez Diacres.
[DALRYMPLE. Sa traduction anglaise de
Minucius Félix, I, 557. — Sa traduction an-
glaise du livre de Tertullien à Scapula, II,
87.]
DAMÉTAS. Nom que portait dans l'école
de Gharlemagne Riculphe, archevêque de
Mayence, XH, 194 et 196.
DAMARIS, athénienne, dont il est parlé
dans les Actes des apôtres, était femme de
saint Denis l'Aréopagite, selon saint Am-
broise, V, 530.
DAMASCÈNE, surnom donné à saint Jean
de Damas, parce qu'il était né dans cette
ville, Xn, 67.
DAMASE P' (Saint), pape, V, 12 et suiv.
Ce qu'on sait de lui jusqu'à son pontificat,
12. Il est élu pape ; schisme d'Ursin ; Ur-
sin est banni, 12 et 13. Il est rappelé et
banni une seconde fois, 13. Saint Damase
tient à Rome des conciles, 13 et 14. Loi de
Valentinien adressée à Damase; saint Da-
mase est trompé par Timothée, disciple
d'ApolMnaire ; il le condamne ensuite, 14.
Saint Damase tient un concile à Rome ; ana-
lyse de la lettre synodale, 14 et 13. Saint
Damase écrit à Pierre d'Alexandrie; il pour-
suit les Lucifériens, 15. Vital tâche de sur-
prendre le pape Damase, 13 et 16. Damase
tient un concile à Rome ; autres conciles te-
nus par lui, 16. Saint Damase écrit à saint
Paulin, 16 et 17. Il condamne Vital; il écrit
à saint Aschole et à cinq autres évêques de
Macédoine, 17. Il est consulté par saint Jé-
rôme, 17 et 18. Il condamne les Priscillia-
nistes ; il est prié de confirmer l'élection de
Nectaire ; le concile d'Aquilée écrit en faveur
de saint Damase ; lettre de saint Damase aux
Orientaux, 18. Il emploie beaucoup saint Jé-
rôme; ses lettres à ce docteur, 19. Saint Da-
mase s'oppose au culte des idoles, 19 et 20.
Lettre qu'il écrit aux Orientaux, 20. [Remar-
20
599.
367.
368 et 370.
370.
377.
372.
373.
374.
376.
377.
318, 379.
379.
379.
38(1.
379.
380.
381.
381.
V. 381, 388.
382 et
aDD. suiv.
382 et 384.
384,
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
306
384. que sur cette lettre, 20, n. 2.] Lettre en fa-
as*, veur de.Symmaque, 20 et 21. Mort de saint
Damase; son éloge, 21. Ses écrits, 21, 22.
Ouvrages qui lui sont faussement attribués,
22 et suiv. Pontifical qui lui est aussi attri-
bué, 24. [Notes relatives à ce Pontifical, 24,
notes 7 et 9.] [Canon des Écritures attribué
à ce pape; éditions des œuvres de saint Da-
mase, 25. Poëme à la louange du rhéteur
Chrysante sous le nom de saint Damase ; vers
et fragments sous le nom de saint Damase,
675.] Saint Damase tient un concile à Rome
contre Apollinaire et ses disciples, 88, et IV,
605, 606, 607. — Autre concile de Rome
pour la justification du pape Damase, IV,
608, 609. Lettre du concile aux empereurs
en faveur du pape, et contre le schisme de
l'antipape Ursin, 609, 610. Saint Damase
adresse à Paulin d'Antioche la confession de
foi dressée au concile de Rome, 611, 612.
Saint Jérôme demeure auprès de saint Da-
mase, 638. Lettre de saint Basile le Grand
au pape Damase, 441. — Écrit où l'on s'é-
lève contre le pape saint Damase, V, 150,
151. Paustin etMarcellin, prêtres lucifériens,
le mettent au nombre de leurs persécuteurs,
153. Saint Damase regarde comme nulle
l'ordination de Maxime, évêque intrus de
Constantinople, 188. — Décrétâtes qui lui
sont faussement attribuées, VI, 93. Loi de
Valentinien 1 adressée à ce pape au sujet
des donations faites aux clercs, 365. Rescrit
des empereurs Gratien et Valentinien II en
faveur de ce pape, 361. L'empereur Théo-
dose veut qu'on suive la foi de ce pape, 365.
— Saint Jérôme consulte le pape sur le mot
hypostase, VII, 547 et 582, 583. Le pape Da-
mase le fait son secrétaire ; sa mort, 547. Il
avait engagé saint Jérôme à revoir le Nou-
veau-Testament sur le grec, 534. Cinq ques-
tions proposées par ce pape à saint Jérôme ;
lettre de saint Jérôme à saint Damase en ré-
ponse à ces questions, 558, 559. Lettres de
saint Jérôme à ce pape sur les séraphins
dont il est parlé dans Isaïe, 566; sur l'Ho-
Eanna,570; sur la parabole de l'enfantprodi-
gue, 571. Autres lettres de saint Jérôme à ce
pape, 582, 583. Lettres supposées de saint
Jérôme à saint Damase, et de saint Damase
à saint Jérôme, 646 et et 648. Symbole attri-
bué au pape saint Damase ; explication du
symbole qui lui est adressée, 647. — Saint
Damase bâtit à Noie une église en l'honneur
de saint Félix, VIII, 84. [Poëme attribué à
saint Damase à la fin du volume dans les ad-
ditions; autres écrits annoncés par D. Pitra;
dissertation historique sur saint Damase et
saint Laurent; inscriptions et monuments
qui existent à Rome sur saint Damase, 675.]
DAMASE II, pape, est élu après la der-
nière abdication de Benoît IX et ne siège
que vingt-trois jours, XIII, 199.
DAMÉRIUS (Barnabe). Ses notes sur les
exhortations de l'empereur Basile le Macé-
donien à son fils Léon, XII, 625.
DAMIEN, prêtre, depuis évêque de Pavie,
compose la lettre synodale d'un concile de
Milan, XII, 942.
DAMIEN PIERRE (Saint). Voyez Pierre
Damien (Saint).
DAMIETTE. Lettres de Jacques de Yitri
concernant ce qui a précédé la prise de Da-
miette, XIII, 537. Relation de la prise de
cette ville, par Olivier, scholastique de Co-
logne, 538.
DAMNÉS. On attribue à Tite de Boslres
d'avoir nié l'éternité des peines des damnés,
IV,
343. Doctrine de saint Basile, 542. —
Doctrine de saint Cyrille de Jérusalem, V,
48; de saint Grégoire de Nazianze, 346; de
saint Ambroise,574,373 ; deDidyme l'Aveu-
gle, 630; — de saint Éphrem ; fragment at-
tribué à saint Éphrem touchant les damnés,
VI, 7. Doctrine de saint Grégoire de Nysse
sur l'éternité de la damnation, 248 et suiv.;
— de saint Jérôme, VII, 685 ; — de saint
Cyrille d'Alexandrie, VIII, 281 ; — de saint
Augustin, IX, 321, 322, 705, 798, 799. —Er-
reurs de Jean Scot sur la peine des damnés,
réfutées par Florus de Lyon, XII, 489, et par
saint Prudence, 497. L'Église ne fait point
de prières pour les daninés, 810. Adrévald
croit cependant qu'on peut adoucir par des
prières les peines des damnés, 630.
DAMON et PYTHIAS, disciples de Pytba-
gore dont l'un s'otfre de mourir pour l'autre,
V, 430.
DANEMARK. La foi est prêchée en Dane- ix siècle,
mark par saint Anschaire, XII, 524. — Lettre xi siècle,
du pape Alexandre II aux évéques de Dane-
mark, XIII, 290. — Histoire des rois d'An-
gleterre et de Danemark, par Siméon de
Durham; continuée par Jean d'Hagustad,
XIV, 317. Voyez Danois.
DANGER. Maxime de salut Cyprien citée
par saint Jérôme sur le danger, VII, 363.
DANIEL, prophète. Histoire de sa vie, I, Avant J.-C
170 et suiv. I^aissance de ce prophète ; il est
mené en captivité à Babylone, et choisi pour
demeurer au palais du roi ; il délivre Su-
618.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
307
zanne ; explique les songes de Nabuchodo-
nosor, 170. Les compagnons de ce prophète
sont jetés dans la fournaise; Dieu les eu dé-
livre, 170 et 171. Daniel, jeté dans la fosse
aux lions, en est de même délivré ; il y est
jeté une deuxième fois ; Dieu l'en délivre en-
core; sa mort; éloge de Daniel, 171, Il est
l'auteur des prophéties qui portent son nom ;
objections contre les fragments de ce livre
qui ne se trouvent pas dans le texte original;
première réponse : Si Josèphe n'a pas parlé
de quelques faits qu'on trouve dans ce livre,
il a fait de semblables omissions pour des
faits très-certains et très-importants qui se
trouvent dans d'autres hvres, 172. Seconde
réponse : Si l'histoire de Suzanne, de Bel,
du dragon, et le cantique des trois enfants
ne se trouvaient pas dans l'hébreu du temps
de saint Jérôme, ce n'est pas une raison de
les rejeter ; sentiment d'Origène sur ce point,
172 et 173. Troisième réponse : A l'autorité
d'Africain sur ce même sujet, il faut opposer
celle de toutes les églises qui, selon Origène,
recevaient ces histoires comme authentiques
et véritables ; les Pères de l'Église en ont
parlé de même et saint Jérôme se justifie du
reproche que lui avait fait Rufin d'avoir parlé
de ces histoires avec peu de respect, 174,
173. Quatrième réponse : Si Méthodins, Eu-
sèbe et Apolhnaire n'ont pas réfuté Porphyre
sur la vérité de ces histoires, on peut dire
qu'ils se sont trop arrêtés à l'inscription qui
se trouvaitplacée à la tête de ces pièces dans
la version des Septante, et qui en faisaient
auteur Habacuc, fils de Jasu. Analyse du li-
vre de Daniel ; écrits faussement attribués
à Daniel, 175. [Sur quelques passages de
Daniel, par Philon, 313, n. 1.] Daniel est au-
teur de l'histoire de Susanne et de Bel^ selon
saint Irénée, 520, 521 ; selon saint Hippo-
lyte, 636. Commentaire de saint Hippolyte
sur Daniel, 613 et suiv. — Daniel a écrit le
cantique des trois Hébreux dans la four-
naise, selon Tertulhen, II, 69. Ce qu'a fait
Origène sur Daniel, 162. Lettre de Jules Afri-
cain à Origène sur l'histoire de Suzanne, 93,
94 et 170. Réponse dOrigène, 170 et suiv.
— Les 70 semaines prédites par Daniel, ex-
pliquées par Eusèbe de Césarée, III, 194,
195. [Fragment d'un commentaire d'Eusèbe
de Césarée sur Daniel, 260.] Témoignage de
saint Athanase sur le cantique des trois jeu-
nes Hébreux et sur l'histoire de Suzanne,
IV, 189. — Explication de la prophétie des
70 semaines, par sajnt Cyrille de Jérusalem,
V, 44 et 81 . Sentiment de saint Ambroise
sur l'abomination de la désolation prédite
par Daniel, 528. [Dldyme admet comme au-
thentique le cantique des trois jeunes hom-
mes, 628.] — Saint Éphrem cite comme ca-
noniques les fragments grecs de Daniel, VI,
50, 51. [Son commentaire sur Daniel, 439 et
446. Plusieurs traités de saint Zenon de Ver-
ceil sur Daniel, 274. Fragment du commen-
taire d'Eudoxe sur Daniel, 333.] Discours de
saint Astère d'Amasée sur l'histoire de Da-
niel et de Susanne, 296, 297. — Commen-
taire de saint Jean Chrysostôme sur Daniel,
VII, 199. Son sentiment sur la prophétie des
70 semaines, 358. Commentaire de saint Jé-
rôme sur ce prophète, 568, 569. — Témoi-
gnage de Sulpice Sévère sur Daniel, VIII,
123. Homélies de saint Cyrille d'Alexandrie
sur Daniel, 324. — Commentaires de Théo-
doret sur les prophéties de Daniel, X, 40.
Éloge de Daniel, par Photius, 41. Commen-
taire perdu de Gennade, patriarche de Gons-
tantinople, sur Daniel, 345. — [Fragments
du commentaire de Sévère de Sozopole sur
Daniel, XI, 109. Le hvre de Daniel admis
commeauthentiqueparsaintGrégoired'Agri-
gente, 589. Fragments sur Daniel, par Hésy-
chius de Constantinople, 657.] — Soixante-
neuf questions sur Daniel , par Pierre ,
archidiacre, XII, 148, 149. Commentaire
d'Haimon d'Halberstat sur Daniel, 435. Le
commentaire de Raban Maur sur Daniel ne
se trouve plus, 469. — Commentaire de Phi-
lippe de Bonne-Espérance sur le songe de
Nabuchodonosor, XIV, 685. [Richard, prieur
de Saint-Victor, explique les chapitres II,
IV et VII de ce prophète dans un opuscule
intitulé : De eruditione hominis interioris, 703,
706.] Commentaire de l'abbé Joachim sur
Daniel, 830.
DANIEL (Saint), martyr de la Palestine,
m, 12.
DANIEL (Saint), prêtre, martyr en Perse.
Actes de son martyr rapportés par Assé-
mani, IH, 332.
DANIEL, directeur d'un monastère de
vierges en Orient, vient dans les Gaules, où
il est accusé de divers crimes, et néanmoins
se fait ordonner évèque.VIlI, 129 et 130.
DANIEL, abbé, disciple de Paphnuce. Sa
conférence avec Cassien, VIII, 166.
DANIEL, évêque envoyé par saint Cyrille
à Conslantinople, VHI, 260. Saint Cyrille lui
écrit, 291.
DANIEL, prêtre d'Alexandrie envoyé par
309.
308
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLESIASTIQUES.
saint Cyrille à trois évêques orientaux, VIII,
302.
DANIEL, disciple de saint Arsène, chargé
de l'hospitalité, VIII, 399
448. DANIEL, évéque de Charrhes, neveu d'I-
bas, évéque d'Edesse, accusé avec lui au
concile de Béryte, X, 143. Plaintes portées
contre lui à l'empereur, 667, 668.
DANIEL, évéque, à qui Firmus de Césa-
rée en Cappadoce adresse une de ses lettres,
476. DANIEL STYLITE (Saint). Ses comraen-
cements, X, 403. A l'exemple de saint Si-
méon Stylite, il se détermine à vivre sur une
colonne, 404. Recherché par l'empereur
Basilisque et par le patriarche Acace, il se
déclare pour celui-ci, 403. Conduite qu'il
tient avec l'empereur, 404. Saint Gennade,
patriarche de Constantinople , l'ordonne
prêtre malgré lui, 344. Temps de sa mort,
404. Le patriarche Euphémius l'assiste à la
mort et lui donne la sépulture, 483.
DANIEL, moine, auteur de la Vie de saint
Jean Glimaque, XI, 678.
DANIEL, évéque de Salach en Mésopo-
tamie. Son commentaire sur les Psaumes,
XII, 102.
705. DANIEL, premier évéque de Winchester,
évêché démembré de celui de Worchester,
V.718. XI, 804. — Il donne une lettre de recom-
mandation à saint Boniface qui allait trou-
ver le pape Grégoire II, XII, 46. Lettre que
lui écrit saint Boniface, 48. Daniel écrit plu-
sieurs livres contre les Bretons sur le temps
de Pâques, 794.
DANIEL, moine de Lérins, auteur d'un
commentaire sur les Psaumes. (Voyez dans
Y Histoire littéraire de In France, t. VII, p. 42
et t. Vm, p. 319.)
[DANIEL, éditeur du Thésaurus hymnolo-
gicus, où l'on trouve plusieurs hymnes dont
il est parlé au t. VI, 72, et t. XIII, 117.]
iQlg DANOIS. Leur incursion en Angleterre,
XIII, 61. Concile de Londres, pour aviser
aux moyens d'empêcher l'irruption des Da-
nois, 667. Voyez Danemark.
IV siècle. DANSE. Canons cinquante-troisième et
cinquante-quatrième du concile de Laodicée
touchant la danse, III, 513. — Canon neu-
vième du concile d'Auxerre, XI, 898, Canon
vingt-troisième du troisième concile de To-
lède, 903.
DAPHNÉ, bourg près d'Antioche. Son
temple brûlé sous Julien, III, 409, et VII,
9i.
414.
417.
429.
DAPHNIN. Lettres d'Âlcuin adressées à
Daphnin, XII, 170.
DAPHNOPATES (Théodore). Voyez Théo-
dore Daphnopates.
[DARBOY (l'Abbé), maintenant archevê-
que de Paris. Sa traduction des écrits de
saint Denis l'Aréopagite, X, 553. — Sa Vie
de saint Thomas Becket, XIV, 661.]
DARDANIE, province qui fait partie de la
Dacie. Lettres du pape Gélase aux évêques
de Dardanie, X, 494.
DARD ANUS, préfet des Gaules. Lettre que
lui écrivit saint Jérôme, VII, 560. Lettre
à Dardanus faussement attribuée à saint Jé-
rôme, 565. — Lettre que lui écrivit saint
Augustin, IX, 158, 159.
[DAREMBERG, médecin : son édition du
livre des Subtihtés des créatures, par sainte
Hildegarde, XIV, 597, n. 6.]
[DARFERIUS, comte. Le pape Sylvestre II
lui écrit, XII, 910.]
DARIA, épouse de saint Nicandre, l'en-
courage au martyre, III, 90 et 91.
DARIUS, comte. Lettres de saint Augustin
à Darius et de Darius à saint Augustin, IX,
183 et 575.
DATIVE, évéque d'Afrique, l'un des con- 456
tessurs à qui saint Cyprien écrit et qui lui
répondent, II, 338, 339.
DATIVE (Saint), sénateur, martyr de Car- 3o4.
thage. Sa confession, III, 20, 21.
[DAUM en latin DAUMIUS (Chrétien),
allemand. Son édition des Dialogues d'Hié-
ronyme, VI, 333. — Son édition des œuvres
de Pauhn de Périgueux, X, 443.]
DAUSAS (Saint), évéque, et ses compa- ses.
gnons martyrs en Perso. Leurs actes rap-
portés par Assemani, III, 335, 336.
DAUSQUÉIUS (Claude), jésuite, et ensuite
chanoine de Tournai. Son édition des Dis-
cours de Basile, archevêque de Seleucie,
X, 168.
DAVID , roi et prophète. Histoire de sa Avant j.-c.
vie, I, 123 et suiv. Il est sacré roi à quinze ^''™*
ans; il est mis auprès de Saiil pour adou-
cir ses agitations par les sons de sa harpe,
123. Il défait le géant Goliath, 126. Saûl
conçoit de la jalousie contre lui à l'occasion
de cette victoire, et cherche à se défaire de
lui. David s'enfuit à Najoth, ensuite à Nobé,
de là chez Achis, roi de Geth; délivre Géila,
attaquée par les Philistins, 126. Saillie cher-
che pour le mettre à mort. David l'ayant en
son pouvoir ne veut point lui ôter la vie. Il
se retire de nouveau chez Achis, 126 et 127.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
309
1085. Mort de Saûl. David est sacré roi de Juda.
Toutes les tribus se soumettent à lui. Il est
sacré roi sur Israël. Il chasse les Jébuséens
de Jérusalem, défait les Philistins; trans-
porte l'arche à Jérusalem, forme le dessein
de bâtir un temple au Seigneur. Ses victoires
sur divers peuples, 127. Il commet un adul-
tère et un homicide. Dieu lui pardonne,
mais le punit par diverses afflictions, 127 et
128. Dieu lui envoie le fléau de la peste pour
le punir d'avoir fait faire le dénombrement
de son peuple. David fait sacrer son fils Sa-
lOli. lomon, lui donne divers avis : il meurt. Eloge
de David, 128, Psaumes de David, 129 et
suiv. [Difficultés à vaincre en soutenant que
David est l'auteur de tous les psaumes, 129,
n. 1.] C'est sans fondement qu'on attribuait
à David un psaume eu", 133, 136. — Quatre
livre de l'interpellation de Job et de David,
par saint Ambroise, V, 418, 419. Apologie
de David prr le même saint docteur, 419 et
suiv. Autre apologie de David attribuée au
même, 421 et suiv. — Trois homéhes de
saint Jean Chrysostôme sur Saiil et sur Da-
vid, VII, 168 et suiv. Analyse de ces homé-
lies, 170 et suiv. David, sujet d'un opuscule
faussement attribué à saint Jean Chrysos-
tôme, 33S. David, sujet d'un discours faus-
sement attribué à Jean de Jérusalem, o02.
— Saint Augustin pense que David est seul
auteur des psaumes, IX 582 et 383. — Sen-
timent de Théodoret sur ce point, X, 108.
Quatre discours de Basile de Séleucie sur
David, 167. — Deux discours de saint Cé-
saire d'Arles, XI, 132. David est, selon Cas-
siodore, le seul auteur des Psaumes, 224.
Homélie d'Hésychius sur David, 657. Com-
mentaire où Héséchius essaie de prouver
que David est le seul auteur des Psaumes,
637. Poëme d'Apollonius sur le combat de
David et de Goliath, 743. — OtSce en l'hon-
neur de ce saint roi, noté par Hucbald,
moine de Saint-Amand, XII, 802. — Du Glo-
rieux David : ouvrage de Rupert, abbé de
Tuy, qu'on croit perdu, XIV, 292.
DAVID, diacre, trésorier de l'Église d'E-
desse, X, 146.
DAVID , évêque , dont saint Léon fait
l'éloge, X, 199.
£ siècle. DAVID NICÉTAS, surnommé le Paphla-
gonien, parce qu'il fut évêque en Paphla-
gonie. Ses homélies. Sa Vie de saint Ignace,
patriarche de Constantinople , XII , 736.
Autres écrits qu'on lui attribue, 737.
DAVID , moine de Saint-Laurent de Liège.
(Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. XI, p. 79 et suiv.)
DAVID, roi d'Ecosse : sa Vie, par ^Irède,
abbé de Riedval, XIV, 620.
DAVID (Claude), bénédictin de la congré-
gation de Saint-Maur. Sa dissertation pour
prouver que les ouvrages attribués à saint
Denis l'Aréopagite sont véritablement de lui,
X, 343.
DAVIES (Jean). Son édition du Dialogue
de Minucius Félix, I, 337. — Ses notes sur
l'Épitome des Institutions de Lactance, II,
331. — Son édition des Instructions de Com-
modien, III, 149.
DAZIMONE, canton du Pont, où saint Ba-
sile fit un voyage, IV, 362.
DAZINE ou DAZIZE, à qui Eustathe de
Sébaste adresse un libelle diffamatoire con-
tre saint Basile, IV, 361 et 433.
DÉAL-UN. Lettre que lui écrit saint Lulle, viii siècic.
XII, 131.
DÉBAUCHE. Lettre de saint Augustin à
Corneille pour le retirer de la débauche, IX,
189, 190.
DÉBORA, prophétesse, délivre et juge
Israël, I, 51. — Sentiments opposés de saint
Ambroise et de saint Jérôme sur Débora, V,
327. — Commentaire sur -le cantique de
Débora faussement attribué à saint Jérôme,
VII, 564. — Sentiment de Sulpice Sévère
sur Débora, VIII, 123.
DÉCALOGUE ou les dix préceptes conte-
nus sur les deux tables de la Loi données
aux Israélites par le ministère de Moïse, I,
14, 15. [Traité de Philon le Juif sur les trois
derniers commandements de Dieu, 361.] —
Doctrine de Tertullien sur le Décalogue, II,
81 . — Poëme de saint Grégoire de Naziauze, iv siècle.
V, 274. — Témoignage de saint Augustin,
IX, 498. — Commentaire de Hugues de
Saint-Victor, XIV, 350.
DÈCE, empereur païen, persécuteur. Sa ^ g,^^,ç_
mort, II, 303. — Témoignage de saint Gré-
goire de Nysse sur la persécution de Dèce,
VI, 233, 236.
DÉCENTIUS , évêque de Léon, assiste au j^ ^^^^^^_
concile d'Elvire, II, 603.
DÉCENTIUS, évêque d'Eugubio. Lettre 4,6.
canonique du pape saint Innocent qui lui est
adressée, VII, 318 et suiv.
DÉCIMATION, peine militaire chez les 1,1 siècle.
Romains, II, 473, note 5.
DÉCISIONS sur la discipline ecclésias-
tique attribuées à Théophile d'Alexandrie,
VII, 445 et suiv.
310
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
DÉCLAMATIONS de l'abbé Geofifroi, dis-
ciple de saint Bernard, XIV, 491 .
DÉCOLLATION de saint Jean-Baptiste.
Discours d'Anastase d'Antioclie sur cette
fête, XI, 364. — Discours de Micbel Psel-
lus, XIII, 337; — de Guillaume d'Auvergne,
XIV, 1027.
DÉCRETS. Décret de Boucbart , évêque
de Worms. Dans quel dessein il fut com-
posé, XIII, 92. Sommaire de ce Décret, 92
et 93. Editions de ce Décret, 93. Abrégé de
ce Décret, par un anonyme, 93. [Décret de
Bonison, S66, S67.] — Décret d'Yves de
Chartres, ce que c'est, XIV, 93, 94. Analyse
de ce Décret, 94 et suiv. Editions qu'on en
1127-U51. a faites, 97. Décret de Gratien : en quel
temps il a été composé. Réputation dont il
a Joui d'abord. Fautes qu'on y remarque.
Corrections qui en ont été faites par diffé-
rents papes, 760. [Méthode de citalion du
Décret de Gratien, 761, note 1.] Editions
qu'on a données du Décret, 761. Ce que
contient le Décret. Additions au Décret dé-
signées par le titre Paléas. Lettre d'Antoine
Auguste de la Correction de Gratien, 761 . —
IV siècle. Décrets des conciles. Loi de Constantin qui
les confirme, III, 146. Ordonnance du con-
cile de Telle ou Télepte, VIII, S61.
DÉCRÉÏALE ou compilation des décrets
ecclésiastiques, ouvrage de Bonison, évêque
de Sutri, XIII, S63 et 366, 567.
DÉCRÉTALES (épîtres), vraies et fausses.
Origine des Décrétales, VI, 71. CoUeclions
de ces épîtres depuis saint Sirice jusqu'à
saint Anastase, 73. Fausses Décrétales, 73
et suiv. [Observation sur la collection d'Isi-
dore et sur les arguments employés par
Dom Ceiliier pour combattre les fausses Dé-
crétales, 73, note 1.] Quand elles ont com-
mencé à paraître, 76, 77. Preuve générale
de leur fausseté, 77, 78. Décrétales attri-
buées à saint Clément, 78 et suiv ; à saint
Anaclet, 80; à saint Évariste, 80 et 81 ; à
saint Alexandre, à saint Sixte, 81 ; à saint
Télesphore, 81 et 82 ; à saint Hygin, à saint
Pie, à saint Anicet, 82 ; à saint Soter, 82 et
83 ; à saint Eleuthère, 83 ; à saint Victor,
83 et 84 ; à saint Zéphyrin, 84, 83 ; à saint
Calixte, à saint Urbain, à saint Ponlien, à
saint Antère, 83 ; à saint Fabien, 83 et 86 ;
à saint Corneille, à saint Lucius, 86 ; à saint
Etienne, 86 et 87; à saint Sixte II, à saint
Denis, 87 ; à saint Félix, 87 et 88. Lettre de
ce pape à Maxime, évêque d'Alexandrie, 88.
Epîtres attribuées à saint Eutychien, à saint
Caïus, à saint Marcellin, 88 ; à saint Marcel,
88 et 89 ; à saint Eusèbe, à saint Melchiade,
89. Faux actes de saint Sylvestre, 89 et suiv.
Décrétale attribuée à saint Marc, 92; à
saint Jules, 92 et 93; au pape Libère, à
l'antipape Félix, 93 ; à saint Damase, 93 et
94 ; à saint Anastase, à saint Sixte III, à
saint Léon P% à saint Jean I", 94 ; au pape
Félix III, 94 et 95 ; au pape Boniface II, au
pape Jean II, au pape saint Agapet, au pape
saint Silvérius, 93 ; au pape Pelage I", 93
et 96 ; au pape Jean III, au pape Benoît I",
96 ; au pape Pelage II, 96 et 97 ; à saint
Grégoire le Grand, 97, 98. au pape saint
Deus-Dedit, 98. Conclusion, 98. [Edition des
Décrétales sous le nom le nom d'Isidore Mer-
cator, 98 et 99.] — Angelramne, évêque de
Metz, est le premier qui ait fait usage des
fausses Décrétales ; Riculfe, archevêque de
Mayence, les répand en France, XII, 133.
Elles sont citées par Charlemagne, 244. Ont-
elles été alléguées en preuves par le pape
saint Nicolas I", 379, [non, note 1.]
DÉDICACE. Discours d'Eusèbe de Césa- iv siècle,
rée à l'occasion de la dédicace de l'Église
de Tyr, III, 196 et suiv. — Témoignage de iv siècle,
saint Athanase sur les dédicaces, IV, 217.
— Discours que saint Grégoire de Nysse pa-
raît avoir prononcé à la dédicace d'une
église, VI, 147. — Sermons de saint Augus- iv ou
tin sur la dédicace des églises , IX, 240.
[Deux sermons de saint Augustin sur la dé-
dicace d'une église, 841. Sermon sur la dé-
didace d'une église faussement attribué à
saint Augustin, 833. — On joignait quelque-
fois la dédicace d'une église avec la fête
d'un martyr, X, 273. Discours de saint Avit
pour la dédicace d'une église, 365. Discours
de saint Ennode, 576. — Deux discours de
saint Césaire d'Arles sur la dédicace d'une
église ou consécration d'un autel, XI, 135.
Dédicace des églises au vi" siècle, 388. Con-
ditions que le pape saint Grégoire exigeait
pour autoriser les dédicaces d'églises et de
monastères, 378, 579. Dédicace d'un ora-
toire par saint Colomban, 616. — Hymne
de saint Paulin d'Aquilée sur la dédicace
d'une église, XII, 162. Pourquoi on ne les
dédiait pas en l'honneur des saints de l'An-
cien Testament, 739. Discours de l'empereur
Léon VI sur la dédicace du palais impérial,
775. La solennité de la dédicace des églises
est fixée au dimanche par un concile de
Saragosse, 939. — Homélie de Moïse Bar-
Cépha sur la dédicace de l'Église, XIII, 30,
V siècle.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
311
Trois discours de saint Pierre Damien pour la
dédicace d'une église, 309. Rites observés au
xie siècle dans la dédicace des églises, 452,
4S3. Explication des cérémonies de la dédi-
cace par saintBrunon de Ségni, 501. — Dis-
cours d'Yves de Chartres sur la dédicace d'une
église, XIV, 122. Six sermons du vénérable
Hildebert sur la dédicace des églises, 215.
Témoignage du même sur les indulgences
accordées à l'occasion des dédicaces, 217.
Six sermons de saint Bernard sur la dédi-
cace de l'Église, 484. [Sermon de Nicolas,
secrétaire de saint Bernard, sur la dédicace
d'une église, 736. Deux sermons pour la dé-
dicace de l'église du .Sauveur à Rome, par
Absolon, abbé de Springkirsbach ; deux au-
tres sermons du même pour la dédicace
d'une église, 877.] Sermon du pape Inno-
cent III sur la dédicace d'une église, 1012.
DÉDIMIE, troisième abbesse de Sainte-
Croix de Poitiers, engage Baudonivie à écrire
la vie de sainte Radegonde, XI, 414, 415.
DÉFAUTS NATURELS. Défense de les re-
procher ; cinquante-septième canon aposto-
lique, II, 585.
VII ou DÉFENSEUR, moine de Ligugé et disci-
vm siècle, pjg ^g l'abbé Ursin, compose, par son or-
dre, le recueil des Sentences des Pères or-
thodoxes; idée de ce recueil; différentes
éditions qu'on en a faites, XI, 813. [Édition
dans la Patrologie, 813.] (Voyez l'article de
Défenseur dans l'Histoire littéraire de la
France, t. III, p. 654, et le Supplément, t.
XI, p. X.)
DÉFENSEURS des églises et des pauvres,
les évêques d'Afrique demandent à l'empe-
reur la permission d'en établir, VIII, 538.
Défenseurs des églises chargés d'en pour-
suivre les affaires ; les évêques d'Afrique
demandent à l'empereur la permission d'en
établir, 542. — Décret attribué au pape Pe-
lage II qui défend de choisir des moines pour
défenseurs des églises, XI, 339. Défenseur
d'une province ecclésiastique ; c'était un
clerc destiné à exécuter les ordres du pape
pour l'utilité des pauvres, 505. Le pape
saint Grégoire établit un corps de défen-
seurs, 510.
lY siècle. DÉFINITIONS. Poëme de saint Grégoire
de Nazianze contenant diverses définitions,
V, 291.
375. DÉGRADATION DES CLERCS. Canon
trente-deuxième dans la deuxième épître
canonique de saint Basile le Grand, IV, 467.
Canon quarante-huitième du quatrième con-
cile de Carthage, 430, 431. — Exemple de
dégradation dans un concile tenu dans les
Gaules, XII, 959.
DEGRÉS SACRÉS. [Sept degrés désignés 393.
par un anonyme du n" siècle, I, 542.] —
Canon dix-neuvième du concile d'Hippone, 397.
VII, 715. Canon quarante-huitième du troi-
sième concile de Carthage, 725.
DEGRÉS DE CONSANGUINITÉ ou de
PARENTÉ. Décision du pape saint Grégoire
au sujet de ces degrés, XI, 525, 526. —
Lettre de Raban Maur au sujet des degrés
de consanguinité dans lesquels il est permis
de contracter mariage, XII, 458. — Lettre xi siècle,
du pape Alexandre II, au clergé de Naples,
touchant les degrés de parenté, XIII, 291.
Opuscule de saint Pierre Damien sur la même
matière, 312. Constitutions synodales des
patriarches Michel Cérularius et Constantin
Lichudès sur les degrés dans lesquels il est
défendu de contracter mariage, 338. — Ca- 1215.
non du quatrième concile de Latran qui res-
treint au quatrième degré de parenté la dé-
fense de contracter mariage, XIV, 1170.
DEGRÉS D'AFFINITÉ diminués par le ms.
concile de Latran, XIV, 1169.
DÉGUISEMENTS défendus par le concile
de Quinisexte, XII, 963.
DÉLATEURS. Canon cinquante-sixième du 398.
quatrième concile de Carthage, VII, 731.
[DELÉCLUZE, auteur d'un livre intitulé
Grégoire VII, François d'Assise, Thomas
d'Aquin, XIII, 374.]
DÉLECTATION CÉLESTE qui nous fait
surmonter les délectations terrestres ; c'est
le caractère de la grâce de Jésus-Christ, IX,
711.
DELFAU (François), bénédictin de la con-
grégation de Saint-Maur , chargé par ses
supérieurs de l'édition des œuvres de saint
Augustin; une mort prématurée l'arrêta,
IX, 815.
[DÉLICES (Les) de ce siècle passager dé-
tournent l'esprit de la béatitude éternelle,
sujet d'un sermon de saint Éphrem, VI, 497.]
DELPHIN (Saint), évêque de Bordeaux,
assiste au concile de Saragosse, IV, 615.
— Il était lié d'amitié avec saint Phébade
d'Agen, V, 373. — - Il baptise saint Paulin,
évêque de Noie, VIII, 51. Lettre que lui ^g_
écrit ce saint, 59, 60. Autre, 63. Autre ; au- ^qj
tre, 67. Autre, 75. (Voyez son article dans
l'Histoire littér. de la France, II, 44 et suiv.)
DELPHIN (Saint) , évêque de Lyon, donne à
saint Wilfrid la tonsure à la romaine, XII, 62.
380.
312
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
DELRIO (Martin-Antoine), jésuite. Ses no-
tes sur le traité de Mamert Claudien : De la
nature de l'âme, X, 359. Son édition du
poème d'Orientius intitulé Avertissement
aux fidèles, 100, note 2.
DÉLUGE. Saint Optât de Milève le regarde
comme la figure du baptême, V, 133, et
note 4. Sentiments de saint Ambroise sur le
déluge, 518, 525. — Opuscule faussement
attribué à saint Jean Chrysostôme sur le dé-
luge, VII, 335. — Sermon faussement attri-
bué à saint Augustin sur le déluge et la
persécution des barbares, IX, 284. Remar-
ques de saint Augustin sur le temps du dé-
luge, 313. — Discours de Basile de Seleucie
sur le déluge, X, 164, 165.
DÉMÉTRIADE, fille d'Anicius Probus,
VI, 286.
V. 412. DÉMÉTRIADE (Sainte), fille d'Olybrius,
consul, embrasse la virginité par les exhor-
tations de saint Augustin, IX, 17. — Lettre
*!*• que lui écrivit saint Jérôme, VII, 642. Let-
tre de Pelage à Démétriade, 342. Cette let-
tre est dans l'appendice des œuvres de saint
Jérôme, 646, — et dans l'appendice des
œuvres de saint Augustin, IX, 194. Saint Au-
gustin parle de cette lettre, 159 et 452. —
Lettre à Démétriade sur la grâce ; elle a été
attribuée à saint Ambroise, mais elle n'est
pas de lui, V, 511. — L'auteur de cette let-
tre est le même qui a écrit la Vocation des
Gentils ; ce qu'elle contient, X, 246.
m siècle. DÉMÉTRIEN, gouverneur d'Afrique, per-
sécute les chrétiens, II, 285. Il les accuse
d'être la cause des fléaux qui ravagent l'em-
pire, 286. Ecrit de saint Cyprien contre lui,
286 et 287.
252. DÉMÉTRIEN [ou DÉMÈTRE,] élu évêque
d'Antioche, II, 403.
IV siècle. DÉMÉTRIEN, disciple de Lactance qui lui
adresse son livre de l'Ouvrage de Dieu, II,
493 ; et deux livres de ses lettres, 508.
DÉMÉTRIUS, évêque d'Alexandrie, s'é-
III siècle, lève contre Origène, assemble deux conciles
et l'excommunie, II, 133. Sa lettre au pape
Victor et aux évoques de Jérusalem et d'An-
tioche touchant la fête de Pâques, 342. Con-
ciles qu'il assemble contre Origène, 332,
553. — Il le condamne, VII, 436.
DÉMÉTRIUS, prêtre d'Alexandrie, II, 398.
262. DÉMÉTRIUS, évêque d'Egypte, à qui
l'empereur Gallien écrit, II, 412.
304. DÉMÉTRIUS, centenier, présente les saints
confesseurs Taraque, Probe et Andronic au
gouverneur Numérieu, III, 32.
DÉMÉTRIUS (Saint), martyr à Thessalo- |
nique. Vie de saint Démétrius, traduite en *
latin par Anastasele Bibliothécaire, XII, 714.
Discours de l'empereur Léon VI en son hon- ^
neur, 775. Sa prédiction de la ruine de Thés- ]
salonique, 797. — Hymne en son honneur et î
relation de ses miracles , par Épiphane ,
prêtre de Jérusalem, XIII, 31.
DÉMÉTRIUS, moine, prie saint Jean
Chrysostôme d'écrire sur la componction,
Vn, 23.
DÉMÉTRIUS, évêque de Pessinonte, va à
Rome pour la défense de saint Chrysostôme,
VII, 127. Est relégué dans l'Oasis, 134.
DÉMÉTRIUS, à qui saint Nil écrit, VIII,
217.
DÉMÉTRIUS, évêque de Phihppe, envoyé
à Rome par l'empereur Justinien, XI, 116.
DÉMÉTRIUS, évêque de Naples. Lettre 590.
que lui écrit le pape saint Grégoire, XI, 481.
Il est déposé pour ses crimes, 487.
[DÉMÉTRIUS LE SYNCELLE, métropolite loso.
de Cyzicène. Sa réponse sur les noces pro-
hibées est au tome GXIX de la Patrologie
grecque.]
DÉMÉTRIUS DE CYZIQUE. Son écrit de xi siècle,
l'origine des erreurs des Jacobites et des
Chatzizariens, XI, 809. Le père Combefislui
attribue aussi le Mémoire sur le schisme des
Arméniens, 810. [Temps où il a vécu, 809, lOso.
note!.]
DÉMÉTRIUS CYDONIUS. Sa Monodie ou xiv sièeie.
complainte sur les ravages arrivés à Thes-
salonique par des guerres intestines ; édi-
tions de cet écrit, XII, 798. [On l'a reproduit
au tome CIX de la Patrologie grecque.]
DÉMÉTRIUS DE LAMPE. Son erreur sur U66.
l'égalité du Père et du Fils condamnée dans
un concile de Constantinople, XIV, 1131 .
DEMEURES DU CIEL. Discours de saint
Éphrem sur les différentes demeures du ciel ;
autre sur la demeure des bienheureux ,
VI, 10.
DEMI-ARIENS. Voyez Semi-Ariens.
DEMI-PÉLAGIENS. Voyez Semi-Pélagiens.
DEMI-TON. Traité du demi-ton, ouvrage
de Raoul de Laon, XIV, 183.
DÉMOCRATE, maître de rhétorique de
saint Augustin, IX, 2.
DÉMOCRITE, philosophe. Son sentiment
sur le bonheur de l'homme, X, 97.
DÉMONIAQUES. Saint Antoine en guérit
plusieurs par le signe de la croix, III, 388.
— Défense à ceux qui sont possédés du dé-
mon de servir à l'autel, Xll, 941.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
313
DÉMONS. Doctrine d'Hermas sur le dé-
mon, I, 335; de saint Ignace d'Antioche,
376. Témoignage et doctrine de saint Justin,
426 et 439 ; de saint Tliéopliile, 480 ; de Ta-
tien, 491 et note 1 ; de Minucius Félix, S53,
556 ; de Clément d'Alexandrie, 596; — d'Ori-
gène, II, 216 et 221, 222; de saint Gyprien,
287 ; de Lactance, 498, 515. On croyait que
les démons se repaissaient du sang des vic-
times,535. — Doctrine de saint Méthode, III,
70. Témoignages d'Eusèbe de Gésarée : les
démons ou génies, auteurs des oracles, de
l'idolâtrie, de la magie, adorés sous divers
noms de dieux, 185. Puissance de Jésus-
Christ sur eux; témoignage remarquable
de Porphyre, 185 et 191. Le pouvoir de
chasser les démons seperpétue dans l'Église,
238. Doctrine d'Eusèbe de Césarée, 278, 279.
Saint Antoine est tourmenté par le démon ;
il découvre à ses disciples les artifices du dé-
mon et les moyens de les vaincre, 383. Le
seul nom de Jésus-Christ met en fuite les dé-
mons, 388. — Témoignage de saint Atha-
nase touchant les démons, IV, 228. Témoi-
gnage de Julius Firmicus; opinion de cet
auteur, 313. Sentiment de Tite de Rostres,
340; de saint Basile, 374. Doctrine de ce
Père, 375 et 517. Erreurs des Priscillianistes
touchant les démons, 614. Erreurs desMes-
sahens, 643 ; de Jovinien, 651 ; — de saint
Cyrille de Jérusalem, V, 80. Poème de saint
Grégoire de Nazianze sur les tentations du
démon ; antre poème contre le démon, 273.
Témoignage de saint Grégoire de Nazianze
touchant la puissance des démons, 281. Doc-
trine de ce même saint, 321, 322. Témoi-
gnage et doctrine de saint Ambroise, 398 et
547. [Témoignage de Didyme l'Aveugle,
621.] — Doctrine de saint Ephrem, VI, 57.
[Le démon n'est pas l'auteur des ténèbres,
454, 456. C'est lui qui forge des dogmes nou-
veaux ; le démon n'est pas l'auteur du corps
de l'homme, 458. De l'Opération du démon
pervers, par saint Éphrem, 506, 507. De la
Guerre contre les démons, sermon par le
même, 507.] Doctrine de saint Grégoire de
Nysse, 239, 240. — Saint Jean Chrysostôme
explique comment on peut dire des hommes
qu'ils deviennent des démons, VII, 54. Trois
homélies du même sur les démons, 73 et
suiv. Témoignages de Théophile d'Alexan-
drie, 446; — de saint Jérôme, 608 et 665 ;
— de Bachiarius, V1II,47. [Sermon d'Eusèbe
d'Alexandrie sur le diable, 383.] Comment
le démon connaît nos pensées, 491. Canon
d'un concile d'Orange touchant ceux qui ont
été publiquement agités du démon, 609. —
Témoignages de saint Augustin, IX, 67 et
321, 322. Livre des Prédictions des démons,
ouvrage de saint Augustin, 279, 280. Doc- Entre «6 et
trine de saint Augustin, 466, 480, 499, 505,
554, 729, 737,799. — Erreur des Messaliens
sur le démon, X, 47. Doctrine de Théodoret,
118; de saint Léon, 186; de saint Prosper,
288. Témoignage d'Isaac le Grand, 579. —
Comment le démon persécute les bons, XI,
131. Comment il se présente devant Dieu;
comment Dieu lui parle et comment il parle
à Dieu, selon le pape saint Grégoire ; il n'a
de pouvoir de nous tenter qu'autant que
Dieu lui en donne, 444. Doctrine du pape
saint Grégoire sur les démons, 564. — Erreur
de ceux qui prétendent que les démons re-
viendront à leur premier état, XII, 26. Doc-
trine de saint Jean Damascène, 95. Senti-
ment de Raban Maur, 461. Défense à ceux
qui sont possédés du démon ou agités de
violents mouvements de servir à l'autel, 941.
— Traité des Opérations des démons, ouvrage
de Michel Psellus, XIII, 337. — Livre de
saint Anselme intitulé : De la Chute du dia-
ble, XIV, 13, 14. Voyez Anges et Oracles.
DÉMONSTRATION ÉV ANGÉLIQUE. Livres
de la Démonstration évangélique, seconde
partie d'un ouvrage d'Eusèbe de Césarée
contre les païens, III, 188 et suiv. Voyez
Eusèbe de Césarée.
DÉMONSTRATION SYLLOGISTIQUE. Ou-
vrage de Théodoret, qui est la récapitula-
tion de son Eraniste ou Polymorphe, X,
82, 83.
DÉMOPHILE, fait évêque de Constanti-
nople par la faction des Ariens, IV, 437.
DÉMOPHILE, moine à qui est adressée
une des lettres attribuées à saint Denis
l'Aréopagite, X, 351.
DÉMOSTHÈNE, maître d'hôtel et officier
de l'empereur Valens dans le Pont et la Cap-
padoce, IV, 357 et 363. Il veut faire des re-
proches à saint Basile de Césarée, 357. Il
vient à Césarée et à Sébaste et persécute
ceux qui communiquaient avec saint Basile,
363. Il soutient les Ariens, fait assembler un
concile à Ancyre, 476 et 603 ; et un autre
conciliabule à Nysse contre saint Grégoire
de Nysse, 476 et 604. Lettre que saint Basile
le Grand lui écrit, 476. — Il veut faire arrê-
ter saint Grégoire de Nysse, VI, 121.
[DENAIN. A traduit en français plusieurs
ouvrages des Pères dans les Chefs-d'oeuvres
IV siècle.
372.
376.
375
314
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
des Pères et dans les Pères, traduits en fran-
çais par M. de Genoude, souvent cité dans
les tomes I et II; a traduit en français avec
notice et notes les Méditations de saint An-
selme, XIV, 43.]
[DENIER d'or donné aux baptisés, VI,
274, 275.]
1 siède. DENIS L'ARÉOP AGITE (Saint), premier
évêque d'Athènes. Liturgie qui lui est attri-
buée, I, 288. Témoignage de saint Denis de
Corinthe sur saint Denis l'Aréopagite, 462.
— [Sermon sur saint Denis l'Aréopagite, at-
tribué au pape saint Léon le Grand, X, 276.
Histoire de saint Denis l'Ai'éopagite, 534.
A-t-il été envoyé dans les Gaules, 534 et
suiv. Voyez ci-dessous saint Denis de Paris
qui serait le même que saint Denis l'Aréo-
pagite.] — Discours de Michel, prêtre de
Jérusalem, en l'honneur de ce saint, XII,
362. Opinion qui fait saint Denis l'Aréopa-
gite, le même que saint Denis, évêque de
Paris ; ce qu'en disent les Aréopagitiques
d'Hilduin, 384, 385. Panégyrique de saint
Denis l'Aréopagite, par saint Méthodius, pa-
triarche de Constantinople, 424. Sa Vie, tra-
duite en latin parAnastasele Bibliothécaire,
ne se trouve plus ; on en a imprimé la préface,
7i4. — Bulle attribuée au pape saint Léon IX
en faveur de ses reliques prétendues parles
moines de Saint-Emmeran de Ratisbonne ;
cette bulle est visiblement supposée, XIII,
208. Histoire de la translation de ses reli-
ques, attribuée au moine Othlon, 283, 284.
— Sentiment d'Abaillard sur l'apostolat de
ce saint, XIV, 319. Lettre du même sur un
témoignage de Bède qui prétend que saint
Denis l'Aréopagite était évêque de Corinthe,
326. — La question sur l'auteur des livres
qui portent le nom de saint Denis l'A-
réopagite est du nombre de celles qui
trouveront toujours des partisans pour et
contre, X, 539. Preuves qu'allèguent ceux
qui prétendent que saint Denis l'Aréopagite
est auteur des hvres qui portent son nom,
519 et suiv. Réponses des contradicteurs,
541, 542. Preuves qu'allèguent ceux qui sont
d'un sentiment contraire, 542, 543. Répon-
ses des défenseurs du premier sentiment,
543. Ce qu'on peut penser des ouvrages at-
tribués à saint Denis l'Aréopagite , 544.
[Authenticité de ces ouvrages, d'après l'opi-
nion la plus probable, 7ol et suiv.] Analyse
de ces ouvrages, 5i4 et suiv. Livre de la
Hiérarchie céleste, 544, 545 ; de la Hiérar-
chie ecclésiastique, 546 ; des Noms divins,
550; de la Théologie mystique; Lettres sous
le nom de saint Denis, 551 . Ouvrages per-
dus, 552. Éditions et traductions qu'on a
faites des œuvres de saint Denis l'Aréopa-
gite, 553. [Autres éditions et traductions,
553. M. l'abbé Dulac a publié en 1865, chez
Martin Beaupré, à Paris, une nouvelle tra-
duction française des œuvres de saint Denis
l'Aréopagite, 1 vol. in-8° avec prolégomènes,
manchettes, notes, table analytique et al-
phabétique, table détaillée des matières.]
Scholies sur les livres de saint Denis l'Aréo-
pagite, attribuée à saint Denis d'Alexandrie,
539. — Saint Denis l'Aréopagite, cité par
l'auteur du commentaire sur saint Luc, at-
tribué à Tite de Rostres, IV, 344. — Le livre
des Noms divins cité par le moine Jobius,
XI, 184. Saint Denis, cité par Léonce deBy-
zance, 669 ; par saint Sophrone, patriarche
de Jérusalem, 704. Commentaire da saint
abbé Maxime sur les livres attribués à saint
Denis l'Aréopagite, 770. — Les ouvrages
attribués à saint Denis sont cilés par André
de Crète, XII, 59; par saint Jean Damas-
cène, 71 et 77. Ils sont commentés parPho-
cas d'Édesse. Autres commentaires sur les
écrits qu'on lui attribue, 101. Ces ouvrages
sont apportés en France et recueillis par
Hilduin, 384, 385. [Auteurs qui avant Hilduin
ont fait un seul et même personnage de saint
Denis l'Aréopagite et de saint Denis de Paris,
385, note 1.] Ou trouve cités ces écrits dans
la conférence tenue à Constantinople contre
les Sés'ériens, 385. Traduction latine des œu-
vres de saint Denis l'Aréopagite par Jean
Scot, 607, 608 [et note 7]. Autres traduc-
tions, 608. Anastase le Bibliothécaire traduit
les scholies faites sur le livre de saint Denis,
714. Un passage cité par les Monothélites
comme étant tiré de la lettre de saint Denis
à Gaius et favorable à leur hérésie est expli-
qué dans un sens catholique au concile de
Latran, 928. — Commentaire de Hugues de
Saint- Victor sur la Hiérarchie céleste, XIV,
349.
DENIS (Saint), premier évêque de Paris, i siècle
martyr, III. — [A-t-il été envoyé dans les ^ c^'uia
Gaules au premier siècle? X, 534, 535. Ob- lii siècle,
jections contre la mission de saint Denis au
premier siècle, 535 et suiv. La mision de
saint Denis au premier siècle et son identité ^
avec saint Denis l'Aréupagite sont deux tra- )
ditions distinctes, 539.] — Les ùctes de saint
Denis ne sont pas de Portunat de Poitiers,
XI, 412. On l'a identifié avec saint Denis
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
315
l'Aréopagife. Ce qu'en disent les Aréopage-
tiques d'Hilduin, XII, 384, 383. Lettre sur
ce sujet attribuée à Hincmar de Reims, 687.
Poëme de Roswithe de Gandersheim, en
l'honneur de saint Denis, 877. — Poëme du
roi Robert, XIII, i08. Histoire de la trans-
lation du corps de saint Denis en Allemagne,
attribuée àOtbon, moine de Saint-Emmeran
de Ratisbonne, 283. Raisons de croire qu'elle
est l'ouvrage du même imposteur qui a fa-
briqué, sous le nom de Léon IX une bulle
qui déclare que le corps de saint Denis était
à Ratisbonne, 283 et 284. — Histoire de la
translation des reliques des saints Denis,
Rustique et Eleuthère, écrite par l'abbé
Suger, XIV, 376. Sermon de Guillaume
d'Auvergne pour la fête de saint Denis,
1027. — [Pièce de vers, par Fardulfe, en
l'honneur des temples de saint Denis, XII,
218.] — Legs que fait sainte Perpétue aune
église de saint Denis, X, MO. — Abbaye du
nom de Saint-Denis près Paris. Le pape
Etienne II lui accorde le privilège d'avoir
un évéque particulier, XII, 114. Confirma-
tion de ce privilège par le pape Adrien I",
139. [Privilège que Léon III lui accorde, 402.]
Privilèges que le pape Benoît III accorde à
cette abbaye, 410 et 411. Immunités de
cette abbaye confirmées par le roi Dago-
bert, 921. Privilège accordé à cette ab-
baye par le concile de Clichy, 935. —
Un concile de Rome permet à l'abbé de
Saint-Denis de recevoir le Saint-Chréme de
l'archevêque de Reims ou de ses suflfra-
gants, XIII, 288. — Réforme de cette abbaye
par l'abbé Suger, XIV, 374. Histoire du gou-
vernement de cet abbé , écrite par lui-
même. Histoire de la dédicace de cette ab-
baye, écrite par le même, 376. Constitutions
de Suger pour cette abbaye, 376 et 377.
Charte du roi Robert accordant de nouveaux
privilèges à cette abbaye, 1035. Concile qui
y fut tenu et où l'on fit la reconnaissance
des reliques des saints martyrs, 1038, 1039.
— Abbaye sous le nom de Saint-Denis dans
un des faubourgs de Reims : l'archevêque
Gervais y met des chanoines réguliers, XIII,
264.
DENIS (Saint), évêque de Corinthe, 1,461
et 462. En quel temps il fleurissait, 461. Ses
huit lettres ; la première aux Lacédémo-
niens, la seconde aux Athéniens ; la troi-
sième aux fidèles de Nicomédie contre les
erreurs de Marcion ; la quatrième aux Gor-
tyniens ; la cinquième à l'Église d'Amastis ;
la sixième aux Cnossiens et à Pinytus, leur
évêque ; la septième à l'église de Rome et à
Soter qui en était évêque ; la huitième à sa
sœur Ghrysophore, 461. Autres écrits de
saint Denis, 461 et 462.
DENIS, évêque de Vienne, au temps du
pape Victor, VI, 84.
DENIS (Saint), évêque d'Alexandrie et
confesseur : histoire de sa vie, II, 396 etsuiv.
Naissance de saint Denis. Sa conversion ,
396. Il est fait prêtre et catéchiste, 396 et
397. Il est fait évêque d'Alexandrie. Il est
arrêté prisonnier et délivré par des paysans,
397. Soin de saint Denis pour son peuple pen-
dant sa retraite. Il travaille à éteindre le
schisme et l'hérésie de Novalien, et à réta-
blir la paix dans l'Église d'Antioche. Il écrit
au pape saint Etienne sur la question du
baptême. Lettre que saint Etienne lui écri-
vit sur le même sujet, 398. Saint Denis entre
en conférence avec les Arsinoïtes, 398 et
405, 406. Il confesse Jésus-Christ, et est
banni à Kephro dans la Maréote, 398 et
406. Lettres de saint Denis pendant son
exil. Il retourne à Alexandrie, 399. Il est
accusé de nier la consubstantialité du Verbe ;
il s'en Justine, 399 et 400. Il est appelé au
concile d'Antioche contre Paul de Samosate.
Il meurt, 401. Ecrits de saint Denis, 401 et
suiv. Lettre de saint Denis à Novatien ; aux
confesseurs de Rome, 401. Diverses autres
lettres de saint Denis, 401 et 402. Lettres du
même à Fabius d'Antioche, 402, 403. Ce
qu'il y rapporte des martyrs d'Alexandrie
sous Dèce, 403. Lettre de saint Denis à saint
Corneille, 403, 404; à Origène. Discours de
saint Denis sur la solennité de Pâques, 404.
Ecrit contre saint Népos, contre les Millé-
naires, 404 et suiv. Sa Conférence avec les
Arsinoïtes, 403, 406. Suite de son écrit con-
tre les Millénaires, 406. Lettre de saint Denis
au pape saint Etienne, 406 et 407. Autres
lettres du même à saint Sixte, 407. Lettres
que lui écrivent saint Denis et Philèmon,
prêtres de Rome, 407 et 408. Réponse qu'il
leur fait, 408, 409. Réponse de saint Denis
aux calomnies de Germain. Sa lettre à Do-
mice et à Didyme, 409. Lettres pascales de
saint Denis, 409 et 410. Sa lettre canonique
à BasiHde, 410, 411. Autres lettres pascales
du même, 411, 412. Lettre du même à Her-
mammon et à Théotécine ; aux fidèles d'E-
gypte, 412. Ses écrits à Euphranor et à Ti-
mothée, 412 et 413. Autres contre Sabellius,
413 et suiv.; contre Paul de Samosate, 416,
231.
248.
250.
251 et 252.
254,255,256.
257.
258, 259.
260, 261.
264.
251.
254.
255.
255.
257 et 258.
258 et 259.
2B0.
263.
264.
316
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
417. [Fragment d'un écrit sur la pénitence,
401, note 10. Lettre de saint Denis à Paul
de Samosate. Est-elle authentique ? 416,
note 10. Ses écrits exégétiques sur l'Ecclé-
siaste, 411, note 8; et 417, 418; sur saint
Luc et sur saint Jean, 418, 419. Editions de
ses écrits, 419. Sa lettre au diacre Conon
sur la pénitence canonique a été publiée en
grande partie par le cardinal Pitra dans le
premier volume des Monumenta Juris eccle-
siastici Grœcorum.] Jugement de ses écrits,
419. Conférence de saint Denis avec le peuple
d'Arsinoé, en Egypte, 364, 56S. H est calom-
nié sur la doctrine auprès du pape saint
Denis. Concile de Rome à ce sujet, S65. —
Apologie de ce saint par saint Atbanase, IV,
114, 113. Pensées de saint Basile sur les
écrits de saint Denis, 428. Saint Basile lui
attribue d'avoir admis le baptême des Pépu-
zéniens ou Montanistes 456. — On lui attri-
bue des scholies sur le livre de saint Denis
l'Aréopagite, X, 339.
256. DENIS (Saint), pape, II, 248 et suiv. Il est
prêtre de Rome; il écrit touchant le bap-
259. tême. Il est élu pape ; il écrit aux fidèles de
Cappadoce, 448. Il tient un concile à Rome
et écrit contre les Sabelliens et les Marcio-
nites. Sa doctrine sur la Trinité. Fausses
décrétales qui lui sont attribuées, 449. Es-
time qu'on a faite de saint Denis, 450. [Édi-
tions des écrits de ce pape, 430.] — Lettre
que lui écrivit saint Denis évêque d'Alexan-
III siècle, drie , II , 448. Le concile d'Antioche lui
mande la déposition de Paul de Samosate,
568 et suiv. Faux concile contre Paul
de Samosate, 572. — Témoignage que lui
rend saint Basile, IV, 442. — Décrétales
faussement attribuées à ce saint pape, VI, 87.
304. DENIS (Saint), de Tripoliteus, et un autre
Denis, martyrs de Palestine, IIl, 6.
DENIS, oncle de saint Pancrace, Itl, 24.
325. DENIS (le comte), assiste au concile de
Tyr, III, 430. Intimide les Eusébiens par
l'autorité d'Alexandre, évêque de Thessalo-
nique, 452.
IV siècle. DENIS (Saint), évêque de Milan, prend la
355. défense de saint Atbanase, III, 528. — Saint
Denis et les autres évêques catholiques font
rentrer Lucifer de Cagliari au concile de
Milan, IV, 240. Il mourut dans son exil, et
saint Basile envoie son corps à saint Am-
broise, 464. — Témoignage que lui rend
saint Ambroise, V, 491. — Vers à sa louange,
par saint Ennode, X, 576.
DENIS, évêque de Diospolis en Palestine,
confesseur, IV, 618. — Il baptise les caté-
chumènes de saint Jérôme, VII, 611.
DENIS, moine de saint Basile, IV, 429.
DENIS, général de la milice. Jean d'An-
tioche lui envoie la loi contre les schisma-
tiques pour l'exécuter. Il écrit en consé-
quence aux évêques dénommés dans cette
loi, VIII, 248. Alexandre Hiéraple lui écrit,
380. — Peut-être le même que celui qui
obligea Timothée Elure de sortir d'Alexan-
drie, X, 176.
DENIS, patriarche des Jacobites, X,
142,
DENIS, rhétoricien d'Alexandrie, est, se-
lon quelques-uns, l'auteur des ouvrages at-
tribués à saint Denis l'Aréopagite, avec le-
quel on l'a confondu, X, 541.
DENIS LE PETIT. Ce qu'on sait de sa per- v. 540.
sonne, XI, 121 ; de sa science et de ses ver-
tus, 121 et 122. Il enseigne la dialectique
pendant plusieurs années. Bède le qualifie
abbé de la ville de Rome ; on ne sait cepen-
dant pas qu'il ait été supérieur d'aucune
maison monastique. Sa mort, 122. Son code
des canons des conciles d'Orient et d'Occi-
dent. Histoire de ce code, 122 et 123. Edi-
tions qu'on en a faites, 123. [Autre édition,
122.] [Édition des œuvres de Denis le Petit
dans la Patrologie, 122 et 125.] Cycles de
Denis, 123. Ses lettres sur la fête de Pâques,
123 et 124. Différentes traductions qu'il a
faites du grec en latin, 123. — Version la-
tine de la Vie de saint Pacôme, III, 368. —
Sa version latine du traité de saint Grégoire
de Nysse : De la Construction de l'homme,
VI, 128. — Son Cycle corrigé par Abbon de
Fleury, XIII, 33.
[DENIS de Telmera en Carie, écrit une vu siècle,
chronique en syriaque, XI, 813.]
DENIS, évêque de Séleucie, XI, 701.
DENIS, évêque d'Ascalon, XI, 702.
DENIS LE CHARTREUX. Son commen-
taire sur les sept lettres de saint Antoine,
III, 392. — Sa paraphrase des écrits de Cas-
sien , VIII, 204. — Ses paraphrases sur
l'Echelle de saint Jean Climaque, XI, 691.
[DENIS. Son édition de vingt-cinq sermons
de saint Augustin, IX, 882 et suiv.]
DENISE (Sainte) deLampsaque, vierge et 250.
martyre, II, 118.
DENISE (Sainte), martyre à Alexandrie, asi.
Il, 402.
DENISE (Sainte), martyre en Afrique dans v siècle,
la persécution d'Hunéric, X, 459.
[DÉNOMBREMENT. Il y en eut un à Baby-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
317
454.
841.
343,
401.
)rès 4o!
418.
lone et un au retour des Juifs à Jérusalem,
I, 67, note 1.]
DÉNONCIATEURS. Soixante-treizième ca-
non du concile d'Elvire, II, 61.3.
DENT de Notre-Seigneur. Relique qu'on
prétendait avoir à l'abbaye de Saint-Médard
de Soissons ; ouvrage de Guibert de Nogent
pour prouver que cette relique ne peut être
véritable, XIV, 197 et suiv.
[DENZINGER, professeur de théologie en
l'université de Wurtzbourg. Ses Prolégo-
mènes sur les fausses décrétales, VI, 99. —
Sa dissertation sur onze messes gallicanes
publiées par Mone, XIII, 13. Son édition des
commentaires de saint Brunon, évêque de
Wurtzbourg, 116. Il a publié aussi les hym-
nes composées par Héribert, évêque d'Eis-
chtoedt, 117.]
DÉOBGYTE. Lettre de consolation que lui
écrit saint Lulle, XII, 131.
DÉODAT, évêque de Mâcon, XI, 754.
DÉODÉRIC , évêque de Metz. Voyez
Thierri /".
DÉODUIN, évêque de Liège .Voyez Théoduin.
DEO GRATIAS. Paroles que les moines se
disaient en se rencontrant, IX, 787.
DEOGRATIAS, prêtre. Lettre ou livre de
saint Augustin à Deogratias, IX, 104. Peut-
être le même que le diacre Deogratias à qui
saint Augustin avait adressé son traité de
la Manière d'instruire, 264.
DEOGRATIAS, évêque de Cartbage. Sa
charité pour les prisonniers que Genséric
avait faits en Italie ; sa mort, X, 450.
DÉPOSITION des clers. Vingt-neuvième
canon apostolique, II, 582. Trente-deuxième
canon apostolique, 583. Canon cinquante-
unième du concile d'Elvire, 611. Canon
soixante-seizième du même concile, 613. —
Canon quatrième du concile d'Antioche, III,
467. Canon douzième du même concile,
Déposition des évêques ; canons troisième,
quatrième et cinquième du concile de Sar-
dique, 485, 486. — Règlement du concile
général de Carthage, VIII, 538. Canon qua-
torzième du concile de Rome sous le pape
sainl Innocent, 546. Ordonnance du concile
de Telle ou Téleple, 561.
[DERMACE, hibernois, demande à Raim-
baud, prévôt de l'Église de Liège, une lettre
pour le recommander aux fidèles dans son
voyage de Terre-Sainte; écrit que lui donne
Raimbaud, XIV, 185.]
DERMACH, monastère bâti en Irlande par
saint Golomban l'Ancien, XI, 330.
DÉS. Traité contre le jeu de dés fausse-
ment attribué à saint Gyprien, II, 346. Ca-
non soixante-dix-neuvième du concile d'El-
vire touchant le jeu de dés, 614.
DESCENTE de Jésus-Christ aux enfers.
Doctrine du pape saint Grégoire sur ce
point, XI, 507, 508. — Quel en fut l'effet se-
lon Philippe le Sohtaire, XIV, 84.
DÉSERT. Eloge du désert; lettre de saint
Eucher à saint Hilaire ; analyse de cette
lettre, VIII, 443, 444. — Désert spirituel.
Sujet d'un ouvrage de saint Ildefonse de
Tolède, XI, 775.
DÉSESPOIR. Homélie où saint Jean Chry ■
sostôme parle du désespoir, VII, 265.
DÉSIRÉ. Lettre que lui écrit Sidoine
Apollinaire au sujet de la mort de Phylima-
cie, X, 384.
DÉSIRS. Canon quatrième du concile de iv siècle.
Néocésarée, II, 641. — Doctrine de saint
Augustin, IX, 478, 504, 687.
DESMARES. Sa traduction française de
l'ouvrage de Jonas, évêque d'Orléans, inti-
tulé : Institution royale, XII, 392. — [Sa
traduction française de l'ouvrage de saint
Bernard intitulé : De la Considération, XIV,
499.]
DÉSOBÉISSANCE aux commandements
de Dieu, IV, 396.
[DESPREZ (Jean), imprime différents
opuscules de Jean de Garlande , Xlfl,
^30.]
DESTIN. Sa nécessité combattue par Eu- jy siècle,
sèbe de Césarée, III, 177, 178. — Éciits de
Diodore de Tarse contre le destin, IV, 589.
— Livre de saint Grégoire de Nysse contre
le destin, VI, 153, 154. [Destin combattu
par Némésius, 285. Doctrine de saint
Ephrem, 433.] — Sis discours sur le destin ly siècle,
et la providence attribués à saint Jean
Chrysostôme, VII, 97. Opuscule sur le des-
tin faussement attribué à saint Jean Chry-
sostôme, 335. — Témoignage de saint Pau-
lin sur le destin, VIII, 85. Traité de saint
Isidore de Péluse contre le destin; il n'existe
plus, 479. — Doctrine de saint Augustin,
IX, 478, 534, 724. La grâce ne détruit pas
le libre arbitre et n'introduit pas le destin,
724. — Ce que c'est que le destin selon
Boëce, X, 662. — Vanité du destin prouvée
par le pape saint Grégoire, XI, 579. Doctrine
des païens sur le destin, combattue par
Léonce de Naples, 666. (Voyez Fatalisme.)
DEUIL. Usage de se couper les cheveux Xlt siècle,
dans le deuil, V, 330,
tVet
V siècle.
318
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
600.
601.
61*.
617.
649.
1099.
IV ou
y siècle.
Ht siècle.
DEUIL, prieuré dépendant de l'abbaye de
Saint-Denis. Abailard y ouvre une école,
XIV, 319.
DEUS-DEDIT, greffier à Ravenne. Lettre
que lui écrit Cassiodore, XI, 220.
DEUS-DEDIT, élu évêque de Milan après
la mort de Constantin. Lettre du pape saint
Léon à son sujet, XI, 520. Lettre que lui
écrit ce pape, 528.
DEUS-DEDIT, pape, succède à Boniface
IV. Lettre à Gordien évêque de Séville, XI,
645, 646. [D. Ceillier se trompe en disant
que cette lettre est supposée ; seulement,
Gordien était évêque en Espagne, et non
précisément de Séville ; on ignore la ville
dont il était évêque ; réponse de Gordien,
646, note 1.]— Mort de Deus-Dedit, 646.
Décrétale qui lui est faussement attribuée,
VI, 98.
DEUS-DEDIT, évêque de Cagliari, assiste
au concile de Latran, XII, 927 et suiv.
DEUS DEDIT, cardinal du titre de Saint-
Pierre-ès-Liens, très-attaché au pape saint
Grégoire VII, XIII, 568, 569. Sa mort; sa
collection de canons conservée manuscrite
au Vatican ; traité contre les Guibertins,
qu'on lui attribue, et qui semble être le
précédent, 469. [Son traité contre les Simo-
niaques et les Schisma tiques publié par Maï;
analyse de ce traité ; jugement de cet ou-
vrage, 469.] — Dans sa collection de canons,
il place des fragments de dix lettres du pape
saint Gélase, X, 504, 505.
DEUTÉRIUS, évêque des Ariens de Cons-
tanlinople, XI, 104.
DEUTÉRIUS, métropolitain de Césarée
en Mauritanie. Lettre que lui écrit saint Au-
gustin, IX, 184.
DEUTÉRO-CANONIQUES (Livres), c'est-à-
dire qui, n'étant pas dans le canon des
Ecritures divines chez les Juifs, y ont été
depuis ajoutés par les chrétiens ; tels sont
les livres de Tobie, Judith, la Sagesse, l'Ec-
clésiastique, Baruch et les Machabées, I, 90
et suiv,
DEUTÉRONOME, cinquième livre du Pen-
tateuque. Ce livre est certainement de Moïse;
cela est prouvé par la plupart des livres de
l'Ancien Testament, par plusieurs du Nou-
veau, et enfin par livre même du Deutéro-
nome, I, 22, 23. Réponses aux objections,
25 et suiv. Ce que c'est que le Deuléronome,
36. — Ouvrages d'Origène sur le Deutéro-
noroe, II, 151. — Homélie de saint Basile
le Grand sur ces paroles du Deutéronome :
X siècle.
IV siècle.
IV siècle.
Veillez sur vous-même, IV, 378. — [Frag-
ments de saint Ephrem sur le Deutéronome,
VI, 444.] — Questions sur le Deutéronome 4i9.
de saint Augustin, IX, 213. — Autres de
Théodoret, X, 30, 31. Poëme de' saint Avit
sur le Deutéronome, 568- — Commentaire
de Walafride Strabon qui n'a pas été impri-
mé, XII, 416. Voyez Pentateuque.
[DÉTHIERS publie une lettre de la reine
sainte Mathilde, XIH, 334.]
DEVENTER, ville des Pays-Bas. Saint
Ratbod y transfère l'évêché d'Utrecht, XII,
783.
DEVINS. Canon vingt-troisième du con-
cile d'Ancyre, II, 639, 640. — Canon troi-
sième de l'épître canonique de saint Gré-
goire de Nysse, VI, 157. — Canon d'un con-
cile de Narbonne, XI, 898. — Réponse du
pape Léon VII, XII, 828.
DÉVIRCEUS (Renatus), éditeur des ques-
tions de Loup de Ferrières, XII, 312.
DEVOIR CONJUGAL. Voyez Mariage.
DÉVOTIONS particulières observées dans
l'Église du temps de saint Epiphane, VI,
435. — Pensée de saint Léon sur la dévo-
tion, X, 273.
DEXIEN , archevêque de Séleucie , en
Isanrie, vient au concile d'Ephèse ; temps de
sa mort; il a pour successeur Basile, X, 162.
DEXTER, préfet d'Italie, fils de saint Pa-
cien de Barcelone, V, 157. Ses écrits, 157 et
VI, 279.
DIACONESSES, nommées veuves au
temps de saint Ignace d'Antioche, I, 383.
Leurs obligations selon saint Polycarpe ,
393. — Constitutions apostoliques qui les
concernent. II, 593. — Canon deuxième du
concile de Laodicée, lil, 510. Canon qua-
rante-quatrième dans la deuxième épître
canonique de saint Basile le Grand, IV, 468
et 528. — Une diaconesse contribue à la
conversion d'un jeune homme, fils d'un
prêtre des idoles, V, 8. — Deux lois de 390.
Théodose au sujet des diaconesses, VI, 370,
371. Témoignage de saint Epiphane, 432.
— Le concile d'Orange défend d'ordonner *«.
des diaconesses, VIII, 609. Ce que prescrit le
concile de Cbalcédoine à leur égard, X,698.
— Ce que prescrivent les Novelles de Jus-
tinien, XI, 236. La consécration des diaco- 5i7.
nesses abolie par le concile d'Epaone, 816.
Le second d'Orléans défend de recevoir dia-
conesses les femmes mariées, 848.
DIACRES. Témoignages de saint Ignace il sièc
d'Antioche, I, 376 et 383; de saint Polycarpe,
431.
447.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
319
iisiède. 396; de saint Justin, 442; — d'Origène, II,
„iil siècle. 233, 248. Doctrine de saint Cyprien, 301.
Voyez note 5. Fonctions des diacres, 362 et
424. Diacres dans les conciles, 362, 550, 558,
567, 603. Diacres soumis aux évêques ; qua-
V siècle, rantième canon apostolique, 584. Constitu-
tions apostoliques qui les concernent, 592 et
siècle, suiv. Canons trente-deuxième, trente-troi-
sième, soixante-seizième et soixante-dix-sep-
tième du concile d'Elvire, 608, 613, 614. Ca-
nons quinzième et dix-huitième du concile
V siècle. d'Arlcs, 632. Canons deuxième et neuvième
[V siècle, du concile d'Ancyre, 636. Canon quatorzième
325. du concile de Néocésarée, 641. — Canon
dix-huitième du concile de Nicée, III, 437.
Canon vingtième du concile de Laodicée,
511. — Témoignage de saint Athanase, IV,
374. 217, 221, 222. Canon troisième dans la pre-
mière épîlre canonique de saint Basile, 460
et 528. Canon soixante-dixième dans sa troi-
375. sième épître canonique, 474. — Témoignage
de saint Cyrille de Jérusalem, V, 76, 77 ; de
saint Optât de Milève, 129, 130,140; de saint
Ambroise, 558 et 567. — Décret du pape
saint Sirice, VI, 108. Témoignage de saint
Épiphane, 428 et 432; — de saint Jean Chry-
sostôme, VII, 409 et suiv. ; de saint Jérôme,
682 et 699. Les diacres étaient debout dans
les conciles, 719, et VIII, 542. — Canon
quatrième du troisième concile de Carthage,
398. VII, 719. Canon quatrième du quatrième
concile de Carthage, 728. Canons trente-
septième, trente-huitième, trente-neuvième,
quarantième et quarante-unième du même
concile, 729, 730. — Témoignage de saint
Cyrille d'Alexandrie sur les fonctions des
diacres, VIII, 264, 265, 294. Canon premier
du concile de Carthage de 401, 537. Canon
*19. du concile de Telle, 561. Canon seizième du
*4i. sixième concile de Carthage, 563. Le pre-
mier concile d'Orange leur ordonne de gar-
der la continence, 609. — Témoignage de
saint Augustin, IX, 768. — Théodoret offre
les saints mystères sur les mains des dia-
cres, X, 39. Règlement de saint Léon sur les
diacres, 200, 203, 261. Fonctions de leurs
ministères; celles qui leur sont interdites,
503. Canon de saint Patrice contre les dia-
cres qui quittent leur curé, 706. Le concile
d'Angers leur ordonne de déférer anx prê-
tres, 709. A quel âge ils doivent être ordon-
nés, selon le concile d'Agde, 738. Divers ca-
nons concernant les diacres, 741, 742, 743.
— Saint Césaire d'Arles n'ordonnait aucun
diacre qu'il n'eut atteint l'âge de trente ans,
XI, 126. Au commencement du vi^ siècle, il
n'y avait que les diacres de l'Église romaine
qui portassent des dalmatiques; ceux des
autres églises portaient des tuniques à man-
ches étroites, 127. Les diacres ne doivent
prêcher qu'avec la permission de l'évêque,
300. Diacres cardinaux ou régionnaires de
Rome, 429. Lettre que le pape saint Gré- 597.
goire le Grand écrit aux diacres de Catane
sur la prétention qu'ils avaient de prendre
la chaussure particulière aux évêques, 511.
Leurs fonctions, selon saint Isidore de Sé-
ville, 719. Canons du second concile d'Or-
léans concernant les diacres, 848; du con-
cile de Clermont, 849. Un diacre ne peut
être déposé par un prêtre, à l'insu de l'évê-
que, 882. Les diacres doivent porter l'étole
sur l'épaule, pour les distinguer des sous-
diacres, 883. Concile de Rome qui défend
aux diacres de faire les fonctions de chan-
tres, 907. — Article d'un capitulaire deCar-
loman, duc des Francs, touchant l'habit des
diacres, XII, 228. Témoignage de Raban
Maur surles fonctions des diacres ; et sur leurs
devoirs, 453. Diacres faits évêques sans avoir
passé par le degré de la prêtrise, 566. Té-
moignage d'Atton sur la continence des dia-
cres, 821. Canon viugt-unième du quatrième
concile de Tolède louchant l'âge des diacres,
917. — Leur pouvoir dans l'administration
du sacrement de pénitence, XIII, 52. Diacre
qui avait célébré la messe ; pénitence que
prescrit Fulbert de Chartres sur ce sujet, 82.
— [Etienne de Beaugé accorde à tort aux
diacres le pouvoir de confesser, XIV, 305,
n. 1.]
DIADÈME DES MOINE, ouvrage de Sma-
ragde, abbé de Saint-Michel, sur les devoirs
des moines, XII, 233, 236.
DIADOCHUS, évêque de Photice ; en quel ly „„
temps il a vécu ; ses écrits, VI, 316. Son '^ s'^'='«-
traité de la Perfection spirituelle, 316 et 317.
Analyse de ce traité, 318. [Homélie sur l'As-
cension, 328. Discours contre les Ariens, 328
et 329.] — Disciple anonyme de Diadochus,
X, 448.
DIALECTES des Grecs. Livre de Jean Phi-
loponus sur ce sujet, XI, 631.
DIALECTIQUE. Livre des Principes de
Dialectique, faussement attribué à saint Au"
gustin, IX, 63. — Traité de Cassiodore sur la
Dialectique, XI, 236. — Dialectique de saint
Jean Damascène, XII, 68, 69. Traité d'Al-
cuin, 189. Traité de Dialectique, attribué à
Gerbert, 903, 904. — Livre du cardinal Al-
320
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
béricsur la dialectique, XIII, 494. — Ce que
dit Abaillard pour justifier l'usage de la dia-
lectique dans la théologie, XIV, 332, 333.
Dialectique ou logique, composée par Abail-
lard, 339.
II siècle. DIALOGUE. Celui de saint Justin avec
Tryphon, ou traité de controverse contre les
III siècle. Juifs, I, 422 et suiv. Dialogue de Minucius
Féhx, intitulé : Octavius, 530 et suiv. — Dia-
logue d'Adamance contre les Marcionites,
IV siècle, attribué à Origène, II, 195, 196. — Dialogue
intitulé Xénon, ouvrage de saint Méthode,
40S. évêque de Tyr, III, 67. — Dialogue, ou Vie
de saint Jean Chrysostôme, par Pallade, VII,
, 492. Dialogue entre saint Augustin et saint
Jérôme sur l'origine de l'âme, ouvrage sup-
posé, 648. — Dialogue de Sulpice Sévère,
VIII, 120 et suiv. [Dialogue avec Nestorius,
339.] — Dialogue de Théodoret sur la Tri-
nité, X, 103, 106. — Dialogue, attribué à
Grégentius, archevêque de Taphar en Ara-
bie, XI, 279, 280. Dialogue du pape saint
Grégoire, contenant les Vies de quelques
saints personnages d'Italie, 470 et suiv.
Preuves qu'ils sont de saint Grégoire I" sur-
nommé le Grand, 470, 471. Réponse aux
objections, 471, 472. Dessein de ces dialo-
gues, 472. Règles que saint Grégoire y ob-
serve ; le pape Zacharie les traduit en grec,
471 et 472. Autres versions qu'on en a faites,
472. En quel temps et à quelle occasion ils
furent composés, 472 et 473. Analyse de ces
dialogues, 473 et suiv. Éditions particulières
Y siècle, et traductions qu'on en a faites, 586. — Dialo-
logue entre Eutychus et Théophyle sur l'état
de l'Eglise, ouvrage dont l'auteur n'est pas
connu, XII, 313, 514. — [Dialogue entre
un philosophe, un juif et un chrétien, XIV,
337, 338. Dialogue entre le maître et le dis-
ciple, ouvrage d'Honoré d'Autun sur huit
questions théologiques, 301. Dialogue sur
la religion chrétienne et la religion juive,
par Odon, abbé de Morimond, 625. Dialo-
gue entre un roi et un abbé, ouvrage de
Pierre de Blois ; l'auteur y explique au roi
Henri la cause des maux envoyés par la Pro-
vidence et les moyens d'en profiter, 783,
n. 8. Édition dans la Patrologie, 738. Dia-
logue sur le conflit de l'amour de Dieu et la
langue trompeuse, ouvrage anonyme du
xn° siècle, 909. Dialogue sur la manduca-
tion delà volaille, 909. Dialogue entre Dieu
et le pécheur, ouvrage d'Innocent III publié
par Maï et reproduit dans la Patrologie,
1018.]
DIANE, déesse. Son temple d'Éphèse est 258.
brûlé, II, 444 et VH, 313.
DIANÉE ou DIANIUS, évêque de Césarée iv siècle.
en Gappadoce, III, 439. — Il souscrit la for-
mule de Rimini, IV, 351 et 427, 438. Il baptise
saint Basile; il le fait lecteur, 330. Saint Ba-
sile se sépare de sa communion et y revient ;
ce n'est point par lui que saint Basile fut
ordonné prêtre, 351.
DIAPSALMA, mot qui se rencontre sou-
vent dans les versions grecques des Psau-
mes; ce qu'il signifie, selon saint Jérôme,
VU, 563 ; -^ selon Théodoret, X, 33 ; —selon jR
Cassiodore, XI, 224, 223.
[DIATAXIS EGCLESIiE GR^C^, livre li-
turgique des Grecs, XIII, 138.] |
DIATIME, évêque de Lymire, IV, 473.
DICAISE, évêque de Tabie, assiste au con- i\ siècle,
cile de Néocésarée, II, 640.
DICTATUS PAP,^, ou décisions du pape,
attribuées à saint Grégoire VIL Raisons de
douter qu'elles soient de lui, XIII, 374, 373.
Analyse de ces décisions, 373, 376.
DICTIONNAIRE des termes grecs particu-
liers à saint Jean Chrysostôme, VII, 346.
DIGTYNNIUS, évêque d'Astorga en Espa-
gne, avait été engagé dans les erreurs de
Priscillien, VII, 510. — Saint Léon défend
la lecture des écrits que Dictynnius avait
composés lorsqu'il était engagé dans l'er-
reur des Priscillianistes, X, 208.
[DIDACE, archevêque de Compostelie. Le
pape Honorius II lui écrit, XIV, 233, 254. Le
pape Innocent II lui écrit, 262, 263, 265.]
DIDIER, évêque de Vienne. Fausse lettre
du pape Victor à lui adressée, VI, 84.
DIDIER, prêtre et homme savant, prie
saint Jérôme de traduire le Pentateuque,
VII, 351. Saint Jérôme lui écrit une lettre,
619. — On croit que c'est à lui que saint
Paulin, évêque de Noie, écrit une lettre,
VIII, 78. On croit que c'est à lui que Sulpice
Sévère adresse son livre de la Vie de saint
Martin, 116. (Voyez son article dans l'His-
toire littéraire de la France, t. II, p. 86 et
suiv.).
DIDIER (Saint), évêque de Langres et mar-
tyr. Ses actes envoyés par Varnahaire à
saint Céraune, évêque de Paris, XI, 631.
DIDIER (Saint), évêque de Vienne en
Dauphiné. Lettres que lui écrit le pape saint
Grégoire, XI, 517, 318. Reproches que lui
fait ce pape sur ce qu'il enseignait les belles-
lettres, 324. Il s'attire la haine de Brunehaut
qui le tait déposer et périr, 909. — Ses actes
39i.
406.
615.
599.
600
TABLE GENEK.ALE DES MATIÈRES.
321
retouchés parAdon, l'unde ses successeurs,
XII, 622.
V.629. DIDIER (Saint), évêque de Cahors, suc-
V.654. cède à Rustique, son frère. Sa mort. Analyse
des seize lettres que nous avons de lui. Trois
lettres que sa mère lui écrivit lorsqu'il était
à la cour trésorier sous les rois Clotaire II et
Dagobert. Sa vie. Lettres qui lui sont adres-
sées, XI, 733. [Ses écrits dans la Palrologie,
733, 734.] Lettre que lui écrit saint Éloi;
lettre de saint Didier à saint Ouen ; autre de
saint Ouen à saint Didier, 757. — Acte du
roi Dagobert qui confirme son élection ;
lettre que ce prince lui éci'it,XII,228. (Voyez
son article dans l'Histoire littéi'aire de la
France, t, III, p. 580, et son Supplément,
t. XI, p. X.)
758. DIDIER, duc de Toscane, est reconnu roi
des Lombards après la mort d'Astolphe, XII,
113. Sa conduite avec le pape Paul I", 115,
768. 116. Il donne des troupes pour chasser l'an-
tipape Constantin du palais de Latran, 117.
769. Il favorise l'intrusion de Michel sur le siège
de Ravenne. Lettre calomnieuse qu'il obli-
ge le pape Etienne III d écrire à Charlema-
772. gne, 118. Il s'empare de plusieurs villes de
l'exarchat de Ravenne ; son dessein de faire
sacrer rois des Francs les deux fils de Carlo-
774. man, 134. Il est assiégé dans Pavie par
Cbarlemagne ; la plupart des Lombards l'a-
bandonnent et S8 donnent au pape Adrien;
il est forcé dans Pavie, obligé de se rendre
à Charlemagne, qui l'envoie en France, dans
le monastère de Corbie ; Didier y finit ses
jours dans la pénitence, 135.
DIDIER , abbé du Mont-Cassin , depuis
pape. Voyez Victor 111,
1080. DIDIER, élu évêque de CavaiUon dans un
concile de Lyon, XIV, 1070.
DIDON, évêque de Poitiers, XI, 780.
DIDON, évêque de Laon. Lettre que
Foulques, archevêque de Reims, lui écrit,
XII, 710.
DIDON, évêque de Ghâlon-sur-Saône.
Ebroïn le fait mourir, XII, 939.
m siècle. DIDYME, à qui saint Denis d'Alexandrie
écrit deux lettres, II, 409.
304. DIDYME (Saint), soldat, martyr à Alexan-
drie, III, 23 et suiv.
DIDYME L'AVEUGLE, docteur de l'ÉgHse
309. d'Alexandrie, V, 605 et suiv. Sa naissance;
il devient aveugle à l'âge de cinq ans; quoi-
qu'aveugle, il apprend à lire; ses études,
605. 11 prend le soin de l'école d'Alexan-
809. drie ; il est visité par saint Antoine; Dieu
TAB. I,
lui révèle la mort de Julien l'Apostat; dis- ses.
ciples de Didyme, 606. Sa mort, 607. Ses 399.
ouvrages : traité du Saint-Esprit, 607 et
suiv. Occasion de ce traité ; il contient trois
hvres, 607. Analyse du premier, 607 et
suiv.; du deuxième, 609 et suiv, ; du troi-
sième, 611, 612. Éditions de ce traité, 612.
Traité contre les Manichéens, 612. Analyse
de ce traité, 612 et suiv. Commentaires sur
lesÉpitres canoniques faussement attribués
à Didyme, 614, 613. [Les commentaires sur
les Épîtres canoniques ne sont pas de lui,
613, n, 3. Fragments de ces commentaires
sur les Actes des apôtres, sur l'Épître aux
Romains, aux Hébreux ; sur les Epîtres ca-
noniques, 616.] Ouvrages perdus de Didy-
me, 613, 616. [Écrits de Didyme l'Aveugle
publiés depuis D. Geillier : fragments de ses
commentaires sur les Proverbes, 619. Com-
mentaire, sur les Psaumes, 619 et suiv. Com-
mentaire sur la deuxième Épître aux Corin-
thiens, 621. Commentaire sur l'Évangile se-
lon saint Jean, 622. Traité de la Trinité •
son authenticité, 623. Orthodoxie de l'au-
teur, 623 et suiv. Analyse du premier hvre,
624; du deuxième, 623 ; du troisième, 627.
Jugement sur cet ouvrage. Dogmes attestés
sur l'Ecriture ; sur le Pontife Romain ; sur
les sacrements, 628 ; sur l'unité de Dieu, la
Trinité des personnes, les attributs de la
Divinité, 629; sur l'immortalité de l'âme.
Erreurs apparentes de 1 auteur. Choses re-
marquables contenues dans son ouvrage ,
630. Opinions particulières de l'auteur.
Points de discipline contenus dans le traité
de la Trinité, 631. Faits attestés par l'au-
teur, 631, '632. Auteurs allégués; héréti-
ques réfutés ou cités. En quel siècle l'auteur
du traité de la Trinité a vécu ; quel est-il î 632.
Témoignage des anciens en faveur de Didyme,
632, 633. Observations sur les commentaires
des Épîtres canoniques, 615, n. 3 ; sur di-
vers fragments de Didyme, 613, n. 5.] Ce
qu'il y a de remarquable dans les écrits de
Didyme, 616 et suiv. Jugement de ses écrits,
618. — Didyme visité par saint Antoine, III,
386. — Il écrit contre Eunomius, IV, 410.
— Rufin fut un de ses disciples, VII, 449.
Pallade le visite, 485. Ce qu'il en dit dans
l'Histoire lausiaque, 489. Lettre que Didyme
compose à la prière de saint Jérôme, 548.
— Ses commentaires sur les Proverbes de
Salomon et les Épîtres canoniques traduits
en latin par Epiphane le Scholastique , XI,
102.
21
332
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
DIE, ville du Dauphiné. Concile d'Arles
au sujet d'une entreprise de saint Mammert
sur l'église de Die, X, 338 et 715, 716.
DlÉ ou DIEU-DONNÉ, DEODATUS (Saint),
évêque de Nevers, et abbé de Jointures en
Lorraine. Sa vie écrite par Valcande, moine
de Moyen-Moutier ; [édition qu'on en a faite
dans la Patrologie.] Son monastère a été
sécularisé, XIII, 71. Histoire de ce monastère,
71 et 186. Privilège du pape saint Léon IX
en faveur du chapitre de Saint-Dié, 201 et
209. — • Hymnes et répons pour l'office de
la fête de saint Dié, composés par le cardi-
nal Humbert, et notés par le pape saint
Léon IX, 252.
DIÉDÉRIC, évêque de Meiz. Voyez
Thierri.
DIÉDÉRIC, moine de Fleury. Voyez
T/iierri.
XI siècle. DIÉMONT , comte. Lettre que lui écrit
l'empereur Othon II au sujet des pillages
qu'il exerçait sur l'abbaye de Tégernsée en
Bavière, XIII, 96.
955. DIÉTHELME, écolâtre de l'abbaye de
Saint-Mathias de Trêves. Ses ouvrages ; sa
mort, XII, 840.
Il siècle. DIEU. Doctrine de saint Méliton, 1, .i51,
[453, 436 et suiv., 459,] 461 ; d'Athénagore,
lu siècle. 483 ; de saint Irénée, 506 et 509 ; de Minu-
cius Félix, 552 et 554; — de Tertullien, II,
45 et 71 ; dOrigène, [158], 181, 182 et 213,
214, 215 ; de saint Cyprien, 270. — Témoi-
gnages des martyrs, 466, 467, et III, 4. —
IV siècle. Doctrine d'Arnobe, II, 487 et 490 ; de Lac-
tance, 510, 511. — [Doctrine de l'auteur du
poème apologétique contre les Juifs et les
Gentils, III, 150. Doctrine de Macaire Ma-
IV siècle, gnès, 156.] Opuscule attribué à Eusèbe de
Césarée sur ce que Dieu est incorporel et
invisible, 233. Autre opuscule attribué au
même sur ce que Dieu le Père est incorpo-
rel, 234. Doctrine d'Eusèbe de Césarée,
236, 237, [260], et 275; — de saint Hilaire
IV iiioie. de Poitiers, IV, 68, 69 ; de saint Athanase,
sur la nature d'un seul Dieu en trois per-
sonnes, 192 et suiv. ; sur la personne du
Père, 194, 195; du Fils, 195 et suiv.; du
Saint-Esprit, 201 et suiv. Les Ariens affec-
taient de relever l'unité de Dieu, pour n'at-
tribuer la divinité qu'à la personne du Père,
IV siècle. 849. Dieu n'est pas auteur du mal^ homélie
neuvième de saint Basile le Grand, 383.
Doctrine de saint Basile sur la Trinité, 503;
sur chacune des trois personnes divines,
de Nazianze sur la nature divine, V, 228,
229. Doctrine du même sur l'existence et
les attributs de Dieu, 313, 314; sur la Tri-
nité, 314 et suiv.; sur le Saint-Esprit, 316,
317. [Son existence confirmée par le con-
sentement des peuples, 619, 620. Pourquoi
saint Paul appelle Dieu béni, 621. Dieu est"
esprit ; sa visibilité, 622. Ses attributs, 629.
— Providence de Dieu établie par Némésius,
VI, 283. Doctrine de saint Epbrem sur la na-
ture de Dieu, 436, 437. On ne peut scruter
cette nature, 461 et suiv. Pourquoi Dieu
exauce quelques demandes et en rejette
d'autres: sermon de saint Ephrem. Dieu dis-
pose tout pour le salut des hommes, sermon
par le même, 497. De la crainte de Dieu et
de la consommation du siècle par le même,
498. De la pratique des bonnes œuvres et
de la patience de Dieu, sermon du même,
507. Définition de Dieu par saint Ephrem,
433, 454. Dieu étranger admis par Manès.
Dieu justifié dans l'incarnation. Il est créa-
teur ; il n'est pas opposé à Jésus-Christ
nommé le Pèlerin ou le Péregrin par Mar-
cion. Miséricorde de Dieu même dans les
châtiments qu'il envoie, 457.] Discours attri-
bué à Évagre de Pont sur les noms donnés
à Dieu dans l'Écriture, 117. — Saint Jean iv siècle.
Chrysostôme réfute les Auoméens qui pré-
tendaient avoir une parfaite connaissance
de Dieu, Vil, 42, 43. Doctrine de saint Jean
Chrysostôme sur la divinité, 373, 374 ; —
de saint Augustin, en divers endroits de ses ivei
ouvrages, IX, 23, 28, 34, 129, 130, 226, 262, "^ ""'"•
308, 345 et suiv., 359. Existence de Dieu;
ses perfections; sa nature, 636 et suiv. Tri-
nité des personnes en Dieu, 638 et suiv.
Mission divine et procession du Saint-Es-
prit, 640. Règles pour l'explication de cer-
taines dilfîcultés touchant la Trinité, 640 et
suiv. [Ce que saint Augustin dit de Dieu
dans un sermon pour la veille de Pâques,
828, 829,] — Doctrine de Théodoret, X, 32,
94, 113, 114; de saint Léon, 230 et suiv.;
de saint Prosper, 300, 301 ; — de Cassio-
dore, XI, 244. — [Hymne du Vénérable Bède
sur les œuvres de Dieu, XII, 4.] Ce que c'est,
selon Photius, que de prendre le nom de
Dieu en vain. Ce que dit Photius sur les di-
vers noms de Dieu, 728. Comment Dieu est
dans les choses créées. Dissertation de Pho-
tius sur ce sujet; dissertation du même sur
les différentes manières de connaître Dieu
en cette vie, 732. — De la manière dont Xt s'èdei
IV «licie. 804 et suiv. •— Discours de saint Grégoire Dieu est dans tous les ]ieu.\, et comment sa
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
323
30-1.
IX siècle.
lumière est répandue partout , ouvrage de
Siméon le Jeune, abbé de Saint-Mamas à
Coustantinople, XIII, 226. Opuscule de saint
Pierre Damien sur les attributs de Dieu, 319.
~ [Ce que Honoré d'Autun dit de sa défini-
tion, de son existence, de ses attributs, XIV,
297, 298.] Voyez Divinité, Trinité et Unitéde
Dieu.
DIEU-DONNÉ (Saint). Voyez saint Dms-
Dedit.
DIEU-DONNÉ (Saint), évêque de Nevers.
Voyez saint Dié.
DIEU-DONNÉ (Saint), archevêque de Can.
torbéry. Sa vie écrite par le moine Gotcelin
ou Goscelin, XIII, 550, et XIV, 233.
DIEUX. Origine des dieux du paganisme,
IV, 311. But des païens dans le culte de
leurs dieux, 311 et 312. Symboles mysté-
rieux des païens dans le culte de leurs
dieux, 312. Les ariens accusent les catholi-
ques dadorer trois dieux ; ils sont réfutés
par saint Basile, 463. — Combien les faux
dieux du paganisme sont méprisables, IX,
294 ; même ceux appelés les dieux choisis,
300. Voyez Religion p?'ofane.
[DIETEMBERG (Jean). Son édition du Mi-
roir de l'Église, ouvrage d'Honoré d'Autun,
et des sermons de saint Gésaire d'Arles,
XIV, 275.]
[DIÉTRIE à qui Wigo, doyen d'un monas-
tère, écrit, XII, 862.]
DIGESTE ou PANDECTES. Corps de lois
compilées par ordre de Justinien, XI, 255.
DIGNE (Sainte), servante de sainte Afre.
Son martyre, III, 30.
DIGNE (Sainte), l'une des martyres de
Cordoue, XII, 519. — [Prologue des actes
des saintes Digne et Mérite par Benoît, prê-
tre, XIU, 602.]
DIGNITÉS ECCLÉSIASTIQUES. Comment
on doit les regarder, IX, 782, 783. — [On ne
doit pas s'y nommer soi-même ; à qui on
doit les confier, XIV, 263. La puissance sé-
culière n'a pas le droit de les contérer; pri-
vilège qu'on prétend avoir été accordé à
Gharlemagne pour les conférer comme vi-
caire du pape ; pourquoi ce privilège aurait
été retiré, 299.]
DIJON, [autrefois] capitale de la Bourgo-
gne. [Différend entre les chanoines de Dijon
et les moines de Saint-Seine, XIV, 262.
Sainte-Chapelle de Dijon, bâtie par Hugues
III, duc de Bourgogne, 928.] Conciles tenus
en cette ville, 1040, 1068, 1144.
[DILLINANN. Satraduclion faitesur l'éthio-
pien du livre supposé intitulé : Livre chrétien
d'Adam, I, 263, n. 12.]
DIMANCHE. Doctrine de saint Ignace it siècle.
d'Antioche sur l'observation du dimanche,
I, 387. Témoignage de saint Justin sur les ii siècle,
assemblées des fidèles au saint jour du di-
manclie, 443. — Canon apostolique sur le
dimanche, 11, 585. Constitutions apostoliques iv siède.
sur le dimanche, 592, 598, 599. Canon vingt
et unième du concile d'Elvire, 607 et 609. —
Règlement de saint Pierre d'Alexandrie pour 32i.
ce jour, III, 59. Lois de l'empereur Constan-
tin pour la sanctification des dimanches,
123 et 144. [Ce qu'Eusèbe de Césarée dit du
dimanche, 250.] Canon du concile de Nicée
concernant le dimanche, 438. Le dimanche
était un jour d'assemblée sainte, 451. Canon iv siècle,
vingt-neuvième du concile de Laodicée, 511.
— Témoignage de saint Hilaire de Poitiers,
IV, 78. Le concile de Saragosse défend de
jeûner le dimanche, 615. — Loi de Valenti- 368.
nien I" touchant la sanctification du diman-
che, VI, 356. Loi de Théodose qui défend 387.
de donner des spectacles le dimanche, 369.
— Homélie sur le nouveau dimanche faus-
sement attribuée à saint Jean Chrysostôme,
VII, 335. Le dimanche était le jour des ordi-
nations, 528, 534, 723, et VIII, 5, 6. Canon 398.
soixante-quatrième du quatrième concile de
Carthage, VII, 731. --[Sermon d'Eusèbe d'A-
lexandrie sur le dimanche, VIII, 383.] — On
ne jeûnait point le dimanche. Témoignage
de saint Augustin, IX, 805. — Témoignage
de saint Léon sur la coutume de faire les
ordinations le dimanche, X, 248. Canon du
premier concile de Saint-Patrice, 706. Canon
du premier concile d'Orléans, 746. Canon
d'un concile de Tarragone, 748. — Canon du ses.
concile de Mâcon sur l'observation du diman-
che, XI, 325. Loi du roi Gontran qui confirme
ce canon, 325 et 326. Lois du roi Gontran,
325, 326. Comment on sancfifiait le diman-
che au temps de saint Grégoire de Tours,
398. Comment on sanctifiait le dimanche,
selon saint Grégoire le Grand, 529. Doctrine
de ce même pape, S79. Témoignage de saint
Théodore, archevêque de Cantorbéry, 798.
Canon du troisième concile d'Orléans sur
l'observation du dimanche, 858. Ce que pres-
crit le second concile de Mâcon pour l'obser-
vation du dimanche, 896, 897. Canon du
concile de Narbonne, 904. — Ordonnance
du roi Gontran pour l'observation des di-
manches et des fêtes, XII, 227. Règlement
du roi Dagobert touchant la sanctification
3M
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
1201.
III siècle.
IH siècle.
829.
IX siècle.
80Ï.
S9S.
du dimanche, 227. Divers règlements de
Charlemagne, 232, 239, 240. Statut de Théo-
dulfe d'Orléans, 26S. Autre du pape Léon IV,
408. Témoignage de Raban Maur, 456. Le
capitulaire d'Atton défend de donner des
jeux et des spectacles les jours de dimanche
et de fête, 822. Canon d'un concile de Cha-
lon-sur-Saône, 932. Le concile Quinisexte
défend de s'absenter dans l'église pendant
trois dimanches sans nécessité; il défend de
prier à genoux les dimanches, 964. — Ser-
mon de saint Pierre Damiensurlediraanclie
des Rameaux, XIII, 308. Canons de deux
conciles concernant la sanctification du di-
manche, 614 et 616. Canons d'un concile de
Frioal, 634; d'un concile d'Arles," 643; du
sixième de Paris, 665. — Sermons de Guil-
laume d'Auvergne, évêque de Paris, pour les
dimanches, XIV, 1026. Prédication de l'abbé
Eustache sur l'observation du dimanche ,
H47. Voyez Assemblée des fidèles.
[DIMANCHE in albis : sermon d'Atton de
Verceil sur ce dimanche, XII, 826.]
DIMAS, nom que Geoffroi de Vendôme
donne au bon larron, XIV, 169.
DIME. Doctrine d'Origène, II, 234; de
saint Cyprien, 378, 379. — [Sermon de saint
Augustin sur la dîme, IX, 841.] — Discours
de saint Césaire d'Arles sur l'obligation de
payer les dîmes, XI, 140. Homélie attribuée
au même, 146. Canon du second concile de
Mâcon ordonnant de payer la dîme, 897. —
Témoignage de saint Boniface, archevêque
de l'église de Mayence, touchant les dîmes,
XII, 53. Règlements de Charlemagne tou-
chant les dîmes, 231, 232, 236, 239, 241.
Témoignage de Hetton, évêque de Bâle, 337.
Capitulaire de Louis le Débonnaire sur les
dîmes, 382. Discours d'un anonyme sur l'o-
bligation de payer les dimes et d'observer
les jeûnes prescrits par l'Eghse, 387. Témoi-
gnage de Jonas, évêque d'Orléans, 390; de
Walafrid Strabon, 414. Réponse du pape
Formose sur les dîmes, 738. — Saint Abbon
de Fleury s'oppose aux évoques qui voulaient
ôter aux laïques et auxmoineslesdîmesqu'ils
possédaient, XIII, 27. Lettre du même sur
ce sujet, 30, 31. Canons du concile de Gi-
rone concernant la dîme, 553. Canon d'un
concile de Frioul, 634. Disposilions d'un con-
cile de Salzbourg sur l'emploi des dîmes,
642. Canon d'un concile de Rouen, 727. Ca-
non d'un concile de Mayence. Canon d'un
concile de Melz, 732. Canon d'un concile de
Tribur, 733. Canon d'un concile de Nantes, Naziauze, V, 178.
737. Canons d'un concile de Coblentz, 744.
Loi d'Edgar, roi d'Angleterre, sur les dîmes, M22.
736. En France, on veut les ôter aux laïques
et aux moines pour les rendre aux évoques,
764. — Canon d'un concile de Londres, 1078.
XIV, 6. Décret du pape Pascal II, qui dé-
clare que les moines ne doivent point la dîme
des fruits provenant des terres qu'ils culti-
vent par eux-mêmes et pour leur nourriture.
Autre décret qui déclare que les clercs doi-
vent la dîme aux autres clercs qui leur ad-
ministrent les choses spirituelles, 137. Selon
Geoffroi de Vendôme, les ecclésiastiques
doivent les dîmes pour les biens qu'ils pos-
sèdent sur le territoire d'autrui, 164. Senti-
ment do Robert Pullas sur les dîmes, 397.
L'exemption des dimes accordée à l'ordre
de C.teaux cause de grands différends entre
cet ordre et celui de Cluny, 306, 507. Canon
d'un concile de Latran touchant les dîmes,
1097. Canon d'un concile de Reims, 1122.
Canon d'un concile d'Avranches, 1135. Ca-
non du troisième concile de Latran, 1141.
Canon d'un concile deDalmatie, 1145. Canon
d'un concile de Londres, 1146. Canon d'un laoo.
concile d'Avignon, 11,31. Canons du qua- 1215.
trième concile de Latran concernant les dî-
mes, 1170.
[DIMISSOIRE. Défense de recevoir un clerc
d'un autre diocèse sans lettre de recomman-
dation, ou sans lettre démissoire de l'évêque
de ce clerc, XII, 242.]
DIMOERITES. Saint Epiphane nomme
ainsi les Apollinaristes, V, 87, et VI, 409.
DINA. Histoire de son rapt mise en vers
par Marbode, XIV, 228.
DINCOMADE, maître des offices, assiste iiisièeie.
au concile de Chalcédoine, X, 683.
[DINDORF revoit le texte grec des œuvres
de Josèphe, I, 328. — Il publie uu ouvrage
de Jean Philoponus sur le ton, XI, 652. Son
édition de la Chronique pascale, 747. — Son
édition de la Chronique de Jean d'Antioche,
surnommé Malélas, XH, 796.]
[DINER DES MOINES, opuscule où l'on
trouve les prières que l'on faisait au dîner
dans les monastères de Rome, Xlll, 22.]
DINGOLVINGUE. Lieu situé eu Bavière.
Concile qui y fut tenu, XIII, 616, 617.
DINOCRATE, frère de sainte Perpétue, m»ijcie.
délivré du purgatoire parles prières de cette
sainle, 1, 346. — Ce que saint Augustin pen-
sait de cette histoire, IX, 468.
DIOCÉSARÉE. Nom donné à la ville de
TABLE GÉNÉRALE DES iMATIÈRES.
325
IV siècle.
IV siècle.
IV siècle.
303.
III siècle.
348.
371 et 372.
372.
378 ou 379.
379 et 381.
394.
377.
DIOCÉSARÉE, ville épiscopale de l'Isau-
rie, VIII, 294.
DIOCÈSES. Le pape gouverne de plus
grands diocèses selon le concile d'Arles, II,
630.
DIOCLÈS, à qui saint Grégoire de Na-
zianze écrit, V, 266..
DIOCLÉTIEN. Persécution de Dioclétien,
III, 1 et suiv. — Témoignage de Lactance
sur sa mort, H, S06. — Edit par lequel il
avait ordonné la persécution, V, 142. — Les
sacrifices qu'il offrait aux faux dieux trou-
blés par la présence d'un chrétien, XI, 374.
[DIODORE (Saint), de Corinthe, martyr,
II, 464, 463.]
DIODORE, prêtre du bourg de Diodore ou
Diodoride en Mésopotamie. Sa dispute avec
Manès. Lettre de Diodore à Archélaûs con-
tre Manès. Réponse d'Archélaiis, II, 437.
DIODORE, évêque de Tarse et confesseur,
V, 386 et suiv. Il est né à Antioche. Il étudie
à Athènes. Ses vertus. Il soutient la foi con-
tre Léonce d'Antioche, 386. Il défend la re-
ligion contre les païens. Il prend soin de
l'Eglise d'Antioche, 587. Il est chassé d'An-
tioche. Il est élevé à l'épiscopat. Il assiste
aux conciles d'Antioche et de Constantino-
ple, 588. Disciples de Diodore. Sa mort. Ses
éloges, 389. Ses écrits contre le destin, 589
et suiv. ; contre les païens ; contre Photin et
SabeUius, 391. Autres écrits de Diodore
sur divers sujvts, 591 et 592. Commentaires
de Diodore sur l'Ecriture sainte, 592, 593.
[Fragments des commentaires de Diodore,
393.] Ses discours. Liturgie sous le nom de
cet auteur, 393. Jugement de ses écrits, 393
el suiv. — Lettre que lui écrivit saint Basile
le Grand, IV, 454. Autre de saint Basile,
456. Il assiste en 381 au concile de Constan-
tinople, 618. — Diodore détend la foi contre
les Ariens, V, 9. Lettre que lui écrivit Timo-
thée d'Alexandrie, 93. — Concile d'Antioche,
où il assiste, VI, 121. — Discours de Dio-
dore à la louange de saint Jean Chrysos-
tôme, et de celui-ci à la louange de Diodore,
VII, 140, 141. — Théodore de Mopsueste a
été un de ses disciples, VIII, 17. Il eut part
à l'ordination de Flavien, patriarche d'An-
tioche, 238. 11 fut le premier auteur de l'hé-
résie de Nestorius, selon saint Cyrille d'A-
lexandrie, 261 et 293. [Livre contre Diodore
de Tarse ; ouvrage perdu de saint Cyrille
d'Alexandrie ; Livres du même contre Théo-
dore de Mopsueste et Diodore de Tarse, 363.
Euthérius de Tyanes parle de lui avec élo-
ge, 383. — Saint Cyrille écrit contre lui, 323
et 363, et X, 22. Théodoret prend sa dé-
fense, 22. Il avait pris soin de l'Église d'An-
tioche en l'absence de Mélèce, 47. L'Apologie
de Théodoret pour lui est perdue, 108. On lui
attribue d'avoir introduit le chant des psau-
mes à deux chœurs, 137. — [Trois fragments
de Diodore de Tarse sur l'Exode, XI, 303.]
DIODORE, évêque deTyr. Saint Epiphane
lui explique les douze pierres précieuses da
rational, VI, 420,
DIODORIDE , bourg de Mésopotamie ,
II, 373.
DIOGÈNE LE PHILOSOPHE, refuse les
présents d'Alexandre, VII, 20.
DIOGÈNE, évêque de Gènes, au concile
d'Aquilée, IV, 629.
DIOGÈNE, prêtre d'Alexandrie. Basile
d'Ancyre le fait fouetter, IV, 321.
DIOGÈNE, homme de qualité. Lettre que
lui écrit saint Jean Ghrysostôme, VII, 131.
DIOGÈNE, évêque bigame, X, 23.
DIOGÈNE, évêque de Cyzique, au faux
concile d'Ephèse, X, 677, et au concile do
Chalcédoine où il souscrit la définition de
foi, 692.
DIOGNÈTE, païen. Lettre que saint Justin
lui écrit, I, 428 et suiv. [Raisons qui por-
tent à croire que l'épître à Diognète est
plus ancienne que saint Justin, 429, note 6.]
DIOLQUE, canton de l'Egypte où étaient
des monastères visités par Cassien,- VIII, 148.
DION, philosophe au temps d'Apollonius,
III, 177.
DION , proconsul d'Afrique sous lequel
souffrit saint Maximilien, II, 479.
DION. Ouvrage de Synésius de Ptolé-
maïde intitulé : Dion ou de la conduite de
sa vie, VHl, 28, 29.
[DIONISI, chanoine de Vérone. Sa tra-
duction italienne des traités de saint Zenon,
évêque de Verceil, VI, 273.]
DIONYSE, mère de saint Euthymius,
XI, 272.
DIOPHANTE, l'un des quatre prêtres
d'Antioche auxquels saint Jean Chysostôme
écrit une lettre, VII, 133.
DIOPTRE, ou règle de la vie chrétienne ,
traité spirituel de Philippe le Solitaire. Ap-
pendices à ce traité, XIV, 82 et suiv. Re-
marques sur ce traité, 84.
DIOSCORE, prêtre d'Alexandrie, H, 398.
DIOSCORE, jeune homme de quinze ans,
confesse Jésus-Christ dans Alexandrie, II,
402.
405.
405.
326
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
V siècle.
V. «0.
439.
Hi.
M7.
449.
451.
445.
451.
454
519.
DIOSCORE, homme de qualité, loge saint
Jean Chrysostôme à Gueuse, VII, 10.
DIOSCORE, évêque des Arméniens, VII,
345.
DIOSCORE, l'un des quatre grands frères.
Ce qui en est dit dans l'Histoire lausiaque de
Pallade, VII, 488.
DIOSCORE, jeune homme de qualité.
Lettre de Dioscore à saint Augustin, et de
saint Augustin à Dioscore, IX, HO, IH.
DIOSCORE, médecin. Ce que saint Au-
gustin dit de la conversion de ce païen dans
sa lettre à Alypius, IX, 181.
DIOSCORE, patriarche d'Alexandrie après
saint Cyrille, persécute les parents et les
•héritiers de son prédécesseur, VIII, 262. —
Prend la défense des erreurs d'Eutychès, X,
17. Persécute Théodoret, 22 etsuiv.Ille dé-
pose, 23 et 73. Lettre que lui écrit Théodo-
ret pour le féliciter de son élévation sur le
siège d'Alexandrie, 68. Autres lettres qu'il
lui écrit pour se justifier des erreurs dont il
l'accusait, 70. Dioscore dit anathème à
Théodoret ; raison de sa haine contre lui ,
71. Il le fait condamner comme chef d'hé-
résie au conciUabuIe d'Ephèse, 73. Nous
n'avons rien des écrits de Théodoret contre
Dioscore, 107. Dioscore préside au faux con-
cile d'Ephèse où il rétablit Eutychès et dé-
pose saint Flavien, 173 et 678. Il est ana-
thématisé avec Eutychès au concile de
Chalcédoine, 688. Il donne avis de son or-
dination au pape saint Léon ; lettre que lui
écrit ce pape, 204, 203. Eutychès réclame
son secours, 674. Dioscore sollicite la con-
vocation du faux concile d'Ephèse en faveur
d'Eutychès; il y préside, 673. Il absout et
rétablit Eutychès, 678. Il condamne saint
Flavien de Constantinople, 678 et 679. Le
parti de Dioscore eut le côté le moins hono-
rable au concile de Chalcédoine, 684. Dios-
core y est accusé, 684 et 685. Il est aban-
donné de tous les évéques et se trouve seul
de son parti, 686. Il est cité au concile, 687.
Différentes accusations portées contre lui,
687 et suiv. Il est déposé, 688 ; relégué à
Gangres en Paphlagonie. Sa mort, 689. Son
nom fut mis dans les diptyques par Timo-
thée Elure, 177.
DIOSCORE, apocrisiaire de l'Église d'A-
lexandrie , présente avec Quirémon une
requête au pape Anastase au nom de l'É-
glise d'Alexandrie, X, 519.
DIOSCORE, diacre, l'un des légats du pape
saint Hormisdas à Constantinople, X,62i.
Commission particulière dont le pape le
charge, 625. L'empereur Justin projette de
le faire évêque d'Alexandrie , 626. Lettres
touchant les moines de Scythie, 626 et 627.
Il l'informe de l'élection d'Epiphane au
siège de Constantinople, 628.
DIOSCORE, antipape élu en concurrence
de Boniface II ; il meurt peu après ; il est
anathématisé après sa mort, XI, 114. Les
formules d'anathème prononcées contre lui
sont brûlées par le pape Agapet, 118.
DIOSPOLIS en Palestine. Concile qui y fut
tenu, VIII, 551 et suiv.
DIPTYQUES SACRÉS. Concile de Jérusa-
lem qui y met les noms des quatre premiers
conciles généraux et celui du pape saint
Léon, XI, 819, 820. — On y nommait les
vivants et les morts, XIV, 514.
DIRECTEUR des âmes. Qualités qu'il doit
avoir et obéissance qu'on lui doit selon saint
Basile, IV, 394 et 522.
DISCIPLES (Les soixante- dix). Traité sur
eux faussement attribué àsaintHippolyte, I,
635, et XI, 747, n. 7. — L'auteur de la
deuxième décrétale faussement attribuée au
pape saint Anaclet, attribue aux apôtres l'é-
lection des soixante-dix disciples, VI, 80.
DISCIPLINE. Quelques points de disci-
pline marqués par saint Optât, V, 139, 140 ;
par saint Pacien, 170 ; par saint Grégoire de
Nazianze, 350 et suiv.; par saint Ambroi-
se, 574 ; — par saint Ephrem, VI, 68, 69 ;
par saint Grégoire de Nysse, 230 et suiv. ;
— par saint Jean Chrysostôme, VII, 430 et
suiv. Canons sur divers points de la disci-
pline ecclésiastique attribués à Théophile
d'Alexandrie, 445, 446. Autres du même,
446. Témoignage de saint Jérôme sur divers
usages de discipline, 697 et suiv. — Disci-
pline de l'Église catholique ; canon sixième
du concile de Rome sous le pape saint Inno-
cent, VIII, 343. — Sermon de saint Augus-
tin sur la discipline chrétienne, IX, 284.
Discours faussement attribués à saint Au-
gustin sur le bien de la discipline , 288. Té-
moignage de saint Augustin sur quelques
points de discipline, 805. — Témoignage de
Théodoret sur divers points de discipHne,
X, 136, 137. Du bien de la discipline : dis-
cours de saint Valérien, évêque de Sémèle,
imprimé parmi les œuvres de saint Augus-
tin, et donné séparément par Goldast, 155.
Analyse de ce discours, 155 et 156. — Traité
de Raban Maur : De la discipline ecclésias-
tique, XII, 457. Témoignage de Ratramne
520.
529.
535.
415.
IV siècle.
IV siècle.
IV slèele.
IV siècle.
IV et
V siècles.
IV ou
V siècle.
IV et
V siècles.
Après 403.
IV et
V siècles.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
327
sur la discipline de l'Église, 565. Livres de
la Discipline ecclésiastique et de la Religion
chrétienne, composés par Réginon, abbé de
Prume ; idée de cet ouvrage, 771. Éditions
qn'pn en a faites, 772. — Discipline cléri-
cale : sujet et titre d'un ouvrage de Pierre
Alphonse, juif converti, XIV, 172.
DISCIPLINE ou FLAGELLATION s'intro-
duit dans les monastères au xi' siècle. Ce que
dit saint Pierre Damien pour autoriser cette
pratique, XIII, 303, 304, 305 et 318. Il in-
troduit cette pratique au Mont-Gassin, et
elle est adoptée dans toute la congrégation
et ensuite dans plusieurs autres monastères,
319.
II siècle. DISCOURS. Discours de saint Justin aux
U siècle, payens, I, 409 et 412, 413; de Tatien aux
Grecs, 489 et suiv. — Discours au peuple,
après l'Évangile selon les Constitutions apos-
toliques, II, 395. Cet usage était observé
dans les églises d'Alexandrie et de Constan-
tinople, 593. — Discours de piété de l'em-
pereur Constantin, III, 129 et suiv. — Dis-
cours de saint Grégoire de Nazianze, V, 193
et suiv. — Différence des discours de piété
d'avec les discours ordinaires, selon saint
Pierre Chrysologue, X, 9. Discours de saint
Ennode, évêque de Pavie, 376. — Discours
sur la ruine de la Grande-Bretagne et sur
les dérèglements du clergé ; ce sont deux
écrits de saint Gildas de Ruis, XI, 319. Ana-
lyse de ces discours, 319 et 320, Éditions
qu'on en a faites. Originairement , ils ne
formaient qu'un seul discours, 320. Discours
ascétique de saint Maxime, abbé de Chry-
sopolls, 763, 764. Voyez Oraisons.
DISCERNEMENT. De Discretione animœ,
spiritus et mentis, ouvrage d'Adam de Saint-
Victor, XIV, 722, 723.]
DISIBODE (Saint). Sa vie écrite par sainte
Hildegarde, XIV, 393 et 595.
DISPENSATEURS (Les) du Seigneur. Ser-
mon de saint Fulgence de Ruspe, XI,
69.
DISPENSES. Dispense d'un vœu de pèle-
rinage accordé par le pape saint Léon IX,
XIII, 151 et 196. — Traité des dispenses :
ouvrage de Geoffroi de Vendôme, XIV, 167.
Témoignage d'Alger de Liège sur les dis-
penses, 384. Livre de saint Bernard du Pré-
cepte et de la Dispense, 467. Analyse de ce
traité, 468 et suiv. Témoignage de Pierre
le Vénérable sur le droit de dispenser,
506.
DISPUTES. Conférence d'Arsinoé, modèle
d'une dispute vraiment chrétienne, II, 564,
565. — Discours de saint Grégoire de Na-
zianze sur la modération que l'on doit gar-
der dans les disputes, V, 221, 222. [Disputes
sur la nature de Dieu ; maux qu'elles en-
traînent, 467, 471, 472, 473, 474, 473,
480. Elles viennent du démon, 474.] — Dis-
pute entre Théophile, chrétien, et Simon,
juif; analyse de cet ancien ouvrage, dont
est auteur Évagre, disciple de saint Martin
de Tours, VIII, 424, 425. — Dispute entre
Arnobe et Sérapion : ouvrage attribué à
Arnobe le Jeune, X, 332. Quel en est le
but ; éditions qu'on en a faites , 333. —
[Disputes du manichéen Photin avec le
chrétien Paul, ouvrage d'un anonyme con-
tre les Manichéens, XI, 342.] — Dispute du
patriarche saint Nicéphore avec l'empe-
reur Léon l'Arménien, XII, 284. Dispute
des Chrétiens et des Juifs à Rome : ouvrage
attribué à Gerbert, 905.
DISSIMULATION. Doctrine d'Origène , m «tècie.
II, 244. — Témoignage de saint Gordie,
martyr, Ul, 79. Doctrine d'Eusèbe de Césa-
rée, 239.
DITMAR, premier évêque de Prague, XII, x siècle.
833.
DITMAR (ou THIETMARD), d'abord reli- 1009.
gieux de Saint-Maurice à Magdebourg , puis
évêque de Mersbourg; ce qu'on sait des
circonstances de sa vie ; sa mort, XIll, 62. lo*»-
Analyse de sa Chronique, 62 et suiv. Diffé-
rentes éditions qu'on en a faites, 64, 63.
[Autres éditions et traductions ; jugement
sur cet ouvrage. Vie de Ditmar, 65.
[DITMAR (Juste-Christophe) publie une
Vie de saint Grégoire, VII, 373.]
DITTOCHAION, nom que Gennade donne
à l'Enchiridion du poëte Prudence, VIII,
106.
DIVERTISSEMENTS. Discours de saint iVsiicie.
Ephrem sur les ris et les divertissements,
VI, 17, 18. Autre sur les jeux et les divertis-
sements, 18.
DIVINATION. Canons soixante-douzième 375.
et quatre-vingt-troisième dans la troisième
épître canonique de saint Basile le Grand,
IV, 474. — Loi de Théodose défendant les 335.
sacrifices et les divinations, VI, 368.
DIVINITÉ. Erreur des Messaliens sur la
Divinité, IV, 646. — Poëme de Prudence
intitulé : Apothéose ou sur la Divinité, VIII,
103, 104. — Livre de l'essence de la Divinité,
ouvrage faussement attribué à saint Augus-
tin, IX, 370. — Traité du philosophe Boëce
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
11 siècle.
IV siècle.
II siècle.
111 siècle.
III siècle.
IV siècle.
IV siècle.
IV siècle.
IV siècle.
379 ou 380.
IV siècle.
IV ou
V siècle.
328
sur celte question : Si le Père, le Fils et le
Saint-Esprit peuvent être affirmés substan-
tiellement de la Divinité, X, 636.
DIVINITÉ DU FILS ET DU SAINT-
ESPRIT. Doctrine de Clément d'Alexandrie,
1, 593 et suiv.; — de saint Hilaire de Poitiers,
IV, 68 et suiv. — Discours de saint Grégoire
de Nysse sur la divinité du Fils et du Saint-
Esprit, VI, 204, 205. — Lettre de saint Au-
gustin sur la divinité du Fils et du Saint-
Esprit, IX, 148, 149. Conférence de saint
Augustin avec Maximin sur le même sujet,
359 et suiv.
DIVINITÉ DE JÉSUS-CHRIST. Doctrina
de saint Justin, 1,437,438; de saint Méliton,
457 ; de Clément d'Alexandrie, 593 ; de suint
Hippolyte, 638 et suiv. — de Tertullien, II,
71; de saint Cyprien, 351; de Théognoste,
451 ; — de saint Pierre d'Alexandrie, III,
60 ; de saint Méthode, évéque de Tyr, 68,
69 ; [de l'auteur du Poëme apologétique con-
tre les Juifs et les Gentils, 150, 151. Témoi-
gnage de Macaire Magnés, 156. Doctrine
d'Eusèbe de Césarée, 255, 257, 261, 262,]
273, 276. Preuves de la divinité de Jésus-
Christ par les prophéties, suivant Eusèbe de
Césarée, 193. Examen de sa doctrine sur la
divinité de Jésus-Christ, 302 et suiv. , 302, n. 1 .
— Doctrine de saint Hilaire de Poitiers, IV,
68, 69; de Lucifer de Cagliari, 263, 264; —
de saint Cyrille de Jérusalem, V, 66 et suiv.
Deux discours de saint Grégoire deNazianze
sur la divinité du Fils, 231 et suiv. Doctrine
du même, 314 et suiv.; — de saint Am-
broise, IV, 631 et suiv, et V, 135, 456, 472
et suiv. ; 478 et 537 et suiv. Li\re qui lui est
attribué, 511. Doctrine de Didyme l'Aveugle,
613. Sermon de saint Augustin sur la divi-
niné de Jésus-Christ, IX, 241 et suiv. Doc-
trine du même, 644 et suiv.; — de Théodo-
ret sur l'union de la divinité avec l'huma-
nité en Jésus-Christ, X, 113 et suiv.; de saint
Léon, 233 et suiv. Saint Avit, dans une lettre
à Gondebaud, prouve la divinité de Jésus-
Christ, 360. Divinité de Jésus-Christ atta-
quée par Elipaud de Tolède et Féhx d'Urgel,
défendue par le pape Adrien I", par les évo-
ques de France et ceux d'itahe, XII, 136;
par saint Paulin, patriarche d'Aquilée, 158 et
suiv.; par Alcuin, 160, 161, 178 et suiv., 181
et suiv.; parBéatusetEthérius, 214 et suiv.;
par saint Benoit d'Aniane, 261. Traité d'A-
gobard contre les erreurs d'Elipand et de
Félix, 366. — Traité de Pierre le Vénérable
sur la divinité de Jésus-Christ, en forme de
lettre adressée à Pierre de Saint-Jean, XlV.
513. Autre traité du même contre les Juifs, |
316. Voyez Jésus-Christ, Arius, Ariens, Eu- \
nomius, Eunoméens. ^
DIVINITÉ DU SAINT-ESPRIT. Doctrine ivsiède.
de saint Athanase, IV, 146, 201 et suiv.
Doctrine de saint Basile le Graud, 387, 391, iv siècle.
392, 422. Sa conduite pour prêcher la divi-
nité, 503. La divinité du Saint-Esprit établie 362.
au concile d'Alexandrie, 389; soutenue dans 377.
un concile d'Icône tenu par saint Amphi-
loque, 603. — Doctrine de saint CyriJe de
Jérusalem, V, 69, 70; de saint Grégoire de
Nazianze, 316, 317; de Didyme l'Aveugle,
607 et suiv.. Voyez Esprit-Saint, Macédo-
niens.
DIVISION entre les évêques. Canons vingt- 398.
cinquième et vingt-sixième du quatrième
concile de Carthage, V, 729 ; entre les clercs,
canon cinquante-neuvième du quatrième
concile de Carthage, 731 ; entre les frères,
canon quatre-vingt-treizième du quatrième
concile de Carthage, 732.
DIVISION DES NOMBRES. Livre de Ger-
bert sur ce sujet, XII, 903.
DIVORCE. Canon quarante-huitième apos- iv siècle,
tolique, II, 384. Dixième et onzième canons iv siècle,
du concile d'Elvire, 603,606. Canon dixième
du concile d'Arles. Les lois civiles permet-
taient aux parties séparées de contracter un
second mariage, 631. — Canon neuvième 374.
dans la première épître canonique de saint
Basile le Grand, IV, 461. Canon trente- 375.
cinquième dans sa deuxième épître cano-
nique, 468. Canon soixante-dix-septième 375.
dans sa troisième épître canonique, 474. —
Discours de saint Grégoire de Nazianze, V, 380.
223, 226. Doctrine de saint Ambroise, 568. iv siècle.
— Discours de saint Astère d'Amasée, VI,
295, 296. — Sentiment de saint Chromace,
VII, 434. Canon sixième dans la lettre du pape ws-
saint Innocent à saint Exupère de Toulouse,
512. — Cas auquel le pape saint Grégoire II
permet le divorce aux Germains uouvelle-
ment convertis, XII, 25, et VU, 512, note 2.
Deux traités d'Hincmar de Reims sur le di-
vorce de Lothaire et de Thietberge, 661 et
suiv. Divorce interdit par le concile Quini-
sexte, 963, 964. — Lettre de Gérard, évêque
de Cambrai, sur le divorce d'Hézelin, XIII,
163.
DIZONIEN , sous-diacre de Macédoine ,
VII, 316.
DOARES, bourg de la seconde Cappa-
doce, V, 225.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
329
[DOBREE (Paul), publie une nouvelle édi-
tion du Lexicon grec de Photius, XII, 734,
note 8.]
[BOBROWSHIUS, travaille avec Peizelius
à une édition de la Chronique de Cosme de
Prague, XIV, 174.]
DOCÈTES, hérétiques, IV, 460 ; combat-
tus par saint Jean Chrysostôme, VII, 336.
380 DOCTEURS. Canon septième du concile de
Saragosse. Autorité des anciens docteurs
de l'Église reconnue par les hérétiques, IV,
616. — Traité des mauvais docteurs et des
œuvres de la foi attribué faussement au
pape Sixte IIl, VIH, 233.
[DOCTORAT, dignité dans l'Église, IV,
616, note 1.]
Il siècle. DOCTRINE CHRÉTIENNE. Témoignage
IV siècle, de saint Justin, I, 413 ; de saint Athanase,
IV, 210. Livre intitulé : La doctrine d'Orsise,
IV siècle, abbé de Tabenne, 239, 240. — Témoignage
de saint Cyrille sur la doctrine de l'Église,
V, 64, 65 ; — de saint Augustin, IX, 124.
Sur le bon usage de cette doctrine, 177.
Lettre où saint Augustin expose la doctrine
de l'Église sur la Trinité et llncarnation,
\. 397. 184. Quatre livres de la Doctrine chrétienne,
ouvrage de saint Augustin, 194 et suiv. —
Traité de la saine Doctrine, ouvrage de saint
Jean Damascène, XII, 78. — Doctrine spiri-
tuelle, ouvrage d'Otlon, moine de Saint-
Emmeran de Ratisbonne, XIII, 281. De la
Doctrine en tout genre, ouvrage de Michel
Psellus, 336.
DODANE, femme de Bernard, duc de Sep-
841. timanie. Ce qu'on sait des circonstances de
842. sa vie. Son Manuel adressé à Guillaume,
son fils, qui était à la cour de Charles le
Chauve. Idée de cet ouvrage, XII, 398. (Voy.
son article dans VHistoire liltérmre de la
France, t. V, p, 170 et suiv.)
DODECHIN, abbé de Saint Disebobe. Voy.
du Pin.
DODON, diacre. Voyez Bodon.
848 DODON, premier abbé de Saint-Martial
de Limoges, XIII, 103.
DODON (Augustin) , chanoine de Bâle,
premier éditeur des œuvres de saint Augus-
tin, IX, 815.
DODWEL (Henri), professeur d'histoire à
Oxford. Ses dissertations sur divers endroits
des écrits de saint Cyprien, II, 383.
DOGMES. [Discours de saint Athanase
contre ceux qui changent les dogmes avec
les temps. Sur le dogme de l'union des deux
natures en Jésus-Christ, fragment d'un traité
de saint Athanase, IV, 660.] — Ouvrages iv siécie.
dogmatiques de saint Ephrem, VI, 48, 49 et
[450 et suiv.] — Sermon dogmatique de
saint Basile le Grand faussement attribué à
saint Nil, solitaire de Sinaï, VIII, 211. —
Livre des Dogmes attribué à saint Augustin,
IX, 371; — c'est l'ouvrage de Gennade,
prêtre de Marseille ; analyse de cet ouvrage,
X, 601 et suiv. ; éditions qu'on en a faites,
606. — Dogmes de la Vraie Foi : titre sous
lequel on a réuni cinq discours d'Anastase,
patriarche de Constantinople, XI, 360 et suiv.
DOL, ville de Bretagne. Bulle du pape io94.
Urbain II qui oblige l'évêque de Dol à re-
connaître l'archevêque de Tours pour son
métropolitain, XIII, 427, 428. Décision du io95.
concile de Clermontsur le même sujet, 433.
— Le pape Innocent III déclare lévêque de
Dol soumis à la juridiction de l'archevêque
de Tours et le prive du pallium, XIV, 970.
Concile tenu en celte ville, 1074. L'évêque 1148.
de Dol obligé par le concile de Reims de re-
connaître la juridiction de l'archevêque de
Tours, 1121.
DOLCI. Sa vie de saint Jérôme, VII, 349.
DOLIQUE. Nom d'un monastère en Syrie,
X, 76.
DOMESTIQUES : soin que l'on doit avoir
de leur salut, Vil, 267.
DOMICE, à qui saint Denis d'Alexandrie
écrit deux lettres, II, 259.
DOMINICA, impératrice, épouse de l'em-
pereur Valens, IV, 357.
DOMINICI, évêque de Brescia ou Bresce.
Son édition des Morales de saint Grégoire le
Grand sur Job, XI, 583.
DOMINIQUE, évêque de Civita-Vecchia. 590.
Lettre que lui écrit le pape saint Grégoire
le Grand, XI, 481.
DOMINIQUE, évêque deCarthage. Lettres 591.
que lui écrit le pape saint Grégoire le Grand,
XI, 489, 499, 509, 520.
DOMINIQUE, abbé d'Altino, élu évêque
de Torcelle. Opposition à son élection. Un
concile de Ravenne l'autorise à recevoir les
revenus de son évêché, XIII, 717. Concile
de Rome tenu à son occasion, 719.
DOMINIQUE (Saint), abbé de Bore. Sa
Vie composée par le cardinal Albéric, XIII,
874.
877.
DOMINIQUE, patriarche de Grade et d'A-
quilée. Sa lettre à Pierre, patriarche d'An-
tioche, au sujet des reproches que les Grecs
faisaient à l'Église latine sur l'usage où elle
est de n'employer que du pain azyme dans
XI siècle.
330
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
la célébration des saints mystères, XIII, 221,
222. Réponse que lui fait Pierre d'Antioche,
222.
XI siècle. DOMINIQUE LE CUIRASSÉ (Saint). Sa
Vie, écrite par Pierre Damien, XIII, 310. Il
pensait que cent ans de pénitence pouvaient
être rachetés par la récitation du Psautier dit
vingt fois, en accompagnant cette récitation
de discipline, 320, 321. Opuscule de Pierre
Damien qui lui est adressé, 321.
DOMINIQUE (Saint), abbé de Silos. Sa
Vie écrite par Grimoald, moine de Milan ;
1073. temps de sa mort, XIII, 489.
DOMINIQUE (Saint), que les Grecs nom-
ment Cyriaque, Histoire de sa vie et de son
martyre, par Gonthier, moine de Saint-
Amand, XIII, 561.
DOMINIQUE (Saint), fondateur de l'ordre
H70. des Frères Prêcheurs. [Il naquit |à Calaruéga
ou Calaroga, dans la Vieille-Castille , en
H70. Ses parents furent Félix deGuzman et
Jeanne d'Aza]. Sermon de Guillaume d'Au-
vergne pour le jour de la fête de saint Do-
minique, XIV, 1027. [Voir, sur saint Domi-
nique, la belle Vie de ce saint, par le père
Lacordaire.]
DOMITIEN, empereur, persécute les chré-
tiens, II, 506. Sa mort, 507.
DOMITIEN, évéque de Genève, II, 472.
DOMITIEN, dont saint Basile sollicite le
pardon auprès du duc Andronic, IV, 450.
DOMITIEN, préfet, assassiné par ordre du
César Gallus, VI, 256.
DOMITIEN, prêtre et économe de l'Église
de Constantinople, VII, 136.
DOMITIEN, à qui saint Nil écrit, VHI, 219.
DOMITIEN, questeur, écrit à Hellade de
Tarse et à Théodoret, VHI, 248, 249.
DOMITIEN, évêque, légat de saint Léon
dans rOrient, X, 236.
VI siècle. DOMITIEN, d'abord abbé de Saint-Marty-
rius, puis évéque d'Ancyre. Sa requête au
pape Vigile au sujet de la condamnation
d'Origène, XI, 345.
592. DOMITIEN, évêque de Mélitine,et métro-
politain d'Arménie. Livre que lui écrit le
pape saint Grégoire, XI, 494. Livre que lui
dédia saint Euloge, patriarche d'Alexandrie,
590.
V siècle. DOMITIUS, professeur de rhétorique à
Glermont. Saint Sidoine Apolhnaire l'invite à
venir à sa maison d'Avitac, X, 384. Sidoine
lui envoie le recueil de ses poésies, 398.
307. DOMNIN (Saint), martyr de Palestine,
m, 8.
DOMNIN, évêque de Grenoble, au concile
d'Aquilée, IV, 629.
DOMNIN, évêque de Marcianople, sollicite
le rappel d'Eunomius, IV, 410 et VI, 261.
DOMNIN, à qui saint Nil écrit, VHI, 220.
DOMNIN, moine qui suit Léporius dans
ses erreurs et se rétracte avec lui, VHI, 233.
DOMNIN, évêque de Césarée, bigame,
X,23.
DOMNIN, diacre, chargé d'avertir les évé-
ques de se trouver au concile de Chalcé-
doine, X, 684.
DOMNINE et THÉONILLE (Saintes), mar-
tyres à Egée en Cilicie, II, 467.
DOMNINE, BÉRÉNICE et PROSDOCE, ses
filles (Saintes), martyres. Leurs actes, III,
46, 47. On a confondu ces martyres avec
sainte Pélagie et ses sœurs, 80, 81. — Pa-
négyrique de ces trois saintes, par saint
Jean Ghrysostôme, VII, 92.
DOMNINE (Sainte), vierge, célèbre par ses
austérités, et dont 'Théodoret a écrit la vie,
X, 64.
DOMNION, prêtre de Rome à qui saint Jé-
rôme écrit une lettre, VII, 603. — 11 reçoit à
Rome saint Paulin, VIII, 52.
DOMNISON, prêtre et moine de Canosse,
chapelain de la comtesse Mathilde, écrit la
vie du pape Grégoire VII et celle de la com-
tesse Mathilde, XHI, 373.
DOMNITIUS , à qui saint Sidoine adresse
une lettre, X, 388.
DOMNIUS (Saint) , martyr. Ses actes re-
touchés par Adam de Paris ; jugement sur
les fragments qui en restent, XIll, 237.
DOMNOLE (Saint), d'abord abbé de Saint-
Laurent à Paris, puis évêque du Mans. 11
assiste au concile de Tours dont il rédige les
actes ; il fonde l'abbaye de Saint-Vincent du
Mans. Sa mort. Ses écrits. Sa Vie, écrite par
deux auteurs différents ; son testament et
soncodicile, XHI, 313. [Édition des écrits de
saint Domnole dans la Patrologie, 313.]
(Voyez son article dans V Histoire littéraire de
la France, t. HI, p. 328 et suiv.)
DOMNULUS, que saint Honorât de Mar-
seille met au nombre des docteurs de son
temps. Il ne nous reste rien de lui, VIII,
452.
DOMNULUS, questeur de l'Empire. Lettre
que lui écrit saint Sidoine Apollinaire pour
lui faire part de l'élection de Jean à l'évêché
de Châlon, X, 389.
DOMNUS I, évêque d'Antioche, mis à la
place de Paul de Samosate, H, 432. L'em-
381.
285.
301.
392.
393.
394.
XI siècle.
567.
581.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
331
pereur Au rélien lui adjuge la maison épis-
copale, 568.
Ml. DOMNDS II, évêque d'Antioche; en quelle
442. année. Lettre que saint Cyrille d'Alexandrie
lui écrit, au sujet d'Athanase, évêque de
Perrha; autre au sujet d'un autre évêque
nommé Pierre, VIII, 300. Il indique un con-
cile pour juger l'affaire d'Athanase de Per-
rha, 381. Il fait le comte Irénée évêque de
Tyr, 387. Lettre que lui écrit saint Procle,
407. — Il avait été ordonné diacre par Ju-
vénal de Jérusalem, X, 17. Il envoie des
évêques à Gonstantinople pour la défense de
Théodoret et des Orientaux, 22. Théodoret
lui écrit, 23. Autre lettre de lui, 66. Domnus
ftiit part à Théodoret de la lettre de Dios-
core, 70. Lettre que Théodoret écrit à Dom-
nus pour soutenir l'ordination d'Irénée, évê-
que de Tyr, 72. Autre lettre au sujet du
concile qui devait être convoqué à Éphèse,
73. Comment il se conduit dans l'affaire
d'Ibas, évêque d'Édesse, dénoncé comme
Nestorien, 144, 145. Concile où il juge la
cause d'Athanase de Perrha, 666, 667. Il
consent au rétablissement d'Eutychès, 678 ;
et à la condamnation de Flavien ; il rétracte
sa souscription, et est déposé, 679.
V. 546. DOMNUS III, patriarche d'Antioche, suc-
cède à Éphrem, XI, 175.
DOMNDS, solitaire, tué par les Sarrasins,
IV, 285.
DOMNDS, évêque d'Apamée. Lettre que
lui écrit Théodoret, X, 71.
DOMNDS ou DONDS, évêque de Messine.
S. Grégoire le Grand lui envoie le pallium,
XI,- 504. Lettre par laquelle le pape saint
Grégoire lui défend de rien exiger pour le
lieu de la sépulture des morts, 510.
DOMNDS ou DONDS I et II, papes. Voyez
Bonus.
6o2. DONADEDS, diacre qui se plaint d'avoir
été injustement déposé par son évêque, XI,
910.
DONAT, évêque de Carthage, à qui suc-
céda saint Cyprien; il condamne l'hérétique
Privât, II, 261, n. 5,553.
m siècle DONAT, ami de saint Cyprien. Livre que
ce saint lui adresse, II, 268 et n. 5.
DONAT, prêtre de Carthage, II, 260 et
299.
DONAT , disciple de Lactance , qui lui
adresse son livre de la Colère de Dieu, II, 503.
DONAT, confesseur sous Dioclétien, à qui
Lactance adresse un livre de la Mort des
persécuteurs, II, 503 et u. 3.
597.
677-679.
DONAT DE CARISE (Urbain), chez qui fut 3»5.
tenu le concile de Cirthe, II, 620.
DONAT, évêque de Calame, traditeur au
concile de Cirthe, II, 620; et au concile de
Carthage contre Cécihen, 622.
DONAT, évêque de Mascula, est, comme le
précédent, traditeur au concile de Cirthe et
à celui de Carthage, U, 620 et 622.
DONAT (Saint), évêque d'Arezzo, martyr, 304.
III, 104.
DONAT et HILARIEN (Saints), martyrs.
Discours de saint Pierre Damien à leur sujet,
XIII, 309.
DONAT, évêque des Cases-Noires, pre- iv siècle,
mier auteur du schisme des Donatistes, II,
622. Il assiste au concile de Rome en 313,
623. Conduite qu'il y tient, 626. — Il est
condamné, V, 96, 97 et IX, 485. Il appelle de
la sentence rendue contre lui, V, 97 et 112.
DONAT, évêque schismatique de Carthage, sie.
successeur de Majorin, V, 97. Qui était Do-
uât, 97 et 98. Son savoir, ses écrits; il re- u^.
fuse de s'unir aux Eusébiens, 98. Il refuse 340.
les aumônes de Constant, 99. Il est banni ;
sa mort, 99 et 100. 11 condamne l'hérétique 348.
Privai, 553. (Ceci se rapporte plutôt à Do-
uât, prédécesseur de saint Cyprien). Saint
Optât parait confondre Donat avec Donatdes
Cases-Noires, 97 et 112. Témoignage de saint
Optât sur sa mort, 141.
DONAT, diacre donatiste de Carthage, IV,
658.
DONAT (iELIDS), grammairien, l'un des
maîtres de saint Jérôme, IV, 325. — Com-
mentaire de l'abbé Smaragde sur ses ou-
vrages, XII, 256. Commentaire de Rémi
d'Auxerre, 759.
DONAT et PRIMDS, diacres catholiques
massacrés par les Donatistes, V, 115.
DONAT, évêque de Tysédis, mis en péni-
tence, quoique d'une vie irréprochable, V,
116.
DONAT, évêque de Bagaïe, suscite les
Circoncellions contre Paul etMacaire, V, 116,
117.
DONAT (Saint), évêque d'Eurie en Syrie.
Sa Vie traduite en lalin par Anastase le Bi-
bliothécaire, XII, 713.
DONAT, évêque de Nicople, Lettre que lui 433.
écrivit saint Cyrille d'Alexandrie, VIII, 295.
DONAT, proconsul d'Afrique, IX, 17. Let- m.
très que lui écrivit saint Augustin, 104 et
110.
DONAT, prêtre donatiste. Saint Augustin 4i6,
lui écrit aussi, IX, 149.
332
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
432. DONAT, évêque de Saline ou Salicine,
quitte avec son peuple l'hérésie des Nova-
tiens, X, 137 et 199.
DONAT, évêque d'Afrique, assiste en 487
à un concile de Ronae, X, 720.
DONAT, à qui saint Fulgence de Ruspe
adresse son livre de la Foi orthodoxe, XI, 32.
V.624. DONAT (Saint), évêque de Besançon, bap-
646. tisé par saint Colomban ; devient évêque de
Besançon ; assiste au concile de Ghâlon-sur-
Saône ; fonde le monastère de Palais, XI,
738. Compose une règle pour les filles, 738
et 618. Autre règle qu'on lui attribue, 738,
739. [Édition de la règle de saint Donat dans
la Patrologie, 739.] Il avait été moine de
Luxeuil, 618. Il succéda à saint Protade.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire de
la France, t. III, p. 570 et suiv.)
DONAT, patriarche de Grade, XII, 23.
viil siècle. DONAT, diacre de l'Église de Metz, auteur
de la Vie de saint Trond ou Trudon, XII,
133. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. IV, p. 175 et suiv.)
369. DONAT, évêque d'Ostie, l'un des légats
envoyés par le pape Adrien II au quatrième
concile de Gonstantinople , XIII , 702 et
suiv.
DONAT (Bernardin) de Vérone. Sa ver-
sion latine des livres d'Eusèbe de la Démons-
tration évangélique; en quoi elle est défec-
tueuse, III, 313. — Son édition des homélies
de saint JeanChrysostôme sur les Épîlres de
saint Paul, VU, 436. — Son édition de quel-
ques ouvrages de saint Jean Damascène,
XII, 98. Son édition des ouvrages d'Œcumé-
nius, 914.
DONATIEN (Saint), confesseur d'Afrique,
baptisé dans la prison où il meurt, II, 388.
286 ou 287. DONATIEN et ROGATIEN (Saints), mar-
tyrs à Nantes, II, 475,476.
DONATIEN, évêque d'Oriol, assiste en 313
au concile de Rome, II, 625.
DONATIEN, évêque de Télepte dans la
province Byzacène, IV, 643. — Il préside au
concile de Télepte, VIII, 361.
DONATIEN, évêque de Tabraca, au qua-
trième concile de Carthage, VII, 726.
DONATIEN (Saint), archevêque de Reims.
Sa Vie, attribuée à Gervais, l'un de ses suc-
cesseurs, XIII, 263. Relation d'un miracle
opéré par son intercession, 187 et467.
DONATILLE (Sainte,, martyre eu Afrique,
III, 39.
DONATIONS. Donation au pape saint Syl-
vestre attribuée à l'empereur Constantin,
III, 122, n. 7, et 147. — Canons treizième
et quarante-neuvième du concile de Car-
thage en 397 touchant les donations, VII,
721 et 726. — Canon du concile d'Agde au
sujet des donations faites aux églises, X,
737. — Formules des donations faites aux
églises, XI, 739 et suiv. — Loi des Alle-
mands et des Bavarois sur les donations,
XII, 227. Donation de Pépin, roi de France,
à l'Église romaine, 113. Donations de Char-
lemagne, 236 et 248. Donations faites à
l'Église romaine confirmées par l'empereur
Louis le Débonnaire, 379, 380. [Voyez 379,
note 6.] Canon d'un concile de Reims sur les
donations, 915. Canon du sixième concile de
Tolède qui les concerne, 920, 921. Réponse
du pape saint Nicolas \" sur les donations
faites aux églises, 576. Canon d'un concile
de Mérida touchant les donations des évê-
ques, 938. — Canon d'un concile de Reims
contre les donations d'un bien mal acquis,
XIII, 645. — Donations faites aux églises ;
quelle en était la forme usitée en Dane-
marck, XIV, 965.
DONATISTES, schismatiques. Origine de
leur schisme, II, 622 et suiv. Troubles qu'ils
excitent dans l'Église, 624. Concile de Rome
où ils sont condamnés, 625 et suiv. Ils se
plaignent de ce concile, 627. Concile d'Arles
qui leur est accordé et qui confirme leur
condamnation, 628. — Ce concile fut con-
voqué par Constantin à leur sollicitation,
III, 122. Constantin confirme le jugement
prononcé contre eux par ce concile, 123.
Lettre de Constantin aux évêques Donatis-
tes, 133. Réunion d'un grand nombre de
Donatistes à l'Église catholique, 498, 499.
— Requête qu'ils présentent à JuUen l'Apos-
tat ; concile qu'ils tiennent à Tliéveste dans
la Numidie ; leurs violences à Lemelle dans
la Mauritanie, IV, 394. Ils tiennent un con-
cile à Carthage au sujet de l'élection de
Primien au siège de cette ville, 638. Ils
condamnent Primien dans un concile tenu
à Carbasussi, 658 et 659. Concile de Bagaïa
dans lequel Primien porte ses plaintes, 639,
660. — Origine du premier schisme des
Donatistes à Carthage, V, 93. Origine du
second ; ils demandent des juges à Constan-
tin contre Gécilien qu'ils avaient déposé
dans un concile, 96. Gécilien est absous dans
un concile de Rome ; Donat des Cases-
Noires, auteur du schisme, est condamné,
96 et 97. Un autre Donat succède à Majorin
dans le siège schismatique de Carthage, 97.
638.
393.
394.
304.
313.
316.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
333
314.
320.
304.
332
393.
401.
407.
412.
418.
V siècle.
Ecrits de saint Optât, évêque de Milève,
contre les Donatistes, 108 etsuiv. LesDona-
tistes ont recours aux puissances séculières,
m. Leurs cruautés, ll-i et suiv. Leur folie,
123, 124 et 133. Quelques points de leur
histoire rapportés par saint Optât, 140. Di-
vers monuments concernant Thistoire des
Donatistes, 142 et suiv. Édits touchant la
persécution de Dioctétien ; actes de saint
Félix de Ttiibare, de saint Saturnin et de
ses compagnons, 142. Actes de la justifica-
tion de Félix d'Aphtonge, 142 et 143. Pro-
cès-verbal de l'information contre Sylvain,
évêque de Girthe, 143. Lettre de Mensurius
à Second de Tigisi; réponse de celui-ci à
Mensurius, 143 et 144. Lettres de Constan-
tin, 144 etsuiv. Discours sur les martyrs do-
natistes, 146, 147. Canons et lois contre la
rehaptisation, 147, 148. Autres monuments
touchant l'histoire des Donatistes, 148. —
Rescrit de l'empereur Julien en faveur des
Donatistes; loi de l'empereur Honorius qui
les concerne, VI, 348. Loi de Valentinien
I" contre les Donatistes, 396. Loi de Gra-
tien contre les schismatiques, 361. Ce que
saint Epîphane dit de cette secte, 397. —
Quelques-uns de ces schismatiques sont
réunis à l'Église par les soins de saint Pam-
maque, VII, 505. Canon huitième concernant
les Donatistes dans la lettre du pape saint
Innocent à saint Victrice de Rouen, 508.
Canon quarante-unième du concile d'Hip-
pone ; autre canon sur le même sujet,
715. Conclusion d'un concile général de Gar-
thage touchant les Donatistes, VIII, 537.
Règlements d'un autre concile général de
Carthage touchant les églises des Donatistes,
543. Lettre synodale du concile de Girttie,
adressée aux Donatistes, écrite par saint Au-
gustin, 546 et suiv. Canons d'un concile gé-
néral de Carthage pour la réunion des Do-
natistes, 559, 560. — Les Donatistes attentent
à la vie de saint Augustin ; ils persécutent
les cathohques, IX, 16. Ils les rebaptisaient,
80. Lettre de saint Augustin à ces schisma-
tiques, 90. Aulre lettre que leur écrivit saint
Augustin, 107. Autre, 126, 127. Autre en-
core aux Donatistes de Cirlhe convertis,
127, 128. Précis de l'affaire des Donatistes,
371 et suiv. Ouvrages de saint Augustin
contre ces hérétiques, 374 et suiv. Monu-
ments pour riiistoire des Donatistes, 415 et
suiv. Les Donatistes décriaient la vie monas-
tique, 787. [Sermon de saint Augustin contre
les Donatistes, 831. Autre, 832.] — L'hérésie
des Donatistes reprit de nouveaux accrois-
sements eu Afrique au temps du pape saint
Grégoire, XI, 489. Ce saint pape ordonne
à Colomb, évêque de Numidie, de s'opposer
à leurs entreprises, 489 et 506. Il exhorte
l'empereur Maurice à punir ceux qui con-
trevenaient aux lois établies contre eux, 506.
DONATULE, évêque de Capse, consulte
saint Cyprien, II, 416 et note 4. Assiste en
256 au grand concile de Carthage, 316.
DONI D'ATTICHI (Louis), évêque de Riez.
Sa traduction française de Faust de Riez sur
saint Maxime, X, 437.
DONIDE. Lettre que lui écrit saint Sidoine
Apollinaire, X, 384, 385.
DONNÉS ou OBLATS dans les monastères,
XIII, 485.
DONS DU SAINT-ESPRIT. Ouvrage de
saint Hippolyte sur ce sujet, I, 632. — Traité
des sept vices, et des sept dons du Saint-
Esprit, faussement attribué à saint Augustin,
IX, 287. — Lettre de Charlemagne sur les
sept dons du Saint-Esprit, XII, 245. — Ber-
non de Reichenau en compte huit, en les
mettant en parallèle avec les huit béatitudes,
XIII, 124, 125. — Traité de Hugues de Saint-
Victor des Sept dons du Saint-Esprit, XIV,
361. Discours de saint Bernard, 484. Ou-
vrage d'Arnaud, abbé de Bonneval, 619.
DONS SURNATURELS des premiers chré-
tiens. Témoignage de saint Justin sur ce su-
jet, I, 426. — Dons surnaturels accordés à
saint Pacôme, III, 360, 361.
DONS ou OFFRANDES. Doctrine d'Ori-
gène, II, 243, 244. De qui les évêques peu-
vent recevoir des dons. Canon vingt-huitième
du concile d'Elvire, 608.
DONUS I", pape, succède à Adéodat. Sa
mort. La lettre que l'empereur Constantin
Pogonat lui avait adressée est rendue au
pape saint Agathon, XI, 783.
DONUS II, pape, succède à Benoît VI et
ne siège que trois mois, XII, 835.
DORMANTS. L'Histoire des sept dormants
traduite par saint Grégoire de Tours n'est pas
celle que nous avons aujourd'hui, XI, 383,
384. Les sept dormants de Marmoutier sont
diSérents de ceux d'Ephèse, 384.
DORMEURS, hérétiques. Voyez Nyctages,
DORMUND, ville de Westphalie. Concile
quiy fut tenu, XIV, 1034.
DOROSTOLE, ville de Thrace, X, 46.
DOROTHÉE, prêtre d'Antioche, connu
d'Eusèbe de Gésarée, I!I, 169.
DOROTHÉE, prêtre, un des députés par
m siècle.
II siècle.
IV siècle.
III siècle!
677.
V. 975.
Itl siècle.
377.
3U
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
les Orientaux au concile de Rome, IV, 479.
Dispute avec Pierre d'Alexandrie au sujet
de saint Melèce et de saint Eusèbe de Samo-
sate, G07.
DOROTHÉE, diacre de l'Église d'Antioche,
porteur de quelques lettres de saint Basile,
IV, 441.
DOROTHÉE, solitaire près d'Alexandrie,
VII, 484.
Vsiècie. DOROTHÉE, abbé. Ce qui en est dit
dans l'Histoire lausiaque de Pallade, VU,
489.
DOROTHÉE, évêque qui pensait comme
Nestorius, VIII, 132 et 286.
430. DOROTHÉE, évêque de Marcianople. Let-
tre que saint Cyrille d'Alexandrie écrit à sou
occasion, VllI, 281 et suiv., 286, 287. Il rejette
sur ce saint évêque le trouble dont la ville de
Constantinople était agitée, 284 et 285. 11 em-
brasse les erreurs de Nestorius, 370. Il est
déposé de l'épiscopal et banni à Césarée en
432. Cappadoce. Ses lettres, 383. Il est déposé
dans un concile tenu à Constantinople, 399.
II se maintient pendant quelque temps, 600.
Son obstination dans le schisme. Il est relé-
gué à Césarée eu Cappadoce, 604.
DOROTHÉE, abbé eutychien, que l'empe-
reur IMarcien mit bors d'état de nuire, X,
233. Refuse de souscrire à la lettre de saint
Léon, 681. Soutient qu'Eutychès est catho-
lique. Persiste à refuser de souscrire à la
lettre de saint Léon, 690.
DOROTHÉE, diacre. Une lettre qui lui est
adressée est attribuée à saint Denis l'Aréo-
pagite, X, 551.
5,5_ DOROTHÉE, évêque de Thessalonique.
Sa lettre au pape saint Hormisdas pour
l'exhorter à travailler à la paix de l'Eglise.
Réponse du pape, X, 616. Vexations qu'il
exerce contre Jean de Nicopolis, 618. Re-
mède qu'y apporte le pape Hormisdas,
618 et 619. Ses violences contre les légats
venus à Thessalonique pour la réunion, 625,
626. Il est mené à Héraclée par ordre de
l'empereur. Il est renvoyé. On craint qu'il
ne se justifie en distribuant de l'argent, 628.
L'empereur l'oblige d'envoyer au pape une
députation pour lui faire satisfaction, 632.
Lettre qu'il écrit au pape. Réponse qu'il en
reçoit, 632, 633.
DOROTHÉE, moine d'Alexandrie, écrit en
faveur du concile d'Alexandrie, et pour ce
sujet est relégué à Oasis, XI, 106, 107.
DOROTHÉE, religieux de grande vertu,
que saint Germain, évêque de Paris, établit
abbé au monastère de Sainte-Croix, plus
tard Saint-Germain-des-Prés, XI, 311.
DOROTHÉE, nom commun à plusieurs
archimandrites, XI, 693, 696. On discute
auquel on peut attribuer vingt-quatre dis-
cours sur la manière de vivre avec piété. 11
paraît qu'ils sont de Dorothée le Sévérien.
Ce que contiennent ces discours. Huit lettres
du même, 696. [Traduction française de ses
discours, 697. Édition des écrits de Dorothée
dans la Patmlogie grecque, 6Qô, notes 4 et 5
et p. 696, note 6.]
DOROTHÉE LE JEUNE. Sa vie écrite par
son disciple Jean Mauropus, métropolitain
d'Euchanie, XIII, 229.
DORO VERNE, ancien nom de Gantorbéry,
XI, 437.
[DORN, publie trois chapitres de l'Histoire
ecclésiastique d'Eusèbe de Césarée en sy-
riaque, III, 317.]
DORUS, évêque de Bénévent. Lettre que
lui écrit le pape saint Léon, X, 210.
DORYLÉE, ville épiscopale de Phrygie,
X, 23.
DOSITHÉE, patriarche de Jérusalem,
transféré sur le siège de Constantinople,
puis chassé. Georges Xiphilin est mis à .sa
place, XIV, 823.
DOSITHÉE, liérétique, V, 173.
DOSITHÉENS, secte de Samaritains. Ce
qui en est dit par saint Philastre, V, 173. —
Par saint Epiphane, VI, 384.
DOT des Églises : canon d'un concile de
Mayence sur ce sujet, XIII, 731.
DOUNOAS, chef de brigands. Persécution
qu'il fait souffrir aux chrétiens. Il est atta-
qué par Elesbaon, roi d'Auxume, qui le fait
prisonnier et lui ôte la vie, X, 649.
DOUTE. Doctrine d'Origène, H, 229; —
[de saint Ephrem sur le doute quand on a
reçu la foi, VI, 474.] — Sentiment de saint
Léon sur les cas douteux, X, 274. — Doutes
hypothétiques contre ceux qui nient les deux
natures en Jésus-Christ : ouvrage de Léonce
de Byzance, XI, 671.
DOUZI. Conciles tenus en cette ville,
XIII, 714 et 716.
DOXAPATER. Voyez Nil Doxapater,
DOXARIENS ou Aposchites, hérétiques
dont parle saint Jean Damascèue, XII, 70.
DOXOLOGIE, ou formule de glorification.
Elle n'était pas encore réglée du temps de
saint Ignace d'Antioche, I, 386. Vestiges de
l'ancienne doxologie, 389, 407. Doxologie
de Clément d'Alexandrie, 572. — Doxo-
448.
1193.
i
IV siècle.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
335
354.
360.
84t.
logie dont il e§t parlé dans les Constitutions
apostoliques, II, 597. — Origine de la doxo-
logie Gloria Palri, etc., 111, 439. — Son an-
tiquité selon le témoignage de saint Basile
le Grand, IV, A2A. — [Il y avait deux doxo-
logies; Didyme en réprouve une, V, 631.]
DOYENS. Doyens des monastères au
temps de saint Augustin, IX, 786. — Quel
est leur office dans la règle de saint Benoît,
XI, 163. — Doyens ruraux. Différentes fonc-
tions dont ils sont chargés par les capitulaires
d^Hincmar, XII, 664.
[DRAGH, rabbin converti. Son édition des
Hexaples d'Origène, II, 148.]
DRACHME : opuscule faussement attribué
à saint Jean Chrysostôme sur la parabole de
la Drachme et de l'Enfant prodigue, VU,
312.
DRACILIEN , vicaire des préfets du pré-
toire et gouverneur de la Palestine. Ordre
que lui donne l'empereur Constantin, X, 133.
DRACONCE , évéque d'Hermopolis, en
Egypte. Lettre de saint Athanase à cet évé-
que, IV, 115. Il est banni par la faction des
Ariens, 237.
DRACONCE , évoque de Pergame, déposé
au concile de Constantinople, IV, 578.
DRACONCE, prêtre espagnol, auteur d'un
poëme sur la Création, et d'une élégie à
l'emperenr Théodose le Jeune. Éditions de
ce poëme, X, 587. [Nouvelles éditions, 587.]
DRAGMATICON : ouvrage où Guillaume
de Conches rétracte ses erreurs sur la Tri-
nité, XIV, 388.
DRAGONS : opuscule de saint Jean Da-
raascène sur certaines espèces de dragons,
XII, 79, 80.
DRAUSIN (Saint), évêque de Soissons,
invoqué par ceux qui avaient à se battre en
duel, XIV, 678. [D. Ceillier écrit Dinsius.]
DREPANIUS FLORES, nom sous lequel
on a donné les poésies de Florus, diacre de
Lyon, XII, 489.
[DRESSEL (Albert) : son édition des Pères
apostoliques, I, 338.]
[DREUX du Radier : sa traduction française
du livre de la Colère de Dieu, II, 521.]
DROCTOVÉE (Saint), premier abbé de
Saint-Germain des Prés, XI, 376.
DROGON, évéque de Metz, fils de Gharle-
magne et oncle de l'empereur Lothaire.
Lettre que lui écrit Frothaire, évêque de
Toul, XII, 398. Lothaire l'envoie à Rome
avec son fils Louis pour examiner l'élection
du pape Sergius. Ce pape l'établit vicaire
apostolique dans toutes les provinces en deçà
des Alpes, 406. Raban Maurlui adresse son
traité des chorévêques, 462. — Drogon veut
se faire reconnaître vicaire apostolique dans
le royaume de Charles, XIII, 672, 673.
DROGON, fils de Charles le Chauve : son
épitaphe par Milon, moine de Saint-Ainand,
XII, 604.
DROGON, évéque de Minden. Son élec- 996.
tion confirmée par un concile de Cologne,
XIII, 730.
DROGON, frère de Gui, évêque du Puy,
est nommé par le roi Hugues Capet pour
lui succéder, XH, 894.
DROGON , évêque de Beauvais : sa lettre io30-jo47.
sur l'excommunication, XIII, 123. (Voyez
son article dans VHistoire littéraire de la
France, t. VII, p. 370 et suiv.)
DROGON, évêque de Térouanne, injuste- xi siècle,
ment chassé de son siège, XIII, 163. Il doit
être distingué de Drogon, moine de Berg-
Saint-Vinok, auteur de quelques ouvrages,
et qui vivait dans le même temps, 271.
DROGON, moine de Berg-Saint-Vinok, xi siècle,
doit être distingué du précédent; il est au-
teur de la relation des miracles de saint Vi-
nok ; de l'histoire de la translation des reli-
ques de sainte Lévine ; d'une légende de saint
Oswald, roi d'Angleterre, et de deux petits
discours en l'honneur de ce saint roi, XIII,
271. (Voyez son article dans VHistoire litté-
raire de la France, t. VIII, p. H et suiv.)
DROGON, moine de Saint-André de Bru-
ges, confondu avec les deux précédents. [Ce
qu'on sait des circonstances de sa vie ; il ne
doit pas être confondu avec les deux auteurs
précédents ; il écrit la Vie de sainte Godo-
lève, XIII, 271. Analyse de cette vie, 271 et
272. Jugement sur cet écrit, 272.] (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. X, p. 255 et suiv.)
[DROGON ou DREUX, cardinal, évêque
d'Ostie. Sa vie; ses écrits ; son traité du sa-
crement de la Passion du Sauveur, XIV, 248.
Traité de la création et de la rédemption du
premier homme; traité des sept dons du
Saint-Esprit et des sept béatitudes ; traité
des offices et des heures canoniales, 249.]
(Voyez son article dans VHistoire littéraire de
la France, t. XI, p. 699 et suiv.)
DROIT. Corps du droit donné par Justî- vi aiècip,
nien, contenant les Institutes, le Digeste, le
Code et les Novelles, XI, 233 et suiv,
DROIT CANONIQUE, Abrégé du droit ca- vit siècle,
nonique, ouvrage de Cresconius, évêque en
336
HTSTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Afrique; ce que c'est; éditions qu'on en a
faites, XI, 808, 809.
[DROLSHAGEN, lecteur en droit, a fait im-
primer le Cornufus, ouvrage de Jean de Gar-
lande, avec le Cornufus, œuvre d'Othon,
XIII, 230.]
[DRONKE (Em.). Son édition de la Para-
phrase de David Nicétas sur les poésies de
saint Grégoire de Nazianze, V, 362.]
DROSIS ou DROSIDE (Sainte), vierge et
martyre, III, 86. — Son panégyrique, par
saint Jean Chrysostôme, VII, 93. — [Deux
homélies de Sévère de Sozopole sur cette
sainte, XI, 109.]
DROUET DE MAUPERTUY (J.-B.) Sa tra-
duction française du premier livre des Ins-
titutions deLactance, 11,521. — Ses traduc-
tions des traités de Salvien sur la Providence
et sur l'Aumône, X, 378.
DRUNGARIUS (Jean), auteur du xii^ siècle,
IV, 373.
DRUTHMAR. Voyez Chrétien Druthmar.
1152. DUBLIN, ville d'Irlande, où on établit un
archevêché, XIV, 1123.
[DDBNER. Son choix des écrits de saint
Chrysostôme, VII, 435. 11 a publié plusieurs
choix de Pères avec des notes.]
[DUBOIS (L.). Sa traduction française de
l'Histoire d Orderic Vital, XIV, 373.]
DUC (Fronton Le), jésuite. Ses notes sur
lesœuvres de Clément d'Alexandrie, 1,606. —
Ses éditions des œuvres de saint Athanase.
IV, 231 ; de saint Basile de Gésarée, 546 ; —
de saint Grégoire de Nysse, VI, 258 ; — de
saint Jean Chrysostôme, VII, 434. Ses notes
sur saint Jérôme, 700. — Son édition des
œuvres de saint Jean Damascène, XII, 98.
DUGÉNAIRES, ofSciers de finance chez les
Romains, II, 569.
[DUCHESNE, auteur de la Collection des
Historiens de France, y insère l'Histoire des
Albigeois, par Pierre de Vaulx-Gernay, XIV,
908.]
DUDDE, abbé. Lettre de saint Boniface
qui lui est adressée, XII, 50.
DUDE, religieuse, condamnée au concile
de Douzi, XIII, 716.
DUDON, doyen de Saint-Quentin. Son ou-
vrage sur les mœurs et les gestes des Nor-
mands, XIII, 416. [Voyez son article dans
V Histoire littéraire de la France, t. VII, p. 236
et suiv.)
DUELS ordonnés par la loi de Gondebaud
ponr décider les procès entre particuliers.
Représentations d'Agobard , archevêque de
Lyon, contre celte loi, XII, 368, 369. Déci-
sion d'Alton, évêque de Vercei), contre les
duels employés pour la défense des évèques,
823. — Duel ou combat singulier désap-
prouvé par Yves de Chartres , XIV , 120.
Lettre de saint Bernard contre les duels, 457.
DUISBOURG, ville du duché de Clèves.
Concile qui y fut tenu, XIII, 745.
[DUJAL DE VILLENEUVE. Sa traduction
française des sermons de saint Gésaire, XI,
156.]
[DULAC. Sa traduction française du Té-
moignage de l'âme, de TertuUien, II, 87 ;
des écrits de saint Denis l'Aréopagite.]
DULAS, abbé de Sinaï, échappe à la fu-
reur des Sarrasins, XIV, 284.
DULCÉTIUS, gouverneur de Thessaloni-
que qui condamna les saintes Agape, Quio-
nie et Irène, III, 23, 24.
DULCITIUS, tribun et notaire. Lettre que
lui écrivit saint Augustin, IX, 169, 170. So-
lulion des Questions de Dulcitius, ouvrage
de saint Augustin, 252 et suiv.
DULCITIUS, notaire envoyé par le pape
saint Léon au brigandage d'Éphèse, X, 173,
335, 675 et suiv.
DUMAY (Paul), conseiller au parlement
de Dijon. Son édition des deux premiers li-
vres des lettres du pape Innocent III, XIV,
951.
DUME, monastère de Galice établi par
saint Martin, depuis archevêque de Brague,
XI, 350. Ce monastère est érigé en évêché
et saint Martin en fut le premier évêque, 885.
DUNAAN , juif, persécute les Homérites
chrétiens pour les obliger à embrasser le ju-
daïsme, X, 644, 645.
DUNESTABLE, ville d'Angleterre. Concile
qui y fnt tenu, XIV, 1158.
DUNGAL, reclus, consulté sur les deux
éclipses de l'année 810, XII, 247 et 326. Sa
dissertation sur ces phénomènes, 326. Son
écrit contre Claude de Turin en faveur du
culte des images, 326 et suiv. Analyse de
cet écrit, 326. Ses poésies; poëme en son
honneur, 328 ; [ses écrits dans la Patrologie,
328 et 329.] (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, l. IV, p. 493 et suiv.)
[DUNGE (Georges), Son édition du Ligu-
rinus, ou Gestes de l'empereur Frédéric Bar-
berousse, par Gonthier, moine de Citeaux,
XIV, 893.]
[DUNKERetSCHNEIDEWlN. Leur édition
du traité des hérésies, par saint Hippolyle,
I, 642.]
420.
422.
562.
VI siècle.
810.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
337
DUNSTAN (Saint), archevêque de Gantor-
bcry. Sa naissance, XIII, 38. Ses commen-
cements, S8 et 59. 11 rétablit le monastère
de Glastembury ; le roi Edui l'envoie en exil ;
Edgar le rappelle et l'oblige à accepter l'é-
vêcbé de Worcbester; il succède à Odon
dans celui de Cantorbéry. Ses écrits. Sa
mort. Sa Vie, par Adalard, abbé de Blandi-
gni ; par Bridferth, moine de fiamsey, ^9 ;
par Osberne, moine de Cantorbéry, 58 et
59. [Édition de ses Vies dans la Palrologie,
59.] — Son voyage à Rome ; il y reçoit le
paliium du pape Jean XII. Lettre d'instruc-
tion que lui remet ce pape, XII, 831. — Son
éloge en vers, par Abbon de Fleury, XIII,
33. — Sa Vie, par Eadmer, disciple de saint
Anselme, XIV, 43, 46. Livre de ses miracles,
attribué au même, 46. — Saint Dunstanmet
en pénitence le roi Edgar, XIII, 736. Il tient
un concile général d'Angleterre, 757, 758.
Exemple de sa fermeté, 738. Il préside au
concile de "Winchester, 739.
DUPIN ou DU PIN (Louis-EUies). Son édi-
tion des œuvres de saint Optât deMilève, V,
149. Critique de sa Bibhothèque ecclésiasti-
que, I, 1 et suiv.
[DUPRÉ (Jean). Son édition des Paraboles
en vers élégiaques d'Alain de Lille sur le
livre intitulé : Sylvœ morales cum interpreta-
tione Ascencii, XIV, 869.]
[DU RADIER. Sa traduction française du
livre de la Colère par Lactance, II, 321.]
DURAND, abbé de Castres. (Voyez Du Pin
et l'Histoire littéraire de la France, t. VI,
p. 12.)
v. 1024. DURAND, évêque de Liège. Sa mort; Ré-
ci siècle, ginardlui succède, XIII, 234. Onlui a attribué
uue lettre à Henri III qui est de Théoduin;
origine de cette erreur, 273, 274.
fv. 1059. DURAND, abbé de Saint-Martin de Troarn,
1089. Ce qu'on sait des circonstances de sa vie; sa
mort. Son traité sur l'Eucharistie contre Bé-
renger, XIII, 439. Analyse de cet ouvrage.
460, 461. Ses poésies; antiennes et répons
pour diverses fêtes, qui lui sont attribués,
461. (Voyez son article dans V Histoire litté-
raire de la France, t. VIII, p. 239 et suiv.)
DURAND, évêque de Clermont. Sa mort, loas.
XIII, 431. [11 avait été abbé de la Chaise-
Dieu ; lettre qu'il écrivit alors à saint An-
selme, 431, note 2.] (Voyez ce qui est dit de
lui dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VIII, p. 424 et suiv.)
DURANÏY DE BONRECUEIL (Joseph),
prêtre de l'Oratoire. Sa traduction française
des œuvres de saint Ambroise sur la virgi-
nité, V, 386; — et de plusieurs ouvrages de
saiat Jean Chrysostôme, VU, 437.
DURAS, province d'Épire, VIII, 128.
DURHAM ou DUNELME, ville d'Angle-
terre, L'Histoire de l'Éghse de Durham est de
Turgot, prieur de Durham, et non pas de
Siméon dont elle porte le nom, XIII, 488. —
Histoire de cette Église, par Turgot, évêque de
Saint-André en Ecosse, XIV, 232, 233 ; con-
tinuée par le moine Siméon, 233 et 316, 317.
DURiA en Saxe. Concile qui y fut tenu,
XIII, 617.
DUUMVIRS. Magistrats romains. Canon jy 5,j,„|„
cinquante-sixième du concile d'Eivire qui les
concerne, II, 6U1.
DYNAME, patrice. Son mariage ; il est fait z%\.
gouverneur de Provence et patrice, XI, 400.
Ses violences lui font perdre les bonnes
grâces du roi Chilpéric, 400 et 401 . Sa con-
versiou; il quitte le monde et finit sa vie
dans la retraite ; sa mort. C'est à tort qu'on
le dit prêtre de Marseille, puis évêque d'Avi- eoi.
gnon, 401. Ses écrits: Vie de saint Mari ou
Marins, 401 et 402. Vie de saint Maxime,
évêque de Riez; ses lettres, 402. [Édition de
ses écrits dans la Patrologie, 402.] (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. III, p. 437 et suiv.)
DYNAME, petit-fils du patrice Dyname,
compose son épitaphe, XI, 401.
E
EADGATHE (Saint). Sa Vie écrite par
Gotzelin, moine de Cantorbéry, XIV, 233.
EADHÈDE, premier évêque de Lindis-
farne, XII, 21.
EADMER ou EALMER, prieur de Saint-
Alban. Temps de sa mort. Ouvrages qu'on
lui attribue, XIV, 45.
TAB. 1.
EADMER, moine de Cantorbéry, disciple
et ami de saint Anselme, archevêque de
Cantorbéry. Il est fait évêque de Saint-An- ^jg^
dré en Ecosse ; il abdique son évêché et re-
vient au monastère de Cantorbéry dont il est
fait prieur; sa mort, XIV, 43. Ses écrits, 45 1137.
et suiv. Vie de saint Anselme, 43. Histoire
22
338
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLESIASTIQUES
Livre de l'Excellence de la
780.
796.
i31.
816.
822.
833.
834.
835.
8W.
851.
Vierge. Traité des Quatre vertus qui
des Nouveautés
sainte
ont été dans Marie. Traité de la Béatitude.
Ti-aité des Similitudes, 46. Différentes Vies
des saints, écrites par Eadmer, 46 et 47. Ju-
gement sur ses écrits, 47. [Ses écrits dans la
Palrologie, 45.] — Il écrivit la Vie de saint
V^ilfrid, évêque d'York, XII, 22 et 63.
EANBALD I, archevêque d'Yorli, succède
à Elbert, XII, 165.
EANBALD 11, archevêque d York, succède
à Eanbald I. Lettre d'instruction que lui écrit
AlcuiD ; [autre lettre, 200,] XII, 198.
EAU. Usage de mêler l'eau avec le vin
dans le calice, IV, 523. — A Vérone on fai-
sait chauffer l'eau pour le baptême , VI ,
274. Hérétiques qui regardaient l'eau comme
une divinité, 396. — Eau bénite à la porte
des églises, VIII, 31. — Eau bénite employée
dans la consécration des églises, XI, 195.
[Rit de l'épreuve par l'eau froide ; il n'est pas
prouvé que le pape Eugène 111 ait institué
ce rit ; Innocent IIl l'a aboli ; en quoi il con-
sistait, 404.] — Bénédiction de l'eau, XII,
408, 414, 456, 663, 855. — Aspersion de
l'eau bénite, Xlll, 472. — Eau qui sortit du
côté de Jésus-Christ sur la croix. Selon le
pape Innocent III, ce fut vraiment de l'eau,
et non une humeur aqueuse mêlée au sang,
comme le soutenaient quelques théologiens,
XIV, 1005. Eau chaude et eau froide servant
d'épreuve. Voyez Épreuves.
EBAGNB, officier qui porta à Capréolus,
évêque de Carthage, la lettre de l'empereur
Théodose le Jeune pour l'inviter au concile
d'Éphèse, VIII, 417.
EBALD, roi de Kent. Voyez Edbald.
EBBON, archevêque de Reims, succède à
Vulfaire. Il va prêcher la foi dans le nord; il
se déclare pour Lothaire contre Louis le Dé-
bonnaire, qu'il dépouille de la royauté, sous
prétexte de lui imposer la pénitence. Louis
rétabh, Ebbon est mis en prison, XII, 330.
On lui fait son procès, et il est déposé dans
l'abbaye de Thionville. Libelle où il avoue sa
faute; il le présente à cette assemblée. Lo-
thaire, devenu empereur, Ebbon est rétabli,
331. Analyse de l'Apologie qu'il composa
alors, pour justi6er sa conduite à l'égard de
l'empereur Louis, 331 et 333. Charles le
Chauve le chasse de Reims; il est fait évêque
d'Hildesheim ; sa mort, 331. Sa lettre à Ha-
litgaire. Deux petites pièces de vers qu'on
lui attribue, 332. [Édition de ses écrits ou de
ceux qui le concernent dans la Palrologie la-
tine, 332.] Le pape Pascal lui donne la per-
mission d'aller prêcher l'évangile dans le
nord, 403 et 524. [Ce pape le recommande
aux chrétiens du nord, 403.] Le page Ser-
gius II refuse de le rétablir sur le siège de
Reims, 406. Héribald, évêque d'Auxerre,
consulte Raban sur la déposition et le réta-
blissement d'Ebbon, 466. — Ebbon fut rétabli
dans son archevêché, XIII, 669. Obligé de le
quitter pour toujours, 670, 671. On lui in-
terdit toute prétention sur l'archevêclie de
Reims, 676. Ses ordinations sont déclarées
nulles, 683.
EBBON, évêque de Grenoble. Sa mort;
Bernaire lui succède, XII, 620.
EBBON, prêtre et moine, auteur d'une Vie
de saint Otton, évêque de Bamberg, XIV,
180.
EBED JESU (Saint), diacre, martyr de
Perse. Ses Actes, rapportés par Assémani,
III, 356.
EBED JESU (Saint), évêque d'une ville des
Cascaréniens. Analyse des Actes de son mar-
tyre , rapportés par Assémani, III, 336, 337.
EBERARD ou EVRARD, comte de Prioul.
Lettre que lui écrit Raban contre Gotescalc,
XII, 467, 468 et 613. Sa mort ; il est enterré
à l'abbaye de Cysoing qu'il avait fondée. Son
testament; sa bibliothèque, 613. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. V, p. 446 etsuiv.)
EBERARD, écolâtre de Saint-Mathias de
Trêves, auteur de quelques écrits. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. VI, p. 127 et suiv.)
EBERARD ou EBRARD, chanoine régulier
de Waast ou Guastines. Sa Chronique de
cette abbaye, XIII, 186, 187 et 467. Re-
lation d'un miracle opéré par l'intercession
de saint Donatien, archevêque de Reims,
467.
EBERARD DE BÉTHUNE. (On a de lui un
traité contre les Manichéens de son temps.
Voyez Du Pin.)
EBERaRD, abbé de Tegernsé, en Bavière.
Ses remontrances au roi Henri sur les vexa-
tions qu'on faisait essuj^er à son monastère,
XIII, 97. [On a de lui onze lettres, 97.]
EBERARD, disciple de saint Hartwic, abbé
de Tegernsé. (On a de lui la Vie de ce saint
abbé. Voyez Du Pin.)
EBERARD, auteur d'un poëme sur la Sa-
lutation angélique, XIV, 247.
EBERARD, premier évêque de Bamberg,
XIV, 1035.
869.
847.
1088.
Xll siècle.
I
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
339
EBERGISE (Saint), évêque de Tongres,
XIII, 231.
èrte. EBERS-MUNSTER en Alsace. Chronique
de ce monastère écrite par un anonyme,
XIII, 186.
[EBERTH (P. Gh.). Son édition de la pre-
mière Épître aux Corinthiens, I, 361.]
EBION, hérésiarque, condamné dans un
concile par le pape saint Victor, II, 544.
EBIONITES, hérétiques. Leur Évangile, I,
1 siècle. 274. Leurs erreurs, 501 . Ils ne se servaient que
d'eau dans la célébration de l'Eucharistie,
' siècle. 604. Ce que saint Épiphane dit de cette secte,
VI, 389 et 428.
I siècle. EBLES ou EBAL, archevêque de Reims.
Fulbert de Chartres approuve son élection,
XIII, 82, 83. Lettre de consolation que lui
écrit Fulbert, 83. Gérard, évêque de Cam-
brai, s'oppose à son élection, 163. [Pièces
.concernant Ebles, dans la Patrologie, 82,
n. 11. Sa charte pour le monastère de Mou-
zon, 82.]
EBLES, comte de Rouci en Champagne.
Lettre que lui écrit le pape saint Gi'é-
goire VII, à propos de son projet de passer
en Espagne pour y faire des conquêtes sur
les infidèles, XUI, 352.
EBRÉGISILE, évêque de Cologne, XI,
905.
1107. EBREMAR ou EVERMER, patriarche de
Jérusalem, mis à la place de Daïmbert,
chassé injustement, est déposé dans un con-
cile, XIV, 1080. On lui donne l'évêché de Cé-
sarée, 1081. (Voyez ce qui est dit de lui dans
V Histoire littéraire de la France, t. X, p. 394
et suiv.)
EBROIN, maire du palais, fait proclamer
roi Théodoric, après la mort de Clotaire III;
Ghildéric le relègue au monastère de Luxeuil,
678. XI, 780. Il en sort avec saint Léger qu'il fait
ensuite périr,780 et 781 . Il avaitfait aussi mou-
rir Gairin, frère de saint Léger, 781. — 11 fit
déposer et condamner à mort saint Léger,
évêque d'Autun, et Didon, évêque de Cha-
lon-sur-Saône, XII, 959.
844. EBROIN, évêque de Poitiers, archi-chape-
lain du palais, préside en cette qualité au
concile de Verneuil, XIII, 672, 673.
. 1060. ECBERT DE LIÈGE, écrivain qui n'est
connu que par ce qu'en disent Sigebert et
Trithême. Ses Épigrammes rustiques ; Vie de
saint Amor, qu'on lui attribue, Xill, 236.
(Voyez ce qui est dit de lui dans VHistoire
l ttéraire de la France, t. VII, p. 661 et suiv.)
V.1076. ECBERT, prêtre d'Hersfeld, écrit la Vie
d'un saint prêtre nommé Heimerard; idée do
cet ouvrage, XIII, 69.
ECCARD [ou EKKEHART, ou EGGOHART, ] H09-ii30.
premier ahbé de Saint-Laurent d'Uragen.
Combien de temps il gouverna cette abbaye,
XIV, 405. [Circonstances de sa vie, 405 et
406. — Son Histoire de Jérusalem, XIII, 541,
542, et XIV, 406.] — Son ouvrage intitulé :
Lanterne des moines. Chronique des évêques
d'Hildesheim qui lui est attribuée, XIV, 405.
[Sa Chronique universelle, 405 et 406. Edi-
tion de la Chronique dans Ibl Patrologie, 405,
n. 5. D'après Vaïtz, la Chronique de Wirz-
bourg n'est pas l'œuvre d'Eccard, 406.] Sa
lettre à Erkembert, abbé de Corbie, 405.
Fabricius croit qu'il y eut un autre Eccard,
abbé d'Urangen, qui aurait composé la Chro-
nique des évêques d'Hildesheim. Raisons à
l'appui de ce sentiment, 405. (Rondet a eu
tort de faire deux personnages d'Eccard et
d'Ekkehart à qui il attribue les mêmes ou-
vrages. )
ECCARD,chanoinedeSaint-Victor,àParis, xii siècie.
auteur de plusieurs traités spirituels, tra-
duits en français parle P. Gourdan, XIV, 406.
ECCHELLENSIS (Abraham), professeur
au collège royal de Paris. Sa traduction de
plusieurs cantiques de saint Ephrem, VI, 72.
ECCLÉSIASTE, livre sacré. Salomon en
est l'auteur, I, 140, 141. Première objection
contre ce sentiment : On trouve dans ce
Livre des termes étrangers à la langue hé-
braïque. Réponse : Ces termes ne sont pas
en si grand nombre, et il est possible que
Salomon en ait eu l'usage. Seconde objec-
tion : L'auteur prend la qualité de roi de Jé-
rusalem, ce qui ne convient qu'après la di-
vision des dix tribus. Réponse : Il ajoute
qu'il était roi d'Israël dans Jérusalem, ce
qui est impossible après la division des dix
tribus. Troisième objection : Il dit : J'observe
la bouche du roi. Réponse : Selon l'hébreu :
Observez la bouche du roi, 141. Quatrième
objection : L'auteur prend le titre de pas-
teur. Réponse : Ce titre convient à Salomon
à cause du soin qu'il a pris de recueillir
toute la morale de la loi de Dieu, 141 et 142.
L'époque de ce livre est incertaine. Analyse
de ce livre, 142. Éclaircissements sur cer-
tains endroits de ce livre, 142 et 143. Com-
mentaire de saint Hippolyte sur l'Ecclé-
siaste, 611. — Origène a-t-il travaillé sur-ce
livre? II, 156. [Origène l'attribue à Salomon,
138.] [On a eu tort de mettre l'Ecclésiastique
dans la table particuUère du IP volume; il
340
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
s'agit de l'Ecclésiaste.] Paraphrase de saint
Grégoire le Thaumaturge sur l'Ecclésiaste,
M6. [On a eu tort de mettre encore ici dans
la table particulière du IP volume Ecclésias-
tique au lieu d'Ecclésiaste.] — Commentaire
de saint Athanase sur ce livre, IV, 186. —
Paraphrase de ce livre faussement attribuée
à saint Grégoire de Nazianze : elle est de
saint Grégoire le Thaumaturge, V, 246. —
Huit homélies de saint (irégoire de Nysse
sur l'Ecclésiaste, VI, 135 et suiv. — Com-
mentaire de saint Jérôme sur ce livre, VII,
563, 564. — Passage de l'Ecclésiaste expli.
que par saint Grégoire le Grand, XI, 477,
478. [Commentaire de saint Grégoire d'Agri.
gente sur l'Ecclésiaste, 588, 589.] — Com-
mentaire d'Alcuin sur ce livre, XII, 170.
Scholies d'Olympiodore sur l'Ecclésiaste, 913.
— [Commentaire d'un anonyme sur l'Ecclé-
siaste, XIII. 117, 118.] Commentaires sur
l'Ecclésiaste attribués à Nicélas d'Héraclée,
558. — L'Ecclésiaste mis en vers héroïques
par Sigebert, moine de Gemblours, XIV, 67,
68. Le premier chapitre de l'Ecclésiaste mis
en vers par le Vénérable Hildebert, 222.
Commentaire de Rupert, abbé de Tuy, 282.
[Questions et réponses d'Honoré d'Autun sur
ce livre, 300, 301. Editions qu'on en a faites,
301.] Homélies d'Hugues de Saint-Victor sur
l'Ecclésiaste, 349.
ECCLÉSIASTIQUE de Jésus, fils de Sirach,
livre sacré, I, 151 et suiv. Jésus, fils de Si-
Avant j. c. rach, auteur de ce livre, 152. Ce livre a été
commencé sous le pontificat de Simon P',
1S2 et 153. L'auteur était mort avant le pon-
tificat de Simon II, et d'ailleurs il n'est pas
croyable qu'il eût parlé de Simon II préfé-
rablement à Simon I". Ce livre ne fut achevé
que sous le pontificat d'Eléazar. Traduction
grecque de ce livre, 153 et 154. Sa canoni-
cité, 154. Analyse de ce livre, 154 et 155.
[Il est cité par le pape saint Clément, 353.]
— [Ce livre est allégué souvent par l'auteur
de l'Exhortation à la pénitence, II, 343.]
Ce livre ne se trouve point au rang des
Écritures canoniques dans les Canons apos-
toliques, 587. — Saint Patcien cite ce livre
sans en nommer l'auteur, V, 166. Saint Phi-
lastre reconnaît que ce livre est écrit depuis
Salomon, 174. [Il est admis par Didyme l'A-
veugle, 630.] ~ Comment saint Jérôme le
cite, VII, 652, 653. — [Il est admis par saint
Cyrille d'Alexandrie, VIII, 348.] — Sermons
de saint Augustin sur l'Ecclésiastique, IX,
236. — Selon Gennade, Sal vien avait composé
293.
un livre pour expliquer la dernière partie de
l'Ecclésiastique, X, 377. — Comment le pape
saint Grégoire le Grand cite ce livre, XI, 552.
— Alcuin attribuait ce livre à Salomon, XII,
209. Commentaire de Raban Maur sur l'Ec-
clésiastique, 451. — [Le passage Eleemosyna
patris non erit in oblivionem et pro peccato
matris restituetur est commenté par Richard,
prieur de Saint-Victor, XIV, 705, 706.]
ECCLÉSIASTIQUES. Devoirs des ecclé-
siastiques. Morale de saint Ambroise dans
son traité des Offices des ministres, V, 435,
436. — Témoignage de saint Jérôme tou-
chant la vie des ecclésiastiques, VII, 604 et
suiv. Divers canons du concile d'Hippone,
706; du concile de Carthage de 397, 720,
725 ; autres de celui de 398, 730. — Paral-
lèle que fait saint Isidore de Peluse des ec-
clésiastiques de son temps avec ceux des
siècles précédents, VIII, 495. — Canons du
concile de Chalcédoine qui les concernent, X
337. Règlement du pape saint Hilaire, 697.
— Témoignage de Raban sur la science né-
cessaire aux ecclésiastiques, XII, 456, 457.
ECDICE (Saint), martyr, III, 83. 320.
ECDICIUS [ou EGDITIUS[, fils de l'empe-
reur Avitus, et beau-frère de saint Sidoine.
Lettre que saint Sidoine lui écrit, X, 384. Il
défend la ville de Clermont et chasse les
Goths de l'Auvergne, 385. L'empereur Né-
pos le fait patrice, 389. Poëme que saint Si-
doine lui adresse, 397.
ECÉBOLE, sophiste, maître de Julien iVsièc
l'Apostat, III, 398.
ECÉBOLE, assesseur du gouverneur de
Cappadoce. Lettre que lui écrivit saint Gré-
goire de Nazianze, V, 225.
ÉCHECS. Entretien moral sur le jeu d'é-
checs : ouvrage faussement attribué au pape
Innocent III. Il est d'un moine anglais nom-
mé Innocent, XIV, 1017.
ÉCHELLE. Echelle du cloître ou du para-
dis ; ouvrage faussement attribué à saint
Augustin, IX, 287, — et à saint Bernard,
XIV, 402 et 491. Fabricius n'est pas éloigné
de l'attribuer à Gui, prieur généi'al de la
Chartreuse, 491. — Échelle sainte, ou degrés
pour monter au ciel. Analyse de cet ouvrage
de saint Jean Climaque, XI, 678 et suiv. Ju-
gement et différents commentaires sur cet
écrit, 690. Éditions et traductions qu'on en
adonnées, 691,692. [Édition et traduction
dans la Patrologie, 692. — Échelle du ciel,
ouvrage mystique d'Honoré d'Autun, divisé
en deux parties. Edition donnée par Paz.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
341
L'Échelle du ciel est un ouvrage différent de
celui intitulé : De affectibus solis, XIV, 299.]
ECKEHARD , écrit la Vie de Notker le
Bègue, moine de Saint-Gai, XIII, 763.
[ECLAIRCISSEMENT de quelques pas-
sages de l'Ancien et du Nouveau Testament,
ouvrage de Jean Beleth, XIV, 794.]
ECLANE, ville de la Campanie, dont Ju-
lien le Pélagien fut évêque, IX, 483.
ÉCLIPSES. Éclipse arrivée à la mort de
Jésus-Christ : témoignage de Phlégon, cité
par Origène. Ce qu'Origène pensait de cet
événement, II, 218. — Témoignage de saint
Jean Chrysostôme , VII, 2S0 [et non 29,
comme on l'a imprimé dans la table du VIP
vol.] — Livre sur l'écIipse du soleil et de la
lune attribué à saint Eucher de Lyon, VIII,
455. — Circonstances qui sont rapportées
dans une des lettres attribuées à saint Denis
l'Aréopagite sur Téclipse arrivée à la mort de
Jésus-Christ, X, 552. Remarque de Philos-
torge sur une éclipse de soleil qui parut au
temps de Théodose le Jeune, 514. — Ho-
mélies de saint Maxime de Turin sur une
éclipse de lune, X, 323. — Dissertation d'un
reclus, nommé Dungal , sur les deux éclip-
ses de l'année 810, XII, 326. — Éclipse ter-
rible décrite par Glaber, XIII, 146.
[ÉCLOGUES prophétiques d'Eusèbe de
Césarée, publiées pour la première fois par
Gaisford, III, 245.]
ÉCLOGUE sur la mort des bœufs, ouvrage
de Severus Endelchius, VI, 330; — fausse-
ment attribuée à Sulpice Sévère, VIII, 126.
ÉCLOGUES de Théodule, XII, 878.
ÉCLOGUES ou extraits des écrits de saint
Jean Chrysostôme, par Théodore Daphno-
pates, VII, 344 et XIII, 50.
ÉCOLES. Ecole célèbre d'Alexandrie, gou-
vernée par saint Pantène, I, 559; par Clé-
ment, 563; — par Origène, II, 131. — Loi
de Valentinien P^ pour le rétablissement
des écoles, VI, 356. — Cassiodore pense à
établir à Rome des écoles pour les saintes
Lettres, XI, 210. — Écoles établies par
Charlemagne, XII, 236. Règlement de Char-
lemagne pour les écoles, 240. [Ce qu'il pres-
crit pour les écoles, 242.] Écoles étabhes à
Lyon par Ledrade, archevêque de cette
ville, 251, 252. Théodulphe, évêque d'Or-
léans, établit des écoles dans les monastères
de son diocèse, 263. Il ordonne que les prê-
tres tiennent des écoles dans les bourgs et
dans les villages, 264. Capitulaire où Louis
le Débonnaire recommande l'établissement
des écoles, 381. Écoles recommandées par
Hérard, archevêque de Tours, 602. École des
Anglais à Rome, déchargée de tributs par
le pape Martin I", 651. Écoles recomman-
dées par Alton, évêque de Verceil, 822. Té-
moignage de Jean, abbé de Saint-Arnould
de Metz, touchant les écoles de Lorraine,
866. — [École de Warlzbourg. Apologie de
l'école de Wurtzbourg par Fromond, XIII,
98.] Canon d'un concile de Chalon-sur-Saône
qui ordonne d'établir des écoles, 646. Écoles
dans les monastères, 655. Canon d'un con-
cile de Rome qui ordonne d'en établir dans
les évêchés, dans les paroisses et d'autres
lieux, 661. — [Soin qu'Ulger, évêque d'An-
gers, prend des écoles de son diocèse, XIV,
642. Statuts par Henri, archevêque de
Reims, et par Guillaume, évêque de Paris,
pour les écoles de Paris, 731.] Honoraire xK siècle
prescrit par le pape Alexandre III pour ceux
qui enseignaient dans les écoles de Paris,
926. Défense aux moines de fréquenter les
écoles sécuUères, 1130. Canon du troisième H79.
concile de Lalran sur les écoles, 1141.
ÉCONOMES. Discours de saint Astère iv siècie.
d'Amasée sur l'économe injuste de l'Évan-
gile, VI, 293, 294. — Canon du concile de
Chalcédoine qui ordonne que chaque éghse
cathédrale aura un économe pris dans son
clergé, X, 700. — Canon du second concile 787.
général de Nicée qui ordonne que chaque
église aura son économe, XIII, 629.
ECOSSE, contrée de l'Europe. Lettre du
pape Honorius aux Écossais, XI, 648. Lettre
du clergé de Rome aux mêmes, 649. — Bulle
du pape Clément III qui déclare le royaume
d'Ecosse immédiatement soumis au Saint-
Siège, XIV, 937. Lettre du pape Célestin III
confirmant les libertés de l'Église d'Ecosse,
943. Conciles tenus en Ecosse, 1138 et 1147. 1177 ei U88.
ÉCRITURE SAINTE. Histoire des livres
sacrés de l'Ancien Testament, I, 12 et suiv.
Ces livres sont le Pentateuque ou les cinq
livres de Moïse, savoir : la Genèse, l'Exode,
le Lévitique, les Nombres et le Deutéro-
nome, les trois livres de Josué, les Juges,
Ruth, les quatre livres des Rois, les deux li-
vres des Paralipomènes , les deux livres
d'Esdras et de Néhémias, les quatre livres
de Tobie, Judith, Estherel Job, les Psaumes,
les cinq livres sapientianx, savoir : les Pro-
verbes, l'Ecclésiaste, le Cantique des Canti-
ques, la Sagesse et l'Ecclésiastique, les quatre
grands prophètes : Isaïe, Jérémie et Baruch,
Ezéchiel, Daniel; les douze petits prophètes :
342
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Osée, Joël, Amos, Abdias, Jonas, Michée,
Nalium, Habacuc, Sophonie, Aggée, Zaclia-
rie et Malachie, et enfin, les deux livres des
Machabées. (Voyez chacun de ces livres à leur
titre particulier.) — Histoire des auteurs du
Nouveau Testament, 1, 191 etsuiv. Ces livres
sont les quatre Évangiles de saint Mattbieu,
de saint Marc, de saint Luc, de saint Jean,
les Actes des apôtres, les quatorze Épîtres de
saint Paul, savoir : aux Romains, aux Corin-
thiens I et II, aux Galates, aux Éphésiens,
aux Philippiens, aux Colossiens, aux Thes-
saloniciens I et II, àTimotbée I et II, à Tite,
à Pbilémon, aux Hébreux, les sept Épîtres
catholiques, savoir : de saint Jacques, de
saint Pierre, trois de saint Jean, de saint
Jude ; et enfin, l'Apocalypse. Voyez chacun
de ces livres à leur titre particulier. (Voyez
aussi le titre général d'Ancien et Nouveau Tes-
tament.) — Examen et origine de l'opinion
qui fait Esdras restaurateur des divines Écri-
tures, 1, 75 et suiv. Il en a seulement changé
les anciens caractères hébreux en caractères
chaldéens, 80 et suiv. [Voyez n. 3 et 4 de la
page 80.] Ce n'est point lui qui a ajouté à
ceux-ci les points-voyelles, 81 . Ce n'est point
lui qui a divisé l'Écriture en versets, ni même
en chapitres, 82, 83. En quel temps cette di-
vision a été faite, 83. [Voyez 83, n, 5.] Ca-
non ou Catalogue des Écritures chez les Juifs
et chez les Chrétiens, 85 et suiv., et 90 et
suiv. Il n'y a dans l'Écriture ni fictions ni
mensonges, 123. [Doctrine de saint Clément
sur l'Écriture sainte, 353 et 360.] Doctrine
de saint Ignace, 387 ; de saint Justin, 426,
427 et 436, 437. Canon dressé par saint Mé-
liton, évêque de Sardes, 449. Doctrine de
Bardesane, 465; de saint Hégésippe, 474;
de Théophile d'Antioche, 477, 478 et 480 ;
d'Alhénagore, 485; de saint Irénée, 301^
503, 504, 306, 508, 310, 511, 520, 321. Té-
moignages des martyrs SciUitains, 544; de
saint Pantène, 561. Doctrine de Clément
d'Alexandrie, 573, 591 et suiv.; de saint Hip-
polyte, 636, 637 ; — de Tertullien, II, 14, 68
et suiv. Origène compose divers ouvrages sur
l'Écriture, 134. Ouvrages du même sur l'Écri-
ture, 142 et suiv. Versions de l'Écriture dont
Origène composa ses Tétraples et ses Héxa-
ples, 142. Version attribuée aux Septante,
142. Version d'Aquila, 142 et 143; de Théo-
dotien, 143, 144; de Symmaque, 144. Cin-
quième, sixième et septième versions trou-
vées par Origène, 144 et 143. Catalogue des
livres de l'Ancien Testament, suivant Ori-
gène, 154. Témoignage d'Origène sur l'inté-
grité du texte hébreu, 160; sur les Épîtres
des apôtres et sur l'Apocalyse, 167 et suiv.
Lettre d'Origène sur l'histoire de Suzanne,
169 et suiv. Doctrine d'Origène sur l'inspira-
tion des Livres saints et la manière de les
entendre, 202 et suiv.; sur les différents sens
de l'Écriture, 204 et 205 ; sur les livres cano-
niques de l'Ancien Testament, 205 et suiv.;
sur ceux du Nouveau, 207, 208; sur les li-
vres apocryphes de l'Ancien et du Nouveau
Testament, 208 et suiv.; sur la lecture de
l'Écriture sainte et la manière de l'étudier,
211, 212. Doctrine de saintCyprien, 348, 349.
Commentaire de saint Grégoire le Thauma-
turge sur l'Ecclésiaste, 446. Ce que saint
Grégoire rapporte d'Origène touchant l'Écri-
ture, 438 et 440. Témoignages d'Archélaiis
de Cascare, 453, 457, 458, 459. Écrits et té-
moignage de saint Viclorin de Pettau, 460,
461. Édit de Dioclétien contre les Livres
saints, 487 et III, 2 et 3. — Doctrine et té-
moignage de Lactance, II, 510. Catalogue
des livres canoniques dans les canons des
apôtres, 587. Témoignage des constitutions
apostoliques, 393, 398, 599. — Témoignage
des Actes des martyrs de la Palestine, III, 4
et suiv., 9. Autres témoignages, 18, 19, 21.
Témoignage des Actes des saintes Agape,
Quionie et Irène, 24, 25; de saint Philéas,
martyr, 34. Ouvrage de saint Méthode sur
l'Écriture sainte, 67. Doctrine de ce saint sur
l'Écriture sainte, 68. Témoignage de saint
Eustathe d'Antioche, 164, 163. Témoignage
et doctrine d'Eusèbe de Césarée, 186, 187,
[243,] 263 et suiv. Parole de saint Antoine,
392. — Témoignage de saint Hilaire de Poi-
tiers sur les connaissances qu'il puisa dans
l'Écriture sainte, IV, 2. Doctrine du même,
66 et suiv. Canons des Écritures selon lui,
67, 68; selon saint Athanase, 187, 188. Sy-
nopse de l'Écriture, attribuée à saint Atha-
nase, 177 et suiv. Doctrine du même, 187 et
suiv. [Citation des saintes Écritures par saint
Athanase, 160.] Doctrine de Lucifer de Ca-
gliari,260etsuiv.Téraoignage de l'auteur d'un
commentaire attribué à Tite de Rostres, 344.
Traduction de l'Écriture en langue gothique,
par Ulpbilas, évêque des Goths, 346, 347.
Écrits de saint Basile sur rÉcriture,365 et suiv.
Méthode de saint Basile le Grand pour expli-
quer l'Écriture, 366, 367. Doctrine de saint
Basile, 496 et suiv. — Canon des Écritures
selon saint Cyrille de Jérusalem, V, 38.
Doctrine de ce saint évêque, 62, 63. Règles
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
343
de Ticonius, donatiste, pour l'intelligence des
Écritures, 102 et suiv. Doctrine de saint Op-
tât, 126, 127; de saint Pacien, 165. Témoi-
gnages de saint Philastre, 177. Poëme de
saint Grégoire de Nazianze sur la lecture
des Livres saints ; catalogue qu'on y trouve,
274. Doctrine de saint Grégoire de Nazianze,
306 et suiv. Inspiration des Livres saints,
306, 307. Canon des livres de l'Ancien et du
Nouveau Testament, 307, 308. Manière d'in-
terpréter l'Écriture, 308. Utilité de l'étude
sur l'Écriture, 308 et 309. Avantage de l'é-
tude des Livres saints comparativement à
l'étude des livres profanes, 309, 310. Age
auquel on doit étudier les divines Écritures,
310. Explication de divers endroits de l'Écri-
ture, 310 et suiv. Doctrine de saint Am-
broise, 516 et suiv. Inspiration de l'Écriture
sainte, 516. Manière dont s'est faite cette
inspiration ; obscurité de l'Écriture, 517. Di-
vers sens de l'Écriture, 517 et 518. Texte et
version de l'Écriture sainte, 318. Abus que
les hérétiques font de l'Écriture, 518 et 519.
Différentes leçons de l'Écriture, 519 et suiv.
Remarques sur le livre des Psaumes et quel-
ques autres livres de l'Écriture sainte, 521
et suiv.; sur la division du Psautier, 523.
Canonicité de diverses parties de l'Ancien
Testament, 523 et 524; et du Nouveau, 524.
Remarques sur diveis endroits de l'Ancien
Testament, 524 et suiv.; et du Nouveau, 528
et suiv.; sur la lecture de l'Écriture et ses
avantages, 330. Méthode de saint Ambroise
dans l'interprétation des saintes Écritures,
581, 582. Commentaires de Diodore de Tarse
sur l'Écriture sainte, 592, 593. Écrits de Di-
dyme l'Aveugle sur l'Écriture, 614 et suiv.,
et 619 et suiv. [Témoignages de Didyme
l'Aveugle sur l'Écriture, 628 et 630, 631.] —
Ouvrages de saint Éphrem sur divers livres
de l'Écriture, VI, 47, 48 [et 440 et suiv. Traité
du Paradis terrestre ou de l'Éden, par saint
Éphrem. Douze sermons exégétiques de ce
saint Éphrem sur l'Écriture, 448, 449. Choses
remarquables contenues dans ces sermons,
449. Autres écrits exégétiques du même, 430.]
Doctrine de saint Éphrem, 50 et suiv, et 449.
[Version dont saint Éphrem s'est servi, 441,
442. Méthode suivie par saint Éphrem en ex-
pliquant l'Écriture, 442, 443.] Doctrine de
saint GrégoiredeNysse, 224 etsuiv. Traité des
Poids et Mesures dont il est parlé dans l'Écri-
ture sainte, ouvrage de saint Épipbane, 416
et suiv. Saint Épipbane explique les mar-
ques qui se voyaient dans les Bibles grec-
ques, 416, 417. Il donne l'histoire des six
versions grecques de l'Écriture, 417 et suiv.
Doctrine de saint Épipbane, 424 et suiv.; sur
l'inspiration des Livres sacrés; sur la lecture
de l'Écriture, 424; sur le canon et la division
des livres de l'Ancien Testament, 424 et 425.
Sentiment de ce père sur l'authenticité des
hvres du Nouveau Testament, 425, 426. Di-
verses remarques sur l'Ancien Testament,
426 ; sur le Nouveau, 426 et suiv. — Homé-
lies de saint Jean Chrysostôme sur la lecture
de l'Écriture sainte, VII, 102 et 341. Autres
témoignages du même , 151 , 138 , 198 ,
213, 217, 333, 354. Synopse de l'Écriture
sainte attribuée à saint Jean Chrysostôme,
203. Doctrine de ce saint, 346 et suiv.; sur
l'inspiration des Livres saints, 346 ; sur les
versions anciennes de l'Écriture, 350. Sy-
nopse des livres de l'Ancien Testament, 330
et suiv. Authenticité des livres de l'Ancien
et du Nouveau Testament, 331 et suiv. Var
riélé des leçons de l'Écriture, 333, 354. Sen-
timents de saint Jean Chrysostôme sur di-
vers points de l'histoire de l'Ancien Testa-
ment, 334 et suiv.; et du Nouveau, 359 et
suiv.; sur les traductions de l'Écriture en
langue vulgaire, 364. Doctrine de ce père
sur l'utilité de la lecture de l'Écriture, 364
et suiv. [Note sur la lecture de l'Écriture
sainte, 752. Fragments de plusieurs ouvra-
ges de saint Jean Chrj'sostôme sur l'Écriture
sainte, 752, 733.] Doctrine de Rufîn d'Aquilée,
480, 481. Canon des Livres saints dans une
lettre du pape saint Innocent I, 312. Écri-
ture sainte traduite selon l'hébreu par saint
Jérôme, 550 et suiv. La version de l'Ancien
Testament, par saint Jérôme, est reçue dans
l'Église, excepté celle des Psaumes, 555, 536.
La version du Nouveau Testament, reçue
par saint Jérôme , est aussi reçue dans
l'Éghse, 556. Livre des Noms hébreux con-
tenus dans l'Écriture sainte , ouvrage de
saint Jérôme. Livre des Lieux dont il est
parlé dans l'Écriture sainte, traduit du grec
d'Eusèbe, par saint Jérôme, 557. Lettre de
saint Jérôme à saint Paulin touchant l'étude
de l'Écriture sainte, 621. Lettre de saint
Augustin à saint Jérôme et de saint Jérôme
à saint Augustin touchant les traductions de
l'Écriture de saint Jérôme, 626 et suiv. Té-
moignage de saint Augustin dans une lettre
à saint Jérôme touchant l'autorité des livres
saints, 631 . Traité faussement attribué à saint
Jérôme, où l'on explique quelques expres-
sions de l'Écriture, 647. Doctrine de saint
344
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Jérôme sur l'Éci-iture sainte, 650 et suiv.
Inspiration des Livres saints; style de l'Écri-
ture ; ses diflerents sens, 650. Obscurité et
difficulté de l'Écriture, 650 et 651. Canon des
livres saints, 651, 652. Lecture de l'Écriture
sainte, 656, 657. Quelques points de l'his-
toire de l'Ancien et du Nouveau Testament,
657 et suiv. Canon trente-huitième du con-
cile d'Hippone en 393 sur les Écritures ca-
noniques, 715. Canon quarante -septième du
troisième concile de Garthage en 397, 725.
— Commentaires de Théodore de Mopsueste
sur l'Écriture, VIII, 19 et suiv. [et 614 et
suiv.] Témoignage de Synésius, 29; et de
Bachiarius, 47. Doctrine de saint Nil, soli-
taire de Sinaï, 224. Ouvrages de saint Cyrille
d'Alexandrie sur l'Écriture sainte, 262 et
suiv. [et 347 et suiv.] Doctrine de saint
Cyrille d'Alexandrie, 325 et suiv. Remar-
que sur l'usage que les hérétiques font de
l'Écriture sainte, 464. Règle qu'il donne pour
en connaître le vrai sens, 464 et 465. — Les
sept livres des Locutions ou façons de parler
des sept premiers livres de l'Écriture sainte,
ouvrage de saint Augustin, IX, 208. Trois
livres des Merveilles de l'Écriture, ouvrage
faussement attribué à saint Augustin, 229.
Sermons du même sur l'Écriture sainte, 235
et suiv. Autres sermons, faussement attri-
bués à ce père, 244. Ce que saint Augustin
enseigne sur l'excellence des livres de l'Écri-
ture sainte, 333, 334. Doctrine de saint Au-
gustin, 64, 74, 120, 195 et suiv., 197, 198,
202, 221, 382, 564 et suiv. Son inspiration,
564. Son infaillibilité, 564 et 565. Sa vérité et
son autorité, 565 et suiv. Règles pour dis-
tinguer les livres canoniques, 567, 568. Ca-
non des Écritures, 568, 569. Livres contes-
tés entre les catholiques ou rejetës par les
hérétiques, 569 et suiv. Livres perdus cités
dans les Écritures, 573, 574. Livres supposés
ou apocryphes, 574 et suiv. Livres des pro-
phètes, 577 et suiv. Psaumes de David, 582
et suiv. Évangiles, 585 et suiv. Éloquence
des divines Écritures, 594 et suiv. Obscurité
de l'Écriture ; respect qu'on doit lui porter,
596, 597. Divers sens de l'Écriture, 597 et
suiv. Comment on doit s'apphquer à l'étude
de l'Écriture, 599. Règles pour l'intelligence
de l'Écriture, 599 et 600. Traductions de
l'Écriture, 600 et suiv. Loci.tions de l'Écri-
ture, 603, 604.^ Quelles sont les meilleures
versions de l'Écriture, 604, 605. Utihté de
diverses connaissances pour l'intelligence de
l'Écriture, 605 et suiv. Manière d'entendre
les endroits dilBciles de l'Écriture, 607 et
suiv. Histoire de la version des Septante;
son autorité, 610 et suiv. Autorité du texte
du Nouveau Testament, 612. Lecture de
l'Écriture sainte, 612 et suiv. Divers points
de l'histoire de l'Ancien Testament, 614 et
suiv.; et du Nouveau, 616 et suiv. [Quatre
sermons de saint Augustin sur l'Écriture
sainte ; dix-huit sermons du même sur l'Écri-
ture sainte; neuf sermons sur l'Écriture
sainte, faussement attribués à saint Augus-
tin, 836.] — Doctrine de saint Pierre Chry-
sologue, X, 9; de Théodoret, 108 et suiv.
Ancienne coutume de lire les divines Écri-
tures dans l'office du samedi saint, 192. Doc-
trine du pape saint Léon, 247. Exemple de
Vectius, laïque distingué, dont parle saint Si-
doine, 387. Livres de l'Écriture sainte admis
par le décret du pape Gélase, 723. — Lecture
de l'Écriture recommandée par saint Ful-
gence àGalla, XI,27.SainteCésarie, sœur de
saint Césaire, s'occupait delà lecture des Li-
vres saints, 153. Introduction à la sainte Écri-
ture, ouvrage d'Adrien, auteur du vi'' siècle,
95.Témoignage de Cosme d'Egypte sur l'Écri-
ture sainte, 188, 189. Introduction à l'étude
de l'Écriture sainte, par Cassiodore, 226 et
suiv. Autres ouvrages semblables indiqués
par Cassiodore, 232. Ouvrage semblable de
Junilius, évêque d'Afrique, 281 et suiv. Édi-
tion de l'Écriture sainte revue par Cassio-
dore, 227 et suiv. Canons de l'Écriture rap-
portés par Cassiodore ; avis que Cassiodore
donne à ses moines sur la lecturede 1 Écri-
ture sainte et la manière d'en corriger les
exemplaires, 23. Doctrine de Cassiodore,
243 ; du pape saint Grégoire le Grand, 252
et suiv.; sur son inspiration, 552 ; sur les li-
vres qui la composent, 552 et 553; sur son
obscurité, 553 ; sur sa lecture; sur ses divers
sens, 554. Autres témoignages de saint Gré-
goire sur l'Écriture sainte, 448, 508. Saint
Grégoire préfère la version de saint Jérôme
à l'ancienne Vulgate qu'il cite néanmoins
quelquefois, 442 et 553. Il cite aussi celle
des Septante, d'Aquila, de Théodotion et de
Symmaque, 553. Canon des Livres saints
selon Léonce de Byzance, 668. Pandectesou
abrégé de l'Écriture, par le moine Antio-
chus, 698. Commentaire de saint Isidore de
Séville sur les livres de l'Ancien et du Nou-
veau Testament; Allégories du même saint
Isidore, 715. Canon des Livres saints selon
le même, 712 et 716. Son témoignage sur
leur inspiration, 716. Questions de saint
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
345
Maxime, abbé de Chrysopolis, sur l'Écri-
ture; réponse du même à divers doutes sur
l'Écriture, 763. — Traité des Figures et des
Tropes de l'Écriture sainte, ouvrage du Véné-
rable Bède, Xll, 4. Canon des Livres saints
selon saint Jean Damascène,73et92. Doctrine
du même, 92. Commentaires et scholies de Jac-
ques d'Édesse sur presque tous les livres de
l'Écriture sainte, 101, 102. Commentaire de
Georges, évoque des Arabes, sur l'Écriture
sainte, 102. [Utilité des divines Écritures, par
Pucôme, 132.] Doctrine d'Alcuin, 208, 209.
Deux poëmes d'Alcuin sur le nombre des li-
vres de l'Écriture sainte, 208. Constitution
de Charlemagne pour la correction des livres
de l'Écriture, 230. Sentiment d'Agobard,
archevêque de Lyon, sur l'inspiration des
livres saints, 370. Glose ordinaire sur la Bi-
ble, par Walatrid Strabon, 411. [Lettre d'Al-
var, prêtre de Cordoue, sur diverses ques-
tions d'Écriture sainte, 522. Sentences de
l'Écriture, par Ansohaire, archevêque d'Ham-
bourg, publiées sous le titre de Pigmenta,
526, n. 4.] Traité de saint Rémi, archevêque
de Lyon : De l'attachement inviolable à la
vérité de l'Écriture, 618, 619. [Discours de
Pierre de Sicile sur l'autorité des livres de
l'Ancien Testament, 624.] — Lanfranc s'ap-
plique à corriger les exemplaires de l'Écri-
ture sainte, XIH, 442 et 448. Grimauld,
moine de Saint-Milhaa de la Cuculle, traduit
tous les livres de la Bible en langue vulgaire,
489. — [Écrits de Gondulphe sur l'Écriture
sainte, XIV, 48, 49.] Doctrine de saint An-
selme, 38, 39. Poëmes de Théodore Pro-
drome sur diverses histoires de l'Écriture
sainte, 149. Glose interlinéaire d'Anselme de
Laon sur l'Écriture sainte, 182, 183. Ses rè-
gles pour en concilier les contrariétés appa-
rentes, 183. Commentaire de Rupert, abbé
de Tuy, sur presque toute l'Écriture sainte,
281, 282. [Explication du Psautier, par Ho-
noré d'Aulun, 299.] Étude de l'Écriture sainte
recommandée par Abaillard aux religieuses du
Paraclet dans la règle qu'il leur donne, 326.
Lettre par laquelle il y exhorte, 327. Pro-
blèmes sur l'Écriture proposés par Héloïse;
solutions qu'Abaillard en donne, 329, 330.
Prolégomènes d'Hugues de Saint-Victor sur
l'Ancien et le Nouveau Testament, 349. Deux
lettres anonymes touchant la méthode et
l'ordre de lire l'Écriture sainte, 407. [Com-
mentaire de Volberon sur le Cantique des
Cantiques, 633. Histoire de la Bible en vers,
par Léonins, 711 . Ouvrages de Richard, cha-
1091.
noine de Saint-Victor, sur l'Écriture sainte,
701, 702. Summa Britonis, ou des Mots dif-
ficiles de la Bible, par Adam de Saint-Vic-
tor, 717 et suiv. Exposition sur tous les pro-
logues de la Bible, 721 , 722. Traité de la divi-
sion des Livres sacrés, ouvrage de Pierre de
Blois, 765 et 782. Commentaire de Thomas
de Citeaux sur le Cantique des Cantiques,
824 et suiv. [Sermons du temps ou concor-
dance de l'Ancien et du Nouveau Testament,
par le bienheureux Martin, 833, 834. Com-
mentaire sur le Cantique des Cantiques, par
Alain de Lille, 870.] Lettre du pape Inno-
cent IIl au sujet de plusieurs laïques du dio-
cèse de Metz, qui avaient fait traduire l'Écri-
ture sainte en français et tenaient des assem-
blées secrètes, 970. A l'occasion de l'hérésie
naissante des Albigeois, un concile de Tou-
louse défend aux laïques d'avoir des livres de
l'Ancien et du Nouveau Testament, hors le
Psautier et des livres d'heures; encore ne
pourraient-ils les avoir traduits en langue
vulgaire, 1109.
ÉCRITURES CANONIQUES ET APOCRY-
PHES. Voyez ces mots.
ÉCRITURE GAULOISE. Un concile deLéon
en Espagne ordonne que dans tous les actes
ecclésiastiques on se servira de l'écriture
gauloise au lieu de l'écriture gothique, XIII,
423, 426.
ÉCRIVAINS. Y avait-il des écrivains pu-
blics chez les Hébreux au temps de Moïse?
I, 24, 23. — Catalogue des Écrivains ecclé-
siastiques dressé par saint Jérôme, VII, 651,
652. — Livre de Gennade sur les Écrivains
ecclésiastiques. Idée de cet ouvrage ; variété
dans les manuscrits ; différentes éditions
qu'on en a faites, X, 600, 601. — Catalogue
des Écrivains ecclésiastiques, par saint Isi- .
dore de Séville, XI, 773. Éditions qu'on en
a faites, 726, 727. Traité de saint Ildefonse
de Tolède sur les Écrivains ecclésiastiques,
776. — [Catalogue des Écrivains ecclésiasti-
ques, par Honoré, XIV, 299 et 300. Ano-
nyme de Molk sur les Écrivains ecclésiasti-
ques, 909, 910.]
ECROUELLES. Dès le xn'= siècle, on
croyait que le roi de France en guérissait,
XIV, 198.
ECTHÈSE. Exposition de foi favorable aux 639.
Monothélites , composée par Sergius, pa-
triarche de Constantinople, et adoptée par
l'empereur Héraclius, XI, 648, et XII, 924.
Troubles qu'elle occasionne dans l'Église.
Elle est anathématisée à Rome et en Afrique,
346
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
616.
XI siècle.
VIII siècle.
VIII siècle.
305.
II siècle.
IV siècle.
XII, 924. L'empereur Constant la supprime
et y substitue son Type, 926. L'Ectlièse et
le Type sont anathématisés au concile de
Latran, 928, et XI, 749.
EDALDE, arcbevêque de Vienne. Lettre
supposée qu'on prétend lui avoir été écrite
par le pape Jean III, XI, 334.
EDBALD ou ETHELBALDE, roi de Kent,
fils d'Ethelbert, persévère dans l'idolâtrie et
chasselesévêques de son royaume, XI, 913.
Il est converti par Laurent et rétablit la re-
ligion chrétienne dans ses États, 914. L'exem-
ple de sa conversion est proposé à Edouin,
roi de Northumbre, 646. Lettre qu'il avait
écrite au pape Boniface V, 647.
EDBERT, évoque de Fari en Danemark,
accusé de plusieurs crimes, refuse de se ren-
dre au concile où Adalbert, archevêque de
Brème, l'avait cité. Lettre du pape Alexan-
dre II à son sujet, XIII, 290.
EDBURGE ou BUGGE, abbesse dans le
pays de Kent. Lettre de consolation que lui
écrit saint Boniface, XII, 48. Autres lettres
de saint Boniface qui lui sont adressées,
49, 50.
EDBURGE (Sainte), vierge, fille d'E-
douard I", roi d'Angleterre. Sa Vie écrite
par Osbert de Stockeclare, XIV, 408.
EDELBADE, roi de Kent. Voyez Edbald.
EDELBURGE, sœur d'Edbald, roi de Kent,
épouse Edouin, roi de Northumbre et l'en-
gage à se faire chrétien. Lettre que lui écrit
le pape Boniface V, XI, 646.
EDÉSIUS (Saint), martyr de Palestine, III,
7, 8. Ses Actes rapportés par Assémani, 352.
EDÉSIUS, philosophe magicien, visité par
Julien l'Apostat, III, 398.
EDÉSIUS , compagnon des travaux de
saint Frumentius, VI, 344, et X, 138.
EDÉSIUS, diacre d'Alexandrie. Lettre
d'Atticus de Gonstantinople à Pierre et à
Edesius, VIII, 15.
EDÉSIUS, poète chrétien. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. II, p. 332 et suiv.)
EDESSE, ville de Mésopotamie, patrie de
Bardesane, hérésiarque, I, 465. — Saint
Éphrem, diacre de cette Église, VI, 1 et suiv.
Son témoignage touchant Édesse, 53. Le
corps de saint Thomas y était en 402,
VII, 256. — Elle était métropole de l'Os-
rhoène, VIII, 380. — Elle est prise et brûlée
par les troupes romaines, IX, 575. — Con-
cile tenu sous l'évéque Rabula, X, 143.
Edesse assiégée inutilement par Cavadès,
roi de Perse, 586. — Chronique d'Édesse
par un auteur anonyme du vi° siècle. Ce
qu'elle contient de remarquable, XI, 342,
343. — Édesse prise par les Turcs. Lettre
d'Eugène III au roi Louis le Jeune à ce sujet,
pour l'engager à se croiser, XIV, 271.
EDGAR, roi d'Angleterre, remplace son
frère Edwin. Concile qu'il assemble à Bran-
defort. Son diplôme en faveur de l'Église de
Winchester. XIII, 755. Ses lois, 756, 757.
Il fait confirmer dans un concile de Londres
ses donations au monastère de Glassembury,
758. Il met des moines à Malmesbury, à la
place des chanoines qui y étaient. Sa mort,
759. — Lettre que lui écrivit le pape Jean XIII,
XII, 833. — Son discours aux évoques et
aux supérieurs des monastères, XIV, 620 et
623.
EDGITE (Sainte), fille du précédent. Sa
Vie, par le moine Goscelin, XIII, 530.
EDIFICE de Dieu : ouvrage composé par
Géroch, prévôt de Reichesperg, XIV, 630.
Analyse de cet ouvrage, 630 et 631.
ÉDILBERT, évêque. Lettre que lui écrit
Alcuin, XII, 194.
[ÉDILBURGE, abbesse. Lettre que lui écrit
Alcuin, XII, 200.]
ÉDILHARD, archevêque de Cantorbéry.
Lettre que lui écrit Alcuin, XII, 193, 194.
ÉDILTHIDE, reine de Northumbre. Lettre
que lui écrit Alcuin, XII, 194.
ÉDITS. Édit de Dioctétien contre les chré-
tiens, arraché par un chrétien, II, 518. —
Édits pubMés par Dioctétien contre les chré-
tiens, III, 2, 18. Édits de Constantin et de
Licinius en faveur des chrétiens, 122, 143
et suiv. — Édit de Constance contre saint
Athanase, VI, 343, 344. Édits de Julien pour
le rétabhssementdu paganisme, 346 et suiv.
Édit de Maxime en faveur des Juifs, 364.
EDMOND (Saint), martyr, roi d'Est-Angle
(et non pas d'Angleterre). Sa Vie par Abbon
de Fleury, XIII, 25 et 32. — Recueil de ses
miracles par Osbertde Stockeclare, XIV, 408.
Le monastère de Saint-Edmond et ses dé-
pendances sont déclarés exempts de la juri-
diction des évêques, 1040.
EDMOND, roi d'Angleterre. Ses lois,
Xm, 747. Sa mort, 750.
EDOUARD I", le Vieux, roi d'Angleterre,
y fait établir de nouveaux évêchés, XIII, 740.
EDOUARD II, le Martyr (Saint). (Il ne faut
pas le confondre avec celui qui suit.)
EDOUARD m, le Confesseur (Saint), roi
d'Angleterre, demande dispense du vœu qu'il
D57.J
964.
960.
067
074.
075.
984.
303.
312.
3S8.
859.
1021.
944.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
347
H61.
633.
381.
614.
732.
766.
avait fait d'aller à Rome. A quelle condition
le pape saint Léon IX la lui accorde, XIII,
208. Cette dispense confirmée par le pape
Nicolas II, 246. [Autre du pape Léon IX au
roi Edouard, 208, 209,] — Vie d'Edouard,
par Osbert de Stockeclare, XIV, 408. Sa Vie
et ses miracles, par jElrède, abbé de Ried-
val. Sa vie en vers élégiaques, par le même,
620. [Sa canonisation demandée par les
moines de Westminster. Réponse du pape,
267.] Sa canonisation par le pape Alexan-
dre III, 922. Recueil de ses lois ecclésias-
tiques, 1034, [dans la Patrolngie. Lettre que
ce prince écrivit au pape Nicolas II, 414.]
ÉDOUIN, roi de Northumbre, épouse Edel-
burge. Lettre que lui écrivit le pape Boni-
face V pour l'engager à quitter le culte des
idoles. Il se fait chrétien, XI, 646. Lettre
que lui écrit le pape Honorius, 648.
[EDRULPHE ou EARDULPHE, roi d'An-
gleterre, à qui Alcuin éciit, XII, 200. ]
ÉDUCATION de saint Grégoire le Thau-
maturge par Origène, II, 437, 438 ; — de
saint Augustin, par sainte Monique, IX, 2 et
26. Sentiment de saint Augustin sur l'édu-
cation, 26.
ÉGALITÉ en Dieu du Père et du Fils
■
Doctrine de saint Ambroise, V, 472 et suiv.-
— de saint Augustin, IX, 222. M o^ez Divinité,
ÉGARA, ancienne ville d'Espagne, au.
jourd'hui Térassa, à quatre lieues de Barce-
lone. Concile tenu en cette ville, XI, 911,
912.
EGB'ERT, roi de Kent, envoie à Rome un
prêtre pour y être ordonné archevêque de
Gantorbéry, XI, 796.
EGBERT ou ECBERT, évêque d'York,
était frère d'Edbert, roi de Northumbre. Il
obtient du pape Grégoire III le pallium et le
titre d'archevêque. Ses soins pour le réta-
Hissementdes études. Sa mort, XII, 64. Ses
écrits. Extraits des canons et des saints
Pères, 64 et 65. Pénitentiel, 63. Dialogue
intitulé : De l'Instruction ecclésiastique, 63
et 66. Sa lettre à saint Boniface, archevêque
de Mayence, 66. [Quinze canons de cet évê-
que. Deux Pénitentiels qui ne paraissent pas
lui appartenir. Pontifical d'Egbert, où on
trouve les cérémonies pour le sacre des rois,
63. Analyse de ce Pontifical, 66. Édition des
écrits d'Egbert dans la Patrologie, 64.] — Il
fait mention des Canons apostoliques, II, 579.
— Il fut disciple de Bède, XII, 2. Lettre que
Bède lui écrivit, 13. Lettres de saint Boniface
qui lui sont adressées, 49, 51.
EDITIDS. Voyez Edicius.
[EGELBET, évêque de Bamberg. Le pape
Eugène 111 lui écrit ainsi qu'aux chanoines
de Bamberg sur la canonisation de l'empe-
reur Henri, XIV, 277.]
ÉGELNOTE, archevêque de Gantorbéry, ■
(auteur de quelques ouvrages perdus. Voyez
Du Pin.)
ÉGEBRIC, évêque de Sussex, déposé au io7o.
concile de Windsor, XIV, 1066.
EGES, ville de Cilicie, où se trouvait une
foire dont parle Théodoret, X, 67.
EGGESTEIN (Henri). Son édition du Dé-
cret de Gratien, XIV, 761.
ÉCCOUHARD. Voyez Eccard.
ÉGIALÉE, grammairien païen, juge de la
dispute d'Archélaûs avec Manès, II, 433.
ÉGICA, roi d'Espagne, gendre et succès- 688.
seur d'Ervige, propose aux évêques assem-
blés à Tolède une difficulté sur les serments
qu'il avait faits au roi Ervige, XII, 938. Ré-
ponse des évêques, 938 et 959. Il assiste au 603.
seizième concile de Tolède auquel il pré-
sente le mémoire des choses qu'on devait y
traiter. Il en confirme les canons et ceux du 694.
dix-septième concile, 939.
EGIL ou EIGIL, moine de Prum, puis ar- ixsiècie.
chevêque de Sens. Lettre que lui écrit le
^pe Nicolas I", XII, 583. — Concile de
Pistes, où l'on confirme quelques-unes de
ses donations, XIII, 713.
EGILBERT, évêque d'Utrecht. Sa mort. 89o.
Saint Ratbod lui succède, XII, 783.
EGILBERT, archevêque de Trêves. Sa xisiècie.
lettre contre le pape saint Grégoire VII,
XIII, 407. Son ordination, 413. H reçoit le
pallium de l'antipape Guibert, 414.
EGILON. Voyez Gilon.
EGILWARD, moine à Wirtzbourg, écrit xi siècle.
la Vie de saint Burchard, premier évêque
de Wirtzbourg, XIII, 180. Éditions qu'on en
a faites, 181. Il écrit aussi les Actes du mar-
tyre de saint Riliain et de ses compagnons.
Idée de ces Actes, 180, 181.
EGINHARD, abbé de Selgenstat, est élevé
à la cour de Charlemagne. Ce prince le fait
son secrétaire, XII, 332. Son mariage avec
Imma. Elle n'était point fille de Charlema-
gne. Il est député à Rome pour faire con- soe.
firmer par le pape Léon III le premier tes-
tament de Charlemagne. Il embrasse la vie
monastique. On lui donne le gouvernement
de divers monastères. Il fonde une église
dans une de ses terres, nommée Michlenstat.
Il fonde le monastère de Mulinheim qui prit ^- ^'^''-
348
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
839 ou SU.
1 siècle.
H siècle.
III siècle.
IV sièele.
IV
et Vsiècles.
le nom de Selgenstat. Sa mort, 3S3. Ses
écrits, 353 et suiv. ViedéCharlemagne, 353.
[Éditions et traductions nouvelles de cette
vie, 354.] Annales d'Eginhard, 354. Ses let-
tres, 355. Histoire de la translation des re-
liques de saint Marcellin, 356. Avis à l'Em-
pereur. Traité sur le culte de la Croix.
Abrégé du Psautier gallican. Histoire des
Saxons. Sa Chronique abrégée. Plan du mo-
nastère de Saint-Gai et de toutes ses ofH-
cines avec des inscriptions, 357. Lettres de
Loup de Ferrières qui lui sont adressées,
502. Eginhardus illustratus et vindicatus. Ce
que contient cet ouvrage, 356. (Voyez l'ar-
ticle d'Eginhard dans l'Histoire littéraire de
la France, t. IV, p. 550 et suiv., et le Sup-
plément, t. XI, p. xiv et suiv. Les ouvrages
d'Eginhard sont reproduits au tome XGVII
de la Patrologie latine, col. 28 et suiv.)
ÉGLISE. Corps entier de la société chré-
tienne. Doctrine d'Hermas sur l'Eglise, I,
334 et suiv.; de saint Ignace, 383 et suiv. et
386; de suint Irénée, 512 et 522, 523; de
Clément d'Alexandrie, 598, 599; [de saint
Hippolyte, 612;] — de TertuUien, II, 73;
d'Origène, [158], 229 et suiv. Traité de l'U-
nité de l'Église catholique, ouvrage de saint
Cyprien, 274 et suiv. Doctrine du même,
355 et suiv. Témoignage de saint Fructueuî
de Tarragone, 388; de saint Montan, mar-
' tyr, 389; de saint Victorin de Pettau, 461.
Doctrine de Lactance, 513; — de saint Mé-
thode, évêque de Tyr, III, 70, 71. Eusèbe de
Césarée exhorte les fidèles à rendre grâces
à Dieu des merveilles qu'il opérait en faveur
de son Église, 196. Doctrine du même, 233,
237, 238, 288, 289 ; — de saint Hilaire de
Poitiers, IV, 77, 78; de saint Athanase, 209
et suiv.; de Lucifer de Caghari, 264 et suiv.;
[de saint Sérapion, évêque de Tmuis, 336;]
de saint Basile le Grand, 529; — de saint
Cyrille de Jérusalem, V, 64 et 78; de saintOp-
tat, contre les Donatistes, 112 et suiv., 128,
129. Doctrine de saint Pacien, 167; de saint
Ambroise, 570; — desaintEphrem,VI, 66 [et
450,461,479.] Témoignage de saint Épipha-
ne sur les mœurs de l'Église catholique, 436.
— Doctrine de saint Chrysostôme, VII, 196,
391, 392; de Rufin d'Aquilée, 468, 481. Ho-
mélie sur l'Église ou la Tourterelle, fausse-
ment attribuée à Jean de Jérusalem, 502.
Doctrine de saint Jérôme, 684. — Titres que
saint Procle donne à l'Église, VIII, 413. Doc-
trine de saint Vincent de Lérins, 457, 458,
462, 463. Saint Isidore de Péiuse détiuit
l'Église l'assemblée des saints unie par la vraie
foi et par la bonne vie. Il n'en exclut cepen-
dant pas les pécheurs ni lesmau vais chrétiens,
490. Au temps du concile d'Éphèse, l'Église
catholique se nommait Église romaine : rai-
sonde cette dénomination, 597. — Disputeen-
tre l'Église etla Synagogue, faussementattri-
buée à saint Augustin, IX, 370. Livre de
l'Unité de l'Église, oulettre de saint Augustin
contre les Donatistes, 394 et suiv. Quatre li-
vres contre Cresconius, donatiste, où saint
Augustin traite encore particulièrement de
l'unité de l'Église, 399. Doctrine de saint Au-
gustin, 58, 196, 225, 235, 238, 334, 335, 338,
339, 396 et suiv., 507, 623 et suiv. Carac-
tères de l'Eglise : sa catholicité, 623; sa vi-
sibilité, 626 et suiv.; son indéfectibilité, 627,
628. Réponse à l'objection tirée des temps
de nuages et d'obscurité, 628. Quels sont les
membres de l'Éghse, 629 et suiv. Observa-
tion surle mélange des bons et des méchants
dans l'Église, 631 et suiv. Il n'y a point de
salut hors de l'Église, 633. — Témoignages
et doctrine de Théodoret, X, 43, 46, 113,
120, 121 ; du pape saint Léon, 194, 249,
250, 266 et suiv. Les quatre livres de Sal-
vien adressés à l'Église universelle, 361 et
suiv. Pourquoi il les a donnés au nom de
Timothée, 362. Analyse de cet ouvrage, 362
et suiv. DiSérentes doctrines et traductions
qu'on en a faites, 378. — Doctrine de saint
Fulgence, XI, 44, 53, 54, 67, 68; de saint
Césaire d'Arles, 144. Homélie sur l'Éghse
attribuée à ce dernier, 147. Eloge de l'Église
catholique par Cassiodore, 226. Doctrine du
même, 247, 248. Traité du prêtre Timothée
sur la Manière de recevoir ceux qui se pi-é-
sentent à l'Église catholique, 340, 341 . Doc-
trine du pape saint Grégoire sur l'Église,
555, 556. — Témoignage de Raban Maur,
XII, 453, 460, 461. Dialogue entre Euticius
et Théophile, sur l'état de l'Église, ouvrage
dont l'auteur n'est pas connu, 513, 514. Dis-
pute entre la Synagogue et l'Église, ouvrage
faussement attribué à Maginhard, moine de
Fulde, 523, 524. Témoignage de saint Pas-
chase Radbert sur l'Église, 530. Livre des
Souffrances de l'Église; ouvrage d'Alton,
évêque de Verceil, 823, 824. — Témoignage
du bienheureux Lanfranc sur l'Église, XIII,
447. Traité de Brunon de Ségni sur l'état de
l'Église dans le xi'^ siècle, 502, 503. Six livres
des Louanges de l'Éghse par le même, 504.
[Livre à un ami, ou sur la persécution de
l'Éghse, en neuf livres, ouvrage de Bonizon,
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
349
évêque de Scutri, S63. Analyse de cet ou-
vrage, 563 et 564.] Triste état de l'Église
exposé au concile de Mayence en 888, 731 ;
au concile de Troslée en 909, 741, 742. —
Doctrine de saint Anselme, XIV, 41. Traité
des Qualités de l'Église ; ouvrage de Geoffroi
de Vendôme, 167. De l'État de l'Église, ou-
vrage de Gilbert, évêque de Limerick, en
Irlande. Analyse de cet ouvrage, 176,
177. Exposition du psaume lxiv'', ou livre
de l'État corrompu de l'Eglise, ouvrage
de Géroch , prévôt de Reichesperg, 627,
628. Sermon d'Alain de Lille sur le gou-
vernement de l'Église, 870. L'Église ne force
personne à se faire chrétien, dit Innocent III,
mais elle est obligée de protéger ceux qui
ont embrassé la foi, 1008.] (Voyez Biens de
l'Eglise^ Choses ecclésiastiques, Histoire ecclé-
siastique. )
ÉGLISE ROMAINE ou de Rome. Témoi-
gnage de saint Irénée, 1,522,523; — de
saint Cyprien, II, 357 et suiv.; de l'empe-
reur Aurélien, 432 ; — de saint Basile, IV,
536; — de saint Ambroise, V, 571; — de
saint Jérôme, VII, 580; — de saint Augustin,
IX, 633, 635. — Sa prééminence reconnue
par Théodoret, X, 74, 121. Sa primauté ex-
posée par le pape saint Léon, 267, 269. Té-
moignage de saint Eugène, évêque de Car-
thage, rapporté par saint Victor de Vite,
454. Plaintes d'Eupbémius de Constantino-
ple, contre l'Église de Rome au sujet d'A-
cace, 486. Prééminence de l'Église de Rome
sur celle d'Alexandrie et d'Antioche, selon
le décret du pape saint Gélase, 724. — Té-
moignage du pape Vigile sur la primauté de
l'Église de Rome, XI, 195. Son autorité
sur toutes les autres Églises, selon le pape
saint Grégoire, 557. — Son autorité, selon
Alcuin, XII, 211. [Prérogatives que lui re-
connaît saint Nicéphore, patriarche de Cons-
tantinople, 293.] Sa primauté et la préroga-
tive de ses évêques , selon Ratramne de
Corbie, 567. Sa foi a toujours été sans tache
selon saint Nicolas I", 584. Témoignage que
lui rend Énée, évêque de Paris, 600. Té-
moignage d'Hincmar de Reims, 659; de
Rathériusde Vérone, 849, 830, 836; du pape
saint Agathon, 944; — d'Ainould de Milan,
XIII, 306. [D'après Bonizon, évêque de Scu-
tri, ses possessions remontent au pape Ur-
bain P', 567 ;] — de Pierre Abaillard, XIV,
331; de Hugues Métellus, 363; d'Anselme,
évêque d'Havelburg, 415; de saint Bernard,
465, Comment quelques royaumes apparte-
naient à l'Église romaine, 352, note 2. Gom-
ment le pape Innocent III justifie le titre
d'Église uni verselle donné à l'Église deRome,
971. Ce que le même dit de la primauté
de cette Église, 978, 980, 982, 986, 987.
ÉGLISE DU NORD. Voyez Nord.
ÉGLISE. Nom donné aux lieux d'assem- m siècle,
blée des fidèles, I, 640; II, 211, 243. Té-
moignages des Constitutions apostoliques,
593, 396. — Rescrit et loi de l'empereur iv siècle.
Constantin pour la construction des églises,
III, 124, 143. Réflexion d'Eusèbe de Césarée
touchant ceux qui font bâtir des églises, 197.
Description de l'église deTyr par Eusèbe de
Césarée, 196 et suiv.; de l'église du Saint-
Sépulcre et delà Résurrection, par le même,
253, 254. — Témoignage de saint Athanase
sur les lieux où les fidèles s'assemblaient,
IV, 217, 218. — Saint Cyrille de Jérusalem
témoigne qu'il prêchait dans l'église de la
Résurrection, V, 30. Il parle aussi de l'église
des Apôtres, 78. Bénédiction des églises.
Comment les Donatistes traitaient les églises
des Catholiques, 113 et 131. Richesses des
églises, 139, 154. Gallus et Julien entre-
prennent de bâtir une église en l'honneur
des Martyrs, 197. Église bâtie à Nazianze
par saint Grégoire le Père, 215. Témoignage
de saint Grégoire de Nazianze sur les églises
de Constantinople, 272, 331, 332. Témoi-
gnage de saint Ambroise sur les églises,
574; — de saint Éphrem sur la fréquenta-
tion des églises, VI, 9; de saint Grégoire de
Nysse sur leur magnificence, 251. Loi de
Jovien pour la restitution des biens assignés
aux églises, 353. Loi de Gratien pour la res-
titution des églises aux catholiques, 361. —
Témoignage de saint Jean Chrysostôme sur
les églises, VII, 193, 233, 242, 263, 266,
302, 303; de saint Jérôme, 603. Canon trente-
unième du concile d'Hippone, 715; canon
trentième du troisième concile de Garthage,
722 ; canon sixième du cinquième concile de
Carthage, 734. — Témoignage de saint
Pauhn, VIII, 62, 73,92, 94, 95. Témoignage
de saint Nil, solitaire de Sinaï, 228. — Au
temps du pape saint Léon, il n'y avait à
Rome et à Alexandrie qu'une seule église
où on dît la messe , même dans les plus
grandes solennités, X, 205. [Sermon de saint
Maxime de Turin sur la réparation de l'église
de Milan, 326.] État des églises dans les
Gaules au temps de saint Sidoine, 392. Le
pape saint Gélase défend aux évêques d'en
consacrer de nouvelles sans les pouvoiis
350
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
nécessaires, 302. Il blâme l'usage de don-
ner à quelques-unes le nom de morts qui
n'éLaient pas chrétiens, 504. Églises souil-
lées par les hérétiques. Selon saint Avit, elles
ne peuvent être purifiées, non plus que les
calices qui ont été à leur usage, SS7. Canons
du premier concile d'Orléans touchant les
églises, 743. — A quelles conditions le pape
Pelage P"' consent à la construction d'une
nouvelle église, XI, 333. Dédicace des
églises. Leurs ornements. Respect qu'on
leur rendait au vi'= siècle, 388. Églises renou-
velées ou bâties par Fortunat, évêque de
Poitiers, 404. Sentiment de saint Grégoire le
Grand sur la consécration des églises, 333,
579. Églises par lui consacrées et réconci-
liées, 379. Les églises des scliismatiques doi-
vent être réconciliées, selon saint Théodore
de Cantorbéry, 798. Disposition du concile
d'Epaone à l'égard des églises des héréti-
ques, 817.— Règlement de Gharlemagne tou-
chant les églises, XII, 237 ; de Théodulphe,
évêque d'Orléans, 264; de saint Nicéphore,
patriarche de Constanlinople, 286, 287 ; du
pape saint Nicolas I", 577, 583; du concile
quinisexte, 964; du seizième de Tolède, 965.
Pauvreté des églises d'Espagne, 965. — Res-
pect qu'on doitavoir pour les églises détendu
contre le mépris des Manichéens, XIII, 161.
Témoignage de Lanfranc sur la consécration
des églises, 452. Canon d'un concile de Gi-
rone touchant les évêques simoniaques, 553.
Canon d'un concile de Celchyte, 653 ; de
Metz, 732. —Témoignage de saint Anselme,
XIV, 41, [Dévotion pour la construction des
églises à Chartres et en Normandie, 589.
Lettre d'Aimon, moine de Saint-Pierre-sur-
Dives, à ce sujet, 599, 600. Lettre de Hugues,
archevêque de Rouen, sur le même sujet,
605, n. 9. Autres témoignages, 605.] Voyez
Dédicace des églises.
EGNACE (J.-B.), prêtre de Venise. Son
édition des œuvres de Laclance, II, 520.
V. 710. EGWIN (Saint), évêque de Worchester,
fonde le monastère de Covesham. A quelle
occasion, XII, 23; XIII, 604. Circonstances
Y „, de sa vie. Sa mort. Ses écrits, XII, 1109.
EGYPTE. Trente-sept martyrs égyptiens,
III, 92, 93. Les Égyptiens et les Phéniciens
sont réputés les premiers adorateurs des
astres, 301. Saint Antoine, premier père des
solitaires d'Egypte, 332 et suiv. Conciles te-
nus en Egypte à l'occasionn de l'hérésie
d'Arius, 414 et suivantes. Protestation du
clergé d'Egypte contre les informations
faites dans la Maréote par les ennemis de
saint Athanase , 453 , 454. — Discours de
saint Grégoire de Nazianze en l'honneur des
évêques et du peuple de cette province, V,
219, 220. Saint Macaire d'Egypte, instituteur
des solitaires de Scété, 596 et suiv. — Ho-
mélie de saint Jean Chrysostôme sur les
martyrs d'Egypte, VU, 96. — Les homélies
de Neslorius répandent le trouble parmi les
moines de l'Egypte. Saint Cyrille d'Alexan-
drie leur écrit une lettre circulaire et géné-
rale, VIII, 281. — Violences que Timothée
Elure excite dans l'Egypte pour y rétablir
l'Eutychianisme, X, 176, 177. Lettres que le
pape saint Léon écrit aux évêques d'Egypte
persécutés pour la vérité, 234 et suiv.
EICHSTAT. Lieu d'Allemagne. Saint Wil- v 740
libald y fonde un évêché, XII, 128.
EIGIL (Saint), abbé de Fulde. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie. Il succède sis
àRatgard dans l'abbaye de Fulde. Sa mort, 82s
XII, 272. Sa vie écrite par Candide, un de
ses disciples, 272, 273, 385, 386. Il est au-
teur de la vie de saint Sturme, 272. Ses
autres écrits, 272, 273.
EINARD, seigneur, à qui saint Fulbert de
Chartres écrit une lettre sur un usage sin-
gulier introduit dans quelques églises, XIII,
80, 81.
EINARD, abbé de Saint-Pierre-sur-Dives.
Voyez Ainard,
ERBERT, abbé de Saint-Florin, auteur de ^ii siè.
quelques ouvrages. Voyez Du Pin.
EKKEHARD, moine de Saint-Gai, continue x sièc;
l'Histoire de l'abbaye de Saint-Gai, commen-
cée par Ratpert, XII, 700. Il entreprend
d'écrire la vie de sainte Wiborade, 879.
EKKEHARD LE JEUNE, traduit en latin xii siè.
la Vie de saint Gai, écrite en vers allemands
par Ratpert, XII, 700.
EKKEHARD, abbé de Saint-Laurent d'U-
rangen. Voyez Eccard.
ELAPHE fait bâtir une église en Rouergue.
Il y a lieu de croire qu'il en fut ensuite
évêque, X, 382.
ELBERT, évêque d'York, succède à Eg- m.
bert. Sa mort, XIII, 165.
ELCANA et Anne, mère de Samuel. Ho- m siée
méhe de saint Hippolyte sur ce sujet, II,
617, 618.
ELCESAITES, hérétiques réfutés par Ori-
gène, II, 137.
[ÉLÉAZAR fiançais, qui de chrétien s'était
fait juif, XII, 522. Alvar, prêtre de Cor-
doue, lui écrit quatre lettres, 522 et 523.]
TABLE GÉNÉRALE
ÉLECTION : Election divine. Doctrine de
saint Clément, I, 341, 343, 360. Election des
apôtres. Doctrine de Clément d'Alexandrie,
602. — Élection des évêques. Constitutions
apostoliques, II, 391, 592. Election des prê-
tres, 593. — Élection des prêtres et des
évêques. Canons douzième et treizième du
concile de Laodicée, III, 510. — Canons de
plusieurs conciles de quelques villes d'Afri-
que sur l'élection des évêques, VIII, 361.
Forme prescrite par le deuxième concile
d'Arles, 613. — Dispositions de ce concile,
X, 708. — Acte de l'élection du prêtre Héra-
clius pour succéder à saint Augustin, IX,
174. — Concile de Rome, dont les décrets
défendent toute brigue pour parvenir au
souverain pontificat, X, 726. Autre concile
de Rome qui infirme le statut du préfet Ba-
sile, par lequel il était défendu d'élire l'évê.
que de Rome sans le consentement du roi
d'Italie, 728, 229. — Comment l'élection des
évêques se faisait en France au temps de
saint Grégoire de Tours, XI, 391. Elle devait
être confirmée par le roi qui souvent la cas-
sait, 391 et suiv. Formules de Marculfe
touchant l'élection des évêques, 740. [De
la liberté de l'élection, titre d'une lettre
de saint Adellime, évêque de Cantorbéry,
807.] Concile tenu à Rome pour réformer les
abus qui s'étaient introduits dans l'élection
des papes et des évêques, 987. Décrets du
cinquième concile de Paris sur les élections
des évêques, 912, 913. — Traité de l'élec-
tion des évêques, par Florus, diacre de
l'Église de Lyon, XII, 479, 480. Éditions
qu'on en a faites, 480. [Note sur l'élection
des papes, 479, note 3.] Décision du pape
saint Nicolas I" sur l'élection des évêques,
381. Témoignage d'Hincmar de Reims sur la
liberté des élections, 668, 669. — [Élection
des évêques au x" siècle, XIII, 114, 113.
Leur élection en France au xix% 113.] Dis-
positions d'un concile de Rome sur l'élec-
tion du pape, 243. Témoignage de saint An-
selme de Lucques sur les élections des évê-
ques, 393, 394. — Novelle d'Alexis Com-
nène touchant les élections des évêques,
XIV, 141. Canon du troisième concile géné-
ral de Latran sur les élections des évêques,
1140. Canon du quatrième concile général
de La Iran concernant les élections des évê-
ques, 1167.
ÉLECTION des rois goths en Espagne.
Règlement sur ce sujet fait au huitième con-
cile de Tolède, XII, 320.
DES MATIÈRES. 351
ÉLECTIONS dans" un État, selon Abbon
de Fleury, XIII, 23.
ÉLÉMENTS. Traité de l'Altération que les
éléments causent sur le corps et sur l'âme,
ouvrage de Siméon le Jeune, abbé de Saint-
Mamas, à Constantinople, XIII, 228.
ÉLÉONORE, reine de France, épouse de
Louis le Jeune; elle en est séparée. Elle
épouse Henri Plantagenet, duc de Norman-
die, depuis roi d'Angleterre, XIV, 1123. [Elle
écrit au pape Gélestin III, 946.]
ÉLESBAAN, roi d'Auxume, atlaque le
tyran Dounoas, gouverneur des Homérites,
le fait prisonnier et lui ôte la vie, X, 649
et 186.
ÉLEDCHADIE (Saint), évêque deRavenne.
Sermon de saint Pierre Damien en son hon-
neur, XIII, 308.
ÉLEUSINIDS, envoyé à saint Basile par
Eustathe de Sébaste, IV, 444.
ÉLEUSINIUS, diacre du monastère d'Eu-
tychès, appelé au concile de Constantinople,
X, 672; député par son abbé à une autre
assemblée, 674.
ELEUSIPPE (Saint), martyr, I, 473, et
XIII,
ÉLEUSIUS, évêque de Cyzique, déposé
au concile de Constantinople en 361, V, 378 ;
il assiste au concile de Constantinople en
381. — Il fut persécuté par Julien l'Apostat,
VI, 332.
ÉLEUSIUS, donatiste. Lettre de saint Au-
gustin à Éleusius et à quelques antres dona-
tistes, IX, 79. Autres lettres de saint Au-
gustin aux mêmes, 80.
ÉLEUTHÈRE (Saint), pape. Décrétale qui
lui est faussement attribuée, VI, 83. — Saint
Éleuthère apparaît à Probus, évêque de
Riéti, XI, 478.
ÉLEUTHÈRE (Saint), évêque de Tournai.
(On lui attribue quelques écrits. Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. m, p. 133 et suiv.)
ÉLEUTHÈRE, évêque, à qui Sidoine Apol-
linaire recommande un Juif, X, 390.
ÉLEUTHÈRE, évêque, à qui est adressée
une lettre du pape Pelage I, XI, 333.
ÉLÉVATION de l'Hostie aussitôt après la
consécration. L'usage ne s'en est établi qu'au
XI" siècle, à l'occasion de l'hérésie de Bé-
renger, XIH, 175.
ELFÉGE (Saint), d'abord abbé de Bath,
est fait évêque de Winchester, XIII, 60, 61.
Il est transféré sur le siège de Cantorbéry
où il succède à saint Alfric. Il est tué par
II sièole.
V. 398.
1000.
1012.
352
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
les Danois qui ravageaient l'Angleterre. Sa
Vie par Osberne, 61, retouchée par Lan-
franc, 437. [Reproduction de cette Vie dans
la Pairologie, 61.] Scrupules que Lanfranc
avait sur le culte qu'on lui rendait, levés par
saint Anselme, 457. — Il est honoré des
Anglais comme martyr, XIV, 2.
ELFIE [et non ELRIC comme on l'a im-
primé], archevêque de Cantorbéry (peut-
être le même que le précédent). Ses règle-
ments ecclésiastiques, XIV, 1054.
ÉLIACIM, grand prêtre des Juifs, n'est
pas auteur du livre de Judith, mais il est
possible qu'il ait laissé des mémoires qui
servirent à le composer, I, 104.
ÉLIE, prophète. Ecrits qui lui sont attri-
IV siècle, bues, I, 267 et 286. — Poëme de saint Gré-
goire de Nazianze des Miracles d'Elie et
390. d'Elisée^ V, 291. Livre d'Ehe et da jeûne :
iv siècle. Ouvrage de saint Ambroise, 413, 414. Ou-
vrage perdu du même sur EUe, 314, — Té-
moignage de saint Ephi'em sur Elle, VI, 52.
— Homélie de saint Jean Chrysostôme sur
Elie et la veuve de Sarepta, VII, 115. Opus-
cule faussement attribué à saint Jean Chry-
sostôme sur Marthe, Marie et Lazare, et sur
IV Ehe, 312. — Sermon de saint Augustin sur
ou V siècles. Elie et la veuve de Sarepta, IX, 236. — Té-
moignages du même sur Elie, 186, 187, 615
et 617. - Témoignages de Théodoret, X,
33 et 87. — Discours de Basile de Séleucie
sur Elie, 163. Discours de saint Césaire
d'Arles, XI, 132. — Discours de l'empereur
Léon VI, Xn, 775.
3„8. ÉLIE (Saint), martyr de Palestine, III,
U.
309. ÉLIE (Saint), autre martyr de Palestine,
III, 12.
309. ÉLIE (Saint), prêtre, encore un autre mar-
tyr de Palestine, III, 13.
320. ÉLIE (Saint), du nombre des quarante
martyrs, III, 83.
372. ÉLIE, gouverneur de la Cappadoce. Let-
tres que lui écrivit saint Basile le Grand,
IV, 443 et 447. Lettre que saint Basile écrit
en sa faveur, 448.
ÉLIE, solitaire d'Egypte, visité par saint
Pétrone, X, 160.
ÉLIE, abbé de Constantinople. Saint Léon
lui écrit, X, 217.
V. 512. ÉLIE, évêque de Jérusalem, s'unit à Ma-
cédonius, patriarche de Constiintinople, X,
488. Chassé de son siège pour s'être opposé
aux volontés de l'empereur Anastase au
faux concile de Sidon; l'ordre révoqué à la
prière de saint Sabas, 730. Il est ensuite dé-
posé pour s'être réuni un des premiers à
l'Église romaine ; le pape s'intéresse à son
rétablissement, 623 et 631, [C'est par erreur
que l'auteur a fait Elie archevêque de Cé-
sarée, à la page 623.] — L'histoire de ce
patriarche se trouve dans la Vie de saint Sa-
bas, XI, 275 et suiv.
ÉLIE, patriarche d'Aquilée. Lettres que vi si4ci
le pape Pelage II lui écrit, et aux évêques
d'Istrie, au sujet de leur opposition à la
condamnation des Trois-Chapitres, XI, 333
et suiv.
ÉLIE, métropolitain de l'île de Crète. Son
commentaire sur l'Échelle sainte de saint
Climaque ; il n'a pas encore été imprimé ;
bibliothèques où il se trouve manuscrit, XI,
691.
ÉLIE, évêque des Jacobites. Sa lettre à
Léon, évêque de Gharras, XII, 100.
[ÉLIE , évêque des Jacobites à Gassou- xii siée
nium, confère avec Théorien, XIV, 640,
641.]
ÉLIE, député du patriarche de Jérusalem. sra.
Ses discours au quatrième concile général
de Constantinople, XIII, 704.
[ÉLIE DE COXIDE, abbé de Dunes. Sa
vie ; ses écrits, XIV, 839. Nous n'avons que
deux de ses sermons ; analyse de ces ser-
mons, 859 et 860.]
[ÉLIE ECDICUS le Petit, défenseur de H2i,
l'Église de Crète. On a de lui l'Anthologie
gnomique, ou des sentences des pieux phi-
losophes, et des sentences gnostiques ou
spirituelles. Ces écrits sont reproduits au t.
CXXVII de la Patrologie grecque.]
ÉLIEN, païen, confère avec saint Grégoire
le Thaumaturge, II, 442.
ÉLIEN et AMAND. Leur révolte dans les
Gaules, H, 473.
ÉLIEN, porte à saint Basile des lettres de
saint Amphiloque, IV, 472.
ÉLIEN, proconsul d'Afrique, juge l'affaire
de Féhx d'Aptonge, V, 112.
ÉLIÉZER, serviteur d'Abraham. Senti-
ment de Photius sur le serment qu'Abraham
exigea d'Ehézer, XH, 726. — Homélie de
Godefroi, abbé des Monts, sur la députation
d'Eliézer pour le mariage d'isaac, XIV,
588.
ÉLION, abbaye en Alsace. Bulle du pape
saint Léon IX pour cette abbaye, XIII,
209.
ÉLIPAND, évoque de Tolède, disciple de
Félix d'Urgel, adopte son erreur sur la di-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
353
siècle.
519.
vinité de Jésus-Christ ; il écrit pour la dé-
fendre ; cet écrit est lu au concile de Franc-
fort et réfuté par une lettre synodique, XII,
136. Son erreur condamnée dans plusieurs
conciles est réfutée par saint Paulin, pa-
triarche d'Aquilée, IS7, 158. 11 continue de
répandre son erreur et Alcuin la combat
dans sept livres contre Félix d'Urgel, 178
et suiv. Lettre que lui écrit Alcuin pour le
ramener à la foi calliolique ; réponse d'Eli-
pand, 182. Quatre livres d'Alcuin contre les
erreurs d'Elipand, 182 et 183. Lettre d'Eli-
pand à Félix d^Urgel, 183, 184. Sa lettre à
l'abbé Fidèle contre Béatus et Ethérins qui
s'opposaient à ses erreurs ; réponse de ces
derniers dans un écrit où ils réfutent ses
erreurs, 214. Ses erreurs sont condamnées
au concile de Francfort, 216 el 225. Il les
rétracte dans un concile qu'il avait assem-
blé à Tolède, 216, 217. Sa lettre à Charle-
magne qui contenait ses erreurs, 243. Ré-
ponse de Charlemagne adressée aux évê-
ques d'Kspagne; les erreurs d'Elipand y
sont réfutées, 243, 244. — Ses erreurs sont
réfutées au concile de Francfort, XTII, 634
et suiv.
ÉLIPHE ou ÉLOPHE (Saint), martyr dans
le diocèse de Toul, III, 413. Sa Vie mise en
meilleur style par Rupert, abbé de Tuy,
XIV, 285.
ELISABETH (Sainte), mère de saint Jean
Baptiste. Saint Ambroise croyait qu'elle
était de la tribu de Juda, V, 528.
ELISABETH, religieuse de Schonauge.
Sa naissance ; ce qu'on sait des circonstan-
ces de sa vie. Ses révélalions. Sa mort. Ce
que contiennent ses révélations, XIV, 598.
Ses lettres, 593 et 598, 599. Éditions qu'on
a faites de ses écrits, 598, 599. Sa Vie par
son frère Lebert, 598.
ÉLISAGAR , chancelier de l'empereur
Louis le Débonnaire, XII, 345, 346.
ELISÉE, prophète. Poëme de saint Gré-
goire de Nazianze sur les miracles d'Elie et
d'Elisée, V, 291. — Discours de Basile
de Séleucie sur Elisée, X, 165. Deux homé-
lies de saint Maxime de Turin sur Elisée,
323. — Quatre discours de saint Césaire
d'Arles, XI, 132.
ELISÉE, moine syrien, supplée à un des
cahiers de la Chronique de Josué Styhte,
qui s'était égaré, X, 5 3.
ÉLISSÉE, condamné à rentrer dans l'es-
clavage pour désobéissance à son évêque
qui lui avait donné la liberté, XI, 91.t.
TAB. ].
ELLÉBICHUS, ofHcier d'armée à qui saint iv sièci»
Grégoire de Nazianze écrit, V, 264. — De-
venu général de cavalerie et d'infaolerie il
est envoyé à Antioche au temps de la sédi-
tion, VIT, 65 et 69,
ELLIES DU PIN (Louis). Voyez du
Pin.
ELLINGER, abbé de Tegernsée en Ba-
vière. Sa lettre au moine Fromond, XIII,
98.
ELMENHORSTIUS (Geverhart). Ses notes
sur le Dialogue de Minutius Félix, I, 557; —
sur Arnobe, II, 493. — Son édition des œu-
vres de saint Sidoine Apollinaire, X, 399.
ELNE, ville du Roussillon. Concile tenu
près de cette ville ; on y donne rang à l'é-
vèque d'Elne après l'archevêque de Nar-
bonne, XIII, 748. Autre concile tenu en
cette ville, XIV, 1053, 1061, 1064. Dédicace
de l'église de celte ville, 1061.
ÉLOI (Saint), évêque de Noyon. Sa nais- sgg.
sance ; il travaille d'abord à la monnaie de
Limoges, puis il devient monétaire de Clo-
taire II ; le roi Dagobert l'envoie demander y. 633.
satisfaction à Judicaël, prince de Bretagne,
dont les sujets avaient fait des courses sur
les frontières du royaume. Son application
à la lecture, à la prière et à l'aumône, XI,
753. Il fonde deux monastères : l'un à Soli-
gnac, près Limoges, l'autre à Paris, 753 et
754. Il est fait évêque de Noyon ; sa mort, 64o, 659.
754. Idée que l'auteur de sa Vie donne des
discours qu'il faisait à ses peuples, 754 et
755. Homélies qu'on lui a faussement attri-
buées; sa lettre à saint Didier, évêque de
Cahors, 755. Charte qu'il fit dresser pour la
fondation du monastère de Solignac, 755 et
756. Sa Vie par saint Ouen, archevêque de
Rouen, 756. [Édition des écrits de saint
Eloi dans la Patrologie, 757. Exhortation à
un jeune roi, publiée par Maï, sous le nom
de saint Eloi, 757. Analyse de cet écrit, 757
et suiv. Autres écrits de saint.Eloi, 760.] Mo-
nastère de filles fondé à Paris par saint Eloi,
754. — Poëme de saint Angilbert en l'hon-
neur de saint Eloi, XII, 220. Sa Vie dont les
exemplaires étaient devenus rares, copiée
par ordre d'Amblard, abbé de Solignac,
911. (Voyez son article dans V Histoire litté-
raire de la France, t. III, p. 505 et suiv.)
ÉLOQUENCE de l'Écriture sainte. Éloge
qu'en fait Cassiodore, XI, 225. — Éloquence
que l'on admire dans un discours de saint
Grégoire le Thaumaturge, II, 439.
ELPIDIFORE, apostat, tourmente les ca-
23
334
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
360.
371.
375.
tholiques en Afrique. Reproches que lui fait
le diacre Muritta, X, 460.
ELPIDIUS, rliéteur espagnol, maître de
Priscillien, IV, GVi.
ELPIDIUS, évêque de Satales, déposé au
concile de Constantinople en 360 , IV,
618.
ELPIDIUS, prêtre d'Antioche , au concile
de Constantinople en 381, IV, 618.
ELPIDIUS, assesseur du gouverneur de
la Cappadoce. Lettre de saint Basile le Grand
pour cet officier, IV, 444.
ELPIDIUS, évêque d'une ville maritime.
Lettre que saint Basile le Grand lui écrit,
et aux autres évêques maritimes, IV,
469.
ELPIDIUS, évêque excommunié par Eus-
tathe de Sébaste, IV, 481.
ELPIDIUS, diacre par qui saint Basile
écrit aux évêques d'Egypte exilés, IV, 483.
ELPIDIUS, évêque de Laodicée, défend
saint Jean Chrysostôme contre ses ennemis,
VII, 8. Dépouillé de son église, il y est réta-
bli, 316.
ELPIDIUS (ELPIDE en français). L'empe-
reur Tliéodose voulait marier Olympiade
avec lui, VII, 129.
ELPIDIUS, prêtre, travaillant à la conver-
sion des infldèles du Monl-Aman, VII, 133.
ELPIDIUS, abbé en Cappadoce, IV, 484.
ELPIDIUS, arien. Lettre que lui écrivit
saint Augustin, IX, 186, 187.
ELPIDIUS, comte du consistoire, envoyé
par l'empereur Théodose le Jeune au faux
concile d'Éphèse ; conduite qu'il y tint, X,
675 et suiv.
ELPIDIUS (Rusticus), diacre de lÉglise
de Lyon. Ses connaissances dans la médecine
lui concilient l'estime du roi Théodoric qui
l'attire à sa cour ; il embellit la ville de Spo-
lète; ses liaisons avec saint Ennode de Pa-
vie et saint Avite de Vienne; lettres qu'il en
reçoit, XI, 99. Ses deux poëmes en vers
hexamètres; ce qu'ils contiennent; éditions
qu'on en a faites, 99 et 100. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. m, p. 163 et suiv.)
ELPIDIUS, évêque, auteur d'un écrit
qu'on ne connaît plus^ XI, 263.
ELPIS, première femme du philosophe
Boëce; sa mort, X, 643. On lui attribue des
hymnes pour la fête de saint Pierre et saint
Paul, 643, et XII, 162.
ELTUT (Saint), abbé au pays de Galles.
Voyez saint Hildut.
ELUCIDARIUM, ouvrage faussement at-
tribué à saint Anselme, archevêque de Can-
torbéry; on n'en connaît point l'auteur ; ce
que c'est que cet ouvrage, XIV, 34. Éditions
qu'on en a faites, 33. [Cet ouvrage a été
composé par Honoré d'Autun, 294. Juge-
ment sur ce livre, 294 et 293. Traductions
qu'on en a faites, 295.]
ÉLUS. [Ce qu'Origène entend par élus,
II, p. 227.] — Sentiments de saint Cyrille
d'Alexandrie sur la prière de Jésus-Christ
pour les élus, VIII, 332. — Résolution d'une
question de la condamnation générale de
tous les hommes par Adam, et de la déli-
vrance de quelques élus par Jésus-Christ,
ouvrage de saint Rémi, archevêque de
Lyon, XII, 617, 618. Voyez Prédestina-
tion.
ELVIRE, ville de la Bétique. Concile qui
y fut tenu, II, 602 et suiv. Canons de ce
concile, 603 et suiv.
ELXAIj chef des Samséens ou Sampséens,
VI, 396.
[EMBRICON, évêque de Wirzbourg, pro-
nonce un discours aux funérailles de saint
Othon de Bambeig, XIV, 182.]
EMBRUN en Dauphiné, ville célèbre au
vi^ siècle par ses fonts baptismaux miracu-
leux, XI, 790.
ÉMENON, abbé d'Aniane. On a de lui
quelques lettres. (Voyez ce qui est dit de lui
dans l'Histoire littéraire de la France , t. VIII,
p. 313 et suiv.)
ÉMÉRITE (Saint), lecteur, martyr de Car-
thage, III, 20. Sa confession. 22.
ÉMÉRITE, évêque donaliste. Lettre que
lui écrivit saint Augustin, IX, 94. Discours
de saint Augustin au peuple de Césarée de
Mauritanie en présence d'Emérite, 410,411.
Conférence de saint Augustin avec plusieurs
évêques en présence d'Emérite, 411, 412 et
448.
ÉMÉRITE, nommé évêque d'Embrun à
la place de Salone, déposé au concile de
Chalon-sur-Saône, XI, 894.
ÉMÉRIUS, évêque de Saintes, déposé
dans un concile ; pourquoi ? XI. 886. Réta-
bli par ordre du roi Charibert, 887.
ÉMÈSE en Phénicie. Paul évêque de cette
ville, auteur ecclésiastique, VIII, 241 et
suiv.
EMILE, évêque, VIII, 86.
EMILE, père de saint Rémi, XI, 76.
EMILIE, province d'Italie. Lettre de saint
Ambroise aux évêques de celte province, V,
3U.
579.
Vslèi
388.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
35S
H06. 492. — Au concile de Guastalle la province
d'Emilie est distraite de l'archevêché de
Ravenne, XIV, 1079. — Elle lui est rendue
1118. par le pape Gélase II, 1090.
ÉMILIEN , gouverneur d'Espagne , con-
damne saint Fructueux, II, 387, 388.
V siècle. ÉMILIEN (Saint), martyr à Dorostore en
Thrace, III, 402. — Témoignage de Théo-
doret, X, 46.
ÉMILIEN, évêque de Valence, assiste au
concile de Valence, IV, 600.
ÉMILIEN (Saint), ermite en Auvergne. Sa
Vie par saint Grégoire de Tours, XI, 381.
ÉMILIEN, notaire, l'un de ceux qui écri-
virent les homélies de saint Grégoire le
Grand sur les Évangiles, XI, 330.
ÉMILIEN (Saint), évêque de Verceil, XI,
728.
ÉMILIEN [ou MILHAU] (Saint), solitaire
en Espagne, fondateur du monastère de
Saint-Émilien-de-la-Cuculle, au diocèse de
Tarragone. Sa Vie par Braulion, évêque de
Saragosse, XI, 728 [et 729]. Hymne en son
honneur par le même, 728 [et 732.]
ÉMINENCE, titre d'honneur que les évê-
ques se donnaient, XI, 734.
EMMANUEL, abbé de Constantinople.
Saint Léon lui écrit, X, 214, 217, 219.
Isiècie. EMMAUS, ville de Palestine. Noms des
disciples d'Emmaûs , II , 249. — Discours
sur les disciples qui allaient à Emmaiis faus-
sement attribué à saint Bernard, XIV, 492.
EMME , rehgieuse du diocèse d'Arras,
morte recluse dans celui de Lyon, XIII, 390.
368. EMMÉLIE (Sainte), mère de saint Basile,
IV, 349. Sa mort, 353. — Ce qu'en dit saint
Grégoire de Nazianze, V, 300.
r. 697. EMMERAN (Saint), d'abord évêque de
Poitiers, puis apôtre de la Pannonie. [Traité
du prêtre Constant sur la passion ou le mar-
tyre de saint Emmeran, XII, 132] — Diffé-
rents écrits faits à sa louange par Arnold ou
Arnolf, prévôt de Saint-Emmeran de Ratis-
bonne, XIII, 94, 95 et 181. Sa Vie par Mé-
ginfroid, prévôt de Magdebourg, 93. Dialo-
gue sur les vertus des saints qui ont été
enterrés dans le monastère de Saint-Emme-
ran de Ratisbonne, 94. [Registre des cens,
revenus et fruits du monastère de Saint-
Emmeran, 93, n. 3.]
EMMON, moine de Citoaux , auteur d'un
écrit. (Voyez ce qui est dit de lui dans
l'Hidoire littéraire de la France, tome XII,
p. 248.)
l siècle. EMPEREURS. Doctrine de Tertullien, II,
27 ; — de saint Ambroise, V, 366. —Parole
de saint Théodore Studite sur la puissance
des empereurs, XII, 299.
EMPEREURS d'Orient. Suite de l'Histoire
des empereurs d'Orient par Léon, diacre de
Constantinople, XII, 881. — Histoire des
empereurs d'Orient, par NicéphoreBryenne,
XlV, 643. Voyez Histoire byzantine.
EMPEREURS D'OCCIDENT. [Pouvoir des
empereurs de Rome par Benoit, moine de
Saint-André de Soracte, XHI, 187. C'était
l'empereur d'Occident seulement qui était
cbargé de protéger et de défendre l'élection
des papes, 241, n. 3. Le pape Nicolas II dé-
clare que la confirmation du pape par l'em.
pereur d'Occident est un privilège personnel,
244, n. 1. — Honoré d'Autun dit que c'est
au pape à éhre l'empereur avec le consen-
tement des princes, à le sacrer et à le cou-
ronner. Liste cbronologique des empereurs,
par Honoré d'Autun, XIV, 300. Cet ouvrage
fait suite au IV'' livre de la Pliilosophie du
monde, 298.] — Manière dont les Allemands
procédaient à l'élection de l'empereur d'Oc-
cident, Xni, 763.
EMPIRE des Assyriens dans l'Orient et
des Romains dans l'Occident, IX, 316.
EMPIRE. Traité du Gouvernement de l'em-
pire, ouvrage de l'empereur Constantin Por-
phyrogénète. Deux livres de la Disposition
de l'empire, ouvrage du même, XII, 811.
— Traité de la Division de l'empire et du sa.
cerdoce, par Guénéric, XIII, 413 et 414.
Voyez Puissance temporelle.
EMPOISONNEURS. Canon septième qui
les concerne dans la première épître cano-
nique de saint Basile le Grand, IV, 461. Ca-
non soixante-cinquième dans la troisième
épître canonique du même, 474. — Canon
du concile de Lérida, XI, 824.
ENCENS. Témoignage des Canons apos-
toliques sur l'usage de l'encens dans les
églises, II, 580. — Témoignage de saint
Éphrem, VI, 69.
ENCHANTEURS. Loi de Constantius con-
tre eux, VI, 364. — Enchantements défen-
dus par le pape Grégoire II, XII, 26, 27.
ENCHIRIDION : poëme de Prudence, VHI,
106. — Enchiridion de saint Augustin ou
Maimel à Laurent, IX, 258 et suiv.
ENGGLPE, évêque donatiste, à Rome,
V, 106.
ENGRÂTIDE on ENGRATIE (Sainte),
vierge martyre, III, 44.
ENCRATITES, hérétiques, disciples de
374.
375.
357.
30t.
336
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
Tatien. Leurs livres apocryphes, I, 274. Leur
doctrine, 501, 502. — Sentiment de saint
IV siècle. Basile sur les Encratites, IV, 393, 394. — Ce
que saiot Épiphane dit de cette secte, VI,
393, 394. — Témoignage de Théodoret sur
leurs erreurs, X, 130, 131.
[ENCYCLOPÉDIE ou Anti-Claudianus ,
poëme d'Alain de Lille, XIV, 867 et suiv.
Analyse de cet ouvrage, 867, 868. Éditions
et ti'aductions qu'on en a faites, 869.]
ENDÉLÉCHIUS (Sévérus Sanctus), rhé-
teur et poëte chrétien. [Sa naissance, VI,
331, n. 7.] SonÉglogue intitulée : Delà mort
des bœufs, 330, 331. — Témoignage que lui
rend saint Paulin, VIII, 70.
ENDURCISSEMENT. Ce que Théodoret
dit de l'endurcissement de Pharaon dans ses
Questions sur l'Exode, X, 28. — Doctrine
de saint Fulgence sur l'endurcissement des
méchants, XI, 43. Discours de saint Césaire
d'Arles sur l'endurcissement de Pharaon,
131.
ÉNÉE DE GAZE, philosophe chrétien,
professeur de sciences et de belles-lettres.
Il florissait à la fin du y" siècle, X, 490. Son
Dialogue sur l'immortalité de l'âme et sur la
résurrection des corps. Analyse de cet ou-
vrage, 490 et suiv. Différentes éditions qu'on
en a faites, 492, 493. [Autres éditions, 493.]
Son témoignage sur les martyrs qui eurent
la langue coupée, 4.=)9. [Lettres d'Énée de
Gaze, 493, n. 1.]
853. ENÉE, évéque de Paris, succède à Er-
canrad, XII, 600. Saint Prudence, évéque
de Troyes, exige, pour consentir à son or-
dination, qu'il signe quatre articles sur la
grâce et la prédeslination, 498. Son élection
notifiée. Témoignages avantageux qu'on lui
rend, 503. 11 fait la cérémonie de la trans-
lation des reliques de saint Maur, 600. Ana-
lyse de son traité contre les Grecs, 600 et
601. [Éditions de ce traité, 601.] Ses autres
870, écrits. Sa mort. Ingelwin lui succède, 601 .
— Son témoignage sur Vigile de Tapse, X,
472. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. V, p. 386 et suiv.)
ÉNERGUMÈNES. Canon apostolique
IV siècle, soixante-dix-neuvième, II, 587. Constitutions
apostoMques, 596. Canon vingt-neuvième du
concile d'Elvire, 608. Canon trente-septième
du même, 6C8 et 609. — Les énergumènes
n'osent aporocher du tombeau de saint Ju-
lien, martyr, lil, 88. —Prière pour les éner-
gumènes dans la Liturgie, Vil, 410. Canon
416. sixième dans la leltre du pape saint Inno-
cent à Décentius, évéque d'Eugubio, 520.
Canons quatre-vingt-dixième, quatre-vingt- 3B8.
onzième et quatre-vingt-douzième du qua-
trième concile deCarthage, 732. — Disposi-
tions du concile d'Orange, VIII, 608 et 609. —
Discours de saint Césaire d'Arles à l'occasion «i.
d'un énergumène, XI, 143. — Règlement
d'Atton de Verceil, XII, 822.
ÉNERVIN, prévôt de Sfentfel, auteur d'un xii siècle,
traité contre les hérétiques de Cologne.
(Voyez Du Pin.)
ENFANCE. Traité de ceux qui meurent IV siècle.
dans l'enfance, ouvrage de saint Grégoire
de Nysse, VI, 98. Voyez Enfants.
ENFANTEMENT. Ses douleurs sont une .
peine du péché, IX, 557. j
ENFANTEMENT DE LA SAINTE VIERGE. '
Traité sur ce sujet : ouvrage de Ratramne, ï
moine de Corbie, XII, 562, 563. Traité de i'
saint Paschase Radbert contre celui de Ra- 3
tramne, 345 et suiv. Réplique de Ratramne. j
Elle est perdue, 368. ^
ENFANTS. Nom qu'on leur donnait,
II, 406. Ils assistaient à la célébration des
saints mystères, 596. — Témoignage de
saint Grégoire de Nazianze sur les devoirs
des enfants envers leurs pères et mères, V,
283. Témoignage de saint Arabroise, 396 et
412. [État futur des enfants, d'après Didyme
l'Aveugle, 622.] — Loi de Théodose qui rend
la liberté aux enfants vendus par leurs pères,
VI, 371. Erreur d'Hiérax, touchant les en-
fants morts avant l'âge déraison, combattue
par saint Épiphane, 404. [Canons funèbres
de saint Éphrem pour les enfants, 517, 318.]
— Témoignage de saint Chrysostôme. tou-
chant les enfants, VII, 91, 169, 318, 430; de
saint Jérôme, 561; — de saint Augustin,
IX, 27, 54, 103, 157, 419, 434, 470, 306,
510, 659 et suiv., 662; — du pape saint Gé-
lase, X, 499, 500. Selon Isaac l'Ancien, les
enfants doivent être baptisés aussitôt après
leur naissance et ne doivent point, avant
leur baptême, sucer le lait de leur mère
baptisée, 579. — [Sentiment de saint Gré-
goire d'Agrigente sur les enfants morts sans
baptême, XI, 389.] — De la révérence que
les enfants doivent à leurs pères, les sujets
à leurs rois : ouvrage de Raban Maur, XII,
463. — Réponse de Lanfranc aux évêques
d'Hibernie qui lui avaient demandé si l'Eu-
charistie était nécessaire aux enfants sous
peine de salut, XIII, 434, 437. — Coutume
barbare des Poraéraniens de tuer leurs en-
fants, XIV, 179. Lettre dans laquelle Thi-
I
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
337
baud d'Étampes prouve que les enfants
morts sans baptême ne peuvent être sau-
vés, 189. Sentiment de saint Bernard à leur
sujet, 488.
ENFANTS DES HÉRÉTIQUES reçus dans
l'Église sans délai, vingt-deuxième canon
du concile d'Elvire, II, 607.
ENFANTS DES PAUVRES. Loi de l'em-
pereur Constantin pour la nourriture des
enfants des pauvres, III, 144.
ENFANTS EXPOSÉS. Dispositions du
concile de Vaison à l'égard des enfants ex-
posés, III, 122 et 144. — Article d'un capi-
talaire de Garloman, XII, 229.
ENFANTS CONSACRÉS A DIEU parleurs
pères et mères, V, 180 et 373. — Témoi-
gnage de Raban Maur, XII, 466, 467. Ca-
non du dixième concile de Tolède, 934.
ENFANTS OFFERTS A UN MONASTÈRE.
Comment s'en faisait la cérémonie, XIII,
451. Comment ils étaient élevés à Cluny,
475. — Enfants offerts au monastère par
leurs parents. L'usage en subsistait encore
au xii'= siècle, XIV, 240 et 246. Lettre de
Sibert, prieur de Saint-Pantaléon, à Rodul-
phe, abbé de Saint-Tron, au sujet d'un en-
fant offert sans dot. Réponse de Rodulphe,
240.
ENFANTS ÉLEVÉS A L'ÉPISCOPAT, Ce
qu'en dit Alton de Verceil, XII, 822.
ENFANTS DES CLERCS. Canons trei-
zième, quatorzième et quinzième du concile
d'Hippone, VII, 713. Canons onzième, dou-
zième et quatorzième du troisième concile
deCarthage, 720, 721.
ENFANTS DES PRÊTRES. Lettre dans
laquelle Thibaud d'Etampes prouve qu'ils ne
doivent pas être exclus des ordres sacrés,
XIV, 189. Canon d'un concile de Dalmatie
qui défend ces ordinations, 1145.
ENFANTS DE DIEU, Ce que signiBe dans
l'Écriture l'expression d'enfants de Dieu, X,
118.
ENFER. Doctrine de saint Justin, I, 440;
de Minucius Félix, 326. — de Tertullien, II,
83; de saint Maxime, martyr, 118; de saint
Marcien, martyr, 120; d'Origène, [136, 137],
224, 287; de saint Cyprien, 343, 331 ; d'Ar-
nobe, 492; — de saint Basile, IV, 375; —
de saint Philastre, V, 176; de saint Am-
broise, 374; de saint Épbrem, VI, 10, 53,
67, [313]; de saint Grégoire de Nysse, 249;
de saint Épiphane, 430; — de saint Jean
Chrysostôme, VII, 16; — de saint Augustin,
IX, 355, 357, 614, 617. — Pensée du moine
Jobius sur la descente de Jésus-Christ aux
enfers, XI, 185. Doctrine du pape saint
Grégoire le Grand sur l'enfer, 478,479, .507,
508. Il prouve que les peines en sont éter-
nelles, 380, 381. — Sentiment de saint Jean
Damascène sur le feu de l'enfer, XII, 79.
Erreurs de Jean Scot sur l'enfer réfutées par
Florus de Lyon, 489; par saint Prudence de
Troyes, 497. — Prose du cardinal Albéric
sur les peines de l'enfer, XIII, 494. — Traité
du Retour des dmes de l'enfer, ouvrage de
Hugues Étérien, XIV, 637, 658.
ENGELBERGE, impératrice. Deux lettres
que lui écrit le pape Jean VIII, XII, 644.
Elle s'intéresse pour Anspert, archevêque
de Milan, 646. Elle fonde à Plaisance un
monastère, 647.
ENGELMODE, évêque de Soissons. Ce
qu'on sait des circonstances de sa vie, XII,
528. Son poëme en l'honneur de saint Pas-
chase Radbert, 528 et 333. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. V, p. 329 et suiv.)
ENGELTRUDE, femme de Boson, comte
de Lombardie. Voyez Ingeltrude.
ENGRATIB (Sainte). Voyez Sainte Encra-
tide.
ENGUERRAN, évêque de Metz. Voyez
Engelramne.
ENGUERRAN, ablé de Saint-Riquier. Ce
qu'on sait des circonstances de sa vie, XIII,
111. [Sa notice dans la Patrologie, 111, n. 9.]
Il rétablit les études dans son monastère et
y fait refleurir les lettres. Sa mort, 111. Son
épitaphe, par Gui, archidiacre d'Amiens,
112 et 276. Sa Vie écrite aussitôt après sa
mort est perdue, mais se retrouve en grande
partie dans la Chronique d'Hariulphe, 112.
[Édition de cette Vie dans la Patrologie, 112.]
Écrits d'Enguerrand. Sa Vie de saint Ri-
quier, 112. [Édition de cette Vie dans la Pa-
trologie, 112.] Autres écrits qu'on lui attri-
bue, 112. Vers à sa louange composés par
Gui, 276. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire delà France, t. VII, p. 331 et suiv.)
ÉNIGMES de saint Adelme de Schirburn,
XI, 805.
ENNATHAS (Sainte), vierge, martyre de
Palestine, III, 10.
ENNEMIS. Témoignage de saint Jean
Chrysostôme sur l'avantage qu'il y a de pré-
venir ses ennemis par des devoirs officieux,
VII, 172. — [Deux sei'mons de saint Augus-
tin sur l'amour des ennemis, IX, 841.]
ENNODE (Saint) (Magnus Félix Ennodus),
879.
861.
IX siècle.
1045,
308.
V. «3.
358
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
évêque de Pavie et confesseur. Sa naissance,
ses études, X, 369; son mariage; sa conver-
V. 947. sion. Il est fuit diacre. Il s'applique à l'étude
des sciences ecclésiastiques, 570. Il compose
l'apologie du pape Symmaque, 570 et 630.
Cette apologie est lue dans un concile de Ro-
me. Ce qu'elle contient, 730, 731. Il prononce
V. 510 le panégyrique du roi Théodoric, 570. Il de-
vient évêque de Pavie, 570. Ses légations en
521. Orient. Sa mort. Ce qui lui a mérité le titre
de confesseur, 571. Écrits d'Ennode : ses
lettres, 571 et suiv. Panégyrique de Théo-
doric, 573. Apologie du pape Symmaque,
571 et 574. [D. Ceillier paraît ici confondre
cette apologie avec celle qui fut composée
par Symmaque, 523.] Vie de saint Épiphane,
évêque de Pavie, 574 et 373. Vie du B.
Antoine de Lérins. Eucharisticon d'Enuode.
Exhortation à Ambroise et à Béatus, 573.
Ordonuance touchant les clercs, 575 et 576.
Acte d'affranchissement. Bénédictions du
cierge pascal. Dictions ou discours de saint
Ennode, 576. Ses poésies, 576 et 577. Juge-
ment sur les écrits d'Eunode, 377. Éditions
qu'on en a faites, 577 et 578. [Autres éditions,
578.] Sa Vie écrite par lui-même, 375. —
Hymne qu'il composa eu l'honneur de sainte
Euphémie, III, 50. — Lettre qu'il écrit à Ma-
xime de Pavie pour le pape Symmaque, X,
523. Autre lettre que ce pape le charge d'é-
crire aux évêques d'Afrique relégués eu
Sardaigne, 527. Sa lettre à Julien Pomère,
399. Il fut député par le pape Hormisdas
vers l'empereur Anastase qui avait indiqué
un concile. Instructions qui lui sont données
ainsi qu'à ses collègues, 613 et suiv. Son re-
tour, 615. Il est député une seconde fois à
Constautinople. Lettres et instructions dont
il est chargé, 617, 618. Autres instructions
qui lui sont données concernant Jean, évêque
de Nicopolis, 618, 619. Lettre qu'il écrivit à
Boëce pour le féliciter de son élévation au
consulat, 648. — Jugement qu'Arnould de
Lisieux porte de ses écrits, XIV, 738.
ÉiNOS, fils de Seth. Ecrits supposés sous
son nom, I, 264.
ENSEIGNEMENT. Lettre du pape Alexan-
dre III touchant la liberté de l'enseignement,
XIV, 923. — Livre des enseignements salu-
taires : ouvrage faussement attribué à saint
Augustin, IX, 287. Doctrine de saint Au-
gustin sur l'enseignement divin, 529. — [De
l'enseignement de l'homme intérieur : ou-
vrage de Richard, prieur de Saint-Victor,
XIV, 703, 706.]
ENTERREMENTS. Les Égyptiens n'en-
terraient pas les corps des saints. Saint An-
toine blâme cet usage, IV, 218. Chant des
psaumes à l'enterrement des religieux en
Egypte, 233, 236. — Témoignage de saint
Jérôme, VII, 698.
ENTHOUSIASTES, nom donné aux Mes-
saliens, IV, 643.
ENTRÉE des Israélites dans la terre de
Chanaan. Discours de saint Césaire d'Arles
sur ce sujet, XI, 131, 132.
ENTREZ par la porte étroite. Homélie de
saint Maxime de Turin sur ces paroles de
Jésus-Christ, X, 325.
ENVIE. Traité de saint Cyprien sur l'en-
vie et la jalousie, II, 291, 292. — Homélie
onzième de saint Basile le Grand sur l'en-
vie, IV, 384. — Envie entre les clercs. Ca-
non cinquante-quatrième du quatrième con-
cile de Carthage, VII, 730. — Poëme de
saint Grégoire de Nazianze contre les en-
vieux, V, 289. Autre sur le même sujet,
295. Pensée de saint Ambroise sur l'envie
imputée aux frères de Joseph, 411.
ÉON DE L'ÉTOILE, gentilhomme breton.
Ses extravagances condamnées au concile
de Reims. On le fait enfermer, mais ses dis-
ciples sont livrés au bras sécuher, XIV, 608.
Ses erreurs combattues par Hugues, arche-
vêque de Rouen, 608 et suiv.
[ÉONS de Marcion, réfutés par saint
Éphrem, VI, 453 et 460.]
ÉONIUS ou iEONIUS, évêque d'Arles.
Lettre que le pape saint Gélase lui écrit
pour lui faire part de son élévation, X> 504.
Éonius réclame contre l'étendue donnée à
la juridiction de l'Église de Vienne au pré-
judice de sa métropole, 523, 524, 523. — Il
admet saint Césaire dans son clergé et le
désigne comme son successeur, XI, 123.
ÉPACHIUS, puni miraculeusement pour
avoir dit la messe sans être à jeiïn, XI,
374.
ÉPANIA, évêché uni à celui d'Héraclée,
Vni, 591.
ÉPAONE, ville que l'on croit être aujour-
d'hui Yène, dans le diocèse de Belley (ou
mieux Albon au diocèse de Lyon). Concile
qui se tint en cette ville au commencement
du VL° siècle, XI, 814. Canons de ce concile,
814 et suiv.
ÉPAPHRODITES, lecteur et notaire d'Hel-
lanique, évêque de Rhodes, député à Nes-
torius par le concile d'Éphèse, Vlll, 377.
ÉPARCHIUS, évêque de Clermont. Temps
517.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
339
de sa mort. Sidoine Apollinaire élu pour lui
succéder, X, 380.
siècle. ÉPERNAY, ville du diocèse de Reims en
Champagne. Foulques de Reims y bâtit un
châleau, XII, 711. — Parlement tenu en
cette ville, XIII, 676, 677
't siècle ÉPHÈSE, ville d'Asie-Mineure. Concile
d'Ephèse sur la fête de Pâques, II, S42 et
401. suiv. — Autre concile qai y fut tenu, VII,
431. 745, 746. — Cette ville est choisie pour y
tenir un concile général contre Nestorius,
VIII, 137 et 260. Concile d'Éphèse, troisième
œcuménique, S73 et suiv. — Concile tenu
en cette ville au sujet de Bassien, X, 666.
449. Faux concile tenu en faveur d'Eutychès, 675
et suiv. Lettre de saint Léon à ce concile,
214.
siècle , ÉPHÉSIENS. Épître de saint Paul aux
[siècle. Éphésiens, I, 223 et suiv. ; de saint Ignace,
375.
ÉPHÉSIUS (ou ÉPHÈSE), évêque lucifé-
rien à Rome, V, 153.
ÉPHOD. Ce que c'était selon Photius, XII,
729.
ÉPHREM (Saint), diacre d'Édesse , soli-
taire et docteur de l'Église, VI, 1 et suiv.
Histoire de sa vie. Il est né de parents pau-
vres, mais qui avaient confessé la foi de Jé-
sus-Christ. Il est mis en prison et renvoyé
absous, 1. Il se retire dans un monastère.
Ses austérités ; sa douceur ; il refuse l'épis-
copat ; son amour pour les livres saints, 2.
Il va de Nisibe à Édesse ; il est fait diacre
d'Édesse ; ses prédications ; son zèle contre
les païens et les hérétiques ; il fuit le mar-
tyre; il va voir saint Basile h Césai-ée, 3.
362. Charité de saint Éphrem dans une année de
près 379. famine ; sa mort, 4. Éloges de sa vertu ; cir-
constances particulières de la vie de saint
Éphrem rapportéespar les Syriens, et que les
Grecs n'ont point connues, 3. Catalogue de
ses écrits, 5 et 6. Objections des protestants
contre les écrits de saint Éphrem, 6. Ré-
ponse à ces objections, 6 et 7. Écrits de
saint Éphrem, 7 et suiv. Écrits renfermés
dans le tome I" de l'édition de Vossius, 7.
Discours sur le sacerdoce ; sur le mariage,
8 ; sur la punition d Hélie, 8 et 9 ; sur la
manière de célébrer les jours de fêtes ; sur
la charité envers le prochain ; sur le chant
des psaumes ; sur la prière et sur l'amour
des pauvres, 9 ; sur le jeûne, 9 et 10 ; sur
ces paroles de saint Matthieu : De deux
hommes qui seront dans un champ ; sur
différentes demeures du ciel ; sur la de-
meure des bienheureux ; discours sur le
psaume soixante-douzième, 10. Ode sur
ceux qui pèchent et font pénitence chaque
jour, 10 et 11. Discours sur les vertus et sur
les vices, 11. Maximes de piété, 11 et 12.
Maximes sur la vie spirituelle, 12, 13. Dis-
cours sur la fuite du scandale et la manière
de bien vivre, 13 ; sur les distractions et les
mauvaises pensées, 13 et 14. Discours inti-
tulé : De la crainte de l'esprit, 14. Confes-
sion de saint Ephrem, 14 et 13. Exhortation
à la piété ; autre sur le même sujet et ex-
hortation aux bonnes œuvres, 15. Discours
sur la grâce, 13 et 16 ; sur la foi et la con-
fiance en Dieu ; sur la cause des tremble-
ments de terre et les erreurs des Gentils,
16; sur la ruine de l'orgueil, 16 et 17 ; sur
l'humilité ; sur la médisance, 17 ; sur les ris
et les divertissements, 17 et 18; sur les
jeux et les divertissements, 18 ; contre les
impudiques, 18 et 19 ; sur la chute d'un
jeune religieux ; sur les mauvaises habi-
tudes ; contre les mauvaises femmes, 19 ;
sur la chasteté, 19 et 20 ; des passions de
l'âme, 20; de la componction, 20 et 21 ; sur
la pénitence, 21 ; sur la patience, 21 et 22;
sur la patience et la componction; sur la
patience et la consommation du siècle, 22 ;
sur les diverses béatitudes, 22 et 23. De-
mandes et réponses sur divers sujets, 23 ;
sur le jugement, 23 et 24 ; sur la mort ; sur
la résurrection , 24 ; sur la consommation
du siècle et sur l'Antéchrist, 24 et 25 ; sur
le jugement et la récompense, 23, 26. La-
mentations et prières, 26. Écrits renfermés
dans le tome II, 26 et suiv. Vie de saint
Éphrem par Métaphraste, 26. Sentences di-
verses. Histoire de la conversion du saint.
Cantique spirituel, 26 et 27. Lettre au moine
Jean sur la vie des moines, 27, 28. Exhor-
tation à la vertu ; instruction sur la piété ,
28. Discours sur la vertu, 28 et 29 ; sur ces
paroles : Soyez attentifs sur vous-mêmes,
29, 30. Exhortations aux moines, 30 et suiv.
Maximes de piété, 34, 33. Traité des Moines
et de la tourterelle ; de la Perfection des
moines, 33 ; des Armes spirituelles, 33 et
36; du Combat spirituel; discours ascéti-
que ; du Second avènement de Jésus-Christ
et de la pénitence ; instructions et sentenses
diverses jointes aux œuvres de saint
Éphrem, 36. Écrits renfermés dans le t. III,
36 et suiv. Discours ascétique à l'imita-
tion des Proverbes, 36, 37. Autre discours
ascétique; discours sur la pénitence, 37;
360
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
de la componction, 37 et 38. Confession
de saint Éplirem, 38. Discours sur la résur-
rection générale, 38 et 39. Prière sous le
nom de saint Éphrem, 39. Discours sur
Noé, Abraham^ Isaac et autres patriarches,
29. [Voir la noie 2]. Homélies sur la perle de
l'Évangile, 39, 30. Discours sur ce qu'il ne
faut point examiner avec trop de curiosité
la nature du Fils de Dieu, -40, 41. Discours
sur la transfiguration, 41 [Voir note 1] ; sur
la Passion de Jésus-Christ. [Voir note 2]. La-
mentations de la sainte Vierge, 41. Discours
sur la Croix du Seigneur, 41 et 42. Quel-
ques discours faussement attribués à saint
Éphrem, 42. Éloge de saint Basile, 42; des
quarante martyrs, 42 et 43 ; des martyrs en
général, 43. Vie de saint Abraham, soli-
taire et de sa nièce, 43 et suiv. Vie de saint
Julien, anachorète, 43. Trois discours sur
les saints Pères morts en paix, 45 et suiv.
Testament de saint Éphrem ; cantiques sur
la naissance de Jésus-Clirist et sur l'adora-
tion des Mages, 47. Ouvrages de saint
Éphrem qui n'avaient pas encore été rendus
publics du temps de Dom Ceillier , 47 et
suiv. ; sur l'Écriture sainte, 47, 48 ; sur le
dogme, '48, 49 ; sur la morale, 49, 50. His-
toire des livres d'Apollinaire collés par saint
Éphrem, 30. Doctrine de saint Éphrem ; sur
l'Ecriture sainte, 30 et suiv. ; sur la Trinité,
55, 56 ; sur l'Incarnation, 56, 37 ; sur la
sainte Vierge, 57 ; sur les anges et les dé-
mons, 57 et 58; sur le libre arbitre, 58; sur
la grâce, 58 et suiv.; sur l'élection des Gen-
tils et la réprobation des Juifs, 60, 61 ; sur
le baptême et la confirmation, 61, 62 ; sur
l'Eucharistie, 62 et suiv. ; sur la pénitence,
64, 63 ; sur les moines, 63, 66 ; sur l'Église
et la primauté de saint Pierre, 66 ; sur le
purgatoire, 66 et 67 ; sur l'invocation des
saints et la vertu des reliques, 67, 68 ; sur
quelques points de discipline, 68, 69 ; sur
des points de dogme et de morale, 69. Ju-
gement de ces écrits; 70. Catalogue de leurs
éditions, 70 et suiv. [Éditions et traductions
nouvelles, 72 et suiv. Sommaire de l'édition
des œuvres de saint Éphrem publiée à
Rome, 439. Observations sur cette édition.
Commentaire sur l'Écriture sainte, 440. Au-
thenticité de ces commentaires, 440 et 441.
Version dont saint Éphrem s'est servi, 441
et 442. Méthode suivie par saint Ephrem en
expliquant l'Écriture sainte, 442, 443. Com-
mentaire sur la Genèse, 443, 444. Commen-
taire sur rÉ.xode, le Lévitique, les Nombres
et le Deutéronome. Commentaires sur Josué
et les Juges, 444 ; sur les quatre livres des
Rois, 444 et 443 ; sur Job, 443 ; sur Isaïe et
Jérémie, 445 et 446; sur Ezécbiel et Daniel,
446 ; sur Osée et sur Joël, 446 et 447 ; sur
Amos et sur Abdias, 447 ; sur Zacharie et
Malachie, 447 et 448. Traités ou discours
exégétiques. Traité sur le Paradis d'Éden,
448. Douze sermons exégétiques sur quel-
ques paroles ou quelques faits de l'Écriture,
448 et 449. Autres écrits exégétiques, 449 et
450. Discours dogmatiques de saint Éphrem.
Importance de ces traités pour le dogme,
450. Authenticité des écrits dogmatiques de
saint Éphrem, 450 et 431. Poésie et psal-
modie des anciens Syriens. Orthographe
adoptée par l'éditeur, 451. Difficultés que
l'éditeur a eu à surmonter, 431, 432. Trai-
tés ou discours polémiques contre les héré-
sies, 432 et suiv. Premier, deuxième dis-
cours , 432 , 453. Quatrième , cinquième ,
sixième, septième, huitième , neuvième,
dixième, onzième, douzième , treizième,
453, 454 ; quatorzième, quinzième, seiziè-
me , dix-septième , dix-huitième, dix-neu-
vième, vingtième, vingt et unième discours,
454, 455. Vingt-deuxième, vingt-troisième,
vingt-quatrième, vingt-cinquième, vingt-
sixième, vingt-septième, vingt-huitième,
vingt-neuvième, trentième, trente et unième,
trente-deuxième , trente-troisième , trente-
quatrième discours, 453, 456. Trente-cin-
quième , trente-sixième , trente-septième,
trente-huitième, trente-neuvième, quaran-
tième, quarante et unième discours, 457,
458. Quarante-deuxième , quarante-troi-
sième, quarante-quatrième, quarante-cin-
quième, quarante-sixième, quarante-sep-
tième discours, 458, 459. Quarante-huitième,
quarante-neuvième , cinquantième , cin-
quante et unième, cinquante-deuxième, cin-
quante-troisième, cinquante-quatrième, cin-
quante-cinquième discours, 460. Cinquante-
sixième discours, 461. Discours contre les
Scrutateurs, 461 et suiv. Qu'entend-on par
scrutateurs ? En quel temps ce traité a été
composé. Sa valeur, 461 . Analyse de ce traité,
461 et suiv. Premier, deuxième, troisième,
quatrième, cinquième discoui-s, 461. Sixiè-
me, septième, huitième discours, 462. Neu-
vième , dixième discours, 463. Onzième,
douzième, treizième, quatorzième, quin-
zième, seizième, dix-septième, dix-huitième
discours, 464, 465. Dix-neuvième, ving-
tième, vingt et unième, vingt-deuxième,
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
361
vingt-troisième, Yingt-quatrième , vingt-
cinquième discours, 46S, 466. Vingt-sixième,
vingt-septième, vingt-liuitième, vingt-nea-
vième, trentième, trente et unième discours,
466. Trente-deuxième , trente-troisième ,
trente-quatrième, trente-cinquième, trente-
sixième, trente-septième, trente-huitième
discours , 467. Trente-neuvième , quaran-
tième, quarante et unième, quarante-deu-
xième, quarante-troisième, quarante-qua-
trième discours, 468, 469. Quarante-cin-
quième, quarante-sixième , quarante-sep-
tième, quarante-huitième discours, 471.
Quarante - neuvième , cinquantième , cin -
quante et unième, cinquante-deuxième dis-
cours, 470, 471 . Cinquante-troisième, cin-
quante-quatrième, cinquante-cinquième dis-
cours, 471, 472. Cinquante -sixième, cin-
quante-septième, cinquante -huitième, cin-
quante-neuvième discours, 472, 473. Soixan-
tième, soixante et unième, soixante-deuxiè-
me, soixante-troisième discours, 473, 474.
Soixante- quatrième, soixante -cinquième,
soixante-sixième, soixante-septième, soixan-
te-huitième, soixante-neuvième discours,
474, 475. Soixante-dixième, soixante et on-
zième , soixante-douzième , soixante-trei-
zième, soixante-quatorzième, soirante-quin-
zième , soixante-seizième discours, 473.
Soixante-dix-septième , soixante-dix-huitiè-
me, soixante-dix-neuvième, quatre-ving-
tième discours, 476. Sept discours sur la
Perle, 476 et suiv. Authenticité de ces dis-
cours, 476, 477. Analyse des premier et
deuxième discours, 477, 478. Analyse des
troisième, quatrième, cinquième discours,
478. Analyse des sixième, septième discours,
479, 480. Trois sermons sur la Foi, 480 et
suiv. Contenu de ces sermons, 480. Analyse
du premier discours, 480, 481 ; du deuxiè.
me, du troisième discours, 481. Discours
sur les fêtes de Notre-Seigneur, sur les
louanges de la sainte Vierge et des saints.
Ce que sont ces sermons et leur nombre,
482. Analyse du premier sermon sur la
Naissance de Notre-Seigneur, 483; des
deuxième, troisième, quatrième, cinquième,
sixième, septième, huitième, neuvième ser-
mons, 483, 484; des dixième, onzième, dou-
zième, treizième, quatorzième sermons, 484.
Analyse des discours sur la Passion et la
Résurrection de Jésus-Chris!;, 484. Analyse
du discours sur les louanges de la sainte
Vierge, 485. Éloge de saint Pierre et de
saint Paul, 48S, 486. Œuvres morales et as-
cétiques de saint Éphrem ; ce qu'elles com-
prennent, 486. Analyse de quatre discours
sur le Libre arbitre, 486 et 487. Discours
parénétiques ou exhortations à la péniten-
ce; ce que ces discours renferment; en quel
temps ils ont été composés ; leur style, leur
authenticité, 487. Analyse des premier, deu-
xième, troisième, quatrième, cinquième,
sixième, septième, huitième discours, 488 ;
des neuvième, dixième, onzième, douzième
discours; des treizième, quatorzième, quin-
zième, seizième, dix-septième discours ; des
dix-huitième, dix-neuvième, vingtième,
vingt et unième, vingt-deuxième, vingt-troi-
sième , vingt-quatrième , vingt-cinquième,
vingt-sixième discours, 489; vingt-septième,
vingt-huitième, vingt-neuvième, trentième,
trente et unième, trente-deuxième, trente-
troisième, trente-quatrième, trente-cinquiè-
me discours, 490 ; des trente-sixième, trente-
septième, trente-huitième, trente-neuvième,
quarantième discours, 490 et 491 ; des qua-
rante et unième, quarante-deuxième, qua-
rante-troisième, quarante-quatrième, qua-
rante-cinquième discours, 491 ; des qua-
rante-sixième, quarante-septième, quarante-
huitième discours, 492 ; du quarante-neu-
vième discours, 492 et 493 ; des cinquan-
tième , cinquante et unième , cinquante-
deuxième , cinquantième-troisième, cin-
quante-quatrième, cinquante-cinquième dis-
cours, 493 et 494; cinquante-sixième, cin-
quante-septième, cinquante-huitième, cin-
quante-neuvième, soixantième discours ; des
soixante et unième, soixante-deuxième dis-
cours, 494; des soixante-troisième, soixante-
quatrième, soixante-cinquième, soixante-
sixième , soixante-septième , soixante-hui-
tième discours, 494 et 493 ; des soixante-
neuvième, soixante-dixième, soixante et on-
zième, soixante-douzième discours, 493; des
soixante -treizième, soixante -quatorzième,
soixante-quinzième , soixante-seizième dis-
cours, 493 et 496. Quinze sermons sur dif-
férents sujets. Premier et deuxième dis-
cours : Contemplation de la divine Provi-
dence, 496. Troisième discours : de la Jus-
tice et de la Miséricorde, 497. Quatrième
discours : Pourquoi Dieu exauce quelques
demandes et en rejette d'autres. Cinquième
discours : Dieu dispose tout pour le salut
des hommes. Sixième discours : Les délices
du ciel détournent de la béatitude céleste.
Septième discours ■: De l'inconstance de
l'esprit humain. Huitième discours : Qu'il
362 HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
faut réprimer les affections dépravées de
l'esprit, 497. Neavième discours : De la
garde des yeux. Dixième discours : De la
crainte de Dieu et de fa consommation du
siècle. Onzième discours : Du Jeûne, 498.
Douzième discours : De l'humilité et de
l'orgueil, 499. Treizième discours : Du pè-
lerinage. Quatorzième discours : Des soli-
taires et des anachorètes, 500. Quinzième
discours : De la réprimande, 300 et suiv.
Divers discours contenus dans le troisième
volume grec : De la pensée de la mort. Dis-
cours pour un frère défunt ou pour d'autres
défunts. Sermon sur la Pénitence, le Juge-
ment, la Séparation de l'âme et du corps.
Discours sur le second Avènement et sur le
Jugement. Autres discours sur le Jugemenl,
sur la Résurrection, 503 ; sur la Pénitence,
sur la Vie vaine et la Pénitence, 505 ; sur la
Pénitence et la componction ; sur la Péni-
tence, le Jugement et la fuite des femmes.
Discours sur les Vertus et sur les Passions ;
de l'Opération du démon pervers, 506 ; de
la Guerre contre les démons. Homélie sur
la femme pécheresse ; de l'Ame négligente ;
de la Pratique des bonnes œuvres et de la
patience de Dieu ; de la Direction de la ver-
tu; Comment on se convertit; Qu'un chré-
tien doit s'abstenir des divertissements,
507. Fragments du discours sur le mépris
du monde ; de la Conversion des frères
dans une mutuelle concorde et dilection ;
de la prière, 508. Discours sur la Correction
de soi-même ; du Combat spirituel. Discours
sur le Silence et le repos; Conseils sur la
vie spirituelle, 509. Discours ascétiques.
Discours adressé à ceux qui renoncent, 309
et 510. Instructions aux moines, 510. Dis-
cours sur les sept occupations du moine.
Prières, hymnes, paroles de saint Éphrem,
511. Pièces faussement attribuées à saint
Éphrem. Nécrosimes ou canons funèbres.
Division des canons funèbres, 312. Huit
premiers canons, sur les funérailles des
évêques, 512 et 513. Neuvième et dixième
canons, sur les funérailles des prêtres. On-
zième canon, sur les funérailles des prêtres
et des moines. Douzième et treizième ca-
nons sur les funérailles des prêtres et des
diacres, 513. Quatorzième, quinzième, sei-
zième et dix-septième canons, sur les funé-
railles des moines, 514. Dix-huitième canon
et suivants, sur les funérailles des clercs,
314 et 515. Vingt-huitième canon sur les
funérailles des princes et des riches, 315.
Vingt-neuvième canon, sur les funérailles
des étrangers. Trentième canon sur les fu-
nérailles d'un père de famille. Trente et
unième canon sur les funérailles d'une
mère de famille. Trente-deuxième et trente-
troisième canons, sur les funérailles des
femmes, 516. Trente-quatrième et trente-
cinquième canons, sur les funérailles des
jeunes gens, 317. Trente-sixième canon et
suivants, sur les funérailles des enfants,
517 et 318. Quarante-cinquième canon, sur
la mort d'un de ses frères, 318. Quarante-
sixième canon et suivants , canons com-
muns, 518 et suiv. Soixante-troisième et
soixante-quatrième canons, pour un temps
de peste, 319. Ouvrages de saint Éphrem
en arménien ; ouvrages de saint Éphrem
en syriaque. Traité contre Julien, 521.]
— Saint Éphrem alla voir saint Basile, IV,
361 . 11 paraît être celui que saint Basile cite
sous le nom d'un Syrien, 498. Son panégy-
rique par saint Grégoire de Nysse, VI, 213.
— Il avait composé des hymnes et des odes
contre les hérésies de son temps, I, 466, et
vm, 1.
ÉPHREM, d'abord comte d'Orient, puis
patriarche d'Antioche, XI, 171. [Il n'a point
le titre de saint, 171, note 1.] Sa hbéralité
envers les pauvres, 171. Ses écrits pour la
défense des dogmes de l'Église catholique.
Analyse de ces écrits par Photius, 171 et
suiv. Il condamne les erreurs d'Origène.
Mouvement occasionné par cela. 11 con-
damne les Trois Chapitres pour être conservé
dans son siège. Temps de sa mort, 175.
[Fragments des ouvrages d'Ephrem, comte
d'Orient, 171, note 6.] — Quelques-uns lui
attribuent un discours sur la transfiguration
de Jésus-Christ, VI, 40. — Témoignage
d'Ephrem d'Antioche sur saint Léon, X,
236. — Il subit l'épreuve du feu et convertit
un sévérien, XI, 701.
ÉPICARPE, prêtre de Bénévent, X, 210.
ÉPICTBTE, philosophe stoïcien. Sa pa-
tience, V, 302. (Dans la table du V vol. on
a mis sa paironie.) — Son Manuel attribué
à saint Nil, VIII, 211.
ÉPICTÈTE, évêque d'Assurés en Afrique.
Lettre de saint Cyprien à Epictète et à son
peuple, II, 317. •
ÉPICTÈTE, évêque de Coriuthe. Lettre
de saint Athanase à cet évêque, IV, 142, 143.
ÉPICTÈTE, chargé de porter au pape
saint Célestin la condamnation de Nestorius,
vm, 143.
369.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
363
EPICURIENS ; secte de philosophes com-
battus par Lactance, II, S03. — Ce qui en
est dit par saint Épiphane, VI, 383; — et
par Théodoret, X, 97.
ÉPIGONE , hérétique dont Noêt renou-
velle les erreurs, II, 554.
ÉPIGONE, évêque de Bulle-Royale, au
concile de Carihage, en 390, IV, 648 ; — et
à celui de 393, VII, 712.
ÉPIGRAMMES. Poëmes de saint Grégoire
de Nazianze sur différents sujets, V, 288 et
suiv. Épigrammes à Dieu contre les poëmes
de saint Grégoire de Nazianze, 295. Recueil
d'épigrammes de saint Grégoire de Nazianze
sur divers sujets, 302 et suiv. — Épigrammes
de saint Prosper, X, 291, 292, Autres, 312,
313. Éditions qu'on en a faites, 318, 319.
Épigrammes de saint Avit, évêque de Vienne,
567; de saint Ennode, évêque de Pavie, 576,
577. — [Épigrumme d'Alcuin pour un exem-
plaire de la Bible, XII, 173.] Épigrammes
de saint Théodore Studite, 308. [Épigrammes
de Cyprien, archiprêtre de Cordoue, 323.]
Épigrammes attribuées à Werembert, moine
de Saint-Gai, 694. — Épigrammes de Jean
de Mauropus, métropolitain d'Euchanie,
XIII, 229; de Jean le Géomètre, 232. Épi-
grammes rustiques d'Ecbert de Liège, 236.
ÉPILEPSIE. Règlement du pape saint Za-
charie touchant ceux qui sont attaqués de cette
maladie, XII, 33. — Lettre du pape Alexan-
dre II au sujet d'un prêtre épileptique, XIII,
292.
ÉPIMAQUE (Saint), martyr à Alexandrie,
11,402.
ÉPINAL, abbaye en Lorraine. Popon,
évêque de Mez, y établit la discipline ecclé-
siastique, XIII, 582.
ÉPIPHANE, sophiste païen, ami des Apol-
linaires, V, 86.
ÉPIPHANE (Saint), archevêque de Sala-
mine et docteur de l'Église, VI, 375 et suiv.
Histoire de sa vie. Sa naissance; sa patrie;
son éducation. Il fonde un monastère près
d'Eleuthérople, où il était né. Il est fait
prêtre vers l'an 364, 375. Il fait anathéraa-
tiser un hérétique nommé Pierre, 375 et
376. Il fait quelques voyages. Son zèle contre
les erreurs attribuées à Origène. Il est lui-
même accusé d'hérésie. Il est fait évêque de
Salamine, 376. Sa conduite dansTépiscopat.
Son zèle contre les hérésies, 377. Il va à
Rome, 377 et 378. Il va à Bethléem : il dé-
chire un rideau où était peinte une image,
378. Ses ditïicultés avec Jean do Jérusalem.
Il ordonne Paulinien, 378 et 379- H écrit à
Jean de Jérusalem touchant l'ordination de
Paulinien, 379. Il assemble un concile en
Chypre contre Origène et ses écrits, 379 et
380. Il va à Constantinople et refuse de
communiquer avec saint Jean Chrysostôme,
380. Il reçoit la visite des grands frères ; sa
mort, 380 et 381. Son éloge, 381. [Sa Vie
écrite par un de ses disciples, 381, note 4.]
Ses écrits, 381 et suiv. Panarium, ou traité
des hérésies, 381. En quel temps il a été
écrit, 381, 382. Pourquoi ce traité a été in-
titulé Panarium. Estime qu'on en a faite.
Analyse de ce traité, 382 et suiv. Une lettre
à Paul et à Acace y sert de préface, 382. Ce
que c'est que l'hérésie et quand elle a com-
mencé, 382 et 383. Secte des Stoïciens, des
Pythagoriciens et des Épicuriens. Secte des
Samaritains, 383. Quatre sectes chez les Sa-
maritains : les Esséniens, les Sabuens, les
Gorthéniens et les Dosithéens, 383 et 384.
Diverses sectes des Juifs : les Sadducéens,
les Scribes, les Pharisiens, le Hémérobap-
tistes, les Nazaréens, les Esséniens et les
Hérodiens, 334, 383. Sectes des Simoniens,
des Ménondriens, des Saturniliens, des Ba-
silidiens et des Nicolaïtes, 383 et suiv. Les
Gnostiques, les Cartopocratiens, les Cérin-
thiens, 387 et suiv. Les Nazaréens, les Ebio-
nites, les Valentiniens, les Sécondiens et les
Ptolémaïtes, 389 et suiv. Les Marcosiens,
les Colorbasiens , les Héracléonites , les
Ophites, les Caïnites et les Séthiens, 391,
392. Les Archontiques et les Cerdoniens,
392. Les Marcionites, les Lucianistes, les
Appelléens et les Sévériens, 392, 393. Les
Titianistes et les Encratites, 393, 394. Les
Phryges ou Montanistes, les Tascodrugites,
les Quintiliens, les Pépuzéniens, les Pris-
cilhens et les Astotyrites, 394, 393. Les
Quartodécimans, les Aloges, les Adamites
et les Sampséens, 393, 396. Les Théodo-
tiens, les Melchisédéciens, les Bardésanistes,
les Noétiens et les Valésiens, 396, 397. Les
Cathares ou Novatiens, les Donatistes, les
Angéhques et les Apostoliques, 396, 398. Les
Sabelliens, 398. Les Origénistes, 398 et suiv.
Crime d'idolâtrie imputé à tort à Origène,
400. Erreurs attribuées à Origène, 400 et
401. Paul de Samosate, 401, 402. Les Mani-
chéens, 402, 403. Les Hiéracites et les Mé-
léciens, 403, 404. Les Ariens, 404, 403. Les
Audiens, les Photiniens et les Marcelliens,
405, 406. Les Semi-Ariens, les Pneumato-
maques ou Macédoniens, 406, 407. Les Aé-
394.
V.400.
mi.
403.
374.
364
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
riens, 407 et suiv. Les Anoméens, 408, 409.
Les Dimœrites ou Apollinaristes, 409, 410.
Les Antidicomaréinites et les Gollyridiens,
410, 411. Les Messaliens, 411 et suiv. Fin
du traité des hérésies, S22. [Voyez les addi-
tions.] L'Anchorat, ou recueil des preuves
des dogmes de la foi, 414 et suiv. En quel
temps et à quelle occasion il a été écrit,
V. 37i. 414. Analyse de cet ouvrage, 414 et suiv.
Preuves de la divinité des personnes de la
Trinité, 413. Preuves de la résurrection
tirées de la fable. Preuves de la résurrec-
tion contre les hérétiques qui la niaient, 415.
Quel a été le but de saint Epiphane en écri-
vant son Anchorat, 413 et 416. [L'Anacépha-
léose ou récapitulation qui termine est rela-
392. tive au Panarium, 522.] Traité des Poids et
mesures, 416 et suiv. Analyse de ce traité,
416. Saint Epiphane y explique les marques
qui se voyaient dans les Bibles grecques.
416, 417. Il y donne l'histoire des six ver-
sions grecques de l'Écriture, 417 et suiv.;
il y explique les poids et mesures dont il est
parlé dans l'Écriture, 419, 420. Le Physio-
logue ou recueil des propriétés des animaux,
420. Traité des pierreries qui composaient
le Rational du grand prêtre, 420 et suiv. ;
quelle en fut l'occasion, 420, 421. Analyse
de ce traité, 421, 422. Lettres de saint Epi-
phane, l'une à Jean, évêque de Jérusalem,
l'autre à saint Jérôme, 422. Ouvrages de ce
saint docteur qui sont perdus, 422 et 423.
Ouvrages qui n'ont point encore paru, 423.
[Fragments de ces ouvrages pubUés depuis
dom Ceillier, 423.] Ouvrages faussement at-
tribués à saint Epiphane, 423 et 424. [Ce que
M. Villemain pense des homélies attribuées
à saint Epiphane, 423, note 14.]. Doctrine
de saint Epiphane, 424 et suiv. ; sur l'inspi-
ration des livres sacrés; sur la lecture de
l'Écriture sainte, 424; sur le canon et la di-
vision des livres de l'Ancien Testament, 424
et 425. Son sentiment sur l'authenticité des
livres du Nouveau Testament, 423, 426. Di-
verses remarques sur l'Ancien Testament,
Diverses remarques snr le Nouveau Testa-
ment, 426 et suiv. Doctrine sur la Tradition,
428, 429; sur la Trinité, 429; sur l'Incarna-
tion, 429 et 430; sur l'Éghse, 430 ; sur la
primauté de saint Pierre; sur la Circonci-
sion, 430; sur le Baptême, 430 et 431 ; sur
l'Eucharistie; sur la prière pour les morts,
431 ; sur la distinction des évêques et dos
prêtres; sur les ordres ecclésiastiques, 432;
sur saint Joseph, 432 et 433 ; sur la sainte
Vierge, 433 ; sur le célibat des clercs, 433
et 434 ; sur le vœu de virginité; sur le ma-
riage, 434; sur les assemblées et le jeûne
ecclésiastiques, 434 et 435; sur les dévo-
tions observées dans l'Église catholique,
433 ; sur les mœurs de l'Éghse catholique,
436. Jugement des écrits de saint Epiphane,
436 et 437. Éditions de ses ouvrages, 437,
438. [Autres éditions, 438.] — Les Consti-
tutions apostoliques citées par saint Epi-
phane ne sont pas celles que nous avons au-
jourd'hui, II, 589, 590. Idée qu'il donne du
schisme de Mélèce, 616, — Concile de Rome 38
auquel il assiste sous le pontificat de saint
Damase, IV, 638 et V, 383. — Lettre que
lui écrit saint Basile le Grand, IV, 481. —
Saint Epiphane trouve à redire au discours
de saint Mélèce à son peuple, V, 7. — Juge-
ment de Rufln sur saint Epiphane, VII, 438.
Divers sujets de division entre saint Epi-
phane et saint Jean de Jérusalem, 497 et
suiv. Lettre qu'il écrivit sur ce sujet au pape
saint Sirice, 499. .Lettre qu'il écrivit à Jean
de Jérusalem. Lettre de Théophile d'Alexan-
drie à saint Epiphane, 646. Lettre que lui
écrivit Théophile d'Alexandrie, 736. — Let-
tre que lui écrivit Grégoire, abbé en Pales-
tine, VIII, 2. Il est visité par Acace, depuis
évêque de Bérée, 238. — Ses commentaires
sur les Cantiques traduit en latin par Epi-
phane le Scholastique, XI, 102. — Réponse
à l'objeclion des Iconoclastes prise de la con-
duite de saint Epiphane, XII, 76.
EPIPHANE, à qui saint Grégoire de Na- iv si
zianze écrit, V, 264.
EPIPHANE , archidiacre d'Alexandrie.
Lettre qu'il écrit à IMaximien de Constanti-
nople. Vin, 383, 386.
EPIPHANE, diacre de Constantinople,
chargé de citer Eutychès, X, 671.
EPIPHANE, laïque, député au pape saint
Simplice par les défenseurs de la foi catho-
lique, X, 402. (C'est par erreur que dans la
table du X° volume on a confondu cet Epi-
phane avec Epiphane, diacre, et qu'on a mis
131.)
EPIPHANE (Saint), évêque de Pavie, vient
à la cour du roi de Bourgogne pour racheter
des captifs, X, 503 et 554. Sa Vie écrite par
saint Ennode, l'un de ses successeurs, 374.
Analyse de cette Vie, 574 et 573. Vers à sa
louange, 576.
EPIPHANE, élu évêque de Constantinople fl
après la mort de Jean de Cappadoce. Ses ™
lettres au pape saint Hormisdas. Sa mort. 5i9
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
363
Réception qu'il fit au pape saint Jean I" à
Constantinople, XI, M2. [Édition de ses
écrits dans la Patrologie. Sentence portée
par Épiphane et le concile de Constanti-
nople contre Sévère et Pierre : quarante-
cinq canons qui lui sont attribués, 112.] —
Témoignage avantageux que lui rend le lé-
gat Dioscore, X, 628. Lettre qu'il écrit au
pape. Conseils qu'il lui donne pour rendre
la paix générale, 629. Lettres que lui écrit
le pape : il le charge de terminer l'atTaire de
la réunion des Orientaux, 630.— Ses liaisons
avec saint André Salus ou l'Insensé, qui lui
prédit qu'il devait être patriarche de Cons-
tantinople, XII, 881, 882.
[ÉPIPHANE de Chypre : son Exposition
des préséances des patriarches et des mé-
tropolitains. Éditions de cet ouvrage, XI,
112.]
ÉPIPHANE LE SCHOLASTIQUE. Ce qu'on
sait de sa personne. A la prière de Cassio-
dore, il traduit en latin les Histoires ecclé-
siastiques de Socrate, de Sozomène et de
Théodoret, dont ensuite Cassiodore forme
un seul corps auquel il donne le nom d'His-
toire tripartite. Épiphane traduit aussi en
latin les Commentaires de Didyme sur les
Proverbes de Salomon et sur les septÉpîtres
canoniques et ceux de saint Épiphane sur
les Cantiques : nous n'avons plus ces traduc-
tions. Sa collection des épîlres synodales à
l'empereur Léon pour la défense du concile
de Chalcédoine, XI, 102. — Sa traduction
des Histoires de Socrate, de Sozomène et de
Théodoret, sous le nom d'Histoire tripartite,
VIII, S24.
ÉPIPHANE, évêque de Tyr. Lettre que
lui écrit Jean de Cappadoce, évêque de Cons-
tantinople, XI, 107. Il tient une assemblée
d'évêques, où l'anathème prononcé contre
Sévère est confirmé, S20, 521.
[ÉPIPHANE, diacre, à qui Licinien et Sé-
vère le Petit écrivent concernant les anges
et les âmes, XI, 429.]
ÉPIPHANE, moine, et prêtre de Jérusa-
lem. Sa description géographique de la Sy-
rie et de Jérusalem, XIII, 51. Dom Banduri
conjecture que ce fut lui qui, sous le nom
de Polyeucte, succéda àThéophylaote sur le
siège de Constantinople, [mais Mingarelli
montre qu'il s'est trompé.] Sa mort. On a de
lui une Vie de la sainte Vierge et une de
l'apôtre saint André. Hymne en l'honneur
de saint Démétrius et relatiou de ses mi-
racles, Xlil, 51. [Tillemont attaque la véra-
cité de la Vie de la sainte Vierge et celle de
l'apôtre saint André.] [Mingarelli a publié
quatre écrits d'Épiphane : 1° le Discours
sur la vie de la très-sainte Mère de Dieu
et sur ses années; 2° la Vie, les Actes et la
mort de saint André, le premier appelé des
apôtres; 3° la description de la Syrie, de
la Ville sainte et des Lieux saints; 4° Un
écrit sur la Religion chrétienne. Cet
opuscule est traduit en latin par Pierre de
Monte. Une notice historique de l'éditeur
précède ces écrits. Le tout est reproduit au
tome CXX de la Patrologie grecque. Minga-
relli prouve qu'Épiphane est mort en 1015.]
ÉPIPHANE, diacre de l'Église de Catane :
son discours en faveur du culte des images
prononcé au second concile général de Ni-
cée, XIII, 630. [Édition de ce discours dans
la Patrologie, 630.]
[ÉPIPHANE, savant évêque arménien. On
a de lui plusieurs ouvrages restés manus-
crits. V. Biographie universelle de Michaud.]
[ÉPIPHANIDE ou ÉPIPHANE, de la secte
des Décèles et des Manichéens, réfuté par
saint Nicéphore, patriarche de Constanti-
nople, XH, 296.]
EPIPHANIE. Témoignage de saint Gré-
goire de Nazianze sur cette fête, V, 327 et
suiv. — Témoignage de saint Jean Chrysos-
tôme, VH, 80 et 85. [Veille de l'épiphanie
prolongée, 208.] Opuscule laussement at-
tribué à saint Jean Chrysostôme sur l'Epi-
phanie et le baptême de Jésus-Christ, 312,
Canon de Théophile d'Alexandrie pour la
vigile de cette fête, 443. Discours faussement
attribuéà saint Jérôme sur l'Epiphanie, 647.
— Homélie de saint Procle de Constanti-
nople sur ce sujet, VIll, 412. — Sermon de
saint Augustin sur ce sujet, IX, 239. Sermon
douteux de saint Augustin sur ce sujet, 243.
[Autres sermons de saiut Augustin sur ce
sujet, 836. Sermons sur ce sujet faussement
attribués à saint Augustin, 836 et 841.] —
Huit sermons du pape saint Léon sur l'Epi-
phanie, X, 184. Les églises de Sicile don-
naient le baptême solennel à la fête de l'Epi-
phanie : le pape saint Léon leur interdit cet
usage, 209. Homélies de saint Maxime de
Turin sur l'Epiphanie, 320 et 326. Témoi-
gnage de saint Loup de Troyes sur la veille
de l'Epiphanie, 357. Homélie sur l'Epiphanie
prêchée à Constantinople par Érecthe, 406.
Homélie de saint Jacques de Batna sur la
fête de l'Epiphanie, 641. — Sermon de saint
Fulgence de Ruspe sur l'Epiphanie, XI, 75,
VII siècle.
IV
ou V siècle.
1
366
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
[II est édité par Ang. Maï, 75.] Discours de
saint Gésaire d'Arles pour cette fête, 134.
Homélie sur l'Epiphanie attribuée à Sédatus,
évéque de Béziers, 324. — Vers pour la fête
de l'Epiphanie attribués à saint Jean Da-
mascène, XII, 85. Hymne de Raban Maur
pour la fête de l'Epiphanie, 459. Hymne de
Tutilon, moine de Saint-Gai, 704. [Sermon
d'Atton, évêque de Verceil, sur ce sujet,
826.] — Sermon de Bernon, abbé de Rei-
chenau, sur l'Epiphanie, XIII, 127. Sermon
de saint Odilon, abbé de Cluny, 155. Ser-
mon de saint Pierre Damien^ 308. [Sermon
de saint Brunon de Segni sur l'Epiphanie,
500.] Homéhe de Gnaifer, 496. — Sermon
d'Yves de Chartres, XIV, 122. Trois ser-
mons du Vénérable Hildebert. Sermon du
même pour le troisième dimanche qui suit
cette fête, 214. Poëme de Marbode sur l'Epi-
phanie, 228. Sermon d'Abaillard pour cette
fête, 331. Plusieurs sermons de saiiat Ber-
nard sur cette fête et l'octave, 484. [Sermon
d'Odon, chanoine de Sainte-Geneviève, sur
cetle fête, 712. Cinq sermons d'Absalon,
abbé de Springkissbach, sur le jour de l'Epi-
phanie, 877.] Sermons de Guillaume d'Au-
vergne sur l'Epiphanie, 1027.
U siècle. ÉPIPODE (Saint), martyr de Lyon, 1, 472.
Éditions et traductions de ses actes, 472.]
— Homéhe de saint Encher de Lyon en son
honneur, VIII, 452.
ÉPIRE, province de la Grèce. Lettre du
pape saint Hormisdas aux évoques de l'an-
cienne Épire, X, 616. — Lettre du pape Ho-
norius aux évêques d'Épire, XI, 648.
ÉPISCOPAT. Doctrine d'Origène, II, 231 ;
de saint Cyprien, 359. Canon apostohque,
587. — Épiscopat vénal chez les Méléciens,
IV, 220. — Doctrine de saint Jean Chrysos-
tôme sur l'épiscopat, VU, 36, 39, 41, 262,
263 ; de saint Jérôme, 680. — Doctrine du
pape Célestin, VIII, 130. Dangers et devoirs
de l'épiscopat représentés dans une lettre
de saint Isidore de Péluse, 483. — Témoi-
gnage et doctrine de saint Augustin, IX,
783, 784. — Doctrine de saint Léon le
Grand, X, 205, 261, 262. Voyez Évêques.
ÉPISTOLAIRE (Livre). Dialogue de Gé-
roch, de Reichersperg, sous ce titre, XIV, 631 .
ÉPITRES et ÉVANGILES. Sermons de
l'abbé Smarugde sur les épîtres et les évan-
giles de toute l'année, XII, 256, — Discours
du cardinal Jacques de Vitry sur les épîtres
et les évangiles de l'année, XIII, 538. Homé-
lies de Raoul Ardent sur les épîtres et les
évangiles des dimanches et des fêtes de l'an-
née. Difiérentes éditions et traductions qu'on
en a faites, 579. Ce qu'elles contiennent de
remarquable, 579 et suiv.
ÉPITRES DES APOTRES. Écrits des Pères
qu'il faut consulter sur les épîtres des apô-
tres indiqués par Cassiodore, XI, 229, 230.
Commentaire de Cassiodore sur ces épîtres,
retrouvé par le marquis Mafïéi et imprimé
par ses soins, 242 et 254. — Ordre selon le-
quel les Grecs hsent les épîtres des apôtres,
XIII, 135, 136. (Voyez les articles suivants.)
ÉPITRES (les quatorze) de saint Paul, sa-
voir : aux Romains, aux Corinthiens, I et II;
aux Galates, aux Éphésiens, aux Philippiens,
aux Colossiens, aux Thessalouiciens, I et II ;
à Timothée, I et II; à Tite, à Philémon et
aux Hébreux. (Voyez sur chacune d'elles les
articles suivants Nous rassemblerons dans
celui-ci ce qui est commun à toutes ou à plu-
sieurs.) Caractères de ces épîtres, 1, 220.
[Preuves de leur authenticité, 220, note 5.]
Leur ordre chronologique, 220, 221. — Com-
mentaires d'Oi'igèue sur l'épître aux Romains,
IL 167. Autres ouvrages d'Origène sur les
épîtres de saint Paul, 168. — Commentaires
sur les épîtres de saint Paul à Timothée et
aux Romains, ouvrages attribués à saint Hi-
laire de Poitiers, IV, 65. [Voyez 63, note 13.]
11 n'est pas certain que saint Athanase ait
écrit sur les épîtres de saint Paul, 174. Com-
mentaires de Victorin sur les épîtres de saint
Paul, 329. [Ses commentaires sur l'épître
aux Galates, sur celle aux Philippiens, sur
celle aux Galates, publiés par Angélo Maï,
329. Ce qu'ils contiennent d'important, 329
et 330. Victorin avait commenté la deuxième
épître aux Corinthiens, 329, 334.] — Com-
mentaires sur ces épîtres, ouvrage fausse-
ment attribué à saint Ambroise, V, 510. —
[Prologue et canons de Priscillien l'hérétique
sur les épîtres de saint Paul, VI, 266. Les
commentaires de saint Éphrem sur qua-
torze épîtres de saint Paul, 521.] — Trente-
deux ou trente-trois homélies de saint Jean
Chrysostôme sur l'épître aux Romains, VU,
268 et suiv. Quaraute-quatre homélies du
même saint docteur sur la première épître de
saint Paulaux Corinthiens, 288 etsuiv. Trente
homélies du même Père sur la seconde épî-
tre de saint Paul aux Corinthiens, 304et suiv.
Commentaire du même sur l'épître de saint
Paul aux Galates, 311, 312. Vingt-quatre ho-
mélies du môme sur l'épître aux Éphésiens,
313 et suiv. Quinze ou seize homélies du
TABLE GENERALE DES MATIÈRES.
o67
même sur l'épîlre aux Pliilippiens, 319 et
suiv. Douze homélies du même sur l'épître
aux Colossiens, 323 et suiv. Onze homélies
du même sur la première épltre aux Thes-
saloniciens, et cinq sur la seconde, 326 et
suiv. Dis-huit homélies du même sur la pre-
mière épître à Timothée et dix sur la se-
conde, 329 et suiv. Autres homélies du même
sur quelques paroles de ces deux épîtres, 58,
59 et 201, 202. Six homélies du même sur
répitre à ïite, 333 et suiv. Trois homélies
du même sur l'épître à Philémon, 334, 335.
Trente-quatre homélies du même sur l'épître
aux Hébreux^ 335 et suiv. [Fragments des
commentaires de Sévéï-ien de Gabalessurles
épîtres de saint Paul, 208.] Lettre de saint
Jérôme à Minerve et à Alexandre, moines,
sur quelques endroits diflSciles des épîtres
de saint Paul, 577, 578. Commentaire de
saint Jérôme sur l'épître aux Galates, S78,
795 ; sur l'épître aux Éphésiens, 579; sur les
épîtres à Tite et à Philémon, 579 et 580.
Commentaire sur ces épîlres, faussement
attribué à saint Jérôme, et qui peut être de
Pelage, 649. — Recueil de commentaires sur
toutes les épîtres de saint Paul, ouvrage at-
tribué à Sédulius, VIII, 109. [Les commen-
taires sur les épîtres aux Galates et aux
Épbésiens, publiés sous le nom de saint Hi-
laire par D. Pitra, sont l'œuvre de Théodore
de Mopsueste, 622 et suiv.] — Question
sur l'épître de saint Paul aux Romains, ou-
vrage de saiutAuguslin.Explication de cette
épître, ouvrage du même Père. Explication
de l'épître aux Galates, ouvrage du même, IX,
228. Sermons de saint Augustin sur divers
passages des épîtres de saint Paul, 237. Doc-
trine de saint Augustin sur quelques passa-
ges de saint Paul touchant la grâce, 650,
651, 652, 724,725. — Commentaire deThéo-
doret sur les épîlres de saint Paul, X, 41, 42.
Ses lettres à ce sujet, 64. Commentaire de
Gennade, patriarche de Constantinopre, sur
toutes les épîtres de saint Paul; ce commen-
taire est perdu, 345. — Commentaire sur ces
épîtres attribué faussement à saint Rémi,
évêque de Reims; il paraît être de Rémi,
moine d'Auxerre, XI, 84. Commentaire de
Primase, évêque d'Adrumet, sur les épîtres
de saint Paul, 283. Combien le pape saint
Grégoire le Grand compte d'épîtres de saint
Paul, 552, [Commentaires de Luculentius sur
les épîtres de saint Paul, 633.] Homéhes
d'Arbogaste, évêque de Strasbourg, en forme
de commentaire sur les épîtres de saint Paul,
781. — Commentaire du Vénérable Bèdesur
ces épîtres, XII, 10. Commentaires de saint
Jean Damascène sur les épîtres de saint
Paul, 85, 86. Commentaires d'Alcuin sur
quelques-unes de ces épîtres, 171. [Froben
les a publiés, 172.] Commentaire sur ces épî-
tres, attribué à saint Benoît d'Aniane, 262.
Commentaire de Claude de Turin sur ces
épîtres, 351, 352. [Le cardinal Maï a puMié
la préface sur les commentaires des épîtres
de saint Paul ; il a publié aussi le commen-
taire sur l'épître à Philémon, 351, note 5.
Les commentaires de Claude existent manus-
crits , 351.] Commentaire de Sédulius le
Jeune sur toutes les épîtres de saint Paul,
357, 358. Commentaire sur ces épîtres, attri-
bué à Haimon d'Halberstadt, 435. Commen-
taire de Raban Maur sur ces épîtres, 452.
Commentaire de Florus, diacre de Lyon, sur
ces épîtres, 482, 483. On l'a attribué au Vé-
nérable Bède, mais il était véritablement de
Florus; il n'est point imprimé, 483. Com-
mentaire de Rémi d'Auxerre sur les épîtres
de saint Paul, faussement attribué à saint
Rémi, archevêque de Reims, 619. [Commen-
taires d'Alton, évêque de Verceil, sur les
épîtres de saint Paul, publiés par Buronzo,
826. J Commentaires d'QEcuménus sur ces
épîtres, 913, 914. — Scholies marginales et
interlinéaires de Marianus Schotus sur ces
épîlres, XIII, 401. Commentaire de Lan-
franc, archevêque de Cantorbéry, sur ces
épîtres ; celui qu'on a imprimé sous son nom
n'est pas de lui, 443. CommentaTres sur ces
épîlres attribués à Gilbert, moine de Saint-
Amand; ils sont encore manuscrits, 487.
Commentaires de Théophylacte, archevêque
d'Acride, sur ces épîtres; difTérenles épîtres
et traductions qu'on en a faites, 556. Com-
mentaires sur ces épîtres, attribués à Nicé-
tas d'Héraclée, 558. Commentaires de saint
Bruno, instituteur des Chartreux, sur ces
épîtres, 577. Commentaires de Magenold,
prévôt de Marbach, sur ces épîtres, 583. —
Commentaire sur ces épîtres, attribué à Eu-
thymius Zigabène, XIV, 155. Commentaire
sur ces épîtres, attribué à Anselme de Laon,
183. Commentaire de Gilbert de la Porée sur
ces épîtres , 343. Commentaire d'Hervé ,
moine bénédictin du bourg de Dol, sur ces
épîtres, 403. Commentaires de Pierre Lom-
bard sur les épîtres de saint Paul, 567. Com-
mentaire de Jean de Sarisbery sur les épî-
tres de saint Paul, 679. Commentaire sur ces
épîtres par Pierre Comestor, 746. Explication
368
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
58.
56.
57.
65.
304
Jusqu'à 406.
de ces épîlres par Guillaume d'Auvergne,
évêque de Paris, 1025.
ÉPITREDE SAINT PAUL AUX ROMAINS.
L'apôtre l'a écrite de Corinthe; obscurité de
cette épître; elle est écrite en grec, I, 221.
Occasion et sujet de cette épître, 221 et 222.
— Gommentaii'es d'Origène sur l'épître aux
Romains, II, 167. — Leltre à Héracle ou
pi'éface descommentaires d'Origène sur cette
épître; cette préface, faussement attribuée
à saint Jérôme, est deRufiu, VII, 646. —Ex-
plication de saint Cyrille d'Alexandrie, VIII,
352, 353.] — Le commentaire sur cette épître,
attribué à Théodale dans la Bibliothèque des
Pères, est d'un auteur qui n'a vécu que plu-
sieurs siècles après lui, X, 470. [Fragment du
commentaire de Photius sur l'épître auxRo-
mainSjXII, 973.] —Commentaire d'Abaillard
sur cette épître, XIV, 330, 331 et 341. Com-
mentaire de Guillaume , abbé de Saint-
Thierry, 390.
Épître (première) de saint paul
AUX corinthiens. Occasion et sujet de
cette épître, l, 222, 223. Temps auquel elle a
été écrite ; son authen ticité, 223. — [Commen-
taire de saint Cyrille d'Alexandrie, VIII, 353.]
ÉPIÏRE (DEUXIÈME) DE SAINT PAUL
AUX CORINTHIENS. Occasion et sujet de
cette épître, I, 223, 224. En quel temps elle
a été écrite, 224. — [Commentaire de saint
Cyrille d'Alexandrie, VIII, 354. — Fragments
du commentaire de Photius sur cette épître,
XII, 973. — Saint Éphrem admettait une
troisième ël^ître aux Corinthiens sur laquelle
il a fait un commentaire, VI, 521.]
ÉPÎTRE DE SAINT PAUL AUX GALATES.
Quelle fut l'occasion de cette épître, 1,224,
229. [Leschifires dansla nouvelle édition, pre-
mier tirage, sont fautifs, de 224 on passe à
229.] Ce qu'elle contient; saint Paul l'a écrite
de sa propre main; en quel temps il l'a écrite,
229. [Commentaire sur l'épître aux Romains,
ouvrage perdu desaintHilaire de Poitiers, IV,
65, n. 13. — Commentaire de Didyme l'Aveu-
gle, publié en grande partie parMaï, V, 621,
622.] — Commentaire de saint Jérôme sur
cette épître, VII, 578, 579. Lettre de saint
Augustin à saint Jérôme et de saint Jérôme
à saint Augustin sur un endroit de cette épî-
tre, 626 et suiv. — [Fragments du commen-
taire de saint Cyrille d'Alexandrie, VIII, 354.
— Commentaire de Claude de Turin sur l'é-
pître aux Galates, XII, 352.
EPITRE DE SAINT PAUL AUX ÉPHB-
SIENS. En quel temps cette épître a été écrite,
1, 229, 230. [Elle est écrite aux Éphésiens et
non aux Laodicéens ; son authenticité, 230,
note 9.] Analyse de ce qu'elle contient, 230,
231. Commentaire de saint Jérôme, VII, 579.
ÉPÎTRE DE SAINT PAUL AUX PHILIP-
PIENS. Occasion et sujet de cette épître, I,
231 . En quel temps elle a été écrite, 231 et232.
épître DE SAINT PAUL AUX COLOS-
SIENS. En quel temps elle a été écrite ;
quelle en fut l'occasion, I, 232. Analyse de
cette épître; ce qu'il faut penser de la lettre
des Laodicéens dont il est parlé dans cette
épître, 233. Les Colossiens auxquels cette
lettre est adressée sont ceux de Phrygie et
non les Rhodiens, 233 et 234. [Fragments du
commentaire de saint Cyrille d^Alexandrie,
VIII, 354.] — Commentaire particulier de
Jean de Sarisbéry sur cette épître, XIV, 679.
ÉPÎTRE (PREMIÈRE) DE SAINT PAUL
AUX THESSALONICIENS. En quel temps
elle a été écrite; occasion et sujet de cette
épître, I, 234.
épître (DEUXIÈME) DE SAINT PAUL
AUX THESSALONICIENS. Elle a été écrile
la même année que la première ; occasion et
sujet de cette épître, I, 234.
Épître (première) de saint paul a
TIMOTHÉE. En quel temps elle a été écrite ;
quelle en a été l'occasion, I, 234, 253. Ana-
lyse de cette épître; ce qu'il faut penser des
inscriptions qui se lisent aujourd'hui dans le
texte grec de cette épître, 235.
épître (DEUXIÈME) DE SAINT PAUL A
TIMOTHÉE. En quel temps elle a été écrite
et ce qu'elle contient, 1, 233, 236.
ÉPÎTRE DE SAINT PAUL A TITE. Occa-
sion de cette épître, I, 236. Temps auquel
elle a été écrite et ce qu'elle contient, 236 et
237. — [Commentaire d'Alcuin, XH, 172.]
épître DE SAINT PAUL A PHILÉMON.
Occasion etsujetdecette épître; en quel temps
elle a été écrite, I, 237. — [Commentaire d'Al-
cuin Sur cette épître, XII, 172. Commentaire
de Claude de Turin, 351, note 5.]
ÉPÎTRE DE SAINT PAUL AUX HÉBREUX.
Difficultés sur l'au leur et lacanonicité de cette
épître, I, 237, 238. Les Pères grecs l'ont tous
reçue comme canonique, quoique la plupart
ne l'attribuent pas à saint Paul. Un grand
nombre de Pères latins l'ont citée sous le nom
de saint Paul et l'ont reconnue pour canoni-
que. Dès le temps des apôtres, l'Église ro-
maine la recevait comme de saint Paul ou
du moins comme canonique. Saint Pierre
dit que l'apôtre saint Paul a écrit aux
52.
52.
64
63 ouf
62.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
369
Hébreux ; cette épître porte certains carac-
tères qui prouvent que saint Paul en est au-
teur; s'il y a quelque difiereuce de style, elle
vient de la matière, I, 238 et suiv. En quel
temps et en quelle langue elle a été écrite ;
pourquoi saint Paul n'y a pas mis son nom;
occasion de cette épître ; analyse de ce
qu'elle contient, 240. — Elle est citée sous
le nom de cet apôtre par saint Méthode, III,
68 ; — par saint Hilaire de Poitiers, IV, 67 ;
par saint Athanase, 189; par saint Basile,
262. — Témoignage de saint Philastre, V,
173. Saint Grégoire de Naziauze témoigne
que ceux qui la rejettent sont dans l'erreur,
308. — Saint Éphrem l'attribue à saint Paul,
VI, 51. — Témoignage de saint Augustin,
IX, 572. — [Fragment ducommentaire d'Eu-
sèbe de Césarée sur cette épître, III, 256.] —
Commentaire de saint Cyrille d'Alexandrie
sur cette épître, VllI, 324 [et 354]. — Com-
mentaire d'Hésychius sur cette épître, XI,
667. — [Fi'agments du commentaire de Pho-
tius sur cette épître, XII, 973.]
ÉPURES (les sept) catholiques, savoir :
de saint Jacques, de saint Pierre, I et 11; de
saint Jean, I, II et III, et de saint Jude. Saint
Grégoire de Nazianze les met dans le canon
des livres sacrés, V, 308. — Elles sont re-
connues par saint Augustin, IX, 572, 573. —
Sentiment de Cosme d'Egypte sur ces épî-
tres, XI, 189. — Commentaires sur les épî-
tres de saint Pierre et de saint Jean, ouvrage
faussement attribué à Clément d'Alexandrie,
I, 588. — [Exphcation des épîtres canoni-
ques, ouvrage perdu de saint Hilaire de Poi-
tiers, IV, 65, n. 13.] — Commentaires sur
les épîtres canoniques, faussement attribués
à Didyme l'Aveugle, V, 614. — Les Syriens
ne recevaient que celle de saint Jacques, la
première de saint Pierre et la première de
saint Jean, Vil, 203. Sept livres sur ces épî-
tres attribués à saint Jérôme, 630. — Trai-
tés ou homélies de saint Augustin sur la pre-
mière épître de saint Jean, IX, 220 et suiv.
Sermons du même sur diverses paroles des
épîtres de saint Jacques et de saint Jean,
237. — Commentaires du Vénérable Bède
sur les sept épîtres canoniques, XII, 9. [Let-
tre du Vénérable Bède sur les épîtres cano-
niques, 33.] Commentaire sur ces épîtres,
attribué à Haimon d'Halberstat, 433, 436.
Commentaires d'Œlcumenius sur les sept
épîtres catholiques, 913, 914. [Fragments de
ces commentaires, 914.] — Commentaires de
Théophylacte d'Acride sur ces épîtres, XIII,
TAB. I.
68
ou environ
556. Commentaires sur plusieurs de ces épî-
tres, attribués à Nicétas d'Héraclée, 358. —
Commentaire d'Euthymius Zigabène sur ces
épîtres, XIV, 133. Explication de ces épîtres
par Guillaume d'Auvergne, 1025. [J. A. Cra-
mer a publié en 1844 àOxfort, un volume de
chaînes des Pères grecs sur les épîtres ca-
noniques avec les commentaires d'QEcu-
méniuset d'Aréthas sur l'Apocalypse.] (Voy.
les articles suivants.)
ÉPÎTRE DE SAINT JACQUES. Pourquoi
elle est appelée catholique et canonique, I,
240. Saint Jacques en est l'auteur ; elle est
canonique, 240 et 241. C'est saint Jacques,
fils d'Alphée, qui en est l'auteur, et non pas
saint Jacques, fils de Zébédée, 241, 242.
Analyse de cette épître, 242, — Elle est ci-
tée par saint Basile, IV, 497.
ÉPÎTRE DE SAINT PIERRE. Elle fut écrite
de Rome ; en quel temps il l'écrivit. Analyse
de cette épître, 1, 247. Elle fut écrite en grec,
247 et 248. Caractère de cette épître, 248.
ÉPÎTRE (DEUXIÈME) DE SAINT PIERRE.
Elle fut écrite de Rome comme la première ; es
en quel temps ; elle est de saint Pierre, 248.
Elle est canonique, 248 et 249. Analyse de
cette épître, 249. Elle est citée par saint
Basile, IV, 497. ■ — [Commentaire de Lucu-
lentius sur la première épître de saint Pierre,
XI, 633.]
Épîtres de saint JEAN. En quel temps
elles furent écrites ; occasion et sujet de la
première, 1, 230. On a souvent contesté à
saint Jean les deux autres ; mais depuis la
fin du iv° siècle les Pères et les Conciles s'ac-
cordent à les recevoir comme de lui, et elles
ne contiennent rien qui ne lui convienne,
230 et 231. Analyse de la seconde, 231, 232.
Analyse de la troisième. Saint Jean n'a mis
son nom à aucune de ses épîtres, 232. Diffi-
culté sur le verset 7 du chapitre v de la pre-
mière épître de saint Jean, 252 et 233. Au-
thenticité de ce verset; il se trouve dans les
plus anciens exemplaires ; il est cité par les
plus anciens Pères; il peut avoir été omis
par la négligence des copistes ou supprimé
par la malignité des hérétiques, 233, 254.
Épître de saint jude. Eh quel temps Après 65
elle a été écrite, I, 255. Analyse de cette
épître, 253 et 236. Sa canonicité, 256.
Épîtres faussement attribuées aux apô-
tres, I, 279 et suiv.
Épître attribuée à saint Barnabe, apôtre, j 3^^^,^
1, 281 et suiv. Éditions de cette épître, 284
[et 283, note 3. Tischendorf a découvert le
24
370
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
I siècle
H siècle.
Il siècle.
1C6.
Il siècle.
III siècle.
IV siècle.
397.
texte grec complet dans ua manuscrit du
Sinaï. Ce manuscrit a été reproduit par
Dressel, avec des variantes dans les Patres
apostolici, edit. secunda, Leipsik, 1863. L'au-
thenticité de celte épître est admise par
Alzog dans son Manuel de Patrologie,]
ÉPITRES DE SAINT CLÉMENT, pape, I,
340 et suiv.
ÉPITRE DE SAINT IGNACE, I, 363 et suiv.
ÉPITRE DE SAINT POLYGARPE AUX
PHILIPPIENS, L 393 et suiv.
ÉPITRE de l'Église de Smyrne touchant
le martyre de saint Polycarpe ; quelle fut
l'occasion de cette leltre ; à qui elle fut
adressée; en quel temps elle fut écrite, I,
406. Ce qu'elle contient de remarquable, 406
et 407. Jugement de cette lettre, 407. Édi-
tions qui en ont été faites, 407, 408.
ÉPITRE DE SAINT JUSTIN à Diognète, I,
428 et suiv.
ÉPITRE CANONIQUE de saint Grégoire
Thaumaturge, II, 444 et suiv.
ÉPITRES CANONIQUES de saint Basile le
Grand : première, IV, 438 et suiv.; seconde,
463 et suiv.; troisième, 472 et suiv.
ÉPITRE CANONIQUE de saint Grégoire de
Nysse adressée à Létoius, évêque de Méli-
tine, VI, 153 et suiv.
ÉPITRES CANONIQUES des Pères grecs.
Commentaires de Zonare sur ces épîtres,
XIV, 137.
ÉPITRES DÉCRÉTALES. Voyez Décré-
tales.
ÉPITRES SYNODALES écrites à l'empe-
reur Léon pour la défense du concile de
Chalcédoine , recueillies par Épiphane le
scholastique, XI, 402.
ÉPITRE DE MANICHÉE, intitulée Du fon-
dement ; livre de saint Augustin contre cette
épître, IX, 338,
ÉPREUVES. Épreuve du feu rapportée
par Rufln d'Aquilée, VII, 474. — Saint Gré-
goire de Tours fait mention de l'épreuve du
feu, XI, 374. Épreuve du feu acceptée par
Éphrem, patriarche d'Antioche , 704. —
Epreuves du feu et de l'eau, et autres appe-
lées Jugements de Dieu; prières à ce sujet,
XII, 186. Traité d'Agobard contre ces supers-
titions, 373. Témoignages de Raban Maur,
468,469. Hincmar de Reims prend la défense
de ces épreuves, 468. Thietberge prouve son
innocence par l'épreuve de l'eau bouillante,
574. Gothescalc s'offre de s'exposer à l'é-
preuve de l'huile bouillante, 394. Hincmar
de Reims prend la défense de ces épreuves,
662. Traité de l'épreuve de l'eau froide par
Hincmar de Reims, 678, 679. — Épreuve du
fer chaud pour découvrir un crime, XIII, 53,
507, 508; pour prouver la vérité de la reli-
gion chrétienne, 63 ; assurer la vérité d'une
relique, 533. Épreuve de l'eau chaude pour
un cas semblable, 525, L'épreuve de l'eau
chaude était encore en usage en Flandre à
la fin du xi" siècle, 596. Cérémonies qui
s'observaient à l'épreuve de l'eau froide ;
cette épreuve est défendue par un concile de
Worms, 666. Épreuve par le feu ordonnée
dans un concile de Tours, 745. Comment les 928.
épreuves par l'eau ou par le feu se faisaient
en Angleterre suviant les canons du concile
de Gratelean, 745 et 746. — Épreuves du fer
chaud et autres condamtiées par Yves de
Chartres, XIV, 108, 114, 116, 117, 120. Mani.
chéens éprouvés par le jugement de l'eau
exorcisée, 200. Témoignage deRobert PuUus,
suries épreuves du feu et de l'eau chaude,
396. Exorcismes qui précédaient l'épreuve
du feu, 313. Épreuve du fer chaud ordonnée
par un concile de Mayence, 1041. Voy. Eau.
ÉPREUVES MONASTIQUES. Lettre de
Théodore Balsamon sur ce sujet, XIV, 828.
Lettre du pape Innocent III, 966.
EPTENACH, abbaye au diocèse de Trêves.
Chronique de cette abbaye composée par
Adelhaire ; elle n'a pas été imprimée, XII,
883.
ÉQUICE, évêque d'Hippozarrhites, déposé v. 54t
pour ses crimes, VIII, 538 et 341.
ÉQUICE, évêque à qui le pape saint Sim-
plice écrit, X, 402,
ÉQUICE, père de saint Maur, disciple de
saint Benoit, XI, 137.
ÉQUICE (Saint), père de plusieurs monas-
tères dans l'Abrazze, Sa Vie et ses miracles
dans les Dialogues de saint Grégoire le
Grand, XI, 473, 474.
ÉQUILIBRE de Julien le Pélagien, IX,
552.
ÉQUINOXE. Lettre du Vénérable Bède sur
l'équinoxe du printemps suivant le calcul
d'Anatolius, XII, 5. — Traité des solstices et
deséquinoxes par Pandulfe, moine du Mont-
Cassin, Xin, 493.
ÉQUIVOQUE. Y a-t-il de l'équivoque dans
les paroles de Judith? I, 101. — Les équi-
voques sont condamnées par Tertullien,
n, 73.
ÉRAGLE ouÉVÉRAGLE, évêque de Liège, 959.
succède à Baldric. Temps de sa mort. Ses 97i.
Lettres à Rathérius, évêque de Vérone. Re-
i
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
371
lation d'une guérison miraculeuse opérée
sur lui-même par l'intercession de saint
Martin, XII, 844. — Notger lui succède,
XIII, 39. — [Sa Vie, par Régnier, moine de
Saint-Laurent de Liège, XIV, 796.] (Voyez
ce qui est dit de lui dans l'Histoire littéraire
de la FroMCe, t. VI, p. 333 et suiv.)
ÉRACLIUS. Voyez Héraclius.
V siècle. ÉRACLIUS, prêtre d'Hippone, désigné
pour succéder à saint Augustin, IX, 20 et
174. Ses discours, 243.
ÉRAJN'ISTE, titre que Théodoret a donné
à un de ses ouvrages. Ce que signifie ce
«7. titre, X, 79. A quelle occasion et en quel
temps cet ouvrage a été composé, 79 et 80.
Il est divisé en trois dialogues : analyse de
ces dialogues, 80 et suiv.
ÉRARD , moine bénédictin , auteur de
quelques ouvrages perdus. (Voyez du Pin.)
ÉRASISTRATE, évéque de Gorinthe, re-
fuse de se soumettre à l'évêque de TLtessa-
lonique, X, 206. '
ÉRASME (Didier), savant célèbre. Son
édition des œuvres de saint Irénée, I, S30 ;
— de celles dOrigène, II, 2oo ; de celles de
saint Gyprien, 382. Ses Scholies sur le livre
de LacLance intitulé : De l'Ouvrage de Dieu,
S20. — Son édition des œuvres de saint
Hilaire de Poitiers, IV, 88 ; de celles de
saint Basile, archevêque de Césarée, 545.
Érasme rejette le Commentaire de saint
Basile sur Isaïe, 376 ; et une grande partie
du livre de ce saint docteur sur le Saint-
Esprit, 419. Son édition des œuvres de saint
Athanase, 230 ; — de celles de saint Am-
broise, V, S83. — Sa version de quelques
opuscules de saint Jean Chrysostôme, VII,
436. Préface de cet auteur sur les ouvrages
de saint Jérôme, 648. Son édition ties œu-
vres de saint Jérôme, 708, 709 ; — de celles
de saint Augustin, IX, 813; — du livre de
Gennade, des Écrivains ecclésiastiques, X,
601. — Son jugement sur l'écrit d'Alger,
scholastique de Liège, touchant l'Eucha-
ristie, XIV, 384.
ERCANRAD. Voyez Erchanrad,
ERCHAMBALD ou ERGAMBALD, abbé
de Saint-Trulpert, auteur de quelques écrits.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de lu France, t. V, p. 223 et suiv.)
ERCHAMBALD , évêque de Strasbourg.
V. Erkembald.
835 ERCHAMBERT, évêque de Frisingue,
succède à Hitton son oncle. Ouvrages qui
nous restent de lui, XII, 440. [Fragment de
853.
868.
887.
XI siècle.
HiS.
V siècle.
son Histoire des rois de France et des maires
du palais, 440.] (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. V, p. 128
et suiv.)
ERCHANRAD, évêque de Paris. Sa mort;
Énée lui succède, XII, 600.
ERCHANRAD, évêque de Chàlons-sur-
Marne. Sa mort; Willebert lui succède,
XHI, 700.
EftCHEMPERT, moine du Mont-Cassin.
Son illustre naissance. A quelle occasion il
se fît moine. Il est député au pape Etienne,
pour l'engager à obliger Alhenulfe de ren-
dre ce qu'il avait pris au Mont-Cassin. On
ignore le temps de sa mort, XII, 779. Sa
Chronique ou Histoire des Lombards, 779
et 780. Ses autres écrits ; ils n'ont pas été
imprimés, 780.
ERCHINFROID, troisième abbé de Molck,
écrit l'Histoire du martyre et des miracles
de saint Colman, XIII, 138, 139. On ne con-
naît point d'autre ouvrage de lui, 139.
ERGHONVALD (Saint). yo^QzErchenwald
(saint).
ÉREBERT, chancelier du roi Conrad,
l'accompagne à la croisade, XiV, 523.
ÉRECHTE, évêque d'Antioche de Pisidie,
cité par Timothée Élure comme père. Ce
qu'on trouve de ses écrits ; il était euty-
chien, X, 406.
ÉRECTIONS D'ÉVÊGHÉS. Canon sixième
du concile de Sardique, III, 486. — Canons
quarante-deuxième et quarante-troisième
du troisième concile de Carthage, VII, 724.
Canon quai'ante-sixième, 723. — Règlement
du concile général de Carthage, VIII, 343.
ÉREMVOLF, hérétique, condamné par S.
Boniface, archevêque de Mayence,XII, 47.
ÉRÈSE et non CRÈSE, évêque de Placie
ou Plata, au concile de Néocésarée, II, 640.
ERFORT, ville de Thuringe. Saint Boni- 741.
face y établit un évêché, XII, 47. — Concile 1074.
tenu en cette ville par Sigefroi, archevêque
de Mayence, XIII, 356. Autre concile tenu 932.
en cette ville, 746.
ERGEMBALD. Voyez Erchambald.
ERHARD (Saint). Son corps levé de terre ,052.
par le pape saint Léon IX, XIII, 202.
ERHENWALD (Saint) ou ERGHONVALD,
évêque de Londres. Sa Vie écrite par Got-
zeHn, moine de Cantorbéry, XIII, 551 et
Xiy, 233.
ÉRIARTH, moine coupable d'homicide, ix siècle.
Pénitence que lui impose le pape saint Ni-
colas I, Xn, 584.
397.
407.
372
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
965.
XH siècle.
IX siècle.
1012.
IX siècle.
8G5.
ÉRI6ÈNE, surnom donné à Jean Scot,
écrivain du ix" siècle, XII, 603. Voyez Jean
Scot ou Erigène,
ÉRIPHIUS, à qui S. Sidoine écrit, X, 389.
ERKEMBALD ou ARCHEMBOLD, évêque
de Strasbourg. Ce qu'on sait des circons-
tances de sa vie, XII, 883. En quelle année
il succède à Uthon, qui l'avait fait son coad-
juteur, XII, 883. Son poème sur lesévéques
de Strasbourg. Ses autres écrits, 884. (Voy.
son article dans V Histoire littéraire de la
France, t. VI, p. 467 et suiv.)
ERLEBALD, comte, usurpateur de quel-
ques terres deTÉglisedeReims, excommunié
et déchargé de l'excommunication, XIII, 744.
ERLEBOLD, se fait moine à Saint-Lau-
rent de Liège, puis passe à Stavelo, dont
Wibald, son frère, était abbé, XIV, 523.
ERLEGAUDUS, prêtre interdit par We-
nillon, archevêque de Sens. Lettre de Loup
de Feirières en sa faveur, XII, 503.
ERLUIN, premier abbé de Gemblours. Sa
Vie écrite en vers par le moine Riquier. Il
n'en reste que peu de chose, XII, 883. —
. Sa mort. Albert lui succède, XIII, 142.
ERLUIN, évêque d'Arras et de Cambrai.
Gérard lui succède, XIII, 159.
ERME ou ERMINON (Saint), évêque et
abbé de Lobes, auteur d'un poëme sur les
vertus de saint Usmar. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
IV, p. 62 et suiv.)
ERMEMBERT, archevêque de Bourges.
Le pape Adrien lui accorde l'usage du pal-
lium, XII, 140.
[ERMENGARDE ou ERMENGAUD, abbé
de Saint-Gilles. Ce qu'on sait des circons-
tances de sa vie, XIV, 807. Son traité contre
les Vaudois, 807 et 808. Editions de ce traité,
809.]
ERMENRIC, abbé d'Elvangen. Temps de
sa mort. IJ compose la Vie de l'ermite Sole
et quelques vers à sa louange. Sa Vie de
saint Hariolphe, pi'emier abbé d'Elvangen.
La Vie de saint Magne, premier abbé de
Fuesen, qu'on dit qu'il a retouchée, est l'ou-
vrage d'un imposteur, XII, 554. — Est-elle
diflérente de celle qui est attribuée àOthlon,
moine de Saint-Emraeramn, XIII, 282, 283.
(Voyez l'article d'Ermenric dans l'Histoire
littéraire de la France, t. V, p. 324 et suiv.)
ERMENRIC, moine de Ricbenow. Son
traité de Grammaire. Ses autres écrits, XII,
553.
ERMENTAIRE, abbé de Herraoutier en
Poitou. Ce qu'on sait des circonstances de
sa vie, XII, 332, 553. Son Histoire de saint
Philibert, 553. (Voyez son article dans l'His-
toire littéraire de la France, t. V, p. 315 et
suiv.)
ERMENTHÉE, évêque d'Orléans. Sa mort. 970.
Afnoul, son neveu, lui succède, XII, 894.
ERMENTRUDE, dame noble. Son testa-
ment par lequel elle fait une donation à
l'église de Saint-Symphorien, diocèse de
Meaux, du pain et du vin nécessaires pour
les oblations, XIII, 21.
ERMINON (Saint) ou ERME. Voyez Saint
Erme.
ERMITE. Traité de la Préférence que l'on
doit à la vie érémitique : ouvrage de saint
Nil, solitaire du Sinaï, VIII, 211. — Livre
de la Vie érémitique, ouvrage faussement
attribué à saint Augustin, IX, 64. — Ermites 646.
vagabonds que le concile de Tolède ordonne
d'enfermer dans des monastères, XII, 921.
Canon du concile Quinisexte ou in Trullo,
962.
ERMOLDUS NIGELLUS. Ce qu'on sait des ix sièc
circonslances de sa vie, XII, 333, 336. Son
poëme en l'honneur de Louis le Débonnaire,
336, [se trouve traduit au tome IV des Mé-
moires relatifs à l'Histoire de France, par
M. Guizot, 336.] (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. I, p. 520
et suiv., et le Supplément, t. XI, p. xiv.)
[ERNESTI (Jean-Chrétien-Gotheb). Sa dis-
sertation sur les Commentaires de Procope,
XI, 179.]
[ERNOLP, évêque de Saintes : sa dépo-
sition, XHI, 293.]
ERREUR. De l'origine de l'erreur, second
livre des Institutions de Lactance, II, 498,
499. — Pensée d'Eusèbe de Césarée sur les
erreurs où tombent les justes, III, 238, 239.
— Doctrine de saint Chrysostôme contre les
hérétiques et leurs erreurs, VII, 427 etsuiv.
ÉRUDITION. Livres des Mélanges d'é-
rudition théologique faussement attribués
à Hugues de Saint-Victor, XIV, 336. Érudi-
tions didascaliques par le même, 333, 334.
ERVIGE, roi des Golhs en Espagne. Let- 6S3.
tre que lui écrit le pape Léon II pour l'in-
former des décrets du concile de Constan-
tinople contre les Monothélites, XI, 783. Il Gso.
avait été désigné par Wamba, 794, et XII,
936. — Il assemble un concile à Tolède, où eso.
il fait confirmer son élection, XII, 936, 937.
Autre concile de Tolède où il propose divers 683.
règlements, 957, 958. Autre pour adhérer 68*.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
373
H77.
391.
401.
au sixième concile général contre les Mono-
thélites, 938, 9S9.
[ERVISE ou ERNISE ou ERNEST, abbé
de Saint-Victor. Son mauvais gouvernement,
XIV, 997, 998. Il se démet par force, 698.
Lettres relatives à cet événement, 710. Ce
qu'on sait des circonstances de sa vie, 709.
Salettre àOdon, cardinal diacre, 709 et7IO.
Lettre de Pierre, cardinal de Saint-Cbryso-
gone, à cet abbé, 749. Lettre de Roger,
abbé de Saint-Euverte, à Ervise, 781.]
ÉSAU, fils d'Isaac. Ce qu'en pensait saint
Basile, IV, 375. — Sermon de saint Césaire
d'Arles sur Jacob et Ésaû, XI, 129.
ESGIDUS. Voyez Théodore, surnommé
Escidus.
ESCLAVES. Doctrine de saint Ignace, I,
386; de saint Ambroise, V, 409. — Canon
quati'e-vingl-deuxième apostolique, II, S87.
Canon cinquième d'Elvire, 605. — Lois de
Constantin en faveur des esclaves, III, 144.
Canon troisième du concile de Gangres, §17.
[Nom des maîtres donné aux esclaves, V,
631.] — Loi de Théodose sur la liberté des
esclaves, VI, 371. — Règlement d'un con-
cile général de Carthage, VIII, 338. — Té-
moignage de saint Léon sur l'ordination des
esclaves, X, 262. Ordonnance semblable du
pape saint Gélase qui défend de recevoir
les esclaves dans les monastères sans le
consentement de leurs maîtres, 503. Canon
semblable du concile de Chalcédoine, 697.
Dispositions du concile d'Agde sur les es-
claves des églises, 737. Canon du premier
concile d'Orléans sur les esclaves réfugiés
dans les églises; sur ceux ordonnés à l'insu
de leur maître, 744. — Ordonnances de saint
Grégoire le Grand touchant les esclaves, XI,
506. Lois qu'il cite touchant les esclaves,
532. Témoignage de saint Isidore de Séville
touchant les esclaves, 723, 724. Témoignage
de saint Théodore, archevêque de Cantor-
béry, 798. Canons du concile d'Épaone, 815
et 817; de Lérida, 823; du quatrième d'Or-
léans, 862 ; du troisième de Paris, 883; du
premier de Mâcon, 893 ; du deuxième de
Mâcon, 897. — Agobard, archevêque de
Lyon, défend aux chrétiens de vendre des
esclaves chrétiens aux Juifs et de souffrir
que les Juifs en vendent, XII, 366. Louis
le Débonnaire défend de baptiser les es-
claves des Juifs sans le consentement de
leurs maîtres, 367. Réponse deRaban sur la
question s'il est permis de prier pour un
esclave fugitif mort dans sa fuite, 465. Dis-
positions d'un concile de Reiras à l'égard
des esclaves, 915 ; de trois conciles de To-
lède, 920, 934. Canon d'un concile de Sara- H™-
gosse, 959 ; — du troisième de Latran, qui
défend aux Juifs et aux Sarrasins d'avoir des
esclaves chrétiens, XIV, 1142.
ESDRAS, prêtre, prophète et docteur de
la loi. Sa vie, I, 62 et suiv. Sa famille. Il est
mené en captivité; il étudie la loi, 62. lire- '^"'"'L,^-'^-
vient à Jérusalem avec Zorobabel, retourne
à Babyloue et obtient du roi Arlaxercès des
lettres de retour, 62 et 63. Esdras retourne
à Jérusalem suivi d'un grand nombre d'Is-
raélites. Douleur d'Esdras en apprenant que
plusieurs Juifs avaient des femmes étran-
gères ; il les oblige à les renvoyer, 63. Il
instruit et console le peuple, 63 et 64. Il as-
siste à la dédicace des murs de Jérusalem;
il meurt, 64. Esdras est l'auteur du premier
des livres qui sont sous son nom. Pi-emière
objection contre ce sentiment et réponse :
l'auteur de ce livre était présent à l'ambas-
sade des officiers du roi de Perse à Jérusa-
lem. Réponse : Esdras est venu de Babylone
à Jérusalem une première fois avec Zoro-
babel. Il a donc pu répondre aux officiers
du roi de Perse; d'ailleurs il est ordinaire
à un historien de parler au nom de sa na-
tion, 66. Seconde objection : on trouve dans
le livre d'Esdras un dénombrement, mais à
le bien considérer, le dénombrement d'Es-
dras n'est pas la copie de celui de Néhémias,
67. [Voyez 67, note 1, et 66, note 7.] Som-
maire du premier livre d'Esdras. Néhémias
auteur du deuxième livre, 67. Réponse aux
objections, 67 et 68. Sommaire de ce livre,
68. Le troisième hvre d'Esdras était le pre.
mier chez les Grecs. Les Latins ne le met-
taient que le troisième et l'ont mis ensuite
hors du rang des Écritures canoniques, 68,
69. Grande autorité du troisième livre chez
les Pères grecs et latins. Ce livre rejeté
comme apocryphe par saint Jérôme, 69.
L'auteur de ce livre est très-ancien, mais
différent d'Esdras, 69 et 70. Ce livre est sus-
pect de fausseté, 70 et 71. Le quatrième
livre qui porte le nom d'Esdras a été cité
par les anciens, 71. [Versions éthiopienne et
arabe de ce livre, 71 . Sentiment de M. Law-
rence sur les interpolations faites h. ce livre
et sur l'auteur du livre, 71 et 72.] Ce livre
ne se trouve dans aucun canon de l'Église,
72; il est l'ouvrage d'un imposteur, 72 et 73.
L'auteur de ce livre a écrit depuis la venue
de Jésus-Christ, 73. [lia écriten Syrie ou en
374
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
saint Paul a été en Espagne, VI, 428. Saint
404.
Palestine, entre l'an 260 et 268. Voyez le
beau travail de M. Le Hir sur le IV° livre
d'Esdras, dans les t. XI et XII des Études re-
ligieuses, par les Jésuites.] Quelques autres
écrits faussement attribués à Esdras : deux
cent quatre volumes. Statuts, 74. Apocalypse,
73. Examen de l'opinion qui fait Esdras res-
taurateur des divines Écritures, 73 et suiv.
Cette opinion tire son origine du prétendu
quatrième livre d'Esdras, 73. Quelques an-
ciens auteurs ont suivi cette opinion tirée
du faux Esdras, 73 et 76. D'autres ont cru
qu 'Esdras n'avait fait que corriger les exem-
plaires de la Bible, 76, 77. L'opinion intro-
duite par le faux Esdras est sans fondement,
77. Elle est absolument fausse, 77 et suiv.
En quel sens on peut dire qu'Esdras est le
restaurateur des Écritures, 79, 80. Quels
changements il y a faits, 80 et suiv. Change-
ment des caractères hébreux en caractères
chaldéens, 80. Esdras est reconnu pour au-
teur de ce changement, 80 et 81. [Voyez
aussi p. 80, note 4.] C'est sans fondement
qu'on lui atribue l'invention des points-
voyelles, 81, 82. Il n'est point l'auteur de
la division des livres sacrés en versets, 82,
83. [Note sur l'époque de la division en ver-
sets, S2, uotel.] Il ne l'est pas non plus delà
division de ces mêmes livres en chapitres,
83. [Note sur l'époque de la division en cha-
pitres et sur les autres divisions de la Bible
chez les Juifs, 83, note S.] On conjecture
qu'Esdras est l'auteur des quatre livres des
Rois, 56 et suiv. On lui attribue aussi, mais
avec moins de vi'aisemblance,'es Paralipo-
mènes, 61. — Origène avait travaillé sur les
deux livres d'Esdras, II, 133. — Troisième
livre d'Esdras cité par Eusèbe, III, 266 ; —
et par saint Basile, IV, 497. Témoignages de
saint Basile, 498; — et de saint Arabroise sur
Esdras, V, 403, 493, 494, 524, 573. — Troi-
sième livre d'Esdi-as cité par saint Grégoire
de Nysse, VI, 225. — Quatrième, cité par
Vigilance, VII, 608. — Troisième cité par
saint Augustin, IX, 569. — Ttiéodoret a cru
qu'Esdras avait rétabli les saintes Écritures
par l'inspiration du Saint-Esprit, X, 37. —
Au vu" siècle on croyait qu'an retour de la
captivité, Esdras ayant retrouvé tous les li-
vres saints brûlés, il les avait rétablis de
mémoire, XI, 668 et 712. — Commentaire
du Vénérable Bède sur le livre d'Esdras,
XII, 8. Le commentaire de Raban Maur sur
le livre d'Esdras ne se trouve plus, 469.
ESPAGNE. Saint Épiphane prouve que
Èphrem admettait, d'après la version Syria-
que, que les captifs de Jérusalem avaient
été transportés jusqu'en Espagne, 447.] — Le
pape saint Innocent combat les abus et le
schisme de l'Église d'Espagne, VII, 306,
509, 510. Lettre du pape Zozime à tous les
évoques des Gaules, de l'Espagne et de
l'Afrique, 534, 533. — L'Espagne exposée
en proie aux Vandales et aux Alains, X,
448. Concile d'Espagne au sujet de Silvain,
évêque de Calahorra, 338, 339. — Lettre du
pape saint Léon II aux évêques d'Espagne
XI, 784, 783; — du pape Adrien, XII, 136'.
ESPENCE (Claude d'), docteur de Paris.
Son édition de VElucidarium faussement at-
tribnéeàS. Anselme de Cantorbéry, XIV, 33.
ESPÉRANCE. [Traité de la Foi, de l'Espé-
rance et de la Charité, par saint Zenon de
Verceil, VI, 247.] — Discours sur ce sujet
faussement attribué à saint Chrysostôme, VII,
287. — Manuel à Laurent, ou traité de la
Foi, de l'Espérance et de la Charité, par
saint Augustin, IX, 238 et suiv. — Traité
d'Agobard, XII, 376, 377. Ce que dit saint
Paschase Radbert de l'espérance, 541, 542.
[ESPINOSA (Antoine). Son édition des
écrits du B. Martin, chanoine de Saint-Isi-
dore de Léon, XIV, 833.]
ESPIONS, envoyés par les Israélites dans
la Terre promise. Discours de saint Césaire
d'Arles sur ce sujet, XI, 131.
ESPRIT-SAINT. Doctrine [de saint Clé-
ment pape, 1, 333] ; de Théophile d'Antioche,
480. [Voyez 480, note 2]; de saint Athé-
nagore, 483 ; de saint Irénée, 522, 323 ;
de saint Hippolyte, 638, 639; — d'Ori-
gène, II, 163, 214 ; de saint Cyprien, 330 ;
de saint Denis d'Alexandrie, 449 ; de saint
Grégoire le Thaumaturge, 441; du pape
saint Denis, 449; de saint Athénagore,
martyr, 464. Lactance est-il coupable d'er-
reur surle Saint-Esprit? 316. Saint Pamphile
en est-il lui-même coupable ? 327. — Doc-
trine d'Eusèbe de Césarée, III, 273, 276. —
Saint Athanase prouve la divinité du Saint-Es-
prit, IV, 131, 132. Livre de saint Athanase sur
la Trinité et le Saint-Esprit, 146. Doctrine de
saint Athanase, 201 et suiv. Livre du Saint-
Esprit, ouvrage de saint Basile le Grand,
519 et suiv. Homélie sur le Saint-Esprit,
faussement attribuée à saint Basile, 489.
Doctrine de saint Basile, 387, 391, 392, 422
et 505 et suiv. Erreur des Macédoniens,
594, Divinité du Saint-Esprit établie dans
417.
It siècle.
IV siècle.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
375
un coacile d'Alexandrie en 362, 589 ; et dans
celui d'Icone par saint Amphiloque, 603.
Illusion des Messaliens, 643. — Doctrine de
saint Cyrille de Jérusalem, V, 69. Discours
de saint Grégoire de Nazianze sur le Saint-
Esprit, 233, 234. Ce qu'il pense de la con-
duite de saint Basile dans la controverse sur
la divinité du Saint-Esprit, 252. Ce qu'il en-
seigne touchant le Saint-Esprit dans son
poëme théologique, 283. Doctrine de saint
Grégoire de Nazianze sur le Saint-Esprit,
316, [317. Doctrine de saint Ampliiloque,
366. Trois livres sur le Saint-Esprit, par
saint Ambroise, 473 et suiv. Autre livre sur
le Saint-Esprit qui lui est faussement attri-
bué, 311. Sa doctrine, 534 et suiv. Livre du
Saint-Espiit, ouvrage de Didyme l'Aveugle,
607 et suiv. Sa doctrine sur le S^^int-Esprit,
616 et 629. — Livre où saint Grégoire de
Nysse établit la divinité du Fils et du Siiint-
Esprit, VI, 166 et suiv. Discours du même
sur la divinité 'du Fils et du Saint-Esprit,
204. [Discours du même contre les Macé-
doniens pneumatomaques, 203.] Doctrine
de saint Grégoire de Nysse sur le Saint-
Esprit , 230 et suiv. Doctrine de saint
Épiphane , 429; de saint Éphrem, 56,
[461, 464, 468, 471, 472, 475, 474, 473.] —
de saint Jean Ghrysostôme, VII, 83, 83, 86
et 230. Homélie sur le Saint-Esprit iausse-
ment attribuée à saint Jean Chrysostôme,
142. Deux homélies sur le Saint-Esprit faus-
sement attribuées à Jean de Jérusalem, 302.
Doctrine de saint Jérôme sur le Saint-Esprit,
661. — Expression de Synésius, VIII, 32.
siècle. Discours de saint Gaudence , évêqiie de
Brescia, 38. Doctrine de saint Cyrille d'A-
lexandrie,382. [Il admet laprocessionduSaint-
Esprit, 349, sa divinité, 333.] Divinité du
Saint-Esprit établie contre les Macédoniens et
les Eunoméens, par saint Procle de Constan-
tinople, 413; et par saint Isidore de Péluse,
482. [Doctrine de Théodore de Mopsueste, 20,
613, 616, 621.] — Doctrine de saint Augustin,
IX, 429 et 640. [Sermon de saint Augustin sur
le Saint-Esprit, 836. Deux sermons de saint
Augustin sur l'invocation du Saint Esprit. Un
sermon sur le Saint-Esprit et la procession,
par le même, 842.] — Doctrine de saintLéon ,
X, 230, 231. Sermon sur le Saint-Esprit, attri-
bué à Salvien, mais qu'on convient être
d' Arnaud de Bonneval, 377. Témoignage sur
le Saint-Esprit dans la profession de foi des
évêques catholiques d'Afrique, 456. Témoi-
gnage de saint Eugène, évêque de Garthage,
460. Livre de Fauste de Riez sur le Saint-
Esprit, cité parGennade, 434. Éditions qu'on
en a faites sous le nom de Paschase, 437.
[Sermon de Fauste de Riez sur le Saint-
Esprit, 437.] Traité du Saint-Esprit, attribué
à Paschase, diacre de l'Éghse romaine. Rai-
sons qui décident que ce traité est de Fauste
de Riez, 528, 329. Analyse des deux livres
qui composent cet ouvrage, 529 et suiv. Té-
moignages de saint Avit, évêque de Vienne,
sur la divinité du Saint-Esprit, 555 et 363.
— Questions sur la procession du Saint-Es-
prit, ouvrage de saint Fulgence. Traité du
Saint-Esprit adressé à Abragila, autre ou-
vrage de saint Fulgence, XI, 74. Doctrine
de saint Fulgence sur le Saint-Esprit, 14,
17, 51, 71 et suiv. Doctrine de Cassiodore,
245; d'Anastase, patriarche d'Antioche,
362 ; de saint Grégoire de Toui's, 387 ; de
saint Grégoire le Grand, 459, 557, 538; de
saint Isidore de Séville,713 ; de saint Maxime,
abbé de Chrysopolis, 763; — de saint Jean
Damascène, XII, 83, 93; d'Alcuin, dans un
livre de la Trinité, 73 et suiv. Son traité de
la procession du Saint-Esprit, 176, 177.
Autres témoignages du même, 203, 209.
Question de la procession du Saint-Esprit,
agitée dans deux conciles et dans une confé-
rence devant le pape saint Léon III, 176, 177.
Témoignage du même, 218 et 401 ; de Mag-
nus, archevêque de Sens, 250, 251 ; de Lei-
drade, archevêque de Lyon, 252. Lettre de
Smaragde, abbé de Saint-Michel, sur la
procession du Saint-Esprit, 243, 234. Témoi-
gnage de saint Benoît d'Aniane, 261. Traité
de Théodulphe, évêque d'Orléans, sur la
procession du Saint-Esprit, 267. Témoignage
de Raban, 456; de saint Paschase Radbert,
532. Traité de Ratramne sur la procession
du Saint-Esprit, 563. Photius nie que le
Saint-Esprit procède du Fils, 74, 724, 731,
734, el 974 [et suiv., 977 et suiv.]. Témoi-
gnage de Rémi d'Auxerre, 758. Témoignage
attribué à l'empereur Léon VI, 773. Can-
tique de Gerbert sur le Saint-Esprit, 903.
Témoignage du sixième concile de Tolède,
920; du huitième concile, 932. — Hymne de
Fulbert de Chartres, XIII, 88. Témoignage
de saint Odilon, abbé de Cluny, 156. Plainte
sur l'addition du Filioque au symbole, 223,
224. — Témoignage de Siméonle Jeune, 226.
Fragment d'une dispute contre les Grecs, 253.
Témoignage de saint Pierre Damien, 310.
Anathème prononcé dans le concile de
Bari, 437. Traité de Grossulan sur la pro-
37G
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
cession du Sainl-Esprit, 308, et XIV, 148,
149. — Procession du Saint-Esprit définie
dans le concile de Frioul, XIII, 632, 633.
Témoignage de saint Paulin, patriarche
d'Aquilée, 633. Conférence des Français
avec le pape sur l'addition Filioque, 641 ; —
de saint Anselme sur le même sujet, XIV, 12,
Témoignage d'Yves de Cbarlres, 123. [Des
sept dons du Sainl-Esprit et des sept béati-
tudes, ouvrage du cardinal Drogon, 249.]
Hymne de Rupert, abbé de Tuy, 283. Traité
de Rupert de la Glorification de la Trinité et
de la procession du Saint-Esprit, 283. En
quel .sens Rupert a dit que le Saint-Esprit
s'était incarné, 291. Réponse d'Anselme
d'Haverburg aux objections des Grecs tou-
chant la procession du Saint-Esprit, 414, 413.
Traité de Hugues Étérien pour justifier
le sentiment des Latins sur la procession du
Saint-Esprit, 658. [Comment le Sainl-Esprit
est l'amour du Père et du Fils, pelittraité de
Richard, prieur de Saint-Victor. Sermon du
même sur la mission du Saint-Esprit,
704. Hymnes pour l'office du Sainl-Esprit
par le moine Régnier, 796. Sermon d'A-
lain de Lille sur le Saint-Esprit, 870.
Sermon d'Adam de Perseigne sur les dons
du Saint-Esprit, 882. Pourquoi dans la
liturgie aucune oraison ne s'adresse indivi-
duellement à la personne du Saint-Esprit;
question de Jean aux Rlanches Mains et ré-
ponse du pape Innocent III, 983, 986.]
(ESPRIT-SAINT), hôpital sous le vocable
du Saint-Esprit. Le pape Innocent III pro-
tège l'hôpital du Saint-Esprit à Montpellier
et lui accorde des privilèges, XIV, 936, 937.
ESPRIT. [De l'Inconstance de l'esprit
humain; discours de saint Éphrem ; Qu'il
faut réprimer les affections dépravées de
l'esprit, discours du même, VI, 497.] —
[Livre de l'Esprit et du Corps , traité
de saint Zenon de Verceil, VI, 274. —
Nature de l'esprit de l'homme d'après
saint Cyrille d'Alexandrie, VHI, 352.] —
Livre de l'Esprit et de l'Ame , ouvrage faus-
sement attribué à saint Augustin, IX, 286.
Livre de l'Esprit et de la Lettre, ouvrage
de saint Augustin, 427 etsuiv. — Théodoret
entend de l'air le passage de la Genèse où il
est dit que l'Esprit de Dieu était porté sur
les eaux, X, 27.
ESPRIT D'EAUBONNE, père capucin,
détracteur selon quelques-uns de l'édition
de saint Augustin par les Bénédiclins, IX,
816.
ESPRITS. Deux traités des Huit Esprits
de malice, ouvrage de saint Nil, solitaire du
Sinaï, VIII, 212, 213. — Saint Augustin dis-
tingue deux sortes de mauvais esprits, IX, 41 .
ESSÉENS. Voyez Esséniens.
[ESSEN, monastère d'Allemagne. Privi-
lège que lui accorde le pape Agapet II, XII,
830.]
ESSENCE DIVINE. Erreur de Gilbert de
la Porrée sur l'essence divine, XIV, 342, 343 ;
condamnées au concile de Reims, 343. Let-
tre de Gauthier de Moitagne sur l'esseuce
divine, 660. (Voyez Nature divine.)
ESSÉNIENS. Leur manière de vivre, sui- iv sièd
vaut Eusèbe de Césarée, HI, 207, 208. Les
Thérapeutes étaient une espèce d'Esséniens,
210, 211. — Saint Philastre met les Essé- iVsièci
niens au nombre des hérétiques de l'Ancien
Testament, V, 173. — Esséniens, secte de iv sièci
Siimaritains : ce qui en est dit par saint
Épiphane, VI, 383. Esséniens, secte de Juifs :
ce qui en est dit par saint Ejpiphane, 384.
ESTANG (le sieur de 1'). Sa traduction
française du Commentaire de saint Augustin
sur les psaumes de la pénitence, IX, 813.
ESTBRUIN, abbé de Wiremoulh et de
Jarou. Son histoire par le Vénérable Bède,
XII, 14.
ESTHER, juive, reine des Perses et Mar- ^vant^^J
dochée son oncle : histoire de leur vie, I,
105 et suiv. Origine de Mardochée. Assué-
rus, roi de Perse, répudie Vasthi son épouse.
Il épouse Esther, 103. Aman est élevé en
puissance et obtient d'Assuérus un ordre
d'exterminer les Juifs de ses états, 103 et
106. Esther fait un festin auquel elle invite
Assuérus et Aman. Cet officier fait dresser
une potence à Mardochée. Assuérus ré-
compense la fidélité du juif Mardochée enlui
faisant rendre les plus grands honneurs.
Esther obtient la révocation de l'arrêt contre
sa nation, 106. Aman est attaché à la po-
tence. Assuérus permet aux Juifs de se ven-
ger de leurs ennemis. Fête solennelle éta-
blie chez les Juifs en mémoire de leur triom-
phe,107. [Monument à Ecbatane en l'honneur
de Mardochée et d'Esther, 107.] Assuérus,
mari d'Esther, ne peutêtre Darius,filsd'Hys-
taspe, 107. Il est plutôt Artaxercès Longue-
mahi, 107 et 108. Première preuve en fa-
veur de ce sentiment. Circonstances qui
font connaître quel était cet Assuérus, 108.
[Observation sur cette preuve, 108, note 4.]
Seconde preuve : Artaxercès était roi de
Perse. Troisième preuve : Il régna sur 127
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
377
provinces ; l'historien Josèphele dit expres-
sément, 108 et 109. Quatrième preuve : Il
résidait à Suse. Cinquième preuve : II avait
succédé au royaume de ses pères. Sixième
preuve : On ne peut former de difficulté rai-
sonnable sur le long règne d'Artaxercès,
puisque celui de Darius souffrirait la même
difficulté. Septième preuve : L'affection
d'Artaxercès pour la nation juive, 109. Hui-
tième preuve : Les faveurs qu'il lui accorda
laissent à penser qu'il avait épousé une
femme juive. Darius s'est déclaré pour les
Juifs dès la deuxième année de son règne ;
cela ne convient pas exactement à Assuérus,
109 et 110. Neuvième preuve : Ce qui est dit
d'Assuérus, qu'il se rendit la terre et les
îles tributaires, convient à Artaxercès. Di-
xième preuve : Ce prince a vécu longtemps
après la captivité de Babylone. Le temple de
Jérusalem subsistait lorsque ce prince monta
sur le trône. Onzième preuve : Les plus an-
ciens auteurs donnent au mari d'Estlier le
nom d'Artaxerxès, 110. Objection contre le
sentiment qui veut qu'Assuérus soit le même
qu'Artaxercès. Mardochée un des captifs de
Babylone était-il en âge de faire la cour à
Artaxercès, 110. Réponse. Mardochée avait
pour aïeul Gis, un des captifs de Babylone,
ce qui le suppose encore assez jeune pour
avoir exercé des emplois à la cour d'Arta-
xercès, 111. [Le sentiment le plus commun
de nos jours admet qu'Assuérus est Xercès,
fils de Darius et père d'Artaxercès Longue-
Main, 108, n. 1.] [Le livre d'Esther ne peut
être rejeté comme fabuleux ou contenant
des fables, 107, n. 3.] Le livre d'Esther est
reçu pour canonique chez les Hébreux. Il y
a quelques auteurs ecclésiastiques qui ne le
mettent point dans leurs canons des divines
Écritures, 111 . On doit cependant le recevoir
pour canonique, 111 et 112. On doit rece-
voir de même pour canoniques les derniers
chapitres de ce livre. Objections contre la
canonicité de ces additions : il est dit que
Mardochée reçut des présents pour le ser-
vice qu'il avait rendu, cela est contraire au
premier récit. La manière dont Esther s'est
présentée devant Assuérus est racontée di-
versement. Enfin doit-on recevoir pour Écri-
tures divines celles qui ne sont point insérées
•dans le canon des juifs ? Réponse : Ces pré-
sents reçus par Mardochée pouvaient être si
peu de chose qu'ils n'eussent pas été
comptés, ou bien ce sont les mêmes qu'il
reçut lorsqu'il fut élevé à la place d'Aman,
112. [Le roi ne demande pas si Mardochée
avait reçu des présents, mais s'il avait reçu
quelqu'honneur et quelque dignité, 112,
note 4.] La différence du récit sur la manière
dont Esther s'est présentée à Assuérus ne
consiste que dans quelques circonstances
omises dans un endroit, suppléées dans un
autre. A l'égard du scrupule sur les livres
qui ne sont pas dans le canon des juifs, il
faut s'en tenir à ce que ditsaint Augustin de
l'autorité de l'Église sur ce point, 112. Mar-
dochée est le principal auteur du fivre
d'Esther, 113, 114. Le compilateur de ce
livre est inconnu, 114. Saint Jérôme a fait
une version du livre d'Esther sur l'hébreu,
en renvoyant à la fin les fragments qui n'en
sont pas, 114 et US. — Analyse de ce livre,»
lis. Saint Grégoire deNazianze ne met pas
ce livre dans le canon des livres saints. Ce
qu'il en dit, V, 307. — Sentiment de Sulpice
Sévère sur le temps où vivait Esther, Vllt,
123. Saint Augustin cite les- derniers cha-
pitres du livre d'Esther, IX, S69. — Com-
mentaire de Raban Maur, XII, 4S0, 4SI.
ESTONIE. Contrée du Nord, sa conversion
au christianisme, XIV, 924.
ÉTAMPES, ville de France, [département
de Seine-et-Oise.] Conciles tenus en cette
ville, Xm, 426, XIV, 1073, 1111, 1119.
[ÉTAT. De l'État de l'homme intérieur,
traité de Richard, prieur de Saint-Victor,
Xiy, 704.]
ÉTATS. Trois états à distinguer dans
l'Église, selon saint Abbon de Fleury, XIII,
27.
ÉTERNITÉ. Doctrine de saint Augustin
sur l'éternité, IX, 33, 106, 308 et 323.
ÉTHELBALDE, roi de Kent.Voy. Edbald.
ÉTHELALD, roi des Merciens. Lettre que
lui écrit saint Boniface, XII, 49. — Autre
lettre qu'il lui écrit conjointement avec plu-
sieurs évêques, 50.
ÉTHELBERT, roi de Kent. Comment il
reçoit Augustin et ses compagnons envoyés
en Angleterre par le pape saint Grégoire,
XI, 437, 438. — Il se fait baptiser avec beau-
coup de ses sujets, 438. Il confirme le mo-
nastère de Saint-Pierre et de Saint-Paul,
établi à Cantorbéry, par saint Augustin, 910.
Le pape Boniface IV lui écrit, 911. Sa mort,
913.
ÉTHELBDRGE. Voyez Edelburge.
ÉTHELRED, roi des Merciens. Lettre que
lui écrit le pape Jean VI, au sujet de saint
Wilfrid, XII, 22.
XII sièele.
VIII siècle.
597.
605.
616.
378
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1009.
1012.
VII siècle.
750.
984.
VIII siècle.
X-Xl siècle.
ÉTHELRED (Saint), roi des Anglais orien-
taux. Sa Vie par Gotzelin, moine de Gan-
torbéry, XIV, 233. — Autre par Osbert de
Stockeclare, 408.
ÉTHELRÈDE (Sainte), vierge. Prose en
son honneur, par Gotzelin, XIV, 233.
ÉTHELRÈDE II, roi d'Angleterre. [Le
pape Jean XV écrit aux fidèles d'Angleterre
touchant la réconciliation de ce prince avec
son peuple, XI(, 837.] Ce prince assemble
un concile à Anham, XIV, 1035, 1036. —
[Il est reproduit dans la Patrologie, XIII,
413. Privilège qu'il accorde aux moines de
Cantorbéry, XIV, 1036.] —Son Code delois,
1036.
ÉTHELRÈDE, abbé de Riedval. Voyez
Aelrède.
ÉTHELSTAN, roi d'Angleterre. Voyez
Adelslan. v
[ÉTHELWALD , écrit à saint Adelhme
son maître, XI, 806.]
ÉTHELVOLD BERNICIUS confondu par
Pitséus avec Éthelvold , évêque de Win-
chester. Ils vivaient à deux cents ans l'un
de l'autre. Ses ouvrages, XII, 868. Voyez
Ethelvolfe.
ÉTHELVOLD (Saint), évêque de Win-
chester, en Angleterre, est mis par ses pa-
rents au monastère de Glastemburi, où il est
élevé sous la discipline de saint Dunstan. Il
rétabUt le monastère d'Abbenden. Il est fait
évêque de Winchester. Il chasse les cha-
noines de sa cathédrale pour leurs désor-
dres et met des moines à sa place. Plusieurs
chanoines attentent à sa vie, XII, 867. — Sa
mort. Sa Vie écrite par Alfiid, son disciple.
Les ouvrages que Pitseus lui attribue sont
d'Ételwold, surnommé Bernicius, plus an-
cien de deux cents ans. On lui attribue avec
plus de raison, un traité de la manière de
vivre des moines de l'ordre de saint Benoît,
et une traduction de la règle de saint Benoît
en langue saxonno, 868. Sa Vie écrite parle
moine Wolstan, XIII, 53.
ETHELVOLFE, moine anglais, quahfié
dans les manuscrits, évêque de Winchester.
Son Histoire en vers des abbés et des hommes
vertueux de Lindisfarne. Autres ouvrages
qu'on lui attribue, XII, 128. Voy. Ethelvold
Bernicius,
ÉTHELWERD, palrice et consul, c'est-à-
dire comte. Ce qu'on sait de sa naissance et
du temps où il a vécu, XllI, 43, 44. Analyse
de sa Chronique. Jugement sur elle, 44.
ÉTHÉRIUS, évêque d'Antibes, XI, 3U6,
ÉTHÉRIUS, évêque de Lyon, XI, 517. —
Saint Grégoire lui écrit. Il assiste au concile
de Nanterre, 906.
ÉTHÉRIUS, disciple du prêtre Beatus, de-
puis évêque d'Osma, s'oppose avec son
maître aux erreurs d'Élipand de Tolède.
Lettre d'Élipand contre Béatus et Éthérius.
Analyse de l'écrit composé par Béatus et
Éthérius, où ils réfutent ses erreurs, XII,
214. Élipand après avoir re tracté ses erreurs
se réunit avec eux, 216, 217.
ÉTHICOPROSCOPTES, hérétiques dont
parle saint Jean Damascène, XII, 69.
ETHNOPHRONES, hérétiques dont parle
saint Jean Damascène, XII, 69.
ETIENNE (Saint), premier martyr. Fausse
apocalypse sous son nom, I, 286. — Deux
panégyriques de ce saint, par saint Grégoire
de Nysse, VI, 200,201. Son panégyrique,
par saint Astère d'Amasée, 307, 308. [Ser-
mon sur saint Etienne par saint Éphrem , 486.]
— Homélies sur saint Etienne faussement
attribuées à saint Ghrysostôme, VII, 256 et
259. Trois discours sur saint Etienne faus-
sement attribués au même, 345. Homélie sur
saint Etienne faussement attribuée à Jean de
Jérusalem, 302. — Deux discours attribués
à saint Procle, VIII, 413. — Ses reliques
reçues à Hippone, par saint Augustin, IX,
19. — Sermons de saint Augustin en son
honneur, 240 [et 836, 841 .] Écrits touchant
l'invention des reliques de ce saint martyr,
325, 326. — Relation de l'invention de ses
reliques traduite en latin par Avitus, X, 3.
Église bâtie en son honneur à Edesse, par
Rabula, 144. Homélies de saint Maxime de
Turin, sur saint Etienne, 321 [et 326.] —Ser-
mon de saint Fulgence de Ruspe en l'hon-
neur de saint Etienne, XI, 69. — Témoi-
gnage de saint Grégoire de Tours, 374.
[Fragment d'un discours sur la translation du
.corps de saint Etienne, 811.] ■ — Monastère
fondé à Royie sous les noms de sainlÉtienne
et de saint Sylvestre parle papePuulI". Pri-
vilèges qu'il lui accorde, domitions qu'il lui
fait, XII, 114. Hymnes de Notker le Bègue
en l'honneur de saint Etienne, 766. Discours
de l'empereur Léon le Philosophe, 773.
Otlice composé par Etienne, évêque de
Liège, pour la fête de l'invention des reli-
ques de saint Etienne, 786. — [Hymne su;-
l'invention de saint Etienne, par Héiibert,
XIII, 117.] Discours de saint Pierre Damien
sur saint Etienne , 308. — Dédicace de
l'église de Saint-Étienne de Gaen, 330. Dis-
785.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
379
cours de Michel Psellus sur la translation
des reliques de saint Etienne à Constanti-
,i. nople, 337. A quelle occasion l'abbaye de
Saint-Étienne de Caen fut fondée , 411.
[Fragment sur la translation du corps de ce
saint Etienne à Rome, par saint Lucius, ar-
chidiacre, 602.] Deux sermons du vénérable
Hildebert en l'honneur de saint Etienne,
XIV, 213. — Panégyrique de saint Etienne,
par Abaillard, 327 et 332. [Poème sur le
martyre de saint Etienne, par Jean, moine
de Saint-Laurent, de Liège, 417.] Sermon
de Nicolas de Clairvaux, pour le jour de
saint Etienne, 492. [Excès qu'on commettait
au xiii° siècle à la fête de ce saint : Odon de
Sully, évêque de Paris, s'efforce de les abo-
lir, 891.] Panégyrique de saint Etienne, par
Guillaume d'Auvergne, 1026. Sermon du
même sur l'invention de ses reliques, 1027.
i, Chapelle de Saint-Étienne, usurpée par les
chanoines de Chemillé et rendue h l'atbaye
=ie. de Marmoutier, 1082. Chapitre de Saint-
Étienne à Besançon, uni à celui de Saint-
Jean de la même ville et à quelle occasion,
1087.
ETIENNE I (Saint), pape et martyr, II,
421 et suiv. En quel temps il est élu pape.
Sa mort, 481. Si l'on doit lui donner le titre
de martyr. Fausseté des Actes qui portent
son nom, 421 et 422. [Voyez cependant 422,
note 1.] Lettres de Faustin, évêque de Lyon,
et de saint Cyprien, évêque de Carthage, à
saint Etienne au sujet de Marcien, évêque
d'Arles, 326 et 422. Saint Etienne se laisse
surprendre par Basilide et par Martial, évé-
ques d'Espagne. Il écrit aux églises d'Arabie.
Il écrit à saint Cyprien et à saint Denis
d'Alexandrie sur le baptême des hérétiques,
422. Fausses décrétales qui lui sont attri-
buées. 423. [Éditions des écrits de ce
pape et divers monuments qui le concernent,
423.] Autre lettre de saint Cyprien à saint
Etienne, 329, 330. Saint Etienne dans la
dispute sur le baptême des hérétiques était-
il coupable d'erreur? 331. [Voyez aussi 423,
n. 7.] Lettres que saint Denis, évêque d'Ale-
xandrie, lui écrit, 400, 406, 407. Décrétales
qui lui sont faussement attribuées, VI, 87. —
Discours de saint Pierre Damien sur ce pape,
Xlll, 308, 309.
ETIENNE, élu pape après la mort de saint
Zacharie. N'ayant point été sacré, parce
qu'il mourut le quatrième jour après son
élection, il n'est point compté entre les papes,
XII, 112.
ETIENNE II, élu pape après la mort de '52.
saint Zacharie et d'un autre Etienne qui
n'est point compté parmi les papes. Il fait
la paix avec Astolphe, roi des Lombards, •
qui peu après recommence les hostilités. Ne
pouvant obtenir de secours de l'empereur
d'Orient, il en demande au roi Pépin et passe
en France, XII, 112. — Il sacre Pépin et ses '^3.
deux fils avec la reine Bertrade, 112 et 113.
Astolphe ayant été obligé de faire la paix, 754.
Etienne retourne à Rome. 11 est assiégé dans
Rome et délivré par les troupes de Pépin 755.
qui soumettent les villes qu'il réclamait et
dont il lui fait donation. Après la mort d'As-
tolphe, il fait reconnaître Didier roi des
Lombards avec lequel il s'arrange, 111.
Mort d'Etienne, 113. Ses lettres, 113 et 114. 757.
Privilèges qu'il accorde à différents monas-
tères, 114. Ses réponses à diverses questions
qui lui fureutfaites à l'assemblée deQuercy-
sur-Oise, 114 et 113. Jugementsur son style.
[Ses écrits dans la Patrologie. On a de lui
treize lettres, une autre lettre sur une vision
et dix-neuf canons, H3.] Lettres que lui
écrit saint Boniface de Mayence, SI.
ETIENNE III, pape, succède à Paul I", 7G8.
après une assez longue vacance du Saint-
Siège successivement occupé par deux usur-
pateurs. Son éloge. Ses lettres au roi Pépin
et aux princes ses enfants, XII, 117. Il tient
un concile où l'antipape Constantin est dé-
posé, 117 et H8. Ses lettres au sujet de l'or-
dination de Michel, usurpateur du siège de
Ravenne. Ses lettres aux princes français
pour les détourner de l'alliance avec les
princes lombards. Autre lettre que le roi
Didier l'obligea d'écrire contre Dodon, 118.
Sa mort, 119. Jugements sur les lettres
d'Etienne, 111. [Éditions de ces lettres, 119.]
ETIENNE IV, pape, succède à saint Léon III sie.
et ne siège que sept mois, XII, 402. — [Sa
bulle pour le monastère de Farfa, 402.]
ETIENNE V, pape, succède à Adrien III, 885.
XII, 631. Sa lettre à l'empereur Basile, en
réponse à celle que ce prince avait écrite à
Adrien, 631 et 632. Lettre que Stylien, mé-
tropolitain de Césarée, lui écrit au sujet de
Photius. Réponse du pape. Sa lettre à
Robert, évêque de Metz, 632, à Foulques de
Reims et à quelques autres évêques de
France, 632 et 633. Il abolit l'impôt mis sur
les prêtres qui célébraient tous les jours
dans l'église de Saint-Pierre. Son discours
contre les immodesties qui se commettaient
à l'église. Sa mort, 633. [Lettres de ce pape soi.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
380
dans la Patrologie. Plusieurs sont nouvelles.
Dans une lettre adressée à Wichingus, évê-
que des Slaves, il condamne l'usage de cé-
lébrer les saints mystères en langue sla-
vonne, 653.] Différentes lettres de Foulques
de Reims quilui sont adressées, 706.
896. ETIENNE VI, pape, succède à Boniface,
XII, 739. — Sa lettre à Foulques, arebe-
897. vêque de Reims. Il tient un concile contre
Florence. La faction qui lui était opposée
ayant prévalu, il est étranglé dans une pri-
son. Ses deux lettres, l'une à Aruuste, l'autre
à Héribert, tous deux archevêques de Nar-
bonne, 7-40. [Édition de ces deux lettres dans
la Patrologie où elles sont suivies d'un privi-
lège, 740. [Lettres de Foulques de Reims qui
lui sont adressées, 708. Sa Vie écrite par
Guillaume, bibliothécaire de l'Église ro-
maine, XIIÏ, 344. — Concile qu'il assemble
à Rome pour faire le procès à Formose son
prédécesseur, 737. Cette procédure annulée
par un autre concile, 738.
ETIENNE VII , pape , successeur de
Léon VI. Il tient le Saint-Siège deux ans,
XII, 745. [On a de lui deux privilèges, 745.]
942. ETIENNE VIII, pape, succède à Léon VII.
Ses lettres aux seigneurs de France qui re-
fusaient de reconnaître Louis d'Outre-Mer,
XII, 829. [Deux privilèges accordés par
Etienne VIII, 829, note 3.]
ETIENNE IX, pape, nommé auparavant
Frédéric, était frère de Godefroi, duc de Lor-
raine, XIII, 241 et suiv. Léon IX l'emmène
en Italie et le fait chancelier de l'Église ro-
maine, 241. m'envoie àConstantinople avec
le cardinal Humbert en qualité de légat,
206, 215 et 241. A son retour de Constanti-
nople, ayant trouvé l'empereur indisposé
contre lui, il se fait moine au Mont-Gassin et
après il en est élu abbé. Le pape Victor II le
fait cardinal. Il lui succède et prend le nom
d'Etienne IV. Il va au Mont-Cassin et fait
élire Didier abbé à sa place. Légation qu'il
envoie à Constantinople, 241. Ses prépa-
ratifs contre les Normands, 241 et 242. Sa
1058. mort. Ses deux lettres, l'une à Gervais, ar-
chevêque de Reims, l'autre à Pandulfe, évo-
que de Marsi, 242. [Recueil des lettres
d'Etienne IX dans la Patrologie au nombre
de huit- Analyse de ces pièces, 242.] (Voyez
son article dans VHistoire littéraire de la
France, tome VII, page 480 et suiv.)
IV siècle. ETIENNE, chorévêque dans la Cappadoce,
au concile de Néocésarée, II, 640.
[ETIENNE à qui Eusèbe de Césarée
1055.
1057.
adresse les deux premiers livres des Ques-
tions et solutions évangéliques, III, 243.]
ETIENNE I", évoque arien d'Antioche.
Fragment historique attribué à saint Atha-
nase au sujet de cet évêque, IV, 172. —
Témoignage de Théodoret, X, 43.
ETIENNE II, évêque d'Antioche, à la place
de Pierre le Foulon, X, 717. — Accusé de
nestorianisme, il est justifié au concile de
Laodicée, 718. Tué par les Eutychiens, 407
et 718.
ETIENNE III, évêque d'Antioche, élu
pour succéder au précédent, est ordonné à
Constanlinople. Sa mort, X, 407.
ETIENNE, archevêque de Mauritanie, à
qui est adressée une lettre sous le nom de
saint Basile, IV, 22, 23.
ETIENNE DE LYBIE. Ce qui en est dit
dans 1 Histoire lausiaquedePallade, V1I,489.
ETIENNE , évêque d'Hiéraple, assemble
les èvêqiies de la province et ordonne Sabi-
nien évêque de Perrha, X, 667.
ETIENNE, évêque d'Éphèse, consent au
rétablissement d'Eutychès, X, 678. Souscrit
à la condamnation de Flavien et d'Eusèbe,
679. Ses plaintes au concile de Chalcédoine
contre le concile d'Éphèse, 685. Il souscrit
à la condamnation de Diosçore, 688. Son
différend avec Bassien qui prétendait au
même siège, 666. Cette alïaire est traitée au
concile de Chalcédoine, 694, 695. Quelques
manuscrits le font rédacteur du Code des
canons de l'Église grecque, 696.
ETIENNE, évêque de Lyon. Lettre que lui
écrit saint Avit, X, 559, 568.
ETIENNE BARSUDAILI. Lettre que lui
écrit saint Jacques, évêque de Batna, X,
641, 642.
ETIENNE, évêque de Larissa. Ses plaintes
examinées dans un concile de Constanti-
nople, XI, 114, 115. — Il est déposé, 841.
Concile assemblé à Rome à son sujet, 841
et 842.
ETIENNE, évêque de Salone à qui Denis
le Petit adresse son Code de canons, XI, 122.
ETIENNE, diacre, l'un des auteurs de la
Vie de saint Césaire, évêque d'Arles, XI,
128. (Voyez ce qui est dit de lui dans VHis-
toire littéraire de la France, tome III, p. 242.)
ETIENNE, prêtre venu d'Afrique dans les
Gaules, est chargé par saint Aunaire, évêque
d'Auxerre, d'écrire la vie de saint Amateur
et celle de saint Germain, XI, 323, 324. Il
compose celle de saint Amateur que les
Bollaudistes ont donnée. On ne sait s'il a
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
381
également écrit celle de saint Germain, 324.
ETIENNE, accusé et convaincu d'inceste
avec Palladia au concile de Lyon, XI, 817 ,
818.
ETIENNE, envoyé en Sicile en qualité de
cartulaire par le pape saint Grégoire le
Grand, XI, 488.
ETIENNE, gendre de Raymond, comte de
Toulouse. Plaintes contre lui, XIII, 697.
ETIENNE, évêque de Népi, l'un des légats
du pape Adrien II au quatrième concile de
Constantinple, XIII, 70i et suiv.
ETIENNE, diacre et notaire. Ses fonctions
au quatrième concile de Constantinople,
XIII, 706 et 708.
ETIENNE, abbé de Lérins, XI, 506.
ETIENNE, évêque d'Espagne déposé, porte
ses plaintes à saint Grégoire qui envoie un
député pour juger celte affaire, XI, 532.
ETIENNE, évêque de Dore, envoyé par
Sophrone de Jérusalem au pape Honorius
pour animer son zèle contre les Monotlié-
lites, XI, 705, et XII, 924. — Il assiste au
concile de Latran, où le Monotbélisme est
anathématisé, XII, 926. Requête qu'il pré-
sente au concile, 927. — Il fut légat du
siège apostolique sous le pape Théodore,
XI, 750.
ETIENNE HEDDI, moine de Gantorbéry.
Ce qu'on sait des circonstances de sa vie. Il
écrit la Vie de saint "Wilfrid dont il avait été
le disciple, et celles de Gâta ou Céadda et
de Tumbert, XII, 22.
ETIENNE LE JEUNE (Saint), abbé du
Mont-Saint-Auxence, qui répandit son sang
pour la défense du culte des images sous
Constantin Copronyme, XII, 322 et suiv. Sa
Vie écrite par Etienne de Byzance et altérée
par Métaphraste, 322. [Édition de cette Vie
dans la Patrologie, 322.] Analyse de cette
Vie, 322 et suiv. Mort du saint abbé, 324.
Sa Vie n'est pas de saint Jean Damascène, 87.
ETIENNE DE BYZANCE, auteur de la Vie
'^'''- de saint Etienne martyr sous Copronyme,
XII, 322. Analyse de cette Vie qui est l'ori-
ginale, gâtée par Métaphraste, 322 et suiv.
[ETIENNE, évêque de Cahors. Le pape
Pascal lui écrit, XII, 403.]
ETIENNE, secondicier de l'Église romai-
ne, excommunié dans un concile pour cons-
piration contre le pape Jean VIII, XII, 649
et suiv.
ETIENNE SYNCELLE, frère de l'empe-
reur Léon VI, est fait patriarche de Cons-
tantinople à la place de Photius, XII, 721.
Lettres écrites au pape Etienne Va son sujet.
Réponse du pape, 65. C'est à lui que l'em- 886.
pereur Léon a adressé toutes ses Novelles
sur les matières ecclésiastiques, 774.
ETIENNE, gendre du comte Raymond, seo.
refuse d'habiter avec sa femme. Plaintes de
Raymond au concile de Tousy. Lettre
d'Hincmar aux archevêques de Reims et de
Bordeaux, XII, 678.
ETIENNE, évêque de Tongres ou de 903.
Liège. Ce qu'on sait de sa personne, XII,
785; 786. Sa mort. Ses écrits. C'est le même 920.
que l'anonyme de Molck dit avoir été excel-
lent musicien, 786. Troubles à l'occasion de 920.
l'élection de son successeur, 744. — Son
OtBce de la Sainte Trinité inséré dans
l'Antiphonaire du pape saint Grégoire, XI,
544. (Voyez son article dans VHisluire litté-
raire de la France, t. VI, p. 168 et suiv.)
ETIENNE, évêque du Puy, désigné par
Gui son oncle pour son successeur. H se
fait sacrer d'une manière irrégulière. Il est g9g_
déposé dans un concile tenu par le pape
Grégoire V. On croit qu'il se retira auMont-
Cassin, où il s'occupa à retoucher les Actes
de saint Placide et de ses compagnons, XII,
894. Sa déposition dans le concile de Rome,
764, Voyez son article dans VHistoire lit-
téraire de la France, t. VI, p. 571 et suiv.)
ETIENNE, abbé, disciple de Macaire gso.
d'Antioche, soutient les Monothélites au
sixième concile général, XII, 949. Il est ggj^
chassé de l'assemblée, 950. On le convainc
d'avoir engagé le moine Georges à ajouter
aux Actes du cinquième concile général
plusieurs Actes supposés, 953. Il demande
d'être renvoyé au pape. Il est renfermé
dans un monastère, 955.
ETIENNE (Saint), roi de Hongrie. Sa con-
version, XIII, 145. Il invite saint Gonthier à
venir le voir, 181. [Lois religieuses de ce
prince, 1048, 1049. Son instruction à son
fils sur la manière de bien gouverner, 1049
et suiv. — Le pape Sylvestre II lui écrit,
XII, 909. Analyse de cette lettre, 909 et
910.]
ETIENNE, clerc de l'Éghse d'Orléans, xisiécie.
l'un des deux qui se laissèrent entraîner
par une femme dans l'erreur des Mani-
chéens, XIII, 145. — Il est condamné au
concile d'Orléans comme Manichéen, XIV,
1038.
ETIENNE, cardinal-prêtre, est élu pour ^^^Q^^
succéder au pape Nicolas II ; mais son élec-
tion n'a point d'effet, la cour impériale ne
382
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
l'ayant pas approuvée, XIII, 285. Lettre
que lui écrit saint Pierre Damien , 300.
(Voyez ce qui est dit de lui dans l'Histoire
littéraire de la France, t. VIII, p. 1 et siiiv.)
,053 [ETIENNE, cardinal, défenseur de l'Église
romaine. Ce qu'on sait des circonstances de
sa vie, XIII, 253, 254.]
ETIENNE DE GARLANDE, élu évêque de
Beauvais. Yves de Chartres s'oppose à son
élection, XIV, 91, 92. Lettres qu'il écrit à
son sujet. Son élection est cassée. On élit à
sa place Gualon, abbé de Saint-Quentin,
109.
XI siècle. ETIENNE, abbé de Saint-Laurent à Liège,
auteur de quelques écrits. (Voyez ce qui est
dit de lui dans l'Histoire littéraire de la
France, t. Vil, p. 507 et suiv.)
ETIENNE, abbé de Saint-Airic de Ver-
dun, auteur de quelques écrits. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VUI, p. 39 et suiv.)
ETIENNE, abbé de Saint-Urbain au dio-
cèse de GLâlons-sur-Marne. On a de lui
quelques écrits. [Rondet renvoie ici à un
volume et à des chitl'res fautifs.] (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VlU, p. 61 et suiv.)
logc. ÉTlENNE,comtedeGhartresetdeBlois.Sa
famille. 11 part pour la croisade avec Robert,
duc de Normandie. Devenu chef de l'armée
qui assiégeait Antioche, il s'en sépare et
HOi. revient en France. Il retourne à la croisade
avec Guillaume IX, comte de Poitiers. Il est
tué dans un combat, XIV, 581. Ses Lettres,
581, S87. Constitution par laquelle il abolit
la coutume de piller la maison de l'évêque
de Chartres après sa mort. Donation qu'il
fait à l'abbaye de Marmoutier, 582. Lettre
que lui écrit Yves de Chartres sur ses pré-
tentions, 104.
[ETIENNE , roi d'Angleterre. Le pape
Innocent II lui écrit, XIV, 263.]
[ETIENNE II, évêque d'Autun, Hugues,
archevêque de Rouen, écrit contre lui au
pape Eugène III, XIV, 607.]
ETIENNE II STÉPÉLIN, abbé de Saint-
Jacques de Liège, auteur de quelques écrits.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. IX, p. 522 et suiv.)
ETIENNE, roi d'Angleterre. Concile où
il est reconnu, XIV, 1117.
ETIENNE, grand Jupan de Dalmatie, fait
tenir un concile pour soumettre ses états à
l'obéissance de l'Église romaine, XIV, 1143.
ETIENNE HARDING (Saint), abbé de
U02
H36.
1200.
Citeaux, né en Angleterre oîi il embrasse
la vie monastique, passe en Ecosse, puis en
France, pour suivre le cours de ses études.
Il fait le pèlerinage de Rome, de retour il
s'arrête à Molesme. Il suit Robert etAlbéric
à Citeaux dont il est fait prieur. Il en est
fait abbé après la mort d'Albéric. Il tient
un chapitre général de l'ordre de Citeaux.
Autre chapitre dans lequel il publie la
charte de charité. Bulle du pape Calixte II
qui la confirme. Il se démet du gouverne-
ment de Cîteaux. Sa mort, XIV, 230. [Il a
reçu de l'Église le titre de saint, 230, note
2.] Ses écrits. Ses lettres à Louis le Gros et
au pape Honorius II au sujet d'Etienne de
Sentis, évêque de Paris. Ce que c'est que la
charte de charité. Ce qu'elle contient, 231.
Éditions qu'on en a faites, 232. [Écrits de
saint Etienne dans la Patrologie, 231.]
(Voyez l'article de saint Etienne Harding
dans l'Histoire littéraire de la France, t. XI,
p. 213 et suiv.)
ETIENNE DE BAUGÉ, évêque d'Autun.
Sa vie, XIV, 304. Ses écrits. Traité du Sa-
crement de l'autel, 304 et 305. [Édition de
ce traité dans la Patrologie, 303. Chartes
et privilèges donnés par cet évêque. Édition
de ces écrits dans la Patrologie, 305.] (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. XI, p. 710 et suiv.)
ETIENNE DE SENLIS, évêque de Paris,
encourt la disgrâce du roi Louis le Gros.
Lettre d'Etienne Harding, abbé de Cîteaux,
à son sujet, XIV, 231. Il est attaqué par une
troupe de gens armés, 239. Lettres du pape
Innocent II qui lui sont adressées, 259 et
260. Lettres de saint Bernard à son sujet,
428. [Notices sur Etienne et ses Lettres dans
l& Patrologie, 428, n. 1.] (Voyez ce qui en
est dit dans l'Histoire littéraire de la France,
t. XII, p. 132 et suiv.)
ETIENNE DE PARIS, clerc de Paris, au-
teur d'un Commentaire sur la règle de saint
Benoît. (Voyez ce qui en est dit dans l'His-
toire littér. de la France, t. XII, p. 152 et suiv.)
ETIENNE DE CHALMET, moine de la
Chartreuse des Portes. Sa lettre aux novices
de l'abbaye de Saiut-Sulpice qui voulaient
en sortir pour se faire chartreux, XIV, 401.
(Voyez ce qui est dit de lui dans l'Histoire
littéraire de la France, t. XII, p. 260 et suiv.)
ETIENNE DE ROUEN, moine du Bec,
auteur de quelques écrits. (Voyez ce qui est
dit de lui dans l'Histoire littéraire de la
France, t. Xll, p. 973 et suiv.)
Ui
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
383
ETIENNE D'YORK, abbé de Notre-Dame
d'York, auteur de quelques écrits. (Voyez
son article dans VHistoire littéraire de la
France, t. X, p. 14 et suiv.)
[ÉTIliNNE, évêque de Paris. Geoffroi,
évèqiie de Châlons-sur-Saône, lui adresse
une lettre, XIV, 420. n. 2.]
ETIENNE DE MURET (Saint), instituteur
de l'ordre de Graadmonl, en Limousin, dans
la paroisse de Saint-Sylvestre. Sa naissance,
son père le laisse malade à Bénévent. 11
prend du goût pour la manière de vivre des
religieux de Calabre, et demande au pape
Alexandre II la permission d'établir un
ordi-e dont la règle de vie y fût semblable.
Bulle qu'on prétend qu'il obtint du pape saint
Grégoire VII. Cette bulle est supposée. Preu-
ves, XIV, S75. De retour en sa patrie, il se
retire au désert de Muret, en Limousin, où
il fait sa profession en se consacrant à Dieu,
575 et 576. Formule de sa profession. Sa
manière de vivre. Il l'eçoit quelques disci-
ples. 11 reçoit la visite de deux cardinaux
en France. Sa mort. Le pape Clément III le
met au nombre des saints, 576. Règle de
saint Etienne. Elle est véritablement de lui,
576 et 577. Elle est diJiérente de celle de
saint Benoît, 577. Analyse de cette règle,
577 et 578. Éditions de cette règle, 578.
Maximes et Sentences de saint Etienne, 578
et suiv. Éditions des Maximes, 578. Le livre
intitulé : Doctrine ou Instruction des novices
de Grandmont, n'est pas de lui. Vie de saint
Etienne écrite par Etienne de Lisiac, 380.
[Notice sur saint Etienne, sa vie et ses écrits
dans la Patrologie, 573, note 1.] (On peut
voir sur cet article une lettre d'un religieux
de Grandmont, imprimée dans le dominai de
Verdun en 1766, juillet, p. 37 et suiv. et
août, p. 126 et suiv.) — Fondation de l'or-
dre de Grandmont par saint Etienne, fils du
vicomte de Thiers, Xlll, 333. — [Saint
Etienne de Grandmont canonisé par le pape
Clément III, XIV, 939. [Lettre que ce pape
écrit à ce sujet à Gérald, prieur de Grand-
mont, 939.]
ETIENNE DE LISIAC, quatrième prieur
de Grandmont, écrit la Vie de saint Etienne
de Muret, XIV, 580. (Cela est contredit dans
le Journal de Verdun 1776, août, p. 133.)
[Édition de cette Vie dans la Patrologie, 580.]
ETIENNE DE LANGTON, archevêque de
Cantorbéry. Concile qu'il tient à Lambyt,
XIV, 1148. Ses quatre livres de la Vie de
saint Thomas de Cantorbéry , 679. [Son
élection occasionne de grands démêlés en-
tre Jean, roi d'Angleterre et le pape Inno-
cent III, 1008.]
■ [ETIENNE , abbé de Sainte-Geneviève , 1203.
puis évêque de Tournai. Sa vie, XIV, 877,
878. Il fut disciple de Roger, abbé de Saint-
Euverte, dans le diocèse d'Orléans, 750. Ses
écrits. Son Commentaire sur Gratien, 878.
Ses Lettres. 878 et suiv. Édition de ses
écrits dans la Palrologie, 881.]
ETIENNE (Henri), imprimeur. Son édi-
tion de deux ouvrages de sahit Justin avec
une version latine, I, 445.
ETIENNE (Robert), imprimeur, fils du
précédent. Son édition des œuvres de saint
Justin, 1, 443. — Ses éditions de la Prépa-
ration évangélique; de la Démonstration
évangélique, III, 313; de l'Histoire ecclé-
siastique d'Eusèbe , 315. — Son édition
d'Eusèbe, de Socrate, de Sozomène, de Théo-
dore le Lecteur et d'autres historiens grecs,
XI, 105. Son édition de l'Histoire ecclésiasti-
que d'Évagre,420. — [Sonédition du traitéde
la Trinité de Richard, prieur de Saint-Victor,
XIV, 701.]
ETIENNE (Robert) LE JEUNE, fils du
précédent. Sa traduction française de la
Lettre de saint Grégoire de Nysse sur les
pèlerinages de Jérusalem, VI, 259.
[ETIENNE (Sérénice). Son édition du
livre de la Patience par saint Cyprien, II,
384.]
ÉTINCELLES ou Sentences des Pères or-
thodoxes recueilhes par Défenseur, moine
de Ligugé, XI, 813. — Étincelles ou Lieux
communs sur les vertus et les vices, attri-
bués au Vénérable Bède, Xll, 12. Livre des
Étincelles composé des Sentences des Pères,
ouvrage attribué à Alvar, prêtre de Cordoue,
522.
ÉTOILES. Étoile qui apparut aux Mages.
Ce qu'en pensait Eusèbe, III, 273, 274 ; —
"[saint Éphrem, VI, 453;] — saint Jean
Chrysostôme, VU, 215 et 359. — Tradition
peu fondée que rapporte saint Grégoire de
Tours, XI, 372. — Opuscule sur les Étoiles,
faussement attribué à saint Jean Chrysos-
tôme, VII, 335.
ÉTOLE. Canon d'un concile de Brague
qui défend aux prêtres de célébrer la messe
sans étole, Xll, 941.
ÉTRANGERS. Comment les recevait le
saint abbé Apollon en Egypte, VII, 474.
ÉTRENNES. Discours de saint Astère ivsiôcie.
d'Amasée contre les étrennes, VI, 293. —
384
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
IV siècle. Discours de saint Jean Ghrysostôme contre
les étrennes, VII, 53.
ÊTRES, Discours de saint Augustin sur
les êtres, IX, 169 et 193. — Lettre de Ma-
mertClaudien sur la différence des êtres spi-
rituels et des êtres corporels, X, 354.
iv-siècic. ÉTUDE. Avantage de l'étude des livres
saints sur celle des livres profanes, V, 309.
376. — Loi de Gratien sur les études, VI, 360. —
Sentiment de saint Augustin sur les études,
XII siècle. IX, 26, 27. — Études négligées en Angle-
terre, rétablies par saint Dunstan et saint
Ettielwold, XIII, 59. Plan d'études proposé
à un évêque par Théophylacte, archevêque
d'Acride, 553. — Plan d'études donné à un
jeune homme par Wibalde, abbé de Stavélo,
XIV, 531. Étude des livres profanes. Voyez
Lectures.
ÉTUDIANTS. Traité de la discipline des
étudiants, ouvrage attribué à Boëce, mais
qui certainement n'est pas de lui, X, 664.
ÉTYMOLOGIES. Traité de saint Isidore de
Séville sur les étymologies, XI, 711 et suiv.
309. EUBULE (Saint), martyr de la Palestine,
m, 13.
EUCARPE, ami de saint Nil, solitaire de
Sinaï. Traité à Eucarpe, ouvrage faussement
attribué à saint Nil, VIII, 213.
EUCHARISTICON de saint Ennode, évêque
de Pavie. Ce que c'est, X, 573.
I siècle. EUCHARISTIE. Doctrine [de saint Clé-
ment, pape, sur l'eucharistie, 1, 349, 334] ; [de
saint Aberce. évêque, 449, n. 1] ; de saint
Ignace, 373, 377, 378, 383. [Doctrine de saint
II siècle. Méliton, 454.] Témoignage de saint Justin,
427, 442. Doctrine de saint Irénée, 323.
[Doctrine d'un anonyme, 340, 541 ; d'un au.
III siècle/ tre anonyme, 542.] Doctrine et témoignage
de Clément d Alexandrie, 599, 600, 604. Doc-
trine de saint Hippolyle, 616, 640; — deTer-
tuUien, II, 75, 76 ; d'Origène, [156, 157], 239,
240 [et 647] ; de saint Cyprien, 281, 323,328,
366, 367, 368. Témoignage de saint Deuis
d'Alexandrie, 403, 407, 411, 417. — Témoi-
gnages tirés des Actes de saint Théodote, III,
15; et de saint Saturnin, 20, 21, 22; du
poëte Juvencus, 117; de Macarus Magnés,
IV siècle. 133, [156, n. 1.] Doctrine d'Eusèbe de Césa-
rée, [250], 292, 293. [Au temps d'Eusèbe de
Césaree, on recevait la sainte eucharistie
IV siècle, tous les dimanches, 251.] — Témoignage et
doctrine de saint Hilaire de Poitiers, IV, 73,
76; [de saint Athanase, 154, 155, 157, 154,
372. 161, 162, 165]. Lettre de saint Basile le Grand
à une dame nommée Césarie sur l'usage de
la communion eucharistique, 446, 447. Doc-
trine de saint Basile, 406 et 322 ; — de saint
Cyrille de Jérusalem, V, 73 et suiv. Témoi-
gnage de saint Optât, 136, 137. Doctrine de
saint Pacien, 169, 170; de saint Grégoire de
Nazianze, 329 et suiv. Présence réelle, 329
et suiv. L'eucharistie est un vrai sacrifice ;
qualités de ceux qui l'offrent, 330. Pour qui
offert, 331. Réponse aux objections contre le
dogme de la présence réelle, 332. Cérémo-
nies qui accompagnent la consécration eu- 387.
charistique expliquées par saint Ambroise
dans son Traité des mystères, 462 et suiv.
Preuves de la présence réelle, 463, 464. Doc-
trine de l'auteur des six livres des sacre-
ments attribués à saint Ambroise, 463. Doc. jy ^^^^^
trine de saint Ambroise, 336 et suiv. [Témoi-
gnage de saint Amphiloque, 673. Doctrine et
témoignage de Didyme l'Aveugle, 629 et
631.] — Témoignage et doctrine de saint
Éphrem, VI, 53 et 62 [443, 446, 447, 438 et
suiv., 463, 488, 490, 494, 495, 498, 314.]
Doctrine de saint Grégoire de Nysse, 242 et
suiv. ; de saint Épiphaue, 431 . —Témoignages
de saint Ghrysostôme surl'eucharistie, VII, 3, ^^
44, 71, 72, 81, 82, 112, 187, 196, 232, 247,
248, 299, 314. Sa doctrine, 396 et suiv.; sur
la présence réelle, 396, [733] ; sur le saint sa- ^
orifice, 399, 400 ; sur les dispositions à y ap-
porter, 400, 401. Réponses à quelques ob-
jections de ceux qui nient la présence réelle,
401 et suiv. Doctrine de saint Jean Chrysos-
tôme sur les dispositions à la communion,
403, 404; sur la fréquente communion, 404
et suiv.; sur les communions indignes, 407
et suiv.; sur la liturgie, 409 et suiv. Témoi-
gnage de l'auteur de la lettre à Césaire sous
le nom de saint Jean Ghrysostôme, 140. Té-
moignage de Rufln, 476. Eucharistie, sujet
d'une homélie faussement attribuée à Jean
de Jérusalem, 502. Canon cinquième dans la 4i6j
lettre du pape saint Innocent à Décentius,
évêque d'Eugubio, 319, 520. Traité du Corps
et du Sang de Jésus-Christ, ouvrage fausse-
ment attribué à saint Jérôme, 648. Doctrine iv
et témoignage de saint Jérôme, 373, 611, '=^^^'"''
617, 673 et suiv., 699 et 400. — Doctrine de iv sièci:
saint Maruthas, évêque, auteur syrien, VIII,
3, 4; de saint Gaudence, évêque de Brescia, ivsièci
36, 37 ; de saint Paulin de Noie, 93, 94. Té-
moignage du poëte Prudence, 101. Doctrine rv
de saint Nil, solitaire de Sinaï, 227. Homélie <=t"V *'*"■''
de saint Cyrille d'Alexandrie sur la cène
mystique , 280. Doctrine de saint Cyrille
d'Alexandrie sur l'eucharistie, 337 et suiv.;
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
385
sur l'union avec Jésus-Christ dans l'eucharis-
tie, 341, 342 [et 3S0, 351]; sur les disposi-
tions pour la recevoir, 342, 343; sur les lieux
où l'on doit offrir le sacrifice, 343. On con-
servait l'eucharistie plusieurs jours, 343, 344.
Les fidèles la recevaient dans la main, 344.
[Témoignage d'Eusèbe d'Alexandrie sur l'eu-
charistie, 384.] Un Père de Scélé croyait ne
recevoir en communiant que la figure du
corps de Jésus-Christ; une révélation par-
ticulière le désabuse de son erreur, 402. Doc-
trine de saint Isidore de Péluse sur l'eucha-
ristie, 482, 483. — Doctrine de saint Augus-
tin, IX, 84, 85 et 747. Présence réelle de
Jésus-Christ dans ce sacrement, 240, 247 et
suiv. Les méchants comme les bons reçoivent
le corps de Jésus-Christ, 750, 751. La chair
de Jésus-Christ dans l'eucharistie est ado-
rable; comment les fidèles la mangent, 752.
Réponses à quelques objections que les
adversaires de la présence réelle prétendent
tirer de saint Augustin, 752 et suiv. Com-
ment Jésus-Christ est prêtre et victime dans
l'eucharistie, 760 et suiv. Le sacrifice n'est
dû qu'à Dieu seul, 762, 763. Figure et pro-
phétie du sacrifice de l'eucharistie, 763, 764.
Sacrifices et prières pour les morts, 764 et
suiv. Cérémonies du saint sacrifice, 766 et
suiv. Fréquente communion, 768, 769. Dis-
positions pour recevoir l'eucharistie, 769,
770. Doit- on la donner aux pécheurs oc-
cultes? 770. Nécessité de l'eucharistie, 771,
772. [Sermon de saint Augustin sur le sacre-
ment de l'autel adressé aux enfants, c'est-à-
dire aux néophytes, 829, 830. Autre du
même sur le même sujet, 830, 831. Ce que
saint Augustin dit de l'eucharistie dans
d'autres termes, 837, 838, 842. Sermon de
saint Augustin sur ces paroles : Celui qui
mange ma chair et boit mon sang, 841.] —
Doctrine de saint Pierre Chrysologue sur le
sacrement d'eucharistie, X, 13. Doctrine et
témoignage de Théodoret, 124 et suiv. Solu-
tion des objections que les sacramentaires
prennent de divers passages de Théodoret
sur la présence réelle, 125 et suiv. Doctrine
du pape saint Léon sur le sacrement d'eu-
charistie, 259. Eucharistie profanée par les
Ariens dans l'Afrique, 451. Explication d'un
passage du pape saint Gela se sur l'eucharis-
tie, 510. Doctrine de Gennade de Marseille,
605. Témoignage' de saint Jacques, évêque
de Batna, 642 ; [de Jean, évêque de Téla,
643.] — Saint Fulgence prouve contre les
Ariens que le sacrifice de l'eucharistie est
ÏAB. I.
offert en l'honneur de toute la sainte Trinité,
quoiqu'on l'adresse nommément au Père, XI,
14, 15. Saint Fulgence répond à une ques-
tion qui lui avait été proposée sur le calice
présenté deux fois à Jésus-Christ par ses dis-
ciples, 41 . Doctrine de saint Césaire d'Arles,
135, 137, 144, 145. Témoignage de Jobius,
moine d Orient, 183; et de Cosme d'Egypte,
189. [Témoignage de Théodose, patriarche
d'Alexandrie, sur la présence réelle, 193,
n. 1.] Doctrine de Cassiodore, 250. Passage
de Facundus sur l'eucharistie, 293. Passage
d'Origène, 293, 294. [Passage de Timothée,
patriarche monophysite d'Alexandrie, sur lu
présence réelle, 303, n. 1.] Témoignage de
la Liturgie de saint Gei'main, 309 et suiv. Té-
moignage de saint Véron, évêque de Cavail-
lon, 323. Témoignage de saint Grégoire de
Tours sur un enfant juif qui avait participé
à la sainte eucharistie, 373. Le même fait
rapporté parEvagre, 419. Autres témoigna-
ges de saint Grégoire de Tours sur l'eucha-
ristie, 390, 391. [Doctrine de saint Eutychius,
patriarche de Constantinople, 353, 354, 356.
Témoignage de saint Athanase, patriarche
d'Alexandrie, rapporté par saint Eutychius,
353. Témoignage de saint Grégoire, pa-
triarche d'Anlioche, 359. Témoignage de Lu-
culentius, 633, n. 6.] Dans les premiers siè-
cles, on donnait aux jeunes enfants les restes
de l'eucharistie, 373 et 390. Doctrine du pape
saint Grégoire sur l'eucharistie, 567 et suiv.
De son temps on portait l'eucharistie en
voyage; on la donnait aux mourants en via-
tique, on la mettait sur la poitrine des morts,
et on l'enterrait avec eux, 569. Témoignages
d'Anastase Sinaïte, 596, 597, 598, 599, 604,
606, 607. Témoignages d'Hésychius, prêtre
de Jérusalem, 655, 656; de saint Jean Cli-
maque, 686; [de saint Sophrone de Jérusa-
lem, 707 et suiv.] ; de saint Isidore de SéviUe,
717 ; de l'auteur des homélies attribuées à
saintÉloi, 755. [Doctrine de Braulion, évêque
de Saragosse, sur la présence réeUe, 729.
Doctrine de Pierre de Laodicée sur l'eucha-
ristie, 788.] — Doctrine du Vénérable Bède,
XII, 16, 17; d'un auteur anonyme, 84, 85 ;
de saint Jean Damascène, 94, 95;d'Ambroise
Autpert, 121,122; d'Alcuin, 205,211; du
prêtre Béatus, 216 ; de Théodulphe, évêque
d'Orléans, 266, 270; [de saint Nicéphore, pa-
triarche de Constantinople, 291]; de saint
Théodore Studite, 301, 308, [313] ; du prêtre
Amalaire, 347 et suiv.; de Walfrid Strabon^
413 ; de Chrétien Druthmar, 421, 422. Traité
25
386
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
d'Haimon d'Halberstadt sur l'eucbaristie, in-
titulé : Du corpsetda sang du Seigneur ; ana-
lyse de ce qui nous reste de cet ouvrage,
437, 438. Doctrine de Raban Maur sur l'eu-
charistie, 434, 460, 461 , 474, 475. Témoignage
et doctrine de Florus, diacre de Lyon, sur
l'eucharistie, 480 et suiv. Réponse à une dif-
ficulté des calvinistes prise d'une expression
de Florus, 482. Sentiments d'Amalaire com-
battus par Florus, 484. Doctrine de saint Pas-
chase Radbert sur l'eucharistie, S30, 531. Son
livre du Corps et du Sang de Jésus-Christ,
533 et suiv. Sa lettre à Frudegar sur le même
mystère, 542, 343. Passages de saint Augus-
tin sur l'eucharistie expliqués par saint Pas-
IX siècle, chase, 543. Différents traités anonymes sur
l'eucharistie composés dans leix°siècle àl'oc-
casion du traité de saint Paschase Radbert du
Corps et du Sang de Jésus-Christ, 549 et suiv.
Traité de l'eucharistie par Ratramne; con-
trariété de sentiments sur l'auteur de ce
livre ; raisons qui prouvent qu'il est vérita-
blement de Ratramne, 556. Analyse de ce
traité, 556 et suiv. Différentes éditions et tra-
ductions qu'on en a faites, 561. Traité de
Jean Scot s'ur l'eucharistie ; il n'est pas venu
jusqu'à nous, 607. Témoignage de Hincmar
de Reims, 666; de Réginon, abbé de Prum,
771. Hymne de saint Odon, abbé de Cluny,
sur l'eucharistie, 809. Témoignage deRathé-
rias de Vérone, 851, Sa lettre sur l'eucha-
ristie, 834 et 859. Traité de Gerbert, intitulé :
Du corps et du sang du Seigneur ; misons qui
prouvent qu'il en est véritablement l'auteur ;
idée de cet ouvrage, 904. — Il a toujours été
d'usage dansl'Église grecque et dans l'Église
latine de l'éserver l'eucharistie pour les ma-
lades, XIII, 7 et 11. Témoignages des Églises
X siècle, des Gaules sur l'eucharistie, 9 et 10. Traité
de Gézon, abbé de Tortone, intitulé : Du
corps et du sang de Jésus-Christ, 19, 20. Ana-
lyse, 20. Traité d'Hériger, abbé de Lobes,
intitulé : Du corps et du sang du Seigneur; il
n'a pas encore été imprimé, 38. Témoignage
de saint Alfric, archevêque de Cantorbéry,
53. Erreur sur l'eucharistie, en Angleterre,
détruite par un miracle, 60. Doctrine de
saint Fulbert de Chartres sur l'eucharistie,
80 et 88. De sou temps, l'usage était, dans
quelques églises, de donner à un prêtre à
son ordination une hostie consacrée qu'il de-
vait consommer dans l'espace de quarante
1025. jours; raison de cet usage, 80, 81. Témoi-
gnage de Rodolphe Glaber snr l'eucharistie,
146. Erreurs des Manichéens sur l'eucharis-
tie, réfutées au concile d'Arras par Gérard,
évêque de Cambrai, 161, 162. Décret de ce
concile, 162. Profession de foi sur l'eucha-
ristie, 169, 170. Erreurs de Bérenger sur
l'eucharistie, 172 et suiv.; réfutées par Hu-
gues, évêque de Langres, dans son traité du
Corps etduSangde Jésus-Christ, 163 et suiv.;
réfutées par plusieurs autres et condamnées
en différents conciles, 167 et suiv. (Voyez
l'article de Bérenger.) Témoignage de Si-
méon le Jeune sur l'eucharistie, 227, 228 ;
d'Adelmamn, écolâtre de Liège, 235, 236.
Témoignage d'Ascelin, moine du Bec, 238.
Profession de foi des Églises de Normandie
sur l'eucharistie, contre les erreurs de Bé-
renger, 267. Différentes erreurs répandues
dans le xi" siècle sur l'eucharistie, 269. Té-
moignage d'un anonyme sur l'eucharistie,
269 et 270. Témoignage de Théoduin, évê-
que de Liège, 274 ; de Brunon, évêque d'An-
gers, 275 ; de saint Pierre Damien, 318 et
320. Témoignage d'un concile de Rome sous
saint Grégoire VII, 367. Petit traité en forme
de lettre de l'ermite saint Anastase sur l'eu-
charistie, 408, 409. Témoignage d'un con-
cile de Plaisance, 430. Traité du Corps et du
sang du Seigneur, ouvrage de Laufrancqui y
réfute les erreurs de Bérenger sur l'eucha-
ristie, 443. Analyse, 443 et suiv. Éditions
qu'on en a faites, 448. Témoignage et doc-
trine de Lanfranc sur l'eucharistie, 446, 447
et 454, 437. Traité de Durand, abbé de
Troarn, contre Bérenger, 459 et suiv. Poëme
du même, 461. Traité du Sacrement de l'au-
tel, contre Bérenger, par Wolphelme, abbé
de Bruuwiller, 484. Traité du Corps et du
Sang du Seigneur, contre Bérenger, par le
cardinal Albéric, 494. De la vérité du corps
et du sang de Jésus-Christ dans l'eucharis-
tie, ouvrage de Guitmond contre Bérenger,
517 et suiv. Doctrine de Théophylacte, ar-
chevêque d'Acride, sur l'eucharistie, 337,
558. fCe que Bonizon, évêque de Scutri, dit
de l'eucharistie, 563.] Traité de Nicolas, évê-
que de Méthone en Morée, du Corps et du
Sang de Jésiis-Christ, 571, 572. Dispute de
Samonas sur l'eucharistie, 572, 373. Témoi-
gnage que renferme un écrit qui fut lu dans
le second concile de Nicée, 625, 626. —
Lettre de saint Anselme, XIV, 33. Sa doc-
trine sur ce mystère, 40. Doctrine du B.
Odon, évêque de Cambrai,*73, 74. Partie du
Décret d'Yves de Chartres dans laquelle il est
question de l'eucharistie, 95. Autres témoi-
gnages du même, 121, 122. Doctrine d'Euthy-
413.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
387
mius Zigabène sur la présence réelle, ISO,
153, 134. Lettre dans laquelle Zonare dit
qu'on ne doit point trop approfondir l'eu-
cliaristie, 137. Son sentiment sur l'eucharis-
tie, 138, 139. Traité du Corps et du Sang de
Jésus-Clirist, par Geofifroy de Vendôme, 166.
Traité du même sur le baptême, la confir-
malion, l'eucharistie et l'extrême-onction,
168. Témoignage de Francon, abbé d'AfUig-
hem, 190, 191. [Fragment de Guillaume de
Champeaux sur l'eucharistie, oùFauteur re-
connaît le dogme de la présence réelle et
parle de la pratique de l'Église dans l'admi-
nislration de ce sacrement, 193, 194.] Traité
de Guibert de Nogent : Du Morceau donné à
Judas et de la vérité du corps du Seigneur,
196, 197. Antres témoignages du même, 197,
198, 199. Sentiment d'Hildebert, évêque du
Mans, sur l'usage de tremper l'eucharistie
dans le précieux sang pour la communion ;
et sur l'action d'un prêtre qui avait célébré
la messe avec du pain fermenté, 211. Doc-
trine du Vénérable Hildebert, 215. Son traité
du sacrement de l'autel, 220; et son poème
sur le sacrement de l'autel, 221. Témoignage
d'Arnulphe, évêque de Rochester, 236, 237.
On justifie Rupert, abbé de Tuy, relative-
ment aux reproches qu'on lui faisait sur sa
doctrine sur l'eucharistie, 290, 291. [Ce
qu'Honoré d'Autun dit de la présence réelle,
296. Eucharisiicon, ouvrage d'Honoré d'Au-
tun ; c'est une exposition de la croyance de
l'Église sur l'eucharistie, 297. Honoré s'ex-
prime très-correctement sur le dogme de la
présence réelle et sur celui de la transsubs-
tantiation, 297 et 298.] Doctrine d'Abaillard
sur l'eucharistie, 330. Lettre de Gilbert de la
Porrée sur l'eucharistie, 344. Traité de l'abbé
Abandus de la fraction du corps de Jésus-
Christ, 343. Témoignage de Robert Paululus,
337 ; de Hugues de Saint- Victor, 360 ; de
Hugues Métellus, 366, 367. Traité d'Alger,
diacre et scolastique de Liège, sur l'eucha-
ristie, 379 et suiv. Éloge que plusieurs au-
teurs en ont fait, 379 et 380. Analyse de ce
traité, 380 et suiv. Traité de Guillaume, abbé
de Saint-Thierry, intitulé : Du Sacrement de
l'autel, 389, 390. Lettre du même sur l'eu-
charistie, 390. Témoignage de Robert Pul-
lus, 393, 393, 398, 399; d'Anselme, évêque
d'Havelburg, 413, 416. Réponse de saint
Bernard, consulté par Gui, abbé de Trois-
Fontaines, qui, célébrant la messe, n'avait
consacré que de l'eau, les ministres n'ayant
pas mis de vin dans le calice, 431, 432. Doc-
trine de saint Bernard, 487. Sermon attribué
à saintBernardtouchant l'excellence du saint
sacrement et la dignité des prêtres, 492. Mi-
racles de saint Bernard opérés par l'eucha-
ristie, 494. Témoignage de Pierre le Véné-
rable, 320, 321, 323. Plusieurs miracles qui
regardaient l'eucharistie rapportés par lui,
522. Doctrine de Pierre Lombard sur l'eu-
charistie, 363, 364 ; de Pierre de Poitiers,
569. Doctrine de Godefroy, abbé des Monts,
588. Expressions de sainte Hildegarde, 593,
594. Erreurs de Folmar, prévôt de Triens-
tein en Franconie, 631 ; réfutées par Géroch,
prévôt de Reichersperg, 631 et 632 ; et par
Arnon, frère de Géroch, 633. Doctrine de
Pierre de Celle sur l'eucharistie, 681. [Gau_
thier, chanoine de Saint-Victor, rejette plu-
sieurs locutionsdesscholastiques surFcucha-
ristie, 742.] Comment Raoul de Lisieux s'expri-
me sur ce mystère, 758. Doctrine contenue
dans le Décret de Gratien, 762. Traité de l'Eu-
charistie, poëme de Pierre de Biois ; ce qu'il
contient de remarquable, 782. Doctrine du
pape Innocent III, 1014. Traité de ce pape sur
l'eucharistie, 1014 et suiv. Doctrine de Guil-
laume d'Auvergne, 1023. — Canons apostoli-
ques,II, 560et suiv. — Canon quatorzième du
concile de Laodicée, III, 510. Canon qua-
rante-neuvième, 513. — Règles de saint Ba-
sile, IV, 406. Canon troisième du concile de
Saragosse , 613. — Règlements de Timo-
thée, évêque d'Alexandrie, V, 94. — Canon
cinquième dans la lettre du pape saint Inno-
cent à Décentius, évêque d'Eugubio, VII,
319, 320. Canon cinquième du concile d'Hip-
pone, 714. Canon du troisième concile de
Garthage, 720. Canon vingt-quatrième, 721,
722. — Canon dix-huitième du sixième con-
cile de Garthage, VIII, 365. Conjectures sur
un canon du concile d'Orange où il est parlé
de l'eucharistie, 607. — Règlement du pape
saint Félix III, X, 721. — Témoignage d'A-
malaire, archevêque de Trêves, XII, 222.
Article d'un capitulaire de Charlemagne,
241. Canon d'un Pénitenliel, 246. Témoi-
gnage de Maxence, patriarche d'Aquilée,
251 ; de Leidrade, archevêque de Lyon, 232;
de Théodulphe, évêque d'Orléans, 267 ; de
saint Théodore Studite, 308 ; de Jessé, évê-
que d'Ajniens , 338. Règlement de saint
Raoul, archevêque de Bourges, 554. Règle-
ment du pape saint Nicolas I", 383. Canon
du deuxième concile de Tolède, 941. Ca-
nons d'un concile de Brague, 941, 942. Ca-
nons du concile Quinisexte ou in Trullo, 963,
388
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
413.
«2, «3.
Avant 441,
449.
964. Canon du seizième concile de Tolède,
965. — Témoignage de Gérard, prctred'Augs-
bourg, XIII, 55. Origine de l'élévation à la
messe, 175. Usages de Cluny relativement à
l'eucharistie, 473, 474. Statuts du monastère
de Saint-Bénigne de Dijon et de celui d'Hir-
sauge, 479. Canon d'un concile de Tours,
646 ; d'un concile de Châlon-sur-Saôue ,
648 ; d'un concile de Celchyte, 653. Lois
d'Edgar, roi d'Angleterre, 756, 757. — Té-
moignage d'Hildebert, évoque du Mans, XIV,
221 ; de Marbode, évêque de Rennes, 228 ;
d'Arnulphe, évêque de Rochester, 237; de
Gilbert de la Porrée, 344 ; de Hugues de
Saint-Victor, 360 ; de Robert Pullus, 398. Ca-
non du quatrième concile de Latran qui
oblige les fidèles à recevoir l'eucharistie à la
fête de Pâques, 1166. Canons de divers con-
ciles de Londres, 1114, 1135, 1146. Décret
d'un concile de Lombers, 1136.
EUCHARISTIQUE, poëme ainsi intitulé,
ouvrage de Paulin le Pénitent, VIII, 99, 100.
EUCHARIUS , défenseur ^ de l'Église de
Constantinople. Le concile d'Éphèse lui donne
avis de la déposition de Nestorius, VIII, 579.
EUCHER. Lettre de saint Paulus, évêque
de Noie à Eucber et à Galla sa femme, VIII, 81 .
EUCHER, archevêque de Lyon. Son ori-
gine; son mariage, ses enfants; il quitte le
monde, VIII, 442. Son union avec saint Ho-
norât, saint Paulin et saint Hilaire, 442 et
443. Il est fait archevêque de Lyon; sa mort,
443. Ses écrits, 443 et suiv. L'Éloge du dé-
sert; analyse de ce traité, 443, 444. Analyse
du traité du Mépris du monde, 444 et suiv.
Traité des Formules, 447. [On doit distinguer
trois traités des formules : le traité des
Gloses ou formules mineures ; celui des for-
mules majeures et celui des formules ; ce
dernier n'est pas de saint Eucher, 448. D. Pi-
tra a publié le traité des Gloses ou formules
mineures, 449.] Institutions à Salone ; ana-
lyse des deux livres qui le composent, 449 et
suiv. Actes du martyre de saint Maurice, 451,
452. Abrégé de Cassien ; autres écrits de
saint Eucher, 452. Commentaire sur la Ge-
nèse qui lui est attribué, 452 et 453; sur les
livres des Rois ; lettres à Pbilon et* à Faustus,
453. Homélies de saint Eucher, 453 et suiv.
Autres discours qui lui sont attribués; au-
tres écrits dont on le fait auteur, 455. Édi-
tions de ses écrits, 455 et 456. [Autres édi-
tions et traductions, 456.] — Saint Eucher a
recueilli les Actes du martyre de saint Mau-
rice, II, 471. — Analyse d'une lettre que lui
a écrite saint Hilaire d'Arles, VIII, 438. Il est
mis par Claudien Mamert au nombre des an-
ciens docteurs de l'Église, 453. — Sa consi-
dération pourSalvien, prêtre de Marseille ; il
luiconfiel'éducationdesesdeuxfils Salone et
Véran, X, 359. Lettre de Salvien à saint Eu-
cher, 376. (Voyez l'article de saint Eucher
dans VHistoire littéraire de la Finance, t. II,
p. 275etsuiv., et le Supplément, t. V, p. xj.)
EUCHER, fils de Stilicon, se réfugie dans
une église de Rome. L'empereur Honorius
le lait mourir, VIII, 514.
EUCHER. Lettre de saint Sidoine Apolli-
naire qui lui est adressée, VIII, 386.
EUCHER (Saint), évêque d'Orléans. Dis-
cours de Thierry, abbé de Saint-Trond, sur
la translation de ses reliques, XIII, 598.
[EUGHÉRIE (Sainte). Sa Vie et les saints
pèlerinages qu'elle fait, par l'abbé saint
Valère, XI, 734, 735.]
EUCHITES, sorte de Manichéens, dont
parle Théodoret, X, 53.
EUCOLE veut assassiner Macédonius, pa-
triarche de Constantinople, X, 488.
EUCOLOGE. Livre à l'usage de l'Église
grecque qui répond au Rituel de l'Église la-
tine. DiËférentes éditions et traductions qu'on
en a faites, 137. Détail de ce qu'il contient,
137 et 138.
EUCRACE, évêque deThènes, en Afrique,
consulte saint Cyprien. Lettre de saint Cy-
prien à Eucrace, II, 293.
EUDEMAIRE. Sa traduction française des
Lettres de saint Ignace, martyr, I, 388.
EUDÈME, évêque de Patare, IV, 475.
EUDE, abbé de Glanfeuil. Voyez Odon.
EUDES, sacré roi de France par W^au-
thier, archevêque de Sens, XII, 707.
EUDES ou OTTON, évêque d'Ostie. Voyez
Urbain II, pape.
EUDES, sénéchal de Normandie. Lettre
que lui écrit Yves de Chartres, XIV, 102.
[EUDOXE, à qui saint Sérapion, évêque
de Tmuis, écrit, IV, 336.]
EUDOXE, évêque de Germanicie, s'em-
pare de l'église d'Antioche. Il y tient un
concile, IV, 550. Il est mis par les Acaciens
sur le siège de Constantinople. Il y célèbre
la dédicace de Sainte-Sophie, 580. — Let-
tre de l'empereur Constance à l'Église d'An-
tioche, VI, 345, 346. — Témoignage de
Socrate sur Eudoxe, VHI, 518. — Témoi-
gnage de Théodoret, X, 45. — Comment
saint Grégoire a pu dire qu'il ne connaissait
pas cet Eudoxe, XI, 507.
m siècle.
358.
360.
IV siècle.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
389
V siècle. EUDOXE, rhéteur. Lettres que lui écrivit
saint Grégoire de Nazianze, V, 23S et 258.
V. 398. EUDOXE, abbé. Lettre que lui écrivit
saint Augustin, IX, 82.
[EUDOXE, philosophe, paraît être le
même qu'Eudoxe, évéque de Germanicie.
Fragments de ses Commentaires sur plu-
sieurs livres de l'Ancien Testament et sur
l'Incarnation, VI, 333.]
«s. EUDOXIE, impératrice, épouse d'Arcade,
choquée d'un discours de saint Jean Chry-
sostôme, soutient ses ennemis. Elle obtient
son rappel et lui écrit, VII, 6. Elle s'irrite
de nouveau contre lui et veut le chasser à
l'occasion de la dédicace d'une statue, 6 et
8. Un évêque la menace de la colère de
Dieu, 8. [Lettre de saint Jean Chrysostôme
à cette princesse, 732.] — Saint Chrysostôme
comparait cette princesse à Jézabel, V, 242.
— Elle ne fut point excommuniée par le
pape saint Innocent, VII, S27.
421. EUDOXIE ou EUDOCIE, nommée d'abord
Athénaïs, épouse l'empereur Théodose le
450. Jeune. Elle prend le parti des Eutychiens.
456. Elle se réunit à l'Éghse catholique, VIII,
460. 475. Ses différentes fondations ; sa mort, 473.
Ses poésies, 473 et 476. De qui Eudoxie
était fille, 476. — Témoignage de Photius,
sur les ouvrages de cette princesse, III, 96.
Remarque sur les poèmes de cette prin-
cesse sur saint Cyprien d'Antioche, 96 et
453. XII, 722. — Lettre que lui écrit le pape saint
Léon pour la retirer du schisme. Autre let-
tre où ce saint l'exhorte à employer son
pouvoir à ramener les moines à la foi ca-
tholique, X, 228. — Elle envoie de Jérusa-
lem à Pulchérie le portrait de la Sainte
Vierge peint par saint Luc, XI, 104. [Dans
la table du X° volume de cette édition on a
reproduit l'erreur de dom CeiUier qui con-
fond dans la table du XIV volume Eudoxie,
femme de Théodose le Jeune avec Eudoxie,
femme de Valentinien.]
455. EUDOXIE, épouse de Valentinien lil, vient
avec lui à Rome pour visiter les églises de
cette ville. Saint Léon lui persuade d'écrire
à l'empereur Théodose le Jeune, son père,
sur les troubles de l'Église, X, 217. Deve-
nue veuve, elle se trouve oMigée d'épouser
Maxime et appelle Genséric en Italie, 176.
[Eudoxie est la même qu'Eudoxia, qu'on a
eu tort ensuivant domCeilher de distinguer
dans la table du X' volume de la nouvelle
édition.]
EUGENDE (Saint), quatrième abbé de
V. 510.
314.
372.
393.
Condat, reçoit son éducation dans ce mo-
nastère. Ses vertus. L'abbé Némansius le
prend pour son coadjuteur. Il lui succède
après sa mort, 611. Éloges de sa conduite.
Sa mort. Aucun de ses écrits, si ce n'est un
billet, n'est venu jusqu'à nous, X, 610.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. III, p. 6& et suiv.)
EUGÈNE (Saint), martyr de Deuil, près
Paris. On lui attribue quelques poésies.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. I, part. I, p. 415 et suiv.)
EUGÈNE, diacre, légat du pape saint Syl-
vestre, au concile d'Arles, II, 629,
EUGÈNE, diacre d'Ancyre, député par
Marcel son évêque à saint Athanase, IV,
308 et suiv.
EUGÈNE, moine, porteur de la lettre de
saint Basile à l'Éghse d'Alexandrie, IV, 454.
EUGÈNE, empereur. Saint Ambroise ne
veut ni lui écrire, ni le voir. Il accorde le
rétablissement de l'autel de la Victoire, V,
391, 392. Lettre que lui écrivit saint Am- 392 ou 393.
broise, 392.
EUGÈNE, évêque de Phrygie, va à Rome
pour la défense de saint Chrysostôme, VII,
127.
EUGÈNE (Saint), évêque de Carthage.
Son élection, X, 452. Mémoire qu'il pré-
sente au roi Hunéric, à l'occasion de l'édit
de ce prince pour uae conférence entre les
Catholiques et les Ariens, 454. Il rend mira-
culeusement la vue à un aveugle, 434 et
435. On lui attribue la profession de foi des
cathoHques lors de la conférence de Car-
thage, 453. Il est exilé. Sa lettre aux fidèles
de Carthage, 460, 461 et 463. Ses autres
écrits perdus, 460. Il est rappelé à son
Église par Gontamond. Condamné à perdre
la tête, il est relégué à Alby. Sa mort, 464.
— Témoignage de Victor de Vite sur l'aveu-
gle guéri par saint Eugène, V, 328. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. III, p. 38 et suiv.)
EUGÈNE I, pape, élu pape après la dépo-
sition de saint Martin I, XI, 731 . Sa mort, 781 .
EUGÈNE II, pape, succède à Pascal. Son
éloge. Sa mort. Lettres qui nous restent de
lui, XII, 403. Ses lettres dans la Patrologie,
403. [Cinq lettres nouvehes, 404.] Lettre
que lui écrit l'empereur Louis le Débon-
naire, 382. — Concile qu'il tient à Rome,
XIII, 660.
EUGÈNE III, pape, succède à Lucius IL
Les troubles qui régnaient à Rome l'obli-
484.
505.
653.
658.
824.
827.
1145.
390
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
un.
H48.
H4'J.
1150.
H52.
1153.
646.
657.
879.
gent de se retirer à l'abbaye de Farfa, où il
est ordonné. Lettre que saint Bernard, dont
il avait été disciple, écrit aux cardinaux au
sujet de son élection, XIV, 269. Séjour du
pape à Viterbe. Il y reçoit les députés des
évêques d'Arménie, 269 et 270. Il retourne
à Rome. II passe en France et tient un con-
cile à Paris. Il assemble à Trêves un concile
où les écrits de sainte Hildegarde sont ap-
prouvés, 270. Jl vient à Reims où il préside
au concile qui condamne la doctrine de
Gilbert de la Porrée, 270 et 271. Il assiste
au chapitre général de Citeaux. Il retourne
à Rome. Obligé d'en sortir, il se retire en
Campanie. Enfin, il fait la paix avec les Ro-
mains et revient à Rome. Sa mort, 271.
[Notices sur Eugène III et ses lettres dans
la Patrologie, 269, n. 5.] Analyse de ses
lettres, 271 et suiv. Autres lettres, 273 et
suiv. [Lettre d'Eugène III à Odon ou Eudes
de Bourgogne, 273. Autres lettres d'Eugène
III dans la Patrologie, Tll et suiv. Lettres
d'Eugène III à l'abbé Suger, 272, n. 3. Let-
tres d'Eugène III à saint Bernard, 274, n. 1,
Nombre des lettres d'Eugène III dans la Pa-
trologie, 277. Lettres que diverses personnes
écrivent à Eugène, 279,280.] Saint Bernard,
pour le consoler dans ses afflictions, com-
pose ses livres de la Considération, 460.
Analyse de cet ouvrage, 460 et suiv. Con-
cile qu'Eugène III tient à Trêves, 1119. Au-
tre à Reims, 1120. [Lettre de Hugues, arche-
vêque de Rouen, à Eugène III, contre
Etienne, évêque d'Autun, 607.]
EUGÈNE, un de ceux qui écrivirent en
faveur de la résurrection des morts contre
Jean Philoponus, XI, 632.
EUGÈNE I (Saint) (doit être nommé Eu-
gène II d'après Lorenzana), évêque de To-
lède, à qui saint Isidore écrit une lettre, XI,
723. — II préside au cinquième concile de
Tolède, XII, 918.
EUGÈNE II (Saint), [appelé Eugène IH
d'après Lorenzana], évêque de Tolède, suc-
cède au précédent. Durée de son épiscopat.
Son livre de la Trinité. Ses poésies, XI,
742. [Ses écrits dans la Patrologie, 742.
Lettre qu'il écrit à Braulion, évêque de Sa-
ragosse, sur plusieurs questions importan-
tes, 731 et 742. Réponse de Braulion, 742,
743, 744. Lettre d'Eugène à Protase, évêque
de Tarragone, 743. Réponse de Taïon aune
lettre d'Eugène, 743.]
EUGÈNE, évêque d'Ostie, l'un des légats
du pape Jean VIII au concile de Constanti-
nople pour le rétablissement de Photius,
XII, 644 et XIII, 723 et suiv.
[EUGÈNE, diacre. Son édition de Théodo-
ret, X, 142.]
EUGÉNIE (Sainte), martyre, dont parle
saint Avit, X, 567.
EUGÉSIPPE, auteur d'un Traité géogra-
phique de la Terre-Sainte. (Voyez du Pin.)
EUGIPPIUS, abbé de Lucullane. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie. Ses Mé-
moires sur la vie de saint Séverin, apôtre
de Norique, XI, 83. Édition et traduction
qu'on en a faites. Règle pour ses religieux
que lui attribue saint Isidore de Séville. Re-
cueil de Pensées et de Sentiments tirés des
ouvrages de saint Augustin. EiTcur de Sige-
bert qui a donné lieu de distinguer deux
abbés du nom d'Eugippius. Lettre que lui
adresse saintFulgence, évêque de Ruspe, tou-
chant la charité. Lettre que lui écrit Fer-
rand, diacre de Carthage, sur l'unité de
nature et d'essence de Dieu, et sur les deux
natures en Jésus-Christ, 86. [Cette lettre est
publiée en entier par Maï, 91, n. 1. Édition
des écrits d'Eugippius dans la /'a^ro%?e, 86.
Vie de saint Augustin de Favian par Eugip-
pius, 86, n. 3.] — Témoignage d'Eugippius
sur les miracles de saint Séverin, X, 317.
Lettre que lui écrit le diacre Paschase pour
l'engager à publier les Mémoires qu'il avait
composés pour la vie de saint Séverin,
apôtre du Norique, 531, 532.
EUGIPPIUS, prêtre, à qui Denis le Petit
adresse sa traduction latine du livre de
saint Grégoire de Nysse de la Formation de
l'homme, XI, 124.
EUGRAPHIE, dame à qui Théodoret écrit
une lettre de consolation sur la mort de son
mari, X, 63.
EULALIE (Sainte), vierge martyre à Mé-
rida, IIl, 39. — Est-ce elle qui a donné oc-
casion à un canon d'Elvire? II, 612. —
Hymne du poète Prudence en son honneur,
VIII, 102. — Monastère de filles à Lyon
sous son nom. Lettre que Bernard des Portes
écrit aux religieuses de ce monastère, XIV,
400.
EULALIE (Sainte), vierge, martyre à Bar-
celone. Est-elle différente de la précédente?
III, 40. — Saint Euloge de Cordoue cite son
exemple, XH, 316.
EULALIE, dame de la cour de Charle-
magne. Lettre que lui écrit Alcuin, XII, 178.
EULALIUS, évêque de Doares en Cappa-
doce. Discours de saint Grégoire de Na-
304.
304.
373.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
391
zianze sur l'élection de cet évêque, V, 225.
EULALIUS, évêque de Naziauze, V, 191.
Peut-être le même à qui saint Grégoire de
Nazianze écrit, 264 ; et en l'honneur duquel
il fait une épigramme, 299. Saint Grégoire
de Naziauze écrit à saint Grégoire de Nysse
touchant l'ordination d'Eulalius, 234.
EULALIUS, archidiacre, élu pape après
la mort de Zozime, Vlll, 5, 6 et 569. Son
élection suspendue, 569. Il occasionne de
l'émotion dans Rome et en est chassé par
un rescrit de l'empereur Honorius, 7 et 569.
EULALIUS, évêque dans la partie d'Ar-
ménie soumise aux Perses. Lettre que lui
écrit Théodoret, X, 68.
EULALIUS, évêque de Syracuse, détourne
saint Fulgence d'aller visiter les moines
d'Egypte, XI, i.
EULALIUS, évêque d'Alexandrie. Lettre
que lui adresse le pape Boniface II. Elle est
supposée. Requête présentée à ce pape par
Eulalius. Elle est également supposée, XI,
lis.
EULAMPIE, mère de Philostorge l'histo-
rien, VIII, 509.
EULOGE (Saint), diacre et martyr, II, 387.
EULOGE (Saint) , évêque d'Édesse, au
concile de Gonstantinople, IV, 618; — à
celui d'Antioche, VI, 121.
EULOGE, évêque d'Egypte exilé pour la
foi, IV, 485.
EULOGE, moine à qui saint Éphrem écrit,
VI, 34.
EULOGE, évêque à qui saint Ghrysostôme
écrit, VII, 132.
EULOGE, prêtre. Ce qui est dit de lui
dans les Vies des Pères écrites par Rufin
d'Aquilée, Vil, 475 , — et attribuées à saint
Pétrone, évêque de Bologne, X, 160.
EULOGE, que l'on croit archevêque de
Césarée en Palestine, préside au concile de
Diospolis, VIII, 551.
EULOGE, moine. Traités à Euloge conte-
nant des instructions pour la vie monasti-
que : ouvrages de saint Nil, solitaire du
Sinaï, VIII, 217. Lettre que ce saint lui écrit,
221.
EULOGE, prêtre d'Alexandrie, envoyé à
Gonstantinople. Lettre que lui écrit saint
Cyrille, VIII, 290 et 293.
EULOGE, prêtre d'Édesse, l'un des accu-
sateurs d Ibas, X, 144. Réconcilié avec Ibas,
il recommence ses accusations, 145.
EULOGE, tribun et notaire, envoyé par
l'empereur Théodose le Jeuue au concilia-
bule d'Éphèse, X, 675. Il y soutient Dios-
core, 679.
EULOGE (Saint)j patriarche d'Alexandrie.
Estime que le pape saint Grégoire faisait de
sa personne et de ses écrits. Après avoir
été prêtre d'Antioche, il est élu patriarche
d'Alexandrie. Sa mort, XI, 589. Notice que
Photius a donnée de ses ouvrages, 589 et
suiv. De son traité contre les Novatiens,
589, 590. De ses écrits contre Sévère et Ti-
mothée, 590. De la Défense de la lettre de
saint Léon contre Théodose et Sévère, 590
et 591 . De son discours contre les Gaïnites
et les Acéphales, 591. De ses onze discours
sur diverses matières, 591 et 592. Témoi-
gnage de saint Euloge touchant la lettre de
saint Léon. Jugement que Photius porte de
ses écrits. Discours sur la fête des Rameaux
que le P. Combefls attribue à saint Euloge,
593. Lettres que lui écrit le pape saint Gré-
goire, 501 et 509. Autre lettre qu'il lui écrit
sur sa demande des Actes des martyrs re-
cueillis par Eusèbe, 511, 512. Deux autres
lettres au sujet des Agnoïtes, 519. Autres
lettres au sujet de quelques Monophysites
réunis à l'Église, 529. [Écrits nouveaux pu-
bliés par Mai. Édition des écrits de ce saint
dans la Pafrologie, 594.]
EULOGE (Saint), évêque qui tint un con-
cile contre les Samaritains, est différent de
saint Euloge d'Alexandrie, XI, 592.
EULOGE (Saint), prêtre de Cordoue. Sa
naissance. Il est fait diacre, puis prêtre. Son
voyage en France. Il en rapporte quantité
de livres. Il est élu archevêque de Tolède,
XII, 514. Son zèle à faire persévérer dans
la foi une jeune fille que ses parents mal-
traitaient pour la faire retourner au maho-
métisme, lui procure la gloire du martyre,
514 et 515. Ses écrits : Mémorial des Saints
ou les trois livres des martyrs de Cordoue,
515 et suiv. Apologie des saints martyrs,
519 et suiv. Martyre des saints Rodrigue et
Salomon. Discours à Flore et à Marie. Lettre
à l'évêque de Pampelune. Lettres à Alvar.
Lettre à Baldégoton, 520. Sa Vie par Alvar,
522. [Ses écrits dans la Patrologie, 515.]
EULOGIES. Constitution apostolique qui
les concerne, II, 592, 593. — Canons qua-
torzième et trentième du concile de Laodi-
cée, III, 510, 511. — Usage de ces eulogies
entre saint Paulin et ses amis, VII, 520, et
VIII, 56, 94. Eulogie mystique. Saint Cy-
rille d'Alexandrie nomme ainsi la sainte Eu-
charistie, VIII, 344. — Eulogies. Sorte de
581.
596.
597.
599.
557.
858.
858.
IV siècle.
392
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
316.
374.
VI siècle.
304.
379 ou 380.
394.
IV siècle.
363.
pi'ésents bénis par les évêques et envoyés
par eux ou même par des laïques, X, 181.
— Eulogies : petits présents que les ecclé-
siastiques faisaient en signe de charilé et
d'amitié, XII, 2. — Eulogies distribuées aux
moines selon les canons d'Aix-la-Chapelle,
XIII, 655.
EULOGIUM. Idée de cet ouvrage de Jean
de Gornouailles, XIV, 358.
EUMALE, vicaire d'Afrique. Lettre que
l'empereur Constantin lui écrit, III, 133,
136. Lue dans la conférence des catholiques
avec les Donatistes, 409.
EUMÉRIUS ou ÉVÉMÉRIUS, évêque de
Nantes au concile de Valence, IV, 600.
EUMÉRIUS, prêtre, apporte au roi Clovis
une lettre du pape Anastase, X, 520.
EUMÉRIUS, évêque de Nantes, consulte
Trojanus, évêque de Saintes, au sujet d'un
enfant qui ne se souvenait pas d'avoir été
baptisé, XI, 202.
EUNAPE, sophiste et historien, mal in-
formé de la capacité des Gaulois, V, 297.
EUNOMIE (Sainte) , servante de sainte
Afre. Son martyre, III, 30.
EUNOMIENS ou EUNOMÉENS, héré-
tiques. Les discours de saint Grégoire de
Nazianze contre les Eunomiens, V, 227, 228.
Autre discours oii il les combat, 229 et suiv.
Loi de Théodose contre ces hérétiques, 370.
Loi du même qui révoque la précédente,
374. — Synésius chasse de son diocèse les
Eunomiens, VIII, 23. Leurs erreurs solide-
ment réfutées dans le traité de saint Cyrille
d'Alexandrie intitulé : Trésor de la sainte
Trinité, 269 et suiv. ; et dans ses Dialogues
sur la Trinité, 273 et suiv.; dans son traité
de l'Incarnation, 337. Raisonnement de saint
Isidore de Péluse contre les Eunomiens,
dont il confond la secte avec celle des Ariens,
484 et 492. — Discours de Théodoret contre
les Eunomiens, X, 107. Témoignage de Théo-
doret touchant leur manière d'administrer
le baptême, 122. Eunomiens combattus par
Théodore, prêtre d'Antioche, 587; — et par
Andronicien, XI, 648.
EUNOMIUS, hérétique. Son histoire. Ses
écrits, ses erreurs, IV, 409. Livre de saint
Basile le Grand contre cet hérétique, 409 et
suiv. Lettre du même, 430. Doctrine de saint
Basile opposée à celle d'Eunomius, 505 et
507. — Livre de saint Grégoire de Nysse
contre Eunomius, VI, 166 et suiv. Récapi-
tulation de ce qui concerne Eunomius. Ses
erreurs et ses écrits, 260 et suiv. — Philos-
torge fait un grand éloge d'Eunomius, VIII,
513. [Il est réfuté par saint Cyrille d'Alexan-
drie, 357.] — Les Ariens l'ayant mis sur le
siège de Cyzique, il en fut chassé, X, 45. Il
ôte la triple immersion et l'invocation de la
sainte Trinité dans le baptême, 122.
EUNOMIUS, mis sur le siège de Samosate
par les Ariens. Il s'en retire, V, 434.
EUNOMIUS, évêque de Nicomédie, est
maintenu au concile de Chalcédoine dans
les droits de métropolitain dans la Bithynie,
X, 695.
EUNUQUES. Origène blâmé de s'être
fait eunuque, II, 132, note 5. Canons
vingt-unième , vingt-deuxième , vingt-troi-
sième, vingt-quatrième apostoliques, 582. —
Canon premier du concile de Nicée, III,
429. — Témoignage de saint Athanase sur
les eunuques, IV, 222. — Sentiment de saint
Ambroise, V, 452. — [Discours de saint
Cyrille d'Alexandrie, VIII, 365.] — Décision
d'Yves de Chartres au sujet d'un moine
qui, pour se guérir de l'épilepsie, s'était
fait eunuque, XIV, 118.
EUPATER. Lettre de saint Basile le Grand
à Eupater et à sa fille, IV, 456.
EUPHÈME, à qui Mélèce retenait une
terre, V, 190.
EUPHÉMIE (Sainte), vierge et martyre,
III, 50, 51. — Description de son martyre
par saint Astère d'Amasée, VI, 303, 304. —
Vers à sa louange par saint Ennode, X,
576.
EUPHÉMIE, impératrice, épouse de Jus-
tin. Lettre que lui écrit le pape saint Hor-
misdas, X, 622.
EUPHÉMIUS, patriarche de Gonstanti-
nople, succède à Fravita, X, 419 et 483. Il
raie des diptyques le nom de Pierre Magnus
et écrit au pape saint Félix III. Il assiste à
la mort de saint Daniel Stylite, 483. A quelle
condition il consent à couronner Anastase
Discorus, élu empereur. Ses lettres au pape
saint Gélase pour le féliciter sur son élec-
tion et lui rendre compte de sa foi, 486.
Réponse que lui faille pape, 486 et 487. Eu-
phémius confirme les décrets du concile de
Chalcédoine, 487 et 722. Ses plaintes contre
l'Église romaine au sujet d'Acace, 487. Il est
déposé et renvoyé en exil pour avoir révélé
un secret que l'empereur lui avait confié,
488 et 722. Sa mort, 468. — Sa mémoire
rétablie dans les diptyques de Constanti-
nople, XI, 111, et 819.
EUPHRANIUS, évêque de Cappadoce.
I
1
Illsièdé,
329
373j
518.
490.
493.
493.
495.
515.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
393
Épigramme de saint Grégoire de Nazianze
en son honneur, V, 299.
e EUPHRANOR, à qui saint Denis d'Alexan-
drie adresse une lettre où il combat les Sa-
belliens, II, 399 et 565 ; et un écrit sur les
tentations, 412.
3.' EUPHRASIE (Sainte), vierge et martyre à
Ancyre, III, 15.
EUPHRASIUS, opposant au rétablissement
d'Ibas, X, 147.
EUPHRASIUS, évêque. Lettre que lui
écrit saint Avit de Vienne, X, 561. Peut-
être le même qu'Euphrasius, évêque de Cler-
mont, qui va suivre.
EUPHRASIUS, patriarche d'Antioche, pé-
rit dans un tremblement de terre, Éphrem
lui succède, XI, 171.
EUPHRASIUS, évêque de Clermont, XI,
380.
Mècie. EUPHRATAS, évêque de Cologne. Con-
cile que l'on prétend avoir été tenu contre
lui, III, 474, 475.
EUPHRATAS, accusateur de saint Flavien,
X, 176.
EUPHRATE, philosophe, disciple d'Apol-
lonius, ni, 139.
EUPHRATE, prêtre. Lettre que lui adresse
saint Augustin, IX, 127.
le. EUPHRATION, évêque de Balania. Lettre
que lui adresse Eusèbe de Césarée, III, 171
et 252, 253.
EUPHRONE, mis sur le siège d'Antioche
pendant l'exil de saint Eustathe. Sa mort,
IV, 318.
EUPHRONE, évêque de Colonie, transféré
à Nicople, IV, 530. Lettre de saint Basile sur
cette translation, 477.
EUPHRONE (Saint), évêque d'Autun, n'é-
tant que prêtre, fait bâtir une église à Au-
tun, sous l'invocation de saint Symphorien,
X, 358. En quel temps il fut fait évoque,
357. Lettre qu'il écrit conjointement avec
saintLoup de Troyes, à Talase, évêque d'An-
gers, qui le consultait sur divers points de
discipline, 357 et 358. Ses liaisons avec saint
Sidoine Apollinaire. Temps de sa mort. Sa
lettre au comte Agripin, 358. — Saint Per-
pétue, évêque de Tours, lui donne par
testament un livre des Évangiles écrit en
grec par saint Hilaire, IV, 6, et X, 440.
— Lettre que lui écrit saint Sidoine Apol-
linaire pour se défendre de composer un
ouvrage qu'il lui proposait, X, 394. Con-
cile de Ghàlon auquel il assiste, 389 et
717. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. II, p. 465 et suiv.)
EUPHRONE, évêque de Chartres. Temps 556.
de son élection. Il assiste au troisième cou- 557.
cile de Paris, XI, 883.
EUPHRONE, archevêque de Tours, fait la
cérémonie de la réception des reliques que
sainte Radegonde avait fait venir d'Orient
pour son monastère de Poitiers, XI, 316.
Euphrone refuse de souscrire au concile de 562 ou 563.
Saintes qui avait déposé l'évêque Émérius,
.886. Il fient le second concile de Tours où 566.
sont faits plusieurs canons sur la discipline,
887 et suiv. Temps de sa mort, 365. 572 ou 573.
EUPHROSINE, prêtre de Néocésarée,
n, 445.
EUPILIUS (Saint), martyr en Sicile, 304.
11,30, 31.
EUPNIUS. Lettre que lui écrit Firmus de
Césarée, en Cappadoce, X, 152.
EUPRÉPICE, sœur de saint Ennode de
Pavie. Sa lettre insérée parmi celles de son
frère, X, 571.
EUPRÉPRIUS, abbé du monastère où
Nestorius fut élevé, et où il se retira après
sa déposition, VIII, 366, 372 et 596.
EUPRÉPRIUS, évêque de Byze en Thrace.
Remontrances qu'il fait au concile d'Éphèse,
Vm, 591.
EUPRÉPRIUS ou THÉODOSE et THÉO-
DORE, frères, tous deux moines. Ce qu'ils
rapportent de l'apocrisiaire Anastase. Leur
Hypomnesticon, XI, 772.
EUPSYCHIUS (Saint), martyr à Césarée 362.
en Cappadoce, III, 405. — On célébrait sa
fête à Césarée du temps de saint Basile, IV,
420 et V, 253.
EUPSYCHIUS. Fragment d'une lettre vsiède.
d'Atticus de Constantinople à Eupsychius,
vm, 15.
EUPSYCHIUS, homme de quahté, par qui
saint Léon envoie une lettre à saint Flavien,
X, 23, 24.
EUQUÉRIE ou EUCHÉRIE, femme du
patrice Dyname, XI, 400, 401 .
EURIC, roi des Visigoths, se rend maître
de l'Auvergne ; fait enfermer saint Sidoine,
X, 381. — Sa haine contre l'Église catho-
lique, 391, 392. Sa magnificence, 393. Ilfait
la pais avec l'empereur Népos, 422.
EUSÈBE (Saint), prêtre. Sou martyr eu
Palestine sous Dioclétien et Maximien, II,
483, 484.
EUSÈBE, confesseur, évêque de Laodicée.
Il fut d'abord diacre d'Alexandrie, II, 432.
— Il confesse Jésus-Christ et demeure seo.
394
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
264.
310.
V. 306.
307.
315.
320.
325.
831.
335.
339.
303.
3i3.
banni. Il donne du secours à Alexandrie,
pendant qu'elle est assiégée par les Romains.
Il est fait évoque de Laodicée. Écrits qui lui
sont faussement attribués, 433.
EUSÈBE, évèque de Gibales, martyr, III,
28.
EUSÈBE, pape. Décréttales qui lui sont
faussement attribuées, VI, 89.
EUSÈBE DE CÉSARÉE dans la Palestine,
évèque, III. Histoire de sa vie, 168 et suiv.
Son origine, 168. Il vient à Antioche et y
connaît Dorothée, prêtre de cette église. Il
est admis dans le clergé. Sa liaison avec
saint Pamphile. Ses occupations. Il fait con-
naissance avec saint Mélèce de Pont. Il est
mis en prison avec saint Pamphile, 169. Ses
voyages durant la persécution de Dioclétien.
On lui l'eproche d'avoir sacrifié pour se tirer
de prison, 169 et 170. Son épiscopat, 170.
Il prend la défense d'Arius, et est frappé
d'anathème par saint Alexandre d'Alexan-
drie, 170 et 171. Il assiste au concile de
Nicée. Il écrit à son Église en quel sens il
avait reçu le terme de consubstantialité. Il
harangue l'empereur Constantin à l'entrée
de ce prince dans le concile de Nicée, 171.
Ses liaisons avec les Ariens. Il se trouve
avec eux au concile d' Antioche où fut dé-
posé saint Eustathe, évèque de cette ville.
Eusèbe est favorable à Asclépas de Gaza,
persécuté par les Ariens. Il refuse l'évèché
d'Antioche, 172. Il est aimé de Constantin,
172 et 173. Il assiste au concile de Tyr où il '
contribue à opprimer saint Athanase, 173. Ses
dernières actions, 1 73 et 174. Sa mort, 174. [Si
Eusèbe de Césarée a été honoré comme saint
par l'Éghse de Limoges, 174, n. 6.] Catalogue
des ouvrages d'Eusèbe de Césarée, 174,
175. Réponse d'Eusèbe aux deux livres
d'Hériocle contre la religion chrétienne, 175
et suiv. Ce que c'était que ces livres, 175,
176. Analyse de la réponse d'Eusèbe, 176 et
suiv. Preuves de la divinité de Jésus-Christ,
176. Apollonius n'a laissé après lui aucune
marque qu'il ait été Dieu. Contradictions qui
se trouvent dans son histoire, 176 et 177.
Fausseté des miracles attribués à Apollo-
nius, 177. Eusèbe combat la nécessité du
destin, 177, 178. Chronique d'Eusèbe, 178
et suiv. [Note sur cette Chronique, 178, n. 6.]
En quel temps Eusèbe l'a composée. Il en
a lait deux éditions. Cette Chronique
était divisée en deux parties : ce qu'elles con-
tenaient , 178. Dessein d'Eusèbe dans
cet ouvrage. Auteurs dont Eusèbe s'est
servi dans cette Chronique. Estime que les
anciens ont fait de la Chronique d'Eusèbe, 179.
Le texte grec en est perdu. Travail de
Scaliger pour le rétablir, 179 et 180.
Traduction de tout l'ouvrage , par saint
Jérôme, 180, 181. Usage que les Latins en
ont fait. Jugement que Scaliger en a porté,
181 . Chronologie d'Eusèbe, différente de celle
des Hébreux, 181. [Découverte et pubhca-
tion de la Chronique d'Eusèbe, 181 et 182;
contenu de l'ouvrage d'Eusèbe, 182.] Livres
de la Préparation et de la Démonstration
évangéhques, 183 et suiv. En quel temps
ces livres ont été publiés ; en quel temps ils
peuvent avoir été composés. Idée des livres de
laPréparationévangélique.Desseind'Eusèbe
dans cet ouvrage, 183. Analyse de ces livres,
183 et suiv. Preuves de la religion chrétienne
par les prophéties de Jésus-Christ, et par
celles des Juifs. Préjugés favorables à la re-
ligion chrétienne, 184. Théologie fabuleuse
des païens, 184 et 185. Eusèbe réfute la
théologie des païens et les. oracles des faux
dieux. Démons ou mauvais génies, auteurs
des oracles, de l'idolâtrie, de la magie,
adorés sous divers noms de dieux, 185.
Puissance de Jésus-Christ sur les démons.
Témoignage remarquable de Porphyre à ce
sujet, 185 et 186. Doctrine des Hébreux.
Étymologie de leur nom; en quoi ils sont
distincts des Juifs, 186. Excellence de la loi
de Moïse. Manière dont les Juifs interpré-
taient l'Écriture, 186 et 187. Les païens re-
prochent aux chrétiens d'avoir pris leur
religion des barbares; réfutation de ce
reproche, 187. Pourquoi les chrétiens n'ont
point reçu la doctrine de Platon, quoiqu'elle
soit conforme en plusieurs points avec celle
des Hébreux, 187 et 188. Idée des livres de
la Démonstration évangéhque. Ce qu'Eusèbe
s'y propose. Incompatibilité de la loi mo-
saïque avec l'Évangile. Alliance de Dieu avec
les nations prédite dans les Saintes Écri-
tures. En quel sens elle est appelée Nouvelle,
188. La nouvelle loi subrogée à l'ancienne.
Accomplissement de la prophétie de Mala-
chie. Pourquoi Jésus-Christ a voulu accom-
plir la loi, 188 et 189. Jésus-Christ a gravé
sa loi dans le cœur de ses disciples. Sage
économie des apôtres. Perfection de cer-
tains chrétiens. Raisons du célibat reçu chez
les chrétiens. Pourquoi ils ne saci-ifiaient
point d'animaux, 189. Prophéties qui re-
gardent le Messie accomplies en Jésus-Christ,
189 et 190. Preuves de la vérité de ce que
313.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
395
les apôtres ont écrit de Jésus-Christ, fondées
sur ce qu'il est impossible qu'ils aient voulu
nous tromper, 190. Caractères de vérité dans
les Évangiles. Bonne foi de ceux qui les ont
écrits, 190 et 191. Vérité des miracles de
Jésus-Christ. On ne peut les attribuer à la
magie, 191. De la nature du Verbe, 191 et
192. État de la nature humaine avant l'In-
carnation. Pourquoi le Fils de Dieu s'est
fait homme î Distinction des deux natures en
Jésus-Christ, 192. En quel sens le nom de
Christ ou d'Oint convient à Jésus-Christ, 192
et 193. Témoignages des prophètes touchant
la génération et la divinité du Fils. Distinc-
tion des personnes du Père et du Fils. C'est
le Fils qui a apparu aux patriarches, 193.
Prophéties touchant la venue du JVIessie.
Exphcation de la prophétie de Jacob, 194.
Des soixante-dix semaines de Daniel, 194 et
195. Accomplissement des prophéties en la
personne de Jésus-Christ. Les dix derniers
livres de la Démonstration évangélique sont
perdus. Ce qu'ils contenaient, 195. Discours
d'Eusèbe à la dédicace de l'église de Tyr.
En quel temps et dans quelles circonstances
ce discours fut prononcé. Analyse de ce dis-
cours. Easèbe excite ses auditeurs à rendre
grâce à Dieu des merveilles qu'il opérait en
faveur de son Église, 196. Puissance de
Jésus-Christ. Il est l'Ange du grand conseil,
le Gémirai de l'armée de Dieu, Fils de Dieu
et Dieu lui-même, 196 et 197. Réflexion
d'Eusèbe touchant ceux qui font bâtir des
éghses. Prérogatives des évéques, 197. Des-
cription de l'Église de Tyr, 197 et 198. Con-
clusion de ce discours, 198. Histoire ecclé-
siastique d'Eusèbe, 198 et suiv. En quel
temps il la composa. Il est le premier qui ait
entrepris ce travail, 198. Son utilité; éloge
qu'on en a fait, 198 et 199. Fautes qui s'y
trouvent, 199, 200. Histoire de saint Jacques
premier évêque de Jérusalem, écrite par
Hégésippe et rapportée par Eusèbe, 200.
Eusèbe a eu peu de connaissance de ce qui
regardait l'Occident. Eusèbe n'a pas eu pro-
prement le dessein de faire l'iiistoire du
temps qui a suivi la persécution, 201. Divi-
sion de l'Histoire d'Eusèbe. Ce qu'il y traite.
Méthode qu'il y a suivie, 201 et suiv. Livre
des Martyrs de la Palestine, 211 et 212. Il
ne fait pas partie de l'Histoire ecclésiastique,
211. Ce livre parle aussi des martyrs des
autres pays, 211 et 212. Lettre d'Eusèbe à
son Église, 212, 213. En quel temps il l'a
écrite, 212. Analyse de ce qu'elle contient,
330.
335
337.
338.
212 et 213. Livre des Topiques, ou traité des
lieux marqués dans les Saintes Écritures. En
quel temps Easèbe l'a composé, 213. Juge-
ment de cet ouvrage. Panégyrique de Cons-
tantin. En quel temps il fut composé, 214.
Cinq livres contre Marcel d'Ancyre, 214 et
suiv. En quel temps ils furent écrits, 214,
215. Analyse des deux premiers livres inti-
tulés : Contre Marcel, 21a etsuiv. Analyse des
trois derniers intitulés : De laThéologie ecclé-
siastique contre Marcel d'Ancyre, 217 et suiv.
Quatre livres de la Vie de Constantin, 221,
222. En quel temps ces livres ont été écrits.
Ce qu'ils contiennent, 221. [Contradictions
d'Eusèbe dans la Vie de Constantin. Falsifi-
cations dans les chapitres 61, 62, p. 222,
n. 13.] Jugement de cet ouvrage, 221, 222.
Eusèbe en est l'auteur, mais non pas des
titres, des chapitres, 222. Commentaires
d'Eusèbe sur les Psaumes, 222 et suiv. Cet
ouvrage est cité par les anciens. Pourquoi
Photius n'en parle point, 223. Le Père de
Montfaucon l'a fait imprimer pour la pre-
mière fois, 223 et 224. Preuves que ces
commentaires sont d'Eusèbe. Jugement de
cet ouvrage, 224. Eusèbe l'a écrit dans les
dernières années de sa vie, 225. [Découverte
et publication, par le cardinal Mai, du com-
mentaire d'Eusèbe sur les Psaumes de 119
à 150. Passages remarquables, 225, 226.]
Commentaires d'Eusèbe sur Isaïe , 226 et
suiv. Cet ouvrage est cité par saint Jérôme
et quelques autres, 226. Ces commentaires
édités par le P. de Montfaucon. Preuves
qu'ils sont d'Eusèbe, 226 et 227. En quel
temps Eusèbe peut les avoir écrits, 227. Mé-
thode que suit Eusèbe dans ces commen-
taires. Saint Jérôme lui reproche de s'être
écarté de son dessein, 227 et 228. Saint
Jérôme s'est servi de cet ouvrage dans ses
commentaires sur Isaïe, 228. Les quatorze ^ .j, 33g
opuscules attribués à Eusèbe, 222 et suiv.
Motifs qui donnent Heu de les attribuer à
Eusèbe, 228, 229. Analyse du premier inti-
tulé : De la foi contre Sabellius, 229, 230 et
du deuxième, 230, 231. Cet ouvrage est
d'Eusèbe et non d'Acace, son disciple, 230.
Eusèbe exhorte son peuple à la paix. Il
montre que rien ne peut excuser le schisme,
230 et 231. Analyse du troisième intitulé Après 324.
de la Résurrection. Idée de ce sermon. Qua-
trième intitulé delà Résurrection et l'Ascen-
sion, 231. Analyse de ce qu'ils contiennent,
231 et suiv. Preuves de la résurrection par
la destruction de l'idolâtrie et l'abandonne-
396
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Avant 313.
Avant 325.
309.
310.
Avant 325.
ment de la synagogue, 231,232. Dieu fait
des miracles pour soutenir la foi des faibles,
mais il est plus glorifié par les souffrances
des martyrs que s'il les délivrait de leurs
persécuteurs. L'attachement des Juifs à leur
loi depuis la mort de Jésus-Christ n'a pu
fléchir Dieu à leur égard. Conséquences qu'il
faut en tirer, 232. Preuves de la résurrec-
tion de Jésus-Christ, tirées du changement
des apôtres et du miracle des langues, 232
et 233. Autres preuves tirées de la prédi-
cation des apôtres, de l'établissement de
l'Église, de l'accomplissement des prophéties
de Jésus-Christ, 233. Cinquième opuscule :
Dieu incorporel et invisible, 233. Sixième opus-
cule : De l'incorporel, 233 et 234. Septième
opuscule : De l'âme incorporelle. Huitième
opuscule : De la pensée de l'homme. Neu-
vième et dixièmes opuscules : Dieu le Père
incorporel , 234. Onzième opuscule : De
l'amour de Dieu, 234 et 235. Douzième opus-
cule : Témoignage dû à Jésus-Christ ; ana-
lyse de ce qu'il contient, 235, 236. Treizième
opuscule : Des bonnes et des mauvaises
œuvres ; analyse de ce qu'il contient. Qua-
torzième opuscule : Des bonnes œuvres;
analyse de ce qu'il contient, 236. Ce qu'il y
a de remarquable dans ces quatorze opus-
cules, 236 et suiv. Canons évangéliques
d'Eusèbe, 240, 241. Ce que c'était que cet
ouvrage. Pour quel usage Eusèbe l'a fait.
C'est lui qui est l'auteur de cette méthode,
240, 241. [Rhythmesur les canons d'Eusèbe
publié par le PèrePitra, 240.] Livres sur les
Contradictions apparentes des Évangiles :
fragments qui nous en restent, 241, 242.
Livre des Réponses à Marin. En quel temps
Eusèbe peut les avoir écrites, 244, 245.
[PubMcation par le cardinal Maï, des deux
livres à Etienne et du hvre à Marin sur les
Questions et les solutions évangéliques, 242,
243. Questions contenues dans les deux
livres à Etienne, 243. Questions et solutions
d'après l'Abréviateur du livre de Marin, 243.
Endroits remarquables, 244.] Églogues pro-
phétiques d'Eusèbe. En quel temps il les a
composées.243. [Elles ont été publiéesàOxfoi't
par Gaisford. Elles sont reproduites dans la Pa-
trologie grecque, 245 et 246.] Ouvrages d'Eu-
sèbe qui sont perdus, 246 et suiv. Apologie
pour Origène, composée par Eusèbe. Livres
de la Vie de saint Pamphile, 246. Traité de
la Polygamie des anciens. En quel temps il
a été composé, 246 et 247. Actes des an-
ciens martyrs recueillis par Eusèbe, 247 et
suiv. Écrits d'Eusèbe contre saint Euslathe
d'Antioche, 249. Livre de la Pâque, 249 et
230. [La plus grande partie de ce traité a été
publiée par Angelo Maï. Ce qu'il offre de re-
marquable, 250.] Lettre d'Eusèbe à Cons-
tantia sur les images, 250 et suiv. [Elle est
publiée par dom Pitra, 251 , 252.] Écrits
d'Eusèbe touchant l'arianisme avant le con-
cile de Nicée, 252, 253. Trois discours
prononcés par Eusèbe en présence de
l'empereur Constantin, 253. Description de
l'église du Saint-Sépulcre et de la Résurrec-
tion, 233 et 254. Autres ouvrages d'Eusèbe
qui sont perdus et qui n'ont point été donnés
au pubhc, 254 et suiv. [Fragments de quel-
ques-uns de ses ouvrages, 256. Autres écrits
d'Eusèbe, pubMés depuis dom Ceillier, 237
et suiv. Les commentaires sur saint Luc. Ce
qu'ils contiennent d'important, 237, 238. La
Théophanie d'Eusèbe, 238 et suiv. Date du
manuscrit syriaque qui contient l'ouvrage.
Authenticité de l'ouvrage, 238. Fragments
grecs du même ouvrage réunis et traduits en
latin parMaï. Leur authenticité, 239. Raisons
contre leur authenticité, 259 et 260. Analyse
de la Théophanie, 260 et suiv. Observation
sur la version anglaise, 262, 263. Version
syriaque de l'Histoire ecclésiastique d'Eusèbe
317. Doctrine d'Eusèbe, 263 et suiv. Doit-
elle être admise dans la chaîne de la tradi-
tion, 263? [Note sur la justification faite par
dom Ceillier de l'orthodoxie d'Eusèbe, 303,
n. 1.] Ce qu'Eusèbe enseigne touchant
l'Écriture , 363 et suiv. ; sur l'autorité
de la tradition, 274, 273 ; sur l'exis-
tence de Dieu et l'idée naturelle que nous
en avons, 273 ; sur la Trinité, 273 et
276. Sur les bons anges, 276 et suiv ; sur les
démons, 278 et suiv. ; sur l'homme, 280,281;
sur le péché originel, 281, 282 ; sur l'Incar-
nation et les deux natures en Jésus-Christ,
282 et suiv. ; sur la prédestination et sur la
grâce, 284 et suiv. ; sur l'Église, 288, 289.
Sur la hiérarchie ecclésiastique, 289, 290 ;
sur les assemblées des chrétiens, 290, 291 ;
sur la prière publique et sur l'oraison, 291,
292 ; sur l'Eucharistie, 292, 293 ; sur les cé-
rémonies et les sacrifices des Juifs et sur le
baptême, 293, 294; sur le péché et la pé-
nitence, 294 et 295 ; sur le culte et l'inter-
cession des saints, 296; sur la prière pour
les morts et le purgatoire, 296, 297 ; sur di-
vers points de morale, 297, 298 ; sur les
mœurs des chrétiens, 298 et suiv. ; sur l'his-
toire, 301, 302. Jugement des écrits d'Eu-
V. 330
V. i
AvaiSi
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
397
sèbe, 302. Examen de sa doctrine sur la di-
vinité du Fils. Raisons qui ont contribué à
]e rendre suspect sur ce point, 302 et 303.
[Note contre la justification d'Eusèbe, faite
par dom Ceillier, 303, n. 1.] La conduite
d'Eusèbe n'est pas une preuve suffisante
pour en faire un Arien, 303, 304. Eusèbe a
souscrit au concile de Nicée. Il y a de la té-
mérité à l'accuser de l'avoir fait de mau-
vaise foi, 304. Eusèbe condamne formelle-
ment dans ses écrits les erreurs d'Arius, 304,
305, Il donne au Fils les mêmes attributs
qu'au Père. Conformité de sa doctrine avec
celle du concile de Nicée, 305, 306. Il en-
seigne au fond la consubstantialité du Fils,
306, 307. [Doctrine d'Eusèbe sur le Verbe,
307, n. 6.] Réponse aux objections contre le
sentiment qui justifie Eusèbe d'arianisme,
308 et suiv. [Doit-on suspendre son juge-
ment sur Eusèbe parce qu'il est mort exté-
rieurement dans la communion de l'Église,
3i0, n. 1.] Éclaircissements sur quelques
endroits difficiles qui se trouvent dans Eu-
sèbe, 310, 311. Diverses éditions des ou-
vrages d'Eusèbe, 311 et suiv. [Éditions et
traductions nouvelles, 312 et suiv. Édition
dans la Patrologie, 317, 318. Deux manus-
crits syriaques contenant l'Histoire ecclésias-
tique d'Eusèbe , 317.] Lettre que l'empe-
reur Constantin écrit à Eusèbe , 136.
Eusèbe n'a point écrit l'histoire des
anciens martyrs, 343, 344. Eusèbe écrit
contre Marcel d'Ancyre, IV, 305. — Son
Histoire ecclésiastique traduite par Rulîn
d'Aquilée, VII, 459. — Lettre de saint Jé-
rôme à Vincent et à Gallien pour servir de
préface à la traduction de la Chronique
d'Eusèbe, 645. [Saint Cyrille d'Alexandrie
parle de deux éditions d'Eusèbe sur les
Psaumes, VIII, 349. Philostorge l'accuse d'a-
voir enseigné plusieurs erreurs, 510. — Théo-
doret continue son Histoire et se sert de son
témoignage contre les Ariens, X, 43. Saint
Euloge d'Alexandrie croyait qu'il avait re-
cueilli les actes de tous les martyrs. Ce que
lui dit le pape saint Grégoire à ce sujet, XI,
511. [Eusèbe réfuté sur les images par
saint Nicéphore, patriarche de Constantino-
ple, XII, 296.] Photius prétend qu'Eusèbe
était infecté d'arianisme et d'origénisme,
728.
EUSÈBE, évêque de Nicomédie, écrit
plusieurs fois à saint Alexandre, évêque
d'Alexandrie au sujet d'Arius, \\l, 116 et
416. Lettre que lui écrit Arius. Réponse
d'Eusèbe à cette lettre. Lettre d'Eusèbe
à Paulin, évêque de Tyr, 415. Eusèbe
prend le parti d'Arius dans le concile de
Nicée. Une de ses lettres est lacérée, 422. Il
souscrit au symbole du concile non à l'ana-
thème, 425. Il est envoyé en exil, 425. Il
était passé du siège de Béry te à celui de Nico-
médie, il est transféré sur le siège de Cons- 339.
tantinople à la place de Paul déposé par les
Eusébiens, 436. Il fait exiler saint Eustathe
d'Antioche. Il assiste au concile d'Antiocbe
dit de la Dédicace, 464 et suiv. Reproches
que lui fait Théodoret sur ses migrations
d'une église à une autre, X, 44.
EUSÈBE (Saint), évêque de Verceil, con-
fesseur. Il est né en Sardaigne. Il est or-
donné lecteur, puis évêque de Verceil. Ré-
gularité qu'il met dans son clergé, IV, 271,
272. — • Le pape Libère écrit à saint Eusèbe 354.
et le prie de s'employer pour obtenir un con_
cile. Saint Eusèbe se trouve au concile de 355.
Milan. Il est envoyé en exil, 272. Le pape
Libère lui écrit. Plusieurs personnes le
visitent dans son exil, 272, 273. Il est
maltraité par les Ariens, 273. Autres
cruautés des Ariens contre saint Eusèbe,
273 et 274. Analyse de la lettre d'Eusèbe
aux églises qui lui avaient écrit, 274.
Nouvelles souffrances de saint Eusèbe ,
274 et 275. On change le lieu de son
exil. Sa lettre à Grégoire, évêque d'El-
vire. Saint Eusèbe est rappelé par Julien seo.
l'Apostat, 275. Ses travaux pour l'Église. Il 36i.
retourne à Verceil. Il travaille à la paix des ^^^■
f^ 1- rvn». , ,,-,^ X. , . 363 011364
Eghses, 275 et 276. Il combat contre Au- m.
xence, 276. En quel temps on peut placer o.if'^^l'is
sa mort. Le titre de martyr lui convient-il ?
Ses écrits, 276. [Sa confession de foi sur la
Trinité. Évangiles copiés par saint Eusèbe.
Édition de ses écrits dans la Patrologie, 277.]
Eusèbe prend la défense de saint Athanase
au concile de Milan, III, 523. — Il reçoit
Lucifer de Caghari, IV, 239. 11 confère avec
lui au sujet du schisme d'Antioche, 243,
244. Il veut persuader à Lucifer de Cagliari
d'aller à Alexandrie, 244. Il se rend à An-
tioche à l'occasion de l'ordinatiou de Paulin.
Lucifer se sépare de lui, 244 et suiv. Lettre
du pape saint Libère à Eusèbe, 288. Témoi-
gnage de saint Ambroise sur Eusèbe, V,
500, 501. — Saint Eusèbe exilé à Scythople
y est visité par saint Èpiphaue, VI, 376. —
Homélies de saint Maxime de Turin à la
louange de ce saint évêque, X, 322 et 325.
L'une de ces homélies est attribuée à saint
398
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
IV siècle.
361.
363.
370.
372 et 373,
374.
375.
378.
379.
Ambroise, 322. [Sermon pour sa fête par
Alton, évêque de Verceil, XII, 826.] Autre
sermon sur le même par le même. Frag-
ments d'anciennes prières en forme de lita-
nies en son honneur. Noms des peuples sou-
mis à saint Eusèbe, 827. Église érigée à Au-
xerresousle nom de Saint-Eusèbe de Verceil.
Bulle du pape Adrien IV qui confirme aux
chanoines de Saint-Eusèbe d'Auxerre une
donation qui leur avait été faite, XIV, 916.
EUSÈBE, grand chambellan de l'empe-
reur Constance, IV, 554.
EUSÈBE, magicien, adresse Julien l'Apos-
tat à Maxime d'Éphèse, III, 398.
EUSÈBE, évêque d'Émèse, IV, 318, 319.
Ses écrits, 319. — Théodoret se sert de son
témoignage, X, 81. — Homélies qui lui sont
faussement attribuées, IV, 319, Elles pa-
raissent être de Bruno, évêque d'Angers,
319 [note 8.] Dom Ceillier les attribue à
saintBruno, évêque de Segai, 319. [D'autres
écrits publiés sous son nom ne sont pas de
lui, 320.] Il est l'auteur d'une homélie sur le
traître Judas, 97. — [Notices et édition de ses
discoursdans la Pairologie, XI, 128, note 2.]
On croit que les homélies qui portent son
nom sont de saint Gésaire d'Arles, 128.
D'autres les attribuent à un Eusèbe ,
évêque dans les Gaules, 318 et 319. (Voyez
dans ['histoire littéraire de la France, t. II,
p. 301 et suiv.) [C'est à tort que D. Ceillier
et Rondet donnent à Eusèbe d'Émèse le titre
de saint.]
EUSÈBE (Saint), évêque de Samosate et
martyr, V, 1 et suiv. Patrie de saint Eusèbe.
Sonzèle pour la défense de la véri té, 1. Il assiste
au conciled'Antioclie,! etVI, 121. Safermeté.
Il signe dans un concile d'Antioche la foi de
Nicée. Il travaille à l'élection de saint Basile,!.
Il lui écrit, 1 et 2. Il travaille pour l'église de
Tarse et pour quelques autres affaires, 2. Il
est banni en Thrace par Valens, 2 et 252. Il
écrit à saint Gi'égoire de Nazianze et à saint
Basile, 3. Eunome mis à la place de saint
Eusèbe. Lettres de saint Eusèbe à son clergé
et à saint Basile, 3 et 4.Luciusmisàlaplace
d'Eunome. Saint Eusèbe est taxé mal à pro-
pos d'arianisme. Il est rappelé d'exil ; il as-
siste au concile d'Antioche. Sa mort , 4.
Toutes les lettres de saint Eusèbe sont per-
dues, 4 et 5. — Saint Eusèbe avait contribué
à l'élection de saint Basile, IV, 353. Lettre
que lui écrivit saint Basile, 432. Autres
lettres de saint Basile à Eusèbe, 432, 433,
434, 437, 448, 449, 452, 453, 454, 465. Saint
Eusèbe refuse de rendre le décret de l'élec-
tion de saint Mélèce, 586. Il est justifié du
reproche d'arianisme par saint Basile, 607.
Lettre que lui écrivit saint Grégoire de
Nazianze, V, 252. Lettre que lui écrivit le
fils du précédent, 253. — Témoignage de
Théodoret, X, 46.
EUSÈBE (Saint), martyr à Gaza en Pales-
tine, m, 402.
EUSÈBE, évêque de Césarée en Capadoce,
confère la prêtrise à saint Basile, IV, 351.
Division entre lui et saint Basile, 351 et 352.
Sa mort, 352. — Saint Grégoire de Nazianze le
réconcilie avec saint Basile, V, 183. Lettre
de saint Grégoire de Nazianze au sujet de
cette réconciHation, 250,251.
EUSÈBE, vicaire du Pont, persécute saint
Basile de Césarée, IV, 3S8.
[EUSÈBE. Lettre de saint Athanase à Eu-
sèbe, Lucien et ses compagnons, IV, 660.]
EUSÈBE (Saint), évêque de Bologne, au
concile d'Aquilée, IV, 629.
EUSÈBE, citoyen de Bologne. Saint Am-
broise lui adresse le livre de l'Institution
d'une vierge, V, 454 et 498. Lettres que lui
écrivit saint Ambroise, 498.
EUSÈBE, laïque, à qui écrit saint Grégoire
de Nysse, VI, 218.
EUSÈBE, évêque de Valentinianople, s'é-
lève contre Antonin, évêque d'Éphèse, VII,
3, 4, 492, 743. Il se laisse gagner et se rac-
commode avec lui, 4.
EUSÈBE, diacre, dont le zèle et la cons-
tance sont loués par saint Jean Chrysostôme,
Vn, 135.
EUSÈBE , évêque d'Aspone, au concile
d'Éphèse, en 431, VII, 486.
EUSÈBE, l'un des quatre grands frères.
Ce qui en est dit dans l'Histoire lausiaque
de Pallade, VU, 488.
EUSÈBE, diacre d'Aquilée, frère de saint
Ghromace, VII, 448 et 493.
EUSÈBE, père de saint Jérôme, VII, 545.
EUSÈBE, évêque de Crémone, obtient de
saint Jérôme un commentaii'e sur saint Mat-
thieu, VII, 570.
EUSÈBE, disciple de saint Jérôme. Vie
de saint Jérôme qui lui est attribuée, VU,
648.
EUSÈBE, prêtre. Lettre que lui écrivit
Sulpice Sévère, VIII, 117.
EUSÈBE, homme de qualité, donatiste.
Lettre que lui écrivit saint Augustin, IX, 76.
[EUSÈBE D'ALEXANDRIE. Ses écrits.
Qui il était, VIU, 383, 384.]
i
i
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
399
28. EDSÈBE, évêque de Dorylée. Étant sim-
ple laïque, il s'élève hautement contre les
29. erreurs de Nestorius, VIII, 369 et 397. Sa
protestation contre les erreurs de Nestorius,
18. 397, 398. Il est fait évêque de Dorylée, pour-
suit la condamnation de l'hérésie euty-
chienne, 398. — Il accuse Eutychès auprès
de Flavien, patriarche de Constantinople et
en poursuit la condamnation, X, 23, 669,
i9 670, 671 , 672. Il est condamné au brigandage
51. d'Éphèse, 676, 677. Il assiste au concile de
Ghalcédoine, sans qu'on voie qu'il eût été
rétabli, 683, 684. 11 y accuse Dioscore, 684
et 683. Il y est justifié, 685, 686.
lècie. EUSÈBE, ordonné évêque d'Ancyre par
saint Procle, VIII, 409. — Plaintes que lui
fait Théodoret, X, 22. Eusèbe donne des
lettres de recommandation à l'évêque Cy-
prien, chassé d'Afrique, 67. Lettres que lui
écrit Théodoret pour se justifier des ca-
lomnies répandues contre lui, 69 et 72. Il
souscrit à la condamnation de Flavien et
d'Eusèbe de Dorylée, 679. Il est déposé au
concile de Ghalcédoine, 686; puis rétabli,
689. Il est reconnu orthodoxe à Ghalcé-
doine, 689.
EUSÈBE, que saint Honorât de Marseille
met entre les docteurs de son temps. Il ne
nous reste rien de ses écrits, Vltl, 452.
(Voyez ce qui est dit de lui dans l'Histoire
littéraire de la France, t. II, p. 301 et
suiv.)
EUSÈBE, évêque de Péluse. Saint Isidore
de Péluse se plaint de son élection, VIII, 477.
Lettre de saint Isidore au sujet de l'église
qu'Eusèbe faisait bâtir, 480. Autre lettre où
il parle de lui, 489. — Il ordonne Timothée
Élure évêque d'Alexandrie, X, 176.
EUSÈBE, évêque de Ghalcide, visite salut
Marcien solitaire, X, 52.
EUSÈBE, solitaire, disciple de saint Mar-
cien, X, 33. C'est peut-être le même que le
suivant.
EUSÈBE (Saint), solitaire. Sa Vie, écrite
par Théodoret, X, 53.
EUSÈBE (Saint), autre solitaire, dont
Théodoret a aussi écrit la vie, X, 38.
EUSÈBE, avocat. Lettre que lui écrit
Théodoret au sujet des bruits qui se répaa-
daient de sa disgrâce, X, 66.
EUSÈBE, évêque dans la partie de l'Ar-
ménie soumise aux Perses. Lettre que lui
écrit Théodoret, X, 68.
451. EUSÈBE, évêque de Milan, tient un con-
cile où la lettre de saint Léon à Flavien est
614.
approuvée, et Eutychès anathématisé, X,
224, 319, 320.
EUSÈBE, philosophe, dont saint Sidoine
fut disciple, X, 379. [Dans la table du
X'' volume, il doit être séparé de saint Eu-
sèbe, sohtaire.]
EUSÈBE, évêque d'Antibes, est auteur vi siècle,
d'une Histoire de la translation des corps
des saints martyrs Vincent, Oronce et Victor,
XI, 306, 307. (Voyez son histoire dans V His-
toire littéraire de la France, t. III, p. 303 et
suiv.)
EUSÈBE, évêque de Paris, ordonné à la 551.
place de SaËfarac, déposé pour une faute
considérable, XI, 882.
EUSÈBE, évêque de Thessalonique. Let- 60O.
tre que lui écrit le pape saint Grégoire au
sujet d'un moine faussaire, XI, 327. (Il a
laissé quelques ouvrages qui sont perdus.
Voyez Du Pin.)
EUSÈBE, évêque de Tarragone, préside
comme métropolitain au concile d'Egara,
XI, 912.
EUSÈBE, abbé en Sicile, XI, 487.
EUSÈBE, patrice, à qui saint Grégoire le
Grand écrit, XI, 331.
EUSÈBE, l'un des disciples du Vénérable
Bède, XII, 2.
[EUSÈBE, à qui le Vénérable Bède adresse
une lettre, XII, 15.]
EUSÈBE ou BRUNON, évêque d'Angers.
Voyez Brunon.
EUSÉBIE, prétendue vierge des Mani-
chéens, VIH, 570.
EUSÉBIE (Sainte), abbesse d'Amay. Sa
Vie, attribuée à Hucbald, moine de Saint-
Amand, n'est pas de lui, XII, 803.
EUSÉBIE (Sainte), apparemment d'Orient.
Sa Vie, écrite qar JeanMauropus. Fragments
qui en ont été imprimés, XIII, 229. Discours
du même en son honneur, 230.
EUSÉBIENS, sectateurs d'Eusèbe de Nico- 335.
médie. Lettre que Constantin leur écrit, III,
142. Lettre qu'ils écrivent au pape saint ivsic.ie.
Jules contre saint Athanase, 372, 373. Le
pape saint Jules les appelle à un concile de
Rome. Ils refusent de s'y trouver, 373, 374.
Ils sont condamnés dans ce concile de Rome,
374. Le pape saint Jules leur écrit de l'avis
du concile, 374 et suiv. Le concile de Rome
est conflrmé par le concile de Sardique qui
justifie saint Athanase, 378. Ils présentent au
concile de Nicée une profession de foi qui
est rejetée et lacérée ; leur subtilité dans ce
concile, 423. Ils disputent contrôle terme de
325.
400
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
331.
333.
335.
consubstantiel, 424, 425. Leurs impostures
pour faire déposer saint Eustathe dans le
concile d'Antioche, 448, 449. Ils s'associent
les Méléciens pour accuser saint Athanase au
concile de Césarée en Palestine, 449. Leur
conduite au concile de Tyr contre saint Atha-
nase, 449 et suiv. Ils députent dansla Maréote
pour informer contre saint Athanase, 451,
452. Information qui y fut faite de leur part,
452 et suiv. Ils reçoivent les Méléciens à la
communion de l'Église et donnent à Iscliy-
raslenom d'évéque, 435. Conciliabule qu'ils
tiennent à Jérusalem, où ils déposent saint
Athanase et reçoivent Arius, 456, 457. Lettre
qu'ils écrivent à Constantin contre saint
33fi. Athanase et Marcel d'Ancyre. Ils font exiler
saint Athanase, 457. Ils s'assemblent à
Constantinople contre Marcel d'Ancyre, le
déposent et ordonnent à sa place Basile,
438. Ils veulent rétablir Arius dans la com-
339. munion de l'Église. Il meurt, 458 et 459. Ils
339. déposent Paul évéque de Constantinople, et
mettent à sa place Eusèbe de Nicomédie.
Concile qu'ils tiennent à Antioche, où ils
ordonnent Piste évéque d'Alexandrie, à la
place de saint Athanase, 459, 460. Ils re-
fusent de se trouver au concile de Rome,
464. Ils affectent de paraître orthodoxes au
concile d'Antioche, 464 et 465. Profession de
34iou3ia f°' qu'ils y font, 465, 466. Ils tiennent seuls
un concile à Antioche contre saint Athanase,
472. Ils envoient une députation à l'empe-
reur Constant, 373. Ils tiennent à Antioche
un autre concile où ils dressent la formule
^ ^g^g macrostiche, 373 et 374. Ils la présentent à
uu concile tenu à Milan. Les évêques de ce
concile la refusent, 374. Ils viennent à Sar-
347 [on . 1 ■ i •
mieux 343.] dique au nombre de soixante-seize ou qua-
tre-vingts pour la tenue du concile, 478,
Plaintes portées contre eux dans le concile,
479. Ils craignent de s'y trouver et forment
le projet de s'enfuir dès leur arrivée, 479.
Ils s'enferment dans le palais à Sardique.
Deux d'entre eux les quittent et découvrent
leurs desseins au concile. Ils demandent que
saint Athanase et les autres accusés soient
exclus du concile. On les presse de s'y
trouver eux-méme, 480. Leurs prétextes
pour le refuser, 481. Ils proposent une nou-
velle information dans la Maréote, 481.
Osius leur fait des propositions pacifiques,
482. lis s'enfuient de Sardique la nuit, 482
et 483. Leurs chefs sont déposés et analhé-
matisés par le concile, 484, 485. Ils s'assem-
"343" ^^^ blent à Philippopole et datent de Sardique
341.
345.
35tà
352.
35Î.
35S|
341I
la lettre de leur concile, 494. Analyse de
cette lettre, 495, 496. Formule de foi des
Eusébieus dans ce concile, 496. Concile de 346
Milan où ils déposent Photin, 497, 498. Ils
veulent se rapprocher de saint Athanase,
après son retour à Alexandrie. Ce qu'ils
font à ce sujet au concile de Milan, 501, 502.
Leurs subtihlés dans le premier concile de
Sirmium, 503, 504. Leur formulaire de foi
dans le deuxième concile de Sirmium, 504.
Ils font de nouveaux efiforts pour faire con-
damner saint Athanase. Conciles à ce sujet,
519, 520. Concile de Rome, 520. Concile
d'Arles, 520 et 521. Concile de Milan, 522 et
suiv. — Ils ordonnent Pistus, évéque d'A-
lexandrie. Ils mettent Grégoire de Cappa-
doce sur le siège de cette église, IV, 95. Quel
usage le pape Libère fait de leurs lettres, ivaia
286. Ils condamnent Marcel d'Ancyre, 304, 3H.
305. — Donat de Carthage refuse de s'unir à 337;
eux, V, 98.
EUSTACHE (Saint) , martyr. Actes sans 11 sièi»
autorité, I, 392. î
EUSTACHE, abbé du monastère d'Atta- ?
line, engage Antiochus à lui faire un abrégé ?
de l'Écriture, et la relation du martyre des
moines de la Laure de Saiut-Sabbas, XI,
697.
EUSTACHE, abbé de Play. Ses prédica- 1201.
tiens sur l'observation du dimanche. Lettre
qu'il suppose lui être venue du ciel pour en
recommander la sanctification, XIV, 1147.
EUSTACHE s'empare de l'évêché de Va- v. ii3
lence en Dauphiné. Lettre que lui écrit saint
Bernard à ce sujets XIV, 440.
EUSTACHE, comte. Son épitaphe par
Pierre le Vénérable, XIV, 522.
EUSTASE (Saint), abbé de Luxeuil, disci- xii siét
pie de saint Colomban, XI, 617. Sa Vie écrite
parle moineJonas, 617, 633 et 736. Il défend vn sièc
au concile de Mâcon la règle de saint Co-
lomban. Sa mort, 618. Ce qu'on sait des
circonstances de sa vie. Méprise d'Aubert
le Mire à son sujet, 633. — Il défend au 625.
concile de Mâcon la règle de saint Colom-
ban, XII, 914. (Voyez son article dans
VHistoire littéraire de la France, t. III, p.
534 et suiv.)
EUSTASIUS, évéque, au concile de Milan
contre les Jovinianistes, IV, 653.
EUSTATHE (Saint), évéque d'Antioche,
confesseur de Jésus-Christ, III, 158 et suiv.
Il est d'abord évéque de Bérée. Il est trans- 323.
féré nu siège d'Antioche, 138. Il assiste et 335.
souscrit au concile de Nicée. Il tient un con-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
401
cile à Antioche vers le même temps. Son
zèle contre les Ariens. Il est accusé et dé-
posé dans un concile d'Antioche, malgré
soninnocence, 159. Il est relégué en Thrace,
159, 160. Sa mort, 160. Ses écrits, 160 et
suiv. Ses discours contre les Ariens, 160,
161. Son livre de l'Ame. Ses discours sur les
Proverbes et sur les Psaumes. Son senti-
ment sur Melchisédecli, 161, 162, 163. Son
livre de la Pythonisse, 163 et suiv. Analyse
de ce livre, 163. Écrits faussement attribués
à saint Eustathe , 166. Commentaire sur
l'Hexaméron, 166 et 167. Discours à Cons-
tantin. Liturgie attribuée à saint Eustathe,
167. Jugement de ses écrits, 167 et 168.
[Édition de ses écrits dans la Pairologie,
168. J Eusèbede Césarée est accusé par saint
Eustathe et prend part à la condamnation de
cet évéque, 172. Saint Eustathe calomnié et
déposé dans un concile d'Antioche, 448.
Écrits d'Eusèbe de Césarée contre saint Eus-
tathe. Cet ouvrage est perdu, 249. — Pané-
gyrique de saint Eustathe par saint Chrysos-
tôme, VII, 92.
EUSTATHE, évêque de Sébaste, déposé
dans le concile de Gangres, III, 514. His-
toire de sa vie, 515, 516. — Il assiste au
concile d'Ancyre et y condamne la consub-
stantialité, IV, 550, 551 et 571. Il est dé-
posé à Constantinople, 518. 11 se sépare de
saint Basile de Césarée, 361. Saint Basile
écrit contre lui, 363. Eustathe n'est pas auteur
du livre des Constitutions monastiques, 408.
Lettre que lui écrivit saint Basile le Grand,
444. Autre lettre de saint Basile, 451. Lettre
synodique ou profession de foi qne saint Ba-
sile propose à Eustathe, 452. Lettres de saint
Basile à Théodote et à Olympius touchant
Eustathe, 453. Saint Basile décrit la conduite
d'Eustathe et ses erreurs, 484, 485.
EUSTATHE, philosophe célèbre. Saint
Basile le cherche, IV, 350. Lettre que saint
Basile lui écrit, 424.
EUSTATHE, diacre, porteur d'une lettre
de saint Grégoire de Nazianze père à Eu-
sèbe de Samosate, IV, 437.
EUSTATHE, médecin. Lettres que lui
écrivit saint Basile, IV, 466, 462.
EUSTATHE, évêque d'Himmérie [et non
d'Himmenée.] Lettre que lui écrivit saint
Basile, IV, 458.
EUSTATHE, lecteur de l'Église de Césa-
rée. Vin, 489.
EUSTATHE, diacre, dont le pape saint
Innocent prend la défense, VIII, 515.
TAB. I.
chargé
EUSTATHE, évêque d'Altalie en Pam-
philie. Dispositions du concile d'Éphèse à
son égard, VIII, 591.
EUSTATHE, évêque d'Éges en CiUcie,
Lettre que lui écrit Théodoret au sujet de
Marie, fille de qualité, réduite en servitude
dans la ruine de Carthage, X, 167.
EUSTATHE, évêque de Béryte,
avec deux autres d'examiner l'affaire d'ibas,
évêque d'Édesse, accusé de nestorianisme.
Il tient un concile dont le jugement est fa-
vorable à Ibas, X, 144. Le clergé d'Édesse
lui adresse une lettre, 145. On lit sa remon-
trance au concile de Chalcédoine. Il y est
reconnu orthodoxe, 685. On y termine son
différend avec Photius de Tyr au sujet de
l'étendue de la juridiction du métropohtain,
690.
EUSTATHE, évêque de Marseille, succes-
seur de saint Vénérius, X, 470.
[EUSTATHE LE MOINE. Sa lettre à Ti-
mothée le Scolastique contre les erreurs des
Monophysites, XI, 175.]
EUSTATHE, patriarche d'Alexandrie. Sa
mort, Xn, 362.
EUSTATHE, patriarche de Constantino-
ple, demande au pape Jean XIX le titre
d'évêque universel dans les Églises d'O-
rient. Ce titre lui est refusé, XIII, 106, 145,
194.
EUSTATHE, archevêque de Thessaloni-
que. Oraison funèbre d'Eustathe par Euthy-
mius Zigabène, XIV, 153. [Sa vie. Ses Com-
mentaires sur l'Iliade et l'Odyssée. Com-
mentaire sur l'hymne des Grecs en l'hon-
neur du Saint-Esprit. Deux autres fragments,
832.]
EUSTATHE, évêque de Nicée, aide l'em-
pereur Alexis Comnène à convertir les Pau-
liciens, XIV, 140, 141.
EUSTATHIE, dame pieuse que saint Gré-
goire de Nysse trouva à Jérusalem, VI, 124.
Lettre de lui à elle, Ambrosie et Basilisse,
217.
EUSTATHIENS, schismatiques d'Antio-
che, condamnés au concile de Gangres, II,
514, 515.
EUSTOCHIE (Sainte). Voyez Eustoquie
(sainte).
EUSTOCHIUS, dont les domestiques ofifen-
sèrent Gallisthènes, IV, 443.
EUSTOCHIUS, sophiste. Saint Grégoire
de Nazianze lui écrit, V, 258.
EUSTOCHIUS, évêque de Tours, X, 438.
Tient un concile à Angers pour l'élection
26
431.
448.
V I ùècle.
1025,
XII siècle.
379.
IV siècle.
453.
402
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
d'un évêque, 708. Il ordonne des jeûnes et
des veilles pour certains jours, XI, 372.
553. EUSTOGHIUS, patriarche de Jérusalem,
fait recevoir dans un concile les actes da
second concile général de Constantinople,
XI, 882. Les moines de la Laure de Saiut-
Sabas se séparent de sa communion par at-
tachement pour Origène, 272.
384. EUSTOQUIE ou EUSTOCHIE (Sainte), Elle
de sainte Paule. Saint Jérôme lui dédie son
Commentaire sur Isaïe, VII, S66. Elle fut la
première fille de distinction qui dans Rome
consacra sa virginité à Jésus-Christ, 586.
Lettre que saint Jérôme lui écrivit, conte-
nant un traité sur la virginité, 586 et suiv.
3gj, Deux autres lettres de saint Jérôme à cette
387. vierge, 590, 591 . Lettres de sainte Paule et
de sainte Eustoquie à sainte Marcelle. Elle
est attribuée à saint Jérôme, 617, 618. Let-
404. tre de saint Jérôme à sainte Eustoquie sur
la mort de sainte Paule, 635 et suiv. Lettre
3gg de saint Jérôme à sainte Paule et à sainte
Eustoquie, en préface de la traduction des
Homélies d'Origène sur saint Luc, 646. Dis-
cours sur l'Assomption de la sainte Vierge
adressé à sainte Paule et à sainte Eustoquie.
Ce discours est faussement attribué à saint
Jérôme, 647. Autres lettres qui lui sont faus-
sement attribuées, 648.
EUSTOQUIUS. Voyez Eustochius, sophiste.
EUSTORGE, évêque de Milan, confesseur,
dont parle saint Ambroise, V, 490.
EUSTORGE, autre évêque de Milan. Let-
tre que lui écrit saint Avit de Vienne, X,
557, — Lettre par laquelle le roi Théodoric
le charge de faire rétablir l'évêque d'Au-
gusta, XI, 213. [Dans la table du XP volume
on a joint à tort un trait qui regarde Eusto-
chius, patriarche de Jérusalem.]
EUSTRACE, parent de saint Grégoire de
Nazianze, V, 260.
EUSTRACE, métropolitain de Nicée, aide
Alexis Gomnène à convertir les Pauliciens.
Éloge qu'Anne Gomnène fait de lui. Ses
écrits contre Pierre, évêque de Milan, sur
la procession du Saint-Esprit. Ses Commen-
taires sur le second hvre des Analytiques et
sur les Morales d'Aristote. En écrivant con-
tre les Arméniens, il tombe lui-même dans
plusieurs erreurs, dont il est obligé de se
rétracter dans un concile de Constantinople,
XIV, 148.
EUSTRATE, comte, à qui Pirmus de Cé-
sarée en Cappadoce recommande un chan-
tre de son éghse, X, 152.
EUSTRATE, prêtre de Constantinople, ssî
fait l'éloge du patriarche Eulychius, XI,
347. Son traité de l'État des morts après
cette vie. Analyse de cet ouvrage, 347 et
348. Ce que Photius dit de ce traité, 348. [Il
est reproduit au t. CLXII de \aPalrol. grecque.]
EUSTRATE, qui conjointement avec Hila-
rion avait pi'oposé plusieurs difficultés à
Nicéphore, patriarche de Constantinople,
XII, 287, 288,
EUSTRATE DE GARIDE, patriarche de y. «
Constantinople. Il est déposé par ordre de ios4
la cour. Nicolas le Grammairien est mis à sa
place, XIII, 559.
EUTACTE, hérétique archontique, infecte
l'Arménie, VI, 392.
EUTHALE, diacre, recommandé h saint
Amphiloque par saint Grégoire de Nazianze,
V, 265.
EUTHALE, auteur d'une petite Histoire yg,j,
de saint Paul, VI, 289.
EUTHALE, évêque de Sulque, a fait aussi
un travail sur saint Paul, VI, 289, 290.
EUTHALE, archidiacre d'Alexandrie, au-
quel on signifle la sentence contre Dioscore,
X, 688.
EUTHASIUS, évêque d'Aoste, envoie un
de ses prêtres tenir sa place au concile de
Milan, X, 681.
EUTHBERT, l'un des disciples du Véné-
rable Bède. Voyez Cuthbert.
EUTHERIUS, évêque de Césarée en Mau-
ritanie, IX, 411.
EUTHERIUS, évêque de Tyanes, parti-
san deNestorius. Ses dix-huit discours, VIII,
381 et suiv. Ce qui a engagé Photius à les
attribuer à Théodoret, 385. Analyse de ces
discours, 381 et suiv. Euthérius est déposé
deux différentes fois. Il est chassé de Tyanes 432.
et relégué à Scythople en Palestine. Il se 435,
retire à Tyr où il finit sa vie, 383. Il avait
écrit au pape Sixte III contre la paix, 378
et 603. 11 fut déposé dans un concile de
Constantinople. Il est maintenu dans son
siège par le comte Lingras, 599. Son obsti-
nation dans le scbisme. Il est relégué, 604.
— Il est auteur de vingt -sept discours con-
tre les Eutychiens attribués par Photius à
Théodoret, X, 99. Sa déposition, 149.
EUTHÉRIUS, à qui Firmus de Césarée en
Cappadoce écrit une lettre, X, 151.
EUTHÉRIUS, fils de Vîctorin de Marseille
qui lui adresse son poëme sur la Genèse, X,
443.
EUTHÉRIUS, nom corrompu pour Profu-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
403
iurus, évêque de Brague, à qui le pape Vi-
gile adresse une décrétais, XI, 193, 196.
EUTHYMIDS, qui veut enlever saint Am-
broise, est lui-même enlevé et conduit en
exil, V, 381.
EUTHYMIUS et PHILIPPE, prêtres de
Gonstantindple. Lettre que leur écrivit saint
Chrysostôme, VII, 136.
iiécie. EUTHYMIUS, l'un des quatre grands
frères. Ce qui en est dit dans l'Histoire lau-
siaque de Pallade, VII, 488.
EUTHYMIUS (Saint), solitaire. Son édu-
cation fut confiée à Acace de Mélitine, VIII,
388. Il ramène l'impératrice Eudoxie à l'É-
glise catholique, 475. — Convertit un grand
nombre de Sarrasins. L'église de sa laure
est dédiée par Juvénal de Jérusalem, X, 17.
— Sa Vie écrite par saint Cyrille de Scy-
thople, XI, 272 et suiv.
EUTHYMIUS, patriarche intrus à Cons-
tantinople, chassé, XII, 776.
EUTHYMIUS ZIGABÈNE, moine du mo-
-s. nastère de la Mère de Dieu à Gonstantino-
ple. Son mérite lui acquiert une grande
considération à la cour. Alexis Comnène le
charge de composer un Traité sur toutes les
hérésies, avec la réfutation de chacune.
C'est ce qu'il exécute dans sa Panoplie dog-
matique, XIV, ISO. Analyse de cet ouvrage,
150 et suiv. Éditions de cet écrit. Écrit
d'Euthymius contre les Latins, 132. Son
traité contre les Massaliens, 152 et 133. Ses
lettres. Son oraison funèbre d'Eustathe,
évêque deThessalonique, 133. Commentaire
sur les psaumes et dis cantiques de l'Écri-
ture, 133 et 134 ; sur les quatre évangiles,
154. Doctrine d'Euthymius sur la présence
réelle, 154 et 155. Commentaire sur les épî-
tres de saint Paul et sur les épîtres catholi-
ques, 135. [Son Exposition sur le symbole,
133. Son Traité ou sa Dispute avec un phi-
losophe sur la foi est pubhé par Mai'. Ce
qu'il contient, 1177. Fragment du Dialogue
d'un chrétien avec un Israélite. Le cardinal
Maï promettait de faire paraître le Commen-
taire d'Euthymius sur les épîtres de saint
Paul; il n'a pas tenu parole, 1177.] Lettre
d'Euthymius contre les MassaHens, IV, 647.
EUTRÉGHIUS, préfet. Lettre que lui écrit
Théodore t, X, 69.
EUTROPE (Saint), martyr. Ses actes. Ou-
vrage perdu , attribué à saint Denis l'Aréo-
pagite, X, 552.
EUTROPE (Saint), premier évêque de
Saintes. Monastère au diocèse de Saintes
1083.
sous son nom, établi par Guillaume, duc
d'Aquitaine. Mis sous la discipline de l'abbé
de Cluny, XIV, 1069.
EUTROPE, préfet du prétoire à qui Théo-
dose adresse une loi, VI, 365.
EUTROPE, eunuque, ministre d'Arcade, 399,
propose saint Chrysostôme pour le siège de
Constantinople, VII, 2. Le saint évêque s'op-
pose à ses entreprises, 3. Eutropo se fait
donner le titre de patrice et de consul. Dis-
gracié, il se réfugie dans l'église sous la
protection de saint Chrysostôme, 118. Il est
pris, banni et ensuite décapité, 120. Deux
discours de saint Chrysostôme au sujet de
cet officier, 118.
EUTROPE, évêque à qui saint Augustin
adresse le livre de la Perfection de la jus-
tice, IX, 440, etX, 2.
EUTROPE, préfet des Gaules. Lettres que
lui écrit saint Sidoine Apollinaire, X, 383,
385, 386.
EUTROPE, évêque d'Orange. Lettre d'a-
mitié que lui écrit saint Sidoine Apollinaire,
X, 390. On lui attribue les lettres dont il
est parlé dans l'article suivant. (Voyez son
article dans V Histoire littéraire de la France,
t. II, p. 473 et suiv.)
EUTROPE, prêtre gaulois, auteur de deux
lettres, différent de l'historien du même
nom, X, 587.
EUTROPE, père de saint Benoît, XI, 156. yi siècle.
EUTROPE, évêque de Valence en Espa-
gne. Analyse de sa lettre à Pierre d'Iturbica,
intitulée : De l'étroite observance des moi-
nes et de la ruine des monastères, XI, 633
et 636. Une autre lettre qu'il avait écrite à
Licinien de Carthagène est perdue, 635.
[Autre à Pierre d'Iturbica sur les huit vices.
Édition de ces lettres dans la Patrologie,
836.]
EUTROPIE (Sainte), servante de sainte
Afre. Son martyre, III, 30.
EUTYCHE ou EUTYCHIUS, évêque d'Eleu- jy siêcie.
théropole, maltraite Lucifer de Cagliari, IV,
241. — Il se joint aux Ariens dans le con- 35g_
elle de Séleucie. Il signe la consubstantialité aes.
dans le concile d'Antioche, VI, 375.
EUTYCHÈS, hérésiarque. Fragments de iv siècle,
saint Athanase contre l'erreur qu'il a sou-
tenue depuis, IV, 171. Autre fragment sem-
blable attribué à saint Athanase, 172. —
Réponse de saint Pierre Chrysologue à la
circulaire qu'Eutychès avait écrite aux évo-
ques, X, 7 et 16. Sermon dans lequel saint
Pierre Chrysologue l'apostrophe en particu-
304.
449.
404
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
lier, H. Théodoret combat l'hérésie d'Ea-
tychès, 22. Eusèbe de Dorylée essaie en
vain de ramener Eutychès à la saine doc-
trine, 23. On croit que c'est lui que Théo-
doret a en vue dans le traité qu'il a intitulé :
Éraniste ou Polymorphe. Eu quoi consiste
)e principal point de son hérésie, 80. Nous
n'avons rien des écrils de Théodoret contre
448. Eutychès, 107. Eutychès condamné au con-
cile de Constantinople, 172. Sa lettre au
pape saint Léon oii il tâche de le surprendre
et de l'indisposer contre Flavien, 172 et 173.
449. Il est absous au faux concile d'Ephèse ; il
451. est anathématisé au concile de Chalcédoine,
173. Sermon du pape saint Léon contre Eu-
tychès, 183. Sermon contre cet hérésiarque,
197. Traité contre les erreurs d'Eutychès et
de quelques autres, qui n'est point de saint
Léon, 198. Eutychès, avant de publier son
erreur, avait écrit à saint Léon. Lettre qu'il
en reçut, 210. Différentes lettres du pape
saint Léon à son occasion, 210 et suiv. Saint
Prosper combat ses erreurs, 304. Cinq livres
de Vigile, évéque de Tapse, contre Euty-
chès et ses erreurs, 472 et suiv. Eutychès
combattu par Mochimus, 582. Traité de
Boëce contre les erreurs d'Eutychès et de
Nestorius, 650 et suiv. Conférence à Rome
sur les erreurs d'Eutychès, 646. Ses erreurs
448_ sont dénoncées au concile de Constantinople
par Eusèbe de Dorylée, 669. Il est sommé
de comparaître au concile. Sa réponse, 669
et 670. Seconde sommation, 670 et 671. Il
charge l'abbé Abraham de se présenter pour
lui au concile, 671. Sommé une troisième
fois, il promet de se présenter, 671 et 672.
Il vient au concile, où il soutient ses erreurs
449. avec opiniâtreté, 672, 673. 11 est déposé et
excommunié, 673. 11 prétend que les acte.s
du concile avaient été falsifiés et obtient de
l'empereur Théodose le Jeune que l'examen
en soit fait dans un nouveau concile, 673 et
449. 674. Faux concile d'Éphèse tenu à son oc-
casion, 675 et suiv. 11 y présente une re-
quête qui est admise, 676 et suiv. Il est dé-
450. claré absous et rétabli, 678. Il est anathé-
matisé au concile de Constantinople tenu
451. par Anatolius, 681. Ce qui est confirmé par
le concile de Chalcédoine, 685 et suiv. Loi
de l'emperenrMarcien contre Eutychès et ses
sectateurs, 704. — Ses erreurs réfutées par
Ferrand, diacre de Carthage, XI, 88 et suiv.
Traité de Léonce de Byzance contre les er-
reurs de Nestorius et d'Eutychès, 669, 670.
— [Erreurs d'Eutychès combattues par
Théorien, XIV, 640, 641.] Réponse de Nicé-
tas, moine de Constantinople, à la lettre
d'un prince d'Arménie, qui prenait la dé-
fense d'Eutychès, XIV, 646, 647. Voyez ^m-
tychianisme et Eutychiens.
EUTYGHIANISME. Abrégé de l'histoire
de l'eutychianisme par le diacre Libérât,
XI, 303 et suiv.
EUTYCHIEN (Saint), pape. Décrétâtes
qui lui sont faussement attribuées, VI, 88.
EUTYCHIEN, clerc de l'église d'Aden dans
la deuxième Cilicie. Son Histoire de la con-
version et de la pénitence de saint Théo-
phile, XI, 280, 281. Différentes éditions qu'on
en a données, 281. [Autre édition, 281.]
EUTYCHIENS, disciples d'Eutychès. Ils
attribuèrent aux saints docteurs divers écrits
d'Apollinaire, IV, 173, 174. — Ils répandent
des calomnies contre sainte Pulchérie, VIII,
474. L'impératrice Eudoxie prend leur parti,
473. — Ils chassent Juvénal de Jérusalem
de son siège, X, 18. Vingt-sept discours
contre les Eutychiens, attribués faussement
à Théodoret ipar Photius, 99. La mort de
l'empereur Marcien leur donne lieu de se
relever à Alexandrie, 176. Cruautés qu'ils
exercent sur plusieurs évéques d'Egypte et
sur leur clergé, 234. Ils demandent une
conférence, 236. Ils sont absous au faux
concile d'Éphèse, 679. Les Eutychiens sont
combattus par Jean, prêtre d'Antioche ,
471, et par Isaac le Grand, 579. Leurs erreurs
combattues dans l'ouvrage de Facundus,
évêque d'Hermiane , pour la défense des
Trois Chapitres, XI, 286 et suiv. Il y dis-
tingue deux sortes d'Eutychiens, 287. [Eu-
tychiens et Nestoriens réfutés par Léonce
de Byzance, 673.] Canon du cinquième con.
cile d'Orléans qui condamne les erreurs des
Eutychiens, 862. [Eutychiens réfutés par
saint Germain, patriarche de Constantinople,
Xn, 40.]
EUTYCHIUS, évêque d'Eleuthéropole ,
Voyez Euthique.
EUTYCHIUS, évêque de Théodosiople,
souscrit à la condamnation de Nestorius,
Vm, 579.
EUTYCHIUS (Saint), martyr sous Geu-
séric, X, 466, 467.
EUTYCHIUS (Saint), patriarche ■ de Cons-
tantinople. Sa naissance, XI, 352. [Note sur
le titre de saint qu'on lui donne, 352, note
87.] L'évêque d'Amasée l'introduit dans son
clergé, 352. Il le députe à Constantinople
pour tenir sa place dans le cinquième con-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
ti cile général, 352 et 353. Comment il se rend
agréable à l'empereur Justinien I" qui le
fait patriarche de Constantinople après la
mort de Mennas, 353 et 868. Il condamne les
Trois Chapitres. Il refuse de souscrire l'édit
que Justinien avait publié pour la défense
de l'erreur des incorruptibles. II est exilé et
Jean le Scolastique ordonné à sa place, 353.
Il est déposé et transféré au monastère
d'Amasée, 354. Après la mort de Jean le
Scolastique, il est rétabli sur le siège deCons-
tantinople, 354 et 355. Dispute qu'il a avec
saint Grégoire sur l'état de nos corps après
la résurrection, 355, 356. Sa mort, 356 et
426, 431. Sa lettre au pape Vigile, 356. Son
discours sur la manière dont les intelligences
sont dans un lieu, 348 et 356. [Deux frag-
ments d'Eulychius sur la Pâque et l'institu-
tion de l'Eucharistie, 353, 354. Autres frag-
ments, 354. Éditions de ses écrits dans la
Patrologie, 354, 356.] Éloge de saint Euty-
chius par le prêtre Eustratius, 347. Il pré-
sente au pape Vigile sa profession de foi et
convient avec lui d'assembler un concile
pour décider la question des Trois Chapitres,
868. Lettre que lui écrit le pape Vigile, en
approuvant les décisions du concile de Cons-
tantinople qui condamne les Trois Chapitres,
879. Erreur d'Eutychius au sujet de nos
corps qu'il croyait ne devoir plus être pal-
pables après la résurrection, 431. Gontérence
qu'il eut sur ce sujet avec saint Grégoire le
Grand. Il rétracte son sentiment, 431 et 438.
:cie. EUTYGHIUS, patriarche d'Alexandrie. Ce
que dit Selden des circonstances de sa vie.
La chronologie n'en est pas exacte, XIII,
45. — Idée de ses Annales ; elles sont rem-
plies de fables et d'anachronismes, 45 et 46.
On réfute le témoignage que Selden a pré-
tendu tirer de cet auteur en faveur de la
secte des presbytériens. Autres écrits attri-
bués à Eutychius, 46. [Les écrits d'Eutychius
sont reproduits au tome GXII de la Pat7-o-
logie. On y trouve le Periocha d'Eutychius
avec les deux traductions d'Abraham et de
Selden, le livre d'Histoires ou Annales depuis
Adam jusqu'à l'an 937 de Jésus-Christ. Le
tout est précédé de la préface de Selden et
de celle d'Abraham de l'Échelle.]
ot. EUTYQUIE, veuve, confesse la foi à Thes-
salonique, III, 24.
[EUVERTE (Saint). Découverte de son
corps. Récit de cette découverte par Roger,
abbé du monastère bâli sous le nom du
saint, XIV, 751.]
361.
373.
[EUVERTE (Saint-). Monastère dans le
diocèse d'Orléans ; réforme qu'y fait l'abbé
Roger. Bulle d'Eugène III en faveur de cette
abbaye. Diplôme de Louis le Jeune en sa
faveur, XIV, 750.]
EUXITHÉE, évéque de Thessalonique.
Lettre que saint Léon lui écrit, X, 233.
EUXOIUS, disciple d'Ai-ius, mis sur le
siège d'Antioche à la place de saint Mélèce,
IV, 585, V, 8. Il baptisa l'empereur Cons-
tance, VIII, 517.
EUZOIUS mis par les Ariens sur le siège
de Césarée en Palestine, V, 180.
EUZOIUS, auteur de quelques ouvrages
perdus. YojezduPin.
ÉVAGRE, prêtre. Lettre que lui écrivit
saint Basile le Grand, IV, 456.
ÉVAGRE, évéque de Constantinople, IV,
616.
ÉVAGRE, moine. Lettre à ce moine faus-
sement attribuée à saint Grégoire de Na-
zianze, V, 241, 597. [Cette lettre est de saint
Grégoire de Nysse, VI, 123, 126 et 215, n. 1.]
ÉVAGRE. Lettre à Evagre faussement jy siècle,
attribuée à saint Jérôme, Vil, 647.
ÉVAGRE DE PONT, archidiacre de Cons-
tantinople et abbé dans le désert des Cellules,
VI, 110 et suiv. — Sa naissance, son édu-
cation, sa promotion dans le clergé. Il sert
l'Église de Constantinople en qualité d'ar-
chidiacre, 110. Il vient à Jérusalem. Il em- gg^
brasse la vie solitaire. Sa pénitence. Il est
instruit par les deux MacairC;, 111. Il instruit
des solitaires dans le désert des Cellules,
111 et 112. Il reçoit le don de chasteté, d'in-
telligence et des miracles, il refuse l'épis-
copat. Sa mort, 112. Écrits d'Evagre, 113 et
suiv. Écrit intitulé : Sicré ou Gnostiques,
Traité intitulé : LeMoineouIePratique, 113.
L'antirrhétique. Problèmes prognostiques.
Écrits aux moines et aux vierges, 114. Livre
à Mélanie. Livre de l'Apathie. Lettre à Ana-
toliuSj 115. Soixante-onze articles sur divers
sujets, 113 et 116. Les raisons de l'état mo-
nastique, 116, 117. Discours sur les noms
donnés à Dieu dans l'Écriture. Dispute
d'Évagre sur la foi, 117. Autres écrits qu'on
croit être d'Évagre, 117 et 118. [La lettre
dogmatique sur la foi n'est pas d'Évagre,
mais de saint Basile, 117, n. 12.] Jugement
des écrits d'Evagre, 118 et [119 n. 3]. Édi-
tions de ses écrits, 119. [Les écrits d'Evagre
sont reproduits aux tomes XL et CLXII de la
Patrologie grecque.] Il avait été disciple de
saint Macaire d'Egypte, V, 596, 597. —
345.
381.
391.
396.
399.
406
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Vf siècle.
423.
535.
V. 598.
588.
630.
Vil ou
VIU siècle.
Traduction de quelques ouvrages de cet au-
teur attribuée à Rufin d'Aquilée, VII, 450
et 467. — Évagre est-il auteur des Vies des
Pères attribuées à Rufin? 470. Ce qui est dit
de lui dans les Vies des Pères, écrites par
Rufin d'Aquilée, 473 et dans l'Histoire lau-
siaque de Pallade, 488, 489, 490. On lui
attribue l'Histoire de Pachon que d'autres
donnent à saint Nil, VIII, 211. — Évagre de
Pont ni Évagre d'Antioche ne sont auteurs
de l'ancien ouvrage intitulé : Dispute entre
Théophile, chrétien et Simon, juif, 424.
[ÉVAGRE (Saint), évêque. Ce qu'on sait
de sa vie. Fragments de ses commentaires
sur saint Luc, VI, 333.]
ÉVAGRE, prêtre d'Antioche, son zèle pour
la foi. Il obtient la grâce d'une femme ac-
cusée d'adultère, VII, 386.
ÉVAGRE, philosophe, ami de Synésius,
VIII, 23.
ÉVAGRE, évêque d'Antioche, auteur de
quelques écrits perdus. Voyez du Pin.
EVAGRE, prêtre et disciple de saint Martin
de Tours. Ce qu'on sait des circonstances de
sa vie, VIII, 424. Il est le véritable auteur de
l'ouvrage intitulé : Dispute entre Théophile,
chrétien et Simon, juif, et des Consultations
de Zachée, chrétien et d'Apollonius, philo-
sophe, 424 et 423. Analyse de la Dispute et
des Consultations, 425 et suiv. Jugement des
écrits d'Evagre, 432. [Éditions de ses ou-
vrages, 423.] (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. II, p. 119 et suiv.)
ÉVAGRE LE SCOLASTIQUE, historien ec-
clésiastique. Sa naissance, ses études, XI,
413, 416. — Il suit à Antioche la profession
d'avocat. Son mariage, mort de sa femme.
Il assiste de ses conseils Grégoire, patriarche
d'Antioche à qui on avait suscité desafiaires
et l'accompagne à Constantiuople. Il écrit
son histoire. L'empereur Maurice le fait tré-
sorier de l'empire et préfet. Temps de sa
mort, 416. Analyse des sis livres qui par-
tagent l'Histoire d'Évagre, 416 et suiv. Juge-
ment sur son style. Éditions de son Histoire,
420. [Autres éditions, 420.]
EVANCE, fils du patrice Dyname, envoyé
en ambassade vers l'empereur Maurice, est
tué à Carthagène où il avait relâché, IX, 400.
EVANCE, archidiacre de Tolède, à qui le
cardinal d'Aguirre attribue la lettre contre
l'abstinence du sang des animaux, XI, 812.
EVANCE, abbé de Troclar, est le véritable
auteur de la lettre dogmatique contre l'absti-
nence du sang des animaux, XI, 812. —
Analyse de cette lettre, 812 et 813. [Édition
de cette lettre dans la Pa^rofog-fe, 813.] (Voyez
l'article d'Évance dans l'Histoire littéraire de
la France, III, p. 632 et suiv.)
EVANCE, évêque de Vienne, qui vivait à
la fin du xi° siècle, n'est point l'auteur de
cette lettre, XI, 812. (Voyez son article dans
^'Hist. litt. de la France, III, p. 345 et suiv.)
EV ANDRE, évêque d'Ursin ou d'Adiazzo,
en Corse, H, 623.
EVANDRE, évêque que Firmus de Césarée,
en Cappadoce, invite à venir célébrer une
fête dans son diocèse, X, 132.
ÉVANGÉLISTES. Voyez Évangiles.
ÉV ANGÉLUS, prêtre de la secte des Péla-
giens, VII, 86.
ÉV ANGÉLUS, prêtre à qui saint Jérôme
écrit une lettre, VII, 339. — Autre que lui
écrivit ce saint docteur, 644.
ÉVANGILES (Les quatre) de saint Matthieu,
de saint Marc, de saint Luc et de saint Jean.
Jésus-Christ n'a rien laissé par écrit et n'a
pas ordonné à ses disciples d'écrire, I, 191,
192. — Grande autorité des quatre Évan-
giles dans l'Église. Le nom d'Évangile si-
gnifie heureuse nouvelle. L'Église ne reçoit
que quatre Évangiles comme canoniques,
192. Figures des quatre évangélistes dans
les quatre animaux de la vision d'Ezéchiel,
192, 193. Ordre dans lequel les quatre évan-
giles ont été composés. Pourquoi des quatre
évangélistes il y en a deux apôtres et deux
disciples ? Pourquoi il y a eu quatre évangé-
hstes, 193. Il n'y a point entre eux de va-
riétés essentielles. Celles qui s'y trouvent,
loin de diminuer leur autorité servent à
l'établir, 193. Il paraît que les évangélistes
ont mis leur nom à la tête de l'Évangile. Au
moins il est certain que les quatre évan-
giles sont de ceux dont ils portent les noms,
193. [Preuves de l'authenticité des quatre
Évangiles vainement attaqués par les ratio-
nalistes, 192, n. 9.] Les Ébionites ne rece-
vaient que l'Évangile de saint Matthieu, 501.
L'Église ne reconnaissait que quatre Évan-
giles. Avec quel respect on les lisait, 521.
Témoignage d'Origène, II, 164, 207, 208; de
saint Cyprien, 349. Témoignage des Consti-
tutions apostoliques, 593. Évangile pendu au
cou du martyr saint Euplius, III, 31; ■- Té-
moignage de saint Méthode de Tyr, 68 ;
d'Eusèbe de Césarée, 190, 191. Livres d'Eu-
sèbe de Césarée sur les contradictions appa-
rentes des Évangiles, 241, 242. [Les deux
Uvres à Etienne et le livre à Marin sur les
581-589.
398.
385.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
407
questions et solutions évangéliques publiés
en partie par Mai, 243, 244.] Canon 16 du
concile de Laodicée, 510. Témoignage de
saint Ambroise sur les Évangiles, V, 316. —
Témoignage de saint Chrysostôme, VII, 64,
101, 212, 359 et suiv., 431; de saint Jérôme,
653, 697. Ce saint docteur revit les quatre
Évangiles sur le grec, 354. Réponse de saint
Isidore de Péluse qui objectait la nouveauté
des Évangiles, VIII, 488. — Le saint Évan-
gile posé sur un trône au milieu du concile
d'Éphèse, 577 . Doctrine de saint Augustin sur
les saints Évangiles, IX, 585 et suiv. Carac-
tères des évangélistes, 383 , 386. Symboles qui
les distinguent, 586, 587. Durang et de la di-
gnité des évangélistes, 587, 588. Dessein de
chaque évangéliste, 588, 589. Ce qui dis-
tingue saint Jean des trois autres. Les trois
premiers nous tracent la vie active, saint
Jean nous présente la vie contemplative,
589. Objections des païens contre les Évan-
giles, 589 et suiv. Jésus-Christ ayant conduit
la main des évangélistes, on peut dire que
c'est lui-même qui a écrit l'Évangile. EEfet
des contradictions apparentes de l'Évangile,
591. Les omissions des évaugéhstes n'em-
pêchent pas qu'ils n'aient dit ce qu'ils de-
vaient dire, 391 et 392. Il n'y a point de
contradiction entre les évangélistes, 392,
593. Quoiqu'ils diffèrent dans l'ordre de
rapporter les faits, ils s'accordent pour
le fond des choses, 593, 394. Témoignage
de Théodoret sur la doctrine de l'Évangile,
X, 95. — Parallèles de l'Évangile avec
les lois établies par les plus sages légis-
lateurs grecs et romains , 96. Livre des
Évangiles écrit de la main de saint Hilaire
de Poitiers, 440. Le saint Évangile placé au
milieu de l'assemblée en plusieurs séances
du concile de Chalcédoine. Écrits des Pères
à consulter sur les Évangiles selon Cassio-
dore, XI, 228 et suiv. — Témoignage de
saint Grégoire sur la lecture solennelle de
l'Évangile à la messe, 539. Livre contenant
les quatre Évangiles, dont l'empereur
Lothaire fait présent au monastère de Saint-
Martin de Metz, XII, 439. — Livre des Évan-
giles à l'usage des Grecs dans la célébration
des mystères, XIII, 135. — Poèmes de saint
Grégoire de Nazianze sur les saints Évan-
giles, V, 275. — Histoire des Évangiles
mise en vers par Florus, diacre de Lyon,
XII, 491. — Sommaire des quatre Évangiles,
poëme de saint Prudence, évêque de Troyes,
499. [Traduction de l'histoire de l'Évangile
en vers tudesques , par Otfrid , moine de
Weissembourg, 593, 396.] Concorde des
quatre Évangiles attribuée à saint Théophile,
I, 479. — Concorde évangélique composée
par Tatien, 492. Concorde des quatre Évan-
giles, ouvrage d'Ammone Saccas, philosophe
chrétien, II, 99. — Canons évangéliques
d'EusèbedeCésarée, III, 240. — [Harmonie
des Évangiles ou exphcation comparée des
quatre Évangiles, pat-saint Éphrem, VI, 321 .]
— Quatre livres de l'Accord des évangélistes,
ouvrage de saint Augustin, IX, 216. — Har-
monie des Évangiles reçus par Victor de Ca-
poue, XI, 303. — Concordance des évangé-
listes, parle prêtre Hésychius, 656, 637. Con-
cordance des quatre évangélistes, par Maria-
nus Scotus, XIII, 401. — Canons des Évan-
giles dressés par le B . Odon de Cambrai, XIV,
76. [Concorde des Évangiles, par Pierre Lom-
bard, 368.] — Homélies de saint Chrysostôme
sur divers endroitsdu saint Évangile, VII, 98
et suiv. — Plusieurs commentaires sur les
Évangiles attribués à Jean de Jérusalem,
302. Commentaires sur les Évangiles faus-
sement attribués à saint Jérôme, 649. Com-
mentaires de saint Maruthas sur l'Évangile,
VIII, 3, 4. — Deux livres de questions sur
quelques endroits de l'Évangile : ouvrage de
saint Augustin, IX, 220. — Sermons de saint
Augustin sur les quatre évangélistes, 237 et
suiv. — [Expositions courtes sur les Évangiles
sous le nom de saint Maxime de Turin, X,
326.] Annotations sur les Évangiles attri-
buées à Arnobe le jeune, 332. — [Chaîne sur
les quatre évangélistes par Victor de Capoue
ou mieux par Jean, diacre, XI, 303.] Homé-
lies du pape saint Grégoire le Grand sur les
Évangiles, 432 et suiv. Analyse de ces ho-
méhes, 452. Éditions particulières et traduc-
tions qu'on en a faites, 586. Commentaire sur
les quatre Évangiles que Trithème attribue au
pape saint Grégoire, 532. — Commentaires du
vénérable Bède sur les quatre Évangiles, XII,
9. [Explication des préfaces de saint Jérôme
sur les Évangiles, par Sédulius le Jeune.
Explication de la différence qu'il y a entre
les sommaires et les canons des Évangiles
avec sommaire sur chaque évangéhsteetex-
plication de ces sommaires, par Sédulius le
Jeune, 361. Exposition sur les quatreÉvangi-
lesattribuéeàValafrideStrabon,413.]Homé-
lies sur les Évangiles de l'année attribuées
à Haimon d'Halberstat, 433. Commentaires
d'Angélome, moine deLuxeuil, sur les quatre
Évangiles. Ils n'ont pas encore été imprimés,
408 HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
41.
4M. Commentaire sur les quatre Évangiles
attribué à Werembert, moine de Saint-Gall,
694. Commentaires de Rémi, moine d'Au-
xerre, sur les Évangiles, 7S3 et 736. Frag-
ments du commentaire de Photius sur les
quatre Évangiles, 973. [Vers sur les mi-
racles de l'Évangile, par Fromond, XIII,
98.] Commentaires de Théophylacte, ar-
chevêque d'Acride sur les quatre Évan-
giles, 556. Commentaires sur les quatre
Évangiles attribués à Nicétas d'Héraclée.
Chaînes sur saint Mathieu, saint Luc et saint
Jean attribuées au même, 558. — [Extrait des
Pères sur les Évangiles du temps par Wer-
ner, abbé de Saint-Biaise, XIV, 79.] Com-
mentaire d'Euthymius Zigabène sur les
quatre Évangiles. Traduction latine qui en
a été laite. Différents auteurs à qui ce com-
mentaire a été attribué, 134. Explica-
tion de quelques endroits des Évangiles attri-
buée au même, 183. Seize homélies de Pierre
Babion sur les Évangiles attribuées à An-
selme de Laon, 184. Glose de Guillaume de
Conches sur les quatre Évangiles, 388. Com-
mentaires du moine Hervé sur les Évan-
giles, 403, 404. Sermons d'Isaac , abbé de
l'Étoile, sur les Évangiles des dimanches
depuis l'Epiphanie jusqu'à Pâques, 694.]
Livre des Évangiles à l'usage des Grecs;
éditions récentes, XIII. 135. — Sermons
des Guillaume d'Auvergne sur les Évan-
giles des dimanches de l'année, XIV, 1023
et suivant. Voyez chacun des Évangélistes à
leur titre et chacun des Évangiles dans les
articles suivants.
ÉVANGILE DE SAINT MATTHIEU. En
quel temps saint Matthieu l'écrivit. Il est le
premier qui écrivit l'Évangile, I, 196. Il l'é-
crivit en hébreu, 196 et 197. Objections
contre ce sentiment : Première réponse :
L'explication des noms hébreux donnée en
grec, doit être attribuée au traducteur, 197.,
Deuxième réponse : Des textes cités de l'An-
cien Testament, si quelques-uns sont con-
formes à la version des Septante , c'est
qu'elle-même est conforme à l'hébreu. Les
autres sont cités, non à la lettre, mais selon
le sens, et toujours d'une manière qui ap-
proche le plus du texte original, 197 et 198.
Troisième réponse : La ressemblance qui se
trouve entre le grec de saint Marc et celui de
saint Matthieu doit être imputée au traduc-
teur de celui-ci. On ne sait qui est ce tra-
ducteur. Il n'y a eu qu'une seule version
grecque de cet Évangile autorisée dans l'É-
ghse. C'est sur cette version que saint Jérôme
a corrigé la version latine, 198. On ne peut
douter que saint Matthieu ne soit auteur de
l'Évangile qui porte son nom, 198 et 199.
[But de saint Matthieu en écrivant son Évan-
gile, 199, n. 2.] Sommaire de cet Évangile.
Addition au texte de saint Matthieu dans
quelques exemplaires, 199. L'Évangile de
saint Marc n'est pas l'abrégé de celui de
saint Matthieu : différence de ces deuxÉvan-
giles, 202, 203. Différences et accords des
deux généalogies de Jésus-Christ selon saint
Matthieu et saint Luc, 207. Les Ébionitesne
recevaient que l'Évangile de saint Matthieu,
501. L'Évangile de saint Matthieu est trouvé
dans les Indes par saint Pantène, 560. Com-
mentaire de saint Hippolyte sur cet Évan-
gile, 615. — Ouvrages d'Origène surl'Évan-
gile de saint Mathieu, "II, 163. — [Fragments
du Commentaire d'Eusèbe de Césarée sur
saint Matthieu, III, 236.] — Commentaire de
saint Hilaire de Poitiers sur cet Évangile,
IV, 25 et suiv. [Il n'en reste que le commen-
cement. Authenticité de ce traité, 30, Ana-
lyse de ce traité, 30 et suiv.] Commentaire
sur cet Évangile attribué i saint Athanase,
170. — Discours de saint Éphrem sur ces
paroles de saint Matthieu : De deux hommes
qui seront dans un champ, etc., VI, 10. Té-
moignage de saint Épipbane sur l'Évangile
de saint Matthieu, 389. — Homélie sur le
vingt-unième chapitre attribuée àsaintChry-
sostôme, VII, 204, 203. Ouvrage imparfait
sur saint Matthieu faussement attribué à saint
Jean Chrysostôme, 209 et suiv. Quatre-vingt-
dix ou quatre-vingt-onze homélies de ce
Père sur saint Matthieu, 211 et suiv. Opus-
cule faussement attribué à ce Père sur ces
paroles ; Mon Père, s'il est possible, 312. Ou-
vrage imparfait sur saint Matthieu attribué
à Jean de Jérusalem, 502. Commentaire de
saint Jérôme sur l'Évangile de saint Mat-
thieu, 570. — Dix-sept questions faussement
attribuées à saint Augustin, IX, 220. Ser-
mons du même sur le même Évangile, 237.
Discours d'Hérachus, prêtre d'Hippone, sur
un texte de l'Évangile selon saint Matthieu,
243. — Commentaires de saint Cyrille d'A-
lexandrie, VIII, 324 et 349. — [Commentaire
de Luculentius sur saint Matthieu, XI, 633.
— Fragment d'un commentaire de saint
Jean Damascène sur l'Évangile selon saint
Matthieu, XII, 99. Le commentaire sur cet
Évangile attribué à Alcuin ne parait pas être
l'œuvre de cet auteur, 171.] Commentaires
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
409
de Claude de Turin sur cet Évangile, 331,
[sa préface, 331, n. 3. Le commentaire existe
manuscrit, 331]; de Sédulius, 358; de Chré-
tien Druthmar , 420 et suiv. ; de Raban
Maur, 451, 432. Analyse de celui de saint
Paschase Radbert, 529, 530. [Douze homé-
lies de Remy , moine de Saint-Germain ,
sur des passages de saint Matthieu, 757.]
Commentaire de Diethelme, 840. — Gloses
de Pierre, chancelier de l'Église de Char-
tres, XIII, m. Homélie du patriarche Jean
Xiphilin, 338. Discours d'Alphane, arche-
vêque de Salerne, sur le neuvième cha-
pitre de saint Matthieu, 493. Gloses de Ma-
negold, prévôt de Marbach, sur l'Évangile
de saint Matthieu, 583. — Commentaire
d'Anselme de Lâon sur cet Évangile. Ce
commentaire n'a pas encore été imprimé.
Celui qui est imprimé sous son nom parmi
les œuvres de saint Anselme de Cantorbéry
est de Pierre Babion, anglais, XIV, 283.
Ouvrage de Rupert, abbé de Tuy, sur saint
Matthieu, intitulé : De la Gloire et de l'hon-
near du Fils de l'Homme, 282, 283. [Expli-
cation de ces paroles : Quodcumque ligaveri-
tis super terram, etc., et de ces autres :
Quorum remiseritis peccata, etc., par Richard,
prieur de Saint-Victor, 704, 703. Explication
de ces paroles : In regeneratione cum sederit
Filius hominis, etc., par le même, 703.]
ÉVANGILE DE SAINT MARC. A quelle
occasion saint Marc l'écrivit. Cet Évangile
est autorisé par saint Pierre, I, 201 . Saint
Marc l'écrivit en grec, 201 et 202. En quel
temps? 202. Cet Évangile n'est pas l'abrégé
de celui de saint Matthieu, 202 et 203. Une
partie du dernier chapitre ne se trouvait pas
dans plusieurs exemplaires du temps de
saint Jérôme, 203. Cette partie est véritable-
ment de l'Évangile de saint Marc, 203 et
204. Analyse de cet Évangile, 204. C'est de
saint Pierre que saint Marc avait appris ce
qu'il a écrit, 399, note 4. [Le prétendu ori-
ginal latin de l'Évangile selon saint Marc est
un fragment de l'ancienne italique, 201,
note 1.] — Commentaires d'Origène sur l'É-
vangile selon saint Marc, II, 164. Commen-
taire sur saint Marc faussement attribué à
Jean de Jérusalem, VII, 302. Commentaire
sur cet Évangile sous le nom de saint Jé-
rôme, 649. — Sermons de saint Augustin
sur l'Évangile selon saint Marc, IX, 237 et
suiv. — [Histoire abrégée de saint Marc
pour l'exposition de son Évangile, par le
Vénérable Bède, XII, 15.]
ÉVANGILE DE SAINT LUC. Motif qui a
engagé saint Luc à écrire son Évangile. Il
rapporte un grand nombre d'actions de Jé-
sus-Christ dont les autres évangélistes n'ont
point parlé. Il écrit sur le rapport de ceux
qui avaient vu les choses de leurs propres
yeux, L 206. En quelle année il écrivit son 58-
Évangile, 206 et 207. Pourquoi on l'attribue
à saint Paul. Altérations faites en quelques
exemplaires de cet Évangile. Analyse de cet
Évangile. Il s'accorde avec celui de saint
Matthieu sur la généalogie de Jésus-Christ,
207. — Ouvrages d'Origène sur l'Évangile
de saint Luc, II, 164. — [Commentaire
d'Eusèbe de Césarée sur saint Luc publié
par Mai, III, 237, 238.] — Commentaire sur
cet Évangile attribué à saint Athanase,^ IV,
170. [Le cardinal Maï a publié plusieurs
fragments du Commentaire sur saint Luc,
171.] Commentaire sur l'Évangile de saint
Luc attribué faussement à Tite de Bostres,
343. — Commentaire de saint Ambroise sur
l'Évangile selon saint Luc, V, 429 et suiv.
— Témoignage de saint Épiphane sur l'É-
vangile de saint Luc, VI, 393. — Opuscule
faussement attribué à saint Chrysostôme sur
ces paroles de l'Évangile de saint Luc : Je
suis venu pour jeter le feu sur la terre, VII,
335. Commentaire sur saint Luc faussement
attribué à Jean de Jérusalem. Cinq homélies
sur saint Luc qui lui sont aussi faussement
attribuées, 502. Lettre de saint Jérôme à
sainte Paule et à sainte Eustoquie, ou pré-
face de la traduction des homélies d'Origène
sur saint Luc, 646. — Sermon de saint Nil,
solitaire de Sinaï, sur un passage de saint
Luc, VIII, 213. — Commentaire de saint
Cyrille d'Alexandrie sur saint Luc, 324. [Le
cardinal Maï a publié ce commentaire, 349
et suiv.] — Sermons de saint Augustin sur
l'Évangile selon saint Luc, IX, 237 et suiv'.
— Fragment attribué à Théodoret sur un
texte de l'Évangile de saint Luc, X, 100. —
Commentaire de Cosme d'Egypte sur cet
Évangile : nous ne l'avons plus, XI, 191.
Explication de cette parole de l'Évangile de
saint Luc : Si un homme vous frappe sur une
joue, tendez-lui l'autre, par l'abbé Maxime,
764. — [Lettre dans laquelle le Vénérable
Bède traite de l'Évangile selon saint Luc,
XII, 13.] Fragments d'André de Crète sur
l'Évangile de saint Luc, 58, 59. Scholies de
Chrétien Druthmar sur cet Évangile, 422.
[Fragment d'un commentaire sur cet Évan-
gile par Athanase de Corinthe, 899. Frag-
410
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
menls du commentaire d'CEcumenius sur le
même Évangile, 913.] — Quatre sermons
de saint Bernard sur ces paroles : L'ange
Gabriel fut envoyé, etc., XIV, 484.
ÉVANGILE DE SAINT JEAN. Saint Jean
97. écrivit son Évangile à Éphèse. Quel fut son
dessein en l'écrivant, I, 210. Il l'écrivit en
grec, 210 et 211. Difficultés surle derniercha-
pitre de cet Évangile, 211 . Réponse ; Tous les
Pères ont regardé ce dernier chapitre comme
faisant partie de l'Évangile de saint Jean,
et ce chapitre ne renferme rien dont saint
Jean ne puisse être l'auteur, 211 et 212.
Difficultés sur l'histoire de la femme adul-
tère. Réponse : Quoique cette histoire ne se
trouvât pas dans plusieurs anciens exem-
plaires, on ne laissait pas de la regarder
comme faisant partie de l'Évangile de saint
Jean. Elle n'en a été retranchée que par
ignorance et témérité, et dans peu d'exem-
plaires. Ceux qui ne l'ont pas commentée
ou ne la connaissaient pas, ou la trouvaient
d'elle-même assez claire, 212 et 213. Cano-
nicité et excellence de l'Évangile de saint
Jean, 213. Son style. Analyse de cet Évan-
gile, 212. — Tomes d'Origène sur cet Évan-
gile, II, 165. — [Évangile selon saint Jean
d'après Eusèbe de Césarée, III, 263. — Com-
mentaire de saint Hilaire de Poitiers sur le
commencement de l'Évangile selon saint
Jean, IV, 32, 33.] Traité de saint Atlianase
sur ces paroles de Jésus-Christ : Toutes
choses m'ont été données par mon Père, 110,
m. Homélie de saint Basile le Grand sur
ces paroles : Au commencement était le Verbe,
387, 388. — Témoignage de l'historien Phi-
lostorge touchant l'Évangile de saint Jean,
VI, 349, 330. — Homélie de saint Chrysos-
tôme sur un passage de l'Évangile de saint
Jean, VII, 203. Quatre-vingt-sept ou quatre-
vingt-huit homélies de saint Chrysostôme
sur l'Évangile de saint Jean, 252 et suiv.
Opuscules faussement attribués à saint Chry-
sostôme sur un endroit de l'Évangile de
saint Jean, 333. Homélie sur le commence-
ment de cet Évangile faussement attribuée
à Sévérien, évoque de Cabales, 343. Com-
mentaire attribué à saint Chrysostôme, 346.
Trois homélies faussement attribuées à Jean
de Jérusalem, 502. — Discours de saint Gau-
dence de Bresse snr une parole de l'Évan-
gile de saint Jean, VIII, 39. Commentaire de
saint Cyrille d'Alexandrie sur l'Évangile de
saint Jean, 266, 267. Supplément à cet ou-
vrage par Clichtou. Casimir Oudin conteste
ces commentaires à saint Cyrille. On le ré-
fute, 267. (Dans le teste, p. 267, on lit dans
la nouvelle édition comme dans l'ancienne :
L'auteur des Commentaires sur Isaïe, il faut
dire sur saint Jean.) Explication remarquable
que saint Isidore de Péluse donne aux derniè-
res parolesde l'Êvangileselonsaint Jean, 488,
489. — Traités ou homélies de saint Augus-
tin sur l'Évangile selon saint Jean, IX, 237
et suiv. Sermons de saint Augustin sur l'É-
vangile selon saint Jean, 220 et suiv. Ser-
mon de saint Augustin sur un passage du
même Évangile, 239. — Explication de ce
passage : Le Verbe était avec Dieu, par saint
Fulgence, XI, 16. [Commentaire de Lucu-
lentius sur l'Évangile de saint Jean, 633. —
Le commentaire sur saint Jean attribué au
Vénérable n'est pas de cet auteur, XII, 9,
n. 2.] Commentaire d'Alcuin sur l'Évangile
de saint Jean, 171. Scholies de Chrétien
Druthmar sur cet Évangile, 422. SchoUes
sur cet Évangile attribuées à Erchambert,
cvêque de FrJsingue, 440. [Homélie sur le
prologue de l'Évangile selon saint Jean, par
Jean Scot. Ses variantes sur le commentaire
de l'Évangile selon saint Jean, 609.] Com-
mentaires de Rupert, abbé de Tuy, sur cet
Évangile, XIV, 283. Commentaires de Gil-
bert de la Porrée, 343. Autre attribué par
Tri thème à l'abbé Joachim, 830. [Explication
d'Élie d'Oxida sur ces paroles : Si guis di-
liget me, sermonem meum scî'vabii, 859.]
ÉVANGILES FAUX, I, 272 et suiv. [Leurs
éditions, 273.] Évangile des Nazaréens ap-
pelé Évangile selon les Hébreux, 197, n. 7.
Faux Évangile de saint Pierre réfuté par
saint Sérapion, 358. — Origène le cite, II,
209. — Évangile attribué à saint Thomas.
Témoignage de saint Cyrille de Jérusalem,
V, 81. Témoignage de saint Ambroise sur
les faux Évangiles, 316. [Évangile des Égyp-
tiens cité par Didyme l'Aveugle, 620.] —
Témoignage de saint Épiphane sur les faux
Évangiles des Gnostiques, VI, 387, 388. —
Témoignage de saint Jean Damascène sur
le faux Évangile de saint Thomas, XII, 77.
ÉVARISTE (Saint), pape. Décrétâtes qui
lui sont faussement attribuées, VI, 80.
EV AZES, ville de la province d'Asie, X, 694.
EVE, première femme. Écrits qui lui sont
faussement attribués, I, 263, 264. — [Ce
que saint Éphrem dit sur Eve, VI, 449.]
ÉVÊCHÉS en grand nombre dans les pre-
miers siècles de l'Église, III, 486. — Évê-
chés unis par saint Grégoire le Grand, XI,
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
411
374.
1078.
390.
341.
480, 488, 490, — Notice des évêchés de la
Grèce attribuée à l'empereur Léon VI, XII,
776. — On ordonne que les chaires épisco-
pales établies dans des villages ou des bourgs
soient transférées dans des villes, XIV, 1066.
ÉVÉMÈRE, évèque de Nantes, au concile
de Valence, IV, 600.
ÉVÉMÈRE, autre évêqae de Nantes, le
même qu'Eumérius.
EVEN, nommé évêque de Dol en Breta-
gne à la place de Johonée. Saint Grégoire
VII lui envoie le pallium, XIII, 366.
ÉVENTAIL dont on se servait à l'autel
dans les grandes chaleurs, XII, 491 ; — et
pour en chasser les mouches, XIV, 209.
EVENTIUS, évêque de Ceno (peut-être de
Cosme), au concile de Milan, IV, 653.
ÉVÊQUE (1') .... Sa traduction française
de la Vie de saint Éloi, XI, 756, 757.
ÉVÉQUES. Témoignage de saint Clément,
pape, I, 360. Évêques distingués des prêtres
dès les premiers siècles, 372 et suiv. Té-
moignage de saint Ignace d'Antioche sur les
évoques, 376, 377, 379, 380, 384, 385, 387.
Doctrine de saint Irénée, 326; de Clément
d'Alexandrie, 579 et 599. — Premier exem-
ple d'un évêque transféré et coadjuteur, II,
123. Doctrine d'Origène, 161 et 231 et suiv.;
de saint Cyprien, 359, 360 et 563. Les évê-
ques s'assemblaient fréquemment, 531. Ils
étaient les arbitres ordinaires entre les chré-
tiens, 369. Canons apostoliques qui les con-
cernent, 383, 584. Constitutions apostoliques,
592, 593. Canons dix-huitième et dix neu-
vième du concile d'Elvire, 607. Canon dix-
neuvième du concile d'Arles, 632. Canon
dix-septième du concile d'Ancyre, 639. —
Juridiction des évêques autorisée par plu-
sieurs lois de Constantin, III, 146, 147. Leurs
prérogatives selon Eusèbe de Césarée, 289,
290. Canon quatrième de Nicée touchant
l'ordination des évêques, 431, 432. Canon
cinquième, touchant leur juridiction, 432.
Canons troisième et quatrième du concile
d'Antioche, 467. Canons seizième, dix-sep-
tième et dix-huitième du même, 469. Ca-
nons du concile de Sardique, 485 et suiv.
Canon cinquième d'un concile de Carthage,
500. Canon treizième d'un concile de Lao-
dicée, 510. Canons cinquante-septième et
cinquante-huitième du même, 513. — Évê-
ques pris entre les personnes mariées, mais
à quelle condition, IV, 2. Doctrine de saint
Hilaire, 44, 79, 80; de saint Athanase, 219
et suiv.; de Lucifer de Gagliari, 266 et suiv.
Les Ariens appelaient Constance l'Evêque
des évêques, 270. Doctrine de saint Basile,
524 et suiv. Reproches que les évêques ariens
s'attirent, 398. Canon sixième du deuxième
concile de Constantinople, 624. Canon cin-
quième du huitième de Carlhage, 648, 649.
— Témoignage de saint Optât, V, 129 et
suiv., 140. Doctrine de saint Pacien, 167,
168, 169. Doctrine de saint Grégoire de Na-
zianze sur les qualités que les évêques doi-
vent avoir, 224. Poème de saint Grégoire de
Nazianze sur les évêques de son temps, 272,
273. Autre adressé aux évêques assemblés en
concile à Constantinople. Autre sur les bri-
gues des évêques, 273. Autre en forme d'é-
pigramme, aux évêques qui avaient occa-
sionné son abdication, 293. Autre poëme
contre la vie peu réglée de quelques évêques,
293 et 296. Autre touchant les évêques,
296. Poëme de saint Grégoire de Nazianze
contre les évêques de son temps, 306. Doc-
trine de saint Grégoire de Nazianze sur le
zèle et la charité des évêques, 348, 349.
Qualités épiscopales de saint Ambroise, 380
et suiv. Doctrine de saint Ambroise sur les
évêques, 365 et suiv. et 567. — Le pape
Sii'ice oblige les évêques à la continence,
VI, 107. Témoignage de saint Grégoire de
Nysse sur les évêques, 220, 245, 246, 252_
Loi de Constance touchant les évêques, 342,
Les évêques intercédaient pour les criminels,
372. Erreur d'Aérius sur les évêques, 407.
— Témoignage de saint Ghrysostôme sur les
évêques, VII, 37 et suiv., 40, 319, 330. Rè-
glements du pape saint Innocent touchant
l'ordination des évêques, 307. Évêques du
premier siège : canon vingt-septième du
concile d'Hippone, 713. Canons vingtième et
vingt-unième du troisième concile de Car-
thage, 721. Canon vingt-sixième du même
concile, 722. Canons premier et deuxième
du quatrième concile de Carthage sur l'or-
dination des évêques, 727, 728. Canons du
même sur l'ordination des évêques, depuis
le quatrième jusqu'au quatorzième, 728,
729. Canons du même sur les devoirs des
évêques, depuis le quatorzième jusqu'au
trente-sixième, 729, 730. Règlements du
pape Zozime touchant les évêques, 335 et
suiv. Supériorité des évêques sur les prêtres.
Doctrine de saint Jérôme, 680 et suiv. —
Sentiment de Synésius sur les évêques déser-
teurs, VIII, 31. Règles et témoignage du
pape saint Célestin, 129, 130, 140, 146. L'his-
torien Socrate remarque qu'il est plus du
IV siècle.
379.
382.
393.
397.
398-
IV
et V siècles.
412
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
devoir d'un évêque' de souffrir la violence
que de la faire, 367. Canon du concile de
Carlhage en 407, 543. Autre du concile de
Cartilage en 409, 344. Jugement du concile
d'Éphèse sur un évêque qui abandonnait
439. son église, 591. Le concile de Riez réserve
aux évêques le droit de bénir dans l'église
à l'exclusion des prêtres, 606. Un évêque
infirme doit appeler un évêque voisin pour
faire les fonctions qui lui sont réservées,
610. — Évêques catholiques d'Afrique qui
consentent à quitter l'épiscopat pour le bien
de la paix, IX, 417. Doctrine de saint Au-
gustin sur les évêques, 783, 784. — L'évèque
des Sarrasins nommé évêque des Camps.
Pourquoi, X, 17. Pensée de Théodoret sur
les devoirs des évêques, 21. Témoignage
du même sur les évêques , 120, 130. Au
temps de Théodorel, une des plus grandes
et des plus pénibles occupations des évêques
était de terminer les procès de leurs peu-
ples, 137. Ce que dit le pape saint Léon sur
les qualités, les devoirs, les fonctions et les
prérogatives des évêques, 179 et 261 etsuiv.
Règlement du pape saint Hilaire, 337 et 713.
Témoignage du pape saint Gélase, 302. In-
vectives de Julien Pomère contre les évêques
de son siècle, 591, 592. Portrait d'un évêque
selon la doctrine apostoliqae, 392, 394 et
suiv. Les évêques doivent passer par les de-
grés du saint ministère, 620. Canon du con-
cile de Chalcédoine touchant les évêques,
696 et suiv. Canons du concile de Tarragone
concernant les évêques, 748. — Comment
le pape saint Agapet veut qu'on en use avec les
évêques ariens qui entraient dans l'Église
catholique, XI, 119. Ce que dit Cassiodore
des évêques et des autres ministres de l'É-
ghse, 214 et 248. Dispositions des Novelles
de Justinien concernant les évêques, 236,
258, 239, 260. Dispositions du Code, 261,
262. Témoignage de saint Grégoire de Tours
touchant l'élection des évêques, 391, 392.
Évêque œcuménique ou universel : titre
donné au pape, 436; usurpé par Jean le
Jeûneur et d'autres patriarches de Constan-
tinople, 427 et 436. Saint Grégoire s'oppose à
cette prétention, 312. Homélie du pape saint
Grégoire sur les devoirs des évêques, 437,
438. Pastoral de ce pape, qui est un traité
des devoirs des évêques, 462 et suiv. Saint
Grégoire prend soin de l'élection des évê-
ques, 484, 483, 491 et suiv., 496, 534. Di-
vers témoignages du même concernant les
évêques, 484, 483,, 492, 493, 313, 518, 523
et suiv, 323, 330, 533, 372 etsuiv., 374. Té-
moignage de saint Isidore de Séville, 718,
719. Formule de Marculfe touchant l'élec-
tion des évêques, 740. Dispositions du concile
d'Épaone, 814 et suiv. Canons du concile de
Lérida, 826. Canons du deuxième concile
d'Orléans, 848. Canons du troisième, 836 et
suiv.; du quatrième, 860 et suiv.; du cin-
quième, 862 et suiv. Canon de ce concile
qui défend de donner au peuple un évêque
qu'il refuse, 863. Canon du troisième con-
cile de Paris sur le même sujet, 883. Canons
du concile de Lyon concernant les évêques,
887. Canons du deuxième de Tours, 888 et
suiv. Canon du concile de Rrague et de
Lugo, 891, 892. Canon du concile de Mâcon,
894, 893. Canon du troisième concile de To-
lède, 901 et suiv. Canon d'un concile de
Rome, 907 ; autre d'un concile de Barcelone,
908. Canons du cinquième concile de Paris,
912, 913. Modification que Clotaire II y
ajoute, 913. Autres règlements d'un concile
de Séville, 914, 913. — Parole de saint Bo-
niface, archevêque de Mayence, XII, 33.
Évêques des monastères : quelles étaient
leurs fonctions et dans quelle étendue ils les
exerçaient, 139, 140. Plaintes de saint Pau-
lin, patriarche d'Aquilée, contre les évêques
qui s'absentaient de leur église, 163. Sur les
représentations des peuples, Charlemagne
dispense les évêques et les prêtres du ser-
vice militaire, 233. Édit de Charlemagne
touchant le i-espect dû aux évêques et aux
prêtres, 237. Autres ordonnances de Charle-
magne, 237 et suiv. [et 242, 243]. Exhorta-
tion aux évêques : poëme de Théodulfe,
269. [Mode de consécration des évêques
grecs, 293, note 2.] Traité de Florus de Lyon
sur l'élection des évêques, 479, 480. Déci-
sion du pape saint Nicolas I" sur l'élection
des évêques, 581. Témoignage d'Hincmar
de Reims sur la liberté des élections, 668,
669. Lettre du même sur les cérémonies de
l'ordination d'un évêque, 680, 681. Traité
de la translation des évêques, par le même,
682. Traité des devoirs d'un évêque, par le
même, 682. [Anciennes promotions des
évêques, 704]. Témoignage d'Alton de Ver-
ceil sur ce qui concerne les évêques, 823.
Témoignage de Rathiérus, évêque de Vé-
rone, sur les évêques, 849, 830. Témoignage
de Luitprand sur les évêque grecs, 873. Dis-
cours de Gerbert sur les évêques, 905. Dis-
position d'un concile de Reims qui regarde
les évêques, 913. Canons du quatrième con-
517.
534.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
413
cile de Tolède, 917 et suiv. Canons du sep-
645, tième, 921. Canons d'un concile de Chalon-
sur-Saône, 931, 932. Canons d'un concile
de Mérida, 937, 938. Canons du concile
d'Hereford, 939, 940. Canons du onzième
concile de Tolède, 940, 941. Canons du qua-
trième de Brague, 942. Canons du treizième
de Tolède, 9o7, 958. Canons du concile Qui-
nisexte, 960, 961, 962. Évêques in partibus
infidelium. Leur origine. Canon du concile
Quinisexte qui les concerne, 962. — Évêques
parla grâce de Dieu, formule usitée dans le
x° siècle, XIII, 70. Sentiment de Fulbert de
Chartres sur les laïques élevés à l'épiscopat,
82, 83 ; et sur les évêques guerriers, 86.
Eustathe, patriarche de Gonstantinople,
usurpe le titre d'évêque universel dans l'O-
rient, 106, 143, 194. Évêques cardinaux :
opuscule de saint Pierre Damien qui leur est
adressé, 317. Témoignage de saint Anselme
de Lucques sur les élections des évêques,
393, 394. Explication des cérémonies de la
consécration d'un évoque, par saint Brunon
de Segni, 501. Canons d'un concile de Rome
qui concernent les élections des évêques,
608. Articles d'un capitulaire de Louis le Dé-
bonnaire touchant les élections des évêques,
657. Canons du concile de Cloveshou, en
Angleterre, 610 et suiv. Canons du deuxième
général de Nicée, 629. Canons d'un concile
de Rome, 660, 661 ; de Paris, 663 , dePavie,
680; de Ravenne, 719, 729; deTroyes, 721;
de Constantinople, 724; deTribur, 735, 736;
de Troslé, 742, 743. — Doctrine de suint
Anselme sur l'autorité des évêques, XIV, 41.
Novelle de l'empereur Alexis Comnène con-
cernant le choix de ceux qu'on voulait éle-
ver à l'épiscopat ou à la prêtrise, 141, 142.
Constitution touchant ceux qui étaient occu-
pés parles infldèles, 142. Traité de Geoffroy
de Vendôme sur l'ordination des évêques,
166, 167. Traité de la bénédiction des évê-
ques, par le même, 168. [Ministres de
l'évêque allant officier à l'autel. Fonctions
de l'évêque durant le saint sacrifice, 296.]
Lettre de saint Bernard sur les devoirs des
évêques, 427. Les évêques, selon saint Ber-
nard, sont les vicaires de Jésus-Christ, 462.
Traité de saint Bernard des mœurs et des
devoirs des évêques, 466. Analyse de ce
traité, 466 et 467. Lettre de Philippe de
Bonne-Espérance, contenant l'explication du
mot Èvêque, des marques de la dignité épis-
copale, des fonctions et des devoirs des
évêques, 684. Instruction sur les devoirs et
les qualités d'un évêque, contenue dans
une lettre de Pierre de Blois, 767. Canon
épiscopal ou constitution d'un évêque, par
le même, 779. Traité des mauvais pasteurs,
autre ouvrage de Pierre de Blois, 781.
[Causes qui, d'après le pape Innocent III,
motivent la renonciation ou la déposition
d'un évêque, 1002]. Canons du troisième 1209.
concile de Latran sur les élections des
évêques, 1139. Un concile d'Avignon re-
commande aux évêques de prêcher plus
souvent et plus soigneusement, 1151. Dé-
cret d'un concile de Paris concernant les
archevêques et évêques, 1156. Canons du
quatrième concile de Latran touchant les
élections des évêques, 1167.
[EVERARD de Béthune fait l'éloge de
l'Aurora , poëme de Pierre de Riga, XIV,
887.]
EVERACLE, évêque de Liège. Voyez
Éracle.
EVERHELME, d'abord moine de Stavélp, y. im.
supérieur du monastère de Hautemont. Il 4059.
est fait abbé de Blandimberg, à Gand. Ac-
cusé de défauts de conduite, il est déféré au
pape Alexandre II, qui renvoie l'afiaire à
Gervais, archevêque de Reims. Sa mort. joeg.
Everhelme a écrit la vie de saint Popon,
abbé de Stavélo , son oncle, XIII, 270.
(Voyez son article dans V Histoire littéraire
de la France^ t. VU, p. 397 et suiv.)
EVERVIiN ou EBERWIN, abbé d'un mo- ^i siècle,
nastère de Trêves, est chargé par l'arche-
vêque Poppon d'écrire la Vie de saint Si-
méon, XIII, 121. [Écrits publiés sous son
nom, 121, n. 5.]
EVERVIN, prévôt des Prémontrés de
Steinfeld, auteur d'une lettre adressée à
saint Bernard. (Voyez ce qui est dit de lui
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
XII, p. 447 et suiv.)
ÉVÉSÉNIENS, peuple d'Orient. Lettre 3,5
que leur écrivit saint Basile le Grand, IV,
480.
EVESHAM, monastère fondé par saint ^^
Egwin, archevêque de Çantorbéry. Traité
de l'origine et de l'établissement de ce mo-
nastère, XIV, 1109, dans les additions. —
Les donations faites à ce monastère sont
confirmées au concile d'Aine, XIII, 604.
[EVILMÉRODACH, roi de Babylone : l'au-
teur le confond à tort avec Balthazar, I, 171,
note 1.)
EVODIUS, évêque d'Usal, originaire de 416.
Tagaste. Avant son épiscopat, il s'était lié w.
414
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
414.
416.
V.415.
1201.
XI siècle.
III siècle.
avec saint Augustin, IX, 9. Saint Augustin,
dans ses livres du libre arbitre, examine
une question qui lui avait été proposée par
Evodius, 51. Lettre d'Evodius à saint Au-
giislin et réponse de celui-ci, 140 et suiv.
Autre lettre d'Evodias à saint Augustin et
de saint Augustin à Evodius, 142, 143. Autre
lettre de saint Augustin à Evodius, 147, 148.
Lettre d'Evodius à quatre autres évoques
d'Afrique, au pape saint Innocent. Réponse
de ce pape, 150 et VII, 523. (Du Pin lui at-
tribue un traité de la Foi ou de l'Unité de la
Trinité, qui se trouve parmi les œuvres de
saint Augustin au VIP tome.)
EVODIUS, pour qui saint Sidoine Apolli-
naire composa une épigramme, X, 397.
EVOPTIUS, frère de Synésius, archevêque
de Ptolémaïde, VIII, 24. Il lui succède, 28.
Il envoie à saint Cyrille l'écrit de Théodoret
contre ses anathématismes, 310. (Dans la
table du VHP volume on a eu tort d'im-
primer Evopius pour Evoptius et d'en faire
deux personnes distinctes.)
EVRARD, archevêque de Sens. Sa mort.
Wauthierlni succède, XII, 788.
EVRARD, sous-doyen de l'église de Char-
tres, assassiné ; lettre de saint Fulbert à ce
sujet, XIII, 83.
EVRAUD, chevalier, accusé d'hérésie, en
est convaincu dans un concile qui le livre au
bras séculier; il est brûlé, XIV, 1147.
ÈVRE (Saint), évêque de Toul. Sa Vie et
l'office de sa fête composés par Autmonde,
XI, 323. — Sa Vie, attribuée à Adson, abbé
de Montier-en-Der, XII, 887. — Sa Vie et
ses miracles, écrits par un anonyme, XIII,
185. Abbaye sous son nom à Toul, tombée
eu ruine, est rétablie par Berthold et Bru-
non, évêques de TouJ, 211.
EXALTATION DE LA SAINTE CROIX.
Discours de Sophrone de Jérusalem sur ce
sujet, XI, 705. — Deux discours d'André de
Crète sur ceUe fête, XII, 57. Vers attribués
au même sur cette fête, 58. Homélie de Ni-
cétas le Paphlagonien , 736. Discours de
l'empereur Léon VI, 775. — Discours de saint
Pierre Damien, XIII, 309. Homélies de Théo-
phanes Céraméus, 655. Sermon de Guil-
laume d'Auvergne, 1027.
EXAMEN DE CONSCIENCE. Doctrine de
saint Jean Chrysostôme, VII, 183 et 230.
EXCOMMUNICATION.Doctrined'Origène,
II, 233, 234 et 239; de saint Cyprien, 373.
Canons deuxième et trente- troisième apos-
toliques, 581 et 583. Constitutions apostoli-
ques , 593. Canons cinquantième et cin-
quante-troisième du concile d'Elvire, 611.
Canon seizième du concile d'Arles, 632. —
Canons deuxième et sixième du concile
d'Autioche, III, 466, 467. Canons treizième
et quatorzième du concile de Sardique, 489.
— Canon cinquième du concile de Sarra-
gosse, IV, 616. Ordonnance d'un concile de
Rome, 642. Canons septième et huitième du
deuxième concile de Garthage, 649. Excom-
munication prononcée par saint Athanase,
104. Doctrine et témoignage de saint Basile,
375, 404, 487, 543. — Témoignage de saint
Grégoire de Nysse, VI, 245. — Canon troi-
sième, attribué à Théophile d'Alexandrie,
VU, 445 et 446. Canon du concile d'Hippone
sur les évêques excommuniés, 716. Canon
vingt-quatrième du quatrième concile de Gar-
thage, 729. Canon soixante-treizième du
même, 731. Canon quinzième du premier
de Tolède, 741. — Règlement du concile gé-
néral de Garthage, VIII, 538. Canons de plu-
sieurs conciles de quelques villes d'Afrique,
561. Canons d'un concile d'Hippone, 562.
Canon neuvième du sixième concile de Gar-
thage, 564. Canon vingt-neuvième du même
concile, 567. Un évêque ne doit pas commu-
niquer avec celui qu'un autre évêque a ex-
communié, 608. — Doctrine de saint Augus-
tin, IX, 188, 189, 257, 524, 780 et suiv. —
Ce que dit Théodoret de l'excommunication,
X, 123, 124. Selon Isaac l'Ancien, les prêtres
doivent en user rarement, 579. Canons du
premier concile de saint Patrice, 705. Canons
du concile d'Agde contre les évêques qui ex-
communiaient sans sujet ou pour des fautes
légères, 737. — Règlement du pape Jean I"
conforme aux canons sur l'excommunica-
tion, XI, 118. Excommunications monasti-
ques dont parle saint Césaire, 147, 149. Ex-
communications de différentes sortes dont
il est fait mention dans la règle de saint Be-
noît, 169. Témoignage de saint Grégoire de
Tours, 394. Doctrine du pape saint Grégoire
le Grand, 497 et 571. Règles de saint Isidore
de Séville touchant les excommunications
monastiques, 724. Canons du cinquième con-
cile d'Orléans touchant l'excommunication,
862. Canons du concile de Toul, 863. Canons
du onzième concile de Paris, 883. Canons
d'un concile de Paris, 913. — Règlement du
pape Zacharie, XII, 34. Témoignages de Jo-
nas, évêque d'Orléans, 391. Ordonnance du
pape Léon IV, 408. Avis de saint Paschase
Radbert sur les excommunications, 330. [Ef-
IV siecl^
341.
347 ou ml<
343.
386.
390.
398.
400.
401.
418.
419.
5|i6.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
41S
fet de l'excommunication contre un souve-
rain au moyen ûge, 577, n. 3. Excommuni-
cations prodiguées par le pape Jean VIII,
650. Observation sur le reproche qu'on lui
adresse à cette occasion, 650, n. 3.] Remon-
trances d'Hincmar de Reims au pape saint
Nicolas l^', 670. Témoignage de saint Odon
de Cluny sur le mépris des excommunica-
tions, 808. Règlement d'Atton de Verceil,
822. Témoignage de Rathérius de Vérone
sur le mépris des excommunications, 851.
g25. Canons d'un concile de Reims, 915. — Lettre
i siècle, de saint Vicon, solitaire d'Arménie, sur l'ex-
communication injuste, XIII, 47, 48. [For-
mule d'une excommunication au x= siècle,
I siècle. 61.] Témoignage de saint Fulbert de Char-
tres sur l'excommunication, 81. Lettre de
Drogon, évêque de Beauvais, 123. Témoi-
gnage de Gérard, évêque de Cambrai, 463,
164. Lettre du pape saint Grégoire VII sur
l'excommunication des rois, 361. (Voyez 361,
note 6.) Ses droits principalement à l'égard
du roi d'Allemagne et de l'empire d'Occi-
dent, 376. Exception qu'il met aux etiets de
l'excommunication, 365. [Exemples d'excom-
munication lancée contre ceux qui avaient
excommunié des papes, et exemples d'ex-
communication contre les rois et les empe-
reurs, 564.] Suites et effets de l'excommuni-
cation au vm" siècle, 614. Canon d'un con-
cile de Metz sur l'excommunication, 733. —
Doctrine de saint Anselme, XIV, 40. Partie
du décret d'Yves de Chartres dans laquelle
il parle d'excommunication, 97. Réponses
d'Yves de Chartres à diverses questions qui
lui avaient été faites sur les excommunica-
tions, m, 115. [Excommunication encourue
pour avoir coupé tenez à un clerc, 278.] Se-
lon le pape Innocent III, on ne doit pasrefu-
fuser la sépulture ecclésiastique à un excom-
munié qui, avant de mourir, a reconnu sa
g faute, 969. Canons du concile de Reims con-
3_ cernant les excommuniés, 1121. Canons du
concile de Tours, 1130. Canons d'un concile
5_ d'Avignon, 1151. Canon du quatrième con-
cile de Latran concernant les excommunica-
tions, 1169.
EXÉCUTION des criminels suspendue pen-
dant trente jours par une loi de Théodose,
V, 372.
[EXEMPLES allégués par saint Clément
pour la conservation et la perte de la virgi-
nité, 1, 352, 353.J
EXEMPTIONS accordées aux abbayes et
aux monastères par les rois, XII, 503. —
Exemptions blâmées par saint Bernard, XIV,
463, 464. Comment elles sont justifiées par
Pierre le Vénérable, 505.
EXERCICES SPIRITUELS attribués à Ead-
mer, prieur de Saint-Alban, XIV, 45.
EXHORTATION aux Grecs par saint Jus- ii sièoie.
tin, 1, 411, 412; aux païens, par Clément
d'Alexandrie, 565 ; — au martyre, par Ter-
tullien, 11,31; par Origène, 177 et suiv.; par
saint Cyprien, 283 et suiv. [Exhortation à la
pénitence, livre attribué à saint Cyprien,
343.] — Exhortation par le poète Prudence,
VIII, 106. — [Exhortation à un jeune roi,
par saint Éloi ou par saint Ouen, XI, 757 et
suiv.]. — Exhortation par saint Euloge de
Cordoue,XII, 520. Exhortations de l'empe-
reur Basile le Macédonien adressées à son
fils Léon, 625.
[EXIL (De F) et de la patrie de l'âme, ou-
vrage d'Honoré d'Autun, XIV, 300.]
EXILÉS rappelés par Julien, V, 8; — en- ,y ^^^^^^^
suite par Gratien, IV, 364. — Loi de Gratien
pour le rappel des exilés, VI, 121.
EXISTENCE DE DIEU. Doctrine de saint ,i,3,j„,e.
Cyprien, II, 350.
EXODE, second livre du Pentateuque. Ce
livre est certainement de Moïse; le texte
même le prouve; Jésus-Christ nous assure
que l'Exode est de Moïse, I, 21, 22. Ce que
c'est que l'Exode, 35. [Questions et réponses
sur l'Exode par Philon le Juif, 313, n. 1.]
Commentaire de saint Hippolyte sur l'Exode,
610. — Ouvrages d'Origène sur l'Exode, II,
149. — [Plusieurs traités de saint Zenon de
Verceil sur l'Exode, VI, 274.] — Questions
sur l'Exode, de saint Augustin, IX, 209 et
suiv. Sermon du même sur l'Exode, 235. —
Questions de Théodoret sur l'Exode, X, 28,
29. Poème de saint Avit sur l'Exode, 567. —
Explication de quelquesfragments de l'Exode
par le Vénérable Bède, XII, 8. Commentaire
de Claude de Turin sur l'Exode, 351. Voyez
Pentateuque.
EXOMOLOGÈSE. Ce que ce mot signifie
dans saint Cyprien, II, 294.
EXORCISMES de l'Église. Témoignage m siècle.
d'Origène, 11,236; de Lactance, 515. — Ca- iv siècle,
non vingt-sixième du concile de Laodicée,
III, 514. — Témoignage de saint Cyrille de iv siècle.
Jérusalem, V, 73; de saint Optât, 132.Exor-
cismes, ouvrage faussement attribué à saint
Ambroise, 512. — Canon huitième du con- Après m.
cile de Rome sous le pape saint Innocent,
VIII, 545, 546. — Doctrine de saint Augustin et v siècles,
sur les exorcismes, IX, 421, 465, 655, 753.
416
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
m siècle.
III siècle.
416.
EXORCISTES, marqués par saint Cyprien,
II, 341 et 363. Novatien délivré du démon
par les exorcistes de l'Église, 426. Exorciste,
marqué dans les actes de saint Genès le Co-
médien, 467. Constitutions apostoliques qui
les concernent, 594. — Exorcistes marqués
dans les Actes de saint Procope, III, 4 et 351 ;
de saint Romain, 5. — Saint Épiphane parle
des excentriques, VI, 432. — Canon sep-
tième du quatrième concile de Cartbage,
VII, 728. Canons quatre-vingt-dizième et
quatre-vingt-douzième du même concile,
732. — Fonctions des exorcistes, selon saint
Isidore de Séville, XI, 719.
EXOUCONTIENS, nom donné aux Ariens,
IV, 135.
EXPOSITION de la sainte Trinité : ouvrage
faussement attribué à saint Justin, I, 433. —
Exposition abrégée de la foi orthodoxe : ou-
vrage attribué à saint Cyrille d'Alexandrie,
VIII, 324 et [324, note 2. — Exposition de foi
par saint Augustin, 836 et 841.] — Ouvrage
de Guitmond sur les mystères de la Trinité,
^ de l'Incarnation et de l'Eucharistie, XIII,
.'522. — [Expositions courtes sur les évan-
giles, sous le nom de saint Maxime de Turin,
ce qu'elles contiennent, X, 326.] — Exposi-
tion sur tous les prologues de la Bible, ou-
vrage d'Adam de Saint-Victor, XIV, 721,
722.
EXTRAITS. Dix livres d'extraits attribués
à Hugues de Saint- Victor par les uns, et à
Richard, son disciple, par d'autres, XIV
352.
[EXTERMINATION du mal et promotion
du bien : traité de Richard, prieur de Saint-
Victor, XIV, 704.]
EXTRÊME-ONCTION. Doctrine d'Origène
sur l'Extrême-Onction, II, 243. — [Extrême-
Onction reconnue comme sacrement d'ins-
titution divine par saint Éphrem, VI, 450.]
— Canon huitième dans la lettre du pape
saint Innocent à Décentius, évéque d'Eu-
gubio, VII, 520. — Comment ce sacrement
s'administrait au ix= siècle, XII, 270. Témoi-
gnage d'Halitgaire, évêque de Cambrai, 330;
de Jonas, évêque d'Orléans, 391. Extrême-
Onction administrée par plusieurs prêtres et
plusieurs jours de suite, 698. — Usage d'ad-
ministrer l'Extrême-Onction avec le saint
Viatique, XIII, 55. — Geoffroy de Vendôme
et Yves de Chartres croyaient que le sacre-
ment d'Extrême-Onction ne pouvait se réi-
térer, XIV, 120, 162, 168. Traité de GeoËfroy
de Vendôme sur l'Extrême-Onction, 168.
Sentiment de Robert Paululus sur l'Extrême-
Onction, 357. Sentiment deHermanse, abbé
de Saint-Martin de Tournai, 412. Saint Ma-
lachie d'Armagh reçoit l'Extrême-Onction
avant le saint Viatique, 482. Témoignage de
Pierre le Vénérable sur le même usage, 502
et 508. Pourquoi, selon Pierre le Vénérable,
on peut réitérer ce sacrement, 511. Doctrine
de Pierre Lombard sur l'Extrême-Onction,
565. Ce que Guillaume d'Auvergne dit de
l'Extrême-Onction dans son traité des Sacre-
ments, 1024.
EXUPÉRANCE, homme de guerre, à qui
saint Jérôme écrivit une lettre, VII,
EXUPÈRE (Saint), martyr, l'un des ofiS-
ciers généraux de la légion Thébéenne, II,
473.
EXUPÈRE (Saint), évêque de Toulouse.
Lettre canonique du pape saint Innocent qui
lui est adressée, VII, 510, 511. Saint Jérôme
lui dédie son commentaire sur Zacharie,
569 ; fait son éloge, 676.
EX-VOTO. Ils étaient en usage dès le
temps de Théodoret, X, 96 et 133.
[ÉZÉCHIEL, prophète '. Sa naissance. 11
est emmené captif, I, 167. Il commence à
prophétiser en 3409. Il continue à prophé-
tiser la ruine de Jérusalem et du peuple juif.
Autres visions d'Ézéchiel. Mort de sa femme.
Dieu lui défend de pleurer. Il prophétise
contre divers peuples ennemis des Juifs. Il
prédit le retour de la captivité, le rétablis-
sement de la ville et du temple de Jérusa-
lem, 168. Sa mort. Il est auteur des écrits
qui portent son nom et n'en a a point fait
d'autres, 168. Éloge d'Ézéchiel, 169. Son
style et obscurité de ses prophéties, 169 et
170. Commentaire de saint Hippolyte, évêque
et martyr, sur Ézéchiel, 613; — d'Origène,
n, 161;— de saint Éphrem, VI, 439et446; —
de saint Jérôme, Vil, 567, 568; — de saint
Cyrille d'Alexandrie, on n'en a que des
fragments, VIII, 349. — ExpHcation donnée
par saint Augustin de l'endroit que Julien
le Pélagien regardait comme son plus fort
argument, IX, 552. — Commentaire de
Théodoret sur Ézéchiel, X, 39, 40. — Ho-
méhes de saint Grégoire le Grand sur Ézé-
chiel, XI, 452 et suiv.; d'Isidore de Sé-
ville, 775; de Patérius, 550; — de Wa
lafride Strabon, dans sa Glose ordinaire,
405
> Cet article ne se trouve pas dans Rondet. (L'éditeur.)
XII, 411; d'Haimon, évêque d'Halberstat,
433 ; de Raban Maur, 431. Traité de Ri-
chard, prieur de Saint- Victor, sur Ézéchiel,
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES. 417
ou explication littérale des animaux, des
races et des édifices décrits dans les visions
du prophète, 701.]
V.240. FABIEN (Saint), pape, condamne l'héré-
tique Privât , II , 353. — Décrétales suppo-
sées sous son nom, VI, 83, 86. — Origène
lui écrivit, VII, 613. — Sermon de Guillaume
■ d'Auvergne en l'honneur de saint Fabien et
~ de saint Sébastien, XIV, 1027.
FABIEN, arien, contre lequel saint Ful-
gence de Ruspe avait écrit dix Uvres dont il
ne reste que des fragments , XI , 70. Extrait
de ces fragments, 70 et suiv.
7 çt 400. FABIOLE (Sainte), dame romaine : lettres
que lui écrivit saint Jérôme, VII, 539, 560.
400. Lettre de saint Jérôme à Océanus sur la mort
de cette dame, 633.
lY FABIOLE, fille à qui saint Augustin écrivit
vsiècie. une lettre, IX, 192,
251 FABIUS, évêque d'Antioche. Lettres que
lui écrit le pape saint Corneille, II, 125 et
[siècle. ^^^^- Lettres que lui écrit saint Denys d'A-
lexandrie, 402. Affaire qui donna occasion
à ces deux lettres, 339.
FABIUS VICTOR (Saint), père du saint
martyr Maximilien, martyr, II, 279 et 480.
FABLES des poètes, dangereuses aux
enfants, selon Clément d'Alexandrie, I, 604.
— Théologie fabuleuse des païens , exposée
par Eusèbe de Césarée, III, 184. — Saint
Augustin blâme l'usage d'apprendre les
fables aux enfants, IX, 26. — [Fables du
vénérable Hildebert, évêque du Mans, XIV,
223.]
FABRACA, ville de la province proconsu-
laire, dans l'Afrique, VIII, 570.
FABRICIUS (Jean- Albert). [Son recueil
des Évangiles apocryphes, I, 275.] Son édi-
tion des ouvrages de saint Hippolyte, évê-
que et martyr, 641. — Son édition du traité
des Hérésies, ouvrage de saint Philastre,
évêque de Brescia, V, 178. — [Son édition
des deux Dialogues d'Hiéronyme, VI, 333.]
— Son édition de l'Histoire des ÉgUses du
Nord, par Adam de Brème, avec plusieurs
pièces relatives, XIV, 206. [Son édition du
Catalogue des écrivains ecclésiastiques d'Ho-
noré d'Autun, 300.] Erreur de Fabricius sur
un concile de Véroli, dans la Bibliothèque
grecque, 1117. [Son édition du discours de
TAB. 1.
Nicétas Choniate, sur les monuments dé-
truits par les croisés, 1177.]
FABRICIUS (Georges), allemand. Son re-
cueil des poètes chrétiens latins, X, 318.
FABRICIUS (Gui). Son édition du livre
des rites du baptême et de la communion, à
l'usage des chrétiens de Syrie, XI, 108.
FABROT (Charles-Annibal). Ses notes sur
la chronologie de saint Nicéphore, XII, 282.
Son édition des Basihques, avec une tra-
duction latine, 774. — [Son édition des cinq
premiers livres des Annales de Nicétas
Choniate, XIV, 1076.]
FACE (la Sainte) de Notre-Seigneur : his-
toire de sa translation, faussement attribuée
à saint Méthode, III, 68.
[FACETUS, poème de Jean de Garlande,
sur les devoirs des hommes, XIII, 230.]
FACUNDUS, évêque d'Hermiane en
Afrique, se trouve au concile de Constanti-
nople, présidé par le pape Vigile. Il s'op-
pose à la condamnation des Trois-Chapitres.
Il rend pubhc l'ouvrage qu'il avait composé
pour leur défense et l'adresse à l'empereur
Justinien, XI, 285. Analyse des douze livres
que contient cet ouvrage, 285 et suiv. Pre-
mier livre, 285 et suiv,; second, 288, 289;
troisième, 289; quatrième, 289 et 290; cin-
quième; sixième, 290; septième, 290 et
291; huitième, 291, 292; neuvième, 292 et
suiv.; dixième, 293, 296; onzième, 296;
douzième, 296 et 297. Il se sépare de la
communion des évêques qui avaient con-
damné les Trois-Chapitres ; il est envoyé en
exil, 297, Il écrit contre Mucien ; analyse de
ce traité, 297 et 298, Sa lettre intitulée : De
la foi catholique, 298, 299. Jugement sur les
écrits de Facundus. Éditions qu'on en a
faites, 399 et suiv, [Autres éditions, 301.]
FAIBLESSE. Le Fils de Dieu a pris toutes
les faiblesses de la nature humaine, excepté
l'ignorance et le péché, V, 339.
FAIDE, droit de vengeance, XII, 239.
FAILBÉUS, abbé de Hi : sa mort, XI, 800.
[FAILLON, prêtre de la société de Saint-
Sulpice, auteur des Monuments inédits sur
l'apostolat de sainte Madeleine. Son édition
27
5«.
V. 664.
418
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
303.
XI siècle.
538.
850.
1033.
Y. 1030.
IX siècle.
394.
192.
de la Vie de sainte Madeleine, par Raban
Maur, XII, 469 et suiv,]
FAINE (Sainte), vierge et martyre, à An-
cyre, III, 15.
FALNÉANTS, Moines fainéants contre les-
quels s'élève saint Augustin, IX, 278.
FALCON ou FAUCON, moine de Tournas,
écrit la Chronique de ce monastère; idée de
cette Chronique : éditions qu'on en a faites,
XIII, 464. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. VIII, p. 327 et suiv.)
[FALCON, notaire et secrétaire du Sacré
Palais. Sa Chronique sur les événements
contemporains, XIII, 523.]
FALCON, doyen de l'Église de Lyon, est
élu archevêque, XIV, 438.
FALCONIAouFALïONIA. Voyez Valeria.
FALGONILLE, païenne : sa prétendue dé-
livrance des enfers, XII, 84.
FALLBTI (Jérôme), comte de Trignano.
Sa traduction italienne du traité d'Athéna-
gore de la Résurrection des morts, I, 487.
[De la Légation, du même, 487.]
FALÏONIA ou FALCONIA. Voyez Valeria.
FAMINE et sécheresse en Cappadoce.
Saint Basile y assiste les pauvres, IV, 353.
Homéhe de saint Basile à cette occasion,
382, 383. — Famine générale au temps de
Julien l'Apostat, VII, 88. — Famine cruelle
en Ligurie, XI, 219, 220. Famine dans les
Gaules, 370. — Autre en Allemagne, XII,
446. — Autre en France et en Germanie,
XIV, 142. Famine affreuse en France ; con-
ciles à cette occasion, 146.
FANATIQUE dans le Gévaudan, qui se
disait le Christ, XI, 371.
FANDILA (Saint), moine, l'un des mar-
tyrs de Gordoue, XII, 519.
FANO, ville d'ItaUe. Opuscule dans lequel
saint Pierre Damien exhorte les chanoines de
l'église de Fano à vivre en commun, XIII, 316.
FARAMOND , usurpateur du siège de
Maëstricht, XII, 130.
FARAMOND, roi de France. Voyez Pha-
ramond.
FARCEURS. Ils n'étaient point admis au
baptême qu ils n'eussent quitté leur profes-
sion, II, S94. — Loi de Théodose contre les
farceurs, VI, 374.
FARD. Comment saint Gyprien en parle,
II, 274. — Ce qu'en dit saint Ambroise, V,
397 ; saint Augustin, IX, 187.
FARDULFE, abbé de Saiut-Denys, était
un Lombard, amené en France avec le roi
Didier, après la prise de Pavie. Comment il
est instruit de la conjuration formée par
Pépin contre Charlemagne. Il en instruit le
roi, qui quelque temps après lui donne l'ab-
baye de Saint-Denys près Paris. Sa mort.
Quelques petits poèmes que nous avons de
lui, XII, 217. [Ses écrits dans la Patrologie,
217, 218.] (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, tome IV, p. 355.)
FARE (Sainte), abbesse d'Évoriac ou Fa-
remoutier. Saint Colomban la consacre à
Dieu, XI, 616. Sa Vie par Jonas, abbé d'El-
none, 737, et XII, 7.
[FAREMOUTIER, monastère. Philippe,
roi de France, exhorte Bernard, abbbé de
Montmaïour, à réformer les mœurs du mo-
nastère de Faremoutier, XIV, 91, note 2.]
FARFE, monastère au duché de Spolète.
[Bulle du pape Etienne IV au monastère de
Farfe, XII, 402. Bulle du pape Pascal pour
ce même monastère, 403.] — Jugement ren-
du par le pape Benoit VIII en faveur de
l'abbaye de Farfe contre ceux qui avaient
usurpé de ses biens, XIII, 190, 191 . Com-
ment la discipline de Cluny passa dans cette
abbaye, 476. Usages de cette abbaye recueil-
lis par le moine Gui. Conformité de ces
usages avec ceux de Cluny, 477, 478. [Re-
cueil des chartes de Farfe, 470 et 471.]
PARON (Saint), évêque de Meaux. Privi-
lège qu'il accorde au monastère de Sainte-
Croix, XI, 734. [Deux chartes et son testa-
ment dans la Patrologie, 734, note 3.] — Sa
vie écrite en prose par l'évêque Hildegaire,
est mise en vers par Fulcoie, sous-diacre de
l'Église de Meaux, XIII, 341.
FARSIT (Hugues), abbé de Saint-Père en
Vallée. Voyez Hugues Farsit.
FASAN, élu pape, prend le nom de Jean
XVIII, XIII, 189. Voyez Jean XVJII.
FASCIUS, débiteur qui réclame les se-
cours de l'Église, et dont saint Augustin
paie les créanciers, VI, 373.
FASITELLUS (Honorât). Ses éditions des
œuvres de Lactance, II, 520.
FASTES consulaires d'Idace, X, 342.
FASTIDIOSUS, prêtre apostat. Écrit de
saint Fulgence de Ruspe contre un de ses
sermons, XI, 34, 35.
FASTIDIUS, évêque des Bretons. Temps
où il a vécu. Pitséus le dit évêque de Lon-
dres; mais Ussérius ne désigne point le siège
dont il était évêque ; et de plus quelques
manuscrits de Gennade ne le qualifient point
évêque ; il paraît même, par les expressions
dont il se sert dans ses écrits, qu'il était un
100*.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
419
simple moine, X, 132. Ses traités de la Vie
chrétienne et des Moyens de conserver la
viduité ; raisons qui portent à croire que ces
deux traités ne sont qu'un même ouvrage,
ou que le second est perdu, 133. Analyse
du traité de la Vie chrétienne, 133 et 134.
Jugement sur cet écrit : il est infecté de pé-
lagianisme, 134. [Éditions de ce traité, 154.]
FASTRADE, femme de Charlemagne. Son
épitaphe composée par Théodulphe d'Or-
léans, XII, 269.
FASTRÈDE ou FASTRADE ouFLASTER,
abbé de Glairvaux. [Circonstances de sa vie.
Sa lettre à un abbé sur l'observation de la
discipline monastique, XIV, 623. Sa lettre à
Omnibon, évêque de Vérone, sur l'extinc-
tion du schisme de l'antipape Victor, 623 et
t. 626. Il devient abbé de Cîteaux, 626. Édi-
tion de ses lettres dans la Patrologie, 626.]
(L'article qu'on donne dans la nouvelle édi-
tion de dom Ceillier est emprunté à l'Histoire
littéraire de la France, t. XII, p. 625 etsuiv.)
FATALE, nom de la personne à qui Fas-
tidius, évêque des Bretons, adresse une
partie de son traité sur la Vie chrétienne,
X, 153.
[FATALISME réfuté par saint Éphrem,
VI, 433, 434, 433.] Voyez Destin.
FAUCON, moine de Tournus. Voy. Falcon.
FAUSSAIRES. Dispositions du pape Inno-
cent III au sujet de faussaires qui avaient
fabriqué des bulles, XIV, 960, 963, 969.
FAUSTA, seconde femme de Constantin.
Son crime et sa punition, III, 123.
FAUSTE, auteur des Actes de saint An-
doche et de ses compagnons, martyrs.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. I, part, T, p. 294 et suiv.)
FAUSTE, diacre d'Alexandrie, exilé pour
la foi, II, 397.
30i. FAUSTE(Saint), diacre deCordoue, 111,86.
373_ FAUSTE, ordonné évêque de Satales en
Arménie, IV, 338. Saint Basile se plaint de
son ordination illégitime, 360.
FAUSTE, diacre, qui avait combattu con-
tre les ennemis et en avait abattu plusieurs,
VIII, 31.
404. FAUSTE le Manichéen. Conférences que
saint Augustin eut avec lui et dans lesquelles
il reconnut son ignorance, IX, 23. Trente-
trois livres de saint Augustin contre Fauste,
339 et suiv. Comment Fauste définissait le
schisme et l'hérésie, 800.
FAUSTE, abbé à Constantinople, souscrit
à la condamnation d'Eutychès, X, 214. Let-
tres que lui écrit le pape saint Léon, 214 et
216, 219. Eutychès envoie son tome dans
son monastère pour y être souscrit, 672.
FAUSTE, abbé de Lérins, depuis évêque
de Riez en Provence. Sa naissance et ses
études. Il se retire à l'abbaye de Lérins, X,
420. Il en est fait abbé. Son différend avec 432.
Théodore, évêque de Fréjus, terminé dans
un concile, 420 et 421. Après la mort de
saint Maxime il est fait évêque de Riez. Il 454.
est député à Rome avec Auxanius d'Aix au 455 ou 456.
sujet d'Hermès, évêque de Narbonne. Il as- 462.
siste à la dédicace de l'église de Lyon et il 470.
est chargé d'écrire contre Lucide, 421. Son V. 48i.
exil : quel a pu en être le motif. Sa mort, Après 493.
422. Ses écrits : Lettre à Gratien, diacre de
l'Église catholique. Lettre ou traité contre
les Ariens et les Macédoniens, 422 et 423.
Ce qu'il y dit de la nature de l'âme réfuté
par Mammert Claudien, 348. Lettre à Benoît
Paulin, 424, 425. Lettre à Lucide, 423 et
suiv. Livres de Fauste sur la grâce et le
libre arbitre, 427 et suiv. Analyse du pre-
mier livre, 428 et suiv. Analyse du second,
431 et suiv. Lettre à l'évêque Léonce en lui
adressant cet ouvrage. Les sentiments de
Fauste sur la grâce et le libre arbitre sont
rejetés dans toute l'Église catholique, 433.
Livre de Fauste sur le Saint-Esprit, 434.
Lettres de Fauste, 434 et 435. Ses sermons,
435, 436. Homélies qui lui sont attribuées.
Ouvrages de Fauste qui sont perdus, 436.
Jugement sur ses écrits. Éditions qu'on en
a faites, 437 . [Autres éditions. Trois nou-
veaux discours de Fauste, 437.] — Fauste
pourrait être auteur de quelques homélies
attribuées à Eusèbe d'Émèse, IV, 319. — H
est l'auteur de deux homélies sur le symbole
qui sont la neuvième et la dixième de celles
qui portent le nom d'Eusèbe d'Émèse, VIII,
440. — Fauste avait vu à Lérins Juhen
d'Éclane, IX, 484. — Son ditiërend avec
Théodore de Fréjus, X, 207. Son langage
semi-pélagien, 332. Sa doctrine est combat-
tue par Mammert Claudien, 348 et suiv.
Différentes choses que nous apprend de lui
saint Sidoine Apollinaire, 391, 394, 395.
Poëme qu'il lui adresse, 397. Fauste est as-
sisté dans son exil par saint Rurice, évêque
de Limoges, 607. Lettre que lui écrit saint
Rurice, 608. Lettres qu'il écrit à Rurice,
609. Lettre du pape saint Hormisdas à Pos-
sessor au sujet de l'écrit de Fauste de Riez
sur la grâce, 631. -—Les livres de Fauste
sur la prédestination et sur la grâce eau-
420
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
.493.
VI
etVII siècles.
ni siècle.
311.
sent du bruit à Constantinople. On en écrit
aux évêques d'Afrique exilés en Sardaigne,
XI, M. Réponse de saint Fulgence au nom
des évêques d'Afrique, 41 et suiv. Les moi-
nes de Scythie anathématisent ses livres, 45.
— Loup, abbé de Ferrières, rejette les écrits
de Fauste, XII, 510. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. II, p. 585
et suiv.)
FAUSTE, maître des offices, envoyé en
ambassade par le roi Théodoric à l'empe-
reur Anastase. Instructions que lui donne le
pape Gélase touchant le schisme auquel la
condamnation d'Acace servait de prétexte,
X, 497.
FAUSTE, sénateur. Lettre que lui écrit
saint Avit de Vienne, X, 522 et 561. Peut-
être le môme que celui qui consulta le prê-
tre Trifolius, 638.
FAUSTE, l'an des évêques d'Afrique
chassés de leurs sièges, bâtit un monastère
où il reçoit saint Fulgence, depuis évêque
de Ruspe, XI, 2. Il oblige saint Fulgence à
quitter une retraite où il s'était caché et
l'ordonne prêtre, 5.
FAUSTE, moine d'Agaune, auteur de la
Vie de saint Séverin. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. III, p. 111
et suiv.)
FAUSTE, moine de Glanfeuil, est donné
par ses parents à saint Benoît pour être
élevé au Mont-Cassin. Il embrasse la vie
monastique. Saint Benoît le choisit avec
quelques autres pour accompagner saint
Maur, qu'il envoyait en France pour y fon-
der le monastère de Glanfeuil. Après un sé-
jour de quarante-six ans à Glanfeuil, il re-
vient à Rome et se retire au monastère de
Latran. Il y compose la Vie de saint Maur,
XI, 610. On prouve que cette Vie est vérita-
blement de Fauste, 611. Ce que c'est que
cette Vie; difïérentes éditions qu'on en a
faites, 611 et 612. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. III, p. 496
et suiv.)
FAUSTIN (Saint), évêque de Lyon, écrit
à saint Gyprieii et au pape saint Etienne au
sujet de Marcien, évêque d'Arles, II, 326,
327. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, 1. 1, part. I, p. 405 et suiv.)
FAUSTIN, évêque de Tuburbe, condamné
par un concile de Garthage, H, 623.
FAUSTIN, évêque dlcone. Sa mort, IV,
454. Saint Amphiloque lui succède, 457 et
364.
FAUSTIN, à qui saint Ambroise écrit pour
le consoler sur la mort de sa sœur, V, 494.
Peut-être le même que Paustin, fils d'Eusèbe
de Bologne et père de la vierge Ambrosie,
498.
FAUSTIN, petit-fils d'Eusèbe de Bologne
et frère de la vierge Ambrosie, V, 498.
[PAUSTIN et non FAUTIN, prêtre. Son
livre sur la Trinité ou sur la Foi contre les
Ariens, V, 155. Analyse de ce livre, 155 et
156. Éditions qu'on en a faites, 156. Voyez
Marcellin.]
FAUSTIN, évêque de Potentia dans la
Marche d'Ancône. Instruction du pape Zo-
zime à Faustin et aux prêtres Philippe et
Asellus, ses envoyés en Afrique, VII, 537.
— Concile de Carthage où il se trouve, VIII,
563. Le même Faustin est envoyé en Afrique
par le pape saint Célestin pour rétablir le
prêtre Apiarius, 127 et 570. Sa partialité
pour Apiarius confondue par l'aveu de l'ac-
cusé lui-même, 570 et 571.
FAUSTIN, pénitent, qui fait une confes-
sion publique, VIII, 222.
FAUSTIN, prêtre de l'Ile. Lettre qui lui
est adressée et qui porte le nom d'un Eu-
cher, évêque, VIII, 453.
FAUSTIN. Diverses homéhes que nous
avons sous le nom d'un Faustin, X, 435, 436.
FAUSTIN, évêque de Brague et transféré
au siège de Séville, XII, 965.
FAUSTINE, femme d'un Julien, à qui
saint Jérôme écrit, VII, 639.
FAUSTINIEN, un des sages de la Grèce,
VI, 79.
PAUSTINIEN, évêque de Dax, déposé, et
ceux qui l'avaient ordonné obligés de pour-
voir à ses besoins, XI, 899.
FAUTE. En quoi eUe diffère du péché,
IX, 211. Exemples de quelques fautes lé-
gères chez les justes, 437.
FAUX TÉMOINS. Soixante-quatorzième
et soixante-quinzième canons du concile
d'Elvire, II, 613. Canon quatorzième du
concile d'Arles, 632.
FAVENTIUS, réfugié pour dettes dans
l'église d'Hippone. Saint Augustin intercède
pour lui, IX, 110.
FAVERNEY, abbaye en Franche-Comté,
dont l'abbé de la Chaise-Dieu prétend avoir
la nomination, XIV, 957.
PAVEROLLE (Dom' François), bénédictin
de la congrégation de Saint-Maur, associé à
doin Garnier pour l'édition des œuvres de
saint Basile, archevêque de Césarée, IV, 546.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
421
[FAVEROT. Sa traduction française de la
Chronique d^Baudri, XIII, 482.]
FAVORIN, acolyte fugitif, II, 309.
FAVORIS des rois. Ce qu'en dit saint Jean
Chrysostôme, VII, 233.
FÉCAMP, abbaye en Normandie. Son
Histoire écrite par un anonyme, XIII, 348.
[Chronique de Fécamp, 329, note 9. Catalo-
gue des abbés de Fécamp, 329.] Lettre de
Baudri, évêque de Dol, aux moines de Fé-
camp, 530, 331. [De revelatione, œdificatione
et auctoritate Fiscannensis monasterii, ouvrage
douteux de Baudri, évêque de Dol, 331.]
[FÉDER. Sa traduction allemande des
sermons sur l'évangile selon saint Matthieu,
de saint Chrysostôme, VII, 438.]
FÉDOLIUS. Poëme de saint Colomban
adressé à Fédolius, XI, 628.
FÉGADE. Le même que saint Phébade,
évêque d'Agen, V, 372. Voyez saint /'Ae'éarfe.
FÉLICIE, vierge. Lettre que saint Augus-
tin lui écrivit, IX, 171.
FÉLICIEN (Saint), soldat, martyr à Mar-
seille, II, 478.
FÉLICIEN (Saint), martyr à Rome, III, 100.
FÉLICIEN, évêque de Masti, condamné
parles Donatistes, et par eux rétabli, IX, 90.
FÉLICIEN, élu évêque de Ruspe après la
mort de saint Fulgence, XI, 10. CoQcile de
Carthage auquel il assiste, 830, 831.
FÉLICIEN, à qai Denis le Petit adresse sa
traduction latine de la lettre de saint Procle
aux Arméniens, XI, 123.
FÉLICIEN (Jean-Bernardin) de Venise. Sa
traduction latine des commentaires d'CEcu-
ménius sur les Actes des apôtres et sur les
Épîtres catholiques, XII, 914. — Sa traduc-
tion latine des commentaires d'Eustrate sur
les Morales d'Aristote, XIV, 148.
FÉLICISSIME, diacre de Carthage. Son
schisme. Saint Cyprien l'excommunie, U,
263. Fin de son schisme, 321. Il est condamné
par un concile de Carthage, 536.
FÉLICITARIUS, nom estropié par un
copiste, sous lequel on a trois homélies qui
paraissent être de saint Gésaire d'Arles, XI,
146.
FÉLICITÉ éternelle des saints décrite par
saint Ambroise, V, 407. — Sentiments des
Pélagiens sur la félicité, IX, 348 et 600.
Doctrine de saint Augustin sur la félicité des
saints, 796, 797. — Discours de Théodoret
sur la vraie félicité de l'homme et du jour
du jugement, X, 97. — Sentiment de Gas-
siodore sur la félicité des saints avant le
jour du jugement, XI, 253. Félicité des
saints dans le ciel ; ce qu'en dit le pape
saint Grégoire, 380. — Félicité des saints
dans l'autre vie, poëme de Francon sur ce
sujet, XIV, 346.
FÉLICITÉ (Sainte) et ses sept fils, mar- n siècle,
tyrs. Actes de leur martyre, I, 391. — Ho-
mélie du pape saint Grégoire pour la fête
de sainte Félicité, XI, 453. — Monastère
sous le nom de sainte Félicité, près de Flo-
rence ; privilège que le pape Nicolas II ac- xi siècle,
corde à ce monastère que l'abbesse Tei-
berge venait de rétablir, XIII, 246.
FÉLICITÉ (Sainte), compagne de sainte m siècle.
Perpétue, martyre. Actes de son martyre,
I, 544 et suiv. — Sermons de saint Augus-
tin en l'honneur de sainte Perpétue et de
sainte Félicité, IX, 240.
FÉLICITÉ (Sainte), martyre à Capoue
sous Valérien, II, 341.
FÉLICITÉ , supérieure des religieuses v siècle.
d'Hippiine. Lettre que lui écrivit saint Au-
gustin, IX, 20. Lettres de saint Augustin à
Féhcité, à Rustique et aux religieuses de
leur monastère, 171.
FÉLIX (Minuce). Voyez Minuce Félix.
FÉLIX, créé évêque de Mérida à la place
de Martial, II, 263. Il va à Carthage, 263 et
563 ; où son ordination est reconnue par
saint Cyprien pour légitime, 363.
FÉLIX, évêque de Byzance, consulte saint
Cyprien, II, 316.
FÉLIX (Deux), évêques d'Afrique, en-
voyés aux mines. Saint Cyprien leur écrit
et ils l'en remercient, II, 338.
FÉLIX, chrétien, qui prie saint Fructueux
de Tarragone de prier pour lui, II, 388.
FÉLIX (Saint), prêtre de Noie et confes-
seur. Sa naissance, II, 394. Il est fait lec-
teur, puis exorciste, et ensuite prêtre par
saint Maxime, évêque de Noie. Il est pris et
mené en prison chargé de chaînes dans la
persécution de Dèce. Il est délivré par mi-
racle pour secourir saint Maxime. Nouvelle
persécution contre saint Félix : il en échappe
encore par miracle. Il est nourri dans sa
retraite par miracle. Il retourne à sa patrie
et refuse l'épiscopat, 393. Sa mort ; mira-
cles à son tombeau, 396. — Quinze poëmes Depuis 394
de saint Paulin, évêque de Noie, sur.la fête ^"'^"ès.'""
de saint Félix, VIII, 83, 84. La Vie de saint
Félix, écrite en vers par saint Paulin, est
mise en prose par le Vénérable Bède, XII, 6.
FÉLIX I (Saint), pape, condamne Paul de 269.
Samosate, II, 571. — Décrétales qui lui sont
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
422
faussement attribuées, VI, 87. Sa lettre à
Maxime, évêque d'Alexandrie, 88.
355. FÉLIX II, pape ou antipape, mis à la
place du pape Libère, IV, 293 et V, 151.
[Observation sur ce Félix, IV, 297, note 8.]
— Décrétales supposées, VI, 93. Loi de
Constantius qui lui est adressée, 342. —
Témoignage de Théodoret sur Félix, X, 45.
483. FÉLIX III (Saint), pape, succède à saint
Simplice, X, 411. Ses soins pour rétablir la
paix dans les Églises d'Orient, 412 et suiv.
Sa lettre à l'empereur Zenon sur ce sujet ;
à Acace pour lui reprocher son silence, 412.
Ses légats sont arrêtés ; leur prévarication,
484. 412 et suiv. Us sont déposés dans un concile
de Rome, 414 et 719. Acace y est excom-
munié, 414. Justification de la conduite du
pape, 414 et 415. Le pape écrit à Acace les
motifs de sa condamnation, 415. Sa lettre à
l'empereur Zenon, 415 et 416. Autre au
clergé et au peuple de Constantinople ; à
Rufin et aux moines de Constantinople, 416.
Lettres à Pierre le Foulon ; elles sont toutes
supposées, 417. Lettre à Zenon, 417 et 418;
à Fravita, 418 ; à Tbalassius et autres abbés
de Constantinople, 418 et 419 ; à Fravita; à
l'empereur Anastase; aux évèquesd'Afrique,
419 ; à Zenon, évêque de Séville, 419 et
420; à saint Césaire d'Arles. Cette dernière
493. doit être de Félix IV. Mort du pape Félix III.
Il est compté au nombre des saints, 420.
[Édition de ses écrits dans la Patrologie,
411, n. 2. Lettre de Félix aux Orientaux,
416, n. 7. Lettre de Félix à Succonius ou
Sacconius, évêque d'Uzale, 417, n. 10.] Con-
ciles de Rome sous son pontificat, 719. —
Décrétales qui lui sont faussement attri-
buées, VI, 94. — Euphémius, patriarche de
Constantinople, lui écrit, X, 485,
526. FÉLIX IV (Saint), élu pape par le roi
529. Théodoric, succède à saint Jean I. Sa mort
après trois ans et deux mois de pontificat.
Des trois lettres que nous avons sous son
nom, il y en a deux qu'on rejette comme
apocryphes; analyse de ces lettres, XI,
115. — Autre lettre qu'on lui attribue, X,
420.
soj. FÉLIX (Saint), évêque de Thibare en
Afrique. Actes de son martyre, III, 18.
FÉLIX ET ADAUGTE (Saints), martyrs.
[Deux sermons de saint Augustin pour leur
fête, IX, 836 et 841.] Poëme de Marbode sur
leur martyre, XIV, 227.
30*. FÉLIX OCTAVE (Saint), martyr à Car-
thage, III, 20 et 22.
FÉLIX (Saint), lecteur, fils de saint Sa- so*.
turnin, martyr de Cartbage, III, 20. Sa
confession, 22.
FÉLIX (Deux saints), martyrs de Carthage, 30*.
III, 20. Leur confession, 22.
FÉLIX, l'un des fidèles d'Anazarbe, qui
recueillirent les actes de saint Taraque et de
ses compagnons, III, 22.
FÉLIX (Saint), martyr de Saragosse, III, soi.
44.
FÉLIX (Saint), diacre, martyr en Afrique, iVsièc
III, 104.
FÉLIX (Saint), martyr de Girone, XII, 518.
FÉLIX (Saint), prêtre et confesseur en
Espagne. Sa vie écritepar le moine Grimoald,
XIII, 489.
FÉLIX, évêque d'Acci dans la Carthagi-
noise, assiste au concile d'Elvire, II, 603.
FÉLIX, évêque de Rotaria, assiste au con-
cile de Cirthe, II, 621.
FÉLIX, diacre de Carthage, accusé d'avoir
composé un libelle contre l'empereur, II, 621 .
FÉLIX, évêque d'Aptonge en Afrique, or- IV siè
donne Cécilien, évêque de Carthage. Les
Donatistes l'accusent d'être traditeur; il est
condamné par les Donatistes, II, 622. Cons-
tantin fait informer sur l'accusation des
Donatistes. Félix est justifié, 628; — accusé,
V, 111 ; justifié, 112. Actes de sa justifi-
cation, 142, 143 et IX, 409.
FÉLIX, évêque de Florence, en Toscane,
assiste à un concile de Rome, II, 625.
FÉLIX, évêque de Cisterna, près de Rome,
assiste à un concile de Rome, II, 625.
FÉLIX, évêque donatiste de Diabe ou Zabe
en Afrique. Cruautés qu'il exerce sur les ca-
tholiques, IV, 594.
FÉLIX, évêque de Selemsel. Concile de
Carthage où il assiste, IV, 648.
FÉLIX, jovinianiste, condamné par le pape
Sirice, IV, 652.
FÉLIX, évêque de Jadres, assiste au con-
cile de Milan contre les Jovinianistes, IV, 653.
FÉLIX, ordonné évêque de Trêves par 355,
les Ithaciens, IV, 642 et 653. — Le pape
Sirice et saint Ambroise se séparent de sa
communion, 653.
FÉLIX , évêque donatiste d'Idicre , en
Afrique. Cruautés excessives qu'il exerce
sur les cathohques, V, 115.
FÉLIX, diacre de Milan, porteur de deux
lettres de saint Ambroise à l'empereur
Théodose, V, 392 et 500.
FÉLIX, évêque de Côme. Lettres que lui 380.
écrivit saint Ambroise, V, 481.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
423
siècle. FÉLIX, évêque de Nocéra. Lettre cano-
nique que lui écrivit le pape saint Innocent,
VII, 524.
FÉLIX, évêque de la province de Duras,
en Épire, soutenu par le siège apostolique
contre ses accusateurs, VIII, 128.
, 398. FÉLIX, donatiste. Lettre de saint Au-
gustin à Félix et à quelques autres Dona-
tistes, IX, 79, 80. — Autre lettre de saint
Augustin aux mêmes et à deux autres Félix,
80, 81.
. 404. FELIX, catholique d'Hippone. Lettre de
saint Augustin à Félix et à Hilarin, IX, 90.
IV FÉLIX à qui saint Augustin écrit une
'""='"'• lettre, IX, 92.
404. FÉLIX le Manichéen. Deux livres de saint
Augustin contre Félix, IX, 189.
FÉLIX, moine d'Adrumet, y apporte la let-
tre de saint Augustin au prêtre Sixte, IX, 513.
FÉLIX, archevêque de Ravenne, a re-
cueilli les sermons de saint Pierre Chrysolo-
gue, l'un de ses prédécesseurs, et les a mis
dans l'ordre oii ils sont aujourd'hui, X, 8.
FÉLIX, grand trésorier de l'État sous
Julien l'Apostat, X, 137.
FÉLIX (Saint), évêque de Bologne, en
Italie, X, 161.
FÉLIX, fils du consul Magnus, devenu
patrice. Lettre que lui écrivit saint Sidoine
Apollinaire pour le congratuler, X, 384.
Autre lettre, 383. Poëme que lui adresse
saint Sidoine Apollinaire , 397. Le même
Félix devenu préfet du prétoire. Sa con-
version, 434. Lettre d'avis que lui écrit
Fauste de Riez, 434 et 435. Éditions qu'on en
afaites, 437. Il assiste Fauste de Riez dans les
besoins pendant son exil, 607. (Voyez son
article dans V Histoire littéraire de la France,
t. II, p. 638 et suiv.)
483. FÉLIX, défenseur de l'Église romaine, l'un
des légats envoyés à Constantinople par le
pape Félix in, X, 411. — Sa fermeté, 414.
FÉLIX (Saint), évêque d'Abder, banni par
Hunéric, X, 448.
FÉLIX, habitant de Carthage, aveugle, re-
couvre la vue par miracle, V, 328 et X, 454.
FÉLIX, diacre, l'un des légats du pape
Hormisdas à Constantinople, X, 621.
FÉLIX, abbé d'un monastère, reçoit saint
Fulgence, depuis évêque de Ruspe, au
nombre de ses moines et partage avec lui le
gouvernement de son monastère. Il va s'éta-
blir à Sicque. Persécution qu'il a à souffrir
de la part d'un prêtre arien, XI, 3. Il fonde
avec saint Fulgence, un nouveau monastère
près d'Ididi, 3 et 4. Il se transporte à un
autre que saint Fulgence venait d'établir, 3.
FÉLIX, diacre, qui ambitionnait d'être
fait évêque de Ruspe, XI, 5.
FÉLIX, notaire. Livre de la Trinité que
lui adresse saint Fulgence, évêque de Ruspe,
XI, 30.
FÉLIX, gaulois, élevé au consulat. Son
éloge et celui de son père, XI, 213.
FÉLIX, homme recommandable, aide
Cassiodore à écrire des lettres, XI, 217.
FÉLIX (Saint), évêque de Nantes, assiste v. 549.
à plusieurs conciles. Année de sa mort. 582.
Durée de son épiscopat, XI, 314. — Éloge
que Fortunat fait de sa personne et de ses
écrits, dont aucun n'est venu jusqu'à nous,
313, 314. Son éloge par Fortunat, 403.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. III, p. 330 et suiv.)
FÉLIX, ami de Fortunat, est guéri comme
lui d'un mal aux yeux par l'intercession de
saint Martin. Il devient évêque de Trévise,
XI, 402.
FÉLIX, violateur d'une vierge, XI, 493.
FÉLIX, évêque, contribue à la conversion 59i.
des Barbaricins, XI, 497.
FÉLIX, évêque de Messine. Lettre que lui 59o.
écrit le pape saint Grégoire, XI, 483. — Il 603.
consulte le pape saint Grégoire sur plusieurs
difflcultés. Réponse du pape, 333, 534. Il y
a eu deux évêques de Messine du nom de
Félix, 535.
FÉLIX, évêque de Pisaure. Lettre que vu siècle,
lui écrit saint Grégoire, pape, XI, 506.
FÉLIX, évêque de Narbonne. Lettre de vil siècle,
saint Didier de Cahors à cet évêque, XI,
733.
FÉLIX, évêque de Limoges. Sa lettre à
saint Didier de Cahors, XI, 734.
FÉLIX, évêque français, docteur et apôtre
du pays d'Estrangle. (Voyez dans VUist. lit.
de la France, t. V, avert., p. iv et suiv.)
FÉLIX, archevêque de Tolède après saint 69o.
Julien, XI, 791. Sa Vie de saint Julien, 795.
FÉLIX, archevêque de Ravenne, ordonné v. 708.
par le pape Constantin. Sa révolte contre
l'empereur et l'Église de Rome. 11 est assiégé
dans Ravenne, mené chargé de chaînes à
Constantinople et exilé dans le Pont, après
qu'on lui eut crevé les yeux. Son goût pour
les lettres. Son éloquence. 11 recueille les
sermons de saint Pierre Chrysologue. Il
avait aussi composé un commentaire sur
saint Matthieu. Ayant donné des marques de
repentir de ses fautes, l'empereur le renvoie
424
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
à Ravenne. Il se réconcilie avec le pape
Constantin, et termine ses jours dans la pra-
tique des bonnes œuvres, XII, 20.
viii siècle. FÉLIX, moine de Jarou, qui vivait au
commencement du vni° siècle, est auteur de
la Vie de saint Guthlac, anachorète dans l'île
de Croiland, XII, 21. (Peut-être le même que
le suivant, c'est du moins le même ouvrage.)
V. 740. FÉLIX, moine de Croiland, écrit en latin
la Vie de saint Guthlac. Il est différent d'un
évéque de même nom, dont Bède a parlé,
XII, 128. (Mais il parait être le même que le
précédent, du moins c'est le même ouvrage.)
FÉLIX, évèque d'Urgel. Son erreur sur la
divinité de Jésus-Christ réfutée par saint
Paulin, patriarche d'Aquilée, dans son livre
intitulé : Sacro-Syllabus, XII, 138. — Trois
livres du même saint Paulin contre Félix,
160 et suiv. Erreurs de Péhx réfutées par
Alcuin, 160 et 178 et suiv. [Lettre d'Alcuinà
Félix, 179, n. 2]. Lettre d'Alcuin à Charle-
magne sur cet ouvrage, 181, 182. Lettre
de Féhx à Élipand, 182. Lettre d'Élipand à
Félix, 183, 184. Profession de foi que Félix
fit à Aix-la-Chapelle, 183, 184. Il est rélégué
à Lyon pour y finir ses jours dans la péni-
tence. Son écrit où il prescrit la manière de
convaincre ceux qui étaient dans la même
erreur que lui, et qu'il avait abjurée, 184.
Charlemagne fait venir Féhx à l'assemblée
de Ratisbonne, où, convaincu d'erreur, il
est obligé de se rétracter. Il est envoyé au
pape Adrien I, devant qui il confirme sa ré-
tractation. De retour dans son évêché, il
répand de nouveau ses erreurs, 224. Écrits
de saint Benoît d'Aniane contre les erreurs
de Félix, 261. Traité d'Agobard, arche-
vêque de Lyon, contre les mêmes erreurs,
366. Concile de Narbonne assemblé pour
condamner les erreurs de Félix, XIII, 632.
— Ses erreurs sont condamnées dans le
concile de Frioul, 632 et 633 ; dans celui de
Ratisbonne, 634 ; dans celui de Francfort,
634 et suiv.; et au concile de Rome, 636,
637. Concile d'Urgel où il est invité, 637.
Concile d'Aix-la-Chapelle où il est déposé,
et rétracte ses erreurs, 637 et 638. (Voyez
son article dans VBistoire littéraire de la
France, t. IV, p. 428 et suiv.)
IX siècle. FÉLIX (Saint) , l'un des martyrs de Cor-
doue, XII, 518.
693. FÉLIX, évêque de Séville, est transféré à
l'archevêché de Tolède, XII, 965.
693. FÉLIX, évêque de Portucal, est transféré
au siège de Brague, XII, 965.
FÉLIX, évêque de Cornouaille, déposé
pour cause de simonie, XIII, 679.
FELKMANNUS (Pierre). Son édition de
plusieurs fragments des écrits de saint
Athanasa, IV, 231.
FELL (Jean), évêque d'Oxford. Son édi-
tion des livres d'Hermas, 1, 338 ; — des livres
de saint Théophile, évêque d'Antioche, à
Antolyque, 480. Traité de Clément d'Alexan-
drie, intitulé : Quel riche sera sauvé, 606*
Des œuvres de saint Cyprien, évêque de
Carthage, II, 383.
FEMMES : voilées, I, 570. — Livres de
TertuUien à sa femme, II, 10 et suiv. — Son
traité des Ornements des femmes, 33, 34.
Autre ouvrage du même sur le Voile des
vierges, 65, 66. Femmes sous-introduites ou
étrangères dans les maisons des clercs dé-
fendues par le concile d'Antioche à l'occasion
de Paul de Samosate, 569. Canon sixième
entre les Canons apostoliques touchant la
conduite que les évêques et les prêtres
doivent tenir à l'égard de leurs femmes, 581.
Canon vingt-septième du concile d'Elvire tou-
chant les femmes qui demeurent chez les
évêques ou chez les clercs, 608. Canon qua-
rante-quatrième du même concile touchant
la conversion des femmes qui ont été déré-
glées, 609. Canon troisième du concile de
Nicée touchant l'habitation des femmes avec
les clercs, III, 430, 431. — Canon troisième
d'un concile de Carthage sur le même sujet,
499. Canon quarante-quatrième du concile
de Laodicée, qui défend aux femmes d'en-
trer dans le sanctuaire, 512. [Discours sur
les femmes étrangères attribué à saint
Basile, IV, 392.] — Saint Basile veut que les
moines évitent la conversation des femmes,
393. Il oblige un de ses prêtres à se con-
former au canon de Nicée touchant l'habi-
tation des femmes avec les clercs, 528.
Poëme de saint Grégoire deNazianze contre
le luxe des femmes, V, 282. — Femmes
sous-introduites dans les maisons des clercs.
Épigrammes de saint Grégoire de Nazianze
sur ce sujet, 303. Saint Ambroise obtient
une loi en faveur des femmes chrétiennes,
381 . Apologie des femmes par saint Ambroise,
454. [Didyme l'Aveugle ne leur permet pas
defairedes livres, 630.] — Discours contre les
mauvaises femmes attribué à saint Éphrem,
VI, 19. Saint Éphrem défend aux femmes
de se faire porter sur les épaules des
hommes, 69. [Homélie sur la femme pé-
cheresse, par saint Éphrem, 507; sur la
848.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
425
fuite des femmes, parle même, S06, 507. Ca-
nons du même pour les funérailles des fem-
mes, 616, 617.] Julien l'Apostat permet aux
femmes de répudier leurs maris, 348. — Loi
de Théodose au sujet des femmes qui se cou-
paient les cheveux, 371. Deux livres de saint
Jean Chrysostôme contre l'habitation com-
mune des clercs et des femmes, VII, 28 et
suiv. Femmes qui achetèrent des par-
fums, sujet d'une homélie faussement attri-
buée à saint Jean Chrysostôme, 258. Opus-
cule supposé à ce père sur le même sujet,
335. Habitation des femmes dans les maisons
des clercs : canon dix-huitième du concile
d'Hippone, 713. Canon dix-septième du
cent-onzième concile de Carthage , 721.
Femmes des clercs. Canon septième du con-
cile de Tolède, 740. — Saint Isidore de Péluse
veut que l'on interdise aux femmes la per-
mission de chanter dans les églises, VIII,
482. Il explique en quel sens saint Paul a
dit que la femme est l'image de l'homme,
491. — Doctrine de saint Augustin sur la
pluralité des femmes, IX, 459. Sur les
ornements des femmes mariées, 563. Son
sentiment sur la femme pécheresse, 617.
[Sermon de saint Augustin sur la femme
qui souËfre d'une perte de sang ; sermon du
même sur la femme adultère, 841.] — Les
païens sous Julien l'Apostat persécutent
cruellement les femmes consacrées à Dieu,
X, 46. Témoignage de Théodoret sur ce
qu'il n'y a point de différence, par rapport à
l'âme, entre l'homme et la femme, 94.
Témoignage de Théodoret sur le sentiment
des Nicolaïtes touchant les femmes. Son
sentiment sur la pluralité des femmes dans
les anciens temps, 131. [Sermon de saint
Maxime de Turin sur la femme chana-
néenne, 336.] Le service à l'autel est in-
terdit aux femmes par saint Gélase, 504.
Canon d'un concile de Girone qui défend aux
prêtres, aux diacres et aux sous-diacres de
vivre séparés de leurs femmes, 750. — Homé-
lie sur la femme forte attribuée à saint Cé-
saire d'Arles, XI, 147. Homéhe surlafemme
pécheresse attribuée à saint Césaire d'Arles.
Saint Grégoire veut qu'on empêche les fem-
mes d'habiter avec les moines, 482. Il décide
qu'une femme enceinte peut être baptisée et
qu'il n'y a point de temps réglé après ses
couches où elle doive s'abstenir d'entrer
dans l'église , 326. Épigramme de saint
Colomban sur la femme, 628. — Traité de la
femme forte attribué au vénérable Bède,
XII, 12. Lois anciennes qui défendent aux
prêtres et aux diacres d'avoir chez eux des
femmes étrangères, 228. Capitulaire de
Carloman, qui permet aux femmes d'aller à
l'église pour rendre grâce à Dieu après leurs
couches, 229. Capitulaire de Théodulfe qui
défend aux femmes d'approcher de l'autel,
et aux prêtres de loger et de manger avec
elles, 264. Wulfade, archevêque de Tours,
veut que les femmes allaitent elles-mêmes
leurs enfants, 628 Canon du quatrième
concile de Tolède, 919. [Femmes de prêtres
et de diacres violées par les barbares.
Réponse de Photius sur ce sujet, 978. Si les
femmes peuvent porter la communion aux
chrétiens détenus chez les Sarrasins ; ré-
ponse de Photius à cette question, 979.] —
Femmes consacrées à Dieu ; le mariage leur
est interdit par un concile de Rome tenu
par le pape saint Grégoire II, XIII, 605 ; par
un autre concile de Rome tenu par le pape
saint Zacharie, 608. Concile de Poitiers qui
défend aux prêtres et aux diacres d'avoir
des femmes chez eux, 765. — Épigramme
de PhiMppe de Bonne-Espérance sur le
caractère d'une mauvaise femme, XIV,
687. — Concile de Rouen qui défend aux
prêtres tout commerce avec les femmes,
1094.
FEMMES ILLUSTRES DE LIÈGE, ou-
vrage du cardinal Jacques de Vitry, XIII,
338.
[FÉNELON. Son sentiment sur l'édition des
œuvres de saint Augustin, par les Béné-
dictins, IX, 846 et suiv.]
PERALIA. Fête que les païens célébraient
en l'honneur des morts, et dont il y avait
encore des vestiges en France au vi" siècle,
XI, 890.
FERMENT, envoyé par le pape chaque
dimanche aux prêtres des églises de Rome.
Ce que c'était, VII, 519, 320. — On désignait
sous ce nom la sainte Eucharistie, XI, 541.
— Voyez Eucharistie.
FERMIER ou économe d'iniquité, sujet
d'un opuscule faussement attribué à saint
Jean Chrysostôme, VII, 312. — Différentes
homélies sur cette parabole de l'Évangile,
XIV, 76. Sermon de Bernard, moine de
Cluny, sur la parabole du fermier d'iniquité,
492.
FERMIERS. Canon d'un concile de Car-
thage qui défend aux clercs d'être fermiers,
VIII, 363.
FÉRON (Barthélémy le), chanoine de
426
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLESIASTIQUES.
Chartres : son édition des œuvres de Guil-
laume d'Auvergne, évêque de Paris, XIV,
1032.
FERRAND, disciple de saint Fulgence,
évêque de Ruspe, dont il a écrit la Vie, est
différent de Ferrand, diacre de Carthage,
XI, 10 et 93.
VI siècle. FERRAND, nommé aussi Fulgence, diacre
de Carthage. Temps auquel il vivait, XI, 86.
Sa lettre au comte de Réginon sur la ma-
nière dont doit vivre un homme de guerre,
86 et suiv. Lettre à Anatolius, diacre de
Rome, contre l'hérésie d'Eutychès, 88 et suiv.
Lettre à l'abbé Eugippius contre les Ariens,
les Nestoriens et les Eutychiens. [Elle est
donnée en entier par Mai, 91 , note 1 . Ce
qu'elle contient, 91.] Lettre à Sévère, scho-
lastique à Constantinople, contre les Sabel-
liens et les Ariens, 91, 92. Lettre à Pelage
et Anatolius, diacres de l'Église de Rome,_
au sujet de la condamnation des Trois-Cha-
pitres, 92 et suiv. Collection des canons des
conciles d'Orient et d'Occident faite par le
diacre Ferrand, M. Jugement sur ses let-
tres. Éditions qu'on en a faites, 93. [Autres
éditions, 86.] Le diacre Ferrand ne paraît pas
être l'auteur de la Vie de saint Fulgence,
évêque de Ruspe, 10 et 95. Diôerenles ques-
tions relatives au baptême qu'il propose à
saint Fulgence, 36, 37. Réponses de saint
Fulgence, 37 et suiv. Autres questions qu'il
propose à saint Fulgence. Réponse du saint,
39 et suiv. — Question proposée à saint Ful-
gence par le diacre Ferrand, IX, 772 et
XI, 95.
FERRAND (Jean), Jésuite. Son édition de
quelques ouvrages de saint Avit de Vienne,
X, 369.
[FERRAEE, ville d'Italie. Le pape Jean XIII
confirme les privilèges de l'Église de cette
ville, XII, 833.]
30i. FERRÉOL ( Saint ) , ofiBcier , martyr à
Vienne, dans les Gaules, III, 42. — Inven-
tion et translation de ses rehques par saint
Mamert, X, 391. — Monastère bâti à Uzès
sous son invocation, XI, 312.
FERRÉOL, préfet des Gaules. Lettre que
lui écrit saint Sidoine, X, 392.
553. FERRÉOL (Saint), évêque d'Uzès, succède
à saint Firmin. On indispose contre lui le
roi Childebert, qui le retient à Paris pen-
dant trois ans, et qui ensuite, convaincu de
son innocence, le renvoie à son église. Il
bâtit à Uzès un monastère d'hommes sous
le nom de saint Ferréol, martyr, XI, 312.
Analyse de la règle qu'il donne à ce monas-
tère, 312 et 313. Éditionsqu'on en adonnées,
313. [Édition dans la Patrologie, 313.] Ses
lettres, 313. (Voyez son article dans l'^istoVe
littéraire de la France, tome III, p. 324
et suiv.)
FERRÉOL, prêtre, dont on trouve quel-
ques sentences dans le livre intitulé : De vf-
ficio rectoris Ecclesiœ, doit, ce semble, être
distingué de saint Ferréol, évêque d'Uzès,
XI, 313.
FERRON (Arnold de). Sa traduction fran-
çaise de l'Apologie d'Athénagore, I, 487.
FERRUCE (Saint), martyr. Discours à son
honneur par Maginhard, moine de Fulde,
XII, 523.
FESCHIÈRES, heu d'une éghse érigée en xis
abbaye par Lambert, évêque d'Arras, XIV,
87.
FESTINIEN, évêque de Dol, qui s'attri- iXf
buait les droits de métropolitain sur les
évoques de Bretagne. Lettre que lui écrit sur
ce sujet le pape saint Nicolas I", XII, 583.
FESTINS DE CHARITÉ. Voyez Agapes.
Festins aux funérailles des chrétiens, II,
599; — aux tombeaux des martyrs. Saint
Ambroise blâme cet usage, V, 373. — [Du
festin, titre d'un sermon d'Eusèbe d'Alexan-
drie, VIII, 383.] — Traité de saint Augustin
sur les festins qui se faisaient aux funérailles,
cité par Possidius, IX, 360. — Festiu de
Dieu, ouvrage attribué à Raban Maur, XII,
469.
[FESTUS POMPÉIUS. Fragments de son
livre sur la signification des mots, XII, 144.]
FESTUS, élève de saint Basile. Lettre que
saint Basile lui écrit, IV, 487.
FESTUS, otScier de l'empire. Lettre que
lui écrit saint Augustin, IX, 95.
FESTUS, patrice (et non patriarche), dé-
puté à l'empereur par le roi Théodoric, X,
519, 521. Il convient avec l'empereur de
faire recevoir à Rome son Hénotique, 321.
Pour y parvenir, il fait élire l'antipape Lau-
rent. Il suborne des témoins qui accusent
le pape Symmaque de crimes horribles, 522.
FESTUS, père d'Elpis, première femme de
Boèce, X, 646.
FÊTES des Martyrs instituées, I, 389 et
394. — Fêtes des païens et des chrétiens :
témoignage d'Origène, II, 192, 245, 248. .
Fêtes des Martyrs introduites par saint Gré-
goire le Thaumaturge, 439. Fête des Mar-
tyrs de la légion Thébéenne, 472. Témoi-
gnage des Constitutions apostoliques tou-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
427
chant les fêtes des Martyrs, 599. Canon apos-
tolique qui défend d'allumer des lampes aux
fêtes des païens, S86. — Loi de l'empereur
Constantin touchant les fêtes, III^ 144. Fêtes
des Martyrs. Canon cinquante-unième du
concile de Laodicée, 513. — [Des Jeûnes, des
Trompettes et des Fêtes, titre d'une lettre
pascale de saint Athanase, IV, 151. Com-
ment les chrétiens doivent les célébrer d'a-
près saint Athanase, 152.] Témoignage de
saint Basile sur les fêtes des Martyrs, 535.
— Exhortation de saint Grégoire de Nazianze
sur la manière dont les chrétiens doivent
célébrer les fêtes des Saints, V, 202, 203 et
352. — Discours de saint Éphrem sur la
manière de célébrer les fêtes, VI, 9, 40, 69 ;
[sur les fêtes de Notre-Seigneur, 482 etsuiv.]
Témoignage de saint Grégoire de Nysse sur
la célébration des fêtes, 250, 251. — Témoi-
gnage de saint Jean Chrysostôme sur les
fêtes, VII, 95, 96. — Fêtes célébrées dans
l'Église du temps de saint Paulin, VIII, 85.
— Doctrine de saint Pierre Chrysologue sur
les fêtes de l'Église, X, 15, 16. Parmi les
discours de saint Pierre Chrysologue, il n'y
en a point qui, dans les manuscrits, soit
intitulé d'aucune des fêtes de la sainte
Vierge, 16. Lettres festales de Théodoret,
65 et 67. Quelle a été, selon Théodoret, l'in-
tention de Dieu en établissant les fêtes de
l'ancienne loi, 95. Discours d'Isaac l'Ancien
sur l'observation des fêtes, 578. — Témoi-
gnage de Sonnace, évêque de Reims, tou-
chant les fêtes qui se célébraient avec la
cessation du palais. La fête de tous les
Saints établie en France au ix." siècle, XI,
694. Principales fêtes de l'Église selon saint
Isidore de Séville, 718. Le second concile
de Mâcon défend de donner le baptême so-
lennel aux fêtes des Martyrs, 896. — Fête
de tous les Saints dans le Martyrologe de
Bède, XII, 7. Canon attribué à saint Boni-
face touchant la fête qu'on doit chômer,
52, 53. Règlement de Hetton sur le même
sujet, 337. Louis le Débonnaire fait célébrer
en France et en Allemagne la fête de tous
les Saints, 405 et 621. Témoignage de Ra-
ban sur les principales fêtes de l'aunée,
456. Fêtes recommandées par le pape saint
Nicolas, 582, Saint Adon de Vienne est le
premier qui ait mis dans le Martyrologe la
fête de tous les Saints, 621. Loi d'Alfrède,
roi d'Angleterre, touchant l'observation des
fêtes, 782. Lettre d'Helpéric, écolâtre de
Grandfeld, sur les fêtes des Saints, 863. —
Homélies de Guillaume de Mérula pour
toutes les fêtes de l'année, conservées ma-
nuscrites à l'abbaye de Saint-Évroult, XIII,
269. Fêtes d'obligation fixées par un concile
de Mayence, 644. Canon d'un concile d'Er-
ford touchant les fêtes des douze Apôtres,
746. — Constitution de l'empereur Manuel
Comnène sur les fêtes, XIV, 656. Plusieurs
lettres des évêques de Paris pour l'abolition
de la fête des fous et le rétablissement de la
fête de la Circoncision au premier jour de
janvier. Décret de la faculté de Paris sur la
même matière, 784. [Odon ou Eudes, évêque
de Paris, s'efiorce de l'abolir, 890, 891.
Fêtes énumérées par Siccard, évêque de
Crémone, 903, 904.] Sermon de Guillaume
d'Auvergne, évêque de Paris, pour les
fêtes, 1026. Canon d'un concile de Toulouse
qui marque les jours de fêtes, 1109.
FEU. Maguséens, peuples adorateurs
du feu, dont parle saint Basile, IV, 482.
Epreuves du feu. Voyez Epreuves. — Le feu
adoré par les Perses, X, 49. — Usage de
l'Église romaine pour allumer le feu pascal,
différent de celui de l'Église de France, XII,
33. Bénédiction du feu nouveau au Samedi
Saint recommandée par le pape Léon IV,
408. — A Cluny, on bénissait le feu nouveau
trois jours de suite dans la Semaine Sainte,
XIII, 472. Feu miraculeux qui, la veille de
Pâques, allumait les lampes du Saint-Sé-
pulcre, 521.
FEUARDENT (François), franciscain. Son
édition des œuvres de saint Irénée, I, 530.
— Sa traduction française de plusieurs ou-
vrages de saint Éphrem d'Édesse, VI, 71. —
Son édition des œuvres de saint Ildel'o'nse
de Tolède, XI, 776.
FÈVRE (Jacques Le), d'Étaples (et non
d'Étampes). Son édition des livres d'Hermas,
I, 338. — Son édition du poëme de Juven-
cus de la Vie de Jésus-Christ, III, 118. Ses
notes sur les œuvres attribuées à saint Denys
l'Arébpagite, X, 553. — Sa traduction latine
des hvres de saint Jean Damascène, de la Foi
orthodoxe, XII, 97. — Son édition du Micro-
logue, XIV, 125.
FÈVRE (Nicolas le). Son édition des
fragments de saint Hilaire de Poitiers, IV, 88.
— Son édition des œuvres de Salvien, X, 378.
FÈVRE (Hilarion le), bénédictin, tra-
vaille avec D. Mathoud à l'édition des Sen-
tences du cardinal Robert Pullus, XIV, 392.
[FEYRABEND. Sa traduction allemande
des écrits de saint Gyprien, II, 385.]
428
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
[PIACEI. Le pape saint Léon III travaille
au rétablissement du monastère de cette
ville, XII, 403.]
FIANÇAILLES. Canon cinquante-qua-
trième du concile d'Elvire, II, 611. Canon
dixième du concile d'Ancyre, 638. — Règle-
ment fait dans l'Église grecque au sujet des
fiançailles, XIII, 338. — Constitutions de
l'empereur Alexis Comnène concernant les
fiançailles, XIV, 142.
FIARI (Saint), le même que saint Phé-
bade, évêque d'Agen, V, 372. Voyez Saint
Phébade.
FIGIN (Marsile), chanoine de Florence.
Sa traduction des Dialogues attribués à
Mercure Trismégiste. Différentes éditions
qu'on en a faites, I, 298. — Son édition du
traité des Songes de Synésius, VIII, 33. —
Sa traduction latine des œuvres de saint
Denys l'Aréopagite. Édition de la Théologie
mystique et du traité des Noms divins, X,
553.
FIDÈLE (Saint), martyr. Discours de saint
Pierre Damiea en son honneur , XIII ,
309.
785. FIDÈLE, à qui écrivit Elipand de Tolède
contre Béatus et Éthérien, XII, 214.
FIDÈLE, épouse de Pneuraace. Poëme
que saint Paulin, évêque de Noie, leur
adresse, VIII, 86, 87.
FIDÈLES. On donnait ce nom aux bap-
tisés, et celui de chrétiens aux catéchumènes,
II, 610 et note 1. — Devoir de confesser la
foi, commun à tous les fidèles, IV, 268 et
suiv. — Saint Jean Chrysostôme explique
pourquoi on donnait le nom de fidèles aux
nouveaux baptisés, VII, 74. — Saint Augus-
tin témoigne que les enfants baptisés sont
mis au nombre des fidèles, IX, 419. — [Let-
tre du pape saint Léon III à tous les fidèles,
XII, 402.] ^
FIDENCE (Saint), évêque et martyr d'A-
frique, III, 95.
FIDENCE [et non Fidème], évêque dona-
tiste, V, m.
FIDENCE , auteur ecclésiastique peu
connu. (Voyez dans l'Histoire littéraire de la
France, tom. IV, p. 572.)
m siècle. FIDUS, évêque en Afrique, consulte le
concile de Carthage. Lettre des pères du
J52. concile de Carthage à Fidus, II, 317. Lettre
synodale du concile de Carthage qui lui est
adressée, 561.
FIDUS, diacre de Jérusalem, envoyé à
Zenon et à Acace par Martyrius, X, 410. —
Son naufrage. Ordre que saint Euthymius
lui donne, XI, 274.
FIEFS. Origine des fiefs dépendant de
l'Église, XII, 667.
FIGEAC, abbaye au diocèse de Cahors.
Histoire de cette abbaye écrite par un ano-
nyme, Xni, 347.
FIGON (Jean). Sa traduction française du
poème de Théodore Prodrome, intitulé :
L'Amitié bannie du monde, XIV, 149.
FIGUIER séché : sujet d'une homélie at-
tribuée à saint Jean Chrysostôme ou à Sé-
vérien, évêque de Gabales, VII, 257, 258.
— Homélie du pape saint Grégoire sur la
parabole du figuier stérile, XI, 460. — Ho-
mélie de saint Jean Damascène sur la para-
bole du figuier qui devint sec, XII, 86.
FIGULUS, auteur inconnu, cité au nombre
des pères par Smaragde, XII, 256. (Voyez
dans l'Histoire littéraire de la France^ t. IV,
p. 444.)
FIGURATIF, successeur de Bérenger,
XIII, 173.
FIGURE DU MONDE ; dissertation dans la-
quelleCosme d'Egypte prétend prouver que
la figure du monde n'est pas ronde, mais
plate, XI, 191. Ce qu'il en dit dans sa Topo-
graphie chrétienne, 186, 187.
FIGURE DE LA DIVINITÉ. Aucune chez
les chrétiens, I, 601.
FIGURES DU DISCOURS. Traité des
Tropes ou figures du discours, par Cassio-
dore, XI, 237, 238. — Figures et tropes de
l'Écriture sainte ; ouvrage de Bède sur ce
sujet, XII, 4.
FILIOQUE, addition faite par les Français
au symbole de Constantinople, pour mar-
quer que le Saint-Esprit procède du Père et
du Fils, XII, 176. Le pape Léon III désap-
prouve cette addition, et cependant en per-
met l'usage pour la chapelle du roi. Elle
s'établit dans toutes les Églises d'Occident
avant le milieu du ix° siècle, 177. Lettre de
Léon, moine français, sur ce mot, 218. Let-
tre attribuée au pape Jean VIII sur l'addi-
tion Filioque faite au symbole, est visi-
blement supposée ou corrompue par les
Grecs, 646. Lettre de Photius qui blâme
cette addition faite au symbole. C'est à cette
lettre qu'Énée de Paris, Odon de Beauvais
et Ratramne furent chargés de répondre,
724. Lettre de Photius au patriarche d'Aqui-
lée sur le même sujet, 731. — Concile d'Aix-
la-Chapelle, oii il fut question du Filioque,
sous l'empereur Gharlemagne, XIII, 641.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
429
Atteinte portée par Photius au Filioque dans
le concile de Constantinople, où il se fit ré-
tablir, 725. — Dissertation du P. Le Quien
sur l'addition du Filioque, XII, 98. Voyez
Esprit-Saint.
FILLEAU. Sa traduction française de l'His-
toire sacrée de Sulpice Sévère^ VIII, 122.
FILLES. Le concile d'Elvire qui défend
de marier les filles chrétiennes à des païens,
hérétiques ou schismatiques ou prêtres des
idoles, II, 606. — Filles de l'alliance. Quelles
étaient les vierges auxquelles les Syriens
donnaient ce nom, III, 328. — Filles punies
de leur impudence, X, 51. — Un canon du
concile de Nîmes défend de marier les filles
avant l'âge de douze ans, XIII, 435. Pilles
ou veuves consacrées à Dieu. Canon d'un
concile de Frioul qui les concerne, 633.
FILLEUL. Selon Alton de Verceil, le fil-
leul ne peut épouser la fille de son parrain,
XII, 825. Le pape Léon VII décide la même
chose, 828.
FILS DE DIEU. [Que le Fils de Dieu n'est
pas étranger à la nature du Père, mais qu'il
lui est connaturel et consubstantiel, II, 418.
— Ce que saint Hilaire de Poitiers dit du
Fils de Dieu, IV, 32, 33.] Doctrine de Lac-
tance sur le Fils de Dieu, 511, 512. — Doc-
trine de saint Ambroise sur l'éternité du Fils
de Dieu, V, 630, 631. Sa divinité sou-
tenue contre les Ariens par saint Grégoire
de Nazianze, 229 et suiv. et 285, 286;
par saint Ambroise, 472 et suiv.; [par Di-
dyme l'Aveugle, 624 et suiv.] — Discours de
saint Éphrem sur la nature du Fils de Dieu,
VI, 40. [Preuves de sa divinité par le même,
468, 469 et 473. Il connaît le jour du Ju-
gement, 476.] Traité de la soumission du
Fils de Dieu à son Père à la fin des siècles,
ouvrage attribué à saint Grégore de Nysse,
145. Discours de saint Grégoire de Nysse sur
la divinité du Fils et du Saint-Esprit, 204,
203. [Sa génération éternelle, d'après saint
Zenon de Verceil, 274.] ■— Témoignage de
saint Jean Ghrysostôme sur le Fils de Dieu,
VII, 44, 46, 178 et 233 ; — [de saint Cyrille
d'Alexandrie, VIII, 332.] — Témoignage de
Théodoret, X, 81 ; de saint Léon, 233 et suiv.
— Doctrine de saint Fulgence, XI, 16 et
suiv., 20 et suiv. — Question sur l'égalité du
Père et du Fils agitée à Constantinople, XIV,
1124. Voyez Incarnation de Jésus-Christ.
FILS DE L'HOMME. Traité de la gloire
et de l'honneur du Fils de l'homme, ouvrage
de Rupert, abbé de Tuy, XIV, 282, 283.
Traité de la glorification du Fils de l'homme,
ouvrage de Géroch, prévôt de Reichersperg,
629. Voyez Incarnation de Jésus-Christ.
FILTÉRIUS, évêque des Gaules, l'un de
ceux à qui saint Célestin écrit en faveur de
saint Augustin, X, 277.
FIN. Pour la fin. Voyez In finem.
FINARD, nom défiguré donné dans les
imprimés des œuvres de Fulbert de Chartres
à un seigneur qui s'appelaitEinard, XIII, 80.
FINCENHALLE, en Angleterre. Concile
tenu en cette ville, XIII, 632.
FINCH ALLEND, en Angleterre. Concile
tenu en ce lieu, XIII, 636.
FINEM (In), pour la fin. Ce que signifie
cette expression à la tête des Psaumes, se-
lon Cassiodore, XI, 224.
[FINETTI, chargé de revoir le texte sy-
riaque des deux épitres de saint Clément,
pape, sur la virginité, I, 344.]
FINGEN, abbé de Saint-Vanne. Sa mort; y. looi.
Richard lui succède, XIII, 118.
FINLANDE. Lettre du pape Alexandre III xiisièeie.
au sujet des conversions simulées des Fin-
landais, XIV, 924.
FIRMICUS (Julius) Maternus, sénateur 343 «t 350.
romain, IV, 310 et suiv. Quel il était, 310,
311. Il embrasse la religion chrétienne, et
compose pour sa défense un écrit intitulé :
De l'Erreur et la fausseté des reMgions
profanes, 311. Analyse de cet ouvrage, 311
et suiv. Vanité du culte des faux dieux, leur
origine, 311. But des païens dans le culte
des dieux, 311. Suite de l'origine des dieux.
Symboles mystérieux des païens, 312. De la
substance des idoles : qu'elles sont défen-
dues dans la loi de Dieu, 312 et 313. Éditions
de cet ouvrage, 313. [Autres éditions, 313.]
Livres d'astronomie attribués à Julius Fir- j
micus : ils ne sont pas de lui, 313.
FIRMILIEN (Saint), évêque de Césarée en
Cappadoce, II, 433 et suiv. Naissance de
Firmilien et sa conversion, 435. Il est fait
évêque, et assiste au concile d'Icône, 435 et
548. Il visite Origène et s'instruit auprès de
lui ; il invite saint Denys d'Alexandrie au
concile d'Antioche, 435. Lettre de saint Fir-
milien au sujet du Baptême, 433 et 436.
[Jugement sur cette lettre, 436, n. 4.] Au-
tres écrits de Firmilien ; son zèle contre
l'erreur de Paul de Samosate; sa mort, 436.
[Il est honoré comme saint par les Orien-
taux, 436. Date de sa mort, 436, n. 7.] Let-
tres de saint Cyprien à saint Firmilien, et de
saint Firmilien à saint Cyprien, 333 et suiv.
S31.
251.
430
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Saint Etienne, pape, ne veut plus commu-
niquer avec lui, 349. Concile d'Antioche où
Firmilien préside; autre où il allait lorsqu'il
mourut, 567.
308. FIRMILIEN, gouverneur de Palestine,
condamne un grand nombre chrétiens aux
mines, III, 9.
372. FIRMIN, jeune homme à qui saint Basile
adresse une lettre ; réponse de Firmin, IV,
451.
FIRMIN (Saint), évêque de Verdun. Son
corps transféré au prieuré de Flavigny;
histoire de cafte translation, XIII, 239.
FIRMIN D'ARLES, à la prière de qui saint
Sidoine Apollinaire publie le neuvième livre
de ses lettres, X, 394. Saint Sidoine Apolli-
naire lui adresse un petit poëme, 393.
FIRMIN (Saint), évêque d'Uzès, que l'on
croit être l'un des auteurs de la Vie de saint
Césaire, évêque d'Arles, XI, 128. Il eut pour
successeur saint Perréol, 312. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. III, p. 261 et suiv.)
602. FIRMIN, évêque de Trieste en Istrie, se
601. réunit à l'Eglise catholique, XI, 440. Lettre
que lui écrit le pape saint Grégoire le Grand
en lui envoyant quelques assistances, 328.
FIRMIN (Jean). Ses notes sur le petit
commencement de l'ordre de Gîteaux, XIV,
231.
V siècle FIRMUS, prêtre, porteur d'une lettre du
pape Sixte III à saint Augustin et à Alypius,
VIII, 631.
FIRMUS, archevêque de Gésarée en Cap-
padoce, X, 149 et suiv. Jean d'Antioche ne
peut réussir à l'attirer à son parti contre
saint Cyrille ; est du nombre des députés
envoyés par le concile d'Éphèse à l'empe-
reur Théodose le Jeune pour défendre les
intérêts de la foi ; il tient un concile pour
donner un successeur à Euthérius, évêque
de Thyanes; sa mort; Thalasse lui succède,
149. Analyse des lettres de Firmus, 150,
131. Édition qu'en a donnée Muratori, 132.
[Autres éditions, 132.]
FISMES, bourg de Champagne. Conciles
tenus en cette ville, XIII , 728 et suiv.,
749.
FITADE (Saint), le même que saint Phé-
bade, évêque d'Agen, V, 372. Voyez Phé-
bade (saint).
FLACGILE, évêque d'Antioche. Voyez
Flacille,
PLACCILLE, impératrice, épouse de Théo-
dose, IV, 410.
431.
432.
439.
[FLACCILLE , princesse à qui Faustin
adresse son livre de la Trinité et de la Foi,
V, 153.]
FLACCILLE, fille de l'empereur Arcade,
embrasse la virginité, VIII, 471.
FLACCIUS ILLYRICUS (Matthias), dit
Francowitz. Son édition du traité de Julius
Maternus Firmicus, de l'Erreur et de la
fausseté des rehgions profanes, IV, 313. —
Son édition de l'Histoire des Français, par
saint Grégoire de Tours, XI, 398. — Son
édition des questions d'Alcuin sur la Tri-
nité ; son traité sur le consentement una-
nime de l'Église primitive, XII, 212. — Son
édition d'une ancienne messe latine ; on y
trouve tous les dogmes de l'Église bien éta-
bhs ; les Luthériens suppriment les exem-
plaires qu'ils peuvent trouver de cette litur-
gie, XIII, 16. — [Son édition de l'Image du
monde par Honoré d'Autun, XIV, 298.]
FLACCUS ALBINUS. Voyez Alcuin.
FLACILLE ou PLACILLE , évêque d'An-
tioche. Eusèbe de Césarée lui adresse ses
hvres contre Marcel d'Ancyre, III, 217. Il
préside au conciliabule de 'Tyr, 430. — Té-
moignage de Théodoret sur cet évêque, X,
43.
FLAGELLATION. Voyez Discipline.
FLAMINES, ou pontifes des faux dieux.
Deuxième, troisième et quatrième canons
du concile d'Elvire, II, 604.
PLAMINIE, province comprise dans la
Gaule Cisalpine, X, 7.
FLAMINIUS (Jean-Antoine). Sa Vie de
saint Pierre Damien, XIII, 324.
FLAMIR, abbé de Chinon en Touraine,
à qui saint Germain, évêque de Paris, avait
écrit une lettre, XI, 311.
FLATTEURS, Parole de saint Basile sur
les flatteurs et les amis, IV, 430.
FLAUVALD ou FLAVALD, chanoine de
Reims. Voyez Frodoard.
FLAVIEN (Saint), diacre, martyr d'Afri-
que, II, 389. Il fait l'éloge du prêtre Lucien
dont il prédit l'épiscopat, 390.
FLAVIEN, gouverneur de Palestine au
temps de Dioclétien, III, 4.
FLAVIEN, préfet du prétoire, V, 391 et
VI, 372.
FLAVIEN I, évêque d'Antioche, [n'a pas
droit au titre de saint, VI, 310, n. 3.] Son
éducation, son zèle, 310, 311. Il est fait
évêque d'Antioche par les Orientaux au
temps du schisme ; sa conduite épiscopale,
381. Il apaise Théodose irrité contre la ville
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
431
d'Antioche, 381 et suiv. Flavien est récon-
cilié avec l'Occident et avec l'Egypte, 313,
314. Sa mort ; ses écrits , 314. — Il avait
assisté comme prêtre au concile de Cons-
tantinople où il fut élu, IV, 618 et 620. Il
confond les Messaliens et assemble un con-
cile à Antioche où ces hérétiques sont con-
damnés, 646. Il écrit aux évêques de l'Os-
rhoëne contre ces hérétiques, 647. Il est
appelé au concile de Capoae; Théodose en-
gage les évêques à communiquer avec Fla-
vien, 654. — Il n'était encore que simple
prêtre lorsqu'il commença de défendre la foi
contre les Ariens, V, 9. Il est en différend
avec Evagre pour le siège d'Antioche ; le
concile de Capoue renvoie l'examen de cette
affaire à Théophile, évêque d'Alexandrie,
498. — Saint Jean Chrysostôme est ordonné
prêtre par Flavien, qui lui confie le minis-
tère de la prédication, VII, 2 et 41. Éloge
de Flavien par saint Jean Chrysostôme, 41.
Il fait exhumer les corps des martyrs enter-
rés avec des hérétiques, 84. — Concile qu'il
assemble à Side en Pamphyhe, contre les
Messaliens, Vlll, 3. Acace, évêque de Bérée,
eut beaucoup de part à son ordination ; il
lui apporte des lettres de communion de la
part du pape saint Sirice, 238. Son corps
est transféré solennellement à Constantino-
ple, 473. Philostorge lui attribue d'avoir
introduit la doxologie ; Gloire au Père, au
Fils et au Saint-Esprit, 511. — Flavien
prend soin de l'Église d'Antioche en l'ab-
sence de saint Mélèce, X, 47 ; visite saint
Marcien, solitaire, S2. Théodoret lui attri-
bue l'usage de chanter les psaumes en deux
chœurs, 137.
FLAVIEN II (Saint), évêque d'Antioche,
exilé à Pétra pour s'être opposé aux volon-
tés de l'empereur Anastase au faux concile
de Sidon ; il meurt dans son exil, XI, 750.
— Il est déposé par les Eutychiens, et rem-
placé par Sévère de Sozople, XII, 107.
FLAVIEN, évêque en Cappadoce. Lettre
que lui écrivit saint Grégoire de Nysse, VI,
215, 216.
FLAVIEN (Saint), évêque de Constantino-
ple. Eutychès se plaint de lui à saint Pierre
Chrysologue, X, 7. Eusèbe de Dorylée l'a-
vertit des erreurs d'Eutychès ; il est exilé
par l'empereur Théodose le Jeune, et rap-
pelé par Marcien, 23. Lettre que lui écrit
Théodoret pour le féliciter de la déposition
d'Eutychès, 65. Autres lettres où Théodo-
ret se justifie des calomnies répandues
contre lui , 71 , 72. Il tient un concile 448.
où il condamne Eutychès , 172. Lettre
qu'il écrit à ce sujet au pape saint Léon ;
il est déposé au faux concile d'Éphèse, 173. «9.
Différentes lettres que lui écrit le pape saint
Léon, 173 et 210, 211. Grande lettre de
saint Léon à saint Flavien' contre l'erreur
d'Eutychès, 211 et suiv. Autres lettres de
saint Léon à saint Flavien, 214 et 216. Édi-
tions particuhères qu'on a faites de la lettre
du pape saint Léon à Flavien, 275. Saint
Flavien préside aux conciles tenus à Cons- 448.
tantinople , 669 et suiv. Prononce la sentence 449.
contre Eutychès, et la soutient, 673. Est
obhgé de donner sa profession de foi ; ac-
cusé par l'empereur d'être la cause des
troubles arrivés dans l'Église à l'occasion
d'Eutychès, 675. Il est condamné au brigan-
dage d'Éphèse, 678. Il meurt des mauvais
traitements qu'il y avait reçus, 680. Sa mé-
moire est en vénération dans l'Église, 680.
Son nom est mis dans les diptyques, 681. 450.
Saint Flavien est justifié dans un concile de
Chalcédoine, 685 et suiv.
FLAVIEN, évêque de Philippes, se donne
la qualité de subdélégué de Rufus de Thes-
salonique, X, 103.
FLAVIGNY, [autrefois] prieuré dépendant
de Sainte-Vanne de Verdun, dans le diocèse
de Toul, XIII, 413.
FLAVIGNY, [autrefois] abbaye en Bourgo- g77.
gne, dans le pays d'Auxois. Un concile de
Ravenne confirme à l'évêque d'Autun ses
droits sur ce monastère, XIII, 720.
FLAVIN, clerc de l'Église de Metz. Lettre ,x siècle,
que le pape Etienne V écrit à son sujet, XII,
652.
FLAVIUS, à qui saint Denys d'Alexandrie
écrit une lettre, II, 410.
FLAVIUS, évêque d'Elvire , assiste au
concile tenu en cette ville, II, 603.
FLAVIUS BOÈCE, père du philosophe m.
Boèce. Éducation qu'il donne à son fils. Sa
mort, X, 645.
[FLAVIUS DEXTER. Faux nom sous le-
quel se trouve caché Jérôme Romand de la
Higuerra. Voyez Romand,]
[FLEUR DU DÉSERT ou Vie de saint Tié-
baut ou Thibaut : ouvrage de Régnier, moine
de Saint-Laurent de Liège, XIV, 796.]
[FLEURS : ouvrage d'Héhnand, moine de
Froidmont, XIV, 899.]
FLEURS DES PSAUMES : ouvrage de
saint Prudence, évêque de Troyes. A quelle ■
occasion il fut composé, XII, 500.
432
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
i
X siècle.
IX siècle.
851.
FLEURY ou SAINT-BENOIT-SUR-LOIRE,
[autrefois] abbaye dans le diocèse d'Orléans.
[Lettre du pape Grégoire IV aux é vêques et aux
fidèles de la Gaule sur la dignité et les pri-
vilèges du monastère de Pleury, XII, 406.
Privilèges accordés à ce monastère par le
pape Marin II, '829 ; par le pape Jean XII,
832.] Recueil des statuts et coutumes de ce
monastère, 911 . — Vies des abbés de Fleury
écrites par Aimon ; elles ne se trouvent plus,
XIII, 42. Gauslin, archevêque de Bourges,
rebâtit cette abbaye qui avait été brûlée,
89. Thierry, moine de cette abbaye, en avait
recueilli les statuts et les coutumes, 101. —
Conciles tenus en cette abbaye, XIV, 1081
et 1083.
FLODOARD, chanoine de Reims. Voyez
Frodoard.
FLOHAIRE, prêtre au diocèse de Paris,
auteur des Actes de saint Eugène. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, tom. VI, p. 194 et suiv.)
FLORBERT, moine de Saint-Matthias, à
Trêves, auteur de quelques écrits. (Voyez
dans V Histoire littéraire de la France, tome
IV, p. 238.)
FLORBERT, abbé de Gand. Ses liaisons
avec saint Livin, apôtre du Bi'abant, XI,
741.
FLORE et LUGILLE (Saintes), martyres
de Rome. Deux discours de saint Pierre Da-
mien pour leur fête, XIII, 308. Actes de
leur martyre, par le même, 310.
FLORE, dame de qualité, dont le fils fut
enterré auprès de saint Félix de Noie, V, 301
et VlII, 53.
FLORE (Sainte), martyre de Cordoue. Ses
actes écrits par saint Euloge, XII, 517 et
suiv. Instruction que lui adresse saint Eu-
loge, 520, 521.
FLORE, monastère fondé au diocèse de
Cosence par l'abbé Joachim, XIV, 829.
FLORENCE, ville de Toscane. Saint Am-
broise y dédie une église, qui fut nommée
la basilique Ambroisienne, V, 457. — Con-
cile tenu en cette ville contre Bérenger, XIII,
169. Constitution d'Alexandre II adressée
au clergé et au peuple de Florence, 287.
Schisme entre les Florentins et Pierre, leur
évêque : lettre que saint Pierre Damien leur
écrit à ce sujet, 317. — Conciles tenus en
cette ville en 1053, XIV, 1059; autre en
1106, p. 1079.
FLORENT (Saint), martyr. Sa Vie écrite
par Marbode, XIV, 229. [Le discours sur la
vie de saint Florent est reproduit au tome
GXXXI de la Patrologie latine.]
FLORENT DE SAUMUR (Saint-). Histoke
de l'abbaye de ce nom écrite par un ano-
nyme, qui vivait dans le onzième siècle,
XIII, 273.
FLORENT D'ANGERS (Saint-). Relation
des miracles opérés au tombeau de saint
Florent, par Rainaud d'Angers. Répons de
l'olSce de ce saint, par le même, XIII,
327.
FLORENT, évêque deMérida en Espagne,
au concile de Sardique, et peut-être au con.
cile de Milan, IV, 240.
FLORENT, grand-maître du palais sous
Constantin, IV, 242.
FLORENT, occupé à diverses œuvres de
charité dans Jérusalem, VII, 449. Saint Jé-
rôme lui écrit deux lettres, 581.
FLORENT, évêque de Cahors, VII, 573.
— Lettre que lui écrivit saint Paulin, évêque
de Noie, VIII, 78.
FLORENT, évêque, député d'Afrique vers
l'empereur, IX, 117.
FLORENT, préfet d'Orient, X, 67.
FLORENT, évêque, à qui Théodoret
adresse une de ses lettres, X, 74.
FLORENT, à qui écrit Firmin de Césarée
en Cappadoce, en lui envoyant des eulogies,
X, 151.
FLORENT, évêque de Sardes. Son diffé-
rend avec deux évêques de sa province oc-
casionne la tenue du concile de Constanti-
nople, où Eutychès est condamné, X, 669.
FLORENT, patrice, envoyé de l'empereur
au concile de Gonstantinople, touchant Eu-
tychès, X, 672. Conduite qu'il y tient, 672
et suiv.
FLORENT, évêque, à qui le pape saint
Simplice écrit, X, 402.
FLORENT, père de saint Grégoire de
Tours, XI, 365.
FLORENT, père de saint Nizier, évêque
de Lyon, XI, 381.
FLORENT, sous-diacre de l'Éghse de
Rome, élu évêque de Naples, refuse. Lettre
du pape saint Grégoire à ce sujet, XI, 491.
FLORENT, évêque de Raguse, XI, 491.
FLORENT, prêtre de l'église des Trois-
Châteaux, auteur de la Vie de sainte Rusti-
cule, abbesse d'un monastère d'Arles, XI,
695. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. III, p. 554 et suiv.)
FLORENT, abbé de Saint-Josse, auteur
d'une Vie de saint Josse. (Voyez ce qui en
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
433
est dit daire VHistoire littéraire de la France,
t. Vil, p. 234 et suiv.)
FLORENT BRAVON, bénédictin du mo-
nastère de Worchester. Ce qu'on sait de sa
personne; temps de sa mort. Sa Chronique
continuée par un moine du même monas-
tère. Son livre de la Race royale des An-
glais. Éditions qu'on a faites de ces deux
ouvrages, XIV, 245.
PLORENTIEN, évêque d'Utique, confes-
seur sous le roi Huneric, X, 448.
ècie. FLORENTIN, évêque de Tivoli. Lettre que
lui écrivit le pape saint Innocent, VII, S25.
FLORENTIN, à qui saint Augustin écrit
une lettre, IX, 110.
FLORENTIN (Saint), premier abbé du
monastère fondé à Arles par saint Aurélien.
Temps de sa mort, XI, 321. Translation de
son corps, à l'occasion de laquelle Januarin
fait son épitaphe, 321 et 322.
FLORENTIN, à qui saint Sidoine écrit,
X, 388.
FLORENTIN, archidiacre, proposé pour
l'évêché d'Ancône, XI, 334.
FLORENTIN (Maxime). Sa traduction de
quelques ouvrages d'QEcuménius, Xll, 914.
FLORENTIN (Marc-Émile). Sa traduction
italienne des Annales de Zonare, XIV, 137.
FLORENTINE, jeune fille à qui saint Au-
'""• gustin écrivit une lettre, IX, 192.
FLORENTINE, sœur de saint Léandre et
de saint Isidore de Séville. Lettre que lui
ècie. adresse son frère Léandre, XI, 423. C'est à
elle que saint Isidore adresse ses deux lettres
contre les Juifs, 715.
FLORENTIUS, évêque de Vienne, assiste
et peut-être préside au concile de Valence,
IV, 600, 601.
FLORENTIUS, prêtre du voisinage de
Sublac. Sa jalousie contre saint Benoît, XI,
138.
FLORENTIUS, diacre de Ravenne, pro-
posé pour l'évêché d'Ancône, XI, 33 i.
[FLORETUS ou LIBER FLORKTI : ou-
vrage de Jean de Garlande, où sont résu-
mées ses lectures, XIII, 230, 231.]
[FLOREZ, auteur de l'Espâna sagrada.
Son édition des écrits de Braulion, XI, 739;
- de Quiricius et de Taïon, 777. — Son édition
des écrits de saint Euloge et d'Alvar, XII,
522, 523.]
FLORIDUS ASPECTUS : recueil de poésies
du Vénérable Hildebert, XIV, 222.
FLORIEN, à qui est adressée une lettre
attribuée à saint Ambroise, V, 311.
TAB. I.
FLORIEN, abbé de Remane-Moutier. Ara-
tor lui dédie une partie de son poëme des
Actes des Apôtres, XI, 197. Lettres qu'il
écrit à saint Nicétius de Trêves, 206. (Voyez
son article dans {'Histoire littéraire de la
France, tome III, p. 319 et suiv.)
FLORIMONZE (Galéas), évêque de Sessa.
Sa traduction italienne de plusieurs sermons
de saint Basile de Césarée, IV, 348.
FLORIN, prêtre de l'Église de Rome, hé- ii siècle,
résiarque. Lettre de saint Irénée à Florin,
I, 316. Autre ouvrage de saint Irénée contre
les erreurs de Florin, 516 et 517.
FLORIN, évêque de Césène. Concile de
Rome où il assiste, II, 623.
FLORUS, diacre de Syracuse. Concile
d'Arles où il assiste, II, 628.
FLORUS, préfet du prétoire, à qui l'em-
pereurThéodose adresse une loi, VI, 367.
FLORUS, moine d'Adrumet, transcrit la
lettre de saint Augustin au prêtre Sixte, IX,
313 el 318.
FLORUS, prêtre, auteur de commentaires
surles Epitres de saint Paul, selon Trithême,
est le même que Florus, diacre de l'Église de
Lyon, XII, 478. Voyez l'article suivant.
FLORUS, diacre de l'ÉgHse de Lyon, mais
qualifié prêtre dans plusieurs manuscrits, ce
qui donne lieu à Trithême d'en faire deux
auteurs différents. Sa naissance et son édu- 779.
cation; il est chargé de la conduite des éco- 325.
les de Lyon ; il fait condamner au concile de 837.
Quierci-sur-Oise les explications liturgiques
d'Amalaire ; on le charge de réfuter les er-
reurs de Jean Scot Erigène sur la prédesti-
nation; il entre aussi dans les disputes sur gj^^
ce sujet, renouvelées à l'occasion de Golhes-
calc, XII, 478. Ou ignore le temps de sa
mort, 473 et 479. Son éloge, 479. Ses écrits :
traité de l'Élection des évêques, 479 et 480.
Traité de l'Explication de la messe, 480. Ana-
lyse de ce traité, 480 et suiv. On répond à
quelques objections prises de quelques ex-
pressions de ce traité, 482. Commentaires
sur les Épîtres de saint Paul, 482 et 483. -
Écrits contre Amalaire, 483, 484. Actes du
concile de Quierci-sur-Oise ; lettres au cou-
. cile de Thionville, 484. Collection de décrets ;
Martyrologe de Florus, 483. [D'après dom
Guéranger, les additions au Martyrologe de
Florus appartiennent à Florus, moine de
Saint-Trond, vers l'an 360, 485.] Discours
sur ce qu'on doit croire de la prescience, de
la prédestination, de la grâce et du libre ar-
bitre, 485, 486. Réfutation des écrits de Jean
28
434
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
Scot Erîgène sur ces matières, 480, 487.
Poésies de Florus, 489 et suiv. [Quelques
vers de Fiorus publiés par Muralori, 491,
492. Lettre de Florus à Hildrade, abbé, 492.
Ses écrits dans la Patrologie, 480, 483, 485,
486, 490, 491. Lettre adressée par Florus h
l'impératrice Judith, 492, n. 2.] Livres de
Florus qui sont perdus, 492. Jugement sur
ses ouvrages et sur son style, 492 et 493.
Raisons qui prouvent qu'il est auteur de
récrit contre les erreurs de Jean Scot sur la
prédestination, et qu'il le composa au nom
de l'église de Lyon, 614. Il est auteur de
l'opuscule sur la grâce et le libre arbitre, at-
tribué k Amolon, 431. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. V,
p. 213 et suiv. , et le Supplément, t. IX, p. xx.)
[FLOSS (H. Joseph). Son édition des œu-
vres de saint Macaire, V, 604, n. 2. — Son
édition des œuvres de Jean Scot, XII, 608,
609.]
FLOYER [et non ÉLOYER] (le chevalier).
Sa traduction française des livres Sibyllins,
I, 308.
\m. FLUENTIUS, évêque de Florence, Concile
dans lequel on combat la fausse opinion où il
était, que l'Antéchrist était né, XIV, 1079.
[FOGGINI. Son édition des Douze pierres,
par saint Épiphane, VI, 437. — Éditeur des
Opéra selecta Patrum; son édition des écrits
de saint Prosper, X, 318. — Des écrits de
Georges Pisidès, XI, 654.]
FOI. Doctrine de saint Clément, pape, sur
la foi, I, [354], 359 et 360, note 11 ; de saint
Ignace, 385, 386, 387, note 5 ; de saint Poly-
carpe, 397, note 9. Exposition de la vraie foi
ou de la sainte et consubstantielle Trinité,
ouvrage faussement attribué à saint Justin,
433, 434. Doctrine de Clément d'Alexan-
drie, 602 et 604. Foi catholique touchant
la Trinité et l'Incarnation , exposée par
saint Hippolyte, 625, 626. — Erreur des
Élcésaïtes sur la foi, II, 137. Doctrine d'Ori-
gène sur la foi, 225 et suiv. Exposition de la
foi de saint Grégoire Thaumaturge, 442 et
suiv. — Opuscules sur la foi contre Sabel-
lius, attribués à Eusèbe de Césarée, III, 230.
Doctrine d'Eusèbe de Césarée sur la foi, 237.
— Doctrine de saint Hilaire sur la foi, IV, 80; '
Exposition de la foi, ouvrage de saint Alha-
nase, 109, 110. Discours sur la foi, par saint
Athauase, 172. Doctrine de saint Athanase,
[160,] 210 et suiv. Témoignage que saint
Athanase rend à la foi du concile de Ni-
cée,396. [Doctrine del'orateurVictorinsurla
foi, 330. Formule de la foi, attribuée à Luci-
fer de Cagliari; elle est de Faustin, 260.] Li-
vre de la foi contre les hérétiques, ouvrage
d'Audentius, 348. Livre de la foi, par Gré-
goire d'Elvire, 348 et 349. Homélie quin-
zième de saint Basile, 387. Traité de la foi,
ouvrage perdu de saint Basile, 396. Lettre
de saint Basile sur la foi, 396 et suiv. Doc-
trine de saint Basile sur la foi, 542. — Pro-
fession de foi dressée dans un concile de
Rome sous le pape saint Damasc, V, 116.
Doctrine de saint Cyrille de Jérusalem, 38
et 78. Conduite de l'empereur Théodose à
l'égard de la foi, 154. Doctrine de saint Phi-
lastre, 177, 178. Exhortation à embrasser la
foi, poëme de saint Grégoire de Nazianze à
Némésius, 281. Foi des mystères de la reli-
gion, doctrine de saint Grégoire de Nazianze,
344, 345 et 353. Cinq livres de la foi, ou-
vrage de saint Ambroise, 471 et suiv. Frag-
ment d'un livre de saint Ambroise intitulé :
Exposition de la foi, 479. Doctrine de saint
Ambroise sur la foi, 425 et 576. [Livre de la
Trinité et de la foi, par le prêtre Faustin,
155, 156. Confession de foi, par le même,
156.] — Discours de saint Éphrem intitulé :
De la foi, VI, 16. [Ouvrages de saint Éphrem
sur la foi, 48, 49, 476 et suiv.] Doctrine de
saint Éphrem, 69 [et 415, 478 et suiv. Traité
de saint Zenon de Verceilsur la foi, 274. De
la foi, de l'espérance et de la charité, autre
traité du même, 274.] Dispute d'Évagre de
Pont sur la foi, 117. Traité de la foi, ouvrage
de saint Grégoire de Nysse, 186, 187. Doc-
trine de saint Grégoire de Nysse sur la foi,
137 et 254. — • Traité de la foi, faussement
attribué à saint Jean Chrysostôme, VII, 58.
Trois homélies de saint Jean Chrysostôme
sur la foi, 112 et suiv. Autre homélie où il
montre le danger qu'il y a d'abandonner les
choses de la foi aux raisonnements humains,
184. Autres témoignages de saint Jean Chry-
sostôme sur la foi, 217, 266, 273, 298, 373.
Discours sur la toi, faussement attribué à ce
Père, 287. Doctrine de saint Jean Chrysos-
tôme sur la soumission aux vérités de la foi,
373. Trois livres de la foi, faussement attri-
bués à Théophile d'Alexandrie, 447. Homé-
he sur la foi et sur la loi de nature, fausse-
ment attribuée à Jean de Jérusalem, 502. Foi
en Jésus-Christ; sa nécessité; doctrine de saint
Jérôme, 663. — Traité de la foi et de la vir-
ginité, ouvrage d'Atticus de Constantinople,
VIII, 15. Livre de la Foi, ouvrage de Bac-
chiarius, 45 et suiv. Foi de l'Église défendue
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
435
par le poète Prudence contre différentes hé-
résies, 103. Trois traités de saint Cyrille
d'Alexandrie sur la foi, adressés, le premier
à l'empereur Tliéodose le jeune, et les deux
autres aux princesses ses sœurs, 304etsuiv.
Autre traité de saint Cyrille sur la foi, celui-
ci est perdu, 325. Doctrine de saint Isidore
de Péluse sur la foi, 491 et 693. — Livre de
la Croyance des choses qu'on ne voit pas, ou-
vrage de saint Augustin, IX, 254, 255. Livre
de la Foi et du Symbole, ouvrage du même
Père, 255, 236. Livre de la Foi et des œuvres,
ouvrage du même Père^ 236 et suiv. Manuel
à Laurent, ou traité de la foi, de l'espérance
et de la charité, ouvrage de saint Augustin,
258 et suiv. Premier livre de cet ouvrage :
De lafoi,259 et suiv. Livre de la foi à Pierre,
ouvrage faussement attribué à saint Augus-
tin, 286. Livre de l'Utilité de la foi, ouvrage
de saint Augustin, 332 et suiv. Livre de la
Foi contre les Manichéens, ouvrage fausse-
ment attribué à saint Augustin, 370. Divers
témoignagesde saint Augustin sur la. foi, 45,
160, 161, 164, 183 et suiv., 249, 259, 333,
477, 528, 529,532. Doctrine de saint Augus-
tin sur la foi, 647 et suiv. Nécessité de la foi
en Jésus-Christ pour être sauvé, 647. La foi
est un don de Dieu, 697. La foi n'est pas
donnée à tous, 700, 701. La vocation à la foi
prévient le mérite de l'homme, 725. Pour-
quoi les Tyriens et les Sidoniens n'ont pas
cru en Jésus-Christ. 726, 727. [Exposition de
foi par saint Augustin, 836 et 841.] — Dis-
cours de Théodoret contre les payens, inti-
tulé : De la foi, X, 91 . Doctrine du pape saint
Léon sur la foi, 192, 249 et suiv., 262. Doc-
trine de saint Prosper, 287 et 301. Sentiment
de Fauste de Riez sur la foi, 432, 433. Traité
de la foi, composé par Syagrius, 469. Doc-
trine de saint Avit, évêque de Vienne, sur la
foi, 565. — Livre de saint Fulgence de Ruspe :
De la foi orthodoxe, adressé à Denase, XI,
32 et suiv. Livre de la Règle de la vraie foi,
adressé à, Pierre, 63 et suiv. Quarante ar-
ticles de foi qu'il propose, 65 et suiv. Article
ajouté à ceux de saint Fulgence, 68. Le livre
de la foi contre Pinta n'est point de saint
Fulgence, 69. Doctrine de saint Fulgence sur
la foi, 41. [Exposition de la foi parTliéodore
le lecteur, 105. Formule de la vraie foi par
Sévère de Sozopole, 109.] Sermon de saint
Césaire d'Arles sur la foi, 138. Doctrine de
Cassiodore sur la foi, 244. Témoignage de
Facundus, évêque d'Hermiane, sur la foi,
297. Lettre du même sur la foi catholique,
où il prend la défense des Trois-Chapitres,
298, 299. Éditions qu'on eu a failes, 299. Pro-
fession de foi du pape Pelage 1, 330. Doctrine
de saint Grégoire le Grand sur la toi en Jésus-
Christ, 559. — De la vraie foi, homéhe attri-
buée à saint Boniface deMayence; autre ho-
mélie de la foi et des œuvres de charité, XII,
53. Autres homélies de la foi et de la cha-
rité, 54. [Opuscule d'Alcuinpour la confirma-
tion de la foi catholique, 179, n. 1. Définition
de la foi catholique par Nicéphore, patriar-
che de Constanlinople, 293, n. 4.] Livre de
saint Jean Damascène : De la foi orthodoxe,
70 et suiv. Analyse de cet ouvrage, 71 et
suiv. Règle de la foi, poëme de saint Paulin
d'Aquilée, 162. Traité d'Agobard : De la vé-
rité de la foi, 373. [Exposition de la foi, at-
tribuée faussement à saint Fortunat de Poi-
tiers, 414.] Poëme de Raban Maur sur la foi
catholique, 459. Traité de la foi chrétienne,
attribué à Raban Maur, 469. Traité sur la
foi et le symbole des apôtres, attribué à Ma-
ginhard, moine de Fulde, 523. Traité de la
foi, de l'espérance et de la charité, ouvrage
de Pasohase Radbert ; analyse de ce traité,
540. Doctrine de Rathier de Vérone, 837. —
Doctrine du Vénérable Hildebert sur la foi en
Jésus-Christ, XIV, 215. Traités du Miroir et
de l'Énigme de la foi, deux opuscules de Guil-
laume de Saint-Thierri, 388. Sentences de la
foi, autre opuscule du même, 389. Doctrine
de saint Bernard sur la foi, 441. Instruction
sur la foi chrétienne dressée par Pierre de
Blois pour le sultan d'Icône, 778. — [De la
recommandation de la foi, ouvrage de Bau-
douin, archevêque de Cantorbéry, XIV, 802.
De la foi catholique, traité d'Alain de Lille
contre les hérétiques de son temps; division
de ce traité; jugement qu'on en porte; édi-
tions qu'on en a faites. De l'art ou des arti-
cles de la foi, ouvrage d'Alain de Lille;
division de cet ouvrage, 871. Prologue de
l'auteur, 871 et 872. Méthode géométrique
que l'auteur y suit; pourquoi il l'a dédié
au pape, 872.] Traité des articles de la
foi, ouvrage attribué à l'abbé Joachim, 830.
Traité de la Foi , ouvrage de Guillaume de
Paris, 1020. Exposition de la foi catholique
dressée au quatrième concile de Latran ,
1162.
FOI (Sainte), vierge et martyre. Comédie
de Rosvith, religieuse à Gandersheim, sur le
martyre des saintes vierges Foi, Espérance
et Charité, XII, 876.
FOILTAN et SALVIEN (Saints). Les actes
436
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
de leur martyre écrits par Philippe de Bonne-
Espérance, XIV, 687.
10C8. FOLCARD ou FOULCARD ou FULCARD,
abbé de Torney, d'abord moine de Saint-
Bertin, puis de Cantorbéry, XIII, 342, 343.
Le roi Guillaume le Conquérant le fait abbé
de Torney; un différend avec l'évêque de
Lincoln l'oblige à quitter cette abbaye ; on
ignore le lieu de sa retraite et le temps de sa
mort. Ses écrits : A^ie de saint Bertin; Vie de
saint Orner; Poëme en l'honneur de saint Vi-
gor; Vie de saint Oswald, 343. Vie de saint
Jean de Béverlai, 343 et 344. Vie de saint
Botulfe, 344. [Édition de ses écrits dans la
Patrologie, 260.] (Voir son article dans l'His-
toire litt. delà France, t. VIII, p. 132etsuiv.)
XI siècle. FOLCARD, moine de Cantorbéry, paraît
être le même que Folcard ou Fulcard, moine
de Saint-Bertin, qui serait passé en Angle-
terre, XIII, 353, 534. Il est auteur des Vies
de saint Jean de Béverlai, de saintOswald et
de quelques autres saints d'Angleterre, 554.
Voyez l'article précédent.
965. FOLCMAR, archevêque de Cologne, suc-
cède à saint Brunon, XII, 838.
FOLGIEN (Saint), évèque de Térouane.
Son épitaphe, composée par Folcuin, moine
de Saint-Bertin, XII, 860 ; et sa Vie, par Fol_
cuin, abbé de Lobes, 872, 873. — Soin qu'il
avait pris de cacher le corps de saint Bertin,
XIII, 260.
FOLCUIN, moine de Saint-Bertin, descen-
V. 975. dait de Charles-Martel ; temps de sa mort ,
XII, 860. Son recueil de chartes et diplômes
du monastère de Saint-Bertin. Ce recueil a
servi à former les Annales ou Chroniques de
Saint-Bertin, 861. [Ce recueil est publié par
M. Guérard, 861.] Folcuin fait l'épitaphe de
saint Folcuin, évêque de Térouane. On doit
distinguer le moine Folcuin d'un autre Fol-
cuin, abbé de Lobes, 861. (Voyez l'article
du moine Folcuin dans V Histoire littéraire de
la France, t. VI, p. 384 et suiv.)
955 FOLCUIN, abbé de Lobes, succède à Ale-
tran; est dépossédé par Rathérius, évêque
de Vérone ; est rétabli ; éloge de son gou-
j,g(,_ vernement;samort,XIl,872.Ses écrits:Vie
de saint Folcuin, évêque de Térouanne, 872
et 873. Les Gestes des abbés de Lobes. Au-
tres écrits qu'on lui attribue, 873.11 écrivit la
Vie de saint Folcuin, évêque de Térouane,
861. — [Folcuin, abbé de Lobes, est le même
que Folcuin, abbé de Saint-Bertin, XII, 872,
n. 1.] — Sa mort; Hériger lui succède, XIII,
33. (Voyez l'article de l'abbé Folcuin dans
l'Histoire littéraire de la France, t. VI, p. 451.)
FOLCUIN, moine de Sithiu ou Saint-Ber-
tin, travaille le premier à la Chronique de ce
monastère; il rassemble les diplômes donnés
en faveur du monastère, XIII, 186.
FOLIE. Miroir de la folie, poème de Jean
de Sarisbéry, XIV, 679.
FOLMAR, prévôt de Triéfenstein en Fran-
conie. Ses erreurs sur l'Eucharistie, XIV, 631 .
Réfutées par Géroch, prévôt de Reichers-
perg; il rétracte ses erreurs, 632. Écrits
d'Arnon, frère et successeur de Géroch,
contre Folmar, 633.
FONDATEURS des églises. On récitait
leurs noms dans le saint sacrifice, VII, 265.
FONDEMENT. Livre de saint Augustin
contre l'épître de Manichée intitulée : Du
fondement, IX, 338, 339. — Discours de saint
Césaire d'Arles sur le fondement de l'édifice
du salut, XI, 133.
FONDET (Pierre), nom sous lequel s'est
déguisé l'abbé Chanut pour donner sa tra-
duction française de la grande apologie de
saint Justin, I, -446.
FONDS. L'Église avait des fonds dès le
IV' siècle. II, 319. — Canon touchant l'alié-
nation des fonds des églises et des monas-
tères, XIII, 634.
[FONS PHILOSOPHIE, ouvrage attribué à
Geoffroi ou Godefroi de Saint- Victor, XIV, 813
et suiv. Cet écrit est de Godefroi de Breteuil.
FONT-AVELLANE. Opuscules de saint
Pierre Damien qui contiennent les règles
qu'il avait données aux ermites delà congré-
gation de Saint-Avellane, XIII, 313, 314.
FONTAINE DE VIE. Discours de saint
Colomban sur la fontaine de vie, qui est Jé-
sus-Christ, XI, 624. — Fontaine de vie,
poëme dont est auteur Audradre , cboré-
véque de Sens. Casimir Oudiu se trompe
en l'attribuant à Hincmar de Reims, XII,
441 et 687.
FONTAINE (Nicolas). [Sa traduction fran-
çaise des Oraisons de s;iint Grégoire de Na-
zianze, V, 362.] — Sa traduction française
des homélies de saint Jean Chrysostôme sur
les Épîtres de saint Paul, VII, 437.
FONTAINE (Simon), franciscain. Son édi-
tion des œuvres de saint Anselme, XIV, 44.
FONTAINES, monastère fondé par saint
Colomban, ;\ une lieue de Luxeuil, XI, 613.
FONTAINES, près d'Elne. Concile tenu en
ce lieu, XHI, 748.
[FONTANI. Son édition des quatre ser-
mons de saint Augustin, IX, 833, 834. Sou
397.
V. 592.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
437
édition de douze homélies de Rémi, moine
de Saint-Germain, XII, 737.]
[FOiNTANINI (François). Son édition de
quatre lettres de Michel Glycas, XIV, 642.]
FONTEIUS, évêque de Vaison, à qui saint
Sidoine Apollinaire adresse une de ses let-
tres, X, .390.
ms. FONTENAI, monastère établi dans le dio-
cèse d'Autun par une colonie de Glairvaux,
XIV, 419.
FONTENAI, près d'Auxerre. Assemblée
tenue en ce lieu après la bataille entre l'em-
pereur Lothaire et Charles, roi de France,
et Louis, roi de Bavière, XIII, 670.
Ssiècie. FONTENELLE, aujourd'hui Saint-Van-
drille, au diocèse de Rouen. Chronique de
ce monastère écrite par un anonyme au
temps de Louis le Débonnaire, XII, 334.
Analyse de cette Chronique, 334 et33S. Au-
tre Chronique de Fontenelle par un auteur
aussi anonyme et du même siècle, 33S.
FONTEVRAUD, monastère sur les confins
du Poitou. Éloge que fait Geofïroi de Ven-
dôme des religieuses de Pontevraud, XIV,
164. Charte de société entre l'abbaye de Fon-
tevraud et celle de la Trinité de Vendôme,
164 et 163. [Le pape Innocent II écrit en fa-
veur des biens de ces rehgieux, 264.]
FONTS BAPTISMAUX. Ordre et modestie
avec lesquels les catéchumènes y entraient,
V, 74. — Fonts miraculeux en Sicile, X, 202
et 270 ; — en Calabre,XI, 216; en Espagne,
390 et 773 ; à Embrun en Dauphiné, 390 ; à
Céane et à Cadebrate en Cilicie, 702.
FORCE. Morale de saint Ambroise sur la
force considérée comme vertu cardinale, V,
438, 439. — Témoignages de saint Augustin
sur la force, IX, 49, 37 et 541.
1077. FORCHEIM, ville d'Allemagne. Assemblée
qui y fut tenue; Henri IV, roi des Romains,
y est déposé par les séditieux, et Rodolphe,
duc de Souabe, est élu à sa place, XIII,
364.
FORMIES, ville d'Itahe. Le pape saint Gré-
goire unit l'église de Minturne à celle de
Formies, XI, 480.
866. FORMOSE, évêque de Porto, puis pape;
envoyé par le pape Nicolas I" pour instruire
les Bulgares; succès de sa mission, XII, 737.
Accusé de brigue pour parvenir à la papauté ;
876 sentence prononcée contre lui par le pape
Jean VIII dans un concile de Rome, 649 et
V. 884. 737. Rétabli par Marin I", 631 et 737. Il est
891. élu pape et succède à Etienne V, 737. Il cou-
ronne Arnoul empereur ; serment qui lui est
prêté par ce prince, 739. Sa mort. Sa lettre
à Stylien ; ses lettres à Foulques, archevêque
de Reims, 737 et 738. Lettres de Foulques
qui lui sont adressées, 707, 708. Lettre de
Formose à Bernon, abbé de Gigny. Celle
adressée aux évêques d'Angleterre est sup-
posée, 738. Etienne VI fait le procès à la
mémoire de Formose, fait déterrer son corps,
et le traite indignement; sa mémoire est ré-
tablie par les papes Théodore et Jean IX,
440. Trois traités d'Auxilius pour prouver la
validité des ordinations de Formose, 748 et
suiv. [Édition des écrits de Formose dans la
Patrologie. Lettres nouvelles, 739. Observa-
tion sur Formose, 737, n. 1. La relation sur
les mauvais traitements infligés au corps de
Formose est suspecte, 740, n. 2. Le pape
Etienne VI n'a pas réordonné les prêtres or-
donnés par Formose, 740, n. 3, 5 et 7.] —
Concile que Formose tient à Rome, XIII,
734. Concile assemblé par Etienne VI pour
lui faire son procès, 737. Concile assemblé
par Jean IX, où la procédure faite contre lui
est annulée ; on y ordonne de jeter au feu
les actes du concile tenu contre lui, 738.
FORMULE D'UNE VIE HONNÊTE, ou-
vrage de saint Martin de Dume, où il est
traité des quatre vertus cardinales, XI, 331.
FORMULES ou FORMULAIRES DE FOI.
Formule de saint Lucien, prêtre d'Antioche,
III, 73, 76 et 463. Formule des Eusébiens
au concile d'Antioche, 463. Formule des
catholiques au même concile d'Antioche,
466. Formule des Eusébiens diSéi'ente de la
précédente. Autre formule des Eusébiens
appelée macrostiche, 473. Formule des Eu-
sébiens dans leur faux concile de Sardique l"'™" ^''^■^
tenu àPhilypopole, 496. Première formule de 351.
Sirmium, 304 et 303. — Formules ou for-
mulaires des Ariens, rapportés par saint
Athanase, IV, 134, 133. Le pape Libère
souscrit à la première formule de Sirmium,
294. [Voyez 133, note 3.] Il souscrit à la
troisième formule du troisième concile de
Sirmium, 296. Formule de Ilimini : le pape
Libère et Vincent de Gapoue refusent de la si-
gner, 297. Seconde formule de Sirmium,
349 et 5S0. Troisième formule de Sirmium,
332, 533. Formule de Basile d'Ancyre, 333.
Les Ariens présentent au concile de Rimini
la troisième formule de Sirmium. Argument
des évêques catholiques contre cette for-
mule, 336. Formule de Nicée ou Nice sous-
crite par les députés du concile de Rimini,
560, 561 ; par le grand nombre des évêques
IV siècle.
341,
347
351.
358.
360.
357.
359.
359.
438
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
360. de ce concile, 562. Elle est envoyée dans
les provinces d'Orient et d'Occident pour y
359. être signée, S80 et suiv. Formule des Aca-
359. ciens au concile de Seleucie, 569. Les dé-
putés du concile de Seleucie, forcés par les
menaces de Gonstantius, signent la formule
360. de Rimini, S74. Formule des Acaciens au
360. concile de Conslanlinople, 575. Formule de
Rimini signée par Ulpliilas, évéque des
358. Goths, 346. Saint Phébade, évêque d'Agen,
réfute la seconde formule de Sirmium, 372.
Traité qui contient cette réfutation, 374 et
suiv.
FORMULES. [Formules de saint Méliton,
évêque de Sarde, I, 453 et suiv.] — Traité
des Formules, ouvrage de saint Eucher
adressé à Véran, l'un de ses fils, VIII, 447 et
suiv. [On doit distinguer trois traités des
Formules, 447. Les Gloses ou petites for-
mules sont le seul ouvrage authentique,
448, 449.] — Formules de brevets et de pro-
visions de charge, etc., dans les lettres de
Cassiodore, XI, 215 et 219. Formule de par-
don accordé à des personnes retenues dans
les prisons, rapportée par Cassiodore, 219.
VI siècle. Formule de réception des Manichéens à
VII siècle. l'Église catholique, 341. Formules de Mar-
culfe, 740. Autres formules d'un auteur in-
connu, 741. (Voyez Marculfe.) [Poi-mules
IX siècle, recueillies dans \a. Patrologie, 741.] — Dif-
férents recueils de formules donnés dans le
IX' siècle. Formules d'Alsace, XII, 711. For-
mules recueillies par Anomode ou Anomo-
■VI siècle, tel, 711 et 712. Formules d'Angers, 712.
[Formules inédites publiées par Eugène de
Rozière, 712. — Formules usitées pour
l'élection des évêques au xi" siècle, XIII,
H4, 115.] (Voyez l'Histoire littéraii^e de la
France, t. III, p. 321 et suiv., et le Supplé-
ment, t. XI, p. IX.) Formules à l'usage des
papes. Voyez Jou7'nal des évêques de Rome.
FORNICATEURS. Discours de saint Gré-
goire de Nysse contre les fornicateurs, VI,
161.
FORNICATION défendue dans le concile
de Jérusalem, II, 532, 533. Canons vingt-
cinquième et vingt-si.Kième apostoliques,
382. Canon septième du concile d'Elvire,
603. Ciuions treizième et quatorzième du
concile d'Elvire, 606. Canon soixante-dou-
zième du même concile, 613. Canons quin-
zième et seizième du concile d'Ancyre, 638.
Canon vingt-quatrième du concile d'Ancyre,
640. Canons premier, neuvième et dixième
dn concile de Néocésarée, 640, 641. — Ca-
non troisième de la première épître cano-
nique de saint Basile, IV, 460. Canon sep-
tième de la même épître, 461. Canons vingt
et unième, vingt-deuxièrae, vingt-cinquième
et vingt-sixième de la première épître cano-
nique de saint Basile, 466, 467. Canon tren-
te-huitième de la même. Canon quarantième
de la même. Canon quarante-sixième de la
même, 468. Canon cinquante-neuvième de
la troisième épître de saint Basile. Canons
soixante-deuxième et soixante-troisième de
la même, 473. — Canon quatrième de l'épî-
tre canonique de saint Grégoire de Nysse,
VI, 157. — Canons cinquième et huitième
attribués à Théophile d'Alexandrie, VII, 446.
— Décrets sur la fornication attribués au
pape saint Célestin, VII, 146. — Sentiment
de Théodore, archevêque de Cantorbéi-y,
sur celui dont la femme est tombée en for-
nication, XI, 798. — Peines imposées par
un concile d'Allemagne aux personnes con-
sacrées à Dieu qui seraient tombées dans la
fornication, XII, 607.
FORON, maison royale entre Maestricht
et Aix-la-Chapelle. Le roi de France Louis-
le-Bègue y fait un traité de paix avec le roi
de Germanie, XII, 634.
[FORTIA D'URBAN. Ses traductions de
plusieurs écrits de saint Cyprien dans les
chefs-d'œuvre des Pères. Ses articles sur
saint Cyprien, II, 384. — Son édition et sa
traduction de plusieurs écrits de saint Ber-
nard, XIV, 500.]
FORTIS, évêque donatiste, V, i43.
FORTUNAT, évêque de Tuccabor, en nisièc
Afrique. Saint Cyprien lui adresse son
exhortation au martyre, H, 284.
FORTUNAT, sous-diacre de Cirthage, II,
309.
FORTUNAT, évêque dans la Byzacène, ni sièc
consulte saint Cyprien. Lettre de saint
Cyprien à Fortunat, II, 316.
FORTUNAT, faux évêque de Carthage,
II, 318 et suiv. Son portrait, 320.
FORTUNAT (Anastase), préfet de la légion
de Trajan,II, 473.
FORTUNAT, évêque, qui assiste à un con- 3gQ_
cile de Carthage, IV, 648.
FORTUNAT, prêtre donatiste, jeté dans
un cloaque, IV, 658.
FORTUNAT, diacre, recommandé par
saint Grégoire de Nazianze, V, 234.
FORTUNAT, sous-diacre, par qui saint
Célesliu écrivit à l'évêque d'Arles, VIII,
130.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
439
0. FORïUNAT, cvêque de Girtlie. Lettre que
lui écrivit saint Augustin, IX, HO.
2. FORTUNAT, manichéen. Livre de saint
Augustin contre cet hérétique, IX, 336, 337.
FORTUNAT, évoque, à qui Primase, dis-
ciple de saint Augustin, dédie un écrit, X,
333.
FORTUNAT, évêque, l'un des légats en-
voyés en Orient avec saint Ennode par le
pape Hormisdas, X, 570.
I siècle. FORTUNAT (Saint), évêque en Lombar-
die, différent de Fortunat, évêque de Poitiers,
est auteur de la Vie de saint Marcel, évêque
de Paris. On le fait aussi auteur du premier
livre de la Vie de saint Hikiire de Poitiers,
XI, 306. [Éditions de ces écrits, 306.] (Voyez
son article dans YHistoire litiérairc de la
France, tome III, p. 298 et suiv.)
.. 565. FORTUNAT (Saint) (Venance), évêque de
Poitiers. Ses études, XI, 402, 403. Il vient
en France au tombeau de saint Martin; à
quelle occasion. Il est bien reçu à la cour de
Sigebert. Son séjour à Tours. Il passe à
Poitiers, où il s'attache au service de sainte
Radegonde. Il est fait évêque de Poitiers.
Éloge que fait de lui Paul, diacre d'Aquilée.
L'Église de Poitiers l'honore comme saint,
403. Ce que contiennent les onze livres du
recueil de ses poésies, 403 et suiv. Premier,
403,404; second, 404, 403; troisième, 405,
406; quatrième, cinquième, 406; sixième,
406 et 407 ; septième, 407 ; huitième, 407
et 408; neuvième, 408; dixième, 408 et 409;
onzième, 409, 410. Ses quatre livres de la
Vie de saint Martin, 410, 411. Poème sur
la destruction de la ville et du royaume de
Thuringe. Poème à la louange de l'empereur
Justin le Jeune. Poëme à Artachis. Épi-
gramme à la louange de Ghildebert II. Vies
des saints composées par Fortunat, 411.
[Pièce de vers en l'honneur de saint Martial;
authenticité de cette pièce, 404, 405. Justi-
fication de saint Fortunat, 413, 414.] Ou-
vrages de Fortunat qui sont perdus, 412,
413. Jugement sur ses écrits, 413, 414. Édi-
tions qu'on en a faites, 414. [Édition com-
plète des écrits de cet évêque. Écrits nou-
veaux, 414.] — Fortunat écrit la Vie de
saint Martin, VIII, 121. — Il fait l'épitaphe
des deux Rurice, père et petit-fils, évêques
de Limoges, X, 607. — Auteur du second
livre de la Vie de saint Hilaire, évêque de
Poitiers, XI, 306. Sainte Radegonde l'ap-
pelle à Poitiers, et le fait son aumônier et
son directeur, 313. A quelle occasion il a
composé l'hymne Vexilla régis, 316. Il com-
pose les Vies de saint Maurille et de saint
Aubin, 384. Circonstances de sa vie qu'il
rappelle dans quelques-uns de ses poèmes,
407 et 409. — Son épitaphe avec un abrégé
de sa vie, par Paul, diacre, XII, 146. —
Hymne en son honneur, par Alphane, ar-
chevêque de Salerne, XIII, 493. (Voir son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. III, p. 464 et suiv.)
FORTUNAT, évêque de Todi, dont le pape
saint Grégoire rapporte les miracles dans
ses Dialogues, XI, 474.
FORTUNAT, évêque de Naples, XI, 492. 592.
Lettres que lui écrit le pape saint Grégoire,
502, 504, 506, 517.
FORTUNAT, évêque de Fanes. Lettre que
lui écrit saint Grégoire, XI, 507.
FORTUNAT, abbé du monastère des eos.
Saints-Laurent et Césenne. Ses plaintes
contre son évêque, XI, 533.
FORTUNAT, évêque de Grade, abandonne viisiècie.
son église et passe chez les Slaves. Lettre
du pape Honorius à ce sujet, XI, 647.
FORTUNAT, abbé de Moyen-Moutier. Son
différend avec ses moines touchant les re-
venus de son abbaye, XII, 234.
FORTUNAT, élu patriarche de Grade, «03.
XIII, 640. [Le pape saint Léon III lui écrit,
401, 402. 11 se retire en France, 72.]
FORTUNAT (Robert), de Saint-Malo. Son
édition des œuvres de saint Hilaire de Poi-
tiers, IV, 88.
[FORTUNATE (Sainte), vierge et martyre.
Prologue de sa passion par Benoit, prêtre,
XIII, 602.]
FORTUNATIEN, évêque d'Assurés, dé-
posé de l'épiscopat, II, 317.
FORTUNATIEN, avocat païen, frère de
sainte Victoire, III, 21. Elle le désavoue, 23.
FORTUNATIEN, évêque d'Aquilée. Son ly^ijeie.
savoir et son zèle pour la foi le font estimer
du pape Libère. 11 signe la condamnation
de saint Athanase dans le concile de Milan ;
sollicite la chute de Libère. Ses écrits, IV,
317. Lettre du pape Libère à cet évêque,
288, 289.
FORTUNATIEN, évêque de Sique. Lettre 4,3.
que lui écrivit saint Augustin, IX, 130, 131.
FORTUNATIEN, évêque de Néapoiis en
Afrique. Conciles auxquels il assista, VIII,
560. Il est député à l'empereur, 543.
FORTUNE. Temple de la Fortune démoli
à Césarée en Cappadoce, III, 405. — Fortune
et Hasard, divinités imaginaires, VIII, 64.
440
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
B51.
XII siècle.
XII siècle.
1094-1107.
882.
— Pensée de saint Augustin sur les biens
de la fortune, IX, 38. — Épigramme de Phi-
lippe de Bonne-Espérance sur la roue de la
forliune, XIV, 687. Traité des prestiges de
la fortune : ouvrage de Pierre de Blois, 782.
[De la diversité de la Fortune et de la conso-
lation que donne la philosophie, ouvrage eu
vers de Henri Septimel, 804, 805. J
FORTUNIUS , qui épouse une seconde
femme pendant la captivité de la première,
Vn, 521.
FORTUNIUS, évèque de Carthage, mono-
thélite, Xn, 925.
FORTUNIUS (Augustin). Sa Vie de saint
Pierre Damien, Xlll, 324.
FOSSOYEURS, dont l'emploi était d'en-
terrer les corps des chrétiens, V, 139, 140.
FOUCHER, moine et doyen de Saint-Mé-
dard de Soissons, est fait évèque de Noyon
et de Tournay, en concurrence de Frodoard
auquel il est préféré, XII, 841.
FOUCHER, moine de Chartres. Son His-
toire du pèlerinage des Français à Jérusa-
lem. Éditions qu'on en a faites, XIII, 534.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. XI, p. 47 et suiv.)
FOUCHER, second archevêque de Tyr,
pour les Latins. Persécution qu'il a à essuyer
de la part du patriarche de Jérusalem , XIV,
259.
[FOUDRE. De la chute de la foudre sur
le monastère de Saint-Laurent de Liège,
par Régnier, moine de ce monastère, XIV,
796.]
FOULCARD, abbé de Tournay. Voyez
Folcurd.
FOULCARD, abbé de Lobes, répare les
dommages que l'abbaye avait reçus sous
son prédécesseur, Xlll, 598. Sa requête à
l'empereur Henri IV contre les avoués des
monastères, 598 el599. Diplôme de ce prince
donné en conséquence, 599. (Voyez ce qui
en est dit dans VHistuire littéraire de la
France, t. IV, p. 348.)
FOULCOIE, sous-diacre de l'Église de
Maux. Voyez Fulcoie.
FOULQUES, évèque de Tongres. Lettre
que lui écrit saint Rémi de Reims au sujet
de ses entreprises sur la ville de Mouzon,
XI, 81.
FOULQUES, archevêque deReims, succes-
seur d'Hincmar. Éloge de son gouvernement,
XH,706. Il reçoit du pape Marin le pallium,
706 et 651 . Confiance que lui témoigne le pape
Etienne V. Différentes lettres qu'il reçoit de
lui, 652, 653. Il est tué par les vassaux du
comte Baudouin, dontil s'était attiré la haine
en échangeant avec le comte Almar l'abbaye
de Saint-Vast d'Arras contre celle de Saint-
Médard. Ses lettres au pape Marin, 706; au
pape Etienne V, 706, 707 ; au pape Formose,
707, 708. Il tient un concile à Reims où il
fait reconnaître roi Charles le Simple. Ses
lettres au pape Etienne VI, 708 ; au roi
Charles le Gros; à Arnoul, roi de Germanie,
et à d'autres princes, 708 et 709; à l'empe-
reur Lambert ; à Alfred, roi d'Angleterre ; à
l'impératrice Richilde , 709 ; à divers évê-
ques, 709 et 710; à plusieurs abbés et autres
personnes de distinction, 710, 711 ; au roi
Alfred, 711. Lettres que lui écrit le pape
Formose, 737, 738. Autre du pape Etienne VI,
740. Sentence d'excommunication prononcée
contre ses meurtriers par Hervé, son suc-
cesseur, 787. — Concile de Reims, où il fit
proclamer roi le jeune prince Charles, fils
de Louis le Bègue, XIII, 734. Concile de
Reims assemblé contre ceux qui avaient eu
part à sa mort, 737. Le concile de Troslé
renouvelle la sentence d'excommunication
contre ses meurtriers, 743. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. V, p. 688 et suiv.)
FOULQUES II LE BON, comte d'Anjou,
assiste à la réception de saint Odon dans le
clergé de Tours, XII, 804. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VI, p. 462 et suiv.)
FOULQUES m NERRA, comte d'Anjou.
Lettre que lui écrit Fulbert de Chartres, sur
ce qu'il protégeait les rebelleS;, Xlll, 85. Il
bâtit le monastère de Beaulieu, 189.
FOULQUES IV RÉCHIN, comte d'Anjou,
excommunié ; pour quel sujet. Lettre du
légat Hugues qui le concerne, Xlll, 594.
(Voyez son article dans l'Histoire litéraire de
la France, t. IX, p. 391 et suiv.)
FOULQUES LE GRAND, abbé de Corbie.
Son différend avec Gui, évèque d'Amiens,
Xlll, 288. Année de sa mort. Vers à son
éloge, 525. (Voyez ce qui est dit de lui dans
l'Histoire littéraire de la France, t. VIII, p. 426
et suiv.)
FOULQUES ou FOULCHER, historien.
Son Histoire de la première croisade en
vers, Xlll, 540. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, tome XII,
p. 85.)
FOULQUES, évèque de Beauvais. Lettre
que lui écrit Yves de Chartres, XIV, 102,
90D.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
441
FOULQUES, doyen de l'Eglise de Paris,
en est élu évêque. Sa mort, XIV, 112.
FOULQUES, curé de Neuilly, prédicateur
de la croisade, XIV, 1147.
FOULQUES , chanoine régulier. Lettre
que lui écrit saint Bernard sur ce qu'il avait
quitté son monastère, XIV, 425.
FOULQUES, moine de Moustier-la-Celle,
puis évêque d'Estonie. Dififérentes lettres du
pape Alexandre III sur sa mission en Es-
tonie, XIV, 924.
FOULQUES, prieur de Deuil, auteur d'une
lettre à Abaillard. (Voyez son article dans
V Histoire littéraire de la France, t. XII, p.
249 et suiv.)
FOURNIER (Guillaume). Son édition des
œuvres de Cassiodore, XI, 254.
FRACTION. Traité de l'abbé Abandus sur
la fraction du corps de Jésus-Cbrist, XIV,
345.
FRAGMENTS. Livre des Fragments ; ou-
vrage de saint Hilaire de Poitiers, IV, 62
et suiv.
FRANCE. Quelques remarques de saint
Grégoire de Tours sur les rois de France,
XI, 395. — Lettre du pape Zacharie aux
évèques de France, Xll, 32. Témoignage de
Florus, prêtre de Lyon, sur l'état florissant
de la France sous le règne de Cliarlemagne,
490. — Lettre du pape saint Léon IX aux
fidèles de France, XllI, 201. —Histoire des
Gestes des rois de France de la seconde
race, ouvrage de Hugues de Sainte-Marie,
moine de Fleury-sur-Loire, XIV, 243.
FRANCFORT-SUR-LE-MEIN, ville d'Alle-
magne. Concile assemblé en cette ville par
Charlemagne , XII , 136. — Autre concile
tenu en cette ville, XIII, 634 et suiv. —
Autres conciles, XIV, 1034, 1035, 1041.
FRANCHEVILLE (Le sieur de). Traduction
en prose et en vers des livres de Boèce de
la Consolation de la philosophie, X, 665.
FRANCIADE ORIENTALE. Titre que Ga-
briel du Préau a donné à sa traduction
française de l'Histoire des croisades, de
Guillaume de Tyr, XIII, 536.
FRANK (Bernard), bibliothécaire de l'ab-
baye de Saint-Gai. Ses remarques sur les
gloses de Kéron, XII, 110.
FRANÇAIS. On a prétendu qu'ils tiraient
leur origine des Troyens, XI, 746. — Lettre
du pape Zacharie aux Français et aux Gau-
lois, XII, 30. Le pape Zacharie consulté par
les seigneurs français, leur conseifle de re-
connaître Pépin pour roi, 34 [et 34, note 7.]
— Histoire ecclésiastique des Français, par
saint Grégoire de Tours, XI, 367 et suiv.
[Histoire des Français, par Richer, moine
de Reims ; on ne la connaissait plus du temps
de domCeillier; elle a été publiée depuis
par Pertz, 890. Appréciation de cette His-
toire, 891, 892.] — Histoire des Français,
par Aimon, moine de Pleury, XIII, 40, 41.
Différences dans les manuscrits qu'on a
de cette Histoire. Diverses éditions qu'on
en a faites. Différences dans les imprimés,
41.
[FRANCHESINI (Edouard), carme. Son
édition des écrits de Lactance, II, 520,
521.]
[FRANCK (Barthélémy), ministre de l'É-
glise réformée de Neustadt, édite le livre de
la Mortalité par saint Cyprien, II, 384.]
FRANÇOIS D'ASSISE (Saint). Sermon de
Guillaume d'Auvergne pour le jour de sa
fêle, XIV, 1027.
FRANCON, évêque d'Aix, XI, 394.
FRANCON, évoque de Tongres ou de
Liège, demande pardon au pape Nicolas 1°'^
d'avoir assislé et consenti au concile tenu à
Metz contre ïhietberge ; lettre que lui écrit
le pape à ce sujet, XII, 577. Sa mort ;
Etienne lui succède, 786.
FRANCON, diacre de l'ÉgHse romaine,
élu pape, prend le nom de Boniface VII,
Xn, 835.
FRANCON, évêque de Worms. Sa mort,
XIH, 91.
FRANCON, écolâtre de la cathédrale de
Liège. Ce qu'on sait des circonstances de sa
vie. Ses écrits, XllI, 341. [Trois fragments
de l'écrit sur la Quadrature du cercle pu-
bliés par Mai, 341, n. 15.] (Voyez son arti-
cle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VllI, p. 121.)
FRANCON, abbé d'Afflighem, succède à
Fulgence. Son voyage en Angleterre. Il fait
fleurir la piété etles lettres dans son abbaye,
XIV, 190. Sa mort, 190 et 345. Ses écrits :
Livre de la Grâce et de la Miséricorde, 190.
Analyse de cet ouvrage, 190 et 191. Poème
sur la gloire future. Lettres de Prancon.
Autres écrits qu'on lui attribue, 191. [Édi-
tion des écrits de Francon dans la Patrologie,
192.] (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. XI, p. 588 et suiv.)
FRANCO WITZ (Matthias). Voyez Flaccius
lllyricus.
FRANCUS (François), nom sous lequel
s'est caché Saumaise pour répondre àDenys
864.
903.
073.
V. 1000.
1066.
1083.
H22oull23.
1130.
1135.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
U2
Pétan , qui , sous le nom d'Antoine Rer
Koétius, avait attaqué ses Notes sur le livre
de Tertullien du Manteau, II, 86.
FRANGIPANE (Cencio), cbef d'une fiic-
tion opposée au pape Gélase II, XIV, 1089.
[FRANGIPANE. Son édition de dix ser-
mons de saint Augustin, IX, 834, 83o.]
[FRASSEN (le Père). On lui attribue la
traduction française des lettres de saint
Paulin de Noie, VIII, 99.]
489. FRAVITA, élu patriarche de Constanli-
nople après la mort d'Acace, notifie son
élection au pape saint Félix III, X, 417.
Lettres que le pape lui écrit, 418 et 419. Il
entre dansla communion de Pierre Mongus.
Sa mort, 419 et 485.
FRÉGULFE, évèque de Lisieux. Tritbême
s'est trompé en le faisant moine de Fulde.
Différentes commissions dont le charge
82U-849 l'empereur Louis le Débonnaire. Il assiste à
plusieurs conciles. Idée de sa Chronique,
XII, 417. Ce qu'elle contient de remarqua-
ble, 418, 419. Éditions qu'on eu a faites. Sa
lettre à Raban Maur, 419. [Deux lettres à
Hélisacar, 419.] (Voyez son article dans
VHistoire littéraire de la France, t. V, p. 77
et suiv.)
658. FRÉDÉGAIRE LE SCHOLASTIQUE, his-
torien. Ce qu'on peut conjecturer des cir-
constances de sa vie et du temps où il a
vécu. Analyse des cinq livres de sa Chro-
nique, XI, 744. Jugement sur cet ouvrage,
745, 746. Continuateurs de Frédégaire au
nombre de quatre, tous anonymes. Diffé-
rentes éditions et traduction de ces Chro-
niques, 746. Sa Chronique imprimée à la
suite de l'Histoire des Français de saint
Grégoire de Tours, 399 ; traduite en fran-
çais par l'abbé de Marolle [et par M. Gua-
det, 399.] (Voir l'article de Frédégaire dans
l'Histoire littéraire de laFrance, t. III, p. 186
et suiv.)
FRÉDÉGIRE , abbé de Saint-Martin de
Tours. Voyez Fridugire.
FRÉDÉGONDE, reine de France. On la
supposait accusée d'adultère, XI, 366.
Poëme de saint Fortunat à sa louange, 408,
FRÉDÉRIC, fière de Théodoric, roi des
Goths, député au pape saint Hilaire contre
Hermèse, évèque de Narbonne, X, 337 et
71S.
[FRÉDÉRIC, archevêque de Mayence. Le
pape Léon VII lui écrit, XII, 829.]
FRÉDÉRIC, duc. Son épitaphe par Ger-
bert, XII, 904.
FRÉDÉRIC, comte de Verdun, embrasse
la vie monastique à Saint -Vanne, XIII,
118.
FRÉDÉRIC, diacre et chancelier de l'É-
glise romaine, depuis pape sous le nom
d'Etienne IX, XIII, 206 et 213. Voyez
Etienne IX.
FRÉDÉRIC RARREROUSSE, empereur,
succède au roi Conrad, son oncle, XIII, 543.
Son histoire commencée par Otton de Fri-
singue et continuée par Radevic, 543 et 544.
Lettre sur son expédition à la Terre-Sainte,
5i4. Histoire de cette expédition écrite par
Tagenon, 544 et 545. Sa mort, 344. Sept
lettres de ce prince qui regardent les affaires
de l'Église, 545. — [Frédéric écrit au pape
Eugène III, XIV, 279. Traité conclu entre
le pape et l'empereur, 280.] Il succède à
Conrad. Députation qu'il envoie au pape
Eugène III, 534. Traité que le p;ipe et l'em-
pereur font ensemble, 534 et 533. Députa-
tion que l'empereur reçoit du pape Adrien
IV. Il passe en Italie, se fait couronner roi
des Lombards, puis va à Rome, où il est
couronné empereur, 535. Il est couronné
empereur par le pape Adrien IV. Ses diffé-
rends avec ce pape, 911. Il refuse de recon-
naître le pape Alexandre III et fait confir-
mer par le concihabule de Pavie l'élection
de l'antipape Octavien, 917, 918. Il se fait
couronner par l'antipape Gui de Crème, qui
avait succédé à Octavien. Il se réconcilie
avec le pape Alexandre III, 919. Il se trouve
au concile de Vérone, tenu par le pape Lu-
cius III, 929. Ses démêlés avec le pape Ur-
bain III, 933. Il fait confirmer l'élection
de l'antipape Octavien sous le nom de Vic-
tor III. Il est excommunié par le pape
Alexandre III. Lettre qu'il éci'it à quel-
ques évèques d'Allemagne, H27. Concile
de Lodi où il fait excommunier le pape
Alexandre III et ses partisans, 1129. Concile
de Wirtzbourg où il fait reconnaître l'anti-
pape Gui de Crème sous le nom de Pascal
JII, 1131. Concile de Latran où il est excom-
munié de nouveau par le pape Alexandre III,
1133. Concile de Venise pour confirmer la
paix qu'Alexandre III avait faite avec lui,
1138. [Lettre de Gérard, évèque de Cahors,
à ce prince, 822. Lettre d'Adrien IV, pape,
concernant son différend avec cet empereur,
917, 918. Frédéric ne fut excommunié que
par Alexandre III, 918, note 2. Ce que fait
Innocent III par rapport h Frédéric, 927.
Ce que fait Urbain III, 934 ; Grégoire VIII,
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
443
936. Frédéric persécute l'Église de Salz-
bourg, 730.]
0. FRÉDÉRIC II, élu roi de Germanie du vi-
is. vaut de l'empereur Henri VI, son père. Son
élection confirmée quelque temps après,
mais devenue inutile par la concurrence de
Philippe de Souabe et d'Othouy duc de Saxe,
élus par d'autres partis. Lettres du pape
Innocent III qui se déclare pour Othon, XIV,
980. Lettres de Frédéric contre les pontifes
romains, 272.
FRÉDÉRIC , évéque de Liège , auteur
d'une lettre à l'Église de Malines. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. X, p. 319 et suiv.)
0. FRÉDÉRIC, duc de Souabe, fils de l'em-
pereur Frédéric Barberousse, prend le com-
mandement de l'armée après la mort de
11. son père, XIII, 344. Il meurt devant Acre,
544, S45.
FRÉDÉRIC, duc d'Autriche. Son épitaphe
par un moine nommé Conrad, XIV, 247.
FRÉDÉRIC, évoque d'Utrecht. Voyez
Fridurich.
Scie. FRÉDÉRIC, archevêque de Cologne. Sa
lettre à l'évêque de Liège en faveur des
moines méprisés par les chanoines régu-
liers, XIV, 287, 288. [Ses lettres et ses pri-
vilèges dans la Palrologie, 288, n. 1.]
FRÉDÉRIC, fils de l'impératrice Cons-
tance. A quelles conditions le pape Inno-
cent III le reconnaît roi de Sicile, XIV,
965.
FRÉDUGARD. Voyez Frudégard.
FRÉHER (Marquard). Son édition de
l'ouvrage d'Adrien intitulé : Introduction à
la sainte Écriture, XI, 95. — Snn édition de
l'Histoire des Français par Aimoin, XIII,
41.
PREIG (Thomas). Ses'additions aux livres
d'Eusèbe de la Préparation évangélique,
m, 313.
FRÉJUS , ville de Provence. Concile
d'Arles, où l'on règle les droits de l'évêque
de Fréjus sur l'abbaye de Lérins, X, 710.
FRÉMIN CAPITIS. Sa traduction française
des homélies de Raoul Ardent sur les Épî-
tres et les Évangiles des principales fêtes de
l'année, XIII, 379.
[FRÉNÉSIE. Livre de Rathier intitulé
Frénésie, XH, 859, n. 7.]
FRÉNÉTIQUES. Voyez Phrénétiques.
1. FRÈRES (les Grands). Saint Épiphane
2. reçoit leur visite, VI, 380. — Différend de
saint Jean Clirysostôme avec Théophile
d'Alexandrie au sujet des Grands Frères,
IX, 5, 6. Ils présentent un mémoire à l'em- «i.
pereur contre Théophile, 5. Théophile d'A- V siècle.
lexandrie les persécute, 440, 441. Ce qui est
dit des Grands Frères dans l'Histoire lau-
siaque de Pallade, 488.
FRÈRES DU DÉSERT. Soixante-seize ser-
mons adressés aux frères du désert fausse-
ment attribués A saint Augustin, IX, 288.
FRÈRES LAIS ou CONVERS. La règle de
saint Benoît n'en fait point mention. Ils n'ont
été admis dans les communautés que vers
le xi° siècle , XI, 159. — Guillaume , abbé x[ siècle.
d'Hirsauge, en est regardé comme l'institu-
teur, Xin, 484, 485.
FRESNE (Charies du), sieur du Cange.
Son édition de la Chronique pascale, XI,
747. — Son édition des Annales de Zonare,
XIV, 156. Son édition de l'Histoire des em-
pereurs Jean et Manuel Comnène, 642.
FRÉTÉLA, homme de guerre. Lettre de 405.
saint Jérôme à Sunnia et à Frétéla, VII,
561, 562.
[FRÉTELLUS, archidiacre. Son livre des xu siècle.
Lieux-Saints de la terre de Jérusalem, XIII,
545.]
[FREY (Louis). Son édition des Pères
apostoliques, I, 361.]
FRIARD (Saint), reclus. Sa Vie par saint
Grégoire de Tours, XI, 381.
FRICORE ou FRÉCHORE (Saint), moine
de Saint-Riquier. Son épitaphe par Angil-
bert, abbé de Saint-Riquier, XII, 220.
FRIDÉGER ou FRIDÉGÛD, moine anglais. x siècle.
Sa Vie de saint Wilfrid en vers. Autres écrits
qu'on lui attribue, XII, 839. On lui attribue
faussement l'Histoire des archevêques
d'York. Temps auquel il vivait, 202. - ■ Sa
Vie de saint Wilfrid, archevêque d'York,
XIH, 60.
FRIDÉRIG ou FRÉDÉRIC, [établi évêque x siècle,
de Saltzbourg à la place d'Hérold, XII, 833.]
Il est constitué par le pape Benoît VI vicaire
apostolique dans le Norique et la Pannonie,
835. ■
FRIDOLIN (Saint), abbé de Saint-Hilaire
de Poitiers. Ce qu'on sait des circonstances
de sa vie. Divers écrits qu'on lui attribue,
XI, 321. —Sa Vie, attribuée à Notker le
Bègue, est de Balther, moine de Seckingen,
XII, 748. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. III, p. 296 et
suiv.)
FRIDUGÈRE, abbé de Saint-Martin de
Tours. Ce qu'on sait des circonstances de sa
5C2.
iu
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
vie. Sa facilité introduit le relâchement dans
cette abbaye et quelques autres dont il fut
aussi abbé. Sa disputé avec Agobard, ar-
chevêque de Lyon, XII, 333. Sa lettre sur
le néant et les ténèbres, qu'il prétend être
g34. quelque chose de réel, 333 et 334. Sa mort,
334. Réponse d'Agobard aux erreurs que
Fridugère lui imputait, 370, 371. Fridugère
avait succédé à Alcuin, 166. Piéponse que
fait Alcuin à ses questions sur la Trinité,
176. Lettre que lui avait écrite Alcuin, 199.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. IV, p. S12 et suiv.)
FEIDURICH ou FRÉDÉRIC, évêque d'U-
trecht, martyrisé pour la foi, XII, 460, 461.
833 Raban Maur lui adresse son commentaire
sur Josué. Il avait composé un ouvrage sur
la Trinité ; cet écrit est perdu, 461. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. IV, p. 270, et t. V, p. 177.)
FRIGIDIEN, évêque de Lucques. Miracle
que rapporte de lui le pape saint Grégoire,
XI, 476.
FRIOC, tué par le roi Morcant son neveu,
XI, 884.
1053_ FRIOUL, ville d'Italie. Concile qui y fut
tenu par saint Pauhn, patriarche d'Aquilée,
XII, 160, et XIII, 633, 634. Un concile de
Rome décide que Grade sera reconnue mé-
tropole des deux provinces de Vénétie et
d'Istrie, et que la juridiction de l'évêque de
Prioul sera renfermée dans la Lombardie,
XIII, 203, 204 et 205. Concile de Mantoue,
où l'on adjuge au patriarche de Prioul quel-
ques évêchés qui lui étaient disputés par
celui de Grade, 668.
FRISCHE (Dom Jacques de), bénédictin
de la congrégation de Saint-Maur, entre-
prend une édition des œuvres de saint Gré-
goire de Nazianze, V, 361. Il donne, avec
dom Le Nourry, celle de saint Ambroise,
§84. — 11 travaille avec dom Vaillant à la
Vie de saint Augustin, IX, 816.
FRISE, province d'Europe. Saint Boniface
y prêche la foi conjointement avec saint
Willebrod, XII, 46, 47.
V. „o. FRISINGUE, ville de Bavière. Saint Boni-
tx siècle, face y étabht un évêûhé. Suite des évêques
de Frisingiie, XII, 47.
395. FRITIGILE, reine des Marcomans, envoie
des ambassadeurs à saint Ambroise,-V, 392.
Le livre que ce saint lui écrivit est perdu,
S14.
[FRITZCHE (0. P.) Son édition des écrits
de Lactance, II, 521.]
FRITSCHIUS (Thomas). Son édition des v.
œuvres de Sulpice Sévère, VIII, 122.
FRITZLAR, ville d'Allemagne. Saint Bo-
niface y bâtit une église et un monastère,
XII, 47. Lettre qu'il écrit aux moines, 49,
50. — Concile tenu eu cette ville, XIV,
1090.
[FROBEN. Édition des œuvres d'Alcuin ,
XII, 167, n. 3, et 213, 214. Il y a joint les
œuvres d'Amalaire, 223.]
FRODIN, abbé de Tulle. Sa mort ; Gauz-
bert lui succède, XIII, 466.
FRODOARD ou PLODOARD, chanoine de
Reims. Sa naissance. Ses études. Il est fait
curé de Cormici. Son voyage à Rome, où il
est bien reçu du pape Léon VII. Persécution
qu'il a à soutl'iir pour son attachement à
l'archevêque Artaud. Il est élu évêque de
Noyon et de Tournai ; mais Foucher lui est
préféré. Il embrasse la vie rûonastique. Sa
mort, XII, 841. Son éloge, 842. Ses écrits :
Vies de plusieurs saints et de plusieurs pa-
pes, en vers, 842 et 843. Histoire de l'Église
de Reims ; éditions qu'on en a faites, 843.
[Traduction française de cette Histoire, 843,
n. 1.] Chronique de Frodoard, 843 et 844.
Éditions qu'on en a données, 844. — Il
écrivit en vers la Vie de saint Colomban,
XI, 615. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. VI, p. 313 et suiv.,
et le Supplément, t. XI, p. xxiv et suiv.)
FRODOBERT (Saint), fondateur et pre-
mier abbé de Moutier-la-Celle. Sa Vie écrite
par Loupel, son disciple, et refaite par
Adson, abbé de MouUer-en-Der. Poëme en
l'honneur du même saint, XII, 882.
FRODON, chanoine de la cathédrale xn
d'Auxerre, écrit la Vie de GeoITroi de Cham-
plemart et celle de Robert de Nevers, tous
deux évêques d'Auxerre, XIII, 463, 464.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. VIII, p. 324 et suiv.)
FROLLAND, évêque de Sentis, succède à v.
Gui. Il assiste à plusieurs conciles. Il se lo
trouve au couronnement du roi Philippe I",
Sa mort. Sa lettre à Bérenger, XII, 272. v.
Éditions qu'on en a laites. (Voyez sou article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. VIII,
p. 17 et suiv.)
FROMOND, moine de Tégernsée en Ba-
vière, que l'on engage à se faire ordonner
prêtre. Sa lettre sur ce sujet à Eberhard,
son abbé. Sa lettre à Tliéodule, évêque de
Frisiugue, au sujet de ceux qui pihaient le
monastère de Tégernsée, XIII, 98. [On a de
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
445
lui seize lettres et vingt-sept poëmes, 98.]
FRONTEAU (Jean), chanoine régulier de
Sainte-Geneviève. Sa Vie d'Yves de Char-
tres, XIV, 93. Son édition des œuvres de
cet évêque, 97 et 99.
FRONTIN ou PRONTIN, jovinianiste, con-
damné par le pape saint Sirice, IV, 642.
FRONTON, prêtre, enlève le corps du
martyr saint Théodote, III, 17.
FRONTON (Saint), martyr de Sarragosse,
III, 44.
FRONTON, évêque de Nicopole, est fait
évêque de cette ville par les Ariens, IV, 481.
FROTAIRE, vingt-cinquième évêque de
Toul, succède à Waninéus. Ce qu'on sait
des circonstances de sa vie. Sa mort, XII,
397. Ses lettres insérées dans le second
tome du recueil de Du Ghesne, 397 et suiv.
[Édition de ses lettres dans la Patrologie,
399.] Lettre que lui écrit saint Aldric, ar-
chevêque de Sens, 339 et 398. — Lettre
qu'il écrit à Hetti, archevêque de Trêves,
XIII, 6S0. Lettre de Hetti à Frotaire, 656.
(Voyez l'article de Frotaire dans l'Histoire
littéraire de la France, t. V, p. 52 et suiv., et
le Supplément, t. XI, p. xx.)
FROTAIRE, archevêque de Bordeaux,
transféré à Bourges à cause des incursions
des Normands, XII, 643. — Concile de
Troyes où il est cité, XIII, 721.
FROWIN, abbé du Mont-des-Anges, vul-
gairement Engelberg en Suisse. Son expli-
cation de l'oraison dominicale. Ses sept
livres à la louange du libre arbitre. On n'a
imprimé que les prologues ou préfaces de
ces deux ouvrages, XIV, 232.
FRUCTUEUX (Saint), évêque de Tarra-
gone. Son martyre, II, 387, 388. — Hymne
du poëte Prudence en son honneur, VIII,
102. — [Sa Vie par l'abbé saint Valère, XI,
734.]
FRUCTUEUX (Saint), archevêque de Bra-
gue. Sa naissance et son éducation. Il fonde
plusieurs monastères. Il est fait évêque de
Dume, puis transféré à l'archevêché de
Brague. Sa mort, XI, 799. Ses deux règles,
799 et 800. [Édition de ses écrits dans la
Patrologie. Écrits nouveaux, 800.] — Il est
chargé par le dixième concile de Tolède, de
gouverner l'archevêché de Braguej XII,
935.
[FRUCTUEUX, prêtre, qui écrit à Brau-
lion sur trois questions relatives à l'Écriture
Sainte. Réponse de Braulion, XI, 731.]
FRUDÉGARD ou FRÉDUGARD, moine de
la NouvelleCorbie. Lettre de PaschaseRad-
bert sur l'Eucharistie qui lui est adressée,
XII, 542 et suiv. Éditions de cette lettre,
549.
FRUITS DE LA TERRE. L'Église les bé-
nissait, II, 610. — Cette bénédiction se pra-
tiquait à Cluny, XIII, 472.
FRUITS DE LA CHAIR ET DE L'ESPRIT :
livre attribué à Hugues de Saint- Victor,
XIV, 352.
FRUMENTIUS, apôtre et évêque des
Éthiopiens, est ordonné par saint Athanase,
IV, 91, 92. — Lettre de l'empereur Cons-
tantin contre l'ordination de cet évêque,
VI, 344. Histoire de Frumentius et de son
élection, 344 et 345. — Témoignage de
Rufm sur cette histoire, VII, 469. — Té-
moignage de Théodoret, X, 138.
FRUTARE ou Saint-Balain, monastère
fondé au diocèse d'Yvrée en Piémont par
Guillaume, abbé de Saint-Bénigne de Dijon,
Xin, 106. Charte de sa fondation, 107.
FRUTARE, monastère du diocèse de
Langres , fondé par Godefroid et Ni-
thard. Le pape Benoît VIII en conQrme
la fondation dans un concile. L'évêque de
Langres en confirme l'exemption, XIII, 192.
— Privilège accordé à cette abbaye par le
pape Benoît VIII dans un concile de Rome,
XIV, 1037.
FUCHREN (Jean). Son édition du traité
de Paschase Radbert du Corps et du Sang
de Jésus-Christ, XII, 549.
FUCHTE (Jean de). Son édition du livre
de Gennade des Écrivains ecclésiastiques, X,
601.
FUGILINE, lieu du diocèse de Calame,
IX, 563.
FUITE. Traité de la Fuite durant les per-
sécutions, ouvrage de TertuUien après sa
chute, II, 63. Fuite condamnée parTertullien,
63, approuvée par Origène, 248. — Lettre
de saint Augustin sur ce sujet, IX, 181.
FULBERT. Plusieurs écrivains de ce nom
ont vécu dans le xi= siècle, XIII, 89.
FULBERT, évêque de Chartres. [Notices
sur Fulbert dans la Patrologie, XIII, 78, n.
1.] Sa naissance, ses études. Il est chargé
de la direction de l'école de Chartres. Il est
élu évêque après la mort de Rodulphe. Il
assiste au concile de Chelle. Il rebâtit son
église cathédrale, qui avait été réduite en
cendres avec une partie de la ville, 78. Sa
mort, 79. [Il n'a pas le titre de saint que lui
donne dom Ceillier, 78, note 1,] 79. Ses
IV siècle.
XI siècle.
4015.
1017.
1015.
III siècle.
III siècle.
1007.
1008.
1020.
1028.
446
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
lettres, 79 et suiv. [Ses lettres dans la Pa-
irologie, 79.] Discours sur la religion. Dis-
cours sur la Nativité de la sainte Vierge, 86.
Traité contre les Juifs, 86 et 87. Discours
sur les mystères et la pénitence, 87, 88.
Autres discours qui lui sont attribués. Poé-
sies de Fulbert. Traité sur quelques paroles
du chapitre douzième des Actes des apôtres,
88. Autres écrits qu'on lui attribue, 88 et 89.
[Écrits publiés récemment, 89. Quelques
écrits de Fulbert, 88, n. 9.] Jugement sur
ses ouvrages, 89. [Vingt-quatre lettres qui
sont adressées à Fulbert, 79.] Lettre de saint
Odilon, abbé de Cluny, à Fulbert de Char-
tres, 157. (Voyez l'article de Fulbert de
Chartres dans l'Histoire littéraire de la
Finance, t. VII, p. 201 et suiv.)
FULBERT, clerc ou moine à Cambrai,
auteur de la Vie de saint Aubert. (Voyez ce
qui en est dit dans l'Histoire littéraire de la
France, t. VII, p. 277 et suiv.)
.„, ^ , FULBERT, archidiacre de Rouen, sur-
XI siècle. ' '
nommé le Sophiste, doit être distingué de
Fulbert, doyen de la même Église, qui n'a
vécu que quelque temps après, XIII, 468. Il
doit être anssi distingué de Fulbert, moine
de Saint-Ouen, qui vivait daus le même
temps, 468, 469. C'est l'archidiacre de Rouen
qui est auteur de la Vie de saint Romain et
de celle de saint Rémi, archevêque de
Rouen, 468. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. VIII, p. 370 et suiv.)
FULBERT, moine de Saint-Ouen de
Rouen. Il est auteur du recueil des miracles
de saint Ouen. Il retouche la Vie de saint Ai-
cadre, second abbé de Jumiége. Surius s'est
trompé en le croyant, sur ce fondement,
moine de Jumiége, XIII, 469. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VIII, p. 379 et suiv.)
FULBERT, chanoine de l'Église de Paris,
charge Abaillard d'instruire Héloïse sa nièce.
Tous deux abusent de sa confiance. Il mal-
traite sa nièce. Vengeance indigne qu'il tire
d' Abaillard, XIV, 318.
XI siècle. FULCARD, moine de Saint-Bertin. Voyez
Folcard, moine de Cantorbéry.
V. 1020. FULCOIE , sous-diacre de l'Église de
Meaux. Sa naissance, XIII, 340. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie, 340 et 341.
V. losa, Temps de sa mort. Ses poésies, 341. Louan-
ges qu'il donne à Manassès, archevêque de
Reims, 341 et 548. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. VIII, p.
113 et suiv.)
XI siècle.
FULDE, monastère d'Allemagne fondé
par saint Boniface, XII, 33 et 47. Le pape
saint Zacharie l'exempte de la juridiction
de tout autre évêque que le pape, 33. Saint
Sturm en fut le premier abbé, 126, 127.
Requête des moines de Fulde à Charlema-
gne contre Ratgaire, leur abbé, 272, 273.
[Privilège accordé par le pape Léon IV à ce
monastère, 409. Diplôme et privilèges au
même, par le pape Benoît III, 410. Privi-
lèges au même par le pape Léon VII, 827 ;
par le pape Marin II , 829 ; par le pape
Jean, 832.] Annales de Fulde attribuées à
Walafride Strabon; elles ne sont pas de lui,
416. Raban Maur rend célèbre l'école de
Fulde, 446. Poëme de Raban Maur sur la
sortie des moines de Fulde à l'occasion des
vexations de l'abbé Ratgaire, 459. — Chro-
nique de Fulde par Méginfroid, prévôt de
JMagdebonrg, XIII, 95. Cette abbaye ôtée
de la dépendance du Saint-Siège, 202.
FULGENCE le Donatiste. Livre contre
Fulgence, ouvrage supposé sous le nom de
saint Augustin, IX, 415.
FULGENCE (Saint), évêque de Ruspe et a
confesseur. Sa naissance et son éducation,
XI, 1. Il est chargé des affaires de sa fa-
mille et se dégoûte du monde, 1 et 2. Il se
relire dans le monastère de l'évêque Fauste,
2. Il est chargé de la conduite d'un autre
monastère. Sa retraite à Sicque ; il est per-
sécuté par un prêtre arien, 3. Il fonde un
nouveau monastère près de la ville d'Ididi,
3 et 4. Il entreprend le voyage d'Egypte,
dont il est détourné par Eulalius, évêque de
Syracuse. Il va voir l'évêque Rufinien, qui
le détourne aussi du voyage d'Egypte, 4. Il
retourne en Afrique, bâtit un nouveau mo-
nastère, puis se retire dans une île où il vit
en simple moine, 4 et 5. Son évêque l'en
retire et l'ordonne prêtre. Il est élu évêque
de Ruspe, 5. Sa conduite pendant son épis-
copat, 5 et 6. Il est exilé en Sardaigne par
le roi Trasamond, 6, 7. Ce prince le fait re-
venir, et pour éprouver sa science, il lui
propose plusieurs questions. Réponses qui
y sont faites par saint Fulgence, 7. Il est v
renvoyé en Sardaigne, où il bâtit un nou-
veau monastère, 7 et 8. Il est rappelé de
son exil par le roi Hildéric et revient à
Ruspe, 8. Sa retraite dans l'île de Circine,
9. Sa mort. 9 et 10. Sa Vie, par qui écrite,
10. Ses écrits. Trois livres à Monime, 10 et
suiv. Analyse du premier livre, 10; du se-
cond, 14 et suiv. : du troisième , 16. Répon-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
Ul
ses aux dix objections des Ariens, 16 et
sniv. Trois livres au roi Trasamond, 19 et
suiv. Analyse du premier livre, 19, 20 ; du
second, 20 et suiv.; du troisième, 22 et suiv.
Lettre sur le vœu de continence, 25, 26.
Lettre à Galla ; lettres à Roba, 26 et suiv.
Lettre à l'abbé Eugippius, 29, 30 ; à Théo-
dore, 30, 31 ; à Vénantie, 31. Livre de la
Foi orthodoxe à Donat, 32 et suiv. Livre
contre le sermon de Fastidiosus à. Victor,
34, 35. Livre à Scarilas sur l'Incarpation,
35, 36. Lettre en réponse à plusieurs ques-
tions du diacre Ferrand sur le baptême, 37
et suiv. Autre lettre en réponse à d'autres
questions du même, 39 et suiv. Lettre au
nom des évéques d'Afrique exilés en Sar-
daigne à Jean et à Vénérius au sujet des li-
vres de Fauste de Riez sur la grâce, M et
suiv. Autre lettre au nom des mômes adres-
sée aux moines de Scytbie au sujet de cette
proposition : Un de la Trinité a souffert, M
et suiv. Lettre au comte Régin sur le Corps
de Jésus-Christ, 50. Livre de la Trinité
adressé à Félix, 50 et suiv. Deux livres de
la Rémission des péchés, 52 et suiv. Analyse
du premier, 33, 34 ; du second, 54 et suiv.
Trois livres de la Vérité, de la Prédestina-
tion et de la Grâce de Dieu, 56 et suiv. Ana-
lyse du premier, 56; du second, 39 etsuiv.;
du troisième, 61 et suiv. Analyse du livre
de la Foi à Pierre, 63 et suiv. Le livre de la
Foi contre l'évêque Pinta n'est point de
saint Fulgence, 69. Ses sermons, 69 et 70.
Les dix livres contre Fabien sont perdus ;
fragments qui en restent, 70 et suiv. [Dis-
cours sur l'Epiphanie publié par Mai, 73.]
Autres ouvrages de saint Fulgence qui sont
perdus, 74, 73. Écrits supposés, 75. Juge-
ment sur ses ouvrages, 73 et 76. Éditions
qu'on en a faites, 76. [Édition dans la Pa-
trologie, 76.] — Saint Fulgence cite le livre
de saint Augustin de la Correction et de la
grâce, IX, 319. — Il réfute Fauste de Riez,
X, 433.
FULGENCE, diacre de Carthage. Voyez
Ferrand.
[ siècle. FULGENCE, évêque d'Astigite, puis de
Garthagène, frère de saint Isidore de Séville,
l'engage à écrire ses livres des Offices ec-
619. clésiastiques, XI, 716. Son différend avec
Honorius, proposé à un concile de Séville,
914.
!ouii23. FULGENCE, premier abbé d'Afflighem,
Sa mort. Francon lui succède. Sa lettre à
Francon pour l'engager à écrire sur la
grâce, XIV, 190. Éloge que Francon fait de
lui, 191.
FULRAD, chapelain de Pépin, et depuis viii siècie.
abbé de Saint-Denis. Il va à Rome avec
l'évêque Bui-chard consulter le pape saint
Zacharie sur le dessein qu'on avait de dé-
clarer Pépin roi de France, XII, 34. Lettre v. 754.
que lui écrit saint Boniface , archevêque de
Mayence, 31 II est chargé de faire rendre
au pape les villes usurpées par les Lom-
bards, et en remet les clefs sur le tombeau
de saint Pierre, 113. Différents privilèges
que lui accorde le pape Etienne II, 11 3 et 114.
FULRAD, abbé, à qui une des lettres de
Charlemagne est adressée, XII, 247.
FUMÉ (René). Sa traduction française des
Institutions de Lactance, II, 521.
FUDANIUS, rhéteur de Carthage, privé
d'un œil, IX, 308.
FUNDANUS, évêque d'Abitine, livre les
Écritures divines, II, 20, 21.
FUNÉRAILLES des chrétiens, selon Mi-
nuce Félix, I, 353, 334 ; — selon les Constitu-
tions apostoliques, II, 399. — Règle de saint
Pacôme sur les funérailles, III, 366. Comment
saint Antoine fil les funérailles de saint Pau],
ermite, 386. — Funérailles de sainte Ma-
crine faites par les soins de saint Grégoire de
Nysse, VI, 122, 123. [Canons de saint Éphrem
pour les funérailles, 512 et suiv.] — Témoi-
gnage de saint Jean Chrysostôme sur les fu-
nérailles des fidèles, VII, 56, 337, 431. Des-
cription des funérailles de sainte Paule, 698.
Canon vingt-neuvième du troisième concile
de Carthage, 722. — Traité de saint Augustin
sur les funérailles, cité par Possidius, IX,
560. — Couiment Justinien pourvoit aux
funérailles, à la décharge des héritiers, XI,
257. Canon d'un concile de Valence tou-
chant les funérailles des évêques, 827, 828.
Canon du troisième concile de Tolède sur
les funérailles, 903. — Sur les funérailles
des évêques, XII, 239. — Cérémonies pres-
crites par les lois de Kennet, roi d'Ecosse,
pour les funérailles des nobles, XIII, 669.
FURIA, veuve illustre. Lettre que lui écri- 394.
vit saint Jérôme, VII, 618, 619.
FURNES, ville d'Afrique. Lettre de saint iiisiecie.
Cyprien à l'Église de Furnes, II, 292, 293.
FURSY (Saint), premier abbé de Lagny.
[Trois auteurs ont écrit sa Vie. Voyez ce
qui en est dit dans V Histoire littéraire de la
France, t. IX, p. 291 et suiv.)
FUSCINE, sœur de saint Avit, évêque de
Vienne. Poëme qu'illui adresse, X, 567 et 569.
448 HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
FUSSALE, bourg du diocèse d'Hippone.
Saint Augustin y met un évêque, VIII,
FUSSEL ou HUZILLOS, ville de la Vieille-
Castille. Conciles qui y furent tenus, XIV,
1072 et 1079.
G
[GABELENTE publie, avec le docteur
Lobbe, une édition de la version gotbique
d'Ulphilas, IV, 347.]
GABINUS, donatiste qui revient à l'Église
catholique, IX, 413.
GABIUS (Jean-Baptiste), traducteur du
commentaire de Théodore! sur le Cantique
des Cantiques, et de celui sur Ézéchiel, X,
141. — Sa version latine de la première partie
de la Chronique de Jean Scylilz, XIII, 560.
GABRIEL (Saint) (Dom Antoine), feuillant.
Sa traduction française des sermons de saint
Bernard, XIV, 499.
GABRIEL! (Jules). Sa version latine des
trois oraisons de saint Grégoire de Nazianze,
V, 360.
GAD, prophète, avait écrit des mémoires
qui n'ont pas été conservés, I, 53.
GAÉTAN (Jean), cardinal, XIII, 419. Voyez
Gélase II, pape.
GAGNEY ou DE GAGNIou GAIGNY(Jean),
aumônier du roi François I". Son édition
des poésies et des homélies de saint Avit,
évêque de Vienne, X, 569. — Son édition
du commentaire de Primas sur les épitres
de saint Paul, XI, 283. — Son édition du
livre d'Arnaud, abbé de Bonneval, des sept
paroles de Jésus-Christ sur la croix, XIV,
618.
GAIEN , patriarche d'Alexandrie , XI ,
304.
GAINAS, général des Goths, demande et
obtient la disgrâce d'Eutrope, VII^ 118 et
196. — Il fait beaucoup de maux en Occi-
dent, VIII, 29. Il consulte saint Nil, 206.
Saint Nil lui écrit, 216, 217.
GAINITES. Discours de saint Euloge d'A-
lexandrie conti'e les Gaïnites et les Acé-
phales, XI, 591. Voyez Incorruptibles.
VII siècle GAIRIN, frère de saint Léger, évêque
d'Autun. Ébroïn le fait mourir. Lettre que
saint Léger écrit sur ce sujet à Gigrade, sa
mère, XI, 781.
[GAISFORD (Th.). Son édition des Éclogues
d'Eusèbe de Césarée, III, 245. Son édition
de la Préparation évangélique d'Eusèbe;
des Démonstrations, du même, 313.]
GAIUS, prêtre de Didde, séparé de la com-
munion, II, 301, notel, et 309.
GAIUS , juge d'Augsbourg , condamne
sainte Afîre . III, 29.
GAIUS, à qui saint Augustin écrivit une
lettre, IX, 69.
GAL (Saint), abbé, disciple de saint Colom-
ban, passe avec lui en France, XI, 736 ; l'ac-
compagne à Zug, d'où un excès de zèle le fait
chasser, 616 et 736; s'établit sur le lac de
Constance, où il convertit les peuples et bâtit
un monastère. Sa mort. Analyse d'un dis-
cours que nous avons de lui, 736. [Éditions
de ce discours, 736, 737.] La lettre qu'Us-
sérius lui attribue est de Gai, évêque de
Clermont, 737. Il prêche la foi à Brégents,
616. — Sa Vie composée par Walafride
Strabon, XII, 415. Autre, en vers héroïques,
commencée par Hermenrie, moine de Riche-
now, 554. Autre, également écrite en vers,
par un nommé Grimald, 603. Deux hymnes
au moine Ratpert en l'honneur de saint Gai.
Vie de saint Gai, en rimes allemandes, par
le même, mise en latin par Ekkehard le
Jeune, 700. Autre en vers latins par Notber
le Bègue, 768.
GAL (Saint-), abbaye. Plan du monastère
de Saint-Gai et de toutes ses officines, avec
des inscriptions par Eginhard, Xll, 357.
Deux lettres des moines de Saint-Gai. Trésor
de l'abbaye de Saint-Gai enlevé par un vo-
leur, 441. Histoire de l'abbaye de Saint-Gai,
attribuée à Werembert, moine de Saint-Gai,
694. Histoire de la même abbaye, attribuée
à Harmote ; elle est de l'abbé Hartmanne,
694 et 879. Histoire de l'abbaye de Saint-
Gai, par le moine Ratper, 700. [Bulle pour
cette abbaye, donnée parle pape Sergiuslll,
743.] Chronique anonyme de l'abbaye de
Saint-Gai : elle est d'un moine de cette ab-
baye, 794. L'abbaye de Saint-Gai ravagée
par les Hongrois, 879. Le prêtre Conruy
continue l'Histoire de Saint-Gai, 879. (Voyez
l'article de Saint-Gai dans l'Histoire littéraire
de la France, t. III, p. 561 et suiv.)
GAL (Saint), évêque de Clermont, oncle
de saint Grégoire de Tours, XI, 365. Sa Vie
V.K
V. &
TABT.E GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
449
écrite par saint Grégoire de Tours, 380, 381.
siècle. Sa lettre à saint Didier, évêque de Cahors,
734. Ussérius s'est trompé en attribuant
cette lettre à saint Gai disciple de saint Co-
lomban, 737. (Voir ce qui enestdit dans l'His-
toire littéraire de la France, t. III, p . S63 et 583.)
[GALANUS, tliéatin. Son livre intitulé :
Conciliation de l'Église arménienne avec
l'Église romaine, d'après les témoignages
des pères et des docteurs arméniens, XII, 39.]
GALATES, peuples d'Asie. Leur origine
selon Lactance, VU, 579 ; — d'après Claude
de Turin, XII, 352. — Épître de saint Paul
aux Galates, I, 224.
GALBERT, moine de Marcliiennes, écrit
les miracles de sainte Rictrude. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. XI, p. 412 et suiv.)
GAL [en latin GALEUS] (Thomas). [Son
édition des scholies de l'abbé saint Maxime
sur saint Grégoire de Nazianze, I, 360.] —
Sa traduction latine d'une lettre de l'abbé
saint Maxime à l'abbé Thomas, XI, 770. —
Son édition du traité de Jean Scot de la Di-
vision des natures, I, 560 et XII, 607.
[GALEARDI (Paul). Son édition du traité
de saint Philastre, V, 178. — Son édition des
œuvres de saint Gaudence, VIII, 43.] — Son
édition des opuscules des anciens évêques
de Bresce, XIII, 257.
j5_ GALÈRE (Maximien), empereur, persé-
cute les chrétiens. Sa maladie. Son édit en
faveur des chrétiens. Sa mort, II, 507. — Il
continua la persécution commencée par Dio-
clétien, III, 47. Il la fit cesser, 47 et 48.
GALÉSINI (Pierre). Sa version latine des
homélies de saint Grégoire de Nysse sur
l'Oraison dominicale, VI, 258. Du livre de
la Virginité, 239.
,,^ GALFRÈDE ou GEOFROI LE GROS, moine
de Tiron, écrit la Vie de saint Bernard, fon-
dateur du monastère de Tiron, XIV, 404,
405. (Voy. ce qui est dit de lui dans l'Histoire
littéraire de la France, t. XII, p. 163 et suiv.)
GALICE, province d'Espagne, infectée du
priscillianisme, X, 206 et suiv. Concile tenu
en cette province contre les Priscillianistes,
646 et 669.
GALILÉENS, nom que les païens don-
naient par dérision aux chrétiens, II, 335,
et 111, 17. Julien l'Apostat veut rendre ce nom
commun à tous les chrétiens, 535. C'est ainsi
qu'il les nommait, III, 401. — Manès leur
donnait aussi ce nom, IV, 343. — Remar-
ques de saint Grégoire de Nazianze sur ce
TAB. I.
nom, V, 198 et 357. — Loi de Julien pour
rendre ce nom commun à tous les chrétiens,
VI, 347.
GALINDO, nom primitif de saint Prudence,
évêque de Troyes, XII, 493.
GALLA, fille de l'empereur Valentinien I"
et de Justine, VI, 359.
GALLA PLACIDIA, sœur de l'empereur
Honorius, épouse Constance, VIII, 7.
GALLA, épouse saint Eucher, depuis évê- y siècle,
que de Lyon, l'accompagne dans sa retraite;
leur liaison avec saint Paulin, évêque de
Noie, VIII, 442. Lettre que saint Paulin, évê-
que de Noie, écrivit à saint Eucher et à
Galla, son épouse, qui avaient envoyé vers
lui, 81.
GALLA, fille du consul Symmaque. Lettre
que lui écrit saint Fulgence de Ruspe àl'oc-
casion de son veuvage, XI, 26.
GALLiEUS (Serval), ministre à Harlem.
Son édition des livres Sibyllins, I, 307. —
Son édition des œuvres de Lactance, II, 520.
[GALLAND ou GALLANDE (A.), oratorien,
auteur de la Bibliotlieca vetei^um Patrum et
antiquorum scriptorum ecclesiasticorum. Ve-
nise, 1765-81, XIV, vol. in-fol. souvent cité
dans la nouvelle édition.]
GALLASIUS ou DES GALLARS (Nicolas),
ministre de Genève. Ses notes sur les œuvres
de saint Irénée, I, 530.
GALLES, pays d'Angleterre. Lois pour le
pays de Galles, prescrites par le roi Hoeli,
surnommé le Bon, XIII, 746.
GALLICAN (Saint). Comédie de Roswithe,
religieuse de Gandersheim, sur la conver-
sion de saint Gallican et le martyre de saint
Jean et saint Paul sous Julien l'Apostat, XII,
877.
GALLIEN, empereur, favorable aux chré-
tiens, II, 412.
GALLIEN. Lettre de saint Jérôme à Vin-
cent et Gallien pour servir de préface à la tra-
duction de la Chronique d'Eusèbe, VII, 645.
[GALLICIOLI, publie en itahen les écrits
de saint Athénagore, I, 487. — Son édition
des écrits de saint Grégoire le Grand, XI, 585.]
GALLIPOLI en Romanie, évêché d'abord
uni à celui de Celle ; on y met ensuite un
évêque particulier, VIII, 591.
GALLUS, frère de Julien l'Apostat, fait ap-
porter à Antioche le corps de saint Babylas,
III, 406. — Il avait été reçu dans le clergé
au rang des lecteurs, V, 197 et 335. Il est
ensuite associé à l'empire ; sa mort, 197. • —
Il avait fait assassiner le préfet Domitien et
29
V. 935.
380.
450
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1001.
1027.
102U.
1030,
Montius; il fat mis à mort par l'ordre de
Constance, VII, 33.
GALLUS, disciple de saint Martin, VIII,
in et 120. (Voyez son article dans VHis-
toire littéraire de la France^ t. II, p. HO et
suiv.)
GALLUS, moine à qui saint Nil écrit, VIII,
217.
GALLUS, réconcilié avec son épouse
par les soins de saint Loup de Troyes, X,
357.
GALON, évéque de Paris, mal à propos
confondu avec le cardinal qui suit, XIV,
11-49. 11 fut auteur de quelques écrits. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. X, p. 93 et suiv.)
GALLON, cardinal, légat du pape Inno-
cent III en France. Son règlement, qui pres-
crit aux clercs la continence, la modestie
dans les habits, et le désintéressement, XIV,
1149.
GALOPIN (George), moine de Saint-Guis-
lain. Son édition du commentaire de Bru-
non, évêque de Wirtzbourg, sur le Penta-
teuque, XIII, 116. Son édition de la Vie de
saint Véron par Olbert, 142. — Son édition
de la Somme de Pierre le Chantre, XIV,
571.
GALSUINDE, reine de France. Poëme de
Fortunat sur son mariage avec Chilpéric,
XI, 407.
GAMME, inventée par Guy d'Arezzo, XIII,
129, 130. Sa lettre à ce sujet, 130.
[GAMS, un des auteurs du Dictionnaire de
la théologie catholique. Jugement qu'il porte
sur Honoré d'Autun, XIV, 303.]
GANDERSHEIM, monastère en Basse-Saxe.
Histoire des commencements et des fonda-
teurs de ce monastère, écrite en vers par la
religieuse Roswithe ; histoire diplomatique
de cette église, par Christophe Harenberge;
vie de Halumode, première abbesse de ce
monastère, XII, 867. — Ce monastère fut
l'occasion d'un différend entre les archevê-
ques de Mayence et les évéques d'Hildes-
heim, XIII, 66, 67. — La Juridiction en est
disputée par l'archevêque de Mayence; plu-
sieurs conciles tenus sur cette allaire, XIV,
1033 et suiv. Un concile de Francfort con-
serve la juridiction à l'évêque d'IIildesheim,
1041. L'archevêque renouvelle sa prétention
au concile de Palith; il s'en désiste enfin
pour toujours, 1043.
GANDULPHE, hérésiarque. Ses disciples
et sa doctrine, XIII, 160.
GANEI (Louis). Sa traduction française des
Catéchèses de saint Cyrille, V, 82.
GANGOLFE (Saint), martyr à Varenne en
Bourgogne. Voyez saint Gengoul.
GANGRES, dans la Paphlagonie. Concile
qui y fut tenu, III, 514 et suiv.
GAP, ville du Dauphiné. Le pape saint
Grégoire accorde l'usage des dalmatiques à
l'évêque de Gap et à son archidiacre, XI,
518.
[GARCIAS, archevêque d'Auch. Lettre que
lui adresse Odon, diacre d'Auch, XII, 867.]
GARCIAS (Diego). Sa traduction espagnole
des Offices de saintAmbroise, V, 583. — Ses
notes sur les Sentences de saint Isidore de
Séville, XI, 726, 727.
GARDIEN, nom affecté au supérieur des
frères mineurs, XIII, 513.
GARET(D. Jean), bénédic-tin. Son édition
des œuvres de Cassiodore, XI, 252.
GARGARIS, paroisse d'Arles, VII, 529.
GARGON. Sa traduction flamande du Dia-
logue de Minutius Féhx, II, 537.
GARIBALDE ou GERBAULD, évêque de
Liège. Sa lettre pastorale aux curés de son
diocèse, conforme à celle par laquelle Char-
lemagne exigeait que les parrains sussent de
mémoire l'oraison dominicale et le symbole ;
autre lettre qu'il écrit aux prêtres sur le
même sujet; lettre que Charlemagne lui
adresse en forme d'édit, portant indication
d'un jeûne, XIV, 246. (Voyez ce qui en est
dit dans l'Histoire littéraire de la France, t. IV,
p. 356 et suiv.)
GARNIER, abbé de Rebais, auteur d'un
poème sur saint Vincent de Sari-agosse.
(Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. VI, p. 512 et suiv.)
[GARNIER, abbé. Son discours au roi As-
tolfe, XII, 110.]
GARNIER, moine de Tournas, l'un des
auteurs des Actes de saint Valéi-ien, martyr,
et de sa translation, XIII, 464. (Voyez ce qui
en est dit dans l'Histoire littéraire de la
France, t. IX, p. 513 et suiv.)
GARNIER ou WARNIER l'homéliaire ,
moine de Westminster. (Voir son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. IX, p. 23 et
suiv.)
[GARNIER, chanoine et sous-prieur de
Saint-Victor de Paris. Sou traité intitulé :
Grégorien, ou extrait des livres de saint Gré-
goire le Grand, XIV, 624.]
[GARNIER DE ROCHEFORT, évêque de
Langres. Sa vie, XIV, 808 et suiv. Sermons,
IX s
116
XII si.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
451
810, 811. Son Glossaire, 811. [Édition des
sermons de Garnier dans la Patrologie,
811.]
GARNIER (Jean), jésuite, prend la dé-
fense d'Origène et deDidyme, V, 619. — On
l'accuse d'avoir corrompu le texte de la let-
tre du pape Anastase à Jean de Jérusalem,
VI, 336. — Ses dissertations sur l'histoire des
Pélagiens, IX, 818. — Il ajoute un cinquième
volume à l'édition des œuvres de Théodo-
ret, donnée par le P. Sirmond; ce que con-
tient ce volume, X, 142. — Son édition du
Breviarium du diacre Libérât, avec des notes
et des dissertations, XI, 303. — Son édition
du Liber diurnus Romanorum Pontifîcum,
XII, 43.
GARNIER (D. Julien), bénédictin. Son
édition des œuvres de haint Basile, arche-
vêque de Césarée, IV, S46.
GARSIAS, moine de Saint-Michel de Cu-
san [ou Cosone], auteur d'une histoire de
son monastère, [XIII, 348.] (Voyez ce qui en
est dit dans VHistoira littéraire de la France,
VII, 345.)
GARSIAS, roi d'Espagne, XIII, 157.
GARUS, évêque donatiste, mais non de
Carthage, V, 99.
GARZON (Thomas), chanoine régulier de
Saint-Jean de Latran. Son édition des œu-
vres de Hugues de Saint- Victor, XIV, 348.
[GARZON, jésuite. 11 prépare une édition
de la Chronique d'Idace, X, 343.]
GASCONS. Leurs courses réprimées par
le roi Dagobert, XI, 733.
GASPARD, nom donné à l'un des trois
mages ou rois, XIV, 926.
GAST (Jean du), luthérien. Son édition du
traité de saint Paschase Radbert du Corps
et du Sang de Jésus-Christ, XII, 348 et
349.
GATEAUX. Le concile de Quinisexte dé-
fend de donner des gâteaux à Noël, sous
prétexte des couches de la sainte Vierge,
XII, 963.
GATIEN ou GRATIEN (Saint), premier
évêque de Tours, X, 428, et XI, 372 et
983.
GAUCELIN, évêque de Lodève, interroge
et condamne les Albigeois, XIV, 1136. Il
condamne aussi la secte d'OJivier et de ses
compagnons, 1137.
GAUCHER, élu évoque de Cambrai en
concurrence de Manassé, XIII, 587. — Dé-
posé au concile de Clermont, se maintient
par la protection de l'empereur Henri IV ;
dans un autre concile Odon, abbé de Saint- nos.
Martin, est élu pour le remplacer, XIV, 72.
Sa déposition, 1080.
GAUCHER, évêque de Durham. Sa mort; loso.
Guillaume lui succède, XIII, 488.
GAUDENCE, évêque de Pise. Concile de
Rome auquel il assiste, II, 625.
GAUDENCE, évêque de Naisse eu Mésic,
assiste au concile de Sardique, III, 478.
GAUDENCE, à qui saint Jérôme écrit sur
l'éducation de Pacatule, sa fille, VII, 643.
GAUDENCE (Saint), évêque deBresce[ou iv
Brescia,] Vni, 34 et suiv. Ce qu'on sait de sa "^'^^'^cics.
naissance et de sa famille, 34, 33. Son
voyage en Orient ; il est fait évêque de
Bresce ; il travaille pour saint Chrysostôme ;
mort de saint Gaudence; son éloge, 33. Dis-
cours de ce saint évêque, 33 et suiv. Dix
discours faits pour les néophytes, 36 et suiv.
Analyse du premier, 36. Analyse du second,
36 et 37 ; du troisième, du quatrième, du
cinquième, 37 ; du sixième, 37 et 38 ; du
septième, du huitième, 38 ; du neuvième, 38
et 39; du dixième, 39. Onzième discours sur
le paralytique ; douzième discours sur cette
parole : Le monde va être jugé, 39. Trei-
zième discours sur la naissance de Jésus-
Christ, 39 et 40. Quatorzième discours sur
le Saint-Esprit ; quinzième discours sur les
Machabées ; seizième discours de saint Gau-
dence au jour de son ordination, 40. Dix-
septième discours sur les quarante martyrs
et le culte des reliques, 41. Dix-huitième
discours , ou lettre à Germinius sur la para-
bole de l'économe infidèle, 41 et 42. Dix-
neuvième discours ou lettre à Paul, diacre,
sur les deux natures en Jésus-Christ, 42.
Vingtième discours en l'henneur de saint
Philastre, 42 et 43. [Discours sur saint
Pierre et saint Paul, 43.] Jugement du style
de saint Gaudence ; éditions de ces discours,
43. [Éditions nouvelles, 43.] — Saint Gau-
dence fut disciple de saint Philastre, V, 172.
Témoignage qu'il rend à saint Ambroise,
393. — Il est député vers l'empereur Ar-
cade par saint Jean Chrysostôme, VII, 11.
Lettre que lui écrivit saint Jean Chrysos-
tôme, 135. Rufin lui adresse sa traduction
des Récognitions, 463.
GAUDENCE, évêque de Thamugade, do- v. m.
natiste. Deux livres de saint Augustin contre
Gaudence, IX, 413 et suiv. — Lettre que
saint Augustin lui écrit, 360.
GA.UDENCE, vicaire du préfet des Gaules,
X, 402.
4S2
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
GAUDENGE, évêque cl'Aufinium (et non
Ausinium), dans l'Abnizze. Sa mauvaise
conduite à laquelle le pape saint Simplice
met ordre, X, 385.
Yisiède. GAUDENGE, abbé, ù qui Denys le Petit
adresse sa traduction latine de l'Histoire de
la translation du chef de saint Jean-Baptiste,
XI, 123.
XII siècle. GAUDRI, élu évêque de Laon. Sa fin dé-
plorable, XIV, 182 et 199.
GAUGÉRIC ou GÉRY [et non GAUCHER]
(Saint), évêque de Cambrai. Sa Vie écrite
par Baudri, chantre de Thérouanne, XIII,
183.
GAULES. Concile qui y fut tenu sur la
Pâque, I, S33, et II, 342. — Lettre de saint
Basile le Grand aux évêques d'Italie et des
Gaules, IV,445. Autre aux mêmes, 479, 480.
— Les Églises des Gaules condamnent la se-
conde formule de Sirmium, IV, 350, et V,
373. — Divers conciles dans les Gaules con-
tre les Ariens, IV, 382. Concile général des
Gaules tenu à Valence, 600 et suiv. — Sul-
pice Sévère prétend qu'il n'y a point eu de
martyrs dans les Gaules avant la persécution
de Marc-Aurèle, VI, 82 et VIII, 123. [Voyez
la note 3, où l'on contredit cette assertion,
et II, 475, n. 3.] — Lettre du pape saint
Sirice aux évêques des Gaules, VI, 108.
— Lettre du pape saint Zosime aux évê-
ques des Gaules, VII, 528, 329. Lettre
du même pape à tous les évêques des
Gaules, d'Espagne et de l'Afrique, 534, 535.
Lettre du même aux évêques de la province
Viennoise et de la seconde Narbonnaise,
533. Affaire renvoyée par le pape Zosime
aux évêques des Gaules, 339. Lettre de saint
Jérôme à deux dames gauloises, 637. —
Lettre du pape saint Célestin aux évêques
des Gaules, VIII, 139, 140. Les évêques des
Gaules condamnent les erreurs de Léporius,
et le chassent de l'Église, 233, 234. — Let-
tres de saint Léon aux évêques des Gaules,
X, 203, 204, 223, 223, 232. Réponses de
saint Prosper aux objections des Gaulois sur
la grâce, 277 et suiv. Sentences de saint
Prosper opposées à ces objections, 311. Let-
tre des évêques des Gaules au sujet du con-
cile de Rome en faveur de Symmaque, 322,
323. Lettre du pape Symmaque aux évêques
des Gaules, 323. Concile tenu dans les
Gaules au sujet des Pélagiens qui trou-
blaient la Grande-Bretagne, 667. — Com-
mencement de l'Église gallicane selon saint
Grégoire de Tours, XI, 393. (Voyez le Sup-
plément à la fin du onzième vol.) Lettre du
pape saint Zacharie aux Francs et aux Gaulois,
XII, 30. — Lettre de Nicolas II aux évêques
et aux fidèles des Gaules, XIII, 244. Lettre
d'Alexandre II aux principaux évêques des
Gaules, 291. Conciles des Gaules dont le lieu
est inconnu, 763.
GAULLYER (Denys), professeur en l'Uni-
versité de Paris. Son édition des poèmes
choisis de saint Grégoire de Nazianze, V,
361.
GAULMIN (Gilbert). Son édition du traité
de Michel Psellus des Opérations des dé-
mons, XIII, 337. Sa traduction latine des
neuf livres de Théodore Prodome sur les
amours de Rhodantes et de Dasiclès, XIV,
149.
GAULTIER le chancelier. Voyez Gau-
thier.
[GAUME (L'abbé). Son choix de Pères la-
tins, II, 384. — Son choix des écrits de saint
Chrysostôme, VII, 435.]
[GAUME (frères). Leur édition des œuvres
de saint Basile, IV, 347 ; — de saint Jean
Chrysostôme, VII, 434 ; de saint Bernard,
XIV, 499.]
GAUNILON, moine de Marmoutier, pré-
tend réfuter ce qu'avait dit saint Anselme,
qu'on ne peut avoir l'idée d'un être parfait
sans concevoir qu'il existe nécessairement ;
réponse de saint Anselme, XIV, 10. (Voyez
ce qui est dit de lui dans l'Histoire littéraire
de la France, t. VIII, 56, et son article dans
let. Vm, p. 133 et suiv.)
GAUSBERT ou GAUZBERT, moine de
Fleury. Son poème en vers élégiaques en
l'honneur de saint Benoît; son éloge de
Guillaume, comte de Blois, en vers acrosti-
ches, XII, 324. (Voyez ce qui est dit de lui
dans V Histoire littéraire de la France , tome
V, p. 276 et suiv.)
GAUSBERT ou GAUZBERT, chorévêque
de Limoges, auteur des prétendus Actes de
saint Front. (Voyez ce qui est dit de lui dans
l'Histoire littéraire de la France, t. VI, p. 440
et suiv.)
GAUSBERT ou GAUZBERT, abbé de Saint-
JuHen près de Tours, est chargé par Abbon
de Fleury de s'informer des troubles arrivés
à Marmoutiers, XIII, 29. (11 y a eu deux
Gausbert, abbés de Saint-Julien. On a attri-
bué à l'un des deux les Actes de saint Savin
et de saint Cyprien, honorés dans le Poitou.
Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. VII, p. 188 et suiv.)
IX
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
433
GAUSBERT ou GAUZBERT, abbé de TuUe,
succède à Frodin ; on attaque son élection
comme irrégulière; lettre qu'il adresse à
l'abbé Adémar pour la soutenir, XIII, 466.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire de
la France, t. VIII, p. 343 et suiv.)
GAUSLIN ou GAUZLIN, archevêque de
Bourges, était fils naturel du roi Hugues-
Capet; il est fait abbé de Fleury par le roi
Robert; difficultés que font les moines sur sa
naissance ; il est nommé archevêque de
Bourges ; le pape Benoît VIII confirme son
élection; il rétablit l'abbaye de Fleury qui
avait été brûlée ; sa mort, XIII, 89. Difficul-
tés sur l'énoncé de son épitaphe. Ce qui reste
de ses écrits, 90. Sa lettre au roi Robert sur
la pluie de sang tombée en Aquitaine, 84 et
83. Sa lettre à Oliba, évêque de Vich. Son
discours en faveur de l'apostolat de saint
Martial. Histoire manuscrite de sa vie, 90.
[Deux notices sur cet archevêque dans la
Patrologie, 89, n. 7.] Lettre que lui écrit le
roi Robert sur la pluie de sang, 109. Réponse
que lui fait Oliba, évêque de Vich, 122. Il
excommunie Jourdain, évêque de Limoges,
qui avait reçu d'un autre l'ordination épis-
copaie, 179. (Voyez son article dans l'His-
toire littéraire de la Finance, t. VII, p. 279 et
suiv.)
GAUSLIN, abbé de Glanfeuil. Voyez
Gauzlin.
GAUSLIN, abbé de Fleury. Voyez Gauzlin.
GAUSSARD. Sa traduction française de
l'Apologie d'Athénagore, I, 487.
GAUTHIER ou GAUTIER, évêque d'Or-
léans. Ses Capitules, IX, 771.
GAUTHIER-SAVEYR, évêque de Meaus.
Son épitaphe, par Fulcoie, XIII, 341. [Notice
sur cet évêque, 341, note 1.]
GAUTHIER, auteur de la Vie de saint
Anastase, ermite, XIV, 32. (Voyez ce qui est
dit de lui dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VIII, p. 428.)
GAUTHIER, abbé de Bonneval, quitte sou
abbaye et se retire à Marmoutier; lettre
d'Yves de Chartres à ce sujet, XIV, 99.
GAUTHIER (Saint), prévôt et ensuite abbé
de l'Esterpe. Lettre que lui écrit Yves de
Chartres, XIV, 107. Sa Vie écrite par Mar-
bode, 229.
GAUTHIER (le chanceher). Son Histoire
des guerres d'Autioche, XIII, 334. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. XI, p. 33 et suiv.)
GAUTHIER, évêque de Maguelone, auteur
de quelques écrits. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. XI, p. 48
et suiv.)
GAUTHIER, archevêque de Térouane, au-
teur d'une Histoire de Charles le Bon, comte
de Flandre. (Voyez dans VHistoire littéraire
de la France, t. XI, p. 139 et suiv.)
GAUTHIER, moine de Melun, écrit les mi-
racles de saint Liesne. (Voyez son article
dans l'Histoii'e littéraire de la France, t. XI,
p. 630 et suiv.)
GAUTHIER de Compiègne, prieur de Saint-
Martin-en-Vallée, auteur de quelques écrits.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. XII, p. 491 et suiv.)
[GAUTHIER, ordonné évêque de Tournay
par Henri, archevêque de Reims ; reproches
que fait le pape Alexandre III à Henri au
sujet de cette ordination, XIV, 731.]
GAUTHIER, archevêque deRavenne. Let-
tre que lui écrit le pape Gélase II pour lui
rendre la juridiction sur les villes de l'Emi-
lie, XIV, 1090.
GAUTHIER, évêque de Laon. Sa mort ;
Gauthier de Mauritanie ou de Mortagne lui
succède, XIV, 639.
GAUTHIER de Mauritanie ou de Morta-
gne, évêque de Laon, enseigne à Paris la
rhétorique, puis la philosophie, ensuite la
théologie; il tient les écoles de Laon, où il
est fait chanoine et ensuite doyen de la ca-
thédrale; il est fait évêque de Laon; diffé-
rentes affaires auxquelles il eut part ; sa
mort, XIV, 639. Lettres qui restent de lui,
639 et suiv. Donation de Gauthier, 661. Sa
lettre à Hugues de Saint-Victor, 394.
[GAUTHIER, chanoine de SainttVictor.
Son traité contre les quatre labyrinthes delà
France, XIV, 341 et 342.]
[GAUTHIER de Chàtillon. Son écrit contre
les Juifs, XIV, 834 et suiv.]
[GAUTHIER, moine de Cluny. Son opus-
cule sur les miracles de la sainte Vierge,
XIV, 346, 347.]
[GAUTHIER (frères). Leur édition de plu-
sieurs Pères et en particuher d'Arnobe, II,
493 ; — des Œuvres de saint Bernard, XIV,
499.]
[GAUTHIER (Léon), archiviste. Son édi-
tion des Œuvres poétiques d'Adam de Saint-
Victor, précédées d'un Essai sur sa vie et ses
ouvrages, XIV, 714 et suiv.]
GAUZLIN, archevêque de Bourges. Voyez
Gauslin.
GAUZLIN, abbé de Glanfeuil, auteur
1118.
H55.
1155.
1174.
XH siècle.
1200.
1141.
454
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
d'une Hisloire de l'invention des reliques de
saint Maur, XII, 600. (Voyez ce qui en est
dit dans l'Histoire littéraire de la France, t. V,
p. 385.]
GAUZLIN, abbé de Fleury. Sa Vie fut
écrite par André, moine de Fleury. (Voyez
dans VFIistoire littéraire de la Finance, t. VII,
p. 350.)
GAZE, ville de Palesline. Saint Porphyre
y détruit un temple d'idoles, VII, 623, 624.
— Persécution que les fidèles y souffrent
sous .Julien l'Apostat, X, 46. Cette ville pro-
duit Ènée, surnommé de Gaze, 490.
GAZÉE ou GAZET(Alarl), bénédictin. Son
édition des Œuvres de Cassien, VIII, 204.
GÉANTS. Fausse opinion des anciens sur
leur origine, I, 520. ■ — Elle est lejetée par
saint Philastre, V, 176. Saint Ambroise a
suivi néanmoins le même sentiment, 400. —
Les géants sont le sujet d'un opuscule fausse-
ment attribué à saint Jean Ghrysostôme,
VII, 335.
XI siècle. GÉBEHARD, chanoine de Ratisbonne. Ses
lettres à Saint-Martin, garde du trésor de
Saint-Ambroise, pour lui demander les li-
vres de la Liturgie ambrosienne, XIII.
XI siècle. GÉBEHARD (et non GÉRARD), prêtre de
l'Église d'Augsbourg, écrit la Vie de saint
Udalric, évêque d'Augsbourg, XIII, 53. Idée
de cette Vie, 55 et 56.
1055. GÉBEHARD, évêque d'Eichstedt, est élu
pape et prend le nom de Victor II, XIII, 239.
Voyez Victor II.
1060. GÉBEHARD, d'abord archichapelain du
roi Henri III, puis de Henri IV, devient ar-
1072. chevêque de Saltzbourg; il fonde l'évêché
1074. de Gurck; il fonde un monastère en l'hon-
neur de la sainte Vierge et de saint Biaise,
connu aujourdhui sous le nom d'Admont,
en Bavière, XIII, 399. Son attachement au
pape saint Grégoire VII ; lettre qu'il écrit à
1081. Herman, évêque de Metz, 397, 398. Son dis-
cours dans l'assemblée de Capoue, 398. Il se
1085. trouve à l'assemblée de Berchach (et non
Derchach); discours qu'il y prononce, 398 et
399. Il assiste au concile de Quedlimbourg.
1088. Sa mort, 399.
1089. GÉBEHARD, évêque de Constance. Le*
pape Urbain II le fait légat en Allemagne ;
instruction qu'il lui donne touchant les ex-
1094. communies, XIII, 421. Il tient un concile à
Constance, 428.
GÉBEHARD, archevêque de Ravenne.
Lettre que lui écrit saint Pierre Damien ,
XHI, 301.
GÉBOUIN, évêque de Châlons-sur-Marne,
confond un faux apôtre, XIII, 144, 143.
GÉBOUIN (Saint), archevêque de Lyon, lOTi
est mis à la place d'Humbert, déposé au con-
cile d'Autun pour tause de simonie, XII],
339. Discours de Rainard, évêque de Lan-
gres, à ce sujet, 342. Gébouin va à Rome ; loss
saint Grégoire VII lui confirme la primatie
sur les quatre provinces de Lyon, de Rouen,
de Tours et de Sens, 339, 367, 368. Sa mort,
339. Ses lettres, 339 et 340. Erreur où Fa-
bricius est tombé en faisant évêque de Lan-
gres Gébouin, archidiacre de cette Église, et
depuis archevêque de Lyon, 481. Mort de
saint Gébouin ; Hugues lui succède, 589. —
Saint Gébouin avait été élu archevêque de
Lyon pour remplacer Humbert, qui s'était
retiré, XIV, 1068. (Voyez son article dans
l'IIistoi?'e littéraire de la France, t. VIII, p.
104 et suiv.)
GÉDÉON, juge d'Israël, I, 51.
GÉDOYN (Nicolas), chanoine de la Sainte-
Chapelle de Paris. Son projet de traduire en
frauçais la Bibliothèque de Pholius, XII,
723.
GEILON ou ÉGILON, abbé de Noirmou-
tier, depuis évêque de Langres, XII, 383.
GÉLASE, évêque de Césarée en Palestine, 36
neveu de sainlCyrille de Jérusalem; il est fait
évêque de Césarée, V, 28 et 84. Ses écrits,
84 et 83. Jugement de ses écrits, 83. — Gé-
lase assiste au concile deConstantinople, IV,
618. — Saint Cyrille de Jérusalem l'avait
mis sur le siège de Césarée, V, 28. — Théo-
doret allègue le témoignage de Gélase, X,
81. Il n'est point auteur des Deux natures en
Jésus-Christ, 308; ni de l'Histoire du concile
de Césarée, qui est de Gélase de Cyzique,
333.
GÉLASE, à qui saint Sidoine Apollinaire
adresse quelques vers, X, 393.
GÉLASE I (Saint) pape, succède au pape 48
Félix, III, 493. Sa lettre à l'empereur Anas-
tase ; lettre qu'il reçoit d'Euphémius; ré-
ponse qu'il lui fait, 493 et 486, 487. Sa lettre
à Laurent, évêque de Lignide en lUyrie, en
lui envoyant le formulaire de sa foi. Sa lettre 49
aux évêques de Dardanie, 494. Seconde let- 49
tre aux mêmes au sujet d'Acace de Cons-
tantinople, 494 et 493. Troisième lettre aux 40
mêmes sur le même sujet, 493 et suiv. Ins-
truction à Fauste et à Irénée, ambassadeurs
du roi Théodoric, 497, 498. Lettre àHono- 4S
rius, évêque en Dalmatie, au sujet de l'hé-
résie de Pelage qui se répandait de nouveau
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
455
dans le pays, 499. Lettres aux évêques de la
Marche d'Ancône pour le même sujet, 499
et suiv. Lettre à l'empereur Anastase, SOI,
502. Lettre aux évêques de Lucanie et des
Brutiens, 502 et suiv.; aux évêques de Sicile;
à ^onius ou Eonius, évêque d'Arles, 504.
Fragments de diverses lettres du pape Gé-
lase insérés par le cardinal Deus-Dedit dans
sa Collection des canons, 504 et 505. Lettre
à Rustique, évêque de Lyon, 505. Traité de
l'anathème, 505 et 506. Traité contre Andro-
maque, sénateur, qui voulait rétablir à
Rome les Lupercales, 506, 507. Traité contre
les Pélagiens, 507, 508. Traité des deux na-
tures en Jésus-Christ : raisons qui l'assurent
au pape Gélase, 308 et 509. Analyse de ce
traité, 509 et suiv. Explication d'un passage
sur l'Eucharistie, 510. Écrits de Gélase qui
sont perdus. Jugement sur sa manière d'é-
crire. Temps de sa mort, 511. [Écrits de saint
Gélase dans la Patrologie, 493, note 3,] Sa-
cramentaire de l'Église romaine attribué au
pape Gélase, 511 et suiv. Analyse du premier
livre, 512 et suiv.; du second, 517; du troi-
sième, 517. [Éditions du Sacramentaire de
saint Gélase, 511, note 3.] Concile de Rome
sous le pape Gélase; décret qu'il y publia ;
ce que contient ce décret; livres canoniques
de l'Ancien et du Nouveau Testament, 723.
Prééminence de l'Éghse romaine. Conciles
reçus dans l'Église romaine. Ouvrages des
Pères dont elle admet l'autorité, 724. Livres
qu'elle rejette et qu'elle regarde comme
apocryphes, 725. Le décret attribué au pape
saint Hormisdas appartient au pape saint
Gélase, 633. Autre concile de Rome sous le
pape saint Gélase, 725. — Gélase a-t-il mis
au rang des livres apocryphes les Canons
des apôtres? II, 577. — Il y a mis les écrits
de Fauste de Riez, X, 433. Lettre qu'Euphé-
mius lui écrit, 486. Réponse du pape, 486
et 487. — Son éloge par Denis le Petit, XJ,
123. — Édition de son décret donnée par
Muratori. Deux de ses lettres : l'une à Suc-
conius, l'autre à Natalis, XII, 718. — Le pape
saint Gélase a composé des oraisons et des
préfaces, XIII, 1. [Il avait composé d'innom-
brables traités. Le cardinal Maï a publié en
grec une lettre de ce pape, 567.]
GÉLASE II, pape, auparavantnommé Jean
de Gaëte, et chancelier de l'Églie romaine,
(18. succède à Pascal IL Une faction favorisée
par l'empereur Henri V l'oblige de se retirer
à Gaëte où il est sacré. L'empereur fait élire
antipape Maurice Bourdin , archevêque de
Bragues, qui prend le nom de Grégoire VIII.
Lettres de Gélase sur ce sujet aux arche-
vêques, évêques et autres fidèles des Gaules,
à l'archevêque de Tolède, et au clergé et au
peuple de Rome. Il tient àCapoue un concile
où il excommunie l'antipape, 1089. Il re-
vient à Rome, d'où la faction Frangipane
l'oblige encore de sortir. Sa lettre à Gau-
thier, archevêque de Ravenne. Il passe en
France et vient demeurer à l'abbaye de
Cluny, 1090. Il favorise la croisade contre
les Maures d'Espagne. Étant à Avignon, il
confirme les biens et les privilèges de l'ab-
baye de Cluny. Il revient à Cluny et y meurt, mo-
1091. Son épitaphe par Pierre de Poitiers,
grand prieur de Cluny, 570.
GÉLASE DE CYZIQUE. Quel était son
père. Son voyage en Bithynie, X, 532. Sa
conférence avec les Eutychiens, qui lui don-
nent occasion de composer l'Histoire du
concile de Nicée, 532 et 333. Jugement qu'on
doit porter de cette histoire : elle est très-
incertaine. Idée de celte histoire ; éditions
qu'on en a faites, 533. [Autres éditions, 533.]
Gélase de Cyzique n'est point auteur du
traité des Deux natures en Jésus -Christ,
508.
GÉLASE, moine fugitif. Lettre que lui
écrit saint Théodore Studite, XII, 309.
GÉLASTIN (Saint), martyr à Hiéraple,
n, 468.
GÉLÉNIUS (Sigismond), Sa traduction
latine des œuvres de Philon, I, 313. Sa tra-
duction latine des sommaires des chapiti'es
de l'Histoire de Josèphe, 328. — Son édition
des œuvres de TertuUien, II, 84. Sa version
latine du traité d'Origène contre Celse, 253.
Son édition des ouvrages d'Arnobe, 493; —
des œuvres de saint Ambroise, V, 583 ; —
des œuvres de saint Jean Chrysostôme, VII^
433.
GÉLIMER, dernier roi des Vandales, X,
466.
GELLONE, monastère près de Lodève, 304.
nommé depuis Saint-Guillelme-du-Désert.
Sa fondation, XIII, 234.
GEMBLOU ou GEMBLOURS , abbaye
près de Namur. Chronique de cette ab-
baye , ouvrage commencé par Sigebert
et continué par un de ses disciples, XIV,
60, 61.
GÉMINÉ ou GÉMINIEN, prêtre d'Antioche. m siècle.
Ses écrits, II, 90.
GÉMINIEN, évêque de Modène, assiste au
concile de Milan, IV, 653 et V, 532.
4S6
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
256.
GÉMINIEN, évêque d'Italie, légat de saint
Léon dans 1 Orient, X, 236.
GÉMINIUS, évêque de Furnes. Concile de
Carthage où il assiste, II, 351.
GÉMINIUS (Faustin), prêtre de Furnes,
nommé tuteur, II, 292 et 356.
GÉMINIUS (Victor), privé des prières
après sa mort, II, 292 et 536.
GENDARE, bourg dans le territoire d'An-
tioche, VIII, 238.
GÉNÉALOGIE DE JÉSUS-CHRIST. Lettre
de Jules Atricain au sujet des deux généa-
logies de Jésus-Christ, II, 92, 93. — Senti-
ment de saint Hilaire sur ces deux généa-
logies, IV, 25 [30, 31]. — Poëme de saint
Grégoire de Nazianze sur ce sujet, V, 275.
Sentiment de saint Ambroise sur la généa-
logie de Jésus-Christ selon saint Matthieu,
529. — Sentiment de saint Jean Chrysos-
tôme sur cette généalogie, VII, 213, 214.
Homélie de Walafride Strabon sur cette gé-
néalogie, 415.
[GÉNÉALOGIE des rois de Danemark,
attribuée à saint Guillaume, abbé du Para-
clet, XIV, 844.]
[GÉNÉALOGIE des comtes de Flandres
dans la Patrologie, XIV, 839.]
GÉNÉBRARD (Gilbert), professeur royal
en hébreu, et depuis archevêque d'Aix. Son
édition des œuvres d'Origène. Sa traduction
latine des livres contre Celse, II, 253. —
Son édition latine des œuvres de saint Gré-
goire de Nazianze, V, 361. — Sa traduction
latine du Dialogue de Zacharie de Mitylène
sur la création du monde, XI, 270. — Sa
traduction latine de plusieurs des opuscules
de Théodore Aboucara, XII, 625.
GÉNÉRATION DU VERBE. Doctrine de
saint Justin,!, 438; de saint Théophile, 479;
de Tatien, 490; de saint Hippolyte, 626; —
de saint Grégoire de Nazianze, V, 203 et
285 ; de saint Ambroise, 533 ; — [de saint
Éphrem, VI, 463] ; de saint Jean Chrysos-
tôme, VII, 198; — de saint Cyrille d'Alexan-
drie, Vni, 327, 328. Voyez Verbe.
GÉNÉRATION DE JÉSUS-CHRIST. Doc-
trine de saint Augustin, IX, 237. Voyez Jé-
sus-Christ.
GÉNÉRATION DE L'HOMME et des ani-
maux. Commentaire de Jean Philoponus sur
les livi'es d'Aristote de la génération de
l'homme et de la génération des animaux,
XI, 651.
GÉNÉRATION DES HOMMES. Saint Ba-
sile en compte soixante et dix-sept dans saint
Luc, IV, 498. — [Pourquoi quatorze généra-
tions de rois depuis David jusqu'à Jécho-
nias, VI, 449.]
GÉNÉROSUS de Constantine. Lettre que
lui écrivit saint Augustin, IX, 83.
GÉNÉROSUS, gouverneur de la Numidie.
Lettre que lui écrivit saint Augustin, IX,
110.
GÈNES, ville d'Italie. Réponse de saint
Prosper d'Aquitaine à quelques propositions
des prêtres de Gênes, X, 300 et suiv. —
Concile tenu en cette ville, XIII, 617.
GENES (Saint), comédien, martyr à Rome,
n, 467, 468.
GENES (Saint), greffier à Arles. Son mar-
tyre, m, 87. — Histoire de son martyre rap-
portée par saint Paulin, évêque de Noie,
VIII, 82. Homélie sur le martyre de saint
Genès, qui est la cinquantième parmi celles
d'Eusèbe d'Emèse, est vraisemblablement
de saint Hilaire d'Arles, 439. L'histoire du
martyre de ce saint, attribuée au même
saint Hilaire, porte le nom de saint Paulin,
441. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. I, part. I, p. 423 et
suiv.)
GENÈS (Saint), martyr de Jérusalem.
Histoire de la translation de ses reliques, at-
tribuée à Talton, moine de Richenou, XII,
603.
GENÈSE, premier livre du Pentateuque.
Ce livre est certainement de Moïse ; cela est
prouvé par l'Ancien et le Nouveau Testa-
ment, I, 21. Ce que c'est que la Genèse, 34,
33. [Quatre livres de questions et de réponses
sur la Genèse, par Philonle Juif, 313, n. 1.]
Commentaire de saint Hippolyte sur la Ge-
nèse, 610. — Poëme sous ce titre attribué à
Tertullien, II, 67. Ouvrages d'Origène sur
la Genèse, 149. — [Paraphrase surla Genèse
par le poète Juvencus, III, 118. — Com-
mentaire sur la Genèse, composé par saint
Hilaire de Poitiers, IV, 7, n. 2. Fragment
de ce commentaire, 7.] Traité de Victorin
sur ces paroles de la Genèse : Du soir et du
matin se fit le premier jour, 328. — Dis-
cours de saint Jean Chrysostôme sur quel-
ques textes de la Genèse, VII, 78, 79. Soixan-
te-sept homéUes de saint Jean Chrysostôme
sur la Genèse, 142 et suiv. Huit discours de
ce Père sur la Genèse, 165 et suiv. Autres
discours de ce Père sur quelques endroits
de la Genèse, 168. Homélies sur la Genèse
faussement atribuées à ce Père, 203 et suiv.
Questions hébraïques sur la Genèse, ouvrage
V.*
410.
V. K
IV
ou Vsii
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
457
de saint Jérôme, 357, 558. — Poëme de
Claudius Marius Viclor [ou Victorin] sur la
Genèse, en trois livres, Ylïl, 420 et 421, et
X, 443, 444. — Commentaire sur la Genèse
atiribué à saint Eucher de Lyon, VIH, 452,
453. Le poëme en vers héroïques sur les six
premiers chapitres de la Genèse, imprimé
parmi les œuvres de saint Léon, n'est pas de
saint Hilaired'Arlesàquionl'aattribué, 441.
— Deux livres sur la Genèse contre les Ma-
nichéens, ouvrage de saint Augustin, IX, 54
et suiv. Livre imparfait sur la Genèse, ou-
vrage du même, 201, 202. Douze livres de
ce Père sur la Genèse à la lettre, 203 et suiv.
Questions sur la Genèse, ouvrage du même
Père, 209. Sermons de ce Père sur la Ge-
nèse,235. Questions surlaTrinité etsur la Ge-
nèse, ouvrage faussement attribué àsaint Au-
gustin, 286. — Questions de Théodoret sur
la Genèse, X, 26 et suiv. Ouvrage de Salvien
en vers, où était expliqué le commencement
de la Genèse, 377. — Scholies de Hésychius
sur la Genèse, XI, 657. — Commentaire du
Vénérable Bède sur les vingt premiers cha-
pitres de la Genèse et le commencement du
vingt-unième, XII, 7, 8. [Lettre du Véné-
rable Bède sur le commencement de la Ge-
nèse, 15.] Commentaire d'Alcuin sur la
Genèse, 167, 168. Explication de ces paro-
les : Faisons l'homme à noire image, 168.
[Deux ouvrages de Procope de Gaze sur la
Genèse, 178. Ce que contient le second de
ces ouvrages, 178 et 179. Il est traduit en
latin dans la Patrologie, 180. Scholies sur la
Genèse par Victor de Capoue, 303.] Com-
mentaire de Claude de Turin sur la Genèse,
351. Commentaire d'Anselme, moine de
Luxeuil, sur la Genèse, 442, 443. Commen-
taire sur la Genèse attribué à Werembert,
moine de Saint-Gai, 694. Commentaire de
Hcmi, moine d'Auxerre, sur la Genèse, 753,
754. — Opuscule de saint Pierre Damien,
qui contient l'explication de quelques en-
droits de la Genèse, XIII, 32. [Commen-
taire sur la Genèse intitulé : Problemata
de œnigmatibus ex tomis canonicis, par Paul
Diacre, 90, 91. Commeataire de Richard,
abbé de Préaux, sur la Genèse, 514.] — Mo-
rales de Guibert, abbé de Nogent, sur la Ge-
nèse, XIV, 195. Explication de la Genèse
par le moine Hervé, 403. Voyez Pentateuque.
GENÈSE (la Petite), attribuée à Moïse :
livre apocryphe, I, 139.
GÉNÉTHIOLOGIE , combattue par saint
Jean Chrysoslôme, VII, 429.
GÉNETHLIUS, évêque de Carthage. Con-
cile de Carthage auquel il assiste, IV, 647.
— Sa mort, IX, 12.
GÉNETHLIUS, intendant du domaine du
prince, assiste au concile de Chalcédoine,
X, 683.
GENEVIÈVE (Sainte), vierge. Sermon du
Vénérable Hildebert à l'honneur de sainte
Geneviève, XIV, 215. Le pape Eugène III
permet de mettre des chanoines réguliers de
Saint-Victor dans l'abbaye de Sainte-Gene-
viève, 272, 273 et 456. L'abbé Suger travaille
à cette réforme, 374. Abaillard ouvre une
école sur le mont Sainte-Geneviève près
Paris, 318. [Revelatio reliquiarum sancice Ge-
novefce, opuscule de saint Guillaume, abbé
de Saint-Thomas du Paraclet, 844.] Le pape
Adrien IV confirme l'établissement des cha-
noines réguliers de Sainte- Geneviève à Pa-
ris, 910. Règlement du pape Alexandre III
concernant les prébendes dont la cathédrale
de Paris était chargée envers l'abbaye de
Sainte-Geneviève, 926.
GENGOUL [ou GANGOLFE] (Saint), mar-
tyr à Varenne en Bourgogne. Ses Actes en
vers par Roswithe, religieuse de Ganders-
heim, XII, 877. — Relation des miracles
opérés par son intercession, écrite par Gou-
zon, abbé de Varenne, XIII, 233. [Église
fondée en son honneur par saint Gérard,
évêque de Toul, 183.]
[GENIN. Sa traduction française des let-
tres de saint Basile, de saint Grégoire de Na-
zianze et de saint Jean Chrysostôme, IV,
547.]
GÉNIAL, jovinianisle^ condamné par le
pape saint Sirice, IV, 632.
GENNADE, prêtre et abbé d'un monastère
à Constanlinople. Lettre que lui écrit saint
Cyrille d'Alexandrie, VIII, 206 et 404.
GENNADE I" (Saint), patriarche de Cons-
tanlinople. Éloge qu'en ont fait les anciens
qui ont parlé de lui, X, 343. Il se déclare ^gj^^^sg
avec beaucoup de vivacité contre saint Cy-
rille d'Alexandrie, 343 et 345. Il se réunit
ensuite avec lui, 343. Il est élu évêque de ^^g
Constantinople, 343 et 344. Son zèle pour la
foi cathoMque et le maintien de la discipline,
344. II tient un concile à Constantinople
contre la simonie, 344 et 710, 711. Vision
qui lui annonce les maux de l'Église, 345. Sa y ^-ji.
mort. Ses écrits, 345. [Fragments nouveaux:
Son épître à tous les métropolitains et au pape
de Rome ; ses Fragments dogmatiques, 346.
Édition de ses écrits dans la Patrologie, 345
438.
V. 460.
458
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
et 346.] — Lettre que lui écrit le pape saint
Léon au sujet de Timothée-Élure reçu à
Constantinople, X, 238.
GENNADE II, patriarche de Constanti-
nople. Voyez Georges II Scholarius.
V siècle. GENNADE, prêtre de l'Église de Mar-
seille. Ce qu'on sait de lui, X, 600. Ses ou-
vrages, 600 et suiv. Livres des Écrivains ec-
clésiastiques, 600, 601. Traité des Dogmes
ecclésiastiques, 60i. Analyse de ce traité, 601
et suiv. Jugement sur ses écrits, 605, 606.
Autres écrits de Gennade. Jugement sur son
style, 606. [Éditions de ses écrits, 601 et606.
Son commentaire sur l'Apocalypse, 606,
n. 6.] — Avis de Florus sur le livre de Gen-
nade touchant les Dogmes ecclésiastiques,
XII, 499. (Voyez son article dans VHistoire
littéraire de la France, t. II, p. 632 et suiv.)
590. GENNADE, patrice, exarque de la province
d'Afrique. Deux lettres que lui écrit le pape
saint Grégoire le Grand, XI, 486.
XII siècle. [GÉNOIS. Démêlé des Génois eldes Pisans,
XIV, 234.]
[GENOUDE (l'abbé de), a traduit en fran-
çais, 9 vol. in-8'', les Pères des premiers
siècles; il est cité souvent dans les trois
premiers volumes.]
GENS DE BIEN. Ils sont toujours en hon-
neur et en crédit même en ce monde, X,
661.
GENS DE- GUERRE. Lettre de Ferrand,
diacre de Carthage, sur la manière dont doi-
vent vivre les gens de guerre, XI, 86 et suiv.
Précautions employées par Cassiodore pour
les contenir dans le devoir, 219.
GENSÉRIC, roi des Vandales en Afrique,
455. vient assiéger Hippone, IX, 21. — Il prend
Carthage, X, 66 et 449, et XI, 1. — Appelé
ensuite par l'impératrice Eudoxie pour pren-
dre Rome, la pille, mais à la prière du pape
saint Léon, il s'abstient des incendies et des
meurtres, X, 170. Il persécute l'Église ca-
tholique, 449 et suiv. Fait mourir le comte
Sébastien ; pille Rome, 450. Suite de sa per-
sécution, 451, 452. Sa mort, 432.
GENTILLY près Paris. Concile convoqué
en ce lieu par le roi Pépin, XIII, 616.
GENTILS. Livres de Tertullien aux Gen-
tils, ouvrage de ce docteur avant sa chute,
II, 20 et suiv. Gentils mis au rang des caté-
chumènes dans le cas de maladie : trente-
neuvième canon du concile d'Elvire, 609.
[Poëme contre les Juifs et les Gentils, attri-
bué à Commodien, 149 et suiv.] — Discours
de saint Athanase contre les Gentils, IV, 103
et suiv. ' — Le traité de la vocation des Gen-
tils n'est pas de saint Ambroise, V, 512. —
Doctrine de saint Éphrem sur l'élection des
Gentils, VI, 60, 61. — Traité de saint Jean
Chrysostôme contre les Juifs et les Gentils,
VII, 46 et suiv. Traité contre les Juifs, les
Gentils et les hérétiques, faussement attribué
à ce Père, 56. Livre de saint Jean Chrysos-
tôme sur saint Babylas, intitulé : Contre Ju-
lien et contre les Gentils, 91, 92. — Les li-
vres de la Vocation des Gentils sont attribués
à saint Hilaire d'Arles, VIII, 441. Traité con-
tre les Gentils, par saint Isidore de Péluse ;
sujet de ce traité qui ne se trouve plus, 479.
— Manière de recevoir les Gentils lorsqu'ils
se présentaient à l'égUse, X, 12. Notice et
analyse des livres de la Vocation des Gentils
dont l'auteur est inconnu, 240 et suiv. Voyez
Païens.
GEOFFROI, évêque d'Angers, étant clerc
de cette église, avait attaqué Bérenger qui
était revenu à ses erreurs, XIII, 171. Il suc-
cède à Brunon, évêque d'Angers, 275.
GEOFFROI I", évêque de Chartres, obligé
de se démettre de l'épiscopat, est rem-
placé par Yves, XIII, 426. — Il fut deux fois
déposé et deux fois rétabli ; obligé enfin de
renoncer à l'épiscopat, Yves est élu à sa
place ; rétabli par le concile d'Étampes, XIV,
91. Se maintient dans une partie du diocèse,
100.
GEOFFROI II, évêque de Chartres, suc-
cède à Yves ; ses liaisons avec Geofifroi, abbé
de Vendôme, XIV, 162. Il confirme tous les
droits et exemptions accordés par ses prédé-
cesseurs à l'abbaye de la Tinnité de Ven-
dôme, 162 et 170. Lettres de saint Bernard
qui lui sont adressées, 430. Témoignage que
saint Bernard rend à son désintéressement,
464, 465.
GEOFFROI DE CHAMPLEMART, évêque
d'Auxerre. Sa mort, XII, 463. Sa Vie, écrite
par Rodon, chanoine de la cathédrale, 463
et 464.
GEOFFROI DE MALATERRE. Ce qu'on
sait de sa personne ; son Histoire de la con-
quête de la Calabre, de la Pouille et de la
Sicile par les princes normands, XIII, 508.
Différentes éditions qu'on en a faites, 508 et
309. Traduction de cette Histoire en langue
romaine, attribuée à Atlou, moine duMont-
Cassin, 493 et 509. (Voyez son article dans
VHistoire littéraire de la France, t. VIII, p. 481
et suiv.)
GEOFFROI, comte de Ribemont, fils d'An-
f
I
1081.
1091.
1116
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
439
selme, confirme toutes les fondations ftiites
par son père, XIII, 513.
GEOFFROl BABION, scliolastique d'An-
gers , auteur de quelques écrits. (Voyez
Histoire littéraire de la France, t. IX, p.
520.)
GEOFFROl, abbé de la Trinité de Ven-
dôme. Sa naissance et son éducation; il em-
brasse la vie monastique au monastère de
Vendôme dont il est élu abbé sur la démis-
sion deBernon, XIV, 139. Il va à Rome por-
ter au pape Urbain II des secours d'argent
au moyen desquels ce pontife rétablit son
autorité à Rome, 139 et 160. H reçoit le pape
Urbain à Vendôme, 160. Son second voyage
à Rome ; il fait confirmer les privilèges de
son abbaye ; ses liaisons avec les papes Pas-
challl etCalliste II ; Honoriusll lui confirme
et à ses successeurs la possession de Sainte-
Prisque à Rome ; il est un des arbitres que
prend Louis VI pour terminer son diflerend
avec Foulques, comte d'Anjou, 160. Sa mort ;
son éloge, 160 et 161. Ses lettres eia cinq li-
vres, 161 et suiv. Son traité du Corps et du
Sang du Seigneur, 166. Traité de l'Ordina-
tioa des évoques et de l'investitare des laï-
ques, 166, 167. Traité des Investitures que
les rois peuvent donner ; traité des Dispen-
ses ; traité desQualités de l'Église, 167 ; traité
de l'Arche d'alliance et delà sortie d'Egypte,
167 et 168. Traité du Baptême, de la Confir-
mation, de l'Eucharistie et de l'Onction des
malades ; traité de la Réitération des sacre-
ments; traité de la Bénédiction des évoques,
168. Traité de la Manière de se comporter
dans le chapitre, 168 et 169. Traité des Ver-
tus nécessaires aux pasteurs. Discours entre
Dieu et le pécheur. Hymne de Geoffroi de
Vendôme. Ses sermons. Traité des Investi-
tures, 169. Jugement sur les ouvrages de
Geoffroi; éditions qu'on en a faites, 169 et
170. — Service important qu'il rend au pape
Urbain II, en lui procui'ant les moyens de
rentrer dans Rome ; le pape lui confirme et
à ses successeurs le titre de cardinal du litre
de Sainte-Prisque, Xlll, 428. — Lettres que
lui écrit Yves de Chartres sur la bénédiction
des moines, XIV, 103 et 103. [Autre lettre
que lui écrit cet évêque, 121.] (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. XI, p. 177 et suiv.)
[GEOFFROl, archevêque de Dol. Le pape
Innocent II lui écrit, XIV, 263.]
GEOFFROI LE GROS, moine de Tiron,
Voyez Galfrède.
GEOFFROI DE LORIOLE ou DE LOROUR,
archevêque de Bordeaux, succède à Gérard
d'Angoulême; il assiste à plusieurs conciles.
Sa mort. Lettre que lui écrit saint Bernard
pour l'engager à s'opposer au schisme. Ses
lettres imprimées avec celles de l'abbé Su-
ger. Ses sermons. Commentaires sur les cin-
quante premiers psaumes qu'on lui attribue,
XIV, 409. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. XII, p. 341 et
suiv.)
GEOFFROI DE BRETEUIL, chanoine ré-
gulier de Sainte-Barbe en Neustrie, puis
abbé. Ses lettres, XIV, 409, 410.
GEOFFROI, archevêque de Rouen. Sa
mort; Hugues lui succède, XIV, 600.
GEOFFROI, abbé de Saint-Médard de
Soissons, est élu évêque de Châlons-sur-
Marne, XIV, 420. [Notices sur Geolïroi et ses
chartes dans la Patrologie, 420, n. 2.] (Voyez
son article dans l'Histoire littéraii'e de la
France, t. XII, p. 183 et suiv.)
GEOFFROI, prieur de Clairvaux, élu évê-
que de Langres, XIV, 438.
GEOFFROI, moine de Clairvaux, secré-
taire de saint Bernard, puis abbé d'Igny ; ses
Déclamations prises de divers endroits des
sermons de saint Bernard ; éditions qu'on en
a faites sous le nom de saint Bernard, XIV,
491. Il continue la Vie de saint Bernard,
commencée par Guillaume de Saint-Thierry,
et fait un discours à sa louange, 491 et 494.
[Jugement sur la vie de saint Bernard,
403 , n. 1. ] Il abandonne son monastère
et se retire à Fosse-Neuve en Italie; ses
ouvrages, 494. [Ses écrits dans la Patro-
logie, 494.]
GEOFFROI, comte, excommunié pour
avoir répudié sa femme; lettre du pape
Adrien IV à son sujet, XIV, 917.
[GEOFFROI de Reims. Son écrit intitulé :
Somnium de Odone Aurelianensis, XIV, 77.]
[GEOFFROl ou GAUFRIDUS, sous-prieur
des chanoines de Sainle-Barbe. S'il est dis-
tinct de Godefroi ou Geoffroi, chanoine de
Saint-Victor, XIV, 811, 812. Ce qu'on sait
des circonstances de sa vie, 812. Ses lettres,
812 et suiv. Édition de ces lettres dans la
Patrologie, 818.]
[GEOFFROI ou GAUFRIDUS, chanoine de
Saint-Victor, XIV, 811, 812. Ce qu'on sait
des circonstances de sa vie ; ses lettres, 812.
S'il est distinct de Geoffroy, sous-prieur de
Saint- Victor, 811. Il parait ne faire qu'un
seul et même personnage, 811 et 812.]
1136.
II 58.
XII siècle.
1131.
H62.
1165.
XII siècle.
Xir siècle.
XII siècle.
460
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
xa siècle. [GEOPFROI ou GODEFROI DE VITERBE.
Ce qu'oïl sait des circonstances de sa vie,
XIV, 742. Il fut évêque de Viterbe, 742, n. 3.
Son Panthéon; ce que c'est; éditions de
cet écrit. Son Spéculum regum, 742.]
[GEOPPROI DE WATERFORD, domini-
cain. Sa traduction française de VElucida-
mm d'Honoré d'Autun, XIV, 295.]
[GEOFFROI, archevêque d'York, accusé
et privé de l'exercice de ses fonctions parle
papeCéIestinin,XIV, 942.]
[GEOFFROI DE MONMOUTH. Sa traduc-
tion latine des prophéties de Merlin, XIV,
873.]
GÉOGRAPHIE. Auteurs indiqués par Cas-
siodore sur la géographie, XVI, 232, 233.
GÉOMÉTRIE. Deux livres de Boëce sur la
géométrie, X, 664. — Ce que Cassiodore dit
delà géométrie, XI, 236, 237. Traité de géo-
métrie, par Cassiodore, 242. — Autre, par
Gerbert, XIV, 903.
GEORGE (Saint), martyr. Son éloge, par
Fortunat, XI, 404. — Discours sur ce saint,
attribué à André de Crète, XII, 58. Faux
Actes de saint Georges condamnés à Rome,
S9. [Huit hymnes en son honneur, par saint
Jean Damascène, 89. Les deux martyres de
saint Georges, ouvrage prohibé par saint Ni-
céphore, patriarche de Constantinople, 297.]
— Sermon de saint Pierre Damien sur saint
Georges, XIII, 308. — [Sermon sur saint
Georges, par Zacharie, évêque d'un siège
inconnu, XIV, 402.] — Sermon de Guil-
laume d'Auvergne sur sa fête, XIV, 1027.
IV siècle. GEORGE , arien , s'empare du siège
d'Alexandrie, II, 575. — Il avait été déposé
du sacerdoce par saint Alexandre, III, 107.
Il dépouille les temples des faux dieux de
leurs ornements et de leurs richesses, 412.
— Auxence de Milan, complice des maux
faits par George, usurpateur du siège
d'Alexandrie, V, 93. Il ordonne de nouveau
Théodore évêque d'Oxyrinque, 154. Témoi-
gnage de saint Grégoire de Nazianze, 216.
— Témoignage de Tliéodoret, X, 45.
GEORGE, évêque de Laodicée, fait assem-
bler un concile à Ancyre contre Aëtius, IV,
550. Il assiste à l'intronisation d'Eudoxe, 574.
GEORGE, ami de saint Grégoire de Na-
zianze. Épigramme de saint Grégoire en son
honneur, V, 299.
GEORGE, diacre pour qui saint Grégoire
écrit à Astère, V, 255.
GEORGE DE PASPASE, condamné par
saint Grégoire de Nazianze, V, 261.
620.
630.
V. 630.
GEORGE, moine, trouble la Cappadoce
par ses écrits et ses prédications, X, 227.
GEORGE, disciple de saint Jacques de
Batna, fait son éloge après sa mort, X, 643.
GEORGE, surnommé Arsan, paulînianiste,
XII, 922.
GEORGE PISIDÈS, diacre et garde-chartes "Vn sièci
de l'Église de Constantinople. Ses vers contre
Philoponus; son poëme sur l'Hexaméron;
autre poème sur la vanité de la vie liumaine ;
fragments qui restent de ses autres ouvrages.
Poëme sur le temple de la Mère de Dieu à
Constantinople; autres poëmes qui sont per-
dus, XI, 653. DiËférents discours qu'on lui a
attribués sont d'un autre George, qui vivait
au ix° siècle, 653 et 654. [Édition de ses
écrits dans la Patrologie. Écrits nouveaux,
654.]
GEORGE, frère de saint Jean Climaque,
est établi à sa place abbé du Mont-Sinaï, XI,
678.
GEORGE, patriarche d'Alexandrie, suc-
cède à saint Jean l'Aumônier. Sa mort. Il
écrit la Vie de saint Jean Chrysostôme. Idée
de cette Vie ; éditions qu'on en a faites, XI,
699.
GEORGE, abbé de Saint-Théodose. Lettre
que lui écrit le pape saint Martin, XI, 750.
GEORGE, patriarche de Constantinople,
monothélite, XII, 946. Il abandonne le mo-
nothélisme dans le sixième concile général,
948.
GEORGE, évêque de Syracuse. Lettre que
lui écrit le pape Vitalien au sujet de Jean,
évêque de Lappa, XI, 782.
GEORGE, évêque de Tagrit. Ce qu'on con- vit siècn
naît de ses écrits, XII, 100.
GEORGE, évêque des Arabes. Ses ou- viitsiècii
vrages, XII, 102.
GEORGE Syncelle, est proposé pour suc-
céder au patriarche Taraise sur le siège de
Constantinople. Sa Chronographie, ce que
c'est. Il charge l'abbé Théophaue delà con-
tinuer, XII, 155. Éditions qu'on en a faites.
Ce que George eut à soufl'rir des Icono-
clastes, 156. [Il est différent de George Ha-
martole, 799, n. 1.]
GEORGE, abbé d'Aniane. Lettre que lui
écrit saint Benoît d'Aniane, XII, 260.
GEORGE, surnommé Hamartole, c'est-à-
dire pécheur, était un moine grec qui vivait
dans le ix" siècle. Sa Chronique depuis la
création du monde jusqu'à l'empereur Mi-
chel, fils de Théophile ; quoiqu'elle ait beau-
coup servi aux chronologisLes qui sont
VII slticl.
806.
821.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
Â6i
venus depuis lui, elle n'a pas été imprimée,
XII, 423. [Elis a été imprimée à Saint-Péters-
bourg en 18S9par Edouard de Muralto, 423,
n. 2;e]le est reproduite au tome CXde la Pa-
trologie grecque, avec traduction laline, faite
par les éditeurs de la Patrologie. Elle y est
précédée de prolégomènes dus aux éditeurs.
La Chronique est en huit livres : les quatre
premiers sont l'œuvre de George, et les
autres sontdeSiraéonLogothète et de quel-
ques auteurs anonymes. Elle s'étend depuis
la création du monde jusqu'en 840 : c'est la
partie faite par George; l'autre partie va
jusqu'à l'an 1143. Fragment de George sur
la science des barbares, 423.]
GEORGE (Saint) martyr en Espagne. Ses
reliques apportées à Paris, XII, 6H. Histoire
de cette translation, 701.
GEORGE, archevêque et métropolitain de
Nicomédie, partisan de Photius. Il n'est pas
différent de George Chartophylax ou garde
des chartes de la grande église de Constan-
tinople. Ses homélies, XII, 733. Différentes
lettres de Photius qui lui sont adressées,
72S, 728, 433. [Édilion dans la Patrologie
des discours et fragments qui nous restent
de George, 733, 736.]
GEORGE, moine. Sa Chronique, XII, 799.
[Elle est reproduite au tome GIX de la Pa-
trologie grecque.]
GEORGE CEDRENE, moine grec. Sa
Chronique. Différentes éditions et traduc-
tions qu'on en a faites, XIII, 560. [Elle est
reproduite au tome CXXP et au commence-
ment du tome CXXIP de la Patrologie grec-
que, d'après l'édition de Fabrotti, avec les
notes de Xilander et de Goar, mises au bas
des pages et non à la fin du volume comme
dans les autres édifions.]
GEORGE, métropohtain de Corfou. Lettre
qu'il écrit à l'empereur Frédéric Barbe-
rousse pour le détourner d'attaquer l'île de
Corfou. L'empereur Manuel Ducas le charge
de mettre l'île en état de défense. Il est dé-
puté au concile tenu à Rome par le pape
Alexandre III. Une maladie l'empêche d'y
assister, XIV, 652. Ses lettres à Siméon, pa-
triarche d'Antioche ; à Jean, notaire de l'em-
pereur; et à Nectaire, abbé de Casules,652,
653. Monodiesurla mort de Nectaire; sa lettre
à Athanase, patriarche de Jérusalem, 633.
GEORGE XIPHILIN, grand trésorier de
l'Église de Contantinople, en est élu patriar-
che à la place de Dosithée, XIV, 826.
GEORGE II, surnommé Scholarius et Gen-
nade, patriarche de Constantinople, cite un
passage de saint Grégoire de Nysse pour
prouver que le Saint-Esprit procède du Fils
comme du Père, VI, 231. — Il traduit en
grec la Logique de Piei're Alphonse, XIV,
172.
GEORGE DE TRÉBIZONDE. Sa traduc-
tion latine des livres d'Eusèbe , de la Pré-
paration évangélique ; elle est défectueuse,
III, 313. [Sa traduction latine de la Vie de
Moïse, écrite par saint Grégoire de Nysse,
VIII, 441.] — Il n'est pas le traduc-
teur de la Vie de l'ermite Barlaam, XII,
87.
GEORGE, moine de Breteuil, auteur d'un
commentaire sur l'Exode. (Voyez ce qu'il en
est dit dans VHistoire littéraire de la France,
t. XII, p. 449.)
GEORGE (le père), capucin. Son com-
mentaire sur les ouvrages de Tertullien, II,
83.
GEPPAN. Lettre de saint Boniface qui lui
est adressée, XII, 50.
GÉRALD ou GÉRARD, archevêque de Nar-
bonne. Voyez Gérard.
[GERANDO (De). Ouvrage deNémésiussur
la nature de l'homme jugé par de Gérando,
VI, 283. Son appréciation raisonnée sur
Guillaume d'Auvergne, XIV, 1031, 1032.]
GÉRARD (Saint), confesseur : sa Vie écrite
par saint Grégoire de Terracine, XIII, 498.
GÉRARD ou GÉRALD, s'empare de l'ar-
chevêché de Narbonne. Lettre du pape
Jean X à son sujet, XII, 744 et 792, 793.
GÉRARD, doyen de Saint-Médard de Sois-
sons, auteur d'une Vie de saint Romain et
d'une Vie de saint Rémi, archevêque de
Rouen. (Voyez ce qui en est dit dans VHis-
toire littéraire de la France, t. VI, p. 277 et
suiv.)
GÉRARD (Saint), évêque de Toul. Durée
de son épiscopat, XIII, 236. Analyse de sa
vie par l'abbé Widric, 236 et 237. La bulle
de sa canonisation est souscrite dans un
concile de Rome, 183 et 201. Translation de
ses reliques faite par le pape saint Léon IX,
201 et 236. Sa Vie écrite par Widric, abbé
de Saint-Èvre, avec la relation de ses mi-
racles et l'Histoire de la translation de ses
rehques, 183 et 237. Office pour la fête de
la translation des reliques de saint Gérard,
237. — Saint Gérard est mis au nombre des
saints par saint Léon IX, XIV, 1038.
GÉRARD ou GÉRAULT, moine de Fleury.
Voyez Gérauld.
922.
963-994.
1050.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
462
[GÉRARD d'ALSACE, frère du pape saint
Léon IX, XIII, i99, note 4.]
1012-1013. GÉRARD I, évêque de Cambrai, est ins-
truit dans l'école de Reims, puis devient
chapelain du roi Henri qui le fait évêque
d'Arras et de Cambrai après la mort d'Al-
cuin, XIII, 159. [Sa notice dans la Pairo-
logie, 1S9, note 6.] II fonde plusieurs monas-
tères. Divers conciles auxquels il a assisté.
1033. Il désapprouve les règlements de la Trêve
1051. de Dieu. Date de sa mort, 160. Actes du
1025. concile d'Arras, dans laquel il confondit des
Manichéens venus d'Italie dans son diocèse,
160 el suiv. Analyse de ses actes: comment
Gérard réfute les erreurs des novateurs sur
le sacrement de Baptême, 160, 161 ; sur celui
de l'Eucharistie, 161; sur la sainteté des
éghses, 161 et 162; sur le Mariage; sur
d'autres points de doctrine. Sentence pro-
noncée par le concile contre les erreurs des
Manichéens, 162. Lettres de Gérard, 163.
Son sentiment sur le jeune des Quatre-Temps
du Carême, 164. Année de sa mort, 480. —
Concile où il confond les Manichéens, XIV,
1040. (Voyez son article dans l'Histoire lit-
léraire de la France, t. VU, p. 431 et suiv.)
1076. GÉRARD II, évêque de Cambrai, succède
à saint Lietbert. Ce qu'on sait des circons-
tances de sa vie. Sa mort. Il fut le dernier
qui gouverna les évêchés de Cambrai et
d'Arras réunis. Ses statuts pour les moines
de Saint-Guillain. La démissoire qu'il ac-
corde à Baudri, XIII, 480. [Charte de fon-
dation faite par lui, 480.] (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
VIII, p. 336 et suiv.)
GÉRARD, légat du Saint-Siège, assemble
un concile à Tours contre Bérenger, XIII,
169.
XI siècle. GÉRARD, élu évêque de Sisteron par Hu-
gues, abbé de Cluny, et ordonné par le pape
Nicolas II, Xlll, 247.
GÉRARD, évêque de Florence, élu pape,
prend le nom de Nicolas II, XIII, 243. Voy.
Nicolas 11.
GÉRARD, archevêque d'York : sa mort.
Thomas lui succède, XIV, 8. (Voyez son arti-
cle dans l'Histoire littéraire de la Finance, t.
IX, p. 376 et suiv.)
11(30. GÉRARD, chef d'une secte d'hérétiques,
condamné par un concile d'Oxford , XIV,
1128.
GÉRARD, chanoine régulier, cardinal, élu
pape sous le nom de Lucius II, XIV, 268.
Voyez Lucius II.
[GÉRARD, évêque d'Angoulême : sa let-
tre sur le schisme d'Anaclet el d'Innocent II,
XIV, 184.]
[GÉRARD, abbé de Saint-Maximin de
Trêves, accusé de simonie et de dilapidation.
Sa déposition et sa mort, XIV, 26S.]
[GÉRARD, prévôt de Bonn. Le pape Inno-
cent HI lui écrit, XIV, 266.]
[GÉRARD (Hector), évêque de Cahors : ce
qu'on sait des circonstances de sa vie. Sa
lettre à l'empereur Frédéric, XIV, 822.]
GÉRASIME, anachorète, XI, 273, 274.
GÉRAULD (Saint), comte d'Aurillac : sa
Vie écrite par saint Odon, abbé de Cluny,
XII, 806, 807. Il a fondé le monastère d'Au-
rillac, 793.
GÉRAULD ou GÉRARD, moine de Fleury,
disciple de saint Abbon : ses poésies, XIII,
35. (Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire
littéraire de la France, tome VI, p. 438 et
suiv. et tome VII, p. 183 et suiv.)
GÉRAULD, cardinal évêque d'Ostie, pré-
side au concile de Poitiers tenu contre Bé-
renger, XIII, 170.
GÉRAULD, écolâtre de Ratisbonne, fait
avec Ulric le voyage de Rome, puis se fait
moine à Cluny, XIII, 470.
GÉRAULD ou GÉRARD (Saint), abbé de
la Sauve-Majour, est offert par ses parents
à l'abbaye de Saint-Pierre de Corbie. Il ac-
compagne Foulques, son abbé, dans son
voyage à Rome. Il est choisi abbé de Saint-
Vincent de Laon, puis de Saint-Médard de
Soissons. Il fonde le monastère de la Sauve-
Majour. Sa mort. Le pape CélestinlII le met
au catalogue des saints, XIII, 485. Il retou-
che la Vie de saint Adalhard, abbé de Cor-
bie, écrite par saint Paschase Radbert, 485 et
486. Poésies, etc., qu'il faiten l'honneur du
même saint. Mémoire et statuts pour son
abbaye. Vie de saint Gérauld, écrite par un
moine anonyme, 486. — Vie de saint Adal-
hard, abbé de Corbie, composée par saint
Paschase Radbert et abrégée par saint Gé-
rauld, qui y ajoute l'histoire de ses miracles,
XII, 544. (Voyez son article dans l'Histoire
Ultéraii^e de la France, tome VIII, p. 407.)
GÉRAULD DE LA VENNE, disciple de
saint Robert, abbé de La Chaise-Dieu, écrit
sa vie. Cet ouvrage est revu par Marbode,
XIV, 227. (Voyez ce qui en est dit dans
l'Histoire littéraire de la France, tome VIII,
p. 21 et 22.)
GERBAUD, évêque de Liège. Voyez Ga-
ribalde.
\
1199.
1075.
1080.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
•463
GERBELIUS. Son édition des œuvres
d'Hermas, I, 338.
GERBERGE, reine de France, femme de
Louis d'Outremer, engage Adson à écrire
sur l'Antéchrist, XII, 885.
GERBERON (Gabriel), bénédictin. Son
édition des œuvres de saint Anselme. Corps
de doctrine tiré des œuvres de ce père, par
le même, XIV, M. Son apologie de l'abbé
Rupert, 291. Sa traduction française des
livres de saint Augustin et de saint Bernard
de la Grâce et du libre arbitre, 500.
GERBERT, archevêque de Reims, et de-
puis pape sous le nom de Sylvestre II, XII,
901 et suiv. [Auteurs à consulter sur Syl-
vestre II, 901, note 6.] Ses commencements,
901. Il devient archevêque de Reims après
la déposition d'Arnoul; chassé de ce siège,
il se i-etire auprès de l'empereur Othon III,
qui le fait archevêque de Ravenne. 11 est élu
pape après la mort de Grégoire V, à qui il
succède. Sa mort, 902. Ses écrits sur l'arith-
métique, et sur la sphère et la géométrie ;
sur la dialectique, 903, 904. Traité du corps
et du sang du Seigneur, 904. Cantique sur
le Saint-Esprit qu'on lui attribue. Son dis-
cours au concile de Mouson contre Arnoul,
son compétiteur à l'archevêché de Reims,
905. Discours sur les évoques, 905 et 906.
Lettres de Gerbert : éditions qu'on en a
faites. Remarques sur ces lettres, 906. Ana-
lyse des principales, 906 et 907. Profession
de foi de Gerbert, 907. Vies de quelques
saints attribuées à Gerbert, 910. Jugement
sur ses écrits, 910 et 911. [Édition de ses
écrits dans la Patrologie, 902, 903. Sa lettre
à Etienne, duc de Hongrie, 909, 910. Autres
lettres et privilèges, 910. Jugement sur ce
pape, 911.] Lettre écrite à Gerbert par le
pape Grégoire V, 900. — Livre de la dignité
sacerdotale, dont Gerbert est l'auteur, V,
511. — Il compose envers héroïques l'éloge
du philosophe Boèce, X, 650. — Lettre que
lui écrit Adelbold, évêque d'Utrecht, XIII,
75. Il est l'auteur d'un traité anonyme sur
l'Eucharistie, 173. Son élection pour le siège
de Reims, 761, 762. Elle est contestée. Il
lait son apologie au concile de Mouson. II
est déposé au concile de Reims, 762. Il est
fait archevêque de Ravenne. Concile qu'il y
tient, 763. [M. OUeris, doyen de la faculté
des lettres de Clermont, a publié récemment
les œuvres de Gerbert.] (Voyez son article
dans VHistùire littéraire de la France, t. VI,
p. 579 et suiv.)
[GERBERT, bénédictin, pubhe dans les
Scriptores de Musica le traité de la Musique,
par Rémi d'Auxerre, XII, 759, n. 9. Deux
écrits sur la musique par Hucbald, 802.
Deux écrits sur la même matière par saint
Odon de Cluny, 806 et 809.]
GERDAG, évêque d'Hildesheim : sa mort.
Saint Bernouard lui succède, XIII, 66.
[GÉRÉON (Saint), martyr de la légion thé-
baine. Relation de la translation de ses re-
liques par Rodulphe, abbé de Saint-Trond,
XIV, 241. Leurs actes, d'après Hélinard,
moine de Froidmont, 898, 899.]
GERFROI, moine de Flavigny, accusé
d'avoir empoisonné Adalgaire, évêque d'Au-
tun : comment il s'en justifie, XIV, 734.
GERGÉSÉENS, peuple dont le nom est
confondu avec celui des Géraséniens, II, 210.
GERHARD, archevêque de Lorche, reçoit
le pallium du pape Léon VU , XII, 828. Il
consulte ce pape sur diverses questions.
Réponse de Léon adressée aux évêques des
Gaules et de l'Allemagne, 828 et 829. Son
différend avec Hérolde, archevêque de Salz-
bourg, réglé par le pape Agapet II, 830.
GERLAND, homme savant. Lettre que
Hugues de Metellus lui écrit pour le faire
revenir de l'erreur de Bérenger dans laquelle
il avait donné, XIV, 366, 367. Il est différent
de Gérard à qui une autre lettre de Hugues
est adressée, 365. Son Comput ecclésias-
tique conservé manuscrit, 367.
GERLAND, chanoine régulier de Saint-
Paul, à Besançon, auteur d'un traité de théo-
logie intitulé : Chandelle évangélique, XIV,
406. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. XH, p. 275 et suiv.)
GERMAIN, évêque d'Egypte. Réponse de
saint Denys d'Alexandrie aux calomnies de
cet évêque, II, 409.
GERMAIN (Saint), martyr de Palestine,
m, 10.
GERMAIN, évêque deNapIes ouNaplouse,
en Palestine, assiste au concile de Néocé-
sarée, II, 640.
GERMAIN, prêtre de Constanlinople, en.
voyé vers le pape saint Innocent. Il va de là
en Afrique, où il porte une lettre de ce pape,
VU, 512.
GERMAIN (Saint), évêque d'Auxerre, est
envoyé dans la Grande-Bretagne par le pape
saint Célestin, VIII, 145. Saint Hilaire d'Arles
va le voir à Auxerre, 436. — Son voyage à
Ravenne où il est reçu avec affection de saint
Pierre Chrysologue, X , 7. Il est envoyé en
992.
X siècle.
XII siècle.
XII siècle.
III siècle.
308.
429.
1
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
V. 496.
555.
Angleterre avec saint Loup de Troyes pour
y défendre la doctrine de la grâce de Jésus-
Christ, 667. Député par les évéques des
Gaules dans la Grande-Bretagne, conjointe-
ment avec saint Loup, pour combattre les
Pélagiens, 356. Il y guérit une fille aveugle,
337. Sa Vie écrite par le prêtre Constance,
400, et XII, 640 ; et par le moine Éric ou Hei-
ric, XI, 324, et XII, 640. Recueil de ses mira-
cles par le même, 640. — Lettres du pape
Innocent III au sujet des démêlés de l'abbaye
de Saint-Germain d'Auxerre avec l'évêque
d'Auxerre, XIV, 959. (Voyez l'article de saint
Germain d'Auxerre dans l'Histoire littéraire
de la France, t. II, p. 256 et suiv.)
GERMAIN, parent et ami de Gassien, vi-
site avec lui la Thébaïde, VIII, 147, 148.
GERMAIN, diacre de Constantinople, est
chargé de citer Eutyçhès ; il fait un rapport,
X, 671.
GERMAIN (Saint), évêque de Capoue, en-
voyé légat à Constantinople par le pape Hor-
misdas, X, 621. Instructions qui lui sont
données et à ses collègues, 622, 623. Rela-
tion de leur voyage, 623, 624. Germain
mande au pape le succès de salégation, 624,
625. — Autre mention de cette légation, XI,
475. Saint Benoît voit l'âme de ce saint évê-
que monter au ciel, 823.
GERMAIN (Saint), évêque de Paris. Sa
naissance, ses commencements ; il est fait
évêque de Paris , différents conciles auxquels
il présida ou fut présent; il fait la dédicace
de l'église de Sainte-Croix, nommée depuis
Saint-Vincent et aujourd'hui Saint-Germain,
XI, 307. Il excommunie le roi Chéribert ou
Charibert pour ses débauches, 307 et 394.
Sa lettre à la reine Brunehaut pour l'enga-
ger à porter à la paix les rois Chilpéric et
Sigebert, 307, 308. Mort de saint Germain,
308. La liturgie qui porte son nom est véri-
tablement de lui, 308 et 309. Analyse de
cette litiirgie, 309 et suiv. Sa lettre à Fla-
mir, abbé de Chinon en Touraine ; privilège
qu'il accorde au monastère de son nom à
Paris, 311. [Édition des écrits de saint Ger-
main et sa Vie dansla Patrologie, 307, n. 10.]
Son voyage à Poitiers ; quelle en fut l'occa-
sion ; il bénit Agnès que sainte Radégonde
avait faite abbesse de son monastère, 316. Il
excommunie le roi Charibert pour deux ma-
riages contractés du vivant de son épouse
avec deux soeurs, 394. Sa Vie parFortunat,
411. — Ses miracles écrits par le moine
Aimoin, XII, 701, 702. Discours en l'hon-
neur de ce saint, attribué au même, 702. —
Authenticité de sa liturgie, XIII, 11, 12.
GERMAIN-DES-PRÉS (SAINT-). Depuis
quand l'église de Saint-Germain-des-Prés
porte ce nom ; temps de sa fondation et de
sa dédicace, XI, 307. Privilège accordé à
cette église par saint Germain, évêque de
Paris, 307 et 311. Ce privilège, attaqué par
M. de Launoy, est défendu par M. de Valois
et de Quatremaires, 511. Fondation de cette
abbaye sous le nom de Saint-Vincent par le
roi Ghildebert, 883, 884. (Voyez l'article de
saint Germain de Paris dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. III, p. 310.)
GERMAIN I" (Saint), patriarche de Cons-
tantinople, auparavant métropoUtain de Cy-
sique, succède à Jean, XII, 36. II résiste for-
tement à l'empereur Léon qui voulait abolir
le culte des images ; ses trois lettres au su-
jet de ce culte : l'une à Jean, évêque de
Synnade ; l'autre à Constantin, évêque de
Nacolie, 37. La troisième à Thomas, évêque
de Claudiopolis, 37 et suiv. Lettre que lui
écrit le pape Grégoire III sur la vigueur avec
laquelle il défendait la doctrine de l'Église,
39. Ce que Photius nous apprend de la doc-
trine de Germain, intitulé : De la rétribution
légitime, 40. [Saint Germain n'a point ensei-
gné le monothélisme, 40.] Traité des six Con-
ciles généraux ; raisons qui l'assurent à Ger-
main; nous ne l'avons pas entier, 40, 41.
Écrits qu'on lui a attribués, [mais qui sont,
d'après D. Geillier, d'un autre patriarche du
même nom qui va suivre ; d'après les nou-
veaux éditeurs, ils sont véritablement de
saint Germain, 41. [Sa lettre aux Arméniens
pour les décrets du concile de Chalcédoine,
39, 40. Le véritable écrit de saint Germain
sur les conciles, publié par Maï; analyse de
ce traité ; choses remarquables qui y sont
contenues, 41. Terme de la vie, autre ou-
vrage édité par Maï; ce qu'il contient. Dis-
cours attribués à saint Germain; la plupart
sont de lui ; il y en a un sur l'adoration de la
vraie croix; deux sur la Présentation de Ma-
rie au temple, 42. Un discours sur l'Annon-
ciation; trois sur la mort de la sainte Vierge ;
Histoire ecclésiastique et Contemplationmys-
tique, ouvrage rangé parmi les œuvres dou-
teuses de saint Germain; ce que c'est, 43.
Hymne sur la Mère de Dieu, pubUé par Da-
niel ; édition des écrits de saint Germain dans
la Patrologie, 37, n. 1, et 42, 43.] — Saint
Germain justifie saint Grégoire de Nysse sur
les erreurs attribuées à Origène, VI, 248. —
715
727
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
463
Sa Vie, écrite par Paul Diacre, XII, 147. — Il
s'élève contre l'édit que Léon l'Isaurien avait
publié contre les saintes images, XIII, 619.
GERMAIN II , au commencement du
xiii" siècle, patriarche de Constantinople ,
est, d'après D. Geillier, le véritable auteur
de quelques ouvrages attribués au précé-
dent ; [ce qu'on doit penser de cette assertion,
XII, 42. Écrits de Germain II dans la Patro-
logie grecque, t. CXL.]
GERMANIGIE, ville de la Syrie Euphraté-
sienne dont était Nestorius, VIII, 366.
GERMANICUS (Saint), martyr, 393.
GERMANIE, province d'Occident. Faux
évêques et faux prêtres opposés à saint Bo-
niface, XII, 32.
GERMANIQUE, homme de quahté à l'oc-
casion duquel saint Sidoine-Apollinaire écrit
à Vectius, X, 388.
GERME, ville épiscopale dans l'Hellespont,
VIII, 367.
GERMER (Saint), fondateur du monastère
de Flay. Sa Vie, imprimée dans l'appendice
des œuvres de Guibert de Nogent, XIV, 200.
GERMINATEUR, jovinianiste condamné
par le pape Sirice, IV, 652.
GERMINIUS, évêque de Sirmium. Lettre
que lui écrit le pape Libère, IV, 295, 296.
Concile de Sirmium où il se trouve, 549. Il est
condamné au concile de Rimini, 557 et 559.
GERMINIUS, homme savant. Lettre que
Ini écrit saint Gaudence, évêque de Bresce,
VIII, 41.
GÉRGCH, prévôt de Reichersperg. Ses
études ; différents emplois qu'il rempht avant
d'être prévôt de Reichersperg ; il succède à
Gothescalc , et gouverne son monastère
avec succès pendant près de quarante ans ;
sa mort, XIV, 627. Ses écrits, 627 et suiv.
[Pièces relatives à Géroch dans la Patrologie,
624, n. 4. Ses écrits dans la Patrologie, 627.]
Traité sur l'État corrompu de l'ÉgUse, 621,
628. Traité contre les simoniaques, 628, 629.
Traité de la Glorification du fils de l'homme,
629. Traité contre deux hérésies : l'une des
nouveaux Nestoriens ; l'autre de ceux qui
admettent les prêtres excommuniés et les sa-
crements qu'ils confèrent, 629 et 630. Lettre
où il est fait mention d'un ouvrage de Gé-
roch touchant les différends entre les Grecs
et les Latins ; autres lettres de Géroch ; Vies
de Bérenger et de Wirnton, abbés de Porm-
bach, 630. Livre de l'Éditice de Dieu, 630 et
631. Livre épistolaire au pape Innocent 1%
631. Lettre à l'abbé d'Ebracb au sujet des
TAB, I.
erreurs de Folmar sur l'eucharistie, 631
et 632. Traité de l'Antéchrist, 632. [Juge-
ment sur Géroch, 632, 633.] (Voyez ce
qui est dit de lui dans l'Histoire littéraire de
la France, t. XII, p. 248.)
GÉROLD, comte. Son épitaphe par Wala- ix siécie.
frid Slrabon, XII, 416.
GÉRON, archevêque de Cologne, XIII, 63.
GÉRON , archevêque de Magdebourg. xi siêcie.
Lettre que lui écrit Bernon, abbé deReiche-
nau, XIII, 126.
GÉRONCE, évêque de Larisse en Syrie,
assiste au concile de Néocésarée, II, 640.
GÉRONCE, prêtre de Syrie. Lettres que «5.
lui écrivit saint Jean Chrysostôme, VII, 131,
132.
GÉRONCE, prêtre de Césarée en Cappa-
doce, à qui Firmus de Césarée adresse une
de ses lettres, X, 150.
GÉRONCE (Saint), évêque. Vers d'Ennode
à sa louange, X, 577.
GÉRONCE, abbé de l'un des monastères
de Cassiodore. Exhortation qui lui est adres-
sée, XI, 234, 235.
GÉRONTIE. Lettre aux filles de Gérontie
faussement attribuée à saint Jérôme, VII, 647 .
[GERSDORF. Sa Bibliotheca Patrum latino-
rum selecta, I, 361.]
GERVAIS et PROTAIS (Saints), martyrs. agg.
Révélation de leurs reliques, V, 386. Lettre
de saint Ambroise à sainte Marcelline sur ce
sujet, 490, 491. — Éghse dédiée à Rome sous
les noms de saint Gervais et saint Protais
par le pape saint Innocent, VII, 527. — Le
lieu où reposait leur corps révélé à saint
Ambroise, IX, 33. Sermon de saint Augus-
tin sur ces deux saints, 340, 341 . Témoignage
de saint Sidoine Apolhnaire, X, 391. — Pa-
négyrique de ces deux saints par Guillaume
d'Auvergne, XIV, 1027.
GERVAIS, archevêque de Reims. Sa nais- jooT.
sance ; ses études dans l'école du Mans ; il 1036.
succède, dansl'évêché du Mans, à Avesgaud,
son oncle; la persécution qu'il a à souffrir de
Herbert Bavon et de Geoffroi Martel l'obhge
à se retirer en Normandie auprès du duc
Guillaume ; le roi Henri I" le nomme à l'ar- 1055.
chevêche de Reims après la mort de Gui;
ses différentes fondations dans le diocèse du
Mans; il sacre Philippe I", fils du roi Henri, josg.
XIII, 263. Ses liaisons avec les papes Vic-
tor U, Nicolas II et Alexandre II, 263 et 264.
Il rebâtit l'abbaye de Saint-Nicaise et y réta-
blit la discipline monastique ; met des cha-
noines réguUers dans celle de Saint-Deuys ;
30
466
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
fait revivre les études dans l'école de sa
1067. cathédrale; il meurt en faisant sa profes-
sion de foi sur l'eucharistie; son éloge, 264.
Ses écrits : ses lettres, 264 et 263. Relation
des miracles de saint Melaine. Actes du sacre
de Philippe, roi de France, 26o. Autres
écrits qu'on lui attribue, 263 et 266. [Deux
diplômes donnés par cet archevêque, 266.] —
Lettre que lui écrit le pape Etienne, IX, 242.
Quatre lettres du pape Nicolas II qui lui sont
adressées, 245, 246. Analyse de treize lettres
du pape Alexandre II qui lui sont adressées,
287 et suiv. [Quinze lettres de ce pape à
Gervais, 287, n. 10.] Sa mort; Manassès I"
lui succède, S48. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. VII, p. 372
et suiv.)
GERVAIS, évêque du Mans, XIII, 263.
[GERVAIS, prieur de Saint-Céneré, du
Maine : lettre que lui écrit Robert de Tori-
gni, XIV, 791.]
[GERVAISE , bénédictin : sa Vie de saint
Épiphane, VI, 438.]
GERVAISE (Nicolas), évêque d'Horen : sa
traduction française de la lettre de Fauste
de Riez au prêtre Lucide, X, 437. Sa Vie de
Boëce avec l'analyse de ses ouvrages, 665.
GERVAISE (Armand-François), ancien
abbé de la Trappe, frère du précédent : sa
traduction française des lettres d'Abaillard
et d'Héloïse avec leur Vie, XIV, 341.
1045_ GERVIN, abbé de Saint-Riquier, succède
à Enguerrand, XIII, 112.
GERVIN, second abbé d'Altembourg : sa
Vie écrite par Hariulfe, XIV, 234.
GÉRY (Saint), évêque de Cambray. Voy.
Saint Gaugérie.
GESNER (Conrad), médecin : son édition
des lettres de saint Ignace, I, 387. Son édi-
tion des livres de saint Théophile, évêque
d'Antioche, à Autolyque, 480. Sa traduction
latine de l'apologie d'Athénagore et du dis-
cours de Tatien contre les Grecs, 487. — Son
édition du traité d'Hermias intitulé : Rail-
leries des philosophes païens, VI, 332. — Sa
version latine des extraits d'Antoine Mélisse,
XIII, 568. — Sa traduction latine du poëme
de Théodore Prodrome intitulé : l'Amitié
bannie du monde, XIV, 149.
GESTES DU PAPE LIBÈRE : actes sup-
posés, IV, 302.
GESTES ÉPISGOPAUX CONTRE LES
MANICHÉENS : nom que donne Idace à ce
qui se fit à Astorga contre les Manichéens,
X, 667.
[GESTES ou exploits des Français, par
Roricon, XIII, 187, 188.]
GESTES DE DIEU PAR LES FRANÇAIS :
recueil des historiens de la croisade, donné
sous ce titre par Jacques Bongars, XIII,
529.
[GESTES de Henri I, roi d'Angleterre,
par Robert de Torigni, XIV, 788.]
GESTIDIUS, à qui sont adressés les deux 389;
premiers poèmes de saint Paulin, évêque
de Noie, VHI, 82.
GÉTASE, terre qui appartenait à saint
Mélèce. Il y reçut saint Basile, V, 10.
GETHES ou GÉTAS, roi des Hérules, bap-
tisé à Constantinople le jour de l'Epiphanie,
V, 327.
GÉTULICUS, évêque, obligé par les Do-
natistes de se mettre en pénitence, V, 116.
GÉVILIEB, faux évêque de Mayence, à 745
qui le pape Zacharie interdit toutes fonctions
épiscopales. Il quitte ses désordres et meurt 76e
pénitent, XII, 33. — Il fut déposé dans un 745
concile tenu par saint Boniface, XIII, 609.
GEZON, abbé de Tortone eu Italie : ce xsih
qu'on sait des circonstances de sa vie et du
temps où il a vécu, XIII, 18. Son traité du
Corps et du sang de Jésus-Christ, 19. Ana-
lyse de ce traité, 19 et 20. — Il y fait entrer
le livre de saint Paschase Radbert presque
tout entier, XII, 547.
[GFRORER (et non SFROER), traduit en
latin et publie lehvre d'Hénoch, 1, 265. — Son
Histoire de saint Grégoire VH, XIII, 374.]
GHÉRAUD ou GÉRAUD, duc. Lettre que ix si.
lui écrit Loup de Ferrières au sujet d'un
moine, XII, 506.
[GIACOMELLI (Michel): son édition et sa
traduction italienne du Sacerdoce de saint
Jean Chrysostôme, VII, 435. — Son édition
d'un discours de saint Modeste, patriarche
de Jérusalem, XI, 699, n. 2.]
GIBBON (Richard), jésuite : son édition
des sermons et autres œuvres spirituelles
d'^lrède, abbé de Riedval, XIV, 620. Son
édition des sermons d'Amédée, évêque de
Constance, 623.
GIBELIN, patriarche de Jérusalem, et au- xi
paravant archevêque d'Arles : ce qu'on sait ^^^"^^
des circonstances de sa vie, XIV, 68. Sa let-
tre au peuple et à l'église d'Arles, après son
élévation sur le siège de Jérusalem, 68 et
69. On ignore le temps précis de sa mort,
69. Il est élu patriarche de Jérusalem et oc- noi
cupe ce siège pendant cinq ans, 1080. Il
avait été élu archevêque d'Arles à la place
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
467
d'Achard, déposé dans un concile d'Avignon,
1070. (Voyez son article dans V Histoire lit-
téraire de la France, t. IX, p. 565 et suiv.)
GIBERT, évêque de Nimes^ s'empare d'un
monastère : lettre du pape Jean VIII à ce
sujet, XII, 646. [Lettre du pape Adrien III
à cet évêque, au sujet du monastère de Saint-
Gilles, 651, n. 8.]
GIBUIN, évêque de Châlons-sur-Marne,
auteur d'un poëme sur le paradis. Il y a eu
deux prélats de ce nom. (Voyez ce qui en
est dit dans l'Histoire littéraire de la France^
t. VI, p. 536 et 538.]
GIBUIN, archidiacre de Troyes, auteur
de quelques sermons. (Voyez ce qui est dit
de lui dans l'Histoire littéraire de la France,
t. XII, p. 230.)
GIBULDE, roi des Allemands, X, 3o9.
GIGANTIUS ou SIGANTIUS , solitaire :
épigramme que lui adresse saint Grégoire de
Nazianze, V, 305.
GIGNY, [autrefois] abbaye dans le terri-
toire de Lyon. Le pape Pormose déclare
exempts des dîmes les biens dont elle avait été
dotée, XII, 738. — La celle de la Baume
qui lui avait été ravie lui est rendue par le
concile de Varennes, XIII, 733. — [Leurs
excès contre les moines du Miroir. Lettre du
pape Eugène m à ce sujet, XIV, 278, 279.]
GILBERT, archevêque de Reims. Voyez
Gerbert.
5. GILBERT ou GISLEBERT, moine de Saint-
Remi de Vareilles, au diocèse de Sens, au-
teur d'une Histoire de saint Romain, abbé
de Pont-Rouge. (Voyez ce qui est dit de lui
dans VHistoire littéraire de la France, tome
VII, p. 501 et suiv.)
GILBERT, doyen de l'église de Saint-An-
dré, puis moine de Saint-Amand. Sa mort.
Son Histoire du transfert des reliques de
saint Amand. Autres écrits qu'on lui at-
tribue, XIII, 487. (Voyez son article dans
VHistoire littéraire de la France, tome VIII,
p. 429 et suiv.)
GILBERT , évêque de Limerick en Ir-
lande : Combien de temps il y gouverna
cette église. Ce qu'on sait des circonstances
i9. de sa vie. Sa mort. Sa lettre circulaire à
tous les évoques et prêti'es d'Hibernie ,
intitulée : Des usages ecclésiastiques, XIV,
176. Son traité de l'État de l'Église, 176,
177. Sa lettre à saint Anselme, archevêque
de Cantorbéry. Réponse de saint Anselme
177. Ses lettres et son traité de l'Élat de
l'Église, 247.
[GILBERT, élu archevêque d'Aquilée, im.
XIV, 182.]
GILBERT, chancelier du comte de Hai-
naut, auteur d'une chronique. (Voyez ce
qui est dit de lui dans VHistoire littéraire de
la France, tome XII, p. 536.)
GILBERT, moine de Saint-Laurent de
Liège, auteur de quelques poëmes. (Voyez
ce qui en est dit dans VHistoire littéraire de
la France, tome XII, p. 529.)
GILBERT DE LA PORRÉE, évêque de
Poitiers : ses études. Il enseigne avec succès
la philosophie en diverses provinces de
France; il succède à Grimoard dans l'évê- n^j.
cbé de Poitiers. Il donne dans des sentiments
singuliers. Deux de ses archidiacres défèrent
au pape plusieurs de ses propositions. Con- ^47,
cile de Paris où elles sont examinées, XIV,
342. Seserreurs sur l'essence divine sontcon- 1148.
damnées au concile de Reims ; il acquiesce à
ce jugement, 342 et 343. Ses ouvrages, 343
et 423. Sa lettre à Matthieu, abbé de Saint-
Florent sur l'Eucharistie, 344. [Autres écrits
de Gilbert, 343, 344. Jugement sur les écrits
de Gilbert, 344. Notices et éditions de ses
écrits dans la Patrologie, 343, n. 2.] — Son
commentaire sur le traité de Boëce des deux
natures et d'une personne en Jésus-Christ,
X, 654. Autre commentaire sur le traité du
même de l'unité de Dieu, 656 et 665. — Ses
sentiments sur la Trinité déférés au concile
de Paris, XIV, 1119; condamnés à celui de
Reims, 1120. Saint Bernard convainc d'er-
reur la doctrine de ce docteur sur l'essence
divine, 423. (Voyez son article dans VHistoire
littéraire de la France, t. XII, p. 466 et suiv.)
GILBERT, archevêque de Tours : sa mort ;
Hildebert lui succède, XIV, 208.
GILBERT L'UNIVERSEL, évêque de
Londres : éloge que saint Bernard fait de
lui. Anglais de naissance, il passe en France,
se fait une grande réputation à Paris et de-
vient chanoine d'Auxerre. Il succède à Ri-
chard dans l'évêché de Londres. Sa mort, ^^a.J_
XIV, 247. Ses écrits : aucun n'a été imprimé. ,,34,
(Voyez son article dans VHistoire littéraire de
la France, tome XI, p. 236 et suiv.)
GILBERT FOLIOTH, transféré de l'évê-
ché d'Erford à celui de Londres; [sa célé-
brité ; il fut un des adversaires de saint Tho-
mas de Cantorbéry. Son exposition sur le
Cantique des Cantiques; ses lettres et lettres
qui lui sont adressées, XIV, 666; son
Homiliaire, 666 et 669, n. 5.] Sa lettre au
pape Alexandre III. [Écrits de Gilbert de
468
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Folioth dans la Patrologie, 669, noie S.]
GILDARD (Saint), évêque de Rouen : an-
tienne en son honneur attribuée à saint
Grégoire de Tours, XI, 384. Sa Vie, attribuée
à Fortunat, évêque de Poitiers, 412. Vers à
sa louange attribués à saint Ouen, 757.
GILDAS, surnommé ALBANIE, solitaire
qui vivait auprès de Glaston, est dififérent de
425. saint Gildas, abbé de Ruis. Temps de sa
naissance et de sa mort, XI, 318.
VI siècle. GILDAS (Saint), abbé de Ruis, surnommé
le Sage et quelquefois Badonie; ce qu'on
sait des circonstances de sa vie ; ses voyages.
11 fixe sa demeure près de Vannes où il bâtit
le monastère de Ruis, XI, 318. Incertitude
où l'on est sur l'année de sa mort, 318 et
319. Les deux discours sur la ruine de la
Grande-Bretagne et sur les dérèglements du
clergé sont véritablement de lui, 319. Ana-
lyse de ce discours, 319 et 320. Canons ou
règlements de discipline recueillis par saint
Gildas, 320. Écrits qu'on lui a attribués mais
qui ne sont pas de lui, 320. [Éditions de ses
écrits, 320.] (Voyez son article dans VHis-
toire littéraire de la France, t. III, p. 279 et
suiv.)
[GILDUIN, archevêque de Sens. Lettre
que lui écrit Odoranne sur une hérésie des
Bourguignons, XIV, 116.]
GILDUIN, abbé de Saint-Victor de Paris.
On lui attribue le livre de l'Ordre de Saint-
Victor. [Ce qu'on sait des circonstances de
sa vie, XIV, 707. Lettres et chartes de Gil-
duin, 708.]
[GILES, docteur anglais : son édition des
œuvres du Vénérable Bède, XII, 18. Son édi-
tion des lettres de saint Boniface, 37; — des
œuvres de saint Thomas de Cantorbéry, XJV,
667, 668; des écrits d'Héribert, 667, note 1;
d'Alain, 667, note 2; des œuvres de Gilbert
Folioth, 668, 669, n. S ; de Jean de Sarisbéry,
679; d'Arnoul, évêque de Lisieux, 668, 754,
758; de Pierre de Blois, 76S.]
GILLEBERT ou GILBERT, abbé de Hoil-
lande, petite île située entre l'Angleterre et
l'Ecosse : ce qu'on sait des circonstances de
H72. ®^ ^'6' XIV' •i^^ et 490. Sa mort; ses qua-
rante-huit discours sur le Cantique des Can-
tiques; ils font la suite de ceux de saint
Bernard. Ses hvres ascétiques ; ses lettres,
490.
GILLES, abbé d'un monastère dans la
Gaule Narbonnaise, accompagne saint Cé-
saire d'Arles à Rome ; supplique qu'il pré-
sente au pape Symmaque, pour demander
que l'Église d'Arles soit maintenue dans ses
privilèges, XI, 100. (On croit qu'il est le
même que saint Gilles qui suit. Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
tome III, p. 243 et suiv.)
GILLES (Saint), abbé : prose et répons de
Fulbert de Chartres en l'honneur de ce saint,
XIII, 88.
GILLES (Saint-) , abbaye. [Lettre du pape
Marin I aux moines de Saint-Gilles, XII, 651.]
Contestation entre l'abbaye de Saint-Gilles
et celle de Cluny terminée parle pape Inno-
cent II, XIV, 261.
GILLES, archevêque de Reims, entre-
prend d'ériger un évêché à Châteaudun ;
cette entreprise est réprimée par le qua-
trième concile de Paris, XI, 892. Il sacre
saint Grégoire, évêque de Tours, 363. Con-
vaincu d'avoir conspiré contre le roi Childe-
bert, il est déposé au concile de Metz et
exilé à Strasbourg, 903, 906.
GILLES DE PARIS. Voyez Gilon de
Paris.
GILLES , abbé de Venouse : sa mort :
Pierre, bibliothécaire du Mont-Cassin, lui
succède, XIV, 582.
[GILLET (Joachim) : sa traduction fran-
çaise des écrits de l'historien Josèphe, I,
329.]
[GILLES CLÉMENT, ministre disgracié
de Phihppe-Auguste : lettre que lui écrit
Odon de Saint-Père, XIV, 712.]
GILLES ou GILLIUS, traducteur du com-
mentaire de Théodoret sur les douze petits
Prophètes, X, 141.
GILLOT (Jean) : son édition des œuvres
de saint Hilaire de Poitiers, IV, 88 ; — son
édition des œuvres de saint Ambroise, V,
383 ; — son édition des œuvres du pape
saint Grégoire le Grand, Xi, 384; — son
édition des œuvres de saint Bernard, XIV,
498.
GILON ou GILES de Paris : sa continua-
tion de l'Histoire de la première croisade
commencée par Foulques, XIII, 540. Cir-
constances de sa vie qu'on tient d'un ma-
nuscrit de Marchiennes, 340. [Quelques cir-
constances de sa vie, 540. Lettre de Gilon à
Pons, abbé de Cluny, 341, 342. Sa dispute
avec le patriarche d'Antioche, 342. Giles de
Paris fait paraître avec de nombreuses cor-
rections et additions l'ouvrage de Pierre de
Riga intitulé Auro7'a, XIV, 887. Notice sur
lui et fragments dans la Patrologie, 888.]
GILON, moine de Cluny, depuis cardinal-
590.
f
11S9J
XI el
XlUlèc
I
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
469
120.
évêque d'Ostie, écrit la Vie de saint Hugues,
XIV, 51.
GINGULFE, monastère fondé à Florines
par Gérard, évêque de Cambrai, et par son
père, XIII, 160.
GIRARD, évêque de Limoges; sa mort:
Jourdain lui succède, XIII. 179.
GIRARD, évêque d'Angoulême : bulle par
laquelle le pape Pascal II l'établit légat des
provinces de Bourges, Bordeaux, Tours,
Auch et Bretagne, XIV, 135. Il meurt arche-
vêque de Bordeaux et Geoffroi de Loriole lui
succède, 409. Devenu fauteur du schisme,
ses ordinations sont déclarées nulles, 1114.
[Pièces relatives à cet évêque dans la Patro-
logie, t. XIV, p. 135, note l.J
GIRARD, abbé du Mont-Cassin; sa mort;
Odérise II lui succède, XIV, 1097.
[GIRARD, chanoine et curé : il travaille à
l'Histoire de l'église de Compostelle, XIV,
541, 542.]
[GIRALDI : son édition des œuvres de
Tertullien, II, 85.]
GIRBERGE, mère de saint Odilon, abbé
de Cluny, embrasse la vie monastique après
la mort de son mari, XIII, 150.
GIRBERT, évêque de Paris : lettre que
lui écrit le pape Gallixte II, XIV, 1098.
GIRONE. Concile tenu en cette ville, X
749. — Autres, XIII, 436, 553. — Autres |
XIV, 1048, 1065. — [Bulle du pape For-
mose en faveur de l'Église de Girone, XII,
739.]
GIRVE ou JAROU, monastère fondé par
saint Benoît Biscop, XI, 802.
GIRY (Louis), avocat : sa traduction fran.
çaise de l'Apologétique de Tertullien, II,
86; du traité de la Chair de Jésus-Christ et
de celui de la Résurrection de la chair, 87 ; —
sa traduction française de l'Histoire sacrée
de Sulpice-Sévère , VIII, 122 ; — des dix
premiers livres de la Cité de Dieu de saint
Augustin, IX, 812. Son édition des lettres
choisies de saint Augustin, 815.
GISÈLE, fille de Théodulfe, évêque d'Or-
léans, XII, 262. Psautier que Théodulfe avait
fait écrire pour elle, 269.
GISÈLE, fille de Pépin le Bref et sœur de
Charlemagne, XII, 116.
GISÈLE, fille de Charlemagne. Voyez
Gisla.
GISÈLE, fille de Louis le Débonnaire et
femme d'Éberard, comte de Frioul : son
testament, XII, 613.
GISELIN (Victor), médecin : ses notes et
corrections sur le Manuel du poète Prudence,
Vm, 107.
GISILER, évêque deMersbourg, transféré 983.
à l'archevêché de Magdebourg, XIII, 760;
accusé dans un concile de Rome de posséder 999.
en même temps les deux évêchés de Mers-
bourg et de Magdebourg, 764.
GISLA ou GISÈLE, fille de Charlemagne,
demande à Aleuin un commentaire sur l'Evan-
gile de saint Jean, et il le lui adresse, XII,
171. (Les auteur de l'Histoire littéraire de la
France supposent que ceci regarde plutôt
Gisèle, sœur de Charlemagne.)
GISLA, abbesse de Remiremont : son dif- Fm
férend avec l'abbé Séher pour la cure de
Chaumonsey, XIII, 600.
GISLEBERT, évêque de Chartres, con- ix siècle,
fondu par Baluse avec Guillebert, évêque
de Châlons-sur-Marne, XII, 628.
GISLEBERT Crispiu, abbé de Westmins-
ter, fait profession delà vie monastique dans
l'abbaye du Bec; il parcourt les plus célè-
bres écoles de France, d'Itahe, d'Allemagne;
ses conférences à Mayence avec un Juif sur
la religion chrétienne ; il a avec lui une dis-
pute publique. Il est élu abbé de West- «82.
minster, XIV, 174. On ignore le temps pré- v. ii23.
cis de sa mort, 174 et 175. Il met par écrit
sa conférence avec le Juif; analyse de cet
ouvrage, 175 et 176. Autres ouvrages qu'on
lui attribue, 176. (Voyez son article dans
VHisioire littéraire de la France, t. X, p. 192
et suiv.; voyez aussi Crispin.)
GISLEBERT, moine qui embrasse une plus xii siècle,
grande retraite : lettre d'instructions que lui
écrit Pierre le Vénérable, XIV, 503.
GISLEMAR, moine de Saint-Germain des
Prés, auteur d'une Vie de saint Doctrovée.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. V, p. 396 et suiv.)
GLABER (Rodulphe), moine de Cluny.
Voyez Rodulphe Glaber.
GLADBAC, monastère an diocèse de Co- y. 973.
logne : temps de sa fondation, XII, 911.
GLADIATEURS. Ils n'étaient point admis
au baptême avant qu'ils eussent quitté leur
profession, II, 594 — Lois de Constantin
touchant les gladiateurs, III, 124, 144 et 146.
— Lois de Constance contre les spectacles
des gladiateurs, VI, 342. Loi de Valenti-
nien I touchant les gladiateurs, 355. — Ils
furent abolis à Rome l'an 403, III, 99. A
quelle occasion ils furent abolis à Rome, X,
139.
[GLAIRE (l'abbé) : sa traduction française
470
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
970.
971.
VI siècle.
ion.
325.
des écrits de l'historien Josèphe, I, 329.]
GLAIVE. Explication que donne Alcuin
de l'allégorie des deux glaives, XII, 600. —
Explication donnée par saint Bernard, XIV,
464.
GLANFEUIL, monastère de France fondé
par saint Maur, XI, 610; abandonnée cause
des courses des Normands, 611. Histoire de
son rétablissement par l'abbé Odon, 611 et
612. — Ce monastère avait été soumis à ce-
lui de Saint-Maur des Fossés, où. on trans-
porta les reliques de saint Maur. Histoire de
la destruction et du rétablissement de ce
monastère écrite par Odon, XII, 600.
GLAPHIRES SUR LE PENTATEUQUE,
ouvrage de saint Cyrille d'Alexandrie, VIll,
265.
GLARÉANUS. Voyez Lorit.
[GLASER (Nicolas) : son recueil des écrits
apocryphes de l'Ancien et du Nouveau Tes-
tament, I, 275.]
GLASTEMBURI , monastère que le roi
Edgar prend sous sa protection, et auquel il
fait plusieurs donations qu'il fait confirmer
par un concile de Londres et par une bulle
du pape Jean XllI, XllI, 758.
GLASTON : de l'antiquité de l'Église de
Glaston, ouvrage de Guillaume de Malmes-
bury, XIV, 315.
GLOIRE DES SAINTS. Doctrine de Clé-
ment d'Alexandrie , 1 , 596. Doctrine de
saint Jean Chrysostôme sur la gloire de
l'homme, VU, 170 et 191. — Doctrine de
saint Cyprien et de saint Augustin, IX, 528,
529 et 796. — Poëme de Francon, abbé
d'Afflighem, sur la gloire future, XIV, 191.
GLORIA IN EXCELSIS.LepapeSymma-
que établit l'usage de chanter cette hymne
le dimanche et aux fêtes des martyrs, X,
S28. — Comment on le disait dans la messe
pontificale, XI, 539. — Témoignage de Ra-
ban Maur sur l'origine de cette doxologie,
XII, 454. Le pape saint Nicolas I déclare que
lesévèques selon l'usage romain doivent dire
le Gloria inexcelsis à la messe du Jeudi-Saint,
582. — Bulle du pape Benoît VllI qui per-
met à un monastère de le chanter le jour de
la Purification, lorsque cette fête arrive
après la Septuagésime, XIII, 192. Ce can-
tique est mis en chant par le pape saint
Léon IX, 212.
GLORIA, LAUS ET HONOR, etc. Hymne
dont Théodulphe, évêque d'Orléans, est au-
teur, XII, 268.
GLORIA PAÏRI : iaslitution de cette for-
mule attribuée au concile de Nicée; Arias y
fait quelques changements, III, 439. — On
attribue faussement au pape saint Damase
cette doxologie, V, 27. — Addition faite au
Gloria Pa^n adoptée par le concile de Vaison,
XI, 839. Le concile de Narbonne ordonne
de le chanter à la fin de chaque psaume et
et même de chaque division, 904. — Dispo-
sition du quatrième concile de Tolède sur le
chant du Gloria Patri, XII, 917.
GLORIFIER (se) dans le Seigneur : Dis-
cours de saint Valérien de Cémèle sur ces
paroles de saint Paul : « Que celui qui se
glorifie, se glorifie dans le Seigneur, d X,
157, 158.
GLORIUS, Donatiste : lettre de saint Au-
gustin à Gloi'ius et à quelques autres Dona-
tistes, IX, 76 et 80; autre lettre de saint Au-
gustin aux mêmes, 80.
GLOSCHER, moine etécolâtre de l'abbaye
de Saint-Matthieu à Trêves, XIII, 560. Son
travail dans l'Histoire des archevêques de
Trêves, 561.
[GLOSES ou petites formules, ouvrage de
saint Eucher de Lyon, VIII, 448, 449.]
GLOSE ORDINAIRE SÛR LA BIBLE :
ouvrage de Walafrid Strabon; ce que c'est;
différentes éditions qu'on en a données, XII,
411.
GLOSE INTERLINÉAIRE SUR L'ÉCRI-
TURE SAINTE, par Anselme de Laon,
XIV, 182.
GLOSSAIRES GRECS ET LATINS : pour-
quoi attribués à saint Cyrille d'Alexandrie,
VIII, 324. — Glossaire attribué à saint Isi-
dore de Séville, XI, 726. — Glossaire de
l'ancienne langue tudesque rédigé par Gol-
dast, XII, 110. Glossaire latin-tudesque, ou-
vrage de llaban Maur, 468. [Glossaire ou
lexicon, sous le nom de Salomon, est du
moine Ison, 605. — Glossaire ou diction-
naire latin, par Garnier, évêque de Langres,
XIV, 8H.1
GLOSSINDE (Sainte), fondatrice et pre-
mière abbesse du monastère qui porte son
nom à Metz : sa Vie, retouchée par Jean,
abbé de Saint-Arnoul, XII, 865. Histoire des
trois translations de ses reliques écrite par
le même, 865 et 866. Office de la nuit pour
le jour de sa fête, par un autre Jean, abbé
de Saint-Arnoul, 867.
[GLUSSING (J. Otto) a traduit en alle-
mand l'épître de saint Barnabe et les deux
éplires aux Corinthiens, I, 361.]
GLYCAS (Michel). Voyez Michel Glycas.
633.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
174.
blècle.
GLYGÉRIUS (Saint), évêque : vers d'En-
node à sa louange, X, 577.
GLYGÉRIUS, moine et diacre : lettre de
saint Basile à saint Grégoire de Nazianze
touchant l'affaire de ce moine ; lettre à Gly-
cérius même, IV, 4S7.
GNOSIMAQUES, hérétiques dont parle
saint Jean Damascène, XII, 69.
GNOSTIQUE : ouvrage d'Évagre de Pont
intitulé le Sacré ou Gnostique, VI, 113.
GNOSTIQUES, hérétiques : leur faux
évangile, I, 274. Leur erreur touchant le
Verbe, 376. Ils sont réfutés par saint Irénée,
497 et suiv. — Ce que saint Épiphane dit de
celte secte, VI, 387.
GOAR (Saint) , ermite : sa Vie retouchée
par Wandalbert, moine de Prum, qui y
ajoute la relation de ses miracles, XII, S98.
GOAR (Jacques), dominicain : son édition
de la Ghronographie de Georges Syncelle ;
de celle de Théophanes, XII, 156. Ses notes
sur la Ghronologie de Nicéphore, 282. —
Son édition de l'Eucologe des Grecs, avec
une traduction latine et de savantes notes,
XIII, 137.
GODBALDE, prêtre, convaincu d'incon-
tinence, est privé de ses fonctions, XIII,
728.
GODEBERT (Saint). Sa Vie attribuée à
Radbod, évêque de Noyon et de Tournai,
XIII, 490.
GODEFROI, prévôt de la grande église
de Liège, vole à Rome des reliques de saint
Laurent et les apporte à Liège, XIII, 262.
GODEFROI, duc et marquis de Toscane :
lettre que lui écrit saint Pierre Damien, XIII,
306 et 322. Lettre que lui écrit le pape Gré-
goire VII après son élection, 351.
GODEFROI, prévôt de Stavélo. Ge qu'on
sait des circonstances de sa vie, XIII, 345.
Son ouvrage intitulé : Triomphe de saint
Rémacle sur le monastère de Malmédi, 345
et 346. A quelle occasion il fut composé ;
idée de cet ouvrage ; éditions qu'on en a
faites. Ghansons sur ce qui s'était passé à
Liège dans la translation des reliques de
saint Rémacle, 346. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, tome VIII,
p. 147 et suiv.)
GODEFROI, usurpateur du siège de Milan.
Lettre que le pape Grégoire VII écrit à son
sujet aux fidèles de Lombardie, XIII, 352.
GODEFROI, scholaslique, puis chancelier
de l'Église de Reims : ce qu'on sait des cir-
constances de sa vie, XIII, 480, 481. Sa
1076.
1096.
1097.
1098.
1099.
1100.
471
mort; ses poésies : on n'en a que quelques 1095.
fragments, 481. Son éloge par Baudri, évê-
que de Dol, 531. (Voyez son article dans
V Histoire littéraire de la France, tome VIII,
p. 398 et suiv.)
GODEFROI IV , duc de la Basse-Lorraine :
sa réconciliation avec Baudouin, comte de
Flandres, XIV, 1059.
GODEFROI V, duc de la Basse-Lorraine
et de Bouillon : sa mort, XIII, 526.
GODEFROI DE BOUILLON, roi de Jéru-
salem : son illustre naissance. Il se croise
avec ses deux frères Eustache et Baudouin ;
il oblige l'empereur Alexis Comnène à re-
mettre en liberté Hugues le Grand et d'au-
tres seigneurs, XIII, 526. Il prend Nicée,
Prise d'Antioche ; Jérusalem est assiégée et
prise. Godefroi est élu roi ; il remporte une
grande victoire sur le Soudan d'Egypte; sa
mort. Son code ou corps de droit coutumier
intitulé Livre des assises, 527. [Éditions ré-
centes de ce code; ses lettres, 527 et suiv.
Ses trois diplômes, 529.] — Il est élu roi de
Jérusalem, XIV, 1074. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
VIII, p. 598 et suiv.)
GODEFROI, prieur de Vinchester, rétablit
le bon ordre dans cette abbaye, XIII, 600.
Sa mort; les écrits dont on le fait auteur,
600. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, tome IX, p. 332 et suiv.)
GODEFROI (Saint), abbé de Nogent, est
élu évêque d'Amiens, XIV, 194. Goncile de
Troyes où son élection est confirmée, 1078.
Il abdique l'épiscopat pour se retirer à Gluny,
puis à la Ghartreuse, 305 et 1085. Les dé-
putés de la ville d'Amiens viennent au con-
cile de Beauvais se plaindre de sa retraite;
reproches que leur fit Raoul, archevêque
de Reims, 1083. Le concile de Soissons lui
enjoint de retourner à son évêché. Il y est
reçu avec une grande joie, 303 et 1083. [Ses
écrits et pièces qui le concernent dans la Pa-
trologie, 194, note 10.]
GODEFROI, évêque de Chartres, succède ms.
à Hugues. Ge qu'on sait des circonstances
de sa vie; sa mort ; ses lettres, XIV, 404. H48.
GODEFROI (le Vénérable), abbé des Monts;
ce qu'on sait des circonstances de sa vie; sa H65.
mort. Ses homélies ; méthode qu'il y suit.
Sur la grâce et la prédestination , il suit les
sentiments de saint Augustin. Sur la concep-
tion de la sainte Vierge, il suit celui de saint
Bernard, XIV, 387. Homélies sur les di-
manches de l'année, 587 et 588. Homélies
1082.
1107.
1104.
1114.
1115.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
472
sur les fêles; homélies sur divers sujets,
588. Opuscule surles bénédictions que Jacob
donna à ses enfants, 588 et 589. Livre des
dix calamités prédites par Isaïe, 589. Lettre
à un moine, 589. [Écrits de Godefroi dans la
Patrologie, 589 et suiv.]
Xll siècle. [GODEFROI, chanoine de Saint-Victor :
s'il est différent de Geoffroi ou Godefroi, sous-
prieur de Sainte-Barbe, XIV, 811, 812.
Écrits publiés sous son nom, 815 et suiv.
Son Microscomus ; ses sermons, 815. Son
écrit intitulé : Fons philosophise, 815 et
suiv. Son éloge de saint Augustin, 817, 818.
Autres écrits; quelques fragments de ses
écrits et notice sur l'auteur dans la Patro-
logie, 818.]
GODEFROI (Jacques) : ses notes' sur les
livres de Tertullien aux nations, II, 86.
GODEGISILE, frère de Gondebaud, règne
sur une partie des Bourguignons, X, 735.
1022. GODEHARD (Saint), évêque d'Hildesheim,
succède à saint Bernouard, XIII, 67 et 96.
1083. Sa mort, 96. Analyse de sa Vie écrite par
Wolférus, 96 et 97. Lettres de saint Gode-
hard, 971. — [Vie de saint Godehard dans la
Patrologie latine, 61. Bulle de sa canonisation,
sa Vie et ses quatre lettres dans la Patrologie,
XIII, 97. J — Il est canonisé au concile de
Reims par le pape Innocent II, XIV, 1112.
VIII siècle. GODESCALC, diacre de l'Église de Liège,
auteur de la Vie de saint Lambert, évêque
de Maestricht, XII, 150. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
IV, p. 57 et suiv.)
VIII siècle. GODESCALE, auteur d'un poëme à l'hon-
neur de Charlemagne, XII, 151.
[GODELÈVE (Sainte) : sa Vie par Drogon,
abbé de Saint-André de Bruges, XIII, 271,
272.]
743. GODOLSACE, l'un des imposteurs qui
furent condamnés au concile de Leptines et
à celui de Rome, XII, 151.
745. [GODESGALR, moine. On a quatre proses
ou séquences sous le nom de ce moine, XIII,
117.]
GOERIC, évêque de Metz. Voyez Abbon.
1097. GOIFFRED, doyen de la cathédrale du
Mans, s'oppose à l'élection de l'évêque Hil-
debert, XIV, 207.
GOISBAUD DU BOIS (Philippe) : sa tra-
duction française des Confessions de saint
Augustin, IX, 813 ; de plusieurs autres ou-
vrages, 814, 815.
GOLDAST (Me)chior), jurisconsulte alle-
mand, éditeur du discours de saint Valérien,
évêque de Cémèle, du Bien de la discipline,
X, 155. — Son Glossaire de l'ancienne lan-
gue tudesque formé des gloses de Kéron,
moine de Saint-Gai, XII, 110.
GOLEFER (Paul). Son édition des Remar-
ques du P. Gombefis sur divers ouvrages
de saint Basile de Césarée, .IV, 546.
GOLGOTHA ou mont Calvaire, réputé si-
tué au miheu de la terre, V, 45 [et 630.]
GOMI, ville d'Afrique. Lettre du pape
Léon IX qui défend à l'évêque de Gomi
d'usurper les droits de métropolitain en
Afrique, au préjudice de celui de Carthage,
XIII, 205, 206.
GOMORRHIEN, opuscule de Pierre Da-
mien contre les clercs impudiques, XIII,
312.
GONDEBAUD, roi des Bourguignons. Sa
déférence pour saint Avil, évêque de Vienne,
X, 554. Plusieurs lettres que lui écrit ce
saint, 554, 359, 561. Il reçoit de Théodoric
des cadrans solaires et des hydrauliques,
647. Il permet que les évêques catholiques
aient à Lyon en sa présence une conférence
avec les évêques ariens, 733 et suiv. Il se
fait catholique, mais sans vouloir que son
changement fût connu, 736. — Lettre d'A-
gobard de Lyon contre la loi touchant les
combats singuhers, XII, 368, 369. (Voyez
l'article de Gondebaud dans ['Histoire litté-
raire de la France, t. III, p. 81 et suiv.)
[GONDECHAR, évêque d'Eicshtadt. Ses
écrits, XIII, 326, n. 4.]
GONDÉGÉSILE, évêque de Bordeaux,
XI, 905.
GONDEMAR, roi des Goths en Espagne,
conBrme le décret du concile de Tolède qui
mettait la province de Carthagène sous la
métropole de Tolède, XI, 911.
GONDIGAIRE ou GONDIAC, roi des Bour-
guignons, X, 338.
GONDULFE, à qui Lanfranc écrit une
lettre en lui envoyant une croix avec des
reliques, XIII, 454.
[GONDULFE, évêque de Rochester, zélé
pour la correction des anciens hvres. Sa
vie, XIV, 47, 48. Ses écrits sur la sainte
Écriture, 48, 49. Ses sermons, 49 et 50.]
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. IX, p. 369 et suiv. On l'a re-
produit à peu près dans la nouvelle édi-
tion.)
[GONET (l'abbé). Sa traduction du livre
de la Colère de Dieu ; du premier livre des
Institutions de Lactance, II, 321. — Sa tra-
%
1053.
610.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
473
duction française de quelques écrits d'Eu-
sèbe de Césarée, III, 312 ; — de plusieurs
écrits de saint Athanase , IV, 233 ; — de
plusieurs écrits de saint Ambroise, V, 386.]
i- GONTAMOND, roi des Vandales en Afri-
que, succède à son oncle Hunéric, X, 462.
6- Il rend la paix à l'Église, 464 et 719. Sa
mort, 462.
[GONTHAIRE, évêque. Lettre contre lui,
XII, 386.]
0- GONTHIER, archevêque de Cologne. Ses
intrigues pour autoriser le divorce de Lo-
thaire avec Tietberge et son mariage avec
Waldrade, XII, 575. Conduite du pape saint
Nicolas I" à son égard, 373 et 595. Son
mémoire en forme de plainte contre ce
pape. Deux lettres qui nous restent de lui,
595- Lettre que lui écrit Hincmar de Reims
au sujet d'Ingeltrude , séparée du comte
Boson, son mari, 678. — Il est déposé par
le pape saint Nicolas I", XIII, 698. Confir-
mation de ses statuts pour les chanoines de
la cathédrale, 715. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. V, p. 364
et suiv.)
GONTHIER (Saint), comte, puis moine
d'Altach. Analyse de sa Vie écrite par Wol-
ferus, chanoine d'Hildesheim, XIII, 181,
182. Année de sa mort, 182.
>!cie. GONTHIER, évêque de Bamberg et chan-
celier de l'empereur Henri IV. Sa lettre au
pape Nicolas II en faveur du mariage des
prêtres, XIH, 326.
icie. GONTHIER, moine de Saint-Amand. Ce
que Trithème dit de ses talents ; ouvrage
qu'il lui attribue, XIII, 561. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire litléj^aire de la France,
t. IX, p. 381 et suiv.)
[GONTHIER, moine de Cîteaux. Ce qu'on
sait de sa vie, XIV, 893. Son Ligurinus, 893
et suiv. Son Histoire de la prise deConstan-
tinople, 896, 897.]
s. CONTRAN, roi d'Orléans et de Bourgo-
gne, confirme par une loi le canon du con-
cile de Mâcon qui recommandait la célébra-
tion du dimanche, XI, 323, 326. Avec quelle
religion il observe le droit d'asile confirmé
par le même concile. Son discours aux gé-
néraux de son armée, 326. Son traité de
paix avec Childebert. Sa mort, 327. Ambas-
sade de saint Grégoire de Tours auprès de
lui de la part de Childebert, 366. Église
qu'il fait bâtir à Chalon-sur-Saône en l'hon-
neur de saint Marcel, 745. Concile qu'il as-
sembla à Valence où il fit confirmer toutes
ses donations faites ou à faire, 896. — Son
ordonnance par laquelle il confirme les dé-
crets du second concile de Mâcon, XII, 227.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. III, p. 368 et suiv.)
CONTRAN BOSON, soupçonné d'avoir
assassiné le roi Childebert II, se réfugie
dans l'église de Saint-Martin, d'où on ne
peut le tirer, XI, 370.
[GONZALÈS (Antoine). Son édition de la
colJection des canons attribués à saint Isi-
dore de Séville, XI, 727.]
GONZON, abbé de Florence. Ce qu'on sait
des circonstances de sa vie. Il assiste au 1059.
sacre du roi de France Philippe I". Il est
auteur de la relation des miracles opérés
par l'intercession de saint Gengoul. Valère
André lui attribue un écrit sur la fondation
d'un monastère de Saint-Gengoul, XIII,
233. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. VII, p. 491 et suiv.)
GORDIE ou GORDIUS (Saint), martyr de iv siècle.
Césarée en Cappadoce, 111,78, 79. — Ho- iv siècle,
mélie de saint Basile sur ce saint, IV, 388.
GORDIEN (Saint), martyr à Rome, III,
413.
GORDIEN LE JEUNE, empereur, mis à
mort par l'ordre de Phifippe, depuis empe-
reur, VI, 96.
GORDIEN, aïeul de saint Fulgence, évê-
que de Ruspe, chassé d'Afrique, s'établit en
Italie, XI, 1.
GORDIEN, prêtre, père du pape saint Aga-
pet, XI, 118.
GORDIEN, moine, auteur supposé des
Actes du martyre de saint Placide, disciple
de saint Benoît, XI, 349.
GORDIEN, père du pape saint Grégoire le
Grand, était du nombre des sénateurs. II
embrasse l'état ecclésiastique. 11 est fait
diacre régionnaire. Son portrait se voit en-
core à Rome, XI, 429.
GORDIEN, évêque de Séville (ou plutôt
d'Espagne). Combien a duré son épiscopat,
XI, 646, [La lettre du pape Deus-Dedit à
Gordien est une pièce supposée d'après dom
Ceillier, XI, 646 ; elle est authentique d'a-
près l'éditeur, 646, note 3.]
GORDIUS, prêtre de Carthage, H, 299.
GORGONE, évêque de Germanicie, l'un
des ordinateurs de Paulin, évêque d'Antio-
che, IV, 244.
GORGONIE (Sainte), sœur de saint Gré- 370.
goire de Nazianze, V, 179. Son oraison fu-
nèbre par saint Grégoire son frère, 206.
474
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
IV siècle.
II siècle.
757.
IX siècle.
1075.
llbl.
GORORANES, roi de Perse, continue la
persécution commencée par son père, X,
49.
GORSE (Pierre). Sa traduction française
des livres de Salvien sur la Providence, X,
378.
GORTHÉNIENS, secte de Samaritains. Ce
qui en est dit par saint Épiphane, VI, 384.
GORTYNE, ville de l'Ile de Crète. Lettre
de saint Denys aux fidèles de cette ville, I,
462.
GORZE, monastère fondé par saint Ghro-
degand, évéque de Metz, XII, 106. Sa fon-
dation confirmée au concile tenu dans le
palais de Compiègne, 109. Charte de cette
fondation, 109 et 110.
GOSBERT ou GOTZBERT, moine et en-
suite abbé de Saint-Gai, écrit les miracles
de saint Gai et la Vie de saint Othmar, XII,
415. (Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire
littéraire de la France, t. V, p. 66 et suiv.)
GOSCELIN, archevêque de Bordeaux,
préside au concile de Saint-Maixent, où Bé-
ranger anathématise de nouveau ses er-
reurs, XIII, 170.
GOSCELIN, ou GOTCELIN, ou GOTZELIN,
moine de Saint-Bertin. Son talent pour la
musique, XIII, 594. Il accompagne Herman,
évéque de Salisbury, à son voyage à Rome,
594 et 550. Il passe avec lui en Angleterre
et s'étabUt d'abord au monastère de Ram-
sey, puis il passe à celui de Saint-Augustin
de Cantorbéry. On ignore le temps de sa
mort. Il s'était consacré à écrire des Vies des
saints : sa Vie de saint Augustin de Cantor-
béry, 5S0. Autres Vies de plusieurs saints
qu'il a composées, 550 et 551. Autres écrits
qu'on lui attribue, 551. — [Édition de ses
écrits dans la Patrologie , XIV, 234.] (Voyez
un second article qui le concerne sous le
nom de Gotzelin au tome XIV, 233, 234.
Voyez aussi son article dans VHistoire litté-
raire de la France, t. VIII, p. 660 et suiv.)
GOSLIN, évéque de Paris, se signale dans
le siège de Paris par les Normands, XII,
790.
GOSSET (Nicolas). Sa traduction française
de la Vie et des miracles de sainte Oppor-
tune écrite par Adelhelme, évéque de Séez,
XII, 760.
GOSVIN, abbé de Bonneval, est élu abbé
de Gîteaux, XIV, 449.
GOTCELIN (Saint), ermite. Sa Vie écrite
par Acbard, moine de Clairvaux, XiV, 346.
GOTCELIN, moine. Voyez Goscelin.
GOTHESCALC, moine d'Orbais, embrasse
la vie monastique au monastère de Fulde.
Il réclame contre ses vœux. 11 passe au mo-
nastère d'Orbais oi\ il s'applique à la lecture
des Pères et principalement de saint Au-
gustin. Il fait le pèlerinage de Rome. Sa
doctrine sur la prédestination paraît sus-
pecte à Notingue, évéque de Vérone. Elle
est condamnée au concile de Mayence et à
celui de Quiercy. Mauvais traitemepts que
Gothescalc essuie. Hincmar le fait enfermer
à Hautvilliers. Il appelle au pape, XII, 593.
On le prive des sacrements. Sa mort, 593 et
594. Ses écrits : Deux confessions de foi sur
la double prédestination. Profession de foi
présentée au concile de Mayence. Lettre à
Ratramne sur la vision béatifique. Traité
sur le Trina Deitas, 594. Pièce de poésie,
594 et 595. Écrits de Gothescalc, 595. Saint
Rémi, archevêque de Lyon, blâme les mau-
vais traitements qu'on lui avait fait essuyer,
617. Mémoires d'Hincmar au pape Nico-
las I" contre Gothescalc, 672. Lettre que
Gothescalc écrit à Amolon, archevêque de
Lyon; réponse d'Amolon qui réfute plu-
sieurs de ses propositions sur la prédesti-
nation et sur la grâce, 430, 431. Il revient
contre ses vœux. Écrit composé par Raban
Maur à ce sujet. Ne pouvant s'accorder avec
Raban Maur, il quitte le monastère de Fulde
et revient à celui d'Orbais. Son voyage en
Italie ; il y répand ses sentiments sur la
prédestination, 466. Raban réfute sa doc-
trine dans deux lettres, l'une à Notingue,
l'autre à Ébérard, 466 et 468. Chassé d'Italie
il vient à Mayence ; dans un concile il pré-
sente sa profession de foi, qui y est con-
damnée comme erronée. Il est envoyé à
Hincmar qui le fait enfermer ; lettre de Ra-
ban à son sujet, 468. Discours de Florus,
diacre de Lyon, contre les erreurs qu'on
imputait à Gothescalc, 485, 486. Lettre de
saint Prudence de Troyes à Hincmar de
Reims au sujet de Gothescalc, 493. Traité
du même sur les points de doctrine agités
dans cette dispute, 494, 495. Il en parle en-
core dans son éci-it contre Jean Scot, 495 et
suiv. Lettre que Loup de Ferrières écrit à
Gothescalc sur la vision béatifique, 503. Ré-
ponse de saint Rémi de Lyon aux trois let-
tres écrites à Amolon par Raban Maur,
Hincmar de Reims et Pardule de Laon au
sujet de Gothescalc, 614. Lettre d'Hincmar
de Reims au moine d'Hautvilliers au sujet
de Gothescalc, 672. — Concile de Mayence
8».
m.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
475
au sujet de sa doctrine, XIII, 678. Concile
de Quiercy où il est condamné, 679. Autre
concile de Quiercy où sont signés quatre
articles contre sa doctrine, 684. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. V, p. 352 et suiv.)
GOTHESCALC (Saint), fils d'Utm, prince
des Slaves, XIV, 203. Sa mort, 204.
[GOTHESCALC, élu évêque d'Arras. Le
pape Eugène III lui écrit, XIV, 278. Il va à
Rome. Il en rapporte un décret contre cer-
tains hérétiques. Autres lettres qui le con-
cernent, 279.]
[GOTHESCALC, abbé, à qui Honoré d'Au-
tun adresse un de ses ouvrages, XIV, 301.]
GOTHESCALC, prévôt de Reichersperg,
résigne sa dignité ; on lui donne Geroch
pour successeur, XIV, 627.
GOTHRIC, roi d'Irlande. Lettre que Lan-
franc lui écrit, XIII, 454.
GOTHS. Ils embrassent la religion chré-
tienne, V, 126. En quel temps la religion
chrétienne a-t-elle été établie chez ces peu-
ples? IV, 278, et V, 80, 81. — Martyrs chez
les Goths, V, 81. Persécution d'Athanaric,
81 et 279. Ceux qui y souffrirent étaient ca-
tholiques et non pas ariens ; en quel temps
les Goths sont tombés dans l'arianisme, 279
et suiv. Une bonne partie des Goths de-
meure dans la foi cathohque, 280. En quel
temps commence la persécution d'Athana-
ric, 280, 281. Analyse de la lettre de l'Église
de Gothie touchant le martyre de saint Sa-
bas, 281 et suiv. Première persécution ; se-
conde persécution ; troisième persécution,
où Sabas souffre le martyre, 282. Saint As-
cole est auteur de la lettre de l'Église de
Gothie, 283. Uiphilas évêque des Goths,
346 et suiv. — Ravages des Goths dans
la Thrace, V, 381. Saint Ambroise pense
que les Goths sont marqués dans Ézé-
chiel, sous le nom de Gog, 472, — Saint
Jean Chrysostôme travaille à leur couver-
sion, VII, 3. L'empereur Théodore fait
la paix avec eux, 33, 34. Lettres de saint
Jean Chrysostôme au sujet des églises
de Gothie, 135. — Saint Paulin, évêque
de Noie, est pris par les Goths, VIII, 53.
Ravages des Goths dans Constantinople,
519, 520. — Les Goths ravagent l'Espagne,
X, 3. — Chasteté des Goths, XI, 213. His-
toire des Goths composée par Cassiodore,
abrégée par Jornandès. Celle de Cassiodore
ne se trouve plus, 222. Discours de saint
Léandre sur la conversion des Goths, 425.
Chronique des Goths, des Vandales et des
Suaves par saint Isidore de Séville, 714,
715. Éditions qu'on en a faites, 726, 727.
— Le cinquième concile de Tolède défend à
tous autres qu'aux Goths de prétendre à la
couronne d'Espagne, XII, 920.
GOTZBERT, abbé de Saint-Gai. Voyez
Gosberg.
GO'TZELIN, moine de Saint-Bertin et de
Saint-Augustin de Cantorbéry. Voyez Gos-
celin.
GOUJET (Claude-Pierre), chanoine de
Saint-Jacques de l'Hôpital, à Paris, [a publié
en français les Apologistes de la religion
chrétienne, souvent cités dans les premiers
volumes.] Sa traduction française des deux
Apologies de saint Justin projetée, I, 446.
GOULART (Simon). Son édition des œu-
vres de saint Cyprien ; ses notes et ses ob-
servations, II, 382. Sa traduction française
du traité De Lapsis, 384. — Sa traduction
française du traité de Théodoret sur la Pro-
vidence, X, 141. — [Son édition des cinq
premiers hvres des Annales de Nicétas Cho-
niale, XIV, 1176.]
GOULU (Nicolas), professeur au collège
royal. Ses notes sur le Dialogue attribué à
saint Grégentius, XI, 280.
[GOURCY (de). Ses Monuments des an-
ciens apologistes, I, 557. — Sa traduction
française des Prescriptions et de l'Apologé-
tique de TertuUien, II, 87.]
GOURDAN (Simon), chanoine régulier de
Saint-Victor de Paris. Son édition et sa tra-
duction française des traités spirituels d'Ec-
card, chanoine de Saint-Victor, XIV, 406.
[Sa traduction française du traité de l'Ab-
négation de soi-même par Achard n'a pas
été imprimée, 709.]
GOUSSAINVILLE (Pierre de). Son édition
des œuvres de saint Grégoire, XI, 585. —
Son édition des œuvres de Pierre de Blois,
XIV, 783.
GOUTER LE PÉCHÉ : sens auquel Théo-
doret emploie cette expression, X, 87.
GOUVERNEMENT. Loi de Théodose au
sujet de ceux qui parleraient mal du gou-
vernement, VI, 373. — Parallèle du gouver-
nement temporel et du gouvernement spiri-
tuel, par saint Jean Chrysostôme, VII, 308.
— De la comparaison du gouvernement
ecclésiastique et politique, ouvi'age d'Ago-
bard, archevêque de Lyon, XII, 374. Traité
du gouvernement de l'empire, ouvrage de
Constantin Porphyrogénète, 811.
XI
et XII siècles.
393.
476
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1059 ou 1060.
X
ou XI siècle.
GOUVERNEURS DE PROVINCES. Serment
que leur prescrit une Novelle de Justinien,
XI, 256.
GOZECHIN, écolâtre de Liège, se retire à
Mayence; sa lettre à Valcber, son disciple,
où il rend compte des motifs de sa retraite,
XIII, 235. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. VII, p. 499 et suiv.)
GOZPEN ouGOZPERT,abbéde Tégernsé.
Ses lettres, XIII, 98. Seize lettres ajoutées
aux quatre publiées par Mabillon, 98 et 99.
[GRAAB : son apologie de saint Gré-
goire VII, XIII, 373.]
GRABE (Jean-Ernest), prêtre anglican :
son édition de la grande Apologie de saint
Justin, I, 445. Son édition des œuvres de
saint Irénée, 530. Son écrit contre l'édition
de D. Massuet, 331, n. 1,
GRACE. [Doctrine de saint Clément, pape,
I, 333.] Doctrine d'Hermas sur la grâce, 335,
338. Doctrine de saint Clément, 360 ; de saint
Ignace, 385, 386; de saint PoJycarpe, 397;
de saint Justin, 441 ; de saint Irénée, 323 ;
de Clément d'Alexandrie, 597 ; — de Ter-
tullien, II, 73; d'Origène, 157, 223, 226,
227; de saint Cyprien, 280, 332 et suiv.; de
Lactance, 512 ; de saint Alexandre, patriar-
che d'Alexandrie, III, 113, 114. Témoignage
de l'empereur Constantin , 131. Doctrine
d'Eusèbe de Césarée, 238, 284 et suiv.; —
de saint Hilaire de Poitiers, IV, 72 et suiv.;
de saint Athanase, 213, 214; de Lucifer de
Cagliari, 269 ; [de Victorin, orateur chrétien,
330;] de Tite de Bostres, 343; de l'auteur
des Constitutions monastiques attribuées à
saint Basile, 408. Doctrine de saint Basile,
512, 513 ; — de saint Cyrille de Jérusalem,
V, 71, 72; de saint Optât de Milève, 132; de
saint Philaslre de Brescia, 176, 177; de
saint Grégoire de Nazianze, 342 et suiv. ; de
saint Ambroise, 480 et suiv.; de l'auteur des
homélies attribuéesà saint Macaire d'Egypte,
600. [Doctrine de Didyme l'Aveugle sur la
grâce, 620 et 624.] — Discours de saint
Éphrem sur la grâce, VI, 15, 16. [Son senti-
ment sur la grâce, 58, 465, 482, 488, 489,
491 , 497, 502, 503 , 308.] Doctrine de saint Gré-
goire de Nysse, 237 ; — de saint Jean Chry-
sostôme, VII, 24, 100, 214, 247, 386 et suiv";
sur l'accord du libre arbitre et de la grâce,
386 ; sur la nécessité de la grâce, 387 , 38S.
Doctrine de saint Innocent, pape, 322 ; du
pape saint Zozime, 339. Lettre de saint Jé-
rôme, 616. Accord de la grâce et du libre ar-
bitre. Réponse aux arguments des Pélagiens
contre la nécessité de la grâce, 617. Doctrine
de saint Jérôme, 666 et suiv. — Doctrine de
saint Gaudence, évéque de Brescia, VIII, 42 ;
de saint Paulin, évêque de Noie, 91 . Recueil
touchant l'autorité des évoques de Rome au
sujet delà doctrine de la grâce, 140 et suiv.
Doctrine de Cassien, 179 et suiv. ; de saint Nil,
solitaire duSinaï, 226; de saint Cyrille d'A-
lexandrie, 334, [348, n. 4; 333.] [Que celui qui
a la grâce doit la communiquer à celui qui ne
l'a pas, sujet d'un sermon d'Eusèbe d'Alexan-
drie, 383. La grâce a toujours été donnée au
genre humain, d'après saint Procle, 415.]
Sentiment de saint Isidore de Péluse sur la
grâce, 486, 492, 496 ; de Marius Mercator, l'un
des défenseurs de la grâce, 499 ; — de saint
Augustin, IX, 125, 126, 139, 131, 155 et suiv.,
137, 167, 175, 176 et suiv. Les douze ar-
ticles de la lettre à Vital sur la grâce, 177
et suiv. Autres fragments, 212 et 224. Saint
Augustin réforme ses premiers sentiments
sur la grâce, 249. Divers fragments de saint
Augustin sur la grâce, 424, 432. Livre de
la Nature et de la grâce contre Pelage , ou-
vrage de saint Augustin, 433 et suiv. Livre
de la Grâce de Jésus-Christ et du péché ori-
ginel, ouvrage du même père, 448 et suiv.
Autres fragments, 473, 499, 510. Livre de
la grâce et du libre arbitre, ouvrage de saint
Augustin, 512 et suiv. Livre de la Correction
et de la grâce, ouvrage du même père, 518
et suiv. Autres fragmens, 533, 542. Traité
de la Prédestination et de la grâce fausse-
ment attribué à saint Augustin, 559. Doc-
trine de saint Augustin sur la grâce et le
libre arbitre. Grâce d'Adam et son libre ar-
bitre, 673. Adam avait-il reçu le don de la
persévérance, 676 et suiv. Grâce des deux
états, 681 et suiv. Nos bonnes pensées vien-
nent de Dieu, 686, 687. Dieu nous inspire le
désir du bien, 687. Réponse aux objections
des Pélagiens, 687 et 688. Nécessité de la
grâce pour les actions de piété et la fuite du
mal, 688, 689 ; contre les tentations, 689 et
suiv.; pour la pénitence et la conversion des
pécheurs, 691 et 692; pour aimer Dieu, 692
et 693. Possibilité des commandements de
Dieu, 694. Nécessité de la grâce pour ac-
complir les commandements de Dieu, 694 et
suiv. Il faut demander à Dieu ce qu'il nous
commande, 696, 697. La foi est un don de
Dieu, 697 et suiv. La foi n'est pas donnée à
tous, 700. La prière est un don de Dieu, 700
et 701. La persévérance est un don de Dieu,
701 et suiv. La nature est commune à tous
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
477
les hommes et non la grâce, 703 et suiv. La
grâce est donnée gratuitement, 705, 706.
Nos mérites sont des dons de Dieu, 706,
707. Réponse aux objections des Pélagiens
contre la gratuité de la grâce, 707, 708. La
grâce ne suit pas mais précède la volonté,
708, 709. En quoi consiste la grâce, 709,
710. Comment elle agit, 710 et suiv. Force
delà grâce, 714, 713. Pouvoir de Dieu sur
la volonté de l'homme, 715, 716. Réponse à
quelques objections sur ce point de doc-
trine, 716 et suiv. Comment Dieu prépare
la volonté de l'homme et comment l'homme
se prépare. Gomment Dieu opère en nous
afin que nous veuillions et coopère avec
nous lorsque nous voulons, 720. Accord du
libre arbitre avec la grâce, 720 et suiv. La
grâce ne détruit pas le libre arbitre et n'in-
troduit pas le destin, 723, 724. Explication
de ces paroles : « Cela ne dépend pas de
celui qui veut, ni de celui qui court, mais
de Dieu qui fait miséricorde, » 724, 725. La
vocation à la foi prévient le mérite de
l'homme, 725, 726. Pourquoi les Tyriens et
les Sidoniens n'ont pas cru en Jésus-Christ,
726, 727. Le libre arbitre ne détruit pas la
nécessité de la grâce, 727 et suiv. Il est libre
à l'homme de consentir on de ne pas con-
sentir aux suggestions du démon, 729, 730.
Sentiment des Pélagiens sur le libre arbitre,
730, 731. Quelle liberté nous avons perdue
par le péché du premier homme, 731 et
suiv. La nature humaine est rétablie dans le
bien qu'elle a abandonné, 733, 734. Juge-
ment des ouvrages de saint Augustin sur la
grâce, 810 et suiv. [Effets admirables de la
grâce dans la conversion de saint Paul d'a-
près saint Augustin, 838. Deux sermons de
saint Augustin à ceux qui s'approchent de la
grâce, 842. Supplément où l'on exphque la
doctrine de saint Augustin sur la grâce, 845,
846.] — Doctrine de Théodoret, X, 120.
Doctrine de l'auteur des livres de la Voca-
tion des gentils et de la lettre à Démélriade
sur la grâce, 242 et suiv. Doctrine du pape
saint Léon sur la grâce et le libre arbitre,
264 et suiv. En quoi consiste la grâce, selon
les Pélagiens, 280. Leur doctrine condam-
née par les pères, 280 et suiv. La grâce ne
détruit pas le libre arbitre, 283. C'est elle
qui convertit les cœurs, 286 , 287 ; elle se
fait obéir, 287; loin de détruire la liberté,
elle la perfectionne, 288, 289 ; elle n'est pas
donnée à tous, 301, 302. Livre de la grâce
de Dieu et du libre arbitre contre les GoUa-
teurs : analyse de cet ouvrage de saint Pros-
per d'Aquitaine, 303 et suiv. Éditions qu'on
en a faites, 318, 319. Analyse des deux li-
vres de Fauste de Riez sur la grâce et le libre
arbitre, 427 et suiv. Éditions qu'on en a
faites, 437. Doctrine du pape saint Gélase
sur la grâce, 499 et suiv., 507. Doctrine de
saint Ennode, 571, 572. Erreurs du prêtre
Lucide sur la grâce et la prédestination, 425
et suiv. et 717, 718. — Doctrine de saint
Fulgence, évêque de Ruspe, sur la grâce et
le libre arbitre, XI, 11 et suiv.; 28, 29, 31,
52, 57 et suiv., 63. Vérité de la prédestina-
tion et de la grâce de Dieu, ouvrage de saint
Fulgence, 56 et suiv. Doctrine des évèques
d'Afrique, 41 et suiv. et 45; de Ferrand,
diacre de Carthage, 87 ; de Laurent, évêque
de Novarre, 96, 97. Doctrine de saint Césaire
d'Arles sur la grâce prévenante, confirmée
par le pape Boniface II, 113, 116. Si saint
Césaire d'Arles a fait un traité particulier
sur la grâce et le Hbre arbitre, 134. Doc-
trine de Cassiodore sur la grâce et le libre
arbitre, 231, 232. Doctrine de saint Grégoire
de Tours, 398; de saint Fortunat, évêque
de Poitiers, 406, 408, 409. Doctrine du pape
saint Grégoire sur la grâce, sa nécessité,
559, 560. Dieu la retire quelquefois, 560. On
y résiste, 561. Grâce prévenante et gratuite,
561 et 362. Accord de la grâce et du libre
arbitre, 362. Doctrine de Marc l'Ermite,
637; de saint Isidore de Séville, 721, 722.
Doctrine du second concile d'Orange, 832 et
suiv.; du concile de Valence, 838. — Doc-
trine du Vénérable Bède, XII, 15 et 16; de
saint Jean Damascène, 93 ; d'Ambroise Aut-
pert, 122; d'Alcuin, 209, 210. Poëme de
Théodulfe d'Orléans sur la grâce de Dieu,
269. Opuscule sur la grâce, la prédestina-
tion et le libre arbitre, attribué à Amolon ;
il est du diacre Florus, 431. Autre opuscule
sur le même sujet attribué encore à Amolon.
Recueil des sentences de saint Augustin sur
ces matières, 432. Discours de Florus, diacre
de Lyon, sur la grâce et la prédestination,
483, 486. Doctrine de saint Prudence sur la
grâce, 496. Doctrine de Loup, abbé de Fer-
rières, 308. La doctrine catholique sur ces
matières est confirmée par le pape saint Ni-
colas I, 369. — Doctrine de Gérard, évêque
de Cambrai, XIII, 152. Témoignage du pape
saint Léon IX, 206. Doctrine du concile de
Quiercy de 853, 684, 683; du concile de
Valence de 855, 686, 687. — Traité de
Francon, abbé d'Afïlighem, sur la grâce et
478
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
1053.
«57.
1215.
la miséricorde de Dieu. Analyse de cet ou-
vrage, XIV, 190. Éditions qu'on en a faites,
192. Voyez un autre article sur le même
sujet, 192, 343 et suiv. Doctrine du Véné-
rable Hildebert, évéque du Mans, sur la pré-
destination et la grâce, 216. [Harmonie de
la grâce et du libre arbitre, ouvrage de Vi-
vien, prémontré : ce que c'est, 249. Analyse
de cet ouvrage, 249 et 250.] Sentiment d'A-
baillard sur la grâce, 331. Traité de la grâce
et du libre arbitre, ouvrage d'Alger, scho-
lastique de Liège, 386. Traité de saint Ber-
nard de la grâce et du libre arbitre, 476 et
suiv. Jugement sur ce traité, 478, 479. Doc-
trine de saint Bernard sur la grâce, 487.
Doctrine de Pierre Lombard sur la grâce,
560, 561. — Les évêques ont commencé
vers le x" siècle à se servir de la formule :
Par la grâce de Dieu, XIII, 70.
GRADE, ville de Frioul. Un concile de
Rome décide qu'elle sera reconnue métro,
pôle des deux provinces de Vénétie et d'Is-
trie, XIII, 203 et 205 [et 195.] — Privilèges
accordés au patriarche de Grade par le pape
Adrien IV, XIV, 915.
GR./ECUS, évêque de Marseille : sa lettre
à saint Rurice, évêque de Limoges, X, 610.
(Voyez ce qui en est dit dans V Histoire lit-
téraire de la France, tome III, p. 56.)
GRAI (Gautliier de), élu archevêque
d'York : son élection confirmée par le pape
Innocent m, XIV, 1161.
GRAISSE, permise en certains jours aux
moines, XIII, 655.
GRAMMAIRE. Livre de la grammaire faus-
sement attribué à saint Augustin, IX, 64. —
Traité de la Grammaire par Cassiodore, XI,
235. — L'Enfance , ou les principes de la
grammaire de Donat, ouvrage attribué au
Vénérable Bède, XH, 3. [Traité de la gram-
maire composé par saint Bonifàce, arche-
vêque de Mayence, 56.] Grammaire sy-
riaque, composée par Jacques, évêque
d'Édesse, 101. [Écrit sur la grammaire, par
le moine Pacôme, 152.] Traité d'Alcuin sur
la grammaire, 189. Charlemagne établit
Çlusieurs écoles de grammaire dans ses
États, 224 et 230. Traité de Raban Maur sur
la grammaire, 440. Livre de la grammaire,
composé par Ermenric, moine de Richenow,
555. Traité de l'accord de la grammaire et
de la musique, imprimé à la suite du Mar-
tyrologe d'Usuard, 612. Traité de gram-
maire, composé par saint Berthaire, abbé
du Mont-Cassin, 696. Canon du concile de
Latran qui ordonne que dans les églises
cathédrales il y aura un maître de gram-
maire et des autres sciences, qui instruise
gratuitement les clercs et les pauvres éco-
liers, XIV, 1165.
GRAMMAIRIEN. Traité du grammairien :
ouvrage de saint Anselme, XIV, 20.
GRAMMATICUS, Donatiste. Lettre de saint v.398
Augustin à Grammaticus et à quelques au-
tres Donatistes, IX, 79, 80. Autre lettre de
saint Augustin aux mêmes, 80, 81.
GRANCOLAS (Jean), docteur en théo-
logie : sa traduction française des Catéchèses
de saint Cyrille, V, 82.
GRAND (Etienne le), jésuite. Sa traduc-
tion française du discours d'Aganon sur la
■vie et les miracles de saint Vorle, XIII, 77.
GRANDEUR DE DIEU. Idée qu'en donne
saint Augustin, IX, 25.
GRANDMONT. Bulle d'érection de l'ordre 1073
de Grandmont, XIII, 327 et 353, et XIV,
575. — Fondation de l'ordre de Grandmont v. lo
par saint Etienne de Muret, XIV, 576, 377.
Règle de cet ordre ; preuves qu'elle est de
saint Etienne, 577 et suiv. Elle est diflérente
de celle de saint Benoît, 377. Analyse de
cette règle, 577 et 578. [Lettres de quelques
prieurs de Grandmont dans la Pairologie,
580, n. 8.] Intrigues des frères convers con-
tre les religieux clercs de cette congréga-
tion. Lettres touchant cette affaire, 711. Ju-
gement rendu par le roi en faveur de quel-
ques élèves de l'ordre de Grandmont contre
leur prieur et quelques frères convers du
même ordre, 879. Lettre d'Etienne de Tour-
nai sur la désobéissance des convers de
Grandmont, 881. Indulgences accordées à
ceux qui suivent la règle de Grandmont,
928.
GRANDS. Avantages que l'Église reçoit
de la conversion des grands, XI, 30.
GRANGÉUS (Isaac). Son édition des li-
vres du poète Prudence contre Symmaque,
Vm, 107.
GRAPTUS, surnom des deux frères Théo-
phanes et Théodore, XII, 428. Voyez Théo-
phanes et Théodore.
GRAS (le), confrère de l'Oratoire. Sa
traduction française de l'épître attribuée à
l'apôtre saint Barnabe, I, 285 ; des livres
d'Hermas, 339; des deux lettres de saint
Clément, 361 ; des lettres de saint Ignace,
martyr, 388 ; de celle de saint Polycarpe,
398. Sa traduction française de l'épître de
saint Justin à Diognète, 446.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
479
GRASSE. Un concile de Narbonne recon-
naît les droits de l'abbaye de Grasse sur
celles de Saint-Laureut et de Saint-Poly-
carpe, XIII, 423.
GRATA, sœur de Valentinien le Jeune,
VI, 339.
GRATAROLE (André). Sa traduction la-
tine du commentaire d'Eustrace sur le se-
cond livre des Analytiques d'Aristote, XIV,
148.
GRATELÉAN. Voyez Gratlei.
GRATIEN, empereur, reconnaît Juridi-
quement l'innocence du pape Damase, IV,
608. Lettre du concile de Rome qui lui est
adressée, 608 et suiv. Son rescrit pour
l'Église à celte occasion, 610, 611. Il rap-
pelle les exilés, 611. Il chasse de l'Espagne
les Priscillianistes, 616. Il convoque le con-
cile d'Aquilée, 628, 629. Lettre du concile
d'Aquilée aux trois empereurs, 633. Autre
lettre de ce concile à Gratien en particulier,
633 et 634. Il concourt à la convocation du
concile de Rome, 638. Il donne un rescrit
pour le rétablissement des Priscillianistes.
Sa mort, 640. — Il avait rappelé d'exil saint
Mélèce d'Antioche et autres bannis par Va-
lens, V, 10. Il rappelle saint Cyrille de Jéru-
salem, 29. Il rend une loi en faveur des
femmes chrétiennes, 381. Autre loi de cet
empereur en faveur des criminels condam-
nés à mort. Il fait détruire l'autel de la Vic-
toire. Il accorde à saint Ambroise la grâce
d'un officier qui l'avait outragé, 382. Sa
mort, 383 et 478. Saint Ambroise est député
par l'impératrice Justine pour demander à
Maxime le corps de Gratien, 587. Saint Am-
broise écrit à la prière de Gratien les cinq
livres de la Foi, 471 ; et les trois livres du
Saint-Esprit, 475. Difficulté qu'il propose à
saint Ambroise. Lettre que lui écrit saint
Ambroise, 480. Le jeune Valentinien est
enterré près du tombeau de Gratien à Milan,
506. — Gratien fait rendre aux cathohques
les églises dont les Ariens s'étaient empa-
rés, VI, 121. Lois de ce prince touchant la
religion, 360 et suiv. Rescrit de cet empe-
reur et de Valentinien II en faveur du pape
saint Damase et touchant la juridiction des
évêques, 361. Deux rescrits de ce prince
pour et contre les Priscillianistes. Lois de
ce prince pour suspendre l'exécution des
sentences de mort, 362. — Témoignage de
Théodoret sur l'empereur Gratien, X, 48.
(Voyez son article dans VHistoire littéraire
de la France, t. I, part. II, p. 233 et suiv.)
GRATIEN, moine bénédictin du raonas- 1127-1151.
tère de Saint-Félix et de Saint-Nabor à Bo-
logne. Erreurs où plusieurs auteurs sont
tombés à ce sujet. Son Décret; combien de
temps il mit à le composer. Estime qu'on
fait de ce Décret, XIV, 760. Fautes qu'on
lui reproche. Correction qu'on en a faite en
divers temps, 760 et 761. Éditions qu'on en
a données. 761. [Autres éditions, 761.] Ce
que contient ce Décret. Additions désignées
sous le nom de Paléas, 761. Correction du'.
Décret par Antoine Augustin, 761 et 762.
Doctrine de Gratien sur l'Eucharistie, 762,
763. Il traite de tous les sacrements, 763.
Son sentiment sur l'autorité du pape relati-
vement aux canons, 763 [et note 3. Com-
mentaire sur le Décret de Gratien par
Etienne, évèque de Tournai, 878. La pré-
face seule est imprimée, 878.]
GRATISSIMUS, grand chambellan, fonde y siècle,
le monastère de Saint-Cyriaque à Constan-
tinople et y prend l'habit sans quitter les
fonctions de sa charge, X, 345.
GRATISSIMUS, opuscule de saint Pierre
Damien en faveur des ordinations faites par
les simoniaques, XIII, 311.
GRATLEI ou GRATLÉAN, ville d'Angle-
terre. Concile qui y fut tenu, XIII, 745.
[GRATTULA, auteur d'une Histoire du
Mont-Cassin. Prologue et épilogue de la Vie
de saint Mennas, XIII, 497.]
GRATUS, évêque de Carthage, assiste au 347 „„
concile de Sardique, Ili, 477 ; préside à ""='"' 343.
celui de Carthage, 498. ^*^'"' '*^"
GRATUS, évêque d'Aouste, II, 472.
GRATUS, diacre en Provence. Son traité
dans lequel il prétendait montrer qu'il n'y
avait qu'une nature en Jésus-Christ, X, 422.
Il est réfuté par Fauste de Riez, 422 et suiv.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. II, p. 317 et suiv.)
GRAVITÉ DES CLERCS ET DES MOINES,
sujet d'un canon de quelques conciles de
Carthage, VII, 726. Canons soixantième et
soixante-deuxième du quatrième concile de
Carthage, 731.
GRAVIUS (Henri), dominicain. Ses notes
sur les lettres de saint Jérôme, VII, 709. — >
Sa révision du texte de saint Paulin, évêque
de Noie, VIII, 97, 98. — Son édition des
œuvres de saint Jean Damascène, XII, 97.
GREC, évêque de Marseille. Voyez Grœ-
cus.
GRÈCE, poëme de l'empereur Léon le
Philosophe sur le misérable état de la
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Grèce, XII, 775. Notice des évêchés de la
Grèce avec l'ordre que les palriarches tien-
nent entre eux, attribué au même prince,
776. — [Ouvrages à consulter sur les griefs
des Grecs et des Latins, XIIF, 214, n. 2.]
GRÉGIEN, évêque de Galles en Italie, as-
siste au concile de Rimini, IV, 335. Il y de-
mande la condamnation d'Ursace et de
Valens, 557.
Il siècle, GRECS. Exhortation de saint Justin aux
Grecs, I, 411. Discours de Tatien aux Grecs,
489 et suiv. — Différentes opinions des Grecs
sur le bonheur de l'homme, X, 97. — Ré-
ponses de Ratramne aux objections des
Grecs schismatiques, XII, 363 et suiv. Ré-
ponses d'Énée, évêque de Paris, 600, 601.
— Fragments d'une dispute contre les
Grecs, XIII, 253. [Écrits concernant les
griefs des Grecs contre les Latins, 214, n. 2.]
— Dialogues d'Anselme d'Havelburg sur les
points qui divisaient les Grecs et les Latins,
XIV, 414 et suiv. Ouvrage de Géroch, pré-
vôt de Reichersperg, sur les questions agi-
tées entre les Grecs et les Latins; lettres
qui en font mention, 630.
GREFFIER. Détails des avantages et des
devoirs de la charge de greffier dans une
lettre de Cassiodore, XI, 220.
VI siècle. GRÉGENTIUS (Saint), archevêque de Ta-
phar en Arabie, Ce qu'on sait des circons-
tances de sa vie, XI, 279. Le Dialogue donné
sous son nom est une pièce supposée, 279
et suiv. Éditions qu'on en a faites, 280.
[Éditions de ses écrits dans la Patrologie,
Écrits nouveaux.] Gode de lois pour les Ho-
mérites qu'on lui attribue, 280. [Éditions de
cet écrit, 280.]
GRÉGOIRE THAUMATURGE (Saint), évê-
que de Néocésarée dans le Pont. Histoire de
sa vie, II, 437 et suiv. Naissance de saint
Grégoire ; pourquoi il est nommé Tliauma-
231. turge. Ses études. Il devient disciple d'Ori-
235. gène à Césarée en Palestine, 433. Suite des
237 ou 238. études de saint Grégoire, 433 et 438. Il va à
Alexandrie, retourne à Césarée auprès d'Ori-
238, gène, est baptisé. Il retourne en son pays
après avoir fait l'éloge d'Origène ; estime
qu'Origène avait pour saint Grégoire, 438.
240. Saint Grégoire quitte Néocésarée et se retire
250. à la campagne, 438 et 439. Il est fait évêque
de Néocésarée, 438. Son zèle pour la foi, ses
g5i. miracles ; il se retire durant la persécution ;
864. il retourne en son église. Concile d'Antio-
270. che où il assiste; il meurt, 439. Écrits de
saint Grégoire, 439 et suiv. Discours en
l'honneur d'Origène, 439. Analyse de ce
discours, 439 et 440. Symbole que saint '■
Grégoire reçoit dans une vision, 440. Ce
que contenait ce symbole, 440 et 441. On
ne peut douter de l'authenticité de ce sym-
bole, 441 , 442. Exposition de foi de saint
Grégoire à Élien, 442, Autre exposition et
anathématismes faussement attribués à saint
Grégoire, 443. [Voyez 443, n. 1. Leur au-
thenticité soutenue par plusieurs critiques,
447. n. 6.] Lettres de saint Grégoire, 444 et
suiv. Lettre ou épître canonique, 444. Ana-
lyse de cette lettre, 444 et 443. Addition à
cette lettre, 443, 446. Paraphrase de saint
Grégoire sur l'Ecclésiaste, 446. [Fragments
d'un discours de saint Grégoire, 446, n. 10.]
Ouvrages supposés, 446 et 447. [Fragments
d'autres écrits de saint Grégoire, 447.] Ju-
gement des écrits de saint Grégoire, 447,
Édition de ces œuvres, 447 et 448. [Autres
éditions, 448. — Il est l'auteur de la para-
phrase sur l'Ecclésiaste faussement attribuée
à saint Grégoire de Nazianze, V, 246. — Sa
Vie écrite par saint Grégoire de Nysse, VI,
211 et suiv. — Saint Augustin ne savait pas
le fait de la montagne transportée par la foi
de ce saint évêque, IX, 433.
GRÉGOIRE, évêque de Porto, assiste au
concile d'Arles, II, 629.
GRÉGOIRE ou GORGONNE, évêque de
Cinne, assiste an concile de Néocésarée, II,
640.
GRÉGOIRE DE CAPPADOCE, mis par les
Eusébiens sur le siège d'Alexandrie à la
place de saint Athanase, III, 472, et IV, 95.
GRÉGOIRE, évêque d'Elvire, III, 348 et
349. Histoire de sa vie, 348. Ses écrits, 349,
Il refuse la communion à Osius, 397. —
Lettre que saint Eusèbe de Verceil lui écrit,
IV, 273. 11 refuse de signer la formule de
Rimini, 382. Éloges que lui donnent Faus-
tin et Marcellin, V, 153. II pourrait être au-
teur de quelques écrits attribués à saint
Grégoire de Nazianze, 242. [Le traité de la
Foi attribué à saint Phébade est de Grégoire
d'Elvire, 377.]
GRÉGOIRE (Saint), surnommé l'Illumina-
teur, martyr, apôtre de l'Arménie. Son éloge
attribué à saint Jean Chrysostôme, Vil, 345,
[Lettre de saint Grégoire l'IUuminateur et
trente canons publiés par Mai, 343.]
GRÉGOIRE (Saint), évêque de Nazianze,
père de saint Grégoire surnommé le Théo-
logien. Sa conversion et son baptême. Y,
178, 179 et 214, Il est fait évêque, 179. Son
V.2
31'
34i
IV «li
i359.
11.
;5.
IS.
10.
u 379.
u 382.
TABLE GÉNÉRALE
fils prend soin de sa maison. II confère le
sacerdoce à son fils, 181. Il se laisse sur-
prendre ; les moines se séparent de lui, 182
et 214. Ils s'en rapprochent, 182 et 183. Sa
mort, 184 et 299. Discours de saint Grégoire
son fils sur la réunion des moines de Na-
zianze avec son père, 207, 208. Son oraison
funèbre par saint Grégoire de Nazianze son
fils, 313 et suiv. Lettres qu'il écrivit au peu-
ple de Césarée, aux évêques de la province
de Gappadoce et à Eusèbe de Samosate,
250. — Ses lettres pour l'élection de saint
Basile, IV, 437. Il signe la formule de Ri-
mini, .o61.
GRÉGOIRE DE NAZIANZE (Saint), sur-
nommé le Théologien, archevêque de Cons-
tantinople et docteur de l'Église, V, 172 et
suiv. Histoire de sa vie. Lieu de sa nais-
sance, 178. Ses parents ; leurs vertus, 178
et 179. Nombre de leurs enfants. Naissance
de saint Grégoire, 179. [Date de sa nais-
sance. Son caractère, 179, n. 13.] Son édu-
cation. Ses études. Il va à Athènes. Il re-
tourne en son pays, 180. Il reçoit le bap-
tême ; ses vertus. Il prend soin de la maison
de son père. Il se retire quelque temps avec
saint Basile, 181. Il est ordonné prêtre, 181
et suiv. Il réconcilie Eusèbe de Césarée en
Gappadoce avec saint Basile. Il tâche de
retirer de la cour son frère Césaire. Il tra-
vaille à faire choisir saint Basile pour évê-
que de Césarée. Il est choisi évêque de Sa-
simes et sacré, 183. Il gouverne l'Église de
Nazianze sous son père, 183 et 184. Après
la mort de son père il se retire à Séleucie,
184. Il est choisi évêque de Constantinople,
185. Il y assemble les catholiques dans
l'Anastasie, 185 et 186. Sa conduite dans
l'épiscopat. Effets des prédications de saint
Grégoire, 186. Saint Jérôme vient l'écouter,
187. Troubles arrivés pendant son épiscopat
par l'ordination de Maxime, 187 et 188.
Maxime est rejeté; saint Grégoire maintenu
sur le siège de Constantinople, 188, 189 ;
son élection est confirmée dans le concile de
Constantinople, 189. Il se retire de Constan-
tinople, 189 et 190. Il fait son testament,
190, 191, Il revient à Nazianze, 191. Sa re-
traite à Arianze, 191 et 192; ses occupations
pendant sa retraite. Sa mort , 192. Son
éloge. Ses écrits, 193 et suiv. Oraisons ou
discours de saint Grégoire. Les deux dis-
cours de saint Grégoire touchant le sacer-
doce; analyse du premier discours. Vertu
nécessaire dans un prêtre. Maximes pour la
TAB. 1.
DES MATIÈRES.
481
conduite des âmes, 193. Doctrine nécessaire
pour la direction des âmes, 191 et 192. Age
convenable pour enseigner les autres, 194.
Raisons que saint Grégoire avait de fuir le
sacerdoce et de s'y soumettre, 194 et 195.
Second discours, 195; ce qu'il contient, 195
et 196. Deux discours de saint Grégoire
contre Julien l'Apostat, 196 et suiv. Analyse
du premier discours, 196. Impiété de Julien,
197. Il conçoit le dessein d'abolir le chris-
tianisme. Avantages de la i^eligion chré-
tienne, 197 et suiv. Injustice de la pi'étention
de Julien, 199. Infamies des fables païennes,
199 et 200. La morale des païens renverse
les grands principes : perfection de la morale
chrétienne, 200. Analyse du second dis-
cours, 200 et suiv. Reproches des païens
contre les chrétiens; ressources des chré-
tiens dans les persécutions, 201. Maximes
qu'ils doivent observer, 201 et 202. Cin-
quième discours de saint Grégoire, 202;
sixième discours de saint Grégoire, 202 et
203 ; septième discours, 203; huitième dis-
cours, 203 et 204; neuvième, 204, 205;
dixième : oraison funèbre de Césaire, son
frère, 205, 206. Onzième discours: oraison
funèbre de sainte Gorgonie, sœur de saint
Grégoire, 206. Douzième discours, sur la
réunion des moines de Nazianze avec saint
Grégoire le père, 207, 208; treizième dis-
cours, sur la paix, 208; quatorzième dis-
cours, sur la paix, 208 et 209 ; quinzième
discours, sur la grêle, 209, 210; seizième
discours, sur l'amour des pauvres, 210, 211 ;
dix-septième discours, au sujet de quelques
séditions arrivées à Nazianze, 211, 212; dix-
huitième discours, en l'honneur de saint
Cyprien, martyr, 212; dix-neuvième dis-
cours de saint Grégoire : oraison funèbre de
son père, 213 et suiv. Vingtième discours :
oraison funèbre de saint Basile, 215, 216 ;
vingt-unième discours : panégyrique de
saint Athanase, 216 et suiv.; vingt-deuxième
discours, à l'honneur des Machabées, 217
et suiv.; vingt-troisième discours : panégy-
rique du philosophe Héron, 219; vingt-qua-
trième discours, en l'honneur des Égyptiens,
219 et 220; vingt-cinquième discours, aux
Ariens : apologie de la conduite de saint
Grégoire, 220, 221 ; vingt-sixième discours :
de la modération qu'il faut garder dans les
disputes, 221, 222 ; vingt-septième discours :
apologie de saint Grégoire contre ceux qui
l'accusaient d'avoir brigué le siège de Cons-
tantinople, 222, 223; vingt-huitième dis-
31
482
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES,
cours, sur son retour après la persécution
de Maxime, 223.224; vingt-neuvième dis-
cours, sur l'établissement des évêques et
sur le dogme de la Trinité, 224, 225; tren-
tième discours, sur l'élection de l'évêque
Eulalius, 225, 226; trente-unième discours.
Sur le divorce, 226; trente-deuxième dis-
cours de saint Grégoire : son adieu au sor-
tir de Constantinople , 226, 227. Trente-
troisième discours, contre les Eunoraiens :
le premier des cinq sur la théologie, 227,
228. Trente-quatrième discours, sur la na-
ture divine : second sur la théologie, 228,
229. Trente-cinquième discours, sur la divi-
nité du Fils, contre les Eunomiens ; troi-
sième sur la théologie, 229 et suiv. Trente-
sixième discours, sur la divinité du Fils : qua-
trième sur la théologie ; réponse aux passa-
ges allégués par les Eunomiens, 231 et suiv.
Trente-septième discours, sur le Saint-Esprit,
contre les Macédoniens, 233. Réponse aux
objections des Macédoniens, 233 et 234.
Remarques sur la divinité du Saint-Espr'it,
234. Trente-huitième discours, sur la nati-
vité de Jésus-Christ, ou sur la théophanie,
234 et 235. Trente-neuvième discours, sur
la tête des lumières, ou sur le baptême de
Jésus-Christ , 235 , 236. Quarantième dis-
cours, sur le sacrement de baptême, 236
et suiv. Réponse aux objections de ceux qui
différaient leur baptême, 237, 238. Du bap-
tême des enfants, 238,239. Quarante-unième
discours, sur la fête de Pâques; quarante-
deuxième discours, second sur la fête de
Pâques, 239; quarante-troisième discours,
sur le dimanche de l'octave de Pâques, 239
et 240; quarante-quatrième discours, sur la
fête de la Pentecôte, 240, 241 ; quarante-
cinquième discours : lettre à Évagre, la-
quelle n'est pas de saint Grégoire, 241 ; qua-
rante-sixième discours : sa lettre à Nectaire
241 et 242; quarante-septième discours, sur
Ezéchiel : ce discours n'est pas de saint
Grégoire. Quarante-huitième discours de
saint Grégoire, à la louange des martyrs,
242; quarante-neuvième et cinquantième
discours, lesquels ne sont pas de saint Gré-
goire, 242 et 243. Cinquante-unième dis-
cours de saint Grégoire : première lettre au
prêtre Clédonius contre les Apollinaristes,
243 et suiv. Réponse aux objections des
Apollinaristes, 245, 246. Cinquante-deuxième
discours : seconde lettre à Clédonius contre
les Apollinaristes, 246. [Fragment de son
discours contre les astronomes, 246. Com-
mentaire sur les discours de saint Grégoire
de Nazianzq, 246, 247.] La paraphrase sur
l'Ecclésiaste n'est pas de saint Grégoire, 246.
Lettres de saint Grégoire, 247 et suiv. Let-
tres à Céleusius, 247. Lettres à Nicobule,
père et fils, 247 et 248. Lettres à saint Basile,
248, 249. Lettres à Amphiloque; lettres ii
Bosphore, évêque de Colonie, 249. Lettres
à Césaire, son frère, 249 et 250. Lettre à
Sophrone , préfet de Constantinople, 250.
Lettres à Eusèbe de Gésarée en Gappadoce,
250. Lettres à saint Basile, 250 et 251. Let-
tres de saint Grégoire père au peuple de Cé-
sarée, après la mort d'Busèbe ; aux évêques
assemblés à Césarée pour l'élection, et à
Eusèbe de Samosate, 251, 252. Lettres de
saint Grégoire fils à saint Basile, 252. Lettres
à Eusèbe de Samosate, 252 et 253. Lettres
à saint Basile, 253. Lettres à saint Grégoire
de Nysse, 253 et 254. Lettre à Simplice ;
lettre à Alype, mari de Simplice ; lettres à
Jacques, gouverneur de Gappadoce , pour
Simplice, 254. Lettre à Eudoxe, rhéteur;
lettre à Philagrius, 255. Lettres à Grégoire,
gouverneur de Gappadoce, à Eusèbe, à Sa-
turnin, à Sophrone, à Hellade, à Thémis-
tius, à Eudoxe, à Africain, à Astérius, à
Olympius, pour Nicobule, neveu de saint
Grégoire, 255 et 256. Autres lettres à Olym-
pius, 256 et 257. Lettres à Nectaire; lettres
à Hellade; lettres à Théodore de Tyanes,
257. Lettres à Procope, 257 et 258. Lettres
à Sophrone; lettres à Eastochius; lettres à
Stagire, 258. Lettres à Eudoxe ; lettre à Postu-
mien, 258 et 259; à Saturnin; à Amazone;
à Léonce ; à Hypatius, 239. Lettres contre
les Apollinaristes à Olympius, 259 et 260.
Lettres à Némésius; lettres à Aërius et à
Alypius, 260. Lettres à Théodore de Tyanes,
260 et suiv. Lettre à Castor touchant un
jeune homme nommé Sacerdos, 262. Lettres
à Sacerdos, 262 et 263. Lettres à Homo-
phrone, à Hellade, à Eudoxe, à Thècle,
sœur de Sacerdos ; à Castor, touchant Sa-
cerdos, 263 et 264. Lettre à saint Grégoire
de Nysse; lettres à Clédonius, à Eulalius, à
Léonce, à Epiphane. Lettre à Césaire, préfet
de Constantinople. Lettres pour Amphiloque,
laïque, à Césaire, à Sophrone, à Thémis-
tius. Lettres àunjeune homme de condition.
Lettre à Ellébichus, 264. Lettres à Adel-
phe, 264 et 265. Lettres à Ablabius, à Victor,
à Modarius, à saint Amphiloque. Lettres à
Julien, officier des tailles, 265. Lettre tou-
chant la mort de l'abbé Leucadius. Lettre^
I
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
à Timothée, prêtre de Cqnstantinople, 265 et
266. Lettres à Dioclès, à Candidien, à Va-
lentinien, parent de saint Grégoire. Lettre
touchant Bosphore, évêque de Colonie; à
Théodore et à Nectaire. Lettre à Homo-
phrone, 266; à saint Ampbiloque, 266 et
267. [Lettre à Basilisse : exhortation à la
constance dans la vertu, 267.] Poésies de
saint Grégoire, 267 et suiv. Premier poëme
de ce saint : sa vie, 268, 269; second, inti-
tulé : De son état, 269; troisième, sur la
virginité, 269 et 270 ; quatrième, sur la vir-
ginité, 270, 271 ; cinquième, intitulé : Des
calamités de son âme; sixième, sur les af-
flictions dont il était accablé, 271 ; septième,
exhortation aux jeunes gens; huitième et
neuvième, sur les maux qu'il avait soufferts
et qu'il souËfrait. Dixième, sur les églises de
Gonstantinople, 272; onzième et douzième,
sur les évéques de son temps, 272 et 273 ;
treizième, adressé aux évêques assemblés en
concile à Gonstantinople; quatorzième et
quinzième, sur les misères de l'homme ; sei-
zième et dix-septième, sur le bonheur de
l'homme; dix-huitième, intitulé : Serment.
Dix-neuvième, contre la chair; vingtième,
sur les tentations du démon ; vingt-unième,
surles brigues des évêques; vingt-deuxième,
contre le démon ; vingt-troisième, sur le
désir de la mort ; vingt-quatrième, sur la
brièveté de la vie, 273. Vingt-cinquième,
vingt-sixième et vingt-septième, sur les mi-
sères de la vie, 273 et 274. Vingt-huitième,
vingt-neuvième et trentième, sur le désir de
la mort. Trente-unième, brièveté de la vie,
en iorme d'épitaphe; trente-deuxième et
trente-troisième, surles maux qu'il souffrait.
Trente-quatrième, sur la lecture des livres
saints ; trente-cinquième , sur les plaies
d'Egypte ; trente-sixième, sur le Décalogue;
trente-septième, sur les douze fils de Jacob;
trente-huitième, sur les douze Apôtres, 274.
Trente-neuvième , intitulé : Généalogie de
Jésus-Christ, 274, 27S. Quarantième, qua-
rante-unième, quarante-deuxième, quarante-
troisième, quarante-quatrième, quarante-
cinquième et quarante-sixième, sur les mi-
racles et les paraboles de Jésus-Christ;
quarante-septième, sur la vie cénobitique,
273 ; quarante-huitième , en faveur des
moines, 273 et 276 ; quarante-neuvième, à
Julien, receveur des tailles, en faveur des
pauvres, 276. Cinquantième et cinquante-
unième, au sujet de Nicobule, 276 et 277 ;
cinquante-deuxième, à Vitalien, homme dis-
483
tingué, en faveur de ses fils, 277, 278; cin-
quante-troisième, sur la vraie noblesse; cin-
quante-quatrième, prière pour un voyage ;
cinquante-cinquième, sur le silence ; cin-
quante-sixième, intitulé : Hymne à Jésus-
Christ au jour de Pâques, 278 ; cinquante-
septième, sur le mariage de sainte Olym-
piade, 278 et 279; cinquante-huitième, sur
sa propre retraite, 279; cinquante-neuvième,
sur la grandeur et la bassesse de l'homme,
279 et 280; soixantième, sur les moines,
280 et 281 ; soixante-unième, sur ses propres
maux, 281; soixante-deuxième, àNémésius,
exhortation à embrasser la foi; soixante-
troisième , sentences acrostiches , 281 et
282; soixante-quatrième, contre le luxe des
femmes, 282; soixante-cinquième, épitaphe
de saint Basile, 282 et 283 ; soixante-sixième,
sentences morales ; soixante-septième, sur
la brièveté de la vie ; soixante-huitième ,
contre l'avarice, 283; soixante-neuvième,
intitulé : Sentences tétrastiques du grand
Grégoire le Théologien, 283 et 284. Soixante-
dixième, onzième, douzième , treizième,
quatorzième, quinzième, seizième et dix-
septième, contenant les principaux points
de la théologie sous ce titre : Les secrets de
saint Grégoire, 284 et suiv.; soixante-dix-
huitième, de la pudicité. Soixante-dix-neu-
vième et suivants, jusqu'au cent vingtième,
épigrammes sur différents sujets, 288. Cent
vingtième, surles agréments de la vie; cent
vingt-unième, sur la sainte Trinité; cent
vingt-deuxième , sentences acrostiches ;
cent vingt-troisième , contre les envieux,
289 ; cent vingt-quatrième, sur la Provi-
dence, 289 et 290; cent vingt-cinquième,
divers avis à Séleucus : ce poëme est attri-
bué à saint Amphiloque, 290. Cent vingt-
sixième, sur la veuve de Sarepta, 290 et
291; cent vingt-septième et cent vingt-hui-
tième, adressés à Jésus-Christ; cent vingt-
neuvième, reproches à son âme. Cent tren-
tième et les six suivants, sur divers sujets.
Cent trente-cinquième, contenant des défi-
nitions; cent trente-huitième, contre les
violateurs des sépulcres; cent trente-neu-
vième, sur les miracles d'Élie et d'Elisée,
291. Cent quarantième, sur la vertu, 291 et
292; cent quarante-unième, dialogue sur la
vie spirituelle et la vie commune, 292 ; cent
quarante-deuxième, dialogue sur le jure-
ment, 292 et 293 ; cent quarante-troisième,
contre la colère, 293, 294; cent quarante-
quatrième, contre l'avarice; cent quarante-
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
cinquième, sur l'église de Nazianze, 294;
ceirt quarante-sixième , abrégé des deux
lettres à Clédonius ; cent quarante-septième,
sur ses poésies; cent quarante-huitième,
contre Maxime le Cynique; cent quarante-
neuvième, adressé aux évêques qui avaient
occasionné son abdication; cent cinquan-
tième, contre un noble vicieux ; cent cin-
quante-unième, contre ses envieux; cent
cinquante-deuxième, l'éloge de la chasteté ;
cent cinquante-troisième, hymne à Dieu ;
cent cinquante-quatrième, épigrammes à
Dieu; cent cinquante-cinquième, exhorta-
tion aux vierges; cent cinquante-sixième,
contre la vie peu réglée de quelques évêques ;
cent cinquante-septième, sur les évêques,
295 ; cent cinquante-huitième, sur la cadu-
cité des choses de ce monde, 296. La tra-
gédie intitulée : Jésus-Christ souffrant, n'est
pas de saint Grégoire, 296, 297. Épigrammes
de saint Grégoire, 297 et suiv. Épigramme
en l'honneur du sophiste Proêrèse, 297 et
298; en l'honneur d'un grammairien nommé
Tespésius. Épigramme à la louange d'un
nommé Martinien. Épigrammes en l'hon-
neur d'Amphiloque, homme distingué par
sa science. Épigramme en l'honneur d'un
autre Amphiloque, rhéteur, 298. Épigramme
à Nicomède, parent de saint Grégoire, 298
et 299. Épigramme, à la louange de Car-
terre, ami de saint Grégoire et son maître
dans la vie spirituelle. Épigrammes en l'hon-
neur des parents et amis de saint Grégoire,
299. Épigrammes sur la vie de saint Gré-
goire : quelques-unes paraissent n'être pas
de ce saint docteur. Épigrammes sur la fa-
mille de saint Basile et sur celle de saint
Grégoire : quelques-unes de ces épigram-
mes doivent être rejetées comme n'étant
pas de saint Grégoire. Épigrammes à Ma-
xence, ami de saint Grégoire, 300. Épigram-
mes touchant la sépulture et les tombeaux
des morts, 300 et suiv. Autres épigrammes
sur divers sujets, 303, 304. Épigrammes
contre les femmes sous-introduites, 304.
Epigrammes contre ceux qui parlaient mal
des moines, 303 et 304. Épigramme inti-
tulée : Des noces. Autre sur la vieillesse.
Épigramme contre les repas qui se faisaient
dans les basiliques des martyrs. Épigram-
mes touchant quelques particularités de la
vie du saint docteur, 304. Paraphrase du
Scholiaste sur le poème de saint Grégoire
touchant l'avènement de Jésus-Christ, 304
et ,303. Autres épigrammes de saint Grégoire
, sur divers sujets, 305. [Poëme contre Apol-
linaire, différent de celui dont parle D. Ceil-
lier, 305, n. I.] Autres poésies de saint Gré-
goire, 305 et 306. Poëme contre les évêques.
Poëme pour répondre aux reproches de ceux
de la ville de Nazianze, 305. Poëme contre
ceux qui l'avaient forcé de quitter l'église
de Constantinople, 305 et 306, Poëme sur
les maux de l'éghse de Gonstantinople.
Poëme en forme d'invocation à la sainte
Trinité. Poëmes en forme d'hymnes et de
prières, 306. [Prière et exorcisme attribués
à saint Grégoire de Nazianze, 363.] Doctrine
de saint Grégoire, 306 et suiv.; sur l'inspi-
ration des livres saints, 306, 307 ; sur le ca-
non des livres de l'Ancien et du Nouveau
Testament, 307, 308; sur la manière d'in-
terpréter l'Écriture, 308; sur l'utilité de l'é-
tude de l'Écriture, 308 et 309; sur l'avan-
tage de l'étude des Livres saints au-dessus
de l'étude des livres profanes, 309, 310; sur
l'âge auquel on doit étudier les divines Écri-
tures, 310; sur divers endroits de l'Écriture,
310 et suiv.; sur les conciles, 312, 313; sur
la tradition, 313; sur l'existence et les attri-
buts de Dieu, 313 et 314 ; sur la Trinité, 314
et suiv. ; sur la divinité du Fils de Dieu, 315
et 316; sur la divinité du Saint-Esprit, 316,
317; sur le péché originel, 317, 318; sur
l'Incarnation et sur la sainte Vierge, 318 et
suiv.; sur les anges et les démons, 321 et
322; sur l'origine de l'âme et son immorta-
lité, 322, 323; sur le baptême, 323; sur les
diverses sortes de baptêmes, 323 et 324; sur
le ministre du baptême, 324, 325; sur le
baptême des adultes, 325; sur les personnes
qui meurent sans baptême et sur les peines
qu'elles souffrent en l'autre vie, 325 et 326;
sur le baptême des enfants, 326; sur la
forme du baptême, 326 et 327; sur les ef-
fets du baptême, 327 ; sur la fidélité aux
promesses du baptême, 327; sur le temps
d'administrer le baptême, 327 et suiv.; sur
quelques cérémonies du baptême, 329; sur
la pi-ésence réelle de Jésus-Christ dans l'Eu-
charistie, 329 et 330. Que l'Eucharistie est
un vrai sacrifice : qualités de ceux qui l'of-
frent, 330 et suiv. Réponse aux objections
contre la présence réelle, 331, 332. Réponse
à une autre objection sur l'Eucharistie, 332.
Doctrine sur la pénitence, 333 et suiv.; sur
l'ordre, 334, 335 ; sur la primauté de saint
Pierre; sur le mariage; sur l'excellence de
la virginité au-dessus du mariage, 333 ; sur
les secondes noces, 336; sur l'indissolubilité
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
485
du mariage, 336 et 337 ; sur le ministre du
mariage; sur les cérémonies de ce sacre-
ment, 337 ; sur l'usage du mariage, 338 ;
sur l'invocation et l'intercession des saints,
339, 340; sur le culte des reliques, 340.
Réponse à quelques objections sur le
culte des saints et de leurs reliques, 342 et
suiv. Sur la grâce et le libre arbitre, 342 et
suiv.; sur la foi, sur le respect et le secret
des mystères, 344, 343; sur la lecture et
l'étude des livres profanes, 343, 346 ; sur
les peines des damnés, 346; sur la puis-
sance temporelle et la puissance ecclésias-
tique; sur la hiérarchie ecclésiastique; sur
le célibat des prêtres, 347; sur les causes
ecclésiastiques, 347 et 348 ; sur le zèle et la
charité des évéques, 348, 349; sur les vœux,
les moines et les vierges, 349, 330; sur di-
vers points de discipline, 330 et suiv. ; sur
divers points de morale, 332 et suiv.; sur
l'histoire, 335 et suiv.; [sur les éloges qu'il
donne à l'empereur Constance, 357, note 3.]
Jugement des écrits de saint Grégoire, 359,
360. Catalogue des éditions latines de ses
écrits. Editions grecques des écrits de saint
Grégoire, 360. Éditions grecques et latines,
360. [Éditions des Bénédictins, 361, 362.]
Éditions françaises, 362. Éditions de la li-
turgie attribuée à saint Grégoire, 363. [Au-
tres éditions et autres liturgies attribuées à
saint Grégoire.] — Saint Grégoire de Na-
zianze fait l'éloge de la lettre de saint Atha-
nase à l'empereur Jovien, IV, 136. Sa liaison
dans sa Jeunesse avec saint Basile le Grand,
330 et suiv. Saint Basile le fait évêque de
Sosimes, 359. Première lettre de saint Ba-
sile à saint Grégoire, 424, 425 ; seconde let-
tre, 426, 427; troisième lettre, 429; qua-
trième lettre, 430. Lettre qu'il écrivit tou-
chant l'élection de saint Basile le Grand,
437. Autres lettres de saint Basile le Grand
à saint Grégoire de Nazianze, 442, 443, 457.
Philocalie : ouvrage de saint Grégoire de
Nazianze et de saint Basile le Grand, 495,
496. Il est chargé du soin de l'Église de
Constantinople, 617. Il en est établi évêque.
Il préside au concile de Constantinople après
la mort de saint Mélèce, 619. Les évêques
d'Egypte et de Macédoine arrivés au concile
se plaignent de ce que saint Grégoire avait
été établi sur le siège de Constantinople,
620. Il quitte le siège et le concile, 621. Il
refuse de venir au second concile de Cons-
tantinople, 636. — Lettre que saint Eusèbe
de Samosate écrivit à saint Grégoire de Na-
zianze, V, 3. Saint Grégoire engage saint
Amphiloque à faire un voyage pour justifier
Bosphore, évêque de Colonie, 367. — Quel-
ques-uns des discours de ce père traduits
par Rufin d'Aquilée, VII, 466. Jérôme fut
disciple de saint Grégoire de Nazianze, 547.
— Témoignage de Philostorge sur ce saint
docteur, VIII, 312. — Saint Augustin cite
saint Grégoire de Nazianze, IX, 486. —
— Commentaire de l'abbé saint Maxime sur
les endroits difficiles de saint Grégoire de
Nazianze, XI, 770, 771. — Discours de Théo-
dore Daphnopates en son honneur, XIIL 30.
Hymne de Jean Mauropus pour le jour de
sa fête. Discours du même en son honneur,
229. Commentaire de Nicétas, métropohtain
d'Héraclée, sur ses oraisons et sur ses poé-
sies , 338. — Commentaire sur quelques-
uns de ses poëmes attribué à Nil Doxopater,
XIV, 634.
GRÉGOIRE, préfet du prétoire. Donat de
Carthage le traite indignement dans une
lettre, V, 98.
GRÉGOIRE, diacre et moine de Nazianze,
héritier de saint Grégoire de Nazianze, V,
190,
GRÉGOIRE, gouverneur de Cappadoce.
Lettres que saint Grégoire de Nazianze lui
écrit, V, 235.
GRÉGOIRE, oncle de saint Basile, a quel- 371.
ques différends avec lui. Lettres que lui
écrit ce saint docteur, V, 440. — Saint Gré-
goire de Nysse travaille à réconcilier avec
lui saint Basile, VI, 120.
GRÉGOIRE (Saint), évêque de Nysse,
docteur de l'Église et confesseur, VI, 119 et
suiv. Histoire de sa vie. Naissance de saint 371.
Grégoire ; ses études, 119. Il s'engage dans
le mariage, 119 et 120. [Voyez 119, note 9.]
Il est fait lecteur. Il travaille à réconcilier 374 ç[ 375.
saint Basile avec son oncle Grégoire, 120.
Il est élevé à l'épiscopat, 120, 121. Il est 376.
persécuté par les Ariens, déposé, banni. Il 378_
est rétabli, 121. Il assiste au concile d'An- 37g.
tioche, 121 et 122. Il va voir sainte Macrine
sa sœur, l'assiste à la mort et célèbre ses
funérailles, 122, 123. Son voyage en Arabie 380.
et en Palestine, 123. Il assiste aux conciles 331 g, 383.
tenus à Constantinople, 123 et 124. Son dif- 593.
férend avec Hellade, évêque de Césarée en
Cappadoce, 124, 123. Saint Grégoire assiste 3ç,4_
au concile de Constantinople. Sa mort, j^^^^i 403.
Éloge de ses vertus, 123. Catalogue de ses
écrits, 123 et 126. [La lettre au moine Éva-
gre est de saint Grégoire de Nysse, 126.]
486
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Écrits de saint Grégoire, 126 et suiv. Hexa-
meron, 126. En quel temps il a été écrit,
126. Analyse de ce livre. Traité de la For-
mation de l'homme, 128 et suiv. En quel
temps il a été écrit, 128. Analyse de ce
qu'il contient, 128 et suiv. Homélies sur ces
paroles : Faisons riiomme à noire image,
faussement attribuées à saint Grégoire, 131.
Livre de la Vie de Moïse ou de la Vie par-
faite, 131 et suiv. A quelle occasion il a été
écrit, 131. Analyse de ce traité, 131 et suiv.
Traité sur les Inscriptions des Psaumes, 133
et suiv. Occasion de cet ouvrage, 133, 134.
Quel en est le but, 134. Ce que l'on peut y
remarquer, 134 et 133. Homélie sur le
psaume sixième, 135. Huit homélies sur
l'Ecclésiaste, 135 et suiv. Idée de cet ou-
vrage, 133, 136. Ce que l'on peut y remar-
quer, 136, 137. Quinze homélies sur le Can-
tique des Cantiques, 137 et suiv. Saint Gré-
goire les a composées à la prière de saiute
Olympiade, 137. Saint Grégoire y suit le
sens mystique, 137 et 138. Ce qu'il y a de
remarquable dans ces homélies, 138, 139.
Cinq homélies sur l'oraison dominicale, 139
et suiv. Ces homélies sont citées par les an-
ciens, 139, 140. Analyse de la première de
ces homélies, 140. Analyse de la seconde,
140, 141. Analyse de la troisième, 141.
Analyse de la quatrième. Analyse de la cin-
quième, 142. Huit homélies sur les huit
béatitudes, 142 et suiv. Elles sont citées par
les anciens, 142^ 143. Ce que contient la
première ; la seconde ; la troisième ; la qua-
trième, 143; et la cinquième, 143 et 144 ; la
sixième ; la septième, 144 ; la huitième, 144
et 143. Traité sur la Soumission du Fils de
Dieu envers son Père à la fin des siècles.
On doute si ce traité est de saint Grégoire.
Analyse de ce traité, 143. Traité qui a pour
titre : Comment l'homme est fait à l'image
de Dieu; ce traité n'est pas de saint Gré-
goire, 143 et 146. Discours sur la pythonisse.
11 est de saint Grégoire, 146. Analyse de ce
discours, 146 et 147. Discours de saint Gré-
goire sur son ordination. Il paraît avoir été
prononcé au jour de la dédicace de l'église
bâtie par Rufin. Ce discours est de saint
Grégoire, 147. Antirrhétique ou traité con-
tre Apollinaire, 148 et suiv. Ce traité est de
saint Grégoire ; en quel temps il l'a com-
posé, 148. Analyse de ce traité, 148 et suiv.
Discours de saint Grégoire sur l'amour des
pauvres, 132. A quelle occasion il a été fait.
Analyse de ce discours, 153. Livre de saint
Grégoire contre le destin, 133 et 134. En
quel temps il a été écrit, 153. Analj'se de
ce livre, 133 et 134. Traité des Notions
communes ; ce que c'est que ce traité, 134,
155. [Édition de ce livre dans la Patrologie,
136.] Livre intitulé : De l'Ame ; il n'est pas
de saint Grégoire, 155. [Édition de ce livre,
135.] Épltre canonique à Létoïus, 155 et
suiv. Elle est de saint Grégoire, 135, 156.
A quelle occasion elle fut écrite, 156. Ana-
lyse de cette lettre, 136 et suiv. Discours
contre ceux qui diffèrent leur baptême, 139
et suiv. Il est de saint Grégoire, 159. Ana-
lyse de ce discours, 139 et suiv. Histoire
tragique d'un jeune homme qui avait dif-
féré son baptême, 160. Réponse aux ob-
jections de ceux qui différaient leur bap-
tême, 160 et 161. Les nouveaux bapti-
sés semblables aux soldats nouvellement
enrôlés. Discours contre les fornicateurs.
Il est de saint Grégoire. Analyse de
ce discours, 161. [Édition de ce traité, 161.]
Traité de la Pénitence ; il est de saint As-
tère. Discours sur l'aumône, 161. Il est de
saint Grégoire, 161 et 162. Analyse de ce
discours, 162 et 163. Il faut soulager les
pauvres et les malades, 162. Réponse aux
excuses de ceux qui ne les soulageaient pas,
162 et 163. Quelle estime on doit faire des
pauvres, 163. Discours sur la Pentecôte,
163, 164. Discours contre les usuriers, 164,
163. Analyse de ce discours. Les usuriers
sont inutiles à la société, 164. Motifs pour
détourner de l'usure, 164 et 165. Réponses
aux objections des usuriers, 163. Les témoi-
gnages contre les Juifs sont de saint Gré-
goire ; ce que c'est que cet ouvrage, 163 et
166. [Édition de cet ouvrage, 166.] Livres
de saint Grégoire contre Eunomius, 166 et
suiv. Quelle en fut l'occasion. Saint Grégoire
fait difficulté de les rendre publics, 166. Ils
sont au nombre de douze, 166 et 167. Es-
time qu'on en a faite dans l'Église ; en quel
temps ils ont été faits, 167. Analyse du pre-
mier de ces livres, 167 et suiv. Apologie de
saint Basile opposée à celle d'Eunomius,
167, 168. Réfutation de la doctrine d'Euno-
mius, 168, 169. Preuves de la divinité du
Fils, 169. Égalité des trois personnes divi-
nes, 169 et 170. Justification de la doctrine
de l'Église, 170. Réponse à l'objection sur
le terme d'innascible, 170 et 171. Réponse
à l'objection sur la génération du Fils, 171 .
Analyse du second hvre : Doctrine d'Euno-
mius exposée et réfutée, 171 et suiv. Ana-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
487
]yse du troisième livre : Explication de ces
paroles : Le Seigneur m'a créé au commen-
cement de ses voies, 173, 174. Analyse du
quatrième livre : Génération du Fils de
Dieu, 174, 175. Analyse du cinquième li-
vre : Explication de ces paroles : Dieu a
fait Seigneur et Christ celui que vous avez
crucifié, 175 et suiv. Analyse du sixième
livre : Réfutation des subtilités d'Eunomius,
177. Analyse du" septième livre : Éternité et
immutabilité du Fils de Dieu, 177 et 178.
Analyse du huitième livre : La génération
divine doit être éternelle, 178, 179. Analyse
du neuvième livre : Diverses preuves de la
divinité du Fils, 179. Analyse du dixième
hvre, 179 et 180. En quel sens Jésus-Christ
a dit : H n'y a que Dieu seul qui soit bon.
C'est abuser de l'Écriture de mettre le Fils
de Dieu au rang des anges, 180. Analyse
du onzième livre, 180 et 181. En quel sens
il faut entendre ce que Jésus-Christ ressus-
cité dit à Madeleine, 180. Réfutation des
subtilités d'Eunomius, 180 et 181. Le dou-
zième livre de saint Grégoire contre Euno-
mius est un ouvrage séparé des onze pré-
cédents ; analyse de ce qu'il contient, 181
et suiv. Écrits de saint Grégoire sur la Tri-
nité, 183 et suiv. Le livre intitulé : De la
Trinité, n'est pas de saint Grégoire. Le
traité adressé à Ablavius, qu'il ne faut pas
dire trois dieux, est de saint Grégoire, 183.
Analyse de ce traité, 183 et 186. Le traité
de la différence des termes de substance et
d'hypostase n'est pas de saint Grégoire. Le
traité de la Foi est de saint Grégoire, 186.
Analyse de ce traité, 186 et 187. Grande
Catéchèse de saint Grégoire, 187 et suiv.
Elle est de lui. Ce que c'est que cette caté-
chèse, 187. Analyse de ce qu'elle contient,
187 et suiv. Livre de la Virginité, 191 et
suiv. Il est de saint Grégoire, 191. Analyse
de ce livre, 191 et suiv. Ce que c'est que
les Syllogismes contre les Manichéens, 192.
Traité de l'Ame et de la Résurrection, 192
et suiv. Quelle en fut l'occasion, 192. Ana-
lyse de ce traité, 192 et suiv. Lettre de saint
Grégoire à Théophile d'Alexandrie contre
les Apollinaristes, 194. En quel temps elle
a été écrite. Analyse de ce qu'elle contient,
194 et 193. Les trois traités de la Perfection
chrétienne, 193 et suiv. Quelle fut l'occa-
sion du premier de ces traités, 193. Ana-
lyse de ce traité, 193 et 196. Analyse du
second traité de la Perfection, 196. Analyse
du troisième, 196 et 197, Discours sur les
répréhensions, 197, 198. A quelle occasion
il fut fait, 197. Analyse de ce discours, 197
et 198. Traité de ceux qui meurent dans
l'enfance, 198, 199. A quelle occasion saint
Grégoire l'a écrit, 198. Analyse de ce traité,
198 et 199. Discours sur la Nativité de Jé-
sus-Christ, 199. Il est de saint Grégoire,
199 et 200. Analyse de ce discours, 200.
Panégyrique de saint Etienne, 200 et 201.
Autre panégyrique de saint Etienne, 201.
Discours sur le baptême de Jésus-Christ,
201 et 202. Premier discours sur la résur-
rection de Jésus-Christ, 202. Il est de saint
Grégoire, 202 et 203. Second discours sur le
même sujet ; il n'est pas de saint Grégoire.
Troisième discours ; il est de saint Grégoire.
Quatrième discours; il est aussi de saint
Grégoire. Cinquième discours ; il n'est pas
de saint Grégoire. Discours de saint Grégoire
sur l'Ascension de Jésus-Christ, 203. Dis-
cours sur la fête de la Purification ; il n'est
pas de saint Grégoire, 203 et 204. Discours
de saint Grégoire sur la divinité du Fils et
du Saint-Esprit. Quelle en fut l'occasion,
204. Analyse de ce discours, 204 et 205.
Panégyrique de saint Basile, 208, 209. Ana-
lyse de ce panégyrique, 209. Trois discours
ou panégyriques des quarante martyrs, 209
et 210. Premier et second de ces panégyri-
ques. Troisième panégyrique des quarante
martyrs. Oraison funèbre de Pulchérie, 210
Oraison funèbre de Placille, 210 et 211. Vi
de saint Grégoire Thaumaturge, 211 et suiv.
Authenticité de cette Vie, 211. Sommaire
de cette Vie, 212, 213. Panégyrique de saint
Théodore, martyr d'Amasée. Panégyrique
de saint Melèce et de saint Éphrem, 213.
Vie de sainte Macrine, 213 et 214. Discours
de saint Grégoire sur la mort. Quelle en fut
l'occasion, 214. Analyse de ce discours, 214
et 213. Lettres de saint Grégoire, 213 et
suiv. Lettre à Flavien, évéque de Cappa-
doce, 213, 216. Lettre sur le pèlerinage de
Jérusalem, 216, 217. Quelle en fut l'occa-
sion. Analyse de cette lettre, 216. Saint
Grégoire n'a pas absolument condamné le
pèlerinage de Jérusalem, 216 et 217. Lettre
à Eustathie, à Ambrosie et à Basilisse, 217,
218. Lettre à Eusèbe, laïque, 218 ; aux ca-
thohques de la ville de Sébaste, 218 et 219.
Lettre de saint Grégoire à un évéque sur
son retour à Nysse. Lettre de saint Grégoire
à Cynégius, préfet du prétoire. Quatre let-
tres de ce saint écrites à diverses occasions,
219. Deux lettres écrites à un sophiste
488
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
nommé Libanius, 219 et 220. Lettre de saint
Grégoire au sujet de ses ouvrages contre
les hérétiques, 220. Lettre aux fidèles de
Nicomédie, 220 et 221. Lettre de saint Gré-
goire à un ami. Lettre à un évoque nommé
Jean. Lettre au schoJastique Adelphius ; à
Ablabius, évêque ; à quelques évêques, 221.
Lettre de saint Grégoire sans inscription,
221 et 222. Lettre à Héraclien, hérétique ;
à Amphiloque son ami, 222. [Son discours
contre Arius, Sabellius, et un autre con-
tre les Manichéens pneumatomaques, 125,
205 et suiv. Fragments qui nous restent des
écrits perdus de saint Grégoire, 223 et 224.]
Ouvrages de saint Grégoire qui ne sont pas
venus jusqu'à nous, 223, 224. Doctrine de
saint Grégoire, 224 et suiv. Sur l'Écriture
Sainte, 224; sur la tradition, 228, 229; sur
la Trinité, 229 et suiv. ; sur le péché origi-
nel, 232 ; sur l'Incarnation, 232 et suiv. ; sur
le libre arbitre et la grâce, 236 et suiv. ; sur
la sainte Vierge, 238, 239 ; sur les anges et
les démons, 239, 240 ; sur la Circoncision et
le Baptême, 240 et suiv. ; sur l'Eucharistie,
242 et suiv. ; sur la prière pour les morts ;
sur les dispositions aux mystères et sur les
autels, 244 ; sur Je sacrement de Pénitence,
244 et 245 ; sur l'ordination, 245, 246 ; sur
le mariage, 246 ; sur la primauté de saint
Pierre, 246 et 247 ; sur l'intercession des
saints, 247, 248 ; sur l'éternité des peines,
248 et suiv. ; sur divers points de discipline,
250 et suiv. ; sur divers points de morale,
253, 254 ; sur l'histoire, 254 et suiv. Juge-
ment des écrits de saint Grégoire, 257, 258.
Éditions générales de ses œuvres, 258. [Édi-
tion dans la Patrologie, 258.] Éditions parti-
culières, 258 et suiv. [Traductions françaises,
260.] — Lettres que lui écrivit saint Basile
le Grand, IV, 434, 440. Saint Basile se plaint
de la simplicité de saint Grégoire de Nysse,
449. Saint Grégoire de Nysse n'est pas l'au-
teur de la lettre à Eustathe, médecin ; cette
lettre est de saint Basile le Grand, 462,
463. Saint Grégoire de Nysse cité dans un
concile tenu à Ancyre par les Ariens,
604. Sa lettre au moine Olympius, 61 1 . Il as-
siste au concile de Constantinople, 618. Ses
discours dans ce concile, 619. — Il va à
Césarée en Cappadoce consulter saint Gré
goire de Nazianze sur son ordination, V,
202. Il est obligé de se cacher dans la per-
sécution de Valons, 252. Lettre que lui écri-
vit saint Grégoire de Nazianze, 253, 234,
264. — Denys le Petit traduit son livre de
la Formation de l'homme, XI, 125. — Écrit
par lequel Germain, patriarche de Constan-
tinople, prend sa défense, XII, 40.
GRÉGOIRE, évêque de Mérida, VII, 510.
GRÉGOIRE, abbé en Palestine, auteur
ecclésiastique, VIII, 2. °'
GRÉGOIRE, ordonné contre son gré évê-
que de Modène, X, 401.
GRÉGOIRE, diacre de l'Église romaine,
depuis pape, est envoyé par le pape Pelage II
à Constantinople solliciter du secours contre
les Lombards : lettre que lui écrit Pelage, XI,
334. Voyez Saint Grégoire le Grand.
GRÉGOIRE, patriarche d'Antioche, em-
brasse la vie monastique dans le monastère
des Byzantins, aux environs de Jérusalem,
dont il devient supérieur. Il gouverne en-
suite le monastère de Pharan, puis celui du
Mont-Sina. Son éloge. Il est fait patriarche
d'Antioche à la place d'Anastase devenu
odieux à l'empereur Justin, XI, 356. 11 est
accusé par Astérius, comte d'Orient, et se
justifie, 357. L'empereur Maurice le charge
de ramener au devoir l'armée d'Orient qui
s'était révoltée, 357 et 358. Discours qu'il
fait aux soldats à ce sujet. Son discours sur
la sépulture de Jésus-Christ. Il est envoyé
en ambassade vers Chosroës, roi de Perse,
qui lui fait de grands présents. Il visite les
solitudes de la frontière et convertit beau-
coup lie Sévériens. Sa mort. Ce que dit Éva-
gre de ses ouvrages, 329. [Discours de saint
Grégoire sur le baptême de Jésus-Christ, 358.
Autres écrits nouvellement publiés, 358 et
359.] Grégoire, accusé d'inceste, est déclaré
innocent dans un concile, 338 et 416.
GRÉGOIRE (Saint), évêque de Tours.
XI, 365 et suiv. [Sa Vie, 365, n. 1.] Sa nais-
sance, son éducation. Il est ordonné diacre
à Clermont, par saint Avit. Il est fait évêque
de Tours, 365. Sa conduite pendant son épis-
copat. Il assiste au concile de Paris, où il
prend la défense de saint Prétextât. Il dé-
tourne le roi Chilpéric de donner un édit
qui ordonnait de nommer la sainte Trinité
sans distinction de personnes. Il est accusé
dans un concile de Braine, et justifié. Ses
conférences avec des Ariens et avec un Juif.
Childebert l'envoie en ambassade auprès de
Gontrand, roi de Bourgogne, pour ratifier
le traité d'Andelan, 366. Son voyage à
Rome : il découvre la pensée que le pape
saint Grégoire formait à son sujet, 366 et
367. 11 revient à Tours. Sa mort, 367. Ses
écrits, 367 et suiv. Son caractère, 367. Son
>,
577.
572.
593.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
489
Histoire ecclésiastique des Français, 367 et
suiv. Utilité de cette Histoire. En quel temps
elle a été écrite, 367, 368. Analyse des dix
livres qui la composent, 368 et suiv. Premier,
second, 368; troisième, 368, 369; quatrième,
cinquième, 369 ; sixième, 369, 370 ; septième,
370; huitième, 370 et 371; neuvième, 371;
dixième, 371 et 372. Livre de la Gloire des
martyrs, 372 et suiv. Livre du Martyre de
saint Julien : ses Actes, 374, 375. Livre de
la Gloire des confesseurs, 373 et suiv. Qua-
tre livres des Miracles de saint Martin, 377
et suiv. Les Vies des Pères, 379 et suiv.
Commentaire sur les Psaumes. Livre des
Miracles de saint André. Livre du Martyre
de saint Julien, 383. L'Histoire des sept dor-
mants, 383 et 384. Écrits attribués à saint
Grégoire de Tours, 384, 383, Écrits qui sont
perdus, 385. Doctrine de saint Grégoire de
Tours sur le sort des saints, 385 et suiv.; sur
la divinité de Jésus-Christ ; la procession du
Saint-Esprit, du Père et du Fils; l'Incarna-
tion du Verbe, 387 ; sur l'Assomption de la
sainte Vierge, ses images et celles de Jésus-
Christ et des apôtres, 387 et 388. Églises,
leur dédicace, leurs ornements; respect
qu'on leur rendait, 388. Reliques des saints,
388 et 389. Croix, on l'adorait; baptême,
confirmation, 389. Difficultés sur la Pâque;
fonts baptismaux miraculeux en Espagne,
389, 390. Eucharistie, messe pour les morts,
390, 391. Dimanche : comment on le sanc-
tifiait, 391. Ministres de l'Église, 391 et suiv.
Conciles, 393. Censures ecclésiastiques inter-
dites, 393 et 394. Pénitence sacramentelle
refusée à ceux qui étaient condamnés à
mort, accordée en secret, 394. Moines et
moniales, 394 et 393. Sur les rois de France,
39S. Commencements de la foi chrétienne
dans les Gaules, 394 [et 955.] Jugement sur
les écrits de saint Grégoire de Tours ; son
style, 395, 396. Sa crédulité était-elle exces-
sive? 396 et 397. Ses fautes de chronologie.
Éloge de son Histoire, 397. Pureté de sa foi,
398. Différentes traductions et éditions qu'on
a faites des ouvrages de saint Grégoire de
Tours, 397 et suiv. [Saint Grégoire justifié,
391, n. 1. Éditions et traductions nouvelles,
399.] Son éloge par Fortunat, 406. Autres
vers du même à sa louange, 408, 409. Saint
Grégoire de Tours, accusé d'avoir calomnié
la reine Brunehaut, se justifie au concile
de Braine assemblé pour le juger, 895,
896. — Sa Vie écrite par saint Odon,
abbé de Cluny, X, 809. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
m, p. 372 et suiv.)
GRÉGOIRE LE GRAND (Saint) , pape et
docteur de l'Église, XI, 429 et suiv. Sa nais- sw.
sauce, son éducation, 429. Il est fait préteur
de Rome, 429 et 430. Il souscrit la condam-
nation des Ti'ois-Chapilres. Il quitte le
monde et se retire daus un monastère, l'un
de ceux qu'il avait fondés, 430. 11 s'inté-
resse à la conversion des Anglais, 430 et
431. Il est fait l'un des sept diacres de l'É-
glise romaine. Le pape Pelage II l'envoie, v.578.
en qualité de nonce, à Constantinople, 431.
Il fait changer de sentiments au patriarche 582.
Eutychius, qui croyait qu'après la résurrec-
tion nos corps seront impalpables, 431 et
432. 11 compose ses Morales sur Job. Il re- 585.
vient à Rome et est fait abbé de Saint-André,
432. Il fait auprès du pape Pelage II les
fonctions de secrétaire, 432 et 433. Ce pape 59o.
étant mort, il est élu pour lui succéder, 433.
Il tient un concile d'où il envoie en Orient 591.
ses lettres synodales, 433 et 434. Sa conduite
pendant son pontificat, 434. Son attention
pour les églises du dehors, 434 et 433. Le 592.
chagrin des maux de l'Italie le fait tomber
malade. Il travaille à faire révoquer à l'em- 593.
pereur Maurice l'édit qu'il avait donné pour
défendre aux soldats de se faire moines,
435. Sa retraite au monastère de Saint-An-
dré, où il compose ses dialogues, 435, 436.
Démêlé de saint Grégoire avec Jean le Jeu- 595.
neur, patriarche de Constantinople sur le
titre d'œcuménique, 436, 437. Il envoie des 596-597.
missionnaires en Angleterre, 437, 438. Gon- 598.
version des idolâtres de l'ile de Corse et de
plusieurs Juifs du voisinage de Gergenti,
438. Grégoire fait la paix avec les Lom- 599.
bards, 438et 439. 11 est attaqué par la goutte.
Ses sentiments pendant sa maladie. Il tient eoi.
un concile où il fait une constitution en fa-
veur des moines, 439. Il entreprend de ré- 602.
parer les basiliques de Saint-Pierre et de
Saint-Paul, 439 et 440. Les guerres qui s'é-
lèvent en Italie l'empêchent d'effectuer ce
dessein. Il envoie un nonce à Constanti- gos.
nople, et obtient de Phocas que le patriarche
de cette ville n'aurait plus le titre d'œcumé-
nique. Sa mort, 440. Son portrait, 440 et 504.
441. [Il n'a point fait brûler la bibliothèque
palatine, 441, n. 2. Pièces métriques de saint
Grégoire le Grand annoncées par dom Pitra,
441, n. 3.] Ses écrits, 441 et suiv. Ses com-
mentaires ou livres de morale sur Job, 441
et suiv. Méthode de cet ouvrage, 442. Estime
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
490
qu'on a faite de ce commentaire, 442 et 443.
Analyse : première partie, 443 et suiv.; se-
conde partie, 445 et suiv.; troisième partie,
447 et suiv.; quatrième partie, 448 et suiv.;
cinquième partie, 430, 4SI ; sixième partie,
conclusion, 451. Jugement sur cet ouvrage,
431 et 452. Homélies sur le prophète Ézé-
cliiel, 452 et suiv. Ce qu'elles contiennent,
452 et suiv. Temps où elles furent compo-
sées. Elles sont écrites pendant qu'il prê-
chait. Sa présence d'esprit dans les plus
grands troubles, 452. Il s'est servi du com-
mentaire de saint Jérôme, 432 et 433. Nom-
bre de ses homélies, 433. Ses homélies sur
les évangiles, 434. Analyse de cet ouvrage,
454 et suiv. Premier livre, 433 et suiv.; se-
cond livre, 458 et suiv. Discours sur une
mortalité occasionnée par la peste, 462. Ou-
vrage sur le devoir des évéques, intitulé :
Pastoral, 462 et suiv. Première partie, 463,
464; seconde partie, 464, 463; troisième
partie, 463 et suiv.; quatrième partie, 470.
Dialogues de saint Grégoire : on prouve
qu'ils sont de lui, 470 et suiv. Réponse aux
objections, 471, 472. Dessein de ces Dia-
logues : règles qu'il y suit : estime qu'on
en fait : temps auquel ils furent écrits, 472.
A quelle occasion ils furent écrits, 473. Ana-
lyse des quatre livres qui les composent :
premier livre, 473 et 474; second livre, 474
et 473; troisième livre, 475 et suiv.; qua-
trième livre, 477 et suiv. Lettres de saint
Grégoire distribuées en quatorze livres, 479
et suiv. Premier livre, 479 et suiv.; second
livre, 486 et suiv.; troisième livre, 490 et
suiv.; quatrième livre, 494 et suiv.; cin-
quième livre, 499 et suiv.; sixième livre,
503 et suiv; septième livre, 506 et suiv.;
huitième livre, 309 et suiv. ; neuvième livre,
312 et suiv.; dixième livre, 318 et suiv.; on-
zième livre, 320 et suiv.; douzième livre,
328, 529; treizième livre, 529 et suiv.; qua-
torzième livre, 533 et suiv. Appendice à ces
lettres, 533 et suiv. Sacramenlaire de saint
Grégoire, 537 et suiv. Messe pontificale, 538
et suiv. Messe pour toute l'année, 342, 343.
Appendice, 343. Bénédictionnaire. Preuve
que le Sacramentaire est de saint Grégoire,
543 et 544. Antiphonaire, 344. Autre Anti-
phouaire qui lui est attribué, 344 et 543. Le
commentaire du premier livre des Rois n'est
pas du pape saint Grégoire, 345; il n'est pas
non plus de Claude, abbé de Classe, 543 et
suiv. Le commentaire sur le Cantique des
Cantiques est véritablement de saint Gré-
goire, 547, 548. Le commentaire sur les sept
Psaumes pénitentiaux est aussi de lui, 548,
549. Idée de ce commentaire, 349, 530.
Concordance de quelques passages de l'Écri-
ture, Autres ouvrages de saint Grégoire,
350. Extrait des écrits de saint Grégoire par
Palérius, 350 et 531 ; par Alulte. Remarques
du cardinal Carafa sur les lettres de saint
Grégoire, 351. Doctrine du pape saint Gré-
goire, 552 et suiv.; sur l'Écriture sainte et
particulièrement sur son inspiration; sur
l'esprit de prophétie, 532 ; sur les livres ca-
noniques, 552 et 353; sur l'obscurité de
l'Écriture sainte, son excellence, 553, 534;
sur la lecture de l'Écriture sainte ; sur les
divers sens de l'Écriture sainte, 354; sur les
conciles, 554 et 555; sur l'Église, 335, 536;
sur la primauté de saint Pierre, 356, 3.H7;
sur l'autorité du Siège apostolique ; sur la
Trinité et Tlncarnation, 557; sur la mission
des personnes divines et la procession du
Saint-Esprit, 557 et 558; sur les deux na-
tures en Jésus-Christ : Nestorius réfuté, 538
et 359; sur la foi en Jésus-Christ, 539; sur
la grâce, sa nécessité : Dieu la retire quel-
quefois; on y résiste, 539 et suiv.; grâce
prévenante et gratuite, 561, 362; sur la
prédestination et la réprobation; sur l'accord
de la grâce avec le hbre arbitre, 562. L'in-
certitude de notre prédestination, 562 et
563 ; sur les anges et sur les démons, 564;
sur l'état du premier homme, le péché ori-
ginel, la circoncision et le baptême des en-
fants, 564 et 563 ; sur le baptême de saint
Jean et celui de Jésus-Christ : ses effets : cé-
rémonies du baptême, 363 ; sur le ministre
du baptême et le temps de l'administrer,
566; sur le sacrement de confirmation et
son ministre, 566 et 567; sur l'Eucharistie :
preuve de la transsubstantiation, 567, 568;
sur le sacrifice de l'autel : il est utile aux
vivants et aux morts, 568, 569; sur les ora-
toires et quelques points de discipline tou-
chant la célébration des messes et la com-
munion, 369 ; sur la pénitence et le pouvoir
des clefs ; sur la confession des péchés, 369
et 370. En quoi consiste la pénitence, 370,
571; sur l'excommunication, 571 ; sur l'or-
dination et la résidence des clercs, 571 et
572; sur les qualités des évêques et leur
manière de -vivre, 572 ; sur le célibat des
clercs, 372 et 373. Pénitence des clercs, 573
et 574. Diverses sortes de pénitence impo-
sées aux clercs, 374 ; sur les monastères et
sur les moines, 574 et 575; sur les reli-
^
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
491
gieuses, 575, 576 ; sur le mariage, 576, 577 ;
sur l'invocation des saints et sur les miracles
qui s'opéraient sur leurs tombeaux, 577;
^ur les reliques des saints, 577 et 378 ; sur
la dédicace des églises et des monastères,
578, 579; sur le destin et les superstitions,
579, 580; sur la félicité des saints; sur le
purgatoire, 580; sur l'enfer, 580 et 581; sur
l'éternité des peines de l'enfer, 581 ; sur la
délivrance de l'âme de Trajaa, 581 et suiv.;
sur l'hérésie et le schisme; sur la simonie,
S83. Jugement sur les ouvrages de saint
Grégoire le Grand, 583 et 584. Éditions gé-
nérales qu'on en a faites, 584 et 585. Édi-
tions et traductions des traités particuliers,
585 et suiv. [Œuvres de saint Grégoire dans
l'édition de Venise, 545 n. 1. Édition complète
de ses œuvres dans laPa/fo/og'te, 585. Éditions
et traductions nouvelles, 586, 587.] Diffé-
rentes Vies du pape saint Grégoire, 585.
Conciles tenus par saint Grégoire, 906, 908
et 910. — Décrétale qui lui est faussement
attribuée, VI, 97. Il semble avoir confondu
l'Histoire de Sozomène avec celle de Théo-
doret, VIII, 526. Lettres qu'il écrit à Anas-
tase , patriarche d'Antioche , 459 , 460 ,
482 et 510. Il reçoit à Rome saint Grégoire
de Tours, 366, 367. Lettre que lui écrit saint
Colomban pour justifier l'usage qu'il avait
apporté d'Irlande de célébrer la Pâque le
quatorze de la lune, 624, 623. Il le consulte
en même temps sur diverses difficultés. On
n'a point la réponse que fit le pape, ni deux
autres lettres que lui écrivit saint Colomban,
625. Sentences tirées de ses Morales par
Taïon, évêque de Sarragosse, 376, 577. —
— Le pape saint Zacharie traduit en grec ses
Dialogues, XII, 35. Sa Vie écrite par Paul,
diacre surnommé Warnefrid, 144. Sa lettre
à Secondin, altérée et corrompue, 146. Une
partie de ses reliques apportées à Soissons,
364. Son Sàcramentaire revu et augmenté
par Grimald, abbé de Saint-Gai, et par Ro-
trade, prêtre du diocèse d'Amiens, 603. Sa
Vie écrite par Jean, diacre de l'Église ro-
maine, 718, 719. Histoire de la translation
de ses reliques, écrite par Odilon, moine de
Saint-Médard de Soissons, 786, 787. Abrégé
de ses Morales, par saint Odon, abbé de
Cluny, 806. Autre, par Adalbert, écolâtre
de Saint- Vincent de Metz, 862. — Saint
Grégoire a retouché le Sacramentaire du
pape saint G«lase, XIII, 1. Hymne et ré-
pons composés pour son office par le car-
dinal Humbert, et notés par le pape saint
Léon IX, 212, 252. L'observation de sa fête
recommandée par le concile de Cloveshou,
611. — Sermon de Guillaume d'Auvergne
en son honneur, XIV, 1027.
GRÉGOIRE II (Saint), pape, succède à 715.
Constantin. Combien a duré son pontificat,
XII, 24. II avait accompagné Constantin à
son voyage à Constantinople et s'était fait
estimer de l'empereur Justinien. Analyse
de ses lettres, 24 et suiv. Il tient un concile 721.
pour réformer plusieurs abus. [1 rétablit
plusieurs monastères et en fonde un nou-
veau en l'honneur de sainte Agathe. Sa 731.
mort, 26. Lettre que lui écrit Jean, patriar-
che de Constantinople, 36. Il donne une mis-
sion à saint Boniface et l'ordonne évêque,
46. [Ses écrits dans la Patrologie, 26.]
GRÉGOIRE III (Saint), pape, succède à 73,.
Grégoire II, XII, 26. Durée de son pontifi-
cat ; sa lettre à l'empereur Léon au sujet
des images, 27, Ses autres lettres, 27 et 28.
Sa mort ; recueil de canons qu'on lui attri- 741.
bue ; il tient à Rome un concile au sujet du
culte des images, 28. Lettre que lui écrit
Germain, patriarche de Constantinople ; sa
réponse, 39. Il donne le pallium à saint Bo-
niface, qu'il reçoit ensuite à Rome, 47. [Ses
lettres et ses canons dans Mansi et dans la
Patrologie, 28, 29. Il y a deux lettres nou-
velles, 28. Son éloge par Photius, 28,
n. 2.]
GRÉGOIRE IV , pape , succède à Va-
lentin. Il est amené en France par Lo-
thaire, révolté contre son père, XII, 404.
Lettre que lui écrivent les évêques du parti
de Louis le Débonnaire, 374, 375. Sa ré-
ponse à ces évêques ; ses conférences avec 533.
l'empereur ; il prend part à la déposition de
Louis, 373. Il retourne à Rome, honteux
d'avoir prêté son nom et son autorité aux
factieux, 378. Le décret qu'on lui attribue
en faveur d'Aldric, évêque du Mans, est une
pièce qui paraît supposée ; raisons pour et
contre, 404, 403. La lettre adressée aux
évêques et aux fidèles orthodoxes, par la-
quelle Grégoire rétaWit Ebbon sur le siège
de Reims, est certainement supposée ; mort su.
du pape Grégoire IV, 403. [Ses lettres dans
la Patrologie. Cinq pièces nouvelles, 403,
406.] ^
GRÉGOIRE V, pape, neveu de l'empereur 906.
Otton ni, succède à Jean XV, XII, 899 et 900.
Il est chassé par le sénateur Grescence, qui 997.
met à sa place Philagathe, nommé Jean XVI ;
l'empereur son oncle le rétablit ; sa mort ; 999.
827.
492
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLÉSIASTIQUES.
1046.
1048.
10S5.
1057.
1058.
1059.
lOC).
1073.
1074.
ses décrets ; lettre à Jean de Ravenne ; let-
tre à Gerbert ; lettre aux moines de Mont-
Mayour, 900. Privilège pour le monastère
de Saint-Ambroise à Milan ; lettre à Cons-
tantia; lettre à Abbon de Fleury, 901. [Ses
lettres et privilèges dans la Patrologie. 11 y a
vingt-deux pièces dont plusieurs nouvelles,
901 ] — Trois lettres d'Abbon de Fleury qui
lui sont adressées ; réponse du pape, XIII,
28. Concile qu'il tient à Rome ; chassé de
Rome, se retire à Pavie ; concile qu'il y
tient, 763. Concile qu'il tient à Rome, 764.
GRÉGOIRE VI, pape, succède à Benoît IX
de qui il achète le pontificat, XIII, 141, 147
et 197. Éloge que Raoul Glaber fait de lui,
197. [L'accusation de simonie portée sur lui
par Glaber, n'est pas fondée, 197, n. 4. Cir-
constances de son abdication, 197, n. 7.] Il
se rend au concile que le roi Henri le Noir
avait assemblé à Sutri ; il reconnaît lui-
même l'irrégularité de son élection, et quitte
le souverain pontiBcat ; on lui donne pour
successeur Luidger, évêque de Bamberg,
qui prend le nom de Clément II; sa bulle en
faveur du monastère de Saint-Quentin, 197.
[Ses trois lettres dans la Patrologie, 197.]
Lettres que lui écrit saint Pierre Damien,
298. — Concile de Sutri où il abdique le
pontificat, XIV, 1053.
GRÉGOIRE VII (Saint), pape, connu au-
paravant sous le nom d'Hildebrand; sa nais-
sance ; il embrasse jeune la profession mo-
nastique ; [il a droit au titre de saint, XIII,
349, n. 1.] Il accompagne en Allemagne le
pape Grégoire VI; il se trouve à l'assemblée
de Worms, où saint Léon IX est élu pape ;
ce pape le ramène à Rome, l'ordonne sous-
diacre, et lui donne le gouvernement de
l'abbaye de Saint-Paul, 349. Après la mort
de saint Léon IX, il est envoyé en Allema-
gne et fait élire Victor II ; sa légation à Mi-
lan ; après la mort d'Etienne IX, il fait élire
Nicolas II, 350. Il devient archidiacre, puis
chancelier de l'Église romaine, 3o0 et 351.
Il est élu pape, et succède à Alexandre II ;
il donne avis de son élection au roi d'Alle-
magne Henri IV, qui la confirme ; sa lettre
à l'abbé du Mont-Cassin, à Guibert de Ra-
venne, et à Godefroy, duc de Toscane, sur
son élection; il fait adopter en Espagne l'of-
fice romain, au lieu du gothique qui y était
en usage, 351. Sa lettre au comte de Rouci ;
lettre aux fidèles de Lombardie au sujet de
Godefroy, usurpateur de l'Église de Milan ;
sa conduite touchant les investitures, 352.
Ses lettres au sujet de la simonie qui s'exer-
çait en France, 352 et 353. Lettres à l'évê-
que et aux habitants de Carthage, 353. Pre-
mier concile de Rome sous saint Grégoire
VII, 353 et 354. Lettres écrites pendant la
tenue de ce concile, 354, 355. Rétabfisse-
ment de l'évêché d'Olmuth, 355. Concile
d'Erfort, 356. Lettres du pape sur l'inconti-
nence des clercs, 356 et 357. Lettres au roi
Henri, 357. Autres lettres, 357 et 358. Se-
cond concile de Rome contre les investi-
tures, la simonie et l'incontinence des clercs,
358. Déposition d'Herman, évêque de Bam-
berg , 358 et 3S9. Conjuration contre [saint]
Grégoire VII, 359. Le roi Henri se déclare
contre Grégoire VII ; assemblée de Worms où
Grégoire est déposé, 359, 360. Troisième con-
cile de Rome où le roi Henri est excommu-
nié, etc., 360. Conciliabule de Pavie, où le
pape est de nouveau déposé ; lettres par
lesquelles [saint] Grégoire VII justifie l'ex-
communication des rois, 361. [Voyez 361,
notes 3, 4, 5, 6.] Lettre aux évêques et aux
seigneurs du royaume teutonique, 362. As-
semblée de Tribur contre le roi Henri, 362
et 363. Ce prince vient en Italie se faire ab-
soudre de l'excommunication, 363. Lettre
du pape aux seigneurs allemands sur l'ab-
solution du roi ; rechute de ce prince, 364.
Assemblée de Forcheim, où Rodolphe est
élu roi à la place d'Henri, 364 et 365. Let-
tres à l'évêque de Die , légat en France ;
quatrième concile de Rome ; lettre aux sei-
gneurs d'Allemagne, 365. Lettres à Hugues,
abbé de Cluny; affaire de Dol en Bretagne,
366. Cinquième concile de Rome, 366 et
367. Lettre à l'abbé de Cluny ; sixième con-
cile de Rome, 367. Lettre sur la primatie de
Lyon, 367 et 368. Lettre aux rois d'Angle-
terre, de Norwège et de Suède ; lettres aux
Arméniens, 368. Septième concile de Rome,
368. 369. Le roi Henri y est déposé et Ro-
dolphe confirmé roi, 369. [Voyez 369, n. 8.]
Assemblée deBrixen, où [saint] Grégoire est
déposé, et Guibert élu à sa place sous le
nom de Clément III, 369 et 370. Grégoire
demande du secours; Rodolphe est tué dans
une bataille ; Henri passe en Italie, 370.
Huitième concile de Rome ; le roi Henri se
présente inutilement plusieurs fois devant
Rome pour y étabUr Guibert; neuvième
concile de Rome, 371. Henri entre dans
Rome et y installe son antipape ; il en est
chassé par Robert Guiscard, qui vient au se-
cours de saint Grégoire, 371 et 372. Dixième
1074.
1074.
1075.
1076.
1077.
1078.
1078.
1079.
1080.
1081.
1083.
1084.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
493
concile de Rome ; Henri et l'antipape y sont
excommuniés de nouveau, 372. [Grande in-
dulgence du pape à l'égard du roi Henri,
p. 363, n. S. Conduite du pape à l'égard de
1085. ce prince, p. 377, n. 1, et p. 369, n. 8. Mort
du pape saint Grégoire VH ; dissertations sur
saint Grégoire et différentes Vies de ce
pape, 573, 374 et 869.] Sa vie écrite par
Paul de Berneried et par Donison, 373.
Écrits de [saint] Grégoire VII ; ses lettres,
374. [Ses lettres au roi Annasir, au peuple
et au clergé d'Hippone, à l'arcbevêque de
Carthage, 353. Éditions des écrits de saint
Grégoire VH dans la Pntrologie, 379. Pièces
qui le concernent, 380.] Le Dictatus papœ
n'est pas de lui, 374 et suiv. Ses idées sur
le pouvoir des papes, 376. Lettres contre la
simonie, l'incontinence des clercs et les in-
vestitures, 376 et 377. Calomnies contre le
pape, 377. [Voyez aussi 377, n. d .] Écrils du
cardinal de Bennon, 378. Remarques sur la
discipline de l'Église qui s'observait de son
temps, 378 et 379. Ouvrages supposés, 380.
Jugement des écrits de [saint] Grégoire VH ;
sa fête ordonnée dans l'Église, 381. [Voyez
aussi n. 2.] [Justification de saint Grégoire
VII contre les reproches qu'on lui adresse,
381 et suiv. Jugement de plusieurs auteurs
sur saint Grégoire VII, 388 et suiv.] Gré-
goire XIII fait insérer son nom au Martyro-
loge romain, 'et Paul V permet à l'Église de
Salerne de l'honorer comme saint, 372 et
381. Sa légende insérée dans le bréviaire
romain est rejetée en Allemagne, en France
et eu Flandre, 381 . [Observation sur la fête
et l'ofSce de saint Grégoire VII, p. 381, n.
13. Conduite de la France à l'égard de l'of-
fice de saint Grégoire VII, 381, n. S.] Son
apologie par saint Anselme, évéque de Luc-
ques, 392 et suiv. Lettre de Thierry, évêque
de Verdun, contre [saint] Grégoire VII, 413.
Ce pape, auparavant nommé Hildebrand,
préside, en qualité de légat, au concile de
Tours, où Bérenger rétracte ses erreurs,
169. Lettre que lui écrit Lanfranc, 452. Let-
tre qu'il écrit à Lanfranc, 453. Son éloge par
Amé, moine du Mont-Cassin ; son apologie
par Albéric, 494. Discours de Conrad, évê-
que d'Utrecht, contre les entreprises de Gré-
goire VII, 513. Lettre que lui écrit Ma-
nassé I, archevêque de Reims, 549. Sa Vie
écrite par Pierre, cardinal et bibliothécaire
de l'Église romaine, 568. Deux apologies de
Manegold, prévôt de Marbach, pour ce
pape, 583 et suiv. Analyse de celle qui a été
imprimée, 584 et suiv. Apologie pour ce
pape attribuée à Hugues, archevêque de
Lyon, 594. — Prétendue réfutation d'une
lettre de ce pape par Sigebert, abbé de Gem-
blours, XIV, 64. [Richard, archevêque de
Narbonne, écrit à saint Grégoire VII, 188.]
GRÉGOIRE VIII, antipape. Voyez Bourdin
{Maurice).
GRÉGOIRE VIII, pape, succède à Urbain 1187.
III. Son zèle pour la croisade; sa mort, XIV,
935. Ses lettres, 935 et 936. [Ses lettres
dans la Patrologie, 935, n. 1, et 936 et
suiv.]
GRÉGOIRE Xni, pape. Édition du Décret
de Gratien donnée par ses ordres , XIV,
761.
GRÉGOIRE, patrice et préfet d'Afrique,
engage une conférence entre saint Maxime,
abbé de Chrysopolis, et Pyrrhus, partisan
des Monothélites, XI, 766. Lettre que lui
écrit saint Maxime, 767, 768.
GRÉGOIRE (Saint), évêque de Langres.
Sa Vie écrite par saint Grégoire de Tours,
XIII, 381 .
[GRÉGOIRE (Saint), évêque d'Agrigente, v.598.
XI, 585. Sa vie, 585 et suiv. Commentaire
de saint Grégoire sur l'Ecclésiaste , 588 ,
589. Choses remarquables contenues dans
ce commentaire ; contenu de l'édition pu-
bliée par Morcelli, 589.]
GRÉGOIRE, abbé, à qui une des lettres vers
de saint Lulle est adressée, XII, 131 . '^^" ''*'='''■
GRÉGOIRE (Saint), administrateur de l'É- viii siècle,
glise d'Utrecht. Sa Vie écrite par saint Lud-
ger, son disciple, XII, 218.
GRÉGOIRE, nomenclateur de l'Église ro- ix siècle,
maine, ayant conspiré contre le pape Jean
VIII, est excommunié avec ses complices,
XII, 649.
GRÉGOIRE, gendre de Grégoire nomen- ix siècle,
dateur, est excommunié avec lui pour cons-
piration contre le pape Jean VIII, XII,
649.
[GRÉGOIRE, prêtre de Césarée, a fait ime 94o.
Vie de saint Grégoire de Nazianze, on la
trouve au t. XXXV de la Patrologie. Il a
aussi composé un discours sur les 318 pères
du cinquième concile de Nicée et sur l'em-
pereur Constantin. Ce discours est reproduit
au t. CXI de la Patrologie grecque.]
GRÉGOIRE, moine et disciple de saint x siècle.
Basile le Jeune, anachorète à Constantino-
ple, dont il a écrit la vie et les miracles,
XII, 795, 796.
GREGOIRE, antipape, élu par une faction loia.
494
HISTOmE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1013.
1051.
opposée à Benoît VIII ; il se sauve à l'arri-
vée du roi Henri, et Benoit est rétabli, XIII,
190.
GRÉGOIRE, évêque de Verceil, est ex-
communié dans un concile pour cause d'a-
dultère, et est ensuite rétabli, XIII, 201. Il
1073. est député par le roi Henri IV, pour confir-
mer l'élection du pape Grégoire VII, et as-
sister de sa part à son couronnement, 331.
— Sa déposition, XIV, 1038.
754 GRÉGOIRE, évêque de Néocésarée, pré-
side au faux concile de Constantinople tenu
787. par les Iconoclastes, XIII, 613. Il se pré-
sente au concile général tenu à Nicée, s'a-
voue coupable et demande pardon, 621. Sa
confession de foi y est lue et reconnue ca-
tholique ; il prend sa place parmi les évé-
ques, 621 et 623.
[GRÉGOIRE (Saint), décapolite. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie ; son dis-
cours historique, XII, 323.]
[GRÉGOIRE, évêque de Porto. Le pape
Jean XV lui écrit, XII, 837.]
GRÉGOIRE, prêtre et abbé, assiste au se-
cond concile général de Nicée , XIII ,
624.
XI siècle. GRÉGOIRE , moine et garde-chartes de
l'abbaye de Farfe. Son recueil des chartes
de ce monastère, XIII, 477, 478.
noG. GRÉGOIRE, évêque de Terracine, et d'a-
112G. bord moine du Mont-Cassin. Il assiste au
concile de Guastalle ; il souscrit la bulle que
le pape Honorius II accorde à l'Église de
Pise ; ses écrits, XIII. 498.
GRÉGOIRE, moine du Mont-Cassin, puis
évêque de Sinuesse. Sonpoëme sur la ruine
du Mont-Cassin, XIII, 498, 499. Ses autres
opuscules conservés manuscrits au Mont-
Cassin ; sa mort, 499.
1120. GRÉGOIRE, cardinal, évêque de Sabine,
v. 1070. très-attaché au pape [saint] Grégoire VIL Son
Polycarpe ou collection de canons ; il n'a
pas encore été imprimé, XIII, 368. [Notice
sur ce cardinal ; épître dédicatoire et som-
maire des chapitres contenus dans les huit
livres de sa Collection, 568.]
XI siècle. [GRÉGOIRE, clerc, son prologue sur la
passion ou martyre du moine saint Auas-
tase, XHI, 602.]
XII siècle, GRÉGOIRE, abbé d'Oxia. Ses deux let-
tres : l'une à l'empereur Alexis Comnène,
l'autre à la princesse Tliéodora Porphyro-
génète, XIV, 150. Lettre que lui écrit Théo-
dore Prodrome, avec lequel il était lié,
149.
GREGOIRE BÉCHADE, limousin. Il est
auteur d'un poëme sur la prise de Jérusa-
lem. (Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire
littéraire de la France, tome X, p. 403.)
GRÉGOIRE DE CRESCENT, cardinal-
diacre de Saint-Théodore, envoyé légat en
Danemarck par le pape Honorius II, XIV,
231.
GRÉGOIRE, cardinal de Saint-Ange, lé- 1130.
gat en AHemagne et en France, est élu pape
et prend le nom d'Innocent II, XIV, 236.
Voyez Innocent IL
GRÉGOIRE, prêtre-cardinal, est élu pour nss.
succéder à l'antipape Anaclet II sous le nom
de Victor IV ; il quitte la mitre et la chape
et se soumet à l'obédience d'Innocent II;
XIV, 238.
GRÉGOIRE, évêque de Syracuse, déposé 85*.
dans un concile tenu à Constantinople par
le patriarche saint Ignace ; pour s'en ven-
ger, il entreprend de mettre Photius sur le
siège de Constantinople à la place d'Ignace,
XIII, 686. II donne l'ordination à Photius, 858.
689. Un concile de Rome l'interdit de toute 863.
fonction sacerdotale, 696. Il est anathéma- 869.
tisé par le patriarche Ignace et par l'Église
romaine, 703. Il est anathématisé avec Pho-
tius au quatrième concile général de Cons-
tantinople, 706. — Son interdiction par le
concile de Rome, XII, 571.
[GRÉGOIRE LE MOINE. On a de lui un xsièci
extrait de la, vie de Basile le Jeune; cet ex-
trait est reproduit au tome CIX de la Patro-
logie.]
GRÉGOIRE, évêque, parent de Norsésis, ino.
patriarche des Arméniens, assiste aux con-
férences tenues entre Norsésis et Théorien,
député de l'empereur Manuel Comnène,
XIV, 633.
[GRÉGOIRE et Collombet. Voy. Collombet.]
[GRÉGOIRE, prêtre de Césarée. On a de 940.
lui une Vie de saint Grégoire de Nazianze.]
GRÉGORIA, l'une des dames de la cham- 596.
bre de l'impératrice. Lettre que lui écrit le
pape saint Grégoire, XI, 308.
GRÉGORIAL. Extraits des livres du pape
saint Grégoire le Grand, composés par
Alulfe, chantre de Saint-Martin, XI, 331, et
XIV, 72.
[GRÉGORIEN, traité composé par Gar-
nier, chanoine et sous-prieur de Saint-Vic-
tor ; ce que c'est, XIV, 624.]
[GREITH. Son Spicilegium Vaticanum où
l'on trouve les complaintes d'Abailard, t.
XIV, 339.]
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
49S
GRÊLE extraordinaire à Gonstantinople
suivie d'une famine, IV, 333. — Discours de
saint Grégoire de Nazianze à l'occasion
d'une grêle, V, 209 et suiv. — Livre d'Ago-
bard de Lyon sur le tonnerre et la grêle,
XII, 369, 370.
[GRÉMAUD (et non GRIMAUD). Sa notice
sur le bienheureux Amédée , évêque de
Constance, XIV, 623. Il publie aussi une
lettre de cet évêque, 623 et 624 ; avec quel-
ques pièces qui le concernent, 624.]
GRENADE (Louis de), dominicain, a tra-
duit en espagnol la lettre de saint Eucher de
Lyon à Valérien, VIII, 436. — Sa traduction
espagnole de l'Écbelle sainte de saint Jean
Climaque, XI, 691.
[GRENOBLE, ville de France, Noms des
évéques de Grenoble, Xlll, 62.]
[GREPPO (l'abbé). Ses dissertations sur di-
vers sujets d'archéologie chrétienne, VII, 711 .]
GRETSER (Jacques), jésuite. Son édition
de la lettre de saint Cyrille de Jérusalem à
Constance, V, 82. — Sa version latine des
deux livres de saint Grégoire de Nysse, de
l'Inscription des Psaumes, VI, 238. Ses notes
sur les dissertations de Pierre du Moulin sur
les pèlerinages, 259. — Son édition de l'O-
degos d'Anastase Sinaïte, XI, 593. Inexacti-
tude de cette édition, 599. Son édition des
Questions du même , 601 , 602. Sa traduc-
tion latine du discours de saint Théodore
Studite , sur l'adoration de la Croix au
milieu du carême, XII, 320. Sa traduction
latine de quelques traités dogmatiques de
Théodore Aboucara, 625. — Ses notes sur
quelques ouvrages de Siméon le Jeune,
abbé de Saint-Mamas à Gonstantinople,
XUI, 226.
GRÉALUS (Jean). Ses notes sur les œu-
vres de saint Isidore de Séville, XI, 727.
GRIGNI, ancien monastère du diocèse de
Vienne, X, 393 et 362.
GRIGNY (Jean-Jacques de). Sa Vie de
saint Hilaire de Poitiers, IV, 88.
GRIMALD ou GRIMOLD, abbé de Saint-
Gai, frère de Hetti, archevêque de Trêves,
se fait moine de Richenow, XII, 603. Son
voyage à Saint-Benoît d'Aniane ; Louis de
Germanie le fait son archichapelain, puis lui
donne l'abbaye de Saint-Gai; sa mort; il
revoit le Sacrementaire de saint Grégoire et
y fait des additions, XII, 603. Lettre qu'il
écrit, conjointement avec Tatton, à Regim-
bert, leur maître commun, 603 et 441. Har-
mote lui succède, 694. (Voyez l'article de
Grimald dans l'Histoire littéraire de la France,
t. V, p. 402 et suiv.)
GRIMALD, auteur d'une vie de saint Gai, ixsiécie.
en vers, ne doit pas être confondu avec Gri-
mald, abbé de Saint-Gai, XII, 603. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. V, p. 408 et suiv.)
GRIMALT, moine de Saint-Gai. Sa lettre
à Régimbert, abbé de Richenow, en lui en-
voyant une copie de la règle de saint Be-
noît, XII, 441.
GRIMBALD, moine de Saint-Bertin, qui
n'est connu que par une lettre supposée de
Foulques de Reims à Alfrède, XII, 711.
GRIMBALD (Saint), moine de Saint-Ber-
tin, puis abbé de Winchester en Angleterre.
Sa Vie paraît n'être point du moine Gosce-
lin, XIII, 531. — Sa Vie écrite par Goscelin,
moine de Cantorbéry, XIV, 233. (Voir ce
qui est dit de lui dans VHistoire littéraire de
la France, t. IV, p. 283 et suiv.)
GRIMLAIC. On connaît deux prêtres de ce ixtiècie.
nom, qui vivaient dans le ix" siècle, sous le
pontificat de Pormose, XII, 704. On ne sait
auquel des deux attribuer la règle des soli-
taires, qui porte le nom de Gdmlaïc, 704 et
705. Analyse de cette règle, 703. (Voyez son
article dans VHistoire littéraire de la France^
t. V, p. 683 et suiv.)
GRIMOALD, maire du palais. Lettre que
lui écrit saint Didier, évêque de Cahors, XI,
733. [Charte qu'il donne, 733, n. 2.]
GRIMOALD, moine de Cluny, et ensuite Après ms.
du monastère de Saint-Milhan de la Cucule;
il écrit la Vie de saint Dominique, abbé de
Silos; éditions qu'on en a faites; l'Histoire
de la translation de saint Félix est aussi son
ouvrage; autres ouvrages qu'on lui attribue,
XIII, 489. (Voyez ce qui est dit de lui dans
VHistoire littéraire de la France, t. VIII,
p. 446.)
GRIMOLD, abbé de Saint-Gai. Voyez Gri-
mald.
GRIMON, archevêque de Rouen, pour qui 743.
saint Boniface demande le pallium, XII, 30.
GRINOVER, abbé d'un monastère à Co-
logne. Lettre que lui écrit Bernon, abbé de
Richenow, XIII, 127.
GRIPHON ou GRIPON, frère de Pépin, ym siècle.
Lettre que lui écrit le pape Zacharie, XII,
34. Lettres de saint Boniface qui lui sont
adressées, 30.
GRODEC (Jean), chanoine de Varnie.
Sa traduction latine des Catéchèses de saint
Cyrille, V, 82.
496
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
H02.
XI siècle.
XI siècle.
XI siècle.
1104.
GRONOVIUS (Jacques). Son édition du
Dialogue de Minutius Félix, I, 556. — Son
édition des CEuvres de Marbode, évêque de
Rennes, XIV, 225.
GROSSULAN ou GROSSOLAN, archevêque
de Milan. Voyez Pierre Grossulan.
GRUNINGUE. Ulric y établit un monas-
tère qu'il transfère ensuite à la Celle, XIII,
470.
GRUTER (Jean). [Son édition des écrits de
Sédulius, VIII, 109.] — Son édition de
l'Abrégé de l'Histoire romaine de Paul,
diacre, XII, 144.
GRYNÉE, en latin GRYNiEUS (Jean-Jac-
ques). [Son recueil des écrits apocrypbes de
l'Ancien et du Nouveau Testament, I, 275.]
Son édition des œuvres de saint Irénée, 530.
— Ses additions aux livres d'Eusèbe de la
Préparation évangélique, III, 313. Sesscho-
lies sur l'Histoire ecclésiastique du même,
314. — Son édition des œuvres de saint
Paulin, évêque de Noie, VIII, 98. Ses notes
sur l'Histoire tripartite, 525.
[GUADET (J.) et TARANNE. Leur édition
et leur traduction française de l'Histoire des
Francs de saint Grégoire de Tours, XI, 399.
— Traduction de l'Histoire de Richer, XII,
890.]
GUAIFER, moine du Mont-Cassin, était ori-
ginaire de Salerne ; ses progrès dans la vertu
et dans les sciences ; il est auteur de la Vie
de saint Secondin, évêque de Troie en Pouille,
et de quelques hymnes en son honneur; ses
homélies et ses poésies n'ont pas été impri-
mées, XIII, 496. [Quelques poëmes publiés
récemment, 496, 497 et 496, n. 3.] 11 joint à
la Vie de saint Secondin l'Histoire de l'inven-
tion de ses reliques, 415.
GUALDON, moine de l'ancienne Corbie.
On lui attribue la Vie de saint Anschaire,
évêque de Hambourg, écrite en vers; il pa-
raît avoir seulement conseillé à l'auteur ano-
nyme de la composer, XIII, 325. (Voyez ce
qui est dit de lui dans l'Histoire littéraire de
la France, t. Vil, p. 428 et suiv.)
GUALON, abbé de Saint-Quentin de Beau-
vais, consulte Yves de Chartres sur le ma-
riage des enfants impubères ; il est élu évê-
que de Beauvais à la place d'Etienne de
Garlande ; lettre d'Yves de Chartres à son
sujet, XIV, 109. Il devient évêque de Paris,
112.
GUALTÉRUS (Rodolphe). Sa traduction
latine des homélies de Théodore! sur la pro-
vidence, X, 141.
GUANERNÉRUS, sous-prieur de Saint-
Victor de Paris. Ses Explications allégori-
gues de la Bible tirées des paroles de saint
Grégoire, XI, 585, 586. [C'est le même que
Garnier. Voyez plus haut.]
GUARNIER, abbé de Rebais. V. Garnier.
[GUARIN, abbé de Saint- Victor. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie, XIV, 710. Il
succède à Ervisius et fut un homme pieux et
sage, 698. Ses lettres, 710 et 711. Ses ser-
mons, 711. Ses écrits dans la Patrologie, 711
et 712. Lettre du cardinal Pierre de Saint-
Chrysogone à cet abbé, 749. Lettre que Gua-
rin écrit au pape Célestin III, 946.]
GUASTALLE, ville de Lombardie. Concile
tenu en cette ville, XIV, 1106.
GUASTINES ou WALTEN, premier mo-
nastère de chanoines réguliersen Flandre; sa
Chronique, écrite par Eberard, XIII, 467.
GUDELINE, femme du roi Théodat. Ses
lettres, écrites par Cassiodore, XI, 216.
GUDILA, diacre de l'Église de Tolède. Ses
liaisons intimes avec saint Julien ; sa mort,
XI, 791.
[GUDIN, moine de Luxeuil. Sa complainte
rhythmique sur la mort de Constance, XIII,
77.]
GUDIUS (Marquard). Son édition du livre
de saint Hippolyte sur l'Antéchrist, I, 642.
GUEDEL, île sur les côtes de Bretagne.
Voyez Belle-Ile.
GUENERIC, évêque de Verceil. Voyez
Vénerie.
[GUÉRANGER, abbé de Solesme. Son ar-
ticle sur la confirmation du concile de Nicée,
ni, 529 et suiv.]
[GUÉRARD. Ses observations surlei^ecueil
des chartes de Saint-Bertin par Folcuin, XII,
860, n. 4. Son édition du Cartulaire de Saint-
Bertin, 861.]
GUÉRIN DES ESSARTS, abbé de Saint.
Évroul, auteur d'une espèce de théologie.
(Voyez son article dans Y Histoire littéraire de
la France, t. XI, p. 637 et suiv.)
GUÉRISON (La) des erreurs des payens,
ouvrage de Théodoret, partagé en douze dis-
cours, X, 90 et suiv. Corrections pour cet ou-
vrage, 142.
GUÉRISONS MIRACULEUSES. Guérison
d'une dame de qualité par l'intercession des
saints martyrs de la légion thébéenne, II, 472.
— Guérison des plaies du martyr saint An-
dronic, RI, 33, 34. Guérisous miraculeuses
opérées par les reliques de saint Cyprien, 99.
GUERRA SACRA, titre que Joseph Horo-
TABLE GÉNÉRALE DÈS MATIÈRES.
497
loggi a donné à sa traduction italienne de
l'Histoire des croisades de Guillaume de Tyr,
XIII, 536.
GUERRE. Évêques et prêtres dispensés de
la guerre par Charlemagne, XII, 233. Ré-
ponse du pape saint Nicolas I" aux Bul-
gares touchant la guerre, 583. Sous Charles
le Chauve , les évêques , les abbés et les
abbesses doivent fournir certaine quantité
de soldats armés, 633. Réponse du pape
Jean VIII touchant les chrétiens tués en
guerre en combattant contre les payens,
643.
13,, GUERRIC , chanoine de Tournai , puis
moine de Clairvaus; est fait abbé d'Igui
57 après la mort d'Humbert; sa mort; ses ser-
mons, XIV, 439. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. XII, p. 430
et suiv.)
GUESMÉ (Claude), bénédictin de la con-
gré^^ation de Saint-Maur, auteur de la table
des matières de l'édilion des Œuvres de
saint Augustin donnée par les Bénédictins,
IX, 816.
GUI, comte, à la prière duquel Alcuin com-
pose son traité des Vertus et des Vices, XII,
187.
GUI, duc de Spolète, couronné empereur,
XII, 707 et 738.
GUI, évêque d'Auxerre, auteur de quel-
ques compositions. (Voyez ce qu'on dit de lui
dans l'Histoire littéraire de la France, t. VI,
p. 288 et suiv.)
GUI, évêque du Puy, fils de Foulques le
Bon, comte d'Anjou, se fait moine dans l'ab-
baye de Gormeri ; en devient abbé, et possède
en même temps plusieurs autres abbayes; il
quitte ses abbayes, à l'exception de celle
,5 de Gormeri ; il est fait évêque du Puy ; ce qui
ig, rend son épiscopat remarquable ; sa mort,
XIII, 893. Trois chartes qui restent de lui,
893 et 894. [Leur reproduction danslaPa^ro-
logie, 894.] (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, tome VI, p. 307 et
suiv.)
GUI, moine de Saint-Pierre de Chalon-
sur-Saône, auteur d'un petit écrit. (Voyez ce
qui est dit de lui dans l'Histoire littéraire de
la France, t. VI, p. 330.)
GUI, évêque de Sentis. Lettre que lui écrit
saint Fulbert, évêque de Chartres, XIII ,
82.
GUI, archidiacre, puis évêque d'Amiens,
fait l'épitaphe d'Enguerran, abbé de Saint-
Riquier, XIII, H2 et 276. Ce qu'on sait des
TAB. I.
circonstances de sa vie ; année de sa mort ; ion.
son poème sur les victoires que Guillaume
le Conquérant remporte sur Harold à Has-
tings ; autres vers à la louange d'Enguerran
qu'on lui attribue, 276. Son différend avec V. ii62.
Foulques, abbé de Corbie, 288. [Sa lettre
à cet abbé, 288. Pièces qui concernent Gui
et ses écrits dans la Patrologie , 276.]
(Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, tome VIII , p. 29 et
suiv.)
GUI, abbé de Forêt-Montier. Son épitaphe,
par EngLierran, abbé de Saint-Riquier, son
frère, Xlll, 112.
GUI D'AREZZO, moine, inventeur delà xi siècle,
gamme. Ce qu'on sait des circonstances de
sa vie et de ses ouvrages, XIII, 129, 130. Sa
lettre à Michel, où il rend compte du succès
de sa nouvelle méthode ; son Micologue ; ce
que c'est, 130. Son traité de la Mesure du
monocorde, 130 et 131. C'est par erreur que
Trithème lui attribue un traité du Corps et
du Sang de Jésus-Christ contre Bérenger,
131. [Son Micrologue, publié par D. Gerbert ;
autres écrits de Gui publiés par le même édi-
teur, 130. Jugement sur les écrits de Gui,
130, 131, 132. — On lui a contesté avec
raison plusieurs de ses inventions, XII,
803.]
GUI ou WIDON, neveu de Bérold ou Ber-
told, évêque de Soissons, choisi pour lui
succéder, XIII, 165.
GUI [DE CHATILLON] , archevêque de wss.
Reims. [Notice sur cet archevêque et cinq
diplômes donnés par lui dans la Patrologie,
XIII, 214, n. 1.] Sa mort; Gervais lui suc-
cède, 263.
GUI, archevêque de Milan. Lettre que lui
écrit saint Pierre Damien, XIII, 301.
GUI, moine, puis abbé de Farfe. Son ^i aiècie.
Recueil des usages de l'abbaye de Farfe,
XIII, 477.
GUI, abbé de Bobio. Ses statuts pour les jogs,
chanoines réguliers, XIII, 479.
GUI, chancelier et trésorier de l'Église de
Noyon, écrit la Vie de Radbod, évêque de
Noyon et de Tournay, Xlll, 490. (Voyez ce
qui est dit de lui dans l'Histoire littéraire de la
France, t. VIII, p. 467 et suiv.)
GUI, chancelier et trésorier de l'Église de
Noyon, auteur d'une déclaration sommaire
de l'Église de Noyon, paraît être différent du
précédent. (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. X, p. 279.)
GUI, archevêque de Vienne en Dauphiné. ma.
32
498
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
mz.
H76.
H8S.
XII siècle.
1164.
1168.
1061.
1073.
1075.
Lettre que le pape Urbain II écrit à ce sujet,
XIII, 430. — Lettre que lui écrit le pape
Paschal II dont il était légat, XIV, 133. Il
assemble un concile à Vienne, où l'on dé-
clare nulle la bulle que l'empereur Henri V
avait extorquée du pape sur les investitures,
et ce prince est excommunié, 133 et suiv.
Lettres du pape Pascbal II qui lui sont adres-
sées, 136. Il est élu pape et prend le nom de
Calliste H, 1092.
GUI, second abbé de Molesme, auteur
d'une Vie de saintRobert, son prédécesseur.
(Voyez son article dans TZ^wtoiVe littéraire de
la France, t. XI, p. 208 et suiv.)
GUI DE CASTEL, prêtre-cardinal du titre
de Sainl-Marc, est élu pape pour succéder à
Innocent II; il prend le nom de Célestin H,
XIV, 267. Voyez Célestin II.
GUI ou GUIGNES I", cinquième prieur gé-
néral de la Chartreuse. Voyez Guignes.
GUI ou GUIGNES II, autre prieur général
de la Chartreuse. Date de son abdication ; sa
mort ; son livre des Quatre exercices de la
cellule, XIV, 402. Pabricius n'est pas éloigné
de lui attribuer l'Échelle du paradis ou des
cloîtres, imprimée parmi les Œuvres de saint
Augustin et de saint Bernard, 402 et 491. Il
ne faut pas le confondre avec Guignes, cin-
quième prieur. Voyez Guignes,
GUI, chancelier de l'Église romaine. Erreur
de Ciaconius sur la date de sa mort , XIV,
533.
GUI, fils du comte de Blandrate, est élu
archevêque de Ravenne par ordre de l'em-
pereur Frédéric P^. Le pape Alexandre IV
s'y oppose en vain, XIV, 913.
GUI DE CRÈME, cardinal, est élu antipape
après la mort d'Ûctavien; il prend le nomde
Paschal III, XIV, 918 et 1131. Il couronne
l'empereur Barberousse avec Béatrix sa
femme ; sa mort ; on lui donne pour succes-
seur Jean, évêque d'Albane, qui prend le
nom de Calliste III, 919.
[GUI DE VICENGE fait l'éloge de l'Aurora,
poërae de Pierre de Riga, XIV, 887.]
GUIARS DES MOULINS. Voyez Des Mou-
lins.
GUIBERT DE PARME, chancelier du
royaume d'Italie, excite les évêques deLom-
bardie à ne point reconnnaitre le pape
Alexandre II, et fait élire l'antipape Cada-
loûs, Xin, 285.
GUIBERT, archevêque de Ravenne. Lettre
que lui écrit le pape [ saint] Grégoire VII après
son élection , XIII, 351 . Cherche les moyens de
devenir pape ; il fomente la conjuration for-
mée contre [saint] Grégoire VII ; il l'excommu-
nie dans un concile tenu à Pavie, 359. Il est
déposé dans un concile tenu à Rome, 365. Il
est élu pape à l'assemblée de Brixen, et
prend le nom de Clément III, 369, 370. Rac-
compagne le roi Henri en Italie, 370 et 371.
Il est introduit dans Rome, et l'y couronne
empereur, 371, 372. Concile de Rome où il
est excommunié, 372. Plusieurs de ses let-
tres ; dissertation où l'on prétend prouver
qu'il avait été élu canoniquement ; relation de
quelques miracles qu'on lui attribue, 407.
Son schisme continue sousles papes VictorlII
et Urbain II, 421, 425, 430, 435. Ses parti-
sans tiennent un concile dont la lettre syno-
dale est adressée à tous ceux qui craignent
Dieu et qui aiment le salut de la république
romaine, 437. [Bonizon, évêque de Sutri,
prouve qu'il était permis de tuer les parti-
sans de l'antipape; il raconte les persécu-
tions que saint Grégoire VII éprouva de la
part des sectateurs de Guibert, 564.] — Il est
excepté de l'indulgence avec l'empereur
Henri IV, XIV, 61. Il est chassé de Rome; sa
mort, 129. — Invectives de Guillaume, cha-
noine de Poitiers, contre lui, XIII, 489. —
Formule d'anathème contre ses partisans
dressée par Paschal H, XIV, 1077.
GUIBERT (Saint), fondateur de l'abbaye de
Gemblou. Translation de ses reliques, XIV, 59,
60. Sa Vie, composée par Sigebert; Antien-
nes et répons pour son office ; Histoire de la
translation de son corps, par un autre moine,
63.
GUIBERT, abbé de Nogent. Sa naissance,
son éducation ; il embrasse la vie monastique
à Saint-Germer ; ses études ; il est élu abbé
de Nogent à la place de Godefroi, élu évê-
que d'Amiens, XIV, 194. Sa mort. Ses écrits:
traité sur la Prédication ; Morales sur la Ge-
nèse; Commentaires sur Osée, Araos et les
Lamentations de Jérémie, 193. Commentaire
sur le prophète Abdias, 196. Traité de l'In-
carnation contre les Juifs ; traité de la Vérité
du corps de Jésus-Christ dans l'eucharistie,
196 et 197. Éloge delà sainte Vierge Marie;
traité de la Virginité, 197. Traité des reliques
des saints, 197 et suiv. Histoire de la pre-
mière croisade sous la conduite de Boémond,
duc de Pouille, et de Godefroi de Bouillon,
roi de Jérusalem, 199 et XIH, 534, 535. —
Histoire de sa vie, écrite par lui-même, XIV,
199 et200. Appendice de ses œuvres ; sermon
qu'on lui attribue. Jugement sur ses écrits ;
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
éditions qu'on en afaites, 200. [Ses écrits dans
la Patrologie, 193.] (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. X, p. 433
et suiv.)
GUIBERT, abbé de Florin, puis de Gem-
blou. Ce qu'on sait des circonstances de sa
208. vie; sa mort. Ses écrits : Vie de saint Martin
de Tours; ses lettres; Vie de sainte Hilde-
garde, XIV, 862. Autres écrits de Guibert,
862 et 863. Question qu'il propose à sainte
Hildegarde , 863. Réponse qu'il en reçoit,
596.
GUJBERTINS, partisans de l'antipape Gui-
bert. Traité du cardinal Deusdedit contre
eux, XIII, 569.
GUIGHARD ou GUIKARD, abbé de Saint-
Tron, auteur d'une Vie de ce saint. (Voyez
ce qui est dit dans VHistoire littéraire de la
France, t. VI, p. 461 et suiv.)
H81. [GUIGHARD , archevêque de Lyon. Ce
qu'on sait des circonstances de sa vie, XIV,
746, 747. Ses lettres, 747, 748. Ses statuts
sur l'ollice divin, 748.]
GUIGHARD, abbé de Blandinberg à Gand.
)59. Sa mort ; Everhelme lui succède, XIII,
270.
GUIDE DU VRAI CHEMIN, ouvrage d'A-
nastase le Sinaïte. Voyez Odegos.
GUIDNERTH tue son frère qui lui dispu-
tait la couronne, XI, 884. Pénitence à la-
quelle il se soumet, 884 et 885.
GUIDRIC, abbé de Saint-Evre à Toul.
Voyez Widric. '
)54. GUIFROI, archevêque de Narbonne, pré-
side à un concile, XIV, 1059. Bérenger, vi-
comte de Narbonne, forme de grandes plain-
tes contre lui, 1060.
[GUIGNIARD (Philippe), bibliothécaire à
Dijon. Sa lettre sur les reliques de saint
Bernard et celles de saint Malachie, XIV,
499.]
GUIGUES ou GUI I" (le Bienheureux), cin-
quième prieur de la Chartreuse. Son éloge,
XIV, 305. Estime qu'il avait pour l'ordre de
Cîteaux, 305 et 306. Il fonde plusieurs char-
treuses ; il s'applique à faire transcrire des
livres; de son temps, une inondation ruine
37. les bâtiments de la Chartreuse ; sa mort, 306.
Son Recueil des usages et des statuts de l'or-
dre des Chartreux, 306 et 307. Ses Médita-
tions, 307, 308. Par ordre du pape Inno-
cent II, il écrit la Vie de saint Hugues,
évêque de Grenoble, 308. Son traité de la
Vie monastique, adressé aux religieux du
Mont-Dieu; d'après D. CeiUier, il en est vé-
ritablement auteur, 308, 309. [Il n'en est pas
l'auteur; cet ouvrage est de Guillaume de
Saint-Thierri, 308, n. 3.] Analyse de ce
traité, 309. Lettres qui nous restent de lui,
309 et 310. Ouvrages qu'on lui a attribués,
310. [Deux autres lettres de Guigues, 310,
n. 1. Plusieurs traités, attribués à Guigues,
sont de Gui II, 310, n. 4. Éditions de ses
écrits, 310.] Jugement sur ses écrits, 310.
Lettres que lui écrit saint Bernard, 426. Il
fut chargé d'écrire la Vie de saint Hugues,
évêque de Grenoble, 1112. Il ne faut pas le
confondre avec le suivant. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. XI,
p. 640 et suiv.)
GUIGUES ou GUI H, autre prieur de la
Chartreuse. Voyez Gui.
GUIKARD, abbé de Saint-Tron. Voyez
Guichard.
GUILLAIN (Saint) , disciple de saint
Arnaud. Sa Vie écrite par Philippe de
Bonne-Espérance, XIV, 687. — Statuts
pour les moines de l'abbaye qui porte son
nom, dressés par Gérard II, évêque de
Cambrai, XHI, 480.
[GUILLAUME, moine de Châlon-sur- ix siècle.
Saône. Son récit du ravage produit par la
foudre sur l'église de Saint-Pierre, XII,
840.]
GUILLAUME (Saint), comte de Toulouse 804.
et duc d'Aquitaine, fondateur de l'abbaye
de Gellone. Analyse de sa Vie écrite par un
anonyme, XIII, 234, 233.
GUILLAUME I, comte d'Auvergne et duc 9W.
d'Aquitaine. Son testament par lequel il
fonde l'abbaye de Cluny, XIV, 743.
GUILLAUME III, comte de Poitiers, et V" looo.
duc d'Aquitaine. Concile qu'il tient à Poi-
tiers, XIII, 765. (Voyez son article dans
VHistoire littéraire de la France, t. VII, p.
284 et suiv.)
GUILLAUME VI, comte de Poitiers, et loso.
VIII, duo d'Aquitaine, fonde le monastère
de Sauve-Majour, XIV, 1069. Il remet le
monastère de Saint-Eutrope à l'abbé de
Cluny, pour y rétablir le service de Dieu,
1072.
GUILLAUME VIII, comte de Poitiers, et ii35.
X'= duc d'Aquitaine, fauteur du schisme,
converti par saint Bernard, XIV, 421.
GUILLAUME, comte de Blois. Son éloge
en vers acrostiches composé par Gauzbert,
moine de Fleury, XII, 524.
GUILLAUME, moine de Saint-Denis en ixsiecie.
France, fait une traduction latine des œu-
500
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
vres de saint Denis l'Aréopagite, XII, 608.
— [II est sans doute le même que celui à
qui écrit Odoranne, XIII, H4.]
GUILLAUME, abbé, auteur d'un écrit sur
l'âme. (Voyez ce qui en est dit dans l'His-
toire littéraire de la France, tome VI, p.
77.)
1028. GUILLAUME, comte d'Angoulême. Récit
de sa mort tiré de la Chronique d'Adémar,
XIII, 103.
961. GUILLAUME (Le bienheureux), abbé de
Saint-Bénigne de Dijon. Sa naissance ; il est
tenu sur les fonts de baptême par l'empe-
reur Otton I", XIII, 105, 106. Ses études. Il
refuse d'être ordonné à condition de prêter
serment de fidélité à l'évêque de Verceil. Il se
retire à Cluny avec saint Maïeul. Il met la ré-
forme dans le monastère de Saint-Saurin sur
le Rhône, puis dans celui de Saint-Bénigne
de Dijon. Il rétablit la discipline dans plu-
,031. sieurs autres monastères. Sa mort, 106. [Sa
notice et ses fondations dans la Patrologie,
105, n. 12. L'Église ne lui rend aucun culte,
105. Ses deux Vies, 106. Ses lettres dans la
Patrologie, 107.] Sa Vie écrite par Glaber
Rodulphe et par un anonyme, 106 et 147,
148. Ses lettres, 106, 107. Charte de la fon-
dation de l'abbaye de Fruiare. Discours que
Guillaume prononça à la dédicace de l'église
de Saint-Bénigne qu'il avait fait rebâtir.
Formules de prières qu'il avait composées,
107. Lettres que lui écrit le pape Benoît
Vin, 192, 193. (Voyez son article dansl'^w-
toire littéraire de la France, t. VII, p. 318 et
suiv.)
1050. GUILLAUME I, comte de Nevers, usurpa-
teur des biens de l'abbaye de Moutier en
Der, menacé d'excommunication pour ce
sujet, XIII, 209, 210.
GUILLAUME II, comte de Nevers, élu
régent du royaume. Se fait chartreux, XIV,
1119.
GUILLAUME LONGUE-ÉPËE , duc de
Normandie. Son épitaphe composée par
Maurille, archevêque de Rouen, XIII, 266.
XI siècle. GUILLAUME DE MÉRULLA, moine de
Saint-Évroul. Ses homélies pour toutes les
fêles de l'année et sur l'Apocalypse. Recueil
des miracles opérés par les reliques de saint
Josse, qu'Ordéric Vital lui attribue, XIII,
269. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, tome VII, p, 602 et
suiv.)
XI siècle. GUILLAUME LE CONQUÉRANT, duc de
Normandie et roi d'Angleterre. Poëme de
Gui, évêque d'Amiens, sur la victoire qu'il
remporta sur Harold à Hastings, XIII, 276.
Le pape Alexandre II lui envoie un éten-
tard pour marque de la protection de saint
Pierre, 286. Deux lettres de ce pape qui lui i078.
sont adressées, 290. Lettres que lui écrit le i079.
pape [saint] Grégoire VII, 368. Son Histoire
écrite par Guillaume, archidiacre de Lisieux,
410. Les principales circonstances de sa vie,
410 et 411. Sa mort. Discours qu'il fit à los;.
sa mort à ceux qui étaient près de lui,
411. Ses lettres, 412. Il fonde le monastère
de Saint-Étienne de Caen, 441. Son Histoire
écrite par Lanfranc n'a pas été imprimée,
457. Discours que lui adresse Guitmond,
nommé évêque d'Averse, 523. Son épitaphe
composée par Thomas, archevêque d'York,
547. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, tome VIII, p. 173 et
suiv.)
GUILLAUME LE ROUX, roi d'Angleterre. mi
Son couronnement, XIII, 442. — Il succède 1087
à Guillaume le Conquérant son père, XIV,
2. A la sollicitation des seigneurs il nomme 1093
saint Anselme à l'archevêché de Gantorbéry.
il s'indispose contre lui ; à quelle occasion,
3. Suite de cette aversion, 3 et suiv. Sa noo
mort, 5. — Son frère Henri P' lui succède
et est couronné par Thomas, archevêque
d'York, en l'absence de saint Anselme, XIII,
547.
GUILLAUME, évêque d'Utrecht, ennemi io70
du pape [saint] Grégoire A'II. Sa mort, XIII, io75ou
360. Conrad lui succède, 513.
GUILLAUME, bibliothécaire de l'Église xisiè
romaine. Sa continuation des Vies des pa-
pes. Il ne nous en reste que les Vies
d'Adrien II et d'Etienne VI ; éditions qu'on
en a faites, XIII, 344. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. VIII,
p. 140 et suiv.)
GUILLAUME DE JUMIÉGE, moine. Son xi siè.
Histoire des Normands. Le huitième livre
n'est pas de lui; conjectures sur le temps où
il a composé cette Histoire ; idée de cet ou-
vrage, XIII, 409. [Éditions qu'on en a faites,
410.] (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, tome VIII, p. 167 et
suiv.)
GUILLAUME DE POITIERS, archidiacre xtsiè.
de Lisieux. Ce qu'on sait des circonstances
de sa vie, 410. Son Histoire de Guillaume
le Conquérant, 410 et suiv. [Édition dans la
Patrologie et appendices qui s'y trouvent,
410. Guillaume de Poitiers, archidiacre de
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
501
Lisieux, doit être distingué de Guillaume,
chanoine de Poitiers, 489, n. H.] Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VIII, p. 192 et suiv.)
1070. GUILLAUME DE BONNE-AME, arche-
1079. vêque de Rouen, d'abord moine, puis abi)é
mo. de Caen, nommé archevêque de Rouen. Sa
mort, XIV, 37. Trois lettres qui nous res-
tent de lui, S6, 37. Conciles tenus par cet
archevêque, 57 et XIII, 434. Lettres qui lui
sont adressées, 57. — Urbain II lui défend
l'usage du palliam, XIII, 421, 422. — [Let-
tre que lui écrit Yves de Chartres au sujet
d'un sous-diacre qui n'avait pas reçu la bé-
nédiction cléricale, XIV, 122.] (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. IX, p. 490 et suiv.)
1095. GUILLAUME, prieur de Saint-Martial de
Limoges, est fait évéque de cette ville à la
place d'Humbault, XIII, 434.
siècle. GUILLAUME, abbé du Bec. Son épitaphe
par Milon Crispin, XIII, 459.
050. GUILLAUME CRISPIN L'ANCIEN. Son
épitaphe, XIII, 459. Voyez Crispin.
GUILLAUME WALON, abbé de Saint-
Arnoul de Melz, succède à Warin. On le
charge de l'abbaye de Saint-Remi de Reims
ses plaintes à ce sujet. Il renonce à l'abbaye
de Saint-Remi, XIII, 461. Hérimanne, évê
que de Metz, attaché à [saint] Grégoire VII,
ayant été chassé par Henri IV, Guillaume
occupe pendant quelque temps cet évêché,
461 et 462. Il se retire à Gorze. Il est rap-
1089. pelé à Saint-Arnoul ; sa mort. Ses lettres,
462. Oraison en l'honneur de saint Augustin
qui lui est attribuée, 463. (Voyez son article
daus l'Histoire littéraire de la France, t. VIII,
p. 305 et suiv.)
stècie. GUILLAUME KÉCELLE, chanoine de Bé-
verlai, au diocèse d'Yorkj écrit l'Histoire
des miracles de saint Jean de Béverlai. Édi-
tion qu'on en a donnée, XIII, 463. (Voyez
ce qui est dit de lui dans l'Histoire littéraire
de la France, t. VIII, p. 317 et suiv.)
iiècie. GUILLAUME, abbé d'un monastère en
Allemagne. Lettre que lui écrit Ulric, moine
de Cluny, sur ce qu'il affectait de porter la
chape, XIII, 476.
070. GUILLAUME (Saint), abbé d'Hirsauge,
avait été d'abord moine à Saint-Emmeran
de Ratisbonne. En quelle année il est fait
abbé. Ses talents. Il emploie nombre de ses
religieux à transcrire les livres de l'Écriture
et des Pères. On le regarde comme l'insti-
tuteur des frères lais ou convers. Sa mort.
1080.
XIII, 484. Constitutions qu'il avait rédigées
pour son monastère. Analyse de ces Consti-
tutions, 483. [Publication de son traité de
Musique et de la préface de son traité sur
l'Astronomie, 483. Pièces concernant saint
Guillaume, abbé d'Hirsauge, 484, n. 4.] Il
engage Ulric à composer le recueil des
usages de Cluny, 471.
GUILLAUME, évêque de Durham, suc-
cède à Gaucher. Confiance dont l'honore le
roi GuillauQie le Conquérant. Accusé d'être 1089.
entré dans la faction d'Odon de Bayeux, il
est exilé. De retour en Angleterre, il se dé- '"9'-
clare contre saint Anselme. Sa mort. Ses i^ss.
lettres, XIII, 486. [Autre écrit, 486.] (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. VIH, p. 433 et suiv.)
GUILLAUME, chanoine de Saint-Hilaire "95.
de Poitiers. Son invective en vers léonins i^^e.
contre l'antipape Guibert, XIII, 489.
GUILLAUME, moine de Cluse. Son His- xi siècle,
toire de l'abbaye de Cluse; il n'en reste que
quelques fragments. Vies de Benoît P' et
de Benoît II, abbés de cette maison ; la pre-
mière ne se trouve plus ; analyse de la se-
conde, XIII, 490. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. VIII, p.
451 et suiv.)
GUILLAUME DE LA FOUILLE, auteur
d'un poëme sur les expéditions des Nor-
mands en Sicile, en Pouille et en Calabre.
Conjeclure sur sa personne. Idée de son
poëme, XIII, 510. Différentes éditions qu'on
en a faites, 510 et 311. On met cet auteur
parmi les écrivains français, 511. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. VIII, p. 488 et suiv.)
GUILLAUME, auteur d'un panégyrique
de la sainte Vierge. (Voyez ce qui en est dit
dans l'Histoire littérairede la France, t. VIII,
p. 679 et suiv.)
GUILLAUME AUDIÈRE, favori du roi
d'Angleterre Guillaume le Roux, condamné
injustement à être pendu, XIII, 524.
GUILLAUME, évêque de Tyr. Ce qu'on U75.
sait des circonstances de sa vie, XIII, 335.
Son Histoire des Croisades ; différentes édi-
tions qu'on en a faites, 533 et 336. [Juge-
ment sur Guillaume de Tyr, 536.] Son His-
toire des princes d'Orient est perdue, ainsi
que le recueil qu'il avait fait des actes du
concile de Latran, 537. Son Histoire des
Croisades traduite et continuée par un ano-
nyme, 543. — [Le pape Innocent II lui
écrit, XIV, 265, 266.]
302
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
V. 1101. GUILLAUME I DE MONTFORT, évêque
de Paris. Témoignage avantageux que lui
rend Yves de Chartres, XIV, 103, 104. Sa
mort. Foulques lui succède, 112.
GUILLAUME, moine de Cliester en An-
gleterre, auteur de deux poëmes en l'hon-
ueur de saint Anselme. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. X,
p. 12 et suiv.)
ioa7. GUILLAUME DE GHAMPEAUX, évêque
de Châlons, enseigne à Paris la rhétorique,
1108. la dialectique et la théologie. Devenu
premier archidiacre de la catliédrale, il fait
1H3. ses leçons dans le cloître, XIV, 192. Il se
retire avec quelques-uns de ses disciples à
Saint-Victor, alors hors de Paris, 192 et
1115. 209. Il est élu évêque de Châlons. Il donne
à saint Bernard, élu abbé de Clairvaux, la
bénédiction abbatiale. Il assiste à plusieurs
1119. conciles. Il est député avec Pons, abbé de
Cluny, vers l'empereur Henri V par le
1121. pape Calliste II. Sa mort, 192. Ditïéients
écrits qu'on lui attribue, 192 et 193. Son
traité de l'Origine de l'âme. Son sentiment
sur les enfants morls sans baptême, 193.
[Fragment de son écrit sur le sacrement de
l'Eucharistie, 193 et 194.] Sa dispute publi-
que avec Rupert, sur la volonté de la toute-
puissance de Dieu, 281. (Voyez son article
dans VHistoire littéraire de la France, t. X,
p. 307 et suiv.)
GUILLAUME, fils de Henri P% roi d'An-
gleterre, est reconnu pour son futur succes-
seur au concile de Verberie, XIV, 1088.
GUILLAUME DE CORBEIL, archevêque
de Cantorbéry. Sa mort. Thibaud, ubbé du
Bec, est élu pour lui succéder au concile de
Londres, XIV, H14. [Le pape Honorius II
lui écrit touchant un différend entre trois
évoques d'Angleterre^ 233, 256.]
1179. GUILLAUME, archevêque de Reims, fait
cardinal par le pape Alexandre III au con-
cile de Latran, XIV, 1143.
GUILLAUME DE MALMESBURY ou DE
SOMMERSET. D'où lui viennent ces deux
1U3. surnoms. Temps où il florissait. Ses écrits :
Histoire des rois d'Angleterre, XIV, 311.
Analyse de cette Histoire, 311 et suiv. His-
toires nouvelles, ou supplément à l'Histoire
d'Angleterre. Les Gestes des évêques d'An-
gleterre ; analyse de cette Histoire, 313. Vie
de saint Wlstan,! évêque de Worchester.
Vie de saint Adelme, évêque de Schirburn,
314. Livre de l'Antiquité de l'Église de Glas-
ton. Lettre à Pierre, moine de Malmesbury.
1116.
1136.
1138.
Autres écrits de Guillaume qui n'ont pas été
imprimés, 313. [Édition des écrits de Guil-
laume dans la Patrologie, 311. Jugement
sur les écrits de Guillaume. Jugement sur
ces ouvrages, 313.] Éditions qu'on en a
faites, 314.
[GUILLAUME, moine de Saint-Denis, as-
siste Suger à la mort. Sa circulaire sur cette
mort, 373. Ses écrits sur Suger. Sa lettre à
quelques-uns de ses confrères, 375, n. 2.
Édition de ces écrits dans la Patrologie, 373.
Traduction française de la Vie de Suger,
376.]
GUILLAUME, abbé de Saint-Thierri, né à
Liège, est envoyé a 'ec Simon son frère à
Reims pour y faire ses études. Ils embras-
sent la vie monastique à l'abbaye de Saint-
Nicaise, XIV, 386. Guillaume est fait abbé
de Saint-Thierri. Ses liaisons avec saint
Bernard. Il quitte son abbaye et se retire
au monastère de Signi, de l'ordre de Cî-
teaux. Sa mort. Catalogue de ses ouvrages;
éditions qu'on en a faites, 387. Livre des
Méditations, 387 et 388, Traité de la Nature
et de la Dignité de l'amour divin. Traité de
la Contemplation de Dieu. Traités du Miroir
et l'Énigme de la foi ; de la Nature du corps
et de l'âme. Lettres à Geoffroi de Chartres,
et dispute contre les Dogmes de Pierre
Abailard, 388. Traité contre les erreurs de
Guillaume de Conches. Commentaire sur le
Cantique des Cantiques. Sentences de la foi,
389. Traité du Sacrement de l'autel, 389 et
390. Lettre sur l'Eucharistie. Commentaire
sur l'épître aux Romains. Vie de saint Ber-
nard, 390 et 410. Traité de la Vie solitaire
aux frères du Mont-Dieu, 390. [Ce traité lui
appartient, 308, n. 3. Le traité de la Con-
templation semble aussi lui appartenir, 310,
n. 4. Notices sur Guillaume et édition de
ses écrits dans la Patrologie, 387, n. 5. Son
commentaire sur l'épître aux Romains, 390,
n. 4.] Jugement des écrits de Guillaume de
Saint-Thierri, 390. [Autre jugement, 390,
n. 8.] — Temps auquel Guillaume écrivit
son commentaire sur le Cantique des Canti-
ques, V, 422. — Il remarque plusieurs er-
reurs dans les écrits d' Abailard, XIV, 380.
(Voyez son article dans VHistoire littéraire
de la France, t. XII, p. 312 et suiv.).
GUILLAUME DE CONCHES. Ses erreurs
sur la Trinité. Il les rétracte dans son ou-
vrage intitulé : Dragmaticon, XIV, 388. Sa
Glose sur les quatre évangiles, 388 et 389.
Temps de sa mort, 389. Réfutation de ses
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
303
erreurs par Guillaume de Saint- Thierri, 388.
(Voyez son article dans VHistoire littéraire
de la France, t. XII, p. 435 et suiv.)
H40. GUILLAUME, trésorier de l'Église d'York,
en est élu archevêque pour succéder à
Turstain. DifScultés sur son élection, XIV,
148. 443, 446. Il est déposé au concile de Reims,
et Henri Murdac élu à sa place. Sa consti-
tution, 446.
m. [GUILLAUME DE TRAHINAC, sixième
prieur de Grandmont. Deux lettres de lui
dans la Palrologie, XIV, 380, n. 8.]
187. [GUILLAUME DONDINA. Sa Vie de saint
Hugues de Lacerta, XIV, 380, n. 7.]
317. GUILLAUME PELLICIER, le premier qui,
dans l'ordre de Grandmont, a pris le titre
d'abbé. Dom Martène lui attribue l'Instruc-
tion des novices de l'ordre de Grandmont,
XIV, 380.
[GUILLAUME, religieux de Grandmont
et depuis archevêque de Bourges, écrit à
Guarin, abbé de Saint- Victor, XIV, 711.]
[GUILLAUME IV, comte de Nevers. Ses
contestations au sujet de certains droits sei-
gneuriaux, XIV, 783.]
[GUILLAUME DE JUMIÈGES, n'est pas
l'auteur du premier hvre ni des huit chapi-
tres du second livre des Gestes de Henri P"',
roi d'Angleterre, XIV, 789.]
GUILLAUME, frère de Pierre de Blois,
Lettre que lui écrit son frère, XIV, 774.
185. GUILLAUME D 'EXESTER, abbé de Gres-
tain. Lettre d'Arnoul de Lisieux à son occa-
sion. Il est transféré à l'abbaye de Saint-
Martin près Pontoise, XIV, 737.
156. GUILLAUME, roi de Sicile. Sa querelle
avec le pape Adrien IV ; accommodement
par lequel elle se termine, XIV, 911.
182. GUILLAUME, roi d'Ecosse. Son dififérend
avec la cour de Rome au sujet de l'évêché
de Saint-André. Bulle du pape Lucius III
qui lève l'excommunication prononcée par
186. l'archevêque d'York, XIV, 929. Lettre d'Ur-
bain III au sujet de la même affaire, 934.
Lettre de Clément IH, 937.
GUILLAUME, comte de Montpellier. Rai-
sons qui portent Innocent III à refuser de
légitimer les bâtards de ce comte, XIV, 979.
203. [GUILLAUME (Saint), abbé de Saint-
Thomas du Paraclet. Sa vie, XIV, 836 et
suiv. Ses lettres, 836 et suiv. Ses lettres sur
le divorce de Philippe Auguste, 839 et suiv.
Ses lettres aux souverains pontifes, 841; à des
cardinaux ; à des évêques, 842 ; à des abbés
et à des religieux, 843, 844. Ses opuscules,
844, 843. Ses écrits dans la Patrologie, 843. J
[GUILLAUME DE CHAMPAGNE AUX 1202.
BLANCHES MAINS, archevêque de Reims.
Sa vie, XIV, 843 et suiv. Ses écrits; ses
lettres, 849 et suiv. Ses chartes, 832.]
[GUILLAUME DE LONGCHAMP, chance- xiii siècle,
lier d'Angleterre, évêque dÉly. Lettre que
lui écrit Adam, abbé de Perseigne, pour
lui représenter les dangers qu'il courait en
exerçant un emploi qui ne convenait guère
à un évêque, XIV, 883.]
[GUILLAUME LE BRETON, de l'ordre des
mineurs, fait l'éloge de l'Aurora, poëme de
Pierre de Reiga, XIV, 887. Il n'est pas l'au-
teur du Glossaire intitulé : Summa Britonis
seu de difjicilibus vocabulis in Biblia conten-
us, 719.]
GUILLAUME D'AUVERGNE, évêque de 1228.
Paris, succède à Barthélemi. Son éloge. Sa i248.
mort, XIV, 1019. Ses écrits : Traité de la
Foi. Traité des Lois, 1020. Traité des Ver-
tus. Traité des Mœurs. Traité des Vices et
des Péchés, 1021. Traité des Tentations,
1021 et 1022. Traité du Mérite et de la Ré-
compense. Traité de l'Immortalité de l'âme.
Traité de la Rhétorique divine, 1022. Traité
des Sacrements, 1023. Traité des Causes de
l'Incarnation. Traité de la Pénitence. Traité
de l'Univers, 1024. Sermons de Guillaume
d'Auvergne, 1023 et suiv. Traité de la Tri-
nité, 1027. Traité de l'Ame. Traité de la
Pénitence. Traité de la Collation des béné-
fices, 1028. Autres ouvrages de Guillaume.
Autres ouvrages qui n'ont pas été imprimés,
1030. Jugement sur ses écrits, 1031. Édi-
tions qu'on en a faites, 1032.
GUILLEBAUD (Pierre), feuillant, connu
sous le nom de dom Pierre de Saint-Ro-
muald. Son édition de la Chronique d'Ade-
mar, avec une continuation, XIII, 102.
GUILLEBERT, évêque de Châlons-sur- g,6.
Marne, confondu par Baluse avec Gislebert,
évêque de Chartres, XII, 628. Ce qu'on sait
des circonstances de sa vie, 628 et 629. Il
assiste à l'assemblée de Pontion. Son ins-
truction pastorale, 629. (Voyez son article
dans VHistoire littéraire de la France, t. V,
p. 481 et suiv.)
GUILLEM (Saint) du désert, auparavant 804.
nommé Gellone. Fondation de ce monastère,
Xin, 234.
[GUILLON, évêque de Maroc. Sa traduc-
tion française des écrits de saint Cy-
prien. II, 386. Sa traduction des écrits de
saint Chrysostôme, VII, 437.]
504
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1017.
1077.
1085.
1105.
[GUIMPOLE (Saint), évêque de Mantoue :
il écrit la Vie de saint "Winceslas, XII, 845.]
GUINIER, FINGAR (Saints), et leurs com-
pagnons, martyrs en Irlande : leurs Actes
faussement attribués à saint Anselme, XIV,
35.
GUINISON et JANVIER (Saints) : leur Vie
écrite par Pierre, diacre et bibliothécaire
du Mont-Cassin, XIV, 586.
[GUISCHARDl : sa traduction française
des fragments du livre des Gestes de Jules
Africain, II, 96.]
[GUIFRED, premier évêque de Besalu,
XIII, 193.]
GUITMOND, surnommé Chrétien, évêque
d'Averse. Ses commencements. Pendant
qu'il état moine du Bec, on le presse de se
charger d'un évèché en Angleterre : il le
refuse. Il passe en Italie, et change de nom
pour y demeurer inconnu. Il accompagne
l'abbé Bernard à l'assemblée de Forcheim.
Il se trouve à l'élection du pape Victor III.
Erreurs oii Ordéric Vital est tombé à son su-
jet. Le pape Urbain II le fait évêque d'A-
verse. Sa mort, XIII, 516. Ses écrits. Traité
de l'Eucharistie, contre Bérenger, 131, 173
et 517. Analyse de ce traité, 517 et suiv.
Livre premier, 517, 518; livre second, 518
et suiv.; livre troisième, 520 et suiv. Expo-
sition sur les mystères de la Trinité, de l'In-
carnation et de l'Eucharistie, 522. Traité sur
la Trinité, 522 et 525. Discours au roi Guil-
laume. Jugement sur les ouvrages de Guit-
mond : éditions qu'on en a faites, 523. [Édi-
tions dans la Patrologie, 523.] — Explication
qu'il donne d'un passage de saint Augustin,
IX, 759, 760. (Voyez son article dans VHist.
littér. de la France, t. VIII , p. 533 et suiv.)
GUITOT (Jean). Sa traduction française
de plusieurs des méditations et oraisons de
saint Anselme, XIV, 24 et 43.
[GUIZOT, ministre sous Louis-Philippe.
Ses Mémoires relatifs à l'Histoire de France,
XI, 811. On y trouve différentes traduc-
tions et notions sur des auteurs ecclésias-
tiques.]
GUMBALD, abbé de Sainte-Croix à Bor-
deaux. Privilège que le pape Benoit IX ac-
corde à son monastère, XIII, 196.
GUNTARD. Lettre que lui écrit Amalaire,
prêtre de Metz, XII, 348.
GUNZON, diacre de l'Église de Novare :
sa lettre à Attende Verceil, où il décide que
le filleul ne peut épouser la fille de son par-
rain, XII, 825. [Le même que Gunzon, gram-
mairien : sa lettre aux moines de Richenow,
823, n. 1. Lettre qu'il écrit à l'occasion d'une
faute contre la grammaire, 823.] (Peut-être
le même que Gunzon, grammairien, dont
on peut voir l'article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. VI, p. 386 et suiv.)
GURK : fondation de cet évêché par Ger-
bert, archevêque de Saltzbourg, XIII, 399.
GURDISTIN ou WRDISTIN, abbé de Lan-
devenec, auteur d'une Vie de saint Guinga-
lois. (Voyez son article dans VHistoire litté-
raire de la France, t. V, p. 623 et suiv.)
GURHERDEN, moine de Sainte-Croix de
Quimperlé, auteur d'une Histoire de cette
abbaye. (Voyez son article dans VHistoire
littéraire de la France, t. XI, p. 43 et suiv.)
GURIE (Saint) , martyre à Édesse, III,
102, 103.
GUTHLAG (Saint), anachorète dans l'île
de Croiland. Sa Vie, écrite par Félix, moine
de Jarou, XII, 21 ; par deux moines de Croi-
land, 128. — Sa Vie, attribuée à Goscelin
ou Gotcelin, moine de Cantorbéry, XIII, 531
et XIV, 233. — Autre, par Pierre de Blois,
XIV, 783.
GYNÉCÉES, maisons où l'on enfermait
les filles et les femmes déréglées, VI, 340.
H
AV.J.-C.607.
HABACUC , prophète. Temps auquel il
commence à prophétiser. Analyse de sa
prophétie : son style, 1, 181.— On prétendait
en plusieurs endroits posséder son tombeau,
VII, 638. — Homélie de saint Cyrille
d'Alexandrie sur ce prophète , VIII , 324.
Ses reliques trouvées à Céila, 53'i. [Com-
mentaire de Théodore de Mopsueste sur ce
prophète, 620.] — Commentaire d'Héséchius
sur ce prophète, XI, 637. — Commentaire
du Vénérable Bède sur le cantique d'Haba-
cuc, XII, 13. — Commentaire de l'abbé
Joachim sur quelques chapitres du prophète
Habacuc, XIV, 830.
HABERT (Nicolas), bénédictin, prieur
claustral de l'abbaye de Mouson, fait impri-
mer l'abrégé de la Chronique de ce monas-
tère, XIII, 110.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
505
HABET-DEUM, évêque en Afrique. Les
Ariens le rebaptisent. Ses protestations. Sa
requête contre les Ariens, X, 461 .
[HABIBUS ou HABIBE (Saint), martyr à
Samosate, II, 469 et suiv.]
HABILLEMENTS prêtés pour les céré-
monies païennes : cinquante-septième canon
du concile d'Elvire, II, 6H.
HABITATION des personnes du sexe dans
les maisons des clercs : vingt-septième ca-
non du concile d'Elvire, II, 608.
HABITATIONS : livre des Trois Habita-
tions, ouvrage faussement attribué à saint
Augustin, IX, 287 ; — et à saint Patrice, X,
447.
HABITS. Saint Cyprien ne voulait pas que
les chrétiens portassent le noir dans leurs
habits en marque de deuil, II, 379. — Ca-
nons douzièjne et treizième du concile de
Gangres, III, 517. — Habits des ministres de
l'Église au temps de saint Jérôme, VII, 699.
— Témoignage et sentiment du pape saint
Célestin sur les habits des ecclésiastiques et
des moines, VIII, 129. — Habits monas-
tiques au temps de saint Benoît, XI, 167.
Habits des moines prescrits par la règle de
saint Benoît, 167 et 168. Saint Grégoire fait
acheter des habits blancs par ceux qui de-
vaient être baptisés, 510. Habits sacerdo-
taux au temps de saint Grégoire, 538, 539.
Défense aux clercs de porter des habits de
pourpre, 904. — Explication allégorique du
Vénérable Bède sur ce qui est dit des habits
sacerdotaux dans le livre de l'Exode, Xll,
8. [Le pape Jean VI ordonne aux clercs
anglais de porter l'habit long à la manière
des Romains, 22, n. 8.] Habits sacerdotaux
marqués par le pape Léon IV, 408; et par
Walafride Strabon, 414. Traité de Raban
Maur sur les habits sacerdotaux, 457. — Les
clercs et les moines doivent s'habiller sui-
vant leur état, XIII, 711. Les moines, les
religieuses et les veuves qui quittent les ha-
bits de religion pour retourner au siècle,
doivent être renfermés dans les monastères,
920. — Habits des clercs d'une seule cou-
leur, XIV, 67. Sermon d'Yves de Chartres,
sur la mondanité des habits, 123. Habits des
clercs, 217. La bénédiction des habits sacer-
dotaux et de tout ce qui sert à l'Église est
réservée à l'évêque, 1076. Il est défendu
aux clercs de porter des habits de couleur
rouge ou faits à la manière des séculiers,
1150. Canon d'un concile de Coyac concer-
nant les habits ecclésiastiques, 1057. Canons
d'un concile de Montpellier concernant les
habits des ecclésiastiques, 1159.
HABITUDES MAUVAISES. Discours sous
le nom de saint Éphrem contre les mau-
vaises habitudes, VI, 19.
HABSBOURG. La généalogie de cette mai- xui siècle,
son, jointe aux actes de l'abbsftye de Moury,
n'est pas exacte, XIV, 538. Elle n'est ni du
même temps ni du même auteur que les
actes. En quel temps elle a été faite, 539.
HADRIEN, pape et autres du même nom.
Voyez Adrien,
HAGANON, chanoine de Châtillon-sur-
Seine. Voyez Aganon.
HAGANON, évêque d'Autun. V. Aganon, loos.
HAGIOGRAPHES. (Sous ce nom sont com-
pris les livres de Tobie, Judith, Esther, Job,
Esdras, Néhémias et les Macchabées.) Écrits
des Pères à consulter sur les hagiographes,
selon Casiodore, XI, 229.
HAGUENBOT (Jean), surnommé Coma-
rius, médecin allemand. Sa version latine des
fragments de saint Irénée tirés de saint Épi-
phane, I, 530. — Son édition des œuvres de
saint Basile, IV, 546. — Sa version latine de
plusieurs ouvrages de saint Épiphane, VI,
437. — Sa version latine de quelques ou-
vrages de Synésius, VIII, 33.
HAGULSTAD ou HAUGULSTAD, vulgai- vu siède.
rement Hauston, évêché d'Angleterre, dé-
membré de celui d'York. Histoire de la vie et
du martyre des saints dont les reliques repo-
saient dans cette église, par Accas, XII, 21 . —
Livre des miracles de l'église d'Hagulstad,
par iElrède , abbé de Riedval , XIV, 620.
[HAHN et SIEFPERT. Leur Chrestomo-
thie syriaque, VI, 72.]
HAIMERIC, Français de naissance, est fait U2i.
cardinal par le pape Calliste II. Honorius II \m.
le fait chanceher de l'Église romaine. Sa i«i.
mort, XIV, 475. Ses liaisons avec saint Ber-
nard. Lettre que ce saint lui écrit sur diffé-
rentes affaires, 426, 427, 430, 437, 441, 452.
Saint Bernard lui adresse son traité de l'a-
mour de Dieu, 475. Lettres de Pierre le Vé-
nérable qui lui sont adressées, 502 et 507.
HAIMIN, moine de Saint-Vaast d'Arras, ,x s,éeie.
est auteur d'une relation des miracles opérés
par l'intercession de saint Vaast, et d'un dis-
cours à sa louange prononcé le jour de sa
fête. Sa lettre à Milon, auteur de la Vie de
saint Vaast, XH, 334. [Reproduction dans
la Patrologie des écrits d'Haimin, 334.]
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. IV, p. 515 et suiv.)
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
841.
853.
XI siècle.
1031.
1041.
1046.
1047.
1052.
817.
506
HÂIMON, évêque d'Halberstat : ses études.
Il enseigne la théologie dans le monastère
de Fulde ; il succède à Thiatgrim dans l'évê-
ché d'Halberstat. Sa mort. Ses commen-
taires sur les Psaumes; sur les douze petits
Prophètes, XII, 434 ; sur les prophètes Isaïe,
Jérémie, Ézéchiel, Daniel et les douze petits
Prophètes; sur les Évangiles; sur les Actes
des Apôtres, 435 ; sur les Épîtres de saint
Paul et sur les Épîtres catholiques, 435 et
436 ; sur l'Apocalypse, 436. Traité de la Vé-
rité ou de la variété des livres, 436, 437.
Histoire du Christianisme, 437. Traité sur
l'Eucharistie, 437 et 438. Ouvrages d'Hai-
mon qui sont perdus, 438. [Édition de ses
œuvres dans la Pairologie, 439. Son com-
mentaire sur le Cantique des Cantiques est
encore manuscrit, 755. Celui qui est im-
primé dans la Patrologie appartient, d'après
D. Ceillier, à saint Rémi d'Auxerrre.] On l'a
confondu, ainsi que plusieurs autres, avec
ceux de Rémi, moine d'Auxerre, 455. (Voir
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. V, p. 111 et suiv.)
[HAIMON, prêtre et moine de Bamberg.
Ses Annales de Bamberg, d'Ensdorf, d'Au-
gusta. Sa Chronographie, livre perdu, XIV,
182.]
HAIMON DE BASOCHE, évêque de Châ-
lons-sur-Marne. Voyezson article dans l'His-
toire littéraire de la France, t. XII, p. 426
et suiv.)
HAISTULPE, archevêque de Mayence.
Raban lui dédie son commentaire sur saint
Matthieu et ses homélies, XII, 452.
HALAIN, abbé de Farfe. Voyez Alain.
HALINARD, archevêque de Lyon : sa nais-
sance. Il est élevé sous la discipline de Bru-
non, évêque de Langres, qui l'admet dans
le clergé de sa cathédrale. Il embrasse la
vie monastique à Saint-Bénigne de Dijon. Il
en est fait abbé après la mort de Guillaume.
11 refuse l'archevêché de Lyon. Le pape [saint]
Grégoire VII, l'oblige de l'accepter après la
mort d'Odalric. Il refuse de prêter serment
à l'empereur. 11 accompagne ce prince qui
allait se faire couronner à Rome, et assiste
à plusieurs conciles. On pense à le faire
pape ; il cesse pour un temps de fréquenter
la cour, XIII, 177. Ses autres voyages à
Rome. 11 y est empoisonné. Son amour pour
l'étude, 177 et 178. Ses lettres [dans la Pa-
trologie, 178.] (Voir son article dans l'Histoire
littéraire de la France, t. VII, p. 447 et suiv.)
HALITGAIRE, évêque de Cambrai et d'Ar-
ras. Ebon, archevêque de Reims, se l'associe
pour aller prêcher la foi en Saxe et en Da-
nemark. Son ambassade à Constantinople.
Sa mort, XII, 329. Analyse de son Péniten-
tiel, 329 et 330. Autre Pénitentiel qu'on lui
attribue. De la Vie des prêtres, ouvrage
qu'on lui attribue aussi, 330. Lettre que lui
écrit Ebbon de Reims, 329. [Éditions ré-
centes de ses écrits, 329 et 330. 11 est recom-
mandé aux chrétiens du Nord, 403.] 11 est
auteur de deux ouvrages attribués à Raban,
457 et 473. (Voyez son article àans l'Histoire
littéraire de la France, t. IV, p. 504 et suiv.)
HALLOIX (Pierre), jésuite. Sa traduction
latine de la lettre de l'ÉgUse de Smyrne
touchant le martyre de saint Polycarpe, I,
407. — C'est un zélé défenseur de Didyme
et d'Origène, V, 619.
HALTON, évêque de Troyes, consent à
l'établissement de l'abbaye duParaclet, XIV,
320.
HAMANABOURG, ville d'Allemagne. Saint
Boniface y bâtit une égUse et un monastère,
XII, 47.
HAMARTIGÈNE, ou de l'Origine du péché,
ouvrage du poëte Prudence, VIll, 104 et
105.
HAMARTOLE. Voyez Georges Hamartole.
[HAMARTOLE (Michel). On a de lui une
lettre à l'évêque de Tyr : elle est reproduite
d'après Boissonade au tome CXVII de la
Patrologie grecque.]
HAMBALD, père de Lanfranc, XHI, 440.
HAMBERGERUS (Georges-Albot) , luthé-
rien, mathématicien. Sa traduction latine des
scholies de Procope de Gaze sur les Rois et
les Parahpomènes, XI, 179.
HAMBOURG, ville d'Allemagne. Saint
Anschaire y établit un évêché, XII, 382 et
524, qui peu après est uni à celui de Bré-
men, 525. L'union est confirmée parle pape
saint Nicolas I, 526 et 569. [Privilège que lui
accorde le pape Anastase 111, 744.] — Lettre
du pape Innocent II concernant les di'oits de
l'Église de Hambourg sur les évêchés de
Danemarck, de Suède et de Norwége , XIV,
260.
HANANIAS (Saint), compagnon de saint
Siméon Bar-Saboé. Son martyre, III, 327.
[HANKIUS. Détails qu'il a recueillis sur
Nicétas Choniate, XIV, 1177.]
HANNEMOND ou CHAUMONT (Saint),
évêque de Lyon. Voyez Delphin.
HARDING (Etienne), abbé de Cîteaux.
Voyez Etienne Harding.
XII sièc
V. 73i
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
307
HARDOUIN (Jean), jésuite). Son jugement
sur l'édition bénédictine des œuvres de saint
Augustin, IX, 815, n. 1.
iiècie. HARDUIC, évêque de Besançon. Lettre
que lui écrit le pape saint Nicolas I, en ré-
ponse à diverses questions qu'il lui avait
proposées, XII, 581.
[HARDY (Thomas-Dufius). Son édition des
sectes des Anglais et des histoires nou-
velles, par Guillaume de Malmesbury, XIV,
3H.]
HARDWIDE, abbesse, fille d'Ecbert, duc
des Saxons, et de Sainte-Ide, XIII, 98.
HARENBERGE (Christophe). Son histoire
diplomatique de l'Église de Gandersheim,
XII, 877.
74. HARIBERT, abbé de Murbach. Temps de
sa mort, XII, 218.
HARIOLPHE, premier al^bé d'Elvangen.
Sa Vie composée par Ermenric, XII, 554.
(II y en eut dans la suite une autre écrite
par Adalbéron, évêque d'Augsbourg. Dom
Geillier n'en parle pas ; mais voyez Du Pin
elMoréri, à l'article d'Arfa^ééron, aux'' siècle.)
H30. HARIUPLE, moine de Saint-Riquier, et
ensuite abbé d'Aldenbourg. Sa mort. Ana-
lyse de la Vie de saint Angilbert. Sa Vie de
saint Arnoul, premier abbé d'Aldenbourg.
Sa continuation de la Chronique de Saint-
Riquier. Autres ouvrages qu'on lui attribue.
Son épitaphe, composée par lui-même, XIV,
234. Son élégie en l'honneur d'Anscher, abbé
de Saint-Riquier, 235. [Édition de ses écrits
dans la Patrologie, 235.] (Voyez son article
dans VBistoire littéraire de la France, tome
XII, p. 204 et suiv.)
78. HARMATIUS. Lettre que lui écrivit saint
Basile le Grand, IV, 486.
HARMÉNOPDLE. Voyez Constantin Har-
ménopule.
lècie. HARMONIUS, fils de Bardesane, héré-
tique, I, 455. Ses écrits, 466.
HARMONIUS, ami et disciple de saint
Grégoire de Nysse, qui lui adresse un de ses
écrits, VI, 195.
HARMOTE ou HARTMOTE, abbé de Saint-
Gai, est chargé du gouvernement de l'ab-
5,2 baye pendant l'absence de Grimald, et lui
jg3 succède après sa mort. Il se démet de sa di-
(84. gnité et meurt dans la retraite. Ses soins
pour enrichir la bibliothèque de son monas-
tère. Écrits qu'on lui attribue, XII, 694.
[Leur reproduction dans la Patrologie, 694.]
On l'a confondu avec Hartmanne, abbé de
Saint-Gai, qui vivait dans le x" siècle. (Voy.
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. V, p. 611 et suiv.)
HAROLD ou HÉRIOLD, roi des Danois : x siècle,
à quelle occasion il embrassa la religion
chrétienne, XII, 524 ; XIII, 63 et XIV, 202.
Sa mort, XIV, 202.
HAROLD ou HARTOLD, roi de Norwége. xi siècle.
Lettre que lui écrivit le pape Alexandre II,
XIII, 286.
HARPOGRATION, évêque d'Egypte. Let-
tre que lui écrit saint Basile, IV, 485.
HARTMANNE, abbé de Saint-Gai. Sa 92.4.
mort. Son Histoire de l'abbaye de Saint-Gai,
XII, 694.
HARTMANNE, autre abbé de Saint-Gai,
auteur de plusieurs ouvrages qui n'ont pas
encore été imprimés, XII, 694.
HARTMANNE LE JEUNE, moine de Saint- x siècle.
Gai, écrit la Vie de sainte Wilborade, XII,
879. Autres ouvrages dont on le croit auteur,
879 et 880. On l'a confondu avec Hartmanne
l'ancien, 880.
HARTMOTE. Voyez Harmote.
HARTOLD, roi de Norwége. Voyez ZTa-
rold.
HARTWIC, abbé et restaurateur de l'ab-
baye de Tégernsée en Bavière. Son épi-
taphe, XIII, 98.
HARVINGE (Philippe de), abbé de Bonne-
Espérance. Voyez Philippe de Harvinge.
HASARD. Sentiment de saint Paulin sur
le hasard et la fortune, VIII, 64. — Ce que
c'est, d'après Boèce, X, 662.
[HASE. Son édition de l'Histoire des em-
pereurs par le diacre Léon, XII, 881.]
HASNON, abbaye de la Scarpe, au dio-
cèse d'Arras. Chronique de ce monastère,
écrite par le moine Thomel ou Thomelle,
Xm, 186 et 344, 345.
HASTINGS, ville et port de mer d'Angle-
terre. Poème de Gui, évêque d'Amiens, sur
la victoire remportée à Hastings par Guil-
laume le Conquérant, XIII, 276.
HATTON, abbé de Fulde, disciple d'Al-
cuin, XII, 4i6. On croit qu'il est le même
que Bonose, à qui Raban écrit, 458.
HATTON, évêque de Verdun, envoyé à ix siècle.
Rome par Lothaire, XII, 575. Lettre que lui
écrit Adventius, évêque de Metz, sur le di-
vorce de Lothaire avec Thietberge, 610.
HATTON, archevêque de Mayence. Sa
lettre au pape Jean IX au sujet de Félsction
de Louis, roi de Germanie, XII, 742. (Voy.
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. VI, p. 144 et suiv.)
508
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
HATTON ouHETTON, évêque de Bâle.
Voyez iletton.
[HATTON, abbé de Fulde. Le pape saint
Grégoire V lui écrit, XII, 901.]
HATUiMODE, première abbesse de Gan-
dersheim. Sa Vie par le moine Agius, XII,
877.
HAUSTON. Voyez Haguhtad.
849. [HAUDOUIN, abbé. Ses vers sur le tom-
beau de saint Rémi, XII, 425.]
HAUTESERRE (Antoine Dadin de). Voyez
Dadin.
HAUTMONT, abbaye sur la Sanibre au
diocèse de Cambrai. Topographie de celte
abbaye. Son origine, XIII, 334.
[HAUTERIVE (le comte d'). Sa traduction
française du discours de Nicétas Ciioniate
sur les monuments détruits par les croisés,
XIV, 1177.]
IX siècle. HAUTVILLERS, abbaye sur la Marne au
diocèse de Reims, détruite par les Barbares
et rebâtie par saint Nivard, XII, 935. Lettre
d'Hincmar de Reims aux moines de Haut-
villers, sur la manière dont ils doivent trai-
ter Gothescal près de mourir, 672.
HAVESCAMP (Sigebert), professeur de
grec, d'histoire et d'éloquence. Son com-
mentaire sur l'Apologétique de Tertullien,
II, 86.
HAVID, sœur de Wibald, abbé de Stavélo.
se fait religieuse à Gérisheim, XIV, S25.
[HEBERNUS, archevêque de Tours. Il
écrit les miracles de saint Martin de Tours.
Éditions de cette Histoire, XII, 425.]
HÉBERT, père de Phaleg, ne consentit
point à la construction de la tour de Babel,
VII, 356.
[HÉBERT, abbé de Saint-Étienue de Dijon.
Le pape Innocent II lui écrit, XIV, 264.]
HÉBERT, comte de Vermandois. Voyez
Herbert.
HÉBERT, comte du Maine. Voyez Herbert.
HÉBERT (..,). Sa traduction française du
traité de Tertullien, des Prescriptions; de
l'Habillement des femmes; du Voile des
vierges, II, 86.
1084. HÉBRETME, moine de Cluny, passe au
monastère de la Penna pour y établir l'ob-
servance de Cluny. Son Histoire de la trans-
lation des reliques de saint Indalece. On lui
attribue aussi celle de la translation du corps
de saint Isidore de Séville, XIII, 346. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. VIII, p. 150 et suiv.)
HÉBREU, langue hébraïque. On ne doit
V. 1150.
855.
pas rejeter comme apocryphes les parties de
l'Écriture qui ue se trouvent pas dans le
texte hébreu, I, 179. — Le texte hébreu est
quelquefois cité par saint Basile, IV, 498.
— Saint Jérôme traduit l'Écriture de l'hé-
breu, VII, 550. Son livre des Noms hébreux.
Celui des Lieux hébreux, 557. Ses Questions
hébraïques, 557 et 558.
HÉBREUX, descendants d'Abraham par
son fils Isaac. Épîlre de saint Paul aux Hé-
breux, I, 232 et suiv. Voyez Épîtres de saint
Paul. — Doctrine des Hébreux; étymologie
de leur nom ; en quoi ils sont distingués des
Juifs. Sentiment d'Eusèbe de Césarée, III,
186 et suiv. et 271. — Remarque de saint
Basile sur les anciens Hébreux, IV, 497.
HÉBREUX (les trois). L'histoire des trois
jeunes Hébreux jetés dans la fournaise est
reçue par saint Basile, IV, 497; — par saint
Pacien, V, 166; — par saint Éphrem, VI,
50,51.
HÉCHIARD, comte d'Amiens, fait retou-
cher le livre intitulé : Cornes, XII, 206.
HEDDI (Saint), évêque de Worchester. Sa
mort, XI, 804.
HEDDI (Etienne), moine de Cantorbéry,
XII, 22. Voyez Etienne Heddi.
HÉDENULFE, est ordonné évêque de
Laon à la place d'Hincmar, XII, 636. Ins-
tructions qui lui sont données par ses con-
sécrateurs, 686.
HÉDIBIE. Lettre de saint Jérôme en ré-
ponse à diverses questions proposées par
cette dame, VII, 572 et suiv.
HÉDION (Gaspard), ministre protestant
d'Allemagne. Sa version allemande de l'His-
toire ecclésiastique d'Eusèbe, III, 315. —
Sa traduction allemande des homélies de
saint Jean Chrysostôme sur saint Mrtthieu
et sur saint Jean, VII , 438. — Sa traduction
allemande de l'Histoire tripartite, VIII, 524.
— Sa traduction allemande de l'Histoire
ecclésiastique de Théodoret, X, 141. — Sa
traduction allemande des Postilles, ou ser-
mons sur les épîtres et évangiles de l'année
de l'abbé Smaragde, XII, 256.
HEDUUS (Qaintus). Ses notes sur le traité
de Tertullien, des Prescriptions, II, 86.
[HEFÈLE. Ses éditions du Pasteur d'Her-
mas, I, 338. Son édition des Pères aposto-
liques, 361. Il est souvent cité dans ce pre-
mier volume.]
HÉGÉMONE, écrivit ou plutôt traduisit en
grec les Actes de la dispute entre Manès et
Archélaûs, II, 453.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
509
HÉGÉSIPPE (Saint), historien ecclésias-
tique, I, 473 et suiv. Il était juif de nais-
sance. Son voyage à Rome ; sa mort, 473.
Ses écrits sont perdus. Ce qu'ils contenaient,
474. [Éditions des fragments de ses écrits,
473.] Écrits supposés, 474. Jugement que
l'on a porté de ceux dont il est auteur, 474
et 473. Histoire de la ruine de Jérusalem
qui lui est attribuée, 330 et 474. — Son ré-
cit sur Jacques le Mineur rapporté par
Eusèbe de Césarée, III, 200.
HÉGÉSIPPE ou JOSÈPHE. Yoyez Josèphe.
HEIDEGGIUS [et non HEIDEGGIRUS]
(Henri). Son édition de la lettre de saint
Grégoire de Nysse sur les pèlerinages de
Jérusalem, VI, 239.
siècle. HEIDENHEIM , monastère d'Allemagne
fondé par Vunebald, parent de saint Boni-
face, archevêque de Mayence, XII, 780.
019. HEIMERAD ou HEIMON, saint prêtre.
Analyse de sa Vie écrite par Ecbert, prêtre
d'Hersfeld, XHI, 68, 69. Monastère bâti en
sa mémoire par Aribon, archevêque de
Mayence, 69.
HEIMERIG, cardinal et chancelier de
l'Église romaine. Lettre du bienheureux
Guigues le Chartreux qui lui est adressée,
XIV, 310.
HEIMON, prêtre. Voyez Heimerad.
iiècie. HEIMON, évêque de Verdun, veut enfer-
mer le monastère de Saint- Vanne dans les
murs de Verdun ; l'abbé Richard s'y oppose,
XIII, lis.
HEINDRIX (Jacques). Sa traduction eu
langue flamande de la Vie de sainte Amal-
. berge écrite par Thierri, abbé de Saint-Tron,
Xm, 597.
[HEINICHEN. Son édition de la Prépara-
tion évangélique d'Eusèbe, III, 313; de
l'Histoire ecclésiastique du même, 315; de
la Vie de Constantin par le même, 316.]
HEINSIUS (Daniel), professeur d'histoire
à Leyde. Son édition des œuvres de Clé-
ment d'Alexandrie, I, 606.
HEINSIUS (Nicolas), poëte latin, fils du
précédent. Son édition de l'Enchiridion du
poêle Prudence, VIII, 107.
ra883. HEIRIG, moine de Saint-Germain d'Au-
xerre. Ce qu'on sait des circonstances de sa
vie, XII, 640. Sa mort, 641. Ses écrits : Vie
de saint Germain, évêque d'Auxerre. Re-
cueil des miracles de saint Germain, 640.
Histoire des évêques d'Auxerre. Homélies
d'Heiric. Son recueil des Sentences des
Pères. Autres ouvrages qui lui sont at-
tribués, 641. [Reproduction des ouvrages
d'Heiric dans la Patrologie, 641.] (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. V, p. 535 et suiv.)
HEISTULFE, qui avait tué sa femme, la
soupçonnant d'adultère. Lettre que lui écrit
saint Paulin d'Aquilée ; pénitence qu'il lui
impose, XH, 138, 159.
HELDAM et MODAL. Livre apocryphe
sous leur nom, I, 267.
HÉLÈNE, femme que Simon le Magicien
menait avec lui, VI, 383.
HÉLÈNE, évêque de Tarse en Cilicie,
s'élève contre l'hérésie de Novatien, 11,403.
Le pape saint Etienne ne voulait pas com-
muniquer avec lui à cause de la rebaptisa-
tion, 549. Il se trouve au concile d'Antioche
contre Paul de Samosate, 367, 568.
HÉLÈNE (Sainte), mère de Constantin.
A-t-elle été convertie par saint Sylvestre?
Lieu de sa naissance, III, 118 [et 119, n. 2,
La lettre sous son nom à Constantin est
supposée, 143.] — Sainte Hélène découvre
la vraie Croix de Notre-Seigneur, V, 308,
379, 580; VII, 482, 483; VIII, 71,72 et 114.
— Elle avait été une simple hôtelière, V,
379. — Elle fait bâtir une égUse au lieu
d'où Jésus-Christ est monté au ciel, VIII,
113. Elle fait abattre à Jérusalem la statue
de Vénus. Elle envoie à son fils une portion
de la vraie Croix avec les clous. Elle fait
élever une éghse au-dessus du tombeau de
Jésus-Christ, 516. — Les mêmes faits rap-
portés par Théodoret, X, 44. — Sa Vie
écrite par Almanne, moine de Hautvilliers,
XII, 697. — Ses rehques apportées de Rome §49,
à l'abbaye de Hautvilliers, XIII, 324. Véri-
fication qui en est faite. Seconde vérifi- 4095,
cation faite à la prière de l'abbé Notcher,
323.
HÉLÉNOPLE, ville de Bithynie dont fut ,v
évêque Pallade, auteur ecclésiastique, VII, etVsiècies.
484.
[HELFRECHT. Son édition du Hvre de la
Consolation de Boëce, X, 663.]
HELGAUD, moine de Fleury. Ce qu'on xi siècle.
sait des circonstances de sa vie et du temps
où il florissait. Il écrit la Vie de Robert, roi
de France ; idée de cette Vie, XIII, 148. Ce
qu'elle contient de remarquable, 148 et 149.
Différentes éditions qu'on en a faites, 149.
La Vie de saint Abbon de Fleury qu'on lui
a attribuée n'est pas de lui, mais d'Aimon,
149. (Voyez son article dans V Histoire litté-
raire de la France, t. VII, p. 403 et suiv.)
510
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
4212.
HÉLI, grand-prêtre des Juifs, I, 56. —
Discours de saint Éphrem sur Ja punition
d'Héli, VI, 8, 9. — Homélie sur ce sujet
faussement attribuée à Sévérien, évêque de
Cabales, VII, 209. Sentiment de saint Jean
Cbrysostôme sur ce pontife, 358.
xn siècle. HÉLI, ville d'Angleterre. Érection de l'é-
vêcbé d'Héli détaché de celui de Lincoln,
XIV, 137.
HÉLIAS D'OXIDA. Voyez Elias.
)V siècle. HÉLICONE, historien grec et sophiste.
Ses écrits, VJ, 290, 291.
HÉLIE, avocat, à qui Théodoret adresse
une de ses lettres, X, 65.
HÉLIE, patriarche de Jérusalem. Voyez
Du Pin.
HÉLIE DE ROFIAC, moine, continue la
Notice des abbés de Saint-Martial de Li-
moges commencée par Adémar, XIII, 103.
[HÉLINAND, moine de Froidmont, poëte.
Ses écrits, XIV, 898, 899. La reproduction
de quelque.s-uns dans la Patrologie, 899.]
HÉLIODORE, évêque de Laodicée, s'élève
contre l'bérésie de Novatien, II, 403.
HÉLIODORE, évêque de Bethzabde en
302. Perse. Sa mort, III, 335.
HÉLIODORE, prêtre, ami de saint Hi-
laire, IV, 8. — On lui attribue un ouvrage
sur la nature des principes, VI, 291. (Voyez
son article dans ['Histoire littéraire de la
France, t. I, part. II, p. 195.)
HÉLIODORE, solitaire de Nazianze, V,
276.
HÉLIODORE, évêque d'Altino, ami de
saint Jérôme. Lettres que saint Jérôme lui
écrit, VII, 581, 582. Lettres supposées de
saint Chromace et d'Héliodore à saint Jé-
rôme, avec les prétendues réponses de ce
saint docteur, 494.
HÉLIODORE, moine, à qui saint Nil écrit,
Vm, 217.
HÉLIODORE, prêtre d'Antioche. Voyez
Du Pin.
HÉLIOGNOSTES, ou adorateurs du soleil,
V, 173.
HÉLIOPOLE, ville proche du mont Liban,
X, 46.
HÉLIOTROPITES, hérétiques dont parle
saint Jean Damascène, XII, 69.
HÉLISACAR, abbé de Fulde. Fréculfe lui
dédie sa Cbronique, XII, 418.
HÉLIX, hérétique combattu par saint
Hippolyte, I, 626.
HELLADE [ou HELLADIUS], comte, à
qui saint Basile écrit, IV, 450.
374.
IX siècle.
HELLADE, à qui saint Grégoire de Na-
zianze adresse une lettre, V, 256.
HELLADE, évêque dans la seconde Cap-
padoce, à qui saint Grégoire de Nazianze
écrit, V, 257.
HELLADE, évêque de Césarée dans la
première Cappadoce, successeur de saint
Basile, X, 149. — Assiste au concile œcu-
ménique de Constantinople, IV, 618. —
Saint Grégoire de Nazianze lui écrit, V, 257.
— Son différend avec saint Grégoire de
Nysse, VI, 124.
HELLADE, ami de saint Grégoire de Na-
zianze. Épigramme de saint Grégoire en
l'honneur de cet ami, V, 299.
HELLADE, luciférien. Sa dispute avec
un catholique, VII, 609 et suiv.
HELLADE, anachorète et ensuite évêque,
à qui Cassien adresse la première classe de
ses conférences, VIII, 161.
HELLADE, évêque métropolitain de Tarse,
engagé dans le parti de Nestorius. Ses let-
tres. Sa mort. Son éloge, VIII, 385. Let-
tre que lui écrivit Jean, évêque d'Antioche,
245. Il est sommé de choisir ou la paix, ou
l'exil, 248. Alexandre d'Hiéraple l'empêche
de concourir à la paix de l'Église, 376 ; et
lui fait part du résultat du concile d'Ana-
zarbe, 377, 378. Il permet à Jean d'Antioche
de tenir un concile contre saint Cyrille, 599.
Il est déposé dans un concile de Constanti-
nople. Il demeure en possession de son
Éghse, 600 et 604. Il se réunit à Jean d'An-
tioche avec presque tous les évêques de la
première Cilicie, 604.
HELLADE, prêtre païen d'Alexandrie,
célèbre professeur de grammaire, retiré à
Constantinople, VIII, 514.
HELLADE, supérieur du monastère de
Saint-Théodose, X, 56.
HELLADE. Lettre que lui écrit Firmus de
Césarée en Cappadoce, pour lui représen-
ter les besoins de la Cappadoce, X, 150.
HELLADE, évêque, à qui Firmus (Je Cé-
sarée en Cappadoce adresse une de ses let-
tres, X, 151.
HELLADE, évêque de Tolède. Ce qu'en
dit saint Ildefonse, évêque du même siège,
XI, 699. Lettre que saint Isidore, évêque
de Séville, écrit à Helladius et aux autres
évêques assemblés avec lui, 722.
HELLÉNIUS, commis à l'assiette dos
tailles de Nazianze. Poëme que saint Gré-
goire de Nazianze lui envoie, V, 275.
HELMENHORSTIUS [ou ELMENHORSTE]
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
5H
(Gevei'harl). Ses éditions des Dogmes ecclé-
siastiques de Gennade, X, 601.
siècle. HELMOLD, prêtre de Bosoaii. Sa Chroni-
que continuée par Arnold, et ensuite par
un anonyme ; idée de cette Chronique, XIII,
545.
HÉLOISE, abbesse du Paraclet, épouse
Abailard, chargé de lui donner des leçons.
Maltraité par Fulbert son oncle, Abailard
l'envoie à Argenteuil. Elle y fait profession
de la vie religieuse; à quelle occasion, XIV,
318. Elle s'établit au Paraclet avec plusieurs
religieuses d'Argenteuil, 320. Ses lettres à
Abailard, 321 et suiv. Ses problèmes pro-
H64. posés à Abailard, 329, 330. Ses statuts, ou
règle pour l'abbaye du Paraclet et les mo-
nastères en dépendants, 326, 339, 340. Ce
qu'ils contiennent de remarquable, 339,
340. Sa mort. Son éloge, 340. Voyez Abail-
lard. Sa Vie par D. Gervaise, 340, 341. Hu-
gues Métellus relève ses vertus et son savoir,
364. (Voyez son article dans VHistoire litté-
raire de la France, t. XII, p. 629 et suiv.)
HELPÉRIC, moine de Saint-Gai. Poème
qu'on lui attribue, XII, 151.
,j,,e. HELPÉRIC ou CHILPÉRIC, écolâtre de
Grandfel ou Grandval au diocèse de Bâle.
Ce qu'on sait de sa personne et du temps
où il vivait. Son traité du Comput ecclésias-
tique; à quelle occasion il le composa, XII,
862. Idée de cet ouvrage, 862 et 863. Une
lettre qui fait partie du traité des Offices di-
vins , attribuée à Alcuin , est d 'Helpéric, moine
de Grandfel; analyse de cette lettre, 863.
[Jugement sur cette lettre, 863.] Autres
écrits que Trithéme lui attribue, 863 et 864.
[Reproduction des écrits d'Helpéric dans la
Patrologie, 862.] (Voyez son article dans
VHistoire littéraire de la France, t. VI, p. 397
et suiv.)
HELVIDIA, mère du pape Léon IX, achète
un Psautier qui avait appartenu à l'abbaye
1012. de Saint-Hubert. Elle le restitue après qu'il
eut été réclamé. Elle se retire à l'abbaye de
046. Moyen-Moutier, Sa mort, XIII, 210.
384. HELVIDIUS, ai'ien. Livre de saint Jérôme
contre celui d'Helvidius, VII, 595 et 664. —
Helvidius est aussi réfuté par Bachiarius,
VIII, 45 et 47.
3,j„,^. HÉMÉROBAPTISTES, secte de Juifs. Ce
qui en est dit par saint Épiphane, VI, 384.
HÉMÉTÈRE (Saint), martyr à Calahorra
dans la Vieille-Gastille, III, 19. — Hymne
de Prudence en son honneur, VIII, 102.
HÉMINE DE VIN , dont il est parlé dans
la règle de saint Benoît. Évaluation de cette
mesure, XI, 168.
[HEMMERADE, roi de Hongrie. Le pape xm siècle.
Innocent III lui dénonce la secte des Bogo-
miles, XIV, 976.]
[HEMMINGUS, moine et prêtre de Saint- v. i095.
Vigor. Son écrit manuscrit sur l'église de
Saint- Vigor, d'où l'on a tiré la Vie de saint
Wulstan et quelques autres pièces , XIV ,
469.
HEMMON, évêque d'Halberstat. Voyez
Haimon.
HÉMORRHOISSE de l'Évangile. Statue
qu'elle avait fait élever à Jésus-Christ, VI,
308. Sermon de saint Pierre Chrysologue
sur l'hémorrhoïsse.
[HENRE et LINDENKOHL. Leur édition
des œuvres théologiques et philosophiques
d'Abailard, XIV, 341.]
HENNEQUIN (Aimar), évêque de Rennes.
Sa traduction française des Confessions de
saint Augustin, IX, 813.
HÉNOCH [ou ENOCH], cité par saint Jude,
pouvait avoir laissé quelque écrit que nous
n'avons plus, I, 236 et 264. Écrits supposés
sous son nom, 264, 263. [Publication du
livre d'Hénoch ; quel en est l'auteur, 263.]
— Tertullien soutient l'autorité du livre
d'Hénoch, II, 70. — Le livre d'Hénoch est
rejeté par saint Hilaire, IV, 68. — Témoi-
gnage de saint Éphrem sur Hénoch et Élie,
VI, 52. — Sentiment de saint Jean Chrysos-
tôme sur Hénoch, VII, 355. — Sentiment
de saint Augustin sur ÉUe et Hénoch, IX,
314, 558 et 614 ; sur le livre d'Hénoch, 374,
575. — Pourquoi Hénoch demeure-t-il si
longtemps sans mourir, XII, 167.
HENOTICON de l'empereur Zenon. Ce
qu'il contient, X, 409 et suiv.
HENRI, comte ou duc de Prioul. C'est à
lui que saint Paulin d'Aquilée a adressé ses
Instructions salutaires, XII, 139.
[HENRI, archevêque de Trêves. Le pape
Jean XII lui écrit, XII, 832.]
[HENRI, chef des Bavarois. Wigo lui
écrit, XII, 862.]
HENRI I, dit l'Oiseleur, empereur. Sa Vie
écrite par Witiliind, XII, 878.
HENRI II, dit le Saint, couronné empe-
reur par Benoît VIE, XHI, 144 et 190. II
envoie à Cluny la pomme d'or que le pape
lui avait donnée, 144. Tâche de déraciner
la simonie, 147. Édit de cet empereur con-
firmatif des canons du concile de Pavie,
192. II assemble un concile contre les simo-
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
512
niaques, 198. Sa Vie écrite par Adelbolde,
évêque d'Utrechl, 74, 75. Autre Vie par un
anonyme, 75. Poème funèbre de saint Odi-
lon en son honneur, 157. [Pièces concer-
nant l'empereur saint Henri reproduites
dans la Patrologie, 74, n, 10. Ses lois et ses
diplômes. Son discours au concile de Franc-
fort, 74.] Bernon de Reichenau lui avait
écrit des lettres, 128. — Il est canonisé par
le pape Eugène III, XIV, 272. [Lettre de ce
pape concernant sa canonisation, 277.]
HENRI ni, dit le Noir, roi de Germanie.
Lettre que lui écrit Bernon, abbé de Rei-
chenau ; il reçoit Pierre, roi de Hongrie, et
l'aide à rentrer dans son royaume, XIII,
127. Lettre que lui écrit Vazon, évêque de
Liège, 141. Il passe en Italie pour se faire
couronner empereur et travailler à la réu-
1046. iiion de l'Église ; il assemble à Sutri un con-
cile où Grégoire VI renonce au souverain
ponti6cat; Clément II est élu pape; il reçoit
1047. de lui la couronne impériale, 197. Concile
qu'il assemble en Allemagne où il harangue
1055. les évéques sur la simonie, 198. Il fait élire
pape Gébehard, évêque d'Eichstet, qui prend
le nom de Victor II ; il fait confirmer l'élec-
1056. tion de son fils; sa mort, 239. Son panégy-
rique en vers parVippon, son chapelain;
recueil de sentences que Vippon lui adresse,
176. Lettre que lui écrit saint Pierre Da-
mien, 303. — Protection que cet empereur
accorde à l'ordre de Cluny; statut Uiu en
sa faveur, XIV, 33. Concile de Constance
oi\ il se réconcilie avec tous ses ennemis,
1033.
1054. HENRI IV, dit le Vieux, empereur, est
1056. couronné roi d'Allemagne, XIII, 239. Son
élection confirmée ; il succède à son père
sous la tutelle de l'impératrice Agnès, 239
et 240. Grégoire VII lui donne avis de son
élection, et Henri la confirme, 331. Le pape
songe aux moyens de le faire revenir de ses
désordres, 353. Lettres que saint Grégoire
VII lui écrit, 337. Henri se déclare contre
[saint] Grégoire Viï, 359. Il le fait déposer,
339 et 360. Le pape veut le priver de la di-
gnité royale, 360. Lettre du pape au sujet
de la déposition de Henri, 362. Assemblée
de Tribur contre le roi Henri, 362 et 363.
Son absolution, 363. Sa rechute ; les sei-
gneurs élisent à sa place Rodolphe, 364.
Henri est déposé de nouveau et Rodolphe
confirmé, 369. [Voyez 369, n. 8.] Henri
passe en Italie, 370, 371. Il entre dans
Rome, 371. Il y est couronné par l'antipape
Guibert, 372. Lettre, en forme d'oraison fu-
nèbre, de ce prince ; vie anonyme de ce
prince; neuf lettres de ce prince, 405. Lettre
que lui écrit saint Pierre Damien , 306.
Écrits de divers auteurs en sa faveur, 404,
405. [Ses constitutions et ses diplômes dans
la Patrologie, 414.] — Écrit satyrique contre
lui par Bernard, moine de Corbie, XIV, 90.
Paschal II excite Robert, comte de Flandre,
à poursuivre Henri comme chef des héréti-
ques, 130. [Lettres que Henri adressa à saint
Otton de Bamberg, 131.] Il est obligé de se
réunir à la reine Berthe, son épouse, 1063.
Concile assemblé à Wirtzbourg pour discu-
ter ses droits à l'empire, 1070. L'excommu-
nication prononcée contre lui est confirmée
dans un concile de Latran ; il remet les or-
nements impériaux à Henri V, son fils, qui
est élu une seconde fois roi de Germanie,
1080. Sa mort, 1077. Voyez les articles de
papes saint Grégoire VII et Urbain 11.
HENRI V, dit le Jeune, roi d'Allemagne,
se révolte contre l'empereur Henri IV, son
père, XIV, 130. Il vient en Itahe, s'empare
de Rome, se saisit du pape Paschal II, et
l'oblige de donner une bulle par laquelle il
lui accordait les investitures, 131, 132. Il se
fait ensuite couronner empereur par le
pape, 132. Lettre que le pape lui écrit pour
lui notifier que le concile de Latran avait
annulé la bulle qu'il avait extorquée de lui,
132 et 133. Henri est excommunié au con-
cile de Vienne; il soutient le parti des sédi-
tieux contre le pape Paschal, 133. Ce prince
révolté contre l'empereur Henri IV son
père assemble un concile à Northus, 1079.
L'empereur lui remet les marques de sa di-
gnité au concile de Mayence, 1080. Il est
excommunié dans plusieurs conciles parti-
culiers, 1083 et suiv., 1089, 1090, 1093. Sa
conduite à l'égard du pape Gélase II, 1090.
Sa conduite avec le pape Callixte II; condi-
tions de la pais conclue avec ce pape en la
diète de Worms; sa réconciliation dans cette
assemblée, 1093. [Lettre du pape Callixte II
à ce prince, HOl.]
HENRI VI, dit le Sévère, couronné empe-
reur avec Constance, sa femme, par le pape
Célestin HI, XIV, 941.
HENRI, évêque de Wirtzbourg. Bamberg
est détaché de son diocèse et érigé en évê-
ché. Lettre que lui écrit à ce sujet Arnold,
évêque d'Alberstat, XHI, 93, 94. Lettre de
Jean, patriarche d'Aquilée, au même évê-
que, 326.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
513
1015. [HENRI, évêque de Parme. Discours sur
la Pâque publié par Maï, XIII, 99.]
ècie. [HENRI, clerc de Pomposie. Sa lettre à un
nommé Etienne, XIII, 469.]
28 HENRI I, roi de France. Lettre que lui
écrit Vazon, évêque de Liège, pour le dé-
tourner de faire la guerre à Henri le Noir,
qui était allé à Rome pour recevoir la cou-
ronne impériale, XIII, 140, 141. Lettre que
lui écrit Théoduin, évêque de Liège, 274.
[Lettre que le pape saint Léon IX écrit à ce
prince, XIII, 210. Diplôme du roi Henri dans
la Pairologie, 414.]
HENRI , moine de Reichenau. Ses confé-
rences avec Othlon, moine de Saint-Emme-
ran, XHI, 278.
70. HENRI, archevêque de Ravenne. Sa mort,
XIII, 297. Lettre que lui écrit saint Pierre
Damien au sujet de l'antipape Cadaloiis,
301.
Bie. HENRI, évêque de Spire. Sa lettre contre
le pape [saint] Grégoire VII, XHI, 407.
;_ HENRI, fils de Frédéric, comte de Toul,
est élu évêque de Liège après la mort de
Théoduin, XIII, 466, 467. Ce qu'on sait des
i_ circonstances de sa vie ; ses lettres; sa mort,
467. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, tome VIII, p. 352 et
suiv.)
HENRI I", roi d'Angleterre. Son couron-
nement par Thomas, archevêque d'York,
0. XIIL 547, — Il succède à Guillaume le
Roux, son frère, XIV, 2. Se brouille avec
saint Anselme au sujet des investitures, 3 et
suiv. Fait saisir les revenus de son archevê-
ché, 7. Par l'entremise de la comtesse de
Blois, il rend ses bonnes grâces au prélat ;
conditions de cet accommodement, 7 et 8.
Il soutient le droit des investitures, fondé
sur l'exemple de son père et de son prédé-
9. cesseur, 130. Il a une conférence à Gisors
avec le pape Callixte II qui confirme les
coutumes d'Angleterre et de Normandie,
^5. 1094. Sa mort, 601, 602.
HENRI II, roi d'Angleterre. Origine du
différend d'entre lui et saint Thomas de
Gantorbèry, XIV, 663. Il prend pour chan-
celier Thomas Becket et lui confie l'éduca-
tion de son fiis ; il le fait élire archevêque
de Gantorbèry ; il s'indispose contre lui par-
ce qu'il lui avait renvoyé les sceaux, 662.
Assemblée de Clarendon où le roi fait ap-
prouver sans restriction les coutumes
d'Angleterre, 662 et 663. Thomas ayant re-
fusé ensuite d'y accéder, le roi le prend en
TAB. I,
mo.
1183.
1129.
aversion ; suites de cette haine entre le roi
et le prélat, 663 et suiv. Ils font la paix dans
une entrevue, 663. La suite de ce différend
est cause de la mort du saint évêque, 666.
Son épitaphe composée par Arnoul de Li-
sieux, 759. [Lettre d'Aimeric, patriarche
d'Antioche, à ce prince; lettre de Terric,
grand maître des Templiers, au même, 793.
Deux lettres de Henri, abbé de Clairvaux, au '
même, 800. Conduite du pape Alexandre III
dans sa lettre avec ce prince, 927, 928.]
Concile de Chinon touchant le différend en-
tre Henri II et Thomas de Cantorbéry, 1133.
Henri est reconnu roi d'Irlande au concile
de Cassel ; concile d'Avranche où il reçoit
l'absolution du meurtre de saint Thomas de
Cantorbéry, H34. Concile qu'il assemble à
Northampton, 1136.
HENRI III, roi d'Angleterre. Relation de
sa mort dans une lettre de Pierre de Blois,
XIV, 777,
HENRI, évêque de Verdun. [Deux lettres
sont adressées à cette évêque par le pape
Honorius, XIV, 232, 253.] Déféré pour le
dérèglement de ses mœurs, comparaît au
concile de Châlons-sur-Marne, et y renonce
à l'épiscopat, XIV, 1108. Ursion, abbé de
Saint-Denys de Reims, est élu à sa place,
1109.
HENRI, hérésiarque , excommunié au ^^^^_
concile de Pise ; convaincu de plusieurs er- ^j, siècle
reurs par Hildebert, évêque du Mans, et
chassé de ce diocèse, XIV, 208. Il prêche ^■^^ g,j,^,^_
au Mans et à Toulouse, 422. Il devient chef
des Henriciens, 423. Lettres de saint Ber-
nard contre lui, 447.
HENRI, évêque de Winchester et légat 1,39
du Saint-Siège, frère d'Etienne, roi d'An-
gleterre. Ses plaintes contre le roi son frère,
XIV, 1113.
HENRI, archidiacre de Hungtington, et
auparavant chanoine de Lincoln. Son His-
toire des Anglais, sa lettre sur le mépris du
monde, XIV, 315, 316.
HENRI DE LORRAINE, évêque de Toul,
XIV, 364,
HENRI DE COILI, est élu pour succéder
à Turatain, archevêque d'Yorck. Son élec-
tion n'a pas lieu parce qu'il ne veut pas
quitter l'abbaye de Saint-Étienne de Caen,
XIV, 443, 446.
HENRI MURDAC, abbé de Fontaines, est
élu archevêque d'Yorck à la place de Guil-
laume, déposé au concile de Reims, XIV,
446.
33
1153.
lUO,
1148.
514
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1122. HENRI, archevêque de Sens, succède à
Daïmbei't. Saint Bernard lui adresse son
traité des Mœurs et des Devoirs des évêques,
XIV, 466. [Henri écrit au pape Innocent II
qui lui répond, 267. Lettre que lui adresse
Etienne de Senlis, 428, n. 1.]
iUi. HENRI, abbé de Corbie en Saxe, Plaintes
H4G. formées contre lui ; il est déposé et Wibald
élu à sa place, XIV, 327.
XII siècle. HENRI, chanoine de Tournai. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. Xn, p. 245 et suiv.)
HENRI DE LAMPUNE, chanoine et chan-
celier de l'Église de Milan, XIV, 963.
V. H50. [HENRI DE SAULTERI, moine. Son livre
sur le Purgatoire de saint Patrice, XIV, 416,
417.]
«74. [HENRI, archidiacre de Salzbourg. Son
Histoire des calamités de l'Église de Salz-
bourg, XIV, 730, 731.]
H75. HENRI, frère de Louis VII roi de France
et archevêque de Reims. [Ce qu'on sait des
circonstances de sa vie, XIV, 731. Ses liai-
sons avec Nicolas, secrétaire de saint Ber-
nard, 734. Ses lettres dans la Patrologie, 731
et 732.] Lettre que lui écrit l'abbé Suger
pour le détourner de se révolter contre le
roi, 378. Différentes lettres du pape Ale-
xandre III qui lui sont adressées, 923.
XII siècle. [HENRI, évêque de Ratisbonne. Le pape
Innocent H lui écrit, XIV, 263.]
XII siècle. [HENRI, évêque de Moravie. Le pape In-
i nocent II lui écrit, XIV, 267 , ainsi qu'Eu-
gène m, 277, 278.]
XII siècle. [HENRI, évoque d'Olmutz. Le pape Inno-
cent H lui écrit, XIV, 267.]
[HENRI, archevêque de Mayence. Le pape
Eugène IH lui écrit, XIV, 278.]
H88. [HENRI DE MARSI, d'abord abbé de
Haute-Combe, puis de Clairvaux , ensuite
évêque d'Albano et cardinal. Sa vie, XIV,
797 et suiv. Ses écrits : 1° Ses lettres, 799,
800 ; 2° Autres ouvrages, 800 ; 3° Son hvre
de Peregrinante cimtale Dei, 800 et 801. Au-
tres lettres écrites par Henri, mais qui sont
ing. perdues, 801.] Le pape Alexandre le fait
cardinal et lui donne l'évêché d'Albano,
1143.
v. H92. [HENRI SEPTIMEL. Ce qu'on sait des cir-
constances de sa vie, XIV, 804. Son poëme
élégiaque intitulé : De la Diversité de la for-
tune et de la Consolation que donne la phi-
losophie, 804 et 805.]
Hi7. HENRICIENS, hérétiques du xiP siècle
confondus par saint Bernard, XIV, 423 et 447.
HENTEN (Jean), hiéronymite et ensuite
dominicain. Son édition du commentaire de
Rémi d'Auxerre sur les Petits Prophètes,
XII, 733. Son édition de quelques commen-
taires d'CEcuménius, 914. — Sa traduction
latine du commentaire d'Eutymius Zigabe-
nus sur les quatre Évangiles, XIV, 154. On
lui attribue une traduction latine du com-
mentaire du même sur les Épîtres de saint
Paul, 153.
HÉORTASE, évêque de Sardes, déposé 360.
dans un concile de Constantinople, IV,
578.
HÉPIDANN, moine de Saint-Gai. Ses An- xi,
nales ; continuation qu'on en a faite. On lui
attribue aussi la Vie de sainte Viborade,
Xni, 325.
HEPTATEUQUE. Ce que c'est ; commen-
taire de Procope de Gaze sur les livres qui
le composent, XI, 176. Différentes éditions
imprimées et manuscrites qu'on en connaît,
179. [Exposé sur l'Heptateuque par Jean,
diacre, depuis pape sous le nom de Jean IH,
334.]
HÉRACLAS, père de Melchisédech, selon
quelques-uns, VI, 396.
HÉRACLAS ou HÉRACLE, catéchiste, et
ensuite évêque d'Alexandrie. Sa mort, II, a
396. Comment il recevait les hérétiques
lorsqu'ils revenaient à l'Église, 408. — 11 n'a
point condamné Origène, VII, 735.
HÉRACLE, évêque de Zélone, se trouve 3)5.
au concile de Laodicée, II, 640.
HÉRACLE. Lettre à Héracle, ou préface iv
des commentaires d'Origène sur l'Épître aux ""
Romains, faussement attribuée à saint Jé-
rôme; elle est de Rufin, VII, 646.
HÉRACLE, évêque de Paris. Lettre que
lui écrit saint Rémi, évêque de Reims, XI,
80.
HÉRACLÉE, ville de Thrace, dont Théo- iv sièt
dore fut évêque, IV, 316, 317. Au temps du 43).
concile d'Éphèse, i'évêqued'Héraclée l'était
aussi d'Épania, VIII, 591.
HÉRACLÉON, hérésiarque, condamné,
dit-on, dans la Sicile, II, 536.
HÉRACLÉONITES, Ce que saint Épiphane iv sièc
dit de cette secte, VI, 391.
HÉRACLIDE (Saint), disciple d'Origène, •"»i'«'
martyr, I, 548.
HÉRACLIDE, évêque d'Oxyrinque, dont
parle l'empereur Théodose, IV, 348. —
Marcellin et Faustin, lucifériens, lui donnent
de grands éloges, V, 154.
HÉRACLIDE, jeune homme sous le nom
373.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
515
duquel saint Basile le Grand écrit à saint
Amphiloque, IV, 456, et V, 364.
HÉRAGLIDE, évêque d'Éphèse, VU, 487
et 745.
HÉRAGLIDE , à qui on attribue l'Histoire
lausiaque de Pallade, VII, 487.
HÉRAGLIEN, hérétique. Lettre que lui
écrivit saint Grégoire de Nysse, VI, 222.
HÉRAGLIEN, comte d'Afrique. Sa révolte,
VII, 567. — Loi d'Honorius qui lui est
adressée, VIII, 544.
HÉRAGLIEN, évêque de Toulouse, assiste
au concile d'Agde, X, 736.
HÉRAGLIEN, évêque de Ghalcédoine,
IV, 339. — Idée que donne Photius de son
ouvrage contre les Manichéens, XI, 646.
HÉRAGLITE, auteur ecclésiastique. Ses
commentaires sur saint Pau], I, 537.
HÉRAGLIDS ou ÉRAGLIUS, désigné par
saint Augustin pour être son successeur
dans le siège d'Hippone, VIII, 571, IX, 20
et 174. — Discours qu'il prononça avant
son élection, IX, 243. Acle de son élection
sur le siège d'Hippone, 174. — Il reste dans
l'ordre de prêlre, saint Augustin se déchar-
geant sur lui du poids de ses occupations,
Vin, 571.
HÉRAGLIUS, orateur, qui prend la dé-
fense de la foi catholique. Lettre que lui
écrit saint Avit de Vienne ; réponse d'Héra-
clius ; on croit qu'il fut évêque de Trois-
Châteaux, X, 562. (Voyez son article dans
V Histoire littéraire de la France, t. III, p. 187
et suiv.)
HÉRAGLIUS, prêtre de Bordeaux, élu
évêque de Saintes à la place d'Émérius dé-
posé, XI, 886.
HÉRAGLIUS , empereur d'Orient , surpris
par le patriarche Sergius, protège les Mo-
nothélites, XII, 922. — Il publie l'Ectbèse
favorable à leurs erreurs, XI, 648. — Elle
est condamnée à Rome ; il déclare qu'elle
est l'ouvrage du patriarche Sergius ; sa
mort, Xn, 924.
HÉRAGLIUS, patriarche de Jérusalem,
Xin, 537.
HÉRAIDE (Sainte), martyre, II, 548.
HERALD. Voyez Hérauld.
HÉRARD, archevêque de Tours. Ge qu'on
sait des circonstances de sa vie, XII, 601 et
602. Sa mort; ses statuts synodaux; dis-
cours qu'il prononça au concile de Soissons;
on lui attribue les actes de saint Ghrode-
gand, évêque de Seez, 602. [Sa lettre à Wé-
nilon, archevêque de Sens ; ses écrits dans
la Patrologie, 602.] (Voyez son article dans
l'Histoire litté)-aire de la France, t. V, p. 391
et suiv.)
HÉRAULD (Didier), avocat au parlement
de Paris. Ses notes sur l'Apologétique de
Tertullien, II, 86. Ses notes sur Arnobe,
493.
HERBERNE [ou HEBBRNE], archevêque
de Tours. (Dom Geillier n'en parle pas.
Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. VI, p. 146 et suiv.) [Il écrit
les miracles de saint Martin de Tours ; édi-
tions de cette Histoire, XII, 425.]
HERBERT (ou HÉRIBERT ou HÉBERT),
comte de Vermandois, veut faire ordonner
archevêque de Reims, Hugues son fils, XII,
745 et 841.
HERBERT (ou HÉBERT), comte du Maine,
s'empare des maisons et des biens de l'évê-
ché du Mans, XIII, 81,
HERBERT, évêque de Norvich. Lettre de
reproches que lui écrit Lanfranc, XIII, 433.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. X, p. 265 et suiv.)
[HERBERT. Sa traduction française des
écrits de Sulpice Sévère, VIII, 122.]
HERGULAN, évêque, vicaire de saint Gy-
prien, évêque de Garthage, pendant sa re-
traite, II, 262.
HERGULE, faux dieu. Une de ses statues
brisée par des chrétiens, IX, 82.
HERGULIEN (Saint), martyr à Antioche,
III, 411.
HÉREFRID, prêtre. Lettre de saint Boni-
face qui lui est adressée, XII, 49.
HÉREMPERT, moine du Mont-Gassin.
Voyez Erchempert.
HÉRENNIEN, sous-diacre, porte aux con-
fesseurs condamnés aux mines, la lettre et
les aumônes de saint Gyprien, II, 389. As-
siste les confesseurs d'Afrique qui étaient
en prison, 338.
[HERGENROETHER , professeur à l'uni-
versité de Wirtzbourg. Son édition de l'Am-
philochia de Photius, XII, 969.]
HÉRÉSIE. Doctrine de saint Ignace sur
l'hérésie, I, 377 et 385. Traité de saint Iré-
née sur les hérésies, 497 et suiv. Traité de
saint Hippolyte, 622, 623. — Traité des
Prescriptions contre les hérésies par Ter-
tullien, II, 13 et suiv. [D'après l'auteur ano-
nyme des Philosophumena, les hérésies pro-
viennent de la philosophie païenne, 201,
Doctrine de saint Gyprien, 319 et 376.
Quelle est la source de l'hérésie; doc-
X( siècle.
363.
VIII siècle.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
316
trine de Lactance , 314. Canon vingt-
deuxième du concile d'Elvire , 607. Ca-
non cinquante et unième du même con-
cile, 611. [Les hérésies des premiers siècles
n'ont pas été détruites de la manière que le
prétend Dom Ceillier, 531, n. 3 et 6.J —
Discours contre toutes les hérésies, ouvrage
faussement attribué à saint Athanase, IV,
180. Opuscules contre diverses hérésies
aussi faussement attribués à saint Athanase,
183. Doctrine de Lucifer de Cagliari, 266.
Doctrine de saint Basile le Grand, 344. Con-
duite du concile d'Alexandrie à l'égard de
ceux qui avaient enseigné l'hérésie ou qui
y avaient cédé, 388, 389. — Doctrine de
saint Pacien, V, 167, 168. Traité des héré-
sies par saint Philastre, 172 et suiv. Zèle de
saint Épipbane contre les hérésies, 376. Son
traité des hérésies intitulé Panariuni, 381 et
suiv. Ce que c'est que l'hérésie et quand
elle a commencé, 396. [Sermons ou discours
de saint Éphrem contre les hérésies, 432 et
suiv. Discours du même contre les héréti-
ques nommés Scrutateurs, 461 et suiv.]
— Homélies de saint Jean Chrysostôme
sur ces paroles de saint Paul : // faut
qu'il y ait des héi'ésies, VII, 110, 111. Traité
des hérésies faussement attribué à Théo-
phile d'Alexandrie, 447. Se taire quand on
est accusé d'hérésie, c'est avouer qu'on est
hérétique, 457. — Combien on doit craindre
d'être auteur d'hérésie, VIII, 459 et suiv. —
Traité des hérésies, ouvrage de saint Au-
gustin, IX, 330 et suiv. Traité contre les
cinq hérésies, c'est-à-dire, contre les Païens,
Juifs, Manichéens, SabeUiens et Ariens, ou-
vrage faussement attribué à saint Augustin,
369. Plusieurs hérésies ont été condamnées
sans concile, 483 st 622. Les hérésies ne
sont nées que de ce que les Écritures ont
été mal interprétées, 596, 597. Les hérésies
sont sorties de l'Église comme des sarments
inutiles, 626. Doctrine de saint Augustin sur
les hérésies, 799 et suiv. — Ouvrage de
Théodoret sur les hérésies; à quelle occa-
sion il a été composé, X, 83. Il est divisé en
cinq hvres; ce que contiennent les trois pre-
miers, 83 et 84. Analyse du quatrième, 84,
83. Le cinquième livre est l'abrégé de la
doctrine de l'Église sur les principaux arti-
cles de la foi et de la morale, 83 et suiv.
— Hérésie nouvelle à Conslantinople ; peut-
être imaginaire, XI, 522. Selon saint Gré-
goire, ne pas croire celui qui professe la vé-
rité, ce n'est pas détruire une hérésie, c'est
l'établir, 583. Le traité des hérésies com-
posé par saint Isidore de Séville n'existe
plus, 726. — Traité des hérésies, ouvrage
de saint Jean Damascène, XII, 69. Selon
Énée, évêque de Paris, toutes les hérésies
sont nées en Grèce, 600. — [Ce qu'était
l'hérésie de Guibert d'après saint Brunon de
Segni, Xni, 303, 304.] — Traité sur toutes
les hérésies intitulé Panoplie dogmatique,
ouvrage d'Euthymius Zigabène, XIV, 150
et suiv. [Livre des Hérésies par Honoré
d'Autun ; combien Honoré compte d'héré-
sies ou de sectes ; ses éditions, 300.] Livre
d'Abaillard contre les hérésies, 330, 331.
Différence de l'hérésie d'avec le schisme,
383. Livre de Hugues , archevêque de
Rouen, contre les hérésies de son temps,
608 et suiv.
HÉRÉTIQUES. Doctrine de saint Ignace,
I, 373, 376, 377, 378, 386, 387. Doctrine de
Polycarpe, 396, 397. Doctrine de saint Iré-
née, 499, 504, 522, 323. Doctrine d'un an-
cien auteur, 338, 339. — Doctrine de Ter-
tuUien, II, 17. Catalogue des hérétiques, at-
tribué à TertuUien, 18. Doctrine d'Origène,
241. Doctrine de saint Cyprien, 344, 371,
376. Témoignage d'un ancien auteur,
344, 345. Avantage que saint Denys d'A-
lexandrie tirait de la lecture des livres des
hérétiques, 397, Sentiment de Firmi-
lien , 433, 436. Doctrine du pape saint
Etienne, 422, 423. Canons quarante-cin-
quième et quarante-sixième apostoliques ,
585. Canon cinquante-et-unième du concile
d'Elvire, 611. — Lois de l'empereur Constan-
tin contreleshéré tiques, III, 146.Éloignement
de saint Antoine pour les hérétiques et les
schismatiques, 383. Canons sixième, neuviè-
me et dixième du concile de Laodicée, 509,
310. Canon trente-unième, 510. Canon? tren-
te-deuxième, trente-troisième et ti'ente-qua-
trième du même concile, 511. Canon trente-
septième, 512. — Conduite de saint Hilaire
à l'égard des hérétiques, IV, 2 et 4. Doctrine
de saint Athanase, [159 et 165,] 190 et 226.
Livre de Lucifer de Cagliari sur ce qu'il ne
faut point communiquer avec les héréti-
ques, 254 et suiv. Canon cinquième dans la
première épître canonique de saint Basile le
Grand, 460, 461. Doctrine de saint Basile le
Grand sur les hérétiques, 501. — Réponse
neuvième de Timothée d'Alexandrie, V, 94.
Doctrine de saint Optât, 131. Doctrine de saint
Pacien, 167, 168. Loide Valentinienen faveur
des hérétiques, 386. Hérétiques condamnés
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
317
dans un concile d'Alexandrie sous saint Atha-
nase, S89. Canon septième du premier con-
cile œcuménique de Constantinople, 624.
Concile de Rome, 642. — Règlement du pape
saint Sirice sur la réception des hérétiques,
VI, 99. Loi de Gratien contre les hérétiques,
360. Autres lois du même prince contre les
hérétiques, 361, 362. Loi de Théodose con-
tre les hérétiques ; deux lois du même prince
contre les hérétiques, 36S, 366. Loi contre
quelques hérétiques, 366. Trois lois contre
les hérétiques, 367, 368. Trois lois du même
prince contre les hérétiques, 369, 370. Loi
du même prince contre les hérétiques, 370.
Autre loi du même prince contre les héréti-
ques, 372. Deux lois du même prince contre
les hérétiques, 373. Loi du même prince
contre les hérétiques, 374. [Portrait des hé-
rétiques par saint Éphrem, 434.]. — Traité
sur les Juifs, les Gentils et les hérétiques,
faussement attribué à saint Jean Chrysos-
tôme, VII, 38. Conduite qu'on doit tenir en-
vers les hérétiques, selon saint Jean Chry-
sostôme, 231. Discours contre les hérétiques,
faussement attribué à saint Jean Chrysos-
tôme, 287. Doctrine de saint Jean Chrysos-
tôme contre les hérétiques et leurs erreurs,
427 et suiv. Discours sur les faux prophètes
et sur les hérétiques, faussement attribué à
Jean de Jérusalem ; décision du pape saint
Innocent sur la manière de recevoir les clercs
hérétiques, S02. Comment on doit recevoir
les hérétiques selon le concile de Nicée,
610. Canons soixante-dixième, soixante-
onzième, soixante-douzième du quatrième
concile de Carthage, 731. ■ — Loi qui leur
défend d'ordonner aucun clerc, et qui
renouvelle toutes les anciennes lois faites
contre eux, VIII, 367. C'est contre eux que
VincentdeLérins compose son Mémoire, 437
et suiv. Il faut se séparer des héi'étiques et
s'attacher à l'Église et à l'antiquité, 457, 438,
439. Combien il est dangereux de les écouter,
461, 462. A quelles marques on connaît les
hérétiques, selon Vincent de Lérins, 463,
464. Quel usage ils font de l'Écriture sainte,
464. Le concile d'Orange décide que les hé-
rétiques en danger de mort pourront rece-
voir des prêtres l'onction du chrême et la
bénédiction, au défaut de J'évêque, 607. —
Conduite de l'Église envers les hérétiques ;
témoignage de saint Augustin sur ce sujet;
ce que l'on doit penser de leurs martyrs,
IX, 223. Caractères qui distinguent lés héré-
tiques, 318, 331, 383, 799, 800. Les puissan-
ces de la terre ont droit de réprimer l'audace
des hérétiques, 339. Les hérétiques n'appar-
tiennent point à l'Église, 629 et 638. — On
ne doit point rebaptiser ceux qui ont été
baptisés par les hérétiques, X, 238, 239. On
peut admettre aux ordres sacrés ceux qui se
convertissent, 273. Les hérétiques sont moins
criminels que les catholiques, en commet-
tant les mêmes crimes, 373. Leurs noms n'é-
taient pas récités dans la célébration des
saints mystères, 486; parce que cela ne peut
se faire sans donner lieu de croire qu'on em-
brasse leur mauvaise doctrine, 494, 493. Les
hérétiques, qui ont abandonné l'hérésie, peu-
vent être élevésauxpremières dignités, pour-
vu qu'il n'y ait rien dans leur vie ou dans leurs
mœurs qui y mette obstacle, 360. Les clercs
hérétiques bien convertis peuvent être admis
aux fonctions dont l'évêque les juge dignes,
743. — La grâce du Saint-Esprit n'est point
chez tous les hérétiques, et leurs sacrifices
ne peuvent plaire à Dieu, XI, 13. L'empe-
reur Justinien défend les assemblées parti-
culières des hérétiques, 261. Ce qui rend
hérétique, selon Facundas, évêque d'Her-
miane, 296. De quelle manière on doit rece-
voir les hérétiques, 326, 327. Manière de les
combattre, 395, 396. Ils cori?ompent le texte
de l'Écriture et supposent aux Pères de faux
écrits, 663, 666. Les bonnes œuvres qu'ils
font ne leur servent de rien pour le salut,
720. La lecture des livres hérétiques ou des
païens est défendue aux moines, 724. Dé-
fense aux clercs de manger avec les héréti-
ques, 813. Défense de se servir de leurs
églises, 878. — Le baptême peut être admi-
nistré chez eux, pourvu que ce soit au nom
des trois personnes divines, XII, 216. On doit
instruire les hérétiques, et non pas les met-
tre à mort, 306. Ceux qui communiquent
avec les hérétiques ne peuvent être admis au
synode par les catholiques; ceux qui renou-
vellent une hérésie doivent être rejetés par
tous les évêques, 660. Canon du concile Qui-
nisexte concernant les hérétiques, 964. —
Hérétiques découverts à Cologne et en West-
phalie; leurs erreurs réfutées par saint Ber-
nard, XIV, 488. [Hérétiques dans le midi de
la France sous Louis VU; mesures contre
eux, 749. Efforts d'Innocent III contre les hé-
rétiques Patarins ou Manichéens et Vaudois
répandus dans les États de l'Église, 997, 998,
1002. Réflexions de l'historien Hurter sur les
principes qui guidaient la conduite d'Inno-
cent ni à l'égard des hérétiques, 1003, 1004.]
518
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
XI siècle.
970.
X siècle.
X siècle.
1021.
XII siècle.
XII siècle.
Canon d'un concile de Toulouse contre les
hérétiques, 1108. Défense de recevoir ou
de protéger les hérétiques de Gascogne et de
Provence, 1109. Hérétiques en Angleterre ;
leurs erreurs, 1128. Hérétiques de divers
noms condamnés au concile de Latran ,
1163.
HERFASTE, évêque de Thedford. Son dif-
férend avec Baudouin, abbé de Saint-Ed-
mond, XIII, 433.
HERFORD, ville d'Angleterre. Concile qui
y fut tenu, XII, 939.
HERFORD, ville deThuringe. Érection de
son évêché, XII, 47.
HERIBALD, évêque d'Auxerre. Lettre que
lui écrit RabanMaur en réponse à des ques-
tions sur la Pénitence et sur l'Eucharistie,
XII, 465, 466. Florus de Lyon lui envoie son
ouvrage sur la prédestination, 486.
HÉRIBERT, comte, convoque un concile
à Troslé, XIII, 745.
HÉRIBERT, écolâtre d'Epternach. Temps
de sa mort, ses ouvrages, XII, 840. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t, VI, p. 334 et suiv.)
HÉRIBERT, prince abbé de Saint-Arnoul
de Metz, y établit l'obéissance régulière,
XII, 865.
HÉRIBERT (Saint), archevêque de Colo-
gne. Le pape Grégoire V le nomme un des
électeurs qui avaient le pouvoir d'élire l'em-
pereur, XII, 900. — Lettre d'un citoyen de
Spire qui lai est adressée au sujet d'absolu-
tions données d'une manière inusitée, XIII,
76. Lettre que lui écrit Albuin qu'il avait chargé
de faire un recueil de passages de l'Écriture
sur les vertus, 76 et 77. [Lettre que Wido
écrit à cet archevêque ; il est accusé fausse-
ment de simonie, 77.] Temps de sa mort, 270.
Sa Vie, écrite par Lambert, abbé de Saint-
Laurent de Liège, 270 et 271. Hymnes et ré-
pons pour son office composés par le même ,
271. — Sa Vie mise en meilleur style par
Rupert, abbé de Tuy, XIV, 281 et 285.
[HERIBERT, moine. Sa lettre sur la doc-
trine et les mœurs des Manichéens dans le
Périgord; édition de cette lettre, XIV, 591.]
[HÉRIBERT ou HERBERT de Boseham.
Sa Vie de saint Thomas de Cantorbéry. Ses
Mélodies. Son homéhe sur saint Thomas.
Des causes de l'exil et du martyre de saint
Thomas. Lettres adressées à diverses per-
sonnes. Ses commentaires sur les Psaumes,
XIV, 667, n. 1.]
HÉRIBRAND, abbé de Saint-Laurent de
Liège. (Voyez son article dans l'Histoire lit-
téraire de la France, t. XI, p. 76 et suiv.)
HÉRIGER, abbé de Lobbes, succède à Pol-
cuin, XIII, 33. Ses liaisons avec Notger, évê-
que de Liège, 35 et 36. Sa mort. On le fait
auteur des Gestes des évêques de Tongres,
de Mastricht et de Liège, mais cet ouvrage p»
raît être de Notger, 36. [Édition de l'Histoire
des évêques de Liège donnée par Perlz, 36.]
Il y a heu de croire que Notger avait recueilli
les mémoires, et qu'Hèriger les a rédigés,
36. [Hériger est le véritable auteur des Gestes
des évêques de Liège, de la Vie de saint Re-
macle, etc., 36 n. 6. Il paraît être l'auteur
du traité du corps et du sang du Seigneur,
attribué à Gerbert, 38, n. 5. Il a écrit la let-
tre qui est en tête de la Vie de saint Rema-
cle, 39, n. 14.] Vie de saint Ursmar en vers,
36, 37. Lettres à Hugues sur quelques diffi-
cultés de chronologie, 37, 38. Traité sur le
nombre de jours dont l'Avent doit être com-
posé, 38. Traité du Corps et du Sang du Sei-
gneur; autres écrits d'Hériger, 38 et 39. Ju-
gement sur son style, 39. — Le traité du
Corps et du Sang du Seigneur qui lui est at-
tribué appartient à Gerbert, XII, 904. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. VII, p. 194 et suiv.)
HÉRILAN, évêque de Verdun. Sa mort ;
Helduin lui succède, XII, 440.
HÉRIMAN, évêque de Nevers. Concile où
il est question de le déposer pour cause de
faiblesse de tête, XII, 506, 507 et XHI, 695.
HÉRIMAN, évêque deToul. Sa mort; Bru-
non lui succède, XIII, 200.
HÉRIMAN, cardinal dont parle Guillaume,
moine de Cluse, dans la Vie de Benoît II,
abbé de Cluse, XIH, 490.
HÉRIMAN, évêque de Metz. Voyez Her-
man.
HÉRIMAR, abbé de Saint-Remi de Reims,
reconstruit l'église de son abbaye, et invite
le pape Léon IX à en faire la dédicace, XIII,
200 et 213.
HÉRIOLD ouHAROLD, roi deDanemarck,
embrasse le christianisme avec son épouse,
XH, 324.
HÉRIVAL, monastère de chanoines régu-
liers en Lorraine, fondé par Maurice de
Sully, évêque de Paris, XIV, 548.
HERLEFRIDE, prêtre qu'on avait dé-
pouillé de son titre et de ses revenus. Let-
tre d'Adrien II au roi Charles le Chauve en
sa faveur, XII, 390.
HERLEMBAUD combat la simonie et l'in-
990.
1007.
1026.
XI siècle.
1090.
1049.
1160.
IX siècle.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
519
continence des clercs de Milan, XIII, 29.
[Son martyre, 29.]
HERLOUIN, élu évêque de Cambrai, va à
Rome se faire sacrer par le pape, XII, 900.
[Le pape Grégoire V lui écrit, 901.] Il ob-
tient du pape Grégoire V une lettre pour
réprimer les seigneurs qui pillaient les biens
de son église, XIII, 763.
HERLOUIN ( le bienheureux ) , pi-emier
abbé du Bec. Sa Vie, XIII, 4S8. — On l'at-
tribue à Gislebert Crispin, abbé de West-
minster, XIV, 176. Sa mort. Saint Anselme
lui succède, 2.
HERLUCE (la bienheureuse). Sa Vie, com-
posée par Paul de Berneried, XIII, 373.
HERLUIN (comte), admis à pénitence pour
un mariage adultérin, XIII, 743.
HERMAMMON, à qui saint Denys d'Ale-
xandrie adresse une lettre, II, 412.
HERMANN ou HERIMAN, archevêque de
Cologne, porte ses plaintes au Saint-Siège
contre Adelgaire , évêque de Hambourg,
XIII, 733. — [Lettre que lui adresse le pape
Formose au sujet du différend entre Héri-
man et Adalgaire, archevêque de Hambourg
et de Brème, XII, 739.] Lettre que lui écrit
le pape Jean X à l'occasion d'Helduin qu'il
avait ordonné évêque de Liège, 744.
HERMAN, évêque de Bamberg, accom-
pagne Sigefroi à son voyage de Rome, XIII,
406. Quelques lettres de lui insérées dans le
code d'Uldaric, 407. Son affaire avec les
chanoines de Saint-Jacques, qu'il avait fon-
dés. Sa déposition, 358, 339.
HERMAN, évêque de Salisbury. (Voyez
son article dans VHistoire littéraire de la
France, t. VIII, p. 39 et suiv.)
HERMAN (Laurent), seigneur de Luxem-
bourg, est élu roi d'Allemagne par les fac-
tieux après la mort de Rodolphe , XIII ,
371.
HERMAN ou HÉRIMAN, évêque de Metz.
Son attachement au pape [saint] Grégoire VII,
qui le charge de différentes affaires, XIII,
464. Il est chassé de son siège , et Guillaume
Walon mis à sa place, 462 et 464. Il est ré-
tabh dans son évêché. Il fait la translation
du corps de saint Clément, et en écrit l'his-
toire. Sa mort, 464. Lettre que lui écrit Geb-
hart, archevêque de Sti'asbourg, 397, 398.
Popon lui succède, 382. (Voyez son article
dans VHistoire littéraire de la France, tome
Vni, p. 330 et suiv.)
HERMAN, moine de Cluny, frère de Gé-
rard, évêque de Constance. Sa Vie et son
épitaphe par Ulric, moine de Cluny, XIII,
476.
HERMAN, évêque d'Augsbourg, accusé
de simonie, est suspendu de ses fonctions au
concile de Guastalle, XIV, 1079.
HERMAN CONTRACTE.Sanaissance; d'où
lui vient le surnom de Contracte, XIII, 182.
Trithème se trompe en le faisant moine de
Saint-Gai : ce fut à l'abbaye de Richenow
qu'il embrassa la vie monastique. L'étendue
de ses connaissances lui fait une grande ré-
putation. Sa mort. Ses écrits. Sa Chronique,
182, 183. Notice de cette Chronique, 183.
[Éditions de cette Chronique, 182, 183.] Au-
tres écrits dont Trithème le fait auteur, 183
et 184. Ses livres sur l'Astrolabe. Autres
traités qu'on lui attribue, 184. [Écrits d'Her-
man publiés depuis D. Geillier, 183, n. 8, 10
et p. 184, n. 2.]
[HERMAN, juif converti de Cologne. Son
écrit sur sa conversion, XIV, 341.]
HERMAN, évêque de Prague, succède à
Cosme, XIV, 173.
HERMANN, moine de Saint-Jean de Laon.
Ses livres sur les miracles de la sainte Vierge
à Laon, et les actions de saint Norbert, XIV,
200. (Voyez son article dans VHistoire litté-
raire de la Finance, t. Xll, p. 289 et suiv.)
HERMANN ou HÉRIMANN, moine, puis
abbé de Saint-Martin de Tournay. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie. Son Histoire
du rétablissement de l'abbaye de Saint-
Martin. Son traité de l'Incarnation. Livre
des Miracles de Notre-Dame de Laon, XIV,
411. (Voyez son article dans VHistoire litté-
raire de la France, tome XII, p. 279 et suiv.]
[HERMAN, savant allemand, publie le Le-
xicon grec de Photius, XII, 734, n. 8.]
HERMANT (Godefroi), chanoine de Beau-
vais. Sa traduction française des Ascétiques
de saint Basile de Césarée, IV, 347. — Sa
traduction française du traité de saint Jean
Chrysostôme sur la Providence, VII, 437.
HERMAS (Saint), disciple des apôtres.
Histoire de sa vie, I, 330 et suiv. Quel était
Hermas, 330 et 331. [Il est le même qu'Her-
mès, frère du pape saint Pie I, 331, note 1,
et 333, note 12.] Son origine; sa demeure;
sa famille. Il est mis entre les mains de l'an-
ge de la pénitence ; il la prêche lui-même.
Le temps de sa mort est incertain ; il vivait
sous le pontificat de saint Clément. Il reçoit
ordre de mettre par écrit les instructions de
l'ange, 331, Il les écrit en grec. Autorité de
ces écrits, 332. Jugement qu'on en doit por-
1106.
1054.
XII siècle.
1099.
V. 1113.
1120.
1137.
V. 05.
520
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
père de saint Félix de Noie
583.
859.
304.
ter, 332 et 333. Cet ouvrage est le même que
celui dont parlent les anciens. D'après Dom
Ceillier, l'auteur est Hermas, et non pas
Herme ou Hermès, frère du pape saint Pie,
333. [Voyez pourtant la note 12 et note 3,
p. 331.] Analyse du premier livre, appelé les
Visions, 334. Analyse du second livre appelé
les Préceptes, 334 et 333. Analyse du troi-
sième livre, appelé les Similitudes, 333 et
336. Usage que l'on a fait de ces livres dans
l'Église, 336. Points capitaux de la doctrine
de ces livres, 336 et suiv. Sur les deux na-
tures en Jésus-Christ, 336, 337. Sur les an-
ges. Sur le baptême et la pénitence. Sur le
mariage. Sur le jeûne et la prière, 337. Sur
l'observation des commandements, le bap-
tême donné aux morts, les visions, la ruine
du monde et les divers degrés du ministère
de l'Église, 337 et 338. Sur la grâce. Style
des ouvrages d'Hermas. Éditions qui en ont
été faites, 338. [Autres éditions et traduc-
tions, 338 et 339.] — Témoignage de saint
Jérôme sur le livre d'Hermas, VII, 635.
HERMAS, disciple de Manès, VI, 402.
HERMAS, l'un des chefs des Messaliens,
IV, 645. — Est chassé de la Syrie, X, 47.
HERMÉNÉGILDE (Saint), fils de Lévigilde,
roi des Goths en Espagne, est converti à la
foi catholique par saint Léandre , XI, 422 et
899. Il se révolte contre son père et de-
mande du secours à Constantinople. Il est
exilé à Valence, 422. Son père le fait mou-
rir, 423.
HERMENFROI, évéque de Beauvais. Sa
mort. Odon lui succède, XII, 639.
HERMENTRUDE, épouse du roi Charles
le Chauve. Son couronnement, XII, 602.
[HERMÈS, nom de Mercure, I, 297 ; sem-
ble un nom collectif, 297, note 4.]
[HERMÈS, frère du pape saint Pie I, le
même qu'Hermas, I, 331, n, 3; 333, n. 12.]
HERMÈS (Saint), diacre d'Héraclée, mar-
tyr, m, 36 et suiv.
HERMÈS, archidiacre de l'Éghse de Nar-
bonne, porte une lettre de saint Léon le
Grand à saint Rustique son évêque, X, 199.
Il est ordonné évêque de Béziers ; les ha-
bitants refusent de le recevoir. Après la
mort de saint Rustique, il se fait élire évêque
de Narbonne, 337. Disposition du concile
de Rome à son égard, 337 et 421, 715.
HERMÉSIGÈRE, à qui écrit Théodoret,
X, 67.
HERMIAS (Saint), martyr du iv siècle,
VI, 332.
HERMIAS,
11,394.
HERMIAS, philosophe : son traité intitulé:
Raillerie des philosophes païens, VI, 332.
Analyse de ce traité, 332 et 333. [Éditions
et traductions qui en ont été faites, 333.]
HERMIAS SOZOMÈNE, historien. Voyez
Sozojyiène.
HERMIAS, prêtre, à qui sont adressés les
Dialogues sur la Trinité, et les Dialogues
sur l'Incarnation, ouvrages de saint Cyrille
d'Alexandiie, VI, 333. — Les sept Dialogues
sur la Trinité adressés par saint Cyrille
d'Alexandrie à cet Hermias, VIII, 273. Les
deux Dialogues du même sur l'Incarnation
adressés au même, 275.
HERMINUS (comte). Lettres que lui écrit
saint Isidore de Péluse, VHI, 479, 480, 487.
HERMION, évêque de Tanis, assiste au
concile d'Alexandrie sous saint Athanase,
IV, 388.
HERMIONE, vierge et abbesse lucifé-
rienne à Éleuthéropole, V, 154.
HERMOGÈNE, hérétique. Traité contre
Hermogène, ouvrage de TertuUien avant sa
chute. H, 35, 36.
HERMOGÈNE, évêque de Césarée en Cap-
padoce, trompé par Eustathe de Sébaste,
IV, 484.
HERMOGÈNE, évêque de Rhinocorure en
Egypte, présent à l'élection du pape Sixte III,
VIII, 250. Saint Isidore de Péluse lui écrit,
478.
HERMOGÉNIEN, ami de saint Augustin,
IX, 39. Lettre que saint Augustin lui écrit, 65.
HERMOPOLE, ville de la Thébaïde, où
l'on croyait que Jésus-Christ était venu dans
sa fuite, VII, 474.
HÉRODE LE GRAND, roi de Judée. Opus-
cule faussement attribué à saint Jean Chry-
sostôme sur les enfants massacrés par ordre
d'Hérode, VII, 312.
HÉRODE AGRIPPA, roi de Judée. Traité
de Fulbert de Chartres sur ces paroles du
chapitre xii des Actes des apôtres : En ce
temps-là le roi Hérode employa sa puissance
pou?' maltraiter quelques-uns de l'Église ,
Xm, 88.
HÉRODIADE, épouse d'Hérode Antipas.
HoméUe sur Hérodiade et sur la décollation
de saint Jean, attribuée à saint Jean Chry-
soslôme ou à Sévérien, évêque de Gabales,
Vn, 256, 237.
HÉRODIENS, secte de Juifs. Ce qui en est
dit par saint Épiphane, VI, 385.
IV siècle.
432.
386.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
521
siècle. HÉROLD ou HERALD, archevêque de
Saltzbourg. Son dififérend avec Gerhard de
Lorch, au sujet de l'étendue de leurs dio-
cèses, réglé par le pape Agapet II, XII, 830.
— Sa déposition, XIII, 735. — [Le pape
Jean XII le dénonce comme frappé d'ana-
Ihème, XII, 832. Le pape Jean XIII le dé-
pose et l'excommunie, 833.]
[HÉROLD, continuateur de l'Histoire de
la croisade, par Guillaume de Tyr, XIII,
533.]
[HÉROLD (Jean). Son édition de l'Image
du monde, par Honoré d'Autun, et de six
autres écrits du même, XIV, 298.]
siècle. HÉRON (Saint), disciple d'Origène, martyr
sous Sévère, I, 548.
siècle. HÉRON (Saint), martyr à Alexandrie sous
Dèce, U, -402.
1379.' HÉRON, religieux de Tabenne, IV, 236.
HÉRON, philosophe. Son panégyrique,
par saint Grégoire de Nazianze, V, 219.
HÉRON, à qui saint Sidoine Apollinaire
écrit une lettre, X, 383.
HÉROS, évéque d'Arles, disciple de saint
Martin, VII, 532, s'élè\e contre Célestius,
529, 530. Il est mal reçu du pape Zozime,
330, 331, 532. Il s'élève contre Pelage, 532,
— Mémoire qu'il présente au concile de Dios-
polis contre Pelage et contre Célestius, VIII,
551, 532, et IX, 443. —Le prêtre Orose ap-
porte leurs lettres à Carlhage, X, 3. (Voir
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, tome II, p. 147 et suiv.)
siècle. [HERRADE, abbesse de Holembourg. Ses
écrits, XIV, 634.]
HERRIC, moine de Saint-Germain d'Au-
xerre. Voyez Heiric.
HÉRULES, peuples barbares. Ils font des
ravages dans la Toscane, XI, 334.
HERVÉ, trésorier de Saint-Martin de
Tours, XIII, 28, 29. — Lettre que lui écrit
Amblard, en lui adressant une copie de la
Vie de saint Éloi, XH, 911.
900. HERVÉ, archevêque de Reims, succède à
Foulques. Sa conduite pendant son épisco-
pat, XII, 787. Charles le Simple le fait son
922. chanceher. Sa mort, 788. Sa lettre cano-
nique. Sentence d'excommunication qu'il
prononça contre les meurtriers de son pré-
décesseur, 787 et 788. Il consulte le pape
Jean IX sur divers cas de pénitence, 741. —
Discours qu'il prononce au concile de Troslé
sur les maux de l'Église et de l'État, XIII,
741 , 742. U donne l'absolution au comte
Erlebald , mort dans l'excommunication ,
744. (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la France, t. VI, p. 184 et suiv.)
HERVÉ, moine bénédictin du bourg de xii siècle.
Dol, au diocèse de Bourges. Son éloge dans
la lettre circulaire que ses confrères écri-
virent après sa mort, XIV, 402, 403. Ses ou-
vrages. On n'a imprimé que son Commen-
taire sur les Épîtres de saint Paul, 403, 404.
[Jugement sur le commentaire d'Hervé sur
le prophète Isaie, 403, n, 2.] (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. Xn, p. 344 et suiv.)
HERVET (Gentien), chanoine de Reims.
Sa traduction latine de quelques ouvrages
de Clément d'Alexandrie. Ses scholies sur
tous les ouvrages du même, I, 606. — Sa
traduction française des hvres de saint Au-
gustin de la Cité de Dieu, IX, 812. — Il tra-
duit en latin quelques ouvrages de Théodo-
ret, X, 140. — Sa traduction latine de plu-
sieurs des Questions d'Anastase Sinaïte, XI,
601. Sa traduction latine de la Mystagogie
de l'abbé saint Maxime, 770. — Sa traduc-
tion latine du Nomocanon de Photius, XII,
723. Sa traduction latine des Basiliques, 773.
[HÉSÉCHIUS, évêque d'Egypte, écrit avec
trois autres évêques unelettreà Mélèce, évê-
que schismatique deLycopole, III, 52, note 4.]
HESPER ou HESPÉRIUS, poète célèbre du
vi" siècle. Lettres que saint Sidoine Apolli-
naire lui a écrites, X, 384, 385. On croit
qu'il avait épousé une des filles de saint Ru-
rice, évêque de Limoges, 608. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. II, p. 636 et suiv.)
HESSE, province d'Allemagne. Saint Bo-
niface y prêche la foi, XII, 46, 47.
HESSE, abbaye au pied des Vosges. Bulle
du pape saint Léon IX pour cette abbaye,
XIII, 209.
[HESSE (Frédéric). Son édition des An-
nales de Lambert de Schafnaburg, XIII, 400.]
HÉSYGHIUS altère les évangiles en vou-
lant les corriger, I, 275. [Il n'est pas héré-
tique, note 4.]
HÉSYCHIDS, disciple de saint Hilarion,
qui lui écrit une lettre en forme de testa-
ment, VII, 594.
HÉSYCHIDS, à qui saint Basile le Grand m-
écrit une lettre, IV, 440. Autre lettre de saint
Basile, 443.
HÉSYGHIUS, évêque de Solone. Lettre 406.
que lui écrivit saint Jean Chrysostôme, VII,
133. Lettre que lui écrivit le pape Zozime, "s.
536, — Lettres d'Hésychius à saint Augus- ^- *19-
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
322
tin et de saint Augustin à Hésychius, IX,
167 et suiv.
HÉSYCHIUS, auteur d'une Histoire ecclé-
siastique, VIII, 19.
HÉSYCHIUS, évêqne de Jérusalem, brûle
deux livres de Nestorius, VIII, 373.
HÉSYCHIUS de Castabales en Cilicie,
se sépare de la communion de Jean d'An-
tioche, et y rentre peu après. Son billet à
Mélèce de Mopsueste, VIII, 386.
HÉSYCHIUS, prêtre, assiste à la dédicace
de l'église de la Laure de Saint-Euthymius,
X, 17,
HÉSYCHIUS, père de saint Avit, est fait
évèque de Vienne. Son fils lui succède, X,
490. 553. — Hésychius assiste au deuxième con-
cile de Paris, XI, 882.
HÉSYCHIUS, père de saint Siméon Sty-
lyte, X, 581.
600. HÉSYCHIUS ou ISACIUS, patriarche de
Jérusalem, successeur d'Amos. Lettre que
lui écrit le pape saint Grégoire en réponse
à sa Synodique, XI, 523.
HÉSYCHIUS, prêtre de Jérusalem, auteur
d'un commentaire latin sur le Lévitique, est
différent de plusieurs autres auteurs du
même nom, qui ont écrit en grec, XI, 654,
655. Analyse de ce commentaire, 655, 656.
Homélies et autres écrits que nous avons
sous le nom du prêtre Hésychius, 656, 657.
[Écrits nouveaux. Édition des écrits d'Hé-
sychius dans la Patrologie, 657.] — Discours
sur la Résurrection qui lui est attribué, VI,
203.
HÉSYCHIUS, prêtre de Constantinople,
auteur de quatre livres sur le Serpent d'ai-
rain. Idée peu avantageuse que Photius
donne de cet ouvragé, XI, 658.
HETFELD, ville d'Angleterre, Concile qui
y fut tenu, Xïï, 943.
810. HETTI ou HETTON, archevêque de Trê-
ves. Sa lettre à Frothaire, évêque de Tou),
pour l'avertir de s'informer si les règles don-
nées aux chanoines par le concile d'Aix-la-
Chapelle, s'observaient dans son diocèse,
XIII, 650.
806. HETTON ou HATTON, évêque de Bâle, est
élevé dans le monastère deReichenau, dont
il devint ensuite abbé. 11 est élu évêque de
Bâle ; en cette qualité, il souscrit au tesla-
823. ment de Cbarlemagne. Son ambassade à
Constantinople : il en écrit la relation, 11
quitte l'évêché de Bâle et se retire à Reiche-
nau, où il finit sa vie en simple religieux; sa
836. mort, XII, 336, Son capitulaire, 336 et 337,
Il écrit la vision que le moine Wetin eut sur
les peines et les récompenses de l'autre vie,
337 et 273. Lettre que lui écrit l'historien
Thégon. On ne sait pourquoi il lui donne
les titres de duc et de consul, 396. (Voyez
son article dans VHisloire littéraire de la
France, t, IV, p. 523 et suiv.)
HETTON, moine que l'on croit être celui
qui d'abbé d'Eplernach devint archevêque
de Trêves, consulte Amalaire, prêtre de
Metz, pour savoir si la finale du mot séra-
phin doit être une m ou une n. Réponse
d' Amalaire, XII, 347. Voyez Hetti.
[HEUMAN. Son édition des écrits de Lac-
tance, II, 520.]
HEURES, Leur division dans les Gaules
au temps de saint Irénée, I, 529, — [Frag-
ments d'une lettre du Vénérable Bède sur
la division des heures, XII, 15.]
HEURES canoniales, ou heures de la
prière selon les Constitutions apostoliques,
II, 599. — Témoignage de saint Basile, IV,
403. — Témoignage de saint Jérôme, VII,
588, 624 et 697, — Elles sont d'obligation,
XII, 337, Leur récitation puHique recom-
mandée aux prêtres, 338, — Écrits où l'on
rend raison de leur institution, XIII, 11.
L'évêque et les autres prélats obligés à dire
leurs heures canoniales avec leurs clercs,
663. — Vers du Vénérable Hildebert sur les
sept heures canoniales, XIV, 222.
HÉVACLANIUS (Jean). Sa version latine
des homélies de saint Grégoire de Nysse sur
le Cantique des Cantiques, VI, 258.
HEXAÉMÉRON ou HEXAMÉRON, c'est-
à-dire ouvrage des six jours de la création.
Commentaire sur l'Hexaérnéron attribué à
saint Eustathe d'Antioche, III, 166. — Ho-
mélies de saint Basile le Grand sur l'Hexaé-
méron, IV, 363 et suiv, — HoméHes sur
l'Hexaéméron faussement attribuées à ce
Père, 369, 370. — Hexaéméron de saint
Ambroise, V, 394 et suiv. — Hexaéméron
de saint Grégoire de Nysse, VI, 126 et suiv.
— Poëme sur l'Hexaméron, ouvrage de
Prudence, VIII, 106. — Poëme deDraconce
sur les six jours de la création, X, 587. —
Considérations anagogiques sur l'Hexaémé-
ron ou sur la création du monde, ouvrage
d'Anastase le Sinaïte, XI, 599. Ce qu'elles
contiennent de remarquable, 600. Commen-
taire de Jean Philopouas sur l'ouvrage des
six jours de la création, 651. Poëme de
Geoi'ge Pisidès sur le même sujet, 653. —
Commentaire du Vénérable Bède sur le
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES,
523
même sujet, XII, 7. — Poème du Vénérable
Hildebert sur le même sujet, XIV, 222.
[Traité de l'ouvrage des six jours par Ho-
noré d'Autun. Ce que c'est. Traits remar-
quables qu'il offre, 296.] Commentaire
d'Abaillard sur les sis jours de la création,
333, 336. Commentaire d'Hugues, arche-
vêque de Rouen, sur le même sujet, 604.
Traité d'Arnaud, abbé de Bonneval, sur le
même sujet, 618, 619.
HEXAPLES d'Origène, ouvrage à six co-
lonnes, contenant le texte hébreu de l'An-
cien Testament en caractères hébreux et en
caractères grecs, avec quatre versions grec-
ques, savoir : celle qui est attribuée aux
Septante, et celles d'Aquila, de Symmaque
et de Théodotion, II, 143 et suiv. Remar-
ques sur ces versions, 143. En quel temps
Origène composa cet ouvrage. Ce qui nous
en reste, 147 [et 235, 236.]
HEYMARD, abbé de Cluny, déclare saint
Maïeul son successeur, XIII, 155.
HIBERNIE ou IRLANDE, île de l'Europe
dans l'Océan. Lettre de Lanfranc aux évê-
ques d'Hibernie. Autres aux roisd'Hibernie,
XIII, 454. Voyez Irlande.
;cie. HIBERNOIS, peuples d'Hibernie. Lettre
que leur écrit le pape Honorius sur la Pâ-
que, XI, 648. Lettres qu'ils adressent au
pape Sévérin; réponse que leur fait le
clergé de Rome, 649. Voyez Écossais et Ir-
landais.
HIECTES, moines hérétiques dont parle
saint Jean Damascène, XII, 69.
[HIÉMANTES, sorte de pénitents exposés
aux injures de l'air, III, 719 et 720.]
HIÉRACE, homme de condition. Lettres
que lui écrit saint Isidore de Péluse, VIII, 481.
HIÉRACE. Voyez Hiérax.
cie. HIÉRACITES, hérétiques. L'un d'entre
eux est confondu par saint Macaire d'Egypte,
V, 597. — Ce que saint Épiphane dit de
cette secte, VI, 403, 404.
HIÉRAPLE, ville de Phrygie. Concile qui
y fut tenu. Sabinia y est ordonné évêque de
Perrha, X, 667.
HIÉRARCHIE CÉLESTE. Analyse du livre
de la Hiérarchie céleste attribué à saint
Denys l'Aréopagite, X, 544 et suiv. Édition
particulière qu'on en a faite, 553. [Doublet
attribue à tort un commentaire sur la Hié-
rarchie de saint Denys à Honoré d'Autun,
302.] — Commentaire d'Hugues de Saint-
Victor sur cet ouvrage de saint Denys l'A-
réopagite, XIV, 349.
HIÉRARCHIE ECCLÉSIASTIQUE. Doc-
trine d'Hermas sur la hiérarchie ecclésias-
tique, I, 338. Doctrine de saint Clément,
342, 360. Doctrine de saint Ignace, 372,
384. Doctrine de saint Irénée, 526. — Doc-
trine d'Eusèbe de Césarée, III, 289, 290. —
Doctrine de saint Athanase, TV, 219 et suiv.
— Doctrine de saint Grégoire de Nazianze,
V, 347. — Doctrine de saint Épiphane. Dis-
tinction des évoques et des prêtres ; divers
ordres ecclésiastiques, VI, 432. — Livre
des sept ordres ecclésiastiques faussement
attribué à saint Jérôme, VH, 647. Supé-
riorité des évêques sur les prêtres; doctrine
de saint Jérôme, 680 et suiv. Analyse du
livre de la Hiérarchie ecclésiastique attribué
à saint Denys l'Aréopagite, X, 546 et suiv.
Édition particulière qu'on en a faite, 553.
— Hiérarchie ecclésiastique d'institution
apostolique, XIII, 162. Voyez Évêques^
Prêtres, Diacres, etc.
[HIÉRARCHIES (Des trois) et des trois
degrés par lesquels nous arrivons au salut,
ouvrage inédit d'Odon, abbé de Morimond,
XIV, 625.]
HIÉRARCHIE LÉGALE, traité perdu at-
tribué à saint Denys l'Aréopagite, X, 352.
HIÉRARCHIE DES MONTANISTES, III,
510.
HIÉRARCHIES. Traité des Hiérarchies
attribué à un abbé Thierri, qu'on ne con-
naît point, XIII, 598.
HIÉRARCITES, hérétiques, V, 597, et
VI, 403, 404.
HIÉRAX, évêque d'Egypte, à qui saint
Denys d'Alexandrie adresse une lettre pas-
cale, II, 411.
HIÉRAX, hérésiarque. Son histoire ; ses
écrits ; ses erreurs, VI, 403, 404.
HIÉRAX, professeur de grammaire à 4i4ou4i5.
Alexandrie, cause innocente d'une sédition,
VIH, 257.
HIÉRIUS , gouverneur de Cappadoce ,
pour qui saint Grégoii'e de Nysse compose
un de ses écrits, VI, 198.
HIÉRIUS, célèbre orateur de Rome, IX,
29.
HIÉROCLÈS, magistrat païen, écrit deux iv siècle,
livres contre les chrétiens, II, 494. — Ré-
ponse d'Eusèbe de Césarée aux deux livres
d'Hiéroclès, III, 175 et suiv.
HIÉROCLÈS, philosophe platonicien. Son
ouvrage du Destin et de la Providence, cité
par Photius, HI, 175.
HIÉROGLYPHES en forme de croix trou-
324.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLESIASTIQUES.
353.
355.
356.
359.
360.
360.
360,
361 et 362.
362.
364.
368.
vés dans la démolition du temple de Sérapis
à Alexandrie. Conversion de plusieurs païens
à cette occasion, VIII, S20.
HIÉROME, savant, dont la Vie fut écrite
par Sébastien, disciple de saint Benoît, XI,
634.
HIGUERRA (De la). Voyez Romand.
[HIÉRONYME, théologien grec. Ce qu'on
sait sur lui. Il a composé un Dialogue sur la
Trinité et un autre sur l'effet du baptême et
les notes du chrétien. Édition de ces Dialo-
gues, VI, 333.]
HILAIRE (Saint), évêque de Poitiers, doc-
teur de l'Église et confesseur. Histoire de
sa vie, IV, 1 et suiv. Saint Hilaire, né dans
les Gaules, de parents idolâtres, se conver-
tit à la foi ; motifs de sa conversion, 1 et 2.
Il est fait évêque de Poitiers, 2 et 3. Il s'op-
pose aux Ariens. Il assiste au concile de
Béziers. Constance l'exile en Phrygie. Ses
occupations pendant son exil, 3. Il assiste
au concile de Séleucie, 3 et 4. Il va à Cons-
tantinople; il y prend la défense de la foi;
Constance le renvoie dans les Gaules. Saint
Hilaire rétablit la pureté de la foi dans les
Gaules, 4. Il passe en Italie ; il y rétablit de
même la pureté de la foi ; il oblige Auxence
à confesser de bouche la divinité de Jésus-
Christ, 5 et 6. Mort de saint Hilaire, 6. [Il
est déclaré docteur de l'Église, 7.] Catalogue
de ses écrits, 6. Commentaire de saint Hi-
laire sur les Psaumes, 6 et suiv. Pourquoi
on les met les premiers; leur authenticité;
ils ne sont pas parvenus entiers jusqu'à
nous, 7. 11 les composa sur la fin de sa vie,
7 et 8. Sa méthode dans l'explication des
Psaumes, 8. Il se sert des commentaires
d'Origène, 8 et 9- Il suitles versions latines,
a recours aux grecques et à l'hébreu. Psau-
mes ajoutés au commencement de ses com-
mentaires sur chaque psaume. Prologue de
saint Hilaire sur les Psaumes. Ce qu'il pense
de l'auteur des Psaumes, 9 ; et de l'ordre
qui leur a été donné, 9 et 10. Quels sont
ceux de ses commentaires qui sont parve-
nus jusqu'à nous, 10. Ce qu'il y a de plus
remarquable dans les commentaires de saint
Hilaire sur les Psaumes, 10 et suiv. Sur le
premier, 10 ; sur le second ; sur le neuvième,
H; sur le treizième et le quatorzième, 11
et 12; sur le cinquante-unième ; sur le cin-
quwite-deuxième, 13 ; sur les psaumes cin-
quante-troisième, cinquante-quatrième, cin-
quante-huitième, soixante-unième, soixante-
deuxième et soixante-troisième, 13 et suiv.;
sur les psaumes soixante-quatrième, soixan-
te-cinquième, soixante-sixième, soixante -
septième et soixante-huitième, 15 et suiv. ;
sur le psaume cent dix-huitième, 16 et suiv.;
sur les psaumes cent dix-neuvième, cent
vingtième, cent vingt-unième, cent vingt-
deuxième et cent vingt- troisième, 19, 20;
sur les psaumes cent vingt-sixième, cent
vingt-septième, cent vingt-huitième, cent
vingt-neuvième et cent trentième, 20, 21 ;
sur les psaumes cent trente-deuxième, cent
trente-troisième, cent trente-quatrième, cent
trente-cinquième, cent trente-sixième et
cent trente-septième, 21 et suiv.; sur les
psaumes cent trente-huitième et cent trente-
neuvième, 23. [Fragment sur ce psaume,
23. Voyez note 3.] Commentaire de saint Hi-
laire SLir l'évangile selon saint Matthieu, 24 et
suiv. Les commentaires sous le nom de saint
Hilaire sont de lui. Il ne parait point qu'il
ait eu recours aux commentaires d'Origène
sur saint Matthieu, 24. En quel temps il
peut les avoir composés, 24 et 25. Estime
qu'on en a faite, 25. Ce qu'ils contiennent
de remarquable, 25 et suiv. [Fragment d'un
sermon sur le paralytique attribué à saint
Hilaire de Poitiers. Fragment tiré du livre
des Explications sur l'apôtre saint Paul.
(C'est à tort qu'on a imprimé Explication
des apôtres.) Autre fragment tiré du livre de
la Trinité, 33.] Les douze livres de saint Hi-
laire sur la Trinité, 33 et suiv. Ces douze
livres sont de saint Hilaire, 33. Dessein de
ces livres, 33 et 34. [Sommaires de ces
douze livres retrouvés, 34, n. 17.] Il écrivit
ces livres pendantson exil. Motifs de saintHi-
laire pour composer ces livres. Ces livres sont
au nombre de douze, 34. Estime qu'on en a
faite. Analyse du premier livre de la Tri-
nité ; plan de cet ouvrage, 35. Analyse du
second livre : doctrine de l'Eglise touchant
les trois personnes divines, 35 et 36. .\na-
lyse du troisième livre : génération éter-
nelle du Verbe et de sa divinité, 36 et suiv.
Analyse du quatrième livre: justification du
terme de consubstantiel ; distinction de per-
sonnes en Dieu selon les Écritures, 38. Ana-
lyse du cinquième hvre : le Verbe est vrai-
ment Dieu selon les Écritures ; sa divinité
ne déroge point à l'unité de substance en
Dieu, 38 et 39. [Fragment du cinquième
livre conservé par le diacre Jean, 38, n. 4.]
Analyse du sixième livre : preuves de la di-
vinité du Verbe par les passages de l'évan-
gile, 39 et suiv. Analyse du septième livre :
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
52S
comment les hérésies se combattent entre
elles; la victoire est pourFÉglise, parce que
sa doctrine est fondée sur celle des Évan-
giles et des écrits des apôtres ; récapitula-
tion des preuves, 41 et suiv. Analyse du
huitième hvre : unité de substance da Père
et du Fils, 43, 44. Analyse du neuvième li-
vre: de l'union des deux natures divine et
humaine en Jésus-Christ, 45 et suiv. Ana-
lyse du dixième livre : réponse aux objec-
tions prises de la tristesse de Jésus-Christ
et de sa prière dans son agonie, 47, 48.
Analyse du onzième livre : comment il faut
entendre quelques passages de l'Évangile et
des écrits desaint Paul touchant Jésus-Christ
ressuscité et glorieux, 48, 49. Analyse du dou-
zième livre : il ne faut pas mettre Salomon
en contradiction avec les autres écrivains
sacrés; nouvelles preuves de la divinité du
Verbe, 49, SO. [Notes relatives au hvre de
la Trinité, 38, n. 4; 41, n. 1 ; 43, n. 4; 47,
n. 1, 3; 48, n. 4; 50, n. 1; 51, n. 1.] Livre
1359 des Synodes, 51 et suiv. En quel temps il a
été écrit, 51. A quelle occasion il a été écrit,
51 et 52. Estime qu'on a faite de ce livre,
52. Analyse de ce livre, 52 et suiv. Apologie
du livre des Synodes. Lettre de saint Hilaire
à sa fille, 54. Cette lettre n'est point suppo-
sée, 54 et 55. Il envoie à sa fihe deux
hymnes, 55. [L'hymne pour le soir est
de lui aussi bien que celui du matin, 55.
Voyez 55, n. 5. Deux autres hymnes, 55. J
Livres de saint Hilaire à Constance, 35 et
356. suiv. En quel temps le premier de ces hvres
peut avoir été écrit, 55. Analyse de ce livre,
I. 56. Livre second à Constantius; en quel
temps il a été écrit, 56 et 57. Analyse de ce
livre, 57, 58. Livre de saint Hilaire contre
Constance, 58 et suiv. Pourquoi il est écrit
avec tant de force. 11 est adressé aux évê-
). ques des Gaules ; en quel temps il a été
écrit, 58. Analyse de ce livre, S8 et suiv.
Livre de saint Hilaire contre Auxence, 60 et
I. suiv. En quel temps il a été écrit, 60, 61.
A quelle occasion, 61. Analyse de ce livre,
61 et 62. Livre des Fragments, 62 et suiv.
Ce livre est de saint Hilaire, 62, 63. [Rai-
sons contre l'authenticité de ce livre, 63,
365. n. 1.] En quel temps il a été écrit; dessein
de cet ouvrage, 63. Ce qu'il contient, 63 et
64. Ouvrages de saint Hilaire qui sont per-
dus, et ceux qu'on lui a faussement attri-
bués, 64, 65. Commentaires sur Job, 64.
Commentaires sur les Épitres de saint Paul
h Timothée et aux Romains attribués à saint
Hilaire, 64 et 65. [Commentaires attribués à
saint Hilaire, 65, n. 3. Te Deum, 66, n. 9.]
Autres ouvrages attribués à saint Hilaire
qui sont perdus, 65, 66. Ouvrages supposés
et qui ne peuvent être de ce docteur, 66.
[Autres écrits de saint Hilaire de Poitiers
publiés depuis dom Ceilher. Écrits de
saint Hilaire de Poitiers publiés récemment.
Commentaire sur les psaumes quinzième,
vingt-unième, quarante-unième, 12. Trai-
tés ou homélies de saint Hilaire sur l'Écri-
ture. Authenticité du premier traité sur le
commencement de l'évangile selon saint
Matthieu, 30. Analyse de ce traité, 30 et
suiv. Analyse du deuxième traité sur le
commencement de l'évangile selon saint
Jean, 32. Autres fragments des écrits de
saint Hilaire, 33. Hymnes attribuées à saint
Hilaire, 57. Lettre ou petit livre pubhé par
TrombeUi, 66. Sermon sur la dédicace d'une
éghse ; vers sur le Christ enfant ; fragment
contre les Ariens, ouvrages qui semblent
supposés. Le cardinal Maï attribue à saint
Hilaire l'hymne pour le soir, 53, n. 5. Deux
autres hymnes, l'une sur la vie de Jésus-
Christ et l'autre sur l'Epiphanie, 33. Frag-
ment publié par dom Pitra, 66, n. 11. Com-
mentaires sur l'épltre aux Galates et aux
Éphésiens pubhés sous le nom de saint Hi-
laire par dom Pitra, 30, n. 4.] Doctrine de
saint Hilaire, 66 et suiv. : sur l'Écriture
Sainte, 66, 67 ; sur le canon des Écritures,
67, 68; sur les versions de l'Écriture, 68;
sur la nature de Dieu, la distinction des
personnes, la divinité du Fils et du Saint-
Esprit, 68 et suiv. ; sur la sainte Vierge, 70;
sur les anges, 70 et 71 ; sur l'âme, 71, 72;
sur le libre arbitre et la grâce, 72 et suiv.
[Voyez aussi 72, n. 6.] Sur le péché originel
etsur le péché actuel, 74, 73 ; surleBaptême,
la Confirmation et l'Eucharistie, 75, 76 ; sur
la Pénitence, 76, 77 ; sur l'Église et les apô-
tres, 77, 78; sur divers usages de l'Église,
78, 79 ; sur divers points de morale, 79 et
suiv. Explication de quelques endroits dif-
ficiles de saint Hilaire, 81 et suiv. Jugement
des écrits de saint Hilaire 86, 87. [Voyez
87, n. 12.] Catalogue des éditions de ses
ouvrages, 87 et suiv. [Éditions récentes, 87.
Ti'aductions de quelques ouvrages de saint
Hilaire, 89.] — Saint Hilaire dénonce au
concile de Béziers les protecteurs des
Ariens, III, 524. — Assiste au concile de
Séleucie, IV, 566. Il y découvre les excès
des Ariens, 569, 570. Il suit à Constantino-
526
HISTOIRE DES AUTEURS SACRES ET ECCLESIASTIQUES.
pie les députés du concile, S71. Les chefs
des Ariens s'élè-vent contre lui, 573. Il de-
mande à Constance de disputer de la foi
avec ses adversaires au concile de Constan-
tinople, 574, 575. Les Ariens refusent de
disputer avec lui, 576. Il assemble divers
conciles dans les Gaules contre les Ariens,
582 et suiv. — Témoignage de saint Augus-
tin sur saint Hilaire, IX, 485. Saint Augus-
tin le cite contre Julien, 486 et 490. Saint
Augustin explique un passage de saint Hi-
laire, 628. — Saint Perpétue, évêque de
Tours, lègue à saint Eupbrone, évêque
d'Autun, un livre des Évangiles écrit de la
main de saint Hilaire, X, 440. — Sa Vie,
dont le premier livre est de saint Fortunat,
né à Verceil, XI, 306 ; et le second de Vé-
nance Fortunat, 306. Son éloge par Fortu-
nat, 404. Sa Vie par deux auteurs différents
nommés Fortunat, 412. C'était la coutume
des monastères aux environs de Poitiers de
venir dans cette ville le jour de la fête de
Hilaire et d'y célébrer les veilles, 415. —
Monastère érigé sous le nom de saint Hi-
laire, et auquel le pape Paul I" accorde un
privilège qui le met sous la juridiction de
l'Église de Ravenne, XII, 116. Passage de
saint Hilaire corrompu par Félix d'Urgel,
181. — Saint Hilaire accusé par Bérenger
d'avoir erré sur l'humanité de Jésus-Christ.
Lettre de Lanfranc sur ce sujet, XIII, 170 et
455. Sermon de saint Pierre Damien pour
la tête de la translation de ses reliques,
308. Les chanoines de la collégiale érigée
sous son nom à Poitiers obligés de recevoir
ceux de la cathédrale lorsqu'ils venaient en
procession à certains jours, 354. (Voyez
l'article de saint Hilaire de Poitiers dans
l'Histoire littéraire de la France, 1. 1, part. II,
p. 139 et suiv.)
HILAIRE , ami de saint Basile, IV ,
362.
HILAIRE, évêque de Telmesse en Lycie,
IV, 473.
HILAIRE, évêque d'Isaure, signe le tes-
tament de saint Grégoire de Nazianze, V,
191.
HILAIRE, évêque de Pavie, paraît être
auteur du commentaire sur les Épîtres de
saint Paul attribué à saint Ambroise, V,
310.
HILAIRE DE SARDES, diacre de Rome,
luciférien. On lui attribue le même com-
mentaire, V, 510.
HILAIRE, évêque de Narbonne. Lettre
que lui écrivit le pape Zosime, VII, 335. —
Lettre que lui écrivit le pape saint Boni-
face, VIII, H. Lettre que saint Augustin lui
écrit, IX, 150.
HILAIRE DE SYRACUSE et saint Prosper
d'Aquitaine écrivent à Augustin pour lui
demander ses Rétractations, IX, 24. Lettre
d'Hilaire i saint Augustin, 138. Lettre de
saint Augustin à Hilaire, 138 et suiv. Lettres
d'Hilaire et de saint Prosper à saint Augus-
tin, 181 et 326, 327. Livre de la Prédestina-
tion des saints, ouvrage de saint Augustin
adressé à saint Prosper et à Hilaire, 327 et
suiv. Livre du Don de la persévérance, ou-
vrage du même père aussi adressé à saint
Prosper et à Hilaire, 332 et suiv. Saint Pros-
per et Hilaire vont à Rome porter leurs
plaintes au pape Célestin contre quelques
prêtres des Gaules opposés à la doctrine de
saint Augustin, VIH, 139 et X, 277. (Voyez
l'article de cet Hilaire dans VHistoii'e
littéraire de la France, t. II, p. 209 et
suiv.)
HILAIRE (Saint), archevêque d'Arles. Sa
naissance ; ses qualités naturelles ; il s'atta-
che au monde. Dieu se sert de saint Hono-
rât pour le convertir. Il distribue ses biens
aux pauvres et se retire à Lérins. Il accom-
pagne saint Honorât devenu évêque d'Arles.
Il retourne à Lérins, d'où il est rappelé deux
ans après par saint Honorât, VIII, 433. Il
est élu évêque d'Arles après la mort de
saint Honorât, 433 et 434. Sa conduite dans
l'épiscopat. Sa charité envers les pauvres,
434. Sa conduite dans le ministère épisco-
pal, 434 et 435. Il tient un concile à Riez,
dépose Armentaire, 435. Il tient un autre
concile à Orange ; un autre à Vaison ; un
autre à Arles, 435. Il dépose Quéhdoine,
évêque de Besançon, 435 et 436. Sur les
plaintes de Quéhdoine, il va à Rome se jus-
tifier. 11 assiste au concile qui s'y tient sur
cette affaire, 436. Après son retour à Arles,
il est accusé à Rome de divers crimes et
condamné, 437. Il tâche inutilement de flé-
chir le pape, 437 et 438. [Observation sur
la conduite de saint Léon à l'égard de saint
Hilaire d'Arles, 438, n. 3.] Mort de saint
Hilaire, 438. Son éloge, 438 et 439. Ses
écrits, 439 et suiv. Ses lettres, 439. Pané-
gyrique de saint Honorât d'Arles, 439 et
440. Autres écrits de saint Hilaire ou qui
lui sont attribués, 440, 441. Éditions et tra-
ductions qu'on en a faites, 441. [Autres édi-
tions, 441, 442.] Récit qu'il fait lui-même de
«7
416
4U
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
527
sa conversion, qui est l'exposition de ses
sentiments sur la grâce, 441. Union de saint
Eucber de Lyon avec saint Hilaire d'Arles,
442. Lettre que lui écrit saint Eucher de
Lyon, 452. Il préside au concile de Riez,
605 ; à celui d'Orange, 606. Chargé d'en-
voyer une copie des actes aux évêques ab-
sents, 610. Préside au second concile d'Ar-
les, 611 ; et à celui de Besançon, où Quéli-
doine est déposé, 613. — Son différend avec
saint Léon au sujet de Quélidoine, évêque
de Besançon, X, 203. Lettres de saint Léon
au sujet de cette affaire, 203 et 204. Rescrit
de l'empereur Valentinien contre ce saint
évêque, 204. Sa mort; termes honorables
dont use saint Léon en parlant de lui, 215.
Sa Vie, écrite par saint Honorât, 600. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. II, p. 262 et suiv.)
HILAIRE (Saint), diacre de Rome, plus
tard pape. Théodoret lui écrit, X, 24. Prie
Victorius de composer un cycle paschal, 176.
— Écrit à l'impératrice Pulchérie, VIII, 472
et X, 333. — Est députédu pape saint Léon
au faux concile d'Éphèse, VIII, 472 et X,
173, 333 et 675. — Il s'oppose à la condam-
nation de Flavien et d'Eusèbe ; Dioscore
s'efforce à l'engager à se trouver à une se-
conde séance, X, 679. Hilaire s'échappe
d'Éphèse et rend compte au pape de ce qui
s'y étail passé, 173 et 680. Succède au pape
saint Léon, 178. Voyez l'article suivant.
HILAIRE (Saint), pape et confesseur. De
quel pays il était originaire; le pape saint
Léon le nomme son légat au faux concile
d'Éphèse; conduite qu'il y tient; sa lettre à
l'impératrice Pulchérie; sa lettre à Victorius
pour l'engager à dresser un cycle paschal;
il est élu pape après la mort de saint Léon,
X, 335. Sa lettre aux évêques d'Orient, 335
et 336. Autres à Léonce d'Arles, 336, 337 ;
aux évêques des Gaules, 337 ; à Léonce, à
Véran, à Victurus, 337 et 338 ; à Léonce et
aux évêques des Gaules, 338, 339; aux évê-
ques d'Espagne et àAscagne; saint Hilaire
s'oppose à l'hérésie des Macédoniens, 339.
Sa mort, 340. [Édition de ses écrits dans la
Patrologie, 340, n. 3.] Victorius lui dédie son
cycle paschal, 340. Concile que le pape saint
Hilaire tient à Rome en 462, 715 et 320. Au-
tre concile qu'il tient à Rome en 465, 716.
[HILAIRE, disciple d'Abaillard. Son élégie
sur le départ d'Abaillard du Paraclet, XIV,
341.] (Voyez son article dans l'Histoire litté-
raire de la F7'ance, t. XII, p. 281 et suiv.)
HILARE (Sainte), mère de sainte Afre.
Son martyre, III, 30.
HILARIEN (Saint), enfant, fils de saint
Saturnin, martyr de Garthage, III, 20. Sa
confession, 23.
HILARIN (Saint), martyr, III, 413.
HILARIN, catholique d'Hippone. Lettre de
saint Augustin à Félix et à Hilarin, IX,
91, 92.
HILARION (Saint), solitaire. Saint Épi-
phane fait son éloge, VI, 376. — Sa Vie,
écrite par saint Jérôme, Vil, 593, 594. Il
n'avait été qu'une fois à Jérusalem, quoi-
qu'il demeurât dans la Palestine, 690.
HILARION (Quintusjulius), auteur de deux
écrits, VI, 288, 289.
HILARION, abbé de Saint-André à Rome,
XI, 430.
HILARION et EUSTRATE proposent plu-
sieurs difficultés à Nicéphore, patriarche de
Constantinople, XII, 287 et suiv.
HILARIUS, nom quelquefois donné au
pape Hilaire. Voyez Hilaire (Saint), pape.
HILARUS, tribun, contre qui saint Augus-
tin écrit, IX, 559 et 767.
HILARUS, nom latin du papesaintHilaire,
X, 335. Voyez Hilaire (Saint), pape.
HILARUS , notaire, l'un des légats envoyés
par le pape Hormisdas à l'empereur Anas-
tase, X, 613.
HILARUS, sous-diacre de Naples, puni
comme calomniateur, XI, 527.
HILDEBALD ou HIDELBALD, archevêque
de Cologne, XII, 231.
HILDEBERT (Saint), archevêque de
Mayence. Sa Vie écrite par Méginfroid pré-
vôt de Magdebourg, XHI, 95.
HILDEBERT (Le Vénérable), évêque du
Mans, puis archevêque de Tours. Sa nais-
sance, XIV, 207. [Observation sur sa famille,
207, n. 2.] Ses études ; il est chargé de la
direction de l'école du Mans, puis il est fait
archidiacre; il succède à Hoeldans l'évèché
du Mans; calomnies dont on noircit sa répu-
tation ; il est la victime des dissensions entre
Guillaume le Roux et Henri I" qui se dispu-
taient la ville du Mans, 207. Il combat l'hé-
rétique Henri, le chasse de son diocèse, et
ramène ceux qu'il avait séduits, 207 et 208.
Il est mis une seconde fois en prison par
Rotrou, comte du Perche; rendu à son
Église, il la gouverne avec beaucoup de
piété, de zèle et de prudence ; après la mort
de Gilbert, archevêque de Tours, il est élu
pour lui succéder ; sa mort ; son éloge ; ses
304.
304.
V. 404.
Avant!
4057.
4092.
4097.
4420.
1425.
4 433 ou
4434.
528
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
XII siècle.
écrits; ses lettres, 208. Premier livre, 208 et
suiv. Second livre, 210 et suiv. Troisième
livre, 213, 214. [Deux autres lettres données
par Muratori et reproduites dans la Patrolo-
gie, 214, n. 3. Douze diplômes d'Hildebert,
214.] Ses sermons, 214, 215. [Trois autres
sermons, 214, n. 4.] Doctrine d'Hildebert
sur la foi en Jésus-Christ ; sur l'incarnation,
215 ; sur l'Eucharistie, 213 et 216 ; sur la
prédestination et la grâce; sur la conception
immaculée, '216 ; sur quelques points de dis-
cipline, 216 et 217; sur le purgatoire et au-
tres points de doctrine ; sur le célibat des
prêtres, 217. [II n'a point condamné les ap-
pels à Rome, 213, n. 1.] Opuscules d'Hilde-
bert ; Vie de sainte Radegonde, 217. Vie de
saint Hugues, abbé de Gluny, 217 et 218.
De la Plainte et du combat de la chair et de
l'âme ; traité de l'Honnête et de l'utile ; livre
des Quatre Vertus de la vie honnête ; traité
de Théologie, 218. Analyse de ce traité, 219,
220. Traité sur le Sacrement de l'autel, 220.
Exposition de la messe, 220 et 221. Poésies
d'Hildebert; traité de la Concorde de l'ancien
et du nouveau sacrifice, ou de la messe, 221 .
Livre surrEucharistie,221, 222. [D'aprèsles
auteurs de l'Histoire littéraire de la France,
il appartient à Pierre le Peintre, chanoine de
Saint-Omer, 221, n. 3.] Poëme sur l'ouvrage
des six jours et autres sujets; [d'après les
auteurs de l'Histoire littéraii^e de la France,
cet ouvrage seraitl'œuvre de l'évêqueThéo-
bald, 222, n. 2.] Autres poèmes, 222. Juge-
ment sur les écrits d'Hildebert, 223, 224.
Différentes éditions générales et particulières
qu'on en a ftiites, 224. Épigramme de Mar-
bode qui lui est adressée, 227. Opuscules
d'Hildebert qui ne sont point dans Tédition
de ses œuvres ou qui sont perdues ; [opus-
cules d'Hildebert publiés récemment ; autres
écrits d'Hildebert, 223. Édition des œuvres
d'Hildebert par M. Bourassé, 223. Hilde-
bert est l'auteur des six sermons sur les de-
voirs des pasteurs ; Hieronymus in Annalibus
hebrœorum de 13 signis quindecim dierum ante
diem judicii, ouvrage attribué à Hildebert,
évêque du Mans, 223.] Lettre d'Yves de
Chartres qui lui est défavorable ; remarques
sur cette lettre, 128. Lettres de Geotfroi de
Vendôme qui lui sont adressées, 163. Sa
mort ; troubles à l'occasion de l'élection de
son successeur, 496. (Voyez son article dans
l'Hist. litt. de la France, t. XI, p. 130 et suiv.)
[HILDEBERT le jeune. Son opuscule sur
lu contemplation, XIV, 404, n. 1.]
HILDEBOLDE, évêque deSoissons, envoie
sa confession à Hincmar de Reims ; lettre
que lui écrit Hincmar, XII, 679.
[HILDEBRAND (le docteur). Son édition
des œuvres d'Arnobe, H, 493.]
HILDEBRAND, donné pour chef aux Lom-
bards par le pape Adrien I", XII, 134.
HILDEBRAND, sous-diacre de Rome et lé-
gat, assemble un concile à Lyon, XIII, 350;
à Tours contre Bérenger, 169 et 350. Il est
fait cardinal, 330. Lettres que lui écrit saint
Pierre Damien, 300. Lettre de Lanfranc à ce
cardinal, 452. Il est fait pape sous le nom de
Grégoire VII. Voyez Grégoire Vil (Saint).
HILDEBRAND (Joachim), théologien alle-
mand. Son édition de la Collection de Régi-
non sur la discipline ecclésiastique et la reli-
gion chrétienne, XII, 772.
HILDEGAIRE, évêque de Meaux, aupara-
vant moine de Sainl-Denys. (Dom Ceillier
n'en parle pas. Voyez son article dans l'His-
toire littéraire de France, t. V, p. 474 et
suiv.)
HILDEGAIRE, ordonné évêque de Beau-
vais au concile de Château-Thierri, XIII,
746.
HILDEGAIRE, disciple de Fulbert de Char-
tres. Ses lettres à Fulbert ; lettres que lui
écrit Fulbert, XIII, 95. (Voyez son article dans
l'Histoire littérairede la France, t. VII, p. 470
et suiv.)
HILDEGARDE, femme de Gharlemagne,
XH, 139 et 232.
HILDEGARDE, abbesse dans le diocèse de
Sens. Son démêlé avecPoulques, archevêque
de Reims, XII, 709.
HILDEGARDE, femme de Poulques-Nerra,
comte d'Anjou. Lettre que lui écrit Gatwa-
lon, abbé de Redon, sur ce qu'elle s'était
recommandée à ses prières, XIII, 158.
HILDEGARDE (Sainte), vierge, abbesse
du Mont-Saint-Rupert. Offerte à Dieu dans
son enfance, elle mène ensuite la vie de re-
cluse sous la bienheureuse Jutte, puis elle se
retire à Bingue, où elle bâtit le monastère
du Mont-Saint-Rupert; elle devient célèbre
par les visions dont Dieu la favorise, XIV,
591. Elle les met par écrit; considération
dont elle jouit dans l'Église et dans l'État,
392. [Notice sur sainte Hildegarde et ses
Vies, 591, n. 2. Différents écrits de sainte
.Hildegarde, 597, n. 4, 5, 6, 8.] Ses écrits
sont approuvés du pape Eugène III, 92. Il
est douteux que saint Bernard lui ait rendu
visite. Sa mort. Ses miracles, 592 et 593.
IX siècle;
iu<.
1147.
1178.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
529
[Elle n'a jamais été canonisée, mais son nom
est dans le Martyrologe romain. Sa science
infuse. Ses lettres dans la Patrologie ; édi-
tions qu'on en a faites, S93. Jugement sur
ses lettres, 395, 596.] Solutions de sainte
Hildegarde aux questions de Guibert de
Gemblou. Explication de la règle de saint
Benoît. Explication du symbole attribuée
à saint Atlianase, 396. Révélations de
sainte Hildegarde, 596 et 397. [Ses écrits
dans la Pafîvlogie, 593. Son livre des Diver-
ses (Euvres de l'homme simple, 597.] Té-
moignages avantageux qui lui sont rendus
dans un concile de Trêves présidé par le pape
Eugène III qui lui permet de publier ce que
le Saint-Esprit lui inspirait, 1122. [En quel
sens fut conçue cette approbation, 592, n. 4.]
Sa Vie, écrite par le moine Théodore, 149.
Ses écrits approuvés par Eugène III, 270.
Lettre que lui écrit le pape Eugène III, 271.
Lettre que saint Bernard lui écrit, 456.
[Lettre de Henri, archevêque de Reims, à
sainte Hildegarde, 731.]
HILDEGONDE (Sainte). Sa Vie écrite par
Guibert, abbé de Gemblou, XIV, 863.
HILDEMANNE, archevêque de Sens.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire de
la France, t. VI, p. 329 et suiv.)
HILDEMAR, moine appelé en Italie pour
y faire revivre la discipline monastique.
Commentaire sur la règle de saint Benoît
qu'on lui attribue, XII, 363. Sa lettre à Urse,
évêque de Bénévent, sur la manière d'écrire
et de prononcer correctement le latin, 363
et 364. (Voyez son article dans l'Histoire lit-
téraire de la France, t. V, p. 36 et suiv.)
HILDERIC, fille d'Hunéric, roi des Van-
dales en Afrique, X, 458, 462 et XI, 8. Il
succède à Trasamond; il rappelle les évê-
ques que Trasamond avait exilés en Sardai-
gne, XI, 8.
HILDERIC, abbé de , fait l'épitaphe de
Paul, diacre, XH, 142.
HILDESHEIM, ville de la Basse-Saxe.
Chronique des évêques d'Hildesheim, attri-
buée à Ekkehard, XIII, 542; — et à Eccard,
abbé de Saint-Laurent d'Uragen, XIV, 405.
HILDOARD, évêque de Cambrai et d'Ar-
ras. Poëme à sa louange composé par Dun-
gal, XII, 328.
[HILDRADE, abbé, écrit à Florus, prêtre
de Lyon; réponse de Florus, XII, 492. J
HILDRIG, abbé de Saint-Germain d'Au-
xerre. Lettres que lui écrit Brunon, évêque
de Langres, XIII, 70. Autre lettre au sujet
TAB. I.
d'un excommunié qu'on croit lui être adres-
sée, 71.
HILDUIN, abbé de Saint-Denys, succède
à Waldon, XII, 383. Témoignages que lui
rendent les auteurs du temps, 383 et 384.
Louis le Débonnaire le fait son archichape-
lain et lui donne les abbayes de Saint-Ger-
main-des-Prés et de Saint-Médard de Sois-
sons ; différentes commissions dont il est
chargé; il prend part à la révolte de Lo-
thaire ; il est exilé à la nouvelle Corbie; il est
rappelé et se joint encore à Lothaire dans la
seconde révolte. Sa mort, 384. L'empereur
Louis l'avait chargé de recueillir tout ce qui
pouvait concerner Saint-Denys, évêque de
Paris. Ses Aréopagi tiques sont le fruit de ses
recherches; analyse de cet ouvrage, 384 et
383. Éditions de cet ouvrage, 383. [Éditions
dans la Patrologie, 383. Il n'est pas le pre-
mier qui ait parlé d'Hilduin, 383, n. 1.] Let-
tre d'Agobard à Hilduin au Sujet des Juifs,
367, 368. Différentes lettres de Frothaire
adressées à Hilduin, 397, 398. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. IV, p. 607 et suiv.)
HILDUIN, évêque de Verdun, succède à
Hérilan. Ce qu'on sait des circonstances de
sa vie. Sa mort. Sa Lamentation sur ce que le
roi Charles avait ôté à l'église de Verdun
l'abbaye de Tholey, XII, 440. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. V, p. 130.)
HILDUIN, frère de Gonthier, archevêque
de Cologne, est nommé par Lothaire évê-
que de Cambrai, XII, 580. Hincmar refuse de
l'ordonner ; il se met en possession du tem-
porel de l'Église. Lettres du pape saint Ni-
colas 1" à son occasion. Jean est consacré à
sa place, 581.
HILDUIN, évêque de Tongres et de Liège
et rejeté par le roi Charles le Simple, XII,
744. N'ayant pu obtenir l'évêché de Liège
auquel il prétendait, il se retire en Italie au-
près du roi Hugues ; il est fait évêque de Vé-
rone, et ensuite archevêque de Milan, 846.
HILDUIN, comte d'Arcy en Champagne,
se convertit par les instructions d'Adson,
abbé de Montier-en-Der, et entreprend le
pèlerinage de Jérusalem, XII, 883.
HILDUT ou ELTUT (Saint), abbé au pays
de Galles, regardé comme le père de la vie
monastique en Angleterre, XI, 318.
HILMÉRODUS, évêque d'Amiens. Lettre
que Loup de Perrières écrit à son sujet, XII,
505.
-34
814.
830.
840.
854.
863.
865.
920.
V. 922.
931.
X siècle.
VI siècle.
IX siècle.
330
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
VIII siècle.
1052.
385.
431.
432.
845.
849.
853.
858.
876.
881.
882.
HILTBERT, abbé de Fontenelle, succède
à saint Ansbert, XII, 21.
HILTRUDE, nièce d'Herman Contracte,
XIII, 182. Son épitaphe faite par son fils en
trente-deux vers élégiaques, 183.
HIMÉRIUS, sophiste à Athènes, souslequel
étudient saint Basile et saint Grégoire de
Nazianze, IV, 330.
HIMÉRIUS (ou HIMÈRE), évéque de Tar-
ragone. Letti'e que lui écrit le pape saint Si-
rice : première décrétale, YI, 99.
HIMÉRIUS, évêque de Nicomédie, s'unit
d'abord à Jean d'Antioche et est déposé,
VIII, 383, 399. Sa lettre à Théodoret; il est
rétabli, 383. — Théodoret lui écrit, X, 104.
Alypius l'emploie pour adoucir Firmus irrité
contre lui, 150.
HIMÉRIUS, disciple de saint Loup. Son
éloge par saint Sidoine, X, 393.
HIMÉRIUS, général des armées sousTem-
pereur Léon le Philosophe. Éloge que fait de
lui SiméonMétaphraste, XII, 813. Sa disgrâce
sous le règne de l'empereur Alexandre,
818.
HIMILTRUDE, mère d'Ebbon, archevêque
de Reims. Son épitaphe composée par son
fils, Xn, 332.
HINCMAR, archevêque de Reims. Son
éducation; il se fait moine, puis il est pour-
vu des abbayes de Saint-Germain de Gom-
piègne et de Saint-Germer de Plais ; il est
fait archevêque de Reims ; il préside au con-
cile de Quierci-sur-Oise, où Gothescalc est
condamné ; dans un concile de Soissons, il
dépose Wulfade et les autres clercs condam-
nés par Ebbon ; mécontentement que cette
conduite occasionne; son affaire avec Ro-
thade, évêque de Soissons, XII, 634. Il cou-
ronne Charles le Chauve roi de Lorraine
après la mort de Lothaire ; il assiste au con-
cile de Pontion, et refuse le nouveau ser-
ment que Charles exigeait de ses vassaux ; il
prend au concile de Fismes la défense de la
liberté des élections ; sa mort, 653. Ses ou-
vrages : son premier écrit sur la prédestina-
tion est perdu. Second écrit sur la prédesti-
nation, 636. Analyse de cet écrit, 636 et
suiv. Traité sur la Trinité, 660, 661. Traité
sur le divorce de Lothaire et de Thietberge,
661, 662. Autre traité sur le divorce de Lo-
thaire, 662, 663. Capitulaires d'Hincmar,
663. Traité sur le service de la table de Sa-
lomon, 664. Discours au roi Charles le
Chauve, 664, 665. Autre discours au même;
traité de la Nature de l'âme, 666. Avertisse-
ment à Louis de Germanie, 666 et 667. Lettre
au roi Charles, 667. ExpHcation d'un texte du
psaume cent troisième à Louis de Germanie,
667 et 668. Lettre aux évêques et aux sei-
gneurs de la province de Reims ; au roi Louis
le Bègue ; à l'empereur Charles le Gros ; au
roi Louis III, 668. Autre au roi Louis III.
Sentence contre Odoacre élu pour le siège de
Beauvais ; instruction pour Carloman ; traité
contre les ravisseurs, 669. Lettre au pape
saint Nicolas l"', 670. Mémoire contre les
clercs ordonnés par Ebbon, 670 et 671. Let-
tre au pape saint Nicolas P"', 671, 672. Autre
lettre au même ; aux moines de Hautvillers
au sujet de Gothescalc, 672 ; au roi Charles,
672 et 673 ; à Hincmar de Laon, 673 ; à Rémi
de Lyon, 673 et 674. Son écrit de cinquante-
cinq chapitres, 674 et suiv. Lettre à Hincmar
de Laon, 677. Autres lettres, 678. Traité sur
l'épreuve de l'eau froide, 678 et 679. Lettre
à Hildebolde de Soissons, 679. Lettre aupape
Adrien II, 679 et 680. Lettre d'Hincmar à ce
pape au nom du roi Charles, 680, 681. Autre
à Adventius, évêque de Metz, sur les céré-
monies de l'ordination d'un évêque, 681.
Traité sur le droit des métropolitains, 681,
682. Traité de la translation des évêques;
traité des devoirs d'un évêque, 682; des ju-
gements des appellations ; des prêtres cri-
minels, 683. Règles pour le jugement de la
cause de Teutfride, 683 et 684. Vis-'on de
Bernold; lettre à Odon de Beauvais, 684.
Traité sur le concile de Nicée ; lettre à Char-
les le Chauve au sujet de Pépin son neveu ;
traité sur le Serment, 683. DiSérentes let-
tres, 683 et 686. Autres écrits d'Hincmar,
686. Écrits qu'on lui attribue, 686 et 687. Sa
lettre à Louis III, 687. Écrits perdus, 688.
Jugement sur les écrits d'Hincmar, 688, 689.
[L'éloge d'Hincmar par Dom Ceilher est exa-
géré, 689, n. 1.] Éditions qu'on a faites de
ses œuvres, 689. [Ses œuvres dans la Patro-
logie, 689.] Est-il vrai qu'Hincmar de Reims
soit auteur d'une partie des Annales de Saint-
Bertin, 690, 691. [Voyez 924, n. 4 et 691,
n. 10.] — Son sentiment sur les canons des
apôtres, II, 577 ; — sur l'Hypomnesticon at-
tribué à saint Augustin, IX, 538. — Le pape
Léon IV lui accorde le pallium, XII, 407; lui
écrit deux lettres, 408. Benoit III le déclare
exempt de toute juridiction, excepté de celle
du Saint-Siège, 409. Lettre que lui écrit Ra-
ban Maurau sujet des sentiments de Gothes-
calc sur la prédestination, 468. Écrit que lui
adresse saint Prudence de Troyes, 494. Il
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
531
censure la conduite de saint Prudence, évè-
que de Troyes, 498. Différentes lettres que
lui écrit Loup, abbé de Ferrières, 504. Lettre
du même sur la prédestination, 310, 511.
Lettres que lui écrit le pape saint NicolasP''
au sujet de Rothade, évêque de Soissons,
577 et suiv.; au sujet de Vulfade, ordonné
par Ebbon, et nommé archevêque de Bour-
ges , 579, 580; au sujet d'Hilduin, nommé
à l'évêché de Cambrai, 580, 581 ; au sujet
du moine Eriarth, coupable d'homicide, 584,
385. Lettre que lui écrit le pape Adrien II au
sujet d'Hincmar de Soissons, son neveu, 590.
Réponse de saint Rémi de Lyon à la lettre
qu'Hincmar avait écrite à Amolon au sujet
de Gothescalc, 614 et suiv. Écrits d'Hincmar
de Laon au sujet de ses démêlés avec Hinc-
mar de Reims, son oncle, 636, 637. Lettres
d'Anastasele Bibliothécaire qui lui sontadres-
sées, 715. — Concile de Beauvais où il est élu,
XIII, 673. Concile de Quierci où Gothescalc
est condamné sous la présidence d'Hincmar,
679. Ses quatre articles contre Gothescalc,
signés dans un nouveau concile de Quierci,
684. Ils sont contredits par ceux du concile
de Valence, 686, 687. On propose au concile
de Troyes d'examiner de nouveau la cano-
nicité de son élection, 700. Règlement qu'il
pubhe pour les prêtres de son diocèse, 716,
717. (Voyez son article dans VHi&toire litté-
raire de la France, t. V, p. 544 et suiv.)
HINGMAR, évêque de Laon, était neveu,
par sa mère, de l'archevêque de Reims du
même nom ; son oncle prend soin de son
éducation et lui procure l'évêché de Laon;
il se trouve au concile de Quierci ; autres
conciles auxquels il assiste, XII, 633. Origi-
nes de ses brouilleries avec son oncle, 673.
Il se brouille avec son clergé, et refuse de
répondre devant le roi aux accusations for-
mées contre lui ; il calomnie auprès du pape
le roi et l'archevêque de Reims; assemblée
de Verberie convoquée pour le juger; il ap-
pelle au pape; il excommunie son clergé; le
roi le fait mettre en prison, 635. Concile
d'Attigny ; il s'y réconcilie avec le roi et avec
son oncle, 633 et 636. On lui refuse la per-
mission d'aller au pape ; il écrit au pape, et
se joint au prince Carloman révolté contre
son père ; il est déposé au concile de Douzi;
le pape Jean VIII confirme la sentence de
déposition, et on nomme un autre évêque de
Laon ; concile de Troyes où on lui permet
de dire la messe, et on lui assigne sa sub-
sistance, 636. Ses lettres à Hincmar de
Reims son oncle, 636 et 637. Analyse des
écrits qu'il composa au sujet de ses démêlés
avec le roi et avec son oncle, 637. Écrits
composés par Hincmar de Reims à son oc-
casion, 672 et 686. [Ses écrits dans la Patro-
logie, 637.] — Lettres du pape Adrien II au
sujet d'Hincmar de Laon, 590. Révolte
d'Hincmar, 590 et 391. Lettre d'Hincmar à
Charles le Chauve en faveur d'Hincmar de
Laon ; lettre du même à Hincmar de Laon ;
réponse d'Hincmar de Laon, 673. Autre let-
tre d'Hincmar de Reims à Hincmar de Laon,
677. Réponse d'Hincmar, 677 et 678. Autre
lettre d'Hincmar de Reims, 678. — Concile
de Verberie où l'on examine les accusations
formées contre lui, XHI, 712, 713. Concile
d'Attigny où l'on procède contre lui, 713.
Concile de Douzy où il est déposé, 714,
Plainte qu'il forme contre Hincmar de Reims,
721. Il est réhabilité, 722. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, t. V,
p. 522 et suiv.)
HINKELMANN (Abraham), auteur d'une
traduction allemande de quelques ouvrages
deTertulhen, 11/86.
[HIPP ARQUE (Saint) et ses six compa- 297.
gnons, martyrs à Samosate. Analyse de leurs
Actes pubhés par Assemani, III, 469 et
suiv.]
HIPPOCENTAURE. Saint Antoine en ren-
contre un dans le désert, VII, 593.
HIPPOLYTE (Saint), évêque et martyr, m siècie.
docteur de l'Église. Histoire de sa vie ; ses
études, I, 607. Il est élu évêque, 607 et 608.
Éloges qui lui sont donnés, 608. Son martyre, 269.
608, 609. [Les Actes de son martyre publiés
par de Magistris, 609.] Ce saint est différent
de celui du même nom qui est loué par le
poëte Prudence, 609. Ouvrage de saint Hip-
polyte, 609 et suiv. Ouvrages de ce docteur
qui existent en tout ou en partie, 609. Ou-
vrages dont il ne reste plus que les noms ;
ouvrages faussement attribués à saint Hip-
polyte, 609 et 610. Commentaires de saint
Hippolyte sur les livres de l'Ancien et du
Nouveau Testament, 610 et suiv.; sur la Ge-
nèse et l'Exode, 610 ; sur les Psaumes, 610
et 611 ; sur les Proverbes, l'Ecclésiaste, le
Cantique des Cantiques, 611 et suiv. [Frag-
ment considérable du commentaire sur les
Proverbes publié par Mai, 611, 612.] Frag-
ment sur le même livre publié par Fabri-
cius, 613, 616. Fragment sur les Cantiques,
613; sur les prophètes Isaïe et Ézéchiel,
613; sur Daniel et Zacharie, 613 et suiv.
S32
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLESIASTIQUES.
[Scholies sur Daniel publiées par Mai; frag-
ments sur saint Matthieu, 615. Son livre des
Dimensions du temple de Salomon publié par
de Magistris, 613.] Ses commentaires sur les
évangiles de saint Matthieu et de saint Jean et
sur l'Apocalypse, 613. [Fragments nouveaux
publiés par Mai, 616.J Discours ou homélies de
saint Hippolyte, 616 et suiv. Homéhe sur la
Théophanie ou le baptême de Jésus-Christ,
616, 617. Analyse de cette homélie, 617. Sur
Elcaua et Anne, mère de Samuel, sur le di-
manche de Pâques, et quelques autres sujets,
617, 618. Livre de saint Hippolyte sur l'Anté-
christ ; celui qui a été donné par Gudius est
véritablement celui de ce docteur, 618, 619.
Divers titres qui lui sont donnés ; l'époque
de ce livre est incertaine ; traduction latine
de ce livre, 619. Analyse de ce livre, 619 et
suiv. Gomment le Verbe se fait connaître aux
prophètes, et pourquoi il est devenu le ser-
viteur de Dieu par l'Incarnation; circons-
tances de l'avènement de l'Antéchrist ; l'An-
téchrist naîtra de la tribu de Dan, 620. Il ne
viendra qu'à la fin du monde ; son règne, ses
persécutions. 620, 621. Son nom; son rè-
gne, 622. Traité de saint Hippolyte contre
les hérésies, 622 et suiv. Son livre contre
Marcion, 622. Son livre contre les hérésies
où il en réfute trente-deux, 622 et suiv. 11 y
combat entr'autres les Valentiniens, les Nico-
laïtes, les Montanistes, les Noëtiens, 622 et
623. En quel temps ce traité a été composé ;
est-il en forme d'homélies ? 623. Analyse du
traité de saint Hippolyte contre les Noëtiens,
623 et suiv. Qui était Noët, chef de cette
secte, 623, 624. Passages de l'Écriture sur
lesquels il appuyait ses erreurs, 624. Preuves
de la distinction des personnes en Dieu, 624
et 623. Exposition de la foi catholique tou-
chant la Trinité, 623, 626; et touchant l'In-
carnation. Livre de saint Hippolyte contre
l'hérésie de Béron et d'Hélix, 626. Doutes
que l'on forme sur cet écrit, 626 et 627.
Preuves que les passages de l'écrit contre
Béron sont de saint Hippolyte, 627, 628. Er-
reurs de Béron ; saint Hippolyte les réfute.
Livre de saint Hippolyte sur la Pâque, 628.
Ce que ce hvre contient. Cycle pascal, 628
et 629. Comment on l'a trouvé ; on le donne
au public; les savants y font des notes; ce
qui a donné occasion à saint Hippolyte de
composer un Cycle pascal; analyse de la
première partie de ce Cycle, 629. Analyse de
la seconde partie, 629 et 630. Démonstration
des temps de la Pâque et Chronique de
saint Hippolyte, 630. Chronique attribuée à
saint Hippolyte, 630 et 631. L'auteur de cette
Chronique est inconnu ; temps auquel il a
vécu; ce que c'est que cette Chronique, 631.
[Éditions de cette Chronique, 631.] Traité de
saint Hippolyte contre Platon ; ce qu'il con-
tient, 631 et 632. Traité intitulé : De la tra-
dition apostolique sur les dons du Saint-Es-
prit, 632. Écrits sur la résurrection, sur le
jeûne du samedi, sur la communion, 632 et
633. Histoire d'une vierge de Gorinthe; let-
tres de saint Hippolyte, 633. Ouvrages faus-
sement attribués à saint Hippolyte, 634 et
suiv. Livre sur l'Antéchrist; commentaires
sur l'Apocalypse, 634. Traité sur les douze
apôtres, 634 et 633. Traité sur les septante
disciples. Ouvrages d'Hippolyte de Thèbes
faussement attribués à saint Hippolyte. Écrits
attribués à saint Hippolyte par les Éthiopiens
et par les Chaldéens, 623. [Les Philosophu-
mena ne sont pas de saint Hippolyte, 633 et
636.] Doctrine de saint Hippolyte, 636 et
suiv. : sur l'Écriture sainte, 636, 637 ; sur la
tradition, 637, 638 ; sur le mystère de la
sainte Trinité; sur la divinité du Fils, 638;
sur la divinité du Saint-Esprit, 638 et 639 ;
sur le mystère de l'Incarnation et la distinc-
tion des deux natures en Jésus-Christ, 639,
640; sur la maternité de la sainte Vierge et
sa virginité perpétuelle, 640 ; sur les sacre-
ments de baptême et d'eucharistie ; sur la
nature des anges et de l'âme, 640 et 641.
Jugement du génie et du style de saint Hip-
polyte, 641. Édition de son ouvrage par
M. Fabricius ; autres éditions des ouvrages
de saint Hippolyte, 641 et 642. [Éditions
nouvelles, 642.] (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. I, part, I,
p. 631 et suiv.)
HIPPOLYTE (Saint), prêtre de l'Église de s«
Rome, martyr, H, 120, 121.— Hymne du
poëte Prudence en son honneur, VIII, 162.
HIPPOLYTE LE THÉBAIN. Sa Chronique, x sied
XIII, 44, 43. Traité des douze apôtres qu'on
lui attribue, 43. — Sa Chronique a été attri-
buée à saint Hippolyte, martyr, I, 633. [Au
tome CXVIl delà Patrologie grecque, on trouve
divers fragments de la Chronique d'Hippo-
lyte le Thébain sur la naissance de Jésus-
Christ, sur la vie de la sainte Vierge, sur les
apôtres et leurs enfants, sur des statues po-
sées par Constantin, sur la chronologie des
principaux faits bibhques et évangéliques,
sur l'époque où les évangélistes ont écrit
leurs évangiles. Le tome X de la même Pa-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
333
trologie reproduit les fragments sur les tra-
vaux et la mort des douze apôtres. Un autre
fragment sur la patrie et le nom primitif des
douze apôtres est au t. XCVII, p. 1075.]
HIPPONE, ville maritime d'Afrique, IX,
\ 0. Assiégée par les Vandales, 21 ; incendiée,
22. — Concile général d'Afrique tenu dans
cette ville, VII, 712 et suiv. — Lettre de
saint Augustin au clergé de cette Église^ IX,
90 et suiv. Autre de saint Augustin à son
clergé, 113, 114. Lettre de saint Augustin au
peuple d'Hippone, 192. — Canons d'un con-
cile tenu dans cette ville, VIII, 562. Concile
qui y lut tenu par saint Augustin ; il y dési-
gne le prêtre Héraclius pour son successeur,
571.
HIPPONICUS, à qui saint Nil écrit, VIII,
217.
HIRMINGARE, abbesse de Zurich, pour
laquelle s'intéresse Bernon, abbé de Reiche-
nau, XIII, 127.
HIRMOLOGE, livre de chant à l'usage de
l'Église grecque, Xlll, 138.
HIRSAUGE, abbaye d'Allemagne, fon-
dée au ix" siècle et dont Luitbert fut le pre-
mier abbé, XII, 439. — Constitutions de ce
monastère rédigées par l'abbé Guillaume,
Xlll, 479 et 483. [Éditions qu'on en a don-
nées, 483.]
HIRSFELD, abbaye d'Allemagne. Fonda-
tion de ce monastère par saint Sturme, XII,
126. — Chronique de cette abbaye par Lam-
bert de Schafnabourg, XIII, 400.
HISTOIRE. Utilité de la connaissance de
l'histoire pour l'intelligence de l'Écriture
sainte ; doctrine de saint Augustin, IX, 606,
607. — Règles que doivent suivre ceux qui
écrivent l'histoire, Xllî, 74.
HISTOIRE SACRÉE, écrite par Moïse, est
la plus ancienne selon saint Justin, I, 437.
— Histoire sacrée , écrite par Sulpice-Sé-
vère, VHI, 113 et suiv. — Abrégé de l'His-
toire sainte par saint Pirmin, XII, 104, 103.
HISTOIRE ECCLÉSIASTIQUE sous le titre
de Commentaires de saint Hégésippe, I, 474.
- Histoire ecclésiastique d'Eusèbe de Cé-
sarée, III, 198, 199. — Divers points de
l'histoire de l'Église rapportés par saint Op-
tât, V, 140, 141. — Histoire ecclésiastique
d'Eusèbe, traduite par Rufm d'Aquilée, VII,
459 et 469, et continuée par le même, 469,
470. — Histoire ecclésiastique de Philostorge,
VIII, 310 et suiv. Histoire ecclésiastique de
Socrate, 515 et suiv. Histoire ecclésiastique
de Sozomène^ 526 et suiv, — Histoire ecclé-
siastique de Théodoret, plus exacte et plus
complète que celle de Socrate et de Sozo-
mène, X, 42 et suiv. Fautes contre la chro-
nologie qu'on reproche à cette Histoire ; ju-
gement de Photius sur cette Histoire, 42. Sa
distribution en cinq livres, 42 et 43. En quel
temps elle a été écrite, 43. Analyse de cette
Histoire, 43 et suiv. Différentes éditions et
traductions qu'on en a faites, 141, 142. —
Histoire tripartite d'Épiphane le Scholastique ,
ou traduction latine de celles de Socrate, de
Sozomène et de Théodoret, XI, 102. Histoire
tripartite de Théodore le Lecteur, qui réunit
celles de Socrate, de Sozomène et de Théo-
doret, 103. Histoire ecclésiastique de Théo-
dore le Lecteur, servant de continuation à son
Histoire tripartite, 103 et suiv. Histoire ecclé-
siastique de Basile de Cihcie; Histoire ecclé-
siastique de Jean d'Egée, 110. Histoire tri-
partite composée par Cassiodore, 220, 221.
Histoire ecclésiastique des Français par saint
Grégoire de Tours ; différents titres donnés
à cet ouvrage ; temps où il fut composé, 367.
Analyse des dix livres qui le composent, 368
et suiv. Différentes éditions qu'on en a fai-
tes, 398, 399. Histoire ecclésiastique d'Éva-
gre le Scholastique, 416. Analyse des six li-
vres qui la composent, 416 et suiv. Éditions
qu'on en a faites, 420. Histoire ecclésiastique
écrite par un Hésychius, 637. — Histoire ec-
clésiastique des Anglais, ouvrage de Bède,
XII, 3, 6. Histoire du Christianisme parHai-
mon, évêque d'Halberstat, 437. — Histoire
ecclésiastique composée parLanfranc; nous
ne l'avons plus, XIII, 457. — Histoire ecclé-
siastique de Hugues de Sainte-Marie, moine
de Fleury-sur-Loire,XIV, 242, 243. Histoire
ecclésiastique écrite par Ordéric Vital, moine
de Saint-Évroul, 369. Analyse des treize li-
vres qui la composent, 369 et suiv. Juge-
ment sur cette Histoire, 372. Édition qu'on
en a faite, 372 et 373. [Éditions récentes, 373.]
[HISTOIRE DES SAINTS CONCILES et des
hérésies depuis la prédication des apôtres,
par saint Germain, patriarche de Constanti-
nople, XII, 41, 42.]
HISTOIRE BYSANTINE. Continuation de
cette Histoire par Théophane, XII, 796, 799.
[Cette continuation est au t. CIX de la Pairo-
logie grecque.] Suite de l'Histoire des empe-
reurs d'Orient^ par Léon, diacre de Constan-
tinople, 881. — Histoire bysantine, conti-
nuée par Michel Psellus , XIII , 337. —
Histoire des empereurs d'Orient par Nicé-
phore Brienne, XIV, 643.
S34
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
835.
[HISTOIRE DES FRANCS, par le moine
Richer, XH, 890 et suiv.]
HISTOIRE LAUSIAQUE, ouvrage de Pal-
lade, évêque d'Hélénopole, contentint les
Vies des solitaires d'Egypte, VII, 486 et
suiv.
HISTOIRE MÊLÉE, titre que l'on donne
quelquefois à l'Abrégé de l'Histoire romaine
de Paul, diacre, XII, 143.
HISTOIRE PHILOTHÉE, nom sous lequel
quelques auteurs citent l'Histoire des soli-
taires que Tliéodoret a composée, X, SO et
suiv.
HISTOIRE SGHOLASTIQUE écrite par
Pierre Comestor. Analyse de cette Histoire ;
elle est appelée scholastique, parce qu'on en
faisait usage dans les écoles, XIV, 743. Édi-
tions qu'on en a données ; traduction fran-
çaise par Guiars des Moulins, 744.
HISTOIRE TRIPARTITE d'Épipliane le
Scliolastique. Éditions qu'on en a faites, VIII,
521. — Elle a précédé celle de Cassiodore,
XI, 102. Histoire trjpartite composée en grec
par Théodore le Lecteur, 103. Histoire tripar-
tite composée en latin par Cassiodore, 220,
221. Reproches qu'on fait à l'auteur, 221.
Éditions et traduction de cette Histoire, 254.
HISTOIRE UNIVERSELLE, écrite par Paul
Orose, X, 4. Analyse de cette Histoire, 4 et 5=
DiËférentes éditions qu'on en a faites, 6.
HISTOIRE UNIVERSELLE, ou Chronique
de Fréculphe, XII, 417, 418.
HISTOIRE UNIVERSELLE de Rodolphe
Glaber depuis l'an 900 jusqu'à 1046, XIII,
143 et suiv. Analyse de cette Histoire, 144 et
suiv. Jugement sur cette Histoire ; éditions
qu'on en a faites, 147.
HISTOIRE ABRÉGÉE de Nicéphore, XII,
281.
HISTOIRE DES GESTES des rois et des
empereurs, par Luitprand, XII, 874.
[HISTORIA SOLEMNIS, ouvrage inédit
d'Honoré d'Autun. On ne sait s'il est diffé-
rent de l'écrit du même, intitulé : Summa
totius de omni modo historia, XIV, 302.]
HISTORIAL du cardinal Humbert. On ne
sait ce que c'est, XIII, 253.
HITTON, évêque de Frisingue. Sa mort ;
Échambert, son neveu, lui succède, XII,
440.
HITTORPIUS. Son édition des Homélies
d'Haimon d'Halberstat sur les Évangiles,
XII, 435.
HOBBES (Thomas), philosophe anglais.
Son sentiment sur le Pentateuque, I, 23.
HOBIER ( ). Sa traduction fi'ançaise du
traité de Tertullien : De la Patience, II, 86.
[HOGER, évêque de Hambourg. Le pape
Sergius HI lui écrit, XH, 743.]
HOEL, évêque du Mans. Sa mort ; Hilde-
bert lui succède, XIV, 207.
HOÉLI, surnommé le Bon, roi de Galles.
Ses lois, XHl, 746.
[HOCFEDER (Gaspar). Son édition de
l'Image dumonde, par Honoré d'Autun, XIV
298.] ^
HOÉNUS, poëte du v° siècle, l'un des maî-
tres de saint Sidoine Apollinaire, X, 379.
HOESCHELIUS ou HOESCHEL (David), bi-
bliothécaire d'Augsbourg. Ses traductions
latines de quelques ouvrages de Pliilon, I,
313. Ses notes sur saint Justin, 445. — [Son
édition de deux lettres de Jules Africain, II,
96.] Son édition du traité d'Origène contre
Celse, 255. — Son édition de la Vie de saint
Antoine par saint Athanase, IV, 231 ; — de
quelques poèmes de saint Grégoire de Na-
zianze, V, 360. — Son édition du discours
de saint Grégoire de Nysse de l'amour des
pauvres, VI, 258; de plusieurs autres dis-
cours, 259. — Sa version latine de plusieurs
homélies de saint Jean Ghrysostôme, VII,
435. — Son édition de la Question de Théo-
doret sur le livre de Ruth, X, 140. — Son
édition des Sommaires sur les douze Petits
Prophètes, ouvrage du prêtre Hésychius,
XI, 657. — Son édition de la Bibliothèque
de Photius, XII, 722, 723. — Son édition des
huit premiers livres de l'Alexiade d'Anne
Comnène, XIV, 147.
HOHÉNAU, vihe de Bavière dans le dio-
cèse de Saltzbourg. Concile tenu en cette
ville, XIV, 1138.
HOLOPHERNE, général des Assyriens :
son entreprise sur Béthulie, I, 95.
HOLSTÉNIUS (Luc), bibliothécaire du Va-
tican, Ses notes sur la traduction qu'Accio-
cole a faite du traité d'Eusèbe contre Hié-
roclès, III, 311. Son édition de la Règle de
saint Pacôme, 368. — Son édition du traité
de Fastidius, intitulé : Delà Vie chrétienne,
X, 133. — Son édition du Gode des règles
de saint Benoît d'Aniane, XII, 259.
HOMBLIÈRES, monastère de filles, à une
lieue de Saint-Queutin ; le relâchement s'y
étant introduit, on y établit des moines, XII,
864.
HOMÉLIES : de saint Hippoly te sur divers
sujets, I, 616, 617. — Homélies d'Origène
sur l'Écriture sainte, H, 249 et suiv.; — tra-
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
333
duiles par Rufm d'Aquilée, VH, 463, 464.
Quatre homélies d'Origène sur le Cantique
des Cantiques, faussement attribuées à saint
Jérôme, 648. Homélies du même sur le Can-
tique des Cantiques, traduites par saint Jé-
rôme, 364. Homélies du même sur Ézéchiel
et sur Jérémie. Lettre de saint Jérôme à
Vincent, ou préface sur la traduction de ces
homélies. Lettre du saint docteur à sainte
Paule et à sainte Eutochie, ou préface de
la traduction des homélies d'Origène sur
saint Luc, 646. — Homélies attribuées à saint
Athanase, IV, 182. Homélies faussement at-
tribuées à Eusèbe d'Émèse, 319. HoméHe
sur les Rameaux, attribuée à Tite de Ros-
tres, 344. Homélies de saint Basile le Grand
sur l'Écriture sainte, 363 et suiv. ; sur divers
sujets, 376 et suiv. Homélies faussement at-
tribuées à saint Basile le Grand, 489 et suiv.
— Homélies de saint Cyrille de Jérusalem
sur le Paralytique, V, 36. Homélies de saint
Ambroise sur douze psaumes, 423, 424. Ho-
mélies perdues de saint Ambroise, 513. Les
cinquante homélies sous le nom de Macaire
ne sont pas de saint Macaire d'Egypte, mais
d'un autre qui vivait depuis l'hérésie de Pe-
lage, 399. — Homélie de saint Éphrem sur
la perle de l'Évangile, VI, 39, 40. [Homélie
par le même sur la femme pécheresse, 506.]
Homélies sur ces paroles : « Faisons l'homme
à notre image, » faussement attribuées à saint
Grégoire de Nysse, 131. Homélie de saintGré-
goire de Nysse sur le psaume sixième, 135 ;
sur l'Ecclésiaste, 135 et suiv.; sur le Can-
tique des Cantiques, 137 et suiv.; sur l'Orai-
son dominicale, 1^9 et suiv.; sur les huit
Béatitudes, 142 et suiv. Homélie de Nec-
taire, évêque de Constantinople, 282. Ho-
mélies de saint Astère d'Amasée, 292 et
suiv. Homéhe de Novat, moine catholique,
adressée à ses frères sur l'humilité et l'obéis-
sance, 351. — Homélies de saint Jean Chry-
sostôme contre les Anoméens, VII, 41 et suiv.
Quelques homélies faussement attribuées à
ce saint docteur, 37. Homéhes de ce saint
évêque sur la sédition d'Antioche, ou sur
les statues, 38 et suiv.; sur le démon, 74 et
suiv.; sur la pénitence, 76 et suiv.; sur les
mystères deNotre-Seigneur, 79 et suiv.; sur
divers sujets, 82 et suiv. Homélies attribuées
à ce Père, 97. Douze homéhes de saint Jean
Chrysostôme sur divers endroits du Nouveau
Testament, 98 et suiv. Homéhes du même
Père sur divers autres sujets, 103 et suiv.
Homéhes faussement attribuées à saint Jean
Chrysostôme, 141, 142. Soixante-sept ho-
mélies de ce Père sur la Genèse, 142 et suiv.
Cinq homéhes du même Père sur Anne,
trois sur Saûl, et une sur David, 168 et suiv.
Cinquante-huit homélies de ce Père sur les
Psaumes, 173 et suiv. Quatre homélies du
même sur les Psaumes. Homélies sur les
Psaumes, faussement attribuées à saint Jean
Chrysostôme, 192, 193. Six homélies du
même Père sur Isaïe, 194 et suiv. Autres
homéhes du même Père sur le même pro-
phète, 197. Homélies du même Père sur
Jérémie , 197 et 198. Deux homélies du
même Père sur l'obscurité des prophètes,
198, 199. Homélie du même Père sur un
passage de l'Évangile de saint Jean, 200,
201 . Homéhe du même Père sur Melchisé-
dech. Homélie du même Père contre les
jeux et les théâtres, 201 ; sur la seconde
Épître à Timothée, 201 et 202 ; sur la cha-
rité ; sur Joseph et sur la continence, 202.
Homélie sur la naissance de Jésus-Christ,
attribuée à saint Jean Chrysostôme; ho-
mélie sur l'unique Législateur, attribuée au
même Père, 204. Homéhe sur le vingt-
unième chapitre de saint Matthieu, aussi at-
tribuée à ce Père, 204 et 203. Six homélies
de Sévérien, évêque de Gabales, sur la
Création : elles sont faussement attribuées
à saint Jean Chrysostôme, 203 et suiv. Ho-
mélie de Sévérien sur le serpent, 206, 207.
Homéhes faussement attribuées à saint Jean
Chrysostôme sur la Genèse; sur Job, 209.
Quatre-vingt-dix ou onze homélies de ce
Père sur saint Matthieu, 211 et suiv. Qua-
tre-vingt-sept ou huit homélies de ce Père
sur saint Jean, 232 et suiv. Homéhes faus-
sement attribuées à saint Jean Chrysostôme,
256 et suiv. Quelques-unes de ces homélies
sont faussement attribuées à Sévérien ,
évêque de Gabales , 236. Cinquante-deux
homéhes du même Père sur le livre des Ac-
tes des apôtres, 260 et suiv. Trente-deux ou
trente-trois homéhes de ce Père sur l'Épître
aux Romains, 268 et suiv. Quarante-quatre
homéhes de ce Père sur la première Épître
aux Corinthiens, 288 et suiv. Trente homé-
hes de ce Père sur la seconde Épître aux
Corinthiens, 304 et suiv. Vingt-quatre ho-
méhes du même saint Jean Chrysostôme sur
l'Épître aux Éphésiens, 313 et suiv. Quinze
ou seize homélies de ce Père sur l'Épître
aux Philippiens, 319 et suiv. Douze homélies
du même Père sur l'Épître aux Colos-
siens, 323 et suiv. Onze homéhes de ce Père
S36
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
sur la première Épître aux Thessaloniciens,
et cinq sur la seconde, 326 et suiv. Dix-huit
homélies de ce Père sur la première Épître
à Timothée, et dix-huit sur la seconde, 328
et suiv. Six homélies de ce Père sur l'Épître
à Tite, 333, 334. Trois homélies du même
Père sur l'Épître à Philémon, 334. Trente-
quatre homélies du même Père sur l'Épître
aux Héhreux, 333 et suiv. Onze homélies de
ce Père sur divers sujets, 340 et suiv. Ho-
mélies faussement attribuées à saint Jean
Ghrysostôme, 343. Treize discours ou homé-
lies attribués à ce Père, 343 et 346. [Homé-
lie sur le saint jour de la Pentecôte, par le
même, 750. Deuxième homélie sur la péni-
tence des Ninivites, par le même, 750. Ho-
mélie sur les dix mille talents, par le même,
751. Cinq homélies du même, publiées par
Bêcher, 751. Sur l'authenticité de l'homélie
sur la préparation à la Communion, 731,
n. 1. Péroraison de la dix-huitième homélie
sur la Genèse, par le même, 732.] Homé-
lies surHéli, sur Joseph, sur Suzanne et sur
les trois enfants de Babylone, faussement
attribuées à Sévérien, évêque de Cabales ;
quinze homélies de Sévérien de Gabales, pu-
bliées par le père Aucher, 209. Autres ho-
mélies supposées de Sévérien évêque de
Gabales, 343, 344. Trois homélies de saint
Chromace, évêque d'Aquilée, 494, 493.
Homélies faussement attribuées à saint
Chromace, 496. Homélies faussement attri-
buées à Jean de Jérusalem, 502. Homélie
des Pasteurs, ouvrage de saint Augustin, at-
tribué à saint Jérôme; homélie sur la para-
bole d'un importun qui demande du pain à
son ami, aussi attribuée à saint Jérôme,
648. — Homélie faussement attribuée à
Cassien, sous le titre de Remède spirituel
du moine, VIII, 200. Homélies de saint Cy-
rille d'Alexandrie, 279 et suiv. [Fragment de
la première homélie que le Christ ne doit pas
être appelé homme porte-Dieu, mais Dieu fait
homme , 365. Fragment d'une homélie aux
Alexandrins, parle même, 365.] Homélies de
Nestorius, rassemblées par le père Garnier,
372, 373. Homélies de saint Eucher de Lyon,
453, 454. — Homélies ou traités de saint
Augustin sur l'Évangile selon saint Jean et
sur la première Épître de cet apôtre, IX,
220 et suiv. Dix-neuf homélies sur l'Apoca-
lypse, ouvrage faussement attribué à saint
Augustin, 229. — Homélies de saint Maxime
de Turin, X, 320 et suiv. Homélies de saint
Gennade, patriarche de Constantinople, qui
ne se trouvent plus, 343. Homélies de saint
Avit de Vienne, 563 et suiv. — Homélies du
pape saint Grégoire sur Ézéchiel, XI, 432
et suiv. Homéhes du même sur les Évan-
giles, 435 et suiv. Les homélies imprimées
sous le nom de saint Ildefonse de Tolède, ne
sont pas de lui, 773, 777. — Homélies du
Vénérable Bède, XH, 10, 11. Autres homé-
lies qu'on lui attribue, mais qui ne sont pas
de lui, 11, 12. Homélies attribuées à saint
Boniface, archevêque de Mayence, 53 et suiv.
Homélies de saint Jean Damascène , 86, 87.
Homélies d'Ambroise Autpert, 124, 125.
Homiliaire de Paul, diacre, 144, 143.
Autre d'Alain, abbé de Tarse, 119 et 143.
La plupart des homélies attribuées à Alcuin
sont d'Ambroise Autpert, 186. Homélies
d'Alcuin; autres qu'on lui a attribuées, 207.
Recueil d'homélies de Raban Maur, 452. Ho-
mélies d'Héiric, moine de Saint-Germain
d'Auxerre, 641. Homélies de Photius, 733.
734. Homéhes de Rémi, moine d'Auxerre,
737. — [Homélie pour la fête de saint Alexis
par saint Adalbert, évêque, XIII, 96.] Ho-
mélie sur sainte Scholastique, par le cardi-
nal Albéric, 494. Homélies qu'on ordonne de
traduire en langue romane rustique ou en
langue tudesque, 643, 646. — [Homélies sur
les Évangiles que saint Grégoire n'a point
expliqués, ouvrage perdu d'Honoré d'Au-
tun, XIV, 302. Homiliaire ou recueil d'ho-
mélies de Gilbert FoHoth, 667, n. 1.] (Voyez
Se7'rnons.)
HOMÈRE, poète grec. Explication des vers
d'Homère par Procope de Gaze, citée par
Photius, XI, 179.
HOMÉRITES, peuples d'Arabie. Lettre de
Siméon, évêque de Beth-Arsam, sur plu-
sieurs martyrs des Homérites, X, 644, 643.
Lois pour les Homérites attribuées à saint
Grégentius, archevêque de Taphar, XI, 279,
280.
HOMICIDE. Doctrine d'Athénagore sur
l'homicide, I, 483. — Doctrine de Lactance,
II, 314. Canon soixante-sixième apostolique,
386. Canons cinquième et sixième d'Elvire,
603, 606. Canons soixante-troisième et soi-
xante-huitième du même concile, 612 et
613. Canons vingt-unième et vingt-deuxième
du concile d'Ancyre, 639. Canon vingt-qua-
trième du concile d'Ancyre, 640. Homicide
des esclaves : cinquième canon du concile
d'Elvire, 603. — Canon deuxième dans la
première épître canonique de saint Basile
le Grand; canon septième du même; canon
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
537
liuitième du même, IV, 460. Canon onzième,
canon treizième , 462. Canon trente-troi-
sième dans la deuxième épître canonique
de saint Basile, 467 ; canon quarante-troi-
sième, 468; canon cinquante-deuxième^
cinquante-cinquième , cinquante-sixième ,
cinquante-septième dans la troisième épître
canonique du même, 472, 473. — Réponse
quatorzième de Timothée d'Alexandrie, V,
95. — Canon cinquième de l'épître cano-
nique de saint Grégoire de Nysse, VI, 157,
158. — Doctrine de saint Augustin sur le
suicide ou homicide de soi-même, IX, 169,
170 et 377. L'homicide soumis à la péni-
tence publique, 777. — Canon du concile de
Tours qui défend tout commerce avec eux;
canon du concile de Vannes qui sépare de
la communion les homicides jusqu'à ce
qu'ils aient eflfacé leur crime par la péni-
tence, X, 712. — Pénitence imposée à un
homme qui avait tué son frère, XI, 377. Ho-
micide interdit aux clercs dans quelque cas
que ce puisse être, 824. — Pénitences im-
posées aux homicides, XII, 27, 159, 581,
638. Suivant les lois barbares, il était permis
à tous les parents de tirer vengeance de
l'homicide, 29. Jugement de saint Paulin
touchant un homme qui avait tué sa femme,
159. Ceux qui exposent un enfant sont punis
comme homicides, 229. Défense de donnera
manger aux homicides qui se réfugient dans
les temples, 230. Questions sur les homici-
des, 464. Règlement du pape saint Nicolas I
sur la sépulture de ceux qui se tuent
eux-mêmes. Pénitence imposée par le
pape saint Nicolas I pour un homicide, 584.
Un prêtre homicide ne peut plus faire les
fonctions de son ordre, 649, 650. L'homi-
cide volontaire excommunié toute sa vie,
915. — Pénitence imposée à un homme qui
avait tué son père, XIII, 55. Saint Fulbert
refuse d'absoudre les homicides de Senlis,
83. Pénitences prescrites par le pape Ale-
xandre II pour l'homicide, 292. Genre de
pénitence imposée dans l'onzième siècle aux
homicides de leurs parents, 596. Pénitence
prescrite par un concile de Worms pour
l'homicide commis en la personne d'un prê-
tre, 701. Pénitence prescrite pour le même
crime par un concile de Mayence, 731, 732.
Canons du concile de Tribur, 735, 736. Ce-
lui qui séduit un chrétien pour le vendre est
coupable d'homicide, 744. Lettre circulaire
de l'évêque de Schepton sur un homicide,
765. [Homicide commis par un prêtre en
défendant sa vie et celle de son père : dé-
cision de Lanfranc, par rapport à ce cas,
455, 456. — Décisions du pape Clément III
sur plusieurs cas d'homicide involontaire
commis par des clercs, XIV, 939, 940. Cas
d'homicide involontaire, 975, 976.]
HOMILIAIRE , ou recueil d'homélies.
Voyez Homélies.
HOMMAGE, père d'Ibérie, femme de Ru-
ricius : poëme que lui adresse saint Sidoine,
X, 397.
HOMMAGE. Défense aux clercs de faire
hommage aux laïques pour des biens tem-
porels, XIV, 135 et 1168.
HOMME. Doctrine de saint Irénée sur
l'homme véritablement spirituel, I, 513. —
Devoirs de l'homme envers Dieu ; en quoi
consiste son vrai bonheur. Doctrine de Lac-
tance, iï, 508, 509. — Doctrine d'Eusèbe de
Césarée sur l'état de l'homme avant l'Incar-
nation, III, 192. Doctrine d'Eusèbe de Césa-
rée sur l'homme, 280. [État surnaturel de
l'homme, d'après Macaire Maguès, 156, n.
4.] — Doctrine de saint Athanase : état de
l'homme durant et après le péché, IV, 205 et
suiv. Réparation du genre humain par Jésus-
Christ, 205 et 206. — Poëme de saint Grégoire
de Nazianze sur les misères de l'homme, V,
273, 274; sur le bonheur de l'homme, 273.
Poëme de saint Grégoire de Nazianze sur lu
grandeur et la bassesse de l'homme, 278.
Livre sur la dignité de la condition humaine,
faussement attribué à saint Ambroise, 312.
[Témoignage de Didyme l'Aveugle sur l'hom-
me, 623.] — Traité de la Formation de l'hom-
me, ouvrage de saint Grégoire de Nysse, VI,
128 et suiv. Homélie sur ces paroles : « Fai-
sons l'homme à notre image, » faussement
attribuée à saint Grégoire de Nysse, 131.
Traité qui a pour titre : Comment l'homme
est fait à l'image de Dieu, faussement at-
tribué à saint Grégoire de Nysse, 145, 146.
[De la nature de l'homme, ouvrage de Némé-
sius, 243 et suiv. Exphcation de ces paroles :
« Faisons l'homme à noti-e image et à notre
ressemblance, » par saint Zenon de Verceil,
247.] — Réflexions de saint Jean Chrysostôme
sur l'origine de l'homme, VII, 148. Discours
intitulé : A quoi l'homme est semblable,
faussement attribué à Théophile d'Alexan-
drie, 447. — En quel sens il est fait à l'image
de Dieu; pourquoi il a perdu son domaine
sur les animaux, VIII, 491. — Doctrine de
saint Augustin sur l'homme, IX, 307 et suiv.
— Le nom d'homme est commun à toute la
538
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
nature humaine, X, 80. Il est de l'usage
commun de donner le nom d'homme à
toutes ses parties, 81. Les malheurs aux-
quels il peut être sujet ont leur utilité et
leur avantage, 90. Discours de Théodoret
sur la nature de l'homme, 93, 94. L'homme
est libre de sa nature, 118. Il est en son
pouvoir de régler en quelque manière le
jugement de Dieu, 187. D'où vient quêtant
qu'il est sur la terre, il fait des chutes con-
tinuelles, 282. En quel sens Dieu veut sau-
ver tous les hommes, 282 et 286. — De la
Formation de l'homme, ouvrage de saint
Grégoire de Nysse, traduit en latin par
Denys le Petit, XI, 123. Doctrine du pape
saint Grégoire sur l'état du premier homme,
564, 363. Discours d'Anastase Sinaïte, de
la formation de l'homme à l'image de Dieu,
608. Deux livres du même sur la formation
de l'homme sont perdus, 609. — Homélie
de saint Boniface de Mayence sur l'origine
de la nature humaine, XII, 33. Autre sur la
réparation du genre humain, 34. Explica-
tion que donne Alcuin de ces paroles : « Fai-
sons l'homme à notre image et ressem-
blance, » 168. Résolution d'une question sur
la perte de tous les hommes par Adam :
écrit de saint Rémi de Lyon, 618. Obser-
vation sur l'état surnaturel de l'homme,
618, n. 3. — Deux livres de saint Anselme ;
Pourquoi Dieu s'est fait homme, XIV, 14,
13. Lettre de Zonare intitulée : De l'homme
créé à l'image de Dieu, 137. Miroir de l'état
de l'homme, ouvrage d'Adalbert, moine de
Spaldingen , en Angleterre , 346. [De la
création et de la rédemption du premier
homme, ouvrage du cardinal Drogon, ce
que c'est, 249. L'homme considéré comme
un monde en raccourci, par GeofTroi ou Go-
defroi, chanoine de Saint-Victor, 813. Quem
dicunt hommes esse filiiim hominis ? Explica-
tion de ces paroles par Alexandre , abbé de
Jumiége, 822. Homme parfait, d'après Alain
de Lille, 867, 868. Prose d'Alain de Lille sur
la caducité de la nature humaine, 870.]
HOMMES ILLUSTRES. Traité des hommes
illustres, par Sigebert de Gemblou, XIV,
61, 62.
HOMO DOMINIGUS. Expression employée
par saint Athanase et par saint Jérôme, V,
19 et 318.
HOMOBONUS, sous-diacre de l'Église ro-
maine, XI, 332.
HOMOIOUSIOS et HOMOOUSIÛS , mois
grecs. Ditférence essentielle de ces deux
mots dans la controverse des catholiques
contre les Ariens, III, 424, n. 7 et 426.
HOMOPHRONE, moine. Saint Grégoire de
Nazianze lui écrit, V, 26.
HONESTIS (Pierre de), \ojez [Pierre de
Honeslis.
HONGROIS, peuples barbares. Descrip-
tion de leurs mœurs, XII, 770. Ravagent
l'abbaye de Saint-Gai, 879.
HONNÊTE. Traité de l'Honnête et de
l'Utile, opuscule du Vénérable Hildebert,
XIV, 218.
HONNEUR. On n'est pas moins homicide
en ôtant l'honneur à son prochain qu'en lui
ôtant la vie, V, 140.
HONORAT (Saint), évêque de Verceil. Son
élection ; il assiste à la mort de saint Am-
broise, V, 373.
HONORAT, évêque dans la Mauritanie.
Concile d'Hippone auquel il assiste ; il y de-
mande un règlement pour la Pâque, VU,
712, et un primat pour sa province, 713, 714.
HONORAT, évêque donatiste. Lettre que
lui écrivit saint Augustin, IX, 82.
HONORAT, catéchumène. Lettre que lui
écrivit saint Augustin, IX, 123, 126.
HONORAT, prêtre. Lettre que lui écrivit
saint Augustin, IX, 181.
HONORAT, ami de saint Augustin, IX, 4.
Ce saint docteur lui adresse son livre de
rutililé de la foi, 332.
HONORAT (Saint), abbé de Lérins, quitte
sa retraite pour venir exhorter saint Hilaire
à se convertir ; devient évêque d'Arles, VIII,
440. Sa mort, 433 et 440. Ses homélies, ses
lettres et sa règle, 440. Son panégyrique sur
saint Hilaire qui lui avait succédé, 439,440.
Vie de saint Honorât par saint Edésius ;
diverses éditions qui en ont été faites, 441,
442. Lettre de saint Eucher à saint Ho-
norât, 440 et 452. — Homéhe où il est loué,
IV, 320. — Union de saint Eucher de Lyon
avec lui, VIII, 442. — Son éloge funèbre,
composé par Salvien, X, 377. (Voyez son ar-
ticle dans l'Histoire littéraire de la France,
t. n, p. 136 et suiv.)
HONORAT (Saint), évêque de Marseille, au-
teur de la Vie de saint Hilaire dont il avait été
le disciple, VIII, 434, 438, 439. —Son éloge ; sa
Vie de saint Hilaire d'Arles ; ses autres écrits
sont perdus, X, 600. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. II, p. 644
et suiv.)
HONORAT (Antonin), évêque de Constan-
tine ou de Cirthe. Sa lettre à Arcade et à ses
925.
396.
412.
V. 429.
391.
427.
429.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
539
compagnons pour les confirmer dans la foi,
X, 466, 467. Différentes éditions de cette
lettre , 468, [Édition dans la Patrologie ,
468.]
HONORAT, évêque de Novare, XI, 96.
533. HONORAT, archevêque de Bourges, pré-
535. side au second concile d'Orléans, XI, 847; à
celui de Clermont en Auvergne, 849.
HONORAT (Saint), abbé àFondi. Sa vie et
ses miracles rapportés dans les Dialogues du
pape saint Grégoire, XI, 473.
580. HONORAT, archidiacre de l'Église de Sa-
lone, présenté par son évêque. Lettre du
pape saint Grégoire à ce sujet.
HONORÉ (Saint), archevêque de Cantor-
béry. Voyez Honorius (Saint).
X siècle. HONORÉ, évêque de Beauvais. Ses diffé-
rends avec Foulques, archevêque de Reims,
XII, 710.
[HONORÉ ou HONORIUS , prêtre et scho-
lastique de l'Église d'Autun, ensuite solitaire
ou moine. Ce qu'on sait des circonstances de
sa vie, XIV, 293, 294. Ses ouvrages imprimés :
['Elucidariwn,29i, 295; le Sigillum Mariœ ;
l'Inévitable; le Miroir de l'Église, 295 ; la
Perle de l'âme, 295 et 296 ; le Sacrameu-
taire, 296; l'Hexaméron, 296 et 297; l'Eu-
charisticon, 297 ; la Connaissance de la vie,
297 et 298 ; l'Image du monde, 298 ; le Traité
du pape et de l'empereur, 298 et 299;
l'Éclielle du ciel; l'Explication du Psautier,
299 ; le Catalogue des écrivains ecclésiasti-
ques, 299 et 300 ; le Traité de la philosophie
du monde, 300, 301 ; la Summa duodecim
quœstionum ; le Dialogue entre le maître et
le disciple ; le Traité de l'exil et de la patrie
de l'âme ; le Traité du libre arbitre ; le Dis-
cours sur la vie du cloître, 301. Écrits non
imprimés ou perdus, 301 et 302. Jugement
des écrits d'Honoré, 202 et 303. Édition de
ses œuvres dans la. Patrologie ; jugement sur
l'auteur, 303.]
HONORI, monastère de la Bétique pour
lequel saint Isidore de Séville compose sa
règle, XI, 723.
V siècle. HONORIUS, empereur, renouvelle l'or-
donnance de Constantin contre le spectacle
des gladiateurs, HI, 124, — et X, 139. --
Sa loi contre lesjovianianistes, IV, 632. — 11
défend aux ecclésiastiques d'avoir avec eux
des femmes, V, 304. Saint Ambroise pro-
nonce en sa présence l'oraison funèbre de
Théodose, 307. — Honorius écrit à l'empe-
reur Arcade en faveur de saint Jean Chry-
sostôme, VII, il. Le pape saint Innocent le
sollicite en faveur de quelques ecclésiasti-
ques, 506. — Honorius se déclare pour l'an-
tipape Eulalius, VIII, 6. Il l'abandonne et
confirme l'élection du pape Boniface, 7. Let-
tres et dépntation du pape Boniface à l'em-
pereur, 9. — Il donne des lois contre les
Donatistes, 16 et 96. Accorde la liberté de
conscience, 107. Lettres des empereurs Ho-
norius et Théodose à Arcade de Carthage et
à saint Augustin, 169. Il défend les solenni-
tés sacrilèges du paganisme, 363. — Il ban-
nit un évêque déposé par un concile, VIII,
341. Il fait une loi contre les Pélagiens, 556.
Il fut tenu sur les fonts de baptême par saint
Arsène, qui ensuite fut chargé de son édu-
cation, 398. Il convoque le concile de Ra-
venne pour terminer le schisme qui s'était
élevé dans l'Église de Rome au sujet de
l'élection d'un pape , 369 , 370. L'affaire
n'ayant pu être décidée dans ce concile, il
charge un évêque neutre de célébrer la fête
de Pâques à Rome, puis il convoque un au-
tre concile ; Eulalius est chassé de Rome par
son rescrit, et Boniface y rentre pour pren-
dre le gouvernement de l'Église. Honorius
défend les combats des gladiateurs, 570. —
Il fait mettre au nombre des martyrs le soli-
taire Télémaque qui était mort en s'opposant
à ces combats, X, 139.
HONORIUS, évêque de Dalmatie. Lettre
que lui écrit le pape Gélase, X, 499.
HONORIUS I, pape, succède à Boniface V ; c-26.
il envoie en Angleterre des missionnaires et
fait cesser le schisme de Tlstrie ; ses lettres à
Isaac, exarque de Ravenne, aux évêques de
Vénétie et d'Istrie, XI, 647 ; à Sergius, pa-
triarche de Constantinople, sur la question
des deux volontés et des deux opérations en
Jésus-Clirist, 647 et 648; à Edvin, roi de
Northumbre ; à Honorius, évêque de Can-
torbéry, à qui il accorde le pallium, et à l'é-
vêque d'York ; aux Écossais ; aux évêques
d'Épire ; au sous-diacre Sergius. Sa mort, 639.
648. [Recueil de ses écrits dans la Palrologie,
648, 649.] Écrits en sa faveur, 649. Apologie
d'Honorius par le pape Jean IV, 649 et 630,
— et XII, 714. — Honorius condamné par le
pape Léon II et parle sixième concile géné-
ral, XI, 784, — et XII, 951. Dissertation où
le père Garnier, jésuite, prétend prouver que
ce pape est tombé dans le monothélisme,
XII, 43. [Honorius n'est point compté parmi
les monothéhtes par saint Nicéphore, pa-
triarche de Constantinople, 293.] Lettre in-
sidieuse écrite à Honorius par le patriarche
S40
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
Sergius, 923. Il se laisse surprendre et donne
une réponse dont les Monothélites abusent;
sens favorable qu'on peut donner à cette ré-
ponse du pape, 924. Lettre d'Honorius à Cy-
rus, à Sophrone, à Sergius, 924 et suiv. Ses
lettres à Sergius, rejetées par le sixième con-
cile général tenu à Constantinople comme
favorisant le monothélisme, 9S1. [Observa-
tions sur la condamnation d'Honorius, 924,
n. 4, et 931, n. 1,955, n. 1 et 3.]
HONORIUS II, antipape, fait la guerre
pour entrer dans le siège de Rome, XIII,
283. Voyez Cardoloûs, évêque de Parme.
HONORIUS II, pape. Son origine; le pape
Pascal II le fait venir à Rome et lui donne
l'évêciié deVellétri ou d'Ostie ; il est envoyé
liai. légat en Allemagne et fait la paix entre le
112*. pape et l'empereur ; il est élu pour succéder
au pape Callixte II ; événements de son pon-
H30. tificat, XIV, 251. Sa mort, 231 et 232. Ses
lettres ; autre lettre du même, 232. [Lettres
d'Honorius dans la Patrologie^a^ et suiv., et
252, n. 2.] Les cardinaux se divisent dans le
choix de son successeur, 1110. Différentes
lettres que lui écrit le vénérable Hildebert,
212, 213.
633, HONORIUS (Saint), évêque de Cantorbéry.
Lettre que lui écrit le pape Honorius en lui
envoyant le pallium, XI, 648. — Sa Vie
écrite par le moine Gotcelin, XIII, 530, — et
XIV, 238.
619. HONORIUS, évêque de Cordoue. Diffé-
rentes plaintes portées contre lui à un con-
cile de Séville, XI, 914.
HOPITAUX. Il n'y en avait pas à Rome au
iii^ siècle, II, 477. — Saint Basile en fait bâ-
tir plusieurs, IV, 447, — et V, 210. Julien
l'Apostat veut faire bâtir des hôpitaux à l'imi-
, lation des chrétiens, V, 199. — Saint Pam-
maque en bâtit un pour les étrangers dans
le port de Rome, VII, 504. — Hôpital bâti
par saint Augustin pour les étrangers, IX, 14.
— Administrateurs des hôpitaux, XI, 261,
262. Administrateurs clercs, 497. Hôpital
fondé à Lyon par le roi Ghildebert et la reine
Ultrogothe; la fondation en est confirmée
par le cinquième concile d'Orléans, 863. —
Hôpitaux fondés ou rétabUs par le pape
Etienne II, XII, 112. A quelle condition on
accordait aux séculiers la permission de ré-
gir les hôpitaux, 232. — Hôpitaux fondés
par des églises cathédrales et gouvernés par
des chanoines, XIII, 651,652. Hôpitaux fon-
dés en France par des Hibernois pour ceux
de leur nation, 674. Dispositions d'un con-
cile de Pavie concernant les hôpitaux, 681.
— Décrets d'un concile de Paris concernant
les hôpitaux, XIV, 1156.
HOPKENSIUS (...), chanoine de Worches-
ter. Sa traduction anglaise du traité de Ra-
tramne sur l'Eucharistie, XII, 561.
HOPPER (Marc), docteur en droit, profes-
seur à Bâle. Sa traduction latine du quin-
zième livre de la Préparation évangéhque,
III, 313. — Son édition des œuvres de Cas-
sien et de saint Jean de Damas, VIII, 204. —
Son édition des œuvres de saint Jean Damas-
cène, XII, 98.
HOR, abbé en Egypte, visité par saint
Pétrone, X, 160.
HORLOGE. Traité de la mesure de l'hor-
loge, attribué au vénérable Bède, XII, 4. —
Horloges dans le monastère de Cassiodore,
XI, 234. [Description d'une horloge de la
ville de Gaza par Choricius, 181.] — Horloge
nocturne envoyée au roi Pépin par le pape
Paul I, XII, 116. Horloge d'un ouvrage ad-
mirable faite par Gerbert, 903.
HORLOGE, livre d'église à l'usage des
Grecs. Ce que c'est, XIII, 137. [Édition ré-
cente, 137.] Le Petit Horloge, 138.
HORLOGE MONASTIQUE, écrit attribué à
saint Nil, solitaire du Sinaï, VHI, 215, 216.
HORLOGE SOLAIRE, décrite en vers par
Wandalbert, XH, 599.
HORMISDAS (le prince), frère de Sapor,
roi de Perse, visite les saints martyrs Bonose
et Maximilien, HI, 409.
HORMISDAS, grand seigneur en Perse,
est dépouillé de ses charges et chassé du
royaume pour son attachement à la religion
chrétienne, X, 49. (La table du X' volume
le confond mal à propos avec le suivant.)
HORMISDAS (Saint), pape, succède à
Symmaque; le roi Clovis lui témoigne sa
joie de son élection et lui envoie une cou-
ronne d'or ; lettre d'Hormisdas à saint Rémi,
qu'il constitue son vicaire dans tous les états
du roi Clovis, X, 612. Lettre que lui écrit
l'empereur Anastase au sujet des troubles
excités par Vitalien ; réponse du pape qui
justifie la conduite de ses prédécesseurs,
613. Instruction du pape pour les légats
qu'il envoie en Orient, 613 et suiv. Articles
touchant la réunion, 61 5. Lettre àl'empereur;
il promet de se trouver au concile, 615 et 616.
Conduite peu sincère de l'empereur; lettre k
Dorothée de Thessalonique, 616. Lettres aux
évoques de l'ancienne Épire et à Jean de Ni-
copolis, 016 et 617. Lettres à saint Avit, évê-
t
IV siècle.
5U.
516.
515.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
541
que de Vienne, 617. Lettre à l'empereur
Anastase pour l'engager à exécuter ses pro-
messes, 617 et 618. Lettres à Timothée, évê-
quede Constantinople, aux évêques schisma-
tiques et aux évêques orthodoxes d'Orient,
et à Possessor, évêque d'Afrique, 618. Nou-
velles instructions que le pape donne à ses
légats avec des lettres pour l'empereur Anas-
tase, pour Jean de Nicopolis et pour Doro-
thée de Thessalonique, 618 et 619. L'empe-
reur refuse le formulaire présenté par les
légats du pape et lui écrit, 619. Lettre aux
archimandrites de Syrie en réponse à une
requête qu'ils lui avaient adressée, 619 et
620. Lettres à Jean de Tarragone, que le
pape fait son vicaire en Espagne, et à d'au-
tres évêques, 620, 621. Lettres à l'empereur
Justin et à Jean de Constantinople, 621 et
suiv. Voyage des nouveaux légats envoyés
par le pape ; leur arrivée à Constantinople,
623, 624. Lettre de l'empereur Justin et ré-
ponse du pape touchant la réunion de l'Éghse
d'Orient avec l'Église romaine, 624, 625.
Autre lettre du pape sur le même sujet, 625,
626. Lettre à Jean de Militane et aux évê-
ques d'Espagne pour leur faire part de la
réunion des Églises d'Orient, 626. Lettre tou-
chant les moines de Scythie, 626 et suiv.;
sur l'ordination d'Épiphane, évêque de Cons-
tantinople, et sur la réunion, 628 et suiv.
Lettre au pape et du pape à ses légats, 631.
Lettre à Possessor au sujet de l'écrit de Fauste
de Riez sur la grâce, 631 et 632. Jean
Maxence, moine de Scythie, écrit contre
cette lettre, 634. Lettre à Dorothée de Thes-
salonique, accusé d'avoir excité le peuple
contre les légats, 632, 633. Lettres au pape
Hormisdas. Décrets qu'on lui attribue. Sa
mort. Le décret touchant les livres sacrés et
ceux qui sont apocryphes n'est pas de saint
Hormisdas, mais de saint Gélase, 633. [Édi-
tion des écrits de saint Hormisdas dans la
Patrologie, 633.] Hormisdas exclut Fauste de
Riez du nombre des pères qu'il faut prendre
pour juges, 433. Lettre que lui écrit saint
Avit au nom de toute la province de Vienne,
561. — Lettre que saint Rémi de Reims lui
écrit; réponse d'Hormisdas qui le déclare
son vicaire et son légat, XI, 81 . Lettre que
lui écrit Jean de Cappadoce, patriarche de
Constantinople, et Épiphane, successeur de
Jean, 112. Il tient à Rome un concile, où
l'on confirme, à quelque chose près, ce qui
s'était fait au concile de Constantinople tenu
la même année, 823. [Soixante-dix-neuf let-
tres nouvelles de ce pape ont été éditées tout
récemment dans l'Appendice au Bullaire de
Turin.]
HORNBACH, monastère du diocèse de
Metz, Xn, 104.
HOROLOGGl (Joseph). Sa traduction ita-
lienne de l'Histoire des croisades, de Guil-
laume de Tyr, sous le titre de Guerre sacrée,
XIII, 536.
HORSTIUS (Jacques Merlon). Son édition
des œuvres de saint Bernard, XIV, 498.
HORTENSE, livre de Cicéron. Ce qu'il
opère sur saint Augustin avant sa conver-
sion, IX, 28.
HORTDLAN, évêque, refuse de jurer un
écrit présenté par Hunéric, X, 438.
HORTULAN, moine de Fondi, dont parle
saint Grégoire le Grand dans ses Dialogues,
XI, 473. [Le mot horiulanus employé par saint
Grégoire n'est pas un nom propre. V. n. 5.]
HORTULUS, poëmede Walafride Strabon.
Différentes éditions qu'on en a faites ; idée
de ce poëme, XII, 416.
HOSANNA. Le pape Damase consulte
saint Jérôme sur la signification de ce mot,
V, 19. — Lettre de saint Jérôme VII, 570.
HOSPITALIERS, ordre de chevalerie.
Plaintes formées au troisième concile deLa-
tran contre ces chevaliers hospitaliers, XIV,
1140.
HOSPITALITÉ. Manière de recevoir les
hôtes dans les monastères, selon saint Ba-
sile, IV, 402. — Règles données par saint
Éphrem sur Thospilalité, VI, 36. — Doctrine
de saint Jean Chrysostôme sur l'hospitalité,
VII, 116 et 267. — [Sermon de saint Augus-
tin sur l'hospitalité, IX, 841.] — Homélies
de saint Maxime de Turin sur l'hospitahlé,
X, 322. — Hospitahté recommandée par le
second concile de Mâcon,XI, 897. — Recom-
mandée aux laïques, XII, 234 ; ordonnée en-
vers les voyageurs, 235 ; recommandée sans
intérêt, 265. — Lettre du Vénérable Hildebert
sur l'hospitalité, XIV, 209. Éloge de l'hospi-
talité dans une lettre de Pierre de Blois, 768.
HOSPITON, chef des Barbaricins, peuple
de Sardaigne, se soumet au joug de l'Évan-
gile, XI, 497.
HOSTIE consacrée mise sur la poitrine
des défunts, XI, 569. — Usage établi en
plusieurs églises de donner à un prêtre,
après son ordination, une hostie consacrée
qu'il devait consumer pendant quarante
jours, XII, 80. Sentiment de saint Fulbert
sur cet usage, 81. Chaque particule est le
1179.
VI sléeli'.
542
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
corps de Jésus-Christ, et trois particules ne
font qu'un seul corps, 517. — Défense de
tremper l'hostie consacrée dans le sang de
Jésus-Christ, XIV, 126 et 134. Pourquoi, au
sacrifice de la messe, on met une partie de
l'hostie dans le calice, 236, 237. [La forme
des hosties, leur grandeur, leurs em-
preintes, 296 et 296, n. 1.] Il ne faut pas
donner une hostie non consacrée au lieu
d'une consacrée. Hosties renouvelées chaque
dimanche, 1146.
HOTES. Règle de saint Pacôme sur les
hôtes, III, 365. — Manière de recevoir les
hôtes, selon saint Ambroise, V, 487. — Ce
que prescrit à leur égard la règle de saint
Benoît, XI, 168.
HOVÉDEN (Roger de), professeur d'Ox-
ford. Voyez Roger de Hovéden.
HOYER (Michel), augustin. Sa Vie de saint
Éphrem, diacre d'Édesse, VI, 73.
HRATGAN, nom corrompu de Raban, à
qui un manuscrit attribue le traité d'Amo-
lon, contre les Juifs, XII, 433.
HUBERT (Saint), évêque de Maêstricht et
de Liège : Histoire de la translation de son
corps, écrite par Jonas, évêque d'Orléans,
XII, 394. — Monastère sous son nom dans
les Ardennes, XIII, 210. Relation des mi-
racles opérés par son intercession dans l'ab-
baye de son nom. Dès le xi" siècle, on re-
courait à ce monastère pour être guéri de
la rage» Les seigneurs faisaient des parties
de chasse le jour de la fête de saint Hubert,
466. Histoire de l'abbaye de Saint-Hubert,
par un anonyme qui vivait au commence-
ment du xii^ siècle, 595, 596. [Édition pu-
bliée par Pertz, et reproduite dans la Pa-
trologie latine , 596. Jugement que Pertz
porte de cet auteur, 595, n. 3.]
IX siècle. HUBERT, sous-diacre, qui s'était souillé
de plusieurs crimes. Lettre que le pape Be-
noît IH écrit à son sujet, XII, 409.
HUBERT, évêque de Parme, à qui Ra-
thérius de Vérone adresse un de ses écrits,
XII, 409.
XI siècle. HUBERT, auteur d'une Vie de sainte Gu-
dule. (Voyez son article dans l'Histoire lit-
téraire de la France, t. VII, p. 429 et suiv.)
XII sièeie. HUBERT, abbé de la Trinité de Vendôme,
obtient de Geotfroi, évêque de Chartres, la
confirmation des privilèges de son abbaye,
XIV, 170.
ijoi. HUBERT, évêque de Senlis, est accusé de
simonie au concile de Troyes, et se justifie,
XIV, 1078.
HUBERT , archevêque de Cantorbéry ,
nommé légat en Angleterre par le pape Cé-
lestin III. Lettres que ce pape lui écrivit,
XIV, 942. Lettres du pape Innocent III qui
lui sont adressées, 964, 974.
HUCBALD ou HUGBAUD, moine de Saint-
Amand, est élevé dans cette abbaye, XII,
799, 800. Rodulfe, élu abbé de Saint- Martin,
le demande pour lui servir de maître dans
les études qu'il voulait faire; Foulques, ar-
chevêque de Reims, le choisit avec Rémi
d'Auxerre, pour rétabhr les écoles de sa
ville épiscopale. De retour à Saint-Amand,
Hucbald est chargé de la direction de l'école
de ce monastère. Sa mort. Considération
que le roi Charles le Simple avait pour lui.
Ses écrits : Office de saint Thierry. Ses poé-
sies, 800. Vie de sainte Cifinie ; Martyre de
saint Cyr et de sainte Julitte ; Vie de sainte
Rictrude ; de sainte Aldegonde, 801 ; de
saint Lebwin, 56 et 802; de saint Jonas,
premier abbé de Marchiennes. Commentaire
sur la règle de saint Benoît, 802. Ses ou-
vrages sur la musique, 802 et 803. [Ses deux
ouvrages sur la musique pubfiés par Ger-
bert, 802, S03. Ses écrits dans la Patrologie,
800. Il est probablement l'auteur du can-
tique allemand sur Louis 111, 801.] Lettre
que lui écrit Odilon, moine de Sciint-Médard
de Soissons, 787. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, tome VI,
p. 210 et suiv.)
HUBERT (Saint), évêque de Tongres.
Voyez Saint Hubert, évêque de Maêstricht.
HUCHER DE VERNEUIL (Jean). Son édi-
tion des œuvres de saint Jean Chrysostôme,
Vn, 433.
HUESCA, ville épiscopale d'Espagne dans
le royaume d'Aragon. Concile qui y fut
tenu, XI, 907. — Le siège épiscopal de cette
ville est transféré à Jacca, XIV, 1062.
HUET (Daniel), évoque d'Avrauches. Son
édition des œuvres d'Origène, II, 254.
HUETBERT, abbé de Wiremouth et de
Jarou en Angleterre. Voyez Wirtbert.
HUGBAUD, moine de Saint-Amand. Voy.
Hucbald.
[HUGONIN (l'abbé). Sa notice sur Hugues
de Saint- Victor, XIV, 697 et suiv.]
HUGUCION ou HUGUES, légat en Angle-
terre, donne l'absolution aux clercs de l'ar-
chevêque d'York que Richard de Cantor-
béry avait frappés d'anathème, XIV, 136.
[HUGUES, fils de Charlemagne et abbé.
Complainte sur sa mort, XII, 477.]
«05.
1
ssa.
598.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
343
HUGUES, fils naturel de Lothaire, roi de
Lorraine. Concile de Neustrie au sujet de
ses ravages, XIII, 720.
HUGUES, cinquième fils d'Herbert, comte
de Vermandois, est élu archevêque de Reims,
quoique âgé seulement de cinq ans, et son
élection est confirmée par le roi Raoul et le
pape Jean X, XH, 743, et 841, et XHI, 746,
747. — Il est consacré malgré les protesta-
tions d'Artaud, XIII, 747. Contestation entre
lui et Artaud au sujet de cet archevêché,
agitée en différents conciles où il est excom-
munié, 748 et suiv. Le pape confirme la
sentence rendue contre lui, 730. Il veut ren-
trer dans l'archevêché après la mort d'Ar-
taud, 752.
HUGUES dit l'Abbé, duc de France, comte
de Paris et abbé de Saint-Martin de Tours.
Lettre que lui écrit le pape Léon VII, XII,
828. — Il est excommunié dans plusieurs
conciles à cause de ses ravages, XIII, 748
et suiv.
HUGUES, roi d'Italie. Son animosité con-
tre Rathérius, évêque de Vérone, XII, 846,
847.
HUGUES CAPET, roi de France, est sa-
cré par Adalbéron, archevêque de Reims,
qui s'en justifie, XII, 870. Sa mort, 895. —
Vers de Rodulfe Glaber sur sa mort, XIII,
148.
HUGUES, à qui est adressée une lettre de
Hériger, abbé de Lobes, sur quelques difiS-
cultés de chronologie, XIII, 37.
HUGUES, évêque d'Angoulême. (Dom
Ceillier n'en parle pas. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
VI, p. 492 et suiv.)
HUGUES, abbé de Farfa, XIII, 190. Son
décret pour faire adopter à son abbaye les
usages de Cluny. Sa mort, 477.
HUGUES, abbé de Saint-Martial de Li-
moges. Sa mort; Odolric lui succède, XIII,
103.
HUGUES de Châleaudun, archevêque de
Tours, refuse de consacrer l'église de Beau-
lieu, XIII, 144 et 189. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
Vn, p. 269 et suiv.)
HUGUES, archevêque de Besançon, vou-
lant détendre Hugues de Langres, perd la
parole, XHI, 163.
HUGUES, évêque de Langres, succède à
Richard. Accusé au concile de Reims, il est
excommunié. Confesse publiquement ses
désordres et se soumet à la pénitence. Il se
retire dans un monastère. Sa mort, XIII,
165. Son traité du Corps et du Sang de Jé-
sus-Christ contre Bérenger , 165 et suiv.
Analyse de ce traité, 166, 167.
[HUGUES DE CLEERS. Pièce sur une
négociation dont il fut chargé, XIV, 192,
n. 2.]
HUGUES DE CHALONS, évêque d'Au-
xerre. Lettre d'absolution qu'il obtient du
pape Jean XIX, XII, 194, 195.
[HUGUES II, évêque de Nevers. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie, XIII, 238.
Sa lettre à Barthélémy, archevêque de Tours,
239.]
HUGUES LE BLANC, cardinal, envoyé
légat en Espagne par Je pape saint Gré-
goire VII pour y faire adopter l'office ro-
main, XIII, 331. Il se lie avec les ennemis
de [saint] Grégoire Vïï, 3o9.
HUGUES, archidiacre de Tours. Voyez
Du Pin.
HUGUES, abbé de Saint-Léger, déposé
dans un concile de Bordeaux, XIV, 1069.
HUGUES (Saint), évêque de Grenoble, élu
dans un concile de Lyon, XIV, 1070. —
Donne à saint Bruno le désert de Chartreuse
pour y établir la première maison de son
ordre, XIII, 574. [Pièces concernant saint
Hugues, dans la Patrologie, 574. On a de lui
six chartes, 574.] — Il excommunie l'antipape
Anaclet, XIV, 267. Il est canonisé au concile
de Pise, 1H3. Sa Vie écrite par le bienheu-
reux Guignes, prieur de la Chartreuse, 308.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. XI, p. 149 et suiv.)
HUGUES, évêque de Châlons, vexé par
Albéric, seigneur de Meslant, XIII, 588.
HUGUES, archevêque de Lyon. Son illus-
tre naissance. On n'est point d'accord sur sa
première profession. Comment il fut élu
évêque de Die. Il va à Rome se faire sacrer
par le pape [saint] Grégoire Vil. Il est élu
archevêque de Lyon à la place de Gébouin.
Démarches qu'il fait pour parvenir à être
pape, XIII, 580. Ses pèlerinages à Saint-
Jacques, en GaHce, puis à Jérusalem, 380 et
590. Sa mort, 590. Ses lettres et autres actes
qui nous restent de lui, 590 et suiv. Apolo-
gie pour [saint] Grégoire VII qu'on lui at-
tribue , 594. [Notices sur Hugues et ses
écrits dans la Patrologie, 600, n. 1. Ce que
dit Hugues sur les prêtres déposés et ex-
communiés qui consacrent, 604, n. 6. Lettre
de Hugues à Thierri au sujet de la cons-
truction de l'éghse de Saint-Martin à Char-
1051.
XI siècle.
1085.
1084.
H34.
1073.
1082.
llOl.
1103.
1106.
544
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
1024.
1038.
(049.
1109.
1122.
1097.
très, 60S, n. 9. Autres lettres de Hugues dans
la Patrologie, 606, n. 6.] Il est ordonné évê-
que de Die par le pape [saint] Grégoire VII,
352. Il est nomDJé légat en France. Lettre
que [saint] Grégoire VII lui écrit, 365. Il de-
vient archevêque de Lyon. Sa lettre à la
comtesse Mathilde contre le pape Victor 111,
417. Il tient un concile à Autun où il ex-
communie le roi Philippe I, à cause de son
mariage avec Bertrade. Il est suspendu de
ses fonctions au concile de Plaisance^ 429.
Son épitaphe par Baudri, évéque de Dol,
53i. — Yves de Chartres lui écrit, XIV,
105. Il assemble un concile pour en obtenir
les subsides nécessaires aux frais du voyage
qu'il voulait faire en Terre-Sainte, 1077.
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. IX, p. 303 et suiv.)
HUGUES (Saint), abbé de Gluny. Sa nais-
sance ; ses commencements. Il prend l'ha-
bit monastique à Gluny, dont ensuite
il est fait prieur. Il est député à la cour
d'Allemagne pour y négocier la réconciha-
tion des moines de Payerne. Il est élu abbé
de Gluny après la mort de saint Odilon. Il
reconduit à Rome le pape saint Léon IX,
XIV, 50. Grande considération dont il jouit.
Différentes négociations où il est employé,
50 et 51. Sa mort. Sa Vie écrite par trois au-
teurs ditïerents. Il est mis au nombre des
saints, 51. Ses lettres, 51 et suiv.; ses sta-
tuts, 54, 55. Vision de saint Hugues, 55.
[Donations faites de son temps au monastère
de Cluny, 55.] — Lettre que lui écrit le pape
Alexandre II, XIII, 294. Confiance que lui
témoignait le pape [saint] Grégoire VII, 366.
Lettres que ce pape lui écrit, 367. [Sa Vie,
composée par le cadinal Gilon, 540, 541.
Abrégé de cette Vie, par un anonyme, 541.]
— Sa Vie écrite par le Vénérable Hildebert,
XIV, 217, 218. Poésie de Pierre le Vénérable
en son honneur, 522. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, tome IX,
p. 465 et suiv.)
HUGUES II du nom, abbé de Cluny. Sa
mort; Pierre le Vénérable lui succède, XIV,
500.
[HUGUES, abbé de Fulde. Privilège que
lui accorde le pape Benoit IV, Xll, 742.]
HUGUES, abbé de Flavigny, fut un des
moines de Saint-Vannes qui, pour éviter la
persécution de Thierry, évéque de Verdun,
se retirèrent à Flavigny, puis à Saint-Bé-
nigne de Dijon. Il accompagne l'abbé Ja-
renton à son voyage en Angleterre. 11 est élu
abbé de Flavigny et béni par Haganon,
évéque d'Autun, XIV, 80. Ses difficultés avec
Norgaud, successeur d'Haganon, 80 et 81.
Il est chassé de son abbaye : le concile de
Valence le rétablit. Il est fait abbé de Saint-
Vannes. On ignore le temps de sa mort, 81.
Sa Chronique, 81 et 82. Utilité de cette
Chronique, 82. On l'a attribuée mal à propos
à Yves de Chartres, 124. [Édition de sa
Chronique dans la Patrologie. Jugement
porté par Pertz sur cet écrivain, 82.] — Hu-
gues de Flavigny écrit la Vie du Bienheureux
Richard, abbé de Saint- Vannes, dont il fut
disciple, XIII, 119. (Voir son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. X, p, 73 et
suiv.)
HUGUES, vicomte de Chartres, arrêté de
la part du roi Yves de Chartes, XIV, 101.
HUGUES, évéque de Soissons. Lettre que
lui écrit Yves, évéque de Chartres, XIV,
103.
HUGUES, seigneur du Puiset. Ses vexa-
tions sur les terres de l'église de Chartres.
Lettre d'Yves de Chartres sur ce sujet, XIV,
108, 110, 111.
HUGUES, évéque de Laon. Sa mort; Bar-
thélémy lui succède, XIV, 195.
HUGUES DE SAINTE-MARIE, moine de
Fieury-sur-Loire. On ne sait aucune des cir-
constances de sa vie. Son commentaire sur
les Psaumes. Son Histoire ecclésiastique.
Ditlerence des manuscrits de cette histoire,
XIV, 242. [Différentes éditions qu'on en a
données, 242 et 243.] Histoire des- Gestes des
rois de France de la seconde race, 243. [Édi-
tions et traductions qu'on en a données,
243.] Traité de la puissance royale et de
la dignité sacerdotale, 243 et 244. Vie de
saint Sacerdos, évéque de Limoges, 244.
Chronique des Gaules qui lui est attribuée,
244, 245. [Jugement sur le style de Hugues,
242. Différentes notices sur Hugues de Pleu-
ry, 242, n. 1, 4, 5 ; 243, n. 2 et 245, n. 5.]
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire
de la France, t. X, p. 285 et suiv.)
HUGUES , chanoine régulier de Saint-
Victor. Incertitude où l'on est sur le lieu de
sa naissance. Différents sentiments sur ce
point. Ses études, XIV, 347. Il se fait cha-
noine régulier à Saint-Victor près Paris. Il
y enseigne avec succès la philosophie et la
théologie, 347 et 348. Il ne fut élevé à au-
cun grade de supériorité. Ses derniers mo-
ments; sa mort. Ses ouvrages; différentes
éditions qu'on en a faites, 348. [Édition dans
1113.
XU sièch
1115.
lUi.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
545
la Pafrologie, 348 et 349.] Prolégomène sur
l'Ancien et le Nouveau Testament, 349. [Deux
opuscules qui sont joints au Commentaire
sur saint Matthieu doivent en être séparés,
349, n. 1. Hugues de Saint-Victor a publié
des notes sur saint Jean, 349, n. 2.] Notes
sur le Pentateuque ; homélies sur l'Ecclé-
siaste; notes sur les Lamentations de Jé-
rémie, et sur les prophéties de Joël et d'Ab-
dias. Commentaire sur la Hiérarchie céleste
de saint Denys, 349. [On signale un com-
mentaire sur la Hiérarchie ecclésiastique,
349, n. 4.] Commentaire sur le Décalogue.
Explication de la Règle de saint Augustin.
Instilution des novices, 350. Soliloque de
l'âme, 351. Éloge de la charité, 351 et 352.
Traité de la prière ; Discours sur l'amour de
l'Époux et de l'Épouse; de la Manière de
méditer; de l'Arche de Noé, 352. Livre des
Trois Colombes et des animaux mentionnés
dans la sainte Écriture, 353. Éruditions didas-
coliques, 353 et 354. Traité de la Puissance
et de la volonté de Dieu. Des Quatre Volon-
tés en Jésus-Christ. Traité de la Sagesse de
Jésus-Christ, 354. De l'Union du corps et
de l'esprit, 354 et 355. De l'Unité du Verbe
incarné, 355. De la Virginité perpétuelle de
Marie, 355 et suiv. Traité de la Manière
d'apprendre et de méditer, 358 et 359. Des
Sacrements de la loi naturelle et de la loi
écrite. Somme des sentences, 359. Livre des
Sacrements de la loi chrétienne, 359 et suiv.
[Ce livre mérite justement le nom de Sys-
tème, 359, n, 4.] Ouvrages de Hugues de
Saint- Victor qui ne sont pas imprimés, 361.
[Notes relatives à ces ouvrages, 361, n, 1,
2, 3, 4, 5, 7.] Jugement sur ses écrits, 361.
[Jugement porté par les éditeurs du Diction-
naire de théologie catholique, 361, n. S.]
Différents ouvrages qu'on lui a faussement
attribués, 349, 350,351, 352, 356, 357. [Dif-
férentes notes relatives aux écrits de Hugues
de Saint- Victor, 349 et suiv. Notes, 349. Ju-
gement sur Hugues, 361, n. 7.] (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
tome Xn, p. 1 et suiv.)
HUGUES FOLIET ou de Saint-Laurent
d'HelHac. 11 est élu abbé de Saint-Remi de
Reims et refuse d'accepter cette dignité. Son
livre du Cloître de l'âme, XIV, 350. Traité
sur les noces charnelles et spirituelles, 350
et 351. Autres écrits qu'on lui attribue,
351.
HUGUES MÉTELLUS, chanoine régulier
de Toul. Ses études; progrès qu'il fait dans
TAB. I.
les sciences. Dégoûté du monde, il se fait
chanoine régulier à Saint-Léon de Toul, On
ignore le temps de sa mort, XIV, 362. Ana- v. U49.
lyse de ses lettres, 362 et suiv. Ses poésies,
368. Jugement sur son style, 368 et 351.
Notice sur Hugues Métellus et édition de ses
écrits dans la Patrologie, 362, n. 6.] (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, tome XII, p. 493 et suiv.)
HUGUES DE RIBEMOND ou RIBEMONT xii siècle,
(ou RUBOMONTD). Sa lettre sur la nature de
l'âme, XIV, 406, 407. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
XI, p. 113 et suiv.)
HUGUES, archidiacre de Saint-Jacques x.n siècle,
de Compostelle, puis évêque de Porto, en
Portugal, [travaille à l'Histoire de l'Église de
Compostelle, XIV, 541, 542.]. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
tome XI, p. US et suiv.)
HUGUES DE MAÇON, premier abbé de "^6.
Pontigni, puis évêque d'Auxerre. Ce qu'on
sait des circonstances de sa vie. Sa mort, "^i-
XIV, 408. Lettres et actes qui restent de lui,
408 et 409. [Ses écrits dans la Patrologie,
408, 409.] (Voyez son article dans l'Histoire
littéraire de la France, tome XII, p. 408
et suiv.)
HUGUES FARSIT, abbé de Saint-Jean
près de Chartres, Lettres de saint Bernard
qui lui sont adressées, XIV, 428. C'est peut-
être le même que Hugues de Chartres, ci-
après. (Voyez son article dans l'Histoire lit-
téraire de la France, t. XI, p. 626 et suiv.)
HUGUES FARSIT, chanoine réguHer de
Saint-Jean de Vignes. (Voyez son article
dans l'Histoire littéraire de la France, tome
XH, p. 294 et suiv.)
HUGUES, évêque de Gabale en Syrie, "*5.
passe en Occident solliciter du secours contre
les Mahométans ; ce qui donne lieu à la se-
conde croisade.
HUGUES, archevêque de Tours, succède <i36.
à Hildebert. Lettres de saint Bernard en sa
faveur, XIV, 496.
[HUGUES, archevêque de Vienne. Le pape xii siècle.
Eugène III lui écrit, XIV, 279.]
HUGUES, archevêque de Sens. Sa lettre "bo-
à Barbe d'Or, doyen de l'Éghse de Paris, sur
la mort de l'archevêque Pierre Lombard,
XIV, 549. Il montre le corps entier de saint
Loup, 1006.
HUGUES DE LACERTA, disciple de saint
Etienne de Muret, fait le recueil de ses ma-
ximes et sentences, XIV, S78. [Nota. Cela
35
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
546
est contredit dans le Journal de Verdun,
1766, août, p. 132.)
HUGUES d'AMIENS, archevêque de
Rouen, embrasse d'abord la vie monastique
JJJ5 à Gluny. Il est fait prieur de Saint-Martial à
Limoges. Il passe en Angleterre pour être
H28. prieur de Saint-Pancrace, et dévient ensuite
abbé du monastère de Reading, nouvelle-
ment fondé. Après la mort de Geoffroi, ar-
j,30 chevêque de Rouen, il est élu pour lui suc-
céder. Il reçoit la consécration. Lettres que
lui écrivent saint Bernard et Pierre le Véné-
rable, XIV, 600. Différents conciles auxquels
il assiste, 600 et 601. Il érige en abbaye
l'église d'Aumale. Son attachement au pape
1135^ Innocent II. [Son zèle, 601.] Il assiste à la
mort du roi d'Angleterre, Henri I, 601 et
1164. 602. Mort de l'archevêque Hugues, 602. Ses
écrits. Ses Dialogues. Analyse de cet ou-
vrage, 602 et suiv. Commentaire sur l'ou-
vrage des Six Jours, 604. Livre de la Mé-
moire. Explication du Symbole et de l'Oraison
dominicale, 605. Lettres de Hugues de
Rouen, 606, 607. [Autres lettres de Hugues,
607, 608.] Vie de saint Adjuteur, 608. Livres
contre les hérésies, 608 et suiv. Jugement
sur les écrits de l'archevêque Hugues, 610^
611. — Sa Vie et relation de son voyage en
Bretagne, par Baudri, évêque de Dol, XIII,
S31. — [Le pape Honorius II lui écrit, XIV,
263, 264.] Lettre que saint Bernard lui écrit,
XIV, 427. [Lettre que Hugues écrivit à
Thierri, évêque d'Amiens, au sujet de la
construction de l'église de Saint-Martin de
Chartres, 605, n. 9.] Son épitaphe, compo-
sée par Arnoul de Lizieux, 759. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. XII, p. 647 et suiv.)
[HUGUES LE SCHISMATIQUE. Livre de
Bonizon contre ce schismatique ; il est perdu,
Xm, 566.]
XII siècle. HUGUES ÉTÉRIEN, né en Toscane, puis
établi à Conslantinople. Son traité du Retour
des âmes de l'enfer, dédié au clergé de Pise,
XIV, 657. Analyse de cet ouvrage, 657 et
658. Son traité de la Procession du Saint-
Esprit ; il le compose à la prière de l'empe-
reur Manuel Comnène, 658. Analyse de cet
ouvrage, 658 et 659. Lettre que lui écrit le
pape Alexandre III sur cet ouvrage, 658 et 925 .
HUGUES DE CHARTRES. Son épitaphe,
parPhiUppede Bonne-Espérance, XIV, 687.
(C'est peut-être le même que Hugues Farsit,
abbé de Saint-Jean près de Chartres, dont il
est parlé plus haut.)
HUGUES DE CHAMPFLEURI, chancelier
de France. Différentes lettres du pape
Adrien IV pour lui procurer plusieurs bé-
néfices et lui conférer ceux dont il jouis-
sait, XIV, 914. Sa mort, 927. [Notice sur
Hugues et ses lettres dans la Patrologie, 927,
n. 1.]
HUGUES, fils de Pierre de Léon, évêque
de Plaisance. Lettres du pape Adrien IV à
son sujet, XIV, 915.
HUGUES, cardinal, évêque d'Ostie. (Voyez
son article dans l'Histoire littéraire de la
France, t. XII, p. 572 et suiv.)
[HUGUES DE POITIERS, moine de Véze-
lai. Ce qu'on sait des circonstances de sa
vie, XIV, 691. Son Histoire du monastère de
Vézelai. Analyse de cet ouvrage, 691 et suiv.
Édition de cette Histoire dans la Patrologie,
693. Chi'onique des comtes de Nevers qui lui
est attribuée. Analyse de cet écrit, 693, 694.]
(Voyez son article dans l'Histoire littéraire de
la France, t. XII, p. 668 et suiv.)
[HUGUES, moine de Gluny. Ce qu'on sait
des circonstances de sa vie, 855. Ses écrits,
855 et 856. Ses statuts, 856.] Voyez /)« Pin.
HUGUES, nommé à l'évêché de Saint-An-
dré par Guillaume, roi d'Ecosse, XIV, 929,
934, 937.
HUGUES ou HUGUCION, légat. Voyez
Hugucion.
HUGUES DE NOYERS, évêque d'Auxerre.
Sa mort; Guillaume de Seignelai lui succède,
XIV, 1004.
HUILE de l'Église. Elle guérissait les ma-
lades, VII, 225. Les moines de Sainte-Vie
guérissaient les malades en les oignant
d'huile bénite, 490. — Les moines de Saint-
Colomban portaient sur eux de l'huile bénite
pour en oindre les malades, XI, 620. [Huile
allumée devant les rehques des martyrs.
Sa vertu médicale attestée par saint So-
phrone de Jérusalem, XI, 708.] — Huile
sainte, rend la santé aux malades ; on s'en
sert à divers usages, XIII, 146.
HUMANITÉ DÉ JÉSUS-CHRIST, opuscule
de Théodore Aboncara sur l'humanité de
Jésus-Christ, XH, 626.
HUMBAUD, évêque de Limoges, déposé
pour avoir falsifié des lettres apostoliques,
XHI, 434.
HUMBELINE, sœur de saint Bruno, quitte
le monde à la persuasion de son frère, XIV,
419.
. HUMBERT, évêque de Virtzbourg. Lettre
qu'il écrit à Raban Maur ; Raban lui adresse
1175.
XII siècl
1101.
XII siècl
1175.
1206.
1095.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
547
son commentaire sur les Juges et sur Ruth,
XII, 450. Lettre que lui écrit Raban Maur
sur les degrés de parenté, 458. (Voyez ce qui
en est dit dans l'Histoire littéraire de la
France, t. X, p. 160.)
HUMBERT, cardinal, évêque de Blanclie-
Selve, offert par ses parents au monastère
de Moyen-Mouliers, y prend l'habit monas-
tique, XIII, 248, 249. pi était Bourgui-
gQon, 249, n. 1.] Le pape [saint] Léon IX
l'emmène avec lui et l'ordonne archevêque
de toute la Sicile pour y rétablir la religion
détruite parles Sarrasins; Humbertne peut
pénétrer en cette lie ; le pape le fait cardinal
de Blanche -Selve; il accompagne saint
Léon IX en ses voyages en France, en Alle-
magne et à son retour à Rome, 249. Il tra-
duit en latin la lettre de Michel Cérularius
et de Léon d'Acride contre différents usages
de l'Église latine, 204, 214, 250. Il présente
cette lettre au pape et l'aide à la réfater ;
saint Léon IX envoie Humbert en qualité de
légat à Conslantinople où l'empereur le re-
çoit avec honneur, 206, 214, 249. Analyse de
l'écrit qu'il y composa contre la lettre du pa-
triarche Michel, 215 et suiv. Cet écrit est
traduit en grec par ordre de l'empereur
Constantin Monomaque, 216. Écrit de Nicé-
tas Pectorat contre les Latins, 217. Le cardi-
nal Humbert le réfute, 217 et suiv. Sa réfu-
tation est aussi traduite en grec par ordre
de l'empereur, 220. Conjointement avec les
autres légats ses collègues, le cardinal Hum-
bert excommunie le patriarche Michel Céru-
larius ; suite de cette démarche, 220. Ana-
lyse de l'acte d'excommunication, 220 et
221. Décret du patriarche contre cette ex-
communication, 221. La mort du pape saint
Léon IX rappelle Humbert à Rome, 249. Son
crédit sous les papes Victor II, Etienne IX
et Nicolas II. Différentes affaires où il fut
employé, 240, 241, 244, 246. Ses voyages,
206 et 249. Son crédit, 249, 2.o0. 11 est chargé
dans un concile de Rome de dresser la for-
mule de foi qu'on fit signer à Bérenger, 170,
250, 253. Sa mort; témoignage avantageux
que lui rend Lanfranc ; autres écrits du car-
dinal Humbert, 250. Analyse de son Traité
contre les simoniaques, 250 et suiv. Son
sentiment touchant la validité de leurs ordi-
nations, 250, 251, 252. Hymnes et répons
qu'il a composés pour les offices de divers
saints, 252, 253. Autres écrits qu'on lui at-
tribue, 253. Bérenger le charge d'injures et
lui reproche ses sentiments, 444. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. Vn, p. 527 et suiv.)
HUMBERT, prévôt de l'église de Lyon.
Halinard, archevêque de Lyon, le désigne
pour son successeur, XIII, 178. Il est déposé
au concile d'Autun pour cause de simonie,
339. — On élit Gébonin pour le remplacer,
XIV, 1068.
HUMBERT, premierabbé de Saint- Vannes.
Sa mort, XIH, 259.
HUMBERT, moine de Clairvaux. Sermon
de saint Bernard sur la mort de ce religieux,
XIV, 484.
HUMBERT, abbé d'Igny. Sa mort; Guer-
ric lui succède, XIV, 493.
HUMBERT DE BEAUJEU, chevalier du
Temple, quitte l'ordre et reprend sa femme ;
lettre de Pierre le Vénérable à son sujet,
XIV, 513.
HUMBERT, général des Dominicains, XIII,
253.
HUMBLES. Discours de saint Césaire
d'Arles sur les humbles et les orgueilleux,
XI, 142.
[HUMBGLD, archevêque de Lyon. Le pape
Honorius H lui écrit, XIV, 254.]
HUMILITÉ. Doctrine d'Origène, II, 190.
— Homélie vingtième de saint Basile le Grand,
IV, 388, 389 ; [de Victorin, 330.] — Traité de
saint Éphrem sur l'humilité, VI, 33. [Dis-
cours sur l'humilité et l'orgueil par saint
Éphrem, 499. Traité de l'humilité par saint
Zenon, évêque deVerceil, 274.] Homélie de
Novat, moine catholique, sur l'humilité et
l'obéissance, 331. — Exemple d'humilité
dans saint Augustin, IX, 192. Humilité de
Jésus-Christ, 224. Nécessité de l'humilité,
269. Discours faussement attribué à saint
Augustin sur l'obéissance et l'humilité, 288.
— Discours de saint Valérien de Cémèle sur
l'humilité, X, 158. L'humilité est essentielle
aux vierges ; en quoi elle consiste, 246. —
Lettre de saint Fulgence de Ruspe sur l'hu-
milité et la virginité, XI, 27, 28. Livre de
rOi^ueil et de l'Humilité, par saint Martin de
Dume, lequel est resté manuscrit, 351. —
Traité de saint Bernard des Degrés d'humi-
lité et d'orgueil, XIV, 474, 475.
HUMPHREYS (David). Sa traduction an-
glaise des œuvres d'Athénagore, I, 487.
HUN, abbé d'Herfeld. Combien de temps
il gouverna cette abbaye, XII, 434.
HUNALD, disciple de saint Colomban.
Poëme que saint Colomban lui adresse, XI,
627, 628.
1052.
1077.
1077.
972.
V. 1131.
831-S4C.
548
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
946. HUNÉGONDE (Sainte), première abbesse
d'Homblières. Sa Vie, la translation de ses
reliques et ses miracles, écrits par l'abbé
Bernier, XII, 864.
HUNÈRIC, roi des Vandales en Afrique,
informé d'un miracle, V, 328. — Il consent
à ce que l'Église de Carthage se donne un
évéque, X, 452. Il continue la persécution
contre les catholiques, 452 et suiv. Édit par
lequel il indique une conférence entre les
484. Catholiques et les Ariens, 454. Il publie son
édit de persécution générale contre les ca-
tholiques, 457. Cruauté avec laquelle cette
persécution s'exerce, 457 et suiv. Sa mort
extraordinaire ; son neveu Gondamond lui
succède, 462. — Hunéric fit couper la lan-
gue à des évêques qui ne laissèrent pas de
parler librement, XI, 477.
HUNS, peuples barbares. Leur incursion
en 395, VII, 76 et 605. — Ils se répandent
sur les terres des Romains et désolent toute
l'Europe, VIII, 513. — Leurs ravages sous
Attila, X, 355. — Histoire de leur conver-
sion au christianisme , XII , 476. Voyez
Avares,
HUR, époux de Marie, sœur de Moïse, se-
lon Josèphe, VI, 227.
[HURMUCE (Odoard). Sa version latine
d'une lettre de saint Germain de Constanti-
nople, XU,40.]
[HURTER, historien d'Innocent IH, XIV,
948 et suiv.]
[HURTER (Hugues), fils du précédent,
jésuite, professeur à Inspruck, publie une
collection d'opuscules des Pères de l'Église
très-estimée.]
[HU5SEY. Son édition de l'Histoire ecclé-
siastique de Socrate, VIII, S25.]
HUTGHINUS (H.). Son édition de quelques
ouvrages de saint Justin, martyr, I, 445.
HUZILLOS ou FUSSEL, ville dans la
Vieille-Castille. Conciles tenus en cette ville,
XIV, i072 et 1079.
HY, île au nord de l'Irlande, où saint Go-
lomban l'ancien bâtit un monastère qui de-
vient ensuite le chef-lieu de toute la pro-
vince, XI, 612.
mi. HYACINTHE, cardinal diacre du titre de
Sainte-Marie-en-Cosmedin, est élu pape et
prend le nom de Célestin III, XIV, 940.
HYDASPES, mage ou devin du paganisme.
Oracles supposés sous son nom, I, 299.
HYDRAULIQUES, qui marquaient exac-
tement le cours des astres, envoyées à Gon-
debaudpar Théodoric, X, 647.
HYDRE. Saint Jérôme désigne Rufin sous
le nom d'hydre à plusieurs têtes, VIII, 460.
HYDROMANGIE, pratiquée par Numa, IX,
301.
HYDROPARASTATES. Nom donné aux
Encratites parce qu'ils n'offraient que de
l'eau dans les mystères, X, 130. — Saint Ba-
sile paraît néanmoins les distinguer des En-
cratites; il rejette leur baptême, IV, 459. —
Loi de Théodose contre eux, VI, 367.
HYDULPHE (Saint), archevêque de
Trêves. L'Histoire de saint Hydulphe et de
ses successeurs n'est point de saint Léon IX,
mais du moine Valcande, XIII, 71 et 253.
Les répons de son office composés par le
cardinal Humbert et notés par le pape saint
Léon IX, 252. [Vie de saint Hydulphe, dans
la Patrologie, 71. Traité de ses successeurs,
71 et 72.]
HYGIN (Saint), pape. Décrétales qui lui
sont faussement attribuées, VI, 82.
HYGIN, évêque de Cordoue, premier dé-
nonciateur des Priscillianistes, IV, 615.
HYLARIUS, nom qu'on donne quelquefois
au pape saint Hilaire, X, 335.
HYLDILICHA, supérieure d'un monastère vu
de filles, à qui saint Adelme de Schirburn
adresse son Traité de la Virginité, écrit en
prose, XI, 804.
HYMÉNÉE, évéque de Jérusalem, assiste
au concile d'Antioche contre Paul de Samo-
sate, n, 567.
[HYMÉNÉE et Alexandre, dont il est parlé
dans les Actes des apôtres : sermon de saint
Augustin sur eux, IX, 841.]
HYMNEMOND, élu abbé d'Agaune, X,
747.
HYMNES. Hymne d'Harmonius, héré-
tique; hymnes que saint Éphrem y op-
pose, I, 466. Hymnes des premiers fidèles,
538 et 570. Hymnes de Clément d'Alexan-
drie, 570. — Hymnes, d'après Origène, II,
192 ; hymnes de Népos, 405 ; hymnes d'Athé-
nogène, 464. — Hymnes de saint Hilaire de
Poitiers, IV, 54, 55. [On lui attribue
l'hymne TeDeum, 66, n. 9.] Hymnes dans les
églises : on finissait le jour par le chant des
hymnes, 78. Hymne de Victorin, orateur
chrétien, 328. — Hymne à Jésus-Christ, au
jour de Pâques, poëme de saint Grégoire de
Nazianze, V, 279. Hymne à Dieu, poëme de
saint Grégoire de Nazianze, 295. Autres
poëmes ou hymnes de saint Grégoire de
Nazianze, 306. Hymnes de saint Ambroise.
L'hymne Te Deuin n'a point été faite par
siècle.
TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
549
saint Ambroise, 509. — [Hymne de saint
Éphrem, YI, 511, 512.] — Hymnes de Sy-
nésius de Ptolémaïde, VHl, 32. Hymne en
l'honneur de saint Ambroise, faussement
attribuée à saint Paulin, évêque de Noie, 87
et 88. — Hymne des trois jeunes Hébreux
citée par saint Augustin, IX, 571, Hymne
que les Priscillianistes disaient avoir été ré-
citée par Jésus-Christ après la dernière
Cène, 576. On chantait des hymnes tirées
des Psaumes, tant avant l'oblation que du-
rant la communion, 766, 767. — Hymnes du
poète Prudence, le Cathémérinon, ou hymne
de chaque jour, X, 101, 102. Le Péristepha-
non, ou hymne des Couronnes, 102, 103.
Hymne de saint Mamert Claudien, 335. Le
pape saint Gélase avait composé des hymnes
àrimilation de saint Ambroise, 510. Hymnes
divins attribués à saint Denys l'Aréopagite,
353. — Hymnes de Fortunat de Poitiers : elles
sont perdues, XI, 412. Saint Isidore de Sé-
ville attribue à saint Hilaire de Poitiers et à
saint Ambroise de Milan les hymnes qu'on
chante dans les églises, 716. — Hymnes at-
tribuées au Vénérable Bède ; elles paraissent
du style de Manfrède, XII, 4. [Treize hym-
nes de Bède ; autre hymne du même. Hym-
nes sur la Mère de Dieu, par saint Germain,
patriarche de Constantinople, 43.] Hymnes
attribuées àsaint Jean Damascène, 85. [Hym-
nes du même, publiées par Maï, 89 et suiv.]
Hymne Ut queant Iaxis, attribuée à Paul,
diacre d'Aquilée, 147. Hymnes de saint
Paulin, patriarche d'Aquilée, 162, 163.
Hymne Gloria in excelsis, chantée aux dinian-
ches et fêtes, 216. L'hymne Te Deum mise
en vers par Candide, moine de Pulde, 383,
386. Décret attribué à Léon IV pour faire
chanter le Te Deum la veille de l'Assomption
de la sainte Vierge, 668. Hymnes attribuées
à Werembert, moine de Saint-Gai, 694.
Hymnes de Notker le Bègue^ 766. Le qua-
trième concile de Tolède autorise l'usage
de chanter aux offices de l'Église les hymnes
composées par les Pères, 917. — [Hymnes
anciennes, XIII, 22, 23.] Faute corrigée dans
l'hymne Te Deum, par AbbondeFleury,32,
Hymnes du roi Robert, 108, 109, Hymnes
des Grecs, 136; hymnes de Jean Mauropus,
métropolitain d'Euchanie, 229, 230. — Hym-
nes et proses d'Abaillard, XIV, 333, 338,
339. — Reproches faits aux moines de ce
qu'ils chantaient le Te Deum aux dimanches
de l'Avent et du Carême : ils s'en justifient
par la règle de saint Benoit, XIII, 763.
415.
[HYMNODIE CÉLESTE : ouvrage de sainte
Hildegarde, XIV, 597, n. 8.]
HYPATIA, fille savante, tenait à Alexan-
drie une école publique de la doctrine de
Platon et de Plotin, VIII, 23. Tuée dans une
sédition à Alexandrie, 237 et 387. Lettre
qu'on lui attribue et dont elle ne peut être
l'auteur, 387.
HYPATIA, femme différente de celle qui y siècle,
fut massacrée : lettre qui lui est attribuée,
VIII, 387.
HYPATIUS, parent de saint Basile; va iv siècle,
voir Eusèbe de Samosate, IV, 433.
HYPATIUS, à qui saint Grégoire de Na-
zianze écrit, V, 239.
HYPATIUS, qui vient d'Egypte vers saint
Épiphane, VI, 414.
HYPATIUS, prêtre, à qui saint Jean Chry- 404.
sostôme adresse une lettre, VII, 133. Autre W5.
lettre de ce père à Hypatius, 135.
HYPATIUS, prêtre et chorévêque, envoyé
à Rome par Théodoret, X, 23 et 74.
HYPATIUS, ami de Théodoret, à la prière
de qui celui-ci composa son commentaire
sur rOctateuque, X, 26. (C'est peut-être le
même que le précédent.)
HYPATIUS, père de Palladio, femme de
Salvien, prêtre de Marseille. Son méconten-
tement de la résolution qu'elle avait prise
de vivre en continence avec son mari, X,
360, 361. Lettre que Salvien lui écrit sur ce
sujet, 361 et 376.
HYPATIUS, à qui saint Sidoine écrit en 533.
faveur de Donide, X, 385.
HYPATIUS, archevêque d'Éphèse, envoyé
à Rome par l'empereur Justinien, XI, 116,
117. Il tient pour les Catholiques la confé-
rence contre les Sévériens, à Constantinople,
843 et suiv.
HYPATIUS, évêque de Nicople. Lettre que
le pape Honorius écrit à son sujet , XI ,
648.
HYPÉRÉCHIUS, prêtre et abbé, qui vivait
avant le milieu du vi' siècle. Ses Capitules
ou règles abrégées de la vie spirituelle, IX,
697 . [Édition de ses écrits dans la Patrologie,
697.
HYPOGNOSTICON ou HYPONMESTICON,
ouvrage faussement attribué à saint Augus-
tin, IX, 338 et Xll, 637 et 660. — Il a été
aussi faussement attribué au pape saint
Sixte III, VIII, 233. Raisons qui portent à
croire que cet ouvrage est de Marins Mer-
cator, 499 et 359. Idée de ce livre, 499
et suiv.
HISTOIRE DES AUTEURS SACRÉS ET ECCLÉSIASTIQUES.
5S0
HYPOMNESTICON d'Euprépius et de
Théodore, XI, 772.
362. HYPOSTASE. Question sur le sens de
ce terme examinée dans le concile d'A-
lexandrie, IV, 590. Saint Basile marque
la différence des termes de substance et
d'hypostase, 434. — Ce terme a donné
lieu à de grandes contestations, V, 217.
— Le traité de la différence des termes
de substance et d'hypostase est de saint
Basile, VI, 186. — Division dans l'Église
sur le terme d'hypostase, VII, 546 et 583.
— Remarque de saint Augustin sur ce terme,
IX, 366. — Ce terme est employé par saint
Eiiloge, patriarche d'Alexandrie, XI, 592.
HYPOTYPOSES : ouvrage de Clément iuiïI
d'Alexandrie, I, 586, 587. — Livres de Théo- iii3iécie.1
gnoste d'Alexandrie intitulés des Hypoty-
poses, II, 450 et suiv.
HYPSIS, évéque de Parnasse, chassé par
les Ariens, IV, 440.
HYPSISTAIRES ou adorateurs du Très-
Haut, IV, 645. — Secte mêlée de paganisme
et de judaïsme, V, 179 et 213. Le père de
saint Grégoire de Nazianze y avait été eu-
gagé, 213. — En quoi les Hypsistaires dif-
féraient des Chrétiens, VI. 255.
HYPSIUS, évêque d'Ancyre, déposé par 375
les Ariens dans un concile de cette ville, IV,
604.
FIN DU TOME PREMIER.
ANGERS, IMPRIMERIE P. LACHÈSE, BELLEUVRE ET DOLBEAU.
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