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Full text of "Table générale des matières contenues dans les XIV volumes de l'Histoire générale des auteurs sacrés et ecclésiastiques"

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CEILLIER  »  HISTOl 
AUTEURS    SACRES 


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TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES 

CONTENUES  DANS  LES  XIV  VOLUMES 


DE 


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L'HISTOIRE  GENERALE 


DES 


AUTEURS  SACRÉS 

ET  ECCLÉSIASTIQUES 


ANGERS,  IMPRIMERIE  P.  LACHÈSE,  BELLEUVRE  ET  DOLBEAU. 


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CONTENUES  DANS  LES  XIV  VOLUMES 


DE 


L'HISTOIRE    GÉNÉRALE 


DES 


AUTEURS  SACRÉS 

ET  ECCLÉSIASTIQUES 

COMPOSÉE  PAR 

LE  R.  P.  DOM  REMY  GEILLIER 

Bénédictin  de  la  Congrégation  de  Saint-Vannes  et  de  Salnt-Hydulphe. 

AVEC    l'indication    DES    PRINCIPAUX    ARTICLES     PARALLÈLES    QDI    SE   TROUVENT 

DANS    l'histoire   LITTÉRAIRE    DE    LA    FRANCE, 

DONNÉE    PAR    LES     RK.      PP.     BÉNÉDICTINS    DE   LA    CONGRÉGATION    DE    SAINT-MAUR. 


Celte  table  rédigée  par  laur.-Et.  RONDET,  auteur  de  la  Table  générale  des  matières  qui  termine  l'Histoire  ecclésiastique 

de  l'abbé  Fleury  a  été  revue,  corrigée  et  augmentée  par  M.  l'abbé  BAUZOJi,  ancien  directeur  de  grand  séminaire, 

auteur  de  la  nouvelle  édition  de  Dom  Ceillier. 


TOME  PREMIER 


PARIS 
CHEZ    LOUIS  VIVES,   LIBRAIRE- ÉDITEUR 

5,    RUE    DELAMBRE,    5 

1868 


l'I 


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A  SON  ÉMINENCE 

i\\ONSEIGNEUP^    LANDI^IOT 


Monseigneur  , 

Votre  Eminence  a  daigné  encourager  plusieurs  fois  de  vive  voix  et  par 
écrit  l'humble  éditeur  de  V Histoire  des  auteurs  sacrés  et  ecclésiastiques  de 
Dom  Ceillier.  Alliant,  dans  une  juste  mesure,  l'amour  des  auteurs  profanes 
et  des  auteurs  ecclésiastiques,  vous  savez.  Monseigneur,  exploiter  avec  un 
rare  bonheur  la  riche  et  féconde  carrière  ouverte  par  les  saints  Pères  dans 
leurs  immortels  écrits.  Parfaitement  au  courant  des  travaux  récents  et  des 
éditions  nouvelles,  Votre  Eminence  comprend  et  apprécie  le  travail  qu'un 
éditeur  consciencieux  consacre  à  la  science  sacrée.  C'est  ce  qui  m'a  valu, 
Monseigneur,  vos  encouragements  et  vos  conseils  dans  la  réimpression  de 
l'œuvre  considérable  du  savant  Bénédictin  avec  les  notes,  les  corrections,  les 
additions,  les  suppléments,  les  dissertations  qui  entrent  dans  la  nouvelle 
édition.  Mais  le  travail  le  plus  long,  le  plus  considérable  et  le  plus  pénible  a 
été  pour  la  confection  et  l'impression  des  tables  générales  des  matières. 
Votre  Eminence  comprenant  toute  l'utilité  d'un  pareil  labeur  ,  a  daigné 
accepter  la  dédicace  de  ces  tables.  Sous  de  tels  auspices  elles  seront,  je 
l'espère,  reçues  favorablement  du  pubhc  amateur  des  recherches  scientifiques. 

Daignez  agréer  l'assurance  des  sentiments  pleins  de  respect  avec  lesquels 
j'ai  l'honneur  d'être. 

Monseigneur , 

de  Votre  Grandeur, 

le  très-humble  serviteur, 

L.  BAUZON, 

Ancien  directeur  de  grand  séminaire. 


I 


AVERTISSEMENT  DE  L'ÉDITEUR 


Les  tables  appropriées  à  la  nouvelle  édition  de  Dom  Ceillier  sont  attendues 
depuis  longtemps.  Mais  le  public  auquel  elles  s'adressent  doit  comprendre 
qu'on  ne  fait  pas  un  pareil  travail  en  quelques  jours.  En  effet,  il  n'a  pas 
fallu  moins  de  cinq  ans  pour  mener  à  bonne  fin  cette  rude  et  difficile 
entreprise.  Il  s'agissait,  non-seulement  de  reproduire  la  table  de  Rondet, 
véritable  chef-d'œuvre  en  son  genre,  selon  l'expression  de  M.  Weiss  dans  la 
Biographie  universelle  de  Michaud;  mais  l'Éditeur  devait  mettre  le  chiffre 
des  volumes  et  des  pages  en  rapport  avec  la  nouvelle  édition,  resserrer  et 
fondre  plusieurs  passages  répétés  sans  raison,  revoir  et  corriger  au  besoin  les 
dates  marginales  ainsi  que  les  erreurs  relatives  aux  noms  propres  et  à  quel- 
ques faits,  découvrir  les  chiffres  des  pages  que  Rondet  n'avait  pu  donner. 
11  fallait  en  outre  trouver  et  mettre  à  sa  place  tout  ce  que  l'Editeur  avait 
ajouté  au  travail  de  Dom  Ceillier,  ce  qui,  d'après  un  examinateur  compé- 
tent, forme  le  cinquième  de  l'ouvrage.  Cependant,  malgré  tant  de  peines, 
on  n'a  pas  la  prétention  d'avoir  extrait  complètement  ce  que  renferment 
les  nombreuses  additions.  Comme  le  dit  Rondet,  dans  de  pareils  champs 
il  reste  toujours  à  glaner.  Quelques  fautes  d'impression  qui  pour  la  plupart 
ont  disparu  dans  un  nouveau  tirage,  sont  indiquées  et  corrigées  dans  les 
tables.  Durant  l'impression,  on  a  pubUé  de  nouveaux  ouvrages  sur  les 
Pères,  on  a  fait  paraître  de  nouvelles  éditions  et  de  nouvelles  traductions 
de  leurs  ouvrages.  L'Éditeur  a  signalé  autant  que  possible  ces  travaux. 
Loin  de  lui  néanmoins  la  pensée  de  croire  que  la  nouvelle  édition  n'offre 
pas  des  imperfections,  des  lacunes,  et  même  des  fautes.  Mais  ce  qui  le  con- 
sole, c'est  la  conscience  d'avoir  voulu  avant  tout  une  œuvre  sérieuse  et 
moins  indigne  du  pubUc  choisi  auquel  elle  s'adresse.  Rien  n'a  pu  le 
détourner  de  ses  chères  tables.  Puissent  ses  efforts  être  utiles  à  l'étude 
des  sciences  ecclésiastiques  ! 


VIII  AVERTISSEMENT  DE  L'ÉDITEUR. 

Je  dois  adresser  ici  mes  sincères  remerciements  à  tous  ceux  qui  m'ont 
aidé,  soit  dans  la  rédaction  de  la  nouvelle  édition  de  X Histoire  des  auteurs 
sacrés  et  ecclésiastiques,  soit  dans  la  confection  des  tables.  Qu'il  me  soit 
permis  en  particulier  de  nommer  Son  Excellence  le  cardinal  Pitra,  autrefois 
mon  professeur  de  rhétorique,  le  très-savant  et  très-complaisant  M.  Le  Hir, 
qu'une  mort  regrettable  et  prématurée  a  enlevé  trop  tôt  à  l'Eglise  et  à  ses 
nombreux  amis.  Trois  ecclésiastiques  du  diocèse  de  Limoges,  MM.  Charbo- 
nieras,  curé  de  Linard,  Dabrioux,  curé  de  Bazelat,  et  Feigneux,  curé  de  la 
Chapelle-Baloue,  et  M.  l'abbé  Gras,  curé  dans  le  diocèse  de  Dijon,  m'ont 
beaucoup  aidé  dans  la  composition  des  tables.  Qu'ils  veuillent  bien  agréer 
les  sentiments  de  ma  vive  reconnaissance.  Je  prie  aussi  MM.  Lachèse, 
Belleuvre  et  Dolbeau,  imprimeurs,  M.  L.  Vives,  libraire-éditeur,  d'agréer 
ma  gratitude  pour  leur  précieux  concours. 


Fê(e  de  l'Oraison  de  Kolre-Seipeur  au  Jardin  des  Oliviers,  19  février  1868. 


J.  M.  J. 


AVERTISSEMENT 


[DE  RONDET  '] 


Le  succès  de  la  table  que  j'ai  donnée  pour  les  trente-six  volumes  de 
V Histoire  ecclésiastique  de  M.  l'abbé  Fleury  et  du  père  Fabre,  son  conti- 
nuateur, a  fait  désirer  une  table  semblable  pour  les  vingt-trois  volumes  de 
y  Histoire  générale  des  auteurs  sacrés  et  ecclésiastiques  de  Dom  Ceillier  ;  et 
afin  qu'elle  fiît  entièrement  semblable,  on  a  désiré  qu'elle  partît  de  la  même 
main. 

Ce  travail,  assez  considérable  par  lui-même,  me  fut  demandé  lorsque 
j'étais  déjà  chargé  de  quelques  autres  entreprises  qui  ne  l'étaient  pas  moins  : 
mais  l'étendue  des  travaux  ne  m'a  jamais  effrayé,  parce  que,  avec  le  secours  de 
Dieu,  l'assiduité  du  travail,  et  la  patience  de  ceux  qui  désirent  et  attendent 
l'ouvrage,  on  parvient  à  en  voir  la  fin.  Le  public  sait  que  j'ai  fourni  dans 
ma  vie  plusieurs  longues  carrières  :  celle-ci  a  duré  près  de  vingt  ans  ;  mais 
enfin,  la  voici  terminée. 


'  Rondet  (Laurent- Etienne),  auteur  de  la  Table  des  Auteurs  sacrés  et  ecclésiastiques  par 
Dom  Ceillier,  naquit  en  1717  et  mourut  en  1783.  Il  a  fait  paraître  une  multitude  d'ouvrages 
dont  la  plupart  dénotent  une  grande  érudition  et  une  activité  infatigable.  On  lui  doit  en 
particulier  la  Bible  de  Vence  ou  d'Avignon,  les  Tables  de  l'Histoire  ecclésiastique  de  Fleury, 
celles  des  Historiens  de  France,  etc.  On  regrette  que  cet  érudit  ait  embrassé  avec  ardeur  le 
jansénisme  et  se  soit  appliqué  à  le  soutenir  dans  beaucoup  de  ses  écrits.  (L'éditeur.) 


X  "  AVERTISSEMENT  [DE  RONDET]. 

J'ai  suivi  dans  cette  table  les  mêmes  procédés  que  dans  celle  de  V Histoire 
ecclésiastique  de  M.  l'abbé  Fleury  :  je  n'y  ai  mis  d'autre  différence  que  celle 
qui  vient  de  la  nature  des  matières  que  contiennent  ces  deux  ouvrages.  Ce 
sont  bien  au  fond  à  peu  près  les  mêmes  matières,  mais  présentées  dans  un 
ordre  très-différent.  Dans  M.  Fleury,  c'est  \ Histoire  générale  de  t Église 
universelle  :  dans  Dom  Ceillier,  c'est  V Histoire  particulière  de  chacun  des 
auteurs  sacrés  et  ecclésiastiques  :  là  c'est  une  suite  de  faits  qui  s'enchaînent 
les  uns  à  la  suite  des  autres  sans  interruption  ;  ici  c'est  une  suite  de  faits 
successivement  interrompus  à  la  mort  de  chaque  auteur.  11  en  résulte  qu'on  ne 
peut  trouver  ici  d'autres  suites  que  celles  des  faits  qui  regardent  chaque 
auteur  en  particuHer. 

De  là  on  aurait  pu  croire  qu'il  suffisait  ici  de  réunir  et  fondre  ensemble 
les  tables  particulières  qui  sont  à  la  fin  de  chaque  volume.  Mais  l'expérience 
m'ayant  appris  que,  dans  ce  genre  de  travail,  un  seul  homme  ne  voit  pas 
tout,  ne  recueille  pas  tout,  et  laisse  toujours  à  glaner  après  lui;  j'ai  osé 
entreprendre  une  table  entièrement  neuve,  en  me  réservant  de  la  conférer 
ensuite  avec  les  tables  particulières,  pour  recueillir  de  celles-ci  les  articles 
qui  auraient  pu  m'échapper  dans  la  nouvelle  ;  en  sorte  qu'il  a  fallu  ici  trois 
opérations  :  une  lecture  entière  de  l'ouvrage,  avec  un  extrait  entièrement 
neuf  de  tous  les  articles  qui  devaient  former  cette  table  ;  ensuite  l'arrange- 
ment et  la  combinaison  de  tous  ces  articles  ;  enfin,  la  confrontation  de  la 
nouvelle  table  manuscrite  avec  les  tables  imprimées,  et  le  soin  de  recueillir 
et  de  transporter  de  celles-ci  dans  la  nouvelle,  tout  ce  qui  pouvait  contribuer 
à  la  compléter  :  voilà  ce  qui  a  prolongé  le  travail  et  ce  qui  a  retardé  la 
publication  de  celte  table,  déjà  depuis  longtemps  annoncée.  J'espère  qu'on 
reconnaîtra  aisément  qu'elle  est  beaucoup  plus  ample  que  les  tables  particu- 
lières, et  que,  par  la  réunion  de  tous  les  articles  qui  concernent  un  même 
objet,  elle  offre  un  coup  d'œil  beaucoup  plus  avantageux. 

La  table  imprimée  à  la  fin  du  XXIIP  et  dernier  volume,  n'était  pas  même 
une  table  des  matières,  mais  plutôt  une  simple  table  des  principaux  som- 
maires distribués  sous  les  noms  de  chacun  des  auteurs  dont  il  est  parlé  dans 
ce  volume.  Mais  ici  les  matières  de  ce  dernier  volume  ont  été  extraites  avec 
autant  de  soin  que  celles  de  tous  les  autres,  et  distribuées  comme  toutes  les 
autres  sous  leurs  différents  titres. 

Je  considère  ici,  comme  dans  la  table  de  V Histoire  ecclésiastique,  les 
personnes,  les  Ueux  et  les  choses. 

Les  personnes  principales  sont  ici  les  auteurs  sacrés  et  ecclésiastiques,  et 
je  les  distingue  en  mettant  leurs  noms  en  lettres  majuscules.  Sous  leurs  noms. 


AVERTISSEMENT  [DE  RONDET].  xi 

je  donne  d'abord  l'analyse  de  l'article  qui  les  concerne  ;  et  s'il  est  parlé 
deux  ailleurs,  je  termine  cette  analyse  par  le  signe  — ,  après  lequel  je  place 
successivement  les  autres  traits  qui  regardent  le  même  auteur,  dans  le  même 
volume  ou  dans  les  autres,  en  suivant  simplement  l'ordre  des  volumes  et 
des  pages. 

Pour  l'arrangement  de  ces  noms,  j'ai  suivi  le  même  ordre  que  dans  la 
table  de  VEisioire  ecclésiastique.  Dans  les  douze  premiers  siècles,  auxquels 
se  borne  l'ouvrage  de  Dom  Ceillier,  la  plupart  des  personnages  n'ont  qu'un 
seul  nom  ;  il  est  très-rare  qu'ils  aient  un  prénom  ou  un  surnom  :  et  alors  je 
préfère  communément  leur  nom  principal. 

Lorsqu'il  y  a  plusieurs  personnages  du  même  nom,  je  les  range,  autant 
qu'il  m'est  possible,  dans  l'ordre  chronologique  communément  indiqué  par 
l'ordre  même  des  volumes. 

Si  ce  sont  des  Papes  ,  des  patriarches,  ou  autres  grands  personnages 
distingués  par  premier,  second,  troisième  du  nom,  et  ainsi  de  suite  jusqu'au 
dernier;  le  premier  attire  les  suivants,  et  je  les  mets  tous  à  la  suite  les  uns 
des  autres,  en  partant  de  la  date  du  premier  :  après  quoi,  je  reprends  les 
autres  personnages  du  même  nom  qui  ne  se  trouvent  pas  dans  cette  suite. 

Ici,  comme  dans  Y  Histoire  ecclésiastique,  les  lieux  les  plus  mémorables 
sont  ceux  où  les  Conciles  ont  été  tenus  ;  mais  dans  Y  Histoire  ecclésiastique, 
les  Conciles  se  trouvent  dispersés  dans  la  suite  des  siècles,  relativement  à 
leurs  époques  :  c'est  pourquoi  dans  la  table  de  l'ouvrage  de  M.  l'abbé  Fleury, 
j'ai  dispersé  le  détail  des  Conciles  sous  le  nom  des  lieux  où  ils  ont  été  tenus; 
et  je  n'en  ai  donné  qu'une  simple  liste  sous  le  mot  Conciles.  Ici  au  contraire, 
Dom  Ceillier  en  a  formé  un  corps  d'histoire  séparé,  qu'il  a  distribué  à  la  fin 
des  volumes  III,  IV,  V,  X,  XII  et  suivants,  jusqu'à  la  fin'.  J'ai  cru  devoir 
analyser  ce  corps  d'histoire  comme  tous  les  autres  articles  de  cet  ouvrage  ;  et 
j'ai  placé  cette  analyse  sous  le  mot  Conciles  :  c'est  là  qu'on  trouvera  le  détail 
de  tout  ce  qui  les  concerne.  Ce  morceau  est  long;  mais  j'espère  qu'on  sera 
dédommagé  de  sa  longueur  par  l'intérêt  du  tableau  qu'il  présente.  J'indique 
en  même  temps,  sous  le  nom  des  lieux  où  ces  Conciles  ont  été  tenus,  le  tome 
et  les  pages  où  on  les  trouve. 

Il  faut  se  souvenir  que  dans  l'impression  de  cette  histoire  des  Conciles,  il 
est  arrivé  un  accident  qui  en  a  interrompu  et  troublé  la  suite  ^   La  portion 


'  Dans  la  nouvelle  édition  les  conciles  se  trouvent  aussi  à  la  fin  des  volumes  II,  III,  IV, 
VU,  VIII,  X  et  suiv.  [L'éditeur.) 

^  Ce  désordre  n'existe  pas  dans  la  nouvelle  édition,  {L'éditeur.) 


XII  AVERTISSEMENT  [DE  RONDET]. 

du  manuscrit  depuis  l'an  786  jusqu'à  l'an  1100  ayant  été  égarée  pendant 
l'impression  du  tome  XXI,  où  elle  devait  être  placée,  on  fut  obligé  d'y  mettre 
la  suite  de  ces  Conciles  depuis  l'an  1100  jusqu'à  l'an  1212.  On  reprit  dans  le 
XXir  la  portion  omise  depuis  786  jusqu'en  1002.  On  continua  depuis  1002 
jusqu'en  1099  dans  le  tome  XXIII,  où  on  reprit  la  suite  du  tome  XXI, 
depuis  1212  jusqu'en  1215.  Ce  désordre  est  réparé  dans  cette  table,  où  la 
chronologie  des  Conciles  est  soutenue  sans  interruption  depuis  le  premier 
Concile  tenu  à  Jérusalem,  au  temps  des  Apôtres,  jusqu'au  quatrième  Concile 
deLatran  tenu  à  Rome  en  1215.  Et  c'est  encore  un  avantage  qui  résultera 
de  la  réunion  de  tous  ces  articles  dans  leur  ordre  chronologique  sous  le  seul 
mot  Conciles. 

Les  choses  les  plus  importantes  dans  V Histoire  de  t Eglise  et  dans  celle  des 
auteurs  ecclésiastiques   et   des  Conciles,   ce  sont  celles  qui  concernent  le 
dogme,  la  morale  et  la  discipline.  Ces  trois  objets  se  trouvent  en  quelque 
sorte  noyés  dans  V Histoire  de  l'Église  ;  mais  ils  tiennent  un  rang  distingué 
<lans  V Histoire  des  auteurs  ecclésiastiques  et  des  conciles  :  de  là  vient  que 
je  n'ai  pu  donner  beaucoup  d'étendue  à  ces  trois  objets  dans  la  table  de 
V Histoire  ecclésiastique,  et  qu'au  contraire  ils  seront  beaucoup  plus  déve- 
loppés. Dom  Ceillier  joint  à  l'Histoire  des  auteurs  ecclésiastiques  une  analyse 
de  leurs  ouvrages  et  un  précis  de  leur  doctrine  sur  le  dogme  et  sur  la  morale, 
principalement  pour  les  six  premiers  siècles  de  l'Église  :  et  il  donne  une 
traduction  ou  du  moins  une  analyse  des  principaux  canons  des  Conciles,  pour 
ce  qui  concerne  la  discipline.  Ainsi,  non-seulement  sous  le  nom  des  Auteurs 
principaux  j'indiquerai  et  je  détaillerai  les  principaux  objets  du  précis  que 
Dom  Ceillier  donne  de  leur  doctrine  sur  le  dogme  et  sur  la  morale,  mais 
encore  sous  les  titres  de  chacun  des  points  du  dogme  et  de  la  morale,  j'indi- 
querai ce  qu'on  en  trouve  dans  les  articles  de  ces  différents  auteurs.  Pour  ce 
qui  est  de  la  discipline,  je  ne  puis  pas  en  détailler  les  objets  dans  l'article  des 
Conciles;  il  faudrait  presque  copier  leurs  canons  :  mais  sous  les  titres  de 
chacun  des  points  de  discipUne,  j'indique,  autant  que  je  le  puis,  les  différents 
canons  qui  s'y  rapportent   Au  reste,  il  est  aisé  de  comprendre  que  ce  détail, 
s'il  était  complet,  serait  immense  ;  et  ce  que  j'en  donne  ici,  je  ne  le  pré- 
sente que  comme  l'ébauche  d'une  collection  qui  pourrait  être  beaucoup  plus 
étendue.  Ce  n'est  point  ici  un  traité  de  jurisprudence  canonique,  mais  une 
simple  histoire.  Dom  Ceillier  ne  s'arrête  qu'aux  objets  principaux,  et  ce  sont 
aussi  ceux  auxquels,  d'après  lui,  je  me  suis  arrêté. 

En  général,  je  me  suis  appliqué  à  éclaircir  toutes  les  difficultés  que  j'ai 
rencontrées,  et  il  en  est  résulté  quelques  notes  qui  se  trouveront  dispersées 


AVERTISSEMENT  [DE  RONDET].  xiii 

dans  cette  table  :  j'ai  pris  soin  particulièrement  de  caractériser  chaque  per- 
sonne par  ses  différents  noms  et  par  ses  qualités,  et  chaque  lieu  par  sa 
situation,  autant  qu'il  m'a  été  possible  :  cela  sert  principalement  à  distinguer 
les  personnes  et  les  lieux  de  même  nom  ;  et  sur  ces  difTérents  objets,  on 
pourra  trouver  dans  cette  table  quelques  éclaircissements  qu'on  ne  trouve 
pas  dans  l'ouvrage  même. 

J'avais  projeté  de  mettre  sur  les  marges  de  cette  table  les  dates  propres  à 
chaque  article,  comme  je  l'ai  fait  dans  celle  de  \ Histoire  ecclésiastique  de 
M.  l'abbé  Fleury;  là,  cela  était  également  facile  et  utile,  parce  que  M.  l'abbé 
Fleury  suivant  exactement  l'ordre  des  années,  il  était  facile  de  connaître  les 
dates  que  lui-même  présente,  et  il  en  résultait  sur  nos  marges  une  suite 
bien  soutenue.  Mais  Dom  Ceillier  ne  suivant  que  la  succession  chronologique 
des  auteurs  et  des  conciles,  laisse  beaucoup  d'événements  sans  dates ,  et 
passant  successivement  d'un  auteur  à  un  autre,  ramène  sans  cesse  son  lecteur 
d'un  siècle  postérieur  à  un  siècle  antérieur,  ou  de  la  fin  d'un  siècle  à  son 
commencement  ;  et  particulièrement  dans  la  date  des  ouvrages ,  il  nous 
ramène  souvent  d'une  année  postérieure  à  une  année  antérieure.  Je  me  suis 
aperçu  qu'il  en  résultait  sur  nos  marges  une  confusion  fort  peu  avantageuse, 
et  souvent  des  lacunes  fort  disgracieuses  ;  je  me  suis  déterminé  à  élaguer  ces 
dates  inutiles,  en  me  réduisant  uniquement  à  celles  qui  regardent  le  temps 
auquel  les  auteurs  ont  vécu,  et  les  principales  circonstances  de  leur  vie 
depuis  leur  naissance  jusqu'à  leur  mort  :  celles  des  Conciles  sont  marquées 
sous  le  titre  Conciles. 

J'ai  pris  soin  de  faire  mettre  au  haut  de  chaque  colonne  les  trois  lettres 
initiales  des  articles  qui  y  sont  contenus.  On  s'est  plaint  avec  raison  de  ne 
pas  trouver  cet  avantage  dans  la  table  de  l'Histoire  ecclésiastique.  Ce  fut  bien 
contre  mon  intention  que  ces  lettres  initiales  y  furent  omises  ;  je  les  avais 
marquées  sur  chacune  des  pages  de  mon  manuscrit*. 

J'ai  cru  devoir  indiquer  ici  non-seulement  les  auteurs  ecclésiastiques  qui 
font  le  principal  sujet  de  l'ouvrage  de  Dom  Ceillier,  mais  encore  leurs 
éditeurs  et  leurs  traducteurs,  marqués  par  Dom  CeiUier  à  la  fin  de  leurs 
articles  ;  on  n'en  trouve  pas  un  seul  dans  les  tables  imprimées  qui  sont  à  'la 
fin  de  chaque  volume  :  c'est  un  morceau  entièrement  neuf,  qui  se  trouvera 
répandu  dans  toute  l'étendue  de  cette  table.  On  y  trouvera  chacun  de  ces 
éditeurs  et  traducteurs  en  leur  rang,  sous  la  lettre  initiale  de  leurs  noms, 

'  C'est  par  mégarde  que  cette  indication,  mise  dans  le  commencement  du  manuscrit  de 
la  nouvelle  édition,  n'a  pas  été  imprimée.  {L'éditeur.) 


XIV  AVERTISSEMENT  [DE  RONDET]. 

avec  l'indication  des  éditions  et  traductions  qu'ils  ont  données  :  j'ai  pensé  que 
cela  pourrait  faire  plaisir  aux  littérateurs,  et  particulièrement  aux  biblio- 
graphes. 

Il  m'a  paru  utile  d'indiquer  le  rapport  qui  se  trouve  entre  l'ouvrage  de 
Dom  Ceillier  et  \ Histoire  littéraire  de  la  France  pour  les  auteurs  ecclésias- 
tiques des  Gaules  ou  de  la  France  dans  les  douze  premiers  siècles  de  l'Église, 
qui  sont  précisément  ceux  auxquels  se  terminent  ces  deux  ouvrages*.  C'est 
pourquoi  à  la  fin  de  chacun  des  articles  qui  concernent  les  auteurs  gaulois 
ou  français,  j'indique  l'article  parallèle  qui  les  regarde  dans  Y  Histoire  litté- 
raire de  la  France.  J'ai  présumé  que  cela  pourrait  être  avantageux  à  ceux 
qui  voudraient  confronter  ces  articles  parallèles.  Ces  confrontations  sont  très- 
utiles,  quand  on  sait  en  profiter  :  si  les  auteurs  s'accordent,  il  y  a  heu  de 
présumer  qu'ils  ont  saisi  le  vrai  ;  s'ils  ne  s'accordent  pas,  on  se  trouve  alors 
invité  à  examiner  de  quel  côté  est  le  vrai,  et  ces  recherches  peuvent  procurer 
les  éclaircissements  qu'on  ne  trouve  pas  dans  ces  auteurs. 

Je  termine  cette  table  par  deux  suppléments  :  l'un  pour  les  articles  relatifs 
à  l'ouvrage  de  Dom  Ceillier,  l'autre  pour  les  Suppléments  distribués  dans  les 
onze  derniers  volumes  de  Y  Histoire  littéraire  de  la  France. 

Pour  céder  aux  demandes  du  public,  qui  depuis  longtemps  désire  et  attend 
cette  table,  j'ai  consenti  de  mettre  cet  ouvrage  sous  presse  lorsque  je  n'étais 
encore  qu'à  la  moitié  de  ma  dernière  révision.  Il  en  est  résulté  qu'en  conti- 
nuant cette  révision,  et  en  rehsant  les  feuilles  à  mesure  qu'on  les  imprimait, 
j'ai  découvert  encore  quelques  fautes  à  corriger,  et  quelques  omissions  à 
réparer.   Ces  corrections  et  additions  forment  le  premier  supplément". 

Les  auteurs  de  \ Histoire  littéraire  de  la  France  ont  eux-mêmes  éprouvé, 
en  avançant  dans  leur  travail,  la  nécessité  de  mettre  à  la  tête  de  chacun  de 
leurs  nouveaux  volumes,  des  corrections  et  additions  qui  forment  des  supplé- 
ments, non-seulement  intéressants  et  utiles,  mais  même  nécessaires.  J'en 
avais  déjà  bien  senti  toute  l'importance  ;  et  j'avais  pris  soin  d'indiquer  ces 
suppléments  en  indiquant  les  articles  auxquels  ils  ont  rapport.  Mais  je  me 
suis  aperçu  qu'il  m'en  était  échappé  plusieurs  ;  et  il  m'a  paru  qu'ils  n'étaient 
pas  tous  rassemblés  dans  les  tables  mêmes  de  X Histoire  littéraire  ;  d'ailleurs, 
quand  ils  y  seraient  tous,  il  faudrait  encore  avoir  la  peine  de  les  y  chercher 


*  Une  nouvelle  édition  de  VHhtoire  littéraire  de  la  France,  revue  par  M.  Paris,  est  publiée 
à  Paris  chez  Palmé,  libraire-éditeur.  Les  suppléments  sont  placés  à  la  fin  de  chaque  vo- 
lume. [L'éditeur.) 

*  Ces  corrections  et  ces  additions  ayant  été  mises  à  leur  place,  ce  supplément  n'existe  pas 
dans  la  nouvelle  édition.  {L'éditeur,) 


APPROBATION  ET  PERMISSION  DU  SCEAU.  xv 

dans  les  tables  de  chaque  volume;,  puisqu'il  n'y  a  point  encore  de  table  géné- 
rale de  cet  ouvrage  :  j'ai  donc  cru  faire  plaisir  à  ceux  qui  ont  l'ouvrage  de 
Dom  Ceillier  et  \ Histoire  littéraire,  de  leur  présenter  ici  une  table  complète 
des  suppléments  distribués  dans  les  onze  derniers  volumes  de  ce  dernier 
ouvrage. 

Je  n'ai  point  oublié  le  supplément  le  plus  important  de  ce  savant  ouvrage, 
je  veux  dire,  V Histoire  littéraire  de  S.  Bernard,  abbé  de  Clairvaux,  et  de 
Pierre  le  Vénérable,  abbé  de  Cluny,  volume  in-4°,  imprimé  à  Paris  en 
1773,  et  qui  se  débite  chez  la  veuve  Desaint;  quoiqu'imprimé  séparément,  il 
doit  se  joindre  aux  douze  de  V Histoire  littéraire,  et  je  l'ai  indiqué  à  la  fin  de 
l'article  de  chacun  de  ces  deux  saints  et  illustres  personnages. 


APPROBATION 


J'ai  lu  par  l'ordre  de  Monseigneur  le  Garde  des  Sceaux  un  manuscrit  ayant  pour 
titre  :  Table  générale  des  Matières  contenues  dans  les  vingt-trois  volumes  des  Auteurs 
ecclésiastiques  de  Dom  Rémi  Ceillier  ;  et  je  n'y  ai  rien  trouvé  qui  en  puisse  empê- 
cher l'impression.  A  Paris,  ce  5  janvier  1782.  Du  Voisin. 


PERMISSION    DU    SCEAU, 


LOUIS,  PAE  LA  GRACE  DE  DiEu,  Roi  DE  FRANCE  ET  DE  NAVARRE  :  A  hos  amés  et  féaux  Con- 
seillers, les  Gens  tenant  nos  Cours  de  Parlement,  Maîtres  des  Requêtes  ordinaires  de  notre 
Hôtel,  Grand-Conseil,  Prévôt  de  Paris,  Baillis,  Sénéchaux,  leurs  Lieutenans  Civils,  et  autres 
nos  Justiciers  qu'il  appartiendra,  Salïït.  Notre  amé  le  sieur  Crapart,  Libraire  à  Paris,  Nous 
a  fait  exposer  qu'il  désireroit  faire  imprimer  et  donner  au  Public  un  Ouvrage  intitulé  :  Fable 
générale  des  Matières  contenues  dans  les  vingt-trois  volumes  des  Auteurs  ecclésiastiques  de  Dom 
Rémi  Ceillier;  s'il  Nous  plaisoit  lui  accorder  nos  Lettres  de  Permission  pour  ce  nécessaires. 
A  CES  CAUSES,  voulant  favorablement  traiter  l'Exposant,  Nous  lui  avons  permis  et  permettons 


XVI  PERMISSION  DU  SCEAU. 

par  ces  Présentes,  de  faire  imprimer  ledit  Ouvrage  autant  de  fois  que  bon  lui  semblera,  et 
de  le  faire  vendre  et  débiter  par-tout  notre  Royaume,  pendant  le  temps  de  cinq  années 
consécutives,  à  compter  du  jour  de  la  date  des  Présentes  :  Faisons  défenses  à  tous  Impri- 
meurs, Libraires,  et  autres  personnes,  de  quelque  qualité  et  condition  qu'elles  soient,  d'en 
introduire  d'impression  étrangère  dans  aucun  lieu  de  notre  obéissance  :  à  la  charge  que 
ces  Présentes  seront  enregistrées  tout  au  long  sur  le  Registre  de  la  Communauté  des  Impri- 
meurs et  Libraires  de  Paris,  dans  trois  mois  delà  date  d'icelles;  que  ^impression  dudit 
Ouvrage  sera  faite  dans  notre  Royaume  et  non  ailleurs,  en  bon  papier  et  beaux  caractères  : 
que  l'Impétrant  se  conformera  en  tout  aux  Réglemens  de  la  Librairie,  et  notamment  à  celui 
du  10  Avril  mil  sept  cent  vingt-cinq,  et  à  l'Arrêt  de  notre  Conseil  du  30  Août  mil  sept  cent 
soixante-dix-sept,  à  peine  de  déchéance  delà  présente  Permission;  qu'avant  de  l'exposer 
en  vente,  le  Manuscrit  qui  aura  servi  de  copie  à  l'Impression  dudit  Ouvrage,  sera  remis 
dans  le  même  état  où  l'Approbation  y  aura  été  donnée,  es  main  de  notre  très-cher  et  féal 
Chevalier,  Garde  des  Sceaux  de  France,  le  Sieur  Hue  de  Miromenil,  Commandeur  de  nos 
Ordres  ;  qu'il  eu  sera  ensuite  remis  deux  Exemplaires  dans  notre  Bibliothèque  publique, 
un  dans  celle  de  notre  Château  du  Louvre,  un  dans  celle  de  notre  très-cher  et  féal  Chevalier, 
Chancelier  de  France,  le  Sieur  de  Mabpeou,  et  un  dans  celle  dudit  Sieur  Hue  de  Miromenil  : 
le  tout  à  peine  de  nullité  des  Présentes;  du  contenu  desquelles  vous  mandons  et  enjoignons 
de  faire  jouir  ledit  Exposant  et  ses  ayans-causes,  pleinement  et  paisiblement,  sans  souffrir 
qu'il  leur  soit  fait  aucun  trouble  ou  empêchement.  Voulons  qu'à  la  copie  des  Présentes,  qui 
sera  imprimée  tout  au  long,  au  commencement  ou  à  la  fin  dudit  Ouvrage,  foi  soit  ajoutée 
comme  à  l'original.  Commandons  au  premier  notre  Huissier  ou  Sergent,  sur  ce  requis,  de 
faire  pour  l'exécution  d'icelles,  tous  Actes  requis  et  nécessaires,  sans  demander  autre  per- 
mission, et  nonobstant  clameur  de  Haro,  Charte  Normande,  et  Lettres  à  ce  contraires  :  Car 
tel  est  notre  plaisir.  Donné  à  Paris  le  dix-septieme  jour  du  mois  d'Avril  l'an  de  grâce  mil 
sept  cent  quatre-vingt-deux,  et  de  notre  Règne  le  huitième. 
Par  le  Roi  en  son  Conseil.  Signé,  LE  BEGUE. 

Registre  sur  k  Registre-  XXI  de  la  Chambre  Royale  et  Syndicale  des  Libraires  et  Imprimeurs 
de  Paris;  N.  2345,  fol.  670,  conformément  aux  dispositions  énoncées  dans  la  présente  Permission, 
et  à  la  charge  de  i^emettre  à  ladite  Chambre  les  huit  Exemplaires  prescrits  par  l'art.  C  VIII  du 
Règlement  de  1723.  A  Paris,  le  19  Avril  1782.  Le  Clerc,  Syndic. 


TABLE    GENERALE 

DES  MATIÈRES 

DE   L'HISTOIRE 

DES 

AUTEURS  SACRÉS 

ET    ECCLÉSIASTIQUES 


Les  chiffres  romains  indiquent  les  tomes;  les  chiffres  arabes,  les  pages,  et  lorsqu'on 
ne  répète  pas  le  chiffre  romain,  c'est  que  Von  continue  d'indiquer  le  même  tome.  Les  [  ] 
indiquent  les  additions  faites  par  l'éditeur  littéraire.  On  suivra  communément  dans 
chaque  article  l'ordre  des  pages,  et  même  l'ordre  des  volumes. 

A 


ëes  de 
Christ. 


79. 


liS3. 


AARON,  premier  pontife  des  Juifs,  I,  14. 

ABA,  femme  guérie  par  l'intercession  de 
sainte  Thècle,  X,  168. 

ABACUC,  prophète.  (On  prononce  Abacuc; 
mais  selon  l'étymologie  on  écrit  Habacuc.) 
Voyez  Habacuc. 

ABACUS,  tables  d'arithmétique  dressées 
par  Gerbert,  archevêque  de  Reims,  depuis 
pape  sous  le  nom  de  Silvestre  II,  XII,  903. 
—  Commentaire  d'Hériger,  abbé  de  Lobes, 
sur  ces  tables,  XIII,  38. 

ABAILLARD  (Pierre),  abbé  de  Saint-Gildas 
(On  le  nomme  communément  Abélard;  c'est 
en  latin  Abœlardus  ou  Abailardus,  et  quelque- 
fois par  erreur  des  copistes  Abailardus.  Son 
vrai  nom  pourrait  être  Abeillard,  c'est-à-dire 
docteur  qui  imite  les  abeilles.  D.  Ceillier  le 
nomme  Abaillard).  Sa  naissance;  ses  études, 
XIV,  317,  318.  Devenu  odieux  à  Guillaume 
de  Champeaux,  son  maître,  il  se  retire  à 
Melun,  où  il  ouvre  une  école,  qu'il  transfère 
ensuite  à  Corbeil  ;  il  revient  à  Paris  ;  ses 
disputes  avec  Guillaume  ;  il  retourne  à 
Melun,  puis  vient  à  Paris  établir  une  école 
sur  le  mont  Sainte-Geneviève;  chargé  d'ins- 
truire Héloïse,  nièce  de  Fulbert,   chanoine 

TAB.    I. 


de  Paris,  il  en  devient  amoureux,  puis  l'é- 
pouse, 318.  Vengeance  que  Fulbert  exerce  à 
son  égard;  il  se  fait  moine  àSaint-Denys,  318. 
11  ouvre  une  nouvelle  école  à  Deuil,  prieuré 
dépendant  de  l'abbaye  de  Saint-Denys,  319. 
Jalousie  que  ses  succès  occasionnent;  on  dé- 
fère au  concile  de  Soissons  son  traité  de  la 
Trinité  :  il  y  est  condamné;  on  lui  donne 
pour  prison  l'abbaye  de  Saint-Médard,  puis 
on  le  renvoie  à  Saint-Denys,  319,  320.  11 
fonde  le  Paraclet  ;  ses  envieux  préviennent 
contre  lui  saint  Norbert  et  saint  Bernard;  il 
est  élu  abbé  de  Saint-Gildas-de-Ruis  en  Bre- 
tagne, et  donne  le  Paraclet  à  Héloïse,  qui  s'y 
retire  avec  quelques  religieuses  d'Argen- 
teuil  ;  il  est  condamné  au  concile  de  Sens 
et  par  le  pape  Innocent  II;  il  se  retire  à 
Cluny,  320.  Sa  mort,  321.  Eloge  que  fait  de 
lui  Pierre,  abbé  de  Cluny;  ses  écrits;  ses 
lettres,  321  et  suiv.  Règle  pour  l'abbaye  du 
Paraclet,  324  et  suiv.  Autres  lettres  d'Abail- 
lard,  326  et  suiv.  Sa  première  apologie,  328. 
Seconde  apologie,  328  et  329.  Ses  commen- 
taires sur  l'Oraison  dominicale,  le  Symbole 
des  apôtres  et  celui  de  saint  Athanase,  329. 
Solution  des  problèmes  d'Héloïse,  329  et  330. 

1 


«21. 


H40. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLESIASTIQUES. 


un. 


Livre  contre  les  hérésies,  330  [il  n'est  pas 
d'Abaillard,  330,  n.  1].  Commentaire  sur 
l'épître  aux  Romains,  330  et  331.  [Remarques 
sur  ce  commentaire,  331.]  Sermons  d'Abail- 
lard, 331  et  332.  Son  Introduction  à  la  théo- 
logie, 332, 333.  [En  quel  sens  Abaillard  prend 
le  mot  (keologia,  332,  n.  1.]  Ses  proses  et 
hymnes,  334.  Sa  Théologie  chrétienne  divisée 
en  cinq  livres,  334,  335.  Commentaire  sur 
l'ouvrage  des  six  jours,  335.  Morale  d'Abail- 
lard, 336.  [Son  sermon  pour  la  fête  des  Saints 
Innocents,  332.  Ecrits  d'Abaillard  publiés  de- 
puis D.  Ceillier  :  le  livre  Sic  et  non;  ce  qu'en 
disent  les  auteurs  de  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  336,  337.  Dialogue  entre  un  philo- 
sophe, un  juif  et  un  chrétien,  337,  338. 
Abrégé  de  la  théologie  chrétienne,  338.  Poé- 
sies d'Abaillard,  338,  339.  Ses  autres  écrits 
qui  n'ont  pas  été  imprimés,  339.  Jugement 
sur  les  ouvrages  d'Abaillard  et  d'Héloïse,  340. 
Editions  qu'on  en  a  faites,  [éditions  de  quel- 
ques écrits  d'Abaillard,  340.  Ses  écrits  dans  la 
Patrologie,  341].  Reproches  faits  à  la  traduc- 
tion des  lettres  d'Abaillard  par  Dom  Gervaise, 
341,  n.  1.  —  [Ce  que  le  pape  Innocent  II  écrit 
au  sujet  d'Abaillard,  XIV, 267],  Circonstances 
de  la  vie  d'Abaillard,  écrites  par  lui-même 
dans  une  de  ses  lettres,  317.  Sa  vie,  par  Dom 
Gervaise,  341.  Saint  Bernard  fait  condamner 
Abaillard  au  concile  de  Sens  ;  lettre  de  saint 
Bernard  contre  Abaillard,  440.  Lettre  que  le 
pape  Innocent  II  adresse  à  saint  Bernard 
contre  les  erreurs  d'Abaillardj480.  Traité  de 
saint  Bernard  contre  les  erreurs  d'Abaillard, 
481.  Pierre  le  Vénérable  fait  l'éloge  d'Abail- 
lard, 510.  Epitaphe  d'Abaillard  par  le  même, 
522.  Letlre  écrite  à  Abaillard  par  Gauthier 
de  Morlagne,  6ti0.  Epitaphe  d'Abaillard  par 
Philippe  de  Bonne-Espérance,  687.  Ecrits  de 
Guillaume,  abbé  de  Saint-Thierry,  contre 
Abaillard,  388.  Concile  de  Soissons  où  le 
traité  d'Abaillard  sur  la  Trinité  est  déféré, 
1095.  Concile  de  Sens  oîi  saint  Bernard  dé- 
nonce les  erreurs  qu'il  avait  trouvées  dans 
les  écrits  d'Abaillard,  1116.  (Voyez  l'article 
d'Abaillard  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  XII,  p.  86  et  suiv.) 

ABANDUS  (ou  ABAUDUS),  abbé  :  son 
traité  sur  la  fraction  du  coi'ps  de  J.-C,  XIV, 
345.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  XII,  p.  444  et 
suiv.) 

ABBENDON,  monastère  d'Angleterre,  ré- 
tabli par  saint  Ethelvold,  depuis  évêque  de 
Winchester,  XII,  867.  ~  Le  pèlerinage  à 


Sainte-Marie-d'Abbendon  est  autorisé  par  un 
concile,  XIII,  759. 

ABBÉS.  Canon  sous  le  nom  des  Apôtres, 
qui  ordonne  de  déposer  un  abbé  prévarica- 
teur des  commandements  de  Dieu  et  de  la 
sain  te  règle,  II,  579,  n.  6 .—  L'abbé  Barsumas, 
au  nom  de  tous  les  abbés  de  l'Orient,  prend 
séance  avec  les  évoques  au  faux  concile 
d'Ephèse  par  ordre  de  l'empereur,  X,  675. 
Requête  des  abbés  schismatiques  au  concile 
de  Chalcédoine,  690.  Lettre  du  pape  saint 
Simplice  aux  abbés  de  Constantinople,  403. 
Le  nom  d'Abbé  donné  aux  curés  parles  con- 
ciles attribués  à  saint  Patrice,  706.  Canon 
du  concile  de  Vannes,  qui  défend  aux  abbés 
d'avoir  plusieurs  monastères,  713.  Abbés 
soumis  aux  évéques  par  le  premier  concile 
d'Orléans,  745.  — Fonctions  des  abbés;  qua- 
Utés  qu'ils  doivent  avoir,  selon  la  règle  de 
saint  Benoît,  XI,  162  et  suiv.  Dispositions  du 
concile  d'Epaone  qui  concernent  les  abbés, 
815.  Le  second  concile  d'Orléans  défend  aux 
abbés  de  donner  des  lettres  pacifiques,  848; 
et  prive  de  la  communion  ceux  qui  mépri- 
sent les  ordres  des  évoques,  849.  Il  est  dé- 
fendu aux  abbés  de  s'absenter  longtemps  sans 
la  permission  de  l'évêque  diocésain,  882. 
Saint  Grégoire  défend  de  choisir  pour  abbé 
un  clerc  attaché  à  quelque  église  particu- 
lière, 496.  Comment  l'abbé  doit  être  choisi 
selon  saint  Grégoire,  511.  Saint  Grégoire  veut 
qu'un  abbé  devenu  évêque  laisse  au  monas- 
tère les  biens  qu'il  a  acquis,  518.  Quel  doit 
être  l'abbé,  suivant  saint  Isidore  de  Séville, 
723.  Règlement  de  Théodore  de  Cantorbéry 
touchant  les  abbés,  797,  798.  —  Statuts  de 
saintSimpert touchant  les  abbés,  XII,  21 9.  Ar- 
ticle d'un  capitulaire  de  Charlemagne  touchant 
les  abbés,  240.  Autres  règlements  de  Charle- 
magne, 230,  234,  241.  Un  des  canons  du  pa- 
triarche Isicéphore  prescrit  à  l'abbé,  s'il  est 
prêtre,  d'ordonner  des  lecteurs  et  des  sous- 
diacres  dans  son  monastère,  386.  Canon  d'un 
concile  de  Chalon-sur-Saône  qui  défend  de 
mettre  deuxabbés  dans  un  même  monastère, 
931.—  A  la  fin  du  x"  siècle,  les  évoques  veu- 
lent exiger  des  abbés  le  serment  de  fidélité  ; 
querelles  que  cela  occasionne,  XIII,  26,  27. 
L'abbé  de  Cluny  était  élu  par  les  profès  de 
ce  monastère  ;  quels  étaient  ses  droits ,  474. 
Un  canon  du  deuxième  concile  général  de 
Nicéii  permet  aux  abbés  de  conférer  l'ordre 
de  lecteur;  à  quelles  conditions,  630.  —  [11 
leur  est  défendu  de  placer  des  prêtres  dans 
les  églises  paroissiales  qui  dépendent  d'eux 


TABLE  GÉNÉRALE- DES  MATIÈRES. 


sans  le  consenlement  des  évêques,  XIV,  267.] 
Plaintes  de  saint  Bernard  contre  les  abbés  de 
son  ordre,  466.  Privilèges  depuis  accordés 
aux  abbés  ;  letlre  de  Piiilippe  de  Bonne-Es- 
pérance qui  explique  le  nom  d'abbé,  les 
marqaes  de  sa  dignité,  ses  fonctions  et  ses 
devoirs,  684,  683.  Abus  que  les  abbés  fai- 
saient des  privilèges  que  les  papes  leur  ac- 
cordaient, 771,  Instructions  que  Pierre  de 
Blois  donne  à  des  abbés  nouvellement  élus, 
773.  [Union  qui  doit  exister  entre  l'abbé  et 
les  moines,  sujet  d'un  sermon  d'Alain  de 
Lille,  870.  Les  abbés  ne  doivent  pas  se  rendre 
caution  ni  emprunter  à  intérêt,  998.]  Canon 
du  concile  de  Poitiers  qui  interdit  aux  abbés 
l'usage  des  ornements  pontificaux,  1076. 
Abbé  des  abbés,  titre  usurpé  par  Ponce,  abbé 
de  Cluny,  et  dont  il  est  repris  au  concile  de 
Latran  par  le  chancelier  de  l'Eglise  romaine 
qui  l'adjuge  à  l'abbé  du  Mont-Cassin,  1088. 

ABBESSES.  Instructions  que  saint  Césaire 
donne  à  une  abbesse,  XI,  152,  153.  Autres 
instructions  qu'il  adresse  à  sa  sœur  Césarie, 
153,  154.  Témoignage  de  saint  Grégoire  de 
Tours  sur  les  abbesses,  393.  Saint  Grégoire- 
le-Grand  défend  de  les  élire  au-dessous  de 
soixante  ans,  496  et  375.  Elles  étaient  bénies 
parles  évêques,  395.  Elles  étaient  incapables 
de  faire  des  testaments,  selon  le  pape  saint 
Grégoire,  393.  Lorsque  dans  une  communau- 
té, il  n'y  avaitpoint  de  tille  capable  d'être  ab- 
besse, saint  Grégoire  en  envoyait  d'ailleurs,  à 
la  demande  de  l'évêque  diocésain,  320.  Lesab- 
besses  héritaient  de  leurs  parents,  suivant  le 
droit,  mais  la  règle  de  saint  Benoît  le  défen- 
dait, 529.  —  Règlements  qui  concernent  les 
abbesses,  XII,  230,  231,  234,  241.  Abbesses 
qui  assistent  et  qui  souscrivent  au  concile  de 
Béchancelle ,  966.  —  Abbesses  dans  l'ordre 
deCiteaux,  qui  bénissaient  leurs  religieuses, 
et  entendaient  leurs  confessions,  etc.;  le  pape 
Innocent  III  réforme  cet  abus,  XIV,  1006. 

ABBON,  maître  de  la  monnaie  de  Limoges, 
à  qui  saint  Eloi  est  confié  dans  sa  jeunesse, 
XI,  753. 

ABBON  ou  GOERZE,  évêque  de  Metz. 
Lettre  que  saint  Didier  de  Cahors  lui  écrit, 

XI,  733.  Lettre  qu'il  écrit  à  saint  Didier  de 
Cahors,  734.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans 
V Histoire  littéraire  de  la  France,  III,  p.  583.) 

siècle.  ABBON,  moine  de   Saint -Germain -des - 

iiècie.      Pi'és  à  Paris,  confondu  avec  Abbon  de  Fleury, 

XII,  789.  Temps  où  il  vivait,  790.  Son  poème 
sur  le  siège  de  Paris  par  les  Normands,  790. 
Editions  qu'on  en  a  faites,  790  et  791.  [Edi- 


tions et  traductions  nouvelles,  791.]  Ses  ser- 
mons, 791,  792.  (Voyez  son  article  dans 
V  Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VI,  p.  189 
et  suiv.,  et  l'addition  qui  est  à  la  tête  du  t.  X, 
p.  LV.) 

ABBON,  père  de  saint Odon,  abbé  deCluny,     x  siècle. 
804.  Il  embrasse  la  vie  monastique  à  la  sol- 
licitation de  son  fils,  803.  Ce  qu'en  rapporte 
saint    Odon  dans    l'histoire  de    sa  propre 
vie,  809. 

ABBON,  abbé  de  Fleury.  Sa  naissance;  il  v.  958. 
est  offert  par  ses  parents  au  monastère  de 
Fleury,  où  ensuite  il  prend  l'habit  monas- 
tique, XIII,  24.  Ses  études;  il  est  envoyé  en  ggs. 
Angleterre  pour  instruire  les  moines  de 
Ramsey;  saint  Osvs'ald,  archevêque  d'York, 
l'ordonne  prêtre  ;  il  revient  à  Fleury  et  en  est 
abbé  après  la  mort  d'Oybold;  différentes  né- 
gociations dont  il  est  chargé  ;  il  met  la  ré- 
forme dans  plusieurs  monastères;  sa  mort,  looi. 
24.  Lettre  circulaire  des  moines  de  Fleuri 
sur  sa  mort,  32.  Sa  vie  écrite  par  Aimoin, 
23  et  41.  [Ses  écrits  dans  la  Patrologie,  23, 
n.  2  et  p.  33.]  Collection  de  canons,  25  et  26. 
Son  apologie  adressée  aux  rois  Hugues  et 
Robert;  à  quelle  occasion  il  la  composa, 
26,27.  Analyse  de  cette  apologie,  27,  28.  Ses 
lettres,  28  et  suiv.  Sa  Chronique  des  papes  ; 
vie  de  saint  Edmond,  roi  d'Angleterre,  32. 
Poésies  d'Abbon,  32  et  33.  Ses  Cycles,  33. 
Commentaire  sur  le  cycle  de  Victorius,  33 
et  34.  [Prose  attribuée  à  saint  Abbon,  34, 
n.  4.]  Ouvrages  qu'on  attribue  à  Abbon;  ju- 
gement sur  ses  écrits ,  34 .  [Editions  de  ses  écrits 
dans  Galland  et  dans  la  Patrologie,  34,  35]. 

—  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Grégoire  V,  XII, 
901.  —  Lettre  que  lui  écrit  Fulbert  de  Char- 
Ires,  Xîll,  81 .  Il  avait  fait  encore  une  introduc- 
tion à  l'Intelligence  des  canons  sur  la  concorde 
des  évangiles,  152.  Sa  vie  écrite  non  par 
Helgaud,  mais  par  Aimoin,  149.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  Vil,  p.  159  et  suiv.) 

ABDALLAHAN  (Saint), prêtre,  compagnon 
de  l'évêque  Ebed-Jésus,  souffre  le  martyre 
avec  lui,  III,  336,  337. 

ABDAS  (Saint),  évêque  en  Perse,  démolit 
le  temple  du  feu,  et  par  cette  action,  donne 
lieu  à  la  persécution  qui  s'élève  en  Perse 
contre  les  chrétiens,  X,  49.  Son  martyre,  49. 

—  Actes  de  son  martyre  rapportés  par  As- 
sémani,  III,  337. 

ABDÉCHALAS  (Saint),  prêtre  et  martyr  de 
Perse,  III,  321  et  327. 
ABDÈRAME  III,  ou  plutôt  II,  roi  de  Cor- 


4 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


V.  uoo. 


sli^cle. 


doue,  persécute  les  chrétiens  de  son  état, 
XII,  514.  Histoire  de  sa  persécution  écrite 
par  saint  Euloge,  prêtre  de  Cordoue,  515  et 
suiv.  Sa  mort,  519. 

ABDÉRAME,  roi  des  Sarrasins,  qui  vient 
dans  les  Gaules,  XIII,  717.  (Ce  fait  est  dou- 
teux). 

ABDIAS,  prophète,  I,  179.  On  ne  sait  rien 
touchant  sa  vie  ;  objet  de  sa  prophétie,  179. 
[Commentaire surle prophète  Abdias par  saint 
Ephrem,  VI,  439  et  447].  —  Commentaire  de 
Guibert,  abbé  de  Nogent,  sur  ce  prophète, 
XIV,  196.  Notes  de  Hugues  de  Saint-Victor 
sur  la  prophétie  d'Abdias,  349.  Voyez  l'ar- 
ticle des  douze  petits  prophètes. 

ABDIAS,  imposteur,  qui  a  fabriqué  de  faux 
Actes  des  apôtres,  I,  276.  —  Sa  vie  de  l'a- 
pôtre saint  André ,  abrégée  par  saint  Gré- 
goire de  Tours,  XI,  383. 

ABDINGHOFF, abbayeàPaderborn,  l'abbé 
rachète  plusieurs  terres  de  son  monastère 
qu'il  avait  aliénées,  XIII,  515. 

ABDON,  juge  d'Israël,  1,  51. 

ABÉCÉDAIRE.  Psaume  abécédaire  de  saint 
Augustin  contre  les  Donatistes,  IX,  374. 

ABÉDÉCALES  (Saint),  prêtre.  Voyez  Ahdé- 
chalas. 

ABEL,  fils  d'Adam.  Ecrits  supposés  sous 
son  nom,  I,  264.  Livres  de  saint  Ambroise 
sur  Caïn  et  Abel,  V,  399.  -~  Abel,  sujet  d'un 
opuscule  supposé  sous  le  nom  de  saint  Jean 
Chrysostôme,  VII,  335.  —  Pourquoi,  selon 
Photius,  Dieu  permit  qu'Abel  mourût  avant 
Adam,  XII,  729.  Différence  des  sacrifices 
d'Abel  et  de  Caïn,  729. 

ABEL,  établi  archevêque  de  Reims  par  le 
concile  de  Leptimes;  saint  Boniface  demande 
pour  lui  le  pallium,  XII,  30. 11  est  chassé  par 
Milon,  130. 

ABÉLARD  (Pierre).  Yoyez  Abaillard. 

ABELLEN,  évéque  de  Genève,  XI,  618. 

ABÉLONIENS,  hérétiques,  IX,  16. 

ABEN-EZRA,  rabbin.  Son  sentiment  sur 
le  Pentateuque,  I,  20. 

ABERCE  (Saint),  évêque  de  Hiéraple,  I, 
448.  Lettre  de  saint  Aberce  à  Marc-Aurèle, 
448.  Ecrits  qu'on  lui  attribue,  448,  449.  11 
n'est  pas  le  même  qu'A vircius  Marcellus,  449. 
[Actes  de  saint  Aberce  fabriqués  par  les 
Grecs  du  Bas-Empire,  449,  n.  1.  Ce  qu'ils 
présentent  de  remarquable  dans  une  épila- 
phe  dictée  par  le  saint  lui-même,  449.  —  Ex- 
trait des  actes  de  saint  Aberce  dans  un  ou- 
vrage de  Nicolas  le  Grammairien,  XIII,  560.] 

ABESAN,  juge  d'Israël,  I,  51. 


ABGAR  ,  roi  d'Edesse  dans  l'Osrhoène.  i  siéci. 
Epîtres  supposées  d'Abgar  à  Jésus-Christ,  et 
de  Jésus-Christ  à  Abgar,  1,  268.  [D'où  vient 
le  nom  d'Abgar,  268,  n.  2.]  Actes  supposés 
de  la  guérison  et  de  la  conversion  d'Abgar, 
268.  Preuves  de  la  supposition  de  ces  lettres 
et  de  ces  actes,  269.  —  Ces  pièces  sont  rap- 
portées par  Eusèbe  de  Césarée,  III,  203.  — 
L'histoire  d'Abgar  se  trouve  dans  le  testa- 
ment de  saint  Ephrem,  VI,  47.  Ce  qu'on  en 
disait  du  temps  de  saint  Augustin,  IX,  575. 

—  Sa  lettre  à  Jésus-Christ,  et  la  réponse 
mentionnéesdans  une  poésie  de  saint  Jacques 
de  Batna,  X,  642.  —  Elles  sont  citées  par 
Fréculphe,  évêque  de  Lisieux,  XII,  419. 
Constantin  Porphyrogénète  rapporte  l'his- 
toire de  ces  lettres  et  parle  de  l'image  de 
Jésus-Christ,  811,  812. 

ABIBUS  (Saint),  diacre  et  martyr;  poème 
de  Jacques  de  Batna  en  son  honneur,  X,  642. 

—  Discours  d'Arétas  en  l'honneur  des  saints 
martyrs  Samone,  Carie  et  Abibus,  XI,  266. 

ABIBUS,  évêque  de  Dolique,  déposé  pour        434. 
son  attachement  à  Nestorius,  VIII,  387,  603. 
Lettres  qui  nous  restent  de  lui,  387. 

ABIBUS  (autrement  dit  ABIB),  ecclésias- 
tique qui  se  rend  accusateur  d'ibas.  X,  145. 

ABIGAUS,  prêtre  espagnol.  Lettre  que  lui        395. 
écrivait  saint  Jérôme  pour  lui  recommander 
la  veuve  Théodora,  VII,  623. 

ABIMELECH,  roi  de  Gérare.  Punition  de 
son  péché,  IX,  493. 

ABIMELECH,  juge  d'Israël,  I,  31. 

ABLABIUS,  vicaire  d'Afrique.  Voyez  Abla- 
vius. 

ABLABIUS,  sophiste.  Saint   Grégoire  de     iv  sièc 
Nazianze  lui  écrit,  V,  263. 

ABLABIUS,  évêque,  à  qui  saint  Grégoire 
de  Nysse  écrivit,  VI,  221, 222.  Voyez  Ai/am'ws.     yy  ^^^^ 

ABLANCOIJRT  (Nicolas-Perrot  d').  Voyez 
Peri'ot. 

ABLAVIUS  (ou  ^LAFIUS),  vicaire  d'Afri-        314. 
que.  Constantin  lui  écrit  pour  la  convocation 
du  concile  d'Arles,  II,  628.  —  Extrait  de  cette 
lettre,  III,  133,  134.  —  On  la  trouve  jointe 
aux  œuvres  de  saint  Augustin,  IX,  416. 

ABLAVIUS,  disciple  de  saint  Grégoire  de 
Nysse  qui  lui  écrit  une  ou  deux  fois  sur  la 
Trinité,  VI,  183. 

[ABNÉGATION  de  soi-même,  ouvrage  ma 
nuscrit  d'Achard,  prieur  de  S;iint-Victor  et 
ensuite  évêque  d'Avranches,  XIV,  709.] 

ABOLEN,  monastère.  Le  pape  Innocent  lU 
le  soumet  à  la  juridiction  de  l'évêque  de 
Lunen,  XIV,  934. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


ABOMINATION  prédite  par  Daniel;  com- 
ment saint  Jean  Chrysostôme  l'explique , 
VII,  243. 

ABONDANTIA.  Voy.  Abundantia. 

ABONDANTIUS.  Voy.  Abundantius. 

ABOUCARA  (Théodore),  métropolitain  de 
Carie.  Voyez  Théodore  Aboucara. 
écie.  ABRA  ou  APRA  (et  non  ABRAM),  fille 
de  saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  4  [et  7,  n. 
1].  Elle  lui  écrit  dans  son  exil,  34,  53.  Ré- 
ponse qu'il  lui  adresse,  33.  Hymnes  qu'il  lui 
envoie,  53;  [cette  hymne  est  authentique,  53, 
n.  S]. 

ABRAGILA.  Traité  du  Saint-Esprit  qui  lui 
est  adressé,  XI,  74. 

ABRAHAM ,  patriarche.  Ecrits  supposés 
sous  son  nom,  I,  266.  Fausse  Apocalypse 
sous  sonnom,  263, 283, 286.  —  Livre  de  saint 
Ambroise  sur  Abraham,  V,  401  et  suiv.  — 
[Traité  sur  Abraham  par  saint  Zenon,  évéque 
de  Vérone,  VI,  274]. — Homélies  de  saint  Jean 
Chrysostôme  sur  la  Genèse,  où  se  trouve  tout 
ce  qui  concerne  Abraham  depuis  la  trente- 
unième  jusqu'à  la  quarante-huitième,  VII, 
156  et  suiv.  Témoignages  du  même  Père  sur 
Abraham,  161 ,  336.  Homélie  attribuée  à  saint 
Jean  Chrysostôme  sur  Abraham,  97.  Témoi- 
gnage de  saint  Jérôme  sur  Abraham,  658. 
—  Réflexions  de  saint  Cyrille  d'Alexandrie 
touchant  Abraham,  VIII,  263.  —  [De  la  dé- 
faillance de  la  synagogue  et  du  changement 
du  nom  d'Abraham ,  livre  perdu  de  saint 
Cyrille  d'Alexandrie,  362.]  —  [Sermon  de 
saint  -Augustin  sur  Abraham,  IX,  841.]  — 
Questions  sur  Abraham  examinées  par  Théo- 
doret,  X,  28.  Doctrine  de  Théodoret  sur 
Abraham,  122.  Discours  de  Basile  de  Séleu- 
cie  sur  Abraham,  165.  —  Discours  de  saint 
Césaire  d'Arles  sur  la  vocation  d'Abraham,  XI, 
129.  Sur  l'ordre  que  Dieu  lui  donna  de  lui  im- 
moler une  vache,  un  bélier  et  une  chèvre, 
129. 
139.  ABRAHAM  (Saint),  l'un  des  martyrs  de 

Perse,  sous  le  règne  de  Sapor  II,  III,  341. 
181.  ABRAHAM,  évêque  de  Batne  en  Mésopo- 

tamie, confesseur,  assiste  au  concile  de  Cons- 
tanlinople,  IV,  618.  Il  se  trouve  joint  à  saint 
Basile  à  la  tête  de  la  lettre  aux  Occiden- 
taux, 446. 

ABRAHAM,  évêque  d'Usimes  dans  la  Syrie 
Euphratésienne,  nommé  dans  la  même  lettre 
avec  saint  Basile,  IV,  446. 
siècle.  ABRAHAM  (Saint),  sohtaire,  Vie  de  ce 
saint  et  de  sainte  Marie  sa  nièce,  par  saint 
Epbrem,  VI,  43  et  suiv. 


IV  011 
V siècle. 


448. 


ABRAHAM,  grec,  père  du  pape  Zosime, 
Vn,  328. 

ABRAHAM.  Lettre  de  saint  Augustin  à 
Pierre  et  à  Abraham,  IX,  192,  193. 

ABRAHAM,  abbé,  visité  par  Cassien, 
Vm,   192. 

ABRAHAM  (Saint),  solitaire,  dont  Théo- 
doret parle  dans  la  Vie  de  saint  Marcien, 
X,  33. 

ABRAHAM  (Saint),  solitaire,  dont  Théo- 
doret parle  à  la  suite  de  la  Vie  de  saint  Pal- 
lade,  X,  34. 

ABRAHAM  (Saint),  solitaire,  depuis  évêque 
de  Carres.  Sa  vie  écrite  par  Théodoret, 
X,  58. 

ABRAHAM,  chorévêque,  envoyé  à  Rome 
par  Théodoret,  X,  23  et  74. 

ABRAHAMjl'un  des  opposants  au  rétablis- 
sement d'Ibas,  X,  14. 

ABRAHAM,  abbé  à  Constantinople,  chargé 
parEutychès  de  se  présenter  pour  lui  au  con- 
cile de  Constantinople,  X,  671. 

ABRAHAM  (Saint),  abbé  de  Saint-Cyrgues 
en  Auvergne.  Vers  que  fait  saint  Sidoine  pour 
lui  servir  d'épitaphe,  X,  393.  —  Lettre  du 
même  à  Volusien  au  sujet  de  ce  saint  abbé 
et  de  son  monastère  ;  vie  de  ce  saint  abbé 
écrite  par  Grégoire  de  Tours,  XI,  380. 

ABRAHAM  NEPHTAREN,  né  à  Nephtar,    viisiecie. 
ville  de  Mésopotamie.  Discours  de  l'Institu- 
tion monastique,  qu'on  lui  attribue,  XII,  100. 

ABRAHAM,  évéque  de  Frisiugue,  accusé 
de  crime,  s'en  justifie,  XIII,  63. 

ABRAM  (ou  ABRAHAM),  qui  fut  obligé  par 
Théodoret  de  réparer  ses  vexations,  X,  63. 

ABRAMIUS,  roi  des  Homérites,  XI,  279. 

ABRÉGÉ  DE  LA  FOI,  ouvrage  attribué 
faussement  à  Anastased'Antioche,  XI, 363. 

ABROSIME  (Saint),  disciple  de  saint  Mile, 
évêque  de  Suze.  Son  martyre.  III,  330. 

[ABSALON,  fils  de  David.  Sermon  sur 
Absalon  faussement  attribué  à  saint  Léon-le- 
Grand,  X,  276.] 

[ABSALON,  abbé  de  Sprinckirsbach.  Ce  xiisfide. 
qu'on  sait  de  sa  vie,  XIV,  876.  Ses  sermons; 
jugement  sur  ces  sermons  ;  leur  édition  dans 
la  Patrologie,  877.  D'après  les  continuateurs 
de  V  Histoire  littéraire  de  la  France,  il  serait 
un  seul  et  même  personnage  avec  Absalon, 
abbé  de  Saint- Victor  de  Paris,  876.] 

[ABSALON,  évêque  de  Lunden  en  Dane-    xii  siècle, 
mark.  Son  histoire  fut  écrite  par  saint  Guil- 
laume, abbé  de  Saint-Thomas  du  Paraclet; 
il  n'en  reste  qu'un  fragment,  XIV,  743.  Tes- 
tament d'Absalon,  743.] 


6 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


I   sIÈcIe 


IV  siècle. 


V   siècle. 


toi. 


412. 


ABSAMIAS,  syrien,  auteur  ecclésiastique, 
VIII,  2. 

ABSOLUTION,  refusée  par  les  Montanistes 
aux  adultères,  etc.,  II,  83.  Doctiine  d'Origène 
sur  ce  point,  176  et  243.  Voyez  176,  n,  2. 
A  qui  elle  doit  être  différée  ou  refusée  selon 
les  maximes  de  saint  Cyprien,  372.  Canon  du 
concile  d'Elvire  sur  la  communion  ou  l'abso- 
lution qui  y  dispose,  604,  603.  —  Doctrine  de 
saint  Jean  Chrysostôme  sur  le  délai  de  l'ab- 
solution, VII,  308.  Canon  7  dans  la  lettre  du 
pape  saint  Innocent  à  Déceulius,  évêque 
d'Eugubio,  sur  l'absolution  des  pénitents, 
S20.  Absolution  des  péchés  vendue  par  quel- 
ques prêtres;  homélie  de  sainl  Maxime  de  Tu- 
rin contre  cet  abus,  X,  324. — Au  viir  siècle, 
quelques  moines  s'arrogeaient,  à  cause  de  la 
profession  monastique,  le  pouvoir  d'absoudre 
les  péchés,  quoiqu'ils  ne  fussent  pas  prêtres, 
XII,  84.  —  Lettre  d'un  citoyen  de  Spire  contre 
les  absolutions  données  en  général,  XIII, 76. 
L'absolution  doit-elle  être  donnée  par  une 
formule  déprécative,  76. — Ce  que  dit  Yves  de 
Chartres  sur  le  délai  de  l'absolution,  XIV, 
118.  Voyez  Communion  et  Pénitence, 

ABSTINENCE  du  sang  des  bêtes  ordonnée 
aux  chrétiens  dans  les  premiers  siècles,  I, 
469,  n.  5.  —  Abstinence  du  sang  des  animaux 
ordonnée  par  les  apôtres,  II,  S33.  Cette  or- 
donnance a  été  observée  pendant  plusieurs 
siècles,  533, 334.  Elle  est  ordonnée  par  un  des 
canons  attribués  aux  apôtres,  385.  Abstinence 
superstitieuse  condamnée  par  un  des  canons 
attribués  aux  apôtres,  583;  et  par  un  des 
canons  du  concile  d'Ancyre,  638.  —  L'absti- 
nence du  sangétait  encore  observée  au  temps 
du  concile  de  Gangres,  III,  517.  — Témoi- 
gnage de  saint  Augustin  sur  l'abstinence  des 
viandes,  IX,  348,  804.  Doctrine  de  Théodoret 
sur  l'abstinence  de  la  chair,  X,  194.  —  Doc- 
trine de  saint  Léon  sur  l'abstinence,  1 81  et  271. 
—  Règle  de  saint  Benoît  sur  les  abstinences, 
XI,  168  et  XIV,  164.  —  [Obligation  de  garder 
l'abstinence  les  jours  solennels,  XIII,  514. — 
Abstinence  de  vin;  réponse  de  Ponce,  abbé 
deSaint-Ruf,  consulté  sur  ce  point,  XIV,  247.] 

ABUCARA  (Théodore).  Voyez  Théodore 
A boucara. 

ABUNDATIA,  mère  desaint  Benoit,  XI,  136. 

ABUNDANTIUS,  à  qui  est  adressé  une  pré- 
tendue lettre  de  saint  Jérôme,  VII,  649,  630. 

ABUNDANTIUS,  prêtre  convaincu  de  pré- 
varication, IX,  16.  Déposé  par  saint  Augus- 
tin, 89. 

ABUNDANTIUS  ,    général    des    troupes 


d'Egypte ,  prend  parti  pour  l'archidiacre 
Timothée  contre  saint  Cyrille,  VIII,  256. 

ABUNDFUS,  évêque  de  Cosme.  Lettre  que 
lui  écrit  Théodoret,  X,  79.  L'un  des  légats 
envoyés  à  Constantinople  par  le  pape  saint 
Léon  après  le  brigandage  d'Éphèse,  219. 
Abundius  rend  compte  de  sa  légation  au 
pape,  681 .  Concile  auquel  il  assiste  après  son 
retour  ;  il  y  porte  la  parole  pour  Asinion, 
évêque  de  Coire,  et  fait  le  rapport  de  sa  lé- 
gation, 219. 

ABUNUIUS,  prêtre,  martyr  à  Cordoue, 
XII,  519. 

ABURGIUS.  Lettre  que  lui  écrivit  saint 
Basile  le  Grand,  IV,  433. 

ABUS.  [Abus  signalés  par  saint  Clément, 
pape,  I,  330.]  —  Sentiment  de  saint  Augustin 
sur  divers  abus,  IX,  70,  71,  74,  241.  —  Livre 
des  Douze  abus  du  siècle,  faussement  attri- 
bué à  saint  Cyprien,  II,  374;  —  à  saint  Au- 
gustin, IX,  287;  —à  saint  Patrice,  X,  447. 
—  Il  est  différent  d'un  écrit  d'Hincmar  de 
Reims,  intitulé  :  Des  douze  abus,  XIT,  688. 

ACACE,  évêque  d'Orient.  Actes  du  témoi- 
gnage qu'il  rendit  à  Jésus-Christ  dans  la 
persécution  de  Dèce,  11,  117,  118. 

ACACE  (ou  AGATHE),  soldat  et  martyr; 
jugement  sur  les  actes  de  son  martyre,  II, 
101,  102. 

ACACE,  surnommé  le  Borgne,  évêque  de 
Gésarée  en  Palestine,  succède  à  Eusèbe  ;  ses 
qualités  personnelles  ;  il  assiste  en  341  au 
concile  d'Antioche  ;  est  déposé  par  celui  de 
Sardlque  ;  ordonne  sainl  Cyrille  de  Jérusa- 
lem; est  un  des  fauteurs  de  l'intrusion  de 
l'anti-pape  Félix;  dépose  saint  Cyrille  de 
Jérusalem;  est  obligé  d'excommunier  Aëtius; 
condamne  la  consubstanlialité  et  la  ressem- 
blance en  substance  dans  le  concile  d'An- 
tioche, IV,  322.  Fait  diviser  en  deux  le 
concile  queConstantius  avait  dessein  d'assem- 
bler ;  assiste  à  celui  de  Séleucie  ;  y  est  accusé 
et  déposé  ;  prévient  l'empereur  contre  les 
députés  de  ce  concile  ;  est  obligé  d'anathé- 
matiser  l'écrit  et  la  doctrine  impie  d'Aëtius; 
assiste  à  un  concile  de  Constantinople,  y  fait 
déposer  plusieurs  évoques  du  parti  des  demi- 
Ariens;  s'intéresse  dans  l'élection  de  saint 
Mélècepourle  siège  d'Antioche  ;  signe  la  doc- 
trine de  la  consubstantialité  sous  l'empereur 
Jovius;  se  réunit  aux  Ariens  sous  Valens,  et 
est  déposé  dans  le  concile  de  Lampsaque  ;  ses 
écrits;  saint  Jérôme  le  met  entre  les  plus 
doctes  commentateurs  de  l'Ecriture  sainte, 
323.  — Il  écrit  la  vie  d'Eusèbe  de  Gésarée,  son 


IX 


IV 


339. 


347. 
350. 
355. 
358. 


361. 
363. 


365. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


maître,  III,  168.  — Il  écrit  contre  Marcel  d'An- 
cyre,  IV,  303.  [Fragments  de  ses  ouvrages, 
IV,  323.]  11  se  trouve  au  concile  d'Antiocbe 
en  338  ;  il  est  le  chef  du  parti  des  Anoméens 
au  concile  de  Séleucie,  S6o  et  suiv.  11  se 
trouve  au  concile  d'Anlioche  en  363,  597. 
Dépose  saint  Cyrille  de  Jérusalem,  578. 

AGACE,  abbé  à  qui  saint  Épipbane  adresse 
une  lettre,  VI,  382. 

ACACE,  prêtre,  à  qui  saint  Basile  écrit, 
IV,  481. 

ACACE,  aveugle-né,  guéri  par  l'eucharis- 
tie,  IX,  552. 
ACACE,  évéque  de  Bérée   en  Syrie;   sa 
v.  332.      naissance,  son  éducation  ;  il  défend  la  foi  à 
V.  377.      Rome;  il  est  fait  évêque;  il  assiste  à  divers 
V.  379.      conciles  ;  il  est  député  à  Rome,  VIII,  238.  11 
V.  403.      se  déclare  contre  saint  Jean-Chrysostôme, 
404.        238  et  239.  Il    ordonne  Porphyre,   évêque 
V.  430.      d'Antiocbe;  il  semble  favoriser  Nestorius;  il 
433.        procurelapaixdePÉglise,239.[Edilionsdeses 
lettres  dans  la  Patrologie,  439.]  Lettres  d'Aca- 
ce,  à  saint  Épipbane;  au  pape  Innocent  : 
cette  lettre  est  perdue,  233.  A  saint  Cyrille 
d'Alexandrie;    au    concile   d'Épbèse    ou   à 
l'empereur:  elle  est  perdue;  lettres  d'Acace 
à  Alexandre  de  Hiéraple,  240.  Lettre  d'Acace 
à  saint  Cyrille  ;  réponse  de  saint  Cyrille,  240 
et  241.  Confession  de  foi  attribuée  à  Acace; 
lettres  d'Acace  à  saint  Cyrille  et  à  Atticus  de 
CoQStantinople,  241. —  Il  se  trouve  au  concile 
de  Gonstantinople  en  381,  IV,  618.  — Lettre 
qu'il  écrivit  au  pape  saint  Innocent  ;  réponse 
que  lui  adressa  ce  pontife,  VII,  516.  Lettres 
que  lui  écrit  saint  Cyrille  au  sujet  de  Nesto- 
rius, VIII,  261  et  287.  11  veut  engager  saint 
Cyrille   à  abandonner  ce  qu'il  avait   écrit 
contre  Nestorius  avant  le  concile  d'Épbèse  ; 
réponse  de  saint  Cyrille,  301.  Lettre  que  lui 
adressa  Alexandre  de  Hiéraple,  376.  Lettre 
que  lui  écrit  l'empereur  Théodose  le  Jeune, 
597.  L'empereur  le  sollicite  de  procurer  la 
paix    de    l'Église.    600,    601.    Mouvements 
qu'Acace  se  donne  pour  ce  sujets  601 .  —  Il  or- 
donne évêque  un  bigame,  X,  23.  Il  prie  saint 
Julien  Sabas  d'aller  à  Antioche,  52.  Il  visite 
saint  Marcien;   lettre  que  saint   Cyrille   lui 
écrit  pour  se  justifier  de  quelques   erreurs 
qu'on  lui  attribuait;  il  envoie  cette  lettre  à 
Théodoret,  qui  lui  écrit,  104. 
390.  ACACE,  évêque  de  Mélitine  :  d'abord  lec- 

teur dans  cette  église  ;  chargé  par  Otrée,  son 
évêque,  de  l'instruction  de  saint  Euthyme; 
431.        devient  évêque  de  Mélitine;  son  écrit  contre 
Nestorius,  dont  il  était  ami;  rend  compte  au 


concile  d'Épbèse  d'un  entretien  avec  Nesto- 
rius, VIII,  388.  Homélie  qu'il  prononça  en 
présence  du  concile,  388,  389.  Reproches  que 
lui  font  les  Orientaux  :  comment  il  y  répond; 
se  joint  h  Rabbula  pour  empêcher  le  cours  437. 
des  écrits  de  Théodore  de  Mopsueste  et  de 
Diodore  de  Tarse  ;  sa  lettre  à  saint  Cyrille  432. 
d'Alexandrie,  389.  Il  impute  à  saint  Cyrille  433. 
d'Alexandrie  de  s'être  trop  relâché  dans  l'ac- 
commodement qu'il  avait  fait  avec  les  Orien- 
taux; lettre  que  lui  écrit  saint  Cyrille  à  ce  438. 
■sujet,  292,  293.  Autre  lettre  de  saint  Cyrille, 
293.  Autre  lettre  au  sujet  des  livres  de  Théo- 
dore de  Mopsueste,  297  et  302.  Ami  de  Nes- 
torius, il  tâche  de  le  retirer  de  ses  erreurs, 
388  et  576.  Le  concile  d'Épbèse  l'oblige  de 
raconter  ce  qu'il  avait  ouï  dire  à  Neslorius, 
388  et  578.  Il  est  accusé  d'erreur  par  Acace 
de  Bérée,  389.  —  Il  écrit  aux  évêques  d'Ar- 
ménie, X,  143.  Lettres  d'amitié  que  lui  écrit 
Firmus,  évêque  de  Césarée  en  Cappa- 
doce,  151. 

ACACE,  évêque  d'Auside  dans  la  Mésopo-  420  et  442. 
tamie,  célèbre  par  ses  vertus  X,  142.  Il  fait 
vendre  les  vases  sacréspourracbeter  sept  mille 
Perses  faits  prisonniers  par  les  Grecs,  VIII, 
522  et  X,  142.  Le  roi  de  Perse  souhaite  de  voir 
Acace,  X,  142.  Socrate  et  Denys  rapportent 
ce  fait  avec  des  circonstances  différentes;  ils 
varient  aussi  sur  l'année  où  il  est  arrivé, 
142,  143.  Lettres  canoniques  d'Acace,  143. 

ACACE,  patriarche  de  Gonstantinople.  Sa 
douleur  au  sujet  de  la  lettre  circulaire  de  l'em- 
pereur Ba  silisque,qui  condamnaitle  concile  de 
Chalcédoine,  et  la  lettre  de  saint  Léon  à  saint 
Flavien,  X,  402.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape 
saint  Simplice,  qui  le  charge  comme  son  lé- 
gat de  s'opposer  à  Timothée  Elure,  403  et 
suiv.  Il  consulte  le  pape  sur  différents  ob- 
jets, après  le  rétablissement  de  l'empereur 
Zenon;  réponse  du  pape,  403.  Autre  lettre 
qu'il  écrit  au  pape,  et  réponse  du  pape,  406, 
407.  Différentes  lettres  que  lui  écrit  le  pape, 
407,  408.  Choqué  de  ce  que  Jean  Talaïa, 
évêque  d'Alexandrie,  ne  lui  avait  pasfaitpart 
de  son  élection,  il  se  déclare  pour  Pierre 
Mongus,  408,  409.  Il  persuade  à  l'empereur  482. 
de  donner  son  Hénoticon,  409.  Sa  conduite 
à  l'égard  du  pape,  411.  Reproches  que  lui 
fait  le  pape  Féhx  III,  412,  413.  Il  force  les  483. 
légats  à  communiquer  avec  lui  et  avec  Pierre 
Mongus,  413,  414.  Il  est  analhématisé  dans 
un  concile  de  Rome,  ce  qui  donne  lieu  à  un 
schisme  entre  l'Église  d'Orient  et  celle  d'Oc-  484. 
cideut,  414.  [S'il  a  été  condamné  deux  fois, 


475. 


476. 


477. 


8 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


414,  n.  1.]  La  conduite  du  pape  justifiée,  414 
et  415.  Lettre  que  le  pape  lui  écrit  pour 
marquer  les  motifs  de  sa  condamnation,  413. 
Sa  condamnation  notifiée  à  l'empereur,  au 
clergé  et  au  peuple  de  Constantinople,  et  si- 
gnifiée à  lui-même,  415,  416.  Il  se  sépare  de 
la  communion  du  pape  Innocent  III ,  et 
retranche  son  nom  des  diptyques,  416,  417. 
489.  Sa  mort,  417.  Le  pape  saint  Gélase  justifie  la 
conduite  de  l'Église  romaine  contre  Acace, 
487  et  493.  Ce  que  disait  Euphémius  en  fa- 
veur d'Acace  :  réponse  de  Gélase,  487.  Son 
nom  est  effacé  des  diptyques,  624.  Instruc- 
tions que  le  pape  saint  Gélase  donne  aux 
ambassadeurs  de  Théodoric  au  sujet  du 
schismeauquel  la  condamnation  d'Acace  avait 
servi  de  prétexte,  497,  498.  Lettre  du  pape 
Anastase  II  à  l'empereur  Anastase  pour  faire 
ôter  des  diptyques  le  nom  d'Acace,  318, 
519. 
35J.  ACACIENS  ou  ANOMÉENS.  Ariens  dont 

AcacedeCésarée  devient  le  chef;  leur  conduite 
dans  le  concile  de  Séleucie,  IV,  565  et  suiv. 
36ii.        Ils  assemblent  un  concile  à  Constantinople, 
386.        374  et  suiv.  Ils  tiennent  un  concile  àAntioche, 
586.  Voyez  Anoméens, 

ACADÉMICIENS,  philosophes  :  trois  livres 

de  saint  Augustin  contre  les  académiciens, 

IX,  37  et  suiv.  Lettre  de  saint  Augustin  relative 

IV  et       à  ces  livres,  65,  66.  Les  sentiments  des  aca- 

^  '^  ''     démiciens  sur  les  probabilités  :  témoignage 

de  saint  Augustin,  803. 

AGAIRE  (Saint),  évêque  de  Noyon.  Voyez 
Achaire  (Saint). 

ACCAS,  évêque  de  Hagulstad  :  ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie;  il  succède  à 
saint  Wilfrid,  dont  il  était  disciple  ;  sa  lettre 
709.  au  vénérable  Bède  ;  écrits  qu'on  lui  attribue; 
Bède  lui  adresse  plusieurs  de  ses  ouvrages, 
XII,  21 ,  [et  plusieurs  lettres,  13.]  Voyez  l'ar- 
ticle de  Bède. 

ACCENT.  Traité  de  l'accent,  ouvrage  de 
Jean  de  Garlaude,  XIII,  231. 

ACCEPTION  de  personnes.  Dispute  entre 
les  cathoHques  et  les  pélagiens  sur  ce  point, 
IX,  478  et  707. 
374.  ACCEPTUS,  élu  évêque  de  Fréjus,  s'ac- 

cuse d'un  crime   pour  éviter  l'ordination, 
IV,  602. 

ACCIAIOLI  (Zénobe),  dominicain.  Sa  tra- 
duction latine  du  livre  d'Eusèbe  contre  Hié- 
roclès,  111,  316.  —  Sa  traduction  latine  des 
livres  de  Théodoret  contre  les  gentils,  X,  142. 
—  Sa  traduction  latine  des  scholies  d'Olym- 
piodore  sur  l'Ecclésiaste,  XII,  913. 


ACCLECH,  en  Angleterre  ;  concile  teuu  en 
ce  Heu,  XIII,  632. 

ACCURSE  (Marie-Ange),  savant  critique. 
Son  édition  des  lettres  et  du  traité  de  l'âme 
par  Cassiodore,  XI,  254. 

ACCUSATIONS  :  objet  des  canons  aposto- 
liques 74  et  73,  II,  586.  Cations  73, 74, 75  du     iv  sUcie. 
concile  d'Elvire  sur  le  même  sujet.  613.  Ca- 
nons 13  et  l4duconciled'Arles,631,632.  — 
Canon  6  du  premier  concile  œcuménique  de        381. 
Constantinople,  IV,  624.  —  Canon  6  du  concile        390. 
deuxième  de  Carthage,  649. — Canon  du  con-        393. 
cile  d'Hippone,  VII,  715.  Canon  de  quelque 
concile  de  Carthage,  720.  Canon  105  sup- 
posé du  quatrième  concile  de  Carthage,  733.         418. 
—  Canon  d'un  concile  d'une  ville  d'Afrique, 
VIll,  562.  Canon  8  du  concile  de  Carthage,         419. 
564.   Canon  19  du  sixième   concile  de  Car-         419. 
thage,  563.  Canons  19  et  20  du  sixième  con-        419. 
cile  de  Carthage,  366.  Six  canons  ajoutés  au        419. 
sixième  concile  de  Carthage,  568.  — Canondu 
sixième  concile  de  Tolède,  XII,  920.  —  Règles 
d'Abbon  de  Fleury  sur  les  accusations  des 
inférieurs  envers  leurs  supérieurs,  XIII,  29. 
Voyez  Faux  témoins. 

ACÉMÈTES,  moines  de  Constantinople; 
autres  moines  établis  en  Occident  à  leur  imi- 
tation, X,  747.  —  Moines  acémètes  de  Cons- 
tantinople condamnés  par  le  pape  Jean  II 
comme  coupables  de  oestorianisme,  XI,  118. 
ACÉPHALES,  schismatiques;  écrit  de  Jean 
Maxence  contre  eux,  X,  636.  —  Leurs  erreurs 
combattues  dans  l'ouvrage  de  Facundus, 
évêque  d'Hermium,  pour  la  défense  des  trois 
chapitres, XI,  283  et  suiv.  Ouvrage  enferme 
dedialoguecomposé  contre  eux  par  Rustique, 
diacre  de  l'Église  romaine,  300.  Discours  de 
saint  Euloge  d'Alexandrie  contre  les  Acé- 
phales et  les  Garnîtes,  591.  Traité  de  Jean 
Philoponus  contre  ces  hérétiques  ;  il  estresté  ^^g 
manuscrit,  632.  Leurs  erreurs  condamnées 
dans  un  concile  de  Séville,  915;  et  un  con-  y.  622. 
cile  deThéodosiopolis,  916.  —Traité  de  saint 
Jean  Damascène  contre  les  Acéphales,  XII, 
82.  Leurs  erreurs  combattues  dans  une  lettre 
de  saint  Théodore  Studite,  307. 

ACEPSIMAS  (Saiut),  évêque  d'Adiabène     iv  siècle, 
dans  la  Perse.  Son  martyre,  III,  322.  Ses 
actes  rapportés  par  Assémani,  338. 

ACEPSIMÉ  (Saint),  solitaire  dont  Théodo-  | 

ret  a  écrit  la  vie,  X,  37,  58. 

ACÉSIUS ,  évêque   novatien  ;   assiste  au        324. 
concile  de  Nicée,  et  eu  approuve  les  déci- 
sions, 111, 434.  —  Il  persiste  dans  son  schisme, 
VIII,  534. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


9 


ACHAIE,  concile  que  l'on  dit  y  avoir  été 
tenu  contre  les  Valésiens,  II,  533. 

AGRAIRE  (Saint),  évêque  de  Noyon.  Sa 
mort,  XI,  734. 
H40.  ACHARD,  moine  de  Clairvaux,  et  maître 
des  novices.  Ses  sermons  ;  sa  vie  de  saint  Got- 
celin,  ermite,  XIV.  346.  [II  doit  être  distingué 
d'un  autre  Achard  qui  suit,  709.] 

[ACHARD,  prieur  de  Saint  Victor  et  en- 
suite évêque  d'Avranches.  Ce  qu'on  sait  des 
circonstances  de  sa  vie,  XIV,  708.  Ses  écrits 
imprimés  sont  deux  lettres  ;  ses  autres  écrits 
manuscrits;  éditionsdesdeux lettres  d'Achard 
dans  la  Patrologie,  709.] 

ACHARD  ,  usurpateur  de  l'archevêché 
d'Arles,  est  déposé  dans  un  concile  d'Avi- 
gnon, et  Gibelin  élu  à  sa  place,  XIV,  1070. 

ACHATIUS  (Saint),  évêque  d'Orient.  Voyez 
Acace  (Saint). 

ACHÉE,  gouverneur  de  Palestine,  con- 
damne à  mort  saint  Marin,  II,  394. 

ACHERI  (Luc  d'),  bénédictin.  Son  édition 
delà  règle  du  prêtre  Grimlaïc  pour  les  reclus, 
XII,  706. 
«9.  ACHILLES,  évêque  de  Spolète,  chargé  par 

l'empereur  Honorius  de  célébrer  à  Rome  les 
fêtes  de  Pâques;  à  quelle  occasion,  VIII,  6, 
7  et  570. 

ACHILLES,  préfet  dans  le  Pont.  Lettre  que 
lui  écrit  Firmus  de  Césarée  en  Cappadoce, 
X,  130. 

ACHILLES  STATIO.  Voyez  Statio. 

ACHOLE  (Saint),  évêque  de  Thessalonique. 
Voyez  Aschole  (Saint). 

ACILINUS,  évêque  de  Barbalisse,  chassé 
de  son  évéché,  VIII,  378. 

AGIiNDYNUS,  évêque  qui  assiste  à  la  mort 
de  saint  Paulin,  VHI,  33,  34. 

ACINDYNUS,  préfet  d'Orient.  Jugement 
mémorable  qu'il  rend  à  Antioche,  IX,  788. 

[ACIRCE,  à  qui  saint  Adesme  adresse  une 
lettre  ou  le  livre  sur  le  Septénaire,  sur  les 
mesures,  les  énigmes  et  les  règles  des  pieds, 
ouvrage  publié  en  entier  par  le  docteur 
Giles,  XI,  807.] 

[ACOLITHIA,  livre  liturgique  des  Grecs» 
XIII,  138.] 

ACOLYTHES,marquésparsaintCyprien,II, 
398.  338,363.  —  Canon  sixième  du  quatrième  con- 
cile de  Carthage,  qui  les  concerne,  VII,  728. 
—  [Cas  d'un  clerc  ordonné  sous-diacre  et 
diacre  sans  avoir  reçu  l'ordre  d'acolylhe.  Le 
pape  Innocent  III  décide  qu'il  sera  promu  à 
la  prêtrise  après  avoir  reçu  cet  ordre,  XIV, 
973.] 


ACRE,  ville  de  Phénicie.  Histoire  de  sa 
ruine,  XIII,  543. 

ACRIDE.  Livre  adressé  au  roi  d'Acride 
sous  le  nom  de  saint  Maxime,  abbé  de  Chry- 
sopolis, XI,  765. 

ACROSTICHE,  composé  en  autant  de  let- 
tres que  Jésus-Christ  a  passé  d'années  sur  la 
terre;  oavrage  de  saint  Fortunat,  XI,  406. 

ACT.\RD,  évêque  de  Nantes,  chassé  de  son 
siège,  a  recours  au  pape  Adrien  II;  lettres  de 
ce  pape  en  sa  faveur,  XII,  588  et  suiv.  Il  est 
fait  évêque  de  Tours;  lettres  du  pape  à  ce 
sujet,  591.  Hincmar  de  Reims  s'oppose  à 
cette  translation,  682. 

ACTES  de  Pilate,  vrais  et  faux,  touchant 
Jésus-Christ,  I,  280,  281. 

ACTES  DES  APOTRES,  livre  sacré,  I,  213 
et  suiv.  Saint  Luc  écrivit  ce  livre  sur  ce  qu'il 
avait  vu  lui-même,  213,  214.  Pour  quelle 
raison  il  l'a  composé,  [214,  n.  1].  Excellence 
de  cet  ouvrage,  214.  Le  texte  original  de  ce 
livre  est  grec  ;  en  quel  temps  ce  livre  a  été 
écrit,  214.  [Authenticité  des  Actes  contre  les 
rationalistes,  215,  n.  7.]  Analyse  de  ce  qu'il 
contient,  214,  213.  Canonicité  de  ce  livre  : 
usage  de  le  lire  dans  l'église;  Actes  des  apô- 
tres rejetés  par  les  Manichéens,  213;  — et  par 
Marcion,  11,501 .  [Sur  quoi  il  faut  réformer  l'arti- 
cle du  tome  I  où  D.  Ceillier  ne  parle  que  des 
Manichéens ;]homéliesd'Origènesur  les  Actes 
des  apôtres,  167.  Abrégé  ou  sommaire  du 
livre  des  Actes,  par  saint  Pamphile,  328,  529. 
—  Diverses  homélies  sur  ce  livre,  par  saint 
JeanChrysostôme,  VII, 101  et  suiv.  Cinquante- 
deux  homélies  de  saint  Jean  Chrysostôme  sur 
le  livre  des  Actes  des  apôtres,  260  et  suiv.  — 
Témoignage  de  saint  Augustin  sur  la  lecture 
des  Actes  des  apôtres,  IX,  85.  —  [Commen- 
taire de  Sévère  de  Sozopole  sur  le  deuxième 
chapitre  des  Actes,  XI,  1 09.]  —  Actes  des  apô- 
tres mis  en  vers  par  Arator,  sous-diacre  de 
l'Eglise  romaine,  X,  373,  377;  XI,  197.  Notice 
de  cet  ouvrage,  XI,  197, 198.  Homélies  de  saint 
Jean  Chrysostôme  sur  les  Actes,  recueillies 
par  Cassiodore,  230.  Commentaire  de  Cassio- 
dore  sur  le  même  livre,  242  et  254.  —  Com- 
mentaire du  vénérable  Bède  sur  ce  livre; 
l'interprétation  des  noms  de  lieux  dont  il  est 
parlé  dans  les  Actes  n'est  pas  de  lui,  XII,  9, 
Ses  ré  tractations  et  ses  questions  sur  les  Actes, 
10.  [Lettre  du  vénérable  Bède  sur  l'exposi- 
tion des  Actes,  13 .]  Commentaire  sur  les  Actes, 
attribué  à  Haimon  d'Halberstat,  433.  Com- 
mentaire d'Œcuménius  sur  les  Actes  des 
apôtres,  914,  915.  [Le  commentaire  imprimé 


1291. 


10 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


sous  le  nom  d'CEcuménius  n'est  pas  de  cet 
auteur,  914.] — Comment  et  en  quel  temps  les 
Grecs  lisent  ce  livre,  XIII,  135.  Commentaire 
de  Théophylacte,  archevêque  d'Acride,  sur 
les  Actes  des  apôtres,  536.  Commentaires 
attribués  à  Nicétas  d'Héraclée,  558. 
•  ACTES  DES  APOTRES  (Faux),  I,  276.  — 
Faux  actes  des  apôtres  rejetés  par  saint  Au- 
gustin, IX,  577. 

ACTES  (Faux)  de  saint  Paul,  I,  276. 

ACTES  (Faux)  de  saint  Paul  et  de  saint 
Pierre,  I,  276. 

ACTES  (Faux)  de  chacun  des  apôtres. 
Voyez  au  titre  particulier  de  chaque  apôtre. 

ACTES  (faux)  de  sainte  Thècle,  I,  276.  [Ce 
que  pensent  plusieurs  critiques  des  Actes  de 
sainte  Thècle,  p.  276,  n.  4.] 

ACTES  (faux)  du  martyre  de  saint  Clé- 
ment, pape,  I,  357  et  suiv.  [Voyez  358,  n.  4.] 

ACTES  du  martyre  de  saint  Ignace  d'An- 
tioche.  Analyse  et  autorité  de  ces  actes  ;  édi- 
tions de  ces  actes,  I,  389. 

ACTES  du  martyre  de  sainte  Symphorose. 
Autorité  de  ces  actes  ;  analyse  de  ces  actes, 
I,  390. 

ACTES  du  martyre  de  sainte  Félicité  et  de 
ses  fils,  I,  544  et  suiv.  Autorité  de  ces  actes, 
544,  543.  Analyse  de  ces  actes,  545  et  suiv. 
(Éditions  de  ces  Actes,  545,  n.  2.) 

ACTES  du  martyre  de  sainte  Sérapie  et  de 
sainte  Sabine  sans  autorité^  I,  391,  392. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Eustache  sans 
autorité,  I,  392. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Ptolémée. 
Leur  authenticité,  I,  408. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Justin,  1, 447, 
448.  Preuve  de  la  vérité  de  ces  actes,  447. 
Le  saint  Justin  qui  en  est  l'objet  n'est  autre 
que  le  philosophe,  447  et  448.  Analyse  de 
ces  actes,  448. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Pothin,  de 
sainte  Blandine  et  autres  martyrs  de  Lyon, 
I,  468  et  suiv.  Autorité  de  ces  actes,  468. 
Analyse  de  ces  actes,  468  et  suiv.  En  quel 
temps  ils  ont  élé  écrits,  470,  471. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Alexandre  et 
de  saint  Epipode,  martyrs  de  Lyon,  I,  471, 
472.  Autorité  de  ces  actes;  ce  qu'ils  contien- 
nent, 471.  Martyre  de  saint  Epipode  et  de 
saint  Alexandre,  471  et  472.  Soin  que  l'on 
prend  de  leurs  reliques;  leur  verlu.  Éditions 
de  ces  actes,  472. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Symphorien, 
I,  472,  473.  Autorité  de  ces  actes;  en  quel 
temps  ils  peuvent  avoir  été  écrits,  472.  Ce 


qu'ils    contiennent   de  remarquable,    473. 
[Éditions  et  traductions  de  ces  actes,  473.] 

ACTES  de  plusieurs  autres  martyrs  dans 
les  Gaules  sous  l'empire  de  Marc-Aurèle  ;  ils 
sont  sans  autorité,  I,  ^'73.  [Voyez  473,  n.  4.] 

ACTES  des  martyrs  appelés  Scillitains,  I, 
543,  544.  Authenticité  de  ces  actes;  noms 
des  martyrs  sciUitains;  époque  de  leur  mar- 
tyre, 543.  Analyse  des  actes  de  leur  mar- 
tyre, 543  et  544. 

ACTES  du  martyre  de  sainte  Perpétue,  de 
sainte  Félicité  et  de  leurs  compagnons,!,  544 
et  suiv.  Auteurs  de  ces  actes;  leur  authenti- 
cité, 544,  545.  [Éditions  de  ces  actes,  543, 
n.  2.]  Époque  du  martyre  de  ces  saintes 
femmes,  543.  Analyse  des  actes  de  leur  mar- 
tyre ;  les  saints  martyrs  sont  arrêtés  ;  ils  sont 
présentés  au  proconsul  et  mis  en  prison;  vi- 
sions de  sainte  Perpétue,  545.  Les  martyrs 
sont  interrogés  et  confessent  le  nom  de  Jésus- 
Christ,  545  et  346.  Dinocrate  est  délivré  des 
peines  du  purgatoire  par  les  prières  de  sainte 
Perpétue  ;  vision  de  saint  Sature,  346.  Sainte 
Félicité,  enceinte,  est  délivrée  par  les  prières 
des  confesseurs  ;  les  saints  sont  exposés  aux 
bêtes,  547. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Léonide,  de 
saint  Plutarque,  de  sainte  Potamienne  et  de 
quelques  autres  dans  la  persécution  de  Sé- 
vère, I,  547  et  suiv.  Martyre  de  saint  Léo- 
nide, 547,  548.  Martyre  de  saint  Plutarque  et 
autres  disciples  d'Origène,  348.  Martyre  de 
sainte  Potamienne,  de  sainte  Marcelle  et  de 
saint  BasiHde,  548  et  349.  Conversions  mira- 
culeuses; apparitions  de  sainte  Potamienne, 
549. 

[ACTES  du  martyre  de  sainte  Cécile,  t.  Il, 
99  et  suiv.  Voy.  Suinte  Cécile.] 

ACTES  des  martyrs  d'Alexandrie  sous  le 
règne  de  Philippe,  II,  101,  110.  Martyre  de 
saint  Mètre  et  de  sainte  Quinte  ;  martyre  de 
sainte  Apolline,  de  saint  Sérapion,  110. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Saturnin , 
évêque  de  Toulouse,  II,  110  et  suiv.  [Époque 
où  saint  Saturnin  fut  martyrisé,  IH,  n.  1.] 
Analyse  de  ces  actes,  111,  112.  Histoire  delà 
translation  des  reliques  du  saint,  112.  [Édi- 
tions et  traductions  de  ces  actes,  112  et  113.] 

ACTES  du  martyre  de  saint  Pione,  prêtre 
de  Smyrne,  II,  113  et  suiv.  Époque  du  mar- 
tyre de  saint  Pione,  113,  114.  Qui  était  ce 
saint;  analyse  des  actes  de  son  martyre; 
il  est  arrêté  pour  la  foi,  114.  Il  est  interrogé 
juridiquement,  il  confesse  Jésus-Christ,  114 
et  115.  Il  est  ramené  en  prison  ;  on  le  traîne 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


11- 


dans  le  temple  des  idoles;  il  paraît  devant  le 
proconsul  qui  le  condamne  à  être  brûlé  vif. 
[Éditions  de  ces  actes,  US.] 

ACTES  du  martyre  de  saint  Acace,  évêque 
d'Orient,  II,  117. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Maxime,  mar- 
chand en  Asie,  II,  H7,  118. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Pierre,  saint 
André,  saint  Paul  et  sainte  Denyse,  vierge, 
à  Lampsaque,  II,  118,  119. 

ACTES  du  martyre  da  saint  Tryphon  et  de 
saint  Respice  en  Bithynie,  II,  119,  120. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Lucien  et  de 
saint  Marcien  en  Bithynie,  11,  120.  [Autres 
actes  de  leur  martyre,  120,  n.  4.] 

ACTES  du  martyre  de  saint  Hippolyle  , 
prêtre  de  l'Église  de  Rome,  II,  120,  121. 

A  CTES  du  martyre  de  sainte  Agathe,  vierge, 
en  Sicile,  II,  121,  122.  [Pièces  relatives  à 
sainte  Agathe,  122,  n.  4.] 

ACTES  du  martyre  de  saintCyprien,  évêque 
de  Carthage,  II,  386. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Fructueux, 
évêque  de  Tarragone,  II,  387,  388.  Ces  actes 
sont  authentiques,  387.  Précis  de  ces  actes; 
en  quel  temps  ce  saint  a  souffert  le  martyre, 
387  et  388. 

ACTES  du  martyre  des  saints  Luce,  Mon- 
tan  et  de  leurs  compagnons,  II,  388  et  suiv. 
Ces  actes  sont  sincères  ;  en  quel  temps  ces 
martyrs  ont  soutTert,  388.  Analyse  de  ces 
actes,  388,  389. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Jacques, 
diacre,  et  de  saint  Marcien,  lecteur,  II,  390 
et  suiv.  Ces  actes  sont  sincères  ;  en  quel 
temps  ces  saints  ont  souffert,  390,  391.  Ana- 
lyse de  ces  actes,  391,  392. 

ACTES  dû  martyre  de  saint  Nicéphore, 
martyr  à  Antioche  ;  ces  actes  sont  sincères  ; 
analyse  de  ces  actes,  II,  392,  393. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Cyrille,  II,  393. 

ACTES  du  martyre  des  saints  Prisque, 
Malch  et  Alexandre,  II,  393,  394. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Marin,  II,  392. 

ACTES  de  saint  Félix,  prêtre  de  Noie,  et 
confesseur,  II,  394  et  suiv. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Etienne,  pape, 
II,  421  et  suiv.  [Jugement  sur  ces  actes  et  sur 
d'autres,  rectificatif  de  celui  de  D.  CeilHer, 
422,  n.  1.] 

ACTES  du  martyre  de  saint  Laurent,  diacre 
de  Rome,  II,  423  et  suiv.  Ces  actes  sont  sin- 
cères, 423,  424.  En  quel  temps  ce  saint  a 
souffert,  424.  Analyse  des  actes  de  son  mar- 
tyre, 424,  423. 


ACTES  des  martyrs  d'Utique  appelés  la 
Masse-Blanche,  II,  423,  426. 

ACTES  faux  du  martyr  d'Athénogène,  II, 
463,  464. 

[ACTES  des  martyrs  Victorin,  Victor,  Nicé- 
phore, Claudien,  Diodore  et  Papias;  leurs 
actes  publiés  par  Assémani  ;  analyse  de  ces 
actes,  II,  464,465.]  Autre  analyse  de  ces  actes 
publiés  par  Assémani,  III,  343. 

ACTES  du  martyre  des  saints  Claude,  As- 
tère  et  Néon,  et  des  saintes  Domnine  etThéo- 
nille,  n,  465  et  suiv.  Ces  actes  sont  sincères  ; 
en 'quel  temps  ces  martyrs  ont  souffert,  465. 
Analyse  de  ces  actes,  466. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Genès,  II,  467, 
468. 11  était  comédien  à  Rome  ;  en  quel  temps 
il  a  souffert,  467.  Analyse  de  ces  actes,  467 
et  468. 

[ACTES  des  sept  martyrs  de  Samosate  : 
Hipparque,  Philothée,  Jacques,  Parayrus , 
Halicle,  Romain  et  LolUen,  II,  409  et  suiv.] 
Autre  analyse  des  actes  publiés  par  Assé- 
mani, III,  347  et  suiv. 

ACTES  du  martjj-re  de  saint  Maurice  et  des 
autres  martyrs  de  la  légion  thébaine  avec 
les  actes  du  martyre  de  saint  Victor,  soldat; 
les  actes  du  martyre  de  saint  Maurice  sont 
sincères,  II,  471  et  suiv.  [Voyez  aussi  473, 
n.  3.]  Analyse  de  ces  actes,  473,  474.  Mar- 
tyre de  saint  Victor,  soldat,  474. 

ACTES  de  saint  Donatien  et  de  saint  Roga- 
tien, martyrs  à  Nantes,  II,  473,  476.  Ces  actes 
ont  le  mérite  des  originaux,  473.  Analyse  de 
ces  actes,  473  et  476. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Boniface;  ces 
actes  sont  douteux  ou  du  moins  altérés  ; 
II,  476.  [Authenticité  de  ces  actes,  476,  n.  4.] 
En  quel  temps  on  suppose  que  saint  Boni- 
face  a  souffert,  476,  477.  Analyse  de  ces 
actes,  477. 

ACTES  de  saint  Victor,  martyr  à  Marseille  ; 
en  quel  temps  ce  saint  a  souffert  ;  ces  actes 
sont  sincères,  11,477.  [Voyez  477,  n.  6.]  Ana- 
lyse de  ces  actes,  478,  479.  —  Actes  du  mar- 
tyre de  saint  Victor  attribués  à  Jean  Cassien, 
VIIJ,  200. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Maximihen, 
h,  479,  480.  Ces  actes  sont  sincères;  en  quel 
temps  ce  saint  a  souffert,  479.  Analyse  de  ces 
actes,  479  et  480. 

[ACTES  du  martyre  de  sainte  Stratonice 
[et  non  Stratomie],  de  saint  Séleucus  son 
époux,  à  Cyzique  en  Mésie,  II,  481  et  suiv. 
Ces  actes  sont  publiés  par  Assémani;  au- 
thenticité de  ces  actes  ;  analyse  de  ces  actes. 


HISTOIRE  DES  -AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


12 

481  et  suiv.]  Voyez  les  actes  publiés  par  As- 
sémani,  III,  345  et  suiv. 

[ACTES  du  martyr  du  saint  prêtre  Eusèbe, 
II,  483, 484.] 

ACTES  du  martyre  de  saint  Marcel,  cente- 
nier,  et  de  saint  Cassien,  greffier,  tous  deux 
martyrs  àTanger, en  Mauritanie,  11,484,485. 
En  quel  temps  ces  saints  ont  soufifert  ;  leurs 
actes  sont  sincères,  484.  Analyse  des  actes 
de  saint  Marcel,  484,  485.  Analyse  des  actes 
de  saint  Cassien,  485. 

ACTES  des  martyrs  dans  la  persécution  de 
Dioclétien,  III,  1  et  suiv. 

ACTES  des  martyrs  de  Palestine,  III,  3  et 
suiv.  [Note  sur  ces  actes,  4,  n.  7;  7,  n.  3.] 
Ces  actes  sont  recueillis  par  Eusèbe  de  Césa. 
rée,  3  et  suiv.,  343.  Martyre  de  saint  Pro- 
cope;  en  quel  temps  ce  saint  souffrit,  3,  4  et 
351.  Aulres  martyrs  qui  souffrirent  dans  le 
même  temps  ;  martyre  de  saint  Alphée  et  de 
saint  Zachée,4;  de  saint  Romain  et  de  saint 
Barulas,  5,  6;  des  saints  Timothée  et  Agape, 
de  sainte  Tliècle  et  de  huit  autres,  6;  de  saint 
Appien,  6,  7;  de  saint  Ulpien,  7;  de  saint 
Edèse,  7  et  8;  de  saint  Agape,  8;  de  sainte 
Tliéodosie  et  des  saints  Domnin  et  Auxence, 
8,  9.  Confesseurs  de  la  Palestine,  et  martyre 
de  sainte  Valentine  et  de  saint  Paul,  9,  10. 
Cent  trente  confesseurs  envoyés  aux  mines  ; 
martyre  des  saints  Antonin,  Zébinas  et  Ger- 
main, 10;  de  sainte  Ennathas,  10  et  11  ;  de 
quelques  Égyptiens,  des  saints  Ares,  Promus 
et  Elle;  de  saint  Pierre  Apselame  et  d'Asclé- 
pius  Marcionite,  H  ;  de  quelques  chrétiens 
d'Egypte  et  de  saint  Pamphyle,  prêtre  de 
Césarée,  11  et  12;  de  saint  Porphyre  et  de 
saint  Séleucus,  12;  de  saint  Théodule  et  de 
saint  Julien,  12  et  13;  des  saints  Adrien  et 
Eubule  ;  des  saints  Pelée,  Nil,  Élie  et  Pater- 
mouthi,  13;  de  saint  Silvain,  de  saint  Jean  et 
de  plusieurs  autres,  13  et  14. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Théodote,  ca- 
baretier  à  Ancyre  et  de  sept  vierges,  III,  14 
et  suiv.  Les  actes  de  saint  Théodote  sontsin- 
cères;  en  quel  temps  il  souffrit,  14.  Analyse 
de  ces  actes,  14  et  suiv.  Secours  que  Théo- 
dote rendait  aux  confesseurs,  14, 15.  Martyre 
de  saint  Victor;  suite  des  actes  de  saint  Théo- 
dote, 15.  Martyre  de  sept  vierges,  15  et  suiv. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Félix,  évêque 
de  Thibare  en  Afrique  ;  ces  actes  sont  sin- 
cères ;  analyse  de  ces  actes  ;  saint  Félix  meurt 
par  le  glaive,  111, 18.  On  a  joint  ces  actes  aux 
œuvres  de  saint  Optât,  V,  142. 
ACTES  du  martyre  de  saint  Vincent,  diacre 


de  l'Église  de  Saragosse  en  Espagne,  III, 
19,  20.  Ces  actes  sont  dignes  de  foi;  analyse 
de  ces  actes,  19.  Mort  de  saint  Vincent;  son 
corps  est  jeté  aux  bêtes;  Dieu  le  conserve 
miraculeusement,  20,  21. 

ACTES  du  martyre  des  saints  Saturnin, 
Dative  et  autres  martyrs  de  Carthage,  III, 
20  et  suiv.  Ces  actes  sont  sincères,  20.  Ana- 
lyse de  ces  actes,  20  et  suiv.  Confession  de 
saint  Dative  et  de  saint  Théhque  ;  confession 
de  sainte  Victoire,  21.  Confession  du  prêtre 
Saturnin  et  d'Emérite,  lecteur,  21  et  22. 
Confession  de  Félix,  d'Ampèle  et  de  quel- 
ques autres  ;  confession  de  saint  Saturnin  le 
Jeune,  22.  Seconde  confession  de  sainte  Vic- 
toire, 22 et 23.  Confession  d'Hilarion,  23.  —  On 
a  joint  ces  actes  aux  œuvres  de  saint  Optât, 
V,  142. 

ACTES  du  martyre  des  saintes  Agape, 
Quionie  et  Irène,  sœurs,  III,  23  et  suiv.  Actes 
faux;  actes  sincères,23.  Analyse  de  ces  actes, 
23  et  suiv.  Martyre  des  saintes  Agape,  Quio- 
nie et  Irène,  24,  25. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Didyme  et  de 
sainte  Théodore,  vierge,  martyrs  à  Alexan- 
drie, III,  23  et  suiv.  Ces  actes  sont  sincères; 
en  quel  temps  ces  saints  ont  souffert,  25. 
Analyse  de  ces  actes,  25  et  suiv. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Irénée,  évêque 
de  Sirmich,  et  de  saint  Pollion,  lecteur  de 
Cibales  dans  la  Pannonie,  III,  27,  28.  Ces 
actes  sont  sincères;  en  quel  temps  ces  saints 
ont  souffert,  27.  Analyse  des  actes  de  saint 
Irénée,  27  et  28.  Analyse  des  actes  de  saint 
Pollion,  28. 

ACTES  dumartyre  de  sainte Sotère,  vierge, 
et  de  saint  Pancrace,  martyrs  à  Rome;  his- 
toire de  sainte  Sotère  ;  en  quel  temps  elle  a 
souffert,  III,  28,  29.  Actes  du  martyre  de 
saint  Pancrace  ;  il  y  a  lieu  de  douter  s'ils  sont 
sincères,  29. 

ACTES  du  martyre  de  sainte  Afre,  m.ar- 
tyre  à  Augsbourg,  111,  29  et  suiv.  Ces  actes 
sont  sincères,  29.  Analyse  de  ces  actes,  29  et 
suiv.  Sainte  Afre  consomme  son  martyre  par 
le  feu  ;  martyre  de  sa  mère  Hilaire  et  de  ses 
trois  servantes.  Digne,  Eunomie  et  Entro- 
pie, 30. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Euplius;  ces 
actes  sont  sincères,  III,  30,31.  Analyse  de  ces 
actes,  31. 

ACTES  du  martyre  des  saints  Taraque, 
Probe  et  Andi-onic,  III,  31  et  suiv.  Ces  actes 
sont  sincères,  31 ,  32.  En  quel  temps  ces  saints 
ont  souffert,  32.  Analyse  de  leurs  actes,  32 


TABLE  GÉNÉRALE  DÉS  MATIÈRES. 


13 


et  suiv.  Premier  interrogatoire ,  32 ,  33. 
Second  interrogatoire,  33,  34.  Troisième  in- 
terrogatoire, 34,  35.  Dernier  combat  des 
martyrs,  35.  Les  chrétiens  enlèvent  les  corps 
de  ces  martyrs,  35  et  36.  [Réflexions  sur  ces 
actes,  36,  n.  1.] 

ACTES  du  martyre  de  saint  Philippe,  évo- 
que d'Héraclée,  et  des  saints  Sévère,  prêtre, 
et  Hermès,  diacre,  III,  36  et  suiv.  Ces  actes 
sont  sincères,  36.  Analyse  de  ces  actes,  36 
et  suiv. 

ACTES  de  sainte  Crispine,  martyre  en 
Afrique,  111,  38,  39.  Ces  actes  sont  sincères 
38.  Analyse  de  ces  actes,  38  et  39. 

ACTES  de  sainte  Eulalie,  martyre  en  Es- 
pagne, III,  39,  40. 

ACTES  du  martyre  de  sainte  Agnès,  III,  40 
et  41.  Ces  actes  ne  sont  pas  sincères,  41,  42. 
[Voyez  pourtant  40,  n,  8.]  Analyse  de  ce 
que  les  saints  Pères  ont  dit  de  cette  sainte, 
40,41. 

ACTES  du  martyre  des  saints  Vital  et  Agri- 
cole, III,  41. 

ACTES  de  saint  Julien,  martyr  à  Brioude 
en  Auvergne;  ils  ne  sont  pas  originaux,  III, 
41,  42.  Histoire  de  ce  martyr,  42. 

ACTES  de  saint  Ferréol,  martyr  à  Vienne 
dans  les  Gaules;  ils  ne  sont  pas  originaux; 
analyse  de  ces  actes,  III,  42. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Cyr  et  de 
sainte  Julitte  sa  mère;  ces  actes  ont  été  reje- 
tés comme  faux,  III,  42,  43.  Histoire  de  ces 
martyrs  lirée  d'une  lettre  de  Théodore , 
évêque  d'Icône,  43,  44.  —  [Actes  du  mar- 
tyre de  saintCyr  et  de  sainte  Julitte  par  saint 
Nicéphore ,  patriarche  de  Conslantinople , 
XII,  297.  Voyez  l'article  de  saint  Cyr.] 

ACTES  des  dix-huit  martyrs  de  Saragosse, 

ni,  44, 

ACTES  du  martyre  de  sainte  Engratide  ou 
Engratie,  III,  44. 

ACTES  de  saint  Théodore,  martyr  à  Ama- 
sée,  III,  44  et  suiv.  Ces  actes  ne  paraissent 
pas  sincères,  44.  Histoire  du  martyre  de  ce 
saint,  tirée  de  saint  Grégoire  de  Nysse,  48 
et  suiv. 

ACTES  du  martyre  des  saintes  Bérénice, 
Prosdoce  et  Domnine,  leur  mère,  III,  46,  47. 
Apologie  de  ces  saintes,  46.  Histoire  de  leur 
martyre,  46  et  47. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Apollone , 
diacre,  et  de  saint  Philémon,  III,  49,  50.  Ces 
actes  sont  sincères,  49.  Analyse  de  ces  actes, 
49  et  50. 

ACTES  du  martyre  de  sainte  Euphémie, 


vierge;  divers  actes  de  sainte  Euphémie; 
ceux  que  nous  avons  de  saint  Astère  sont 
sincères,  111,  50,  51.  Analyse  de  ces  actes, 
51. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Serène,  ces 
actes  sont  sincères;  analyse  de  ce  qu'ils  con- 
tiennent, 111,  51. 

ACTES  dumartyrede  saintPhiléas,  évêque 
de  Thmuis  et  de  saint  Philorome,  trésorier 
d'Egypte,  ni,  51  et  suiv.  Ces  actes  sont  sin- 
cères, 52,  33.  Analyse  de  ces  actes,  53,  54. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Quirin,  évêque 
de  Siscie,  III,  54  et  suiv.  Ces  actes  sont  sin- 
cères, S5.  Analyse  de  ces  actes,  55,  56. 

ACTES  (Faux)  du  martyre  de  saint  Pierre 
d'Alexandrie,  III,  56,  57.  [Actes  authentiques 
publiés  par  Maï,  57,  n.  4.] 

[ACTES  de  saint  Cyr  et  de  saint  Léon, 
martyrs  à  Alexandrie,  111,  61,  62.] 

ACTES  (Faux)  du  martyre  de  saint  Lucien, 
prêtre  d'Antioche,  111,  74. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Balaam  ;  ces 
actes  sont  tirés  de  deux  homélies  de  saint 
Chrysostôme,  111,  77,  78.  Analyse  de  cequ'ils 
contiennent,  78. 

ACTES  du  martyr  de  saint  Gordie  ou  Gor- 
dius,  III,  78  et  suiv.  Ces  actes  sont  tirés  de 
saint  Basile,  78.  Analyse  de  ce  qu'ils  con- 
tiennent, 78  et  suiv. 

ACTES  du  martyre  de  sainte  Julitte;  ces 
actes  sont  tirés  de  saint  Basile;  analyse  de  ce 
qu'ils  contiennent,  III,  80. 

ACTES  du  martyre  de  sainte  Pélagie,  III, 
80,  81.  Les  actes  de  cette  sainte  sont  tirés  de 
saint  Chrysostôme,  80.  Martyre  de  la  mère 
et  des  soeurs  de  sainte  Pélagie,  81 . 

ACTES  du  martyi'e  de  saint  Pierre  Balsame, 
III,  81,  82.  Ce  saint  n'est  pas  le  même  que 
saint  Pierre  Apselame,  81.  Analyse  des  actes 
de  saint  Pierre  Balsame,  81,  82. 

ACTES  des  quarante  martyrs,  III ,  82  et  suiv. 
Ces  martyrs  ont  souffert  sous  Licinius;  quels 
ils  étaient,  83.  Analyse  de  leurs  actes,  83,  84. 

ACTE  S  de  plusieurs  martyrs  dont  le  temps 
nous  est  inconnu,  111,  84  et  suiv. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Arcade,  III, 

84,  85.  Ces  actes  sont  fidèles,  84.  Analyse  de 
ce  qu'ils  contiennent,  84,  83. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Cassien,  III, 

85,  86. 

ACTES  du  martyre  des  saints  Fauste,  Jan- 
vier et  Martial;  jugement  de  ces  actes;  ana- 
lyse de  ce  qu'ils  contiennent,  III,  86. 

ACTES  du  martyre  de  sainte  Drosis,  vierge, 
III,  86,  87. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


ACTES  dn  martyre  de  saint  Genès,  gref- 
Cer  à  Arles,  III,  87. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Julien  de  Cili- 
cie,in,  87,  88. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Léon  et  de 
saint  Parégoire  à  Patare  en  Lycie,  111,88,89. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Jules  àDoros- 
tore  dans  la  Mésie,  III,  89,  9i). 

ACTES  de  saint  Vicandre  et  de  saint  Mar- 
cion,  martyrs  dans  la  Mésie,  ID,  90,  91. 

ACTES  dumarlyre  de  saint  Patrice,  évêque 
de  Pruse  dans  !a  Bithynie,  III,  92. 

ACTES  du  martyre  de  trente-sept  Égyp- 
tiens, III,  92,  93. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Phocas  de  la 
■ville  de  Sinope  dans  le  Pont,  III,  93,  94. 

ACTES  de  vingt  martyrs  d'Afrique,  III, 
94,  95. 

ACTES  (Faux)  de  saint  Athénogène,  mar- 
tyr, III,  93. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Cyprien  sur- 
nommé d'Antioclie  et  de  sainte  Justine, 
vierge,  III,  93  et  suiv. 

ACTES  de  plusieurs  martyrs  qui  ont  souf- 
fert dans  les  persécutions  de  Dioclétien,  de 
Galère  et  de  Licinius,  III,  99  et  suiv. 

ACTES  divers  qui  ne  peuvent  passer  pour 
sincères,  III,  99  et  suiv.  [Plusieurs  notes  rela- 
tives à  ces  actes,  99.]  Actes  du  martyre  de 
saint  Sébastien,  99,  100. 

ACTES  du  martyre  de  saint  Sébastien 
faussement  attribués  à  saint  Ambroise ,  V, 
513. 

ACTES  de  saint  Prime  et  de  saint  Félicien, 
de  saint  Sisinne  et  de  saint  Anthime,  III, 
100;  de  saint  Quentin  et  de  saint  Denis  de 
Paris,  100  et  101.  (Dom  Ceiliier  dit  néan- 
moins qu'on  croit  que  saint  Denis  souffrit  le 
martyre  en  273,  sous  la  persécution  d'Auré- 
lien.)  [Il  est  plus  probable  que  ce  fut  au 
1"  siècle.]  Actes  de  saint  Janvier  et  de  ses 
compagnons,  101;  de  saint  Acace,  soldat, 
101  et  102;  de  saint  Gurie  et  de  saint  Sa- 
mone,  102, 103  ;  de  saint  Mammaire  et  de  ses 
compagnons,  103,  104. 

ACTES  des  martyrs  de  Perse,  III,  318  et 
suiv.  Actes  du  martyre  de  saint  Siméou,  ar- 
chevêque de  Séleucie  en  Perse,  319.  Il  con- 
fesse la  foi  devant  Sapor,  319  et  320.  II  con- 
vertit l'eunuque  Usthasade,  qui  soutfre 
ensuite  le  martyre,  320.  Saint  Siméon  eot 
martyrisé  et  plusieurs  autres  avec  lui,  320  et 
321.  Martyre  des  sœurs  de  saint  Siméon, 
321, 322.  Martyre  de  saint  Acepsimas,  évéque 
db  la  province  d'Adiabène  eu  Perse;  martyre 


d'une  multitude  de  personnes  consacrées  à 
Dieu  qui  ont  souffert  sous  le  roi  Sapor,  322. 
Martyre  de  saint  Mille,  évéque  en  Perse, 
322  et  323.  Martyre  de  saint  Sadotb,  évêque 
de  Séleucie,  avec  cent  vingt-buit  autres,  323. 
Martyrede  saint Badème,  abbé  en  Perse,  324. 

ACTES  des  martyrs  d'Orient  et  d'Occident 
recueillis  par  Assémani,  archevêque  d'Apa- 
mée,  III,  324  et  suiv.  [Comment  Dom  Ceilliei' 
annonce  ce  travail,  324,  n.  1.]  Actes  des  mar- 
tyrs sous  Sapor  II,  roi  de  Perse,  323  et  suiv. 
Ces  actes  ont  pour  auteur  saint  Maruthas, 
324.  Ce  que  contient  le  premier  tome  de  cette 
collection,  324et  suiv.  Actes  de  saint  Siméon, 
archevêque  de  Séleucie,  326  et  suiv.  Diffi- 
cultés sur  l'année  de  la  persécution,  328. 
Autres  martyrs  de  Perse,  328  et  suiv.  Actes 
de  quelques  autres  martyrs  qui  ont  souffert 
dans  la  Perse,  338  et  suiv.  Martyrs  en  Perse 
dans  la  persécution  d'Isdegerde,  342,  343. 
Actes  recueillis  dans  le  second  tome,  343  et 
suiv.  Actes  des  martyrs  d'Occident,  343  et 
suiv.  Vie  de  saint  Siméon  Stylite,  353  et  suiv. 

ACTES  de  plusieurs  martyrs  dans  la  per- 
sécution de  Julien  l'Apostat,  III,  401  et  suiv. 
Confession  de  Romain,  soldat,  et  de  quelques- 
uns  de  ses  compagnons,  401,  402.  Martyre 
de  saint  Cyiille,  diacre  à  Héliopolis  près  du 
mont  Liban;  de  saint  Émilien  à  Dorostore  en 
Thrace;  des  saints  Eusèbe,  Nestabe  et  Zenon 
frères,  à  Gaze  en  Palestine,  402  ;  de  saint  Nes- 
tor, leur  compagnon;  des  saints Macédonius, 
Théodule  et  Tatien  à  Myre  en  Pbvygie  ;  mar- 
tyre de  deux  jeunes  hommes  de  Sessinonte 
en  Galatie,  403.  Martyre  de  saint  Basile, 
prêtre  de  la  ville  d'Ancyre,  403  et  suiv.  Il 
prêche  la  foi  par  toute  la  ville;  il  est  mis  en 
prison  et  tourmenté  ;  sa  confession  devant 
Julien,  403,  404.  On  lui  fait  souffrir  de  nou- 
veaux tourments  ;  sa  mort,  404, 403.  Les  actes 
de  saint  Basile  sont  sincères  ;  martyre  de 
saint  Eupsyque  à  Césarée  en  Cappadoce  ; 
quelle  en  fut  l'occasion,  403.  Martyie  de  saint 
Théodore  à  Antioche,  403  et  406.  Confession 
de  sainte  Publie  à  Antioche,  406,  407.  Mar. 
lyre  de  saint  Théodoret,  prêtre  d'Anlioche, 
407  et  suiv.  Les  actes  du  martyre  de  saint 
Théodoret  sont  sincères,  407.  Analyse  de  ces 
actes,  407  et  suiv.  En  quel  temps  ce  saint 
soutfrit  le  martyre,  409.  Martyre  des  saints 
Bonose  et  Maxiiuilien  dans  la  légion  hercu- 
léenne; les  actes  de  ces  saints  martyrs  sont 
sincères,  409,  410.  Analyse  de  ces  actes  ;  les 
martyrs  sont  plongés  dans  une  chaudière  de 
poix  bouillante,  410.  Ils  sont  mis  en  prison 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


dS 


où  le  prince  Hormisdas  vient  les  visiter,  410 
et  411.  Ils  consomment  leur  martyre  avec 
Jovien  et  Herculien,  411.  Martj're  de  saint 
Juventin  et  de  saint  Maximin;  témoignage 
que  rendent  ces  saints  martyrs  h  l'occasion 
des  fonlaines  que  Julien  avait  fait  pol- 
luer^ 411,  412.  Us  sont  mis  en  prison;  leur 
martyre  ;  marlja-e  d'Arlémius,  duc  d'Egypte  ; 
confession  de  Valentinieu,  412.  Confession 
de  Philorome,  413. 

ACTES  supposés  de  divers  martyrs  que 
l'on  prétend  avoir  souffert  dans  la  persécu- 
tion de  Julien  :  actes  supposés  du  martyre  de 
saint  Jean  et  de  saint  Paul;  actes  supposés  de 
saint  Gordien,  de  saint  Donat,  de  saint  Hila- 
rion,  de  saint  Pelin  et  de  saint  Éliphe,  IIT,  413. 
ACTES  du  martyre  de  saint  Sabas  dans  la 
persécution  d'Athanaric,  roi  des  Goths,  IV, 
281  et  suiv. 

ACTES  du  martyre  des  saints  anacliorètes 
Paul,  Isaïe,  Sabas  et  les  autres,  tués  par  les 
barbares  dans  les  solitudes  de  Sinaï  et  de 
Raïthe,  IV,  283  et  suiv.  Leurs  actes  sont  au- 
thentiques, 283,  284.  Analyse  de  ces  actes, 
284  et  suiv. 

ACTES  du  martyre  des  solitaires  de  Sinaï, 
VIII,  231.  Manière  de  vivre  de  ces  solitaires, 
230,  231.  Les  Sarrasins  viennent  les  atta- 
quer; ces  barbares  mettent  à  mort  le  prêtre 
Théodule  et  plusieurs  autres  solitaires  ;  ces 
solitaires  sont  lionorés  comme  martyrs,  234. 
—  [Actes  des  saints  Speusippe,  Eleusippe, 
Méleusippe,  XI,  631.] 

[ACTES  du  martyre  des  solitaires  de  la 
laure  de  saint  Sabas,  composés  parle  prêtre 
Antiochus,  XI,  697,  698.] 

[ACTES  des  martyrs  :  règles  données  par 
certains  critiques  pour  juger  de  l'autlienticité 
de  ces  actes  démenties  par  des  actes  origi- 
naux et  authentiques,  UT,  18,  n.  1  ;  29,  n.  4; 
33,n.l;  36, n.  l;39,n.  3;  45,  n.  3.  Plusieurs 
actes  jugés  inacceptables  par  Dom  Ceillier 
sontreconnuscommeauthentiques,  99,n.  2  et 
suiv.,  100,  n.  2,  3;  101,  n.  2,  4,  9,  lO;  102, 
n.  1  ;  184,  n.  6.]  —  On  les  lisait  partout  au 
jour  de  la  fête  des  martyrs  au  v^  siècle;  à  la 
fin  du  V''  siècle,  le  Saint-Siège  fait  rédiger  les 
actes  authentiques  des  martyrs,  II,  100.  — 
En  quelques  endroits,  les  persécutions  em- 
pêchaient qu'on  ne  les  écrivît,  III,  19.  Actes 
des  martyrs  recueillis  par  les  chrétiens,  32. 
Actes  des  anciens  martyrs  recueillis  par  Eu- 
sèbe  de  Césarée,  3  et  suiv.  et  349.  —  Témoi- 
gnage du  pape  saint  Grégoire  qui  répand  des 
doutes  sur  les  actes  qu'on  a  sous  le  nom  de 


plusieurs    martyrs    de    l'Église  de  Rome , 
XI,  511. 

ACTES  (Faux)  de  saint  Silvestre,  pape, 
VI,  89  et  suiv. 

ACTES  de  Pelage.  Livre  de  saint  Augustin 
au  sujet  de  ce  qui  s'était  passé  au  concile  de 
Diospolis,  IX,  443  et  suiv. 

ACTES  des  évêques  de  Toul;  jusqu'où  ils 
s'étendent,  XIII,  183, 186. 

ACTES  (Faux)  du  concile  de  Nicée , 
llî,  446. 

ACTES.  Au  vi'^  siècle,  dans  la  province 
d'Anjou,  c'était  un  diacre  qui  passait  les 
actes,  XII,  712. 

ACTION  de  grâces,  sujet  d'une  homélie  de 
saint  Basile  le  Grand,  IV,  378,  379.  —  Homé- 
lie de  saint  Maxime  de  Turin  sur  l'action  de 
grâces  après  le  repas,  X,  322. 

ACTIONS.  Doctrine  de  Tertullien,  I,  81. 
Doctrine  d'Origène,  243,  244;  —  de  saint 
Éphrem,  VI,  69;  —  de  Cassien,  VIII,  185. 
Voyez  Vertus,  Vices  et  Œuvres. 

ACYNDlNUS  (ce  nom  qui  vient  du  grec 
doit  s'écrire  Acindynus).  Voyez  Acindynus. 

AD,  monastère  de  saint  Épiphane  en  Pales- 
tine, VI,  375. 

[ADAI  ou  ADÉE,  apôtre,  livre  apocryphe 
des  histoires  des  saints  Pères,  enseignement 
de  l'apôtre  Adaï,  I,  269.] 

ADALANDE  ou  ADALAUDE,  archevêque 
de  Tours,  fait  revenir  à  Tours  les  reliques  de 
saint  Martin,  XIII,  744.  (On  varie  sur  son 
nom  :  Adalardiis,  Adalandus,  Adalaudus, 
Adaladus,  Adhelardus.) 

ADALARD  ou  ADHALARD  ou  ADELHARD 
(Saint),  abbé  de  Corbie,  XII,  274  et  suiv.  Sa  y.  753. 
naissance  ;  il  est  élevé  à  la  cour  du  roi  Pépin  ; 
il  se  fait  moine  à  Corbie,  puis  fait  un  voyage 
en  Italie  au  mont  Cassin;  à  son  retour  il  est 
élu  abbé  de  Corbie;  Charlemagne  le  donne 
pour  premier  ministre  à  son  fils  Pépin  qu'il  we. 
avait  fait  roi  d'Italie,  274  Sa  disgrâce  sous 
Louis  le  Débonnaire  ;  son  innocence  ayant 
été  reconnue,  il  retourne  à  son  abbaye  de 
Corbie  ;  il  fonde  en  Saxe  la  nouvelle  Corbie;  gas. 
l'empereur  confirme  ce  nouvel  établisse- 
ment; mort  d'Adalard,  275.  Son  éloge,  275  gae. 
et  276.  Ses  statuts,  276.  Ses  discours;  juge- 
ment prononcé  par  Adalard  lorsqu'il  gouver- 
nait le  royaume  d'Italie;  Ordre  du  palais,  ou- 
vrage de  cet  abbé,  que  nous  n'avons  plus,  277. 
Sa  vie,  écrite  par  saint  Paschase  Radbert,  274. 
Lettre  que  lui  écrit  Paul,  diacre,  en  lui  en- 
voyant une  copie  de  quelques  lettres  de  saint 
Grégoire  le  Grand,  146.  Adalard  fut  quelque- 


i6 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


fois  nommé  Antoine  et  Augustin.  Durée  de 
son  exil,  533.  Églogue  sur  sa  mort  (peut-être 
par  saint  Gérauld),  5M.  Sa  \ie,  écrite  par 
saint  Pascliase  Radbert,  retouchée  par  saint 
Gérauld,  abbé  de  Sauve-Majeur,  274,  544. 
Églogue  en  vers  sur  sa  mort  par  saint  Gérard 
(ou  Gérauld)  ;  répons  et  antiennes  pour  son 
office  ;  recueil  de  ses  miracles  par  le  même, 
544.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  Ft^ance,  t.  IV,  p.  484  et  suiv.) 
X  siècle.  ADALARD,  évéque  de  Vérone,  excommu- 
nié par  Jean  VIII,  pour  s'être  emparé  du  mo- 
nastère de  Xonantule,  XII,  643. 

ADALARD,  abbé  de  Rlandigni  ou  Blan- 
dimberg,  auteur  d'une  vie  de  saint  Dunstan, 
archevêque  de  Cantorbéry  ;  idée  de  cette  vie, 
XIII,  58.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VII 
p.  228.) 

ADALAUDE,  archevêque  de  Tours.  Voyez 
Adalande. 

9jig_  ADALBÉRON  (Saint),  évêque  d'Augsbourg. 

auparavant  abbé  d'Elvangen  (il  écrivit  quel- 
ques vies,  comme  celle  de  saint  Hariolphe, 
premier  abbé  d'Elvangen-  :  Dom  Ceillier  n'en 
parle  pas,  mais  voyez  du  Pin  et  Moréi'i)  ;  on 
croit  que  c'est  celui  à  qui  Réginon  a  dédié  sa 
chronique,  XII,  769.  Présents  qu'il  fait  à  l'ab- 
baye et  aux  religieux  de  Saint-Gall,  770. 

ADALBÉRON,  évêque  de  Metz,  succède  à 
Bernon,  XIII,  743.  —  Sa  mort,  XII,  868. 

927,  ADALBÉRON,  évêque  de  Metz  :  sa  lettre 

circulaire  au  sujet  d'un  homicide  pénitent, 
XIII,  98.  (Il  reste  à  savoir  si  cette  lettre  est  de 
0  celui  qui  précède  ou  de  celui  qui  suit.) 

ADALBÉRON  II,  évêque  de  Metz  :  sa  vie 
et  son  épitaphe  composées  par  saint  Constan- 
tin, abbé  de  saint  Symphorien;  analyse  de 
cette  vie,  XIII,  72. 

ADALBÉRON  IV,  évêque  de  Metz,  est  élu 
après  la  mort  de  Popon,  XIII,  585. 

ADALBÉRON,  archevêque  de  Reims,  fils 
de  Godefroi,  comte  d'Ardenne,  est  élevé  à 

gg9_  l'abbaye  de  Gorze  ;  succède  à  Odabric;  éloge 
de  son  administration;  le  roi  Lothaîre  le  fait 

987.  son  chancelier;  il  sacre  Hugues-Capet  qui  le 
constitue  dans  sa  dignité  de  chancelier;  il  se 
justifie  sur  le  sacre  de  Hugues  en  montrant 
que  c'était  plutôt  l'ouvrage  de  l'État  que  le 

988_  sien;  sa  lettre  à  ce  sujet;  sa  mort;  on  lejus- 
tifie  contre  les  invectives  de  la  petite  chronique 
de  Reims;  son  discours  lorsqu'il  introduit 
des  moines  au  monastère  de  Mouzon  qu'il 
avait  fondé ,  XII ,  870.  Ses  lettres  insérées 
parmi  celles  de  Gerbert,  870,871.  Distique 


qu'il  avait  fait  graver  sur  le  calice  à  son 
usage;  autre  inscription  pour  une  patène, 
871.  [Ses  écrits  dans  la  Patrologie,  871.] 
Sentence  d'excommunication  qu'il  prononce 
contre  Thibault,  usurpateur  de  l'évêché 
d'Amiens,  871.  —  Concile  qu'il  tient  à  Reims, 
XIII,  760.  Sa  mort,  761.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VI, 
p.  444  et  suiv.) 

ADALBÉRON,  écolâtre  d'Utrecht.  Voyez 
Adelbéron. 

ADALBÉRON  (surnommé  Ascelin),  évêque 
de  Laon  ;  lettre  que  lui  écrivit  saint  Fulbert 
au  sujet  de  l'assassinat  d'Evrard,  sous-doyen 
de  l'Église  de  Chartres,  XIII,  83.  Il  veut  se 
donner  un  successeur  avant  sa  mort  :  Gérard, 
évêque  de  Cambrai,  empêche  l'exécution  de 
ce  dessein,  163.  [Poème  d'Adalbéron adressé 
au  roi  Robert,  163,  n.  4.]  (Il  a  laissé  quelques 
écrits.  Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VII,  p.  290  et  suiv.) 

ADALBÉRON,  désigné  évêque  d'Augs- 
bourg à  la  demande  de  saint  Udalric  son 
oncle,  XIII,  758,  759. 

ADALBERON  ou  ALBÉRON,  archevêque 
de  Trêves  ;  [le  pape  Innocent  II  lui  écrit,  XIV, 
265,  266];  lettre  de  reproches  que  lui  écrit 
Hugues  Métellus  ;  saint  Bernard  prend  sa  dé- 
fense, 333.  Autre  lettre  que  Hugues  lui  écrit, 
366.  Lettres  que  saint  Bernard  écrit  en  son 
nom  au  pape  Innocent  II,  439.  [Notices  sur 
Adalbéron,  ses  trois  lettres,  pièces  qui  le  con- 
cernent dans  la  Patrologie,  440,  n.  6.] 

ADALBERT  ou  ADELBERT  ou  ALDE- 
BERT,  prêtre  gaulois,  l'un  des  imposteurs 
contre  lesquels  sévit  le  concile  de  Leptines, 
est  mis  en  prison,  XII,  30.  Ils  sont  jugés  dans 
un  concile  de  Rome;  ce  que  le  pape  Zacha- 
rie  ordonne  à  leur  égard,  31.  —  Ses  supers- 
titions et  ses  erreurs  condamnées  au  concile 
de  Soissons,  XIII,  608.  Quelles  étaient  ces 
superstitions  et  ces  erreurs;  elles  sont  dé- 
noncées au  pape  Zacharie  qui  les  condamne 
dans  un  concile,  609.  (11  avait  composé  quel- 
ques écrits.  Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  IV,  p.  82  et  suiv.) 

ADALBERT,  évêque  de  Troyes;  sa  mort, 
XII,  493. 

ADALBERT,  moine  de  Fleury,  auteur  de 
l'histoire  de  la  translation  de  saint  Benoît, 
confondu  avec  Adrevald,  auteur  de  l'histoire 
de  ses  miracles,  Xil,  629.  (Voyez  ce  qui  est 
écrit  de  lui  à  l'occasion  d'Adrevald  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  513 
et  suiv.) 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


17 


[ADALBERT,  évêque  de  Maurienne,  cité  à 
un  concile  de  Rome,  XII,  648.] 

ADALBERT,  écolâtre  de  Saint-Vincent, 
évêque  de  Metz  ;  ce  qu'on  sait  des  circons- 
tances de  sa  vie;  sa  chronique,  XII,  861.  Son 
abrégé  des  miracles  de  saint  Grégoire;  ces 
deux  ouvrages  n'ont  pas  encore  été  impri- 
més, 862.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  VI,  p.  393,  et  le  sup- 
plément qui  est  à  la  tête  du  même  tome, 
p.  xxvj.) 

ADALBERT  (Saint),  premier  archevêque 
de  Magdebourg ,  reçoit  le  pallium  du  pape 
Jean  XIII,  XII,  834.  Se  retire  à  Rome  dans  un 
monastère  et  est  ensuite  rappelé  en  Bohême, 
837. 

ADALBERT  (Saint),  évêque  de  Prague,  est 
envoyé  à  Magdebourg  par  ses  parents  pour  y 
être  élevé  sous  les  yeux  de  l'archevêque 
Adalbert,  XIII,  93,  96.  Il  succède  à  Dithmar, 
évêque  de  Prague  ;  l'indocilité  de  son  peuple 
le  porte  à  se  retirer  ;  il  revient  à  Prague  et 
envoie  des  missionnaires  en  Hongrie  ;  il  aban- 
donne Prague  une  seconde  fois  et  va  prêcher 
la  foi  en  Prusse  ;  il  y  est  tué  par  les  païens; 
[son  homélie  pour  la  fête  de  saint  Alexis; 
profession  de  la  règle  de  Saint-Benoît  par 
saint  Adalbert,  96].  Sa  Vie  écrite  par  deux 
anonymes,  96.  —  Il  quitte  son  évêché  pour  se 
retirer  dans  un  monastère;  le  pape  Jean  XV 
le  renvoie  à  son  évêché,  XII,  837. — Les 
mêmes  faits  répétés;  concile  de  Rome  qui  lui 
ordonne  de  retourner  à  son  diocèse  qu'il 
avait  quitté  à  cause  de  l'indocilité  des  peuples, 
XIII,  760.  —  Sa  Vie,  faussement  attribuée  à 
Gerbert,  archevêque  de  Reims,  XII,  910;  — 
et  à  Cosme,  doyen  de  l'Eglise  de  Prague, 
XUI,  93,  96.  Elle  est  d'un  moine  de  Saint- 
Alexis  de  Rome,  95  [et  n.  9.  Editions  de  celte 
Vie,  96]. 

ADALBERT,  premier  abbé  du  monastère 
de  Séon  en  Bavière,  XIII,  99. 

ADALBERT,  clerc  de  Reims.  (On  a  de  lui 
un  fragment  de  sermon.  Voyez  ce  qui  en  est 
dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VII, 
p.  436.) 

ADALBERT,  archevêque  de  Brème  ou  de 
Hambourg,  fait  des  reproches  à  Harlold  (ou 
Harold),  roi  de  Norwége,  XIII,  286.  Concile 
qu'il  convoque,  290.  —  Sa  mort,  XIV,  201- 
Histoire  de  son  épiscopat  par  Adam  de  Brème, 
203  et  suiv,  [Lettre  qu'adresse  à  Adalbert  le 
pape  Victor  II,  XIU,  240.] 

ADALBERT,  moine  de  Spaldingen  en  An- 
gleterre. Ses  extraits  du  commentaire  de  saint 
TA6.  I. 


V.  1014. 


865. 


Grégoire  sur  Job;  autres  écrits  que  Pitséus, 
lui  attribue,  XIV,  346. 

ADALBERT,  usurpateur  de  l'évêché  de 
Ravenne,  est  obligé  de  le  céder  à  Arnoul  ;  on 
lui  donne  l'évêché  d'Aricie,  XIV,  1037. 

ADALGAIRE,  évêque  d'Autun.  Le  pape 
Jean  VIII  lui  accorde  le  paUium,  XII,  643. 

ADALGAIRE,  moine  de  la  Nouvelle-Corbie, 
accompagne  saint  Rembert  dans  son  évêché 
de  Hambourg;  il  devient  ensuite  son  coadju- 
teur,  XU,  698.  [Lettre  du  pape  Formose  à 
Adalgaire  au  sujet  du  différend  survenu  entre 
Adalgaire  et  Heriman,  739.  Le  pape  Ser- 
gius  m  écrit  à  Adalgaire,  743.  Le  pape 
Léon  VII  lui  écrit,  829,  ainsi  que  le  pape 
Agapet  II,  830.] 

ADALGASE,  abbé,  fonde  à  Palmat  en  Pé- 
rigord  une  communauté  qu'il  transfère  en- 
suite à  Vabres  en  Rouergue,  XII,  793. 

ADALGISE,  moine  de  Saint-Thierry  de 
Reims.  (Il  est  auteur  d'une  relation  des  mi- 
racles de  saint  Thierry.  Voyez  son  article  dans 
V Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  XI,  p.  10 
et  suiv.) 

ADALHARD  (Saint),  abbé  de  Corbie.  Voyez 
Adalard  (Saint). 

ADALOLFE,  abbé  de  Saint-Bertin,  fait  faire 
par  le  moine  Folcuin  le  recueil  chronologique 
des  chartes  et  diplômes  de  son  monastère, 
XII,  861. 

ADALRAM,  évêque  de  Salzbourg.  Son  épi-     ix  siècle, 
taphe,  XII,  477. 

ADAM,  premier  homme,  n'a  rien  écrit,  I. 
262.  Ouvrages  supposés  sous  son  nom,  263 
[et  263,  n.  12].  Doctrine  d'Athénagore  sur 
Adam,  485,  n.  4.  Erreur  de  Tatien  sur  Adam, 
489;  réfutée  par  saint  Irénée,  308.  Doctrine 
de  saint  Irénée  sur  Adam,  528.  Doctrine  de 
saint  Clément  d'Alexandrie,  602.  —  Doctrine 
d'Origène,  II,  249  et  230.  —  Témoignage  de 
saint  Basile  sur  le  lieu  de  la  mort  d'Adam, 
IV,  375.  —  Hérétiques  qui  ont  nié  le  salut 
d'Adam,  VI,  393.  Témoignage  de  saint  Épi- 
phane  sur  Adam,  426.  —  Témoignage  de 
saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  334,  353.  [Ho- 
mélies de  saint  Jean  Chrysostôme  sur  Adam 
et  sur  Eve,  148.]  Transgression  d'Adam  ;  su- 
jet d'une  homélie  attribuée  faussement  à  Jean 
de  Jérusalem,  502.  Témoignage  de  saint  Jé- 
rôme sur  Adam,  657.  —  Doctrine  de  saint 
Augustin  sur  Adam,  IX,  143,  206,  309,  418, 
727.  Grâce  d'Adam  et  son  libre  arbitre,  673, 
676.  Adam  avait-il  reçu  le  don  de  la  persé- 
vérance, 676  et  suiv.  Grâce  des  deux  états, 
681  et  suiv.  Quelle  liberté  nous  avons  perdue 


18 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


par  le  péché  d'Adam,  731.  [Péché  d'Adam 
d'après  saint  Augustin,  838.  Trois  sermons 
de  saint  Augustin  sur  Adam,  Eve  et  la  sainte 
Vierge,  841.]  —  Sentiments  de  Théodoret  sur 
Adam,  X,  27.  Discours  de  Basile  de  Séleucie 
sur  la  création  d'Adam  et  sur  sa  chute,  164. 
[Doctrine  de  saintMaxime  de  Turin  sur  Adam, 
328.]  Discours  sur  la  chute  d'Adam,  ouvrage 
d'un  Arnobe,  évêque  et  rhéteur,  335.  —  Té- 
moignage de  Laurent  de  Novarre  sur  Adam, 
XI,  96.  Trois  questions  au  sujet  d'Adam  ré- 
solues par  Éphrem,  patriarche  d'Antioche, 
173, 174.  En  quel  sens,  d'après  saint  Grégoire 
le  Grand,  cette  proposition  :  «  L'âme  d'Adam 
a  mourut  par  son  péché  »  est  catholique,  S04, 
SOS.  —  Doctrine  de  Pierre  Lombard  sur  la 
création  du  premier  homme,  XIV,  456.  Sa 
chute  d'après  Hugues,  archevêque  de  Rouen, 
603.  Livre  de  Phihppe  de  Bonne-Espérance 
sur  le  salut  du  premier  homme,  685. 
1059  ou  1000 ,       ADAM  de  Paris  entreprend  d'aller  à  Athènes 
pour  y  acquérir  les  sciences  des  Grecs  ;  est 
retenu  à  Spalatro  en  Dalmatie  par  l'évêque 
Laurent  qui  l'engage  à  mettre  en  meilleur 
style  les  actes  des  martyrs  saints  Domnius  et 
Anaslase,  XIII,  237.  Jugement  sur  ce  qui  nous 
reste  des  actes  de  saint  Domnius,  237  et  238. 
On  ne  connaît  plus  ceux  de  saint  Anastase 
retouchés  par  Adam,  238.  (Voyez  ce  qui  est 
ditde  lui  dans  l'Histoire  littérairede  laFrance, 
t.  VII,  p.  310  et  suiv.) 
1Q57^  ADAM,  chanoine  de  Brème,  est  d'abord 

chargé  du  soin  des  écoles  de  cette  ville  ;  en 
1077.  9"6l  temps  il  est  fait  chanoine  de  Brème  ;  son 
histoire  des  églises  du  nord;  ses  recherches 
pour  la  rendre  exacte,  XIV,  201.  Analyse  de 
cette  histoire,  201  et  suiv.  Différentes  édi- 
tions qu'on  en  a  faites,  206.  [Autres  éditions  ; 
traduction  de  cet  ouvrage,  206.] 
v.  1204.  ADAM,  abbé  de  Perseigne,  est  l'auteur  de 

l'éloge  de  saint  Martin,  attribué  â  saint  Odon, 
abbé  de  Cluny  ;  on  a  un  recueil  de  quelques 
lettres  de  cet  abbé,  XII,  807.  (Dom  Ceillier 
parle  de  celles  qui  ont  été  données  par  Dom 
Martène  ;  Baluze  en  avait  donné  cinq  autres; 
Adam  avait  composé  des  discours  pour  ses 
religieux,  des  homélies  sur  les  saints  et  sur 
différentes  matières,  des  commentaires  sur 
l'Ecriture  sainte.  Voyez  Du  Pin  et  Moréri.) 
[Circonstances  de  la  vie  d'Adam,  XIV,  881, 
882.  Ses  lettres,  882  et  suiv.  Ses  sermons, 
885.  Jugement  critique,  883  et  886.] 
1122.  ADAM,  abbé  de  Saint-Denis;   sa  mort, 

XIV,  374. 
1177.  [ADAM,  chanoine  de  Saint-Victor.  Ce  qu'on 


sait  des  circonstances  de  sa  vie,  XIV,  713.  Ses 
séquences  ou  proses  d'après  M.  Félix  Clé- 
ment, 713,  714.  Ses  proses  dans  la  Patrolo- 
gie ,  714.  Édition  des  œuvres  poétiques 
d'Adam  de  Saint- Victor  par  M.  Léon  Gautier, 
714,  715.  Des  ouvrages  d'Adam  autres  que 
ses  proses,  71S,  716.  Hymnes  et  offices  de 
saint  Victor  et  de  saint  Augustin,  716,  717. 
Summa  Britonis,  ou  des  mots  difficiles  de  la 
Bible,  717  et  suiv.  Exposition  sur  les  Prolo- 
gues de  la  Bible,  721,  722.  Du  discernement  de 
l'âme,  de  l'esprit  et  de  l'intelligence,  722,  723. 
Ouvrages  douteux,  723,  724.  Ouvrages  attri- 
bués faussement  à  Adam  de  Saint-Victor, 
724,723.  Des  proses  d'Adam  de  Saint-Victor, 

723,  726.  De  celles  que  M.  Léon  Gautier  a 
découvertes  et  publiées,  726  et  suiv.  Adœ  an- 
glici  super  epistolam  ad  Hebrœos ,  ouvrage 
faussement  attribué  à  Adam  de  Saint-Victor, 

724.  Liber  Adam  de  arte  dialectica  n'est  pas 
l'œuvre  d'Adam  de  Saint  Victor,  724.] 

ADAM,  abbé  d'Eberbach  en  Franconie, 
XIV,  423,  426. 

ADAM,  d'abord  de  Tordre  de  Prémontré 
puis  abbé  ou  évêque  de  Case-Blanche  en 
Ecosse;  il  passe  en  France  ;  sa  mort  ;  ses  écrits, 
XIV,  687.  Analyse  de  son  Soliloque  de  l'âme 
688.  [11  est  auteur  de  cet  opuscule,  709.] 

ADAMANCE,  auteur  d'un  dialogue  contre 
lesMarcionitesattribuéà,Origène,  11,193, 196. 

ADAMANCE,  prêtre  et  abbé  en  Syrie,  dé-     y 
puté  vers  saint  Cyrille  d'Alexandrie,  VIII, 
303. 

ADAMITES,  hérétiques.  Ce  que  saint  Épi-     jvsij 
pliane  dit  de  cette  secte;  ce  sont  les  mêmes 
que  les  Prodiciens,  XI,  393. 

ADAMNAN,  abbé  de  Hi,  succède  à  Fail-  v.  6 
béus;  ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa 
vie;  sa  mort,  XI,  800.  Ses  écrits;  description  704c 
de  la  Terre-Sainte,  qu'il  a  rédigée  sur  le  ré- 
cit de  l'évêque  Arculfe  qui  avait  fait  ce  voyage, 
800,  801.  Ce  qu'il  y  a  de  plus  remarquable 
dans  cette  description,  801, 802.  Vie  de  sainte 
Colomba  par  Adamnan,  802.  [Ecrits  d'Adam- 
nan  et  d'Arculfe  dans  la  Patrologie  et  écrits 
qui  les  concernent,  802.] 

ADASTON,  moine  de  Corbie,  Voyez  Ad- 
daston. 

ADDAS,  disciple  de  Manès,  sème  ses  er- 
reurs dans  l'Orient,  VI,  402. 

ADDASTON,  moine  de  Corbie.  (II  avait 
écrit  sur  le  prophète  Daniel.  Voyez  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  IV,  p.  233,  et  t.  VI, 
p.  73.) 

ADEFONSE,  évêque  de  Salamanque.  Son       ms 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


19 


épitaphe  par  Pierre  de  Poitiers,  grand  prieur 
deCluny,  XIV,  751. 

ADEGRIM,  compagnon  de  la  retraite  de 
saint  Gdon  au  monastère  de  la  Baume  en 
Bourgogne,  XII,  804,  803. 

ADÉLAÏDE ,  reine  de  France ,  seconde 
femme  de  Louis-le-Bègue;  le  pape  Jean  VIII 
refuse  de  la  couronner,  XII,  634,  et  XIII, 
722. 

ADÉLAÏDE  (Sainte),  impératrice,  épouse 
de  Tempereur  Othon  I",  XIII,  ISd.  Sa  Vie 
n'est  point  de  Gerbert,  mais  de  saiat  Odilon 
de  Cluny,  131, 133.  Ce  saint  écrit  sa  Vie,  153. 
On  réfuie  les  raisons  alléguées  par  ceux  qui 
doutent  qu'il  en  soit  l'auteur,  153 et  154.  Édi- 
tions qu'on  a  faites  de  cette  Vie,  153, 154.  Ce 
qu'elle  contient  de  remarquable,  134,  155. 
Année  de  la  mort  de  cette  princesse  ;  saint 
Odilon  joint  à  l'histoire  de  cette  Vie  celle  de 
quelques  miracles  opérés  par  l'intercession 
de  celte  princesse,  155. 

ADELARD  (Saint),  abbé  de  Corbie.  Voyez 
Adalard. 

ADÉLARD,  archevêque  de  Cantorbéry; 
pouvoirs  que  lui  donne  le  pape  Léon  III, 
XII,  400. 

ADÉLARD,  abbé  de  Saint-Trond  au  dio- 
cèse de  Liège;  sa  mort;  troubles  dont  elle 
est  suivie,  XIII,  397. 

ADELBÉRON,  écolâtre  d'Utrech.  (Il  avait 
composé  une  chronique.  Voyez  ce  qui  en  est 
dit  àaxiiV  Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VII, 
p.  97.) 

ADELBERT,  prêtre  gaulois.  Voyez  Adal- 
bert. 

ADELBERT,  écolâtre  de  Saint-Vincent  de 
Metz.  Voyez  Adalbert. 

ADELBERT,  archevêque  de  Bourges.  Sa 
mort,  XIV,  99. 

[ADELBERT,  archevêque  de  Mayence.  Le 
pape  Honorius  II  lui  écrit,  XIV,  234.] 

[ADELBERT  ou  ALBERT,  archevêque  de 
Salzbourg,  persécuté  par  l'empereur  Frédé- 
ric, XIV,  730.] 

ADELBOLDE,  évêque  d'Utrecht.  [Notices 
sur  Adelbolde,  XIII,  74,  n.  3.]  Son  éducation; 
combien  de  temps  il  fut  évêque,  74.  Ses  écrits  ; 
Vie  de  l'empereur  saint  Henri,  74  et  75.  [Edi- 
tion de  cette  Vie  dans  la  Patrologie,  75.  Pertz 
n'ose  se  prononcer  sur  l'authenticité  de  cette 
Vie,  75,  n.  1.  La  Vie  de  sainte  Walburge,  75, 
n.  3.]  Abrégé  de  la  Vie  de  sainte  Walburge; 
lettre-  au  pape  Sylvestre  II,  75.  Livre  en 
l'honneur  de  la  Croix  et  de  la  sainte  Vierge, 
75  et  76.  Traité  sur  l'Avent,  76,  [Ses  écrits 


XI  sîèclc. 


990. 


dans  la  Patrologie,  75,  76.  Son  traité  de  la 
Musique,  publié  par  dom  Gerbert,  75.  Son 
traité  manuscrit  de  la  Quadrature  du  cercle, 
76,  n.  2.]  (Voyez  son  article  dans  Y  Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  VII,  p.  232  et  suiv.) 
ADÈLE,  fille  de  Guillaume  le  Conquérant 
et  femme  d'Etienne,  comte  de  Chartres.  Let-  i097. 
très  de  son  mari  qui  lui  sont  adressées,  XIII,  ioqs. 
581,  582.  Elle  confirme  la  donation  faite  par 
son  mari  à  l'abbaye  de  Marmoutier,  582.  — 
Elle  fait  assigner  à  sa  justice  un  archiprêtre  ; 
Yves  de  Chartres  s'en  plaint,  XIV,  109. 

ADÈLE,  femme  d'Élienne,  comte  de  Blois, 
sœur  de  Henri  I",  roi  d'Angleterre.  Lettres 
que  lui  écrit  Hildebert,  évêque  du  Mans,  XIV, 
210.  Lettre  que  lui  écrit  Pierre  le  Vénérable, 
302. 

ADELÈRE ,  moine  de  Fleury ,  continue 
l'histoire  des  miracles  de  saint  Benoît,  XII, 
330.  (Voyez  ce  qui  est  dit  dans  l'Histoire  lit- 
téraire de  la  France,  t.  V,  p.  649  et  suiv.) 

[ADELGARIUS  ou  ADELGOT,  archevêque 
de  Magdebourg.  Sa  lettre  pour  réclamer  des 
secours  contre  les  païens,  XIII,  602.] 

ADELHAIRE,  écolâtre  d'Epternach,  suc- 
cède à  Rudiger;  il  en  devient  ensuite  abbé; 
sa  chronique  d'Epternach  n'a  pas  encore  été 
imprimée,  XII,  883.  (Voyez  ce  qui  en  est  di^ 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VI, 
p.  330.) 

ADELHARD  (Saint),  abbé  de  Corbie.  Voyez 
Adalard. 

ADELHELME  ou  ADELIN,  moine  de  Saint- 
Calais,  dans  le  Maine,  puis  évêque  de  Séez; 
il  écrit  la  Vie  de  sainte  Opportune;  éditions  et 
traductions  de  cette  Vie,  XII,  760.  Recueil  de 
bénédictions,  composé  par  Adelhelme,  760  et 
761 .  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VI,  p.  130  et  suiv.) 

ADELHER,  évêque  dont  le  siège  n'est  pas     jx  5,^^,^ 
connu;   analyse  d'un   traité  de   piété   qu'il 
composa  pour  une  recluse  nommée  Non- 
suinde,  XII,  702. 

ADELIN ,  évêque  de  Séez.  Voyez  Adel- 
helme. 

ADELIN,  évêque  de  Brescia.  Voyez  Adel- 
mann. 

ADELIN,  abbé.  Lettre  que  lui  écrit  Lan-     xisiècie. 
franc  au  sujet  de  quelques  moines  sortis  du 
monastère  et  qui  demandaient  à  y  rentrer, 
XIII,  455. 

ADELMANN  ou  ADELIN,  écolâtre  de  Liège 
et  depuis  évêque  de  Brescia  ou  Bresce.  Incer- 
titude où  l'on  est  sur  le  pays  de  sa  naissance  ; 
étant  sous-diacre  dans  l'Eglise  de  Liège,  il 


V.  876. 


20 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


vient  étudier  à  Chartres  dans  l'école  de  Ful- 
bert ;  il  s'y  trouve  avec  Bérenger,  XIII,  254. 
Réginald,  son  évéque,  le  réclame,  234  et  235. 
V.  1024.  11  est  fait  écolâtre  de  FÉglise  de  Liège;  il  se 
retire  eu  Allemagne  et  passe  de  là  dans  la 
Lombardie  où  il  est  fait  évéque  de  Bresce, 
V.  1061.  233.  Sa  mort;  lettre  qu'il  écrit  à  Bérenger 
v.  io«.  pour  lui  représenter  le  scandale  que  ses  er- 
reurs causaient  en  Allemagne  et  en  Italie, 
163  et  233.  Analyse  de  cette  lettre,  233,  236. 
Éditions  qu'on  a  faites  de  ce  qui  nous  en 
reste,  236.  Autres  éditions,  236  et  237.  Ré- 
ponse pleine  d'aigreur  que  lui  fait  Bérenger, 
168,  169,  173,  174,  237.  Quelle  était  en  par- 
ticulier l'erreur  sur  l'Eucharistie  dont  il  ac- 
cusait Bérenger,  163.  Autres  lettres  d'Adel- 
mann;  ses  rhythmes  alphabétiques;  éditions 
qu'on  en  a  faites,  237.  (On  ne  sait  comment  il 
n'est  pas  fait  mention  d'Adelmann  dans  la 
table  particulière  de  la  nouvelle  édition.  Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VU,  p.  342  et  suiv.) 

ADELME  ou  ALTHELME  (Saint),  abbé  de 
Malmesbury,  puis  évéque  de  Schirburn  ou 
Salisbury,  d'une  famille  noble,  est  élevé  dans 
l'abbaye  de  Saint-Augustin  de  Cantorbéry; 
se  fait  moine,  puis  est  élu  abbé  de  Malmes- 
7Q5_  bury;  il  devient  évéque  de  Schirburn  après 
la  moi't  de  saint  Heddi,  évéque  de  Worches- 
709_  ter;  sa  mort;  son  traité  contre  les  Bretons 
qui  célébraient  la  Pâque  suivant  l'ancien 
usage,  XI,  804.  Traité  à  la  louange  de  la  vir- 
ginité, 804  et  803.  Traité  des  huit  vices; 
énigmes  et  lettres  de  saint  Adelme;  ses  poé- 
sies en  langue  vulgaire,  803.  [Édition  des 
écrits  de  saint  Adelme  dans  la  Patrologie 
d'après  celle  du  docteur  Giles;  quatorze  nou- 
velles lettres  dont  deux  ne  sont  pas  de  lui; 
analyse  de  ces  lettres,  803  et  suiv.  Deux  Irai- 
tés;  œuvres  poétiques;  le  poème  sur  les  au- 
tels, faussement  attribué  à  Rhaban  Maur,  est 
de  saint  Adelme;  autres  pièces  de  poésie, 
807.]  Poème  qui  lui  avait  été  attribué,  628. 
—  Sa  Vie,  écrite  par  saint  Egwiu,  arche- 
vêque de  Cantorbéry,  XII,  1109.  Lettre  de  ce 
saint  évéque  à  Heddiou  Hedda,  794.  —  Sa 
Vie,  attribuée  à  saint  Osmond,  un  de  ses 
successeurs;  deux  autres  Vies  du  même, 
XllI,  524.  —  Sa  Vie,  écrite  par  Guillaume  de 
Malmesbury  ;  analyse  de  cette  Vie  ;  éditions 
qu'on  en  a  faites,  XIV,  314. 

ADELME  ou  ADÉMAR,  moine  qu'on  fait 
auteur  des  Annales  des  rois  de  Fi'ance,  qui 
sont  d'Eginhard,  XII,  337. 
309.  ADELPHIUS,  évéque d'Gnupbis  en  Egypte; 


lettre  que  lui  écrivit  saint  Athanase,  IV,  143, 
144. 

ADELPHIUS,  laïque,  un  des  chefs  des  Mes-     i 
saliens,  IV,  643.  Condamné  dans  un  concile 
d'Antioche,  646.  —  Saint  Nil  et  Théodoret 
parlent  de  lui,  VIII,  210,  211  ;  X,  47. 

ADELPHIUS,  évéque  d'Egypte,  est  banni 
pour  la  foi  ;  est  surpris  par  Apollinaire , 
V,  87. 

ADELPHIUS,  jeune  homme  à  qui  saint     ivsi 
Grégoire  de  Nazianze  écrit,  V,  264,  263. 

ADELPHIUS,  scholastique  à  qui  saint  Gré- 
goire de  Nysse  écrivit,  VI,  221 . 
.     ADELPHIUS,  que  l'on  disait  avoir  été  con- 
damné à  Ephèse,  XI,  303. 

ADELPHIUS,  évéque  de  Tolède,  XI, 
907. 

ADELSTAN  ou  ETHELSTAN,  roi  d'Angle- 
terre, fait  traduire  l'Écriture  sainte  en  langue 
saxonne,  XII,  794.  Lettres  que  lui  écrit  Rat- 
bod,  prévôt  de  l'ÉgUse  de  Dolen  Bretagne, en 
lui  envoyant  des  reliques,  793,  794.  —  Ses 
lois  pour  la  police  ecclésiastique  et  civile, 
XIU,  743. 

ADÉMAR  ou  AIMAR  de  Chabanais,  moine 
de  saint  Cibard  d'Angoulême.  Ce  qu'on  sait  '^^  ^' 
des  circonstances  de  sa  vie,  XIII,  102.  Sa 
Chronique,  102  et  103.  [Edition  de  cette  Chro- 
nique par  Pertz,  102.  Style  d'Adémar,  103.] 
Sa  notice  des  abbés  de  Saint-Martial  de  Li- 
moges, 103.  Lettre  sur  l'apostolat  de  saint 
Martial;  à  quelle  occasion  elle  fut  composée, 
103  et  104.  Analyse  de  cette  lettre,  104, 105. 
Discours  que  lui  attribue  Baluze  ;  autres  écrits 
qn'on  lui  attribue,  103.  [Ecrits  d'Adhémar 
dans  la.  Patrologie,  102, 103, 104, 103.]  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VII,  p.  300  et  suiv.,  et  à  la  tête  du 
t.  XII,  p.  xxij.) 

ADÉMAR,  évéque  du  Puy.  Voyez  Ad- 
hémar. 

ADÉMAR,  évéque  de  Poitiers.  DiflEicultés 
sur  son  élection,  qui  est  enfin  confirmée  par 
le  pape  Innocent  111,  XIV,  933. 
ADÉODAT,  fils  de  saint  Augustin,  LX, 2. 
ADÉODAT  ou  DIEUDONNÉ,  pape.   Son        g, 
pontificat,  XI,  783.  [Lettres  et  privilèges  de 
ce  pape  dans  la  Patrologie,  783,  n.  3.] 

ADEODAT,  évéque  de  Toul,  assiste  à  un 
concile  de  Rome,  XII,  943. 

ADÉODAT,  à  qui  Fulbert  de  Chartres  écrit 
une  lettre  sur  la  trinité,  le  baptême  et  l'eu- 
charistie, XUI,  79,  80. 

ADÉODAT,  auteur  d'une  légende  fabuleuse    yusi 
de  saint  Taurin  d'Évreux.  (Voyez  ce  qui  eu 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


21 


est  dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  III,  p.  332,  et  t.  V,  p.  99  et  suiv.) 

ADHÉMAR  ou  AYMAR  DU  MONTEIL, 
évêque  du  Puy.  On  lui  attribue  l'antienne 
Salve  Regina,  XIII,  184.  11  fut  légat  du  pape 
Urbain  II  à  la  croisade;  sa  mort^  328.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VIII,  p.  468  et  suiv.) 

ADIABÈNE  ou  HADIABÈNE ,  province 
d'Assyrie.  Actes  des  martyrs  de  l'Adiabène, 
rapportés  par  Assémani,  IH,  332. 

ADILBERT,  prieur  de  l'abbaye  de  Saint- 
Udalric  d'Augsbourg,  écrit  la  vie  et  les  mi- 
racles de  saint  Sirapert,  XII,  219, 

ADIMANTE ,  manichéen.  Livre  de  saint 
Augustin  contre  cet  hérétique,  IX,  337,  338. 

ADJUTEUR  (Saint),  moine  de  Tiron.  Sa  Vie, 
écrite  par  Hugues,  archevêque  de  Rouen, 
XIV,  608. 

ADMONT,  monastère  de  Bavière,  fondé 
par  Gébehard,  archevêque  de  Saltzbourg, 
sous  le  nom  de  la  sainte  Vierge  et  de  saint 
Biaise,  XIII,  399. 

ADOLE,  solitaire.  Ce  qu'on  en  dit  dans 
l'Histoire  Lausiaque  de  Pallade,  VII,  489. 

ADON,  archevêque  de  Lyon.  Sa  mort, 
Xll,  251. 

ADON  (Saint),  archevêque  de  Vienne.  Son 
éducation;  ses  voyages;  il  succède  à  Ogil- 
mar;  le  pape  saint  Nicolas  I"  lui  accorde  le 
pallium  et  lui  donne  plusieurs  marques  de  son 
estime,  Xll,  619.  Il  prend  la  défense  des  dé- 
crets de  ce  pape;  il  sollicite  Lothaire  de  ces- 
ser ses  poursuites  avec  Thietberge  ;  il  fait  or. 
donner  Bernaire  évêque  de  Grenoble;  son 
zèle  pour  la  discipline;  sa  mort,  620.  Ses 
écrits  ;  son  Martyrologe,  ,620,  621 .  Editions 
qu'on  en  a  faites,  621.  [Écrits  d'Adon  dans  la 
Patrologie,  622.]  Chronique  d'Adon,  691.  Les 
Actes  de  saint  Didier  de  Vienne,  martyr, 
retouchés  par  lui;  Vie  de  saint  Theudie;  au- 
tres écrits  d'Adon,  622.  —  Sa  Chronique,  im- 
primée avec  l'Histoire  de  France  de  saint 
Grégoire  de  Tours,  XI,  398.  —  Lettre  qu'il 
écrit  au  pape  saint  Nicolas  I"  sur  le  divorce  de 
Thietberge  avec  Lothaire;  réponse  du  pape, 
XII,  576.  Sa  lettre  à  Adrien  II;  réponse 
d'Adrien,  587.  Lettre  que  lui  écrit  Anastase 
le  Bibliothécaire,  715.  (Voyez son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  461  et 
suiv.,  et  le  supplément  ajouté  à  la  tête  du 
t.  X,  p.  xlviij,  et  du  t.  XI,  p.  xxj.  Il  a  paru 
une  nouvelle  édition  du  Martyrologe  d'Adon 
à  Rome  en  1743.) 

ADOPTIF.  Félix  d'Urgel  et  Elipand  de  To- 


lède enseignent  que  Jésus-Christ  est  fils  adop- 
tif;  ils  sont  réfutés  par  saint  Paulin,  patriar- 
che d'Aquilée,  XII,  157, 158  ;  par  Alcuin  dans 
ses  livres  contre  Félix  d'Urgel,  168  et  suiv., 
et  dans  sa  lettre  à  Elipand,  182. 

ADOPTION  par  la  réception  des  cheveux, 
XI,  783. 

ADORATION.  L'adoration  due  à  Dieu  n'est 
légitime  que  dans  l'Eglise  de  Jésus-Christ, 
IV,  530.  —  Doctrine  de  saint  Augustin  sur 
l'adoration,  IX,  61,  64,  69.  —  Traité  de  saint 
Cyrille  d'Alexandrie  sur  l'adoration  en  esprit 
et  en  vérité,  VIII,  263  et  suiv.  Doctrine  de 
saint  Cyrille  d'Alexandrie  sur  l'adoration  due 
à  Jésus-Christ,  329, 330.  —Les  différents  sens 
dans  lesquels  se  prend  le  terme  d'adoration, 
expliqués  par  Anastase ,  patriarche  d'An- 
tioche,  XI,  360.  Adoration  de  l'empereur  et 
du  pape  prise  pour  un  simple  hommage  de 
respect,  731.  —  Le  terme  d'adoration  est  ex- 
pliqué dans  les  lettres  du  second  concile  de 
Nicée  à  l'empereur  et  à  l'impératrice  Irène, 
XIII,  628.  Homélie  de  Théophylacte  d'Acride 
sur  l'adoration  de  la  croix  au  milieu  du  ca- 
rême, 556.  —  Discours  de  Zonare  sur  l'ado- 
ration de  la  croix,  XIV,  158. 

ADREVALD,  moine  de  Fleury.  Ce  qu'on 
sait  de  sa  personne  ;  Sigebert  et  Trithème  lui 
donnent  le  surnom  d'Adalberl,  mais  ce  sont 
deux  auteurs  différents  ;  raisons  qui  le  prou- 
vent; sa  mort,  XII,  629.  Ses  écrits;  Histoire  877 ou 878. 
des  miracles  de  saint  Benoit,  629  et  630.  Ré- 
futation des  inepties  de  Jean  Scot  sur  l'Eu- 
charistie, 607  et  630.  Vie  de  saint  Aygulphe  ; 
autres  écrits  d'Adrevald  ;  opinion  singulière 
de  cet  auteur  touchant  les  supplices  des 
damnés,  630.  (Voyez  son  article  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  315  et 
suiv.) 

ADRIEN,  empereur,  profane  les  lieux 
saints,  VIII,  71 . 

ADRIEN  (  Saint  ) ,  martyr  de  Palestine  , 

m,  9. 

ADRIEN,  évêque  de  Thèbes,  persécuté  par 
Jean,  évêque  de  Larisse,a  recours  à  l'empe- 
reur Maurice  et  au  pape  saint  Grégoire;  let- 
tres de  ce  pape  sur  ce  sujet,  XI,  490. 

ADRIEN ,    auteur    d'une    Introduction   à       v.  533. 
l'Écriture  sainte  ;  temps  oii  il  florissait  selon 
Ussérius;  jugement  que  porte  Photiusdeson 
ouvrage;  éditions  qu'on  en  a  faites,  XI,  95. 
[Édition  dans  la  Patrologie,  93.] 

ADRIEN,  notaire  de  Palerme,  commis  par 
le  pape  saint  Grégoire  pour  faire  droit  aux 
plaintes  d'Agathosa,  XI,  522. 


309. 


692. 


600. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


772. 


774. 


785. 
790. 
794. 

781. 


795. 


867. 


ADRIEN,  abbé  de  Saint-Pierre  de  Cantor- 
béry,  refuse  l'archevêché  de  Cantorbéry  que 
le  pape  Vitalien  voulait  lui  donner,  il  accom- 
pagne en  Angleterre  Théodore  qu'il  avait 
désigné  à  sa  place,  l'aide  dans  son  ministère 
et  est  fait  abbé  de  Saint-Pierre,  XI,  776. 

ADRIEN,  abbé  de  Saint  Augustin  de  Can- 
torbéry; sa  Vie  écrite  par  le  moine  Gosce- 
lin,  XIII,  531,  et  XIV,  233.  —  Histoire  de  la 
translation  de  son  corps  par  le  même,  XIV, 
233. 

ADRIEN  I",  pape.  Ses  commencements; il 
succède  an  pape  Etienne  III;  ses  démêlés 
avec  Didier,  roi  des  Lombards  ;  il  demande 
des  secours  au  roi  Charles,  XH,  134.  Il  dé- 
to  urne  Didier  d'entrer  sur  les  terres  d  e  Rome  ; 
distinction  avec  laquelle  il  reçoit  le  roi  Char- 
lemagne  qui  venait  à  Rome,  134  et  I3S.  Il  lui 
fait  présent  du  code  des  canons  de  l'Église  ro- 
maine ;  l'impératrice  Irène  l'invite  à  venir  au 
concile  général  indiqué  pour  confirmer  l'an- 
cienne tradition  de  l'Église  sur  les  images ,  135 . 
Lettre  d'Adrien  à  l'empereur  et  au  patriar- 
che, 135  et  136.  Ses  légats  président  au  second 
concile  de  Nicée  ;  sa  lettre  aux  évêques  d'Es- 
pagne au  sujet  des  erreurs  d'Elipand  de  To- 
lède et  de  Félix  d'Urgel;  il  envoie  des  légats 
au  concile  de  Francfort,  136.  Charlemagne 
lui  envoie  les  livres  Carolins  avec  sa  confes- 
sion de  foi  sur  les  images,  136  et  137.  Adrien 
les  réfute  article  par  article,  137, 138.  Il  bap- 
tise Carloman  dont  il  change  le  nom  en  celuj 
de  Pépin,  le  sacre  roi  d'Italie,  et  sacre  roi 
d'Aquitaine  son  frère  Louis,  139.  Différentes 
lettres  qu'il  écrit  à  Charlemagne,  138,  139- 
Il  confirme  aux  monastères  de  Saint-Denis  et 
de  Saint-Martin  de  Tours  le  privilège  d'avoir 
des  évêques  particuliers,  139,  140.  Lettres  à 
Charlemagne  sur  les  affaires  d'Italie  ;  sa  lettre 
à  Tilpin,  archevêque  de  Reims  à  qui  il  oon. 
firme  les  anciens  droits  et  privilèges  de  celte 
Eglise;  cette  lettre  paraît  supposée;  autres 
lettres  du  pape  Adrien  dont  Gretser  a  donné 
les  sommaires,  140.  [Ses  lettres  dans  la 
Patrologie;  son  style,  141.]  Sa  mort,  140. 
Attachement  du  roi  Charlemagne  pour  ce 
pape;  il  compose  son  épitaphe,  141  et  248. 
Autre  éloge  que  le  même  écrivit  à  la  tête  du 
psautier  dont  il  lui  fit  présent,  248.  Inscrip- 
tion pour  être  mise  sur  son  tombeau,  compo- 
sée par  Théodulfe,  évêque  d'Orléans,  269. 
Lettre  que  Taraise ,  patriarche  de  Constan- 
tinople,  lui  écrit,  153.  Lettre  que  lui  écrit 
Alcuin,  194. 

ADRIEN  II,  pape,  succède  à  saint  Nico- 


las Y'\  soupçonné  d'être  opposé  au  pape  son 
prédécesseur,  il  s'en  justifie,  XII,  587.  Ses  let- 
tres sur  ce  sujet  aux  évêques  de  France  ;  lettres 
au  roi  Lothaire,  587  et  588.  Lettres  à  Louis 
de  Germanie,  388.  Lettre  au  sujet  d'Achard, 
évêque  de  Nantes,  388  et  589.  A  l'empereur 
Basile  et  au  patriarche  Ignace,  589, 590.  Au  roi 
Charles  et  à  Hincmar  de  Reims,  touchant  les 
étatsdeLothaire,590.Réponsed'Hincmar,679, 
680.  Lettres  en  faveur  de  Carloman,  590,  591. 
Aux  évêques  de  France  et  au  roi  Charles,  391 , 
592.  Au  sujet  d'Athanase,  évêque  de  Naples; 
à  l'empereur  Basile  ;  mort  du  pape  Adrien, 
392.  [Ses  lettres  dans  la  Patrologie,  592.  Ca- 
lomnie contre  Adrien  repoussée,  588,  n.  3. 
On  le  justifie,  590,  n.  2,  Jugement  sur  le 
pape  Adrien  II,  592,  n.  1.  Lettre  que  lui 
écrit  l'empereur  Lothaire,  575,  n.  1.]  Lettre 
que  lui  écrit  Hincmar  de  Reims,  679,  680.  — 
Sa  Vie,  écrite  par  Guillaume,  le  bibliothécaire 
de  l'Église  romaine,  XIII,  344.  Concile  des 
évêques  de  Gaule  et  de  Bourgogne  pour  ré- 
pondre à  deux  lettres  du  pape  Adrien  II,  701, 
Huitième  concile  général,  quatrième  de  Cons- 
tantinople,  auquel  il  préside  par  ses  légats. 
702  et  suiv.  Ses  lettres  pour  la  réunion,  702_ 

ADRIEN  III,  pape,  succède  à  Marin  I",  et 
ne  siège  que  quinze  mois  et  dix-neuf  jours; 
il  refuse  de  reconnaître  Photius  comme  pa- 
triarche deConstantinople  ;  lettre  pleine  d'in- 
jures que  l'empereur  Basile  lui  écrit  ù,  ce  sujet, 
XII,  651.  Lettre  que  lui  écrit  Foulques,  ar- 
chevêque de  Reims,  706.  [Ses  lettres  dans  la 
Patrologie,  651,  n.  8.] 

ADRIEN  IV  (Nicolas  Brec-Spese),  pape  ;  ses 
commencements,  XIV,  912.  Anglais  de  nais- 
sance, il  passe  en  France  et  s'arrête  à  Arles 
pour  ses  études;  prend  l'habit  de  chanoine 
régulier  à  Sainl-Ruf^  près  Avignon,  dont  en- 
suite il  devient  abbé;  ses  religieux  l'accusent 
auprès  du  pape  Eugène  III  qui,  connaissant 
son  mérite,  le  fait  évêque  d'Albane  et  cardi- 
nal; sa  légation  en  Norwége  où  il  fait  des 
conversions  ;  il  est  fait  pape  après  la  mort 
d'Anastase  IV;  son  éloge;  il  ordonne  q-u'on 
chasse  de  Rome  Arnaud  de  Brescia  ;  il  cou- 
ronne empereur  Frédéric  Barberousse; 
brouilleries  avec  Guillaume,  roi  de  Sicile;  la 
paisse  fait  ensuite  entre  ce  pape  et  ce  prince; 
bulle  qui  en  contient  les  conditions,  912. 
Différend  entre  le  pape  et  l'empereur;  à 
quelle  occasion;  comment  il  s'arrange,  912 
et  913.  Autre  différend  au  sujet  de  ce  que 
l'empereur  s'était  fait  rendre  l'hommage  par 
les    évêques    de   Lombardie ,    913.     Mort 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


23 


m. 


iècle. 


d'Adrien  IV;  ses  lettres,  914  et  suiv.  [Ses 
écrits  dans  la  Patrologie,  914,  n.  2  et917, 91 8.] 
Autres  écrits  de  ce  pape,  918. 

ADRIEN  DE  SEPT-FONTS.  Nom  sous  lequel 
dom  Bernard  a  donné  une  dissertation  en  fa- 
veur des  ouvrages  de  saint  Denis  TAréopa- 
gite,  X,  S43,  344. 

ADRUMET,  ville  d'Afrique  dans  la  Byza- 
cène.  Concile  général  d'Afrique  qui  y  fut 
tenu,  Vn,  716.  —  Zèle  de  saint  Augustin 
pour  rétablir  la  paix  dans  le  monastère  de 
cette  ville,  IX,  21.  Dispute  sur  la  grâce  entre 
les  moines  d'Adrumet,  313.  Livres  que  saint 
Augustin  leur  adresse  à  cette  occasion,  313 
et  suiv. 

ADSON,  abbé  de  Saint-Basle,  fait  écrire  la 
Vie  de  ce  saint  par  Adson,  abbé  de  Montier- 
en-Der,  Xll,  887.  Son  épitaphe  fut  faite  par 
le  même  abbé,  888. 

ADSON,  abbé  de  Montier-en-Der,  est  élevé 
à  l'abbaye  deLaxeuil;  saint  Gauzelin,  évêque 
de  Toul,  le  charge  du  soin  de  son  école  épis- 
copale;  devenu  abbé  de  Montier-en-Der, 
après  la  mort  d'Albéric,  il  rétablit  le  bon 
ordre  dans  cette  abbaye;  on  le  charge  de  ré- 
former l'abbaye  de  Saint-Bénigne  de  Dijon, 
XII,  884,  Son  voyage  en  Italie ,  il  entreprend 
avec  le  comte  d'Arcy,  qu'il  avait  converti,  le 
pèlerinage  de  Jérusalem,  et  meurt  en  che- 
min; son  corps  inhumé  dans  l'île  de  Stam 
palia,  883.  Ses  écrits  :  Traité  de  l'Antéchrist, 
883,  886.  Vie  de  saint  Frodobert,  886.  Vie  de 
saint  Mansui,  886  et  887.  Vie  de  saint  Basle, 
887.  Vie  de  saint  Walbert,  887  et  888.  Vie  de 
saint  Bercliaire  ;  ses  poésies,  888.  [Ses  écrits 
dans  la  Patrologie,  888.]  —  Il  est  auteur  d'un 
traité  de  l'Antéchrist  attribué  à  saint  Augus- 
tin, IX,  288.  —  A  Alcuin,  Xll,  186,  187,  et  à 
Raban-Maur,  473.  —  La  Vie  de  saint  Man- 
sui se  trouve  dans  les  Anecdotes  dedomMar- 
tène,  XIII,  193.  (Voyez  l'article  d'Adson 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VI^ 
p.  471  et  suiv.,  et  l'addition  qui  est  à  la  tête 
du  t.  X,  p.  Ixj.) 

ADSON,  abbé  de  Luxeuil.  On  le  fait  auteur 
de  la  Vie  de  saint  Walbert,  mais  elle  est  d'Ad- 
son, moine  de  Montier-en-Der,  XH,  887. 

ADULATEURS.  Canon  56  du  quatrième 
concile  de  Carthage,  VII,  731. 

ADULTERE.  Quarante  -  huitième  canon 
apostolique,  II,  384.  Canon  7,  8  et  9  du  con- 
cile d'Elvire,  603,  606.  Canon  19  du  même 
concile,  607. Canon  30 du  même  concile,  608. 
Canon  47,  610.  Canons  63,  64  et  63,  612,  613. 
Canons  68,  69  et  70;  canon  72,  613.  Canon 


78,  614.  Canon  19  du  concile  d'Ancyre,  639. 
Canons  1  et  8  du  concile  de  Néocésarée,  640. 

—  Doctrine  de  saint  Hilaire  sur  l'adultère, 
IV,  26.  Canon  7  dans  la  première  épître  ca- 
nonique de  saint  Basile-le-Grand,  468.  Canon 
31  dans  la  seconde  épître  canonique  du 
même,  467.  Canon  34,467  et468.  Canons  36 
et  37;  canon  39,  468.  Canon  58  dans  la  troi- 
sième épître  canonique,  473.  —  Sentiments 
de  l'Abrosiaster  sur  l'adultère,  V,  311.  —  Ca- 
non 4  dans  l'épître  canonique  de  saint  Gré- 
goire de  Nysse,  VI,  157.  Loi  de  l'empereur 
Constant  contre  les  adultères,  339.  —  Re- 
marques de  saint  Jean  Chrysostôme  sur 
l'adultère,  VU,  108.  Canon  2,  attribué  à 
Théophde  d'Alexandrie^  443.  Canon  12  dans 
la  lettre  du  pape  saint  Innocent  à  saint  Vic- 
trice  de  Rouen,  508.  Canon  4  dans  la  lettre 
du  même  pape  à  saint  Exupère  de  Toulouse, 
311.  Histoire  d'une  femme  de  Verceil  accu- 
sée faussement  d'adultère,  384.  —  Deux  li- 
vres des  mariages  adultérins,  ouvrage  de 
saint  Augustin,  IX,  272  et  suiv.  Partage  de 
sentiments  dans  l'Afrique  sur  l'absolution  des 
adultères,  779,  780. — Les  Goths  se  croyaient 
permis  de  tuer  l'adultère  surpris  avec  une 
femme,  XI,  213.  —  Réponse  de  Raban  sur 
le  cas  d'adultère  entre  parents  XII,  465.  Ju- 
gement de  Chrodobert,  évêque  de  Tours,  sur 
une  femme  adultère,  762.  Canon  du  concile 
de  Berghamstède  contre  les  adultères,  967. 

—  Décret  du  patriarche  Michel  Cérularius 
sur  un  prêtre  dont  la  femme  était  adultère, 
XllI,  223.  Deux  personnes  coupables  d'adul- 
tère excommuniées  par  Lanfranc,  433.  — Les 
Suédois  punissent  de  mort  l'adultère,  XIV, 
203.  Poëme  de  Philippe  de  Bonne-Espérance 
sur  une  femme  faussement  accusée  d'adul- 
tère, 687. 

ADVENTIUS,  évêque  de  Metz,  autorise  le 
divorce  de  Lothaire  avec  Thietberge  ;  Charles- 
le-Chauve  écrit  au  pape  en  sa  faveur;  sa  lettre 
au  pape  en  faveur  de  Lothaire,  Xll,  577.  Dif- 
férents conciles  auxquels  il  assista;  son  dis- 
cours à  la  cérémonie  du  couronnement  de 
Charles  comme  duc  de  Lorraine;  son  dis- 
cours au  concile  de  Douzi,  609.  Ses  écrits 
sur  la  validité  du  mariage  de  Valdrade 
avec  Lothaire,  609  et  610.  Sa  mort  ;  son 
épitaphe  composée  par  lui-même,  610.  [Ses 
écrits  dans  la  Patrologie,  610.]  Variété 
de  sentiments  sur  l'année  de  sa  mort,  610. 
Lettre  que  lui  écrit  Hincmar  de  Reims  sur  les 
cérémonies  de  l'ordination  d'un  évêque,  680, 
706.    (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  lit- 


IV  ou 
V  siècle. 


405. 


'VII  siècle. 


X(  siècle. 


855. 
866. 


875. 


24 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


téraire  de  la  France,  t.  V,  p.  429  et  suiv.) 
V .  420.  ADVERSAIRE .  Deux  livres  de  saint  Augus- 

tin contre  l'Adversaire  de  la  loi  et  des  pro- 
phètes, IX,  353  et  suiv. 

ADVERSITÉS.  Deux  traités  de  saint  Jean 
Chrysostôme  sur  ce  sujet,  VII,  123  et  suiv. 
Homélie  du  même  sur  le  même  sujet,  341. 
Doctrine  de  saint  Jérôme,  701,  702. 

ADZENAIRE,  abbé  de  Saint-Remy  de 
Reims.  Son  décret  par  lequel  il  ordonne  des 
aumônes,  XIII,  514,  515. 

^DLIBERT,  évêque.  Lettre  que  lui  écrit 
Alcuin,  XII,  194. 

.^DILHARD,  archevêque  de  Cantorbéry, 
Lettres  que  lui  écrit  Alcuin,  XII,  193  et 
195. 

iEDILLHILDE,  reine  de  Northumbre. Lettre 
que  lui  écrit  Alcuin,  XII,  194 
y  siècle.         jEGEATES  (Jean),  prêtre  nestorien.  Voyez 
Jean  yEgeates. 

FLAVIUS,  vicaire  d'Afrique.  Voyez  Abla- 
vius. 

.^LFRIÇ  (Saint),  archevêque  de  Cantor- 
béry. Voyez  Alfric  (Saint), 
vu  siècle.        ^LRAN,  prêtre  irlandais.  Voyez  Aileran. 
1166.  .^LRÈDE  ou  ETHELRÈDE,  abbé  de  Ried- 

val  ou  Reverbi.  Principaux  points  de  sa  vie  ; 
sa  mort,  XIV,  620.  [Ses  écrits  dans  la  Patro- 
logie;  pièces  qui  le  concernent,  p.  620,  n.  1 .] 
Ses  écrits  historiques,  620.  Sermons  sur  le 
prophète  Isaïe,  620  et  621.  Sermons  du 
temps  et  sur  les  saints,  621.  Le  Miroir  de  la 
charité,  621,  622.  Traité  de  l'Amitié  spiri- 
tuelle, 622.  Discours  sur  Jésus  âgé  de  douze 
ans,  622  et  623.  Histoire  d'Angleterre  com- 
posée par  JElrède  ;  ce  qui  reste  de  cette  his- 
toire ;  autres  écrits  qu'on  lui  attribue  ;  juge- 
ment sur  ses  écrits,  624.  —  Livre  de  la  vie 
érémitique  qui  lui  est  attribué,  IX,  65.  — On 
trouve  à  la  suite  de  saint  Bernard  les  onze 
sermons  d'^lrède  sur  Isaïe;  et  son  traité  sur 
Jésus  enfant  de  douze  ans,  XIV,  492. 
jENÉE,  évêque  de  Paris.  Voy.  Ènée. 
jENÉE,  philosophe  qui  immole  au  démon, 
VIII,  203. 
jEONIUS,  évêque  d'Arles.  Voyez  Eonius. 
IV  siècle.         AÉRIENS.  Ce  que  saint  Épiphane  dit  de 

cette  secte,  VI,  407,  408. 
IV  siècle.  AÉRIUS,  chef  des  Aériens.  Son  histoire  et 
ses  erreurs,  VI,  407, 408.  —  Ses  erreurs  com- 
battues par  saint  Augustin,  IX,  764  et  suiv., 
et  784.  [C'est  par  erreur  qu'on  a  imprimé 
Aélius  à  la  page  764  du  tome  IX.] 
IV  siècle.  AÉRIUS,  à  qui  saint  Grégoire  de  Nazianze 
écrit,  V,  260. 


^RIUS,  homme  de  lettres  à  qui  Théodoret 
écrit,  X,  66  et  68. 

STERNUM  et  SEMPITERNUM.  Lettre 
d'Alcuin  à  Charlemagne  sur  la  diflférence 
entre  les  mots  œternum  et  sempiternum,  XII, 
178. 

AÉTIENS,  hérétiques,  disciples  d'Aétius,     iVsieci 
réfutés  par  saint  Basile,  IV,  420. 

AÉTIUS,  prêtre  à  qui  saint  Basile  écrit,     iv  sieci 
IV,  481. 

AÉTIUS,  hérésiarque,  VI,  262.  Quel  il  était,  iv  sieci 
262  et  263.  Ses  écrits,  263.  Ce  que  saint  Gré- 
goire de  Nysse  dit  d'Aétius,  256.  Ses  erreurs 
exposées  et  réfutées  par  saint  Épiphane,  408, 
[par  saint  Éphrem,461  et  suiv.]  —  Il  est  con- 
vaincu de  blasphèmes  et  Constance  l'exile, 
IV,  572.  Il  est  confondu  juridiquement  par  les 
oflSciers  de  l'empereur,  573.  Il  est  condamné 
au  concile  de  Constantinople,  375.  Il  est  en- 
voyé en  exil  ;  il  y  fait  divers  écrits;  ses  let- 
tres, 576,  577.  Basile  d'Ancyre  entre  en  con- 
férence avec  Aétius,  qui  est  vaincu  dans  la 
dispute,  et  ensuite  banni  par  rempereur,32I. 
Voyez  Aétiens. 

AÉTIUS,  patrice  et  capitaine  romain,  ca- 
lomnie le  comte  Boniface,  IX,  18.  — Envoyé 
parl'empereur  conti'eThéodoric;  reçoit  avec 
honneur  saint  Orient,  VIII,  422.  Commande 
les  troupes  de  l'empire  dans  les  Gaules;  res- 
crit  qui  lui  est  adressé  contre  saint  Hilaire 
d'Arles,  437.  —  Son  différend  avec  Albin,  X, 
169.  Il  songe  plus  à  abandonner  l'Italie  qu'à 
la  défendre  ;  ses  gens  tuent  Valentinien  le 
Jeune,  175.  Rescrit  qui  lui  fut  adressé  parce 
prince  contre  saint  Hilaire  d'Arles,  204. 

AÉTIUS ,  archidiacre  de  Constantinople  , 
présente  une  requête  au  concile  de  Chalcé- 
doine;  pourquoi  Analolius  l'ôte  de  sa  place 
et  lui  en  substitue  un  autre,  X,  225.  Il  est  ré- 
tabli, 226  et  231.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape 
saint  Léon,  233.  Il  paraît  avec  éclat  au  con- 
cile de  Chalcédoine  où  il  fait  les  fonctions  de 
promoteur,  684  et  suiv. 

jEVUM.  Lettre  d'Alcuin  à  Charlemagne 
sur  les  mots  sœculum,  cevum  et  tempus,  XII, 
178. 

AFFAIRES  séculières.  Défense  aux  évê- 
ques,  prêtres  et  diacres  de  s'en  mêler,  sep- 
tième canon  apostolique,  II,  580.  Affaires  des 
églises,  trente-neuvième  canon  apostolique, 
584.  Affaires  publiques  et  séculières,  quatre- 
vingt-unième  canon  apostolique,  587.  —  Af- 
faires séculières  interdites  aux  clercs,  canons 
6,  8  et  9  du  premier  concile  de  Carthage,  III,  348  o.,!» 
500.  —  Canon  16  du  troisième  concile  de        39 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


25 


304. 


Carthage,  VII,  721.  Interdites  aux  évêques, 
canons  18,  19  et  20  du  quatrième  concile  de 
Carthage;,  729.  —  Affaires  des  pauvres,  règle- 
ment du  concile  général  de  Carthage,  VIII, 
538.  Affaires  de  l'Église,  règlementdu  concile 
général  de  Carthage,  S43.  Affaires  séculières, 
canon  16  du  sixième  concile  de  Carthage, 
565.  —  Affaires  temporelles,  canon  du  con- 
cile de  Chalcédoine  qui  défend  aux  clercs  et 
aux  moines  de  s'en  charger,  X,  696,  697. 

[AFFECTIONS  DÉPRAVÉES.  Qu'il  faut  ré- 
primer les  affections  dépravées  de  l'esprit; 
sermon  de  saint  Ephrem,  VI,  497.] 

AFFLICTIONS.  Poëme  de  saint  Grégoire 
de  Nazianze  sur  ses  afflictions,  V,  271.  Épi- 
grammes  du  même  sur  les  afflictions,  305. 
Parole  qu'il  attribue  à  saint  Pierre  sur  les 
afflictions,  355.  —  Homélie  de  saint  Jean 
Chrysostôme  sur  les  afflictions,  VII,  105. 
Doctrine  du  même  Père  sur  les  afflictions, 
59,  62,  63,  189. 

AFFLIGHEM.  Abbaye  à  quelques  lieues  de 
Bruxelles;  temps  de  sa  fondation,  XIV,  190. 
[Chronique  d'Afflighem,  346,  n.  6.] 

AFFRANCHIS.  Dispositions  du  concile 
d'Agde  qui  les  concernent,  X,  736.  —  Ce 
qu'ordonne  à  leur  égard  le  troisième  concile 
de  Tolède,  XI,  902.  Canon  du  cinquième  con- 
cile de  Paris  qui  détend  de  contraindre  les 
affranchis  de  l'Église  à  servir  le  public,  912. 
—  Loi  des  Ripuaires  touchant  les  droits  des 
affranchis,  XII,  227.  Canon  du  quatrième 
concile  de  Tolède  concernant  les  affranchis 
des  églises,  919.  Canon  du  sixième  concile 
de  Tolède,  920.  Canon  du  neuvième  concile 
de  Tolède,  934.  Affranchis  déclarés  par  le 
treizième  concile  de  Tolède  incapables  d'exer- 
cer aucune  charge  dans  le  palais  ou  dans  les 
terres  royales,  957. 

AFFRANCHISSEMENT.  Acte  d'affranchis- 
sement dressé  par  saint  Ennode,  évêque  de 
Pavie,  X,  576. 

AFRE  (Sainte),  martyre  à  Augsbourg  dans 
la  Souabe,III,  29,  30.  [Discours  sur  saint  Nar- 
cisse et  sainte  Afre  par  Oliva,  évêque  de 
Vich,  XllI,  122.] 

AFRICAIN  (Jules).  Voyez  Jules  Africain. 
AFRICAIN,  magistrat.  Saint  Grégoire  de 
Nazianze  lui  écrit,  V,  256. 

AFRIQUE.  Vingt  martyrs  d'Afrique,  III, 
94,  95.  —  Effets  de  la  persécution  de  Dioclé. 
tien  en  Afrique,  V,  142  et  suiv.  —  Lettre  de 
l'empereur  Constantin  aux  évêques  et  au 
peuple  d'Afrique,  III,  136.  —  Lettre  de  saint 
Athanase  aux  évêques  d'Afrique,  IV,   141, 


142.  —  Lettre  du  pape  saint  Sirice  aux  évê- 
ques de  cette  province,  VI,  103,  104. —  Pre- 
mière lettre  du  pape  saint  Zozime  à  Aurèle  de 
Carthage  et  aux  autres  évêques  d'Afrique  sur 
la  profession  de  foi  de  Célestius,  VII,  529, 
530.  Seconde  lettre  à  Aurèle  et  aux  autres 
évêques  d'Afrique  au  sujet  de  la  lettre  et  de 
la  profession  de  foi  de  Pelage,  530  et  suiv.  Let- 
tre des  évêques  d'Afrique  au  pape  Zozime  au 
sujet  de  Pelage  et  de  Célestius,  533.  Réponse 
du  pape  Zozime,  533,  534.  Lettre  de  Zozime 
à  tous  les  évêques  des  Gaules,  de  l'Espagne 
et  d'Afrique,  534,  535.  Lettre  du  pape  Zo- 
zime à  saint  Augustin  et  aux  évêques  d'Afri- 
que ;  lettre  des  évêques  d'Afrique  au  pape 
Zozime,  540.  — Lettre  d'Atticus  de  Constan- 
tinople  à  l'Église  d'Afrique,  VIII,  16.  —  Con- 
cile général  d'Afrique  tenu  à  Hippone,  VII, 
712  et  suiv.  Concile  général  tenu  à  Adrumet, 
716.  —  Lettre  du  pape  saint  Célestin  aux 
évêques  d'Afrique  et  des  évêques  d'Afrique 
à  saint  Célestin  touchant  l'affaire  d'Apia- 
rius,  VIII,  127.  [Observations  sur  la  lettre  des 
évêques  d'Afrique,  127,  n.  2  et  569,  n.  1.]  Dé- 
putation  des  évêques  d'Afrique  à  saint  Cyrille 
d'Alexandrie  au  sujet  de  la  célébration  du 
jour  de  Pâques,  258.  —  Lettre  du  pape  saint 
Félix  III  aux  évêques  d'Afrique,  X,  419.  Per- 
sécution des  Vandales  dans  l'Afrique,  décrite 
par  saint  Victor,  évêque  de  Vite,  et  non 
d'Utique,  449  et  suiv.  Notice  de  l'Afrique, 
attribuée  au  même  saint  Victor,  évêque  de 
Vite,  464  Lettre  du  pape  Symmaque  aux 
évêques  d'Afrique  en  Sardaigne,  527.  —  Saint 
Grégoire-le-Grand  prend  soin  des  églises  d'A- 
frique, XI,  434.  Lettre  de  saint  Martin,  pape, 
aux  évêques  d'Afrique,  749.  —  Conciles  te- 
nus en  Afrique  contre  les  Monolhélites;  let- 
tres synodales  des  évêques,  XII,  925,  926. 
Elles  sont  lues  au  concile  de  Latran,  927.  — 
Lettre  du  pape  saint  Léon  IX  aux  évêques 
d'Afrique,  XIII,  205,  206. 

AGANON,  chanoine  de  Châtillon-sur-Seine. 
Son  discours  en  l'honneur  de  saint  Vorleavec 
l'histoire  de  la  translation  des  reliques  et  des 
miracles  du  même  saint,  XIII,  77. 

AGANON,  évêque  d'Autun,  assiste  au  cou- 
ronnement du  roi  Philippe  I,  XIII,  491. 
[Lettre  qu'il  écrit  avec  les  évêques  de  la  pro- 
vince de  Lyon  à  Raoul,  archevêque  de  Tours, 
491 .]  Différents  conciles  auxquels  il  se  trouve, 
491 .  Il  en  tient  un  à  Autun  où  le  roi  Philippe, 
le  roi  Henri  et  l'anti-pape  Guibert  sont  ex- 
communiés; sa  conduite  à  l'égard  de  Régi- 
nard  son  frère  qui  vexait  ses  vassaux  ;  acte 


426. 


XI  siècle. 


1059. 


1094. 


26 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


de  l'accommodement  fait  à  ce  sujet;  autre 
acte  pour  la  fondation  de  l'église  de  Saint- 
Germain  et  de  Saint-Saturnin  à  Planèse,  491. 
1098.  Sa  mort,  491  et  XIV,  80.  —  Robert,  duc  de 
Bourgogne,  se  réconcilie  avec  lui,XIV,1064. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  VIII,  p.  461  et  suiv.) 

AGAPE  (Saint).  Il  y  en  a  trois  de  ce  nom. 
Voyez  Agapius. 
304.  AGAPE  (Sainte),  martyre  à  Thessalonique 

avec  sainte  Quionie  et  sainte  Irène,  III,  23  et 
suiv.  —  Comédie  de  Rosvithe,  religieuse  de 
Gandershein  sur  le  martyre  des  saintes  vier- 
ges Agape,  Quionie  et  Irène,  XII,  876. 
IV  siècle.  AGAPE,  dame  espagnole,  séduite  par  Marc 
de  Memphis,  communique  son  erreur  à  Pris- 
cillien,  IV,  613. 

AGAPES  ou  repas  de  charité  ;  Tertullien 
les  décrit.  II,  28.  Ce  qu'en  disent  les  Consti- 
tutions apostoliques,  599,  600.  —  Canons  27 
et  28  du  concile  de  Laodicée,  111,  511.  Canon 
11  du  concile  de  Gangres,  517.  —  Épigram- 
mes  de  saint  Grégoire  de  Nazianze  contre  les 
abus  qui  s'y  étaient  glissés,  V,  304.  —  Aga- 
pes au  tombeau  des  martyrs,  zèle  de  saint 
Augustin  contre  cette  pratique;  lettre  qu'il 
écrivit  sur  ce  sujet  à  Aurèle,  évêque  de 
Carthage,  IX,  12.  —  Agapes  interdites  par  le 
concile  Quinisexte,  XII,  963. 
404.  AGAPET,   à  qui  saint  Jean  Chrysostôme 

écrit  une  lettre,  VU,  135. 

AGAPET,  évêque  dans  la  Pouille.  Lettre 
du  pape  saint  Innocent  qui  lui  est  adressée, 
VII,  525. 

AGAPET,  disciple  de  saint  Marcien,  fon- 
dateur d'un  monastère  à  Apamée,  X,  52. 

535.  AGAPET  ou  AGAPIT  (Saint),  pape,  suc- 
cède à  Jean  II;  il  fait  brûler  les  formules 
d'anathème  contre  la  mémoire  de  Dioscore, 
XI,  118.  Lettre  que  lui  écrit  l'empereur  Jus- 
tinien;  réponse  qu'il  y  fait,  118  et  119.  Sa 
lettre  aux  évêques  d'Afrique  sur  la  manièi'e 
de  recevoir  les  évêques  ariens  qui  se  conver- 
tissaient, 119.  Ses  deux  lettres  à  saint  Cé- 
saire  d'Arles,  119  et  120.  Son  voyage  à  Cons- 
tantinople,  120.  Il  fait  chasser  le  patriarche 
Anthime,  eutychien,  et  établit  Mennas  à  sa 
place  ;  sa  lettre  sur  ce  sujet  à  Pierre,  évêque 

536.  de  Jérusalem,  120.  Il  meurt  à  Constantin ople 
et  son  corps  est  transporté  à  Rome,  121. 
[Éditions  de  ses  lettres,  121.]  La  lettre  à  An- 
thime qu'on  lui  attribueest  supposée,  121.  — 
Décrétale  qui  lui  est  faussement  attribuée, 
VI,  95.  —  Lettre  de  Réparât,  évêque  de  Car- 
thage, au  pape  Agapet;  réponse  du  pape. 


946. 


956. 


949. 


XI,  119.  Miracle  que  rapporte  de  lui  saint 
Grégoire-le-Grand,  475.  Son  éloge,  attribué 
au  pape  saint  Grégoire,  537. 

AGAPET  ou  AGAPIT  II,  pape,  succède  à 
Marin  II;  il  tient  plusieurs  conciles  au  sujet 
de  l'archevêché  de  Reims  disputé  par  Hugues 
et  par  Artaud  ;  il  règle  le  différend  entre  les 
Eglises  de  Lorch  et  de  Saltzboarg  ;  lettre  qu'il 
écrit  à  Gerhard  à  ce  sujet  ;  sa  lettre  à  Aymar, 
abbé  de  Cluny;  privilèges  qu'il  accorde  à 
cette  abbaye,  XII,  830.  Sa  mort,  831.  [Ses 
lettres  dans  la  Pa^ro^ïe;  lettres  nouvelles, 
830,831.]  —Concile  qu'il  tient  à  Rome,  XUI, 
750. 

AGAPET,  diacre  de  l'Église  de  Constanti-  vi  siècle, 
nople.  Ses  soixante-deux  avis  importants 
donnés  à  l'empereur  Justinien  ;  éditions  qu'on 
en  a  faites;  analyse  de  ces  avis;  [autres  édi- 
tions], XI,  266. 

AGAPET,  moine  du  monastère  de  Saint-        590. 
Georges  à  Orviète,   se   plaint  de  l'évêque 
d'Orviète,  XI,  481. 

AGAPÈTES.  On  donnait  ce  nom  à  des  vier- 
ges qui  habitaient  avec  des  ecclésiastiques  et 
des  solitaires  ;  épigrammes  de  saint  Grégoire 
de  Nazianze  sur  les  abus  et  les  dangers  de 
cette  cohabitation,  V,  303.  Les  pères,  les 
conciles  et  les  empereurs  ont  condamné  ces 
abus,  303  et  304. 

AGAPIUS  (Saint),  évêque  d'Afrique,  mar-        259. 
tyr,  II,  391,  392. 

AGAPIUS   (Saint),   martyr  en  Palestine,        304. 
m,  6. 

AGAPIUS  (Saint),  martyr  en  Palestine,  III,        3o6, 
8.  Ses  actes  rapportés  par  Assémani,  352. 

AGAPIUS,  évêque  de  Césarée  enPalestine,     ivsiècie. 
prédécesseur  d'Eusèbe.  Témoignage  qu'Eu- 
sèbe  lui  rend,  III,  169.  Sa  mort,  170. 

AGAPIUS,  évêque  prétendant  au  siège  de 
Bostre,  métropole  de  l'Arabie,  VII,  717. 

AGAPIUS,  évêque  de  Digne,   déposé  au        eso. 
concile  de  Châlons-sur-Saône,  XII,  932. 

AGARÉISIENS ,   barbares  qui    prirent  la  : 

ville  cie  Thessalonique,  XII,  798. 

[AGARINUS,  qui  avait  écrit  pour  la  dé-     ix  siècle, 
fense  de  l'Alcoran,  est  réfuté,  XII,  103.] 

AGATHE  (Sainte),  vierge  en  Sicile.  Actes  250. 
de  son  martyre,  II,  121,  122.  [Panégyrique 
de  sainte  Agathe  par  saint  Adbelme,  122. 
Note  sur  les  Actes  de  sainte  Agathe,  122, 
u.  4.]  —  Translation  de  ses  rehques  ordon- 
nées par  saint  Grégoire-le-Grand,  XI,  485. 
Les  Ariens  s'emparent  de  l'église  de  Sainte- 
Agathe  ;  elle  est  ensuite  rendue  aux  catholi- 
ques, 496.  —  Discours  de  Méthodius  de  Cons- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


27 


tantinople  en  l'honneur  de  sainte  Agathe, 
XII,  424.  —  Collégiale  à  Crémone,  sous  le 
nom  de  Sainte-Agathe,  dotée  par  le  pape 
Urbain  II,  XIII,  420. 

AGATE  du  cabinet  du  roi,  représentant 
l'apothéose  de  Germanicus  ;  on  prétend  qu'elle 
a  été  apportée  de  Constantinople  par  le  car- 
dinal Humbert,  XUI,  249. 

[AGATHIAS,  poète  et  historien  grec;  ce 
qu'on  sait  de  sa  vie;  il  continue  l'Histoire  de 
Procope;  ses  épigrammes  ;  jugement  sur  cet 
écrivain,  XI,  692.] 

AGATfllUS,  moine  à  qui  saint  Nil  adresse 
un  de  ses  traités,  VllI,  209. 

AGATHON  confesse  la  foi  àThessalonique, 

m,  2-3. 

era.  AGATHON  (Saint),  pape,  succède  à  Dom- 

nus;  sa  réponse  à  la  lettre  que  l'empereur 
Constantin  avait  écrite  au  pape  Domnus;  il 
^''-  tient  un  concile  à  Rome,  XI,  783.  La  lettre 
adressée  à  Ethelrède,  roi  des  Merciens,  à 
Théodore,  archevêque  de  Cantorbéry,  et  aux 
alliés  d'Angleterre,  qu'on  a  donnée  sous  son 
nom,  est  une  pièce  supposée,  783  et  784.  Sa 
mort,  784,  [Ses  lettres  dans  la  Patrologie, 
682.  784. J  —  Conciles  qu'il  assemble  à  Rome  et 
auxquels  il  préside,  XII,  943,  944.  Sa  lettre 
aux  évêques  d'Orient  contre  les  Monothé- 
lites,  944.  Elle  est  lue  dans  le  sixième  con- 
cile général;  mort  de  ce  pape,  955. 

AGATHON,  homme  marié,  écrit  à  saint 
Grégoire-le-Grand,  XI,  506. 

:ii  siècle.  AGATHON,  diacre  et  garde-chartes  de  la 
grande  église  de  Constantinople,  écrit  les 
actes  du  sixième  concile  général  et  y  joint  la 
lettre  synodique  du  patriarche  Jean  au  pape 
Constantin,  XII,  36.  Poëme  eucharistique 
que  lui  adresse  André  de  Crète,  58. 
600.  AGATHOSA,  femme  qui  se  plaint  au  pape 

saint  Grégoire  de  ce  que  son  mari  s'était  fait 
moine  sans  son  consentement  ;  ce  qu'ordonne 
le  pape  à  ce  sujet,  XI,  523. 

I  siècle.  AGAUNE,  aujourd'hui  Saint-Maurice-en- 
Valais.  Lieu  du  martyre  de  la  légion  thé- 
béenne,  II,  473.  —  Le  monastère  fondé  en 
ce  lieu  sous  le  nom  de  Saint-Maurice  est  ré- 
tabli parSigismond,  roideBourgogne,  X,  554 
et  746.  Concile  que  ce  prince  y  assemble 
pour  régler  la  discipline  de  ce  monastère, 

\  746.  Donation  qu'il  fait  pour  fournir  à  ses 

besoins,  747.  —  Autre  concile  tenu  en  ce 

888.        lieu,  XIII,  731 .  —  [Lettre  du  pape  Eugène  II 

en  faveur  du  monastère  d'Agaune,  XII,  404.] 

506.  AGDE,  ville  du  Languedoc.  Concile  tenu 

en  celte  ville,  de  l'agrément  d'Alaric,  roi 


des  Visigoths  en  Espagne,  X,  736  et  suiv. 

AGE  de  l'homme.  Sentiment  de  saint  Au, 
gustin  sur  l'âge  des  premiers  hommes,  IX , 
313.  — ^^  Age  exigé  par  le  concile  d'Agde  pour 
l'ordination  des  diacres,  des  prêtres  et  des 
évêques,  et  pour  donner  le  voile  aux  reli- 
gieuses, X,  738,  739.  —  Age  prescrit  par  le 
troisième  concile  d'Orléans  pour  la  promo- 
tion aux  ordres  supérieurs,  XI,  856.  —  Age 
fixé  par  le  troisième  concile  de  Latran  pour 
être  promu  à  l'épiscopat  et  pour  les  dignités 
inférieures  et  bénéfices  à  charge  d'âmes, 
XIV,  1139.  Voyez  Ages. 

AGÉLIUS,  évêque  des  Novatiens  à  Cons- 
tantinople, IV,  639.  Il  ordonne  Sisinnius  et 
Marcien  pour  lui  succéder,  657. 

AGEN,  ville  d'Aquitaine.  Histoire  de  saint 
Phébade,  l'un  de  ses  évêques,  V,  372  et  suiv. 

AGERIG  (Saint),  évêque  de  Verdun.  Voyez 
Airic  (Saint). 

AGÉRUGHIE,  veuve.  Lettre  que  lui  écrivit 
saint  Jérôme,  VII,  638,  639. 

AGES  du  monde.  Comment  saint  Augustin 
les  distingue,  IX,  266.  —  Traité  du  sixième 
âge ,  ouvrage  où  saint  Julien  de  Tolède 
prouve  contre  les  Juifs  que  le  Messie  est  venu  ; 
comment  il  distingue  les  six  âges  du  monde, 
XI,  793,  794.  —  Chronique  ou  livre  des  six 
âges  du  monde,  ouvrage  du  vénérable  Bède, 
Xn,  4,  5.  Lettre  du  même  sur  le  sixième  âge, 
13.  —  Des  six  âges  du  monde;  la  Chronique 
d'Hermann  Contract  est  ainsi  intitulé,  XIII, 
182. 

AGGAR.  Saint  Léon  fait  informer  sur  son 
ordination,  X,  199. 

AGGÉE,  prophète.  Temps  auquel  il  a  com- 
mencé de  prophétiser;  analyse  de  ses  pro- 
phéties, I,  1 82.  Psaumes  qui  lui  sont  attribués, 
131.  — Sermon  de  saint  Augustin  sur  ce  pro- 
phète, IX,  236.  Voyez  l'article  des  Douze 
petits  prophètes. 

AGILAN,  l'un  des  ambassadeurs  du  roi 
d'Espagne  à  la  cour  de  France.  Sa  conférence 
sur  la  refigion  avec  saint  Grégoire  de  Tours  ; 
il  embrasse  la  religion  catholique,  XI,  366. 

AGILE  (Saint),  moine  de  Luxeuil,  est  fait    vti  «lècie. 
premier  abbé  de  Rebais  en  Brie,  XI,  756. 

AGILES  (Raimond  d'),  chanoine  du  Puy 
en  Velay.  Voyez  Raimond. 

AGILON  (comte),  dont  saint  Perpétue,  évê- 
que, fait  mention  dans  son  testament,  X,  439. 

AGILULFE,  roi  des  Lombards,  ravage 
l'exarchat,  à  l'occasion  de  l'infraction  de  la 
paix  faite  par  l'exarque  romain,  XI,  435.  Il 
reprend  Pérouse  et  assiège  Rome,  435  et  452, 


IV  ou 

V  siècle. 


V  siècle. 


572. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


28 

599.        n  consent  à  une  nouvelle  paix  qui  est  encore 
rompue,  438,  439  et  517.  Il  reçoit  saint  Co- 
V.  612.      lomban  avec  distinction,  615. 

AGINULFE,  moine  de  Montmajour,  avait 
laissé  quelques  écrits.  (Voyez  ce  qui  est  dit 
de  lui  dans  VHistoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VII,  p.  427.) 

AGIO  ou  AGIUS,  abbé  de  Vabres,  puis  ar- 
912.        clievéque  de  Narbonne,  succède  à  Arnuste; 
il  est  troublé  par  Gérald  et  maintenu  par  le 
pape  Jean  X  qui  lui  accorde  l'usage  du  pal- 
)26ou927.    lium,  XII,  792.  Sa  mort;   ses  écrits,   793. 
(Voyez  son  article  dans  VHistoire  littéraire  de 
la  France,  t.  VI,  p.  199  et  suiv.) 
AGIOGRAPHES.  Voyez  Hagiographes. 
X  siècle.         AGIUS  (et  non  Argius,  comme  on  l'a  im- 
primé), prêtre  et  moine  de  Corbie,  écrit  la 
Vie  d'Hatumode,  première  abbesse  de  Gan- 
dershein,  XII,  877.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  V,  p. 
448  et  suiv.) 
III  siècle.         AGLAÉ,  dame  romaine;  son  histoire,  II,  476. 
AGLAIDE,  païen,  veut  attenter  à  la  pureté 
de  sainte  Justine,  III,  97.  Sa  conversion,  98. 

AGNAN  (Saint),  évêque  d'Orléans.  Poëme 
du  roi  Robert  en  son  honneur,  XIII,  108.  — 
Dédicace  del'église  de  Saint-Agnan  d'Orléans, 
XIV,  1043. 

AGNEAU  PASCAL.  Témoignage  de  saint 
Basile  sur  la  manducation  de  l'agneau  pascal, 
IV,  498.  — Témoignage  de  saint  Éphrem,VI, 
53.  Explication  de  Raban  Maur  sur  ce  su- 
jet, 469. 

AGNEAU,  figure  de  Jésus-Christ.  Le  con- 
cile Quinisexte  défend  de  représenter  Jésus- 
Christ  sous  la  forme  d'un  agneau,  XII,  963. 

AGNEAU  béni  à  Pâques.  L'usage  s'en 
était  introduit  au  ix»  siècle  ;  Walafride  Stra- 
bon  en  parle,  XII,  413,  567.  —  Autre  vestige 
de  cet  usage,  XIll,  56. 

[AGNEAUX.  Sermon  de  saint  Augustin  sur 
cette  parole  de  Jésus-Christ  :  «  Je  vous  envoie 
comme  des  agneaux  au  milieu  des  loups ,  » 
IX,  841.] 
555.  AGNELLUS,  d'abord  diacre,  puis  arche- 

vêque de  Ravenne;  sa  mort;  sa  lettre  à  Ar- 
ménius  dans  laquelle  il  établit  contre  les 
Ariens  la  consubstantialité  du  Verbe,  XI. 349. 
[Éditions  de  cette  lettre,  349.] 
690.  AGNELLUS  (autrement dit  Agnel),  évêque 

de  Fondi.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  saint 
Grégoire,  XI,  480.  11  accepte  l'évêché  de  Ter. 
racine,  ce  qui  est  approuvé  du  pape  saint 
Grégoire,  491.  Autre  lettre  que  lui  écrit  le 
pape  saint  Grégoire,  511  et  380. 


AGNÈS  (Sainte),  vierge'et  martyre,  III,  40. 
[Voyez  la  note  4.]  Fausseté  de  ses  Actes  at- 
tribués à  saint  Ambroise,  350.  Analyse  de  ses 
vrais  Actes  publiés  par  Assémani,  350,  351. 
—  Le  pape  saint  Damase  fait  son  éloge,  V, 
22.  —  Hymne  du  poète  Prudence  en  son  hon- 
neur, VIII,  102.  —  Homéhe  de  saint  Maxime 
de  Turin  sur  cette  sainte,  X,  321.  [Elle  est 
douteuse,  326.]  — [Hymne  du  Vénérable  Bède 
pour  la  fête  de  sainte  Agnès,  XII,  4.]  Poëme 
de  saint  Rosvithe  de  Gandersheim  en  son 
honneur,  877.  —  Sa  Vie  fut  écrite  en  verset 
en  prose  par  .ambroise,  moine  de  Saint- 
Ouen,  XIV,  187.  (Voyez  dans  VHistoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  X,  p.  264.)  Poëme  du 
vénérable  Hildebert  sur  le  martyre  de  sainte 
Agnès,  222.  Son  martyre  en  vers  élégiaques 
par  Philippe  de  Bonne-Espérance,  687.  Ser- 
mon de  Guillaume  d'Auvergne  en  son  hon- 
neur, 1027. 

AGNÈS,  que  sainte  Radegonde  avait  faite 
abbesse  de  son  monastère  à  Poitiers,  est  bé- 
nie par  saint  Germain,  évêque  de  Paris,  XI, 
316.  Dispositions  du  testament  de  sainte  Ra- 
degonde à  son  égard;  mort  d'Agnès,  905. 

AGNÈS,  impératrice,  épouse  de  l'empereur 
Henri  III,  est  chargée  du  gouvernement  pen- 
dant la  minorité  de  son  tlls  Henri  IV,  XIII, 
240.  Elle  se  retire  à  Rome  et  se  met  sous  la 
conduite  de  saint  Pierre  Damien  ;  éloge  que 
Pierre  fait  de  cette  princesse,  321.  Recueil  de 
prières  et  de  méditations  composé  pour  elle 
par  Jean,  abbé  de  Fécamp,  328.  Autres  opus- 
cules de  piété  composés  pour  la  même  prin- 
cesse, 329.  Lettres  que  lui  écrit  saint  Pierre 
Damien,  306.  (Elle  avait  écrit  quelques  let- 
tres :  il  en  reste  une.  Voyez  ce  qui  est  dit  de 
cette  princesse  dans  VHistoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VR,  p.  153.) 

AGNÈS  de  Méranie,  reine  de  France.  Phi- 
lippe-Auguste l'éloigné  de  lui,  XIV,  962. 

AGNÈS,  veuve  d'Hélie,  comte  du  Mans,  et 
fille  de  Pierre,  duc  de  Poitiers,  se  consacre  à 
Dieu  dans  un  monastère,  XIV,  209. 

AGNOITES,  hérétiques  qui  attribuaient  à 
Jésus-Christ  l'ignorance  de  quelques  choses, 
XI,  592.  Leur  erreur  réfutée  dans  une  lettre 
de  saint  Grégoire,  439, 519.  Discours  de  saint 
Euloge  d'Alexandrie  contre  eux,  592. 

AGNUS  DEI.  Suivant  le  rite  ambrosien,on 
ne  le  dit  jamais  à  la  messe,  sinon  lorsqu'on 
la  dit  pour  des  morts,  XIII,  6. 

AGNUS  DEI,  pains  de  cire  bénits  par  le 
pape.  Leur  origine,  X,  576.  —  Amalaire  en 
parle,  Xll,  342. 


304  ou  305. 


XI  slicle. 


h99. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


29 


AGOBARD  ou  AGUEBAUD,  archevêque  de 
Lyon.  Incertitude  où  l'on  est  sur  le  lieu  et 

804.  l'année  de  sa  naissance  ;  il  est  ordonné  prêtre 
par  Leidrade,  qui  ensuite  le  fait  chorévêque 

813.  ou  vicaire  général;  il  devient  archevêque  de 
Lyon  après  la  retraite  de  Leidrade;  il  combat 

818.  l'hérésie  de  Félix  d'Urgel;  il  s'oppose  à  di- 
vers abus  ;  il  entre  dans  la  révolte  de  Lo- 
thaire  contre  Louis-le-Débonnaire,  XII,  363. 

840.  Il  rentre  dans  son  siège,  363,  366.  Sa  mort; 
ses  écrits  contre  Félix  d'Urgel;  contre  les  su- 
perstitions des  Juifs,  366.  Lettre  contre  les 
Juifs,  366  et  367.  Consultation  au  sujet  des 
Juifs,  367.  Lettre  à  Hilduin  et  à  Vala,  367  et 
368.  Lettre  à  Nébridius,  368.  Livre  contre  la 
loi  de  Gondebaud  touchant  les  combats  sin- 
guliers, 368  et  369.  Traité  des  privilèges  et 
des  droits  du  sacerdoce,  369.  Livre  sur  le 
tonnerre  et  la  grêle,  369  et  370.  Réponse 
~  d'Agobardauxreprochesquelui  faisait  l'abbé 
Fridugise,  370,  371.  Lettres  à  Barthélemi,  à 
Matfrède  et  au  clergé  de  Lyon,  371.  Traité 
des  images,  372.  Livre  de  la  dispensation  des 
biens  ecclésiastiques  ;  livres  des  sentences  di. 
vines  contre  les  épreuves  superstitieuses; 
traité  de  la  vérité  de  la  foi,  373.  Lettre  à 
l'empereur  Louis-le-Débonnaire,  373  et  374. 
Traité  de  la  comparaison  du  gouvernement 
ecclésiastique  avec  la  politique,  374.  Apolo- 
gie pour  les  enfants  de  Lous-le-Débonnaire, 
373.  Attestation  d'Agobard  sur  la  pénitence 
imposée  à  l'empereur,  376.  Traité  sur  l'espé- 
rance et  la  crainte,  376  et  377.  Traité  de  la 
divine  psalmodie^  377.  Traité  contre  les  qua- 
tre livres  d'Amalaire  sur  les  offices  divins, 
377  et  378.  Poésies  d'Agobard;  jugement 
sur  son  style;  éditions  qu'on  a  faites  de  ses 
écrits,  378.  [Ses  écrits  dans  la.  Patrologie,  318. 
Note  sur  sa  conduite  pohtique,  1109.]  Lei- 
drade l'avait  désigné  pour  son  successeur, 
251 .  Dispute  de  l'abbé  Fridugise  avec  Ago- 
bard,  333.  —  Agobard  est  cité  au  concile  de 
Crémieu,  XIII,  669.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  IV,  p.  567 
et  suiv.) 

AGONIE  de  Jésus-Christ.  Discours  sur  ce 
sujet  attribué  à  Théodoret,  X,  100. 

AGONOSTICON,  ouvrage  de  Rathérius, 
évêque  de  Vérone.  A  quelle  occasion  il  fut 
composé,  XII,  448.  Analyse  de  ce  traité,  448 
et  suiv. 

AGONYCLITES,  hérétiques  dont  parle  saint 
Jean  Damascène;,  XII,  69. 

314.  AGRÈGE,  évêque  de  Trêves,   assiste  au 

concile  d'Arles,  II,  629,  —  [Sa  Vie,  publiée 


506. 


527. 


Vil  siècle. 


624. 


418. 
V  siècle. 


par  Evervin,  XIII,  121,  n.  5.  Vie  de  ce  saint, 
composée  entre  1030  et  1070,  et  faussement 
attribuée  à  Lambert  de  Liège,  362.] 

AGRÈGE,  prêtre  dont  l'ordiDation  fut  con-     iv  siècle, 
traire  aux  canons,  VI,  102. 

AGRÈGE,  évêque  de  Sens.  Lettre  que  lui 
écrit  saint  Sidoine-Apollinaire,  X,  381  et 
391. 

AGRÈGE  ou  AGRICE,  évêque  d'Antibes, 
assiste  au  concile  d'Arles;  lettre  que  l'on 
croit  lui  être  adressée  par  Salvien,  X,  376. 
—  Il  est  suspendu  pour  un  an  au  concile  de 
Garpentras,  XI,  832. 

AGRESTE  ou  AGRESTIN,  d'abord  secré- 
taire du  roi  Théodoric,  puis  moine  à  Luxeuil, 
excite  du  trouble  dans  ce  monastère,  XI,  61 8. 
Ilpéritmisérablement,  620. — Il  calomniait  la 
règle  de  saint  Colomban  ;  elle  est  approuvée 
au  concile  de  Mâcon,  XII,  914. 

AGRICE,  évêque  d'Antibes.  Voyez  Agrèce. 

AGRICOLA,  préfet  des  Gaules,  VII,  340. 

AGRICOLA,  fils  d'un  évêque  pélagien,  ré- 
pand les  erreurs  de  Pelage  dans  la  Grande- 
Bretagne,  VUI,  143.  —  Il  est  condamné  dans 
le  concile  de  Saint-Alban,  X,  667. 

AGRICOLA,  beau-frère  de  saint  Sidoine- 
Apollinaire,  Lettre  que  saint  Sidoine  lui  écrit, 
X,  383.  Autre  lettre  du  même,  383. 

AGRICOLAUS  (  Aurélianus  ),  vicaire  des 
préfets  du  prétoire,  condamne  à  mort  saint 
Marcel,  centenier,  II,  483. 

AGRICOLAUS,  évêque  de  César ée  en  Pa- 
lestine, assiste  au  concile  d'Ancyre,  II,  633. 

AGRICOLE  (Saint),  martyr  à  Bologne  en 
Italie,  in,  41. 

AGRICULTURE.  Auteurs  qui  en  ont  traité 
indiqués  par  Cassiodore,  XI,  233.  —  Ouvra- 
ges faits  sur  l'agriculture  par  ordre  de  l'em- 
pereur Constantin  Porphyrogénèle,  XII,  813. 

AGRIPPA,  surnommé  Cassor,  défenseur  de     ii siècle, 
la  vérité  etde  la  religion.  Ce  qu'il  a  écrit  con- 
tre les  erreurs  de  Basilide,  I,  403,  404. 

AGRIPPA,  disciple  et  successeur  du  savant 
abbé  Eusèbe,  dont  parle  Théodoret,  X,  53. 

AGRIPPIN,  évêque  de  Garthage  au  com-  m  siècle, 
mencement  du  m'  siècle,  U,  261  et  343.  Il 
introduit  l'usage  de  rebaptiser  les  hérétiques  ; 
concile  qu'il  tient  à  ce  sujet,  545.  —  Il  sou- 
tient le  premier  qu'il  faut  rebaptiser,  VIII, 
458. 

AGRIPPIN,  comte  à  qui  saint  Euphrone 
d'Autun  adresse  une  lettre,  X,  358. 

AGRIPPIN,  évêque  d'Autun,  confère  le 
diaconat  et  la  prêtrise  à  saint  Germain,  de- 
puis évêque  de  Paris,  XI,  307, 


295. 


314. 


304. 


30 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


AGUEBAUD,  archevêque  de  Lyon.  Voyez 
Agobm^d. 

[AGUIRRE  (d'),  cardinal.  Son  édition  delà 
Chronique  de  Jean  de  Biclar,  XI,  426.] 

AGYLÉE  (Henri).  Sa  traduction  latine  du 
Nomocanon  de  Pholius,  XII,  723. 

AHIALON,  juge  d'Israël,  I,  SI. 
252.  AHYMNIUS,  évêque  de  Byzacène,  écrit  à 

saint  Cyprien,  II,  316. 

AICADRE  (Saint),   second  abbé  de  Ju- 
miège.  Sa  Vie,  retouchée  par  Fulbert,  moine 
de  Saint-Ouen,  XIII,  469. 
X  siècle.  ÂIGARD,  usurpateur  des  biens  de  l'église 

de  Valence,  excommunié  par  l'évêque  avec 
ses  complices,  Xll,  864. 

AIGE,  abbé  de  Castres.  (Il  écrit  l'histoire  de 
son  monastère.  Voyez  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VI,  p.  42.) 
VIII  siècle.  AIGRADE,  moine  de  Fontenelle,  auteur  de 
la  Vie  de  saint  Landebert,  archevêque  de 
Lyon,  et  de  celle  de  saint  Ansbert,  archevê- 
que de  Rouen,  XI,  8H  et  XII,  21.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  IV,  p.  33  et  suiv.) 

[AIGUILLON  de  l'amour,  ouvrage  d'Ecbert, 
XIV,  399.] 

AIGULFE  ou  AYGULPHE,  abbé  de  Saint- 
63g_        Denis,  fait  confirmer  par  le  roi  Dagobert  les 
immeubles  de  son  monastère,  XII,  921. 

AIGULFE  ou  AYGULPHE  ou  vulgairement 
AIOU  (Saint),  abbé  de  Lérins.  Sa  Vie,  écrite 
par  Adrevald,  moine  de  Fleury,  XII,  630.  — 
Monastère  fondé  à  Provins  sous  son  nom  par 
Thibaut,  comte  de  Champagne  ;  cette  fonda- 
tion est  confirmée  dans  un  concile  de  Sens 
qui  met  ce  monastère  sous  la  dépendance  de 
l'abbaye  de  Montier-la-Celle,  XIV,  1054. 
vu  siècle.  AILERAN  (Saint),  Irlandiùs,  Son  explica- 
tion mystique  et  morale  des  noms  de  ceux 
que  l'Evangile  compte  entre  les  ancêtres  de 
Jésus-Christ,  XI,  629,  630. 

AIMAR  de  Chabanais,  moine  de  Saint-Ci- 
bard.  Voyez  Ademar. 
H87.  [AIMERIC,  patriarche  d'Antioche.  Ce  qu'on 

sait  des  circonstances  de  sa  vie;  son  livre  de 
l'institution  des  moines  ;  ses  deux  lettres  au 
roi  Louis  le  Jeune  ;  sa  lettre  à  Hugues  Hété- 
rien,  XIV,  793.] 
™„  AIMOIN,  moine  deSaint-Germain-des-Prés 

à  Paris,  exerce  dans  cette  abbaye  les  emplois 
d'écolâtre  et  de  chancelier;  on  ignore  le 
temps  de  sa  mort,  XII,  700.  Son  histoire  de  la 
translation  de  saint  Vincent,  700  et  701 .  Il  la 
met  en  vers  ;  histoire  de  la  translation  des 
martyrs  de  Gordoue,  701 .  Livre  des  miracles 


de  saint  Germain,  évêque  de  Paris,  701,702. 
Histoire  de  Ja  translation  de  saint  Savin  qu'on 
lui  attribue  ;  on  lui  attribue  aussi  sans  fonde- 
ment l'histoire  de  l'invention  des  reliques  de 
saint  Placide  et  de  ses  compagnons,  702. 
[Édition  des  écrits  d'Aimoin  dans  la  Patrolo- 
gie,  701,  702.  Jugement  sur  son  style,  702.] 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  V,  p.  641  et  suiv.) 

AIMOIN,  moine  de  Fleury.  Ce  qu'on  sait 
des  circonstances  de  sa  vie  ;  il  accompagne 
Abbon  en  son  voyage  à  la  Réole  et  le  voit  mas- 
sacrer sous  ses  yeux  ;  temps  de  sa  mort;  son  looiouioi 
histoire  des  Français,  XIII,  40.  Éditions  de 
cette  histoire  ;  poëme  sur  la  translation  des 
reliques  de  saint  Benoît;  discours  en  l'hon- 
neur de  saint  Benoît,  41.  Histoire  des  mira- 
cles opérés  par  saint  Benoît  à  Fleury,  41  et 
42.  Vie  de  saint  Abbon;  Vie  des  abbés  de 
Fleury,  ouvrage  perdu  ainsi  qu'un  autre;  la 
Vie  de  saint  Abbon  est  de  lui,  149.  [Juge- 
ment sur  les  ouvrages  d'Aimoin;  leur  édition 
dans  la  Patrologie,  41,42.]  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VII, 
p.  216  et  suiv.  et  à  la  tête  du  t.  XI,  p.  xxvij.) 

AIMON,  évêque  d'Halberstat.  Voyez  Bai- 
mon. 

AIMON,  évêque  de  Valence,  n'est  connu 
dans  l'histoire  que  par  l'excommunication 
qu'il  prononça  contre  Aicard,  usurpateur  des 
biens  de  son  éghse,  XII,  864,  865.  Durée  de 
son  épiscopat,  865.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  943-976. 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VI 
p.  421.) 

AIMON,  abbé  deSaint-Pierre-sur-Dive.  Ce  v.  ilso 
qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie,  XIV, 
589.  On  a  de  lui  une  lettre  sur  une  confrérie 
singulière  relative  à  la  fondation  des  églises, 
589,  590.  [Éditions  des  fragments  qui  restent 
de  cette  lettre,  590.]  (Voyez  son  article  danS 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  XII,  p.  357 
et  suiv.) 

AINARD,  moine  de  Saint-Evre.  (On  a  de 
lui  un  lexicon.  Voyez  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  VI,  p.  58  ) 

AINARD,  abbé  de  Saint-Pierre-sur-Dive.     xi  siècle 
Son  épitaphe  par  Durand,  abbé  de  Troarn, 
XIII,  461.  (11  avait  laissé  quelques   écrits. 
Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  litté^ 
raire  de  la  France,  t.  VIII,  p.  43  et  suiv.) 

AIOU  (Saint),  abbé  de  Lérins.  Voyez  Ai- 
gulfe. 

AIRIC  (Saint),  évêque  de  Verdun,  exorcise 
une  femme  qui  avait  un  esprit  de  Pithon,XI, 
370.  Son  éloge  par  Fortunat,  403. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


31 


AIRY,  château  au  diocèse  d'Auxerre.  Con- 
cile tenu  en  ce  lieu,  XIV,  1039,  1040. 

AITHILAH  (Saint),  diacre,  martyren  Perse. 
Ses  actes  rapportés  par  Assémani,  III,  338, 
339. 

AITON,  évêque  de  Bâle.  Voyez  Hetton. 

AIX,  ville  épiscopale  de  Provence.  Sa  dé- 
pendance de  réglise  d'Arles,  X,  324,  S25. 

AIX-LA-CHAPELLE,  ville  d'Allemagne. 
Conciles  tenus  en  cette  ville,  XlII,  637,  640, 
642,  650,  654,  660,  667,  693.  —  XIV,  1040. 

AIZAN,  princed'Auxumeen  Éihiopie  à  qui 
Constance  écrit,  VI,  344. 

AJO,  moine  anglais.  Son  histoire  du  mo- 
nastère de  Croiland;  temps  de  sa  mort,  XII, 
843. 

ALAGUS ,  chanoine  de  la  cathédrale 
d'Auxerre,  aide  le  moine  Heiric  à  composer 
l'histoire  des  évêques  d'Auxerre,  XII,  641. 
(Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  V Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  V,  p.  541,  et  dans  l'ad- 
dition qui  est  à  la  tète  du  t.  X,  p.  v  etsuiv.) 

ALAIN  ou  ALANIS,  abbé  de  Farfe .  Ce  qu  'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie  ;  sa  mort  ;  son 
homiliaire,  XII,  14S.  [Voyez  un  autre  article, 
119.]  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'avertis- 
sement qui  est  à  la  tête  du  t.  V  de  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  p.  x  et  suiv.) 

ALAIN  FERGENT,  duc  de  Bretagne.  Sa 
mort,  XlII,  331. 

ALAIN,  moine  de  Clairvaux,  puis  abbé  de 
la  Rivoure  ou  Larivour,  est  fait  évêque 
d'Auxerre ,  il  quitte  son  évêché  et  retourne  à 
Clairvaux;  sa  mort;  il  compose  la  vie  de  saint 
Bernard  d'une  manière  plus  exacte  et  plus 
suivie,  XIV,  494.  (Voyez  l'article  suivant  con- 
sacré à  ce  prélat.) 

[ALAIN,  évêque  d'Auxerre.  Ce  qu'on  sait 
des  circonstances  de  sa  vie,  XIV,  784.  Ses 
écrits,  785  et  suiv.:  1°  ses  lettres,  783.  2°  Sa 
Vie  de  saint  Bernard,  783,  786.  Ouvrages 
qui  lui  sont  attribués;  jugement  critique, 
786.  Édition  de  ses  écrits  dans  la  Patrologie, 
786  et  787.  Ses  lettres  à  Louis  le  Jeune,  491, 
n.  1.] 

[ALAIN  de  Lille,  dit  le  docteur  universel. 
Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie, 
XIV,  863  et  suiv.  Ses  écrits  imprimés,  863  : 
1°  L'Encyclopédie,  867  et  suiv.  2°  Les  gémis- 
sements de  la  nature;  3°  Paraboles,  869. 
4°  Proses  rimées,  869  et  870.  3°  Commen- 
taire sur  le  Cantique  des  Cantiques,  876. 
6°  De  l'Art  de  la  prédication;  7°  Sermons; 
8°  Des  sentences,  870.  9°  Sur  les  six  ailes 
des  chérubins,  870,  871.  10°  Livre  pénitent lel; 


11°  De  la  foi  catholique,  871.  12°  De  l'Art 
ou  des  articles  de  la  foi  catholique,  871  et  872. 
13°  Sur  les  prophéties  de  Merlin,  872,  873. 
14°  Vie  de  saint  Thomas  de  Cantorbéry.  873, 
874.  15°  Theatrum  chimicum,  874.  Écrits  non 
imprimés,  874  et  873.  Critique  et  jugement, 
873  et  876.  Éditions,  876.  Le  docteur  Gilesa 
publié  quatorze  lettres  d'Alain,  667,  n.  2.] 

ALAINS,  peuples  barbares,  ravagent  l'Es- 
pagne, X,  2. 

ALANIS,  abbé  de  Farfe.  Voyez  Alain. 

ALARIC,  roi  des  Goths,  prend  Rome,  VI,         «o. 
338  et  VII,  306.  —  Il  brûle  la  ville  de  Rhége, 
VII,  460. 

ALARIC,  roi  des  Visigoths  en  Espagne, 
protège  les  catholiques  et  leur  permet  d'as- 
sembler le  concile  d'Agde  en  506;  il  publie 
le  recueil  de  lois  appelé  le  Code  théodosien, 

X,  736.  —  Il  se  laisse  prévenir  contre  saint        505. 
Césaire  d'Arles  et  l'exile  à  Bordeaux  ;  il  recon- 
naît son  innocence  et  le  renvoie  à  son  église 

XI,  126.  Clovis  le  défait  et  le  tue,  80. 

ALBAN  (Saint),  martyr.  Monastère  bâti  en    793  et  794, 
son  honneur,  XIII,  636. 

ALBANIUS,  ecclésiastique  qui  se  rend  ac-        506. 
cusateur  d'Ibas,  X,  143. 

ALBÉNÉCA,  femme  qui  voulait  sans  le 
consentement  de  son  mari  renoncer  au  siècle. 
Lettre  que  lui  écrit  sur  ce  sujet  saint  Théo- 
dore Studite,  XII,  303. 

ALBÉRIC,  évêque  de  Langres.  On  a  de  lui 
deux  lettres  à  Frothaire,  évêque  de  Toul,XII, 
399.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  56.) 

ALBÉRIC,  comte  de  Tusculum,  parvient  à        ,033. 
force  d'argent  à  faire  élire  pape  son  fils  Théo, 
phylacte  qui  prend  le  nom  de  Benoît  IX,  XII], 
195,  196. 

ALBÉRIC,  moine  du  Mont-Cassin  et  cardi- 
nal-diacre du  titre  des  Quatre-Couronnés,  se 
dispute  avec  Bérenger  qu'il  oblige  de  rétrac-  io79. 
ter  ses  erreurs  sur  l'Eucharistie;  sa  mort, 
XlII,  494.  [Sa  préface  à  la  vie  de  sainte  Scho- 
lastique  et  son  homélie  sur  cette  sainte,  494.] 
Son  apologie  de  Grégoire  ;  son  traité  du  corps 
et  du  sang  du  Seigneur  contre  Bérenger;  ses 
autres  écrits,  494.  Opuscules  de  saint  Pierre 
Damien  en  réponse  à  ses  questions,  319. 

ALBÉRIC,  seigneur  de  Meslant.  Sa  cruauté 
à  l'égard  de  Hugues,  évêque  de  Châlons  ;  il 
est  excommunié  par  l'archevêque  de  Reims; 
il  rend  la  liberté  à  l' évêque  de  Châlons,  XIII, 
588. 

ALBÉRIC  (Saint),  second  abbé  de  Cîteaux,        noo, 
met  son  monastère  sous  la  protection  du 


32 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Saint-Siège  ;  sa  mort  ;  Etienne  Harding  lui 
succède  ;  son  oraison  funèbre  par  Etienne, 
XIV,  230. 

ALBÉRIC,  trésorier  de  l'église  d'Aix.  Voyez 
Albert. 
un.  ALBÉRIC,  l'un  des  directeurs  de  l'école  de 

Reims.  Sa  jalousie  contre  Abailard,  XIV,  319. 
Il  est  confondu  par  Abailard,  320.  Il  fut  de- 
puis archevêque  de  Bourges,  426.  Sa  mort, 
309.  (Voyez  son  article  dans  V Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  XII,  p.  72  et  suiv.) 

ALBÉRIC,  cardinal-archevêque  d'Ostie,  lé- 
gat du  pape  contre  les  Henriciens,  XIV,  446, 
447.  [Sa  lettre  aux  moines  de  Saint-Orient 
d'Auch,  446,  n.  2.] 

XII  siècle.  ALBÉRON,  évêque  de  Verdun.  (On  a  de 
lui  une  lettre  et  deux  chartes.  Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  XII,  p.  317  et  suiv.) 

XII  siècle.  ALBÉRON,  archevêque  de  Trêves.  Voyez 
Adalbéron. 

Xll  siècle.  [ALBÉRON,  élu  évêque  de  Liège,  à  qui 
Innocent  II  accorde  le  pallium,  XIV,  263.  Le 
même  pape  lui  écrit,  266,] 

ALBERT  (Saint),  martyr  à  Mayence.  Sa  Vie 
attribuéepar  erreur  àHeiric,moined'Auxerre, 

XII,  641. 

ALBERT,  moine  de  Fleury.  Voyez  Adal- 
hert. 

ALBERT  le  scholastique.  Son  épitaphe  par 
Gerbert,  XII,  904. 

ALBERT,  abbé  de  Mici.  Sa  lettre  au  pape 
Jean  XVIIl  pour  lui  demander  la  confirma- 
tion d'une  donation  faite  à  son  monastère, 

XIII,  30.  (Il  y  en  a  une  autre  à  Jean  XIX. 
Voyez  dans  V Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VI,  p.  39.) 

XI  siècle.        ALBERT  ou  ALPERT,  moine  de  Saint-Sym- 

phorien  de  Metz,  écrit  l'histoire  de  son  temps, 
XIII,  72.  Idée  de  cet  ouvrage  ;  édition  que 
M.  Eccard  en  a  donnée,  72  et73.  [Autres  édi- 
tions de  cet  ouvrage,  73.  Son  ouvrage  sur  les 
évêques  de  Metz,  72,  n.  7.]  On  croit  aussi 
Albert  auteur  d'un  traité  sur  le  comput,  73. 
Lettre  que  lui  écrit  Bouchart,  évêque  de 
Vorms,  93.  (Voyez  son  article  dana  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  Vil,  p.  248  et  suiv.) 

ALBERT,  abbé  de  Gemblours.  Voyez  Al- 
bert, 
2063.  ALBERT,  abbé  de  Marmoutier.  Sa  mort  ; 

Barthélemi  lui  succède,  XIIl,  346.  (Il  avait 
recueilli  les  cou  tûmes  de  son  monastère.  Voyez 
ce  qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraii^e 
de  la  France,  t.  VU,  p.  353  et  suiv.) 

XII  siècle,        ALBERT,  trésorier  de  l'église  d'Acqs  (ou 


d'Aix  en  Provence).  Son|histoire  de  l'expédi- 
tion de  Jérusalem,  XIII,  333, 534.  [Édition  de 
cette  histoire  dans  la  Patrologie ;  traduction 
par  M.  Guizot,  533.] 

ALBERT,  anti-pape,  élu  pour  succéder  à 
Guibert,  est  enfermé  à  Saint-Laurent,  XIV, 
129. 

ALBERT,  cardinal,  chancelier  de  l'Église       « 
romaine,  est  élu  pape  et  prend  le  nom  de 
Grégoire  VllI, XIV,  93o.VoyezGre(/oî>-e  VIII. 

ALBERT  LE  GRAND.  Les  huit  traités 
sur  le  livre  de  Gilbert  de  la  Porrée,  intitulé  : 
Des  Six  principes,  XIV,  343. 

[ALBERTAN,  théologien  de  Berne.  Son 
édition  du  commentaire  d'Élie  de  Crète  sur 
les  discours  de  saint  Grégoire  de  Nazianze, 
VI,  246.] 

ALBIEN,  solitaire  de  Nitrie.  Son  histoire,  i-^ 
ouvrage  de  saint  Nil,  solitaire  de  Sinaï,  VllI,  ^^ 
213. 

ALBIGEOIS,  hérétiques.  [Lettre  de  Pierre,    xu  siè« 
cardinal  de  Saint-Chrysogone,  contre  les  Al- 
bigeois, adressée  à  tous  les  enfants  de  l'Église 
sur  la  foi  catholique  apostohque,  XIV,  749, 
750.  Histoire  des  Albigeois  par  Pierre,  moine 
de  Vaulx-Cernay,  904  et  suiv.  Jugement  sur 
cette  histoire,  907.  Éditions  qu'on  a  faites, 
907  et  908.  Efforts  du  pape  Innocent  III  con- 
tre ces  hérétiques,  989.  Il  les  fait  évangéli- 
ser,  1002,  1003.]  Canons  du  concile  de  Tou-       «2» 
louse,  assemblé  pour  les  réprimer,   1108. 
Canon  du  concile  de  Tours  contre  ces  héréti-       iieSi 
ques  et  ceux  qui  les  protégeaient,  1130.  Con- 
cile de  Lombers  oîi  les  Albigeois  sont  inter-       H76' 
rogés  juridiquement  et  condamnés,   1136. 
Canon  du  concile  de  Latran  contre  les  Albi-        «79^ 
geois  et  autres  hérétiques,  1142.  Prétendu 
concile  deMontpeUier  contre  eux,H49.  Croi- 
sade publiée  contre  eux;  traitement  odieux 
qu'on  fait  subir  à  Raymond,  comte  de  Tou- 
louse, à  leur  occasion,  1130.  Lettre  du  pape 
Innocent  III  au  roi  et  aux  seigneurs  de  France 
pour  les  engager  à  détruire  les  Albigeois  par 
les  armes,  989  et  1003.  Sentence  prononcée 
par  le  concile  général  de  Latran  contre  les        1215. 
hérétiques  albigeois  et  ceux  qui  les  proté- 
geaient, 1163. 

ALBIGNAN  (Pierre).  Sa  préface  sur  le  dé- 
cret de  Gratien,  XIV,  761 . 

ALBIN,  général  des  Romains.  Son  diffé- 
rend avec  Aétius,  X,  169. 

ALBIN  de  Liège.  Son  office  pour  la  Sainte- 
Trinité,  inséré  dans  l'Antiphonaire  du  pape 
saint  Grégoire,  XI,  544, 
ALBIN,  abbé  de  Saint-Pierre  de  Cantor- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


33 


béry.  Lettre  que  lui  écrit  le  vénérable  Bède, 
XII,  14,  13. 

ALBIN  ou  ALBINUS-FLACCUS.  Alcuin  n'a 
jamais  pris  ce  nom,  mais  quelquefois  celui  de 
Flaccus-Albinus,  XII,  163.  Voyez  Alcuin. 

ALBINE,  dame  romaine,  mère  de  sainte 
Marcelle,  VII,  578. 

ALBINE,  dame  romaine,  mère  de  Mélanie 
la  Jeune  et  belle-mère  de  Pinien,  écrit  à  saint 
Augustin;  lettre  que  lui  écrivit  saint  Augus- 
tin, IX,  114.  Autre  lettre  du  même  à  la 
même,  US.  Pinien,  Albine  et  Mélanie  écrivent 
à  saint  Augustin;  livres  qu'il  leur  adresse  en 
réponse,  448,  449.  —  Albine  visite  saint  Cy- 
rille d'Alexandrie  en  allant  en  Palestine, 
VIII,  258. 

ALBISON,  évêque,  porte  une  lettre  de  saint 
Euphrone  à  saint  Sidoine,  X,  394. 

ALBOFLÈDE,  sœur  du  roi  Clovis ,  est 
baptisée  après  lui  ;  sa  mort  ;  lettre  que 
saint  Rémi  écrit  à  Clovis  pour  l'eu  consoler, 
XI,  79. 

ALBOlN,  roi  des  Lombards,  infecté  de 
l'arianisme,  XI,  203. 

ALBOIN,  prêtre.  Ses  deux  lettres  sur  le  cé- 
libat des  prêtres,  XIII,  403. 

ALBRIC,  évêque  d'Utrecht.  Sa  Vie,  attri- 
buée à  saint  Lutger,  évêque  de  Munster,  XII, 
218.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans  l'Aver- 
tissement du  t.  V  de  V Histoire  littéraire  de  la 
France,  p.  xj  et  suiv.) 

ALBUGIEN,  vicaire  de  Macédoine.  Loi  de 
Tliéodose  qui  lui  est  adressée,  VI,  363. 

ALBUIN,  prêtre  et  reclus.  Son  recueil  de 
passages  de  l'Écriture  etdes  Pères  sur  la  pra- 
tique des  vertus  chrétiennes;  on  ne  lui  a  at- 
tribué le  livre  de  l'Antéchrist  que  parce  qu'on 
l'a  confondu  avec  Alcuin,  XII,  911.  —  Sa 
lettre  à  Héribert  de  Cologne  en  lui  envoyant 
son  recueil  de  passages  de  l'Écriture  sur  les 
vertus, XUI,  76.  [Éditions  de  cette  lettre  dans 
la  Patrologie,  77.]  Voyez  ce  qui  est  dit  d'Al- 
buin  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VI,  p.  553  et  suiv.) 

ALCHER,  moine  de  Clairvaux.  On  lui  at- 
tribue un  traité  de  l'âme  et  quelques  autres 
écrits,  IX,  286.  [Traité  de  l'âme  qui  est 
adressé  à  Alcher  par  Isaac,  abbé  de  l'Étoile, 
XIV,  696.]  (Voyez  ce  qui  est  dit  d'Alcher  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  XII,  p.  683 
et  suiv.) 

ALCIBIADE,  l'un  des  martyrs  de  Lyon, 
I,  470. 

ALCIME,  l'une  des  filles  de  saint  Sidoine, 
X,  379. 

TÂB.    I. 


ALCIME-AVIT  (Saint),  évêque  de  Vienne. 
Voyez  Avit  (Saint). 

ALCORAN.  Livre  attribuée  Mahomet;  son 
origine,  XII,  103.  —  Traduction  latine  de 
l'Alcoran  par  Pierre  de  Tolède  et  Robert  de 
Rétines,  XIV,  510  et  316.  Pierre  le  Vénérable 
y  joint  l'abrégé  de  l'histoire  de  Mahomet, 
510.  Réfutation  de  l'Alcoran  par  Pierre  le 
Vénérable,  316  et  suiv. 

ALCUIN  (le  bienheureux),  abbé  de  Saint- 
Martin  de  Tours;   différents  noms  qu'il  a 
portés  ;  sa  naissance  ;  ce  qu'on  sait  de  sa  fa-       y  735 
mille  ;  il  est  élevé  dans  un  monastère  d'York  ; 
il  y  enseigne  les  lettres,  XII,  165.  11  va  à      y.  766. 
Rome;  à  son  retour,  il  est  connu  du  roi         7gQ_ 
Charles  qui  le  retient  auprès  de  sa  personne, 
165  et  166.  Il  retourne  en  Angleterre,  puis 
revient  en  France  avec  la  permission  de  son 
souverain  ;  il  établit  une  espèce  d'académie 
dans  le  palais  de  Gharlemagne;  ce  prince 
l'envoie  en  Angleterre  traiter  de  la  paix  avec         790. 
Ofita;  il  est  nommé  à  l'abbaye  de  Saint-Mar- 
tin de  Tours,  et  il  y  rétablit  la  règle  et  les         795. 
études;  sa  mort,  166.  On  le  justifie  d'avoir         ^^ 
possédé  plusieurs  abbayes  à  la  fois,  166, 
167.  Son  éloge,  167.  [L'Eglise  ne  rend  aucun 
culte  à  Alcuin,  167.  Edition  des  œuvres  d'Al- 
cuin  par  Froben,  167,  n.  3.]  Ses  livres  sur 
l'Écriture  sainte  ;  commentaire  sur  la  Genèse, 
167,  168.  Explication  de  ces  paroles  :  Fai- 
sons l'homme  à  notre  image,  168.  Explication 
des  Psaumes;  traité  de  l'usage  des  Psaumes, 
168  et  169.   Distribution   de  l'Office  pour 
chaque  jour  de  la  semaine,  169.  Lettre  à 
Daphnin  sur  une  parole  du  Cantique  des 
Cantiques;    commentaire  sur  l'Ecclésiaste, 
170.  [Interprétation  des  mots  hébraïques  des 
ancêtres  de  Notre-Seigneur,  170,  171.  Com- 
mentaire sur  l'Évangile  de  saint  Jean,  171. 
Son  commentaire  sur  l'Évangile  selon  saint 
Matthieu;  on  doute  si  Alcuin  a  commenté  tout 
cet  évangile  ;  ses  commentaires  sur  les  Épîtres 
à  Tite,  à  Philémon  et  aux  Hébreux,  publiés 
par  Froben,  172.  Commentaire  sur  l'Apoca- 
lypse, publié  par  Maï,  172,  173.]  Poëme  sur 
la  Bible,  173.  Œuvres  dogmatiques  d'Alcuin, 
173  et  suiv.  Livre  sur  la  Trinité,  173.  Ana- 
lyse de  cet  ouvrage,  173  et  suiv.  Questions 
sur  la  Trinité  à  Frédégise,  176.  Traité  de  la 
procession  du  Saint-Esprit,  176,  177.  Ana- 
lyse de  cet  ouvrage,  177.  Lettre  à  Charle- 
magne  sur  la  signification  des  mots  œter- 
num,  etc.,  177, 178.  Lettre  à  la  vierge  Eulalie 
sur  la  nature  de  l'âme,  178.  Analyse  des  sept 
livres  d'Alcuin  contre  Félix  d'Urgel,  178  et 

3 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


34 

suiv.  Analyse  de  ces  livres,  179  et  suiv. 
Lettre  à  Charlemagae  sur  cet  ouvrage,  181, 
182.  [Ouvrage  d'Alcuiu  pour  la  confirmation 
de  la  foi  catholique,  publié  par  Foggini  et  re- 
produit dans  la  Pat?-ologie;  ce  qu'il  contient, 
179,  n.  1.]  Lettre  à  Elipand,  182.  Ses 
livres  contre  Elipand,  182,  183.  Livre  des 
Offices  divins;  cet  ouvrage  n'est  pas  d'Alcuin, 
184.  Lettre  à  Gharlemagne  sur  les  noms  de 
Septuagésime,  Sexagésime  et  Quinquagé. 
sime,etc;  lettre  au  prêtre  Odvin  sur  les  céré- 
monies du  baptême,  184.  Lettre  à  Gharlema- 
gne surle  même  sujet;  ellen 'estpoint  d'Alcuin, 
184  et  183.  Lettre  aux  moines  de  l'abbaye  de 
Saint-Martin,  183.  Livre  des  sacrements  ou 
Sacramenlaire,  183  et  186.  [Six  messes  de 
saint  Augustin  contenues  dans  ce  Sacra- 
mentaire  ont  été  ajoutées  par  une  main 
étrangère,  183,  n.  6.]  Homélies  attribuées 
à  Alcuin  ;  la  Vie  de  l'Antéchrist  n'est  pas 
non  plus  de  lui,  186  et  187.  Traité  des  ver- 
tus et  des  vices,  187.  Analyse  de  ce  traité, 
187  et  suiv.  Traité  sur  les  sept  arts  libéraux  ; 
il  ne  nous  en  reste  que  ce  qui  regarde  la 
grammaire  et  la  rhétorique,  189.  [Il  est  de 
Gassiodore,  189,  n.  1.  Traité  de  l'Ortho- 
graphe, publié  par  Froben  ;  traité  surle  cours 
de  la  lune  et  de  l'année  bissextile,  189.]  Au- 
tres ouvrages  d'Alcuin  ;  Vie  de  saint  Martin 
de  Tours,  189.  Vie  de  saint  Vaast,  évêque 
d'Arras,  190.  Vie  de  saintRiquier  ;  Vie  de  saint 
Willibrode,  191.  Lettres  d'Alcuin,  191  et 
suiv.  [Lettre  d'Alcuin  à  Lucie  et  à  Colombe, 
172,  u.  2.  Lettre  d'Alcuin  à  Félix  en  793, 
179,  n.  2.  Époque  à  laquelle  la  lettre  à  Eli- 
pand a  été  écrite,  182,  n.  2.  Lettres  d'Alcuin 
dans  Mabillon  et  dans  la  Patrologie,  197.]  Ses 
poésies,  201,202.  [Nombre  des  poèmes  d'Al- 
cuin dans  l'édition  de  Froben,  201,  n.  2.]  Sa 
confession  de  foi,  202  et  suiv.  Preuves  de  son 
antiquité,  202,  203.  Elle  est  véritablement 
de  lui,  203,  Réponse  aux  preuves,  203  et 
204.  Réponse  aux  objections,  204^  203.  Ce 
que  c'est  que  cette  confession,  203,  206. 
Livre  intitulé  Cornes  (qui  signifie  non  le  comte, 
mais  le  compagnon),  206.  Homiliaire  d'Al- 
cuin, 206  et  207.  Écrits  d'Alcuin  qui  sont 
perdus,  207,  208.  [Écrits  nouveaux  :  Exposi- 
tion des  dix  paroles  de  la  loi  par  Alcuin,  168, 
Commentaire  sur  le  Cantique  des  Cantiques, 
170.  Ses  commentaires  sur  les  Épîtres  de  saint 
Paul  à  Tite,  à  Philémon,  aux  Hébreux,  172.  Ses 
commentaires  sur  l'Apocalyse,  172, 173,  Ses 
Épigrammes,  173.  La  lettre  à  Gharlemagne, 
attribuée  à  Alcuin, est d'Amalaire,  ISS.JDoc- 


trine  d'Alcuin  sur  l'Écriture  sainte,  208,  209, 
Sur  la  Trinité  et  l'Incarnation,  209.  Sur  le 
hbre  arbitre  et  sur  la  grâce,  209  et  210.  Sur 
le  Baptême  et  la  Confirmation ,  210.  Sur 
la  Confession,  210,  211.  Sur  l'Eucharistie; 
sur  l'intercession  des  saints,  la  prière  pour 
les  morts  ;  sur  Tautorité  de  l'Eglise  romaine, 
211.  Jugement  sur  le  style  et  les  écrits  d'Al- 
cuin, 212.  Éditions  qu'on  a  faites  de  ses  œu- 
vres, 212  et  suiv.  [Edition  des  homélies  d'Al- 
cuin dans  la  Patrologie,  186.  Lettres  publiées 
par  Froben  et  reproduites  dans  la  Pati-ologie, 
199  et  suiv.  Edition  complète  des  œuvres 
d'Alcuin  dans  la  Patrologie,  213,  214.  Ouvra- 
ges d'Alcuin  regardés  comme  perdus  et  pu- 
bliés par  Froben,  207,  n.  5,  6,  16,  21,  22, 
29.]  Lettre  que  Gharlemagne  lui  écrit  au  su- 
jet d'un  clerc  qu'il  avait  reçu  dans  son  mo- 
nastère pour  le  soustraire  à  une  sentence  de 
Théodulfe,  son  évêque,  233.  Autre  lettre  que 
lui  écrit  Gharlemagne,  244,  243.  (Voyez  son 
article  dans  l'histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VI,  p.  ix  et  suiv.,  et  au  t.  VIII,  p.  x  et 
suiv.) 

ALCYSON,  évêque  de  Nicopolis,  Sa  mort,     sig^ni 
X,  616. 

ALCYSON,  évêque  de  Corcyre  ou  Corfou,  eos. 
Ses  plaintes  contre  Jean,  évêque  d'Eurie  en 
Epire,  portées  au  pape  saint  Grégoire,  XI, 
533.  Lettre  que  saint  Grégoire  lui  écrit  au 
sujet  des  reliques  de  saint  Donat  d'Eurie, 
534. 

ALDEBALD,  moine  de  Cluny.  Ses  addi-     xisièc 
lions  à  la  Vie  de  saint  Maïeul,  abbé  de  Cluny, 
écrite  par  le  moine  Syrus,  XII,  889,  et  XHI, 
149.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VU,'  p.  -409  et  suiv.) 

ALDEBERT,  prêtre  gaulois.  Voyez  Adal- 
bert. 

ALDEGONDE  (Sainte),  première  abbesse 
deJVIaubeuge.  Différentes  Vies  qu'on  a  faites 
de  cette  sainte,  XII,  801.  Celle  qui  fut  écrite 
par  Hucbald,  moine  de  Saint-Amand,  801 
et  802. 

ALDHERIUS,  abbé.  Lettre  de  saint  Boni-    yiii 
face  qui  lui  est  adressée,  XII,  50. 

ALDIBERGE,  reine  d'Angleterre.  Voyez 
Berthe. 

ALDOALDE,  fils  de  Théodelinde,  reine  des 
Lombards,  XI,  534. 

ALDON,  évêque  de  Limoges,  ordonne 
Vulfade,  archevêque  de  Bourges;  sa  mort, 
XH,  580. 

ALDREVALD,  moine  de  Fleury,  Voyez 
Adrevald. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


35 


ALDRIC  (Saint),  archevêque  de  Sens.  Sa 
naissance;  il  est  fait  abbé  de  Ferrières;  il 
succède  à  Jérémie  dansTarchevêclié  de  Sens; 
il  reste  fidèle  à  Louis  le  Débonnaire  ;  sa  mort  ; 
sa  lettre  à  Frothaire,  évêque  de  Toul  ;  privi- 
lège qu'il  accorde  au  monastère  de  Saint- 
Remi  de  Sens,  XII,  339.  (Voyez  son  article 
dans  V Histoire  littérah^e  de  la  France,  t.  IV, 
p.  329  et  suiv.) 

ALDRIC  (Saint),  évêque  du  Mans.  Noblesse 
de  son  extraction  ;  il  est  élevé  à  la  cour  de 
Charlemagne;  il  quitte  la  cour  et  entre  dans 
le  clergé  de  Metz,  XII,  444.  Louis  le  Débon- 
naire l'appelle  à  la  cour  et  le  fait  son  confes- 
seur; il  est  élu  évêque  du  Mans;  il  assiste  au 
concile  d'Aix  la-Chapelle  et  à  celui  de  Paris; 
sa  mort  ;  sa  lettre  aux  évêques  du  concile  de 
Compiègne;  son  recueil  de  canons;  seslesta- 
ments;sonrèg]ementpourle  luminaire  de  sa 
cathédrale;  ses  statuts  synodaux;  formules  de 
messes,  445.  Le  décret  du  pape  Grégoire  IV 
donné  en  sa  faveur  est  une  pièce  supposée, 
404.  Les  gestes  d'Aldric.  446.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  V,  p.  141  et  suiv.) 

ALÉRIA,  ville  de  Corse,  érigée  en  évêché 
à  l'occasion  de  la  conversion  des  idolâtres  de 
nie,  XI,  510. 

ALÈIHE  de  la  maison  de  Montbart,  mère 
de  saint  Bernard,  XIV,  418. 

ALÉTHIUS  (et  non  ALÉTIUS),  prêtre  et 
depuis  évêque  de  Cabors.  Témoignage  que 
lui  rend  saint  Jérôme,  Vil,  373.  —  11  avait 
écrit  ÙL  saint  Paulin;  réponse  que  saint  Pau- 
lin lui  adresse,  VIII,  73, 74.  (Saint  Paulin,  fai- 
sant l'éloge  de  son  éloquence,  donne  lieu  de 
présumer  qu'on  avait  de  lui  quelques  écrits. 
Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t,  II,  p.  83  et  suiv.) 

ALETRAN,  abbé  de  Lobes.  Sa  mort,  XII, 
872. 

ALEXANDRA,  recluse  près  d'Alexandrie. 
Ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  Lausiaque  de 
Pallade,  489. 

ALEXANDRA,  dame  à  qui  Théodoret  écrit, 
X,72. 

ALEXANDRE  LE  GRAND,  roi  des  Macé- 
doniens. Parole  remarquable  de  ce  prince 
rappelée  par  saint  Basile,  IV,  431.  —  Saint 
Jean  Chrysostôme  fait  sentir  le  ridicule  de 
l'apothéose  d'Alexandre  le  Grand,  VU,  311. 

ALEXANDRE,  ouvrier  en  cuivre  dont  parle 
saint  Paulin,  X,  79. 

ALEXANDRE  (Saint),  pape.  Décrélales  qui 
lui  sont  faussement  attribuées,  VI,  81 . 


1064  ou  1067 


1073. 


ALEXANDRE  II  (Anselme),  pape,  est  élu  lœi. 
pour  succéder  à  Nicolas  II ;  son  élection  ayant 
été  faite  sans  le  consentement  de  la  cour 
d'Allemagne  en  est  désapprouvée;  Cadaloûs 
est  élu  pape  sous  le  nom  d'Honorius  II  par 
les  intrigues  de  Guibertde  Parme,  chancelier 
d'Italie  ;  concile  d'Osbor  en  Saxe  où  Cada- 
loiis  est  déposé  et  l'élection  d'Alexandre  II 
confirmée  ;  concile  de  Mantoue  sur  le  même 
sujet,  XIII,  285.  Durée  du  pontificat  d'Alexan- 
dre; sa  mort,  287.  Ses  lettres,  287  et  suiv. 
[Ses  lettres  et  ses  diplômes  dans  la  Patrologie, 
287.]  Ses  lettres  et  les  conciles  qu'il  tint  à 
Rome  ;  décrets  qui  yfurent  faits,  287.  Autres 
lettres  de  ce  pape,  287  et  suiv.  [Lettre 
d'Alexandre  au  clergé  de  Crémone,  291. 
Lettre  au  marquis  Guillaume,  292.  Privilèges 
à  des  monastères  et  à  des  églises,  d'après  la 
Patrologie,  293,  294.  Autres  lettres  d'Alexan- 
dre, 294,  293,  296.]  Constitutions  faites  par 
son  ordre  pour  l'Eglise  de  Milan,  289,  290. 
Autres  lettres  d'Alexandre  II,  290  et  suiv. 
Bulles  pour  l'abbaye  de  Ripouille;  Alexan- 
dre termine  la  contestation  sur  la  primatie 
d'Angleterre,  293.  Lettre  qu'il  écrit  â  Béran- 
ger  pour  l'exhorter  à  quitter  ses  erreurs,  170. 
Lettres  que  lui  écrit  saint  Pierre  Damien, 
298  et  313.  Lettres  que  lui  écrit  Sigefroi,  ar- 
chevêque deMayeuce,  403,  406.  Il  se  recon- 
naît disciple  de  Lanfranc  et  lui  rend  honneur, 
441.  Ditïérentes  lettres  de  Lanfranc  qui  lui 
sont  adressées,  431,  432.  —  Son  élection 
confirmée,  XIV,  1062.  Il  est  reconnu  seul 
pape  légitime,  1064.  (Alexandre  fut  aupara- 
vant connu  sous  le  nom  d'Anselme,  évêque 
de  Lucques.  Voyez  son  article.) 

ALEXANDRE  Ul  (Roland),  pape,  est  élu  ,159. 
par  le  très-grand  nombre  des  cardinaux  pour 
succéder  à  Adrien  IV  ;  Octavien  est  élu  en 
concurrence  par  une  faction  et  prend  le  nom 
de  Victor  III,  XIV,  918.  L'empereur  Frédéric 
Barberousse  assemble  un  conciliabule  àPavie 
où  il  fait  casser  l'élection  d'Alexandre  et 
confirmer  celle  d'Octavien,  918  et  919.  Les 
rois  de  France  et  d'Angleterre  reconnaissent 
Alexandre  ;  il  se  réfugie  en  France  ;  il  retourne 
à  Rome  après  la  mort  d'Octavien,  919.  L'em- 
pereur Frédéric,  qui  avait  fait  élire  un  autre 
anli-pape,  oblige  Alexandre  à  sortir  de  Rome  ; 
il  se  retire  àBénévent,  919  et  920.  Il  excom- 
munie l'empereur  et  délie  ses  sujets  du  ser- 
ment de  fidélité  ;  dans  une  conférence  qui  se 
tient  à  Venise,  il  fait  la  paix  avec  ce  prince,  1177. 
qu'il  absout  de  l'excommunication;  il  rentre 
dans  Rome;  il  tient  le  troisième  concile  gé-        ins. 


1160. 


1161. 

1165. 


36 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


H79.  néral  de  Latran  pour  remédier  aux  maux 
1181.  causés  par  le  schisme;  sa  mort,  920.  [Juge- 
ment sur  Alexandre  III,  920,  921 .]  Ses  lettres, 
921  et  suiv.  [Ses  lettres  dans  la  Patrologie, 
922,  n.  1,  927  et  suiv.  Il  écrit  aux  chanoines 
de  Saint-Victor,  698.  Richard,  prieur  de 
Saint-Victor,  lui  écrit  en  faveur  de  saint  Tho- 
mas de  Cantorbéry,  70S.  Lettre  de  consola- 
tion qu'adresse  à  ce  pape  Odon,  moine  de 
Saint-Victor,  712.  Alexandre  III  entretient  un 
grand  commerce  de  lettres  avec  Henri,  ar- 
chevêque de  Reims,  731.  Lettres  de  Henri  à 
ce  pape,  731  et  732.  11  résiste  à  cet  arche- 
vêque, 732.  Il  écrit  à  Nicolas,  ancien  secré- 
taire de  saint  Bernard,  733.  Ses  lettres  àGui- 
chard,  archevêque  de  Lyon,  746.  Son  estime 
pour  Pierre,  cardinal  de  Saint-Chrysogone, 
748.  Lettre  de  ce  cardinal  à  Alexandre  sur 
les  célébrités  contemporaines  de  la  France, 
750.  Ce  pape  ordonne  la  célébration  du  ma- 
riage d'Alix,  fille  de  Louis  VII  avec  Richard, 
fils  de  Henri  II,  roi  d'Angleterre,  749.  Lettres 
qu'Arnoul,  évêque  de  Lisieux,  lui  écrit  tou- 
chant la  mort  de  saint  Thomas  de  Cantor- 
béry; touchant  Gilbert,  évêque  de  Londres; 
Josselin,  évêque  de  Sarisbéry;  ceux  qui 
avaient  pris  parti  contre  saint  Thomas  ; 
autres  lettres  du  môme  à  ce  pape,  459. 
Pierre  Monocule  lui  écrit ,  787.  Six  let- 
tres que  lui  adresse  Henri,  abbé  de  Haute- 
Combe,  plus  tard  cardinal,  799,  800.  Lettres 
de  Maurice  de  Sully  à  ce  pape,  820.]  Il  est 
excommunié  au  conciliabule  de  Pavie,  1127. 
Écrits  faits  en  sa  faveur,  1127,  1128.  Il  est 
reconnu  par  le  concile  de  Nazareth  ;  il  est 
reconnu  dans  les  conciles  de  Neuf-iVIarché  et 
de  Beauvais,  1128;  et  dans  celui  de  Tou- 
louse, 1128,  1129.  Concile  de  Lodi  où  il  est 
excommunié;  concile  de  MontpeUier  où  il  ex- 
communie l'antipape  et  tous  ses  fauteurs, 
1129.  Concile  de  Tours  où  il  demande  du 
secours  contre  les  partisans  de  l'antipape, 
1129  et  1130.  Concile  de  Latran  où  il  ex- 
communie l'empereur  Frédéric,  1133,  1134. 
Concile  de  Venise  pour  confirmer  la  paix 
qu'il  avait  faite  avec  l'empereur  Frédé- 
ric, 1138.  Sa  conduite  dans  le  différend 
qu'il  y  eut  entre  Henri  H,  roi  d'Angleterre, 
et  saint  Thomas  de  Cantorbéry,  663  et 
suiv.,  669  et  suiv.  Lettres  qu'Arnould  de 
Lisieux  écrit  en  sa  faveur,  731,  752,  754  et 
suiv. 

[ALEXANDRE  VI  autorise  le  rit  ambrosien, 
XIII,  5.] 
Il  siècle.         ALEXANDRE  (Saint),  martyr  de  Lyon,  I, 


471,  472.  —  Homélie  de  saint  Eucher  de 
Lyon  à  son  honneur,  VllI,  454. 

ALEXANDRE  (Saint),  évêque  de  Jérusa- 
lem et  martyr,  II,  122  et  suiv.  Ses  études;  il 
est  fait  évêque  en  Cappadoce  et  confesse 
Jésus-Christ;  sa  lettre  à  l'Éghse  d'Antioche, 

122.  11  est  fait  évêque  de  Jérusalem,  122  et 

123.  Il  y  dresse  une  célèbre  biblothèque;  il 
confesse  une  seconde  fois  Jésus-Chiist  et 
meurt  en  prison,  123.  Ses  lettres,  122, 123, 

124.  Témoignage  qu'il  rend  à  Clément 
d'Alexandrie,  564.  Denis  d'Alexandrie  parle 
de  sa  mort,  403.  Étant  devenu  évêque  de 
Jérusalem,  il  donne  à  Origène  la  prêtrise;  il 
prend  la  défense  de  son  ordination,  135  et 
552.  Son  voyage  à  Jérusalem,  VI,  217. 

ALEXANDRE  (Saint;,  martyr  de  Césarée 
en  Palestine,  II,  393. 

ALEXANDRE  (Saint),  martyr  d'Alexan-     „, 
drie  sous  Dèce,  II,  402. 

ALEXANDRE  (Saint),  soldat,  martyr  à     m. 
Marseille,  U,  477,  478. 

ALEXANDRE  (Saint),  Égyptien,  et  un 
autre  saint  Alexandre  de  Gaza,  tous  deux 
martyrs  de  Palestine,  III,  83. 

ALEXANDRE,  gouverneur  d'Isaurie,  con-    g^^ 
damne  sainte  Julitte,  III,  43. 

ALEXANDRE  (Saint),  patriarche  d'Alexan- 
drie, III,  104  et  suiv.  En  quel  temps  il  est  fait 
évêque  ;  ses  vertus  ;  il  fait  bâtir  l'église  de 
Théonas,  104.  II  est  accusé  par  les  Mélé- 
ciens  ;  ses  disputes  avec  Crescence  ;  affaire 
que  lui  suscite  Arius  ;  conférence  qu'il  tient 
pour  convaincre  Arius  ;  il  assemble  à  Alexan- 
drie un  concile  dans  lequel  Arius  est  chassé 
de  l'Église,  105.  Il  écrit  aux  évêques  contre 
Arius  ;  réponse  des  é  vêques  à  saint  Alexandre; 
Eusèbe  de  Nicomédie  et  Arius  lui  écrivent 
aussi,  106;  il  compose  un  écrit  pour  la  défense 
de  la  vérité,  107.  Lettre  de  l'empereur  Cons- 
tantin à  saint  Alexandre,  107  et  137.  Saint 
Alexandre  assiste  au  concile  de  Nicée;  il  dé- 
signe en  mourant  saint  Athanase  pour  son 
successeur,  108.  Analyse  de  la  lettre  de  saint 
Alexandre  à  tous  les  évêques  de  l'Église  ca- 
tholique, 108  et  suiv.  Analyse  de  la  lelti-e  de 
saint  Alexandre,  évêque  d'Alexandrie,  à  saint 
Alexandre,  évêque  de  Constantinople,  110 
et  suiv.  [Discours  sur  l'âme  et  la  passion  du 
Seigneur,  114.]  —  Saint  Alexandre  cite  un 
des  canons  attribués  aux  apôtres,  II,  574.  — 
U  frappe  d'analbèrne Eusèbe  de  Césarée,  III, 
170.  Fragment  d'une  des  lettres  qu'Eusèbe 
de  Césarée  lui  adresse,  252.  Il  assemble 
un  concile  où  Arius  et  ses  sectateurs  sont 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


37 


condamnés,  415.  Lettre  de  saint  Alexandre 
contre  Arius;  lettres  d'Arius  à  saint  Alexan- 
dre, 416.  Constantin  écrit  à  saint  Alexandre 
pour  le  réconcilier  avec  Arius,  418.  — Lettre 
de  saint  Alexandre  aux  évêques  catholiques 
contre  Arius,  IV,  125. 

ALEXANDRE  (Saint),  évêque  de  Byzance 
ou  Constantinople;  lettre  que  lui  écrit  saint 
Alexandre,  évêque  d'Alexandrie,  au  sujet  de 
l'hérésie  d'Arius,  III,  107.  Il  assiste  au  con- 
cile de  Nicée,420.  Il  refuse  de  recevoir  Arius 
dans  la  communion  de  l'Église;  Arius  meurt, 
458,  459.  Mort  de  saint  Alexandre,  459.  — 
Saint  Grégoire  de  Nazianze  se  fait  gloire  de 
marcher  sur  ses  traces,  V,  222. 

ALEXANDRE,  évêque  de  Thessalonique, 
écrit  au  comte  Denis  pour  arrêter  la  conspi- 
ration des  Eusébiens  contre  saint  Athanase, 
111,452. 

ALEXANDRE,  prêtre  de  Rome,  député  à 
Milan  contre  Jovinien,  IV,  652. 

ALEXANDRE,  évêque  d'Egypte,  exilé  pour 
la  vérité,  IV,  485. 

ALEXANDRE,  moine,  depuis  évêque  de 
Corydales,  IV,  475. 

ALEXANDRE,  ami  de  saint  Grégoire  de 
Nysse,  VI,  219. 

ALEXANDRE  (Saint),  portier  de  l'église 
de  Trente,  martyr,  VI,  267,  268. 

ALEXANDRE,  moine  à  Toulouse,  uni  avec 
Minerve  son  parent;  saint  Jérôme  leur 
adresse  son  commentaire  sur  Malachie,  VII, 
577.  Lettre  qu'ils  écrivent  à  saint  Jérôme; 
réponse  qu'il  leur  adresse,  577  et  578. 
(Voyez  sur  ces  deux  moines  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  II,  p.  143  et  suiv.) 

ALEXANDRE  (Saint),  évêque  d'Antioche, 
rétablit  deux  évêques  injustement  chassés  du 
temps  de  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  12. 
Rétablit  dans  les  diptyques  la  mémoire  de 
ce  saint  évêque,  12  et  517.  Lettres  que  lui 
écrivit  le  pape  saint  Innocent,  516.  Lettre 
canonique  du  même  pape  à  saint  Alexandre, 
517,  518.  —  Saint  Zenon  le  prie  de  distri- 
buer une  partie  de  son  bien  aux  pauvres, 
X,  56. 

ALEXANDRE,  évêque  de  Basilinople  en 
Bithynie,  défenseur  de  saint  Chrysostôme, 
VIII,  27. 

ALEXANDRE  (Saint),  instituteur  des  Acé- 
mètes,  passe  pour  un  chef  des  Messaliens, 
VIII,  411. 

ALEXANDRE,  moine  à  qui  saint  Nil  écrit, 
VIU,  217. 

ALEXANDRE,  évêque  d'Apamée,  écrit  au 


concile  d'Éphèse;  acte  qu'il  y  signifie,  VIII, 
245. 

ALEXANDRE,  évêque  d'Hiéraple.  Son 
union  avec  Nestorius,  Jean  d'Antioche  et 
Acace  de  Bérée  contre  saint  Cyrille  d'Alexan- 
drie; sa  lettre  à  Acace,  VIII,  374,  375.  Sa 
lettre  à  Parthène  et  réponse  de  Parlh  en  e ,  37  5.  43i . 
Alexandre  s'oppose  à  la  paix  de  l'Église;  ses 
lettres  à  Acace  de  Bérée,  à  André  de  Samo- 
sate,  à  Théodoret,  etc.,  375  et  suiv.  !1  ap- 
prouve de  nouveau  la  condamnation  de  saint 
Cyrille;  ses  lettres  à  André  de  Samosate, 
377,  378.  11  s'obstine  dans  le  schisme;  lettres 
que  lui  écrit  Théodoret  ;  réponse  d'Alexandre 
à  ces  lettres,  378  et  suiv.  Il  est  chassé  de  son 
église  el  relégué  aux  mines  de  Phamothin  433. 
en  Egypte,  380  et  604.  Il  y  meurt,  380.  Acace  435. 
de  Bérée  lui  avait  envoyé  la  lettre  de  saint 
Cyrille  contre  Nestorius  ;  il  la  rejette,  239. 
Lettres  que  lui  écrivit  Acace  de  Bérée,  240.  v.  432. 
n  vient  au  concile  d'Ephèse  ;  acte  qu'il  y  si- 
gnifie, 245.  Lettre  que  lui  écrivit  Jean,  évê-  v.  m. 
que  d'Antioche,  au  sujet  de  la  réunion  des 
Orientaux  avec  saint  Cyrille;  Alexandre  re- 
fuse d'entrer  dans  celte  réunion,  248.  Il  dé- 
pute au  pape  Sixte  III  pour  se  plaindre  de  la 
réunion  de  Jean  avec  saint  Cyrille,  254. 
Lettrequelui  écrivitAndré  deSamosate,  380. 
11  se  prête  aux  propositions  pour  la  paix  de 
l'Église  après  le  concile  d'Éphèse,  601.  Son 
attachement  pour  Nestorius,  602.  —  Théo- 
doret est  nommé  vicaire  d'Alexandre  de  Hié- 
raple,  X,  21 .  Alexandre  de  Hiéraple  demeure 
inflexible,  22.  Lettre  que  lui  écrit  Théodoret 
où  il  lui  rend  compte  de  ce  qui  s'était  passé 
pendant  que  les  députés  des  Orientaux 
avaient  été  à  Chalcédoine,  102. 

ALEXANDRE,  disciple  de   saint  Arsène, 
VIII,  400. 

ALEXANDRE,  amba  ssa  deur  de  l'empereur     y  siècle. 
Zenon,  assiste  à  l'élection  de  l'évêque  de  Car- 
thage,  X,  452. 

ALEXANDRE,  évêque  d'Abyle,  s'oppose         553. 
à  la  réception  des  actes  du  second  concile 
général  de  Constantinople,  XI, 881.  Son  exil; 
sa  mort,  881  et  882.  557. 

ALEXANDRE,  chanoine  de  Liège .  Son  His-     xi  siècle . 
toire  des  évêques  de  cette  ville, XIII,  231, 232. 
(Voyez  son   article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  VII,  p.  479  et  suiv.) 

ALEXANDRE,  empereur  d'Orient,   suc-        911. 
cède  à  Léon  VI,  XH,  775.  Il  chasse  le  pa- 
triarche Euthymius  et  rétablit  Nicolas,  776. 

ALEXANDRE,  abbé  de  Télési  au  royaume     xii  siède. 
de  Naples.  Son  Histoire  des  actions  et  ex- 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


H3i. 


ploits  mémorables  de  Roger,   roi  d'Italie, 

XIII,  509,  310.  Différentes  édilions  qu'on  en 
a  données,  510. 

XII  siècle.  [ALEXANDRE,  évêque  de  Liège.  Le  pape 
Honorius  II  lui  écrit,  XIV,  2.37,  n.  ^.] 

ALEXANDRE,  usurpateur  de  l'évêché  de 
Liège,  est  déposé  au  concile  de  Pise,  XIV, 
1090. 
"39'  ALEXANDRE ,   évêque   de   Lincoln  ,    se 

brouille  avec  Etienne,  roi  d'Angleterre,  XIV, 
1115.  Ses  voyages  à  Rome;  il  gagne  la  bien- 
veillance du  pape  Innocent  II,  qui  le  fait  légat 
apostolique  en  Angleterre  ;  concile  qu'il 
tient  en  cette  qualité,  1118. 

XII  siècle.  ALEXANDRE,  moine  de  Chypre.  Incerti- 
tude où  l'on  est  sur  le  temps  où  il  a  vécu  ; 
son  discours  en  l'honneur  de  l'apôtre  saint 
Barnabe  et  sur  l'invention  de  ses  reliques; 
autre  discours  historique  sur  l'Invention  de  la 
Sainte-Croix,  XIV,  655.  Ses  erreurs  histori- 
ques et  chronologiques,  655  et  656. 

V.  1200.         [ALEXANDRE,  moine  de  Jumiège.   Son 
Épitre  théologique  ;  éditions  qu'on  en  a  faites, 

XIV,  822.] 

303.  ALEXANDRE  (Sainte),  vierge  et  martyre 

à  Ancyre,  III,  15. 

[ALEXANDRE  (Charles).  Sa  belle  édition 
des  livres  sybillins,  I,  308.] 

[ALEXANDRÉIDE,  oudes actions  d'Alexan- 
dre, par  Gauthier  de  Ghâtillon,  XIV,  833.] 
ii[  siècle.  ALEXANDRIE.  Saint  Pantène  y  enseigne 
III  siècle,  tes  lettres,  I,  559.  Clément  lui  succède, 
563.  —  Ammone  Saccas,  philosophe  chré- 
m  siècle,  tien,  y  enseigne.  Il,  97.  Martyrs  d'Alexandrie 
sous  le  règne  de  Philippe,  109,  110.  Origène 
y  fait  Técole  des  catéchèses,  130.  Conciles  qui 
y  furent  tenus  contreOrigène,133, 136.  Saint 
Denis,  évêque  d'Alexandrie,  397  et  suiv. 
État  déplorable  de  cette  ville  au  temps  de 
saint  Denis,  son  évêque,  402,  403  et  409. 
Piérius  y  exerce  l'office  de  catéchiste,  462. 
Premier  concile  d'Alexandrie  contre  Origène, 
552.  Second  concile  contre  Origène,  332  et 
353.  Concile  qui  y  fut  tenucontreMèlèce,  615, 
616.  —  Saint  Pierre,  patriarche  d'Alexan- 
drie et  martyr,  m,  56  et  suiv.  Saint  Alexan- 
dre, évêque  d'Alexandrie,  104  et  suiv.  Con- 
cile qui  y  fut  tenu  contre  Arius,  106.  Lettre 
que  l'empereur  Constantin  écrit  à  l'Église 
d'Alexandrie,  141  et  445.  Lettre  du  pape 
saint  Jules  à  l'Église  d'Alexandrie  sur  le  re- 
tour de  saint  Athanase,  378,  379.  Premier 
concile  d'Alexandrie  contre  Arius,  414,  415. 
Second  concile  d'Alexandrie  au  sujet  d' Arius, 
418.  Ganoo  tie  Nicée  touchant  les  préroga- 


tives de  cette  Église,  432, 433.  Lettre  du  con- 
cile de  Jérusalem  à  l'Éghse  d'Alexandrie, 
437.  Concile  qui  fut  tenu  à  Alexandrie  pour 
saint  Athanase,  460.  Lettre  des  évêques  de 
ce  concile  contenant  l'apologie  de  ce  saint 
évêque ,  460  et  suiv.  Lettre  synodale  du 
concile  de  Sardique  à  l'Eglise  d'Alexandrie, 
490.  Concile  qui  y  fut  tenu  par  saint  Atha- 
nase, 501  —  Saint  Athanase,  patriarche  de 
cette  ville,  docteur  et  confesseur,  IV,  89  et 
suiv.  Concile  que  saint  Athanase  y  assemble, 
95.  Autre  concile  que  saint  Athanase  y  tient, 

101.  Autre  concile  tenu  par  saint  Athanase, 

102,  103.  Autre  concile,  104.  Écrits  des  ca- 
tholiques d'Alexandrie  au  sujet  des  persécu- 
tions exercées  par  les  Ariens,  124.  Lettre  de 
saint  Athanase  aux  fidèles  d'Alexandrie,  149. 
Concile  qui  y  fut  tenu,  587  et  suiv.  Autre 
concile  qui  y  fut  tenu,  593.  Lettre  de  saint 
Basile  le  Grand  aux  fidèles  de  cette  Église. 
455.  Timolhée,  archevêque  de  cette  ville, 
619.  —  Didyme  l'aveugle,  docteur  de  cette 
église,  V,  603  et  suiv.  Pierre,  évêque  de  cette 
ville,  auteur  ecclésiastique,  273  et  suiv.  Lu- 
cius,  faux  évêque  d'Alexandrie,  auteur  ec- 
clésiastique, 279.  Lettre  de  l'empereur  Cons- 
tantlnle  Jeune  àl'Église  de  cette  viUe  touchant 
saint  Athanase, 339.  — Théophile,  patriarche 
de  cette  éghse,  VII,  438  et  suiv.  Concile  qui 
y  fut  tenu  contre  Origène,  733.  —  Conciles 
dont  les  actes  sont  envoyés  au  pape  saint 
Célestin,  VIII,  132  et  137.  Lettre  synodale  à 
Nestorius  pour  lui  servir  de  monition,  137. 
Saint  Cyrille  est  fait  évêque  d'Alexandrie, 
236.  Les  évêques  d'Alexandrie  étaient  char- 
gés d'annoncer  aux  autres  Eglises  quel  jour 
on  devait  célébrer  la  fête  de  Pâques,  278. 
Lettre  de  saint  Cyrille  d'Alexandrie  au  clergé 
et  au  peuple  d'Alexandrie,  290.  Deux  con- 
ciles tenus  en  cette  ville  par  saint  Cyrille 
contre  les  erreurs  de  Nestorius,  573.  —  Arius 
y  jette  les  semences  de  sa  doctrine,  X,  43. 
Cruautés  que  Grégoire  exerce  sur  l'Eglise  de 
cette  ville,  45.  Persécutions  qu'elle  éprouve 
de  la  part  des  Ariens  après  la  mort  de  saint 
Athanase,  47.  Lettre  de  saint  Léon  au  clergé 
d'Alexandrie ,  238.  L'évêque  d'Alexandrie 
réglait  le  jour  de  Pâques  et  le  faisait  con- 
naître au  pape,  270,  et  IV,  147,  n.  2.  —  Re- 
quête des  Alexandrins  au  pape  Anastase  II, 
X,  519.  Concile  tenu  à  Alexandrie,  dans 
lequel  Jean  Talaïa  est  élu  évêque ,  408. 
—  Saint  Euloge,  patriarche,  XI,  589  et 
suiv. 

ALEXIADE.  Histoire  de  l'empereur  Alexis 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


39 


Gomnène,  écrite  par  Anne  Gomnène,  sa  fille, 
XIV,  146. 

ALEXIS  (Saint),  pèlerin.  Sermon  de  saint 
Pierre  Damien  sur  saint  Alexis,  XUI,  308. — Sa 
Vie,  écrite  en  vers  par  Marbode,  XIV,  229. 

ALEXIS  ou  ALEXIUS,  abbé  de  Stude  et 
ensuite  patriarche  de  Constantinople  ;  à 
quelle  occasion  l'empereur  Basile  le  nomme 
patriarche  ;  il  tient  un  concile  à  Constantinople , 
XIV,  i044.  Autre  concile  auquel  il  préside, 
d043.  Décrets  de  ces  deux  conciles,  1043  et 
suiv.  Quand  il  cessa  d'être  patriarche,  1044. 
[Les  Constitutions  synodales  d'Alexis  sont 
reproduites  au  tome  CXIX  de  la  Patrologie 
grecque.] 

ALEXIS  COMNÈNE,  empereur  d'Orient. 
Ses  commencements  ;  il  parvient  à  l'empire  ; 
il  est  couronné  par  le  patriarche  Cosme  ;  il 
demande  la  pénitence  pour  les  violences  qui 
s'étaient  commises  lors  de  sa  proclamation, 
et  l'accomplit  avec  exactitude,  XIV,  139.  Il 
perd  une  bataille  contre  Robert  Guiscard, 
duc  de  Fouille;  bulle  par  laquelle  il  justifie 
l'usage  qu'il  avait  fait  des  richesses  des 
églises  pour  rétablir  les  finances  de  l'em- 
pire, 139  et  140.  Différents  avantages  que  le 
comte  Bohémond  remporte  sur  lui  ;  inquié- 
tudes que  lui  donnent  les  croisés  ;  il  traite 
avec  eux;  il  manque  à  ses  engagements;  son 
zèle  pour  la  foi;  il  condamne  les  hérétiques 
Bogomiles,  140.  Ses  soins  pour  la  conversion 
des  Pauliciens,  140  et  141.  Son  attachement 
à  l'Église  romaine  ;  sa  mort,  141 .  Sa  novelle 
touchant  l'élection  des  évêques,  141  et  142. 
Ses  autres  constitutions,  142,  143.  Son  tarif 
des  impôts  et  des  monnaies  ;  autres  écrits 
d'Alexis  Gomnène,  143.  Son  épithalame  par 
Théodore  Prodrome,  149.  [Les  Constitutions 
d'Alexis  qui  regardent  les  affaires  ecclésias- 
tiques sont  reproduites  au  tome  CXXVII  de 
la  Patrologie  grecque.]  —  Il  poursuit  les  Mes- 
saliens,  IV,  647.  —  Lettre  que  lui  écrit  Di- 
dier, abbé  du  Mont-Gassin,  pour  l'engager  à 
supprimer  le  tribut  qu'il  avait  imposé  sur  les 
pèlerins  qui  allaient  visiter  les  saints  lieux, 
Xin,  417.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Ur- 
bain Il  pour  l'engager  à  favoriser  la  croisade, 
436.  Sa  lettre  à  Robert,  comte  de  Flandres, 
pour  lui  demander  du  secours  contre  les  in- 
fidèles, 514.  Sa  conduite  à  l'égard  des  croi- 
sés, 324  et  suiv.  Discours  de  Théophylacte, 
archevêque  d'Acride,  à  la  louange  de  ce 
prince,  357. 

ALEXIS  m  l'Ange  ou  Gomnène,  empereur 
d'Orient.  Ses  lettres  au  pape  Innocent  III  qui 


le  pressait  de  donner  du  secours  aux  croisés, 
et  d'envoyer  des  députés  à  un  concile,  XIV, 
972. 

[ALEXIS,  gendre  de  l'empereur  Manuel. 
Lettre  que  lui  adresse  Nersès  IV,  patriarche 
des  Arméniens,  XIV,  638,  n.  1.] 

ALEXIS  ARISTÈNE,  économe  de  la  grande 
église  de  Constantinople.  Ses  scholies  sur  la 
synopse  des  canons;  consulté  par  un  concile 
de  Conslantinople, il  produit  un  canon  contre 
Nicéphore,  patriarche  de  Jérusalem,  XIV, 
653. 

ALEXIUS  ,  patriarche  de  Constantinople. 
Voyez  Alexis. 

ALFANE,  moine,  abbé  et  ensuite  arche- 
vêque de  Salerne.  Voyez  Alphane. 

ALFONSE.  Voyez  Alphonse. 

ALFRED  LE  GRAND,  roi  d'Angleterre,  at- 
tire à  sa  cour  plusieurs  savants  pour  rétablir 
les  études  dans  ses  états;  bienfaits  dont  il  les 
comble,  XII,  780.  Ses  soins  pour  le  progrès 
des  études,  780  et  782.  Sa  piété;  lois  qu'il  a 
recueillies;  différents  ouvrages  qu'il  a  com- 
posés ou  traduits  avec  l'aide  des  savants  qui 
étaient  àsa  cour;  sa  mort,  782.  Sa  Vie,  écrite 
par  Asser,  évoque  de  Schirburn,  781.  Lettre 
que  lui  écrit  Foulques  de  Reims,  709.  Autre 
lettre  au  même  roi  ;  elle  paraît  supposée  ,711. 
[La  préface  à  ses  lois  et  ses  lois  elles-mêmes 
dans  la  Patrologie,  782,  n.  8.] 

ALFRIG,  moine  d'Abbendon,  disciple  de 
saint  Ethelvold,  écrit  sa  Vie  ;  poésies  qu'il  a 
composées,  XII,  868. 

ALFRIG  (Saint),  archevêque  de  Gantor- 
béry,  d'abord  moine  d'Abbendon,  puis  évê- 
quede  Wilton  ;  il  succède  à  Sirice  sur  le  siège 
de  Gantorbéry,  XIII,  S2.  Sa  mort  et  ses  écrits 
selon  Pitséus  ;  difficulté  de  les  distinguer  de 
ceux  d'un  autre  Alfric,  archevêque  d'York, 
qui  vivait  cinquante  ans  après;  sa  lettre  à 
Waulfîn  sur  l'observation  des  canons,  53. 
[Edition  de  cette  lettre  dans  la  Patrologie,  53.] 
Ses  homéhes,  33  et  34.  Ses  ouvrages  sur 
l'Écriture,  54.  [Ses  opuscules  traduits  du 
saxon  sont  interpolés,  33.] 

ALFRIC,  archevêque  d'York.  Ses  ouvrages 
difficiles  à  distinguer  de  ceux  de  saint  Alfric, 
archevêque  de  Gantorbéry,  XIII,  33,  54. 

ALFRID,  roi  de  Northumbre  ;  sa  mort,  XI, 
801. 

ALFRID,  moine  de  Groiland,  écrit  en  lan- 
gue saxonne  la  vie  de  saint  Gutlach,  XII,  128. 

ALFRID,  évêque  de  Munster,  écrit  la  vie 
de  saint  Lutger,  l'un  de  ses  prédécesseurs, 
Xm,  69. 


XII  siècle. 


V.  H60. 


1166. 


9U1. 


IX  siècle. 


X  siècle. 


1106. 


XI  siècle. 


X  siècle. 


40 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1152. 


ALGAR,  évêque  de  Constance.  Son  épita- 
phe,  composée  parArnould  deLisieux,  XIV, 

7S9. 
*<"•  ALGASIE.  Lettre  de  saint  Jérôme  à  cette 

dame  en  réponse  à  diverses  questions,  VII, 
575.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  cette  dame  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  II,  p.  4  et  5.) 

ALGER,  diacre  et  sctioliastique  de  Liège, 
XIV,  379.  Dégoûté  du  monde,  il  se  fait  moine 
à  Cluny,  379  et  n.  4.  Donation  qu'il  fait  à  cette 
abbaye  ;  on  ne  sait  pas  bien  le  temps  de  sa 
mort,  379: [Autre  notice  sur  Alger,  379,  n. 4.] 
Son  traité  sur  l'Eucharistie,  379.  Analyse  de 
ce  traité  :  Livre  I,  380.  Livre  H,  381  et  suiv. 
Livre  III,  383,  384.  Jugements  qu'on  a  portés 
sur  cet  écrit  ;  éditions  qu'on  en  a  faites,  384. 
[Autres  éditions,  384.]  Traité  de  la  Miséri- 
corde et  de  la  Justice,  384.  [Note  sur  ce  livre, 
384,  n.  1,  2,  3.]  Analyse  d«  cet  ouvrage  di- 
visé en  trois  parties,  384,  385.  Histoire  de 
l'église  de  Liège,  385.  Traité  de  la  grâce  et 
du  libre  arbitre,  386.  [Traité  du  saint  sacri- 
fice delà  messe,  publié  par  Mai;  éditions  de 
cet  écrit,  386.]  Voyez  l'article  d'Alger  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  XI,  p.  158 
et  suiv.) 

ALIÉNATION  des  biens  de  l'Église.  Voyez 
Biens  de  l'Église. 
**™-  ALIX,  fille  de  Louis  le  Jeune,  roi  de  France  ; 

lettre  du  pape  Alexandre  III  au  sujet  de  son 
mariage  avec  le  second  fils  du  roi  d'Angle- 
terre, XIV,  925. 

[ALLARD  (l'abbé).  Sa  traduction  française 
de  l'Apologétique  de  Tertullien,  II,  87.] 

ALLATIUS  (Léo),  garde  delà  bibliothèque 
vaticane.  Son  édition  du  Banquet  des  vierges, 
ouvrage  de  saint  Méthode  ;  ses  notes  et  dis- 
sertations sur  les  ouvrages  du  même,  III,  73. 

—  Ses  prolégomènes  sur  les  oeuvres  de  saint 
Jean  Damascène,  XII,  98. 

m  siècle.        ALLÉGORIES.    Commentaires    d'Origène 

pleins  d'allégories,  II,  204.  Livre  de  Népos 

m  siècle,     intitulé  :  La  Réfutation  des  Allégories,  564. 

—  Témoignage  de  saint  Augustin  sur  le  sens 
allégoriquede  la  Genèse,  IX,  15.  — Définition 
de  l'allégorie  par  l'abbé  Nestéros,  VIII,  182. 

—  Allégories  de  l'Ancien  et  du  Nouveau  Tes- 
tament, ouvrage  de  saint  Isidore  de  Sèville, 
XI,  775.  —  'Traité  de  Rhaban  Maur  des  allé- 
gories de  l'Écriture,  XII,  452.  —  Explica- 
tions allégoriques  de  l'Ancien  et  du  Nouveau 
Testament  attribué  à  Hugues  de  Saint-Vic- 
tor, XIV,  349. 

ALLELUIA.  Saint  Jérôme  apporte  de  Jéru- 
salem à  Rome,  du  temps  du  pape  Damase,  la 


coutume  de  chanter  Alléluia  hors  le  temps 
pascal,  V,  23.  — L'hérétique  Vigilance  voulait 
qu'on  ne  chantât  Alléluia  qu'à  la  fête  de  Pâ- 
ques, VII,  607.  —  L'usage  de  le  chanter  au 
temps  pascal  vient  d'une  ancienne  tradition, 
IX,  619.  On  le  chantait  tous  les  dimanches 
à  l'autel,  766.  [Sermon  de  saint  Augustin  sur 
V Alléluia,  836  et  841.]  —  Sozomène  pré- 
tend faussement  qu'on  ne  chantait  à  Rome 
V Alléluia  que  le  jour  de  Pâques  ;  le  contraire 
attesté  par  saint  Jérôme,  VIII,  532  et  534. 
—  C'était  anciennement  l'usage  de  chanter 
Y  Alléluia  dans  les  obsèques  des  chrétiens, 
XI,  415.  Par  qui  le  chant  à' Alléluia  fut  intro- 
duit; en  quel  temps  on  doit  le  chanter,  514. 
Variété  des  églises  dans  le  chant  de  1'^  lleluia, 
717.  —  Le  quatrième  concile  de  Tolède  dé-  '^^3' 
fend  de  le  chanter  pendant  le  carême,  XII. 
917.  —  Bulle  de  Benoît  VIII  qui  permet  au  i"^ 
monastère  de  Ripouil  de  le  chanter  le  jour 
de  la  Purification  lorsque  cette  fête  arrive 
après  la  Septuagésime,  XIII,  192.  Reproches 
que  les  Grecs  font  à  l'Église  latine  sur  l'usage 
011  l'on  est  de  ne  point  chanter  V Alléluia  au 
carême;  écrits  pour  et  contre  cet  usage,  214 
et  216. 

ALLEMAGNE.  Lettre  du  pape  saint  Zacha- 
rie  aux  évêques  établis  en  Allemagne,  XII,  30. 
Autre  aux  évêques  de  France  et  d'Allemagne, 
32.  Mission  de  saintBoniface  en  Allemagne, 46 
et  suiv.  —  Concile  d'Allemagne  convoqué  par 
le  duc  Carloman  et  présidé  par  saint  Boni- 
face,  archevêque  de  Mayence,  XIII,  606 .  Autre 
concile  tenu  en  Allemagne  sous  saint  Boni-  7*5, 
face,  609.  —  Autre  concile  qui  y  fut  tenu, 
XIV,  1054. 

ALLEMANN,  écolâtre  de  Liège,  puis  évê- 
que de  Bresce.  Voyez  Adelmann. 

ALLEMANDS.  On  commence  à  parler 
d'eux;  leurs  premiers  chefs,  XIII,  65.  Voyez 
Allemagne. 

ALLIANCE  de  Dieu  avec  les  Israélites,  I, 

13,  14.  Violée  par  l'adoration  du  veau  d'or, 

14.  —  Alliance  de  Dieu  avec  les  nations; 
doctrine  d'Eusèbe  de  Césarée,  III,  188  et  189. 
Elle  est  prédite  dans  les  saintes  Écritures  : 
en  quel  sens  elle  est  appelée  nouvelle,  188. 
Elle  est  subrogée  à  l'ancienne,  188  et  189. 

ALLIRE  (Saint),  évêque  de  Clermont. 
Voyez  Illidius. 

ALLIX  (Pierre),  ministre  calviniste  à  Cha- 
renton.  Sa  dissertation  sur  la  vie  et  les  ou- 
vrages de  Tertullien,  II,  86.  —  Sa  traduction 
française  du  traité  de  Ratramne  sur  l'Eucha- 
ristie, Xn,  561. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


41 


ALMA  REDEMPTORIS  MATER.  Antienne 
à  la  Vierge  dont  Hermann  Contracte  est  l'au- 
teur, XIII,  184. 

ALMANN  ou  ALTMANN,  moine  de  Haut- 
villiers.  Ses  écrits,  XII,  696,  697.  Ce  que 
Theudoin  nous  apprend  de  sa  personne; 
on  ignore  l'année  de  sa  mort,  697.  —  Il  écri- 
vit l'histoire  de  la  translation  des  reliques  de 
sainte  Hélène,  XIII,  524,  525.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  V,  p.  618  et  suiv.,  et  l'addition  qui  est  à  la 
tête  du  t.  X,  p.  lij  et  suiv.) 

ALMANN,  écolâtre  de  Liège  et  ensuite 
évêque  de  Bresce.  Voyez  Aldemann, 

ALMONDARE,  prince  des  Sarrasins,  em- 
brasse la  religion  chrétienne,  et  se  fait  bap- 
tiser par  un  évêque  catholique,  XI,  104. 

ALNE  ou  ALNE  WICK,  bourg  d'Angleterre. 
Concile  qui  y  fut  tenu,  XIII,  604,  605. 

ALOGES,  hérétiques.  Ce  que  saint  Epi- 
phane  dit  de  cette  secte,  VI,  395.  —  Ils  reje- 
taient l'Apocalypse  de  saint  Jean,  IX,  573. 

ALPERT,  moine  de  saint  Symphorien  de 
Metz.  Voyez  Albert. 

[ALPHABET  desPhéniciens,  des  Égyptiens 
et  des  Hébreux,  I,  80,  n.  4.]  —  L'alphabet 
hébreu  n'est  composé  que  de  vingt-deux 
lettres,  VII,  552  et  651. 

ALPHANE,  moine  du  Mont-Cassin,  puis 
abbé  et  ensuite  archevêque  de  Salerne  ;  ce 
qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie  ;  éloge 
que  Pierre  Diacre  fait  de  lui  ;  ses  différents 
opuscules;  quelques  poésies  publiées  récem- 
ment; sa  mort,  XIII,  493. 

ALPHANE  II,  archevêque  de  Salerne. 
Temps  de  sa  mort,  XIII,  493.  On  lui  a  attri- 
bué plusieurs  opuscules  qui  sont  du  précé- 
dent, 493  et  494.  Deux  épitaphes  qui  sont 
véritablement  de  lui,  494. 

ALPHÉE  (Saint),  martyr  de  Palestine,  RI, 
4,  [n.  7.]  Ses  actes,  publiés  par  Assémani, 
351. 

ALPHIE,  évêque  d'Apamée  en  Syrie,  as- 
siste au  concile  de  Néocésarée  dans  le  Pont, 
n,  640. 

ALPHIUS  AVITUS,  poète  confondu  quel- 
quefois avec  saint  Avit  de  Vienne,  X,  569. 

ALPHONSE  III, roi  d'Espagne  ou  desAstu- 
ries.  Deux  lettres  que  lui  écrit  le  pape 
Jean  VIII,  XII,  649. 

ALPHONSE  VI,  roi  d'Espagne  ou  de  Léon 
et  de  Castille.  Donation  qu'il  fait  au  monas- 
tère de  Cluny,  XIV,  53.  Statut  en  sa  faveur, 
53  et  54. 
ALPHONSE,  comte  de  Saint-GiUes.  Saint 


Bernard  lui  écrit  contre  les  Henriciens,  XIV, 
447. 

[ALPHONSE,  roi  de  Portugal,  institue  l'or-        H67. 
dre  religieux  et  militaire  de  Saint-Michel; 
règles  qu'il  lui  donne,  XIV,  626,  627.  Privi- 
lèges qu'il  accorde  au  monastère  de  Saint- 
Jean,  627.] 

ALPHONSE  (Pierre),  juif.  Voyez  Pierre- 
Alphonse. 

ALTACH,  abbaye  d'Allemagne  où  la  pro-        990. 
fession  monastique  est  rétablie  par  les  soins 
de  l'empereur  Othon  III,  XIII,  96. 

ALTÉUS,  évêque  d'Autun.  Le  pape  Léon  IV 
lui  refuse  lepallium,  XII,  407. 

ALTFRID,  évêque  de  Munster,  auteur  de 
la  Vie  de  saint  Lutger,  XII,  218.  (Voyez  son 
article  dans  Y  Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  V,  p.  57  et  suiv.) 

ALTHELME  (Saint),  évêque  deSchirburn. 
Voyez  Adelme  (Saint). 

ALTICUS,  à  qui  Firmus   de  Césarée  en 

Cappadoce  adresse  une  de  ses  lettres,  X,  150. 

ALTINO,  ville  épiscopale  de  la  province  de 

Vénélie,  X,  203.  —  Coucile  tenu  en  cette 

ville,  Xn,  163,  164,  et  XIR,  640. 

ALTMANN,  moine  de  HaulviUiers.  Voyez     ix  siécie 
Almann. 

ALTON  (Saint),  abbé  en  Bavière.  Sa  Vie, 
par  Othlon,  moine  de  Saint-Emmeran  de 
Ratisbonne,  XIII,  282. 

ALTWIN,  moine.  DiEférentes  lettres  que 
lui  écrit  Loup  de  Ferrières,  Xll,  503,  504. 

ALULFE,  moine  de  Saint  Martin  de  Tour- 
nai, qui  vivait  dans  le  xP  siècle.  Ses  extraits 
des  ouvrages  du  pape  saint  Grégoire  dont  il 
composa  un  commentaire  sur  les  livres  de 
l'Ancien  et  du  Nouveau  Testament,  XI,  551. 
—  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie, 
XIV,  71,  72.  Ses  extraits  des  livres  de  saint 
Grégoire  le  Grand  auxquels  il  donne  le  titre 
de  Grégoriale,  72.  —  Différentes  éditions  du 
Livre  III  de  ses  extraits  de  saint  Grégoire  sur 
le  Nouveau  Testament,  XI,  551  et  986. 

ALVAR,  prêtre  de  Cordoue.  Saint  Euloge  ix  siècle, 
lui  envoie  son  Mémorial  des  martyrs  de  Cor- 
doue pour  l'examiner,  XII,  522.  Lettres  que 
saint  Euloge  lui  a  écrites,  521 .  Lettre  d'Alvar 
à  saint  Euloge  sur  son  ouvrage,  521  et  322. 
Sa  Vie  de  saint  Euloge  ;  autres  écrits  qu'on 
lui  attribue  ;  ce  qu'on  sait  des  circonstances 
de  sa  vie,  322.  [Écrits  d'Alvar  d'après  la 
Patrologie,  522,  523.] 

ALVISE,  abbé  d'Anchin,  reçoit  ordre  d'ac- 
cepter l'évêché  d'Arras,  XIV,  260.  [Autres 
lettres  que  lui  écrit  le  pape  Innocent  II,  260, 


XI  et 
XII  siècle. 


42 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


un. 


n.  6.]  Il  prétend  nommer  l'abbé  de  Mar- 
chiennes;  le  concile  de  Lagny  maintient  les 
moines  dans  leur  droit  d'élection,  1117. 

ALWALON.  Sa  lettre  par  laquelle  il  de- 
mande d'être  absous  de  l'excommunication, 
XllI,  70,  71.  [Édition  de  cette  lettre  dans  la 
Patrologie,  71.] 

ALYPIENNE,  nièce  de  saint  Grégoire  de 

Nazianze,  V,  190. 

V.  380.  ALYPIUS ,    gouverneur    de    Cappadoce. 

Lettres  que  lui   écrivit  saint  Grégoire   de 

Nazianze,  V,  254. 

IV  siècle.         ALYPIUS,  à  qui  saint  Grégoire  de  Nazianze 

écrit,  V,  260. 
IV  siècle.         ALYPIUS,  mari  de  sainte  Gorgonie,  sœur 

de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  299. 
IV  Siècle.         ALYPIUS,  comte,  chargé  par  Julien  l'Apos- 
tat de  rétablir  le  temple  des  Juifs,  VI,  349. 
ALYPIUS  (Saint),  évêque  de  Tagaste,  dé- 

390.  puté  de  la  province  de  Numidie  au  concile 
de  Carthage  en  390,  IV,  648.  —  Il  est  un  des 

■416.        cinq  évêques  d'Afrique  qui  écrivirent  au  pape 

417.  saint  Innocent,  VII,  521.  Lettre  de  ce  saint 
pape  aux  cinq  évêques  d'Afrique,  522.  Lettre 
de  saint  Jérôme  à  saint  Augustin  et  à  Aly- 
pius,  633.  —  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Pau- 
lin, évêque  de  Noie,  VIII,  36.  Lettre  que  lui 
écrit  le  pape  Sixte  III,  234.  —  Saint  Augus- 
tin l'avait  engagé  dans  l'erreur  des  Mani- 
chéens, IX,  4.  Conversion  de  l'un  et  de  l'au- 
tre, 6  et  suiv.  Alypius  se  trouve  dans  la 
dispute  de  saint  Augustin  contre  les  Acadé- 
miciens, 38.  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Au- 
gustin, 74.  Autre  lettre  du  même,  92,  93. 
Troisième  lettre  de  saint  Augustin  à  Alypius, 
114.  Autre  lettre,  181.  Lettre  d' Alypius  et  de 
quatre  autres  évêques  d'Afrique  au  pape 
saint  Innocent  ;  réponse  de  ce  pape,  150  et 
559.  Il  porte  en  Italie  le  second  livre  de  saint 
Augustin  sur  le  mariage  et  la  concupiscence; 
il  envoie  à  saint  Augustin  les  livres  que  Julien 
y  avait  opposés,  538. 

ALYPIUS,  neveu  de  saint  Marcien  et  exar- 
que des  moines  de  Cyr,  porte  une  lettre  de 
Théodoret  au  pape  saint  Léon,  X,  23,  24  et 
74.  Bâtit  un  oratoire  dans  la  ville  de  Cyr  pour 
y  mettre  le  corps  de  son  oncle,  53  et  133. 

431.  ALYPIUS,  curé  de  l'église  des  Apôtres  à 

Constantinople.  Lettre  de  félicitation  qu'il 
écrit  à  saint  Cyrille  d'Alexandrie  sur  la  dé- 
position de  Nestorius,  VIII,  291,  394,  395  et 
595. 

ALYPIUS,  évêque.  Lettre  que  lui  écrit 
Firmus  de  Gésarée  en  Cappadoce,  X,  150. 

447.  ALYPIUS,  consul,  X,  210. 


AMACHIE,  gouverneur  de  Syrie,  fait  souf- 
frir le  martyre  à  Macédonius,  Théodule  et 
Tatien,  VIII,  518. 

[AMADÉSIUS  (J.  A.)  Sa  dissertation  sur 
Ravenne,  X,  16.] 

AMALAIRE,  curé  de  Prévilli,  auquel  sainte 
Perpétue  fait  un  legs,  X,  440. 

AMALAIRE  dit  FORTUNAT,  archevêque 
de  Trêves,  avait  d'abord  été  moine  de  Médé-        sio. 
loc  ;  il  est  envoyé  en  Saxe  pour  y  rétablir  la        8i3. 
religion  chrétienne  ;  député  à  Constantinople 
pour  ratifier  la  paix  conclue  avec  l'empereur 
Michel  ;  sa  mort,  XII,  222.  Son  traité  des  ce-        814< 
rémonies  du  baptême,  attribué  par  erreur  à 
Alcuin,  184,  185.  Raisons  qui  prouvent  que 
ce  traité  est  d'Amalaire,  185.  Analyse  de  ce 
traité,  222.  Il  avait  écrit  son  ambassade  à 
Constantinople,  223.  [Ses  écrits  dans  la  Pa- 
trologie, reproduits   d'après  Froben ,   223.] 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  IV,  p.  418  et  suiv.) 

AMALAIRE,  prêtre  de  l'église  de  Metz  et 
chorévêque  de  Lyon,  confondu  quelquefois 
avec  Amalaire,  archevêque  de  Trêves,  XII, 
340  et  478.  Il  n'a  pas  été  évêque  de  Metz, 
349,  n.  4.  Adémar  d'Angoulême  luidonnele 
prénom  deSymposius;  ce  qu'on  sait  des  cir. 
constances  de  sa  vie;  sa  mort;  l'Église  de  v. 837. 
Metz  l'honore  comme  un  saint,  340.  Analyse 
de  la  règle  qu'il  a  composée  pour  des  cha- 
noines, 340  et  341.  Traité  des  Offices  ecclé- 
siastiques, 341  et  suiv.  Analyse  du  premier 
livre,  341  ;  du  deuxième  livre,  343  ;  du  troi- 
sième livre,  343  et  suiv.;  du  quatrième 
livre,  343.  Antiphonier  d'Amalaire,  343, 346. 
Églogue  sur  l'office  de  la  messe,  346. 
Lettre  d'Amalaire,  346  et  suiv.  [Ses  écrits 
dans  la  Patrologie,  330.  ]  Raisons  des  repro- 
ches que  lui  ont  faits  Florus,  Agobard  et 
Rémi,  348.  On  le  justifie  sur  les  trois  prin- 
cipaux chefs  d'accusation  formés  contre  lui 
par  Florus,  tant  au  concile  de  Thionville 
qu'à  celui  de  Quierci,  349, 330.  Traité  d'Ago- 
bard  de  Lyon  contre  les  quatre  livres  d'Ama- 
laire, 377, 378.  Florus  fait  censurer  ses  expli- 
cations liturgiques,  478.  Ecrits  de  Florus 
contre  Amalaire,  483.  Ses  sentiments  sont 
condamnés  au  concile  de  Quierci-sur-Oise, 
484.  —  Ses  livres  des  Divins  offices  ont  été 
copiés  par  Adémar,  moine  de  Saint-Cybard 
d'Angoulême;  Adémar  n'est  point  auteur  du 
supplément  au  quatrième  livre  ;  il  n'en  est 
que  le  copiste  comme  du  reste,  XIII,  105.  Con- 
cile de  Quierci  contre  les  ei-reurs  qui  étaient 
attribuées  à  Amalaire,  683.  (Voir  son  article 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


43 


dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  IV, 
p.  531  etsuiv.) 

AM  AL  AIRE,  diacre  de  Trêves  (peut-être  le 
même  qu'Amalaire  de  Metz  ;  il  avait  écrit  sur 
la  prédestination.  Voyez  l'Histoire  littéraire 
delà  France,  t.  IV,  p.  264.) 

AMALAIRE,  abbé  d'Hornebacb, paraît  être 
le  même  qu'Amalaire,  prêtre  de  l'église  de 
Metz,  XII,  340. 

AMALASONTE,  veuve  de  Théodoric,  roi 
d'Italie,  gouverne  pendant  la  minorité  d'Atba- 
laric  son  fils,  XI,  209.  Théodatle  fait  mourir, 
210.  Ses  lettres  écrites  parCassiodore;  éloge 
que  Cassiodore  fait  de  cette  princesse,  217. 
*  AMALBERGE  (Sainte),  vierge.  Homélie  de 
saint  Radboden  en  son  honneur,  XII,  783.  — 
Sa  Vie,  retouchée  par  le  moine  Goscelin  qui 
y  joint  l'histoire  de  la  translation  de  son 
corps,  XIII,  550.  Sa  Vie,  attribuée  à  Thierry, 
abbé  de  Saint-Tron,  597. 

AMALGÈRE,  évéque  de  Civitella  (et  non 
Constance  comme  on  lit  dans  la  première 
édition.)  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Alexan- 
dre II,  XIII,  292. 

AMALPHI,  ville  d'Italie.  Concile  tenu  en 
cette  ville,  XIV,  1061. 

AMANCE,  acolythe,  l'un  des  trois  qui  fu- 
rent chargés  de  porter  une  lettre  et  les  au- 
mônes de  saint  Cyprien  aux  confesseurs,  II, 
338. 

AMANCE,  gouverneur  de  la  Remanie  ou 
Pannonie,  condamne   à  mort  saint  Quirin, 

n,  55. 

AMANCE,  évêque  de  Nice,  se  trouve  au 
concile  d'Aquilée,  IV^  629. 

AMANCE ,  diacre  de  l'anti-pape  Ursin , 
exilé  avec  lui,  V,  13. 

AMAND  et  ÉLIEN.  Leur  révolte  dans  les 
Gaules,  II,  473. 

AMAND  (Saint),  évêque  de  Bordeaux.  On 
croit  que  c'est  à  lui  que  saint  Jérôme  écrit  une 
lettre,  VII,  571.  —  Lettres  que  lui  écrit  saint 
Paulin,  VIll,  56,  59,  60,  61,  63,  66,  67,  75. 
Témoignage  que  lui  rend  saint  Pauhn,  80. 
(Dans  la  table  du  VHP  volume,  on  a  eu  tort, 
suivant  Dom  Ceillier,  de  distinguer  Arnaud 
de  Bordeaux  d'un  Amand  de  Barcelone. 
Voyez  l'article  de  saint  Amand  dans  l'His- 
toire littéi^aire  de  la  France,  t.  II,  p.  175  et 
suiv.) 

AMAND,  ami  de  Sanctes.  Lettre  de  saint 
Paulin,  évêque  de  Noie,  à  Sanctes  et  à  Amand, 
VIII,  78. 

AMAND  (Saint),  évêque  de  Mastricht,  con- 
sulte le  pape  saint  Martin  1"  sur  des  clercs 


tombés  dans  l'impureté;  réponse  du  pape, 
XI,  749.  (Sa  Vie  fut  premièrement  écrite  par 
Baudemond,  son  disciple.  Voyez  Baude- 
mond.)  [Vie  de  saint  Amand  par  un  anonyme 
et  pièces  qui  le  concernent,  749,  n.  3.]  —  Sa 
Vie,  écrite  en  vers  par  Milon  ;  discours  du 
même  en  son  honneur,  XIII,  334.  Monastère 
sous  son  nom ,  au  diocèse  de  Tournai ,  1067. 
consumé  par  un  incendie  ;  on  promène  les 
reliques  de  saint  Amand  pour  exciter  les  fi- 
dèles à  contribuer  par  leur  charité  aux  frais 
des  réparations  ;  histoire  de  cette  procession, 
écrite  par  le  moine  Gilbert  ;  poëme  du  même 
sur  l'incendie  du  monastère;  sermon  pour  le 
jour  de  la  fête  de  saint  Amand,  487.  Lettre 
de  Radbod,  évêque  de  Noyon^  à  Lambert 
d'Arras  en  faveur  des  moines  de  Saint- 
Amand,  490.  Anselme,  comte  de  Ribemon, 
fonde,  ou  plutôt  donne  une  partie  de  ses 
biens  à  l'abbaye  de  Saint-Amand,  512.  Vie 
de  saint  Amand,  évêque  de  Mastricht  (et  non 
d'Utrecht),  écrite  par  le  moine  Gonthier,  561. 
—  Autre  vie  de  saint  Amand,  évêque  de  Mas- 
tricht(et  non  d'Utrecht), par  Philippe  deBonne- 
Espérance,  XIV,  687.  (La  méprise  des  deux 
noms  vient  du  latin  Trajectum,  commun  aux 
deux  villes.  Trajectum  ad  Mosam,  c'est  Mas- 
tricht. Trajectum  ad  Rhenum,  c'est  (Jtrecht.) 

AMAND  DU  CHASTEL,  abbé  de  Marchien- 
nes.  (On  a  de  lui  une  lettre  sur  la  vie  du 
B.  Odon,  évêque  de  Cambrai.  Voyez  son  ar- 
ticle dans  VHistoii'e  littéraire  de  la  France, 
t.  XI,  p.  211  etsuiv.) 

AMANDE.  Lettre  de  saint  Paulin,  évêque        406. 
de  Noie,  à  Apre  et  à  Amande,  sa  femme, 
VIII,  79. 

AMANT  (Saint),  évêque  de  Rhodez.  Sa  Vie, 
attribuée  à  Fortunat,  XI,  412. 

AMASÉE,  ville  du  Pont.  Saint  Astère,  ar- 
chevêque de  cette  ville,  docteur  de  l'Église, 
VI,  291  et  suiv. 

AMASTRIS,  ville  du  Pont.  Lettre  de  Denis 
de  Corinthe  à  l'Eglise  de  cette  ville,  I,  462. 

AMAT,  archevêque  de  Bordeaux,  Voyez 
Amé. 

AMATEUR  (Saint),  évêque  d'Auxerre.  Sa 
Vie,  écrite  par  le  prêtre  Etienne,  XI,  323.  Il 
transporte  dans  son  église  les  lettres  de  saint 
Cyr  et  de  sainte  Julitte,  400. 

AMAÏUS,  évêque  italien.  Voyez  Amé. 

AMAURI,  patriarche  de  Jérusalem,  recon- 
naît Alexandre  m,  XIV,  919. 

AMAURI,  chef  d'une  nouvelle  secte  d'hé-        1209. 
rétiques.  Ses  erreurs  condamnées  dans  un 
concile  tenu  à  Paris,  XIV,  1152. 


IV  siècle. 


Il  siècle. 


VI  siècle. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


IV  siècle. 


X  siècle. 


III  siècle. 


340. 


374. 


378  ou  379. 
380. 


381. 

382. 


381  et  ; 


383. 
38i. 


AMAZONE,  ami  de  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze,  V,  259. 

AMAZONIE,  vierge,  parente  de  saint  Gré- 
goire de  Nazianze,  V,  261. 

AMBITION.  Doctrine  de  saint  Jean  Chry- 
sostôme  sur  l'ambition,  VII,  263. 

AMBLARD,  moine  de  Fleury,  puis  abbé  de 
Solignac,  fait  copier  la  Vie  de  saint  Éloi; 
lettre  par  laquelle  il  adresse  cette  copie  à 
Hervé,  trésorier  de  Saint-Martin  de  Tours, 
XII,  911.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VI,  p.  551 
et  suiv.) 

AMBOISE  (François  d'),  conseiller  d'état. 
Son  édition  des  œuvres  d'Abélard  et  d'Hé- 
loïse,  XIV,  340. 

AMBON  ou  tribune  dans  l'église,  XI,  539. 
[Description  de  l'ambon ,  par  Paul  Cyrus 
Florus,  346.] 

AMBRESBURI,  ville  d'Angletere.  Concile 
qui  y  fut  tenu,  XIII,  759. 

[AMBROISE,  ctirétien  qui  adresse  un  dis- 
cours aux  Gentils  ;  cet  Ambroise  est  peut- 
être  le  même  que  le  suivant,  I,  412.] 

AMBROISE,  homme  de  lettres  et  de  qua- 
lité, instruit  par  Origène,  quitte  l'hérésie  des 
Valentiniens,  II,  132,  133.  11  excite  Origène 
à  travailler  sur  l'Écriture  et  lui  en  fournit 
tous  les  moyens,  134.  —  11  est  accusé  d'avoir 
mis  trop  précipitamment  au  jour  quelques 
ouvrages  d'Origène,  Vil,  613. 

AMBROISE,  préfet  des  Gaules,  père  de 
saint  Ambroise  de  Milan,  V,  378. 

AMBROISE  (Saint),  archevêque  de  Milan, 
docteur  de  l'Église,  V,  378  et  suiv.  Histoire  de 
sa  vie  ;  sa  naissance  ;  son  éducation  ;  il  suit  le 
barreau,  378.  Est  fait  gouverneur  de  l'Emi- 
lie, 378  et  379.  Il  est  fait  évêque  de  Milan, 
379,380.  Sa  conduite  pendant  son  épiscopat; 
il  donne  son  bien  aux  pauvres,  s'instruit  des 
sciences  ecclésiastiques;  ses  vertus;  son 
amour  pour  la  virginité,  380.  Sa  fermeté;  il 
rachète  les  captifs  ;  mort  de  son  frère  Satyre; 
saint  Ambroise  obtient  une  loi  en  faveur  des 
femmes  chrétiennes,  381.  Il  s'oppose  aux 
desseins  de  Justine;  il  fait  élire  Anémius 
évêque  de  Sirmium,  381  et  382.  Il  fait  dépo- 
ser Pallade  et  Secondien  dans  le  concile 
d'Aquilée  ;  il  obtient  la  destruction  de  l'autel 
de  la  Victoire;  il  prédit  la  disgrâce  de  Macé- 
donius  et  obtient  la  vie  à  un  officier,  382.  Il 
préside  à  un  concile  tenu  à  Milan  ;  concile  de 
Rome  où  il  assiste,  382  et  383.  Il  est  député 
par  Valentinien  II  à  Maxime  et  conclut  la 
paix  avec  lui,  383.  11  empêche  le  rétablisse- 


387. 

388  et  38 
390. 

390. 


391. 
392. 


394. 

395. 

396. 
397. 


ment  de  l'autel  de  la  Victoire,  383  et  384. 
Saint  Ambroise  est  persécuté  par  Justine,  384  385. 
et  suiv.  Lois  pour  les  hérétiques;  Justine  386. 
persécute  de  nouveau  saint  Ambroise  ;  on  at- 
tente à  la  vie  de  saint  Ambroise;  révélation 
des  rehques  des  saints  Gervais  et  Protais,  sse. 
386.  Baptême  de  saint  Augustin,  386  et  387. 
Saint  Ambroise  est  député  une  seconde  fois 
à  Maxime,  387.  Il  s'oppose  au  rétablissement 
d'une  synagogue;  il  tient  un  concile  à  Milan 
contre  Jovinien,  388.  Il  refuse  l'entrée  de 
l'église  à  Théodose,  389.  Il  absout  Théodose; 
il  fait  sortir  ce  prince  du  chœur;  saint  Am- 
broise reçoit  la  visite  de  deux  seigneurs  de 
Perse  ;  il  travaille  à  la  paix  d'Antioche  ;  il 
est  mandé  par  Valentinien  qui  veut  recevoir 
le  baptême  de  ses  mains;  saint  Ambroise  ne 
veut  ni  écrire  à  Eugène,  ni  le  voir,  390.  Il  va 
à  Bologne,  à  Florence  et  revient  à  Milan  ;  il 
implore  la  clémence  de  Théodose  pour  les 
coupables;  il  fait  l'oraison  funèbre  de  ce 
prince  ;  il  fait  la  découverte  des  corps  des 
martyrs  saint  Nazaire  et  saint  Gelse,  392.  Il 
reçoit  des  ambassadeurs  de  la  reine  des  Mar- 
comans,  392  et  393.  II  va  à  Verceil  pour 
l'élection  de  saint  Honorât  ;  il  sacre  un  évê- 
que de  Pavie  ;  il  tombe  malade  et  meurt  ; 
son  éloge,  393.  Catalogue  de  ses  œuvres, 
394.  Écrits  de  saint  Ambroise  sur  l'Écriture 
sainte,  394  et  suiv.  Son  Hexaméron;  en  quel 
temps  il  l'a  composé  ;  sa  méthode  ;  il  n'a  pas 
suivi  en  tout  saint  Basile,  394.  Ce  que  l'Hexa- 
méron  de  saint  Ambroise  contient  de  remar- 
quable, 394  et  suiv.  Livre  du  Paradis,  397, 
398.  En  quel  temps  il  a  été  écrit,  397.  Ana- 
lyse de  ce  livre,  397  et  398.  Livres  sur  Caïn 
et  Abel  ;  en  quel  temps  ils  ont  été  écrits  ;  idée 
de  ces  livres,  399-  Livre  sur  Noé  et  sur  l'ar- 
che, 399  et  suiv.  Dessein  de  cet  ouvrage,  399, 
400.  En  quel  temps  saint  Ambroise  l'écrivit, 

400.  Ce  qu'on  peut  remarquer  dans  ce  livre, 

400  et  401.  Les  deux  livres  sur  Abraham, 

401  et  suiv.  En  quel  temps  ils  ont  été  écrits,         387. 

401.  Ce  que  contient  le  premier  de  ces  livres, 
401  et  suiv.  Idée  du  second  de  ces  livres, 

403.  Livre  sur  Isaac  et  sur  l'âme,  407  et  suiv.         387. 

En  quel  temps  il  a  été  écrit,  403.  Idée  de  ce 

livre,  403  et  suiv.  Livre  du  bien  et  de  la 

mort,  405  et  suiv.  En  quel  temps  il  a   été         387. 

écrit,  405.  Analyse  de  ce  livre,  405  et  suiv. 

Livre  de  la  fuite  du  siècle;  en  quel  temps  il        3S7. 

a  été  écrit,  407.  Analyse  de  ce  livre,  407  et 

408.  Les  livres  de  la  vie  bienheureuse  et  du 

patriarche  Jacob,  408  et  suiv.  En  quel  temps 

ils  ont  été  écrits,  408.  Analyse  du  premier        387. 


375. 


375. 
379. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


45 


livre,  408  et  409.  Exhortation  aux  Néophytes  ; 
en  quoi  consiste  le  bonheur  du  sage,  409. 
Analyse  du  deuxième  livre,  410,  411.  Exem- 
ple du  vrai  bonheur  dans  la  vie  du  patriarche 
Jacob;  éloge  des  marlyis  Machabées,  411. 
Livre  du  patriarche  Joseph,  4H,  412.  En 
387.        quel  temps  il  a  été  écrit,  411.  Analyse  de  ce 
qu'il  contient,  4H  et  412.  Livre  des  bénédic- 
f,  S87.      tions  des  patriarches  ;  en  quel  temps  il  a  été 
écrit;  analyse  de  ce  qu'il  contient,  412.  Livre 
d'Élie  et  du  jeûne,  412  et  suiv.  En   quel 
390.        temps  il  a  été  écrit,  412.  Analyse  de  la  pre- 
mière partie  de  ce  hvre,  412  et  suiv.  Analj^se 
de  la  deuxième  partie;  analyse  de  la  troi- 
sième partie,  414.  Livre  de  Naboth,  414  et 
suiv.  En  quel  temps  il  a  été  écrit,  414. 
Analyse  de  ce  livre,  414  et  suiv.  Livre  de 
Tobie,  416  et  suiv.  En  quel  temps  il  a  été 
écrit,  416.  Analyse  de  ce  livre,  416  et  suiv. 
Les  quatre  livres  de  l'interpellation  de  Job 
et  de  David,  418  et  419.  Ces  livres  sont  de 
saint  Ambroise,  418.  En  quel  temps  ils  ont 
été  écrits,  418  et  419.  Ce  que  contiennent  les 
deux  premiers  livres  ;  ce  que  contiennent  les 
deux  derniers,  419.  Apologie  de  David,  419 
et  suiv.  En  quel  temps  elle  a  été  écrite,  419, 
420.  Analyse  de  cette  apologie,   420,  421. 
Explication  du  psaume  l,  421.  Autre  apologie 
de  David,  421  et  suiv.  Elle  est  faussement  at- 
tribuée à  saint  Ambroise,  421,  422.  Ce  que 
contient  cette  apologie,  422.   Doctrine  de 
cette  apologie,  422  et  423.  Explications  de 
saint  Ambroise  sur  douze  psaumes,  423  et 
suiv.  Homélie  sur  le  psaume  i,  423.  Homé- 
lies sur  les  psaumes  xxxv,  xxxvi,   xxxvii, 
xx^tviii,  XXXIX  et  XL,   423,  424.   Homélies 
sur   les  psaumes    xliii,  xlv,  xlvii,    xlviii, 
liXi,  424.  Exphcation  du  psaume  cxviii,  424, 
425.  Pensées  morales  de  saint  Ambroise  ti- 
rées de  ses  exphcations  des  Psaumes,  425  et 
suiv.  Commentaire  de  saint  Ambroise  sur 
saint  Luc,  429  et  suiv.  Ce  commentaire  est 
une  suite  de  discours  sur  cet  évangile,  429. 
En  quel  temps  il  a  été  écrit,  429  et  430.  Quelle 
méthode  saint  Ambroise  a  suivie  dans  ce 
commentaire,  430.  Jugeaient  qu'en  ont  porté 
les  anciens,  430  et  431.  Quelques  endroits 
remarquables  de  cet  ouvrage,  431  et  suiv. 
Traité  des  offices  des  ministres,  433  et  suiv. 
Dessein  et  méthode  de  cet  ouvrage,  433.  Son 
utilité,  433  et  434.  En  quel  temps  il  paraît 
avoir  été  écrit,  434.  Analyse  du  premier  livre 
des  offices,  434  et  suiv.  Usage  que  l'on  doit 
faire  de  la  parole,  434.  Ce  que  l'on  entend 
par  le  nom  d'offices,  434  et  435.  Devoirs  des 


jeunes  gens,  435,436.  Devoirs  des  ecclésias- 
tiques, 436,  437.  Vertus  cardinales;  en  quoi 
consistent  la  prudence  et  la  justice,  437, 438. 
En  quoi  consiste  la  force,  438,  439.  En  quoi 
consiste  la  tempérance,  439.  Moyens  de  ré- 
primer la  colère  ;  pardon  des  injures  ;  amour 
des  ennemis,  439  et  440.  Analyse  du  second 
livre,  440  et  suiv.  Idée  de  la  béatitude,  440, 
441.  De  la  libéralité  et  de  l'aumône,  441  et 
suiv.  Analyse  du  troisième  livre  ;  du  bien 
honnête  et  du  bien  utile  suivant  les  maximes 
de  la  rehgion  chrétienne,  443  et  suiv.  Livres 
des  vierges,  445  et  suiv.  Us  ont  été  écrits  à 
la  prière  de  Marcelline;  en  quel  temps,  445. 
Beauté  de  ces  livres,  446.  Analyse  du  pre- 
mier livre,  446,  447.  Analyse  du  deuxième 
livre,  447  et  suiv.  Analyse  du  troisième  livre, 

450,  451.  Livre  des  veuves,  451,  452.  En 
quel  temps  et  à  quelle  occasion  il  a  été  écrit, 

451 .  Analyse  de  ce  traité,  451  et  452.  Ce  traité 
est  cité  par  saint  Jérôme,  452.  Ce  que  saint 
Ambroise  y  dit  de  l'âge  des  veuves,  452. 
Livre  de  la  virginité,  452  et  suiv.  En  quel 
temps  ce  livre  a  été  écrit,  452.  Analyse  de 
ce  livre,  452  et  suiv.  Lettre  de  l'institution 
d'une  vierge,  454  et  suiv.  Il  est  adressé  à 
Eusèbe,  citoyen  de  Bologne;  à  quelle  occa- 
sion il  a  été  écrit  ;  en  quel  temps,  454.  Ana- 
lyse de  ce  traité,  454  et  suiv.  Avantages  du 
sexe  dans  la  réparation  du  péché  d'Adam  et 
d'Eve,  454,  455.  Réponse  aux  objections 
contre  la  virginité  perpétuelle  de  Marie,  455. 
Preuves  de  la  virginité  perpétuelle  de  Marie, 
455  et  456.  Figures  de  la  virginité  de  Marie; 
preuves  de  la  divinité  de  Jésus-Christ,  456. 
Prière  à  Dieu  pour  la  vierge  Ambrosie,  456 
et  457.  Exhortation  à  la  virginité,  457,  4S8. 
En  quel  temps  ce  livre  a  été  écrit  ;  analyse 
de  ce  livre,  457.  Traité  contre  une  vierge  qui 
s'était  laissé  corrompre  ,  458  et  suiv.  Ce 
traité  est  de  saint  Ambroise,  458,  459.  Ana- 
lyse de  ce  qu'il  contient,  459  et  suiv.  Livre 
des  mystères  ou  des  initiés,  461  et  suiv.  Ce 
livre  est  de  saint  Ambroise;  en  quel  temps  il 
fut  écrit,  461.  Analyse  de  ce  livre,  462  et 
suiv.  Cérémonies  du  baptême;  cérémonies 
delà  confirmation,  462.  Cérémonies  de  l'Eu- 
charistie, 462  et  463.  Présence  réelle,  463, 
464.  Les  six  livres  des  Sacrements,  464,465. 
Antiquité  de  cet  ouvrage;  il  est  postérieur  au 
siècle  de  saint  Chrysostôme,  464.  Il  n'est  pas 
de  saint  Ambroise, 464  et  465.  Ce  qu'il  y  ade 
remarquable  dans  ce  traité,  465.  Les  deux 
livres  de  la  pénitence,  465  et  suiv.  Ces  livres 
sont  de  saint  Ambroise,  465  et  466.  En  quel 


377. 


V.  377. 


V.  378. 


V.  391. 


V.  ; 


Après  387. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


V.  384. 


377. 


381. 


379. 
379. 


V.  381. 
381. 


384. 


V.  385. 
386. 


Entre  385 

et  387. 

387. 


46 

temps  il  les  écrivit,  466.  Analyse  du  premier 
livre  de  la  pénitence,  466  et  suiv.  Erreurs 
des  Novatiens,  466,  467.  Répoiiseaux  objec- 
tions des  Novatiens,  467.  Le  salut  est  promis 
à  tous  ceux  qui  croient  en  Jésus-Christ;  con- 
duite des  prêtres  envers  les  pécheurs,  467  et 
468.  Le  pécheur  doit  recevoir  dans  cette  vie 
même  le  fruit  de  sa  pénitence,  468,  469. 
Analyse  du  deuxième  livre,  469  et  suiv.  Il 
n'est  point  de  péché  irrémissible  aux  vrais 
pénitents,  469,  470.  Exhortation  à  la  péni- 
tence, 470,  471. Les  cinq  livres  delà  foi,  471 
et  suiv.  En  quel  temps  ils  ont  été  écrits,  471, 

472.  Analyse  du  premier  livre  ;  analyse  du 
second,  472.  Analyse  du  troisième,  472  et 

473.  Analyse  du  quatrième,  473.  Analyse  du 
cinquième,  473  et  suiv.  Les  trois  livres  du 
Saint-Esprit,  473  et  suiv.  Ils  ont  été  écrits  à 
la  prière  de  Gratien  ;  en  quel  temps  ;  juge- 
ment que  l'on  a  porté  de  ces  livres,  473. 
Analyse  du  premier  livre,  475  et  476.  Ana- 
lyse du  second,  476,  477.  Analyse  du  troi- 
sième, 477.  Livre  de  l'Incarnation,  477  et 
suiv.  A  quelle  occasion  et  en  quel  temps  il  a 
été  écrit,  477  et  478.  Analyse  de  ce  livre, 
478, 479.  Fragment  d'un  livre  intitulé  :  Expo- 
sition de  la  foi,  479,  480.  Lettres  de  saint 
Ambroise,  480  et  suiv.  On  n'a  pu  recouvrer 
toutes  les  lettres  de  ce  père  ;  dans  quel  ordre 
on  a  rangé  celles  qui  nous  restent,  480.  Pre- 
mière classe  des  lettres  de  saint  Ambroise 
qui  contient  celles  dont  on  peut  fixer  l'époque, 
480  et  suiv.  Lettre  à  Gratien,  480.  Lettre  à 
Constantius,  évêque  de  la  Romagne,  480  et 
481.  Lettres  à  Félix,  évêque  de  Côme,  481. 
Lettres  à  byagrius,  évêque  de  Vérone;  his- 
toire de  la  vierge  Indicie,  481  et  suiv.  Let- 
tres à  Just,  peut-être  l'évêque  de  Lyon,  évê- 
que de  Riom;  lettres  touchant  le  concile 
d'Aquilée;  lettres  àrempereurïhéodose,483. 
Lettre  au  clergé  de  Thessalonique  et  àAny- 
sius,  évêque  de  cette  ville,  483  et  484.  Lettre 
à  Valenlinien  en  forme  de  requête  touchant 
le  rétablissement  de  l'autel  de  la  Victoire, 
484,  483.  Autre  lettre  de  saint  Ambroise  à 
Valentinien  sur  le  même  sujet,  483  et  suiv. 
Lettre  à  Vigile,  évêque  de  Trente,  487.  Lettre 
de  sainte  Marcelline,  487  et  488.  Lettre  à 
Valentinien  ,  488 ,  489.  Discours  contre 
Auxence,  évêque  arien,  489,  490.  Lettre  à 
sainte  MarceUine  ;  relation  de  l'invention  des 
reliques  des  saints  martyrs  Gervais  et  Pro- 
lais, 490  et  sniv.  Lettre  aux  évêques  d'Emilie  ; 
lettre  à  Valentinien,  492.  Lettres  à  Studius, 
magistrat,  492  et  493.  Lettres  à  Irénée,  prêtre  ; 


lettres  t\  Orontien,  493.  Lettres  à  Simplicien, 
493  et  494.  Lettre  à  Faustin,  494.  Lettre  à 
l'empereur  Théodose,  494  et  493.  Lettre  à 
sainte  Marcelline,  493,  406.  Lettre  au  pape 
Sirice;  lettres  à  Orontien,  496.  Lettres  à  Sa- 
bin,  évêque  de  Plaisance,  496  et  497.  Lettre 
àChromace,  évêque  d'Aquilée,  497.  Lettre  à 
l'empereur  Tbéodose,  497  et  498.  Lettre  à 
Titien;  lettre  à  Théodose;  lettres  à  Eusèbe 
de  Rologne  ;  lettre  à  Théophile ,  évêque 
d'Alexandrie,  498.  Lettre  touchant  Bonose; 
elle  n'est  pas  de  saint  Ambroise,  mais  du 
pape  Sirice;  lettre  à  l'empereur  Eugène; 
lettre  à  Sabin,  évêque  de  Plaisance,  499. 
Lettre  à  Sévère,  évêque  en  Campanie,  499, 
et  500.  Lettre  à  Paterne;  lettre  à  l'empereur 
Théodose,  300.  Lettre  à  l'église  de  Verceil, 
300  et  suiv.  —  Seconde  classe  :  Lettres  de 
saint  Ambroise  dont  on  ne  peut  fixer  l'épo- 
que, 302  et  suiv.  Lettres  à  diverses  person- 
nes, 502,  303.  Lettres  à  Orontien;  lettres  à 
Bellicius,  païen  converti;  lettre  à  des  clercs, 
303.  Lettre  à  Marcel,  évêque,  303  et  504. 
Lettre  à  Sisinnius  ;  lettres  sur  divers  sujets, 
504.  [Lettre  de  saint  Ambroise  à  sainlJérôme, 
634. J  Livres  de  saint  Ambroise  sur  la  mort 
de  Satyre,  son  frère,  304  et  suiv.  Le  premier 
livre  est  l'oraison  funèbre  de  Satyre  ;  analyse 
de  ce  discours,  304,  503.  Le  second  livre  sur 
la  mort  de  Satyre  est  intitulé  :  De  la  foi  en  la 
résurrection  ;  analyse  de  ce  livre,  305,  506. 
Oraison  funèbre  de  Valentinien  ;  analyse  de 
ce  discours,  306,  307.  Oraison  funèbre  de 
Théodose  ;  analyse  de  ce  discours,  507,  308. 
[Trois  sermons  publiés  à  Rome  en  1834;  leur 
authenticité,  508.  Les  deux  premiers  traitent 
des  perfections  divines;  dans  le  troisième  il  est 
question  delà  charité,  308.  Analyse  de  ces  ser- 
mons, 308  et  509.]  Hymnes  de  saint  Ambroise, 
509,  510.  [Autres  hymnes  qui  lui  sont  attri- 
buées, 510,  n.  3.]  Ouvrages  faussement  attri- 
bués à  saint  Ambroise,  510  et  suiv.  Livre 
des  quarante-deux  campements  des  enfants 
d'Israël,  310.  Commentaire  sur  les  Épîlres  de 
saint  Paul,  510  et  5U.  Livre  de  la  Trinité,  ou 
sur  le  Symbole  des  apôtres;  livre  de  la  divi- 
nité du  Fils;  livre  de  la  dignité  sacerdotale; 
livre  de  la  virginité  ;  sermons  sur  divers  su- 
jets, 311.  Lettres  à  diverses  personnes,  511, 
512.  [Deux  lettres  sur  un  énergumènene  sont 
pasdesaintAmbroise,3H,  312.]  Prières  pour 
la  messe  ;  commentaire  sur  l'Apocalypse  ; 
livre  de  la  Pénitence;  livre  du  Saint-Esprit; 
concordance  sur  la  généalogie  de  Jésus- 
Christ  ;  livre  sur  la  dignité  de  la  condition 


388. 
389. 


390. 
392. 


394. 
396. 


379. 


392. 
395. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


humaine  ;  exorcismes  ;  autres  livres  attribués 
à  saint  Ambroise;  commentaire  sur  le  Can- 
tique des  Cantiques,  512.  Autres  livres  attri- 
bués à  saint  Ambroise  ;  actes  du  martyre  de 
saint  Sébastien,  S13.  Traduction  deTbistoire 
de  la  guerre  des  Juifs,  écrite  par  Hégésippe 
ou  Josèpbe,  513  [et  n.  8,  VII,  465].  [Explica- 
tion du  Symbole  pour  ceux  qui  doivent  être 
initiés,  publiée  par  Mai  ;  elle  n'est  pas  de  saint 
Ambroise,  513.  Le  livre  de  l'Exposition  de  la 
divinité  du  Fils  et  de  rincarnation  a  été  publié 
aussi  par  le  même  éditeur;  il  n'est  pas  de  saint 
Ambroise,  513,  n.  5.  La  traduction  de  Tbis- 
toire  d'Hégésippe  et  de  Josèpbe  est  de  saint 
Ambroise,  513,  n.  8.]  Ecrits  de  saint  Am- 
broise qui  sont  perdus,  514  et  suiv.  Com- 
mentaires sur  Isaïe  ;  livre  contre  Platon  ;  livre 
sur  Élis;  bvre  à  Pansophe;  lettre  àFritigile, 
reine  des  Marcomans,514.  Lettres  à  diverses 
personnes,  514  et  515.  Livre  contre  Apolli- 
naire; bomélies  et  bvres  sur  l'Écrituie;  sur 
le  mariage  de  saint  Josepb  avec  la  sainte 
Vierge  ;  sur  Samson;  livre  contre  Apollinaire, 

515.  Livre  sur  l'immortalité  de  l'âme,  515  et 

516.  Doctrine  de  saint  Ambroise,  516  et  suiv. 
Sur  l'inspiration  de  TÉcrilure  sainte,  516.  Sur 
la  manière  dont  s'est  faite  cette  inspiration  ; 
sur  l'obscurité  de  l'Écriture,  517.  Sur  les  di- 
vers sens  de  l'Écriture,  517  et  518.  Sur  les 
textes  et  versions  de  l'Écriture,  518.  Sur 
l'abus  que  les  hérétiques  font  de  l'Écriture, 

518  et  519.  Différentes  leçons  de  l'Écriture, 

519  et  suiv.  Sur  le  livre  des  Psaumes,  521  et 
suiv.  Sur  la  division  du  Psautier,  523.  Sur  la 
canonicitéde  diverses  parties  del'AncienTes- 
tament,523  et  524;  et  du  Nouveau  Testament, 
524  3t  525.  Sur  divers  endroits  de  l'Ancien 
Testament,  524  et  suiv.;  et  du  Nouveau  Tes- 
tament, 528  et  suiv.  Sur  la  lecture  de  l'Écri- 
ture sainte  et  ses  avantages,  530,  531.  Sur  la 
tradition  et  les  conciles,  531,  532.  Sur  la 
Trinité,  533  et  suiv.  Sur  la  procession  du 
Saint-Esprit,  534.  Sur  le  péché  originel,  534 
et  suiv.  Sur  l'Incarnation,  536,  537.  Sur  la 
distinction  des  deux  natures  et  l'unité  de 
personne  en  Jésus-Christ,  537  et  suiv.  Sur  la 
communication  des  idiomes  et  les  deux  vo- 
lontés en  Jésus-Christ,  539  et  suiv.  Sur  la 
sainte  Vierge  et  sur  saint  Joseph,  541  et  suiv. 
Sur  les  anges,  545  et  suiv.  Sur  les  démons, 
547,  548.  Sur  la  nature  et  l'origine  de  l'âme  ; 
sur  le  libre  arbitre,  548.  Sur  la  grâce,  548  et 
suiv.  Sur  la  mort  de  Jésus-Christ  pour  tous 
les  hommes  et  la  prédestination,  552,  553. 
Sur  le  sacrement  de  baptême  et  sur  celui  de 


47 

confirmation,  553  et  suiv.  Sur  l'Eucharistie 
comme  sacrement  et  comme  sacrifice,  556  et 
suiv.  Sur  la  pénitence,  560  et  suiv.  Sur  le 
pouvoir  des  clefs  et  la  confession,  562  et  suiv. 
Sur  la  satisfaction;  réponse  à  une  difficulté, 
565.  Sur  l'ordre,  565  et  suiv.  Sur  le  mariage, 
567  et  suiv.  Sur  l'Église,  570.  Sur  la  pri- 
mauté de  saint  Pierre,  571,  572.  Sur  la  puis- 
sance temporelle,  572.  Sur  l'intercession  des 
saints  et  leurs  reliques,  572  et  573.  Sur  l'état 
des  âmes  après  la  mort,  573.  Sur  le  purga- 
toire, l'enfer  et  Téternité  des  peines,  574.  Sur 
divers  points  de  discipline,  574  et  575.  Sur 
le  jeûne  du  carême,  575,  576.  Sur  les  moines 
et  les  vierges,  576.  Sur  divers  points  de  mo- 
rale, 576  et  suiv.  Sur  l'histoire,  578  et  suiv. 
Jugement  des  écrits  de  saint  Ambroise,  581 
et  suiv.  Sa  méthode  dans  l'explication  de 
l'Écriture,  581,  582.  Ses  oeuvres  de  morale; 
ses  œuvres  de  controverse;  titres  que  ses  ou- 
vrages lui  ont  mérités,  582.  Son  style,  582  et 
583.  Éditions  de  ses  œuvres,  583  et  suiv. 
[Éditions  nouvelles,  585,  586.  Traductions 
nouvelles,  586.  Saint  Martin  assiste  en  esprit 
aux  funérailles  de  saint  Ambroise,  675  dans 
les  Additions.]  —  Saint  Ambroise  lève  de 
terre  les  corps  des  martyrs  saint  Vital  et 
saint  Agricole,  III,  41.  —  Il  donne  avis  à 
l'empereur  Gratien  au  sujet  de  la  convoca- 
tion du  concile  d'Aquilée,  IV,  628,  629.  Il  a 
la  principale  part  dans  ce  concile  ;  il  tient  des 
conférences  particuhères  avec  les  Ariens , 
629.  Sa  conférence  publique  avec  unévéque 
arien,  629  et  630.  Il  préside  à  un  concile 
d'Italie,  634.  Demande  un  concile  à  Rome, 
636.  Se  trouve  au  concile  qui  y  fut  tenu,  638. 
Assemble  un  concile  à  Milan  contre  Jovi- 
nien;  sa  lettre  au  pape  Sirice  au  nom  du 
concile;  éloges  qu'il  donne  au  pape,  652. 
Lettre  à  Théophile  d'Alexandrie  au  sujet  du 
concile  de  Capoue,  654.  Lettre  que  lui  écri- 
vit saint  Basile  le  Grand,  464.  —  Saint  Am- 
broise rejette  les  Priscilliauistes,  V,  18.  — 
Discours  faussement  attribué  à  saint  Am- 
broise contre  une  fille  appelée  Suzanne,  VU, 
647.  —  Hymne  à  son  honneur  faussement 
attribuée  à  saint  Paulin,  évêque  de  Noie,  VIII, 
87.  Vie  de  saint  Ambroise  faussement  attri- 
buée à  saint  Paubn,  88.  —  Saint  Ambroise 
reçoit  saint  Augustin  à  Milan,  IX,  5.  11  ex- 
plique les  passages  les  plus  difficiles  de  l'An- 
cien Testament,  6.  Il  baptise  saint  Augustin, 
9.  11  est  persécuté  par  l'impératiice  Justine, 
32.  Il  découvre  les  corps  de  saint  Gervais  et 
de  saint  Protais,  33.  Témoignages  de  saint 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


IV  siècle. 


V.  465 


V  m  siècle. 


778. 


Ambroise  cités  par  saint  Augustin,  452,  485, 
489,  490,  492,  543.  —  Son  élection  au  siège 
de  Milan,  racontée  par  Théodoret,  X,  47.  Il 
a'omitrien  pour  faire  rentrer  le  jeune  Valen- 
tinien  dans  la  doctrine  de  l'Église,  49.  Homé- 
lies de  saint  Maxime  de  Turin  attribuées  à 
saint  Ambroise,  323.  Vers  à  sa  louange  par 
saint  Ennode,  376.  —  On  lui  a  attribué  plu- 
sieurs discours  que  Ton  croit  être  de  saint 
Césaire  d'Arles,  XI,  128,  129.  —  Monastère 
sous  son  nom  à  Milan  ;  piùvilégedu  pape  Gré- 
goire V  qui  en  confirme  les  droits  et  posses- 
sions, XII,  901.  — Saint  Ambroise  est  regardé 
comme  auteur  de  la  Liturgie  qui  porte  son 
nom;  en  quel  sens,  XIII,  5.  Ce  que  contient 
cette  Liturgie,  5  et  suiv  — Sermon  de  Guil- 
laume d'Auvergne  en  son  honneur,  XIV, 
1027.  (Voyez  sur  saint  Ambroise  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  I,  part.  II,  p.  323  et 
suiv.,  et  le  supplément  à  la  tête  du  t.  II. 
p.  xjx  et  suiv.,  et  t.  V,  p.  j,  et  t.  XII,  p.  vj 
et  suiv.) 

AMBROISE  d'Alexandrie,  disciple  de  Di- 
dyme.  (Il  avait  fait  un  commentaire  sur  Job 
et  un  traité  contre  Apollinaire.  Voyez  Dupin 
et  Moréri.) 

AMBROISE,  évéque  à  qui  saint  Sidoine- 
Apollinaire  adresse  une  de  ses  lettres,  X,  393. 
AMBROISE  et  BÉATUS,  jeunes  gens  à  qui 
saint  Ennode  de  Pavie  adresse  une  instruc- 
tion, X,  573. 

AMBROlSE-AURÉLIEN,Romain,éluroipar 
les  Bretons  de  la  Grande-Bretagne,  X,  617. 

AMBROISE,  vicaire  de  Rome.  Lettres  que 
lui  écrit  Cassiodore,XI,  218.  Autre  lettre  par 
laquelle  il  le  charge  de  faire  de  grandes  pro- 
visions, 220. 

AMBROISE  (Saint),  évêque  de  Cahors.  Est- 
il  auteur  des  livres  des  Sacrements  attribués 
à  saint  Ambroise  de  Milan?  V,  464.  —  [Notice 
sur  sa  vie,  XII,  119,  120.  Il  n'est  pas  l'auteur 
du  traité  des  Mystères  et  des  Sacrements, 
120.]  (Voyez  son  article  dans  YHistoire  litté- 
raire de  la  hrance,  t.  IV,  p.  137  et  suiv.) 

AMBROISE- AUTPERT  (le  bienheureux), 
abbé  de  Saint- Vincent,  près  de  Bénévent, 
XII,  120  et  suiv.  Sa  naissance  ;  il  embrasse  la 
profession  monastique  dans  l'abbaye  de 
Saint-Vincent-sur-le-Voiturne ;  ses  études; 
il  est  élevé  au  sacerdoce;  il  est  choisi  pour 
succéder  à  l'abbé  Jean;  sa  mort,  120.  Son 
commentaire  sur  l'Apocalypse,  120  et  suiv. 
Analyse  de  cet  ouvrage,  121 .  Ce  qui  est  dit 
sur  l'Eucharistie,  121, 122.  Sur  la  grâce,  122. 
Sur  le  culte  des  anges,  122  et  123.  Traité  des 


combats,  des  vices  et  des  vertus,  123.  [Édition 
de  ce  traité,  123,  n.  7.]  Vies  des  saints  Pal- 
don,  'Tason  et  Taton,  123.  Autres  ouvrages 
sur  l'Écriture  sainte  qu'on  attribue  à  Am- 
broise-Autpert,  124.  Ses  homélies,  124  et 
123.  [Édition  des  écrits  d'Ambroise-Autpert 
dans  la  Patrologie,  123, 126.] 

AMBROISE,  prêtre  de  l'église  de  Milan, 
consulté  par  Atton  de  Verceil  sur  le  mariage 
du  jQlleul  avec  la  fille  de  son  parrain;  lettre 
que  lui  écrit  Attou  au  sujet  des  femmes  ap- 
pelées prêtresses  et  diaconesses,  XII,  823. 

AMBROISE,  seigneur  de  la  cour  de  l'em- 
pereur Othon.  Lettre  que  lui  écrit  Rathérius, 
évêque  de  Vérone,  XII,  854. 

AMBROISE,  moine  de  Saint-Ouen.  Il  écri- 
vit la  vie  de  sainte  Agnès,  XIV,  187.  (Voyez 
{'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  X,  p. 
264.) 

AMBROISE  LE  CAMALDULE.  Sa  version 
latine  des  dix- neuf  discours  de  saint  Éphrem, 
VI,  70.  —  Sa  version  latine  du  dialogue  de 
Pallade  sur  la  vie  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme,  VII,  493.  —  Sa  version  latine  du  dia- 
logue d'Énée  de  Gaze  sur  la  nature  de  l'âme 
et  la  résurrection  des  corps,  X,  492.  Sa  ver- 
sion latine  des  œuvres  attribuées  à  saint 
Denis  l'Aréopagite,  533.  —  Sa  version  latine 
du  Pré  spirituel,  XI,  703. 

AMBROSIE,  vierge  consacrée  à  Dieu  par 
saint  Ambroise,  V,  434.  Prière  qu'il  fait  à 
Dieu  pour  elle,  437.  Témoignage  que  saint 
Ambroise  lui  rend,  498. 

AMBROSIE  et  EUSïATHIE,  sœurs  ver- 
tueuses que  saint  Grégoire  de  Nysse  trouve 
à  Jérusalem  ;  lettre  de  saint  Grégoire  de 
Nysse  à  Eustathie,  Ambrosie  et  Basihsse,VI, 
124. 

AMBULEIUM  sur  le  Menzo.  Lieu  de  la 
conférence  de  saint  Léon  avec  Attila,  X,  173. 
AME  de  l'homme.  Doctrine  de  saint  Justin 
sur  l'âme,  I,  440.  Doctrine  d'Athénagore, 
485.  Sentiment  de  Tatien  sur  l'âme,  489. 
Doctrine  de  saint  Irénée,  527.  Doctrine  de 
Minutius  Félix,  554.  Doctrine  de  Clément 
d'Alexandrie,  597,  398.  Doctrine  de  saint 
Hippolyte,  640.  —  Livre  du  témoignage  de 
l'âme,  ouvrage  de  Tertullien  avant  sa  chute, 
II,  30,  31.  Traité  de  l'âme,  ouvrage  de  Ter- 
tulhen  après  sa  chute,  39  et  suiv.  Doctrine  de 
Tertullien  sur  l'âme,  72,  82,  83.  Doctrine 
d'Origène  sur  l'âme,  210,  222,  223,  524. 
Traité  de  l'âme,  attribué  à  saint  Grégoire  de 
Néocésarée,  446,  447.  Sentiment  d'Arnobe 
sur  l'âme,  492.  Doctrine  de  Lactance,  512. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


49 


Erreur  de  quelques  Arabes  combattues  par 
Origène,  554.  —  Doctrine  de  saint  Méthode, 
évêque  de  Tyr,  III,  63,  70.  [Doctrine  de  Ma- 
caire  Magnés,  156.]  Livre  de  saint  Eustathe 
d'Anlioche  sur  l'âme,  161,  162.  Opuscule  at- 
tribué à  Eusèbe  de  Césarée   sur  Fâme  de 
l'homme,  228.  Doctrine  du  même  Eusèbe  sur 
l'âme,  [225,]  23 8,  [257,  258,]  280, 281.— Doc- 
trine de  saint  Hilaire  de  Poitiers  sur  l'âme, 
IV,  71.  —  Remarque  de  Claudien  Mammert 
touchant  la  doctrine  de  saint  Hilaire  sur  ce 
point,  X,  352.  —  Doctrine  de  saint  Alhanase, 
IV,  204.  Erreurs  des  Manichéens  sur  l'âme, 
333.  Doctrine  de  saint  Sérapion,  évêque  de 
Thmuis,  334,  335.  Erreurs  des  Priscillianistes 
sur  la  nature  de  l'âme,  614.  —  Doctrine  de 
saint  Cyrille  de  Jérusalem,  V,  80.   Doctrine 
de  saint  Philastre,  175, 176.  Doctrine  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze,  223,  286,  287,  322, 
323  et  548.  Livre  sur  l'immortalité  de  l'âme, 
ouvrage  perdu  de  saint  Ambroise,  515.  Doc- 
trine de  saint  Ambroise,  406,  407,  548, 
373 ,   574.    [Ames  des  Justes  jouissent  du 
bonheur  du  ciel  avant  la  résurrection,  621. 
Doctrine  de  Didyme  sur  la  préexistence  des 
âmes,   624.   Immorlahté   de   l'âme   d'après 
le  même;  son  état  en  l'autre  vie,  630.]  ~ 
Livre  intitulé  :  De  l'Ame,  faussement  attri- 
bué à  saint  Grégoire  de  Nysse,  VI,  155.  Traité 
de  l'âme  et  de  la  résarrection  :  ouvrage  de 
saint  Grégoire  de  Nysse,  192.  Analyse  de  ce 
traité,  192  et  suiv.  [C'est  par  erreur  qu'on  a 
mis  dans  la  table  du  VI=  volume,  article  saint 
Grégoire  de  Nysse,  que  cet  ouvrage  n'était 
pas  l'œuvre  de  ce  saint.]  [Doctrine  de  Némé- 
sius,  283  et  suiv.  De  l'âme  négligente,  ser- 
mon de  saint  Éphrem,  507.]  —  Doctrine  de 
Rufin  d'Aquilée,  VII,  480.   Dialogue  entre 
saint  Augustin  et  saint  Jérôme  sur  l'origine 
de  l'âme,  ouvrage  supposé,  648.  —  Doctrine 
de  Bachiarius,  VllI,  47.  Doctrine  de  Gassien, 
170  et  suiv.;  d'Evagre,  427, 428;  de  saint  Isi- 
dore de  Péluse,  493.  —  Livre  de  l'immortalité 
de  l'âme,  ouvrage  de  saint  Augustin,  IX,  45. 
Livre  de  la  quantité  ou  de  la  grandeur  de 
l'âme,  ouvrage  du  même  saint  docteur,  46, 
47.  Livre  de  l'esprit  et  de  l'âme,  ouvrage  faus- 
sement attribué  à  saint  Augustin,  286.  Livre 
des  deux  âmes,  ouvrage  de  saint  Augustin, 
336.  Quatre  livres  de  l'âme  et  de  son  origine, 
ouvrage  de  saint  Augustin,  466  et  suiv.  [Trois 
sermons  de  saint  Augustin  sur  l'édification  de 
l'âme  ;  un  du  même  sur  la  sainteté  de  l'âme  et 
sur  les  sortilèges,  841.]  Doctrine  de  saint  Au- 
gustin sur  l'âme,  40,  41,  44,  45,  46,  47, 62, 

TAB.   I. 


63,  67,  140,  143, 144,  160,  203  et  suiv.,  281, 
309,  321,  466   et  suiv.,  469,  470,  471,  472, 
796,  797.   —   Doctrine    de  Théodoret,  X, 
86.  Livre  où  Fauste  de  Riez  traite  de  la  na- 
ture de  l'âme,  348  et  423,  424.  Traité  de 
Mammert-Glaudien  sur  la  nature  de  l'âme, 
contre  Fauste  de  Riez;  analyse  de  cet  ou- 
vrage, 348  et  423.  Autre  ouvrage  du  même 
Mammert  sur  la  dififérence  entre  les  êtres 
spirituels  et  les  êtres  corporels,  354.  Éloge 
que  fait  saint  Sidoine  des  ouvrages  de  Mam- 
mert sur  la  nature  de  l'âme;  diiïérentes édi- 
tions qu'on  en  a  données,  359.  Dialogue 
d'Énée  de  Gaze  sur  l'immortalité  de  l'âme, 
490,  491.  Traité  de  l'âme,  ouvrage  perdu,  at- 
tribué à  saint  Denis  l'Aréop agite,  552.  Traité 
de  la  nature  de  l'âme  et  de  ses  qualités, 
ouvrage    perdu    de  Julien  Pomère  ,    588. 
—  Sentiment  de  saint  Fulgence  de  Ruspe 
sur  l'origine  de  l'âme,  XI,  63.  Traité  de  l'âme 
et  de  ses  facultés,  ouvrage  de  Cassiodore;  en 
quel  temps  et  à  quelle  occasion  il  a  été  com- 
posé, 238.  Analyse  de  ce  traité,  238  et  suiv. 
Pourquoi  l'âme  est  ainsi  appelée,  238.  Défi- 
nition del'âme;  elle  est  spirituelle  et  immor- 
telle, 238  et  239.   Qualité  substantielle  de 
l'âme,  239, 240.  Sa  forme  ;  ses  vertus  morales 
et  naturelles;  origine  de  l'âme,  280.  Siège  de 
l'âme;  construction  du  corps  humain;  com- 
ment on  connaît  les  bons  et  les  méchants, 
241.  État  de  l'âme  après  la  mort,  241  et  242. 
Éditions  de  ce  traité,  254.  Traité  du  prêtre 
Eustratius  :  De  l'état  des  morts  après  cette 
vie,  347,  348.  Doctrine  de  saint  Grégoire  de 
Tours  sur  l'âme,  387.  Dialogue  de  saint  Gré- 
goire le  Grand  sur  l'immortalité  de  l'âme, 
477  et  suiv.  Commentaires  de  Jean  Philopo- 
nus  sur  les  livres  de  l'âme,  ouvrage  d'Aris- 
tote,  631.  Dissertation  de  Jean  sur  les  trois 
facultés  de  l'âme  ;  son  traité  de  la  résurrec- 
tion où  il  est  question  de  l'âme,  652.  Saint 
Sophrone  condamne  l'erreur  de  ceux  qui  en- 
seignaient la  préexistence  des  âmes,  704. 
Traité  de  l'âme,  ouvrage  de  saint  Maxime, 
abbé  de  Ghrysopohs,  767.  Deux  lettres  du 
même  sur  la  nature  de  l'âme,  768.  — Visions 
d'un  moine  sur  l'état  d'une  âme  après  la 
mort,  XII,  50.  Réponse  de  Jean  de  Saba  sur 
l'état  des  âmes  après  la  mort,  99.  Lettre  d'Al- 
cuin  à  Eulahe  sur  la  nature  de  l'âme,  178. 
André,  évêque  de  Césarée  en  Gappadoce, 
examine  dans  sa  thérapeutique  où  vont  les 
âmes  après  la  mort,  426.  Traité  de  Rhaban 
Maursur  la  nature  de  l'âme,  458,  459.  Quel- 
ques fragments  du  traité  de  Ratramne  surla 

4 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


SO 

nature  de  l'âme,  368.  Traité  de  la  nature  de 
l'âme,  ouvrage  d'Hincmar,  archevêque  de 
Reims,  666.  Traité  d'Olympiodore  de  l'état 
de  l'âme  après  sa  séparation  d'avec  le  corps, 
912.  —  Traité  de  l'âme  par  Moïse  Bar-Cépha, 
XIII,  48.  Traité  de  l'âme  par  Michel  Psellus  ; 
ses  quatre  discours  sur  l'âme  et  le  corps  de 
l'homme,  337.  Canon  du  quatrième  concile 
869.  général  de  Constantinople  contre  ceux  qui 
disaient  qu'il  y  a  deux  âmes  dans  l'homme, 
709.  —  Traité  de  l'origine  de  l'âme,  ouvrage 
de  Guillaume  de  Champeaux,  XIV,  193.  Sen- 
timent de  Guibert  de  iNogent  sur  la  manière 
dont  les  âmes  sont  punies  ou  récompensées 
dans  l'autre  monde,  199.  De  la  plainte  et  du 
combat  de  la  chair  et  de  l'âme,  ouvrage  du 
vénérable  Hildebert,  évéque  du  Mans,  218. 
[Extrait  de  saint  Augustin  sur  la  nature  de 
l'âme,  par  Honoré  d'Autun  ;  il  est  inédit, 
302.]  Quatre  hvres  du  cloître  de  l'âme,  ou- 
vrage de  Hugues  Foliet,  attribué  à  Hugues 
de  Saint- Victor,  350.  Quatre  livres  de  l'âme 
et  de  ses  afifections;  ce  que  c'est  que  cet  ou- 
vrage ;  traité  de  la  médecine  de  l'âme,  ou- 
vrage attribué  à  Hugues  Foliet,  3S1 .  Traité  de 
la  sagesse  de  l'âme  de  Jésus-Christ,  ouvrage 
de  Saint-Victor,  3S4.  Traité  de  la  nature  du 
corps  et  de  l'âme,  par  Guillaume  de  Saint- 
Thierri,  387.  Lettres  de  Hugues  de  Ribomond 
sur  la  nature  de  l'âme,  407.  Traité  d'Odon 
d'Orléans  sur  l'origine  de  l'âme,  412.  [Vision 
des  âmes  après  la  mort  et  miracle  de  Sainte* 
Laurent  de  Liège,  ouvrage  de  Jean,  moine  de 
Saint-Laurent,  417].  Sentiment  de  saint  Ber- 
nard sur  l'état  des  âmes  après  leur  sépartion 
du  corps,  486,  487.  [Lettre  d'isaac ,  abbé  de 
l'Étoile,  à  Alcher,  moine  de  Clairvaux,  sur 
l'âme,  696.]  Opuscule  de  Michel  Glycas  sur  l'é- 
tat des  âmes  séparéesdu  corps,  642.  [lia  été  pu- 
blié par  Maï;  ce  qu'il  contient;  fragment  d'un 
anonymesur  le  même  sujet,  1177.  Traité  du 
retour  des  âmes  de  l'enfer,  ouvrage  de  Hugues 
Etérien,  657,  658.  Lettre  dans  laquelle  Gau- 
thier de  Mortagne  réfute  cette  proposition  de 
Hugues  de  Saint-Victor,  que  l'âme  de  Jésus- 
Christ  avait  une  science  égale  à  celle  de  la 
nature  divine,  661.  [Division  de  l'âme  et  de 
l'esprit,  ouvrage  manuscrit  d'Achard,  prieur 
de  Saint-Victor  et  ensuite  évêque  d'Avran- 
ches,  709.  Sur  la  stabilité  de  l'âme,  ouvrage 
d'un  anonyme  du  xii"  siècle,  909.]  Le  cloître 
de  l'âme,  opuscule  du  pape  Innocent  III,  1017. 
Traité  de  l'immortalité  de  l'âme,  ouvrage  de 
Guillaume  d'Auvergne,  évêque  de  Paris,  1022a 
Traité  des  âmes  humaines,  ouvrage  du  même 


évêque,  1028.  Voyez  l'article  de  l'Homme. 

[AME  des  bêtes,  d'après  Didyme  l'Aveugle, 
V,  620.] 

AMÉ,  moine  du  Mont-Cassin,  ensuite  évê-  x 
que  ;  on  ignore  de  quel  siège  ;  Baluze  et  Dom 
Mabillon  pensent  que  c'est  de  Bordeaux,  Xtll, 
494.  Raison  de  leur  conjecture,  S52.  Poëme 
d'Ame  sur  les  actes  des  apôtres  saint  Pierre 
et  saint  Paul;  autres  ouvrages  que  Pierre, 
diacre  lui  attribue;  aucun  n'a  été  imprimé, 
494.  [On  a  une  version  française  de  son  His- 
toire des  Normands,  494.] 

AMÉ,  archevêque  de  Bordeaux,  est  d'abord 
élevé  pour  son  mérite  sur  le  siège  d'Oléron, 

XIII,  5S1,  532.  Le  pape  saint  Grégoire  VII 
l'établit  son  légat  dans  la  Gaule  Narbonnaise, 
la  Gascogne  et  l'Espagne;  il  tient  à  Poitiers 
un  concile  pour  la  dissolution  du  mariage  de 
Guillaume,  duc  d'Aquitaine,  avec  Aldéarde, 
sa  parente  ;  il  est  envoyé  légat  en  Espagne  ;  jq, 
il  tient  un  concile  à  Gironne,  332.  Actes  de 
ce  concile,  353.  Autres  conciles  auxquels  il 
préside  en  quahté  de  légat;  il  est  fait  arche-  joj 
vêque  de  Bordeaux;  il  assiste  au  concile  de  jqç 
Clermont;  sa  mort;  raisons  qui  ont  déter-  ^^^ 
miné  Baluze  et  Dom  Mabillon  à  le  regarder 
comme  le  même  qu'Ame,  moine  du  Mont- 
Cassin  ;  cependant,  on  ne  peut  avec  certitude 
lui  attribuer  les  ouvrages  de  ce  moine,  532. 
Lettres  d'Ame  de  Bordeaux,  332  et  353.  Il  est 
auteur  des  Actes  du  concile  de  Gironne,  353. 
[On  a  encore  de  lui  deux  diplômes,  333.]  Ju- 
gement qu'il  rend  en  faveur  du  monastère  de 
Sainte-Croix  de  Bordeaux,  333  et  593.  [Ses 
écrits  dans  la  Patrologie,  553.]  —  Il  est  trans- 
féré du  siège  d'Oléron  à  celui  de  Bordeaux, 

XIV,  1070. 
AMÉDÉE,  abbé  de  Haute-Colombe,  puis 

évêque  de  Constance  ou  de  Lausanne,  XIV, 
624.  [Notice  sur  Amédée  et  ses  écrits  dans  la 
Patrologie,  623,  n.  4.]  Ce  qu'on  sait  de  sa 
personne;  sa  mort,  624.  Ses  sermons  à  la 
louange  de  la  sainte  Vierge,  623  et  624.  [Ju- 
gement sur  ses  sermons,  623.]  Différentes 
éditions  qu'on  en  a  faites,  623.  [Traductions 
françaises  de  ces  mêmes  sermons;  lettres 
d' Amédée  ;  pièces  qui  le  concernent,  624.] 
(Voyez  son  article  dans  i'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  XII,  p.  575  et  suiv.) 

AMÉLIUS,  évêque  de  Paris,  député  auqua-     j^^, 
trième  concile  d'Orléans,  XI,  859. 

[AMÉLIUS,  prêtre  établi  abbé  du  monas- 
tère de  Saint-Gai,  XII,  631.] 

[AMÉLIUS,  évêque  d'Uzez.  Le  pape  Ser- 
gius  m  lui  écrit,  X1I,743.] 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


SI 


AMEN.  Conclusion  ordinaire  de  la  prière, 
I,  443;  11,  116;  III,  17,  38,  42.  —  Les  fidèles 
répondaient  Amen,  II,  127, 407,  S97,  S98  ;  IX, 
748,  766,  768. 

AMERBACH  (Jean),  savant  imprimeur  de 
Bâle.  Son  édition  des  Œuvres  de  saint  Am- 
broise,  V,  583.  —  Sa  version  latine  de  l'An- 
chorat  de  saint  Épiphane,  VI,  437.  —  Son 
édition  des  Capitulaires,  XII,  226. 

AMI  DE  LA  VÉRITÉ.  Titre  d'un  des  ou- 
vrages de  Sévère  de  Sozople  contre  le  con- 
cile de  Chalcédoine,  XI,  108. 

AMICHUS,  abbé  de  Murbacb,  succède  à 
Haribert,  XII,  218. 

AMIDE,  métropole  de  Mésopotamie  dont 
fut  évêque  saint  Acace,  X,  142.  Le  roi  des 
Perses  s'empare  de  cette  ville,  S85. 

AMIEN  (Saint),  fondateur  d'une  école  de 
vertu  et  de  piété  entre  Antioche  et  Bérée;  il 
presse  saint  Eusèbe  de  prendre  la  conduite 
de  ce  monastère  à  sa  place,  X,  53. 

AMIENS,  ville  de  Picardie.  Chronique  de 
l'Église  d'Amiens,  par  Baudri,  chantre  de 
Térouane,  XUI,  482,  483. 

[AMIS.  Sermon  de  saint  Augustin  sur  les 
faux  amisj  IX,  836,  Combien  ils  sont  à  crain- 
dre, 838.] 

AMITIÉ.  Maxime  de  saint  Basile  sur  l'ami- 
tié, IV,  439.  —  Doctrine  de  saint  Ambroise 
touchant  les  devoirs  de  l'amitié,  V,  445.  — 
Doctrine  de  saint  Jean  Chrysostôme,  VII, 
236.  Sentence  de  saint  Jérôme  sur  l'amitié, 
380.  — Doctrine  de  saint  Augustin  sur  l'ami- 
tié, IX,  29  et  253.  Livre  de  l'Amitié,  ouvrage 
supposé  sous  le  nom  de  saint  Augustin,  286. 
—  Pûëme  de  Théodore  Prodrome  intitulé  : 
L'Amitié  bannie  du  monde,  XIV,  149.  Traité 
de  l'amitié  spirituelle  ,  ouvrage  d'^lrède, 
abbé  de  Riedval,  622.  Traité  de  l'amitié 
chrétienne  ou  de  l'amour  de  Dieu  et  du  pro- 
chain, ouvrage  de  Pierre  de  Blois,  781. 

AMMIA,  prophétesse  de  Philadelphie,  II, 
339. 

AMMON,  soldat,  confesseur  sous  Dèce, 
n,  402. 

AMMON,  évêque  de  Bérénice  en  Egypte; 
saint  Denis  d'Alexandrie  lui  écrit  contre  Sa- 
bellius,  II,  413. 

AMMON,  convaincu  des  erreurs  d'Arius, 
est  chassé  de  l'Église  par  saint  Alexandre, 
évêque  d'Alexandrie,  III,  106. 

AMMON,  moinedeTabenne,depuisévêque, 
IV,  233. 

AMMON  DE  NITRIE  (Saint).  Voyez  Amon 
(Saint). 


AMMON,  solitaire  qui  se  coupe  l'oreille  pour 
n'être  pas  évêque,  VI,  112.  Voyez  Ammone. 

AMMON,  évêque  de  Lyco  en  Egypte.  Lettre 
canonique  qui  lui  est  adressée,  VII,  445, 446. 
Lettre  de  Théophile  à  Ammon,  447. 

AMMON  (Saint),  supérieur  des  moines  à 
Tabenne.  Ce  qui  est  dit  de  lui  dans  les  Vies 
des  Pères  écrites  par  Rufin  d'Aquilée,  VII, 
474.  —  Il  est  visité  par  saint  Pétrone,  X,  160. 

AMMONARION  (deux  saintes),  martyres  à 
Alexandrie,  sous  Dèce,  II,  402. 

AMMONE  (ou  AMMONIUS)  SACCAS,  phi- 
losophe chrétien,  II,  96  et  suiv.  [Actions  fa- 
vorables et  défavorables  à  Ammonius,  99, 
n.  4.]  Profession  d'Ammone;  ses  études;  sa 
manière  d'enseigner,  96,  97.  Ses  disciples, 
97.  Ses  écrits,  et  particulièrement  sa  Con- 
cordance, 97  et  suiv.  Éditions  de  cet  écrit, 
99.  Autres  écrits  qui  lui  sont  attribués,  97,98. 
Jugement  qu'on  a  porté  d'Ammon,  98  et  99. 
Il  meurt  chrétien,  99.  —  Plotin  et  Origène 
prennent  des  leçons  de  lui,  X,  94. 

AMMONE  et  ISIDORE,  moines  qui  accom- 
pagnent saint  Athanase  à  Rome,  instituent  en 
Italie  la  vie  monastique  ;  Ammone,  élu  évê- 
que ,  prend  la  fuite  et  se  coupe  l'oreille 
droite,  IV,  225. 

AMMONE,  solitaire  à  Ganople  en  Egypte. 
Ce  qu'il  a  écrit  touchant  le  martyre  des  soli- 
taires du  Raïthe  et  de  Sinaï,  IV,  283, 284. 

AMMONE,  solitaire.  Réponse  de  Timothée 
d'Alexandrie  à  son  sujet,  V,  92,  93. 

AMMONE,  l'un  des  quatre  grands  frères. 
Ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  Lausiaque 
dePallade,  VII,  474et488. 

AMMONIUS,  prêtre  païen  d'Alexandrie, 
célèbre  professeur  de  grammaire,  retiré  à 
Constantinople,  VIII,  514. 

[AMMONIUS  LE  SCHOLASTIQUE.  Lettres 
que  lui  adresse  Sévère  de  Sozopole,XI,  109.] 

AMOG,  moine  à  qui  saint  Éphrem  écrit, 
VI,  12. 

AMOENUS.  Georges  Fabricius  lui  attribue 
le  Manuel  de  l'Ancien  et  du  Nouveau  Testa- 
ment, qui  est  du  poète  Prudence,  VIII,  106. 

AMOLON  (ou  AMULON),  archevêque  de 
Lyon,  succède  àAgobard,XII,429.  Sa  mort, 
429  et  614.  Ses  écrits  ;  lettre  à  Theutbalde, 
évêque  de  Langres,  429,  430.  Lettre  à  Go- 
thescalc  sur  la  prédestination  et  la  grâce, 
430, 431.  Opuscule  sur  la  grâce,  la  prédesti- 
nation et  le  hbre  arbitre,  qu'on  lui  attribue, 
et  qui  est  de  Florus,  diacre  de  Lyon,  431, 
432.  Autre  opuscule  qu'on  lui  attribue  sur  le 
même  sujet,  432.  Recueil  de  sentences  de 


IV  siècle. 


IV  ou 
V  siècle. 


395. 

IV  ou 
V  siècle. 


ni  siècle. 
Il  siècle. 


IV  siècle. 


IV  siècle. 


V  siècle. 


IV  siècle. 


840. 
852, 


S2 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


saint  Augustin,  432  et  433.  Traité  contre  les 
Juifs,  433.  [Écrits  d'Amolon  dans  la  Patrolo- 
gie,  433.]  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  104  et  suiv.,  et 
dans  l'Avertissement,  p.  xvj.) 
356.  AMON,  abbé.  Lettre  que  lui  écrivit  saint 

Athanase,  IV,  147.  (On  doute  si  c'est  le  même 
que  le  suivant.) 

AMON  (ou  AMMON)  (Saint),  fondateur  des 
solitaires  de  Nitrie  ;  il  garde  le  célibat  dans 
le  mariage,  se  retire  à  Nitrie;  il  y  établit  di- 
vers monastères  ;  il  écrit  à  saint  Athanase, 
3*5  IV,  314.  Sa  mort,  314,  315.  Ses  écrits;  ce 
qu'ils  contiennent  de  remarquable,  31S. 

AMOR  (ou  AMOUR)  (Saint),  diacre  dont 
les  reliques  reposent  à  Bélise,  près  de  Ton- 
gres;  sa  Vie,  attribuée  à  Ecbert  de  Liège, 
XIII,  236. 
AMORION,  ville  de  Phrygie,  prise  par  les 
X siècle,     musulmans;  martyrs  de  cette  ville,  XII,  799. 
789av,  j.-c.       AMOS,  prophète,  I,  178,  179.  Il  était  ber- 
ger de  profession  ;  temps  auquel  il  commence 
de  prophétiser,  178.  Style  de  ce  prophète, 
178  et  179.  —  [Commentaire  de  saint  Éphrem 
sur  le  prophète  Amos,  VI,  439  et  447.]  — 
Commentaire  sur  ce  prophète,  faussement 
attribué  à  Rufin  d'Aquilée,  VII,  477,  478.  — 
Saint  Augustin  remarque  l'éloquence  qui  se 
trouve  dans  le  livre  d'Amos,  IX,  395.  —  Com- 
mentaire de  Guibert,  abbé  de  Nogent,  sur  le 
prophète  Amos,  XIV,  195.  Voyez  l'article  des 
douze  Petits  Prophètes. 
AMOS,  patriarche  de  Jérusalem.   Lettre 
597,        que  lui  écrit  saint  Grégoire  le  Grand,  XI,  510. 
AMOUR.  Livre  delà  substance  de  l'amour, 
ouvrage  faussement  attribué  à  saint  Augus- 
tin, IX,  286. 

AMOUR  DE  DIEU  ET  DU  PROCHAIN. 
Doctrine  d'Origène,  II,  244  —  Doctrine  de 
saint  Augustm,  IX,  197  et  517,  807,  808.  — 
Discours  de  saint  Golomban  sur  l'amour  de 
Dieu  et  du  prochain,  XI,  623. 

AMOUR  DE  DIEU.  Opuscule  attribué  à 
Eusèbe  de  Césarée  sur  ce  sujet,  III,  234.  — 
Doctrine  de  saint  Basile  le  Grand,  IV,  513  et 
542.  —  Doctrine  de  saint  Ambroise,  V,  577. 
—  Doctrine  de  saint  Grégoire  de  Nysse,  VI, 
253.  —  Doctrine  de  saintJean  Chrysoslôme, 
VII,  177  et  273.  —  Amour  de  Dieu  et  amour 
des  biens  périssables,  morale  de  saint  Au- 
gustin, JX,  226.  Excellence  de  la  charité,  227. 
Livre  de  l'amour  de  Dieu,  ouvrage  attribué  à 
saint  Augustin,  286.  Doctrine  de  saint  Augus- 
tin sur  l'amour  de  Dieu,  64,  197,  499,  694, 
807  ,    808.     [  Sermon    du    même    sur    ce 


sujet,  841.]  —  Doctrine  de  saint  Cyrille 
d'Alexandrie,  VIII,  264.  —  Doctrine  de  saint 
Pierre  Chrysologue,  X,  12.  —  Livre  des  di- 
vins amours,  ouvrage  de  Siméon  le  jeune, 
abbé  de  Saint-MamasdeConstantinople,XIII, 
226,  227,  228.  —  [Ce  qu'Anselme  de  Laon  dit 
de  l'amour  de  Dieu,  XIV,  183.]  Soliloque 
d'Hugues  de  Saint- Victor  sur  l'amour  de 
Dieu,  351.  Discours  sur  l'amour  de  l'époux 
et  de  l'épouse,  332.  Traité  de  la  nature  et  de 
la  dignité  de  l'amour  divin,  ouvrage  de  Guil- 
laume, abbé  de  Saint-Tbierri,  387.  Traité  de 
saint  Bernard  sur  l'amour  de  Dieu,  475  et 
476.  [Adam,  abbé  de  Perseigne,  parle  de 
l'amour  de  Dieu  dans  plusieurs  de  ses  let- 
tres, 883.]  Voyez  Charité. 

AMOUR  DU  PROCHAIN.  Sermons  dou- 
teux  de  saint  Augustin  sur  ce  sujet,  IX,  243. 
Doctrine  de  saint  Augustin,  128,  138  et  317, 
807.  [Sermon  du  même  sur  ce  sujet,  841.] 
—  Huit  discours  de  saint  Césaire  d'Arles  sur 
l'amour  du  prochain,  XI,  139,  140. 

AMOUR  DES  ENNEMIS.  Doctrine  de  saint 
Ambroise,  V,  439,  440  et  577.  —  [Deux  ser- 
mons de  saint  Augustin  sur  ce  sujet,  IX,  841.] 

AMOUR  PATERNEL.  Doctrine  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze,  ,  277.  Doctrine  de 
saint  Ambroise,  410,  411. 

AMOUR.  DE  SOI-MÊME.  Doctrine  de  saint 
Augustin,  IX,  197. 

AMOUR  DU  VRAI  BIEN.  Doctrine  de  saint 
Augustin,  IX,  70. 

AMOUR  DES  BIENS  DU  MONDE.  Doc- 
trine de  saint  Augustin,  IX,  18. 

AMOUR  DE  L'ARGENT.  Discours  de  saint 
Valérien  de  Cémèle  sur  les  mauvais  effets 
que  produit  l'amour  de  l'argent,  X,  159. 

AMOUR  (Saint),  diacre.  Voyez  Amor. 

AMPÈLE  (Saint),  martyr  d'Abitine  à  Car- 
thage,  III,  20.  Sa  confession,  22. 

AMPHILOCHIA.  Traité  de  Photius,  ainsi 
intitulé,  parce  qu'il  répond  à  des  questions 
proposées  par  Amphiloque,  métropolitain  de 
Cyzique  ;  idée  de  cet  ouvrage,  XII,  733.  [Du 
nom,  de  l'origine  et  du  but  de  l'Amphilo- 
chie,  969,  970.  Photius  est  l'auteur  de  tou- 
tes les  questions  de  l'Amphilochie,  970.  Ma- 
tières traitées  dans  cet  ouvrage,  971, 972.  Ma 
nuscritBprincipauxderAmphilochie,972,973. 
La  nouvelle  édition  dans  la  Patrologie,  973.] 

AMPHILOQUE,  père  de  saint  Amphiloque 
d'Icône,  se  retire  avec  son  fils,  V,  364.  Se 
plaint  de  l'élection  de  son  fils,  465. 

AMPHILOQUE  (Saint), archevêqued'Icone, 
V,  364  et  suiv.  Commencement  de  la  vie  de 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


53 


saint  Amphiloque;  il  professe  la  ré;thorique 
il  paraît  dans  le  barreau  ;  il  se  retire  dans  la 
solitude,  364.  Il  est  fait  évêque  d'Icone,  364 
et  365.  Il  va  à  Gésarée;  il  prend  soin  de 
l'église  d'Isaurie,  365.  Saint  Basile  désire  le 
voir  pour  le  consulter  sur  diverses  affaires, 
365  et  366.  Saint  Amphiloque  assemble  un 
concile;  lettre  de  saint  Amphiloque  à  quel- 
ques évéques  macédoniens;  saint  Amphi- 
loque envoie  des  présents  à  saint  Basile,  366. 
Il  assiste  à  divers  conciles,  366  et  367.  Il  va 
à  Parnasse  à  la  prière  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  367.  Il  assiste  à  la  dédicace  de 
l'église  de  Rufin  et  au  concile  de  Constanti- 
nople  ;  il  combat  les  Messaliens,  367,  368, 
369.  Sa  mort,  368.  Ses  écrits  ;  la  plupart  sont 
perdus,  368  et  369.  Ouvrages  qui  lui  sont 
faussement  attribués,  369  et  suiv.  [Homélie 
sur  le  paralytique,  370.  Discours  sur  la  femme 
pécheresse,  370,  n.  4.  Discours  sur  la  Nati- 
vité de  Jésus-Christ,  369,  n.  19.  Sur  la  Vie  de 
l'évéque  Basile,  370,  n.  H.  Homélie  sur  le 
Samedi  saint,  370,  n.  6.]  Jugement  des 
écrits  de  saint  Amphiloque,  373.  Éditions 
des  écrits  de  saint  Amphiloque,  372.  [Doc- 
trine de  saint  Amphiloque  sur  la  présence 
réelle,  675.]  —  Saint  Amphiloque  tient  un 
concile  à  Icône,  IV,  605.  Il  se  trouve  au  concile 
de  381  à  Constantinople,  618.  II  assemble  un 
concile  à  Side  pour  condamner  les  Messa- 
liens, 646.  Saint  Basile  compose  à  sa  prière 
son  livre  du  Saint-Esprit;  lettre  que  lui  écri- 
vit saint  Basile  le  Grand,  419.  Ordination 
d' Amphiloque  ;  autre  lettre  que  lui  écrivit 
saint  Basile,  457.  Première  lettre  canonique 
de  saint  Basile  adressée  à  saint  Amphiloque, 
458  et  suiv.  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Basile, 
463.  Seconde  lettre  canonique  de  saint  Basile 
adressée  à  saint  Amphiloque,  465  et  suiv. 
Troisième  lettre  canonique  de  saint  Basile 
adressée  à  saint  Amphiloque,  472  et  suiv. 
Lettre  de  saint  Basile  jointe  à  celte  lettre 
canonique,  475.  Autres  lettres  que  saint  Ba- 
sile lui  écrivit,  478,  479.  —  Il  signe  le  testa- 
ment de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  191. 
Lettres  que  lui  écrivit  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze, 249,  265, 266,  267.  Poëme  à  Séleucus, 
faussement  attribué  à  Amphiloque  ;  ce  poëme 
est  de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  290.  — 
[Voyez  cependant  V,  369,  n.  13.] 

AMPHILOQUE,  laïc.  Lettre  que  saint  Gré- 
goire de  Nazianze  écrit  en  sa  faveur,  V,  264. 

AMPHILOQUE,  homme  distingué  par  sa 
science.  Épigrammes  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze  en  son  honneur,  V,  298. 


AMPHILOQUE,  rhéteur.  Épigramme  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze  en  son  honneur, 

V,  298. 

AMPHILOQUE,  ami  de  saint  Grégoire  de 
Nysse.  Lettre  que  ce  saint  lui  écrivit,  VI,  219. 

AMPHILOQUE,  évêque  de  Side,  assiste  au 
concile  d'Éphèse  ;  homélie  qui  peut  lui  être 
attribuée,  V,  370. — Sisinius  de  Constantinople 
lui  écrit  contre  l'hérésie  des  Messaliens,  VIII, 
572. 

AMPHILOQUE,  métropolitain  de  Cyziqae, 
pourrait  être  auteur  de  huit  homélies  qui 
sont  attribuées  à  saint  Amphiloque  d'Icone, 
y,  .369.  —  Écrit  que  Photius  lui  adresse  en 
réponse  à  ces  questions,  XII,  733,  769  et 
suiv. 

AMPHION  (Saint),  évêque  d'Epiphanie,  as- 
siste aux  conciles  d'Ancyre  et  de  Néocésarée, 
n,  635,  640. 

AMPRUCLA,  diaconesse.  Lettre  que  lui 
écrivit  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  132. 

AMULON ,  archevêque  de  Lyon.  Voyez 
Amolon. 

ANACÉPHALÉOSE,  ou  récapitulation  des 
preuves  de  la  foi,  ouvrage  de  saint  Épiphane, 

VI,  416  et  522. 

ANACHORÈTES  (Saints)  tués  en  Egypte 
par  les  Sarasins,  VIII,  168.  Origine  et  profes- 
sion des  anachorètes,  186.  —  Leurs  mortifi- 
cations ordinaires,  X,  55,  56.  Voyez  Moines. 

[ANACHORÈTES.  Des  solitaires  et  des  ana- 
chorètes, sermon  de  saint  Éphrem,  VI,  500.] 

ANACLET  (Saint),  pape.  Décrétâtes  qui  lui 
sont  faussement  attribuées,  VI,  80. 

ANACLET  n  (Pierre  de  Léon),  antipape,  est 
élu  en  concurrence  du  pape  Innocent  II,  XIV, 
256.  Différents  conciles  où  il  est  anathéma- 
lisé  et  Incocentll  reconnu  papelégitime,  1111 
et  1113.  Sa  mort,  257.  (On  a  de  lui  quelques 
lettres.)  [Notices  sur  l'antipape  Anaclet,  ses 
lettres  dans  la  Pafrologie,  257,  n.  1.] 

ANAGNI,  ville  d'Italie.  Lettre  du  pape 
Alexandre  III  qui  exempte  de  toute  charge 
les  commensaux  de  Tévêque  et  de  l'église 
d'Anagni,XIV,926. 

ANAGOGIE.  Sa  définition  par  l'abbé  Nes- 
téros,  VIII,  182. 

ANAGRATES,  vieux  château  des  Vosges, 
aujourd'hui  Anegrai.  Saint  Colomban  y  éta- 
blit un  monastère,  XI,  613. 

ANALYTIQUES,  ouvrage  d'Aristote  tra- 
duit par  Boëce,  X,  663.  —  Commentaire  de 
Jean  Philoponus  sur  ce  traité,  XI,  651. 

ANANIAS  (Suint),  prêtre  et  martyr  de 
Perse,  III,  321  et  327. 


IV  siècle. 
IV  siècle. 


V  siècle. 


IX  siècle. 


IV  siècle. 


404. 


374. 


1130. 


1138. 


XII  siècle. 


344. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


34 

*«"•  ANAPSYCHIE,  femme  de  Marcellin,  gou- 

verneur d'Afrique.  Lettre  que  saint  Jérôme 
leur  écrit,  VII,  633;  IX,  145,  146. 

ANASTASE  (Saint),  pape  et  confesseur,  VI, 

398.  334  et  suiv.  En  quel  temps  il  est  fait  pape; 
son  zèle  pour  la  foi  catholique,  334.  Apologie 
de  Rufin  au  pape  saint  Ana stase,  334  et  335. 

401.  En  quel  temps  elle  peut  avoir  été  écrite  ; 
sentimens  différents  sur  cette  apologie,  335. 
Lettre  de  saint  Anastase  à  Jean,  évêque  de 
Jérusalem,  335  et  336.  Le  pape  saint  Anas- 
tase a-t-il   véritablement  condamné  Rufin, 

336,  337.  [Note  sur  la  lettre  relative  à  cette 
condamnation,  336,  n.  9.  Lettre  à  saint  Sim- 
plicien,  évêque  de  Milan,  337.]  Autres  lettres 
de  saint  Anastase  que  nous  n'avons  plus, 

337,  338.  Divers  règlements  attribués  au  pape 
saint  Anastase,  338.  Sa  mort  ;  éditions  de  ses 
écrits,  338.  Décrélales  qui  lui  sont  fausse- 
ment attribuées,  94.  —  Lettre  que  lui  écrivit 
Rufin  d'Aquilée,  VII,  452,  453  et  suiv.  Lettre 
d' Anastase  contre  Rufin,  433.  A-t-il  séparé 
Rufin  de  sa  communion,  461,  462.  Lettre  de 
Jean  de  Jérusalem  à  saint  Anastase  ;  lettre  de 
saint  Anastase  à  Jean  de  Jérusalem,  301. 
Apologie  de  Rufin  au  pape  Anastase,  433  et 
suiv.  Lettre  de  ce  pape  à  Jean  de  Jérusalem, 
438.  —  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Paulin, 
évêque  de  Noie,  VIII,  67.  —  Sa  Vie,  écrite  en 
vers  latins  par  Rosvithe,  religieuse  de  Gan- 
dershein,  XII,  877. 

ANASTASE  II,  pape,  succède  à  saint  Gé- 
lase  ;  il  députe  à  Constantinople  pour  la  réu- 
nion de  l'Église,  X,  318.  Il  écrit  à  l'empereur 
Anastase  pour  faire  ôter  des  dyptiques  le 
nom  d'Acace ,  518  et  319.  Requête  des 
Alexandrins  au  pape  Anastase,  519,  520.  Sa 
mort,  518.  Lettre  qu'il  écrivit  au  roi  Clovis 

496.  pour  lui  témoigner  sa  joie  de  ce  qu'il  avait 
embrassé  la  foi  chrétienne,  520.  Lettre  à 
Ursicia  où  Anastase  explique  le  mystère  de 
l'Incarnation,  520  et  521.  Règlement  au  sujet 
des  privilèges  de  l'Église  de  Vienne,  321. 
[Édition  de  ses  lettres  dans  Mansi,  518,  n.  2. 
On  ne  les  retrouve  pas  dans  la.  Patrologie  ; 
trois  fragments,  publiés  par  Baluze,  ne  sont 
pas  de  saint  Anastase,  320^  n.  3.] 

855.  ANASTASE,  antipape  élu  par  une  faction 

opposée  à  Benoît  III,  XII,  409. 

9H.  ANASTASE  III,   pape,   succède    à  Ser- 

gius  m,  XII,  743.  Lettre  que  lui  écrit  Nico- 
las, patriarche  de  Constantinople,  743  et  777. 

913.  Sa  mort,  744.  [On  a  de  lui  deux  privilèges 
reproduits  dans  la  Patrologie,^.  745.] 

1163.  ANASTASE  IV  (Conrad),  pape,  succède  à 


402. 

400. 
401. 

40!2. 

Ï99  et  401. 

400. 

496. 


Eugène  III  et  ne  siège  qu'un  an  et  quelques 
mois;  ses  lettres,  XIV,  911. 

ANASTASE,  à  qui  saint  Augustin  écrivit 
une  lettre,  IX,  128. 

ANASTASE,  successeur  de  Rufus  dans  le 
siège  de  Thessalonique  ;  tient  deux  conciles, 
VIII,  230.  Lettre  du  pape  Sixte  III  pour  con- 
firmer sa  supériorité  sur  les  évêques  d'Illy- 
rie,  452  et  suiv.  —  Lettre  que  lui  écrit  le  pape 
saint  Léon  pour  le  même  sujet,  X,  202.  Il 
abuse  de  son  pouvoir  ;  saint  Léon  lui  en  fait 
des  reproches  et  lui  ôte  l'ordination  des  mé- 
tropolitains, 203,  206.  Lettre  que  lui  écrit 
saint  Léon  à  l'occasion  d'Eutycbès,  216. 

ANASTASE,  prêtre  d'Antioche,  amené  par 
Nestorius  à  Constantinople,  commence  à  nier 
que  la  sainte  Vierge  soit  mère  de  Dieu  ;  Nes- 
torius le  soutient,  VIII,  369. 

ANASTASE,  évêque  de  Nicée,  prétend  aux 
droits  de  métropolitain  sur  une  partie  de  la 
Bithynie.  Le  concile  de  Chalcédoine  s'oppose 
à  sa  prétention,  X,  695.  —  Réponses  aux 
questions  des  orthodoxes  qui  lui  sont  attri- 
buées, XI,  363.  Il  n'est  point  l'auteur  des 
quatre-vingt-treize  questions  qui  lui  ont  été 
attribuées,  601. 

ANASTASE,  surnommé  DICORUS,  empe- 
reur d'Orient,  succède  à  Zenon,  X,  419  et 
485.  Le  pape  Félix  III  lui  écrit  une  lettre  de 
félicitation,  419.  Il  n'est  couronné  par  le  pa- 
triarche Euphémius  qu'à  condition  de  don- 
ner sa  promesse  de  conserver  la  foi  catholi- 
que, 483.  Il  s'indispose  contre  le  patriarche 
Euphémius,  le  fait  déposer  et  le  relègue  à 
Eucaïtes,  488  et  suiv.  Il  emploie  toutes  sortes 
de  moyens  pour  engager  Macédonius,  qu'il 
avait  fait  patriarche  à  la  place  d'Euphémius, 
à  se  déclarer  contre  le  concile  de  Chalcé- 
doine, 488  et  489.  Ne  pouvant  y  réussir,  il  le 
fait  enlever  et  le  relègue  à  Eucaïtes,  489. 
Lettre  que  lui  écrit  le  pape  saint  Gélase,  493 
et  301.  Lettre  du  pape  Anastase,  518,  319. 
11  veut  faire  recevoir  par  le  pape  l'Hénotique 
de  Zenon,  521.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Avit 
de  Vienne  ;  deux  autres  au  nom  du  roi  Sigis- 
mond,  362.  Édit  par  lequel  il  délivre  des 
tributs  tous  les  habitants  de  la  Mésopotamie, 
386.  Il  s'adresse  au  pape  Hormidas  pour 
apaiser  les  troubles  de  Scythie  et  de  Mésie; 
lettres  qu'il  écrit  à  ce  sujet;  il  propose  un 
concile  à  Héraclée,  613.  Conditions  auxquel- 
les le  pape  consent  à  se  trouver  au  concile, 
615.  Lettre  que  l'empereur  écrit  au  pape  en 
renvoyant  ses  légats  ;  son  but  n'était  que  de 
l'amuser  et  de  se  mettre  en  état  de  ne  plus 


U54. 


491. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


55 


512. 


599. 

610. 


craindre  Vitalien,  615  et616.  Le  papel'exhorte 
à  finir  la  réunion  qu'il  avait  commencée,  617, 
618.  Il  congédie  les  légats  du  pape  avec  igno- 
minie ;  le  ttre  où  il  marque  au  pape  qu'il  ne  peut 
souffrir  ses  commandements,  619.  Sa  mort, 
621.  Il  fait  déposer  le  patriarche  Euphémius  et 
confirmer  l'Hénotique  de  Zenon,  722.  Il  con- 
voque un  concile  à  Sidon  où  il  prétend  faire 
condamner  celui  de  Chalcédoine,  750.  — 
[Panégyrique  de  cet  empereur  par  Procope 
de  Gaze,  XI,  180.] 

ANASTASE,  dit  ARTÉMIUS,  proclamé  em- 
pereur d'Orient  après  la  déposition  de  Phi- 
lippique  Bardane,  XII,  23  et  36.  Sa  lettre  au 
pape  Constantin,  23.1  est  déposé  et  relégué 
à  Thessalonique,  37. 

ANASTASE,  abbé,  dont  le  pape  saint  Gré- 
goire parle  dans  ses  Dialogues,  XI,  474. 

ANASTASE  I  (Saint),  patriarche  d'Antio- 
che.  Note  sur  ce  saint,  XI,  359,  n.  5.  Il  se  rend 
odieux  à  l'empereur  Justin  qui  le  faitchasser 
de  son  siège  et  fait  mettre  à  sa  place  Gré- 
goire, abbé  du  Mont-Sina;  motifs  de  cette 
disgrâce,  356.  Après  la  mort  de  Grégoire,  il 
est  rétabli  à  Antioche,  359.  Diflférenles  let- 
tres que  lui  écrivit  le  pape  saint  Grégoire, 
tant  pour  le  consoler  que  pour  le  congratuler 
sur  son  retour,  359  et  360.  Autres  lettres  que 
lui  écrit  ce  pape,  480,  482,  510.  Sa  mort,  359. 
L'empereur  Maurice  le  charge  de  traduire  en 
grec  le  Pastoral  de  saint  Grégoire,  360  et 
528.  Discours  sur  l'Annonciation  de  la  sainte 
Vierge;  autre  sur  la  Transfiguration  du  Sau- 
veur, 360.  Autre  sur  la  Trinité,  360  et  361. 
Autre  sur  Tincirconscrit,  où  il  établit  Tim- 
mensilé  de  Dieu,  361.  Autre  sur  l'Incarna- 
tion, 361  et  362.  Autre  sur  la  Passion  de 
Jésus-Christ,  362.  Autre  sur  la  Résurrection, 
362  et  363.  Le  discours  sur  les  trois  carêmes, 
les  réponses  aux  questions  des  orthodoxes, 
et  l'abrégé  de  la  foi,  sont  trois  ouvrages  qui 
ne  peuvent  être  d'Anastase,  patriarche  d'An- 
tioche,  363.  Ouvrages  d'Anastase  qui  sont 
perdus  ou  qui  n'ont  pas  encore  été  impri- 
més, 363  et  364.  [Son  discours  sur  la  paix, 
594,  n.  l.J  Éditions  qu'on  a  faites  des  ouvra- 
ges d'Anastase,  363,  364,  365;  [et  XI,  594, 
n.  1.]  Il  doit  être  distingué  d'Anastase  sur- 
nommé le  Jeune  et  d'Anastase  le  Sinaïte,  594. 

ANASTASE  II  (Saint),  surnommé  le  Jeune, 
patriarche  d'Antioche ,  succède  à  Anastase 
l'Ancien;  il  est  tué  parles  Juifs  dans  une  sé- 
dition, et  on  l'honore  comme  martyr,  XI,  594. 

ANASTASE,  médecin.  On  lui  défend  l'en- 
trée d'un  monastère  de  filles,  XI,  499. 


ANASTASE,  prêtre  de  Jérusalem  que  le 
pape  saint  Grégoire  charge  de  réconcilier 
son  évêque  avec  le  supérieur  du  monastère 
de  Néas,  XI,  509. 

ANASTASE  (Saint),  moine  persan,  mar- 
tyr. Le  vénérable  Bède  a  corrigé  la  traduc- 
tion de  sa  Vie  ;  celte  traduction  avait  été  faite 
sur  le  grec,  XII,  15.  —  [Prologue  de  Gré- 
goire, clerc,  sur  la  passion  de  ce  moine, XIII, 
602.]  Ses  actes  retouchés  par  Adam  de  Paris; 
on  ne  les  connaît  plus,  237.  Sermon  de 
Pierre  Damien  sur  le  martyre  de  ce  saint, 
308. 

ANASTASE  le  Sinaïte  (Saint),  prêtre  et 
moine  du  montSinaï.  Estime  qu'ont  pour  lui 
les  nouveaux  Grecs;  ses  voyages;  ce  qu'on 
peut  conjecturer  sur  le  temps  ou  il  a  vécu, 
XI,  594.  L'Hodègos,  ou  Guide  du  vrai  che- 
min est  d'Anastase  Sinaïte,  594  et  595.  Ana- 
lyse de  cet  ouvrage,  595  et  suiv.  Considéra- 
tions anagogiques  sur  la  création  du  monde, 
autre  ouvrage  d'Anastase,  599.  Ce  qu'il  con- 
tient de  remarquable,  600.  Ses  cent  cinquante- 
quatre  questions  ;  éditions  qu'on  en  a  faites, 
601.  Analyse  de  ces  questions,  602  et  suiv. 
Discours  sur  la  sacrée  synaxe,  604  et  suiv. 
Deux  discours  sur  le  psaume  vi;  autres  écrits 
attribués  à  Anastase  Sinaïte,  608.  [Discours 
publiés  par  Bandini,  608,  609.  Fragments  di- 
vers publiés  par  Mai  ;  édition  complète  de 
ses  œuvres  dans  la  Patrologie,  609.  Écrits 
nouveaux,  610.]  Livres  perdus,  609,  610. 
[Édition  des  écrits  de  saint  Anastase  Sinaïte 
dans  la  Patrologie,  610.] 

ANASTASE  (Saint),  disciple  de  saint 
Maxime  opposé  au  monothélisme.  L'empe- 
reur Constantin  le  fait  enlever  de  Rome  où 
il  était  avec  saint  Maxime,  760.  Ils  sont  ame- 
nés à  Constantinople,  mis  en  prison  ;  ce  qu'ils 
souffrent  pour  la  foi,  760  et  762.  Sa  mort, 
762.  Sa  lettre  aux  moines  de  Sardaigne,772. 
[Éditions  de  cette  lettre,  772.] 

ANASTASE  (Saint),  apocrisiaire  de  l'Église 
romaine,  opposé  au  monothélisme,  est  en- 
levé avec  saint  Maxime  et  a  part  à  tous  les 
mauvais  traitements,  qu'on  lui  fait  souffrir, 
XI,  761,  762.  Sa  mort,  762.  Sa  lettre  à  Théo- 
dose, prêtre  de  Gangres,  sur  les  souffrances 
de  saint  Maxime  et  de  ses  compagnons;  quoi- 
qu'on lui  eût  coupé  la  main  droite,  il  a  écrit 
plusieurs  ouvrages  ;  il  parlait  distinctement, 
quoiqu'on  lui  eût  coupé  la  langue  jusqu'à  la 
racine,  772. 

ANASTASE,  chanceher,  à  qui  Cassiodore 
écrit,  XI,  219. 


596, 


VII  siècle. 


663. 
655. 


56 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


VI  siècle. 


IX  siècle. 


IX  siècle. 


853. 


860. 


870. 


V.  886. 


[ANASTASE,  évêque  d'EIeuthéropIe.  Dis- 
cours funèbre  sur  cet  évêque  par  Choricius, 
XI,  180.] 

ANASTASE,  que  Canisius  qualifie  abbé  du 
monastère  de  Saint-Euthymius  et  qu'il  dit 
avoir  vécu  dans  le  viiP  siècle,  XII,  59.  Diffi- 
culté sur  ce  dernier  point;  il  est  plus  vrai- 
semblable qu'il  a  vécu  au  ix"  siècle  ;  analyse 
de  son  traité  contre  les  Juifs,  60.  [Le  texte 
grec  publié  par  Maï  est  reproduit  dans  la  Pa- 
trologie,  61.]  Erreur  dont  il  est  accusé,  80. 
[On  doit  distinguer  cet  Anastase  d'Anastase 
le  Sinaïte  et  d'Anastase,  disciple  de  saint 
Maxime,  61.] 

ANASTASE  (Saint),  moine  et  martyr  à 
Cordoue,  XII,  519. 

ANASTASE,  cardinal  du  titre  de  Saint- 
Marcellin,  antipape,  déposé  par  Léon  IV  dans 
un  concile,  XII,  409  et  XIII,  685,  686. 

ANASTASE,  cardinal  du  titre  de  Saint- 
Marcel,  et  bibliothécaire  de  l'Église  romaine, 
déposé  par  Adrien  II  dans  un  concile,  XII 
712,  713.  Doit  être  distingué  d'Anastase  le 
Bibliothécaire  dont  nous  avons  différents 
écrits,  713. 

ANASTASE  LE  BIBLIOTHÉCAIRE  est  dé- 
puté par  l'empereur  Louis  au  huitième  con- 
cile général,  XII,  712.  Son  attachement  au 
pape  Nicolas  I"  ;  il  donne  avis  de  sa  mort  à 
Adon,  archevêque  de  Vienne,  et  de  l'élection 
d'Adrien  II,  587  et  713.  Le  pape  Adrien  II  le 
tire  d'un  monastère  au  delà  du  Tibre,  dont 
il  était  abbé ,  et  le  fait  bibliothécaire  de 
l'ÉgUse  romaine;  il  traduit  en  latin  les  actes 
du  huitième  concile  général,  713.  11  traduit 
aussi  les  actes  du  septième  concile;  on  lui  at- 
tribue encore  la  traduction  des  actes  du 
sixième,  713.  Vies  des  saints,  traduites  par 
Anastase,  713  et  714.  Son  histoire  ecclésias- 
tique ou  chronographie  tripartite  ;  sa  collec- 
tion de  monuments  pour  l'histoire  des  Mono- 
thélites,  714.  Autre  traduction  de  diflérentes 
Vies  de  saints,  714  et  715.  Sa  lettre  à  Adon 
de  Vienne;  autres  à  Hincmar  de  Reims  ;  tra- 
duction d'un  discours  de  saint  Théodore  Stu- 
di  te,  715 .  Vies  des  papes,  recueillies  par  Anas- 
tase, 715  et  suiv.  Preuves  de  l'authenticité  de 
ces  vies  et  qu'elles  sont  véritablement  d'Anas- 
tase, 715  et  716.  [Ces  Vies  ne  lui  appartien- 
nent pas,  d'après  les  auteurs  des  Origines  de 
l'Église  romaine,  715,  n.  7.]  Incertitude  où 
l'on  est  sur  le  temps  de  la  mort  d'Anastase  ; 
jugement  sur  ses  écrits,  718.  [Le  cardinal 
Maï  a  publié  quelques-unes  de  ses  traduc- 
tions, 715.  Les  Œuvres  d'Anastase  le  Biblio- 


thécaire dans  la  Patrologie,  714,  715,  718. 
—  Sa  lettre  à  Landuléus  au  sujet  des  reliques 
de  saint  Etienne,  IX,  328.  —  Il  est  chargé  par 
le  pape  Adrien  II  de  prononcer  l'excommu- 
nication contre  la  ville  de  Naples,  XII,  592. 
[Le  t.  CVIII  de  la  Patrologie  grecque  contient 
en  latin  seulement  l'Histoire  ecclésiastique 
tirée  de  Nicéphore,  de  Georges  le  Syncelle 
et  de  Théophane.] 

ANASTA  SE  (Saint),  d'abord  moine  au  mont 
Saint-Michel,  embrasse  la  vie  monastique, 
XTII,407,  408.  Saint  Hugues  l'engage  avenir 
s'étabhr  à  Gluny;  'il  est  envoyé  en  Espagne 
prêcher  la  fui  aux  musulmans;  il  se  retire 
dans  les  monts  Pyrénées;  sa  mort;  son  traité 
en  forme  de  lettre  sur  l'Encharislie,  408. 
Analyse  de  ce  traité,  408  et  409.  [Sa  repro- 
duction dans  la  Patrologie,  409.  L'auteur  n'a 
jamais  été  disciple  de  Bérenger,  52.]  — 
Lettre  que  lui  écrit  saint  Hugues,  de  Cluny; 
époque  de  sa  mort,  XIV,  52.  [Ses  lettres 
dans  la  Patrologie,  912.]  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VIII, 
p.  162  et  suiv.) 

ANASTASE,  moine  d'Angers.  (On  a  de  lui 
une  profession  de  foi.  Voyez  Dupin.) 

ANASTASE,  archevêque  de  Césarée  en 
Palestine.  Son  traité  du  jeûne  que  l'Église 
grecque  observait  avant  la  fête  de  l'Assomp- 
tion de  la  sainte  Vierge,  XIII,  571.  [Le  tome 
CXXVIII  de  la  Patrologie  grecque  contient  sur 
cet  archevêque  une  notice  tirée  d'Oudin,  le 
traité  du  jeûne  dont  parle  domCeillier,  et  on 
renvoie  à  un  autre  volume  pour  l'Artzibu- 
rius  ou  le  jeûne  contre  la  fausse  religion  des 
Arméniens.] 

ANASTASIE ,  église  des  catholiques  de 
Constantinople,  V,  185,  186.  Poëme  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze  sur  cette  église,  272. 
Poëmes  de  saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  les 
maux  de  cette  église,  306. 

ANASTASIE,  église  des  Novatiens  à  Cons- 
tantinople, V,  186. 

ANASTASIE  (Sainte),  vierge  et  martyre 
dont  les  reliques  furent  rapportées  à  Cons- 
tantinople, V,  186. 

ANASTASIE,  femme  de  Pompée.  Son  at- 
tachement pour  la  foi  catholique;  sa  lettre 
au  pape  saint  Hormidas,  X,  490. 

ANATHÉMATISMES  proposés  à  Nestorius 
par  saint  Cyrille  d'Alexandrie,  VIII,  286  et 
suiv.  Différents  écrits  de  saint  Cyrille  pour  la 
défense  de  ces  anathématismes,309  et  suiv. 
Écrit  perdu,  324.  Marius  Mercator  fait  une 
traduction  latine  des  anathématismes  do  saint 


431. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


57 


Cyrille  et  de,  ceux  de  Nestorius,  en  réfutanl 
ces  derniers,  505,  506.  —  Écrits  de  Tbéodo- 
ret  contre  les  douze  anathématismes  de  saint 
Cyrille,  X,  99,  100.  Livre  de  Gennade,  pa- 
triarche de  Gonstantinople,  contre  ces  ana- 
thématismes ;  fragment  qui  en  reste,  345. 
Anathématismes  des  moines  de  Scythie,  X, 
636. 

ANÂTHÊME  différent  de  l'excommunica- 
tion, IV,  649. —  Discours  de  saint  Jean  Chry- 
sostôme  contre  Tanathême,  VII,  52.  — Lettre 
de  saint  Augustin  sur  l'anathéme,  IX,  188, 
189.  Doctrine  de  saint  Augustin  sur  l'ana- 
théme, 781,  782.  —  Traité  de  l'anathéme, 
attribué  au  pape  Gélase,  X,  505,  506.  — 
Beprésentations  de  saint  Pierre  Damien  au 
pape  Alexandre  II  sur  l'abus  de  mettre  l'ana- 
théme à  la  fin  de  toutes  les  épîtres  décré- 
tales,  XIII,  298,  299. 

ANATOLE  (Saint),  évêque  de  Laodicée  ;  il 
se  trouve  renfermé  dans  Alexandrie  lors- 
qu'elle est  assiégée  par  les  Romains;  secours 
qu'il  y  donne  dans  cette  occasion  ;  il  est  or- 
donné évéque  et  gouverne  l'Église  de  Lao- 
dicée avec  Eusèbe;  il  succède  à  Eusèbe,  II, 
433.  Écrits  de  saint  Anatole,  433  et  suiv.  Son 
canon  pascal,  434.  [Éditions  de  ce  canon  ou 
cycle  pascal,  435. J 

ANATOLE ,  solitaire  de  Sinaï ,  écrit  à 
Évagre  de  Pont.  Lettre  d'Évagre  en  réponse 
à  Anatole,  VI,  115. 

ANATOLE,  patrice,  ami  de  Théodoret. 
Lettres  que  lui  écrit  celui-ci  au  sujet  de  sa 
disgrâce,  X,  22,  24,  67,  68,  69,  72,  73.  Après 
son  rétablissement,  74. 

ANATOLE,  préfet  de  la  milice,  fait  faire 
pour  les  reliques  de  l'apôtre  saint  Thomas 
une  châsse  d'argent,  X,  144.  Il  assiste  au 
concile  de  Chalcédoine,  683. 

ANATOLE,  ecclésiastique  qui  se  rend  ac. 
cusateur  d'ibas,  X,  145. 

ANATOLE,  archevêque  de  Gonstantinople, 
députe  vers  saint  Léon,  VIII,  472.  —  Se  ré- 
concilie avec  ce  saint  pape,  X,  218.  Lettre 
qu'il  écrit  au  pape  saint  Léon  après  son  élec- 
tion ;  réponse  de  saint  Léon,  220.  Autres  let- 
tres que  lui  écrit  ce  pape,  221,  222, 226,231, 
233,  234,  235.  Il  dépose  l'archidiacre  Aétius 
pour  lui  substituer  André,  225.  Il  le  rétablit 
et  dépose  André,  231.  Il  fut  ordonné  évêque 
de  Gonstantinople  après  la  mort  de  saint 
Flavien,  680.  Il  tient  un  concile  où  il  sous- 
crit la  lettre  de  saint  Léon,  680,  681.  Lettre 
que  lui  adresse  l'empereur  Marcien  pour  la 
tenue  d'un  concile  général,  174  et  682.  Il  as- 


siste au  concile  de  Chalcédoine,  683  et  suiv. 
Il  souscrit  à  la  condamnation  de  Dioscore, 
688.  Sa  mort,  344. 

ANATOLE,  diacre  de  Rome.  Lettre  que  lui 
écrit  Ferrand,  diacre  de  Garthage,  contre 
l'hérésie  d'Eufychès,  XI,  88.  Autre  lettre 
qu'il  lui  écrit,  ainsi  qu'au  diacre  Pelage,  sur 
la  condamnation  des  trois  chapitres,  88  et 
suiv. 

ANATOLE,  scholastique ,  propose  cinq 
questions  à  Éphrem  d'Antioche.  Réponses  à 
ces  questions,  XI,  173. 

ANATOLE,  nonce  du  pape  saint  Grégoire 
.*i  Gonstantinople.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape 
au  sujet  de  Jean,  évêque  de  la  Première  Jus- 
tinienne,  XI,  523. 

ANATOLE,  à  qui  Cassiodore  écrit,  XI, 
219. 

ANAXARQUE,  philosophe.  Sa  constance, 
V,  302,303. 

ANAZARBE,  ville  de  Cilicie.  Concile  qui 
s'y  tient  contre  saint  Cyrille  d'Alexandrie, 
VUI,  602. 

ANGHIALE  (Michel),  patriarche  de  Gons- 
tantinople, Voyez  Michel  Anchiale. 

ANGHIN,  abbaye  dans  le  Hainaut,  fondée 
par  Anselme,  comte  de  Ribemont,  XIII, 
512. 

ANCHORAT,  ouvrage  de  saint  Epiphane 
où  sont  recueillies  les  preuves  des  dogmes  de 
la  foi,  VI,  414. 

ANCIEN  TESTAMENT.  Voyez  Testament. 

ANCYRE,  métropole  de  Galatie.  Concile 
qui  y  fut  tenu,  II,  635  et  suiv.  [Comment 
l'Église  romaine  lisait  le  canon  neuvième  du 
concyle  d'Ancyre,  638,  n.  1.]  —  Marcel, 
évêque  de  cette  ville,  IV,  314.  Basile,  évêque 
de  cette  ville,  304.  Lettre  de  saint  Basile  le 
Grand  à  l'Église  de  cette  ville  sur  la  mort 
d'Athanase,  leur  évêque,  432.  Concile  qui  y 
fut  tenu  par  les  Semi-Ariens,  550,  551,  Con- 
cile qui  y  fut  tenu  par  les  Ariens,  603,  604. 

ANDIBÈRE.  Lettre  que  lui  écrivit  Théodo- 
ret pour  lui  recommander  un  ecclésiastique 
qui  lui  était  attaché,  X,  74. 

ANDOCHE  (Saint),  martyr,  II,  473. 

ANDRAGATHIUS  (et  non  ADRA  GATHIUS), 
philosophe,  maître  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme,  VU,  1. 

ANDRÉ  (Saint),  apôtre.  Faux  Évangile  qui 
lui  est  attribué,  I,  273,  Faux  actes  de  saint 
André  ;  actes  de  saint  André  sous  le  nom  des 
prêtres  et  des  diacres  d'Achaïe,  276.  [Le  plus 
grand  nombre  des  érudits  catholiques  admet 
l'authenticité  des  Actes  de  saint  André,  277, 


451. 


4S8. 


600. 


Après  431. 


XI  siècle. 


374. 


314. 


IV  siècle. 
IV  siècle. 


358. 


375. 


Il  siècle. 
IV  siècle. 


58 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


X  siècle. 


250. 


V  siècle. 


n.  2  et  12.  Voyez  aussi  XI,  383,  n.  3.]  —  Us 
sont  reçus  parles  Priscillianistes,  IV,  614. — 
Saint  Grégoire  de  Nazianze  témoigne  que 
saint  André  a  prêché  dans  l'Épire,  V,  355. 
Les  Encratites  se  servaient  des  faux  actes  de 
saint  André,  VI,  394.  [Éloge  de  saint  André 
par  saint  Éphrem,  485;,  486.]  Témoignage  de 
saint  Épiphane  sur  saint  André,  428.  — 
Éloge  de  saint  André  par  saint  Procle  de 
Constantinople,  VIII,  413.  —  [Un  sermon  de 
saint  Augustin  pour  la  fête  de  saint  André, 
IX,  836  et  841.]  —  Les  Manichéens  avaient 
de  prétendus  actes  de  saint  André,  X,  207. 
—  Ce  que  dit  saint  Grégoire  de  Tours  de  son 
tombeau,  XI,  374.  Livre  des  miracles  de  saint 
André,  ouvrage  du  même  saint  Grégoire, 
383.  Monastère  fondé  à  Rome  sous  le  nom 
de  saint  André  par  saint  Grégoire,  depuis 
pape,  el  dans  lequel  il  embrasse  la  profes- 
sion monastique,  432.  —  Saint  Fortunat  et 
saint  Grégoire  croient  que  saint  André  prê- 
cha l'évangile  dans  l'Achaïe,  406  et  553.  Pa- 
négyrique de  saint  André  par  le  prêtre  Hési- 
chius,  656.  —  [Hymne  du  vénérable  Bède 
pour  sa  fête,  XII,  4.]  Vers  en  son  honneur 
attribués  à  André  de  Crète,  57.  Témoignage 
de  Druthmar  sur  les  rehques  de  saint  André, 
420,  421.  —  [Hymne  pour  la  fête  de  saint 
André,  XIII,  23.]  Sa  Vie,  écrite  par  Épiphane, 
moine  et  prêtre  de  Jérusalem,  51.  Discours 
de  Pierre  Damien  pour  la  fête  de  saint  André, 
309.  —  Sermon  du  vénérable  Hildebert  en 
l'honneur  de  ce  saint,  XIV,  215.  Sermons  de 
saint  Bernard  sur  la  vigile  et  la  fête  de  ce 
saint  apôtre,  484.  Sermon  de  Nicolas  de 
Clairvaux,  492  [et  736.J  Homélie  de  Théo- 
phanes  Céraméus  sur  saint  André,  654.  Trois 
sermons  de  Guillaume  d'Auvergne  pour  la 
fête  de  cet  apôtre,  1026. 

ANDRÉ  (Saint)  de  Lampsaque,  martyr,  II, 
118. 

ANDRÉ,  solitaire  de  Raïthe,  échappé  du 
massacre  de  ses  frères,  contribue  à  leur  don- 
ner la  sépulture,  IV,  285. 

ANDRÉ,  évêque  de  Samosate.  Ses  écrits 
contre  saint  Cyrille  d'Alexandrie,  VIll,  380. 
Il  se  réconcilie  avec  saint  Cyrille  et  Rab- 
bula;  lettres  qui  nous  restent  de  lui;  temps 
de  sa  mort,  381.  11  est  chargé  de  réfuter  les 
anathématismes  de  saintCyrille  ;  saint  Cyrille 
lui  répond,  309,  310.  Lettres  que  lui  écrit 
Alexandre  d'Hiéraple,  376  et  suiv.  11  va 
en  Mésopotamie  pour  se  réconciher  avec 
Rabbula,  378  et  603.  Sa  lettre  aux  éco- 
nomes de  l'église  d'Hiéraple  378.   Retenu 


par  une  maladie,  il  ne  peut  venir  au  con- 
cile d'Éphèse,  580.  Il  se  rend  au  concile  de 
Zeugma,  602.  S'unit  de  communion  avec  433. 
saint  Cyrille;  se  réunit  avec  Rabbula,  603. 
—  Ses  écrits  sont  condamnés  par  Rabbula  ; 
il  en  écrit  à  Alexandre  d'Hiéraple,  X,  143. 

ANDRÉ,  moine  de  Constantinople  à  qui 
Théodoret  adresse  une  de  ses  lettres,  X,  77. 

ANDRÉ,  ami  d'Eutychès,  est  substitué  à 
Aétius,  archidiacre  de  Constantinople,  X, 
225.  Il  est  déposé;  saint  Léon  permet  de 
l'ordonner  prêtre,  à  condition  qu'il  aban- 
donnera les  erreurs  de  Nestorius  et  d'Euty- 
chès, 23. 

ANDRÉ,  diacre,  envoyé  par  un  concile  de 
Constantinople  vers  Eutychès,  X,  669.  Rend 
compte  de  sa  commission,  670. 

ANDRÉ,  évêque  de  Thessalonique,  rentre 
dans  la  communion  de  l'Église  romaine,  X, 
419.  Il  refuse  de  condamner  nettement  Acace; 
lettre  du  pape  Gélase  à  ce  sujet,  494. 

ANDRÉ,  évêque  de  Tarente.  Différentes        592. 
plaintes   portées  contre  lui  au  pape   saint 
Grégoire,  XI,  493. 

ANDRÉ,  moine,  falsifie  une  lettre  d'Eu- 
sèbe,  évêque  de  Thessalonique,  et  compose        eoo. 
divers  discours  sous  le  nom  du  pape  saint 
Grégoire ,  XI,  527.  Ce  pape  le  condamne 
dans  un  concile  comme  faussaire,  536  et  908. 

ANDRÉ  DE  DAMAS,  archevêque  de  Crète,  ym  3,^, 
Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie,  XII, 
57,58.  Plusieurs  discours  et  poésies  qu'on  lui 
attribue,  58,  59.  Tous  ces  écrits  ne  sont  pas 
de  lui;  on  discute  ceux  qui  lui  appartien 
nent;  un  commentaire  sur  l'Apolypse,  qu'on 
lui  attribue ,  est  d'André  de  Césarée ,  59. 
[Ses  écrits  dans  la  Patrologie,  59.] 

ANDRÉ,  évêque  de  Césarée  en  Cappadoce,  y  gjj 
auteur  d'un  commentaire  sur  l'Apocalypse, 
XI,  265  et  XII,  426.  [On  ne  doit  pas  le  con- 
fondre avec  André  de  Damas,  57.]  Discussion 
sur  le  temps  oîi  il  a  vécu,  426  [et  n.  1.]  Juge- 
ment sur  ce  commentaire  ;  éditions  qui  en 
ont  été  faites;  Thérapeutique,  autre  ouvrage 
du  même  auteur,  426.  [Le  t.  CVI  de  la  Patro- 
logie  grecque  contient,  avec  une  notice  tirée 
d'Oudin,  le  commentaire  de  l'Apocalypse;  il 
est  suivi  des  notes  de  Sylburge.] 

[ANDRÉ  DE  BERGAME.  Sa  chronique,  XII,     jx  5,^ 
693.  J 

ANDRÉ,  prêtre,  auteur  de  deux  chaînes  ou 
deux  commentaires  sur  les  Proverbesde  Salo- 
mon  et  sur  le  prophète  Isaïe,  vivait  dans  le        ^^ 
xiir  siècle,  XII,  426. 

[ANDRÉ  (Le  bienheureux)  écrit  la  Vie     xisièc 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


de  saint  Arialde,   son  maître,  XIII,  289.] 

ANDRÉ  SALUS  ou  TINSENSÉ  (Saint).  Sa 
Vie,  écrite  par  Nicéphore,  prêtre  de  l'Église 
de  Constantinople,  XIII,  881.  Analyse  de 
cette  vie,  882. 

ANDRÉ,  évêque  de  Pérouse,  obligé  de  se 
désister  des  droits  qu'il  s'arrogeait  sur  le 
monastère  de  Saint-Pierre-hors-des-Murs  de 
sa  ville,  XIII,  196. 

ANDRÉ,  moine  de  Fleury,  a  laissé  quel- 
ques écrits.  (Voyez  son  article  dans  V Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  VII,  p.  349  etsuiv.) 

[ANDRÉ,  roi  de  Hongrie.  Sept  constitu- 
tions de  ce  prince,  XIII,  413.] 

ANDRÉ  n,  roi  de  Hongrie.  Ses  lettres  au 
pape  Honorius  III,  XIII,  S38. 

ANDRÉ,  abbé  de  Saint-Michel,  près  Bam- 
berg,  auteur  d'une  Vie  de  saint  Otton,  évo- 
que de  Bamberg,  XIV,  180,  181. 

ANDRÉ,  évêque  d'AIéria,  dans  l'île  de 
Corse;  sa  préface  surlesŒvres  deLactance, 
II,  320. 

[ANDRÉONI  (Antoine).  Sa  traduction  ita- 
lienne de  deux  discours  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  V,  362.] 

ANDROMAQUE,  sénateur.  Traité  du  pape 
saint  Gélase  contre  Andromaque  qui  voulait 
rétablir  à  Rome  les  Lupercales,  X,  306, 
S07. 

ANDRONIG  (Saint),  martyr  en  Cilicie,  III, 
31  et  suiv. 

ANDRONIG,  duc.  Lettre  que  lui  écrivit 
saint  Basile  le  Grand,  IV,  430. 

ANDRONIG,  gouverneur  de  la  Pentapole 
Cyrénaïque,  est  excommunié  par  Synésius, 
archevêque  de  Ptolémaïde,  VIII,  25,  28. 

ANDRONIG  GAMATÈRE,  parent  de  l'em- 
pereur Manuel  Comnène.  Ses  différents  ou- 
vrages, XIV,  630.  Son  traité  de  la  procession 
du  Saint-Esprit  contre  les  Latins,  630  et  631. 
Réfuté  par  Jean  Veccus,  patriarche  de  Gons- 
tantinople,  631. 

ANDRONICIEN,  auteur  dont  le  siècle  est 
incertain.  Il  écrivit  contre  les  Eunomiens, 
IV,  410.  —  Idée  que  Photius  donne  de  ses 
deux  livres  contre  les  Eumoniens,  XI,  433. 

ANEAU  (Barthélémy),  luthérien,  dont  on 
a  une  traduction  en  vers  de  la  lettre  de  saint 
Eucher  de  Lyon  à  Valérien,  VIII,  433. 

ANEGRAI  dans  les  Vosges.  Monastère 
fondé  par  saint  Golomban,  XI,  613. 

ANÉMIUS,  évêque  de  Sirmium.  Son  élec- 
tion; conciles  où  il  assiste,  V,  382. 

ANGARDE,  moine  de  Fontanelle.  Voyez 
Aigrade. 


39 

ANGÉLIQUES,  hérétiques.  Ce  qui  en  est     iv  siècle, 
dit  par  saint  Épiphane,  VI,  397.   —  Saint 
Augustin  en  parle,  IX,  736. 

ANGELOMEj  moine  de  Luxeuil.  Ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie;  sa  mort,  855. 
XI,  442.  Son  commentaire  sur  la  Genèse,  442 
et  443.  Sur  les  quatre  livres  des  Rois,  443. 
Sur  le  Cantique  des  Cantiques,  443  et  444. 
Sur  les  Évangiles;  autres  ouvrages  qu'on  lui 
attribue;  jugement  sur  le  style  d'Angelonne, 
444.  [Édition  de  ses  écrits,  444.]  Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  V,  p.  133  et  suiv.) 

ANGELRAMNE  (ou  INGELRAM  ou  EN- 
GUERRAN),  évêque  de  Metz.  Son  éducation  ; 
il  est  fait  abbé  de  Sénones  ;  après  la  mort  de 
saint  Chrodegand,  il  devient  évêque  de  Metz,  veg. 
et  porte  comme  lui  le  titre  d'archevêque  ;  at- 
tachement que  lui  témoigne  le  roi  Charles  ; 
il  se  sert  de  son  crédit  pour  soumettre  l'ab- 
baye de  Sénones  à  l'Église  de  Metz,  XII,  132. 
Sa  mort;  collections  de  canons  qu'il  rédigea  791. 
dans  un  démêlé  qu'il  eut  avec  les  évêques 
des  Gaules,  433.  [11  en  est  le  véritable  au- 
teur, 133,  n.  3.]  Il  est  le  premier  qui  ait  fait 
usage  des  fausses  décrétales,  133  et  [n.  3.] 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de 
laFrance,  t.  IV,  p.  173  et  suiv.) 

ANGERS,  ville  capitale  de  l'Anjou.  Concile        453. 
qui  y  fut  tenu,  X,  708  et  suiv.  —  Formules 
d'Angers  ou  d'Anjou,  XII,  712. 

ANGES.  Dieu  parle  à  Moïse  par  le  minis- 
tère des  anges,  I,  13,  n.  3.  Doctrine  d'Her- 
massurles  anges, 331, 333, 333, 336, 337.  Doc- 
trine de  saint  Ignace,  386,  387.  Doctrine  de 
Papias,  400.  Doctrine  de  saint  Justin,  439,      11  siècle. 
440.  Doctrine  d'Athénagore,  482et483.  Doc- 
trine de  saint  Irénée,  521  et  326.  Doctrine     m  siècle, 
de  Clément  d'Alexandrie,  396.  Doctrine  de     m  siècle, 
saint  Hippolyte,  603.  —  Doctrine  de  Terlul-     ni  siècle, 
lien,  II,  71,  72,  74,  82.  Doctrine  d'Origène,     m  siècle. 
[157],  220,  221,  222.  Doctrine  de  saint  Cy-     m  siècle, 
prien,  331.  [Doctrine  de  saint  Denis  d'Alexan- 
drie, 418.]  Doctrine  de  saint  Grégoire  Thau-     m  siècle, 
maturge,  440.  Doctrine  de  Lactance,  312.  — 
Doctrine  de  saint  Méthode,  évêque  de  Tyr,     ly  siècle. 
III,  70.  [Doctrine  de  Macaire  Magnés,  134, 
135.]  Doctrine  d'Eusèbe  de  Césarée  sur  les     iv  siècle, 
bons  anges,  [238],  277,  278,  279.  Culte  su- 
perstitieux des  anges,  canontrente-cinquième 
du  concile  de  Laodicée,  512.  —  Doctrine  de     iv  siècle, 
saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  70.  Doctrine  de     iv  siècle, 
saint  Athanase,  223.  Doctrine  de  saint  Basile 
le  Grand,  375, 493, 514,  513, 316, 544et  suiv.     iv  siècle. 
—  Doctrine  de  saint  Cyrille  de  Jérusalem,  V,     iv  siècle. 


60 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


IV  siècle. 


IV  siècle. 
IV  siècle. 


IV  siècle. 


IV  et 

V  siècle. 

V  siècle. 

IV  et 

V  siècle. 

IV  et 

V  siècle. 

V  siècle. 


70.  Doctrine  de  saint  Philastre,  175.  Doctrine 
de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  273,  278, 
286,  302,  306,  321,  340,  341.  Doctrine  de 
saint  Ambroise,  546,  547.  Doctrine  de  Di- 
dyme  l'Aveugle,  617  et  [624,  627,  630.]  — 
Doctrine  de  saint  Éphrem,  VI,  10,  58.  Doc- 
trine de  saint  Grégoire  de  Nysse,  239.  Doc- 
trine de  saint  Jean  Chrysostôme,  43, 84,152, 
236,  259,  355,  379,  380.  Homélie,  ou  dis- 
cours sur  les  anges,  faussement  attribué  à 
saint  Jean  Chrysostôme,  260.  Autre  frag- 
ment d'une  homélie  attribuée  au  même  père, 
259.  —  Doctrine  de  saint  Jérôme,  VII,  665. 
—  Doctrine  de  Synésius,  VIII,  32.  Doctrine 
de  saint  Nil,  solitaire  deSinaï,226.  —Doctrine 
de  saint  Augustin,  IX,  204,  205,  260,  305, 
307,  309,  364,  522,  678,  734,  735.  —  Discours 
où  Théodoret  fait  le  parallèle  du  culte  que 
les  païens  rendaient  aux  démons  et  de  celui 
que  les  chrétiens  rendent  aux  anges  ;  il  ex- 
pose la  doctrine  des  uns  et  des  autres  sur  ces 
créatures  spirituelles,  X,  93,  94.  Doctrine  de 
Théodoret  sur  les  anges,  27,  85,  86, 117, 118. 
Doctrine  de  Basile  de  Séleucie,  164.  Doc- 
trine de  Mammert  Claudien,  353.  Doc. 
trine  de  Fauste  de  Riez,  349.  Doctrine  du 
pape  saint  Gélase,  507.  Ce  qui  est  dit  des 
anges  dans  le  livre  de  la  Hiérarchie  céleste, 
attribué  à  saint  Denis  TAréopagite,  454.  — 
Doctrine  de  saint  Fulgence,  XI,  52,  64,  67. 
Doctrine  du  moine  Jobius,  183.  Doctrine  de 
Cosme  d'Egypte,  188.  Doctrine  d'Arétas  de 
Césarée,  265.  [Doclrine  de  Licinien,  429.] 
Doctrine  de  saint  Grégoire  le  Grand,  444, 
449,  564.  Doctrine  d'Anastase  le  Sinaïte  sur 
les  anges,  600.  Doctrine  de  saint  Jean  Cli- 
maque,  688.  Homélie  de  saint  Sophrone  de 
Jérusalem  en  l'honneur  des  saints  anges, 
705.  Doctrine  de  saint  Gai,  736.  Doctrine  de 
Jean  de  Thessalonique,  787.  —  Doctrine  de 
saint  Jean  Damascène,  XII,  95.  Sentiments 
singuliers  d' Ambroise  Autpert  sur  les  anges, 
122,  123.  Un  capitulaire  de  Charlemagne 
défend  de  leur  donner  aucun  nom  in- 
connu, 240.  [Ce  que  saint  Théodoret  Studite 
ditdes  anges,  311.]  Discours  de  Michel,  prêtre 
de  Jérusalem  sur  les  saints  anges,  362.  Té- 
moignage du  pape  Etienne  V  sur  les  anges, 
635.  Ce  que  dit  Rathérius  de  Vérone  sur  les 
anges,  827.  Prose  en  l'honneur  des  anges, 
attribuée  à  Gerbert,  994.  —  Histoire  des  an- 
ges, attribuée  àHermau  Contracte, XllI,  184. 
Discours  de  Jean  Mauropus  sur  la  synaxe  des 
saints  auges,  230.  [Dieu  se  sert-il  des  bons 
et  des  mauvais  anges  pour  punir  les  pé- 


cheurs, question  adressée  à  saint  Pierre  Da- 
mien  par  Buccon  :  réponse  du  saint,  308.] 
Pourquoi,  selon  Pierre  Damien,  on  disait  le 
lundi  la  messe  en  l'honneur  des  anges,  318. 
Sentiment  de  saint  Bruno  sur  nos  anges  gar- 
diens, 576.  —  Homélie  de  saint  Otton,  évè- 
que  de  Bamberg  sur  les  anges,  XIV,  180. 
Sentiment  d'HildeberlduMans  sur  les  anges, 
219.  [Habitations  des  anges,  d'après  Honoré 
d'Autun,  300  ]  Réponse  de  Hugues  Métellus 
à  ces  deux  questions  :  1°  Pourquoi ,  dans 
l'Écriture,  les  anges  sont  appelés  animaux? 
2°  Pourquoi  Dieu  a  racheté  les  hommes  et 
non  les  anges?  367.  Doctrine  de  Robert  de 
Pullussurles  anges,  393  et  396.  Doctrine  de 
saint  Bernard  sur  les  anges,  465  et  486.  Doc- 
trine de  Pierre  Lombard  sur  les  anges,  555, 
556.  [Un  sermon  de  Nicolas,  secrétaire  de 
saint  Bernard,  sur  les  anges,  736.] 

ANGILBERT  (Saint),  abbé  de  Centule  ou  de 
Saint-Riquier.  Son  origine;  il  épouse  Berthe, 
fille  de  Charlemagne;  il  devient  primicier, 
c'est-à-dire  premier  ministre  de  Pépin,  roi 
d'Italie;  ses  liaisons  avec  Alcuin;  lettre  qu'il 
reçoit  de  lui,  XII,  219.  11  quitte  la  cour  et  se 
retire  au  monastère  de  Saint-Riquier  oii  il 
embrasse  la  vie  monastique,  219  et  220.  II  est 
chargé  de  conduire  à  Rome  Félix  d'Urgel, 
condamné  au  concile  de  Ralisbonne  ;  il  de- 
vient abbé  de  Centule  ;  ses  autres  voyages  à 
Rome;  à  quelles  occasions;  sa  mort;  son 
poëme  à  Pépin,  roi  d'Italie;  autre  poëme  à 
la  louange  de  saint  Riquier  et  de  saint  Eloi  ; 
augmentations  qu'il  fait  à  son  abbaye  ;  il  écrit 
lui-même  tout  ce  qu'il  avait  fait  pour  l'avan. 
tage  et  l'ornement  de  son  monastère,  220. 
Règlements  ou  statuts  qu'il  a  donnés  à  cette 
abbaye,  220  et  221.  Il  fut  envoyé  à  Rome  par 
Charlemagne,  232.  [Édition  des  écrits  de  saint 
Angilbert  dans  la  Patrologie ,  221.]  —  Sa 
Vie,  écrite  par  Hariulfe,  abbé  d'Aldenbourg, 
XIV,  234.  Autre  Vie  du  même,  par  Anscher, 
moine  de  Saint-Riquier;  le  pape  Pascal II le 
met  au  nombre  des  saints;  translation  de  son 
corps,  235.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  IV,  p.  414  et  suiv., 
et  le  supplément  à  la  tête  du  t.  XI,  ^.xiiij.) 

ANGILBERT,  abbé  de  Corbie.  Deux  pièces 
de  poésie  de  sa  composition  pour  être  jointes 
au  traité  de  la  doctrine  chrétienne  de  saint 
Augustin,  qu'il  avait  fait  copier  pour  le  roi 
Louis,  frère  de  Carloman;  sa  mort,  XII,  702. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  V,  p.  648  et  suiv.) 

ANGILBERT  H,  archevêque  deMilan,  XIII, 


790. 
793. 


794. 
814. 


890. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


61 


680,  n.  i.  [Écrits  qui  le  concernent  ;  privilège 
qu'il  accorde,  680.] 
r.465.  ANGLETERRE.  Concile  d'Angleterre   où 

Ambroise  Aurélien  est  élu  roi  des  Bretons, 

X,  617.  —  Saint  Grégoire  s'intéresse  à  la 
conversion  des  Anglais;  à  quelle  occasion, 

XI,  430,  431.  Il  envoie  des  missionnaires  en 
leur  pays;  un  grand  nombre  se  convertit, 
437,  438.  Il  achète  déjeunes  Anglais  pour  en 
faire  des  missionnaires,  504.  Il  écrit  à  divers 
évêques  pour  leur  recommander  les  mission- 
naires qu'il  envoie  en  Angleterre,  306.  Trois 
lettres  du  pape  Boniface  V  sur  la  conversion 
des  Anglais,  646.  Le  pape  Honorius  I  envoie 
des  missionnaires  en  Angleterre,  647.  — 
Histoire  ecclésiastique  des  Anglais,  ouvrage 
du  vénérable  Bède,  Xll^  5  et  6.  Lettre  de 

I siècle,  saint  Boniface,  archevêque  de  Mayence, 
adressée  à  tout  le  clergé  d'Angleterre,  49.  — 
Primatie  d'Angleterre  confirmée  à  l'arche- 
vêque de  Cantorbéry,  XIII,  293.  Concile  tenu 
en  Angleterre  vers  903,  740.  Concile  natio- 
nal sous  saint  Dunstan,  757,  738.  Assemblée 
ou  concile  où  se  trouva  le  roi  Edgar,  759. 
—  Livre  de  Florent  Bravon,  de  la  race  royale 
des  Anglais,  ou  généalogie  des  rois  d'Angle- 
terre, XIV,  243,  Histoire  des  rois  d'Angle- 
siècie.  terre,  par  Guillaume  de  Malmesbury,  311 
et  suiv.  Supplément  à  cette  histoire  sous  le 
titre  d'Histoires  nouvelles;  les  Gestes  des 
évêques  d'Angleterre,  par  le  même,  313. 
Histoire  des  Anglais,  écrite  par  Henri  Hung- 
tington,  315.  Histoire  des  rois  d'Angleterre 
et  de  Danemark,  par  Siméon  de  Durham, 

316,  317.  Continuée  par  Jean   d'Hagustad, 

317.  Concile  dont  on  ignore  le  lieu,  1133. 
(Les  autres  conciles  d'Angleterre,  dont  le  lieu 
est  connu,  se  trouvent  indiqués  sous  le  nom 
du  lieu  où  ils  ont  été  tenus.) 

ANGOULÊME,  autrefois  ville  capitale  de 
l'Angoumois,  chef-lieu  du  département  des 
deux  Charentes.  Chronique  d'Angoulême, 
écrite  par  un  auteur  de  la  fin  du  x'  siècle, 

XII,  892.  —  L'histoire  des  évêques  d'Angou- 
lême n'est  qu'une  compilation  de  divers  écri- 
vains ;  l'auteur  n'est  pas  Adhémar,  mais  un 
chanoine  d'Angoulême  qui  vivait  dans  le 
xn'  siècle,  XllI,  105.  —  Concile  tenu  en  cette 
ville,  XIV,  1091. 

ANHAM  en  Angleterre.  Concile  tenu  en 
cette  ville,  XIV,  1033,  1036. 
,gj  ANIANE  en  Languedoc.  Fondation  de  ce 

monastère  par  saint  Benoît ,  surnommé 
d'Aniane,  XII,  257.  Lettre  de  saint  Benoît 
aux  religieux  d'Aniane,  260. 


ANICET  (Saint).  Comment  il  reçoit  saint  ii siècle. 
Polycarpe,I,  393:  —  Prétendu  concile  tenu  à 
Rome  sous  ce  pape,  II,  537.  Saint  Anicet  re- 
çoit avec  respect  soint  Polycarpe  sans  con- 
venir de  lui  avec  la  pâque,  340.  —  Décrétale 
qui   lui   est  faussement   attribuée,   VI,   82. 

ANICIUS  BASSUS,  consul,  accusé  fausse-         431. 
ment  d'avoir  agi    contre    Sixte  III ,   VllI , 
236. 

ANIEN,  chancelier  d'Alaric,  roi  des  Visi- 
goths  en  Espagne,  publie  le  code  Théodo- 
sien,  X,  736. 

ANIEN  (ou  ANNIEN)  le  Pélagien.  Voyez 
Annien. 

ANIMAUX  purs  et  impurs.  Distinction 
connue  de  Noé  et  prescrite  aux  Juifs  par  la 
loi  de  Moïse,  I,  33.  — Recueil  des  propriétés 
des  animaux,  ouvrage  de  saint  Épiphane,  VI, 
420.  —  Animaux  dont  le  pape  Zacharie  in-  vili  siècle, 
terdit  aux  chrétiens  d'Allemagne  de  manger 
la  chair,  Xll,  27.  [Voyez  la  note  3.]  Animal 
singulier  qui  avait  deux  têtes,  194.  —  AnL 
maux  mentionnés  dans  la  Sainte  Écriture, 
traité  sur  ce  sujet,  attribué  à  Hugues  de 
Saint-Viclor,  XIV,  353.  Animaux  suffoqués. 
Voyez  Sang  des  animauv. 

ANION,  comte,  voulait  construire  un  ora-        gQi_ 
toiie  dans  son  château.  Ce  que  prescrit  le 
pape  saint  Grégoire,  XI,  528. 

ANJOU.  Diverses  chroniques  d'Anjou,  XIII, 
327,  328. 

[ANMERKR  et  ROSSLER.  Leur  traduction 
allemande  de  quelques  extraits  d'Eusèbe  de 
Césarée  dans  leur  Bibliothèque  des  Pères, 
III,  313.J 

ANNALES  des  rois  de  France  écrites  par 
Éginard,  XII,  354. 

ANNALES  DE  FRANCE  composées  par 
saint  Prudence,  évêque  de  Troyes.  Ce  qu'en 
dit  Hincmar  ;  elles  paraissent  être,  au  moins 
en  partie,  les  mêmes  que  les  Annales  de  Saint- 
Berlin,  XII,  499.  [Voyez  la  note  4.] 

ANNALES  DE  SAINT-BERTIN.  Elles  ne  jx  siècle, 
portent  ce  titre  que  parce  qu'elles  ont  été 
trouvées  dans  l'abbaye  de  Saint-Bertin,  mais 
elles  ont  été  composées  en  France;  en  com- 
bien de  parties  elles  sont  divisées;  idées  des 
trois  premières  parties;  la  quatrième  partie 
est  de  saint  Prudence,  évêque  de  Troyes,  XII, 
690.  La  cinquième  partie,  attribuée  à  Hinc- 
mar de  Reims,  n'est  certainement  pas  de  cet 
archevêque,  690  et  691.  [Editions  qu'on  a 
faites  des  Annales  de  Saint-Bertin,  691,  692. 
(Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  V,  p.  594  et  suiv.,  et  le 


62 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


supplément  à  la  tête  du  tome  XI,  p.  xxj.) 
IX  siècle.  ANNALES  DE  FULDE.  Idée  de  ces  An- 
nales; l'auteur  paraît  avoir  été  moine  de 
Fulde.  XII,  692.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans 
VHistoi7^e  littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  597 
et  suiv.,  et  le  supplément  à  la  tête  du  t.  XI, 
p.  xxj  ei  suiv.) 
IX  siècle.  ANNALES  DE  METZ.  Notice  de  ces  An- 
nales, XII,  692,  693.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit 
dans  VHistoiî'e  littéraire  de  la  France,  t.  V, 
p.  599  et  suiv.,  et  le  supplément  à  la  tête  du 
t.  XI,  p.  xxij.) 

IX  siècle.         ANNALES.  Différentes  Annales  composées 

dans  le  ix"  siècle,  XII,  693. 

[ANNALES  du  ix=  siècle  dans  la  Patrologie  ; 
Annales  des  anciens  Francs,  XII,  693.] 

ANNALES  DE  SAINT- WAAST.  (Voyez  ce 
qui  en  est  dit  dans  l'avertissement  qui  est  à 
la  télé  du  t.  XI  de  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  p.  xxij  et  suiv.) 

ANNALES  DE  SIMÉON  LOGOTHÈTE,  XII, 
798,799.  Cet  auteur  paraît  être  Simon  Méta- 
phraste,  817,  818. 

[ANNALES  DE  FLEURY.  Leur  édition  dans 
la  Patrologie,  XIII,  35.] 

X  siacie.         ANNALES  D'EUTYCHIUS,  patriarche  d'A- 

lexandrie, XIII,  45,  46. 

[ANNALES  D'HILDESHEIM,  XIII,  66.] 

ANNALES  DE  WISEMBOURG,  XIII,  66. 

ANNALES  DE  CHARLEMAGNE  par  un 
auteur  anonyme,  XIII,  184. 

[ANNALES  DE  SAINT-EMMÉRAN  de  Ra- 
tisbonne,  XIII,  187.] 

ANNALES  DE  SAINT-VITE,  XUI,  259. 

ANNALES  D'HÉPIDANN,  moine  de  Saint- 
Gai,  XIII,  323. 

ANNALES  DE  ZONARE.  Estime  qu'on  en 
doit  faire  ;  division  de  ces  Annales,  XIV,  136. 
Éditions  qu'on  en  a  faites,  156  et  157. 

[ANNALES  DE  BAMBERG,  XIV,  182.] 

ANNALES  DE  MICHEL  GLYCAS,  XIV, 
642. 

[ANNALES  DE  NICÉTAS  C  HENIATE,  XIV, 
1176.  Éditions  de  ces  annales;  leur  impor- 
tance, 1176.] 

ANNATES.  Leur  origine,  XI,  259. 
387.  ANNE,  mère  de  Samuel.  Sujet  de  cinq  ho- 

mélies de  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  168 
et  suiv. 

ANNE  (Sainte),  mère  de  la  sainte  Vierge. 
Tradition  ancienne  sur  sainte  Anne,  rappor- 
tée par  saint  Épiphane,  433.  —  Vers  en  son 
honneur  sous  le  nom  d'André  de  Crète,  XII, 
SB.  Il  parle  de  sainte  Anne  dans  son  discours 
sur  la  Nativité  de  la  sainte  Vierge,  59.  [Pères 


qui  ont  parlé  des  parents  de  la  sainte  Vierge, 
39,  n.  2.  Discours  de  Pierre  d'Argos  sur 
sa  conception,  624.]  Discours  de  Cosme,  pro- 
tovestiaire, en  l'honneur  de  sainte  Anne, 
795. 

ANNE,  la  prophétesse.  Ce  qu'en  dit  saint 
Augustin,  IX,  617.  —  On  a,  sous  le  nom  de 
Méthodius,  un  discours  sur  le  vieillard  Siméon 
et  la  prophétesse  Anne,  III,  67  et  XII,  442. 

ANNE,  reine  de  France,  épouse  Henri  P. 
Lettre  que  lui  écrivit  saint  Pierre  Damien  au 
nom  du  pape  Nicolas  II,  XIII,  247  et  306. 

ANNE  DALASSÈNE,  mère  de  l'empereur 
Alexis  Çomnène,  XIV,  139  et  143.  Son  éloge, 
142,  143. 

ANNE  COMNÈNE,  fille  de  l'empereur 
Alexis  Comnène.  Sa  naissance;  elle  fait  de 
grands  progrès  dans  les  sciences;  elle  est 
fiancée  avec  Constantin  Ducas;  son  mariage 
avec  Nicéphore  de  Brienne;  sa  mort;  son 
Alexiade,  ou  histoire  de  l'empereur  Alexis 
Comnène,  son  père,  XIV,  146.  A  quelle  occa- 
sion elle  la  composa,  146  et  147.  Ce  qu'elle 
contient;  éditions  qu'on  en  a  faites,  147.  [L'é- 
dition Possin  est  reproduite  au  tome  CXXXI 
de  la  Patrologie  grecque.] 

ANNEAU  donné  aux  filles  qui  se  consa- 
crent à  Dieu,  XIV,  288.  Les  abbés,  au 
xu°  siècle,  ne  portaient  l'anneau  que  par  pri- 
vilège du  saint-siége,  535. 

ANNEAU,  ou  dialogue  d'un  chrétien  et 
d'un  juif,  ouvrage  de  Rupert,  abbé  de  Tuy, 
XIV,  288. 

ANNÉE  NOUVELLE.  Sujet  d'une  homélie 
attribuée  à  saint  Jean  Chrysostôme  ou  à  Sé- 
vérien,  évêque  de  Gabales,  VU,  257.  Homé- 
lie sur  l'indication  de  la  nouvelle  année, 
faussement  attribuée  à  saint  Jean  Chrysos- 
tôme, 258,  259.  Dans  l'Orient,  on  commen- 
çait l'année  au  mois  de  septembre,  52  et  261. 
—  La  lettre  que  le  vénérable  Bède  avait 
écrite  sur  les  années  bissextiles  est  perdue, 
XII,  13.  —  Année  de  l'Incarnation  disculée 
par  Hériger,  abbé  de  Lobes,  dans  sa  lettre  à 
Hugues, XIII,  57.  Poëme  de  Fulbert  de  Char, 
très  sur  l'année  et  ses  divisions,  88. 

ANNÉES  DE  PROBATION  au  nombre  de 
trois,  pour  être  admis  dans  les  monastères, 
ordonnées  par  les  Novelles  de  Justinien  et  le 
pape  saint  Grégoire,  XI,  510. 

ANNIEN  LE  PÉLAGIEN.  On  lui  attribue 
la  version  lati  ne  des  sept  panégyriques  de  saint 
Paul  composés  par  saint  Jean  Chrysostôme, 
VII,  86.  On  lui  attribue  aussi  la  version  des 
vingt-six  premières  homélies  du  même  Père 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


63 


sur  saint  Matthieu,  212.  Livre  qu'il  avait 
écrit,  633.  Il  assiste  au  concile  de  Diospolis, 
4i2.  —  Pièces  qui  le  concernent,  IX,  339. 

ANNIE N,  moine  égyptien.  Ses  écrits, 
VIII,  M. 

ANNIUS,  auteur  d'une  version  latine  de 
onze  lettres  de  Synésius,  VIII,  33. 

[ANNIVERSAIRE.  Acte  de  fondation  de 
l'anniversaire  de  saint  Guillaume,  abbé  de 
Saint-Thomas-du-Paraclet,  XIV,  843.] 
I  siècle.  ANNON  (ou  HANNON)  (Saint),  archevêque 
de  Cologne,  assemble  un  concile  à  Osboren, 
Saxe,  où  Cadaloûs  est  déposé,  et  l'élection 
d'Alexandre  II  confirmée  ;  Cadaloûs  faisant 
de  nouveaux  mouvements,  Annon  passe  en 
Italie  où  il  fait  tenir  le  concile  de  Mantoue 
qui  réitère  la  déposition  de  Cadaloûs  et  la 
confirmation  de  l'élection  d'Alexandre  II, 
XIII,  283.  Privilège  que  ce  pape  lui  accorde 
pour  l'abbaye  de  Sigeberg  qu'il  avait  fondée, 
290.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Pierre  Damien, 
301.  Temps  de  sa  mort,  466.  [Ce  qu'on  sait 
des  circonstances  de  sa  vie,  333,  334.  Sa  Vie, 
par  un  anonyme  ;  deux  privilèges  qui  restent 
de  cet  archevêque,  334.] 

ANNONCIATION  DE  ZACHARIE.  Homélie 
de  Moïse  Bar-Cépha  pour  cette  fête,  XIII,  50. 
—  [Sermon  d'Alain  de  Lille  sur  l'Annoncia- 
tion, XIV,  870.]  (C'est  la  fête  qui  a  été  aussi 
nommée  Conception  de  saint  Jean- Bap- 
tiste.) 

ANNOxNCIATION  DE  LA  SAINTE  VIERGE. 
Discours  sur  ce  sujet,  faussement  attribué  à 
saint  Jean  Cbrysostôme,  VII,  287.  Sujet  d'un 
opuscule  attribué  à  saint  Jean  Cbrysostôme, 
333.  —  [Sermon  de  saint  Augustin  sur  l'An- 
nonciation, démontré  authentique,  IX,  245. 
Le  même  sermon  de  saint  Augustin  sur  l'An- 
nonciation, 836.  —  Sermon  de  saint  Pierre 
Chrysologue  sur  l'Annonciation,  X,  11.  Dis- 
cours de  Basile  de  Séleucie  sur  l'Annoncia- 
tion, 166.  [Sermon  de  saint  Léon  le  Grand  sur 
ce  sujet,  276.]  —  Discours  d'Anastase,  pa- 
triarche d'Antioche,  sur  l'Annonciation,  XI, 
360.  [Discours  sur  ce  sujet  par  saint  Sophrone 
de  Jérusalem,  706,  707.  —  Discours  sur 
l'Annonciation  par  saint  Germain,  patriarche 
de  Constantinople,  XII,  43.]  Discours  sur 
l'Annonciation,  attribué  à  André  de  Crète, 
57.  Prose  sur  le  même  sujet  qui  lui  est  aussi 
attribuée,  58.  Vers  pour  la  fête  de  l'Annon- 
ciation, attribués  à  saint  Jean  Damascène, 
83.  Deux  homélies  de  ce  saint  sur  ce  mys- 
tère, 86.  Le  dixième  concile  de  Tolède  fixe 
la  fête  de  l'Annonciation  au  18  décembre, 


656. 


934.  — Homélie  de' Moïse  Bar-Cépha  pour  Xsiècie. 
l'Annonciation,  XIII,  50.  Office  pour  cette 
fête,  attribué  à  HermanContracte,  184.0n  pro- 
pose de  célébrer  cette  fête  hors  du  carême  et  v.  looi. 
le  8,  ou  plutôt  18  décembre  ;  l'ancien  usage 
qui  l'avait  fixée  au  25  mars  prévaut,  765.  — 
Sermond'Yves  de  Cliartres  pour  l'Annoncia- 
tion, XIV,  122.  Sermon  du  vénérable  Hilde- 
bert  sur  l'Annonciation,  215.  Poëme  deMar- 
bode,  228.  Sermon  d'Abailard,  331.  Trois 
sermons  de  saint  Bernard,  484.  Sept  sermons 
de  Pierre  de  Celle  sur  l'Annonciation,  681. 
Sermon  d'Arnould  de  Lisieux,  753,  734;  de 
Guillaume  d'Auvergne,  1027. 

ANNONIUS,  évêque  de  Sébennyte,  quitte 
le  parti  de  Dioscore  ;  ordonne  saint  Protère, 
X,  230. 

ANOMÉENS,  sorte  d'Ariens  ;  ils  reçoivent        358. 
la  seconde  formule  de  Sirmium,  IV,   330. 
Concile  d'Ancyre  assemblé  contre  eux;  ils  y 
sont  condamnés,  350  et  suiv.  Ils  signent  les 
décrets  de  ce  concile,  552.  Ils  persuadent  aux 
députés  du  concile  de  Séleucie  de  recevoir        35g. 
la  formule  de  Rimini ,  573 ,  374.   Homélie 
vingt-quatrième  de   saint  Basile  le  Grand     iv  siècle, 
contre  les  Anoméens,  390  et  suiv.  —  Leurs 
erreurs  réfutées  par  saint  Grégoire  de  Nysse,     jy  siècle. 
VI,  129.  Ce  que  saint  Épiphane  dit  de  cette        386. 
secte,  408,  409.  —  Homélies  de  saint  Jean 
Cbrysostôme  contre  les  Anoméens,  VII,  41  et 
suiv.  Objections  des  Anoméens,  43,  44.  Suite 
des  homéhes  contre  les  Anoméens,  44  et        394. 
suiv.  Erreurs  des  Anoméens  réfutées  par  les 
homélies   de  saint  Jean    Cbrysostôme  sur 
l'Évangile  selon  saint  Jean,  233  et  suiv.  Ré- 
ponses aux  objections  que  ces  hérétiques 
tiraient  de  cet  évangile,  254  et  suiv.  Autres 
fragments  de  ce  Père  contre  les  Anoméens, 
voyez  Acaciens. 

ANOMODE  (ou  ANOMOTE),  auteur  d'un     ix  siècle, 
recueil  de  formules,  XII,  712. 

[ANON,  auteur  d'une  petite  chronique  re-    xii  siècle, 
lative  aux  conquêtes  des  Normands,  XIII, 
511,  n.  3.] 

[ANONYMES.  Traité  d'un  anonyme  sur  les 
solennités,  les  sabbats  et  les  néoménies,  I, 
540, 541.  Fragment  d'un  anonyme  qu'on  croit 
être  Caïus,  562.  —  Anonyme  qui  écrit  vers 
334  une  nécrologie  et  un  calendrier,  IV,  323. 
—  Scholies  de  deux  anonymes  sur  les  dis- 
cours de  saint  Grégoire  de  Nazianze  ;  com- 
mentaire d'un  autre  anonyme  sur  deux  dis- 
cours du  même,  V,  247.  Paraphrases  d'un 
anonyme  sur  le  poëme  du  même  sur  les  livres 
canoniques,  362.  Anonyme  qui  cite  le  corn- 


64 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


mentaire  de  Didyme  sur  les  Psaumes,  620. 

—  Quatre  fragments  historiques  d'un  ano- 
nyme du  vi"  siècle,  XI,  201.  Anonyme  qui  a 
écrit  contre  les  Manicliéens,  342.  Anonyme 
qui  écrit  un  sermon  sur  les  dix  vierges;  ano- 
nyme qui  a  composé  une  règle  ;  autre  ano- 
nyme, 739. — Anonymes  des  Yin°  et  IX' siècles 
édités  dans  la  Patrologie,  XII,  150,  ISl,  152, 
153,  477,  704.  —  Anonymes  du  x=  siècle, 
XIII,  34,  35,  61,  62.  Anonymes  du  xi»  siècle, 
77,  117,  259,  347.  Anonymes  du  xii'  siècle, 
498,  511 ,  n.  3,  526,  n.  3,  540,  602  ;  XIV,  174, 
192,  667,  668,  836,  908  et  suiv.,  1177.  Le 
t.  CV  de  la  Patrologie  grecque  contient  la  Vie 
de  saint  Nicolas  Studite  par  un  anonyme  qui 
écrivit  vers  l'an  890.  Plusieurs  anonymes  sur 
la  liturgie  et  la  morale  sont  au  t.  CVI.  Les 
t.  CVIII,  CIX  en  contiennent  aussi.  Un  ano- 
nyme de  l'an  929  a  fait  une  chronique  des 
papes  qui  est  reproduite  au  t.  CXI;  un  autre 
anonyme  de  l'an  950  a  écrit  la  Vie  de  saint 
Lucie  Jeune  ;  on  y  trouve  indiquée,  sous  l'an 
951,  la  Vie  de  saint  Clément,  évêque  des  Bul- 
gares, par  un  anonyme;  elle  est  reproduite 
dans  le  t.  CXXVl.  —  Vers  politiques  alpha- 
bétiques d'une  âme  souffrante,  au  t.  CXVIII. 

—  Vie  de  saint  Nil  le  Jeune,  abbéede  Crypta- 
Ferrala  dans  le  ïusculum,  précédée  d'un 
commentaije  sur  les  lieux  et  une  chronolo- 
gie, par  un  contemporain,  au  t.  CXX.  —  An- 
tiquités de  Gonstantinople  en  vers  et  eu 
quatre  parties,  par  un  anonyme.  Autre  ano- 
nyme qui  a  fait  le  Testament  de  Salomon, 
t.  CXXII.  Le  tome  CXXXIII  renferme  plu- 
sieurs anonymes  du  xii"  siècle.] 

ANSBERT  (Saint),  archevêque  de  Rouen, 
quitte  la  cour  pour  se  retirer  à  l'abbaye  de 
Fontenelle  dont  il  est  fait  abbé  ;  il  succède  à 
V.  684.  saint  Ouen  dans  l'évêché  de  Rouen  ;  sur  une 
fausse  accusation,  il  est  relégué  dans  le  mo- 
nastère d'Aumon  en  Hainaut;  il  y  compose 
divers  traités  de  piété  ;  nous  ne  les  avons 
point,  XI,  811.  Sa  Vie,  par  Aigrade,  811  et 

IJ39.  XII,  21.  —  Deux  sermons  qu'on  lui  attribue 
sans  fondement,  XI,  811.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  III, 
p.  646  et  suiv.) 

8,g_  ANSBERT  (ou  ANSPERT),  archevêque  de 

Milan.  Différentes  lettres  que  lui  écrit  le  pape 
Jean  VIII,  XII,  643,  645,  648.  Il  est  excom- 

ggi_        munie,  646.  Se  réconcilie  avec  le  pape,  648. 

[L'impératrice  Engelberge  intercède  pour  lui, 

646.  Il  est  déposé  dans  un  autre  concile,  722.] 

ANSCAlRE(ouANSCHAlREou  ANSGARE), 

gQl_        archevêque  de  Hambourg.  Sa  naissance,  son 


éducation  ;  il  est  envoyé  en  Danemark  pour 
y  prêcher  la  foi;  il  passe  en  Suède  où  il  fait 
plusieurs  conversions;   il  est  ordonné  pre- 
mier archevêque  de  Hambourg;  son  voyage 
à  Rome;  le  pape  Grégoire  IV confirme  l'érec- 
tion du  siège  de  Hambourg  et  déclare  saint 
Anschaire  son  légat  dans  les  pays  du  nord, 
XII,  524.  Hambourg  ayant  été  incendié,  le 
diocèse  en  est  uni  à  celui  de  Bremen  (ou 
Brèmes)  et  saint  Anschaire  va  s'établir  dans 
cette  dernière  ville,  525.  Sa  mort,  525  et  698. 
Saint  Rembert  lui  succède,  698.  Sa  Vie,  écrite 
par  saint  Rembert,  son  disciple,  525  et  698. 
Autre  Vie  de  saint  Anschaire,  composée  en 
vers  par  Gualdon,  moine  de  l'ancienne  Cor- 
bie,  698.  [Son  biographe  le  plus  remarqua- 
ble, 525,  n.  2.]  Ses  écrits;  sa  lettre  aux  évê- 
ques  pour  recommander  sa  mission  à  leurs 
prières,  525  et  526.  Vie  de  saint  Villehad, 
premier  évêque  de  Bremen  ;  sentences  choi- 
sies de  l'Ecriture  et  des  Pèressur  toutes  sortes 
de  sujets  de  piété;  [édition  des  écrits  de  saint 
Anscaire  dans  la  Patrologie,  526.  Lettre  que 
le  pape  Sergius  II  écrit  à  saint  Anscaire,  406.] 
—  [Sa  Vie  en  vers,  attribuée  à  Gualdon > 
moine  de  l'ancienne  Corbie,  XIII,  325.]  —  Il 
convertit  les  Danois  et  devient  successive- 
ment archevêque  de  Hambourg  et  de  Brème, 
XIV,  202.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  277  et  suiv.] 

ANSCAIRE  (ou  ANSCHAIRE),  sous-diacre 
de  l'Église  de  Langres,  se  fait  éhre  évêque 
par  un  parti;  il  renonce  à  l'évêché  et  recon- 
naît Isaac,  XII,  637.  Il  est  accusé  au  concile 
de  Savonières  d'être  parvenu  à  Fépiscopat 
par  des  voies  illégitimes,  637  et  XIII,  690. 

ANSCHER,  abbé  de  Saint-Riquier,  succède 
à  Gervin  ;  il  compose  la  Vie  de  saint  Angil- 
bert;  élégie  d'Hariulfeen  son  honneur,  XIV, 
235.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté. 
raire  de  la  France,  t.  XI,  p.  611  et  suiv.) 
ANSE,  abbé  de  Lobes.  Voyez  Anson. 
ANSE,  Ville  du  Lyonnais.  Conciles  qui  y 
furent  tenus,  XIV,  1041  et  1077. 

ANSÉGISE,  abbé  de  Fontenelle.  Ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie,  XII,  332.  Sa 
collection  des  capitulaires  de  Charlemagne 
et  de  Louis  le  Débonnaire,  226  et  332.  Son 
Testament  et  autres  ouvrages  qui  lui  sont  at- 
tribués, 333.  [Ses  capitulaires  dans  la  Patro- 
logie; sa  Vie  et  sa  constitution  dans  la  Pa/^'o- 
logie,  333.]  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  IV,  p.  59  et  suiv.) 

ANSÉGISE,  archevêque  de  Sens.  Le  pape 
Jean  VIII  le  déclare  son  vicaire  dans  les 


826. 


865. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


65 


Gaules,  XII,  681.  Hincmar  de  Reims  s'y  op- 
pose, et  compose,  à  cette  occasion,  son  traité 
sur  le  droit  des  métropolitains,  681  et  682. 
L'empereur  Charles  le  Chauve  entreprend  de 
le  faire  reconnaître,  au  concile  de  Pontion, 
primat  des  Gaules  et  de  Germanie  ;  —  oppo- 
sition qu'il  y  éprouve,  XIII,  718, 719.  [Voyez 
718,  n.  2.] 

ANSEL,  écolâtre  de  Fleury.  On  a  de  lui  le 
récit  d'une  vision,  XIII,  77.  [Éditions  de  cet 
écrit,  77.]  (Voyez  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  VI.  p.  233,  et  à  la  tête  du  t.  X, 
p.  Ivii)',) 

[ANSEL  publie  avec  Mittarelli  quelques 
monuments  anciens  de  Liturgie,  XIII,  23.] 

ANSELME  II,  archevêque  de  Milan.  Le  pape 
Jean  VIII  confirme  les  privilèges  de  son 
Église,  XII,  649. 

ANSELME  m,  archevêque  de  Milan,  réta- 
bli dans  son  siège  par  Urbain  II,  XIII,  420. 
—  11  meurt  à  Constantinople,  XIV,  1077. 

ANSELME,moine  de  Saint-Remi  de  Reims, 
écrit  sous  le  nom  d'Itinéraire  du  pape  saiut 
Léon  ]X  l'histoire  de  la  dédicace  de  l'église 
bâtie  par  l'abbé  Hérimar  et  la  relation  du 
voyage  de  Léou  IX,  XIII,  213.  [Editions  de 
cet  ouvrage,  213,  214.  Jugement  qu'on  a 
porté  de  cet  écrit,  214.]  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VII, 
p.  477  et  suiv.) 

ANSELME,  doyen  de  l'église  de  Liège  et 
non  de  Namur.  Ce  qu'on  sait  des  circons- 
tances de  sa  vie  ;  il  accompagne  à  Rome  l'é- 
véque  Théoduin  ;  il  détermine  l'élection  de 
Thierri  à  l'abbaye  de  Saint-Hubert;  son  His- 
toire des  évêques  de  Liège,  XIII,  231.  [Édi- 
tions de  cette  histoire,  36,  231,  232.]  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VII,  p.  472  et  suiv.) 

ANSELME  I",  évêque  de  Lucques,  est  en- 
voyé à  Milan  avec  saint  Pierre  Damien  pour  y 
remédier  à  la  simonie  et  à  l'incontinence  des 
clercs,  XIII,  244.  Relation  de  cette  légation 
par  saint  Pierre  Damien,  311.  Anselme,  élu 
pape  pour  succéder  à  Nicolas  II,  prend  le 
nom  d'Alexandre  II,  283.  Voyez  Alexan- 
dre II. 

ANSELME  II  (Saint),  évêque  de  Lucques, 
très  attaché  au  pape  saint  Grégoire  VII  ;  il  suc- 
cède au  pape  Alexandre  II  dans  l'évêché  de 
Lucques  ;  il  refuse  d'en  recevoir  l'investiture 
de  l'empereur  Henri  IV  ;  le  pape  saint  Gré- 
goire Vil  l'oblige  de  recevoir  cette  investi- 
ture, puis  il  lui  confirme  l'ordination;  An- 
selme, en  ayant  du  scrupule,  se  fait  moine 

TAB.    I. 


à  Cluny;  saint  Grégoire  l'oblige  à  revenir  à 
son  évêcfaé  ;  son  différend  avec  les  chanoines  i079. 
de  sa  cathédrale,  qu'il  voulait  obliger  à  la  vie 
commune;  l'empereur  Henri  le  chasse  de 
Lucques;  il  se  retire  auprès  de  la  comtesse 
Mathilde  dont  il  était  le  directeur,  XIII,  391. 
Saint  Grégoire  VII  le  fait  son  légat  dans 
toute  la  Lombardie  ;  sa  vie  èdifianle  ;  [por-  lose. 
trait  de  saint  Anselme  tracé  par  le  proles- 
tant Voigt,  392]  ;  sa  mort;  sa  Vie,  écrite  par 
Bardus,  son  pénitencier,  392.  Ses  écrits  : 
Apologie  du  pape  saint  Grégoire  VII,  392  et 
suiv.  Traité  des  biens  de  l'Église,  394.  Ses 
autres  écrits,  394  et  suiv.  Sa  Collection  de 
canons,  394,  n.  6.  [Titres  des  trente  livres 
de  sa  Collection  de  canons,  d'après  Maï,  396, 
397.  Autres  écrits  de  saint  Anselme  et  écrits 
qui  le  concernent,  397.] 

ANSELME,  seigneur  du  diocèse  d'Arras     xi  siècle, 
qui  vexait  les  moines  de  Saint-Amand.  Lettre 
que  Radbod,  évêque  de  Noyon,  écrit  à  son 
sujet  à  Lambert,  évêque  d'Arras,  XIII,  490. 

ANSELME,  comte  de  Ribemont,  emploie 
une  partie  de  ses  biens  à  fonder  différentes 
abbayes;  il  prend  parti  dans  la  première 
croisade  où  il  est  le  premier  après  Godefroy 
de  Bouillon  ;  il  est  tué  au  siège  du  château  ^f^ 
d'Arschots;  sa  relation  de  la  prise  de  Nicée 
est  perdue,  XIII,  312.  Dom  d'Achery  a  pu- 
blié sa  relation  de  la  prise  d'Antioche  et  des 
circonstances  qui  l'accompagnèrent;  ana- 
lyse de  cette  relation,  312  et  313.  Charte  de 
la  fondation  du  monastère  de  Ribemont, 
écrite  de  la  main  d'Anselme  ;  Fabricius  lui 
attribue  par  inadvertance  une  description  de 
la  Terre-Sainte,  qui  est  d'un  frère  mineur  du 
xvi°  siècle,  313.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,t.  VIII,  p.  496 
et  suiv.) 

ANSELME  (Saint),  archevêque  de  Cantor-     y_  4534 
béry.  [Auteurs  à  consulter  sur  saint  Anselme, 
XIV,  1 .  ]  Sa  naissance  ;  son  éducation  ;  il  passe 
en  Normandie  et  se  met  sous  la  discipline  de 
Lanfranc  qui  enseignait  à  l'abbaye  du  Bec  ; 
il  prend  l'habit  monastique  dans  cette  ab- 
baye, 1,  II  en  est  fait  prieur  ;  célébrité  qu'ac-     ^  ^^^ 
quiert  l'école  de  ce  monastère  sous  son  gou- 
vernement, 1  et  2,  Il  est  unanimement  élu        ij^g^ 
abbé  du  Bec  après  la  mort  d'Herlouin  ;  son 
premier  voyage    en    Angleterre  ;    second 
voyage  qu'il  fait  en  ce  royaume  ;  à  quelle       ^^gj 
occasion,  2.  11  est  fait  archevêque  de  Cantor-        4093. 
béry,  2  et  3.  Sa  conduite  dans  l'épiscopat  ; 
le  roi  Guillaume  le  Roux  s'indispose  contre 
lui;  à  quelle  occasion;  il  veut  quitter  son 

5 


66 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 

Autres  lettres  de   saint  Anselme,  37, 


1097. 

1098. 

il  00. 
H02. 

1103. 


1107. 


1109. 


archevêché;  Hugues,  archevêque  de  Lyon, 
l'en  dissuade^  3.  L'indisposition  du  roi  con- 
tinue, 3  et  4.  II  feint  de  lui  rendre  ses  bon- 
nes grâces;  Anselme  passe  à  Rome,  4.  Ses 
entrevues  avec  le  pape  Urbain  II;  il  assiste 
au  concile  de  Bari,  4  et  5.  Il  ne  peut  obtenir 
justice  du  pape;  il  part  de  Rome  et  revient 
en  Angleterre;  il  tient  un  concile  à  Lon- 
dres, 5.  Il  se  brouille  avec  le  roi  Henri  I"  au 
sujet  des  investitures;  son  second  voyage  à 
Rome,  6.  Il  sort  de  Rome;  son  séjour  en 
France,  7.  Par  l'entremise  de  la  comtesse  de 
Blois,  il  se  réconcilie  avec  le  roi  d'Angle- 
terre, 7  et  8.  Son  retour  en  Angleterre  ;  as- 
semblée à  Londres  où  le  roi  renonce  à  l'in- 
vestiture et  se  contente  de  l'hommage;  sa 
difficulté  avec  l'archevêque  d'York;  sa  mort, 
8.  L'Église  le  met  au  nombre  des  saints  et 
des  docteurs,  9.  [Son  éloge,  9.]  Ses  écrits,  9 
et  suiv.  Monologue,  9.  Prologue,  9  et  10. 
Réponse  à  Gaunilon,  10.  Livre  de  la  Trinité 
contre  Roscelin,  10  et  11.  Traité  de  la  Tri- 
nité et  de  l'Incarnation,  11,  12.  Traité  de  la 
procession  du  Saint-Esprit,  12,  13.  Livre  de 
la  chute  du  diable,  13,  14.  Les  deux  hvres  : 
Pourquoi  Dieu  s'est  fait  homme?  14.  Analyse 
de  ce  traité  divisé  en  deux  livres,  14,  15. 
Traité  de  la  conception  virginale  et  du  pé- 
ché originel,  13.  Analyse  de  ce  traité,  IS  et 
16.  Traité  de  la  vérité,  16.  Traité  de  la  vo- 
lonté, 16,  17.  Traité  du  libre  arbitre,  17. 
Traité  sur  la  concorde  de  la  prescience,  de 
la  prédestination  et  de  la  grâce  avec  la  li- 
berté de  l'homme,  17,  18.  Traité  du  pain 
azyme  et  du  pain  fermenté,  18.  Lettres  de 
Valeranne  à  saint  Anselme,  et  de  saint  An- 
selme  à  Valeranne,  18  et  19.   Traité  des 
Clercs  concubinaires,  19.  Traité  des  Maria- 
ges entre  parents,  19  et  20.  Traité  du  Gram- 
mairien; livre  de  la  Volonté  de  Dieu;  Homé- 
lies de  saint  Anselme  ;  Exhortation  au  mépris 
des  choses  temporelles,  20.  Avertissement  à 
un  moribond,  20  et  21.  Lepoëme  du  Mépris 
du  monde  n'est  point  de   saint  Anselme, 
mais  de  Roger  de  Caen,  21.  Méditations  de 
saint  Anselme,  21  et  suiv.  Ses  Oraisons,  22. 
Preuves  qu'elles  sont  de  lui,  23.  Hymnes  en 
l'honneur  de  la  Vierge;  son  Psautier,  23  et 
24.  Lettres  de  saint  Anselme,  23  et  suiv. 
Livre  premier,  23, 26.  Livre  second,  27,  28. 
Livre  troisième,  28  et  suiv.  Livre  quatrième, 
31  et  suiv.  Lettre  sur  l'Eucharistie,  33.  Traité 
de  la  Paix  et  de  la  Concorde,  33  et  34.  Ou- 
vrages qui  ne  sont  pas  certainement  de  saint 
Anselme  ou  qu'on  lui  a  attribués,  34  et  suiv. 


38. 


Oraison  sur  la  Passion;  traité  ascétique  ;  au- 
tres lettres  de  saint  Anselme,  38.  Doctrine 
de  saint  Anselme  sur  l'Écriture  sainte,  38, 39. 
Sur  le  péché  originel  ;  sur  l'Incarnation,  39. 
Sur  la  volonté  de  Dieu  de  sauver  tous  les 
hommes,  39  et  40.  Sur  l'Eucharistie;  sur  la 
confession;  sur  l'excommunication,  40.  Sur 
les  clercs,  40  et  41.  Sur  les  évêques;  sur  le 
pape;  sur  l'ÉgUse,  41.  Sur  la  consécration 
des  églises,  41  et  42.  Jugement  des  écritsde 
saint  Anselme,   42.    Editions  particulières 
qu'on  en  a  faites,  42  et  43.  Éditions  géné- 
rales, 43.  [Éditions  et  traductions  nouvelles, 
43,  44.]  Théologie  de  saint  Anselme,  44.  Sa 
Vie,  écrite  par  Eadmer,  son  disciple,  43.  — 
Incertain  dans  le  choix  d'un  état,  il  est  dé- 
terminé à  se  faire  moine  par  Maurille,  ar- 
chevêque de  Rouen  ;  le  même  prélat  l'oblige 
à  rester  prieur  du  Bec,  XUI,  268.  [Lettre  de 
Wallram  à  saint  Anselme  sur  la  variété  des 
cérémonies,  493.]  Lettres_de  Hugues,  arche- 
vêque de  Lyon,  qui  lui  sont  adressées,  393. 
—  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Pascal  H  en 
réponse  à  plusieurs  questions  qu'il  lui  avait 
proposées,  XIV,  133.  Lettre  que  lui  adresse 
Gilbert,  évêque  de  Limerick  en  Irlande;  ré- 
ponse qu'il  y  fait,  177.  Sa  Vie,  par  Jean  de 
Sarisbery,  679.  Son  épitaphe,  par  Philippe 
de  Bonne-Espérance,  687.  Son  sacre;  il  veut, 
contre  le  gré  du  roi,  aller  demander  le  pal- 
lium  au  pape,  1073.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littérai?'e  de  la  France,  t.  IX,  p.  398 
et  suiv.  et  à  la  tête  du  t.  XI,  p.  xxxij.) 

ANSELME,  abbé  de  Gemblours,  l'un  des 
continuateurs  de  Sigebert,  XIV,  61.  (Voyez 
son  article  dans  IHistoire  littéraire  de  la 
France,  t.  XI,  p.  62-3). 

[ANSELME,  consacré  évêque  de  Tournai 
par  le  pape  Eugène,  111,  274,  n.  1.  Lettre  du 
même  pape  concernant  cet  évêque,  274.] 

ANSELME,  abbé  de  Saint-Edmond  et  ne- 
veu de  saint  Anselme,  archevêque  de  Can- 
torbéry,  est  élu  évêque  de  Londres  ;  ce  qui 
empêche  cette  élection  d'avoir  lieu,  XIV, 
1113. 

ANSELME  DE  LAON,  d'abord  chanoine, 
puis  doyen  de  la  cathédrale  de  Laon  ;  il 
s'oppose  à  l'élection  de  Gaudri,  élu  évêque 
de  Laon;  il  est  cependant  le  seul  qui  lui  té- 
moigne de  l'attachement  dans  ses  disgrâces  ; 
éloge  que  Guibert  de  Nogentfai  tde  sa  science  ; 
sa  mort,  XIV,  182.  Ses  écrits  :  Glose  inter- 
linéaire sur  l'Écriture  sainte,  182  et  183. 
Sa  lettre  où  il  donne  des  règles  pour  conci- 


1113. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


67 


lier  les  contrariétés  apparentes  de  quelques 
endroits  de  l'Écriture  ;  son  Recueil  de  sen- 
tences et  de  questions;  Explication  de  quel- 
ques endroits  des  Évangiles  et  Commentaires 
qu'on  lui  attribue  sur  les  Epîtres  de  saint 
Paul,  183.  Commentaire  sur  saint  Matthieu, 
183,  184.  Commentaire  sur  le  Cantique  des 
Cantiques  et  sur  l'Apocalypse;  autres  écrits 
que  Trithème  lui  attribue,  184.  VersdeMar- 
bode  à  sa  louange,  228.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  X, 
p.  173  et  suiv.) 

ANSELME,  évéquede  Havelburg  (ou  Ha- 
137.       velberg),  envoyé  ambassadeur  à  Gonstanti- 
nople  par  Tempereur  Lothaire  II  ;  ses  con- 
férences avec  les  évoques  grecs  pour  les 
dogmes  qui  les  divisaient  avec  l'Église  ro- 
lie.        maine;  il  est  guéri  miraculeusement  par 
j  (4g        saint  Bernard;   son  voyage  en   Italie;  le 
pape  Eugène  III  le  charge  de  mettre  par 
écrit  le  détail  de  ses  conférences  avec  les 
Grecs,  XIV,  413.  Traité  de  l'Uniformité  de 
l'Église,  413,  414.  Analyse  de  ses  Dialogues 
contre  les  Grecs,  414  et  suiv.  [Édition  de  ses 
écrits    dans  la  Patrologie,  413.]  Apologie 
qu'on  lui  attribue  de  l'ordre  des  chanoines 
réguliers  ;  raisons  de  douter  qu'elle  soit  de 
lui;  autres   écrits  d'Anselme  d'Havelburg, 
416.  [Sa  mort,  416.] 
siècle         ANSELME,  auteur  de  l'Apologie  de  l'ordre 
des  chanoines  réguliers,  doit  être  distingué 
du  précédent,  XIV,  416. 

ANSELME,  évêque  de  Morsi.  -Ses  notes 
sur  les  révélations  du  bienheureux  Cyrille, 
ermite  du  Mont-Carmel,  XIV,  830. 

ANSEMUNDUS.  Lettre  que  lui  écrit  saint 
Avit  de  Vienne,  X,  562. 
^i^^i^         ANSFROI,  abbé  de  Préaux.  Sa  conférence 
avec  Bérenger,  XIII,  167. 

ANSGAR  (Saint),  archevêque  de  Ham- 
bourg. Voyez  Anscaire  (Saint). 

ANSGRADE,  moine  de  Fontenelle.  Voyez 
Aigrade. 

ANSOALDE,  évêque  de  Poitiers,  engage 
Urbain  à  écrire  la  Vie  de  saint  Léger,  XI,  811 . 
:  siècle.  AN  SON,  abbé  de  Lobbes,  écrivit  la  Vie  de 
saint  Ursmar,  XII,  850  (et  celle  de  saint 
Erme  ou  Erminon.  Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  IV,  p.  203 
et  suiv.) 

ANSPËRT,  archevêque  de  Milan .  Voyez  Ans- 
bert. 
siècle.         ANSTÉE,  abbé  de  Saint- Arnould  de  Metz, 
XII,  865. 

ANTAPODOSIS.  Titre  que  Luitprand,  évê- 


que de  Crémone, a  donné  à  son  histoire;  ce 
que  signifie  ce  terme,  XII,  874. 

ANTECHRIST.  Doctrine  de  saint  Justin,  T,  n  siècle. 
440.  Doctrine  de  saint  Irénée,  515  et  528. 
Livre  de  l'Antéchrist,  ouvrage  de  saint  Hip- 
polyte,  619  et  suiv.  Autre  livre  de  l'Anté- 
christ, faussementattribué  à  saint  Hippolyte, 
634.  —  Selon  saint  Cyprien,  on  doit  fuir  les  m  siècle, 
hérétiques  comme  des  antechrists,  II,  344. 
Saint  Cyprien  croyait  que  la  venue  de  l'An- 
téchrist était  proche,  379.  Saint  Victorin  de 
Petau  croit  que  Néron  ressuscitera  pour  être 
l'antechrist,  461 .  —  Doctrine  de  saint  Cyrille 
de  Jérusalem  sur  l'antechrist,  V,  47.  — Dis- 
cours de  saint  Ephrem  sur  la  consommation 
du  siècle  et  sur  l'antechrist,  VI,  24,  25. 
Poèmes  sur  le  même  sujet,  attribués  à  saint 
Éphrem,  25.  —  Livre  de  l'Antéchrist,  ou- 
vrage attribué  faussement  à  saint  Augustin 
(on  croit  que  c'est  celui  d'Adson),  IX,  288. 
—  Ce  que  dit  Théodoret  sur  l'antechrist,  X, 
87.  —  Ce  que  dit  saint  Grégoire  de  Tours, 

XI,  368.  Ce  qu'en  dit  saint  Isidore  de  Séville, 
720.  —  Ce  qu'en  dit  saint  Jean  de  Damas, 

XII,  73.  La  Vie  de  l'antechrist,  attribuée  à 
Alcuin,  est  d'Adson,  abbé  de  Montier-en- 
Der,  sur  la  fin  du  x^  siècle,  186,  187,  459, 

885.  Le  même  traité,  attribué  à  Rhaban 
Maur,  459  et  888.  [Ce  traité  est  l'ouvrage 
d'Adson,  abbé  de  Montier-en-Der  ;  il  n'estni 
de  Raban,  ni  d' Alcuin,  encore  moins  de  saint 
Augustin,  885.]  Analyse  de  ce  traité,  885, 

886.  —  Opuscule  de  Pierre  Damien  sur  l'an-    xii  siècle, 
techrist,  XJII,  322.  —Traité  de  l'Antéchrist,        nos. 
ouvrage  de  Géroch,  prévôt  de  Reichersperg, 

XIV,  632.  Un  concile  assemblé  à  Florence 
combat  l'opinion  de  l'évêque  Fluentius,  qui 
croyait  que  l'antechrist  était  né,  1079. 

ANTENOR,  évêque  régionnaire.  (Il  écri-    viilsiicie. 
vit  la  vie  de  saint  Sylvain,  évêque  de  Thé- 
rouanne.  Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  IV,  p.  49.) 

ANTÈRE  (Saint),  pape.  Décrétale  qui  lui        467. 
est  attribuée  faussement,  VI,  85. 

ANTHÉMIUS,  prêtre,  souscrit  au  faux 
concile  d'Ephèse  pour  Patrice,  évêque  de 
Tyanes,  X,  679. 

ANTHÉMIUS,  reconnu  empereur  d'Occi- 
dent, protège  l'hérétique  Philothée,  X,  339. 
Son  panégyrique,  par  saint  Sidoine  ApoUi-        457. 
naire,  396. 

ANTHÈME,   sous-diacre  de  l'Église  ro- 
maine  et  recteur  du  patrimoine    d'Italie. 
Différentes  lettres  que  lui  écrit  le  pape  saint         595. 
Grégoire,  XI,  482, 505.  Ordre  que  lui  donne  ce 


m 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


pape,  308.  Autres  lettres  de  ce  pape,  527, 531 . 
m  siècle.         ANTHIME  (Saint),  prêlre  etmartyr,  III,  100. 
303.  ANTHIME  (Saint),  évêque  de  Nicomédie, 

martyr,  III,  74. 

ANTHIME  et  BONIFACE  (Saints),  martyrs. 
Sermon  de  Pierre  Damien  pour  le  jour  de 
leur  fête,  XIIl,  308. 
372.  ANTHIME,  évêque  de  Tyanes,   dispute 

avec  saint  Basile  de  Gésarée  au  sujet  des 
églises  de  Cappadoce.  II  empêche  saint  Gré- 
goire de  Nazianze  de  prendre  possession  de 
l'église  de  Sasimes,  V,  183  et  253. Lettre  qu'il 
lui  écrit,  253. 11  veut  l'obliger  à  le  reconnaître 
pour  son  métropolitain,  253  et  IV,  358.  — 
Il  éclaire  saint  Basile  sur  une  fausse  lettre, 
IV,  440. 

ANTHIME,  évêque,  à  qui  Firmus  de  Gé- 
sarée en  Cappadoce  adresse  une  lettre , 
X,  150. 

ANTHIME  ou  ANTIME,  compose  des  can- 
tiques et  les  catholiques  s'assemblent  chez 
lui  pour  les  chanter,  X,  343. 

ANTHIME,  évêque  de  Trébizonde,  suc- 
cède à  Epiphane  sur  le  siège  de  Constanti- 
nople  ;  le  pape  Agapet  l'oblige  de  retourner 
à  Trébizonde,  XI,  120.  La  lettre  qu'on  dit 
que  ce  pape  lui  a  adressée  est  visiblement 
supposée,  121.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape 
Vigile,  193.  Il  est  nommé  patriarche  de 
Gonstantinople  par  le  crédit  de  Théodora, 
304  et  851.  Déposé  dans  un  concile  tenu  par 
le  pape  Agapet,  304  et  851,  832.  11  est  ana- 
thématisé  dans  un  autre  concile  tenu  par 
Mennas  avec  Sévère  d'Antioche  et  ses  par- 
tisans, 852,  853,  854. 

ANTHIME,  sous-diacre  de  l'Église  ro- 
maine. Voyez  Anthème. 

ANTHOLOGIUM,  livre  à  l'usage  de  l'Église 
grecque  qui  contient  les  offices  pour  les  fêtes 
de  Notre-Seigneur,  de  la  sainte  Vierge,  etc., 
XIII,  137. 

ANTHOLOGIUM  d'Arcudius,  à  l'usage  des 
voyageurs,  XllI,  137,  138. 

ANTHROPOMORPHITES,  [combattus  par 
saint  Ephrem,  VI,  466  ;  par  saint  Chrysos- 
tôme,  Vn.  177.]  Leurs  erreurs  réfutées  par 
Théophile  d'Alexandrie,  445.  —  Analyse  de 
l'ouvrage  où  saint  Cyrille  d'Alexandrie  ré- 
fute leurs  erreurs,  VIII,  319.  —  Livre  contre 
les  anthropomorphites  attribué  par  Trilhème 
à  Fauste  de  Riez,  X,  436.  —  Leur  hérésie 
réfutée  par  Rathérius  de  Vérone,  XII,  837, 
IV  siècle         ANTHUSE,  mère  de  saint  Jean  Ghrysos- 

tôme,  VU,  1. 
IV  siècle.         ANïlDlCOMARlANITES  ,   hérétiques.  Ce 


535. 


535. 


536. 


IV  ou 

V  siècle. 


que  saint  Epiphane  en  dit,  VI,  410.  —  Ils 
sont  réfutés  par  saint  Jérôme,  VII,  664. 

ANTIENNES.  Pourquoi  elles  sont  ainsi 
nommées.  Leur  origine,  XI,  311.  —  [Com- 
mentaire sur  les  neuf  antiennes  qui  pré- 
cèdent la  fête  de  Noël,  par  Régnier,  moine 
de  Saint-Laurent  de  Liège,  XIV,  796.] 

ANTIKEIMENON,  ou  Concordance  des  en^ 
droits  de  l'Écriture  qui  paraissent  contraires, 
ouvrage  attribué  à  Berthaire ,  abbé  du 
Mont-Cassin,  XII,  696. 

ANTILOGIES  ou  contrariétés  apparentes 
de  l'Écriture  :  Ouvrage  de  saint  Julien  de  To- 
lède. Celui  qu'on  a  d'abord  donné  sous  son 
nom  est  de  l'abbé  Berthaire,  XI,  794.  [De 
Lorenzaua  prouve  qu'il  est  de  saint  Julien 
de  Tolède,  793.] 

ANTILOGUE  contre  les  Juifs.  Opuscule  de 
saint  Pierre  Damien,  XIII,  310. 

ANTIME.  Voyez  Anthime. 

ANTIOCHE,  ville  capitale  de  Syrie.  Le 
nom  de  chrétiens  y  a  commencé.  II,  536.  — 
Faux  concile  d'Antioche  rapporté  au  temps 
des  apôtres,  334  et  suiv.  —  Saint  Ignace  est 
fait  évêque  d'Antioche,  1,  326  et  suiv.  — 
Lettre  de  saint  Alexandre,  depuis  évêque 
de  Jérusalem  à  l'Église  d'Antioche,  II,  122. 
—  Saint  Denis  d'Alexandrie  travaille  à  réta- 
blir la  paix  dans  l'Église  d'Antioche,  398. 
Concile  qui  y  fut  indiqué  en  252,  539,  Pre. 
mier  concile  contre  Paul  de  Samosate  en 264 
566.  Second  concile,  367  et  suiv.  Troisième 
en  269,  367,  Symboles  attribués  à  ce  con- 
cile, 371,  572,  —  Saint  Lucien,  prêtre  d'An- 
tioche et  martyr,  III,  73  et  suiv.  Lettre  de 
l'empereur  Constantin  au  peuple  d'An- 
tioche ;  autre  au  concile  assemblé  en  cette 
ville,  140.  Saint  Eustathe,  évêque  d'An- 
tioche, 158  et  suiv.  Concile  tenu  à  la  suite 
du  concile  de  Nicée  ;  autre  concile  dans  le- 
quel saint  Eustathe  est  accusé  et  déposé, 
159.  L'empereur  Juhen  fit  fermer  la  porte 
de  la  grande  église  d'Antioche,  et  refusa  de 
faire  rouvrir  les  autres  que  le  comte  Julien, 
son  oncle,  avait  fait  fermer,  401.  Canon  de 
Nicée  touchant  les  prérogative.s  de  cette 
ÉgUse,  432,  433.  Concile  qui  y  fut  tenu 
contre  saint  Eustathe,  évêque  de  cette  ville, 
et  Asclépas  de  Gaze,  449.  Concile  dans  le- 
quel les  Eusébiens  ordonnent  Piste,  évêque 
d'Alexandrie  à  la  place  de  saint  Athanase, 
459,  460.  Concile  à  l'occasion  de  la  dédicace 
de  l'éghse  bâtie  dans  cette  ville,  464  et  suiv. 
Concile  tenu  à  Antioche  par  les  seuls  Eusé- 
biens conti'e  saint  Athanase,  472.  Concile 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


69 


où  les  Eu'sébiens  dressent  la  formule  ma- 
crosti(^e,  473,  474.  —  Tome  ou  lettre  de 
saint  Athanase  à  l'Église  d'Antioche,  IV, 
135,  136.  Histoire  du  schisme  de  cette 
Église,  584.  Concile  qui  y  fut  tenu  par  les 
Anoméens,  550.  Concile  qui  y  fut  tenu  pour 
l'élection  d'un  évêque  de  cette  ville,  584, 

585.  Autre  concile  tenu  par  les  Acaciens, 

586.  Autre  concile  tenu  par  les  Macédo- 
niens, 595.  Concile  qui  y  fut  tenu  par  les 
catholiques,  599.  Autre  concile  qui  y  fut  as- 
semblé de  tout  l'Orient,  611.  Foi  des  catho- 
liques d'Antioche  approuvée  par  le  canon 
cinquième  du  premier  concile  œcuménique 
de  Constantinople,  623,  624.  Autre  concile 
d'Antioche,  644.  Concile  qui  y  fut  tenu 
contre  les  Messaliens,  645.  Lettre  de  saint 
Basile-le-Grand  aux  fidèles  de  cette  Église, 
455.  Saint  Mélèce,  évêque  de  cette  ville, 
584  et  585.  Discours  de  saint  Mélèce,  585. 
Concile  tenu  par  saint  Mélèce,  597.  Concile 
des  Orientaux  à  Antioehe.  Saint  Mélèce  y 
assiste,  610.  —  Saint  Ambroise  travaille  à 
la  pais  de  cette  Église,  V,  390.  Diodore  de 
Tarse  prend  soin  de  l'Église  d'Antioche,  586. 
—  Saint  Flavien,  évêque  de  cette  ville,  VI, 
310  et  suiv.  Paulin,  évêque  des  Eustathiens 
dans  Antioehe,  314  et  suiv.  Lettre  de  l'em- 
pereur Gonstantius  à  l'Église  de  cette  ville 
au  sujet  d'Eudoxe ,  chef  des  Ariens,  345, 
346.  —  Homélies  de  saint  Jean  Chrysostôme 
sur  la  sédition  d'Antioche  ou  sur  les  statues, 
VII,  53  et  suiv.  Bains  interdits  à  Antioehe  en 
punition  de  la  sédition,  68.  Cette  ville  fut 
aussi  privée  du  titre  de  Métropole,  70.  Té- 
moignages de  saint  Jean  Chrysostôme  sur 
cette  ville,  430.  Autorité  de  cette  Église  :  Su- 
jet du  canon  premier  dans  la  lettre  du  pape 
saint  Innocent  à  saint  Alexandre  d'Antioche, 
517.  Conduite  de  saint  Jérôme  par  rapport 
au  schisme  de  cette  Église,  546.  —  Jean, 
évêque  de  celte  ville,  VIII ,  244  et  suiv. 
L'Éghse  d'Antioche  prétend  avoir  les  droits 
de  métropole  sur  celle  de  Chypre,  589,  590. 
Décision  du  concile  d'Ephèse  sur  ce  sujet, 
590.  Concile  tenu  à  Antioehe  par  Jean  con- 
tre saint  Cyrille,  599.  —  Accord  confirmé 
au  concile  de  Ghalcédoine  entre  Maxime 
d'Antioche  et  Juvénal  de  Jérusalem  :  le  pre- 
mier se  réservant  les  droits  métropoMtains 
sur  les  deux  Phénicies  et  l'Arabie,  consent 
que  Juvénal  prenne  le  titre  de  patriarche 
avec  juridiction  sur  les  trois  Palestines,  X, 
17  et  343.  A  la  mort  de  Julien  l'Apostat,  on 
fait  des  réjouissances  à  Antioehe,  46.  Divi- 


V.  «7. 


518. 


sion  dans  l'Église  d'Antioche,  48,  49.  Con- 
cile tenu  en  cette  ville  par  Domnus  au  sujet 
d'Ibas,  accusé  de  Nestorianisme  145.  Con-  **'• 
cile  tenu  en  cette  ville  pour  l'affaire  d'Atha- 
nase,  évêque  de  Perrha  ;  autre  concile 
au  sujet  d'Ibas  d'Edesse,  666.  Poëme  d'I- 
saac-le-Grand  sur  la  ruine  de  cette  ville 
(renversée  par  un  tremblement  de  terre) 
vers  459,  578.  Concile  où  Pierre-le-Foulon 
est  déposé,  et  Etienne  mis  à  sa  place,  717. 
—  Ephrem,  patriarche  d'Antioche,  XI,  171 
et  suiv.  Incendies  et  tremblements  de  terre 
sous  l'empereur  Justin,  418.  Lettre  du  pape 
saint  Martin  aux  églises  d'Antioche,  750. 
Lettre  du  clergé  d'Antioche  à  Jean,  pa- 
triarche de  Constantinople,  qui  contient  le 
détail  des  violences  de  Sévère,  leur  évêque, 
821,  822.  —  Relation  de  la  prise  d'Antioche 
par  Anselme  comte  de  Ribemont,  XIII,  512, 
513.  —  Droits  de  cette  Église  reconnus  par 
le  pape  Pascal  II,  XIV,  134.  Concile  tenu  à 
Antioehe  par  Albéric  évêque  d'Ostie,   1116. 

ANTIOCHE,  ville  de  Carie.  Concile  qui  y 
fut  tenu  par  les  Demi-Ariens,  IV,  600. 

ANTIOCHUS-EPIPHANE ,  roi  de  Syrie, 
violences  qu'il  exerce  contre  les  Juifs.  Saint 
Grégoire  de  Nazianze  en  parle,  V,  217. 

ANTIOCHUS,  prêtre.  Lettre  de  saint  Atha-        37i. 
nase  aux  prêtres   Jean  et  Antiochus ,  IV , 
146,  147.  —  On  soupçonne  que  c'est  celui 
qui  fut  depuis  évêque  de  Samosate,  V,  5. 
Voyez  son  article. 

ANTIOCHUS.  Écrits  supposés  de  saint 
Athanase  à  Antiochus,  IV,  180. 

ANTIOCHUS,  à  qui  est  adressée  une  lettre         373, 
de  saint  Basile-le-Grand,  IV,  455. 

ANTIOCHUS  ou  ANTIOQUES,  évêque  de 
Samosate,  neveu  et  successeur  de  saint  Eu- 
sèbe  assiste  au  concile  de  Constantinople, 
IV,  618.  —  Son  oncle  l'envoie  à  Samosate  ; 
il  est  relégué  en  Arménie,  V,  4.  Il  succède 
à  son  oncle,  5. 

ANTIOCHUS,  évêque  de  Ptolémaïde,  fa-     iv  siècle, 
meux  prédicateur.  Il  avait  laissé  plusieurs 
homélies,  un  sermon  sur  l'aveugle-né  et  un 
discours  sur  l'avarice.  On  a  de  lui  quelques 
fragments.  Voyez  Moréri  et  Dupin. 

ANTIOCHUS  ou  ANTIOQUE  (Saint),  soli- 
taire dont  Théodoret  a  écrit  la  Vie,  X,  60. 

ANTIOCHUS,  préfet  du  prétoire  et  consul, 
porte  à  saint  Célestin  une  lettre  et  des  écrits 
de  saint  Cyrille  d'Alexandrie,  VIII,  132;  une 
lettre  et  des  homélies  de  Nestorius,  371. 

ANTIOCHUS,  l'un  des  opposants  au  réta- 
blissement d'Ibas,  X,  147. 


70 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Yll  stèle. 


ANTIOCHUS,  l'un  des  métropolitains  de 
rillyrie  orientale  écrit  à  saint  Léon  qui  lui 
répond,  X,  206. 

ANTIOCHUS,  moine  de  saint  Sabas,  XI, 
697.  Son  abrégé  de  l'Écriture  sainte  intitulé 
Pandectes,  697  et  698.  [Edition  de  cet  écrit, 
p.  698.]  Sa  relation  du  martyre  des  qua- 
rante-quatre moines  de  la  Laure  de  saint 
Sabas,  698. 
V.  460.  ANTIPATER  ou  ANTIPATRE,  évêque  de 

Bostres  en  Arabie  Ce  qu'on  sait  de  sa  per- 
sonne et  du  temps  où  il  vivait;  sa  réfutation 
de  l'apologie  de  saint  Pampbile  pour  Ori- 
gène;  différentes  homélies  qu'on  lui  attri- 
bue, XII,  427.  [Quelques-unes  sont  repro- 
duites dans  la  Pairologie,  427.]  —  Ses 
ouvrages  y  ont  été  condamnés  comme  con- 
tenant les  erreurs  d'Origène,  XI,  173. 

ANTIPHONAIRE  du  pape  saint  Grégoire  ; 
autre  antiphonaire  qui  lui  est  attribué,  XI, 

IX  siècle.  g4.4_  Editions  de  l'antiphonaire  de  saint  Gré- 
goire ,  386.  —  Antiphonaire  d'Amalaire , 
XII,  343.  De  la  correction  de  l'Antiphonier, 
ouvrage  d'Agobard,  377.  —  Antiphonaire  de 
Gui  d'Arezzo  approuvé  par  le  pape  Jean  XIX 
et  adopté  dans  plusieurs  églises,  XIII,  130. 
—  Antiphonaire  à  l'usage  de  Cîteaux  corrigé 
par  saint  Bernard,  XIV,  482. 

IV  siècle.  ANTIPODES.  Lactance  ne  croyait  pas 
qu'il  y  en  eût,  II,  499  et  314.  —  Saint  Au- 
gustin était  dans  le  même  sentiment,  IX, 
314,  —  ainsi  que  Procope,  XI,  177.  —  [Ob- 
servation sur  ce  sentiment,  IX,  314,  n.  1. 
Ni  le  pape  Zacharie  ni  les  Pères  de  l'Église 
n'ont  condamné  la  doctrine  qui  admet  les 
Antipodes  et  la  rotondité  de  la  terre,  XII, 
32,  n.  1.] 

ANTIQUAIRES.  On  désignait  les  copistes 
par  ce  nom,  XI,  233,  234. 

IV  siècle.  ANTIRRHÉTIQUE,  ouvrage  d'Évagre  de 
377.  Pont,  VI,  114.  Antirrhétique  ou  traité  contre 
Apollinaire,  ouvrage  de  saint  Grégoire  de 
Nysse,  148  et  suiv.  —  Antirrhétique  du  pa- 
triarche saint  Nicéphore  contre  les  Icono- 
clastes. Analyse  de  ce  qui  nous  reste  de  ses 
ouvrages,  XII,  282  et  suiv.  [Les  antirrhéti- 
ques  du  même  contre  Copronyme,  290  et 
suiv.  ;  son  antirrhétique  sur  les  témoignages 
de  Magnes,  III,  136,  et  XII,  294;  son  antir- 
rhétique contre  Eusèbe  de  Gésarée,  295, 
296,  et  III,  250,  231;  son  antirrhétique 
contre  les  iconoclastes,  XII,  296.  Analyse 
de  cet  ouvrage,  296  et  297.  Analyse  de  ceux 
composés  par  saint  Théodore  Studite,  301, 
et  302.] 


ANTITYPES.  Nom  que  quelques  Pères 
ont  donné  aux  espèces  de  l'Eucharistie  avant 
la  consécration,  XIII,  626.  » 

ANTOINE  (Saint),  premier  Père  des  soli-  ^ 

taires  d'Egypte,  III,  382  et  suiv.  Histoire  de 
sa  vie  ;   sa  naissance ,   son   éducation.    Il        zsi. 
abandonne  ses  biens  et  les  donne  aux  pau- 
vres ;  il  se  retire  dans  le  désert,  382  ;  il        285. 
commence  à  former  des  disciples  ;  il  visite        3o5. 
ses  disciples  et  les  exhorte  à  la  vertu,  383  ; 
sa  vie  ordinaire  ;  il  cherche  le  martyre  à        3U. 
Alexandrie  ;  il  se  retire  sur  une  montagne        3i5, 
fort  reculée,  384;  son  respect  pour  les  mi- 
nistres de  l'Église  ;  son  éloignement  pour  les 
hérétiques  et  les  schismatiques,  383  ;  il  va 
visiter  saint  Paul,  ermite;  il  enterre   son        3«. 
corps,  383  et  386  ;  il  va  à  Alexandrie  com- 
battre  les   Ariens,  386  ;  il  confond   divers         355. 
philosophes  païens,  387,  388;  sa  mort,  388,         356. 
389  ;  écrits  de  saint  Antoine  ;  lettre  de  ce 
saint  à  l'empereur  Constantin  ;  à  divers  mo- 
nastères, 389;  aux  Arsénoïtes,  390;  au  duc        34i. 
Balacius;    à  saint  Théodore  de  Tabenne,    353  ou  3 
391;  écrits  attribués  à  saint  Antoine,  391, 
392;   éloge  de  saint  Antoine;   éditions    de 
ses  lettres ,  392  ;  [  éditions  récentes  392  ;  ] 
lettre   que  l'empereur  Constantin    écrit  à 
saint  Antoine,  141.  —  Saint  Athanase  va  le 
visiter,  IV,  90.  Vie  de  saint  Antoine  écrite 
par  saint  Athanase,  138.  —  Il  est  visité  par 
saint  Macaire  d'Egypte,  V,  596.  Saint  An- 
toine visite  Didyme  l'Aveugle,  docteur  de 
l'éghse  d'Alexandrie,  606.  —  Sa  vie  écrite 
par  saint  Athanase,  citée  par  saint  Ephrem, 
VI,  7,  —  et  par  saint  Ghrysostôme,  VII,  216. 
Saint  Antoine  visite  saint  Paul,  premier  er- 
mite et  l'ensevelit,  393.  —  Il  se  montre  zélé 
pour  le  soutien  de  la  foi  des  fidèles,  VllI, 
47.  —  [Homéhe  de  Sévère  de  Sozopole  sur 
saint  Antoine,  XI,  109.]  —  Sermon  de  Guil- 
laume d'Auvergne  en  son  honneur ,  XIV, 
1027. 

ANTOINE,  prêtre  arien,  maître  d'Aétius,     ivsif, 
et  ensuite  évêque  de  Tarse,  VI,  262. 

ANTOINE,  moine  à  qui  saint  Jérôme  écrit        376 
une  lettre.  Vil,  382. 

ANTOINE,  auteur  du  poëme  contre  les 
païens  attribuée  à  saint  Paulin,  évêque  de 
Noie,  Vlll,  87. 

ANTOINE,  évêque  de  Fussale.  Son  his- 
toire, VIII,  H,  12,  il  se  conduit  mal;  saint  Au- 
gustin en  écrit  au  pape  Célestin,  127.  — II  est 
déposé  par  saint  Augustin,  IX,  19.  Il  en  ap- 
pelle au  pape;  fin  de  cette  atfaire,  171. 

ANTOINE  ,  évêque  de  Ghalcide,   prêtre 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


71 


à  Antioche.  Erreur  qu'il  y  enseigne ,  VIII, 
379. 

ANTOINE ,  évêque  de  Germe  dans  'Hel- 
lespont,  persécute  les  Macédoniens  qui  le 
font  assassiner,  VIII,  367. 

ANTOINE ,  disciple  de  saint  Siméon  Sty- 
lite  auteur  d'une  de  ses  Vies,  X,  63. 

ANTOINE,  évêque  arien  en  Afrique,  fait 
mettre  saint  Eugène  en  prison,  X,  461. 

ANTOINE,  prêtre  et  solitaire  de  Lérins. 
Sa  vie  écrite  par  saint  Ennode,  X,  S73. 

650.  ANTOINE,  évêque  de  Bacate.  Lettre  que 

lui  écrit  le  pape  saint  Martin  I"  pour  le 
prier  de  s'unir  à  Jean  de  Philadelphie 
qu'il  avait  établi  son  vicaire  en  Orient,  XI, 
750. 

it  800.  ANTOINE ,  moine  du  monastère  de  saint 
Siméon,  traduit  en  arabe  la  traduction 
grecque  des  dialogues  de  saint  Grégoire  le 
Grand,  XI,  472. 

u*.  ANTOINE,  évêque  de  Sylée,  se  déclare 

pour  les  Iconoclastes,  XII,  279.  Sa  dissimu- 
lation envers  Nicépbore,  patriarche  de  Cous- 
is, tantinople  qu'il  maltraite  et  qu'il  oblige  de 
quitter  son  siège,  XII,  279.  —  [Il  n'était  point 
métropolitain  de  Sylée,  XIII,  648,  note  2.] 

ANTOINE,  surnom  donné  à  Adalard,  abbé 
de  Corbie,  frère  de  Vala,  XII,  333. 

95-  ANTOINE  II,  surnommé  Gaulée,  patriar- 

che de  Constantinople,  succède  à  Etienne  et 
ne  siège  que  deux  ans  ;  sa  mort,  XII,  794  ; 
son  oraison  funèbre  par  Nicépbore  le  philo- 
sophe, 794,  795. 

15.  ANTOINE  III,  surnommé  Studite,  élu  pa- 

triarche de  Constantinople  après  la  déposi- 
tion de  Basile  Scamandrin;  sa  retraite  et  sa 
iwo.        mort,  XIII,  759. 

iécie.  ANTOINE,  surnommé  Mélisse.  Conjec- 
tures sur  le  temps  où  il  a  vécu,  XIII,  567, 
568.  On  ne  peut  le  dire  disciple  de  saint  Jean 
Damascène  qu'en  ce  qu'il  a  imité  son  genre 
d'écrire,  570.  Ses  extraits  des  Pères  distri- 
bués en  lieux  communs.  Editions  et  traduc- 
tions qu'on  en  a  faites,  570.  —  Autre  article 
sur  le  même  auteur.  D'où  lui  vient  le  sur- 
nom de  Mélisse,  XIV,  651 .  On  ignore  dans 
quel  siècle  il  a  vécu,  651  et  652.  Son  re- 
cueil de  maximes.  Différentes  éditions  qu'on 
en  a  faites,  632. 

[ANTONELLI  (Nicolas)  publie  en  armé- 
nien et  traduit  en  latin  les  sermons  de  saint 
Jacques  de  Nisibe,  III,  372.  —  Son  édition 
de  l'interprétation  des  Psaumes  ou  des  titres 
des  Psaumes ,  par  saint  Alhanase ,  IV , 
169.] 


ANTONIEN,   évêque  de  Numidie ,   écrit     iiisiéci.. 
plusieurs  lettres  à  saint  Cyprien  ;  lettre  de 
saint  Cyprien  à  Antonien,  II,  313. 

ANTONIEN  (Jean),  dominicain.  Son  édi- 
tion des  œuvres  de  saint  Paulin,  évêque  de 
Noie,  VIII,  97. 

ANTONIN  TITUS,   surnommé  le  Pieux.         iso. 
Apologie  que  saint  Justin  lui  adresse  pour 
les  chrétiens,  I,  413  et  suiv. 

ANTONIN  (saint),  prêtre,  martyr  de  Pa-        308. 
lestine,  III,  10. 

ANTONIN ,  évêque  d'Ephèse ,  accusé  de-         *oo. 
vant  saint  Jean  Ghrysostôme,   VII,   3.   Il 
meurt  avant  la  décision  du  procès,  4.  Il  fut 
accusé  par  Eusèbe,  évêque  de  Valentiniauo- 
ple,  3,  4,  el  492. 

ANTONIN,  à  qui  saint   Augustin   écrivit         390- 
une  lettre,  IX,  70. 

[ANTOLINI  (Vincent)  a  donné  une  traduc- 
tion italienne  des  hvres  sibyllins,  î,  308.] 

ANTONIN  (Saint),  solitaire  dont  Théodo- 
ret  a  écrit  la  vie,  X,  60. 

ANTONIN,  évêque  de  Mérida,  métropoli- 
tain de  la  Lusitanie  ;  son  zèle  contre  les 
Manichéens,  X,  342,  667.  Turibe,  évêque 
d'Astorga  lui  envoie  les  actes  de  ses  infor- 
mations contre  les  Priscillianistes,  667. 

ANTONIN  (Honorât),  évêque  de  Constan-      v  siècle, 
tine  ou  de  Cirthe,  X,  466,  467,  468.  Voyez 
Honorât  Antonin. 

ANTONIN,  recteur  du  patrimoine  de  Da)- 
matie,  XI,  482.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape 
saint  Grégoire  pour  le  charger  de  veiller  à 
l'élection  d'un  évêque  de  Salone,  492. 

ANUBE,  frère  du  saint  abbé  Pémeu,  se 
retire  avec  lui  à  Scété  ;  règle  qu'il  prescrit 
aux  moines  de  Scété  ;  saint  Pémeu  l'aide 
dans  le  gouvernement  de  cette  communauté, 
VIII,  468. 

ANULIN,  proconsul  d'Afrique,  envoie 
saint  Félix  de  Thibare  au  préfet  du  prétoire, 
III,  18.  Fait  tourmenter  quarante-neuf  chré- 
tiens, 20  et  suiv.  Condamne  à  mort  sainte 
Crispine,  38  et  suiv.  Lettre  que  l'empereur 
Constantin  lui  écrit,  132,  133,  et  V,  144, 
145.  —  Lettre  qu'il  écrit  à  l'empereur,  V, 
144. 

ANUPHE,  confesseur.  Ce  qui  est  dit  de 
lui  dans  les  Vies  des  Pères  écrites  par  Rufin 
d'Aquilée,  VU,  473. 

ANYSIUS  (Saint),  évêque  de  Thessaloni-        384. 
que,  écrit  à  saint  Ambroise  au  sujet  de  son 
élection.  Lettres  que  saint  Ambroise  écrit  à 
ce  sujet  au  clergé  de  Thessalonique  et  à 
Anysius,  V,  483.  —  Lettres  que  lui  écrit  le     385  et  386, 


592. 


313. 


IV  ou 
V  siècle. 


72 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


pape  saint  Sirice,  VI,  103.  Autre  lettre  de 
392-  saint  Sirice  à  Anysius  ,  107.  —  Lettre  que 
*06.        lui  écrivit  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  134. 

V  siècle.      —  Lettre  que  lui  écrivit  le  pape  saint  Inno- 

cent, S06,  Anysius  lui  répond,  507.  —  Le 
pape  saint  Sirice  lui  avait  donné  la  commis- 
sion d'agir  en  son  nom  dans  toutes  les  pro- 
vinces de  ITllyrie,  X,  202. 
Vsiècic.  ANYSIUS ,  gouverneur  de  la  Pentapole. 
Discours  de  Synésius  de  Ptolémaïde  à  l'é- 
loge d'Anysius,  X,  32. 

ANYSIUS,  prêtre,  père  d'Eulampie,  mère 
de  Philostorge,  l'historien,  se  laisse  engager 
dans  l'erreur  des  Eunomiens,  VIII,  509. 

V  siècle.         ANYSIUS,  notaire  et  lecteur  de  Firmus 

de  Césarée,  député  à  Nestorius  par  le  con- 
cile d'Ephèse,  VIII,  578. 
AOD,  juge  d'Israël,  I,  51. 
[AOSTE,  ville  d'Italie  ;  privilège  accordé 
au  chapitre  d'Aoste  par  le  pape  Sergius  III, 
743.] 
518.  APAMÉE,  ville  de  la  seconde  Syrie.  Lettre 

du  clergé  de  cette  ville  contre  Pierre,  son 
évêque  qu'ils  accusent  de  beaucoup  de  cri- 
mes et  de  violences,  XI,  822. 
IV  siècle.         APATHIE,  livre  de  l'Apathie  attribué  à 
Evagre  de  Pont,  VI,  115.  —  Dogme  de  l'a- 
pathie enseigné  par  Pelage,  VII,  166. 
iT  siècle.         APELLÈS    ou    APPELLES,   disciple  de 
II  siècle.     Marcion.  Évangile  sous  son  nom,  I,  273.  Ses 
erreurs  réfutées  par  Rhodon,  494,  —  par 
Ht  siècle.     TertuUien,  II,  42,  —par  saint  Epiphane, 
VI,  393. 
M2.  APELLION  à  qui  Théodoret  écrit,  X,  66. 

303.  APER,  prêtre  de  Thibare  en  Afrique,  18. 

APER,  prêtre  souscrit  dans  un  concile  en 
présence  et  par  ordre  de  son  évêque,  V, 
532. 

APER  ou  APRE  (Saint),  évêque  de  Toul, 
VU,  77. 

APER,  avocat  et  depuis  prêtre.  Voyez 
Apre. 

APER ,  évêque.  Lettre  que  Salvien  lui 
écrit,  X,  388.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Si- 
doine, 389. 

APHRAATE  ou  APHRATEZ,  Persan,  so- 
litaire. Entretien  qu'il  a  à  Antioche  avec 
l'empereur  Valens  à  qui  il  reproche  son  at- 
tachement à  l'arianisme,  X,  48  et  54.  Sa  vie 
écrite  par  Théodoret,  54. 

APHTONE,  médecin  manichéen,  meurt 
vaincu  dans  une  dispute  par  Aétius,  arien, 
VI,  262. 

APHTONE,  Samaritain.  Lettre  que  lui 
écrit  saint  Nil,  VIII,  217. 


APHTONE,  solitaire,  depuis  évêque,  X, 
53.  Peut-être  le  même  que  celui  à  qui  Théo- 
doret écrit,  75. 

APIARIUS  ,  prêtre  de  Sicque ,  excommu- 
nié par  son  évêque,  appelle  au  pape,  VU, 
537,  541.  —  [Voyez  sur  l'affaire  d'Apiarius, 
Vn,  537,  note  3  et  541,  note  1.]  —  Concile 
tenu  à  Carthage  à  l'occasion  de  l'afifaire  de 
ce  prêtre,  VIII,  562  et  suiv.  Lettre  synodale 
du  sixième  concile  de  Carthage  au  pape 
Boniface  touchant  l'affaire  d'Apiarius,  568. 
Lettres  de  saint  Célestin  pape,  aux  évêques 
d'Afrique,  et  des  évêques  d'Afrique  à  saint 
Célestin,  touchant  l'affaire  de  ce  prêtre, 
127.  Poursuivi  pour  ses  crimes,  il  revient  à 
Rome  où  en  ayant  imposé  au  pape  il  est 
renvoyé  en  Afrique  avec  un  légat  pour  être 
rétabli,  570.  Concile  tenu  à  Carthage  à  son 
sujet,  où  il  confesse  ses  crimes  et  est  re- 
tranché du  corps  de  l'église,  570  et  571 . 

APINIEN,   duc  de    Mésopotamie.    Jean 
d'Antioche  lui  écrit,  VIII,  246. 

APION,  grammairien.  Livres  de  Josèphe 
contre  lui,  325. 

APION  ,  auteur  ecclésiastique  ;  ses  ouvra- 
ges, I,  537. 

[APIS,  taureau  adoré  par  les  Egyptiens,  I, 
14,  n.  4.] 

APOCALYPSE  DE  SAINT  JEAN.  En  quel 
lieu  et  en  quel  temps   elle  a   été  écrite. 
A  qui  elle  est  adressée  ;  analyse  des  trois 
premiers  chapitres  ;  analyse  des  seize  cha- 
pitres suivants,  I,  257.  Analyse  des  trois 
derniers  chapitres,  257  et  258.  Jugements 
qu'on  a  portés  de  l'Apocalypse,  258.  On  a 
douté  que  saint  Jean  en  fût  l'auteur,  258  et 
259.  Preuves  que  l'Apocalypse  est  de  saint 
Jean,  et  qu'elle  est  canonique.  Les  plus  an- 
ciens Pères  grecs  et  le  plus  grand  nombre 
des  Pères  latins  l'ont  reçue  comme  de  saint 
Jean  et  canonique.  Elle  renferme  des  traits 
qui  ne  conviennent  qu'à  saint  Jean,  259  et 
suiv.  Solution  des  diÊQcultés  de  saint  Denis 
d'Alexandrie  qui  doutait  que  l'Apocalypse 
fût  de  saint  Jean.  Quoique  saint  Jean  n'ait 
pas  mis  son  nom  à  ses  autres  écrits  il  a  pu 
le  mettre  à  celui-ci,  et  s'il  y  a  quelque  diffé- 
rence de  style,  elle  peut  venir  de  la  matièi'e 
qui  en  fut  l'objet,  et  de  la  manière  plus  ra- 
pide dont  fut  écrite  l'Apocalypse,  261.  Il  est 
évident  qu'on  a  eu  tort  d'attribuer  l'Apoca- 
lypse à  Cérintlie,  259.  Voyez  la  n.  1.  Apo- 
calypse citée  sous  le  nom  de  saint  Jean  par 
saint  Justin,  437.  Par  saint  Irénée,  521.  — 
Par  Terlullien,  II,  69.  par  Origène,  208.  — 


418. 


419. 


426. 


426. 


96, 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


73 


Commentaires  sur  l'Apocalypse  faussement 
attribués  à  saint  Hippolyte,  [,  634.  —  L'au- 
teur d'un  traité  contre  Novatien  attribué  à 
saint  Cyprien  cite  l'auteur  de  l'Apocalypse 
sous  le  nom  de  Jean,  II.  343.  Sen1;iment  de 
siècle,     saint  Denis  d'Alexandrie  sur  ce  livre,  405. 
siècle.     Commentaire  sur  l'Apocalypse  que  l'on  croit 
être  de  saint  Victorin,  évêque  de  Pettau, 
460,  461.  L'Apocalypse  ne  se  trouve  pas  au 
rang  des  livres  canoniques  dans  les  canons 
apostoliques ,  587.  —  Saint  Méthode    cite 
/         l'Apocalypse  sons  le  nom  de  saint  Jean , 
/         III,  68.  Eusèbe  de  Césarée  fait  de  même, 
/  267.  [L'Apocalypse  de  saint  Jean  n'était  pas 

reçue  au  iv'  siècle  dans  la  province  d'An- 
tioche,  IV,  23.  n.  5.]  Saint  Athanase  la  cite 
sous  le  nom  de  saint  Jean  l'Évangéliste,  179. 
Saint  Basile  aussi,  497.  —  Saint  Cyrille  de 
Jérusalem  la  cite,  quoiqu'il  ne  la  mette  pas 
au  rang  des  écritures  canoniques,  V,  63. 
Commentaire  de  Tichonius,  donatiste,  sur 
ce  livre,  104.   Saint  Pacien  cite  ce  livre 
comme  inspiré,  166.  Sentiment  de  quelques 
hérétiques  sur  ce  livre,  177.  Commentaire 
sur  l'Apocalypse  faussement  attribué  à  saint 
Ambroise.  On  croit  que  c'est  celui  de  Beren- 
gaud,  512.  Saint  Ambroise  cite  l'Apocalypse 
sous  le  nom  de  saint  Jean  l'évangéliste,  524. 
—  Saint  Ephrem  la  cite  sous  le   nom  de 
saint  Jean  qu'il  nomme  le  Théologien,  VI, 
51.  Saint  Grégoire  de  Nysse  la  cite  sous  le 
nom  de  saint  Jean  l'Évangéliste,  225.  Saint 
Epiphane  reconnaît  que  c'est  l'ouvage  du 
Saint-Esprit,    424.    Les    Aloges    rejetaient 
l'Apocaftypse,  425.  —  Saint  Jean  Chrysos- 
tôme  ne  là  cite  point,  et  on  ne  le  trouve 
point  dans  la  synopse  qui  lui  est  attribuée, 
VII,  203.  Explication  et  commentaire  sur 
l'Apocalypse  :  Ouvrages  attribués  à   saint 
Jérôme,  650.  —  Dix-neuf  homélies  sur  l'A- 
pocalypse :  Ouvrage  attribué  à  saint  Augus- 
tin. Il  est  postérieur  à  Bède,  IX,  229.  Senti- 
ment de  saint  Augustin  sur  l'Apocalypse, 
593.  —  [Commentaire  de  Gennade  sur  ce 
livre,  X,  606.]  —  Commentaires  sur  l'Apo- 
calypse rassemblés  par  Cassiodore,  XI,  230. 
Commentaire   de   Cassiodore   sur  l'Apoca- 
lypse, retrouvé  par  le  marquis  Mafiféi  et  im- 
primé par  ses  soins,  242  et  254.    Commen- 
taire sur  l'Apocalypse  par  Aprijius,  évêque 
de  Badajoz  ;  commentaires  sur  l'Apocalypse 
par  André  et  Arétas,  évêques  de  Césarée  en 
Cappadoce  ;  idée  du  commentaire  d'Arétas. 
Editions  qu'on  en  a  faites,  265.  Commen- 
taire de  Primase,  évêque  d'Adrumet,  283. 


—  Commentaire  du  vénérable  Bède,  XII,  9. 
[Lettre  du  même  sur  l'Apocalypse.  15.]  Le 
commentaire  sur  l'Apocalypse    attribué   à 
André  de  Crète  est  d'André  de  Césarée,  59. 
[Jugement  sur   ce   commentaire.    Editions 
qu'on  en  a  faites,  246.]  Commentaire  sur 
l'Apocalypse  d'Ambroise  Autpert,  120,  121. 
[Commentaire   d'Alcuin   sur  l'Apocalypse , 
172,  173.]  Alcuin  attribue  l'Apocalypse  à 
saint  Jean  l'Évangéliste,  209.  Commentaire 
sur  l'Apocalypse  attribué  à  Béatus,  moine 
des  Asturies.  Il   n'est  pas    arrivé  jusqu'à 
nous ,  217.  Commentaire  attribué   à  saint 
Méthodius  de  Constantinople,  425.  Commen- 
taire attribué  à  Haimon  d'Halberstadt,  123 
et  436.  Ce  n'est  guère  qu'un  abrégé  de  ce- 
lui d'Ambroise  Autpert,  123.  Le  quatrième 
concile  de  Tolède  ordonne  de  recevoir  l'A- 
pocalypse comme  un  livre  divin,  917.  Com- 
mentaire sur  l'Apocalypse  attribué  à  Wé. 
rembert,  moine  de  Saint-Gall,  694.  Com- 
mentaire de  Bérengaud,  moine  de  Ferrières, 
702,  703.  C'est  le  même  commentaire  qu'on 
avait  attribué  à  saint  Ambroise,  703.  Com- 
mentaire de  Rémi,  moine  d'Auxerre,  757. 
[Chaîne    d'OEcuménius    sur    l'Apocalypse, 
814.]  —  Comment  et    en    quel   temps    les 
Grecs  lisent  ce  livre ,  XIll ,  135  ,  136.  Le 
commentaire    sur   l'Apocalypse    attribué  à 
Bérenger  est  de  Bérengaud,  moine  de  Fer- 
rières,   175.    Homélies    de    Guillaume   de 
Monde  sur  l'Apocalypse  conservées  manus- 
crites à  l'abbaye  de  Saint-Evroul,  269.  Com- 
mentaire de  saint  Brunon  de  Ségni,  S07.  — 
Commentaire  sous  le  nom  de  saint  Anselme. 
On  l'attribue  à  Anselme  de  Laon,  XIV,  36 
et  184.  Le  commentaire  faussement  attribué 
à  saint  Ambroise  est  vraisemblablement  de 
Bérengaud,  moine  de  Ferrières,  et  non  de 
Bérengose ,    abbé    de    Saint  -  Maximin   de 
Trêves ,    238 ,   239.  Commentaire   de  Ru- 
pert,  abbé  de  Tuy,  sur  l'Apocalypse,  283. 
[Commentaire  de  Richard,  prieur  de  Saint- 
Victor  sur  ce  livre,  701.]  Commentaire  de 
l'abbé  Joachim,  830.  [Ce  que  Martin,  cha- 
noine de  Saint-Isidore  de  Léon,  dit  de  l'Apo- 
calypse, 834.] 
APOCALYPSES  (Fausses),  I,  285,  286. 
[APOCALYPSE  D'ADAM,  livre  apocryphe. 
Fragments  de  ce  livre  édité  récemment,  I, 
263.] 

APOCALYPSE   DE  MOÏSE,    Uvre    apo- 
cryphe, I,  38. 

APOCALYPSE  D'ÉLIE,  livre  apocryphe, 
IV,  614. 


633. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


74 

APOCALYPSE  D'ESDRAS  ,  livre  apo- 
cryphe, L  75  [et  XII,  297]. 

APOCALYPSE  DE  SAINT  PAUL,  livre 
apocryphe,  IX,  576  [et  Xn,  297]. 

APOCALYPSE  faussement  attribué  à  Mé- 
liton,  1,461. 

APOGRISIAIRES,  nonces  ou  légats.  Il  n'y 
en  a  eu  en  Occident  que  vers  le  commence- 
ment du  n'  siècle,  VI,  80. 

APOCRYPHES  (Livres).  On  a  quelquefois 
donné  ce  nom  aux  écrits  qui  n'étaient  point 
dans  le  canon  des  Juifs  quoiqu'ils  fussent 
dans  celui  de  l'Église,  I,  91. 

APOCRYPHES  (Livres  de  l'Ancien  et  du 
Nouveau  Testament),  I,  262  et  suiv.  Les 
livres  apocryphes  sont  ceux  qui  ne  sont  pas 
dans  le  canon  des  divines  Ecritures,  262. 
Voyez  la  note  1.  Les  uns  ne  contiennent 
rien  que  de  pieux  et  d'utile.  Les  autres  sont 
remplis  de  fables  et  d'erreurs,  262.  — Livres 
apocryphes  cités  par  Origène,  II,  208,  209. 
Canon  apostolique  contre  les  livres  apocry- 
phes, 585.  —  Livres  apocryphes  rejetés  par 
Eusèbe  de  Césarée,  HI,  266,  267.  —  Livres 
apocryphes  condamnés  par  le  pape  saint 
Innocent,  VII,  512.  Témoignage  de  saint 
Jérôme  sur  les  livres  apocryphes,  552.  — 
Doctrine  de  saint  Augustin  sur  les  livres 
apocryphes,  IX,  574  et  suiv.  —  Décret  con- 
tre les  livres  apocryphes,  X,  725.  Il  n'est 
pas  du  pape  saint  Hormisdas,  mais  du  pape 
saint  Gélase,  633  et  723. 

APOCRYPHES  (Livres)  de  l'Ancien  Testa- 
ment, I,  262  et  suiv.  Livres  faussement  at- 
tribués à  Adam,  262,  263.  Psaumes  qui  lui 
sont  faussement  attribués  ;  autres  livres  qui 
lui  sont  faussement  attribués ,  263.  [Livre 
d'Adam,  pubhé  par  M.  Dillimann,  263, 
n.  12.]  Evangile  et  prophéties  attribués 
faussement  à  Eve,  263,  264.  Écrits  fausse- 
ment attribués  à  Abel  ;  livres  faussement 
attribués  à  Seth  ;  ouvrages  faussement  attri- 
bués à  Enos,  266.  Livres  faussement  attri- 
bués àHénoch,  266  et  267.  [Découverte  et 
importance  du  livre  apocryphe  d'Hénoch, 
265.]  Écrits  faussement  atttibués  à  Noé,  26. 
Ouvrages  faussement  attribués  à  Sem ,  à 
Cham  et  à  Caïnan.  Psaume  faussement 
attribué  à  Melchisédech;  ouvrage  fausse- 
ment attribué  à  Abraham,  266.  Écrits 
faussement  attribués  à  Isaac ,  à  Jacob ,  à 
Joseph  et  aux  douze  enfants  de  Jacob,  266 
et  267.  Écrits  attribués  à  Heldam  et  Modal, 
à  Balaam,  à  Jannès,  à  Mambrès,  à  Marie, 
sœur  de  Moïse,  267.  Ouvrages  attribués  à 


Moïse,  37  et  suiv.  A  Josué,  49,  50.  A  Phi- 
nées  et  à  Samuel,  267.  Psaumes  attribués  à 
David  et  à  Salomon,  134.  Autres  ouvrages 
attribués  à  Salomon,  149.  Ouvrages  attri- 
bués à  Élie,  267.  A  Isaïe,  159.  Oraison  de 
Manassès,  roi  de  Juda.  La  véritable  est  per- 
due. Celle  que  nous  avons  est  apocryphe  ; 
ce  que  contient  cette  prière,  267.  [Ascension 
ou  vision  d'Isaïe,  livre  apocryphe  publié  par 
M.  Lauwence,  p.  159.]  Lettre  attribuée  à 
Baruch,  167.  Écrits  attribués  à  Daniel,  175, 
176.  Livres  attribués  à  Ananias,  Azarias  et 
Misaël,  267.  Troisième  et  quatrième  livre 
sous  le  nom  d'Esdras,  69  et  suiv.  [Versions 
arabe  et  éthiopienne  du  IV«  livre  d'Esdras, 
71.  Les  tomes  XI,  Xll  des  Études  religieuses 
par  des  Pères  de  la  Compagnie  de  Jésus, 
contiennent  quatre  articles  très-savants  de 
M.  Lehir  sur  le  IV°  livre  d'Esdras.]  Autres 
livres  attribués  à  Esdras,  74,  75.  Troisième 
et  quatrième  livre  des  Machabées,  189.  190. 
Pour  les  apocalypses  apocryphes  attribués 
aux  patriarches  et  aux  prophètes,  voyez 
après  l'article  Apocalypse  de  saint  Jean. 

APOCRYPHES  (Livres)  du  Nouveau  Tes- 
tament, I,  268  et  suiv.  Lettres  de  Jésus- 
Christ  à  Abgare  et  d'Abgare  à  Jésus-Christ. 
[D'où  vient  le  nom  d'Abgare,  p.  268,  n.  2. 
Auteurs  qui  soutiennent  l'authenticité  des 
lettres  d'Abgare  à  Jésus-Christ,  270.  n.  2.] 
Actes  de  la  guérison  et  de  la  conversion 
d'Abgare,  268  et  suiv.  Preuves  de  la  suppo- 
sition de  ces  lettres,  269,  270.  Preuves  de 
la  supposition  de  ces  actes,  270.  En  se  te- 
nant pour  la  date  à  la  version  de  l'histoire 
d'Eusèbe  par  Rufin,  l'époque  n'en  serait  pas 
moins  fausse,  270,  271 .  Le  sentiment  d'Eu- 
sèbe, de  saint  Ephrem,  et  de  quelques  au- 
tres auteurs,  n'est  pas  suffisant  pour  faire 
ci'oire  de  pareils  faits;  autres  écrits  attribués 
faussement  à  Jésus-Christ,  271.  Sentences 
attribuées  à  Jésus-Christ,  271  et  272.  Faux 
évangiles,  272  et  suiv.  Évangile  selon  les 
Hébreux  cité  sous  le  nom  d'Évangile  des 
Nazaréens  ;  Évangile  selon  les  Égyptiens  ; 
Évangile  de  l'enfance  du  Sauveur,  272. 
Autre  sous  le  nom  de  Nicodème,  272  et  273. 
Autre  sehm  les  Syriens,  273.  Autres  faux 
évangiles  de  saint  Philippe,  de  Marcion, 
d'Apellès,  de  Basilide,  273  et  274.  Celui  de 
Cérintbe.  Autre  à  l'usage  des  Ebionites.  Ce- 
lui de  Tatien  à  l'usage  de  Encratites,  274, 
Autres  à  l'usage  des  Gnostiques,  des  Simo- 
niens,  des  Valentiniens,  des  Manichéens,  des 
Caïniles,  274, 275.  Evangile  éternel  condamné 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


73 


175. 


au  feu  par  Alexandre  IV  ;  autres  évangiles 
apocryphes  condamnés  par  le  pape  Gélase, 
275.  [Éditions  des  livres  apocryphes  du  Nou- 
veau Testament,  275.]  Faux  actes  de  saint 
Paul  et  de  saint  Pierre  ;  actes  des  apôtres 
attribués  à  Abdias  ;  actes  de  saint  André,  de 
saint  Philippe,  de  saint  Thomas,  de  saint 
Jean,  276.  Autres  actes  de  saint  André,  276. 
et  277.  [Voyez  277,  n.  2,  où  l'on  soutient 
l'authenticité  de  ces  actes.  Voyez  aussi  le 
n.  12.]  Deux  lettres  adressées  à  saint  Lin 
touchant  la  passion  de  saint  Pierre  et  saint 
Paul,  277.  La  Vie  de  saint  Jean  par  diffé- 
rents auteurs,  277  et  278.  Les  actes  du  mar- 
tyre de  saint  Mathias.  Traditions  du  même 
apôtre  ;  autres  actes  de  saint  Phihppe  ;  de 
saint  Barnabe,  278.  De  saint  Marc,  278  et 
279.  L'Itinéraire  de  saint  Thomas  ;  actes  at- 
tribués aux  apôtres  assemblés  ;  le  livre  de 
la  prédication  de  saint  Pierre,  279.]  Épîtres 
apocryphes,  279  et  suiv.  Épîtres  faussement 
attribuées  à  la  sainte  Vierge,  279.  Épîtres 
faussement  attribuées  à  saint  Paul  et  à  Sé- 
nèque,  279,  280.  [Voyez  280,  n.  5.]  Épîtres 
attribuées  à  saint  Pierre,  280.  Vrais  et  faux 
actes  de  Pilate,  280,  281.  Épître  de  saint 
Barnabe,  281  et  suiv.  Analyse  de  cette 
épître,  283  et  suiv.  [Éditions  de  cette  épître, 
285,  note,  3.]  Fausses  apocalypses,  285,  286. 
Apocalypses  d'Adam,  de  Moïse,  d'Isaïe,  des 
patriarches  et  des  prophètes,  285,  286. 
[Fragments  du  livre  gnostique  intitulé  :  Apo- 
calypse d'Adam,  publié  par  M.  Renan,  263.] 
Apocalypse  de  saint  Pierre,  de  saint  Paul, 
de  saint  Thomas;  deux  faux  apocalypses 
de  saint  Jean  ;  apocalypse  de  Cérinthe,286. 
Écrits  faussement  attribués  à  saint  Luc,  215, 
216.  A  saint  Paul,  241,  242.  A  saint  Jacques, 
242  bis,  243  bis.  A  saint  Pierre,  249,  250. 
[Livre  des  histoires  des  saints  Pères  ;  ensei- 
gnement de  l'apôtre  Adaï  ou  Adée,  269.] 

APODÊME  (Saint),  martyr  de  Saragosse, 
III,  44. 

APOLLINAIRE  (Saint),  évêque  de  Ra- 
venne  est  le  seul  des  évêques  de  cette  église 
qui  l'ait  honorée  par  le  martyre  ;  sermon  de 
saint  Pierre  Ghrysologue  sur  ce  saint  évêque, 
X,  15.  —  Maxime,  évêque  de  Salone,  se 
purge  par  serment  devant  son  tombeau,  XI, 
516.  —  [Hymne  en  l'honneur  de  saint  Apol- 
linaire ;  autre  hymne  en  son  honneur  ;  office 
en  son  honneur,  XIII,  23.]  Trois  discours  de 
saint  Pierre  Damien  sur  ce  saint,  308. 

APOLLINAIRE  (Claude),  évêque  d'Hié- 
raple  apologiste  de   la  religion  ;    en   quel 


temps  il  florissait  ;  son  apologie  pour  les 
chrétiens,  I,  463.  Autres  écrits  d'Apolli- 
naire; Ses  écrits  contre  les  hérétiques,  464. 
Jugement  de  ses  écrits,  464  et  465.  Éditions 
de  ses  écrits,  465.  —  Concile  qu'il  tient 
contre  les  Montanistes,  II,  539. 

APOLLINAIRE    L'ANCIEN,     prêtre     de     iv siècle. 
Laodicée.  Ses  ouvrages,  V,  86,  87. 

APOLLINAIRE  LE  JEUNE,  fils  du  précé- 
dent, évêque  de  Laodicée  en  Syrie  et  héré- 
siarque, V,  85  et  suiv.  Histoire  des  pre- 
mières années  d'Apollinaire,  85,  86.  Son 
union  avec  saint  Athanase.  Son  zèle  pour  la  349. 
foi  ;  il  est  fait  évêque  de  Laodicée,  86.  Il  Ira-  v.  362i 
vaille  pour  les  études  et  pour  l'Église  sous 
Juhen,  86  et  387.  Ses  poésies  ;  la  doctrine  362. 
d'Apollinaire  est  condamnée  mais  non  pas 
sa  personne,  87.  Apolhnaire  fait  schisme  à 
Antioche.  Il  est  condamné  à  Rome,  87  et  88.  378, 
Autres  condamnations  d'Apollinaire,  88.  Ses  379  et  38i 
ouvrages  sur  l'Écriture  sainte,  88,  89  et  92. 
Autres  écrits  d'Apollinaire,  89.  Lettres  d'A- 
poUinaire.  Écrits  qu'on  lui  attribue.  90,  91. 
[Éditions  des  paraphrases  des  Psaumes,  91. 
Fragments  des  écrits  d'Apollinaire  publiés 
par  Maï,  91  et  92.  Fragments  des  commen- 
taires sur  saint  Luc,  sur  les  Proverbes,  sur 
Isaïe,  sur  Ezéchiel,  sur  le  Cantique  des  Can- 
tiques, 92.]  —  Il  embrasse  le  parti  des  Mil- 
lénaires et  écrit  deux  volumes  contre  saint 
Denis  d'Alexandrie  pour  leur  défense ,  II, 
405.  —  Livres  de  saint  Athanase  contre 
Apolhnaire,  IV,  144  et  suiv.  Erreurs  d'Apol- 
linaire et  son  schisme,  605,  606.  Il  est  con-  377  ou  378. 
damné  avec  ses  disciples  dans  un  concile  de 
Rome,  606,  dans  un  concile  d'Antioche,  611,  379. 
dans  un  concile  de  Rome,  612.  Concile  d'Italie 
pour  examiner  sa  doctrine,  634  et  suiv.  Son 
hérésie  condamnée  dans  le  second  concile  de 
Constantinople,  637.  Apollinaire  se  vantait 
d'avoir  reçu  plusieurs  lettres  de  saint  Séra- 
pion,  335  et  V,  90.  Lettres  supposées  de  saint 
Basile  le  Grand  à  Apollinaire,  et  d'ApoUi- 
naire  à  saint  Basile,  IV,  488,  489  et  V,  90.  — 
Saint  Grégoire  de  Nazianze  oppose  ses  vers 
à  ceux  d'Apollinaire,  V,  192.  Erreur  d'Apol- 
linaire sur  la  Trinité,  245.  Les  livres  de 
saint  Ambroise  contre  l'hérésie  d'Apolli- 
naire sont  perdus,  514.  —  Livres  d'Apolli- 
naire qu  l'on  a  prétendu  avoir  été  collés  par 
saint  Ephrem,  VI,  50.  Antirrhétique  ou  traité 
contre  Apolhnaire,  Ouvrage  de  saint  Gré- 
goire de  Nysse,  148  et  suiv.  — Saint  Jérôme 
prend  les  leçons  d'Apollinaire  pendant  quel- 
que temps,  VII,  546.  —  Témoignages  de 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


249. 


76 

Théodoret  sur  Apollinaire,  X,  48  et  81. 
Voyez  Apollinaristes. 

APOLLINAIRE ,  aïeul  de  saint  Sidoine 
Apollinaire.  Son  tombeau  fouillé  par  des 
fossoyeurs  ;  épitaphe  que  saint  Sidoine  com- 
pose pour  y  être  placée,  X,  386. 

APOLLINAIRE,  évêque  de  Glermont,  l'un 
des  fils  de  saint  Sidoine  ;  lettre  d'instruction 
que  lui  écrit  son  père,  X,  379.  Deux  lettres 
de  saint  Avit  qu'on  croit  lui  être  adressées, 
559. 

APOLLINAIRE  ,  sénateur ,  ami  de  saint 
Sidoine  à  qui  il  écrit,  X,  384  et  389. 

APOLLINAIRE  et  THAUMASTE,  frères, 
parents  de  saint  Sidoine.  Lettre  que  saint 
Sidoine  leur  écrit,  X,  387. 

APOLLINAIRE,  frère  aîné  de  saint  Avit, 
évêque  de  Vienne,  X,  554.  Devient  évêque 
de  Valons.  Lettres  que  lui  écrit  saint  Avit, 
558,  559,  562. 

APOLLINARISTES.  Hérétiques.  Leurs  er- 
reurs, V,  244  et  suiv.  Première  lettre  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze  à  Clédonius, 
prêtre,  contra  ces  hérétiques,  243  et  suiv. 
Seconde  lettre  de  saint  Grégoire  à  Clédonius 
contre  les  mêmes,  246.  Lettres  du  même 
saint  à  Olympius  contre  les  mêmes,  259, 
260.  Erreurs  des  Apollinaristes,  318.  Saint 
Ambroise  combat  les  Apollinaristes  sans  les 
nommer,  478.  —  Lettre  de  saint  Grégoire 
de  Nysse  à  Théophile  d'Alexandrie  contre 
les  Apollinaristes,  VI,  194,  195.  Ce  que  saint 
Epiphane  dit  de  cette  secte,  409,  410.  — 
Apollinaristes  combattus  par  Théodore , 
évêque  de  Mopsueste,  VIII,  20.  —  Et  par 
saint  Augustin,  IX,  646,  647.  —  Traité  de 
saint  Cyrille  d'Alexandrie  contre  ces  héré- 
tiques, VIII,  325.  Origine  de  leur  hérésie'se- 
lon  l'historien  Socrate,  517.  —  Saint  Mar- 
cien  avait  un  grand  éloignement  pour  eux, 
X ,  53.  Ils  sont  combattus  par  Théodore , 
prêtre  d'Antioche,  587.  —  Traité  de  Léonce 
de  Bysance  contre  les  fraudes  des  Apolli- 
naristes, XI,  670.  —  Leur  erreur  touchant 
l'humanité  de  Jésus-Christ  renouvelée  par 
un  moine  de  Gluny,  XIV,  507. 

APOLLINE  (Sainte),  vierge,  martyre 
d'Alexandrie,  II,  210. 

APOLLON  PYTHIEN.  Les  reliques  de  saint 
Babylas  l'empêchent  de  rendre  des  oracles, 
VU,  88  et  91  et  X,  46.  —  Son  temple  et  sa 
statue  sont  brûlés  par  le  feu  du  ciel,  91 ,  X,  46. 

APOLLON,  solitaire  d'Egypte  près  la  ville 
d'Hermopole.  Ce  qui  est  dit  de  lui  dans  les 
Vies  des  Pères  écrites  par  Rufin  d'Aquilée, 


V[I,  474.  Il  est  visité  par  saint  Pétrone,  474 
et  X,  160. 

APOLLONE,  (Saint),  évêque  de  Corinthe, 
selon  le  Prœdestinatus,  condamne  Cerdon, 
II,  537. 

APOLLONIUS  DE  TYANES.  Fausseté  de 
sa  mission  et  de  ses  miracles  démontrée  par 
Eusèbe  de  Césarée,  III,  173,  176.  Sa  Vie  co- 
piée par  saint  Sidoine  Apollinaire  pour 
Léon,  ministre  d'Euric,  381. 

APOLLONIUS  (ou  APOLLONE)  (Saint), 
sénateur  romain,  martyr.  Son  Apologie  pour 
les  chrétiens,  I,  493,  494. 

APOLLONIUS,  auteur  ecclésiastique.  Ses 
écrits  contre  les  Montanistes,  II,  90.  [Édi- 
tions des  fragments  de  ses  écrits,  90. J 

APOLLONIUS  (Saint),  diacre.  Son  mar- 
tyre, III,  49,  50.  — Miracles  qui  se  faisaient 
à  son  tombeau  rapportés  dans  les  Vies  des 
Pères  écrites  par  Rufin  d'Aquilée,  VII,  473. 
—  Pétrone  apprend  son  histoire  dans  les  so- 
litudes d'Egypte,  X,  161. 

APOLLONIUS  COLLATIUS  (Pierre),  prê- 
tre de  l'église  de  Novare.  On  l'a  placé  à  tort 
parmi  les  auteurs  du  vu"  siècle.  Il  ne  vivait 
que  dans  le  xv"  ;  ses  poésies,  XI,  743. 

APOLLOPHANE,  païen,  dont  il  est  parlé 
dans  une  des  lettres  atti'ibuées  à  saint  Denis 
l'Aréopagite,  comme  ayant  vu  l'éclipsé  au 
temps  de  la  Passion,  X,  351,  352.  Sa  con- 
version, 552. 

APOLOGÉTIQUE  pour  les  chrétiens,  ou- 
vrage de  Tertullien  avant  sa  chute,  II,  22  et 
suiv. 

APOLOGÉTIQUE  du  pape  Symmaque 
contre  l'empereur  Anastase,  X,  525. 

APOLOGÉTIQUE  de  Rathérius,  évêque  de 
Vérone,  contre  les  calomnies  de  son  clergé, 
Xn,  832. 

APOLOGIES  des  chrétiens  par  saint  Qua- 
drat,  évêque  d'Athènes,  I,  401  et  suiv.  Par 
Aristide,  philosophe  athénien  converti,  403 
et  404.  Par  Ariston  de  Pella,  juif  converti, 
404,  403.  Première  apologie  de  saint  Justin, 
413  et  suiv.  Seconde  apologie  du  même,  417 
et  suiv.  Apologie  de  la  religion  chrétienne 
par  Méhton,  évêque  de  Sardes,  433  et  suiv. 
Par  Claude  Apollinaire,  évêque  d'Hiéraple, 
463.  Par  Athénagore,  philosophe  d'Athènes, 
481  et  suiv.  Par  Miltiade ,  493.  Par  saint 
Apollone,  494.  Par  Minutius  Félix,  550  et 
suiv.  —  Par  Tertullien,  II,  22  et  suiv.  Par 
Origèue  contre  Celse,  179  et  suiv. 

APOLOGIE  de  la  religion  chrétienne  par 
saint  Lucien  d'Antioche,  II,  75. 


Y.  186. 


It  siècle. 


m  siècle. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


71 


APOLOGIE  pour  les  chrétiens  contre  les 
Juifs  par  Léonce,  évêque  de  Naples,  XI,  G63 
et  suiv. 
siècle.  APOLOGIE  d'Origène,  par  saint  Pamphile, 
II,  S24  et  suiv.  [Éditions  de  cette  Apologie, 
703.] 
351.  APOLOGIE  de  saint  Atlianase ,  par  lui- 

même  contre  les  Ariens,  IV,  H9  et  suiv. 
■  siècle.         APOLOGIE  de  saint  Grégoire  de  Nazianze, 
379_        par  lui-même,    V,  203.   Autre   contre   les 
3gg,        Ariens.  220,  221.  Autre  contre  ceux   qui 
l'accusaient  d'avoir  brigué  le  siège  de  Cons- 
tantinople,  222. 
icttoi         APOLOGIE  de  Rufin  d'Aquilée   par  lui- 
même  dans  sa  lettre  au  pape  Anastase,  VII, 
433  et  suiv.  Autre  en  deux  livres    contre 
saint  Jérôme,  457  et  suiv.  Elle  est  rappelée 
dans  l'article  de  saint  Jérôme,  615.  Ces  deux 
apologies  ont  été  jointes  aux  œuvres  de 
saint  Jérôme,  648. 
395^  APOLOGIE  de  Jean,  évêque  de  Jérusalem, 

adressée  à  Théophile  d'Alexandrie,  VII,  501 . 
393.  APOLOGIE  de  saint  Jérôme  par  lui-même 

touchant  ses  lettres  contre  Jovinien ,  VII, 
(401.        601,  602.  Autre  en  deux  Mvres  contre  Rufin, 
«02.        613.  Autre  formant  un  troisième  livre  contre 
Rufin,  615. 

APOLOGIE  d'Orose  contre  Jean  de  Jéru- 
salem qui  l'avait  accusé  de  blasphème,  VII, 
501  et  X,  5  et  6.  —  Analyse  de  cette  apolo- 
gie, X,  5  et  6. 

[APOLOGIE  (grande) ,  ouvrage  de  saint 
Nicéphore  patriarche  de  Gonstantinople 
contre  les  Iconoclastes,  XII,  292.  Analyse  de 
cet  écrit,  292  et  293.  Choses  remarquables 
c«ntenues  dans  cette  Apologie,  293.] 

[APOLOGIE  (Petite),  ouvrage  de  saint 
Nicéphore,  patriarche  de  Gonstantinople 
contre  Léon  l'Arménien,  XII,  293.] 

APOLOGIE  des  saints  martyrs  de  Gor- 
doue,  par  saint  Euloge,  XII,  519  et  suiv. 

APOLOGIE  d'Abbon,  abbé  de  Fleury.  A 
quelle  occasion  elle  fut  faite,  XIII,  26  et 
suiv.  Analyse  de  cette  apologie,  27,  28. 

APOLOGIES  d'Abailard.  Première  apolo- 
gie ,  XIV,  328.  Seconde  apologie,  328  et  329. 

APOLOGIE  de  saint  Bernard,  XIV,  433, 
434,  470  et  suiv. 

APOLOGIE  de  Pierre  le  Vénérable,  XIV, 
503  et  suiv. 

[APOLOGIE  de  Pierre  Lombard  contre 
Jean  de  Cornouailles,  XIV,  568.] 

APOLOGUES  MORAUX,  imprimés  sous  le 
nom  de  sai^t  Cyrille  d'Alexandrie  sont  d'un 
auteur  latin  et  récent,  VIII,  324. 


APONIUS  (et  mieux  APPONIUS),  auteur 
qui  vivait  sur  la  fin  du  vu"  ou  au  commen- 
cement du  vin"  siècle.  Son  commentaire  sur 
le  Cantique  des  Cantiques,  XI,  807,  808. 
Abrégé  de  ce  commentaire,  808.  [Apponius 
vivait  au  vi"  siècle  d'après  Maï,  807.  Raisons 
qui  l'établissent,  807  et  808.  Commentaire 
d'Apponius  sur  le  Cantique  des  Cantiques  : 
le  cardinal  Maï  en  a  publié  les  livres  VII, 
VIII  et  une  partie  du  IX".  Choses  remar- 
quables contenues  dans  ce  commentaire, 
808.] 

APOSCHITES,  secte  des  Jacobites.  Pour- 
quoi ils  sont  ainsi  nommés.  Leurs  erreurs, 

XI,  809. 

APOSCHITES  ou  DOXARIENS,  Héréti- 
ques   dont    parle   saint  Jean   Damascène, 

XII,  70. 

APOSTATS.  46"  canon  du  concile  d'El- 
vire,  II,  610.  Canon  22"  du  concile  d'Arles, 
632.  —  Cas  où  il  peut  arriver  que  l'on  se 
rende  coupable  d'apostasie  selon  Eusèbe  de 
Césarée,  III,  233.  —  Livre  de  Lucifer  de  Ca- 
gliari  :  des  Rois  apostats,  IV,  253,  254.  Ca- 
non 3"  du  concile  de  Valence,  601.  Canon  73" 
dans  la  3"  épître  canonique  de  saint  Basile  le 
Grand,  474. — Règlement  du  pape  saint  Sirice 
sur  les  apostats,  VI,  100.  Canon  2"  de  l'é- 
pîlre  canonique  de  saint  Grégoire  de  Nysse, 
156,  157.  Loi  de  Valentinien  II  contre  les 
apostats,  362.  Lois  de  Théodose  contre  les 
apostats,  366,  367,  372.  — Canon  du  second 
concile  d'Arles  contre  ceux  qui  étaient  tombés 
dans  la  seconde  persécution,  VIII,  612.  — 
Dispositions  d'un  concile  de  Rome  à  leur 
sujet,  X,  720,  721.  —  Canon  29"  du  concile 
d'Epaone  concernant  les  apostats  qui  reve- 
naient à  l'Église,  XI,  816.  —  Réponse  du 
pape  Nicolas  I""^  aux  Bulgares  sur  les  apos- 
tats, XII,  583. 

APOSTOLIQUES.  Secte  d'hérétiques.  Ce 
qui  en  est  dit  par  saint  Epiphane,  VI,  398. 

APOTACTIQUES.  Les  mêmes  que  les 
Apostoliques,  VI,  398. 

APOTHÉOSE  ou  poëme  sur  la  divinité  par 
Prudence,  VIII,  103,  104. 

APOTRE.  Livre  de  l'apôlre  à  l'usage  des 
Grecs  dans  la  célébration  des  mystères.  Ce 
que  c'est,  XIII,  133,  136.  [Édition  lécente, 
136.] 

APOTRES  (Les  douze).  Actes  des  Apôtres 
écrits  par  saint  Luc,  I,  213  et  suiv.  Évangiles 
apocryphes  sous  leurs  noms,  272  et  suiv. 
Faux  actes  des  apôtres,  276  et  suiv.  Fausses 
épîtres  des  apôtres,  279,  280.  Fausses  apoca- 


IV  siècle. 


78 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLESIASTIQUES. 


lypses  sous  leurs  noms  ;  283,  286.  Liturgies 
attribuées  aux  apôtres,  286  et  suiv.  Symbole 
des  apôtres,  290  et  suiv.  Voyez  chacun  de 
ces  articles  à  leur  titre.  Doctrine  d'Hermas 
sur  les  apôtres,  331,  338.  Doctrine  de  saint 
Irénée,  321  et  suiv.  Témoignage  de  Clément 
d'Alexandrie,  602,  603.  Traité  sur  les  douze 
apôtres  attribué  à  saint  Hippolyte,  634,  633. 

—  Doctrine  de  ïertullien  sur  ce  qui  con- 
cerne les  apôtres,  II,  15  et  74.  Livres  apo- 
cryphes de  la  doctrine  des  apôtres,  346  et 
389.  Doctrine  de  saint  Cyprien,  317  et  337. 
Témoignage  de  Lactance,  517.  Concile  des 
apôtres  à  Jérusalem,  531  et  suiv.  Conciles 
faussement  attribués  aux  apôtres,  334  et 
suiv.  Les  canons  qui  portent  leurs  noms  ne 
sont  pas  d'eux,  573  et  suiv.  Voyez  Canons 
apostoliques.  Les  constitutions  qu'on  nomme 
apostohques  ne  sont  point  des  apôtres,  389 
et  suiv.  Voyez  Constitutions  apostoliques.  — 

—  Témoignage  d'Eusèbe  de  Césarée,  III, 
301.  De  quelle  manière  les  apôtres  ont  pro- 
posé la  morale  évangéhque,  189.  Preuve  de 
la  vérité  de  ce  qu'ils  ont  écrit  de  Jésus- 
Christ ,  190,  191.  [Ce  qu'Eusèbe  dit  des 
apôtres  dans  un  écrit  publié  récemment, 
226.]  Leur  changement  est  une  preuve  de 
la  résurrection  de  Jésus-Christ,  232,  233, 
Autre  preuve  tirée  de  leurs  prédications, 
233.  Ils  ont  vécu  dans  la  continence.  Ils  ont 
tous  souti'ert  le  martyre,  301.  —Doctrine  de 
saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  77.  Témoignage 
de  saint  Athanase,  223.  —  Témoignages  de 
saint  Cyrille  de  Jérusalem,  V,  80,  81.  Poëme 
de  saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  les  douze 
apôtres,  274.  —  Témoignage  de  saint  Jean 
Chrysostôme  sur  le  nom  d'apôtre,  VII,  102. 
Témoignage  du  même  Père  sur  les  apôtres, 
181.  Homélie  sur  les  douze  apôtres  attribuée 
faussement  à  saint  Jean  Chrysostôme,  256. 
Homéhe  à  la  louange  des  douze  apôtres  atti'i- 
buée  faussement  à  Jean  de  Jérusalem,  502. 

—  Parallèle  des  apôtres  avec  les  législateurs 
grecs  et  romains,  par  Théodoret,  X,  96.  Té- 
moignage de  saint  Léon  sur  les  apôtres , 
262,  263.  —  Ce  que  dit  saint  Grégoire  de 
Tours  du  martyre  des  apôtres,  XI,  374  ;  de 
leurs  images ,  388.  Témoignage  de  saint 
Fortunat  sur  le  pays  où  ils  ont  annoncé  l'É- 
vangile, 406.  Témoignage  de  saint  Grégoire 
le  Grand  ,  336.  Voyages  des  apôtres  ;  ou- 
vrage plein  d'impertinences  dont  Photius  a 
donné  l'extrait,  643,  644.  Épigramme  attri- 
buée au  pape  Honorius  sur  l'étonnement  des 
apôlresen  voyant  Jésus-Christ  monter  auciel. 


648.  —  Manière  dont  les  apôtres  célébraient 
la  messe  d'après  Walafride  Strabon,  XII, 
413.  Vers  en  l'honneur  des  douze  apôtres 
attribués  à  Walafride  Strabon,  416.  [Si  les  ' 

apôtres  et  les  prédicateurs  évangéliques  ont 
soigné  leurs  compositions,  522.]  HoméUes 
de  David  Nicétas  sur  les  apôtres,  736.  — 
Traité  des  douze  apôtres  ;  ouvrage  attri- 
bué à  Hippolyte  le  Thébain,  XIII,  43. 
[Hymne  sur  la  disparition  des  apôtres  par 
Godescalk,  117.]  Discours  d'Othon,  moine  de 
Saint-Emmeran  de  Ratisbonne  en  l'honneur 
des  apôtres,  281,  282,  Un  concile  de  Saintes  jq97_ 
ordonne  de  jeûner  toutes  les  veilles  des 
têtes  des  apôtres,  436.  Voyez  chacun  des 
apôtres  à  leurs  titres  particuliers. 

APOTRES  DES  JUIFS.  Ce  que  c'était, 
VI,  348,  note  13. 

APPARITIONS  de  Dieu  attribuées  aux 
anges  comme  étant  ses  ministres,  I,  13, 
note  13.  —  Témoignages  de  saint  Augustin 
sur  diverses  apparitions,  IX,  141,  252,  364, 

—  Apparitions  rapportées  par  Ditmar,  XUI, 
62,  et  par  Glaber,  146. 

APPELLATION  à  Rome  blâmée  par  saint  ,„  ^jj^., 
Cyprien,  II,  358, 359.  [Voyez  pourtant  note  3 
de  la  page  358  et  note  1  de  la  page  339.]  — 
Canons  3,  4  et  5  du  Concile  de  Sardique,  jy  ^j^^, 
ni,  483,  486.  [Voyez  485,  n.  7.]  —  Le  pape 
saint  Zozime  appuie  ces  appellations  sur  les 
décrets  du  concile  de  Sardique,  VII,  537  et 
541,  [Voyez  537,  n.  3,  et  538,  n,  1.]  —  Abus 
des  appellations  importunes  et  téméraires  re- 
montré avec  force  au  pape  saint  Célestin  par 
un  concile  d'Afrique,  VIII,  127.  Elles  sont 
combattues  par  les  évêques  d'Afrique,  363 
et  suiv.  [Voyez  563,  note  2.]  —  Le  pape  saint 
Léon  maintient  l'usage  des  appellations  à 
Rome,  X,  199.  [Voyez  la  note  1,]  Doc- 
trine du  pape  saint  Gélase  sur  les  appella- 
tions au  Saint-Siège,  496,  497.  —  Les  pré- 
tendus privilèges  de  l'Eghse  de  France  allé- 
gués comme  défendant  ces  appels,  XII,  578, 
rejetés  par  le  pape  saint  Nicolas,  379.  Ap- 
pellations reconnues  légitimes  par  Hincmar 
de  Reims,  662,  663.  Traité  d'Hincmar  de 
Reims  contre  les  appellations  au  pape,  683. 

—  [De  la  Liberté  des  appellations,  second 
livre  de  la  Collection  de  saint  Anselme  de 
Lucques  ;  analyse  de  ce  livre,  XIII,  396.  Ap- 
pellation au  métropolitain  et  aux  autres 
juges  supérieurs  de  l'Église  catholique,  ca- 
non du  quatrième  concile  général  de  Cons- 
tantinople,  omis  par  Fleury.  Réflexions  sur 
ce  canon,  710.]  —  Inconvénients  qu'y  trou- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


79 


vait  Yves  de  Chartres,  XIV,  117.  Elles  com- 
mencent à  être  employées  en  Angleterre  ; 
inconvénients  qui  résultaient  de  ces  appella- 
tions selon  le  vénérable  Hildebert ,  213. 
[Voyez  la  note  1].  Abus  que  saint  Bernard  y 
relève,  439  et  -463.  Elles  commencent  à  être 
employées  en  Angleterre.  [Réponse  de  saint 
Anselme  sur  l'usage  contraire  en  Angleterre, 
1123.]  Canon  du  concile  de  Latran  pour  en 
modérer  l'abus,  1140.  Voyez  Appels. 

APPELLE,  cà  qui  écrit  Théodoret,  X,  74. 

APPELLÉIENS.  Ce  que  saint  Epiphane 
dit  de  cette  secte,  VI,  392,  393. 

APPELLES,  disciple  de  Marcion.  Voyez 
ApelVes. 

APPELS.  [Droit  d'appel  au  pape.  Auteurs 
favorables  et  défavorables,  III,  485,  n.  7.J — 
LesDonatistes  appellent  du  concile  de  Rome 
à  l'empereur  qui  les  en  blâme,  V,  112.  —  (Is 
appellent  encore  du  concile  d'Arles  à  l'em- 
pereur qui  les  condamne,  III,  134.  — Évéque 
condamné  à  l'amende  pour  avoir  appelé  de 
la  sentence  d'un  concile  à  un  magistrat  sé- 
culier, IV,  600.  —  Appels  au  concile  de  la 
province.  C'est  le  sujet  du  canon  14"  du 
concile  de  Sardique,  III,  489.  [Note  sur  l'ap- 
pel au  pape,  490.]  —  Canon  d'un  concile 
d'une  ville  d'Afrique  sur  les  appels,  VIII, 
S63.  [Voyez  la  note  2].  Canon  28'  du  6'=  con- 
cile de  Carthage,  567.  Appels  de  l'évéque  au 
concile  de  la  province  autorisés  par  le  con- 
cile de  Vaison,  610.  —  [Ce  que  dit  le  pape 
Innocent  II  des  appels  dans  une  lettre  aux 
archevêques  et  évêques  d'Allemagne  ;  à 
Henri,  archevêque  de  Sens,  XIV,  265,  à 
d'autres,  266.  Ce  que  décida  le  pape  Gré- 
goire VIII  pour  remédier  à  la  multiplicité 
des  appels  comme  d'abus,  936.  Réponse  du 
pape  Célestin  III  relativement  aux  appels, 
944.]  Canons  du  concile  de  Latran  concer- 
nant les  appels  dans  les  jugements,  1168. 

APPHIEN  (Saint),  martyr  de  Palestine, 
III,  6,  7.  Ses  actes  donnés  par  Assémani, 
353. 

APPION  et  CANDIDUS.  (Ils  sont  regardés 
comme  auteurs  d'un  commentaire  sur  l'ou- 
vrage des  six  jours.  Voyez  du  Pin.) 

APPRENDRE.  Traité  de  Hugues  de  Saint- 
Victor  de  la  manière  d'apprendre  et  de  mé- 
diter, XIV,  358. 

APRA  ou  ABRA,  fille  de  saint  Hilaire. 
Voyez  Abra. 

APRE ,  (Saint) ,  évéque  de  Toul,  paraît 
différent  de  celui  qui  suit,  VIII,  77. 

APRE,  avocat  et  ensuite  prêtre.  Lettres 


que  lui  écrivit  saint  Paulin,  évéque  de  Noie, 
VIII,  77.  Autre  lettre  de  saint  Paulin  à  Apre 
et  à  Amande  sa  femme,  79.  (Ce  pourrait  être 
le  même  qu'Aper,  à  qui  Salvien  écrivit. 
Voyez  l'article  d'Aper ,  prêtre  d'Aquitaine 
dans  V Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  II. 
p.  99  et  suiv.) 

APRIGIUS ,  évéque  de  Badajoz,  en  Es- 
pagne, auteur  d'un  commentaire  sur  l'Apo- 
calypse que  nous  n'avons  plus,  XI,  807, 
808.  [Son  commentaire  sur  le  Cantique  des 
Cantiques  ;  abrégé  de  ce  commentaire  ; 
livres  VII,  VIII  et  une  partie  du  IX"  publiés 
par  le  cardinal  Mai,  808.] 

APRINGIDS,  proconsul.  Lettre  que  lui 
écrivit  saint  Augustin,  IX,  120,  121. 

APRONIEN,  ami  de  Rufin,  qui  lui  adresse 
son  apologie ,  VII,  453.  Sa  traduction  de 
quelques  discours  de  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze,  et  celle  des  sentences  de  Sixte,  466. 

APRONIEN,  mari  d'Avita,  nièce  de  sainte 
Mélanie.  Païen,  il  se  convertit,  VII,  459. 

APRONIEN,  comte  des  domaines.  Lettre 
que  lui  écrivit  Théodoric,  roi  des  Goths  en 
Italie,  XI,  214,  215. 

APRONIUS,  à  qui  saint  Jérôme  écrit  une 
lettre,  VU,  646. 

APRUNCULUS,  évéque.  Lettre  que  lui 
écrit  Rurice,  évéque  de  Limoges,  X,  609. 

APSELAME  (Pierre)  (Saint) ,  martyr  de 
Palestine,  III,  11  et  81. 

AQUARIENS,  hérétiques  qui  n'offraient 
que  de  l'eau  dans  les  saints  mystères,  V, 
175. 

AQUARIENS.  Nom  donné  aux  Encratites. 
Pourquoi,  X,  130. 

AQDILA  de  Pont.  Apostat  judaïsant,  au- 
teur d'une  version  grecque  de  l'Ancien  Tes- 
tament, II,  142,  143.  —  Ce  que  saint  Epi- 
phane dit  de  sa  version,  VI,  418. 

AQUILA,  évéque  de  Saltzbourg.  Lettres  à 
lui  adressées,  XH,  198,  199,  200.  Voyez 
Arnon. 

AQUILÉE,  ville  célèbre  d'Italie  qu'on  ap- 
pelait la  seconde  Rome,  VII,  448  et  494.  — 
Concile  qui  y  fut  tenu,  IV,  628  et  suiv.  For- 
tunatien ,  évéque  de  cette  ville ,  317.  • — 
Rufin,  prêtre  d'Aquilée,  auteur  ecclésias- 
tique, VII ,  448  et  suiv.  Saint  Ghromace , 
évéque  de  cette  ville,  493  et  suiv.  -^  Lettre 
de  saint  Léon  à  l'évéque  d'Aquilée,  X,  206. 
—  Le  pape  Honorius  réunit  à  l'Église 
Aquilée  et  toute  l'Istrie,  XI,  647.  —  Con- 
cile tenu  en  cette  ville,  XII,  968.  —  Le  pa- 
triarche d'Aquilée  prétend  prouver  qu'il  doit 


406. 


412. 


417. 


V.  130. 


381. 

381. 

IV  siècle. 

V  siècle. 

IV  et 
V  siècle. 


80 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1047. 


avoir  la  préséance  sur  les  archevêques  de 
Ravenne  et  de  Milan.  Elle  est  accordée  à 
celui  de  Ravenne,  XIII,  198.  —  Lettre  de 
Théodore  Balsamon  au  patriarche  d'Aquilée, 
où  il  prétend  prouver  qu'il  n'a  aucun  droit 
au  titre  de  patriarche,  XIV,  826. 

AQUILÉE  (Nouvelle).  Voyez  Grado. 

AQUILIN ,  avocat  célèbre  de  Gonstanti- 
nople  guéri  de  la  fièvre  par  saint  Michel, 
VIII,  525. 

AQUILIN,  évêque  de  Barbalisse,  déposé 
,j34^  par  Jean  d'Antioche  ;  il  se  réunit  à  sa  com- 
munion, Vin,  603. 

IV  siècle.         AQUILIUS    SÉVÉRUS,    Espagnol.     Ses 

écrits,  IV,  347. 

[AQUIN  (Charles  d').  Son  édition  des  écrits 
de  saint  Damase,  V,  25.] 
IV  et  AQUITAINE  (Sulpice-Sévère),  prêtre  d'A- 

V  siècle,     quitaine,    VIII,    110    et   suiv.    —   Concile 

d'Aquitaine,  XIII,  697. 
ARABES.  Leur  incursion  sur  la  Laure  de 
jji  gi^j,g_     saint  Sabas,  XI,  697.  —  Lettre  du  pape  saint 
Etienne  aux  égUses  d'Arabie,  II,  422.  Con- 
243^        ciles  tenus  dans  l'Arabie,  554,  555.  — Saint 
IV  siècle      Grégoire  de  Nysse  visite  les  églises  d'Ara- 
bie, VI,  123. 

AB-ABIEN  ou  BRABIEN,  auteur  ecclésias- 
tique, I,  537. 

ARABIEN,  évêque  d'Ancyre.  Concile  de 
Constantinople  auquel  il  assiste,  VII,  716. 
ARABIQUES  (Les  canons)  attribués  faus- 
sement au  concile  de  Nicée,  III,  440,  441. 
Quelle  peut  être  leur  origine,  441. 
^Qg_  ARABIUS,  ami  de  saint  Jean   Chrysos- 

tôme.  Lettre  que  ce  saint  docteur  lui  écrivit, 
VII,  131. 

ARANÉOLE,  femme  de  Polémius  célébrée 
daus  les  vers  de  saint  Sidoine  Apollinaire, 

X,  397. 
ARANSIUS,  évêque  de  Tolède,  dont  parle 

saint  Ildefonse ,  quoiqu'il  n'ait  rien  écrit, 

XI,  699. 
ARATOR,  évêque,  frère  de  la  mère  de 

saint  Rustique  ,  évêque  de  Narbonne  ,  X , 
199. 

ARATOR,  poète  chrétien,  d'abord  inten- 
dant des  domaines  de  l'emperem"  ;  le  roi 
Théodoric  l'envoie  en  députation  vers  Atha- 
laric,  puis  le  fait  comte  des  domestiques  ; 
Arator  embrasse  l'état  ecclésiastique  et  est 
fait  sous-diacre  de  l'Église  romaine  ;  son 
j^^  poëme  des  Actes  des  apôtres  qu'il  présente 
au  pape  Vigile,  XI,  197.  Idée  de  ce  poëme, 
197  et  108.  Éditions  qu'on  en  a  faites,  198. 
[Éditions  des  écrits  d'Arator  dans  la  Patro- 


III  siècle. 


.394. 


logie,  198.]  Lettre  que  lui  écrit  Ennode 
pour  le  détourner  des  sciences  profanes  ;  il 
met  en  vers  les  Actes  des  apôtres  et  les  dé- 
die au  pape  Vigile,  X,  573.  —  Bède  se  sert 
de  ce  poëme  pour  faire  son  commentaire 
sur  les  Actes  des  apôtres,  XII,  9. 

ARBALÉTRIERS.  Un  concile  de  Latran 
leur  défend  d'exercer  leur  art  contre  les 
chrétiens  et  les  catholiques,  XIV,  1115. 

[ARBELLOT  (L'abbé).  Sa  dissertation  sur 
l'Apostolat  de  saint  Martial  XII,  897.  Ses 
observations  sur  les  actes  de  saint  Julien, 
évêque  du  Mans,  897  et  898.] 

ARBESTAS,  évêque  de  Syracuse,  déposé 
pour  ses  crimes,  XII,  720. 

ARBITRE.  Voyez  Libre  arbitre. 
ARBOGASTE,  comte,  tient  sous  le  joug 
Valentinien  II  ;  le  fait  étrangler  ;  donne  à 
Eugène  le  titre  d'empereur,  V,  391.  Se  tue 
après  la  défaite  d'Eugène,  392. 

ARBOGASTE ,  comte ,  gouverneur  de 
Trêves,  (depuis  évêque  de  Chartres),  con- 
sulte saint  Sidoine  sur  quelques  dififlcultés 
de  l'Écriture,  X,  388.  Lettre  que  lui  écrit 
saint  Auspice,  évêque  de  Toul,  400.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  tome  II,  p.  548  et  suiv.) 

ARBOGASTE,  évêque  de  Strasbourg.  Du- 
rée de  son  épiscopat;  ses  homélies  en  forme 
de  commentaire  sur  les  Épîtres  de  saint 
Paul  ;  sa  vie  écrite  par  Uthon  l'un  de  ses 
successeurs,  XI,  781.  [Édition  de  cette  vie 
dans  la  Pairologie,  781.]  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  III, 
p.  622.) 

ARBORIUS,  préfet  de  Rome.  Sa  fille  est 
guérie  par  l'attouchement  d'une  lettre  de 
saint  Martin,  VIII,  125. 

ARBRE.  Qu'est-ce  que  le  bon  et  le  mau- 
vais arbre  dont  il  est  parlé  dans  l'Évangile, 
IX,  498.  Sentiment  de  saint  Augustin  sur 
l'arbre  de  vie,  558. 

ARCADE  (Saint),  martyr  dans  VAchaïe, 
m,  84,  85. 

ARCADE.  Trésorier  des  revenus  particu- 
liers du  prince,  IV,  429.  Lettre  que  saint 
Basile  le  Grand  lui  écrit,  429,  430. 

ARCADE,  empereur.  Requête  des  deux 
prêtres  Marcelhn  et  Faustin  aux  empereurs 
Théodose,  Valentinien  et  Arcade,  V,  150  et 
suiv.  —  Arcade  fait  élever  saint  Jean  Ghry- 
sostôme  sur  le  siège  de  Constantinople, 
VII,  2.  Conduite  qu'il  tient  dans  le  différend 
qui  s'élève  entre  Théophile  et  saint  Jean 
Ghrysostôme,  3  et  6.  Il  exile  le  saint  évêque 


H39. 


670-6! 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


81 


et  le  rappelle  presque  aussitôt,  6  et  7.  Dé- 
putation  des  Occidentaux ,  du  pape  Inno- 
cent I  et  de  l'empereur  Honorius  à  Arcade 
en  faveur  de  saint  Jean  Ghrysostôme,  11. 
Arcade  fait  un  édit  contre  ceux  qui  demeu- 
raient attachés  à  saint  Jean  Clirysostôme, 
491.  Lettres  à  cet  empereur  faussement  at- 
tribuées au  pape  Innocent,  et  de  cet  empe- 
reur à  ce  même  pape,  527.  —  Synésius,  de- 
puis archevêque  de  Plolémaïde,  est  député 
vers  cet  empereur  au  nom  de  la  ville  de 
Cyrène,  VIII,  24.  —  Lettre  du  concile  du 
Chêne  à  cet  empereur  contre  saint  Jean 
Ghrysostôme.  Il  le  bannit,  VII,  749.  — 
Arcade  défend  d'offrir  aucun  sacrifice  au 
démon,  VIII,  203.  Saint  Nil  se  plaint  à  lui 
de  l'injure  qu'on  faisait  à  saint  Jean  Ghry- 
sostôme ;  il  a  recours  aux  prières  de  ce 
saint,  206.  Il  avait  été  tenu  sur  les  fonts  de 
baptême  par  saint  Arsène  qui  depuis  fut 
chargé  de  son  éducation,  398.  Ses  enfants, 
•471. — Il  succède  à  Théodose  et  imite  sa 
piété,  X,  49. 

ARCADE  (saint),  et  ses  compagnons,  ban- 
nis pour  la  foi  catholique  par  Genséric,  roi 
des  Vandales,  X,  466  et  suiv.  Lettres  que 
Honorât  Antonin,  évêque  de  Cirthe,  leur 
écrit  pour  les  fortifier  dans  la  foi,  466,  467. 
Leur  martyre,  467.  —  [Traité  de  saint  Ze- 
non, évêque  de  Verceil,  sur  saint  Arcade, 
VI,  274.] 

ARCADIE,  fille  de  l'empereur  Arcade, 
embrasse  la  virginité,  VIII,  471. 

ARCADIOPOLIS,  évéché  uni  à  celui  de 
Byze,  VllI,  591. 

ARCADIUS,  évêque  à  qui  saint  Basile 
écrit  une  lettre,  IV,  437,  438. 

ARCADIUS  (ou  ARCADE),  évêque,  l'un 
des  légats  envoyés  par  le  pape  saint  Céles- 
tin  au  concile  d'Ephèse,  VIII,  139. 

ARCADIUS,  évêque  des  Gaules,  à  qui  le 
pape  saint  Gélestin  écrit  en  faveur  de  saint 
Augustin,  X,  277. 

ARCADIUS,  archevêque  de  Chypre,  avait 
composé  la  vie  de  saint  Siméon  Stylite  le 
jeune,  XI,  676. 

ARCHANGES.  Cosme  d'Egypte  croit  qu'il 
y  en  a  qui  sont  députés  à  la  garde  de  cha- 
que nation  et  de  chaque  royaume,  XI,  188. 

ARCHE  DE  NOÉ.  On  en  voyait  encore 
les  débris,  au  temps  de  saint  Théophile,  sur 
les  montagnes  d'Arménie,  I,  480.  —  Arche 
de  Noé,  figure  de  l'Église  selon  saint  Cy- 
prien,  II,  355.  —  Livre  de  saint  Ambroise 
sur  l'arche  et  sur  Noé,  V,  399,  400.  —  Té- 

TAB.   I. 


moignage  de  saint  Ephrem  sur  l'arche  de 
Noé,  VI,  52.  —  Témoignage  de  saint  Jean 
Ghrysostôme,  VII,  202.  Témoignage  de  saint 
Jérôme,  335.  —  Sentiment  de  saint  Augus- 
tin sur  l'arche  de  Noé,  IX,  615. —  Traité  de 
la  ressemblance  de  l'arche  à  l'Église,  faus- 
sement attribué  au  vénérable  Bède,  XII,  5. 
—  Traité  de  l'arche  mystique  et  morale  at- 
tribué à  Hugues  Follet,  XIV,  331,  332. 

ARCHE  D'ALLIANCE.  Explication  allégo- 
rique  du  vénérable  Bède,  sur  ce  qui  est  dit 
dans  l'Exode,  de  la  construction  de  l'arche 
d'aUiance,  XII,  8.  Traité  de  Tarche  d'al- 
liance et  de  la  sortie  d'Égyple.  —  Ouvrage 
de  Geofifroi  de  Vendôme,  XIV,  167,  168. 

ARCHÉLAUS  (saint),  évêque  de  Gaschare 
dans  la  Mésopotamie;  Disputes  d'Archélaus 
contre  Manès,  II,  433.  [Authenticité  des  ac- 
tes de  la  Conférence  d'Archélaiis,  454.]  Ori- 
gine et  progrès  des  erreurs  de  Manès,  454. 
Lettre  de  Manès  à  Marcel.  Ses  erreurs  ;  Ma- 
nès entre  en  conférence  avec  Archélaûs, 
433.  Analyse  de  cette  Conférence,  433  et 
suiv.  Dispute  de  Diodore  contre  Manès  ; 
lettre  de  Diodore  à  Archélaûs  ;  réponse  de 
cet  évêque,  457.  Seconde  Dispute  d'Arché- 
laus contre  Manès,  437  et  458.  Troisième 
Conférence  d'Archélaus,  438.  Remarques 
sur  la  doctrine  d'Archélaus ,  458  et  439. 
[Éditions  de  ses  Conférences,  453  et  note  3, 
et  459.]  Saint  Cyrille  de  Jérusalem  rapporte 
une  partie  de  cette  conférence,  V,  40. 

ARCHÉLAUS  ,  comte,  tâche  de  réconci- 
her  saint  Jérôme  avec  Jean  de  Jérusalem, 
VII,  500. 

ARCHEMBALD,  archevêque  de  Tours,  at- 
taque les  privilèges  des  chanoines  de  Saint- 
Martin.  Lettre  d'Abbon  de  Fleury  à  ce  su- 
jet, XIII,  28,  29.  Archembald  est  suspendu 
de  la  communion  par  un  concile  de  Rome, 
764. 

ARGHEMBAUD,  archevêque  de  Mayence, 
succède  à  Willégise  ;  sa  mort  ;  Aribon  lui 
succède,  XIII,  67. 

ARGHEMBAUD,  sous -doyen  d'Orléans, 
tué  ;  son  meurtrier  excommunié,  XIV,  239. 

ARCHEMBALD,  évêque  de  Strasbourg, 
voyez  Erkembald. 

[ARGHÉUS,  évêque  de  Lepta,  I,  542.] 

ARCHEVÊQUE.  Mélèce,  évêque  de  Lyco- 
ple,  en  Egypte,  prend  ce  titre,  III,  427.  — 
Ce  titre  était  connu  dès  le  temps  de  saint 
Athanase,  IV,  221.  —  Ce  titre  était  in- 
connu du  temps  des  apôtres,  VI,  78,  80, 
81,  et  même   dans  les  trois  premiers  siè- 

6 


Î77. 


X  siècle. 


1011. 
1020. 


lion 

III  siècle. 

IV  siècle. 


82 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


clés,  78,  80.  [Mais  la  chose  était  connue, 
78,  note  3.]  —  Le  titre  d'archevêque  de 
l'Église  universelle  donné  au  pape ,  X , 
490.  —  Prérogatives  des  archevêques  sui- 
vant Hincmar  de  Reims,  XII,  674.  —  Règle- 
ments d'un  concile  de  Paris  touchant  les  ar- 
chevêques et  évêques,  XIV,  1156. 

[ARCHEVÊQUES  et  patriarches  de  Cons- 
tantinople  des  différents  siècles.  Leurs  sen- 
tences synodales  et  sanctions  pontificales 
constituant  le  droit  canonique  grec  romain 
de  l'Église  orientale  sont  reproduites  au 
tome  CXIX  de  la  Patrologie  grecque.] 

ARCHIDIACRE,  nom  inconnu  du  temps 
du  pape  saint  Clément,  VI,  79.  —  Statuts 
IX  siècle.  d'Hincmar  de  Reims  qui  règlent  la  manière 
dont  les  archidiacres  doivent  faire  la  visite 
des  paroisses  dépendantes  de  leur  juridic- 
tion, XII,  664.  Statut  de  Vautier  d'Orléans 
sur  les  ai'chidiacres  pour  les  examens  des 
curés,  703.  —  Canon  d'un  concile  de  Paris 
touchant  les  archidiacres,  XIII,  663.  —  Ca- 
nons d'un  concile  de  Londres,  XIV,  1155. 
[Fonctions  de  l'archidiacre  dans  la  visite  des 
églises  d'après  le  pape  Innocent  II,  266. 
D'après  le  même  pape  les  archidiacres  et 
les  doyens  doivent  recevoir  les  ordres  sa- 
crés, 998.] 

ARCHIMANDRITE,  terme  employé  par 
l'auteur  des  constitutions  attribuées  à  saint 
Basile,  IV,  409.  —  Lettre  de  saint  Léon  aux 
archimandrites  de  Constantinople,  X,  314. 

[ARCHIERATICON ,  livre  liturgique  des 
Grecs,  XIII,  138.] 

ARGHINIME  (Saint),  martyr,  ou  plutôt 
confesseur  en  Afrique  pendant  la  persécu- 
tion des  Vandales,  X,  452. 

ARCHIPRÊTRES.  [Le  litre  d'archiprêtre 
donné  à  un  évêque,  XII,  523.]  Canon  d'un 
concile  de  Reims  qui  détend  de  prendre  un 
laïque  pour  le  faire  archiprêtre  dans  une  pa- 
roisse, 915. 

ARCHITAS,  philosophe  dont  saint  Am- 
broise  rappelle  une  sentence,  V,  437. 
IV  siècle  ARCHONTIQUES,    hérétiques.    Ce    que 

saint  Epiphane  dit  de  cette  secte,  VI,  392. 

ARCUDIUS  (Antoine),  prêtre.  Grec  de  na- 
tion. Sa  traduction  latine  d'une  partie  du 
Ménologe,  XIII,  132.  Son  Antologium  à  Tu- 
sage  des  voyageurs,  137,  139. 
VII  i<!  ARCULFE,  évêque  gaulois.  Son  voyage 

en  Terre-Sainte,  XI,  800,  801.  A  son  retour, 
il  est  jeté  par  la  tempête  sur  les  côtes  de  la 
Grande-Bretagne  ;  il  aborde  à  l'Ile  de  Hi  où 
il  est  accueilli  par  l'abbé  Hadamnan,  801.  Il 


raconte  ses  aventures  à  cet  abbé,  qui  les 
met  par  écrit  et  en  compose  une  description 
de  la  Tei're-Sainte.  Ce  qu'elle  contient  de 
plus  remarquable,  801  et  802.  [Edition  de 
cette  description  dans  la  Patrologie,  802.] 

ARDENTS.  Maladie  des  ardents.  Ce  que 
c'était,  XIII,  147. 

ARDENT  (Raoul)  orateur.  Voyez  Raoul 
Ardent. 

ARDOBERT,  établi  archevêque  de  Sens 
par  le  concile  de  Leptines.  Saint  Boniface 
demande  pour  lui  le  pallium,  XII,  30. 

ARDON  ,  surnommé  Smaragde  ,  moine 
d'Aniane  ;  ce  qu'on  sait  des  circonstances 
de  sa  vie;  sa  mort,  XII,  394.  Il  écrit  la  vie 
de  saint  Benoît  d'Aniane,  394  et  258.  Le 
discours  qui  accompagne  cette  Vie  dans  les 
imprimés  n'est  pas  de  lui.  On  lui  a  attribué 
d'autres  ouvrages  qui  sont  de  Smaragde, 
abbé  de  Saint-Mihiel,  394.  (Voyez  son  arti- 
cle dans  VHist.  littér.  de  la  France,  tome  V, 
p.  31  et  suiv.) 

AREUIUS,  fondateur  d'un  monastère  où 
il  introduit  la  règle  de  saint  Basile,  IV, 
393. 

ARÉDIUS,  homme  illustre  à  la  cour  de 
Gondebaud,  favorise  les  ariens,  X,  735. 

ARÉGIUS,  évêque  de  Gap.  Le  pape  saint 
Grégoire  l'invite  à  un  concile,  et  lui  permet 
l'usage  des  dalmatiques,  XI,  518. 

AREOBINDE,  général  de  l'Orient,  Voyez 
Aréovinde. 

ARÉOPAGITIQUES,composésparHilduin, 
abbé  de  Saint-Denis.  Ce  qu'ils  contiennent, 
XII,  384,  385. 

ARÉOVINDE,  Patrice.  Lettre  que  lui  écrit 
Théodoret  pour  l'engager  à  faire  quelques 
remises  aux  fermiers  des  terres  qu'il  avait 
dans  le  diocèse  de  Cyr,  X,  66.  Général  de 
rOrient,  il  se  signale  dans  la  guerre  contre 
les  Perses,  490  et  S85. 

ARES    (  Samt  ) ,    martyr    de    Palestine  ,        308 
III,  11. 

ARÉTAS  ou  ARÉTHAS  (  Saint),  prince  de 
la  ville  de  Nagran;  son  martyre,  X,  644, 
645. 

ARÉTAS,  évêque  de  Césarée  en  Cappa-  x  siècit 
doce.  Son  commentaire  sur  l'Apocalypse,  yfj'jj' 
XI,  263.  Editions  et  traduction  qu'on  en  a 
faites,  266.  [Autres  éditions,  266.]  Son  dis- 
cours en  l'honneur  des  saints  martyrs  Sa- 
mone,  Carie  et  Abibus,  donné  par  Surius, 
266.  —  II  n'a  vécu  qu'à  la  fin  du  ix'  ou  au 
commencement  du  x°  siècle,  XII,  426.  [Ce 
sentiment  parait  faux,  426,  note  1.  Voyez 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


83 


aussi  XI,  265,  note  2.]  11  a  ^té  placé  à  tort 
parmi  les  auteurs  du  yi"  siècle.  Deux  ma- 
nuscrits dont  la  date  prouve  qu'il  vivait  au 
commencement  du  x'=  siècle,  814.  [On  com- 
bat ce  sentiment.  Cependant  les  éditeurs 
de  la  Patrologie  grecque  ont  placé  cet  arche- 
vêque sous  l'an  910.  Ses  œuvres  reproduites 
au  t.  CVI  comprennent  :  1°  Le  commentaire 
sur  l'Apocalypse  ;  2°  un  discours  sur  les 
saints  martyrs  Samone,  Caria  et  Abibus,  tiré 
de  Surius  en  latin  seulement;  3°  un  discours 
sur  la  translation  de  saint  Euthymius,  pa- 
triarche de  Constantinople,  tiré  de  Lipoman. 
Elles  sont  précédées  d'une  notice  de  Fabri- 
cius,  du  jugement  du  traducteur  Hentenius 
sur  les  commentaires  de  l'Apocalypse,  sur 
le  séjour  de  saint  Jean  à  Pathmos  et  sur  la 
révélation  de  l'Apocalypse.] 

ARÉTHUSE.  Supplice  que  les  habitants 
de  cette  ville  font  souffrir  à  l'évêque  Marc. 
Ils  apprennent  de  lui  les  premiers  principes 
de  la  religion  chrétienne,  X,  46. 

ARÉTIN  (Gui),  moine.  Voyez  Guid'Arezzo. 

ARÉTIN  (François).  Ses  corrections  sur 
une  ancienne  version  latine  des  homélies  de 
saint  Jean  Chrysostôme  sur  l'Evangile  de 
saint  Jean,  VII,  436. 

ARÉTIUS  (Jean).  Sa  traduction  latine  de 
quelques  ouvrages  de  saint  Alhanase,  IV, 
231. 

[ARÉVALO  (et  non  ARÉVOLO).  Son  édi- 
tion des  œuvres  de  Prudence,  VUI ,  107. 
Son  édition  des  écrits  de  Sédulius,  109.  — 
Son  édition  des  écrits  de  Draconce,  X,  587. 

—  Son  édition  des  écrits  de  saint  Isidore, 
XI,  727.] 

ARGENTEUIL,  monastère  près  Paris. 
[Réforme  de  ce  monastère  ordonné  par  le 
pape  Honorius  II,  XIV,  256,  et  par  le  pape 
Innocent  II,  262.]  Un  concile  de  Paris  or- 
donne de  remplacer  les  religieuses  qui  l'ha- 
bitaient par  des  moines  plus  réguliers,  1110. 

ARGOLICUS,  préfet  de  Rome,  X,  648. 

ARûRlM,  évêque  de  Langres,  sacré  par 
Aurélien,  archevêque  de  Lyon ,  XII,  633  et 
741.  Confirmé  par  le  pape  Jean  IX,  741. 
Lettres  du  pape  Benoît  IV,  à  son  sujet,  742. 

—  Concile  de  Rome  qui  prononce  en  sa  fa- 
veur, XIII,  740. 

ARGYRE,  duc  d'Italie,  chargé  de  faire 
tenir  au  pape  saint  Léon  IX  les  lettres  de 
l'empereur  Constantin  Monomaque  et  du 
patriarche  Michel  Cérularius,  XIII,  214.  Ca- 
lomnies dont  le  charge  le  patriarche  Michel, 
221,  223,  224. 


ARIALD  (saint),  Diacre  de  Milan,  martyr. 
Sa  mort,  XIII,  289.  [Jugement  sur  ce  saint       loee. 
martyr  ;  les  actes  de  son  martyre  ;  ses  trois 
discours,  289.] 

ARIALD,  moine  du  Mont-Cassin,  auteur     xisiède. 
de  quelques  ouvrages  qui  ne  sont  pas  con- 
nus, XIII,  494. 

ARIANISME.  Abrégé  de  l'histoire  de  l'a- 
rianisme,  III,  414.  Naissance  de  l'hérésie 
arienne,  414  et  suiv.   Le  premier  concile        321. 
d'Alexandrie  condamne  Arius  et  ses  secta- 
teurs ;  Arius  met  le  trouble  partout  ;  Con- 
ciles d'Egypte  à  cette  occasion  ;  Arius  écrit 
à  Eusèbe  de  Nicomédie  ;  lettre  de  celui-ci  à 
Paulin  de  Tyr,  413.  Lettres  de  saint  Alexan- 
dre contre  Arius,  416.  Arius  écrit  sa  Thalie 
et  diverses  chansons.  Il  engage  Constancie 
dans  ses  erreurs,  416  et  417.  Sa  lettre  à 
saint  Alexandre,  417.  Concile  de  Bithynie 
en  sa  faveur,  417  et  418.  Constantin  écrit 
pour  réconcilier  Arius  avec  saint  Alexan- 
dre ;  second  concile  d'Alexandrie  assemblé        324, 
par  Osius,  418.  Concile  œcuménique  de  Ni-        325. 
cée  où  la  condamnation  d'Arius  est  confir- 
mée, 423  et  suiv.  Le  terme  de  consubstantiel 
est  approuvé  par  ce  concile  comme  opposé 
à  l'erreur  d'Arius,  424.  Symbole  de  Nicée 
contre  l'erreur  d'Arius,  425.  Lettre  syno- 
dale de  ce  concile,  443.  Lettre  de  Constantin 
à  toutes  les  églises  et  en  particulier  à  celle 
d'Alexandrie,  445  et  446.  Le  concile  de  Ni- 
cée est  reçu  dans  toutes  les  églises,  447. 
Concile  d'Antioche  contre  saint  Eustathe,        gg,^ 
évêque  de  cette  ville,  et  Asclépas  de  Gaze, 
448,  449.  Concile  de  Césarée  en  Palestine        333. 
où  les  Eusébiens  s'unissent  avec  les  Mélé- 
ciens  contre  saint  Athanase,  449.  Concile  de 
Tyr  où  saint  Athanase  est  déposé,  449  et        335, 
suiv.  Concile  de  Jérusalem  où  Arius  est  reçu 
par  les  Eusébiens  à  la  communion  de  l'É- 
glise, 456,  457.  Lettres  de  ce  concile  à  l'é- 
glise d'Alexandrie  et   à  l'empereur,  457. 
Concile   de  Constantinople  contre    Marcel        336. 
d'Ancyre ,  457  et  suiv.  Autre  concile    de 
Constantinople  contre  Paul,  évêque  de  cette    333  ou  339. 
ville,  439.  Concile  d'Antioche  où  Pistus  est 
ordonné  évêque  d'Alexandrie,  459  et  460. 
Concile  d'Alexandrie  pour  saint  Athanase  ;        339. 
lettre  des  évêques  de  ce  concile  pour  la  dé- 
fense de  ce  saint  évêque,  460  et  suiv.  Con- 
cile de  Rome  pour  saint  Athanase  ;  Marcel        341. 
d'Ancyre  y  est  reçu  à  la  communion  de 
l'Éghse,  et  Asclépas  de  Gaze  rétabli,  464. 
Concile  d'Antioche,  dit  de  la  Dédicace,  à  la 
suite  duquel  les  Eusébiens  s'unissent  contre        342. 


84 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


345. 


344  on 
345,  346. 

347  [ou 
plutôt  343.] 


347  [ou 
plutôt  343  ] 

347. 
349. 


350. 
351. 

352. 
353. 

354. 
355. 

356. 

357. 

358. 

358. 

359. 

359. 


saint  Athanase,  et  ordonnent   à  sa  place 
Grégoire  de  Cappadoce  ;  saint  Athanase  se 
réfugie  à  Rome,  472.  Députation  des  Orien- 
taux à  l'empereur  Constant ,  473.   Concile 
d'Antioche  où  les  Eusébiens  dressent  la  for- 
mule macrostiche,  473  et  474.  Concile  de 
Milan  où  les  Eusébiens  présentent  cette  for- 
mule ,  474.  Concile  de  Sardique  où  saint 
Athanase,  Marcel  d'Ancyre  et  Asclépas  de 
Gaze  sont  absous  et  les  chefs  des  Eusébiens 
anathématisés,  475  et  suiv.  Faux  concile  de 
Sardique  tenu  par  les  Eusébiens  à  Philippo- 
pole,  dans  lequel  ils  datent  leur  lettre  de 
Sardique,  494.  Concile  de  Milan  où  les  Eu- 
sébiens déposent  Photin,  497.    Retour  de 
saint  Athanase  à  Alexandrie;  concile  de  Jé- 
rusalem en  sa  faveur  ;  il  tient  un  concile  à 
Alexandrie,  501 .  Les  évêques  -veulent  se  rap- 
procher de  lui  ;  concile  tenu  à  Milan  à  ce 
sujet  ;  Ursace  et  Valens  y  rétractent  les  ca- 
lomnies dont  ils  avaient   chargé  ce   saint 
évêque,  501  et  suiv.  Subtilités  des  Orien- 
taux contre  saint  Athanase  dans  le  premier 
concile  de  Sirmium,  503,  504.  Second  concile 
de  Sirmium;  formulaire  de  foi  qu'ils  y  dres- 
sent, 504  et  suiv.  Les  Eusébiens  font  de 
nouveaux    efforts    contre   saint   Athanase  ; 
concile  de  Rome  tenu  à  ce  sujet,  519,  520. 
Concile   tenu  à  Arles  ;  violences  exercées 
pour  parvenir  à  faire  condamner  saint  Atha- 
nase, 520,  521.   Le  pape  Libère  demande 
un  concile,  521,  522.  Concile  de  Milan  où 
saint  Athanase  est  condamné,  522  et  suiv. 
Concile  de  Béziers  où  les  Ariens  s'élèvent 
contre  saint  Hilaii^e  de  Poitiers,  524.  —  Con- 
cile de  Sirmium  ;  formule  de  foi  qui  y  fut 
dressée  ;  seconde  de  Sirmium,  IV,  549, 550. 
Les  Anoméens  reçoivent  celte  formule  dans 
le  concile  d'Antioche,  550.  Concile  d'Ancyre 
tenu  par  les  Serai-Ariens,  550  et  suiv.  Les 
Anoméens  signent  à  Sirmium  les  décrets 
d'Ancyre,  552.  Concile  de  Sirmium;  formule 
de  foi  qui  y  fut  faite  ;  troisième  de  Sirmium, 
552  et  553.  Formule  de  Basile  d'Ancyre  et 
de  quelques  autres  Demi-Ariens,  553.  Con- 
cile de  Rimini,  555  et  suiv.  Concile  de  Sé- 
leucie  par  les  Demi-Ariens,  565  et  suiv.  Les 
députés  de  Rimini,  chefs  des  Ariens,  font 
souscrire  la  formule  de  Rimini  par  les  dé- 
putés de  Séleucie,    573,   574.   Concile  de 
Constantinople  assemblé  par  les  Acaciens, 
574  et  suiv.  Un  grand  nombre  d'évêques  y 
sont  déposés,  577  et  suiv.  Les  évêques  dé- 
posés sont  exilés  et  révoquent  la  signature 
du  formulaire  de  Rimini,  579,  580-  Ce  for- 


mulaire est  envoyé  pour  être  signé  dans  les 
provinces  d'Orient  et  d'Occident ,  580  et 
suiv.   Concile    dans  les  Gaules  contre  les 
Ariens  ;  concile  de  Paris,  582  et  suiv.  Con- 
cile d'Antioche  pour  l'élection  d'un  évêque 
de  cette  ville,  584  et  suiv.  Autre  concile 
d'Antioche  tenu  par  les  Acaciens,  586.  Con- 
cile indiqué  à  Nicée  tenu  par  Constantius 
qui  meurt  avant  de  l'avoir  assemblé ,  586  et 
587.  Concile  d'Alexandrie  tenu  par  les  évê- 
ques rappelés  de  leur  exil,  587  et  suiv.  Con- 
cile des  Macédoniens  ou  Semi-Ariens  à  Zèle 
et  à  Antioche,  594,  595.  Conciles  tenus  à 
Alexandrie  et  à  Antioche  sous  la  protection 
de  l'empereur  Jovien,  595  et  suiv.  Concile 
tenu  à   Lampsaque  par  les  Macédoniens , 
598,  599.  Concile  tenu  à  Nicomédie  par  les 
Ariens  ;  conciles  tenus  en  Sicile  et  à  Singi- 
don  par  les  Semi-Ariens,  599.  Les  Semi- 
Ariens  demandent,  dans  un  concile  assem- 
blé à  Thyanes,  qu'il  en  soit  tenu  un  à  Tarse, 
599  et  600.  Concile  tenu  à  Antioche  dans  la 
Carie;  on  y  rejette  le  mot  de  consubstantiel 
et  l'on  ordonne  de  s'en  tenir  à  la  confession 
de  foi  de  la  Dédicace  d'Antioche ,  600.  Con- 
ciles d'Ancyre,  de  Nysse  et  de  Cysique  te- 
nus par  les  Ariens,  603  et  suiv.  Concile  de 
Constantinople  où  fut  terminée  en  Orient 
l'afifaire  de  l'arianisme,  616  et  suiv.  Symbole 
de  ce  concile,  621,  622.  Lettre  du  concile  à 
Théodose  ;  loi  de  Théodose  en  faveur  de 
l'Église,  625,  626.  Ce  concile  est  reconnu 
pour  œcuménique,  626  et  suiv.  Concile  d'A- 
quilée  où  s'assemblent  les  évêques  d'Occi- 
dent, 628  et  suiv.  Actes  de  ce  concile.  Doc- 
trine qu'ils  renferment,  629  et  suiv.  Diverses 
lettres  de  ce  concile,  633  et  suiv.  Deuxième 
concile  de  Constantinople  dans  lequel  les 
erreurs  d'Arius  sont  condamnées,  636,  637. 
Concile  de  Rome  où  se  trouvent  quelques 
Orientaux,  638.  Troisième  concile  de  Cons- 
tantinople;  les  Ariens  y  sont  confondus, 
638  et  suiv.  —  Constantin  travaille  à  étein- 
dre l'arianisme,  III,  124, 125.  Il  assemble  le 
concile  de  Nicée  et  s'y  trouve  ;  après  avoir 
exilé  Arius,  il  le  rappelle,  123.  Écrits  d'Eu- 
sèbe  de   Césarée  sur  l'arianisme  avant  le 
concile  de  Nicée,  252,  253.— En  quel  temps 
les  Gotbs  sont  tombés  dans  cette  hérésie, 
IV,  279.  Arianisme  introduit  chez  les  Goths 
par  Ulphilas  leur  évêque,  290  et  346.  —  Lois 
de  Théodose  pour  terminer  les  troubles  cau- 
sés par  l'arianisme,  VI,  364  et  suiv.  Voyez 
Ariens,  Arius. 
ARIANZE  en  Cappadoce,  lieu  de  la  nais- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


85 


sance  et  de  la  retraite  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  V,  178  et  191. 

ARIBON  CYRINTJS,  abbé  en  Bavière,  puis 
évêque  de  Frisingue.  Il  compose  la  vie  de 
saint  Corbînien,  XIII,  129.  Il  avait  aussi 
écrit  celle  de  saint  Emmeran.  (Voyez  son 
article  dans  YHist.  littér.  de  la  France,  tome 
IV,  p.  165  et  suiv.) 

ARIBON ,  comte,  fonde  le  monastère  de 
Séon  en  Bavière,  XIII,  99. 

ARIBON,  archevêque  de  Mayence,  suc- 
cède à  Archembaud,  XIII,  67  et  129.  Son 
voyage  à  Rome;  sa  mort,  129.  Ses  liaisons 
avec  Bernon,  abbé  de  Reichenau,  125,  128. 
Ses  écrits,  129. 

ARIBON  le  scholastique ,  surnommé  le 
musicien.  Son  traité  de  musique,  XIII,  129. 
[Editions  qu'on  en  a  faites,  129.] 

ARIDIUS  ou  ARIGIUS,  élu  évêque  de  Gap 
à  la  place  de  Sagittaire,  déposé  au  concile 
de  Châlon-sur-Saône,  XI,  518. 

ARIDIUS,  évêque  de  Lyon,  préside  au 
concile  de  Ghâlon-sur-Saône  qui,  à  l'insti- 
gation de  la  reine  Brunehaut,  dépose  Didier 
évêque  de  Vienne,  XI,  909. 

ARIENS.  Zèle  de  saint  Eustathe  d'Antio- 
che  contre  les  Ariens,  III,  159.  Livres  ou 
discours  du  même  contre  les  Ariens,  160, 
161.  Liaison  d'Eusèbe  de  Césarée  avec 
les  Ariens,  172  et  suiv.  Saint  Antoine  va 
à  Alexandrie  pour  combattre  les  Ariens, 
386.  —  Saint  Hilaire  s'oppose  aux  Ariens, 
IV,  3  et  suiv.  Leurs  accusations  contre 
saint  Athanase,  92.  Nouvelles  accusations 
contre  cet  évêque,  94,  95.  Les  Ariens  irri- 
tent Constantius  contre  lui,  98.  Nouvelles 
accusations,  98,  99  et  100.  Apologie  de  saint 
Athanase  contre  les  Ariens,  H 9  et  suiv. 
Discours  de  saint  Athanase  contre  les 
Ariens,  125  et  suiv.  Conciles  et  formulaires 
des  Ariens  rapportés  par  saint  Athanase, 
134,  135.  Remontrances  que  les  Ariens 
adressent  à  l'empereur  Jovien  contre  saint 
Athanase;  accusations  qu'ils  forment  contre 
ce  saint  évêque  auprès  de  cet  empereur  ; 
les  Ariens  enferment  Lucifer  de  Gagliari 
pour  l'exclure  du  concile  de  Milan,  240.  Ils 
maltraitent  saint  Eusèbe  de  Verceil,  273, 
274.  Ils  citent  Marcel  d'Ancyre  au  concile 
de  Jérusalem,  et  le  déposent  dans  celui  de 
Conslantinople,  303,  306.  Ils  refusent  de  dis- 
puter avec  saint  Hilaire  de  Poitiers  au  con- 
cile de  Gonstantinople,  575.  Théodore,  évê- 
que d'Héraclée  ,  en  Thrace ,  favorise  les 
Arieus,  316,  317.  Homélie  vingt-quatrième 


de  saint  Basile  le  Grand  contre  les  Ariens,  iv  siècle. 
390  et  suiv.  -—  Discours  de  saint  Grégoire 
de  Nazianze  adressé  aux  Ariens,  V,  227,  379. 
228.  Saint  Grégoire  de  Nazianze  expose  les 
cruautés  qu'ils  exercent  sous  l'empire  de 
Valens,  357,  358.  Leurs  artifices  surpren- 
nent saint  Phébade  évêque  d'Agen  au  con-  359. 
cile  de  Rimini,  373.  Traité  de  saint  Phébade 
contre  les  Ariens,  374  et  suiv.  Ils  sont  sou- 
tenus par  l'impératrice  Justine  ;  saint  Am- 
broise  l'emporte  sur  eux  par  son  zèle  et  sa 
fermeté,  381,  382.  Justine  persécute  àcause 
d'eux  saint  Ambroise,  384  et  suiv.  Loi  qu'elle 
obtient  de  Valentinien  H  en  leur  faveur, 
386.  Elle  continue  de  persécuter  à  cause 
d'eux  saint  Ambroise,  386  et  387.  [Ils  sont 
réfutés  par  Didyme  l'Aveugle,  627.]  —  Saint 
Grégoire  de  Nysse  est  persécuté  par  les 
Ariens,  déposé  et  banni,  VI,  121.  [Discours 
contre  les  Ariens,  316,  328,  329.  On  doute 
s'il  est  de  Diadochus,  évêque  dePhotice;  ce 
qu'il  contient,  329.]  Loi  de  Valentinien  II  en 
faveur  des  Ariens,  363.  Lettre  de  l'empe- 
reur Maxime  à  Valentinien  II  au  sujet  de  la 
loi  de  celui-ci  en  faveur  des  Ariens,  363  et 
364.  Loi  de  l'empereur  Théodose,  appelée 
Cunctos  populos,  pour  terminer  les  troubles 
causés  par  les  Ariens ,  364 ,  365.  Loi  de 
Théodose  contre  les  Ariens,  369,  370.  Ce 
que  saint  Epiphane  dit  de  ces  hérétiques, 
404.  —  Canon  contre  eux  attribué  à  Théo- 
phile d'Alexandrie,  VU,  445.  —  Leurs  er- 
reurs réfutées  avec  force  et  solidité  dans  le 
traité  de  saint  Cyrille  d'Alexandrie  intitulé  : 
Trésor  de  la  sainte  Trinité,  VIII,  286  et 
suiv.  ;  et  dans  ses  dialogues  sur  la  Trinité, 
272  et  suiv.  Les  Ariens  sont  persécutés  par 
Nestorius,  et  causent  un  grand  incendie  à 
Conslantinople,  518.  Raisonnement  de  saint 
Isidore  de  Péluse  contre  les  Ariens,  dont  il 
confond  la  secte  avec  celle  des  Eunomiens, 
484,  492.  Valens  les  protège  et  persécute 
les  cathohques,  518.  —  Les  Ariens  combattus  «e. 
par  saint  Augustin,  IX,  222  et  366.  Ecrits  de  iv  siècic. 
saint  Augustin  contre  les  Ariens,  357  et  suiv. 
Ouvrages  allribués  faussement  à  ce  Père 
contre  les  Ariens,  369  et  suiv.  [Une  épître  ou 
traité  de  saint  Augustin  contre  les  Ariens, 
482.]  Ce  q  ui  se  passe  parmi  eux  sous  le  rè- 
gne de  Constantius  ;  différents  survenus 
entre  eux  et  les  partisans  d'Eunomius,  X, 
45.  Ils  persécutent  l'Église  d'Alexandrie 
après  la  mort  de  saint  Athanase  ;  ils  sont 
chassés  de  l'Église  sous  Gratien,  48.  Ce 
qu'ils  enseignent  sur  l'Incarnation,  72   et 


380. 


385. 


386. 


374, 
375  et37G. 


386. 


IV  siècle. 


380. 


IV  siècle. 

IV   on 

V  siècle. 


86 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


481. 


535. 


207.  Ils  rejetaient  l'Épître  aux  Hébreux,  110. 
Erreurs  des  Ariens  marquées  par  saint 
Léon;  Traité  ou  lettre  de  Fauste  de  Riez 
contre  les  Ariens  et  les  Macédoniens,  423, 
424.  —  Victorin,  célèbre  rhétoricien,  écrit 
contre  eux,  IV,  328,  329  et  X,  443.  —  Con- 
férence tenue  à  Carttiage  contre  les  Ca- 
tholiques et  les  Ariens,  434  et  suiv.  Con- 
férence de  Lyon  sous  Gondebaud  entre  les 
évéques  catholiques  et  les  Ariens,  354  et 
733.  —  Objections  proposées  à  saint  Ful- 
gence,  évéque  de  Ruspe,  par  les  Ariens  sur 
l'égalité  du  Père  et  du  Fils.  Réponse  de 
saint  Fulgence,  XI,  46  et  suiv.  Evoque  arien 
confondu  par  saint  Rémi  dans  un  concile, 
82.  L'empereur  Justin  veut  détruire  les 
Ariens  dans  ses  états  ;  Théodoric,  roi  d'Ita- 
lie, l'en  empêche,  113.  Lettre  du  pape  Aga- 
petaux  évêques  d'Afrique  sur  la  manière  de 
recevoir  les  évéques  ariens  qui  se  convertis- 
saient, 119.  Erreurs  des  Ariens  réfutées  dans 
la  lettre  de  saint  Nicétius  de  Trêves  à  Clodo- 
sinde,  femme  d'Alboin,  roi  des  Lombards, 
203,  204.  Lettre  où  Agnellus,  archevêque  de 
Ra  vanne,  établit  la  consubstantialité  du  Verbe 
contre  les  Ariens,  349.  Deux  disputes  de 
saint  Grégoire  de  Tours  avec  les  Ariens,  366. 
Ecrits  de  saint  Léandre  contre  les  Ariens, 
423.  Témoignage  de  saint  Grégoire  le  Grand 
sur  la  manière  de  recevoir  les  Ariens,  526, 
527.  L'écrit  que  saint  Colomban  avait  fait 
contre  les  Ariens  est  perdu,  629.  Concile  de 
Carthage  oij  l'on  délibère  sur  la  conduite 
qu'on  doit  tenir  avec  les  évêques  ariens  qui 
rentrent  dans  l'Église  catholique,  830.  Con- 
version des  Ariens  en  Espagne ,  900.  Vingt- 
trois  anathèmes  du  concile  de  Tolède  contre 
les  erreurs  des  Ariens,  900  et  901.  Disposi- 
tions du  concile  de  Sarragosse  à  l'égard  des 
Ariens  réunis  à  l'Église  catholique,  906. 
Voyez  Semi-Ariens,  Eusébiens ,  Eunomiens, 
Arianisme,  et  Arius. 
IX siècle.  ARIES,  (pièce  de  vers  intitulée:)  de  l'é- 
vêque  Aries,  XII,  477. 

ARIGISE  le'  (ou  ARIULFE),  duc  de  Béné- 
vent,  ne  consent  que  sous  certaines  condi- 
tions à  la  paix  entre  les  Lombards  et  les 
Romains,  XI,  433.  Celte  paix  est  rompue  et 
il  ravage  les  environs  de  Rome,  XI  433.  Il 
se  joint  à  Ariulfe,  duc  de  Spolète,  pour  at- 
taquer Naples,  488. 

ARIGISE  II,  duc  de  Bénévent.  Vers  adres- 
sés à  ce  prince  attribués  à  Paul  Diacre,  XII, 
146. 

ARIGIUS,  évêque  de  Gap.  Voyez  Aridius. 


535. 


586. 


589. 


ARIOBINDE,  maître  des  offices.  L'empe- 
reur Théodose  le  commet  pour  entendre  le 
silentiaire  Magnus,  X,  674. 

ARISTÈNE  (Alexis),  économe  de  l'Église 
de  Constantinople.  Voyez  Alexis  Aristène. 

ARISTIDE,  apologiste.  Sa  patrie,  sa  pro-     ii  siècle.  ' 
fession,  I,  403.  Son  apologie,  403  et  404. 

ARISTIDE,   à  qui  Jules  Africain   écrit,     m  siècle, 
11,  93. 

ARISTOBOLE,  traduit  en  grec  une  lettre 
de  saint  Grégoire  le  Grand  qui  lui  écrit  à 
ce  sujet;  sa  lettre  à  Parthénius,  XI,  483. 

ARISTOLAUS,  tribun  et  notaire,  porte  à 
saint  Cyrille  d'Alexandrie  une  lettre  d'Acace 
de  Bérée  et  des  propositions  de  paix,  VIII, 
240,  247,  600.  L'empereur  lui  donne  com- 
mission pour  réconcilier  ces  deux  évêques  ; 
il  retourne  à  Constantinople  avec  une  lettre 
de  Jean  d'Antioche,  247.  Il  est  chargé  par 
l'empereur  de  faire  signer  la  condamnation  «s. 
de  Nestorius,  249.  11  est  chargé  par  l'empe- 
reur d'obhger  les  Orientaux  à  anathémati-  «5  et  43e 
ser  Nestorius,  302.  Saint  Cyrille  lui  écrit  et 
lui  envoie  une  nouvelle  déclaration  de  foi, 
302  et  389. 

ARISTON  de  Pella,  juif  converti;  son  livre 
pour  les  chrétiens,  sous  le  titre  de />wpM^e  i40. 
de  Jason  et  de  Papisque  ;  jugement  de  cet 
ouvrage,  1,  404.  11  a  été  écrit  en  grec.  Ce 
qu'il  y  avait  de  remarquable  dans  cet  ou- 
vrage, 403.  [Éditions  des  fragments  qui  nous 
en  restent,  403.] 

ARISTON,  médecin  apostat,  coupe  la  lan- 
gue à  saint  Romain  et  la  garde  comme  une 
relique,  III,  5  et  6. 

ARISTON,  prêtre,  souscrit  au  faux  concile 
d'Ephèse  pour  Eunomius  de  Nicomédie,  X, 
679. 

ARISTOTE ,  philosophe.  Ouvrage  contre 
lui  mis  sous  le  nom  de  saint  Justin,  1,  430. 
Vie  d'Aristote  faussement  attribuée  à  Am- 
mone  Saccas,  philosophe  chrétien.  98.  — 
En  quoi  Aristote  met  le  bonheur  de  l'hom- 
me, X,  97.  Plusieurs  ouvrages  de  Boëce  qui 
sont  des  commentaires  sur  quelques  ti'aités 
d'Aristote,  et  des  traductions  de  quelques 
autres,  663,  664.  Écrit  sur  les  Topiques  d'A- 
ristote et  de  Cicéron,  664.  —  Commentaires 
de  Jean  Philoponus  sur  quelques  livres  d'A- 
ristote, XI,  651.  —  Commentaire  d'Ëustrace, 
métropolitain  de  Nicée ,  sur  le  second  livre 
des  Analytiques  et  les  Morales  d'Aristote, 
XIV,  148.  Commentaire  sur  la  Logique  d'A- 
ristote attribué  à  Zonare,  158.  La  lecture  de 
plusieurs  ouvrages  d'Aristote  défendue  dans       1215. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


m 


ti.  les  écoles,  permise  ensuite,  545.  Ces  ou- 
vrages commentés  par  Albert  le  Grand  et 
saint  Thomas  d'Aquin ,  pour  concilier  la 
forme  scholastique  avec  l'Evangile,  546.  A 
0.  l'occasion  des  erreurs  d'Amauri,  les  livres 
de  métaphysique  d'Aristote  sont  brûlés  et  la 
lecture  de  ceux  de  physique  interdite  par 
un  concile,  H52. 

ARITHMÉTIQUE.  Deux  livres  de  Boëce 
sur  l'arithmétique,  X,  665.  —  Traité  de  l'a- 
rithmétique par  Cassiodore,  XI ,  236.  — 
I  siècle.  Charlemagne  établit  plusieurs  écoles  d'a- 
rithmétique dans  ses  états,  XII,  236.  Diffé- 
rents traités  de  Gerbert  sur  l'arithmétique, 
903.  —  Traité  de  Raoul  de  Laon  sur  l'arith- 
métique, XIV,  183. 
592.  ARIULFE,  duc  de  Spolète,  ravage  les  en- 

virons de  Rome,  XI,  435. 
699.  ARIULFE,  duc  de  Bénévent.  Voyez  Ari- 

gise. 

ARIULFE,  chef  (et  non  pas  roi)  des  Lom- 
bards, paraît  vouloir  attaquer  Rome,  XI, 
486.  (  C'est  peut-être  le  même  qu'Ariulfe, 
duc  de  Spolète  ou  de  Bénévent.) 
(Siècle.         ARIUS.  Hérésiarque,  est  ordonné  diacre 
par  saint  Pierre  d'Alexandrie  qui  le  chasse 
ensuite  de  l'Église  ;  la  vision  qu'on  attribue 
à  ce  saint  patriarche   touchant  Arius  est 
supposée,  III,  56.  Achillas  l'élève  à  la  prê- 
trise, 57.  Il  lui  confie  le  soin  d'expliquer  au 
peuple  les  divines  Écritures,  57,414.  Qui  était 
Arius,  105.  Conférences  que  saint  Alexan- 
dre, évêque  d'Alexandrie,  tient  pour  le  con- 
vaincre, 105,  106.  Concile  tenu  à  Alexan- 
drie, par  lequel  Arius  est  chassé  de  l'Église, 
106.  Suite  du  zèle  de  saint  Alexandre  con- 
tre l'hérésie  d' Arius,  106  et  suiv.  Arius  et 
siècle,     ses  partisans   écrivent  à  saint    Alexandre 
d'Alexandrie,  106,  107.  Arius  et  ses  secta- 
335         teurs  reçus  à  la  communion  de  l'Église  dans 
33g         un  concile  tenu  à  Jérusalem,  126.  Mort  de 
324_        cet  hérésiarque,  126, 127.  Lettre  que  l'em- 
pereur Constantin  écrit  à  Arius,  137.  Lettres 
325.        de  cet  empereur  contre  Arius,  138,   139. 
336.         Ordre  que  l'empereur  Constantin  adresse  à 
siècle.     Arius,  141 .  Ses  écrits  et  sa  personne  condam- 
siècie.     nés  par  cet  empereur,  147.  Eusèbe  de  Césa- 
rée  prend  sa  défense,  170.  Saint  Jacques  de 
siècle.     Nisibe  obtient  de  Dieu  le  châtiment  d'Arius, 
siècle.     370.  Osius,  évêque  de  Cordoue,  travaille  à 
apaiser  les  troubles  causés  par  l'hérésie 
320.         d'Arius,  393.  Commencements  d'Arius,  414. 
Condamné  dans    un  concile   d'Alexandrie, 
415.  Sa  conduite  depuis  cette  condamna- 
tion, 415  et  suiv.  Lettre  qu'il  écrit  à  saint 


Alexandre,  son  évêque,  417.  Lettre  que 
Constantin  écrit  pour  le  réconcilier  avec 
saint  Alexandre,  418.  Arius  est  présent  au  325. 
concile  de  Nicée.  On  y  dispute  contre  lui, 
423  et  suiv.  Ses  partisans  y  sont  confondus, 
423.  Son  erreur  y  est  condamnée,  424  et 
suiv.  11  est  banni,  426.  Arius  est  reçu  à  la 
communion  de  l'Église  au  concile  de  Jéru-  335. 
salem ,  456 ,  457.  Les  Eusébiens  assem- 
blés h  Constantinople  veulent  rétablir  Arius  336. 
dans  la  communion  de  l'Eglise.  Il  meurt  à 
Constantinople,  457  et  suiv.  —  Lettre  de  saint 
Athanase  touchantlamortde  cethérésiarque, 
IV,  118.  Dispute  entre  Arius  et  saint  Atha- 
nase. Ouvrage  faussement  attribué  à  ce  saint 
évêque,  179.  Conférence  avec  Arius  attri- 
buée à  saint  Athanase.  Dispute  contre  Arius, 
Sabellius  et  Photin  attribuée  au  même.  Ces 
deux  ouvrages  sont  de  Vigile  deTapse,  183. 
Ecrits  de  Victorincontre  cethérésiarque,  328,  iv  siècle 
329,  et  X,  443.  —  Requête  de  Marcellin  et 
de  Faustin  où  l'on  voit  rappelée,  sur  la  mort 
d'Arius,  une  circonstance  qui  ne  se  trouve 
point  ailleurs,  V,  152.  [La  pénitence  d'Arius 
fut  simulée,  631.  —  Sermon  de  saint  Gré- 
goire de  Nysse  contre  Arius  et  Sabellius,  VI, 
125  et  205,  206.]  —  Opuscule  faussement  at- 
tribué à  saint  Jean  Chrysostôme,  contre  l'im- 
piété de  cet  hérésiarque,  VII,  335.  Témoi- 
gnage de  sainl  Jean  Chrysostôme  sur  Arius, 
429 .  —  Écrit  de  saint  Cyrille  d'Alexandrie 
contre  cet  hérésiarque,  Vlll,  268  et  suiv.  — 
Arius  commence  à  répandre  ses  erreurs,  X, 
43,  44.  11  change  la  doxologie  parmi  ceux 
de  sa  secte,  113.  N'ose  changer  la  forme  du 
baptême  quoi  qu'il  en  ruine  le  sens,  122. 
Dispute  contre  Arius  ;  ouvrage  de  Vigile  de 
Tapse ,  faussement  attribué  à  saint  Atha- 
nase, 481  et  482.  Deux  exemplaires  de  cet 
ouvrage  fort  différents  l'un  de  l'autre;  con- 
jectures sur  ce  sujet,  481.  Analyse  de  cet 
ouvrage,  481  et  482.  Voyez  Ananisme  et 
Ariens. 

ARLES,  ville  de  France ,  concile    qui  y        314, 
fut  tenu  contre  les   Donatistes,  II,  628  et 
suiv.  [Le  pape  saint  Sylvestre  y  assiste  par 
ses  légats,  628,  note  6.]  Canons  de  ce  concile, 
630  et  suiv.  [Observation  sur  le  saint  canon, 
630,  n.  4.]  Concile  qui  y  fut  tenu  contre        353 
saint  Athanase,  III,  520,  521.  —  Dispute  en- 
tre les  évêques  d'Arles  et  de  Vienne  sur  la      y.  «o. 
primauté.  Décret  du  concile  de  Turin  sur  les 
droits  de  cette  Éghse,  VII,  528.  Le  pape  Zo- 
sime  soutient  les  privilèges  de  cette  ÉgHse, 
529.  —  Saint  Hilaire,  archevêque  d'Arles, 


88 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


m. 


413. 


446. 


451. 


500. 


511. 
V.  452. 


Vin,  433  et  suiv.  L'archevêque  d'Arles  dé- 
pouillé de  la  juridiction  qu'il  avait  sur  la 
province  de  Vienne^  437.  Second  concile 
tenu  en  cette  ville.  DifiScultés  pour  en  assi- 
gner l'année,  6H.  Raisons  qui  portent  à  le 
placer  eu  443,  611,  612. 11  donne  à  l'évêque 
d'Afles  le  pouvoir  d'assembler  des  conciles 
à  sa  volonté,  613.  —  A  l'occasion  du  diffé- 
rend de  saint  Hilaire  avec  saint  Léon,  pour 
la  déposition  de  Quélidoine,  le  droit  de  mé- 
tropole est  ôté  à  l'Église  d'Arles  et  donné  à 
celle  de  Vienne,  X,  172.  Rétablie  dans  son 
droit  de  métropole,  mais  avec  moins  d'éten- 
due, 218.  Lettre  des  évéques  de  cette  pro- 
vince à  saint  Léon,  217, 218.  Lettre  de  saint 
Léon  aux  évêques  de  la  province  d'Arles, 
218.  Concile  tenu  à  Arles  pour  approuver  la 
lettre  du  pape  saint  Léon  à  Flavien,  681. 
L'étendue  de  la  juridiction  d'Arles  diminuée 
en  faveur  de  l'Église  de  Vienne  par  le  pape 
Anastase  II ,  521 .  Symmaque  rétablit  les 
choses  suivant  le  règlement  fait  par  saint 
Léon,  S23,  524,  525.  Second  concile  d'Arles 
dont  il  a  été  parlé  plus  haut,  708.  Concile 
v.455ou46i.  d'Arles  où  on  règle  les  droits  de  l'évêque  de 
Fréjus  sur  l'abbaye  de  Lérins,  710.  Conciles 
463.  tenus  en  cette  ville  sous  l'évêque  Léonce, 
475J  715,  716.  Concile  d'Arles  où  fut  traitée  l'af- 
faire du  prêtre  Lucidus ,  717,  718.  —  Sup- 
plique de  l'abbé  Gilles  au  pape  Symmaque 
pour  les  privilèges  de  l'église  d'Arles,  XI, 
100.  Saint  Césaire,  évêque  d'Arles,  123  et 
suiv.  Arles  assiégée  sans  succès  par  les 
Francs  et  les  Bourguignons,  126,  127.  Le 
pape  Symmaque  permet  aux  diacres  de  l'É- 
glise d'Arles  de  porter  des  dalmatiques 
comme  les  diacres  de  l'Église  romaine;  il 
confirme  tous  les  privilèges  de  cette  Église, 
127.  Saint  Aurélien,  évêque  d'Arles,  199  et 
524.  suiv.  Quatrième  concile  d'Arles,  823,  824. 
554.  Concile  tenu  en  cette  ville,  882.  —  Autre, 
813.         XIII,  642,  643.  —   Autre,   XIV,    1154.   — 

—  [Diptyques  de  l'Église  d'Arles,  XIII,  62.] 
1152.  ARMAGH,   ville  d'Irlande.  On  y  établit 

un  archevêché  qu'on  déclare  primatie  d'Ir- 
1171.        lande,  XIV,  1123.  Concile  qui  y  fut  tenu, 
1134. 

ARMÉNIE,  province  d'Asie.  Mouvements 
des  moines  d'Armrnie  pour  la  condamnation 
des  écrits  de  Théodore  de  Mopsueste,  VIII, 
296.  Les  évêques  d'Arménie  consultent  saint 
Procle  de  Constantinople,  404.  Lettre  ou 
tome  de  saint  Procle  aux  Arméniens,  404  et 
suiv.  —  Rabbulas  d'Edesse  et  Acace  de  Mé- 
litine  écrivent  aux  évêques  d'Arménie,  X, 


143.  — Arméniens,  disciples  de  saint  Sabas, 
XI,  274.  Mémoire  sur  le  schisme  des  Armé- 
niens ;  écrit  que  le  père  Combéfis  attribue 
à  Démétrius  de  Cyzique  ;  idée  de  cet  écrit, 
810.  —  Deux  lettres  de  Photius  sur  la  réu- 
nion des  Arméniens  avec  les  Grecs  ,  XII, 

977,  978.   En  quoi  consiste   leur   hérésie, 

978.  —  Traité  de  saint  Nicon  contre  les  er- 
reurs et  les  pratiques  impies  des  Arméniens,      Xsléde. 
XIII,  47.  Formule  de  leur  réconciliation  à 
l'Église  dressée  par  le  même,  48.  Liturgie 

des  Arméniens,  134.  Lettre  du  pape  saint  loso. 
Grégoire  VII  aux  Arméniens,  368.  —  Concile 
d'Arménie  ,  697.  Députation  des  évêques 
d'Arménie  et  de  leur  patriarche  au  pape  Eu- 
gène III,  XIV,  269,  270.  Erreur  des  Arméniens 
sur  la  foi  et  la  discipline,  634.  Conférences 
de  Théorien  envoyé  par  l'empereur  Manuel 
Comnène,  avec  Norsesis,  patriarche  des  .ar- 
méniens, sur  ces  erreurs,  634  et  suiv.  In- 
vective du  patriarche  Isaac  contre  leurs  er- 
reurs, 644  et  suiv.  [Réunion  des  Arméniens  H99. 
à  l'Église  romaine,  998.] 

ARMÉNIUS,  à  qui  Agnellus  adresse  une     vi  siècle, 
lettre  sur  la  consubstantiahté  du  Verbe,  XI, 
349. 

ARMENTAIRE,  homme  distingué.  Lettre        4ii. 
de  saint  Augustin  à  Armentaire  et  à  Pauline 
sa  femme,  IX,  115. 

\RMENTAIRE,  évêque  d'Auch  après  saint        «i- 
Orient,  VIU,  421. 

ARMENTAIRE,  nommé  irrégulièrement        438. 
évêque  d'Embrun  ;   le  concile  de  Riez   le 
réduit  au  rang  des  chorévèques,  VIII,  433. 
Il  avait  été  élu   évêque  d'Embrun  par  une 
troupe  de  factieux  ;  il  reconnaît  la  nullité        438. 
de  son  élection  et  se  retire;  il  revient  à 
Embrun  et  ordonne  quelques  clercs,  605. 
Il  est  déposé  au  concile  de  Riez,  605  et  606.        439. 
Dispositions  du  concile  à  son  égard,  606.  — 
Sa  déposition,  X,  200. 

ARMENTAIRE,  ou  ARMENTARIE,  mère 
de  saint  Grégoire  de  Tours,  XI,  365.  Poëm.e 
de  Fortunat  à  sa  louange,  409. 

ARMENTAIRE,  épouse  de  saint  Grégoire, 
depuis  évêque  de  Langres,  XI,  381. 

ARMES.  Pourquoi  les  chrétiens  refusaient  iiisiècu 
de  les  porter,  II,  479,  494.  Sentiment  de 
Lactance  sur  la  profession  des  armes,  513,  iv  siècii 
514.  Canon  du  premier  concile  d'Arles  sur 
ce  sujet,  630.  — Lucifer  de  Gagliari  ne  veut 
pas  qu'on  emploie  les  armes  pour  défendre 
la  religion,  IV,  270.  —  Le  pape  saint  Sirice 
défend  d'admettre  dans  le  clergé  ceux  qui 
ont  porté  les  armes  depuis  leur  baptême,  VI, 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


89 


108.  —  L'empereur  ôtait  ses  armes  lorsqu'il 
entrait  dans  l'église,  Yll,  123.  Le  pape  saint 
Innocent  renouvelle  la  défense  du  pape  saint 
Sirice,  S07  et  525.  —  On  voit  par  une  lettre 
de  saint  Isidore  de  Péluse  que  de  son  temps 
li  était  indécent  à  un  soldat  de  porter  l'épée 
dans  la  ville  en  temps  de  paix,  et  de  paraître 
dans  les  places  publiques  avec  des  armes  et 
en  habit  de  guerre,  VIII,  480.  —  Doctrine  de 
saint  Augustin  sur  la  profesion  des  armes, 
IX,  160.  —  Canon  d'un  concile  de  Girone  qui 
défend  aux  clercs  de  porter  les  armes,  XIII, 
533. 

ARMOGASTE,  otfieier  de  Théodoric,  fils 
de  Genséric,  roi  des  Vandales.  Ses  souffran- 
ces pour  la  foi,  X,  452. 

ARNALLI,  moine  de  Saint-Victor  de  Mar- 
seille. Voyez  Raymond  Arnalli. 

ARNAUD,  évêque  du  Mans,  veut  distraire 
le  monastère  de  Visoin  de  celui  de  Marmou- 
tier,  auquel  il  avait  été  uni  ;  lettre  que  lui 
écrit  à  ce  sujet  l'abbé  Barthélémy,  Xlil, 
346. 

ARNAUD  DE  BRESCIA,  hérésiarque.  [Ce 
que  le  pape  Innnocent  II  répond  relative- 
ment à  lui,  XIV,  267.  Il  avait  répandu  ses 
erreurs  à  Rome  ;  la  désobéissance  des  prê- 
tres de  Rome  qu'il  avait  séduits  réprimée  par 
le  pape  Eugène  III,  278.]  Lettres  que  saint 
Bernard  écrit  contre  lui,  442,  443.  Troubles 
qu'il  occasionne  à  Rome;  lettres  de  saint  Ber- 
nard sur  ce  sujet,  447.  Il  est  livré  au  pape 
qui  le  fait  condamner  au  feu,  911.  Ses  er- 
reurs condamnées  au  concile  de  Latran,  1114. 
ARNAUD,  abbé  de  Saint-Pierre-le-Vif  de 
Sens,  est  invité  par  son  archevêque  à  se 
trouver  au  concile  de  Beauvais  en  1120, 
XIV,  237,  238.  [Trois  lettres  de  cet  abbé 
dans  la  Patrologie,  avec  une  notice,  237, 
n.  3.] 

ARNAUD,  abbé  de  Bonneval,  succède  à 
Bernier;  persécutions  qu'il  a  eu  à  souffrir; 
ses  voyages  à  Rome  ;  il  quitte  son  abbaye  et 
retourne  à  Marmoutier  ;  sa  mort;  ses  liaisons 
avec  saint  Bernard,  XIV,  616.  Ses  écrits  : 
Continuation  de  la  Vie  de  saint  Bernard, 
commencée  par  Guillaume  de  Saint-Tliierry, 
492  et  616.  Traité  des  œuvres  cardinales  de 
Jésus-Christ,  617.  Ce  qu'il  contient  de  plus 
remarquable,  617  et  618.  Des  sept  paroles 
de  Jésus-Christ  sur  la  croix  ;  sermon  sur  les 
louanges  de  Marie,  618.  Traité  de  l'ouvrage 
des  six  jours  ;  autres  écrits  qu'on  lui  attri- 
bue; ses  lettres,  618,  619.  —  Il  est  auteur 
du  Traité  des  douze  vertus  cardinales  qu'on 


attribue  à  saint  Cyprien, II,  346.— Ilestauteur 
d'un  sermon  sur  le  Saint-Esprit,  attribué  à 
Salvien,  X,  377.  Lettre  de  saint  Bernard  qui 
lui  est  adressée,  452  et  616.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  XII,  p.  533  et  suiv.) 

ARNAUD,  abbé  de  Cîteaux,  légat  du  pape 
Innocent  III  contre  les  hérétiques  d'Albi, 
XIV,  1149.  [Le  mot  féroce  qu'on  lui  prête 
au  moment  où  les  croisés  allaient  monter  à 
l'assaut  n'a  point  été  prononcé,  906,  907.] 

ARNAUDISTES,  sectateurs  d'Arnaud  de 
Brescia.  Leurs  erreurs  condamnées  au  con-       H85, 
cile  de  Vérone  tenu  par  le  pape  Lucius  III, 
XIV,  931. 

ARNAUD  D'ANDILLY  (Robert).  Sa  tra- 
duction des  Œuvres  de  l'historien  Josèphe, 
I,  328.  —  Sa  traduction  de  la  Vie  de  saint 
Antoine,  écrite  par  saint  Athanase,  IV,  232. 
—  Sa  traduction  des  Confessions  de  saint 
Augustin,  IX,  813.  —  Sa  traduction  de  la 
lettre  de  saint  Eucher  de  Lyon  à  Valérien, 
VIII,  456.  —  Sa  traduction  de  l'Histoire  de  la 
persécution  des  Vandales  en  Afrique,  par 
Victor  de  Vite,  X,  463.  Sa  traduction  de  la 
Vie  de  saint  Épiphane,  composée  par  saint 
Ennode,  377.  —  Sa  traduction  de  la  Vie  de 
saint  Séverin,  apôtre  du  Norique,  écrite  par 
l'abbé  Eugyppius,  XI,  86.  Sa  traduction  de 
l'Échelle  sainte  de  saint  Jean  Climaque,  691. 
Du  Pré  spirituel,  703, 

ARNAUD  (Antoine),  docteur  de  Sorbonne, 
frère  du  précédent,  révoque  en  doute  la 
lettre  de  saint  Basile  à  Césarie  touchant  la 
fréquente  communion,  IV,  447.  —  Sa  tra- 
duction française  des  Commentaires  de  saint 
Augustin  sur  les  Psaumes,  IX,  813;  et  de 
plusieurs  de  ses  opuscules,  814.  Son  analyse 
du  livre  de  la  Correction  et  de  la  Grâce, 
818. 

ARNOBE  L'ANCIEN,  orateur.  Histoire  de 
sa  vie,  II,  486  et  suiv.  Sa  patrie;  ses  em- 
plois; il  renonce  aux  superstitions  païennes  ; 
il  écrit  contre  la  religion  païenne  et  reçoit  le 
baptême,  486.  Lettre  d'Arnobe  contre  les 
païens,  486  et  suiv.  En  quel  temps  ces  livres  303. 
ont  été  écrits,  486.  Analyse  du  premier  li- 
vre, 487,  488.  Analyse  du  second  livre,  488, 
489.  Analyse  du  troisième  et  quatrième  li- 
vres; analyse  du  cinquième  livre,  489.  Ana- 
lyse du  sixième  et  septième,  489  et  490.  Doc- 
trine d'Arnobe,  490,491.  Erreurs  attribuées 
à  Arnobe,  491,  492.  Jugement  des  écrits 
d'Arnobe,  492,  493.  Éditions  de  ses  écrits, 
493.  [Éditions  nouvelles,  493  et  494].  —  On 


90 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Ta  surnommé  l'Ancien  pour  le  distinguer  du 
suivant,  X,  330. 
ARNOBE  LE  JEUNE.  Pourquoi  ainsi  sur- 
V  siècle,  nommé  ;  on  a  lieu  de  croire  qu'il  vivait  vers 
le  milieu  du  v°  siècle;  son  Commentaire  sur 
les  Psaumes,  X,  330.  Arnobe  paraît  avoir 
été  semi-pélagien,  330  et  331.  Éditions  du 
Commentaire  d'Arnobe  sur  les  Psaumes  ;  an- 
notations qu'on  lui  attribue  sur  les  Évangiles  ; 
dispute  entre  Arnobe  et  Sérapion,  332.  Ce 
que  c'est  que  ce  dialogue,  333.  L'ouvrage 
intitulé  Prœdestinatus  est  attribué  à  Arnobe  ; 
mais  l'auteur  n'en  est  pas  connu^  333  et  334. 
Éditions  de  cet  ouvrage  et  censure  qu'on  en 
a  faite,  33-4.  Discours  sur  la  chute  d'Adam, 
qui  portait  le  nom  d'un  Arnobe  et  qui  ne  se 
trouve  plus,  335.  [Traduction  d'une  épître 
pascale  de  saint  Cyrille  par  Arnobe,  335.] 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  II,  p.  342  et  suiv.) 

ARNOBE,  évêque  et  rhéteur.  Auteur  d'un 
discours  sur  la  chute  d'Adam  qui  ne  se 
trouve  plus,  X,  335. 

XI siècle.  ARNOLD  LE  SAXON,  chanoine  de  Her- 
feld.  La  Vie  qu'il  a  donnée  de  saint  Gode- 
bard,  évêque  d'Hildesheim,  est  la  même  que 
celle  écrite  par  Wolférus,  à  laquelle  il  n'a 
fait  qu'ajouter  quelques  miracles,  XIII,  67 
et  97. 

XI  siècle.  ARNOLD,  évêque  d'Halberstat.  Sa  lettre 
à  Henri,  évêque  de  "Wirtzbourg,  au  sujet  de 
l'érection  de  Bamberg  en  évêché,  XIII,  93, 
94.  [Édition  de  cette  lettre  dans  la  Patrolo- 
gie,  94.] 

XI  siècle.  ARNOLD  (ou  ARNOLF  ou  ARNULPHE), 
prévôt  de  Saint-Emmeran  de  Ratisbonne; 
son  livre  des  Miracles  de  saint  Emmeran  ; 
Dialogue  des  vertus  des  saints  qui  ont  été 
enterrés  au  monastère  de  Saint-Emmeran, 

XIII,  94.  [Édition  des  deux  livres  d'Arnold, 
94.  Ses  autres  écrits,  95,  n.  2  et  3.]  Sa  lettre 
à  l'abbé  Burchard  où  il  lui  rend  compte  des 
premières  années  de  sa  conversion  et  de  ses 
études,  94  et  95.  Son  homélie  sur  les  huit 
béatitudes,  95. 

1019.  ARNOLD,  abbé  de  Pouthières,  déposé  au 

concile  de  Reims  tenu  par  le  pape  saint 
Léon  IX,  XIII,  165. 
xrsi6cie.  ARNOLD,  moine  de  Saint-Malhias  de 
Trêves.  Son  traité  du  Comput  ecclésiastique  ; 
son  Cycle  pascal  ;  son  livre  en  vers  sur  les 
Proverbes  de  Salomon,XIII,  562. 
H48.  ARNOLD j   archevêque  de   Cologne,    est 

privé  de  ses  fonctions  au  concile  de  Reims, 

XIV,  1121 


ARNOLD,  premier  abbé  de  Morimond, 
quitte  son  abbaye.  Lettre  que  saint  Bernard     H2 
lui   écrit  sur  ce  sujet,  XIV,  425,  426.   Sa 
mort,  425.  i 

ARNOLD,  archevêque  de  Mayence,  tué,        i 
XIV,  1129. 

ARNOLD,  abbé  de  Lubeck,  continuateur    xiiisièci. 
de  la  chronique  d'Helmold,  XIII,  545. 

ARNOLD  (André)  de  Nuremberg.  Son  édi- 
tion d'un  opuscule  de  Théodore  Aboucara 
sur  l'Incarnatioîi,  XII,  625. 

ARNOLD  (Geofifroy).  Sa  traduction  alle- 
mande de  la  lettre  de  l'Église  de  Smyrne 
touchant  le  martyre  de  saint  Polycarpe,  I, 
407,  408.  [Son  édition  et  sa  traduction  alle- 
mande des  Récognitions,  361.]  —  Son  édi- 
tion des  homélies  de  saint  Macaire  d'Egypte, 
V,  604.  De  l'Ascétique  de  saint  Nil;  de  ses 
Sentences,  VIII,  229. 

[ARNOLD  (W.)  Sa  traduction  allemande 
des  homélies  de  saint  Chrysostôme  sur  les 
épîtres  de  saint  Paul,  VH,  438.]. 

ARNOLF,  prévôtde  Saint-Emmeran.  Voyez 
Arnold. 

ARNON ,  surnommé  Aquila ,   évêque  de 
Juvave  ou  Saltzbourg,  était  frère  d'Alcuin, 
XII,  165.  —  Explication  de  plusieurs  psau- 
mes qu'Alcuin  composa  à  sa  prière  et  qu'il 
lui  adressa,  168.  Alcuin  écrit  à  Arnon,  196, 
197  et  [199,  200].  Il  est  envoyé  à  Rome  par 
Charlemagne,  223.  Il  va  prêcher  la  foi  aux    viiisièo! 
Huns,  aux  Slaves,  476,  477.  Il  ordonne  un        neg. 
évêque  pour  les  Slaves;  son  épitaphe,  477.        H80. 
(Voyez  ce  qui  est  dit  d'Arnon  dans  l'Avertis- 
sement du  t.  VI  de  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  p.  xij  et  suiv.) 

ARNON,  prévôt  de  Reichersperg;  succède 
à  Géroch,  son  frère;  sa  mort,  XIV,  633. 
[Pièces  relatives  à  Arnon  dans  la  Patrologie, 
633,  n.  2.]  Son  écrit  sur  l'Eucharistie  contre 
Folmar,  prévôt  de  Friefenstein;  son  Bouclier 
des  chanoines  réguhers,  633. 

ARNOUL,  prévôt  de  l'Église  de  Metz.  Sa    xii  sièci. 
lettre  à  Pierre  Lombard,  XIV,  567. 

ARNOUL  (Saint),  évêque  de  Metz.  Sa 
Vie,  imprimée  parmi  les  Œuvres  de  Bède  ; 
elle  fut  écrite  par  Paul,  diacre  d'Aquilée,  7. 
Abbaye  de  Metz  sous  son  nom;  l'évêque 
Ada'.béron  y  substitue  des  moines  à  la  place  g^. 
des  clercs,  870.  Histoire  de  l'origine  de  cette 
abbaye,  écrite  par  un  anonyme  qui  vivait 
dans  le  xi"  siècle,  XIII,  273.  Charte  del'évê-  v.  i07î. 
que  Herman  eu  faveur  de  cette  abbaye, 
464. 

ARNOUL  (Saint)  de  Mouzon.  Discours  en 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


91 


son  honneur  joint  à  la  chronique  de  Mouzon, 
XIII,  110. 

ARNOUL  (Saint),  archevêque  de  Tours. 
Deux  Vies  de  ce  saint  composées,  l'une  par 
un  anonyme,  l'autre  par  Lezcelin,  qu'on 
croît  abbé  de  Crespi  en  Valois,  XIII,  HO. 
siècle.  ARNOUL,  roi  de  Germanie.  Lettre  que  lui 
écrit  Foulques  de  Reims  en  faveur  du  roi 
Charles  le  Simple,  XII,  709.  Couronné  em- 
396.  pereur  par  le  pape  Formose  ;  serment  qu'il 
prête  à  ce  pape,  739.  —  Concile  qu'il  assem- 
ble à  Tibur  et  auquel  il  assiste,  XIII,  734  et 
suiv. 

ARNOUL,  archevêque  de  Reims.  [Pièces 
dans  la  Palrologie  qui  le  concernent,  XUl, 
761,  n.  1.]  —  Procédure  contre  lui  au  concile 
de  Râle,  conduite  par  Arnoul  d'Orléans,  XII, 
895 .  Discours  contre  lui  au  concile  de  Mouzon , 
par  Gerbert,  son  compétiteur,  903.  Lettre  de 
Gerbert  au  sujet  de  cette  afifaire,  907,  908. 
Lettre  du  même  devenu  pape  sous  le  nom 
de  Silvestre  II  portant  un  décret  pour  le  ré- 
tablir, 908,  909.  —  Comment  il  avait  étéélu, 
Xm,  761.  —  Il  est  déposé,  XII,  896  et  XIII, 
761.  —  Il  est  mis  en  prison,  XII,  903.  — Son 
différend  avec  Gerbert;  il  revient  à  son 
Eglise,  Xlll,  761.  (11  avait  fait  quelques  écrits. 
Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  VII,  p.  245  et  suiv.) 
S70.  ARNOUL  I",  évêque  d'Orléans,  succède  à 

Ermenthée,  son  oncle,  XII,  894. 

ARNOUL  II,  évêque  d'Orléans.  Différent 
d'un  évêque  de  même  nom  qui  l'avait  pré- 
cédé, XII,  894.  Sous  son  épiscopat,  Robert, 
que  Hugues  Capet  avait  désigné  pour  son 
1.  successeur,  est  sacré  à  Orléans  par  Séguin, 
archevêque  de  Sens,  894  et  893.  Arnoul 
991.  siste  au  concile  de  Bâle  où  il  est  char- 
gé de  conduire  la  procédure  contre  Ar- 
noul, archevêque  de  Reims,  895.  Analyse 
des  discours  qu'il  prononça  dans  ce  concile, 
895  et  896.  Éloge  que  fait  de  lui  Aimoin, 
moine  de  Fleury,  896.  Gerbert  adresse  des 
lettres  à  Arnoul,  896  et  897,  —  Sa  dispute 
avec  Abbon,  abbé  de  Fleury,  dont  il  voulait 
exiger  un  serment  comme  feudataire,  XIII, 
26,  27.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  VI,  p.  521  et  suiv.) 

ARNOULD  LE  SAXON.  Voyez  Arnold. 

ARNOUL,  prévôt  de  Saint -Emmeran. 
Voyez  Arnold. 
1  siècle.  ARNOUL,  moine  de  Saint-André  à  Avi- 
gnon. Sa  Chronologie;  son  Martyrologe  ;  son 
Traité  des  poids  et  des  mesures  ;  traité  des 
auteurs  qu'on  doit  recevoir  ou  rejeter;  au- 


cun de  ces  ouvrages  n'a  été  imprimé,  XIII, 
73.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VII,  p.  231  et  suiv.) 

ARNOUL,  moine  que  Sigebert  fait  auteur     xi  siècle. 
d'un  recueil  en  vers  des  plus  belles  senten- 
ces de  Salomon  ;  on  ne  sait  si  c'est  le  même 
qu'Arnoul,  moine  de  Saint-André  d'Avignon, 

XIII,  73.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  VII,  p.  252.) 

ARNOUL,  frère  de  l'empereur  saint  Henri, 
est  nommé  archevêque  de  Ravenne;  il  tient 
un  concile,  XIV,  1037. 

ARNOUL,  chantre  de  TÉglise  de  Brione. 
Parole  qu'il  dit  à  Bérenger,  XIII,  168. 

ARNOUL,  comte.  Insulte  qu'il  fait  à  Henri,        W79. 
évêque  de  Liège,  Xltl,  467. 

ARNOUL,  historien  de  Milan.  Ce  qu'on     xi  siècle, 
sait  des  circonstances  de  sa  vie;  idée  de  son 
Histoire  de  Milan  ;  éditions  qu'on  en  a  faites, 
XIU,  306. 

ARNOUL,  abbé  de  Lagny.  (Il  écrivit  la  Vie 
de  saint  Fursy.  Voyez  ce  qui  est  dit  d' Ar- 
noul dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t  IX,  p.  290  et  suiv.) 

ARNOUL  (Saint),  évêque  de  Soissons.  Son 
élection,  XIV,  1071.  Il  est  canonisé  dans  un        iiso. 
concile  de  Beauvais  ;  son  corps  levé  de  terre,        H2i. 
1094. 

ARNOUL,  patriarche  de  Jérusalem.  Son        ms- 
élection;  il  est  déposé  dans  un  concile  pour 
sa  vie  scandaleuse,  XIV,  1074.  Il  se  fait  ré- 
tablir; année  de  sa  mort,  1086.  ms. 

ARNOUL,  Flamand,  prédicateur  de  la  croi-    xii  siècle, 
sade.  (On  a  de  lui  une  relation  de  la  prise  de 
Lisbonne.  Voyez  ce  qui  en  est  dit  Aa.w&l' His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  XII,  p.  292  et 
suiv.) 

ARNOUL,  évêque  de  Lisieux,  succède  à        H4i. 
Jean,  son  oncle  ;  son  élection  est  confirmée 
par  le  pape  Innocent  II  malgré  l'opposition 
de  Geoffroy  de  Plantagenet,  comte  d'Anjou, 

XIV,  751.  II  accompagne  le  roi  Louis  VII  à  «47. 
son  voyage  en  Palestine,  751  et  752.  Alexan- 
dre III  le  nomme  son  légat  en  France  et  en  1149. 
Angleterre  ;  il  engage  le  roi  d'Angleterre  à  1159, 
le  reconnaître  pape  ;  il  assiste  au  concile  de  nos. 
Tours;  sa  conduite  dans  le  différend  entre  le 

roi  d'Angleterre  et  saint  Thomas  de  Cantor- 
béry,  732.  Sa  retraite  à  l'abbaye  de  Saint- 
Victor  de  Paris;  sa  mort;  ses  écrits  :  Traité  hsî. 
du  schisme  à  l'occasion  de  l'élection  de 
l'anti-pape  Anaclet  11,  753.  Sermon  sur  l'An- 
nonciation, 753  et  754.  Ses  lettres,  734  et 
suiv.  Ses  poésies,  759.  Discours  qu'il  pro- 
nonce à  l'ouverture  du  concile  de  Tours,  732. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


XII  siècle. 


XII  siècle. 


1114  ou  1115 


112i. 


S12. 


1090. 


[Autre  discours  qu'il  prononça  le  lendemain, 
752.  Jugement  sur  Arnoul,  753.  Édition  de 
ses  écrits  par  le  docteur  Giles,  753.]  Ses  let- 
tres à  Arnaud,  abbé  de  Bonneval,  758.  Ses 
lettres  à  saint  Tbomas,  archevêque  de  Can- 
torbéry,  671  et  755.  [Autres  lettres  d'Arnoul, 
758.  Collection  complète  des  lettres  d'Arnoul 
dans  la  Patrologie  ,  d'après  l'édition  du 
docteur  Giles",  758  et  759.  Ses  poésies, 
760.] 

ARNOUL  (Saint),  premier  abbé  d'Alden- 
bourg.  Sa  Vie,  écrite  en  deux  livres  par  Ha- 
riulfe  ;  Lisiard,  évêque  de  Soissons,  y  ajoute 
un  troisième  livre  contenant  ses  miracles, 
XIV,  234. 

[ARNOULF,  élu  abbé  de  Gerablours,  XIV, 

266.] 
ARNOUL,  évêque  de  Rochester.   Voyez 

A.TYl'Ul'ûhB» 

ARNOUL  LE  SCHOLASTIQUE.  Lettres  de 
Guibert  de  Gemblours  qui  lui  sont  adressées, 
XrV,  862. 

[ARNOUL,  moine  de  Boéri.  Son  Spéculum 
monachorum,  XIV,  483.] 

ARNULPHE,  prévôt  de  Saint-Emmeran. 
Voyez  Arnold. 

ARNULPHE  ou  ERNULPHE,  évêque  de 
Rochester,  d'abord  moine  de  Saint-Lucien 
de  Beauvais,  passe  au  monastère  de  Cantor- 
béry;  il  devient  abbé  de  Burck,  puis  évêque 
de  Rochester;  temps  de  son  épiscopat;  sa 
mort  ;  histoire  del'Éghse  de  Rochester  qu'on 
lui  attribue;  elle  n'a  pas  encore  été  impri- 
mée, XIV,  235.  [Une  partie  a  été  imprimée, 
235,  n.  7.]  Sa  lettre  à  Walquelin,  évêque  de 
Windsor,  sur  la  question  de  savoir  si  une 
femme  coupable  d'adultère  avec  le  fils  de 
son  mari  doit  être  séparée,  235,  236.  Autre 
lettre  à  un  nommé  Lambert,  contenant  ré- 
ponse à  plusieurs  questions  qu'il  lui  avait 
proposées,  236,  237.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  X,  p.  425 
etsuiv.) 

ARNULPHE,  évêque  de  Lisieux.   Voyez 
Arnoul. 

ARNUSTE,  archevêque  de  Narbonne.  Sa 
mort;  Argius  lui  succède,  XII,  792. 

[ARNTZEN.  Son  édition  des  écrits  de  Sé- 
dulius,  Vm,  109,  —  d'Arator,  XI,  198.] 

AROASIA,  congrégation  de  chanoines  ré- 
guliers instituée  par  le  pape  Urbain  II,  XIII, 

425. 

ARPHAXAD,  roi  des  Mèdes,  le  même  que 

Phraortes,  1, 97. 

ARQUEBIUS,  évêque  de  Panéphise,  qui 


avait  été  trente-sept  ans  solitaire,  VIII,  147 
et  157. 

ARRAGON.  Concile  dont  le  lieu  est  in- 
connu, XIV, 1063. 

ARRAS,  autrefois  ville  des  Pays-Bas, 
maintenant  de  France.  Concile  qui  y  fut  tenu 
contre  les  Manichéens,  XIII,  160.  Bulle  du 
pape  Urbain  II  qui  sépare  l'évêché  d'Arras 
de  celui  de  Cambrai;  concile  de  Reims  à  ce 
sujet;  Lambert  de  Guines  en  est  élu  évêque, 
427.  La  bulle  d'Urbain  II  est  lue  et  confir- 
mée au  concile  de  Clermont,  433.  Gestes  de 
l'Eglise  d'Arras  recueillis  par  Lambert  ;  dé- 
tail des  monuments  qu'ils  contiennent,  433. 
—  Concile  tenu  à  Arras,  XIV,  1040,  1041. 

ARSACE,  pontife  païen  de  Galatie.  Lettre 
que  Julien  l'Apostat  lui  écrit,  V,  352. 

ARSACE,  patriarche  intrus  sur  le  siège  de 
Constantinople,  VII,  134  et  VIII,  13.  —Il est 
la  cause  de  l'exil  de  saint  Chrysostôme,  VII, 
13,  n.  13. 

ARSACE,  solitaire  de  grande  vertu,  prédit 
un  tremblement  de  terre  à  Nicomédie  et  y 
périt  lui-même,  VIII,  530. 

ARSÈNE,  évêque.  Saint  Athanase  est  ac- 
cusé de  l'avoir  tué  et  de  lui  avoir  coupé  une 
main  ;  il  paraît  plein  de  vie  et  avec  ses  deux 
mains,  III,  451. 

ARSÈNE  (Saint),  solitaire  d'Egypte.  Chargé 
par  Tempère ur  Théodose  de  l'éducation  d'Ar- 
cade etd'Honorius,  Vin,  398.  Quitte  le  monde 
et  embrasse  la  vie  solitaire  au  désert  de 
Scété,  398  et  399.  Ses  austérités;  son  désin- 
téressement, 399.  Il  va  à  Troé,  puis  à  Canope, 

399  et  400.  Il  retourne  à  Troé  ;  sa  mort,  400. 
Discours  de  saint  Arsène;  ses  instructions, 

400  et  suiv.  [Fragment  d'un  discours  contre 
le  tentateur  de  la  loi,  403.  Éditions  des  écrits 
de  saint  Arsène,  400,  n.  5.]  —  Arsène 
fut  visité  par  Théophile  d'Alexandrie,  VII, 

439. 

ARSÈNE,  évêque  d'Engubio ,  soutient 
l'antipape  Anastase,  XII,  409. 

ARSÈNE,  évêque  d'Orla  en  Toscane,  légat 
du  pape  saint  Nicolas  I"  en  France,  XII,  576, 

579. 

ARSÈNE,  moine  du  mont  Athos.  Sa  Col- 
lection de  canons  rédigée  par  ordre  de  ma- 
tières; ce  que  contient  cette  collection  ;  on 
n'a  plus  une  collection  semblable  qu'il  avait 
faite  des  lois  des  empereurs,  XIV,  650. 

ARSÈNE,  moine,  puis  patriarche  à  Nicée 
et  ensuite  à  Constantinople,  n'est  pas  le 
même  que  le  moine  du  mont  Athos,  auteur 
d'une  Collection  de  canons,  XIV,  650. 


1025. 

1092. 
1093. 
1095. 
1095. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


93 


'  siècle. 


ARSÈNE,  surnom  donné  à  Vala,  abbé  de 
Corbie,  XII,  333. 

ARSINOÉ  en  Egypte.  L'évêque  Népos  y 
répand  les  erreurs  des  Millénaires,  II,  398. 
Conférence  qui  y  fut  tenue  à  ce  sujet  par 
saint  Denis,  évêque  d'Alexandrie,  398  et 405, 
406  et  364,  363.  —  Ce  qui  est  dit  des  moines 
d'Arsinoé  dans  les  Vies  des  Pères  écrites  par 
Rufin  d'Aquilée,  VII,  473.  —  Lettre  de  saint 
iT  ou       Antoine,  père  des  solitaires,  aux  Arsinoïtes, 

siècle.        1IJ390. 

ARTACHIS,  cousin  de  sainte  Radegonde. 
Poème  que  lui  adresse  Fortunat  sur  la  mort 
d'Hermanfroi,  son  oncle,  XI,  4H. 

931.  ARTAUD  ou  ARTAULD,  archevêque  de 

Reims,  établi  par  le  roi  Raoul,  XIII,  747.  Ses 
contestations  avec  Hugues,  fils  d'Herbert, 
comte  de  Vermandois,  au  sujet  de  cet  arche- 

g^         véché;  différents  conciles  qui  le  maintien- 

961.  nent,  747  et  suiv.  Sa  mort,  752.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VI,  p.  293  et  suiv.) 

jjgg  ARTAULD,  évêque  d'Elue,  sacré  par  le 

pape  Urbain  II  sur  le  refus  de  l'archevêque 
de  Narbonne;  par  erreur,  Gratieu  le  dit 
évêque  d'Arles,  XllI,  420. 
ARÏÉMIE,  épouse  de  Rustique,  VII,  638. 
ARTÉMISE,  veuve  d'un  homme  qui  avait 
voulu  s'ériger  en  tyran,  VII,  33. 

3g2_  ARTÉMIUS  (Saint),  duc  d'Egypte,  martyr 

à  Antioche,  III,  412.  —  Il  avait  été  chargé 
de  chercher  saint  Atbanasedans  sa  fuite,  IV, 
235.  [Commentaire  historique  sur  ce  saint 
martyr,  extrait  de  Philostorge,  510,  n.  4.  — 
La  passion  d'Artémius  par  saint  Jean  Damas- 
cène,  XII,  99.] 

j,^  ARTÉMIUS,  évêque  d'Embrun  au  concile 

de  Valence,  IV,  600. 

jgg  ARTÉMIUS  ,    prêtre ,    député    du    pape 

Sixt3  III  au  concile  de  Thessalonique,  Vlll, 
250. 

ARTÉMIUS,  prêtre,  à  qui  Théodore  de 
Mopsueste  écrit,  VIII,  21 . 

ARTÉMIUS,  archevêque  de  Tarragone, 

592.  préside  à  un  concile  tenu  à  Sarragosse,  XI, 
906. 
iisiècie.  ARTÉMON,  hérétique.  Écrit  d'un  anonyme 
contre  lui  ;  on  ne  sait  qui  était  cet  anonyme, 
I,  538.  —  Artémon  fut  condamné  à  Rome 
dans  un  concile,  II,  544. 

ARTHMAIL ,  roi  de  Galles,  excommunié 

dans  un  concile  pour  avoir  tué  son  frère 

Elised,  se  soumet  à  la  pénitence  qui  lui  est 

imposée,  XIII,  760. 

ARTISANS.  On  fournissait  aux  pauvres 


artisans  de  quoi  exercer  leur  métier,  II, 
378. 

ARTHUR.  Voyez  Artus. 

ARTOTYRITES,    hérétiques    de    Galatie     iv  siècle, 
dont  parle  saint  Philastre,  V,  175.  —  (On 
les  y  a  nommés  par  méprise  Artorytes).  Ce 
que  saint  Epiphane  dit  de  cette  secte,  VI, 
394. 

ARTS.  Épigramme  de  Philippe  de  Bonne- 
Espérance  sur  la  langueur  des  arts  par  le  dé- 
faut d'argent,  XIV,  687. 

ARTS  LIBÉRAUX.  Traité  de  Cassiodore 
sur  les  sept  arts  libéraux,  XI,  235  et  suiv. 
—  Traité  d'Alcuin  sur  les  sept  arts  libéraux. 
11  n'en  reste  que  ce  qui  regarde  la  gram- 
maire et  la  rhétorique,  XII,  189.  [Froben  a 
publié  un  traité  d'Alcuin  sur  l'orthographe, 
189.]  Poème  de  Théodulphe,  évêque  d'Or- 
léans, sur  les  sept  arts  libéraux,  269.  Livres 
de  Marquard,  écolâtre  d'Epternach,  sur  les 
sept  arts  libéraux,  840.  Traité  de  Brunon, 
moine  de  Gladbac,  sur  les  sept  arts  libé- 
raux, 911.  Traité  du  vénérable  Bède  sur 
l'art  poétique,  4.  Autre  attribué  à  Werem- 
bert,  moine  de  Saint-Gai,  694.  Deux  livres 
de  Diéthelme  sur  l'art  poétique,  840.  — 
[Opuscule  en  vers  sur  les  sept  arts  libéraux 
par  un  anonyme,  XIII,  61.] 

ARTUS  ou  ARTHUR,  comte  de  Bretagne, 
neveu  de  Jean  roi  d'Angleterre,  tué  par  son 
oncle,  XIV,  1148. 

ARULE  en  Catalogne.  Concile  tenu  en 
cette  abbaye  pour  en  confirmer  l'immunité, 
XIV,  1053. 

ARUSPICES.  Lois  de  Constantin  qui  les 
concernent,  III,  123. —  Lois  de  Constantius, 
VI,  342. 

ARVANDE,  préfet  des  Gaules,  accusé  de 
crimes  de  péculat  et  de  lèse-majesté,  obtient 
grâce  de  la  vie,  sur  les  sollicitations  de  saint 
Sidoine  Apollinaire,  X,  383. 

ARVOGASTE,  comte  et  depuis  évêque  de 
Chartres.  Voyez  Arbogaste. 

ARZUNITIDE  ou  AZANÈNE,  province  de 
Perse,  X,  142. 

ASAPH,  lévite,  l'un  des  chefs  de  la  musi- 
que du  temple  du  Seigneur.  Quoiqu'il  soit 
nommé  voyant  ou  prophète,  il  n'a  point 
exercé  d'autre  fonction  que  celle  de  chantre 
ou  chef  de  musique,  I,  129. 

ASGAGNE,  évêque  de  Tarragone.  Sa  con- 
duite à  l'égard  de  Silvain ,  évêque  de  Cala- 
horra,  qui  faisait  des  ordinations  irréguliè- 
res, X,  338.  Lettre  décrétale  que  lui  adresse 
le  pape  saint  Hilaire,  339. 


94 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


ASCALON,  ville  de  Palestine.  Martyrs  qui 
y  soutfrirent,  X,  46. 
vm  siècle.        [ASCARIC,  évêque  espagnol.  Sa  lettre  à 
Tusarède,  autre  évêque  du  même  pays,  XII, 
150,  151.  Réponse  de  celui-ci,  151.] 

ASCELIN  (Adalbéron),  évêque  de  Laon. 
Voyez  Adalbéron. 
1050.  ASCELIN,  moine  du  Bec,  assiste  à  la  con- 

férence de  Brione  où  il  confond  Béreuger, 
XIII,  167,  168  et  258.  Lettre  que  lui  écrit 
Bérenger  pour  se  plaindre  de  la  manière 
dont  on  l'avait  traité  dans  cette  conférence, 
168  et  238.  Réponse  que  lui  fait  Ascelin, 
238.  Ses  sentiments  sur  l'écrit  de  Jean  Scot, 
168.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  V Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  VII,  p.  554  et  suiv. 

[ASCENSION  ou  vision  d'Isaïe,  livre  apo- 
cryphe, I,  159.] 

ACENSION.  Opuscule  sur  l'Ascension  de 
Jésus-Christ,  attribué  à  Eusèbe  de  Césarée, 
iv  siècle,  m,  231.  —  Discours  de  saint  Grégoire  de 
Nysse  sur  l'Ascension  de  Jésus-Christ,  VI, 
IV  siècle,  203,  204.  [Homélie  sur  l'Ascension  par  Dia- 
dochus,  316  et  328].  —  Homélies  de  saint 
Jean  Chrysostôme  sur  ce  sujet,  VII,  84.  Dis- 
cours sur  ce  mystère  faussement  attribués  à 
saint  Jean  Chiysostôme  ;  homélie  sur  le 
même  sujet  faussement  attribuée  à  ce  père, 
141.  Opuscule  sur  ce  sujet  faussement  attri- 
bué à  saint  Jean  Chrysostôme,  312.  Autre 
également  faussement  attribuée  au  même 
saint  docteur,  333.  Homélie  faussement  at- 
tribuée à  Jean  de  Jérusalem,  502. —  Témoi- 
gage  de  Sulpice  Sévère  sur  le  lieu  oîi  s'o- 
péra l'Ascension  Jésus-Christ,  VllI,  115. 
l^f  ou  Trois  discours  de  saint  Nil  sur  la  fête  de 
l'Ascension,  215.  Sermon  de  Nestorius  sur 
l'Ascension  de  Jésus-Christ,  373.  [Sermon 
d'Eusèbe  d'Alexandrie  sur  ce  sujet,  383. 
Sermon  sur  le  même  sujet  par  saint  Procle 
de  Constantinople,  415.] —  Sermons  de  saint 
IV  ou  Augustin  sur  ce  sujet,  IX,  239.  Fragment 
d'un  sermon  de  saint  Augustin  sur  ce  sujet, 
243.  [Sermons  du  même  saint  sur  l'Ascen- 
sion ;  sermon  du  même  sur  le  temps  entre 
l'Ascension  et  la  Pentecôte,  841.  Deux  ser- 
mons sur  l'Ascension  faussement  attribués  à 
saint  Augustin,  836.]  —  Sermons  du  pape 
saint  Léon  sur  ce  mystère,  X,  193.  Autre 
sermon  sur  le  même  sujet  qui  lui  est  attri- 
bué, 198.  Trois  homélies  de  saint  Maxime  de 
Turin  sur  l'Ascension,  325.  [Un  sermon  du 
même  sur  l'Ascension,  326.]  Vers  de  saint 
Ennode  sur  le  mystère  de  l'Ascension,  576. 
—  Homélie  du  pape  saint  Grégoire  pour  le 


V  siècle. 


V  siècle. 


jour  de  l'Ascension,  XI,  459,  460.  Témoi- 
gnage d'Adamnan  sur  les  vestiges  de  l'As- 
cension de  Notre-Seigneur,  801 .  —  [Hymne 
du  vénérable  Bède  pour  l'Ascension,  XII, 
4.]  Vers  pour  la  fête  de  l'Ascension  attribués 
à  saint  Jean  Damascène,  85.  Hymne  de 
de  Rhaban  Maur  pour  la  fête  de  l'Ascension, 
459.  Discours  de  l'empereur  Léon  VI  sur  ce 
mystère,  775.  [Sermon  d'Alton  de  Verceil 
sur  ce  sujet,  826.]  Sermons  de  Rathérius 
de  Vérone  sur  l'Ascension,  838.  Poëme  de 
Rosvithe,  religieuse  de  Gandersheim,  surce 
mystère,  876,  877.  —  Poëme  du  roi  Robert 
sur  ce  mystère,  XIII,  108.  Sermon  de  saint 
Odilon,  abbé  de  Cluny,  sur  l'Ascension,  133. 
—  Sermon  d'Yves  de  Chartres  sur  ce  mys- 
tère, XIV,  123.  Sermon  de  Geofifroi  de  Ven- 
dôme sur  l'Ascension  de  Jésus-Christ,  169. 
Deux  sermons  du  vénérable  Hildebert  sur 
ce  sujet,  214.  Poëme  de  Marbode  sur  l'As- 
cension de  Jésus-Christ,  228.  Cinq  sermons 
de  saint  Bernard  pour  la  fête  de  l'Ascension, 
484.  Trois  sermons  de  Pierre  de  Celle  sur 
l'Ascension,  681.  [Sermon  d'Isaac  abbé  de 
l'Étoile,  sur  ce  sujet ,  694.  Trois  sermons 
d'Odon,  chanoine  de  Saint-Victor,  sur  cette 
fête,  712.  Trois  sermons  d'Absalon,  abbé 
de  Springkirsbach ,  pour  cette  fête,  877.] 

ASCÈTES.  Nom  qu'on  donnait  à  ceux  qui  jy  siècle 
faisaient  profession  de  vivre  d'une  manière 
plus  austère  que  les  autres,  II,  523.  —  Ca- 
nons, 12,  13,  15,  16  et  17  du  concile  de 
Gangres  sur  les  ascètes,  III,  517, 518.  Canon 
21,  518.  Voyez  àloines  et  Vierges. 

ASCÉTIQUES.  On  comprend  sous  ce  nom     jy  ^^^^^^ 
tous  les  ouvrages  moraux  de  saint  Basile  le 
Grand  ;  on  applique  aussi  particulièrement 
ce  nom  à  trois  discours  de  ce  saint  docteur, 
IV,  392i  Occasion,  sujet  et  analyse  de  ces 
trois  discours,  392  et  suiv.  Deux  autres  dis- 
cours ascétiques  attribués   à  saint  Basile, 
398,  399.  Discours  ascétique  ou  lettre  faus- 
sement attribuée  à  saint  Basile  le  Grand, 
490.  —  Discours  ascétique  attribué  à  saint     jy  siècle. 
Ephrem,  VI,  36.  Discours  ascétique  à  l'imi- 
tation des  Proverbes  par  saint  Ephrem,  36 
et  37.  Autre  discours  ascétique   de   saint 
Ephrem,   37.   [Autres  discours  ascétiques, 
509  et  suiv.]  —  Dix  discours  ascétiques,  ou-       iv  on 
vrage  de  Grégoire,  abbé  en  Palestine,  VIII,      V  siècle. 
2,  Ascétique  ou  traité  de  la  Vie  monastique;       jy  ou 
ouvrage  de  saint  Nil,  solitaire  de  Sinaï,  208,      ^  *'*'='*• 
209.  Ti'aité  de  la  Pauvreté  volontaire,  suite 
de  l'Ascétique  de  saint  Nil,  adressé  à  Magna, 
210  et  211.  Ascétiques,  livre  qui  contenait 


tablï;  générale  des  matières. 


9S 


131.  les  erreurs  des  Messaliens  condamné  par  le 
concile  d'Éphèse,  591.  —  Livre  ou  discours 
ascétique  de  saint  Maxime,  abbé  de  Ghry- 
sopolis,  XI,  763,  764.  —  Traité  ascétique  de 
saint  Anselme,  archevêque  de  Cantorbéry, 
XIV,  38.  Voyez  Moines  et  Vierges. 

ASCHOLE  ou  ACHOLE  (Saint).  (Les  Grecs 
écrivent  Aschole,  et  les  Latins  Achole.)  Il 
était  évêque  de  Thessalonique;  il  est  auteur 
de  la  lettre  de  l'Eglise  de  Gotbie  sur  le  mar- 
tyre de  saint  Sabas,  IV,  283.  Lettres  que  lui 
écrit  saint  Basile  à  ce  sujet,  283.  Autres  let- 
tres que  lui  écrivit  saint  Basile,  456  et  457. 
Saint  Aschole  et  cinq  de  ses  collègues  évo- 
ques de  Macédoine,  rejettent  l'ordination  de 
Maxime  le  Cynique  pour  le  siège  de  Cons- 
tantinople,  618.  Il  assiste  en  382  au  concile 
de  Rome,  638.  —  11  baptise  l'empereur 
Théodose,  V,  17,  et  VI,  364.  Le  pape 
saint  Damase  lui  écrit  et  à  cinq  autres  évo- 
ques de  Macédoine,  V,  17.  Saint  Aschole 
est  appelé  au  concile  de  Constantinople 
après  la  mort  de  saint  Mélèce,  189.  II  visite 
saint  Ambroise,  383. 

ASCLÉPAS,  évêque  de  Gaze.  Saint  Ale- 
xandre d'Alexandrie  lui  écrit  contre  Arius, 
m,  106.  11  est  persécuté  par  les  Ariens.  Eu- 
sèbe  de  Césarée  lui  est  favorable,  172.  As- 
clépas  est  déposé  dans  un  concile  d'Antio- 
ehe,  449.  11  est  rétabli  par  un  concile  de 
Rome,  464.  11  se  trouve  au  concile  de  Sar- 
dique,  479.  11  y  est  absous,  484. 

ASCLÉPIADE,  auteur  d'un  traité  intitulé: 
De  la  Providence  du  souverain  Dieu,  cité  par 
Lactance,  II,  517. 

ASCLÉPIADE,  évêque  novatien  deNicée, 
VIII,  14. 

ASCLÉPIADE,  à  qui  saint  Nil  écrit,  VIII, 
223. 

ASCLÉPIADE,  diacre  député  à  Rome  par 
Anatolius,  X,  220. 

ASCLÉPIUS,  de  la  secte  des  Marcionites, 
est    brûlé    avec    saint    Pierre    Apsélame , 

m,  11. 

ASCLÉPIUS  ou  ASCLÉPIE  (Saint),  soli- 
taire dont  Théodoret  a  écrit  la  vie,  X,  61. 

ASCLÉPIUS  ,  évêque  en  Afrique  ,  dont 
parle  Gennade.  Ses  écrits  contre  les  Ariens 
et  contre  les  Donatistes  sont  perdus,  X,  469. 

ASELLE  (Sainte),  vierge  romaine.  Ce  qui 
enest  dit  dans  l'Histoire  Lausiaque  de  Pal- 
lade,  Yli,  490.  Saint  Jérôme  fait  son  éloge, 
588.  Lettre  que  lui  écrivit  sainlJérôme,  592. 

ASELLICUS,  évêque.  Lettre  que  lui  écri- 
vit saint  Augustin,  IX,  166. 


418. 


418. 


585. 


[ASHTON  édite  les  deux  apologies  de  saint 
Justin,  J,  445.] 

ASELLUS,  prêtre.  Instruction  du  pape 
Zosime  à  l'évêque  Faustin  et  aux  prêtres 
Philippe  et  Asellus,  ses  envoyés  en  Afrique, 
Vn,  537,  et  IX,  418. 

ASIATIQUE,  commandant  des  troupes  en 
Phénicie,  détourne  l'empereur  Anastase  de 
chasser  de  leur  siège  Cosme  d'Epiphanie  et 
Sévérien  d'Arélhuse,  opposés  à  Sévère  de 
Sozople,  XI,  107. 

ASIATIQUE ,  archevêque  de  Tarragone,        599, 
préside  à  un  concile  de  Barcelone,  XI,  907. 

ASIE.  Concile  qui  y  fut  tenu  contre  les  er-        246. 
reurs  de  Noët,  II,  554,  555. 

ASILE  DES  ÉGLISES.  Exemple  remar- 
quable sous  saint  Basile,  rapporté  par  saint 
Grégoire  de  Nazianze,  V,  350.  —  Loi  de 
Théodose  au  sujet  des  débiteurs  qui  se  ré-  392. 
fugiaient  dans  des  églises,  VI,  373.  —  L'eu- 
nuque Eutrope  est  oMigé  d'avoir  recours  à  441. 
l'asile  de  l'éghse,  VII,  119.  —  Dispositions 
du  concile  d'Orange  au  sujet  de  ceux  qui  se 
réfugient  dans  l'église ,  VIII,  607,  608.  — 
Canons  du  premier  concile  d'Orléans  en  fa- 
veur du  droit  d'asile,  X,743.  Le  droit  d'asile 
confirmé  par  un  concile  de  Mâcon;  avec 
quelle  religion  le  roi  Gontran  l'observe,  XI, 
326.  Gontran-Boson,  capitaine,  accusé  d'un 
meurtre  se  réfugie  dans  l'église  de  Saint-Mar- 
tin de  Touis,  370.  L'asile  des  éghses  s'éten- 
dait à  tous  les  heux  renfermés  dans  leurs  en- 
ceintes, 388.  Canon  du  quatrième  concile 
d'Orléans  contre  ceux  qui  violaient  le  droit 
d'asile,  861.  Canon  du  deuxième  concile  de 
Mâcon.  897.  Canon  d'un  concile  de  Paris  sur 
les  asiles  des  églises,  913.  —  Clotaire  II  main- 
tient le  droit  des  asiles  ;  lois  des  Allemands  et 
des  Bavarois  touchant  les  asiles,  XII,  227. 
Une  dame,  nommée  Marie,  est  mise  en  péni- 
tence pour  avoir  violé  le  droit  d'asile  dans 
l'église,  307.  L'église  du  monastère  de  Sal- 
gensladt  avait  droit  d'asile,  355.  Dispositions 
d'un  concile  de  Reims  sur  les  asiles  des 
églises  ;  l'église  de  Saint-Denis  était  regar- 
dée comme  un  asile,  915.  Le  droit  d'asile 
confirmé  par  le  douzième  concile  de  Tolède, 
957.  —  Abbon  de  Fleury  défend  ce  droit, 
XIII,  25. 

ASINION ,  évêque  de  Coire,  au  concile  de 
Milan,  X.  61. 

[ASLEBEN  (M.-J.).  Son  projet  d'édition  et 
de  traduction  de  saint  Éphrem,  VI,  73,  74.] 

ASPAR,  consul  et  patrice  à  qui  Théo- 
doret écrit,  X,  77.  L'empereur   Léon    est 


625. 


451. 


96 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


V  siècle 


IV  siècle. 


let  II  siècles. 


II  siècle. 

III  siècle. 

IV  siècle. 

IV  siècle. 

380. 
IV  siècle. 


390. 


375. 


IV  siècle. 
IV  siècle. 


mis  sur  le  trône   par  son  autorité ,  2.33. 

ASPASIE,  abbesse.  Lettre  que  saint  Di- 
dier de  Cahors  lui  écrit,  XI,  733. 

ASPÉBÈTE,  prince  des  Sarrasins,  baptisé 
sous  le  nom  de  Pierre  et  ensuite  consacré 
évêque  de  sa  nation,  XI,  273. 

ASPHALE,  prêtre  d'Antioche,  disciple 
d'Aétius,  député  vers  Constantius,  VI,  345. 

ASPHALE,  autre  prêtre  d'Antioche  qui 
faisait  à  Conslanlinople  les  affaires  de  son 
clergé,  Vm,  587. 

ASPONE,  ville  de  Galatie;  Pallade  en  est 
fait  évêque,  VII,  486. 

[ASSÉMANI  (Joseph-Simon),  chanoine  de 
Saint-Pierre,  a  publié  rédition  de  Rome  des 
œuvres  de  saint  Ephrem  avec  le  concours  de 
son  neveu,  Étienne-Évode,  et  du  père  Pierre 
Benoît,  VI,  439  et  suiv.] 

ASSEMANI  (Étienne-Évodius),  archevê- 
que d'Apamée,  neveu  du  précédent  ;  sa  Col- 
lection des  actes  des  martyrs  d'Orient  et 
d'Occident,  III,  324  et  suiv.  —  [Il  édite  le 
sixième  volume  de  l'édition  romaine  des 
Œuvres  de  saint  Ephrem,  VI,  440.] 

[ASSARADON,  d'après  plusieurs  critiques, 
n'est  pas  le  même  que  Nabuchodonosor,  I, 
99,  n.  2.] 

ASSEMBLÉES  des  fidèles.  Les  jours  n'en 
étaient  pas  encore  réglés  du  temps  de  saint 
Ignace,  I,  384.  Assemblées  des  fidèles  à  l'oc- 
casion des  martyrs,  386.  Témoignage  de 
saint  Justin  sur  les  assemblées  des  chré- 
tiens, 443.  —  Témoignage  de  Tertullien  II  ; 
Constitutions  apostoliques  sur  ce  point,  598, 
599.  Canons  vingt-unième  et  quarante-si- 
xième du  concile  d'Elvire,  607  et  610.  —  Té- 
moignage d'Eusèbe  de  Césarée,  III,  290, 291. 
Canons  cinquième  et  sixième  du  concile  de 
Gangres,  527.  —  Témoignage  de  saint  Atha- 
uase,  IV,  217.  Canon  dix-septième  dans  la 
deuxième  épître  canonique  de  saint  Basile  le 
Grand,  465.  Assemblées  des  femmes;  canon 
premier  duconciledeSarragosse;  assemblées 
secrètes  ;  canons  deux  et  quatre  du  même 
concile,  615.  Assemblées  des  fidèles  et  célé- 
bration des  saints  mystères;  canon  neu- 
vième du  deuxième  concile  de  Carthage, 
649.  —  L'empereur  Valentinien  défend  les 
assemblées  illicites,  V,  15.  Assemblées  des 
fidèles  ;  témoignage  de  saint  Cyrille  de  Jéru- 
salem, 77.  Témoignage  de  saint  Grégoire  de 
Nysse,  250.  Témoignage  de  saint  Epiphane, 
434,  435.  —  Assemblées  des  hérétiques  et 
des  schismatiques  ;  canons  soixante-dixième, 
soixante-onzième  et  soixante-douzième  du 


quatrième  concile  de  Carthage,  Vil,  731.  — 
[Assemblée  des  ordres  ecclésiastiques  ;  dis- 
cours de  saint  Théodore  Studite  sur  ce  sujet, 
XU,  3H.] 

ASSER,  surnommé  MÉNÈVE,  du  Heu  de 
sa  naissance ,  aujourd'hui  Saint-David,  em- 
brasse la  vie  monastique  dans  le  monastère 
de  Saint-David,  XII,  781.  Le  roi  Alfred  l'at- 
tire auprès  de  sa  personne  à  cause  de  sa 
piété  et  de  sa  science  ;  il  le  fait  évêque  de 
Schirborn  ou  Salisbury;  sa  mort,  XII,  781. 
11  écrit  la  vie  du  roi  Alfred  ;  idée  de  cette 
Vie,  782  et  781.  La  Chronique  de  Saint-Néot 
est  attribuée  à  Asser,  782,  783. 

ASSIDUITÉ  des  clercs  ;  canons  quarante- 
neuvième  et  cinquantième  du  quatrième 
concile  de  Carthage,  VII,  730.  Canon  cin- 
quième du  premier  concile  de  Tolède,  740. 

ASSISES  ET  BONS  USAGES  DE  JÉRU- 
SALEM. Ce  que  c'est  que  cette  Collection; 
différentes  éditions  qu'on  en  a  faites,  XIII, 
527. 

ASSOCIATIONS  de  prières  et  de  suffra- 
ges, XIV,  514. 

ASSOMPTION  de  Moïse;  livre  apocryphe, 
1,  38. 

ASSOMPTION  DE  LA  SAINTE  VIERGE. 
Sujet  de  deux  discours  faussement  attribués 
à  saint  Jérôme,  VII,  647.  — -  Sujet  d'un  traité 
faussement  attribué  à  saint  Augustin,  IX, 
288.  [Le  sermon  208  de  l'Appendice  sur  l'As- 
somption est  de  saint  Augustin,  244,  245  et 
841.  —  Saint  Grégoire  de  Tours  n'est  pas 
le  premier  qui  ait  parlé  de  l'Assomption  de  la 
sainte  Vierge,  XI,  372,  n.  2.]  —  Homélie 
d'Ambroise  Autpert  sur  l'Assomption  de  la 
sainte  Vierge,  XII,  126.  Hymne  pour  cette 
fête,  attribuée  à  Paul  Diacre,  147.  [Homélie 
sur  l'Assomption  par  Paul  Diacre,  148.]  Ser- 
mon sur  cette  fête  dont  l'auteur  est  incer- 
tain, 810.  [Sermon  d'Alton  de  Verceil  sur 
cette  fête,  826.  —  Hymne  pour  cette  fête, 
XIU,  23.]  Sermon  de  saint  Odilon  sur 
cette  fête;  hymne  du  même,  155.  Opinion 
commune  de  son  temps  sur  ce  point,  156. 
Discours  de  Michel  Pellus  sur  le  trépas  et 
l'assomption  de  la  sainte  Vierge,  337.  Hymne 
du  cardinal  Albéric  pour  la  fête  de  l'As- 
somption de  la  sainte  Vierge,  494.  Homélie 
de  Grégoire  de  Teri^acine  sur  cette  fête,  498. 
Jeûne  qui  précédait  cette  fête  dans  l'Église 
grecque,  571.  —  Trois  sermons  du  vénéra 
ble  Hildebert  pour  la  fête  de  l'Assomption 
de  la  sainte  Vierge,  XIV,  215.  Son  sentiment 
sur  ce  point,  216.  Sermon  sur  l'Assomption 


398. 


909. 


398. 


400. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


91 


de  la  sainte  Vierge,  faussement  attribué  à 
Hugues  de  Saint-Victor,  353.  Quatre  ser- 
mons de  saint  Bernard  sur  cette  fête,  484. 
Autre  sermon  qu'on  lui  attribue,  492.  [Trois 
sermons  d'Isaac,  abbé  de  l'Étoile,  sur  ce  su- 
jet, 694.  Ce  que  cet  orateur  dit  de  l'Assomp- 
tion dans  le  premier  sermon,  695.]  Huit  ser- 
mons de  Pierre  de  Celle  sur  l'Assomption  de 
la  sainte  Vierge,  681.  [Sermon  de  Guarin, 
abbé  de  Saint- Victor,  sur  cette  fête,  "lil. 
Sermon  de  Nicolas,  secrétaire  de  saint  Ber- 
nard, 736.  Trois  sermons  d'Absalon,  abbé 
de  Springkirsbach ,  877.]  Deux  sermons  de 
Guillaume  d'Auvergne  sur  l'Assomption  de 
la  sainte  Vierge,  1027. 

ASSON,  abbé  de  IWontier-en-Der.  Voyez 
Adson. 

ASSUÉRUS,  roi  de  Perse,  époux  d'Estber, 
le  même  qu'Arlaxercès  Longue-Main,  1, 107 
etsuiv.  [D'après  l'opinion  la  plus  probable, il 
serait  le  même  que  Xercès,  fils  de  Darius  e* 
père  d'Artaxercès  Longue-Main,  108,  n.  1. 
Assuérus  est  un  nom  commun  à  plusieurs 
rois  de  Perse,  108,  n.  4.] 

ASSURES,  ville  d'Afrique.  Lettre  de  saint 
Cyprien  au  peuplade  celte  ville  et  à  Épictète, 
leur  évêque,  II,  317. 

ASTÈRE  URBAIN,  prêlre,  U,  88  et  suiv.  Il 
est  l'auteur  de  trois  livres  contre  lesMonta- 
nistes;  en  quel  temps  il  a  écrit  ;  idée  de  ces 
trois  livres;  ambition  de  Montan;  commen- 
cement et  suite  de  son  schisme,  88  et  89. 
Mort  ignominieuse  de  Montan  et  de  ses  pro- 
phétesses;  les  évêques  s'opposent  aux  er- 
reurs deMontan  ;  fausseté  de  ses  prophéties, 

89.  Différence  entre  les  vrais  et  les  faux  pro- 
phètes ;  prophètes  de  la  loi  nouvelle,  89  et 

90.  [Roulh  a  recueilli  les  fragments  qui  nous 
restent  de  cet  auteur,  90.] 

ASTÈRE,  sénateur  romain.  Ses  vertus, 
II,  395. 

ASTÈRE  (Saint),  martyr  à  Egée  en  Phé- 
nicie,  II,  465,  466. 

ASTÈRE  (Saint),  évêque  de  Pétra  en  Ara- 
bie, découvre  au  concile  de  Sardique  les 
mauvais  desseins  des  Eusébiens,lII,  480.  — 
Il  assiste  en  362  au  concile  d'Alexandrie, 
IV,  588. 

ASTÈRE,  sophiste  qui  fut  regardé  comme 
Favocat  des  Ariens.  Ses  écrits,  IV,  317,  318 
et  VI,  309,  310.  11  fut  réfuté  par  Marcel 
d'Ancyre,  305  et  VI,  310.  —  Il  répond  à 
Marcel  d'Ancyre  et  l'accuse  de  sabellianisme, 
IV,  305.  —  Il  paraît  auteur  d'une  homélie 
attribuée  à  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  193. 

TAB.   I. 


ASTÈRE,  sophiste  que  les  Ariens  firent     iv  siède. 
évêque  et  que  saint  Julien  Sabas  fit  mourir, 
IV,  318  et  X,  52. 

ASTÈRE,  assesseur  et  ami  de  saint  Gré-     iv  siècle, 
goire  de  Nazianze.  Lettre  que  ce  saint  lui 
écrivit,  V,  256. 

ASTÈRE,  solitaire  dont  saint  Grégoire  de 
Nazianze  fait  l'éloge,  V,  276. 

ASTÈRE  de  Scythople.  Ses  écrits,  VI,     vi siècle. 
309. 

ASTÈRE,  solitaire  à  qui  saint  Julien  Sabas 
sauve  la  vie,  X,  31. 

ASTÈRE,  comte  d'Orient,  fait  conduire 
saint  Jean  Chrysostôme  à  Gonstantinople, 
VU,  2. 

ASTÈRE  (Saint),  archevêque  d'Amasée 
dans  le  Pont,  docteur  de  l'Église,  VI,  291  et 
suiv.  Ce  que  l'on  sait  de  sa  vie  ;  jusqu'à  quel  4oo. 
temps  il  a  vécu,  291.  Ses  écrits  :  Discours  ou 
homélie  sur  le  mauvais  riche,  292,  293.  Sur 
l'économe  injuste,  293,  294.  Discours  contre 
l'avarice,  294,  295.  Contre  les  étrennes,295. 
Contre  le  divorce,  295,  296.  Sur  l'histoire  de 
Daniel  et  de  Suzanne,  296,  297.  Sur  l'aveu- 
gle-né,  297,  298.  Discours  sur  saint  Pierre 
et  saint  Paul  ;  sur  saint  Phocas,  martyr,  298 
et  suiv.  Sur  les  saints  martyrs,  301  et  suiv. 
Sur  le  martyre  de  sainte  Euphémie,  303, 
304.  Sur  la  pénitence,  304,  305.  Sur  le  com- 
mencement des  jeûnes,  305  et  suiv,  Sur 
saint  Etienne,  premier  martyr,  307,  308. 
Discours  de  saint  Astère  qui  sont  perdus, 
308.  Écrits  attribués  à  saint  Astère,  309. 
Éditions  des  homélies  ou  discours  de  saint 
Astère  d'Amasée,  310.  [Éditions  et  traduc- 
tions récentes,  310.]  — Il  décrit  le  martyre  de 
sainte  Euphémie,  III,  51.  —  Le  Traité  de  la 
pénitence  qui  se  trouve  dans  les  (Euvres  de 
saint  Grégoire  de  Nysse  est  de  saint  Astère, 
VI,  161.  —  11  est  auteur  d'un  des  discours  en 
l'honneur  de  saint  Etienne,  attribués  à  saint 
Procle,  Vni,  412. 

ASTÈRE  (ïyrsus  Rufus  et  non  Turcius 
Rufius),  consul  et  patrice,  publie  le  poëme 
pascal  de  Sédulius,  Vlll,  107,  108.  On  lui  at- 
tribue  un  poëme  contenant  la  Comparaison 
de  l'Ancien  avec  le  Nouveau  Testament;  ce 
poëme  est  l'ouvrage  de  Sédulius,  108  et  XI, 
100.  —  Saint  Sidoine  se  trouve  à  l'ouverture 
de  son  consulat,  X,  379. 

ASTÈRE,  fondateur  d'un  monastère  dans 
le  territoire  d'Antioche,  VIII,  238. 

ASTÈRE,  évêque,  l'un  des  légats  de  saint 
Léon  à  Constanlinople,  X,  219  et  681. 
ASTÈRE,  prêtre,  avertit  d'une  falsification 

,7 


98 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


153. 


755. 


756. 
V  siècle. 


IV  on 
V  siècle. 


tV  siècle. 


358. 


IX  siècle. 


faite  aux  actes  d'un  concile  de  Constantino- 
ple,  X,  674. 

ASTÈRE,  évêque  à  qui  le  pape  Pelage  I" 
adresse  une  lettre,  XI,  333. 

ASTÈRE,  comte  d'Orient,  accuse  sur  di- 
vers chefs  Anastase,  patriarche  d'Antioche, 
qui  se  Justifie,  XI,  337. 

ASTHON.  Son  édition  des  Apologies  de  saint 
Justin,  II,  443. 

ASTOLFE,  roi  des  Lombards.  Mauvaise  foi 
dont  il  use  à  l'égard  du  pape  Etienne  II,  XII, 
142.  Forcé  par  les  armes  des  Francs,  il  fait 
un  traité  avec  ce  pape,  puis  il  le  rompt  ;  il 
assiège  Rome;  Pépia  passe  en  Italie  et  oblige 
Astolfe  à  promettre  d'exécuter  le  traité;  sa 
mort,  H3. 

ASTORGA,  ville  d'Espagne.  Concile  tenu 
en  cette  ville  contre  les  Manichéens,  X,206. 

[ASTRIC,  devenu  évêque  de  Colocza  sous 
le  nom  d'Anastase,  XII,  909.] 

ASTROLABE,  espèce  de  globe  céleste. 
Discours  de  Synésius  de  Ptolémaïde  sur  ce 
sujet,  VIII,  31.  —Traité  de  l'astrolabe,  at- 
tribué au  vénérable  Bède,  XII,  4.  Ouvrages 
de  Diéthelme,  écolâtre  de  saint  Mathias  de 
Trêves,  sur  l'astrolabe,  840.  Traité  attribué 
à  Gerbert  sur  la  composition  de  l'astrolabe, 
903.  —  Traités  de  la  mesure  de  l'astrolabe 
et  de  ses  utilités,  ouvrages  d'Hermann  Con- 
tracte, XIII,  183. 

ASTROLABE  (Pierre),  fils  d'Abélard  et 
d'Héloïse,  XIV,  318  et  340.  [Avis  que  lui 
donne  Abélard.  338.]  Élégies  qui  lui  sont 
adressées  sur  les  moeurs,  339. 

ASTROLOGIE  défendue  aux  chrétiens,  II, 
38.  Canon  36  du  concile  de  Laodicée  contre 
les  astrologues,  312.  —  Le  peuple  d'Emèse 
en  Phénicie  se  soulève  contre  Eusèbe  son 
évêque,  parce  qu'on  le  disait  adonné  à  l'as- 
trologie, IV,  318.  Saint  Basile  combat  l'as- 
trologie judiciaire,  369.  —  Les  astrologues 
combattus  par  Diodore  de  Tarse,  V,  389, 390. 
—  Par  saint  Grégoire  de  Nysse,  VI,  134. 
[Par  saint  Éphrem,  452  et  suiv.]  Loi  de  Cons- 
tance contrôles  astrologues, 342.  —  Doctrine 
de  saint  Augustin  sur  l'astrologie  judiciaire, 
IX,  188,  248,  298  et  794,795.  Ceux  qui  fai- 
saient profession  d'astrologie  n'étaient  ad- 
mis à  la  communion  qu'après  une  pénitence 
publique,  13.  —  Astrologie  combattue  par 
saint  Grégoire  le  Grand,  XI,  579.  —  Ouvrage 
du  vénérable  Hildebert  contre  l'astrologie 
judiciaire,  XIV,  222. 

ASTRONOME  (L').  Nom  sous  lequel  est 
connu  un  anonyme,  auteur  d'une  Vie  de 


Louis  le  Débonnaire,  XII,  396.  Idée  de  cette 
Vie;  éditions  qu'on  en  a  faites,  397.  [Autres 
éditions  et  traductions,  397.]  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  VHistoire  littéraire  de  la  Finance, 
t.  V,  p.  49  et  suiv.  et  le  supplément  à  la  tête 
du  t.  XI,  p.  xix  et  suiv.) 

ASTRONOMIE.  Astronomes  combattus  par 
Diodore  de  Tarse,  V,  589,  590.  —  Synésius 
parle  avantageusement  de  l'astronomie , 
VllI,  31.  [Sermon  d'Eusèbe  d'Alexandrie  sur 
les  astronomes,  383,  384.] —  Traité  d'astro- 
nomie par  Cassiodore,  XI,  237,  238.  —  Li- 
vre du  cardinal  Albéric  sur  l'astronomie, 
XIII,  494. 

ASYNGRITIE,  à  qui  saint  Jean  Chrysos- 
tome  écrit  une  lettre,  VII,  133. 

ATANE,  lieu  du  Limousin  où  saint  Yrieix 
fonde  un  monastère  qui  depuis  a  pris  son 
nom,  XI,  323. 

ATARBIUS  (ou  ATHARBE),  évêque  de 
Néocésarée,  dans  le  Pont,  accusé  de  Sabel- 
lianisme,  IV,  360.  Lettres  que  lui  écrit  saint 
Basile,  440,  441,  432. 

[ATENUPH,  prince  de  Bénévent.  Le  pape 
Agapet  II  lui  écrit,  XII,  830.] 

ATER  (Saint),  martyr  à  Alexandrie,  II, 
402. 

ATERBIUS,  moine,  accuse  publiquement 
Jean  de  Jérusalem,  saint  Jérôme  et  Rufin 
de  suivre  les  erreurs  d'Origène,  VII,  431. 

ATHALARIC ,  roi  des  Golhs ,  en  Italie, 
succède  à  Théodoric  son  grand-père,  XI, 
114  et  209.  Lettre  par  laquelle  il  confirme 
l'élection  du  pape  Félix  IV,  209.  Il  donne 
occasion  à  un  schisme  lors  de  l'élection  du 
pape  Boniface  II,  114.  Sa  lettre  au  pape 
Jean  II  qui  renouvelle  la  défense  de  faire 
aucune  brigue  pour  obtenir  les  évêchés, 
116.  Il  continue  Cassiodore  dans  ses  emplois 
et  lui  accorde  toute  sa  confiance  ;  il  le  fait 
préfet  du  prétoire,  209.  Sa  mort,  210.  Ses 
lettres  écrites  par  Cassiodore,  213,  216. 

ATHANARIC ,  roi  des  Goths ,  persécute 
les  Chrétiens,  IV,  278  et  suiv.  En  quel 
temps  commence  cette  persécution,  278.  — 
Sa  mort,  V,  475. 

ATHANaSE  (Saint),  patriarche  d'Alexan- 
drie, docteur  de  l'Église  et  confesseur;  his- 
toire de  sa  vie,  IV,  189  et  suiv.  [Voyez  89, 
n.  3,  Chroniques  très-anciennes  sur  saint 
Athanase,  91,  n.  12].  Sa  naissance,  sa  pa- 
trie, ses  études,  89,  90.  Il  a  pour  maîtres 
des  martyrs  ;  a-t-il  baptisé  des  enfants  sur 
le  bord  de  la  mer,  étant  lui-même  enfant; 
il  va  voir  saint  Antoine,  demeure  avec  lui 


SIC 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATJÈRES. 


99 


et  embrasse  la  vie  ascétique,  90.  Il  entre 
dans  le  clergé,  est  fait  diacre,  90  et  91.  Il 
assiste  au  concile  de  Nicée  ;  il  est  fait  évê- 
que  d'Alexaiidrie,  91 .  Il  ordonne  Frumen- 
tius  évéque  des  Ethiopiens,  91  et  92.  Il  est 
accusé  par  les  Méléciens  et  par  les  Ariens. 
Chefs  d'accusation  ;  il  refuse  de  se  trouver 
au  concile  de  Césarée  ,  92.  Il  se  rend  au 
concile  de  Tyr,  92  et  93.  Il  va  trouver  l'em- 
pereur Constantin  à  Constantinople.  Il  est 
exilé  à  Trêves,  93.  Il  se  rend  au  lieu  de  son 
exil.  Constantin  refuse  de  le  rappeler,  93  et 
94.  Constantin  le  jeune  le  renvoie  à  Alexan- 
drie, 94.  Les  Ariens  proposent  de  nouvelles 
accusations  contre  lui,  94  et  93.  Pistus  est 
ordonné  évêque  d'Alexandrie  par  les  Eusé- 
biens  ;  saint  Athanase  y  assemble  un  con- 
cile ;  il  va  à.  Rome  au  concile  indiqué  par  le 
pape  saint  Jules  ;  les  Eusébiens  mettent  à 
sa  place  Grégoire  de  Cappadoce,  95.  L'em- 
pereur Constant  fait  venir  saint  Athanase  à 
Milan,  93  et  96.  Saint  Athanase  est  déclaré 
innocent  dans  le  concile  de  Sardique,  96.  Il 
va  trouver  Constance  ;  il  retourne  à  Alexan- 
drie, 96,  97  et  98.  Il  y  tient  un  concile  ;  les 
Ariens  travaillent  à  irriter  Constance  contre 
saint  Athanase,  98.  Le  pape  Libère  est  tenté 
par  les  Orientaux  de  se  séparer  de  la  com- 
munion de  saint  Athanase ,  98  et  99.  Le 
saint  évêque  ne  veut  point  quitter  Alexan- 
drie ;  nouvelles  accusations  des  Ariens  con- 
tre saint  Athanase,  99.  Il  est  condamné  au 
concile  d'Arles  et  dans  celui  de  Milan,  99  et 
100.  On  tâche  de  l'intimider  pour  le  faire 
sortir  d'Alexandrie.  Dieu  le  sauve  des  mains 
du  duc  Syrien,  100,  101.  Il  est  obligé  de  se 
retirer  dans  les  déserts  d'Egyple,  101,  102. 
Il  revient  à  Alexandrie  d'où  il  est  de  nou- 
veau cbassé,  102.  Il  retourne  à  Alexandrie  ; 
il  y  tient  un  concile,  102  et  103.  [Mouve- 
ments populaires  et  accusations  contre  saint 
Athanase  en  363,  366,  103,  n.  7.]  Il  est  en- 
core obligé  de  sortir  d'Alexandrie;  il  se 
tient  caché  dans  le  tombeau  de  son  père, 
103.  Il  reprend  le  soin  de  son  Église  ;  il  y 
tient  un  concile,  il  excommunie  un  gouver- 
neur de  Libye,  103  et  104.  Mort  de  saint 
Athanase,  104,  [et  n.  8.  Jugement  sur  sa 
personne,  104  et  103.]  Catalogue  de  ses 
écrits,  lOS.  Écrits  de  saint  Athanase,  103  et 
suiv.  Discours  contre  les  Gentils,  105,  106 
et  suiv.  En  quel  temps  il  fut  composé,  103, 
106.  Analyse  de  ce  discours,  106,  107.  Ori- 
gine et  progrès  de  l'idolâtrie,  106.  Preuves 
de  la  vanité  des  idoles,  106  et  107,  Preuves 


de  l'unité  de  Dieu,  107,  Discours  sur  l'in- 
carnation, 107  et  suiv.  Analyse  de  ce  dis- 
cours, 107.  Causes  de  l'incarnation  107, 108. 
Causes  de  la  mort  de  Jésus-Christ;  preuves 
de  l'incarn.'ition  contre  les  Juifs,  108.  Ré- 
ponses aux  objections  des  païens,  108  et 
109.  Exposition  de  la  foi,  109  et  suiv.  Cet 
ouvrage  est  de  saint  Athanase  ;  on  ne  sait 
en  quel  temps  il  l'a  composé,  109.  Analyse 
de  cet  ouvrage,  109  et  110.  Traité  sur  ces 
paroles  de  Jésus-Christ  :  Toutes  choses  m'ont 
été  données  par  mon  père,  110  et  111.  Ce 
traité  est  de  saint  Athanase,  110,  Ana- 
lyse de  ce  traité,  110  et  111.  Lettre  de 
saint  Athanase  aux  évêques  orthodoxes  ; 
Analyse  de  cette  lettre,  111.  Apologie  de 
saint  Athanase  contre  les  Ariens,  111  et 
suiv.  En  quel  temps  elle  a  été  écrite,  111, 
112.  Analyse  de  cette  apologie,  112,  113. 
Traité  ou  lettre  sur  les  décrets  du  concile 
de  Nicée  ;  en  quel  temps  cette  lettre  a  été 
écrite  ;  quelle  en  fut  l'occasion,  113.  Ana- 
lyse de  cette  lettre,  113  et  114.  Apologie  de 
saint  Denis  d'Alexandrie,  114,  113.  A  quelle 
occasion  saint  Athanase  l'écrivit.  L'époque 
en  est  incertaine,  114.  Analyse  de  cette  apo- 
logie. 114  et  115.  Lettre  de  saint  Athanase 
à  Draconce,  113  et  suiv.  En  quel  temps  elle 
fut  écrite,  113,  116.  Analyse  de  cette  lettre, 
116,  117.  Lettre  circulaire  aux  évêques 
d'Egypte  et  de  Libye,  117,  118.  En  quel 
temps  elle  fut  écrite,  117.  Analyse  de  cette 
lettre,  117  et  118.  Apologie  de  saint  Atha- 
nase à  Constance,  119  et  suiv.  Analyse  de 
cette  apologie,  119.  Réponse  au  premier 
chef  d'accusation,  119.  Réponse  au  second 
chef,  119  et  120;  au  troisième,  120;  au 
quatrième,  121 .  Apologie  de  saint  Athanase 
sur  sa  fuite,  121,  122.  En  quel  temps  il  l'a 
écrite,  121.  Analyse  de  ce  qu'elle  contient, 
121  et  122.  Lettre  de  saint  Athanase  à  Séra- 
pion  touchant  la  mort  d'Arius  ;  en  quel 
temps  elle  a  été  écrite  ;  quelle  en  fut  l'occa- 
sion ;  analyse  de  cette  lettre,  122.  Lettre  de 
saint  Athanase  aux  solitaires ,  122  et  suiv. 
Eu  quel  temps  il  l'écrivit,  122,  123.  Cette 
lettre  est  divisée  en  deux  parties  :  la  pre- 
mière dogmatique  que  nous  n'avons  plus 
est  dififérente  des  discours  contre  les  Ariens, 
123.  Analyse  de  ce  qui  nous  reste  de  la  se- 
conde partie  de  cette  lettre,  123  et  124.  Elle 
est  historique  et  ce  que  nous  en  avons  ne 
commence  qu'après  le  concile  de  Tyr,  123. 
Persécution  sous  Constance  ;  la  vérité  ne  se 
prêche  pas  avec  l'épée,  mais  par  la  persua- 


341. 


351. 


Entre  350 
et  355. 


354  ou  355. 


356. 
356. 


357  ou  358. 


358. 


357  ou  35S. 


100 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


sion,  124.  Pièces  jointes  à  la  lettre  aux  soli- 
taires, 124 et  125. Les  quatre  discours  contre 

358.  les  Ariens,  125  et  suiv.  En  quel  temps  ils 
ont  été  écrits,  125.  Analyse  du  premier  dis- 
cours :  Que  le  nom  de  secte  ne  convient  qu'à 
des  hérétiques.  Quelle  était  l'hérésie  des 
Ariens,  125  et  suiv.  Réponse  à  la  première 
objection  des  Ariens  ;  la  génération  éter- 
nelle du  Verbe  ne  suppose  point  la  propa- 
gation qui  n'a  lieu  que  dans  les  créatures, 
126.  Réponse  à  la  seconde  objection  :  s'il 
est  dit  que  Jésus-Christ  a  été  oint,  qu'il  a  été 
élevé,  c'est  selon  son  humanité.  En  quel  sens 
il  a  reçu  un  nom  plus  excellent  que  celui 
des  anges,  126,  127.  Analyse  du  second  dis- 
cours ;  en  quel  sens  il  faut  entendre  quel- 
ques passages  de  l'Écriture  dont  les  Ariens 
s'autorisaient,  127.  Analyse  du  troisième 
discours  :  Lnité  du  Père  et  du  Fils,  128  et 
suiv.  Réponse  aux  objections  des  Ariens  : 
C'est  en  nature  et  non  en  volonté  seulement  que 
le  Père  et  le  Fils  sont  un,  128.  Jésus-Christ 
étant  Dieu  et  homme ,  les  propriétés  de  ses 
deux  natures  sont  attribuées  à  un  seul  su- 
jet, parce  que  deux  natures  sont  unies  en 
une  seule  personne;  c'est  par  nature,  et 
non  par  volonté  et  avec  délibération,  que 
le  Père  a  engendré  son  Verbe  ;  analyse  du 
quatrième  discours  ;  unité  de  substance  et 
distinction  des  personnes  du  Père  et  du 
Fils  ;  éternité  du  Verbe  ;  le  Verbe  fait  chair 
est  le  Christ;  Réponse  aux  objections  des 
Eusébiens;  le  nom  de  Fils  ne  doit  pas  se 
prendre  comme  appellatif  ;  le  Fils  est  con- 
substantiel  au  Père,  129.  Réfutation  de  di- 
verses erreurs  sur  la  Trinité,  129  et  130. 
Lettres  de  saint  Athanase  à  Sérapion,  130 

v  360.  et  suiv.  En  quel  temps  elles  ont  été  écrites, 
130,  131.  Analyse  de  la  première  lettre  à 
Sérapion,  131,  132.  Réponses  aux  objec- 
tions, 131.  Preuves  de  la  divinité  du  Saint- 
Esprit,  131  et  132.  Analyse  des  autres  let- 
tres à  Sérapion,  132.  [Lettre  à  Sérapion, 
340  ou  341.  écrite  de  Rome,  pubhée  par  le  cardinal  Maï, 
132,  133.  Analyse  de  cette  lettre,  133.] 
Traité  des  synodes ,  133  et  suiv.  En  quel 

359.  temps  saint  Athanase  a  écrit,  133,  134. 
Analyse  de  ce  traité,  134,  135.  Récit  de  ce 
qui  s'est  passé  dans  les  conciles  de  Séleucie 
et  de  Rimini,  134.  Conciles  et  formulaires 
des  Ariens,  134  et  135.  Défense  du  terme 

362,  de  consubstantiel,  133.  Tome  ou  lettre  à 
l'Église  d'Antioche,  133  et  136.  A  quelle  oc- 
casion elle  fut  écrite,  133,  136.  Analyse  de 

363         cette  lettre,  136.  Lettre  de  saint  Athanase  à 


l'empereur  Jovien,  136,  137.  Analyse  de  ce 
qu'elle  contient,  137.  Remontrances  que  les 
Ariens  adressent  à  l'empereur  Jovien  contre 
saint  Athanase,  137,  138.  Accusations  qu'ils 
forment  contre  ce  saint  évêque  auprès  de 
cet  empereur,  138.  Vie  de  saint  Antoine, 
138  et  139.  Cette  Vie  est  écrite  par  saint 
Athanase  ;  en  quel  temps  il  l'écrivit,  139.  355 
Lettres  de  saint  Athanase  à  Orsise,  139  et 
140.  Comment  saint  Athanase  apprend  de 
deux  saints  la  mort  de  Juhen;  traité  de  l'in- 
carnation, 140,  141.  Ce  traité  est  de  saint 
Athanase,  140.  Analyse  de  ce  qu'il  contient, 
140  et  141.  Lettre  de  saint  Athanase  aux 
évêques  d'Afrique,  141,  142.  En  quel  temps  ggg 
elle  a  été  écrite,  141.  Analyse  de  ce  qu'elle 
contient,  141  et  142.  Lettre  à  Épicièle,  142,        3^9 

143.  Quelle  en  fut  l'occasion,  142.  Analyse 
de  cette  lettre,  142  et  143.  Lettre  à  Adel- 
phius,   143,   144,   En  quel  temps  elle  fut        ^^g 
écrite,  143.  Analyse  de  cette  lettre,  143  et 

144.  Lettre  à  Maxime  ;  en  quel  temps  elle 
fut  écrite ,  analyse  de  ce  qu'elle  contient, 
144.  Livres  contre  Apollinaire,  144  et  suiv. 
Ces  livres  sont  de  saint  Athanase  ;  en  quel 
temps  il  les  a  écrits,  144,  145.  Analyse  du  ^^^_ 
premier  hvre.  Détail  des  erreurs  d  Apol- 
hnaire,  143.  Analyse  du  second  livre; 
preuve  que  Jésus -Christ  est  véritable- 
ment homme,  143  et  146.  Livre  de  la  Tri- 
nité  et  du   Saint-Esprit  ;  ce   livre    est  de 

saint  Athanase;  analyse  de  ce  qu'il  contient, 

146.  Lettres  de  saint  Athanase,  146  et  suiv.        ^^^ 

Lettres  aux  prêtres  Jean  et  Antiochus ,  146, 

147;  à  Pallade,  à  Amon,  147.  Lettre  tou-     .     ,,, 

'  '  '      ,  Avant  31 

chant  la  Pâque  ;  canon  des  Ecritures,  147  et 
148.  Lettre  de  saint  Athanase  à  Ruffinien, 

148.  Lettres  à  Lucifer  de  Cagliari,  148  et 

149.  Seconde  lettre  aux  solitaires  ;  aux  fidè- 
les d'Alexandrie,  149.  [Lettre  aux  prêtres  et 
aux  diacres  d'Alexandrie ,  149.  Lettres  aux 
églises  de  la  Maréote,  149  et  150.  Letti-es 
pascales  de  saint  Athanase  retrouvées  et  pu- 
bhées;  fragments  qu'on  en  possédait;  lettres 
qu'on  a  retrouvées,  130.  Chronique  athana- 
sienne,  écrite  en  syriaque,  servant  d'intro- 
duction à  ces  épîtres,  150  et  ISl.  Époque 
de  la  première  épître,  131.  Analyse  de  cette 
épître  151  et  152.  Date  de  la  deuxième  épi- 
tre,  152.  Analyse,  152  et  153.  Date  et  ana- 
lyse de  la  troisième,  133,  134.  Date  et  ana- 
lyse de  la  quatrième,  134  ;  de  la  cinquième, 
134  et  153  ;  de  la  sixième,  155,  156  ;  de  la 
septième,  156  et  suiv.  Pourquoi  saint  Atha- 
nase n'écrivit  pas  de  lettre  en  336  et  337, 


360. 
364. 
356. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES, 


101 


p.  158,  Date  et  analyse  de  la  dixième  lettre, 
158  et  159  ;  de  la  onzième,  159  et  suiv.  Saint 
Athanase  n'écrivit  point  de  lettre  pascale  en 
340,  161.  Date  et  analyse  de  la  treizième 
lettre,  162  ;  de  la  quatorzième,  162,  163.  Ce 
que  dit  la  chronique  pour  les  années  343, 
344;  lettre  pascale  en  345,  163;  en  346, 
163  et  164.  Date  et  analyse  de  la  dix-neu- 
vième lettre  pascale,  164,  165  ;  de  la  ving- 
tième ;  fragments  des  autres  lettres  pascales, 

165.  Endroits  remarquables  sur  le  dogme, 
la  morale,  la  discipline  et  l'histoire,  165  et 

166.  Jugement  sur  les  lettres  pascales,  166.] 
Lettre  à  Marcellin  sur  les  Psaumes,  166, 167. 
Analyse  de  cette  lettre,  167.  Commentaires 
sur  les  Psaumes,  167  et  suiv.  Ces  commen- 
taires sont  de  saint  Athanase,  167,  168.  Il 
faut  faire  exception  de  quelques  endroits 
qui  ne  sont  pas  de  lui  ;  Jugement  de  ces 
commentaires,  168.  Préface  sur  ces  com- 
mentaires ;  ce  qu'elle  contient,  168  et  169. 
[Interprétation  des  Psaumes  ou  titres  des 
Psaumes  ;  cet  ouvrage  est  de  saint  Atha- 
nase, 169.  Analyse  de  cet  ouvrage,  169  et 
170.]  Ce  que  nous  avons  de  saint  Athanase 
sur  le  livre  de  Job,  ne  prouve  pas  qu'il  en 
ait  fait  un  commentaire  ;  saint  Athanase  a 
fait  le  commentaire  de  l'Ecclésiaste  et  du 
Cantique  des  Cantiques,  170.  Les  fragments 
de  commentaire  sur  saintMatthieuque  nous 
avons  sous  le  nom  de  saint  Athanase  ne 
sont  pas  de  lui,  170  et  171.  Nous  avons 
aussi  quelque  chose  sur  saint  Luc,  sous  le 
nom  de  saint  Athanase,  171.  [Fragments 
de  ce  commentaire  publiés  par  Mai,  171.] 
On  est  en  doute  s'il  a  expliqué  quelques  en- 
droits des  Épîtres  de  saint  Paul  ;  frag- 
ments contre  les  hérésies  de  Valentin  et 
d'Apollinaire,  171.  Explication  du  Symbole 
des  apôtres,  172.  [Elle  est  publiée  d'une 
manière  plus  étendue  par  MingareUi,  172.] 
Fragments  contre  l'hérésie  d'Eutychès  ;  au- 
tres fragments  ;  ce  qu'il  en  faut  penser  ;  le 
grand  discours  sur  la  foi  est  de  saint  Atha- 
nase ;  analogie  de  ce  discours  ;  fragments 
historiques  touchant  Paul  de  Samosate,  et 
la  conspiration  d'Etienne  d'Antioche  contre 
les  défenseurs  de  saint  Athanase,  172.  Écrits 
qu'on  doute  être  de  saint  Athanase  ;  le 
traité  sur  l'Incarnation  est-il  de  saint  Atha- 
nase? 172  et  suiv.  Raisons  qu'on  apporte 
pour  le  lui  attribuer,  172,  173.  Raisons  qui 
prouvent  qu'il  n'en  est  pas  l'auteur,  173, 
174.  Traité  pour  la  consubstantialité  des 
trois  personnes  en  Dieu;  lettre  circulaire 


aux  évêques  d'Egypte,  de  Syrie  et  de  Phé- 
nicie,  174.  [Passage  sur  la  procession  du 
Saint-Esprit.  174.]  Écrit  contre  Mélèce,  174 
et  175.  Épître  touchant  l'incarnation  du 
Verbe  ;  écrit  contre  les  Sabelliens,  175. 
Écrit  intitulé  :  Que  Jésus-Christ  est  un,  175 
et  176.  Traité  des  sabbats  et  de  la  circonci- 
sion ;  homélie  sur  la  semence,  176.  Livre 
de  la  Virginité,  176  et  177.  La  Synopse  de 
l'Écriture,  177,  178.  Ce  qu'elle  contient  de 
remarquable,  178,  179.  Discours  sur  la  pa- 
tience et  sur  la  fête  des  palmes,  179.  Divers 
fragments,  179  et  660.  [Opuscule  sur  les 
azymes,  179.]  Des  livres  attribués  fausse- 
ment à  saint  Athanase,  179  et  suiv.  Dispute 
entre  Arius  et  saint  Athanase,  179.  Discours 
contre  toutes  les  hérésies  ;  l'histoire  de 
Melchisédech  ;  opuscule  à  Jovien  ;  les  défi- 
nitions ;  divers  écrits  à  Antiochus  ;  l'histoire 
du  miracle  de  Béryte,  180.  Discours  contre 
les  Latins,  181.  L'instruction  des  moines, 
181  et  182.  L'institution  à  la  vie  monasti- 
que ;  deux  lettres  à  Castor  ;  diverses  homé- 
lies ;  sur  la  nativité  de  saint  Jean  ;  sur  l'An- 
nonciation ;  sur  l'enregisti'ement  de  la  sainte 
Vierge  et  de  saint  Joseph  ;  sur  la  naissance 
de  Jésus-Christ  ;  sur  la  présentation  de  Jé- 
sus-Christ au  temple  ;  sur  l'aveugle-né  ;  sur 
l'entrée  de  Jésus-Christ  à  Jérusalem;  sur  la 
trahison  de  Judas  ;  sur  la  passion  de  Jésus- 
Christ  ;  sur  les  saints  prophètes  ;  sur  la 
pâque  ;  sur  les  nouveaux  baptisés;  surl'As- 
cension  de  Jésus-Christ  ;  sur  saint  André  ; 
sur  les  devoirs  de  l'homme  chrétien  ;  cinq 
dialogues  sur  la  Trinité,  182.  Vingt  opus- 
cules contre  diverses  hérésies,  182  et  183. 
Autre  opuscule  sur  la  Trinité  ;  huit  livres 
sur  la  Trinité  ;  diverses  intructions  et  trai- 
tés ;  conférence  avec  Arius  ;  dispute  avec 
Arius ,  Sabelhus  et  Photin  ;  lettres  suppo- 
sées, 183.  Vie  de  sainte  Synclétique,  183  et 
184.  Exhortations  aux  moines  et  à  une 
vierge  ;  le  symbole  Quicumque,  184.  N'est 
pas  de  saint  Athanase,  184  et  185.  Antiquité 
de  ce  symbole,  185.  Versions  différentes  de 
ce  symbole,  185  et  186.  Opuscule  sur  la  pâ- 
que, 186.  Écrits  de  saint  Athanase  qui  sont 
perdus,  186  et  187.  Lettres  de  saint  Atha- 
nase qui  sont  perdues ,  187.  Doctrine  de 
saint  Athanase,  187  et  suiv.  ;  sur  l'Écriture 
sainte,  187  ;  sur  la  tradition,  190,  191.  sur 
la  vérité  de  la  religion,  191  ;  sur  la  na- 
ture d'un  Dieu  en  trois  personnes,  192  et 
suiv.  ;  sur  la  personne  du  Père  ;  194,  195  ; 
sur  celle  du  Fils,  195  et  suiv.  ;  sur  le  Saint- 


102 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


IV  siècle. 

326. 

335. 
335. 
336. 
335. 

IV  siècle. 
IV  siècle. 

IV  siècle. 

IV  siècle. 


iV  siècle. 


333. 
335. 


Esprit,  201  et  suiv.  sur  la  création  et  l'état 
de  rhomme  après  le  péché,  203  et  suiv.; 
sur  la  réparation  du  genre  humain  par  Jé- 
sus-Christ, 203  et  suiv.  sur  la  loi  de  Moïse, 
sur  l'Église  et  ses  caractères,  sur  l'autorité 
des  conciles,  sur  la  foi,  209  et  suiv.;  sur  la 
nécessité  et  l'efficacité  de  la  grâce,  213  et 
214;  sur  le  baptême,  214  et  suiv.;  sur 
l'eucharistie,  les  églises  et  les  assem- 
blées des  fidèles,  216  et  suiv.;  sur  la  pé- 
nitence, 218,  219;  sur  les  divers  degrés 
du  ministère  ecclésiastique,  219  et  suiv.; 
sur  la  sainte  Vierge,  les  apôtres  et  les  anges, 
222  et  suiv.  ;  sur  les  martyrs,  224  ;  sur  les 
moines  et  les  vierges,  224  et  suiv.  ;  sur  les 
hérétiques  et  les  schismatiques,  226  ;  sur  le 
jeûne  et  la  prière,  226  et  227  ;  sur  le  péché 
et  le  jugement,  227,  228  ;  sur  diverses  ma- 
tières ,  228.  Jugement  des  écrits  de  saint 
Athanase,  229,  230.  Catalogue  des  éditions 
de  ses  œuvres  en  latin,  230,  231.  Éditions 
grecques  et  latines,  231  et  suiv.  [Éditions 
récentes,  231,  232,  233.  Édition  dans  la  Pa- 
trologie,  232.] — Saint  Athanase  justifie  saint 
Denis  d'Alexandrie  contre  les  Ariens,  11, 
400,  401.  —  Saint  Alexandre,  évêque  d'A- 
lexandrie, désigne  saint  Athanase  pour  son 
successeur,  III,  108.  Saint  Athanase  est  dé- 
posé dans  un  concile  tenu  à  Tyr,  126  et 
455.  II  est  exilé  par  Constantin,  126  et  437, 
Constantin  en  mourant  ordonne  son  rappel, 
128.  Lettre  que  l'empereur  Constantin  lui 
écrit,  141.  Eusèbe  de  Césarée  se  joint  à  ses 
ennemis  dans  le  concile  de  Tyr,  175  et  430. 
Saint  Athanase  est  reçu  avec  honneur  par 
saint  Pacôme,  358,  339.  Les  Eusébiens  écri- 
vent au  pape  Jules  contre  saint  Athanase, 
373.  Saint  Athanase  est  justifié  dans  un 
concile  de  Rome,  374.  Par  une  lettre  du 
pape  saint  Jules  aux  Orientaux,  378  et  suiv. 
Sa  justification  confirmée  par  le  concile  de 
Sardique,  483,  484.  Son  retour  dans  son 
Église,  501.  L'empereur  Constance  ne  peut 
obhger  Osius  évêque  de  Cordoue  à  condam- 
ner saint  Athanase,  393,  394.  Lettre  d'Osius 
à  Gonstantias  sur  ce  sujet,  394,  393.  Saint 
Athanase  étant  simple  diacre  assiste  au  con- 
cile de  Nicée,  422.  Il  y  combat  contre  Arius 
et  ses  partisans,  422  et  423.  Élu  évoque 
d'Alexandrie,  il  refuse  d'admettre  Arius  à 
sa  communion  ;  concile  tenu  contre  saint 
Athanase  à  Césarée  en  Palestine,  449.  Il  est 
accusé  de  divers  crimes  au  concile  de  Tyr, 
450,  451.  Il  se  justifie,  451.  Députation  et 
information  contre  lui  dans  la  Maréote,  431 


et  suiv.  Protostation  du  clergé  d'Egypte 
contre  ces  informations,  453,  434.  Saint 
Athanase  continue  de  se  justifier,  454,  455. 
Il  se  sauve  de  Tyr;  il  est  déposé  par  le  con- 
cile, 453.  Il  se  plaint  à  l'empereur  du  juge- 
ment rendu  contre  lui  à  Tyr,  455  et  suiv. 
Il  demande  un  concile  légitime ,  455  et  456. 
Concile  tenu  pour  lui  à  Alexandrie  ;  lettre 
des  évêques  de  ce  concile  contenant  son 
apologie,  460  et  suiv.  Concile  tenu  à  Rome 
pour  saint  Athanase,  464.  Concile  d'Antio- 
che  tenu  contre  lui  par  les  seuls  Eusébiens, 
465  et  suiv.  Il  se  trouve  au  concile  de  Sar- 
dique, 477.  Sa  cause  est  examinée  dans  ce 
concile;  il  y  est  absous,  483,  484.  Son  re- 
tour à  Alexandrie  ;  il  tient  un  concile  à 
Alexandrie,  501.  Ursace  et  Valens  se  ré- 
tractent des  calomnies  dont  ils  l'avaient 
chargé,  501  et  suiv.  Ils  excitent  l'empereur 
Constance  contre  lui.  493.  Les  Eusébiens 
s'efforcent  de  dominer  dans  plusieurs  con- 
ciles pour  faire  condamner  ce  saint  Évêque, 
496.  —  Saint  Théodore,  abbé  de  Tabenne, 
lui  envoie  deux  de  ses  religieux,  IV,  234, 
235.  Ce  saint  abbé  prédit  le  retour  de  ce 
saint  évêque  ;  il  reçoit  saint  Athanase,  233. 
Lettre  de  saint  Athanase  au  sujet  de  la  mort 
de  saint  Théodore,  236.  Lucifer  de  Cagfiari 
s'oppose  à  la  condamnation  de  saint  Atha- 
nase au  concile  de  Milan,  240.  Lettres  que 
saint  Athanase  lui  écrit,  242,  243.  Livres  de 
Lucifer  de  Cagliari  pour  saint  Athanase, 
247  et  suiv.  Marcel  d'Ancyre  se  justifie  au- 
près de  ce  saint  évêque,  308.  Il  lui  députe 
Eugène,  diacre  d'Ancyre,  308  et  suiv.  l'Em- 
pereur Jovien  écrit  à  saint  Athanase  et  lui 
demande  une  instruction  sur  la  foi,  393, 
596.  Saint  Athanase  assemble  un  concile  à 
Alexandrie  et  écrit  à  l'empereur  au  nom 
des  évêques  de  ce  concile,  596.  Il  est  con- 
sulté par  saint  Amon,  fondateur  des  soli- 
taires de  Nitrie,  314.11  excommunie  le  gou- 
verneur de  Libye;  lettre  que  lui  écrivit 
saint  Basile  le  Grand,  440.  Autres  lettres  de 
saint  Basile,  441  et  444.  Saint  Basile  le 
Grand  tâche  de  faire  entrer  saint  Mélèce 
dans  la  communion  de  saint  Athanase,  443. 
[Lettre  de  Potamius  de  Lisbonne  à  saint 
Athanase,  549.  Osius  ne  consentit  jamais  à 
condamner  saint  Athanase,  350,  n.  1.]  — 
Union  d'Apollinaire  de  Laodicée  avec  saint 
Athanase,  V,  86.  Ce  saint  docteur  combat  la 
doctrine  d'Apollinaire,  87.  Timothée,  de- 
puis évêque  d'Alexandrie,  défend  saint 
Athanase  au  concile  de  Tyr,  92.  Panégyri- 


339. 


355. 


363. 


335. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


103 


que  de  saint  Athanase  par  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  216,  217.  Son  écrit  de  la  Vie  de 
saint  Antoine  traduit  en  langue  syriaque, 
VI,  7.  Lettre  de  l'empereur  Constantin  le 
Jeune  à  l'Église  d'Alexandrie  pour  le  réta- 
blissement de  saint  Athanase^  339.  Édit  de 
l'empereur  Constance  contre  saint  Atha- 
nase, 341.  Lettres  de  cet  empereur  pour  et 
contre  saint  Athanase,  343  et  suiv.  Lettres 
de  l'empereur  Julien  contre  saint  Athanase, 
350  et  suiv.  Lettres  de  l'empereur  Jovien  à 
saint  Athanase,  354.  Saint  Athanase  sou- 
tient par  ses  lettres  l'Église  de  Suèdres  en 
Pamphylie.  —  L'histoire  de  saint  Athanase 
est  mal  exposée  par  Rufîn,  VII,  469.  — 
Lettre  de  saint  Athanase  à  Épictète,  cor- 
rompue par  les  Nestoriens ,  Vlll,  243.  — 
—  Pratique  de  saint  Athanase  pour  le  chant 
des  Psaumes,  IX,  33.  Il  demeure  ferme  au 
milieu  de  ceux  qui  abandonnent  sa  cause, 
541.  —  Traits  de  l'histoire  de  saint  Atha- 
nase rapportés  par  Théodoret,  X,  45  et  suiv. 
Il  donne  mission  à  Frumentius  pour  les 
Indes,  138.  Ouvrages  de  Vigile  de  Tapse 
qui  lui  sont  attribués ,  481.  Le  symbole 
qu'on  attribue  à  saint  Athanase  parait  être 
de  Vigile  de  Tapse,  484.  — [Saint  Germain  de 
Constantinople  cite  une  lettre  de  saint 
Athanase  qu'on  ne  connaissait  pas,  XII,  40.] 

ATHANASE ,  père  d'Athanase,  évêque 
d'Ancyre;  lettre  que  saint  Basile  lui  écrit, 
IV,  431. 

ATHANASE,  évêque  d'Ancyre.  Lettre  que 
saint  Basile  le  Grand  lui  écrit,  IV,  431,  432. 
Lettre  de  saint  Basile  à  l'ÉgHse  d'Ancyre 
sur  la  mort  d'Athanase  leur  évêque,  432. 

ATHANASE,  moine  sorti  de  son  monas- 
tère. Lettre  que  saint  Nil  lui  écrit ,  VIII , 
217. 

ATHANASE ,  établi  évêque  de  Dohque 
par  Jean  d'Antioche,  VIII,  603. 

ATHANASE,  évêque  de  Perrha,  chassé  de 
son  Église  et  déposé,  sollicite  son  rétablis- 
sement, VIII,  300.  On  indique  un  concile  à 
Antioche  pour  juger  son  affaire,  381. 11  se 
retire  à  Constantinople  ;  saint  Procle  écrit 
en  sa  faveur,  407,  408.  —  Comment  il  entra 
dans  cet  évêché,  X,  75.  Concile  d'Antioche 
où  il  est  condamné,  673.  Son  affaire  agitée 
au  concile  de  Chalcédoine;  déposition  du 
concile,  696. 

ATHANASE,  évêque  de  Busiris,  quitte  le 
parti  de  Dioscore  ;  ordonne  saint  Profère, 
X,  230. 

ATHANASE,  diacre  de  Basile  de  Séleucie, 


595. 


IX  slëcle. 


IX  siècle. 


X  siècle. 


témoin  de  la  conversation  des  députés  du 
concile  de  Constantinople  avec  Eutychès,  X, 
670. 

ATHANASE ,  prêtre  d'Alexandrie ,  neveu 
de  saint   Cj'rille;   accusations  qu'il  forme        m. 
au  concile  d'Alexandrie  contre  Dioscore,  X, 
688. 

ATHANASE,  prêtre  et  moine  du  monas- 
tère de  Tamnac  ou  de  Saint-Mile  en  Licao- 
nie  ;  accusé  d'avoir  parlé  contre  la  défini- 
tion du  concile  d'Éphèse,  est  justifié  dans 
un  concile,  XI,  504  et  906. 

[ATHANASE  (Saint),  évêque  de  Méthon. 
Son  oraison  funèbre  par  Pierre  d'Argos, 
624.] 

ATHANASE  (Saint),  évêque  de  Naples, 
persécuté  par  Sergius,  son  neveu.  Lettre 
du  pape  Adrien  II  en  sa  faveur,  XII,  592. 

[ATHANASE,  archevêque  de  Corinlhe. 
Fragment  de  son  commentaire  sur  saint 
Luc,  pubhé  par  Maï,  XII,  p.  899.] 

ATHANASE  LE  JEUNE,  évêque  de  Na- 
ples, excommunié  par  le  pape  Jean  Vill 
dans  un  concile  de  Rome  à  cause  de  ses 
liaisons  avec  les  Sarrasins ,  XII ,  648  et 
XIII,  728. 

ATHANASE,  patriarche  grec  de  Jérusa- 
lem. Lettre  que  lui  écrit  Georges  métropo- 
litain de  Gorfou;  réponse  d'Athanase,  XIV, 
653. 

[ATHANASE,  évêque  des  Corinthiens, 
vers  920.  Au  tome  CVI  de  la  Patrologie 
grecque  on  trouve  sur  cet  évêque  une  notice 
tirée  de  Lequien,  et  un  extrait  des  quatre 
livres  de  Zotus  le  jacobite.] 

ATHANASIENS,  nom  que  les  Ariens  don- 
naient aux  catholiques,  IX,  623. 

ATHÉLARD,  évêque  de  Rochester.  Dis- 
cours qu'il  prononce  sur  les  immunités  ec- 
clésiastiques, XIII,  636. 

ATHELVOLD  (Saint),  évêque  de  Win- 
chester. Voyez  Elkelvold. 

ATHÉNAGORE,  apologiste  de  la  religion 
chrétienne,  I,  481  et  suiv.  En  quel  temps  il 
florissait  ;  l'Apologie  qui  porte  son  nom  est 
de  lui  ;  elle  fut  présentée  à  Marc-Aurèle  et  y.  n7. 
à  Commode,  481.  Analyse  de  cette  Apologie, 
481  et  suiv.  Les  chrétiens  y  sont  justifiés 
d'athéisme,  482  ;  des  incestes  ;  des  repas  de 
chair  humaine  ;  traité  d'Alhénagore  tou- 
chant la  résurrection  des  morts,  483.  Ana- 
lyse de  ce  traité,  483  et  484.  Écrits  attri- 
bués à  Athénagore,  484.  Jugement  de  ses 
écrits.  Ce  qu'ils  contiennent  de  remarqua- 
ble, 484  et  suiv.  Leurs  éditions,  486,  487. 


104 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


[Éditions  parues  depuis  D.  Ceillier,  487.] 
ATHÉNAIS,  femme  de  l'empereur  Théo- 
dose  le  Jeune.  Voyez  Eudoxie. 

II  siècle.         ATHÈNES,  ville  de  Grèce.  Saint  Quadrat, 

évêque  de  cette  Église,  I,  401.  Lettre  que 
H  siècle,  saint  Denis  de  Corinthe  écrivit  aux  Athé- 
niens, 461,  462.  —  Extravagances  que  les 
anciens  écoliers  faisaient  subir  aux  nou- 
veaux venus,  V,  216,  217.  —  Sentiment  de 
saint  Jérôme  sur  l'inscription  de  l'autel  d'A- 
thènes, dont  parle  saint  Paul,  "VII,  660. 

ATHÉNIUS,  gouverneur  de  la  Mauritanie 
Césarienne.  Ses  violences,  V,  IIS. 

III  siècle.         ATHÉNODORE,  frère  de  saint  Grégoire 

Thaumaturge.  Firmilien,  évêque  de  Césarée 
en  Cappadoce,  le  fait  connaître  à  Origène, 
II,  433.  Il  étudie  cinq  ans  sous  Origène, 
437.  Il  assiste  au  premier  concile  d'Anlio- 
che  contre  Paul  de  Samosate,  567. 
m  siècle,  ATHÉNOGÈNE  (Saint),  martyr.  Son  hymne 
est  perdue.  H,  463,  464  et  IV,  423.  — 
Athénogène  est  cité  par  saint  Basile,  IV, 

423. 

ATHIES,  maison  royale  en  Vermandois 
où  fut  élevée  la  reine  Radegonde ,  XI , 
315. 

ATTALE  (Saint),  de  Pergame,  martyr 
sous  Marc  Antonio,  II,  428. 

ATTALE,  prêtre  arien,  assiste  au  concile 
d'Aquilée,  IV,  629.  Il  y  est  condamné,  633. 
ATTALE,    empereur    dans    les    Gaules, 
Vm,  99. 

ATTALE  (Saint),  abbé  de  Bobio.  Sa  vie 
écrite  par  le  moine  Jonas,  XI,  617. 
ATTICUS,  archidiacre,  puis  patriarche  de 
^06.         Constantinople,  VIII,  13  et  suiv.  Il  est  intrus 
sur  le  siège  de  Constantinople,  13  et  257. 
407.        L'Éghse  romaine  ne  veut  pas    le    recon- 
naître avant  qu'il  rétablisse  la  mémoire  de 
saint  Jean  Chrysostôme,  13  et  14.  Atlicus 
i2i.  •      "^eut  attribuer  de  nouveaux  droits   à  son 
425.         Église  ;  il  rejette  les  Pélagiens  ;  sa  mort,  14 
422.        et  403.  Ses  écrits,  14  et  15.  Lettre  d'Atticus 
425.        à  saint  Cyrille  d'Alexandrie,  15  et  298  ;  à 
Pierre  et  à  Edésius,  diacres;  à  Calliope  prê- 
tre; à  l'Église  d'Afrique  ;  discours  d'Atticus 
sur  le  jour  de  Noël  ;  lettre  à  Eupsychius  ; 
traité  de  la  foi  et  de  la  virginité  adressé  à 
Pulchérie  et  à  Flaccille,  16.  Paroles  attri- 
buées à  Atticus,  16  et  17.  Jugement  qu'on  a 
porté  de  cet  auteur,  17.   [Voyez  16,  n.  8. 
Éditions  de  ses  écrits  dans  la  Patrologie,  17.] 
Atticus  succède  à  Arsace,  patriarche  in- 
trus sur  le  siège  de  Constantinople,  VII,  11. 
[Il  est  cause  de  l'exil  de  saint  Chrysostôme, 


181. 


VU  siècle. 


13,   note   13.]  —  Lettre  que  lui   écrivit  le 
sixième  concile  de  Carlhage,  VIII,  S69.  Le 
pape  saint  Célestin  fait  son  éloge,  135,  136. 
Lettre  que  lui  écrivit  Acace  de  Bérée,  241.         m. 
Atticus  rétablit  la  mémoire  de  saint  Jean 
Chrysostôme,  257  et  298.  Obtient  la  com- 
munion  de  l'Éghse   romaine,    258.    Lettre         425. 
qu'il  écrit  à  saint  Cyrille  d'Alexandrie  pour        «7. 
lui  rendre   raison  des  motifs  qui   l'avaient 
porté  à  rétablir  la  mémoire  de  saint  Jean 
Chrysostôme  et  l'engager  à  faire  de  même, 
298,  299.  Réponse  de  saint  Cyrille,  299.  At-        us. 
tiens   baptise   un  juif  paralytique    qui    se 
trouve  guéri  en  recevant  le  baptême,  522. 

ATTICUS,  évêque  de  Nicople,  métropole 
de  l'Épire.  Vexations  qu'il  éprouve  de  la 
part  d'Anastase  de  Thessalonique,  X,  205. 

ATTICUS,  archidiacre  de  Constantinople, 
député  à  l'empereur  Marcien  par  les  évo- 
ques assemblés  à  Nicée,  X,  683. 

ATTICUS  (ou  ATTIQUE),  prêtre  de  Cons- 
tantinople, s'élève  contre  le  concila  deChal- 
cédoine  ;  il  proteste  qu'il  n'a  que  de  l'aver- 
sion pour  Eulychès,  X,  233. 

ATTIGNY-SUR-AISNE ,  bourg  de  Cham- 
pagne. Concile  qui  y  fut  assemblé  par  le  roi 
Pépin  ,  Xlll.  616.  Autres  conciles  tenus  en 
ce  Heu,  657,  667,  713. 

ATTILA,  roi  des  Huns,  sur  le  point  de  452, 
saccager  Rome  ,  est  arrêté  par  les  remon- 
trances du  pape  saint  Léon,  fait  la  paix  et 
repasse  le  Danube,  X,  174,  175.  Il  avait  pris 
Milan  et  avait  répandu  l'effroi  dans  toute  la 
Ligurie,  323.  Il  est  détourné  par  saint  Loup 
d'attaquer  la  ville  de  Troyes  ;  son  respect 
pour  ce  saint  évêque,  357. 

ATTON,  évêque  de  Verceil.  Ce  qu'on  sait  945-960. 
de  sa  personne  ;  durée  de  son  épiscopat, 
XII,  819,  820.  [Il  y  a  eu  deux  évêques  de 
Verceil  nommés  Alton,  controverse  sur  ce- 
lui à  qui  appartiennent  le  Testament,  le  Po- 
lyptique  et  les  sermons,  820,  n.  1.  Édition 
des  œuvres  d'Alton  par  Buronzo,  820,  n. 
5.]  Ses  homélies;  son  Polypticum  ou  Per- 
pendiculum,  820.  Analyse  de  son  Capitulaire, 
820  et  suiv.  Son  livre  des  Souffrances  de  l'É- 
glise ;  analyse  de  cet  ouvrage,  823,  824. 
Lettre  à  Waldon,  évêque  de  Côme,  sur  la 
fidélité  due  aux  souverains  ;  lettres  contre 
quelques  superstitions,  824.  Autres  lettres 
d'Alton  de  Verceil,  824  et  suiv.  [Édition  des 
écrits  d'Alton  dans  la  Patrologie  d'après  l'é- 
dition de  Buzonzo,  820.  Écrits  nouveaux  : 
ses  commentaires  sur  les  Épitres  de  saint 
Paul,  ses  discours,  le  Tolytique,  son  Pesta- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES, 


105 


ment,  826,  827.  Ce  que  contient  rAppendice 
mis  à  la  suite  des  œuvres  d'Atton  ,  827. 
Dissertation  sur  les  œuvres  d'Atton,  826.] 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littè'aire 
de  la  France,  t.  VI,  p.  281  et  suiv.) 
îiécie.         [ATTON,  archevêque  d'Ausone  ou  de  Vich 

en  Catalogne,  XII,  836.] 
siècle.  ATTON,  moine  du  Mont-Cassin  et  aupa- 
ravant chapelain  de  l'impératrice  Agnès. 
Ce  qu'on  sait  de  sa  personne  et  de  ses 
écrits,  XIII,  495.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VII, 
p.  100  et  suiv.,  et  dans  l'Avertissement, 
p.  Ivj.) 
159  ATTON  j  évêque  de  Verdun,  accusé  au 

concile  de  Savonières  d'être  entré  dans 
l'épiscopat  par  des  voies  illégitimes,  XIII, 
690. 

ATTON,  évêque  de  Troyes.  (On  a  de  lui 
quelques  lettres.  Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  XII,  p- 
226  et  suiv.) 

ATTRIBUTS  DIVINS  conviennent  au  Fils 
88i.        comme  au  Père.  Doctrine  de  saint  Ambroi- 
se,  V,   S33.   —  Témoignage  de  saint  Au- 
gustin sur  les  attributs  divins,  IX,  364. 
►89.  AUBE.  Suivant  le  concile  de  Narbonne, 

tous  les  clers  doivent  être  en  aube  pendant 
la  célébration  des  saints  mystères,  XI,  904. 
AUBÉPINE  (Gabriel  de  1'),  évêque  d'Or- 
léans. Son  édition  des  œuvres  de  saint  Optât 
de  Miiève,  V,  149.  Sa  note  sur  un  texte  de 
saint  Optât  touchant  l'unité  de  l'Église,  137, 
note  10. 

AUBERT  (Saint),  évêque  d'Arras.  Sa  vie 
écrite  par  le  docteur  Fulbert^  différent  de 
l'évêque  de  Chartres,  XIII,  89. 

AUBERT    AMBROISE.    Voyez    Ambroise 
Autpert. 
1826.  AUBERT,  moine  de  Corbie,  accompagne 

saint  Anschaire  dans  sa  mis.sion  en  Dane- 
mark ;  sa  mort,  XII,  324. 

AUBERT  (Jean),  principal  du  collège  de 
Laon  et  chanoine  de  Laon,  interprète  du 
clergé,  est  chargé  avec  Bourgeois  de  donner 
une  édition  des  œuvres  de  saint  Ephrem, 
VI,  72.  —  Il  a  donné  une  édition  des  ou- 
vrages de  saint  Cyrille  d'Alexandrie,  VIII. 
343.  —  Il  est  chargé  par  le  clergé  de  France 
de  donner  une  nouvelle  édition  des  œuvres 
de  saint  Jean  Damascène,  ne  peut  l'exécu- 
ter, XII,  98. 
isiède.  AUBIN  (Saint),  évêque  d'Angers.  Sa  vie 
écrite  par  Fortunat,  XI,  411  et  384.  —  Ab- 
baye sous  son  nom  à  Angers.  Diflérend  de 


cette  abbaye  avec  celle  de  Vendôme  au  su- 
jet du  prieuré  de  Craon,  XIll,  510,  511. 
Écrits  concernant  cette  affaire,  511,  512. 

AUCH,  ville  de  Gascogne.  Au  v^  siècle,  il 
y  avait  encore  beaucoup  de  païens  dans  le 
diocèse  d'Aucli,  VIII,  422.  —  Concile  tenu 
en  cette  ville  ;  on  y  ordonne  que  toutes  les 
églises  du  pays  paieront  à  la  cathédrale  le 
quart  de  leurs  dîmes,  XIV,  1063. 

[AUCHER  (J.),  méchitariste.  Son  édition 
du  texte  arménien  de  la  Chronique  d'Eusèbe, 
III,  181,  182  et  313.] 

AUDAX ,  évêque.  Lettre  que  lui  écrivit       ly  „„ 
saint  Augustin,  IX,  190.  "^  "^<^'=- 

AUDÉE,  chef  de  l'hérésie  des  Audiens. 
Voyez  Audius. 

AUDENGE,  mère  de  saint  Avit,  évêque  de 
Vienne,  X,  333. 

AUDENTIUS,  espagnol.  Ses  écrits,  347,     ly  siècle. 
348.  Son  livre  de  la  foi  contre  les  héréti- 
ques, 348. 

AUDICOUR.  Lettre  de  saint  Bernard  aux        n^o. 
chanoines  d'Audicour,  XIV,  423. 

AUDIENCES,  ou  assemblées  séculières. 
Canon  d'un  concile  d'Erford ,  qui  les  défend 
les  dimanches,  les  fêtes  et  les  jours  déjeune, 
XIII,  746. 

AUDIENS,  schismatiques  qui  célébraient  iv  siècle, 
la  Pâque  en  même  temps  que  les  Juifs,  III, 
467.  —  Ce  que  saint  Epiphane  dit  de  cette 
secte,  VI,  405.  —  Us  croyaient  que  Dieu 
avait  une  forme  humaine,  X,  47.  Prétextes 
qu'ils  alléguaient  pour  se  séparer  des  catho- 
liques, 121.  Leurs  pratiques  ridicules  dans 
la  pénitence,  123.  Voyez  Audius. 

AUDITEURS.  Premier  degré  du  catéchu-     jy  siècie. 
menât.  Canon  cinquième  du  concile  de  Néo- 
césarée,  II,   642.  —  Canon   cinquième   du 
concile  de  Laodicée,  III,  509. 

AUDIUS,  chef  des  Quartodécimains  oppo-     ly  si^cie. 
ses  au  décret  du  concile  de  Nicée  sur  la  Pâ- 
que, III,  429.  —  Ce  que  saint  Epiphane  dit 
de  lui,  VI,  403.  —  Ce  qu'en  dit  Théodoret, 
X,  47.  Voyez  Audiens. 

AUDOEN,  archevêque  de  Rouen.  Voyez 
Saint-Ouen. 

AUDRADE,  chorévêque  de  Sens,  célèbre 
par  ses  visions  ou  révélations;  son  voyage  349. 
à  Rome  ;  il  présente  ses  écrits  au  pape  Léon 
IV  ;  il  est  déposé  ainsi  que  tous  les  autres 
chorévêques,  XII,  440.  Recueil  de  ses  révé- 
lations ;  ce  qui  nous  en  reste,  440  et  441. 
Son  poëme  intitulé:  Fontaine  de  vie  ;  Casi- 
mir Oudin  l'a  mal  à  propos  attribué  à  Hinc- 
mar  de  Reims,  441.  [Édition  de  ses  écrits 


106 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


dans  la  Patrologie  ;  lettre  d'Andrade  à  Hinc- 
mar  de  Reims,  ML]  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  V, 
p.  131  et  suiv.j  et  le  supplément  à  la  tête 
du  tome  XI,  p.  xx.) 

AUDULFE,  abbé  de  Saint-Maixent  en  Poi- 
tou, engage  Ursin  à  écrire  la  vie  de  saint 
Léger,  XI,  811.  (Il  avait  lui-même  écrit 
l'histoire  de  la  translation  du  corps  de  saint 
Léger  à  l'abbaye  de  Saint-Maixent.  (Voyez 
V Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  III,  p. 

630.) 

AUGE  en  latin  AUGENTIUS  (Daniel  d'), 
professeur  royal  en  langue  grecque  ;  sa  tra- 
duction trançaise  de  l'ouvrage  de  Philon  in- 
titulé De  la  vraie  noblesse,  I,  313.  —  Sa  ver- 
sion latine  du  Dialogue  de  l'âme,  ouvrage  de 
saint  Grégoire  de  Nysse,  VI,  239.  —  Sa  tra- 
duction française  du  livre  de  Synésius,  de 
la  Manière  de  gouverner,  VIII,  33. 

AUGENDE,  complice  du  crime  de  Féli- 
251.        cissime,  excommunié  par  saint  Cyprien,  II, 
263. 

AUGENTIUS,  professeur  royal  en  grec. 
Voyez  Auge  (d'). 

[AUGER  (l'abbé).  Sa  traduction  française 
de  plusieurs  écrits  de  saint  Basile ,  IV,  547. 
—  Sa  traduction  française  de  plusieurs  écrits 
de  saint  Cbrysostôme,  VII,  437.] 

AUGSBOURG,  ville  d'Allemagne.  Concile 
tenu  en  cette  vide,  XIII,  730,  731. 
259.  AUGURE  (Saint),  diacre,  martyr  en  Es- 

pagne, II,- 387,  388. 

AUGURES.  Loi  de  Constance  contre  eux, 

VI,  342,  343.  —  Doctrine  de  saint  Augustin, 

625.        IX,  793.  —  Canon  d'un  concile  de  Reims 

qui  défend  d'observer  les   augures,   XII, 

913. 

AUGUSTAL,  lecteur  de  saint  Fructueux  de 
Tarragone,  II,  388. 

AUGUSTE,  empereur.  Paix,  sous  son  rè- 
gne, favorable  à  l'établissement  de  l'empire 
de  Jésus-Christ,  II,  231. 

[AUGUSTI   (J.-C.-G.),   Son    édition    des 
discours  attribués  à  Eusèbe  d'Émèse,  IV, 
320.] 
m  siècle.         AUGUSTIN  (Saint),    martyr  à  Capoue, 
sous  Vulérien,  II,  341. 

AUGUSTIN  (Saint),  évêque  d'Hippone  et 
docteur  de  l'Église,  IX,  1  et  suiv.  Histoire 
de  sa  vie.  [Auteurs  à  consulter  sur  saint 
354.         Augustin,  1,  n.  1.]  Sa  naissance,  1.  Son  édu- 
cation; il  est  fait  catéchumène  ;  l'oisiveté  le 
370, 371.     fait  tomber  ;  il  va  à  Carthage,  2.  Il  perd  son 
371.        père;  il  commence  à  aimer  la  sagesse;  il 


IV  et 
V  siècle. 


entend  sans  maître  les  livres  des  philoso- 
phes, 2  et  3.   Il  tombe  dans  l'hérésie  des 
Manichéens,  3,  4.  Il  commence  à  se  défier 
de  ces  hérétiques  ;  il  enseigne  à  Carthage, 
4.  Il  quitte  Carthage  et  va  à  Rome  et  à  Mi- 
lan, 3.  Il  demeure  catéchumène  dans  l'E- 
glise catholique,  6.  Sa  conversion,  6  et  suiv. 
Il  se  retire  à  la  campagne;  ses  occupations, 
8  et  9.  Il  reçoit  le  baptême  à  Milan;  il  quitte 
Milan  et  perd  sainte  Monique,  sa  mère,  9. 
Il  retourne  en  Afrique  et  demeure  quelque 
temps  à  Carthage,  9  et  10.  Il  se  retire  près 
de  Tagaste  et  donne  son  bien  aux  pauvres, 
10.  Il  est  fait  prêtre  d'Hippone,  10  et  11.  II 
établit  un  monastère  à  Hippone,  11.  Il  écrit 
à  Aurèle  de  Carthage  au  sujet  des  agapes, 
12,  13.  II  est  fait  coadjuteur  d'Hippone,  13. 
Sa  conduite  pendant  son  épiscopat,  13  et 
14.  Communauté  qu'il  forme  auprès  de  lui 
et  dont  il  devient  le  modèle,  13.  Il  bâtit  une 
église  et  un  hôpital  ;  son  soin  pour  les  pauvres, 
14,  15.  Sa  conduite  envers  les  pécheurs,  13, 
16.  Sa  conduite  contre  les  ennemis  de  l'É- 
glise et  pour  l'Église  ;  il  dépose  le  prêtre 
Abundantius,  16.  Les  Donatistes  attentent  à 
la  vie  de  saint  Augustin,  16  et  17.  Il  est 
longtemps  absent;  il  veut  quitter  le  manie- 
ment des  biens  de  rÉghse,  17.  Il  exhorte 
Démétriade  à  la  virginité,  17  et  18.  Il  dé- 
tourne le  comte  Boniface  de  quitter  le  mon- 
de, 18,  19.  Il  combat  les  Pélagiens;  il  reçoit 
les  reliques  de  saint  Etienne;  son  désinté- 
ressement et  celui  de  son  clergé,  19.  Lettres 
de  saint  Augustin  aux  religieuses  d'Hippone, 
19  et  20.  Il  désigne  Héraclius  pour  son  suc- 
cesseur au  siège  d'Hippone,  20,  21.  Il  tra- 
vaille à  apaiser  les  troubles  du  monastère 
d'Adrumette  ;  les  Vandales  entrent  en  Afri- 
que ;  ils  assiègent  Hippone  ;  saint  Augustin 
tombe  malade,  21.  Il  meurt;  samémoireest 
en  vénération  dans  toute  l'Église,  21  et  22. 
[Ses  reliques,  22,  n.  2.]  Ses  ouvrages  23  et 
suiv.  Écrits  de  ce  saint  docteur  contenus 
dans  le  premier  tome  de  ses  œuvres  ;  deux 
livres  des  rétractations  ;    pourquoi  ils  sont 
mis  les  premiers;  en  quels  temps  ils  ont  été 
composés  ;  en  quel  ordre  ils  ont  été  écrits, 
23.  Ce  qu'ils  contiennent,  23  et  24.  Quel  en 
est   le    dessein  ;  estime    qu'on  a  faite  de 
ces  livres,  24.  Confessions  de  saint  Augus- 
tin, 24  et  suiv.  Gomment  elles  ont  été  re- 
çues ;  ce  que  saint  Augustin  en  dit,  24,  23. 
Eu  quel  temps  elles  furent  écrites,  23.  Elles 
sont  divisées  en  treize  livres  :  Analyse  du 
premier  livre,  23   et  suiv.  ;  du  deuxième, 


374. 

378. 

384. 
386. 


387. 


395. 


307. 
401. 

411. 
411  et  414 
424. 
427., 
Dès  4là. 
424. 


427. 
428. 
430. 
430. 


428. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


107 


27  ;  du  troisième,  27  et  suiv.;  du  quatrième, 
29;  du  cinquième,  29  et  30  ;  du  sixième, 
30,  31  ;  du  septième,  31,  32;  du  huitième, 
32  ;  du  neuvième,  32  et  33  ;  du  dixième,  33, 
34  ;  du  onzième,  34,  35  ;  du  douzième,  35, 
36  ;  du  treizième,  36,  37.  Trois  livres  con- 
tre les  Académiciens,  37.  En  quel  temps 
ces  livres  ont  été  composés,  37  et  38.  Ana- 
lyse du  premier  de  ces  livres,  du  deuxième, 
du  troisième,  38.  Livre  de  la  Vie  bienheu- 
reuse, 40,  41.  En  quel  temps  il  a  été  écrit, 
40.  Analyse  de  ce  qu'il  contient,  40  et  41. 
Deux  livres  de  l'Ordre,  41  et  suiv.  En  quel 
temps  ils  ont  été  faits,  41,  42.  Analyse  du 
premier  livre,  42.  Analyse  du  second,  42  et 

43.  Deux  livres  des  Soliloques,  43,  44.  En 
n  387.    quel  temps  ils  ont  été  écrits  ;  pourquoi  ils 

sont  nommés  Soliloques ,  43.  Analyse  du 
premier  livre,  43,   M.  Analyse  du  second, 

44.  Livre  de  l'Immortalité  de  l'âme  ;  en 
quel  temps  il  a  été  écrit  ;  ce  que  saint  Au- 
gustin dit  de  cet  ouvrage  ;  analyse  de  ce 
livre,  45.  Livre  de  la  Quantité  ou  de  la  Gran- 
deur de  l'âme,  43  et  suiv.  En  quel  temps  il 
a  été  écrit,  46,  47.  Analyse  de  ce  livre,  47, 

48.  Six  livres  de  la  Musique,  47  et  suiv.  En 
quel  temps  ils  ont  été  écrits,  47.  Difficulté 
qu'il  y  a  d'entendre  ces  livres  ;  quel  en  est 
le  dessein,  47,  48.  Analyse  de  ces  livres,  48, 

49.  Livre  du  Maître  ;  en  quel  temps  il  a  été 
écrit  ;  ce  qu'il  contient,  49.  Trois  hvres  du 

et  395.  Libre  arbitre,  49  et  suiv.  En  quel  temps  et  à 
quel  dessein  ils  ont  été  écrits,  49,  ^0.  Ana- 
lyse du  premier  livre,  51.  Analyse  du  se- 
cond, 51  et  52.  Analyse  du  troisième,  52  et 
suiv.  Deux  livres  sur  la  Genèse  contre  les 
389.  Manichéens,  34  et  suiv.  En  quel  temps  ils 
ont  été  écrits,  54,  53.  Analyse  du  premier 
livre,  55  ;  du  second,  55  et  56.  Remarques 
sur  ces  deux  livres  ,  56.  Deux  livres  des 
Mœurs  de  l'Église  catholique  et  des  Mœurs 
I.  des  Manichéens,  56  et  suiv.  En  quel  temps 
ils  ont  été  écrits,  56,  57.  Analyse  du  pre- 
mier hvre,  des  Mœurs  de  l'Église  catholi- 
que, 59  et  suiv.  Analyse  du  second  livre, 
des  Mœurs  des  Manichéens,  60.  Livre  de  la 

[390.  Vi'aie  Religion,  60  et  suiv.  En  quel  temps  il 
a  écrit  ;  ce  que  saint  Augustin  en  dit  dans 
ses  Rétractations,  60  et  61.  Analyse  de  ce 
livre,  61  et  suiv.  Règle  de  saiut  Augustin, 
64.  Ouvrages  attribués  faussement  à  saint 
Augustin,  64,  65.  Livre  de  la  Gramnaaire, 
64.  Livre  des  Principes  de  la  dialectique  ; 
livre  des  dix  catégories  ;  Principes  de  rhé- 
torique; Règle  aux  clercs  ;  seconde  Règle  ; 


livre  de  la  Vie  érémitique,  65.  Écrits  conte- 
nus dans  le  second  tome  des  œuvres  de  saint 
Augustin ,  65  et  suiv.  Ses  lettres  ;  en  quel 
ordre  elles  sont  distribuées,  65.  Lettres  de 
la  première  classe,  65  et  suiv.  Lettre  P°  à        386. 
Hermogénien,  6»,  66.  II  à  Zénobius  ;  III  à        337. 
Nébridius  ;  IV,  V  et  VI  de  Nébridius  à  saint         388. 
Augustin,  66.  Lettre  VII  de  saint  Augustin         sgg. 
à  Nébridius,  67  et  68.  VIII  de  Nébridius  à      y.  388. 
saint  Augustin,   68.  IX,  X,  XI,  XII,  XIII  et 
XIV  de  saint  Augustin  à  Nébridius,  68  et  69. 
Lettre    XV    à    Romanien  ;   lettre    XVI  de        390. 
Maxime  à  saint  Augustin  ;  XVII  de  saint 
Augustin  à  Maxime,  69.  XVIII  de  saint  Au- 
gustin à  Célestin  ;  XIX  à  Caïus  ;  XX  à  An-         391. 
tonin,  69  et  70.  XXI  à  Valère,  71.  XXII  à 
Aurèle  de  Carthage  ;   XXIII  à  Maximin,  71         392. 
et  72.  XXIV  et  XXV  de  saint  Paulin  à  saint 
Augustin,  72.  XXVI  de  saint  Augustin  à  Li-     394 «t  395 
centius,  72  et  73.  XXVII  à  saint  Paulin,  73. 
XXVIII  à  saint  Jérôme,  73  et  74.  XXIX  à      y.  395. 
Alypius,  74,  75.  XXX  lettre  de  saint  Paulin,         396. 
74.  Lettres  de  la  seconde  classe,  73  et  suiv. 
XXXI  lettre  de  saint  Augustin  à  saint  Pau- 
lin, 75.  XXXII  de  saint  Paulin  à  saint  Au- 
gustin, 75  et  76.  Lettre  XXXIII  àProculien, 
76.  Lettres  XXXIV  et  XXXV  à  Eusèbe,  76. 
et  77.  XXXVI  à  Gasulan,  77,  78.  XXXVII  à      y.  397. 
Simplicien,  78.  XXXVIII  à  Profuturus,  78  et 
79.  XXXIX  de  saint  Jérôme  à  saint  Augus- 
tin ;  XL  de  saint  Augustin  à  saint  Jérôme  ; 
XLI  de  saint  Augustin  à  Aurèle  ;  XLII  et 
XLV  à  saint  Paulin,  79.  XLIII  à  Glorius,         398. 
Éleusius,  Féhx  et  Grammaticus,  79  et  80. 
XLIV  aux  mêmes  et  aux  deux  Félix,  80,  81. 
XLVl  de  Pubhcola   à  saint  Augustin,    81, 
XLVII  de  saint  Augustin  à  Publicola,  81  et 
82.  XLVIII  à  Eudoxe;    XLIX   à   Honorât;         399. 
L  aux  habitants  de  Suffecte  ;  LI  à  Grispin,       y.  400. 
évoque  de  Calame,  82.  LU  à  Séverin  ;  LUI  à 
Générosus,  83.  LIV  à  Janvier,  83  et  suiv. 
LV  à  Janvier,  85,  86.  LVI  et  LVII  à  Celer,         401. 
86,  87.  LVIII  à  saint  Pammaque  ;  LIX   à 
Victorin,  87.  LX  à  Aurèle,  87  et  88.  LXI  à 
Tbéodoret,  88.  LXII  et  LXIII  à  Sévère,  88 
et  89.  LXIV  à  Quintien  ;  LXV  à  Xantippe,         402 
89.  LXVI  à  Grispin,  89  et  90.   LXVll  et 
LXVIII  à  saint  Jérôme  ;  LXIX  à  Castorius  ; 
LXX  à  Naucelion;  LXXI,  LXXII,  LXXHI, 
LXXIV,  LXXV,  LXXXI ,  LXXXH   de  saint      v.  m. 
Augustin  à  saint  Jérôme,  et  de  saint  Jérôme 
à  saint  Augustin  ;  LXXVI  de  saint  Augustin 
aux  Donatistes,  90.  LXXVII  à  Félix  et  à  Hi-      v.  «4. 
larin,  90  et  91.  LXXVIII  au  clergé  d'Hip- 
pone,  91,  Q^.  LXXIX  à  un  prêtre  mani-      y.  405. 


108 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


405.  chéen  ;  LXXX  à  saint  Paulin  ;  LXXXIII  à 
Alypius,  92  et  93.  LXXXIV  à  Novat,  93. 
LXXXV  à  Paul,  93  et  94.  LXXXVI  à  Céci- 
lieu  ;  LXXXVII  à  Émérit,  94,  LXXXVIII  à 

406.  Janvier,  94  et  95.  LXXXIX  à  Festus,  95, 

408.  96.  XC,  XGI,  GUI,  CIV  lettres  de  Nectaire  à 
saint  Augustin  et  de  saint  Augustin  à  Nec- 
taire, 96,  97.  Lettres  XCII  et  XCIX  à  Itali- 
que, 97,  98.  XCIII  à  Vincent  le  Rogatiste, 
98  et  suiv.  XCIV  de  saint  Paulin  à  saint  Au- 
gustin, 101,  102.  XCV  de  saint  Augustin  à 
saint  Paulin,  102.  XCVI  et  XGVII  de  saint 
Augustin  à  Olympius,  102,  103.  XCVIII  à 

V.  409.  Boniface,  103,  104.  G  à  Donat;  CI  à  Mé- 
mor,  104.   Cil  lettre  ou  livre  à  Deogratias, 

409.  104  et  suiv.  CV  aux  Donatistes,  107.  CVI, 
CVII  et  CVIII  à  Macrobe,  107  et  suiv.  CIX 
de  Sévère  à  saint  Augustin  ;  CX  de  saint 
Augustin  à  Sévère,  109.  CXI  de  saint  Au- 

V.  410.      gustin  à  Victorien,  109  et  110.  CXII  à  Do- 

410.  nat  ;  CXIII,  CXIV,  CXV  et  CXVI  à  Cresco- 
nius,  à  Florentin,  à  Fortunat  et  à  Généro- 
sus,  110.  CXVII  de  Dioscore  à  saint  Augus- 
tin, 110  et  111.  CXVIII  de  saint  Augustin  à 
Dioscore,  111.  GXIX  de  Consentius  à  saint 
Augustin,  111  et  112.  CXX  de  saint  Augus- 
tin à  Consentius,  112,  113.  CXXI  de  saint 
Paulin  à  saint  Augustin  ;  CXXII  de  saint 
Augustin  au  clergé  d'Hippone,  113.  CXXIII 
de  saint  Jérôme  à  saint  Augustin,  113  et 
114.  Lettres  de  la  troisième  classe,  114  et 
suiv.  CXXIV  à  Albine,  114.  CXXV  à  Aly- 

V.  411.  pius,  114  et  115.  CXXVI  à  Albine  115. 
CXXVII  à  Armentaire  et  à  Pauline,  115  et 
116.  CXXVIII  et  CXXIX  à  Marcellin,  116  et 

V.  412.  suiv.  CXXX  etCXXXI  à  Proba  118  et  suiv. 
412.  CXXXII  à  Volasien  ;  CXXXIII  à  Marcellin, 
120.  CXXXIV  à  Apringius,  120  et  121. 
CXXXV  et  CXXXVI  de  Volusien  et  de  Mar- 
cellin à  saint  Augustin,  121.  CXXXVII  de 
saint  Augustin  à  Volusien,  121  et  suiv. 
CXXXVIII  et  CXXXIX  de  saint  Augustin  à 
Marcellin,  124,  125.  CXL  à  Honorât,  125, 
126.  CXLI  aux  Donatistes,  126,  127.  CXLII 
à  Saturnin  et  à  Eufrate  ;  CXLIII  à  Marcel- 
lin, 127.  CXLIV  à  ceux  de  Cirthe,  127,  128. 

V.  413.  CXLV  à  Anastase  ;  CXLVI  à  Pelage,  128. 
414.  CXLVn  à  Pauline,  129,  130.  CXLVIII  à  For- 
tunatien,  130,  131.  CXLIX  à  saint  Paulin, 
414.  131  et  suiv.  CL  à  Proba  et  à  Julienne  sur 
Démétriade  leur  fille  et  petite-fille,  133.  CLI 
à  Cécilien,  133  et  134.  CLII  de  Macédonius 
à  saint  Augustin,  134,  133.  CLIII  de  saint 
Augustin  à  Macédonius,  135  et  suiv.  CLIV 
de  Macédonius  à  saint  Augustin,  137.  CLV 


de  saint  Augustin  à  Macédonius,  137  et  138. 
CLVI  d'Hilaire  à  saint  Augustin,  138. 
CLVII  de  saint  Augustin  à  Hilaire,  138  et 
suiv.  CLVIII  d'Évodius  à   saint   Augustin ,       V.  415. 

140,  141.  CLIX  de  saint  Augustin  àÉvodius, 

141,  142.  CLX,  GLXI,  CLXH,  GLXIH  et 
CLXIV,  d'Évodius  à  saint  Augustin  et  de 

saint  Augustin  à  Évodius,  142,  143.  CLXV         «o. 
de  saint  Jérôme  à  Marcellin  et  à  Anapsy-        4i5. 
quie,  143,  144.  CLXVI  et  CLXVII  de  saint 
Augustin  à  saint  Jérôme,  144  et  suiv.  CLXXII 
de   saint    Jérôme  à    saint  Augustin ,    146. 
CLXVIII  de  Timasius  et  de  Jacques  à  saint 
Augustin,  146  et  147.  CLXIX  de  saint  Au- 
gustin à  Évodius,  147,  148.  CLXX  à  Maxi- 
me,  148,   149.    CLXXI    à    Péregrin,    149. 
CLXXIH  à  Donat,  149  et  150.    CLXXIV  à        4i6. 
Aurèle  de  Cartbage  ;  CLXXV  lettre  du  con- 
cile de  Cartbage  au  pape  saint  Innocent  ; 
CLXXVI  du  concile  de  saint  Milève  à  saint 
Innocent  ;  CLXXVII  d'Aurèle,  d'Alype,  de 
saint  Augustin,  d'Évodius  et  de  Possidius  à 
saint  Innocent,  150.  CLXXVIII  de  saint  Au- 
gustin à  Hilaire,  150  et  151.  CLXXXI  du 
pape  saint  Innocent  aux  pères  du  concile  de 
Cartbage  ;  CLXXXII  de  saint  Innocent  aux 
pères  du  concile  de  Milève  ;  CLXXXIII  de 
saint  Innocent  à  Aurèle,  à  Alype,   à  saint 
Augustin ,    à     Évodius     et    à     Possidius  ; 
CLXXXIV  de  saint  Innocent  à  Aurèle  et  à 
saint  Augustin,   150.  CLXXIX  de  saint  Au- 
gustin à  Jean  de  Jérusalem,  151.  CLXXX  à 
Océanus,  151  et  152.  CLXXXV  à  Boniface, 
152  et  suiv.  CLXXXVI  à  saint  Paulin,  154  et         4i7. 
suiv.   CLXXXVn    à    Dardanus,    158,    159.       v.  4i8. 
CLXXXVm  à  Julienne,  159,  160.  CLXXXIX        4i8. 
à  Boniface,  160.  CXC  à  Optât,  160  et  suiv. 
CXCI  à  Sixte;  CXCH  à  Célestin,  162.  CXCIH 
à  Mercator,  162  et  163.  CXCIV  à  Sixte,  163 
et  suiv.  CXCV  de  saint  Jérôme  à  saint  Au- 
gustin ;  CXCVI  de  saint  Augustin  à  Aselli- 
cus,  166.  CXCVnàHésycbius,167.  CXCVHI 
et  CXCIX  d'Hésycbius  à  saint  Augustin  et 
de  saint  Augustin  à  Hésychius,  167  et  168.         419. 
ce  de  saint  Augustin  à  Valère,  168,  169. 
CCI  lettre  des  empereurs  Honorius  et  Théo-        4i9. 
dose  à  Aurèle  de  Cartbage  et  à  saint  Augus- 
tin; CCIIlettre  de  saint  Jérôme  à  saintAugus- 
tin  ;  CCIII  de  saint  Augustin  à  Largus,  169. 
CCIV  à,  Dulcilius,   169  et  170.  CCV  à  Con-         420. 
sentius,  170,  171.  CCVI  à  Valère  ;  CGVH  à      421-433. 
Claude  ;  CCVIII  à  Félicie  ;  CCIX  à  Célestin, 

171.  CCX   à  Félicité  et  à  Rustique,  171  et 

172.  CCXI  aux  religieuses  du  monastère  de 
Rustique.  Elle  contient  une  règle,  172  et 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


109 


542C.  suiv.  CCXII  à  Quintilien  ;  CCXIII  acte  de 
l'élection  d'HéracIius,  174.  CCXIV  et  CCXV 

427.  de  saint  Augustin  à  Valenlin,  174.  et  suiv. 
CGXVI  de  Valentin  à  saint  Augustin,  176. 
CCXVII  de  saint  Augustin  à  Vital,  176  et 
suiv.  CGXVIII  à  Palatin  ;  CCXIX  à  Proculus, 
179.  CCXX  à  Boniface,  179  et  180.  CCXXIde 
Quod  vult  Deus  à  saint  Augustin,  180,  181. 
CCXXII  de  saint  Augustin  à  Quod  vult  Deus; 
GCXXIII  de  Quod  vult  Deus  à  saint  Augus- 
tin ;  GGXXIV  de  saint  Augustin  à  Quod  vult 
Deus;  CCXXV  et  GGXXYI  de  Prosper  et 
d'Hilaire  à  saint  Augustin  ;  GGXXVII  de 
saint  Augustin  à  Alypius,  181.  GGXXVIII  à 
29  Honorât,  181  et  suiv.  GGXXIX  à  Darius; 
CGXXX  de  Darius  à  saint  Augustin  ;  GGXXXI 
I  de  saint  Augustin  à  Darius,  183.  Quatrième 
classe  des  lettres  de  saint  Augustin,  183  et 
suiv.  GCXXXII  aux  habitants  de  Madaure, 
183,  184.  GGXXXIII  de  saint  Augustin  à 
Longinien  ;  GGXXXIV  de  Longinien  à  saint 
Augustin  ;  GGXXXV  de  saint  Augustin  à 
Longinien,  184.  GCXXXVI  à  Dentérius,  184 
et  185.  GGXXXVII  à  Gétérius,  185. 
GGXXXVIII  et  GGXXXIX  à  Pascentius,  185, 
186.  GGXL  de  Pascentius  à  saint  Augustin  ; 
GGXLI  de  saint  Augustin  à  Pascentius,  186. 
CCXLII  à  Elpidius,  186  et  187.  GGXLIII  à 
Laetus  ;  CGXLIV  à  Ghrisime,  187.  GGXLV  à 
Possidius,  187  et  188.  GCXLVI  à  Lampa- 
dius  ;  CGXLVII  à  Romulus  ;  GGXLYIII  à  Sé- 
bastien ;  GGXLIX  à  Restitutus  ;  CCL  à  Auxi- 
lius  ;  et  tragment  d'une  lettre  de  saint  Au- 
gustin à  Glassicien,  188.  GGLI  à  Pancarius  ; 
GGLII  à  Félix  ;  GGLIII  et  GGLIV  à  Bénéna- 
tus;  CGLV  à  Rustique;  GGLVI  à  Christinus; 
CGLYII  à  Oronce  ;  GGLVIII  à  Martien  ,  189. 
GGLIX  à  Gorneille,  189  et  190.  GGLX  et 
GCLXI  à  Audax,  190.  GGLXII  à  Cédicie,  191. 
CGLXIII  à  Sapida  ;  GGLXIV  à  Maxima,  191. 
CCLXV  à  Séleucienne,  191  et  192.  GGLXVI 
à  Florentine  ;  GGLXVII  à  Fabiole  ;  GGLXVIII 
au  peuple  d'Hippone  ;  GCLXIX  à  Nobilius  ; 
CGLXX  d'un  inconnu  à  saint  Augustin,  192. 
Lettre  de  saint  Augustin  à  Pierre  et  à  Abra- 
ham, 192  et  193  ;  à  Optât,  193,  194.  Frag- 
ment d'une  lettre  de  saint  Augustin  à  Maxi- 
me ;  lettres  attribuées  faussement  à  saint 
Augustin  ,  à  Boniface ,  à  Démétriade  ;  de 
saint  Augustin  à  saint  Gyrille  de  Jérusalem, 
et  de  saint  Gyrille  de  Jérusalem  à  saint  Au- 
gustin ;  dispute  de  saint  Augustin  avec  Pas- 
centius, 194.  Écrits  contenus  dans  le  troi- 
sième tome  des  œuvres  de  saint  Augustin, 
194  et  suiv.  Quatre  livres  de  la  Doctrine 


chrétienne,  194.  En  quel  temps  ils  ont  été      v.  397. 
écrits  ;  plan  de  cet  ouvrage  19S.  Analyse  du 
premier  livre,  195  et  suiv.;  du  second  livre, 
197,  198;   du  troisième  livre,  198  et  suiv.; 
du  quatrième  hvre,  200,  201.  Livre  impar- 
fait sur  la  Genèse  ;  en  quel  temps  il  a  été        393. 
écrit,  201,  202.  Ge  qu'il  contient,  202.  Douze 
livres  sur  la  Genèse  et  la  lettre,  202  et  suiv. 
En  quel  temps  ils  ont  écrits  et  publiés,  202,     401  et  «5. 
203.  [Sommaire  des  douze  livres  sur  la  Ge- 
nèse, publié  par  Maï,  p.  203,  n.  2.]  Ge  qu'il 
y  a  de  remarquable  dans  ces  livres,  203  et 
suiv.  Dans  le  premier,  203  ;  dans  le  second, 
203  et  204  ;  dans  le  troisième  ;  dans  le  qua- 
trième, 204;  dans  le  cinquième,  204  et  205; 
dans  le  sixième;  dans  le  septième;  dans  le 
huitième,  205  ;  dans  le  neuvième,  205  et 
206  ;  dans  le  dixième,  206;  dans  le  onzième, 
206  et  207.  dans  le  douzième,  207,  208.  Lo- 
cutions ou  façons  de  parler  des  sept  pre- 
miers livres  de  la  Bible  ;  en  quel  temps  cet      y.  «9. 
ouvrage  a  été  écrit  ;  ce  qu'il  contient,  208. 
Questions  sur  la  Genèse,  208,  209.  Ques-        ng^ 
lions  sur  l'Exode,  209  et  suiv.  Questions  sur 
le  Lévitique,  211,  212.  Questions  sur  les 
Nombres,  212,  213.  Questions  sur  le  Deuté- 
ronome,  213.  Questions  sur  Josué,  213,  214. 
Questions  sur  les  Juges  ;  Notes  sur  Job  ;  en        402. 
quel  temps  elles  ont  été  écrites  ;  ce  qu'elles      y,  402. 
contiennent,  214.  Miroir  tiré  de  l'Écritui'e,         427. 
214  et  215.  Autres  miroirs  attribués  à  saint 
Augustin  ;  215.  [Miroir  publié  par  le  cardi- 
nal Maï,  215  et  216.]  Quatre  livres  de  l'Ac- 
cord des  évangélisles,  216  et  suiv.  Eu  quel 
temps  ils  ont  été  écrits,  216.  Dessein  et  di-  v.399ou4oi. 
vision  de  cet  ouvrage  ;  Analyse  du  premier 
hvre,  216  et  suiv.  Ge  qui  est  contenu  dans 
les  deuxième,  troisième  et  quatrième  livres, 
218.  Deux  livres  sur  le  sermon  sur  la  mon- 
tagne, 218  et  suiv.  En  quel  temps  ils  ont  été   v.393ou394, 
faits;  difficultés  sur  ces  deux  hvres,  218.  Ge 
qu'ils  contiennent  de  remarquable,  218  et 
suiv.  Deux  livres  de  Questions  sur  quelques 
endroits  de  l'Évangile  ;  en  quel  temps  ils      y.  400. 
ont  été  écrits;  ce  qu'ils  contiennent;  dix- 
sept  questions  sur  saint  Matthieu  attribuées 
à  saint  Augustin,  220.  Traités  ou  homélies 
de  l'Évangile  selon  saint  Jean  et  sur  la  pre- 
mière épître  de  cet  apôtre,  220  et  suiv.  En 
quel  temps  elles  ont  été  faites,  220,  221.        m. 
Méthode  de  saint  Augustin  dans  ces  homé- 
lies ;  il  interrompt  les  homélies  sur  l'Évan- 
gile selon  saint  Jean  et  explique  la  première 
épître  de  cet  apôtre  ;  authenticité  de  ces 
homélies  sur  saint  Jean  ;  préface  sur  ces  hQ- 


'ilo 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACHES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


V.  394. 


394. 


mélies  ou  traités;  quel  est  le  dessein  de  ces 
homélies,  221.  Il  y  combat  les  Ariens, 
221  et  223  ;  les  Manichéens ,  222 ,  223  ; 
les  Donatisles,  223,  224;  les  Philosophes, 
224,  225.  Conduite  de  l'Église  envers  les 
hérétiques;  ce  qu'on  doit  penser  de  leur 
martyre,  225,  226.  Comment  se  doit  faire 
la  correction  fraternelle  ;  on  ne  doit  ja- 
mais désespérer  du  pardon  de  ses  péchés  ; 
ne  s'attacher  qu'à  Dieu  et  non  pas  aux  biens 
périssables,  226.  Observation  des  comman- 
dements et  excellence  de  la  charité,  226  et 

227.  Ne  pas  négliger  les  péchés  légers  ;  en 
quel  esprit  il  faut  faire  les  bonnes  œuvres  ; 
utilité  de  la  crainte,  227.  Questions  sur  l'É- 
pître  aux  Romains;  quelle  en  fut  l'occasion; 
Explication  de  cette  Épître  ;  en  quel  temps 
elle  a  été  faite  ;  ce  qu'il  y  a  de  remarqua- 
ble, 228.  Explication  de  l'Épître  aux  Gala- 

394.        les  ;  ce  qu'elle   contient  de  remarquable, 

228,  229.  Ouvrages  faussement  attribués  à 
saint  Augustin  ;  trois  livres  des  merveilles 
de  l'Écriture  sainte  ;  livre  des  Bénédictions 
du  patriarche  Jacob  ;  Questions  sur  l'Ancien 
et  le  Nouveau  Testament  ;  dix-neuf  homé- 
lies sur  l'Apocalypse,  229.  Écrits  contenus 
dans  le  quatrième  tome  des  œuvres  de  saint 
Augustin  :  Exphcations  des  Psaumes,  229 
et  suiv.  A  quelles  occasions  et  dans  quel 

v.4UetM6.  temps  elles  ont  été  faites,  229,  230.  En 
quelle  manière  saint  Augustin  a  expliqué 
les  Psaumes,  230.  En  quel  lien  il  les  a  expli- 
qués, 230  et  231 .  Division  de  l'ouvrage  ;  de 
quelle  version  saint  Augustin  se  servit  ;  les 
préfaces  sur  les  Psaumes  ne  sont  pas  de 
saint  Augustin  ;  estime  qu'on  a  faite  de  ces 
commentaires,  231.  Méthode  de  saint  Au- 
gustin dans  l'explication  des  Psaumes,  231 
et  232.  Réflexions  remarquables  dans  ces 
explications,  232  et  suiv.  Prière  de  saint 
Augustin  après  ses  discours,  234,  235.  Ex- 
plication du  psaiime  quatorzième  attribuée 
à  saint  Augustin,  235.  Écrits  contenus  dans 
le  cinquième  tome  des  œuvres  de  saint  Au- 
gustin, 235  et  suiv.  Ses  sermons  ;  de  quelle 
manière  et  en  quelle  langue  saint  Augustin 
prêchait,  235.  Première  classe  des  sermons 
de  ce  père  sur  l'Écriture  sainte,  235  et  suiv. 
Sur  la  Genèse  et  l'Exode,  235,  236  ;  sur  le 
jugement  de  Salomou,  sur  Élie  et  la  veuve 
de  Sarepta,  sur  un  endroit  du  livre  de  Job  ; 
sur  les  Psaumes  ;  sur  les  Proverbes  et  sur 
l'Ecclésiastique  ;  sur  les  prophètes  Isaïe , 
236;  Ezéchiel,  Michée  et  Aggée,  236  et 
237  ;  sur  les  quatre  Évangélistes,  237  et  suiv.; 


sur  les  Épîtres  de  saint  Paul,  de  saint  Jac- 
ques et  de  saint  Jean  ;  ce  que  ces  sermons 
contiennent  de  remarquable,  237.  Seconde 
classe  de  sermons  :  sermons  du  temps  ;  ce 
qu'ils  contiennent  de  remarquable,  239, 240. 
Troisième  classe  :  sermons  sur  les  fêtes  des 
saints,  240,  241.  Quels  en  sont  les  sujets, 
240.  Ce  qu'ils  contiennent  de  plus  remar- 
quable, 240  et  241.  Sermon  de  saint  Augus- 
tin sur  son  oi'dination,  241.  Quatrième  clas- 
se :  sermons  sur  divers  sujets,  241  et  suiv. 
Ce  qu'ils  contiennent  de  remarquable,  241. 
Cinquième  classe  :  sermons  douteux,  243, 
244.  [Sermon  sur  la  naissance  de  Jésus- 
Christ,  donné  comme  authentique  par  Maï, 
243,  n.  1.]  Sermons  attribués  faussement  à 
saint  Augustin,  244,  245.  [Plusieurs  sermons 
regardés  comme  supposés  sont  de  saint  Au- 
gustin, 244,  245,  et  244,  n.  1.]  Écrits  conte- 
nus dans  le  sixième  tome  des  œuvres  de 
saint  Augustin,  245  et  suiv.  Solutions  des 
quatre-vingt-trois  questions,  245.  En  quel 
temps  et  à  quelle  occasion  cet  ouvrage  a 
été  fait,  245,  246.  Analyse  de  ces  questions, 
246  et  suiv.  Deux  livres  à  Simplicien  ;  en 
quel  temps  ils  ont  été  écrits,  249.  Saint  Au- 
gustin y  réforme  ses  premiers  sentiments 
sur  la  grâce,  249  et  250.  Analyse  du  pre- 
mier livre  à  Simplicien,  250,  231.  Analyse 
du  second  livre,  231,  252.  Solution  des 
questions  de  Dulutius,  252.  En  quel  temps 
cet  ouvrage  a  été  écrit,  252  et  253.  Analyse 
de  ces  questions,  253,  254.  Livre  de  la 
croyance  des  choses  qu'on  ne  voit  pas,  254, 
253.  Ce  livre  est  de  saint  Augustin;  en  quel 
temps  il  l'a  écrit,  234.  Analyse  de  ce  livre, 
255.  Livre  de  la  foi  et  du  symbole,  255,  256. 
En  quel  temps  il  a  été  écrit,  253.  Analyse 
de  ce  livre,  255  et  256.  Livre  de  la  foi  et 
des  œuvres,  256  et  suiv.  En  quel  temps  il  a 
été  écrit,  236,  257.  Analyse  de  ce  livre, 
257,  258.  Manuel  à  Laurent  ou  traité  de  la 
Foi,  de  l'Espérance  et  de  la  Charité,  258  et 
suiv.  En  quel  temps  il  a  été  écrit,  258.  Ce 
livre  est  une  réponse  aux  questions  propo- 
sées par  Laurent,  258  et  259.  Ce  livre  est 
connu  sous  le  titre  d'Enchiridion  ou  Manuel 
à  Laurent,  259.  Analyse  de  la  première  par- 
tie, de  la  Foi,  250  et  suiv.  Analyse  de  la  se- 
conde partie,  de  l'Espérance  ;  analyse  de  la 
troisième  partie,  de  la  Charité,  263.  Livre 
du  Combat  chrétien,  263,  264.  En  quel 
temps  il  a  été  écrit,  263.  Analyse  de  ce 
traité,  264.  Livre  de  la  Manière  d'instruire, 
264  et  suiv.  Temps  où  il  a  été  écrit,  264. 


422. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


m 


Analyse  de  ce  traité,  265,  266.  Livre  de  la 
Continence,  266,  267.  Ce  traité  est  de  saint 
Augustin,  266.  Analyse  de  ce  qu'il  contient, 
266  et  267.   Livre  du  bien  du  Mariage,  267 

.  401.  et  suiv.  En  quel  temps  et  à  quelle  occasion 
il  a  été  écrit,  267, 268.  Analyse  de  ce  traité. 
268,  269.  Comment  saint  Augustin  y  répond 
aux  objections  de  Jovinien,  269.  Livre  de  la 

401.  sainte  Virginité,  269  et  suiv.  En  quel  temps 
il  a  été  écrit,  269.  Analyse  de  ce  livre,  269 
et  suiv.  Livre  du  Bien  de  la  Viduité,  271, 
272.  Ce   livre  est   de   saint  Augustin  ;    en 

ai.  quel  temps  il  a  été  écrit,  271.  Analyse  de 
ce  livre,  271  et  272.   Deux  livres  des  Maria- 

419.  ges  adultérins,  272  et  suiv.  En  quel  temps 
et  à  quelle  occasion  ces  livres  ont  été  écrits; 
analyse  du  premier  livre,  272,  273.  Analyse 
du  second  livre,  273,  274.  Livre  du  men- 

395.  songe  ;  en  quel  temps  il  a  été  écrit,  274. 
Analyse  de  ce  livre,  274  et  275.  Livre  Con- 
tre le  mensonge  à  Consentius,  273  et  suiv. 

420.  En  quel  temps  il  a  été  écrit,  275.  Analyse 
de  ce  livre,  273  et  suiv.  Livre  du  travail  des 
moines,  277  et  suiv.  Quelle  en  fut  l'occa- 

400  sion  ;  en  quel  temps  il  a  été  écrit,  277.  Ana- 
lyse de  ce  livre,  277  et  suiv.  Livre  des  Prê- 
tre 406  dictions  des  démons  ;  temps  et  occasions  où 
'■  il  fut  écrit,  279.  Analyse  de  ce  livre,  279, 
280.  Livre  du  Soin  pour  les  morts,  280  et 
421.  suiv.  En  quel  temps  et  à  quelle  occasion  il 
a  été  écrit,  280.  Analyse  de  ce  livre,  280  et 
.  418.  suiv.  Livre  de  la  Patience,  282,  283.  Quatre 
sermons  sur  le  Symbole  ;  il  n'y  a  que  le 
premier  qui  soit  de  saint  Augustin,  283, 
284.  [Voyez  pourtant  283,  n.  1.]  Analyse  de 
ce  premier  discours,  283,  284.  Sermon  de 
la  discipline  chrétienne  ;  sermon  du  nou- 
veau cantique  et  quelques  autres  qui  parais- 
sent attribués  à  saint  Augustin  ;  sermon  sur 
l'utilité  du  jeûne,  284.  Sermon  sur  la  prise 
de  Rome,  283,  286.  Ouvrages  attribués  faus- 
sement à  saint  Augustin ,  286  et  suiv.  Livi'e 
des  vingt  et  une  questions  ;  livre  des 
soixante-cinq  questions;  livre  de  la  foi 
à  Pierre  ;  livre  de  l'esprit  et  de  l'âme  ;  livre 
de  l'amitié  ;  livre  de  la  substance  de  l'a- 
mour ;  livre  de  l'amour  de  Dieu  ;  les  solilo- 
ques de  l'âme  ;  livre  des  méditations,  286. 
Livre  de  la  contrition  du  cœur  ;  le  manuel  ; 
le  miroir  ;  autre  miroir  ;  livre  des  trois  ha- 
bitations ;  l'échelle  du  paradis  ;  livre  de  la 
connaissance  de  la  vie  ;  livre  de  la  vie  chré- 
tienne ;  livre  des  enseignements  salutaires; 
livre  des  douze  abus  du  siècle  ;  traité  des 
sept  vices,  et  des  sept  dons  du  Saint-Es- 


prit ;  traité  du  combat  des  vices  et  des  ver- 
tus ;  livre  de  la  sobriété  et  de  la  chasteté, 
287.  Livre  de  la  vraie  et  de  la  fausse  péni- 
tence, 287  et  288.  Livre  de  l'antechrist  ;  le 
psautier;  explication  du  Magnificat;  traité 
de  l'Assomption. de  la  Vierge;  deux  livres  de 
la  visite  des  infirmes,  et  deux  sermons  de 
la  consolation  sur  les  morts  ;  traité  de  la 
conduite  chrétienne  ;  discours  sur  le  sym- 
bole et  quelques  autres  discours;  traité  des 
douze  pierres;  soixante-seize  sermons  aux 
frères  du  désert,  288.  Écrits  contenus  dans 
le  septième  tome  des  œuvres  de  saint  Au- 
gustin, 288  et  suiv.  Vingt-deux  livres  de  la 
Cité  de  Dieu,  288.  A  quelle  occasion  ils  fu- 
rent écrits,  288,  289,  En  quel  temps  saint  ^  ^^^ 
Augustin  les  a  commencés  ;  en  quel  temps  ^^^  ^  ^^^^ 
il  les  a  achevés,  289.  Estime  qu'on  a  faite 
de  ces  livres,  289  et  290.  Dans  les  dix  pre- 
miers saint  Augustin  réfute  les  sentiments 
des  païens,  289.  Analyse  du  premier  livre, 
290  et  suiv.  ;  du  deuxième,  292  et  suiv.  ;  du 
troisième,  294,  295  ;  du  quatrième,  293  et 
suiv.  ;  du  cinquième,  298  et  suiv.  ;  du 
sixième,  300  ;  du  septième,  300  et  301  ; 
du  huitième,  301  et  suiv.  ;  du  neuvième, 
303  ;  du  dixième,  303  et  suiv.  Dans  les  dou- 
ze suivants,  saint  Augustin  expose  les  sen- 
timents de  l'Église  sur  l'origine,  les  progrès 
et  la  fin  de  la  cité  de  Dieu  et  de  la  cité  du 
monde,  305.  Analyse  du  onzième  livre,  305 
et  suiv.;  du  deuxième,  307  et  suiv.;  du 
treizième,  309,  310;  du  quatorzième,  310  et 
suiv.;  du  quinzième,  312  et  suiv.;  du  sei- 
zième, 314,  313  ;  du  dix  septième,  313  et 
suiv. ;  du  dix-huitième,  316  et  suiv.;  du  dix- 
neuvième,  319,  320;  du  vingtième,  320, 
321  ;  du  vingt-unième,  321  et  suiv.  ;  du 
vingt-deuxième,  323  et  suiv.  Écrits  touchant 
l'invention  des  reliques  de  saint  Etienne, 
327  et  suiv.  Lettre  d'Avite,  327.  Relation  de 
Lucien  327  et  328.  Lettre  d'Anastase  à  Lan- 
duléus,  328,  329.  Lettre  de  Sévère  à  toute 
l'Église,  329.  Livre  des  Miracles  de  saint 
Etienne,  329  et  330.  Écrits  contenus  dans  le 
huitième  tome  des  œuvres  de  saint  Augus- 
tin; Traité  des  hérésies,  330  et  suiv.  11  a  été 
fait  à  la  prière  de  Quod  vult  Deus.  En  quel  y  428. 
temps,  330,  331.  Dessein  de  cet  ouvrage  ;  il 
devait  être  distribué  en  plusieurs  livres, 
331.  Augustin  y  parle  de  quatre-vingt-huit 
hérésies  ;  estime  qu'on  fait  de  cet  ouvrage  ; 
traité  contre  les  juifs  ou  discours  sur  l'In- 
carnation ;  on  ne  sait  en  quel  temps  il  a  été 
écrit  ;   analyse  de  ce  qu'il  contient,  332, 


H2 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


394. 


397. 


V.  4o4. 


Livre  de  l'Utilité  de  la  foi,  332  et  suiv. 
391.  En  quel  temps  il  a  été  écrit,  333  et  suiv.  11 
est  adressé  à  Honorât,  333.  Analyse  de  ce 
livre,  333  et  suiv.  Excellence  des  livres  de 
l'Écriture  sainte,  333,  334.  Les  lois  ne  dé- 
fendent pas  d'embrasser  la  foi  catholique  ; 
autorité  de  l'Église  catholique,  334.  Motifs 
qui  engagent  à  la  reconnaître  ;  qu'on  doit 
s'instruire  et  prier  pour  arriver  à  la  vérité, 

391.  333.  Livre  des  Deux  âmes;  en  quel  temps  il 
a  été  écrit  ;  analyse  de  ce  qu'il  contient, 
336.  Livre  contre  Fortunat,  manichéen,  336 

392.  et  337.  En  quel  temps  et  à  quelle  occasion 
il  a  été  écrit,  336.  Analyse  de  ce  qu'il  con- 
tient, 336,  337.  Livre  contre  Adimante,  ma- 
nichéen ;  en  quel  temps  il  a  été  écrit,  337. 
Analyse  de  ce  qu'il  contient,  337  et  338.  Li- 
vre contre  l'épître  du  fondement,  338,  339. 
En  quel  temps  il  a  été  écrit  ;  pourquoi  l'épî- 
tre de  Manichée  est  intitulée  du  Fondement, 
338.  Analyse  du  livre  de  saint  AugusSin  con- 
tre cette  épître,  338,  339.  Trente-trois  livres 
contre  Fauste  le  manichéen,  339  et  340.  En 
quel  temps  ils  ont  été  écrits  et  à  quelle  oc- 
casion 339,  340.  Analyse  de  ce  qu'ils  con- 
tiennent, 340  et  suiv.  Analyse  du  premier 
et  du  deuxième  livre,  du  troisième,  du  qua- 
trième, 340;  du  cinquième,  340  et  341  ;  du 
sixième,  du  septième  et  huitième  (l'analyse 
du  neuvième  manque),  du  dixième,  341  ; 
du  onzième,  341  et  342  ;  du  douzième,  du 
treizième,  du  quatorzième,  342;  du  quin- 
zième et  du  seizième,  du  dix-septième  et  du 
dix -huitième  ,  du  dix-neuvième ,  343  ;  du 
vingtième,  343  et  344;  du  vingt-unième, 
344;  du  vingt-deuxième,  344  et  suiv.  ;  des 
vingt-troisième,  vingt-quatrième,  vingt-cin- 
quième,  vingt -sixième,  vingt-septième, 
vingt-huitième,  vingt-neuvième,  347,  348; 
du  trentième,  du  trente-unième,  348  ;  du 
trente-deuxième,  du  trente-troisième,  348 
et  349.  Deux  livres  contre  Félix  le  mani- 

404.  chéen,  349  et  suiv.  En  quel  temps  et  à 
quelle  occasion  ils  ont  été  écrits,  349,  Ana- 
lyse du  premier  livre,  349  et  suiv.  Analyse 
du  deuxième  livre,  3S1.  Livre  de  la  Nature 
du  Bien  contre  les  manichéens,  3S1  et  3S2. 

V.  404.  En  quel  temps  il  a  été  écrit,  331,  332.  Ana- 
lyse de  ce  livre,  332.  Livre  contre  Secondin, 

405.  3.32  et  353.  En  quel  temps  il  a  été  écrit,  332. 
Analyse  de  ce  qu'il  contient,  332  et  333. 
Deux  livres  contre  l'Adversaire  de  la  loi  et 

V.  420.  des  prophètes,  353  et  suiv.  En  quel  temps 
et  à  quelle  occasion  ils  ont  été  écrits,  353, 
354.  Analyse  du  premier  livre,  334,  355. 


Analyse  du  deuxième  livre,  355,  356.  Livre 
à  Orose  contre  les  Priscillianistes  et  les  Ori- 
génistes,  336,  337.  En  quel  temps  et  à 
quelle  occasion  il  a  été  écrit,  336.  Analyse 
de  ce  livre,  356  et  357.  Écrits  contre  les 
Ariens,  357  et  suiv.  Réponses  de  saint  Au- 
gustin à  un  discours  des  Ariens,  357  et  suiv. 
En  quel  temps  saint  Augustin  a  composé  cet 
ouvrage,  357.  Analyse  de  ces  réponses  357 
et  suiv.  Conférence  avec  Maximin,  évêque 
arien,  et  deux  hvres  contre  cet  hérétique, 
359  et  suiv.  La  Conférence  et  les  deux  livres 
contre  Maximin  sont  de  saint  Augustin, 
359.  Analyse  de  la  Conférence,  339  et  suiv. 
Analyse  du  premier  livre,  360.  Analyse  du 
deuxième,  360  et  361.  Quinze  livres  sur  la 
Trinité,  361  et  suiv.  En  quel  temps  ils  ont 
été  faits,  361,  362.  Jugements  que  l'on  a 
portés  de  ces  livres  ;  dessein  de  cet  ouvra- 
ge, 362.  Analyse  du  premier  livre,  362, 363; 
du  deuxième,  363,  364  ;  du  troisième,  364 
363  ;  du  quatrième,  363,  366  ;  du  cinquième, 

366  ;  du  septième,  366,  367  ;  du  huitième, 

367  ;  du  neuvième,  367  et  368  ;  des  di- 
zième,  onzième,  douzième,  treizième,  368  ; 
du  quatorzième,  du  quinzième,  368  et  369. 
Ouvrages  attribués  à  saint  Augustin,  369  et 
suiv.  Traité  contre  les  Cinq  hérésies,  c'est- 
à-dire  contre  les  Païens,  Juifs,  Manichéens, 
Sabelliens  et  Ariens,  369.  Discours  intitulé 
du  Symbole,  ou  traité  contre  les  Juifs,  les 
Païens  et  les  Ariens,  369,  370.  Dispute  en- 
tre l'Église  et  la  Synaguogue  ;  livre  de  la  foi 
contre  les  Manichéens  ;  de  la  manière  de 
recevoir  les  Manichéens;  traité  de  l'unité 
de  la  Trinité  ;  questions  sur  la  Trinité  et  sur 
la  Genèse;  deux  livres  de  l'Incarnatioa; 
livre  de  la  Trinité  et  de  l'unité  de  Dieu  ;  li- 
vre de  l'essence  de  la  Divinité,  370.  Dialo- 
gue de  l'unité  de  Trinité,  370  et  371 .  Livre 
des  dogmes  ecclésiastiques  ;  supplément  à 
ce  livre  parle  cardinal  Maï,  371.  Écrits  con- 
tenus dans  le  neuvième  tome  des  œuvres 
de  saint  Augustin,  371  et  suiv.  Précis  de 
l'affaire  des  Donatistes,  occasion  de  cet  ou- 
vrage, 371  et  suiv.  Psaume  abécédaire  con- 
tre les  Donatistes,  374.  Réfutation  du  grand 
Donat,  374  et  375.  Cet  ouvrage  est  perdu, 
375.  Trois  hvres  contre  la  lettre  de  Parmé- 
nien,  375  et  suiv.  En  quel  temps  cet  ouvrage 
a  été  fait,  373.  Analyse  du  premier  livre, 
373  et  suiv.  ;  du  deuxième,  377,  378;  du  troi- 
sième, 378,  379.  Sept  hvres  du  Baptême, 
380  et  suiv.  En  quel  temps  ils  ont  été  écrits; 
Dessein  de  cet  ouvrage,  380.  Analyse  du 


415. 


V.  418. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


113 


premier  livre,  380,  et  suiv.  ;  dn  deuxième, 
382,  383  ;  du  troisième,  383,  384  ;  du  qua- 
trième, 384  et  suiv.  ;  du  cinquième,  386  et 
suiv.;  des  sixième,  septième  livres,  388, 
389.  Réfutation  de  ce  qu'a  apporté  Centu- 
rius  ;  cet  ouvrage  est  perdu,  389.  Trois  li- 
vres contre  la  lettre  de  Pétilien,  389  et  suiv. 
Occasion  de  cet  ouvrage,  389.  Quel  était  Pé- 
tilien, 389  et  390.  Précis  de  la  lettre  à  la- 
quelle saint  Augustin  répondit,  390.  En  quel 
V.  400.       temps  fut  écrit  le  premier  livre  ;  analyse  de 

402.  ce  livre,  390,  391.  En  quel  temps  fut  écrit 
le  second,  391.  Analyse  de  ce  qu'il  contient, 
291  et  suiv.  Analyse  du  troisième  livre,  393, 
394.  Livre  de  l'unité  de  l'Église  ou  lettre 
contre  les  Donatistes,  394  et  suiv.  Cet  ou- 

402.  vrage  est  de  saint  Augustin  ;  en  quel  temps 
il  a  été  écrit,  394,  39S.  Analyse  de  ce  qu'il 
contient,  395  et  suiv.  Quatre  livres  contre 
1.  406.  Cresconius,  399  et  suiv.  En  quel  temps  et  à 
quelle  occasion  ils  ont  été  écrits,  399.  Ana- 
lyse du  premier  livre,  399  et  400  ;  du  dexi- 
xiènie,  400,  401;  du  troisième,  401  ;  du  qua- 
trième, 401  et  402.  Livre  de  l'unité  du  Bap- 
tême contre  Pétilien,  402  et  suiv.  En  quel 

.  4J1.  temps  ce  livre  a  été  écrit,  402.  Quelle  en  fut 
l'occasion,  403.  Analyse  de  ce  livre,  403  et 
404.  Abrégé  de  la  conférence  avec  les  Do- 

,  411.  natistes,  404  et  suiv.  En  quel  temps  et  à 
quelle  occasion  il  a  été  fait,  404,  405.  Ana- 
lyse de  cet  abrégé,  405  et  suiv.  Premier 
jour  de  la  conférence,  405,  406,  407.  Second 
jour,  407.  Troisième  jour,  408,  409.  Livre 

418  aux  Donatistes  depuis  la  conférence;  quelle 
en  fut  l'occasion,  409,  410.  Analyse  de  ce 

418.  livre,  410.  Discours  au  peuple  de  Césarée, 
de  Mauritanie,  en  présence  d'Émérite,  évé- 
.  que  donatiste,  410,  411.  Conférence  de  saint 
Augustin  avec  plusieurs  évèques  en  pré- 
sence d'Émérite,  411  et  suiv.  Deux  livies 
contre   Gaudence,    413   et  suiv.     En   quel 

'.  420.  temps  et  à  quelle  occasion  ils  out  été  écrits, 
413.  Analyse  du  premier  livre,  413  et  414. 
Analyse  du  deuxième,  414,  415.  Ouvrages 
attribués  faussement  à  saint  Augustin  ;  dis- 
cours touchant  le  sous-diacre  Rusticien;  livre 
contre  Fulgence  le  donatiste,  415.  Monu- 
ments pour  l'histoire  des  Donatistes,  415  et 
suiv.  Ecrits  contenus  dans  le  dixième  tome 
des  œuvres  de  saint  Augustin,  417  et  suiv. 
Écrits  contre  les  Pélagiens  ;  origine  du  Pé- 
lagianisme,  417.  Deux  livres  des  Mérites, 
des  Péchés  et  de  leur  rémission,  ou  livres  à 
Marcellin  sur  le  baptême  des  enfants,  417  et 

412.         suiv.  En  quel  temps  ils  ont  été  écrits,  417, 

TAB.    I. 


418.  Analyse  du  premier  livre,  418  et  suiv.; 
du  deuxième  livre,  422  et  suiv.  ;  du  troisiè- 
me, qui  est  une  lettre  à  Marcellin,  425  et 
suiv.  Livre  de  l'Esprit  et  de  la  Lettre  adres- 
sés au  même,  427  et  suiv.  En  quel  temps  et       v.  412. 
à  quelle  occasion  il  a  été  écrit,  427.  Ana- 
lyse de  ce  livre,  427  et  suiv.  Livre  de  la 
Nature  et  de  la  Grâce  contre  Pelage,  433  et 
suiv.  En  quel  temps  il  fut  écrit,  433.  Quelle         415. 
en  fut  l'occasion,  434.  Analyse  de  ce  livre, 
434  et  suiv.  Livre  de  la  Perfection  de  la  jus- 
tice de  l'homme,  440  et  suiv.  En  quel  temps       v.  415. 
il  a  été  écrit  ;  quelle  en  fut  l'occasion,  440. 
Analyse  de  ce  livre,  440  et  suiv.  Livre  des 
Actes  de  Pelage,  442  et  suiv.  En  quel  temps       v,  4n. 
et  à  quelle  occasion  il  fut  écrit,  442,  443. 
Analyse  de  ce  livre  443  et  suiv.  Livres  de  la 
Grâce  de  Jésus-Christ  et  du  Péché  originel, 
448  et  suiv.  En  quel  temps  et  à  quelle  occa-        413. 
sion  ces  livres  furent  écrits,  448,  449.  Ana- 
lyse du  hvre  du  Péché  originel,  449  et  suiv. 
Deux  livres  du  Mariage  et  de  la  Concupis- 
cence, 457  et  suiv.  Le  premier  de  ces  livres 
est  adressé  au  comte  Valère  ;  en  quel  temps       v.  419. 
il  fut  écrit,  457.  Analyse  de  ce  livre,  457  et 
suiv.  Second  livre  du  Mariage  et  de  la  Con- 
cupiscence, 461  et  suiv.  Il  est  adressé  i  Se- 
cond ;  en  quel  temps  il  a  été  écrit,  461,  462.       v.  420. 
Analyse  de  ce  livre,  462  et  suiv.  Quatre  li- 
vres de  l'Ame  et  de  son  origine,  466  et  suiv. 
En  quel  temps  ils  ont  été  écrits  et  à  qui  ils       v.  4S0. 
sont  adressés,  466,  467.  Analyse  du  premier 
livre  adressé  au  moine  René,  467  et  suiv. 
Analyse  du  second  livre  adressé  au  prêtre 
Pierre,  469,  470.  Analyse  du  troisième  livre 
adressé  à  Victor  le  rogatiste,  470  et  suiv.  Ana- 
lyse du  quatrième  livre  adressé  au  même,  472 
et  suiv.  Quatre  livres  adressés  au  pape  saint 
Boniface  contre  les  Pélagiens,  474  et  suiv. 
En  quel  temps  et  à  quelle  occasion  ils  ont       v.  420. 
été  faits,  474.  Analyse  du  premier,  474  et 
suiv.  ;  du  deuxième,  477  et  suiv.  ;  du  troi- 
sième, 479  et  suiv.  ;  du  quatrième,  481  et 
suiv.  Six  livres  contre  Julien ,  483  et  suiv. 
Quel  était  Julien  ;  ses  écrits,  483,  484.  En 
quel  temps  il  faut  placer  les  livres  de  saint       v.  42i. 
Augustin   contre   Juhen,   484.  Analyse   du 
premier  livre,  484  et  suiv.  ;  du  deuxième, 
488  et  suiv.;  du  troisième,  491  et  suiv.  ;  du 
quatrième,  495  et  suiv.  ;  du  cinquième,  503 
et  suiv.  ;  du  sixième,  507  et  suiv.  Livre  de 
la  Grâce  et  dn  Libre  Arbitre  adressé  à  Valen- 
tin,  512  et  suiv.  En  quel  temps  et  à  quelle       v.  427. 
occasion  il  fut  écrit,  512,  513.  Analyse  de 
ce  hvre,  513  et  suiv.  Livre  de  la  Correction 

.    8 


114 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLESIASTIQUES. 


et  de  la  Grâce  adressé  aussi  à  Valentin,  518 
V.  426.  et  suiv.  A  quelle  occasion  et  en  quel  temps 
il  fut  écrit,  518,  519.  Analyse  de  ce  livre, 
519  et  suiv.  Principes  établis  dans  le  com- 
mencement de  ce  livre,  519,  520.  Réponses 
aux  objections  du  moine  d'Adrumet,  520  et 
suiv.  Lettres  que  saint  Prosper  et  Hilaire 
adressent  à  saint  Augustin,  et  qui  furent 
l'occasion  des  deux  livres  de  ce  Père  sur  la 
Prédeslination  des  saints  et  sur  le  don  de  la 
persévérance,  524  et  suiv.  Sentiments  des 
fidèles  de  Marseille  touchant  la  doctrine  de 
saint  Augustin  ;  ces  sentiments  donnèrent 
lieu  à  la  lettre  de  saint  Prosper,  524  et  suiv. 
Analyse  de  la  lettre  d'Hilaire,  526,  527. 
Analyse  du  livre  de  la  Prédestination  des 
saints  adressé  à  saint  Prosper  et  à  Hilaire, 
527  et  suiv.  Ouvrage  imparfait  contre  Ju- 
^  ^3g  lien,  538  et  suiv.  En  quelle  année  et  à  quelle 
occasion  cet  ouvrage  a  été  composé,  538, 
V.  422.  339.  Huit  livres  du  pélagien  Julien  furent 
l'occasion  de  l'ouvrage  de  saint  Augustin  ; 
analyse  du  premier  livre  contre  Julien,  539  ; 
du  deuxième,  546  et  suiv.  ;  du  troisième, 
550  et  suiv.  ;  du  quatrième,  553  et  suiv.  ; 
du  cinquième,  554,  555  ;  du  sixième  555 
et  suiv.  Ouvrages  faussement  attribués 
à  saint  Augustin  ,  558 ,  559.  Six  livres 
intitulés  Hypomneslicon  ,  558,  559.  Traité 
de  la  Prédestination  et  de  la  Grâce;  livre 
de  la  Prédestination  de  Dieu  ;  réponse  aux 
objections  de  Vincent  ;  écrits  touchant  les 
Pélagiens  ;  lettre  à  Probus  et  fragment 
d'un  discours  attribué  à  saint  Augustin , 
559.  Vie  de  saint  Augustin  et  catalogue 
de  ses  ouvrages  par  Possidius ,  559  et 
suiv.  Quelques  particularités  de  la  vie  de 
Possidius;  sa  liaison  avec  saint  Augustin  ; 
ses  écrits,  562,  563.  Doctrine  de  saint  Au- 
gustin, 564  et  suiv.  Sur  l'Écriture  sainte, 
564  et  suiv.  Son  inspiration,  564.  Son  infail- 
libilité, 564  et  565.  Sa  vérité  et  son  autori- 
té, 565  et  suiv.  Règles  pour  distinguer  les 
livres  canoniques,  567,  568.  Canon  des 
Écritures,  568,  569.  Livres  contestés  par  les 
catholiques  ou  rejetés  par  les  hérétiques, 
569  et  suiv.  Livres  perdus  cités  dans  les 
Écritures,  573  et  suiv.  Livres  supposés  ou 
apocryphes,  577,  578.  Prophètes  plus  an- 
ciens que  les  philosophes,  577.  Ce  qui  dis- 
tingue les  prophètes  inspirés  d'avec  les 
faux  prophètes,  577  et  578.  Obscurité  des 
prophètes,  578,  579.  Prophéties,  preuve  de 
la  religion  chrétienne,  579  et  suiv.  Psau- 
mes :  David  en  est  l'auteur,  582,  583.  Titres, 


distribution  et  mesure  des  Psaumes,  583, 
584.  Utilité  des  Psaumes,  584,  585.  Impré- 
cations contenues  dans  les  Psaumes,  585. 
Évangiles,  caractère  des  évangélistes,  585, 
586.  Symboles  qui  désignent  chacun  des 
quatre  évangéhstes,  586,  587.  Du  rang  et 
de  la  dignité  des  évangélistes,  587,  588. 
Dessein  de  chaque  évangéliste  ;  ce  qui  dis- 
tingue saint  "Jean  des  trois  autres,  588,  589. 
Les  trois  premiers  nous  tracent  l'image  de 
la  vie  active,  saint  Jean  la  vie  contempla- 
tive, 589.  Objections  des  païens  contre  les  • 
Évangiles,  589  et  suiv.  Jésus-Christ  ayant 
conduit  la  main  des  évangélistes,  on  peut 
dire  que  c'est  lui-même  qui  a  écrit  l'Évan- 
gile ;  effet  des  contrariétés  apparentes  de 
l'Évangile,  591.  Les  omissions  des  évangé- 
listes n'empêchent  pas  qu'ils  n'aient  dit  ce 
qu'ils  devaient  dire,  591  et  592.  Il  n'y  a 
point  de  contrariété  entre  les  évangélistes, 
592,  593.  Quoique  les  évangéhstes  dififèrent 
dans  l'ordre  de  rapporter  les  faits,  ils  s'ac- 
cordent pour  le  fond  des  choses,  593,  594. 
Éloquence  des  divines  Écritures ,  594  et 
suiv.  Obscurité  de  l'Écriture  ;  respect  qu'on 
doit  lui  porter,  596,  597.  Divers  sens  de 
l'Écriture,  597  et  suiv.  Gomment  il  faut 
s'appliquer  à  l'étude  de  l'Écriture  sainte, 
599.  Règles  pour  l'inteUigence  de  l'Ecriture, 
599  et  600.  Utilité  des  traductions,  600  et 
suiv.  Comment  il  faut  corriger  un  défaut  de 
traduction,  602,  603.  D'où  l'on  doit  tirer  la 
connaissance  des  locutions  inconnues,  603, 
604.  Quelles  sont  les  meilleures  versions, 
604,  605.  Utihté  de  la  connaissance  des  lan- 
gues pour  l'intelligence  des  Écritures,  605. 
Utilité  de  la  connaissance  de  la  nature  et  de 
la  propriété  des  choses,  605,  606.  Utilité  de 
la  connaissance  de  l'histoire,  606,  607.  Com- 
ment on  peut  ôter  l'ambiguité  des  mots,  607 
et  suiv.  Comment  il  faut  entendre  les  ex- 
pressions qui  renferment  un  précepte,  609 , 
610.  Histoire  de  la  version  des  Septante  ; 
son  autorité,  610  et  suiv.  Autorité  du  texte 
du  Nouveau  Testament,  612.  Lecture  de 
l'Écriture  sainte,  612  et  suiv.  Divers  points 
de  l'Ancien  Testament,  614  et  suiv.  ;  du 
Nouveau  Testament,  616  et  suiv.  De  la  tra- 
dition; son  autorité,  618,  619.  Autorité  des 
Pères  de  l'Église,  619  et  suiv.  Autorité  des 
conciles,  621  et  suiv.  Caractères  del'Éghse; 
sa  catholicité,  623  et  suiv.  Sa  visibilité,  626, 
627.  Son  indéfectibihté,  627,  628.  Réponse 
à  l'objection  tirée  des  temps  de  nuages  et 
d'obscurité,  628.  Quels  sont  les   membres 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


115 


de  l'Église,  629  et  suiv.  Observation  sur  le 
mélange  des  bons  et  des  méchants  dans 
l'Église,  631  et  suiv.  Il  n'y  a  point  de  salut 
hors  de  l'Église,  633.  Primauté  de  saint 
Pierre,  633  et  suiv.  Église  romaine  ;  respect 
pour  la  chaire  de  saint  Pierre,  63a,  636. 
Existence  de  Dieu  ;  ses  perfections  ;  sa  na- 
ture, 636  et  suiv.  Trinité  des  personnes  en 
Dieu,  638  et  suiv.  Missions  divines  et  pro- 
cessions du  Saint-Esprit,  640.  Règles  pour 
l'explication  de  certaines  difficultés  touchant 
la  'Trinité,  640  et  suiv.  Incarnation  ;  con- 
duite de  Dieu  dans  ce  mystère ,  642  et  suiv. 
Divinité  et  humanité  de  Jésus-Christ,  644. 
Les  deux  natures  en  Jésus-Christ  ne  sont 
qu'une  seule  personne,  643  et  suiv.  Néces- 
sité de  la  foi  en  Jésus-Christ  pour  le  salut, 
647  et  suiv.  Volonté  en  Dieu  de  sauver  tous 
les  hommes,  630.  Différentes  explications 
de  ces  paroles  :  Dieu  veut  que  tous  les 
hommes  soient  sauvés,  630  et  suiv.  Mort  de 
Jésus-Christ  pour  tous  les  hommes,  633, 
634.  Péché  originel  ;  preuves  de  ce  péché, 
654  et  suiv.  Jésus-Christ  n'est  point  né  avec 
lui,  637,  638.  Les  enfants  des  fidèles  con- 
tractent le  péché  originel,  638.  Comment  le 
péché  originel  se  transmet  des  pères  aux 
enfants,  638  et  659.  État  des  enfants  qui 
meurent  sans  Baptême,  639  et  suiv.  Réponse 
à  l'objection  des  Semi-Pélagiens  louchant 
ces  enfants,  661,  662.  Prédestination;  ce 
que  c'est,  662,  663.  Jésus-Christ  est  le  mo- 
dèle de  la  prédestination  des  élus,  663,  664. 
Prédestination  gratuite  dans  les  enfants, 
664,  663.  Prédestination  gratuite  dans  les 
adultes,  665,  666.  La  prédestination  est  un 
secret  même  pour  les  élus,  666,  667.  Certi- 
tude du  salut  des  prédestinés,  667,  668. 
Moyens  par  lesquels  Dieu  accomplit  le  dé- 
cret de  la  prédestination,  669,  670.  Les  ré- 
prouvés vivent  pour  l'utilité  des  prédestinés, 
670.  Réprobation,  670  et  suiv.  Manière  de 
prêcher  la  prédestination,  672  et  suiv.  Grâce 
d'Adam  et  son  libre  arbitre,  673,  676.  Adam 
avait-il  reçu  le  don  de  persévérance  ;  676  et 
suiv.  Grâce  des  deux  états,  681  et  suiv.  Nos 
Ijonnes  pensées  viennent  de  Dieu,  686,  687. 
Dieu  nous  inspire  le  désir  du  bien,  687.  Ré- 
ponse aux  objections  des  Pélagiens,  687  et 
688.  Nécessité  de  la  grâce  pour  les  actions 
de  piété  eilafuitedumal,  688,  689.  Nécessité 
de  la  grâce  contre  les  tentations ,  689  et 
suiv.  Nécessité  de  la  grâce  pour  la  péni- 
tence et  la  conversion  du  pécheur,  691,  692. 
Nécessité  de  la  grâce  pour  aimer  Dieu,  692 


et  suiv.  Possibilité  des  commandements  de 
Dieu,  694.  Nécessité  de  la  grâce  pour  ac- 
complir les  commandements  de  Dieu,  694  et 
suiv.  Il  faut  demander  à  Dieu  ce  qu'il  nous 
commande.  696  et  suiv.  La  foi  est  un  don 
de  Dieu  ;  la  foi  n'est  pas  donnée  à  tous,  700. 
La  prière  est  un  don  de  Dieu,  700  et  701. 
La  persévérance  aussi ,  701  et  suiv.  La  na- 
ture est  commune  à  tous  les  hommes,  mais 
non  la  grâce,  703  et  suiv.  La  grâce  est  don- 
née gratuitement,  703,  706.  Nos  mérites 
sont  des  dons  de  Dieu,  706,  707.  Réponses 
aux  objections  des  Pélagiens  contre  la  gra- 
tuité de  la  grâce,  707,  708.  La  grâce  ne  suit 
pas,  mais  précède  la  volonté,  708,  709.  En 
quoi  consiste  la  grâce,  709,  710.  Comment 
elle  agit,  710  et  suiv.  Force  de  la  grâce, 
714,  715.  Pouvoir  de  Dieu  sur  la  volonté  des 
hommes,  713,  716.  Réponses  à  quelques 
objections  sur  ce  point  de  doctrine,  716  et 
suiv.  Comment  Dieu  prépare  la  volonté  de 
l'homme  et  comment  l'homme  se  prépare  ; 
comment  Dieu  opère  en  nous  afin  que  nous 
veuillons,  et  coopère  avec  nous  lorsque  nous 
voulons,  720.  Accord  du  libre  arbitre  avec 
la  grâce,  720  et  suiv.  La  grâce  ne  détroit 
pas  le  Ubre  arbitre  et  n'introduit  pas  le  des- 
tin, 'f23,  724.  Explication  de  ces  paroles  ; 
cela  ne  dépend  pas  de  celui  qui  veut,  ni  de 
celui  qui  court,  mais  de  Dieu  qui  fait  misé- 
ricorde, 724,  723.  La  vocation  à  la  foi  pré- 
vient le  mérite  de  l'homme,  723,  726.  Pour- 
quoi les  Tyriens  et  les  Sidoniens  n'ont  pas 
cru  en  Jésus-Christ,  726,  727.  Le  libre  ar- 
bitre ne  détruit  pas  la  nécessité  de  la  grâce, 
727  et  suiv.  II  est  libre  à  l'homme  de  con- 
sentir ou  de  ne  pas  consentir  aux  sugges- 
tions du  démon,  729,  730.  Sentiments  des 
Pélagiens  sur  le  libre  arbitre,  730,  731. 
Quelle  hberté  nous  avons  perdue  par  le  pé- 
ché du  premier  homme,  731  et  suiv.  La  na- 
ture humaine  est  rétablie  dans  le  bien 
qu'elle  a  abandonné,  733,  734.  Liberté  des 
bienheureux,  734.  Doctrine  de  saint  Augus- 
tin sur  les  anges,  734  et  suiv.  Sur  la  sainte 
Vierge,  737,  738.  Sur  les  sacrements  ;  les 
sacrements  sont  nécessaires  à  la  rehgion  ; 
différence  entre  les  sacrements  de  la  Loi  an- 
cienne et  ceux  de  laLoi  nouvelle,  738.  Circon- 
cision, 738  et  739.  Baptême  de  saint  Jean, 
739,  740,  Nécessité  du  sacrement  de  Bap- 
tême pour  être  sauvé,  740,  741.  Effets  de  ce 
sacrement,  741,  742.  Matière  et  forme  de  ce 
sacrement,  742,  743.  Ministre  du  Baptême, 
743,  744.  Rebaptisation,  744,  743.   Exorcis- 


H6 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


mes  et  autres  cérémonies  du  Baptême,  743 
et  suiv.  Sacrement  de  Confirmation,  747. 
Sacrement  de  l'Eucliaristie,  747  et  suiv. 
Présence  réelle  de  Jésus-Christ  dans  ce  sa- 
crement, 747.  Les  méchants  comme  les  bons 
reçoivent  le  corps  de  Jésus-Christ,  730,  731. 
La  chair  de  Jésus-Christ  dans  l'Eucharistie 
est  adorable  ;  comment  les  fidèles  la  man- 
gent, 751.  Réponses  à  quelques  objections 
que  les  adversaires  de  la  présence  réelle 
prétendent  tirer  de  saint  Augustin,  751  et 
suiv.  Sacrifice  de  la  loi  nouvelle,  760  et 
suiv.  Comment  Jésus-Christ  est  prêtre  et 
victime  dans  l'Eucharistie,  762.  Le  sacrifice 
n'est  dû  qu'à  Dieu  seul,  762  et  763.  Figure 
et  prophétie  du  sacrifice  de  la  loi  nouvelle, 
763,  764.  Sacrifice  et  prières  pour  les  morts, 
764  et  suiv.  Cérémonies  du  saint  sacrifice, 
766  et  suiv.  Fréquente  communion,  7fi8, 
769.  Dispositions  pour  recevoir  l'Eucharis- 
tie, 769,  770.  Doit-on  donner  l'Eucharistie 
aux  pécheurs  occultes,  770,  771.  Nécessité 
de  l'Eucharistie,  771,  772.  Sacrement  de 
Pénitence,  772  et  suiv.  Rémission  des  pé- 
chés ;  péché  contre  le  Saint-Esprit,  772, 
773.  Confession  faite  à  Dieu  et  à  ses  minis- 
tres. Pouvoir  de  lier  et  délier,  773,  774.  Sa- 
tisfaction; sa  nécessité,  774,  773.  Trois  sor- 
tes de  pénitence,  775  et  suiv.  Péchés  sou- 
mis à  la  pénitence  puMique,  777  et  suiv. 
Excommunication,  780  et  suiv.  Sacrement 
de  l'Ordre,  782  et  suiv.  Excellence  du  sa- 
cerdoce, 782,  783.  Dignité  de  l'épiscopat, 

783,  784.  Divers  degrés  de  la  cléricatuie, 

784,  783.  Célibat  des  clercs  et  vœu  de  virgi- 
nité, 783.  Moines,  anachorètes  et  cénobites, 
783  et  suiv.  Sacrement  de  Mariage,  787  et 
suiv.  Sainteté  et  indissolubihté  du  mariage, 
787,  788.  Fait  singulier  touchant  la  fidélité 
conjugale,  788,  789.  Doctrine  de  saint  Au- 
gustin sur  les  images  de  la  croix  et  des 
saints,  789  et  suiv.  Sur  les  reliques,  791, 
792.  Sur  l'invocation  et  l'intei-cession  des 
saints,  792.  Sur  les  superstitions,  792  et  793. 
Sur  les  augures  et  l'astrologie  judiciaire, 
793  et  suiv.  sur  les  ligatures  ;  sur  le  sort, 
798.  Sur  les  miracles,  793  et  796.  Sur  l'état 
des  âmes  au  sortir  du  corps  et  sur  le  bon- 
heur de  l'autre  vie,  796,  797.  Sur  le  purga- 
toire, 797,  798.  Sur  l'éternité  des  peines  des 
damnés,  798,  799.  Sur  le  schisme  et  l'héré- 
sie, 799  et  suiv.  Sur  la  puissance  tempo- 
relle, 802,  803.  Sur  la  personne  sacrée  des 
rois,  803.  Sur  le  bonheur  des  rois,  803  et 
804.  Sur  l'abstinence  et  le  jeûne,  804,  805, 


Sur  quelques  autres  points  de  discipline, 
805.  Sentiment  des  Académiciens  sur  la 
probabiUté,  805  et  806.  Doctrine  de  saint 
Augustin  sur  la  crainte,  806,  807.  Sur  l'a- 
mour de  DieUj  807,  808.  Jugement  des  ou- 
vrages de  saint  Augustin,  808  et  suiv.  Ses 
ouvrages  sur  la  philosophie  et  la  reMgion 
chrétienne  ;  ses  lettres,  808.  Ses  commen- 
taires ;  ses  discours  ;  ses  œuvres  morales, 
809.  Ses  livres  pour  la  défense  de  la  reli- 
gion, 809  et  810.  Ses  ouvrages  sur  la  grâce, 
810  et  suiv.  Éditions  particulières  des  œu- 
vres de  saint  Augustin,  812  et  suiv.  Des  li- 
vres de  la  Cité  de  Dieu,  812.  De  ses  Confes- 
sions, 812  et  813.  Des  commentaires  sur  les 
Psaumes  et  des  discours  sur  l'Écriture,  813. 
Des  opuscules,  813  et  814.  Des  lettres,  815. 
Éditions  générales  d'Amerbach,  d'Érasme 
et  de  Louvain,  815  et  suiv.  Édition  des  Bé- 
nédictins de  Saint-Maur,  813  et  suiv.  Con- 
testations qui  s'élèvent  sur  cette  édition, 
816  et  suiv.  Édition  d'Anvers  faite  sur  celle 
des  Bénédictins,  et  augmentée  d'un  dou- 
zième tome  contenant  un  appendice  de  Jean 
le  Clerc  ;  réimpression  des  deux  premiers 
volumes  de  l'édition  des  Bénédictins  à  Pa- 
ris, 818.  [Éditions  et  traductions  nouvelles  de 
saint  Augustin,  812  et  suiv.  Miroir  de  saint 
Augustin,  publié  par  le  cardinal  Maï,  215, 
216.  Abrégé  des  six  livres  de  la  Musique, 
48.  Grammaire  latine  de  saint  Augustin,  64, 
n.  1.  Sommaire  ou  chapitres  sur  la  Genèse, 
pubhés  par  Mai,  203,  n.  1.  Sommaire  ou 
prologue  du  livre  de  l'Utilité  de  la  Foi  publié 
par  le  cardinal  Maï,  333,  n.  1.  Sommaire  des 
quinze  livres'  sur  la  Trinité  publié  par  le 
môme,  362,  n.  7.  Fragments  nouveaux  de  la 
Vie  de  saint  Augustin,  par  Possidius,  564,  n.  1 . 
Editions  de  cette  Vie,  564,  n.  2.  Écrits  de 
saint  Augustin  pubhés  depuis  D.  Ceillier  ; 
vingt-cinq  sermons  publiés  par  Denys,  882 
et  suiv.  Sermons  publiés  parFontani:  1°  sur 
la  prière;  2°  sur  les  quatre  degrés  de  la 
charité  ;  3°  sur  le  deuxième  dimanche  de 
l'A  vent,  883  ;  sur  la  circoncision  de  Notre- 
Seigneur.  Dix  sermons  publiés  par  Fran- 
gipane, 834  et  suiv.  Éditions  qu'on  eu  a 
faites  ;  analyse  de  la  préface  de  l'éditeur, 
834.  Aaalyse  de  ces  sermons,  834  et  835. 
Sermons  publiés  par  M.  Caillau,  835  et  suiv. 
Publication  de  ces  sermons  ;  débats  qu'elle 
occasionne,  835,  836.  Division  des  sermons 
pubhés  par  M.  Caillau.  836,  837.  Pensées 
développées  dans  quelques-uns  de  ces  ser- 
mons, 837,  838.   Sermons   édités  dans  le 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


117 


tome  XL VII  de  la  Patrologie  latine  ;  analyse 
de  ces  sermons,  838.  Sermons  édités  par 
le  cardinal  Maï,  838  et  suiv.  Préface  de  l'é- 
diteur, 838,  839.  Tables  du  premier  volume 
de  la  Palrum  nova  Bibliotheca  où  sont  con- 
tenus ces  sermons,  839.  Authenticité  des 
sermons  publiés  par  le  cardinal  Maï,  839  et 
suiv.  Division  de  ces  sermons,  8-41  et  suiv. 
Choses  remarquables  contenues  dans  les 
sermons  publiés  par  Maï,  842  et  suiv.  Pré- 
sence réelle  de  Jésus-Christ  dans  l'Eucharis- 
tie ;  processions  du  Saint-Esprit  et  de  la  Tri- 
nité, 8-42.  Confession,  infaillibilité  de  saint 
Pierre,  8-13.  Sur  les  rois  mages;  sur  les  parti- 
sans exclusifs  de  la  raison  naturelle,  884.] — 
Occasion  du  livre  de  saint  Augustin  sur  le 
Soin  qu'on  doit  avoir  des  morts,  II,  396. 
Quel  est  le  concile  plénier  auquel  il  attribue 
d'avoir  terminé  la  question  du  baptême  des 
hérétiques,  632  et  suiv..  —  Saint  Augustin 
cite  saint  Basile  sur  le  dogme  du  péché  ori- 
ginel, IV,  309.  —  Il  voit  à  Milan  saint  Pi- 
lastie,  évêque  de  Brescia,  V,  172.  Baptême 
de  saint  Augustin,  387.  —  Saint  Augustin 
paie  pour  un  homme  réfugié  dans  son  égli- 
se, VI,  373.  —  Il  fait  voir  que  saint  Jean 
Chrysostôme  est  d'accord  avec  les  autres 
docteursde  l'Église  sur  le  péché  originel,  VII, 
380  et  suiv.  Lettre  de  saint  Augustin  à  saint 
Jérôme  au  sujet  de  sa  dispute  avec  Rufin  d'A- 
quilée,  438,  439.  Lettre  qu'il  écrivit  à  Jean 
évêque  de  Jérusalem,  501.  Lettre  de  ce 
père  à  saint  Pammaque,  503.  Lettre  du  pape 
saint  Innocent  à  Aurèle  de  Carlhage  et  à 
saint  Augustin,  312,  513.  Saint  Augustin 
fut  un  des  cinq  évêques  d'Afrique  qui  écri- 
virent au  pape  saint  Innocent,  521.  Lettre 
de  ce  saint  pape  aux  cinq  évêques  d'Afrique, 
523,  523.  Lettre  du  pape  Zosime  à  saint  Au- 
gustin et  aux  évêques  d'Afrique,  540.  Lettre 
de  saint  Jérôme  à  saint  Augustin,  625.  Let- 
tre de  saint  Augustin  à  saint  Jérôme,  626. 
Autre,  626  et  427.  Autre  de  saint  Jérôme  à 
saint  Augustin  ;  de  saint  Augustin  à  saint 
Jérôme,  628.  De  saint  Jérôme  à  saint  Au- 
gustin, 628  et  629.  De  saint  Augustin  à  saint 
Jérôme,  629.  De  saint  Jérôme  à  saint  Au- 
gustin, 629  et  suiv.  Autre  de  saint  Augustin 
à  saint  Jérôme,  631.  Lettres  de  saint  Jérôme 
à  saint  Augustin  ;  lettre  de  saint  Jérôme  à 
saint  Augustin  et  à  Alype,  633.  Lettre  de 
saint  Augustin  à  Julienne.  Elle  est  fausse- 
ment attribuée  à  saint  Jérôme,  646,  647. 
Lettre  de  saint  Augustin  à  Janvier  sur  la 
Pâque  ;   elle   est   encore  faussement  attri- 


buée à  saint  Jérôme,  647.  Trois  lettres  de 
saint  Augustin  à  saint  Jérôme;  Homélie  des 
pasteurs  ou  quarante-sixième  sermon  de 
saint  Augustin  attribué  à  saint  Jérôme; 
dialogue  entre  saint  Augustin  et  saint  Jé- 
rôme sur  l'origine  de  l'âme,  ouvrage  sup- 
posé ;  éloge  des  vertus  et  des  miracles  de 
saint  Jérôme,  ouvrage  faussement  attribué 
à  saint  Augustin  et  à  saint  Cyrille  de  Jéru- 
salem, 648.  Saint  Augustin  explique  le  Sym- 
bole dans  le  concile  tenu  à  Hippone  en  393, 
712.  —  Lettre  de  saint  Augustin  au  pape 
saint  Boniface,  VIII,  9.  Lettre  écrite  à  saint 
Augustin  par  saint  Paulin,  évêque  de  Noie, 
56  ;  autre,  58  ;  autre,  79  ;  autre,  80.  Lettre 
de  saint  Augustin  au  pape  Célestin,  127.  On 
continue  d'attaquer  sa  doctrine  dans  les 
Gaules;  saint  Célestin  écrit  aux  évêques  des 
Gaules  pour  sa  défense,  139  et  140.  Saint 
Augustin  est  en  vénération  dans  l'Église  ro- 
maine, 140.  Il  reçoit  Léporius,  travaille  à  le 
détromper,  l'aide  à  dresser  l'acte  de  sa  ré- 
tractation, 233.  Lettre  de  saint  Augustin  à 
Proculus  et  à  Cylinnius,  évêques  des  Gaules, 
touchant  Léporius,  236.  Lettre  que  le  pape 
Sixte  III  lui  écrivit;  deux  lettres  qu'il  écrivit 
au  pape  Sixte  III,  254.  Lettre  que  Capréo- 
1ns  de  Cartage  écrivit  à  l'empereur  Théo- 
dose sur  la  mort  de  saint  Augustin,  418. 
Lettre  de  saint  Augustin  Mercator,  499. 
Lettre  synodale  du  concile  de  Cirthe  ;  cette 
lettre  est  de  saint  Augustin,  547.  Saint  Au- 
gustin assemble  un  concile  à  Hippone  pour 
se  désigner  un  successeur,  371.  Il  est  invité 
au  concile  d'Éphëse  ;  la  lettre  de  convoca- 
tion arrive  en  Afrique  quelques  mois  après 
sa  mort,  373.  —  Cause  de  la  chute  de  saint 
Augustin  dans  l'erreur  des  Manichéens,  IX, 
29.  Règles  de  morale  qu'il  donne,  42.  Son 
caractère  à  l'égard  de  ses  amis,  66.  Règles 
qu'il  donne  à  un  monastère  de  filles,  172. 
Lettre  synodale  du  concile  de  Cirthe  ;  cette 
lettre  est  de  saint  Augustin  adressée  aux 
Donatistes,  547.  Lettre  écrite  à  D.  Ceillier 
contenant  l'explication  d'un  passage  de  saint 
Augustin,  819  et  suiv.  [Remarque  pour 
bien  saisir  la  controverse  du  Pélagianisme, 
ce  qui  embrouille  le  plus  la  controverse 
de  la  Prédestination;  moyen  de  l'éclaircir, 
843,  846.  Jugement  de  Pénélon  sur  l'édition 
des  œuvres  de  saint  Augustin  par  les  Bé- 
nédictins, 846  et  suiv.]  —  Paul  Orose  vient 
consulter  saint  Augustin  ;  écrit  que  saint 
Augustin  adresse  à  Paul  Orose,  X,  2.  C'est 
par  le  conseil   de  saint  Augustin  que  Paul 


118 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


Orose  écrit  son  Histoire,  3.  Lettre  que  Paul 
Orose  lui  écrit,  6.  Ses  livres  contre  les  Pé- 
lagiens  font  naître  quelques  difficultés  par- 
mi plusieurs  fidèles  de  Marseille  ;  lettre  que 
lui  écrit  saint  Prosper  d'Aquitaine,  276. 
Analyse  de  cette  lettre,  278,  279.  Saint  Cé- 
lestin  écrit  en  sa  faveur  aux  évoques  des 
Gaules,  277.  Sentences  de  saint  Augustin 
recueillies  par  saint  Prosper,  311.  Fauste 
de  Ries  se  déclare  contre  ce  saint  docteur, 
422.  En  voulant  le  réfuter  il  donne  dans 
l'erreur  des  Semi-Pélagiens,  427.  Le  pape 
saint  Gélase  appelle  saint  Jérôme  et  saint 
Augustin  les  lumières  des  maîtres  ecclésias- 
tiques, 499.  —  Recueil  des  sentiments  et  des 
pensées  de  saint  Augustin,  extraites  de  ses 
œuvres  par  Eugippius,  abbé  de  Lucullane, 
XI,  86.  Le  pape  Jean  I"  témoigne  que  l'É- 
glise romaine  suit  et  observe  la  doctrine  de 
saint  Augustin,  118.  On  a  attribué  à  saint 
Augustin  cent  deux  discours  que  l'on  croit 
être  de  saint  Césaire,  128.  Sentences  tirées 
de  ses  ouvrages  par  Taion,  évêque  de  Sar- 
ragosse,  776,  777.  —  Son  corps  déposé  dans 
l'île  de  Sardaigne ,  transféré  à  Pavie  par  les 
soins  de  Luitprand,  XII,  5.  Charlemagne 
prenait  plaisir  à  la  lecture  des  livres  de  saint 
Augustin,  224.  Recueil  des  sentences  de 
saint  Augustia  sur  la  grâce  et  la  prédesti- 
nation par  saint  Amelon,  432,  433.  Eloge 
de  saint  Augustin  et  de  sa  doctrine  par  Pru- 
dence de  Troyes,  494.  Autorité  de  saint  Au- 
gustin reconnue  de  part  et  d'autre  dans  l'af- 
faire de  Gothescalc,  619.  —  Lettre  attribuée 
à  saint  Augustin  où  il  est  parlé  des  offices 
divins,  Xlll,  21.  Origine  des  méditations  at- 
tribuées à  saint  Augustin,  328.  [Plusieurs 
ouvrages  de  saint  Augustin  dont  nous  n'a- 
vons pas  même  les  titres  sont  cités  dans  un 
catalogue  du  xii°  siècle,  459,  note  1.] 
Oraison  en  son  honneur  attribuée  à  l'abbé 
Guillaume,  463.  —  [Raimbauld  prévôt  de 
Saint-Jean-de-Liège  cite  un  premier  livre  de 
saint  Augustin  contre  les  Marcionites,  ab- 
solument inconnu,  XIV,  183.]  Commentaire 
de  Hugues  de  Saint-Victor,  sur  la  règle  de 
saint  Augustin,  350.  Vie  de  saint  Augustin 
par  Philippe  de  Bonne-Espérance,  687. 
[Sermon  de  Guarin,  abbé  de  Saint-Victor 
sur  saint  Augustin,  711.  Hymnes  et  office 
de  saint  Augustin  par  Adam  de  Saint-Vic- 
tor, 716,  717.  Sermon  par  Alain  de  Lille 
sur  saint  Augustin,  870.  [Un  sermon  sur 
saint  Augustin  par  Absalon  abbé  de  Spring- 
kirsbacb,  877.]  Sermon  de  Guillaume  d'Au- 


vergne pour  la  fête  de  saint  Augustin,  1027. 

AUGUSTIN  (Saint),  prieur  ou  prévôt  du 
monastère  de  Saint-André  à  Rome,  puis  ar- 
chevêque de  Cântorbéry,  est  chargé  par  le 
pape  saint  Grégoire  de  la  mission  qu'il  en- 
voyait en  Angleterre,  XI,  437,  506.  Il  arrive 
en  Angleterre  ;  comment  il  est  reçu  par  le 
roi  Ethelbert,  437,  438.  Succès  de  sa  mis- 
sion; il  baptise  le  roi  et  un  grand  nombre  de 
ses  sujets;  il  est  établi  archevêque  de  Cân- 
torbéry et  métropolitain  de  douze  évêques 
qui  devaient  recevoir  l'ordination  de  lui,  438. 
Différentes  lettres  de  saint  Grégoire  au  su- 
jet de  cette  mission,  506,  521.  Saint  Augus- 
tin envoie  au  pape  saint  Grégoire  un  mé- 
moire où  il  lui  propose  plusieurs  difficultés; 
réponses  du  pape,  324  et  suiv.  Autre  lettre 
que  le  même  pape  lui  écrit  concernant  l'é- 
tabhssement  des  évêchés  en  Angleterre  ; 
saint  Grégoire  lui  accorde  l'usage  du  pal- 
lium,  527.  Concile  que  saint  Augustin  tient 
àWorchester  au  sujetde  la  Pâque,  908,  909. 
Monastère  qu'il  bâtit  à  Cântorbéry  en  l'hon- 
neur de  saint  Pierre  et  saint  Paul,  910.  — 
Vie  de  saint  Augustin  de  Cântorbéry  dans 
l'appendice  des  œuvres  de  Lanfranc,  XIII, 
459.  Sa  Vie  écrite  en  deux  manières  par  le 
moine  Goscelin;  histoire  de  la  translation 
de  ses  reliques  faite  par  le  même,  550.  La 
solennité  de  la  fête  est  recommandée  par  le 
concile  de  Cloveshou,  611.  —  Les  deux  dif- 
férentes Vies  de  ce  saint  composées  par  Gos- 
celin, moine  de  Cautorbéry  ;  Histoire  de  ses 
miracles,  et  de  la  translation  de  ses  reliques 
par  le  même,  XIV,  233. 

[AUGUSTIN  DE  FAVIAN.  Sa  Vie  par  Eu- 
gippius, XI,  86,  n.  3.] 

AUGUSTIN  (Antoine),  archevêque  de  Tar- 
ragone.  Son  ouvrage  intitulé  de  la  Correc- 
tion de  Gratien,  XIV,  761. 

AUGUSTINEIZAT,  ville  d'Angleterre  ap- 
pelée aujourd'hui  Worchester,  XI,  909. 

AUGUSTINUS  (Aurélius),  nom  donné  à 
saint  Adalard,  à  cause  de  son  attachement 
à  la  doctrine  de  saint  Augustin,  XII,  533. 

AUJULFE,  évêque.  Sa  lettre  à  saint  Didier 
de  Cahors,  XI,  734. 

AULBÉRI  (Georges),  secrétaire  de  Char- 
les m,  duc  de  Lorraine.  Sa  traduction  fran- 
çaise de  la  vie  de  saint  Sigebert  roi  d'Aus- 
trasie,  XIV,  63. 

AUMALE,  ville  de  Normandie.  L'église 
d'Aumale  érigée  en  abbaye  par  Hugues,  ar- 
chevêque de  Rouen,  XIV,  601. 

AUMONE  recommandée  par  saint  Bar- 


595. 
600. 


601. 


747. 


il3( 


I  sièi 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


119 


nabé.  I,  285  ;  jiar  Hermas,  334.  Doctriae 
d'Hermas  sur  l'aumône,  337.  Témoignage  de 
saint  Justin,  443.  —  Traité  de  l'aumône  ; 
ouvrage  de  saint  Cyprien,  II,  288  et  suiv. 
|i  siècle.  Doctrine  de  saint  Cyprien,  273,  374.  Troncs 
pour  les  aumônes,  378.  Aumônes  de  saint 
Etienne  pape  aux  Églises  éloignées,  422. 
Aumônes  pour  les  morts  selon  les  Constitu- 
tions apostoliques^  399.  —  Règles  de  saint 
Pacôme  sur  la  pauvreté  et  l'aumône,  IH, 
366.  Aumônes  envoyées  en  Afrique  par 
l'empereur   Constant,   498,    et  V,    140.  — 

—  Doctrine  de  saint  Athanase  sur  l'aumône, 
IV,227,  [499.]  Doctrine  de  Lucifer  de  Cagliari, 
269.  Doctrine  de  saint  Basile,  542.  —  Doc- 
trine de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  294, 
333,  354,  333  ;  de  saint  Ambroise,  441,  374. 

—  Discours  de  saint  Grégoire  de  Nysse  sur 
l'aumône,  "VI,  161,  162.  Doctrine  de  saint 
Eplirem,  499.  —  Homélie  de  saint  Jean 
Chrysostôme  sur  l'aumône,  VII,  111,  112. 
Discours  de  saint  Jean  Chrysostôme  intitulé 
du  Jeûne  et  de  l'Aumône,  143,  144.  Homé- 
lie sur  l'aumône  attribuée  à  saint  Jean 
Chrysostôme,  ou  à  Sévérien,  évêque  de  Ga- 
baleSj  239.  Discours  sur  ce  sujet  faussement 
attribué  à  saint  Jean  Chrysostôme;  autre 
discours  sur  le  même  sujet  aussi  faussement 
attribué  à  ce  père,  287.  Opuscule  attribué 
faussement  à  saint  Jean  Chrysostôme  sur 
l'obligation  de  faire  part  aux  autres  des 
dons  qu'on  a  reçus  de  Dieu,  312.  Opuscule 
sur  l'aumône  attribué  faussement  à  saint 
Jean  Chrysostôme,  333.  Doctrine  de  saint 
Jean  Chrysostôme  sur  l'aumône,  54  ,  76, 
158,  194,  263,  319.  Canon  dixième  attribué 
à  Théophile  d'Alexandrie  sur  l'aumône,  446. 
Aumône,  sujet  d'une  homélie  attribuée  à 
saint  Jean  de  Jérusalem,  302.  Grandes  au- 
mônes de  Pammaque  après  la  mort  de  sa 
femme,  504,  et  VIII,  61.  —  Maximes  de 
saint  Jérôme  sur  l'aumône,  VII,  372  et  704. 
Aumônes  désapprouvées  par  Vigilance,  607. 
Aumônes  envoyées  à  Jérusalem,  617.  Canon 
dix-septième  du  quatrième  concile  de  Car- 
thage  sur  l'aumône,  729.  —  Maximes  de 
saint  Gaudence  sur  l'aumône,  VIII,  39,  40. 
Discours  de  saint  Paulin,  évêque  de  Noie,  sur 
l'aumône,  intitulé  du  Tronc,  74,  73.  [Ser- 
mon sur  l'aumône  parEusèbe  d'Alexandrie, 
383,  384.]  —  Sermons  douteux  de  saint  Au- 
gustin sur  ce  sujet,  IX,  243.  Discours  attri- 
bué à  saint  Augustin  sur  la  prière  et  l'au- 
mône, 243.  Autre  discours  aussi  faussement 
attribué  à  ce  Père  ;  autre  intitulé  de  la  Généra- 


lité des  aumônes,  288.  Doctrine  de  saint  Au- 
gustin sur  l'aumône,  19,  190,  192,  234,  323. 

—  Pensée  de  saint  Pierre  Chrysologue,X,  14, 
15.  Pensées  de  saint  Valérien  de  Cémèle  sur 
l'aumône,  156,  157.  Six  sermons  du  pape 
saint  Léon  sur  l'aumône,  179,180.  Autres  dis- 
cours où  le  même  Père  parle  de  l'aumône, 
181,  194.  Doctrine  du  pape  saint  Léon  sur 
l'aumône,  272,  273.  Homélie  de  saint  Maxime 
de  Turin,  sur  l'aumône,  322,  323.  Doctrine 
de  ce  Père  sur  l'aumône,  324.  Doctrine  de 
Salvien  sur  l'aumône,  263,  264,  263,  266, 
267,  268.  —  Homélie  de  Laurent  de  Novarre 
sur  l'aumône,  XI,  97.  Discours  de  saint  Cé- 
saire  d'Arles  sur  le  même  sujet,  132,  133, 
136,  138,  140,  143,  146.  Eloge  de  l'aumône 
par  Fortunat,  409.  Aumônes  abondantes  de 
saint  Grégoire  le  Grand,  481,  482,  485.  — 
Opuscule  de  saint  Pierre  Damien  sur  les 
avantages  de  l'aumône,  XIII,  312.  Maximes 
du  concile  de  Cloveshou  sur  l'aumône,  6H, 
612.  —  [Traité  de  l'aumône  par  Gonthier, 
moine  de  Clteaux,  XIV,  896.]  Traité  du  pape 
Innocent  III  sur  l'aumône,  1016. 

AUNACAIRE  ou  AUNAIRE  (Saint),  évê-      . 
que  d'Auxerre,  Ce  qu'on  sait  des  circons- 
tances de  sa  vie;  il  tient  un  concile  dont         573. 
il  fait  confirmer  les  statuts  par  le  roi  Con- 
tran; comment  il  règle  les  processions  dans 
son  diocèse;   ordre  qu'il  met  dans  la  ma- 
j:ière  de  célébrer  les  vigiles  dans  la  cathé- 
drale, XI,  323.  Il  charge  le  prêtre  Etienne 
d'écrire  la  vie  de  saint  Amateur  et  de  saint 
Germain,  ses  prédécesseurs;   deux  lettres 
que  lui  écrit  le  pape  Pelage  II  ;  édition  de      580-586 
ces  différentes  pièces,  324.  Concile  qu'il  as- 
sembla, 897.  (Voyez  son  article  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France.,  tome  II,  p.  493 
et  suiv.) 

AURE  (Sainte),  première  abbesse  du  mo-    yii  siècle, 
nastère  de  saint  Éloi  à  Paris,  XI,  753. 

AURÈLE  (Marc),  empereur.  Voyez  Marc 
Aurèle. 

AURÈLE  CYRÈNE  (Saint),  évêque  et  mar- 
tyr, H,  339. 

AURÈLE  (Saint),  martyr  en  Afrique,  II,     m  siècle. 
299. 

AURÈLE,  lecteur  ordonné  par  saint  Cy-     m  siècle, 
prien,  310. 

AURÈLE,  évêque  de  Cartbage.  Il  avait 
assisté  en  390  au  concile  tenu  à  Carthage 
sous  Génethlius,  son  prédécesseur,  IV,  648. 

—  Le  pape  Damase  ne  lui  a  point  écrit,  V,  406. 
22.  —  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Jean  406. 
Chrysostôme,  VII,  134.  Lettre  du  pape  saint        412. 


120 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Innocent  à  Aurèle  et  à  saint  Augustin,  SI2, 

416.  513.  Autre  lettre  du  même  pape  à  Aurèle, 
313.  Aurèle  fat  un  des  cinq  évêques  d'Afri- 

417.  que  qui  écrivirent  au  pape  saint  Innocent, 
521.  Lettre  de  ce  saint  pape  aux  cinq  évê- 
ques d'Afrique,  523,  524.  Lettres  du  même 

417.  pape  à  Aurèle  de  Carthage,  524.  Première 
lettre  du  pape  Zosime  à  cet  évêque  et  aux 
autres  évêques  d'Afrique  au  sujet  de  la  pro- 
fession de  foi  de  Célestius,  329, 530.  Seconde 
lettre  à  Aurèle  et  aux  évêques  d'Afrique  au 
sujet  de  la  profession  de  foi  de  Pelage,  330 
et  suiv.  Aurèle  lui  répond  avec  son  concile, 
V.  392,  333.  Concile  général  d'Afrique  qu'il  assem- 
ble à  Hippone,  718.  —  Lettre  que  lui  écrivit 
saint  Augustin  au  sujet  des  Agapes,  IX,  12. 

392.  Autre  lettre  que  lui  écrivit  saint  Augustin, 
^4iT'  '^0-  A-utres  encore,  79,  87,  88.  Autre  ;  lettre 
d' Aurèle  et  de  quatre  autres  évêques  d'A- 
frique au  pape  saint  Innocent  ;  réponse  de 

419.  ce  pape,  150.  Lettres  des  empereurs  Hono- 
rius  et  Théodose  à  Aurèle  et  à  saint  Augus- 
tin, 169.  Saint  Augustin  adresse  à  Aurèle 
son  livre  des  actes  de  Pelage,  443.  —  Au- 
rèle préside  au  concile  de  Carthage  en  401, 
VIII,  336.  Il  assiste  au  concile  de  Milève  en 

402,  539.  Il  préside  à  celui  de  Carthage  en 

403,  540.  Il  signe  au  nom  de  tous  les  évê- 
ques assemblés  à  Carthage  en  404,  541.  Il 
préside  aux  conciles  de  Carthage  en  407, 
542  ;  en  408,  543  ;  409  et  410,  344  ;  en  411,. 
344  et  349  ;  en  416,  533,  534  ;  en  417,  533, 

426.  536  ;  en  418,  356  et  suiv.  et  562  ;  en  419, 
563  et  suiv.  Il  préside  au  concile  tenu  à 
Carthage  au  sujet  d'Apiarius,  370,  371.  Let- 
tre que  le  pape  Sixte  III  lui  avait  écrite,  234. 
Lettre  que  lui  écrit  saint  Cyrille  d'Alexan- 
drie pour  lui  annoncer  la  pâque,  300.  —  Il 
dédie  à  Jésus-Christ  le  fameux  temple  de  la 
déesse  Céleste,  X,  313. 
IV  siècle.  AURÈLE,  diacre.  Lettre  que  lui  écrivit 
Sulpice  Sévère,  VIII,  118. 
416.  AURÈLE,  évêque  de  Macomade,  assiste 

au  concile  de  Milève  en  416,  VIII,  334. 

AURÈLE,  évêque  d'Adrumet  en  Afrique, 
assiste  au  concile  de  Chalcédoine,  X,  683. 

AURÈLE,  l'un  des  surnoms  de  Gassiodore, 
XI,  207  et  216. 

AURÈLE  que  l'on  croit  frère  du  patrice 
Dyname,  vit  dans  la  retraite  avec  lui  ;  lettre 
de  consolation  que  lui  écrit  le  pape  saint 
Grégoire  sur  la  mort  de  Dyname,  XI,  401. 
852.  AURÈLE  (Saint),  martyr  de  Cordoue.  Re- 

lation de  son  martyre  et  de  celui  de  Sabigo- 
the  sa  femme,  écrite  par  saint  Euloge,  XII, 


517,  318.   Ses  reliques  apportées  à  Paris, 

611.  Histoire  de  cette  translation,  701.  ^s^- 

AURÈLE  (Saint),  évêque  dont  le  corps  fut 
caché  en  Allemagne  pendant  les  incursions     v.  1049. 
des  Normands,  et  découvert  par  le  pape 
saint  Léon  IX,  XIH,  211. 

AURÉLIEN  ,   empereur  persécuteur  ;   sa     m  siècle, 
mort,  II,  306. 

AURÉLIEN,  consul  et  préfet  d'Orient.  Il 
est  exilé  et  saint  Jean  Chrysostôme  obtient 
son  rappel,  VII,  3.  Discours  de  saint  Jean 
Chrysostôme  au  sujet  d'Aurélien  et  de  Sa- 
turnin, 120,  121.  —  Auréhen  fut  deux  fois 
préfet  d'Orient,  VUI,  29. 

AURÉLIEN  (Saint),  évêque  d'Arles,  suc-        545. 
cesseur  d'Auxanius,  XI,  196  et  199.  Le  pape 
Vigile  lui  accorde  le  pallium  et  le  fait  son        546. 
vicaire  dans  les  Gaules,  196.  Il  écrit  au  pape        550. 
à  l'occasion  de  l'affaire  des  trois  chapitres  ; 
réponse  que  lui  fait  ce  pape,  199.  Il  fonde  à 
Arles  un  monastère  d'hommes  ;  règles  qu'il 
lui  donne,  199  et  200.   Autre  règle  pour  les 
rehgieuses  ;  lettre  d'Aurélien  au  roi  Théo- 
debert,  200.  Il  assiste  au  cinquième  concile         549. 
d'Orléans;    sa   mort,    200   et  201.   Édition         552. 
des   écrits   d'Aurélien   dans   la   Patrologie, 
201.  (Voyez  son  article  dans  V Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  III,  p.  232  et  suiv. 

AURÉLIEN,  moine  de  Réomé  que  Sige-  jx  siècle 
bert  qualifie  par  erreur  clerc  de  l'Église  de 
Reims  ;  son  traité  de  la  musique,  XII,  423. 
(Voyez  ce  qui  est  dit  de  cet  auteur  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  98 
et  suiv.) 

AURÉLIEN ,  abbé  d'Ainai,  puis  arche- 
vêque de  Lyon,  fonde  le  monastère  de  Ses- 
sieu  ;  cette  fondation  confirmée  au  concile 
de  Sisteron,  XIII,  692.  Conciles  de  Chalon- 
sur-Saône  auxquels  il  préside,  730  et  734. 

AUREMOND,   abbé  du  Maire  en  Poitou, 
auteur  d'une  Vie  de  saint  Junien,  premier      y.  gas, 
abbé  de  ce  monastère  ;  sa  mort,  XI,  693.  — 
—  Celte  Vie  fut  ensuite  retouchée  par  Ulfin 
Boèce,  XII,  364. 

AURIGÈNE,  évêque  à  qui  Théodoric  ren- 
voie la  supplique  d'un  nommé  Julien  qui 
se  plaignait  des  sujets  de  l'évêque,  XI,  214. 
[AURORA,  ouvrage  en  vers  de  Pierre  de 
Riga,  chanoine  de  Reims,  sur  la  Bible  ;  pré- 
face de  l'auteur,  XIV,  886.  Ce  poëme  est 
corrigé,  annoté  et  augmenté  par  Pierre  de 
Paris,  886,  887.  Éloges  donnés  à  Pierre  de 
Riga  par  différents  auteurs,  887.  Autres 
écrits  de  Pierre  de  Riga,  887  et  888.  Nom- 
breux manuscrits  qui  contiennent  l'Aurora  ; 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


121 


cet  écrit  n'a  jamais  été  imprimé,  888.  Idée 
de  ce  poëme,  888  et  suiv.  Imitations  de  ce 
poëme  ;  fragments  de  l'Aurora  dans  la  Pa- 
trologie,  890.] 

964.  AUSBERT,  évéque  de  Cambrai.  Sa  mort; 

Wibold  lui  succède,  XII,  839. 

AUSON,  prêtre  à  qui  Firmus  de  Gésarée 
en  Cappadoce  adresse  une  de  ses  lettres,  X, 
ISO. 
?•  siècle.         AUSONE,  moine  de  Tabenne,  IV,  233. 

393.  AUSONE,  professeur  à  Bordeaux,  chargé 

de  Féducation  de  l'empereur  Gratien,  VlII, 
SO.  Saint  Paulin  fut  son  disciple,  SO,  51. 
Deux  poëmes  de  ce  saint  adressés  à  Auso- 
ne,  83.  (Ausone  a  composé  quelques  poésies 
chrétiennes  qui  pourraient  lui  donner  place 
au  rang  des  auteurs  ecclésiastiques.  Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  I,  part.  II,  p.  281  et  suiv.  ;  et  le 
supplément  à  la  tête  du  t.  II,  p.  xix.)  [Ses 
écrits  sont  reproduits  au  tome  XIX  de  la  Pa- 
trologie  latine.] 
AUSONE  ou  VIG,  ville  de  Catalogne.  Cette 

907.  Église  et  son  évêque  exemptés  du  tribut 
qu'ils  payaient  à  la  ville  de  Narbonne,  XIII, 

971.  7-41.  —  [Elle  est  érigée  en  archevêché,  XII, 
834.  Bulle  relative  à  cette  élection  ;  privilè- 
ges qui  sont  accordés  à  cette  Église,  836.] 
—  Dédicace  de  la  cathédrale,  XIV,  1048. 

439.  AUSPICE,  évêque  de  Vaison,  assiste  au 

1441-442.  concile  de  Riez,  VlII,  433  et  603,  606.  A  ce- 
lui dOrange,  433  et  606,  607.  Le  concile  de 
Vaison  se  tient  dans  sa  maison,  433  et  610. 
iv siècle.  AUSPICE  (Saint),  cinquième  évêque  de 

Toul,  se  rend  célèbre  parmi  les  évêques  des 
Gaules  ;  estime  que  faisait  de  lui  saint  Si- 
doine Apollinaire,  X,  400.  Sa  lettre  au 
comte  Arbogaste,  400  et  401.  Différentes 
éditions  qu'on  en  a  faites  ;  autres  éditions, 
401.  (Voyez  son  article  dans  Y  Histoire  litté- 
raire de  la  France.,  tome  II,  p.  478  et  suiv.) 
AUSPICIOLE,  fille  de  Salvien,  prêtre  de 
Marseille,  et  de  sa  femme  Palladio,  X,  360. 
AUSTÉRITÉS  DES  IMOINES.  Théodoret 
les  attribue  à  l'amour  de  Dieu  qui  leur  don- 
nait la  force  de  les  pratiquer,  X,  136. 

AUSTREBERTE  (Sainte),  abbesse  au  pays 
de  Caux.  Sa  vie  par  Enguerran,  abbé  de 
Saint-Riquier,  XIII,  112. 

AUSTRÉGISILE  (Saint),  archevêque  de 
Bourges.  Sa  mort,  XI,  732. 

AUSTREMOINE  (Saint),  premier  évêque  de 
Glermont,  XI,  367.  [Sa  légende,  780,  n.  1.] 
AUSTROBERT.  On  ne  connaît  point  d'ar- 
chevêque de  Vienne  de  ce  nom,  au  temps 


741. 


du  pape  Zacbarie.  Ainsi,  la  lettre  qu'on 
prétend  lui  être  adressée  par  ce  pape  est 
supposée,  XII,  34. 

AUTEL.  Quel  est  l'unique  autel  légitime  isiéde. 
selon  saint  Ignace,  I,  383.  —  Saint  Gyprien 
nomme  autel  la  table  du  saint  sacrifice,  II,  m  .lècie. 
368.  Offrandes  qu'on  mettait  sur  l'autel,  380. 
Autel  où  saint  Cyprien  avait  offert  le  sacri- 
fice ;  autel  érigé  contre  autel,  ou  assemblée 
schismatique  à  Carthage  ,  6i2,  —  Divers 
témoignages  de  saint  Optât  de  Milève  sur 
les  autels,  V,  136,  137,  138,  139.  —  Autel 
du  saint  sacrifice;  témoignage  de  saint  Gré- 
goire de  Nysse,  VI,  244.  —  Soin  que  les 
prêtres  prenaient  des  autels,  VU,  606.  — 
Origine  de  l'autel  dressé  à  Athènes  au  Dieu 
inconnu,  VIII,  494.  Autels  en  l'honneur  des  v.  40i, 
martyrs  ;  canon  quatorzième  du  cinquième 
concile  de  Cartilage,  336.  —Décret  du  pape 
saint  Hormidas  qui  défend  d'ériger  un  autel 
dans  une  église  consacrée,  sans  la  permis- 
sion de  l'évêque,  X,  633.  Ce  qu'il  faut  pour 
la  consécration  des  autels  selon  le  concile  517. 
d'Agde,  738.  —  Sainte  Radegonde  employait 
les  fleurs  du  printemps  à  orner  les  autels,  XI, 
408.  Usage  de  nommer  à  l'autel  les  évêques 
vivants  des  grands  sièges,  493.  Treize  autels 
dans  une  église,  306.  Le  concile  d'Epaone 
défend  de  consacrer  avec  l'onction  du  chrême 
d'autres  autels  que  ceux  de  pierre ,  817. 
Les  ministres  de  l'autel  étaient  vêtus  de 
blanc,  904.  Il  n'est  point  permis  de  consa- 
crer des  autels  là  où  il  y  a  eu  des  corps  enter- 
rés, 913.  —  On  ne  doit  point  consacrer  d'au- 
tels avec  de  l'huile  sainte,  s'ils  ne  sont  pas  de 
pierre,  XII,  63  et  237.  Défense  aux  femmes 
de  s'approcher  de  l'autel  lorsqu'on  célèbre 
la  messe,  264  et  939.  L'autel  doit  être  cou- 
vert de  linges  propres  et  décents,  408.  L'u- 
sage des  autels  n'est  point  particulier  à  l'É- 
glise chrétienne  ;  autels  tournés  à  l'Orient, 
au  Midi  et  au  Nord,  412.  Autrefois  on  n'of- 
frait sur  l'autel  que  du  pain,  du  vin,  du  blé, 
du  raisin  et  de  l'huile,  413.  Défense  aux  évê- 
ques do  dépouiller  les  autels,  etc. ,  pour  sa- 
tisfaire leurs  ressentiments,  937,  —  Autels 
donnés  en  bénéfice  à  des  laïques,  XIII,  83. 
Dans  le  xi°  siècle  on  appelait  autels  les  obla- 
tions  et  le  casuel  d'un  bénéfice,  431.  Dispo- 
tions du  concile  de  Glermont  sur  ces  autels, 
431  et  432.  Autel  portatif  donné  par  le  pape 
Alexandre  II  à  Baudoin,  abbé  de  Saint-Ed- 
mond, 433.  —  Saint  Anselme  prétend  qu'il 
faut  bénir  de  nouveau  une  pierre  transpor- 
tée d'un  autel  détruit  à  un  autre,  XIV,  42. 


122 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUEb. 


Yves  de  Chartres  pense  de  roême,   107. 

AUTEURS  SACRÉS.  Voyez  les  articles  de 
chacun  d'eux  en  particulier. 

AUTEURS  ECCLÉSIASTIQUES  dont  les 
ouvrages  sont  déclarés  apocryphes  par  le 
décret  du  pape  saint  Gélase,  X,  725.  Traité 
des  auteurs  qu'on  doit  recevoir  ou  rejeter,  ou- 
vrage d'Arnoul,  moine  de  Saint-André  à  Avi- 
gnon, XIII,  73.  Voyez  jE'cr?uamsecc/esms;î"5'Mes. 

AUTEURS  PROFANES.  Manière  dont  on 
doit  les  lire  selon  saint  Basile,  IV,  390. 

AUTHARIT,  roi  des  Lombards,  àrien,  dé- 
fend de  baptiser  les  enfants  de  sa  nation 
dans  l'église  catholique  à  la  fête  de  Pâque, 
X[,  481 .  Clef  d'or  qu'il  envoie  à  saint  Gré- 
goire, 509.  Sa  mort,  481. 
VI  siècle.  AUTMONDE,  évêque  de  Toul,  compose  la 
Vie  de  saint  Evre,  l'un  de  ses  prédéces- 
seurs, et  des  répons  pour  l'office  de  sa  fête, 
XI,  323. 

AUTOLYQUE,  païen  à  qui  saint  Théophile 
d'Antioche  adresse  ses  trois  livres  sur  la  re- 
ligion chrétienne,  1,  276  et  suiv. 

AUTORITÉ.  Alcuin  distingue  trois  degrés 
de  l'autorité  souveraine,  celle  du  pape,  celle 
del'empereur  et  celle  du  roi,  XII,  192.  —  [En 
quel  sens  on  peut  dire  que  l'autorité  royale 
ne  vient  pas  de  Dieu,  XIII,  361,  n.  4.] 

AUTPERT  (Ambroise),  abbé.  Voyez  Arn- 
broise  Aufpert. 
836.  [AUTPERT,   appelé    aussi    Ambroise    le 

Jeune,  abbé  du  Mont-Gassin.  Son  homélie 
sur  saint  Mathias,  apôtre,  XII,  n.  1.  Ses  au- 
tres écrits,  125,  n.  4.] 

AUTUN,  [ville  de  l'ancienne  Bourgogne, 
maintenant  sous-préfecture  dans  le  départe- 
IV  siècle,  raent  de  Saône-et-Loire.]  Saint  Rétice,  évo- 
que d'Autun,  in,  U5.  Privilèges  accordés  à 
g02.  deux  monastères  et  à  un  hôpital  d'Autun 
confirmés  par  le  pape  saint  Grégoire,  XI, 
529.  —  Concile  tenu  en  cette  ville,  XII,  338, 
339.  Autre  concile  tenu  en  cette  ville,  XIII, 
429.  Autres  encore,  XIV,  1064  et  1068.  [Pri- 
vilèges accordés  à  l'Éghse  d'Autun  par  le 
pape  Jean  X,  745.  —  Lettres  de  Jean  XI  au 
clergé  et  au  peuple  d'Autun  sur  la  liberté 
dans  les  élections  des  évèques,  XII,  745.] 

AUVRAY  (Pierre).  Nom  sous  lequel  M.  de 
Barcos  s'est  caché  pour  donner  la  censure 
du  Prœdesiinatus,  X,  334. 

AUXANIUS,  évêque  d'Aix,  député  à  Rome 
au  sujet  d'Hermès,  évêque  de  Béziers  trans- 
féré ù  Narbonne,  X,  337  et  427.  Il  se  trouve 
ig2         à  un  concile  tenu  à  Rome  par  le  pape  saint 
Hilaire,  337.  Il  y  obtient  un  décret  contraire 


à  l'union  que  saint  Léon  avait  faite  des  égli- 
ses de  Cémèle  et  de  Nice,  337  et  338.  Ce  dé- 
cret est  révoqué  par  le  même  pape  saint  Hi- 
laire, 338. 

AUXANIUS,  évêque  d'Arles,   successeur        543. 
de  saint  Césaire,  informe  le  pape  Vigile  de 
son  élection  ;  le  pape  lui  accorde  le  paUium        545. 
et  le  fait  son  vicaire  dans  les  Gaules,  XI,  196. 

AUXANON,  prêtre  Novatien  avec  qui  l'his- 
torien Socrate  fit  connaissance,  VIII,  515. 

AUXENCE  (Saint),  jnartyr  de  Palestine,        307. 

m,  9. 

AUXENCE,  évêque  de  Mopsueste,  reçoit        360. 
Aétius  banni,  IV,  576. 

AUXENCE  L'ANCIEN,  évêque  de  Milan,        364. 
fait  devant  saint  Hilaire  de  Poitiers  une  con- 
fession forcée  de  la  divinité  de  Jésus-Christ, 
IV,  6.  Livre  de  saint  Hilaire  contre  Auxence,        365. 
60,  61.  Auxence  est  combattu  par  saint  Eu-        364. 
sèbe  de  Verceil,  276.  —  Il  est  condamné      a  .  370. 
dans  un  concile  de  Rome,  V,  13  et  15.  — Sa 
mort,  X,  47. 

AUXENCE  LE  JEUNE,  dont  le  nom  véri- 
table était  Mercurin,  évêque  arien  à  Milan. 
Il  excite  l'impératrice  Justine  à  soulever  le 
peuple  contre  saint  Ambroise,  V,  384.  Dicte 
et  écrit  une  loi  de  sang  en  faveur  des 
Ariens  ;  demande  à  défendre  sa  cause  con- 
tre saint  Ambroise  en  présence  de  l'empe- 
reur, 386.  Discours  de  saint  Ambroise  con- 
tre lui,  489.  —  Auxence  est  auteur  de  la  loi 
de  Valentinien  II  en  faveur  de  ces  héréti- 
ques, VI,  363.  (On  a  eu  tort  dans  la  table  du 
cinquième  volume  (premier  tirage)  de  ne 
pas  distinguer  Auxence  l'Ancien  d'Auxence 
Mercurin.  C'est  Auxence  l'Ancien  qui  fut 
condamné  au  concile  de  Rome). 

AUXENCE,  jovinianiste,  condamné  par  le     iv  siécie. 
pape  Sirice,  IV,  632. 

AUXENCE,  abbé  de  Clermont,  X,  393. 

AUXERRE,  ville  de  l'ancienne  Bourgogne, 
maintenant  chef-lieu  dans  le   département 
de  TYoune.  —  Histoire  des  évoques  d'Au- 
xerre  composée  par  le  moine  Heiric,  XII, 
641.  Synode  tenu  en  cette  ville  parTétrique      v.  695. 
pour  régler  la  manière  dont  les  abbés  et  les 
archiprêtres  des  diverses  églises  du  diocèse 
devaient  venir  faire  l'office  à  l'église  cathé- 
drale de  Saint-Étienne,  967.  —  Ravage  des        1206. 
biens  de  cette  église  par  les  officiers  du  roi 
Philippe-Auguste  après  la  mort  de  l'évêque 
Hugues;  réparation  que  le  roi  en  fait.   11        1207. 
donne  à  perpétuité  à  l'église  d'Auxerre  ses 
droits  sur  la  régale  pendant  la  vacance  du 
siège,  XIV,  1004. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


123 


445. 


IV  ou 
V  siècle. 


X  siècle. 


IV  siècle. 


791. 


IV  siècle. 
IV  siècle. 


IV  siècle. 


AUXILIARIS  OU  AUXILIARIIÎS ,  autrefois 
préfet  des  Gaules.  Ses  .liaisons  avec  saint 
Hilaire  d'Arles,  VIII,  437.  Éloge  qu'il  fait  des 
lettres  de  ce  saint,  439. 

AUXILIUS,  évêque.  Lettre  que  lui  écrivit 
saint  Augustin,  IX,  188. 

AUXILIUS,  évêque  d'Irlande  du  temps  de 
saint  Patrice,  X,  447. 

AUXILIUS,  prêtre  français.  Analyse  des 
trois  traités  qu'il  a  composés  pour  prouver 
la  validité  des  ordinations  faites  par  le  pape 
Formose,  XII,  748  et  suiv.  Le  premier,  748, 
749.  Le  second,  749,  7S0.  Le  troisième,  750 
et  suiv.  Jugement  sur  ces  ouvrages  ;  édi- 
tions qu'on  en  a  faites,  752.  [Édition  dans 
la  Patrologie,  753.]  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VI,  p.  122 
et  suiv.) 

AUXONE,  préfet  du  prétoire,  bannit  Eu- 
nomius,  VI,  261. 

AUXONE,  évêque  des  Gaules,  l'un  de  ceux 
à  qui  le  pape  saint  Célestin  écrit  en  faveur 
de  saint  Augustin,  X,  277. 

AUXUME,  ville  de  l'Ethiopie,  VI,  344. 
Saint  Frumentius  en  est  fait  évêque,  345. 

AVARES,  peuples  établis  en  Pannonie. 
Charlemagne  remporte  sur  eux  une  victoire 
complète,  XII,  232.  —  Ils  étaient  idolâtres, 
VII,  317. 

AVARICE,  principe  de  tous  les  maux,  I. 
397,  note  6.  —  Homélie  de  saint  Basile  le 
Grand  sur  l'avarice,  IV,  380,381. — Poëmede 
saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  l'avarice,  V, 
283.  Autre  du  même,  294.  Indulgence  de 
Novat  à  l'égard  des  avares,  334.  —  Saint 
Grégoire  de  Nysse  se  plaint  de  ce  qu'il  n'y  a 
point  de  peines  contre  l'avarice,  VI,  158. 
[Traité  de  saint  Zenon,  évêque  de  Verceil, 
contre  l'avarice,  274.]  Discours  de  saint  As- 
tère  d'Amasée  contre  l'avarice,  294,  295. 
Loi  de  Valentinien  I"  contre  l'avarice,  356. 
L'avarice  n'était  point  soumise  à  la  péni- 
tence publique.  [Le  chiffre  est  mal  indiqué  dans 
la  table  du  VIII"  volume  de  l'ancienne  édition, 
je  nai  pa  trouver  le  véritable.]  —  Saint  Jean 
Chrysostôme  combat  l'avarice,  VII,  237.  Pu- 
nition de  l'avarice  d'un  solitaire  de  Nitrie, 
558.  —  Homélies  de  saint  Maxime  de  Turin 
sur  l'avarice,  X,  322,  323.  Traité  de  Salvien 
contre  l'avarice,  361  et  suiv.  Ce  traité  est  le 
même  que  celui  intitulé  Timothée,  361.  Ana- 
lyse de  cet  ouvrage,  362  et  suiv.  Poëme  de 
saint  Colomban  contre  l'avarice,  XI,  628.  — 
Ce  que  dit  saint  Pierre  Damien  sur  l'avarice, 
XIV,  317.  —  Poëme  du  vénérable  Hildebert 


contre  l'avarice,  XIV,  222.  Épigramme  de 
Philippe  de  Bonne-Espérance  sur  l'avare, 687. 

AVE,  MARIA.  Prière  à  la  sainte  Vierge. 
Méditations  sur  l'Ave,  Maria,  attribuées  à 
saint  Anselme  de  Lucques,  XIII,  397.  — 
Poëme  d'Éberhard  sur  cette  prière,  XIV,  247. 

AVE,  PER  QUAM.  Hymne  sur  la  sainte 
Vierge,  composée  par  Hériger,  abbé  de  Lo- 
bes, XIII,  38. 

AVE,  PRiECLARA  MARIS  STELLA. 
Hymne  à  la  Vierge  dont  Hermann  Contracte 
est  l'auteur,  XIII,  184. 

[AVEDIGHIAN  (Gabriel),  méchitariste.  Sa 
traduction  italienne  de  la  Liturgie  des  Ar- 
méniens, XIII,  134]. 

AVÈNEMENT  DE  JÉSUS -CHRIST  (Pre- 
mier). Paraphrase  d'un  scholiaste  sur  le 
poëme  de  saint  Grégoire  de  Nazianze  sur 
ce  sujet,  V,  304,  305.  —  [Plusieurs  dis- 
cours de  saint  Éphrera  sur  ce  sujet,  VI, 
483,  483.  Homélies  de  saint  Maxime  de 
Turin  sur  ce  mystère,  X,  320,  321.  —  Deux 
discours  de  saint  Césaire  d'Arles  sur  ce 
sujet,  XI,  134.  —  [Sermon  sur  l'avènement 
de  Notre-Seigneur  par  Atton  de  Verceil, 
XII,  826.]  —  De  l'avènement  du  Seigneur 
et  de  la  bienheureuse  Marie,  sermon  de  Ni- 
colas, secrétaire  de  saint  Bernard;  XIV,  736. 

AVÈNEMENT  DE  JÉSUS -CHRIST  (Se- 
cond). Opuscules  de  saint  Éphrem  sur  le  ju- 
gement dernier  et  le  second  avènement  de 
Jésus-Christ,  VI,  23,  24,  25,  26,  [503,  504.] 
Discours  de  saint  Éphrem  sur  le  second 
avènement  de  Jèsus-Christ  et  sur  la  péni- 
tence, 36.  —  Sujet  d'une  homélie  fausse- 
ment attribuée  à  saint  Jean  Chrysostôme, 
VII,  312.  —  [Sermon  d'Eusèbe  d'Alexan- 
drie sur  le  second  avènement  de  Notre-Sei- 
gneur, VIII,  383.]  Discours  d'Yves  de  Char- 
tres sur  le  dernier  avènement  de  Jèsus- 
Christ,  XIV,  122. 

AVENT.  Temps  destiné  à  célébrer  la 
mémoire  de  l'attente  du  premier  avènement 
de  Jésus-Christ;  —  Homélie  ou  traité  de 
saint  Augustin  sur  le  deuxième  dimanche 
de  l'Avent,  IX,  834.  Deux  sermçns  du 
même  sur  l'Avent.  Trois  sermons  sur  l'A- 
vent faussement  attribués  à  saiut  Augus- 
tin, 836.]  Canon  du  concile  de  Mâcon  qui 
prescrit  des  jeûnes  avant  Noël;  ce  qu'on 
regarde  comme  l'origine  de  l'Avent,  XI, 
895.  —  Statut  de  Ratbier  de  Vérone  sur 
l'Avent,  XII,  856.  —  Les  offices  de  l'Avent 
commençaient  dans  l'Église  gallicane  à  la 
fête  de  saint  Martin,  XIII,  7.  Traité  où  Hé- 


XI  siècle. 


58i  ou  582. 


124 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1036. 


IV  siècle. 


riger,  abbé  de  Lobes,  établit  que  l'Avent 
ne  doit  pas  avoir  plus  de  quatre  dimanches, 
38.  Traité  d'Adelbolde  sur  la  variété  des 
usages  dans  l'observation  de  l'Avent,  76.  In- 
certilude  où  l'on  était  au  xi°  siècle  sur  le 
temps  de  l'Avent  ,  125  ,  126.  Traité  où 
Bernon ,  abbé  de  Richenow ,  établit  que 
l'Avent  ne  doit  jamais  commencer  plus  tôt 
que  le  27  novembre,  ni  plus  tard  que  le  3 
décembre,  126.  Homélies  de  Guaifer  sur 
l'Avent,  496.  —  Sermons  du  vénérable  Hil- 
debert  sur  l'Avent,  XIV,  214.  Il  y  recom- 
mande l'abstinence  dans  l'Avent,  216.  Sept 
sermons  de  saint  Bernard  sur  l'Avent,  484. 
[Sermon  sur  l'Avent  par  Odon ,  abbé  de 
Morimoud,  625.]  Sermons  de  Pierre  de  Celle 
sur  l'Avent,  681.  Sermons  de  Pierre  Comes- 
tor  pour  l'Avent,  745.  [Cinq  sermons  d'Ab- 
salon,  abbé  de  Springkirsbach  pour  le  temps 
de  l'Avent,  877.]  Sermons  du  pape  Innocent 
III  sur  l'Avent;  [autres  du  même,  1009.] 
Sermons  de  Guillaume  d'Auvergne,  évoque 
de  Paris,  sur  l'Avent,  1023.  Abstinence  et 
jeûne  de  l'Avent  proposé  par  un  concile  d'A- 
vranches,  1133.  Voyez  Avènement  de  Jésus- 
Christ. 

AVENTITIUS  (Saint),  martyr.  Homélie  de 
saint  Maxime  de  Turin  sur  le  saint  martyr 
Aventitius  et  ses  compagnons,  X,  322. 

AVERTISSEMENT.  C'était  le  goût  dans  le 
v'^  siècle  de  donner  ce  titre  à  différents  ou- 
vrages, VIII,  422.  —  Avertissement  dOrieu- 
tius,  évêque  d'Aucb  ou  d'Elvire,  422,  423, 
et  XI,  100,  n.  2  et  p.  101.  —  Avertissement 
de  Vincent  de  Lérins.  Traduction  française 
de  cet  ouvrage  par  le  P.  Bonnet  de  l'Ora- 
toire, X,  467.  — Avertissement  aux  prêtres. 
Écrit  que  l'on  croit  du  temps  de  Charlema- 
gne  et  dont  on  ne  connaît  point  l'auteur, 
Xll,  149,  130.  —  Avertissement  aux  clercs 
et  aux  laïques.  Ouvrage  d'Othlon,  moine  de 
Saint-Euimeran  de  Ratisbonne,  XIII,  280. 

AVESGAND,  évêque  du  Mans  ;  sa  mort  ; 
Gervais,  son  neveu,  lui  succède,  XIII,  263. 

AVESGAND,  abbé  de  Saint-Vincent  au 
Mans,  mis  à  la  tête  de  cette  communauté 
par  l'évèque  Gervais  son  parent,  XIII,  263. 

AVEUGLE-NÉ.  Discours  de  saint  Astère 
d'Amasée  sur  l'aveugle-né  de  l'Évangile, 
VI,  297,  298.  —  Homélie  sur  ce  sujet  attri- 
buée à  saint  Jean  Cbrysostôme  ou  à  Sévé- 
rien,  évêque  de  Gabales,  VII,  237.  Homélie 
sur  l'aveugle-né  et  sur  Zachée  faussement 
attribuée  à  saint  Jean  Cbrysostôme,  258;  et 
à  Jean  de  Jérusalem,  502.  —  [Sermon  de 


saint  Augustin  sur  l'aveugle-né,   IX,  841. J 

AVIÉNUS,  consulaire.  L'empereurl'envoie 
demander  la  paix  à  Attila,  X,  175. 

AVIGNON,  [ville  de  l'ancienne  Provence, 
cbef-lieu  du  département  de  Vaucluse.]  Con- 
ciles qui  y  furent  tenus,  XIV,  1070  et  1133. 

AVILA,  ville  de  la  vieille  Castille,  autre- 
fois dans  la  Galice,  IV,  616. 

AVIRCIUS  MARCELLUS  n'est  pas  le  mê- 
me que  saint  Aberce,  évêque  d'Hiéraple,  I, 
448  et  449. 

AVIS  SPIRITUELS.  Sujet  d'un  opuscule 
faussement  attribué  à  saint  Jean  Cbrysos- 
tôme, VII,  333.  — 11  ne  faut  pas  tant  compter 
sur  les  avis  que  les  peser,  maxime  de  saint 
Julien  le  Pélagien,  accordée  par  Augus- 
tin, IX,  491.  —  Avis  importants  donnés  à 
l'empereur  Justinien  par  le  diacre  Agapet, 
XI,  266.  — '■  Avis  salutaires  tirés  des  écrits 
des  saints  Pères,  ouvrage  de  saint  Paulin 
d'Aquilée  dont  on  n'a  imprimé  que  la  pré- 
face, XII,  164.  Avis  à  l'empereur  Louis  le 
Débonnaire,  ouvrage  revu  par  Éginhard  , 
357. 

AVIT  (Saint),  (Sextus  Alcimus  Ecditius 
Avitius),  évêque  de  Vienne.  Sa  naissance; 
son  éducation,  X,  533.  Il  est  fait  évêque  de 
Vienne  ;  il  fournit  à  saint  Épiphane,  évêque 
de  Pavie,  ce  qui  lui  manquait  d'argent  pour 
racheter  des  captifs;  il  se  concilie  la  confiance 
de  Gondebaud  et  de  Clovis,  534.  Il  porte  la 
parole  à  une  conférence  qui  se  lient  à  Lyon 
entre  des  évêques  catholiques  et  ariens,  554 
et  733.  11  contribue  à  la  conversion  du  roi 
Sigismond,  554.  11  prononce  au  concile  d'A- 
gaune  un  discours  dont  il  ne  nous  reste  que 
le  titre,  746.  Sa  mort,  534.  [Ses  lettres; 
nombre  de  ses  lettres,  554,  n.  6.]  Lettres  de 
saint  Avit  à  Gondebaud  :  ¥<'  554,  553.  II, 
333.  111,  555  et  336.  IV,  336,  357.  V,  VI,  à 
Victoi-ius,  évêque  de  Grenoble  ;  VII,  à  Jean 
de  Cappadoce  ;  VIII,  à  Eustorge  de  Milau, 
537.  IX,  à  saint  Césaire  ;  X,  à  Magnus  de 
Milan  ;  XI  et  XII,  à  Apollinaire  de  Valence  ; 
XIII,  à  Contuméhosus  de  Riez,  358.  XV  et 

XVI,  à  Victorius  de  Grenol)le,  558  et  359. 

XVII,  à  Viventiolus,  prêtre,  depuis  évêque 
de  Lyon;  XVIII,  au  papeSymmaque;  XXllI, 
à  l'évèque  de  Jérusalem  ;  XIX  et  XX,  à 
Gondebaud  ;  XXI,  à  Sigismond,  fils  de  Gon- 
debaud ;  XXII  et  XXIIl,  à  Apolhnaire,  peut- 
être  fils  de  saint  Sidoine,  539.  XXIV,  ù 
Etienne  de  Lyon,  559  et  560.  XXV,  à  Apol- 
linaire de  Valence  ;  XXVI,  à  un  évêque  : 
XXVII,  au  pape  Symmaque;  XXVIII,  à  Gon- 


490. 
494. 


515. 


518. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


12o 


debaud,  560.  XXIX  et  XXX,  à  Sigismond, 
560  et  561.  XXXI,  à  Fauste  etàSymmaque, 
sénateurs;  XXXVI,  à  Sénarius,  patries; 
XXXVII,  à  Pierre  de  Ravenne  ;  XXXVIII,  k 
Eufrasius,  évêque  ;  XXXIX,  à  Gondebaud  ; 
XLI,  à  Clovis,  561.  XLII,  à  Vitallien,  séna- 
teur ;  XLIII,  à  Gélérus^  sénateur  ;  XLIV,  au 
roi  Sigismond  ;  XLVII ,  à  Héraclius ,  ora- 
teur ;  XLVIII,  d'Héraclius;  XLIX,àAnsé- 
mundus,  562.  Autres  lettres,  562  et  563.  LI, 
à  Viventiolus,  rhéteur  ;  LXI,  à  Constantius, 
évêque;  LXV,  à  Maxime;  LXIX,  à  l'empe- 
reur Anastase;  LXXVIII,  à  Apollinaire  de 
Valence  ;  LXXX  ,  à  Quintieu  ,  évêque  ; 
LXXXIII  et  LXXXIV,  à  l'empereur  Anas- 
tase, 562.  LXXXVII,  au  pape  Hormisdas; 
bomélies  sur  les  Rogations  ;  563  et  564. 
Fragments  des  homélies  de  saint  Avit,  564, 
565.  Ce  qu'il  y  a  de  remarquable  dans  ces 
fragments  et  dans  ces  lettres,  565,  566. 
Poëmes  de  saint  Avit,  566,  567.  Autres 
poëmes,  567,  568.  Jugement  sur  les  écrits 
de  saint  Avit,  568.  Éditions  qu'on  en  a 
laites,  568,  569.  Autres  éditions,  569.  Saint 
Avit  obtient  du  pape  Anastase  un  règlement 
qui  étendait  sa  juridiction  sur  les  évêques 
voisins,  nommément  sur  celui  d'Arles,  521. 
Ge  que  prescrit  le  pape  Symmaque  à  cet 
égard,  521  et  523.  Lettre  que  saint  Avit 
écrit  au  nom  des  évêques  des  Gaules  au  su- 
jet de  la  conduite  qu'on  avait  tenue  à  Rome 
à  l'égard  du  pape  Symmaque,  522,  523. 
Lettre  que  le  pape  lui  écrit  au  sujet  des 
prétentions  de  l'Église  de  Vienne,  524.  Lettre 
du  pape  Hormisdas  à  saint  Avit,  617.  — 
Saint  Avit  préside  au  concile  d'Épaone,  XI, 
814.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  III,  p.  115  et  suiv.) 

AVITAC.  Saint  Sidoins  Apollinaire  y  avait 
une  maison  de  campagne,  X,  384.  Descrip- 
tion de  cette  maison,  397. 

3U.  AVITIEN,   évêque  de  Rouen,  assiste   au 

premier  concile  d'Arles,  II,  629. 

AVITUS  [ou  AVITE],  prêtre  espagnol.  Let- 

409.  tre  que  lui  écrivit  saint  Jérôme  sur  les  écrits 
v  siècle.  d'Origène,  VII,  640.  —  Il  assiste  au  concile 
de  Jérusalem  en  415,  VIIJ,  550.  —  Lettre 
qu'il  écrivit  touchant  les  reliques  de  saint 
Etienne,  IX,  327.  —  Il  va  à  Jérusalem  et  en 
apporte  en  Espagne  le  livre  des  Principes 
d'Origène,  traduit  par  saint  Jérôme,  X,  1. 
Il  traduit  en  latin  la  relation  de  1  invention 
des  reliques  de  saint  Etienne  ;  il  envoie 
cette  relation  avec  quelques  reliques  à  Pal- 
conius,  évêque  de  Braga^,  eu  Lusitanie,  31 


AVITUS,  autre  Espagnol,  va  à  Rome  et 
en  rapporte  les  ouvrages  de  Victorin  contre 
les  Ariens,  X,  1. 

AVITUS,  solitaire,  visite  saint  Marcien, 

X,  52. 

AVITUS  [ou  AVITE],  beau-père  de  Sidoine 
Apollinaire,  est  proclamé  empereur,  X,  379.  455. 
Son  panégyrique  est  prononcé  par  son  gen-  456. 
dre,  379  et  396;  —  et  adressé  par  lui  à 
Prisque  Valérien ,  préfet  des  Gaules,  VIII, 
444.  (Voyez  l'article  de  l'empereur  Avitus 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  II, 
p.  333  et  suiv.) 

AVITUS,  parent  de  saint  Sidoine  Apolli- 
naire, donne  une  terre  à  l'éghse  de  Cler-    473011474. 
mont.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Sidoine  pour 
l'en  remercier,  X,  285. 

AVITUS  I"  (Saint),  évêque  de  Clermont, 
donne  le  diaconat  à  saint  Grégoire  de  Tours, 

XI,  365.  Son  éloge  par  Fortunat,  406. 
AVOCAT,  maxime  de  saint  Grégoire  de 

Nazianze  sur  la  profession  d'avocat,  V,  283. 
—  La  profession  d'avocat  interdite  aux  ec-  joto. 
clésiastiques  et  aux  moines  par  une  ordon- 
nance de  Jean  Xiphilin,  patriarche  de  Cons- 
tantinople,  XIII,  338.  —  Canon  d'un  concile 
de  Clermont  qui  en  interdit  les  fonctions 
aux  moines  et  aux  chanoines  réguliers,  XIV, 
1110. 

AVOCATS  ou  AV  OUÉS  des  éghses.  Voyez 
Avoués. 

AVOLD  (Saint),  monastère  fondé  par  saint    viii  siècle. 
Cbrodegand,  évêque  de  Metz.  Il  se  nommait 
d'abord  Saint-Pierre,  XII,  106. 


AVORTEMENT.  Canon  vingtième  du  con- 


IV  siècle. 


cile  d'Ancyre,  II,  639.  —  Canon  du  concile 
Quinisexte  sur  les  avoriements,  XII,  964. 

AVOUÉS  des  églises.  Ce  que  c'était,  XII, 
232.  Leur  origine  selon  Albon  de  Fleury  ;  ^  siècle 
ses  plaintes  contre  eux,  XIII,  25.  Décret  de 
l'empereur  Henri  IV  contre  les  avoués  de  Lo- 
bes, 598.  —  Ctinon  d'un  concile  de  Reims  qui 
leur  détend  de  rien  prendre  au  delà  de  leurs 
droits,  XIV,  1055. 

AVRANGHES,  [ville  de  l'ancienne  Nor- 
mandie ,  chef-lieu  de  sous-préfecture  du 
département  de  la  Manche];  concile  qui  y 
fut  tenu,  XIV,  1134. 

AXITHEE,  un  des  personages  du  dialogue 
d'Enée  de  Gaze  sur  la  nature  de  l'âme  et  sur 
la  résurrection  du  corps,  X,  490  et  suiv. 

[AUBEBT,   moine  et  reclus  de  Tournai,     ^ii  siècle 
Le  pape  innocent  II  lui  écrit,  XIV,  264.] 

AYGULFE  ou  AYGULPHE,  voyez  Ai- 
gulphe. 


126 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


AYMAR  DU  MONTEIL,  évêque  du  Puy, 
Voyez  Adhémar. 
949.  AYMARD,  abbé  de  Cluuy.  Lettre  que  lui 

écrit  le  pape  Agapet,  II,  XII,  830. 

AYOUL  (Saint),  monastère  fondé  à  Pro- 
vins. Voyez  saini  Aigulfe,  abbé  de  Lérins. 

AYRIC  (Saint),  évêque  de  Verdun.  Voyez 
saint  Airic. 

AZAD,  eunuque  du  roi  Sapor  II.  Son  mar- 
tyre rapporté  dans  les  Actes  publiés  par  As- 
sémani,  III,  328. 
XI  siècle.  AZEL,  évêque  de  Paris.  Lettres  de  Ful- 
bert de  Chartres  qui  lui  sont  adressées,  XIII, 
81,  83,  84. 

AZIMES.  [Opuscule  sur  les  azimes,  ou- 
vrage de  saint  Athanase,  IV,  179.]  —  Deux 
opuscules  des  azimes  attribués  à  saint  Jean 
Damascène,  ne  sont  pas  de  lui,  XII,  84.  — 
Commencement  de  la  dispute  entre  les 
Grecs  et  les  Latins  au  sujet  des  azimes, 
XII,  203.  Ce  qu'en  dit  saint  Léon  IX  dans 
sa  lettre  à  Michel  Cérulaire,  207.  Hurnbert 


réfute  les  Grecs  sur  ce  sujet,  215.  Traité  de 
saint  Brunon  de  Segni  sur  le  pain  azime 
pour  l'Eucharistie,  SOI.  —  Traité  de  saint 
Anselme  sur  le  pain  azime  el  le  pain  fer- 
menté pour  le  sacrifice  de  la  messe,  XIV, 
18.  La  question  des  azimes  agitée  entre  les 
évoques  Grecs  et  Anselme  d'Havelburg,  413. 
Opuscule  de  Michel  Glycas  sur  le  pain  dont 
Jesus-Clmst  s'est  servi  dans  la  dernière 
cène,  642.  Concile  de  Rome  où  la  ques- 
tion des  azimes  est  agitée,  1038.  —  Disser- 
tation du  père  Le  Quien  sur  les  azimes 
de  la  dernière  pâque  de  Jésus-Christ,  XII,  98. 

AZOLIN,  évêque  de  Laon,  déposé  dans 
un  concile.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Sil- 
vestre  II,  pour  le  citer  à  Rome,  XII,  908. 

AZON,  évêque  de  Côme.  Lettre  que  lui 
écrit  Alton  de  Verceil,  XII,  824,  825. 

AZON,  abbé  de  Montier-en-Ders.  Voyez     Xsiècie. 
Adson. 

[AZUT,  prince  des  Arméniens  à  qui  Pho- 
tius  écrit,  XII,  977,  978.] 


B 


BABION  (Pierre),  Anglais.  Son  commen- 
taire sur  l'Évangile  de  saint  Matthieu,  attri- 
bué à  Anselme  de  Laon,  XIV,  183.  Ses  ho- 
mélies attribuées  aussi  à  Anselme  de  Laon, 
184. 

BABOLEN  (Saint),  premier  abbé  du  mo- 
nastère des  Fossés  près  Paris.  Répons  pour 
le  jour  de  sa  fête  composés  par  le  moine 
Odon,  XIII,  234. 
IV siècle.  BABYLAS  (Saint),  évêque  d'Antiocbe, 
martyr.  Son  corps  enterré  à  Daphné  près 
d'Antioche,  III,  412.  —  Eglise  bâtie  en  son 
iionneur  par  saint  Mélèce,  V,  12.  —  Ses  re- 
liques rendent  muet  l'oracle  d'Apollon,  VII, 
88  et  91.  Son  panégyrique  par  saint  Jean 
382.  Chrysostôme,  90  et  91.  Livre  de  ce  même 
père  sur  saint  Babylas  ;  ce  livre  est  intitulé 
contre  Julien  et  contre  les  Gentils,  91,  92. 
—  Témoignage  de  Philostorge  sur  les  ou- 
trages que  Julien  rA])ostat  fit  aux  reliques 
de  saint  Babylas,  VIII,  312.  —  Témoignage 
de  Théodoret  sur  l'ordre  que  Julien  donna 
de  les  trcinsporler  hors  du  lieu  où  elles 
étaient,  X,  46. 

BâBYLONE.  Homélie  sur  les  trois  enfants 
de  Babylone  attribuée  faussement  à  Sévé- 
rien,  évêque  de  Gabales,  Vil,  209.  Autre 


homélie  sur  le  même  sujet  faussement  attri- 
buée à  Jean  de  Jérusalem,  302. 

BACANCELD  ou  BÉCANCELD  ou  BÉ- 
CHANCELLE  en  Angleterre.  Conciles  qui  y 
furent  tenus,  XII,  963,  XIII,  636. 

BACCAUDE,  évêque  de  Formies.  Lettre        590. 
que  lui  écrit  le  pape  saint  Grégoire,  XI , 
480. 

BACCHANALES.  Fêtes  en  l'honneur  de 
Bacchus  défendues  par  le  sénat  avant  Jésus- 
Christ,  IV,  311. 

BACCHIARIUS,philosophechr6tien.Voyez 
Bachiarius. 

BACCHYLLE,  évêque  de  Corinthe.  Voyez 
Bachylle. 

BACCILLUS  ,  évêque  porteur  d'une  lettre 
de  saint  Léon,  X,  209. 

BACHIARIUS,  [ou  mieux  BACCHIARIUS],  v.iécie. 
philosophe  chrétien,  moine,  VIII,44et  suiv. 
Quel  il  était,  44.  Son  pays;  était-il  prêtre 
ou  évêque,  43.  Ses  écrils;  son  livre  de  la 
foi,  43  et  suiv.  Lettre  de  Bachiarius  à  Jan- 
vier, 48,  49.  [Éditions  de  cette  leltre  et  du 
livre  de  la  foi,  50.] 

BACHYLLE  [ou  mieux  BACCHYLLE],  évé-      „  ^,^„,,. 
que  de   Corinthe,  auteur  d'une  lettre  syno- 
dale sur  la  pâque,  I,  335,  II,  542. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


127 


590. 


586. 


BADÊME  (Saint),  abbé  en  Perse.  Son 
martyre,  IIJ,  324.  Ses  actes  rapportés  par 
Assémani,  412. 

BADIUS  (Josse),  imprimeur  de  Paris.  Ses 
notes  sur  les  cinq  livres  de  la  Consolation,  de 
Boëce,  X,  665. 

BAGADIUS,  évéque  de  Bostres,  déposé, 

VII,  716. 

BAGAIA,  ville  de  Numidie.  Concile  qui  y 
fut  tenu  par  les  Donatistes,  IV,  6S9,  660. 

BAGAUDES,  rebelles  des  Gaules  défaits 
par  Maximien  Hercule,  II,  473. 

BAHANES,  patrice,  assiste  au  nom  de 
l'empereur  Basile  au  quatrième  concile  de 
Constantinople,  XIII,  702,  703,  704. 

[BAHRDT  (Cb.-Fréd.),  éditeur  des  Hexa- 
ples  d'Origène,  II,  253.] 

BAILLEMENT.  Coutume  des  fidèles  de 
faire  sur  leur  bouche  le  signe  de  la  croix 
lorsqu'ils  bâillaient,  XIII,  53. 

BAIN  de  sainte  Cécile,  II,  102. 

BAINS.  Canon  trentième  dw  concile  de 
Laodicée  sur  les  bains,  lll,  511.  —  Bains 
établis  en  Perse  par  le  roi  Cavadès,  X,  586. 

BAISER  DE  PAIX,  témoignage  de  Clé- 
ment d'Alexandrie,  I,  570.  —  De  TertuUien, 
II,  76  ;  d'Origène,  139  ;  de  saint  Cyprien, 
364  ;  d'Archélaûs  de  Caschare,  457.  Des 
Constitutions  apostoliques,  596.  —  d'Eusèbe 
de  Césarée,  III,  112.  —  De  saint  Cyrille  de 
Jérusalem,  V,  76. —  De  saint  JeanChrysostô- 
me,  VII,  309  et  4H.  —  De  saint  Augustin, 
IX,  768.  —  D'Anastase  le  Sinaïle,  XI,  606. 

BALAAM,  devin.  Livres  qui  lui  sont  attri- 
bués, I,  267.  —  Sa  prophétie  conservée  par 
tradition  dans  l'Orient  jusqu'aux  mages,  III, 
273.  —  Ce  que  Théodoret  pense  du  pro- 
phète Balaam,  X,  30. 

BALACIUS,  duc.  Lettre  que  lui  écrit  saint 
Antoine,  père  des  solitaires,  III,  391. 

BALiEUS,  Syrien,  auteur  ecclésiastique, 

VIII,  1  et  2. 

BâLAIN  (Saint).  Abbaye  sous  son  nom  au 
diocèse  dTvrée  en  Piémont,  XIII,  107.  Voyez 
Frutare. 

BALBIN,  évêque  de  Roselle,  chargé  par 
le  pape  saint  Grégoire  de  prendre  soin  de 
l'Église  de  Populonium,  XI,  481. 

[BALBO  (César).  Sou  jugement  SLir  saint 
Grégoire  Vil,  XIII,  389.] 

BALGONE,  évêque  de  Brague,  à  qui  fut 
envoyée  une  confession  de  foi  par  ordre  de 
saint  Léon,  X,  668. 

BA.LDÈGIS1LE,  évêque  du  Mans.  Temps 
de  sa  mort,  XI,  632. 


BALDÉGOTON.  Lettre  que  lui  écrit  saint        m. 
Euloge  pour  l'informer  du  martyre  de  sainte 
Flore  sa  sœur,  XII,  521. 

BALDÉRIC.  Voyez  tous  les  personnages 
de  ce  nom  sous  le  nom  de  Baudri. 

[BALDI  (Bernardin).  Sa  traduction  ita- 
lienne des  livres  sibyllins,  I,  308.] 

BALDON,  évêque  en  Germanie.  (Il  avait 
composé  plusieurs  écrits,  V.  Ce  qui  en  est 
dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France^  t. 
V,  p.  212.) 

BALE,  concile  tenu  en  cette  ville,  XIV, 
1062. 

BALÉARES  (Iles),  dans  la  Méditerranée. 
Décret  du  duc  Haie  touchant  ces  îles,  XIV. 
1061. 

BALFORÉUS  ( ).  Son  édition  de  l'His- 
toire du  concile  de  Nicée  par  Gélase  de  Cy- 
zique.  Le  troisième  livre  y  manque,  X, 
533. 

[BALLERINI  (Les  frères).  Leur  édition 
des  opuscules  de  saint  Hilaire  d'Arles,  VIII, 
442.  —  Leur  édition  des  œuvres  de  saint 
Léon  le  Grand,  X,  273  et  276.  —  Leur  édi- 
tion des  œuvres  àà  Rathier,  XII,  848.  — 
Leur  disserlution  sur  les  collections  antiques 
de  droit  canon,  XIII,  568.] 

BALLINI  (Jules).  Sa  traduction  italienne 
des  sermons  de  saint  Basile  de  Césarée,  IV, 
548. 

BALMAY  (Ponce  de).  Voyez  le  B.  Ponce 
de  Babnay. 

BALNEOLE,   monastère.   Bulle  du  pape        \mi. 
Benoit  VIII  en  sa  faveur,  XIII,  192. 

BALSAME  (Saint  Pierre),  martyr.  Actes 
de  son  martyre,  111,  81,  82. 

BALSAMON  (Théodore),  patriarche  d'An- 
tioche.  Voyez  Théodore  Balsamon. 

[BALTHAZAR,  roi  de  Babylone,  ne  doit 
pas  être  confondu  avec  Evilmérodach,  1,171, 
note  1.] 

BALTHASAR,  nom  donné  à  l'un  des  trois 
mages  ou  rois,  XIV,  926. 

BALTRANNE,  évêque  de  Strasbourg; 
Voyez  Waltramne. 

BALUZE  (Etienne),  professeur  royal  en 
droit  canon.  Son  édition  des  œuvres  de  saint 
Cyprien,  évéque  de  Carthage,  aclievée  par 
P.  Prudent  Maran,  II,  383,  384.  —  Difl'é- 
rentes  éditions  qu'il  a  données  des  œuvres 
de  Salvien,  X,  378.  —  Son  édition  des  Ca- 
pitulaires  de  nos  rois,  XII,  226  ;  des  œuvres 
d'Agobard,  archevêque  de  Lyon,  366  et  378; 
des  œuvres  de  Loup,  abbé  de  Ferrières, 
513  ;  de  la  coll.  clion  de  Régiuon  sur  la  dis- 


d2S 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


cipline    ecclésiastique    et    sur    la  religion 
chrétienne,  772  ;   [de  quelques  lettres  d'A- 
dam, abbé  de  Perseigne,  XIV,  882  ;]  desleltres 
du  pape  Innocent  III,  931. 
1007.  BAMBERG ,  -ville  d'Allemagne   détachée 

du  diocèse  de  Wirtzbourg  et  érigée  en  évé- 
ché,  XIII,  93  et  189.  L'empereur  Henri  II 
donne  cette  ville  et  cet  évêché  à  l'Église  ro- 
maine, 66.  L'érection  de  cet  évêché  est  con- 
firmée par  le  pape  Jean  XVIII,  p.  93,  189. 
Bulle  de  Benoît  VIII  en  faveur  de  cette 
Église,  192.  Lettre  de  Glémenl  II  à  cette 
Église  dont  il  avait  été  évêque,  197,  198, 
Cet  évêché  cédé  à  l'empereur  Henri  III  par 
le  pape  saint  Léon  IX  en  échange  de  Béné- 
vent,  202.  Deux  bulles  du  même  pape  pour 
l'Église  de  Bamberg,  209.  Dédicace  de  l'É- 
glise cathédrale  de  Bamberg  nouvellement 
érigée  en  évêché,  66,  323,  326.  [Lettre  de 
Wattram  à  l'Église  de  Bamberg,  403.]  — 
Son  érection  en  évêché  ;  confirmation  de 
cet  établissement,  XIV,  1033.  Concile  tenu 
en  cette  ville  à  l'occasion  de  la  dédicace  de 
la  cathédrale,  1036.  Lettres  du  pape  Cahxte 
il  qui  confirment  les  privilèges  de  l'Église 
de  Bamberg,  1098. 

BANCOR ,  célèbre  monastère  d'Irlande, 
XI,  613. 

[BANDINI  (Marie).  Son  édition  des  épi- 
grammes  de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V, 
361.  —  Son  édition  des  deux  premiers  livres 
de  l'Histoire  de  saint  Cyprien  et  de  sainte 
Justine,  martyrs,  par  sainte  Pulchérie,  VIII, 
476,  note  2.] 

BANDONlNIEouBANDONIVlE, religieuse. 
Voyez  Baudonivie. 

BANDURI  (D.  Anselme),  bénédictin.  Son 
projet  d'une  édition  des  œuvres  de  Nicé- 
phore,  patriarche  de  Constantinople,  XJI, 
288.  —  [Son  édition  et  sa  traduction  latine 
du  discours  de  Nicétas  Choniate  sur  les  mo- 
numents détruits  pari  es  croisés,  XIV,  1176.] 
BANQUET  DES  VIERGES,  ouvrage  de 
saint  Méthode,  évêque  de  Tyr,  III,  62  et 
suiv. 

BANTIN,  Abbaye  dont  le  pape  Urbain  II 
consacre  la  nouvelle  église  ;  privilèges  qu'il 
accorde  à  ce  monastère,  XIII,  419. 

BAPTÊME  DE  SAINT  JEAN,  < 'est-à-dire 
donné  par  saint  Jean.  Doctrine  d'Eusèbe  de 
Césarée,  III,  240;  —  de  saint  Hilaire,  IV, 
25  ;  de  saint  Athanase,  213  ;  de  Tite,  évêque 
de  Bostre,  344  ;  de  saint  Basile,  518  ;  —  de 
saint  Cyrille  de  Jérusalem,  V,  79  ;  de  saint 
Optât,  121  et  134;  de  saint  Grégoire  de  Na- 


IV  siècle. 


1088. 


zianze,  323.  —  Trois  homéhes  de  saint  Jean 
Ghrysostôme  sur  ce  sujet,  VII,  217.  Doctrine 
de  saint  Jérôme,  669  ;  —  de  saint  Augustin, 
IX,  386,  387,  et  739,  740;  —de  saint  Pierre 
Ghrysologue,  X,  12  ;  —  de  saint  Grégoire  le 
Grand,  XI,  565  ;  de  saint  Ildefonse  de  To- 
lède, 774.  —  d'Alcuin,  XII,  210. 

BAPTÊME  DE  JÉSUS-CHRIST,  c'est-à- 
dire  reçu  de  la  main  de  saint  Jean  par  Jé- 
sus-Christ. Raison  qui,  d'après  Clément  d'A- 
lexandrie, a  porté  Jésus-Christ  à  recevoir  le 
baptême,  I,  389.  Homélie  de  saint  Hippolyte 
sur  ce  sujet,  616,617. —  Pourquoi  Jésus- 
Christ  a  voulu  recevoir  le  baptême,  II,  313. 
—  Discours  de  saint  Grégoire  de  Nazianze 
sur  ce  sujet,  V,  235,  236  ;  —  de  saint  Gré- 
goire de  Nysse,  VI,  201,  202. —  Homélie  de 
saint  Jean  Ghrysostôme,  VII,  79  et  suiv. 
Opuscule  faussement  attribué  à  saint  Jean 
Ghrysostôme  sur  l'Epiphanie  et  sur  le  bap- 
tême de  Jésus-Christ,  312.  Homélie  de  saint 
Ghromace,  évêque  d'Aquilée,  sur  ce  sujet, 
493.  —  [Sermon  d'Eusèbe  d'Alexandrie  sur 
le  baptême  de  Jésus-Christ,  VIII,  383.  — 
Sermon  de  saint  Augustin  sur  le  même  su- 
jet, IX,  836  et  841]  —  Ce  que  saint  Léon  dit 
du  baptême  de  Jésus-Christ,  X,  209.  —  [Ser- 
mon de  Grégoire  d'Antioche  sur  le  baptême 
de  Notre-Seigneur,  XI,  358,  359.]  Homéhe 
de  Pantaléon  sur  ce  sujet,  791.  —  [Sermon 
sur  la  Vigile  du  jour  du  baptême  de  Notre- 
Seigneur  par  saint  Théodore  Studite,  XII, 
311.] 

BAPTÊME  institué  par  Jésus-Christ.  Doc- 
trine de  saint  Barnabe,  I,  284;  d'Hermas, 
334,  337,  338;  de  saint  Ignace  d'Antioche, 
383;  de  saint  Justin,  441,  442;  de  Théo- 
phile, 477  ;  de  saint  Irénée,  300  et  323  ;  de 
Clément  d'Alexandrie,  389  et  399  ;  de  saint 
Hippolyte,  617  et  640.  —  Traité  du  Bap- 
tême ;  ouvrage  de  Tertullien  avant  sa  chute, 
II,  4  et  suiv.  Doctrine  de  Tertullien  sur  le 
même  sujet,  61,  62,  73  et  suiv.,  83.  Doc- 
trine du  pape  saint  Corneille,  126,  127. 
Doctrine  d'Origène,  237,  238.  Changement 
que  le  baptême  produit  dans  saint  Cyprien, 
238,  239.  Questions  sur  le  baptême  des  hé- 
rétiques et  des  schismatiques  agitées  du 
temps  de  saint  Cyprien,  327  et  suiv.  Voyez 
l'article  suivant  sur  le  Baptême  des  héréti- 
ques. Traité  contre  la  réitération  du  baptême 
attribué  à  saint  Cyprien,  343  et  suiv.  Doc- 
trine de  saint  Cyprien  sur  le  baptême,  363 
et  suiv.  Novatien  baptisé  par  aspersion  dans 
son  lit,  424.  Doctrine  de  saint  Victorin,  461; 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


129 


de  Lactance,  S12.  Conciles  tenus  au  sujet  du 
Baptême  des  hérétiques,  344  el  suiv.  Voyez 
Tarticle  suivant  sur  le  Baptême  des  héréti- 
ques. Témoignage  d'un  concile  de  Garthage 
sur  le  baptême  des  enfants,  361,  362.  Paul  de 
SamosHte  changeait  la  forme  dubaptême  usi- 
tée dans  l'Église,  567.  Canons  apostoliques 
sur  le  baptême.  Canons  quarante-sixième  et 
quarante-septième,  384.  Canons  quarante- 
neuvième  et  cinquantième,  384  et  383.  Ca- 
non  soixante-huitième  ,  583.    Constitutions 
apostoliques,  594,  593.   Canons  trente-sep- 
tième et  trente-huitième  du  concile  d'Elvire, 
608  et  609.  Canon  quarante-deuxième   du 
même  concile,  609.   Canons  quarante-qua- 
trième  et   quarante-cinquième ,    609,    610. 
Canon  quarante-huitième,  610.  Canon  soi- 
xante-dix-septième, 613,614.  Canon  sixième 
du  concile  de  Néocésarée,  641.  —  Histoires 
sur  le  baptême  rapportées  à  l'épiscopat  de 
saint  Pierre,  patriarche  d'Alexandrie;  juge- 
ment de  ces  histoires,  III,  60,  61.  Doctrine 
de  saint  Méthode,  évêque  de  Tyr,  70,  71. 
Doctrine  d'Eusèbe  de  Césarée,  294.  Canon 
quarante-septième  et  quarante-huitième  du 
concile   de   Laodicée,    313.  —  Doctrine   de 
saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  26  et  73.  His- 
toire  d'un   prétendu   baptême   donné    par 
saint  Athanase,  enfant,  à  des  enfants,  90. 
Doctrine   de   saint   Athanase,    214  et  suiv. 
[Discours  aux  baptisés  par  saint  Athanase, 
660.]  Erreurs  desMessaliens  sur  le  baptême, 
643.  Profession   de  foi  faite  publiquement 
par  Victorin  avant  de  recevoir  le  baptême, 
323.  Formule  du  baptême  changée  par  Eu- 
nomius,    410.    Homélie   de    saint  Basile  le 
Grand,  384  et  suiv.   Témoignage  de  saint 
Basile,  421,  422.   Canon  premier  de  la  pre- 
mière épitre  canonique  de  saint  Basile,  459. 
460.  Canon  vingtième  dans  la  seconde  épî- 
tre   canonique,   466.    Canon   quarante-sep- 
tième dans   la    même    épitre,    468,    469. 
Les  deux  livres  du  Baptême    faussement 
attribués    à   saint   Basile,    490,    491.    Doc- 
trine de  saint  Basile,  313  et  suiv.  Canon 
d'un  concile  de  Capoue,  635. —  Doctrine  de 
saint  Cyrille  de  Jérusalem,  V,  63,  64,  72  et 
suiv.,  77;  de  saint  Optât,  110,  120,  121, 133 
et  suiv.  Discours  ou  traité  sur  le  Baptême  ; 
ouvrage  de  saint  Pacien,  163  et  suiv.  Doc- 
trine de  saint  Pacien,  168,  169.  Discours  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  le  sacrement 
de  Baptême,  236  et  suiv.  Doctrine  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze,  323  et  suiv.  Diverses 
sortes  de  baptême,  323.  Ministre  du  sacre- 

TAB.    I. 


ment  de  baptême,  324,  323.  Baptême  des 
adultes,  323.  État  des  personnes  qui  meu- 
rent sans  baptême;  peines  qu'elles  souffrent 
dans  l'autre  vie,  323  et  326.  Baptême  des 
enfants,  326.  Forme  dubaptême,  326 et 327. 
Effets  du  baptême  ;  fidélité  aux  promesses 
du  baptême,   327.  Temps  propre  à  l'admi- 
nistration  de   ce   sacrement,    327    et   suiv. 
Quelques-unes  de  ses  cérémonies,  329.  Cé- 
rémonies de  ce  sacrement  expliquées  par 
saint  Ambroise  dans  son  traité  des  Mystè- 
res, 462.  Doctrine  de  saint  Ambroise  353, 
[Doctrine  de  Didyme  l'Aveugle,  628,  629. 
Triple  immersion  au  temps  de  Didyme  l'A- 
veugle ;  à  cette  époque  il  était  conféré  tous  les 
jours  et  à  toute  heure,  631 . — Doctrine  de  saint 
Ephrem,  VI,  61,  62.  Règlement  attribué  à 
saint  Clément,  pape,  79.  Doctrine  de  saint  Si- 
rice,  99  et  100.  Décrets  sur  le  baptême  faus- 
sement attribués  à  ce  pape,  109.  Discours  de 
saint  Grégoire  de  Nysse  contre  ceux  qui  dif- 
féraient leur  baptême,  159  et  suiv.    Histoire 
tragique  d'un  jeune  homme  qui  avait  différé 
son  baptême,  rapportée  par  saint  Grégoire 
de  Nysse,  160.  Doctrine  de  saint  Grégoire 
de  Nysse,  240,  241.  Doctrine  de  saint  As- 
tère,  309   Les  Archontiques  avaient  en  exé- 
cration le  baptême,  392.  [Sept  invitations  à 
la  fontaine  baptismale  par  saint  Zenon  de  Ver- 
ceil  ;  sept  traités  du  même  aux  néophytes 
ou  nouvellement  baptisés,  274.  Dialogue  de 
Hiéronyme  sur  l'effet  du  baptême  et  sur  les 
marques  du  chrétien,  333. J  Doctrine  de  saint 
Epiphane,  430,  431.  —  Doctrine  de   saint 
Jean  Chrysostôme,  VII,    393.    Doctrine   de 
saint  Chromace,  493.  Erreur  de  Pelage  sur  le 
baptême,  522  et  344.  Doctrine  du  pape  saint 
Zozime,  329.  Témoignage  de  saint  Jérôme, 
584  et  660.  Doctrine  de  saint  Jérôme,  669  et 
suiv.  Doctrine  du  même  sur  le  baptême  des 
enfants,   672,    673.    Sur  l'état   des  enfants 
morts   sans  baptême,  673.    Canon   trente- 
quatrième  d'un  concile   d'Hippone  ;   canon 
quarantième,  715.  Canons  trente-quatrième 
et  trente-cinquième  du  troisième  concile  de 
Carlhage,  722,  723.   Canon  sur  le  baptême, 
tiré  de  quelque   concile  de  Garthage,  726. 
Canon   centième   du   quatrième  concile  de 
Garthage,  733.  Canon  sixième  du  cinquième 
concile    de   Garthage,  734.  —  Doctrine  de 
saint  Paulin,  évêque  de  Noie,  sur  le  bap- 
tême, VIII,  91,  92.  Doctrine  de  saint  Nil, 
solitaire  du  Sinai,  227.   Doctrine  et  témoi- 
gnage de  saint  Cyrille  d'Alexandrie  sur  le 
baptême,  316  et  336,  337.  Témoignages  de 

9 


130 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


l'historien  Socrate,  522.  Règlement  du  con- 
cile général  de  Carthage,  538.  Canon  sep- 
tième du  concile  de  Rome  sous  le  pape 
saint  Innocent,  545.  Canon  dix-huitième  du 
sixième  concile  de  Carthage,  5G4.  —  Lettre 
de  saint  Augustin  à  Festus  sur  l'erreur  des 
Donatistes  touchant  le  baptême,  IX,  95,  96. 
Lettre  de  saint  Augustin  à  Boniface  sur  le 
Baptême,  103,  104.  Lettre  de  saint  Augustin 
à  Hilaire  où  il  combat  l'erreur  des  Péla- 
giens  sur  le  baptême,  139.  Lettre  de  saint 
Augustin  à  Séleucienne  sur  le  Baptême , 
191.  Lettre  de  saint  Augustin  à  Pierre  et  à 
Abraham  sur  les  enfants  morts  sans  bap- 
tême, 192,  193.  Ce  que  saint  Augustin  dit 
des  dispositions  nécessaires  pour  le  baptême 
dans  son  livre  de  la  Foi  et  des  Œuvres,  257. 
Sept  livres  du  Baptême ,  ouvrage  de  saint 
Augustin,  380  et  suiv.  Livre  de  l'Unité  du 
Baptême  ;  ouvrage  du  même  Père  contre 
Pétilien,  402  et  suiv.  Livres  du  Baptême  des 
enfants  ;  ouvrage  de  saint  Augustin  adressé 
à  Marcelhn,  417  et  suiv.  Ce  que  saint  Augus- 
tin dit  du  baptême  dans  son  premier  livre  à 
Boniface,  476  ;  dans  le  troisième  livre,  479, 
480.  Ce  que  saint  Augustin  dit  du  baptême 
dans  son  sixième  livre  contre  Julien,  507  et 
suiv.  Ce  qu'il  en  dit  à  la  fin  du  deuxième 
livre  de  l'ouvrage  imparfait  contre  Julien, 
550.  Témoignages  de  saint  Augustin  sur  le 
baptême,  618,  619.  Doctrine  de  saint  Augus- 
tin sur  l'état  des  enfants  qui  meurent  sans 
baptême,  157,  419,  506,  548.  659  et  suiv. 
Réponse  à  l'objection  des  Semi-Pélagiens  • 
touchant  ces  enfants,  661,  662.  Doctrine  de 
saint  Augustin  sur  le  sacrement  de  baptê- 
me, 740  et  suiv.  Nécessité  du  sacrement  de 
baptême  pour  être  sauvé,  740,  741 .  Eflets 
de  ce  sacrement,  741,  742.  Matière  et  forme 
de  ce  sacrement,  742,  743.  Ministre  du  bap- 
tême, 743,  744,  Rebaptisation,  744,  745. 
Exorcismes  et  autres  cérémonies  du  baptê- 
me, 745  et  suiv.  —  Doctrine  de  saint  Pierre 
Chrysologue  sur  le  baptême,  X,  12.  Témoi- 
gnage et  doctrine  de  Théodoret,  47  et  86, 
87.  Ouvrage  mystique  de  Théodoret  sur  le 
baptême,  107.  Doctrine  de  ce  Père  sur  le 
baptême,  119  et  122,  123.  Règles  que  pres- 
crit le  pape  saint  Léon  à  l'égard  de  ceux 
dont  le  baptême  était  incertain,  201  et  237. 
Les  églises  de  Sicile  donnaient  le  baptême 
solennel  à  la  fête  de  l'Epiphanie  ;  le  pape 
saint  Léon  s'y  oppose,  209  ;  et  à  celui  des 
évêques  de  Campanie  qui  le  donnaient  aux 
fêtes  des  martyrs  ;  il  en  fixel'administiation 


solennelle  aux  fêtes  de  Pâques  et  de  la  Pen- 
tecôte, 237.  Doctrine  du  pape  saint  Léon  sur 
le  Baptême  et  ses  cérémonies,  192,  209,  248 
et  257,  258.  Doctrine  de  saint  Prosper  sur 
les  effets  du  Baptême,  293.  Homélie  de  saint 
Maxime  de  Turin  sur  la  grâce  du  Baptême, 
320  et  323.  [Trois  homélies  ou  traités  sur 
le  Baptême,  par  le  même,  327.]  Livre  de  la 
Grâce  spirituelle  du  Baptême,  attribué  par 
Gennade  à  saint  Maxime  de  Turin,  325.  [Cé- 
rémonies du  baptême  d'après  saint  Maxime 
de  Turin,  329.]  Miracle  opéré  dans  la  béné- 
diction solennelle  des  fonts  baptismaux,  202 
et  270.  Les  Ariens  rebaptisent  par  force  les 
catholiques,  461,  462.  Ordonnance  du  pape 
saint  Gélase  sur  le  Baptême,  502.  Cérémo- 
nies prescrites  par  le  Sacrementaire  du  pape 
saint  Gélase  pour  le  baptême  solennel,  S12 
et  suiv.  Celles  pour  les  catéchumènes  ma- 
lades, les  énergumènes  et  les  païens,  315. 
Cérémonies  du  baptême  décrites  dans  le 
livre  de  la  Hiérarchie  ecclésiastique  attribué 
à  saint  Denis  l'Aréopagite,  547,  549,  550. 
Lettre  de  saint  Avit  à  Clovis  sur  son  baptê- 
me, 561.  Doctrine  de  Gennade  de  Marseille 
sur  le  baptême,  603  et  605.  Canon  quator- 
zième du  concile  de  Chalcédoine  sur  le  bap- 
tême, 698.  Canon  du  second  concile  de  saint 
Patrice  sur  le  baptême  ;  autre  touchant  le 
catéchuménat  et  le  baptême,  707.  Canon  du 
premier  concile  d'Orléans  sur  le  baptême, 
745.  —  Différentes  Questions  sur  le  Baptême 
proposées  à  saint  Fulgence  de  Ruspe  ;  ré- 
ponses de  saint  Fulgence,  XI,  37  et  suiv. 
Doctrine  de  ce  saint,  33,  64  et  suiv.  Doctrine 
des  évêques  d'Afrique,  42.  Solennité  du 
baptême  de  Clovis  et  des  Francs,  79.  Doc- 
trine de  Laurent  de  Novarre,  96.  Livre  des 
Rites  du  baptême  et  de  la  communion  à  l'u- 
sage des  chrétiens  de  Syrie,  ouvrage  attri- 
bué par  les  uns  à  Sévère  de  Sozople,  et  par 
d'auti'es  à  Sévère,  patriarche  d'Alexandrie, 
108.  Discours  de  saint  Césaire  contre  le  Dé- 
lai du  baptême,  133.  Autres  discours  où 
saint  Césaire  parle  du  baptême,  138,  143, 
144.  Règlements  du  pape  Vigile  sur  le  bap- 
tême, 195.  Décision  de  Trojanus,  évêque  de 
Saintes,  sur  un  enfant  qui  ne  se  souvenait 
pas  d'avoir  été  baptisé,  202.  Doctrine  de 
Cassiodore  sur  le  baptême,  248,  249.  Senti- 
ment de  Facundus  sur  le  baptême  donné  au 
nom  de  Jésus-Christ,  287.  Formule  où  se 
trouvent  les  cérémonies  du  baptême,  342. 
Discours  où  se  trouvent  les  cérémonies  du 
baptême,  358.  Témoignage  de  saint  Grégoire 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


131 


de  Tours  sur  le  baptême,  389.  Lettre  du 
patriarche  Jean  le  Jeûneur  sur  le  Baptême, 
427.  Lettre  de  Licinien,  évêquede  Carthage, 
sur  le  même  sujet,  428.  Témoignages  du 
pape  saiut  Grégoire  sur  le  baptême,  512, 
328,  S3o.  Doctrine  du  pape  saint  Grégoire 
le  Grand  sur  le  baptême,  563  et  suiv.  Ditfé- 
rence  du  baptême  donné  par  saint  Jean  et 
du  baptême  institué  par  Jésus-Cbrist  ;  effets 
du  baptême  et  cérémonies  qu'observait  l'É- 
glise romaine  eu  administrant  ce  sacrement, 
565.  Ministre  ordinaire  du  baptême  ;  temps 
de  l'administrer,  566.  Traité  du  Baptême, 
ouvrage  de  Marc  l'Ermite,  639,  640.  Témoi- 
gnage d'Auremond,  abbé  de  Maire  ;  canon 
du  premier  concile  d'Auxerre,  693.  Statut 
de  Sonnace  de  Reims  sur  le  baptême,  694. 
Témoignage  de  Jean  Moscb,  700  et  702, 
Doctrine  de  saint  Isidore  de  Séville,  712, 
713.  Livre  de  la  Connaissance  du  baptême  , 
ouvrage  de  saint  Udefonse  de  Tolède,  774. 
Articles  du  Pénitentiel  de  Théodore  de  Can- 
torbéry  sur  le  baptême,  797,  798.  Canons 
d'un  concile  de  Brague  sur  le  baptême,  886. 
Canon  d'un  concile  de  Valence,  896.  —  Dé- 
cisions du  pape  Grégoire  II  sur  le  baptême, 
XU,  24  ;  du  pape  Grégoire  111,  27  ;  du  pape 
Zacharie,  31,  32.  Canon  attribué  à  saint  Bo- 
niface,  archevêque  de  Mayence,  34.  Homélie 
de  saint  Boniface,  archevêque  de  Mayence, 
sur  les  Renonciations  du  baptême,  33.  Ca- 
non sur  le  baptême  dans  le  Recueil  d'Egbert, 
évêque  d'York,  64,  65.  Doctrine  de  saint 
Jean  Damascène  sur  le  baptême,  80  et  93. 
Différentes  Questions  sur  le  baptême,  déci- 
dées par  le  pape  saint  Etienne  II  ;  le  bap- 
tême par  immersion  était  encore  le  plus  en 
usage  au  viii°  siècle,  113.  Statut  sur  le  bap- 
tême dans  un  ancien  avertissement  aux  prê- 
tres, 150.  Lettre  d'Alcuin  au  prêtre  Odvin 
oii  sont  expliquées  les  Cérémonies  du  bap- 
tême, 184.  Autre  lettre  sur  le  baptême 
adressée  à  Charlemagne  et  attribuée  à  Al- 
cuin ,  elle  est  d'Amalaire,  archevêque  de 
Trêves,  184  et  183.  Diverses  lettres  d'Alcuiu 
touchant  le  Baptême,  195,  196.  Doctrine 
d'Alcuin  sur  ce  sacrement,  210.  Doctrine  de 
Béatus,  prêtre  espagnol,  214,  215.  Traité 
d'Amalaire  sur  les  Cérémonies  du  baptême, 
222.  On  l'a  attribué  à  Alcuin  ;  raisons  qui 
prouvent  qu'il  n'est  pas  de  lui,  183  et  222. 
Analyse  de  ce  traité,  222.  Autre  traité  des 
Cérémonies  du  baptême  adressé  à  Charle- 
magne ;  l'auteur  n'en  est  pas  connu  ;  autre 
traité  sur  le  même  sujet  dont  l'auteur  est 


aussi  inconnu,  223.  Article  d'un  capitulaire 
de  Charlemagne,  232.  Lettre  de  Charlema- 
gne à  Odilbert,  archevêque  de  Milan,  qui 
contient  plusieurs  questions  sur  le  baptême, 
238.  Lettre  de  Charlemagne  à  Garibalde, 
évêque  de  Liège;  article  d'un  ancien  Péni- 
tentiel touchant  le  baptême,  246.  Réponse 
d'un  évêque  aux  questions  proposées  par 
Charlemagne,  248.  Traité  du  Mystère  du 
baptême,  ouvrage  de  Magnus,  archevêque 
de  Sens,  230,  231.  Réponse  de  Maxence, 
patriarche  d'Aquilée,  aux  questions  que 
Charlemagne  avait  proposées  sur  le  baptê- 
me, 231.  Réponse  de  Leidrade,  archevêque 
de  Lyon,  aux  questions  proposées  par  Char- 
lemagne sur  le  baptême,  252,  253.  Autre 
traité  du  même  sur  les  Renonciations  qui  se 
font  avant  le  baptême,  253.  Livre  du  Bap- 
tême, ouvrage  de  Théodulphe,  évêque  d'Or- 
léans, 266,  267.  Canon  sous  le  nom  de  Ni- 
céphore  touchant  le  baptême,  286.  Traité  de 
Jessé,  évêque  d'Amiens,  sur  le  Baptême,  en 
réponse  aux  questions  que  Ciiarlemagne 
avait  proposées,  338.  Doctrine  d'Amalaire 
de  Metz  dans  son  livre  des  Offices  ecclésias- 
tiques, 342,  343.  Doctrine  de  Jouas,  évêque 
d'Orléans,  sur  le  baptême,  dans  son  Institu. 
tion  des  laïques,  389.  Article  d'une  instruc- 
tion du  pape  Léon  IV,  408.  Doctrine  de  Wa- 
lafrid  Strabon,  414.  Doctrine  de  Rhaban, 
archevêque  de  Mayence,  dans  son  livre  de 
l'Univers  ou  l'Universel,  448  ;  et  dans  son 
livi-e  de  l'Instittution  des  clercs,  434.  Article 
concernant  le  baptême  dans  une  instruction 
pastorale  de  Raoul,  archevêque  de  Bourges, 
554.  Réponse  du  pape  saint  Nicolas  aux 
Bulgares  touchant  le  baptême,  582,  383, 
S84.  Statut  d'Isaac  de  Langres  sur  le  bap- 
tême, 639.  Décision  de  Jean  VIII  concernant 
le  baptême,  646.  Instruction  d'Hincmar  de 
Reims  sur  l'administration  du  baptême,  686. 
Témoignage  d'Alton,  évêque  de  Verceil,  sur 
le  baptême,  821.  Le  quatrième  concile  de 
Tolède  ordonne  de  conférer  le  baptême  par 
une  seule  immersion,  916.  Canon  d'un  con- 
cile de  Méiida  sur  le  baptême,  937.  Canons 
du  concile  Quinisexte,  962  et  964.  [Réponse 
de  Pholius  à  quelques  points  relatifs  au  bap- 
tême, 978,  979.]  —  Doctrine  de  saint  Ful- 
bert de  Chartres  sur  le  baptême,  XIII,  79. 
Doctrine  de  Gérard,  évêque  de  Cambrai,  160, 
161.  Ordonnance  du  pape  Nicolas  II  sur  le 
baptême,  247.  Témoignage  d'un  anonyme 
sur  la  fin  du  xi°  siècle,  492.  Canon  d'un  con- 
cile  de  Complègne,  615.   Règlement   d'un 


132 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


concile  de  Mayence,  644.  Canon  d'un  con- 
cile de  Gelchyte,  654.  Règlement  du  sixième 
concile  de  Paris,  663.  Canon  d'un  concile  de 
Meaux,  674.  Canon  d'un  concile  de  Rouen, 
727.  —  Doctrine  de  saint  Anselme,  XIV,  16. 
Discours  d'Yves  de  Chartres  surlelîaptême, 
122.  Traité  de  Geoffroi  de  Vendôme  sur  le 
Baptême, la  Confirmation,  etc.,  168.  Doctrine 
de  saint  Otton,  évêque  de  Bamberg,  179. 
[D'après  le  pape  Innocent  II,  l'omission  du 
baptême  ne  nuit  pas  à  celui  qui  croit  avoir 
été  baptisé  s'il  a  persévéré  dans  la  foi  de 
l'Église  et  dans  la  confession  du  saint  nom 
de  Jésus-Christ,  267.  Les  prêtres,  après  avoir 
oint  la  tête  du  baptisé,  la  recouvraient  d'une 
mitre,  296.  Destinée  des  enfants  morts  sans 
baptême,  301.]  Actes  d'un  concile  de  Lon- 
dres sur  le  baptême,  330.  Doctrine  d'Abé- 
lard  sur  ce  sacrement,  357.  Doctrine  de  Ro- 
bert Pullus,  394,  393,  396.  Baptême  au  nom 
de  Dieu  et  de  la  vraie  et  sainte  Croix  ap- 
prouvé par  saint  Bernard,  438,  459.  Traité 
de  saint  Bernard  sur  le  baptême,  479.  Dis- 
cours du  même,  484.  Témoignage  du  même, 
488.  Doctrine  de  Pierre  Lombard,  562,  363. 
Réfutation  des  héréliques  qui  voulaient 
qu'on  ne  donnât  pas  le  baptême  aux  enfants, 
609.  [Du  très-excellent  Baptême  de  Jésus- 
Christ,  ouvrage  de  Richard,  prieur  de  Saint- 
Victor,  704.  Solution  d'un  cas  touchant  la 
validité  du  baptême  des  enfants  que  l'on 
plonge  dans  l'eau  en  disant  au  nom  du  Père, 
du  Fils  et  du  Saint-Esprit,  sans  exprimer 
l'action  par  ces  paroles  sacramentelles  :  Je 
te  baptise,  878.  Celui  qui  baptise  un  enfant 
contracte  avec  la  mère  une  affinité  spiri- 
tuelle qui  lui  interdit  le  droit  de  l'épouser  ou 
celui  d'exiger  d'elle  le  devoir  conjugal  si  le 
ministre  et  la  mère  étaient  mariés,  878, 
879.]  Doctrine  du  pape  Innocent  III  sur  le 
baptême,  976.  [Ce  pape  prescrit  de  faire 
donner  le  baptême  et  les  ordres  à  un  hom- 
me qui  avait  reçu  les  ordres  sans  être  bap- 
tisé, 802.  Il  veut  qu'on  donne  le  baptême 
aux  Juifs,  et  aux  Sarrasins  qui  le  deman- 
dent, 1023.]  Canon  d'un  concile  de  Londres 
sur  le  baptême,  1146.  Opuscule  du  pape  In- 
nocent III,  1017.  Doctrine  de  Guillaume 
d'Auvergne.  Voyez  Rebaptisation  et  les  arti- 
cles qui  vont  suivre. 

BAPTÊME  DES  HÉRÉTIQUES.  Baptême 
négligé  et  altéré  par  les  Marcosiens,  I,  500. 
—  Lettre  de  saint  Cyprien  sur  le  baptême 
des  hérétiques,  II,  327  et  suiv.  Lettre  à  Ma- 
gnus,  327  et  suiv.;  aux  évêques  deNumidie 


et  à  Quintus  de  Mauritanie,  329  ;  au  pape 
saint  Etienne,  329  et  suiv.;  à  Jubaïen,  332 
et  suiv.;  à  Pompée,  334,  335.  Lettre  de  Fir- 
milien  à  saint  Cyprien  sur  le  captême  des 
hérétiques,  335  et  suiv.  Erreur  de  saint  Cy- 
prien sur  le  baptême  des  hérétiques,  381. 
Saint  Denis  d'Alexandrie  écrit  au  pape  saint 
Etienne  sur  la  question  du  baptême  des  hé- 
riques,406,  407.  Autre  lettre  du  même  au 
pape  saint  Sixte,  407.  Baptême  des  Nova- 
tiens,  322  et  427,  n.  5.  Des  Paulianistes, 
332.  Lettres  du  pape  saint  Etienne  à  saint 
Cyprien  et  à  saint  Denis  d'Alexandrie,  au 
sujet  du  baptême  des  hérétiques,  422,  423. 
Lettre  de  Firmilien,  évêque  de  Césarée,  sur 
le  même  sujet,  433,  436.  Lettre  de  saint  De- 
nis de  Rome  à  saint  Denis  d'Alexandrie  sur 
le  baptême,  448.  Conciles  tenus  au  sujet  du 
baptême  des  hérétiques,  544  et  suiv.  Con- 
cile de  Carthage  sous  Agrippin,  544,  545. 
Conciles  d'Icône,  de  Synnades  et  d'autres 
lieux,  543,  546.  Concile  de  Carthage  ;  pre- 
mier de  saint  Cyprien,  546.  Concile  de  Car- 
thage ;  second  de  saint  Cyprien,  547  et  suiv. 
Concile  de  Carthage  ;  troisième  de  saint  Cy- 
prien, 549  et  suiv.  Actes  de  ce  concile,  350 
et  suiv.  Paul  de  Samosate,  accusé  de  chan- 
ger la  forme  du  baptême,  567.  Canon  hui- 
tième du  premier  concile  d'Arles  sur  le  bap- 
tême des  hérétiques,  631.  Est-ce  dans  le 
concile  d'Arles  que  la  question  du  baptême 
des  hérétiques  a  été  décidée?  632  et  suiv, 
—  Canon  huitième  du  Concile  de  Laodicée, 

III,  512,  313.  —  Doctrine  de  saint  Athanase, 

IV,  214,  215  ;  de  saint  Basile,  459  et  468, 
469.  —  De  saint  Cyrille  de  Jérusalem,  V, 
74  ;  de  saint  Optât,  134  ;  de  saint  Pacien, 
170.  —  Canon  troisième  dans  la  lettre  du 
pape  saint  Innocent  à  saint  Alexandre  d'An- 
tioche,  VII,  316.  Doctrine  de  saint  Jérôme, 
671.  —  Lettre  de  saint  Augustin  à  Crispin 
sur  le  baptême  des  Maximianistes,  IX,  82, 
83.  —  Erreurs  des  Manichéens  sur  le  bap- 
tême réfutées  au  concile  d'Arras,  XIII,  160, 
161.  —  Lettre  de  Gauthier  de  Mortagne  sur 
le  baptême  conféré  aux  enfants  par  des  hé- 
rétiques, XIV,  639. 

BAPTÊME  DES  MORTS  ou  pour  les  morts. 
Baptême  donné  aux  morts,  I,  338.  —  Ce  que 
c'est  que  le  baptême  pour  les  morts  selon 
saint  Isidore  de  Péluse,  VIII,  484.  —  Doit- 
on  baptiser  les  morts  qu'une  mort  préci- 
pitée a  empêchés  d'être  baptisés?  XI,  37. 
Réponse  de  saint  Fulgence ,  38.  —  Dis- 
sertation sur  le  sentiment  d'Abélard   tou- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


133 


755. 


458. 


«3. 


345. 
346. 


chant  le  baptême  pour  les  morts,  XIV,  34 1 . 

BAPTISTÈRE  d'Alexandrie,  IV,  216.  — 
Témoignage  de  saint  Paulin  sur  les  baptis- 
tères, VIII,  91.  —  Témoignage  de  saint  Ger- 
main de  Paris,  XI,  311.  Baptistère  du  mo- 
nastère de  Saint-André  à  Rome,  493.  [Té- 
moignage des  évêques  de  Syrie,  822.  ]  — 
Canon  du  dix-septième  concile  de  Tolède 
qui  ordonne  de  tenir  le  baptistère  de  l'église 
fermé  depuis  le  commencement  du  carême 
jusqu'au  jeudi  saint,  XII,  966.  —  Suivant  un 
canon  du  concile  de  Verneuil,  il  ne  devait  y 
avoir  de  baptistère  public  que  dans  les  pa- 
roisses où  l'évêque  l'aurait  ordonné,  XIII, 
614.  Voyez  Fonts  baptismaux. 

BARAC,  juge  d'Israël,  I,  51. 

BARADAT  (Saint),  solitaire,  engage  Théo- 
doret  à  la  paix,  X,  21.  Théodoret  a  écrit  sa 
vie,  63.  Lettre  qu'il  écrit  à  l'empereur  Léon, 
381,  382. 

BAR-ANANIA,  juif  qui  enseigne  l'hébreu 
à  saint  Jérôme,  VII,  348. 

BARBARES  d'Afrique,  font  une  irruption 
en  Numidie,  II,  287.  Barbares  d'Orient,  font 
une  irruption  dans  l'Asie,  444.  —  Constan- 
tin contribue  à  la  conversion  des  barbares, 
IV  229.  —  Discours  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme  sur  les  barbares  convertis  à  la  foi,  VII, 
342.  —  Discours  contre  les  barbares,  ou- 
vrage attribué  à  saint  Nil,  solitaire  de  Sinaï, 
VIII,  213.  —  Sermon  attribué  faussement  à 
saint  Augustin  sur  le  déluge  et  la  persécu- 
tion des  barbares,  IX,  284. 

BARBARICINS,  peuples  de  Sardaigne. 
Leur  conversion,  XI,  436  et  497. 

BARBARIE,  dame  de  Naples  à  la  prière 
de  laquelle  le  corps  de  saint  Séverin  est 
transféré  au  château  de  Lucullane,  XI,  83. 

[BARBARIE,  sermon  de  saint  Augustin 
sur  les  temps  de  barbarie,  IX,  842.] 

BARBASCÈME  ou  BARBASYME  (Saint), 
évêque  de  Séleucie  et  de  Ctésiphon.  Ana- 
lyse des  Actes  de  son  martyre  rapportés  par 
àssémani,  III,  333. 

BARBATIEN,  moine  de  Milan,  apostat,  IV, 
630,  et  V,  501. 

BARBATIEN  (Saint),  prêtre  et  confesseur. 
Discours  de  saint  Pierre  Damien  pour  le 
jour  de  sa  fêle,  XIII,  309. 

BARBE.  Ancien  usage  de  tondre  la  barbe 
par  cérémonie  de  religion  pratiqué  par  saint 
Paulin,  Vm,  93.  —  Saint  Colomban  obli- 
geait les  diacres  à  faire  raser  leur  barbe, 
XI,  497  et  620.  —  L'usage  où  étaient  les 
prêtres  de  l'Église  romaine  de  se  raser  la 


barbe  justifié  par  Rati-amue,  XII,  566  ;  par 
Énée,  évêque  de  Paris,  601.  —  Canon  d'un 
concile  de  Girone  qui  défend  aux  clercs  de 
nourrir  leur  barbe,  XIII,  533. 

BARBE  (Sainte).  Homélie  en  son  honneur 
attribuée  à  saint  Jean  Damascène,  XII,  87. 

BARBE-D'OR,  Doyen  de  l'Église  de  Paris.  ■ 
Lettre  que  lui  écrit  Hugues,  archevêque  de        ii60. 
Sens,  sur  la  mort  de  l'évêque  Pierre  Lom- 
bard, XIV,  549. 

[BARBULIUS  (Démétrius).  Son  édition  des 
œuvres  de  Salvien,  X,  378.] 

BARCELONE,  ville  d'Espagne.  Saint  Pa- 
cien,  évêque  de  cette  ville,  V,  156  et  suiv. 
—  Saint  Paulin  y  est  fait  prêtre,  Vlil,  30. — 
Concile  tenu  en  cette  ville,  XI,  839.  Autre, 
907,  908.  —  Autres,  XIV,  1035,  1059  et 
1064.  Confirmation  des  donations  faites  à 
l'Église  de  cette  ville,  1035.  Cette  ville  est 
donnée  par  le  comte  de  Tarragone  Ray- 
mond III  à  l'évêque  Aldégaire  et  à  ses  suc- 
cesseurs ;  cette  donation  confirmée  par  le 
pape  Gélase  II,  1091. 

I3AR-CÉPHA  (Moïse),  évêque  syrien. 
Voyez  Moïse  Bar-Cépha. 

B ARCOS  (Martin  de),  abbé  de  Saint-Cyran. 
Sa  censure  du  Prœdestinatus,  X,  334. 

BARDARE  (Philippique),  empereur  d'O- 
rient. Voyez  Philippique. 

BARDAS,  frère  de  l'impératrice Théodora, 
excomnyinié  par  le  patriarche  saint  Ignace,  859 
pour  ses  débauches,  le  fait  exiler,  puis  dé- 
poser, XII,  369.  Il  devient  suspect  à  l'empe- 
reur Michel  qui  le  fait  mourir,  574  et  720, 
723.  Lettre  que  le  pape  saint  Nicolas  pre-  ses. 
mier  lui  adressait,  369.  Ce  fut  par  ses  intri- 
gues que  Photius  fut  placé  sur  le  siège  de 
Constantinople,  720.  Lettres  de  Photius  à  Bar- 
das, 724.  —  Bardas  fait  chasser  le  patriarche 
Ignace  qui  l'avait  excommunié,  XIII,  689. 

BARDELLE  ( ).  Sa  traduction  italienne 

des  ouvrages  de  l'historien  Josèphe,  I,  328. 

BARDESANE  le  Babylonien,  hérésiarque,  il  siècle. 
I,  465  et  suiv.  Son  origine  et  ses  études  ; 
son  zèle  pour  la  religion  catholique  ;  il  em- 
brasse les  erreurs  des  Valentiniens,  465. 
Son  fils  Harmonius  le  suit  dans  ses  erreurs, 
466.  Écrits  de  Bardesane,  466  et  467.  Frag- 
ment de  son  livre  du  Destin,  publié  par  le 
docteur  Cureton,  466.  Son  histoire  et  celle 
de  sa  secte  par  Frédéric  Struntzius,  467.  — 
Sa  doctrine  réfutée  par  Diodore  de  Tarse, 
V,  589.  --  [Par  saint  Ephrem,  VI,  432  et 
suiv.]  —  Témoignage  de  Théodoret  sur  les 
erreurs  de  Bardesane,  X.  72. 


134 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


IV  siècle. 


XII  siècle. 


X[  siècle. 


XI  siècle. 


354. 


IV  siècle. 


BARDESANISTES,  disciples  de  Bardesa- 
ne.  Ce  que  saint  Épiphane  dit  de  cette  secte, 
VI,  396. 

BAROEWICH,  aujourd'hui  VERDEN,  en 
Saxe.  Ancienneté  que  la  Chronique  de  Saxe 
donne  à  cette  ville  et  à  son  Eglise,  XIII, 
183. 

[BARDJN  ou  BANDIN  et  BAUDIN.  Sa 
Somme  Ihe'ologique,  XIV,  549,  el  n.  7.] 

[BARDON,  archevêque  de  Mayence.  Be- 
noît IX  lui  accorde  des  privilèges,  XIII,  193.] 

BARDUS,  pénitencier  de  saint  Anselme 
évêque  de  Lucques,  écrit  sa  vie,  XIII,  392. 

[BARGINI.  Sa  traduction  italienne  des 
livres  moraux  et  catholiques  de  Tertullien, 
II,  87.] 

BARHADBESCIABÉ  (Saint),  diacre,  mar- 
tyr en  Perse.  Ses  Actes  rapportés  par  Assé- 
mani,  III,  334. 

BARI,  ville  d'Italie.  Concile  qui  y  fut  tenu 
par  le  pape  Urbain  II.  XIII,  437. 

BARLAAM  (  Saint),  martyr  d'Antioche. 
Actes  de  son  martyre,  77,  78.  —  Homélie 
attribuée  à  saint  Basile  le  Grand  sur  saint 
Barlaam,  IV,  388.  —  Panégyrique  de  saint 
Barlaam  par  saint  Jean  Ghrysostôme,  VII, 
92. 

BARLAAM,  ermite.  Son  Histoire  attribuée 
à  saint  Jean  Damascène,  XII,  87.  [Cette  Vie 
est  véritable,  87,  n.  50.J 

BARNABE  (Saint),  apôtre  des  gentils. 
Épltre  qui  lui  est  attribuée,  I,  281  et  suiv. 
Analyse  de  cette  épitre,  283  et  suiv.  [Notes 
relatives  à  cette  épître,  288,  n.  1  et  6,  et 
283,n,2,  3,5,  7,  8.]  Éditions  de  cet  ouvrage, 
285  ;  [autres  éditions  de  cette  épître,  285, 
n.  3.]  On  a  attribué  à  saint  Barnabe  l'Épître 
aux  Hébreux,  237.  Faux  évangiles  et  faux 
actes  sous  le  nom  de  saint  Barnabe,  273  et 
278.  —  Tertullien  lui  attribue  l'Épître  de 
saint  Paul  aux  Hébreux,  II,  69.  Origène  cite 
son  épître  comme  Tune  des  Épîtres  cathoH- 
ques,208.  —  Saint  Philastre  observe  qu'onlui 
attribuait  l'Épître  aux  Hébreux,  V,  174. — 
Saint  Jérôme  parle  avantageusement  de  l'é- 
pitre  de  saint  Barnabe,  VII,  635.  —  Témoi- 
gnage de  Théodore,  lecteur,  sur  l'invention 
des  reliques  de  saint  Barnabe,  XI,  105.  — 
Discours  d'Alexandre,  moine  de  Chypre,  en 
l'honneur  de  cet  apôtre,  et  sur  l'invention 
de  ses  rehques,  XIV,  657.  Sermon  de  Guil- 
laume d'Auvergne  sur  la  fête  de  ce  saint 
apôtre,  1027. 

BARNARD  (Saint),  archevêque  de  Vienne. 
Voyez  Saint  Bernard  de  Vienne. 


BARONIUS  (César),  cardinal.  Réflexion 
qu'il  fait  au  sujet  de  la  conduite  du  pape 
saint  Léon  à  l'égard  de  saint  Hilaire  d'Ar- 
les, VIII,  438. 

BARRE  (René  de  la).  Son  édition  des 
œuvres  de  TertulUen,  II,  85  ;  et  d'Arnobe, 
493. 

BARE  (Laurent  de  la).  Son  édition  du 
commentaire  d'Arnobe  le  Jeune  sur  les 
Psaumes,  X,  332;  —  et  du  Martyrologe  d'U- 
suard,  XII,  612. 

BARSABIAS  (Saint),  martyr  avec  quel- 
ques autres.  Actes  de  leur  martyre  publiés 
par  Assémani,  III,  331. 

[BARSANUPHE  (Saint),  anachorète.  Sa 
vie  ;  son  traité  contre  les  moines  tombés 
dans  l'origénisme  ;  sa  doctrine  sur  les  opi- 
nions  d'Origène,  d'Evagre  et  de  Didyme, 

XI,  175.] 

BARSANUSSITES  ou  SÉMIDALITES,  hé- 
rétiques dont  parle  saint  Jean  Damascène, 

XII,  69. 

BARSAUMA,  évêque  de  Nisibe.  Lettre  à 
son  sujet,  X,  644. 

BARSUMAS,  disciple  de  Théodore  de 
Mopsueste,  VIII,  19. 

BARSUMAS,  abbé,  se  trouve  au  faux  con- 
cile d'Éphèse  au  nom  de  tous  les  archiman- 
drites d'Orient,  X,  675.  Il  consent  au  réta- 
blissement d'Eutychès,  678.  Il  concourt  à  la 
déposition  de  Flavien  et  d'Eusèbe,  679.  Re- 
quête qu'il  présente  au  concile  de  Chalcé- 
doine  conjointement  avec  d'autres  abbés  et 
moines,  690. 

BARTHÉLEMI  (Saint),  apôtre.  Évangile 
attribué  à  saint  Barthélemi  ;  parole  citée 
sous  son  nom,  I,  273.  —  Sur  quels  fonde- 
ments quelques-uns  lui  attribuent  un  livre 
de  la  théologie  mystique,  X,  531.  —  Son 
panégyrique  par  saint  Théodore  Studite, 
XII,  309,  310.  Traduction  de  ce  discours  en 
latin  par  Anastase,  le  bibhothécaire,  715. — 
Discours  de  Pierre  Damien  en  l'honneur  de 
saint  Barthélemi,  XIII,  309.  —  Sermon  de 
Guillaume  d'Auvergne  pour  la  fête  de  ce 
saint  apôtre,  XIV,  1027. 

[BARTHÉLEMI  (Saint).  Église  de  Liège; 
charte  en  sa  faveur  par  Vazon,  XIII,  141.] 

BARTHÉLEMI,  moine  d'Édesse.  Son  traité 
contre  les  Mahométans  ;  [autre  traité  sur  la 
même  matière,  XII,  103.] 

BARTHÉLEMI,  archevêque  de  Narbonne. 
Lettre  que  lui  écrit  Agobard,  archevêque 
de  Lyon,  XII,  371. 

BARTHÉLEMI,  abbé  de  Grotta-Ferrata, 


Vrilsièc 


IX  siècl 


1048. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


133 


détermine  le  pape  Benoît  IX  à  renoncer 
pour  toujours  au  Saint-Siège,  XIII,  199. 

[BARTHÉLEMI,  archevêque  de  Tours. 
Lettre  que  lui  écrit  Hugues  II,  évéque  de 
Nevers,  XIII,  239.] 

BARTHÉLEMI,  abbé  de  Marmoutiers,  suc- 
cède à  Albert  ;  il  est  chargé  par  Raoul,  ar- 
chevêque de  Tours,  de  déchiffrer  une  lettre 
du  pape  saint  Grégoire  VII;  sa  mort,  XIII, 
346.  Sa  lettre  à  Arnaud,  évêque  du  Mans, 
au  sujet  du  monastère  de  Vivoin,  soumis  à 
Marmoutiers,  346  et  347.  Autres  unions  faites 
de  son  temps  à  Marmoutieis,  347.  (Voyez  ce 
qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  VIII,  p.  134  et  suiv. 

BARTHÉLEMI,  évêque  de  Laon,  succède 
à  Hugues,  XIV,  193.  (Il  se  retire  au  monas- 
tère de  Foigni,  où  il  se  fait  moine.  On  a  de 
lui  une  lettre  apologétique  dans  les  conciles. 
Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  XII,  p.  524  et  suiv.) 

BARTHÉLEMI,  évêque  d'Oxford.  (Il  a 
laissé  un  Pénitentiel  manuscrit.  Voyez  Du 
Pin.) 

BARTHÉLEMI,  évêque  de  Paris.  Sa  mort, 
XIV,  1029. 

BARTHIUS  (Gaspard),  savant  d'Allema- 
gne. Ses  notes  sur  le  livre  d'Hermas,  1, 338. 
—  Son  édition  du  traité  de  saint  Phébade 
contre  les  Ariens,  V,  377.  —  Ses  notes  sur 
le  poëme  eucharistique  d'un  Paulin  diffé- 
rent de  saint  Paulin,  évêque  de  Noie,  VIII, 
100.  —  Ses  notes  sur  le  traité  de  Mammert 
Claudien,  de  la  nature  de  l'âme,  X,  333.  Sa 
traduction  latine  du  dialogue  d'Enée  de 
Gaze  sur  la  nature  de  l'âme  et  sur  la  résur- 
rection des  corps,  492.  —  Ses  notes  sur  le 
Dialogue  de  la  création  du  monde  et  sur  le 
traité  contre  les  Manichéens,  ouvrages  de 
Zacbarie  de  Mitylène,  XI,  270.  —  [Son  ju- 
gement sur  Alain  de  Lille,  XIV,  873,  876.] 

BARUGH,  prophète.  Histoire  de  sa  vie,  I, 
164,  163.  Sa  naissance  illustre  ;  il  s'attache 
à  Jérémie  ;  il  a  part  aux  persécutions  de  ce 
prophète,  164.  Revient  à  Jérusalem,  164  et 
163.  [11  a  écrit  après  la  l'uine  de  Jérusalem 
et  du  temple,  164^  n.  11 .]  Il  écrit  son  livre  à 
Babylone,  la  quatrième  année  du  règne  de 
Sédécias  ;  réponse  à  l'objection  contre  ce 
sentiment;  l'original  hébreu  de  ce  livre  est 
perdu  ;  canonicité  de  cehvre,  163.  Pourquoi 
il  est  attribué  quelquefois  à  Jérémie  ;  ana- 
lyse et  division  de  ce  livre,  166.  Lettre  que 
les  Syriens  attribuent  à  Baruch,  167.  —  [Le 
livre   de  Baruch  admis  comme  canonique 


par  Didyme  l'Aveugle,  V,  628.]  —  Saint  Jé- 
rôme n'a  point  traduit  ce  livre,  VII,  633.  — 
Commentaire  de  Théodoret  sur  la  prophétie 
de  Baruch,  X,  39. 

BARULAS  (Saint),  enfant,  martyr  de  Pa- 
lestine, III,  5. 

BASILE  (Saint),  évêque  d'Amasée,  assiste 
aux  conciles  d'Ancyre,  II,  633  ;  et  de  Néo- 
césarée,  640.  —  Son  martyre  ;  saint  Astère 
fait  son  éloge,  VI,  308. 

BASILE  (Saint),  prêtre  d'Ancyre.  Actes 
de  son  martyre,  III,  403  et  suiv. 

BASILE,  évêque  d'Ancyre,  défenseur  des 
Ariens.  II  avait  été  médecin;  les  Eusébiens 
le  font  évêque  d'Ancyre;  il  est  excommunié 
par  le  concile  de  Sardique  et  rétabli  par 
l'ordre  de  Constance,  IV,  320.  Il  assiste  au 
concile  de  Sirmium  contre  Photin,  320  et 
321.  Il  favorise  l'instruction  de  l'antipape 
Félix  ;  il  était  un  des  chefs  des  Semi-Ariens, 

321.  Il  assemble  un  concile  à  Ancyre  contre 
les  Anoméens  ou  purs  Ariens,  321  et  350. 
11  est  député  vers  Constance,  322  et  351.  Il 
souscrit  au  nouveau  formulaire  de  Sirmium, 
321  et  552.  Sa  confession  de  foi,  533.  Il  fait 
avec  ceux  de  son  parti  une  confession  de 
foi  ;  il  assiste  au  concile  de  Séleucie,  321  et 

322.  Il  est  déposé  par  un  concile  de 
Constantinople,  322  et  377.  Il  adresse 
une  requête  à  l'empereur  Jovien,  377.  Ses 
écrits  ;  il  ne  reste  de  lui  que  son  exposition 
de  foi,  322.  —  Il  fut  mis  à  la  place  de  Mar- 
cel, déposé  par  les  Eusébiens,  III,  458. 

BASILE,  père  de  saint  Basile  le  Grand, 
IV,  349,  est  enterré  dans  l'église  des  Qua- 
ranle-Martyrs,  352. 

BASILE  (Saint),  archevêque  de  Césarée 
en  Cappadoce,  confesseur,  docteur  de  l'É- 
glise, IV,  349  et  suiv.  Sa  naissance,  349.  Sa 
patrie,  son  éducation,  ses  progrès  dans  les 
sciences;  il  va  à  Constantinople  et  à  Athè- 
nes, 349,  350.  Il  quitte  Athènes;  est  baptisé; 
fait  divers  voyages  ;  est  fait  lecteur,  330.  Il 
va  à  Constantinople  ;  il  est  ordonné  prêtre  ; 
division  entre  saint  Basile  et  Eusèbe  son 
évêque,  333.  Il  se  retire  dans  le  Pont,  332, 
333.  Il  assiste  les  pauvres  dans  une  famine; 
mort  de  sa  mère  ;  saint  Basile  va  à  Samo- 
sate;  est  élu  archevêque,  333.  Sa  conduite 
pendant  son  épiscopat,  334.  Il  travaille  pour 
la  paix  des  églises  ;  est  prié  de  s'opposer  à 
la  division  de  la  Cappadoce  ;  combat  pour  la 
vérité,  355.  II  résiste  à  Modeste,  préfet  du 
Prétoire,  336.  Reçoit  Valens  dans  l'Église, 
356  et  357.  Protection  de  Dieu  sur  saint  Ba- 


ses. 


IV  siècle. 


336. 


347. 
351. 


355. 
358. 


359. 
360. 
363. 


329. 


355  ou  356. 
357. 
358. 


359  et  362. 

364. 
364  ou  365. 

367  ou  368. 
360. 
370. 

370  et  371. 
372. 
371. 

371  et  372. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


136 

sile,  357.  Saint  Basile  est  persécuté  au  sujet 
d'une  Dame,  358.  Différent  de  saint  Basile 
sra.  avec  Anthime  au  sujet  des  églises  de  Cap- 
padoce,  360.  Voyage  de  saint  Basile  en  Ar- 
ménie et  à  Samosate,  359,  360.  Saint  Basile 

373.  se  plaint  de  l'ordination  illégitime  de  Fauste  ; 
fait  un  second  voyage  en  Aménie,  360.  Ses 

374.  difficultés  avec  Eustatlie,   360  et  361.   11 
tombe  malade  ;  va  à  Nazianze  ;  tombe  ma- 

376.  îade,  361.   Va  en  Pisidie   et  dans  le  Pont, 

362,  363.  Les  amis  de  saint  Basile  persécu- 

376.  tés  ;  saint  Basile  désapprouve  la  députation 

376.  aux  Occidentaux  ;  il  écrit  publiquement  con- 

377.  tre  Eustatbe  ;  il  ne  peut  venir  au  concile  de 
378j  Lycaonie,  363.  Dernières  actions  de  saint 
379.  Basile,  363  et  364.  Sa  mort  ;  estime  qu'on 

fait  de  saint  Basile,  364.  Catalogue  de  ses 
écrits  :  ses  Homélies  sur  l'Hexaemeron  ;  es 
lime  qu'on  en  a  faite,  365.  Elles  sont  au 
nombre  de  neuf  ;  saint  Basile  les  a  compo- 
sées étant  encore  prêtre  ;  sa  méthode  dans 
l'explication  de  rÉcriture  sainte  ;  ses  homé- 
lies  sur  l'Hexaemeron   traduites   en  latin, 
366.   Analyse  des  homélies  première,  deu- 
xième, troisième,  367,  368.  Analyse  des  ho- 
mélies quatrième,  cinquième  et  sixième, 
368.  Analyse  des  homélies  septième,  hui- 
tième   et    neuvième,    369.    Homélies    sur 
l'Hexaemeron  faussement  attribuées  à  saint 
Basile,  369,  370.  Homélies  sur  les  Psaumes. 
Saint  Basile  a  expliqué  les  Psaumes  étant 
prêtre;  il  ne  les  a  pas  expliqués  selon  leur 
ordre,  370.  Il  ne  nous  reste  de  lui  que  treize 
homélies  sur  les  Psaumes,  370  et  371.  Elles 
ont  été  prêchées  au  peuple,  371.  Prologue 
sur  les  Psaumes,  371  et  372.  Les  anciens  ont 
connu  ces  homélies  ;  en  combien  de  maniè- 
res expliquent-elles  les  Psaumes  ;  saint  Ba- 
sile n'a  pas  copié  le  commentaire  de  Théo- 
dore d'Héi-aclée,  372.   Remarques   sur  les 
homélies  de  saint  Basile,  372  et  373.  Com- 
mentaire sur  Isaïe  ;  difficultés  sur  l'auteur 
de  ce  commentaire,  373.  Réponse  à  ces  dif- 
ficultés ;  preuves  que  ce  commentaire  est  de 
saint  Basile,  373,  374.  Suite  des  réponses 
aux  objetions,  374.  Ce  qu'il  y  a  de  remar- 
quable dans  ce  commentaire,  374  et  suiv. 
Homélies  de  saint  Basile  sur  divers  sujets, 
376  et  suiv.  Première  homélie  sur  le  Jeûne, 

376,  377.  Deuxième  homélie  sur  le  jeûne, 

377.  Troisième  homélie  sur  ces  paroles  : 
Veillez  sur  vous-mêmes,  378.  Quatrième  ho- 
méhe  de  l'Action  de  grâces,  378,  379.  Cin- 
quième homélie  sur  sainte  Julitte,  martyre, 
379,  380.  Sixième  homélie  contre  l'Avarice, 


380,  381.  Septième  homélie  contre  les  Ri- 
ches, 381,  382.  Huitième  homélie  sur  la  Fa- 
mine et  la  Sécheresse  en  368,  382.  Neuvième 
homélie.  Que  Dieu  n'est  pas  auteur  du  mal, 
383.  Dixième  homélie  contre  Ceux  qui  sont 
sujets  à  la  colère,  383,  384.  Onzième  homé- 
lie sur  l'Envie,  384.  Douzième  homélie  sur 
le  commencement  des  Proverbes,  384.  Trei- 
zième homélie  sur  le  Baptême,  384  et  suiv. 
Quatorzième  homélie  sur  les  Ivrognes,  386. 
Quinzième  homéhe  sur  la  Foi,  387.  Seizième 
homélie   sur  ces  paroles  de  saint  Jean  :  Au 
commencement    était    le   Verbe ,    387 ,    388,' 
Dix-septième  homélie  snr  Balaam  ;  dix-hui- 
tième homélie  sur  saintGordie;  dix-neuvième 
homélie    sur  les   Quarante    Martyrs,   388. 
Vingtième  homélie  sur  l'Humihté,  389.  Ins- 
truction pour  les  Jeunes  gens  ;  vingt-troisième 
homélie   sur   saint   Mamas ,   martyr ,   390. 
Vingt-quatrième  homélie  sur  les  Sabellieus, 
390  et  suiv.    Homélies  de  saint  Basile  qui 
sont  perdues,  392.  [Deux  ont  été  retrouvées 
et  publiées  par  Mai  ;  on  a  aussi  publié  un 
Discours  aux  prêtres  ;  un  discours  sur  les 
Femmes  qui  logeaient  avec  les  prêtres,  392.] 
Ascétiques  de  saint  Basile  ;  ce  qu'on  entend 
sous  ce  nom,  392.  A  quelles  occasions  saint 
Basile  les  a  composés  ;  estime  qu'on  en  a 
faite,  392  et  394.  Analyse  du  premier  dis- 
cours, 393  et  394.   Analyse  du  deuxième, 
394.  Analyse  du  troisième,  394  et  395.  Trai- 
tés du  Jugement  de  Dieu  et  de  la  Foi;  ordre 
différent  des  deux  traités  dans  les  différentes 
éditions  ;  le  dernier  est  perdu,  395.  Le  traité 
du  Jugement  de  Dieu  et  la  lettre  de  la  Foi 
sont  de  saint  Basile,  395  et  396.  Analyse  du 
traité  du  Jugement  de  Dieu,  396,  397.  Ana- 
lyse de  la  lettre  touchant  la  Foi,  397.  Morales 
de  saint  Basile  écrites  en  361  ;  à  quelle  oc- 
casion ;  ce  que  sont  les  Morales  ;  la  division 
de  cet  ouvrage  ;  ce  qu'il  contient,  397.  Les 
deux  discours  ascétiques  paraissent  être  de 
saint  Basile,  398.  Analyse  du  premier,  398 
et  399.   Analyse    du   deuxième,  399.   Les 
grandes  et  les  petites  Règles  de  saint  Basile, 
399  et  suiv.  Préface  des  grandes  Règles  ;  ce 
que  c'est  que  les  grandes  Règles,  399,  300. 
Saint  Basile  les  compose  dans  sa  retraite  ; 
Rufin  les  traduisit  ;  difficultés  sur  ces  Règles, 
399,  Réponse  à  ces  difficultés,  401,  402.  Ce 
qu'il  y  a  de  remarquable  dans  les  grandes 
Règles,  402  et  suiv.  Ce  qu'il  y  a  de  remar- 
quable dans  les  petites  règles,  404  et  suiv. 
Preuves  que  les  grandes  et  les  petites  Règles 
sont  d'un  même  auteur  ;  Constitutions  mo- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


137 


nastiques  ;  ce  que  c'est  que  les  Constitutions 
monastiques,  406.  Elles  ne  sont  pas  de  saint 
Basile,  ni  d'Eustathe  de  Sébaste,  406  et  suiv. 
Ce  qu'il  y  a  de  remarquable  dans  ces  Cons- 
titutions, 408.  Les  règlements  pour  la  puni- 
tion des  fautes  ne  sont  pas  de  saint  Basile, 
408  et  409.  Livres  de  saint  Basile  contre  Eu- 
nomius  ;  qu'était  Eunomius,  409,  410.  Ses 
écrits  et  ses  erreurs  ;  les  anciens  ont  cité  les 
livres  de  saint  Basile  contre  Eunomius  ;  en 
quel  temps  ils  ont  été  composés,  410.    A 
quelle  occasion,  410,  411.  Analyse  du  pre- 
mier livre  contre  Eunomius,  411.  Réfutation 
des  principes  d'Eunomius,  411  et  suiv.  Ana- 
lyse du  deuxième  livre  contre   Eunomius, 
413.  Faux  raisonnement  d'Eunomius  réfuté, 
413  et  suiv.  Analyse  du  troisième  livre,  415, 
416.  Réponse  à  l'objection  d'Eunomius,  416. 
Difficultés  sur  le  quatrième  et  le  cinquième 
livre  contre  Eunomius,  416,  417.   Analyse 
du  quatrième  livre,  417,  418.  Analyse  du 
cinquième  livre,  418.  Livre  du  Saint-Esprit; 
le  livre  du  Saint-Esprit  est  de  saint  Basile, 
419.   A  quelle  occasion  et  en  quel  temps  ce 
livre  a  été  écrit,  419  et  420.  Analyse  de  ce 
livre,  420  et  suiv.   Approbation  du  livre  du 
Saint-Esprit,  424.   Lettres   de  saint  Basile 
avant  son  épiscopat,   depuis  l'an  337  jus- 
qu'en 370  ;  lettre  de  saint  Basile  au  philoso- 
phe Eustathe  en  357,  424  ;  à  saint  Grégoire 
de  Nazianze  en  338,  424  et  425  ;  à  Candi- 
dien  vers  338,  423,  426  ;'  à  Olympien  vers 
338;  à  Nectaire  et  à  sa  femme,  426;  à  saint 
Grégoire  de  Nazianze  vers  338  ;  426  et  427. 
Lettres  de  saint  Basile  à  ses  religieux  en 
360,  427,  428;  au  philosophe  Maxime  vers 
l'an  361,  428,  429;   à  une  veuve,  à  un  de 
ses  amis,  vers  l'an  361  ;   à  Olympius  vers 
l'an  361  ;  au  même  vers  le  même  temps  ;  à 
saint  Grégoire  de  Nazianze  vers  l'an  363  ; 
429  ;  à  Arcade,  trésorier  des  revenus  parti- 
culiers des  princes,  vers  363,  429  et  430. 
Lettre  contre  Eunomius  vers  363  ;  à  Origène 
vers  363  ;   à  Macaire  et  Jean  vers  363  ;  à 
saint  Grégoire   de  Nazianze   vers   364  ;    à 
Léontius,  sophiste,  en  364  ;  au  même  Léon- 
tius  vers  le  même  temps,  430.  Lettre  tou- 
chant la  perfection  de  la  vie  monastique 
avant  l'an  366,  431.  [Elle  est  authentique, 
430,  n.  1.]  Lettre  à  un  moine  vers  l'an  366; 
à  Athanase,  père  d'Athanase  évêque  d'An- 
cyre,  vers  l'an  366,  431  ;  à  Athanase  d'An- 
cyre  vers  l'an  369,  431  et  432.  Lettre  à  Cé- 
saire  en  368  ;  à  saint  Eusèbe  de  Samosate 
on  368  ;  à  l'église  de  Néocésarée  sur  la  mort 


de  Musonius  en  368,  432  ;  à  sainte  Eusèbe 
de  Samosate  sur  le  même  sujet  en  369,  432 
et  433  ;  au  préfet  Sophrone  et  à  Aburgius 
en  369,  433;  à  saint  Eusèbe  de  Samosate  en 
369  ou  370,  433  et  434.  Lettre  pour  Léonce 
et  pour  un  curé  de  village  370;  lettre  à  saint 
Grégoire  de  Nysse  vers  370,  434.  Lettre  de 
Julien  l'Apostat  à  saint  Basile,  434,  435  et 
436.   Lettre  de  saint  Basile  à  Julien  l'Apos- 
tat; lettre  à  Chilon;  exhortation  à  déjeunes 
solitaires  ;  lettres  à  un  moine  qui  avait  quitté 
sa  profession  ;   à  un  autre  moine  qui  était 
tombé  dans  le    crime  d'impureté,   436  ;   h 
une  vierge  qui  avait  commis  un  crime  d'im- 
pureté, 437.  Lettres  de  saint  Basile  depuis 
son  épiscopat;  lettre  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze  touchant  l'élection  de  saint  Basile 
en  370,  437.  Lettres  de  saint  Basile  à  saint 
Eusèbe  vers  371,  437;   à  Arcadius,  437  et 
438;  à  Bosphore  vers  371  ;  à  des  chanoines- 
ses  vers  371,  438;  aux  chorévêques  vers 
361  ;  autre  lettre  aux  chorévêques  vers  371; 
lettre  à  Parégoire,  prêtre,  vers  371,  439  ;  à 
Peryame  vers  le  même  temps;  lettre  à  saint 
Mélèce,  439  et  440  ;    à  saint   Grégoire   de 
Nysse  en  371  ;  à  saint  Grégoire,  son  oncle,' 
en  372  ;  à  saint  Athanase  vers  372  ;  à  l'Église 
de  Parnasse,  440;  au  principal  de  Néocésa- 
rée, à  Hésychius,  à  Artabius,  à  saint  Atha- 
nase en  371,  440  et  441  ;  à  saint  Mélèce  et  à 
saint  Athanase  en  371,  441;  au  pape  Dama- 
se  en  371,  441  et  442  ;  à  saint  Grégoire  de 
Nazianze  en  371,  442,  443;  à  Hésychius,  à 
Callisthène,  à  Martinien  en  371,  443  ;  à  So- 
phrone, intendant  du  palais,  pour  Théra- 
sius  et  pour  Helpidius  en  371,  443  et  444;  à 
Eustathe  de  Sébaste  en  371  ;  à  saint  Atha- 
nase en  372;  à  Innocent,  444;  à  saint  Atha- 
nase et  à  divers  officiers  de  la  Cappadoce 
en  372,  444  et  445  ;  à  saint  Mélèce  et  aux 
Orientaux,  443^  446  ;  à  Césarie,  touchant  la 
fréquente  communion,  446  et  447  ;  à  Élie, 
gouverneur  de  la  Cappadoce,  en  372,  447  ; 
à  saint  Eusèbe  de  Samosate,  à  Sophronius, 
au  sénat  de  Tyanes,  à  saint  Eusèbe  de  Sa- 
mosate en  372,  448  ;  au  comte  Térence  et  à 
saint  Eusèbe  de  Samosate,  448  et  449.  Let- 
tre de  consolation  aux  magistrats  de  Satales; 
deuxième  lettre  au  peuple  de  Satales  ;  let- 
tres au  préfet  Modeste  en  373,  449  ;   aux 
filles  du  comte  Térence,  à  un  soldat,  449  et 
450.  Lettres  à  Julitte,  veuve,  et  pour  elle  en 
372  ;  lettres  au  préfet  Modeste,  au  duc  An- 
dronic,  450  ;  à  l'Église  de  Tarse  en  372  ;  à 
Simplicie,  hérétique;  lettre  à  Firmin  en  372 


138 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


et  réponse  de  Firmin  ;  letlre  de  saint  Basile 
à  Eustatbe  en  372,  451  ;  à  saint  Mélèce  en 
374;  la  lettre  cent  vingt-cinquième  est  la 
profession  de  foi  que  saint  Basile  propose  à 
Eustathe,  452.  Lettres  de  saint  Basile  à  Alar- 
hius  et  à  saint  Eusèbe  de  Samosate  en  373, 
452,  453;  à  saint  Mèlèce  en  373  ;  à  Théo- 
dote  et  à  Olympius,  touchant  Eustathe,  453  ; 
à  Diodore  d'Antioclie  en  373,  454;  à  saint 
Eusèbe  de  Samosate  en  373  ;  aux  Alexan- 
drins et  à  l'Église  d'Antioche,  454  et  435. 
Lettres  à  diverses  personnes  en  373  ;  à  saint 
Amphiloque,435;  à  saint  Aschole  en  373;  à 
Evagre  en  373  ;  à.  Eupater  et  à  Diodore, 
456  ;  à  saint  Amphiloque  ;  lettres  touchant 
l'affaire  de  Glycérius,  457.  Lettres  à  Sophro- 
ne,  à  une  veuve,  à  Théodoret,  à  Magninien, 
437  et  458  ;  à  Otrée  de  Mélitine,  aux  prê- 
tres et  aux  magistrats  de  Samosate  et  à 
Eustathe,  458.  Première  lettre  canonique  de 
saint  Basile  à  Amphiloque  en  374,  438  et 
suiv.  Lettres  à  Eustathe,  médecin,  en  374 
ou  375,  462,  463;  à  saint  Amphiloque  en 
374,  463,  464;  à  saint  Ambroise,  évêque  de 
Milan,  en  373,  464  ;  à  saint  Eusèbe  de  Sa- 
mosate, 465.  Lettre  à  saint  Amphiloque,  qui 
est  la  seconde  canonique,  465  et  suiv.  Let- 
tres aux  évèques  des  villes  maritimes  et  à 
ceux  de  Néocésarée  en  375,  469.  Troisième 
lettre  canonique  à  saint  Amphiloque,  472  et 
suiv.  Lettres  au  clergé  de  Samosate,  à  ceux 
de  Bérée,  à  ceux  de  Chalcis,  473,  476  ;  à 
Démosthène  en  375,  476.  Lettres  touchant 
la  translation  d'Euphronius  de  l'Église  de 
Colonie  à  celle  de  Nicople,  477.  Lettres  à 
saint  Amphiloque,  478;  aux  Occidentaux, 
479  ;  aux  Évésiens,  480  et  482  ;  aux  moines 
persécutés  en  376  ;   à  saint  Épiphane  vers 

377,  481 .  Lettres  à  Optime  en  377,  482,  483  ; 
aux  Sozopolitains  et  à  Urbicius,  483  ;  aux 
Occidentaux,  aux  confesseurs  et  à  Pierre, 
483  et  484  ;  à  un  chorévêque,  touchant  un 
rapt,  484  ;  à  Hamatius  et  à  Maxime,  vers 

378,  485.  Autres  lettres  de  saint  Basile  pen- 
dant son  épiscopal;,  486  et  487.  Lettres  de 
saint  Basile  dont  l'époque  n'est  point  con- 
nue ;  pourquoi  on  n'a  pas  donné  d'analyse 
de  plusieurs  lettres  de  saint  Basile,  481. 
Lettres  à  Festus,  à  Magnus,  à  des  moines  et 
à  des  scribes,  487  et  488.  Lettres  fausse- 
ment attribuées  à  saint  Basile,  488,  489. 
Ouvrages  faussement  attribués  à  saint  Ba- 
sile ;  homélies  sur  le  Saint-Esprit;  contre  la 
Colère,  489  ;  sur  la  Naissance  de  Jésus-Christ, 
489  et  490;  sur  la  Pénitence;  homélies  con- 


tre Ceux  qui  accusaient  les  catholiques  d'a- 
dorer trois  dieux  ;  discours  sur  le  Libre  ar- 
bitre ;  homélie  sur  ces  paroles  :  Ne  vous  lais- 
sez pas  aller  au  sommeil;  homélie  sur  le 
Jeûne.  Discours  ascétiques,  490.  Les  deux 
livres  du  Baptême,  489,  490,  et  491.  Litur- 
gies attribuées  à  saint  Basile,  492,  493.  Dis- 
cours de  Consolation  et  quelques  autres, 
493.  Discours  de  saint  Basile  traduits  par 
Rufin,  490  et  494.  Vingt-quatre  discours 
composés  par  Métaphraste  de  divers  endroits 
de  saint  Basile,  494.  Livre  de  la  Virginité  à 
Létoius,  évêque  de  Mélitine  ,  494  et  493. 
Autres  ouvrages  attribués  faussement  à  saint 
Basile  ;  ouvrages  de  saint  Basile  qui  sont 
perdus,  495.  Philocalie,  ouvrage  de  saint 
Basile  et  de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  493 
et  496.  Doctrine  de  saint  Basile  sur  l'Écri- 
ture sainte,  496  et  suiv.  ;  sur  la  tradition, 
500,  501  ;  sur  les  conciles,  501,  302  ;  sur  la 
Trinité,  503  et  suiv.  ;  touchant  le  Père  et  le 
Fils,  504,  505;  touchant  le  Saint-Esprit,  503 
et  suiv.;  sur  le  péché  originel,  309,  310; 
sur  l'incarnation  de  Jésus-Christ,  510  et 
suiv.  ;  sur  la  grâce,  sur  le  libre  arbitre  de 
l'homme,  sur  le  mérite,  sur  la  possibilité 
d'observer  les  commandements  de  Dieu  et 
sur  les  bonnes  œuvres,  512 ,  313  ;  sur  la 
sainte  Vierge  et  saint  Joseph,  sur  les  anges 
et  les  démons,  514;  sur  le  Baptême,  317  ; 
sur  la  Pénitence,  320  et  suiv.;  sur  l'Eucha- 
ristie et  le  Sacrifice  de  l'autel,  322  et  suiv.; 
sur  les  ministres  de  l'Église  et  sur  l'ordina- 
tion ,  524  et  suiv.  ;  sur  les  charges  et  immu- 
nités du  clergé,  528;  sur  l'Église,  329;  sur 
la  prière,  530  et  suiv.;  sur  le  jeûne,  532  ; 
sur  la  continence,  532  et  533;  sur  le  mariage, 
333  et  suiv.;  sur  les  martyrs,  533,  536  ;  sur 
l'église  romaine  [et  sur  la  juridiction  uni- 
verselle du  pape,  336;]  sur  les  moines  et 
l'état  monastique.  536  et  suiv.  ;  sur  divers 
points  de  morale,  341,  542;  sur  l'excommu- 
nication, 343,  344  ;  sur  le  schisme  et  l'héré- 
sie, 544.  Jugement  des  écrits  de  saint  Basile, 
544  et  543.  Catalogue  des  éditions  de  saint 
Basile,  343  et  suiv.  [Éditions  et  traductions 
récentes,  547,  548.  —  Ce  que  saint  Basile 
écrit  à  saint  Aschole  au  sujet  de  la  persécu- 
tion de  l'Église  de  Gothie,  IV,  436.  Les 
Ariens  veulent  le  déposer,  604.  Son  livre  du 
Saint-Esprit  est  lu  publiquement  dans  un 
concile  tenu  à  Icône  par  saint  Amphiloque, 
603.  Il  justifie  saint  Mélèce  et  saint  Eusèbe 
de  Samosate  ,  accusés  d'arianisme,  607.  — 
Saint  Eusèbe  de  Samosate  travaille  à  son 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


i39 


éleclion,  V,  1,2,  183.  Il  écrit  à  saint  Basile, 
2.  Autres  lettres  à  saint  Basile,  2  et  3.  Au- 
tre, 3.  Liaison  de  saint  Basile  avec  saint 
Mélèce  d'Antioche  ;  il  tâche  de  le  faire  ren- 
trer dans  la  communion  de  saint  Athanase, 
10.  Commencement  de  sa  liaison  avec  saint 
Gr'^goire  de  Nazianze,  180.  Il  établit  un  mo- 
nastère dans  le  Pont  ;  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze s'y  relire  auprès  de  lui,  181.  Il  est 
ordonné  prêtre  par  Eusèbe  de  Césarée  en 
Cappadoce  ;  division  qui  s'élève  entre  lui 
et  cet  évèque  ;  saint  Grégoire  de  Nazianze 
les  réconcilie  ;  saint  Grégoire  de  Nazianze 
travaille  à  le  faire  choisir  pour  évèque  de 
Césarée,  183.  Saint  Basile  fait  saint  Grégoire 
de  Nazianze  évèque  de  Sasimes,  183  et  184. 
Épigrammes  ou  épitaphes  que  saint  Gré- 
goire de  Nazianze  compose  à  sa  louange, 
184  et  282.  Oraison  funèbre  de  saint  Basile 
par  saint  Grégoire  de  Nazianze,  185  et  213, 
216.  Lettres  que  lui  écrivit  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  248,  249,  250,  251,  252.  Épi- 
taphe  de  saint  Basile  ;  Poëme  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze ,  282 ,  283.  Épi- 
gramme  de  saint  Grégoire  de  Nazianze 
en  l'honneur  de  la  famille  de  saint  Basile, 
300.  Liturgie  faussement  attribuée  à  saint 
Basile,  363.  Saint  Amphiloque  écrit  à  saint 
Basile  touchant  l'Église  d'Isaurie  ;  réponse 
que  lui  fait  saint  Basile,  365.  Saint  Basile 
souhaite  de  voir  saint  Amphiloque  pour  le 
consulter  sur  diverses  affaires,  363  et  366. 
Son  livre  intitulé  du  Saint-Esprit  est  produit 
dans  le  concile  tenu  par  saint  Amphiloque  ; 
Saint  Amphiloque  envoie  des  présents  à 
saint  Basile,  366.  Vie  de  saint  Basile  fausse- 
ment attribuée  à  saint  Amphiloque,  370.  En 
quoi  l'Hexaemeron  de  saint  Ambroise  difière 
de  celui  de  saint  Basile,  394.  Estime  de 
saint  Basile  pour  Diodore  de  Tarse.  Ce  qu'il 
répond  aux  reproches  qu'on  lui  en  fait,  588. 
—  Saint  Basile  est  visité  par  saint  Ephrem, 
VI,  3,  4  et  42.  Poèmes  et  hymnes  composés 
à  sa  louange  par  saint  Ephrem,  4.  Son  éloge 
par  saint  Ephrem,  42.  Ce  qu'il  dit  de  ses 
écrits,  259.  Saint  Grégoire  de  Nysse  tra- 
vaille à  réconcilier  saint  Basile  avec  Gré- 
goire leur  oncle,  120.  Le  traité  intitulé  de  la 
Trinité  adressé  àEiastathe  et  attribué  à  saint 
Grégoire  de  Nysse  est  de  saint  Basile,  183, 
Le  traité  de  la  différence  des  termes  de 
substance  et  hypostase,  attribué  à  saint  Gré- 
goire de  Nysse,  est  de  saint  Basile,  186.  Pa- 
négyrique de  saint  Basile  par  saint  Grégoire 
de  Nysse ,  209.   Saint  Grégoire  de  Nysse 


donne  de  grands  éloges  à  saint  Basile,  257. 
[Trois  traités  attribués  à  saint  Zenon  de  Ver- 
ceil  sont  de  saint  Basile,  274.]  —  Quelques  dis- 
cours de  saint  Basile  traduits  par  Rutin  d'A- 
quilée,  VII,  466.  —  Sermon  dogmatique  de 
saint  Basile  attribué  faussement  à  saint  Nil, 
solitaire  de  Sinaï,  VIII,  211.  L'église  de  Bérée 
députe  vers  saint  Basile  pour  lui  demander 
quelque  consolation  ;  saint  Basile  écrit  à  Aca- 
ce  et  à  Paul  alors  abbés  à  Bérée,  238.  Éloge 
de  saint  Basile  par  Isidore  de  Péluse,  481. 
Témoignage  de  Philostorge  sur  saint  Basile, 
313.  —  Saint  Basile  cité  par  saint  Augustin 
contre  Julien,  IX,  486.  [Deux  sermons  nou- 
veaux de  saint  Basile  cités  par  Victor  de 
Capoue,  XI,  303.]  —  Discours  sur  saint  Ba- 
sile attribué  à  André  de  Crète,  XII,  57.  [Huit 
hymnes  en  l'honneur  de  saint  Basile  par  saint 
Jean  Damascène,  89.]  Vie  de  saint  Basile  at- 
tribuée à  saint  Amphiloque,  traduite  en  latin 
par  Anastase  le  bibliothécaire,  714. — Hymne 
de  Jean  Mauropus  en  l'honneur  de  saint  Ba- 
sile, XIII,  229.  Discours  du  même  sur  saint 
Basile,  230.  —  Lettre  du  pape  Alexandre  III 
qui  est  une  confirmation  de  Tinstitut  de 
l'ordre  de  saint  Basile,  XIV,  926.  [M.  Fialon 
(Eugène),  professeur  de  rhétorique  au  lycée 
impérial  de  Reims,  a  pubhé  en  1866,  chez 
Auguste  Durand,  à  Paris,  une  Étude  histo- 
rique et  littéraire  sur  saint  Basile;  elle  est 
suivie  de  l'Hexaemeron,  traduit  en  français.] 

BASILE,  religieux,  mis  auprès  de  saint 
Basile  le  Grand,  le  calomnie,  IV,  431. 

[BASILE,  écrivain  grec  du  x^  siècle,  ses 
Scholies  sur  les  discours  de  saint  Grégoire 
de  Nazianze,  V,  246. 

BASILE  le  Minime,  évèque  de  Césarée  au 
x"  siècle,  ses  scholies  sur  trois  discours  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  247.] 

BASILE,  évèque  de  Raphanée  en  Syrie, 
ami  de  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  2,  32 
et  33.  —  Il  ne  faut  pas  le  confondre  avec 
Basile  de  Séleucie,  X,  162. 

BASILE,  prêtre  de  Capoue,  VIH,  63. 

BASILE,  abbé  à  Constantinople ,  mal- 
traité par  Nestorius,  VIII,  369  et  396.  Pré- 
sente une  requête  à  l'empei-eur  et  demande 
la  convocation  d'un  concile,  370  et  396.  Sa 
profession  de  foi,  397. 

BASILE,  moine  catholique  de  Constanti- 
nople, maltraité  par  Nestorius,  sollicite  la 
convocation  d'un  concile  général,  VIII,  260. 

BASILE ,  évèque  d'Éphèse  après  Mem- 
non,  VIII,  393  et  408.  Il  fut  nommé  à 
cet  évèché  par   saint    Procle  ;    sa    mort ,     Avant  m. 


430. 


140 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Après  431. 


4*8.449. 

449. 

451. 

Avant  460. 


444.  408.  —  Concile  qu'il  tient  à  Ephèse,  X,  666. 
BASILE,  archevêque  de  Séleucie  en  Isau- 
rie,  confondu  par  erreur  avec  un  autre  Ba- 
sile ami  de  saint  Jean  Ghrysostôme  ;  il  pro- 
nonce un  discours  à  la  louange  de  sainte 
Tliècle  ;  il  devient  évêque  de  Séleucie  après 
la  mort  de  Dexien,  X,  162.  11  assiste  à  deux 
conciles  de  Constantinople  où  il  combat  Eu- 
tycbès,  162  et  669.  Il  se  trouve  au  faux  con- 
cile d'Éphèse  où  il  tombe  dans  l'erreur,  163 
et  673.  Dans  celui  de  Clialcédoine,  il  se  ré- 
tracte, 164  et  689.  Sa  mort;  on  lui  donne  le 
titre  de  bienheureux,  164.  Ses  discours,  164 
et  suiv.  Jugement  de  ses  discours  ;  sa  lettre 
à  l'empereur  Léon,  167.  Vie  de  sainte  Tbè- 
cle,  167  et  168.  Différentes  éditions  qu'on  a 
faites  des  œuvres  de  Basile  de  Séleu- 
cie, 168  et  169.  [Édition  dans  la  Patrologie ; 
ses  scholies  sur  saint  Grégoire  de  Nazianze, 
169.  —  Lettre  que  Théodoret  lui  écrit,  X, 
70,  71,72. 

BASILE,  ami  de  saint  Jean  Ghrysostôme, 
X,  162. 

BASILE,  diacre  qui  porte  une  lettre  de 
Julien  de  Cos  à  saint  Léon,  et  la  réponse  de 
saint  Léon  à  Julien  de  Cos,  X,  213. 

BASILE,  prêtre,  l'un  des  légats  du  pape 
saint  Léon  à  Constantinople,  X,  219.  Ordres 
que  saint  Léon  lui  donne,  221.  Il  fut  un  de 
ceux  qui  assistèrent  au  concile  de  Chalcé- 
doine,  221  et  681,  682. 

BASILE,  autre  prêtre  de  Constantinople, 
vient  à  Rome  chercher  la  paix  et  une  doc- 
trine assurée,  X,  221. 

BASILE,  élu  évêque  d'Antiocbe,  néglige 
d'en  informer  le  pape  saint  Léon;  lettre 
que  saint  Léon  lui  écrit  à  ce  sujet,  X.  223. 

BASILE,  évêque,  chargé  de  négocier  avec 
les  Visigoths;  lettre  que  lui  écrit  saint  Si- 
doine Apollinaire  pour  lui  recommander  les 
intérêts  de  la  foi,  X,  391. 

BASILE,  sénateur  romain,  convaincu  de 
magie  et  puni,  X,  648. 

BASILE,  préfet  du  prétoire  ;  son   statut 
qui  défend  d'élire  l'évêque  de  Rome  sans  le 
consentement  du  roi  d'Italie,  infirmé  par  un 
502.         concile  de  Rome,  X,  728  et  729. 
V.  520.  BASILE  de  Cilicie,  selon  Photius,  est  au- 

teur d'un  traité  contre  Nestorius;  il  écrit  un 
Dialogue  contre  Jean  de  Scythople;  son  His- 
toire ecclésiastique  que  nous  avons  perdue 
ainsi  que  ses  autres  écrits;  idée  que  Pho- 
tius donne  de  son  Dialogue,  XI,  110. 
599.  BASILE,  évêqueenSicile,reprisparlepape 

saint  Grégoire  de  ce  qu'il  faisait  des  fonctions 


déshonorantes  pour  son  ministère,  XI,  519. 
[BASILE,  gouverneur  à  qui  saint  Théo- 
dore Studite  écrit,  XII,  311.] 

BASILE,  abbé,  auteur  d'un  commentaire 
sur  la  règle  de  saint  Benoît,  qui  paraît  être 
un  abrégé  de  celui  d'Hildemar,  XII,  363. 

BASILE,  évêque  d'Ancyre,  abandonne  la 
secte  des  Iconoclastes  et  se  réunit  à  l'Église 
catholique  dans  le  concile  de  Nicée,  XIII, 
620. 

BASILE  I"  LE  MACÉDONIEN,  empereur 
d'Orient,  est  associé  à  l'empire  par  Michel  ; 
il  devient  seul  emperenr  ;  il  cbasse  Photius 
du  siège  de  Constantinople  et  rétablit  saint 
Ignace,  XII,  624.   Lettre  du  pape  Adrien  II 
à  ce  sujet,  389.  Autre  lettre  du  même  pape 
à  ce  prince,  392.  Basile  assemble  un  concile 
général  à  Constantinople  contre  Photius,  et 
assiste  à  plusieurs  des  sessions,  624.  Après 
la  mort  de  saint  Ignace,  il  se  laisse  séduire 
par  Photius  qu'il    rétablit    patriarche  ;    sa 
mort;  ses  Exhortations  à  son  fils  Léon,  623. 
Ses  lettres  aux  papes  Nicolas  I"  et  Adrien 
II,  624,  625.  Il  ne  reste  que  quelques  frag- 
ments du  livre  de  droit  qu'il  avait  fait  com- 
poser, 625.    Lettres  que  lui  écrit  le   pape 
Jean  VIII,  644.  Lettre  d'injures  qu'il  écrit  au 
pape  Adrien  III;  réponse   qu'y  fait  Etien- 
ne V,  631.  Lettre  que  Photius  écrit  à  Basile 
le  Macédonien  pour  se  plaindre  des  mauvais 
traitements  qu'on  lui  faisait  dans  son  exil, 
726.  Vie  de  Basile  le  Macédonien  écrite  par 
Constantin    Porpbyrogénète   son   petit-fils , 
796  et  811.  [Trois  odes  de  Photius  adressées 
à  Basile,  976,  977.]  —  Députation  que  Ba- 
sile le  Macédonien  envoie  au  pape  Adrien  II 
pour  le  remercier  de  l'extinction  du  schisme, 
XIII,  702.  Il  assemble  un  concile  à  Constan- 
tinople. Lettre  que  le  pape  lui  écrit,  702  et 
suiv.   Il  assiste  à  plusieurs  des  sessions  du 
concile,  703,  706,  707,  708. 11  y  souscrit,  710. 
Il  s'indispose  contre  les  légats,  711 .  11  se  trouve 
à  une  des  sessions  du  concile  pour  le  réta- 
blissement de  Photius  et  propose  de  publier 
le  symbole  de  Nicée;  à  quel  dessein,  723. 

[BASILE  LE  JEUNE,  dit  Porpbyrogénète, 
empereur  d'Orient.  Ses  Constitutions  novelles 
sont  reproduites  au  tome  GXVII  de  la  Patro- 
logie grecque.]  Ménologe  composé  par  son 
ordre,  XIII,  132. 

[BASILE  (le  bienheureux),  métropolite  de 
Néopatias  en  Thessalie.  Prologue  d'une  in- 
terprétation des  douze  prophètes,  au  tome 
CXI  de  la  Patrologie.] 

[BASILE,  dit  le  Petit,  évêque  de  Gésarée 


787. 


867. 
868. 
859. 

869. 


886. 


931. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


141 


en  Cappadoce,  a  laissé  des  commentaires 
sur  les  discours  de  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze  contre  Julien  ;  sur  l'éloge  d'Héron  le 
philosophe  et  sur  l'oraison  funèbre  de  son 
frère,  avec  une  lettre  à  l'empereur  Constan- 
tius  ;  les  commentaires  sont  reproduits  au 
tome  XXXVI  de  la  Patrologie  grecque;  la  let- 
tre est  au  tome  CXI  de  la  même  Patro- 
logie.] 

BASILE  LE  JEUNE  (Saint),  anachorète  à 
Constantinople.  Sa  vie  écrite  par  Grégoire 
son  disciple,  XII,  793  et  798,  et  XIII,  132. 
[Elle  est  reproduite  en  partie  au  t.  CIX  de  la 
Patrologie  grecque.] 
10.  BASILE    3CAMANDRIN,    patriarche    de 

Constantinople,  succède  à  Polyeucte  ;  il  est 
'5.         déposé  dans  un  concile  et  on  lui  donne  saint 
Antoine  Studite  pour  successeur,  XIII,  7S9. 
BASILE,  auteur   de  l'hérésie  des  Bogo- 
miles,  anathématisé  dans  un  concile  par  le 
patriarche  Nicolas  le  Grammairien,  XIII,  S39 
et  XIV,  140  et  653.  Il  est  condamné  au  feu 
et  brûlé  vif,  140.  Voyez  Bogomiles. 
lécie.        BASILE  D'ACRIDE,  archevêque  de  Thes- 
salonique.   Sa  lettre  au  pape  Adrien  IV  au 
sujet  de  la  réunion  des  deux  églises,  XIV, 
651   et  915.  Sa  réponse  touchant  les  maria- 
ges dans  les  degrés  de  consanguinité,  651, 
652. 
•9.  BASILE,  archevêque  de  Zagora.  Sa  lettre 

au  pape  Innocent  III  pour  la  réunion  des 
Bulgares  à  l'Église  romaine,  XlV,  977.  Il  est 
député  au  pape  par  le  roi  Joannice  ;  les 
Grecs  lui  ferment  le  passage  ;  il  reçoit  le 
pallium  et  est  fait  primat,  978. 
«de,  BASILIDES,  hérésiarque.  Évangile   sous 

son  nom,  I,  273,  et  V,  516.  Sa  doctrine  fut 
combattue  par  Agrippa,  surnommé  Castor, 
404.  Ses  erreurs,  404,  500.  Elles  sont  réfu- 
tées par  saint  Irénée,  506.  Ses  disciples  fê- 
taient le  jour  du  baptême  de  Jésus-Christ, 
604.  —  Jovinien  renouvelle  les  infamies  de 
Basilides,  IV,  650,  —  Témoignage  de  Tliéo- 
doret  sur  Basilides,  X ,  72.  Voyez  Basili- 
diens. 
...         BASILIDES  (Saint),  disciple  d'Origène , 

martyr  ;  actes  de  son  martyre,  I,  549. 
.  BASILIDES,  évêque  de  Léon   et  d'Astor- 

ga  en  Espagne,  déposé  par  les  évêques  de 
sa  province,  surprend  le  pape  saint  Etienne, 
11,265  et  471.  Sa  déposition  est  confirmée 
par  un  concile  tenu  à  Carthage,  563. 
,cie.  BASILIDES,  évêque  de  la  Pentapole  d'E- 
gypte. Lettre  canonique  que  lui  écrit  saint 
Denis  d'Alexandrie,  II,  410. 


475. 


«6. 


BASILIDIENS.  Ce  que  saint  Épiphane  dit     iv  aiêcic. 
de  cette  secte,  VI,  386. 

BASILINE  (et  non  GALLA),  mère  de  Ju- 
lien l'Apostat,  donne  des  héritages  à  l'Église 
d'Éphèse,  VII,  3, 

BASILINOPLE,  ville  détachée  de  Nicée.  A 
quelle  occasion,  X,  695. 

BASILIQUES  des  martyrs.  Épigramme  de  ivsiécie, 
saint  Grégoire  de  Nazianze  contre  les  repas 
qui  se  faisaient  dans  ces  lieux,  V^  304.  Basi- 
liques de  Milan,  457,  484,  485,  487,  489. 
Basilique  ambrosienne  à  Florence,  457.  — 
Basihques  de  saint  Pierre  et  de  saint  Paul  à 
Rome  ;  saint  Grégoire  entreprend  de  les  re- 
bâtir, XI,  439,  440. 

BASILIQUES.  Corps  de  droit  rédigé  par 
l'empereur  Léon  VI;  éditions  qu'on  en  a 
faites,  XII,  774.  Elles  sont  revues  par  l'em- 
pereur Constantin  Porphyrogénète,  811. 

BASILIQUE  (Saint),  évêque  de  Comanes, 
martyr,  apparaît  à  saint  Jean  Chrysostôme, 
VII,  12. 

BASILISQUE,  empereur  d'Orient,  se  dé- 
clare l'ennemi  de  la  foi  orthodoxe  par  une 
lettre  circulaire  adressée  à  tous  les  évêques; 
leltre  que  lui  écrit  le  pape  saint  Simplice, 
X,  402.  Saint  Daniel  Stylite  s'oppose  à  ses 
entreprises  contre  l'Église,  404.  Basilisque 
révoque  sa  lettre  circulaire,  abdique  l'em- 
pire, et  est  relégué  dans  un  château  où  il 
périt  de  faim,  405. 

[BASILISSE.  Lettre  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze  à  Basilisse,  V,  367.  Cette  personne 
est  sans  doute  la  même  qui  suit.] 

BASILISSE,  dame  à  qui  saint  Grégoire  de 
Nysse  adresse  une  lettre,  VI,  124.  Ce  que 
contient  cette  lettre,  217. 

BASINE,  fille  du  roi  Chilpéric,  religieuse 
à  Sainte-Croix  de  Poitiers,  se  joint  à  Ghro- 
dielde  qui  voulait  déposséder  l'abbesse  Leu- 
bouère  pour  se  mettre  à  sa  place  ;  elle  est 
excommuniée  au  concile  de  Poitiers,  XI, 
905.  Elle  se  réconcilie  avec  son  abbesse,  et 
est  rétablie  dans  la  communion  de  l'Église 
au  concile  de  Metz,  et  rentre  dans  son  mo- 
nastère, 906.  Saint  Grégoire  de  Tours  fut 
choisi  pour  pacifier  ces  troubles,  366. 

BASEE  (Saint),  solitaire.  Sa  Vie  écrite  par 
un  anonyme  ;  autre  Vie  composée  par  Ad- 
son,  abbé  de  Montier-en-Der,  XII,  887. 

BASSACE,  abbé  du  Mont-Cassin.  Samort, 
XII,  695. 

BASSIEN,  évêque  de  Lodi,  assiste  au  con- 
cile de  Milan  contre  les  Jovinianistes,  IV, 
633.  —  Et  au  concile  d'Aquilée,  V,  481. 


379. 


590. 


856. 


142 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


IV  on 

V  siècle. 


444.  BASSIEN,  évêque  d'Éphèse  après  Basile; 

451.  reqaêle  qu'il  présente,  à  Valeiitinien,  VIII, 
409.  L'empereur  Théodose  s'intéresse  à  lui; 
son  élection  est  reconnue  canonique,  472. 
—  Il  avait  été  ordonné  malgré  lui  évèquo 
d'Évazes  ;  il  succède  à  Basile  dans  l'évèché 
d'Éphèse,  X,  666.  Celte  aflaire  est  traitée 
au  concile  de  Chalcédoine,  694.  Il  y  est  dé- 
posé, 693. 

BASSULE,  belle-mère  de  Sulpice-Sévère, 
VIII,  110.  Lettre  qu'il  lui  écrit,  118. 

[BASSUS,  homme  riche  et  vertueux,  fait 
ensevelir  les  martyrs  de  la  légion  Thébaine, 

II,  471.] 

BASSUS ,  gouverneur  de  Thrace ,  fait 
mourir  saint  Philippe  évêque  d'Héraclée, 

III,  36  et  suiv. 

IV  siècle.  BASSUS  (Saint),  évêque  et  martyr.  Sujet 
d'une  homélie  attribuée  à  saint  Jean  Chry- 
sostôme,  VII,  97. 

BASSUS,  Cappadocien,  homme  vertueux 
tué  par  des  voleurs,  V,  299. 

BASSUS  ANICIUS,  cousu!.  Voyez  Anicius. 

BASSUS,  prêtre  dont  il  est  parlé  dans  la 
vie  de  saint  Siméon  Stylite,  X,  61. 
rx  siècle.         [BATHERIC  (Saint),  évêque  de  Ratisbonne 
à  qui  un  anonyme  adresse  un  ouvrage,  XII, 
704.] 

BATTHÉE,  solitaire,  VI,  27. 

BATULFE  (Saint).  Sa  vie  écrite  par  le 
moine  Folcard,  XIII,  334. 

BAUCALIS  ou  LE  BAUCALIEN,  prêtre 
d'Alexandrie,  jette  la  division  entre  Ariuset 
le  patriarche  Alexandre,  VllI,  310. 

BAUDEMOND,  abbé  de  Blandigni,  disci- 
ple de  saint  Amand,  évêque  de  Maëstricht. 
(Il  a  écrit  la  vie  de  saint  Amand.  Voyez  ce 
qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  tome  II],  p.  642  et  suiv.) 

[BAUDET  (Louis).  Sa  traduction  de  plu- 
sieurs ouvrages  de  Tertullien,  II,  87.] 
VI  siècle.  BAUDONIVIE  ou  BAUDONLNIE,  religieuse 
du  monastère  de  Sainle-Croix  à  Poitiers, 
écrit  kl  Vie  de  sainte  Radegonde,  Xi,  318  et 
414.  Idée  de  cet  ouvi-age,  413.  [Édition  de 
cette  Vie  dans  la  Patrologie,  413.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  III,  p.  491  et  suiv.) 

BAUDOIN  I",  comte  de  Flandre,  excom- 
munié pour  avoir  enlevé  Judith,  fille  du  roi 
Charles,  XIII,  693,  et  Xll,  580.  —  Il  obtient 
des  lettres  favorables  du  pape  saint  Nicolas  1", 
XII,  580.  Charles  le  Chauve  le  reçoit  en  ses 
bonnes  grâces,  695. 

BAUDOIN  II,  comte  de  Flandres.  Lettres 


de  remontrance  que  lui  écrit  Foulques  de 
Reims,  XII,  710.  —  Il  est  menacé  d'excom- 
munication, XIII,  734. 

BAUDOIN  V,  comte  de  Flandre.  Sa  ré- 
conciliation avec  Godefroi,  duc  de  Lorraine, 
XIV,  1059. 

BAUDOIN  VI,  comte  de  Flandre,  rétablit 
l'abbaye  de  Hasnon.  Son  éloge  par  le  moine 
Thomel,  XIII,  344,  343. 

BAUDOIN,  évêque  de  Noyon  et  de  Tour- 
nai. Sa  mort,  XIII,  490. 

BAUDOIN,  abbé  de  Saint-Edmond.  Son 
différend  avec  Herfaste ,  évêque  de  Thed- 
ford,  XIII,  433. 

BAUDOIN  I",  roi  de  Jérusalem.  On  a  de 
lui  une  lettre  au  pape  Pascal  IL  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  X,  p.  204  et  suiv.) 

BAUDOIN,  archevêque  de  Canlorbéry, 
auparavant  abbé  de  Winchester.  (On  a  de 
lui  quelques  ouvrages.  Voyez  Du  Pin.) 

BAUDOIN,  moine  de  Saint-Remi.  (Il  est 
auteur  d'une  relation  des  miracles  de  saint 
Cyprien.  Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'His- 
toire  littéraire  de  la  France,  tome  XII,  p.  234 
et  suiv.) 

BAUDOIN  (François),  jurisconsulte.  Son 
édition  du  dialogue  de  Minutius  Félix,  I, 
336.  —  Son  édition  des  livres  d'Arnobe,  II, 
493.  —  Ses  éditions  des  œuvres  de  saint 
Optât  de  Milève,  V,  149.  —  Son  édition  de 
l'Histoire  de  la  persécution  des  Vandales, 
par  Victor  de  Vite,  X,  465. 

BAUDRI  I%  ou  BALDRIC,  évêque  de 
Liège.  Protestation  de  Rhatérius  de  Vérone 
contre  son  élection,  XII,  831.  Sa  mort,  844. 

BAUDRI  II,  évêque  de  Liège ,  fonde  le 
monastère  de  Saint-Jacques  dans  l'île  à  la 
porte  de  Liège,  XIII,  142. 

BAUDRI,  chantre  de  l'Église  de  Térouane, 
auteur  de  la  Chronique  de  Cambrai  ;  on  l'a 
confondu  mal  à  propos  avec  Baudri,  évêque 
de  Noyon;  d'où  vient  cette  erreur;  raison 
décisive  qui  prouve  que  Baudri,  chaulre  de 
Térouane,  est  différent  de  l'évêque  de 
Noyon;  il  est  pourvu  d'un  bénéfice  à  la  ca- 
thédrale de  Cambrai,  et  fait  les  fonctions  du 
secrétaire  de  saint  Lietbert,  puis  de  Gérard  II; 
il  oblient  de  celui-ci  la  permission  d'aller 
dans  le  diocèse  de  Térouane  ;  dimissoiro 
qui  lui  est  donné  à  cet  etfel  ;  il  est  pourvu 
de  la  dignité  de  chantre  de  l'église  de  Té- 
rouane, 481.  Analyse  de  sa  Chronique  de 
Cambrai,  481  et  482.  [Éditions  nouvelles  de 
cette  Chronique,  482.  Il   n'a  pas   écrit  les 


V.   I 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


143 


Gestes  de  Lietbert,  481,  a.  13.]  Sa  Chroni- 
que des  Églises  de  Térouane  et  d'Amiens, 
482,  483.  On  ne  doute  pas  qu'il  ne  soit  au- 
teur de  la  Vie  de  saint  Gaucherie  et  de 
celle  de  saint  Lietberg,  483.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  VEistoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VIII,  p.  400  et  suiv.) 

1098.  BAUDRI,  évêque  de  Noyon,  confondu  avec 

Baudri,  chantre  de  Térouane ,  et  auteur 
d'une  Chronique  de  Cambrai  ;  raisons  déci- 
sives qui  prouvent  qu'il  faut  les  distinguer, 
XIII,  481. —  Lettres  qui  restent  de  lui,  XIV, 

1H3.  113.  Sa  mort.  (Voyez  sou  article  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  IX,  p.  578  et 
suiv.) 

BAUDRI,  moine,  puis  abbé  de  Bourgueil, 
et  ensuite  évêque  de  Dol  ;  son  Histoire  de 
la  croisade,  XIII,  530,  531.11  assiste  au  con- 

1095.        cile  de  Clermont,  531.  Ses  prétentions  à  l'é- 

1098.  véché  d'Orléans;  ce  qu'Yves  de  Chartres  écrit 
au  pape  à  son  sujet,  532. 11  est  fait  évêque 

1108.  de  Dol,  530  et  532.  Son  voyage  à  Fécamp, 
530,  531.  Il  va  à  Rome;  il  prend  soin  de  la 
pompe  funèbre  d'Alain,  duc  de  Bretagne  ; 

ii09.        sa  lettre  à  Pierre,  abbé  de  Maillezais,  531. 

131.  Sa  mort  ;  sa  lettre  aux  moines  de  Fécamp, 
532.  Ses  autres  écrits  et  ses  poésies,  531.  H 
fait  l'épitaphe  de  Renaud,  archevêque  de 
Reims ,  489.  (Voyez  son  article  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  XI,  p.  98  et  suiv.) 
siècle.  BAUDRI,  scholastique  de  Liège.  (II  est 
auteur  de  la  vie  d'Adalbéron,  archevêque 
de  Trêves.  Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  XII, 
p.  677.) 

BAUGENCY,  ville  de  l'Orléanais.  Conciles 
qui  y  furent  tenus,  XIV,  1078  et  1123. 

779.  BAUGULFE,  abbé  de  Fulde,   succède  à 

Sturme,  XII,  272.  Sa  vie  composée  par  le 
moine  Candide,  387.  Lettre  de  Charlemagne 
qui  lui  est  adressée,  243.  [Dans  l'ancienne 
édition  on  a  mis  à  tort  Daugulfe.] 

BAULDRY  (le  père),  dominicain.  Son  édi- 
tion de  la  traduction  française  de  l'Histoire 
sacrée  de  Sulpice-Sévère  par  Filleau,  VU, 
122. 
ècie.  BAULEN,  abbaye  du  diocèse  de  Besan- 
çon, soumise  à  celle  de  Cluny  par  le  pape 
Adrien  IV,  XIV,  915. 

BAUME  (La).  Celle  usurpée  par  un  nom- 
mé Bernard,  et  rendue  à  l'abbaye  de  Gigni, 
XUl,  733. 

BAUME  (La).  Monastère  soumis  de  nou- 
veau à  celui  de  Cluny  par  le  pape  Innocent 
III,  XiV,  937. 


BAUTON,  comte,  maître  de  la  milice  sous 
Valentlnien,  V,  487. 

BAVAROIS.  Histoire  de  la  conversion  des 
Bavarois,  des  Huns,  des  Slaves  et  des  Corin- 
thiens, Xn,  476,  477. 

BAVIÈRE,  province  d'Allemagne.  Instruc- 
tion du  pape  Grégoire  II  pour  y  rétablir  la 
religion,  XII,  25,  26.  Saint  Boniface  vient  y  y.  740. 
prêcher  l'Évangile  et  y  rétablit  quatre  dio- 
cèses, 47.  Poésies  sur  les  principales  églises 
de  Bavière,  477.  Les  évêques  de  Bavière 
écrivent  au  pape  Jean  IX  pour  se  plaindre 
des  Moraves  qui  voulaient  se  séparer  d'eux, 
742. 

BAVON  (Saint),  confesseur  de  Gand.  Son 
épitaphe  par  saint  Livin,  XI,  741.  Sa  vie  par 
un  auteur  du  xn'  siècle,  742.  —  Précis  de 
l'histoire  de  sa  vie  par  Othelbold,  XIII,  110. 
Sa  vie  retouchée  par  Thierry,  abbé  de  Saint- 
Tron,  561,  et  597.  —  Monastère  de  saint  xisîèdc. 
Bavon  à  Gand  ;  lettre  de  l'abbé  Othelbold 
contenant  le  détail  des  reliques  qu'on  y  con- 
servait, et  la  description  du  monastère,  XIII. 
109  et  110. 

BaVON,  abbé  de  Corbie  en  Saxe.  Voyez 
Bovon. 

BEATI  IMMACULATI.  Voyez  Psaumes. 

BÉATITUDE.  Morale  de  saint  Ambroise 
sur  la  béatitude  de  son  traité  des  Offices,  V, 
440.  —  Discours  de  saint  Ephrem  sur  les 
Différentes  Demeures  du  ciel,  VI,  10.  Autre 
discours  du  même  sur  la  Demeure  des  bien- 
heureux, 23.  [Discours  du  même  sur  les 
Joies  de  Téternelle  béatitude,  448.]  —  Ho- 
mélie de  saint  Jean  Chrysostome  sur  les  Dé- 
lices de  la  Vie  future,  VII,  H6.  —  Livre  de 
la  Vie  bienheureuse  ;  ouvrage  de  saint  Au- 
gustin, IX,  40,  41.  Ce  que  saint  Augustin 
dit  sur  la  béatitude  de  son  XI=  livre  de  la 
Cité  de  Dieu,  305,  306.  Doctrine  de  saint 
Augustin  ;  liberté  des  bienheureux,  734.  En 
quoi  consiste,  selon  ce  Père,  le  bonheur  de 
l'autre  vie,  796,  797.  —  Sermon  de  saint 
Léon  sur  les  Degrés  de  la  béatitude,  X,  197, 
198.  —  Traité  de  la  Béatitude  et  de  la  Féli- 
cité de  la  céleste  patrie;  ouvrage d'Eadmer, 
disciple  de  saint  Anselme,  XIV,  46. 

BÉATITUDES.  Trois  opuscules  de  saint 
Ephrem  sur  les  Diverses  Béatitudes,  VI,  22, 
23.  Huit  homélies  de  saint  Grégoire  de  Nysse 
sur  les  Huit  Béatitudes,  142  et  suiv.  —  Les 
huit  béatitudes  expliquées  par  saint  Jean 
Chrysostome,  VII,  218  et  suiv.  Homélie  de 
saint  Chromace,  évêque  d'Aquilée,  sur  les 
Huit  Béatitudes,  493.  —  Homélies  de  saint 


144 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLESIASTIQUES. 


185. 


796. 


XI  siècle. 


XI  siècle, 


HM. 


Boniface  de  Mayence  sur  les  Huit  Béatitudes, 
XII.  S3.  —  Homélie  d'Arnold,  prévôt  de 
Saint-Emmeran  de  Ratisbonne,  sur  les  Huit 
Béatitudes,  XIII,  93. 

BÉÂTRIX,  duchesse  et  marquise  de  Tos- 
cane. Lettre  que  lui  écrit  saint  Pierre  Da- 
mien,  XIII,  306. 

BÉATUS  et  AMBROISE ,  jeunes  gens  à 
qui  Ennode  de  Pavie  adresse  une  instruc- 
tion, X,  573. 

BÉATUS,  prêtre  et  moine  dans  les  mon- 
tagnes d'Asturie,  s'élève  contre  l'erreur  d'E- 
lipand  de  Tolède;  lettre  qu'Élipand  écrit 
contre  lui  ;  réponse  que  Béatus,  conjointe- 
ment avec  Etliérius,  fait  à  cette  lettre,  XII, 
214.  Analyse  de  ce  traité  où  il  établit  la  di- 
vinité de  Jésus-Christ,  214  et  suiv.  Élipand  , 
après  avoir  rétracté  ses  erreurs,  se  réunit  à 
Béatus  et  Ethérius,  216,  217.  Commentaire 
de  Béatus  sur  l'Apocalypse,  217.  [Édition  de 
l'écrit  d'Elipand  dans  la  Patrologie,  217.] 
Mort  de  Béatus^  217. 

BÉATUS  RHÉNANUS,  savant  allemand. 
Ses  éditions  des  œuvres  de  Tertullien,  11, 
B4.  Et  d'Origène,  235.  —  Ses  scholies  sur  le 
traité  de  Synésius  du  manque  de  chevelure, 
VIII,  33.  —  Son  édition  de  l'Histoire  ecclé- 
siastique de  Théodoret,  X,  141.  Et  de  celle 
de  la  persécution  des  Vandales  par  Victor 
de  Vite,  465.  —  Son  édition  des  capitulaires, 
XII,  383. 

BEAUGHAMP  (P. -F.  Godard  de).  Sa  tra- 
duction française  des  lettres  d'Abaillard  et 
d'Héloïse,  XlV,  341. 

BEAUGENCY.  Voyez  Baugency. 
BEAUGENDRE  (Antoine),  bénédictin.  Son 
édition   des   œuvres    du    vénérable    Hilde- 
bert,  XIV,  224.  Et  de  celles  de  Marbode, 
225. 

BEAULIEU,  près  de  Loches,  en  Anjou, 
monastère  fondé  par  Foulques  Nerra  et  sou- 
mis au  Saint-Siège,  XIII,  144  et  189.  Sa  dé- 
dicace, 189. 

BEAUVAIS,  ville  de  France.  Conciles  qui 
y  furent  tenus,  XIII,  673,  et  XIV,  1085  et 
1094.  Lettre  touchant  les  hmites  respectives 
des  diocèses  de  Paris  et  de  Beauvais,  XIV, 
784. 

BEAUX  AMIS  (Thomas),  carme.  Son  com- 
mentaire sur  la  Confession  de  foi  imprimée 
sous  le  nom  de  saint  Martin,  VIII,  123. 

BEC  (Le),  abbayi  de  Normandie,  devient 
célèbre  pour  les  études,  par  la  réputation  de 
Lanfranc,  XIII,  440,  441.  Giironique  de  cette 
abbaye,  459.  — '  Les  privilèges  de  cette  ab- 


baye confirmés  par  Hugues,  archevêque  de 
Rouen,  XlV,  601 . 

BÉCANGELD,  en  Anglelerre.  Voyez  Ba- 
canceld. 

BÉCHÈDE  (Grégoire),  Limousin.  Voyez 
Grégoire  Béchade. 

BECHRÉ,  monastère  de  filles  établi  en 
Thébaïde  par  saint  Théodore,  IV,  235. 

[BECUCCI,  curé  de  Saint-Félix  à  Florence, 
éditeur  du  livre  intitulé  Dogmata  orthodoxa 
par  un  anonyme,  XII,  152.] 

BEDE  (Le  Vénérable),  prêtre  et  moine  de 
Jarrow.  Sa  naissance,  son  éducation,  XII,  1. 
Il  est  ordonné  diacre,  puis  prêtre,  1  et  2. 
Ses  disciples;  son  éloge;   sa  mort,  2.  Cir- 
constances de  sa  mort  rapportées  dans  une 
lettre  de  Cuthbert,  son  secrétaire,  2.  Pour- 
quoi il  est  surnommé  le   Vénérable,  2  et  3. 
Ses  écrits  distribués   en  huit  tomes  ;  livres 
du  premier  tome  qui  paraissent  supposés  ou 
douteux  ;  ouvrages  qui  sont  de  Bède  dans  le 
premier  tome  ;  traité  de  l'Art  poétique  des 
figures  et  des  topes  de  l'Écriture  sainte  et 
de  l'orthographe,  3.   [Quatorze  hymnes  at- 
tribuées au  vénérable  Bède,  4.]  Ouvrages 
contenus  dans  le  second  tome,  et  qui  sont 
de  lui,  savoir  :  livre  de  la  Nature  des  choses, 
de  l'Ordre  du  temps,  des  Six  âges  du  monde, 
4,  5.  Opuscules  qui  lui  sont  faussement  at- 
tribués ;  la  lettre  sur  l'Équinoxe  du  prin- 
temps est  de  Bède  ;  autres  ouvrages  suppo- 
sés, 5.  Ecrits  dans  le  troisième  tome,  4  et 
suiv.  Histoire  ecclésiastique  des  Anglais,  3, 
6.  Ce  que  contient  celte  Histoire,  6.  Les  Vies 
de  saint  Cuthbert  et  de  saint  Félix  sont  de 
Bède,  6.  Vies  supposées,  6  et  7.  Martyro- 
loge de  Bède  ;  livre  des  Lieux  saints  ;  ou- 
vrages supposés  ;  ouvrages  contenus  dans 
le  quatrième  tome,  7.  Commenlaire  sur  l'on, 
vrage  des  six  jours,  7  et  8;  sur  le  Pentateu- 
que;  sur  les  livres  des  Rois;  les  trente  Ques- 
tions sur  les  livres  des  Rois;  commentaires  sur 
Esdras  et  Néhémie  ;  sur  le  livre  de  Tobie  ; 
le  commentaire  sur  le  livre  de  Job  n'est  pas 
de  lui  ;  commentaires  sur  les  Proverbes  et  sur 
le  Cantique;   Explication  allégorique  de  ce 
qui  est  dit  de  l'arche,  du  tabernacle  et  des 
habits   sacerdotaux,    8.   Ouvrage    contenus 
dansle  cinquième  tome,  8  et  9.  Sur  les  quatre 
Evangiles;  sur  les  Actes  des  Apôtres;  sur  les 
sept   Épitres  canoniques ,  9.    Sur  l'Apoca- 
lypse ;  ouvrages  contenus  dans  le  sixième 
tome,  9  et  suiv.  Rétractations  siirles  Actes  des 
Apôtres,  9  et  10.  Questions  sur  les  Actes;  com- 
mentaire sur  les  Épitres  de  saiut  Paul;  les 


613. 


735. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


145 


sept  homélies  à  la  louange  de  saint  Paul 
sont  de  saint   Gtirysostôme,    10.    Ouvrages 
contenus  dans  le  septième  tome,  10  et  11. 
Homélies  attribuées  à  Bède,  10.  Véritables 
Homélies  de  Bède,  !0  et  11.  Homélies  sup- 
posées, 11   et  12.  Etincelles  ou  Lieux  com- 
muns sur  les  Vertus  et  sur  les  Vices  ;  traité  de 
la  Femme  forte;  on  n'a  point  de  preuves  que 
ces  ouvrages  soient  de  Bède,  12.  Le  livre  des 
Offices  et  le  traité  des  Allégories  sur  les  Pro- 
phètes ne  sont  pas  de  Bède  ;  ouvrages  con- 
tenus dans  le  huitième  tome;  Explication  du 
Temple  de  Salomou  ;  traité  sur  l'Ouvrage  des 
six  jours;  les  Questions  sur  plusieurs  livres 
de  l'Écriture  ;   autres  ouvrages  qui  ne  sont 
pas  de  Bède,  12  et  13.  Ouvrages  de  Bède 
qui  ne  se  trouvent  point  dans  les  éditions  de 
ses  œuvres,   13  et  suiv.  Commentaire  sur 
Habacuc;  Poëme  sur  le  Jugement  de  Dieu; 
Lettres,  13  et  14;  lettre  à  Albin;   hvre  de 
Prières,  14.  Histoire  des  abbés  Wiremouth 
et  de  Jarrow,  14  et  15.  Écrits  de  Bède  qui 
sont  perdus,  14.  [Plusieurs  lettres  sont  pu- 
bliées depuis  dom  Ceillier,  14.]  Doctrine  de 
Bède  sur  la  grâce,  !S,  16  ;  sur  l'Eucharistie, 
16,  17  ;   sur  les  messes  et  les  prières  pour 
les  morts,  17  ;  sur  les  images,  17  et  18  ;  sur 
la  virginité  perpétuelle   de  saint  Joseph  et 
de  la  sainte  Vierge  ;  jugement  des  écrits  du 
vénérable   Bédé,  18.   Éditions   qu'on    en  a 
faites,   18  et  19.   [Éditions  récentes  ;  diffé- 
rentes autres  pièces  qui  le  concernent;  Vies 
du  vénérable  Bède  dans  la  Pairologie,  19.] 
Lettre  que  lui  adresse  Accas,  évêque  d'Ha- 
gulstad,  2] .  —  Église  dédiée  sous  son  nom 
par  saint  Wulstan,  évêqae  de  Worchester, 
XIV,  314. 

[BÉGEL  (A.)  a  édité  le  panégyrique  de 
saint  Pamphile  en  l'honneur  d'Origène,  II, 
448.] 

[BEELEN ,  professeur  à  l'université  de 
Louvain.  Son  édition  syriaque  et  sa  traduc- 
tion latine  des  deux  lettres  de  saint  Clé- 
ment, pape,  sur  la  virginité  .  I,  344  et  suiv.] 
[BEKRER.  Son  édition  de  la  Bibliothèque 
de  Photius,  XII,  723.  —Son  édition  des  An- 
nales de  Michel  Glycas,  XIV,  642.  De  la 
Chronique  de  Constantin  Manassès ,  643. 
Son  édition  des  cinq  premiers  livres  des 
Annales  de  Nicétas  Choniate,  1176.] 

BEL,  idole  des  Babyloniens.  Observations 
sur  le  fragment  qui  concerne  cette  idole 
dans  le  livre- de  Daniel,  I,  172  et  suiv.  Saint 
Hippolythe  regarde  ce  fragment  comme  au- 
thentique, 636.  —  Sentiment  de  saint  Jérô- 

TAB.    I. 


me  sur  ce  fragment,  VII,  653.  —  Sulpice 
Sévère  regarde  ce  fragment  comme  canoni- 
que, VIII,  125. 

BEL  (Philippe  le),  docteur  de  Paris.  Sa 
traduction  française  des  sermons,  des  opus- 
cules et  de  quelques  lettres  de  saint  Ber- 
nard, XIV,  499. 

BELHOMME  (Humbert),  bénédictin,  abbé 
de  Moyen  Moutier,  auteur  d'une  Histoire  de 
cette  abbaye,  XIII,  71  et  252. 

BÉLISAIRE,  ancien  poète  latin,  fait  l'éloge 
de  Sédulius,  VHI,  108. 

BÉLISAIRE,  patrice.  Victoire  qu'il  rem- 
porte sur  Gélimer,  roi  des  Vandales,  X,  465. 
—  Il  prend  Naples  et  Rome  sur  les  Goths; 
il  veut  engager  Silvérius  à  condamner  le 
concile  de  Chalcédoine  et  à  approuver  la 
doctrine  des  Acéphales,  XI,  192.  Sur  son 
refus,  il  le  fait  déposer,  fait  recevoir  à  sa 
place  Vigile,  et  exile  Silvérius  à  Patare,  en 
Lycie,  192  et  193.  Il  livre  Silvérius  à  Vigile, 
193. 

BELLATOR,  auteur  ecclésiastique  qui  yisiède. 
n'est  connu  que  par  ce  qu'en  dit  Cassiodore, 
et  dont  les  écrits  sont  perdus,  XI,  284  et 
285.  Il  était  prêtre  ;  son  commentaire  sur  la 
Sagesse  mentionné  par  Raban  Maur,  XII, 
451. 

BELLEFOREST  (François  de),  littérateur. 
Sa  traduction  française  des  sermons  de  saint 
Cyprien,  évéque  de  Carthage,  II,  385.  — 
Ses  observations  sur  les  livres  de  saint  Au- 
gustin de  la  Cité  de  Dieu,  IX,  812.  — Sa  tra- 
duction française  de  l'Histoire  de  la  persé- 
cution des  Vandales  en  Afrique  par  Victor 
de  Vite,  X,  465.  —  Sa  traduction  du  discours 
de  Théodore,  abbé  de  Raïte,  sur  l'Incarna- 
tion, XI,  787, 

BELLEG  ARDE  (L'abbé  de).  Voyez  Morvan. 
BELLE-ILE  ou  GUÉDEL,  île  des  côtes  de      xi  siècle. 
Bretagne,  donnée  au  monastère  de  Redon 
par  le  duc  Geoffroi,  pour  y  établir  une  com- 
munauté de  moines,  XIII,  158. 

BELLÈRE  (Balthasar  de),  imprimeur  à 
Douai.  Son  édition  de  l'Histoire  de  Jérusa- 
lem de  Jacques  de  Vitry,  XIII,  537, 

BELLICIUS  ,  païen  converti.  Lettre  que     jv  siècio. 
lui  écrivit  saint  Ambroise,  V,  503. 

BELLIER  (Pierre).  Sa  traduction  française 
des  oeuvres  de  Philon,  I,  312. 

BELZUNCE  DE  CASTELMORON  (Henri- 
François-Xavier),  évéque  de  Marseille.  Sa 
traduction  française  du  livre  de  saint  Au- 
gustin :  de  la  Grâce  et  du  Libre  arbitre,  IX, 
814. 

10 


146 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLESIASTIQUES. 


814. 


387. 


BENEDICTINS  de  la  congrégation  de 
Saint-Maur.  Ils  ont  donné  beaucoup  d'édi- 
tions des  Pères  de  l'Église,  et  enti-e  autres 
celle  de  saint  Augustin,  IX,  815  et  suiv.  [Ju- 
geaient de  Fénelon  sur  l'édition  des  œuvres 
de  saint  Augustin  par  les  Bénédictins,  846 
et  suiv.]  Les  Bénédictins  desservaient  les  ca- 
thédrales d'Angleterre,  XIII,  293. 

BÉNÉDICTION.  Terme  employé  par  quel- 
ques conciles  d'Espagne  pour  désigner  l'or- 
dination, XI,  906,  907,  908. 

BÉNÉDICTION  DE  DIEU.  Traité  d'un 
anonyme  qui  enseigne  comment  on  doit  bé- 
nir et  louer  Dieu  par  le  chant  des  Psaumes  ; 
il  est  dédié  à  Balhurie,  évéque  de  Ratisbon- 
ne  ;  idée  de  cet  ouvrage,  XII,  387.  [Il  est  re- 
produit dans  la  Patroloyie,  704.] 

BENEDICTIONNAIRE  du  pape  saint  Gré- 
goire, XI,  543. 

BÉNÉDICTIONS.  Recueil  de  bénédictions 
IX  siècle,  composé  par  Adelhelme,  évêque  de  Séez, 
XII,  760,  761. 

BÉNÉDICTIONS  DES  PATRIARCHES  :  ou- 
vrage de  saint  Ambroise  sur  ce  sujet,  V,  412. 

—  [Bénédictions  des  patriarches,  ouvrage 
de  Paulin,  diacre  de  Milan,  VU,  477.]  — 
Traité  sur  les  Bénédictions  attribué  à  Rhaban- 
Maur,  XII,  469.  Traité  de  ces  Bénédictions 
attribué  à  Adrevald,  moine  de  Fleury,  630. 
Bénédictions  de  Jacob.  Voyez  Jacob. 

BÉNÉDICTIONS  ECCLÉSIASTIQUES.  Bé- 
nédiction donnée  à  la  fin  du  sacrifice  selon 
les  Constitutions  apostoliques,  II,  598.  Canon 
du  concile  d'Elvire.  614.  —  Les  princes 
chrétiens  baissaient  la  tête  devant  les  évo- 
ques pour  recevoir  leur  bénédiction,  IV,  78. 

—  On  voit  par  le  concile  de  Riez  qu'en  Oc- 
cident les  prêtres  ne  donnaient  les  bénédic- 
tions que  dans  les  maisons  particulières,  et 
que  les  bénédictions  dans  les  églises  étaient 
réservées  aux  évêques,  VIII,  606.  —  Céré- 
monies de  la  bénédiction  d'un  moine  décri- 
tes dans  le  livre  de  la  Hiérarchie  ecclésias- 
tique, attribué  à  saint  Denis  l'Aréopagite, 
X,  S48,  549.  — Bénédiction  du  cierge  pas- 
cal, X,  576,  XI,  522.  —  Prières  pour  la  bé- 
nédiction d'une  reine,  XI,  543.  —  Bénédic- 
tions en  usage  en  France,  blâmées  par  le 
pape  Zacharie,  XII,  33.  Canon  du  quatrième 
concile  de  Tolède  qui  décide  que  la  bénédic- 
tion épiscopale  doit  être  donnée  après  l'o- 
raison dominicale,  917.  Bénédiction  de  l'é- 
vêque  ou  du  prêtre  ;  comment  elle  se  don- 
nait au  peuple  dans  le  ix"  siècle,  760,  761. 

—  Bénédiction  donnée  par  un  moine.  Ce 


qu'en  dit  Yves  de  Chartres,  XIV,  103.  Traité 

des  bénédictions  des  évêques  ;  ouvrage  de 
GeofFroi  de  Vendôme,  168. 

BENEDICTUS,  cantique  de  Zacharie  tra-     ixsiècie. 
duit  en  langue  ludesque,  XII,  596. 

BÉNÉFICES.  Origine  des  bénéfices  ecclé- 
siastiques, X,  524.  —  Article  d'un  capitulaire 
de  Charlemagne  sur  les  bénéfices,  XII,  239. 
Règlement  du  pape  Léon  IV  sur  les  béné- 
fices, 408.  —  Règlement  du  pape  Alexan- 
dre II  sur  les  bénéfices,  XIII,  276.  Règle- 
ment du  pape  Alexandre  II,  287.  Canon 
d'un  concile  de  Plaisance,  430.  D'un  concile 
de  Clermont,  432.  Traité  de  Guillaume 
d'Auvergne,  évêque  de  Paris,  sur  la  colla- 
tion des  bénéfices,  XIV,  1030.  Canon  d'un 
autre  de  Reims,  X,  1093  ;  d'un  autre  d'Avran- 
che,  1135;  et  du  troisième  concile  de  La- 
tran,  1141.  Canons  du  quatrième  concile  de 
Latran,  1168. 

BÉNÉNATUS  ,    évêque.   Lettres  que  lui       iv  on 
écrivit  saint  Augustin,  IX,  189.  ^  ^'^°'''- 

BÉNÉNATUS,  évêque  de  la  première  Jus-        550. 
tiuienne  ,  ennemi  déclaré  des  Trois-Chapi- 
tres,  est  déposé  pour  ce  sujet,  XI,  301. 

BÉNÉNATUS,  évêque  de  Misène.  Saint 
Grégoire  le  Grand  lui  écrit,  XI,  487. 

BÉNÉTI  (Cyprien),  de  l'ordre  des  Frères- 
Prêcheurs.  Son  édition  du  traité  d'Arnaud 
de  Bonneval  des  Œuvres  cardinales  de  Jé- 
sus-Christ, XIV,  618. 

BÉNÉVENT,  ville  d'Italie.  On  prétend  que 
le  corps  de  saint  Barthélemi  y  a  été  apporté 
de  l'ile  de  Lipari,  XH,  310.  [Privilège  ac- 
cordé à  l'Église  de  Bénéveut  par  le  pape 
Marin  il,  829.]  —  Béuévent  est  érigé  en  ar-  ggg, 
chevêche  par  le  pape  Jean  XIII,  XIII,  758 
[et  XII  834.]  Cette  ville  est  cédée  au  pape 
Léon  IX  en  échange  de  Bamberg,  202.  Con- 
cile tenu  en  cette  ville  par  le  pape  Urbain  II, 
425.  Poëme  d'Alphane,  archevêque  de  Sa- 
lerne,  sur  le  martyre  des  douze  frères  de 
Bénévent,  493.  —  Conciles  tenus  en  cette 
ville,  XIV,  1061,  1062,  1067,  1072,  1081, 
1084,  1088,  1089  el  1094. 

BÉNÉVOLE,  secrétaire  d'État  sous  Valen-  iv  sièci. 
tinien  le  Jeune,  aime  mieux  perdre  sa  char- 
ge que  de  dresser  un  rescrit  en  faveur  des 
Ariens,  V,  172,  488,  VI,  363,  VHI,  35.  —  Il 
engage  saint  Gaudence  à  mettre  ses  sermons 
par  écrit,  VIII,  35. 

BÉNIGNE  (Saint),  martyr  à  Dijon.  Les  ac-      irsiède 
tes  de  son  martyre  sont  peu  considérés,  I, 
473.  —  Église  à  Dijon  sous  son  nom  ;  de 
prétendues    reliques    déposées  dans  cette 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


147 


328. 


église  y  occasionnant  des  convulsions  ;  let- 
tre d'Amolon  à  ce  sujet,  XII,  429,  430.  [Pas- 
sion de  saint  Bénigne  par  Wolfaid,  XIII, 
74.  Etude  historique  et  critique  sur  les  Actes 
et  la  mission  de  saint  Bénigne,  par  M.  l'abbé 
Bougaud,  74,  n.  6.]  —  Monastère  de  Saint- 
Bénigne,  à  Dijon,  réformé  par  Guillaume, 
faon  abbé,  XIII,  106.  Lettre  d'Alinard,  arche- 
vêque de  Lyon,  aux  moines  de  Saint-Bénigne  ; 
Chronique  de  ce  monastère  écrite  dans  le 
XI'  siècle  par  un  anonyme,  178.  Quatre  lettres 
du  pape  Benoît  VIII  en  faveur  de  ce  monas- 
tère, 192.  Statuts  de  ce  monastère,  479. 

BÉNIGNE  (Saint),  évêque.  Vers  d'Ennode 
à  sa  louange,  X,  S77. 

BÉNIGNE,  évêque ,  se  fait  moine  à  Saint- 
Bénigne  de  Dijon,  XIII,  192. 

BÉNILDE  (Sainte),  l'une  des  martyres  de 
Cordoue,  XII,  519. 

BENJAMIN  (Saint),  diacre,  martyr  en 
Perse,  X,  49. 

BENJAMIN,  Juif  à  qui  saint  Nil  écrivit, 
VIII,  217. 

[BENJAMIN  MINOR,  ouvrage  de  Richard, 
prieur  de  saint  Victor,  XIV,  999,  700]. 

BENJAMIN  MAJOR,  ouvrage  de  Richard 
de  Saint-Victor,  XIV,  700.] 

BENNADE  ou  BENNAGE,  évêque  de 
Reims,  à  qui  succède  saint  Rémi,  XI,  77. 

BENNARTIUS.  Ses  Commentaires  sur  les 
Uvres  de  Boëce  intitulés  de  la  Consolation 
de  la  Philosophie,  X,  665. 

BENNINGDON,  ville  d'Angleterre.  Concile 
tenu  en  cette  ville,  XIII,  682. 

BENNON,  cardinal.  Ses  deux  lettres  con- 
tre le  pape  saint  Grégoire  VII,  XIII,  378. 
Différentes  éditions  qu'on  en  a  faites,  378  et 
404. 

BENOIT  (Saint),  patriarche  des  moines 
d'Occident.  Sa  naissance  et  son  éducation, 
XI,  156.  Étant  encore  fort  jeune,  il  se  retire 
à  Sublac  où  il  s'enferme  dans  une  caverne, 
156  et  157.  Ce  qui  lui  arriva  dans  cette  soli- 
tude pendant  les  trois  ans  qu'il  y  demeura  ; 
Il  est  fait  abbé  du  monastère  de  Vicovarro  ; 
L'indocilité  des  moines,  qui  attentent  même 
à  sa  vie,  l'oblige  à  le  quitter;  il  retourne  à 
sa  première  solitude  ;  beaucoup  de  person- 
nes se  font  ses  disciples  ;  il  bâtit  douze  mo- 
nastères, 157.  Miracle  qu'il  opère  à  l'égard 
de  saint  Placide  ;  cédant  à  l'envie  d'un  prê- 
tre nommé  Florentins ,  il  abandonne  ses 
douze  monastères  et  en  bâtit  un  nouveau  au 
Mont-Gassin  ;  règle  qu'il  donne  à  ses  reli- 
gieux, 158.  Le  patrice  Tertullus  fait,  au  mo- 


nastère de  Cassin,  donation  de  tous  les  biens 
qu'il  avait  dans  le  voisinage  ;  saint  Benoît 
fonde  le  monastère  de  Terracine  en  Gampa- 
nie,  et  plusieurs  autres  en  Sicile,  en  Espa- 
gne et  en  France  ;  il  prédit  la  ruine  du  mo- 
nastère du  Mont-Cassin,  159.  Le  roi  Totila 
vient  le  voir  ;  récit  de  leur  entrevue,  159  et 
160.  Mort  de  saint  Benoît,  161  et  475.  Son 
éloge,  161.  Analyse  de  sa  Règle,  161  et^uiv. 
Distinction  de  quatre  sortes  de  moines,  162. 
Qualités  et  fonctions  de  l'abbé  et  des  autres 
supérieurs,  162  et  163.  Autres  officiers  du 
monastère,  163.  Réception  des  novices,  163 
et  164.  Offices  divins,  164,  165.  Travail  des 
mains  et  lecture,  165  et  166.  Habits,  167. 
Nourriture,  167  et  168.  Malades,  hôtes, 
voyages,  168,  169.  Corrections,  169,  170. 
Eloge  de  saint  Benoît  et  de  sa  règle  ;  lettre 
et  exhortation  de  saint  Benoît,  170.  La  lettre 
qu'on  suppose  qu'il  a  écrite  à  saint  Rémi, 
évêque  de  Reims,  pour  le  prier  de  délivrer 
une  possédée ,  n'existe  point,  82  et  170.  — 
Saint  Benoît  cite  la  lettre  de  saint  Basile, 
IV,  393.  —  Sa  Vie  occupe  le  second  livre 
des  Dialogues  du  pape  saint  Grégoire,  XI, 
474,  475.  Vers  à  sa  louange  par  Marc,  un 
de  ses  disciples  ;  autres  par  saint  Simplice, 
abbé  du  Mont-Gassin,  634.  —  Comment  Paul, 
diacre,  raconte  la  translation  du  corps  de  ce 
saint  du  Mont-Cassin  en  France,  XII,  142. 
Vie  de  ce  saint  attribuée  à  Paul,  diacre,  144. 
[Une  hymne  sur  les  miracles  de  saint  Be- 
noît par  le  même,  144,  n.  7.]  Homéhe  en 
son  honneur  par  le  même,  144.  Commen- 
taire sur  sa  Règle  attribué  au  même,  144  et 
145.  Poëme  en  son  honneur  composé  par 
Gauzbert,  moine  de  Fleury,  524.  Histoii'e 
de  la  translation  de  son  corps  par  Adalbert, 
moine  de  Fleury  ;  Histoire  de  ses  miracles 
par  Adrevald,  moine  de  Fleury,  629.  Conti- 
nuée par  Adelère,  aussi  moine  de  Fleury, 
630.  Poème  de  saint  Berthaire  ,  abbé  du 
Mont-Cassin,  en  l'honneur  de  saint  Benoît  ; 
autres  poèmes  du  même,  696.  Règle  de  saint 
Benoît  commentée  par  Hucbald,  802.  Dis- 
cours de  saint  Odon,  abbé  de  Cluny,  en  son 
honneur,  807 .  [Sermon  pour  la  Vigile  de  la  fête 
de  saint  Benoît,  par  Laurent,  moine  et  ensuite 
évêque,  811 .]  Traduction  de  la  Règle  de  saint 
Benoît  en  langue  saxonne,  868.  —  [Hymne 
en  l'honneur  de  saint  Benoît,  XIII,  23.]  Ab- 
bon,  moine  de  Fleury,  envoie  au  pape  Gré- 
goire V  l'Histoire  de  la  Translation  des  reli- 
ques de  saint  Benoît,  28.  Traité  d'Abbon  de 
Fleury  sur  la  translation   des   reliques   de 


534. 


543. 


148 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


573. 
577. 


6Si. 


saint  Benoît,  32.  Ce  traité  mis  en  vers  par 
Gérard,  disciple  d'Abboii,  35.  L'Histoire  de 
la  translation  des  reliques  de  saint  Benoît 
mise  en  vers  par  Aimoin,  moine  de  Saint- 
Fleury  ;  discours  du  même  en  l'honneur  de 
saint  Benoît  ;  suite  de  la  relation  des  mira- 
cles opérés  depuis  la  translation,  41.  [(Cet 
écrit  a  été  continué  par  André,  moine  de 
Fleury.  Voyez  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
Finance,  tome  VII,  p.  349.)]  [Homélie  sur  saint 
Benoît  par  Paul,  diacre,  91.]  Histoire  de  Fil- 
iation des  reliques  de  saint  Benoît  écrite  par 
Thierry,  moine  de  Fleury,  100, 101.  Sermon 
de  saint  Pierre  Damien  pour  la  veille  de  la 
fête  de  saint  Benoît,  308.  Ses  miracles  écrits 
en  quatre  livres  par  Didier,  abbé  du  Mont- 
Cassin,  417.  Statuts  pour  l'ordre  de  saint 
Benoît  recueilhs  par  Laufranc,  448.  Analyse 
de  ces  Statuts;  ce  qu'il  y  a  de  remarquable, 
448  et  suiv.  Premièi'e  édition  qu'on  en  a 
faite,  451.  Poëme  en  l'honneur  de  saint  Be- 
noît par  Alphane,  archevêque  de  Salerne, 
493.  —  [Continu;] tion  de  l'Histoire  des  Mi- 
racles de  saint  Benoît,  opérés  en  France  et 
principalement  à  Fleury,  par  Raoul  Tor- 
taire,  XIV,  78.]  Preuves  qu'on  alléguait  à  la 
fin  du  xi'^  siècle  pour  montrer  que  les  reli- 
ques de  saint  Benoît  étaient  restées  au  Mont- 
Cassin,  496.  Sermon  de  Geoffroi,  abbé  de 
Vendôme,  sur  saint  Benoît,  169.  Panégyri- 
que de  saint  Benoît  par  saint  Bernard,  484. 
Hymne  de  Pierre  le  Vénérable  pour  la  fête 
de  saint  Benoît  et  la  translation  de  ses  reli- 
ques, 511  etS22.  Relation  de  l'Invention  du 
corps  de  saint  Benoît  dans  l'église  de  Mont- 
Gassin  écrite  par  Piei-re,  diacre,  583,  584. 
[Sermon  pour  la  fête  de  saint  Benoît  par 
Odon,  abbé  de  Morimond,  625.  Sermon  de 
Nicolas,  secrétaire  de  Bernard,  736.]  Ser- 
mon de  Guillaume  d'Auvergne  sur  saint  Be- 
noît, 1027.  Dissertation  d'Ange  de  la  Noix, 
abbé  du  Mont-Cassin,  pour  prouver  que  le 
corps  de  saint  Benoît  est  encore  dans  cette 
abbaye,  583.  Reliques  de  saint  Benoît  ti-ans- 
férées  d'une  châsse  dans  une  autre  à  l'ab- 
baye de  Fleury-sur-Loire,  1081.  Voyez  Rè- 
gles de  saint  Benoît. 

BENOIT  I",  surnommé  BONOSE ,  pape, 
élu  pour  succéder  à  Jean  111;  sa  mort, 
XI,  334.  —  Décrétale  qu'on  lui  attribue 
faussement^  VI,  96. 

BENOIT  H,  pape,  succède  à  Léon  II,  et 
ne  siège  que  huit  mois  et  dix-sept  jours; 
ses  lettres,  XI,  785.  [Leur  édition  dans  la 
Patrologie,  785.]  Sous  son  pontificat,  l'em- 


pereur Constantin  envoie  à  Rome  les  che- 
veux de  ses  deux  fils  Justinien  etHéraclius; 
c'était  une  espèce  d'adoption  usitée  en  ce 
temps-là,  783. 

BENOIT  m,  pape,  succède  à  Léon  IV. 
Une  faction  fait  élire  Anastase  qui  s'empare 
de  Rome,  et  met  Benoît  en  prison  ;  on  re- 
connaît la  légitimité  de  son  élection  et  il  est 
sacré  ;  sa  mort,  XII,  409.  Ses  lettres  ;  pi-ivi- 
léges  qu'il  accorde  à  l'abbaye  de  Corbie  ; 
autre  qu'il  accorde  à  celle  de  Saint-Denis, 
410.  [Edition  des  écrits  de  Benoît  III  dans  la 
Patrologie,  416.] 

BENOIT  IV,  pape,  succède  à  Jean  IX; 
ses  deux  lettres  pour  le  rétablissement  d'Ar- 
grim  sur  le  siège  de  Langres,  XII,  742.  Sa 
mort,  743.  [Édition  des  écrits  de  Benoît  IV 
dans  la  Patrologie,  743.] 

BENOIT  V,  pape,  succède  à  Jean  XII  ; 
il  est  déposé  par  l'empereur  Otton,  qui  le 
relègue  à  Hambourg  où  il  meurt,  XII,  832. 
—  Différentes  circonstances  de  sa  vie  rap- 
portées par  Dithmar,  XIII,  63,  64.  Son  corps 
est  rapporté  à  Rome,  64.  Son  élection  et  sa 
déposition  ;  il  se  soumet,  733. 

BENOIT  VI,  pape,  suoce.de  à  Jean  XIII, 
et  n'occupe  le  Saint-Siège  que  dix-huit  mois  ; 
sa  lettre  à  Frédéric,  évêque  de  Saltzbourg, 
qu'il  constitue  son  vicaire  apostolique  dans 
le  Norique  et  dans  la  Pannonie,  XII,  835. 
[Edition  de  cette  lettre  et  de  quatre  privi- 
lèges dans  la  Patrologie,  835.] 

BENOIT  VII,  pape,  succède  à  Douus  II  ; 
sa  mort;  sa  lettre  par  laquelle  il  confirme  le. 
règlement  fait  par  le  pape  Agapet  II  sur  la 
Juridiction  des  archevêchés  de  Saltzbourg 
et  de  Lorch,  XII,  835.  [Édition  de  cette  let- 
tre et  de  vingt-sept  autres  dans  la  Patrolo- 
gie, 833  et  836.]  —  Conciles  qu'il  tient  à 
Rome,  Xm,  760. 

BENOIT  VIII ,  pape ,  succède  à  Sergius 
IV  ;  un  parti  qui  lui  était  opposé  élit  Gré- 
goire ;  Benoît,  obligé  de  sortir  de  Rome,  se 
retire  auprès  du  roi  Henri  qui  le  ramène  et 
le  rétablit,  XIII,  190.  Il  le  couronne  empe- 
reur, 144  et  190.  Il  chasse  les  Sarrasins  de 
la  Toscane  ;  il  passe  en  Allemagne  deman- 
der du  secours  à  l'empereur  Henri  contre 
les  Grecs  ;  sa  mort,  190.  Son  jugement  en  fa- 
veur de  l'abbaye  de  Faifa,  190  et  191.  Sa  let- 
tre aux  évêques  de  Bourgogne,  d'Aquitaine 
et  de  Provence  contre  les  usurpateurs  des 
biens  de  l'abbaye  de  Cluny,  191.  Concile  de 
Pavie  oi"!  il  invective  contre  l'incontinence 
des  clercs,  191  eH92.  Deux  bulles  de  Benoît 


855. 


858, 


900. 

903 
964. 
965. 


972. 


984. 


lOlî. 


10U1. 


102U 


llKl. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


149 


047. 


048, 


VIII  :  l'une  en  faveur  de  l'église  de  Bam- 
berg,  l'autre  confirmative  des  privilèges  du 
monastère  de  Bremet  en  Italie  ;  concile  de 
Rome  où  il  confirme  la  fondation  du  monas- 
tère de  Frutare;  lettre  de  Benoît  VIII  en  fa- 
veur du  monastère  de  Saint-Bénigne  de  Di- 
jon, 192  et  XIV,  1037.  —  [Recuejl  de  ses 
lettres  et  privilèges  dans  la  Patrologie,  XIII, 
192  et  193.] — Sa  lettre  contre  les  usurpateurs 
des  biens  de  l'abbaye  de  Cluny,  XIV,  1036. 

BENOIT  IX,  THÉOPHYLACTE,  pape,  suc- 
cède à  Jean  XIX  n'ayant  guère  que  douze 
ans,  XIII,  195,  196.  Il  tient  un  concile  à 
Rome  qui  décide  en  faveur  de  l'abbé  de  Saint- 
Pierre  hors  le?  murs  de  Pérouse  ,  contre 
l'évêque  de  cette  ville  ;  il  est  chassé  de  Rome, 
et  rétabli  par  l'empereur  Conrad  ;  il  dispense 
de  ses  vœux  le  prince  Casimir  ;  il  envoie  à 
Trêves  un  légat  pour  la  canonisation  de 
saint  Siméon  ;  il  est  chassé  à  cause  de  la 
dépravation  de  ses  mœurs.  Ses  parents  le 
rétablissent j  196.  Enfin,  moyennant  une 
somme  d'argent,  il  cède  le  pontificat  à  l'ar- 
chiprêtre  Jean  Gratien,  qui  prend  le  nom  de 
Grégoire  VI,  197.  Après  la  mort  de  Clé- 
ment II,  il  remonte  sur  le  Saint-Siège  pour 
la  troisième  fois,  et  abdique  huit  mois  et  dix 
jours  après,  199.  [Recueil  de  ses  lettres  dans 
la  Patrologie.  196.]  Lorsqu'il  rentra  pour  la 
troisième  fois  sur  le  siège  de  Rome,  il  dutson 
rétablissement  aux  représentations  que 
Vazon,  évêque  de  Liège,  avait  faites  à  l'em- 
pereur Henri  le  Noir,  141.11  avait  été  élu 
irrégulièrement  et  ensuite  chassé  de  son 
siège,  147.  Il  dispense  du  vœu  de  chasteté 
le  roi  Casimir,  diacre  de  Gluny,  131. 

BENOIT  X  (Jean) ,  regardé  communé- 
ment comme  antipape,  élu  par  une  fac- 
tion après  la  mort  du  pape  Etienne  IX,  se 
maintient  quelque  temps  par  la  force  des 
armes  ;  informé  que  le  pape  Nicolas  II  te- 
nait contre  lui  un  concile  à  Sutri,  il  se  retire  ; 
il  se  jette  aux  pieds  du  pape  qui  lève  l'ex- 
communication prononcée  contre  lui,  et  le 
dépose  de  l'èpiscopat  et  de  la  prêtrise;  les 
Romains  lui  donnent  par  dérision  le  surnom 
de  Mincio,  c'est-à  dire  stupide,  XIII,  243. 
[Le  Diario  romain  le  met  dans  le  catalogue 
des  papes,  243.]  Son  élection  et  sa  déposi- 
tion, XIV,  1061. 

BENOIT,  jeune  moine  vivant  à  40  milles 
de  Rome.  Ce  que  rapporte  de  lui  le  pape 
saint  Grégoire,  XI,  476. 

BENOIT  BISCOP  (Saint),  fonde  les  deux 
monastères  de  Wiremouth  et  de  Jarrow;  sa 


mort,  XI,  802.  —  Son  histoire  écrite  par  le 
Vénérable  Bède,  XII,  14. 

[BENOIT  (Saint) ,  Ci'ispus,  archevêque  de 
Milan,  XII,  20  ;  ses  écrits,  20  et  21 .] 

BENOIT,  abbé  d'Aniane,  sa  naissance  ; 
après  avoir  passé  quelque  temps  à  la  cour 
de  Charlemagne,  il  se  retire  au  monastère 
de  Saint-Seine  où  il  embrasse  la  vie  monas- 
tique ;  il  quitte  ce  monastère  dont  on  vou- 
lait le  faire  abbé  et  en  fonde  un  nouveau 
dans  une  terre  de  son  patrimoine,  237.  Il 
rétablit  la  discipline  monastique  en  plusieurs 
monastères  ;  il  défend  la  foi  contre  Félix 
d'Drgel  ;  Louis  le  Débonnaire  lui  donne 
l'inspection  sur  tous  les  monastères  de  son 
royaume  ;  sa  mort,  238.  Ses  ouvrages  :  Code 
des  règles,  238  et  239.  Concorde  des  règles, 
239,  260.  Ses  lettres,  260,  261.  Quatre  opus- 
cules contre  l'hérésie  de  Félix,  261 .  Péni- 
tentiel  attribué  à  saint  Benoît,  261  et  262. 
Commentaires  sur  les  Épîtres  de  saint  Paul 
et  autres  ouvrages,  262.  [Édition  des  écrits 
de  Benoit  d'Aniane  dans  la  Patrologie,  262.] 
Raisons  de  le  faire  auteur  du  dialogue  entre 
Euticius  et  Théophile  sur  l'état  de  l'Église, 
313,  314.  Sa  Vie  écrite  par  Ardon  Smaragde 
son  disciple,  238.  Lettre  des  moines  du  mo- 
nastère d'Inde,  qui  contient  un  abrégé  de  sa 
vie  avec  les  principales  circonstances  de  sa 
vie,  260.  (Voyez  son  article  dans  Y  Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  IV,  p.  447  et  suiv.) 

BENOIT.  Un  des  chantres  donnés  à  Char- 
lemagne par  le  pape  Adrien  I",  pour  éta- 
blir eu  France  le  chant  grégorien,  XII,  224. 

BENOIT,  diacre  de  l'Église  de  Mayence. 
Sa  collection  des  Capitulaires  pour  suppléer 
à  celle  d'Anségise,  XII,  394.  Idée  de  cette 
collection,  394  et  393.  Éditions  qu'on  en  a 
faites,  393.  [Édition  dans  la.  Patrologie,  393.] 
(Voyez  ce  qui  est  dit  de  Benoît  dans  VHis- 
toire  littéraire  de  la  France,  t.  IV,  p.  389  et 
suiv.,  et  son  article  dans  le  t.  V,  p.  33  et  suiv.) 

BENOIT,  abbé  de  Cluse  ,  en  Piémont , 
combat  fortement  l'apostolat  de  saint  Martial 
103.  Lettre  que  lui  écrit  Adémar  en  faveur 
de  cet  apostolat,  XIII,  104.  Sa  Vie  écrite  par 
le  moine  Guillaume  ne  se  trouve  plus,  490. 

BENOIT  II,  abbé  de  Cluse  ;  année  de  sa 
mort;  sa  Vie  écrite  par  le  moine  Guillaume; 
deux  épitaphes  et  une  hymne  en  son  hon- 
neur, XIII,  490. 

BENOIT  PAULIN,  bordelais.  V.  Paulin. 

BENOIT  GUAIFER,  moine  duMont-Cassin. 
Voyez  Guaifer. 

[BENOIT,  prêtre.  Son  Prologue  des  actes 


V.  725. 


V.  7,')1. 


774. 


V.  780. 


794. 


821. 


1\  siècle. 


1028. 


1031. 


1091. 


XII  siècle. 


150 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


des  saintes  Digne  et  Mérite  ;  son  Prologue 

de  la  passion  de  sainte  Forlunate,  XIII,  602.] 

xn  siècle.        [BENOIT,  abbé  de  Petersborough.  Sa  Vie 

de  saint  Thomas  de  Gontorbery,  XIV,  667.] 

BENSÉLIUS  ( ),  son  édition  projetée 

des  œuvres  de  Philon,  I,  312. 

BÉORNIN,  prêtre.  Lettre  que  lui  écrit 
Alcuin  pour  se  justifier  d'avoir  manqué  de 
lidélité  au  roi  Ofïa,  XII,  194. 

BÉQUET  THOMAS.  Voyez  saint  Thomas 
Béquet,  archevêque  de  Cantorbéry. 

BÉRALD,  père  de  saint  Odilon,  abbé  de 
Gluny,  Xm,  ISO. 
1089.  BÉRARD,   abbé  de  Farfa.  Sa  mort  ;  ses 

Règlements,  XIII,  477. 
1097.  BÉRARD,  archidiacre   de   Lyon,  est   fait 

évêque  de  Mâcon,  XIV,  80. 

BÉRAT-SATIA,  lieu  où  furent  trouvées  les 
reliques  du  prophète  Michée,  VIII,  533. 

BÉRAULD  (Nicolas) ,  savant  Orléanais. 
Son  édition  de  plusieurs  ouvrages  de  saint 
Athanase  ou  de  plusieurs  autres  qui  lui  sont 
attribués,  IV,  230. 

BERCHAC[etnonDERCHAC]enThuringe. 
Assemblée  tenue  en  ce  lieu  entre  les  parti- 
sans de  l'empereur  Henri  IV  et  de  ceux  qui 
lui  étaient  opposés,  XIII,  399. 

BERGHAIRE,  premier  abbé  de  Hautvil- 
liers  et  de  Montier-en-Der.  Sa  Vie  attribuée 
<i  Almanne,  moine  de  cette  abbaye,  XII, 
697.  Elle  fut  écrite  par  Adson,  l'un  de  ses 
successeurs  ;  la  relation  de  ses  miracles 
ajoutée  par  un  anonyme,  888.  — ■  Recueil  de 
ses  miracles  fait  par  Brunon,  abbé  de  Mon- 
tier-en-Der, XIII,  347. 
375.  BÉRÉE,   ville  de  Syrie.  Lettre  de  saint 

Basile  le  Grand  au  clergé  et  au  peuple  de 
Bérée,  IV,  475,  476.  Lettre  de  Théodoretau 
clergé  de  Bérée,  X,  68. 

BÉRENGARIENS,  disciples  de  Bérenger, 
partagés  en  divers  sentiments,  XIII,  517. 
IX  siècle.  BÉRENGAUD,  moine  de  Ferrières.  Son 
commentaire  sur  l'Apocalypse,  XII,  702; 
703.  Ce  commentaire  a  été  faussement  attri- 
bué à  saint  Ambroise,  703,  —  et  à  Bérenger, 
archidiacre  d'Angers, XIII,  173.  —Le  moine 
Bérengaud  dont  il  est  fait  mention  dans  les 
lettres  de  Loup,  abbé  de  Ferrières,  est  vrai- 
semblablement l'auteur  du  commentaire  sur 
l'Apocalypse  faussement  attribué  à  saint 
Ambroise,  XIV,  238,  239.  (Voyez  ce  qui  est 
dit  de  Bérengaud,  moiae  de  Ferrières,  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  653 
et  suiv.) 
xn  siècle.        BÉRENGAUD,  abbé  de  Saint-Maximin  de 


Trêves.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de 
sa  vie  ;  ses  trois  livres  de  l'Invention  de  la 
croix  de  Notre-Seigneur  ;  livre  du  Mystère 
du  bois  de  la  croix  ;  ses  Sermons,  XIV,  238. 
On  examine  s'il  peut  être  l'auteur  du  com- 
mentaire sur  l'Apocalypse  faussement  attri- 
bué à  saiut  Ambroise,  238  et  239. 

BÉRENGER,  évêque  de  Verdun,  obtient 
du  pape  Jean  XIII  des  privilèges  pour  des 
monastères,  XII,  833.  [Le  pape  Jean  XII,  lui 
avait  écrit,  832.) 

BÉRENGER,  duc  de  Frioul,  se  fait  cou- 
ronner empereur,  XIII,  738. 

BÉRENGER,  vicomte  de  Narbonne  [et  non        loss. 
de  Toulouse,  comme  on  l'a  imprimé].  Sa 
plainte   contre   l'archevêque   Guifroi,  XIII, 
238.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  VBistoire 
littéraire  de  la  France,  t.  VII,  493.) 

BÉRENGER,  scholastique  de  Tours  et  ar- 
chidiacre d'Angers.  Ses  commencements  ;  il 
est  chargé  du  soin  de  l'école  de  Tours  ;  par- 
tage de  sentiments  sur  sa  science  et  ses 
talents,  XIII,  164.  Confondu  par  Lanfranc, 
abbé  du  Bec,  il  se  met  à  donner  des  leçons 
sur  l'Écriture  sainte  ;  ses  erreurs  ;  il  combat  1047. 
les  mariages  légitimes,  le  baptême  des  en- 
fants, et  principalement  la  foi  de  l'Église  sur 
l'Eucharislie  ;  représentations  qu'Adelmanne 
son  condisciple  lui  fait  à  ce  sujet,  163.  Ses 
erreurs  sur  l'Eucharistie  sont  refutées  par 
Hugues,  évêque  de  Langres,  163  et  suiv. 
Lettres  de  Bérenger  à  Lanfranc  qui  s'était 
déclaré  contre  lui;  Bérenger  condamné  dans 
un  concile  de  Rome  ;  il  va  en  Normandie.  loso. 
Conférence  de  Brionne.  Il  y  est  confondu. 
Sa  lettre  aux  clercs  de  l'Église  de  Chartres, 
où  il  accuse  d'hérésie  l'Église  romaine  et  le 
pape  saint  Léon  IX;  son  erreur  est  con-  loso. 
damnée  au  concile  de  Verceil,  167.  Sa  lettre 
à  Ascelin,  moine  du  Bec.  Réponse  d'Ascelin, 
167,  168.  Concile  de  Paris.  Bérenger  n'ose  inso. 
y  paraître.  Son  erreur  y  est  anathématisée  ; 
ses  lettres  à  Richard  et  au  trésorier  de 
Saint-Martin  de  Tours.  Il  les  écrit  parce  que 
le  roi  l'avait  privé  du  revenu  de  son  cano- 
nicat;  concile  de  Florence  contre  Béren-  loss. 
ger ,  concile  de  Tours  où  il  comparait  et 
anai;hématise  ses  erreurs,  169.  Concile  de 
Rome  où  il  abjure  de  nouveau  son  hérésie  i059. 
et  signe  une  profession  de  foi  catholique, 
169  et  170.  De  retour  en  France,  il  désavoue 
son  abjuration  et  publie  un  écrit  contre  le 
concile  de  Rome  ;  plusieurs  autres  conciles 
où  son  erreur  est  combattue  et  condamnée, 
170.  Il  semble  de  nouveau  rétracter  ses  er-       io79. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


131 


1080. 


1088. 


H91. 


reurs  dans  un  concile  de  Rome  et  désavoue 
ensuite  sa  profession  de  foi,  171  et  367.  Con- 
cile de  Bordeaux  où  il  rétracte  de  nouveau 
son  hérésie  ;  on  a  lieu  de  croire  que  cette 
rétractation  fut  sincère,  171.  Sa  mort,  171  et 
172.  Doctrine  de  Bérenger  tirée  de  ses  écrits, 
172.  Doctrine  de  Bérenger  selon  les  écri- 
vains contemporains,  172  et  173.  Variations 
de  cet  hérésiarque  ;  ses  écrits  ;  ses  lettres  ; 
réponse  au  traité  de  Lanfranc,  173.  Ses  ré- 
tractations des  professions  de  foi  qu'il  avait 
faites  en  différents  conciles  ;  ce  que  c'est 
que  l'écrit  intitulé  :  Serment  de  Bérenger  ; 
prière  qu'il  composa  sur  la  fin  de  ses  jours; 
deux  écrits  sur  l'Eucharistie  adressés  à  Pau- 
lin^ primicier  de  Metz,  174.  Ouvrages  attri- 
bués à  Bérenger  ;  jugement  sur  ces  écrits, 
175.  —  Abus  qu'il  faisait  d'un  texte  de  saint 
Augustin  au  sujet  de  la  présence  réelle  de 
Jésus-Christ  dans  l'Eucharistie,  IX,  731  et 
suiv.  —  Saint  Fulbert,  évêque  de  Chartres 
étant  au  lit  de  mort,  le  fait  chasser  de  sa 
chambre,  XIII,  79.  Erreurs  de  Bérenger, 
condamnées  par  saint  Léon  IX  à  Rome  et  à 
Verceil,  201.  Lettre  de  Bérenger  à  Adel- 
manne,  257  ;  ses  erreurs  sur  l'Eucharistie  re- 
futées par  Lanfranc ,  443  et  suiv.  ;  par 
Durand,  abbé  de  Troarn,  459  et  suiv.  Quan- 
tité de  lettres  et  de  pièces  intéressantes  pour 
l'histoire  de  l'hérésie  de  Bérenger,  données 
par  D.  d'Acheri,  dans  son  édition  des  œuvres 
de  Lanfranc,  438.  Erreurs  de  Bérenger,  ré- 
futées par  Wolphelme,  abbé  de  Brunswiller, 
484  ;  par  le  cardinal  Albéric,  494  ;  par  Guit- 
mond,  évêque  d'Averse,  517  et  suiv.  — 
Conciles  tenus  contre  ses  erreurs ,  XIV , 
1057.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VIII,  p.  197  et  suiv.  On 
a  découvert  en  1771,  dans  la  bibliothèque  de 
Wolfembuttel,  une  apologie  de  Bérenger  ;  il 
en  est  parlé  dans  la  Gazette  littéraire  des  Deux- 
Ponts,  et  à  la  fin  de  l'épître  dédicatoire  qui 
est  à  la  tête  de  la  nouvelle  édition  d'Eschine, 
donnée  par  M.  Reiske,  en  1771,  à  Leipsick, 
in-8°.) 

BÉRENGER  (Pierre),  disciple  d'Abaillard, 
XIV,  327.  [Son  Apologie  d'Abaillard,  341.] 
Voyez  Pierre  Bé?'enger. 

BÉRENGER,  abbé  de  Formbach.  Sa  Vie 
écrite  par  Géroch,  prévôt  de  Reichersperg, 
XIV,  630. 

BÉRENGER,  évêque  de  Lérida.  Sa  trans- 
lation à  l'archevêché  de  Narbonne,  XIV, 
943. 

[BÉRENGER,  archevêque  de  Narbonne. 


Sa  mauvaise  administration ,  XIV ,  976  et        l'-^s- 
988.  Il  est  suspendu  et  déposé,  1002] 

BÉRENGOSE ,  abbé  de  Saint-Maximin  de 
Trêves.  Voyez  Béi'engaud. 

BÉRÉNICE  (Sainte),  fille  de  sainte  Dom-        304. 
nine.  Voyez  Domaine  {sainte). 

BERGHAMSTÈDE,  en  Angleterre.  Concile        69"'. 
tenu  en  cette  ville,  XII,  966. 

BERGTESTAD.  Lettre  du  pape  Calixte  II        "22. 
qui  approuve  l'institut  des  chanoines  régu- 
liers de  Bergtestad,  XIV,  1098. 

BÉRHARD,  évêque  de  Verdun.  Sa  mort,         879. 
Dadou,  son  neveu,  lui  succède,  XII,  792. 

BERHENNA,  abbesse    de  Poussai,  pla-        «is. 
cée   par  Brunon,    évêque    de   Toul,    XIII, 
210. 

BÉRINGAIRE,  moine  de  Saint-Denis.  (Il 
composa  quelques  vers.  Voyez  ce  qui  en  est 
dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France ,  t. 
V,  p.  398.) 

BÉRINIEN,  métropolitain  de  Perge  en 
Pamphylie.  Lettre  que  Sisinnius  de  Gons- 
tantinople  lui  adresse,  VIII,  576. 

BERLENDE  (Sainte),  vierge  de  Merbeck 
Brabant.  Sa  Vie  écrite  par  Hériger,  abbé  de 
Lobes,  XIII,  38. 

BERNAHARD,  abbé  de  Saint-Gai.  Voyez 
Bernhard. 

BERNAIRE ,  évêque  de  Grenoble  succède        869. 
à  Ebbon,  XII,  620. 

BERNALD  ou  BERNALDI,  qu'on  croit  le     xi  siècle, 
même  que  Berthold,  prêtre  de  Constantino- 
ple.  Difiërenls  écrits  dont  il  est  auteur,  XIII, 
403,  404.  [On  a  tort  de  le  confondre  avec 
Berthold,  p.  403,  n.  5.] 

BERNARD,  roi  d'Itahe.  Sa  révolte  contre 
l'empereur  Louis  le  Débonnaire,  XII,  263. 

BERNARD  ou  BARNARD ,  archevêque  de  jx  siècie. 
Vienne.  Lettre  d'Agobard  de  Lyon  et  de 
Bernard  de  Vienne  contre  les  Juifs,  XII, 
366,  367.  Lettre  du  pape  Pascal  à  Bernard 
de  Vienne  ;  lettre  du  pape  Eugène  II,  403. 
L'Histoire  de  la  translation  de  son  corps 
n'est  point  d'Adon,  l'un  de  ses  successeurs , 
622.  [Histoire  de  sa  translation  et  de  ses  mi- 
racles, 622.] —  Il  fut  cité  au  concile  de  Cré- 
mieu,  Xni,  669. 

BERNARD,  abbé  de  Saint-Gai.  Voyez  5fr- 
nhard. 

BERNARD,  moine  français.  Relation  de      v.  sio. 
son  voyage  à  la  Terre-Sainte,  XII,  597.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire    littéraire   de  la 
France,  t.  V,  p.  375  et  suiv.) 

BERNARD,  scholastique  d'Angers.  (Il  a 
composé  quelques  écrits.  Voyez  son  article 


152 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 

VII,  p.  308  et  suiv.) 

BERNARD,  clerc  on  chanoine  de  l'Église 
d'Utrechl,  auteur  d'uu  commentaire  sur  les 
Églogues  du  prêtre  Théodulus ,  XII,  879  et 
H20.  XIII,  551 .  —  On  l'a  confondu  par  erreur  avec 
Bernard,  surnommé  Silvestre  ,  XIII,  S5I. 
Lettre  par  laquelle  il  adresse  son  voyage  à 
Conrad,  son  évêque,  513.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 

VIII,  p.  677  et  suiv. 

X siècle.  BERNARD,  abbé  de  Beaulieu  en  Limou- 

sin. On  lui  oflfre  l'évêché  de  Cahors  moyen- 
nant une  somme  d'argent  ;  lettre  que  lui 
écrit  Abbon  de  Fleary  pour  le  détourner  de 
l'accepter;  il  veut  quitter  son  abbaye;  au- 
tre lettre  que  lui  écrit  Abbon  à  ce  sujet;  il 
devient  ensuite  évêque  de  Cahors,  mais  par 
les  voies  canoniques,  XIII,  31. 

BERNARD,  comte  de  Bésahi.  Lettre  que 
Gauzelin,  archevêque  de  Bourges,  écrit  à 
Oliba,  évêque  de  Vich,  à  l'occasion  de  sa 
mort,  XIII,  90. 

BERNARD,  abbé  de  Richenow  [ou  Reiche- 
nau].  Voyez  Bernon. 
1065-1079.         BERNARD ,  abbé  de  Saint-Victor  de  Mar- 
seille. Lettre  que  lui  écrit  un  de  ses  moines 
qui  voulait  se  fixer  à  Pise  pour  étudier  la 
jurisprudence,  XIII,  261.  Le  comte  Bernard 
le  prie  de  se  charger  du  gouvernement  du 
monastère  de  Ripouille  ;   autres  lettres  qui 
lui  sont  adressées,  262. 
XI  siède.         BERNARD,  comte  de  Toulouse,  prie  l'ab- 
bé de  Saint- Victor  de  Marseille  de  se  char- 
ger du  gouvernement  du  monastère  de  Ri- 
pouille ;  diplôme  par  lequel  il  soumet  ce 
monastère  à  celui  de  Saint-Victor  de  Mar- 
seille, XIII.  262. 
XI  siècle.         BERNARD,  moine  de  Cluny,  fait  un  re- 
cueil des  anciens  usages  de  cette  abbaye, 
XIII,  269  et  479,  et  XIV,  90.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VII,  p.  595  et  suiv.,  et  le  Supplément,  t.  X, 
p.  lxv_&\.  suiv.) 
XI  siècle.         [BERNARD,  le  même  que  Bernai  ou  Ber- 
noul,  doit  être  distingué  de  Berthold,  prêtre 
de  Constance,  auteur  d'une  Chronique  et  de 
plusieurs  autres  écrits,   XIII,  403,  note  3, 
D.Geilher  l'a  confonduavec  Berthold, p.  403, 
404.] 

BERNARD,  archevêque  de  Tolède,  après 
avoir  quelque  temps  suivi  le  parti  des  armes, 
embrasse  la  vie  monastique  à  Saint-Orens 
d'Auch  ;  saint  Hugues,  abbé  de  Cluny,  l'en- 
voie en  Espagne  pour  rétablir  la  régularité 


au  monastère  de  Saint-Fagon  ;  il  gagne  les 
bonnes  grâces  du  roi  Alphonse  qui  le  fait 
élire  archevêque  de  Tolède  ;  il  se  saisit  à 
main  armée  de  la  grande  mosquée  et  y  éta-        loss. 
blit  le  culte  catholique  ;  le  pape  Urbain  II  le 
fait,  primat  et  son  légat  en  Espagne  ;  con- 
ciles auxquels  il  présida  ;   il  entreprend  le 
pèlerinage  de  la  Terre-Sainte  ;  le  pape  le 
dispense  de  son  vœu  et  l'oblige  à  retourner 
à  son  évêché  ;   sa  mort ,  XIV,  89.  Quatre      v.  U26. 
discours  sur  le  Salve  Regina  qui  lui  sont  at- 
tribués ;   raison  de  douter  qu'ils  soient  de 
lui,  89,  90.  Idée  de  ces  discours.  90.  —  Le 
pape  Urbain  II  le  rétablit  dans  les  droits  de 
primat  sur  toutes  les  Églises  d'Espagne  elle 
fait  son  légat,  XIII,  420.  Il  tient  un  concile 
à  Gironr.e,  436.  —  Lettre  que  lui  écrit  le 
pape  Pascal  II  au  sujet  de  Maurice  Bouj-din, 
qu'il  venait  d'excommunier  au  concile  de 
Bénévent,  XIV,   1089.   Lettre  que  lui  écrit 
Gélase  II  au  sujet  du  même,  devenu  anti- 
pape, 1089,  1090  et  1091.  Bulle  conBrmant 
la  primatie  de  Tolède,  1090.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  XI,  p.  56  et  suiv.) 

BERNARD,  abbé  de  Marmoutier.  Lettre        ii90. 
du  pape  Urbain  II  qui  lui  est  adressée,  XIII, 
424. 

BERNARD,  évêque  de  Préneste.  Son  épi- 
taphe  par  Alphane  II,  archevêque  de  Saler- 
ne,  Xm,  494. 

BERNARD,  moine  de  Corbie  en  Saxe,  au-     xi  siècle, 
teur  d'un  écrit  satirique  contre  l'empereur 
Henri  IV,  XIV,  90. 

BERNARD,  moine  à  Bayeux.  (Il  a  corn-     xu  siècle, 
posé  l'Histoire  de  quelques  translations  de 
reliques.  Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  tome  IX,  p.  293 
et  suiv.) 

BERNARD  H,  vicomte  de  Béarn  et  deBi- 
gorre.  (Il  a  fait  recueillir  les  anciennes  cou- 
tumes de  ses  états.  Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  X,  p. 
20  et  suiv.) 

BERNARD,  archidiacre  de  Brague.  (Il 
écrivit  la  vie  de  saint  Gérald,  archevêque  de 
Brague.  A'oyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  tome  XI,  p.  118 
et  suiv.) 

[BERNARD,  évêque  de  Paderborn,  reçoit        "33. 
le  pallium  pour  lui  et  pour  ses  successeurs, 
XIV,  264.] 

BERNARD ,  patriarche  d'Antioche.  Sa 
mort;  Raoul,  archevêque  de  Mamislra  lui 
succède,  XIV,  1116. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


133 


1145. 


1148. 


Hi5. 


1147. 
1152. 


1116. 


XII  siècle. 


BERNARD  DE  CHARTRES,  surnommé 
Silvestre,  auteur  de  quelques  écrits,  XIII, 
531.  —  On  l'a- confondu  avec  Bernard,  clerc 
de  l'Église  d'Dlrecht,  XII,  879,  et  XIII,  551. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  XII,  p.  261  et  suiv.) 

BERNARD,  abbé  du  monastère  de  Suint- 
Anastase ,  est  élu  pape  et  prend  le  nom 
d'Eugène  III,  XIV,  269.  Voyez  Eugène  111. 

BERNARD,  évêque  de  Menêve,  ou  Saint- 
Davids  ;  son  différend  avec  Thibaud,  arche- 
vêque de  Cantorbéry,  XIV,  271. 

BERNARD  DE  MORLAS,  moine  de  Clu- 
ny,  auteur  d'un  poëme  sur  le  Mépris  da 
monde,  XIV,  21.  Et  d'une  homélie  sur  le 
fermier  d'iniquité,  76,  77  et  492.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  XII,  p.  236  et  suiv.) 

BERNARD  DES  PORTES,  d'abord  moine 
bénédictin  à  Ambournai,  bâtit  la  Chartreuse 
des  Portes  d'où  il  prend  son  surnom  ;  ses 
liaisons  avec  saint  Bernard  auquel  il  de- 
mande ses  sermons  sur  le  Cantique  des  can- 
tiques ;  il  se  démet  du  prieuré  de  la  Char- 
treuse des  Portes;  sa  mort,  XIV,  400.  Ses 
lettres,  400  et  401.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  XII, 
p.  422  et  suiv.) 

BERNARD  DES  PORTES,  chartreux  et 
évêque  de  Belley.  (On  a  de  lui  une  lettre  ;  il 
en  avait  écrit  quelques  autres  à  saint  Ber- 
nard. Voyez  son  article  dans  l'Histoire  lit- 
téraire de  la  France ,  tome  XII ,  p.  420  et 
suiv.) 

BERNARD  (Saint) ,  fondateur  de  l'abbaye 
de  Tiron.  Sa  Vie  écrite  par  Galfrède  ou 
GeoËfroi  le  Gros,  moine  de  ce  monastère, 
XIV,  404.  Il  quitte  son  abbaye  de  saint  Cy- 
prien  de  Poitiers  et  fonde  celle  de  Tiron, 
404  et  93.  Sa  mort,  403.  (On  lui  attribue  des 
règlements  et  des  lettres.  Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  X, 
p.  210  et  suiv.) 

BERNARD,  doyen  de  l'Église  de  Soissons. 
(Il  a  fait  quelques  vers  sur  saint  Geoffroi, 
évêque  d'Amiens.  Voyez  ce  qui  en  est  dit 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  X, 
p.  268.) 

BERNARD,  chanoine  de  Tours.  (Il  est  au- 
teur d'une  Histoire  de  la  translation  des  re- 
liques de  sainte  Fare.  Voyez  ce  qui  en  est 
dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  XH,  p.  77.) 

BERNARD,  moine  de  la  Chaise-Dieu.  (Il 
est  auteur  d'une  vie  de  saint  Robert,  fonda- 


teur de  cette  abbaye.  Voyez  ce  qui  en  est 
dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  XII,  p.  627  et  suiv.) 

BERNARD  (SainI),  premier  abbé  de  Clair- 
vaux  et  docteur  de  l'Église,  XIV,  417  et 
suiv.  Sa  naissance,  417.  Ses  études  ;  il  se   I090ouio9i. 
fait  moine  à  Citeaux  ;  sa  conduite  pendant        ui3. 
son  noviciat;  il  fait  profession  avec  plusieurs        UH. 
gentilshommes  qui  l'avaient  suivi,  418.    Il 
fonde  le  monastère  de  Clairvaux  et  en  est 
fait  abbé  ;  succès  de  cet  établissement  ;  fon- 
dation du  monastère  de  Trois-Fontaines  et        ms. 
de  celui  de  Fontenay  ;  ses  exhortations  por- 
tent   Humbeline   sa   sœur   à   renoncer   au        iii9. 
monde,  419.   Son  voyage  à  Paris  ;  il  assiste        1122. 
à  plusieurs  conciles,  419  et  420.   Il  refuse        1130. 
divers  évêchés  ;  de  quelle  manière  il  reçoit 
à  Clairvaux  le  pape  Innocent  II  ;  il  l'accom- 
pagne à  son  retour  en  Italie  ;  il  passe  en  Al-        1132. 
lemagne  pour  réconcilier  Lothaire  avec  les        usa. 
neveux  de  son  prédécesseur,  420.  Son  se- 
cond voyage  en  Itahe  ;  il  assiste  au  concile        1134. 
de  Pise;  il  engage  les  Milanais  à  reconnaître 
le  pape  Innocent  II,  420  et  421.  L'augmen- 
tation de  sa  communauté  l'oblige  à  rebâtir 
un  monastère  dans  un  lieu  plus  étendu  et 
plus  commode  ;  il  va  en  Aquitaine  et  y  fait        1135. 
reconnaître  le  pape  Innocent  II  ;   son  troi- 
sième voyage  en  Italie  ;   ses  travaux  pour        1137. 
éteindre  le  schisme,  421.  Il  le  fait  finir  en_        nsg. 
tièreraent,  421  et  422.   Ses  représentations 
au  pape  nu  sujet  de  Pierre  de  Pise;  il  fait 
condamner  Abaillard  au  concile  de  Sens  ;  il        luo. 
fonde  divers  monastères  ;  il  réconcilie  le  roi        n4t. 
Louis  VII  avec  Thibaud,  comte  de  Champa- 
gne ;  avec  quel  succès  il  prêche  la  seconde        1145. 
croisade,  422.  Il  combat  et  confond  les  Hen-        1147. 
riciens,  422  et  423.  Il  convainc  d'erreur  la        n48. 
doctrine  de  Gilbert  de  la  Porée  sur  l'essence 
divine  ;  pour  consoler  le  pape  Eugène  III 
dans  ses  afflictions,  il  compose  ses  livres  de 
la  Considération  ;  sa  mort,  423.  Son  éloge  ;        1153. 
témoignages  rendus  à  sa  sainteté  et  à  sa 
doctrine,  423  et  424.  Sa  Vie  écrite  par  diffé- 
rents auteurs,  424.  Ses  ouvrages  :  ses  Let- 
tres, 424  et  suiv.  Livres  de  la  Considération, 
460  et  suiv.  Eu  quelle  année  ils  ont  été  com- 
posés, 460.  Analyse  de  cet  ouvrage;  premier 
livre,  460  et  suiv.  Second  livre,  462,463. 
Troisième  livre,   463,  464.  Quatrième  livre, 
464,  465.  Cinquième  livre,  463.  Traité  des 
Mœurs  et  des  Devoirs  des  évêques,  466,  467. 
Livre  de  la  Réforme  des  clercs,  467.  Livre  du 
Précepte  et  de  la  Dispense,  467  et  suiv.  Apo- 
logie de  saint  Bernard  au  sujet  de  son  livre 


154 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


contre  les  moines  de  Cluny,  470  et  suiv. 
Quelle  en  fut  l'occasion,  470,  471.  Analyse 
de  cet  ouvrage;  première  partie,  471.  Se- 
conde parlie,  471  et  472.  Livre  à  la  louange 
des  chevaliers  du  Temple,  472  et  suiv.  Traité 
des  Degrés  d'humilité  et  d'orgueil,  474, 475. 
Rétractation  de  saint  Bernard,  475.  Traité 
de  l'Amour  de  Dieu,  47S  et  476.  En  quel 
temps  il  fut  écrit,  475.  Analyse  de  ce  traité, 
475  et  476.  Traité  de  la  Gnlce  et  du  Libre 
arbitre,  476  et  suiv.  A  quelle  occasion  il  fut 
écrit,  476.  Analyse  de  ce  traité,  476  et  suiv. 
Traité  du  Baptême;  jugement  sur  ce  traité, 
478,  479.  [Observations  de  l'éditeur,  479.] 
Traité  contre  les  erreurs  d'Abaillard;  Vie 
de  saint  Malachie,  archevêque  d'Irlande,  480 
et  suiv.  Ce  qu'il  y  a  de  remarquable  dans 
cette  Vie,  481,  482.  Traité  du  Chant  ou  de  la 
Correction  de  l'Antiphonier,  482,  483.  Ser- 
mons de  saint  Bernard,  483  et  suiv.  Carac- 
tère de  ces  sermons;  en  quels  jours  saint 
Bernard  prêchait  ;  à  quelle  heure,  483.  Il 
prêchait  en  latin  aux  religieux  et  en  langue 
vulgaire  aux  frères  convers.  Sermons  du 
temps  ;  sermons  des  saints;  sermons  sur  di- 
vers sujets,  484.  Sermons  sur  le  Cantique  des 
cantiques,  484  et  485.  En  quel  temps  ils  ont 
été  composés  ;  ils  sont  au  nombre  de  qua- 
tre-vingt-six. Recueil  des  Sentences  de  saint 
Bernard.  Chronologie  de  sa  vie,  485.  Ce 
qu'il  y  a  de  remarquable  dans  les  discours 
de  saint  Bernard,  485  et  suiv.  Sentiment  de 
saint  Bernard  sur  l'état  des  âmes  après  la 
séparation  de  leur  corps,  486,  487;  sur  l'Eu- 
charistie ;  sur  la  grâce,  487;  sur  l'usage  des 
biens  de  l'Église  et  sur  l'abus  qu'on  en  fait, 
487  et  488  ;  sur  les  enfants  morts  sans  bap- 
tême, 488.  Doctrine  des  hérétiques  de  Colo- 
gne réfutée  par  saint  Bernard  dans  deux  de 
ses  sermons,  488  et  489.  Différents  ouvrages 
faussement  attribués  à  saint  Bernard,  dont 
on  a  depuis  découvert  les  véritables  auteurs, 
489  et  suiv.  Vie  de  saint  Bernard  par  Guil- 
laume de  Saint-Thierri,  493  ;  par  l'abbé  de 
Bonneval  ;  par  Geoffroi  ;  recueil  de  ses  mi- 
racles, 494.  Autres  Vies  de  saint  Bernard, 
494  et  495.  Doctrine  de  saint  Bernard  sur 
l'Eucharistie,  495.  Autres  lettres  de  saint 
Bernard,  495,  496.  Hymne  sur  saint  Mala- 
chie, 496.  Jugement  sur  les  écrits  de  saint 
Bernard,  496,  497.  Catalogue  des  éditions  et 
traductions  qu'on  en  a  faites,  497  et  suiv. 
[Le  pape  Innocent  II  lui  écrit  ;  réponse  à 
une  lettre,  267.]  Lettre  qu'il  écrivit  aux  car- 
dinaux sur  l'élection  du  pape  Eugène  III, 


269.  Lettre  que  lui  écrit  Abaillard,  326,  327. 
Lettre  de  Hugues  Métellus  qui  lui  est  adres- 
sée, 363.  Sa  Vie  commencée  par  Guillaume, 
abbé  de  Saint-Thierri,  390  ;  continuée  par 
Arnaud,  abbé  de  Bonneval,  616.  [Un  livre 
sur  sa  mort  par  Odon,  abbé  de  Moriraond, 
625.]  Son  épitaphe  par  Philippe  de  Bonne- 
Espérance,  687.  [Relations  de  saint  Bernard 
avec  Richard,  prieur  de  Saint-Victor,  698. 
Lettres  de  Henri,  archevêque  de  Reims,  à 
ce  saint,  731.  Il  dénonce  Nicolas,  son  secré- 
taire, au  pape  Eugène,  732.  Ce  que  Nicolas, 
moine  de  Saint-Alban,  dit  de  l'opinion  de  ce 
saint  sur  l'immaculée  conception  de  Marie, 
737,  738.  Saint  Bernard  fait  élire  Alain, 
évèque  d'Auxerre;  il  écrit  à  ce  sujet  à  Louis 
le  Jeune,  784.  Vie  de  saint  Bernard  par 
Alain  d'Auxerre,  785 ,  786.]  Sermons  de 
Guillaume  d'Auvergne  pour  le  jour  de  sa 
fête,  1027.  Saint  Bernard  dénonce,  au  con- 
cile de  Sens,  les  erreurs  qu'il  avait  trouvées 
dans  les  écrits  d'Abaillard,  1116.  Il  se  trouve 
au  concile  de  Vézelay  oii  il  prêche  la  croi- 
sade, 1118.  Il  refuse  d'en  être  le  chef,  1119, 
(Voyez  l'Histoire  littéraire  de  saint  Bernard 
formant  un  supplément  à  l'Histoire  littéraire 
de  la  France.) 

[BERNARD,  curé  d'une  église  de  Sala- 
manque.  Lettre  dti  pape  Honorius  II  au  su 
jet  des  biens  qui  avaient  été  enlevés  à  son 
église,  XIV,  253.] 

[BERNARD,  évêque  de  Saint-Davids,  re- 
fuse de  reconnaître  l'archevêque  de  Cantor- 
béry  pour  son  métropolitain  ;  le  différend  est 
porté  devant  le  Saint-Siège,  XIX,  277.] 

[BERNARD,  différent  de  saint  Bernard, 
abbé  de  Clairvaux,  consulte  Richard,  prieur 
de  Saint- Victor,  qui  lui  adresse  deux  traités, 
703.] 

[BERNARD  DE  COMPOSTELLE.  Son  Re- 
cueil de  décrets  du  pape  Innocent  III , 
1017.] 

BERNARD,  abbé  de  Fontcaud.  On  a  de 
lui  un  traité  contre  les  Vaudois.  [Ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie,  803.  Son 
traité  contre  les  Vaudois,  803  et  804.] 

BERNARD,  prieur  de  Cluny.  Son  épitaphe 
par  Pierre  le  Vénérable,  XIV,  522. 

BERNARD  (Dom),  religieux  de  Sept-Fonts. 
Sa  dissertation  pour  prouver  que  les  ouvra- 
ges attribués  à  saint  Denis  l'Aréopagite  sont 
véritablement  de  lui,  X,  543,  544. 

BERNE,  nommé  évêque  d'Autun  par  le 
roi  Charles  le  Chauve,  XII,  505. 

BERNELIN,  disciple  de  Gerbert.  (Il  com- 


1125. 


XIII  siècle. 


XII  siècle 


XII  siècle. 


IX  siècle. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


155 


1097. 


V.948. 


X  siècle. 


IX  siècle. 


1008. 


1013. 


lOU. 


1132. 


posa  quelques  écrits.  Voyez  ce  qui  en  est 
dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VI,  p.  69  et  suiv.,  579  et  581,  et  le  Sup- 
plément, t.  XII,  p.  XX  et  suiv.) 

BERNER,  abbé  de  Homblières.  Voyez 
Bernier. 

BERNER,  élu  abbé  de  Dol  après  la  mort 
d'Adelbert,  archevêque  de  Bourges,  XIV,  99. 

BERNHARD,  abbé  de  Saint-Gai,  succède 
à  Hermonte  ;  instruction  qu'il  adresse  à  un 
de  ses  moines  qui  allait  à  une  académie  de 
belles-lettres  pour  se  perfectionner,  XII , 
747.  (Il  en  est  parlé  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  tome  IV,  p.  245  et  suiv.) 

BERNIER  ou  BERNER  est  tiré  de  l'abbaye 
de  Saint-Remi  de  Reims  pour  élre  fait  abbé 
de  Homblières  ;  il  y  établit  des  moines  à  la 
place  des  religieuses  qui  y  étaient  aupara- 
vant ;  il  réforme  plusieurs  autres  monas- 
tères; temps  de  sa  mort;  ses  opuscules  sur 
sainte  Hunegonde,  première  abbesse  de 
Homblières  ;  son  sermon  sur  la  nativité  de 
la  sainte  Vierge  ;  son  traité  sur  la  commé- 
moraison  de  la  sainte  Vierge  qu'on  fait  le 
samedi,  XII,  864.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  VI,  p. 
403  et  suiv.) 

BERNIER,  abbé  de  Marmoutier,  établi 
par  saint  Maïeul,  calomnié  par  les  anciens 
moines,  XIH,  29. 

BERNOLD,  du  diocèse  de  Reims.  Sa  Vision 
racontée  par  Hincmar,  archevêque  de  Reims, 
XII,  648. 

BERNON  (le  Bienheureux),  abbé  de  Gi- 
gny,  de  la  Baume  et  de  Gluny.  Lettre  que 
lui  écrit  le  pape  Formose,  738.  Il  reçoit  au 
monastère  de  la  Baume  Odon,  depuis  abbé 
de  Cluny,  804,  805.  Odon  lui  succède,  805. 
—  Bernon  rebâtit  Cluny  et  y  rétablit  l'ob- 
servance régulière,  XIII,  155.  Charte  delà 
fondation  de  l'abbaye  de  Cluny  sous  son 
inspection,  473,  474.  Ses  plaintes  au  concile 
de  Varennes  au  sujet  du  monastère  de  la 
Baume,  733. 

BERNON,  abbé  de  Richenow,  succède  à 
Immon,  XIH,  123,  124.  Rétablit  le  monas- 
tère et  rappelle  les  moines  que  la  Irop 
grande  sévérité  d'Immon  avait  fait  en  aller; 
il  accompagne  à  Rome  l'empereur  saint 
Henri  et  assiste  à  son  couronnement  :  il  fait 
confirmer  les  privilèges  de  son  monastère, 
et  oblient  pour  lui  celui  de  célébrer  avec 
les  sandales  et  autres  ornements  pontifi- 
caux ;  on  l'oblige  à  se  désister  de  ce  privi- 
lège :  sa  mort.  124.  Ses  écrits  ;  traité  de  la 


925. 


992. 


1001. 


1022. 


Messe,  124  et  125.  Le  traité  de  l'Office  de  la 
messe,  ou  Micrologue,  n'est  pas  de  lui  ; 
traité  du  Jeûne  des  Quatre-Temps  ;  traité  du 
Jeûne  du  samedi,  125.  Traité  sur  l'Avent, 
125,  126.  [Traités  de  Musique  ;  ils  ont  été 
publiés  par  Dom  Gerbert  ;  sont  reproduits 
dans  la  Patrologie,  126].  Lettres  de  Bernon, 
là  et  suiv.  Vie  de  saint  Udalric;  Vie  de  saint 
Méginrad,  qu'on  lui  attribue,  128.  Vers  at- 
tribués à  Bernon,  128  et  129.  Lettre  d'Aribon 
archevêque  de  Mayence  qui  lui  est  adressée, 
129.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France ,  t.  VII,  p.  375  et  suiv.) 

BERNON,  ermite  du  mont  Eccel,  près 
Zurich,  est  nommé  évêque  de  Melz  par  le 
roi  Henri  ;  ses  ennemis  lui  arrachent  les 
yeux  et  lui  font  d'autres  outrages;  concile 
tenu  à  ce  sujet  ;  il  se  démet  et  Adalbéron 
est  élu  pour  lui  succéder,  XIII,  745. 

BERNOUARD  (Saint),  évêque  d'Hildes- 
heim;  sa  naissance,  son  éducation;  ilsuccède 
à  Gerday  dans  l'évêché  d'Hildesheim,  XHI, 
66.  Son  différend  avec  Wiligise,  archevê  jue 
de  Mayence,  au  sujet  de  l'abbaye  de  Gan- 
deshem,  66  et  67,  et  XIV,  1033.  —  Sa  mort; 
sa  canonisation  par  le  pape  Céleslin  III. 
Bulle  de  ce  pape  à  cet  effet,  XIII,  67,  [XIV, 
944.]  —  Sa  Vie  écrite  par  Tangmar,  prêtre 
d'Hildesheim,  XIH,  66,  67.  Continuée  par  un 
anonyme;  Recueil  des  Miracles  opérés  à  son 
tombeau,  67.  [Sa  Vie  et  le  Recueil  de  ses 
Miracles  dans  la  Patrologie,  70.] 

BERNOUIN,  évêque  de  Besançon,  sous- 
crit au  testament  de  Charlemagne ,  XII, 
274. 

BERNOUL,  prêtre  de  Constance.  Voyez 
Bernard. 

BERNOWIN,  évêque  de  Clermont.  Petites     ix  siècie. 
pièces  de  poésies  qui  nous  restent  de  lui, 
XII,  274.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  IV,  p.  481  et  suiv.) 

BERNRIED  :  lettre  du  pape  CalUxte  II  qui        uga. 
approuve  l'institution  des  chanoines  régu- 
liers de  Bernried,  XIV,  1098. 

BÉROLD,  bibliothécaire  de  l'église  mé- 
tropohtaine  de  Milan,  auteur  du  plus  ancien 
Recueil  des  rites  de  la  Liturgie  ambrosienne, 
XIH,  5. 

BÉRON  et  HÉLIX,  réfutés  par  saint  Hippo-     m  siècle, 
lythe,  I,  626  et  suiv. 

BÉRONICIEN,    évêque  de  Tyr,  fait  diffi- 
culté d'accéder  à  tout  ce  qu'exigeait  saint 
Cyrille  d'Alexandrie,  ce  qui  détermine  celui-        «g. 
ci  à  adresser  un  nouveau  formulaire  contre 
Nestorius,  VIII,  302. 


156 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


V.  H88. 


856. 


884. 


915. 


600. 


BÉRONIGIEN,  secrétaire  du  consistoire  au 
concile  de  Chalcédoine,  X,  QSi. 

BERTAD,  moine  d'Inde,  (l'un  des  quatre 
qui  écrivirent  une  lettre  touchant  saint 
Benoît  d'Aniane).  (Voyez  ce  qui  en  est  dit 
dans  ï Jïistoire  littéraire  de  la  France,  t.  V, 
p.  34.) 

[BERTAUT  (Jean),  abbé  :  sa  traduction 
française  avec  annotations  de  quelques  opus- 
cules de  saint  Ambroise,  386.] 

BERTCHRAN,  évéque  du  Mans.  Voyez 
Bertrand. 

BERTECHILDE.  Son  éloge  par  Fortunat, 
XI,  406,  407. 

BERTEGYSILE,  abbé.  La  lettre  à  saint 
Didier  de  Caliors,  XI,  734. 

[BERTÈRE  ou  BERTIER,  auteur  de  deux 
pièces  de  vers  latins  sur  les  Croisades  ;  édi- 
tions qu'on  en  a  faites,  XIII,  546.] 

BERTHAIRE  (Saint),  abbé  duMont-Cassin 
succède  à  Bassace  ;  il  fait  environner  de 
murs  son  monastère  et  bâtir  une  ville  au 
pied  de  la  montagne  ;  il  reçoit  au  Mont- 
Cassin  l'empereur  Louis  et  l'Impératrice  En- 
gelberge  sa  femme,  XII,  695.  Les  Sarrasins 
brûlent  le  monastère  et  font  mourir  Ber- 
thaire  ;  on  l'honore  comme  martyr;  ses 
écrits,  696.  [On  n'a  publié  que  le  poème  sur 
saint  Benoît  et  sur  sainte  Scholastique  et 
l'écrit  sur  le  jeune,  696.]  —  Il  est  auteur  des 
antilogies  attribuées  à  saint  Julien  de  To- 
lède, XI,  794.  Du  Pin  le  met  au  xi'  siècle, 
d'après  Trithème.  (Voyez  l'article  de  saint 
Berthaire  dans  VHistoire  littéraire  de  la 
France,  t.  V,  p.  606  et  suiv.  et  le  Supplé- 
ment, t.  X,  p.  Ij  et  suiv.) 

BERTHAIRE  ou  BERTHIER,  prêtre  de 
l'Église  de  Verdun,  auteur  de  l'histoire  des 
évêques  de  cette  ville,  XII,  772,  773.  — 
Elle  est  continuée  par  un  anonyme  et  en- 
suite par  Laurent  de  Liège  ,  XIII  ,  239. 
(Voyez  son  article  dans  VHistoire  littéraire  de 
la  France,  t.  VI,  p.  134  et  suiv.) 

BERTHE,  fille  de  Caribert,  roi  de  France, 
et  épouse  d'Ellielbert,  roi  d'Angleterre.  Le 
pape  saint  Grégoire  lui  écrit  au  sujet  de 
saint  Augustin  de  Canlorbéry,  XI,  521. 

BERTHE  ou  BERTHADE,  reine  de  France, 
épouse  de  Pépin  le  Bref  et  mère  de  Cbarle- 
lemagne.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape 
Etienne  IH,  XH,  118. 

BERTHE,  fille  de  Cliarlemagne,    épouse 
Angilbart,  depuis  abbé  de  Cenlule  ou   de 
Sainl-Riquier,  XII,  219. 
BERTHE,  reine  de  France,  épouse  du  roi 


Robert.   Son   mariage   déclaré   nul   par  le 
pape  Grégoire  V,  XIII,  28. 

BERTHE,  reine  de  France,  épouse  du  roi 
Philippe.  Ce  prince  la  quitte  pour  épouser 
Bertrade,  XIV,  491. 

BERTHGUID,  successeur  de  saintOudocée 
dans  l'évêché  de  Landaff,  XI,  883. 

BERTHIER,  prêtre  de  Verdun.  Voyez 
Berthaire. 

BERTHOLD  ou  BERTHOU,  prêtre  de  xi  sièci.. 
Constance.  Sa  Chronique,  XIII,  403.  On  le 
croit  le  même  que  Bernald,  ou  Bernaldi,  ou 
Bernard  auteur  de  quelques  écrits,  403  et 
404  ;  [mais  on  a  tort,  403,  note  3].  Cette 
Chronique  est  la  continuation  de  celle 
d'Hermann  Contracte,  403.  Berthold  dou- 
tait de  la  sincérité  du  retour  de  Bérenger, 
172. 

BERTHWALDE,  archevêque  de  Cantor- 
béry.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Constantin 
au  sujet  du  monastère  de  Covesham,  XII, 
23.  [Autre  lettre  du  pape  Constantin  à  Ber- 
thwalde,  23,  n.  3.]  Bertbwalde  préside  au 
concile  de  Béchancelle,  p.  966  et  à  celui  de 
Bergamstède,  967. 

BERTIN  (Saint),  abbé  de  Sithiu.  Sa  Vie 
attribuée  à  Folcain,  abbé  de  Lobes,  XII, 
873.  Différentes  Vies  qu'on  a  de  ce  saint  ; 
Histoire  de  l'invention  et  de  la  translation  de 
ses  reliques  par  l'abbé  Bouen,  XIII,  260. 
Deux  Vies  de  ce  saint  composées  par  Folcard, 
abbé  de  Torney,  260  et  343.  Sa  Vie  écrite 
par  le  moine  Folcard,  353.  —  Recueil  chro- 
nologique des  chartes  et  diplômes  du  mo- 
nastère de  Saint-Bertin,  XII,  861.  [Observa- 
tions de  M.  Guérard  dans  sa  préface  du 
Cartulaire  de  Saint-Bertin,  860,  note  4.]  — 
Chronique  de  ce  monastère,  XIII,  186. 
[Continuation  du  Recueil  des  Miracles  de 
saint  Bertin,  260.]  Bulle  du  pape  Victor  II 
pour  l'élection  libre  des  abbés  de  Saint- 
Bertin,  240.  Privilège  accordé  à  cette  abbaye 
par  Baudoin,  comte  de  Flandre;  Victor  II 
accorde  aux  moines  la  liberté  de  choisir  leur 
abbé,  sans  la  participation  de  l'évêque  de 
Térouane,  260.  —  Lettres  de  saint  Bernard 
à  l'abbé  et  aux  religieux  de  Saint-Bertin, 
XIV,  457. 

BERTIUS  (Pierre).  Ses  notes  sur  les  livres 
de  Boëce  de  la  Consolation  de  la  Philo- 
sophie, X,  663. 

BERTHOLD,  moine  de  Mici  ;  il  est  auteur     ix  siède. 
d'une  Vie  de  saint  Maximin.  (Voyez  ce  qui 
en   est  dit   dans   VHistoire  littéraire  de  la 
France,  t,  V,  p.  7  et  suiv.) 


1052. 


1056. 


1057. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


586. 


623. 


IX  siècle. 


m  siècle. 


242. 


ion. 


BERTRADE  ou  BERTHE,  reine  de  France, 
épouse  de  Pépin  le  Bref.  Voyez  Bertlie. 

BERTRADE  DE  MONTFORT,  femme  de 
Foulques  Rechin,  comte  d'Anjou.  Le  roi 
Philippe  l'épouse,  XIV,  49d .  Voyez  Philippe, 
roi  de  France. 

BERTRAM.  Nom  sous  lequel  on  a  mis  à 
l'index  le  traité  de  l'Eucharistie  composé 
par  Ratramne,  moine  de  Gorbie,  XII,  SS6. 

BERTRAND,  évéque  de  Bordeaux,  accusé, 

XI,  366. 

BERTRAND  ou  BERTCHRAN,  évéque  du 
Mans,  succède  à  Baldégisile  ;  différentes 
affaires  dans  lesquelles  il  est  employé  ;  ses 
fondations;  samort^  XI,  631.  Son  testament, 
632,  633.  Éloge  que  Fortunat  fait  de  ses 
poésies.  Nous  n'en  avons  rien  conservé  ; 
Fortunat  fait  deux  poëmes  eu  son  honneur, 
632.  [Édition  du  testament  de  Bertchran  dans 
la  Patrologie,  632.]  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  III,  p.  527 
et  suiv.) 

BERTRAND,  moine  de  Gharroux.  Il  est 
auteur  d'un  poëme  sur  la  Musique.  (Voyez 
ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  i.  y,  p.  662.) 

BERTRAND  ,  moine  de  la  Ghaise-Dieu. 
Voyez  Bernard,  moine  de  la  Ghaise-Dieu. 

BERTRUDE  ou  BERTRADE  ,  reine  de 
France,  épouse  de  Pépin  le  Bref.  V.  Berthe. 

BERTULFE  (Saint),  abbé  de  Bobio.  Sa  Vie 
écrite  par  le  moine  Jonas,  XI,  6i7  et  737. 

BERTULFE  ,  ordonné  archevêque  de 
Trêves  contre  le  gré  de  Louis  de  Germanie, 

XII,  609.  Lettre  d'Hincmar  de  Reims  à  cette 
occasion,  685. 

BÉRYLLE,  évêqne  de  Rostres,  en  Arabie, 
n,  136  et  420.  II  tombe  dans  l'erreur,  136 
et  420.  Les  évèques  s'assemblent  pour  le 
tirer  de  l'erreur.  Il  est  converti  par  Origène  ; 
les  écrits  de  Bérylle  sont  perdus.  En  qi'el 
temps  il  a  fleuri,  -420.  Goncile  qui  fut  assem- 
blé contre  lui,  533,  554. 

BÉRYTE,  ville  de  Phénioie.  Histoire  du 
miracle  qui  y  arriva  à  l'occasion  d'une  image 
du  Sauveur,  IV,  180.  —  Goncile  tenu  en 
cette  ville,  X,  145.  Elle  est  érigée  en  métro- 
pole, puis  réduite  à  son  premier  état  au 
concile  de  Chalcédoine,  690,  691. 

[BESALU  :  érection  de  cette  Église  en  évê- 
ché,  193.] 

BESANÇON,  [ville  de  l'ancienne  Bour- 
gogne, chef-lien  du  département  du  Doubs.] 
On  croit  que  le  concile  où  l'évêque  Quéli- 
doine  fut  déposé,  fut  tenu  dans  cette  ville. 


157 

VIII,  436  et  613.  —  Elle  eut  pour  évêqiie 
saint  Protade,  XI,  632.  —  Opuscule  de  saint 
Pierre  Damien,  adressé  à  l'archevêque  de 
Besançon,  XIII,  319.  —  Autre  concile  tenu 
en  cette  ville,  XIV,  1037. 

BÉSAS  (Saint),  martyr  à  Alexandrie,  II, 
402. 

[BESNARD.  Sa  traduction  allemande  des 
écrits  de  Tertulhen,  II,  87.] 

BESSA,  abbesse  d'un  monastère  à  Jéru- 
salem. Lettre  que  lui  écrit  l'impératrice 
Pulchérie,  VIII,  474. 

BESSAN,  église  disputée  entre  les  abbés 
de  Saint-Tibéri  et  de  la  Chaise-Dieu,  adjugée 
à  celui  de  Saint-Tibéri,  XIV,  600. 

BESSARION,  abbé.  Ce  qui  en  est  dit  dans 
l'Histoire  Lausiaque  de  Pallade,  VII,  489. 

BESSIN  (Guillaume),  bénédictin.  Sa  Pré- 
face et  ses  Notes  sur  les  lettres  du  pape  saint 
Grégoire  le  Grand,  XI,  583. 

BÊTES.  Pourquoi  les  bêtes  sauvages  nous 
inspirent  de  la  crainte,  VII,  147.— Comment 
les  bêtes  ont  été  transportées  dans  les  îles, 

IX,  314. 

BÉTHÉLIE,  bourg  du  territoire  de  Gaza, 
dont  l'historien  Sozomène  était  originaire, 
VIII,  525. 

BETHLÉEM,  ville  de  la  Palestine.  Du 
temps  d'Origène,  on  y  montrait  la  grotte  où 
Jésus-Christ  était  né,  IL  249.— Du  temps  de 
saint  Jean  Chrysostôme,  on  y  venait  des  ex- 
trémités de  la  terre,  VII,  360.  Du  temps  de 
saint  Jérôme,  on  y  montrait  la  grotte  et  la 
crèche  où  Jésus-Christ  avait  reposé,  700. 

[BETHMANN  :  soné  dition  du  Pontifical  de 
Gondecbar,  XIII,  326,  n.  4.  Son  édition  de 
la  Chronique  d'Arras  par  Baudri,  482.  Son 
édition  de  l'histoire  de  Milan,  par  Landulphe, 
307.  Il  édite  avec  Waltcmbach  l'Histoire  de 
l'abbaye  de  Saint-Hubert,  596]. 

BETTY  (Joseph).  Sa  traduction  française 
de  l'Apologétique  de  Tertulhen,  II,  86. 

BÉTULÉE  (Xiste),  savant  allemand.  Son 
édition  des  hvres  Sibyhins,  1, 307.— Ses  Com- 
mentaires sur  les  œuvres  de  Lactance,  II,  520. 

[BEUGNOT  (Arthur)  ,  son  édition  des 
Assises  de  Jérusalem,  XIII,  527.] 

BEUVÉRUS  ou  BÉVRÉRUS  (Jacques).  Sa 
version  latine  de  plusieurs  lettres  de  saint 
Basile,  IV,  348,  —  ei  de  dix  homélies  de 
saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  433 

BÉVÉRÉGUISouBÉVÉRIDGE  (Guillaume) 
évéque  de  Saint-Asaph,  en  Angleterre.  Ses 
Notes  sur  le  commentaire  de  Théodore 
Balsamon  sur  les  canons,  XIV,  826. 


251. 


453. 


H34. 


V  siècle. 


m  siècle 


138 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


II  siècle. 


BÈZE ,  monastère  rétabli  par  Albéric , 
évêque  de  Langres,  qui  fait  confirmer  dans 
un  concile  les  donalions  qui  lui  avaient  été 
faites,  XIII,  (J66,  667. 

BÈZE  (Théodore  de),  ministre  de  Genève. 
Sa  version  latine  du  discours  de  Théodore, 
abbé  de  Raïthe,  sur  l'Incarnation,  XI,  787. 

BÉZIERS,  ville  de  Languedoc,  concile  qui 
y  fut  tenu.  Saint  Hilaire  de  Poitiers  y  dé- 
nonce les  protecteurs  des  Ariens,  III,  524  et 
IV,  3.  —  Signes  extraordinaires  qui  parurent 
en  cette  ville  au  v*  siècle,  VIII,  432. 

BIANCHINI  (François),  chanoine  de  sainte 
Marie-Majeure.  [Son  édition  du  manuscrit 
des  évangiles  do  saint  Eusèbe  de  Verceil, 
IV,  277.] — Son  édition  des  Vies  des  papes  re- 
cueillies ou  composées  par  Anastase  le  Bi- 
bUothécaire,  XII,  715  et  718. 

BIBLE.  Livre  des  Saintes  Écritures  :  exem- 
plaire manuscrit  de  la  version  de  lu  Bible 
par  Ulphilas,  évêque  des  Goths,  conservé 
dans  la  bibliothèque  d'Upsal,  en  Suède,  IV, 
346j,  347.  —  Deux  poèmes  de  ïhéodulplie 
d'Orléans  pour  être  mis  au  commencement 
et  à  la  fin  d'une  Bible,  XII,  268.  Bible  dont 
Vivien,  abbé  de  Saint-Martin  de  Tours,  fait 
présent  à  Charles  le  Chauve,  439.  Voyez 
Ea-iture  Sainte. 

BIBLIOTHÉCAIRE.  Ses  fondions  dans 
l'Ordre  de  Cluny,  XIII,  475. 

BIBLIOTHÈQUE  de  saint  Pamphile  mar- 
tyr, à  Gésarée  de  Palestine,  II,  523. — Acace 
de  Césarée  et  Euzoïus  travaillent  à  la  réta- 
bhr,  IV,  323. 

BIBLIOTHÈQUE  d'Eberard ,  comte  de 
Frioul.  Catalogue  des  livres  qui  la  compo- 
saient, XII,  613. 

BIBLIOTHÈQUE  de  Photius  ou  sommaire 
des  livres  qu'il  avait  lus,  XII,  721  et  suiv.  Idée 
de  cet  ouvrage,  722.  Éditions  qu'on  en  a  faites, 
722,  [723  et979.]Traduction  projetée  parl'ab- 
bé  Gédoyn,  723.   [Autres  traductions,  723.] 

BIBLIOTHÈQUE  LORRAINE  deD.  Calmet. 
Erreur  relevée  dans  cet  ouvrage  au  sujet  de 
Pierre  Strohol,  XIH,  448. 

BIBLIOTHÈQUE.  Remarques  de  Raban- 
Maur,  sur  les  bibliothèques,  XII,  448.  —  Bi- 
bliothèque estimée  aussi  nécessaire  dans  un 
monastère  qu'un  arsenal  dans  une  forte- 
resse, XIV,  410. 

BIBLIS  (Sainte),  martyre  de  Lyon.  Son 
martyre,  I.  469. 

BIGLAIR,  monastère  fondé  dans  les  Pyré- 
nées par  Jean,  depuis  évêque  de  Girone, 
XI,  425,  426. 


[BICRELL,  éditeur  de  l'Histoire  des  con- 
ciles, H,  536.] 

BIEN.  Morale  de  saint  Ambroise  sur  le 
bien  honnête  et  le  bien  utile,  dans  son  livre 
des  Offices,  V,  443. — Livre  de  la  Nature  du 
bien  contre  les  Manichéens,  IX,  10,  ouvrage 
de  saint  Augustin,  349  et  suiv.  Origine  du 
bien  moral,  selon  la  doctrine  de  saint  Au- 
gustin, 479.  Ce  que  saint  Augustin  dit  du 
souverain  Bien  dans  sa  lettre  àDioscore,  III. 

—  Sentences  des  Pères  sur  le  souverain 
Bien,  recueiUies  par  Fulbert  de  Chartres, 
XIII,  88. 

BIENHEUREUX.  Sentimentde  saintPaulin 
sur  l'occupation  éternelle  des  bienheureux 
après  la  résurrection,  VIII,  79.  Voyez  Saints. 

BIENS  DE  CETTE  VIE  :  Il  ne  faut  point 
s'y  attacher.  Homélie  vingt-unième  de  saint 
Basile  le  Grand,  IV,  389,  390. 

BIENS  DES  CHRÉTIENS  consacrés  à  Dieu, 
I,  528. 

BIENS  DE  L'ÉGLISE  ou  des  CLERCS,  ou 
des  moines  ;  emploi  qu'on  faisait  des  biens 
de  l'Église  dans  les  premiers  temps  ;  témoi- 
gnage de  saint  Cyprien,  II,  295  et  378. 
L'Église  avait  des  biens-fonds  dèsle  iv"  siècle, 
519.  Canons  apostoliques,  trente-neuvième 
et  quarante-unième  sur  les  biens  del'Égfise, 
584.  Canon  quatorzième  du  concile  d'Ancyre, 
638.  —  Lettre  de  Constantin  au  proconsul 
Anulin,  pour  la  restitution  des  biens  de 
l'Église,  m,  133  et  143.  Édit  du  même 
prince  pour  la  restitution  des  biens  enlevés 
aux  fidèles,  145.  Canons  vingt-quatrième  et 
vingt-cinquième  du  concile  d'Antioche  sur 
les  biens  temporels  des  églises,  470.  —  Ar- 
gent et  ornements  des  églises  enlevés  par 
Julien,  V,  199.  Témoignage  de  saint  Grégoire 
de  Nazianze  sur  les  biens  des  églises,  331, 
352.  Témoignages  de  saint  Ambroise,  574. 

—  Canon  seizième  du  concile  d'Hippone,  Vil, 
713.  Autres  canons  du  même  concile,  716. 
Canon  treizième  du  troisième  concile  de  Car- 
thage,  729.  Canon  quarante-neuvième,  725, 
726.  Canon  de  quelque  concile  de  Carthage, 
726.  Canon  trente-unième  et  trente-deu- 
xième du  quatrième  concile  de  Carthage,  729. 
Canon  quatrième  du  cinquième  concile  de 
Carthage,  734. — Règlement  du  concile  géné- 
ralde  Carthage,  VIII,  538.  Canons  d'un  concile 
d'Hippone,  562.  Canon  vingt-deuxième  du 
sixième  concile  de  Carthage,  566,  567.  Ca- 
non trente-troisième  du  même  concile,  567. 

—  Lettre  de  saint  Augustin  à  Alypius  sur  les 
biens  des  moines,  IX,  92,  93.  —  Saint  Léon 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


dS9 


défend  aux  évêques  de  Sicile  de  dissiper  les 
biens  des  églises,    X,  210.  Aliénation  des 
biens  des  églises  défendue  par  saint  Hilaire, 
pape,  dans  une  lettre  aux  évêques  des  Gaules, 
337.  L'aliénation   en  est  défendue  par  un 
concile  de  Rome,  716  ;  par  un  autre  concile 
de  Rome,  729.  Décrets  d'un  autre  concile  de 
Rome  contre  les  usurpateurs  de  ces  biens, 
732,  733.   Dispositions  du  concile   d'Agde, 
737,  739,  740,  742,  743.  Canons  du  premier 
concile   d'Orléans,  743.    —  Aliénation  des 
biens  de  l'Église  défendue  par  les  Novelles 
de  Justinien,  XI,  257  ;  permise  en  certains 
cas,  237,  258,  259,  260.  Inventaires  des  biens 
de  l'Église  oi'donnés  par   saint  Grégoire  le 
Grand,  496.  Comment  les  biens  doivent  être 
partagés  selon  le  pape  saint  Grégoire,  524. 
Canons  du  concile  d'Epaone  sur  les  biens  dos 
églises  et  des  monastères,  814,  813.  Aliéna- 
tion des  biens  d'église  défendue  par  le  troi- 
sième  concile  d'Orléans,  857,   par  le  qua- 
trième,  839,  860,   par  le  cinquième,  863. 
Canons  du  troisième  concile  de  Paris,  883. 
Canon  d'un  concile  de  Brague,  883.  Canons 
du  deuxième  concile  de  Tours,  890.  Autres 
canons   d'un  concile  de  Brague,  891,  892. 
Aliénation  défendue  par  un  concile  de  To- 
lède, 901.  Canons  du  cinquième  concile  de 
Paris  sur  les  biens  de  l'Église,  912.   —  Or- 
donnances du  pape  saint  Grégoire  II,  XII,  26. 
Traité  de  la  Dispensation  des  biens  ecclésias- 
tiques, ouvrages  d'Agobard,  archevêque  de 
Lyon,  373.    Statut   de   Riculfe,    évêque  de 
Soissons    sur    les    biens   de  l'Église,  746. 
Traité  d'Alton  de  Verceil,  oùl'auteur  s'élève 
contre  l'abus  que  l'on  faisait  des  biens  de 
l'Église,  823,  824.  Ce  que  dit  Ralhérius  de 
Vérone  sur  les  biens  de  l'Église,  831.   Ca- 
nons du  quatrième  concile  de  Tolède,  918. 
Canons  d'un  concile  de  Chalon-sur-Saône, 
931.  Canons  du  neuvième  concile  de  Tolède 
concernant  les  biens   de   l'Église,   933.  — 
Lettre  de  Fulbert  de  Chartres  sur  l'usage 
des  biens  ecclésiastiques,  XIII,  83.  Ce  que 
dit  saint  Pierre  Damien  contre  l'aliénation 
des  biens  d'églises,   302,  303.  Traité   ou 
recueil  de  passages  dans  lequel  saint  An- 
selme  de   Lucques   prouve   que   les   biens 
de  l'Église  ne  sont  point  à  la  disposition  du 
roi,  394.  Concile  de  Cloveshou  contre  les 
usurpateurs  des  biens  d'églises,  640.  Canon 
d'un  concile  de  Chalon-sur-Saône,  646,  647. 
Remontrances  des  évêques  d'Aix-la-Chapelle 
au  roi  Pépin,  sur  les  usurpations  des  biens 
ecclésiastiques,  668.  Canon  d'un  concile  de 


Touzi,693  ;  réitéré  dans  un  concile  deDouzi, 
716.  Lettre  synodale  d'un  concile  de  Fismes 
sur  les  biens  de  l'Église,  730.  Canons  d'un 
concile  de  Mayence,  731,  732.  Canon  d'un 
concile  de  Vienne,  734.  Concile  de  Fismes 
contre  ceuxqui  s'en  emparaient  et  les  pillaient 
746.  Constitution  de  l'empereur  Othon  III, 
764.  —  [Pénitence  imposée  aux  ravisseurs 
des  biens  de  l'ÉgHse,  XIV,  279.]  Ce  que  dit 
saint  Bernard  sur  l'usage  des  biens  de 
l'Église  et  sur  l'abus  qu'on  en  fait,  487,  488. 
Concile  de  Poitiers  qui  ordonne  aux  usur- 
pateurs des  biens  de  l'Église,  de  les  resti- 
tuer, 1047.  Décret  de  Guillaume,  comte  de 
Barcelone,  contre  les  usurpateurs  des  biens 
d'Église,  1059.  Canon  d'un  concile  de  Poi- 
tiers sur  les  biens  ecclésiastiques,  1076.  Ca- 
non d'un  concile  de  Guastalle,  1079.  Canon 
d'un  concile  de  Reims,  1093.  Canon  du  pre- 
mier concile  général  de  Latran,  1096.  Gauoa 
d'un  concile  de  Dalmatie,  1145. 

BIGAMES.  Témoignage  d'Origène  sur  les 
bigames,  II,  235.  Canon  apostolique  dix- 
septième  sur  les  bigames,  382.  Canon 
trente-huitième  du  concile  dElvire,  609.  — 
Canon  attribué  au  concile  de  Nicée,  111,431. 
Canon  premier  du  concile  de  Valence,  601. 

—  Décrets  d'un  concile  de  Rome,  IV,  612. 
Canons  quatrième  et  douzième  dans  la  pre- 
mière épitre  canonique  de  saint  Basile  le 
Grand,  460  et  462.  —  Témoignage  de  saint 
Ambroise,  V,  442  et  532.  —Décrets  du  pape 
saint  Sirice,  VI,  102.  —  Canons  quatrième 
cinquième  et  sixième  daus  la  lettre  du  pape 
saint  Innocent  à  saint  Victrice  de  Rouen, 
VII,  507  et  506.  Décisions  de  ce  pape  dans 
sa  lettre  aux  évêques  d'Espagne,  310.  Ca- 
non premier  dans  la  lettre  du  même  pape 
aux  évêques  de  Macédoine,  314.  Canon  deu- 
xième dans  la  lettre  du  pape  saint  Innocent 
à  Félix,  évêque  de  Nocéra,  523.  Décision 
du  pape  Zosime,  536.  Lettre  de  saint  Jé- 
rôme à  Océanus  sur  les  bigames,  634.  Sa 
réponse  aux  reproches  que  Rufin  lui  fuit  à 
cette  occasion,  614.  Son  sentiment  sur  ce 
point  a  été  rejeté,  614  et  680.  Canon  soi- 
xante-neuvième du  quatrième  concile  de 
Carthage,  731.  Canons  troisième  et  qua- 
trième du  concile  de  Tolède,  739,  740,  741. 

—  Le  pape  saint  Célestin  défend  de  les  éle- 
ver à  l'épiscopat,  VIII,  130.  Saint  Procle  ap- 
prouve l'ordination  d'un  bigame,  409.  Or- 
donnance du  concile  de  Telle  ou  Télepte, 
561.  Le  concile  d'Orange  défend  d'élever  les 
bigames   au-dessus  du  sous-diaconat,  609. 


160 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Dispositions  du  second  concile  d'Arles  con- 
tre les  bigames,  612.  —Exemples  de  quelques 
évêques  bigames,  X,  23. Les  bigames  doivent 
être  exclus  des  ordres  sacrés  ;  saint  Léon 
met  au  nombre  des  bigames  ceux  qui  avaient 
épousé  des  veuves,  261.  Bigames  exclus  des 
ordres  supérieurs  au  y"  siècle,  3S8.  Canon 
d'un  concile  de  Rome  sur  ce  point,  716.  Dis- 
positions du  concile  d'Agde  à  leur  sujet, 
736.  —  Bigames  exclus  du  sacerdoce  eu 
Espagne,  XI,  428.  Témoignage  de  saint  Gré- 
goire le  Grand  sur  l'exclusion  des  bigames, 
530  et  372.  Canon  du  concile  d'Espagne 
qui  exclut  des  saints  ordres  les  bigames , 
814.  Canon  du  quatrième  concile  d'Orléans 
qui  les  exclut,  860.  —  Pénitence  imposée 
aux  trigames,  XII,  774.  Canon  du  concile 
Quinisexte  contre  les  bigames,  960.  —  Ceux 
qu'on  doit  regarder  comme  bigames  selon 
le  pape  Innocent  III,  XIV,  969. 

BIGLINIZA  ou  VIGILANTIA,  mère  de 
l'empereur  Justinien,  XI,  254. 

BIGNE  (Margarin  de  la),  docteur  de  Sor- 
bonne.  Son  édition  des  œuvres  de  saint  Isi- 
dore de  Séville,  XI,  727. 

BIGNON  (Jérôme),  avocat  au  parlement 
de  Paris.  Son  édition  des  Formules  de  Mar- 
culphe,  XI,  741. 

BILI,  évêque  de  Saint-Malo.  (Il  est  auteur 
d'une  légende  de  ce  saint.  Voyez  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  tome  IV,  p.  194.) 
[BILLARDON  (Ed.-L.  de  Sauvigny).  Sa 
traduction  française  des  œuvres  de  saint  Si- 
doine Apollinaire,  X,  399.] 

BILLY  [en  latin  BILLIUS]  (Jacques  de), 
abbé  de  Saint-Michel  en  l'Herm.  Ses  notes 
sur  saint  Justin,  I,  445.  —  Sa  version  latine 
des  œuvres  de  saint  Grégoire  de  Nazianze, 
V,  360.  —  Son  édition  des  œuvres  de  saint 
Épiphane  de  Salamine,  VI ,  437;  —  et  de 
celles  de  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  434. 
Sa  traduction  des  trois  premiers  livres  des 
lettres  de  saint  Isidore  de  Péluse,  498.  — 
Son  édition  des  œuvres  de  saint  Jean  Da- 
mascène,  XII,  97,  98. 

BINGUE,  lieu  près  duquel  sainte  Hilde- 
garde  bâtit  le  monastère  du  mont  Saint-Ru  - 
perl,  XIV,  591. 

[BIRGH ,  éditeur  de  VAuctarium  codicis 
apocryphi  Novi  Testamenti,  I,  273.] 

BIRCHEllMER.  Sa  traduction  latine  du  Dis- 
cours ascétique  de  saint  Maxime,  abbé  de 
Chrysopolis,  XI,  764. 

BIRR  (Sixte  de),  surnommé  Bétulée,  sa- 
vant allemand.  Voyez  Bélulée. 


BISSŒUS  (Edouard).  Sa  version  latine 
d'un  écrit  attribué  à  Pallade  d'Hélénople  in- 
titulé des  nations  de  l'Inde  et  des  Brahmanes, 
VII,  493. 

BJTHYNIE,  province  d'Asie.  Concile  de 
Bithynie  en  faveur  d'Arius,  III,  417,  418. 

BIVAR  (François),  moine  de  Citeaux.  Son 
comnaentaire  sur  la  chronique  de  Dexter, 
VI,  279. 

[BLAISE,  évêque  de  Sébaste  et  marlyr. 
Neuf  hymnes  en  son  honneur  par  saint  Jean 
Damascène,  XII,  89  et  suiv.  Godescard  a  eu 
tort  de  dire  que  la  vie  de  ce  saint  nous  était 
inconnue,  91.] 

BLAITMAIG  (Saint),  martyr.  Poème  de 
Walafride  Strabon  en  son  honneur,  XII, 
417. 

BLAMPIN  (Thomas),  bénédictin  de  la  con- 
grégation de  Saint-Maur.  Son  édition  des 
œuvres  de  saint  Augustin,  IX,  816. 

BLANC  (Richard  le).  Sa  traduction  fran- 
çaise du  traité  de  saint  Jean  Chrysostôme 
sur  le  Sacerdoce,  VII,  437. 

[BLANC  (l'abbé).  Sou  récit  des  différentes 
phases  de  la  liturgie,  XIII,  2  et  suiv.] 

BLANCHE  ,  comtesse  qui  s'était  faite  reli- 
gieuse. Opuscule  que  lui  adresse  saint  Pierre 
Damien,  XIII,  320. 

BLANCHE-SELVE  [en  latin  Sylva  candida. 
Privilèges  accordés  à  l'église  de  Blanche- 
Salve  par  le  pape  Sergius  III,  XII,  743.]  — 
Bulle  du  pape  Victor  II  qui  accorde  à  l'église 
de  Blanche-Selve  les  offrandes  qu'on  ferait 
sur  le  grand  autel  de  Saint-Pierre  le  jeudi 
et  le  samedi  saint  jusqu'à  la  fin  de  la  messe 
du  jour  de  Pâques,  XIII,  240. 

BLANCHINI(François),chanoinedeSainte- 
Marie-Majeure.  Voyez  Bianchini. 

BLANCKWALT  (Just).  Son  édition  des 
lettres  de  sainte  Hildegarde,  XIV,  593. 

BLANDINE  (Sainte).  Son  martyre.  Homé- 
lie de  saint  Eucher  de  Lyon  en  son  honneui', 
VIII,  434. 

BLANDUS,  prêtre,  l'un  des  légats  du  pape 
Hormisdas  à  Constantinople,  X,  621. 

BLANDUS,  évêque  d'Orta,  retenu  à  Ra- 
venne  par  le  patrice  romain,  XI,  483. 

BLASPHÉMATEURS.  Zèle  de  saint  Jean 
Chrysostôme  contre  eux,  VII,  59.  —  His- 
toire d'un  enfant  accoutumé  à  blasphémer, 
XI,  478  et  565.  —  Article  d'un  capilulaire 
de  Louis  le  Débonnaire  contre  les  blasphé- 
mateurs, XII,  382.  —  Canon  d'un  concile 
d'Ingelheim,  XIII,  660.  Loi  de  Renneth,  roi 
d'Ecosse,  670. 


1057. 


TABLE  GENERALE 

BLASPHÈME  CONTRE  LE  SAINT-ES- 
PRIT. En  quoi  il  consiste  selon  saint  Basile, 
IV,  398  et  405.  —  Selon  saint  Pacien,  V, 
168.  —  Traité  du  B.  Odon,  évêque  de  Cam- 
brai, sur  ce  péché,  XIV,  76.  [L'esprit  de 
blasphème  n'est-il  autre  chose  que  le  blas- 
phème contre  le  Saint-Esprit?  question  exa- 
minée dans  un  opuscule  par  Richard,  prieur 
de  Saint-Victor,  705.] 
iisiécie.  BLASTE,  prêtre  schismatique.  Lettre  de 

saint  Irénée  à  Blaste,!,  517.  —  Son  schisme, 
ir,  540  et  544. 
384.  BLÉSILLE ,  fille  de  sainte   Paule.    Saint 

Jérôme  lui  promet  l'explication  du  livre  de 
l'Ecclésiaste,  VII,  563,  564.  Lettre  de  saint 
Jérôme  à  sainte  Marcelle  sur  la  conversion 
de  Blésille  ;  lettre  de  saint  Jérôme  à  sainte 
Paule  au  sujet  de  la  mort  de  Blésille,  589. 

BLEURVILLE  dans  le  Saintois.  Bulle  du 
pape  Léon  )X  pour  ce  monastère,  XIII,  202. 
II  siècle.  BLITERON,  auteur  d'un  ou  deux  poëmes 
lugubres.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  XI,  p. 
137  et  suiv.) 

BOBBON,   trésorier   du    roi   Clotaire   II. 
Saint  Éloi  se  met  sous  sa  conduite,  XI,  753. 
V.  612  BOBIO,  lieu  d'Italie  ou    saint  Colomhan 

établit  un  monastère,  XI,  616. 

BOBOLÈNE,  moine  de  Luxeuil  ou  de  Gran- 
fel.  (Il  a  composé  la  Vie  de  saint  Germain, 
abbé  de  Granfel.  Voyez  ce  qui  en  est  dit 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 
m,  p.  631  et  suiv.) 

BOBON,  évêque  de  Digne,  déposé,  XII, 
932, 

BOBON,  diacre  qui  se  fit  juif  et  se  maria, 
XII,  690. 

BOCARD  (Jean).  Édition  qu'il  donne  avec 
Josse  Clichtou  des  œuvres  de  saint  Bernard, 
XIV,  497. 

BOCQUILLON  (Noël),  de  l'Académie  de 
Soissons.  Sa  traduction  française  des  dis- 
cours de  saint  Ephrem  d'Édesse  sur  la  com- 
ponction, VI,  73. 

BOECE  (Flavius),  consul,  père  du  suivant; 
sa  mort,  X,  645. 
470.  BOECE  (Anicius-Manlius-Torquatus-Seve- 

rinus-Boetius),  sénateur  romain.  Sa  nais- 
sance ;  il  va  à  Athènes  faire  ses  études  ; 
490.  après  la  mort  de  son  père  il  revient  à  Rome, 
est  fait  patrice  ;  ses  deux  mariages  ;  sa  ma- 
500.  gnificence  lors  de  l'entrée  de  Théodoric  à 
Rome  lui  concilie  la  bienveillance  de  ce 
prince,  X,  645.  Il  assiste  à  une  conférence 
sur  les  erreurs  d'Eutychés  et  écrit  contre 

ÏAB.    I. 


DES  MATIÈRES.  161 

lui  ;  par  ordre  de  Théodoric,  il  réforme  les 
monnaies  qui  avaient  cours  dans  l'empire, 
et  règle  les  poids  et  mesures,  646.  Il  envoie 
au  roi  Clovis  des  musiciens,  et  au  roi  Gon- 
debaud  des  cadrans  solaires  et  des  hydrau- 
liques, 646  et  647.  Il  fait  chasser  de  Rome 
les  manichéens  et  les  magiciens,  647  et  648. 
Il  est  fait  consul.  Lettre  de  félicitalion  que  5io. 
lui  écrit  saint  Ennode  ,  évêque  de  Pavie, 

648.  Il    prend  la  défense  de  saint  Césaire 
d'Arles,  accusé  devant  Théodoric,  648  et 

649.  On  lui  offre  une  seconde  fois  le  consu-        52ï. 
lat;  il  le  fait  déférer  à  ses  deux  fils,  649.  II 

est  calomnié  auprès  de  Théodoric  qui  le  fait         525. 
mourir,  649  et  650.  Ses  écrits  :  Traité  des 
Deux  Natures  et  d'une  Personne  en  Jésus- 
Christ,  650  et  suiv.  Analyse  de  ce  traité, 

650.  Livre  de  l'Unité  de  Dieu,  654  et  suiv. 
Traité  sur  cette  question  :  Si  le  Père,  le  Fils 
et  le  Saint-Esprit  peuvent  être  affirmés  sub- 
stantiellement de  la  Divinité,  656,  657. 
Traité  sur  cette  question  :  Si  tout  ce  qui  est 
est  bon  ;  Profession  de  foi  de  Boëce  ;  il  en 
est  véritablement  l'auteur,  657.  Analyse  de 
cette  profession,  658  et  suiv.  Les  cinq  livres 
de  la  Consolation  de  la  philosophie  sont  de 
Boëce,  660.  Analyse  de  cet  ouvrage,  660  et 
suiv.  Écrits  de  Boëce  sur  Porphyre,  663; 
sur  Aristote,  663  et  664;  sur  Cicéron;  Traité 
de  l'Un  et  de  l'Unité  ;  la  Discipline  des  étu- 
diants ;  ouvrage  attribué  à  Boëce  et  qui  ne 
peut  être  de  lui  ;  ses  livres  sur  les  Mathé- 
matiques ;  ses  écrits  perdus  ;  jugement  des 
écrits  de  Boece,  664.  Éditions  et  traductions 
qu'on  en  a  faites,  665.  [Éditions  nouvelles; 
Trois  écrits  de  Boëce  pubhés  récemment 
par  Ang.  Maï,  665.]  Vie  de  Boëce  par  l'abbé 
Gervaise  avec  l'analyse  de  ses  ouvrages , 
etc.,  665.  — Il  est  arrêté  et  mis  à  mort,  XI, 
113.  Il  n'a  point  accompagné  le  patrice Ter- 
tullus  au  Mont-Cassin,  159.  — Ëpigramme 
pour  son  portrait  composée  par  Gerbert , 
XII,  903,  904 

BOECE  (  Anicius-Manlius-Severinus),  fils 
du  précédent,  consul  sur  le  refus  de  son         522. 
père,  X,  649. 

BOECE  EPON,  paraît  être  auteur  du  traité 
de  la  Discipline  des  étudiants  attribué  au 
philosophe  Boëce,  X,  664. 

BOECE  (Wlfin),  auteur  d'une  vie  de  saint  tx  siècle. 
Junien  de  Maire,  XI,  693.  (Du  Pin  et  Baillet 
le  font  évêque  de  Poitiers.  Cependant  les 
auteurs  du  Gallia  Christiana  qui  parlent  de 
lui  à  l'occasion  de  saint  Junien,  ne  le  met- 
tent point  au  rang  des  évèques  de  Poitiers. 

.  11 


162 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


865. 


S66. 


Peut-être  a-t-on  rapporté  à  Boëce  ce  qui 
regardait  Maire  dont  il  pouvait  être  moine, 
que  l'on  nomme  Mairé-l'Evescan  en  Poitou.) 
Voyez  Dlfin  Boéce. 

BOÉMOND.  Voyez  Bohémond. 

BOERNÉRUS  (Frédéric),  entreprend  une 
traduction  latine  de  la  Bibliothèque  de  Pho- 
tius,  XII,  723. 

BCESA  (Dominique).  Son  édition  des  œu- 
vres de  Gassien,  VIII,  204. 
.    [BGîSEK,  éditeur  du  Codex  diplomaticus 
Moraviœ,  XIII,  96. J 

BOÉTIUS.  Deux  ou  trois  auteurs  de  ce 
nom.  Voyez  Boëce. 

BOGOMILES,  hérétiques  qui  ont  pour  au- 
teur un  médecin  nommé  Basile,  XIII,  359. 
—  Ils  sont  condamnés  par  l'empereur  Alexis 
Comnène;  leur  chef  brûlé  vif,  XIV,  140.  Dé- 
tail des  erreurs  des  Bogomiles,  selon  Euty- 
mius  Zigabène,  ISO,  153  et  653.  Lettre 
d'Eutymius  contre  les  Bogomiles,  133,  653. 
[Le  pape  Innocent  III  demande  au  roi  de 
Hongrie,  contre  les  Bogomiles  répandus  en 
Bosnie  ,  l'application  des  peines  portées 
contre  les  hérétiques,  975,  Ses  efforts  pour 
réprimer  cette  hérésie,  983.]  Leurs  erreurs 
condamnées  dans  un  concile  de  Constanti- 
nople,  1117. 

BOGORIS  rois  des  Bulgares,  se  fait  bap- 
tiser et  prend  le  nom  de  Michel,  XII,  382.  II 
consulte  le  pape  saint  Nicolas  P'  sur  plusieurs 
points;  réponse  du  pape,  382  et  583.  Lettre 
que  lui  écrit  le  pape  Jean  VIII  pour  l'enga- 
ger à  se  séparer  des  Grecs,  644. 

BOHÈME,  contrée  d'Allemagne.  Chroni- 
que de  Bohême  par  Gôme,  doyen  de  l'Église 
de  Prague,  XI V,  173  et  suiv. 
•  BOHÉMOND,  prince  d'Antioche,  fils  aîné 
de  Robert  Guiscard  duc  de  Pouille,  écrit  à 
Godefroi  de  Bouillon  ;  réponse,  XIII,  527, 

528.  Comment  il  s'engagea  à  la  croisade, 

529,  330.  —  Devenu  prince  d'Antioche,  il 
accomplit  le  vœu  qu'il  avait  fait  étant  pri- 
sonnier des  Sarrasins,  de  venir  en  pèleri- 
nage au  tombeau  de  saint  Léonard  à  Noaillé, 
XIV,  1080. 

BOILEAU  (Jacques),  docteur  de  Sorbon- 
ne.  Son  édition  du  traité  de  Ratramne  sur 
l'Eucharistie  ;  sa  traduction  française  de  ce 
traité,  XII,  557. 

[BOISSONADE,  éditeur  des  Anecdota  grœ- 
ca,  XI,  280,  XII,  59.  —  11  pubHe  divers  trai- 
tés de  Psellus,  XIII,  337,  n.  2.  —  Quelques 
fragments  des  écrits  de  Constantin  Manas- 
sès  avec  notes  et  traduction,  XIV,  643,J 


BOLESLAS  II,  duc  de  Bohême.  Lettre  que     xsié 
lui  écrit  le  pape  Jean  Xlli  pour  l'érection 
d'un  évêché  et  la  fondation  d'un  monastère, 
XII,  833. 

BOLESLAS,  duc  de  Pologne,  procure  la 
convei-sion  de  la  Poméranie ,  XIV,  178  [et 
181.] 

BOLESWILLER.   Monastère  fondé  pour     xi  si 
des  filles  dans  la  Forêt-Noire,  XIII,  470. 

BOLOGNE  (ou  Boulogne),  ville  d'Itahe. 
Saint  Pétrone,  évèque  de  cette  ville,  X,  161. 
[Immunité  des  chanoines  de  cette  ville  ac- 
cordée par  le  pape  Jean  XIII,  833.] 

BOLOTIN  (Payen),  chanoine  de  Chartres. 
Voyez  Payen  Bolotin. 

BON.  Traité  où  le  philosophe  Boêce  exa- 
mine si  tout  ce  qui  existe  est  bon,  X,  637. 

[BONACGHI  (E.),  auteur  de  deux  disser- 
tations sur  les  sermons  et  le  martyre  de 
saint  Zenon,  VI,  273  et  273.] 

BONACURSE,  Milanais.  On  a  de  lui  un    xic  sied, 
traité  contre  les  Cathares  et  autres  héréti- 
ques de  son  temps.  Voyez  du  Pin.  [C'est  le 
même  qui  est  nommé  comte  romain  ;  son 
livre  contre  les  Cathares,  XIV,  802,  803.] 

BONAVEN,  village  de  Bretagne,  où  na- 
quit saint  Patrice,  X,  444. 

BONET  (Saint),  évêque  de  Clermont.  (On 
lui  attribue  un  traité  contre  les  hérésies  de 
Novatien  et  de  Jovinien.) 

BONPRÉRIUS  (Jacques),  jésuite.  Son  édi- 
tion du  livre  d'Eusèbe  sur  les  pays  de  la 
Terre-Sainte  ;  sa  version  latine  du  même 
ouvrage,  111,  316. 

BONGARS  (Jacques),  savant  critique.  Son 
recueil  des  historiens  de  la  Croisade,  sous 
le  titre  de  Gesta  Francorum,  XIII,  329. 

[BONGIOVANNI  (Antoine).  Son  édition  de 
l'Apologie  de  Chalcédoine  par  Léonce  de 
Byzance  ;  c'est  un  extrait  du  livre  contre  les 
Monophysites  publié  par  Mai,  XI,  673.] 

BONHEUR  de  l'homme.  Doctrine  de  Lac- 
tance,  II,  308,  309.  —  Deux  poëmes  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze  sur  le  bonheur  de 
l'homme,  V,  273.  Livres  de  Jacob  et  de  la 
Vie  bienheureuse,  ouvrage  de  saint  Am- 
broise,  408  et  suiv.  —  Doctrine  de  Boëce, 
X,  661,  662.  Voyez  Vie  heureuse,  Bienheu- 
reuse, Béatitude. 

BONHOMME  (Alfonse).  Sa  traduction  la- 
tine de  l'écrit  de  Samuel  de  Maroc,  rabbin 
converti,  XIII,  348.] 

BONIFACE  (Saint),  martyr   à   Tarse,   II,         ^^' 
476,   477.    [Authenticité  des  actes  de  son 
martyre,  476,  u.  4,  et  477,  n.  6.] 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


163 


418. 

m. 


420. 


422. 


419. 


422. 


529. 


531. 


601. 


BONIFACE,  évêque  d'Afrique.  Lettre  que 
lui  écrivit  saint  Augustin,  IX,  102,  103. 

BONIFACE ,  comte  de  l'empire  romain. 
Saint  Augustin  le  détourne  de  quitter  le 
monde,  IX,  18.  Lettres  que  saint  Augustin 
lui  écrit,  152  et  suiv.,  160,  179  et  180.  Let- 
tres supposées  de  saint  Augustin  àBoniface 
et  de  Boniface  à  saint  Augustin.,  194. 

BONIFACE  I"  (Saint) ,  pape  et  confes- 
seur, Vin,  s  et  suiv.  ;  il  est  élu  pape  ;  diffi- 
culté sur  son  élection,  o.  Lettre  du  concile 
d'Afrique  à  Boniface,  7.  Lettre  de  Boniafce 
à  Patrocle  d'Arles  et  aux  autres  évêques  des 
Gaules,  7  et  8.  Lettre  de  Boniface  à  Rufus 
de  Thessalonique,  8  et  9.  Lettre  de  saint 
Augustin  à  Boniface,  9.  Lettre  de  Boniface 
à  l'empereur  Honorius,  9  et  10  ;  à  Rufus  et 
aux  évêques  de  Thessalie  ;  à  Rufus  et  aux 
évêques  qui  devaient  s'assembler  à  Corinthe, 
10,  11  ;  à  Hilaire  de  Narbonne,  11  ;  à  Valen. 
tin,  primat  de  Numidie,  11  et  12.  Zèle  de 
Boniface  contre  les  Pélagiens  ;  décrets  at- 
tribués à  saint  Boniface,  12.  [Lettre  de  Bo- 
niface aux  trois  légats  en  Afrique,  12.  Lettre 
de  Boniface  à  Juste,  évêque  de  Cantorbéry, 
12;  on  s'est  trompé  en  l'attribuant  à  ce  pape, 
elle  est  de  Boniface  V.  Éditions  des  écrits  de 
saint  Boniface,  12  et  13.]  —  Il  est  le  même 
que  le  prêtre  Boniface  à  qui  le  pape  saint 
Innocent  écrivit  une  lettre,  VII,  S13.  —  Qua- 
tre livres  de  saint  Augustin  à  ce  saint  pape 
contre  les  Pélagiens,  VllI,  9,  et  IX,  474.  Let- 
tre synodale  du  sixième  concile  de  Carthage 
au  pape  Boniface  touchant  l'affaire  d'Apia- 
rius,  S68.  Époque  de  la  mort  de  saint  Boni- 
face,  12  et  127.  Il  fut  élu  pape  après  la  mort 
de  Zosime,  569  et  570.  Schisme  occasionné 
par  l'élection  d'Eulalius  faite  par  un  autre 
parti;  il  prend  le  gouvernement  de  l'Église, 
570. 

BONIFACE  II  (Saint),  élu  pape.  Il  fait 
anathématiser  l'antipape  Dioscore  après  sa 
mort  ;  dans  un  concile  il  se  fait  autoi'iser  à 
se  désigner  un  successeur;  il  annule  ensuite 
lui-même  ce  décret  ;  concile  qu'il  tient  à 
Rome  pour  examiner  les  plaintes  d'Etienne 
de  Larisse,  XI,  114.  Sa  mort;  la  lettre  à  Eu- 
lalius,  évêque  d'Alexandrie,  est  supposée  ; 
preuves  ;  la  lettre  à  saint  Césaire  d'Arles  est 
certainement  de  saint  Boniface  II,  115.  Ce 
qu'elle  contient,  115  et  116.  —  Décrétale 
qui  lui  est  attribuée  faussement,  VI,  95.  — 
Il  approuve  et  confirme  les  canons  du  con- 
cile d'Orange  sur  la  grâce,  XI,  837. 

BONIFACE  III,  pape,  succède  à  Sabinien, 


610. 


617 


XI,  645.  Concile  quïl  tient  à  Rome,  910.  Il 

ne  nous  reste  rien  de  ses  écrits,  645. 

BONIFACE  IV,  pape,  succède  à  Boni-  gos. 
face  III  ;  il  obtient  de  l'empereur  Phocas  la 
conservation  de  la  primauté  de  son  Église 
contre  les  prétentions  des  patriarches  de 
Constantinople,  XI,  645.  [Ses  écrits  dans  la 
Pafroloffie,  645,  note  5;]  sa  mort,  645.  Lettre  ^^ 
que  lui  écrit  saint  Colomban  pour  justifier 
l'usage  où  il  était  de  célébrer  la  Pâque  le 
14  de  la  lune,  645  et  627.  Autre  lettre  qu'il 
lui  écrit  en  faveur  des  défenseurs  des  Trois 
Chapitres,  645.  Concile  que  ce  pape  tient  à 
Rome,  910,  911. 

BONIFACE  V,  pape,  succède  à  Deusde- 
dit  ;  analyse  de  ses  trois  lettres  sur  la  con- 
version des  Anglais,  X,  646.  [Lettre  à  Juste, 
archevêque  de  Cantorbéry,  646.  On  a  eu 
tort  de  l'attribuer  à  saint  Boniface  P'',  VIII, 
12.]  Édition  des  lettres  de  Boniface  V  dans 
la  Patrologie,  646.  Mort  de  ce  pape,  647. 

BONIFACE  VI,  pape,  succède  à  Formose 
et  ne  siège  que  quinze  jours,  XII,  739. 

BONIFACE  VII ,  élu  pape  du  vivant  de 
Benoît  VI,  est  chassé  après  sa  mort  et  se 
l'etire  à  Constantinople,  XII,  835.  Il  revient 
après  la  mort  de  Benoît  VII ,  s'empare  du 
siège  de  Rome,  et  fait  périr  Jean  XIV;  sa 
mort  après  onze  mois  de  pontificat,  846. 

BONIFACE,  prêtre  de  l'Église  romaine,  un 
des  légats  envoyé  par  le  pape  saint  Léon  au 
concile  de  Chalcédoine,  X,  174,  220  et  582. 
Plaintes  qu'il  y  forme,  688. 

BONIFACE  (Saint),  diacre,  martyr  sous 
Hunéric,  X,  462,  463. 

BONIFACE,  évêque  arien,  parle  pour  son 
parti  dans  la  Conférence  de  Lyon,  X,  554. 

BONIFACE,  primicier  des  notaires.  Ana- 
lyse de  la  lettre  que  Denis  le  Petit  lui  a 
écrite  sur  la  Pâque,  XI,  123,  124. 

BONIFACE,  évêque  de  Carthage,  assem- 
ble un  concile  où  la  primauté  de  l'évêque 
de  Carthage  sur  les  églises  d'Afrique  est 
reconnue,  XI,  528  et  suiv. 

BONIFACE,  diacre  de  l'Église  romaine,  en- 
voyé à  Constantinople  en  qualité  de  nonce  par 
le  pape  saint  Grégoire,  XI,  440  et  531.  L'em- 
pereurPhocas  se  prend  d'amitiépourlui,440. 

BONIFACE,  évêque  de  Férente,  dont  parle 
le  pape  saint  Grégoire  dans  ses  Dialogues, 
XI,  474. 

BONIFACE,  auteur  de  la  Vie  de  saint  Li-    yjj  ji^^,^^ 
vin   dont   il   était   contemporain,    XI,    742. 
(Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  litté- 
raire  de  la  France,  t.  VI,  p.  546  et  suiv.) 


896. 


973. 


985. 


451. 


525, 


603. 


164 


HISTOmE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


BONÎFACE  (Saint),  archevêque  de  Mayen- 
ce.  [Ouvrages  à  consulter  sur  saint  Boniface, 

V.  680.       XII,  43,  n.  7.]  Sa  naissance  et  son  éduca- 
719.         tion,  45,  46.   Il  forme  le  dessein  d'aller  an- 
noncer l'Évangile  aux  infidèles  et  reçoit  sa 
mission  du  pape  saint  Grégoire  II;  il  prêche 
723.        en  Allemagne  ;  il  informe  le  pape  Grégoire 
de  ses  succès,  vient  à  Rome  et  est  ordonné 
évêque  régionnaire  ;  Charles  Martel  le  prend 
sous  sa  protection  ;  Bonitace  retourne  dans 
la  Hesse  et  dans  la  Thuringe  où  il  continue 
d'exercer  sa  mission,  46.  Le  pape  saint  Gré- 
,3i_         goire  m  lui  envoie  le  pallium  ;  il  fait  un  se- 

738-739  cond  voyagc  à  Rome,  où  le  pape  le  retient 
quelque  temps  ;  il  vient  en  Bavière,  où  il  réta- 
blit la  foi  et  érige  plusieurs  évêchés  ;  il  pré- 

7.i2  743      side  à  deux  conciles  ;  il  fonde  l'abbaye  de 
74i.         Fulde  et  plusieurs  autres  monastères  ;  il  est 

V745.  établi  archevêque  de  Mayeuce  ;  il  choisit  le 
prêtre  Lulle  pour  son  coadjuteur;  il  va  en 
Frise  où  il  convertit  beaucoup  de  monde,  47. 
755.  Il  est  tué  par  les  païens  avec  tous  ceux  de  sa 
suite,  47  et  48.  Sa  Vie  écrite  par  deux  au- 
teurs différents,  48.  Recueil  des  Lettres  de 
saint  Boniface  ;  ce  qu'elles  contiennent  de 
remarquable,  48  et  suiv.  [Différentes  édi- 
tions des  lettres  de  saint  Boniface,  48,  n.  l. 
Lettre  de  saint  Boniface  aux  hommes  reli- 
gieux des  Gaules  ;  indication  de  sept  lettres 
qui  lui  sont  adressées^,  48.]  Canons  ou  sta- 
tuts qui  lui  sont  attribués,  52,  53.  Analyse 
des  quinze  homélies  qui  lui  sont  attribuées, 
53  et  suiv.  Fragment  d'un  écrit  qui  porte  le 
nom  de  saint  Boniface,  sur  la  manière  d'a- 
bréger la  pénitence,  55.  Ecrits  de  saint  Bo- 
niface perdus,  55  et  56.  [Sa  grammaire  la- 
tine publiée  par  Mai,  56.  Jugement  de  ces 
ouvrages  ;  éditions  qu'on  en  a  faites,  56. 
[Éditions  récentes  ;  édition  dans  la  Patrolo- 
gie,  56  et  57.]  Serment  qu'il  prêta  au  pape 
saint  Grégoire  II  le  jour  de  son  ordination,  24. 
Différentes  lettres  que  lui  écrivent  les  saints 
papes  Grégoire  II,  24  et  25;  Grégoire  III,  27, 
28  ;  et  Zacharie,  29.  Lettre  que  lui  écrit  saint 
Egbert,  archevêque  d'York,  66.  Sa  Vie  par 
Willibald ,  évêque  d'Eichslat ,  129.  Vers 
d'Alcuin  en  son  honneur,  214.  Sa  vie  par 
Lutger,  évêque  de  Munster,  218.  La  trans- 
lation de  son  corps  décrite  par  Candide, 
moine  de  Fulde,  383.  Sa  Vie  écrite  en  vers 
par  Ruthard,  moine  d'Hirsauge,  353.  —  Sa 
vie  écrite  en  vers  par  Méginfroid,  prévôt  de 
Magdebourg,  XIII,  95.  Sa  Vie  retouchée  par 
Othlon,  moine  de  Saint-Emmeran  de  Ratis- 
bonne, 283. Il  présida àplusieurs conciles,  606 


et  suiv.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  tome  IV,  p.  92  et  suiv.) 

BOiNIFACE  ou  BRUNON  (Saint),  apôtre 
des  Russes.  Voyez  Brunon. 

BONIFACE,  évêque  d'Albane,  cardinal. 
Lettre  que  lui  écrit  saint  Pierre  Damien , 
Xni,  300. 

BONISON,  abbé  de  Saint-Pierre  hors  des        i036. 
murs  de  Pérouse,  est  maintenu  dans  ses 
droits  contre  André^  évêque  de  cette  ville, 
XIII,  196. 

BONIZON,  évêque  de  Sutri,  puis  de  Plai- 
sance, est  chassé  de  Sutri  pour  son  attache- 
ment au  pape  saint  Grégoire  VII  ;  se  re- 
tire à  Plaisance  ;  les  partisans  du  pape 
l'élisent  évêque;  violences  qu'exercent  con-  1089. 
tre  lui  les  partisans  de  l'antipape  Guibert; 
il  meurt  de  ses  blessures,  XIII,  562.  Sa 
Chronique  des  papes  et  ses  autres  ouvrages, 
562  et  563.  [Écrits  publiés  depuis  D.  CeiUier  : 
Livre  à  un  ami;  analyse  de  cet  ouvrage,  563 
et  564.  Opuscule  sur  les  sacrements,  564  et 
suiv.  Fragments  de  ses  Vies  des  souverains 
pontifes,  566.  Le  Décret  ou  recueil  de  dé- 
crets, 566,  567.  Jugement  sur  ces  écrits, 
567.] 

BONNES  ŒUVRES.  Voyez  Œuvres. 

BONNET  DE  L'ORATOIRE.  Sa  traduction 
française  du  Mémoire  de  Vincent  de  Lérins, 
VIII,  467  ;  —  et  des  œuvres  de  Salvien,  X. 
378.  —  [De  l'Histoire  de  France  par  saint 
Grégoire  de  Tours,  XI,  399.] 

BONNON,  abbé  de  Gorbie  en  Saxe.  Voyez 
Bomn. 

BONCEUIL  SUR  MARNE ,  près  Charen- 
ton.  Concile  tenu  en  ce  lieu,  XIII,  688,  689. 

BONOSE  (Saint),   soldat  romain,   martyr.        3G2. 
Actes  de  son  martyre,  III,  409,  410.  —  Il 
est  assisté  par  saint  Mélèce,  V,  9. 

BONOSE,  évêque  de  Sardique,  accusé  au  39i. 
concile  de  Capoue,  IV,  655.  Le  concile  le 
renvoie  aux  évêques  de  Macédoine,  656.  — 
L'hérésie  de  Bonose  réfutée  par  saint  Am- 
broise,  V,  455.  Lettre  touchant  l'affaire  de  iv  sièci. 
Bonose  faussement  attribuée  à  saint  Am- 
broise  ;  elle  est  du  pape  saint  Sirice,  496. — 
Lettre  du  pape  saint  Sirice  à  Anysius  de 
Thessalonique  sur  l'affaire  de  Bonose,  VI, 
107.  —  Lettres  du  pape  saint  Innocent  au 
sujet  des  clercs  ordonnés  par  Bonose^  VII, 
514,  513.  Voyez  Bonosiaques. 

BONOSE,  ami  de  saint  Jérôme.  Sa  retraite, 
VII,  580. 

BONOSE,  évêque,  père  de  saint  Rustique, 
évêque  de  Narbonne,  X,  199. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


163 


443. 


BONOSE,  le  même  que  Hatton,  abbé  de 
Pulde,  Xir,  4S8. 

BONOSIAQUES.  Dispositions  du  concile 
d'Arles  à  leur  sujet  ;  on  les  a  confondus 
sans  raison  avec  les  Photiniens,  VIII,  612. 
—  Ils  sont  combattus  par  Justinien,  évêque 
de  Valence  en  Espagne,  XI,  264.  Décision 
du  pape  saint  Grégoire  sur  leur  baptême, 
526. 

BONRECUEIL  (Joseph  Durantyde).  Voyez 
Duranty. 

BONS.  Comment,  selon  Cassiodore,  on  les 
distingue  des  méchants,  XI,  241. 

BONS-HOMMES.  Nom  que  prenaient  les 
hérétiques  albigeois,  XIV,  1137. 

BONUS,  moine,  suit  les  erreurs  de  Lépo- 
rius,  VIII,  233. 

■  BOOZ,  époux  de  Ruth.  Son  éloge  par 
Théodoret,  X,  32. 

BORADES,  barbares,  font  une  irruption 
dans  le  Pont,  II,  444. 
it  siècle  BORBORIENS,  hérétiques,  J,  502. 

1023.  BORCET,    monastère.    Discussion   entre 

l'archevêque  de  Cologne  et  l'évêque  de  Liège 
pour  la  juridiction  sur  le  monastère  de  Bor- 
cet,  la  quelle  est  adjugée  à  l'évêque  de  Liège, 
XIV,  1040. 

BORDEAUX ,  [ville  de  France ,  autrefois 

384.         capitale  de  la  Guyenne].    Concile  qui  y  fut 

tenu  contre  les  Priscillianistes,  IV,  640.  — 

1080.        Autre  contre  Bérenger,  XIII,  171.  —  Au- 

1093.        très,  XIV,  1037,  1069  et  1074. 

[BORDIER  (Henri).  Sa  traduction  de  l'His- 
toire ecclésiastique  des  Francs  par  saint 
Grégoire  de  Tours  ;  du  livre  des  Miracles  et 
des  autres  opuscules  de  saint  Grégoire  de 
Tours,  XI,  399.] 

BORDIER  (François),  abbé  de  Saint-Vic- 
tor. Son  édition  des  œuvres  de  Hugues  de 
Saint-Victor,  XIV,  349. 

[BOREL  traduit  en  français  quelques  let- 
tres de  saint  Bernard,  XIV,  500.] 
VII  siècle.        BOSA,  évêque  d'Agulstad,  XII,  21. 
XI  siècle.         BOSON,  abbé  du  Bec.  Son  épitaphe  par 
Milon  Crispin,  XIII,  459.   (On  lui  attribue 
quelques   écrits.    Voyez    son    article    dans 
l'Histoire  littéraire   de  la  France,  t.  XI,  p. 
619  et  suiv.) 
879.  BOSON^  duc  de  Lombardie,  se  fait  élire 

roi  d'Arles  au  concile  de  Mantes,  près 
Vienne,  XHI,  728. 

BOSON,  évêque  de  Saintes,  déposé,  XIV, 
1072. 

BOSPHORE,. évêque  de  Colonie  en  Cap- 
381.        dadoce,  assiste  au  concile  de  Constantino- 


ple,  IV,  618,  et  V,  266.  —  Lettre  que  saint 
Basile  le  Grand  lui  écrit,  IV,  438.  —  Lettres 
que  lui  écrivit  saint  Grégoire  de  Nazianze, 
V,  249.  Lettres  du  même  saint  en  faveur  de 
Bosphore,  266.  Sa  conduite  justifiée  par  les 
soins  de  saint  Amphiloque  d'Icône,  367. 

BOSPtIORIE,  femme  du  comte  Sévérien,      vsièoic. 
VII,  483.   Ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire 
lausiaque  de  Pallade,  490. 

BOSQUET  (François),  évêque  de  Lodève 
et  ensuite  de  Montpellier.  Son  édition  de  la 
Synopse  des  lois  de  Michel  Psellus  avec  une 
traduction  latine  et  des  notes,  XIII,  336.  — 
Son  édition  de  plusieurs  livres  de  lettres  du 
pape  Innocent  III,  XIV,  931. 

BOSTRES  en  Arabie.  Bérylle,  évêque  de     m  siècle. 
Bostres,  II,  136  et  420.  —  Tite,  autre  évê-     ivsiécie. 
que,  IV,  339  et  suiv.  Lettre  de  l'empereur 
JuHen  aux  Bostriens,  339. 

BOTONIATE  (Nicéphore),  empereur  de 
Gonstantinople.  Voyez  Nicéphore  Boloniate. 

BOTRUS,  l'un  des  auteurs  du  schisme  de     m  siècle. 
Carthage,  H,  621. 

BOTULFE  (Saint),  abbé  d'Ilianoam  en 
Angleterre.  Sa  Vie  attribuée  à  Folcard,  abbé 
de  Torney,  XHI,  344. 

BOUC  ÉMISSAIRE.  Explication  mysté- 
rieuse qu'en  donne  saint  Cyrille  d'Alexan- 
drie, VHI,  293  ;  —et  Théodoret,  X,  30. 

BOUCHARD  [ou  BOUCHART  ou  BUR- 
CHARD  ou  BROCARD],  évêque  de  Worms, 
né  dans  la  Hesse,  de  parents  nobles,  fait  ses 
études  d'abord  à  Coblentz,  puis  :\  Lobes,  en- 
suite à  Liège  ;  il  s'attache  à  Willègise,  ar- 
chevêque de  Mayence;  l'empereur  Otton  III  loosou  loos. 
le  fait  évêque  de  Worms;  il  se  fait  instruire 
par  le  moine  Olbert  ;  sa  vie  pénitente,  XIII, 
91.  Il  assiste  au  concile  de  Sélingstad,  dont  1022. 
il  nous  a  conservé  les  canons,  91  et  92.  Sa 
mort  ;  sa  Vie  par  un  anonyme  ;  son  Décret  1026. 
ou  recueil  de  canons  ;  par  qui  il  fut  aidé 
dans  la  composition  de  cet  ouvrage  ;  des- 
sein qu'il  s'était  proposé,  92.  Sommaire  de 
ce  Décret,  92  et  93.  Editions  de  ce  Décret, 
93.  [Pourquoi  l'ouvrage  de  Bouchard  a  été 
appelé  Brocardia  ou  Brocardianum  opus,  91, 
n.  2,  Notices  sur  l'auteur,  91.  Edition  de 
son  Décret  dans  la  Patrologie,  93.]  Abrégé 
de  ce  Décret  par  un  anonyme  ;  lettre  de 
Bourchart  à  Alpert  qui  lui  avait  dédié  son 
traité  de  la  Variété  des  temps,  93.  [Édition 
de  cette  lettre  dans  la  Patrologie,  93.]  Ses 
fondations  ;  époque  de  son  épiscopat,  93. 

BOUCHARD  H,  archevêque  de  Lyon.  An-        joag. 
née  de  sa  mort,  XIII,  131. 


166 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


BOUCHARD,  comte  de  Melun  et  de  Cor- 
beil,  informé  des  désordres  qui  régnaient 
dans  l'abbaye  de  Saint-Maur-des-Fossés , 
entreprend  d'y  rétablir  le  bon  ordre,  XIII, 
1012.  233,  234.  Il  meurt  dans  cette  abbaye  après 
y  avoir  pris  l'habit  monastique,  234.  Sa  vie 
écrite  par  Odon,  moine  des  Fossés;  éditions 
et  traductions  qu'on  en  a  faites,  233.  [Édi- 
tion de  sa  Vie  dans  la  Patrologie;  traduction 
et  notice  par  M.  Guizot,  233.] 
V.  1096.  BOUCHARD,  fondateur  de  l'abbaye  de 
Murbach  pour  des  chanoines  réguliers,  XIII, 
S83. 

BOUCHE,  discours  de  saint  Valérien  de 
Cémèle,  sur  l'insolence  de  la  bouche,  X,  136. 

BOUCHE  DE  PORC ,  nom  du  pape  Ser- 
gius  IV,  selon  Ditmar,  XIII,  189. 

BOUCHER  [en  latin  BUCHERIUS],  (GiUes), 
jésuite.  Sa  traduction  latine  du  Cycle  pascal 
de  saint  Hippolyte,  I,  641  ;  —  et  de  celui  de 
Victorius,  X,  340. 

BOUCHET  (Jean),  procureur  à  Poitiers. 
Sa  traduction  française  de  la  Vie  de  sainte 
Radegonde  par  Fortunat,  XI,  318. 

[BOUCHITTÉ.  Sa  traduction  du  Monologue 
et  du  Prologue  de  saint  Anselme,  XIV,  43.] 

[BOUGAUD,  aumônier  de  la  Visitation  de 
Dijon,  actuellement  vicaire-général  de  Mgr 
l'évêque  d'Orléans.  Son  Etude  historique  et 
critique  sur  la  mission,  les  actes  et  le  culte 
de  saint  Bénigne,  631.] 

BOUHÉREAU  (Élie),  ministre  protestant. 
Sa  traduction  française  de  l'ouvrage  d'Ori- 
gène  contre  Celse,  II,  255,  236. 

BOUILLART  (Jacques),  bénédictin.  Son 
édition  du  Martyrologe  d'Usuard  ;  sa  lettre 
au  P.  du  SoUier  sur  ce  martyrologe,  XII, 
612.  Différence  des  deux  éditions  du  P.  Sol- 
lier  et  de  D.  Bouillart,  613. 

[BOUILLON,  cLûteau  en  Flandres.  Triom- 
phe de  Bouillon,  ouvrage  de  Régnier,  moine 
de  Saint-Laurent,  796.] 

BOUILLON  (Jean).  Sa  traduction  française 
du  traité  de  la  Vie  contemplative  de  Julien 
Pomère,  X,  399. 

[BOUIX  (D.),  défend  la  mémoire  de  saint 
Grégoire  VII,  XIII,  371  et  suiv.] 

BOULANGER  ou  BOULENGER  (Jules-Cé- 
sar), jésuite.  Ses  observations  sur  Arnobe, 
II,  493. 

[BOULANGER,  abbé.  Sa  traduction  fran- 
çaise des  Confessions  de  saint  Augustin,  IX, 
813.] 
1043.  BOUON,  moine,  puis  abbé  de  Saint-Ber- 

tin,  succède  à  Roderic  ;  il  écrit  l'Histoire  de 


l'invention  et  de  la  translation  du  corps  de 

saint  Berlin,  XIII,  260.  Privilèges  qu'il  ob-     I056-io57 

tient  pour  son  abbaye,  260  et  261 .  Sa  mort,        loes. 

261. 

[BOUQUET,  bénédictin.  Son  Recueil  des 
historiens  de  France,  XI,  399.] 

[BOURASSÉ,  chanoine  de  Tours.  Son  édi- 
tion des  écrits  du  vénérable  Hildebert,  XIV, 
223  ;  des  écrits  de  Marbode,  225.] 

BOURDIN   (Maurice),   antipape    sous    le 
nom  de  Grégoire  VIII  ;  ses  commencements  ; 
il  passe  en  Espagne  où  il  est  fait  évêque  de        1095. 
Coïmbre,  puis  archevêque  de  Braga;    son        luo. 
voyage  à  Rome  ;  le  pape  Pascal  II  le  fait        iU5. 
son   légat  pour  traiter  de  la  paix  avec  l'em- 
pereur Henri  IV  ;  il  passe  ses  pouvoirs  et 
couronne  ce  prince;  il  est  excommunié  pour        un. 
ce  sujet  au  concile  de  Braga  ;  l'empereur  le 
fait    élire    pape    en    concurrence    de   Gé-        lus. 
lase  II  ;  lettres  de  Gélase  à  son  sujet,  XIV, 
1089.  Il  est  pris  dans  la  ville  de  Sutri  et  en-        U2i. 
voyé  au  monastère  de  Cava,  1098. 

BOURG,  sur  la  Garonne.  Description  de 
la  maison  qu'y  avait  le  sénateur  Pontius, 
par  saint  Sidoine,  X,  397. 

BOURGEOIS  (Jean),  abbé  de  la  Chaise- 
Dieu  ou  plutôt  de  la  Merci-Dieu,  chargé  par 
le  clergé  de  France  de  donner  avec  Aubert 
une  édition  des  œuvres  de  saint  Ephrera, 
VI,  72. 

BOURGES  en  Berry.  Concile  qui  y  fut 
tenu.  Saint  Simplice  en  est  élu  évêque,  X, 
717.  —  Autres  conciles  de  Bourges,  XIII, 
670,  671,  XIV,  1043,  1044  et  1118. 

BOURGOGNE,  [autrefois  duché  et  pro- 
vince de  France,  formant  maintenant  plu- 
sieurs départemeuts.]  Concile  qui  y  fut  tenu, 
Xm,  731,  732. 

BOURGOIN  DE  VILLEFORE  (Joseph- 
François).  Ses  traductions  françaises  de  plu- 
sieurs ouvrages  de  saint  Augustin,  IX,  814. 

—  Traduction  française  des  Lettres  de  saint 
Bernard;  Vie  de  saint  Bernard,  XIV,  499. 

BOURGUIGNON,  orateur.  Lettre  que  saint 
Sidoine  lui  écrit  sur  quelques  difficultés  de 
grammaire,  X,  195. 

BOURGUIGNONS,  peuples  étabHs  dans  les 
Gaules.  Époque  de  leur  conversion,  VI,  94.    v.4nou«c 

—  Cette  conversion  rapportée  par  Socrate, 
VIII,  522.  —  Description  du  caractère  de  ce 
peuple  par  saint  Sidoine,  X,  397.  Témoi- 
gnage de  Boëce,  647.  —  Ils  sont  vaincus 
par  les  Goths  d'Italie,  XI,  220. 

BOURSE,  en  latin  FOLLIS,  somme  d'une 
certaine  valeur,  III,  133,  note  3. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


167 


BOUSSARD  [et  nonBOUFPARD]  (Geoffroi), 
docteur  de  la  faculté  de  théologie  de  Paris. 
Son  édition  de  l'Histoire  ecclésiastique  d'Eu- 
sèbe  traduite  par  Rufîn,  III,  31-4. 

BOVIUS  (Jean-Charles),  archevêque  de 
Brindes.  Sa  version  latine  des  œuvres  de 
saint  Grégoire  de  Nysse,  VI,  260. 

BOVON  ou  BAVON  ou  BONNON,  abbé  de 
Corbie  en  Saxe.  (Il  composa  une  Chronique. 
Voyez  son  article  dans  V Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  IV,  p.  233,  et  t.  V,  p.  654  et 
suiv.) 

BOVON,  abbé  de  Saint-Bertin.  (Il  com- 
posa quelques  écrits.  Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VII,  p. 
S64,  et  suiv.,  et  le  Supplément,  tome  X, 
p.  Ixv.) 

BRACHION,  abbé,  fondateur  de  plusieurs 
monastères.  Sa  Vie  par  saint  Grégoire  de 
Tours,  XI,  381. 

[BOWDEN.  Son  ouvrage  sur  le  pape  saint 
Grégoire  VII,  XIII,  374.] 
1039.  [BRACILIO,  duc  de  Bohême.  Ses  lettres 

pour  la  réforme  des  mœurs,  XIII,  41S.] 

BRAGUE  [ou  BRAGA],  ville  d'Espagne. 
Concile  supposé  tenu  dans  cette  ville,  VIII, 
548,  549.  — Décrets  de  ce  concile,  549.  Let- 
tre du  prêtre  Àvitus  à  l'Éghse  de  Brague,  X, 
3.  —  Lettre  du  pape  Adrien  IV  qui  ordonna 
à  l'archevêque  de  Brague  de  reconnaître 
celui  de  Tolède  pour  primat,  XIV,  915.  — 
Conciles  tenus  en  cette  ville,  XI,  891,  et  XII, 
941.  Concile  de  Fussel  ou  Huziilos,  qui  ré- 
tablit l'Église  de  Braga  dans  son  ancienne 
dignité  de  métropole,  1079.  Lettre  du  pape 
Callixte  II  confirmant  ses  privilèges,  1098. 

[BRAIDA.  Son  édition  des  œuvres  de  saint 
Ghromace,  VII,  495,] 

BRAINE,  maison  royale  à  quelques  lieues 
v.  580.      de  Reims.  Concile  assemblé  en  ce  lieu  par 
ordre  du  roi  Chilpéric,  XI,  895,  896. 

BRANDEFORT  en  Angleterre.  Voyez 
Brendford. 
IX  siècle.  BRANIMIR,  prince  des  Slaves,  demande 
à  revenir  sous  l'obéissance  du  siège  de 
Rome.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Jean  VIII, 
XII,  646. 

BRANQUIDES,  lieu  célèbre  par  un  oracle 
d'Apollon,  III,  2. 

BRAS  SÉCULIER.  Le  concile  d'Antioche 
permet  d'y  avoir  recours ,  III ,  467.  Voyez 
Puissance  temporelle. 

BRASSICAN  (Jean-Alexandre).  Son  édi- 
tion des  œuvres  de  Salvien  avec  des  scho- 
lies,  X,  378. 


BRAULION,  évêque  de  Sarragosse,  ami 
de  saint  Isidore  de  Séville,  XI,  710.  Retou- 
che le  traité  de  ce  saint  évêque  sur  les  Ori- 
gines des  étymologies,  711.  Ce  qu'il  dit  des 
autres  ouvrages  de  saint  Isidore,  714.  Suc- 
cède à  Jean,  son  frère,  dans  l'évêché  de  627. 
Sarragosse  ;  assiste  à  différents  conciles  ;  sa 
mort  ;  il  est  auteur  de  l'Éloge  et  du  Catalo-  '^-  ^w. 
gue  des  ouvrages  de  saint  Isidore  de  Séville 
et  d'une  Vie  de  saint  Émilien  avec  une 
hymne  en  son  honneur ,  728.  [Ses  lettres 
dans  la  Patrologie  ;  analyse  de  ces  lettres, 
728  et  suiv.  Vie  de  saint  Émilien,  hymne 
pour  le  même  saint,  hymne  en  l'honneur 
de  saint  Milhau,  731,  732.  Actes  des  mar- 
tyrs de  Sarragosse,  parBraulion;  éditions 
de  ces  écrits,  732.]  Saint  Isidore  lui  adresse 
deux  lettres,  722,  [et  une  troisième,  729.  Au- 
tres lettres  adressées  à  Braulion,  729  et  suiv.] 

BRAVON  (Florent),  moine  de  Worchester. 
Voyez  Florent  Bramn. 

BREC-SPÈSE  (Nicolas),  Anglais,  élu  pape,        H54. 
prend  le  nom  d'Adrien  IV,  XIV,  911. 

BREGENTS,  petit  pays  d'Allemagne.  Saint      v.  612. 
Colomban  y  prêche  la  foi  et  y  bâtit  un  mo- 
nastère, XI,  516. 

BREGWIN  (Saint),  archevêque  de  Can- 
torbéry.  Sa  Vie  par  Eadmer,  disciple  de 
saint  Anselme,  XIV,  46. 

BRÈME  ou  BREMEN,  évêché  d'Allema- 
gne. On  y  unit  celui  de  Hambourg,  XII,  525. 
Le  pape  saint  Nicolas  I"  confirme  cette  union, 
526.  [Décision  du  pape  Formose  par  rap- 
port à  l'Église  de  Brème,  739.]  —  Préten- 
tions de  l'archevêque  de  Cologne  sur  l'évê- 
ché de  Brème,  XIH,  733. 

BRÉMET  [et  non  BRENET],  en  Italie.  Bulle        ,ou 
du  pape  Benoît  VIII  confirmative  de  tons  les 
droits  et  privilèges  de  ce  monastère,  XIII, 
192. 

BRENDFORD  ou  BRANDFORD,  en  An- 
gleterre. Concile  qui  y  fut  tenu,  XIII,  755. 

BRENTIUS  (Jean).  Son  édition  des  cinq 
premières  homéhes  de  saint  Astère  d'Ama- 
sée,  VI,  310. 

[BRÉQUIGNY  (de).  Son  édition  des  lettres 
inédites  du  pape  Innocent  III,  XIV,  980  et 
suiv.] 

BRESSE  [ou  BRESCIA],  ville  d'Italie.  Saint 
Philastre  en  est  évêque,  V,  171.  —  Saint 
Gaudence  aussi,  VIII,  34  et  suiv. 

BRETAGNE  (Grande-).  Les  Pél-agiens  y 
sèment  leur  hérésie  ;  saint  Célestin  y  envoie 
saint  Germain  d'Auxerre,  auquel  les  évo- 
ques des  Gaules  adjoignent  saint  Loup  de 


168 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


Troyes,  VIII,  145,  et  X,  556  et  667.  —  Dis- 
cours de  saint  Gildas  sur  la  ruine  de  la 
Grand-Bretagne,  et  sur  les  dére'glements  du 
clergé  de  cette  île,  XI,  319  et  suiv.  Évêques 
de  la  Grande-BrelMgne  soumis  à  saint  Au- 
gustin de  Cantorbéry,  526.  Traité  de  saint 
Adelme  de  Schirburn  contre  les  erreurs  des 
Bretons  touchant  la  Pâque,  804.  Concile  de 
Worchester  pour  les  ramener  au  sentiment 
commun,  908,  909. 

BRETAGNE,  [autrefois  province  de  Fran- 
ce, divisée  actuellement  en  plusieurs  dépar- 
tements.] Lettre  du  pape  Léon  IV  aux  évêques 
de  Bretagne  pour  répondre  à  diverses  ques- 
tions par  eux  proposées  principalementr  su 
la  simonie,  XII,  407.  Lettre  du  pape  Jean  XIII 
aux  évêques  de  Bretagne  pour  les  engager  à 
reconnaître  l'archevêque  de  Tours  pour  leur 
métropolitain,  833.  [Autre  lettre  de  ce  pape 
relative  à  cette  affaire,  834.]  —  Les  évêques 
de  Bretagne  excommuniés  par  le  pape  saint 
Léon  IX  et  cités  au  concile  de  Verceil  parce 
qu'ils  refusaient  de  reconnaître  l'archevêque 
de  Tours  pour  leur  métropolitain  et  qu'ils 
étaient  accusés  de  simonie,  XIII,  208.  Con- 
cile tenu  par  les  évêques  de  Bretagne,  679. 
Lettre  du  concile  de  Savonières  pour  les 
engager  à  rentrer  sous  l'obéissance  de  l'ar- 
chevêque de  Tours,  691. 

BRETONS,  peuple  de  la  Grande  ou  Petite 
Bretagne.  Voyez  Bretagne. 

BREUL  (Jacques  du),  bénédictin.  Son  édi- 
tion des  œuvres  de  saint  Isidore  de  Séville, 
XI,  725.  —  Son  édition  de  l'Histoire  des 
Français  par  Aimoin,  XIII,  41.  —  Son  édi- 
tion de  la  Chronique  du  Mont-Cassin  par 
Léon  d'Ostie,  497,  et  XIV,  583. 

BRÉVIAIRES.  [Le  bréviaire  romain  ne 
mérite  pas  la  critique  exagérée  de  D.  Ceil- 
lier,  II,  619,  note  5.]  —  Origine  des  bréviai- 
res dans  le  travail  de  Musée,  X,  471.  —  Es- 
pèce de  bréviaire  dressé  par  Alcuin,  XII, 
169.  Bréviaire  attribué  à  Etienne,  évêque 
de  Liège,  786.  —  Ce  nom  commence  à  pa- 
raître pour  désigner  un  livre  ecclésiastique 
vers  le  xii°  siècle,  XIII,  594.  [Bréviaire  de 
Fontavellano  ;  ce  qu'il  contient,  23.] 

BREYER  (Rémi),  chanoine  de  l'Église  de 
Troyes.  Sa  traduction  française  de  la  Vie  de 
sainte  Maure  écrite  par  saint  Prudence,  évê- 
que de  Troyes,  XII,  499. 

[BRIAL  (Dom),  bénédictin,  continuateur 
de  l'Histoire  littéraire  de  la  France.  Son  édi- 
tion de  la  continuation  de  la  Chronique  de 
Cambrai,  XIII,  482,  Il  est  réfuté  par  rapport 


250. 


327. 


VI  siècle. 


à  ce  qu'il  dit  sur  Adam  de  Saiut- Victor,  715 
et  suiv.  Il  publie  trente-deux  lettres  d'É- 
tienne  de  Tournai,  881.] 

[BRIANT  (Jacques),  a  publié  en  latin  les 
Doctrines  du  juif  Philon,  I,  313.] 
BRICE,  prêtre  de  Carthage,  II,  262. 
BRIGE  (Saint),  évêque  de  Tours,  chassé 
de  son  évêché,  se  retire  à  Rome.  Justifié,  il 
remonte  sur  son  siège,  VIII,  255.  —  Il  bâtit 
une  église  en  l'honneur  de  saint  Martin,  X, 
441.  —  Accusé  de  plusieurs  crimes,  il  est 
justifié,  XI,  368. 

[BRICCIUS,  évêque  de  Nantes.  Le  pape 
Innocent  II  lui  écrit,  XIV,  264.] 

BRIGIÏIÉSUS  (Saint),  martyr  en  Perse, 
compagnon  de  saint  Jonas,  III,  340. 

BRIDFERTH,  moine  de  Ramsey,  auteur      Xsiède. 
d'une  Vie  de  saint  Dunstan,  archevêque  de 
Cantorbéry  ;  ses  autres  érits,  XIII,  58. 

BRIÈVETÉ  DE  LA  VIE.  Distique  de  For- 
tunat  sur  ce  sujet,  XI,  407. 

BRIGIDE  (Sainte),  abbesse  de  Kildare  en 
Irlande.  Sa  vie  écrite  par  Gogitosus  son  ne- 
veu, XI,  348.  [Cette  sainte  est  la  même  que 
la  suivante.] 

BRIGITTE  (Sainte),  vierge  écossaise.  Sa 
vie  écrite  par  cinq  auteurs  différents,  XII, 
129,  130,  131. 

BRIONE,  ville  de  Normandie.  Le  duc 
Guillaume  le  Bâtard  y  fit  tenir  une  confé- 
rence avec  Bérenger  qui  y  est  confondu,  XIII, 
167,  et  XIV,  1057. 

BRIOUDE,  ville  d'Auvergne.  Concile  tenu 
en  cette  ville,  XIV,  1074. 

BRISON,  eunuque  de  l'impératrice  Eu- 
doxie,  ami  de  saint  Jean  Chrysostôme, 
VII,  6. 

BRISSON,  évêque,  ami  et  défenseur  de 
saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  491. 

BRITOUALDE  (Saint),  archevêque  de  Can- 
torbéry, préside  au  concile  de  Béchancelle, 
XII,  966;  et  à  celui  de  Berghamstède,  967. 

BRITTON,  évêque  de  Trêves,  protège  l'é- 
vêque  Ithace,  IV,  640. 

BRIXIUS.  Sa  version  latine  des  homélies 
de  saint  Jean  Chrysostôme  contre  les  Gen- 
tils, VII,  435.  Son  édition  des  seize  premiè- 
res homélies  du  même  sur  l'Épître  aux  Ro- 
mains, 436. 

[BROCKIE  (Marien).  Son  Codex  regularum, 
m,  368,  XI,  739.] 

[BRONTÛLOGIE,  livre  prohibé  par  saint 
Nicéphore,  patriarche   de  Gonstantinople , 
Xn,  297,] 
BROSSE  (de  la).  Sa  traduction  française 


694. 
697 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


169 


du  traité  de  Tertullien  des  Prescriptions,  II, 
86. 

BROSSE  (Pierre  de  la).  Ses  notes  sur  les 
œuvres  de  Cassiodore,  XI,  234. 

BROWER  (Christophe),  jésuite.  Son  édi- 
tion des  œuvres  de  Fortunat,  évêque  de 
Poitiers,  XI,  4H. 

BRUMAS,  évêque  de  Cagliari,  permet  à 
saint  Pulgence  de  bâtir  un  monastère  près 
de  cette  ville,  XI,  8. 

BRUiN  DESMARETTES  (J.-B.  le).  Son 
édition  des  œuvres  de  Lactance,  II,  520;  — 
el  de  saint  Paulin,  évêque  de  Noie,  VIII, 
98. 
isiècie.  BRUNECHON,  prévôt  de  Worms,  aide 
l'évêque  Bouchart  dans  la  composition  de 
son  Décret,  XIII,  92. 

[BRUNEAU,  conseiller  et  avocat  du  roi. 
Sa  traduction  française  du  traité  contre  les 
Pétrobusiens  par  Pierre  le  Vénérable,  XIV, 
318.] 

BRUNEHATJT,  femme  de  Sigebert,  roi 
d'Austrasie.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Ger- 
main ,  évêque  de  Paris ,  pour  l'engager  à 
porter  à  la  paix  les  rois  Chilpéric  et  Sige- 
bert, XI,  307,  308.  Témoignage  d'une  Chro- 
nique anonyme  sur  sa  mort,  400.  Son  épi- 
thalame  par  Fortunat,  406.  Poëme  à  sa 
louange  par  le  même,  409.  Lettre  que  lui 
écrit  le  pape  saint  Grégoire  pour  lui  recom- 
mander le  prêtre  Candide,  304.  Elle  de- 
mande le  pallium  pour  Syagrius ,  évêque 
d'Autun.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Grégoire 
à  cette  occasion,  513,  314.  Autre  lettre  que 
lui  écrit  le  même  pape,  529,  530.  A  quelle 
occasion  elle  s'indispose  contre  saint  Colom- 
ban  ;  elle  pousse  son  fils,  le  roi  Théodoric, 
à  l'exiler,  614.  Elle  exile  et  fait  mourir  saint 
Didier,  évêque  de  Vienne,  909. 

BRUNELLI  (Jérôme),  jésuite.  Son  édition 
des  Apologies  de  saint  Justin,  I,  446.  — Son 
édition  de  quelques  poëmes  choisis  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze,  V,  360.  —  Sa  version 
latine  des  dix  homélies  de  saint  Jean  Chry- 
soslôme,  VII,  433. 

[BRUNEMAN.  Son  édition  des  écrits  de 
Lactance,  II,  520.] 

[BRUNET  (Gustave),  a  traduit  en  français 
les  apocryphes,  I,  275.] 

[BRUNET  DE  PRESLE.  Son  Examen  cri- 
tique de  la  succession  des  dynasties  égyp- 
tiennes, III,  182.] 

BRUNNERUS.  Sa  version  latine  des  let- 
tres de  saint  Ignace,  martyr,  I,  387. 
V.  1040.         BRUNO  (Saint),  instituteur  des  Chartreux. 


Sa  naissance  ;  ses  études,  XIII,  374.  Il  est 
fait  chanoine  de  Reims ,  et  chargé  de  la  di- 
rection des  études  de  cette  église,  574  et  wn- 
264.  Démarche  qui  le  brouille  avec  l'arche- 
vêque Manassès;  il  est  chassé  de  Reims;  lost. 
il  fonde  un  monastère  dans  le  désert  de  la 
Chartreuse  ;  il  est  appelé  à  Rome  par  le  v.  lopo. 
pape  Urbain  II  ;  ne  pouvant  s'accoutumer 
au  tumulte  de  la  cour,  il  se  retire  au  diocèse 
de  Squillace  en  Calabre,  où  il  fonde  la  se- 
conde maison  de  son  ordre,  574.  Il  refuse 
l'archevêché  de  Reggio  ;  sentant  approcher 
sa  fin,  il  assemble  les  religieux  et  fait  en 
leur  présence  sa  profession  de  foi;  sa  mort;  **"*• 
ses  écrits:  Commentaire  sur  les  Psaumes; 
il  est  véritablement  de  lui,  573.  Idée  de  ce 
commentaire,  376.  Commentaire  sur  les  Épî- 
tres  de  saint  Paul,  577.  Lettre  à  Raoul  le 
Verd,  prévôt  de  l'Église  de  Reims,  377  et 
378  ;  aux  moines  de  la  Grande-Chartreuse, 
378.  Éditions  des  ouvrages  de  saint  Bruno, 
576.  [Édition  dans  la  Patrologie;  on  y  trouve 
un  discours  de  saint  Bruno  sur  le  Mépris 
des  richesses  et  la  Confession  du  saint,  576.] 
—  Saint  Bruno  avait  été  maître  des  écoles 
de  la  cathédrale  de  Reims,  264.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  IX,  p.  233  et  suiv.) 

[BRUNO-BRUNI,  éditeur  des  œuvres  de 
saint  Maxime  de  Turin,  X,  323  et  suiv.  ;  — 
des  œuvres  de  saint  Brunon  de  Segni,  XIII , 
499.] 

BRUNON  (Saint),  archevêque  de  Cologne, 
fils  de  l'empereur  Henri  l'Oiseleur.  Sa  nais-  s^s. 
sance;  ses  études  ;  il  est  fait  abbé  de  Lau- 
reshem;  il  succède  à  Wicfrid,  archevêque  953. 
de  Cologne,  XII,  838.  Le  roi  Otton,  son  frère, 
l'étabht  gouverneur  de  Lorraine,  838,  839. 
Ses  soins  pour  mettre  la  paix  entre  les  en- 
fants de  Lothaire,  roi  de  France,  et  les  en- 
fants de  Hugues  le  Grand  ;  sa  mort,  838.  Sa  965. 
Vie  écrite  par  le  moine  Rotger,  838  et  839. 
Son  éloge;  ses  écrits,  839.  [Il  confirme  un 
échange,  839.  Éditions  de  sa  Vie,  838.]  On 
l'a  confondu  avec  Brunon  d'Ast,  évêque  de 
Ségni,  839.  (Voyez  son  article  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France^  tome  VI,  p.  304 
et  suiv.) 

BRUNON,  neveu  de  l'empereur  Otton  III, 
élu  pape,  prend  le  nom  de  Grégoire  V,  XII,         995. 
899.  Voyez  Grégoire  V. 

BRUNON,   moine  de   Saint-Vite   ou  de      v.  985. 
Gladbac,  chargé  du  soin  des  écoles  de  cette 
abbaye  ;   écrits  que  Trithème  lui  attribue, 
XII,  911.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'His- 


170 


HISTOIRE  DES  AUTEERS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


toîre  littéraire  de  la  France,  t.  VI,  p.  552  et 
suiv.) 
980  BRUNON,   évêque  de  Langres.  Ses  gran- 

991  des  alliances,  XIII,  70.  Il  assiste  au  concile 
ioi."..  de  Saint-Basle,  70  et  761,  762.  Sa  mort; 
sa  lettre  à  Hildric,  abbé  de  Saint-Germain 
d'Auxerre  ;  ses  chartes ,  70.  Lettres  que  lui 
ëcrit  le  pape  Benoît  VIII  en  faveur  du  mo- 
nastère de  saint  Bénigne  de  Dijon,  70  et 
192.  [Ses  écrits  dans  la  Patrologie ,  70.] 
(Voj'ez  ce  qui  est  dit  de  cet  auteur  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VII,  p.  232 
et  suiv.) 
X siècle.  BRUNON  (Saint),  apôtre  des  Prussiens, 

recommandé  à  Piiigrin,  évêque  de  Passau, 
par  Otton  III,  XII,  98. 
1033.  BRUNON,  évêque  de  Wirtzbourg,  succède 

1045.  à  Méginhard  ;  sa  mort  ;  son  Commentaire  sur 
le  Psautier  et  ses  autres  ouvrages,  XIII,  116. 
[Édition  de  ses  écrits  dans  la  Patrologie,  116 
et  117.]  Jugement  sur  Brunon,  817. 

BRUNON,  évêque  d'Angers,  soupçonné 
de  favoriser  les  erreurs   de   Bérenger   sur 
l'Eucharistie,  XIII,  170  et  275.  11  ne  setrou- 
1050.        ve  point  au  concile  de  Paris,  170.  Il  efface, 
1062.        par  une  profession  de  foi  catholique ,  les 
souopçons  qu'on  avait  conçus  sur  sa  doc- 
trine, 170  et  275.  Ce  qu'on  sait  des  circons- 
1081.        tances  de  sa  vie  ;  sa  mort,  275.  Sa  lettre  à 
Bérenger,   170  et  275.  (Voyez  son  article 
dans  V Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VIII, 
p.  99  et  suiv.) 
XI  siècle  BRUNON  ou  BONIFACE  (Saint),  obtient 

du  pape  Jean  XVIII  la   permission  d'aller 
prêcher  Tévangile  chez  les  Russes ,  XIII , 
189. 
lOis.  BRUNON,  évêque  de  Toul,  élu  pape  dans 

une  diète  de  Worms,  XIII,  199.  Voyez  Léon 
/X  (saint). 

BRUNON,  abbé  de  Montier-en-Der,  béni 
1050.  par  le  pape  saint  Léon  IX  qui  lui  fait  pren- 
dre son  nom,  XIII,  209,  210.  Bulle  de  ce 
pape  à  lui  adressée,  209.  Circonstances  de 
sa  vie  ;  sou  recueil  des  miracles  opérés  par 
saint  Berchaire,  347.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de 
lui  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t. 
VIII,  p.  155  et  suiv.) 
XI  siècle.  BRUNON,  moine.  Son  Histoire  de  la  guerre 
de  Saxe,  XIII,  402. 

BRUNON  D'AST  (Saint),  évêque  de  Sé- 
gni,  puis  moine,  et  ensuite  abbé  du  Mont- 
Gassin.  Ses  commencements;  à  quelle  occa- 
1079.  sion  il  est  fait  évêque  de  Ségni  ;  il  se  fait 
moine  à  l'abbaye  du  Mont-Cassin  ;  vains  ef- 
forts pour  lui  faire  reprendre  son  évêché  ; 


il  est  fait  abbé  du  Mont-Cassin  après  la  mort  ii04. 
d'Otton  ;  on  indispose  contre  lui  le  pape  iiov. 
Pascal  II  qui  l'oblige  à  se  démettre  de  son 
abbaye  ;  il  retourne  à  son  évêché  ;  sa  mort;  1125. 
le  pape  Lucius  III  le  met  au  catalogue  des 
saints,  XIII,  499.  [Édition  plus  complète  de 
ses  écrits  donnée  par  Bruno-Bruni  et  repro- 
duite par  la  Patrologie,  499  et  500.]  Com- 
mentaires sur  l'Écriture  sainte,  499  et  500, 
501.  Ses  sermons;  traité  sur  les  Azymes; 
traité  des  Mystères,  501.  Vies  du  pape  Léon 
IX  et  de  saint  Pierre,  évêque  d'Anagni,  SOI 
et  502.  Traité  de  l'état  de  l'Église  dans  le 
xi'=  siècle,  502,  503.  Ses  lettres,  503,  504. 
Les  six  livres  des  Sentences  ou  des  Louanges 
de  l'Église,  504.  Jugement  sur  ses  ouvrages, 
504  et  505.  —  Il  est  auteur  des  homélies  at- 
tribuées à  Eusèbe  d'Émèse,  IV,  319.  —  On 
l'a  confondu  avec  saint  Brunon,  archevêque 
de  Cologne,  XIII,  839.  On  a  de  lui  un  Com- 
mentaire sur  les  Psaumes,  500  et  575. 

[BRUNON,  archevêque  de  Trêves.  Lettre        ma. 
qu'il  écrit  à  saint  Otton  de  Bamberg,  XIV, 
181.] 

BRUNON,  évêque  de  Strasbourg,  accusé  H3i. 
d'être  intrus  dans  ce  siège,  renonce  à  sa  di- 
gnité, XIV,  1112.  [Pièces  qui  le  concernent 
dans  la  Patrologie,  n.  4.]  (On  a  de  lui  deux 
lettres.  Voyez  son  article  dans  l'Histoire  lit- 
téraire de  la  France,  tome  XI,  p.  156  et  suiv.) 

BRUNON,  archevêque  de  Cologne,  XIV,        H32- 
425,  426.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Bernard 
qu'il  avait  consulté  pour  savoir  s'il  devait 
accepter  l'épiscopat,  426. 

BRUTIENS,  peuple  d'Italie.  Lettre  du 
pape  Gélase  aux  évêques  des  Brutiens,  X, 
502  et  suiv. 

BRUUN,  surnom  donné  à  Candide,  moine 
de  Fulde,  Xïï,  385. 

BRYENNE,  époux  d'Anne  Comnène.  Voyez 
Nicéphore  Bryenne. 

BUBALE,  faussaire  de  Macédoine,  VII, 
516. 

[BUGHHOLZ.  Sa  traduction  allemande 
d'une  grande  partie  de  l'Histoire  ecclésiasti- 
que d'Adam  de  Brème,  XIV,  206.] 

BUCHNER  (...).  Ses  notes  sur  le  poëme 
de  Fortunat  sur  la  RésuiTcction,  XI,  414. 

[BUCHON.  Sa  traduction  française  du  Dia- 
logue de  Minucius  Félix,  I,  557.  —  Son  édi- 
tion française  des  œuvres  deTertullien,  11,87.] 

BQDÉ  (Guillaume),  savant  français.  Sa 
traduction  latine  du  livre  de  Philon,  de  la 
Création  du  monde,  I,  313. 

BUFA  (Martyrius) ,  diacre  d'Alexandrie,  .' 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


171 


réside  à  Constantinople  pour  les  affaires  de 
son  Église,  ^^11,  283. 

BUGGE ,  abbesse  en  Angleterre.  Voyez 
Edburge. 

BUISSON  ARDENT.  Saint  Cyrille  d'A- 
lexandrie croit  y  trouver  une  figure  de  la 
sainte  Vierge,  VIII,  322. 

BULGARES,  peuple  d'un  pays  situé  entre 
le  Danube  et  la  mer  Noire,  embrassent  la  reli- 
gion chrétienne,  XII,  419.  A  quelle  époque.' 
550.  Réponses  du  pape  saint  Nicolas  I"  aux 
consultations  des  Bulgares,  582  et  suiv.  Le 
manicbéisme  se  répand  parmi  eux,  623.  — 
Conférence  au  quatrième  concile  de  Cons- 
tantinople touchant  les  Bulgares,  pour  sa- 
voir s'ils  seraient  soumis  à  l'Église  ro- 
maine ou  à  celle  de  Constantinople,  XIII, 
711,  712.  — Ils  se  soumettent  au  Saint-Siège 
sous  le  pape  Innocent  III  ;  le  pape  y  envoie 
un  légat,  XIV,  977.  Archevêchés  établis 
dans  le  pays,  978.  [Lettres  d'Innocent  III  et 
d'autres  personnes  touchant  les  affaires  reli- 
gieuses de  la  Bulgarie,  977  et  986  et  suiv.  — - 
Réunion  d'une  partie  des  Bulgares  à  l'Église 
romaine,  XII,  o82,  n.  2.] 

BULLES.  Le  pape  Pascal  II  n'est  pas  le 
premier  qui  ait  fait  ajouter  au  revers  du 
plomb  des  bulles  les  têtes  de  saint  Pierre  et 
de  saint  Paul  séparées  par  une  crois,  XIV, 
138. 

BULTEAU  (Louis),  frère  oblat  chez  les 
Bénédictins.  Réfutation  de  l'usage  qu'il  fait 
d'un  texte  de  saint  Basile,  IV,  403,  note  1. 

—  Sa  traduction  française  des  Dialogues  de 
saint  Grégoire,  XI,  586. 

[BUNSEN,  ambassadeur  prussien,  éditeur 
des  sept  épîtres  de  saint  Ignace  d'Antioche  ; 
Monographie  sur  saint  Ignace  et  l'époque 
où  il  a  vécu,  I,  366.] 

BUNTWIDE,  écolâtre  de  Reichenau.  (Il 
composa  qeelques  écrits.  Voyez  dans  VHis- 
toire  littéraire  de  la  France,  tome  IV,  p.  237.) 

BURABOURG,  ville  de  Hesse.  Saint  Boni- 
face  y  établit  un  évêché,  XII,  47. 

BURCHARD  (Saint),  premier  évêque  de 
Wirsbourg.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  saint 
Zacharie,  XII,  30.  Il  est  envoyé  à  Rome  au 
sujet  de  Pépin  qu'on  voulait  déclarer  roi,  34. 

—  Sa  Vie  écrite  par  le  moine  Elzilvard,  XIII, 
180,  181.  Autre  Vie  par  un  anonyme,  181. 

BURCHARD,  nommé  à  l'évêché  de  Char- 
tres, rejeté  par  les  évêques,  ordonné  par 
ordre  de  Charles  le  Chauve,  XII,  441. 

BURCHARD,  archevêque  de  Lyon.  (On  a 
de  lui  un  statut.  Voyez  ce  qui  en  est  dit 


dans  VHisto\re  littéraire  de  la  France,  tome 
VI,  p.  8.) 

BURCHARD,  évêque  de  Worms.  Voyez     xi  siècic. 
Bouchard. 

BURCHARD  ou  PURCHARD ,  abbé  de  xi  siècle. 
Saint-Emmeran  de  Ratisbonne.  Lettre  que 
lui  écrit  Arnold,  prévôt  de  ce  monastère, 
XIII,  94,  93.  Peut-être  le  même  que  celui  à 
qui  est  adressée  une  lettre  par  Bernon,  abbé 
de  Reichenau,  127. 

BURCHARD,  évêque  de  Metz,  sacré  à  la 
place  d'Hérimann,  XIV,  53.  Remarque  sur 
son  ordination,  36, 

BURCHARD,  premier  abbé  de  Balerne.     xii  mécie. 
Sa  lettre  à  saint  Bernard  ;  réponse ,  XIV, 
436,  437. 

BURGLEN,  abbaye  en  Brisgau.  Sa  Chro- 
nique par  Conrad,  abbé  de  Moury,  XIV,  341. 

BURGONDION  ( ),  jurisconsulte  et  ci- 
toyen de  Pise.  Sa  traduction  latine  du  livre 
de  saint  Jean  Damascène  de  la  Foi  ortho- 
doxe, XII,  97.  —  Sa  traduction  latine  de 
l'ouvrage  de  Némésius  intitulé  de  la  Nature 
de  l'homme,  et  du  Commentaire  de  saint 
Jean  Chrysostôme  sur  saint  Matthieu  ;  temps 
de  la  mort  de  ce  traducteur,  XIV,  280.  ii94. 

BURGOS,  ville  d'Espagne.  Conciles  tenus 
en  cette  ville,  XIV,  1071  et  1113.  Concile  de    losoet  use. 
Fussel  ou  Huzillos  qui  fixe  les  limites  des        luss. 
diocèses  de  Burgos  et  d'Osma,  1079. 

[BURIEL,  jésuite,  prépare  une  édition  de 
la  collection  des  canons  attribués  à  saint 
Isidore  de  Séville,  XI,  727.] 

BURNET  (Gilbert),  évêque  de  Salisbury, 
Sa  traduction  anglaise  du  traité  de  Lactance 
de  la  Mort  des  persécuteurs  ;  sa  traduction 
française  du  même,  II,  521.  [Elle  est  plutôt 
de  Basnage,  321.] 

[BURONZO.  Son  édition  des  œuvres  d'At- 
ton  de  Verceil,  XII,  820.] 

BURTON  (Guillaume).  Sa  traduction  an- 
glaise de  la  première  Lettre  de  saint  Clé- 
ment, I,  361. 

[BURTON.  Son  édition  de  l'Histoire  ecclé- 
siastique d'Eusèbe  de  Césarée,  III,  315.] 

[BURTON  (E.).  Son  édition  des  Annotatio- 
nes  variorum  in  historiam  ecclesiasticam,  VIII, 
525.] 

BUSCHUS.  Son  Commentaire  sur  le  poëme 
de  Fortunat  sur  la  Résurrection,  XI,  414. 

RUSÉE  (Jean),  jésuite.  Son  édition  de  la 
Vie  de  saint  Wigbert,  abbé  de  Fritzlar,  par 
Loup  de  Ferrières,  avec  deux  homéhes  et 
deux  hymnes  en  l'honneur  du  même  saint, 
XII ,   311 ,   312.    Son  édition  des  œuvres 


'172 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1099. 


d'Hincmar  de  Reims,  689.  —  Son  édition  de 
l'abrégé  chronologique  de  la  vie  des  papes 
par  Abbon  Pleury,  avec  celui  de  Luitprand, 
XIII,  32.  —  Son  édition  des  œuvres  de 
Pierre  de  Blois,  XIV,  783  ;  et  des  sermons 
de  Pierre  Gomester  qu'il  attribue  à  Pierre 
de  Blois.  744» 

[RUSÉE  (le  docteur).  Son  Histoire  alle- 
mande de  saint  Paulin  de  Noie,  VIII,  55.] 

BUSSI-RABUTIN  (Roger  de).  Voyez  Ra- 
butin. 

BUSTE  (Matthieu).  Son  édition  de  plu- 
sieurs des  Épigrammes  de  Jean  Mauropus, 
métropolitain  d'Euchanie,  XIII,  229. 

BYSANCE,  archevêque  de  Trani,  deman- 


de au  concile  de  Rome  la  permission  de 
poursuivre  la  canonisation  de  saint  Nicolas 
Pérégrin  ;  il  fait  bâtir  une  église  en  l'hon- 
neur de  ce  saint,  XIII,  438. 

BYSE,  évêque  de  Séleucie,  condamne  les 
Messaliens,  IV,  646. 

BYTIEN,  général  célèbre  par  une  victoire 
qu'il  remporta  sur  les  Perses,  X,  167. 

BYZACÈNE,  province  d'Afrique.  Lettre 
du  pape  saint  Zosime  aux  évêques  de  cette 
province,  VII,  538.  —  Conciles  de  cette 
province,  XI,  859,  909. 

BYZE,  ville  de  Thrace.  Du  temps  du  con- 
cile d'Éphèse,  l'évêque  de  Byze  l'était  aussi 
d'Arcadiopolis,  VIH,  591. 


418. 


CABALES  interdites  aux  ecclésiastiques 
et  aux  moines,  X,  699. 

CAB ARETIERS  qui  mêlent  de  l'eau  dans 
le  vin.  Paroles  du  prophète  Isaïe  dont  saint 
Astère  d'Amasée  fait  usage,  VI,  306  —  et 
sur  lesquelles  saint  Maxime  de  Tarin  a  fait 
une  homélie,  X,  323. 

CABARETS  interdits  aux  clercs  par  le  ca- 
non 54  des  Canons  apostoliques,  II,  585.  — 
IV  siècle.     Canons  24  et  25  du  concile  de  Laodicée,  III, 
393.         511.  —  Canon  28  du  concile  d'Hippone,  VII, 
397.         715.  Canon  27  du  troisième  concile  de  Car- 
thage,  722.  —  Article  d'un  capitulaire  de 
Charlemagne,  XII,  237.  Article  d'un  statut 
de  Riculphe,  évêque  de  Soissons,  747. 
393.  CABARSUSSI  dans  la  Byzacène.  Concile 

qui  y  lut  tenu  par  les  Donatistes,  IV,  658. 
[CACCIARI  (le  père  Th.),  professeur  à  la 
Propagande  ;  son  édition  de  l'Histoire  ecclé- 
siastique d'Eusèbe,  III,  314  —  Son  édition 
des  œuvres  de  Rufin  d'Aquilée,  VII,  483.  — 
Son  édition  des  œuvres  de  saint  Léon  le 
Grand,  X,  275.] 
1061.  CADALOUS,  évêque  de  Parme,  antipape 

sous  le  nom  d'Honorius  II,  élu  par  une  fac- 
tion opposée  à  Alexandre  11  ;  attaque  Rome 
pour  y  rentrer  à  main  armée  ;  est  fait  pri- 
sonnier et  retourne  à  Parme  ;  est  déposé  au 
concile  d'Osbor,  puis  à  celui  de  Mantoue, 
où  l'élection  d'Alexandre  11  est  confirmée;  il 
rentre  à  Rome,  où  il  se  maintient  encore 
deux  ans,  XIll,  285.  Sa  mort,  285  et  286. 
Lettres  de  saint  Pierre  Damien  qui  lui  sont 
adressées ,  300.    Lettre  du  même   sur  lé- 


lection  de  Cadaloûs,  301.  Opuscule  du  même 
à  l'occasion  de  son  élection,  310,  311.  — 
Gomment  il  fut  élu,  XIV,  1062.  Il  est  dé- 
posé, 1063.  Sa  condamnation  confirmée, 
1063. 

CADFRID  [ouLADFRlD]à  quisaintAdelme 
de  Schirburn  écrit  une  lettre,  XI,  805,  806. 
[La  première  édition  et  la  table  de  Rondet 
portent  Gadfrid,  mais  il  faut  lire  Eadfrid.] 

CADRANS  SOLAIRES  envoyés  à  Gonde- 
baud  par  Théodoric,  X,  647. 

[CADOAL,  roi  des  Anglo-Saxons  ;  sa  mort 
à,  Rome  ;  épitaphe  de  ce  prince  par  Benoît 
Crispus,  Xn,  20.] 

GADROÉ  (Saint),  abbé  de  Vassor,  puis  de 
Saint-Vincent  de  Metz.  Sa  Vie  écrite  par  le 
moine  Reimanne  ou  Osmanne,  XII,  882,  883. 

CAEN ,  ville  de  France  en  Normandie. 
Concile  qui  y  est  assemblé,  XIII,  267.  Ori- 
gine de  l'abbaye  de  Saint-Étienne  et  de  celle 
de  la  Trinité,  411.  L'abbaye  de  Saint- 
Étienne  de  Caen  devient  célèbre  pour  les 
études  sous  Lanfranc,  son  premier  abbé, 
441 .  —  Deux  conciles  tenus  en  cette  ville, 
XIV,  1054. 

CAERLÉON.  Métropole  de  la  Cambrie,  ou 
province  de  Galles.  Concile  qui  se  tient  en 
cette  ville,  XI,  823. 

CAGLIARI.  Ville  de  Sardaigne.  Lucifer, 
évêque  de  Cagliari,  IV,  239  et  suiv. 

[GAILLAU  (le  Père),  prêtre  de  la  Miséri- 
corde, Éditeur  des  Selecti  Patres  en  la- 
tin, 130  vol.  in-8°,  comprenant  les  Pères 
apostoliques  jusqu'à  saint  Augustin  inclusi- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


173 


vement.  Il  est  cité  sous  chacun  des  Pères 
qu'il  a  édités.  Son  édition  des  œuvres  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  361,  362.  — 
Son  édition  des  sermons  inédits  de  saint 
Augustin,  IX,  835  et  suiv.  Il  avait  publié  en 
1838  et  1839  deux  volumes  d'une  nouvelle 
édition  des  Auteurs  sacrés  et  ecclésiastiques 
de  D.  Ceillier,  chez  de  Saint-Paul,  imprimerie 
de  Belin  Bandar;  ce  sont  les  IIP  et  IV=  vo- 
lumes :  les  deux  premiers  étaient  réservés 
aux  Auteurs  sacrés.] 

GAIN,  premier  fils  d'Adam.  Témoignage 
d'Eusèbe  de  Césarée  sur  Gain,  III,  240,  — 
de  saint  Basile,  IV,  483.  —  Livres  de  saint 
Ambroise  sur  Gain  et  Abel,  V,  399.  —  Té- 
moignage de  saint  Jean  Ghrysostôme,  VII, 
31  et  353.  Gain  fait  le  sujet  d'un  opuscule 
faussement  attribué  au  même  saint,  333.  — 
[Sermon  de  saint  Augustin  sur  Gaïn  et  Abel, 

IX,  841.]  — Discours  de  Basile  de  Séleucie 
sur  Gain  et  Abel,  X,  164. 

GAINAN,  fils  d'Arpliaxad.  Ouvrages  qu'on 
lui  a  attribués  faussement,  I,  266. 

GAINITES,  hérétiques.  Leur  faux  évan- 
gile, I,  273.  Témoignage  de  saint  Irénée  sur 
les  Gaïnites,  502,  —  de  saint  Basile,  IV, 
483,  —  de  saint  Philastre,  V,  173,  —  de 
saint  Épiphane,  VI,  391,  392,  —  de  saint 
Isidore  de  Péluse,  VIII,  492,  —  de  Théodo- 
ret,  X,  110.  (Il  faut  hre  ici  GAINITES  et 
non  GAIAiNISTES  ou  GAIANISTES.) 

GAIS.  Monastère  de  la  congrégation  de 
Tabenne,  IV,  233. 

CAIDS,  prêtre  de  Rome,  évêque  des  na- 
tions ,  docteur  de  l'église  ;  florissait  sous 
Garacalla,  I,  561.  Sa  dispute  avec  Procle, 
Montaniste,  561  et  562.  Écrits  attribués  à 
Caïns,  561,  562,  563.  [Éditions  des  frag- 
ments de  Caïus,  562.  —  Il  n'est  pas  l'auteur 
des  Pkilosophumena,  II,  201,  note  10.]  (Voyez 
l'article  de  Gaïus  dans  VHistoire  littéraire  de 
la  France,  t.  I,  partie  I,  p.  336  et  suiv.) 

CAIUS  (Saint),  pape,  Décrétale  qui  lui  est 
faussement  attribuée,  V,  88. 

CAIUS  (Saint),  martyr  à  Sarragosse,  III, 
44. 

CAIUS,  évêque  de  Parétoine,  IV,  639. 

CAIUS  SOLLIUS  APOLLINARIS.  Voyez 
Sidoine  Apollinaire. 

CAIUS,  moine.  Lettres  qui  lui  sont  adres- 
sées, attribuées  à  saint  Denis  l'Aréopagite, 

X,  531,  552. 

[CAIOT  :  sa  version  française  de  l'Histoire 
de  l'Église  de  Verdun,  XII,  773.] 
CAJETAN  (Constantin),  abbé  bénédictin. 


Son  édition  des  œuvres  de  saint  Pierre  Da- 
mien,  XIII,  324. 

CALABRE,   province  d'Italie.  Lettre  du 
pape  saint  Gélestin  aux  évêques  de  Pouille        i29. 
et  de  Calabre,  VIII,  130. 

CALAME ,  ville  d'Afrique.  Soulèvement, 
qui  s'y  forme  de  la  part  des  païens  contre 
les  chrétiens,  IX,  96.  Prise  de  Galame  par        403. 
les  Vandales,  563. 

CALAMITÉS.  Poème  de  saint  Grégoire  de         3S3. 
Nazianze  intitulé  :  Des  Calamités  de  son 
âme,  V,  271.  —  Discours  de  saint  Gésaire 
d'Arles  sur  les  calamités,  XI,  142. 

CALAMON  (le  mont).  Erreurs  de  quelques 
moines  de  ce  lieu  réfutées  par  saint  Cyrille 
d'Alexandrie,  VIII,  319. 

CALANDION  ou  GALENDION,  élu  évêque 
d'Antioche,  informe  le  pape  de  son  élection, 
X,  407  et  718.  Addition  qu'il  fait  au  Trisa- 
gion  de  Pierre  le  Foulon,  408.  Il  recom- 
mande au  pape  l'affaire  de  Jean  Talaïa,  410. 
Il  est  exilé  dans  l'Oasis  pour  son  attache- 
ment à  la  foi  catholique,  417. 

[GALANDOLOGIE  ou  PHYSIOLOGUS,  li- 
vre prohibé  par  saint  Nicéphore,  patriarche 
de  Gonstantinople,  XII,  297.] 

CALATRAVA,  ville  d'Espagne  en  Cas- 
tille,  dont  un  ordre  militaire  porte  le  nom. 
Le  pape  Innocent  III  met  l'ordre  de  Calatrava 
sous  la  protection  du  Saint-Siège,  XIV,  969. 

CALCÉDOINE.  Voyez  Chalcédoine. 

CALCHUT  ou  CELCHYT,  dans  le  royaume 
de  Mercie  (Angleterre).  Conciles  tenus  en 
cette  ville,  XIII,  617  et  653. 

GALGIDE,  désert.  Voyez  Chaldde. 

CALGIDIE  ou  CHALCIDIE,  à  qui  saint 
Jean  Ghrysostôme  écrit  une  lettre,  VII,  133. 

CALCUL  ou  COMPUT  ecclésiastique. 
Voyez  Comput. 

GALCULUS.  Surnom  qu'on  donne  quel- 
quefois à  Guillaume  de  Jumiége,  XIII,  409. 

CALDONE,  évêque  d'Afrique.  Saint  Gy- 
prien  en  fait  son  vicaire,  II,  262.  Lettre  de 
Caldone  à  ce  saint,  304,  305.  Lettre  de  saint 
Gyprien  à  Caldone,  355.  Autres  lettres  des 
mêmes,  311. 

CALENDES  de  janvier.  [Sujet  d'une  homé- 
lie de  Sévérien  de  Cabales,  VII,  208.  —  Ser- 
mons de  saint  Augustin  sur  ce  sujet,  IX,  239. 
—  Homéhes  de  saint  Maxime  de  Turin  sur  le 
même  sujet,  X,  323.  —  Une  autre  attribuée 
à  Sédalus,  évêque  de  Béziers,  XI,  324. 

CALENDRIER  des  Martyrs.  Ouvrage  d'un      iv  siècle 
anonyme,  IV,  323,  324.  [Voyez  p.  324,  n.  1 .] 
[Calendrier    ecclésiastique    de    l'Église    de 


404. 


m  siècle. 


IV  ou 
V  siècle. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


174 

Garthage,  324.]  —  Calendrier  sacré  et  pro- 
fane composé  par  Salvius,  évêque  d'Oc- 
todure  ou  Marlignac,  VIII,  432.  — Traité  de 
Raban  Maur  sur  le  Calendrier,  XII,  464.  — 
[Calendriers  anciens,  XIII,  22.] 

CALÉS  ou  CALAIS,  KALAIS  (Saint).  Ab- 
baye au  diocèse  du  IVIans.   Ses  privilèges 
contre  les  prétentions  de  l'évéque  du  Mans, 
M5         sont  confirmées  au  concile  de  Boneuii,  eten- 

862.  suite  à  celui  de  Pistes,  XIII,  689,  puis  à  ce- 

863.  lui  de  Verberies,  697. 

ui  siècle.  CALICES,  vases  sacrés.  On  y  gravait  l'i- 
mage du  Sauveur  du  temps  de  TertuUien, 
II,  36.  —  Saint  Athanase  accusé  d'avoir 
rompu  un  calice,  III,  431.  —  Le  calice  était 
à  la  garde  de  l'évéque  et  des  prêtres,  IV, 
217.  Usage  de  mêler  l'eau  avec  le  vin  dans 
le  calice,  523.  —  Calices  rompus  par  les 
DonatisteSj  V,  136.  —  On  croyait  avoir  con- 
servé le  calice  dont  Jésus-Christ  se  servit  dans 
la  Cène,  XI,  801.  —  Canon  attribué  au  pa- 
triarche saint  Nicéphore  sur  la  consécration 
du  calice,  XII,  286.  S'il  est  permis  à  une  re- 
ligieuse de  boire  de  l'eau  dans  un  calice, 
308.  Règlement  de  Riculte  de  Soissons  sur 
le  calice,  747.  Règlement  d'Alton  de  Verceil, 
821.  —  Lettre  d'Yves  de  Chartres  sur  ce 
que  dans  la  consécration  du  calice  on  dit 
ces  paroles  :  Mystère  de  foi,  XIV,  120.  — 
Canons  du  concile  de  Tribur  sur  l'usage  du 
calice,  XIII,  735. 
tu  siècle.  CALIXÏE  I"  (Saint),  ou  CALLIXTE,  pape. 
[Fausseté  des  accusations  portées  contre 
lui,  II,  202.]  —  Décrétâtes  qui  lui  sont  faus- 
sement attribuées,  VI,  85. 

CALIXTE  II,  pape,  nommé  auparavant 
Gui,  et  archevêque  de  Vienne.  [Pièces  con- 
cernant ce  pape  dans  la  Patrologie,  XIV, 
1092,  n.  5].  Son  illustre  naissance  ;  il  suc- 

H19  cède  au  pape  Gélase  II  ;  ses  lettres  par  les- 
quelles il  fait  part  de  sa  promotion  aux  évê- 
ques  des  principaux  sièges  ;  il  est  reconnu 
en  Italie,  1092.  Il  tient  un  concile  à  Toulou- 
se ;  canons  de  ce  concile,  1092  et  1093.  Il 
tient  un  autre  concile  à  Reims  ;  conférence 
avec  l'empereur  Henri  V,  1093.  Henri  et 
l'antipape  Maurice  Bourdin  sont  excommu- 
niés; entrevue  de  Calixte  II  et  de  Henri  l", 
roi  d'Angleterre,  à  Gisors  ;  Calixte  passe  en 

1120  Italie  et  arrive  à  Rome  d'où  il  est  obligé  de 
sortir  un  mois  après,  1094.  A  quelles  condi- 
tions il  fait  la  paix  avec  l'empereur,  1096. 
Premier  concile  général  de  Latran,  1096  et 
1097.  Rescrit  par  lequel  Calixte  II  déclare 
les  moines  de  Saint-Macary  soumis  à  l'ab- 


usa. 


1123. 


bé  de  Sainte-Croix  de  Bordeaux,  1097.  Ses 
lettres,  1097  et  suiv.  Lettre  du  roi  Louis  le 
Gros  au  pape  Calixte  H,  1098, 1099.  Sa  bulle 
en  faveur  du  monastère  du  mont  Vulturne  ; 
Autres  lettres  de  Calixte  II,  1099.  [Autres 
lettres  et  privilèges  dans  la  Patrologie, 
1099  et  suiv.]  Lettres  écrites  à  Calixte,  1102. 
Écrits  faussement  attribués  à  Calixte,  1103 
et  suiv.]  Sa  mort,  231.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 
X,  p.  503  et  suiv.) 

CALIXTE  III,  antipape.  Voyez  Jean,  abbé 
de  Strum. 

CALIXTE,  préfet  d'Egypte,  massacré  à 
Alexandrie,  VIII,  279. 

[CALIXTE  (Frédèric-Ulric).  Son  édition 
du  livre  du  Bien  de  la  Patience,  par  saint 
Cyprien,  II,  384.] 

[CALIXTE  (Georges),  père  du  précédent. 
Sa  préface  de  l'édition  du  livre  de  saint  Cy- 
prien, n,  384.] 

[CALO  (Jean  ou  JOHANNICE),  roi  des  Bul- 
gares, Voyez  Jofiannice.] 

CALLIEU  (Pierre).  Ses  notes  sur  les  livres 
de  Boëce  de  la  Consolation  de  la  philoso- 
phie, X,  665. 

CALLIGONE,  eunuque,  grand  chambel- 
lan, menace  saint  Ambroise  de  lui  faire 
couper  la  tête  et  est  lui-même  décapité,  V, 
384  et  411. 

CALLIMAQUE.  Comédie  de  Roswithe,  re- 
ligieuse de  Gandershein,  sur  la  résurrection 
de  Callimaque  et  de  Drusiane,  par  saint 
Jean,  XII,  876. 

GALLINIQUE,  petite  ville  de  l'Osrhoène. 
Les  chrétiens  y  brûlent  une  synagogue  ; 
l'empereur  Théodose  ordonne  à  l'évéque  de 
la  rebâtir;  saint  Ambroise  s'y  oppose,  V,  388. 

CALLIOPE,  évêque  en  Thessalie.  Le  pape 
Boniface  le  déclare  séparé  de  sa  commu- 
nion, Vm,  10. 

CALLIOPE,  prêtre  de  Nicée.  Lettre  que 
lui  écrivit  Atticus  de  Constantinople,  VIII,  13. 

CALLISTHÉNE.  Lettre  que  lui  écrivit 
saint  Basile  le  Grand,  IV,  443. 

CALMINIUS,  ami  de  saint  Sidoine  qui  lui 
écrit,  X,  389. 

CALOMNIATEURS.  Canon  quatorzième  du 
premier  concile  d'Arles,  II,  632.  —  Décret 
attribué  au  pape  saint  Damase,  V,  23.  — 
Calomniateur  excommunié,  XI ,  394.  Un 
autre  condamné  au  fouet  et  à  l'exil,  527.  — 
[Collection  de  décrets  contre  la  calomnie 
par  Odoranne,  XIII,  114.] 

CALOSYRIUS,    évêque   d'Arsinoé,  à  qui 


1124. 


422. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


175 


saint  Cyrille  d'Alexandrie  adresse  son  livre 
contre  les  Antliropomorphites,  VIII,   319. 

CALPDRNIUS,  diacre,  père  de  saint  Pa- 
trice^ X,  444. 

CALUPPAN  (Saint),  Reclus.  Sa  Vie  par 
saint  Grégoire  de  Tours,  XI,  381. 

CALVAIRE,  montagne  qu'on  dit  située  au 
milieu  de  la  terre,  VI,  33. 

CALVISIEN,  gouverneur  de  Sicile,  III,  31. 

CAMATÈRE  (Andronic).  Voyez  Andronic 
Camatère. 

CAMATÈRE  (Jean),  patriarche  de  Cons- 

tantinople.  Voyez  Jean  Camatère. 

I  siècle.         CAMBRAI,  [maintenant  ville  de  France.] 

Lettre  des  clercs  de  Cambrai  qui  se  plaignent 

de  ce  qu'on  voulait  les  réduire  à  une  seule 

prébende ,    et  les   obliger   à   quitter  leurs 

femmes,  XIII,  276,  277.  L'évêché  d'Arras 

1092.        en  est  disirait  par  une  bulle  du  pape  Ur- 

«93.        bain  II;  concile  de  Reims  à  ce  sujet,  427. 

Chronique  de  Cambrai  par  Baudri,  chantre 

de  Térouane,  481,  482.  Concile  de  Rome  au 

sujet  des  usurpations  faites  sur  l'Église  de 

Cambrai,  763. 

CAMDEN  (Guillaume),  savant  anglais. 
Son  édition  de  la  Vie  du  roi  Alfred,  par  As- 
ser,  XII,  782. 

GAMÈNlATE{Jea.n).YoyezJeanCamemafe. 

CAMÉRARIUS  (Joachim),  Allemand,  théo- 
logien protestant.  Sa  version  latine  de  quel- 
ques discours  de  saint  Grégoire  de  Nysse, 
VI,  259.  —  Sa  version  d'un  traité  attribué  à 
Pallade  d'Hélénople,  intitulé  :  Des  nations 
de  l'Inde  et  des  Brahmanes,  VII,  493.  —  Sa 
version  du  traité  de  Synésius  de  la  manière 
de  gouverner,  VIII,  33.  —  Sa  version  de 
l'Histoire  ecclésiastique  de  Théodoret,  et  de 
son  Histoire  religieuse,  X,  141.  —  Sa  ver- 
sion de  la  Chronique  de  Nicéphore,  XII,  282. 

CAMÉRARIUS  (Guillaume),  Écossais, 
théologien  catholique.  Son  édition  de  quel- 
ques opuscules  dont  un  de  saint  Fulgence 
de  Ruspe,  XI,  76. 

CAMILLE,  l'un  des  prêtres  de  Gênes  qui 
consultèrent  saint  Prosper  sur  le  vrai  sens 
de  quelques  propositions  de  saint  Augustin, 
X,  300. 

CAMILLE,  père  de  saint  Ennode,  évêque 
de  Pavie,  X,  569. 

CAMPANIE,  province  d'Italie.  Lettre  de 
saint  Léon  aux  évêques  de  cette  province, 
X,  202.  Les  évêques  de  Campanie  donnaient 
le  baptême  solennel  même  aux  fêtes  des 
martyrs  ;  le  pape  saint  Léon  s'oppose  à  cet 
abus,  237. 


GAMPANUS ,   philosophe   de  Lombardie     xi  siècle, 
dont  les  ouvrages  sont  perdus.  (Voyez  Du 
Pin.) 

CAMPEMENTS  des  Israélites  dans  le 
désert.  La  lettre  que  le  vénérable  Bède 
avait  écrite  sur  ce  sujet  est  perdue,  XII, 
15.  [Elle  est  publiée  dans  l'édition  du  doc- 
teur Giles,  reproduite  dans  la  Patrologie, 
15.] 

[GAMUZAT  (Nicolas).  Son  édition  de  l'His- 
toire des  Albigeois  de  Pierre  de  Vauls-Cer- 
nay,  XIV,  908.] 

G  AND  ALLA.  Ses  traductions  latine  et 
française  du  Pimandre  de  Mercure  Trismé- 
giste,  I,  299. 

CANDIDE,  auteur  ecclésiastique.  Ses  ou-      n  sièdc. 
vrages,  I,  537. 

CANDIDE  (Saint),   officier  de  la  légion     nt siècle, 
thébéenne,  martyr,  II,  473,  474. 

CANDIDE  (Saint),  martyr  du  nombre  des         320. 
Quarante,  III,  82  et  suiv. 

CANDIDE,  ami  de  Victorin,  écrit  en  fa- 
veur de  l'hérésie  arienne,  IV,  326.  Est  réfuté 
par  Victorin,  326  et  328, 

CANDIDE,  prêtre  et  abbé  à  qui  Théodoret 
adresse  une  de  ses  lettres,  X,  75. 

CANDIDE,  évêque  à  qui  saint  Grégroire 
le  Grand  écrit,  487. 

CANDIDE,  prêtre,  recteur  du  patrimoine 
de  saint  Pierre,  en  Gaule,  XI,  504,  508, 
313,  314. 

CANDIDE,  abbé  du  monastère  de  Saint- 
André  à  Rome,  XI,  510. 

CANDIDE,  moine  de  Fulde,  disciple  du 
saint  abbé  Eigil,  XII,  272.  On  l'a  confondu 
quelquefois  avec  un  autre  Candide  disciple 
d'Alcuin  ;  ce  qui  doit  les  faire  distinguer, 
385  et  386.  Il  est  chargé  du  soin  de  l'école  822. 
du  monastère  de  Fulde,  385.  Il  écrit  la  Vie 
de  saint  Eigil,  abbé  de  Fulde,  383  et  386. 
Son  Explication  de  la  passion  de  Jésus- 
Christ  ;  écrit  où  il  répond  à  la  question  :  Si 
Jésus-Christ  vivant  sur  la  terre  a  pu  voir 
Dieu  son  Père  des  yeux  du  corps,  386.  Sa 
Vie  par  Baugulfe,  alDbé  de  Fulde,  est  per- 
due, 387.  [Édition  de  ses  deux  écrits  dans 
la  Patrologie,  387.]  Son  Image  du  monde  est 
restée  manuscrite,  387.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  V, 
p.  10  et  11.) 

CANDIDE,  disciple  d'Alcuin,  doit  être  dis-     ix  sii^cie. 
tingué  de  Candide,  moine  de  Fulde,  XII, 
383,  386.  On  lui  a  attribué  deux  écrits,  mais 
ils  sont  plutôt  du  moine  de  Fulde  ;  le  disci- 
ple d'Alcuin  n'est  connu  par  aucun  ouvrage, 


d76 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


et  il   n'y  a  point  de  preuves  qu'il  ait  été 
moine,  386. 
358.  CANDIDIEN ,    ami    de    saint    Basile    le 

Grand.  Lettre  que  ce  saint  lui  écrivit,  IV, 
423,  426. 
IV  siècle.         CANDIDIEN,  gouverneur  de  Cappadoce. 
Saint  Grégoire  de  Nazianze  lui   écrit,   V, 
266. 

CANDIDIEN,  évêque,  porteur  d'une  lettre 
du  pape  Sirice,  VI,  103. 

CANDIDIEN,  à  qui  saint  Nil  écrit,  VIII, 
219. 

CANDIDIEN,  diacre,  porteur  d'une  lettre 
d'AIypius,  curé  de  Gonstantinople,  à  saint 
Cyrille,  VIII,  291,  292. 
m.  CANDIDIEN,  comte,  capitaine  des  gardes 

de  l'empereur  Théodose  le  Jeune,  vient  au 
concile  d'Éphèse  avec  des  troupes  ;  nommé 
par  l'empereur  pour  assister  de  sa  part  au 
concile,  mais  seulement  pour  maintenir  le 
bon  ordre,  VIII,  573.  Il  prend  le  parti  des 
Orientaux;  il  demande  qu'on  attende  leur 
arrivée  pour  commencer  le  concile  ;  ses  re- 
présentations n'étant  point  écoutées,  il  sort 
de  l'assemblée  et  fait  une  protestation  dont 
il  envoie  copie  à  l'empereur,  576.  Sa  partia- 
lité pour  Nestorius,  579,  580.  Il  vient  à  l'as- 
semblée tenue  par  Jean  d'Antioche  et  l'in- 
dispose contre  le  concile,  380  et  suiv.  Il 
veut  empêcher  les  évêques  de  célébrer  les 
saints  mystères,  581.  Le  concile  demande 
qu'il  soit  rappelé,  582.  Le  comte  Jean  lui 
donne  la  garde  de  Nestor! us,  26  et  593.  Il 
fait  à  l'empereur  une  relation  infidèle  de  la 
déposition  de  Nestorius,  37i  et  582. 

CANDIDIEN,  ami  de  saint  Sidoine.  Lettre 
qu'il  lui  adresse  ;  réponse  de  celui-ci,  X, 
383. 

CANDIDUS  (Donatus),  éditeur  des  Ques- 
tions de  Loup,  abbé  de  Perrières,  XII,  512. 

GANGE  (du).  Voyez  Fi^esne  (du). 

CANISIUS  (Pierre),  jésuite  très-distingué. 
Son  édition  des  œuvres  du  pape  saint  Léon, 
X,  274. 

CANISIUS  (Henri),  jurisconsulte ,  neveu 
du  précédent.  Son  édition  de  quelques  frag- 
ments de  la  Chronique  d'Idace,  et  de  l'a- 
brégé qui  en  a  été  fait  au  temps  de  Charle- 
raagne  par  un  chronologiste  français,  X, 
342. — [Il  insère  l'Histoire  de  la  prise  de  Gons- 
tantinople par  Gonlhier  dans  ses  Lectiones 
antiquœ,  XIV,  896.] 

[CANNOM  (Grégorio),  travaille  à  l'édition 
des  œuvres  de  Rupeit,  XIV,  292.] 

CANON  DES  DIVINES  ÉCRITURES  chez 


les  Juifs  et  chez  les  Chrétiens,  I,  87  et  suiv., 
91,  92.  Canon  des  Écritures  selon  Méliton,  m  siècle 
évêque  de  Sardes,  449,  430.  —  Selon  Ori- 
gène,  II,  203  et  suiv.;  selon  les  Canons 
apostoliques,  387. — Canon  des  Écritures  faus- 
sement attribué  au  concile  de  Nicée,  III, 
439.  Canon  des  Écritures  selon  le  concile  de  iv  siècle 
Laodicée,  313  ;  —  selon  saint  Hilaire  de  iv  siècle 
Poitiers,  IV,  67,  68  ;  et  selon  saint  Athanase,  iv  siécie, 
187  et  suiv.  —  [Canon  des  Écritures  attribué 
à  saint  Damase,  V,  23.]  Canon  des  Écritures 
selon  saint  Cyrille  de  Jérusalem,  62,  63  ; 
selon  saint  Grégoire  de  Nazianze,  274,  307, 
308  ;  —  selon  saint  Épiphane,  VI,  424  ;  — 
selon  saint  Jean  Chrysostôme,  VII ,  350  et 
suiv.;  selon  Rufm,  480,  481;  selon  le  pape 
saint  Innocent,  512.  Canon  des  livres  saints 
de  l'Ancien  Testament  chez  les  Hébreux, 
selon  saint  Jérôme,  631,  632.  Canon  des 
livres  du  Nouveau  Testament,  selon  le  même  iv  ft 
Père,  652.  Canon  des  livres  saints  selon  le 
concile  de  Carthage,  723.  —  Canon  des  di- 
vines Écritures  selon  le  sixième  concile  de  419. 
Carthage,  VIII,  566.  —  Canon  des  divines 
Écritures  rapporté  par  saint  Augustin,  IX, 
568,  569.  —  Canon  des  divines  Écritures 
contenu  dans  le  décret  du  pape  Gélase,  X, 
723.  —  Canon  des  divines  Écritures  rapporté 
par  Cassiodore,  XI,  231.  Canon  des  hvres 
saints  selon  Léonce  de  Byzance,  668;  selon 
saint  Isidore  de  Se  ville,  712  et  716;  —  se- 
lon saint  Jean  Damascène,  XII,  92  ;  selon 
Alcuin,  208,  209;  et  selon  le  patriarche 
saint  Nicéphore,  282.  Voyez  Canoniques. 

CANON  DE  LA  MESSE.  Le  pape  saint  Gré- 
goirele  Grandes!  le  premier  qui  appelle  canon 
les  prières  de  la  Messe  qui  se  disent  après 
le  Sanctus,  XI,  533.  Paroles  qu'il  y  ajoute, 
338,  et  XIII,  1.  —  Canon  de  la  Messe  exph- 
qué  par  Rerai  d'Auxerre,  XII,  758.  —  Antre 
explication  par  Pierre  de  Chartres,  XIII , 
111.  —  Autre  par  le  B.  Odon,  évêque  de 
Cambrai,  XIV,  73,  74.  Canon  de  la  Messe 
expliqué  par  Odon  d'Orléans  ;  Canon  d'un 
concile  de  Londres  qui  ordonne  de  pronon- 
cer distinctement  les  paroles  du  Canon  delà 
Messe  et  des  offices  divins,  1146.  V.  Messe. 

CANON  PASCAL.  Voyez  Ctjcle. 

CANON  ÉPISCOPAL,  ou  institution  d'un 
évêque,  ouvrage  de  Pierre  de  Blois,  XIV, 
779,  780. 

CANONICITÉ  des  livres  saints.  C'est  h 
l'Église  qu'il  appartient  d'en  juger,  I,  113. 

CANONIQUE  des  évêques.  Ce  que  c'est  ; 
à  quoi  elle  est  fixée   par   une   constitution 


1200. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


177 


de  l'empereur  Alexis  Comnène,  XIV,  142. 
CANONIQUES  (Livres).  Quand  a-t-on  com- 
mencé à  dresser  un  canon  exact  des  Écri- 
tures, I,  90,  91.  Règle  pour  distinguer  les 
Écritures  canoniques  de  celles  qui  ne  le  sont 
pas  ;  on  a  quelquefois  donné  le  nom  d'apo- 
cryphes   à    des   livres   qui   sont   regardés 
comme  tels  chez  les  Juifs,  mais  qui  sont  re- 
çus comme  canoniques  chez  les  Chrétiens, 
91.  A  qui  il  appartient  de  discerner  des  li- 
vres canoniques,  113. —  Le  décret  touchant 
les  livres  canoniques  ou  apocyphes  n'est  pas 
du  pape  saint  Hormisdas,  X,  633  ;   mais  du 
pape  saint  Gélase,  633  et  723.  —  Livres  cano- 
niques de  l'Écriture  sainte  selon  saint  Gré- 
goire le  Grand,  XI,  552,  553.  Voyez  Écri- 
ture sainte  et  Canon  des  divines  Ecritures. 
CANONISATION  DES  SAINTS.  Comment 
le.     elle  se  faisait  au  temps  de  saint  Grégoire  de 
Tours,  XI,  376.  — Premier  acte  authentique 
de  la  canonisation  des  saints,  XIII,  762.  — 
Suivant  le  pape  Eugène  III,  elle  ne  devrait 
se  faire  que  dans  des   conciles  généraux, 
XIV,  272.  Jusqu'au  dixième  siècle,  elle  se 
faisait  par  les  métropolitains;  dans  la  suite, 
les  papes  se  la  sont  réservée,  922. 
,e.         CANONS   ÉVANGÉLIQUES  d'Eusèbe  de 
Césarée,  III,  240,  241.  [Rhythme  sur  les  ca- 
nons d'Eusèbe,  241.  —  Canons  sur  les  épîtres 
de  saint  Paul,  par  Priscillien  l'hérésiarque  : 
le  cardinal  Maï  a  publié  cet  écrit,  VI,  265, 
266.]  — Canons  des  Évangiles  dressés  par  le 
B.  Odon,  évêque  de  Cambrai,  XIV,  76.  Voyez 
Concordance  et  Concorde. 

CANONS  DE  DISCIPLINE  doivent  être 
observés  dans  les  Églises  pour  lesquelles  ils 
ont  été  faits,  II,  561.  —  Sous  quelles  peines 
ou  349.  ils  doivent  être  observés  :  canon  14  du  pre- 
mier concile  de  Garthage,  111,  501.  —  Selon 
le  pape  saint  Innocent,  il  n'est  pas  permis 
aux  évoques  d'ignorer  les  canons,  VII,  525. 
Respect  qui  est  dû  aux  saints  canons  ;  sujet 
d'un  canon  de  quelque  concile  de  Garthage, 
726.  —  Sujet  du  canon  18  du  sixième  con- 
cile de  Carthage,  VIII,  565.  —  [Ce  que  saint 
Nicéphore,  patriarche  de  Gonstantinople,  dit 
des  canons  ecclésiastiques,  XII,  294.  Recueil 
de  canons  rédigé  par  le  même  saint  Nicé- 
phore, 297,  298.]  Origine  des  canons,  selon 
Jessé,  évêque  d'Amiens,  338.  Du  Mépris  des 
canons,  ouvrage  de  Rathérius,  évêque  de 
Vérone,  composé  contre  les  désordres  du 
clergé,  851.  Canons  reçus  par  le  concile  in 
TruUo,  960.  —  Leur  observation  recomman- 
dée par  Charlemagne,  XIII,  642. 

TAB.    I. 


CANONS  ECCLESIASTIQUES   DES  TROIS  PREMIERS 

SIÈCLES. 

CANONS  APOSTOLIQUES,  II,  573  et  suiv. 
Époque  à  laquelle  les  canons  ont  été  écrits, 
573  [n.  lOj.  Signification  du  mot  canon  apos- 
tolique, 573  [n.  11].  Les  canons  qui  portent 
le  nom  des  apôtres  ne  sont  point  d'eux  ;  pre- 
mière preuve  ;  ce  n'est  qu'au  concile  d'É- 
phèse  qu'ils  ont  pris  ce  nom,  573.  Seconde 
preuve  ;  plusieurs  de  ces  canons  supposent 
des  cérémonies  et  des  usages  qui  ne  se  pra- 
tiquaient pas  du  temps  des  apôtres;  d'autres 
attaquent  des  hérésies  et  répondent  à  des 
questions  qui  ne  se  sont  élevées  que  long- 
temps après  les  apôtres,  573  et  574.  Ils  ont 
été  recueillis  au  plus  tard  vers  le  commen- 
cement du  iv"  siècle  ;  première  preuve  ;  un 
de  ces  canons  est  cité  avant  la  tenue  du  con- 
cile de  Nicée,  574.  Seconde   preuve  ;  plu- 
sieurs de  ces  canons  ont  été  confirmés  parle 
concile  d'Antioche  tenu  en  341,  574  et  575. 
Troisième  preuve  ;  ces  canons  étaient  con- 
nus du  temps  de  saint  Athanase,  de  saint 
Basile,  et  cités  dans  plusieurs  conciles  avant 
le    milieu    du    v=  siècle ,    575.    Quatrième 
preuve  ;  plusieurs  de  ces  canons  paraissent 
avoir  rapport  à  des  conciles  particuliers  te- 
nus avant  le  concile  de  Nicée,  576.  Réponses 
aux  objections  du  ministre  Daillé  qui  dit  que 
ces  canons  n'ontétéfaits  que  dans  le  v'siècle, 
576  et  577.  Quand  même  les  trois  livres  des 
Machabées  seraient  reconnus  pour  livres  ca- 
noniques dans  un  de  ces  canons,  cela  prou- 
verait encore  que  l'auteur  vivait  avant  que 
le  nombre  des  livres  canoniques  fût  fixé  ;  à 
l'égard  des  Constitutions  apostoliques,  ce  qui 
en  est  dit  dans  le  canon  85  est  visiblement 
ajouté  par  l'auteur  même  des  Constitutions, 
576.  Si  ces  canons  ne  se  trouvent  point  dans 
le  Code  des  canons  de  l'Église  universelle, 
c'est  que  l'auteur  de  ce  Code  a  négligé  beau- 
coup de  canons  des  trois  premiers  siècles, 
576  et  577.  Eusèbe  et  saint  Jérôme  n'au- 
raient pas  manqué  de  parler  de  ces  canons 
s'ils  avaient  eu  à  prouver  qu'ils  n'étaient  pas 
des   apôtres;  mais  l'opinion  qui   les  leur 
attribue   n'était  pas    encore   connue;    plu- 
sieurs pères  des  quatre  premiers  siècles  ont 
cité  ces  canons;  quant  à  la  censure  du  pape 
Gélase  qui  déclare  ces  canons  apocryphes, 
elle  ne  prouve  pas  que  ces  canons  soient 
moins  anciens  que  plusieurs  autres  écrits  qui 
ne  sont  déclarés  apocryphes  que  parce  qu'ils 
s'éloignent  en  quelque  chose  de  la  doctrine 

12 


178 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLESIASTIQUES. 


325. 


341. 

347  [mais 

mieux  343]. 

348  ou  349. 

Entre 

341  et  381. 

380. 

374. 

380. 

381. 


390. 
734. 


375. 
IV  siècle. 


IV  siècle. 


de  l'Église,  577.  Autre  preuve  de  l'antiquité 
de  ces  canons  ;  sentiments  du  pape  saint  Inno- 
cent I"  et  d'Hincmar,  archevêque  de  Reims, 
qui  favorisent  celte  antiquité,  578.  Autorité 
de  ces  canons  dans  l'Église  romaine,  578  et 
579.  Leur  autorité  dans  l'Église  grecque,  579. 
[Ces  canons  se  trouvent  dans  le  recueil  à 
l'usage  de  l'Église  des  Nesloriens  par  Ebed- 
Jésus  ;  ils  y  sont  suivis  de  vingt  autres  ca- 
nons attribués  aussi  au  pape  saint  Clément, 
580  et  588,  n.  1.]  Analyse  des  canons  apos- 
toliques, 579  et  suivantes.  Editions  de  ces 
canons,  587,  588.  [Autres  éditions,  588; 
traduction  française ,  589.  ]  Plusieurs  des 
canons  d'Antioche  ont  été  tirés  des  canons 
apostoliques,  574,  575.  —  Quand  on  a  com- 
mencé de  citer  les  canons  des  apôtres,  VI, 
23  [et  n.  3], 

CANONS  qui  se  lisent  sous  le  nom  de  saint 
Hippolyte,  I,  635. 

CANONS   DU    QUATRIÈME   SIÈCLE. 

CANONS  du  concile  d'Elvire,  II,  603  et 
suiv.  Du  premier  concile  d'Arles,  630  etsuiv. 
Du  concile  d'Ancyre,  636  et  suiv.  Et  de  celui 
de  Néocésarée,  640,  641. 

CANONS  du  concile  général  de  Nicée,  III, 
429  et  suiv.  Canons  arabiques  attribués  au 
concile  de  Nicée,  440, 441 .  [Fragments  coptes 
où  l'on  trouve  le  canon  6  sur  la  suprématie 
des  souverains  pontifes,  443,  444.  Canon  du 
même  concile  sur  la  Pâque,  527.]  Canons  du 
concile  d'Antioclie,  ditde  la  Dédicace,  466  et 
suiv.  Du  concile  de  Sardique,  485  et  suiv. 
Du  premier  concile  de  Garthage,  498  et  suiv. 
Du  concile  de  Laodicée,  509  et  suiv.  Du  con- 
cile de  Gangres,  517,  518. 

CANONS  du  concile  de  Valence  dans  les 
Gaules,  IV,  601,  602.  Du  concile  de  Sarra- 
gosse  en  Espagne,  615,  616.  Du  premier 
concile  œcuménique  à  Constantinople,  622 
et  suivantes.  Ces  canons  sont  adressés  à 
l'empereur  Théodose,  625.  Autorité  de  ces 
canons,  626  et  suiv.  Du  deuxième  concile  de 
Garthage,  648  et  suiv. 

CANONS  de  saint  Basile  le  Grand  dans  sa 
première  lettre  canonique,  IV,  459  et  suiv. 
Dans  sa  deuxième,  465  et  suiv.  De  sa  troi- 
sième, 472  et  suiv. 

CANONS  de  saint  Grégoire  de  Nysse  dans 
son  épitre  à  Létoius,  VI,  156  et  suiv.  —  Ca- 
nons du  concile  d'Antioche  allégués  contre 
saint  Jean  Ghrysostôme,  rejetés  par  le  con- 
cile de  Sardique,  VII,  7.  Canons  attribués  à 


Théophile  d'Alexandrie,  445,  446.  Autres  du 
même,  446. 

CANONS  du  concile  d'Hippone,  VII,  712 
et  suiv.  Du  troisième  concile  de  Garthage, 
719  et  suiv.  Canons  tirés  de  quelques  con- 
ciles de  Garthage,  726,  727.  Canons  du  qua- 
trième concile  de  Garthage,  727  et  suiv.  Du 
cinquième  concile  de  Garthage,  734,  735. 
D'un  concile  de  Tolède,  739  et  suiv. 

CANONS  DU   CINQUIÈME   SIÈCLE. 

CANONS  exprimés  dans  les  lettres  du  pape 
saint  Innocent  ;  dans  sa  lettre  à  saint  Vic- 
trice,  évêque  de  Rouen,  VU,  507  et  suiv. 
Dans  sa  lettre  à  saint  Exupère,  évêque  de 
Toulouse,  511,  512.  Dans  sa  lettre  aux  évê- 
ques  de  Macédoine,  514  et  suiv.  Dans  sa 
lettre  à  saint  Alexandre  d'Antioche,  516. 
Dans  sa  lettre  à  Décentius,  évêque  d'Eugu- 
bio,  518  et  suiv.  Dans  sa  lettre  à  Félix,  évê- 
que de  Nocéra,  524,  525. 

CANONS  ou  règlements  du  concile  général 
de  Garthage,  VIII,  537  et  suiv.  Du  concile 
général  de  Milève,  539,540.  D'un  autre  con- 
cile général  de  Garthage,  542,  543.  Du  con- 
cile de  Rome  sous  le  pape  Innocent,  544  et 
suiv.  Du  concile  général  de  Garthage  contre 
les  Pélagiens,  536  et  suiv.  Du  même  concile 
pour  la  réunion  des  Donatistes,  559,  560.  Du 
concile  de  Tusdre  ;  de  Telle  ou  Télepte,  561. 
De  divers  conciles  d'Afrique,  S61  et  562.  Du 
sixième  de  Garthage,  563  et  suiv.  Autres 
canons  de  ce  concile,  568. 

CANONS  du  concile  général  d'Ephèse,  VIII, 
592  et  suiv.  Du  concile  de  Ries,  605,  606.  Du 
concile  d'Orange,  607  et  suiv.  Du  concile  de 
Vaison,  610,  611.  Et  du  deuxième  concile 
d'Arles,  612,  613. 

CANONS  du  concile  général  de  Ghalcé- 
doine,  X,  696  et  suiv. 

CANONS  du  premier  concile  attribué  à 
saint  Patrice,  X,  705,  706.  Du  deuxième  con- 
cile ,  706  et  suiv.  Du  deuxième  concile 
d'Arles,  708.  Du  concile  d'Angers,  709,  710. 
De  Tours,  711,  712.  De  Vannes,  712  etsuiv. 
Et  de  quatre  conciles  de  Rome,  715,  716, 
720,  721,  723  et  suiv. 

CANONS  DU   SIXIÈME   SIÈCLE. 

CANONS  du  concile  d'Agde,  X,  736  et  suiv. 
Autres  canons  attribués  au  concile  d'Agde, 
742,  743.  Canons  du  premier  concile  d'Or- 
léans, 743  et  suiv.  Du  concile  de  Tarragone, 
747  ei  suiv.  Uu  concile  de  Girone,  749,  730. 


393. 
397. 


398. 
401. 
400. 


404. 


405. 
414. 


415.  , 
416. 


401. 

402. 

407. 

Âpres  404 

418. 


431. 


451. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


179 


CANONS  du  concile  d'Epaone,  XI,  814  et 
suiv.  Du  concile  de  Lyon,  818.  Du  concile 
d'Arles,  824.  Du  concile  de  Lérida,  824  et 
suiv.  Du  concile  de  Valence,  826  et  suiv.  Du 
deuxième  d'Orange,  832  et  suiv.  Du  concile 
de  Vaison,  838,  839.  Du  deuxième  concile  de 
Tolède,  839,  840,  Du  deuxième  d'Orléans, 
848,  849.  De  celui  de  Clermont,  849,  850.  Du 
troisième  d'Orléans,  856  et  suiv.  Du  qua- 
trième concile  d'Orléans,  859  et  suiv.  Du  cin 
quième  concile  d'Orléans,  862  et  suiv.  D'un 
concile  d'Arles,  882,  883.  De  Paris,  883.  De 
Brague,  885,  886.  Du  deuxième  de  Lyon, 
887.  Du  deuxième  de  Tours,  887  et  suiv.  Du 
deuxième  de  Brague,  891,  892.  Du  concile 
de  Mâcon,  894,  895.  Du  troisième  de  Lyon, 
895.  Du  deuxième  de  Mâcou,  896,  897.  Du 
concile  d'Auxerre,  898.  Du  troisième  de  To- 
lède, 901  et  suiv.  Du  concile  de  Narbonne, 
904,  903. 

CANONS  DC  SEPTIÈME  SIÈCLE. 

CANONS  du  cinquième  concile  de  Paris, 
XI,  912,  913.  D'un  autre  de  Paris,  913.  — 
Canons  du  concile  de  Reims,  XII,  914,  913.  Du 
quatrième  de  Tolède,  916  et  suiv.  Du  hui- 
tième, 920.  Du  sixième,  920  et  921.  Du  sep- 
tième, 921.  Du  concile  de  Latran  sous  le  pape 
saint  Martin,  930,  931.  Du  concile  de  Cha- 
lon-sur-Saône, 931,  932.  Du  huitième,  neu- 
vième et  dixième  de  Tolède,  932, 933  et  suiv.  ; 
934,  935. 

CANONS  du  concile  deMérida,  XII,  936  et 
suiv.  D'Autun,  938,  939.  D'Hereford,  939, 
940.  Du  onzième  de  Tolède,  940,  941.  Du 
concile  de  Brague,  941,  942;  du  douzième, 
treizième  et  quatorzième  de  Tolède,  956, 
937,  958,  959.  Du  concile  Quinisexte  ou  in 
Trullo,  960  et  suiv.  Du  seizième  et  dix-sep- 
tième de  Tolède,  965,  966.  Du  concile  de 
Bergamstède,  967. 

CANONS  DU   HUITIÈME   SIÈCLE. 

CANONS  d'un  concile  de  Worms,  XIII, 
603.  De  Rome,  603,  606.  D'un  concile  d'Al- 
lemagne, 606,  607.  De  Leptines ,  607. 
De  Soissons,  607  et  608.  De  Rome,  608, 
609.  De  Cloveshou,  610  et  suiv.  De  Ver- 
berie,  612,  613.  De  Verneuil,  613  et  suiv. 
De  Metz.  De  Compiègne ,  613.  De  Cal- 
chut,  617.  Du  deuxième  général  de  Nicée, 
629  et  suiv. 

CANONS  du  concile  de  Frioul,  XIII,  633, 
634.  Du  concile  de  Francfort,  633,  636.  [Du 


concile  de  Risbach,  638,  639.   Du  concile 
de  Salsbourg,  639.] 

CANONS    DU    NEUVIÈME    SIÈCLE. 

CANONS  du  concile  d'Arles,  XIII,  642, 
643.  De  Mayence,  643  et  suiv.  De  Reims, 
643.  De  Tours,  643  et  646.  De  Chalon-sur- 
Saône,  646  et  suiv.  De  Celchyte,  633  et  654. 
D'Aix-la-Chapelle,  634,  635.  [De  Perse  en 
Séleucie,  655.]  De  Rome,  660,  661.  Du 
sixième  de  Paris,  661  et  suiv.  D'Aix-la-Cha- 
pelle, 667,  668.  De  Thionville,  672.  De  Ver- 
neuil, 672  et  673.  De  Meaux,  673  et  suiv.  De 
Mayence,  677,  678.  De  Pavie,  680  et  suiv. 
De  Soissons,  683,684.  De  Quiercy,  684,  683. 
De  Rome,  685,  686.  De  Valence,  686,  687. 
De  Langres,  690,  691.  De  Touzi,  683.  De 
Constantinople  ,  694.  De  Rome,  698.  De 
Worms,  701,  702.  Du  quatrième  de  Cons- 
tantinople, 708  et  suiv.  De  Reims,  716,717. 
De  Ravenne,  719,  720.  De  Troyes,  721.  De 
Rouen,  727,  728.  De  Cologne,  730,  731.  De 
Mayence,  731,  732.  De  Metz,  732,  733.  De 
Vienne,  734.  De  Tribur,  735,  736.  De  Nantes, 
736,  737.  De  Rome,  738. 

CANONS.  DU   DIXIÈME  SIÈCLE. 

CANONS  du  concile  de  Troslé,  XIII,  742, 
743.  De  Coblentz,  744.  D'Erford  ou  Erfurth  en 
Allemagne,  746.  D'Ingelheim,  749.  D'Augs- 
bourg,  751.  De  Ravenne,  763.  De  Rome,  764. 

CANONS    DU    ONZIÈME   SIÈCLE. 

CANONS  de  quelques  conciles  des  Gaules, 
XIII,  765.  —  Du  concile  d'Anham,XIV,  1035, 
1036.  De  Pavie,  1037.  De  Sélingstad,  1038, 
1039.  De  Bourges,  1043,  1044.  De  Reims, 
1055,  1056.  De  Rouen,  1036, 1037.  DeCoyac, 
1037, 1038.  De  Narbonne,  1039.  De  Toulouse, 
1060.  De  Rome,  1061.  De  Winchester,  1068. 
De  Poitiers,  1069.  De  Lillebonne,  1070, 1071 , 
De  Saint-Omer,  1074. 

CANONS  DU   DOUZIÈME  SIÈCLE. 

CANONS  du  concile  de  Poitiers,  XIV,  1076, 
1077.  Du  concile  de  Toulouse,  1092,  1093. 
De  Reims,  1093.  Du  premier  général  de  La- 
tran, 1096,  1097.  De  Londres,  1103.  D'un 
autre  concile  de  Londres,  1106.  De  Rouen, 
1107.  De  Placentia,  1108.  De  Toulouse,  1109. 
De  Clermont,  1110.  De  Londres,  1114.  Du 
deuxième  général  de  Latran,  1113.  De 
Reims,  1121.  De  Tours,  1129.  De  Cassel  en 
Irlande,    1134.   D'Avranches;    de  Londres, 


180 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1135.  Du  troisième  général  de  Latran,  1139 
et  suiv.  Du  concile  de  Dalmatie,  1145.  De 
celui  de  Londres,  1146. 

CANONS    DU   TREIZIÈME    SIÈCLE. 

CANONS  du  concile  d'Avignon,  XIV,  H51. 
De  Paris,  1155.  De  Pamiers,  H37.  De  Mont- 
pellier, 1139.  Du  quîitrième  général  de  La- 
tran, 1162  et  suiv. 

COLLECTIONS  DE  CANONS.  Collection 
attribuée  à  Tliéodoret,  X,  108. —  Collection 
des  canons  des  conciles  d'Orient  et  d'Occi- 
dent faite  par  Ferrand  de  Carthage,  XI,  94, 
95.  Editions  qu'on  en  a  données,  95.  Gode 
des  canons  des  conciles  d'Orient  et  d'Occi- 
dent recueillis  par  Denis  le  Petit  ;  il  est  d'a- 
bord adopté  par  l'Église  romaine  puis  reçu 
dans  toutes  les  Églises  d'Occident,  122.  Dif- 
férentes éditions  qu'on  en  a  faites,  122  et 
123.  Canons  sous  le  nom  de  saint  Gildas  de 
Ruis,  320.  Collection  de  canons  faite  par 
saint  Martin  de  Dume,  évêque  de  Brague, 
350,  351.  Collection  de  canons  de  l'Eglise 
grecque  conaposée  par  Jean  le  Scholastique, 
355  et  1000.  Abrégé  de  cette  collection  ap- 
pelé Nomocanon;  édition  donnée  par  Justel, 
355.  [Collection  de  canons  attribuée  à  saint 
Isidore  de  Séville,  727,  728.  Cette  collection 
ne  contient  que  des  pièces  authentiques, 
728.]  Collection  de  canons  par  Cresconius, 
évêque  en  Afrique,  808,  809.  —  Deux  re- 
cueils de  canons  faits  au  viii°  siècle,  XII, 
28,  29.  Recueil  de  canons  attribué  à  saint 
Boniface,  archevêque  de  Mayence,  52,  53. 
Recueil  de  divers  extraits  des  canons  par 
Egbert,  archevêque  d'York,  64,  65.  [Quinze 
canons  sous  le  nom  de  cet  archevêque,  65  ] 
Recueil  de  canons  d'Angelramne  ,  évêque 
de  Metz,  133.  Code  des  canons  de  rÉghse 
romaine,  donnés  à  Charlemagne  par  Adrien 
I",  135.  Recueil  de  canons  composé  par 
Remy,  évêque  de  Coire,  à  l'usage  des  Égli- 
ses d'Allemagne,  223.  Canons  ecclésiastiques 
de  saint  Nicéphore,  patriarche  de  Constanti- 
nople,  285  et  suiv.  Collection  de  canons  par 
Florus,  diacre  de  Lyon  ;  ce  qui  nous  en 
reste,  485.  Collection  de  canons  faite  par 
Réginon,  abbé  de  Prum,  771.  Recueil  des 
canons  des  conciles  rédigé  par  Rotger,  ar- 
chevêque de  Trêves  ;  on  ne  l'a  point  impri- 
mé, 793.  [Collection  de  canons  de  l'Eglise 
grecque  d'après  le  père  D.  Pitra,  982.]  — 
Collection  de  canons  par  Abbon,  abbé  de 
Pleury,  XIII,  25,  26.  Recueil  de  canons  at- 
tribué au  pape  Nicolas  II,  240.  Collection  de 


canons  attribuée  à  saint  Anselme,  évêque 
de  Lucques,  394.  [Ce  que  Maï  a  publié  de 
cette  collection,  393  et  suiv.]  Polycarpe  ou 
collection  de  canons  par  le  cardinal  Gré- 
goire, évêque  de  Sabine,  568.  Autre  collec- 
tion de  canons  par  le  cardinal  Deusdedit, 
569.  —  Commentaire  de  Zonare  sur  les  Ca- 
nons des  apôtres,  sur  ceux  des  conciles  et 
sur  les  épîti'es  canoniques  des  Pères  Grecs  ; 
diiïérentes  éditions  qu'on  en  a  faites,  XIV, 
157.  [Quinze  canons  sous  le  nom  d'IsaacIII; 
collection  de  canons  par  Jean  le  Stylite  avec 
les  réponses  d'Isaac  et  d'autres  évêques, 
643.]  Collection  de  canons  par  Arsène , 
moine  du  mont  Athos,  650.  Scholies  d'A- 
lexis Aristène  sur  la  synopse  des  canons, 
653,  654.  Synopse  des  canons  par  Siméon 
Logothète  ;  Synopse  de  Nil  Doxapater,  654. 
[Collection  de  canons  ou  traité  de  la  Justice 
et  du  droit  par  le  cardinal  Laborant,  805  et 
suiv.]  Commentaire  de  Théodore  Balsamon 
sur  les  canons  ;  son  Exposition  du  Nomoca- 
non de  Photius,  826.  [Le  cardinal  Pitra  pu- 
bhe  actuellement  à  Rome  un  Recueil  des 
canons  de  l'Église  grecque.] 

[CANONS  FUNÈBRES  ou  NÉCROSIMES 
au  nombre  de  85  par  saint  Éphrem,  VI,  512 
et  suiv.  Division  des  canons,  512.  Analyse 
des  huit  premiers  sur  les  funérailles  des 
évêques,  512  et  513.  Neuvième  et  dixième 
sur  les  funérailles  des  prêtres  et  des  dia- 
cres, 513.  Treizième  sur  les  funérailles  des 
diacres,  513  et  514.  Quatorzième,  quinzième 
et  seizième  sur  les  funérailles  des  moines, 

514.  Dix-huitième  à  vingt-septième  inclusi- 
vement sur  les  funérailles  des  clercs,  514  et 

515.  Vingt-huitième  sur  les  funérailles  des 
princes  et  des  riches,  515,  516.  Vingt-neu- 
vième sur  les  funérailles  d'un  étranger  ; 
trentième  sur  les  funérailles  d'un  père  de 
famille  ;  trente-unième  sur  les  funérailles 
d'une  mère  de  famille,  516.  Trente-deuxiè- 
me, trente-troisième  sur  les  funérailles  des 
femmes,  516,  517.  Sur  les  funérailles  des 
jeunes  gens,  trente-quatrième,  trente-cin- 
quième, 517.  Trente-sixième  à  quarante- 
quatrième  inclusivement  sur  les  funérailles 
des  enfants,  518.  Canons  communs  depuis 
le  quarante -cinquième  jusqu'au  quatre- 
vingt-cinquième  ;  canon  soixante-troisième 
et  soixante-quatrième  pour  un  temps  de 
peste,  519.] 

CANONS  PÉNITENTIAUX.  Leur  origine 
dans  ceux  du  concile  tenu  à  Carthage  en 
251,  II,  559,  560.  —  Canon  de  saint  Pierre 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


181 


d'Alexandrie  sur  la  pénitence,  III,  57  et 
suiv.  —  Canons  pénitentiaus  attribués  faus- 
sement à  saint  Jérôme,  VII,  646.  —  Discours 
de  saint  Césaire  d'Arles  sur  les  canons  pé- 
nitentiaux,  XI,  133.  — [Canons  pénitentiaux 
attribués  à  saint  Métliodius,  patriarche  de 
Gonstantinople,  XII,  425.] 

CANOPE,  dans  la  Basse-Egypte.  Lieu  de 
retraite  de  saint  Arsène,  VIII,  399,  400.  Il 
en  sort,  400. 

[CANOSSE,  ville  d'Italie.  Privilège  accordé 
à  l'église  des  saints  ApoUin  et  Ursicin,  XII, 
835,  836.] 

CANTÉRUS  (Guillaume),  savant  hollan- 
dais. Ses  éditions  de  plusieurs  ouvrages  de 
Synésius,  VIII,  33. 

CANTÉRUS  (Théodose),  savant  hollan- 
dais, frère  du  précédent.  Ses  notes  sur  Ar- 
nobe,  II,  493. 

CANTIANE  (Sainte),  martyre,  XI,  333. 

GANTIANILLA  (Sainte),  GANTIANUS 
(saint).  Voyez  Caniius  (saint). 

CANTIQUE  DES  CANTIQUES  ,  livre  sa- 
cré. Ce  livre  a  pour  auteur  Salomon.  Il  est 
le  seul  qui  nous  reste  des  cantiques  de  ce 
prince  ;  l'époque  de  ce  livre  est  incertaine, 
1,143.  Fausse  opinion  de  quelques  critiques 
touchant  le  sens  de  ce  cantique,  143  et  144. 
Sentiment  de  Théodoret,  143,  144.  Ce  livre 
est  un  épithalame  spirituel  ;  précautions 
qu'on  doit  apporter  pour  le  lire,  144,  145.11 
est  composé  en  forme  de  dialogue;  il  a  tou- 
jours été  reconnu  pour  divin  ;  jugement  de 
ce  livre,  143.  Commentaire  de  saint  Hippo- 
lyte  sur  le  Cantique  des  Cantiques,  611.  — 
Ouvrages  d'Origène  sur  le  Cantique  des  Can- 
tiques, II,  138, 169  [etn.  2.]  [Origène  attribue 
le  Cantique  à  Salomon,  158.]  —  Ouvrages  de 
saint  Athanase  sur  le  Cantique,  IV,  170.  — 
Commentaire  sur  ce  livre  faussement  attribué 
à  saint  Ambroise,  V,  510.  Quinze  homélies  de 
saint  Grégoire  de  Nysse  sur  le  Cantique  des 
Cantiques,  137  et  suiv.  ^-  Deux  homélies 
d'Origène  traduites  par  saint  Jérôme,  VII, 
564.  Quatre  homélies  d'Origène  faussement 
attribuées  à  saint  Jérôme,  648.  —  Commen- 
taire faussement  attribué  à  saint  Nil,  soh- 
taire  de  Sinaï,  VIII,  213.  —  Commentaire 
de  Théodoret,  X,  37  et  suiv.  Dans  quel  sens, 
selon  ce  Père,  on  doit  interpréter  le  Canti- 
que des  Cantiques,  37  et  112.  —  [Commen- 
taire sur  ce  livre  attribué  à  Procope  de 
Gaze,  XI,  179.]  Commentaire  de  Cosme 
d'Egypte  sur  ce  livre  ;  nous  ne  l'avons  plus, 
191.  Commentaire  attribué  à  Cassiodore  ; 


raisons  qui  prouvent  qu'il  n'est  pas  de  lui, 
226  et  242.  Commentaire  de  Juste,  évêque 
d'Urgel,  263.  Commentaire  du  pape  saint 
Grégoire  ;  il  est  véritablement  de  ce  pape, 
547,  348.  Idée  de  ce  commentaire  ;  autre 
qui  n'est  pas  de  saint  Grégoire,  548.  Corq,- 
mentaire  attribué  à  saint  Isidore  de  Séville, 
725.  Commentaire  d'Aponius,  809.  [Livres 
VII,  VIII,  et  une  partie  du  livre  IX,  publiés 
par  Mai,  809.]  Abrégé  de  ce  commentaire 
fait  par  Luc,  abbé  du  mont  Saint-Corneille, 
809.  —  Commentaire  du  Vénérable  Bède, 
XII,  8  ;  d'Ambroise  Autpert,  124.  Lettre 
d'Alcuin  sur  une  parole  de  ce  livre,  170. 
[Commentaire  d'Alcuin  sur  ce  livre,  170.] 
Commentaire  de  Liutbert  sur  ce  livre;  il  n'a 
pas  été  imprimé,  439.  Commentaire  d'Ange- 
lome,  443;  de  Remy,  moine  d'Auxerre; 
éditions  de  ce  commentaire,  753.  —  Com- 
mentaire attribué  à  Bérenger,  XIII,  173. 
Paraphrase  en  vers  sur  le  Cantique  des 
Cantiques  par  iVIichel  Psellus;  autre  com- 
mentaire du  même,  336.  Commentaire  de  Ro- 
bert, abbé  de  Saint-Vigor,  465;  de  saint 
Brunon  de  Ségni,  300.  [Le  véritable  com- 
mentaire est  publié  par  Bruno-Bruni,  500.] 
Autre  attribué  à  Nicétas  d'Héraclée,  538. 
Epithalame  de  Walram  ,  abbé  de  Mers- 
bourg,  561.  —  Commentaire  sous  le  nom 
de  saint  Anselme,  attribué  à  Anselme  de 
Laon,  XIV,  36  et  184.  Commentaire  allégo- 
rique et  moral  en  vers,  ouvrage  de  Marbo- 
de,  229.  Commentaire  de  Rupert,  abbé  de 
Tay,  282.  [Explication  du  Cantique  des  Can- 
tiques par  Honoré  d'Autun  ;  éditions  qu'on 
en  a  faites,  295.]  Commentaire  d'Hugues  de 
Saint-Victor,  sur  le  septième  verset  du  qua- 
trième chapitre  du  Cantique  des  Cantiques, 
361.  Sermons  de  saint  Bernard  sur  ce  livre, 
au  nombre  de  quatre-vingt-six,  484,  483. 
Quarante-huit  sermons  de  Gilbert  de  Hoil- 
lande  qui  en  sont  la  suite,  489,  490.  Com- 
mentaires de  Guillaume  de  Saint-Thierry, 
389  et  490,  491.  [Sermon  de  Wolberon, 
abbé,  sur  ce  livre  ;  éditions  qu'on  en  a 
faites  ;  but  que  l'auteur  se  propose  dans  ce 
commentaire  ;  jugement  sur  ce  livre,  633. 
Exposition  sur  le  Cantique  par  Gilbert  Fo- 
lioth,  669,  n.  3.  Commentaire  de  Philippe  de 
Bonne-Espérance;  moralité  du  même  sur  le 
Cantique  des  Cantiques,  683.  [Commentaire 
d'Isaac,  abbé  de  l'Étoile ,  sur  ce  livre  ;  il  est 
resté  manuscrit,  696.  Explication  du  livre 
des  Cantiques  par  Richard  de  Saint- Victor, 
701.   Commentaire  sur  ce  livre  par  Thomas 


182 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


IV  siècle. 


597. 
605. 


de  Gîteaux,  823.  Commentaire  par  Jean 
d'Allegrin  ;  éditions  de  ces  commentaires 
dans  la  Palrologie,  825.  Commentaire  d'A- 
lain de  Lille,  870.] 

CANTIQUES  composés  en  l'honneur  de 
Jésus-Christ,  II,  S69.  —  Le  concile  de  Lao- 
dicée  défend  de  chanter  dans  l'église  des 
cantiques  qui  ne  soient  pas  de  l'Écriture 
sainte,  III,  513.  —  Cantique  spirituel  attri- 
bué à  saint  Ephrem,  VI,  26,  27.  Cantiques 
sur  la  naissance  de  Jésus-Christ  et  l'adora- 
tion des  mages  attribués  à  saint  Ephrem, 
47.  —  Sermon  attribué  à  saint  Augustin  sur 
le  nouveau  cantique,  IX,  284.  —  Différence 
entre  psaume  et  cantique,  psaume-cantique 
et  cantique-psaume,  XI,  224.  [Ouvrages  de 
Vérécundus  sur  les  cantiques  bibliques, 
345.]  Différentes  sortes  de  cantiques  selon 
saint  Grégoire  le  Grand,  348.  —  Cantiques 
ou  odes  et  hymnes  de  saint  Jean  Damas- 
cène,  XII,  85  et  [89  et  suiv.]  Commentaires 
d'Haimon,  évéque  d'Halberstat,  sur  six  can- 
tiques de  l'Église,  434.  Commentaires  de 
Rhaban  Maur  sur  les  cantiques  de  l'Eglise, 
451.  Cantiques  du  bréviaire  bénédictin  tra- 
duits en  langue  tudesque,  596.  —  Commen- 
taire de  Brunon,  évêque  de  Wirtzbourg,  sur 
les  cantiques  de  l'Ancien  et  du  Nouveau 
Testament,  XIII,  116.  Cantiques  de  l'Écri- 
ture joints  au  Psautier  des  Grecs,  136.  Can- 
tiques de  Jean  IMaurepus,  métropolitain 
d'Euchanie,  230.  Traduction  de  l'Écriture 
en  vers  grecs  par  Jean  le  Géomètre,  232. 
Traité  de  saint  Brunon  de  Ségni  sur  le  can- 
tique de  Zacharie,  501.  —  Commentaire 
d'Euthymius  Xigabène  sur  les  Psaumes  et 
sur  les  Cantiques,  XIV,  153,  154.  Cantiques 
et  anastasimes  de  saint  Jean  Damascène 
expliqués  par  Zonare,  157.  Commentaires 
du  moine  Hervé  sur  les  cantiques  de  l'É- 
ghse,  403.  Discours  de  saint  Bernard  sur  le 
cantique  d'Ezéchias,  484. 

[CANTIQUE  de  Louis  par  le  moine  Huc- 
bald,  XII,  801.] 

CANTIUS,  CANTIANUS  et  GANTIANILLA 
(Saints).  Homélie  de  saint  Maxime  de  Turin 
sur  ces  saints  martyrs,  X,  323.  —  Leurs 
Actes,  XIII,  21.  Ces  actes  sont  supposés,  21 
et  22. 

CANTORBÉRY,  ville  d'Angleterre  érigée 
en  métropole,  XI,  438.  Assemblée  tenue  en 
cette  ville,  mise  au  nombre  des  conciles, 
910.  -  Conciles  tenus  en  cette  ville,  XII, 
959.  —  Autre  concile  qui  y  fut  tenu,  XIII, 
618.  Donation  faite  à  l'église  de  Gantorbéry, 


confirmée  au  concile  de  Kingston,  669.  Ed- 
gard  confirme  à  l'église  de  Cantorbéry  la 
quaUté  de  mère  et  maîtresse  de  toutes  les 
églises  du  royaume,  755.  La  primatie  lui 
est  adjugée  sur  l'archevêque  d'York,  295, 
442,  452.  Discours  de  Lanfranc  sur  ce  sujet 
dans  le  concile  de  Winchester,  456.  —  [Le 
pape  Alexandre  III  décide  que  le  couronne- 
ment des  rois  d'Angleterre  ne  pourra  se 
faire  que  dans  la  province  de  Gantorbéry, 
XIV,  928.]  Diplôme  du  roi  Canut  en  faveur 
de  l'église  de  Gantorbéry,  1036.  Concile  tenu 
à  Cantorbéry,  1073.  Suite  des  contestations 
de  l'archevêque  de  Gantorbéry  avec  celui 
d'York,  1136. 

CANUT  1",  sui'nommé  .le  Grand,  roi  de 
Danemark  et  d'Angleterre.  Lettres  que  lui 
écrit  saint  Fulbert,  évêque  de  Chartres, 
XIII,  85.  [Son  histoire  par  un  anonyme, 
117.  Ses  lois  et  ses  diplômes  dans  la  Patro- 
logie,  414,  et  XIV,  1047,  1048.  Il  mourut  en 
1036. 11  se  trouve  à  Rome  au  couronnement 
de  l'empereur  Conrad;  ses  plaintes  sur  les 
vexations  que  ses  peuples  avaient  à  souffrir 
des  Romains  ;  lettre  qu'il  écrit  à  ses  sujets 
pour  leur  recommander  de  payer  exacte- 
ment le  denier  de  saint  Pierre  et  les  rede- 
vances aux  églises,  XIII,  194. 

CANUT  VI,  roi  de  Danemark.  [Lettre 
qu'il  écrit  au  pape  Célestin  III,  XIV,  839. 
Lettres  de  saint  Guillaume,  abbé  de  Saint- 
Thomas,  à  ce  prince,  844.]  (L'article  de  Ca- 
nut était  tout  à  fait  inexact  dans  la  table  de 
Rondet.) 

CAPELLA  (Céciiius),  gouverneur  de  By- 
zance,  VI,  396. 

CAPELLA  (Marcianus).  Commentaire  de 
Rémi  d'Auxerre  sur  lui,  XII,  759. 

CAPHAR,  bourg  du  territoire  d'Eleuthé- 
rople,  où  fut  trouvé  le  corps  du  prophète 
Zacharie,  VIII,  534. 

GAPHAR-GAMALA,  bourg  près  de  Jéru- 
salem où  fut  trouvé  le  corps  de  saint  Etien- 
ne, X,  3. 

CAPITOLIN,  gouverneur  de  Thrace  sous 
Julien  l'Apostat,  X,  46. 

CAPITON,  évéque  donatiste,  signe  une 
requête  adressée  à  Constantin,  V,  111. 

CAPITULAIRES  des  empereurs.  Ce  que 
c'est,  XII,  225,  u.  5.  Différentes  collections 
de  capitulaires  ;  éditions  qu'on  eu  a  faites, 
225.  [Edition  de  Perlz  reproduite  dans  la  Pa- 
trologie,  225.]  Capitulaires  des  rois  prédé- 
cesseurs de  Charlemagne,  225  et  suiv.  Capi- 
tulaires de  Carloman,  228,  229  ;  de  Pépin, 


1027. 


i 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


183 


229.  Détail  des  capitulaires  de  Gharlema- 
gne,  229etsuiv.  [Autres  capitulaires  de  Char- 
lemagne,  841  et  suiv.]  Capitulaires  de  Charle- 
magne  et  de  Louis  le  Débonnaire  recueillis 
par  Anségise,  332,  333.  Capitulaires  de  Louis 
le  Débonnaire,  379  et  suiv.  Leurs  éditions, 
383.  Collection  de  capitulaires  faite  par  Be- 
noit, diacre  de  l'Église  de  Mayence,  pour 
suppléer  à  celle  d'Anségise,  394,  395.  Capi- 
tulaires de  Charles  le  Chauve,  631  et  suiv.  ; 
de  Louis  le  Bègue,  634,  633.  [Capitulaires 
des  rois  de  France  à  partir  de  la  division  de 
Charlemagne,  635.]  —  Capitulaires  de  Char- 
lemagne,  en  803,  au  concile  d'Aix-la-Cha- 
pelle, XIII,  641.  Autre  de  813  à  Aix-la-Cha- 
pelle, 648.  Capitulaire  de  Louis  le  Débon- 
naire en  816  ;  autre  en  823,  657  ;  en  826, 
*660.  Capitulaire  de  844  sous  Charles  le 
Chauve,  671.  Autre  en  844,  672.  Capitulaire 
de  l'empereur  Louis  en  850,  682.  Capitulaire 
de  Charles  le  Chauve^  en  862,  contre  les 
pillards,  695. 

CAPITULAIRES  de  différents  auteurs.  De 
Théodulphe,  évêque  d'Orléans^  adressé  aux 
prêtres  et  principalement  aux  curés  de  son 
diocèse,  XII,  264  et  suiv.  Autre  du  même, 
270.  Capitulaire  d'Hetton  évéque  de  Bâle, 
336,  337.  Capitulaires  d'Hincmar  de  Reims; 
ce  qu'ils  contiennent  de  remarquable,  663 
et  suiv.  Capitulaire  d'Atton,  évêque  de  Ver- 
ceil,  820  et  suiv. 

CAPITULES  ou  règles  abrégées  de  la  vie 
spirituelle  par  l'abbé  Hypéréchius,  XI,  697. 

CAPITULES  sur  les  livres  du  Nouveau 
Testament.  Ouvrage  du  Vénérable  Bède  qui 
est  perdu,  XII,  15. 

CAPOUE,  ville  d'Italie.  Concile  qui  y  fut 
tenu,  IV,  653  et  suiv.  —  Les  évêques  d'Oc- 
cident y  rendent  leur  communion  à  ceux  du 
parti  de  Flavien  d'Antioche,  VIII,  238.  — 
Cette  ville  est  érigée  en  archevêché  par  le 
pape  Jean  XIIT,  XII,  834.  —  Conciles  tenus 
en  cette  ville,  XIV,  1072,  1073,  1089. 

CAPOUE.  Lieu  d'Allemagne  ainsi  nommé 
parce  qu'on  le  disait  de  la  dépendance  de  la 
ville  de  ce  nom.  Assemblée  qui  y  est  tenue 
au  sujet  du  roi  Henri  IV,  XIII,  398. 

CAPPADOCE,  grande  province  de  l'Asie- 
Mineure,  divisée  en  deux.  Saint  Basile  s'op- 
pose à  cette  division,  IV,  335.  Lettres  de 
saint  Basile  le  Grand  à  divers  officiers  de 
cette  province,  443,  444. 

CAPPADOCIENS,  peuple  de  Cappadoce. 
Mauvaise  idée  que  donne  d'eux  saint  Isidore 
de  Péluse,  VIII,  483. 


[CAPPELLETI  (Joseph).  Sa  traduction  la- 
tine des  œuvres  en  prose  de  Nersès  IV,  pa- 
triarche des  Arméniens,  XIV,  638,  n.  1.] 

CAPPERONNIER  (Claude),  professeur 
royal  en  langue  grecque,  entreprend  une 
traduction  latine  de  la  Bibliothèque  de  Pho- 
thius,  XII,  723. 

CAPPIDUS,  prêtre,  natif  de  Straven  en 
Frise.  Ouvrages  qu'on  lui  attribue;  il  n'en 
reste  que  quelques  fragments  et  une  Vie  de 
saint  Odulphe,  XIL  819. 

CAPRAIS  ou  CAPRAISE  (Saint),  abbé  de 
Lérins,  auprès  duquel  se  retire  saint  Hono- 
rât, VIII,  439  et  440. 

CAPRÉOLUS,  évêque  de  Carthage,  VIII, 
417  et  375.  Invité  au  concile  d'Éphèse  ;  ce 
qui  l'empêche  de  s'y  rendre,  lui  et  les  autres 
évêques  d'Afrique,  573.  Il  envoie  un  diacre 
faire  ses  excuses,  417.  Sa  lettre  lue  et  ap- 
prouvée, 417,  418  et  575.  Sa  lettre  à  l'empe- 
reur Théodose  le  Jeune  sur  la  mort  de  saint 
Augustin,  418.  Analyse  de  sa  lettre  à  Vital 
et  à  TonantiuSj  418  et  419.  [Editions  de  cette 
lettre,  420.] 

CAPTIFS.  Zèle  de  saint  Ambroise  pour 
leur  rachat,  V,  381.  — Loi  de  Théodose  pour 
le  rachat  des  chrétiens  captifs,  VI,  368. 

CAPTIVITÉ  DE  BABYLONE.  Son  époque. 
IX,  317. 

CARACTÈRES  HÉBREUX  ou  SAMARI- 
TAINS. Leur  invention  attribuée  à  Adam,  ], 
263.  A  Seth,  264,  et  à  Hénoch.  265. 

CARACTÈRES  CHALDÉENS,  substitués 
aux  caractères  hébreux  ou  samaritains  dans 
les  saintes  Écritures  parEsdras,  I,  80  et  suiv. 
Quand  et  par  qui  ce  changement  a  été  fait, 
81,  82. 

CARAFFE  (Antoine),  cardinal,  traducteur 
du  Commentaire  de  Théodore!  sur  les  Psau- 
mes, X,  140.  —  Ses  remarques  ou  mémoires 
sur  les  lettres  du  pape  saint  Grégoire  le 
Grand,  XI,  351. 

CARALDE,  scholastique  dans  l'Église  de 
Metz.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  XH,  p.  445  et  suiv.) 

CARAMTOC,  abbé  du  monastère  de  Salice, 
envoie  des  assistances  à  celui  d'Anegrai,  XI, 
613. 

CARAUNE  (Saint).  Poëme  de  Fulbert  de 
Chartres  en  l'honneur  de  saint  Caraune , 
XIII,  88. 

CARAUSE,  grand  capitaine  qui  se  rendit 
maître  de  la  Grande-Bretagne ,  Il ,  472 .  (Voyez 
472,  n.  2.) 

CARBACGHIUS  (Nicolas).  Son  édition  de 


X  siècle. 


431. 


IV  siècle. 
384. 


V[  siècle. 


184 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Vtll  siècle. 


H81. 


III  siècle. 


II  siècle. 

IV  siècle.) 
380  et  389. 


l'ouvrage  de  saint  Prosper  sur  la  grâce  et  le 
libre  arbitre,  X,  318. 

CARDAMAS,  comédien  converti  et  reçu 
dans  le  clergé,  VIII,  63. 

CARDINAUX.  Prince  cardinal  de  Rome  qui 
suivait  toujours  le  roi  ;  il  en  est  parlé  dans  la 
formule  du  vicaire  de  Rome  rapportée  par 
Cassiodore,  XI,  215.  Au  temps  du  pape  saint 
Grégoire  le  Grand  on  nommait  cardinaux  les 
évêques,  les  prêtres  et  les  diacres  attachés  à 
une  certaine  église,  481, 488, 496.  —  Le  pape 
Etienne  III  ordonne  que  les  sept  cardinaux 
semainiers  qui  servaient  dans  l'église  du 
Sauveur,  célébreraient  tous  les  dimanches  la 
messe  sur  l'autel  de  saint  Pierre,  XII,  119. 
Constitution  attribuée  aupapeJean  VIII  tou- 
chant les  cardinaux,  650.  Titre  de  cardinal 
donné  aux  prêtres  d'une  cathédrale,  822. — 
Origine  du  droit  attribué  aux  cardinaux 
d'éhre  le  pape,  XIII,  243,  244.  Témoignage 
de  saint  Pierre  Damien  sur  les  prérogatives 
des  cardinaux,  300.  Lettre  de  saint  Pierre 
Damien  aux  évêques  cardinaux  du  Saint- 
Siège,  317.  —  C'est  à  l'élection  du  Lucius  III 
que  les  cardinaux  commencent  à  s'attribuer 
le  droit  d'élire  le  pape  à  l'exclusion  du  clergé, 
XrV,  929. 

CARÊME.  Jeûne  qui  précède  la  solennité 
de  Pâques;  témoignage  deTertulhen,  11,79. 
Les  catholiques  ne  célébraient  qu'un  carême, 
les  montanistes  en   célébraient  trois,  538. 
Canon  69  apostolique  touchant  le  carême, 
586.  —  Canons  45,  46,  49,  50,  51  et  52  du 
concile  de  Laodicée,  III,  512,  513.  —  Lois 
de  Théodose  touchant  le  carême,  VI,  365  et 
370.  —  Canons  du  concile  d'Agde  sur  le  ca- 
rême, X,  738. — Canons  du  huitième  concile 
de  Tolède,  XII,  932.  Du  concile  Quinisexte, 
962,  963.  — Témoignages  de  saint  Athanase 
dans  les  lettres  pascales,  IV,  151  et  suiv.  Té- 
moignages de  saint  Basile,  532.  —  De  saint 
Cyrille  de  Jérusalem,  V,  77.  De  saint  Gré- 
goire de  Nazianze,  278  et  350.  De  saint  Am- 
broise,  575.  —  De  saint  Éphrem,  VI,  68. 
D'une  fausse  décrétale,  81,  82.  —  De  saint 
Jean  Chrysostôme,  VU,  49,  62,  69,  70,  144. 
Discours  sur  l'abstinence  du  carême,  fausse- 
ment  attribué    à  Théophile   d'Alexandrie, 
447.  Discours  faussement  attribué  àsaint  Jé- 
rôme, 647.  Témoignage  du  même,  691,  692. 
—  De  saint  Pauhn,  VIII,  94,95.  Témoignage 
du  poète  Prudence,  102.  [Deux  discours  sur 
le  carême   attribués   à  Paulin  de   Béziers, 
432.]  Témoignage  de  saint  Cyrille  d'Alexan- 
drie, 278.  De  Socrate  et  de  Sozomène  tou- 


chant les  différents  usages  des  Églises  dans 
l'observation  du  carême,  520, 521 . — Sermons 
de  saint  Augustin,  IX,  239  [et  841].  Témoi- 
gnages du  même,  239  et  804.   ~  [Quatre  ser- 
mons de  saint  Maxime  de  Turin  sur  le  carême, 
X,  326.]  Discours  de  saint  Valérien  de  Cé- 
mèle,  159.  Douze  sermons   du  pape   saint 
Léon,  186,  187.  Homélies  de  saint  Maxime 
de  Turin,  323  et  326.  Discours  d'Isaac  l'An- 
cien,  579.    Homélie    de   saint  Jacques  de 
Batna,  642.  Le  jeûne  du  carême  fixé  à  qua- 
rante jours  par  le  premier  concile  d'Orléans, 
746.  —  Trois  discours  de  saint  Césaire  d'Ar- 
les sur  le  carême,  XI,  134.  Autre  discours 
qui  lui  est  attribué,  147.  Comment  les  Grecs 
observaient  le  carême,  262.  Discours  sur  les 
trois  carêmes,  attribué  faussement  à  Anas- 
tase  d'Antioche,  363.  De  saint  Grégoire  le» 
Grand,  457.  Règlement  attribué  à  saint  Gré- 
goire surle  carême,  537.  Homélie  de  saint  So- 
phronede  Jérusalem  sur  le  jeûne  du  carême, 
705.  —  De  saint  Boniface,  archevêque  de 
Mayence  sur  le  jeûne  du  carême,  XII,  54. 
Lettre  de  saint  Jean  Damascène  sur  le  ca- 
rême ;  quelques  Églises  jeûnaient  sept  se- 
maines ,   quelques    autres  huit  ;    comment 
s'observait    le  jeûne,  82.  Témoignage   de 
Théodulphe,  évêque  d'Orléans,  sur  le  jeûne 
du  carême,  265.  [Carême  des  Grecs,  d'après 
saint   Théodore  Studite,  314,  315.]   Lettre 
d'Amalaire,  prêtre  de  Metz,  349.  Ratramne, 
moine  de  Corbie,  justifie  les  usages  de  l'Église 
latine  pendant  le  carême  contre  les  reproches 
des  Grecs,  566.  Réponse  de  saint  Nicolas  I" 
aux  consultations   des  Bulgares  sur  le  ca- 
rême, 582,  583.  Comment  le  carême  était 
observé  à  la  cour  de  Charlemagne  et  par  les 
gens  de  sa  cour,  695.  Trois  discours  de  l'em- 
pereur Léon  VI  surle  carême,  775.  Selon  les 
capitulaires  d'Atton  de  Verceil,  le  carême 
durait  sept  semaines,   mais  on   ne  jeûnait 
point  le  dimanche  ni  le  jeudi,  822.  Sermons 
de  Rathérius,  évêque  de  Vérone,  sur  le  ca- 
rême, 857.  Canons  du    concile   Quinisexte 
relatifs  à  l'observance  du  carême,  962,  963. 
—  Quand  le  carême  commençait  en  Angle- 
terre, XIII,  55.  Opuscule  de  saint  Pierre  Da- 
mien sur  le  carême.  317. —  Sermons  d'Yves 
de  Chartres  pour  le  premier  dimanche  de 
carême,  XIV,  123.  Sermons  du  Vénérable 
Hildebert  sur  le  carême,  214.  Le  commen- 
cement du  carême,  d'après  Robert  Paululus, 
357.  Sept  sermons  de  saint  Bernard,  484. 
Homélie deThéophanes  Céraméus  surle  pre- 
mier dimanche  de  carême,  655.  Dix-huit 


511. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


185 


sermons  de  Pierre  de  Celle  sur  le  carême, 
681.  Sermons  de  Pierre  Comestor,  745.  Ser- 
mons de  Guillaume  d'Auvergne,  1025.  Voyez 
Jeûne. 

[CARETTE.  Inscription  trouvée  parM.Ca- 
rette,  II,  392.] 

CARIE  (Saint).  Discours  d'Arétas  en  l'hon- 
neur des  saints  martyrs  Samone,  Carie  et 
Abibus,  XI,266. 
iisièoie.        CARINTHIENS,  peuple  de  Garinthie.  His- 
toire de  leur  conversion,  Xil,  476,  477. 

CARIOBANDUS,  abbé  à  qui  saint  Sidoine 
écrit,  X,  393. 

CARIOPHYLUS  (Jean-Matthieu),  archevê- 
que de  Cogny.  Sa  traduction  latine  du  traité 
de  Clément  d'Alexandrie  intitulé  :  Quel  riche 
sera  sauvé,  1,  606. 

CARISIAC.  Lieu  situé  en  Picardie.  Voyez 
Quierci-sur-Oise. 

CARISIUS,  lecteur  de  l'église  de  Saint- 
Éleuthère  à  Constantinople,  puni  de  ses  dé- 
sordres d'une  manière  extraordinaire,  X, 
344. 

CARLOMAN,  duc  des  Francs,  oncle  de 
Charlemagne.  Ses  capitulaires,  XIT,  228, 229. 
[Lear  édition  dans  la  Patrologie,  229  et  153.] 
—  Il  devient  moine  au  Mont-Cassin,  est  dé- 
puté en  France  pour  demander  le  corps  de 
saint  Benoît,  XIII,  469.  (Voyez  ce  qui  est  dit 
de  lai  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  IV,  p.  80  et  suiv.) 
754.  CARLOMAN,  frère  de  Charlemagne,  sacré 

roi  avec  lui  par  le  pape  Etienne  III  ;  après 
768.         la  mort  de  Pépin,  il  partage  le  royaume  avec 
son  frère  et  est  couronné  à  Soissons  ;   sa 
771.        mort,  XII,  228.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape 

Etienne  m,  116. 
781.  CARLOMAN,  fils  de  Charlemagne,  baptisé 

par  le  pape  Adrien  I",  qui  change  son  nom 
en  celui  de  Pépin  et  le  sacre  roi  d'Italie, 
XII,  139. 

CARLOMAN,  fils  de  Charles  le  Chauve  ré- 
volté contre  son  père,  XII,  590,  591.  Ses 
complices  sont  excommuniés,  673.  —  Con- 
cile d'Attigny  où  son  père  le  fait  condamner 
et  où  il  reçoit  la  tonsure  cléricale,  XIII,  713. 
Concile  de  Sentis  où  Carloman  est  déposé  de 
tout  degré  ecclésiastique,  716. 

CARLOMAN,  fils  de  Louis  le  Bègue.  Ins- 
tructions que  lui  adresse  Hincmar  de  Reims, 
XII,  668,  669. 

[CARMES,  religieux.  Ouvrage  d'Aimeric, 
patriarche  d'Antioche,  sur  les  Carmes,  XIV, 
793.] 

GARMEL,  montagne  de  Palestine.  Il  n'y 


avait  point  de  moines  du  temps  de  Jean, 
évéque  de  Jérusaleni,  VII,  502. 

GARNÉADE ,  philosophe  académicien  , 
IX,  38. 

CARO  (Annibal),  abbé,  savant  Itahen.  Sa 
traduction  italienne  du  premier  discours  de 
saint  Cyprien  sur  l'aumône,  II,  385.  —  Sa 
traduction  italienne  de  deux  discours  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze,  V,  362. 

CAROLINS  (Livres).  Voyez  Livres  Caro- 
lins, 

CAROSE,  métropolitain  de  l'IlIyrie-Orieu- 
tale,  écrit  à  saint  Léon,  qui  lui  répond,  X, 
206. 

CAROSE,  abbé  eutychien,  réprimé,  re- 
nonce à  ses  erreurs,  X,  233.  Ce  qu'il  avait 
fait  auparavant,  681  et  690. 

CARPASIE,  ville  de  l'île  de  Chypre.  Phi-     iv  siècle. 
Ion,  évêque  de  celte  ville,  auteur  ecclésias- 
tique, VI,  287,  288. 

CARPENTRAS,  ville  de  Provence.  Concile        527. 
tenu  en  cette  ville,  XI,  831,  832. 

CARPOGRAS  ou  CARPOCRATE,  hérésiar- 
que. Ses  erreurs,  I,  500,  501.  Elles  sont  ré- 
futées par  saint  Irénée,  304,  505. 

CARPOCRATIENS.  Ce  que  saint  Épiphane     iv  siècle, 
dit  de  cette  secte,  VI,  387. 

CARPOPHORUS,  évêque  de  Garthage,  V, 
141. 

[GARPZOW,  en  latin  CARPZOVIIIS  (Jean- 
Benoît).  Son  édition  des  deux  Dialogues  de 
Hiéronyme,  VI,  333.  —  Son  édition  du  dis- 
cours dogmatique  de  Théodore ,  abbé  de 
Rhaïte,  XI,  787.] 

CARRÉ  (François  D.),  bénédictin,  moine 
de  Bec,  continue  la  Chronique  de  ce  monas- 
tère, XIII,  439. 

[CARTAN,  auteur  de  la  secte  des  héréti- 
ques nommés  Cartanites  ou  Joaniciens,  XII, 
152.] 

CARTÈRE,  solitaire,  ami   de   saint  Gré-      rv  siècle, 
goire  de  Nazianze  et  son  maître  dans  la  vie 
spirituelle,  V,  276.  Épigrammes  du   saint 
docteur  à  la  louange  de  Cartère,  299. 

GARTÉRIUS,  évêque  d'Espagne,  VII, 
634. 

GARTÉRIUS ,  père  de  l'historien  Philos- 
torge,  VIII,  509. 

CARTES  GÉOGRAPHIQUES  dessinées  sur 
des  tables  d'argent,  XII,  238,  239. 

GARTHAGE,  ville  principale  de  l'Afrique 
occidentale.  Tertullien  y  était  né,  II,  1.  Saint      u  siècle. 
Cyprien,  l'un  de  ses  plus  illustres  évêques,     m  siècle. 
257  et  suiv.  Lettres  de  saint  Cyprien  au 
clergé  de  Garthage;  première  lettre  ;  seconde, 


186 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


m  siècle. 


255. 
256. 


311  ou  312. 


V.348ou34!i. 


390. 


393. 
316. 

355. 

IV  siècle. 

394. 


397. 


398. 

IV  ou 

V  siècle 


403. 

404.    405. 

407. 

408. 

409. 

410. 
411.    416. 
417,    418. 


295.  Troisième,  296.  Quatrième,  297,  298. 
Cinquième,  298.  Sixième,  298  et  299.  Sep- 
tième, 300,  301.  Huitième,  301,  302.  Neu- 
vième, 302,  303.  Dixième,  305.  Onzième, 
306.  Douzième  et  treizième,  308  et  309.  Qua- 
torzième, quinzième  et  seizième,  310.  Dix- 
septième,  339,  340.  Lettres  de  saint  Cyprien 
aux  confesseurs  de  Cartilage  ;  il  y  en  a  cinq, 
293,  299,  300.  Lettre  de  saint  Cyprien  au 
peuple  de  Gartliage,  301.  Lettre  de  saint  Cy- 
prien à  son  clergé  et  à  son  peuple,  310.  Let- 
tre de  saint  Cyprien  à  son  peuple,  311 .  Lettre 
du  clergé  de  Rome  au  clergé  de  Carthage, 

296.  Lettres  des  confesseurs  à  saint  Cyprien, 
304.  Lettre  des  Pères  du  concile  de  Carthage 
en  252  à  saint  Corneille  et  à  Fidus,  évêque 
en  Afrique,  316,  317.  Réponse  des  martyrs 
à  la  cinquième  lettre  de  saint  Cyprien,  338, 
339.  Conciles  tenus  à  Carthage  sur  le  bap- 
tême des  hérétiques,  544  et  suiv.  Concile 
sous  Agrippin,  .^M,  543.  Trois  conciles  sous 
saint  Cyprien,  346  et  suiv.  Actes  du  troi- 
sième, 350  et  suiv.  Concile  de  Carthage  avant 
249,  535,  556.  Autre  en  249,  556.  Autre  en 
251,  536  et  suiv.  Autre  en  252,  359  et  suiv. 
Autre  en  254,  362,  563.  Conciliabule  tenu  à 
Carthage,  621  et  suiv.  —  Concile  que  l'on 
nomme  le  premier  de  Carthage  à.  cause  de 
ses  canons,  III,  498  et  suiv.,  et  IX,  H.  — 
Autre  concile  en  390,  IV,  647.  Concile  qu'on 
appelle  le  second  de  Carthage  à  cause  de  ses 
canons,  697  et  suiv.  [Observation  sur  ce  con- 
cile, 647,  n.  7.]  Concile  tenu  à  Carthage  par 
les  Donatistes,  658.  —  Donat,  évêque  schis- 
matique  de  cette  ville,  V,  97  et  suiv.  Parmé- 
nien,  évêque  donatiste  de  cette  ville,  99  et 
suiv.  Letire  de  Macrobe,  donatiste,  à  l'église 
de  cette  ville,  106.  —  Concile  tenu  à  Car- 
thage, VII,  716,  717.  Concile  qui  y  fut  tenu 
avant  le  concile  général  de  l'année  397,  717, 
718.  Concile  général  ou  troisième  de  Car- 
thage, 718.  Canons  de  ce  concile,  719  et 
suiv.  Quatrième  concile  général,  727,  728. 
Canons  de  ce  concile,  728  et  suiv.  Cinquième 
concile,  733,  734.  Canons  de  ce  concile,  734, 
735.  —  Autre  concile  général  de  401,  VIII, 
536,  337.  Autre,  la  même  année,  337.  Règle- 
ments de  ce  concile,  537  et  suiv.  Autre  con- 
cile général,  540.  Autre,  540  et  541.  Autre, 
541,  542.  Autre,  342.  Règlements  de  ce  con- 
cile, 542  et  543.  Conciles  généraux  tenus  à 
Carthage,  343.  Concile  provincial  de  Car- 
thage ;  concile  général,  548.  Autre  concile 
de  Carthage,  544  et  549,  530.  Autre,  553, 
334.  Autre,  535,  336.  Concile  général,  556. 


Canons  de  ce  concile  contre  les  Pélagiens, 
536  et  suiv.  Canons  du  même  concile  pour 
la  réunion  des  Donatistes,  559,  560.  Concile 
tenu  à  Carthage  à  l'occasion  de  l'afiaire 
d'Apiarius,  362,  563.  Sixième  concile  de 
Carthage,  563  et  suiv.  Canons  de  ce  concile, 
564  et  suiv.  Autres  canons  du  même  con- 
cile, 567,  568.  Lettre  synodale  de  ce  concile 
au  pape  Boniface  touchant  l'affaire  d'Apia- 
rius, 568,  369.  Lettres  du  même  concile  à 
saint  Cyrille  d'Alexandrie  et  à  Atticus  de 
Constantinople,  369.  Concile  tenu  en  cette 
ville  au  sujet  des  Manichéens,  370.  Concile 
au  sujet  d'Apiarius,  570  et  371.  —  Prise  de 
Carthage  par  les  Vandales,  IX,  564,  et  X, 
449.  —  Corruption  de  cette  ville  avant  l'in- 
vasion des  Vandales,  X,  375.  Saint  Eugène, 
évêque  de  Carthage,  452  et  suiv.  Conférence 
indiquée  à  Carthage  par  Hunéric,  454.  — 
Concile  qui  y  fut  tenu  par  l'évêque  Boniface 
et  où  la  primauté  de  l'évêque  de  Carthage 
fut  reconnue,  XI,  828  et  suiv.  Concile  tenu 
à  Carthnge  par  l'évêque  Réparât,  850,  851. 
Prééminence  de  son  évêque  reconnue  parle 
pape  saint  Agapet,  851.  —  Lettres  du  pape 
saint  Léon  IX  qui  confirment  à  cette  ville  le 
droit  de  métropole  de  l'Afrique,  XIII,  205, 
206. 

GARTHAGÈNE,  ville  d'Espagne.  La  pro- 
vince de  Carthagène  reconnaît  dans  un  con- 
cile l'évêque  de  Tolède  pour  son  métropoli- 
tain, XI,  911. 

[CARTHUIT,  évêque.  Sa  Vie  de  saint 
Etienne  de  Hongrie,  XIV,  1048.] 

[CARTULAIRE,  officier  du  siège  de  Rome, 
XI,  486.] 

[CARTULAIRE  de  saint  Mayeul,  XII,  889. 
D'Aymard,  889.  —  Cartulaire  de  Weerden 
dans  la  Patrologie,  XIll,  69.  Cartulaire  de 
Farfa,  477.] 

CARTULAIRE  de  Saint-Vanne,  rédigé  par 
les  soins  de  l'abbé  Richard;  l'original  s'en 
conserve  à  Dijon,  XIII,  121.  Cartulaire  de 
Cluny  rédigé  par  les  soins  de  saint  Odilon, 
137.  [Cartulaire  du  Saint-Sépulcre,  346.] 

CAS  DE  CONSCIENCE.  Comment  décidés, 
II,  445.  Cas  réservés  à  l'évêque  au  temps  de 
Rathier  de  Vérone,  XII,  836.  —  Cas  réservé 
au  pape  par  un  concile  d'Avignon,  XIV,  1132. 

CASAUBON  (Isaac),  protestant.  Son  édi- 
tion de  la  lettre  de  saint  Grégoire  de  Nysse 
à  Eustathie  et  Ambrosie,  VI,  239. 

CASAUBON  (Emeric),  protestant,  fils 
d'Isaac.  Ses  remarques  critiques  sur  les  ou- 
vrages de  saint  Justin,  I,  443.  —  Son  édi- 


418. 
419. 


4-21. 


525. 


535. 


1053. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


187 


tion  des  œuvres  de  saint  Optât  de  Milève, 
V,  149. 
II  siècle.         GASCHARE,  ville  de  Mésopolamie.  Arché- 

laiis  en  est  évêqiie,  II,  453  et  suiv. 
H52.  GASHEL  ou  CASSEL,  ville  d'Irlande  où 

l'on  établit  un  arctievêclié;  concile  qui  y  fut 
tenu,  XIV,  1134. 

CASIMIR  I",  roi  de  Pologne,  chassé  de 
ses  États,  se  retire  à  Gluny  où  il  embrasse 
la  vie  monastique,  XIII,  131.  Il  est  rede- 
mandé par  ses  sujets;  le  pape  Benoît  IX  le 
1041.  dispense  de  ses  vœux,  et  il  retourne  dans 
son  royaume,  131  et  196.  Conditions  de  la 
dispense  du  pape,  196. 
m  siècle.  CASIMIR  II,  duc  dePologne.  Ses  constitu- 
tions concernant  la  succession  des  évêques, 
confirmées  par  le  pape  Alexandre  III,  XIV, 
923. 

CASSANDRE,  ofiBcier  du  guet  à  Thessa- 
lonique,  III,  24. 

CASSANDRE  ou  CASSANDER  (Georges), 
théologien.  Ses  annotations  sur  le  poëraede 
la  résurrection  par  Fortunat,  XI,  414.  — 
[Son  édition  de  l'Inévitable,  ouvrage  d'Ho- 
noré d'Antun,  XIV,  295.] 

[CASSEDER.  Sa  traduction  allemande  des 
œuvres  de  saint  Macaire,  V,  604.] 
304.  CASSIE,  confesse  la  foi  à  Thessalonique, 

III,  24. 
29S.  CASSIEN    (Saint),   greffier,   martyr    en 

Afrique,  II,  484,  483. 
304.  CASSIEN  (et  non  CASSUS,  comme  on  a 

imprimé  dans  la  table)  (Saint),  martyr  de 
Carthage,  III,  20,21. 

CASSIEN  ou  CASSIUS  (Saint),  martyr 
dans  la  Romagne,  à  Imola  où  il  était  maître 
d'école,  III,  83  et  86.  —  Hymne  du  poète 
Prudence  en  son  honneur,  VIII,  102.  — Dis- 
cours de  saint  Pierre  Damien  en  son  hon- 
neur, Xin,  309. 

CASSIEN  (Jean),  prêtre  et  abbé  de  Mar- 
seille. Histoire  de  sa  vie,  VIII,  147  et  suiv. 
V.  360.      gj^  naissance;  son  éducation,  147.  Il  va  en 
V.'  lo":      Egypte,  147  et  148.  Il  va  à  Gonstantinople 
V.  415.       OÙ  il  est  fait  diacre  ;  il  est  fait  prêtre  ;  il  vient 
Y.  426.       à  Marseille,  148.  Gassien  cause  du  trouble 
V.  428.      par  ses  écrits,  148  et  149;  il  écrit  contre  Nes- 
V.  433.      torius  ;  mort  de  Gassien,  149.  Ses  écrits,  149 
et  suiv.  Institutions  monastiques  ;  Gassien  les 
écrit  à  la  prière  de  Castor,  évêque  d'Apt; 
V.  418.       gn  quel  temps    cet  ouvrage  est   divisé  en 
douze  livres,  149  et  130.  Analyse  du  premier 
livre,  150.  Du  deuxième,   150  et   suiv.  Du 
troisième,  132,  153.  Du  quatrième,  153  et 
suiv.  Da  cinquième,  136,  157.  Du  sixième, 


157,  158.  Du  septième,  du  huitième,  138, 
139.  Du  neuvième,  du  dixième,  159.  Du  on- 
zième, 139  et  160.  Du  douzième,  160,  151. 
Conférences  de  Gassien,  161  et  suiv.  En  quel 
temps  et  à  quelle  occasion  elles  ont  été  écri-  418  428. 
tes  ;  elles  sont  au  nombre  de  vingt-quatre, 
161.  Analyse  de  la  première  conférence,  161 
et  suiv.  Be  la  deuxième,  163,  164.  De  la  troi- 
sième, 164  et  suiv.  De  la  quatrième,  166  et 
suiv.  De  la  cinquième,  168.  De  la  sixième, 
168  et  suiv.  De  la  septième,  170  et  suiv.  De 
la  huitième,  173,  174.  De  la  neuvième,  174 
et  suiv.  De  la  dixième,  176,  177.  De  la  on- 
zième, 177,  178.  De  la  douzième,  178,  179. 
De  la  treizième,  179  et  suiv.  De  la  quator- 
zième, 182,  183.  De  la  quinzième,  183, 184. 
De  la  seizième  et  dix-septième,  184,  183.  De 
la  dix-huitième,  185  et  suiv.  De  la  dix-neu- 
vième, 187,  188.  De  la  vingtième,  188.  De  la 
vingt-unième,  188  et  suiv.  De  la  vingt- 
deuxième,  190,  191.  De  la  vingt-troisième, 
191,  192.  De  la  vingt-quatrième,  192,  193. 
Sept  livres  de  Gassien  touchant  l'Incarna-  v.  428. 
tion,  contre  Nestorius,  193  et  suiv.  Gassien 
a  écrit  ces  livres  à  la  prière  de  saint  Léon  ; 
en  quel  temps,  193,  194.  Analyse  du  pre- 
mier livre,  194,  195.  Du  deuxième  et  troi- 
sième, 193.  Du  quatrième,  193  et  196.  Du 
cinquième,  196,  197.  Du  sixième,  197  et 
suiv.  Du  septième,  199,  200.  Ouvrages  attri- 
bués à  Gassien,  200-  Jugement  des  écrits  de 
Gassien,  200  et  suiv.  Éditions  particulières 
des  œuvres  de  Gassien,  204.  Éditions  géné- 
rales, 204  et  203.  [Édition  dans  la  Patrologie, 
204.]  —  On  attribue  à  Gassien  les  Actes  de 
saint  Victor  de  Marseille,  11^  477.  —  Étant 
diacre  de  Gonstantinople,  il  vint  à  Rome  sous 
le  pape  seint  Innocent,  VII,  312.  —  Une  de 
ses  conférences  adressée  à  saint  Honorât  et 
à  saint  Eucher;  une  autre  adressée  à  saint 
Encher,  VIII,  442.  Abrégé  de  ses  ouvrages 
fait  par  saint  Eucher  de  Lyon  ;  il  semble  que 
cet  abrégé  avait  été  traduit  en  grec,  et  que 
Photius  ne  connaissait  les  ouvrages  de  Cas- 
sien  que  par  cet  abrégé,  432.  Ce  n'est  point 
saint  Eucher,  mais  Victor,  évêque  de  Marty- 
rite,  qui  a  retranché  des  conférences  de  Gas- 
sien ce  qu'il  y  a  de  mauvais  touchant  la 
grâce,  433.  —  Ouvrage  où  saint  Prosper  ré- 
fute les  sentiments  du  Conférencier,  c'est-à- 
dire  de  Gassien  sur  la  grâce,  X,  303.  Analyse 
de  cet  ouvrage,  303  et  suiv.  —  Éloge  que  fait 
Gassiodore  des  écrits  de  Gassien  ;  d'après 
lui,  on  doit  néanmoins  lire  avec  circonspec- 
tion les  endroits  où  il  est  parlé  de  la  grâce, 


188 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


XI,  21 1  et  233.  —  Ce  que  dit  de  Cassien, 
Bernon,abbé  de  Reichenau,XIII,  127.  Scho- 
lies,ou  notes  de  Lanfranc  sur  les  conférences 
de  Cassien,  443  et  458.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  liltéraire  de  la  France,  t.  II, 
p.  215  et  suiv.,  et  le  Supplément,  t.  X, 
p.  X.) 

CASSIN  (le  mont).  Voyez  Mont-Cassin. 

CASSIODORE  aïeul  et  CASSIODORE,  père 
du  célèbre  Cassiodore.  Dignités  dont  ils  fu- 
rent revêtus,  XI,  207. 

CASSIODORE,  chancelier  et  premier  mi- 
nistre de  Théodoric,  roi  d'Italie,  et  ensuite 
abbé  de  Viviers.  Antiquité  et  noblesse  de 
la  maison  de  Cassiodore^  XI,  207.  Sa  nais- 
sance vers  l'an  469  ;  ses  études,  207  et  208. 
II  est  fait  comte  des  domaines,  476,  et  en- 
suite des  largesses,  par  Odoacre,  208.  Théo- 
doric l'emploie  dans  le  ministère  et  lui 
donne  toute  sa  confiance,  208  et  209.  Atha- 
laric  se  sert  du  ministère  de  Cassiodore  et 
lui  donne  la  même  confiance,  209,  210.  Cas- 
siodore pense  à  établir  des  écoles  à  Rome 
pour  les  saintes  lettres,  210.  Il  fait  rendre 
les  vases  sacrés  de  l'église  Saint-Pierre  mis 
en  gage  pour  fournir  aux  frais  du  voyage  du 
pape  Agapet,  210.  Il  se  retire  dans  le  mo- 
nastère de  Viviers  qu'il  avait  fondé,  210  et 
211.  Sa  mort  vers  l'an  563,  211.  Son  éloge, 
213.  Ses  écrits,  212  et  suiv.  Ses  lettres,  212. 
Ses  cinq  premiers  livres,  213  et  suiv.  ; 
sixième  et  septième,  213  ;  huitième  et  neu- 
vième, 215,  216  ;  dixième  et  onzième,  216 
et  suiv  ;  douzième,  219,  220.  Histoire  ecclé- 
siastique appelée  Tripartite,  220,  221.  Sa 
Chronique,  221,  222.  Son  Comput  pascal; 
son  Histoire  des  Goths  ;  son  commentaire 
sur  les  Psaumes,  222.  En  quel  temps  et  à 
quelle  occasion  il  le  composa,  222  et  223. 
Analyse  de  ce  commentaire,  223  et  suiv. 
Commentaire  sur  le  Cantique  des  Cantiques 
qui  lui  est  attribué,  226.  Son  livre  de  l'Ins- 
titution aux  lettres  divines;  occasion  et  des- 
sein de  ce  livre,  227  et  228.  Analyse  de  cet 
ouvrage,  222  et  suiv.  Traité  des  Sept  arts 
libéraux;  de  la  Grammaire,  233;  de  la  Rhé- 
torique; de  la  Dialectique  ;  de  l'Arithméti- 
que ;  de  la  Musique,  236;  de  la  Géométrie 
et  de  l'Astronomie,  236  et  237.  Son  traité 
des  huit  parties  de  lOraison;  son  traité  de 
l'Orthographe,  237.  Des  Tropes  ou  figures  de 
l'Ecriture,  237,  238.  Son  traité  de  l'Ame;  en 
quel  temps  et  à  quelle  occasion  il  a  été  fait, 
238.  Analyse  de  ce  traité,  238  et  suiv.  Livres 
de   Cassiodore   qui  sont  perdus  ;  ouvrages 


qui  lui  sont  attribués,  242.  Sa  doctrine  sur 
l'Écriture  sainte,  243;  sur  la  tradition  et  les 
conciles,  243,  244  ;  sur  la  foi,  244  ;  sur  la 
nature  de  Dieu,  244  et  245  ;  sur  la  Trinité, 
245  ;  sur  l'Incarnation,  245  et  suiv.  ;  sur 
l'Église,  247,  248  ;  ses  ministres,  248  ;  les 
sacrements  de  Baptême  et  de  Pénitence, 
248  et  suiv.  ;  le  péché  originel  et  l'amissibi- 
lité  de  la  justice,  248;  sur  l'Eucharistie, 
230;  sur  l'Ordre,  251;  sur  la  grâce  et  le 
libre  arbitre,  251,  252;  sur  la  Féhcité  des 
saints  avant  le  jugement,  232.  Jugement  des 
écrits  de  Cassiodore,  253.  Editions  qu'on  en 
a  faites,  253  et  234.  [Edition  dans  la  Patro- 
logie,  235.  Fragments  des  auteurs  qui  exis- 
taient du  temps  de  Cassiodore  ;  deux  autres 
fragments  publiés  par  Maï,  254.]  Vie  de  Cas- 
siodore par  D.  Denys  de  Sainte-Marthe  ; 
Dissertation  par  laquelle  D.  Garet  prétend 
prouver  que  Cassiodore  a  été  moine  béné- 
dictin, 234.  —  Témoignage  de  Cassiodore 
sur  quelques  ouvrages  de  saint  Augustin, 

IX,  24  et  55.  —  Cassiodore  fait  traduire  par 
Épiphane  le  Scholastique  les  Histoires  ecclé- 
siastiques de  Socrate,  de  Sozomène  et  de 
Théodoret,  dont  il  compose  ensuite  son  His- 
toire tripartite,  XI,  102. 

CASSIOPE,  ville  de  l'île  de  Corfou.  Jean, 
évêque  d'Eurie,  s'y  retire  avec  son  clergé 
et  veut  la  soustraire  à  la  juridiction  de  l'é- 
vêque  de  Corfou,  XI,  533. 

CASSIUS,  évêque  de  Tyr,  au  concile  de 
Césarée,  H,  541. 

CASSIUS  (Saint),  martyr.  Voyez  Caste 
(saint). 

CASSIUS,  commandant  des  troupes  ro- 
maines dans  les  Gaules,  VIII,  434. 

CASSIUS  (Saint),  évêque  de  Narni.  Éloge 
que  fait  de  lui  le  pape  saint  Grégoire  le 
Grand,  XI,  461.  Ce  que  raconte  de  lui  le 
pape  saint  Grégoire,  476. 

CASTALION,  CASTILLON  (Sébastien), 
Calviniste.  Voyez  Cliâtillon. 

CASTE  et  CASSIUS  (Saints),  martyrs. 
Leurs  actes  écrits  par  Grégoii'e  de  Terraci- 
ne  ;  hymnes  en  leur  honneur  par  le  même, 
XIII,  498. 

CASTEL,  monastère  dépendant  de  celui 
de  Viviers  en  Calabre,  fondé  par  Cassiodore 
pour  des  ermites,  XI,  211. 

CASTÈRIUS  ,  prêtre  de  Constanti  - 
nople ,    député    par    Anatolius   à  Rome  , 

X,  220. 

CASTIN,  père  du  pape  saint  Simplice,  X, 
401. 


603. 


II  siècle. 


VI  siècle. 


V  siècle. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


189 


376. 


402. 


695. 


596. 


394. 


405. 


392. 


854. 


CASTOR,  à  qui  saint  Grégoire  de  Nazianze 
écrit,  V,  462,  AU. 

CASTOR  (Saint),  évêque  d'Apt,  écrit  à 
Jean  Gassien,  VIII,  148.  Monastère  qu'il 
établit  ;  Gassien  écrit  à  sa  prière  les  livres 
des  Institutions  monastiques,  149;  et  ses 
Conférences;  mort  de  Castor,  161.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  II,  p.  140  et  suiv.) 

CASTOR,  père  du  pape  Félix  IV,  XI,  114. 
GASTORINE,  tante  de  saint  Jérôme,  VII, 
54S.  Lettre  qu'il  lui  écrivit,  S82. 

CASTORIUS,  évêque  de  Bagaïe  ou  Va- 
gine,  à  qui  saint  Augustin  écrit,  IX,  90.  Son 
élection,  90,  et  VIII,  539. 

CASTORIUS,  notaire  et  nonce  du  pape  à 
Ravenne.  Lettre  du  pape  saint  Grégoire  le 
Grand  au  sujet  d'un  libelle  affiché  contre 
lui,  XI,  303. 

CASTORIUS,  évêque  de  Rimini.  Lettre 
que  lui  écrit  le  pape  saint  Grégoire  le 
Grand,  XI,  488.  Il  se  démet  entre  les  mains 
de  ce  saint  pape,  308. 

CASTORIUS,  cartulaire  de  l'Eglise  ro- 
maine ;  il  se  réconcilie  avec  Maxime,  évê- 
que de  Salone,  XI,  316. 

[CASTRIUS  (Léon).  Son  édition  des  deux 
lettres  de  Jules  Africain,  II,  96.] 

CASTRUCE,  à  qui  saint  Jérôme  écrivit  une 
lettre,  VII,  643. 

CASTULE,  prêtre  arien  à  Milan,  retiré 
des  mains  du  peuple  par  saint  Ambroise,  V, 
384  et  suiv. 

CASTUS,  l'un  des  quatre  prêtres  d'Antio- 
che  auxquels  saint  Jean  Chrysostôme  écrit 
une  lettre,  VII,  133. 

GASULAN,  prêtre.  Lettre  que  lui  écrit 
saint  Augustin,  IX,  77. 

GATA  ou  GÉADDA,  évêque  d'York  à  la 
place  de  saint  Wilfrid,  XU,  21  et  63.  Sa  Vie 
par  Etienne  Heddi,  22. 

CATACOMBES,  cimetière  de  Rome.  Té- 
moignage de  saint  Jérôme,  VII,  701. 

[CATALOGUE  des  papes  attribué  à  saint 
Damase,  V,  24,  n.  9.] 

CATALOGUE  des  hommes  illustres  par 
saint  Jérôme,  VII,  395.  Catalogue  des  douze 
docteurs  ;  ouvrage  faussement  attribué  à 
saint  Jérôme,  648.  —  Catalogue  des  ouvra- 
ges de  saint  Augustin  par  Possidius,  IX,  560 
et  suiv.  —  [Deux  catalogues  anciens  de  l'É- 
glise de  Besançon,  XI,  633.]  —  Catalogue 
lumineux  de  ceux  qui  avaient  été  mis  à 
mort  pour  la  foi  de  Jésus-Christ,  ouvrage 
d'Alvar,  prêtre  de  Gordoue,  XII,  322  et  323. 


[Ce  que  c'est  ;  analyse  de  cet  ouvrage,  323.] 
Catalogue  ou  canon  des  divines  Écritures. 
Voyez  Canon  des  divines  Écritures. 

[CATALOGUE  des  hommes  illustres  ou 
traité  des  écrivains  ecclésiastiques  par  Ho- 
noré d'Autun;  ce  qu'il  contient;  il  est  d'Ho- 
noré ;  éditions  qu'on  en  a  faites ,  XIV , 
299.] 

CATALOGUES  des  papes,  XE,  717,  718. 

CATANE,  ville  de  Sicile.  Privilège  ac- 
cordé à  l'église  de  cette  ville  par  le  pape 
Urbain  H,  XIII,  423. 

CATANI  et  non  GATINI  (François),  cha- 
noine de  Florence.  Sa  traduction  italienne 
des  Offices  de  saint  Ambroise  ;  sa  traduction 
de  l'Hexaméron,  V,  383. 

CATAPHRONIUS ,  sacrificateur  de  la 
Thrace,  III,  37. 

CATAPHRYGES,  hérétiques  montanistes. 
Loi  de  Constantin  contre  eux,  III,  146. 

CATASTASE,  ouvrage  de  Synésius  de 
Ptolémaïde  sur  la  désolation  de  sa  province, 
Vm,  32. 

GATEAU-CAMBRÉSIS,  ville  du  Cambré- 
sis,  où  Gérard,  évêque  de  Cambrai,  fonde 
un  monastère,  XIII,  160. 

CATÉCHÈSES  ou  INSTRUCTIONS.  Les 
dix-huit  Catéchèses  de  saint  Cyrille  de  Jéru- 
salem, V,  30  et  suiv.  Les  cinq  Catéchèses 
mystagogiques  du  même,  33  et  52  et  suiv. 
Méthode  que  saint  Cyrille  a  suivie  dans  ses 
Catéchèses;  arguments  qu'il  y  emploie;  qui 
sont  ceux  qu'il  y  attaque,  81  et  82.  —  Grande 
Catéchèse  de  saint  Grégoire  de  Nysse,  VI, 
187  et  suiv.  —  Catéchèse  de  saint  Jean 
Chrysostôme,  VII,  73  et  suiv.  Petite  Caté- 
chèse sur  la  Pâque,  faussement  attribuée  à 
saint  Jean  Chrysostôme,  329.  —  Catéchèse 
ou  discours  de  Salvien  sur  les  mystères; 
ouvrage  qui  est  perdu,  X,  377.  — Catéchèses 
de  saint  Théodore  Studite,  XII,  308,  309. 

[CATÉCHÈSE  chronique  ou  jours  de 
jeûne  des  Grecs,  ouvrage  de  saint  Théodore 
Studite,  XU,  314,  313.] 

CATÉCHUMÈNES.  Ceux  que  l'on  prépa- 
rait au  baptême.  Témoignage  d'Origène , 
II,  237.  Témoignage  de  saint  Gyprien,  379. 
Durée  du  catéchuménat  selon  lesconstitulions 
apostoliques,  394,  595.  Prières  pour  les  ca- 
téchumènes ;  Constitutions  apostohques,  596. 
Catéchuménat  des  Flamines  ;  canon  qua- 
trième du  concile  d'Elvire,  604,  605.  Caté- 
chumènes énergumènes  ;  on  leur  donnait  le 
baptême  à  la  mort;  canon  trente-septième 
du  concile  d'Elvire,  608,  609.  Catéchuménat 


1091. 


412. 


IV  siècle. 


IV  siècle. 


IV  siècle. 

3(i7. 


III  siècle. 


IV  siècle. 


190 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


IV  siècle,  donné  aux  gentils  dans  le  cas  de  maladie  ; 
canon  trente-neuvième  du  concile  d'Elvire, 
IV  siècle.  609.  Catéchumènes  nommés  chrétiens  ;  ca- 
non quarante-cinquième  du  concile  d'Elvire, 
610.  Canon  sixième  du  concile  d'Arles,  630, 
IV  siècle.  631.  Canon  cinquième  du  concile  de  Néocé- 
sarée,  641.  —  Canon  quatorzième  du  con- 
cile de  Nicée,  III,  436.  Canon  dix-neuvième 
325.  du  concile  de  Laodicée,  SIO.  Canons  qua- 
rante-cinquième et  quarante-sixième  du 
même,  512,  513.  —  Canon  quatrième  du 
concile  d'Hippone ,  VII,  714.  Canon  cin- 
quième du  troisième  concile  de  Carthage, 
719.  Canon  quatre-vingt-cinquième  du  qua- 
trième concile  de  Carthage,  732.  —  Dispo- 
sitions du  concile  d'Orange  à  l'égard  des 
catéchumènes,  VIII,  608,  609.  —  Témoi- 
gnage de  saint  Méthode,  III,  71  ;  —  de  saint 
Basile,  IV,  319;  —  de  saint  Cyrille  de  Jéru- 
salem, V,  51  et  72,  73.  Réponses  première, 
deuxième,  quatrième  et  sixième  de  Timo- 
thée  d'Alexandrie,  93,  94.  —  Deux  catéchè- 
ses de  saint  Jean  Chrysostôme  aux  caté- 
chumènes, VII,  73  et  suiv.  Témoignages  du 
même  sur  les  catéchumènes,  224,  306,  410, 
411.  Discours  aux  catéchumènes  qui  lui  est 
faussement  attribué,  287.  Témoignages  de 
saint  Jérôme,  670;  —  de  saint  Augustin, 
IX,  257,  624,  74.^,  746.  Traité  de  saint  Au- 
gustin :  De  catechizandis  rudibus ,  264  et 
suiv.  —  Saint  Léon  défend  d'admettre  les 
catéchumènes  à  l'épiscopat,  X,  203.  Diffé- 
rents examens  prescrits  par  le  Sacramen- 
taire  du  pape  saint  Gélase,  pour  préparer 
les  catéchumènes  au  baptême,  312,  313.  — 
Sentiment  d'Alcuin  sur  les  catéchumènes, 
XII,  203.  —  Renvoi  des  catéchumènes  avant 
la  messe  ;  quand  il  a  cessé,  XIII,  12. 

CATÉGORIES.  Livre  des  dix  Catégories 
attribué  faussement  à  saint  Augustin,  IX, 
65. 

CATGUCAN,  roi  d'Angleterre,  excommu- 
nié et  rétabli  dans  la  communion  de  l'Égli- 
se, XIV,  1059. 

CATHARES  ou  NOVATIENS.  Voyez  No- 
vatiens. 

CATHARES ,  hérétiques  condamnés  au 
1185.  concile  de  Vérone  tenu  par  le  pape  Lucius  III, 
XIV,  930.  [Ils  renouvelaient  les  erreurs  des 
Manichéens  ;  treize  sermons  ou  discours 
dans  lesquels  Egbert  réfute  dix  de  leurs 
erreurs;  éditions  de  ces  discours;  jugement 
de  ces  discours,  599.  Les  erreur  sdes  Catha- 
res dénoncées  par  Bonacurse ,  comte  ro- 
main, 802.] 


4M. 


CA.THARIN  (Ambroise),  dominicain,  ar- 
chevêque de  Couza.  Texte  de  saint  Am- 
broise sur  lequel  il  s'est  mépris,  V,  343. 

CATHÉDRATIQUE,  droit  de  visite  dû  aux 
évéques,  et  fixé  à  deux  sous  d'or  par  le 
deuxième  concile  de  Brague,  XI,  543. 

C.4THÉMÉRIN0N,  ou  hymnes  de  chaque 
jour  par  Prudence,  VIH,  101,  102,  [sous  le 
titre  de  liber  KaBiitiEpivoMv  ou  Quotidianorum, 
Prudence  a  réuni  une  série  d'hymnes  pour 
toutes  les  heures  du  jour  qui  doivent  être 
consacrées  à  la  prière,  et  quelques  autres 
pour  les  principales  époques  de  l'année 
chrétienne.  Il  commence  par  la  prière  de 
nuit  que  l'Église  commande  de  faire  au  chant 
du  coq.] 

CATHERINE  D'ALEXANDRIE  (Sainte). 
[Prologue  de  sa  passion  par  Pierre  de  Na- 
ples,  XIII,  602.]  —  Sermon  de  Guillaume 
d'Auvergne  pour  le  jour  de  sa  fête,  XIV, 
1027. 

CATHOLIQUES.  Lettre  de  Constance  à  3i4. 
tous  les  évêques  catholiques,  III,  134,  et  V, 
143.  Lois  du  même  en  faveur  des  catholi- 
ques, 146.  —  Le  nom  de  catholique  distin- 
gue la  vraie  Eglise,  V,  78.  L'empareur 
Théodose  ne  reconnaît  pour  adorateur  du 
Dieu  tout-puissant  que  les  catholiques,  154. 
—  Deux  livres  des  Mœurs  de  l'Église  catho-  389. 
lique  et  des  Mœurs  des  Manichéens ,  ou- 
vrage de  saint  Augustin,  IX,  56  et  suiv.  Re- 
marque de  saint  Augustin  sur  le  nom  de 
cathoUque,  624. 

[CATULFE ,  auteur  d'une  Instruction 
adressée  à  Charleœagne,  XII,  152.]  (Voyez 
ce  qui  en  est  dit  dans  ï'ffistoù'e  littéraire  de 
la  France,  t.  IV,  p.  201  et  suiv.) 

GATON,  philosophe.  Témoignages  de  saint 
Augustin,  IX,  505  et  793. 

CATTURE,  vierge  à  qui  Salvien  adresse 
une  lettre  sur  les  avantages  de  la  maladie, 
X,  376. 

CATULIN,  vicaire  d'Afrique  à  qui  une  loi 
est  adressée,  VI,  339. 

CATWALON,  qu'on  dit  frère  de  Geoffroi, 
duc  de  Bretagne,  d'abord  moine  de  Redon, 
établit  une  communauté  de  moines  à  Belle- 
Ile  ou  Guédel;  succède  à  Mainard,  abbé  de  joas. 
Redon,  et  rétablit  ce  monastère;  combien  ^49, 
de  temps  il  gouvei'na;  ses  deux  lettres,  XIIJ, 
138.  [Édition  qui  en  est  faite  dans  la  Patro- 
logie,  158.]  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  VII, 
p.  426.) 

[CAUBÈRE  (le  Père),  a  traduit  en  français 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


191 


quelques  ouvrages  de  TertuUien,  II,  87.] 
siècle.  CAUSES  ECCLÉSIASTIQUES  réservées 
aux  juges  ecclésiastiques  selon  saint  Hilaire 
de  Poitiers,  IV,  78  ;  selon  saint  Athanase, 
222  ;  selon  saint  Basile,  330  ;  selon  saint 
Grégoire  de  Nazianze,  V,  347,  348;  el  saint 
I  Ambroise,  488.  —  Saint  Jean  Chrysostôme 

allègue  les  canons  qui  défendent  de  juger 
les  causes  des  évêques  hors  de  leur  pro- 
vince, VII,  5.  Causes  majeures  dévolues  au 
Saint-Siège  selon  le  pape  saint  Innocent, 
507. 

CAUTION  interdite  aux  clercs.  Canon  ving- 
tième apostolique,  II,  582. 

CAVADE  (ou  CAVADÈS),  roi  de  Perse, 
prend  le  fort  Tzundader  par  les  prières  d'un 
évêque,  ce  qui  le  porte  à  favoriser  les  chré- 
tiens dans  ses  états,  XI,  104.  —  Il  ne  peut 
prendre  la  ville  d'Édesse,  X,  586. 
1089.  CAVE,  abbaye  au   royaume  de  Naples. 

Bulle  du  pape  Urbain  -Il  pour  la  confirma- 
lion  des  biens  et  des  droits  de  cette  abbaye, 
XIII,  422. 

CAXUME,  autrefois  AUXUME,  ville  d'E- 
thiopie, VI,  344. 

CÉADDA.  Voyez  Cata. 
CÉCILE,  prêtre,  convertit  saint  Gyprien, 
depuis  évoque  de  Carthage;  il  lui  recom- 
mande en  mourant  sa  femme  el  ses  enfants, 
II,  238. 

CÉCILE,  évêque   de  Bilta ,  en  Afrique. 
Voyez  Cécilius. 

CÉCILE  (Sainte),  martyre.  [Les  actes  de 
son  martyre  sont  véridiques.  L'assertion 
contraire  est  en  contradiction  avec  les  tra- 
vaux récents  de  D.  Guéranger.  Rédaction 
de  ces  actes,  II,  99.  Leur  authenticité,  100 
et  suiv.  Objections  et  réponses,  102  et  suiv. 
Analyse  de  ces  actes,  106  el  suiv.  Epilbalame 
de  sainte  Cécile  et  de  saint  Valérien,  109, 
note  2]  —  Relation  de  l'invention  du  corps 
de  sainte  Cécile  dans  une  lettre  du  pape 
Pascal,  XII,  402,  403.  [Pièce  de  vers  sur 
sainte  Cécile  par  le  moine  Théodoric,  XIII, 
602j]  —  Abbaye  de  filles  sous  le  nom  de 
873.  sainte  Cécile,  fondé  par  Gonthier,  archevê- 
que de  Cologne  ;  cette  fondation  confirmée 
dans  un  concile  de  Cologne,  Xlll,  716.  — 
Sermon  de  Guillaume  d'Auvergne  pour  la 
fêle  de  celte  sainte,  XIV,  1027. 

CÉCILE,  fille  aînée  de  Guillaume  le  Con- 
1075.        quérant,  se  consacre  à  Dieu,  XIII,  330.  Son 

éloge  par  Baudri,  évêque  de  Dol,  531. 
304.  CÉCILIEN  (Saint),  martyr  de   Carthage, 

III,  20. 


CECILIEN  (Saint),  martyr  de  Saragosse,        soi. 
III,  44. 

CÉCILIEN,  archidiacre  de  Carthage,   en 
est  élu  évêque.  Schisme  contre  lui,  II,  621 
et  suiv.  11  est  condamné  par  les  Donatistes, 
623.  Protection  que  lui  accorde  Constantin,      iv  siècle. 
623.  Concile  tenu  à  Rome  à  son  sujet;  il  est 
absous  par  ce  concile,   623,  .626.  Déclaré 
innocent  au  concile  d'Arles,  629.  —  Lettres        3i4. 
que  lui  éci'ivit  Constantin,  III,  133.  Autre,         313. 
133.  Il  est  déclaré  innocent  au  concile  d'Ar-        315. 
les,  135.  Il  est  le  seul  de  l'Afrique  au  concile 
de  Nicée,  420.  —  Cécilien  déposé  par  les 
Donatistes,  V,  96.  Il  est  absous  par  le  con- 
cile de  Rome,  97.  Actes  de  sa  justification,        320. 
143.  —  Sa  condamnation  et  sa  justification, 

IX,  19,  80,  485. 

CÉCILIEN,  évêque  dans  la  Mauritanie  de 
Stèfe,  VII,  712. 

CÉCILIEN,  gouverneur  de  Numidie ,    et        405. 
ensuite  vicaire  d'Afrique,  IX,  9  et  16.  Lettre 
que  lui  écrivit  saint  Augustin,  94.  Autre,       v.  4i4. 
133,  134. 

CÉCILIUS,  évêque  de  Bilta  en  Afrique,      m  siècle. 
Lettre  de  saint  Cyprien  à  Cécilius,  II,  323  et 
suiv.  Concile  de  Carthage  où  il  opine  le  pre- 
mier, 323,  note  10  et  p.  550,  551. 

CÉCROPIUS  ou  CÉCROPS,  évêque  de  Ni- 
comédie,  II,  613.  — Périt  dans  le  tremble-        358. 
ment  de  terre  de  cette  ville,  IV,  334. 

CÉCROPIUS,  évêque  de  Sébastopolis, 
s'oppose,  dans  le  concile  de  Chalcédoine,  à 
ce  qu'on  fasse  une  nouvelle  formule  de  foi, 

X,  688.  Il  demande  un  règlement  pour  faire 
observer  partout  les  canons  sans  égard  aux 
lois  impériales,  691. 

CÉCROPS,  premier  roi  des  Athéniens,  VIIT, 
312. 

CEDDE,  évêque  d'Irlande,  assiste  à  la  con- 
férence de  Streneshal,  XII,  933.  Embrasse 
l'usage  de  l'Église  romaine  sur  la  pàque,  936. 

CÉDICIE,  dame  à  qui  saint  Augustin  écrit       iv  ou 
une  lettre,  IX,  190,  191.  ^  ^'^'="^- 

CEDRÈNE  (Georges),  moine  grec.  Voyez 
Georges  Cedrène. 

CÉILLIER(DûmRemi),  bénédictin,  prieur  xviUsiècie. 
titulaire  de  Flavigny.  Lettre  qui  lui  est  écrite, 
et  qui  contient  l'explication  d'un  passage  de 
saint  Augustin,  IX,  820  et  suiv.  —  Il  est  seul 
auleur  de  la  Bibliothèque  des  auteurs  sacrés 
et  ecclésiastiques,  XIII,  487.  —  Sa  lettre  au 
pape  Benoît  XIV,  par  laquelle  il  lui  présente 
les  dix-sept  premiers  volumes  de  son  his- 
toire des  auteurs  sacrés  et  ecclésiastiques  ; 
réponse  du  pape,  XIV,  1172.  Seconde  lettre 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


V.  400. 


VI  siècle. 


ni  siècle. 


421. 


492. 
423. 
426. 


V.  426. 
428 


423. 
V .  430. 


192 

que  lui  écrit  le  même  pape  en  le  remerciant 
du  18°  tome,  qu'il  lui  avait  fait  présenter 
par  le  cardinal  Passionéi,  1173.  —  [Nouvelle 
édition  à  laquelle  M.  l'abbé  Bauzon  a  tra- 
vaillé plus  de  dix  ans.  Approbations  données 
à  cette  édition,  en  tête  du  XIIP  volume.  — 
Sa  Sainteté  Pie  IX  loue  le  projet  de  la  nou- 
velle édition,  XIV,  1173.  —  Biographie  de 
Dom  Ceillier"  en  tête  du  I"  volume.] 

CEINTURE  DE  LA  SAINTE  VIERGE.  Dis- 
cours d'Euthymius  Zigabène  sur  ce  sujet, 
XIV,  153. 

CELA,  lieu  où  furent  trouvées  les  reli- 
ques du  prophète  Habacuc,  VIII,  533. 

GÉLANTIA  ou  CÉLANCIE,  dame  de  qua- 
lité. Lettre  à  cette  dame,  faussement  attri- 
buée à  saint  PauHn,  évéque  de  Noie,  VII, 
646  et  VIII,  88. 

CELCHYTE  en  Angleterre.  Voyez  Calckui. 
CELER,  homme  distingué.  Lettre  que  lui 
écrit  saint  Augustin,  IX,  86. 

CELER,  général  des  troupes  de  l'empe- 
reur Anastase.  Son  voyage  à  Edesse  pour 
confirmer  l'alliance  avec  les  Perses ,  X , 
586. 

CÉLERIN,  confesseur.  Sa  lettre  à  Lucien, 
II,  303.  Lettre  de  Lucien  à  Gélérin,  304. 
Il  est  fait  lecteur,  309,  310. 

GÉLÉRIN,  père  d'Agéruchie,  VII,  638. 
GÉLÉRINE,  dame  k  qui  Théodoret  écrit, 
X,  72.  ^ 

CÉLÉRUS,  sénateur.  Lettre  que  lui  écrit 
saint  Avit  de  Vienne,  X,  562. 

CÉLESTE,  divinité  honorée  à  Garthage. 
Son  temple  détruit,  VIIL  370  et  X,  429. 

CÉLESTIAQUE,  sénateur  de  Garthage, 
chassé  par  les  Vandales,  recommandé  par 
Irénée,  évêque  de  Tyr,  X,  65,  à  d'autres 
personnes,  66.  Sa  conversion,  66  et  67. 

GÉLESTIN,  diacre,  consulte  le  pape  saint 
Innocent  au  nom  de  Décentius,  évêque  d'Eu- 
guho,  VII,  521. 

GÉLESTIN,  à  qui  saint  Augustin  écrivit 
une  lettre,  IX,  69. 

GÉLESTIN  (Saint),  pape,  VIII,  127  et  suiv. 
Il  est  élu  pape;  lettre  de  saint  Augustin  à 
ce  pape  ;  lettres  de  saint  Gélestin  aux  évê- 
ques  d'Afrique,  et  réponse  de  ceux-ci,  127. 
[Note  relative  à  cette  réponse,  127^  n.  2.] 
Lettre  de  saint  Gélestin  aux  évèques  d'Illyrie, 
127,  128.  Lettre  aux  évêques  des  provinces 
de  Vienne  et  de  Narbonne,  128,129.  A  ceux 
de  Pouille  et  de  Galabre,  130.  Lettre  de  Nes- 
torius  au  pape  saint  Gélestin,  autre  du  même, 
130  et  suiv.  Lettre  de  saint  Cyrille  d'Alexan- 


drie à  saint  Gélestin,  132.  Saint  Gélestin  tient 
un  concile  à  Rome.  Lettre  de  saint  Gélestin 
à  saint  Cyrille,  133.  A  Jean  d'Aatioche  et 
autres  évêques,  134.  A  Nestorius,  135,  136. 
Au  clergé  de  Contantinople,  136,  137.  Lettre 
de  Nestorius  au  pape  saint  Gélestin,   137, 
138.  Lettre  de  saint  Gélestin  à  saint  Cyrille, 
138.   Au   concile  d'Ephèse,  138  et  139.  A 
l'empereur  Théodose.    Lettres    du   concile 
d'Ephèse  au  pape  saint  Gélestin,  139.  Lettre 
de  saint  Gélestin  aux  évêques  des  Gaules, 
139  et  140.  Recueil  touchant  l'autorité  des 
évêques  de  Rome,  au  sujet  de  la  doctrine  de 
la  grâce,  140  et  suiv.  Lettre  de  saint  Géles- 
tin au  concile  d'Ephèse,  143,  144.  A  Théo- 
dose ;  à  Maximilien  de  Constantinople,  144; 
au    clergé    et    au    peuple   de   cette  ville, 
144  et  145.  Autres  lettres  perdues ,   143. 
Saint  Gélestin   chasse  Célestius  de  l'Italie, 
145,  Il  envoie  en  Angleterre  saint  Germain 
d'Auxerre.  Lettre  perdue  de  saint  Gélestin 
à  un  évêque  nommé  Tuentius,  143.  Lettres 
sur  la  translation  des  évêques  attribuées  à 
saint  Gélestin,  143  et  146.  Zèle  de  saint  Gé- 
lestin contre  les  Novatiens  ;  décrets  attribués 
à  saint  Gélestin  ;  mort  de  ce  saint  pape,  146. 
Pièces  relatives  à  saint  Gélestin  et  ses  écrits 
dans  la  Patrologie,  146.  —  Le  pape  saint 
Gélestin  fait  chasser  Célestius  de  toute  l'Ita- 
lie, VII,  544.  —  Lettres  que  saint  Augustin 
écrivit  à  saint  Gélestin  avant  qu'il  fût  pape, 
IX,  162, 171.  Gélestin  condamne  dans  un  con- 
cile les  erreurs  de  Nestorius,  VIII,  371.  Lettre 
que  lui  écrit  saint  Cyrille  d'Alexandrie  au 
sujet  des  erreurs  de  Nestorius,  286  ;  sa  ré- 
ponse  à  saint  Cyrille  ;   ses  lettres  à  Jean 
d'Antioche,  Juvénal  de  Jérusalem,  etc.,  278. 
Nestorius,  371.  Trompé  par  le  prêtre  Apia- 
rius  excommunié  en  Afrique,  il  le  rétablit 
dans  la  communion,  et  le  renvoie  en  Afrique 
pour  être  rétabli  ;  sa  lettre  aux  évêques  d'A- 
frique, 370.  Réponse  des  évêques  assemblés 
en  concile  oii  ils  lui  font  sentir  l'inconvénient 
des  appellations  au  pape  et  de  ce  qu'ils  ap- 
pellent les  prétentions  de  l'Eglise  de  Rome, 
570  et  571.  [Voyez  la  note  2,  p.  127.]  Ses 
lettres  à  Nestorius  et  à  saint  Cyrille,  573.  On 
ne  voit  rien  qui  marque  qu'il  ait  eu  part  ù 
la  convocation  du  concile  d'Ephèse,  574.  Il 
envoie  à  ce  concile  des  légats  chargés  de  ses 
instructions,  374,  575.  Sa  lettre  insérée  dans 
les  actes  du  concile,  584,  385.  —  Sa  lettre 
aux  évêques  des  Gaules  en  faveur  d'Hilaire 
et  de   saint  Prosper,  et  pour  défendre  la 
doctrine  de  saint  Augustin,  X,  277. 


430. 


43i. 


432. 


432. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


193 


H43.  CÉLESTIN  II,   pape,  XIV,  267.   Lettres 

qui  nous  restent  de  lui,  267  et  268.    [Voyez 
Hi4.        aussi  267,  n.  1;]  Sa  mort,    lettre  d'ArnouI, 
évêqne  de  Lisieux,  qui  lui  est  adressée,  268. 
1191.  CÉLESTIN  III,  pape  ;  il  couronne  empe- 

reur Henri  VI  et  la  reine  sa  femme,  XIV, 
H98.  940.  Sa  mort,  941.  Ses  lettres,  941  et  suiv. 
[Collection  de  ses  lettres  dans  la  Patrologie, 
944  et  suiv.  Autres  écrits  qui  lui  sont  attri- 
bués; jugement  sur  les  lettres  de  Célestin  III^ 
946.  Lettre  de  Guariu,  abbé  de  Saint-Victor^ 
à  ce  pape,  711.  Lettre  de  l'archevêque  de 
Drontheim  à  ce  pape  ;  lettre  de  Guillaume 
abbé  au  même,  841.] 
iM5.  CÉLESTIUS,  hérésiarque,  disciple  de  Pe- 

lage. Quel  il  était,  VII,  S43.  Ses  erreurs,  343 
et  344  ;  il  est  condamné  dans  un  concile  de 
Carthage  ;  chassé  de  Constantinople  et  de 
Rome;  ses  erreurs  condamnées  dans  un  con- 
cile de  Palestine  ;  assemblée  tenue  à  Jéru- 
salem au  sujet  de  l'hérésie  de  Pelage  et  de 
Célestius,  344.  Confession  de  foi  que  Céles- 
lius  présente  au  pape  Zosime,  329.  Lettre  de 
ce  pape  à  Aurèle  de  Carthage  et  aux  évo- 
ques d'Afrique  au  sujet  de  la  profession  de 
foi  de  Célestius,  329  et  suiv.  Lettre  de  ces 
évêques  et  réponse  du  pape,  333  et  334. 
—  Il  est  chassé  de  l'Italie  par  le  pape  saint 
Célestin,  VIII,  143.  11  se  retire  à  Constanti- 
nople où  il  trouve  de  la  protection  dans  Nes- 
torius,  368.  Ses  erreurs  y  sont  dévoilées  et 
il  est  proscrit  par  un  édit  de  l'empereur 
Théodose,  368  et  501.  Nestorius  lui  écrit 
pour  l'en  consoler  ;  il  le  porte  à  intenter  une 
accusation  contre  le  prêtre  Philippe,  368.  — 
Caractère  de  Célestius,  IX,  417.  Réfutation 
de  ses  écrits  par  saint  Augustin,  440  et  suiv. 
Ses  erreurs,  446,  447  et  453.  Sa  condamna- 
tion et  sa  profession  de  foi,  417  et  433. 
siècle.  CÉLEUSIUS,  ecclésiastique  de  Carthage, 
l'un  des  auteurs  du  schisme  contre  Gécilien, 
II,  621. 
,,^.  CÉLEUSIUS,  officier  de  la  ville  de  Na- 
zianze.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  V,  247. 

CÉLIBAT  des  chrétiens  [selon  saint  Clé- 
iiècie.  tnent  pape,  I,  334.  Voyez  note  o;]  selon 
siècle.  Athénagore,  483.  Selon  Minucius  Félix,  533. 
Selon  Tertulhen,  II,  77.  [Célibat  des  clercs 
d'après  l'auteur  des  Philosophumena,  201.] 
Traité  de  la  Singularité  ou  du  céHbat  des 
clercs  attribué  à  Grigène  et  à  saint  Cyprien, 
347.  —  Pour  quelles  raisons  le  célibat  a  été 
reçu  chez  les  chrétiens  ;  doctrine  d'Eusèbe 
de  Césarée,  IIl,  89  [et  223.]  Son  témoignage, 

TAB.    I. 


299.  Canon  3  du  concile  de  Nicée,  430,  431. 
Différents  usages  sur  ce  sujet,  531.  —  Té- 
moignage de  saint  Cyrille  de  Jérusalem,  V, 
77.  Le  célibat  des  prêtres  n'était  point  géné- 
ral dans  l'Orient  du  temps  de  saint  Grégoire 
de  Nazianze,  179.  Son  témoignage,  180  et  iv  .siècle. 
347.  Doctrine  de  saint  Ambroise,  567.  — De  iv  siècle, 
saint  Epiphane,  VI,  433.  — De  saint  Augus-  v  siècle, 
tin,  IX,  783.  —  Sentiment  de  l'évèque  Véran 
sur  le  célibat  des  clercs,  X,  710.  Règle- 
ment du  concile  de  Gironne  sur  ce  su- 
jet, 749.  —  Doctrine  du  pape  saint  Gré- 
goire le  Grand,  XI,  372.  Témoignage  de 
saint  Isidore  de  Séville  sur  le  célibat  néces- 
saire pour  parvenir  à  l'épiscopat,  718.  — 
Célibat  des  prêtres  justifié  par  Ratramne  ix  siècle, 
contre  les  reproches  des  Grecs,  XII,  366; 
par  Enée,  évêque  de  Paris,  600.  Le  célibat 
n'est  point  exigé  des  prêtres  grecs,  961.  — 
Canon  d'un  concile  de  Pavie  sur  le  célibat 
des  clercs,  XIII,  191.  Règlement  d'un  con- 
cile de  Rome,  244.  Lettres  des  clercs  de  Cam- 
brai et  de  Noyon,  276,  277.  Règlement  d'A- 
lexandre II,  289.  Lettre  de  saint  Pierre 
Damien,  304;  de  Gonthier,  évêque  de  Bam- 
berg,326.  Règlement  de  saint  Grégoire  VU, 
334.  Il  en  poursuit  l'exécution,  336.  Canon 
du  concile  de  Worms,  701.  —  Témoignage 
du  Vénérable  Hildebert,  évêque  du  Mans, 
XIV,  217.  Témoignage  de  Robert  Pullus, 
398.  Voyez  Continence. 

CÉLICOLES,  sectaires  peu  connus,  IX,  81. 

CÉLIDONIUS,  évêque  de  Besançon,  Voyez 
Quélidoine. 

CELLARIUS  (Christophe),  protestant.  Ses 
notes  sur  le  Dialogue  de  Minutius  Félix,  I, 
337.  —  Sur  Lactance,  II,  520.  —  [Son  édition 
des  écrits  du  poète  Prudence,  VIII,  107  ;  de 
Sédulius,  poëte,  149.] 


CELLE,    ville  de   Thrace.  Au   temps  du 


431. 


concile  d'Éphèse,  l'évèque  de  Celle  l'était 
aussi  de  Gallipoli,  VIII,  591. 

CELLE  (la),  dans  la  forêt  Noire.  Fondation     xi  siècic. 
de  ce  monastère,  XIII,  470. 

CELLE-NEUVE.  Monastère  en  Espagne, 
XIV,  933. 

CELLERIER,  devoirs  du  cellerier  et  des 
autres  officiers  dans  la  règle  de  saint  Benoît, 
XI,  163. 

CELLOT  (Louis),  jésuite.  Son  édition  de 
plusieurs  opuscules  d'Hincmar  de  Reims, 
qui  servent  à  compléter  l'édition  des  œuvres 
de  cet  archevêque  donnée  par  Sirmond, 
Xn,  689. 

CELLULE,  livre  des  quatre  exercices  de 

13 


194 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


la  cellule,  ouvrage  de  Gui,  prieur  général  de 
la  Chartreuse,  XIV,  402. 
C02.  GELMENTIN,  primat  de  la  Byzacène.  Con- 

cile ordonné  par  le  pape  saint  Grégoire  le 
Gi-and  pour  examiner  les  plaintes  formées 
contre  lui,  XI,  909. 

GELSANUS  (Barnabe),  son  édition  de  la 
traduction  latine  de  quelques  ouvrages  de 
saint  Athanase  faite  par  Omnibonus  de  Lo- 
nigo,  IV,  230.  [C'est  par  erreur  que  la  Table 
de  Rondet  porte  Longiuo.] 
Il  siècle.  CELSE,  chrétien,  traducteur  de  l'ouvrage 

d'Ariston  de  PeUa,  intitulé  :  conférence  de 
Jason  et  de  Papisque,  1,  405  et  VI,  269. 
ii[  siècle.  CELSE,  philosophe  païen.  Livres  d'Ori- 
gène  contre  ce  philosophe  ou  Apologie  des 
chrétiens  contre  les  calomnies  de  ce  philoso- 
phe, II,  179  et  suiv.  —  Témoignage  de  saint 
Jean  Chrysostôme  sur  Celse,  VII,  253. 

CELSE  et  NAZAIRE   (Saints) ,    martyrs. 
Voyez  Nazaire. 
315.  CELSE  (Saint),  évêque  de  Trêves.  Histoire 

de  l'invention  de  ses  reliques,  et  discours 
pour  le  jour  de  sa  fête  par  Thierry,  moine 
de  Saint  Mathias  de  Trêves,  XIH,  101,  102. 

CELSE,  vicaire  d'Afrique.  Lettre  que  l'em- 
pereur Constantin  lui  écrit,  III,  135  et  IX, 
416.  —  Celse,  fils  de  Pneumace,  parent  de 
saint  Paulin,  VIII,  50.  Poème  de  saint  Pau- 
lin sur  sa  mort,  86,  87. 

CELSE,  abbesse  du  monastère  de  Saint- 
Césaire  à  Arles,  XI,  695. 

CELSIN,  évêque  de  Toul,  X,  400. 

CELLES  (Conrad),  savant  allemand.  Son 
édition  des  ouvrages  de  Rosvithe,  religieuse 
de  Gandersheim,  XII,  877. 

CÉMELE,  autrefois  ville  considérable,  près 
de  Nice  en  Provence,  avec  le  titre  de  cité  et 
un  siégp  épiscopal,  VIII,  144.  —  Saint  Léon 
réunit  ce  siège  à  celui  de  Nice;  état  actuel 
de  ce  lieu,  X,  154.  L'union  de  l'Église  de 
Cémèle  à  ceUe  de  Nice  est  confirmée  par  le 
pape  saint  Hilaire,  338. 

GENCIUS,  préfet  de  Rome.  Sa  conjuration 
contre  le  pape  saint  Grégoire  VU,  XIII,  359. 

CENCIUS,  camérier  du  pape.  Son  ordre 
romain  écrit  sous  le  pontificat  de  Célestin  III, 
XIV,  941. 

CENDRES.  Imposées  sur  la  tète  au  com- 
mencement du  carême;  homélie  de  saint 
Maxime  de  Turin  pour  le  jour  des  Gendres, 
X,320.  —  Onpropose  de  joindre  au  jeûne  du 
mercredi  des  CendresceluidesQuatre-Temps, 
XIII,  164.  —  Sermon  du  pape  Innocent  III 
sur  le  jour  des  Cendres,  XIV,  1009. 


CENDRIERS.  Nom  que  Vigilance  donne 
aux  catholiques,  VII,  607. 

CÈNE.  Dernier  repas  mystérieux  que  Jé- 
sus-Christ fit  avec  ses  disciples  la  veille  de  sa 
mort  et  dont  la  mémoire  se  renouvelle  dans 
la  célébration  des  saints  mystères  ;  homélie 
de  Saint  Cyrille  d'Alexandrie  sur  la  cène 
mystique,  VIII,  280.  [Sermons  de  saint  Augus- 
tin sur  la  cène  du  Seigneur,  836,  841.]  — 
Comment,  selon  saint  Fulgence,  il  faut  en- 
tendre le  récit  que  fait  saint  Luc  sur  la  cène, 
XI,  41.  —  Quatre  sermons  d'Abbon,  moine 
de  Saint-Germain-des-Prés  à  Paris,  XII,  791. 
—  Sermon  de  Bernon,  abbé  de  Reichenau, 
sur  le  même  sujet,  XIII,  127.  [De  sacra  cœna 
adversus  Lanfrancum  ,  deuxième  livre  de 
Bérenger,  173.]  Sermon  de  saint  Pierre  Da- 
mien,  308.  Homélie  de  Guaifer,  496.  —  Ser- 
mon d'Yves  de  Chartres,  XIV,  123.  Sept 
sermons  du  Vénérable  Hildebert,  214.  Livre 
de  la  Gène  mystique  ou  des  sept  ordres  de 
la  messe,  ouvrage  de  Jean  de  Cornouailles  , 
358.  Homéhe  du  pape  Innocent  III  sur  la 
cène,  1012. 

CÉNONS.  Nom  de  dignité  parmi  les  Mon- 
tanistes,  II,  538. 

CENSORIA  DE  PR^SENTIBUS  EUROPE 
CALAMITATIBUS,  etc.  Titre  dune  édition 
du  traité  de  Salvien  sur  la  Providence,  don- 
née à  Lyon  en  1647,  X,  378. 

CENSORIUS,  comte,  envoyé  par  Aétius 
pour  rétabhr  la  paix  en  Espagne,  X,  341 . 

CENSURES  ECCLÉSIASTIQUES.  Témoi- 
gnages de  saint  Grégoire  de  Tours,  XI,  393. 

GENSURIUS  (Saint),  évêque  d'Auxerre, 
sollicite  le  prêtre  Constance  de  publier  la  Vie 
de  saint  Germain  qu'il  avait  composée,  X,  400. 

CENTENIER.  Voyez  Centurion. 

GENTIUS.  Voyez  Cencius. 

CENTONS  de  Virgile  et  d'Homère,  ouvrage 
de  Faltonia  Proba,  VI,  286,  287.  —  Le  Cen- 
ton  d'Homère,  poëme  attribué  à  l'impéra- 
trice Eudoxie,  VIII,  476. 

CENTULE,  abbaye.  Voyez  Saint-Riquier. 

CENTUPLE  que  Dieu  promet  dans  l'autre 
vie;  ce  que  c'est,  selon  saint  Avit  devienne, 
X,  566. 

CENTURION  dont  Jésus-Christ  loue  la  foi  ; 
sujet  d'un  opuscule  faussement  attribué  à 
saint  Jean  Cln-ysostôme,  VII,  312.  —  Cen- 
turion qui,  au  temps  de  la  passion  de  Jésus- 
Christ,  le  reconnut  pour  Dieu,  fut,  dit-on, 
évêque  dans  la  Cappadoce,  VI,  233.  —  On 
a  prétendu  qu'il  avait  souffert  le  martyre, 
VU,  231. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


195 


CÉOLFRIDE  (Saint),  abbé  de  Wiremouth 
et  de  Jarrow,  engage  l'abbé  Adamnan  à  se 
conformer  aux  usages  de  l'Église  romaine 
toucbant  la  pâqae,  XI,  800.  Son  voyage  à 
Rome  avec  saintBenoîtBiscop,  après  la  mort 
duquel  il  devient  abbé  de  "Wiremouth  et  de 
Jarrow,  802.  Soin  qu'il  prend  de  ces  deux 
monastères,  802  et  803.  Il  entreprend  le 
voyage  de  Rome  avec  le  prêtre  Bède  ;  la  fa- 
tigue lui  occasionne  une  maladie  dont  il 
meurt  à  Langres  ;  son  éloge  ;  sa  lettre  à 
Naïton,  roi  des  Pietés,  sur  la  célébration  de 
la  pâque  et  la  tonsure  des  clercs,  803.  [Édi- 
tion de  cette  lettre  et  du  décret  sur  la  pâque 
dans  la  Patrologie,  803.]  —  Son  voyage  à 
Rome;  sa  mort,  XII,  2.  Son  histoire,  écrite 
par  le  Vénérable  Bède,  14. 

CÉOLULFE  (Saint),  roi  de  Northumbre, 
XII,  6. 

CÉPÉRANO,  ville  d'Italie.  Concile  qui  y 
fut  tenu,  XIV,  1085. 

[CÉPHAS.  D'après  plusieurs  critiques,  Cé- 
phas,  dont  il  est  parlé  dans  l'Épître  aux  Gâ- 
tâtes, est  différent  de  l'apôtre  saint  Pierre, 
I,  245,  n.  1.] 

CÉPONIUS,  évêque,  auquel  Turibiusd'As- 
torga  écrivit  en  lui  envoyant  la  réfutation  des 
blasphèmes  des  Priscillianistes,  X,  206  et  342. 

CÉRAMÉUS  (Théophanes).  Voyez  Théo- 
phanes  Céi'améus. 

[CERANA.  Ce  qu'on  entendait  par  ce  mot, 
XII,  153.] 

CÉRAUNE  (Saint),  évêque  de  Paris,  reçoit 
de  Varnahaire  les  Actes  de  quelques  martyrs 
de  l'Église  de  Langres,  XI,  630,  631.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  III,  p.  526  et  suiv.) 

CÉRAUNIA,  épouse  de  Namace.  Lettre  que 
lui  écrit  saint  Rurice,  évêque  de  Limoges, 
X,  608. 

GERBONE  (.Saint),  évêque  de  Populonium, 
dont  parle  le  pape  saint  Grégoire  le  Grand 
dans  ses  Dialogues,  XI,  476. 

[CERCLE.  Maï  a  publié  trois  fragments  de 
la  quadrature  du  cercle,  ouvrage  de  Psellus, 
Xm,  341,  n.  15.] 

CERDA  (Jean-Louis  de  la),  jésuite  espa- 
gnol. Son  commentaire  sur  les  ouvrages  de 
Tertullien,  II,  85. 

GERDON,  hérésiarque.  Son  hérésie,  I,  501. 
—  Temps  et  lieu  où  il  dogmatisa,  II,  337. 

CERDONIENS.  Ce  que  saint  Epiphane  dit 
de  cette  secte,  VI,  392. 

CÉRÉAL,  consul  et  préfet  de  Rome,  VI, 
342. — Veut  épouser  sainte  Marcelle,  VII,  641 . 


CÉRÉAL,  évêque  de  Castel-sur-Rive  dans 
la  Mauritanie-Césarienne,  se  trouve  à  la  con- 
férence de  Carthage;  sa  dispute  avec  un 
évêque  arien,  nommé  Maximin;  son  écrit 
contre  cet  évêque,  X,  468. 

CÉRÉMONIAL  de  l'empereur  Constantin 
Porphyrogénète,  XII,  813. 

CÉRÉMONIES  DE  L'ANCIENNE  LOI.  Doc- 
trine d'Eusèbe  de  Césarée,  III,  293,  294. 

CÉRÉMONIES  DE  L'ÉGLISE  [pratiquées  dès 
le  temps  des  apôtres,  II,  574,  n.  1.]  — Té- 
moignage de  saint  Cyrille  de  Jérusalem  sur 
ditl'érentes  cérémonies  de  l'Église,  V,  73  et 
76,  77.  —  Esphquées  allégoriquement  dans 
la  Mystagogie  de  saint  Maxime,  abbé  de 
Chrysopolis,  XI,  770.  — L'ouvrage  mystique 
sur  les  cérémonies  de  la  liturgie,  intitulé 
Théorie,  est  d'un  patriarche  de  Constanti- 
nople,  nommé  Germain,  qui  vivait  au  com- 
mencement du  xiii"  siècle,  XII,  42.  [C'est  le 
même  ouvrage  nommé  Contemplation  et  que 
Galland  attribue  à  saint  Germain  de  Constan- 
tinople,  43.]  Traité  de  l'Institution  des  clercs 
et  des  cérémonies  de  l'Égiise  ;  analyse  de  cet 
ouvrage  de  Rhaban  Maur,  452  et  suiv.  —  Les 
cérémonies  ecclésiastiques  défendues  par 
Gérard ,  évêque  de  Cambrai ,  au  concile 
d'Arras,  contre  les  mépris  des  Manichéens, 
XIII,  161.  [Waltram  se  plaint  de  la  variété 
des  cérémonies  admises  par  les  différents  pas- 
teurs, 403.  Cérémonies  de  l'Église  usitées 
pour  l'Eucharistie  d'après  Bonizon,  565.]  Ca- 
non du  quatrième  concile  général  de  Cons- 
tantinople  qui  défend  de  contrefaire  les  céré- 
monies de  l'Église,  709.  —  Livre  des  Cérémo- 
nies, des  sacrements,  des  offices  et  des  rites 
ecclésiastiques  par  Robert  Paululus,  XI"V, 
356,  357.  [Rapports  de  quelques  cérémonies 
de  l'Église  avec  les  cérémonies  du  paga- 
nisme, 795.]  Voyez  Liturgie,  Offices. 

CÉRÉMONIES PAYENNES.  Canon  aposto- 
lique, II,  586.  Canon  cinquante-septième  du 
concile  d'Elvire,  611. 

CÉRÉTIUS,  évêque.  Lettre  que  lui  écrivit 
saint  Augustin,  IX,  183. 

CERF  (le  petit).  Jeu  profane  chez  les 
païens,  V,  419. 

CÉRINTHE,  hérésiarque.  Evangile  sous  son 

nom,  1,274.  Son  Apocalypse,  286.  Ses  erreurs 
réfutées  par  saint  Irénée,  501 .—  Quelques  hé- 
rétiques lui  attribuent  l'Apocalypse,  V,  174. 
—  Ses  erreurs  réfutées  par  Théodoret,  X,  87. 

CÉRINTHIENS,  disciples  de  Cérinthe.  Ce 
que  saint  Epiphane  dit  de  cette  secte,  VI,  387. 

CERISIERS  (René  de),  jésuite.  Sa  traduc- 


464. 


IV  siècle 


TV  ou 
V  siècle. 


T  siècle. 


IV  siècle. 


196 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


tion  française  des  livres  de  saint  Augustin  de 
la  Cité  de  Dieu,  IX,  812.  De  ses  Confessions, 
813. 

CÉRULAIRE  (Michel),  patriarche  de  Cons- 
tantinople.  Voyez  Michel  Cérulaire. 

CÉSAIRE  (Saint),  médecin,  frère  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze,  V,  179.  Saint  Gré- 
368.  goire  de  Nazianze  tâche  de  le  retirer  de  la 
cour,  183.  Sa  mort,  183  et  203.  —  Il  laisse 
son  bien  à  son  frère  pour  le  distribuer  aux 
pauvres,  IV,  433,  et  V,  183,  203.  Son  corps 
269.  fut  inhumé  à  Nazianze,  V,  203,  230.  Son 
Oraison  funèbre  par  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze, 2o0  et  206.  —  Lettre  que  saint  Basile 
lui  écrivit,  IV,  432.  —  Lettres  que  lui  écri- 

IV  siècle,  vit  saint  Grégoire  de  Nazianze,  son  frère,  V, 
249,  230.  Témoignage  que  lui  rend  son  frère 
dans  sa  lettre  à  Sophrone,  230.  Les  Ques- 
tions et  réponses  qui  lui  sont  attribuées  ne 
sont  pas  de  lui,  363. 

IV  siècle.  CÉSAIRE,  préfet  de  Constantinople.  Let- 
tres que  saint  Grégoire  de  Nazianze  lui  écrit, 
V,  264. 

IV  siècle.         CÉSAIRE,  maître  des  offices,  envoyé  de 

Théodose  àAntioche,  VII,  63. 

V  siècle.         CÉSAIRE,  moine.  Lettre  au  moine  Césaire 

faussement  attribuée  à  saint  Jean  Chrysos- 
tôme,  Vn,  138  et  suiv= 

470.  CÉSAIRE  (Saint),  évêque  d'Arles,  XI,  123 

et  suiv.  Sa  naissance  ;  son  amour  pour  les 
pauvres  ;  il  entre  dans  le  clergé,  puis  se  re- 
tire, à  Lérins  ;  venu  à  Arles  pour  se  faire 
traiter  d'une  maladie,  l'évêque  le  fait  diacre, 

501.  puis  prêtre,  et  le  désigne  pour  son  succes- 
seur ;  il  devient  évêque  d'Arles;  éloge  de 
Césaire  par  saint  Ennode,  123.  Sa  conduite 
pendant  son  épiscopat,  123  et  126.  Il  est  ac- 
V.  505  cusé  de  trahison  ;  le  roi  Alaric  l'exile  à  Bor- 
deaux, puis  reconnaissant  son  innocence,  le 

500.  renvoie  à  Arles,  126.  11  préside  au  concile 
d'Agde,  122.  Soupçons  des  Goths  sur  Césaire 
pendant  le  siège  d'Arles;  mauvais  traite- 
ments qu'il  souffre,  122  et  127.  Sa  cha- 
rité envers  les  Francs  et  les  Bourguignons 
faits  prisonniers,  127.  Il  est  accusé  de  nou- 
veau et  mené  à  Ravenne  où  il  se  justifie 
pleinement  et  se  concilie  l'amitié  et  le  res- 
pect du  roi  Théodoric;il  va  à  Rome;  le  pape 
V.  5U.  Symmaque  lui  donne  le  pallium,  et  confirme 
les  privilèges  de  rÉghse  d'Arles;  il  revient 

52t.         dans  son  diocèse  ;  il  tient  un  concile  à  Arles  ; 

542.  assiste  à  plusieurs  autres,  127.  Sa  mort  ;  sa 
Vie,  écrite  en  deux  livres  par  plusieurs  de 
ses  disciples,  128.  Écrits  de  saint  Césaire 
d'Arles  ;  ses  sermons,  128  et  suiv.  Ils  ont  été 


attribués  à  saint  Augustin,  à  saint  Ambroise 
et  à  d'autres  ;    comment  on  les  distingue, 
128, 129.  Ce  qu'ils  contiennent  de  remarqua- 
ble, 129  et  suiv.  Autres  sermons  de  Césaire, 
142,  143.  Sermons  supposés,  146.  Quelques 
homélies  attribuées  à  saint  Césaire  ;  Règles 
de  saint  Césaire,  147.  Analyse  de  la  Règle 
pour  des  religieuses,  147  et  suiv.  Analyse  de 
celle  pour  les  moines,  150  et  suiv.  Discours 
aux  refigieuses,  131, 132.  Lettres  de  saint  Cé- 
saire, 132  et  suiv.  A  Oratoire;  à  une  vierge, 
132.  A  sainte  Césarie,  152  et  133.  Discours  ou 
lettre  sur  les  anciens  canons  touchant  la  pé- 
nitence, 153.  Requêtes  au  pape  Symmaque, 
133, 134.  Lettre  à  Rurice;  Testament  de  saint 
Césaire;  sesécritsperdus,  134.  Jugement  sur 
les  écrits  de  Césaire,  133.  Difiérentes  éditions 
de  ses  écrits,  133  et  136. — [Autres  éditions  et 
traduction,  156.]  Lettre  du  pape  Félix  à  saint 
Césaire,  X,  420. — Son  homélie  sur  le  Compte 
que  nous  devons  rendre  à  Jésus-Christ,  X, 
436, 437.  Il  adresse  unMémoire  au  pape  Sym- 
maque où  il  lui  propose  la  réformatiou  de 
plusieurs  abus  qui  s'étaient  introduits  dans 
les  Églises  des  Gaules,  323,  324.  Réponse  du 
pape;  Requête  de  saint  Césaire  pour  la  con- 
servation des  droits  de  l'Église  d'Arles,  324. 
Il  est  chargé   par  le    pape  Symmaque  de 
veifier  aux  affaires  de  la  religion  dans  les 
Gaules,  523.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Avit 
devienne,  357.  Il  est  calomnié  auprès  du  roi 
Théodoric  ou  Thierry,  et  est  bien  accueilli 
de  ce  prince,  373.  Lettre  que  lui  écrit  saint 
Rurice,  évêque  de  Limoges,  pour  s'excuser 
de  ce  qu'il  n'assiste  pas  au  concile  d'Agde, 
609.  Réponse  de  saint  Césaire,  610.  Césaire 
accusé  auprès  de  Théodoric;  Boëce  prend 
sa  défense,  648,  649.  Concile  d'Agde  auquel 
il  préside,  736.  — Lettre  par  laquelle  le  pape 
Félix  IV  confirme  le  règlement  renouvelé 
par  saint  Césaire,  portant  défense  d'élever  à 
l'épiscopatceux  qui  n'avaient  pas  servi  dans 
le  clergé,  XI,  114.  Lettre  du  papeBoniface  II 
qui  confirme  sa  doctrine  sur  la  grâce  préve- 
nante, 113.  Autre  lettre  où  Jean  le  charge 
d'exécuter  la  sentence  portée  contre  Contu- 
méliosus,  évêque  de  Riez,  118.  Deux  lettres 
que  lui  adresse  le  pape  saint  Agapet  :  l'une  au 
sujetdes  aumônes  qu'il  lui  avait  demandées, 
l'autre  au  sujet  de  Contuméliosus,  119,  120. 
Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Vigile  au  sujet 
d'un  homme  qui  avait  épousé  la  femme  de 
son  frère,  196.  Césaire  préside  au  second 
concile  d'Orange,  832.   (Voyez  son   article 
dans  VHi&toire  littéraire  de  la  France,  t.  III, 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


197 


p.  190  et  suiv.,  et  le  supplément,  t.  X,  p.  xv 
el  suiv.  et  t.  XII,  p.  vij.) 

GÉSAIRE,  archevêque  de  Tarragone.  Con- 
cile de  Compostelle  où  il  est  élu  et  sacré, 
XIII,  737. 

CÉSAR  (Philippe).  Son  édition  de  la  Vie 
de  saint  Villehad  par  saint  Anschaire,  et  de 
celle  de  saint  Anschaire  par  saint  Rembert, 
XII,  S26. 

siècle.  CÉSARÉE  en  Cappadoce.  Firmilien  en  est 
évéque,  II,  433  et  suiv.  Lettre  de  saint  Denis, 
pape,  aux  fidèles  de  Césarée  en  Cappadoce, 

siècle.  448.  —  Mauvais  traitement  fait  à  cette  ville 
par  Julien  l'Apostat,  III,  405.  —  Saint  Basile, 

siècle,  archevêque  de  Césarée,  docteur  de  l'Église, 
IV,  349  et  suiv.  —  Lettre  de  saint  Grégoire 
de  Nazianze,  père,  au  peuple  de  cette  ville 
et  aux  évéques  qui  y  étaient  assemblés,  V, 
230,  251. 

siècle.  CÉSARÉE  en  Palestine.  Saint  Pamphile, 
prêtre  de  cette  Église,  II,  522  et  suiv.  Con- 

96.  cile  tenu  à  Césarée,  341.  — Lettre  d'Eusèbe 
de  Césarée  à  son  Église,  111, 170.  Concile  de 

i33.  Césarée  contre  saint  Athanase,  449.  —  Saint 
Athanase  refuse  de  s'y  trouver,  IV,  92. 
Acace,  évêque  de  Césarée,  322  et  suiv.  Gé- 

iiècie.     lase,  évêque  de  cette  ville,  618.  —  Au  temps 
.     du  concile  d'Éphèse,  l'évêque  de  Césarée 

^*-  était  métropolitain  de  la  Palestine,  VIII,  591. 
—  L'Église  de  Césarée,  autrefois  métropole 
de  Palestine,  ne  s'oppose  point  à  l'accord 
entre  Maxime  d'Antioche,  et  Juvéual  de  Jé- 
rusalem, accord  qui  donnait  à  ce  dernier  le 
titre  de  patriarche  et  le  droit  de  métropoli- 
tain sur  les  trois  Palestiues,  X,  17. 

72.  CÉSARIE ,    patricienne.    Lettre    que   lui 

écrivit  saint  Basile  le  Grand,  IV,  446,  447. 

CÉSARIE  (Sainte),  sœur  de  saint  Césaire 
d'Arles.  Son  frère  lui  donne  la  conduite  d'un 
monastère  de  religieuses  qu'il  avait  fait  bâ- 
tir, XI,  126.  —  Règle  qu'il  donna  à  ce  mo- 
nastère, 147  et  suiv.  Deux  lettres  de  saint 
Césaire  à  sa  sœur  Césarie,  152,  153.  Dispo- 
sitions du  testament  de  saint  Césaire  à  son 

1524.     égard,  154.  Temps  de  sa  mort,  317. 

CÉSARIE  (Sainte),  abbesse  du  monastère 
de  Saint-Jean  d'Arles,  différente  de  la  précé- 

565.  dente.  Sainte  Radegonde  lui  demande  une 
copie  de  la  lettre  de  saint  Césaire  ;  lettre 
qu'elle  lui  écrit  en  lui  envoyant  cette  copie, 
XI,  317.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  tome  III,  p.  274  et 
suiv.) 

i2.  GÉSÉNA,  ville  d'Italie.  La  vie  commune  et 

régulière  est  établie  parmi  les  clercs  de  la 


cathédrale  ;  concile  tenu  en  cette  ville,  XIV, 
1033. 

CÉTHÉGUS,  patrice.  Lettre  que  lui  écrit 
le  pape  Pelage  P%  XI,  333. 

CHABANAIS  (Adémarou  Aimar  de).  Voyez 
Adémar  de  Chabanais. 

CHAIDOC  (Saint),  confesseur.  Son  épita- 
phe  par  saint  Angilbert,  abbé  de  Saint-Ri- 
quier,  XII,  220. 

CHAINE  SUR  SAINT  MARC.  Ouvrage  at- 
tribué à  saint  Cyrille  d'Alexandrie ,  VIII , 
324. 

CHAIR  DE  JÉSUS-CHRIST.  Traité  de  la 
chair  de  Jésus-Christ,  ouvrage  de  Tertullien  ne  siècle, 
après  sa  chute,  II,  41  et  suiv.  —  Comment, 
selon  saint  Augustin,  Jésus-Christ  est  connu 
selon  la  chair,  IX,  342.  Selon  saint  Augus- 
tin, la  chair  de  tous  les  hommes,  à  l'excep- 
tion de  celle  de  Jésus-Christ,  est  une  chair 
de  péché,  506,  307.  —  Ephrem  d'Antioche 
soutient  que  Jésus-Christ  a  conservé  sa  chair 
après  sa  résurrection,  XI,  173. 

CHAIR  DE  L'HOMME  PÉCHEUR,  poëme 
de  saint  Grégoire  de  Nazianze  contre  la  chair,         382. 
V,  273.  —  De  la  plainte  et  du  combat  de  la 
chair  et  de  l'âme,  par  le  Vénérable  Hildebert, 
XIV,  218. 

CHAIR  DES  ANIMAUX.  Chairs  étouffées  : 
le  concile  de  Jérusalem  défend  d'en  man- 
ger, II,  333.  Canons  apostoHques  cinquante- 
unième,  cinquante-troisième,  soixante-troi- 
sième touchant  l'usage  de  la  chair,  383,  386. 

—  Canon  deuxième  du  concile  de  Gangres,      iv siècle. 

III,  517.  —  Chair  salée  permise  aux  moines, 

IV,  408.  —  Témoignage  de  saint  Jean  Chry- 
sostôme  sur  l'usage  de  la  chair  des  animaux, 
VII,  154.  —  Pourquoi  Dieu  permit  aux  hom- 
mes d'en  manger,  X,  136.  —  Cosme  d'Egypte 
pense  que  la  chair  des  animaux  était  inter- 
dite avant  le  déluge,  XI,  187.  Saint  Cuméen, 
abbé  en  Hibernie,  défend  de  manger  de  la 
chair  des  animaux  suffoqués,  788. 

CHAIRE  ÉPISCOPALEcouverte  d'un  linge,     m  siècie. 
II,  266. 

CHAIRE  DE  SAINT  PIERRE.  Témoignage 
de  saint  Optât  sur  la  Chaire  de  saint  Pierre, 

V,  129.  —  Sermon  du  pape  saint  Léon  pour 
la  fête  de  la  Chaire  de  saint  Pierre,  X,  198. 

—  Comment  le  pape  saint  Grégoire  s'exprime 
sur  cette  chaire,  XI,  309.  —  Hymne  de  saint 
Pauhn  d'Aquilée  pour  la  fête  de  la  Chaire  de 
saint  Pierre  à  Rome,  XII,  162.  —  Discours  de 
saint  Odon,  abbé  de  Cluny,  sur  cette  fête, 
XIII,  807.  —  Discours  d'Yves  de  Chartres 
pour  cette  fête,  XIV,  122.  Sermon  de  Guil- 


198 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLESIASTIQUES. 


laume  d'Auvergne  pour  la  même  fête,  1027. 
CHAISE-DIEU  (La),  abbaye  près  du  Puy. 
XI  siècle.     Bulle  du  pape  saint  Léon  IX  pour  sa  fonda- 
tion, XIII,  209. 
«1-  CHALCÉDOINE.  Concile  général  tenu  h 

Cbalcédoine  contre  Eutychès  et  Dioscore,  X, 
222  et  suiv.  Voyez  à  l'article  des  Conciles. 

CHALCÉDONIUS,  abbé  d'un  des  monas- 
tères de  Cassiodore.  Exhortation  qui  lui  est 
adressée,  XI,  234,  233. 

CHALCIDE,  désert  de  Syrie  babité  par  di- 
vers solitaires,  VII,  S94. 

CHALCIS.  Lettre  de  saint  Basile  le  Grand 
au  peuple  de  Chalcis,  IV,  476. 
A.  470.  CHALON-SUR-SAONE.  Conciles  tenus  en 

cette  ville, X,  717;  XI,  894, 910;  Xïï,  931;  XIII, 
646  et  suiv.,669,  713,  717,730,734, 744;  XIV, 
1063,  1067,  1086.  —  [Privilège  qae  le  pape 
Alexandre  III  accorde  au  doyen  du  chapitre 
de  Châlon-sui'-Saône  et  au  chapitre  de  cette 
ville,  XIV,  928.  —  Lettre  du  pape  Alexan- 
dre II  en  faveur  de  l'église  de  Saint-Vincent 
de  Chalon-sur-Saône  ;  le  pape  y  fait  l'éloge 
de  l'attachement  de  cette  Eglise  au  Saint- 
Siège,  XIII,  296.  Concile  que  saint  Pierre 
Damien  préside  en  cette  ville,  323.] 

CHALONS-SUR-M ARNE .  Conciles  tenus  en 
cette  ville,  XIV,  1086  et  1107. 

CHAM,  fils  de  Noé.  Ouvrages  qu'on  a  mis 
sous  son  nom,  I,  266. 

CHAMART  (Nicolas),  abbé  de  Bonne-Es- 
pérance. Son  édition  des  œuvres  de  Philippe 
de  Bonne-Espérance,  XIV,  683. 

CHAMPEAUX  (Guillaume  de).  Voyez  Guil- 
laume de  Champeaux. 

[CHAMILLARD.  Son  édition  des  poésies 
de  Prudence,  VIII,  107.] 

CHAMPIER  (Symphorien).  Sa  traduction 
française  des  livres  sibyllins,  I,  308.  Son  édi- 
tion des  lettres  interpolées  de  saint  Ignace, 
martyr,  387.  —  Son  édition  des  lettres  de 
saint  Antoine,  III,  392. 

[CHAMPOLLION-FIGEAC.  Son  édition  de 
la  version  française  de  l'Histoire  des  Nor- 
mands et  de  la  Chronique  de  Robert  Viscart 
par  Ame,  XIII,  494.] 

GHANAAN,  fils  de  Cham.  Témoignage 
de  saint  Jean  Chrysostôme  sur  la  malé- 
diction prononcée  contre  Chanaan  ,  VII , 
336. 

CHANANÉENNE,  femme  dont  il  est  parlé 

dans  l'Évangile.  Homélie  de  saint  Jean  Ghry- 

IV  siècle,     sostôme  sur  elle,  VII,  123.  —  [Sermon  de 

saint  Augustin  sur  elle,  IX,  841.]  —  Et  de 

Laurent  de  Novare,  XI,  96  et  98. 


CHANCELIER  du  prince.  Son  ministère, 
selon  Cassiodore,  XI,  219. 

CHANCI  (Jean).  Ses  notes  sur  un  traité 
anonyme  du  xi''  siècle  touchant  les  sacre- 
ments, XHl,  492. 

CHANDELLE  ÉVANGÉLIQUE  :  Traité  de 
théologie  composé  par  Gerland,  XIV,  406. 

CHANOINES,  établis  par  saint  Chrodegand  vm  sièc 
qui  leurdonneune  règle,  XII,  106.  Analyse  de 
cette  règle,  106  et  suiv.  Autre  Règle  d'un 
anonyme,  109.  Règle  d'Amalaire,  340,  341. 
Dispositions  des  capitulaires  d'Hincmar  à  ix  sièci 
l'égard  des  chanoines,  664.  Canon  du  con- 
cile de  Mérida,  où  se  trouve  l'origine  des 
chanoines,  curés  primitifs,  937.  —  [Les  cha- 
noines doivent  assister  au  chœur;  peines 
contre  les  délinquants,  XIII,  22.]  Témoignage 
de  Vazon,  évêque  de  Liège,  sur  l'état  des  cha- 
noines, 140.  OpusculesdesaintPierre  Damien 
qui  les  concernent,  316,  317.  Canon  d'un 
concile  de  Mayence,  644.  Règles  qu'on  donne  813. 
aux  chanoines  et  aux  chanoinesses  dans  le 
concile  d'Aix-la-Cbapelle,  650  et  suiv.  Let- 
tres de  Louis  le  Débonnaire  au  sujet  de  ces 
règles,  633.  Décret  d'un  concile  de  Rome  i059 
portant  abrogation  des  règles  du  concile 
d'Aix-la-Chapelle,  427, 428.  Décret  d'un  con- 
cile de  Reims  sur  les  chanoines,  716.  —  . 
[Chanoines  repris  parce  qu'ils  s'absentaient 
sans  cause  raisonnable,  XIV,  279.  Cha- 
noines de  Reims;  Guarin,  abbé  de  Saint- 
Victor,  leur  écrit  une  lettre  pour  les  répri- 
mander de  ce  qu'ils  avaient  quitté  la  vie 
commune,  711.  Henri,  archevêque  de  Reims, 
et  le  pape  firent  des  eiïorts  impuissants  pour 
rétablir  la  discipline  parmi  eux,  731.]  Eu 
quel  cas,  selon  Pierre  de  Blois,  un  chanoine 
est  dispensé  de  résider,  776.  [Lettre  d'É- 
tienne  de  Tournai  qui  les  concerne,  879.] 
Canon  du  concile  de  Latran  concernant  les  lai; 
chanoines,  1097. 

CHANOINES    RÉGULIERS.   Quelle    était 
leur  vie  depuis  le  concile  d'Aix-la-Chapelle,        loe; 

XIII,  247,  248.  Canon  d'un  concile  de  Rome 
qu'on  croit  avoir  donné  lieu  à  leur  étabhs- 
sement,  287.  Institution  des  chanoines  régu- 
liers d'Aroasia,  423.  La  règle  des  chanoines 
réguliers  attribuée  à  saint  Pierre  Damien 
n'est  pas  de  lui,  323.  Statuts  pour  les  cha-  v.  « 
noines  réguliers  recueilUs  par  Gui,  abbé  de 
Bobio,479.  —Éloge  des  chanoines  réguliers 
recueillis  par  Letbert,  abbé  de  Saint-Ruf,     xii  si 

XIV,  70.  Yves  de  Chartres  blâme  ceux  qui 
voulaient  les  exclure  du  gouvernement  des 
âmes  et  de  la  desserte  des  cures,  107  et  117. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


199 


Lettre  d'Abailard  sur  les  chanoines  régu- 
liers, 326.  Apologie  de  l'ordre  des  chanoines 
réguliers  attribuée  à  Anselme  d'Havelburg, 
416.  Bouclier  des  chanoines  réguliers,  ou- 
vrage d'Arnon,  prévôt  de  Reichersperg,  633. 
[Leurs  obligations  exposées  dans  une  lettre 
d'Odon  de  Sainte-Geneviève  ou  de  Saint- 
Père,  712.]  Canon  d'un  concile  qui  leur  per- 
met plusieurs  fonctions  ecclésiastiques  inter- 
dites aux  moines,  1069. 

CHANOINESSES.  Lettre  de  saint  Basile  le 
Grand  à  des  chanoinesses,  IV,  438.  — Règle 
pour  les  chanoinesses,  XII,  340,  341.  — 
Canon  d'un  concile  de  Chalon-sur-Saône, 
XIII,  648.  Règlement  d'un  concile  d'Aix- 
la-Chapelle  pour  les  chanoinesses  ,  652  , 
6S3. 

CHANSONS.  Eusèbe  de  Césarée  condamne 
les  chansons  déshonnétes,  III,  297.  —  Un 
concile  de  Chalon-sur-Saône  défend  de  chan- 
ter des  chansons  sous  lesporches  des  églises, 
XII,  931.  —  Chansons  sur  les  principaux 
événements  du  temps,  commencent  à  se  ré- 
pandre, Xlli,  346. 

CHANT  ECCLÉSIASTIQUE.  Quand  on  a 
commencé  à  chanter  à  deux  chœurs,  I,  381. 
Chant  des  hymnes  et  des  cantiques  en  usage 
dans  l'Église  pour  honorer  le  triomphe  des 
martyrs,  389.  —  Chant  des  psaumes  dans 
les  églises,  et  jusque  dans  les  repas  des  fi- 
dèles, III,  299.  Canon  quinzième  du  concile 
de  Laodicée  sur  le  chant  des  églises,  510. 
—  Chant  permis  aux  femmes  dans  les  églises 
par  les  apôtres  et  ensuite  aboli  à  cause  des 
abus,  VIII,  481,  482.  —Origine  du  chant  des 
psaumes  à  deux  chœurs;  Mammert  Claudien 
enseigne  aux  ecclésiastiques  le  chant  des 
psaumes,  X,  137  et  346.  —  Chant  des  psau- 
mes établi  par  saint  Césaire  d'Arles;  son 
sermon  à  ce  sujet,  XI,  142.  Le  chant  des 
psaumes  se  faisait  de  différentes  manières 
et  on  y  employait  diverses  sortes  d'instru- 
ments, 224.  École  pour  le  chant  établie  à 
Rome  par  le  pape  saint  Grégoire  le  Grand, 
544.  —  Quelques  moines  français  sont  en- 
voyés à  Rome  pour  être  instruits  dans  le  chant 
ecclésiastique,  XII,  116.  Pépin  le  Bref  veut 
abolir  le  chant  gallican  pour  y  substituer 
le  chant  grégorien,  231.  Charlemagne  in- 
troduit en  France  l'usage  du  chant  grégo- 
rien, 224j  231.  École  pour  le  chant  grégo. 
rien,  231.  École  pour  le  chant  grégorien  éta- 
bhe  à  Metz,  133.  [Chants  de  plusieurs  saints, 
803.  —  Traités  d'Odoranne  sur  le  Chant  et 
la  Musique,  XIII,  112.]  —  Traité  du  Chant, 


ouvrage  de  saint  Bernard,  XIV,  482.  Voyez 
Chantres. 

CHANTELLE  en  Bourbonnais.  Ville  dans 
le  voisinage  de  laquelle  vivait  Vectius,  X, 
387. 

CHANTELOU  (Claude),  bénédictin  (avait 
donné  les  règles  de  saint  Basile  en  latin).  Il 
fut  chargé  de  donner  une  nouvelle  édition 
des  œuvres  de  saint  Bernard,  XIV,  498. 

[CHANTREL,  auteur  de  l'Histoire  popu- 
laire des  papes;  sa  Vie  de  saint  Grégoire  VII, 
XIII,  374.  Jugement  qu'il  porte  de  ce  pape, 
388,  389.] 

CHANTRES.  Canon  apostolique,  II,  582. 

—  Canons  quinzième  et  vingt-troisième  du 
concile  de  Laodicée,  III,  510,  511.  —  Canon     iv  siècle. 
dixième  du  quatrième  concile  de  Carthage,         398. 
VII,  728.  —  Ce  que  prescrit  le  concile  de 
Chalcédoine  pour  le  mariage  de  chantres, 

X,  698.  —  Canon  d'un  concile  de  Rome  qui 
ordonne  que  les  chantres  élevés  au  diaconat 
cesseront  leur  première  fonction,  XI,  907. 

—  [Au  xii«  siècle,  les  chantres  avaient  des 
bonnets  sur  la  tête  et  des  bâtons  à  la  main  ; 
autres  fonctions  des  chantres,  XIV,  296.] 

CHANULPHE.  Sa  lettre  à  saint  Didier  de    vu  siècie. 
Gahors,  XI,  733. 

CHANUT  (Pierre),  abbé  d'Issoire,  aumô- 
nier de  la  reine-mère  Anne  d'Autriche.  Sa 
traduction  française  de  la  grande  Apologie 
de  saint  Justin;  il  l'a  donnée  sous  le  nom  de 
Pierre  Fondel,  I,  446. 

CHAPELAINS  des  châteaux.  Canon  d'un 
concile  de  Tours  qui  les  concerne,  XIV,  1130. 

CHAPELLES.  Canon  quatorzième  du  cin- 
quième concile  de  Carthage  sur  l'érection 
des  chapelles,  VII,  735.  —  Canon  d'un  autre 
concile  de  Carthage,  VIII,  538.  —  Disposi- 
tion du  concile  d'Agde,  X,  739.  Canon  du 
premier  concile  d'Orléans,  746.  —  Canons 
d'un  concile  de  Londres,  XIV,  6.  Canon  d'un 
concile  de  Reims,  1122. 

CHAPITRE  des  moines.  Traité  de  Geof- 
froi  de  Vendôme  ;  de  quelle  manière  les 
moines  doivent  se  comporter  dans  le  chapi- 
tre, XIV,  168, 169.  [Quatre  sermons  d'Absa- 
lon,abbé  de  Springkirsbach  devant  l'assem- 
blée du  chapitre,  877.] 

CHAPITRE  GÉNÉRAL  de  Cîteaux.  Sa  pre- 
mière assemblée  qui  servit  de  modèle  aux        me. 
autres  ordres,  XIV,  1088. 

CHAPITRES  (les  Trois).  On  nomma  ainsi 
trois  écrits  dont  la  condamnation  fit  beau- 
coup de  bruit  ;  lettre  de  Ferrand,  diacre  de 
Carthage,   sur  la  condamnation  des  Trois 


200 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Chapitres,  XI,  93  et  suiv.  Les  Trois  Chapi- 
V.  546.       très    sont  condamnés  à  la   sollicitation  de 
Théodore  de  Gappadoce,  par  un  édit  de  Jus- 
tinien  ;  Ephrem  d'Antioche  souscrit  à  cette 
condamnation,  175.  Lettre  de  Pontien  à  Jus- 
linien  sur  cette  affaire,  198.  Edit  de  l'empe- 
reur Juslinien   portant  condamnation    des 
Trois  Chapitres,  263.  Douze  livres  de  Fa- 
cundus,  évêque  d'Hormiar.e,  pour  la  défense 
des  Trois  CÎàapitres,  28S  et  suiv.  Lettre  sur 
le  même  sujet,  298,  299.  Editions  de  ces  ou- 
vrages, 299.   Les  Trois  Chapitres  défendus 
par  Sébastien  et  Rustique,  diacre  de  Rome, 
299  et  300.  Condamnés  par  Bénénatus,  évê- 
que d'Afrique,  301.  Défendus  par  Victor  de 
Tunones,  302.  Lettre  du  pape  Pelage  I"  à 
VI  siècle,     l'occasion   du  schisme   occasionué  par    la 
condamnation  des  Trois  Chapitres,  327, 328. 
Lettre  de  Pelage  II,  33o  et  suiv.  Eutychius, 
patriarche  de  Constantinople,  condamne  les 
Trois   Chapitres,  333.   Les  Trois  Chapitres 
547.         sont  condamnés  dans  un  concile  de  Cons- 
553         tantinople,  862.  Concile  général  de  Constan- 
tinople assemblé  à  leur  sujet,  865  et  suiv. 
Division  occasionnée  par  leur  condamnation, 
881 ,  882.  [Caractère  de  la  discussion  sur  les 
Trois  Chapitres,  917  et  suiv.]  Lettre  du  pape 
591.        saint  Grégoire  le  Grand  à  tous  les  évéques 
défenseurs  des  Trois  Chapitres,  490. —  Con- 
C98.        cile  d'Aquilée,  tenu  par  les  défenseurs  des 
Trois  Chapitres,  XII,  968. 

CHAPITRES  (les  dix).  Livres  des  dix  cha- 
pitres de  Marbode,  XIV,  228. 

CHAR    D'ÉZÉCHIEL.     Discours    d'Isaac 
l'Ancien  sur  ce  char,  X,  578. 

CH ARARIC ,  roi  détrôné  par  Clovis  et  or- 
donné prêtre,  XI,  395. 

[CHARDON  et  LARCHER  traduisent  en 
français  plusieurs  articles  de  la  Bibliothèque 
de  Photius,  XII,  723,] 
IV  siècle.         CHARGES  PUBLIQUES.  Canon  septième 

du  concile  d'Arles,  II,  630. 
562  ou  563.  CHARIBERT  ou  CARIBERT,  ou  CHERE- 
BERT,  roi  de  Paris,  excommunié  par  saint 
Germain  à  cause  de  ses  mariages  illicites, 
XI,  307  et  394.  Il  maintient  sur  le  siège  de 
Saintes,  Émérius  que  Clotaire  avait  établi, 
887.  Il  était  le  fils  aîné  de  Clotaire  P^  369. 
Il  est  loué  par  Fortunat,  307. 

CHARiCLÈS,  prêtre  à  qui  saint  Nil  écrit, 
VIII,  222. 

CHARIMIR  ou  CHARMER,  référendaire 
de  Childebert  II  et  ensuite  évêque  de  Ver- 
dun, XI,  375. 
CHARINUS  (Lucius).  V.  Lucius  Charinus. 


CHARISIUS,  prêtre  et  économe  de  l'Eglise 
de  Philadelphie  en  Lydie,  présente  au  con- 
cile d'Ephèse  un  symbole  de  Théodore  de 
Mopsuesle,  VIII,  21.  Représentations  qu'il 
fait  an  concile  d'Éphèse  ;  il  se  plaint  de  sa  \ 

déposition.  Conduite  du  concile  à  ce  sujet, 
589. 

CHARISTICÂIRES  ou  DONATAIRES  des  1027. 
monastères,  XIII,  571.  Traité  de  Jean,  pa- 
triarche d'Antioche,  contre  cet  abus,  570, 
571.  —  Décrets  de  deux  conciles  de  Cons- 
tantinople concernant  les  charisticaires, 
XIV,  1045. 

CHARITÉ.   Doctrine  de  saint  Clément  sur      i  siècle, 
la  charité,  I,  361  ;  de  saint  Ignace  d'Antio-      iiMécie. 
che,  376  ;  de  saint  Polycarpe,  397;  de  saint      u  siècle. 
Justin,  444;  de  saint  Irénée,  525  ;  de  Clé-     11  siècle, 
ment  d'Alexandrie,  598  ;  d'Eusèbe  de  Césa-     11  siècle, 
rée,  III,  297;  de  saint  Basile,  464;  —  [de     iv  siècle 
saint  Ambroise,  V,  509  ;]  —  de  saint  Ephrem, 
VI,  69.  —  Deux  discours  de  saint  Jean  Chry-        ivou 
sostôme  sur  la  charité  fraternelle,  VII,  116.      ^  ''^'='°- 
Homélie    du  même  saint,  202.  Discours  qui 
lui  est  faussement  attribué,  287.  Discours  où 
saint  Jean  Chrysostôme  montre  la  nécessité 
et  les  avantages  de  la  charité,  302.  Charité 
envers  Dieu  ;  sujet  d'un   opuscule  fausse- 
ment attribué   au  même  saint,  312.  Autre 
opuscule  sur  la  charité  pareillement  suppo- 
sé, 335.  —  Doctrine  de  saint  Cyrille  d'A- 
lexandrie sur  la  charité,  VIII,  264.  [Sermon 
sur  la  charité  par  Eusèbe  d'Alexandrie,  383.] 
—  Doctrine  de  saint  Augustin  sur  la  charité, 
IX,   113,  159,  160,  161,  192,  227,  263,  440, 
437,  552.  Sermons  du  même,  241.  Manuel 
du  même  à  Laurent,  ou  traité  de  la  foi,  de        «1. 
l'espérance  et  de  la  charité,  258  et  suiv. 
Troisième  livre  de  cet  ouvrage  où  saint  Au- 
gustin traite  de  la  charité,  263.    Discours 
faussement  attribué  au  même  saint,  288. 
[Sermon  dans  lequel  saint  Augustin  parle 
de  la  charité,  832.  Sermon  de  saint  Augus- 
tin sur  les  quatre  degrés  de  la  charité,  834. 
Autres  sermons  du  même  sur  la   charité, 
841,  842.]  —  Doctrine  de  Théodoret  sur  le 
même  sujet,  X,  52.  Discours  sur  la  charité  ; 
ouvrage  de  Théodoret  qui  paraît  être  une 
espèce  de  péroraison  de  son  Histoire  des  so- 
litaires,  98.   Doctrine  de  saint  Léon,  179, 
180,  250.  —  Doctrine  de  saint  Fulgence,  XI, 
15.  Lettre  du  même  sur  la  charité  ou  l'amour 
de  Dieu,  29,  30  et  86.  Sermon  du  même  sur 
la  charité,  70.  Deux  sermons  de  saint  Cé- 
saire    d'Arles  sur  la  charité,   134.    Auti-es 
du  même  sur  la  charité,  139.  Quatre  cents 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


201 


maximes  de  saint  Maxime,  abbé  de  Chryso- 
polis, sur  la  charité  ;  Opsopœus  les  attribue 
à  tort  à  saint  Maxime  de  Turin,  464.  —  Ho- 
mélies attribuées  à  saint  Boniface ,  archevê- 
que de  Mayence,  sur  la  foi  et  la  charité,  XII, 
53,  54.  Eloge  de  la  charité  ;  poëme  de  Ra- 
ban,  459.  Traité  de  saint  Paschase  Radbert 
de  la  Foi,  de  l'Espérance  et  de  la  Charité, 
540  et  suiv.  Le  troisième  livre  traite  de  la 
charité,  542.  —  Livre  de  Thierri,  moine  de 
saint  Matthias,  à  Trêves,  sur  la  Charité,  XIII, 
561.  —  Eloge  de  la  Charité;  ouvrage  de 
Hugues  de  saint  Victor,  XIV,  351.  Lettre  de 
saint  Bernard  où  il  traite  de  la  charité,  426. 
Traité  de  la  Charité  faussement  attribué  à 
saint  Bernard  ;  ce  n'est  qu'une  compilation 
dont  on  ignore  l'auteur,  491.  Miroir  de  la 
Charité  :  ouvrage  dans  lequel  ^Irède,  abbé 
de  Riedval  ,  traite  de  la  charité  et  des 
autres  vertus  chrétiennes,  621.  [Des  Degrés 
de  la  charité  ;  deux  traités  de  Richard, 
prieur  de  Saint-Victor,  ainsi  intitulés,  703.] 
Éloge  de  la  Charité  par  le  pape  Innocent  III, 
1014. 

[CHARITÉ,  monastère  de  France.  On  y 
priait  pour  ceux  qui  persécutaient  les  reli- 
gieux et  pillaient  leurs  biens,  XIV,  1008.] 
722.  CHARLES-MARTEL,  duc  des  Austrasiens 

et  des  Francs.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape 
saint  Grégoire  II  pour  lui  recommander 
saint  Boniface,  XII,  24  et  46.  Saint  Grégoire 
III  lui  demande  du  secours  contre  les  Lom- 
bards, 28.  Il  favorise  les  travaux  de  saint 
Willebrod  et  de  saint  Boniface,  46, 47.  Fable 
de  la  damnation  de  Charles-Martel,  633.  (On 
a  de  lui  une  lettre  de  recommandation  pour 
saint  Boniface.  Voyez  ce  qui  en  est  dit  au 
tome  IV  de  YHistoire  littéraire  de  la  France, 
p.  107.) 

CHARLES  P'  ou  plutôt  CHARLEMAGNE, 
742.        empereur.  Sa  naissance  ;  il  est  sacré  roi  en 
754.        même  temps  que  Carloman,  son  frèi-e  puîné  ; 
768.        Carloman  étant  mort,  Charles  est  seul  roi, 
771.        XII,   223.  Ses  guerres  contre  les  Saxons 
qu'il  oblige  à  se  faire  baptiser,  223  et  224. 
Son  amour  de  la  discipline  de  l'Église  et  des 
lettres.,  224.  Son  zèle  pour  la  saine  doctrine  ; 
814.        sa  piété,  224  et  225.  Sa  mort  ;  l'empereur 
Frédéric  Barberousse  le  fait  canoniser  au 
xii=  siècle  par  Pascal  III,  antipape,  223.  Les 
Capitulaires  de  Charlemagne,  223  et  suiv. 
Éditions  qu'on  en  a  faites,  226.  Capitulaire 
de  l'an  769,  226.  Autres  ai  779,  229  et  230. 
Lettre  circulaire  aux  évêques  pour  les  ex- 
horter à  s'appliquer  à  bien  parler  et  à  bien 


écrire  ;  constitution  pour  la  correction  des 
livres  de  l'Écriture,  230.  Capitulaire  de  l'an 
788,  230  et  231.  Autre  de  789,  231.  Autre 
de  793  pour  le  royaume  d'Italie,  232.  Au- 
tres de  794  et  de  797,  232  et  233.  Autres 
capitulaires,  233,  234.  Capitulaire  de  l'an 
803  contenant  onze  articles  ajoutés  à  la  loi 
salique,  234,  233.  Autre  de  l'an  804,  233, 
236.  Quatre  de  l'an  803,  236,  237.  Six  de 
l'an  806,  237.  Autres  des  années  808  et  sui- 
vantes, 237  et  238.  Testament  de  Charlema- 
gne, 238,  239.  Son  ordonnance  pour  la  te- 
nue de  cinq  conciles,  dont  le  résultat  forme 
le  capitulaire  de  813,  239.  Capitulaires  dont 
la  date  est  incertaine;  autres  capitulaires  de 
Charlemagne,  240.  Lettres  de  Charlemagne, 
243  et  suiv.  Ses  diplômes  et  donations  ;  ses 
poésies,  248.   Les  livres  Carolins;  éditions 
qu'on  en  a  faites,  248  et  249.  [Édition  des 
œuvres  de  Charlemagne  dans  la  Patrologie,. 
249,  230.]  On  attribue  à  Charlemagne  le  re- 
cueil des  lettres  des  papes  depuis  saint  Gré- 
goire III  jusqu'à  Léon  III,  249.  Ses  capitu- 
laires recueillis  par  Anségise,  332.  Lettre  de 
saintLéonlII à  Charlemagne, 400.  Différentes 
lettres  adressées  à  Charlemagne  par  le  pape 
Etienne  III,  118.  Charlemagne  passe  en  Ita- 
lie à  la  sollicitation  du  pape  Adrien  et  as- 
siège Didier  dans    Pavie  ;    son    voyage  à 
Rome,  134.  Il  retourne  à  Pavie,  force  le  roi 
Didier  à  se  rendre  à  discrétion,  et  détruit 
ainsi  le  royaume  des  Lombards,  135.  Il  as- 
semble un  concile  à  Francfort,  136.  Les  li- 
vres Carolins  sont  ainsi  appelés  parce  qu'il 
les  adopte  ;  le  pape  Adrien.!"  les  réfute  ar- 
ticle par  article  ;  Charlemagne  sollicite  le 
pape  Adrien  de  déclarer  hérétique  l'empe- 
reur Constantin  IV  ;   pour  quel  motif,  137. 
Réponse  du  pape  à  ce  sujet,  138.  Différentes 
lettres  que  lui  écrit  le  même  pape,  138  et 
139.  Attachement  de  Charlemagne  pour  le 
pape  Adrien  \"  ;  il  compose  son  épitaphe  et 
la  fait  graver  en  lettres  d'or  sur  une  table 
de  marbre,  141.  Sa  lettre  en  vers  latins  .'i 
Paul,  diacre,  pour  le  féliciter  de  ce  qu'il 
avait  embrassé  la  vie  monastique  au  Mont- 
Cassin,  142.  Charlemagne  ordonne  par  une 
circulaire  en  forme  d'édit,  de  se  servir  de 
l'Homiliaire  de  Paul,  diacre,  dans  les  offices 
publics,  144.   Son  voyage  au  Mont-Cassin 
dont  il  confirme  les  privilèges,  143.  Il  en  fait 
venir  des  religieux  pour  rétablir  la  disci- 
pline monastique  en  France,  143  et  146.  Son 
goût  pour  les  sciences  et  les  savants,  148. 
Poëme  d'un  anonyme  intitulé  :  De  Charle- 


202 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


823, 
869. 


875. 
877. 


magne  et  de  la  venue  du  pape  Léon  vers  ce 
prince,  ISO,  151.  Autre  poëme  de  Godescalc 
en  l'honneur  de  Charlemagne,  151.  [Catulfe 
lui  adresse  une  instruction  sur  les  devoirs 
delà  royauté,  152.]  Fragments  de  quelques 
lettres  adressées  à  Charlemagne  par  Paulin 
d'Aquilée  ;  discussion  sur  la  date  de  celle 
où  il  le  prie  de  confirmer  les  règlements 
faits  au  concile  d'Allino^  163.  Charlemagne 
établit  dans  son  palais  une  espèce  d'acadé- 
mie dont  Alcuin  était  le  chef,  166.  Diffé- 
rentes letlres  d' Alcuin  adressées  à  ce  prince, 
192,  193,  197,  199,  [200].  Différents  poëmes 
de  Théodulphe  d'Orléans  qui  lui  sont  adres- 
sés, 269.  Sa  vie  pnr  Eginhard,  353.  Son  épi- 
taphe  par  Agobard,  378.  [Sa  lettre  à  Offa, 
401.] Histoire  de  Charlemagne  écrite  par  un 
anonyme  moine  de  Saint-Gall,  694,  693. 
Idée  de  cette  histoire  ;  éditions  qu'on  en  a 
,  faites,  693.  —  Ses  Annales  par  un  anonyme; 
son  Eloge  funèbre  par  le  même,  XIII,  184. 
Son  différend  avec  Tassillon,  duc  de  Ba- 
vière, 631,  632.  Il  écrit  aux  évéques  d'Espa- 
gne contre  l'erreur  d'Elipand,  633.  Concile 
qu'il  assemble  à  Aix-la-Chapelle  et  où  il  pu- 
blie un  capitulaire,  640,641.  Autres  conciles 
d'Aix-la-Chapelle  assemblés  par  cet  empe- 
reur, 642  et  suiv.  Voyez  Capitulaires.  — 
[Son  éloge  par  Bonizon,  XIII,  563.]  Epitapbe 
de  Charlemagne  par  Marbode ,  XIV,  228. 
(Voyez  l'article  de  Charlemagne  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  IV,  p.  368  et 
suiv.,  et  le  supplément  t.  XI,  p.  xij  et  suiv.) 

CHARLEMAGNE.  Ce  nom  a  quelquefois 
été  donné  à  Charles  le  Chauve,  XII,  556  et 
611. 

[CHARLES  LE  JEUNE,  roi,  fils  de  Char- 
lemagne :  Alcuin  lui  écrit,  XII,  200.] 

CHARLES  II  LE  CHAUVE,  roi  de  France 
et  empereur.  Sa  naissance,  XII,  630.  De- 
vient roi  de  France  ;  il  s'empare  des  Etats 
de  Lothaire,  roi  de  Lorraine,  qu'il  partage 
ensuite  avec  Louis  de  Germanie  ;  couronné 
empereur  à  Rome;  sa  mort,  631.  Analyse 
de  ses  capitulaires,  631  et  suiv.  Compliment 
que  Walafride  Strabon  fit  à  ce  prince  à  son 
arrivée  à  Richenow,  416.  Chant  lugubre  sur 
sa  mort.  Il  n'est  point  de  Rhaban,  mais  de 
Colomban,  abbé  de  Saint-Tron ,  459.  Diffé- 
rentes lettres  que  lui  écrit  Loup ,  abbé  de 
Ferrières,  504,  505,  506,  510.  Autres  du 
pape  Adrien  II,  588,  589,  590,  591,  592.  11 
se  fait  couronner  roi  de  Lorraine,  590  et 
631.  Ses  lettres  au  pape  au  sujet  de  Carlo- 
man,  591,  392.   [Jean  Scot  lui  adresse  un 


livre  de  poésie,  609.]  Cérémonie  de  son  cou- 
ronnement à  Metz,  655.  Deux  discours  que  lui 
adresse  Hincmar  de  Reims,  664  et  suiv. 
Lettre  que  ce  prélat  lui  écrit  pour  le  prier 
de  défendre  le  pillage  à  ses  soldats,  667. 
Autre  pour  lui  représenter  l'injustice  de  son 
procédé  envers  Hincmar  de  Laon,  673.  Au- 
tre au  sujet  de  Pépin  son  neveu,  685.  Sa 
mort,  664.  Deux  poëmes  d'Hucbald,  moine 
de  Saint-Amand,  qui  lui  sont  adressés,  800, 
801.  —  Requête  de  Charles  le  Chauve  au 
concile  de  Savonières,  contre  Vénilon,  ar- 
chevêque de  Sens,  XIII,  690,  691.  Charles 
le  Chauve,  couronné  roi  de  Lorraine  au 
concile  de  Metz,  713.  Les  évêques  de  Tos- 
cane et  de  Lombardie  le  choisissent  pour 
protecteur  et  seigneur,  717.  Concile  de 
Rome  où  son  élection  est  confirmée,  719. 
Sa  mort,  720.  (Voyez  son  article  dans  VHis- 
toire  littéraire  de  la  France,  tome  V,  p.  483 
et  suiv.) 

CHARLES  m  dit  LE  GROS,  couronné 
empereur  par  le  pape  Jean  VIII,  XII,  642  et 
648.  Lettres  que  ce  pape  lui  écrit,  648.  Let- 
tre d'Hincmar  de  Reims,  à  ce  prince,  pour 
le  prier  de  veiller  à  l'éducation  des  rois 
Louis  et  Carloman,  708.  Lettre  de  Foulques 
de  Reims  pour  le  prier  de  protéger  la  France 
contre  les  Normands,  708  et  709. 

CHARLES  III  dit  LE  SIMPLE,  couronné 
roi  de  France  dans  un  concile  de  Reims, 
XII,  708,  et  Xm,  734.  —  Lettre  de  Foul- 
ques de  Reiras  en  sa  faveur,  XII^  708.  Let- 
tre que  lui  adresse  Jean  IX,  741.  Autre  de 
Jean  X,  744. 

[CHARLES,  archevêque  de  Mayence  :  le 
pape  saint  Nicolas  lui  écrit  sur  plusieurs 
questions  de  discipline,  XII,  586.] 

CHARLIEU,  abbaye  dans  le  Maçonnais. 
Toutes  les  donations  faites  à  cette  abbaye 
sont  confirmées  dans  un  concile,  à  Chalon- 
sur-Saône,  XIII,  730.  Concile  qui  y  fut  tenu 
et  qui  lui  fit  rendre  dix  églises  qu'on  lui 
avait  ôtées,  745. 

CHARMOSYNE,  prêtre,  agent  de  saint 
Cyrille  d'Alexandrie  à  Constantinople,  VIII, 
295.  11  se  retrouve  à  Chalcédoine,  où  on  lui 
signifie  la  sentence  de  Dioscore,  X,  519. 

CHARRONNE,  monastère  près  Paris.  As- 
semblée qui  y  fut  convoquée  pour  montrer 
aux  fidèles  les  reliques  de  ce  monastère, 
XIV,  1071. 

CHARROUX  ou  KAROFFE,  abbaye  dans 
le  Poitou.  L'union  de  trois  monastères  qui  y 
avait  été  faite  est  confirmée  au  concile  de 


893, 


1082 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


203 


Verberie,  XIII,  713.  Conciles  tenus  à  Char- 
roux,  760,761  et  XIV,  1041. 

CHARTE  (La)  pour  la  grande  Litanie,  at- 
tribuée à  saint  Grégoire  le  Grand,  est  dou- 
teuse, XI,  536. 

CHARTE  de  saint  Patrice.  Écrit  supposé, 
X,  447. 
1119.  CHARTE  de  cbarité,  dressée  dans  un  cha- 

pitre général  de  Cileaux  ;  confirmée  par 
une  bulle  du  pape  Callixte  II,  XIII,  230.  Ce 
qu'elle  contient,  231.  Éditions  qu'on  en  a 
faites,  232. 

[CHARTES.  Choix  de  Chartes  des  plus  il- 
lustres français  et  allemands  du  viii°  siècle, 

xn,  1S3.] 

CHARTÉNIUS,  évêque  de  Marseille,  dont 
parle  saint  Avit,  X,  560.  (Il  se  trouve  omis 
dans  la  succession  des  évéques  de  Marseille 
et  on  ne  le  connaît  que  par  cet  endroit.) 

CHARTRES,  ville  de  France.  Cathédrale 
1020.  de  Chartres  brûlée  avec  une  partie  de  la 
ville  ;  rebâtie  par  Fulbert,  XIII,  78.  Consti- 
tution d'Etienne,  comte  de  Chartres,  pour 
abolir  la  coutume  de  piller  la  maison  de  l'é- 
vêque  de  Chartres,  après  sa  mort,  582.  — 
Concile  tenu  en  cette  ville,  XIV,  1119. 

CHARTREUSE.  Désert,  près  de  Grenoble, 
cédé  par  l'évéque  Hugues  à  saint  Bruno,  qui 
y  établit  la  première  maison  de  son  ordre  ; 
ce  désert  appartenait  originairement  à  l'ab- 
baye de  la  Chaise-Dieu,  XIII,  574. 

CHARTREUX  :  Ordre  établi  par  saint 
Bruno.  D'où  leur  vient  ce  nom  ;  ses  com- 
mencements, XIII,  574.  Quelle  était  la  vie 
des  premiers  chartreux  ;  lettre  de  saint 
Bruno  à  ses  moines,  578.  —  Statuts  des 
Chartreux  rédigés  par  le  bienheureux  Gui- 
gnes, XIV,  306,  307.  Témoignage  de  Pierre 
le  Vénérable  sur  l'institut  des  Chartreux, 
522.  Lettre  par  laquelle  le  pape  Alexan- 
1166.  dre  III  confirme  cet  ordre  et  le  prend  sous 
la  protection  de  l'Église  romaine,  926. 

CHASSE  interdite  aux  ecclésiastiques  par 
le  concile  d'Epaone,  XI,  814.  —  Par  un  ca- 
pitulaire  de  Carloman,  XII,  228.  Charle- 
raagne  défend  aux  ecclésiastiques  d'avoir 
des  chiens  de  chasse,  234.  [Chasse  défendue 
aux  évêques,  aux  prêtres,  aux  diacres,  aux 
abbés  et  aux  moines  par  un  capitulaire  de 
Charlemagne,  242.]  —  Chasse  interdite  aux 
ecclésiastiques.  Raisons  qu'en  donne  Pierre 
de  Blois,  XIV,  770. 

CHASTEL  (Amand  du),  abbé  de  Mar- 
chiennes.  Voyez  Amand. 

CHASTETÉ.   Exhortation  à  la  chasteté. 


1084. 


1084. 


Ouvrage  de  TertuUien  avant  sa  chute,  II, 
36,  37.  Ce  qu'il  dit  de  la  chasteté  des  païens, 
81.  —  Poème  de  saint  Grégoire  deNazianze 
sur  la  chasteté,  V,  288.  —  Trois  discours  de 
saint  Ephrem  sur  la  chasteté,  VI,  19  et  20. 
—  Témoignage  de  saiut  Jean  Chrysostôme 
sur  la  chasteté,  VII,  194.  Doctrine  du  même 
saint,  424.  Homélie  sur  la  chasteté,  sous  le 
nom  de  Jean  de  Jérusalem,  502.  Doctrine 
de  saint  Jérôme,  705.  —  Traité  de  la  chas- 
teté faussement  attribué  au  pape  Sixte  III, 

VIII,  255.   —  Doctrine  de  saint  Augustin, 

IX,  127,  128,  457,  458.  Livre  de  la  so- 
briété et  de  la  chasteté.  Ouvrage  faussement 
altribaé  à  saint  Augustin,  287.  —  [Sermon 
de  Maxime  de  Turin  sur  la  chasteté,  X, 
326.]  De  la  louange  de  la  chasteté  :  poëme 
de  saint  Avit,  évoque  de  Vienne,  567.  — 
Quatre  sermoas  de  saint  Césaire  d'Arles  sur 
la  chasteté,  XI,  142.  —  Poëme  de  Fulbert 
de  Chartres  sur  la  chasteté  et  les  moyens 
de  la  conserver,  XIII,  88.  Des  moyens  de 
conserver  la  chasteté.  Opuscule  de  saint 
Pierre  Damien,  320.  —  Éloge  de  la  chasteté 
et  des  autres  vertus,  par  Marbode,  XIV,  227. 
Voyez  Virginité. 

CHASUBLE.  Habit  ecclésiastique,  XH  , 
228. 

CHATEAUDUN,  au  diocèse  de  Chartres, 
érigé  en  évêché  par  Gilles,  archevêque  de 
Reims,  XI,  872.  Cette  érection  est  proscrite 
par  le  quatrième  concile  de  Paris,  892  et 
893.  Elle  n'a  lieu  que  pendant  le  reste  du 
règne  de  Sigebert,  893.  —  Lettre  d'Yves  de 
Chartres  aux  rehgieuses  de  Châteaudun , 
XIV,  100. 

CHATEAU-DU-LOIR.  Ville  du  Maine  [main- 
tenant du  département  de  la  Sarthe].  Gervais, 
évêque  du  Maus  y  fonde  une  collégiale,  XIII, 
263. 

CHATEAU-THIERRY.  Concile  tenu  en 
celte  ville,  XIH,  746. 

[CHATELUS  (de).  Sa  traduction  française 
des  deux  ouvrages  d'Adam  de  Brème  n'a 
point  paru,  XIV,  206.] 

CHATILLON,  [ou  CASTILLON,  ou  CAS- 
TALION]  (Sébastien),  calviniste.  Sa  traduc- 
tion latine  des  Hvres  sibylHns,  I,  307. 

CHATIMENTS  DE  DIEU.  Doctrine  de 
saint  Jérôme,  VII,  701. 

CHATZITZARIENS.  Secte  de  Jacobites. 
Pourquoi  ainsi  nommés  ;  leurs  erreurs  dé- 
crites par  Démétrius  de  Cyzique,  XI,  809. 
—  et  combattues  dans  un  écrit  de  Philippe 
le  Sohtaire,  XIV,  84. 


m  siècle. 


IV  siècle. 


IV  el 
V  siècle. 


573. 


XI  siècle. 


IV  et 
V  siècle. 


204 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


CHAUDRON  de  bois  incombustible,  XI, 
377. 

1094.  CHAUMONSEY.  Maison  de  chanoines  ré- 

guliers mise  sous  la  dépendance  de  l'abbaye 
de  Saint-Léon  de  Toul.  Son  différend  avec 
l'abbaye  de  Remiremont  pour  la  cure  de 
Chaumonsey,  XIII,  600. 

CHAUMONT  ou  HANNEMOND  (Saint). 
Voyez  Delphin  (saint). 

[CHAUSSIER,  supérieur  du  petit  sémi- 
naire de  Metz.  Sa  dissertation  sur  la  fonda- 
lion  apostolique  de  l'Église  de  Metz  ;  son 
édition  de  l'Histoire  de  l'Église  de  Metz  avec 
le  Catalogue  des  évéques  de  cette  Église, 
XII,  143.] 

CHAUSSURE   des    diacres    de    Messine, 
semblable  à  celle  des  évêques,  XI,  5H. 
IV  0,.  CHAUVES.  Écrit  de  Synésius  de  Ptolé- 

V  siècle,  aiaïde  intitulé  ;  Éloge  de  la  calvitie  ,  VIII, 
29.  —  Poëme  d'Hucbald,  moine  de  saint 
Amand,  à  la  louange  des  chauves.  Singula- 
rité de  ce  poëme  de  136  vers  dont  tous  les 
mots  commencent  par  la  lettre  C,  XII,  800. 
CHEKE  (Jean),  savant  anglais.  Sa  traduc- 
tion latine  de  la  Tactique  de  l'empereur  Léon 
le  Philosophe,  Xn,  775. 

[CHÉLIDONIUS,  abbé  de  Bénédictins,  pu- 
blie l'Abrégé  de  la  théologie  de  Pierre  Ban- 
din,  XIV,  549,  n.  7.] 

CHELLES,  monastère  près  Paris.  Concile 
tenu  en  ce  lieu,  XIV,  1035. 

CHÊNE,  bourg  près  Chalcédoine,  VII,  6. 
403         Concile  qui   y  fut   tenu  contre  saint  Jean 
Chrysostôme,  746  et  suiv. 

[CHEREBERT,  roi  de  Paris.  Voyez  Chari- 
bert.] 
CHERMER  ou  HARMER.  Voyez  Hadmère. 
CHÉRUBINS  faits  par  Moïse.  Opuscule  de 
Nicéphore,  patriarche  de  Constantinople, 
XII,  284.  —  [Sur  les  six  ailes  des  chéru- 
bins, ouvrage  d'Alain  de  Lille,  XIV,  870, 
871.] 

CHESNE  (André  du),  savant  historio- 
graphe. Son  édition  des  œuvres  du  bienheu- 
reux Alcuin,  XII,  213.  Son  édition  de  l'His- 
toire de  Luitprand  dans  sa  collection  d'his- 
toriens, 875. 

CHESNEAU  (Nicolas),  doyen  de  Saint- 
Symphorien  de  Reims.  Sa  traduction  fran- 
çaise de  l'Histoire  de  l'Église  de  Reims,  par 
Frodoard,  XII,  843.  —  Sa  traduction  fran- 
çaise d'une  partie  du  traité  de  Piei're  le 
Vénérable  contre  les  Pétrobusiens ,  XIV, 
518.] 

[CHEVAL.  Note  relative   à   la  demande 


faite  par  saint  Boniface  deMayence  s'il  était 
permis  de  manger  de  la  viande  de  cheval, 
xn,  27,  n.  3.] 

CHEVALIERS.  Canon  d'un  concile  de 
Londres  qui  défend  aux  abbés  de  taire  des 
chevaliers,  XIV,  6.  [Chevaliers  de  Saint- 
Michel,  institués  par  Alphonse,  roi  de  Portu- 
gal ;  règle  de  cet  ordre,  626, 627.  Chevaliers 
d'Evora  et  d'Avis  en  Portugal.  Leur  institu- 
tion et  leur  règle,  626.] 

CHEVEUX.  Divers  usages  sur  les  cheveux 
des  vierges  et  des  veuves  qui  se  consa- 
craient à  Dieu.  Les  uns  les  coupaient,  les 
autres  défendaient  de  les  couper,  VII,  698. 

—  Le  concile  d'Arles  ordonne  aux  clercs  de 
couper  leurs  cheveux  :  pourquoi,  X,  639.  — 
Au  VI'  siècle,  c'était  la  coutume  en  France 
de  couper  les  cheveux  à  ceux  qui  étaient  en 
pénitence;  on  les  coupait  aussi  à  ceux  qui 
embrassaient  la  profession  monastique  ;  ou 
coupait  les  cheveux  aux  rois  pour  marque 
de  leur  dégradation,  XI,  394.  Une  manière 
d'adoption  en  usage  au  vu''  siècle  était  de 
recevoir  les  cheveux  d'un  jeune  homme  , 
783.  —  Énée  de  Paris  reproche  aux  Grecs 
de  laisser  croître  leurs  cheveux,  XII,  601. 

—  Un  concile  de  Rouen  défend  aux  hommes 
de  porter  de  longs  cheveux,  XIII,  434.  —  Il 
était  d'usage  chez  les  anciens  de  se  couper 
les  cheveux  pour  attester  la  vérité  de  sa  pa- 
role, XIV,  211. 

CHEVEUX  DE  LA  SAINTE  VIERGE  :  re- 
liques envoyées  à  la  comtesse  de  Boulogne 
par  Osmond,  évoque  d'Astorga,  XIII,  524. 

CHICANEUR,  puni  d'excommunication  par 
saint  Basile,  IV,  643. 

CHICHESTER.  Ville  d'Angleterre.  Concile 
qui  y  fut  tenu,  XIV,  1127. 

CHIENS  DE  CHASSE  :  défendus  aux  ecclé- 
siastiques par  Charlemagne,  XII,  234.  — 
Dès  le  xi°  siècle,  on  allait  à  Saint-Hubert 
pour  être  guéri  des  morsures  de  chiens  en- 
ragés, Xm,  596. 

CHIFFLET  (Pierre-François),  jésuite.  Son 
Paulinus  illustratus,  VIII,  98.  —  Son  édition 
de  l'Histoire  de  la  persécution  des  Vandales 
en  Afrique  par  Victor  de  Vite,  X,  463.  Son 
édition  des  œuvres  de  Vigile,  évêque  de 
Tapse,  483.  —  Son  édition  de  quelques 
opuscules  de  saint  Fulgence ,  évêque  de 
Ruspe,  XI,  76;  des  lettres  de  Ferrand,  diacre 
de  Carthage,  87.  —  De  l'Histoire  ecclésias- 
tique des  Anglais,  par  le  vénérable  Bède, 
xn,  19. 

CHILDEBERT  I",  roi  de  Paris.  Lettre  que 


H67. 


1096. 


V.  1059. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


205 


lui  écrit  Léon,  évêque  de  Sens,  XI,  202. 

556.  Différentes  lettres  que  lui  écrit  le  pape  Pe- 
lage I",  dans  lesquelles  il  lui  fait  sa  profession 
de  foi,  331 ,  332.  Son  ordonnance  contre  les 
restes  d'idolâtrie,  883.  Son  diplôme  pour  la 
fondation  de  l'abbaye  de  Saint- Vincent,  au- 
jourd'hui Saint-Gerpjain-des-Prés ,  883  et 
884.  Son  ordonnance  contre  les  ravisseurs 
des  veuves  et  des  filles  consacrées  à  Dieu, 

558.  884.  Temps  de  sa  mort,  883.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  III,  p.  268  et  suiv.) 

CHILDEBERT  II,  roi  d'Austrasie.  Traité 
de  paix  entre  lui  et  Gontran  ;  il  envoie  Gré- 
goire de  Tours  en  ambassade  auprès  de  Gon- 
tran, XI,  366.  Poëme  à  sa  louange  par  Fortu- 
nat,  409.  Épigramme  du  même,  411.  Lettre 
qu'écrit  le  pape  saint  Grégoire  le  Grand  à 
Childebert  II,  303,  304.  —  Ses  ordonnances 
»  XII,  226.  (Voyez  son  article  dans  YHistoh^e 
littéraire  de  la  France,  t.  III.  p.  397  et  suiv.] 
CHILDEBRAND,  oncle  paternel  du  roi 
Pépin  fait  continuer  la  chronique  de  Frédé- 
gaire,  XI,  746. 

CHILDÉRIC  II,  roi  de  France,  fait  enfer- 
mer à  Luxeuil  Ebroïn  et  saint  Léger,  XI,  780. 
siècle.        CHILIEN,  moine  bénédictin  d'Inis-Keltre 
en  Hibernie,  auteur  d'une  Vie  de  sainte  Bri- 
gitte, XII,  129. 

siècle.  CHILON,  solitaire.  Lettre  que  lui  écrivit 
saint  Basile  le  Grand.  Elle  est  attribuée  à 
saint  Nil,  IV,  433. 

siècle.  CHILPÉRIG  I",  roi  de  Soissons.  La  guerre 
entre  lui  et  Sigebert,  roi  d'Austrasie ,  ne 
peut  être  ralentie  par  les  instances  de  saint 
Germain,  évêque  de  Paris,  XI,  307,  308.  Il 
dresse  un  édit  par  lequel  il  ordonnait  qu'à 
l'avenir  on  nommerait  la  sainte  Trinité  Dieu 
simplement,  sans  distinction  de  personnes. 
Horreur  que  lui  en  témoignent  saintGrégoire 
de  Tours  et  Salvius,  évêque  d'Alby  ;  il  com- 
pose des  hymnes  et  des  collectes  qui  ne  sont 
point  approuvées,  314.  On  lui  attribue  l'épi- 
taphe  de  saint  Germain,  évêque  de  Paris, 
rapportée  par  Aimoin,  308  et  314.  Il  est  as- 

184.  sassiné ,  314.  Lettre  de  sainte  Radegonde 
aux  rois  Chilpéric  et  Sigebert,  316.  Saint 
Grégoire  de  Tours  détourne  Chilpéric  de 
donner  un  édit  touchant  la  sainte  Trinité, 
366.  Son  traité  avec  Childebert  II  et  sa 
mort,  369.  Poëme  de  Fortunat  sur  le  ma- 
riage de  Galswinde  avec  Chilpéric,  407.  Son 
éloge  par  le  même,  408.  (Voyez  sou  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  III, 
p.  338  et  suiv.) 


341. 


CHILPÉRIC,  moine  de  Grandfel.  Voyez 
Helpéric 

[GHINDASVINTHE,  roi  d'Espagne.  Lettres 
de  Braulion  à  ce  prince  ;  réponse  dn  roi  ; 
autre  de  Braulion,  XI,  731.] 

CHINON,  ville  de  Touraine.  Conférence 
qui  y  fut  tenue,  XIV,  1133. 
CHIRTON  (Odonde).  Voyez  Odonde  Chirion. 
CHLORE    (Constance).    Voyez   Constance 
Chlore. 

CHORÉVÊQUES.,  ou  vicaires  des  évêques 
dans  les  bourgs  ou  principaux  villages.  Canon 
douzième  du  concile  d'Ancyre;  c'est  la  pre-     iv  siècle, 
mière  fois  qu'il  est  parlé  d'eux,  II,  638.  Canon 
treizième  du  concile  de  Néocésarée,  640.  — 
Leur  droit.  Canon  dixième  du  concile  d'An- 
tioche,  III,  468.  —  Cborévêques  ou  sufifra- 
gants.  Lettre  de  saint  Basile  à  ses  cborévê- 
ques, IV,  439.  Lettre  de  saint  Basile  le  Grand     Après  374. 
à  un  chorévêque,  486.  Règles  de  saint  Basile 
pour  l'élection   d'un   chorévêque,   487.  — 
Lettre  faussement  attribuée  au  pape  saint 
Léon  sur  les  fonctions  des  chorévêques,  X, 
239.  —  Témoignage  de  saint  Isidore  de  Sé- 
ville  sur  les  chorévêques,   XI,  719.  —  Un 
capitulaire   de   Charlemagne    défend    d'en       v.  soo. 
établir  à  l'avenir,  XII,  233.  Autre  capitulaire 
qui  leur  interdit  les  fonctions  épiscopales 
234.  Concile  de  Paris  où  les  chorévêques         849. 
sont  déposés,  440.  Pourquoi  ils  avaient  été 
établis,  433.  Traité    de   Rhaban-Maur   des 
Chorévêques,  462,  463.  Éditions  qu'on  en  a 
faites,  463.  Lettre  du  pape  saint  Nicolas  I"     ix  siècle, 
sur  le  pouvoir  des  chorévêques,  581.  Statut 
d'Isaac,  évêque  de  Langres,  639.  Réponse 
du  pape  Léon  VII,  829. — Dispositions  d'un 
concile  d'Aix  la-Chapelle  contre  les  choré-        sos. 
vêques,  XHI,  641. 

[CHORICIUS,  sophiste  de  Gaze  :  ses  dis-     vi  siècle. 
cours,  XI,  180,  181.] 

CHOSES  QU'ON  CONNAIT  PAR  L'ESPRIT 
ET  PAR  LES  SENS  :  Ouvrage  perdu,  attri- 
bué à  saint  Denis  l'Aréopagite,  X,  553. 

CHOSES  ECCLÉSIASTIQUES.  De  l'Origine 
et  du  progrès  des  choses  ecclésiastiques, 
ouvrage  de  Walafrid  Strabon,  XII,  411  et 
suiv. 

[CHOSES  SAINTES  :  sermon  de  saint  Au- 
gustin sur  ces  paroles  de  l'Écriture  :  Ne  don- 
nez pas  les  choses  saintes  aux  chiens,  IX, 
841 .] 

CHOSES  TEMPORELLES.  Exhortation  au 
mépris  des  choses  temporelles  et  à  l'amour 
des  choses  éternelles,  attribuée  à  saint  An- 
selme, XIV,  20. 


206 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


CHOSES  VISIBLES  :  discours  d'Othlon, 
moine  de  Saint-Emmeran  de  Ratisbonne  ; 
commenl  on  peut  lire  dans  les  choses  visi- 
bles, XIII,  283. 

[CHOSES  ADMIRABLES  ou  SURPRENAN- 
TES (des),  grand  ouvrage  en  vers  par  Raoul 
Tortaire  :  ce  traité  est  resté  manuscrit,  XIV, 
79.J 

CHOSRGES  II,  roi  de  Perse,  reçoit  avec 
distinction  Grégoire,  patriarche  d'Antioche 
que  l'empereur  Maurice  lui  envoyait  en  am- 
bassade, XI,  359.  Il  enlève  le  trésor  de  l'é- 
glise d'Apamée,  mais  y  laisse  le  bois  de  la 
vraie  croix,  416.  —  11  enlève  à  Jérusalem  la 
sainte  croix  et  l'emporte  en  Perse,  XII,  86. 

CHREME  (le  saint),  huile  consacrée  par 

IV  sièci.      l'évéque  ;   canon  d'un  concile  de  Carthage 

sur  le  saint  Chrême,  IV,  648.  — Doctrine  de 

saint  Optât,   V,  132,  133.  —  Canon  trente- 

393.        sixième  du  concile  d'Hippone,  VII,  715.  Ca- 

397.  non  trente-sixième  du  troisième  concile  de 

398.  Carthage,    723.    Canon   trente-sixième    du 
quatrième.  730.  Canon  vingtième  du  pre- 

400.  mier  concile  de  Tolède,  742.  —  Canon 
419.  sixième  du  sixième  concile  de  Carthage , 
VllI,  564.  Canons  d'un  concile  d'Orange, 
607;  d'un  concile  de  Vaison,  610.  —  Règle- 
ment du  pape  saint  Gélase  sur  le  saint 
Chrême,  X,  502,  503.  Cérémonies  de  la  con- 
sécration du  saint  Chrême  décrites  dans  le 
livre  de  la  Hiérarchie  céleste,  attribué  à 
saint  Denis  l'Aréopagite,  548.  Gondebaud, 
roi  des  Bourguignons,  demande  à  saint  Avit 
de  lui  donner  en  secret  l'onction  du  saint 
Chrême,  564.  —  Témoignage  de  la  Liturgie 
de  saint  Germain  sur  le  saint  Chrême,  XI, 
311.  [Cas  relatif  au  saint  Chrême  proposé 
par  Eugène  III,  archevêque  de  Tolède  à 
Braulion  et  réponse  de  celui-ci,  742,  743.] 
Canon  du  concile  d'Epaone  sur  le  saint 
531.  Chrême,  815.  Lettre  de  Montan,  évêque  de 
Tolède,  contre  des  prêtres  du  territoire  de 
Palenza  qui  avaient  consacré  le  saint  Chrême, 
841.  Le  saint  Chrême  doit  être  distribué  gra- 
tuitement, 891 .  —  Témoignage  du  pape  saint 
Zacharie  sur  la  consécration  du  saintChrême, 
XII,  33.  Témoignage  d'un  auteur  anonyme 
sur  la  garde  du  saint  Chrême,  loO.  Loi  de 
Carloman  sur  le  saint  Chrême,  228.  Lois  de 
Cliarlemagne,  233,  235,  237.  Témoignage  de 
Leidrade,  233.  Ordonnance  du  pape  Léon  IV, 
408.  Témoignage  de  Ratramne,  touchant  les 
usages  des  Grecs  el  des  Latins  à  l'égard  du 
saint  Chrême,  567.  Règlement  d'Alton  de 
Verceil,  821.  Canon  du  concile  de  Mérida, 


937.  —  Témoignage  de  Wolstan,  XIII,  55  ; 
de  Lanfranc,  454.  Canons  d'un  concile  d'Ar- 
les, 643  ;  de  Metz,  732  ;  de  Ravenne,  XIV, 
1037. 

CHREST  ou  CRESCENT,  évêqne  de  Syra- 
cuse. Lettre  que  Constantin  lui  écrit,  II,  628, 
III,  133,  134,  IX,  416.  11  se  trouve  au  concile 
d'Arles,  II,  629. 

CHRÉTIEN,  abbé  de  Saint  -  Germain 
d'Auxerre,  XII,  419. 

CHRÉTIEN,  moine  de  Fleury  ou  Saint- 
Benoit-sur-Loire,  XII,  419. 

CHRÉTIEN  DRUTHMAR,  moine  de  Cor- 
bie.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa 
vie  ;  conjecture  sur  le  temps  oii  il  vivait, 
XII,  419.  Il  est  appelé  à  Stavélo  pour  expli- 
quer l'Écriture  aux  moines  de  cette  abbaye, 
420.  Analyse  de  son  commentaire  sur  saint 
Matthieu,  420  et  suiv.  Ses  Scholies  sur  saint 
Lac  et  saint  Jean  ;  éditions  qu'on  a  faites  de 
ces  commentaires,  422.  [Édition  dans  la  Pa- 
trologie,  422  et  423.]  (Voyez  l'article  de  Chré- 
tien Drulhmar  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  V,  p.  84  et  suiv.) 

CHRÉTIEN,  nom  que  prit  Guitmond  lors- 
qu'il passa  en  Itahe  ;  l'Anonyme  de  Molk  ne 
le  connaît  que  sous  ce  nom,  XIII,  516.  Voyez 
Guitmond. 

CHRÉTIENS,  ce  qui  en  est  dit  dans  Tépî- 
tre  attribuée  à  saint  Barnabe,  I,  284.  Témoi- 
gnage de  saint  Justin,  414  et  suiv.,  425  et 
suiv.,  442,  443  ;  de  Théophile,  478;  d'Athé- 
nagore,  482,  483,  486  ;  de  Bardesane,  466  ; 
de  Tatien,  491  ;  de  Minutius  Félix,  551  et 
suiv.  ;  de  Clément  d'Alexandrie ,  567  et 
suiv.  —  Témoignage  de  TertulUen  sur  les 
assemblées  des  chrétiens,  28,  78,  79  ;  sur  les 
mœurs  des  chrétiens,  50,  80  et  suiv.  Témoi- 
gnage d'Origène  sur  les  chrétiens,  236,  240 
et  suiv.,  245  et  suiv.  250.  Leurs  mœurs  selon 
Lactance,  514,  515.  Divers  noms  qui  leur 
ont  été  donnés,  534.  Le  nom  de  chrétien 
donné  aux  catéchumènes.  Canon  quarante- 
cinquième  du  concile  d'Elvire,  610.  —  Edit 
de  Dioctétien  contre  les  chrétiens,  III,  2  et 
80.  Témoignage  d'Eusèbe  de  Gésarée  en  fa- 
veur des  chrétiens  ;  leur  perfection  ;  pour- 
quoi ils  ont  reçu  leur  célibat  ;  pourquoi  ils 
n'offraient  point  de  sacrifices  d'animaux, 
189.  Témoignage  d'Eusèbe  sur  les  assem- 
blées des  chrétiens,  290,  291.  Sur  leurs 
mœurs,  298  et  suiv.  —  Caractère  du  vrai 
chrétien,  selon  saint  Athanase,  IV,  211.  Ca- 
non quarante-cinquième  dans  la  deuxième 
épître  canonique  de  saint  Basile  le  Grand, 


IV  siècle. 


IX  siècle. 


I  sièeled 


II  siècle. 


III  siècle. 


.1 
III  siècle. 


IV  aiècl^.i 


375. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


207 


468.  —  Témoignage  de  saint  Cyrille  de  Jé- 
rusalem sur  les  mœurs  des  chrétiens,  V,  40. 
Témoignage  de  saint  Grégoire  de  Nazianze 
sur  leur  conduite  envers  les  païens,  199. 
Maximes  pour  distinguer  leur  conduite  de 
celle  des  païens,  selon  le  même  saint,  201. 
Témoignage  de  saint  Ambroise  sur  le  carac- 
tère des  chrétiens,  427,  -428.  —  Trois  traités 
de  saint  Grégoire  de  Nysse,  sur  la  perfection 
chrétienne,  VI,  19S  et  suiv.  Deux  lois  de  Va- 
lentinien  I",  en  faveur  des  chrétiens,  3S3. — 
Doctrine  de  saint  Cyrille  d'Alexandrie  sur 
les  devoirs  des  chrétiens,  VIII,  263.  — Traité 
de  Fastidius  sur  la  vie  chrétienne,  X,  1.53, 
154.  Comment  les  chrétiens  doivent  passer 
la  journée,  selon  saint  Maxime  de  Turin, 
322.  —  Doctrine  de  saint  Césaire  d'Arles, 
XI,  131.  Deux  sermons  du  même  sur  les  de- 
voirs des  chrétiens,  138,  139.  —  [Ce  que  les 
chrétiens  doivent  savoir  d'après  un  capitu- 
laire  de  Gharlemagne,  XII,  242.  Le  pape 
Pascal  écrit  aux  chrétiens  du  nord,  403.  — 
De  tribus  usitatis  christianorum  actibus  :  Ora- 
tione,  Jejunio,  Eleemosyna,  ouvrage  attribué 
à  Gauthier,  moine  de  Citeaux,  XIV,  897. 
Analyse  de  cet  ouvrage,  897  et  898.]  Voyez 
Apologie  des  chrétiens,  et  Assemblée  des  chré- 
tiens. 

[CHRÉTIEN.  Un  nommé  Chrétien  écrit  à 
Honoré  d'Autun;  réponse  de  celui-ci,  XIV, 
298.] 

[CHRÉTIEN  ,  archevêque  de  Mayence  , 
prélat  guerrier  :  sa  mort,  XIV,  932.] 

CHRISIME,  à  qui  saint  Augustin  écrivit 
une  lettre,  IX,  187. 

CHRISMAL,  ce  que  signifie  ce  mot  dans 
la  règle  de  saint  Colomban,  XI,  620. 

CHRIST  ou  OINT.  Origine  de  ce  nom,  se- 
lon saint  Justin,  I,  438.  —  Tradition  des 
Juifs  :  que  le  Christ  devait  venir  la  nuit,  II, 
462,  note  13.  —  En  quel  sens  ce  nom  con- 
vient à  Jésus-Christ,  selon  Eusèbe  de  Césa- 
rée,  III,  192.  Voyez  Jésus-Christ  et  Antéchrist. 

CHRISTE,  FOTENS  RERDM.  Le  poëme 
qui  commence  par  ces  mots,  n'est  ni  de  Ma- 
mert  Glaudien,  ni  de  Claudien  d'Alexandrie, 
mais  du  pape  saint  Damase,  X,  336. 

CHRISTIANISME.  [Le  christianisme  n'est 
pas  le  résultat  des  progrès  de  la  raison,  II, 
201.  — Propagation  rapide  du  christianisme, 
III,  262.]  —  Histoire  du  christianisme  par 
Haimon  d'Halberstat,  XII,  437.  Sermon  d'Al- 
bon,  moine  de  Saint-Germain,  sur  l'établis- 
sement et  l'accroissement  du  christianisme, 
79 1 .  Voyez  Religion  chrétienne. 


CHRISTINE  (Sainte),  vierge  et  martyre. 
Les  Actes  de  son  martyre  et  deux  hymnes  en 
son  honneur  par  Alphane,  archevêque  de 
Salerne,  XIII,  493. 

CHRISTINE,  sœur  de  Poppon,  archevê- 
que de  Trêves,  se  fait  recluse  à  l'exemple  de 
saint  Siméon,  XIII,  122. 

CHRISTINUS,  à  qui  saint  Augustin  éciivit 
une  lettre,  IX,  189. 

CHRISTODULE,  patriarche  d'Alexandrie; 
ses  statuts,  XIII,  46. 

GHRISTOLITES,  hérétiques  dont  parle 
saint  Jean  Damascène,  XII,  69. 

CHRISTOPHE  (Saint),  martyr.  Discours  de 
Pierre  Damien  sur  ce  saint,  XII,  743.  — 
Deux  sermons  du  Vénérable  Hildebert  sur 
saint  Jacques  et  saint  Christophe,  XIV,  21S. 

CHRISTOPHE,  primicier  et  conseiller  du 
Saint-Siège,  fait  chasser  l'antipape  Constan- 
tin, s'oppose  à  l'intrusion  de  Philippe  et  fait 
élire  Etienne  III,  XII,  117.  Son  zèle  pour 
l'Église  romaine  lui  attire  la  haine  du  roi 
Didier  qui  le  fait  périr,  118,  119. 

CHRISTOPHE,  patriarche  d'Alexandrie. 
Temps  de  son  pontificat,  XII,  362.  Sa  lettre 
à  l'empereur  Théophile,  en  faveur  du  culte 
des  images,  souscrite  par  un  grand  nombre 
d'évêques  et  de  prêtres,  362  et  363.  Son  dis- 
cours sur  la  vie  humaine,  363.  [Éditions  de 
ces  écrits,  363.] 

CHRISTOPHE,  pape,  succède  à  Léon  V,  et 
est  chassé  quelques  mois  après;  son  diplôme 
en  faveur  de  l'abbaye  de  Corbie,  XII,  743. 

[CHRISTOPHORE,  premier  secrétaire.  On 
a  de  lui  une  exhortation  aux  Israélites  en 
deux  chants;  elle  est  reproduite  au  t.  GXVII 
de  la  Patrologie  grecque.] 

CHRISTOPHORSON  (Jean),  évêque  de  Chi. 
chester  en  Angleterre.  Son  édition  des  œu- 
vres de  Philon,  I,  313.  —  Sa  version  latine 
de  l'Histoire  ecclésiastique  d'Eusèbe,  III, 
314  ;  —  de  celles  de  Socrate  et  de  Sozomène, 
Vm,  523  et  333  ;  —  de  celle  de  Théodoret, 
X,  141  ;  —  de  celle  d'Evagre,  XI,  420, 

CHRODEGAND  (Saint),  évêque  de  Metz. 
Ses  commencements  :  Charles  Martel  le  fait 
référendaire  ou  chancelier,  XII,  103.  Il  suc- 
cède à  Sigebald  dans  l'évêché  de  Metz;  ses 
fondations;  il  établit  dans  sa  cathédrale  une 
communauté  de  chanoines  réguliers  aux- 
quels il  donne  une  règle  ;  il  est  député  à 
Rome  pour  en  amener  le  pape  Etienne  II, 
qui  lui  donne  le  pallium  avec  le  titre  d'ar- 
chevêque ;  il  préside  au  concile  d'Attigny- 
sur-Aisne;    sa  mort,    106.   Analyse  de  la 


XI  siècle. 


IV   ou 
V  siècle. 


X  siècle. 


VIII  siècle. 


804  S37. 


903904. 


Vers  le 
XII  siècle. 


742. 


752. 

765. 
766. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


590. 


VII  siècle. 


Avant  374. 
381.    388. 


404. 
407  ou  414. 


208 

règle  que  saint  Chrodegand  donna  à  ses 
chanoines,  106  et  suiv.  Charte  de  fondation 
du  monastère  de  Gorze,  109,  110.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  IV,  p.  128  et  suiv.;  le  Supplément, 
t.  X,  p.  xlvij  et  suiv.) 

C  HRODEGAND,  évêque  de  Séez.  Ses  Actes 
attribués  à  Hérard,  archevêque  de  Tours, 
XII,  602. 

CHRODIELDE,  fille  du  roi  Caribert  I",  re- 
ligieuse à  Poitiers,  entreprend  de  faire  chas- 
ser l'abbesse  Leubnuère,  et  de  se  faire  élire 
à  sa  place  ;  ses  plaintes  contre  Leubouère  ; 
accompagnée  d'une  troupe  de  scélérats,  elle 
force  le  monastère  et  met  l'abbesse  en  pri- 
son, XI,  366.  Concile  de  Poitiers  où  elle  est 
excommuniée  ;  nouvelles  calomnies  qu'elle 
répand  contre  Leubouère,  905.  A  la  prière 
du  roi  Childeberl,  elle  est  réconciliée  au 
concile  de  Metz,  et  se  relire  dans  une  terre 
que  le  roi  lui  donne,  905  et  906. 

CHRODIN,  général  d'armée  :  son  éloge 
par  Fortunat,  XI,  408. 

CHRODOBERT,  archevêque  de  Tours.  Ce 
qu'on  sait  de  sa  personne,  XII,  761.  Son  Ju- 
gement sur  une  femme  adultère,  761  et  762. 
[CHRODOGAIRE,  comte,  à  qui  Alcuin  écrit, 
XII,  200.] 

CHROMACE  (Saint),  évêque  d'Aquilée  et 
confesseur,  VII,  493  et  suiv.  Ses  parents  ;  il 
entre  dans  le  clergé,  493.  Il  assiste  au  con- 
cile d'Aquilée;  il  est  fait  évêque;  il  inter- 
pose sa  médiation  entre  saint  Jérôme  et  Ru- 
fîn  ;  son  zèle  pour  saint  Jein  Chrysostôme  ; 
mort  de  saint  Chromace,  494.  Ses  écrits,  494 
et  suiv.  Trois  homélies  [ou  traités]  de  ce  saint 
évêque,  494,  495  ;  l'une  est  sur  les  huit  béati- 
tudes, 495.  [Note  sur  ce  traité,  494,  n.  7.] 
Autre  homélie  sur  l'Oraison  dominicale  ; 
autre  sur  le  Baptême  de  Jésus-Christ,  494. 
[Édition  des  écrits  de  saint  Chromace  dans 
la  Patrologie  d'après  Braida,  495,  496.]  Ecrits 
perdus  de  s^iint  Chromace  ;  lettres  et  homé- 
lies faussement  attribuées  à  ce  saint  évêque, 
496.  — Lettre  que  lui  écrivit  saint  Ambroise, 
V,  497.  —  Il  écrit  à  l'empereur  Arcade  en 
faveur  de  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  2. 
Lettre  que  saint  Jérôme  lui  écrivit,  582.  Let- 
tre de  saint  Chromace  et  d'Héliodore  à  saint 
Jérôme,  et  réponse  de  saint  Jérôme  à  ces 
deux  évêques  :  ouvrages  supposés;  autre 
lettre  de  saint  Chromace  et  d'Héliodore  et  la 
réponse  de  saint  Jérôme  ;  écrits  supposés,  648. 
CHRONIQUES.  Chronique  samaritaine  sous 
le  nom  de  Josué,  1,  30.  [Voyez  aussi  note  1.] 


CHRONIQUE  de  saint  Hippolyte  et  celle 
qui  lui  est  attribuée,  630,  631.  [Éditions  de 
cette  Chronique,  631.] 

CHRONIQUE  de  Jules  Africain,  II ,  91  et 
suiv. 

CHRONIQUE  d'Eusèbe  de  Césarée,  III, 
178  et  suiv.  [Découverte  et  publication  de  la 
chronique  d'Eusèbe,  178,  n.  6,  et  181.]  — 
Lettre  de  saint  Jérôme  à  Vincent  et  à  Gai- 
lien  pour  servir  de  préface  à  la  traduction 
de  cet  ouvrage,  Vil,  645,  646. 

[CHRONIQUE  athanasienne  écrite  en  sy- 
riaque, IV,  150,  151.] 

[CHRONIQUE  latine  sur  saint  Athanase, 
IV,  151.] 

CHRONIQUE  de  saint  Jérôme,  VU,  645, 
646. 

CHRONIQUE  de  saint  Prosper,  X,  312, 
313,  défigurée  par  un  ennemi  de  saint  Au- 
gustin, 313.  Éditions  qu'on  en  a  faites,  313 
et  319. 

CHRONIQUE  d'Idace  ;  continuation  de  celle 
de  saint  Jérôme,  X,  342.  Édition  de  cette 
Chronique,  342  et343.  [Autres  édilions,  343.] 
[CHRONIQUE  placée  à  la  suite  de  l'His- 
toire de  Victor  de  Vite,  X,  465. 

CHRONIQUE  de  Josué  Stylite,  X,  583  et 
suiv., 

CHRONIQUE  du  comte  IMarcellin,  XI,  98, 
99.  [Éditions  qu'on  en  a  faites.] 

CHRONIQUE  d'Alexandrie.  Elle  est  en 
partie  l'ouvrage  d'un  arien,  V,  7,  et  XI,  746, 
747,  Éditions  qu'on  en  a  faites,  747.  [Autres 
éditions,  747.]  Cosme  d'Egypte  n'en  est  pas 
l'auteur,  comme  le  prétend  Léon  Allatius, 
191.  Voyez  Chronique  pascale  plus  loin. 

CHRONIQUE  de  Cassiodore,  XI,  221,  222. 
Editions  qu'on  en  a  faites,  254. 

CHRONIQUE  attribuée  à  Dacius,  évêque 
de  Milan,  XI,  264. 

CHRONIQUE  de  Victor  de  Tunones  ;  édi- 
tions qu'en  en  a  données,  XI,  302. 

CHRONIQUE  d'Édesse  par  un  auteur  in- 
connu ;  ce  qu'elle  contient  de  remarquable, 
XI,  342,  343. 

CHRONIQUE  anonyme  qu'on  croit  avoir 
été  écrite  vers  le  commencement  du  vi°  siè- 
cle ;  ce  qu'elle  contient  de  remarquable,  XI, 
343,  344. 

CHRONIQUE  de  Marius,  évêque  d'Avan- 
ches,  en  Suisse,  XI,  399,  400. 

CHRONIQUE  de  Jean  ,  abbé  de  Biclar, 
puis  évêque  de  Girone,  XI,  425,  426. 

CHRONIQUE  générale  de  saint  Isidore  de 
Séville,  XI,  714,  713, 


m  siècle. 


III  siècle. 


iVsièclg 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


209 


CHRONIQUE  particulière  des  Goths,  des 
Vandales  des  Suèves,  du  même  auteur, 
XI,  713. 
î  siècle.  CHRONIQUE  de  Frédégaire,  XI,  744  et 
suiv.  Ses  quatre  continuateurs  anonymes  ; 
éditioDS  qu'on  en  a  faites,  746.  [Autres  édi- 
tions et  traductions,  746.] 

CHRONIQUE  PASCALE.  Pourquoi  elle 
porte  quelquefois  le  titre  de  Chronique  d'A- 
lexandrie, XI,  746,  Différentes  éditions  qu'on 
en  a  faites,  746,  747.  [Autres  éditions,  747. 
Jugement  sur  cette  Chronique,  747,  note  2.] 

CHRONIQUE  de  Ternace,  évêque  de  Be- 
sançon, XI,  781. 

[CHRONIQUE  de  Denis  de  Telméra,  XI, 
813.] 

[CHRONIQUE  ancienne  publiée  par  Mai, 
Xn,  19.] 
siècle.        CHRONIQUE  de  Fontenelle,  XII,  334,  335. 
Autre  du  même  monastère,  333, 

CHRONIQUE  abrégée  d'Eginhard.  Ce  que 
c'est,  XII,  357. 

CHRONIQUE  de  Fréculphe,  XH.  418et419. 

CHRONIQUE  attribuée  à  saint  Méthodius, 
patriarche  de  Constantinople,  XII,  425. 

[CHRONIQUE  de  Jean  le  Sicilien,  XII,  553.] 

CHRONIQUE  d'Adon,  archevêque  de 
Vienne,  XII,  621,  622.  L'addition  qu'on  y  a 
faite  est  très-ancienne  ;  éditions  de  cette 
Chronique,  621. 

[CHRONIQUE  d'André  de  Bergame,  XII, 
693.] 

[CHRONIQUE  de  Pierre  le  Bibliothécaire, 
XH,  693.] 

[CHRONIQUE  anonyme  où  l'on  trouve  les 
vies  de  quelques  papes,  XII,  717.] 

CHRONIQUE  de  Réginon,  abbé  de  Prum. 
On  ignore  quel  était  l'Adalbéron  à  qui  elle 
est  dédiée,  XII,  769.  Analyse  de  cette  chro- 
nique, 769  et  770.  Éditions  qu'on  en  a  faites, 
770,  771.  [Autres  éditions,  771.]  Voyez  sa 
Contitnuation  plus  loin. 

CHRONIQUE  d'Echempert,  moine  du 
Mont-Cassin,  XH,  779,  780. 

CHRONIQUE  de  Saint-Néot,  appelée  ainsi 
parce  qu'elle  a  été  trouvée  dans  le  monas- 
tère de  ce  nom,  XII,  782,  783.  On  l'attribue 
à  Asser,  782. 

CHRONIQUE    de    saint    Ratbod,    évèque 

d'Utrecht.  Il  en  reste  un  fragment,  XII,  783. 

siècle.         CHRONIQUE  anonyme  de  S.  Gai,  XII,  794, 

CHRONIQUE  de  Jean  d'Antioche,  sur- 
nommé Malélas  ;  éditions  qu'on  en  a  faites, 
[éditions  plus  récentes,]  XII,  796. 

CHRONIQUE  attribuée  à  saint  Odon,  abbé 

TAB.    I. 


de  Cluny .  Elle  est  de  Thomas  Coches,  XII,  810. 

CHRONIQUE  de  Frodoard,  chanoine  de 
Reims.  Raisons  qui  prouvent  qu'elle  est  vé- 
ritablement de  lui,  XH,  843,  844.  Idée  de 
cette  Chronique  ;  éditions  qu'on  en  a  faites, 
844.  [Autres  éditions,  844.]  Cette  Chronique 
continuée  par  un  anonyme,  844. 

CHRONIQUE  d'Adalbert,  écolâtre  de  Saint- 
Vincent  de  Metz,  XII,  862. 

CHRONIQUE  attribuée  àLuitprand,  évèque 
de  Crémone,  et  qui  n'est  pas  de  lui,  XII,  873. 

CHRONIQUE  de  Réginon,  continuée  par 
Romérius,  XH,  878. 

CHRONIQUE  d'York,  XH,  891.  xsiède. 

CHRONIQUE  d'Augoulême,  XH,  892. 

CHRONIQUE  de  Reims,  XII,  893.  X siècie. 

CHRONIQUE  d'Ethelwerd,  XIH,  43,  44. 

CHRONIQUE  d'HippoIytele  Thébain,  XIH, 
44,  43. 

CHRONIQUE  de  Dilmar,  évêque  de  Mers-     xisiède. 
bourg.  Analyse  de  cette  Chronique,  XIII,  62 
et  suiv.    Différentes    éditions  qu'on   en   a 
faites,  64,  63.  Jugement  porté  sur  elle,  63. 

CHRONIQUE   anonyme  de   Saxe  ou  de     xisiède. 
Quedhmbourg,   XIH,   65,   66.   [Éditions  de 
cette  Chronique,  66.] 

CHRONIQUE  d'Adémar  de  Chabanais, 
moine  de  Saint-Cybard  d'Angoulême,  XIII, 
102,  103. 

CHRONIQUE  de  Mouson.  Sa  continuation, 
XIII,  HO. 

CHRONIQUE  d'Odoranne,  XIH,  113. 

[CHRONIQUES  de  Reichenau  ;  il  y  en  a     xi  siède, 
deux,  Xm,  129,  n.  3.] 

[CHRONIQUE  des  évêques  de  Metz  par  un    xil  siéde. 
anonyme,  XIII,  153.] 

CHRONIQUE  de  Tours,  XIH,  173. 

CHRONIQUE  de  Saint-Bénigne  de  Dijon, 
écrite  dans  le  xi"  siècle  par  un  auteur  ano- 
nyme, XIII,  178,  179.  [Elle  est  reproduite 
dans  la  Patrologie,  179.] 

CHRONIQUE  d'Hermann  Contracte,  moine 
de  Reichenau.  Différentes  éditions  qu'on  en 
adonnées,  XIII,  182, 183.  Continuation  qu'on 
en  a  faite  ;  notice  sur  cette  Chronique,  183. 

CHRONIQUE  des  papes  saxons.  Compila-     xi  siède. 
tion;  éditions  de  cette  Chronique,  XIII,  184. 

CHRONIQUE  de  Saxe,  où  sont  rapportées     xi  siède. 
les  fondations  des  principales  églises  d'Alle- 
magne, depuis  le  règne  de  Cbarlemagne  jus- 
qu'à celui  d'Othon  P%  X  IH,  184,  185. 

CHRONIQUE  de  Toul,  XHI,  185,  186. 

CHRONIQUE  d'Ebers-Munster,  XIH,  186.     xisiède. 

CHRONIQUE  de  Silhieu,  ou  de  Saint-Ber- 
tin,  XIII,  186. 

■  14 


210 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


XI  siècle. 


XI  stècle. 


XII  siècle. 


CHRONIQUE  de  Waste  ou  Watte  (ou  Wat- 
ton,  ou  Guastines),  écriteparEbrard,  moine 
de  ce  monastère,  XIII,  186,  187  et  467. 

[CHRONIQUE  de  Benoît,  moine  de  Saint- 
André  de  Soracte,  XIII,  187.] 

[CHRONIQUE  de  Roricon,  XUI,  187,  188.] 
[CHRONIQUE  de  Jean,  diacre  de  Venise, 
XIII,  188.1 

[CHRONIQUE    de    Rainaud,    archidiacre 
d'Outremaine,  au  diocèse  d'Angers,  XIII,  327. 
CHRONIQUES  angevines  ou  d'Anjou,  XIII, 
327,  328. 

CHRONIQUE  de  Sulcard,  moine  de  West- 
minster, XIII,  344. 

CHRONIQUE  de  l'abbaye  de  Hasnon,  au 
diocèse  d'Arras,  par  le  moine  Tliomel,  XllI, 
186  et  343. 

CHRONIQUE  de  Lambert  de  Schafna- 
bourg,  Xin,  400. 

CHRONIQUE  de  Marien  Scot,  XIII,  401. 
Abrégé  de  la  même,  486,  487. 

CHRONIQUE  de  Berthold,  prêtre  de  Cons- 
tance, XUI,  403. 
CHRONIQUE  du  Bec,  XHI,  458,  439. 
CHRONIQUE  de  l'abbaye  de  Vassor,  XIII, 
466. 

CHRONIQUE  de  Cambrai,  par  Baudry 
chantre  de  l'Église  de  Thérouaime,  XIII,  481^ 
482. 

[CHRONIQUEdes  Églises  de  Thérouanne  et 
d'Amiens  écrite  par  Baudry,  chantre  de 
Thérouanne,  Xliï,  482,  483.] 

[CHRONIQUE  des  rois  d'Italie,  XHI,  507.] 
CHRONIQUE  du  Mont-Cassin,  XHI,  [498]  et 
507. 

CHRONIQUE  de  LoupProtospataire,  XIII, 
507. 

[CHRONIQUE  de  Falcon-,  XHI,  52S.] 
CHRONIQUE  de  la  Terre -Sainte  écrite 
par  Radulphe,  abbé  de  Coggeshale,  XIII, 
342,  543. 

CHRONIQUE  anglaise  par  le  même,  XIII, 
543, 

[CHRONIQUE    universelle    d'Ekkehard; 

éditions  récentes,  XHI,  542,  et XIV,  405, 406.] 

CHRONIQUE  d'Otton,  évêque  de  Frinsin- 

gue,  XIII,  543,  544;  continuée  par  Othon, 

abbé  de  Saint-Biaise,  544. 

[CHRONIQUE  de  Wurtzbourg  ;  éditions 
récentes,  XHI,  542.J 

CHRONIQUE  d'Helmold,  prêtre  de  Bo- 
soau,  continuée  par  Arnold  et  ensuite  par 
un  anonyme,  XIII,  545. 

CHRONIQUE  attribuée  au  moine  Gosce- 
lin,  XIII,  550. 


CHRONIQUEdeGeorgesCédrène,Xm,560. 
CHRONIQUE  de  Jean  Scyhtz,  XHI,  560. 
CHRONIQUE  des  papes  par  Bonison,  évê- 
que de  Sutri  ;  usage  qu'en  a  fait  le  P.  Pagi  ; 
Martin  le  Polonais  en  avait  fait  aussi  grand 
usage,  XIII,  563. 

CHRONIQUE  de   Sigebert    de  Gemblou, 
XIV,  60,  61.  Éditions  qu'on  en  a  faites,  61. 
CHRONIQUE  de  l'abbaye   de  Gemblou, 
XIV,  63. 

CHRONIQUE  de  Verdun.  Titrequ'on  donne 
ordinairement  à  la  Chronique  d'Hugues  de 
Flagny,  XIV,  82. 

CHRONIQUE  d'Hugues,  abbé  de  Flavigny, 
XIV,  81,  82.  Utilité  de  cette  Chronique,  82. 
On  l'a  attribuée,  à  tort,  à  Yves  de  Chartres, 
124. 

CHRONIQUE  des  rois  de  Fiance  attribuée 
à  Yves  de  Chartres,  XIV,  124.  [Editions  de 
cette  Chronique  ;  ime  partie  est  traduite  en 
français,  124.] 

CHRONIQUE  de  Bohême,  par  Cosme, 
doyen  de  Prague,  XIV,  173,  174.  [Editions 
de  cette  Chronique,  174.] 

[CHRONIQUE  du  monastère  de  Bèze  par 
Jean,  moine  de  Bèze  ;  sa  continuation,  XIV, 
186.] 

[CHRONIQUE  d'Afittighem  par  un  ano- 
nyme, XIV,  192.] 

[CHRONIQUE  (Petite)  du  monastère  d'Ou- 
dembourg,  XlV,  243,  n.  8.  Autre  Chronique 
du  même  monastère,  243.] 

[CHRONIQUE  (Grande)  du  monastère 
d'Oudembourg,  XIV,  234,  n.  8.] 

CHRONIQUE  de  Saint-Riquier,  continuée 
par  Hariulfe,  XIV,  234. 

CHRONIQUE  de  Saint-Pierre  le  Vif,  par 
Clarius,  XIV,  237,  238. 

CHRONIQUE  de  Saint-Trond  par  l'abbé 
Rodulphe,  XlV,  239,  240.  [Mérite  de  l'édi- 
tion de  Kœpke  ;  continuation  de  cette  Chro- 
nique, 239,  n.  6.] 

CHRONIQUE  des   Gaules  depuis  Phara- 

mond  jusqu'à  Philippe  I".  Ouvrage  d'Hugues 

de  Sainte-Marie,  moine  de  Fleury,  XIV,  243. 

CHRONIQUE  de  Florent  Bravon,  moine 

de  Worchester,  XIV,  245. 

CHRONIQUE  des  papes  et  des  empereurs 
par  Hugues  de  Saint- Victor,  XlV,  361. 

CHRONIQUE  des  évêques  d'Hildesheim 
attribuée  à  Eccard  [ou  Ekkehard,]  abbé  de 
Saint-Laurent  d'Uragen,  XlV,  403. 

CHRONIQUE  du  Mont-Cassin,  commencée 
par  Léon  d'Ostie,  et  continuée  par  Pierre 
Diacre,  XIV,  582.  Preuves  que  cette  conli- 


XI  sied 


XII  stèâ 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


241 


nuation  est  véritablement  de  lui  ;  éditions 
qu'on  en  a  faites,  583. 

[CHRONIQUE  des  comtes  de  Nevers  par 
Hugues  de  Poitiers.  Précis  de  cet  ouvrage, 
XIV,  693,  694.] 

CHRONIQUE  de  Constantin  Manassès, 
XIV,  643. 

CHRONIQUE  attribuée  à  l'abbé  Joachim, 
XIV,  830. 

[  CHRONIQUE  universelle  d'Hélinand , 
moine  de  Froidmont;  on  n'en  a  que  la  der- 
nière partie.  Jugement  sur  cette  Chronique, 
XIV,  898.] 

[CHRONIQUE  universelle  de  Siccard,  évê- 
que  de  Crémone  ;  Muratori  n'a  publié  que 
la  deuxième  partie,  qui  va  de  Jules  César  à 
l'an  1213.  Ce  que  l'auteur  dit  des  croisades, 
899  et  suiv.  Reproduction  de  l'édition  de 
Muratori  dans  la  Patrologie,  902.] 

CURONOGRAPHIE  de  Georges  Syncelle, 
XII,   156.   Editions  de    cet    ouvrage,   156. 

—  Clironograpliie  de  Théophane,  XII,  156. 

—  Chronographie  de  Nicéphore ,  patriar- 
che de  Constantinople,  XII,  281,282.  Rai- 
sons qui  prouvent  qu'il  en  est  l'auteur. 
Éditions  qu'on  en  a  faites,  282.  —  Chrono- 
graphie tripartite.  Ouvrage  d'Anastase  le 
Bibliothécaire,  qui  a  réuni  les  trois  précé- 
dentes, Xll,  714.  —  Chronographie  de  Jean 
Mauropus,  métropolitain  d'Euchanie.  On  ne 
sait  ce  qu'elle  est  devenue,  XIII,  229. 

CHRONOLOGIES.  Celle  qu'Eusèbe  a  sui- 
vie est  diiïérente  de  celle  des  Hébreux,  III, 
181.  [Chronologie  du  peuple  hébreu  d'après 
Eusèbe  ;  des  autres  peuples,  182.]  —  Fautes 
de  chronologie  dans  le  catalogue  des  héré- 
sies par  saint  Philastre,  V,  174.  —  On  pré- 
tend que  saint  Chrysostôme  n'était  pas  fort 
exact  en  chronologie,  VII,  112.  —  Chrono- 
logie attribuée  à  saint  Cyrille  de  Jérusalem, 

V,  61.  —  Chronologie  selon  l'hébreu,  attri- 
buée à  Claude  de  Turin,  XH,  351,  352.  — 
Chronologie  d'Arnoul,  moiue  de  Saint-An- 
dré d'Avignon,  XIII,  75.  —  [Chronologie 
(Petite)  par  Honoré  d'Autun,  XIV,  298.]  — 
[Chronologie  des  rois  de  Juda  et  d'Israël 
conciliée  par  Richard,  prieur  de  Saint-Vic- 
tor, XIV,  701.] 

CHRONOPE,  évéque  déposé,  à  l'occasion 
duquel  Valentinien  I"  fit  une  loi,  IV,  600  et 

VI,  356. 

CHRYSANTHE  et  DARIE,  martyrs.  Trans- 
lation de  leurs  reliques  à  l'abbaye  de  Prum, 
XII,  598.  Histoire  de  cette  translation  attri- 
buée à  Waadalbert,  599. 


CHRYSANTHE,  recherché  par  les  Nova- 
tiens  qui  veulent  l'ordonner  évéque  de  leur 
secte,  IV,  658. 

[CHRYSANTE,  rhéteur.  Poëme  à  sa 
louange  attribué  à  saint  Damase,  V,  673.] 

CHYSAPHIUS,  ministre  de  l'empereur 
Théodose  le  Jeune,  engage  l'impératrice 
Eudoxie  dans  le  parti  d'Eutychès,  VIII,  475, 
et  X,  75.  —  Sa  disgrâce  et  sa  mort,  X,  75. 
Protecteur  d'Eutychès  auprès  de  Tliéodose 
le  Jeune,  210.  On  croit  que  ce  fut  lui  qui 
obtint  la  convocation  du  faux  concile  d'B- 
phèse,  675. 

CHRYSARGYRE.  Impôt  sur  les  personnes 
de  basse  condition,  XI,  418. 

CHRYSEROTE,  sophiste  à  qui  saint  Nil 
écrit,  Vlli,  217. 

CHRYSOBERGE  (Luc),  patriarche  de 
Constantinople.  Voyez  Luc  Chrysoberge. 

CHRYSOCHÉRIS,  chef  des  Manichéens 
d'Arménie,  XII,  622, 

CHRYSOGONE  à  qui  saint  Jérôme  écri  376. 

une  lettre,  VH,  582. 

GHRYSOLAN  (Pierre).  V.  Pierre Chrysolan. 

CHRYSOLOGUB.  Voyez  Saint  Pierre  Cliry- 
sologue. 

CHRYSOMALE  (Constantin).  Voyez  Cons- 
tantin Chrysomale. 

CHRYSOPHORE,  fille  chrétienne  à  qui  saint     „  ^lède. 
Denys  deCormthe  adresse  une  lettre,  I,  461. 

CHRYSORÈTE,  grand  chambellan  de 
l'empereur  Théodose  le  Jeune,  Vliï,  115,294. 

CHRYSOSTOME.  V.  Saint  Jean  Chrysostôme. 

CHUNON,  abbé  de  Sibourg,  puis  évéque 
de  Ratisbonne.  Voyez  Cunon. 

CHUNON  ou  CONRAD,  abbé  de  Moury,  en 
Suisse.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa 
vie  avant  qu'il  fut  abbé  ;  il  succède  à  l'abbé 
Ronzelin;  il  obtient  du  pape  Adrien  IV  une 
bulle  qui  lui  permet  de  célébrer  l'office  di- 
vin pendant  l'interdit  jeté  sur  le  pays  ;  au- 
tre bulle  confirmative  de  tous  les  droits  et 
privilèges  de  son  monastère;  il  se  démet  de 
son  gouvernement  ;  sa  mort,  XIV,  539.  Ses 
actes  de  l'abbaye  de  Moury  ;  ce  qu'ils  con- 
tiennent de  remarquable,  539  et  540.  Les  , 
actes  et  la  généalogie  de  la  maison  de  Habs- 
bourg, ne  sont  ni  du  même  auteur  ni  du 
même  temps,  540.  Chronique  du  monastère 
de  Burglen,  autre  ouvrage  de  l'abbé  Chu- 
non,  541.  Voyez  Moury  et  Habsbourg. 

CHYPRE.  Concile  qui  y  fut  tenu  contre      y.  400. 
les  livres  d'Origène,  VII,  737.  —  L'église  de 
Chypre    déclarée    indépendante    de    celle        431. 
d'Antioche,  VlII,  590. 


1145. 


H59. 
H66. 
H88. 


212 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


CIACONIUS  (Pierre),  prêtre  espagnol- Son 
édition  de  la  règle  de  saint  Pacôme,  III,  368. 

—  el  des  œuvres  de  Cassien,  VIII,  204. 
[CIBARIA.  Ce  qu'on  entend  par  ce  mot, 

XII,  108,  n.  2.] 

CICÉRON,  orateur  et  philosophe  païen. 
Julien  le  cite.  Ce  que  répond  sur  ce  point 
saint  Augustin,  IX,  501.  Ce  que  saint  Au- 
gustin pensait  de  son  éloquence,  596.  Saint 
Augustin  parle  du  mépris  de  Cicéron  pour 
les  augures,  793.  —  Écrits  de  Boëce  sur  les 
Topiques  de  Cicéron,  X,  664. 

IV  siècle.  CIEL.  [Témoignage  d'Origène  sur  le  ciel, 
II,  157.  —  Témoignage  d'Eusèbe  de  Césa- 
rée,  III,  226.]  —  Discours  de  saint  Ephrem 
sur  les  difiërentes  demeures  du  ciel;  autre 
discours  de  saint  Ephrem  sur  la  demeure 
des  bienheureux,  VI,  10.  [Bonheur  et  récom- 
pense du  ciel  d'après  saint  Ephem,  495.]  — 
Saint  Augustin  remarque  que  les  ignorants 
ravissent  le  ciel,  tandis  que  les  savants  enflés 
de  leur  science  en  négligent  la  voie,  IX,  7. 
Quel  est  le  ciel  que  Dieu  créa  au  commen- 
cement, 35.  Voyez  Cieux. 

III  siècle,  CIERGES  et  torches  à  l'enterrement  de 
saint  Cj'prien,  II,  267.  Cierges  allumés  pour 
l'enterrement  des  martyrs,  379.  Cierges  al- 
lumés dans  les  assemblées  nocturnes  des 
chrétiens,  424.  Cierges  et  parfums  à  la  ré- 
ception des  reliques  de  saint  Boniface,  477. 

—  Cierges  allumés  dans  les  temples  des 
faux  dieux,  III,  88.  —  Cierges  dans  les  égli- 
ses sur  des  chandeliers  attachés  aux  mu- 
railles, IV,  217.  —  Cierges  portés  aux  fu- 
nérailles des  fidèles,  V,  205.  —  Témoignage 
de  saint  Jérôme  sur  l'usage  des  cierges,  VII, 
607,  608,  687  et  697;  -  de  saint  Paulin, 
VIII,  94;  —  et  du  moine  Béatus  sur  les 
cierges  allumés  devant  le  livre  des  Évan- 
giles, XII,  216. 

CIERGE  PASCAL.  Bénédiction  de  ce 
cierge  sous  le  pape  Zosime,  VII,  540.  Traité 
attribué  à  saint  Jérôme  sur  le  cierge  pascal, 
647.  —  Hymne  de  Prudence  pour  le  temps 
où  l'on  allumait  le  cierge  pascal,  VJII,  101. 
—  [Sermon  de  saint  Augustin  sur  le  cierge 
pascal,  IX,  828,  829.]  —  Ce  qu'on  deman- 
dait à  Dieu  dans  la  bénédiction  de  ce  cierge, 
X,  576.  —  Prières  que  l'archevêque  de  Ra- 
venne  récitait  en  le  bénissant,  XI,  522,  — 
Canon  du  quatrième  concile  de  Tolède  sur 
la  bénédiction  du  cierge  pascal,  XII,  917. 

CIEUX  distingués  par  Clément  d'Alexan- 
drie, I,  596.  —  Saint  Jean  Chrysoslôme 
combat  la  pluralité  des  cieux,  Vil,  145, 


CILICE  en  usage  parmi  les  moines,  IV,  539. 
CILICIE,  province  d'Asie.  Lettre  de  Théo- 
doret  aux  évoques  des  deux  Cilicies,  X,  70. 
CILINIE  (Sainte),  mère  de  saint  Rémi, 
évêque  de  Reims,  XI,  76.  —  Sa  Vie  attribuée 
à  Hucbald,  moine  de  Saint- Amand.  Ce  qu'on 
en  sait,  XH,  801. 

CIMETIÈRES.  Lieux  d'assemblées  des 
chrétiens  qui  leur  sont  interdits  par  Valé- 
rien,  III,  399.  Canons  trente-quatrième  et 
trente-cinquième  du  concile  d'Elvire,  608. 
Cimetières  des  hérétiques,  III,  510.  —  Té- 
moignages de  saint  Athanase,  IV,  218;  — 
de  saint  Optât,  V,  139;  —  de  saint  Ephrem, 
VI,  68.  —  Homéhe  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme  sur  la  croix  et  le  cimetière,  VU,  82. — 
Au  temps  de  saint  Grégoire  de  Tours,  la  bé- 
nédiction des  cimetières  était  réservée  aux 
évoques,  XI,  317.  —Témoignage  de  Robert 
Pullus  sur  la  sépulture  des  enfants  morts 
sans  baptême,  XIV,  393.  Règlement  de  Guil- 
laume, archevêque  d'York,  concernant  la 
coupe  des  arbres  et  des  herbes  dans  les 
cimetières,  1124. 

CIMIEZ,  nom  moderne  de  l'ancienne  ville 
de  Cémèle,  X,  154.  Voyez  Cémèle. 

CINNAM  (Jean),  grammairien.  Voyez 
Jean  Cinnam, 

CINTHILA,  roi  des  Goths  en  Espagne, 
succède  à  Sisenand,  son  frère  ;  il  assiste  au 
cinquième  coucile  de  Tolède  dont  il  con- 
firme les  canons;  il  convoque  le  sixième 
concile  de  Tolède,  XII,  919. 

CINTHIUS,  préfet  de  Rome.  Lettres  que 
lui  écrit  saint  Pierre  Damienpour  le  féliciter 
de  ce  qu'il  s'acquittait  de  sa  charge  avec 
honneur  ;  il  harangue  le  peuple  dans  l'é- 
ghse,  XllI,  307. 

CIRCATEURS.  Leur  office  dans  l'ordre 
de  saint  Benoit,  XIII,  450. 

CIRCINE,  lie  d'Afrique,  en  laquelle  saint 
Fulgence,  évêque  de  Ruspe,  bâtit  un  mo- 
nastère, XI,  9. 

CIRCONCELLIONS,  secte  de  donatistes. 
Leurs  cruautés  au  rapport  de  saint  Optât, 
V,  117.  — Leur  irruption  dans  l'éghsed'Hip- 
pone,  IX,  75.  Leurs  cruautés,  95  et  120. 

CIRCONCISION.  Doctrine  de  saint  Justin, 
I,  441  ;  de  saint  Irénée,  528;  —  de  Tertul- 
hen,  II,  75.  Traité  de  Novatien  sur  la  cir- 
concision, 427.  —  Témoignage  d'Eusèbe  de 
Césarée,  III,  294.  —  Traité  des  sabbats  et 
de  la  circoncision,  attribué  à  saint  Atha- 
nase, IV,  176.  Témoignage  de  saint  Basile, 
518.  —  Témoiguage  de  saint  Optât,  V,  133. 


III  sli 


636 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


213 


Homélie  attribuée  à  saint  Amphiloque  sur  la 
circoncision  de  Jésus-Christ,  369.  —  Doc- 
trine de  saint  Grégoire  de  Nysse  sur  la  cir- 
concision, VI,  240.  Doctrine  de  saint  Epi- 
phane,  430;  —  de  saint  Jean  Chrysostôme, 
VII,  273  et  274.  Traité  de  la  vraie  circonci- 
sion faussement  attribué  à  saint  Jérôme, 
647.  Doclriue  de  saint  Jérôme,  669.  —  La 
fête  de  la  circoncision  de  Jésus-Christ  n'était 
point  encore  établie  du  temps  de  saint  Pau- 
lin, 'VIII,  89.  [Homélie  de  saint  Procle  sur  la 
circoncision,  415.]  —  Doctrine  de  saint  Au- 
gustin, IX,  313,  470,  655,  739.  [Taité  de 
saint  Augustin  sur  la  circoncision  de  Notre 
Seigneur,  834.  Sermon  sur  la  circoncision 
faussementattribué  àsaint  Augustin, 836.  Ser- 
mon du  même  sur  lacirconcision,  841;] — Doc- 
trine de  ïhéodoret,  X,  122  et  123.  —  Homélie 
de  saint  Maxime  de  Turin  pour  le  jour  de  la 
circoncision,  320.  —  Sermon  de  saint  Ful- 
gence  de  Ruspe,  XI,  73.  Doctrine  du  pape 
saint  Grégoire,  365.  —  Discours  sur  la  cir- 
concision attribué  à  André  de  Crète,  XII, 
58.  Doctrine  de  saint  Jean  Damascène,  93. 
Sentiment  de  Photius,  729  et  730.  —  Dis- 
cours d'Yves  de  Chartres,  XIV,  122.  Sermon 
du  Vénérable  Hildebert,  214;  d'Abaillard, 
331.  Doctrine  de  Robert  Pulltis,  393.  Trois 
sermons  de  saint  Bernard  sur  la  circonci- 
sion de  Notre-Seigneur,  484.  Sentiment  de 
saint  Bernard  sur  la  circoncision,  486.  Plu- 
sieurs lettres  des  évéques  de  Paris  pour  l'a- 
bolition de  la  fête  des  fous,  et  le  rétablisse- 
ment de  la  fêle  de  la  circoncision  au  premier 
de  janvier,  784.  Sermon  de  Guillaume  d'Au- 
vergne, 1026. 

CIRCULATION  DU  SANG  connue  du 
temps  de  saint  Ambroise,  V,  401. 

CIRIN,  évêque  de  Frisingue.  Voyez  Ari- 
bon  Cyrinus. 

CIRQUE.  Canon  soixante-deuxième  du 
concile  d'Elvire,  II,  612.  Canon  quatrième 
du  concile  d'Arles,  630.  —  Discours  de  saint 
Jean  Chrysostôme  contre  les  jeux  du  cirque, 
VII,  57.  Homélie  sur  ce  sujet  attribuée  à 
saint  Jean  Chrysostôme  ou  à  Sévérien,  évê- 
que de  Gabales,  237.  Voyez  Spectacles. 

CIRTHE,  capitale  de  Numidie,  [la  même 
ville  que  Constantine,  II,  392.]  Concile  qui 
y  fut  tenu,  619,  620.  —  Constantin  la  réta- 
blit et  la  nomme  Constantine,  111,  136.  — 
Lettre  de  saint  Augustin  aux  habitants  de 
Cirthe,  IX,  127,  128.  —  Concile  qui  y  fut 
tenu,  VIII,  346.  Lettre  synodale  de  ce  con- 
cile, 347,  348. 


CISOIN,  abbaye  en  Flandre,  fondée  par     ix  siècle. 
Eberard,  comte  de  Frioul,  XII,  613. 

CITÉ  DE  DIEU.  Vingt-deux  livres  de  la  De  «3  à  427. 
Cité  de  Dieu,  ouvrage  de  saint  Augustin, 
IX,  288  et  suiv.  Dans  les  dix  premiers,  saint 
Augustin  réfute  les  sentiments  des  païens, 
290  et  suiv.  Dans  les  douze  derniers,  il  ex- 
pose les  sentiments  de  l'Église  sur  l'origine, 
les  progrès  et  la  fin  de  la  Cité  de  Dieu  et  du 
monde,  303  et  suiv.  —  [Cité  de  Dieu,  ou- 
vrage d'Henri,  cardinal  d'Albane,  sur  TÉ- 
giise,  XIV,  800,  801.] 

CITEAUX,  abbaye  en  Bourgogne.  Fonda-  v.  loso. 
tion  de  ce  monastère  par  saint  Robert,  abbé 
de  Molesme,  Xlll,  393.  Albéric  en  estle  pre- 
mier abbé  ;  bulle  du  pape  Pascal  II,  en  fa- 
veur de  Cîteaux,  394.  —  Le  Petit  Commen- 
cement de  Tordre  de  Cîteaux ,  ouvrage 
d'Etienne  Harding,  XIV,  231.  Le  pape  Eu- 
gène m  assiste  au  chapitre  général,  271.  [Il 
confirme  les  constitutions  de  Citeaux,  279.] 
Différend  des  moines  de  Cîteaux  avec  ceux 
de  Cluny  ;  apologie  de  saint  Bernard,  470 
et  suiv.,  506,  507.  Lettre  de  sainte  Hilde- 
garde  aux  moines  de  Citeaux,  594.  Bulle  du 
pape  Alexandre  III  qui  confirme  les  statuts 
et  les  privilèges  de  l'ordre  de  Cîteaux,  925. 
Premier  chapitre  général  tenu  à  Citeaux,  xii  siècle. 
1088.  Lettre  du  pape  Callixte  H  qui  confirme 
les  statuts  de  l'ordre  de  Citeaux,  1097. 

CITHARISTE,  paroisse  d'Arles,  VU,  529. 

CITTA,  bourg  du  diocèse  de  Cyr,  X,  20. 

CITZMAN  (...).  Ses  notes  sur  quelques 
ouvrages  de  Boëce,  X,  665. 

CLAIR  (Saint),  disciple  de  saint  Martin, 

vm,  111. 

CLAIRVAUX,  monastère  de  l'ordre  de 
Cîteaux,  établi  en  Champagne  par  saint  Ber- 
nard, XIV,  418.  L'augmentation  du  nombre 
des  religieux  oblige  le  saint  abbé  de  rebâtir 
le  monastère  dans  un  lieu  plus  étendu  et 
plus  commode,  421.  Privilège  accordé  au 
monastère  de  Clairvaux  par  le  pape  Inno- 
cent II,  455. 

CLAIRVAUX,  monastère  de  l'ordre  de  Ci- 
teaux, à  deux  milles  de  Milan;  sa  fondation,        usa. 
XIV,  436. 

CLAPHIUS,  fait  bâtir  une  église  dont 
saint  Sidoine  Apollinaire  fait  la  dédicace,  X, 
388. 

CLAREMBAUD,  archidiacre  de  l'Église 
d'Arras,  auteur  d'un  commentaire  sur  le 
traité  de  Boëce  touchant  la  Trinité.  (Voyez 
ce  qui  en  est  dit  dans  V Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  XII,  p.  443.) 


1U5 


H35. 


214 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


II  siècle. 
190. 
597. 


IV  ou 
V  siècle. 


CLARENDON,  ville  d'Angleterre.  Concile 
quiy  fut  tenu,  XIV,  H30. 

CLARIUS,  moine  d'abord  à  Fleary,  puis 
à  Saint-Pierre-le-Vif,  à  Sens,  XIV,  237,  as- 
1120.  si.ste  au  concile  de  Beauvais,  à  la  place  d'Ar- 
naud son  abbé,  député  par  l'archevêque 
Daïmbert,  238.  Sa  Chronique  de  Saint-Pierre- 
le-Vif,  237,  238.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  X,  p.  501 
et  suiv.) 

[CLARKE.  Sa  traduction  anglaise  de  l'his- 
torien Josèphe,  I,  329.] 

CLARUS,  évêque  de  Ptolémaïde.  Concile 
de  Césarée  où  il  assiste,  II,  541. 

CLASSE,  monastère  dans  le  voisinage  de 
Ravenne.  Règlement  que  fait  le  pape  saint 
Grégoire  pour  le  défendre  des  entreprises 
des  évèques  de  Ravenne,  XI,  511. 

CLASSICIENj  homme  de  considération. 
Fragment  d'une  lettre  de  Glassicien  à  saint 
Augustin,  IX,  188,  189. 

CLAUDE  I",  empereur,  fait  élever  une 
statue  à  Simon  le  Magicien,  V,  39. 

CLAUDE  APOLLINAIRE  (Saint),  évêque 
d'Hiéraple.  Voyez  Saint  Apollinaire. 

CLAUDE,  médecin,  l'un  des  juges  de  la 
dispute  d'Archélalis  avec  Manès,  II,  455. 

CLAUDE  (Saint),  martyr  à  Egée,  en  Cili- 
285         cie.  Actes  de  son  martyre,  II,  466. 
320.  CLAUDE  (Saint),  mai  tyr,  du  nombre  des 

quarante  martyrs,  III,  83. 

CLAUDE,  évêque  de  Picénum,  IV,  564. 

CLAUDE,  proconsul  d'Afrique,  IV,  600. 
421  CLAUDE,  évêque.  Lettre  que  lui  écrivit 

saint  Augustin,  IX,  171.  Saint  Augustin  lui 
adresse  ses  six  livres  contre  Julien,  484. 

CLAUDE,  père  de  saint  Fulgence,  XI,  1. 

CLAUDE,  élevé  à  la  prêtrise  par  saint 
Rémi,  à  la  prière  de  Clovis,  XI,  80.  L'indul- 
gence de  saint  Rémi  à  son  égard  excite  les 
plaintes  de  plusieurs  autres  évoques  ;  lettre 
que  leur  écrit  saint  Rémi,  81. 
597_  CLAUDE,  abbé  de  Saint-Jean-de-Classe, 

près  Ravenne,  mentionné  dans  une  lettre  de 
saint  Grégoire  à  Jean,  évêque  da  Ravenne, 
XI,  489.  Lettres  du  pape  saint  Grégoire  à 
son  sujet,  505  et  511.  Privilèges  que  saint 
Grégoire  lui  accorde  pour  son  monastère, 
601.  SU.  Sa  mort,  529.  Recueil  de  ses  écrits, 
529,  545  et  suiv.  Il  n'est  pas  auteur  d'un 
commentaire  sur  les  seize  premiers  chapi- 
tres du  premier  livre  des  Rois,  543  et  suiv., 
ni  du  commentaire  sur  le  Cantique  des  Can- 
tiques, 547,  548. 

CLAUDE  à  qui  est  adressée  une  lettre  sur 


la  procession  du  Saint-Esprit;  cette  lettre  ne 
peut  être  de  saint  Isidore  de  Séville,  XI, 
722. 

CLAUDE  II  (Saint),  évêque  de  Besançon,    vu  si] 
qui  vivait  à  la  fin  du  vu'  siècle,  différent  de 
Claude  I"^  qui  vivait  au  commencement  du 
vi'^.  (Voyez  son  article  dans  V Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  III,  p.  649  et  suiv.) 

CLAUDE,  évêque  de  Turin ,  originaire 
d'Espagne,  élevé  sous  la  discipline  de  Félix, 
évêque  d'Urgel;  il  passe  en  France,  et  après 
avoir  été  prêtre  du  palais,  il  est  chargé  du 
soin  de  l'école  établie  par  Charlemagne,  XII, 

350.  Louis  le  Débonnaire  le  fait  évêque  de  i 
Turin,  350  et  351 .  Voulant  réformer  les  abus           S 
qui  s'étaient  introduits   dans  le  culte  des 
images,  il  donne  dans  l'excès  opposé,  et  fait 
abattre  toutes  les  images  et  même  les  croix           ^ 
dans  les  églises  de  sa  dépendance,  325  et           I 

351.  Il  fait  l'apologie  de  sa  conduite;  Dun-  1 
gai,  Théodemir  et  Jouas  le  réfutent  ;  il  ré-  * 
pond  avec  hauteur;  sa  mort,  351.  Ses  com-    Avanta 
mentaires  sur  plusieurs  livres  de  l'Ecriture 
sainte,  351   et  352.  Trithème  l'a  confondu 

avec  Claude  Clément,  352.  [Écrits  de  Claude 
dans  la  Patrologie,  352.]  Ecrits  de  Théode- 
mir contre  lui,  325,  326.  Écrits  de  Dungal, 
reclus,  contre  lui,  326  et  suiv.  ',; 

CLAUDE  (Jean),  ministre  calviniste.  Sa 
doctrine  sur  l'Eucharistie  réfutée,  IX,  755 
et  suiv. 

CLAUDIA,  sœur  de  Sulpice  Sévère.  Let- 
tres qu'il  lui  écrivit,  VIII,  119. 

CLAUDIANISTES,  secte  de  Donatistes,  IV, 
658. 

CLAUDIE  (Sainte),  vierge  et  martyre  à 
Ancyre,  III,  15. 

[CLAUDIEN  (Saint),  de  Corinthe,  martyr, 
II,  464,  465.] 

CLAUDIEN,  prêtre,  légat  du  pape  Sil- 
vestre  au  concile  d'Arles,  il,  629. 

CLAUDIEN  MAMERT.  Voyez  Mamert. 

CLAUDIOPOLIS,  ville  dans  le  Pont,  X, 
679. 

CLAUDIUS-MARIUS  VICTOR  ou  VICTO- 
RIX,  rhéteur  et  poète  de  IMarseille.  Voyez 
Victor  et  Vicforin. 

CLAUSER  (Conrad),  savant  suisse.  Sa  ver- 
sion latine  des  livres  de  saint  Théophile, 
évêque  d'Antioche,  à  Autolyque,  1,  480;  — 
des  œuvres  de  saint  Denis  l'Aréopagite,  X, 
553  ;  —  et  de  Procope  de  Gaze,  XI,  179. 

CLÉDONIUS,  prêtre  d'Icône,  attaché  à 
l'église  de  Nazianze,  signe  le  testament  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  191.  Pre- 


IV 

V  sied 


f 

303, 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


115 


mière  lettre  que  lui  écrivit  ce  saint  contre 
les  Apollinaristes,  243  et  suiv.  Deuxième 
lettre,  246.  Poëme  de  saint  Grégoire  de  Na- 
siècie.  zianze  contenant  un  abrégé  de  ses  deux 
lettres  au  prêtre  Clédonius,  295.  Autres  let- 
tres du  même  saint  à  Clédonius,  2*34.  Ce 
Clédonius  paraît  être  le  même  que  celui  qui 
se  trouve  parmi  les  solitaires  dont  saint  Gré- 
goire de  Nazianze  fait  Téloge,  276. 

[CLEF.  Livre  de  la  Clef  de  Mélilon,  I,  449 
et  suiv.] 

[CLEF  de  la  physique,  ouvrage  d'Honoré 
d'Autun,  XIV,  302.] 

CLEF  miraculeuse  envoyée  par  saint  Gré- 
goire à  Théoctiste,  sœur  de  l'empereur  Mau- 
rice, XI,  509.  —  Pouvoir  des  clefs  de  lier  et 
de  délier,  donné  à  l'Église,  IX,  772  et  suiv. 
Voyez  Pénitence. 

[CLÉMENCET,  bénédictin.  Son  édition 
des  œuvreâ  de  saint  Grégoire  de  Nazianze, 
V,361.] 

CLÉMENT  (Saint),  pape,  disciple  des  apô- 
tres. Histoire  de  sa  vie;  sa  conversion;  il  est 
M.  fait  évêque  ;  il  succède  à  saint  Anaclet,  I,  339. 
100.  Sa  mort,  339  et  340.  Ses  écrits,  340  et  suiv. 
Sa  première  lettre  aux  Corinthiens  ;  il  ré- 
crit au  nom  de  l'Église  romaine  ;  à  quelle 
occasion  et  en  quel  temps  il  écrivit  cette 
lettre,  340.  Analyse  de  ce  qu'elle  contient, 
340  et  suiv.  Deuxième  lettre  ;  elle  est  véri- 
tablement de  saint  Clément  ;  en  quel  temps 
91.  elle  a  été  écrite,  343.  Analyse  de  cette  let- 
tre, 343  et  suiv.  Écrits  faussement  attribués 
à  saint  Clément,  354  et  suiv.  Livres  des  Ré- 
cognitions; ce  que  c'est  que  ces  livres,  354. 
Quelques  anciens  les  ont  attribués  à  saint 
Clément,  mais  à  tort,  354  et  355.  Ils  ont  été 
écrits  vers  le  iii'=  siècle,  355.  [Voyez  la  note 
12.]  Analyse  de  ces  livres,  355  et  356.  Juge- 
ment sur  ces  livres.  Clémentines  faussement 
attribuées  à  saint  Clément,  336.  Autres 
écrits  qui  lui  sont  faussement  attribués,  336 
et  337.  Actes  du  martyre  de  ce  saint,  337  et 
suiv.  Preuves  de  la  fausseté  de  ces  actes  ; 
l'histoire  de  Sisinne  paraît  être  une  fiction  ; 
la  qualité  de  comte  des  offices  donnée  àPu- 
blius  n'était  pas  connue  du  temps  de  saint 
Clément,  357.  Il  ne  pouvait  y  avoir  un  si 
grand  nombre  de  chrétiens  qu'on  le  sup- 
pose, relégués  en  ce  temps  dans  la  Cherso- 
nèse,  357  et  338.  On  ne  peut  supposer  qu'il 
se  bâtit  un  si  grand  nombre  d'églises  dans 
cette  province,  dans  l'espace  d'un  an  ;  le 
président  envoyé  par  Trajan  ne  se  serait 
pas  contenté  de  faire  mourir  saint  Clément, 


pour  venger  l'honneur  des  dieux  ;  la  fon- 
taine miraculeuse  paraît  n'être  qu'une  fa- 
ble, 338.  Le  silence  de  saint  Grégoire  sur 
ces  actes  est  une  preuve  de  leur  fausseté, 
338  et  359.  [Ce  que  le  Bréviaire  romain  nous 
apprend  relativement  à  l'exil  et  au  martyre 
de  saint  Clément,  340,  n.  1,  et  338,  n.  4.] 
Remarques  sur  les  lettres  de  saint  Clément, 
359  et  suiv.  Jugement  sur  la  première,  359. 
Réponses  aux  difficultés  de  Photius  sur  cette 
lettre.  Les  mondes  que  saint  Clément  sup- 
pose au  delà  de  l'Océan  ne  sont  autres  que 
les  antipodes  ;  saint  Clément  n'est  pas  le 
seul  auteur  qui  ait  parlé  du  phénix  comme 
d'un  oiseau  véritable  ;  si  ce  saint  parle  sou- 
vent de  l'humanité  de  Jésus-Chrit,  il  exprime 
sa  divinité  en  termes  formels,  359  et  360.  Ce 
que  l'on  doit  penser  des  endroits  où  saint 
Clément  paraît  s'éloigner  de  ce  qui  est  dit 
dans  l'Écriture  sainte,  360.  Doctrine  de 
saint  Clément  sur  l'Écriture,  la  tradition, 
la  hiérarchie  ecclésiastique,  la  grâce  de  Jé- 
sus-Christ, les  deux  natures  en  sa  personne, 
la  charité,  360  et  361.  Editions  des  lettres 
de  saint  Clément,  361.  Editions  et  traduc- 
tions nouvelles,  361  et  362.  On  lui  a  attribué 
l'Épître  aux  Hébreux,  237.  Liturgie  qu'on  lui 
a  aussi  attribuée,  289.  [Les  deux  épîtres  de 
saint  Clément  sur  la  virginité,  344  et  suiv. 
Découverte  et  publication  de  ces  deux  épî- 
tres ;  différentes  éditions  et  critique  de  ces 
éditions,  344  et  345.  Authenticité  des  deux 
épîtres  sur  la  virginité,  345  et  suiv.  Preuves 
extrinsèques  :  1"  Témoignage  de  saint  Épi- 
phane  ;  objections  et  réponses,  345.  2"  Té- 
moignage de  saint  Jérôme  ;  objections  et 
réponses,  346,  347.  3°  Fragment  de  la  pre- 
mière épître  tirée  d'un  manuscrit  du  vF  siè- 
cle ;  4°  témoignage  de  Mgr  Samihiri,  347. 
Preuves  intrinsèques  :  1°  Preuves  négati- 
ves ;  2°  preuves  positives,  348.  Objections 
et  réponses,  348  et  349.  Analyse  de  la  pre- 
mière épître,  349  et  suiv.  Analyse  de  la 
deuxième,  351.  Importance  de  ces  deux  épî- 
tres pour  l'histoire  du  christianisme  ,  pour 
la  morale  et  le  dogme,  353.  Jugement  sur 
ces  deux  lettres,  333  et  334.]  —  Les  deux 
épîtres  communément  reçues  sous  le  nom 
de  saint  Clément,  sont  mises  au  rang  des 
livres  sacrés  dans  les  Canons  apostoliques, 
II,  387.  C'est  faussement  que  les  Constitu- 
tions apostoliques  sont  attribuées  à  saint  Clé- 
ment, 591.  —  Il  est  cité  par  saint  Cyrille  de 
Jérusalem,  V,  50.  L'Épître  aux  Hébreux  lui 
a  été  attribuée  selon  saint  Philastre,  174.  — 


216 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Décrétales  qui  lui  sont  faussement  attri- 
buées, VI,  78,  79.  —  Œuvres  qui  lui  sont 
attribuées,  traduites  par  Rufin  d'Aquilée, 
VII,  465. —  Lettre  adressée  à  saint  Clément, 
attribuée  à  saint  Denis  TAréopagite,  X,  533. 
—  Lettre  de  Ratramne  sur  ses  écrits,  XII, 
568.  —  [D'après  Bonizon,  saint  Clément  au- 
rait été  le  troisième  pape  après  saint  Pierre, 
XIU,  566.]  Sa  Vie  attribuée  à  Jean,  diacre 
de  l'Église  romaine,  719.  —  [Hymne  en  son 
honneur,  XIV,  23.]  Sermons  de  saint  Ber- 
nard pour  le  jour  de  sa  fête,  484.  [Relation 
sur  l'enlèvement  et  la  translation  du  cbef  de 
saint  Clément,  écrite  par  Rostang,  moine  de 
Cluny,  856.  Le  continuateur  de  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  à  qui  ce  récit  est  em- 
prunté, se  permet  des  rétlexions  contraires 
à  la  vérité  et  tout  à  fait  inconvenantes.  Le 
lecteur  comprendra  qu'elles  ne  sont  pas  de 
l'éditeur.  Hymne  sur  le  même  saint  Clé- 
ment par  Rostang,  858.]  Sermon  de  Guil- 
laume d'Auvergne,  1027.  Monastère  de  l'île 
de  Casaure  sous  le  nom  de  saint  Clément  ; 
Le  pape  Adrien  IV  le  met  sous  la  protection 
du  Saint-Siège,  915. 

1046.  CLÉMENT  II,  pape,  élu  à  la  place  de  Gré- 
goire VI,  XIII,  141.  Sa  lettre  à  l'Église  de 
Bamberg,  dont  il  était  évèque,  141  et  197, 
198.  II  approuve  la  translation  de  l'évêcbé 
de  Pestane  à  Saleine  ;  il  tient  un  concile  k 
Rome  ;  il  suit  l'empereur  Henri  le  Noir  en 

1047.  Allemagne  où  il  assiste  à  un  concile  convo- 
qué pour  remédier  à  la  simonie;  il  canonise 
sainte  Wiborade  ;  son  retour  en  Italie  ;  sa 
mort  après  neuf  mois  de  pontificat,  198. 
[Ses  lettres  et  ses  privilèges  dans  la  Patro- 
logie,  198  et  199.]  Sa  famille  et  les  divers 
degrés  par  lesquels  il  parvint  au  pontificat, 
exactement  détaillés  dans  la  chronique  des 
papes  saxons,  184.  Lettre  de  saint  Pierre 
Damien,  298.  —  Son  élection  au  concile  de 
Sutri,XIV,  1061. 

CLÉMENT  III,  antipape.  Voyez  Guibert, 

archevêque  de  Ravenne. 

H87.  CLÉMENT  III,  pape,  XIV,  936.  Son  traité 

H88.        avec  les  Romains  au  sujet  de  la  ville  de  Tus- 

H91.        culum  ;  son  zèle  pour  la  croisade  ;  sa  mort, 

937.  Ses  lettres,  936  et  937.  [Collection  des 
lettres  de  Clément  III  dans  la  Patrologie, 

938,  939.  Décrets  de  Clément  III,  939,  940. 
Lettre  de  Richard  au  pape  Clément  ;  accord 
entre  ce  pape ,  le  peuple  de  Rome  et  les 
sénateurs,  940.  —  Lettre  que  Guarin,  abbé 
de  Saint-Victor,  écrit,  avec  d'autres  abbés, 
à  ce  pape,  711.] 


CLÉMENT  XI,  pape.  Son  bref  approbatif 
des  éditions  des  saints  Pères  données  par 
les  Bénédictins,  IX,  817. 

CLÉMENT,  prêtre  d'Alexandrie,  docteur 
de  l'Église,  1, 363  et  suiv.  Histoire  de  sa  vie, 
563,  S64.  Sa  conversion,  ses  voyages,  ses 
maîtres;  il  est  fait  catéchiste  à  Alexandrie  ; 
ses  disciples;  sa  manière  d'enseigner,  563. 
Il  quitte  Alexandrie  ;  il  va  en  Cappadoce  ; 
témoignage  que  lui  rend  saint  Alexandre  de 
Cappadoce  ;  sa  mort,  564.  [L'Église  romaine 
ne  donne  point  le  titre  de  saint  à  Clément 
d'Alexandrie,    564.]    Écrits    de    Clément, 
565  et  suiv.  Exhortations  aux  païens;  en 
quel  temps  elle  a  été  écrite  ;  analyse  de  cet 
ouvrage,  563.  Les  trois  livres  du  Pédagogue. 
En  quel  temps  ces  livres  ont  été  écrits;  ana- 
lyse du  premier  livre,  566  ;  du  deuxième  et 
du  troisième,  567  et  suiv.  Hymne  de  Clé- 
ment d'Alexandrie,  370.  Stromates  ou  Tapis- 
series de  Clément  d'Alexandrie,  571  et  suiv. 
Pourquoi  ces  livres  sont  ainsi  appelés  ;  en 
quel  temps  ils  ont  été  composés  ;  la  division 
de  cet  ouvrage  en  huit  livres  est  ancienne, 
et  Clément  d'Alexandrie  est  certainement 
auteur  des  sept  premiers,  371.  Analyse  du 
premier  livre,  372;  du  deuxième,  573;  du 
troisième,   574;   du    cinquième,    577;    du 
sixième,  578;  du  septième,  580.  Le  huitième 
n'est  pas   de  Clément  d'Alexandrie,    581, 
382.    [Cependant  Moelher  lui  attribue  ce 
huitième  livre  ;  pourquoi,  582,  n.  8.]  Traité 
intitulé  :  Quel  riche  sera  sauvé?  582  et  suiv. 
Ce  traité  est  de  Clément,  382,  583.  Analyse 
de  ce  traité,  383  et  suiv.  Hypotyposes  de 
Clément,   586   et  suiv.  Ce  qu'elles  conte- 
naient, 586  et  587.  Jugement  qu'en  a  porté 
Photius,  587.  Les  exemplaires  des  Hypoty- 
poses ont  été  corrompus,   587  et  588.  Ou- 
vrages faussement  attribués  à  Clément  d'A- 
lexandrie, 388,  589.  Commentaires  sur  les 
Épîtresde  saint  Pierre  et  de  saint  Jean,  588. 
Abrégé  tiré  de  Théodote  de  Byzance  ;  Ex- 
traits des  prophètes,  588  et  589.  Ouvrages 
de  Clément  que  nous  n'avons  plus,  589. 
Doctrine  de  Clément  sur  l'Écriture,  591  et 
suiv.  ;  sur  la  tradition,  593  ;  sur  la  Trinité  ; 
la  dinviité  des  trois  personnes  ;  le  temps  de 
la  naissance  de  Jésus-Christ  et  son  apathie, 
594  et  suiv.  ;  sur  la  sainte  Vierge  ;  sur  les 
Anges  et  la  gloire  des  saints;  sur  les  dé- 
mons, 596;  sur  la  nature  de  l'homme,  le 
hbre  arbitre,  et  la  nécessité  de  la  grâce,  396 
et  suiv.  ;  sur  les  causes  et  les  remèdes  du 
péché  ;  sur  les  effets  de  la  charité  et  de  la 


l 

! 


189. 


210. 


Â.vaatin 
V.  19». 


r 

I 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


217 


crainte,  598  ;  sur  l'Église  et  ses  ministres, 
598  et  599;  sur  le  baptême,  la  confirmation 
et  l'eucharistie,  599,  600  ;  sur  le  mariage, 
les  secondes  noces  et  la  virginité,  600  ;  sur 
le  serment  et  le  mensonge,  sur  les  images, 
les  heures  de  prière  et  les  jours  de  jeûne, 
600  et  601  ;  sur  l'utilité  de  la  philosophie, 
601,  602;  sur  Adam,  sur  les  apôtres  et  sur 
la  pâque,  602,  603  ;  sur  le  purgatoire  et 
quelques  autres  points  remarquables,  603, 

604.  Jugement  des  écrits  de  Clément  d'A- 
lexandrie, 604,  605.  Éditions  de  ses  œuvres, 

605,  606.  [Éditions  et  traductions  nouvelles, 
606.]  ^ 

siècle.         CLÉMENT,  sous-diacre  de  Carthage,  va  à 
Rome,  n,  296. 

CLÉMENT  (Saint),  premier  évêque  de 
Metz.  Sa  translatioQ  par  l'évêque  Herman; 
histoire  de  cette  translation  par  le  même, 
XIII,  464. 

CLÉMENT  D'ANGYRE  (Saint),  martyr. 
[Homélie  de  saint  Procle  de  Constantinople 
sur  ce  saint,  VIII,  415  et416.]  —  Discours  de 
l'empereur  Léon  VI  en  son  honneur,  XII,  775. 

CLÉMENT,  Écossais,  un  des  imposteurs 
contre  lesquels  sévit  le  concile  de  Leptines, 
est  mis  en  prison,  XII,  30,  31.  Ils  sont  jugés 
dans  un  concile  de  Rome,  puis  le  pape  Za- 
charie  remet  l'affaire  à  la  disposition  de  saint 
Boniface,  917,  918.  —  Autre  récit  de  la 
même  affaire,  XIII,  609,  610. 
le.  CLÉMENT,  moine  de  Landevenec,  auteur 
de  quelques  hymnes.  (Voyez  ce  qui  en  est 
dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t. 
IV,  p.  250,  et  t.  V,  p.  626.) 

CLÉMENT  (Claude),  évêque  de  Turin. 
Voyez  Claude. 

[CLÉMENT  (Félix),  éditeur  des  Carmina 
seleeta,  traducteur  de  l'ouvrage  intitulé  les 
Poètes  chrétiens,  V,  25.  —  Notice  sur  Adam 
de  Saint- Victor  par  le  même,  XIV,  713.  Sa 
traduction  française  de  vingt-cinq  séquences 
du  même,  713  et  714.] 
e.  CLÉMENTINES,    homélies    attribuées    à 

saint  Clément,  pape,  I,  356. 

CLÉMENTINUS  (ou  CLÉMENTIUS),  pri- 
mat de  la  province  de  Byzacène,  à  qui  saint 
Grégoire  écrit,  XI,  909. 

CLÉOMÈNES,  hérétique  dont  les  erreurs 
sont  renouvelées  par  Noët,  II,  554. 

CLERC  (Jean  le),  professeur  de  belles- 
lettres  à  Amsterdam.  Son  édition  des  livres 
d'Hermas,  I,  338.  —  Son  édition  du  livre 
d'Eusèbe  des  Pays  de  la  Terre-Sainte,  III, 
316.  —  Ses  notes  sur  Sulpice  Sévère,  VIII, 


122.  —  Edition  des  œuvres  de  saint  Augus- 
tin, IX,  818. 

CLERC  (l'abbé  le).  Sa  traduction  française 
des  douze  premières  homélies  du  pape  saint 
Grégoire  sur  Ezéchiel,  XI,  586. 

CLERCS.  Traité  de  la  Singularité  des  clercs 
attribué  à  Origène,  II,  198  ;  et  à  saint  Cy- 
prien,  347.  Témoignages  de  saint  Cyprien  sur 
les  clercs,  292, 378.  Règlements  de  l'Église  de 
Carthage  concernant  les  clercs,  555  et  suiv. 
—  Exemptions  que  Constantin  accorde  aux 
clercs,  III,  133  et  136.  Largesses  qu'il  leur 
fait,  133.  —  Témoignage  de  saint  Athanase 
sur  les  clercs,  IV,  221,  222;  de  saint  Basile, 
467,  472,  528,  529.  —  Loi  de  Théodose  sur 
les  clercs,  V,  93.  Lettre  de  saint  Ambroies 
en  forme  d'exhortation  à  des  clei-cs,  503.  — 
Règlement  du  pape  saint  Sirice  touchant  les 
clercs,  VI,  101  et  suiv.  Loi  de  Constance  pour 
l'immunité  des  clercs,  340.  Lois  de  Valenti- 
nien  l<"  touchant  les  clercs,  356  et  358.  [Ca- 
nons sur  les  funérailles  des  clercs  par  saint 
Ephrem,  514,  515.]  —  Deux  livres  de  saint 
Jean  Chrysostôme  contre  la  cohabitation  des 
clercs  avec  les  femmes,  VU,  28  et  suiv.  Rè- 
glements du  pape  saint  Innocent  sur  les 
clercs,  507  et  suiv.,  510  et  suiv.,  514  et 
suiv.,  520.  Lettre  de  saint  Jérôme  à  Népotien 
sur  la  conduite  des  clercs,  603  et  suiv.  Ety- 
mologie  du  nom  de  clerc  selon  saint  Jérô- 
me, 604.  Lettre  supposée  de  saint  Jérôme  à 
Océanus  sur  la  vie  des  clercs,  648.  —  Lettre 
de  saint  Augustin  au  sujet  d'un  clerc  qui  se 
trouvait  lié  à  deux  églises,  IX,  88.  Sermons 
de  saint  Augustin  sur  les  mœurs  et  la  vie 
des  clercs,  242.  Son  témoignage  sur  les 
clercs,  779,  784,785.  —  Stabihté  des  clercs 
recommandée  par  saint  Léon,  X,  203.  Ser- 
mon de  saint  Maxime  contre  les  clercs  qui 
trafiquaient,  324.  Règlements  du  pape  saint 
Gélase  concernant  les  clercs,  502  et  suiv. 
Ordonnance  d'Ennode  de  Pavie  touchant 
les  clercs,  575.  Qui  sont  ceux  qui  doivent 
être  exclus  de  la  cléricature  selon  Gennade 
de  Marseille,  604.  —  Dispositions  des  No- 
velles  de  Justinien  concernant  les  clercs,  XI, 
256,  257.  Divers  règlements  de  saint  Gré- 
goire le  Grand  sur  les  clercs,  496, 497, 499, 500 
et  suiv.,  504,  510,  517,  522,  523,  524  et  suiv. 
Doctrine  du  même  sur  les  clercs,  571  et  suiv. 
Témoignage  de  saint  Isidore  de  Séville, 
718.  Décision  du  pape  saint  Martin  sur  les 
clercs,  749.  —  Règlements  du  pape  caint 
Zacharie,  XII,  29,  30;  d'Egbert,  évêque 
d'York,  64,  65;  du  pape  Etienne  II,  115. 


III  siècle. 


IV  siècle, 


218 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Lois  de  Carlomaiij  229.  Lois  de  Charlema- 
gne,  229  et  suiv.  [Examen  que  les  officiers 
royaux  de  Cliarlemagne  devaient  faire  sur 
le  clergé,  XII,  242.  Autres  capitulaires  de 
Charlemagne  qui  regardent  les  clercs,  242, 
243.]  Ouvrage  de  Rhaban-Maur  intitulé  :  De 
l'Institution  des  clercs  et  des  cérémonies  de 
l'Église,  452  et  suiv.]  Novelle  de  l'empereur 
Léon  VI  sur  la  cléricature,  774.  Statuts  de 
Vautier  de  Sens  touchant  les  clercs,  789. 
Règlement  d'Alton  de  Verceil,  821,  822.  — 
Discours  du  pape  Benoît  VIII  contre  les  dé- 
règlements des  clercs,   XIII,   191.  Décrets 
d'un  concile  de  Pavie,  191  et  192.  [Chasteté 
des  clercs  maintenue  par  le  pape  saint  Léon 
IX,  210.]  Décrets  d'un  concile  de  Rome,  244. 
Lettres  des  clercs  de  l'Église  de  Cambrai, 
276,  277;  de  Noyon,  277.  Constitutions  pour 
l'Église  de  Milan  contre  les  vices  des  clercs, 
289,  290.  Saint  Pierre  Damien  s'élève  conti'e 
les  clercs  qui  défendaient  leurs  biens  les 
armes  à  la  main,  302.   [Les  clercs  doivent 
garder  la  chasteté,  309.]  Opuscule  de  saint 
Pierre  Damien  concei'nant  les  clercs  et  cha- 
noines réguliers,  316.  Lettre  de  Lanfranc  sur 
un  clerc  accusé  d'apostasie,  433.  —  Disci- 
pline observée  à  l'égard  des  clercs  dans  le 
xi"  siècle,  XIV,  40,  41.    [Compte   que  les 
clercs  et  les  moines  rendront  à  Dieu  d'après 
Anselme  de  Laon,  183.  Le  pape  Eugène  III 
écrit  pour  réprimer  l'incontinence  des  clercs 
et  les  autres  vices  commis  en  Moravie  et  en 
Bohême,  277.]  Comparaison  des  clercs  et  des 
moines  par  Abailard,  326.  Discours  de  saint 
Bernard  sur  la  réforme  des  clercs,  467.  Dia- 
logue sur  la  différence  des  clercs  réguliers  et 
des  séculiers,  ouvrage  de  Géroch,  prévôt  de 
Richersperg,  631.  Traité  de  Jean  de  Saris- 
béry  contre  le  vices  des  clercs,  679.  Traité 
de  Philippe  de  Bonne-Espérance  sur  la  di- 
gnité des  clercs,  686.  Lettre   de  Pierre  de 
Blois  sur  les  clercs  qui  vivent  à  la  cour,  766. 
[Vêtements  des  clercs  et  leurs  devoirs  d'après 
Grégoire  VIII,   836.]   —  Canons  apostoli- 
ques touchant  les  clercs,   II,  S80  et  suiv. 
Constitutions  apostoliques  qui   les  concer- 
nent, 393  et  suiv.  Canons  du  concile  d'Elivre, 
607,  608  ;  du  concile  d'Arles,  630  et  suiv.  ; 
d'Ancyre,  636  et  suiv.  —  Canons  du  concile 
de  Carthage,  III,  499  ;  de  Laodicée,  S12  ;  de 
Valence,  601,  602  ;  de  Rome,  642;  —  d'un 
concile  romain,  VIII,  346  ;  d'Orange,  607. 
—  Plusieurs  ordonnances    du  concile   de 
Chalcédoine  sur  les  clercs,  X,  697  et  suiv. 
Canons,  attribués  à  saint  Patrice,  réglant  la 


conduite  des  clercs,  703  et  suiv.  Canon  du 
concile  d'Angers  qui  défend  aux  clercs  de 
plaider  devant  les  juges  séculiers,  709.  Au- 
tre concile  de  Vannes  qui  renouvelle  la 
même  défense,  713.  Canons  du  concile  de 
Tours,  711,  712;  de  Vannes,  713,  714; 
d'Agde,  736  et  suiv.  ;  de  Tarragone,  747  et 
suiv.;— d'Epaone,XI,  813  et  suiv.;  d'Arles, 
824  ;  de  Lérida,  824  et  suiv.  ;  de  Valence, 
826  et  suiv.  ;  du  deuxième  de  Tolède,  839 
et  suiv.;  du  deuxième  d'Orléans,  848;  du 
concile  de  Clermont,  849,  830;  du  troisième 
d'Orléans,  836  et  suiv.  ;  du  quatrième  d'Or- 
léans, 860  et  suiv.;  du  cinquième  d'Orléans, 
862,  863;  du  concile  de  Lyon,  887;  du 
deuxième  concile  de  Tours,  888  et  suiv.  ;  du 
concile  de  Mâcon,  894,  893;  du  troisième  de 
Lyon,  893;  du  concile  de  Narbonne,  904  ; 
d'un  concile  de  Rome,  907  ;  du  concile  d'E- 
gara  ou  Terassa,  911,  912;  du  cinquième 
concile  de  Paris,  912  ;  d'un  concile  de  Fran- 
ce, 913;  du  concile  de  Séville,  914,  913  ;  — 
du  concile  de  Reims,  XII,  915  ;  du  quatrième 
concile  de  Tolède,  917  et  suiv.  ;  de  Mérida, 
937,  938;  du  concile  Quinisexte,  960  et 
suiv.;  —  de  Constance  et  d'Autun,  XIII, 
428,  429;  d'un  concile  d'Allemagne,  606, 
607  ;  de  Rome,  608  ;  du  deuxième  général 
de  Nicée,  630  et  suiv.  ;  d'un  concile  de 
Frioul,  633:  d'Ingelheim,  660;  de  Rome, 
661  ;  du  sixième  de  Paris,  664  ;  d'Augs- 
bourg,  731.  —  Canons  d'un  concile  de 
Clermont,  XIV,  1110;  du  deuxième  de  La- 
tran,  1141;  d'un  concile  de  Dalmatie,  1145. 
Statuts  du  cardinal  Galon,  légat  en  France, 
1149,  1130.  Canons  d'un  concile  d'Avignon, 
1151.  Décrets  d'un  concile  de  Paris,  1155. 
Canons  du  quatrième  de  Latran  pour  la  ré- 
formation des  mœurs  des  ecclésiasliques, 
1166  et  suiv. 

CLERMONT,  ville  de  France.  Saint  Si- 
doine Apollinaire  l'un  de  ses  évêques,  X,  379 
et  suiv.  Cette  ville  tombe  sous  la  domination 
des  Visigoths,  381 .  —  Conciles  tenus  en  cette 
ville,  XI,  849,  864,  899,  XIII,  431  et  suiv., 
XIV,  1068,  1083  et  1110. 

CLICHI,  maison  royale  près  Paris.  Con- 
ciles qui  y  furent  tenus,  XII,  913  et  933. 

CLICHTOU  (Josse),  chanoine  et  théologal 
de  Chartres.  Son  commentaire  sur  les  œu- 
vres de  saint  Denis  l'Aréopagite,  X,  533. — 
Son  édition  de  quelques  ouvrages  de  saint 
Grégoire  de  Tours,  XI,  398.  —  Ses  commen- 
taires sur  le  livre  de  saint  Jean  Damascène, 
de  la  Foi   orthodoxe,  XII,  97.  —  Edition 


«1. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


219 


qu'il  donne  avec  Jean  Bocard  des  œuvres  de 
saint  Bernard,  XIV,  497.  [Son  édition  des 
séquences  de  saint  Victor,  714.] 

CLIMAQUE,  surnom  donné  au  saint  abbé 
Jean,  auteur  du  traité  intitulé  :  Echelle 
sainte,  XI,  676. 

CLIMAX  ou  protestation  de  Rathérius  de 
Vérone  contre  l'élection  de  Baldric  à  l'évè- 
ché  de  Liège,  XII,  831. 
II  siècle.  CLINIQUES.  On  appelait  ainsi  ceux  qui 
recevaient  le  baptême  dans  leur  lit  ;  ce  qu'on 
pensait  de  ces  chrétiens,  II,  126.  Canon 
siècle,  douzième  du  concile  de  Néocésarée  qui  les 
concerne,  641. 

CLOCHES.  Un  capitulaire  défend  de  bap- 
tiser les  cloches,  XII,  231.  Origine  de  leurs 
noms  :  Campanœ  et  Nolœ,  412.  —  Cloches 
données  à  l'église  de  Chartres  par  une  reine 
d'Angleterre,  XIV,  112. 

CLODOBERT,  fils  de  Chilpéric  P^  Son 
épitaphe  par  Fortunat,  XI,  408. 

CLODOMIR,  fils  du  roi  Clovis.  Sa  naissance 
et  son  baptême,  XI,  78. 
A.  563.  CLODOSINDE,  épouse  d'Alboin,  roi  des 

Lombards.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Nicétius 
de  Trêves,  XI,  203. 

CLOITRE.  [Traité  sur  la  vie  du  cloître  par 
Honoré  d'Autun,  XIV,  301.]  Quatre  livres 
du  Cloître  de  l'âme,  ouvrage  de  Hugues  Fo- 
llet faussement  attribué  à  Hugues  de  Saint- 
Victor,  350.  Traité  de  la  Discipline  du  cloî- 
tre, ouvrage  de  Pierre  de  Celle,  682. 

CLOTAIRE  I",  roi  de  France ,  épouse 
sainte  Radegonde  ;  elle  le  quitte  et  se  con- 
sacre à  Dieu,  XI,  31S.  Il  tente  en  vain  de  la 
reprendre,  313  et  316.  Son  ordonnance  gé- 
nérale pour  l'observation  de  la  justice,  884. 
561.  Sa  mort,  884.  (Voyez  son  article  dans  VHis- 
ioire  littéraire  de  la  France,  tome  III,  p.  277 
et  suiv.) 
V.  610.  CLOTAIRE  II,  roi  de  France.  Prédiction  de 

saint  Colomban  à  son  égard;  il  reçoit  avec 
distinction  le  saint  religieux  et  lui  donne  une 
escorte  pour  le  conduire  sur  les  terres  de 
613.  Théodebert,  XI,  616.  Il  devient  seul  roi  des 
Francs;  il  invite  saint  Colomban  à  revenir  à 
Luxeuil  ;  lettre  que  lui  écrit  le  saint,  617.  Bap- 
tême de  Clotaire,  906.  Il  assemble  le  cin- 
quième concile  de  Paris,  912.  Son  édit  portant 
confirmation  des  décrets  de  ce  concile,  913. 
—  Son  éditsur  les  immunités  ecclésiastiques, 
XII,  227.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  III.  p.  341  et  suiv.) 
CLOTILDE  (Sainte),  fille  de  Chilpéric,  roi 
des  Bourguignons,  épouse  de  Clovis.    Ses 


soins  pour  l'engager  à  embrasser  la  religion 
chrétienne,  XI,  78.  Après  la  mort  de  Clovis, 
elle  se  retire  au  tombeau  de  saint  Martin, 
368. 

CLOUD  ou  CLODOALD  (Saint),  fils  de  Clo- 
domir.  Son  éloge  historique  par  un  anonyme 
du  X"  siècle,  XH,  894. 

CLOUS  de  la  passion  envoyés  à  Constan- 
tin par  sainte  Hélène,  VII,  483  et  668.  — 
Sainte  Hélène  les  fait  mettre  au  casque  de 
Constantin  et  au  mors  de  son  cheval  ;  pour- 
quoi, VIII,  316,  et  X,  44.—  Selon  saint  Gré- 
goire de  Tours,  les  clous  avec  lesquels  le 
Sauveur  fut  attaché  à  la  croix  étaient  au 
nombre  de  quatre,  XI,  372  et  389. 

GLOVESHOU,  ville  d'Angleterre.  Conciles 
tenus  en  cette  ville,  XIII,  610  et  suiv,,  640, 
636,  657. 

CLOVIS  I",  roi  des  Francs,  succède  à  481. 
Childéric,  son  père;  il  fait  la  conquête  des 
Gaules,  XI,  78.  Épouse  Clotilde,  et  sur  ses 
instances ,  se  fait  instruire  de  la  religion 
chrétienne,  78  et  79.  Son  baptême,  79.  Let-  496. 
tre  que  lui  écrit  saint  Rémi  sur  la  mort 
d'Alboflêde,  sa  sœur,  79  et  80.  Autre  lettre 
011  saint  Rémi  lui  donne  des  avis  sur  le  gou-  5o6ou507, 
vernement  de  ses  peuples  ;  lettre  circulaire 
que  Clovis  écrit  aux  évèques  des  Gaules 
après  la  défaite  d'Alaric  ;  il  fonde  le  monas- 
tère de  Mici  ;  sa  mort,  80.  —  Lettre  que  lui  su. 
écrit  le  pape  Anastase  pour  le  féliciter  de  ce 
qu'il  avait  embrassé  la  foi  chrétienne,  X, 
520.  Il  donne  sa  confiance  à  saint  Avit  de 
Vienne,  554.  Lettre  que  cette  évêque  lui 
écrit  pour  le  féliciter  sur  son  baptême,  561. 
Il  congratule  le  pape  saint  Hormisdas  sur  son 
élection  et  lui  envoie  des  présents,  612.  De- 
mande un  musicien  au  roi  Théodoric,  646.  — 
Il  fait  assembler  le  premier  concile  d'Or- 
léans, 743.  —  Histoire  de  Clovis  et  de  ses 
enfants  attribuée  à  saint  Grégoire  de  Tours, 
XI,  383.  —  Témoignage  d'Hincmar  de  Reims 
sur  le  sacre  de  Clovis,  XII,  633  (Voyez  l'ar- 
ticle de  Clovis  I"  dans  VHistoire  littéraire 
de  la  France,  t.  III,  p.  63  et  suiv.) 

CLUNY  [avant  la  révolution  française],  ab- 
baye dans  le  Maçonnais,  rétablie  par  saint 
Odon,  XII,  805.  [Privilèges  accordés  à  l'ab- 
baye de  Cluny  par  le  pape  Jean  X,  743  ;]  par 
le  pape  Agapet  II,  830;  [par  Léon  VII,  829.] 
—  Ce  monastère  est  regardé  comme  le  plus 
réguher  dans  le  x'  siècle,  XIII,  144.  Lettre  ioi6. 
dans  laquelle  le  pape  Benoît  VIII  prononce 
l'excommunication  contre  tous  les  usurpa- 
teurs des  biens  de  l'abbaye  de  Cluny,  191.  Son 


220 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


exemption  confirmée  par  une  bulle  du  pape 
saint  Léon  IX,  200.  Autre  bulle  du  même 
en  faveur  de  l'abbaye  de  Cluny,  202  et  209. 
Recueil  des  anciens  usages  de  cette  abbaye 
fait  au  xi"  siècle  par  un  moine  nommé  Ber- 
nard,  269   et  479,  et   XIV,   90.   Le  pape 

XI  siècle.     Alexandre  II  confirme  toutes  les  donations 

faites  à  ce  monastère  et  l'exempte  de  toute 
juridiction  épiscopale,  XIII,  294.  Privilège 
accordé  à  ce  monastère  par  le  pape  Ur- 
bain II,  420.  Bulle  d'immunité  accordée  par 
le  même  pape,  430.  Usages  de  l'abbaye  de 
Cluny  recueillis  par  le  moine  Ulric,  471. 
Analyse  de  ces  usages,  471  et  suiv.  Les 
usages  de  Cluny  sont  reçus  à  Rome,  à  Far- 
fe,  à  Hirsauge  ;  les  moines  d'Allemagne  con- 
sultent ceux  du  Mont-Cassin  sur  ces  usages, 
479.  Donations  que  Hugues,  archevêque  de 
Lyon,  fait  à  l'église  de  Cluny,  S92.  —  [Do- 
XI  et       nations  faites  au  monastère  de  Cluny  sous 

XII  siècle,    jg  gouvernement  de  saint  Hugues,  XIV,  33.] 

Permission  accordée  à  l'abbé  de  Cluny  de 
se  servir  de  la  mitre  et  des  habits  pontifi- 

1,18.  eaux,  133,  136.  Privilèges  de  Cluny  con- 
firmés par  le  pape  Honorius  II,  232  ;  par 
le  pape  Innocent  II,  260.  [Lettre  du  pape 

1125_  Honorius  II  aux  moines  de  Cluny,  233,  254. 
Epoque  de  la  consécration  de  l'église  de 
Cluny,  262.  [Contestation  entre  l'abbaye  de 
Cluny  et  celle  de  Saint-Gilles,  terminée  par 
ce  pape,  261.  Lettre  de  Clément  II  qui  con- 
firme la  donation  faite  de  l'église  de  Saiut- 
Vincent-de-Salamanque  à  l'abbaye  de  Clu- 
ny, 267.  Ses  privilèges  confirmés  parle  pape 
Lucius  II,  268.  Différend  des  moines  de  Clu- 
ny avec  ceux  de  Gîteaux  ;  apologie  de  saint 
Bernard  contre  les  moines  de  Cluny,  470  et 
suiv.  Réponse  de  Pierre  le  Vénérable  aux 
imputations  de  saint  Bernard,  303  et  suiv. 
Statuts  de  Cluny  réformés  par  Pierre  le  Vé- 
nérable, 322  et  suiv.  Etat  de  l'abbaye  de 
Cluny  dressé  par  le  même,  5i3.  Charte  de 
910.  la  fondation  de  l'abbaye  de  Cluny,  par  Guil- 
laume, duc  d'Aquitaine,  324,  523.  Concile 
de  Châlons-sur-Saône  où  les  privilèges  de 
Cluny  sont  lus  et  approuvés,  1063.  Lettre  du 
pape  Gélase  II  qui  confirme  à  cette  abbaye 
tous  les  biens  qu'elle  possédait  à  la  mort  de 
l'abbé  Hugues,  1090.  Bulle  du  même  pape 
en  faveur  de  ce  monastère,  1091. 
XI  siècle.  CLUSE,  autrefois  abbaye  dans  le  diocèse  de 
Turin.Fragments  de  l'Histoire  de  cette  abbaye 
écrite  par  le  moine  Guillaume,  XIII,  490. 

II  siècle.         CNOSSIENS.  Lettre  que  saint  Denis  de 
Corinthe  leur  écrivit,  I,  462. 


COADJUTEUR    d'un     évêque.    Premier     m  siècle, 
exemple.  H,  123. 

COBLENTZ.  Conciles  tenus  en  cette  ville, 
XIII,  692,  693,  744.  j 

COCCIUS.  Son  édition  des  œuvres  du  pape 
saint  Grégoire  le  Grand,  XI,  584. 

COCHARIC,  roi  des  Allemands,  X,  7.  i 

COCHLÉE  (Jean),  chanoine  de  Breslau.  ^ 

Sa  traduction  allemande  du  traité,  attribué 
à  saint  Cyprien,  de  la  Singularité  des  clercs, 
I,  383.  —  Son  édition  des  œuvres  de  saint 
Optât  de  Milève,  V,  148.  —  Son  édition  des 
commentaires  de  Brunon,  évéque  de  VS'irtz- 
bourg,  sur  le  Symbole  des  apôtres  et  sur 
celui  attribué  à  saint  Athanase,  XIII,  116. 
—  Son  édition  de  plusieurs  ouvrages  de 
Rupert,  abbé  de  Tuy,   XIV,  292.  [Son  édi-  i 

tion  de  plusieurs  ouvrages  d'Honorius  d'Au- 
tun,  296.] 

COCON.  Lieu  situé  dans  le  diocèse  de  Ma- 
guelone.  Les  dîmes  de  ce  lieu  revendiquées 
par  l'église  de  Saint-Andoche  de  Nîmes, 
sont  adjugées  à  celle  de  Saint-Jean-Baptiste, 
Xm,  737. 

CODES.  Code  des  canons  de  l'Église  ro- 
maine ,  titre  donné  à  une  édition  du  code 
de  Denis  le  Petit,  XI,  122.  Le  pape  Adrien 
le  donne  à  Cliarlemagne,  XII,  133.  —  Code 
des  canons  de  l'Église  grecque  confirmés  au 
concile  de  Chalcédoine  ;  quel  en  est  le  com-  45i. 
pilateur,  X,  696.  —  Code  des  règles,  ou  re- 
cueil des  règles  monastiques,  par  saint  Be- 
noît d'Aniane,  XII,  258,  259.  —  Code  Théo- 
dosien,  recueil  de  lois  composé  par  Anien 
et  autorisé  par  Alaric,  roi  des  Visigoths  en 
Espagne,  X,  736.  —  Code  de  Justinien,  ou 
code  des  lois  choisies  des  empereurs,  revu  ^ 

et  publié  par  ordre  de  l'empereur  Justinien,  ^ 

XI,  261.  Ce  qu'il  y  a  de  remarquable  sur  les 
matières  ecclésiastiques,  261  et  262. — Code 
de  Godefroi  de  Bouillon,  roi  de  Jérusalem, 
nommé  Assises  de  Jérusalem,  XIII,  327. 

CCENA,  évéqae,  à  qui  une  des  lettres  de    vin  siècle, 
saint  Lulle  est  adressée,  XII,  132. 

COENRÈDE,  roi  des  Merciens,  embrasse        709. 
à  Rome  la  vie  monastique  et  y  meurt,  XII, 
23.  [Ses  chartes,  24.] 

COEUR.  De  la  Garde  du  cœur  :  lettre  de 
Jean,  moine  de  la  Chartreuse-des-Portes, 
ainsi  intitulée,  XIV,  401. 

COGITOSUS,  irlandais,  qui  a  écrit  la  Vie     vi  siècle, 
de  sainte  Brigitte,  sa  tante,  XI,  348,  et  XII, 
129,  130.  [Édition  de  cette  Vie  dans  la  Pa- 
trologie,  XI,  348.] 

COGNAT,  évêque  d'Edesse,  HI,  102. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


221 


[COIMBRE,  ville  de  Portugal  Cette  Église 
est  détachée  de  la  métropole  de  Brague  et 
donnée  à  l'aixhevêque  de  Gompostelle,  XIV, 
236]. 

COLARBASE  ,  hérétique  valentinien,  II, 
536. 

[GOLDRORN.  Son  édition  des  œuvres 
choisies  de  saint  Basile  et  de  saint  Grégoire 
de  Nazianze,  IV,  548.] 

COLCUS,  lecteur  en  Ecosse.  Lettre  que 
lui  écrit  Alcuin,  XII,  197. 

COLEMANN,  moine.  Ses  Mémoires  sur  la 
vie  de  Ulftan,  évêque  de  Worchester,  dont 
1113.        il  avait  été  disciple  ;  sa  mort,  XIV,  314. 
'siècle.         COLÈRE.  De  la  Colère  de  Dieu,  ouvrage  de 
siècle.     Lactance,  II,  303,  304.  —  Homélie  de  saint 
Basile  le  Grand,  IV,  383,  384.  Autre  qui  lui 
est  faussement  attribuée,  489.  —  Poëme  de 
saint   Grégoire  de  Nazianze,  V,  293,  294. 
Doctrine  de  saint  Arabioise,  436,  437  ;  — 
de  saint  Jean  Ghrysostôrae,  VII,  173  et  220; 
—  de  Cassien,  VIIl,  158  ;  —  de  saint  Au- 
gustin, IX,  219,  220.  —  Traité  de  la  Colère 
par  saint  Martin  de  Dume,    ouvrage  qui  est 
resté  manuscrit,  XI,  331.  [II  a  été  imprimé 
depuis,  352.] 

[COLESSE.  Sa  traduction  française  du  li- 
vre de  la  Consolation,  de  Boece,  X,  663.] 

[COLGANI  (Jean),  auteur  de  la  Triade 
thaumaturge,  XIV,  416.] 

COLLATEUR  ou  CONFÉRENCIER.  Voyez 
Jean  Cassien. 

COLLATEURS  des  bénéfices.  Canon  d'un 

concile  de  Reims,  X(V,  1093;  d'un  concile 

d'Avranches,    1135.    Canon    du    troisième 

concile  de  Latran  qui  les  concerne,  1141  ; 

1215.        du  quatrième  concile  de  Latran,  1168. 

COLLATION  ou  repas  permis  le  soir  en 
carême  ;  son  origine,  XIII,  653. 

COLLATION  des  bénéfices.  Traité  sur  ce 
sujet  composé  par  Guillaume  d'Auvergne, 
évêque  de  Paris,  XIV,  1028  et  suiv. 

COLLECTE  ou  assemblée  des  fidèles  pour 
la  célébration  des  saints  mystères,  III,  22. 

COLLECTES  ou  quêtes  pour  les  pauvres 
dans  les  églises  de  Rome,  X,  179  et  suiv., 
et  213.  Voyez  Quêtes. 
siècle.         COLLÈGUE.   Titre   que   les    évêques   se 
donnaient  entre  eux,  II,  539. 

COLLETET  (Guillaume).  Sa  traduction 
française  du  traité  de  saint  Augustin,  de  la 
Doctrine  chrétienne  avec  le  moine  Laurent, 
IX,  814. 

[COLETTI  (les  frères).  Leur  édition  des 
œuvres  de  Lucifer  de  Gagliari,  IV,  271.] 


'  siècle. 


[COLLOMBET  et  GRÉGOIRE.  Leur  traduc- 
tion française  des  Prescriptions  de  Tertul- 
lien,  II,  87.  —  Leur  édition  et  leur  traduc- 
tion française  des  œuvres  choisies  de  saint 
Jérôme,  VU,  711;  —  des  écrits  de  saint  Eu- 
cher,  VIII,  456  ;  des  écrits  de  saint  Vincent 
de  Lérins,  467  ;  —  des  écrits  de  Salvien,  X, 
378;  des  œuvres  de  saint  Sidoine  Apolli- 
naire, 399.] 

COLLUTHE,    prêtre    d'Alexandrie,    fait     ivsiècic. 
schisme   avec  saint   Alexandre;   il  fait  des 
ordinations;  il  ordonne  prêtre  Ichyras,  III, 
105  et  418. 

COLLUTHIENS,  disciples  de  Collathe, 
III,  103. 

COLLYRIDIENS.  Ce  que  saint  Épiphane     iv  siècle, 
dit  de  cette  secte,  VI^  411. 

COLMANN,  évêque  de  Lindisfarne,  Irlan- 
dais, défend  dans  la  conférence  de  Strenes-         664. 
hall  les  usages  des  Bretons  sur  la  célébra- 
tion de  la  Pâque,  XII,  62  et  935,  936. 

COLMANN  (Saint),  Écossais,  entreprend 
le  pèlerinage  de  Jérusalem,  XIII,  138,  139.  A 
son  arrivée  dans  la  Basse-Autriche,  on  le 
prend  pour  un  espion  et  on  le  fait  mourir;  son  ioi2. 
innocence  reconnue,  on  l'enterre  honorable- 
ment dans  un  lieu  où  s'est  formé  depuis  le- 
monastère  de  Molk;  il  est  honoré  comme 
martyr.  Histoire  de  sa  mort  et  de  ses  mira- 
cles, écrite  par  Erchinfroid,  troisième  abbé 
de  Molck,  139. 

COLMAN,  mpine.  Voyez  Colemann. 
COLMIEU  (Jean  de).  Voyez  Jean  de  Col- 
mieu. 

COLOGNE,  ville  d'Allemagne.  Concile  sup-         345. 
posé  y  être  tenu  pour  la  déposition  d'Eu- 
phratas,  évêque  de  celte  ville,  III,  474,  475. 
(Voyez  notes  2  et  8  de  la  page  475.)  —  Cette 
ville   est  choisie  pour  métropole  de  la  nou-         743 
velle  Église   d'Allemagne  ;   ce   choix  con-        751, 
firme  par  le  pape  Zacharie,  XII,  31.  Ensuite, 
on  donne  à  Mayence  le  titre  de  métropole     x  siècle, 
et  Cologne  lui  est  soumise,  34.  Le  pape  Gré- 
goire V  nomme  Héribert  archevêque  de  Co-        ^^^ 
logne,  un  des  électeurs  à  qui  le  pouvoird'é- 
lire  l'empereur  était  dévolu,  900.  —  Conciles 
tenus  en  cette  ville,  XIII,  617  et  suiv.,  714. 
715,  730,  731,  XIV,  1039,  1086,  1087,  1090. 
Les  statuts  de  Gonthier  pour  les  chanoines 
de  la   cathédrale  de    Cologne,    confirmés 
dans  un   concile,  XIII,  717.  PrétenLions  de 
l'archevêque  de  Cologne   sur  l'évêché   de 
Brème,  733.  —  Traité  historique  des  divers         §73, 
progrès  de  l'Église  de  Cologne,  XIV,  863. 
COLOMB,  évêque  .en  Numidie.  Différentes        591, 


222 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


565. 


598. 


560. 


610. 


612. 
613. 


615. 


lettres  que  lui  écrit  le  pape  saint  Grégoire 
le  Grand,  XI,  489  et  306. 

COLOMB,  prêtre.  Saint  Grégoire  le  Grand 
lui  envoie  un  exemplaire  du  Pastoral,  XI, 
499. 

COLOMBAN  ou  COLOMBA  (Saint),  sur- 
nommé l'Ancien  ,  apôtre  des  Pietés  ,  bâtit 
en  Irlande  le  monastère  de  Dermach;  il 
passe  en  Ecosse  où  il  prêche  la  foi  aux  Pie- 
tés septentrionaux  ;  il  établit  dans  l'île  de 
Hy  un  autre  monastère,  dont  l'abbé  avait 
juridiction  sur  toute  la  province  ;  sa  mort  ; 
Varœus  lui  attribue  une  règle  pour  ses 
moines  et  une  hymne  à  la  louange  de  saint 
Kieran,  XI,  350.  [Edition  de  cette  letlre  dans 
la  Pairologie.]  Il  est  surnommé  l'Ancien  pour 
le  distinguer  du  suivant,  612.  Sa  Vie  par 
Cumnénéus  Albus;  autre  par  Adamnan, 
852.  [Voyez  sa  Vie  racontée  dans  Y  Histoire  des 
moines  d'Occident,  par  M.  de  Montalembert. 

COLOMBAN  (Saint),  premier  abbé  de 
Luxeuil,  XL  612  et  suiv.  Sa  naissance  et  son 
éducation  ;  il  embrasse  la  vie  monastique  au 
monastère  de  Bancor,  612.  Il  quitte  l'Ir- 
lande et  passe  dans  les  Gaules,  où  il  se  re- 
tire, à  Anegrai  dans  les  Vosges  ;  il  bâlit  les 
monastères  de  Luxeuil  et  de  Fontaines,  613. 
On  a  lieu  de  douter  qu'il  ait  établi  la  psal- 
modie perpétuité  à  Luxeuil,  613  et  614.  Il 
est  inquiété  sur  le  temps  où  il  célébrait  la 
pâque,  614.  Sujet  de  la  haine  que  lui  porte 
la  reine  Brunehaut  ;  son  entretien  avec  le 
roi  Théodoric  ou  Thierry  ;  il  est  exilé  et  re- 
vient, 614  et  61S.  Il  est  exilé  une  deuxième 
fois  et  embarqué  sur  la  Loire  pour  être  ra- 
mené en  Irlande,  615.  Il  se  retire  dans  les 
états  du  roi  Théodebert  et  prêche  la  foi  à 
Zug  ;  il  vient  à  Brégents  où  il  fait  beaucoup 
de  conversions  ;  il  y  établit  un  monastère  ; 
il  passe  en  Italie  et  s'arrête  à  Bobio,  où  il 
établit  un  monastère,  616.  Le  roi  Glotaire 
l'invite  à  revenir  à  Luxeuil;  lettre  qu'il  écrit 
à  ce  prince  ;  mort  de  saint  Golomban  ;  sa 
Vie  écrite  par  Jonas  et  par  d'autres,  617. 
Ouvrages  de  saint  Golomban,  617  et  suiv. 
Sa  règle,  617.  Seconde  partie  de  la  règle 
de  saint  Golomban  ou  le  pénitentiel,  620, 
621.  Autre  pénitentiel,  621,  622.  Instruc- 
tions ou  discours  de  saint  Golomban,  622  et 
suiv.  Ses  lettres,  624  et  suiv.  Ses  poésies, 
627  et  suiv.  Ses  ouvrages  perdus,  629.  Ju- 
gement et  éditions  de  ces  écrits,  630.  [Ses 
écrits  dans  la  Patrologie,  630,  note  1.]  Let- 
tre de  saint  Golomban  au  pape  saint  Gré- 
goire au  sujet  des  difficultés  qu'on  lui  faisait 


sur  la  célébration  de  la  Pâque,  518. — Deux 
hymnes  de  Notker  le  Bègue  en  l'honneur  de 
saint  Golomban,  XII,  766.  —  Hymnes  et  ré- 
pons pour  son  office,  composés  par  le  cardi- 
nal Humbert,  et  notés  par  le  pape  saint 
Léon  IX,  XII,  252.  (Voyez  son  aiticle  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  III,  p. 
505  et  suiv.) 

GOLOMBAN,  abbé  de  Saint-Trond,  auteur 
d'un  poëme  sur  la  mort  de  Gharlemagne. 
(Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  IV,  p.  422.) 

COLOMBAN,  moine  qui  mit  en  vers  la  gé- 
néalogie de  nos  rois,  par  ordre  de  Charles 
le  Chauve.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  xviij 
et  513.) 

COLOMBE  (Sainte),  vierge  et  martyre  de 
Sens.  Discours  de  Pierre  Damien  en  son 
honneur,  XIII,  309. 

COLOMBE  (Sainte),  vierge  et  martyre  de 
Gordoue,  XII,  519. 

COLOMBES  d'or  et  d'argent  suspendues 
sur  les  fonts  sacrés  et  sur  les  saints  autels, 
XI,  821.  —  Livre  des  trois  colombes  attribué 
à  Hugues  de  Saint-Victor,  XIV,  353. 

COLOMBIERS,  monastère  d'hommes  fondé 
par  saint  Patrocle,  XI,  381. 

COLOMIEZ  (Paul),  protestant.  Sa  traduc- 
tion française  du  livre  de  Tertullien  aux 
martyrs,  II,  87. 

[COLON,  diacre  élu  évêque  de  Rieti,  XII, 
409.] 

COLONIE,  ville  de  Cappadoce.  Lettre  de 
saint  Basile  le  Grand  au  clergé,  au  peuple 
et  aux  magistrats  de  cette  ville,  IV,  477. 

COLORBASIENS.  Ce  que  saint  Epiphane 
dit  de  cette  secte,  VI,  391. 

GOLOSSIEN.  Lettre  que  lui  écrit  Firmus 
de  Césarée  en  Cappadoce,  X,  151. 

COLOSSIENS,  fidèles  de  Colosses.  Épître 
de  saint  Paul  aux  Golossiens,  I,  228,  229. 

COLUMBA  ou  GOLUMBAN,  abbé  de  Hy. 
Voyez  Colomba  ou  Colomban  l'Ancien. 

GOLUMBUS  (Jean),  Suédois.  Son  édition 
du  livre  de  Lactance  :  De  la  mort  des  per- 
sécuteurs, II,  521. 

COLVENIER  (Georges),  chancelier  de  l'U- 
niversité de  Douai.  Son  édition  de  la  Chro- 
nique de  Cambrai,  par  Baudry,  chantre  de 
Thérouanne,  XIII,  482. 

COLVIUS  (Pierre).  Ses  notes  sur  les  œu- 
vres de  saint  Sidoine  Apollinaire,  X,  399. 

COMASIUS,  rhéleur  et  ensuite  moine  à 
qui  saint  Nil  écrit,  VIII,  217. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


-223 


COMBAT  SPIRITUEL.  Opuscule  de  saint 
Ephrem  sur  ce  sujet,  VI,  36  [et  509.  —  Traité 
de  saint  Augustin  sur  ce  sujet,  IX,  837.] 

[COMBAT  de  la  chair  et  du  corps.  Saint 
Zenon,  évêque  de  Verceil,  en  traite  dans  un 
de  ses  sermons,  VI,  274.] 

COMBAT  CHRÉTIEN.  Ouvrage  de  saint 
Augustin,  IX,  263,  264.  Doctrine  de  saint 
Augustin  sur  le  combat  de  l'esprit  contre  la 
chair,  493,  494,  499  et  S41. 

COMBAT  DE  L'AME.  Poëme  de  Pruden- 
ce, VIII,  101. 

COMBAT  DES  VERTUS  ET  DES  VICES. 
Ouvrage  attribué  à  saint  Ambroise,  V,  512  ; 
—  à  Jean  Cassien,  VIII,  200;  —  à  saint  Au- 
gustin, IX,  287  [et  837  ;  ]  —  au  pape  saint 
Léon,  X,  274  ;  —  à  saint  Isidore  de  SévlUe, 
XI,  725.  —  II  est  aujourd'hui  reconnu 
comme  un  des  ouvrages  d'Ambroise  Aut- 
pert;  idée  de  ce  traité,  XII,  123.  —  On  l'a 
encore  attribué  au  pape  saint  Léon  IX,  XIII, 
210,  211.   [Ce  que  contient  ce  traité,  211.] 

COMBAT  de  l'hiver  et  du  printemps.  Pasto- 
rale de  Milon,  moine  de  St-Amand,  XII,  334. 

COMBATS  singuliers.  Voyez  Duels. 

COMBEFIS  (François),  dominicain.  Sa 
traduction  latine  du  livre  de  saint  Hippolyte 
sur  l'Antéchrist,  1,  642.  —  Ses  éditions  de 
ditlerents  ouvrages  de  saint  Méthode,  III, 
73.  —  Ses  objections  contre  les  grandes  et 
petites  règles  de  saint  Basile  réfutées,  IV, 
400,  401.  Son  travail  pour  une  édition  des 
œuvres  de  saint  Basile,  archevêque  de  Cé- 
sarée,  546.  —  Son  édition  d'un  discours  de 
saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  435.  —  Son 
édition  des  œuvres  de  saint  Maxime,  abbé 
de  Chrysopolis,  XI,  771.  —  Il  est  chargé  par 
le  clergé  de  France  de  donner  une  nouvelle 
édition  de  saint  Jean  Damascène;  ce  qui 
l'empêche  de  l'exécuter,  XII,  98.  Ses  notes 
sur  la  Chro^^que  de  Théophanes,  156. 

COME,  ville  d'Italie.  Description  qu'en  fait 
Cassiodore,  XI,  219.  Le  pape  saint  Grégoire 
fait  rendre  à  l'église  de  cette  ville  des  biens 
qu'elle  réclamait  sur  l'Éghse  romaine,  513. 

COMÉDIENS.  Lettre  de  saint  Cyprien  à 
leur  sujet,  II,  369,  370.  Canons  soixante- 
deuxième  et  soixante  septième  du  concile 
d'Elvire,  612,  613.  Canon  cinquième  du 
concile  d'Arles,  630.  —  Deux  lois  de  Valen- 
tinien  1='  touchant  les  comédiens,  YI,  357, 
358.  Deux  lois  de  l'empereur  Gratien  tou- 
chant les  comédiennes,  362.  Lois  de  Théo- 
dose, 374.  —  Canon  d'un  concile  de  Gartha- 
ge,  VIII,  536. 


COMÉDIES.  Six  comédies  pieuses  compo- 
sées à  l'imitation  de  celles  de  Térence,  par 
Roswithe,  religieuse,  XII,  876. 

COMES.  Sacramentaire  ou  Lectionnaire 
attribué  à  saint  Jérôme  sous  ce  litre,  VII, 
650  et  709. 

COMES.  Titre  du  lectionnaire  d'Alcuin, 
XII,  206.  (Ce  titre  ne  signifie  point  le  livre 
du  comte,  mais  le  compagnon.) 

COMESTOR  (Pierre),  chancelier  de  l'église 
de  Paris.  Voyez  Pierre  Comeslor. 

COMESTOR  (François),  docteur  de  Sor- 
bonne.  Son  édition  des  œuvres  de  saint 
Bernard,  XIV,  498. 

COMÈTES.  Fausse  idée  des  astrologues  sur 
les  comètes,  IV,  490.  —  Discours  d'Isaac 
l'Ancien  à  l'occasion  d'une  comète,  X,  578. 

COMITOLO  (Paul),  jésuite  italien.  Son 
édition  d'une  chaîne  sur  Job,  qu'il  attribue 
à  Olympiodore  et  qui  est  de  Nicétas  d'Héra- 
clée,  XII,  913. 

COMMANDEMENTS  DE  DIEU.  Doctrine 
d'Hermas,  1,  335  et  337;  de  saint  Hippolyte, 
641  ;  —  d'Origène,  II,  243  ;  —  de  saint  Ba- 
sile, IV,  542  ;  —  de  saint  Ambroise,  V,  577; 
—  de  saint  Jérôme,  VII,  668  ;  —  de  saint 
Augustin,  IX,  227,  438,  449,  517.Possibihté 
des  commandements  de  Dieu,  694.  Nécessité 
de  la  grâce  pour  accomplir  les  commande- 
ments de  Dieu,  694  et  suiv.  Il  faut  deman- 
der à  Dieu  ce  qu'il  nous  commande,  696, 
697.  —  Doctrine  de  ïhéodoret  sur  les  com- 
mandements de  Dieu,  X,  52  et  53. 

COMMELIN  (Jérôme),  imprimeur  à  Hei- 
delberg.  Son  édition  des  œuvres  de  saint 
Athanase,  IV,  231  ;  —  et  de  saint  Jean 
Chrysostôme,  VII,  434. 

COMMÉMORAISON  DES  MORTS.  Oldoïni 
attribue  au  pape  Sylvestre  11  une  bulle  pour 
l'établissement  de  cette  solennité,  mais  elle 
ne  paraît  nulle  part,  XII,  910.  —  Saint  Odi- 
lon  établit  cette  solennité  à  Cluny;  elle  est 
ensuite  adoptée  dans  un  grand  nombre  d'é- 
gUses,  Xni,  152. 

COMMERCE  interdit  aux  clercs  par  le 
pape  saint  Gélase,  X,  503.  —  Doctrine  de 
Pierre  de  Blois  sur  ce  point,  XIV,  767. 

GOMMERCI,  ville  de  Lorraine.  Près  de 
cette  ville ,  une  fille  d'environ  douze  ans 
demeure  deux  ou  trois  ans  sans  prendre  de 
nourriture,  XII,  354.  ■ 

COMMODIEN,  auteur  ecclésiastique.  Il 
embrasse  la  rehgion  chrétienne,  111,  148  et 
suiv.  En  quel  temps  il  peut  avoir  fleuri. 
Ecrits  qu'il  compose  contre  les  païens  sous 


I  siècle. 
m  siècle. 


IV  et 
Y  siècle. 


224 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


le  titre  d'Instructions,  148.  Analyse  de  cet 
ouvrage,  148  et  149.  Jugement  qu'on  en 
peut  porter;  éditions  qui  en  ont  été  faites, 
149.  [Poëme  apologétique  contre  les  Juifs  et 
les  Gentils,  publié  par  D.  Pitra,  149,  150. 
Analyse  de  cet  ouvrage,  ISO  et  suiv.  Juge- 
ment sur  cet  écrit,  153.  —  Ses  Instructions, 
corrigées  par  dom  Pitra,  XI,  346.] 

Yi  siècle.  COMMOGEL  ou  CONGAL,  abbé  de  Ban- 
cor,  reçoit  dans  son  monastère  saint  Colom- 
ban,  XI,  613. 

COMMUNAUTÉ  de  clercs  formée  par  saint 
Augustin,  IX,  13,  242. 

COMMUNION  EUCHARISTIQUE.  [Témoi- 
gnage de  saint  Clément,  pape,  I,  354.]  Ce 
qu'en  dit  Clément  d'Alexandrie,  599,  600. 
Ecrit  de  saint  Hippolyte  sur  ce  sujet,  632, 

m  siècle.  — Communion  sous  l'espèce  du  pain,  et  à 
jeun,  selon  TertuUien,  II.  12.  Témoignage 
de  saint  Gyprien,  366  et  379.  Canon  d'un 
concile  de  Carthage,  549.  Communion  des 
fidèles  ;  dixième  canon  apostolique  ;  com. 
munion  des  clercs;  neuvième  canon  aposto- 
lique, 581.  Prêtres  et  diacres  ou  autres 
clercs  réduits  à  la  communion  laïque,  585. 
Constitutions   apostoliques    sur  la  commu- 

IV  siècle,  nion,  597,  598.  Communion  refusée  à  la 
mort;  canons  premier,  deuxième,  troisième, 
sixième,  septième,  huitième,  dixième,  dou- 
zième, treizième,  dix-septième,  dis-neu- 
vième ,  quarante-septième ,  soixante-troi- 
sième, soixante-quatrième,  soixante-cin- 
quième, soixante-sixième,  soixante-dixième, 
soixante-onzième,  soixante-douzième,  soi- 
xante-treizième, soixante-quinzième  du  con- 
cile d'Elvire,  603  et  suiv.  Les  énergumènes 
reçoivent  la  communion  à  la  mort  ;  canon 
treute-septième  du  concile  d'Elvire,  607, 608, 
Canon  seizième  du  vingt-deuxième  concile 
d'Arles  sur  la  communion,  632.  Commu- 
nion accordée  à  la  mort  ;  canon  deuxième 

tv  siècle,  du  concile  de  Néocésarée,  641.  —  Commu- 
341.  nion  eucharistique  et  communion  de  prière; 
canon  deuxième  du  concile  d'Antioche,  III, 
465.  Canon  septième  du  concile  de  Cartha- 
ge, 500.  —  [Communion  même  en  dehors 
de  la  messe;  témoignage  de  saint  Athanase, 
IV,  165.]  —  Communion  laïque;  témoignage 
de  saint  Basile,  528.  —  Réponses  troisième, 
cinquième,  septième,  douzième,  treizième 
et  seizième  de  Timôthée  d'Alexandrie,  V, 
93,  94.  Témoignage  de  l'auteur  du  livre  des 
Sacrements  attribué  à  saint  Ambroise,  464. 
[Témoignages  de  saint  Ephrem,  VI,  463.] 

V^siècie,     "^  Doctrine  de  saint  Jean  Chrysostôme  sur 


ce  sujet,  Vn,  95,  134,  232, 246  et  suiv.,  299; 
sur  les  dispositions  à  la  communion,  247, 
248,  300,  301,  402  et  suiv.;  sur  la  fréquente 
communion,  404  etsuiv.;surles  communions 
indignes,  407  et  suiv.  Canon  septième  attri- 
bué à  Théophile  d'Alexandrie,  446.  Diverses 
pratiques  sur  la  communion,  490.  Canon 
deuxième  dans  la  lettre  du  pape  saint  Inno- 
cent à  saint  Exupère,  évêque  de  Toulouse, 
511,  Témoignage  de  saint  Jérôme  sur  la 
communion,  602,  622,  673,  Canon  d'un  con- 
cile de  Carthage,  726.  Canons  treizième  et 
quatorzième  du  premier  concile  de  Tolède, 
740,  741.  —  Doctrine  de  saint  Synésius  sur 
la  communion,  VIII,  31  ;  de  saint  Gaudence, 
36.  Pourquoi,  selon  saint  Isidore  de  Péluse, 
on  a  donné  le  nom  de  communion  à  la  par- 
ticipation des  mystères,  484.  Doctrine  de  lyei 
saint  Augustin,  IX,  768  et  suiv.  Fréquente  '^^'™' 
communion,  768,  769.  Dispositions  pour 
communier,  769,  770.  Doit-on  donner  la 
communion  aux  pécheurs  occultes,  770,  771 . 
Nécessité  de  communier,  771,  772.  —  Ca- 
non du  second  concile  de  saint  Patrice  sur 
la  communion  pascale,  X,  707.  Canon  du 
concile  d'Agde  qui  prescrit  de  communier 
trois  fois  l'année,  738.  —  Question  sur  les 
enfants  morts  subitement  entre  le  baptême 
et  la  communion,  XI,  37.  Réponse  de  saint 
Fulgence,  39.  Témoignage  de  saint  Grégoire 
de  Tours  sur  la  communion,  390,  391.  Doc- 
trine de  saint  Grégoire  le  Grand,  538,  568, 
569.  Règlements  de  saint  Grégoire,  526.  Té- 
moignage d'Anastase  le  Sinaïte,  602,  603, 
605,  606,  Règlement  de  saint  Colomban  de 
Luxeuil,  620.  [Témoignage  de  saint  Sophorne 
de  Jérusalem,  708  ]  Ce  que  dit  saint  Isidore 
de  Séville  sur  la  communion,  717  et  720,  Ca- 
non du  concile  d'Epaone  qui  défend  de  don- 
ner la  communion  à  un  prêtre,  à  un  diacre, 
qui  voyagent  sans  avoir  des  lettres  de  l'évê- 
que,  814,  Témoignage  de  Jonas,  abbé  d'El- 
none,  sur  la  communion  sous  les  deux  es- 
pèces, 737.  —  Sentiment  du  Vénérable  Bède 
sur  la  communion,  XII,  14,  17.  Règlement 
d'un  évêque  anonyme,  170.  Témoignage  du 
moine  Béatus,  216.  Règlement  de  saint  An- 
gilbert,  221.  Loi  de  Charlemagne,  234.  Ca- 
nons attribués  au  patriarche  saint  Nicé- 
phore,  286.  [Ce  que  saint  Théodore  Studite 
dit  de  la  communion  eucharistique,  314, 
315.]  Sentiment  d'Amalaire,  prêtre  de  Metz, 
sur  la  fréquente  communion,  349.  Témoi- 
gnage de  Jonas,  évêque  d'Orléans,  390.  Rè- 
glement du  pape  Léon  IV,  408.  Témoignage 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


225 


de  Walafrid  Strabon,  413.  Sentiment  de  Ra- 
ban  Maur  sur  la  fréquente  communion,  433. 
Sentiment  de  Raoul,  archevêque  de  Bourges, 
33.4.  Réponse  du  pape  saint  Nicolas  I"  aux 
consultations  des  Bulgares,  382,  583.  Hymne 
de  Ratpert,  moine  de  Saint-Gai  pour  être 
chantée  pendant  la  communion,  700.  Règle- 
ments d'Atton  de  Verceil,  822  ;  de  Rathier  de 
Vérone,  833.  Canon  da  quatrième  concile  de 
Tolède,  917.  Canon  d'un  concile  d'AuLun, 
939;  da  concile  Quinisexte,  961.  [Si  on  peut 
faire  porter  la  communion  par  des  femmes 
aux  chréliens  détenus  cbez  les  Sarrasins  ;  si 
on  peut  admettre  à  la  communion  les  en- 
fants qui  ont  été  corrompus  par  des  Sarra- 
sins, 979.]  —  Témoignage  de  GezoiT,  abbé 
de  Tortone,  XIII,  20.  Témoignage  de  saint 
Abbon,  moine  de  Fleury,  26.  Témoignages  de 
Gébehard,  prêtre  d'Augsbourg,  56;  de  Guil- 
laume et  d'Ascelin,  moines  du  Bec,  168  ;  de 
Siméon  le  Jeune,  226.  Canon  du  concile  de 
Clermont,  432.  Ce  que  dit  Durand,  abbé  de 
Troarn,  sur  la  fréquente  communion,  460.Té- 
moignage  de  l'auteur  anonymed'un traité  sur 
les  sacrements,  492.  Canon  d'un  concile  de 
Cloveshou,  611.  Canon  d'un  concile  de  Rouen 
sur  la  communion,  727.  —  Lettre  du  pape 
Pascal  II  sur  un  abus  qui  s'était  introduit  de 
donner  la  communion  en  trempant  l'espèce 
du  pain  dans  celle  du  vin;  les  deux  espèces 
doivent  être  prises  séparément,  XIV,  134. 
Raison  que  donne  Arnulphe,  évêque  de  Ro- 
chester,  de  l'usage  qui  s'était  introduit  de 
tremper  l'hostie  dans  le  sang,  en  donnant  la 
communion,  236.  Pourquoi  l'on  reçoit  sépa- 
rément le  corps  et  le  sang  de  Jésus-Christ, 
237.  Doctrine  de  Hugues,  archevêque  de 
Rouen,  609.  Voyez  Eucharistie. 
de.  COMMUNION  DE  PRIÈRES  :  Canons  apos- 
toliques onzième,  douzième,  treizième,  II, 
581.  —  Communion  de  prières  avec  les  héré- 
tiques :  canons  neuvième  et  trente-troisième 
du  concile  de  Laodicée,  III,  310  et  311.  — 
Communion  ou  association  de  prières  entre 
divers  monastères, XIV,  514.  —  Communion 
ecclésiastique.  Saint  Basile  déclare  qu'il  est 
uni  de  communion  avec  toutes  les  églises, 
IV,  362.  —  Doctrine  de  saint  Augustin  sur  la 

J siècle,     communion  avec  les  méchants,  IX,  377.  — 
Communion  prise  au  sens  d'absolution,  11,603, 

m.  604  et  608.  Le  concile  dOrange  ordonne  de 
donner  à  ceux  qui  meurent  pendant  le 
cours  de  leur  pénitence,  la  communion, 
sans  l'imposition  des  mains  élablie  pour 
la  réconciliation.  Ce  qu'on  doit  entendre 
TAB.   I. 


par   ce   terme  de  communion,    VIII,    607. 

COMNÈNE  (Alexis).  Voyez  Alexis  Comnène. 

COMNÈNE  (Isaac),  frère  de  l'empereur 
Alexis,  XIV,  139  et  suiv. 

COMNÈNE  (Anne).  Voyez  Anne  Comnène. 

COMNÈNE  (Manuel  et  Jean),  empereurs. 
Leur  histoii'e,  par  Jean  Ciname,  XIV,  641, 
642.  Voyez  Manuel  Comnène.  [Les  Constitu- 
tions Novelles  de  Manuel  Comnène,  au  nom- 
bre de  vingt,  sont  reproduites  au  t,  CXXXIII  , 
de  la  Patrologie  grecque.] 

[COMPASSION  de  la  sainte  Vierge.  Traité 
sur  ce  sujet,  faussement  attribué  à  saint  Au- 
gustin, IX,  837.] 

COMPÉTENTS.  On  désignait  par  ce  nom     iv  siècle, 
tous  ceux  qui  postulaient  pour  le  baptême, 
III,  313.  —  Sermon  de  saint  Augustin  aux 
compétents,  IX,  239. —  Sermon  de  saintCé- 
saire  d'Arles  adressé  aux  compétents,  XI,  139. 

COMPIÈGNE,  viUe  de  France.  Parlement 
tenu  en  cette  ville  pour  la  déposition  de  l'em- 
pereur Louis  le  Débonnaire,  XII,  376.  [Note 
sur  la  conduite  des  évoques  eu  cette  occa- 
sion, 1109.]  Lettre  de  saint  Aldric  du  Mans 
aux  évoques  du  concile  de  Compiègne,  443. 

—  Conciles  tenus  en  cette  ville,  XIII,  615, 
667;  XIV,  1072. 

[COMPLAINTE  de  la  sainte  Vierge  au  pied 
de  la  croix,  par  Nicolas  le  grammairien,  XIII, 
360.] 

[COMPLAINTE  sur  la  mort  de  Hugues,  fils 
de  Charlemagne,  XII,  477.] 

COMPLICE.  Canon  soixante-onzième  dans         375. 
la  troisième  épître  canonique  de  saint  Basile 
le  Grand,  IV,  474. 

COMPONCTION.  Quatre  discours  de  saint  iv  siècle. 
Éphreni  sur  la  componction,  VI,  20,  21.  Dis- 
cours de  saint  Éphrem,  intitulé  :  De  la  Pa- 
tience et  de  la  Componction,  23.  Autre  sur  le 
jugement  et  la  componction,  23.  Traité  de 
saint  Éphrem  sur  la  componction,  37,  38. 
[Discours  de  saint  Éphrem  sur  la  pénitence 
et  la  componction,  306.]  —  Deux  livres  de  370. 
saint  Jean  Chrysostôme  sur  ce  sujet,  VII,  23 
et  suiv.  — Lettre  de  saintFulgence  deRuspe, 
XI,  29.  Discoursde  saint Colomban,  623,  624. 

COMPOSTELLE,  ville  d'Espagne.  Conciles 
tenus  en  cette  ville,  XIH,  737,738, 1060, 1061, 
1086.  [Histoire  de  cette  Éghse,  XIV,  341 ,  342.] 

COMPUT  PASCAL.  [Différents  computs  an- 
ciens sur  la  Pâque,  I,  540.  Comput  d'un  ano- 
nyme, 340  et  suiv.;  comput  de  Murin  d'A- 
lexandrie;] comput  de  Cassiodore,  XI,  222. 

—  Comput  vulgaire  attribué  au  Vénérable 
Bède,  XII,  3.  De  la  Manière  et  de  l'Ordre  du 

15 


226 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


comput,  ouvrage  du  vénérable  Bède  cité  par 
Heiric  qui  écrivit  sur  la  même  matière,  4. 
[Hymnes  du  Vénérable  Bède  sur  les  règles  du 
comput,  4.]  Traité  de  Raban  Maur  sur  le  com- 
put, 464.  Traité  sur  le  comput,  faussement  at- 
tribué à  Heiric,  moine  d'Auxerre  ;  il  estd'Hil- 
péric,  641.  Traité  du  comput  ecclésiastique, 
ouvraged'Hilpéric,  écolâtre  de  Grandtel,  862. 
—  Traité  du  comput,  attribué  à  Albert  ou  Al- 
XI  siècle  P^''^'  Dioiiîe  de  Saint-Symphorien  de  Metz, 
XIII,  73.  Comput  ecclésiastique  de  Jean  de 
Garlande,  230.  Comput  ecclésiastique,  attri. 
buéàHépidam,  moine  de  St-Gal,  323.  Traité 
deFrancon,  écolâtre  deLiége,  sur  le  comput, 
341.  Livre  du  calcul  ou  comput,  par  Pandul- 
phe,  moine  du  Mont-Cassin,  493.  Traité  du 
comput  ecclésiastique,  ouvrage  de  saint  Ma- 
thias  de  Trêves,  362.  —  Comput  ecclésias- 
tique dressé  par  Sigebert,  moine  de  Gem- 
blours,  XIV,  67,  68.  [Traité  de  Jean  de  Cou- 
tances  sur  le  comput,  247,  248.]  Comput 
ecclésiastique  de  Gerland,  366.  Voy.  Calcul, 

CONANTIUS,  évêque  de  Palenzo  en  Espa- 
gne. Hymnes  et  prières  que  lui  attribue  saint 
Ildefonse,  XI,  699. 

CONCEPTION  DE  LA  TRÈS-Sie  VIERGE. 
Traité  de  sa  conception  passive  ;  discours  sur 
le  même  sujet,  XIV,  33.  —  L'Immaculée  Con- 
ception a-t-elle  été  définie  dans  un  concile  des 
Apôtres,  II,  336. — [Discours  sur  la  conception 
de  la  sainte  Vierge  par  Jean  d'Eubée,  XII,  61. 
Ce  qu'il  contient,  61  et  62,  La  fête  de  l'Imma- 
culée Conception  était  une  des  plus  célèbres 
auvin=siècle, 62.]— Ce  qu'en  apensé  le  Vé- 
nérable Hildebert,  XIV,  216.  [Poëme  sur  la 
Conception  de  la  B.V.  par  lemême,  223.]  Let- 
tre de  saint  Bernard  qui  s'oppose  à  l'établisse, 
ment  de  cette  fêle  dans  l'Église  de  Lyon,  438, 
439.  Raisons  qu'il  allègue  pour  preuves  que 
Jésus-Cliristseulaété  conçu  sans  péché;  [sou- 
mission anticipée  de  saint  Bernard  au  décret 
de  l'Église,  439.]  Docirine  de  Godefroi,  abbé 
desMonts,  588.  [Discussion  au  sujetde  la  Con- 
ception immaculée  de  Marie  entre  Nicolas, 
moine  de  Saint-Alban  et  Pierre  de  Celle,  737. 
Ce  que  Nicolas  dit  à  ce  sujet  de  saint  Ber- 
nard, 737  et  738.]  Sermon  de  Pierre  Gomes- 
ter  sur  l'Immaculée  Conception,  745.  [Jean 
Beleth ,  théologien ,  se  déclare  pour  la 
fête  de  la  Conception ,  793.  Maurice  de 
Sully  n'admettait  p;is  le  privilège  de  la  con- 
ception immaculée  pour  Marie,  819.  Martin, 
chanoine  de  Saint-Isidore  ,  défend  cette 
prérogative,  834.  Ce  que  Siccard,  évêque 
de  Crémone,  dit  de  cette  fête,  904.] 


CONCEPTION  DE  SAINT  JEAN- BAP- 
TISTE. Voyez  Annonciation  de  Zacliarie. 

CONCILES.  Importance  de  la  matière  des 
conciles,  II,  529, 530.  Autorité  de  leurs  déci- 
sions, 330,  et  n.  3.  On  n'en  connaît  qu'un  seul 
dans  le  premier  siècle;  il  y  en  eut  peu  dans 
le  second,  531.  Ils  commencèrent  à  devenir 
plus  communs  dans  le  troisième;  comment 
on  a  pu  s'en  passer  dans  les  premiers  siè- 
cles, 530.  [Les  conciles  ne  furent  pas  aussi 
rares,  que  le  prétend  dom  Ceillier,  dans  les 
premiers  siècles,  530,  n.  9.  Les  hérésies  des 
premiers  siècles  n'ont  pas  été  détruites 
comme  le  prétendl'auteur,  531,  n.  3et6.J  — 
Témoignage  de  saint  Ignace  d'Antioche  sur  les 
concile?,  1, 384.  —  Canon  trente-huitième  des 
Canons  apostoliques  sur  les  conciles,  II,  383. 

—  Témoignage  de  Constaniin  sur  l'autorité 
des  conciles,  III,  137,  138.  Témoignage  du 
concile  de  Nicée  sur  l'examen  de  ce  qui  a  été 
décidé  dans  les  conciles,  438,  439.  Concile 
provincial;  ce  qui  le  rend  légitime;  canon  sei- 
zième du  concile  d'Antioche;  en  quel  temps 
on  doit  tenir  les  conciles  provinciaux;  canon 
vingtième  du  même  concile,  469.  Canon  qua- 
rantième du  concile  de  Laodicée  sur  les  con- 
ciles, 312. —  Témoignage  de  saint  Hilairesur 
les  conciles,  IV,  79.  Témoignage  de  saint 
Athanase,  142,  211  et  suiv.,  222.  Doctrine  de 
saint  Basile  le  Grand,  301.  Les  prêtres  et  les 
diacres  assistaient  quelquefois  aux  conciles, 
646.  —  Doctrine  de  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze,  V,  312,  313.  De  saint  Ambroise,  532. 

—  Canons  du  concile  d'Hippone  touchant  la 
célébration  des  conciles,  VII,  713.  Canons 
sixième  et  huitième  du  même  concile,  714, 
713.  Canon  deuxième  du  troisième  concile 
de  Carthage,  719.  Canon  vintgt-unième  du 
quatrième  concile  de  Carthage,  729.  Canon 
septième  du  cinquième  concile  de  Carthage, 
734.  Canon  dixième  du  même,  734  et  735. — 
Doctrine  de  saint  Cyrille  d'Alexandrie  sur 
les  conciles,  VIII,  327.  Quel  est  l'esprit  de 
l'Église  dans  les  conciles,  selon  Vincent  de 
Lérins,  463.  Règlement  du  concile  général 
de  Carthage,  538,  542,  343.  Canons  du  con- 
cile de  ïusdre  ;  ordonnances  du  concile 
de  Telle  ou  Télepte,  564.  Canons  de  plu- 
sieurs conciles  de  quelques  villes  d'Afrique, 
562.  Canon  dix-huitième  du  sixième  con- 
cile de  Carthage,  365,  560  Le  concile  d'O- 
range ordonne  qu'un  concile  ne  se  sépa- 
rera point  sans  en  avoir  indiqué  un  autre, 
610.  —  Docirine  de  saint  Augustin  sur 
l'autorité  des    conciles,   IX,   621    et  suiv. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


227 


Doctrine  du  pape  saint  Léon  sur  les  conciles, 
X,  268,  269.  Les  conciles,  même  généraux, 
doivent  être  confirmés  par  le  pape  ,  269. 
Les  papes  n'ont  point  assisté  aux  conciles 
tenus  dans  l'Orient,  333.  Le  pape  saint  Hi- 
laire  ordonne  aux  évêques  des  Gaules  de  te- 
nir tous  les  ans  un  concile  des  provinces 
dont  on  pourra  l'assembler,  337.  La  coutume 
des  conciles  catholiques  est  de  faire  des  dé- 
crets à  mesure  que  les  nouvelles  hérésies  les 
y  obligent,  479.  Lorsqu'une  hérésie  a  été  con- 
damnée dans  un  concile,  ce  qui  a  été  décidé 
doit  demeurer  invariable,  495.  Différence 
qu'établit  le  pape  saint  Gélase  entre  les  con- 
ciles légitimes  et  les  conciles  illégitimes,  496. 
Canon  du  concile  de  Chalcédoine  qui  ordonne 
de  tenir  deux  conciles  chaque  année,  699. 
Conciles  reçus  par  l'Église  romaine,  selon  le 
décret  du  pape  saint  Gélase,  724.  —  Témoi- 
gnages de  Ferrand,  diacre  de  Carthage,  sur 
l'autorité  des  conciles  généraux,  XI,  93,  94. 
Conciles  recueiUis  par  Cassiodore,  230,  231. 
Doctrine  de  Cassiodore  sur  les  conciles,  244. 
Loi  de  Justinien  qui  ordonne  de  tenir  des 
conciles  tous  les  ans,  259.  Témoignage  du 
papePélagel"  sur  lesconciles  généraux,  330. 
Témoignage  du  pape  Pelage  H,  338.  A  quelle 
occasion  et  comment  les  conciles  s'assem- 
blaient au  vi'^  siècle  ;  un  évêque  condamné 
dans  un  concile  particulier  pouvait  appeler 
au  Saint-Siège,  393.  Doctrine  du  pape  saint 
Grégoire  le  Grand  sur  les  cinq  premiers  con- 
ciles généraux  et  sur  lesconciles  particuliers, 
434,  482,  505,  507,  554,  5.=)5.  Les  rois  de 
France  ne  trouvaient  pas  bon  que  les  évê- 
ques tinssent  des  conciles  sans  leur  permis- 
sion et  sans  les  informer  du  motif  de  la  con- 
vocation, 734.  Le  pape  Léon  II  envoie  aux 
évêques  d'Espagne  la  définition  de  foi  du 
troisième  concile  de  Conslantinople,  sixième 
œcuménique,  784.  — Avec  quel  soin  les  actes 
du  sixième  concile  furent  écrits  et  conservés, 
XII,  36.  Traité  des  six  conciles  généraux, 
ouvrage  de  saint  Germain,  patriarche  de 
Constantinople,  40,  41.  [Le  véritable  traité 
de  saint  Germain  a  été  publié  par  Mai,  41.] 
Doctrine  de  saint  Jean  Damascène  sur  les 
conciles  généraux,  76,  78,  93.  Règlement  du 
roi  Dagoberl  sur  les  conciles  de  son  royaume, 
228.  Charlemagne  ordonne  qu'on  en  tienne 
deux  chaque  année,  237.  Conciles  dont  la 
tenue  est  ordonnée  par  Charlemagne,  239. 
Les  sept  premiers  conciles  généraux  reçus 
par  saint  Nicéphore,  patriarche  de  Constan- 
tinople, 283  ;  et  par  saint  Théodore  Studite, 


300.  Règlement  du  pape  saint  Nicolas  P'  sur 
les  conciles  provinciaux ,  577.  Forme  des 
conciles  prescrite  en  détail  parle  quatrième 
concile  de  Tolède,  916.  Il  était  d'usage  dans 
les  actes  ecclésiastiques  de  nommer  concile 
les  évêques  d'une  province,  quoiqu'ils  ne 
fussent  pas  assemblés,  944.  Conduite  du 
quatorzième  concile  de  Tolède  touchant  les 
conciles  cinquième  et  sixième,  938.  Canon 
du  dix-septième  concile  de  Tolède  touchant 
les  conciles,  966.  —  Selon  saint  Léon  IX,  on 
ne  peut  tenirde  concile  général  sans  l'ordre 
du  Saint-Siège,  XIII,  206.  Traité  des  sept 
conciles  œcuméniques  en  vers  par  Michel 
Psellus,  336.  —  Pascal  II  observe- que  les 
conciles  n'ont  point  fait  de  lois  pour  l'Église 
romaine,  parce  que  c'est  elle  qui  donne  l'au- 
torité aux  conciles,  XIV,  130.  [D'après  Eu- 
gène III,  l'Église  romaine  est  le  soutien  des 
conciles,  277.]  Décrets  du  concile  général  de 
Latran  qui  renouvelle  les  anciens  canons 
pour  la  tenue  des  conciles  provinciaux,  1064, 


TABLEAU  DES  CONCILES. 

CONCILES  DU  PREMIER  SIÈCLE. 

CONCILE  des  apôtres  à  Jérusalem,  II, 
531  et  suivantes.  Quelle  en  fut  l'occasion, 
531.  En  quelle  année  il  fut  tenu.  Ce  qui  s'y 
passa,  532.  Lettre  synodale  du  concile  de 
Jérusalem,  532,  533.  Remarques  sur  cette 
lettre  synodale,  433,  334.  Concile  de  Jéru- 
salem, modèle  des  conciles  suivants,  534. 

CONCILE  (faux)  d'Antioche,  II,  534  et  suiv. 

CONCILES  attribués  faussement  aux 
apôres,  II,  536. 

CONCILES  supposés  des  premiers  siècles, 
II,  536  et  337. 

CONCILES  DU    DEUXIÈME   SIÈCLE. 

CONCILES  contre  les  Montanistes,  II,  538 
et  suiv.  Origine  de  l'hérésie  de  Montan,  538. 
En  quoi  elle  consistait,  538  et  539. 

CONCILES  contre  les  Montanistes,  II,  539. 

CONCILES  des  Montanistes,  II,  54,  note  2. 

CONCILE  de  Rome  contre  Praxéas  et  Va- 
lentin,  I,  532,  et  II,  541. 

CONCILES  au  sujet  de  la  Pâque,  I,  533, 
et  II,  541  et  suiv.  — Usage  des  Églises  sur  la 
fête  de  Pâques,  II,  540. 

CONCILE  de  Gésarée  en  Palestine,  II,  341. 

CONCILE  de  Rome,  II,  341 . 


50  ou  51. 


171  ou  172. 


196. 


228 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


231. 


S55. 
256. 


256. 
23», 


V.  240. 
Y.  243. 
V.  246. 


Avant  249. 
249. 
251. 


251. 
252. 


252. 


254. 


CONCILES  du  Pont,  des  Gaules,  de  Co- 
rinlhe  et  de  l'Osroène,  II,  542. 

CONCILE  d'Éphèse,  II,  342  ei  543.  Le  pape 
Victor  veut  excommunier  les  Asiatiques, 
543,  544. 

CONCILE  attribué  au  pape  Victor  contre 
quelques  hérétiques,  II,  544. 


CONCILES  DU   TROISIEME   SIECLE. 

CONCILES  au  sujet  du  baptême  des  héré- 
tiques, II,  544  et  suiv. 

CONCILE    de    Carthage    sous  Agrippin , 
II,  544,  543. 

CONCILES  d'Icône,  de  Synnades  etd'autres 
lieux,  II,  545,  346. 

CONCILE  de  Carthage,  II,  546  et  suiv. 

CONCILES  de  S.  Cyprien  (premier),   II, 

546.   Second    concile   de   S.   Cyprien,   347 

et  suiv.  Troisième  concile   de   S.   Cyprien» 

349  et  suiv.  Actes  de  ce  concile,  550  et  suiv- 

CONCILES    d'Alexandrie,   de    Lambèse, 

d'Arabie,  d'Asie  et  d'Achaïe,  II,  332  et  suiv. 

CONCILES  (deux)  assemblés  contre  Ori- 

gène.  II,  135  et  552,  353. 

CONCILE  (premier)  d'Alexandrie  assemblé 
contre  Origène,  II,  332.  Second  concile 
d'Alexandrie  contre  Origène,  133  et  532. 

CONCILE  de  Lambèse  contre  Privât,  hé- 
rétique, II,  553. 

CONCILE  en  Arabie  au  sujet  de  Bérylle 
de  Bostres,  II,  553  et  534. 

CONCILE  en  Arabie  contre  quelques  nova- 
teurs, II,  534. 

CONCILE  en  Asie  contre  les  erreurs  de 
Noët,  II,  354  et  553. 

CONCILE  d'Achaïe  contre  les  Valésiens, 
II,  555. 

CONCILES  de  Carthage,  de  Rome  et  d'An- 
tioche.  II,  335  et  suiv. 

CONCILE  de  Carthage,  II,  535. 
CONCILE  de  Carthage,  II,  ,556. 
CONCILE  de  Carthage   (autre),  II,   556. 
Suite  de  ce  concile.  Canons  pénitentiaux  qui 
y  furent  dressés,  536  et  suiv. 

CONCILE  de  Rome,  II,  125  et  358. 
CONCILE  indiqué  pour  Antioche  avant  la 
mort  de  Fabius,  II,  559. 

CONCILE  de  Carthage,  II,  559  et  suiv.  — 
On  y  traite  du  baptême  des  entants,  V,  326. 
—  Lettre  synodale  de  ce  concile  à  Pidus,  II, 
561,  562.  L'hérétique  Privât  se  présente  ù, 
ce  concile.  On  ne  veut  pas  l'écouter,  562. 
CONCILE  de  Carthage,  II,  362  et  363. 
CONCILES  de  Narbonue,  de  Rome  et  d'An- 


tioche,  II,  563  et  suiv.  On  n'a  rien  de  cer- 
tain touchant  le  concile  de  Narbonne,  563, 
364. 

CONCILE  ou  conférence  d'Arsinoé,  364,363         255. 

CONCILE  de  Rome,  II,  563,  566.  ses. 

CONCILE  d'Antioche  contre  Paul  de  Sa-        264. 
mosate,  II,  566,  367.  Second  concile  contre 
le  même,  567. 

CONCILE  d'Antioche  par  lequelPauI  de  Sa-    269  et  m<L 
mosale  est  condamné,III,567.  Lettre  synodale  ^ 

de  ce  concile  écrite  par  Malchion,  368  et  suiv. 
En  quel  temps  ce  concile  a  condamné  le  terme 
de  consubslantiel,  510,  571.  Suite  de  la  con- 
damnation de  Paul  de  Samosate  :  il  est  con- 
damné par  le  pape  Félix,  571.  Symboles 
attribué  au  concile  d'Antioche,  571  et  372. 
Autre  symbole  aussi  faussement  attribué  au 
concile  d'Antioche,  572. 

CONCILE  de  Rome  (faux)  contre  Paul  de 
Samosate ,  II,  572. 

CONCILE  de  Mésopotamie  contre  Manès, 
II,  572  et  573. 

CONCILES   DU   QUATRIÈME    SIÈCLE. 

CONCILE  d'Elvire,  II,  602  et  suiv.  (Il  s'est  300  o.,30i 
tenu  à  Elvire  dans  la  Bétique),  602  et  603. 
En  quelle  année,  603.  Analyse  des  canons 
de  ce  concile,  603  et  suiv.  Autorité  de  ces 
canons.  Éditions  de  ce  concile,  614,  615.  - 
On  y  permet  aux  laïques  de  baptiser  dans 
les  cas  de  nécessité,  V,  323. 

CONCILE  d'Alexandrie  au  sujet  de  Mélèce,  301. , 
II,  613,  616.  En  quel  temps;  Mélèce  y  est 
déposé,  613.  Origine  du  progrès  du  schisme 
de  Mélèce,  selon  S.  Épiphane,  613  et  616. 
Ce  que  l'on  doit  penser  de  ce  rapport  de 
S.  Épiphane,  616. 

CONCILE  de  Sinuesse  (faux),  616  et  suiv.        303. 
En  quel  temps,  II,  617.  Le  pape  saint  Marcel- 
hn  n'a  pas  sacrifié  aux  idoles,  617    et  618. 
Preuves  delà  supposition  de  ce  concile,  618, 
619.  Éditions  de  ce  concile,  619. 

CONCILE  de  Cirthe,  II,  619  et  suiv.  En  305. 
quel  temps,  619,  620.  Il  se  tient  dans  une 
maison  particulière.  Nous  n'avons  qu'un  ex- 
trait de  ses  actes,  620.  Contenu  de  cet  ex- 
trait, 620  et  621.  Silvain,  traditeur,  élu 
évéque  de  Cirthe,  621. 

CONCILIABULE  de  Carthage,  II,  621  et  3H0..3 
suiv.  A  quelle  occasion,  621.  Cécilien  or- 
donné évêqae  de  Carthage  par  Félix  d'Ap- 
tonge,  621  et  622.  Schisme  contre  Cécilien, 
622.  Les  schismatiques  le  citent  à  leur  con- 
ciliabule, 622  et  623.  Il  est  condamné  avec 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


229 


Félix  et  tous  ceux  de  leur  communion,  623. 
Les  scliismatiques  écrivent  contre  Céciiien 
par  toute  l'Afrique,  623  et  62-4.  (Voyez  au 
tome  IX,  p.  80.) 

CONCILE  de  Rome  touchant  l'affaire  de 
Céciiien,  II,  624  et  suiv.  Les  Donatistes 
troublent.  l'Église,  624.  Ils  demandent  des 
juges  à  Constantin  contre  Céciiien,  624  et  623. 
Constantin  indique  un  concile  à  Rome  pour 
juger  l'affaire  de  Céciiien,  623.  En  quel 
temps,  623  et  626.  Actes  de  ce  concile,  626. 
Céciiien  est  absous,  626  et  627  ;  III,  135  ;  et 
IX,  80. 

CONCILE  d'Arles  touchant  les  Donatistes, 
II,  627  et  suiv.  Les  Donatistes  se  plaignent 
du  concile  de  Rome,  627  628.  Justification 
de  Félix  d'Aptonge,  628.  En  quel  temps  il 
fut  tenu,  628.  Nombre  des  évéques  qui  y 
assistèrent,  628,  629.  Céciiien  y  est  déclaré 
innocent,  629,  630.  Canons  de  ce  concile, 
630  et  suiv.  Autorité  du  concile  d'Arles. 
Peut-on  lui  donner  le  titre  de  concile  plé- 
nier?  Est-ce  dans  ce  concile  que  la  question 
du  baptême  des  hérétiques  a  été  terminée? 
632  et  suiv.  —  Ce  fut  Constantin  qui  con- 
voqua ce  concile,  III,  i34. 

CONCILE  d'Ancyre  en  Galatie,  II,  635 
et  suiv.  Conciles  fréquents  vers  l'an  314^ 
633.  Évêques  qui  assistèrent  au  concile 
d'Ancyre,  633  et  636.  Canons  qui  y  furent 
faits,  636  et  suiv.  Variété  des  exemplaires 
de  ces  canons,  640. 

CONCILE  de  Néocésarée  dans  le  Pont, 
II,  640  et  suiv.  Canons  de  ce  concile,  640. 

CONCILE  de  Rome  (faux)  II,  642,  643. 
Preuves  de  la  fausseté  de  ce  concile,  643. 

CONCILE  d'Alexandrie  contre  Arius,  III, 
106,  414  et  413  et  suiv. 

CONCILES  d'Egypte  au  sujet  d'Arius,  III, 
415. 

CONCILE  de  Bithynie  en  faveur  d'Arius, 
111,417,  418. 

CONCILE  d'Alexandrie  au  sujet  d'Arius, 
m,  418,  419. 

CONCILE  œcuménique  de  Nicée,  III,  419 
et  suiv.  Occasion  et  convocation  de  ce  con- 
cile, 419.  En  quel  temps  ce  concile  fut  tenu. 
Nombre  des  évêques  qui  s'y  trouvèrent, 
419,  420.  Pourquoi  ce  concile  fut  assemblé 
de  toutes  les  parties  du  monde,  420.  Le  pape 
y  préside  par  ses  légats,  420  et  421.  Les 
évêques  tiennent  des  conférences  sur  les 
matières  de  la  foi,  421.  Philosophe  vaincu 
par  un  vieillard,  421  et  422.  Le  concile  s'as- 
semble dans  le  palais.  L'empereur  y  vient. 


422.  Commencement  du  concile.  On  dispute 
contre  Arius,  422  et  423.  Lettre  d'Eusèbe  de 
Nicomédie  lacérée  en  plein  concile.  Mouve- 
ments de  Constantin  pour  la  réunion  des 
évêques,  423.  Les  Eusébiens  présentent  une 
profession  de  foi  qui  est  rejetée  et  lacérée. 
Ils  inventent  de  nouveaux  termes  pour  ap- 
puyer leurs  erreurs,  423  et  424.  Le  concile 
approuve  le  terme  de  consubstantiel ,  424. 
Les  Eusébiens  rejettent  ce  terme.  Comment 
ils  sont  réfutés  dans  le  concile.  Antiquité  de 
ce  terme,  424  et  423.  Symbole  de  Nicée, 

423,  326.  Adhésion  des  évêques  à  ce  sym- 
bole, 426,  427.  Le  concile  reçoit  les  Mélé- 
ciens,  427,  428.  Décret  pour  célébrer  la 
Pâque  en  un  même  jour,  428,  429.  [Ce  décret 
est  retrouvé  et  publié  par  D.  Pitra,  327.]  Ca- 
nons du  concile  de  Nicée,  429  et  suiv.  Pre- 
mier, touchant  les  eunuques,  429,  430. 
Deuxième,  touchant  les  ordinations  des  néo- 
phytes, 430.  Troisième,  célibat  des  ecclé- 
siastiques. Remontrance  de  Paphnuce,  430 
et  431.  Quatrième,  touchant  l'ordination  des 
évêques,  431,432.  Cinquième,  touchant  leur 
juridiction,  432.  Sixième,  touchant  les  privi- 
lèges des  grands  sièges,  432  et  433.  Sep- 
tième, touchant  les  prérogatives  de  l'évêque 
de  Jérusalem,  433  et  434.  Huitième,  tou- 
chant les  Novatiens,  434.  Neuvième  et 
dixième,  touchant  l'ordijiation  des  clercs, 
434  et  433.  Onzième  et  douzième,  touchant 
la  pénitence,  433,  436.  Treizième,  touchant 
le  Viatique  que  l'on  donnait  aux  mourants  ; 
quatorzième,  touchant  la  pénitence  des  ca- 
téchumènes, 436.  Quinzième  et  seizième, 
touchant  la  translation  des  évêques,  des 
prêtres,  diacres  et  autres  clercs,  436  et  437. 
Dix-septième,  touchant  l'usure,  437.  Dix- 
huitième,  touchant  les  diacres,  437  et  438. 
Dix-neuvième,  touchant  les  Paulianistes; 
vingtième,  touchant  la  posture  qu'on  doit 
garder  en  priant  à  certains  jours,  438.  Autres 
ordonnances  du  concile  de  Nicée,  438  et  439. 
Décrets  faussement  attribués  au  concile  de 
Nicée,  439,  440.  Canons  arabiques  fausse- 
ment attribués  à  ce  concile,  440.  Les  canons 
arabiques  sont  tirés  de  divers  conciles  des 
premiers  siècles,  441.  [Publications  et  frag- 
ments coptes  sur  le  concile  de  Nicée,  441 
et  suiv.  Premier  fragment ,  441 ,  442. 
Deuxième,  troisième  et  quatrième  fragments, 

442.  Choses  nouvelles  contenues  dans  ces 
fragments,  442  et  443.  Le  sixième  canon  re- 
latif à  la  suprématie  des  souverains  pontifes, 

443,  444.]  Lettre  synodale  du  concile  de  Ni- 


230 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


325. 
331. 


333. 


335. 


cée,  445.  Lettre  de  Constantin  à  toutes  les 
Églises,  et  en  particulier  à  celle  d'Alexandrie, 
445  et  546.  Lettre  faussement  attribuée  au 
concile  de  Nicëe,  446.  Actes  qui  lui  sont 
faussement  attribués,  446  et  447.  Constantin 
donne  un  festin  aux  évéqaes  de  ce  concile. 
Ils  retournent  à  leurs  Églises,  447.  Le  con- 
cile de  Nicée  est  reçu  dans  toutes  les  Églises, 
447  et  448.  [Concile  de  Rome  pour  la  confir- 
mation du  concile  de  Nicée,  528,  529.  De  la 
confirmation  du  concile  de  Nicée  par  le  Sou- 
verain Pontife,  529  et  suiv.]  —  Constantin 
assemble  le  concile  de  Nicée  et  s'y  trouve, 
124,  125.  Lettre  qu'il  écrivit  à  toutes  les 
Églises,  et  particulièrement  à  celle  d'Alexan- 
drie, après  la  conclusion  de  ce  concile,  137, 
138.  Saint  Eustathe  d'Antioche  assista  à  ce 
concile  et  y  souscrivit,  159.  Eusèbe  de  Cé- 
sarée  y  assiste.  Comment  il  y  souscrit,  170 
et  suiv.  Osius,  évêque  de  Cordoue,  avait 
conseillé  à  Constantin  d'assembler  ce  concile. 
Il  en  dressa  le  symbole,  393.  —  Témoignage 
de  saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  le  concile 
de  Nicée,  V,  312.  —  Témoignage 'de  saint 
Ambroise,  489  et  532  ;  de  saint  Jean  Chry- 
sostôme,  VII,  369.  —  Histoire  de  ce  concile 
écrite  par  saint  Maruthas,  évêque,  auteur 
syrien,  VIII,  4.  Vénération  de  saint  Cyrille 
d'Alexandrie  pour  ce  concile,  327.  —  His- 
toire de  ce  concile  écrite  par  Gélase,  de  Cy- 
zique,  X,  533.  —  Hincmar  de  Reims,  par- 
lant de  ce  concile,  l'appelle  mystique  et 
compose  sur  cela  un  petit  traité,  XII,  685. 

CONCILE  d'Antioche  tenu  par  saint  Eus- 
tathe, in,  159. 

CONCILE  d'Antioche  contre  saint  Eustathe, 
évêque  de  cette  ville  et  Asclépas  de  Gaza,  III, 
159,  448,  449.  Lettre  que  l'empereur  Cons- 
tantin écrit  aux  évêques  de  cette  ville,  140. 

CONCILE  de  Césarée  en  Palestine.  Les  Eu- 
sébiens  s'associent  les  Méléciens  pour  accuser 
saint  Athanase  dans  ce  concile,  III,  449. 

CONCILE  de  Tyr  contre  saint  Athanase, 
III,  449  et  suiv.  De  quels  évêques  ce  concile 
était  composé.  Quelle  conduite  y  tinrent  les 
officiers  de  l'empereur,  449,  450.  Saint  Atha- 
nasey  est  accusé  de  divers  crimes,  450,  451. 
11  se  justifie  touchant  le  fait  d'Ischyras,  451. 
Députation  dans  la  Maréote.  Alexandre  de 
Thessalonique  s'y  oppose,  451,  452.  Protes- 
tation du  clergé  d'Egypte  contre  les  infor- 
mations de  la  Maréote,  453, 454.  Saint  Atha- 
nase réfute  les  autres  calomnies  dont  on  le 
chargeait,  454,  455.  Saint  Athanase  se  sauve 
de  Tyr.  Il  est  déposé  par  le  concile  qui  écrit 


partout  contre  lui;  le  concile  reçoit  les  IMé- 
léciens  à  la  communion  de  l'Église.  Il  donne 
à  Ischyras  le  nom  d'évêque,  455.  Saint 
Athanase  se  plaint  à  l'empereur  du  jugement 
rendu  contre  lui  à  Tyr.  Il  demande  un  con- 
cile légitime,  455,  456.  Ce  fut  par  Constan- 
tin que  ce  concile  fut  assemblé,  125.  Lettre 
de  Constantin  aux  évêques  de  ce  concile, 
141,  142.  Eusèbe  de  Césarée  y  assiste,  et 
s'yjointaux  ennemis  de  saint  Athanase,  173. 

CONCILE  de  Jérusalem,  III,  456,  437.  Ce 
fut  par  Constantin  qu'il  fut  assemblé,  125. 
Les  Eusébiens  y  reçoivent  Arius  à  la  com- 
munion de  l'Église,  456.  Lettre  de  ce  concile 
à  l'Église  d'Alexandrie  et  à  l'empereur,  456, 
457.  Marcel  d'Ancyre  y  fut  cité,  457  et  IV, 
305. 

CONCILE  de  Constantinople  contre  Marcel 
d'Ancyre,  III,  457  et  suiv.  et  IV,  306. 

CONCILE  de  Constantinople  contre  Paul, 
évêque  de  cette  ville,  III,  459. 

CONCILE  d'Antioche.  Pistus  y  est  or- 
donné évêque  d'Alexandrie,  111,  459,  460. 

CONCILE  d'Alexandrie  pour  saint  Atha- 
nase. Lettre  des  évêques  de  ce  concile  pour 
la  défense  de  ce  saint  évêque,  III,  460  et 
suiv. 

CONCILE  de  Rome  pour  saint  Athanase. 
Marcel  d'Ancyre  excommunié  y  est  reçu  à  la 
communion  de  l'Église,  et  Asclépas  de  Gaza 
déposé  y  est  rétabli,  III,  464. 

CONCILE  d'Antioche,  dit  de  la  Dédicace, 
III,  464  et  suiv.  De  quels  évêques  ce  concile 
est  composé.  L'empereur  Constantin  y 
assiste,  464,  465.  Première  formule  d'Antio- 
che faite  par  les  seuls  Eusébiens,  465.  Se- 
conde formule,  première  du  concile,  465  et 
466.  Troisième  formule  du  concile,  466. 
Canons  du  concile  d'Antioche  sur  divers 
points  de  discipline,  466  et  suiv.  Autorité  de 
ces  canons.  Ils  sont  tous  de  ce  concile.  Ré- 
ponse aux  objections  contre  ce  sentiment, 
471,  472,  Lettre  synodale  du  concile  d'An- 
tioche, 472.  —  La  doctrine  de  Marcel  d'An- 
cyre est  condamnée  dans  ce  concile,  IV,  305. 

CONCILE  d'Antioche  des  seuls  Eusébiens 
cont'.J  saint  Athanase.  Ils  ordonnent  en  sa 
place  Grégoire  de  Gappadoce  et  le  mettent 
sur  le  siège  d'Alexandrie,  III,  473. 

[CONCILE  tenu  à  Naisse  auquel  assiste 
saint  Athanase,  IV,  163.] 

CONCILE  d'Antioche  tenu  par  les  Eusé- 
biens qui  y  dressent  la  formule  macrostiche, 
III,  473,  474. 

CONCILE  de  Milan.  Les  Eusébiens  y  pre- 


ssa. 


336. 


339. 


339. 


341 


3«. 


au. 


3i5. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


231 


sentent  la  formule  qu'ils  avaient  dressée  à 
Aniioche,  III,  474. 
346.  CONCILE  de  Cologne  pour  la  déposition 

d'Euphratas,  évêque  de  cette  ville,  111,  474. 
Preuves  de  la  fausseté  des  actes  de  ce  con- 
cile, 474  et  473.  [Notes  relatives  à  la  réalité 
du  concile  de  Cologne,  473,  notes  2  et  8.] 
UN  plutôt  CONCILE  de  Sardique,  III,  473  et  suiv.  [Da- 
-"  213-  te  véritable  de  ce  concile,  163  et  473,  n.  8.] 
Histoire  de  ce  concile,  473  et  suiv. Les  évoques 
demandent  un  concile  à  l'empereur  Constant, 
celui-ci  écrit  à  son  frère  Constantin  pour  ce  su_ 
jet,  473, 476. Les  empereurs  s'accordent  pour 
la  convocation  d'un  concile  et  l'indiquent  à 
Sardique,  476.  [Ce  concile  fut  convoqué  par 
l'autorité  du  pape,  476,  note  6.]  Nombre  des 
évoques  qui  assistèrent  à  ce  concile,   476, 

477.  Osius,  évéquede  Cordoue,  préside  à  ce 
concile,  et  après  lui  les  légats  du  pape  saint 
Jules  ;  Protogène,  évêque  de  Sardique,  est 
l'un  des  principaux  chefs  de  ce  concile,  477. 
Principaux  évêques  qui  y  assistèrent,  477  et 

478.  Les  Eusébiens  viennent  à  Sardique  au 
nombre  de  soixante-seize  ou  quatre-vingts. 
Noms   des   principaux    de   leur  parti,  478, 

479.  Saint  Athanase  et  les  autres  évêques 
accusés  se  trouvent  à  ce  concile.  On  y  porte 
de  tous  côtés  des  plaintes  contre  les  violen- 
ces des  Eusébiens,  479.  Les  Orientaux  crai- 
gnirent d'abord  de  venir  à  Sardique.  Ils  ne 
laissèrent  pas  de  se  mettre  en  chemin  dans 
l'espérance  de  dominer  ce  concile,  comme  à 
l'ordinaire  ;  mais  voyant  que  les  choses  se 
tournaient  autrement,  ils  complotèrent  en- 
tre eux  de  s'enfuir  de  Sardique  aussitôt  qu'ils 
y  seraient  arrivés,  479  et  480.  Ils  se  logent 
dans  le  palais  et  ne  permettent  à  aucun  des 
leurs  de  venir  dans  le  concile.  Deux  d'entre 
eux  les  abandonnent  et  découvrent  dans  le 
concile  leurs  mauvais  desseins,  480.  Les  Eu- 
sébiens demandent  que  saint  Athanase  et  les 
autres  accusés  soient  exclus  de  l'assemblée 
des  évêques.  On  refuse  et  on  les  cite  eux- 
mêmes  au  concile,  480  et  481.  Vains 
prétestes  des  Eusébiens  pour  ne  pas  se  pré- 
senter au  concile,  481,  482.  Ils  proposent 
une  nouvelle  information  dans  la  Maréote. 
Raisons  pour  ne  pas  accepter  ce  moyen; 
Osius  les  presse  de  produire  leurs  preuves 
au  moins  devant  lui  seul.  Il  leur  offre  même 
d'emmener  avec  lui  saint  Anathase  en  Espa- 
gne pour  le  bien  de  la  paix,  482.  Les  Eusé- 
biens s'enfuient  de  Sardique  durant  la  nuit. 
Prétexte  qu'ils  inventent  pour  pallier  leur 
fuite,  482  et  483.  Ce  qui  se  passa  au  concile 


après  la  fuite  des  Eusébiens.  On  refuse  défaire 
quelque  chose  de  nouveau  touchant  la  foi, 
pour  s'en  tenir  au  concile  de  Nicée,  483.  Le 
concile  examine  la  cause  de  saint  Athanase  et 
l'absout,  483  et  484.  Il  absout  de  même  Mar- 
cel, Asclépas  et  les  autres  accusés,  484.  Il 
dépose  et  anathématise  les  chefs  des  Eusé- 
biens, 484  et  483.  Canons  du  concile  de  Sar- 
dique, 483  et  suiv.  Contre  les  translations 
des  évêques,   483.  On  permet  aux  évêques 
déposés  dans  un  concile  de  la  province  d'en 
appeler  à  l'évèque  de  Rome,  485  et  486. 
[Sur  l'appel  à  Rome,  voir  486,  note  7.]  On 
doit  passer  outre  à  l'ordination  d'un  évêque 
élu,  encore  qu'il  y  en  ait  de  la  province  qui 
refusent  de  s'y  trouver.  Défense  d'ériger  de 
nouveaux  évêchés  dans   les   petites   villes, 
486.  Contre  les  fréquents  voyages  des  évê- 
ques à  la  cour,  486  et  suiv.  Défense  d'or- 
donner évêques  ceux  qui  ne  sont  pas  passés 
par  les  autres  ordres,  488,  489.  Règlements 
touchant  la  résidence  des  évêques  dans  leur 
diocèse,  488  et  489.  Défense  de  recevoir  à 
la  communion  un  clerc  qui  en  a  été  privé 
par  son  évêque.  On  permet  à  un  diacre  ou 
à  un  prêtre  déposé  ou  excommunié  par  son 
évêque,  d'en  appeler  aux  évêques  de  la  pro- 
vince,  489.   Diverses  lettres  synodales  du 
concile  de  Sardique,  490.  Analyse  de  celle 
qu'il  écrivit  à  l'église  d'Alexandrie,  490  et 
491.  Lettre  circulaire    à  tous  les  évêques 
491,  492.  Lettre  au  pape  Jules,  492.  Lettre 
aux  empereurs,  492  et  493.  Autorité  du  con- 
cile de  Sardique  et  de  ses  canons,  493,  494. 
Le  pape  Jules  avait  demandé  ce  concile  et  y 
présida  par  ses  légats,  378.  Osius  de  Cor- 
doue en  obtint  la  convocation  et  y  présida, 
393.  —  Entre  les  collections  des  canons  faites 
par  les  Grecs,  celle  de  Jean  le  Scholastique 
est  la  seule  qui  contienne  les  canons  du  con- 
cile de  Sardique,  XI,  333. 

CONCILE  de  Sardique  (Faux)  III,  494  et  s.  3i-,„„^ie„^ 
[Date  véritable  de  ce  conciabule,  163  et  494,  <'"  3*^- 
note  3.]  Les  Eusébiens  assemblés  à  Philippo- 
polis  datent  leur  lettre  de  Sardique.  Quel 
était  le  but  de  cette  fiction,  494,  A  qui  cette 
lettre  fut  adressée,  494,  493.  Analyse  de 
cette  lettre,  493,  496.  Formule  de  foi  du 
faux  concile  de  Sardique,  496.  Marcel  d'An- 
cyre  y  est  de  nouveau  condamné,  496  et 
IV,  307. 

CONCILE  de  Milan  contre   Photin,   III,     347  „„  346. 
497,  498.  Histoire  de  cet  hérésiarque,  497. 
Il  est  retranché  et  déposé  dans  le  concile  de 
Milan.  Il  ne  se  soumet  pas,  497  et  498.  On  a 


232 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


348ou3i3. 


349. 


349  ou  350. 


349. 


350. 


351. 


Entre 
341  et  381. 


V.  380. 


352. 


355. 


356. 


357. 


confondu  ce  concile  avec  celui  de  Sardique, 
498. 

CONCILE  de  Carthage  (Premier).  Quelle 
fut  l'occasion  de  ce  concile;  date  de  ce  con- 
cile, m,  498.  L'évêque  Gratus  propose  la 
question  de  la  rebaptisation,  et  en  fait  la 
matière  du  premier  canon  de  ce  concile, 
498  et  499.  Autres  canons  de  ce  même  con- 
cile, 499  et  suiv.  —  Premier  canon  de  ce 
concile,  V,  140. 

CONCILE  de  Jérusalem.  Saint  Athanase  y 
est  muni  de  lettres  en  sa  faveur,  III,  SOI. 

CONCILE  d'Alexandrie  tenu  par  saint 
Athanase,  III,  501. 

CONCILE  de  Milan,  le  second  contre  Pho- 
tiu,  m,  SOI.  Ursace  et  Valens  y  rétractent 
leurs  calomnies  contre  saint  Athanase,  et  en 
écrivent  à  ce  sujet  au  pape  saint  Jules,  501 
et  suiv. 

CONCILE  de  Sirmium  :  troisième  contre 
Photin,  III,  503.  Formule  des  Orientaux 
dans  ce  concile,  503  et  504. 

CONCILE  de  Sirmium  :  quatrième  contre 
Photin,  III,  504  et  suiv.  Photin  y  est  chassé 
et  déposé,  504.  Formulaire  de  foi  de  ce  con- 
cile, 504  et  505.  Ce  qu'on  a  pensé  de  celte 
formule.  Elle  est  orthodoxe,  505  et  suiv. 
Photin  obtient  la  permission  de  disputer  con- 
tre les  évoques  du  concile.  Il  est  confondu,  507. 

CONCILE  de  Laodicée,  III,  508  et  suiv.  Le 
temps  de  ce  concile  est  incertain,  508,  509. 
Canons  de  ce  concile,  509  et  suiv.  Ce  con- 
cile était  composé  des  évêques  d'Asie,  513, 
514. 

CONCILE  de  Gangres,  III,  514  et  suiv. 
L'époque  de  ce  concile  est  incertaine.  En 
quel  temps  on  peut  le  mettre,  514.  Eustathe 
qui  y  fut  déposé  est  Eustathe  de  Sébaste, 

514  et  515.  Qui  était  Eustathe  de  Sébaste, 

515  et  suiv. 
517,  518. 

CONCILE  de  Rome  où  l'on  examine  l'af- 
faire de  saint  Athanase,  III,  519,  S20. 

CONCILE  d'Arles.  Les  Eusébiens  s'effor- 
cent d'y  faire  condamner  saint  Athanase, 
III,  521  et  suiv. 

CONCILE  de  Milan.  Constance  y  demande 
la  condamnation  de  saint  Athanase,  III,  S22 
et  suiv.  et  IV,  100. 

CONCILE  de  Béziers.  Saint  Hilaire  y  dé- 
nonce les  protecteurs  de  l'hérésie  arienne, 
m,  S26. 

CONCILE  de  Sirmium.  Formule  impie  qui 
y  fut  dressée.  Elle  est  condamnée  dans  les 
Gaules,  IV,  349,  350. 


Canons  du  concile  de  Gangres, 


CONCILE  d'Antioche.  Les  Anoméens  y 
reçoivent  la  précédente  formule  de  Sirmium, 
IV,  530. 

CONCILE  d'Ancyi'e  par  les  Semi-Ariens, 

IV,  330  et  suiv.  Lettre  du  concile  d'Ancyre 
lue  à  Sirmium,  551,  332.  Décrets  d'Ancyre 
signés  à  Sirmium  par  les  Anoméens,  531, 
532. 

CONCILE  de  Sirmium.  Formule  ou  con- 
fession de  foi  qui  y  fut  faite,  IV,  552,  333. 

CONCILE  de  Rimini,  IV,  335  et  suiv.  Quels 
évêques  s'y  trouvèrent;  lettre  deConstantius 
aux  évêques  de  ce  concile,  535.  Les  Ariens 
présentent  au  concile  la  dernière  formule  de 
Sirmium,  555  et  556. Argument  des  évêques 
catholiques  contre  celte  formule,  356.  Décret 
de  ce  concile,  556  et  557.  Condamnation 
d'Ursace,  Valens,  Caïus  et  Germinius,  557, 

558.  Les  catholiques  envoient  leurs  députés 
à  l'empereur.  Les  Ariens  députent  aussi  vers 
ce  prince,  538.  Lettre  du  concile  à  l'empe- 
reur, 558  et  559.  L'empereur  reçoit  favora- 
blement les  députés  des  Ariens.  Ceux  des 
catholiquesne  peuvent  parvenir  à  lui  parler, 

559.  560.  Lettre  de  Constantius  au  concile. 
Réponse  des  pères  du  concile  à  l'empereur, 

560.  Chute  des  députés  du  concile.  Ils  sous- 
crivent à  la  formule  appelée  de  Nice  ou  de 
Rimini,  560  et  361.  Retour  des  députés. 
Chute  du  grand  nombre  des  évêques;  Res- 
titut,  évêque  de  Carthage,  et  les  autres  dé- 
putés des  catholiques  font  un  acte  de  réunion 
avec  les  Ariens,  SGI.  Constance  donne  des 
ordres  pour  faire  souscrire  la  formule  de 
Rimini,  361  et  562.  Lettre  des  évêques 
ariens  à  l'empereur,  562.  Les  Ariens  sur- 
prennent saint  Phébade  d'Agen  et  saint  Ser- 
vais de  Tongres,  563,  564.  Conclusions  du 
concile,  563,  564.  Protestation  de  Valens, 
564.  Fin  du  concile.  Les  Ariens  sont  députés 
vers  l'empereur,  565.  —  Saint  Phébade, 
évêque  d'Agen,  assiste  au  concile  de  Rimini, 

V,  372.  Sa  fermeté  dans  ce  concile;  il  se 
laisse  surprendre  aux  artifices  des  Ariens, 
373.  Témoignage  de  saint  Ambroise  sur  ce 
concile,  488  et  332.  —  [Note  relative  au  con- 
cile de  Rimini,  IV,  565,  note  4.] 

CONCILE  de  Séleucie,  IV,  565  et  suiv. 
Quels  évêques  y  assistèrent;  saint  Hilaire  de 
Poitiers  y  est  reçu  favorablement,  563,  366. 
Artifice  des  Ariensdans  ce  concile,  566.  Quel 
était  le  parti  d'Acace  de  Césarée,  566  et  567. 
Les  Acaciens  rejettent  le  symbole  de  Nicée 
et  prennent  pour  règle  la  troisième  formule 
de  Sirmium  ;  ils  refusent  la  profession  de  foi 


358. 


350. 


359. 


359. 


359. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


233 


360. 


de  la  dédicace  d'Antioche;  ils  se  retirent  du 
concile  sur  le  refus  que  saint  Cyrille  de  Jéru- 
salem fait  d'en  sortir,  567,  368.  Les  Semi- 
Ariens  souscrivent  au  formulaire  d'Antioche  ; 
formule  équivoque  des  Acaciens,  568.  Léo- 
nas,  officier  de  l'empereur,  produit  au  con- 
cile un  acte  des  Acaciens,  568  et  569.  Saint 
Hilaire  de  Poitiers  découvre  les  sentiments 
des  purs  Ariens,  569.  Nouvelles  disputes  dans 
le  concile;  Léonas  le  rompt  pour  favoriser 
les  Acaciens,  569,  370.  Les  Semi-Ariens  dé- 
posent les  é vaques  Ariens;  ils  rétablissent 
dans  son  siège  saint  Cyrille  de  Jérusalem, 
déposé  par  Acace  de  Gésarée,  570.  Le  con- 
cile envoie  des  députés  à  l'empereur;  les 
Acaciens  les  préviennent  et  disposent  l'es- 
prit de  l'empereur,  370  et  571.  Les  députés 
sont  reçus  de  l'empereur  ;  ce  prince  découvre 
les  blasphèmes  d'Aétius,  37i,  572.  Opiniâ- 
treté des  Ariens;  fermeté  des  évoques  du 
concile,  372.  Constance  assiste  au  jugement 
contre  Aétius;  cet  hérétique  est  confondu; 
les  évêques  députés  du  concile  de  Séleucie 
veulent  engager  Ursace  et  ceux  de  leur  parti 
à  condamner  les  blasphèmes  d'Aétius;  les 
chefs  des  Ariens,  au  contraire,  communi- 
quent avec  ceux  que  le  concile  de  Séleucie 
avait  déposés  ;  ils  s'élèvent  contre  saint  Hi- 
laire de  Poitiers,  573.  Les  Anoméens  persua- 
dent aux  députés  de  Séleucie  de  recevoir  le 
formulaire  de  Rimini;  l'empereur  entre  dans 
cette  proposition  et  use  de  son  autorité  pour 
la  faire  signer,  573  et  574.  —  Témoignage  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  ce  concile,  V, 
216  et  312. 

CONCILE  de  Constantinople  assemblé  par 
les  Acaciens,  IV,  574  et  suiv.  Saint  Hilaire 
est  à  Constantinople  pendant  la  tenue  de  ce 
concile,  374,  373.  Les  Ariens  refusent  de  dis- 
puter avec  lui  ;  formulaire  de  Constantinople, 
575.  Aétius  condamné  dans  le  concile  de 
Constantinople,  575  et  576.  Il  est  envoyé  en 
exil  ;  il  y  compose  divers  écrits,  576,  577.  Ses 
lettres  ;  évêques  déposés  dans  le  concile  de 
Constantinple  ;  Macédonius  en  est  un,  577.  Ba- 
sile d'Ancyre,  déposé,  577  et  578  ;  avec  Eusta- 
the  de  Sébaste,  Eleuse  de  Cyzique,  Héortase 
etDraconce,  Silvain  et  Sophrone,  Néonas,El- 
pidius,  578,  et  enfin  saint  Cyrille  de  Jérusa- 
lem, 578,  379,  etV,  28.  Les  Acaciens,  après 
avoir  déposé  ces  évêques,  les  font  exiler,  IV, 
379.  Les  évêques  exilés  révoquent  la  signa- 
ture du  formulaire  de  Rimini  ;  évêques  mis 
en  leur  place,  579  et  380.  Eudoxe  sur  le 
siège  de  Constantinople;  ses  impiétés  dans 


les  discours  à  l'occasion  de  la  dédicace 
de  l'église  de  Sainte-Sophie  ;  autres  évêques 
intrus,  580.  Formule  de  Rimini  envoyée  pour 
être  signée  dans  les  provinces  d'Orient,  580, 
381 .  Elle  est  aussi  envoyée  dans  les  provinces 
d'Occident,  381,  582. 

CONCILE  de  Mélitine,  IV,  382.  Avam  360. 

CONCILE  d'Achaïe  (Faux),  IV,  382. 

CONCILES  des  Gaules  contre  les  Ariens,         360. 
IV,  382. 

CONCILE  de  Paris,  IV,  582.  Lettre  syno-    360ou36i. 
date  de  ce  concile,  382  et  suiv.  —  Saint  Phé- 
bade  paraît  y  avoir  assisté,  V,  373. 

CONCILE  d'Antioche,  IV,584etsuiv.  Saint  36i. 
Mélèce  est  ordonné  évêque  de  cette  ville, 
584.  Il  prononce  un  discours  sur  le  verset  22 
du  huitième  chapitre  des  Proverbes  ;  il  est 
chassé  et  Euzoïus  mis  à  sa  place,  583.  Eu- 
sèbe  de  Samosate  refuse  de  rendre  le  décret 
de  l'élection  de  saint  Mélèce,  585  et  586.  — 
Élection  de  saint  Mélèce  dans  le  concile 
d'Antioche,  V,  5  et  suiv. 

CONCILE  d'Antioche  tenu  par  les  Aca-        36i. 
ciens,  IV,  586. 

CONCILES  et  formulaires  des  Ariens  rap- 
portés par  saint  Athanase,  IV,  134,  133. 

CONCILE  d'Alexandrie,  IV,  587  et   suiv.         362. 
Retour  des  évêques  exilés;  ils  s'assemblent 
à  Alexandrie,  587,  588.  Actes  de  ce  concile, 

588.  Décret  de  ce  concile  touchant  les  tom- 
bés; ce  décret  est  confirmé  partout,  388  et 

589.  Divinité  du  Saint-Esprit  établie  par  ce 
concile,  589,  390.  Question  sur  le  sens  des 
termes  de  substance  et  â'hypostase  exami- 
née dans  ce  concile,  590,  391.  Doctrine  de  ce 
concile  sur  l'Incarnation,  591,  592.  Lettre 
synodale  de  ce  concile,  592,  593.  Évêques 
qui  y  souscrivirent  ;  profession  de  Paulin 
d'Antioche,  593.  Autres  lettres  du  concile 
d'Alexandrie,  393  et  394. 

CONCILE  de  Théveste  en  Numidie,  tenu         362. 
par  les  Donatistes,  IV,  394  et  V,  113.  Leurs 
violences  à  Lémelle  dans  la  Mauritanie,  IV, 
594. 

CONCILES  des  Macédoniens  à  Zèle  dans  le         362. 
Pont  et  à  Antioche,  IV,  595. 

CONCILE  d'Alexandrie,  IV,  595.  Lettre  de        363. 
saint  Athanase  au  nom  de  ce  concile,  396, 
597. 

CONCILE  d'Antioche,  IV,  597. Lettre  syno-        363. 
dale  de  ce  concile,  397  et  398. 

CONCILE  de  Lampsaque  par  les  Macédo-         365. 
niens,  IV,  598,  599. 

CONCILE  de  Nicomédie  par  les  Ariens,  IV,         gge. 
599. 


234 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


36G. 


367. 


367. 


369. 


370. 


372, 


373. 


374. 


375. 


375. 


376. 


377. 


375  011  377. 


378. 


CONCILE  des  Semi-Ariens  de  Sicile  et  de 
Sing-idonJV,  599. 

CONCILE  de  Tyanes.  Les  Semi-Ariens  de- 
mandent lin  concile  à  Tarse,  IV,  599,  600. 

CONCILE  d'Antioclie  dans  la  Carie.  II  est 
ordonné  de  s'en  tenir  à  la  confession  de  loi 
de  la  dédicace  d'Antioclie,  IV,  600. 

CONCILE  de  Rome  sous  le  pape  saint  Da- 
mase,  V,  13. 

CONCILE  dont  on  ignore  le  lieu,  et  dans 
lequel  nn  évêcjae  nommé  Chronope  est  dé- 
posé, IV,  600. 

CONCILE  de  Rome  sous  le  pape  saint  Da- 
mase,  V,  13. 

CONCILE  de  Rome  sous  le  même  pape, 
IV,  14. 

CONCILE  de  Nicople  où  saint  Basile  se 
trouva,  IV,  360. 

CONCILE  de  Valence  dans  les  Gaules,  IV, 
600  etsuiv.  Quelsévéquesy  assistèrent,  600, 
601.  Sujet  de  la  convocation  de  ce  concile, 
601.  Canons  de  ce  concile,  601  et  602.  Lettre 
de  ce  concile  ;  décrets  attribués  à  ce  concile, 
602. 

CONCILE  d'IUyrie.  Motifs  de  la  convocation 
de  ce  concile,  IV,  602.  Lettre  synodale  et  dé- 
cret du  concile,  602  et  603.  Rescrit  ou  loi  de 
Valentinien  en  faveur  du  concile,  603.  — 
Lettre  des  empereurs  Valentinien  I"  et  Va- 
lens  en  faveur  de  ce  concile,  VI,  357,  358. 

CONCILE  d'Ancyre  tenu  par  les  Ariens, 
IV,  603,  604.  Démosthène  y  fait  déposer 
Hypsius,  évéque  de  cette  ville,  604.  Saint 
Grégoire  de  Nysse  y  est  cité,  604.  Témoi- 
gnage de  saint  Basile  sur  ce  concile,  476.  — 
Accusations  qui  y  furent  formées  contre  saint 
Grégoire  de  Nysse,  VI,  121. 

CONCILE  de  Nysse  tenu  par  les  Ariens, 
IV,  604  et  VI,  121. 

CONCILE  de  Cyzique.  Blasphèmes  expri- 
més dans  la  profession  de  foi  d'Eustathe  de 
Sébasle,  IV,  604. 

CONCILE  d'Icône  tenu  par  saint  Amphilo- 
que,  évêque  de  celte  ville,  IV,  605.  Lettre  de 
ce  concile,  605  et  V,  366.  Saint  Basile  fut 
invité  à  ce  concile  ;  son  livre  du  Saint-Esprit 
y  tient  sa  place,  IV,  363  et  424. 

CONCILE  de  Rome,  605  et  suiv.  Les  er- 
reurs d'Apollinaire  y  sont  condamnées,  606, 
607;  V,  87.  Dispute  entre  Pierre  d'Alexan- 
drie et  Dorothée,  député  des  Orientaux  dans 
ce  concile,  IV,  607,  608.  Décret  du  concile; 
décret  attribué  à  ce  concile,  608. 

CONCILE  de  Rome, 608etsuiv.Quelleenfut 
l'occasion,  608.  Autres  motifs  de  la  convoca- 


tion de  ce  concile,  608  et  609.  Lettre  du  con- 
cile aux  empereurs,  609,  610.  Loi  deGralien 
à  cette  occasion,  610,  611. — Apollinaire  fut 
condamné  dans  ce  concile,  V,  17  et  88. 

CONCILE  d'Antioche.  Quelle  en  fut  l'occa- 
sion ;  actes  de  ce  concile,  IV,  611.  Apolli- 
naire y  est  condamné,  611  et  V,  88. — Saint 
Grégoire  de  Nysse  y  assiste,  VI,  121. 

CONCILE  de  Rome,  IV,  611  et  sinv.  En 
quel  temps,  611.  Confession  de  foi  qui  y  fut 
dressée,  612,  613;  V,  17. 

CONCILE  de  Saragosse  contre  les  Priscil- 
lianistes,  IV,  613  et  suiv.  De  quels  évêques 
il  fut  composé,  615.  Canons  de  ce  concile, 
615  et  616. 

CONCILE  œcuménique  de  Gonstantinople 
(Premier),  IV,  616  et  suiv.  Pourquoi  il  fut 
assemblé  ;  nombre  des  évêques  qui  le  com- 
posaient ;  les  évêques  Macédoniens  sont  ap- 
pelés au  concile,  618.  Présidents  du  concile  ; 
honneurs  rendus  à  saint  Mélèce  par  l'empe- 
reur Théodose,  618  et  619.  Saint  Grégoire  de 
Nazianze,  nommé  évêque  de  Gonstantinople, 
619.  Saint  Mélèce,  qui  présidait  au  concile, 
étant  mort,  saint  Grégoire  préside  à  sa  place, 
619  et  620.  Contestation  dans  le  concile  sur 
le  choix  d'un  évêque  d'Antioche  ;  Flavien  est 
élu  pour  ce  siège,  620.  Les  évêques  d'Egypte 
et  de  Macédoine  arrivent  au  concile;  leur 
murmure  contre  saint  Grégoire  ;  il  quitte  le 
siège  de  Gonstantinople,  620  et  621.  Nectaire 
est  mis  à  sa  place,  621.  Symbole  de  Gons- 
tantinople, 621  et  622.  Les  Macédoniens  se 
retirent  du  concile,  622.  Canons  de  ce  con- 
cile, 622  et  suiv.  Lettre  du  concile  de  Gons- 
tantinople à  Théodose,  625.  Loi  de  l'empe- 
reur pour  l'exécution  de  ce  qui  avait  été  ré- 
glé par  le  concile,  625  et  626.  En  quel  temps 
finit  ce  concile,  626.  Autorité  des  canons  de 
ce  concile  ;  il  est  reconnu  pour  œcuménique, 
626  et  suiv.  —  Apollinaire  y  fut  condamné, 
V,  88.  Discours  de  saint  Grégoire  de  Nazianze 
au  sortir  de  cette  ville  aux  évêques  du  con- 
cile, 190.  —  Témoignage  de  Théodoret  sur 
ce  concile,  X,  48. 

CONCILE  d'Aquilée,  IV,  628  et  suiv.  Con- 
vocation de  ce  concile  par  l'empereur  Gra- 
tien,  628,  629.  Les  évêques  d'Orient  n'y 
viennent  pas;  quels  furent  ceux  d'Occident  qui 
y  vinrent,  629.  Saint  Valérien  préside  au 
concile  ;  saint  Ambroise  y  a  la  principale 
part,  629,  et  V,  382.  Actes  du  concile  d'A- 
quilée ;  conférence  de  saint  Ambroise  et  de 
Pallade,  évêque  arien,  IV,  629  et  suiv.  Doc- 
trine de  ce  concile,  630  et  suiv.  Éternité  du 


379. 


379. 


380. 


381. 


381. 
379. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


233 


Fils  de  Dieu,  630,  631.  Divinité  du  61s  de 
Dieu;  incorruptibilité  et  immortalité  du  Fils 
selon  sa  génération  divine  ;  sa  sagesse,  sa 
bonté,  sa  puissance,  631,  Egalité  du  Fils  de 
Dieu,  631  et  632.  Condamnation  de  Pallade, 
de  Secondien  et  d'Attale,  632,  633.  Lettre 
du  concile  d'Aquilée  aux  provinces  qui 
avaient  envoyé  des  députés  au  concile  ; 
Lettre  du  concile  aux  trois  empereurs  pour 
les  informer  du  succès  du  concile,  633.  Au- 
tre lettre  du  concile  aux  empereurs,  mais 
proprement  pour  Gratien  au  sujet  du  schisme 
d'Ursin,  633  et  634,  Y,  18.  Autre  lettre  aux 
empereurs,  mais  particulièrement  à  Tbéo- 
dose,  pour  procurer  entièrement  la  paix  à 
l'Église,  IV,  634.  —  Ces  quatre  lettres  se 
trouvent  entre  celles  de  saint  Ambroise,  V, 
483.  Ce  qui  se  passa  dans  ce  concile,  18. 

381.  CONCILE  d'Italie  contre  les  erreurs  d'A- 
pollinaire, IV,  633  et  suiv  —  Saint  Am- 
broise y  préside,  633,  et  V,  382,  383.  —Pre- 
mière lettre  du  concile  à  Théodose,  IV,  635. 
Seconde  lettre,  633  et  636. 

382  CONCILE  de  Constantinople  (Deuxième), 

IV,  636  et  suiv.  L'empereur  Théodose  re- 
fuse à  saint  Ambroise  l'autorisation  de  faire 
tenir  le  concile  à  Rome;  il  l'indique  à  Cons- 
tantinople, et  y  invite  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze,  636,  et  V,  191.  Lettre  synodale  de  ce 
concile  en  réponse  à  celle  des  évoques  occi- 
dentaux, IV,  636,  637.  [Observation  sur  cette 
lettre,  637,  n.  l.J  Condamnation  de  l'hérésie 
d'Apollinaire,  637,  638,  et  V,  88. 

382.  CONCILE  de  Rome.  Quels  évoques  y  assis- 
tèrent, IV,  638. 

383.  CONCILE  de  Constantinople  (Troisième), 
IV,  638  et  suiv.  Il  se  trouve  à  ce  concile  des 
évêques  de  toutes  les  sectes,  638.  Ce  qui  se 
passa  dans  ce  concile,  639,  640. 

384.  CONCILE  de  Bordeaux  contre  les  Priscil- 
lianistes,  IV,  640,  641. 

385.  CONCILE  de  Trêves  tenu  par  les  Ithaciens, 
IV,  641,  642. 

386.  CONCILE  de  Rome,  IV,  642  et  suiv.  Ordon- 
nances de  ce  concile;  réponse  aux  objections 
contre  ce  concile,  642  et  suiv.  [Note  sur  le 
premier  canon  de  ce  concile,  642,  n.  1.] 

389.  CONCILE  de  Nimes,  IV,  644. 

Mou 389.        CONCILE  d'Antioche,  IV,  644,  645. 

390.  CONCILE  d'Antioche  contrelesMessaliens, 
IV,  645,  646. 

190  ou  391.  CONCILE  de  Side  contre  les  Messaliens, 
IV,  646,  647.  —  Saint  Amphiloque  y  pré- 
side, V,  368.  —  Saint  Maruthas  y  assiste, 
VIII,  3. 


CONCILE  de  Carthage  où  l'on  indique  ce-        sgo. 
lui  qui  va  suivre,  IV,  647. 

CONCILE   de   Carthage   (Deuxième),  IV,         390. 
647  et  suiv.  Canons  de  ce  concile  648  et 
suiv. 

CONCILE  de  Rome  contre  Jovinien,  IV,         390. 
60O  et  suiv.  —  Jovinien  y  est  condamné,  V, 
389. 

CONCILE  de  Milan  contre  Jovinien  ;  lettre 
de  ce  concile,  IV,  632,  633.  —  Jovinien  y 
est  condamné,  V,  389. 

CONCILE  de  Milan  (peut-être  le  même) 
contre  les  Itliaciens,  IV,  653. 

CONCILE  de  Capoue  tenu  pour  traiter  39i. 
du  schisme  d'Antioche,  IV,  653  et  suiv.,  et 
VIII,  238.  Quelles  furent  les  suites  de  ce 
concile,  IV,  654,  655.  Décrets  du  concile  de 
Capoue,  655.  Ce  concile  traite  de  l'affaire 
de  Bonose,  653  et  636.  Suite  de  cette  affaire, 
636.  —  L'hérésie  de  Bonose  y  est  condamnée, 
V,  454.  Le  concile  renvoie  aux  évêques  d'E- 
gypte le  jugement  du  différend  d'Évagre  et 
de  Flavien  pour  le  siège  d'Antioche,  498. — 
Ce  qu'il  prononça  sur  Bonose,  VI,  107. 

CONCILE  de  Sangare  tenu  par  les  Nova-        392. 
tiens,  IV,  637,  638.   Quelle  fut  l'occasion  de 
concile,  657.   Décret  de  ce  concile,  657  et 
658.  Dans  ce  concile,  on  cite  un  décret  d'un 
concile  de  Paze  touchant  la  Pâque,  657. 

CONCILE  de  Carthage  tenu  par  les  Dona-         393. 
tistes,   à  l'occasion  du  schisme  qui  s'élève 
entre  Maximien  et  Primien,  IV,  658. 

CONCILE  de  Carbasussi  tenu  par  les  Do-         393. 
natistes,  638,  659.  Primien  y  est  déposé  ; 
Maximien  y  est  mis  à  sa  place,  659. 

CONCILE  de  Bagaïa  contre  l'élection  de        394. 
Maximien,  IV,  639,  660. 

CONCILE  général  d'Afrique  tenu  à  Hip-  393. 
pone,  VII,  712  et  suiv.  A  quelle  occasion  il 
fut  tenu  ;  saint  Augustin  y  explique  le  sym- 
bole, 712.  Canons  de  ce  concile,  712  et  suiv.; 
touchant  la  pâque,  712,  713  ;  touchant  la 
célébration  des  conciles,  713  ;  touchant  la 
primatie  de  Stèfe,  713,  714.  Difficultés  sur 
l'abrégé  des  canons  du  concile  d'Hippone, 
714.  Ce  que  contiennent  ces  canons,  714  et 
713.  Autres  canons  du  concile  d'Hippone, 
713,  716. 

CONCILE  de  Carthage  dont  les  actes  sont        394. 
perdus,  VII,  716. 

CONCILE  général  d'Afrique,  tenuà  Adru- 
met,  et  dont  les  actes  sont  perdus,  VII, 
716. 

CONCILE  de  Constantinople,  VII,  716, 717.        394 
Quelle  en  fut  l'occasion,  716.  Actes  de  ce 


236 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


concile  ;  ce  qui  s'y  est  passé  de  remarqua- 
ble, 7d7. 

397.  CONCILE  de  Cartbage  tenu  avant  le  con- 

cile général  de  la  même  année,  VII,  111, 
718. 

397.  CONCILE  général  ou  troisième  de   Car- 

tbage, VII,  718  et  suiv.  Ce  qui  s'est  passé 
dans  ce  concile,  718,  719.  Canons  de  ce  con- 
cile, 719  et  suiv.  Conclusion  de  ce  concile  ; 
autres  canons  d'un  concile  de  Carthage^ 
726. 

3!!8.  CONCILE  général  ou  quatrième  de  Car- 

tbage, VII,  726  et  suiv.  Difficultés  sur  les  ca- 
nons de  ce  concile,  726,  727.  Canons  de  ce 
concile,  727  et  suiv. 

400.  CONCILE  cinquième  de  Cartbage,  VII,  733 

et  suiv.  Difficultés  sur  l'époque  de  ce  con- 
cile, 733,  734.  Canons  de  ce  concile,  734, 
735. 
399  ou  401  CONCILE  d'Alexandrie  contre  Origène, 
VII,  735.  Lettre  synodale  de  ce  concile, 
735  et  suiv. 
399  ou  400.  •  CONCILE  de  Chypre  contre  les  livres  d 'Ori- 
gène, VI,  379,  380  et  VII,  737.  Lettre  de  Théo- 
phile d'Alexandrie  à  saint  Epiphane  au  sujet 
de  ce  concile,  VI,  379  et  VII,  445. 

CONCILE  de  Constantinople  au  sujet  des 
livres  d'Origène,  VII,  737. 

CONCILE  de  Turin,  VII,  737  et  suiv.  L'é- 
poque de  ce  concile  est  incertaine,  737,  738. 
Décisions  de  ce  concile  sur  les  droits  de  l'É- 
glise de  Marseille,  738. 

400.  CONCILE  de  Tolède,  VII,  739  et  suiv. 

Quelle  en  fut  l'occasion,  739.  Canons  de  ce 
concile,  739  et  suiv.  Autres  actions  du  même 
concile,  742.  Sentence  prononcée  dans  ce 
concile,  742  et  743.  L'extrait  des  actes  de 
ce  concile  paraît  avoir  été  fait  plusieurs  an- 
nées après  ;  confession  de  foi  attribuée  à  ce 
concile,  743.  Lettre  du  pape  saint  Innocent 
aux  évêques  de  ce  concile,  509,  510. 

400.  CONCILE  de  Constantinople,  VII,  743  et 
suiv.  Eusèbe,  évéque  de  Valentinianople, 
accuse  Antonin,  évêqued'Épbèse;  comment 
saint  Jean  Chrysostôme  reçoit  ces  accusa- 
tions; Eusèbe  persiste;  on  instruit  le  procès 
d'Antonin,  744.  Antonin  empêche  qu'on  en- 
tende des  témoins,  744  et  745.  Il  s'accom- 
mode avec  Eusèbe,  745. 

CONCILES  DU    CINQUIÈME    SIÈCLE. 

401.  CONCILE  d'Éphèse,  VII,  745,  746.  Saint- 
Jean  Chrysostôme  s'y  transporte  pour  l'or- 
dination d'un  évêque,  745.  Les  évêques  si- 


moniaques  sont  condamnés  à  ce  concile, 
745  et  746. 

CONCILE  du  Chêne  contre  saint  Jean  403. 
Chrysostôme,  VII,  746  et  suiv.  Quelle  en 
fut  l'occasion,  746.  Quels  évêques  y  assis- 
tèrent, 746  et  747.  Actes  de  ce  concile,  746. 
Procédure  contre  saint  Jean  Chrysostôme, 
747.  Députation  du  concile  contre  le  saint 
archevêque,  747  et  748.  Seconde  députation. 
On  maltraite  les  évêques  du  parti  de  saint 
Jean  Chrysostôme,  748.  Autres  accusations 
contre  saint  Chiysostôme.  Il  est  déposé  par 
le  concile,  748  et  749.  Lettre  synodale  du 
concile  du  Chêne  au  clergé  de  Constanti- 
nople; lettre  du  concile  à  l'empereur  Arcade 
qui  bannit  saint  Jean  Chrysostôme  ;  le  pape 
saint  Innocent  refuse  de  cond  imner  le  saint  .'» 

archevêque  ;    autres  actions  de  ce  concile,  i 

749.  Voyez  aussi  ce  qui  en  est  dit  au  même  | 

volume,  p.  6.  -^ 

CONCILE  généfal  de  Cartbage,  VIII,  536.        40i.'' 
537.  En  quel  temps  il  fut  tenu,  536.  Ce  qui 
y  fut  fait,  536  et  537. 

CONCILE  général  de  Cartbage  et  ses  rè-        40i. 
glements,  VIII,  537  et  suiv. 

CONCILE  général  de  Milève,  VIII,  539.        402. 
Canons  de  ce  concile,  539  et  540. 

CONCILE  général  de  Cartbage;  ce  qui  s'y        403. 
passa,  VIII,  540. 

CONCILE  général  de  Cartbage,  VIII,  540        404. 
et  541. 

CONCILE  général  de  Cartbage,  VIII,  541        405. 
et  542. 

CONCILE  général  de  Cartbage,  VIII,  542.        407. 
Règlements  de  ce  concile,  542  et  543. 

CONCILES  généraux  de  Cartbage;  en  quel        408. 
temps  ils  furent  tenus  et  ce  qui  y  fut  fait, 
VIII,  543.  : 

CONCILE  provincial  de   Cartbage,  VIIl,         m: 
543,  544.  En  quel  temps  il  fut  tenu,  544. 

CONCILE  général  de  Cartbage  ;  en  quel        410. 
temps  et  à  quelle  occasion  il  fut  tenu,  VIII, 
544. 

CONCILE  ou  Synode  de  Ptolémaïde  ;   en        411. 
quel  temps  et  à  quelle  occasion  il  fut  tenu, 
VIII,  544. 


CONCILE  de  Rome, 


sous 
suiv. 


le   pape  saint 
Canons  de  ce 


Innocent,  VIII,  544   et 
concile,  544. 

CONCILE  de  Cirtbe,  VIII,  645  et  suiv.  La 
lettre  synodale  de  ce  concile  adressée  aux 
Doualistes  est  de  saint  Augustin,  547.  Ana- 
lyse de  cette  lettre,  547  et  548. 

CONCILE  de  Brague,  paraît  faux,  VIII, 
548,  549.  Décrets  de  ce  concile,  549. 


413. 


411. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


237 


CONCILE  contre  les  Pélagiens,  VIII,  549 
et  suiv. 

CONCILE  de  Carthage,  VIII,  349.  En  quel 
temps  il  fut  tenu  et  ce  qui   s'y  passa,  S49 
et  530. 
CONCILE  de  Macédoine,  VIII,  330. 
CONCILE  de  Jérusalem,  VIII,  330.  Actes 
de  ce  concile,  5o0,531. 

CONCILE  de  Diospolis  ou  de  Palestine, 
VIII,  551  et  suiv.  Actes  de  ce  concile,  532, 
553.  —  Ce  qui  s'y  passa,  VII,  332  et  542.  — 
Jugement  que  porta  sur  ce  concile  le  pape 
saint  Innocent,  IX,  453. 

CONCILE  de  Carthage  ;  en  quel  temps  il 
fut  tenu.  Ce  qui  s'y  passa,  VIII,  333  et  354. 
Lettre  de  ce  concile  au  pape  saint  Innocent, 
554  et  VIT,  521,  322,  et  IX,  130.  —  Lettre 
de  ce  pape  aux  pères  du  concile,  VII,  522. 

CONCILE  de  Milève,  VIII,  554.  Ce  qui  s'y 
passa,  554  et  553.  — Lettre  du  concile  à  saint 
Innocent  et  réponse,  VII,  322,  523. 

CONCILE  de  Carthage,  VIII,  555,  656.  En 
quel  temps  et  ce  qui  s'y  passa,  556. 

CONCILE  général  de  Carthage,  VIII,  536 
et  suiv.  En  quel  temps  il  fut  tenu,  336.  Neuf 
canons  de  ce  concile  contre  les  Pélagiens, 
556  et  suiv.  Dix  canons  du  même  concile, 
touchant  la  réunion  des  Donatistes,  559, 
560.  Confirmation  des  décrets  contre  les  Pé- 
lagiens, 560. 

CONCILE  de  Tusdre,  VIII,  560.  En  quel 
temps  il  fut  tenu  ;  ce  qui  s'y  passa.  Canons 
de  ce  concile,  560  et  561. 

CONCILE  de  Telle  ou  Télepte,  VIII,  561, 
562.  En  quel  temps  il  fut  tenu;  ordonnances 
de  ce  concile,  VI,  103,  104. 

CONCILES  tenus  dans  le  même  temps  et 
canons  que  l'on  a  recueillis  de  ces  différents 
conciles,  VIII,  561,  362. 

CONCILE  de  Carthage  à  l'occasion  de  l'af- 
faire d'Apiarius,  VIII,  362,  363.  En  quel 
temps  il  fut  tenu  et  ce  qui  s'y  passa,  363. 

CONCILE  (sixième)  de  Carthage,  VIII, 
563  et  suiv.  En  quel  temps  il  fut  tenu  et  ce 
qui  s'y  passa,  563,  364.  Canons  de  ce  con- 
cile, 564  et  suiv.  Prolongation  du  concile  ; 
canons  qui  y  furent  ajoutés,  368.  Lettre  sy- 
nodale de  ce  concile  au  pape  Boniface  tou- 
chant l'affaire  d'Apiarius,  7,  568,  569.  [Note 
relative  à  cette  lettre,  569,  note  1.]  Lettres 
de  ce  concile  à  saint  Cyrille  d'Alexandrie  et 
à  Atlicus  de  Constantiaople,  569. 

CONCILE  de  Ravenne  convoqué  par  l'em- 
pereur Honorius,  pour  terminer  le  schisme 
qui  s'était  élevé  dans  l'Église  de  Rome  au 


sujet  de  l'élection  d'un  pape,  VIII,  569,  570. 
CONCILE  de  Carthage  au  sujet  des  Mani- 
chéens, Vin,  570. 

CONCILE  de  Carthage  au  sujet  d'Apiarius,         421. 
VIII,  570,  571.  Lettre  synodale  du  concile  au 
pape  Célestin,  pour  revendiquer  les  droits        426. 
des  églises  particulières  contre  ce  qu'on  ap- 
pelle les  prétentions  de  l'Église  de  Rome,  371. 
[Note  sur  cett  lettre,  127,  n.  2.] 

CONCILE  d'Hippone,   où  saint  Augustin        426. 
désigne  le  prêtre  Héraclius  pour  son  succes- 
seur, VIII,  571. 

CONCILE  de  Gonstantinople  pour  l'élection        426. 
d'un  évêque   de  cette  ville,  VIII,  571,  372. 
Sisinnius  est  élu,  572. 

CONCILE  tenu  à  Gonstantinople  par  Nés-     428  ou  4 
torius,  VIII,   572.  Il  y  fait  condamner  ses 
adversaires,  370. 

CONCILE  d'Alexandrie,  où  les  erreurs  de 
Nestorius  sont  condamnées,  VIII,  239,  369, 
572,  373. 

CONCILE  de  Rome,  où  les  erreurs  de  Nes- 
torius sont  dénoncées,  VIII,  133,  259  371 ,  373. 
CONCILE  d'Alexandrie,  où    saint  Cyrille 
produit  ses  douze  anathématismes  contre  les 
erreurs  de  Nestorius,  VIII,  239,  373,  374. 

CONCILE  d'Éphèse,  troisième  œcumé- 
nique. L'empereur  Théodose  le  Jeune  en 
fait  la  convocation  par  une  lettre  circulaire  ; 
le  pape  saint  Célestin  n'a  eu  aucune  part  à 
cette  convocation ,  VIII,  374.  Il  y  envoie 
ses  légats,  574  et  573.  L'évêque  de  Carthage 
y  députe  un  diacre  ;  saint  Cyrille  et  Nesto- 
rius s'y  rendent  avec  beaucoup  d'autres 
évéques  ;  ordre  que  l'empereur  établit  dans  434. 
le  concile,  373.  Jean  d'Antioche  se  fait  at- 
tendre longtemps.  Occupation  des  évéques 
avant  l'ouverture  du  concile,  575  et  576.  Le 
concile  s'assemble  le  22  juin,  576,  577.  Pre-  22  juin, 
niière  session  à  laquelle  préside  saint  Cyrille, 
577  et  suiv.  Les  erreurs  de  Nestorius  sont 
condamnées,  et  lui  déposé;  la  sentence  de 
déposition  est  signifiée  à  Nestorius,  579. 
Relations  défavorables  envoyées  à  l'empe- 
reur par  le  comte  Gandidien  et  par  Nesto- 
rius, 579  et  580.  Lettre  du  concile  à  l'em- 
pereur, 580.  Arrivée  des  Orientaux  àÉphèse. 
Ils  déposent  saint  Cyrille  et  Memnon,  380 
et  suiv.  Le  concile  fait  parvenir  à  l'empereur 
une  lettre  qui  lui  fait  connaître  la  vérité  des 
choses,  582,  583.  Nouveaux  nuages  qui  se 
répandent.  L'empereur  confirme  la  déposi- 
tion de  Nestorius,  de  Cyrille  et  de  Memnon, 
383,  584.  Arrivée  des  légats  du  pape  à, 
Éphèse.  Seconde  session  du  concile,  384,     lo  juillet. 


430. 


430. 


430. 


430. 


238 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


H  juillet. 
16  juillet. 


17  juillet. 


32  juillet. 
31  juillet. 


433. 


583.  Troisième  session.  La  déposition  de 
Nestorius  est  confirmée,  S83,  586.  Qua- 
trième session.  Le  concile  dresse  une  en- 
quête en  plainte  contre  Jean  d'Antioclie,  qui 
ensuite  est  cité  pour  rendre  compte  de  son 
entreprise,  586.  Cinquième  session.  Jean  et 
ses  adhérents  sont  cités  pour  la  troisième 
fois,  et  retranclaés  de  la  communion  ecclé- 
siastique, 586,  587.  Le  concile  écrit  i  l'em- 
pereur pour  l'informer  de  ce  qui  s'était 
passé,  587,  588.  Lettre  au  pape.  Autres 
lettres.  Les  schismatiques  écrivent  de  leur 
côté  à  l'empereur,  588.  Sixième  session. 
Définition  de  foi,  588  et  589.  Septième  et 
dernière  session.  Plainte  des  évêques  de  l'ile 
de  Chypre  contre  les  entreprises  de  l'Eglise 
d'Antioche,  589  et  suiv.  Affaires  particu- 
lières décidées  dans  cette  même  session, 
591,  592.  Canons  du  concile  d'Éphèse;  le 
comte  Jean  entreprend  de  réunir  les  évêques 
des  deux  partis,  592.  Il  fait  un  rapport  infi- 
dèle à  l'empereur.  Les  évêques  catholiques 
s'en  plaignent,  592  et  593,  Députés  du  con- 
cile à  l'empereur,  593  et  suiv.  Les  députés 
des  deux  partis  arrivent  à  Chalcédoine  et 
ont  plusieurs  audiences  de  l'empereur,  596, 

597.  Les  députés  catholiques  appelés  àCons- 
tantinople  pour  y  ordonner  un  évêque.  Re- 
présentation des  Orientaux  à  ce  sujet,  597, 

598.  Maximien  est  élu  évêque  de  Conslanti- 
nople.  Concile  dans  la  même  ville,  598,  599. 
Troubles  qui  suivirent  le  concile  d'Éphèse. 
Concile  de  Tarse  et  d'Antioche,  599,  600. 
L'empereur  travaille  à  la  paix,  600,  601. 
Elle  est  enfin  rétablie,  601,  602.  Quelques 
Orientaux  refusent  d'y  accéder.  Conciles  de 
Zeugma  et  d'Anazarbe,  602.  —  Lettre  du 
pape  saint  Célestin  aux  évêques  du  concile 
d'Éphèse,  138,  139.  Lettres  du  concile 
d'Éphèse  à  saint  Célestin,  139.  Autre  lettre 
de  saint  Célestin  au  concile  d'Éphèse,  142. 
Lettre  d'Acace  de  Bérée  à  ce  concile  ou  à 
l'empereur,  240.  Acace  de  Bérée  envoie 
Paul  d'Emèse  au  concile,  239.  Jean,  évêque 
d'Antioche  y  arrive  tard;  concile  tenu  à 
Éphèse  par  Jean,  évêque  d'Antioche.  Saint 
Cyrille  d'Alexandrie  et  Memnou,  évêque 
d'Éphèse,  y  sont  déposés,  245.  Jean  d'An- 
tioche est  séparé  de  la  communion  du  con- 
cile d'ÉpBèse,  245  et  246.  Lettre  du  pape 
Sixte  III  aux  évêques  d'Orient  qui  avaient 
assisté  à  ce  concile,  230,  231.  Convocation 
du  concile  d'Éphèse.  Son  commencement; 
Nestorius  y  est  condamné,  260.  Le  concile 
écrit  deux  lellres  à  Théodose  qui  avait  été 


surpris,  561.  Marins  Mercator  traduit  les 
actes  de  la  sixième  session  du  concile  d'É- 
phèse, 506,  507.  —  Juvénal,  évêque  de  Jé- 
rusalem, tient  le  second  et  quelquefois  le 
premier  rang  au  concile  d'Éphèse,  X,  17. 

CONCILE  de  Tarse  tenu  par  Jean  d'Antio- 
che ;  saint  Cyrille  y  est  déposé,  VIII,  246, 
539. 

CONCILE  d'Antioche  tenu  par  Jean  d'An- 
lioche  contre  saint  Cyrille,  VIII,  599. 

CONCILE  de  Constantinople  tenu  par  Maxi- 
mien. Plusieurs  évêques  du  parti  de  Jean 
d'Antioche  y  sont  déposés^  VIII,  599. 

CONCILE  d'Antioche  tenu  par  le  patriarche 
Jean,  pour  sa  réunion  avec  saint  Cyrille 
d'Alexandrie,  Vil,  247,  380. 

CONCILE  de  Zeugma  pour  la  paix  de  l'É- 
glise après  le  concile  d'Ephèse,  VIII,  377, 
602. 

CONCILE  d'Anazarbe  où  fut  réitérée  l'ex- 
communication prononcée  contre  saint  Gy- 
rille,  VIII,  377,  378,  602,  603. 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  saint  Sixte  lll 
contre  les  Pélagiens  et  les  Nestoriens,  VIII, 
250. 

CONCILE  d'Edesse  où  l'évêque  Rabulas  se 
sépare  de  la  communion  de  Jean  d'Antioche, 
X,  143,  144. 

CONCILE  de  Thessalonique  tenu  par  Anas- 
tase,  évêque  de  cette  ville  pour  faire  recon- 
naître son  autorité  dans  toute  l'Illyrie,  VIII, 
250. 

CONCILE  de  Thessalonique  sur  le  même 
sujet,  VIII,  250. 

CONCILE  d'Orient  dont  parle  le  pape 
Sixte  III  dans  sa  quatrième  lettre  aux  évê- 
ques d'Illyrie,  VIII,  253,  254.  Il  y  a  lieu  de 
croire  que  c'est  celui  tenu  à  Constantinople 
en  437,  404,  406. 

CONCILE  de  Riez  en  Provence  pour  remé- 
dier aux  désordres  que  l'élection  d'un  évê- 
que avait  causés  dans  l'Église  d  Embi'un  ; 
saint  Hilaire  préside  à  ce  concile  ;  évêques 
qui  y  assistèrent,  VIII,  603.  Décrets  de  ce 
concile,  605  et  606.  Armentaire  intrus  sur  le 
siège  d'Embrun  y  esi  réduit  au  rang  de  cho- 
révêque,  606. 

CONCILE  d'Orange  présidé  par  saint  Hi- 
laire d'Arles,  VIII,  606  et  suiv.  Canons  de 
ce  concile,  607  et  suiv.  Faux  décrets  que 
Gratien  et  quelques  autres  attribuent  à  ce 
concile,  610. 

CONCILE  deVaison,  VllI,  610.  Canons  de 
ce  concile,  610  et  611. 

CONCILE  d'Arles  (second).  Difflcullé  d'en 


1 


m 

432.' 

V. 

433. 

j 

433.^ 
433.  r 

t 

V.  433. 
435. 

436. 


437. 


439. 


442. 


443. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


239 


44. 


.44. 


flxer  l'année,  VIII,  611,  612.  Raisons  qui  dé- 
cident pour  l'année  443  ;  dispositions  de  ce 
concile  contre  les  bigames,  612.  Principaux 
canons  de  ce  concile,  612  et  613. 

CONCILE  qu'on  croit  avoir  été  tenu  à  Be- 
sançon et  où  l'évéque  Quélidoine  fut  déposé, 
VIII,  436,  613. 

CONCILE  de  Rome  qui  rétablit  Quélidoine 
déposé  par  saint  Hilaire,  VIII,  436. 

14 à  444.  CONCILE  d'Ephèseau  sujet  de  l'ordination 
forcée  de  Bassien  pour  l'évêché  d'Evazes, 
X, 666. 

44.  CONCILE  de  Constantinople  en  faveur  de 

Bassien  intronisé  évêque  d'Ephèse,  X,  666. 

43.  CONCILE  d'Antioche  au  sujet  d'Athanase, 

évêque  de  Perrha,  X,  666,  667. 

ou  444.  CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  saint 
Léon  contre  les  Manichéens,  X,  667. 

CONCILE  d'Hiéraple  où  Sabinien  est  or- 
donné évêque  de  Perrha,  X,  667. 

ou  446.  CONCILE  d'Astorga  en  Espagne  contre  les 
Manichéens,  X,  667. 

iècie.  CONCILE  dans  les  Gaules  contre  les  Pé- 
lagiens,  X,  667. 

iècie.  CONCILE  de  Saint-Albans  en  Angleterre 

contre  les  Pélagiens,  X,  667. 

CONCILE  d'Antioche  où  Ibas  d'Edesse  est 
justifié,  X,  667,  668. 
«8.  CONCILE  de  Constantinople  au  sujet  d  Ibas 

d'Edesse,  X,  668. 

447.  CONCILE  de  Tolède  contre  les  Priscillia- 

nistes,  X,  668,  669. 
.  447.  CONCILE  de  Galice  contre  les  mêmes,  X, 

669. 

447.  CONCILE  d'Antioche  tenu  par  Domnus 
pour  examiner  l'affaire  d'Ibas,  accusé  de 
Nestorianisme,  X,  144. 

448.  CONCILE  de  Tyr  tenu  par  Photius  sur 
l'affaire  dlbas,  X,  144. 

448.  CONCILE  de  Béryte  où  Ibas,  évêque  d'E- 

desse, se  justifie  de  ce  dont  on  l'accusait,  X, 
145. 

418.  CONCILE  de  Constantinople  où  Eutychès 

fut  condamné.  Quelle  en  fut  l'occasion  ;  pre- 
mière session.  Eutychès  est  dénoncé  par 
Eusèbe  deDorylée,  X,669.  Seconde  session. 
On  y  déclare  la  foi  de  1  Église  sur  l'union  des 
deux  natures  en  Jésus-Christ,  669  et  670. 
Troisième  session.  On  y  rend  compte  de  la 
première  sommation  faite  à  Eutychès  de 
comparaître  au  concile,  670,  671.  Il  est  cité 
une  seconde  fois,  et  une  troisième  fois,  et 
refuse  toujours  de  sortir  de  son  monastère  ; 
qualrième  session.  L'abbé  Abraham  se  pré- 
sente de  la  part  d 'Eutychès,  671.  Cinquième 


session.  Eusèbe  de  Dorylée  renouvelle  sa 
dénonciation,  671  et  672.  Sixième  session. 
Eusèbe  continue  ses  poursuites,  672.  Sep- 
tième session.  Eutychès  avoue  son  erreur 
et  y  persiste,  672  et  673.  Sentence  portée 
contre  cet  hérésiarque,  674,  675. 

CONCILE  de  Constantinople  convoqué  à  la        449. 
sollicitation   d'Eutychès.    On   y  discute  les 
actes  du  concile  précédent,  X,  675. 

CONCILE  d'Ephèse  (Faux)  convoqué  sur  les 
sollicitations  d'Eutychès  et  deDioscore,  évê- 
que d'Alexandrie,  X,  675  et  suiv.  Le  pape  et 
les  évêques  y  sont  invités,  675.  Ouverture  449. 
de  ce  concile.  Dioscore  y  préside,  675,  676. 
Requête  présentée  par  Eutychès  où  il  se 
plaint  de  ce  qui  avait  été  fait  contre  lui  au 
concile  de  Constantinople,  676  et  suiv.  Eu- 
tychès déclaré  absous  et  rétabli  ;  saint  Flavien 
est  condamné,  malgré  la  réclamation  des 
catholiques,  678  et  suiv.  Horreur  que  l'É- 
glise a  eue  de  ce  faux  concile,  qui  ensuite 
n'a  été  désigné  que  par  le  nom  de  brigan_ 
dage,  680.  Juvénal  de  Jérusalem  y  paraît 
comme  défenseur  de  Dioscore,  évêque  d'A- 
lexandrie, 17.  Ibas  d'Edesse  y  est  condamné, 
146.  Saint  Léon  y  envoie  ses  légats,  173. 
Lettre  de  ce  pape  adressée  à  ce  concile,  214. 
Saint  Hilaire,  légat  du  pape  saint  Léon  à  ce 
concile.  Conduite  qu'il  y  tint,  173,  333,  675 
et  679,  680. 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  saint        «9. 
Léon  après  le  brigandage  d'Ephèse,  X,  680. 

CONCILE  de  Constantinople  tenu  par  Ana- 
tohus.  Eutychès  y  est  anathématisé,  X,  680, 
681. 

CONCILE  de  Milan  où  la  lettre  de  saint        451. 
Léon  à  Flavien  est  approuvée,  et  Eutychès 
anathématisé,  X,  681. 

CONCILE  d'Arles  où  la  lettre  de  saint  Léon        451, 
à  Flavien  est  approuvée,  X,  681. 

CONCILE  de  Chalcédoine,  quatrième  œcu-  451, 
ménique  indiqué  d'abord  à  Nicée  par  l'em- 
pereur Marcienqui  en  écrit  à  saint  Léon,  X, 
681  et  suiv.  Le  concile  s'assemble  à  Nicée  et 
est  ensuite  transféré  à  Clialcédoine,  683.  Ou- 
verture du  concile.  Première  session,  683, 
684.  Dioscore  est  accusé,  684,  685.  Saint 
Flavien  justifié,  685,  686.  Seconde  session. 
On  propose  d'établir  la  vérité  de  la  foi,  686, 
687.  Troisième  session.  Dioscore  est  cité  au 
concile  et  condamné,  087  et  suiv.  Quatrième 
session.  Plusieurs  évèques  sont  rétablis,  689, 

690.  Requête  des  abbés  schismatiques,  690, 

691.  Cinquième  session.  On  y  lit  une  défini- 
tion de  toi  dressée  pai'  les  principaux  évê- 


240 


HISTOIRE  DES  AUïEtRS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


ques,  C91,  692.  Sixième  session  où  se  trouve 
l'empereur.  La  définition  de  foi  sur  les  deux 
natures  en  Jésus-Christ  y  est  acceptée,  692, 
693.  Septième  session.  On  confirme  l'accord 
t'ait  entre  Maxime  d'Antioche  et  Juvénal  de 
leur  juridiclion,  693.  Huitième  session  où 
l'on  traite  l'affaire  de  Théodoret,  évéque  de 
Cyr,  qui  est  renvoyé  dans  son  siège,  692  et 
693.  Neuvième  et  dixième  sessions.  Ibas  est 
reconnu  pour  orthodoxe  et  rétabli  dans  lé- 
piscopat,  694.  Onzième  et  douzième  sessions. 
On  y  termine  l'affaire  de  Bassien  et  d'Etienne, 
évêque  d  Ephèse,  694  et  695.  Treizième  ses- 
sion. L'évêque  de  Nicomédie  est  maintenu 
dans  les  droits  de  métropolitain  sur  toute  la 
Bithynie,  695.  Quatorzième  session.  On  y 
termine  le  différend  entre  Athanase  et  Sa- 
binien,  pour  le  siège  de  Perrha,  695  et  696. 
Quinzième  session.  On  accorde  à  l'évêque  de 
Constantinople   une    préférence   d'honneur 
sur  tous  les  autres  évêques,  après  celui  de 
Rome,  696.  Canons  du  concile  de  Chalcé- 
doine,  696  et  suiv.  Autorité  de  ces  canons, 
701.  Seizième  session.  Les  légats  du  pape  s'y 
opposent  à  ce  qui  avait  été  décidé  dans  la 
session  précédente,  concernant  l'évêque  de 
Constantinople,  696  et  702.  Différents  exem- 
plaires des  actes  du  concile  de  Chalcédoine; 
Raisons  de  cette  différence,  702.  Discours  du 
concile  à  l'empereur,  702  et  703.  Lettre  du 
concile  au  pape  saint  Léon,  703.  Lois  pour 
l'observation  des  décrets  du  concile,  703  et 
704.  —  Convocation  du  concile  de  Clialcé- 
doine,  VIII,  473.  Eloges  que  ce  concile  donne 
à  l'impératrice  Pulchérie,  473  et  474.  —  Ju- 
vénal de  Jérusalem  y  est  rétabli  dans  la 
communion  de  l'Église,  X,  17.  Théodoret  y 
est  reçu.  24.  Ibas   d'Edesse  y  est  rétabli, 
146,  147.  Saint  Léon  en  avait  sollicité  la  con- 
vocation et  y  envoya  ses  légats,  174.  Il  en 
confirme  les  décisions,  175.  Lettre  qu'il  écrit 
à  ce  concile,  222.  Les  pères  de  ce  concile  lui 
en  envoient  lesactes,  224.  Lettre  de  saintLéon 
aux  évêques  qui  avaient  assisté  à  ce  concile, 
226.  Accusations   que    les  Eutychiens  for- 
maient contre  ce  concile,  réfutées  par  Vigile 
de  Tapse,  476  et  suiv.  Ses  décrets  confirmés 
par  Euphémius  de  Constantinople,  487,  et 
par  saint  Macédonius  son  successeur,  488. 
—  Epîtres  synodales   écrites  à  l'empereur 
Léon  pour  la  défense  de  ce  concile,  recueil- 
lies par  Epiphane  le  Scholastique,  XI,  102. 
[Apologie  de  ce    concile  par    Ephreui    pa- 
triarche de  Constantinople,  171,  n.  6.  Abrégé 
des  actes  du  concile  de  Chalcédoine  par  Vé- 


récundus,  346.]  Justification  de  ce  concile 
contre  les  imputations  des  Sévériens,  dans 
la  conférence  tenue  à  Constantinople,  843  et 
suiv.  Saint  Grégoire  ne  comptait  pour  actes 
du  concile  de  Chalcédoine  que  les  sept  pre- 
mières actions,  495.  Concile  de  Chalcédoine 
falsifié  dans  un  endroit  par  l'Éghse  de  Cons- 
tantinople selon  saint  Grégoire,  505.  Ré- 
ponse de  Léon  de  Byzance  aux  objections 
des  schismaliques  contre  le  concile  de  Chal- 
cédoine, 668,  669.  Dieu  autorisa  par  un  mi- 
racle les  décrets  du  concile  de  Chalcédoine, 
312.  —  [Lettre  des  Grecs  aux  Amenions  pour 
les  décrets  du  concile  de  Chalcédoine,  XII, 
39.  Cette  lettre  est  de  saint  Germain  patriar- 
che de  Constantinople,  39  et  40.  Ce  qu'elle 
contient,  40.] 

CONCILES  de  saint  Patrice.  Ce  que  c'est  ; 
le  premier  paraît  en  effet  avoir  été  tenu  en 
Irlande,  X,  704.  Canons  de  ce  concile.  La 
plupart  sont  pour  régler  la  conduite  des  clercs, 
705,  706.  Second  concile  attribué  à  saint 
Patrice.  On  ne  peut  rien  décider  sur  le  lieu 
ni  sur  le  temps  de  ce  concile,  mais  il  est  très 
ancien,  706.  Canons  de  ce  concile.  La  plupart 
paraissent  être  des  réponses  à  des  difficultés 
proposées  aux  évêques  assemblés,  706  et 
suiv. 

CONCILE  douzième  d'Arles  :  temps  de  ce 
concile;  ses  canons  sont  presque  tous  tirés 
des  conciles  précédents,  X,  708.  C'est  le 
même  qui  se  trouve  mis  en  443  au  VHP  vo- 
lume, p.  611,  612. 

CONCILE  d'Angers,   présidé  par    Léon 
évêque  de  Bourges,  X,  708,  709. 

CONCILE  de  Jérusalem  tenu  par  le  pa- 
triarche Juvénal,  X,  18. 

CONCILE  de  Galatie.  Témoignage  qu'il 
rend  à  Timothée  d'Alexandrie,  V,  93. 

CONCILE  d'Arles.  On  y  règle  les  droits 
de  l'évêque  de  Préjus  sur  l'abbaye  de  Lérins, 
X, 710. 

CONCILE  de  Constantinople  tenu  par  le 
patriarche  Gennade.  Lettre  circulaire  contre 
la  siraonie,  X,  345,  710,  711. 

CONCILE  de  Tours  présidé  par  saint  Per- 
pétue. Ses  canons,  X,  711,  712. 

CONCILE  de  Vannes,  en  Bretagne,  assem- 
blé à  l'occasion  de  l'ordination  de  l'évêque 
Paterne,  X,  712.  Canons  de  ce  concile  ;  ils 
sont  semblables  à  ceux  du  concile  de  Tours, 
712  et  suiv. 

CONCILE  de  Rome,  sous  le  pape  saint  Hi- 
laire,  au  sujet  d'Hermès,  devenu  évoque  de 
Narbonne,  X,  715. 


i 


V  siècle. 


452. 


453. 

453. 

458. 1 

V.  4G0, 


461. 


V.  465. 


463. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


241 


CONCILE  de  Rome  au  sujet  de  Silvain, 
évêque  de  Calahorra,  X,  716. 

CONCILE  d'Arles,  tenu  par  l'évêque 
Léonce,  au  sujet  d'une  entreprise  de  saint 
Mamert,  évêque  de  Vienne,  sur  l'Église  de 
Die,  X,  7iS,  716. 

CONCILE  d'Espagne  au  sujet  de  Silvain, 
évêque  de  Calahorra,  X,  716. 

CONCILE  d'Angleterre  pour  l'élection 
d'un  roi,  X,  716,  717. 

CONCILE  de  Chalon-sur-Saône  tenu  par 
saint  Patient,  pour  élire  un  évêque  de  cette 
ville,  X,  717. 

CONCILE  de  Bourges  où  saint  Simplice 
est  élu  évêque,  X,  717. 

CONCILE  d'Antioche.  Pierre  le  Foulon  y 

est  déposé  et  Etienne  mis  à  sa  place,  X,  717. 

CONCILE  d'Arles.  Les  erreurs  du  prêtre 

Lucide  sur  la  prédestination  et  sur  la  grâce 

y  sont  condamnées,  X,  717,  718. 

T.  m.  CONCILE  de  Lyon,  sous  Patient,  au  sujet 

de  quelques  erreurs,  X,  718. 
479.  CONCILE  de  Laodicée.  Etienne,  évêque 

d'Antioche,   accusé  de   nestorianisrae,   est 
justifié,  X,  718. 
V.  482.  CONCILE  d'Alexandrie  où  Jean  Talaïa  est 

élu  évêque,  X,  718. 

CONCILE  de  Rome  où  les  légats  prévari- 
cateurs du  pape  Félix  III  sont  déposés,  X, 
414  et  719. 

CONCILE  de  Rome.  Sa  lettre  synodale 
adressée  aux  clercs  et  aux  moines  d'Orient, 
X,  719. 

CONCILE  de  Rome  concernant  les  afi'aires 
de  l'Église  d'Afrique,  et  principalement  la 
manière  dont  on  devait  se  conduire  à  l'é- 
gard de  ceux  qui  étaient  tombés  dans  la 
persécution,  X,  719  et  suiv. 
492.  CONCILE  de  Constantinople    où   Euphé- 

mius  fait  confirmer  les  décrets  du  concile  de 
Ghalcédoine,  X,  722. 
496.  CONCILE  de  Constantinople  où  le  patriar- 

che Euphémius  est  déposé,  et  l'Hénotique 
de  Zenon  confirmée,  X,  723. 
494.  CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  saint 

Gélase.  On  y  dresse  le  catalogue  des  livres 
de  l'Ancien  et  du  Nouveau  Testament  que 
l'Église  romaine  reçoit  avec  vénération;  rai- 
sons pour  et  contre  d'attribuer  ce  catalogue 
au  pape  Gélase,  X,  723.  Autres  décrets  de 
ce  concile,  724,  723.  Voyez  l'article  du  pape 
saint  Gélase. 
495.  CONCILE  de  Rome  où  IMisène,  l'un  des 

légats  qui  avaient  trahi  leur  ministère,  est 
rétabli,  X,  723,  726. 

TAB.    I. 


484. 


485. 


487. 


504. 


506. 


CONCILE  de  Rome  qui  interdit  toutes  bri-        «a. 
gués  pour  parvenir  au  pontificat,  X,  726. 

CONCILES  DU   SIXIÈME  SIÈCLE. 

CONCILE  de  Rome  où  le  pape  Symmaque  5M. 
est  justifié  des  crimes  dont  on  l'avait  fausse- 
ment accusé,  X,  726  et  suiv.  Première  ses- 
sion, 726,  727.  Seconde  session;  un  tumulte 
empêche  le  pape  d'y  comparaître,  727,  728. 
Troisième  session  ;  le  pape  est  absous,  728. 
Voyez  aussi  p.  322. 

CONCILE  de  Rome  présidé  par  le  pape         502. 
Symmaque.  On  y  infirme  le  statut  du  préfet 
Basile,   qui  défendait  d'élire   l'évêque  de 
Rome  sans  le  consentement  du  roi  d'Italie, 
X,  728,  729. 

CONCILE  de  Rome  où  on  ht  l'apologie  du  503. 
pape  Symmaque,  composée  par  Ennode,  X, 
729  et  suiv.  On  renouvelle  les  anciens  ca- 
nons qui  défendent  aux  fidèles  d'accuser 
leurs  pasteurs^  excepté  en  certains  cas , 
732. 

CONCILE  de  Rome  contre  les  usurpateurs 
des  biens  de  l'Église,  X,  732,  733. 

CONCILE  d'Agde  tenu  sous  les  auspices 
d'Alaric,  roi  des  Visigoths,  en  Espagne,  X, 
736.  Canon  de  ce  concile,  736  et  suiv.  Vingt- 
cinq  canons  cités  par  Gratien  comme  étant 
de  ce  concile,  mais  qui  sont  presque  tous 
tirés  du  concile  d'Epaone,  742,  743. 

CONCILE  de  Toulouse  dont  les  actes  ne 
sont  pas  venus  jusqu'à  nous,  X,  743. 

CONCILE  d'Orléans  (Premier),  assemblé 
par  ordre  du  roi  Clovis,  X,  743,  Canons  de 
ce  concile,  743  et  suiv. 

CONCILE  d'Agaune  tenu  par  ordre  du  roi 
Sigismoud.  On  y  règle  ce  qui  concerne  le 
monastère  d'Agaune  renouvelé  par  Sigis- 
mond,  X,  746.  Authenticité  de  ce  concile, 
746  et  747.  Editions  des  actes  de  ce  concile, 
747. 

CONCILE  de  Tarragone  tenu  pour  main-        516. 
tenir  l'ancienne  discipline  et  prévenir  quel- 
ques abus,  X,  747  et  suiv. 

CONCILE  de  Girone,  X,  746.  Canons  de         sn. 
ce  concile,  746  et  730. 

CONCILE  de  Sidon  convoqué  par  l'empe-      v.  512. 
reur  Anastase,  pour  détruire  l'autorité  de 
celui  de  Chalcédoine,  X,  730. 

CONCILE  d'Epaone.  Analyse  des  canons         517. 
de  ce  concile,  XI,  814  et  suiv. 

CONCILE  de  Lyon  assemblé  au  sujet  de        5i7. 
l'inceste   commis   par  un  nommé  Etienne 
avec  Palladia,  XI,  817,  818. 

16 


507. 


SU. 


515. 


242 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


518. 


518. 

518. 
518. 
519. 

521. 

524. 
524. 
524. 


524. 
525. 
527. 

529. 


529. 


529. 


631. 


530. 
531. 


CONCILE  de  Gonstantinople  tenu  par  le 
patriarche  Jean,  où  Sévère  est  condamné, 
et  les  noms  de  Macédonius,  d'Euphémius, 
etc.,  rétablis  dans  les  diptyques,  XI,  818, 
819. 

CONCILE  de  Jérusalem  où  l'anathème 
prononcé  contre  Sévère  est  approuvé,  XI, 
819,  820, 

CONCILE  de  Tyr  sur  le  même  sujet,  XI, 
820. 

CONCILE  de  Rome  sur  le  même  sujet,  XI, 
823. 

CONCILE  de  tous  les  évêques  de  la  Gran- 
de-Bretagne, tenu  à  Caerléon,  pour  extirper 
les  restes  de  l'hérésie  pélagienne,  XI,  823, 
824. 

CONCILE  en  Sardaigne  où  les  évêques 
exilés  d'Afrique  expliquent  leur  sentiment 
sur  la  grâce  et  le  libre  arbitre,  XI,  824. 

CONCILE  d'Arles  (Quatrième),  présidé  par 
saint  Césaire,  XI,  824. 

CONCILE  de  Lérida.  Analyse  des  seize 
canons  de  ce  concile,  XI,  824  et  suiv. 

CONCILE  de  Valence,  en  Espagne.  Ana- 
lyse de  ses  canons  qui  regardent  principale- 
ment ce  qui  doit  être  observé  pendant  la 
vacance  du  siège  d'une  Église,  XI,  826  et 
suiv. 

CONCILE  de  Janque  présidé  par  Libérât, 
primat  de  la  Byzacène,  XI,  828. 

CONCILE  de  Cartbage  présidé  par  l'évê- 
que  Boniface,  XI,  828  et  suiv. 

CONCILE  de  Carpentras  où  on  règle  la 
manière  d'administrer  les  revenus  des  pa- 
roisses de  la  campagne,  XI,  831,  832. 

CONCILE  d'Orange  (Deuxième),  présidé 
par  saint  Césaire,  XI,  832.  Canons  de  ce 
concile,  832  et  suiv.  Sentiments  de  ce  con- 
cile sur  la  grâce  et  le  libre  arbitre,  836,  837. 
Autorité  de  ce  concile  sur  ces  matières  ;  sa 
doctrine  confirmée  par  le  pape  et  par  l'É- 
glise universelle,  837,  838. 

CONCILE  de  Valence,  en  Dauphiné,  où 
les  matières  de  la  grâce  sont  encore  agitées, 
XI,  838. 

CONCILE  de  Vaison  dont  les  canons  re- 
gardent principalement  l'arrangement  de 
l'office  divin,  XI,  838,  839. 

CONCILE  de  Tolède  présidé  par  l'évèquc 
Montan.  Canons  qu'on  y  fait  sur  la  disci- 
pline, XI,  839  et  suiv. 

CONCILES  de  Rome  assemblés  par  le 
pape  Boniface  II,  XI,  841. 

CONCILE  de  Rome,  par  le  même,  au  su- 
jet  d'Elienne,    évêque   de   Larisse,  déposé 


dans  un  concile  de  Gonstantinople,  XI,  841 
et  suiv. 

CONCILE  d'Orléans  (Deuxième).  On  y 
traite  divers  points  de  discipline,  847.  Ca- 
nons de  ce  concile,  XI,  848,  849. 

CONCILE  de  Clermont,  en  Auvergne.  Ca- 
nons de  ce  concile  concernant  la  discipline, 
XI,  849,  850.  Lettre  synodale  du  concile  au 
roi  Tbéodebert,  850. 

CONCILE  de  Carthage.  On  y  délibère  sur 
la  conduite  qu'on  devait  tenir  avec  les  évê- 
ques Ariens  qui  rentraient  dans  TÉglise  ca- 
tholique, XI,  850,  851.  Ou  consulte  le  pape; 
sa  réponse,  850.  Décision  de  ce  concile  con- 
cernant les  monastères,  850  et  851. 

CONCILE  de  Constantinople  tenu  par  le 
pape  saint  Agapet.  Anthime  y  est  déposé  et 
Mennas  ordonné  à  sa  place,  XI,  851,  852. 

CONCILE  de  Gonstantinople  tenu  par  le 
patriarche  saint  Mennas.  Sévère  d'Anlioche, 
Pierre  d'Apamée  et  leurs  partisans  sont  ana- 
thématisés,  XI,  852  et  suiv. 

CONCILE  de  Jérusalem  où  l'on  confirme 
les  anathèmes  prononcés  contre  les  Sévé- 
riens  par  le  concile  de  Constantinople,  XI, 
855,  856. 

CONCILE  d'Orléans  (Troisième),  sur  la 
discipline.  Canons  de  ce  concile,  XI,  856  et 
suiv. 

CONCILE  de  Barcelone.  Ses  canons,  XI, 
859. 

CONCILE  de  la  province  de  Byzacène,  en 
Afrique,  confirmé  par  un  rescrit  de  l'empe- 
reur Justinien,  XI,  859. 

CONCILE  d'Oriéans  (Quatrième).  Analyse 
des  canons  de  ce  concile,  XI,  859  et  suiv. 

CONCILE  de  Gonstantinople  où  les  Trois- 
Chapitres  sont  condamnés,  XI,  862. 

CONCILE  d'Orléans  (Cinquième)  assemblé 
pour  juger  Marc  évêque  d'Oriéans,  qui  y  est 
justifié,  XI,  862.  Canons  de  ce  concile,  862 
et  suiv. 

CONCILE  de  Clermont  (Deuxième),  en 
Auvergne,  qui  confirme  les  canons  du  cin- 
quième concile  d'Orléans,  XI,  864. 

CONCILE  de  Toul  tenu  par  saint  Nicet, 
archevêque  de  Trêves,  à  l'occasion  d'in- 
sultes que  lui  firent  quelques  Francs  qu'il 
avait  excommuniés,  XI,  864,  865. 

CONCILE  de  Mopsueste.  On  y  constate 
que  le  nom  de  Théodore  de  Mopsueste  n'é- 
tait point  dans  les  diptyques  de  cette  Église, 
XI,  366  et  suiv. 

CONCILE  de  Constantinople,  cinquième 
œcuménique  et  le  deuxième  tenu  en  cette 


535. 


536. 


536. 


538. 


540. 


541. 


541. 


547. 


549. 


549. 


850. 


550. 


553. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


243 


ville,  XI,  865,  866.  On.  convient  d'assembler 
en  nombre  égal  les  évêques  d'Orient  et 
d'Occident  pour  traiter  l'affaire  des  Trois- 
Chapitres,  868.  L'empereur,  sans  égard  à 
cette  convention,  se  hâte  d'assembler  le 
concile.  Première  conférence  ou  session  : 
on  y  lit  une  lettre  de  l'empereur  Justinien, 
et  la  profession  de  foi  du  patriarche  Euty- 
chius;  on  invite  le  pape  Vigile  à  s'y  rendre, 
668  et  869.  Seconde  conférence  :  on  y  rend 
compte  des  démarches  faites  auprès  du 
pape  Vigile  pour  l'engager  à  venir  au  con- 
cile ;  on  invite  Primase,  évêque  d'Adrumète, 
et  trois  évêques  d'Illyrie,  à  s'y  rendre,  869, 
870.  Troisième  conférence  ;  les  évêques  font 
leur  profession  de  foi,  870.  Quatrième  con- 
férence :  on  discute  les  écrits  de  Théodore 
de  Mopsueste,  870,  871.  Cinquième  confé- 
rence :  on  y  fait  le  rapport  de  ce  que  les 
pères,  les  lois  impériales  et  les  historiens 
ecclésiastiques  avaient  dit  pour  ou  contre 
Théodore  de  Mopsueste,  871  et  suiv. 
Sixième  conférence  :  on  y  dispute  ce  qui 
concerne  Ibas;  sa  letti'e  à  Maris  est  déclarée 
hérétique,  873  et  suiv.  Septième  conféren- 
ce :  on  y  lit  difiérentes  pièces  contre  le  pape, 
873,  876.  Huitième  conférence  :  on  y 
prononce  le  jugement  contre  les  Trois-Gha- 
pitres,  876,  877.  Quatorze  anathèmes  contre 
différentes  erreurs  de  Théodore  de  Mop- 
sueste et  de  Nestorius,  877,  878.  Neuvième 
conférence  :  on  y  prononce  quinze  anathè- 
mes contre  les  Origénistes,  878.  Autre  con- 
damnation d'Origène  par  le  même  concile, 
878  et  879.  Le  pape  Vigile  approuve  les  dé- 
cisions du  concile  ;  sa  lettre  au  patriarche 
Eutychius  sur  ce  sujet,  879.  [Jugement  sur 
cette  lettre,  879  et  880.]  Sa  Constitution  par 
laquelle  il  condamne  les  Trois-Chapitres, 
880,  881.  Le  cinquième  concile  général 
est  reçu  en  Orient ,  mais  il  occasionne 
un  schisme  en  Occident,  881,  882.  [Ce  con- 
cile n'est  devenu  œcuménique  que  par  la 
confii'mation  subséquente  du  pape  Vigile, 
868.] 

553.  CONCILE  de  Jérusalem  qui  approuve  les 
actes  du  second  concile  général  de  Constan- 
tinople,  XI,  879. 

551.  CONCILE  de  Paris  (Deuxième)  assemblé 

pour  l'examen  de  la  cause  de  l'évèque  Saf- 
farac,  convaincu  d'un  crime  considérable, 
XI,  882. 

554.  CONCILE  d'Arles  oii  se  font  quelques  ca- 
nons de  discipline,  XI,  882,  883. 

557.  CONCILE  de  Paris  (Troisième).  Ses  canons 


contre  les  usurpations  des  biens  de  l'Église, 
XI,  883. 

CONCILES  de  Landaff  tenus  par  saint  Ou- 
docée,  XI,  884,  883. 

CONCILE  de  Brague  contre  les  Priscillia- 
nistes  et  pour  réformer  quelques  abus  ;  ca- 
nons de  ce  concile,  XI,  883,  886. 

CONCILE  de  Saintes  où  Emérius,  évêque 
de  cette  ville,  est  déposé,  XI,  886,  887. 

CONCILE  de  Lyon.  Analyse  des  six  canons 
de  ce  concile,  XI,  887. 

CONCILE  de  Tours  (Deuxième)  tenu  par 
l'archevêque  Euphronius,  XI,  887.  Canons 
de  ce  concile,  887  et  suiv.  Lettre  du  concile 
qui  est  une  exhortation  au  peuple, 890,  891. 
Sainte  Radegonde  s'adresse  à  ce  concile  pour 
obtenir  la  confirmation  du  monastère  qu'elle 
avait  établi  à  Poitiers,  887,  890,  891. 

CONCILE  de  Brague  (Deuxième)  tenu  par 
l'archevêque  saint  Martin  deDume,  XI,  891. 
Canons  de  ce  concile,  891  et  892. 

CONCILE  de  Lugo  convoqué  par  le  roi 
Théodoric.  Lugo  y  est  érigé  en  métropole, 
XI,  892. 

CONCILE  de  Lugo  convoqué  par  Ariamir, 
XI,  892. 

CONCILE  de  Lugo  présidé  par  Nitigius,0Tà 
on  confirme  ce  qui  avait  été  fait  dans  le  pré- 
cédent, XI,  892. 

CONCILE  de  Paris  (Quatrième)  au  sujet  de 
l'érection  de  l'évêché  de  Châteaudun,  XI, 
893,  894. 

CONCILE  de  Paris  (Cinquième)  oii  saint 
Prétextât,  archevêque  de  Rouen,  est  con- 
damné, XI,  893, 894.  Saint  Grégoire  de  Tours 
y  assiste,  366, 

CONCILE  tenu  en  ce  temps  contre  les  Sa- 
maritains, XI,  592,  393. 

CONCILE  de  Chalon-sur-Saône,  où  Sa- 
lone,  évêque  d'Embrun,  et  Sagittaire,  évêque 
de  Gap,  sont  déposés  pour  leurs  désordres, 
XI,  894. 

CONCILE  de  Mâcon.  Dix-neuf  canons  de 
ce  concile  dont  la  plupart  ne  font  que  renou- 
veler ceux  des  conciles  précédents,  XI,  894, 
895. 

CONCILE  de  Lyon  (Troisième)  qui  fait  six 
canons  de  disciphne,  XI,  893. 

CONCILE  de  B raine  où  saint  Grégoire  de 
Tours,  accusé  d'avoir  calomnié  la  reine  Bru- 
nehaut,  se  justifie,  XI,  895,  896. 

CONCILE  de  Valence  eu  Dauphiné  qui 
confirme  les  donations  faites  et  à  faire  par 
le  roi  Gontran,  par  sa  femme  et  par  ses  filles, 
XI,  896. 


V.  460. 


563. 


562  ou  563. 


566. 


566. 


572. 


562. 


572. 


572. 


573. 


577. 


579. 


581  ou  582. 


583. 


V.  583. 


584. 


244 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


585.  CONCILE  de  Mâcon  (Deuxième).  Analyse 

de  ses  canons,  XI,  896,  897. 

CONCILE  d'Auxerre.  Sa  date  précise  pa- 
raît postérieure  à  celle  du  second  concile  de 
Mâcon,  XI,  897,  898.  Canons  de  ce  concile, 
898,  899. 
585  ou  588.  CONCILE  de  Clermont  en  Auvergne.  On 
y  donne  à  Théodose,  évèque  de  Rodez, 
plusieurs  provinces  qu'il  réclamait  sur  Ursi- 
cin,  évèque  de  Cahors,  XI,  899. 

587.  CONCILE  de  Conslautinople  oîi  Grégoire, 

patriarche  d'Antioche,  est  justifié  des  crimes 
dont  on  l'accusait,  XI,  899. 

589.  CONCILE  de  Tolède  assemblé  par  le  roi 

Reccarède  pour  affermir  la  conversion  des 
Golhs  à  la  foi  catholique,  XI,  900.  Vingt- 
trois  articles  avec  anathèmes  contre  les  er- 
reurs des  Ariens,  901.  Canons  du  concile  de 
Tolède,  901  et  suiv.  Confirmation  de  ces  ca- 
nons par  le  roi  Reccarède,  903.  Discours  de 
saint  Léandre,  903  et  904. 

589,  CONCILE  de  Narbonne,  tenu  par  l'évêque 

Migétius,  904.  Canons  de  ce  concile,  904  et 
905. 

589.  CONCILE  de  Sauriciac  dont  parle   saint 

Grégoire  de  Tours,  XI,  905. 

589.  CONCILE  de  Rome  dont  il  est  fait  mention 
dans  une  lettre  aux  évêques  de  Germanie  et 
des  Gaules,  faussement  attribuée  au  pape 
Pelage  II,  XI,  905. 

690.  CONCILE  de  Poitiers  au  sujet  des  troubles 

excités  dans  le  monastère  de  Sainte-Croix; 
Ghrodielde  et  Basine  sont  excommuniées  et 
l'abbesse  Lebouère  est  rétablie,  XI,  905. 

590.  CONCILE  de  Metz,  d'abord  assemblé  à 
Verdun,  Gilles,  évèque  de  Reims,  convaincu 
de  trahison,  est  déposé  ;  l'afiaire  de  Sainte- 
Croix  de  Poitiers  y  est  terminée,  XI,  905,  906. 

591.  CONCILE  de  Nanterre  convoqué  pour  le 
baptême  de  Clotaire  II,  XI,  906. 

592.  CONCILE  de  Saragosse.  On  y  fait  diffé- 
rentes dispositions  concernant  les  Ariens 
réunis  à  l'Église  catholique,  XI,  906. 

595.  CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  saint 

Grégoire.  On  y  fait  plusieurs  canons  de  dis- 
cipline, XI,  906,  907. 

597.  CONCILE  de  Tolède.  On  y  fait  deux  ca- 
nons; l'un  ordonne  la  continence  aux  évê- 
ques, aux  prêtres  et  aux  diacres;  l'autre 
donne  le  revenu  de  l'église  au  prêtre  qui  la 
dessert,  XI,  907. 

598.  CONCILE  d'Huesca,  On  ordonne  aux  évê- 
ques de  veiller  à  ce  que  la  continence  soit 
gardée  par  les  abbés,  les  prêtres  et  les  dia- 
cres, XI,  907. 


599. 


«02. 


V.  602. 


CONCILE  de  Barcelone.  Ses  canons  contre 
la  simonie,  XI,  907. 

CONCILES  DU  SEPTIÈME  SIÈCLE. 


CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  saint        goi. 
Grégoire  à  couvert  des  vexations  des  évê- 
ques, XI,  908. 

CONCILE  de  Worchester  tenu  par  saint    gu1ou606. 
Augustin,  archevêque  de  Cantorbéry,  pour 
amener  les  Bretons  à  célébrer  la  Pâque,  sui- 
vant l'usage  de  l'Église  romaine,  Xi,  908, 909. 

CONCILE  de  la  Byzacène  tenu  à  l'occasion 
des  plaintes  formées  contre  Telmentin,  pri- 
mat de  la  province,  XI,  909. 

CONCILE  de  Mâcon  assemblé  pour  savoir 
de  quelle  manière  on  se  conduirait  à  l'égard 
de  saint  Colomban  qui  persistait  à  célébrer 
Pâques  le  14  de  la  lune,  XI,  623.  Lettre  de 
saint  Colomban  à  ce  concile,  625  et  626. 

CONCILE  de  Chalon-sur-Saône  où  Didier,         c03. 
évèque  de  Vienne,  est  déposé  à  l'instigation 
de  Brunehaut  dont  il  blâmait  les  désordres, 
XI,  909. 

CONCILE  de  Numidie  assemblé  par  ordre    eua  ou  603 
du  pape  saint  Grégoire,  pour  examiner  les 
plaintes  du  diacre  Donadéus  contre  l'évêque 
Victor,  et  celles  de  quelques  clercs  maltraités 
par  l'évêque  Paufiu,  XI,  910.  * 

CONCILE  de  Cantorbéry  assemblé  pour  la        eos. 
confirmation  du  monastère  que  saint  Augus- 
tin y  avait  bâti  en  l'honneur  des  apôtres 
saint  Pierre  et  saint  Paul,  XI,  910. 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  Boni-         606. 
face  III  pour  réformer  les  abus  qui  se  com- 
mettaient dans  l'élection  du  pape  et  des  au- 
tres évêques,  XI,  910. 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  Boni-         eio. 
face  IV.  On  y  décide  que  les  moines  élevés 
au  sacerdoce  peuvent  en  exercer  le  minis- 
tère, XI,  910,  911. 

CONCILE  de  Tolède  où  les  évêques  de  la        eio. 
province  de  Garthagène  reconnaissent  celui 
de  Tolède  pour  leur  métropolitain,  XI,  911, 

CONCILE  d 'Egara  ou  Terrassa  qui  confirme         eu. 
le  décret  fait  par  celui  d'Huesca  sur  la  con- 
tinence des  clercs,  XI,  911,  912. 

CONCILE  de  Paris  où  on  fait  quinze  ca-        eis. 
nous  de  disciphne,  XI,  912,  913.  Confirmés 
par  un  édit  du  roi  Clotaire  II,  913. 

CONCILE  tenu  en  France,  confirmatif  du    gis  ou  616. 
précédent.  Les  canons  qu'on  y  fit  se  trouvent 
à  la  suite  du  précédent,  XI,  913. 

CONCILE  de  Kent  où  les  évêques  Mollit,        6i7. 
Laurent  et  Just  conviennent  d'abandonner 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES, 


245 


l'Angleterre  qui  retournait  à  l'idolâtrie,  XI, 
913,914. 

619.  CONCILE  de  Séville  tenu  par  saint  Isi- 

dore. Ou  y  fait  plusieurs  canons  de  disci- 
pline, XI,  914  et  suiv. 
> .  622.  CONCILE  de  Théodosiopolis  ou  Gharne 

tenu  par  Jeser  Nécainus,  patriarche  d'Armé- 
nie pour  réunir  les  églises  de  sa  dépendance 
à  l'Église  catholique  dont  les  Acéphales  les 
avaient  séparées,  X,  916. 

624.  CONCILE  de  Mâcon  où  la  règle  de  saint 

Golomban  est  approuvée  et  les  calomnies 
d'Agrestin  rejetées,  XII,  914. 

625  CONCILE  de  Reims  présidé  par  Sonnace, 

XII,  914.  Canons  de  ce  concile,  914  et  915. 

628.  CONCILE  de  Cliohy.  Ce  qu'on  sait  de  ce 

concile  dont  on  n'a  point  les  actes,  XII,  915, 
916. 

633.  CONCILE  de  Tolède  (Quatrième)  présidé 

par  saint  Isidore  de  Séville,  XII,  916.  Canons 
de  ce  concile,  916  et  suiv. 

636.  CONCILE  de  Tolède  (Cinquième)  dont  les 

canons  regardent  la  sûreté  et  l'affermisse- 
ment de  la  puissance  royale,  XII,  919,  920. 

638.  CONCILE  de  Tolède  (Sixième).  Analyse  de 

ses  dix-neuf  canons,  XII,  920,  921. 

646.  CONCILE  de  Tolède  (Septième).  Ses  ca- 

nons, XII,  921. 
634  ou  645.        CONCILE  d'Orléans  où  un  Grec  monothé- 
lite  est  confondu  et  condamné,  XII,  921. 

636.  CONCILE  de  Clichy  à  l'occasion  du  ser- 

ment de  fidélité  que  les  Gascons  prêtèrent 
au  roi  Dagobert,  XII,  921. 

638.  CONCILE  de  Paris  où  ce  i-oi  confirme  les 

immunités  accordées  à  l'abbaye  de  Saint-De. 
nis,  XII,  921. 

646.  CONCILES  de  Numidie,  de  Mauritanie,  de 

Byzacène  et  de  la  Province-Proconsulaire, 
contre  les  Monotbélites.  Lettres  synodales 
des  évêques  d'Afrique,  XII,  925,  926. 

649.  CONCILE  de  Latran  présidé  par  le  pape 

saint  Martin  pour  condamner  le  Monothé- 
lisme,  XI,  749  et  XII,  926  et  suiv.  Evêqoes 
qui  y  assistèrent,  XII,  926.  Première  session. 
Le  pape  y  expose  le  motif  de  la  convocation 
du  concile,  926  et  927.  On  condamne  l'Ec- 
thèse,  et  l'on  reconnaît  deux  opérations  en 
Jésus-Christ.  Seconde  session.  Requête  pré- 
sentée par  Sophrone  patriarche  de  Jérusa- 
lem. Plusieurs  abbés,  prêtres  et  moines  grecs 
demandent  qu'on  anathématise  le  Type,  et 
que  l'on  confirme  la  foi  catholique,  927. 
Troisième  session.  On  examine  canonique- 
ment  les  écrits  de  Théodore,  de  Cyrus,  de 
Sergius   et  de  Pyrrhus,   927  et  928.   Qua- 


trième session.  On  examine  la  lettre  de  Paul 
de  Constantinople  et  le  Type  dont  il  était 
l'auteur,  928,  929.  Cinquième  session.  On 
produit  les  passages  des  Pères  qui  ont  éta- 
bli les  deux  volontés  en  Jésus -Christ,  et  les 
livres  hérétiques  opposés  à  ce  dogme,  929, 

930.  Canons  du  concile  de  Latran.  Jugement 
porté  contre  le  Monothélisme ,  930,  931. 
Lettre  circulaire  du  pape  saint  Martin  en  en- 
voyant les  actes  de  ce  concile,  931.  — On 
condamna  dans  ce  concile  Didyme  l'Aveugle, 
V,  619. 

CONCILE  de  Chalon-sur-Saône.  On  y  fait    644on650. 
vingt  canons.  Analyse  de  ces  canons,  XII, 

931,  932. 

CONCILE  de  Tolède  (Huitième)  assemblé        653. 
par  le  roi  Récesvinthe,  XII,  932,  933. 

CONCILE  de  Tolède  (Neuvième),  présidé        655. 
par  l'archevêque  Eusèbe,  XII,  933,  934. 

CONCILE   de   Tolède    (Dixième),    par   le         656. 
même.  On  y  fait  sept  canons,  XII,  934.  Po- 
tamius,   archevêque  de  Brague  s'y   avoue 
coupable  d'un  péché  d'impureté.  Il  est  mis 
en  pénitence,  934  et  935. 

CONCILE  de  Nantes  qui  permet  à  saint      y.  658. 
Nivard  de  bâtir  le  monastère  de  Hautvillers, 
XII,  935. 

CONCILE  de  Clichy  comvoqué  par  le  roi    653  ou 659. 
Clovis  II.  On  y  accorde  un  privilège  à  l'ab- 
baye de  Saint-Denis,  XII,  935. 

CONCILE  ou  conférence  de  Streneshal  en        664. 
Angleterre,  où  on  agite  avec  les  Irlandais  la 
question  du  temps  de  la  fête  de  Pâques.  Les 
Anglais  adoptent  l'usage  de  l'Église  romaine, 
XII,  935,  936. 

CONCILE  de  Mérida  assemblé  par  ordre  du        666. 
roi  Récesvinthe,  XII,  936.  Canons  de  ce  con- 
cile concernant  tous  la  disciphne,  936  et  suiv. 

CONCILE  de  Rome  tenu  sous  le  pape  Vi-        667. 
talien.  Jean,  évêque  de  Lappe  dans  l'Ile  de 
Crète  y  est  déclaré  innocent  de  la  faute  pour 
laquelle  l'avait  condamné  son  métropolitain, 
XII,  938. 

[CONCILE  de  Sens  au  sujet  des  privilèges 
de  Saint-Pierre-le-Vif,  en  657.] 

CONCILE  de  Sens  où  on  accorde  un  privilège    ctoou  659. 
à  l'abbaye  de  Saint-Pierre-le-Vif ,  XII,  938. 

CONCILE  d'Autun  dont  les  statuts  regar-  e70[ou  66i.] 
dent  presque  tous  la  discipline  monastique, 
XII,  938, 939.  [Autres  règlements  publiés  par 
D.  Pitra,  939.  Date  de  ce  concile,  938,  n.  5.] 

CONCILE  de   toute   l'Angleterre   tenu   à         673. 
Herford,  XII,  939.  Canons  de  ce  concile. 
939  et  940. 

CONCILE  de  Tolède  (Onzième)  assemblé        675. 


246 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


675. 


679. 


par  ordre  du  roi  Vamba,  XII,  940.  Canons 
de  ce  concile,  940  et  941. 

CONCILE  de  Brague.  Différents  canons 
sur  la  discipline,  XII,  941,  942. 

CONCILE  de  Milan.  Lettre  synodale  écrite 
à  l'empereur  d'Orient  pour  la  condamnation 
des  Monothélites,  XII,  942,  943. 

679.  CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  saint 
Agathon.  Wilfrid,  évèque  d'York,  déposé  en 
Angleterre,  y  est  justifié  et  rétabli,  XII,  943 
et  suiv. 

fiso.  CONCILE  de  Romeoùlepape  saint  Agathon 

nomme  des  députés  pour  assister  au  concile 
qui  devait  se  tenir  contre  les  Monothélites, 
XII,  943  et  suiv.  Deux  lettres  de  ce  concile 
adressées  à  l'empereur  :  l'une  au  nom  du 
pape  Agathon,  944,  945  ;  l'autre  au  nom  du 
pape  et  du  concile,  945.  Députés  nommés 
pour  aller  à  Constantinople,  946.  Les  deux 
lettres  sont  lues  et  approuvées  au  concile 
général,  948. 

680.  CONCILE  de  Hetfeld  en  Angleterre,  où 
les  évêques  d'Angleterre  adhèrent  à  la  con- 
damnation des  Monothélites  faite  au  concile 
de  Latran,  XII,  945. 

680.  CONCILE  de  Constantinople  (Troisième) 

sixième  œcuménique  tenu  contre  les  Mono- 
thélites. Sa  convocation  par  l'empereur 
Constantin  Pogonat,  XII,  945  et  suiv.  Pre- 
mière session.  On  lit  les  actes  du  concile 
d'Ephèse,  946,  947.  Seconde  session.  On  lit 
les  actes  du  concile  de  Chalcédoine,  947. 
Troisième  session.  On  lit  les  actes  du  second 
concile  général  de  Constantinople,  dont  on 
rejette  le  discours  de  Menas  à  Vigile,  après 
en  avoir  prouvé  la  fausseté,  947  et  948.  Les 
légats  du  pape  s'inscrivent  en  faux  contre 
deux  Hvres  qui  y  avaient  été  insérés  sous  le 
nom  du  pape  Vigile,  947.  Quatrième  session. 
On  y  fait  la  lecture  des  lettres  du  pape 
680  et  681.  Agathou  et  du  concile  de  Rome.  Cinquième 
et  sixième  sessions.  Macaire  d'Antioche  pro- 
duit deux  volumes  de  passages  des  Pères 
comme  favorables  au  monolhélisme.  Les 
députés  du  pape  demandent  à  en  faire  voir 
la  falsification.  Septième  session.  On  lit  les 
passages  des  Pères  qui  prouvent  les  deux 
volontés  en  J.-C,  948.  Huitième  session. 
Macaire  d'Antioche  soutient  son  sentiment. 
On  vérifie  les  passages  qu'il  alléguait.  Ils  se 
trouvent  tronqués  ou  falsifiés.  On  ôte  le  pal- 
lium  à  Macaire,  948  et  949.  Neuvième  ses- 
sion. On  continue  de  vérifier  les  passages 
allégués  par  Macaire.  Il  est  déclaré  déchu 
de   toute  dignité   et  fonction    sacerdotale. 


L'abbé  Etienne,  son  disciple  est  chassé  de 
l'assemblée,  949,  950.  Dixième  session.  On 
vérifie  les  passages  allégués  par  les  députés 
du  pape  et  de  son  concile.  Onzième  session 
On  lit  la  lettre  de  saint  Sophrone  de  Jérusa- 
lem à  Sergius  de  Constantinople.  Plaintes 
contre  Macaire  d'Antioche,  950.  Douzième 
session.  Suite  des  procédures  contre  Ma- 
caire, 930,  951.  Treizième  session.  Les 
lettres  de  Sergius  et  d'Honorius  sont  re- 
jetées comme  contraires  à  la  doctrine  de 
l'Église ,  et  conformes  aux  sentiments  des 
hérétiques.  Les  chefs  des  Monothélites  sont 
anathématisés.  L'abbé  Théophane  est  or- 
donné patriarche  d'Antioche,  931  et  suiv. 
Quatorzième  session.  On  vérifie  la  supposi- 
tion du  discours  de  Menas  à  Vigile,  et  de 
ceux  de  Vigile  à  Justinien  et  à  Théodora.  Les 
faussaires  sont  anathématisés,  933.  Quin- 
zième session.  Polychrone,  prêtre  et  moine 
accusé  et  convaincu  de  soutenir  les  erreurs 
de  Macaire,  est  dégradé  et  anathématisé, 
933  et  934.  Seizième  session.  Constantin, 
prêtre  de  l'Église  d'Apamée,  est  anathéma- 
tisé parce  qu'il  refusait  de  reconnaître  une 
volonté  humaine  en  J.-C.  depuis  sa  résur- 
rection. On  renouvelle  les  anathèmes  contre 
les  chefs  des  Monothélites,  934.  Dix-septième 
session.  On  y  dresse  la  définition  de  foi.  On 
en  fait  la  lecture.  Elle  est  souscrite  parl'évê- 
que  et  par  l'empereur,  934.  Lettre  du  con- 
cile au  pape  Agathon,  954  et  933.  Edit  de 
l'empereur  contre  les  Monothélites  ;  sa  let- 
tre au  pape  Léon  II  et  aux  évêques  d'Occi- 
dent, 955.  Réponse  du  pape  Léon  qui  adhère 
aux  décisions  du  concile  de  Constantinople, 
955  et  936.  Les  actes  de  ce  concile  reçus  à 
Tolède,  958.  Traduction  latine  des  actes  de 
ce  concile  de  Constantinople  attribuée  à  Anas. 
tase  le  Bibliothécaire,  713.  [Jugement  sur  la 
condamnation  prononcée  par  le  troisième 
concile  de  Constantinople,  951,  note  1.] 

CONCILE  de  Tolède  (Douzième) ,  où  l'on 
confirme  la  renonciation  que  le  roi  Vamba 
avait  faite  à  la  couronne,  et  l'élection  d'Er- 
vige  qu'il  avait  désigné  son  successeur,  XII, 
936.  Canons  de  ce  concile,  936,  937. 

CONCILE  de  Tolède  (Treizième)  où  l'on 
fait  plusieurs  règlements  conformément  aux 
intentions  du  roi  Ervige,  XII,  957,  938. 

CONCILE  de  Tolède  (Quatorzième)  où  l'on 
approuve  les  actes  du  sixième  général  de 
Constantinople,  958. 

CONCILE  de  Tolède  (Quinzième).  On  y 
explique  quelques  expressions  du   concile 


681. 


683. 


684. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


247 


précédent  qui  faisaient  de  la  peine  au  pape. 
On  y  résout  deux  difficultés  proposées  par 
le  roi  Egica  sur  les  serments  qu'il  avait  faits 
au  roi  Ervige,  XII,  938,  939. 
G85  ou 678.  CONCILE  teuu  dans  les  Gaules.  On  ne  sait 
dans  quel  lieu.  Ebroin,  maire  du  palais,  y 
fait  déposer  et  condamner  à  mort  saint  Lé- 
ger, évêque  d'Autun,  et  Didon,  évêque  de 
Chalon-sur-Saône,  XII,  959. 

V.685.  CONCILES  de  Cantorbéry,   XII,  939,  et 

XIII,  618. 

V.  CS5.  CONCILE  de  Twiford  en  Angleterre.  Saint 

Cutbbert  y  est  élu  évêque  de  Lindisfarne, 
XII,  959. 
«91.  CONCILE  de  Saragosse  où  l'on  fait  plu- 

sieurs canons  de  discipline,  XII,  959. 
684.  CONCILE  de  Constantinople  appelé  Qui- 

niseste  ou  in  Trullo,  assemblé  pour  suppléer 
aux  deux  derniers  conciles  généraux  tenus 
à  Constantinople,  qui  n'avaient  point  fait  de 
canons,  XII,  939  et  suiv.  Canons  de  ce  con- 
cile, 960  et  suiv.  Les  Grecs  regardent  ce  con- 
cile comme  général.  Les  Latins  l'ont  rejeté, 
964,  765.  —  Dans  ce  concile,  on  condamne 
Didyme  l'Aveugle,  V,  619. 

693.  CONCILE  de  Tolède  (Seizième).  On  y  fait 
treize  canons  suivant  le  mémoire  présenté 
par  le  roi  Egica,  XII,  965,  966. 

694.  CONCILE  de  Tolède  (Dix-septième).  Ca- 
nons qui  y  furent  dressés,  XII,  966. 

694.'  CONCILE  de  Béchancelle  en  Angleterre, 

assemblé  par  Witherède,  roi  de  Kent.  Ce 
prince  y  témoigne  son  zèle  pour  la  conser- 
vation de  la  liberté  et  de  l'immunité  des 
Églises  et  des  monastères,  XII,  966. 

697.  CONCILE  de  Berghamstède  en  A  ngleterre . 
On  y  fait  vingt-huit  canons  qui  peuvent  être 
regardés  comme  des  lois,  le  roi  de  Kent  les 
ayant  confirmés,  XII,  967. 

695  ou 696.  CONCILE  OU  syuode  d'Auxerre.  On  y  ré- 
gie de  quelle  manière  les  abbés  et  les  archi- 
prêtres  des  diverses  églises  du  diocèse 
d'Auxerre  devaient  venir  faire  l'office  dans 
l'église  cathédrale  de  Saint-Etienne,  XII,  967. 
CONCILE  d'Utrecht  où  il  est  résolu  qu'on 
enverrait  des  prédicateurs  dans  les  provinces 
voisines  pour  y  prêcher  la  foi  aux  infidèles, 
XII,  967,  968.  [Ce  concile  se  tint  en  719  et  non 
en  697.] 

698.  CONCILE  d'Aquilée  (Faux)  où  les  défen- 
seurs des  Trois-Chapitres  rejettent  le  cin- 
quième concile  général  et  se  séparent  de 
l'Église  catholique,  XII,  968. 

.  700.  CONCILE  de  Worms.  On  y  fait  douze  ca- 

nons de  discipline,  XIII,  603. 


CONCILES   DT)    HUITrEME   SIECLE. 

CONCILE  de  Tolède  regardé  comme  le    70iou70i. 
dix-huitième  et  dernier,  assemblé  par  le  roi 
Vitiza  :  les  actes  en  sont  perdus,  XIII,  603. 

CONCILE  de  Nesterfleld  contre  saint  Wil-        ™3- 
frid  :  on  veut  l'obliger  à  se  démettre  de  son 
évêché  ;  il  en  appelle  au  pape,  XIII,  603. 

CONCILE  de  Rome  :  saint  Wilfrid  y  est        ™4 
pleinement  justifié  et  on  ordonne  son  réta- 
blissement, XIII,  603,  604. 

CONCILE  de  Nid  où  saint  Wilfrid  est  réta-        ™5- 
bli,  XIII,  604. 

CONCILE  d'Aine  où  l'on  confirme  les  dona-        709. 
lions  faites  du  monastère  d'Evesham,  604, 605 . 

CONCILE  de  Constantinople,  convoqué  par        112. 
l'empereur  Philippe  Bardane  qui  y  fait  con- 
damner le  sixième  concile  général,  605- 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  saint        ''21. 
Grégoire  II;  on  y  anathématise  ceux  qui 
avaient  contracté  des  mariages  avec  des  fem- 
mes consacrées  à  Dieu,  XII,  26  et  Xlil,  605. 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  saint        724. 
Grégoire  II  au  sujet  du  saint  évêque  Corbi- 
nien,  XIII,  p.  603. 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  même  au        726. 
sujet  du  culte  des  images,  XIII,  606. 

CONCILE  de  Rome  tenu  parle  pape  Grégoire        73i. 
m  touchant  le  culte  des  images,  XIII,  606. 

CONCILE  d'Allemagne,  convoqué  par  Car-        742. 
loman,  duc  et  prince  des  Français,  et  présidé 
par  saint  Boniface,  archevêque  de  Mayence, 
XIII,  606et607.Canonsfaits  en  ce  concile, 607. 

CONCILE  de  Leptines  convoqué  par  Car-         743. 
loman  et  présidé  par  saint  Boniface,  arche- 
vêque de  Mayence,  XIII,  607. 

CONCILE  de  Soissons.  On  y  ordonne  qu'on         74i. 
publierait  partout  la  foi  établie  par  le  concile 
de  Nicée,  XIII,  607  et  608.  On  y  condamne 
Adalbert  qui  entraînait  les   peuples  dans 
plusieurs  superstitions,  608. 

CONCILE  de  Rome,  tenu  par  le  pape  saint    743  ou  744. 
Zacharie  pour  le  maintien  de  la  foi  et  de  la 
discipline  ;  canons  de  ce  concile,  XIII,  608 
et  609.  [Date  de  ce  concile,  608,  n.  3.] 

CONCILE  d'Allemagne  sous  saint  Boni-        745. 
face,  XIII,  609. 

CONCILE  de  Rome  sous  le  pape  saint  Za-        745. 
charie;  Adalbert  et  Clément  y  sont  déposés, 
XIII,  609  et  610. 

CONCILE  de  Cloveshou,   en  Angleterre,         747. 
présidé  par  Guthbert,  archevêque  de  Can- 
torbéry, XIII,  610.  On  y  fait  trente  canons 
de  disciphne,  610  et  suiv. 


248 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


CONCILE  de  Verberic  convoqué  par  le  roi 

753.  Pépin.  On  y  fait  vingt-et-un  canons  dont  la 
plupart  regardent  les  mariages  incestueux, 
XIII,  612,  613.  [Observations  sur  quelques 
canons  de  ce  concile,  613. 

754.  CONCILE  de  Quierci-sur-Oise,  XIH,  613. 

755.  CONCILE  de  Constantinople  tenu  par  les 
iconoclastes.  Définition  de  ce  concile  con- 
traire à  la  doctrine  catholique,  XIII,  619  et 
619.  Elle  est  discutée  et  réfutée  au  second 
concile  général  de  Nicée,  624  et  suiv. 

754.  CONCILE  de  Verneuil  convoqué  par  le  roi 

Pépin,  XIII,  613.  Canons  de  ce  concile  ten- 
dant à  un  rétablissement  de  l'ancienne  dis- 
cipline et  à  la  réformation  de  plusieurs  abus, 
613  et  suiv. 
753  ou  756.  CONCILE  de  Metz.  Canons  de  ce  concile 
contre  les  incestes,  XIII,  613. 

757.  CONCILE  de  Compiègne  assemblé  par  le 

roi  Pépin,  XIII,  61S  et  616. 

759.  CONCILIABULE    d'Allemagne    où    saint 

Othmar  est  condamné  sur  une  fausse  accu- 
sation, XII,  616. 

761.  CONCILE  de  Rome  qui  approuve  la  fon- 

dation d'un  monastère  fait  par  le  pape 
Paul  I",  XIII,  616. 

765.  CONCILE  d'Attigny-sur-Aisne.  Ce  qui  nous 

reste  des  actes  de  ce  concile,  XIII,  616. 

767.  CONCILE  de  Gentilly,  près  Paris.  On  y 

agite  la  question  de  la  procession  du  Saint- 
Esprit  ;  on  y  examine  aussi  s'il  était  à  pro- 
pos de  peindre  dans  les  églises  les  images 
des  saints,  XIII,  616. 

769.  CONCILE  de  Rome  où  l'antipape  Constan- 
tin est  condamné,  et  les  Iconoclastes  sont 
anathématisés,  XIII,  616. 

770.  CONCILE  de  Rome  dont  on  ne  sait  rien, 
XIII,  616. 

771.  CONCCLE  de  Valenciennes  dont  on  ne 
sait  rien,  XIII,  616. 

772.  CONCILE  de  Worms  dont  on  cite  un  dé- 
cret touchant  la  manière  dont  un  prêtre  ac- 
cusé doit  se  justifier,  XIII,  616. 

772.  CONCILE  de  Dingolvingue  convoqué  par 
Tassilon,  duc  de  Bavière,  XIII,  616.  Canons 
de  ce  concile,  616  et  617. 

773.  CONCILE  de  Gènes  asssemblé  par  Ghar- 
lemagne,  XIII,  617. 

777.  CONCILE  de  Paderborn  où  l'on  fait  plu- 

sieurs règlements  touchant  les  Saxons  nou- 
vellement coonvertis,  XIII,  617. 

779.  CONCILE  de  Duria  au  sujet  de  la  Saxe. 
Canons  de  ce  concile,  XIII,  617. 

780.  CONCILE  de  Lippe  pour  régler  le  gouver- 
nement ecclésiastique  de  la  Saxe,  XIII,  617. 


781. 


[CONCILE  de  Germanie,  en  présence  de 
Charlemagne,  pour  la  translation  du  siège  , 

épiscopal  de  Ratisbonne  de  l'église  Saint- 
Emmeran  dans  celle  de  Saint-Etienne,  XIII, 
617.] 

CONCILE  de  Cologne  où  Charlemagne  re-        782. 
çoit  les  députés  de  diverses  nations,  XIII,  617 . 

CONCILE  de  Calchut,  en  Angleterre.  On        782. 
y  fait  vingt  canons  de  discipline,  XIII,  617 
et  618. 

[CONCILES  des  Merciens.  On  ht  et  ex-    782  ou 787 
phque  les  canons  du   concile  de  Calchut, 
XIII,  617,  n.  7.] 

CONCILE  de  Paderborn  où  l'on  fait  plu-        786. 
sieurs  règlements  touchant  les  Saxons  nou- 
vellement convertis,  XIII,  618. 

CONCILE  général  de  Nicée  (Deuxième),  786,787. 
septième  œcuménique.  Ce  qui  a  donné  lieu 
à  la  tenue  de  ce  concile,  XIII,  618  et  suiv. 
Le  concile  est  d'abord  indiqué  à  Constanti- 
nople, 619,  620.  Les  évêques  iconoclastes 
en  empêchent  la  tenue.  Seconde  convoca- 
tion du  concile  indiqué  à  Nicée,  en  Bithy- 
nie  ;  grand  nombre  d'évêques  s'y  assem- 
blent. Première  session,  620.  Plusieurs  évo- 
ques demandent  à  se  réunir  à  la  foi  de  l'É- 
ghse  cathohque  sur  le  culte  des  images,  620 
et  621.  Seconde  session  :  Grégoire,  évêque 
de  Néocésarée,  est  réconcihé,  621.  On  lit 
les  lettres  du  pape  Adrien  ;  le  patriarche 
Taraise  et  le  concile  y  adhèrent,  621  et  622. 
Troisième  session  :  on  y  lit  la  lettre  de  Ta- 
raise aux  Orientaux  ;  leur  réponse  et  la 
lettre  synodique  de  Théodore,  patriarche  de 
Jérusalem,  622.  Quatrième  session  :  on  al- 
lègue les  passages  de  l'Écriture  et  des  Pères 
favorables  au  culte  des  images,  622  et  623. 
Confession  de  foi  sur  le  culte  des  images, 
lue  au  nom  du  concile  et  souscrite  par  tous 
les  Pères,  623,  624.  Cinquième  session  :  on 
l'emploie  à  montrer  que  les  Iconoclastes 
n'avaient  fait  qu'imiter  les  Juifs,  les  Sarra- 
sins, les  Païens,  les  Manichéens  et  d'autres 
hérétiques,  624.  Sixième  session  :  on  y  lit 
la  réfutation  de  la  définition  de  foi  faite  dans 
le  concile  que  les  Iconoclastes  avaient  tenu 
à  Constantinople  en  734,  624  et  suiv.  Sep- 
tième session  :  confession  de  foi  du  concile, 
et  son  décret  touchant  le  culte  des  images, 
626,  627.  Observations  sur  ce  décret,  627, 
628.  Lettres  de  Taraise  et  du  concile  pour 
instruire  la  cour  et  les  églises  de  Constan- 
tinople de  ce  que  le  concile  avait  décidé, 
628.  Huitième  session  qui  se  tient  à  Cons- 
tantinople  :    l'empereur    et    l'impératrice 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


249 


787. 


791. 


793. 


794. 


79-i. 


Irène  y  assistent  ;  la  décision  du  concile  est 
confirmée  et  les  Iconoclastes  sont  anathé- 
matisés,  628  et  629.  Canons  du  deuxième 
concile  de  Nicée,  629,  630.  Discours  du  dia- 
cre Épiphane,  630.  Lettre  du  patriarche  Ta- 
raise  au  pape  Adrien,  630  et  631.  Deux  tra- 
ductions latines  des  actes  du  concile  de  Ni- 
cée ;  difficultés  formées  en  France,  contre 
la  décision  du  concile  de  Nicée,  sur  le  culte 
des  images,  631.  —  On  y  condamne  Di- 
dyme  l'Aveugle,  V,  619.  —  La  tradition  sur 
le  culte  des  images  y  fut  confirmée,  XII,  125. 
Ce  concile  est  rejeté  par  celui  de  Francfort, 
136,  137.  Il  est  taxé  d'erreur  dans  les  livres 
carolins,  137.  Justifié  par  le  pape  Adrien  l"' 
qui  réfute  ces  livres,  137  et  suiv.  Actes  du 
concile  de  Nicée  traduits  par  Anastase  le  Bi- 
bliothécaire, 713.  —  L'Église  romaine  reçoit 
les  décrets  de  ce  concile,  Xlll,  724. 

CONCILE  de  Worms  où  Charlemagne  fait 
des  plaintes  sur  la  mauvaise  foi  de  Tassil- 
lon,  duc  de  Bavière,  XIII,  631,  632. 

CONCILE  d'Ingelheim  (ou  plutôt  assem- 
blée séculière)  où  Tassillon,  convaincu  de 
plusieurs  crimes,  est  condamné  à  perdre  la 
vie,  XIII,  632. 

CONCILE  de  Narbonne  assemblé  princi- 
palement pour  condamner  les  erreurs  de 
Félix  d'Urgel,  Xlll,  632. 

CONCILE  d'Acclech  dont  les  actes  ne  sont 
pas  venus  jusqu'à  nous,  XIII,  632. 

CONCILE  de  Pincenhalle  dont  les  actes 
ne  sont  pas  venus  jusqu'à  nous,  XIII,  632. 

CONCILE  de  Frioul  où  l'on  établit  la  pro- 
cession du  Saint-Esprit  et  la  divinité  de 
Jésus-Christ,  XIII,  632  et  633.  Canons  de 
ce  concile,  633,  634.  —  Comment  on  fixe 
l'année  où  il  fut  tenu,  XII,  160. 

CONCILE  de  Ratisbonne  où  l'erreur  de 
Félix  d'Urgel  est  condamnée,  XIII,  634. 

[CONCILE  d'Espagne  tenu  par  Élipand, 
XIII,  634.] 

CONCILE  de  Francfort  où  les  erreurs  de 
Félix  d'Urgel  et  d'Élipand  de  Tolède  sont 
réfutées,  XIII,  634  et  suiv.  Actes  de  ce  con- 
cile, 634,  635.  Canons  du  concile  de  Franc- 
fort, 635,  636.  On  y  condamne  les  erreurs 
d'Élipand  ;  on  y  rejette  le  deuxième  concile 
de  Nicée,  parce  qu'on  n'en  comprend  pas 
les  textes,  XII,  225. 

CONCILE  de  Vérulara  au  sujet  de  la  fonda- 
tion du  monastère  de  Saint-Alban,XlII,  636. 

CONCILE  de  Finchallend  où  l'on  traite  di- 
vers points  de  discipline,  XIII,  634. 

CONCILE  de  Rome  où  le  pape  Adrien 


condamne  l'erreur  d'Elipand  et  de  Félix 
avec  leurs  personnes,  XIII,  634. 

CONCILE  d'Aix-la-Chapelle  où  Charlema-         707. 
gne  pubhe  un  capitulaire  en  onze  articles, 
XIII,  636  et  637. 

[CONCILE  d'Aix-la-Chapelle,  en  la  même 
année,  pour  la  construction  du  monastère 
de  Saint-Paul  à  Rome,  XIII,  637.] 

CONCILE  de  Bancancel,  où  l'évêque  de        vgg. 
Rochester  fait  un  discours  sur  les  immuni- 
tés ecclésiastiques,  XIII,  636. 

[CONCILE  de  Rome  où  l'erreur  de  Félix        799. 
d'Urgel  sur  la  divinité  de  Jésus-Christ  est 
anathématisée,  XIII,  636.] 

CONCILE   d'Urgel  où  Félix  est  invité,  à        799. 
venir,  devant  le  roi,  rendre   raison  de  sa 
doctrine,  XIII,  636. 

CONCILE  d'Aix-la-Chapelle  où  Félix  d'Ur-        799. 
gel  est  déposé  de  l'épiscopat  et  donne  une 
rétractation  sincère  de  ses  erreurs,  XIII, 
637  et  638. 

[CONCILE  de  Risbach  où  l'on  fait  trente        799. 
canons,  XIII,  638,  639.] 

[CONCILE  de  Saltzbourg  où  l'on  fait  seize        799. 
canons,  XIII,  639.] 

CONCILE  de  Rome  où  le  pape  saint  Léon        800. 
III  se  justifie,  par  serment,  des  accusations 
formées  contre  lui,  XIII,  639  et  640. 

CONCILE  de  Gloveshou  contre  les  usur-      v.  800. 
pateurs  des  biens  de  l'Église,  XIII,  640. 

CONCILES   DU   NEUVIÈME   SIÈCLE. 

CONCILE  de  Gloveshou  contre  les  usur-        803. 
pateurs  des  biens  de  l'Église,  XIII,  640. 

CONCILE  d'Altino  tenu  par  saint  Paulin,         803. 
patriarche  d'Aquilée,   au  sujet  du  meurtre 
du  patriarche  de  Grade,  que  le  duc  de  Venise 
avait  fait  précipiter  du  haut   d'une  tour, 
XIII,  640. 

CONCILE  d'Aix-la-Chapelle  présidé  par  803. 
saint  Paulin,  patriarche  d'Aquilée,  comme 
légat  du  pape  saint  Léon,  XIII,  640  et  671 . 
Capitulaire  de  l'empereur  Charlemagne 
dressé  en  ce  concile  ;  on  y  abolit  les  choré- 
véques,  641 . 

CONCILE  de  Constantinople  au  sujet  du    806et809. 
mariage    de    l'empereur    Constantin    avec 
Théodore,  XIII,  641  et  642. 

CONCILE  de  Saltzbourg  tenu  par  l'arche  -         sov. 
vêque  Arnon,  on  y  règle  l'emploi  des  dîmes, 
XIII,  642. 

CONCILE  d'Aix-la-Chapelle  assemblé  par         802. 
l'empereur  Charlemagne  :  ce  prince  y  re- 
commande l'observation  des  canons  par  le 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


250 

clergé  et  par  le  peuple,  et  l'observance  de 
la  règle  de  saint  Benoît  par  les  moines  ;  ca- 
pitulaire  en  dix-neuf  articles  fait  en  ce  con- 
cile, XIII,  642. 

809.  CONCILE  d'Aix-la-Chapelle  où  l'on  exa- 

mine la  question  de  la  procession  du  Saint- 
Esprit,  XIII,  642. 

813.  CONCILE  d'Arles  présidé  par  l'archevêque 

Jean  ;  canonsde  discipline  faits  en  ce  concile, 
XIII,  642  et  643. 

813.  CONCILE  de  Mayence  oii  l'on  fait  plu- 

sieurs canons  de  discipline,  XIII,  643  et  suiv. 

813.  CONCILE  de  Reims  où  l'on  fait  plusieurs 

canons  de  discipline,  XIII,  645. 

813.  CONCILE  de  Tours  où  l'on  fait  cinquante 

et  un  canons  de  discipline,  XIII,  645  et  646. 

813.  CONCILE  de  Chalon-sur-Saône  ;  ses  ca- 
nons de  discipline,  XIII,  646  et  suiv. 

814.  CONCILE  de  Constantinople  tenu  par  le 
patriarche  Nicéphore,  on  y  dit  anathème 
aux  Iconoclastes,  XIII,  648,  649. 

815.  CONCILE  de  Constantinople,  tenu  par  les 
Iconoclastes,  XIII,  649. 

8)4.  CONCILE  de  Noyon,  où  l'on  convient  que  la 

rivière  d'Isère  sera  désormais  le  partage  des 
diocèses  de  Noyon  et  de  Soissons,  XIII,  650. 
V.  814.  CONCILE  de  Trêves;   Frothaire,  évêque 

de  Toul,  en  fait  mention  dans  sa  lettre  à 
Hetti,  XIII,  650. 

816.  CONCILE  d'Aix-la-Chapelle;  on  y  dresse 
un  règlement  pour  les  chanoiaes  et  les  cha- 
noinesses,  XIII,  650  et  suiv. 

816.  CONCILE  de  Gelchyt,  en  Angleterre  ;  on 

y  fait  plusieurs  canons  de  discipline,  XIII, 
653,  654. 

816.  [CONCILE  de  Gompiègne;  les  actes  sont 
perdus  ;  on  y  entendit  des  députés  d'un  roj 
des  Sarrasins  dans  l'Arabie  Pétrée,  XIII,  654.] 

817.  CONCILE  d'Aix-la-Chapelle;  l'empereur 
Louis  le  Débonnaire  y  fait  le  partage  de  ses 
États  entre  ses  enfans,  XIII,  654.  Statuts 
qu'on  y  fait  pour  rétablir  la  discipline  dans 
les  monastères,  654  et  655. 

818-  [CONCILE  de  Venise  ;  le  siège  de  cette 

Église  est  rendu  à  Fortuuat,  et  l'usurpateur 
Jean  est  déposé,  XIII,  655.] 

820.  [CONCILE  de  Perse  ou  de  Séleucie  ;  on  y 
dressa  cent  trente  canons  touchant  la  disci- 
pline ecclésiastique,  XIII,  655.] 

821.  [CONCILE  de  Constantinople  ;  les  évêques 
catholiques,  malgré  la  demande  de  l'empe- 
reur Michel  le  Bègue,  refusent  d'entrer  en 
conférence  avec  les  Iconoclastes;  témoignage 
qu'ils  rendent  à  la  primauté  du  pontife  ro- 
main, XIII,  656.] 


CONCILE  de  Thion ville  ;  ses  canons  contre        82i. 
ceux  qui  seraient  convaincus  d'avoir  frappé 
un  clerc,  XIII,  656. 

CONCILE  de  Cloveshou,  où  Wulfrède,  ar-        822. 
chevêque  de  Cantorbéry,  se  plaint  des  mau- 
vais traitements  qu'il  avait  reçus  du  roi  Que- 
nulphe,  XIII,  656et657. 

CONCILE  de  Cloveshou,  pour  terminer  le        824. 
différend  entre  Hébert,  évêque  de  Vorchester, 
et  les  moines  de  Bercley,  au  sujet  du  mo- 
nastère de  Westbury,  XIII,  657. 

CONCILE  d'Attigny,  où  l'empereur  Louis        822 
le  Débonnaire  se  soumet  à  la  pénitence,  à 
cause  de  la  rigueur  dont  il  avait  usé  envers 
le  roi  Bernard  et  ses  partisans;  capilulaires 
qu'on  attribue  à  ce  concile,  XIII,  657. 

CONCILE  de  Paris,  au  sujet  du  culte  des  825. 
images,  XIII,  657  et  suiv.  Différentes  édi- 
tions qu'on  a  faites  des  actes  de  ce  concile, 
659,  660.  [Si  cette  assemblée  fut  un  concile, 
les  évêques  qui  la  formaient  ne  furent  pas 
entièrement  excusables,  658,  n.  2.] 

[CONCILE  d'Aix-la-Chapelle  :  on  y  exa-        825. 
mine  les  actes  du  concile  de  Paris  et  on  les 
envoie  au  pape  ;  on  y  décrète  la  translation 
des  rehques  de  saint  Hubert  de  Tongres  au 
monastère  qui  porte  son  nom,  XIII,  660.] 

CONCILE  d'Ingelheim  ;  capitulaire  qui  y        826. 
fut  dressé  par  ordre  de  l'empereur  Louis  le 
Débonnaire,  XIII,  660. 

CONCILE  de  Rome,  tenu  par  le  pape  Bu-        826 
gène  II;  ses  trente-huit   canons  de    disci- 
pline, XIII,  660  et  661. 

CONCILE  de  Paris  ;  règlements  faits  en  ce        829. 
concile,  XIII,  661  et  suiv.  Lettre  des  évêques 
de  ce  concile  à  l'empereur  Louis  le  Débon- 
naire, 665,  666. 

CONCILE  de  Worms,  qui  défend  l'épreuve        829. 
de  l'eau  froide,  XIII,  666. 

CONCILE  de  Langres,  où  les   donations        830. 
faites  par  l'évêque  Albéric  au  monastère  de 
Bèze  sont  confirmées,  XIII,  666,  667. 

CONCILE    de  Nimègue.    Jessé ,    évêque  83i  o..  mu 
d'Amiens,  y  est  déposé,  XIII,  667. 

CONCILE  de  Saint-Denis  en  France,  par        832. 
ordre  de  Louis  le  Débonnaire.  On  s'y  occupe 
de  la  réforme  du  monastère  de  Saint-Denis, 
Xlll,  667. 

CONCILE  de  Worms  :  on  transfère  le  mo- 
nastère de  Saint-Remi  du  faubourg  de  Sens 
à  Varcilles,  XIII,  667. 

CONCILE  de  Londres,  assemblé  pour  avi- 
ser aux  moyens  d'empêcher  l'irruption  des 
Danois  en  Angleterre,  XIII,  667. 

CONCILE  d'Atligny,  où  l'empereur  Louis 


833. 


833. 


834. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


2S1 


le  Débonnaire  travaille  à  réparer  les  maux 
occasionnés  par  les  guerres  précédentes, 
XIII,  667. 

835  CONCILE   de    Thionville,  assemblé    par 

Louis  le  Débonnaire,  XIII,  667. 

836.  CONCILE  d'Aix-Ia-Ghapelle,   où  l'on  re- 

nouvelle les  canons  d'un  concile  tenu  précé- 
demment au  même  lieu,  XIII,  667  et  668. 

835.  CONCILE  de  Mantoue,  où  l'on  adjuge  au 
patriarche  de  Frioul  quelques  évêchés  qui 
lui  étaient  disputés  par  celui  de  Grade,  XIII, 
668. 

836.  CONCILE  de  Stramiac  ou  Crémieu.  On  y 
cite  Agobar  de  Lyon,  et  Bernard  de  Vienne, 
qui  s'étaient  enfuis  en  Italie  après  le  réta- 
blisement  de  Louis  le  Débonnaire,  XIII,  668 
et  669. 

.  837.  CONCILE  de  Quierci-sur-Oise.  Les  senti- 

ments d'Amalaire  y  sont  condamnés  ;  Flo- 
rus  en  dresse  les  actes  et  y  joint  divers 
textes  qui  les  confirment,  XII,  484. 

.837.  CONCILE  de  Thionville.  Lettre  de  Florus 

de  Lyon  aux  évêques  de  ce  concile,  pour  les 
engager  à  confirmer  ce  qui  avait  été  décidé 
contre  Amalaire  au  concile  de  Quierci-sur- 
Oise,  XII,  484. 

338.  CONCILE  de  Kingston,  où  l'on  ratifie  une 

donation  faite  à  l'Église  de  Cantorbéry  par  le 
roi  Baldrède,  XIII,  669. 

m.  CONCILE  de  Châîon-sur-Saône,  où  Louis 

le  Débonnaire  fait  reconnaître  roi  d'Aqui- 
taine Charles,  son  fils,  XIII,  669. 

i40.  CONCILE  d'Ingelheim,  où  Ebbon,  arche- 

vêque de  Reims,  est  rétabli  dans  son  arche- 
vêché, XIII,  669. 

m.  CONCILE  de  Pontenay,  tenu  en  ce  lieu 

après  la  bataille  que  s'étaient  hvrée  les  en- 
fants de  Louis  le  Débonnaire,  XIII,  670. 

Î42.  CONCILE  d'Aix-la-Chapelle.   L'empereur 

Lothaire  est  déclaré  déchu  de  ses  états  qui 
sont  donnés  à  ses  deux  frères,  Charles,  roi 
de  France,  et  Louis,  roi  de  Bavière,  XIII,  670. 

!42.  CONCILE  de  Bourges,   où  l'on  prouve 

qu'Ebbon  avait  été  déposé  canoniquement, 
XIII,  670  et  671. 

îi2.  CONCILE  de  Constantinople,  assemblé  par 

l'impératrice  Théodora;  on  y  confirme  le 
second  concile  de  Nicée,  et  l'on  dit  anathème 
aux  Iconoclastes,  XIII,  671. 

Î43.  CONCILE  de  Villa-Colonia  (Coulène),  près 

du  Mans,  où  le  roi  Charles  le  Chauve  publie 
un  capitulaire,  XIII,  671. 

i43.  CONCILE  de  Lauriac,  en  Anjou.  On  y  fait 

plusieurs  canons  contre  ceux  qui  attente- 
raient à  la  dignité  royale,  XIII,  671. 


CONCILE  de  Thionville,  tenu  du  consen- 
tement des  enfants  de  Louis  le  Débonnaire 
réconciliés.  On  y  pourvoit  aux  désordres  oc- 
casionnés par  les  guerres,  XIII,  671  et  672. 

CONCILE  de  Vernenil-sur-Oise,  assemblé 
par  le  roi  Charles  le  Chauve.  On  y  fait  douze 
canons  de  discipline,  XIII,  672,  673. 

CONCILE  de  Beauvais  :  Hincmar  y  est  élu 
archevêque  de  Reims.  Huit  règlements  pro- 
posés dans  ce  concile,  XIII,  673. 

CONCILE  de  Meaux  :  on  renouvelle  les 
canons  des  conciles  de  Thionville,  de  Lau- 
riac, de  Coulène  et  de  Beauvais,  dont  on  fait 
plusieurs  autres,  XIII,  672  et  suiv.  Plusieurs 
canons  de  ce  concile  sont  rejetés  par  les 
seigneurs  laïques  assemblés  à  Épernay,  676, 
677. 

CONCILE  de  Paris;  on  y  interdit  à  Ebbon 
toute  prétention  sur  l'archevêché  de  Reims. 
Lettre  des  évêques  du  concile  au  roi  Charles 
le  Chauve,  XIII,  673. 

CONCILE  de  Mayence,  tenu  par  l'arche- 
vêque Raban,  XIII,  677.  Canons  de  disci- 
pline faits  en  ce  concile,  677  et  678.  Lettre 
du  concile  à  Louis,  roi  de  Bavière,  678. 

CONCILE  de  Mayence,  au  sujet  de  la  doc- 
trine de  Gothescalc,  sur  les  deux  prédesti- 
nations, XIII  678,  679. 

CONCILE  de  Bretagne,  au  sujet  des  ordi- 
nations simoniaques,  XIII,  679. 

CONCILE  de  Quierci-sur-Oise,  où  Gothes- 
calc est  déclaré  hérétique,  et  condamné  à 
une  prison  perpétuelle,  XIII,  679. 

CONCILE  de  Tours  ou  de  Paris  ;  lettre  de 
reproches  que  les  évêques  écrivent  à  Nome- 
noy,  duc  de  Bretagne,  XIII,  679  et  680. 

CONCILE  de  Pavie,  présidé  par  Angilbert, 
archevêque  de  Milan  :  on  y  fait  vingt-cinq 
canons  de  disciphne,  XIII,  680  et  suiv. 

CONCILE  de  Sens  ou  de  Moret,  en  Gâti- 
nois  :  il  n'est  connu  que  par  la  lettre  que 
Loup  de  Perrière  écrivit,  au  nom  de  cette 
assemblée,  à  Ercanrade,  évêque  de  Paris, 
XIII,  682. 

CONCILE  de  Benningdon;  Bertulfe,  roi 
des  Merciens,  accorde  plusieurs  terres  au 
monastère  de  Croyland,  XIII,  682. 

CONCILE  deRingesburi,  assemblé  par  le 
roi  Bertulfe  pour  diverses  affaires  du 
royaume,  XIII,  682. 

[CONCILE  de  Mayence  ;  canons  qui  y  fu- 
rent dressés,  XIII  683,  n.  1.] 

CONCILE  de  Soissons,  au  sujet  da  roi 
Pépin,  neveu  du  roi  Charles,  révolté  contre 
lui,  XIII,  682. 


844. 


844 


845. 


845. 


846. 


847. 


847. 


848. 


848. 


849. 


849. 


850. 


850. 


850. 


851. 


851. 


851, 


252 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


851. 


852. 


S52. 


853. 


853. 


853. 


853. 


853. 


854. 


855. 


855. 


855. 


855. 


857. 


CONCILE  de  Cordoue  :  il  déclare  que  ceux 
qui  se  seraient  offerts  d'eux-mêmes  à  la  per- 
sécution ne  seraient  point  mis  au  nombre 
des  martyrs,  XIII,  682  et  683,  et  XII,  518. 

CONCILE  de  Mayence;  il  en  est  parlé  dans 

les  Annales  de  Fulde,  XIII,  683,  et  XII,  446. 

CONCILE  de  Sens,  où  le  privilège  accordé 

au  monastère  de  Saint-Remi  est  confirmé, 

XIII,  683. 

CONCILE  de  Soissons.  Différentes  affaires 
qu'on  y  traite,  XIII,  683.  Canons  de  ce  con- 
cile, 683  et  684. 

CONCILE  de  Quie.rci-sur-Oise.  On  y  signe 
les  quatre  articles  dressés  par  Hincmar  de 
Reims  contre  la  doctrine  de  Gothescalc,  XIII, 
684  et  685.  —  Les  quatre  articles  dressés 
par  Hincmar,  XII,  618.  Ce  que  saint  Rémi, 
archevêque  de  Lyon,  y  trouve  à  redire,  618 
et  619.  Ouvrages  composés  par  Hincmar 
pour  soutenir  ces  quatre  articles,  688etsuiv. 
CONCILE  de  Qaierci-sur-Oise  contre  les 
erreurs  attribuées  à  Amalaire,  XIU,  685. 

CONCILE  de  Verberie,  où  le  roi  Charles  le 
Chauve  fait  agréer  les  capitules  qu'il  avait 
pubhés  au  concile  de  Soissons,  XIII,  685. 

CONCILE  de  Rome,  tenu  par  le  pape 
Léon  IV,  XIII,  685.  Canons  de  ce  concile. 
Plusieurs  sont  les  mêmes  que  ceux  faits  par 
le  pape  Eugène  II,  685  et  686.  [Deux  conciles 
de  Rome,  685,  n.  2.  Le  quarante-troisième 
canon  du  concile  tenu  à  Rome  le  8  décem. 
bre,  685,  n.  3.] 

CONCILE  de  Constantinople,  tenu  par 
saint  Ignace.  Grégoire,  évêque  de  Syracuse, 
y  est  déposé,  XIII,  686. 

CONCILE  de  Valence  en  Dauphiné,  où 
l'on  établit  une  doctrine  contraire  à  celle 
contenue  dans  les  quatre  articles  qu'Hinc- 
mar,  archevêque  de  Reims,  avait  proposés 
au  concile  de  Quiercy,  XIII,  686  et  687.  Ca- 
nons de  discipline  faits  en  ce  concile,  687, 
et  XII,  658. 

CONCILE  de  Pavie,  assemblé  par  l'empe- 
reur Louis,  fils  de  Lothaire,  pour  réformer 
plusieurs  abus  dans  la  discipfine  de  l'Eglise, 
XIII,  687  et  688. 

CONCILE  de  Winchester,  où  l'on  statue 
qu'à  l'avenir  la  dixième  partie  de  toutes  les 
terres  du  royaume  d'Ouessex  appartiendrait 
à  l'Église,  XIIL  688. 

CONCILE  de  Bonœuil  ou  Bonoil,  où  l'on 
confirme  les  privilèges  de  Saint-Calais  contre 
les  prétentions  de  l'évêque  du  Mans,  XllI, 
688  et  689. 

CONCILE  de  Quiercy,  assemblé  pour  re- 


médier aux  violences  et  aux  pillages,  XIlI, 
689. 

CONCILE  de  Mayence,  où  l'on  agite  plu- 
sieurs questions  touchant  les  droits  de 
l'Église,  XIII,  689. 

CONCILE  de  Constantinople,  tenu  par 
Photius,  où  saint  Ignace,  exilé  par  les  in- 
trigues de  Bardane,  est  déposé,  XIII,   689. 

CONCILE  de  Quiercy,    où  les    évêques 
écrivent  à  Louis  de  Germanie,  qui  leur  avait  • 
ordonné  de  s'assembler  à  Reims,  XIII,  689 
et  690. 

CONCILE  de  Metz,  pour  moyenner  la  paix 
entre  Charles  le  Chauve  et  Louis  de  Germa- 
nie, XIII,  690. 

CONCILE  de  Langres,  où  l'on  fait  plu- 
sieurs canons  de  doctrine  sur  la  prédesti- 
nation, XIII,  690  :  ces  canons  sont  adoptés 
par  le  concile  de  Savonières,  691. 

CONCILE  de  Savonières,  près  de  Tout, 
pour  détruire  le  schisme,  rétablir  la  disci- 
pline et  ramener  à  l'obéissance  ceux  qui 
avaient  manqué  de  fidélité  à  leurs  souve- 
rains, XIII,  690  et  suiv.  On  y  examine  les 
plaintes  portées  contre  Tortold  dcBayeux, 
Anscaire  de  Langres  et  Atton  de  Verdun 
accusés  d'être  parvenus  à  l'épiscopat  par 
des  voies  illégitimes,  670.  Requête  du  roi 
Charles  contre  Vénilon,  archevêque  de  Sens, 

690,  et  691.  Lettre  du  concile  aux  Bretons, 

691,  Canons  du  concile  de  Savonières,  691 
et  692. 

CONCILE  de  Constantinople,  où  Photius 
fait  condamner  saint  Ignace,  Xlll,  692,  et 
XII,  720. 

CONCILE  de  Sisteron,  où  l'on  confirme  la 
fondation  du  monastère  de  Sessieu,  XIII, 
692. 

CONCILE  d'Aix-la-Chapelle,  tenu  au  sujet 
du  divorce  de  Lothaire  avec  Thietberge,  XIII, 

692,  et  XII,  575. 

CONCILES  de  Metz  et  de  Rome,  pour  con- 
firmer la  paix  entre  les  princes,  XIII,  692 
et  693. 

CONCILE  de  Touzi  :  ses  canons  sur  les 
mœurs  ;  lettre  du  concile  à  ceux  qui  s'étaient 
emparés  des  biens  do  l'Église,  XIII,  693. 

CONCILE  de  Constantinople,  où  Photius 
fait  injustement  déposer  et  dégrader  saint 
Ignace,  XU,  720,  et  XIII,  693,  694.  —  Ca- 
nons de  ce  concile,  XIII,  694,  695. 

CONCILE  de  Rome,  tenu  par  le  pape  saint 
Nicolas,  qui  proteste  contre  la  déposition  de 
saint  Ignace  et  l'intrusion  de  Photius,  XII, 
720. 


857. 


858. 


858. 


859. 


859. 


859. 


859. 


860. 


860. 


860. 


S6I. 


861. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


253 


CONCILE  de  Rome,  tenu  par  le  pape  saint 
Nicolas,  pour  écouter  les  plaintes  formées 
par  les  habitants  de  Ravenne  contre  Jean, 
leur  évêque,  XIII,  695. 

CONCILE  de  Sens,  au  sujet  d'Hériman, 
évêque  de  Nevers,  XIII,  695. 

CONCILE  de  Pistes,  où  le  roi  Charles  le 
Chauve  publie  un  capitulaire  contre  les  pil- 
lards; Rothade,  évêque  de  Soissons,  y  ap- 
pelle an  Saint-Siège  de  la  sentence  prononcée 
contre  lui  par  Hincmar  de  Reims  ;  on  y  con- 
firme les  privilèges  du  monastère  de  Saint- 
Calez,  XIII,  693. 

CONCILE  de  Soissons,  où  Hincmar  de 
Reims  prive  Rothade  de  la  communion  épis- 
copale,  et  fait  élire  un  autre  évêque  à  sa 
place,  XIII,  695,  et  XII,  677. 

CONCILE  de  Soissons,  à  l'occasion  du 
mariage  de  Judith,  fille  du  roi  Charles,  avec 
Baudoin,  comte  de  Flandres,  qui  l'avait  en- 
levée, XIII,  695. 

CONCILE  de  Rome,  où  le  pape  saint  Ni- 
colas I  condamne  ceux  qui  renouvelaient 
l'hérésie  de  Valentin,  de  Manès,  d'Appol- 
hnaire  et  d'Eutychès,  XIII,  695. 

CONCILE  d'Aix-la-Chapelle,  au  sujet  du 
divorce  de  Lothaire  avec  Thietberge,  XIII, 
693  et  696. 

CONCILE  deSablonnières,  où  le  roi  Charles 
le  Chauve  se  réconcilie  avec  Lothaire,  XIII, 
696. 

CONCILE  de  Rome,  où  le  pape  saint  Ni- 
colas I  casse  tout  ce  que  Photius  avait  fait 
contre  saint  Ignace,  et  prive  Photius  de  tout 
honneur  sacerdotal  et  de  toute  fonction  clé- 
ricale, XIII,  696  et  697  et  XII,  720. 

CONCILE  de  Metz,  au  sujet  du  divorce  de 
Lothaire  avec  Thietberge,  et  de  son  mariage 
avec  Valdrade,  XIII,  697. 

CONCILE  de  Senlis,  au  sujet  de  Rothade, 
évêque  de  Soissons,  XIII,  697,  et  XII,  578. 

CONCILE  d'Arménie,  où  l'on  condamne 
les  erreurs  de  Nestorius,  d'Eutychès,  de 
Dioscore  et  de  leurs  sectateurs,  XIII,  697. 

CONCILE  d'Aquitaine,  tenu  sur  les  plaintes 
formées  par  le  comte  de  Toulouse  contre 
Etienne,  son  gendre,  XIII,  697. 

CONCILE  de  Verberie,  assemblé  par  le  roi 
Charles  le  Chauve  ;  différentes  affaires  y  sont 
traitées,  XIII,  697. 

CONCILE  de  Rome,  où  le  légat  Rodoalde 
est  déposé  et  excommunié,  XIII,  697  et  698. 

CONCILE  de  Rome,  où  Rothade,  évêque 
de  Soissons,  déposé  par  Hincmar,  est  rétabli, 
XIII,  698. 


CONCILE  de  Soissons,  où  Wulfade  et  les 
autres  clercs,  déposés  pour  avoir  été  ordon- 
nés par  Ebbon,  sont  rétabhs,  XIII,  699,  et 
Xn,  379. 

[CONCILE  d'Attigny,  présidé  par  le  légat 
Arsène,  XIII,  698,  699.  On  force  le  roi  Lo- 
thaire de  répudier  Valdrade  pour  i-eprendre 
Théotberge  sa  femme  légitime.  On  con- 
firme l'excommunication  d'Engeltrude  ;  on 
reconnaît  Rothade  comme  innocent  et  on  le 
reçoit  comme  évêque,  668  et  699.] 

CONCILE  de  Constantinople ,  tenu  par 
saint  Photius,  qui  dépose  le  pape  Nicolas  I, 
XIII,  699. 

CONCILE  de  Troyes.  On  y  dresse  une  re- 
lation de  ce  qui  s'était  passé  au  sujet  d'Eb- 
bon  et  des  clercs  qu'il  avait  ordonnés,  et  on 
l'envoie  au  pape  saint  Nicolas,  XIII,  699  et 
700. 

CONCILE  de  Rome,  où  le  pape  saint  Ni- 
colas I  casse  ce  que  Photius  avait  fait  au  pré- 
tendu concile  général  de  Constantinople,  et 
le  frappe  d'anathème,  XIII,  700. 

CONCILE  de  Quierzi,  où  Willebert  est 
reconnu  évêque  de  Châlons-sur-Marue,  XIII, 
700  et  701. 

CONCILE  des  évêques  des  Gaules  et  de 
Bourgogne,  pour  répondre  à  deux  lettres 
du  pape  Adrien  II,  XIII,  701. 

CONCILE  de  Worms  sur  la  discipline  ec- 
clésiastique, XIII,  701.  Canons  de  ce  concile, 
Xni,  701  et  702. 

CONCILE  de  Constantinople  (quatrième), 
que  l'on  compte  pour  le  huitième  général. 
Légats  que  le  pape  Adrien  II  envoie  pour 
présider  de  sa  part  au  concile,  XIII,  702. 
Première  session  :  les  légats  montrent  leurs 
pouvoirs  ;  on  lit  la  formule  de  réunion  faite 
par  le  pape,  702,  703.  Seconde  session  :  plu- 
sieurs de  ceux  qui  avaient  suivi  le  parti  de 
Photius  sont  réconciliés ,  703.  Troisième 
session  :  plusieurs  évêques  ordonnés  par 
Méthodius  et  par  Ignace  refusent  de  signer 
la  nouvelle  formule  de  réunion  ;  imprécations 
contre  Photius,  703  et  704.  Quatrième  ses- 
sion :  deux  évêques  qui  refusaient  de  donner 
leur  confession  de  foi  sont  chassés  de  l'as- 
semblée, 704.  Cinquième  session  :  Photius  est 
forcé  de  répondre  aux  accusations  formées 
contre  lui  ;  sa  réponse  extravagante,  704  et 
705.  Sixième  session  :  l'empereur  Basile  y 
assiste,  703.  Les  évêques  ordonnés  par  Pho- 
tius prétendent  que  leur  ordination  était  va- 
lable, 705.  Leurs  raisons  refutées  par  Métro- 
phane  de  Smyrne,  705  et.706.  Septième  ses- 


866. 


865. 


866. 


867. 


868. 


BISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


869. 


809. 


8G9. 


870. 


870. 


870. 


871. 


234 

sion:  Photius  et  ses  partisans  sont  anatbé- 
matisés,  706.  Huitième  session  :  on  y  brûle 
les  écrits  que  Photius  avait  fabriqués  contre 
le  pape  saint  Nicolas  I,  les  actes  des  conciles 
qu'il  avait  tenus  contre  saint  Ignace,  706  et 

707.  On  anatbématise  les  iconoclastes,  707. 
Neuvième  session  :  on  reçoit  les  députés  du 
patriarche  d'Alexandrie,  qui  adhère  à  ce  que 
le  concile  avait  décidé,  707.  Pénitence  im- 
posée à  ceux  qui  avaient  porté  faux  témoi- 
gnage contre  saint  Ignace,  707  et  708.  Im- 
précations contre  Photius.  Dixième  et  der. 
nière  session  du  concile  :  on  y  publie  plu- 
sieurs canons,  708;  analyse  de  ces  canons^ 
708  et  suiv.  Profession  de  foi  lue  dans  le 
concile,  7i0.  Souscription  du  concile,  710  et 
7H.  Deux  lettres  synodales  du  concile,  l'une 
circulaire,  qui  contient  la  relation  de  tout 
ce  qui  s'est  passé;  l'autre  adressée  au  pape 
Adrien  11;  supercherie  des  Grecs,  711.  Con- 
férence pour  savoir  si  les  Bulgares  seraient 
soumis  à  l'Église  de  Rome  ou  à  celle  de 
Constantinople,  711  et  712.  Les  légats  indis. 
posent  l'empereur  contre  eus;  leur  départ 
pour  Rome,  711  et  712.  Traduction  des  actes 
du  concile,  712,  et  XIl,  713.  —  Ce  qui  est 
dit  de  ce  concile,  XII,  624,  625.  [Observa- 
tions sur   un   canon  du  nn"  concile,   XIll, 

708,  711.  Conséquences  mémorables  duviii» 
concile,  XIII,  712.] 

CONCILE  de  Verberie,  tenu  pour  esami. 
ner  les  accusations  formées  contre  Hincmar 
deLaon,  XIII,  712,  713.  On  y  confirme 
l'union  de  trois  monastères  à  celui  de  Clair- 
vaux,  713. 

CONCILE  de  Metz,  oij  le  roi  Charles  le 
Chauve  est  couronné  roi  de  Lorraine,  XllI, 
713. 

CONCILE  de  Pistes,  où  l'on  confirme  les 
donations  qu'Egile,  archevêque  de  Sens, 
avait  faites  à  un  monastère  et  à  une  église 
de  son  diocèse,  XIII,  713. 

CONCILE  d'Attigny,  où  le  roi  Charles  le 
Chauve  fait  condamner  son  fils  Carloman  ; 
on  y  procède  aussi  contre  Hincmar  de  Laon, 
XIII,  713. 

CONCILE  de  Vienne  qui  adjuge  au  mo- 
nastère de  Saint-Oyen,  une  église  que  le 
curé  de  Saint-Alban  lui  avait  enlevée,  XIII, 
713  et  714. 

CONCILE  de  Cologne,  où  l'on  règle  plu- 
sieurs points  de  discipline,  XIII,  714. 

CONCILE  de  Douzi,  où,  sur  les  plaintes 
du  roi  Charles  le  Chauve,  Hincmar  de  Laon 
est  déposé,   XIII,  714.  Lettre  synodale  et 


actes  du  concile  adressés  au  pape  Adrien  II, 
714  et  713. 

CONCILE  de  Compostelle,  tenu  à  l'occa- 
sion de  la  dédicace  de  l'église  de  Saint-Jac- 
ques, Xm,  713. 

CONCILE  d'Oviédo,  pour  l'érection  de 
cette  ville  en  métropole,  Xlll,  715. 

CONCILE  de  Chalon-sur-Saône^  qui  rend 
aux  chanoines  de  Saint-Marcel  l'éghse  de 
Saint-Laurent,  usurpée  par  les  évêques, 
XIII,  713. 

CONCILE  de  Cologne,  qui  confirme  les 
statuts  faits  par  Gonthier  pour  les  chanoines 
de  la  cathédrale,  et  approuve  la  fondation 
du  monastère  de  Sainte-Cécile,  Xlll,  715  et 
716. 

CONCILE  de  Senlis,  où  Carloman,  fils  de 
Charles  le  Chauve,  est  déposé  de  tout  degré 
ecclésiastique,  XIII,  716. 

CONCILE  de  Douzi,  pour  arrêter  le  cours 
des  mariages  incestueux  et  des  usurpations 
des  biens  de  l'Église.  Décret  de  ce  concile 
au  sujet  d'une  religieuse  abusée  par  un  prêtre 
XIII,  716.  ' 

CONCILE  de  Reims,  où  Hincmar  publie 
cinq  articles  pour  les  prêtres  de  son  diocèse, 
XIII,  716  et  717. 

CONCILE  de  "Ravenne ,  où  Dominique , 
abbé  d'Altino,  est  autorisé  à  recevoir  les 
revenus  de  l'évêché  de  Torcelle,  XIII,  717. 

CONCILE  de  Toulouse  contre  les  Juifs. 
Ses  actes  n'ont  point  d'autorité,  XIII,  717. 

CONCILE  de  Chalon-sur-Saône,  où  l'on 
confirme  les  donations  faites  à  l'abbaye  de 
Tournus,  XUI,  717. 

CONCILE  de  Pavie,  où  les  évêques  de 
Toscane  et  ceux  de  Lombardie  élisent  le  roi 
Charles  le  Chauve  pour  leur  protecteur  et 
leur  seigneur;  canons  de  discipline  faits  en 
ce  concile,  adoptés  en  celui  de  Pontion, 
xm,  717. 

CONCILE  de  Pontion,  assemblé  par 
Charles  le  Chauve,  XIII,  717  et  suiv.,  et 
XII,  633.  Différentes  attaires  qui  y  sont  trai- 
tées; on  y  tint  huit  sessions,  XIII,  717.  Ar- 
ticles rejetés  par  le  concile  de  Pontion.  Autres 
actes  faits  par  ce  concile,  719.  —  Ces  actes 
sont  attribués  à  Odon,  évêque  de  Beauvais, 

XII,  639. 

CONCILE  de  Rome,  où  l'élection  de  l'em- 
pereur Charles    le  Chauve  est  confirmée, 

XIII,  719. 

CONCILE  de  Ravenne,  où  l'on  fait  dix-neuf 
canons  sur  la  discipline  et  les  immunités  de 
l'Église,  XIII,  719  et  720. 


873 


873. 


873. 


874. 


873. 
875. 

876. 


876. 


877. 


877. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


CONCILE  de  Neustrie,  assemblé  au  sujet 
des  ravages  commis  par  Hugues,  fils  naturel 
du  roi  Lothaire,  XIII,  720. 

CONCILE  de  Troyes,  tenu  par  le  pape 
Jean  VIII;  différentes  affaires  traitées  dans 
ce  concile  où  l'on  tint  cinq  sessions,  XIII, 
720  et  suiv.  Autres  actes  du  concile  de  Troyes, 
—  [Observations  sur  la  discussion  entre  les 
deux  Hincmar  et  la  nécessité  de  recourir  au 
Saint-Siège^  XII,  721.]  Jean  Vlll  y  couronne 
Louis  le  Bègue,  634. 

CONCILE  de  Rome,  tenu  par  Jean  VIII, 
pour  l'élection  d'un  empereur,  XIII,  722. 

CONCILE  de  Rome,  où  Anspert,  archevê- 
que de  Milan,  est  déposé,  XIII,  722. 

CONCILE  de  Rouen,  qui  fait  seize  canons 
de  discipline,  XIII,  727,  728. 

CONCILE  de  Constantinople  pour  le  réta- 
blissement de  Photius,  XIII,  722  et  suiv. 
Après  la  mort  de  saint  Ignace,  Photius 
usurpe  de  nouveau  le  siège  de  Constanti- 
nople. De  quelle  manière  il  trompe  le  pape 
Jean  VIII,  qui  envoie  à  Constantinople  des 
légats  pour  présider  au  concile  où  Photius 
devait  être  solennellement  rétabli,  722.  Dif- 
férentes éditions  et  traductions  qu'on  a  faites 
de  ce  concile.  Première  session,  722  :  elle 
se  passe  en  comphments.  Seconde  session  ; 
on  y  lit  les  lettres  du  pape  à  l'empereur,  à 
Photius  et  aux  évêques  du  concile.  [Altéra- 
tions faites  à  ces  lettres,  723.]  Troisième 
session  :  on  y  lit  encore  quelques  autres 
lettres  da  pape  et  l'instruction  des  légats, 
723  et  724.  Quatrième  session  :  on  propose 
les  articles  qui  devaient  servir  de  fondement 
à  la  réunion  ;  les  légats  assistent  à  l'office 
célébré  par  Photius,  724.  Cinquième  session: 
on  reconnaît  le  second  concile  deNicéepour 
le  vii°  général  ;  Métrophane  de  Smyrne,  tou- 
jours opposé  à  Photius,  est  séparé  de  la  com- 
munion ecclésiastique,  724  et  725.  Souscrip- 
tion des  décrets  du  concile.  Sixième  session: 
l'empereur  Basile  y  préside  et  propose  de 
publier  le  symbole  de  Nicée  dans  le  dessein 
de  faire  condamner  tacitement  l'addition  Fi- 
lioque;  le  concile  y  consent,  725.  Lettre  at- 
tribuée au  pape  Jean  VIII  contre  l'addition 
Filioque,  faite  au  symbole  de  Nicée  ;  elle  est 
supposée,  et  fabriquée  probablement  par 
Photius,  725  et  726.  Compte  que  les  légats 
rendent  au  pape  Jean  de  ce  qui  s'était  fait 
dans  le  concile;  lettres  mesurées  qu'il  écrit 
à  l'empereur  et  à  Photius;  ayant  ensuite 
découvert  la  prévarication  de  ses  légats,  il 
députe  en  Orient  l'évêque  Marin,  avec  pou- 


255 

voir  d'annuler  tout  ce  qu'ils  avaient  fait  de 
contraire  à  leurs  instructions  et  même  d'a- 
nathématiser  Photius,  725  et  726.  Autres 
preuves  de  la  supposition  de  la  lettre  attri- 
buée à  Jean  VIII;  ce  concile  de  Constanti- 
nople est  regardé  dans  l'Église  catholique 
comme  un  concile  sans  autorité,  726. 

CONCILE  de  Mantes  près  de  Vienne  en  Dau- 
phiné,  où  Boson  se  fait  roi  d'Arles,  XIII,  728. 

CONCILE  de  Reims,  où  Hincmar  prive  de 
ses  fonctions  un  prêtre  débauché,  et  menace 
d'excommunication  deux  époux  parents  qui 
ne  voulaient  pas  se  séparer,  XIII,  728. 

CONCILE  de  Rome,  où  Athanase,  évêque 
de  Naples,  est  excommunié  povir  ses  liaisons 
avec  les  Sarrasins,  XIII,  728. 

CONCILE  de  Fismes,  où  l'on  fait  huit  ca- 
nons de  discipline,  XIII,  728  et  suiv. 

CONCILES  de  Landafî,  au  nombre  de  sept, 
dont  on  ne  peut  fixer  les  années,  et  dont  on 
sait  peu  de  choses,  XIII,  730. 

CONCILE  de  Chalon-sur-Saône ,  pour  le 
rétablissement  de  la  paix  et  de  la  tranquil, 
lité  publique  :  on  y  confirme  toutes  ledona. 
fions  faites  à  l'abbaye  de  Charlieu,  XIII,  730. 

CONCILE  de  Port,  diocèse  de  Nîmes, 
contre  un  clerc  espagnol  qui  avait  usurpé 
l'archevêché  de  Tarragone,  XIII,  730. 

CONCILE  de  Cologne  :  on  y  confirme  l'é- 
lection de  Drogon,  évêque  de  Minden;  on 
renouvelle  les  canons  contre  ceux  qui  piL 
laient  les  éghses,  XHI,  730  et  731. 

CONCILE  d'Agaune,  où  Rodolphe,  fils  de 
Conrad  II,  se  fait  élire  et  couronner  roi  de 
Bourgogne,  XIII,  731. 

CONCILE  de  Mayence ,  tenu  par  ordre 
d'Arnoul,  roi  de  Germanie  :  canons  de  dis- 
cipline faits  en  ce  concile,  XIII,  731  et  732. 

CONCILE  de  Metz  :  Analyse  des  treize  ca- 
nons qui  y  furent  faits,  XIII,  732,  733. 

CONCILE  de  Varennes,  qui  rend  à  l'ab- 
baye de  Ligny  celle  de  la  Baume,  usurpée 
par  un  nommé  Bernard,  XIII,  732. 

CONCILE  de  Valence,  où  Louis,  fils  de 
Boson,  est  élu  roi,  XIII,  733. 

CONCILE  de  Worms,  au  sujet  des  préten- 
tions de  l'archevêque  de  Cologne  sur  l'évê- 
ché  de  Brème,  XIII,  733. 

CONCILE  de  Vienne  :  ses  quatre  canons, 
XUI,  733  et  734. 

CONCILE  de  Reims ,  où  Charles,  fils  de 
Louis  le  Bègue  est  proclamé  roi,  XIH,  734. 

CONCILE  de  Rome,  tenu  par  le  pape 
Formose.  Il  n'est  connu  que  par  ce  qu'en 
dit  Flodoard,  XIII,  733. 


879. 
879. 


881. 


881. 


IX.  siècle. 


887. 


888  ou  891. 


890. 


893. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


894. 


895. 


897. 


897. 


897. 


900. 


V.900. 


901. 


9oloii904, 
ou  905. 


904. 


906. 


906  et  907. 


907. 


236 

CONCILE  de  Chalon-sur-Saône,  pour  exa- 
miner l'affaire  de  Gerfroy,  moine  de  Flavi- 
gny,  accusé  d'avoir  empoisonné  Adalgaire, 
évéque  d'Autun,  XIII,  733. 

CONCILE  de  Tribur,  convoqué  par  l'em- 
pereur Arrloul,  qui  assiste  à  ses  délibéra- 
tions, XIII,  733.  Analyse  des  cinquante-huit 
canons  de  ce  concile,  733,  736. 

CONCILE  de  Nantes,  dont  on  ignore  l'é- 
poque précise,  XIII,  736,  737. 

CONCILE  de  Rome,  assemblé  par  le  pape 
Etienne  VI,  pour  faire  le  procès  à  Pormose, 
son  prédécesseur,  XIII,  737, 

CONCILE  de  Port,  qui  rend  à  l'église  de 
Saint-Jean-Bap  liste  de  Nîmes  les  dîmes  de 
Cocon,  prétendues  par  l'église  de  Saint-An- 
doche,  XIII,  737. 

CONCILE  de  Gompostelle,  où  l'abbé  Cé- 
saire  est  élu  et  sacré  archevêque  de  Tarra- 
gone,  XIII,  737  et  738. 

CONCILE  de  Rome  tenu  parle  pape  Jean  IX . 
On  en  ignore  la  date  précise  ;  les  évêques  qui 
s'étaient  déclarés  contre  Formose  se  rétrac- 
tent et  demandent  pardon,  XIII,  738.  Canons 
de  ce  concile  ;  la  procédure  contre  le  cada- 
vre de  Formose  est  annulée,  738  et  739. 

CONCILE  de  Ravenne,  tenu  par  le  pape 
Jean  IX,  XIII,  739  ;  capitules  de  ce  concile, 
739  et  740.  Difficultés  sur  la  date  de  ce  con- 
cile, 740. 

CONCILES  DU   DIXIÈME  SIÈCLE. 

CONCILE  de  Meun,  qui  ordonne  qu'à  l'a- 
venir l'archevêque  de  Sens  n'ordonnerait 
aucune  assemblée  pour  le  monastère  de 
Saint-Pierre  qu'il  n'eût  été  élu  librement  par 
la  communauté,  XIII^  740. 

CONCILE  d'Angleterre.  On  y  érige  plu- 
sieurs évêchés  dans  la  province  d'Ouestsex, 
Xm,  740. 

CONCILE  de  Latran,  qu'on  ne  connaît  que 
par  ce  que  Flodoard  en  a  rapporté,  XIII,  740. 

CONCILE  de  Saint-Oyan,  au  sujet  d'une 
chapelle  possédée  par  les  moines  de  Saint- 
Oyan,  réclamée  par  les  chanoines  de  Saint- 
Vincent  de  Mâcon,  XIII,  741. 

CONCILE  de  Narbonne,  pour  exempter 
l'Église  d'Ausone  et  son  évéque  du  tribut 
qu'ils  avaient  payé  à  l'Église  de  Narbonne, 
XIII,  741. 

CONCILE  devienne,  qui  adjuge  à  Aribert, 
abbé  de  Romane-Moutier  des  dîmes  sur  une 
chapelle  que  lui  disputait  Bernard,  abbé  de 
Saint-Maurice,  XIII,  740. 


CONCILE  de  Jonquères,  au  diocèse  de 
Magaelone,  pour  absoudre  d'excommunica- 
tion le  comte  Sinuarius,  XIII,  740. 

CONCILE  de  Troslé.  Hervé,  archevêque 
de  Reims,  y  fait  un  discours  sur  les  maux  de 
l'Église  et  de  l'État,  XHI,  741  et  742.  Canons 
de  ce  concile,  742,  743. 

CONCILE  de  Narbonne,  où  l'on  termine 
le  différend  qui  s'était  élevé  sur  les  limites 
des  diocèses  d'Urgel  et  de  Pallaria,  XIII, 
742  et  suiv. 

CONCILE  de  Tours,  qui  fixe  au  13  dé- 
cembre la  fête  de  la  translation  des  rehques 
de  saint  Martin,  XIII,  744. 

CONCILE  de  Chalon-sur-Saône,  qui  fait 
rendre  au  prêtre  Bérérius  une  métairie  dé- 
pendante de  l'église  Saint-Marcel,  usurpée 
p      un  archiprêtre,  XIII,  744. 

CONCILE  de  Troslé,  où  Hervé,  archevê- 
que de  Reims,  lève  l'excommunication  qu'il 
avait  prononcée  contre  le  comte  Erlebald, 
Xni,  744. 

CONCILE  de  Coblentz;  ses  huit  canons, 
dont  trois  sont  perdus,  XIII,  744. 

CONCILE  de  Reims,  qui  règle  la  péni- 
tence qu'on  devait  imposer  à  ceux  qui  s'é. 
talent  trouvés  à  la  bataille  de  Soissons,  XIII, 
744  et  745. 

CONCILE  de  Troslé,  où  le  comte  Isaac  se 
réconcilie  avec  Etienne,  évéque  de  Cambrai, 
XIII,  74S. 

CONCILE  de  Tours,  au  sujet  des  dîmes 
contestées  entre  les  églises  de  Saint-Satur- 
nin et  de  Saint- Vincent,  XIII,  745. 

CONCILE  de  Charlieu,  qui  ordonne  de  ren- 
dre à  l'abbaye  de  Charlieu  dix  églises  qu'on 
lui  avait  ôtées,  XIII,  745. 

CONCILE  de  Troslé,  qui  admet  à  péni- 
tence le  comte  Herluin,  lequel  da  vivant  de 
safemmeenavait  épousé  une  autre,  XIII, 743. 
CONCILE  de  Wisbourg  ou  Duisbourg,  à 
l'occasion  de  l'insulte  atroce  faite  à  Bernon, 
évéque  de  Metz,  XIII,  745. 

CONCILE  de  Gratéléan,  assemblé  par  le  roi 
Ethelstan,  qui  y  fait  plusieurs  lois  pour  la 
police  civile  et  ecclésiastique,  XIII,  745  et746. 
CONCILE  d'Erfurth  ou  d'Erford  en  Thu- 
ringe,  dont  il  nous  reste  cinq  canons  de  dis- 
cipline, XIII,  746. 

CONCILE  de  Château-Thierri,  où  Hilde- 
gaire  est  ordonné  évéque  de  Beauvais,  XIII, 
746. 

CONCILE  de  Fisme  contre  ceux  qui  pil- 
laient les  biens  ecclésiastiques  ou  qui  s'en 
emparaient,  XII,  746. 


909. 


909. 


9H. 


912. 


915. 


921. 


924. 


926. 


927. 


933. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


2S7 


(,42.  CONCILE  de  Soissons,  où  Herbert,  comte 

de  Vermandois,  veut  faire  ordonner  arche- 
vêque de  Reims  Hugues,  son  fils,  XHI,  746, 
Ul. 

9«.  CONCILE  de  Londres,  où  le  roi  Edmond 

fait  un  grand  nombre  de  lois,  XIII,  747. 

944.  CONCILE  de  Tournas,  pour  redemander 

les  reliques  transportées  à  Saint-Portien, 
Xni,  747. 

9^.  CONCILIABULE   de    Gonstantinople  ,    où 

Romain,  empereur  d'Orient,  fait  déposer  le 
patriarche Tryphon,  son  confidentiaire,  XIII, 
747  et  748. 

947.  CONCILE  de  Fontaine,  au  diocèse  d'Elne. 

Les  évéques  de  Girone  et  d'Urgel  y  sont  dé- 
posés^ puis  rétablis  ;  on  y  règle  le  rang  de 
l'évéque  d'Elne,  XHI,  748. 

947.  CONCILE  de  Verdun.  Hugues  refuse  d'y 
comparaître;  Artaud  estmaintenu  dans  l'ar- 
chevêché de  Reims,  XIII,  748. 

948.  CONCILE  de  Mousson.  Hugues  ayant  en- 
core refusé  d'y  comparaître,  est  excommu- 
nié, et  Artaud  confirmé  archevêque  de  Reims, 
Xni,  748. 

948.  CONCILE  d'Ingelheim.  On  y  examine  de 

nouveau  la  contestation  entre  Hugues  et  Ar- 
taud pour  l'archevêché  de  Reims  ;  Artaud  est 
confirmé  dans  la  possession  de  cet  archevê- 
ché, XIII,  748  et  749.  Canons  faits  en  ce  con- 
cile, 749. 

948.  CONCILE  de  Laon.  Hugues,  comte  de  Pa- 

ris, y  est  excommunié,  XIII,  749. 

948.  CONCILE  de  Trêves,  où  la  contestation 

sur  l'archevêché  de  Reims  est  terminée  à 
l'avantage  d'Artaud;  Hugues,  comte  de  Pa- 
ris, y  est  excommunié  de  nouveau,  XIiI,749 
et  750. 

948.  CONCILE  de  Londres,  où  le  roi  Edrède 
donne  à  TurquetuUe  monastère  de  Croyland, 
Xni,  750. 

949.  CONCILE  de  Rome,  où  le  pape  Agapet 
confirme  ce  qui  s'était  fait  au  concile  d'In- 
gelheim, XIII,  750, 

950.  CONCILE  de  Landaflf,  où  le  roi  Nougui  se 
soumet  à  la  pénitence  pour  avoir  usurpé  les 
biens  de  cette  Église,  XIII,  750. 

952.  CONCILE  d'Augsbourg,  assemblépar  l'em- 
pereur Othon  ;  on  y  fait  onze  canons  de  dis- 
ciphne,  XHI,  750  et  751. 

953.  CONCILE  de  Saint-Thierry,  où  le  comte 
Régenold  est  cité  pour  ses  ravages,  XIII, 
751. 

954.  CONCILE  de  Ravenne,  qui  ordonne  la  res- 
titution des  biens  enlevés  à  l'évéque  de  Fer- 
rare,  XIH,  751. 

TAB.  I. 


CONCILE  de  Landaff  au  sujet  d'un  diacre         955. 
qui  avait  été  tué  devant  l'autel,  XIII,  751. 

CONCILE  tenu  en  Bourgogne  au  sujet  des         955. 
biens  de  l'abbaye  de  Sainl-Symphoriend'Au- 
tun  usurpés  par  Isuard,  XIII,  751  et  752. 

CONCILE  de  Meaux,  assemblé  sur  ce  que         962. 
Hugues  prétendait  rentrer  dans  l'archevêché 
de  Reims  après  la  mort  d'Artaud,  XIII,  752, 
753. 

CONCILE  de  Rome,  où  l'empereur  Othon  963. 
fait  déposer  le  pape  Jean  XII,  XHI,  753. 
[Conduite  d'Othon,  par  rapport  au  pape,  bien 
différente  de  celle  de  Charlemagne,  753,  754. 
Conduite  des  évoques  en  cette  circonstance, 
754.  —  Le  pape  fait  déposer  ces  évêques, 
XH,  832.] 

CONCILE  de  Gonstantinople  au  sujet  du        9,33. 
mariage  de  l'empereur  Nicéphore  Phocas 
avecThéophanie,  veuve  de  Romain,  XIII,  754. 

CONCILE  de  Rome,  tenu  par  le  pape  Jean        954. 
XII contre  l'empereur  Othon  et  Léon  VIII  que 
ce  prince  avait  fait  élire  à  sa  place,  XIII,  754. 


CONCILE  de  Brandefort,  où  le  roi  Edgar 


964. 


répare  les  dommages  faits  aux  évêques  par 
Edwiu,  son  frère,  XIII,  755. 

CONCILE  de  Rome,  où  Benoît,  élu  pape        954. 
par  les  Romains,  est  déposé,  et  Léon  VIII 
confirmé,  XIH,  755, 

CONCILE  de  Ravenne,  assemblé  par  l'em-        937. 
pereur  Othon;  différentes  affaires  qui  y  sont 
traitées,  XIII,  755,  756.  [Sur  différentes  cir- 
constances de  ce  concile,  755,  n.  1,  2,  3.] 

CONCILE  d'Angleterre,  qui  fait  plusieurs        959. 
canons  sur  la  discipline  ecclésiastique,  XIII, 
757,  758. 

CONCILE  de  Rome,  où  Bénévent  est  érigé        969. 
en  archevêché,  XIII,  758. 

CONCILE  de  Londres,  où  le  roi  Edgar  fait        970. 
confirmer  ses  donations  au   monastère  de 
Glassembury,  XIII,  758. 

CONCILE  de  Rome,  où  par  une  bulle,  le         971. 
pape  Jean  XIII  confirme  les  dosations  du  roi 
Edgar  au  monastère  de  Glassembury,  XIII, 
758. 

CONCILE  en  Tardenois  au  sujet  de  l'éta-         972. 
blissement  d'un  monastère  à  Mouzon,  XIII, 
758. 

CONCILE   d'Ingelheim,  où  l'on  ,  désigne         972. 
Adalbéron  pour  succéder  à  saint  Udalric, 
évêque  d'Augsbourg,  XIII,  758,  759. 

CONCILE  de  Marzaglia,  qui  termine  la  con-         972. 
testation  entre  Albert,  évêque  de  Bologne, 
etUbert,  évêque  de  Parme,  au  sujet  de  cer- 
taines   terres    qu'ils    prétendaient   l'un    et 
l'autre  leur  appartenir,  XIII,  759. 

17 


258 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


973.  CONCILE  de  Modène  sur  un  différend  entre 
deux  frères  qui  se  contestaient  des  terres, 
XIII,  759. 

974.  CONCILE  d'Angleterre,  où  le  roi  Edgar 
prend  la  résolution  de  mettre  des  moines 
dans  le  monastère  de  Malmesbury  à  la  place 
de  chanoines  qui  y  étaient,  XIII,  759. 

g,g  CONCILE  de  Gonstanlinople,    où  le  pa- 

triarche Basile  Scamandrin  est  déposé,  XIII, 
759. 

975.  CONCILE  de  Reims,  où  Thibaud,  évéque 
d'Amiens,  est  excommunié  comme  usurpa- 
teur de  cette  Église,  XIII,  759. 

975.  CONCILE  de  Winchester,  où  les   clercs 

chassés  des  différentes  églises  par  le  roi  Ed- 
gar, sollicitent  en  vain  leur  rétablissement, 
XIII,  739. 

978.  CONCILE  de  Ketling  ou  Katlage,  qui  auto- 

rise le  pèlerinage  à  l'église  de  Sainte-Marie 
d'Abbendon,  XIII,  759. 

978.  CONCILE  de  Kent,  où  les  clercs  deman- 

dent encore  de  rentrer  dans  les  églises  d'où 
on  les  avait  chassés,  XIII,  759. 

978.  CONCILE  d' Ambresburg,  dont  on  ne  sait  ni 

le  sujet,  ni  la  date  précise,  XIII,  759  et  760. 

980.  CONCILE  de  Sens,  oùl'archevèque  accorde 

au  monastère  de  Saint-Pierre-le-Vif  quatre 
églises  de  son  diocèse,  avec  les  revenus  en 
dépendants,  pour  leur  subsistance,  XIII,  760. 

983.  CONCILE   de  Rome,    à  l'occasion   de  la 

translation  de  Gisiler,  de  l'évêché  de  Mers- 
bourg  à  l'archevécLé  de  Magdebourg,  XIII, 
760. 

983.  CONCILE  de  Rome,  où  l'on  fait  des  décrets 

contre  les  ordinations  simoniaques  ;  on  croit 
que  c'est  le  même  que  le  précédent,  XIII, 
760. 

985.  CONCILE  de  Reims  qu'on  ne  connaît  que 

par  les  lettres  de  convocation  écrites  par 
l'archevêque  Adalbéron,  XIII,  760. 

988.  CONCILE  de  Landaft',  où  Arthmail,  roi  de 
Galles,  est  anathématisé  pour  avoir  tué  son 
frère,  puis  est  réconcilié,  XIII,  760. 

989.  CONCILE  de  Rome,  qui  ordonne  que  saint 
Adalbert,  évêque  de  Prague,  retournerait  à 
son  diocèse  qu'il  avait  quitté  à  cause  de  l'in- 
docilité des  peuples,  XIII,  760. 

ggg  CONCILE  de  Gharroux,  qui  anathématisé 

les  pillards,  XIII,  761. 

989.  CONCILE  de  Reims,  où  Arnoul  est  élu  ar- 
chevêque après  la  mort  d'Adalbéron,  XIII, 
761. 

990.  CONCILE  de  Senlis,  qui  interdit  les  églises 
de  Reims  et  de  Laon,  XII,  761. 

•m.  CONCILE  de  Reims,  où  l'archevêque  Ar- 


noul est  déposé,  et  Gerbert  mis  à  sa  place, 
XIII,  761.  [Tout  ne  fut  pas  canonique  dans 
ce  concile,  761,  n.  2.] 

CONCILE  de  Reims,  où  l'on  invite  ceux        993. 
qui  avaient  pillé  les  biens  de  l'Église  à  les 
restituer,  XIII,  762. 

CONCILE  de  Rome,  où  saint  Udalric,  évè-        993. 
que  d'Augsbourg,  est  mis  au  nombre  des 
saints,  XIII,  762. 

CONCILE  de  Mouzon.  Gerbert  y  défend        995. 
sou  élection  à  l'archevêché  de  Reims;  on  lui 
ordonne  de  s'abstenir  de  l'office  divin  jus- 
qu'à la  tenue  d'un  autre  concile,  XIII,  762. 

CONCILE  de  Reims,  où  Gerbert  est  dé-        995. 
posé,  et  Arnoul  rétabli,  XIII,  762.  [Conduite 
et  langage  du  légat  du  Pape,  762,  n.  4.] 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  Gré-        996. 
goire  V  au  sujet  des  usurpations  faites  sur 
l'Église  de  Cambrai,  XIII,  763. 

CONCILE  de  Ravenne  tenu  par  Gerbert,  993. 
devenu  archevêque  de  cette  ville  ;  on  y  fait 
trois  canons  de  discipline;  les  collecteurs  des 
conciles  se  trompent  sur  la  date  de  celui-ci 
en  le  plaçant  sous  l'année  précédente,  XIII, 
763. 

CONCILE  de  Pavie,  où  le  pape  Grégoire  V        997. 
anathématisé  le  sénateur  Crescence  qui  l'a- 
vait chassé  de  Rome,  XIII,  763. 

CONCILE  de  Saint-Denys  en  France.  On         995. 
veut  ôter  les  dîmes  aux  laïques  et  aux  moi- 
nes pour  les  rendre  aux  évêques  ;  tumulte 
que  cette  proposition  occasionne,  XIII,  763, 
764.  Erreur  sur  la  date  de  ce  concile,  764. 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  Gré-        993. 
goire  V  en  présence  de  l'empereur  OthonlII  ; 
on  y  traite  différentes  affaires,  XIII,  764. 

CONCILE  de  Rome,  où  Gisiler  est  accusé        999, 
de  posséder  en  même  temps  les  deux  évê- 
chés  de  Mersebourget  de  Magdebourg,  XIII, 
774. 

CONCILE  de  Poitiers,  convoqué  par  Guil-        ,000. 
laume  V,  duc  d'Aquitaine;  pour  rétablir  la 
paix,  la  justice  et  la  discipline  dans  l'Église, 
XIII,  765. 

CONCILES  DU   ONZIÈME   SIÈCLE. 

CONCILES  tenus  en  Italie  et  dansles  Gau-  looi  ou  ii 
les.  On  ne  sait  ce  qu'en  dit  Raoul  Glaber, 
XIII,  763. 

CONCILE  de  Rome  où  le  différend  entre        looi. 
Bernouard,  évêque  de  d'Hildesheim,  et  Wil- 
ligise,  archevêque  de  Mayence,  au  sujet  du 
monastère  de  Gandesheim,  est  décidé  en  fa- 
veur de  Bernouard,  XIV,  1033. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


259 


inor. 


loOi 


lOOl. 


1009. 


1009. 


1012. 


1015. 


CONCILE  de  Polden ,  en  Saxe ,  sur  la 
même  afifaii-e.  L'archevêque  de  Mayence  y 
est  suspendu  de  toutes  fonctions  épiscopales, 
XIV,  1033,  1034, 

CONCILE  de  Francfort  sur  la  même  af- 
faire. On  convient  que  ni  l'un  ni  l'autre  des 
contendants  n'exercera  de  juridiction  jus- 
qu'à la  décision  d'un  autre  concile,  XIV,  1034. 

CONCILE  de  ïodi  où  l'on  désapprouve  la 
conduite  de  Willigise,  archevêque  de 
Mayence,  à  l'égard  de  Bernouard,  évèque 
d  Hildesheim,  XIV,  1034. 

CONCILE  de  Rome,  où  l'on  fait  convenir 
Conon,  évêque  de  Péroase,  que  le  monas- 
tère de  Saint-Pierre,  près  Pérouse,  étail  sou- 
mis immédiatement  au  Saint-Siège,  XIV, 
1033. 

CONCILE  de  Dortmund,  convoqué  par 
l'empereur  Othon  III  pour  le  rétablissement 
de  la  discipline  ecclésiastique,  XIV,  1034. 
Confraternité  de  prières  établies  entre  tous 
ceux  qui  assistèrent  au  concile,  1034, 1035. 

CONCILE  de  Rome,  qui  confirme  l'érec- 
tion de  l'évèché  de  Bamberg,  XIV,  1033. 

CONCILE  de  Francfort,  où  l'érection  de 
l'évèché  de  Bamberg  est  de  nouveau  confir- 
mée, XIV,  1033. 

CONCILE  de  Cbelles  tenu  par  le  roi  Ro- 
bert en  son  palais;  on  y  accorde  de  nou- 
.  veaux  privilèges  à  l'abbaye  de  Saint-Denys, 
XIV,  1033. 

CONCILE  de  Barcelone,  où  l'on  confirme 
les  donations  faites  à  l'Église  de  Barcelone, 
XIV,  1035. 

CONCILE  d'Anbam,  assemblé  par  le  roi 
Éthelrède  ;  canons  de  ce  concile,  XIV,  1033, 
1036. 

CONCILE  de  Bamberg,  assemblé  à  l'occa- 
sion de  la  dédicace  de  la  cathédrale  de  Bam- 
berg, XIV,  1036. 

CONCILE  de  Besançon,  présidé  par  Vic- 
tor, archevêque  de  Besançon,  XIV,  1037. 

CONCILE  de  Pavie  tenu  par  le  pape  Be- 
noit VIII.  On  y  déclare  que  les  enfants  des 
clercs  concubinaires  seront  serfs  des  églises 
où  servent  leurs  pères,  XIV,  1037. 

CONCILE  de  Ravenne  tenu  par  l'archevê- 
que Arnoul,  XIV,  1037.  [Date  de  ce  concile, 
note  3.] 

CONCILE  de  Rome,  où  le  pape  Benoît  VIII 
accorde  un  privilège  à  l'abbaye  de  Frutar, 
XIV,  1037,  1038  ;  et  XIII,  192. 

CONCILE  de  Pavie  tenu  par  le  pape  Be- 
noît VIII.  Discours  de  ce  pape  contre  l'in- 
continence des  clercs,  XIII,  191.  Canons  de 


1022. 


1022 


1030. 


1021. 


ce  concile,  191,  192;  confirmés  par  un  dé- 
cret de  l'empereur  Henri,  192. 

CONCILE  d'Orléans  tenu  contre  de  nou- 
veaux Manichéens,  XIV,  1038. 

CONCILE  de  Séhngstad,  assemblé  par  Ari- 
bon,  archevêque  de  Mayence.  Canons  de 
discipline  faits  en  ce  concile,  XIV,  1038, 
1039.  Formulaire  des  cérémonies  à  observer, 
dans  la  tenue  des  conciles  ;  [il  'est  inséré 
dans  le  Pontifical,]  1039. 

CONCILE  d'Airy,  convoqué  par  le  roi  Ro- 
bert ;  ce  qu'on  écrit  de  ce'  concile,  XIV,  1039, 
1040. 

CONCILE  de  Winchester,  où  le  monastère 
de  Saint-Edmont  est  exempté  de  la  juridic- 
tion des  évêques,  XIV,  1040. 

CONCILES  de  Dijon,  de  Beaune,  de  Lyon. 
Les  actes  en  sont  perdus,  XIV,  1040. 

CONCILE  d'Aix-la-Chapelle,  où  l'on  dis- 
cute les  prétentions  de  l'archevêque  de  Co- 
logne et  de  l'évêque  de  Liège  sur  le  monas- 
tère de  Barcet,  XIV,  1040. 

CONCILE  de  Mayence,  où  l'on  sépare  le 
comte  d'Hamernstein  d'avec Irmengarde,  qui 
n'était  point  sa  femme  légitime,  XIV,  1040. 
[Date  de  ce  concile,  1040,  n.  5.] 

CONCILE  d'Arras  contre  les  Manichéens) 
XIV,  1040, 1041.  —  Analyse  des  actes  de  ce 
concile  où  les  erreurs  des  Manichéens  sont 
réfutées,  XIII,  160  et  suiv. 

CONCILE  d'Anse,  près  de  Lyon,  où  Gaus- 
lin,  évêque  de  Mâcon,  se  plaint  de  ce  que 
Bouchard,  archevêque  de  Vienne,  avait  or- 
donné des  moines  de  Cluny,  XIV,  1041. 
[Conclusion  mal  fondée  que  Fleury  tire  d'un 
canon  de  ce  concile,  1041,  n.  2.] 

CONCILE  de  Francfort,  qui  conserve  à 
l'évêque  d'Hildesheim  la  juridiction  sur  le 
monastère  de  Gandesheim,  XIV,  1041. 

CONCILE  de  Mayence,  où  un  homme  ac- 
cusé d'avoir  tué  le  comte  Sigefroi  est  admis 
à  se  justifier  par  l'épreuve  du  fer  chaud,  XIV, 
1041. 

CONCILE  de  Karofife  ou  Gharroux,  assem-  I028oui03i. 
blé  par  Guillaume  IV,  duc  d'Aquitaine,  pour 
le  rétablissement  de  la  paix,  XIV,  1041 ,  1042. 

CONCILE  de  Limoges,  où  l'on  agite  la 
question  de  l'apostolat  de  saint  Martial,  XIV, 
1042,  1043.  [Date  de  ce  concile,  1042,  n.  1.] 

CONCILE  de  Bourges,  qui  décide  en  faveur 
de  l'apostolat  de  saint  Martial;  canons  de 
discipline  faits  en  ce  concile,  XIV,  1043, 
1044. 

CONCILE  de  Limoges,  où  l'apostolat  de 
saint  Martial  est  unanimement  reconnu  ;  les 


1023. 


1023. 


1025. 


1025. 


1027, 


1028. 


1028. 


1031. 


1031. 


260 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1020. 


1029. 


1027. 


1027. 

1031. 

1031. 
1032. 

1032. 

1023  et  non 
1032. 

d03C. 

1036. 
1037. 

1088. 
1038. 

1040. 
1040. 

1040. 


canons  du  concile  de  Bourges  y  sont  adop- 
tés; autres  affaires  trailées  dans  ce  concile, 
XIV,  1042,  1043.  [Concordai  entre  l'évêque 
de  Limoges  et  l'abbé  de  Saint-Marlial,  1042, 
n.  3.  L'évêque  Jourdain  admet  le  titre  d'a- 
pôtre pour  saint  Martial,  n.  4.] 

CONCILE  d'Orléans  tenu  à  l'occasion  de  la 
dédicace  de  l'église  de  Saint- Agnan,  XIV, 
1043. 

CONCILE  de  Palith,  où  l'archevêque  de 
Mayence  renouvelle  ses  prétentions  sur  le 
monastère  de  Gandeshem,  XIV,  1043. 

CONCILE  dû  Coustantinople  tenu  par  le 
patriarche  Alexis.  On  pourvoit  à  l'indemnité 
des  métropolitains  qui  avaient  payé  les  taxes 
pour  leurs  suffragants  ;  autres  canons  de  ce 
concile,  XIV,  1045. 

CONCILE  de  Constanlinople  tenu  la  même 
année  par  le  même  patriarche  Alexis.  On  y 
prononce  un  décret  touchantles  monastères  et 
leurs  biens,  XIV,  1043,  1046. 

CONCILES  de  France  à  l'occasion  d'une 
famine  affreuse,  XIV,  1046.  Décrets  qui  y 
turent  faits,  1047. 

CONCILE  de  Tribur,  convoqué  par  l'em- 
pereur Conrad,  XIV,  1047. 

CONCILE  de  Poitiers.  On  ordonne  aux 
usurpateurs  des  biens  d'église  de  les  resti- 
tuer, XIV,  1047. 

CONCILE  tenu  au  monastère  de  Ripouille, 
qui  en  confirme  les  privilèges,  XIV,  1048. 

CONCILE  de  Pampelune,  pour  rétablir 
l'évêché  de  cette  ville. 

CONCILE  de  Tribur.  Ou  y  fait  promettre 
à  Otton  de  Sumvard  de  se  séparer  de  Ma- 
thilde,  fille  du  ducBolesIas,  qu'il  avait  épou- 
sée, XIV,  1048. 

CONCILE  de  Poitiers,  qui  rétablit  la  paix 
entre  plusieurs  particuliers,  XIV,  1048. 

CONCILE  de  Rome,  où  André,  évêque  de 
Pérouse,  renonce  à  ses  prétentions  sur  le 
monastère  de  Saint-Pierre,  XIV,  1048. 

CONCILE  de  Girone  tenu  à  l'occasion  de 
la  dédicace  d'une  église,  XIV,  1048. 

CONCILE  d'Ausone  ou  de  Vie  tenu  à  l'oc- 
casion de  la  dédicace  d'une  église,  XIV, 
1048. 

CONCILE  d'Urgel  tenu  à  l'occasion  de  la 
dédicace  d'une  église,  XIV,  1048. 

CONCILE  de  Vendôme  tenu  à  l'occasion  de 
la  dédicace  de  l'église  du  monastère,  XIV, 
1048. 

CONCILE  de  Venise,  où  l'on  règle  divers 
points  de  discipline  ecclésiastique,  XIV, 
1032. 


CONCILE  de   Céséna,  qui  rétablit  la  vie        1049g 
commune  et  régulière  parmi  les  clercs  de  la 
cathédrale,  XIV,  1052,  1033. 

CONCILE  de  Coxano,  qui  règle  que  le 
prieuré  de  Tremes-Aigues  dépendrait  du 
monastère  de  Coxane,  XIV,  1053. 

[CONCILE  de  Narbonne  contre  les  usur- 
pateurs des  biens  de  l'Église,  XIII,  122.] 

CONCILE  de  Coxane  tenu  contre  les  usur- 
pateurs des  biens  de  cette  abbaye,  XIV, 
1033. 

CONCILE  de  Constance,  où  le  roi  Henri        i0i4. 
se  réconcilie  avec  tous  ses  ennemis,  XIV, 
1053. 

CONCILE  d'Arule,  qui  confirme  l'immu-        io^6- 
nité  de  ce  monastère,  XIV,  1053. 

CONCILE  tenu  par  Guifroi,  archevêque        '"^s. 
de  Narbonne,  pour  confirmer  les  privilèges 
de  l'église  de  Saint-Michel  en  Lampourdan, 
XIV,  1053. 

CONCILE  de  Pavie  dont  parle   Herman        i046. 
Contracte,  XIV,  1033. 

CONCILE  de  Sutri,  où  Grégoire  VI  abdi-        1046. 
que  le  souverain  pontificat;  Clément  II  est 
élu  à  sa  place,  XIV,  1053. 

CONCILE  de  Rome,  où  la  préséance  est        io47. 
adjugée  à  l'archevêque  de  Ravenne  sur  ceux 
de  Milan  et  d'Aquilée,  XIV,  1033  et  XIII, 
198.  On  y  travaille  à  extirper  la  simonie,  198. 

CONCILE  de  Téluges,  au  diocèse  d'Elue,        1047. 
qui  prescrit   l'observation   de  la  trêve   de 
Dieu,  XIV,  1033. 

CONCILE  d'Allemagne  contre  les  Simo-        i""- 
niaques,  XIV,  1054,  et  XIH,  198. 

CONCILE  de  Caen,  pour  l'observation  de        1047. 
la  trêve  de  Dieu,  XIV,  1034. 

CONCILE  de  Caen  pour  l'observation  de        1047. 
la  trêve  de  Dieu,  XIV,  1034. 

CONCILE  de  Sens  qui  confirme  la  fonda-        1048. 
tion  du  monastère  de  Saint-Ayoul  de  Pro- 
vins, XIV,  1054. 

CONCILE  de  Rome  au  sujet  des  ordina-        1049. 
lions  simoniaques,  XIV,  1034,  1033,  et  XIII, 
200. 

CONCILE  de  Pavie  tenu  par  le  pape  saint        1049. 
Léon  IX,  XIV,  1053,  et  XIII,  200. 

CONCILE  de  Reims  tenu  par  le  pape  saint        io49. 
Léon  IX,  pour  remédier  à  plusieurs  abus, 
XIV,  1035.  Canons  de  ce  concile,  1033  et 
1036.   Autres  circonstances  de  ce  concile, 
1036.  Voyez  aussi  tome  XIII,  163,  200. 

CONCILE  de  Mayence  tenu  par  le  même 
pape,  XIV,  1036. 

CONCILE  de  Rouen;  canons  de  ce  concile, 
la  plupart  contre  la  simonie,  XIV,  1036. 


TABLE  GÉiNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


261 


CONCILE  de  Coyac,  au  diocèse  d'Oviédo; 
canons  de  discipline  faits  en  ce  concile,  XIV, 
1037. 

[CONCILE  de  Saint-Tibéri  contre  les  usur. 
pateurs  des  biens  de  ce  monastère,  XIV, 
1058.] 

CONCILE  de  Siponto  où  le  pape  Léon  IX 
dépose  deux  archevêques  simoniaques,  XIV, 
1058. 

CONCILE  de  Rome  où  le  pape  saint  Léon 
IX  met  au  nombre  des  saints  le  bienheu- 
reux Gérard,  évêque  de  Toul,  XIV,  1038. 
Bérenger  y  fut  condamné,  XIII,  183  et  201. 

CONCILE  de  Verceil  tenu  par  le  pape 
saint  Léon  IX.  Le  livre  de  Jean  Scot  sur 
l'Eucharistie  y  est  condamné  ;  la  doctrine 
de  Bérenger  sur  l'Eucharistie  y  est  exami- 
née et  condamnée,  XIII,  167. 

CONCILE  de  Paris  assemblé  par  le  roi 
Henri  l"  contre  Bérenger;  ses  erreurs  y 
sont  condamnées,  XIII,  169. 

CONCILE  de  Rome  où  Grégoire,  évêque 
de  Verceil,  est  déposé  pour  adultère,  XIV, 
1038.  [Plaintes  de  Jean,  évêque  de  Sabines, 
1038.]  —  On  y  fait  divers  règlements  sur  la 
continence  des  clercs,  XIII,  201. 

CONCILE  de  Mantoue  tenu  par  le  pape 
Léon  IX,  XIV,  1038. 

CONCILE  de  Rome  où  l'on  agite  la  ques. 
tions  des  azymes,  XIV,  1038.  —  On  y  dé- 
cida que  Grade  serait  la  métropole  des  deux 
provinces  de  Vénétie  et  d'Istrie,  XIII,  202, 
203. 

CONCILE  de  Limoges  où  Itérius  est  élu 
évêque,  pour  succéder  à  Jourdain,  XIV, 
1038. 

CONCILE  de  Saint-Denys ,  en  France,  où 
l'on  fait  la  reconnaissance  des  reliques  de 
saint  Denis,  XIV,  1039. 

CONCILE  de  Narbonne.  Ses  canons  pour 
l'observation  de  la  trêve  de  Dieu ,  XIV, 
1039. 

CONCILE  de  Barcelone  où  on  lit  le  décret 
de  Guillaume,  comte  de  Barcelone,  contre 
les  usurpateurs  de  l'Église,  XIV,  1039. 

CONCILE  de  Florence  où  le  pape  Victor  II 
confirme  les  décrets  de  saint  Léon  IX,  son 
prédécesseur,  contre  Bérenger,  XIII,  169. 

CONCILE  de  Tours  présidé  par  Hilde- 
braud,  depuis  pape  sous  le  nom  de  saint  Gré- 


goire VII. 


Bérenger  y  abjure  ses  erreurs. 


1055. 


1055. 


1056. 


XIII,  169. 

CONCILE  de  Cologne  où  le  pape  Victor  II 
réconcilie  Baudouin,  comte  de  Flandres, 
avec  Godefroi,  duc  de  Lorraine,  XIV,  1039. 


CONCILE  de  Saint-Gilles  pour  l'observa-        lose. 
tion  de  la  trêve  de  Dieu,  XIV,  1039. 

CONCILE  de  Landaff  où  le  roi  Catgucan        i056. 
est  excommunié,  XIV,  1039. 

CONCILE  de  Lisieux  où  Manger,  arche- 
vêque de  Rouen,  est  déposé,  et  Maurille  mis 
en  sa  place,  XIV,  1060. 

CONCILE  de  Rouen  tenu  par  l'archevêque 
Maurille,  pour  rétablir  la  discipline,  XIV, 
1060. 

CONCILE  de  Toulouse  où  Bérenger,  vi- 
comte de  Narbonne,  forme  de  grandes 
plaintes  contre  Guifroi,  archevêque  de  Nar- 
bonne; canons  de  discipline  faits  en  ce  con- 
cile, XIV,  1060. 

CONCILE  de  Compostelle  dont  les  actes  i056oui03i. 
ont  été  donnés  par  le  cardinal  d'Aguirre, 
XIV,  1060,  1061. 

CONCILE  de  Rome  qui  rétablit  dans  son 
premier  état  l'évêché  de  Marsi,  qu'on  avait 
depuis  peu  divisé  en  deux,  XIV,  1061. 

CONCILE  de  Narbonne  tenu  à  l'occasion 
de  la  dédicace  de  l'église  de  cette  ville,  XIV, 
1061. 

CONCILE  d'Elne  tenu  à  l'occasion  de  la  dé- 
dicace de  l'église  de  cette  ville,  XIV,  1061. 

CONCILE  de  Barcelone  où  on  lit  un  dé- 
cret touchant  les  îles  Baléares,  dépendantes 
de  ce  diocèse,  XIV,  1061. 

CONCILE  de  Sutri  où  l'archevêque  Be- 
noit, surnommé  Mincius,  est  déposé  et  privé 
des  fonctions  du  sacerdoce,  XIV,  1061. 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  Ni- 
colas IL  On  y  fait  treize  canons  de  disci- 
phne,  XIV,  1061.  —  Bérenger  y  abjure  de 
nouveau  ses  erreurs,  XIII,  169,  170.  On  y 
règle  la  forme  de  l'élection  du  pape,  243, 
244.  Les  décisions  de  ce  concile  sont  noti- 
fiées aux  évêques  et  aux  fidèles  des  Gaules, 
244.  Les  règles  pour  les  chanoines  et  les 
chanoinesses,  approuvées  au  concile  d'Aix- 
la-Chapelle,  y  sont  abrogées,  247,  248. 

CONCILE  d'Amalfi  où  le  pape  Nicolas  II 
dépose  l'évêque  de  Trani,  XIV,  1061. 

CONCILE  de  Bénévent  où  le  même  pape 
fait  rendre  à  l'abbé  de  Saint- Vincent  un 
prieuré  dont  le  moine  Adalbert  s'était  em- 
paré, XIV,  1061,  et  XIII,  248. 

CONCILE  de  Reims  où  Philippe,  fils  aîné 
d'Henri  P',  est  couronné  roi  de  France , 
XIV,  1061. 

CONCILE  de  Vienne  tenu  par  le  légat 
Etienne,  XIV,  1061,  et  XIII,  246. 

CONCILE  de  Tours  tenu  par  le  même, 
XIV,  1061,  1062. 


1057. 


105U. 


1058. 


1058. 


1059. 


1059. 


1050. 


1050. 


1053. 


1060. 


1060, 


262 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1060. 


1035  ou  1063. 


1061. 


1C6I-1062. 


1061. 


1062. 


1063. 


1063. 


1063. 


1064  ou 
plutôt  1067 


1064  ou 
plutôt  1068. 


1065. 


1065. 


1065. 
1066. 


CONCILE  de  Jacca,  en  Âragou.  On  trans- 
féra à  Jacca  le  siège  épiscopal  de  Huesca  ; 
autres  canons  de  ce  concile,  XIV,  1062. 

CONCILE  de  Rouen  tenu  par  l'archevêque 
Maurille.  Profession  de  foi  contre  les  erreurs 
de  Bérenger,  XIII,  170,  267. 

CONCILE  de  Caen  présidé  par  Maurille,  ar- 
chevêque de  Rouen,  XIII,  267.  Statuts  et  rè- 
glements faits  en  ce  concile,  268,  et  XIV, 1062. 

CONCILES  de  Bénévent  pour  terminer  un 
différend  entre  l'évêque  de  Dragonara  et 
l'abbé  du  monastère  de  Sainte-Sopliie,  XIV, 
1062. 

CONCILE  de  Bâie  où  l'impératrice  Agnès 
fait  élire  pape  Cadaloiis ,  qui  fut  l'antipape 
Honorius  II,  XIV,  1062. 

CONCILE  d'Osbor,  en  Saxe,  où  l'antipape 
Honorius  II  est  déposé,  et  l'élection  d'A- 
lexandre II  conBrmée,  XIV,  1062,  1063. 

CONCILE  d'Aragon  qui  ordonne  que  l'é- 
vêque de  Pampelune  sera  choisi  d'entre  les 
moines  de  Leyre,  XIV,  1063.  Voyez  1048. 

CONCILE  de  Chalon-sur-Saône  où  les 
privilèges  de  Cluny  sont  lus  et  approuvés, 
XIV,  1063. 

CONCILE  de  Moissac  tenu  à  l'occasion  de 
la  dédicace  de  l'éghse  de  ce  monastère,  XIV, 
1063. 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape 
Alexandre  II  ;  ses  canons  stir  la  simonie  ; 
lettre  circulaire  par  laquelle  ils  sont  noti- 
fiés à  tous  les  évêques  catholiques,  XIII, 
287,  et  XIV,  1063. 

CONCILE  de  Mantoue  où  Alexandre  II 
est  reconnu  seul  pape  légitime  ;  discussion 
sur  la  date  de  ce  concile,  XIV,  1064. 

CONCILE  de  Barcelone  où  Alexandre  II 
est  reconnu  seul  pape  légitime,  XIV,  1064. 
Discussion  sur  la  date  de  ce  concile,  1064  et 
1065. 

CONCILE  de  Rome  qui  condamne  ceux 
qui  autorisaient  le  mariage  entre  parents 
dans  les  degrés  prohibés,  XIV,  1064. 

CONCILE  d'Autun  dont  la  date  est  incer- 
taine. Hugues,  abbé  de  Cluny,  réconcilie 
Robert,  duc  de  Bourgogne,  avec  Aganon, 
évêque  d'Autun;  Canon  de  ce  concile  qui 
défend  aux  moines  d'attirer,  dans  leur  mo- 
nastère, les  chanoines  réguliers,  XIV,  1064. 

CONCILE  de  Tulujes.  On  y  confirme  la 
trêve  de  Dieu,  XIV,  1064. 

CONCILE  de  Westminster  tenu  à  l'occa- 
sion de  la  dédicace  de  l'église  de  cette  ba- 
baye.  On  y  confirme  les  biens  et  les  privi- 
lèges de  l'abbaye,  XIV,  1064,  106S. 


CONCILE  d'Auch  qui  ordonne  que  toutes 
les  églises  du  pays  paieraient  à  la  cathé- 
drale le  quart  de  leurs  dîmes  ;  l'abbaye  de 
Saint-Orens  et  quelques  autres  églises  sont 
exemptées  de  cette  imposition,  XIV,  1065. 

CONCILE  de  Toulouse.  Plusieurs  ecclé- 
siastiques, accusés  de  simonie,  y  sont  trai- 
tés suivant  la  rigueur  des  canons  ;  l'évêché 
de  Lectoure  est  rétabli,  XIV,  106S. 

CONCILES  d'Auch  et  de  Girone,  pour 
établir  eu  Espagne  le  rit  romain  en  la  place 
du  rit  gothique,  XIV,  1065. 

CONCILE  de  Mayence  qui  obhge  le  roi 
Henri  IV  à  se  réunir  à  la  reine  Berthe,  sa 
femme,  XIV,  1063. 

CONCILE  d'Anse  qui  soumet  le  monastère 
de  Saint-Laurent  à  celui  de  Saint-Martin, 
en  l'île  Barbe,  XIV,  1065,  1066. 

CONCILE  de  Winchester  où  Stigand,  ar- 
chevêque de  Cantorbéry,  et  plusieurs  de  ses 
suffragants,  sont  déposés,  XIV,  1066. 

CONCILE  de  Windsor  où  Égelric,  évêque 
de  Sussex,  et  plusieurs  abbés,  sont  déposés, 
XIV, 1067. 

CONCILE  de  Londres  assemblé  par  Lan- 
franc,  archevêque  de  Cantorbéry.  On  y  or- 
donna que  les  chaires  épiscopales  établies 
dans  des  villages  ou  dans  des  bourgs,  seront 
transférées  dans  des  villes  ;  procédure  con- 
tre saint  Wulstain,  évêque  de  Worchester, 
qu'on  veut  obliger  à  se  démettre ,  sous  pré- 
texte d'incapacité,  XIV,  1067. 

CONCILE  de  Pédreda  où  l'on  termine  l'af- 
faire concernant  les  terres  usurpées  par 
l'archevêque  d'York  sur  l'évêché  de  Wor- 
chester, XIV,  1066. 

CONCILE  de  Winchester,  discours  que 
Lanfrano  y  prononça,  XIII,  432  et  436. 

CONCILE  de  Mayence,  sous  l'archevêque, 
Sigefroi,  au  sujet  de  Charles,  nommé  évê- 
que de  Constance,  XIII,  406. 

CONCILE  de  Rouen,  tenu  par  l'archevê- 
que Jean,  pour  le  rétablissement  de  la  dis- 
ciphne,  XIII,  331.  Canons  de  ce  concile,  331 
et  332. 

CONCILE  de  Windsor  où  l'affaire  de  la 
primatie  de  Cantorbéry  tut  terminée,  XIII, 
452,  et  XIV,  1066. 

CONCILE  d'Auch  tenu  par  Girald,  évêque 
d'Ostie,  légat  du  pape  saint  Grégoire  VII, 
XIV,  1067. 

CONCILE  de  Chalon-sur-Saône  convoqué 
par  le  même  légat,  XIV,  1067. 

CONCILE  de  Saiut-Genès  au  sujet  de  saint 
Anselme  de  Lucques,  XIII,  391 ,  et  XIV,  1067. 


1068. 


1068. 


1038. 


lOO'J. 


1070. 


1070. 


1070. 


1070. 


lOJl. 


1072. 


1071. 


1072. 


1072. 


1073. 


i 

1073$ 


107*. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


263 


CONCILE  de  Rouen  tenu  par  l'archevê- 
que Jean.  Canons  de  ce  concile,  XIII,  332, 
333. 

CONCILE  de  Rome,  premier  tenu  par  le 
pape  saint  Grégoire  VII.  L'incontinence  et 
la  simonie  des  clercs  y  sont  condamnées, 

XIII,  333  et  suiv.,  et  391. 

CONCILE  de  Bénévent  au  sujet  du  mo- 
nastère de  Sainte-Sophie,  XIV,  1067. 

CONCILE  général  d'Angleterre  où  l'on 
décide  que  l'on  ne  devait  point  obliger  à 
prendre  le  voile  les  filles  et  les  femmes  qui, 
pour  éviter  l'insolence  des  soldats,  s'étaient 
retirées  dans  les  monastères,  XIV,  1067. 

CONCILE  de  Londres  où  l'on  travaille  au 
rétablissement  de  la  discipline,  XIV,  1067, 
1068. 

CONCILE  de  Rome,  second  sous  le  pape 
saint  Grégoire  VII.  Ses  décrets  contre  les 
investitures,  les  simoniaques  et  les  clercs 
concubinaires,  XIII,  358. 

CONCILE  de  Poitiers  où  Bérenger  est  ana- 
thématisé,  XIII,  170. 

CONCILE  de  Saint-Maixent.  Bérenger  y 
donne  une  nouvelle  rétractation  de  ses  er- 
reurs, XIII,  170. 

CONCILE  de  Winchester  présidé  par  Lan- 
franc,  archevêque  de  Gantorbéry.  Canons  de 
ce  concile  sur  la  discipline  ecclésiastique, 

XIV,  1068. 

CONCILE  de  Rome  (Troisième)  sous  le 
pape  saint  Grégoire  VII.  Le  roi  Henri  IV  y 
est  privé  de  la  dignité  royale  et  anathéma- 
tisé,  XIII,  360. 

CONCILIABULE  de  Pavie  où  le  pape  saint 
Grégoire  VII  est  excommunié,  XIII,  361. 

CONCILE  d'Anse  dont  les  actes  sont  per- 
dus, XIV,  1068. 

CONCILE  de  Clermont,  en  Auvergne,  où 
l'on  dépose  les  évêques  du  Puy  et  de  Cler- 
mont, XIV,  1068. 

CONCILE  de  Dijon  où  les  clercs  simonia- 
ques sont  déposés,  et  d'autres  mis  à  leur 
place,  XIV,  1068. 

CONCILE  d'Autun.  Manassès,  archevêque 
de  Reims,  y  est  suspendu  de  ses  fonctions, 
XIV,  1068.  Autres  affaires  traitées  en  ce 
concile,  1068  et  1069.  Voyez  aussi  XIII,  348 
et  592. 

CONCILE  de  Girone  tenu  par  Amé,  évê- 
que  d'Oléron,  légat  du  Saint-Siège,  XIII, 
552.  Canons  de  ce  concile  sur  la  disciphne, 
533. 

CONCILE  de  Poitiers.  Canons  faits  en  ce 
concile,  XIV,  1069.  [Sur  les  prétextes  des 


princes  contre  la  tenue  des  conciles,  1069, 
note  2.] 

CONCILE  de  Rome,  quatrième  sous  saint 
Grégoire  VII,  qui  y  confirme  toutes  les  ex- 
communications portées  contre  ses  ennemis  ; 
lettre  aux  Allemands  et  aux  Français,  XIII, 
365. 

CONCILE  de  Rome,  cinquième  sous  saint 
Grégoire  VII.  Les  rois  Henri  et  Rodolphe  y 
envoient  des  députés;  Nicéphore  Boloniates 
est  excommunié  comme  usurpateur  ;  diffé- 
rents canons  de  discipline,  XIII,  366. 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  pape  saint 
Grégoire  VII,  Bérenger  y  abjui'e  encore  ses 
erreurs,  XIII,  171. 

CONCILE  de  Rome  tenu  par  le  même. 
Bérenger  y  signe  une  profession  de  foi  ca- 
tholique, Xin, 171. 

CONCILE  de  Bordeaux  où  Guillaume,  duc 
d'Aquitaine,  fait  agréer  le  dessein  qu'il  avait 
de  fonder  un  monastère  où  l'on  fit  des 
prières  pour  son  salut,  XIV,  1069. 

CONCILE  de  Bretagne  tenu  par  le  légat 
Amé,  pour  réformer  les  abus  qui  se  com- 
mettaient dans  l'administration  du  sacre- 
ment de  pénitence,  XUI,  352,  et  XIV,  1070. 

CONCILE  de  Rome,  sixième  tenu  par  saint 
Grégoire  VII.  On  y  traite  de  la  matière  de 
l'Eucharistie;  Bérenger  abjure  son  erreur; 
autres  affaires  qui  y  sont  traitées,  XIII, 
367. 

CONCILE  de  Rome,  septième  tenu  par 
saint  Grégoire  VII.  Le  roi  Henri  y  est  déposé 
et  Rodolphe  confirmé  rai,  XIII,  368,  369. 

CONCILE  de  Bordeaux,  le  dernier  assem- 
blé contre  Bérenger.  Il  y  fait  une  rétractation 
de  ses  erreurs  qu'on  a  lieu  de  croire  sin- 
cère, XIII,  171,  172,  552.  — ■  Guillaume,  duc 
d'Aquitaine,  y  fait  confirmer  la  fondation 
qu'il  avait  faite  du  monastère  de  Sauve- 
Majour  ;  autres  affaires  traitées  en  ce  con- 
cile, XIV,  1070. 

CONCILE  de  Wirtzbourg  assemblé  pour 
discuter  les  droits  de  Henri  IV  et  de  Ro- 
dolphe, son  compétiteur  à  l'empire  d'Alle- 
magne, XIV,  1070. 

CONCILE  de  Lyon  où  Manassès,  archevê- 
que de  Reims,  est  déposé,  XIV,  1070. 

CONCILE  d'Avignon  où  Achard,  usurpa- 
teur du  siège  d'Arles,  est  déposé,  et  Guibe- 
Hn  élu  à  sa  place,  XIV,  1070. 

CONCILE  de  Sens,  dont  les  actes  sont  per- 
dus, XIV,  1070. 

CONCILE  de  Lillebonne,  convoqué  par  le 
roi  Guillaume  le  Conquérant,  XIV,  1070. 


1078. 


1078. 


1078. 


1079. 


1079. 


1079. 


1079. 


1080. 


1080. 


1080. 


,1080. 


1080. 


264 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1080. 


1080. 


1080. 


1080. 


1081. 


1081. 


1083. 


1083. 


1083. 


1084. 


1085. 


1085. 


1085. 


1087. 


1087. 


Analyse  des  treize  canons  faits  en  ce  concile, 
1070  et  1071. 

CONCILE  ou  Synode  du  diocèse  de  Lan- 
gres,  assemblé  par  l'évêque  Raynaud,  XIV, 
1071. 

CONCILE  de  Saintes,  qui  décide  que  le 
monastère  de  la  Réole,  prétendu  par  l'évêque 
de  Bazas,  dépendrait  de  l'abbaye  de  Saint- 
Fleury,  XIV,  1071. 

CONCILE  de  Meaux,  où  Urcion,  évêque  de 
Soissons,  est  déposé,  et  Arnaud  mis  à  sa 
place;  Lambert  de  Térouanne  y  est  aussi 
déposé,  XIV,  1071. 

CONCILE  de  Burgos,  pour  substituer  en 
Espagne  le  rit  romain  au  gothique,  XIV, 
1071. 

CONCILE  de  Rome,  huitième  tenu  par 
saint  Grégoire  VII  ;  il  excommunie  |de  nou- 
veau le  roi  Henri  et  ses  partisans,  XIII,  371. 

CONCILE  d'Issoudun,  qui  confirme  la  do- 
nation que  Richard,  archevêque  de  Bourges, 
avait  faite  de  l'église  de  Saint-Martin  à  l'ab- 
baye de  Marmoutier,  XIV,  1071. 

CONCILE  de  Meaux,  où  l'on  confirme  les 
exemptions  et  donations  faites  à  l'abbaye  de 
Moutier-en-Der,  XIV,  1071. 

CONCILE  de  Rome,  neuvième  tenu  par 
saint  Grégoire  VII  ;  le  roi  Henri  empêche  la 
plupart  des  évêquesde  s'y  rendre,  XIII,  371. 

CONCILE  de  Saintes,  où  Guillaume,  duc 
d'Aquitaine,  remet  à  l'abbé  de  Cluny  le  mo- 
nastère de  Saint-Eutrope  pour  y  rétablir  le 
service  de  Dieu,  XIV,  1072. 

CONCILE  de  Saintes,  où  Ramnulfe  est  or- 
donné évêque  de  Saintes  à  la  place  de  Boson, 
XIV,  1072. 

CONCILE  de  Rome,  dixième  et  dernier 
tenu  par  le  pape  saint  Grégoire  VII;  il  y  ex- 
communie de  nouveau  le  roi  Henri,  l'anti- 
pape Guibert  et  leurs  partisans,  XIII,  372. 

CONCILE  de  Compiègne,  tenu  par  Rai- 
naud,  archevêque  de  Reims,  pour  travailler 
au  rélabhssement  de  la  discipline  ecclésias- 
tique; on  y  confirme  les  privilèges  de  l'Église 
de  Saint-Corneille,  XIV,  1072. 

CONCILE  de  Quedhmbourg,  tenu  par  le 
parti  opposé  au  roi  Henri  IV,  XIII,  399. 

CONCILE  de  Mayence,  où  la  déposition 
de  saint  Grégoire  VII  est  confirmée,  et  Gui- 
bert est  reconnu  pour  légitime,  XIII,  399. 

CONCILE  de  Gapoue,  où  Didier,  abbé  du 
Mont-Cassin,  fut  élu  pape  sous  le  nom  de 
Victor  m,  Xm,  416. 

CONCILE  de  Bénévent,  où  se  trouva  le 
pape  Victor  III,  XHI,  399. 


CONCILE  de  Fussel  ou  Ulsillos,  qui  rend 
à  l'Église  de  Brague  son  ancienne  qualité 
de  métropole,  XIV,  1079. 

CONCILE  de  Rome,  tenu  par  le  pape  Ur- 
bain II,  pour  régler  ce  qui  concernait  les 
excommunications,  XIII,  421. 

CONCILE  de  Melfe  :  le  duc  Roger  y  fait 
hommage  lige  au  pape  Urbain  II  et  reçoit 
de  lui  l'investiture  de  la  Pouille  ;  canons  de 
ce  concile,  XIII,  422. 

CONCILE  de  Saintes,  où  Amé,  évêque 
d'Oléron,  est  nommé  archevêque  de  Bor- 
deaux, XIV,  1073. 

CONCILE  de  Narbonne,  sous  l'archevêque 
Dalmace,  qui  y  reconnaît  les  droits  de  l'abbé 
de  Grasse,  XIII,  423. 

CONCILE  de  Toulouse,  tenu  parles  légats 
du  pape  Urbain  II;  on  y  corrige  plusieurs 
abus  en  matière  ecclésiastique,  XIII,  424. 

CONCILE  de  Bénévent,  tenu  par  le  pape 
Urbain  II;  on  y  réitère  l'anathème  contre 
l'antipape  Guibert  et  ses  fauteurs  ;  canons  de 
ce  concile,  XIII,  423. 

CONCILE  de  Léon  en  Espagne;  on  y  règle 
beaucoup  de  choses  touchant  les  offices  di- 
vins, XHI,  425,  426. 

CONCILE  d'Étampes,  où  Yves  de  Chartres 
est  accusé  de  s'être  fait  ordonner  à  Rome, 
XIII,  426. 

CONCILE  de  Soissons,  qui  condamne  les 
erreurs  de  Roscelin  sur  la  Trinité,  XIV,  1073. 
CONCILE  de  Paris,  dont  les  évêques  sous- 
crivent au  diplôme  que  Philippe,  roi  des 
Francs,  accorde  à  l'abbaye  de  Saint-Cor- 
neille de  Compiègne,  XIV,  1073. 

CONCILE  de  Cantorbéry  à  l'occasion  du 
sacre  de  l'archevêque  saint  Anselme,  XIV, 
1073. 

CONCILE  de  Reims,  où  l'évêché  d'Arras 
est  séparé  de  celui  de  Cambrai,  XIII,  427. 

CONCILE  de  Troie  en  Pouille.  Discussion 
sur  la  date  de  ce  concile,  423.  Ses  disposi- 
tions pour  réformer  l'abus  des  mariages 
entre  parents,  XIII,  427. 
CONCILE  de  Bordeaux,  XHI,  428. 
CONCILE  de  Rome,  tenu  par  le  pape  Ur- 
bain II,  XIII,  599. 

CONCILE  de  Constance,  tenu  par  Geb- 
chard,  évêque  de  cette  ville  :  on  y  fait  plu- 
sieurs canons  de  discipline,  XIII,  428. 

CONCILE  de  Reims,  où  le  roi  Philippe  I" 
se  propose  de  faire  approuver  son  mariage 
avec  Bertrade,  XIII,  428,  429. 

CONCILE  d'Autun,  tenu  par  Hugues,  ar- 
chevêque de  Lyon.  On  y  renouvelle  l'cxcom- 


1088. 


1089. 


1089. 


1089. 


1090. 


1090. 


1091. 


1091. 


1092. 


1002. 


1093. 


1093. 


1093, 


1093. 


1093. 
1093. 


1094. 


1094. 


1094. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


265 


1094. 


1097. 


1097. 


1097. 

1098. 
1098. 


1099. 


manication  contre  le  roi  Henri,  l'antipape 
Guibert  et  ses  adhérents;  le  roi  Philippe  l" 
est  excommunié  pour  son  mariage  avec 
Bertrade,  XIII,  429. 

CONCILE  de  Rockingam,  tenu  à  l'occa- 
sion de  ce  que,  contre  le  gré  du  roi,  saint 
Anselme  voulait  aller  demander  le  pallium 
au  pape  Urbain  II,  XIV,  1073,  1074. 

CONCILE  de  Plaisance,  tenu  par  le  pape 
Urbain  II,  XIII,  429. 

CONCILE  de  Clermont,  tenu  par  le  pape 
Urbain  II,  XIII,  431,  S52,  S82,  587,  589.  Ca- 
nons de  ce  concile  ;  ce  qu'ils  contiennent 
de  remarquable,  552.  Autres  décrets  et  rè- 
glements de  ce  concile,  432,  433,  489.  Dé- 
crets touchant  la  croisade  qui  y  est  résolae, 
433,  434. 

CONCILE  de  Brioude  ou  de  Dol,  qui  levait 
l'excommunication  injuste  portée  par  l'ar- 
chevêque de  Tours  contre  les  moines  de 
Marmoutiers,  XIV,  1074. 

CONCILE  de  Limoges,  tenu  par  Urbain  II, 
qui  y  dépose  l'évêque  Humbaud,  XIII,  434. 

CONCILE  de  Rouen,  tenu  par  l'archevêque 
Guillaume  :  ce  qu'il  ordonne  à  l'égard  de  la 
trêve  de  Dieu  ;  autres  canons  de  ce  concile, 
XIII,  434. 

CONCILE  de  Tours,  tenu  par  le  pape  Ur- 
bain II,  qui  y  confirrae  les  décrets  du  con- 
cile de  Clermont,  XIII,  434,  435. 

CONCILE  de  Nimes,  tenu  par  le  pape  Ur- 
bain II  ;  on  y  fait  seize  canons,  XIII,  435. 

CONCILE  de  Latran,  tenu  par  le  pape  Ur. 
bain  II  ;  les  actes  en  sont  perdus,  XIII,  435 ,  436. 

CONCILE  de  Saintes  :  discussion  sur  la 
date  de  ce  concile  ;  ce  qui  fut  décidé  en  ce 
concile,  XIII,  436. 

CONCILE  de  Girone,tenu  par  Bernard,  ar- 
chevêque de  Tolède,  pour  travailler  au  ré- 
tablissement de  la  discipline  et  au  maintien 
des  libertés  de  l'Église,  XIII,  436. 

CONCILE  tenu  en  Irlande  pour  l'érection 
de  l'évêché  de  Waterford,  XIV,  1074. 

CONCILE  de  Bordeaux,  dont  les  actes  ne 
sont  point  connus,  XIV,  1074. 

CONCILE  de  Bari,  tenu  par  le  pape  Ur- 
bain II,  pour  tâcher  de  réunir  les  Grecs  et 
les  Latins;  on  y  dispute  sur  la  procession  du 
Saint-Esprit,  XIII,  437.  Discussion  sur  la  date 
de  ce  concile,  437  et  438. 

CONCILE  de  Rome,  tenu  par  le  pape  Ur- 
bain II,  XIII,  438,  593;  discussion  sur  la 
date  de  ce  concile  ;  ordre  de  la  séance  des 
évêques;  canons  de  ce  concile;  on  charge 
Bisance,  archevêque  de  Trani,  de  suivre  la 


canonisation  de  saint  Nicolas  Péregrin,  438. 
Les  moines  de  Molesme  se  plaignent  de  la 
retraite  de  Robert,  leur  abbé,  438  et  439. 

CONCILE  de  Saint-Omer,  assemblé  à  la  1099. 
prière  de  Robert  le  Jeune,  comte  de  Flan- 
(]res,  et  des  seigneurs  de  sa  cour,  prêts  à 
partir  pour  la  croisade,  pour  pourvoir  à  la 
sûreté  de  leurs  biens  pendant  leur  absence, 
XIII,  586,  588,  et  XIV,  1074. 

CONCILE  de  Jérusalem,  tenu  après  que        1099. 
cette  ville  eût  été  prise  par  les  croisés;  Go- 
defroy  de  Bouillon  y  est  élu  roi,  et  Arnoul, 
patriarche  de  Jérusalem,  XIV,  1075. 

CONCILE  d'Étampes,  où  Philippe,  évêque        iioo. 
de  Troyes,  est  cité  pour  répondre  à  diverses 
accusations   formées  contre  lui,  XIV,  1075. 

CONCILE  de  Valence,  assemblé  pour  juger        uoo. 
l'affaire  de  Norigaud,  évêque   d'Autun,  ac- 
cusé de  simonie,  XIV,  1076. 

CONCILE  de  Poitiers.  Norigaud  y  est  dé-         uoo. 
posé;  le  roi  Philippe,  excommunié  avec  Ber- 
trade, etc.;  canons  de  ce  concile,  XIV,  1076. 

CONCILE  d'Anse,  assemblé  par  Hugues,         uoo. 
archevêque  de  Lyon,  qui  en  obtient  les  sub- 
sides nécessaires  pour  son  voyage  à  Jéru- 
salem, XIV,  1077. 


CONCILES   DU   DOUZIEME   SIECLE. 

CONCILE  de  Milan,  assemblé  au  sujet  de        iioi. 
l'archevêque  Grassulan,  accusé  de  simonie, 
XIV,  1077. 

CONCILE  de  Ville-Bertrand,  tenu  à  l'oc-       iioa. 
casion  de  l'église  de  Notre-Dame,  XIV,  1077. 

CONCILE   de   Latran,   tenu  par  le  pape        1102. 
Pascal  II;    formule   d'anathème  contre    les 
partisans  de  l'antipape  Guibert;  l'excommu- 
nication prononcée  contre  l'empereur  Hen- 
ri IV  est  confirmée,  XIV,  1077,  1078. 

CONCILE  de  Londres,,  tenu  par  suint  An-        U02. 
selme,  archevêque  de  Cantorbéry.  Différents 
canons  de  ce  concile  sur  la  discipline,  XIV, 
1078. 

CONCILE  de  Rome,  tenu   par   le  pape       nos. 
Pascal  II,  au  sujet  de  Grassulan,  archevêque 
de  Milan,  XIV,  1078. 

CONCILE  de  Troyes  ;  Hubert,  évêque  de        1104. 
Sentis,  accusé  de  simonie,  se  justifie  ;  l'élec- 
tion de  Geoffroy  ponr  l'évêché  d'Amiens  est 
confirmée,  XIV,  1078. 

CONCILE  de  Rome,  dans  lequel  le  pape        iioi. 
Pascal  II  excommunie  tous  les  fauteurs  des 
investitures  en  Angleterre,  et  tous  ceux  qui 
les  avaient  reçues,  XIV,  1078. 


266 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1104. 


1104 


1104. 


110». 


1106. 


1106. 


1105. 


1 105. 


1105. 

H  06. 
1106. 
1107. 

1107. 

U07. 
1107. 


1108. 


CONCILE  de  Beaugenci ,  convoqué  pour 
absoudre  le  roi  Philippe  et  Bertrade  ;  diffi- 
cultés qui  en  empêchèrent  l'effet,  XIV,  1078. 

CONCILE  de  Paris,  où  le  roi  Philippe  et 
Berlrade  sont  absous  par  Lambert,  évêque 
d'Arras,  XIV,  1078. 

CONCILE  de  Fusse!  ou  Huzillos,  où  il  fut 
question  de  fixer  les  limites  des  évêchés 
d'Osma  et  de  Burgos,  XIV,  1079. 

CONCILE  de  Pussel  ou  de  Huzillos,  qui 
rend  à  l'église  de  Bragiie  son  ancienne  qua- 
lité de  métropole,  XIV,  1079. 

CONCILE  de  Florence,  où  l'on  combat  la 
fausse  opinion  de  Fluentius,  évêque  de  cette 
ville,  que  l'antechrist  était  né,  XIV,  1079. 

CONCILE  de  Guastalle,  où  la  province 
d'Emilie  est  soustraite  à  l'archevêché  de  Ra- 
venne;  décret  concernant  ceux  qui  aban- 
donnaient le  parti  de  l'empereur  pour  se 
réunir  à  l'Église  romaine,  XIV,  1079. 

CONCILE  de  Quedlimbourg  ou  de  Northus, 
tenu  par  les  partisans  du  roi  Henri  V,  révolté 
contre  l'empereur  son  père,  XIV,  1079, 1080. 

CONCILE  de  Mayence,  où  l'on  oblige 
l'empereur  Henri  IV  à  renoncer  à  l'empire, 
et  à  remettre  les  marques  de  sa  dignité  à 
son  fils,  qui  est  élu  une  seconde  fois  roi  de 
Germanie,  XIV,  1080. 

CONCILE  de  Reims,  où  Odon  est  élu  évê- 
que de  Cambrai  à  la  place  de  Gaucher,  XIV, 
1080. 

CONCILE  de  Poitiers,  où  l'on  prêche  la 
croisade,  XIV,  1080. 

CONCILE  de  Lisieux,  assemblé  par  ordre 
du  roi  d'Angleterre,  Henri  I",  XIV,  1080. 

CONCILE  de  Jérusalem,  où  Bbremar,  mis 
sur  le  siège  de  Jérusalem  à  la  place  de 
Daimbert,  est  déposé,  et  Gibelin  élu  pa- 
triarche, XIV,  1080,  1081. 

CONCILE  tenu  à  l'abbaye  de  Fleury-sur- 
Loire,  pour  la  translation  des  reliques  de 
saint  Benoît  d'une  châsse  dans  une  autre, 
XIV,  1081. 

CONCILE  de  Troyes,  tenu  par  le  pape 
Pascal  II  ;  décrets  qui  y  furent  prononcés, 
XIV,  1081. 

CONCILE  de  Londres,  tenu  par  saint  An- 
selme, archevêque  de  Canlorbéry;  on  y  con- 
vient de  s'y  conformer  au  règlement  du  pape 
Pascal  II,  qui  accordait  au  roi  d'Angleterre 
les  hommages,  et  lui  défendait  les  inves- 
titures, XIV,  1081. 

CONCILE  de  Bénévent,  tenu  par  le  pape 
Pascal  II;  la  défense  des  investitures  y  est 
renouvelée,  XIV,  1081. 


CONCILE  de  Rouen,  tenu  par  l'arche- 
vêque Guillaume  et  ses  sufiragants,  XIV, 
1082. 

CONCILE  de  Londres,  tenu  par  saint  An- 
selme, XIV,  1081. 

CONCILE  de  Loudun,  assemblé  pour  juger 
le  différend  en  l'église  de  Nantes  et  l'abbaye 
de  Tournus  au  sujet  de  l'abbaye  de  Saint- 
Vital;  on  y  décide  aussi  celui  entre  l'ab- 
baye de  Marmoutier  et  les  chanoines  de  Che- 
millé,  au  sujet  de  la  chapelle  de  Saint- 
Étienne,  XIV,  1082. 

CONCILE  de  Reims,  supposé  pour  juger  le 
différend  entre  l'évêque  d'Amiens  et  les 
moines  de  Saint-Valeri.  Raisons  qui  prou- 
vent la  supposition  de  ce  concile  et  la  faus- 
seté de  l'histoire  qu'on  prétend  y  avoir 
donné  lieu,  XIV,  1082,  1083. 

CONCILE  de  Rome,  lenu  par  le  pape  Pas- 
cal II,  qui  renouvelle  les  décrets  contre  les 
investitures,  XIV,  1083. 

CONCILE  de  Cuau  près  Clermont,  au  sujet 
de  la  cruauté  commise  parle  doyen  de  Mau- 
sac  sur  un  chapelain,  XIV,  1083. 

CONCILE  de  Fleury,  sur  la  même  affaire, 
XIV,  1083. 

CONCILE  de  Toulouse,  dont  nous  n'avons 
plus  les  actes,  XIV,  1083. 

CONCILE  de  Jérusalem,  convoqué  par  le 
légat  Conon,  pour  excommunier  l'empereur 
Henri  V,  XIV,  1083,  1084. 

CONCILE  de  Latran  :  le  pape  Pascal  II  y 
réclame  contre  la  violence  que  l'empereur 
Henri  V  lui  avait  faite,  XIV,  1084. 

CONCILE  de  Vienne,  où  l'empereur  Hen- 
ri V  est  excommunié,  XIV,  1084. 

CONCILE  d'Anse,  indiqué  par  Joceran, 
archevêque  de  Lyon  :  il  n'en  reste  aucun 
décret,  XIV,  1084. 

CONCILE  de  Bénévent,  où  le  pape  Pas- 
cal II  adjuge  aux  moines  du  Mont-Cassin  les 
églises  usurpées  sur  eux,  XIV,  1084. 

CONCILE  de  Windsor  :  Raoul,  évêque  de 
Rochester,  y  est  élu  archevêque  de  Cantor- 
béry,  XIV,  1084,1085. 

CONCILE  de  Cépérano,  où  Landulfe,  ar- 
chevêque de  Bénévent,  est  déposé  pour  ses 
violences,  XIV,  1085. 

CONCILE  de  Beauvais,  présidé  par  le  lé- 
gat Conon  :  l'empereur  Henri  V  y  est  ex- 
communié ;  on  y  défère  les  Manichéens  dé- 
couverts près  Soissons  ;  la  ville  d'Amiens  se 
plaint  de  l'évêque  Godefroy  qui  l'avait  aban- 
donnée ;  règlement  du  concile  sur  la  pres- 
cription, XIV,  1085,  1086. 


nos. 


1108. 


i 


1109. 


Il  01. 


1110. 


1110. 


1111. 


1112, 


1112. 


1112, 


1113, 


Mil. 


1114. 


1114, 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


267 


nu. 

au. 

1114. 
1115. 

1115. 

1115. 

iH5. 


1)15. 


1115. 


1115. 


1U6. 


H 16. 


IIIG. 


1116. 


1117. 


CONCILE  de  Palentia ,  pour  donner  un 
évêqne  à  l'Église  de  Lugo,  XIV,  1086. 

CONCILE  de  Compostelle;  on  y  fait  vingt- 
cinq  canons  de  discipline,  XIV,  1086. 

CONCILE  d'Oviédo  :  ses  décrets  contre  les 
voleurs,  les  sacrilèges,  XIV,  1086. 

CONCILE  de  Soissons,  qui  enjoint  à  Go- 
defroi,  évêque  d'Amiens,  de  retourner  à  son 
évêché,  XIV,  1086. 

CONCILE  de  Reims,  tenu  par  le  légat 
Conon^  qui  y  réitère  l'excommunication 
contre  l'empereur  Henri  V,  XIV,  1086, 

CONCILE  de  Cologne,  tenu  par  le  légat 
Gonon ,  qui  y  réitère  l'excommunication 
contre  l'empereur  Henri  V,  XIV,  1086. 

CONCILE  de  Chalon-sur-Saône;  le  légat 
Conon  y  réitère  l'excommunication  contre 
Henri  V,  et  excommunie  les  évéques  de  Nor- 
mandie qui  n'étaient  pas  venus  an  concile, 
XIV,  1086. 

CONCILE  de  Syrie,  où  Arnoul,  patriarche 
de  Jérusalem,  est  déposé  pour  sa  vie  scanda- 
leuse, XIV,  1086. 

CONCILE  de  Troie,  en  Fouille,  où  la  trêve 
de  Dieu  est  jurée  pour  trois  ans,  XIV,  1087. 

CONCILE  de  Tournus,  assemblé  pour  ter- 
miner les  diflférends  entre  l'église  de  Saint- 
Étienne  et  celle  de  Saint-Jean,  à  Besançon, 
au  sujet  de  la  chaire  épiscopale.  XIV,  1087. 

CONCILE  de  Dijon ,  assemblé  pour  le 
même  sujet,  XIV,  1087. 

CONCILE  de  Cologne ,  où  l'empereur 
Henri  V  est  excommunié  de  nouveau,  XIV, 
1087. 

CONCILE  de  Latran,  appelé  général,  à 
cause  du  grand  nombre  d'évêques,  d'abbés 
et  de  seigneurs  que  le  pape  Pascal  II  y  avait 
invités,  XIV,  1087.  Ce  qui  se  passa  en  ce 
concile,  1087  et  1088. 

CONCILE  de  Verberie,  assemblé  par  le 
roi  d'Angleterre,  Henri  I,  pour  faire  recon- 
naître son  fils  Guillaume  son  successeur  à  la 
couronne,  XIV,  1088. 

CONCILE  de  Langres,  assemblé  pour  cher- 
cher les  moyens  d'arrêter  les  pillages  et  les 
brigandages  qui  se  commettaient  en  France, 
XIV,  1088. 

CONCILE  de  Dijon,  qui  ordonne  aux  cha- 
noines réguhers  de  Saint-Étienne,  qui  s'é- 
taient retirés  dans  leur  solitude,  de  retour- 
ner dans  leur  maison,  XIV,  1088. 

CONCILE  de  Bénévent,  où  le  pape  Pascal  II 
excommunie  Bourdin,  archevêque  de  Bra- 
gue,  pour  avoir  couronné  empereur  Henri  V, 
XIV,  1088. 


CONCILE  de  Tournus,   qui  confirme   à 


1117. 


1117. 


ni8. 


1118. 


l'église  de  Saint-Étienne  de  Dijon  le  patro- 
nage de  celle  de  Saint-Martin  d'Arc-sur- 
Tille,  XIV,  1089. 

CONCILE  de  Milan,  qu'on  ne  connaît  que 
par  ce  qu'en  dit  Landulfe  le  Jeune,  XIV, 
1089. 

CONCILE  de  Capoue,  où  le  pape  Gélase  II 
excommunie  l'empereur  Henri  V  et  l'anti- 
pape Maurice  Bourdin,  XIV,  1089,  1090. 

CONCILE    de    Cologne,    où    l'empereur   iii8ouiii9. 
Henri  V  est  excommunié,  XIV,  1090. 

CONCILE  de  Fritzlar,  où  l'empereur  Hen-    iiiSou  iii9. 
ri  V  est  excommunié,  XIV,  1090. 

CONCILE  de  Rouen.  Le  pape  Gélase  II  y 
envoie  un  clerc  demander  des  secours  de 
prières  et  d'argent  contre  l'empereur  Henri  V 
et  l'antipape  Bourdin,  XIV,  1090. 

CONCILE  de  Toulouse,  qui  ordonne  une 
croisade  contre  les  Maures  d'Espagne,  XIV, 
1091. 

CONCILE  d'Angoulême,  où  l'on  confirme 
l'élection  de  l'archevêque  de  Tours  et  de 
deux  autres  évêques,  XIV,  1091. 

CONCILE  de  Vienne  en  Dauphin  é,  dont 
parle  la  Chronique  d'Usperg,  XIV,  1091. 

CONCILE  de  Toulouse,  tenu  par  le  pape  Ca- 
lixte  II;  canons  qui  y  furent  faits,  XIV,  1092, 
1093. 

CONCILE  de  Reims,  tenu  par  le  pape  Ca- 
lixtell,  XIV,  1093;  canons  de  discipline  faits 
en  ce  concile;  l'empereur  Henri  V  et  l'anti- 
pape Maurice  Bourdin  sont  excommuniés, 

1093  et  1094. 
CONCILE  de  Lisieux,  assemblé  pour  con- 
firmer la  paix  faite  à  Gisors,  XIV,  1094. 

CONCILE  de  Rouen,  où  l'on  défend  aux 
prêtres  tout  commerce  avec  les  femmes, 
sous  peine  d'anathème,  XIV,  1094. 

CONCILE  de  Bénévent,  où  l'on  dit  ana- 
thème  à  ceux  qui  pillaient  les  églises,  XIV, 
1094. 

CONCILE  de  Beauvais,  où  l'on  procède  à 
la  canonisation  de  saint  Arnoul,  évêque  de 
Soissons.  Discussion  sur  la  date  de  ce  concile, 
XIV,  1094. 

CONCILE  de  Naplouse,  convoqué  pour 
exhorter  les  peuples  à  la  pénitence,   XIV, 

1094  et  1095. 
CONCILE  de  Quedlimbourg,  convoqué  par 

l'empereur  Henri  V;  différentes  affaires  y 
sont  agitées,  XIV,  1093. 

CONCILE  de  Soissons,  où  le  livre  d'Abai- 
lard  sur  la  Trinité  est  condamné  au  feu, 
XIV, 1093. 


lus. 


1119. 


1119. 


1119. 


1119. 


1119. 


1119. 


1120. 


II20. 


1121. 


Il2l. 


268 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1122. 


1123. 


II25. 


II27. 


1127. 


1128. 
I12S. 
1129. 

1120. 


1129. 


1129. 


1129. 


1129, 


1129. 


1130. 


1130. 


CONCILE  de  Worms,  qui  termine  l'aflfaire 
des  investitures  entre  l'empereur  Henri  V  et 
le  pape  Caliste  II,  XIV,  1095,  1096. 

CONCILE  général  de  Latran,  convoqué 
par  le  pape  Calixte  H  ;  canons  de  ce  concile, 
XIV,  1096  ;  plainte  des  évêques  contre  les 
moines,  1097. 

CONCILE  de  Londres  ;  ses  canons  pour  la 
réformation  des  mœurs  et  de  la  discipline, 
XIV,  1105,  1106. 

CONCILE  de  Nantes,  tenu  par  Hidelbert, 
archevêque  de  Tours;  règlements  qui  y  fu- 
rent faits,  XIV,  1106. 

CONCILE  de  Londres,  tenu  par  Guillaume 
de  Corbeil,  archevêque  de  Cantorbéry  ;  règle- 
ments qui  y  furent  faits,  XIV,  1106. 

CONCILE  de  Troyes,  qui  approuve  l'ordre 
des  Templiers,  et  lui  donne  une  règle  par 
écrit,  XIV,  1106,  1107. 

CONCILE  de  Ravenne,  où  les  patriarches 
d'Aquilée  et  de  Grade  sont  déposés,  XIV,  1107. 

CONCILE  de  Rouen,  tenu  par  le  légat 
Matthieu,  évêque  d'Albane,  XIV,  1107. 

CONCILE  de  Paris,  pour  la  réforme  de 
plusieurs  monastères,  et  nommément  de 
celui  d'Argenteuil,  XIV,  1107. 

CONCILE  de  Châlons-sur-Marne,  assemblé 
contre  Henri,  évêque  de  Verdun  ;  il  y  re- 
nonce à  l'épiscopat,  et  on  lui  donne  pour 
successeur  Ursion,  abbé  de  Saint-Denys  de 
Reims,  XIV,  1107,  1108. 

CONCILE  de  Londres,  convoqué  par  le  roi 
Henri  I,  pour  empêcher  les  prêtres  d'avoir 
des  femmes  ou  des  concubines,  XIV,  1108. 

CONCILE  de  Placentia,  en  Espagne;  ca- 
nons de  discipline  qui  y  furent  faits,  XIV, 
1108. 

CONCILE  d'Orléans,  auquel  Geoffroi,  abbé 
de  Vendôme,  refusa  d'assister,  XIV,  1108. 

CONCILE  de  Toulouse,  présidé  par  le  lé- 
gat Romain  de  Saint-Ange,  XIV,  1108;  ses 
canons  contre  les  hérétiques  du  diocèse  de 
Toulouse,  de  celui  de  Narhonne  et  des  dio- 
cèses voisins,  1109. 

CONCILE  de  Narhonne,  qui  confirme  la 
donation  faite  par  l'archevêque  Dalmace  aux 
chanoines  réguhers  de  Saint-Jean  d'Oneillan, 
XIV,  1110. 

CONCILE  du  Puy-en-Velai,  assemblé  par 
saint  Hugues,  évêque  de  Grenoble  :  Inno- 
rent  II  y  est  reconnu  pape,  et  Anaclet,  son 
compétiteur,  excommunié,  XIV,  1110. 

CONCILE  de  Clermont,  tenu  par  le  pape 
Innocent  II  ;  il  y  est  reconnu  pape  légitime  ; 
canons  de  ce  concile,  XIV,  IIJO. 


CONCILE  de  W^irtzbourg,  convoqué  par 
Lothaire.  On  y  confirme  l'élection  du  pape 
Innocent  n,  XIV,  1111. 

CONCILE  d'Étampes,  où  le  pape  Inno- 
cent II  est  reconnu  légitime  pape,  XYV,  1111. 

CONCILE  de  Jouarre,  au  diocèse  de  Meaux. 
Les  auteurs  du  meurtre  de  Thomas,  prieur 
de  Saint-Victor,  y  sont  excommuniés,  XIV, 

un. 

CONCILE  de  Liège,  présidé  par  le  pape 
Innocent  II;  l'antipape  et  ses  fauteurs  y 
sont  excommuniés,  XIV,  1111. 

CONCILE  de  Reims,  tenu  par  le  pape  In- 
nocent II,  qui  y  est  reconnu  par  l'empereur 
et  les  rois  d'Angleterre,  d'Aragon  et  de  Cas- 
tille,  etc.,  XIV,  un,  1112. 

CONCILE  de  Mayence,  où  Brunon,  évêque 
de  Strasbourg,  accusé  d'être  intrus  dans  ce 
siège,  renonce  à  sa  dignité,  XIV,  1112. 

CONCILE  de  Plaisance,  tenu  par  le  pape 
Innocent  II,  XIV,  1112. 

CONCILE  de  Creixan^  nu  diocèse  de  Nar- 
honne ;  sauve-garde  établie  à  Creixan,  XIV, 
1112. 

CONCILE  de  Northampton  :  Robert  y  est 
élu  évêque  d'Excester  ;  on  y  pourvoit  aussi 
à  remplir  deux  abbayes  vacantes;  erreurs 
des  collections  des  conciles  sur  la  date  de  ce 
concile,  XIV,  1112. 

CONCILE  de  Pise  :  l'antipape  Anaclet  et 
ses  fauteurs  y  sont  excommuniés;  autres 
affaires  traitées  dans  ce  concile,  XiV,  1112, 
1113. 

CONCILE  de  Narbonne,  qui  ordonne  une 
quête  pour  l'évêque  d'Elne,  engagé  à  fournir 
une  somme  d'argent  aux  pirates  sarrasins, 
XIV,  1113. 

CONCILE  de  Montpelher,  au  sujet  d'un 
différend  entre  les  abbés  de  la  Chaise-Dieu 
et  de  Saint-Thierry,  XIV,  1113. 

CONCILE  de  Londres,  assemblé  à  West- 
minster par  le  roi  Etienne,  XIV,  1113. 

CONCILE  de  Burgos,  assemblé  pour  éta- 
bhr  en  Espagne  le  rit  romain  dans  les  offices 
divins,  XIV,  1113. 

CONCILE  de  Valladolid,  assemblé  pour  le 
même  sujet,  XIV,  1113. 

CONCILE  de  Lago-Pésole,  où  l'empereur 
Lothaire  réconcilie  les  moines  du  Mont- 
Cassin  avec  le  pape  Innocent  II,  XIV,  1114. 

CONCILE  de  Londres,  tenu  par  le  légat 
Albéric  :  canons  de  ce  concile  sur  la  disci- 
pline, XIV,  1114. 

CONCILE  général  de  Latran  (deuxième), 
convoqué  par  le  pape  Innocent  II;  actes  de 


1130. 


1130. 


1131. 


3131. 


1131. 


1131. 


1132. 


1132. 


1)35. 


Il3i. 


M34ou  lUO. 


1134. 


113C. 


II3G. 


1137. 


ll?7. 


1138. 


1139. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


269 


ce  concile,  XIV^  1114;  analyse  de  ses  ca- 
nons sur  les  mœurs  et  la  discipline  ecclé- 
siastique, 1113. 

CONCILE  de  Winchester,  assemblé  au 
sujet  de  l'emprisonnement  des  évêques  de 
Sarisbury  et  de  Lincoln,  arrêtés  par  ordre 
du  roi  Etienne,  XIV,  lllS,  1116. 

CONCILE  de  Sens,  où  saint  Bernard  pro- 
pose les  erreurs  qu'il  avait  trouvées  dans  les 
écrits  d'Abailard,  XIV,  1116. 

CONCILE  d'Antioche.  où  Raoul,  patriar- 
che d'Antioche,  est  déposé,  XIV,  1116. 

CONCILE  de  Jérusalem  ;  on  y  traite  des 
articles  de  la  foi  avec  les  catholiques  d'Ar- 
ménie, XIV,  1116. 

CONCILE  de  Constantinople,  où  les  écrits 
de  Constantin  Chrysomale  sont  condamnés, 
comme  remplis  des  erreurs  des  Bogomiles, 
XIV,  1117. 

CONCILE  de  Véroli,  tenu  par  le  pape  Pas- 
cal II,  pour  obliger  Grimald,  archichanoine 
de  Saint-Paterne,  qui  se  prétendait  exempS, 
à  reconnaître  l'évêque  diocésain  pour  son 
supérieur,  et  à  lui  obéir;  erreur  de  Fabri- 
cius  sur  la  date  de  ce  concile,  XIV,  1117. 

CONCILE  de  Winchester,  où  Mathilde  est 
reconnue  reine  d'Angleterre,  XIV,  1117. 

CONCILE  de  Westminster,  qui  ordonne 
de  reconnaître  Etienne ,  roi  d'Angleterre, 
XIV,  1117. 

CONCILE  de  Lagny,  qui  maintient  les 
moines  de  Marchiennes  dans  le  droit  de 
nommer  leur  abbé,  contre  l'évêque  d'Arras, 
qui  prétendait  le  nommer,  XIV,  1117,  1118. 

CONCILE  de  Constantinople,  tenu  par  le 
patriarche  Michel  Oxite,  qui  y  condamna 
plusieurs  erreurs,  XIV,  1118. 

CONCILE  de  Londres  contre  ceux  qui  pil- 
laient les  églises,  frappaient  les  clercs  et  les 
mettaient  en  prison,  XIV,  1118. 

CONCILE  d'Angleterre,  tenu  par  Alexan- 
dre, évêque  de  Lincoln,  XIV,  1118. 

CONCILE  de  Bourges,  où  le  roi  Louis  le 
Jeune  déclare  le  dessein  qu'il  avait  formé 
de  se  croiser,  XIV,  1118. 

CONCILE  de  Vézelay,  où  le  roi  Louis  le 
Jeune,  accompagné  de  saint  Bernard,  invite 
le  peuple  à  se  croiser;  succès  de  ce  concile, 
XIV,  1118,  1119. 

CONCILE  de  Chartres,  assemblé  pour  ré- 
gler le  voyage  de  la  Terre-Sainte  :  saint 
Bernard  refuse  d'être  le  chef  de  la  croisade, 
XIV,  1119. 

CONCILE  d'Étampes,  on  y  règle  la  route 
et  on  y  fixe  le  jour  du  départ  pour  la  croisade. 


L'abbé  Suger  et  GuiUaume,  comte  de  Ne- 
vers,  sont  élus  régents  du  royaume,  XIV, 
1119. 

CONCILE  de  Constantinople  où  le  patriar- 
che Cosme  l'Attique  est  déposé  pour  son 
attachement  au  moine  Niphon,  XIV,  1119. 

CONCILE  de  Paris  assemblé  pour  exami- 
ner les  sentiments  de  Gilbert  de  la  Porrée 
sur  la  Trinité,  XIV,  1119. 

CONCILE  de  Trêves  tenu  par  le  pape  Eu- 
gène III.  Affaires  qui  y  furent  traitées,  XIV, 
1119,  1120,  1122. 

CONCILE  do  Reims  tenu  par  le  pape  Eu- 
gène III.  Éon  de  l'Étoile  est  condamné  ;  le 
sentiment  de  Gilbert  de  la  Porrée  sur  l'es- 
sence divine  est  condamné  et  ses  écrits  la- 
cérés, XIV,  1120.  Autres  actes  du  concile 
de  Reims;  canons  qui  y  furent  faits,  1121, 
1222.  Voyez  aussi  ce  qui  est  dit  de  ce  concile 
dans  l'ai'ticle  cki  pape  Eugène  III,  270,  et 
dans  celui  de  Gilbert  de  la  Porrée,  342. 

CONCILE  de  Lincopen  assemblé  pour  éri- 
ger un  siège  archiépiscopal  en  Suède,  XIV, 
1123. 

CONCILE  de  Beaugency  où,  sous  prétexte 
de  parenté,  le  roi  Louis  VII  est  séparé  de  la 
reine  Elëonore,  XIV,  1123. 

CONCILE  de  Londres.  On  y  appehe  à 
Rome  pour  trois  diverses  affaires,  XIV, 
1123. 

CONCILE  de  Melhfont  où  on  établit  quatre 
archevêchés  en  Irlande,  XIV,  1123. 

CONCILE  de  Londres  où  l'on  renouvelle 
les  lois  ecclésiastiques  du  roi  saint  Edouard, 
et  l'on  confirme  les  coutumes  du  royaume, 
XIV,  1124. 

CONCILE  de  Soissons  assemblé  par  le  roi 
Louis  le  Jeune,  la  paix  y  est  jurée  pour  dix 
ans,  XIV,  1124. 

CONCILE  de  Constantinople  assemblé 
contre  l'erreur  de  ceux  qui  croyaient  que 
dans  le  sacrifice  de  la  messe  l'oblation  ne  se 
faisait  pas  au  Fils  comme  au  Père,  XIV, 
1124.  [Date  de  ce  concile;  analyse  de  ses 
actes  d'après  Maï,  1124  et  suiv.J 

CONCILE  de  Cbichester  assemblé  au  sujet 
d'un  privilège  accordé  à  une  abbaye  du 
diocèse  de  Chichester  que  l'évêque  voulait 
faire  annuler,  XIV,  1127. 

CONCILE  de  Waterford  qui  ordonne  de 
mettre  en  liberté  les  Anglais  prisonniers  en 
Irlande,  XIV,  1127. 

CONCILE  de  Roscomen,  en  Irlande.  Les 
actes  en  sont  perdus,  XIV,  1127. 

CONCILE  de  Reims  au  sujet  de  quelques 


1147. 


1147. 


II48. 


1 148. 


1148. 


1152. 


1151. 


1152. 


1154. 


1155. 


1155  [mieux 
en  1156] 


1157. 


1158. 


1158. 


1158. 


270 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1160. 

1160. 
1160. 
1161. 

ii6r. 

1161. 

1161. 

llC2. 

I1G2. 
1163. 

1164 
ll6i. 

nos. 

1166. 


1166. 


donations  faites  aux  Prémontrés  de  Laon, 
XIV,  il27. 

CONCILE  de  Pavie  où  l'empereur  Frédé- 
ric fait  confirmer  l'élection  de  l'antipape 
Victor  III,  et  excommunier  le  pape  Alexan- 
dre m,  XIV,  1127,  1128. 

CONCILE  de  Nazareth  où  le  pape  Alexan- 
dre III  est  reconnu  pour  pape  légitime,  XIV, 
1128. 

CONCILE  d'Oxford  où  l'on  condamne  une 
secte  d'hérétiques  qui  avaient  pour  chef  un 
nommé  Gérard,  XIV,  1128. 

CONCILE  de  Neuf-Marché,  diocèse  de 
Rouen.  Le  pape  Alexandre  III  y  est  reconnu 
pape  légitime,  XIV,  1128. 

CONCILE  de  Beauvais  qui  décide  de  même, 
XIV,  1128. 

CONCILE  de  Toulouse.  On  y  examine  l'é- 
lection de  l'antipape  Victor  III,  et  celle  du 
pape  Alexandre  III  ;  on  se  déclare  pour  ce 
dernier,  XIV,  1128,  1129. 

CONCILE  de  Lodi  tenu  par  l'empereur 
Frédéric  et  l'antipape  Victor  III.  Le  pape 
Alexandre  III  et  ses  partisans  y  sont  excom- 
muniés, XIV,  1129. 

CONCILE  de  Londres  où  Thomas  Becket 
est  élu  archevêque  de  Gantorbéry,  à  la 
place  de  Thibault,  mort  l'année  précédente, 
XIV,  1129. 

CONCILE  de  Montpellier  où  le  pape 
Alexandre  III  excommunie  l'antipape  et  tous 
ses  fauteurs,  XIV,  1129. 

CONCILE  de  Tours  présidé  par  le  pape 
Alexandre  lll.  Il  demande  du  secours  contre 
les  partisans  de  l'antipape  Victor  III,  XIV, 
1129.  Analyse  des  dix  canons  faits  en  ce  con- 
cile, 1130. 

CONCILE  de  Glarendon  où  saint  Thomas, 
archevêque  de  Gantorbéry,  refuse  de  recon- 
naître les  coutumes  d'Angleterre,  XIV,  1130, 
1131. 

CONCILE  de  Norlhampton  où  saint  Tho- 
mas est  condamné  comme  traître  et  parjure, 
XIV,  1131. 

CONCILE  de  Wirtzbourg  où  l'empereur 
Frédéric  fait  reconnaître  l'antipape  Pas- 
cal III,  qui  avait  succédé  à  Victor  III,  XIV, 
1131. 

CONCILE  de  Constantinople  qui  condamne 
l'erreur  d'un  nommé  Démétrius,  qui  préten- 
dait que  le  Fils  de  Dieu  n'était  pas  en  tout 
égal  à  son  Père.  Canons  de  ce  concile,  XIV, 
1131. 

CONCILE  de  Constantinople  on  y  révoque 
un  décret  qui  permettait  le  mariage  entre 


parents  du  sixième  au  septième  degré , 
XIV,  1131  et  1132.  [Actes  de  ce  concile  pu- 
bliés par  Maï,  1132,  et  V,  dans  les  Addi- 
tions.] 

CONCILE  de  Chinon  au  sujet  du  différend 
entre  le  roi  d'Angleterre  Henri  II  et  saint 
Thomas  de  Gantorbéry,  XIV,  1133. 

CONCILE  de  Londres  où  les  évêques 
d'Angleterre  interjettent  appel  au  pape  des 
sentences  de  l'archevêque  de  Gantorbéry, 
XIV,  1133. 

CONCILE  de  Latran  où  le  pape  Alexan- 
dre III  excommunie  l'empereur  Frédéric, 
XIV,  1133,  1134. 

CONCILE  d'Armach,  en  Irlande,  qui  rend 
la  hberté  à  tous  les  Anglais  prisonniers  dans 
l'Ile,  XIV,  1134. 

CONCILE  de  Gashel  ou  Gassel,  en  Irlande, 
où  Henri  II,  roi  d'Angleterre,  est  reconnu 
roi  d'Irlande.  Canons  de  ce  concile,  XIV, 
1134. 

CONCILE  d'Avranche  où  le  roi  d'Angle- 
terre, Henri  II,  reçoit  l'absolution  du  meur- 
tre de  saint  Thomas  de  Gantorbéry,  XIV, 
1134.  Canons  faits  en  ce  concile,  1133. 

CONCILE  de  Londres  lenu  par  Richard, 
archevêque  de  Gantorbéry,  légat  du  Saint- 
Siège,  XIV,  1135.  Analyse  des  canons  de  ce 
concile,  1135  et  1136. 

CONCILE  de  Windsor  où  le  roi  Henri  U 
accorde  au  roi  de  Conangt,  en  Irlande,  de 
posséder  les  mêmes  terres  dont  il  avait  joui 
auparavant  en  en  faisant  hommage,  XIV, 
1136. 

CONCILE  de  Norlhampton  qui  déclare  les 
églises  d'Ecosse  exemptes  de  la  juridiction 
de  l'Eghse  d'Angleterre,  XIV,  1136. 

CONCILE  de  Londres  où  l'archevêque  de 
Gantorbéry  et  celui  d'York  se  disputent  la 
préséance,  XIV,  1136. 

CONCILE  de  Lombers  tenu  contre  les  Al- 
bigeois. Interrogation  qu'on  leur  fait  sur  leur 
doctrine,  XIV,  1136  et  suiv.  Sentence  pro- 
noncée contre  les  hérétiques,  après  qu'on 
eut  réfuté  leurs  erreurs,  1137. 

CONCILE  de  Norlhampton  assemblé  par 
le  roi  d'Angleterre,  Henri  H.  Difiërentes  af- 
faires qui  y  sont  traitées,  XIV,  1138. 

CONCILE  tenu  en  Ecosse  par  le  cardinal 
Vivien,  XIV,  1138. 

CONCILE  de  Venise,  tenu  par  le  pape 
Alexandre  III ,  pour  confirmer  la  paix  qu'il 
avait  faite  avec  l'empereur  Frédéric,  XIV, 
1138. 

CONCILE  de  Hohenau,  en  Bavière.  Les 


1166. 


1166. 


1167. 


1171 


II7I 


1172. 


1175. 


1175. 


1176. 


1176. 


1176 ou  II 


1177. 


1177. 


1177. 


1178. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


271 


actes  de  ce  concile  sont  perdus,  XIV,  1138. 

1179.  CONCILE  général  de  Latran  (Troisième), 

convoqué  par  le  pape  Alexandre  III.  Grand 
nombre  d'évêques  et  d'abbés  qui  y  assistent, 
XIV,  1138,  1139.  Temps  des  sessions,  1139. 
Analyse  des  canons  qui  furent  faits  en  ce 
concile,  1139  et  suiv.  Divers  actes  du  con- 
cile tirés  des  auteurs  contemporains,  1142. 
Appendice  donné  par  le  pèi-e  Labbe,  1143. 

1185  CONCILE  de  Vérone  tenu  par  le  pape  Lu- 

cius  111,  en  présence  de  l'empereur  Frédé- 
ric. Décret  fait  en  ce  concile;  quels  sont  les 
hérétiques  condamnés  par  ce  décret,  XIV, 
930. 

iigg  CONCILE  de  Sens  assemblé  pour  exami- 

ner l'affaire  du  doyen  de  Nevers,  et  l'abbé 
de  Saint-Martin  de  la  même  "ville,  accusés 
d'hérésie,  XIV,  1143.  Actes  de  ce  concile, 
H44. 

i[99.  CONCILE  ou  conférence  entre  Andelys  et 

Vernon,  pour  procurer  la  paix  entre  les  rois 
de  France  et  d'Angleterre.  On  convient  d'une 
trêve,  XIV,  1144. 

ijgg  CONCILE  de  Dijon,  où  le  légat  Pierre  de 

Capoue  prétend  contraindre,  par  les  cen- 
sures ecclésiastiqaes ,  le  roi  Philippe-Au- 
guste à  se  réconcilier  avec  la  reine  Inge- 
burge,  XIV,  1144. 

,2Q0  CONCILE  de  Vienne,  en  Dauphiné,  où  le 

roi  Philippe-Auguste  est  excommunié  ;  l'in- 
terdit y  est  jeté  sur  la  France,  XIV,  1144. 

1199.  CONCILE  de  Dalmatie  pour  réduire  cet 
État  à  l'obéissance  de  l'Église  romaine  ; 
analyse  des  canons  faits  en  ce  concile,  XIV, 
114S. 

1200.  CONCILE  de  Londres  assemblé  par  Hu- 
bert, archevêque  de  Cantorbéry,  XIV,  1145. 
Canons  de  ce  Concile,  1146. 

1200.  CONCILE  de  Néelle  où  l'interdit  jeté  sur 

la  France  est  levé,  et  le  roi  Philippe-Au- 
guste reprend  Ingelburge,  XIV,  1146,  1147. 


CONCILES  DD   XIII"  SIECLE. 

1201.  CONCILE  de  Soissons   où  l'on  agite  la 

question  du  mariage  du  roi  Philippe-Au- 
guste avec  Ingelburge.  Le  roi  le  termine  en 
déclarant  qu'il  ne  veut  plus  en  être  séparé, 
XIV, 1147. 

1201.  CONCILE  de  Paris  où  Evraud  est  con- 

vaincu d'hérésie,  et  livré  au  bras  séculier, 
XIV,  1147. 

1201,  CONCILE  de  Perthe,  eu  Ecosse,  pour  la 

réformation  des  mœurs,  XIV,  1147. 


CONCILE  de  Meaux  assemblé  pour  ména- 
ger la  paix  entre  Jean,  roi  d'Angleterre,  et 
Philippe-Auguste,  roi  de  France,  XIV,  1148. 

CONCILE  de  Lambyt  tenu  par  Etienne 
Langton,  archevêque  de  Cantorbéry,  XIV, 
1148,  1149. 

CONCILE  de  Redingue  dont  on  n'a  pas  les 
actes,  XIV,  1149. 

CONCILE  de  Montpelher  au  sujet  des  Albi- 
geois. Ce  concile  paraît  supposé,  XIV,  1149. 

CONCILE  de  Montélimar  au  sujet  de  Ray- 
mond, comte  de  Toulouse,  XIV,  1150. 

CONCILE  d'Avignon  tenu  par  Hugues, 
évêque  de  Riez,  et  Milon,  tous  deux  légats 
du  pape.  Analyse  des  canons  de  ce  concile, 
XIV,  1151,  1152.  Ce  concile  est  le  même 
que  celui  où  Raymond,  comte  de  Toulouse, 
fut  excommunié ,  et  dont  le  père  Labbe  fait 
un  second  concile  qu'il  date  de  l'année  sui- 
vante, 1153. 

CONCILE  de  Paris  au  sujet  d'une  nouvelle 
secte  d'hérétiques,  XIV,  1152. 

CONCILE  de  Saint-Gilles.  Le  comte  de 
Toidouse  s'y  présente  pour  se  justifier  du 
crime  d'hérésie  et  du  meurtre  du  légat 
Pierre  do  Gastelnau,  XIV,  1153,  1154. 

CONCILE  d'Arles  où  le  comte  de  Toulouse 
est  excommunié,  XIV,  1154. 

CONCILE  de  Rome  où  l'empereur  Ot- 
ton  IV  est  excommunié  par  le  pape  Inno- 
cent m,  XIV,  1154. 

CONCILE  de  Paris  tenu  par  le  légat  Ro- 
bert Corçon.  Analyse  des  canons  de  ce  con- 
cile, XIV,  1154  et  suiv. 

CONCILE  dePamiers  assemblé  par  Simon, 
comte  de  Montfort.  Articles  de  ce  concile, 
XIV, 1154. 

CONCILE  de  Lavaur  qui  rejette  les  propo- 
sitions du  roi  d'Aragon,  lequel  en  appelle  au 
pape.  Lettre  du  concile  au  pape  Innocent  111 
pour  justifier  la  conduite  des  évêques,  XIV, 
1157,  11S8. 

CONCILE  de  Dunestable  tenu  par  l'arche- 
vêque de  Cantorbéry,  pour  s'opposer  aux 
vexations  du  légat  de  Nicolas,  XIV,  1158, 
1159. 

CONCILE  de  Londres  où  le  roi  Jean-sans- 
Terre  soumet  au  pape  l'Angleterre  et  l'Ir- 
lande. Il  est  ensuite  absous  de  l'excommu- 
nication, et  l'interdit  jeté  sur  ses  royaumes 
est  levé,  XIV,  1159. 

CONCILE  de  Montpellier,  pour  la  réfor- 
mation de  la  discipline,  la  dénonciation  des 
hérétiques  et  de  leurs  fauteurs  ;  canons  de 
ce  concile,  XIV,  1189,  Décret  du  concile  qui 


1204. 


12(16. 


I207. 
1209. 


I209, 


1210. 


|2|2. 


I2l2. 


I2l3. 


I2l4. 


I2l3. 


1214.. 


|2|5. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


272 

proposa  de  donner  le  comté  de  Toulouse  à 
Simon  de  Montfort,  1160. 
1213  CONCILE  général  de  Latran  (Quatrième), 

tenu  par  le  pape  Innocent  III.  Bulle  de  con- 
vocation; objets  que  le  pape  se  proposait  de 
i2i5.  traiter  dans  ce  concile;  grand  nombre  de 
prélats  y  assistent  ;  affaires  discutées  un 
mois  avant  la  tenue  du  concile,  XIV,  1160. 
Ouverture  de  ce  concile  ;  discours  du  pape  ; 
second  discours  du  pape,  1161.  Soixante- 
dix  canons  dressés  dans  ce  concile  et  tra- 
duits en  grec  ;  exposition  de  la  foi  catholi- 
que, 1162.  Analyse  des  canons  du  concile 
de  Latran,  1162  et  suiv.  Décret  pour  la  croi- 
sade, 1171.  Autres  décrets  du  concile;  le 
patriarche  des  Maronites  se  réunit  à  l'Église 
ron)aine  ;  iîn  du  concile,  1172. 
1850.  [CONCILE  de  Bordeaux  :  on  y  demande  au 

souverain  Pontife  le  titre  de  docteur  pour 
saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  7.] 

CONCORDANCE  de  quelques  passages  de 
l'Écriture  sainte.  Raisons  qui  semblent  prou- 
ver que  cet  ouvrage  est  du  pape  saint  Gré- 
goire le  Grand,  XI,  550.  —  Concordance 
des  endroits  de  l'Écriture  qui  paraissent 
contraires,  attribué  à  Berlhaire,  abbé  du 
Mont-Cassin,  et  à  d'autres  auteurs,  XII,  696. 

CONCORDANCE  de  l'Ancien  et  du  Nou- 
veau Testament.  Le  poème  sur  ce  sujet  n'est 
point  de  Mammert  Claudien.  On  l'attribue  à 
différents  auteurs,  X,  356.  —  Concordance 
de  l'Ancien  et  du  Nouveau  Testament,  ou- 
vrage de  l'abbé  Joachim,  XIV,  829. 

CONCORDANCE  des  quatre  Évangélistes. 
Canons  évangéliques  dEusèbe  de  Césarée, 
III,  240,  [et  241.] 

[CONCORDANCE  des  Evangélistes,  ou- 
vrage de  saint  Jérôme,  cité  par  Alcuin,  XII, 
179.] 

CONCORDANCE,  par  le  prêtre  Hésychius, 
XI,  656.  —  Autre  ouvrage  de  Marianus 
Scotus,  XIII,  401.  —  Canons  des  Evangiles, 
dressés  par  le  B.  Odon  de  Cambrai.  XIV,  76. 

CONCORDE  ou  Harmonie  des  quatre  Évan- 
giles ,  par  Ammonius  II ,  99.  [Éditions  de  la 
Concorde,  99.] 

CONCORDE  des  règles  monastiques,  par 
saint  Bruno,  abbé  d'Aniane,  XII,  259,  200. 

CONCORDE  des  deux  Testaments  :  dis- 
cours d'Yves  de  Chartres  sur  la  concordance 
des  deux  Testaments,  XIV,  122. 

CONCORDE  des  canons  discordants.  Titre 
donné  par  Gratien  à  son  décret,  XIV,  760. 

CONCORDE  de  l'ancien  et  du  nouveau 
sacrifice,  poëme  d'Hildebert,  XIV,  221. 


CONCORDE  entre  les  fidèles  ;  sermon  de 
saint  Augustin  sur  la  concorde,  IX,  241.  — 
Traité  de  la  paix  et  de  la  concorde,  par  saint 
Anselme,  XIV,  33,  34. 

CONCORDE,  diacre  de  l'église  d'Arles,  se 
trouve  à  l'élection  du  pape  saint  Hilaire,  et 
en  informe  Léonce,  son  évêque,  X,  336. 

CONCORDIUS,  évêque  d'Arles,  au  concile 
de  Valence,  IV,  600. 

CONCUBINAGE  :  zèle  de  saint  Éloi  contre 
ce  désordre,  XI,  735. 

CONCUBINAIRES  :  canons  dû  concile  de 
Girone  contre  les  concubinaires.  Traité  de 
saint  Anselme  contre  les  clercs  concubi- 
naires, XIV,  19.  —  Lettre  contre  eux  de 
Pascal  II,  135.  Les  enfants  des  clercs  con- 
cubinaires déclarés  serfs  des  églises  servies 
par  leurs  pères,  1037. 

CONCUBINES  de  deux  sortes.  Constitu- 
tions apostoliques  qui   les   concernent,    II, 
594.  —  Loi  de  l'empereur   Constantin   qui         320. 
défend  les  concubines,  VII,  741.  —  Canon         400. 
dix-septième   du   concile  de  Tolède  sur  les 
concubines,  Vil,    741.  —  Canon   neuvième      après  M 
du  concile  de  Rome,  sous  le  pape  saint  In- 
nocent, VIII,  546.—  Lettre  d'Yves  de  Char- 
tres sur  le  mariage   des  concubines,   XIV, 
101.  [Concubines  dont  il  est  parlé  dans  le 
livre  des  Juges.  Commentaire  sur  cette  his- 
toire par  Rilinde,  abbesse,  634.] 

CONCUPISCENCE.  Deux  livres  du   Ma-     410  eMS 
riage  et  de  la  Concupiscence.  Ouvrage  de 
saint  Augustin,  IX,  457  et  suiv.  Doctrine  de 
saint  Augustin  sur  la  concupiscence,  33,  311 , 
422,  455,  457,  460,  466,  511,  553,  558. 

CONDAT  ou  CONDATISCONE ,  aujour- 
d'hui Saint-Claude,  monastère  fondé  au  Y 
siècle  par  saint  Romain  et  saint  Lupicin,  XI, 
379,  380. 

CONDESCENDANCE.  Saint  Théodore  Stu- 
dite  exphque  jusqu'où  elle  peut  aller  en  ma- 
tière de  religion,  XII  303. 

CONDUITE  CHRÉTIENNE.  Ouvrage  sur 
ce  sujet  faussement  attribué  à  saint  Au- 
gustin, IX,  288. 

[CONEN  (Jean),  Prémontré  :  son  édition  de 
l'Inévitable,  d'Honoré  d'Autun,  XIV,  293.] 

CONFÉRENCE  d'Archélaus  avec  Manès,  i,,, 
II,  435  et  suiv.  et  V,  40;  de  Jason  et  de  Pa- 
pisque,  347,  n.  2  et  VII,  269;  —  de  saint  Au- 
gustin avec  le  manichéen  Félix,  IX,  349  et 
suiv.  ;  du  même  avec  Maximin,  arien,  359  et 
suiv.  du  même  avec  les  Donatistes,  404  et 
suiv.  Ce  qui  en  fit  publier  les  actes,  492. 

CONFÉRENCE  à  Jérusalem  contre  les  Pé-        4i5. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


273 


,500. 


664. 


11119. 


Islécle. 


«lècle. 
Biècle. 


lalècle. 


lagiens  ;  résultats  de  cette  conférence,  X,  2. 
CONFÉRENCE   de  plusieurs  évêques  en 
présence  d'Emérite,  évoque  donatiste,  IX, 
410  et  suiv. 

CONFÉRENCE  ordonnée  par  Hunéric,  roi 
dès  Vandales,  entre  les  Catholiques  et  les 
Ariens,  X,  4S4  et  suiv.  Elle  se  tient  à  Car- 
thage,  434,  453;  elle  est  rompue,  433.  Pro- 
fession de  foi  des  évêques  catholiques,  453, 
436et437.  Cette  profession  de  foi  augmente 
la  persécution.  Les  évêques  sont  exilés,  457 
et  458. 

CONFÉRENCE  à  Lyon  entre  les  évêques 
catholiques  et  ariens,  en  présence  de  Gonde- 
baud,  roi  de  Bourgogne,  X,  334  et  360.  Frag- 
ments qui  nous  restent  de  cette  conférence, 
X,  339,  362  et  733  et  suiv. 

CONFÉRENCE  à  Rome  sur  les  erreurs 
d'Eulychès,  X,  446. 

CONFÉRENCE  de  saint  Fulgence  avec  les 

Ariens,  en  présence  du  roi  Trasamond,  XI,  74. 

CONFÉRENCE   de  Catholiques    avec  les 

Orientaux  ou  Sévériens,  tenue  à  Constauti- 

nople,  XI,  843  et  suiv. 

CONFÉRENCE  de  Streneshall,  en  Nor- 
thumbrie.  On  y  convient  d'adopter  la  cou- 
tume de  l'Église  romaine  sur  la  célébration 
de  la  Pâque,  XII,  63  et  933,  936. 

CONFÉRENCE  de  Brionne  en  Normandie, 
où  Bérenger  est  confondu,  XIII,  167. 

CONFÉRENCE  de  Mouron  entre  Calixte  II 
et  Henri  V,  XIV,  1093,  1094. 

CONFÉRENCE  de  l'Esprit  avec  l'Ame,  ou- 
vrage de  Marc  l'Ermite,  XI,  642. 

CONFÉRENCES  de  Cassien,  abbé  de  Mar- 
seille, VIII,   16i   et  suiv.  —  Notes  de  Lan- 
franc  sur  ces  conférences,  XIII,  448  et  438. 
CONFÉRENCES  de  Tbéorien  avec  les  Ar- 
méniens, XIV,  634  et  suiv. 

CONFÉRENCES  rurales,  ordonnées  par 
Riculfe,  évêque  de  Soissons,  XII,  747  ;  et 
par  Otton  de  Verceil,  821. 

CONFESSEURS  DE  LA  FOI.  Lettres  de 
saint  Cyprien  aux  confesseurs  de  Carthage  : 
première,  II,  293  ;  deuxième,  297  ;  troisième, 
298;  quatrième,  299  et  300;  et  cinquième, 
338.  Confesseurs  morts  en  prison,  mis  au 
rang  des  martyrs,  298.  Constitutions  apos- 
toliques concernant  les  confesseurs.  Confes- 
seurs élevés  aux  ordres  selon  les  consti- 
tutions apostoliques,  594.  Canon  vingt-cin- 
quième du  concile  d'Elvire  touchant  les  con- 
fesseurs, 607,  608.  Canon  neuvième  du 
concile  d'Arles,  631.  —  Confesseurs  qui  se 
sont  présentés  eux-mêmes  ;  canons  de  saint 

TAB.  I. 


Pierre  d'Alexandrie  concernant  ces  confes- 
seurs, 111,  38.  Edit  de  l'empereur  Constantin 
en  faveur  des  confesseurs,  124.  —  Lettre  de 
saint  Basile  le  Grand  aux  confesseurs,  IV^ 
484,  483.  —  Canons  quarante-deuxième  et 
quarante-troisième  du  iv°  concile  de  Car- 
thage touchant  les  confesseurs,  VIII,  730. 
—  [Sermon  de  saint  Augustin  sur  le  com- 
mun des  confesseurs,  IX,  841.  —  Sermon 
de  saint  Maxime  de  Turin  sur  la  fête  de  plu- 
sieurs confesseurs,  X,  326.]  —  Livre  de  la 
Gloire  des  Confesseurs ,  ouvrage  de  saint 
Grégoire  de  Tours,  XI,  373  et  suiv.  —  Gé- 
rard de  Cambrai  soutient  que  les  confes- 
seurs méritent  un  culte  particulier,  XIII,  162. 
[Sermon  du  pape  Innocent  III  pour  la  fête 
d'un  confesseur,  XIV,  1009,  n.  2.J 

CONFESSEURS  ou  ministres  établis  pour 
recevoir  les  confessions  des  fidèles.  Canon 
attribué  au  patriarche  saint  Nicéphore  sur 
la  conduite  qu'ils  doivent  tenir,  XII,  286. 
Témoignage  de  Jonas  d'Orléans  sur  le  de- 
voir des  confesseurs,  390.  —  Règlement  de 
l'empereur  Alexis  Comnène  touchant  les 
confesseurs,  XIV,  142. 

CONFESSION  DE  FOI  du  concile  de 
Rome, IV,  612.  —Confession de  foi  attribuée 
au  premier  concile  de  Tolède,  VII,  743.  Con- 
fession de  foi  de  Pelage,  attribuée  à  saint 
Jérôme,  et  employée  par  Alcuin,  530,  531. 

—  Confession  de  Pascentius,  arien,  IX,  185. 

—  Confession  attribuée  à  Acace  de  Bérée, 
VIII,  241.  —  Confession  d'Alcuin,  attaquée 
comme  n'étant  pas  de  lui,  XII,  202.  D.  Ma- 
billon  prouve  qu'elle  est  effectivement  de 
lui,  202  et  203.  Raisons  de  Basnage  pour 
infirmer  les  preuves  du  P.  Mabillon,  203, 
204.  Réponses  aux  objections  contre  cette 
confession  de  foi,  204,  205.  Analyse  de  cette 
confession,  203,  206.  —  Confession  théolo- 
gique attribuée  faussement  à  Cassien  de 
Marseille,  VlII,  200.  —  Confession  chré- 
tienne en  vers  élégiaques,  par  Jean  le  Géo- 
mètre, XIII,  232.  Confession  théologique  de 
Jean,  abbé  de  Fécamp  :  ce  que  c'est  que  cet 
ouvrage,  328.  Voyez  Profession  de  foi.  — 
Confession  de  saint  Cyprien  d'Antioche,  et 
non  de  Carthage,  III,  96.  —  Confession  de 
saint  Ephrem,  VI,  38,71,  73.— Treize  livres 
des  Confessions  de  saint  Augustin,  IX,  23 
et  suiv.  [Voyez  la  table  du  IX"  vol.  au  mot 
Confessions.] — Confession  de  Prosper  d'Aqui- 
taine, attribuée  à  saint  Prosper,  X,  313. 
Confession  de  saint  Patrice,  et  analyse  de 
cet  ouvrage,  X,  446,  447. 

18 


323. 
377. 


398. 


379. 
400. 


IV  siècle. 
T.  400. 


274 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


II  siècle. 

III  siècle 


rV  siècle. 


IV 
et  V  siècles. 


IV 

et  V  siècles. 


CONFESSION  DES  PÉCHÉS.  Doctrine  de 
saint  Irénée,  I,  524  ;  —  de  Tertullien,  II, 
77;  d'Origène,  [157,]  251,  242.  [Témoi- 
gnage de  l'auteur  des  Pki/osophumena,  2,01 .] 
Confession  des  péchés  marquée  par  saint 
Cyprien,  279  et  371.  —  Confession  des  pé- 
chés, faite  à  Dieu,  selon  le  témoignage  d'Eu- 
sèbe  deCésarée,  HI,  295.  [Autre  témoignage 
d'Eusèbe,  257.]  —  Doctrine  de  saint  Hilaire, 
IV,  76,  77  ;  de  saint  Athanase,  219  [et  165]  ; 
de  saint  Basile,  375,  495,  521.  La  coulpe  , 
confession  monastique,  404.  —  Doctiine  de 
saint  Pacien  sur  la  confession  des  péchés,  V, 
169;  de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  282;  de 
saint  Ambrolse,  564,  565;  —  de  saint 
Ephrem,  VI,  64,  [493  et  505]  ;  de  saint  Gré- 
goire de  Nysse  ,  136;  de  saint  Astère,  ar- 
chevêque d'Amasée,  305;  —  de  saint  Jean 
Chrysostôme,  VII,  156  et  416  et  suiv.;  du 
pape  saint  Innocent,  520;'  de  saint  Jérôme, 
676,  677.  —  [Confession  faite  aux  prêtres  : 
témoignage  d'Eusèbe  d'Alexandrie ,  VIII, 
384.]  —  Discours  sur  la  confession  fausse- 
ment attribué  àHéraclius,  prêtre  d'Hippone, 
IX,  243.  Doctrine  de  saint  Augustin,  773, 
774  [et  843.  Sermon  de  saint  Augustin  sur 
la  confession,  836.]  —  Doctrine  de  saint Ful- 
gence,  XI,  55,  56.  Sermon  de  saint  Césaire 
d'Arles  sur  la  nécessité  de  confesser  ses  pé- 
chés, 136,  137.  Méthode  de  confesser  ses 
péchés  à  son  père  spirituel  :  ouvrage  attri- 
bué au  patriarche  Jean  le  Jeûneur,  428.  Né- 
cessité de  la  confession  des  péchés,  selon  le 
pape  saint  Grégoire  le  Grand,  570.  [Témoi- 
gnage de  saint  Grégoire  d'Agrigente,  589.] 
Doctrine  d'Anastase  Sinaïte,  605,  606.  Té- 
moignage de  saint  Colomban  de  Luxeuil,  620. 
Confession  faite  par  écrit,  661,  662.  Confes- 
sion publique  d'un  voleur  pénitent,  680.  Doc. 
trine  de  Jean,  abbé  de  Raïthe,  691.  [Opus- 
cule de  saint  Sophrone  de  Jérusalem  sur  la 
confessiondespéchés,707.]Premier  exemple 
de  confession  générale  en  la  personne  de  saint 
Eloi,  753.  Témoignage  de  saint  Théodore  de 
Cantorbéry  sur  la  confession ,  758  ;  —  de 
saint  Boniface  de  Mayence,  XII,  52,  53. 
Lettre  surla  confession  attribuée  à  saint  Jean 
Damascène  ;  elle  n'est  pas  de  lui,  84.  Té- 
moignage de  saint  Pirmin,  105  ;  de  saint 
Cbrodegang,  107;  de  saint  Paulin  d'Aquilée, 
160.  Diverses  formules  de  confession  données 
par  Alcuin,  169.  Lettre  d'Alcuin  aux  moines 
de  Saint-Martin  de  Tours  sur  la  confession, 
185.  Ce  que  dit  le  même  sur  la  confession, 
18S,  195.  Sa  doctrine  sur  le  même  sujet,  210, 


211.  Formule  de  confession,  en  langue  tu- 
desque,  attribuée  àCharlemagne,  249.  Com- 
ment la  confession  auriculaire  se  pratiquait 
au  ix°  siècle,  270.  [Réponses  de  saint  Nicé- 
phore,  patriarche  de  Constantinople ,  aux 
diiîérentes  questions  faites  sur  la  confession; 
ce  que  dit  saint  Nicéphore  sur  le  pouvoir  de 
lier  et  de  délier,  294.  Canons  de  saint  Théo- 
dore Studite  relatifs  à  la  confession  des  pé- 
chés, 315,  316.]  Témoignage  de  Jouas,  évê- 
que  d'Orléans,  sur  la  confession,  390.  Rè- 
glement du  pape  Léon  IV,  408.  Témoignage 
de  Rabau  Maur,  455  ;  de  saint  Paschase  Rad- 
bert,536;  de  Vulfade,  archevêque  de  Bourges, 
628;  d'Isaac,  évêque  de  Langres,  638; 
d'Hincmar  de  Reims,  685  ;  de  Réginon,  abbé 
de  Prum,  771  ;  de  Rathier  de  Vérone,  855; 
—  du  moine  Jean,  dans  son  Pénitentiel, 
XIII,  32;  deDitmar,  dans  sa  Chronique,  64, 
Lettre  d'un  évêque  sur  la  fréquente  confes- 
sion des  péchés,  76.  Traité  du  secret  de  la 
confession,  attribué  à  Lunfranc,  archevêque 
de  Cantorbéry,  456.  Autre  témoignage  du 
même,  457.  Témoignage  d'un  anonyme,  au- 
teur d'un  traité  sur  les  sacrements,  492.  Té- 
moignage d'Antoine  Mélisse,  568;  de  Raoul 
Ardent,  579,  580;  de  saint  Anselme,  XIV, 
40;  de  Philippe  le  Solitaire,  83;  de  Geofl'roi 
de  Vendôme,  163,  166,  168.  Traité  de  Hu- 
gues de  Saint-Victor  sur  la  confession,  361. 
Pratique  de  l'abbé  Suger  sur  la  confession, 
375.  Témoignage  de  Robert  Paululus,  357; 
de  saint  Bernard,  474  et  487.  Traité  de  la 
confession  sacramentelle,  ouvrage  de  Pierre 
de  Blois,  779.  Témoignage  du  pape  Inno- 
cent III,  1013;  de  Guillaume  d'Auvergne, 
1023.  —  Canon  d'un  concile  de  Reims  sur 
la  confession,  XIII,  645;  canon  d'un  concile 
de  Cliâlon-sur-Saône,  647.  Article  d'un  ca- 
pitulaire  de  Charlemagne,  648.  Article  de  la 
règle  des  chanoinesses,  653.  Décision  de 
l'assemblée  de  Fontenay,  670.  —  Canon 
d'un  concile  de  Toulouse,  XIV,  1109.  Canon 
du  iv°  concile  de  Latranqui  oblige  les  fidèles 
à  la  confession  annuelle,  1166.  V.  Pénitence. 
CONFIRMATION,  sacrement.  Doctrine  de 
Clément  d'Alexandrie,  I,  599  ;  —  de  Tertul- 
lien, II,  75;  de  saint  Corneille,  pape,  126; 
de  saint  Cyprien,  365.  Confirmation  mar- 
quée dans  les  actes  des  saints  Donatien  et 
Rogalien,  476  ;  dans  un  concile  de  Gartha- 
ge,  551;  dans  les  Constitutions  apostoUques, 
595.  Confirmation  administrée  par  les  évê- 
ques,  trente-huitième  canon  du  concile d'El- 
vire,  609.  Les  Novaliens  ne  donnaient  pointla 


1215. 


II  siècle. 

III  siècl* 
Illsièeti 


IV  siècle 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


275 


IV  siècle.  Confirmation,  III, 434. — Doctrine  de  saint Hi- 
laire  de  Poitiers,  IV,  75  ;  —  de  saint  Cyrille 
de  Jérusalem,  V,  53  et  74  ;  de  saint  Pacien, 
163,  168,  169.  Cérémonies  de  ce  sacrement 
387.  expliquées  par  saint  Ambroise  dans  son 
traité  des  Mystères,  462.  Doctrine  de  saint 
Ambroise,  555,  556.  Témoignage  de  l'auteur 
du  livre  des  Sacrements  attribué   à  saint 

IV  siècle.     Ambroise,  465.  —  Doctrine  de  saint  Ephrem, 

VI,  61  [470  et  450.]  Règlement  du  pape  saint 
ly         Sirice,  99.  —  Doctrine  de  saint  Jean  Ghry- 

etv siècles,    g^gt^j^g^  yu,   395,  396.   Canon  troisième 

406.  dans  la  lettre  du  pape  saint  Innocent  à  Dé- 
IV  cenlius,  évéque  d'Eugubio,  519.  Doctrine  de 
stvsiècies.  gjjjj^j.  Jérôme,  671  ;  —  de  saint  Augustin, 
V siècle.  IX,  747;  —  du  pape  saint  Léon,X,  258, 
259.;  du  pape  saint  Gélase,  502.  Cérémonies 
de  la  Confirmation  selon  le  Sacrementaire 
du  pape  saint  Gélase,  515.  Canon  d'un  con- 
cile de  Tarragone,  qui  défend  de  réitérer  la 
Confirmation,  749. — Au  vi"  siècle,  on  donnait 
le  sacrement  de  Confirmation  immédiate- 
ment après  le  Baptême,  XI,  389.  Doctrine 
du  pape  saint  Grégoire  le  Grand,  493  et 
566,  367.  On  infère  d'un  passage  d'une  de 
ses  lettres  que,  dans  un  cas  de  nécessité,  un 
prêtre  peut  l'administrer,  567.  Règlement 
de  Sonnace,  évêque  de  Reims,  694.  Témoi- 
gnage de  saint  Isidore  de  Séville,  713  ;  de 
saint  Ildefonse,  archevêque  de  Tolède,  775; 
de  saint  Théodore  de  Cantorbéry,  798  ;  [de 
Braulion ,  évêque  de  Saragosse ,  743  ;]  — 
du  pape  Grégoire  II,  XII ,  23  ;  de  saint 
Boniface,  54;  d'Alcuin,  210;  de  Magnus, 
archevêque  de  Sens,  230,  251;  de  Maxen- 
ce ,  patriarche  d'Aquilée ,  251  ;  de  Lei- 
drade,  archevêque  de  Lyon,  251,  232, 
233  ;  de  Jonas,  évêque  d'Orléans,  389  ;  de 
Rhaban  Maur,  453.  Règlement  du  pape  saint 
Nicolas  I",  581.  Témoignage  d'Énée,  évéque 
de  Paris,  601.  —  Règlement  du  pape  Léon 

VII,  829.  La  Confirmation  n'est  point  mise 
au  nombre  des  sacrements  dans  un  traité 
des  sacrements  fait  en  vers  hexamètres  à 

XI  siècle  ^^  ^'^  ^^  ^^°  siècle,  XIII,  492.  Suivant  saint 
Brunon  de  Ségni,  on  doit  réitérer  le  sacre- 
ment de  Confirmation  aux  hérétiques  qui 
reviennent  à  l'Église,  503.  [Ce  que  Bonizon 
dit  du  sacrement  de  Confirmation,  366.]  — 
Témoignage  d'Yves  de  Chartres,  XIV,  122. 
Traité  de  GeoÊTroi  de  Vendôme  sur  le  Bap- 
tême, la  Confirmation,  etc.,  168.  Témoi- 
gnage d'Otton  de  Bamberg,  179.  Témoi- 
gnage de  Robert  Paululus,  337  ;  de  Ro- 
bert PuUus,  395;  de  Pierre  Lombard,  563. 


Réfutation  des    hérétiques    qui    rejetaient    xn  siècle, 
comme  inutile  le  sacrement  de  Confirma- 
tion, 608,  609.  Témoignage  de  Guillaume 
d'Auvergne,   1023.  Canon  d'un  concile  de       laoo. 
Londres  sur  la  confirmation,  1146. 

[CONFLIT.  Du  Conflit  de  deux  chefs  : 
opuscule  en  vers  de  Régnier,  moine  de 
Saint-Laurent  de  Liège,  XIV,  796.] 

CONFORTATORIUS.  Livre  de  Gotcehn, 
moine  de  Cantorbéry,  XIV,  233,  234. 

CONGAL,  abbé  de  Bancor.  V.  Commogel. 

CONIGASTE ,  seigneur  de  la  cour  de 
Théodoric.  A  quelle  occasion  il  devient  l'en- 
nemi du  philosophe  Boëce,  X,  648.  Il  le  ca- 
lomnie auprès  du  prince,  649. 

CONIMBRE,  aujourd'hui  COIMBRE,  ville 
de  Portugal.  Plusieurs  lettres  du  pape  Inno- 
cent III  pour  maintenir  les  droits  de  i'évê- 
que  de  Coïmbre,  XIV,  959. 

CONJECTURE  sur  l'état  d'une  certaine 
personne.  Ouvrage  où  Rathérius  de  Vérone 
répond  aux  censures  que  ses  ennemis  fai- 
saient de  sa  conduite,  XII,  851,  832. 

[CONNAITRE.  Ce  que  saint  Hilaire  de 
Poitiers  entend  par  le  verbe  ne  pas  connaître 
employée  par  l'Evangile  au  sujet  de  la  sainte 
Vierge  et  de  saint  Joseph,  IV,  32.] 

CONNAISSANCE.  Doctrine  de  saint  Au- 
gustin sur  les  connaissances  des  anges,  IX, 
204,  203  ;  sur  celles  des  hommes,  350.  Livre 
de  la  Connaissance  de  la  vie,  faussement  at- 
tribué au  même  saint,  287.  [Connaissance 
de  la  vie  ou  traité  de  Dieu  et  de  la  Vie  éter- 
nelle, ouvrage  d'Honoré  d'Autun,  XIV,  297. 
Analyse  de  ce  traité ,  297  et  298.  Jugement 
de  cet  ouvrage,  298.]  Connaissez-vous  vous 
même,  titre  donné  à  un  traité  de  morale 
composé  par  Abaillard,  XIV,  336. 

CONON,  évêque  d'Hermopolis  en  Egypte,     m  siècle. 
Saint  Denis  lui  écrit,  II,  461. 

CONON,  évêque  d'Édesse,  XI,  343.  eoo. 

CONON,  élu  abbé  de  Lérins.  Lettre  que 
lui  écrit  le  pape  saint  Grégoire  le  Grand, 
XI,  320. 

CONON,  un  de  ceux  qui  écrivirent  pour 
défendre  la  résurrection  des  morts  contre 
Jean  Philoponus,  XI,  652. 

CONON,  pape,  XIII,  180.  687. 

CONON  ou  CONRAD  (Saint),  archevêque 
de  Trêves.  Sa  vie  écrite  par  Thierry,  moine 
de  Tholei,  XIII,  334.  —  [Il  est  mis  au  nom- 
bre des  saints,  XIV,  1102.] 

CONON,  cardinal  légat  dans  la  Terre- 
Sainte,  excommunie  l'empereur  Henri  V  dans 
plusieurs  conciles,  XIV,  1084,  1083.  Il  ex- 


276 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCL..SIASTIQUES. 


communie  les  évêques  de  la  Normandie, 
1086.  Il  rend  compte  de  sa  légation  dans  le 
concile  de  Lalran,  1088.  [Pièces  qui  concer- 
nent ce  légat,  1083,  n.  6.] 

1002.  CONON.  Voyez  André,  évêque  dePérouse. 

GONOPS,  prêtre  de  Pisidie,  VI,  414. 
CONQUES,  abbaye  dans  le  Rouergue.  Do- 
nation qui  lui  est   faite   de   Sainte-Poi-du- 
Châtelet  et  de  Saint-Victor,  XIII,  590. 

9)2.  CONRAD  I",  empereur  d'Occident. 

1027.  CONRAD  II,  le  Salique,  couronné  empe- 

reur avec  Gisèle,  sa  femme,  par  le  pape 

1038.  Jean  XIX,  XIII,  194.  Son  voyage  à  Rome 
pour  rétablir  Benoît  IX,  196.  Son  histoire 
écrite  par  Vippon,  son  chapelain  ;  elle  est 
estimée  pour  quantité  de  faits  qu'on  ne 
trouve  pas  ailleurs.  Chant  lugubre  sur  la 
mort  de  ce  prince,  176.  [Lettre  de  Pierre 
diacre  à  cet  empereur,  90.  Constitulions  et 
diplômes  de  Conrad  le  Salique,  dans  la  Pa- 
trologie,  414.] 

H47.  CONRAD  III,  roi  d'Allemagne,  entreprend 

1152.  une  croisade  ;  mauvais  succès  de  cette  expé- 
dition, XIII,  543.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape 
Eugène  III,  XIV,  272.  [Ce  pape  lui  recom- 
mande de  procurer  l'union  entre  l'Église 
grecque  et  l'Église  romaine,  277.  Il  lui  écrit 
après  le  désastre  de  la  croisade,  278.]  Quel- 
ques actes  de  cet  empereur,  532,  533.  Sa 
mort,  534. 

[CONRAD,  usurpateur  de  la  Poméranie. 
Excommunication  prononcée  contre  lui  par 
saint  Otton  de  Bamberg,  XIV,  181.] 

[CONRAD,  archevêque  de  Saltzbourg,  écrit 
à  saint  Otton  de  Bamberg,  XIV,  181.  Le 
pape  Hoaoï'ius  II  lui  écrit,  256.] 

[CONRAD,  évêqueintrusdeToul,  XIV,253.] 
CONRAD  ,  prêtre,  continuateur  de  l'His- 
toire de  saint  Gall,  XIV,  879. 

CONRAD  (Saint).  Voyez  Conon  (saint),  plus 
haut. 
XII  siècle         CONRAD,  moine  de  Brunwiller,  écrit  la 
vie  de  l'abbé  Wolphelme,  XIH,  483,  484. 

1076.  CONRAD,   évêque  d'Utrechl,   succède  à 

Guillaume;  son  attachement  pour  l'empereur 

1085,  Henri  IV,  dont  il  avait  été  précepteur  ;  son 
discours  dans  l'assemblée  de  Gerstungeu  con- 

1087.  ^^^  ^^^  actes  de  saint  Grégoire  VII;  il  contirme 
les  statuts  de  ses  prédécesseurs  et  y  en 
ajoute  quelques-uns;  autres  ouvrages  qu'on 
lui  attribue  en  faveur  de  Henri  IV,  XIII, 
513.  Ouvrage  de  Bernard  le  Scholastique  , 
adressé  à  Conrad,  513.  (Voyez  l'article  de 
Conrad  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  Vm,  p.  500  et  suiv.) 


CONRAD,  clerc  de  l'Eglise  romaine,  en-       ni8. 
Yoyé  par  le  pape  Gélase  II  au  concile  de 
Rouen,  XIV,  1090. 

CONRAD,  moine  saxon,  de  l'ordre  de  Cî- 
teaux.  Son  épitaphe  de  Frédéric,  duc  d'Au- 
triche, XIV,  247. 

CONRAD,  abbé  de  Moury  en  Suisse.  Voyez 
Chunon. 

CONRAD,  évêque  de  Sabine,  succède  au 
pape  Eugène  III,  et  prend  le  nom  d'Anas- 
tase  IV,  XIV,  535.  Voyez  Anastase  IV. 

[CONRAD,  évêque  de  Wurtzbourg,  assas- 
siné. Punition  de  sesassassins, XIV,  982,983.] 

CONSCIENCE.  Doctrine  de  saint  Jean 
Chrysostôme,  VH,  149,  185  et  230;  —de 
saint  Bernard,  XIV,  467.  Traité  faussement 
attribué  à  ce  saint,  491.  Traité  de  la  Cons- 
cience, ouvrage  de  Pierre  de  Celle,  682. 
[Autre  Traité  de  la  Conscience,  ouvrage 
d'un  anonyme  du  xii"  siècle,  909.] 

CONSÉCRATIONS.  Consécration  du  Chrê- 
me :  concile  de  Carthage,  IV,  647.  Canon  390. 
troisième  du  deuxième  concile  de  la  même 
ville,  648.  —  Consécration  des  autels  et  des 
églises.  Deux  discours  de  saint  Césaire  d'Ar- 
les sur  ce  sujet,  XI,  135.  Cérémonies  qui 
s'observaient  pour  la  consécration  d'un  ora- 
toire selon  saint  Grégoire  de  Tours,  388.  — 
Doctrine  de  saint  Anselme  sur  la  consécra- 
tion des  églises,  XIV,  41,  42. 

CONSÉCRATION  des  évêques.  Prière  pour 
la  consécration  d'un  évêque,  attribuée  à 
saint  Léon ,  X,  198.  —  Sermons  du  pape 
Innocent  111  sur  cette  cérémonie,  XIV,  1009. 

CONSÉCRATION  des  vierges  :  concile  de        390. 
Carthage,    IV,    647.    Canon    troisième   du 
deuxième  concile  de  la  même  ville^  648. 

CONSENTIUS,  homme  de  lettres,  écrit  à      v.  4io. 
saint  Augustin,  et  celui-ci  lui  répond,  IX, 
m,  112.   Autre  lettre   que  lui  écrit  saint        420. 
Augustin,  170.  Livre  de  saint  Augustin  cou-        420. 
tre  le  mensonge,  adressé  à  Consentius,  274. 

CONSENTIUS,  homme  de  lettres,  peut- 
être  fils  du  précédent.  Lettre  que  lui  écrit 
saint  Sidoine  Apollinaire,  X,  393.  Poëme 
que  lui  adresse  le  même  saint,  397. 

CONSIDERATION.  Cinq  livres  de  la  Con- 
sidération, ouvrage  de  saint  Bernard  adres- 
sé au  pape  Eugène  III,  pour  le  consoler 
dans  ses  afflictions,  XIV,  460.  Analyse  de 
cet  ouvrage,  460  et  suiv. 

CONSOLATION.  Discours  sur  ce  sujet  dans     jy  siicie. 
les  ouvrages  faussement  attribués   à  saint 
Basile  le  Grand,  IV,  493.  —  Lettre  de  con- 
solation adressée  par  saint  Augustin  à  Ita- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


277 


lique,  dame  romaine,  IX,  97,  98.  —  Le 
discours  de  la  consolation  faussement  attri- 
bué à  saint  Basile  n'est  pas  celui  qu'avait 
composé  Victor  de  Cartenne,  X,  469.  Con- 
solation de  la  philosophie,  ouvrage  de  Boëce, 
660.  Analyse  de  cet  ouvrage,  660  et  suiv. 
Editions  qu'on  en  a  faites;  différentes  tra- 
XII  sWcie.  ductions,  663.  —  Livre  de  la  Consolation, 
attribué  à  l'abbé  Joachim,  XIV,  831.  Cer- 
tains hérétiques  du  xii'  siècle  ne  faisaient 
des  sacrements  de  Pénitence,  de  Confirma- 
tion et  d'Extrême-Onction  qu'une  seule  céré- 
monie appelée  par  eux  Consolation,  330. 

CONSOMMATION  du  siècle.  Traités  de 
saint  Ephrem,  VI,  22,  24,  23  [et  304.]— Su- 
jet d'une  homélie  faussement  attribuée  à 
saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  343. 

CONSORCIE  (Sainte),  vierge,  qu'on  croit 
fille  de  saint  Eucherde  Lyon,  Vlil,  442. 
879.  CONSPERT  ou  COSPERT,  nommé  évéque 

de  Verceil  par  le  roi  Carloman,  ordonné  par 
le  pape  Jean  VIII,  XII,  646  et  XIII,  722. 

CONSTANCE,  vertu.  De  la  Constance  dans 
ce  qu'on  s'est  proposé  :  lettre  de  Jean, 
moine  de  la  Chartreuse  des  Portes.  Lettre 
d'Etienne  de  Chalmet  sur  le  même  sujet, 
XIV,  401. 

CONSTANCE  en   Suisse.    Conciles   tenus 
en  cette  vihe,  XTII,  428,  XIV,  1033. 
304.  CONSTANCE  CHLORE.  V.  Constantiusl". 

CONSTANCE,  évêque  de  Faënza  dans  la 
Romagne,  II,  623. 

CONSTANCE,  évêque  d'Orange,  assiste  au 
concile  d'Aqnilée,  IV,  629. 

CONSTANCE,  évêque,  député  à  Rome  par 
saint  Hilaire  d'Arles.  A  quel  sujet,  VIII,  437. 

CONSTANCE  ou  CONSTANTIN,  prêtre  de 
Lyon,  détermine  saint  Sidoine  Apollinaire  à 
donner  au  public  le  recueil  de  ses  lettres, 
473.  X,  382,  383.  Il  vient  à  Clermont,  gagne  les 
esprits,  et  persuade  aux  habitants  de  cette 
ville  de  se  réunir  pour  leur  commune  dé- 
fense contre  les  Visigoths,  385,  389.  Lettre 
que  lui  écrit  Sidoine  pour  l'en  remercier, 
383  et  400.  Autres  qu'il  lui  écrivit  au  sujet 
du  recueil  de  ses  lettres,  393,  394.  Ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie,  399,  400. 
Il  écrit  la  vie  de  saint  Germain,  évêque 
d'Auxerre  ;  saint  Isidore  de  Séville  lui  donne 
le  titre  d'évêque.  Il  y  a  lieu  de  croire  que 
c'est  une  faute,  400.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  II,  p.  343 
et  suiv.) 

CONSTANCE,  missionnaire  d'une  église 
de  Saint-Etienne  près  d'Ancône.  Ce  qu'en 


441. 


raconte  le  pape  saint  Grégoire  dans  ses  Dia- 
logues, XI,  474. 

CONSTANCE,  évêque   d'Alby.    Ses  deux    va  siècle, 
lettres  à  saint  Didier,  évêque  de  Cahors,  XI, 
734.  Lettre  qu'il  écrit  avec  saint  Ouën,  737. 
(Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  III,  p.  583  et  628.) 

CONSTANCE,  moine  et  professeur  à  Lu- 
xeuil.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  VI,  p.  53,  et 
le  Supplément,  t.  Vif,  p.  Ixxxij,  et  suiv.) 

CONSTANCE    ou   CONSTANGIE.    Voyez        342. 
Constantia. 

CONSTANT    [en    latin   Constantius]    I", 
empereur,   fils   de    Constantin  le   Grand, 
instruit  par  le   pape   saint   Jules,    écrit   à 
Constantius,  son  frère,  pour  l'informer  de 
la  conduite  des  Eusébiens,  III,  378,  376. 
Il  reçoit  la  députalion  des  Eusébiens  à  ce 
sujet;  il  obtient  le  consentement  de  l'em-  347  ou  mieux 
pereur  Constantius  pour  la  convocation  du         ^*^' 
concile  de    Sardique.  Ils   s'unissent  pour  le 
convoquer,  476.   Lettre  synodale  du  concile 
de  Sardique  à  cet  empereur,  492,  493.  Au- 
mône  qu'il  envoie   en   Afrique,  498.  —  Il       v.  345. 
fait  venir  saint  Athanase  à  Milan,  IV,  93,  96. 
—  Donatde  Carthage  refuse  de  recevoir  ses        340. 
aumônes,  V,  99.  — Ses  lois  touchant  la  re-        339. 
ligion,  VI,  339  et  suiv.  —  Il  est  tué  par  le        341. 
tyran  Magnence,  VIII,  612. 

CONSTANT  II,  empereur  d'Orient,  voyez 
Constantin  1 V. 

CONSTANT,  lecteur  de  l'Église  de  Cler- 
mont, X,  334. 

[CONSTANT,  prêtre.  Son  traité  delaPassion 
ou  du  martyre  de  saint  Emmeran,  XII,  132.] 

CONSTANTIA,  sœur  de  l'empereur  Cens-     iv  siècle, 
tantin  le  Grand.  Lettre  d'Eusèbe  de  Césarée 
à  cette  princesse,  III,  230  et  suiv.   [D.  Pitra 
l'a  publiée  en  grec,  251,    232;    voyez  aussi 

119,  n.  2,]  Arius  engage  Constantia  dans  ses 
erreurs,  417. 

CONSTANTIA  ou  CONSTANCE,  reine  de 
France,  épouse  du  roiRobert  le  Pieux.  Lettre        ^^■ 
que  lui  écrit  le  pape  Grégoire  V  au  sujet  des 
torts  faits  à  Julien,  évêque  d'Angers,  XII,  901 . 

CONSTANTIN  LE  GRAND,  premier  em- 
pereur chrétien,  III,  118  et  suiv.  Histoire  de 
sa  vie  ;  naissance  de  Constantin,   118;  son        274. 
éducation,  son  mariage  avec  Minervine;  il         29g. 
sort  de  Nicomédie  et  se  rend  auprès  de  Cons- 
tance son  père,  119.  Il  est  déclaré  Auguste         308. 
par  ses  soldats;   Galère  s'y  oppose,   119  et 

120.  Son  attention  pour  le   rétabUssement 

des  éghses;  Hercule  lui  donne  le  titre  d'Au-        307. 


278 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


guste,  et  Pauste  en  mariage  ;  Hercule  veut 
308  et  310.    trahir  Constantin  et  lui  ôter  la  vie  ;  Constan- 
tin découvre  ses  intrigues  et  l'en  punit; 
3H.        Constantin  qui  se  prépare  à  la  guerre  contre 
Maxence,  a  recours  à  Dieu.  Jésus-Christ  lui 
fait  voir  la  croix,  120.  Constantin  embrasse 
31Ï.        la  religion  chrétienne.  Il  défait  Maxence  au- 
près de  Rome,  et  y  entre   victorieux,  121, 
122.  Constantin  sort  de  Rome,  passe  à  Milan 
et  de  là  dans  les  Gaules,  où  il  défait  les 
Francs.   Loi  en  faveur  des  chrétiens,  122. 
[Largesses  de  Constantin.    Ses  donations  à 
313.        saint  Sylvestre,  122,  note  7.]  Séjour  de  Cons- 
3U.        tantin  à  Trêves  ;  il  convoque  un  concile  à 
315.        Trêves  et  s'y  rend.  Loi  de  Constantin  tou- 
chant la  nourriture  des  enfants  pauvres,  122. 

315.  Constantin  célèbre  à  Rome  la  dixième  an- 

316.  née  de  son  règne,  122  et  123.  Il  juge  l'afifaire 
319.        des  Donatistes  à  Milan.  Ses  lois  touchant  les 

320  pi  321.     aruspices;  autres  lois  en  faveur  de  la  reli- 

323.  gion  chrétienne,  123.  Il  défait  Licinius  à 
Andrinople,  à  Byzance  et  à  Chrysopolis,  près 
Chalcédoine.  Ses  victoires  étaient  l'effet  de 
ses  prières,  123  et  124.  Constantin  fait  re- 
vivre l'abondance  dans  les  provinces  d'O- 
rient et  y  fait  adorer  le  vrai  Dieu.  Son  édit 
pour  le  rappel  des  confesseurs.  Il  bdtit  des 

324.  églises,  ruine  l'idolâtrie,  124,  125.  Il  tra- 
vaille à  éteindre  l'arianisme,  124.  Il  assemble 

325.  le  concile  de  Nicée  et  s'y  trouve  en  per- 
sonne,  124  et  125.  Défauts  qu'on  peut  re- 

330.  prêcher  à  ce  prince,  123.  Constantin  trans- 
porte en  Orient  le  siège  de  l'empire.  Dédi- 
cace   de   Constautinople,    12   et   126,    127. 

332.  Eglises  que  Constantin  y  fait  bâtir.  Guerre 
de  Constantin  contre  les  Goths  et  les  Sar- 
mates  ;  les   Goths   embrassent    la   religion 

333.  chrétienne.  Constantin  écrit  au  roi  de  Perse 

335.  en  faveur  des  chrétiens;  il  assemble  un  con- 
cile à  Tyr  et  un  autre  à  Jérusalem,  exile 

336.  saint  Athanase;  il  veut  faire  recevoir  Arius 
dans  la  communion  de  l'Église,  126.  Cons- 
tantin se  prépare  à  la  guerre  contre  les 
Perses  :  il  leur  accorde  la  paix,  127.  Son 
baptême,  d'après  Eusèbe,  127  et  128.  [Bap- 
tême de  Constantin  à  Rome,  par  saint  Syl- 
vestre, 127,  note  6,  et  VU,  p.  647,  note  1.] 
Testament  de  Constantin  :  il  ordonne  le  rap- 

337.  pel  de  saint  Athanase.  Sa  mort;  ses  funé- 
railles, 128,  129.  [Son  culte  dans  l'Église 
d'Orient  et  dans  plusieurs  églises  d'Occident, 
129.]  Discours  de  piété  de  Constantin,  129 
et  suiv.  Ce  prince  compose  un  grand  nombre 
de  discours  et  les  récite  en  public.  Quelle 
était  sa  méthode,  129.  Avec  quel  respect  il 


parlait  de  Dieu,  129  et  130.  Ces  discours  ne 
produisaient  point  de  fruit,  130.  Analyse  du 
discours  adressé  à  l'assemblée  des  saints, 
130  et  131.  Discours  de  Constantin  au  con- 
cile de  Nicée,  131,  132.   Lettres  de  Cons- 
tantin, 132    et   suiv.  ;    à  Anulin,  proconsul 
d'Afrique,  132,133;   à  Cécilien,  évêque  de 
Carthage  ;  au  pape  saint  Melchiade,  133  ;  à 
Ablavius,    vicaire   d'Afrique,    et   à   Chrest, 
évêque  de  Syracuse,  133  et  134  ;  aux  évêques 
catholiques,  134,  123  ;  à  Probien,  proconsul 
d'Afrique;  à  Cécilien  et  aux  évêques  dona- 
tistes ;  à  Celse,  vicaire  d'Afrique  ;  à  Eumale, 
aussi  vicaire  d'Afrique,    133  ;  aux  évêques 
et  au  peuple  d'Afrique;  aux  évêques  de  Nu- 
midie;  à  Eusèbe  de  Césarée,  136;  à   saint 
Alexandre   d'Alexandrie  et  à  Arius,  136  et 
137  ;  à  toutes  les  églises,  touchant  les  déci- 
sions du  concile  de  Nicée,  137,    138.  Deux 
lettres  de  Constantin  contre  Arius,  138, 139. 
Lettre  à  l'église  de  Nicomédie  ;  à  Théodote 
de  Laodicée,  139;  à  Macaire,  évêque  de  Jé- 
rusalem, 139  et   140.  Lettres  de  Constantin 
au  peuple  d'Antioche;  à  Eusèbe  de  Césarée, 
au  concile  assemblé  à  Antioche,  140,  141  ;  à 
Sapor,  roi  de  Perse  ;  à  Eusèbe  de  Césarée  ; 
à  saint  Antoine;  à  saint  Athanase;  à  Jean, 
chef  des  Méléciens  ;  à  Arius,  141  ;  aux  évê- 
ques du  concile  de  Tyr,  141  et  142;  aux  Eu- 
sébiens  et  à  Dalmace,  son  frère  ;  à  Optacien, 
142.  [Recueil  des  lettres  de  Constantin  dans 
la  Patrologie,  142  et  143.]   Edits  de  Cons- 
tantin, 143   et  suiv.  Edit  pour  la  liberté  de 
la  religion   chrétienne;   autre  édit  pour  la 
liberté   de  toute  religion,  143.  Rescrit  pour 
la  restitution  des  biens  de  l'Église  et  pour 
l'immunité  des  clercs,  143  et  144.  Lois  tou- 
chant le  supplice  de  la  croix  et  les  enfants 
des  pauvres;  contre  les  Juifs  ;  en  faveur  des 
esclaves;  en  faveur  de  la  virginité;  pour  le 
dimanche  et  les  fêtes  ;  contre  les  cérémonies 
profanes,  144;  pour  les  confesseurs,  144  et 
143;  pour  le  comte  Joseph;  pour  la  conver- 
sion des  païens,  145;  contre  l'idolâtrie,  145 
et  146;  contre  l'usure;  en  faveur  des  catho- 
liques; contre  les  Juifs,  146;  pour  la  juridic- 
tion des  évêques,  146  et  147  ;  contre  les  écrits 
et  la  personne  de  Porphyre  et  d'Arius,  147. 
Donation  attribuée  à  Constantin  en  faveur  de 
saint  Sylvestre,  147.  [Voyez  p.  122,  note  7.] 
Jugement  des  écrits  de  Constautin.  [Recueil 
de  tous  les  édits  de  Constantin  dans  la  Palro- 
logie,  148.]  —  Eloges  que  Lactance  donne  à 
Constantin,  II,  497  ;  il  le  regarde  comme  le 
premier  empereur  chrétien,   513.  Edit  de 


325. 

313. 
313. 
313. 
314. 

315. 

316. 


323. 
324. 
325. 


331. 
333. 
335. 
325. 

312. 
313. 
315. 

316  et  321. 

320. 
321. 
322. 
323. 

323. 
353. 
325. 

325. 
326. 
335. 
335. 
336. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


279 


338. 


Constantin  en  faveur  des  chrétiens,  519. 
Lettre  que  Constantin  écrit  à  Cécilien  de 
Carthage,  624.  Sa  conduite  dans  l'affaire  des 
Donatistes,  624  et  suiv.  —  Ses  édits  eu  fa- 
veur des  chrétiens,  III,  49.  Sa  lettre  à  saint 
Alexandre,  évêque  d'Alexandrie,  au  sujet 
d'Arius,  107,  lOS.Discoursàl'empereurCons- 
tantin  attribué  à  saint  Eustatlie  d'Antioclie, 
159.  Harangue  que  lui  adresse  Eusèbe  de 
Césarée  au  concile  de  Nicée,  171,  172.  Son 
estime  et  son  amitié  pour  cet  évêque,  172, 
173.  Panégyrique  de  Constantin  par  Eusèbe 
de  Césarée,  214.  Livres  de  la  vie  de  Constan- 
tin, ouvrage  d'Eusèbe  de  Césarée,  221,  222. 
[Contradictions  qui  s'y  trouvent  et  falsifica- 
tion aux  chapitres,  LXI  et  LXII,  p.  222,  n.  13.] 
Trois  discours  d'Eusèbe  de  Césarée  pronon- 
cés devant  Constantin,  253,  234.  Lettres  de 
saint  Antoine,  père  des  solitaires  à  Cons- 
tantin, 389.  Osius,  évêque  de  Cordoue,  est 
aimé  de  l'empereur  Constantin  ;  il  conseille 
à  ce  prince  d'assembler  le  concile  de  Nicée 
et  celui  de  Sardique,  393.  Constantin  écrit 
pour  réconcilier  Arius  avec  saint  Alexandre 
d'Alexandrie,  418.  Il  convoque  le  concile  de 
Nicée,  419  ;  il  y  assiste,  422;  il  écrit  à  toutes 
les  Églises  après  la  conclusion  du  concile  de 
Nicée,  443,  446;  à  l'Église  d'Alexandrie,  en 
particulier,  446.  Plusieurs  autres  lettres  de 
Constantin  contre  Arius  et  ses  sectateurs, 
446.  Il  donne  un  festin  aux  évêques  qui 
avaient  assisté  au  concile  de  Nicée,  447. 
Saint  Athanase,  déposé  par  le  concile  de  Tyr, 
porte  ses  plaintes  à  Constantin,  qui  mande 
sur  cela  les  évêques  du  concile,  433,  436. 
Lettre  du  concile  de  Jérusalem  à  Constantin, 
457.  Constantin  exile  saint  Athanase,  437, 
et  IV,  92,  93  ;  —  ordonnne  qu'il  soit  rappelé, 
IV,  94.  —  Les  Donatistes  lui  demandent  des 
juges  contre  Cécilien  de  Garthage^  V,  96. 
Lettres  de  cet  empereur,  96  et  97.  Témoi- 
gnage de  saint  Grégoire  de  Nazianze  sur 
Constantin,  336  ;  de  saint  Ambroise,  379.  — 
Donation  de  Constantin,  VI,  91.  —  Témoi- 
gnage de  saint  Jean  Chrysostôme  sur  Cons- 
tantin, VII,  430.  Témoignage  de  saint  Jé- 
rôme sur  Constantin,  688  ;  —  de  Sulpice 
Sévère,  VIII,  114;  deSocrate,  316;  de  Sozo- 
mène,  527  et  suiv.  ;  —  de  Théodoret,  X,  43, 
44,  133,  138.  [Constantin  fut  baptisé  par  le 
pape  saint  Sylvestre,  d'après  Bonizon,  XIII, 
563  et  567.]  —  Sa  donation  rejetée  comme 
une  pièce  supposée,  XIV,  534. 

CONSTANTIN  LE  JEUNE,  empereur,  ren- 
voie saint  Athanase  à  Alexandrie,  IV,  94. 


648. 


—  Lettre  qu'il  écrivit  touchant  ce  saint  à        338. 
l'Église  d'Alexandrie,  VI,  339.  (Voyez  l'arti- 
cle de  ce  prince  dans  VHistoire  littéraire  de 

la  France,  tome  I,  part.  II,  page  99  et  suiv.) 

CONSTANTIN  III  ou  CONSTANT,  empe-    vu  siècle, 
reur  d'Orient,   fils  d'Héraclius.  Lettre  que 
lui  écrit  le  pape  Jean  IV,    y  il  réfute  l'er- 
reur des  Monothélites,  XI,  649,  et  XII,  926. 

CONSTANTIN  IV  ou  CONSTANT  II,  em-        em- 
pereur d'Orient,  fils  du  précédent.    Lettre 
que  lui  écrit  le  pape  saint  Martin  I"  en  lui 
envoyant  les  actes  du  concile  qui  avait  con- 
damné les  Monothélites,  XI,  749.  Il  fait  en-        6^3. 
lever  ce  pape,   731.   Mauvais    traitements 
qu'il  lui  fait  soufïrir;  reproches  que  lui  en 
fait  le  patriarche  Paul,  751  et  752.  Persécu- 
tion   que    Constantin  fait   souffrir   à   saint 
Maxime,  abbé  de  Chrysopolis,  opposé  au 
monothélisme,  761   et  suiv.  Lettre  que  lui 
écrit  Fabbé  sainl  Maxime  pour  l'exhorter  à 
la  pratique  des  commandements  de  Dieu , 
768.  Il  renouvelle  les  privilèges  de  l'Église        ^58. 
de  Rome  et  lui  fait  des  présents,  782.  —  Le        ^ii. 
pape  Théodore  et  les  évêques  cathohques  le 
pressent  de  révoquer  l'Ecthèse,  XII,  926. 
Il  la  supprime  et  donne  son  Type  qui  occa- 
sionne de  nouveaux  troubles,  927. 

CONSTANTIN  V,  POGONAT.    [D'où  lui        en- 
vient ce  nom  de  Pogonat,  XII,  945,  note  2.] 

—  Sa  lettre  au  pape  Domnus,  XI,  743,  n.  3, 
est  remise  au  pape  Agaton.  Ce  qu'elle  con- 
tient, 783.  Ses  lettres  au  pape  Léon  II,  cou-  683. 
firmatives  des  décrets  du  concile  de  Cons- 
tantinople  contre  les  Monothéhtes,  704.  Let-  ^84. 
tre  au  clergé  et  au  peuple  de  Rome  par  la- 
quelle il  ordonne  qu'à  l'avenir  on  n'enver- 
rait point  à  Constantinople  le  décret  de 
l'élection  des  papes,  et  qu'il  suffirait  que 
l'exarque  de  Ravenne  consentît  en  son  nom 

à  l'élection  ;  il  envoie  à  Rome  les  cheveux 
de  ses  deux  fils,  Justinien  et  Héraclius,  les 
faisant  adopter  par  le  pape;  sa  mort,  785. 
Il  avait  assemblé  un  concile  à  Constanti- 
nople pour  condamner  l'erreur  des  Mono- 
thélites, XII,  945.  Histoire  de  ce  concile, 
946  et  suiv.  Il  en  souscrit  la  définition  de 
foi,  954.  Son  édit  contre  les  Monothéhtes  ; 
sa  lettre  au  pape  Léon  II,  955.  Réponse  du 
pape,  933  et  956.  [Notes  relatives  à  ce  con- 
cile, 955,  n.  1  et  3.] 

CONSTANTIN  VI,  surnommé  Copronyme, 
empereur  d'Orient,  fait  excommunier  saint 
Jean  Damascène  ;  faux  concile  qu'il  fit  tenir, 
XII,  68.  -  Il  se  déclare  contre  les  saintes 
images,  XIII,  619. 


685. 


631. 


280 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES, 


VIII siècle.  CONSTANTIN  VU,  empereur  d'Orient,  fils 
d'Irène.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Adrien 
795.  pr^  XII,  135.  Malgré  les  représentations  du 
patriarche  Taraise,  il  répudie  l'impératrice 
197.  Marie  pour  épouser  Théodote;  sa  mort,  154. 
Lettre  de  saint  Théodore  Studite  au  sujet  du 
second  mariage  de  Constantin,  393.  Son 
mariage  avec  Théodote  excite  de  grands 
troubles,  298.  —  Sa  mère  convoque  en  son 
nom  le  concile  général  de  Nicée  contre  les 
Iconoclastes,  XIII,  619.  Il  en  souscrit  avec 
elle  les  décrets,  628.  Conciles  de  Constanti- 
nople  au  sujet  de  son  mariage  avec  Théo- 
dote, 641,  642. 

CONSTANTIN  Vni,  empereur  d'Orient, 
fils  de  Basile  le  Macédonien.    [On  ne  le 
compte  pas  ordinairement  parce  qu'il  mou- 
rut avant  son  père.] 
959.  CONSTANTIN  IX,  (VI  ou  VII)  PORPHY- 

ROGÉNÈTE,  empereur  d'Orient.  Durée  de 
son  règne;  d'où  lui  vient  le  surnom  de  Por- 
dhyrogénète  ;  11  est  empoisonné  par  Ro- 
main, son  fils;  sa  mort;  ses  soins  pour  faire 
refleurir  les  sciences  et  les  arts  dans  l'em- 
pire, XII,  811.  Il  charge  Léonce  de  Bysance 
de    continuer  l'Histoire  Byzantine  ,  796  et 
811.  Il  écrit  lui-même  l'histoire  de  Basile, 
son  aïeul,  811.  [Elle  est  reproduite  au  tome 
CIX  de  la  Patrologie.]  Différents  écrits  de 
Constantin,  811.  Discours  sur  la  translation 
de  l'image  miraculeuse  de  Jésus-Christ  d'É- 
desse  i  Constantinople,  811  et  812.  Discours 
sur  la  translation  des  reliques  de  saint  Jean 
Chrysostôme,  812,  813.   Extraits  de  diflé- 
rents  ouvrages  faits  par  son  ordre;  Cérémo- 
nial dressé  par  ce  prince;  [éditions  de  ce 
Cérémonial,  813,  n.  2.]  Histoire  de  son  rè- 
gne écrite  par  un  anonyme ,  796.   [On  la 
trouve  au  tome  CIX  de  la  Patrologie  grecque. 
Le  tome  GXII  et  une  partie  du  tome  CXIII 
de  la  Patrologie  grecque  renferment  les  œu- 
vres de   Constantin    Porphyrogéuète.    Les 
livres  I"  et  IP  de  la  Cour  byzantine  sont  re- 
produits dans  le  tome  CXII,  d'après  l'édi- 
tion de  Reisk,  donnée  à  Leipsik  en  1734. 
Le  volume  s'ouvre  par  une  préface  des  édi- 
teurs, une  notice  de  Fabricius  sur  tous  les 
ouvrages  de   Constantin ,    une   préface  de 
Niebuhr  à  l'édition  de  Bonn,  en  1829  ;  une 
préface   de  Reisk,  un  commentaire  de  H. 
Llicke  sur  la  vie  et  les  écrits  de  Constantin. 
La   suite   des  œuvres  comprend ,  dans  le 
deuxième  volume,  les  deux  livres  de  la  Dispo- 
sition de  l'empire  Oriental  et  Occidental,  inti- 
tulés aussi  Thèmes  ou  des  Régions  de  l'Orient 


6t  de  l'Occident.  Ils  sont  reproduits  d'après 
l'édition  de  Banduri;  ils  sont  précédés  de  la 
dédicace  du  livre  I"  des  thèmes  de  B.  Vul- 
canius;  de  l'édition  de  1588;  de  la  dédicace 
du  livre  IP  par  Fréd.  Morel  ;  de  l'édition  de 
1609,  de  la  préface  de  Meursius  pour  le  livre 
de  l'Administration  de  l'empire,  d'un  extrait 
de  celle  de  Bauduri,  de  la  préface  de  l'édi- 
tion du  deuxième  livre  ,  donné  par  Fréd. 
Tafel  à  Tubingue,  1847.  Le  Synecdeme  ou 
énumération  des  soixante-quatre  provinces 
et  des  neuf  cent  trente-cinq  villes  soumises 
à  l'empire  romain  par  Hiéroclès  le  Gram- 
mairien, vient  à  la  suite  des  Thèmes.  Cet  ou- 
vrage est  suivi  de  l'Administration  de  l'em- 
pire, du  récit  du  transport  de  l'image  de 
Jésus-Christ,  du  choix  abrégé  des  lois  d'a- 
près l'édition  de  Leunclavius,  des  Novelles 
constitutions  d'après  l'édition  de  Niébuhr, 
Bonn,  1829;  des  légations  des  Romains  chez 
les  différentes  nations,  d'après  l'édition  de 
Bonn  ;  des  vertus  et  des  vices,  d'après  Va- 
lois, et  avec  ses  notes  sur  les  extraits  des 
légations.  Celles-ci  ont  elles-mêmes  d'am- 
ples et  de  nombreuses  préfaces  empruntées 
aux  éditions  précédentes.  Les  Vies  de  Basile 
le  Macédonien  et  de  Léon  le  Sage,  sont  au 
t.  CIX.  On  a  mis  au  tome  CVII  les  prières 
hturgiques.]  —  Il  tait  apporter  à  Constantino- 
ple le  corps  de  saint  Grégoire  de  Nazianze, 
V,  192.  —  Instruction  que  lui  adresse  Théo- 
phylacte ,  archevêque  d'Acride,  qui   avait 
été  son  précepteur,  XIII,  534,  535.  Éditions 
qu'on  en  a  faites,  533. 

CONSTANTIN  X,  empereur  d'Orient,  fils 
de  Romain  Lécapène. 

CONSTANTIN  XI,  empereur  d'Orient,  fils 
de  Romain  le  Jeune. 

CONSTANTIN  XH ,  empereur  d'Orient, 
surnommé  Monomaque.  Lettre  que  lui  écrit 
le  pape  saint  Léon  IX,  XIH,  206,  207.  Il  écrit 
au  pape  Léon  IX,  pour  lui  témoigner  son 
désir  de  rétablir  l'union  entre  l'Éghse  grec- 
que et  l'Église  latine,  214.  Il  reçoit  avec 
honneur  les  légats  envoyés  par  le  pape,  213. 
Par  son  ordre,  l'écrit  du  cardinal' Humbert 
contre  Michel  Gérularius,  et  celui  contre  Ni- 
cétas  Pectorat,  sont  traduits  en  grec,  216  et 
220.  Il  s'oppose  aux  violences  de  Michel, 
220.  Sa  mort,  224.  Poèmes  de  Jean  Mauro- 
pus  en  son  honneur,  230. 

CONSTANTIN  XHI,  surnommé  DUCAS, 
empereur  d'Orient.  Sa  mort,  XIII,  333. 

CONSTANTIN,  tyran,  maître  des  Gaules, 
VH,  531,  n.  3. 


1053. 


1054. 


1054. 


1067. 


407. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


281 


715. 


727. 


767. 


769. 


X  siècle. 


681. 


Ivm  siècle. 


CONSTANTIN,  ami  de  saint  Augustin, 
IX,  405. 

CONSTANTIN,  prêtre  de  l'Église  de  Lyon. 
Voyez  Constance. 

[CONSTANTIN,  diacre.  Ce  qu'on  sait  de 
sa  vie;  son  panégyrique  des  martyrs,  XI, 
267.  Analyse  de  ce  discours,  267  et  suiv. 
Réfutation  du  symbolisme  païen,  266.  Éloge 
des  martyrs,  268,  269.  Prière  aux  martyrs  ; 
exhortation  aux  fidèles.  Édition  de  ce  dis- 
cours, 269.] 

CONSTANTIN,  abbé  du  Mont-Gassin  après 
la  mort  de  saint  Benoît  ;  temps  de  sa  mort, 
XI,  634. 

CONSTANTIN,  pape,  succède  à  Sisinnius; 
son  voyage  à  Constantinople  dont  on  ignore 
le  sujet  ;  il  rejette  la  lettre  de  l'empereur 
Philippique  Bardane  où  ce  prince  se  décla- 
rait pour  le  monothélisme  ;  sa  lettre  à  Ber- 
thuvalde,  archevêque  de  Cantorbéry,  XII, 
23.  [Autre  lettre  à  Berthuvalde,  23,  n.  3.] 
Mort  du  pape  Constantin,  23.  Lettre  que  lui 
écrit  Jean,  patriarche  de  Constantinople,  36. 
CONSTANTIN,  évêque  de  Nacolie  en 
Phrygie,  déclaré  contre  le  culte  des  images. 
Le  patriarche  Germain  tâche  de  le  ramener 
à  la  foi  cathohque;  il  le  charge  d'une  lettre 
pour  l'évêque  de  Synnade,  son  métropoli- 
tain, mais  Constantin  la  tient  secrète  ;  lettre 
de  Germain  à  ce  sujet,  XII,  37. 

CONSTANTIN  CABALIN.  La  lettre  en  fa- 
veur des  images  qui  lui  est  adressée  n'est 
point  de  saint  Jean  Damascène,  XII,  84. 

CONSTANTIN,  évêque  de  Haram  en  Mé- 
sopotamie. Ce  qu'on  sait  de  ses  écrits  contre 
les  Monophysites,  XII,  100. 

CONSTANTIN ,  antipape ,  élu  par  une  fac- 
tion ;  il  est  chassé  du  palais  de  Latran  ; 
Mauvais  traitements  qu'il  essuie  après  l'é- 
lection d'Etienne  III,  XII,  117.  Il  est  déposé 
dans  un  concile,  et  ses  ordinations  déclarées 
nulles,  117  et  118. 

CONSTANTIN  le  Philosophe ,  invente  les 
lettres  slavonnes,  XII,  647. 

CONSTANTIN,  fils  de  Grégoire,  Nomen- 
clateur,  excommunié  pour  conspiration  con- 
tre le  pape  Jean  VIII,  XII,  649. 

CONSTANTIN,  moine  de  Fleury,  à  qui 
Gerbert  a  adressé  plusieurs  de  ses  ouvrages, 
XII,  903. 

CONSTANTIN,  prêtre  de  l'Église  d'Apa- 
mée,  est  anathématisé  au  sixième  concile 
général  pour  son  attachement  au  Monothé- 
lisme, XII,  934. 

CONSTANTIN,  évêque  de  Ratisbonne,  à 


1004. 
1024. 


1064. 


qui  on  attribue  un  écrit.  (Voyez  ce  qui  en 
est  dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  IV,  p.  199. 

CONSTANTIN,  troisième  abbé  de  Saint- 
Symphorien  de  Metz,  succède  à  Siraude;  sa 
mort;  il  est  auteur  de  la  Vie  et  de  l'Épita- 
phe  d'Adalbéron  II,  évêque  de  Metz;  ana- 
lyse de  cette  Vie,  XIII,  72.  [Edition  de  cette 
Vie  dans  la  Patrologie,  72.]  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VII,  p.  247  et  suiv.) 

CONSTANTIN,  évêque  d'Arezzo.  Lettre 
que  lui  écrit  le  pape  Alexandre  II,  XIII, 

CONSTANTIN  LICHUDÈS,  patriarche  de  "58. 
Constantinople,  succède  à  Michel  Cérula- 
rius  ;  son  éloge  ;  les  empereurs  Constantin 
Monomaque  et  Isaac  Comnène,  l'honorent 
de  leur  confiance  ;  sa  mort,  XIII,  337.  Mi- 
chel Psellus  fait  son  oraison  funèbre.  Ses 
Constitutions  synodales,  338. 

CONSTANTIN ,  moine  du  Mont-Cassin,  xi  siècie. 
très-savant  dans  la  médecine  et  dans  les 
langues,  XIII,  494.  On  a  de  lui  plusieurs  ou- 
vrages qui  concernent  la  médecine  ;  [édition 
dans  la  Patrologie  de  l'ouvrage  intitulé  :  De 
communibus  medico  cognitu  necessariis  lo- 
cis,  493.] 

CONSTANTIN,  évêque.  Réponse  de  Nicé- 
tas  d'Héraclée  à  ses  consultations,  XIII,  538. 

CONSTANTIN  CHRYSOMALE,  Bogomile.        ii40. 
Ses  écrits   condamnés   dans  un  concile  de 
Constantinople,  XIV,  1117. 

CONSTANTIN  MANASSÈS,  historien.  Sa  xii  siècle. 
Chronique  ;  différentes  éditions  qu'on  en  a 
données,  XIV,  643.  [La  Chronique  est  repro- 
duite au  tome  CXXVII  de  la  Patrologie  grec- 
que, avec  notice  tirée  de  Fabricius.  Ses  au- 
tres écrits,  643.] 

CONSTANTIN  HARMÉNOPULE,  juge  de 
Thessalonique,  que  plusieurs  placent  vers 
le  milieu  du  xii°  siècle,  n'a  vécu  que  vers  le 
milieu  du  xiv«,  XIV,  648.  [Deux  traités 
d'Harménopule,  648,  note  1.] 

CONSTANTINE,  impératrice,  épouse  de  593. 
l'empereur  Maurice,  demande  au  pape  saint 
Grégoire  le  Grand  le  chef  de  saint  Paul  ;  le 
pape  le  lui  refuse,  VI,  96,  et  XI,  497.  — 
Raisons  qu'il  lui  donne,  XI,  497,  498.  Lettre  594 
du  même  pape  au  sujet  de  Jean  le  Jeûneur, 
301.  Autres  lettres,  502. 

CONSTANTINE,  ville  de  Numidie,  [aujour- 
d'hui de  l'Algérie.]  Voyez  Cirthe. 

CONSTANTINOPLE ,  ville  de  Thrace,  bâtie     iv  siècle, 
par  Constantin.  Sa  dédicace  ;  elle  devient  le 
siège  de  l'empire,  III,  123.  Concile  qui  y  fut        336. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


339. 
360. 


379. 


3S1. 


383. 


IV  siècle. 


m. 

V  siècle. 
400, 
394. 

399. 
400. 
403. 


433. 


V'  430. 


V  siècle. 


426. 


282 

tenu  contre  Marcel  d'Ancyre,  437  et  suiv. 
Autre  contre  Paul,  évêque  de  cette  ville, 
459.  —  Autre  tenu  par  les  Acaciens,  IV, 
574  et  suiv.  Etat  où  se  trouvait  l'Église  de 
cette  ville  lorsqu'on  y  assembla  le  premier 
concile  œcuménique,  616,  617.  Saint  Gré- 
goire de  Nazianze  est  chargé  du  soin  de 
cette  Église  ;  trouble  excité  par  l'ordination 
de  IMaxime  le  Cynique,  617.  Maxime  est  re- 
jeté par  Théodose  et  par  les  évêques  de  Ma- 
cédoine, 617  et  618.  Concile  assemblé  à 
Constantinople,  depuis  réputé  œcuménique, 
618  et  suiv.  Saint  Grégoire,  établi  évêque  de 
Constantinople,  619.  Il  quitte  le  siège  de 
cette  ville,  629,  621.  Nectaire,  évêque  de 
cette  ville,  621.  Symbole  de  Constantinople, 
621  et  622.  Rang  distingué  du  siège  de 
Constantinople.  Canon  troisième  du  pre- 
mier concile  œcuménique  de  cette  ville,  623. 
Autre  concile,  636  et  suiv.  Autre  encore, 
638  et  suiv.  —  État  de  l'Église  de  Constan- 
tinople sous  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V, 
186  et  suiv.  Maxime  le  Cynique  entreprend 
d'usurper  le  siège  de  cette  ville,  17  et  187. 
Il  est  rejeté,  17  et  188.  Parallèle  de  Cons- 
tantinople avec  Rome,  par  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  268.  Poème  du  même  saint  sur 
les  églises  de  Constantinople,  272.  Il  y  ré- 
tabht  la  foi  orthodoxe  sur  la  Trinité,  300. — 
Incendie  de  la  grande  église  de  cette  ville, 
VII,  10.  Lettre  du  pape  saint  Innocent  au 
clergé  et  au  peuple  de  cette  ville,  312.  Con- 
cile qui  fut  tenu  à  Constantinople,  716,  717. 
Nectaire,  patriarche  de  Constantinople,  tient 
le  premier  rang,  717.  Autre  tenu  au  sujet 
des  hvres  d'Origène,  737.  Autre,  743,  et 
suiv.  Lettre  synodale  du  conciliabule  du 
Chêne  au  clergé  de  Constantinople,  749.  — 
Témoigaage  du  pape  saint  Boniface  sur  le 
rang  du  siège  de  Constantinople,  VIII,  10. 
Lettre  de  saint  Célestin  au  clergé  de  cette 
ville,  136,  137.  Autre  lettre  du  même  pape 
au  clergé  et  au  peuple  de  Constantinople, 
144.  Une  partie  de  cette  ville  est  incendiée, 
207,  [non  inondée  comme  porte  la  table  de 
Rondet.]  Jean  d'Antioche  écrit  au  Sénat  et 
au  peuple  de  Constantinople,  246.  Lettres 
an  saint  Cyrille  d'Alexandrie  à  quelques 
personnes  de  Constantinople,  284;  aux 
clercs  qu'il  y  avait  envoyés,  283;  au  peuple, 
au  clergé  et  aux  abbés  de  cette  viUe,  290. 
Concile  tenu  en  celte  ville  où  Sisinnius  est 
élu  évêque  de  Couslanlinople,  571,  572. 
Autre  concile  tenu  par  Nestorius,  572.  Re- 
présentations que  fait  à  l'empereur  le  clergé 


de  Constantinople,  an  sujet  de  la  persécu- 
tion que  souffrait  le  concile  d'Éphèse,  394. 
—  Constantinople  menacée  du  feu  du  ciel, 
selon  le  témoignage  de  saint  Augustin,  IX, 
283,  286.  —  Lettre  de  Théodoret  aux  moi- 
nes de  Constantinople,  X,  78.  Autre  à  ceux 
qui  y  soutenaient  le  parti  de  Nestorius,  104. 
Le  concile  de  Chalcédoine  donne  à  l'Église 
de  Constantinople  le  second  rang,  la  pré- 
séance sur  celles  d'Alexandrie  et  d'Antio- 
che, et  la  juridiction  sur  l'Asie,  le  Pont  et 
la  Thrace;  ce  qui  est  exécuté  malgré  les  op- 
positions de  saint  Léon,  174,  173,  700  et 
suiv.  Lettre  de  saint  Léon  à  ce  sujet,  224  et 
suiv.  Différentes  lettres  de  saint  Léon  aux 
Archimandrites,  au  clergé  et  au  peuple  de 
Constantinople    sur    l'hérésie    d'Eutychès, 
214,  216,  217,  236.    Concile  tenu  en  cette 
ville  au  sujet  de  Bassien,  666  ;  autre  au  su- 
jet d'Ibas  d'Edesse,  467,  468  ;  autre  contre 
Eutychès,    669   et   suiv.;   autre   contre  le 
même,  674,  683  ;  autre  où  est  reçue  la  let- 
tre de  saint  Léon  à  Plavien,  480,  481.  Lettre 
du  pape  saint  Félix  III  au  clergé  et  aux  peu- 
ples de  Constantinople  ;  autre  aux  moines, 
416.  Concile  tenu  en  cette  ville  par  le  pa- 
triarche Gennade,  344  et  710,  711.  Concile 
où  le  patriarche  Euphémius  fait  confirmer 
les  décrets  du  concile  de  Chalcédoine,  487 
et  722.  Concile  où  Euphémius  est  déposé  et 
l'Hénotique   de    Zenon   confirmé,    722.    — 
Concile  assemblé   en  cette  ville,  XI,  818, 
819.  Conférence  qui  y  fut  tenue  entre  les 
Catholiques  et  les  Orientaux  ou  Sévériens, 
843  et  suiv.  Conciles  tenus  en  cette  villci 
831,  832  et  suiv.,   862,  868  et  suiv.,  899. 
Témoignage  d'Évragre  sur  la    prérogative 
du  siège  de    Constantinople ,  417.  Concile 
tenu  en  cette  ville,  XII,  370,  624.  Sixième 
concile  général,  943  et  suiv.  Concile  Quini- 
sexte  ou  m  Trullo,  939  et  suiv.  Le  concile 
Quinisexte  confirme  au  siège  de  Constanti- 
nople  ses  privilèges,   962.  —  L'ÉgUse  de 
Constantinople   était   en    communion    avec 
l'Église  romaine  sous  le  pontificat  de  Jean 
XVIII,  XIII,  189.  Conciles  tenus   en    cette 
ville,  603,  613,  641,  648,  649,  636,  671,686, 
689,  692,  702  et  suiv.,  722  et  suiv.  747,  734, 
739.—  Autres,  XIV,  1044,  1043,  1039, 1117 
et  suiv.  Autres,  1124,  1131  et  suiv.  [Lettre 
du  pape  Innocent  II  aux  fidèles  de  Constan- 
tinople, XIV,  266.  Histoire  de  la  prise  de 
cette  ville  par  les  croisés,  ouvi'age  de  Gon- 
thier,  moine  de  Cîteaux,  896,  897.  Éditions 
de  cet  ouvrage,  896.  Lettre  sur  la  prise  de 


451. 


444. 
448. 
448. 
449. 
450.i 


553. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


283 


Constantinople  par  les  croisés,  par  un  ano- 
nyme, du  xii°  siècle,  910.  Appréciation  de 
l'historien  Hurter  sur  la  conduite  du  pape 
Innocent  III,  relativement  à  la  conquête  de 
Constantinople  par  les  croisés,  990  et  suiv. 
Ce  que  fait  Innocent  III  pour  la  conservation 
de  Constantinople  et  de  l'empire  grec,  995.] 

—  Histoire  de  la  prise  de  cette  ville  par  les 
Turcs,  XIII,  343. 

CONSTANTIUS  !"■  CHLORUS  ou  CONS- 
TANCE CHLORE,  empereur,  père  de  Cons- 
tantin le  Grand,  protège  les  chrétiens,  III, 
48  et  note  7,  140  et  579. 

CONSTANTIUS  [ou  en  français  CONS- 
TANCE ]  II ,  empereur ,  fils  de  Cons- 
tantin le  Grand,  ne  peut  obliger  Osius,  évè- 
que  de  Cordoue,  à  condamner  saint  Atha- 
nase,  III,  393,  394.  Lettre  d'Osius  à  cet 
empereur,  394,  393.  Constantius  fait  con- 
duire Osius  à  Sirmium  où  il  le  retient  pen. 
dant  un  an,  395,  396.  11  fait  déposer  Paul, 
évêque  de  Constantinople,  459.  11  assiste  au 

I.]  concile  d'Antioche,  465.  11  accorde  à  Cons- 
tant, son  frère,  la  convocation  du  concile  de 
Sardique;  ils  s'unissent  pour  le  convoquer, 

I.]  473,  476.  Lettre  synodale  du  concile  de  Sar- 
dique à  cet  empereur,  492.  Constantius  per- 
met à  saint  Athanase  de  retourner  à  Alexan- 
drie, 501.  Il  se  laisse  surprendre  par  Ursace 
et  Valens  pour  faire  condamner  saint  Atha- 
nase. 519,  320.  Edit  de  ce  prince  pour  la  con- 
damnation de  ce  saint  évêque,  520. Députation 
du  pape  Libère  à  cet  empereur  pour  obtenir 
un  concile,  321,  522.  Violence  avec  laquelle 
Constantius  veut  faire  condamner  saint 
Athanase  au  concile  de  Milan,  522  et  suiv. 

—  Il  exile  saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  3.  11 
.     le  renvoie  dans  les  Gaules,  4,  Livres  de  saint 

Hilaire  de  Poitiers  à  l'empereur  Constantius, 
53  et  suiv.  Livre  du  même  contre  le  même, 
58  et  suiv.  Saint  Athanase  va  trouver  Cons- 
tantius à  Antioche,  96,  97.  Les  Ariens  irri- 
tent Constantius  contre  saint  Athanase,  98. 
Apologie  de  saint  Athanase  à  Constantius, 
dl9  et  suiv.  Persécution  sous  cet  empe- 
reur, 124, 123.  Députation  qui  lui  est  faite  au 
sujet  des  Ariens,  239,  240.  Ce  qu'il  fait  au 
concile  de  Milan,  240  et  suiv.  Lucifer  de  Ca- 
gliari  écrit  ses  livres  à  Constantius,  242.  Il 
les  lui  fait  présenter  en  son  nom,  242.  Cons- 
tantius attire  saint  EusèbedeVerceil  à  Milan 
et  ensuite  l'exile,  272.  Lettre  du  pape  Libère 
à  cet  empereur,  287,  288.  Constantius  as- 
siste au  concile  de  Milan,  289;  persécute  le 
pape  Libère,   290,  291.  Ce  pape  défend  la 


concile.  Réponse 
l'empereur,  560. 
ordres  pour  faire 


vérité  en  présence  de  Constantius,  291- 
Constantius  interroge  Libère,  291  et  suiv.  ; 
il  l'exile,  293.  Lettre  du  pape  Libère  à  Cons- 
tantius, 295.  Constantius  reçoit  les  députés 
du  concile  d'Ancyre,  332.  Il  indique  un  con- 
cile général  à  Nicée,  puis  à  Nicomédie,  en- 
suite àSéleucie  et  àRnnini,  553,  534.  Lettre 
de  l'empereur  au  concile,  355.  Lettre  du 
concile  à  l'empereur,  558,  539.  De  quelle 
manière  l'empereur  reçoit  les  députés  du 
concile,  559,  560.  Lettre  de  Constantius  au 
des  pères  du  concile  à 
Constantius  donne  des 
souscrire  la  formule  de 
Rimini,  561.  Lettre  des  évêques  ariens  à 
l'empereur,  562.  L'empereur  se  laisse  sur- 
prendre par  les  Acaciens  au  sujet  du  con- 
cile de  Séleucie,  Il  reçoit  les  députés  du 
concile  de  Séleucie,  571.  Il  découvre  les 
blasphèmes  d'Aétius,  571  et  suiv.  Il  le  fait 
condamner  juridiquement  et  assiste  à  son 
jugement,  573.  11  fait  signer  la  formule  de 
Rimini  par  les  députés  du  concile  de  Séleu- 
cie, 574.  Il  assemble  un  concile  à  Antioche, 
584  et  suiv.  ;  en  indique  un  à  Nicée  et 
meurt  avant  de  l'avoir  assemblé,  386,  587. 
Ce  que  les  docteurs  de  ce  temps  ont  dit  de 
Constantius,  587.  —  Il  bannit  saint  Mélèce 
d'Antioche,  V,  7.  Lettre  de  Saint  Cyrille  de 
Jérusalem  à  cet  empereur,  57,  38.  Témoi- 
gnage de  saint  Grégoire  de  Nazianze  sur 
l'empereur  Constantius,  201,  217,  356,  357. 
—  Lois  de  ce  prince  touchant  la  rehgion, 
VI,  339  et  suiv.  Son  édit  contre  saint  Atha- 
nase, 341 .  Ses  lettres  pour  et  contre  ce  saint, 
343  et  suiv.  Lettre  du  même  empereur  au 
sujet  de  l'ordination  de  Frumentius,  344, 
345.  Lettre  de  cet  empereur  à  l'Église  d'An- 
tioche au  sujet  d'Eudoxe,  chef  des  Ariens, 
343,  346.  —  Constantius  [et  non  Constantin] 
transfère  à  Constantinople  les  reliques  de 
saint  André,  de  saint  Luc  et  de  saint  Timo- 
thée,  VII,  687.  —  Témoignage  de  Philostorge 
sur  Constantius,  VIII,  612.  —  Témoignage 
de  Théodoret,  X,  43,  46. 

CONSTANTIUS,  évêque  de  la  Romagne. 
Lettre  que  lui  écrivit  saint  Ambroise,  V, 
480,  481. 

CONSTANTIUS,  prêtre  d'Antioche.  Lettre 
que  lui  écrivit  saint  Jean  Chrysostôme,  VII, 

136 ,  137.  Lettres   du   prêtre   Constantius, 

137,  138.  Qui  était  Constantius,  136,   137. 
Analyse  de  ses  lettres,  137,  138. 

CONSTANTIUS,  évêque,  à  qui  Pelage 
écrit,  Vn,  542,  et  IX,  452. 


357. 
IV  siècle. 


358. 
359. 


359. 


361. 


361. 
351. 


341  à  361. 

353, 
IV  siècle. 


3T9. 


;404. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


418. 


449. 


592. 
593. 
594. 
600. 


IV  siècle. 


CONSTANTIUS,  préfet  du  prétoire,  se  si- 
gnale contre  les  Pélagiens,  VII,  538. 

CONSTANTIUS,  préfet,  à  qui  écrit  Théo- 
doret,  X,  67. 

CONSTANTIUS,  diacre  et  apocrisiaire 
d'Eutychès,  appelé  au  concile  de  Constanti- 
nople  en  448,  X,  672.  Eutychès  l'envoie  à 
celui  de  449,  674. 

CONSTANTIUS,  évêque  d'Uzès,  X,  337. 

CONSTANTIUS  ,  évêque ,  à  qui  écrivit 
saint  Avit  de  Vienne,  X,  362. 

CONSTANTIUS ,  père  du  pape  Jean  I", 
XI,  112. 

CONSTANTIUS,  évêque  de  Milan,  XI, 
436.  Lettres  que  lui  écrit  saint  Grégoire, 
494,  49S,  499,  S13,  516.  Sa  mort,  520. 

CONSTANTIUS,  moine  de  Classe,  XI,  328. 

CONSTANTIUS,  doyen  de  Mici  :  sa  ré- 
volte contre  l'abbé  Robert,  XIII,  30. 

CONSTITUT,  archevêque  de  Sens,  XI, 
882. 

CONSTITUTIONS  :  Constitutions  aposto- 
liques mises  au  rang  des  livres  sacrés  dans 
les  Canons  apostoliques,  II,  587.  [Leur  titre, 
leur  auteur,  leur  falsificateur,  590,  note  7. 
Versions  copie  et  syriaque  de   ces  écrits, 
590.]  Les  Constitutions  qu'on  nomme  apos- 
toliques ne  sont  point  des   apôtres,   589. 
Celles  que  nous  avons  aujourd'hui  ne  sont 
pas  les  mêmes  que  saint  Épiphane  a  citées, 
589  et  590;   elles  ont  été  composées  de  di- 
vers écrits  qui  portaient  le  nom  des  apôtres, 
par  un  écrivain  du  v"  siècle,  590.  Les  Cons- 
titutions apostoliques  sont  faussement  attri- 
buées à  saint  Clément  romain,   590  et  591. 
Ce  qu'elles  contiennent  de    remarquable, 
591  et  suiv.  ;  touchant  les  évoques,  591,  592, 
593  ;  touchant  les  prêtres  et  les  diacres,  593  ; 
touchant  les  sous-diacres  et  autres  clercs  in- 
férieurs,  593  et  594;  touchant  le  mariage 
des  clercs,  594  ;  touchant  le  baptême,  594 
et  393;  touchant  la  liturgie,  393   et  suiv.; 
touchant  les  jours   et  les  heures  d'assem- 
blée, 398,  399;  touchant  la  sépulture  des 
morts  et  les  prières  qu'on  faisait  pour  eus, 
599;  touchant  les  agapes,  399  et  600;  tou- 
chant les  jeûnes,   600;   touchant  la  péni- 
tence, 600  et  601  ;  touchant  les  jugements 
ecclésiastiques,  601,  602.  [Editions  des  Cons- 
titutions apostoliques,  602  ;  éditions  récentes, 
602.] —  Constitutions  monastiques,  ouvrage 
attribué  à  saint  Basile  ou  à  Eustathe  de  Sé- 
baste,IV,406  et  suiv.  ;  — [elles  sont  de  saint 
Basile,   XII,   313].   [Constitutions  ecclésias- 
tiques, recueil  de  canons,  rédigé  par  saint 


Nicéphore,  patriarche  de  Constantinople, 
XII,  297,  298.]  [Constitutions  du  monastère 
de  Stude,  par  saint  Théodore  Studite,  XII, 
315.].  — Constitutions  de  saint  Odon,  arche- 
vêque de  Cantorbéry,  XIII,  60.  [Constitu- 
tions synodales  de  Nicolas  le  Grammairien, 
560.]  —  Constitutions  de  l'empereur  Manuel 
Comnène,  XIV,  656.  [Constitutions  syno- 
dales d'Odon  de  Sully,  évêque  de  Paris, 
éditions  qu'on  en  a  faites,  890  et  892.] 
Constitutions  ecclésiastiques  :  collection  de 
constitutions  ecclésiastiques  faite  parThéod. 
Balsamon,  XIV,  826  et  suiv.  [Les  constitu- 
tions des  empereurs  qui  regardent  les  affai- 
res de  l'Église,  sont  reproduites  au  tom- 
CXXVII  de  la  Pvtrologie  grecque.']  Constitu- 
tions décrétâtes  dinnocent  III,  1017. 

CONSTITUTUM  :  décret  rendu  par  le  pape 
Vigile  au  sujet  des  trois  Chapitres  pendant 
la  tenue  du  second  concile  général  de  Cons- 
tantinople, XI,  283,  284  et  873.  Analyse  de 
ce  décret,  873  et  suiv.  Le  concile  le  met  en 
opposition  avec  le  Judicatum  du  même  pape, 
876,  877.  [Voyez  l'appréciation  de  la  con- 
duite du  pape  et  de  celle  du  concile,  sup- 
plément, 917  et  suiv.] 

[CONSTRUCTION  spirituelle  de  la  maison 
de  Dieu;  explication  donnée  sur  ce  sujet 
par  saint  Zenon,  évêque  de  Verceil,  VI,  274.] 

CONSTRUCTION  des  églises  :  société  de 
laïques  qui  s'était  formée  pour  aider  à  la 
construction  des  églises,  XIV,  606. 

CONSUBSTANTIALITÉ.  Saint  Denis  d'A- 
lexandrie est  accusé  de  nier  la  consubstan- 
tialité  du  Verbe.  Il  s'en  justifie,  II,  399,  400. 
La  consubstanlialité  reconnue  par  les  deux 
saints  Denis  de  Rome  et  d'Alexandrie,  572. 

—  En  quel  sens  elle  est  admise  par  Eusèbe 
de  Césarée,  III,  307  et  suiv.  Voyez  308,  n.  6. 

—  Consubslantialité  des  trois  personnes  en 
Dieu;  traité  sur  ce  sujet  attribué  àsaint  Atha- 
nase,  IV,  174.  Consubstantialité  condamnée 
dans  un  concile  d'Antioche,  550.  —  Saint 
Macaire  d'Egypte  défend  la  foi  de  la  con- 
substantialité, V,  397.  —  Témoignage  de 
saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  374  ;  —  de 
saint  Augustin,  IX,  558,  559  ;  —  de  Théo- 
doret,  X,  44. 

CONSUBSTANTIEL.  Le  terme  de  consubs- 
tantiel  était  usité  avant  saint  Denis  d'Alexan- 
drie, II,  417.  [Voyez  aussi  417,  note  8,  et 
447,  note  6.]  En  quel  sens  le  concile  d'An- 
tioche  condamne  ce  terme,  570  et  572.  Les 
deux  saints  Denis  de  Rome  et  d'Alexandrie 
ont  recounu  la  consubstantialité  du  Verbe 


553 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


285 


longtemps  avant  ce  concile,  572.  —  Le  terme 
de  consubstantiel  est  approuvé  au  concile 
de  Nicée  pour  exprimer  la  doctrine  de  l'Église 
contre  l'hérésie  d'Arius.  Vrai  sens  de  ce 
siècle:  terme.  Son  antiquité,  III,  424.  —  Ce  terme 
justifié  par  saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  38. 
Défense  de  ce  terme  par  saint  Athanase,  133, 
et  211,  212.  Ce  terme  condamné  dans  le 
concile  d'Ancyre,  551.  Traité  de  Victoria 
pour  la  défense  de  ce  terme,  328.  —  Saint 
Grégoire  de  Nazianze  reproche  aux  Ariens 
de  l'avoir  retranché,  V,  243.  — Témoignages 
de  Théodoret  sur  ce  terme,  X,  44,  45,  46, 
Voyez  le  mot  Consubstantialité. 

CONSULS.  Pin  des  dates  par  les  consuls, 
XI,  328. 

CONSULTATIONS  ou  délibérations  de  Za- 
chée,  chrétien,  et  d'Apollonius  philosophe, 
sur  la  religion  chrétienne.  Analyse  de  cet 
ouvrage,  dont  est  auteur  Evagre,  disciple 
de  saint  Martin  de  Tours,  VIII,  425  et  suiv. 

CONTE  (Antoine  Le),  nommé  en  latin 
Contins,  jurisconsulte.  On  lui  attribue  un 
commentaire  sur  la  chronologie  de  Nicé- 
phore,  XII,  282.  —  Il  a  donné  une  édition 
du  Décret  de  Gralien,  XIV,  761. 

CONTEMPLATION.  [Deux  sermons  de 
saint  Ephrem  sur  la  cont  emplation  de  la  Pro- 
vidence, VI,  496, 497.]  Le  livre  intitulé  De  la 
divine  Contemplation  est  le  second  livre  des 
prières  et  méditations  composées  par  Jean, 
abbé  de  Fécamp,  à  l'usage  de  l'impératrice 
Agnès,  XIII,  328.  —  [Contemplation  mys- 
tique, ouvrage  de  saint  Germain,  patriarche 
de  Gonstantinople  :  ce  qu'il  contient,  XII, 
43.]  —  Traité  de  la  Contemplation  de  Dieu, 
ouvrage  de  Guillaume  ,  abbé  de  Saint- 
Thierry,  XIV,  388  et  490.  [Il  n'est  pas  de 
Guiges,  310,  n.  4.]  Traité  des  Trois  Genres 
de  contemplation,  ouvrage  d'Adam,  abbé 
de  Case-Blanche,  en  Ecosse,  687. 

CONTINENCE.  Amour  des  chrétiens  pour 
la  continence.  Témoignage  de  saint  Justin,  I, 
445.  —  Doctrine  de  TertuUien,  II,  73  et  77. 
Continence  des  chrétiens  du  temps  de  Ter- 
tuUien, 77;  du  temps  d'Origène,  246;  — 
d'Eusèbe  de  Césarée,  III,  238.— Doctrine  de 
saint  Basile  le  Grand, IV, 532. —[Traité  delà 
continence,  par  saint  Zenon  de  Verceil,  VI, 
274;]  —  de  saint  Jean  Chrysostôme,  VII, 
32.  Homélie  du  même  sur  Joseph  et  sur  la 
continence,  202.  Doctrine  de  saint  Jérôme, 
703,  706;  —de  saint  Gaudence,  VIII,  38; 
—  de  saint  Augustin,  IX,  113,  134, 139,  314, 
514,  804,  803.  Sermon  du  même  aux  conti- 


nents, 242.  Livre  de  la  continence,  ouvrage 
de  saint  Augustin,  266  et  suiv.  —  Canon  du 
concile  d'Orange  sur  le  vœu  de  continence, 
VIII,  609,  610.  Canon  d'un  concile  d'Arles 
sur  la  continence  des  pénitents,  611.  — Let- 
tre que  Salvien  écrit  à  Hypace,  son  beau- 
père,  qui  désapprouvait  la  résolution  que 
Salvien  et  sa  femme  avaient  prise  de  vivre 
en  continence,  X,  360.  —  Lettre  de  saint 
Fulgeuce,  évêque  de  Ruspe,  sur  le  vœu  de 
continence  fait  par  une  femme,  sans  le  con- 
sentement de  son  mari,  XI,  23,   26.  Saint 
Gésaire  recommande  aux  fidèles  la  conti- 
tiuence  dans  le  carême,  134.  La  continence 
devait  être  observée   par  ceux  qu'on  met- 
tait en  pénitence,  838.  —  Témoignage  du 
Vénérable  Bède  sur  la  continence,  XII,  14, 
Témoignage  du  prêtre  Beatus,  216  ;  de  Théo, 
dulphe,  évêque  d'Orléans,  266;   de  Jonas, 
évêque  d'Orléans,  390;  Réponse  du  pape  saint 
Nicolas  ï"  aux  consultations  des  Bulgares, 
583.  —  Témoignage  de  Ditmardans  sa  Chro- 
nique,  Xlil,   63.  —  Continence  des  clercs, 
treute-troisième  canon  du  concile  d'Elvire, 
II,  608.  Continence  des  prêtres,  canon  pre- 
mier du  concile  de  Néocésarée,  640,  —  Con- 
tinence des  clercs,  des  vierges  et  des  veuves  ; 
canons  troisième  et  quatrième  du  P'  concile 
de  Carthage,  III,  499. — Continence  des  prê- 
tres et  des  diacres:  lettre  dupapesaintSirice, 
IV,  642.  Continence  des  clercs  ;  concile  de 
Carthage,  647.  Canon  deuxième  du  IP  concile 
de  Carthage,  648.  —  Elle  n'était  pas  géné- 
ralement observée  dans  l'Orient  au  temps 
de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  179,  180 
et  347;  mais  elle  l'était  dans  l'Occident  au 
temps  de  saint  Ambroise,  567. — Règlement 
du  pape  saint  Sirice  touchant  la  continence 
des  clercs,  VI,  101.  —  Témoignage  de  saint 
Epiphane  sur  la  continence  de  clercs,  433.— 
Canons  neuvième  et  dixième  dans  la  lettre 
du  pape  saint  Innocent  à  saint  Victrice  de 
Rouen,  VII,  508.    Canon  premier  dans  la 
lettre  du  même  pape  à  saint  Exupère,  évêque 
de  Toulouse,  511.  Canon  quatrième  dans  la 
lettre  du  pape  saint  Innocent  à  Félix,  évêque 
de  Nocéra ,  525.  Doctrine  de  saint  Jérôme, 
696,  697.   Canon  vingt-sixième  du  concile 
d'Hippone,  715.  Canon  vingt-cinquième  du 
troisième  concile  de  Carthage,   721.   Canon 
troisième  du  cinquième  concile  de  Carthage, 
734.  Décret  huitième  du  concile  de  Turin  ; 
Canon  premier  du  premier  concile  de  To- 
lède, 739.  —  Règlement  du  concile  général 
de  Carthage,  VIII,  537.  Canon  troisième  du 


IV  siècle. 


IV  siècle. 

IT  siècle. 
348  ou  349. 

386. 
390. 


405. 


V  siècle. 


tVet 

V  siècle. 
393. 
397. 

IV  ou 

V  siècle. 


040. 

401. 

Après  40S. 


286 


HISTOIRE   DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


418.  concile  de  Rome,  sous  le  pape  saint  Inno- 

419,  cent,  S45.  Ordonnance  du  concile  de  Telle 
ou  Télepte,  561.  Canons  troisième  et  qua- 
trième du  sixième  concile  de  Cartbage,  564. 

461.  Canon  vingt-cinquième  du  même  concile, 
566.  Continence  recommandée  aux  prêtres 
517.  et  aux  diacres  par  un  concile  de  Tours,  711, 
712  ;  et  par  celui  de  Girone,  748,  749.  Avis 
Vt  siècle,  d'un  évêque  nommé  Véran  sur  la  continence 
des  clercs,  714.  —  Ecrit  de  saint  Véran, 
528.  évêque  de  Gavaillon,  sur  la  continence  des 
prêtres,  XI,  322,  323.  Continence  prescrite 
533.  même  aux  sous-diacres  par  le  deuxième 
concile  d'Orléans,  848.  Continence  prescrite 
aux  évêques,  aux  prêtres  et  aux  diacres  par 
un  concile  de  Tolède;  par  celui  d'Huesca, 
907  ;  par  celui  de  Terrassa,  912.  —  Conti- 
nence ordonnée  aux  clercs  par  le  huitième 
concile  de  Tolède,  XII,  932;  par  le  neu- 
vième, 934.  [Loi  d'un  concile  de  Carthage 
citée  par  le  concile  Quinisexte  sur  la  conti- 
nence des  clercs,  961,  note  1.]  —  Continence 
des  clercs  recommandée  par  Benoît  VIII^ 
XIII,  191, 192.  Règlement  sur  ce  point  dans 
un  concile  de  Rome  sous  saint  Léon  IX,  201. 
[Constitution  pour  l'Église  de  Milan  sur  la 
continence  des  clercs,  291,  292.]  Loi  d'Ed- 
mond roi  d'Angleterre,  747.  Décret  d'un 
concile  d'Angleterre,  757,  758.  —  Statuts  du 
légat  (jolon,  XIV,  1149.  Voyez  Célibat,  In- 
continence et  Concubinaires,  [Clercs.] 

CONTINENTS  hérétiques.   V.  Encratiles. 

CONTIUS.  Voyez  Conte  (Antoine  Le). 

CONTRACTE,  surnom  donné  à  Hermann, 
auteur  d'une  Chronique  et  d'autres  ouvrages, 
XIII,  182. 

CONTRARIÉTÉS  apparentes  de  rÉcrilure 
sainte.  Règles  données  par  Anselme  de  Laon 
pour  les  concilier,  XIV,  183. 

CONTRITION.  Livre  de  la  Contrition  du 
cœur,  ouvrage  faussement  attribué  à  saint 
Augustin,  IX,  287. 

GONTUMELIOSUS,  évêque  de  Riez.  Saint 
Avit,  évêque  de  Vienne,  lai  adresse  une  de 
V.  534.  s^s  lettres,  X,  538.  —  Le  pape  Jean  II  l'in- 
terdit de  toutes  ses  fonctions  et  le  condamne 
à  être  renfermé  dans  un  monastère,  XI,  118. 
Il  appelle  au  pape  saint  Agapet,  qui  reçoit 
son  appel,  120. 
XI  siècle.  GONVERS  ou  FRÈRES  LAIS.  Guillaume, 
abbé  d'Hirsauge,  en  est  regardé  comme 
l'instituteur,  XIII,  484,  483. 

[CONVERSATION.  De  la  conversation  des 
frères  dans  une  mutuelle  concorde  et  dilec- 
tion;  sermon  de  saint  Ephrem,  VI,  508.  — 


De  la  rectitude  de   la  conversation;   sujet 
d'un  sermon  de  saint  Eloi,  XI,  760.] 

CONVERSION.  Doctrine  de  saint  Jean 
Chrysostôme,  VII,  17.  —  Doctrine  de  saint 
Augustin,  IX,  314.  Nécessité  de  la  grâce 
pour  la  pénitence  et  la  conversion  du  pé- 
cheur, 691,  692. 

CONVERSION  DE  SAINT  PAUL.  Deux 
sermons  de  saint  Bernard  pour  cette  fête, 
XIV,  484.  Discours  de  Pierre  de  Blois  sur  ce 
sujet,  778.  Sermon  de  Guillaume  d'Auver- 
gne pour  cette  fête,  1027. 

CONVIÉS.  Homélie  du  pape  saint  Gré- 
goire le  Grand  sur  la  parabole  des  conviés 
qui  s'excusent  de  venir  au  festin  du  père  de 
famille,  XI,  461 . 

CONVOYON,  abbé  de  Redon,  député  à 
Rome,  assiste  à  un  concile  qui  condamne  la 
simonie,  XII,  407. 

CONVULSIONS  dont  étaient  saisies  plu- 
sieurs personnes  au  tombeau  de  saint  Fir- 
min,  XII,  371.  Lettre  d'Agobard  sur  ce  su- 
jet, 371  et  429,  330.  Convulsions  opérées  à 
l'occasion  des  reliques  déposées  dans  l'église 
de  Saint-Bénigne  de  Dijon,  Lettre  d'Amolon 
sur  ce  sujet,  429. 

COPIATES  ou  fossoyeurs  clercs.  Immu- 
nité que  Constantius  leur  accorde,  VI,  342. 
Témoignage  de  saint  Epiphane,  432. 

COPISTES  ou  ANTIQUAIRES.  Eloge  que 
Cassiodore  fait  de  leur  talent,  XI,  233,  234. 

COPRÈS  (Saint),  solitaire  d'Egypte,  V,  234. 

—  Ce  qui  est  dit  de  lui  dans  les  Vies  des 
Pères,  écrites  parRufin  d'Aquilée,  VII,  474. 

—  Il  est  visité  par  saint  Pétrone,  X,  160. 
COPRIEN.  Nom  que  les  païens  donnaient 

par  dérision  à  saint  Cyprien,  II,  259. 

COQUÉE  (Léonard),  de  l'ordre  des  ermites 
de  Saint-Augustin.  Ses  commentaires  sur 
les  livres  de  la  Cité  de  Dieu,  IX,  812. 

GORACION,  chef  des  Arsénoïtes  millé- 
naires, se  rend  à  la  vérité,  II,  398  et  S65. 

CORAN  (Ambroise).  Voyez  Coriolan. 

CORBAN,  mot  syriaque  :  interprétation 
que  saint  Avit  en  donne,  X,  534,  355. 

CORBEIL,  [ville  de  France.]  Abaillard  y 
transfère  l'école  qu'il  avait  étabhe  à  Melun, 
XIV,  318. 

CORBIE,  viUe  de  [France  autrefois  de 
la  province  de]  Picardie.  Statuts  de  saint 
Adalard  pour  l'abbaye  de  Corbie,  XII,  276. 
Privilège  du  pape  Benoit  III  en  faveur  de  cette 
abbaye,  410.  Lettre  de  Foulques  de  Reims 
aux  moines  de  Corbie  qui  avaient  chassé 
leur  abbé,  710,  711.  Diplôme  du  pape  Chris- 


IV 

Vslè 


V.  6 


IXslè 


IXslè 


IV 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


287 


toplile  en  faveur  de  l'abbaye  de  Gorbie,  743. 
[Privilèges  nouveaux  et  confirmation  des  an- 
ciens, 837.]  —  Bulle  du  pape  saint  Léon  IX  en 
faveur  de  ce  monastère,  XIII,  209.  Nécrologe 
de  cette  abbaye  écrit  par  le  moine  Névelon, 
S25.  — Le  pape  Innocent  III  permet  à  l'abbé 
de  Gorbie  de  porter  l'anneau,  XIV,  967. 

GORBIE  LA  NOUVELLE  en  Saxe,  Voyez 
Corivey. 

[CORBIEN  (Thomas  Pierre).  Son  édition 
des  Prescriptions  de  TertuUien,  II,  86.] 
Après  794.  GORBIGNY,  ville  [dans  l'ancien]  Nivernais. 
Manassé,  abbé  de  Fiavigny,  obtient  de  Ghar- 
lemagne  son  consentement  pour  la  construc- 
tion dumonastère  de  Corbigny,  XII,  243, 246. 
Il  n'est  cependant  bâti  que  sous  Charles  le 
Ghauve,  246. 

GORBINIEN  (Saint),  premier  évêque  de 
Fressingue.  Etant  moine  et  se  trouvant  im- 
portuné des  visites  qu'on  lui  rendait,  il  vient 
conter  ses  peines  au  pape  saint  Grégoire  II 
qui  l'ordonne  évêque.  Il  prêche  en  France 
avec  succès,  puis  se  retire  dans  sa  cellule 
près  de  Châtres;  il  retourne  à  Rome  pour 
conjurer  le  pape  de  le  décharger  du  minis- 
724.  tère,  XII,  603.  Un  concile  lui  ordonne  de 
reprendre  ses  fonctions.  Il  passe  en  Bavière 
ovi  il  fonde  l'évèché  de  Friessingue,  603  et 
606.  Sa  Vie  écrite  par  Aribon  Cyrinus,  129. 

CORÇON  ou  GOURÇON  (Robert  de).  Voyez 
Robert  de  Corçon. 

CORDER  ou  GORDIER(Balthazar),  jésuite. 
Son  édition  grecque  et  latine  des  ouvrages 
attribués  à  saint  Denis  l'Aréopagite,  X,  553. 
—  Son  édition  du  commentaire  de  Jean  Phi- 
loponus  sur  l'ouvrage  des  six  jours,  et  de  son 
traité  sur  la  Pâque,  XI,  631. 

CORDES  (Jean  de),  chanoine  de  Limoges. 
Son  édition  de  plusieurs  opuscules  d'Hinc- 
mar  de  Reims,  XII,  689. 
TV  sièeie.  GORDOUE,  ville  d'Espagne.  Osius,  évêque 
de  cette  ville,  III,  392  et  suiv.  —  Elle  de- 
vient la  principale  ville  d'un  royaume  établi 
par  les  Mahométans,  XII,  514.  Persécution 
qui  s'y  élève  contre  les  chrétiens,  514  et 
suiv.  Mémorial  des  saints,  ou  les  trois  livres 
des  martyrs  de  Gordoue,  ouvrage  de  saint 
Euloge,  515  et  suiv.  Histoire  de  la  transla- 
tion des  reliques  de  quelques  martyrs  de 
Gordoue  à  Paris,  par  Aimoin,  701.  Concile 
tenu  en  cette  ville  au  sujet  des  martyrs,  518 
efXIlI,  682,  683. 

GORÉ,  DATHAN  et  ABIRON.  Leur  révolte 
contre  Moïse,  I,  13. 
Il  siècle.         GORINTHE,  capitale  de  l'Achaïe.   Saint 


Denis,  évêque  de  cette  ville,  I,  461,  462.  — 
Concile  qui  y  fut  tenu  sur  la  Pâque,  533,  et 
II,  542. —  Lettre  synodale  de  ce  concile,  1, 533. 

CORINTHIENS.  Epîtres  de  saint  Paul  aux      j  3,è<.,e. 
Corinthiens,    1,    222  et  suiv.  Première  et     j  siècle, 
deuxième    épître    de    saint    Clément    aux 
Corinthiens,   540  et  suiv.    Lettre  de  saint     n  siècle. 
Soter,  pape,  aux  Corinthiens,  464. 

CORIOLAN  (Ambroise) ,  augustin.  Son 
commentaire  sur  la  lettre  qui  porte  le  nom 
dérègle  de  saint  Augustin,  IX,  815. 

CORMERI,  bourg  de  Touraine.  Son  mo- 
nastère dépendant  de  l'abbaye  de  Saint- 
Martin  de  Tours,  rétabli  par  Alcuin,  XII,  166. 

CORNARIUS  (Jean),  médecin  allemand. 
Voyez  Haguenbot. 

CORNEILLE  le  centenier.  Témoignage 
que  lui  rend  saint  Augustin,  IX,  529. 

CORNEILLE  (Saint),  pape  et  martyr,  I, 
124  et  suiv.  Il  est  fait  pape.  Eloge  qu'en  a  fait  251. 
saint  Cyprien,  124.  Novatien  s'élève  contre 
lui,  124  et  125.  Concile  que  saint  Corneille 
tient  à  Rome,  123.  Sa  lettre  à  Fabius  d'An- 
tioche,  123  et  suiv.  Ses  lettres  à  saint  Cj'- 
prien,  127  et  128.  Autres  lettres  de  saint  252. 
Corneille  qui  sont  perdues,  128.  Martyre  de 
saint  Corneille,  129  et  321.  [Editions  et  tra- 
ductions des  lettres  et  fragments  des  écrits 
du  pape  saint  Corneille,  130.]  Lettres  de 
saint  Cyprien  à  saint  Corneille,  312.  Autre 
lettre  de  saint  Cyprien  à  saint  Corneille. 
Réponses  de  saint  Corneille.  Autres  de  saint 
Cyprien,  313.  Saint  Cyprien  prend  la  dé- 
fense de  saint  Corneille  contre  les  calomnies 
des  schismatiques,  313  et  suiv.  Lettre  des  252. 
pères  du  concile  de  Garthage  en  232  à  saint 
Corneille,  316,  317.  Lettre  de  saint  Cyprien 
à  saint  Corneille,  318.  Autre,  319  et  suiv. 
Lettre  de  saint  Denis  d'Alexandrie  à  saint 
Corneille,  403.  Concile  tenu  à  Rome  par 
saint  Corneille,  123,  558.  — Décrétâtes  faus- 
sement attribuées  à  saint  Corneille,  VI,  86. 

—  Eglise  bâtie  à  Rome  en  l'honneur  de  saint 
Corneille  par  le  pape  saint  Léon,  X,  178.  — 
Son  éloge  par  saint  Maxime  de  Turin,  325. 

—  [Histoire  de  la  translation  de  ses  reliques 
de  Rome  à  Compiègne,  XII,  704.]  — On  met 
la  réforme  dans  l'église  de  Saint-Corneille, 
à  Compiègne,  en  chassant  les  chanoines  et 
mettant  à  leur  place  des  moines  de  Saint- 
Denis,  XIV,  374  et  378.  Privilèges  de  cette 
église  confirmés  dans  un  concile  tenu  en 
cette  ville,  1062.  Diplôme  du  roi  Philippe 
accordé  à  cette  abbaye  dans  un  concile  de 
Paris,  1073. 


288 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


CORNEILLE,  disciple  de  saint  Pacôme, 
III,  359. 

IV  ou  CORNEILLE,  à  qui  saint  Augustin  écrivit 

""'"■     une  lettre,  IX,  189,  190. 

CORNEILLE,  instituteur  de  saint  Pierre 
Chrysologuc  dans  les  exercices  de  la  vie  mo- 
nastique. Devenu  évêque,  il  le  consacre  au 
service  des  autels,  X,  6. 

CORNUTUS,  ou  hexamètres  moraux  de 
Jean  de  Garlande,  XIII,  230. 

GOROTIC,  prince  de  Galles.  Son  incursion 
V  siècle,  en  Irlande,  X,  MS.  Lettres  que  lui  écrit  saint 
Patrice  à  ce  sujet,  44S  et  446. 

[GORPET.  Sa  traduction  française  des 
poëmes  de  Paulin  de  Périgueux  et  de  For- 
tundt,  sur  la  vie  de  saint  Martin,  VIII,  122.] 

CORPORAL.  Grande  nappe  d'autel  au 
temps  de  saint  Grégoire,  XI,  539. 

CORPS  HUMAIN.  Erreur  des  Manichéens 
sur  la  nature  du  corps  de  l'homme,  IV,  334. 

—  [Discours  où  saint  Ephrem  prouve  que  le 
corps  n'est  point  mauvais  pr  lui-même  et  que 
le  démon  n'en  est  pas  l'auteur,  VI,  434,  458.] 

—  Difiërences  observées  entre  le  corps  et 
l'âme  par  Mammert  Claudien,  X,  354,  —  Ré- 
flexions de  Cassiodore  sur  le  corps  humain, 
XI,  241.  —  Livre  d'Alphane,  arclievéque  de 
Salerne,  surles  quatre  humeurs  dont  le  corps 
humain  est  composé,  XIII,  493.  —  Traité 
de  la  nature  du  corps  pt  de  l'âme,  par  Guil- 
laume de  Saint-Thierry,  XIV,  387,388.  Voy. 
Résun^ection. 

CORPS  DE  JÉSUS-CHRIST.  [Saint  Ephrem 
prouve  qne  le  démon  n'est  pas  l'auteur  du 
corps  de  l'homme  par  la  réalité  du  corps  de 
Jésus-Christ,  458,  459,  460.]  Question  pro- 
posée par  le  comte  Régin  :  Si  le  corps  de 
Jésus-Christ  était  incorruptible.  Réponse  de 
saint  Fulgence  de  Rusp,  XI,  50,  51.  —  Ho- 
mélie sur  le  corps  et  le  sang  de  Jésus-Christ 
attribuée  à  saint  Jean  Damascène.  Elle  n'est 
point  de  lui,  XII,  84,  83.  Traité  de  saint  Pas- 
chase  Radbert  sur  le  corps  et  le  sang  de  Jé- 
sus-Christ, 333.  Analyse  de  cet  ouvrage, 
533  et  suiv.  Editions  qu'on  en  a  données, 
548.  Ecrits  anonymes  à  l'occasion  de  ce 
traité,  549  et  suiv.  Ouvrage  de  Ratramne, 
moine  de  Corbie,  sur  le  même  sujet,  536  et 
suiv.  Autre  par  Gerbert,  depuis  pape  sous  le 
nom  de  Sylvestre  II,  904.  —  Autre  par  Gé- 
zon,  abbé  de  Tortone,  XIII,  18  et  suiv.  Autre 
par  Hériger,  abbé  de  Lobes,  38.  Autre  faus- 
sement attribué  à  Guy  d'Arezzo,  131.  Autre 
par  Hugues,  évêque  de  Langres,  contre  Bé- 
renger,  163,  166.  Autre  par  le  B.  Lanfranc, 


443  et  suiv.  Autre  contre  Bérenger,  par  Al- 
bérlc,  moine  duMont-Cassiu,  494.  Autre  par 
Guitmond,  évêque  d'Averse,  517  et  suiv. 
Autre  par  Nicolas,  évêque  de  Méthone,  571, 
572.  —  Autre  par  Geoffroi,  abbé  de  Ven- 
dôme, XIV,  166.  Traité  de  Guibert,  abbé  de 
Nogent,  sur  la  vérité  du  corps  de  Jésus- 
Christ  dans  l'Eucharistie,  196,  197.  Traité 
de  l'abbé  Abandus  sur  la  fraction  du  corps 
de  Jésus-Christ,343. 

CORRECTION  FRATERNELLE.  Comment 
elle  se  faisait  parmi  les  moines,  IV,  537.  — 
Doctrine  de  saint  Jean  Chrysostôme,  VII, 
188  et  236.  —  Morale  de  saint  Augustin  sur 
la  correction  fraternelle,  IX,  171,  172,  226, 
227,  228  et  238. 

CORRECTION  FRATERNELLE.  [Sermon 
de  saint  Maxime  de  Turin,  X,  326.] 

[CORRECTION  de  soi-même,  sermon  de 
saint  Ephrem,  VI,  509.] 

CORRECTION.  Livre  de  la  Correction  et  de 
la  grâce,  ouvrage  de  saint  Augustin,  519  et 
suiv. 

CORRECTION  des  évêques  et  des  papes. 
Ce  que  c'est  que  cet  écrit  de  saint  Pierre 
Damien,  XHI,  323.  —  De  la  Correction  de 
Gratien;  ouvrage  d'Antoine  Augustin,  ar- 
chevêque de  Tarragone,  XIV,  761. 

CORRECTIONS.  Ce  que  prescrit  la  règle  de 
saint  Benoît  à  l'égard  des  corrections,  XI, 
169,  170.  —  Opuscule  de  saint  Pierre  Da- 
mien sur  l'utilité  des  correc-tions,  XIII,  320. 

CORSE  :  île  de  la  Méditerranée.  Conver- 
sion des  idolâtres  de  cette  île,  XI,  438.  Let- 
tre du  pape  saint  Grégoire  le  Grand  concer- 
nant les  affaires  de  cette  île,  485,  486.  Let- 
tre du  même  au  sujet  des  progrès  de  la  foi 
dans  cette  île,  309,  510. 

CORTASSE  (Pierre-Joseph),  jésuite.  Sa 
traduction  française  du  livre  des  Noms  divins 
attribué  à  saint  Denis  l'Aréopagite,  X,  553. 

CORWEY  ou  CORBIE  LA  NOUVELLE,  en 
Saxe.  Son  monastère  fondé  par  saint  Ada- 
lard,  XII,  275.  —  On  y  réunit  Kaminat  et 
Visbika,  deux  monastères  de  filles,  XIV,  529, 

COSALD,  prêtre  de  l'Église  de  Verdun. 
Lettre  que  le  pape  Alexandre  II  écrit  à  son 
sujet  à  l'archevêque  de  Trêves  et  à  l'évêque 
de  Verdun  XIII,  291. 

COSME  et  DAMIEN  (Saints),  martyrs, 
[Sermon  de  saint  Augustin  pour  leur  fête, 
XI,  836  et  841.]  Monastère  fondé  sous  leur 
nom  par  saint  Benoît,  157.  —  Homélie  de 
Georges  de  Nicomédie  eu  leur  honneur,  XII, 
733. 


416. 


V.  427. 


598. 
590. 


596. 


XII  siècle. 


XI  siècle. 


V.  520. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


289 


COSME,  prêtre  de  Phanir,  bourg  de  Célé- 
syrie,  auteur  d'une  Vie  de  saint  Siméon 
Stylite,  et  d'une  lettre  au  nom  du  clergé  et 
du  peuple  de  Phanir,  adressée  à  ce  saint. 
Ces  deux  écrits  conservés  manuscrits  au  Va- 
tican, X,  380.  —  [lis  ont  été  publiés  par 
Assémani  dans  sa  collection  des  Actes  des 
Martyrs  d'Orient  et  d'Occident,  III,  333.] 
Analyse  de  la  lettre  et  de  la  Vie  de  saint 
Siméon,  333  et  suiv.  Voyez  aussi  X,  380, 
381. 

CQSME,  évèque  d'Epiphanie,  et  Sévérien 
d'Aréthuse,   se  séparent  de   la  communion 
-  de  Sévère,  faux  patriarche  d'Antioche.  Ils 
lui  font  signifier  un  écint  par  lequel  ils  le 
déposent  de  l'épiscopat.  L'empereur  Auas- 
tase  ordonne  à  ce  sujet  que  les  deux  évêques 
soient  chassés  de  leur  siège,  puis  il  change 
de  sentiment,  XI,  107. 
VI  siècle.         COSME    d'Egypte  ,     surnommé    Indico- 
pleusiès,  à  cause  de  sa  navigation  dans  les 
Indes.   Après    avoir    longtemps  exercé  le 
commerce,  et  voyagé  au  loin,  il  embrasse 
la  vie  monastique.   Sa  Topographie  chré- 
tienne divisée  en  douze  livres,  XI,  186.  Des- 
sein de  cet  ouvrage,  186  et  187.  Ce  qu'il 
contient  de  remarquable,    187  et   suiv.  Sa 
Cosmographie  générale.  Ses  Tables  astrono- 
miques et  autres  ouvrages  qui  sont  perdus. 
Jugement  sur  son  style.  Editions  de  sa  Topo- 
graphie données   par  le  père   Montfaucon, 
191.  [Editions  de  ses  œuvres  dans  la  Patro- 
logie,  186.] 
COSME,  diacre  de  Thèbes,  XI,  490. 
COSME,  diacre  d'Alexandrie.  Traité  sur 
la  distinction  des  deux  natures  en    Jésus- 
Christ,  que  lui  adresse  l'abbé  saint  Maxime, 
XI,  768.  Lettres  qu'il  lui  écrit,  768  et  769. 
[siècle.        COSME  L'ANCIEN,  abbé  de  Jérusalem, 
est  différent  de  l'évêque  de  Majume.    Ses 
poésies,   XI,    790.    [C'est  le    même    que 
Cosme,  religieux  italien  dont  il  est  parlé  plus 
bas,  490,  note  4,  et  XII,  68,  note  4.] 
743.  COSME  (Saint),  évêque  de    Majume  :  [il 

est  celui  qu'on  appelle  Cosme  le  Jeune,  XI, 
790,  note  4,  et  XII,  68,  note  4.]  Ce  qu'en  dit 
Suidas.  Ses  poésies,  XI,  790.  Collection  et  in- 
terprétation des  histoires  dont  saint  Grégoire 
de  Nazianze  fait  mention  dans  ses  poésies, 
790  et  791.  [Elle  est  publiée  dans  la  Patro- 
logie  grecque],  V,  362.  —  Commentaire  de 
Théodore  Prodrome  sur  ses  hymnes  en  fa- 
veur de  Jésus-Christ,  XIV,  149. 
iti  siècle.  COSME,  rehgieux  italien,  fait  prisonnier 
sur  mer,  etracheté  parle  père  de  saint  Jean 

TAB.  I. 


'II  siècle. 


Damascène,  qui  le  donne  pour  instituteur  à 
son  fils,  XII,  67.  —  [C'est  lui  qui  est  sur- 
nommé Cosme  l'Ancien,  XI,  790,  note  4,  et 
XII,  67,  note  4.]  Il  se  retire  dans  la  laure  de 
saint  Sabas;  il  est  fait  évêque  de  Majume  en 
Palestine;  saint  Jean  Damascène  lui  dédie 
plusieurs  de  ses  ouvrages,  67.  [C'est  Cosme 
le  Jeune,  ami  et  condisciple  de  saint  Jean 
Damascène,  qui  devient  évêque  de  Majume. 
Voyez  XII,  67,  note  4.] 

[COSME  Japyge  de  Matera.  Son  pëme  en     xi  siècle, 
l'honneur  de  Théopompe  et  de  ses  compa- 
gnons martyrs,  XII,  794. J 

COSME,  protovestiaire  de  l'empereur  Léon  x  siècle, 
le  Philosophe.  Ses  discours  en  l'honneur  de 
plusieurs  saints,  XII,  793.  [Le  discours  sur 
saint  Joachim  et  sainte  Anne,  parents  de  la 
sainte  Vierge,  est  imprimé  au  tome  CVI  de 
la  Patrologie  grecque  ;  il  est  précédé  d'une 
notice  d'Oudin,  et  est  suivi  d'un  canon  pour 
la  fête  de  la  Conception  de  la  très-sainte 
Mère  de  Dieu,  avec  des  strophes  en  acros- 
tiches. On  place  la  mort  de  Cosme  vers  920.] 

COSME  I",  patriarche  de  Gonstantinople,       losi. 
couronne  l'empereur  Alexis  Comnène,  et  sa 
femme  Irène.  Pénitence  qu'il  impose  à  l'em- 
pereur et  à  toute  sa  famille,  XIV,  139. 

COSME  II,  l'Attique,   patriarclie  de  Gons-       nie. 
tantinople,   succède   à  Michel  Oxite.  Il  est 
déposé  dans  un  concile  pour  son  attachement 
au  moine  Niphon,  XIV,  119. 

COSME,  doyen  de  l'Église  de  Prague, 
confondu  par  plusieurs  auteurs  avec  Cosme, 
évêque  de  Prague,  mort  à  la  fin  du  xi"  siècle. 
Année  de  sa  mort,  XIV,  173.  Sa  Chronique  n25_ 
de  Bohême,  173  et  174.  Editions  qu'on  en  a 
faites,  174. 

COSME,  évêque  de  Prague,  confondu  par    io9i-i098. 
plusieurs  auteurs  avec  Cosme,  doyen  de  la 
même  Éghse  et  auteur  de  la  Chronique  de 
Bohême,  XIV,  173. 

COSMOGRAPHIE  générale  :  ouvrage  de 
Cosme  d'Egypte,  qui  est  perdu,  XI,  191. 
Auteurs  sur  la  cosmographie  indiqués  par 
Cassiodore,  232,  233.  —  [Abrégé  de  Cosmo- 
graphie donné  par  Honoré  d'Autun,  XIV, 
298.] 

COSROES  II,  roi  de  Perse  :  voyez  Clm- 
roës  II. 

[COSTADONI  édite  avec  Mittarelli  un  sa- 
cramentaire  ancien,  XIII,  23.] 

COSTER,  COSTIER,  ou  COSTERS  (Jean), 
chanoine  régulier  de  Saint-Martin  de  Lou- 
vain.  Son  édition  des  œuvres  de  saint  Am- 
broise,  V,  583.  —  Ses  soins  pour  une  édition 

19 


290 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


des  œuvres  de  saint  Augustin,  IX,  815.  —  Son 
édition  du  traité  de  saint  Paschase  Radbert  : 
du  Corps  et  du  Sang  de  Jésus-Christ,  XII, 
549.  —  Son  édition  des  traités  de  saint  Pas- 
chase Radbert,  de  Lanfranc  et  de  quelques 
autres  sur  l'Eucharistie,  XIII,  448. 

GOTELIER  (Jean-Baptiste),  professeur  de 
langue  grecque.  Son  édition  des  Pères  apos- 
toliques :  saint  Barnabe,  I,  283  ;  Hermas, 
338,  339;  saint  Clément,  361;  saint  Ignace 
d'Antioche,  388  ;  saint  Polycarpe,  398.  — 
Son  édition  de  quatre  homélies  de  saint 
Jean  Chrysostôme  sur  les  Psaumes ,  VII , 
436. 

COULAINE,  en  Touraine,  ou  COULÈNE, 
près  du  Mans.  Concile  tenu  en  ce  lieu,  XIII. 
671. 

COULÉON,  l'un  des  chefs  des  Pauliciens, 
se  convertit  à  la  foi  catholique,  XIV,  141. 
34j_  GOULPE,  pratique  monastique,  IV,  404. 

COUR  des  princes.  Voyage  des  clercs  et 
des  évêques  à  la  cour  de  l'empereur  ;  ca- 
non deuxième  du  concile  d'Antioche,  III, 
468.  Voyages  des  évêques  à  la  cour;  ca- 
nons septième,  huitième,  neuvième  et  ving. 
3  47  [ou  343]  ^'^"^^  •iu  conciic  de  Sardique,  486,  487, 
488,  489. 

COUR  de  Rome.  Livre  de  Jean  de  Saris- 
bury  :  De  l'État  de  la  cour  de  Rome,  XIV, 
679. 
ni  siècle.  COURONNE.  Livre  de  la  Couronne  du  sol- 
dat, ouvrage  de  Tertullien  après  sa  chute, 
II,  62,  63.  Couronnes  des  idolâtres  :  canon 
cinquante-cinquième  du  concile  d'Elvire, 
611.  —  Poëme  des  couronnes  par  Prudence, 
VIII,  102,  103. 

[COURONNÉS.  Les  quatre  saints  couron- 
nés, martyrs  :  Prologue  de  leur  passion  par 
Pierre  de  Naples,  XIII,  602.] 

COURONNEMENT  des  rois  et  des  reines. 
Bénédictions  et  prières  à  ce  sujet,  XII ,  663. 
Couronnement  des  papes  et  des  empereurs. 
Innovations  faites  à  ces  cérémonies  dans  le 
xii°  siècle,  XIV,  941. 

COURSE  SPIRITUELLE,  ouvrage  d'Othlon , 
moine  de  Saint-Emmeran  de  Ratisbonne. 
Idée  de  cet  ouvrage,  XIII,  280. 

COURTIN  (Jacques  de).  Sa  traduction  en 
vers  français  des  hymnes  de  Synésius,  VIII, 
34. 

COURTISANES.  Ce  que  dit  saint  Ephrem 
à  une  courtisane  d'Edesse,  VI,  2.  Conver- 
sion d'une  fameuse  courtisane  de  Phénicie, 
VII,  235. 
COURTISANS.   Polycratique  ou  amuse- 


ment des  courtisans,  ouvrage  de  Jean  de 
Sarisbury,  XIV,  676. 

COUSIN,  l'un  des  chefs  des  Pauliciens, 
soutient  les  erreurs  de  la  secte  contre  l'em- 
pereur Alexis  Comnène,  XIV,  141. 

COUSIN  (Louis),  président  en  la  Cour  des 
monnaies.  Sa  traduction  française  de  l'Ex- 
hortation aux  Gentils,  ouvrage  de  Clément 
d'Alexandrie,  I,  606;  —  du  traité  d'Eusèbe 
contre  Hiéroclès,  III,  311,  312  ;  de  son  His- 
toire ecclésiastique  ;  de  la  Vie  de  Constan- 
tin, 316  ;  —  de  l'Histoire  tripartite,  VIII , 
523;  — de  l'Histoire  ecclésiastique  de  Théo- 
doret,  X,  141;  —  de  l'Histoire  de  Théodore 
le  Lecteur,  XI,  103  ;  de  l'Histoire  ecclésiasti- 
que d'Évagre,  420;  —  de  la  Vie  de  Charle- 
magne  écrite  par  Éginhard,  XII,  354  ;  de  la 
Vie  de  Louis  le  Débonnaire,  par  Thégan, 
396;  de  celle  qui  fut  écrite  par  l'Astronome, 
397  ;  de  l'Histoire  de  Nithard,  496.  —  [Sa 
traduction  française  des  neuf  premiers  livres 
des  Annales  de  Nicélas  Choniate,  XIV, 
1176.] 

[COUSIN  (Victor).  Son  édition  des  œuvres    xixsièci 
d'Abailard,  XIV,  332,  336,  338,  note  3,  et 
341.] 

COUSINS  GERMAINS.  Traité  de  Zonare 
pour  prouver  que  deux  cousins  germains  ne 
peuvent  successivement  épouser  la  même 
femme,  XIV,  157  et  1046. 

COUSTANT  (Pierre),  bénédictin  de  la  Con- 
grégation de  Saint-Maur.  Son  édition  des 
œuvres  de  saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  88. 

—  Il  est  auteur  de  la  critique  et  des  tables 
des  sermons  faussement  attribués  à  saint 
Augustm,  IX,  816. 

COUTUME.  Doctrine  de  Tertulhen,  II,  65  ;     m  siède. 

—  de  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  162.  — 
Variété  des  coutumes,  observées  dans  diflé- 
rentes  églises,  VIII,  520,  521  et  532,  533.— 
Les  coutumes  des  éghses  étant  différentes, 
saint  Grégoire  peimet  au  moine  Augustin 
de  choisir  les  meilleures  pour  les  inti'oduire 
en  Angleterre,  XI,  524,  525.  —  Coutumes 
d'Angleterre  qui  ont  fait  le  sujet  du  diffé- 
rend entre  Henri  II  et  saint  Thomas  de  Can- 
lorbéry,  XIV,  662  et  suiv. 

COUVENIER  (Georges),  chancelier  de  l'u- 
niversité de  Douai.  Son  édition  de  l'Histoire 
de  l'Église  de  Reims,  par  Frodoard,  XII,  843 .  i 

COVESHAM,  monastère  situé  dans  le  ter-      y.  7io. 
l'itoire  de  Worchester.  Histoire  de  sa  fonda- 
tion, Xn,  23. 

COXANE,  abbaye  dans  la  province  deNar- 
bonne.  Conciles  quiy  furent  tenus,  XIV,  1053. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


291 


COYAC,  ville  située  en  Espagne  dans  le 
diocèse  d'Oviédo.  Concile  qui  y  fut  tenu, 
XIV,  10S7. 

COYSSARD  (Michel),  jésuite.  Sa  traduc- 
tion française  des  Dialogues  de  saint  Gré- 
goire, XI,  586. 

GRABBE  (Pierre),  franciscain ,  l'un  (Jes 
éditeurs  des  lettres  du  pape  saint  Léon,  X, 
274.  —  Son  édition  du  Breviarium  du  dia- 
cre Libérât  avec  une  appendice,  XI,  305. 

CRAINTE.  Doctrine  de  saint  Ignace,  I, 
387,  n.  6  ;  de  Clément  d'Alexandrie,  576  et 
598;  —  de  Tertullien,  II,  73;  d'Origène, 
243;  de  saint  Hilaire,  IV,  79;  de  saint  Atha- 
nase,  227  ;  de  saint  Basile,  542  ;  —  de  saint 
Ambroise,  V,  408  et  557.  [Crainte  servile 
d'après  Didyme  l'Aveugle,  628. —  Traité  de 
la  crainte  par  saint  Zenon,  évêque  de  Ver- 
I  siècle,  ceil,  VI,  274.  Discours  de  saint  Ephrem  in- 
titulé :  De  la  crainte  de  l'esprit,  598.]  — 
«6.  Doctrine  de  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  68. 
IV  on        —  Sermons  de  saint  Augustin  sur  la  crainte 

'^siècle.        ^g   jjjg^^    j^^    2^^^    j-g^^^    g^2  .j    j3Qj,^j.i„g   ^^ 

siècles,  même,  144,  227,  428,  439,  476,  806,  807.  — 
Discours  d'Isaac  l'Ancien  sur  la  crainte  de 
Dieu  et  de  la  mort,  X,  578.  —  Traité  d'A- 
gobard  sur  l'espérance  et  la  crainte,  XII, 
376,  377.  —  Poëmes  de  Fulbert  de  Chartres 
sur  la  crainte,  l'espérance  et  l'amour,  XIII, 
88.  Doctrine  de  Robert  PuUus  sur  la  crainte 
des  peines  de  l'enfer,  XIV,  396. 

[CRAMER.  Ses  chaînes  sur  le  Nouveau  Tes. 
tament,  X,  346.] 

'.  1072.  CRAON,  prieuré  en  Anjou.  Différend  en- 
tre l'abbaye  de  Vendôme  et  celle  de  Saint- 
Aubin  d'Angers  au  sujet  de  ce  prieuré,  XIII, 
463  et  510  et  suiv.  Ecrits  concernant  cette 
affaire,  511,  S12. 

[siècle.  CRÉATION.  Doctrine  de  saint  Irénée,  I, 
503,  504.  —  [Témoignage    d'Origène,    II, 

r  siècle.     12^  î]  ■"  \.^^  Macaire  Magnés,  III,  156  ;]  — 

j  siècle.  ^^  ®''^'°''  A-thanase,  IV,  203.  [Doctrine  de  l'o- 
rateur Victorin,  330  ;]  —  de  saint  Ephrem, 

'  siècle.  ^ï'  36  et  [443,  453  et  suiv.,  461.]  -  Six  ho- 
mélies de  saint  Sévérien,  évêque  de  Caba- 
les, sur  la  création,  VII,  205  et  suiv.  — 
Poëme  de  Prudence  sur  la  création  du  mon- 
de, VIII,  106.  —  Doctrine  de  saint  Augus- 
tin, IX,  35,  36  et  68.  Discours  attribué  au 
même  sur  la  création  du  premier  homme, 
288.  [Création  du  monde  d'après  saint  Au- 
gustin, 828.]  —  Discours  de  Théodoret,  X, 
93  ;  de  Basile  de  Séleucie  sur  la  création  du 
monde  ;  sur  celle  des  anges  et  de  l'homme, 
164.  —  Réponse  de  saint  Fulgence  à  une 


304. 


question  sur  la  création,  XI,  36,  37.  Doctri- 
ne de  saint  Fulgence  sur  la  création,  64. 
Dialogue  de  la  création  du  monde,  ouvrage 
de  Zacharie,  évêque  de  Mitylène,  dans  le- 
quel il  prouve  que-le  monde  n'est  pas  éter- 
nel, 270,  271.  Considérations  d'Anastase  le 
Sinaïte,  599.  600.  Discours  de  Léontius,  évê- 
que d'Arabisse,  sur  la  création,  645.  —  Ou- 
vrage sur  la  création  attribué  à  Siméon  Lo- 
gothète,  XIV,  654.  Voyez  Hexaméron. 

CRÉATURES.  Traité  des  créatures  par 
saint  Méthode,  évêque  de  Tyr,  III,  66,  67. 
[Ce  qu'en  dit  saint  Ephrem,  VI,  453  et  suiv. 
11  invite  chacune  des  créatures  à  célébrer  les 
années  de  l'Enfant  Jésus,  484.]  — De  l'ordre 
des  créatures,  ouvrage  de  saint  Isidore  de 
Séville,  XI,  725,726. 

CRÉDIBILITÉ.  Motifs  de  crédibilité  à  l'é- 
gard de  la  religion  chrétienne,  IX,  255  ;  à 
l'égard  de  l'autorité  de  l'Église,  334,  335. 

CREIXAN.  Concile  tenu  en  cette  ville, 
XIV,  1112. 

CRÉMENCE  (Saint),  martyr  à  Saragosse, 
III,  44. 

CRÉMIEU,  petite  ville  du  Dauphiné.  Con- 
cile qui  y  fut  tenu,  XIII,  668,  669. 

[CRÉMONE,  ville  d'Italie.  Lettre  du  pape 
Alexandre  II  au  clergé  de  Crémone,  XIII, 
291,  292.] 

CRESCENCE,  avec  qui  disputa  saint 
Alexandre,  évêque  d'Alexandrie,  au  sujet 
de  la  pâque,  III,  105. 

CRESCENCE,  sénateur  puissant  à  Rome, 
chasse  le  pape  Grégoire  V  et  met  à  sa  place 
Philagathe,  qui  prend  le  nom  de  Jean  XVI; 
l'empereur  Otlon  III  lui  fait  couper  la  tête, 

XII,  900. — Grescence  est  frappé  d'analhème, 

XIII,  763. 

CRESCENT ,  philosophe  cynique  ,  cause     n  siède. 
du  martyre  de  saint  Justin,  I,  410. 

CRESCENT,  évêque  de  Syracuse.  Voyez 
Chrest. 

CRESCONIUS,  évêque  de  Villerège.  Sujet 
d'un  règlement  du  concile  général  de  Car- 
thage,  VII,  723.  —  On  y  revient  encore  dans 
un  concile  postérieur,  VIII,  538. 

CRESCONIUS,  tribun  à  qui  saint  Augus- 
tin écrit  une  lettre,  IX,  110. 

CRESCONIUS  ,  grammairien ,  donatiste. 
Quatre  livres  de  saint  Augustin  contre  lui, 
IX,  399  et  suiv. 

CRESCONIUS,  moine  d'Adrumet,  va  trou- 
ver saint  Augustin  à  Hippone,  IX,  513. 

CRESCONIUS,  évêque  en  Afrique.  Sa  col-    vu  siècle, 
lection  de  canons,  XI,  808,  809.  [Edition  de 


IV  slëcle. 


997. 


397. 


410. 


406. 


292 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


cette    collection;]    nous    n'avons    plus    le 
poëme  en  vers  hexamètres  où  il  décrivait 
les  victoires  de  l'empereur  Léon  sur  les  Sar- 
rasins, 809. 
1000.  CRESPY  en  Valois,  dans  l'Ile  de  France 

[aujourd'hui  du  département  de  l'Oise].  Le 
prieuré  de  cette  ville  était  une  abbaye  ; 
temps  de  sa  fondation,  XIII,  110. 
X  siècle.  CRÈTE,  île  de  la  Méditerranée.  Histoire 
de  la  prise  de  cette  île  écrite  par  Théodose, 
diacre  de  Conslantinople,  XIII,  31. 

CRIBELLIUS  (Georges),  prêtre.  Son  édi- 
tion des  œuvres  de  saiat  Hilaire,  évéque  de 
Poitiers,  IV,  87  ;  —  des  œuvres  de  saint 
Ambroise,  V,  583. 

CRIMES.  Le  soixante-unième  canon  apos- 
tolique défend  d'admettre  à  la  cléricature 
ceux  qui  sont  convaincus  de  crimes,  II,  585. 
—  Différence  que  saint  Augustin  remarque 
entre  le  crime  et  le  péché,  IX,  476.  — 
Comment  Paul  Orose  les  distingue,  X,  5. 
Sentiment  de  Fastidius,  153.  —  [Capitulaire 
1215.  ^^  Charlemagne  relatif  à  la  punition  des 
crimes,  XII,  243.]  —  Canon  du  concile  de 
Latran  qui  prescrit  la  manière  de  procéder 
pour  la  punition  des  crimes,  XIV,  1164. 
^05^  CRIMINELS.    Poursuite    des   criminels  : 

objet  du  canon  cinquième  dans  la  lettre  du 
pape  saint  Innocent  à  saint  Exupère  de  Tou- 
louse, VII,  511.  —  Les  évêques  peuvent-ils 
intercéder  pour  eux?  Saint  Augustin  répond 
à  cette  question,  IX,  134,  133,  —  Dans  le 
IX'  siècle  on  ne  refusait  point,  en  France, 
les  sacrements  de  Pénitence  et  d'Eucharis- 
tie, ni  la  sépulture  aux  criminels  condam- 
nés à  la  mort,  XII,  710. 

CRINITUS  (Pierre).  Son  édition  des  œu- 
vres de  saint  Cyprien,  II,  382. 

CRISPE,  fils  de  Constantin  le  Grand,  ac- 
-     cusé  de  divers  crimes  et  mis  à  mort,  III,  123. 

CRISPIN ,  gouverneur  d'une  partie  des 
Gaules,  III,  42. 

CRISPIN,  auteur  de  la  vie  de  saint  Par- 
thène,  évêque  de  Lampsaque,  VI,  291. 

CRISPIN,  évéque  donaliste.  Lettre  que  lui 
écrivit  saint  Augustin,  IX,  82  ;  autre,88.  Pos- 
sidius  entre  en  conférence  avec  Crispin,  563. 

CRISPIN,  père  du  pape  saint  Hilaire, 
X,  335. 

CRISPIN.  Généalogie  de  la  maison  des 
Crispin,  XIII,  439.  Voyez  Milon,  Guillaume, 
Gislebert, 
304.  CRISPINE  (Sainte),  martyre  en  Afrique, 

III,  38  et  suiv.  —  [Ses  actes  sont  sincères, 
XII,  713.] 


IV  siècle. 


CRISPION,  archidiacre  de  saint  Epiphane, 
VI,  380. 

CRITHOPHAGE,  surnom  da  saint  ana- 
chorète Macédonius,  X,  57. 

CRIVELLI  [et  non  CRINELLI]  (Hubert),  ar- 
chevêque de  Milan  et  cardinal,  est  élu  pape 
et  prend  le  nom  d'Urbain  III,  XIV,  933. 
Voyez  Urbain  III. 

CROISADES.  Projet  de  croisade  formé  par  io74. 
le  pape  saint  Grégoire  VII,  XIII,  357.  Croi-  io95. 
sade  ordonnée  par  le  concile  de  Clermont, 
431  et  433.  Prêchée  par  le  pape  et  les  évê- 
ques, 433  et  434.  Histoire  de  la  croisade  sous 
Urbain  II,  par  Grégoire  de  Terracine,  498. 
DijËférents  historiens  de  la  croisade,  512,  529 
et  suiv.  Histoire  de  la  croisade,  par  Jacques 
Bongars,  sous  le  titre  :  Gesta  Dei  per  Fran- 
cos;  pièces  qu'elle  contient,  529  et  suiv.  Ano- 
nyme sur  la  croisade,  ou  Abrégé  de  l'histoire 
de  la  croisade,  par  Pierre  Tudebode,  529  et 
530.  [Voyez  529,  note  3,  où  l'on  prouve  que 
cet  ouvrage  est  celui  de  Pierre  Tudebode.] 
Histoire  de  la  croisade,  par  le  moine  Robert, 
530.  Autre,  par  Baudri,  évêque  de  Dol,  330 
et  531.  Autre,  par  Raimond  d'Agiles,  cha- 
noine du  Puy,  532,  533.  Histoire  de  l'expé- 
dition de  Jérusalem,  par  Albert,  trésorier  de 
l'église  d'Acqs,  533,  534.  Histoire  du  pèleri- 
nage des  Finançais  à  Jérusalem,  parFoucher, 
moine  de  Chartres  ;  Histoire  des  guerres 
d'Antioche,  par  Gautier;  Histoire  de  Jérusa- 
lem, par  Guibert,  abbé  deNogent,  534  et  535. 
Histoii'es  anonymes  de  la  croisade,  333.  His- 
toire de  la  croisade,  par  Guillaume  de  Tyr, 
535  et  suiv.  Histoire  de  Jérusalem,  par  Jac- 
ques de  Vitri,  évêque  d'Acre,  cardinal,  537, 
338,  Histoire  anonyme  de  Jérusalem.  Mo- 
numents concernant  la  croisade  ;  autres  mo- 
numents. Description  géographique  de  la 
Palestine  et  des  provinces  voisines,  par  Ma- 
rin Sanuti  ;  Histoire  de  la  croisade  de  Conrad 
et  de  Louis  VII,  par  un  anonyme,  538.  His- 
toire de  la  croisade,  par  Pierre  Tudebode,  538 
et  539.  [Histoire  de  la  croisade  de  Louis  VII, 
par  Odon  de  Deuil,  539,  540.]  Histoire  ano- 
nyme de  la  guerre  sainte  ;  histoire  de  la  croi- 
sade, par  Foulques,  540.  Autre,  parGilonde 
Paris,  540  et  341.  Les  Actions  de  Tancrède, 
par  Radulphe,  341.  Histoire  de  Jérusalem, 
par  Ekkehard,  541  et  342.  Histoire  de  la  croi- 
sade, par  un  anonyme  ;  chronique  de  la  Terre 
Sainte,  343.  Chronique  de  l'Angleterre  rela- 
tivement à  la  croisade,  342,  543.  Histoire  de 
la  croisade,  par  Guillaume  de  Tyr  [et  sa  con- 
tinuation] ;  Histoire  de  la  prise  et  de  la  ruine 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


293 


d'Acre,  342.  Chronique  d'Otton  et  de  Frisin- 
gue,  543  et  544.  Annales  de  Roger  de  Hove- 
den,  344.Ex;pédition  de  Frédéric  Barberousse 
contre  les  Turcs,  544  et  545.  Croisades  des 
Saxons  ;  ce  que  c'est,  543.  [Autres  documents 
sur  les  croisades,  545  et  546.  —  Histoire  en 
vers  de  la  première  croisade,  par  Raoul  Tor- 
taire  est  restée  manuscrite,  XIV,  79.]  Poëme 
de  Marbode  sur  l'ulilité  de  la  croisade,  228. 
Seconde  croisade  publiée  par  le  pape  Eu- 
1U6.  gène  III,  271.  Prêchée  par  saint  Bernard, 
422,  449  et  453.  Traité  de  Pierre  de  Blois  en 
faveur  de  la  croisade,  778.  [Efforts  du  pape 
Célestin  Illpour  provoquer  une  nouvelle  croi- 
sade contre  lesTurcs,  944, 946.  Lettres  d'Inno- 
cent III  relatives  à  la  croisade  et  aux  croisés, 
980etsuiv.,990,999  etsuiv.]  Constitution  du 
pape  InnocenllII touchant  la  croisade,  1016. 
1215.  Décret  du  concile  de  Latran  concernant  la 
croisade,  1096.  Décret  du  concile  de  Toulouse 
qui  ordonne  une  croisade  contre  les  Maures 
d'Espagne,  1091 .  Croisade  de  Louis  le  Jeune  ; 
ce  prince  en  déclare  le  dessein  ;  il  y  invite 
les  peuples,  1 1 18  ;  saint  Bernard  les  y  exhorte, 
mais  il  refuse  d'en  être  le  chef;  on  en  règle 
la  route  et  on  fixe  le  jour  du  départ,  1119. 
Croisade  contre  les  Albigeois,  1150.  Lettres 
d'Innocent  III  relatives  à  cette  croisade, 
1009. 

CROISÉS.  [Chant  des  croisés,  par  Berthier, 
XIII,  546.]  —  L'empereur  Alexis  Comnène 
dresse  des  embûches  aux  croisés,  436,  et  XIV, 
140.  Ils  écrivent  au  pape  Pascal  II;  réponse 
du  pape,  XIV,  129.  Conduite  des  croisés  en- 
vers les  Juifs,  174.  [Discours  de  Nicétas  ChO' 
niale  sur  les  monuments  détruits  parles  croi- 
sés, 1176.]  Canon  du  premier  concile  géné- 
ral de  Latran  sur  les  croisés,  1096. 
CROIX  DE  JÉSUS-CHRIST.  Divers  témoi- 

II  siècle,     gnages  des  anciens  sur  la  croix  ;  témoignage 

m  siècle,  de  saint  Justin,!,  443;  de  saint  Irénée,  529; 
de  Minutius  Félix,  555  ;  —  de  Tertullien,  II, 
79;  d'Origène,  218,  219.  Autre,  dans  les  ac- 

iVaiècie.  t^s  de  saint  Boniface,  477.  Témoignage  de 
Lactance,  518.  —  Autre,  dans  les  actes  de 
saint  Théodote,  III,  16.  Témoignage  de  Ju- 

IV  siècle.  liusMaternus,312  ; — de  saint  Cyrille  de  Jéru- 
salem, V,  78;  de  saint  Ambroise,  329;  — de 
saint  Jean  Chrysoatômej  VII,  47,  82,  142, 
420  ;  de  saint  Jérôme,  687  ;  —  de  saint  Pau- 
lin, VIII,  72.  [Éloge  de  la  croix,  par  Easèbe 
d'Alexandi'ie,  304.  HoméHe  sur  la  croix  et  la 
transfiguration,  par  Timothée,  prêtre  d'An- 
tioche,386.]  Témoignage  du  poëte  Prudence, 
103  ;  —  de  saint  Augustin,  IX,  311,  767  et 


789,  790  ;  de  saint  Léon  X,  189,  190;  —  de 
Rustique,  diacre  de  Rome,  XI,  301  ;  d'un 
concile  de  Tyr,  821.  —  Mystère  de  la  croix; 
discours  de  saint  Éphrem  sur  la  croix  du 
Sauveur,  VI,  41.  —  Homélie  de  saint  Jean 
Ghrysostome  sur  la  croix  et  le  cimetière, 
VII,  82.  Deux  homélies  de  saint  Jean  Chry- 
sostôme  sur  la  croix  et  le  bon  larron,  82, 83. 
Homélies  sur  la  croix,  attribuées  faussement 
à  saint  Jean  Chrysostôme,  259.  Plusieurs  ho- 
mélies sur  la  croix,  faussement  attribuées  à 
Jean  de  Jérusalem,  502.  —  [Sermon  de  saint 
Augustin  sur  la  croix  et  le  bon  larron,  IX, 
841.]  —  Différents  poëmes  de  Fortanat  en 
l'honneur  de  la  sainte  croix,  XI,  404.  Dis- 
cours de  Marc  l'Ermite  sur  la  croix;  il  est 
encore  manuscrit,  642.  —  Hymne  de  saint 
Théodore  Studite  sur  la  croix,  XII,  309.  Deux 
hvres  de  Raban  Maur  en  l'honneur  de  la 
croix;  idée  de  cet  ouvrage  singulier,  448, 
449.  Poëme  de  Raban  Maur  sur  la  croix,  459. 
Deux  poëmes  en  vers  héroïques  en  l'hon- 
neur de  la  croix,  attribués  à  Milon,  moine  de 
Saint-Amand,  604.  —  Des  louanges  de  la 
sainte  croix,  ouvrage  d'Adelbolde,  évêque 
d'Utrecht,  XHI,  75.  Vers  de  Fulbert  de  Char- 
tres sur  la  sainte  croix,  88.  Sermons  de  saint 
Odilon,  abbé  de  Cluny,  pour  les  fêtes  de  la 
sainte  croix,  133.  Homélie  du  patriarche  Jean 
Xiphilin  sur  la  croix,  338.  —  Traité  de  la 
mesure  de  la  croix,  faussement  attribué  à 
saint  Anselme,  archevêque  de  Cantorbéry, 
XIV,  35.  Sermons  du  vénérable  Hidelbert 
sur  la  sainte  croix,  215.  Livre  d'Arnaud,  abbé 
de  Bonneval,  intitulé  :  Des  sept  paroles  de 
Jésus-Christ  sur  la  croix,  618.  Epigramme 
d'Arnould  de  Lisieux  sur  Jésus-Christ  atta- 
ché à  la  croix,  739.  —  Signe  de  la  croix  ;  té- 
moignage de  Tertullien  sur  l'usage  du  signe 
de  la  croix,  II,  79.  Anciens  témoignages  sur 
l'usage  du  signe  de  la  croix,  518,  630,  III, 
60,  79, 97.— Témoignages  d'Eusèbe  de  Césa- 
rée,  m,  239,  383,388;  —  de  saint  Athanase, 

IV,  228  ;  —  de  saint  Cyrille  de  Jérusalem, 

V,  46,  78;  de  saint  Grégoire  de  Nazianze, 
197, 302  et  328  ;  —  de  saint  Éphrem,  VI,  33, 
36,  41,68,  69  [et  464,  463]  ;  —  de  saint  Jean 
Chrysostôme,  VII,  47,  183,  233,  234,  253, 
420;  de  Rufin  d'Aquilée,  454;  de  saint  Jé- 
rôme, 588  et  687,  688.  —  Vertu  du  signe  de 
la  croix;  témoignage  de  saint  Nil,  solitaire 
du  Sinaï,  VIII,  72  ;  de  saint  Cyrille  d'Alexan- 
drie, 226,  227,  315,  335.  Témoignage  du 
poëte  Prudence,  102  et  106.  —  Témoignage 
de  saint  Augustin,  IX,  767  et  790;  -—  de 


294 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Théodoret,  X,  134.  L'usage  du  signe  de  la 
croix  recommandé  par  saint  Maxime  de  Tu- 
rin, 322.  • —  Signe  de  la  croix  imprimé  sur 
des  pains,  XI,  389.  Usage  fréquent  du  signe 
de  la  croix  chez  les  moines  de  saint  Colom- 
ban,  620.  — Signes  de  la  croix  au  canon  de 
la  messe,  XII,  34.  Signe  de  la  croix  employé 
à  toutes  les  fonctions  ecclésiastiques,  327. 
Manière  de  faire  les  signes  de  la  croix  sur 
des  oblations,  408.  Les  laïques  peuvent  bénir 
la  table  avec  le  signe  de  la  croix,  S83.  Véné- 
ration pour  le  signe  de  la  croix,  recomman- 
dée par  le  concile  Quinisexte,  963.  —  Bois 
de  la  croix  :  témoignage  d'Eusèbe  de  Gésa- 
rée,  qui  peut  regarder  l'invention  de  la  croix, 
m,  223.  —  Témoignage  de  saint  Cyrille  de 
Jérusalem,  V,  78;  de  saint  Ambroise,  329  ; 

—  de  Rufin  d'Aquilée,  VII,  469  et  482,  483; 

—  de  saint  Paulin  de  Noie,  VIII,  71,  72  ;  de 
Sulpice  Sévère,  114,  113;  de  l'historien  So- 
crate,  516;  de  Sozomène,  328  i  —  de  Théo- 
doret, X,  134.  —  Fragment  de  la  vraie  croix 
donné  à  l'église  de  Saint-Pierre  de  Rome  par 
sainte  Hélène,  XII,  573.  —  Parcelle  de  la 
vraie  croix  dans  l'anneau  da  sainte  Macrine, 
VI,  233.  —  Une  parcelle  de  la  vraie  croix 
éteint  un  incendie,  VIII,  93.  —  Un  morceau 
de  la  vraie  croix  envoyé  par  Jean,  évoque  de 
Jérusalem,  à  saint  Avit  de  Vienne,  X,  538. — 
L'empereur  Justin  envoie  à  sainte  Rade- 
gonde  un  morceau  de  la  vraie  croix  qu'elle 
dépose  dans  le  monastère  fondé  par  elle  à 
Poitiers,  XI,  411.  Un  grand  morceau  de  la 
vraie  croix,  conservé  à  Apamée,  est  suivi 
d'une  lumière  miraculeuse  pendant  qu'on  le 
portait  en  procession  dans  l'église,  416.  Huile 
qui  découlait  du  bois  de  la  croix,  512.  La 
sainte  croix  est  emportée  de  Jérusalem  par 
les  Perses,  697.  Portion  de  la  vraie  croix  con- 
servée et  honorée  dans  une  église  de  Cons- 
tantinople,  802.  —  Traité  de  Francon,  éco- 
lâtre  de  Liège,  sur  le  bois  de  la  vraie  croix, 
XIII,  341,  342,  —  Poëme  du  vénérable  Hil- 
debert  sur  l'invention  de  la  sainte  croix,  XIV, 
222.  Trois  livres  de  Bérengaude  sur  le  même 
sujet;  autre  dumêmesurle  mystère  du  bois 
de  la  croix,  238.  Morceau  du  bois  de  la  croix 
donné  à  saint  Bernard,  439.  Discours  d'A- 
lexandre, moine  de  Chypre,  sur  l'invention 
de  la  sainte  croix,  633.  Sermon  deGuillaume 
d'Auvergne  sur  la  fête  de  l'invention  de  la 
sainte  croix,  1027.  —  Culte  de  la  croix  :  té- 
moignage sur  l'adoration  de  la  croix  dans  les 
actes  de  sainte  Euphémie,  III,  30.  — Homé- 
lie sur  l'adoration  de  la  croix,  faussement 


attribuée  à  saint  Jean  Ctirysostôme,  VII,  142. 
Opuscule  faussement  attribué  à  saint  Jean 
Chrysostôme  sur  l'adoration  de  la  croix,  333. 
Témoignage  de  saint  Jérôme  sur  l'adoration 
de  la  croix,  687.  —  Hymne  composée  par 
Fortunat,  XI,  316.  Au  vi"  siècle,  on  adorait 
le  bois  de  la  vraie  croix  le  mercredi  et  le 
vendredi  de  chaque  semaine,  372  et  389.  Il  y 
avait  une  croix  qui  demeurait  en  tout  temps 
sur  l'autel,  389.  La  vénération  que  les  chré- 
tiens ont  eue  pour  la  croix  justifiée  contre  les 
Juifs,  664,  663.  Deux  homélies  de  saint  So- 
phrone  de  Jérusalem  sur  l'exaltation  et  l'ado- 
ration de  la  sainte  croix,  703.  Homélie  de  Pan- 
taléon  sur  l'exaltation  de  la  sainte  croix,  791. 
—  Deux  discours  d'André  de  Crète  sur  cette 
fête,  XII,  37.  Vers  attribués  au  même  sur 
cette  fête,  58.  [Discours  de  saint  Germain, 
patriarche  deConstantinople,  sur  l'adoration 
de  la  croix,  42.]  Doctrine  de  saint  Jean  Da- 
mascène  sur  le  culte  qu'on  doit  aux  images 
de  la  croix,  96.  Discours  de  saint  Théodore 
Studite  sur  l'adoration  de  la  croix  au  milieu 
du  carême,  309.  Le  culte  de  la  croix  défendu 
par  Dungal  contre  Claude  de  Turin,  327. 
Traité  d'Eginhard  surle  culte  de  la  croix,  357. 
Témoignage  de  Jouas,  évêque  d'Orléans, 
sur  le  culte  de  la  croix,  393. Réponse  du  pape 
saint  Nicolas  I"  aux  consultations  des  Bul- 
gares surle  culte  dû  à  la  croix,  588.  —  [Pièce 
de  vers  par  Jean  Scot  sur  le  crucifiement  de 
Jésus-Christ,  XII,  609.  Discours  de  Pierre  de 
Sicile  sur  la  vénération  due  à  la  croix,  624.] 
Homélie  de  David  Nicétas  le  Paphlagonien 
sur  le  culte  dû  à  la  croix,  736.  Discours  de 
Léon  VI  sur  l'exaltation  de  la  croix,  773.  — 
[Hymne  sur  la  sainte  croix,  par  Héribert, 
évêque  d'Eischtœdt,  XIII,  117.)  Le  culte  de 
la  croix  défendu  par  Gérard  de  Cambrai 
contre  les  mépris  des  Manichéens,  162.  Dis- 
cours de  Pierre  Damien  pour  l'exaltation  de 
la  croix,  309.  Témoignage  d'Ulric,  moine  de 
Cluny,  sur  l'adoration  de  la  croix,  473.  — 
Témoignage  de  Pierre  Alphonse,  juif  espa- 
gnol converti,  XIV,  172.  Témoignage  de 
Pierre  le  Vénérable  sur  le  culte  de  la  croix, 
319,  520.  Statut  de  Cluny,  323.  [Éloge  de  la 
croix,  par  Lebert  ou  Egbert,  399.]  Homélies 
de  Théophane  Céraméus  sur  l'exaltation  de 
la  sainte  croix,  653.  [Sermon  de  Nicolas,  se- 
crétaire de  saint  Bernard,  sur  cette  fête, 
736.  Répons  et  leçons  attribués  au  même 
pour  lafêtJ  de  la  croix,  737.  Sermon  d'Alain 
de  Lille  sur  le  mystère  de  la  croix,  870.] 
Sermon  de  Guillaume  d'Auvergne  sur  la 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


293 


même  fête,  1027.  —  Monastères  ou  églises  en 
l'honneur  de  la  sainte  croix  ;  l'église  de  la 
Sainte-Croix  à  Paris,  nommée  depuis  Saint- 
Vincent,  et  aujourd'hui  Saint-Germain-des- 
Prés,  fut  bâtie  par  le  roi  Childebert  et  dédiée 
par  saint  Germain,  évêque  de  Paris  ;  depuis 
quand  elle  porte  le  nom  de  Saint-Germain, 
XI,  309.  Monastère  bâti  à  Poitiers  par  sainte 
Radegonde  en  l'honneur  de  la  sainte  croix, 
315.  —  Capitulaire  de  Louis  le  Débonnaire 
concernant  ce  monastère,  XII,  381.  Lettre 
d'Hincmar  de  Reims  aux  religieuses  de  cette 
abbaye  qui  se  disposaient  à  élire  une  ab- 
besse,  686.  —  Privilège  accordé  au  monas- 
tère de  la  Sainte-Croix  à  Bordeaux,  par  le 
pape  Benoît  IX,  XIII,  196.  L'église  de  Notre- 
Dame  de  Solac  lui  est  adjugée,  puis  récla- 
mée par  l'abbaye  de  Saint-Sever  ;  jugement 
du  légat  Amé  qui  assure  à  l'abbaye  de  Sainte- 
Croix  de  Bordeaux  la  possession  de  l'église 
de  Saint-Michel,  593.  —  L'église  de  Sainte- 
Croix  d'Engle  est  soumise  à  certains  égards 
au  monastère  de  Sainte-Croix  de  Poitiers, 
XIV,  103.  —  Croix  miraculeuses;  croix  lu- 
mineuse qui  apparaît  à  Constantin  et  à  ses 
soldats,  III,  120,  121.  —  Autre  croix  lumi- 
neuse qui  fut  vue  à  Jérusalem,  V,  26.  Diffi- 
cultés sur  la  date  de  cette  apparition,  37  et 
suiv.  Lettre  de  saint  Cyrille  à  Constantin  sur 
ce  prodige,  57.  — Témoignage  de  Sozomène 
sur  ce  prodige,  VIII,  530.  —  Autres  croix 
miraculeuses  au  temps  de  Julien  l'Apostat, 
200,  201,  VI,  330  et  VII,  183.  —  Diverses 
remarques  sur  la  croix  :  croix  sur  le  casque 
de  l'empereur  Constantin  et  sur  le  bouclier 
de  ses  soldats  ;  statue  de  Constantin  tenant 
nue  croix,  III,  131.  Constantin  fait  mettre  la 
figure  de  la  croix  sur  divers  ouvrages  pu- 
blics, 126.  Il  défend  le  supplice  de  la  croix, 
144.  —  Sainte  Macrine  portait  à  son  cou  une 
croix  de  fer,  VI,  252.  —  Les  empereurs  por- 
taient la  croix  sur  le  front,  VII,  183.  Les 
moines  de  saint  Pacôme  portaient  sur  leur 
coule  une  croix  rouge,  490.  —  La  croix  pec- 
torale au  M"  siècle  n'était  pas  un  ornement 
particulier  aux  évêques,  XI,  373.  —  Croix 
plantées  dans  les  campagnes,  devenues  un 
objet  de  superstition,  et  supprimées  par  ordre 
du  concile  de  Soissons,  XIII,  608.  [Hymne  du 
vénérable  Bède  sur  saint  André  devant  être 
dite  près  de  la  croix,  XII,  4.]  Ce  que  c'est  que 
se  tenir àla croix,  107.  Épreuve  de  la  croix  dé- 
fendue par  Charlemagne  et  par  Louis  le  Dé- 
bonnaire, 379.  [Vers  de  Jean  Scot  sur  les 
croix,  609.] 


CROME  (Saint),  prêtre  et  solitaire,  VII, 
485.  —  Visité  par  Pétrone,  X,  161. 

CROMION  (Saint),   martyr  d'Alexandrie,     m  siècle. 
II,  402. 

CRGSOLAN  ouCHRYSOLAN  (Pierre),  ar- 
chevêque de  Milan.  Voyez  Pierre  Grosolan. 

CROSSE,  ou  bâton  pastoral.  Témoignage 
de  l'abbé  Rupert,  XIV,  287.  [Témoignage  ' 
d'Honoré  d'Autun,  296.] 

CROYLAND.  Histoire  de  ce  monastère, 
par  le  moine  Ajo,  XII,  845.  Histoire  de  cette 
abbaye,  continuée  et  compilée  par  l'abbé 
Ingulphe,  XIII,  601,  602.  Plusieurs  terres  850. 
accordées  à  ce  monastère  par  le  roi  Ber- 
tulfe,  682.  Rétablissement  de  cette  abbaye  948. 
par  le  roi  Edrède,  730.  —  L'histoire  de  cette 
abbaye,  continuée  par  Pierre  de  Blois,  XIV, 
783. 

CRUCIFIX  couvert  par  un  ordre  du  ciel, 
XI,  375. 

[CRUCIUS  MAGNUS,  doyen  de  la  faculté  de 
théologie  protestante  àGottingue.  Ses  deux 
dissertations  sur  Macaire  Magnés,  III,  156.] 

[CRUICE  (Ms'),  évêque  de  Marseille.  Son    xix  siècle, 
choix  des  écrits  de  saint  Jean  Chrysostôme, 
Vn,  43.] 

CTÉSIPHON,  à  qui  saint  Jérôme  écrivit        m5. 
contre  les  erreurs  de  Pelage,  VII,  615  et 
suiv. 

CUAU,  près  Clermont  en  Auvergne.  Con- 
cile tenu  à  Cuau,  XIV,  1083. 

CUCUSE,  petite  ville  située  dans  les  dé- 
serts du  mont  Taurus.  Lieu  de  l'exil  de  saint 
Chrysostôme,  VII,  10,  11. 

CUDARUS,  sarrasin ,  à  qui  Manès  écri- 
vit, IV,  343. 

CUENCE  (Saint) ,  martyr  de    Saragosse ,        304. 

ni,  44. 

CUEVERET  (Pierre).  Sa  traduction  fran- 
çaise de  plusieurs  discours  de  saint  Ephrem 
d'Edesse,  VI,  71. 

CUJAS  (Jacques),  jurisconsulte.  Son  édi- 
tion des  œuvres  de  Lactance,  II,  520. 

CDLCIEN,  gouverneur  d'Egypte,  III,  53;        307. 
condamne  à  mort  saint  Philélas  et  saint  Phi- 
lorome,  34,  55. 

CULTE.  Du  vrai  culte.  Sixième  livre  des  ly  siècle. 
lûstitutions  divines  de  Lactance,  II,  501.  ly  siècle. 
Doctrine  de  Lactance  sur  le  culte  de  Dieu, 
508,  509.  —  Doctrine  de  saint  Augustin  sur 
le  culte  des  reliques,  IX,  59,  324  et  suiv.  ; 
sur  le  culte  d.es  idoles,  184, 220  ;  sur  le  culte 
des  saints,  240,  303  ;  sur  le  culte  de  Dieu, 
303. — Doctrine  de  saint  Pierre  Chrysologue 
sur  le  culte  ecclésiastique,  X,  15.  —  Culte 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


296 

de  latrie  et   culte  de  dulie  distingués  par 
Chrétien  Druthmar,  XII,  420. 

CUMANUS  :  poëme  qui  contient  la  des- 
cription de  la  prise  et  du  démantellement  de 
la  ville  de  Côme  par  les  Milanais,  XIII,  507. 

CUM-DIUS  (Laurent).  Son  édition  d'une 
chaîne  sur  Job,  par  Nicétas  d'Héraclès,  XII, 
913. 
vu  siècle.  CUMÉEN,  ou  GUMIAN,  ou  CUMIN,  abbé 
en  Hibernie.  Son  Pénitentiel  qui  a  beaucoup 
de  rapport  avec  celui  de  saint  Colomban,  XI, 
627  et  738.  Lettre  donnée  sous  son  nom  par 
Ussérius.  Edition  de  son  Pénitentiel  ;  [édi- 
tion des  écrits  de  Guméen  dans  la  Patro- 
logie  latine],  738. 

CUMNÉNÉUS  ALBUS,  auleur  d'une  Vie 
de  saint  Colomba,  apôtre  des  Pietés;  lettre 
qui  lui  est  attribuée,  XI,  802. 

CUNÉGONDE  (Sainte),  impératrice,  cou- 
ronnée par  le  pape  Benoît  VIII  (et  non  XII) 
XIII,  64. 

CUNON,  abbé  de  Sibourg,  puis  évêque  de 
Ratisbonne,  à  qui  l'abbé  Rupert  dédie  plu- 
sieurs de  ses  ouvrages,  XIV,  280  et  suiv. 

CUPERT  (Gisbert).  Sa  préface  au  traité 
de  Lactance  :  De  la  Mort  des  persécuteurs, 
II,  521. 

CUPIDITÉ.  Doctrine  de  saint  Augustin;  sur 
la  cupidité,  IX,  451 .  —  Homélie  d'Ambroise 
Autpert,  XII,  124. 

CURÉS,  Témoignage  de  Riculfe,  évêque 
de  Soissons,  sur  les  curés,  XII,  746,  747.  — 
Canons  d'un  concile  d'Allemagne  qui  les 
concernent.  XIII,  606. 

[CURETON,  ministre  anglican,  publie  trois 
letti'es  de  saint  Ignace,  traduites  en  syriaque, 
I,  365,  366;  une  version  syriaque  des  actes 
du  martyre  de  saint  Ignace,  369  ;  plusieurs 
fragments  des  écrits  de  saint  Méliton,  461  ; 
des  fragments  du  livre  du  Destin  de  Barde- 
sane,  469,  l'Histoire  de  l'Église,  par  Jean 
d'Éphèse,  XI,  420  et  suiv.] 

CURIOSITÉ.  Commentaire  de  Jean  Philo- 
ponus  sur  les  quatre  premiers  livres  de  la 
curiosité  naturelle  d'apprendre  les  choses 
secrètes,  XI,  652. 

CUROPALATE  (Jean  Scylitz).  Voyez  Jean 
Scylitz  Curopalate. 

CURTAM,  village  sur  les  bords  de  l'Eu- 
phrale  oh  naquit  saint  Jacques,  évêque  de 
Batna  en  Mésopotamie,  X,  639. 

CURTÉRIUS  ou  COURTIER  (Jean);  son 
édition  des  fragments  du  livre  d'Eusèbe  de 
Césarée  touchant  les  Vies  des  Prophètes,  III, 
256  et  316  (on  doit  lire  Courtier  et  non  Cou- 


tier).  —  Son  édition  du  commentaire  de 
Procope  de  Gaza  sur  le  prophète  Isaïe,  avec 
une  traducfion  latine,  XI,  179. 

CUSAN,  abbaye.  Lettre  d'Aliba,  évêque 
de  Vie,  aux  moines  de  Cusan.  Concile  qui  y 
fut  tenu,  XIII,  122.  [Ouvrage  du  moine  Gar- 
cia sur  ce  monastère,  348.] 

CUTHBERT  (Saint),  évêque  de  Lindis- 
farne.  Sa  Vie  écrite  par  le  Vénérable  Bède, 

XII,  6.  —  Il  fut  élu  au  concile  de  Twifort  ; 
il  fallutle  contraindre  à  accepter  l'épiscopat, 

XIII,  618.  Lettre  de  Thomas,  archevêque 
d'York  sur  un  miracle  opéré  par  son  inter- 
cession, 547. 

CUTHBERT,  archevêque  de  Cantorbéry. 
Lettre  que  lui  écrit  saint  Boniface,  XII,  51, 52. 

CUTHBERT  ou  Eathbert,  abbé  de  Jarou, 
un  des  disciples  du  Vénérable  Bède.  Comment 
il  raconte  sa  mort.  Il  devient  abbé  de  Wire- 
mouth  et  de  Jarou,  XII,  2.  Il  est  l'auteur 
de  la  Vie  de  Bède,  3  ;  fut  secrétaire  du  Vé- 
nérable Bède,  les  dernières  années  de  sa 
vie.  Analyse  de  la  lettre  où  il  raconte  les 
circonstances  de  la  fin  de  la  vie  de  Bède.  Il 
succède  à  Huetbert  dans  les  abbayes  de 
Wirmouth  et  de  Jarou.  Ses  liaisons  avec 
Lulle,  disciple  de  saint  Boniface.  Lettre  qu'il 
lui  écrit,  63.  Ses  autres  écrits  n'ont  pas  été 
imprimés,  64.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Lulle, 
132.  , 

CUTHWIN,  disciple  du  Vénérable  Bède. 
Lettre  que  lui  écrit  Guthbert  sur  la  mort  du 
Vénérable  Bède,  XH,  63. 

CUYCK  (Henri),  évêque  de  Ruremonde. 
Ses  notes  sur  les  œuvres  de  Cassien,  VIII, 
204. 

CYANEUS  [et  non  Cyanous]  (Louis).  Sa 
traduction  française  de  l'Histoire  tripartite 
de  Cassiodore,  VHI,  524,  et  XI,  254. 

CYBÈLE,  mère  des  dieux.  Saint  Théo- 
dore, soldat,  met  le  feu  au  temple  de  cette 
déesse,  III,  45. 

CYCLE  PASCAL  de  saint  Hippolyte,  I, 
628  et  suiv;  —  de  saint  Anatole  de  Laodicée, 

II,  434.  —  Cycle  attribué  à  Eusèbe  de  Cé- 
sarée et  autorisé  par  le  concile  de  Nicée, 

III,  428.  [Ce  cycle  n'est  pas  de  l'invention 
d'Eusèbe,  250,  note  1.]  —  [Cj^cle  pascal, 
mieux  connu  par  les  lettres  pascales  de  saint 
Athanase,  IV,  166.]  —  Cycle  composé  par 
Théophile  d'Alexandrie,  VII,  442,  443.— 
Cycle  de  Rome,  cycle  d'Alexandrie  :  variété 
entre  ces  deux  cycles  sur  le  temps  de  Pâques, 
X,  170  et  176.  Cycle  de  Victorius  :  à  quelle 
occasion  il  fut  dressé,  176  et  340.  Quand  il 


VIII  siècle. 


VIII  siècle. 


380. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


297 


ne. 


fut  publié,  176,  335  et  340.  Ce  que  c'est  que 
ce  cycle,,  340.  Le  quatrième  concile  d'Or- 
léans ordonne  que  la  fête  de  Pâques  soit 
célébrée  selon  ce  cycle,  340,  et  XI,  860. 
[Fragment  de  l'ouvrage  de  Victor  de  Capoue 
sur  le  cycle  pascal,  305.]  —  Commentaire 
d'Abbon  de  Fleury  sur  ce  cycle,  XllI,  33. — 
Cycle  attribué  à  saint  Prosper  d'Aquitaine, 
X,  313.  —  Cycle  de  95  ans,  composé  par 
Denis  le  Petit;  cycle  de  532  ans,  composé 
par  Denis  le  Petit,  XI,  123.  —  Abbon  de 
Fleury  entreprend  de  le  corriger,  XIII,  33. 
—  Cycle  de  Victor  de  Capoue,  XI,  305  ;  de 
Métrodore.  Il  est  attaqué  entre  autres  par 
un  anonyme  qui  le  réfute,  644.  Cycle  pascal 
donné  par  le  P.  Pétau,  sous  le  nom  de  saint 
Maxime,  abbé  de  Chrysopolis,  767.  —Cycle 
d'André  de  Crète,  XII,  58  ;  de  saint  Jean 
Damascène,  83.  Cycle  solaire  et  lunaire  de 
Georges,  évéque  des  Arabes,  102.  —  Cycle 
d'Abbon  de  Fleury,  XIII,  33  et  35  ;  d'Oliva, 
moine  ou  abbé  de  Notre-Dame  de  Ripouil, 
123.  Cycle  lunaire  et  solaire  de  Pandulphe, 
moine  du  Mont-Cassin,  496.  Livre  d'ArnoI, 
moine  de  Saint  Matthias  de  Trêves,  sur  le 
cycle  pascal,  562. 

CYLINNIUS,  évêque  des  Gaules.  Rétrac- 
tation de  Léporius,  prêtre  d'Hippone,  adres- 
sée à  Proculus  et  à  Cylinnius,  évoques  des 
Gaules,  VIII,  233,  234.  Lettre  de  saint  Au- 
gustin à  Proculus  et  à  Cylinnius  touchant 
Léporius,  236. 

CYMACE,  évêque  de  Gabales  ou  peut- 
être  de  Palte,  IV,  244. 

CYNÉGIDS,  préfet  du  prétoire  ;  rescrit 
que  lui  adresse  l'empereur  Théodose,  V, 
154.  —  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Grégoire 
de  Nysse,  VI,  219. 

CYNÉGIDS,  enterré  dans  l'église  de 
Saint-Félix  de  Noie,  VIII,  63. 

CYNÉ6IUS  (comte),  à  qui  Firmus  de  Cé- 
sarée  en  Cappadoce  adresse  une  de  ses  let- 
tres, X,  150. 

GYNÉTU.  Voyez  Maurice,  roi  de  Clamor- 
gan. 

CYNOCÉPHALES,  monstres  qu'on  préten- 
dait avoir  une  tête  de  chien.  Lettre  de  Ra- 
tramne  sur  ce  sujet,  XII,  568. 

CYPRIEN  (Saint),  docteur  de  l'Église, 
évêque  de  Cartbage  et  martyr.  Histoire  de 
sa  vie,  sa  patrie,  sa  famille,  II,  257.  Quel  il 
était  avant  sa  conversion,  257  et  258.  Con- 
version de  saint  Cyprien.  Changement  que 
le  baptême  fait  en  lui,  258,  259.  Il  embrasse 
la  continence,  donne  son  bien  aux  pauvres. 


Ses  études,  259,  260.  Il  est  fait  prêtre  et  en- 
suite évêque  de  Cartbage,  260,  261.  Sa  con- 
duite dans  l'épiscopat,  261.  11  fuit  la  persé- 
cution et  se  retire  par  l'ordre  de  Dieu.  Il  est 
proscrit,  261  et  262.  Sa  vigilance  dans  sa 
retraite  pour  le  gouvernement  de  son  Église, 
262.  Schisme  de  Félicissime,  262  et  263. 
Saint  Cyprien  retourne  à  Cartbage  où  il 
tient  un  concile,  263.  Paix  rendue  à  l'Église. 
Retour  des  confesseurs  schismatiques  à  l'u- 
nité, 263  et  264.  Saint  Cyprien  tient  à  Car- 
tbage un  nouveau  concile,  264.  Persécution 
de  Gallus.  Conduite  de  saint  Cyprien  dans 
cette  persécution,  264  et  265.  Charité  de 
saint  Cyprien  durant  la  peste  ;  il  tient  divers 
conciles,  265.  Son  exil,  265  et  266.  Son  re- 
tour. Il  se  cache  pour  pouvoir  mourir  à  Car- 
tbage, 266.  Son  martyre,  266,  267.  Eloge  que 
les  anciens  ont  donné  à  saint  Cyprien,  267, 

268.  Catalogue  de  ses  ouvrages,  268.  Ecrits 
de  saint  Cyprien,  268  et  suiv.  Livre  àDonat, 

269,  270.  Epoque  où  il  fut  écrit,  270.  Ana- 
lyse de  ce  livre,  271  Traité  de  la  vanité  des 
idoles,  271  et  suiv.  [Note  sur  ce  traité,  270 
note  2.]  Analyse  de  ce  traité,  272  et  suiv. 
Les  idoles  ne  sont  pas  des  dieux.  Dieu  est 
un,  272.  Jésus-Christ  est  Dieu  et  auteur  de 
notre  salut,  271  et  272.  Les  trois  livres  des 
Témoignages  de  l'Écriture  à  Quirin  contre  les 
Juifs,  271  et  suiv.  Ces  livres  à  Quirin  sont 
de  saint  Cyprien  :  en  quel  temps  il  les  écrivit, 
271,  272.  [Jugement  sur  ces  livres,  271, 
note  4.  ]  Analyse  du  premier  livre  ;  du 
deuxième,  et  du  troisième,  272.  Traité  de 
la  Conduite  des  vierges,  273,  274.  [Juge- 
ment sur  ce  livre,  274.]  En  quel  temps  saint 
Cyprien  a  écrit  ce  traité,  273.  Analyse  de  cet 
ouvrage,  273  et  274.  Traité  de  l'Unité  de 
l'Église  catholique,  274  et  suiv.  En  quel 
temps  saint  Cyrien  l'a  écrit,  274,  275.  Ana- 
lyse de  ce  traité,  275,  276.  [Jugement  sur 
ce  livre,  276,  note  1.]  Traité  de  Ceux  qui 
étaient  tombés  dans  la  persécution,  276  et 
suiv.  En  quel  temps  il  a  été  écrit,  276,  277. 
Analyse  de  ce  livre.  277  et  suiv.  [Jugement 
sur  ce  livre,  278,  note  2.]  Traité  de  l'Oraison 
dominicale,  279  et  suiv.  Quel  est  le  mérite 
de  cet  ouvrage.  En  quel  temps  il  a  été  écrit, 
279.  Analyse  de  ce  traité,  279  et  suiv.  [Juge- 
ment sur  ce  hvre,  281,  note  2.]  Traité  de  la 
Mortalité,  281  et  suiv.  En  quel  temps  il  a  été 
écrit,  281,  282.  Analyse  de  ce  livre,  282, 
283.  [Jugement  sur  ce  livre,  283,  note  2.] 
Exhortation  au  martyre,  283  et  suiv.  En  quel 
temps  écrite,  283,  284.  Elle  est  bien  de  saint 


248. 
250. 


251. 


252. 


Depuis  253 

jusqa'en256. 
257. 
258. 

258. 


250. 


V.  2H  ou 

248. 


V.  247. 


251. 


251. 


V.  252. 


V.  252  ou 
253. 


252. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


298 

Cyprien,  284.  Analyse  de  cette  Exhortation, 
284  et  285.  [Jugement  sur  le  chapitre  cin- 
quième, 283,  note  3.]  Traité  Contre  Démé- 

252.  trius,  païen,  283  et  suiv.  En  quel  temps  il  a 
été  écrit,  283.  Quel  était  ce  Démétrius,  285 
et  286.  Analyse  de  ce  traité,  286,  287.  [Ju- 
gement sur  ce  livre,  287,  note  i .]  Traité  de 

253.  l'Aumône,  287  et  suiv.  En  quel  temps  il  a  été 
écrit,  287,  288.  Analyse  de  ce  traité,  288, 
289.  Traité  du  Bien  de  la  Patience,  289  et 

256.  suiv.  En  quel  temps  saint  Cyprien  l'a  écrit, 
289,  290.  Analyse  de  ce  traité,  290,  291.  [Ju- 
gement sur  ce  livre,  291,  note  1.]  Traité  de 

256.  la  Jalousie  et  de  l'Envie,  291,  292.  En  quel 
temps  il  a  été  écrit,  291.  Analyse  de  ce 
traité,  291  et  292.  [Jugement  sur  ce  livre, 
292,  note  5.]  Lettres  de  saint  Cyprien,  293 
et  suiv.  ;  à  l'Église  de  Furnes,  292,  293  ;  à 
Eucrace,  293  ;  à  Rogatien,  293  et  294  ;  à 
Pompone,  294  ;  à  son  clergé,  294  et  295  ;  à 
Sergius,  à  Rogatien  et  aux  autres  confes- 
seurs; à  son  clergé,  293.  Lettres  du  clergé 
de  Rome  à  saint  Cyprien  et  au  clergé  de 
Carthage.  Lettre  de  saint  Cyprien  au  clergé 
de  Rome,  296.  Autre  lettre  aux  martyrs  et 
aux  confesseurs,  297.  Troisième  lettre  à 
son  clergé,  297  et  298;  autre,  298;  à  Ro- 
gatien et  aux  autres  confesseurs;  à  son 
clergé ,  298  et  299  ;  aux  martyrs  et  aux 
confesseurs,  299,  300  ;  à  son  clergé,  300, 
301  ;  à  son  peuple ,  301  ;  à  son  clergé , 
301  et  302;  à  son  clergé,  302,  303;  au 
clergé  de  Rome,  303.  Lettre  de  Célerin 
à  Lucien,  303  et  304  ;  de  Lucien  à  Célerin  ; 
lettre  des  confesseurs  à  saint  Cyprien,  304, 
Lettre  de  Caldone  à  saint  Cyprien,  304  et 
303;  de  saint  Cyprien  à  Caldone;  de  saint 
Cyprien  à  son  clergé,  303  ;  au  clergé  et  aux 
confesseurs  de  Rome  ;  à  son  clergé,  303  et 
306  ;  du  clergé  de  Rome  à  saint  Cyprien, 
306,  307.  Lettres  des  confesseurs  de  Rome 
à  saint  Cyprien  et  de  saint  Cyprien  à  son 
clergé,  307,  308.  [Observations  sur  quelques 
expressions  de  D.  Geillier  sur  cette  lettre, 
308,  note  1.]  Lettre  de  saint  Cyprien  aux 
tombés,  308;  à  son  clergé  et  à  celui  de 
Rome,  309.  Lettre  du  clergé  de  Rome  à  saint 
Cyprien,  309  ;  de  saint  Cyprien  aux  confes- 

251.  '  seurs  de  Rome,  309  et  310.  Trois  lettres  de 
saint  Cyprien  à  son  clergé  et  à  son  peuple, 
310, 111  ;  à  Caldone,  au  sujet  de  Félicissime, 
et  réponse  de  Caldone;  à  son  peuple,  311; 
au  pape  saint  Corneille,  311  et  312.  Lettre 
de  saint  Cyprien  aux  confesseurs  de  Rome 
et  à  saint  Corneille,  312,  313.   Lettres  de 


saint  Corneille  à  saint  Cyprien,  et  de  saint 
Cyprien  à  saint  Corneille,  et  des  confesseurs 
de  Rome  à  saint  Cyprien,    313,    Lettres  de 
saint  Cyprien  à  Antonien,  313  et  suiv.;  à  For- 
tunat,  316.  Lettre  de  saint  Cyprien  et  des 
pères  du  concile  de  Carthage   à  un  évêque 
nommé  Fidus  et  à  saint  Corneille,   316  et 
317.   Letttre  de  saint    Cyprien  au  peuple 
d'Assurés  et  à  Epictète  leur  évêque,  318  ; 
aux  Thibaritains,  318,  319  ;  à  saint  Corneille, 
au  sujet  du  schisme  de  Félicissime,  319  et 
suiv.  [Jugement  sur  cette  lettre,  321,  note  1.] 
Lettre  de  saint  Cyprien  à  saint  Corneille  pour 
le  féliciter  à   l'approche  de  son  martyre, 
321,  322;  à  saint  Luce,    élu  pape  après  le 
martyre  de  saint  Corneille,  322,    323;    aux 
évêques  de  Numidie,  333  ;  à  Cécilius  évêque 
en  Afrique,  333  et  suiv.  ;   à  Puppien,  323, 
326;  aux  peuples  de  Léon  et  de  Mérida,  326; 
au  pape  saint  Etienne  au  sujet  de  Marcien 
évêque  d'Arles,  326  et  327  ;  à  Magnus,  sur 
le  baptême  donné  par  les  hérétiques,  327  et 
suiv.;  aux  évêques  de  Numidie  et  àQuintus, 
sur  le    même  sujet,    329;   au  pape   saint 
Etienne,  sur  le  même  sujet,   329   et  suiv. 
Lettre  à  un  évêque  nommé    Jubaïen,   sur 
le   même  sujet,  332  et  suiv.;  à  Pompée, 
aussi  évêque,  sur  le  même  sujet,  334,  333. 
Lettre  de  Firmilien  à  saint  Cyprien,  à  l'oc- 
casion de  la  question  du  baptême,   335  et 
suiv.  Lettre  de  saint  Cyprien  aux  confes- 
seurs qui  étaient  dans  les  mines,    338.  Ré- 
ponse des  martyrs,  338  et  339.  Lettre  de  saint 
Cyprien  à  Successus,  339.  Dernière  lettre  à 
son  clergé,  339  et  340.  Lettres  perdues,  340, 
341.  Ecrits  qui  lui  sont  attribués  faussement, 
341  et  suiv.  Traité  des  Spectacles,  341,  342. 
Traité  du  Bien  de  lapudicité,  342.  Traité  de 
la  Louange  du  martyre,  342  et  343.  Traité 
Contre  Novatien,  343.  Traité  Contre  la  réité- 
ration du  baptême,  343  et  suiv.  Traité  Contre 
le  jeu  de  dés.  Traité  des  Montagnes  de  Sinaï 
et  de  Sion.  Oraisons.  Traité  des  douze  ac- 
tions cardinales  de  Jésus-Christ,  346.  [Poëme 
à  Félix   sur  la  résurrection,   347.]  Traité  de 
la  Singularité  des  clei'cs,  344.  Autres  écrits, 
347  et  348.  [Trois  lettres  attribuées  à  saint 
Cyprien  par  Baluze  et  D.  Maran,  340,  n.  3. 
Exhortation  à  la  pénitence  publiée  par  Trom- 
beUi.  Il  n'est  pas  sûr  qu'elle  soit  de  saint 
Cyprien,  343.]  Doctrine  de  saint  Cyprien,  348 
et  suiv.  ;  sur  l'Ecriture  sainte,  348,  349  ;  sur 
la  tradition,   349,    330;   sur  la  vérité  de  la 
religion  chrétienne,  350;  sur  l'existence  d'un 
Dieu  en  trois  personnes,  330  et  351  ;   sur 


252. 


352. 
253. 


254. 


255. 


256. 


256. 


257. 


258. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


299 


l'Incarnation  du  Verbe,  les  deux  natures  en 
Jésus-Christ  et  le  fruit  de  sa  médiation,  351; 
sur  l'intercession  des  saints,  le  ministère 
des  anges,  la  cause  de  leur  chute,  351  ;  sur 
les  divers  états  de  l'homme  après  la  mort, 
la  prière  pour  les  morts  et  le  lieu  de  leur 
sépulture,  331,  352;  sur  le  péché  originel  et 
le  péché  actuel  ;  sur  la  nécessité  et  la  force  de 
la  grâce,  et  sur  le  libre  arbitre,  352  et  suiv.  ; 
sur  l'Église,  335  et  suiv.  ;  sur  l'Église  de 
Rome,  357  et  suiv.;  sur  les  évêques,  359  et 
suiv.  ;  sur  les  prêtres,  les  diacres  et  autres 
clercs,  362, 363;  sur  le  baptême,  363  et  suiv.; 
sur  la  confirmation,  363,  366;  sur  l'Eucha- 
ristie, 366  et  suiv.;  sur  la  pénitence,  369  et 
suiv.;  sur  l'excommunication,  373;  sur  l'au- 
mône et  la  prière,  373  et  suiv.;  sur  le  schisme 
et  l'hérésie,  376,  376;  sur  les  indulgences,  le 
vœu  de  virginité  et  les  martyrs,  376  et  suiv.; 
sur  les  biens  de  l'Église,  l'emploi  qu'on  en 
faisait,  le  soin  des  malades,  la  dîme  et  les  vi- 
sions accordées  aux  fidèles,  etc.,  378,  379. 
Eloge  de  saint  Cyprien.  Jugement  sur  ses 
écrits,  379  et  suiv.  Son  erreur  sur  le  bap- 
tême des  hérétiques,  381,  382.  [Ce  qu'il  faut 
penser  de  la  résistance  de  saint  Cyprien  au 
pape  saint  Etienne,  381,  note  3.  Quelques- 
uns  nient  l'authenticité  de  cette  controverse 
et  des  pièces  qui  s'y  rapportent.  Voyez  en 
particulier  l'ouvrage  paru  à  Rome  en  1862 
sous  ce  titre  :  La  célèbre  contesa  fra  san  Ste- 
fano  et  san  Cypriano.  L'auteur  est  M^'  Tie- 
sani,  archevêque  de  Nisibe.  M.  Bouix  en  a 
rendu  compte  au  tome  VIP  de  la  Revue  des 
sciences  ecclésiastiques.]  Éditions  latines  des 
œuvres  de  saint  Cyprien,  382  et  suiv.;  édi- 
tions françaises,  384,  385.  [Éditions  et  tra- 
ductions récentes  des  œuvres  de  saint  Cy- 
prien, 385.]  Vie  de  saint  Cyprien,  écrite  par 
saint  Ponce,  383  et  383,  386.  Actes  du  mar- 
tyre de  saint  Cyprien,  386.  Vies  de  saint  Cy- 
prien par  D.  Prudent  Maran  et  par  D.  Ger- 
vaise,  386  et  387.  [Autres  vies  de  saint  Cy- 
prien, 386,  note  3.]  Lettres  écrites  à  saint 
Cyprien  par  saint  Corneille,  pape,  127  et 
suiv.  Conciles  de  saint  Cyprien  sur  le  bap- 
tême des  hérétiques,  544  et  suiv.  —  On  a 
confondu  saint  Cyprien  de  Carthage  avec 
saint  Cyprien,  martyr  d' An  tioche,  238  etlll, 
96.  —  Témoignage  de  saint  Pacien  sur  saint 
Cyprien,  V,  170.  Saint  Grégoire  de  Nazianze 
parait  avoir  confondu  saint  Cyprien  de  Car- 
thage avec  le  saint  martyr  d'Antioche,  212. 
Témoignage  de  saint  Grégoire  de  Nazianze 
sur  saint  Cyprien,  348.  — Pelage  imite  un 


des  livres  de  saint  Cyprien,  VIT,  542.  Postu- 
mien  va  à  Carthage  visiter  le  tombeau  de 
saint  Cyprien,  VIII,  120.  Hymne  du  poëte 
Prudence  en  l'honneur  de  saint  Cyprien, 
102.  — Sermon  de  saint  Augustin  sur  ce  saint 
martyr,  IX,  241,  [841.  Son  éloge  par  saint 
Augustin,  831.]  [Sermon  sur  saint  Cyprien, 
faussement  attribué  à  saint  Augustin,  835. 
Sermon  de  saint  Augustin  pour  la  fête  de  ce 
saint  martyr,  836.]  Témoignages  que  saint 
Augustin  rend  à  saint  Cyprien,  387,  486, 
489,490,532,  634  et  792.— Sermon  sur  saint 
Cyprien  parmi  ceux  de  saint  Pierre  Chryso- 
logue,  X,  8  et  13.  Homélie  à  sa  louange, 
par  saint  Maxime  de  Turin,  322,  Autres  at- 
tribuéesau  même  auteur.  323,  323.  Homélie 
en  l'honneur  de  saint  Cyprien  attribuée  à 
Victor  de  Vite,  463.  Vers  à  sa  louange  par 
Ennode,  376.  —  Sermon  de  saint  Fulgence 
de  Ruspe  à  l'honneur  de  ce  saint,  XI,  70. 
Témoignage  de  Cassiodore  sur  saint  Cyprien, 
232.  Sa  vie,  ou  les  actes  de  son  martyre  at- 
tribués à  Paul,  diacre,  XII,  144.  Description 
en  vers  de  la  translation  des  reliques  de 
saint  Cyprien,  de  saint  Spérat  et  saint  Pan- 
taléon.  Ouvrage  d'Agobar,  archevêque  de 
Lyon,  378.  Poëme  de  Florus,  prêtre  de  l'É- 
glise de  Lyon,  sur  les  reliques  de  saint 
Cyprien,  490,  491. 

CYPRIEN  (Saint),  auteur  d'un  poëme  sur 
la  résurrection,  à  la  suite  des  œuvres  de 
Tertullien.  Voyez  les  Dictionnaires  de  Moréri. 

CYPRIEN  (Saint),  évêque  d'Antioche,  III,  304. 
96  et  suiv.  — On  l'a  confondu  avec  saint  Cy- 
prien, évêque  de  Carthage,  11,  238  et  III,  96. 
—  En  quel  temps  il  faut  placer  son  martyre  ; 
histoire  de  sa  vie,  III,  96  et  suiv.  Histoire  de 
sainte  Justine,  97  et  suiv.  Conversion  de  Cy- 
prien, 97.  Il  reçoit  le  baptême  ;  il  est  fait 
évêque  d'Antioche,  98.  Martyre  de  saint  Cy- 
prien et  de  sainte  Justine,  98  et  99.  —  Ou- 
vrages attribués  à  ce  saint  martyr,  II,  346, 
347.  —  Discours  de  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze en  l'honneur  de  ce  martyr,  V,  212, 
213.  —  Leur  histoire  écrite  en  vers  par  l'im- 
pératrice Eudoxie,  VIII,  475. 

CYPRIEN,  prêtre.  Lettre  que  lui  écrivit        399, 
saint  Jérôme,  VH,  562. 

CYPRIEN,  diacre,  porte  une  lettre  de 
saint  Augustin  à  saint  Jérôme,     ,  628,  629. 

CYPRIEN,  évêque  chassé  de  l'Afrique,  re- 
commandé par  Théodoret  à  Ibas  ,  évêque 
d'Édesse,  X,  67. 

CYPRIEN,  évêque  de  Bordeaux,  assiste  au        soe 
concile  d'Agde,  X,  736. 


300 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


594. 


VIU  siècle. 


314. 


CYPRIEN,  évêque  de  Toulon,  écrit  la  vie 
de  saint  Césaire  d'Arles,  XI,  128.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  m,  p.  237  et  suiv.) 

CYPRIEN,  diacre,  recteur  du  patrimoine 
de  Sicile.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  saint 
Grégoire  le  Grand,  XI,  499,  500. 

CYPRIEN,  arcliiprêtre  de  Cordoue  en  Es- 
pagne. Ses  épigrammes,  XII,  803  [et  523]. 

CYPRIEN  (Salomon-Ernest).  Son  édition 
du  livre  de  Gennade  des  Écrivains  ecclésias- 
tiques, X,  601. 

[CYPRIEN,  moine  du  Mont-Cassin.  Son 
hymne  pour  la  fête  de  saintBenoit,  XII,  105.] 

CYR,  ville  de  la  Syrie  Euphratésienne, 
dont  Théodoret  est  fait  évêque  ;  témoignage 
avantageux  que  Théodoret  rend  à  ses  habi- 
tants, Xj  19.  Il  y  fait  bâtir  une  église  et  plu- 
sieurs édifices  publics,  20.  Scandale  arrivé 
dans  une  ville  que  l'on  croit  être  Cyr,  79. 

CYR  et  JEAN  (Saints),  martyrs.  [Leurs ac- 
tes, m,  61,  62.]  — Traduits  en  latin;  on  en  at- 
donne  la  traduction  à  Anastase  le  Bibliothé- 
caire, XII,  715.  [Le  cardinal  Maï  les  a  publiés 
plus  au  long,  715.] 

CYR  (Saint)  et  JULITTE  (sainte),  mar- 
tyrs. Leurs  actes,  III,  42  et  suiv.  Relation 
des  miracles  qui  s'opéraient  par  leurs  reli- 
ques, écrite  par  Tétérius  ;  il  n'en  reste  que 
la  préface,  XI,  400.  [Leur  éloge  et  leurs  mi- 
racles, par  saint  Sophrone  de  Jérusalem, 
707.  Deux  autres  traités  du  même  sur  ces 
martyrs,  708.]  —  Histoire  de  leur  martyre, 
par  Hucbald,  moine  de  Saint-Amand,  XII, 
801.  —  [Leur  Passion,  d'après  Pierre  deNa- 
ples,  XIII,  602.]  —  Les  Actes  de  leur  mar- 
tyre, par  PhiUppe  de  Bonne-Espérance;  His- 
toire de  la  translation  de  saint  Cyr  ou  Cyric 
au  monastère  de  Saint-Amand,  par  le  même, 
XIV,  687. 

CYR  (Saint),  évêque  de  Carthage,  IX,  561. 

CYRE  (Sainte),  compagne  de  sainte  Ma- 
rane  dans  ses  austérités  ;  sa  Vie,  par  Théo- 
doret, X,  63,  64. 

CYRÉNIUS,  duc,  gouverneur  de  Péluse, 
VIII,  483. 

CYRIAQUE  (Saint),  martyr.  Monastère 
fondé  en  son  honneur  à  Constantinople,  X, 
345.  —  Répons  pour  son  office,  composés 
par  le  cardinal  Humbert  et  notés  par  le  pape 
saint  Léon  IX,  XllI,  212. 

CYRIAQUE  (Saint),  martyr.  Voyez  Domi- 
nique, surnommé  Cyriaque. 

CYRIAQUE,  diacre,  légat  du  pape  saint 
Sylvestre  au  concile  d'Arles,  II,  628. 


CYRIAQUE,  homme  distingué  de  la  ville        372. 
de  Tarse,  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Basile 
le  Grand,  IV,  451. 

CYRIAQUE,  l'un  des  quatre  prêtres  d'An-        «s. 
tioche  auquel  saint  Jean  Chrysostôme  écrit 
une  lettre,  VII,  133. 

CYRIAQUE,  évêque  de  Synnade.  Lettres        M*. 
que  lui  écrivit  saint  Chrysostôme,  VII,  133,  i 

134. 

CYRIAQUE,  diacre,  porteur  d'une  lettre 
du  pape  saint  Innocent,  VII,  513. 

CYRIAQUE,  sous-diacre  de  la  Macédoine, 
VII,  516. 

CYRIAQUE,  évêque  de  Thessalie,  excom- 
munié par  le  pape  Boniface,  VIII,  19. 

CYRIAQUE,  évêque  de  Lodi  au  concile  de 
Milan,  X,  681. 

CYRIAQUE,  diacre  au  concile  de  Chalcé- 
doine,  chargé  d'avertir  les  évêques  de  s'as- 
sembler, X,  684. 

CYRIAQUE,  abbé  de  Saint-André  à  Rome, 
contribue  à  la  conversion  des  Barbaricins, 
XI,  436  et  497.  [Une  faute  d'impression  l'a 
confondu  à  tort  dans  la  table  du  onzième 
volume  avec  le  suivant.] 

CYRIAQUE,  patriarche  de  Constantinople,  595. 
successeur  de  Jean  le  Jeûneur,  prend  comme 
lui  le  titre  d'évêque  œcuménique,  XI,  436, 
437.  Il  en  est  dépouillé  par  l'empereur  Pho- 
cas,  440.  Il  fait  part  de  son  élection  au  pape  596. 
saint  Grégoire;  lettres  que  ce  pape  lui  écrit 
à  ce  sujet,  506,  507  et  531.  [La  table  du  on- 
zième volume,  par  une  faute  d'impression, 
le  confond  à  tort  avec  le  précédent.] 

CYRIAQUE,  évêque  de  Carthage.  Lettre       lovs. 
que  lui  écrit  le  pape  saint  Grégoire  VII,  XIII, 
353 

CYRILLA,  patriarche  des  Ariens  en  Afri- 
que. Personnage  qu'il  joue  à  la  conférence 
indiquée  par  le  roi  Hunéric,  X,  455  et  722. 
Il  fait  rebaptiser  plusieurs  personnes  contre 
leur  gré,  461. 

CYRILLA,  nourrice  de  saint  Benoît,  XI, 
156. 

CYRILLE  (Saint),  martyr,  III,  83. 

CYRILLE  (Saint),  diacre,  martyr  à  Hélio- 
polis, près  le  mont  Liban,  III,  402  et  X,  46. 

CYRILLE,  évêque  en  Arménie,  IV,  369. 

CYRILLE  (Saint),  archevêque  de  Jérusa- 
lem, docteur  de  l'Église,  V,  2S  et  suiv.  His- 
toire de  sa  vie,  25.  Saint  Cyrille  né  à  Jéru-        3i5. 
salem,  25,  26.  Ses  études  ;  il  est  ordonné      v.  346. 
prêtre;  élu  archevêque  de  Jérusalem,  26.     350et35i. 
Déposé  par  Acace  de  Césarée,  26  et  27.  Il    357  ou  358. 
appelle  de  la  sentence  de  déposition,  27.  Il 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


301 


est  rétabli  dans  le  concile  de  Séleucie,  27  et 
360.        28.  Il  est  dépose  de  nouveau  dans  le  concile 
362.        de  Constantinople  ;  il  est  rappelé  sous  Ju- 
lien; ce  qui  se  fit  de  son  temps  pour  le  réta- 
367.        blissement  du  temple  de  Jérusalem  ;  il  est 
chassé  de  son  Église  par  les  Ariens  sous  Va- 
378.        lens,  28.  Il  est  rappelé  par  Gratien  ;  il  tra- 
vaille au  rétablissement  de  la  paix  et  des 
381.        mœurs  dans  son  Église,  29.  Il  assiste  au  con- 
386.        cile  de  Constantinople,  29  et  30.  Sa  mort; 
Catalogue  de  ses  écrits,  30.  Ses  Catéchèses; 
authenticité  de  ces  Catéchèses;  elles  sont  de 
saint  Cyrille,  30  et  suiv.  Première  preuve  de 
leurauthenticité,  30, 31. Seconde  preuvetirée 
du  lieu  où  ces  Catéchèses  ont  été  prêchées, 
31, 32.  Troisième  preuve  tirée  du  témoignage 
des  anciens,  33,  34.   Les  cinq  Catéchèses 
mystagogiques  sont  de  saint  Cyrille,  34,  35. 
Réponse  aux  objections  contre  les  dix-huit 
catéchèses,  33,  36.  Réponse  aux  objections 
contre  les  catéchèses  mystagogiques,  34,  35. 
Analyse  des  dix-huit  catéchèses  de  saint  Cy- 
rille, 35  et  suiv.  Analyse  delà  préface  de  ces 
catéchèses,  35.  Analyse  de  la  première  ca- 
téchèse, 35  et  36;  de  la  deuxième;  de  la 
troisième,  36;  de  la  quatrième,  36  et  suiv.; 
de  la  cinquième,  38,  39  ;  de  la  sixième,  39, 
40;  de  la  septième  ;  de  la  huitième,  40;  de 
la  neuvième,  40  et  suiv.;  de  la  dixième,  42, 
43;  de  la  onzième,  43;  de  la  douzième,  43 
et  suiv.;  de  la  treizième,  45,  46;  de  la  qua- 
torzième, 46,  47;  de  la  quinzième,  47,  48; 
de  la  seizième,  48,  49  ;  de  la  dix-septième, 
49,  30  ■;  de  la  diz-huitième,  50  et  suiv.  Re- 
marques sur  les  Catéchèses  mystagogiques  ; 
analyse  de  la  première,  52  ;  de  la  deuxième, 

52  et  53;  de  la  troisième,  53;  de  la  quatrième, 

53  et  34  ;  de  la  cinquième,  54  et  suiv.  Ho- 
méhe  sur  le  paralytique,  56,  57.  Elle  est  de 

_  34,_  saint  Cyrille  ;  en  quel  temps  il  l'a  composée, 
56.  Analyse  de  cette  homélie,  56  et  57.  Let- 

3B1.  tre  de  saint  Cyrille  à  Constantius  ;  elle  est 
de  cet  auteur,  37  et  suiv.  Réponse  aux  ob- 
jections contre  cette  lettre,  37  et  38.  Diffi- 
culté sur  la  date  de  l'apparilion  de  la  croix, 
58.  Analyse  de  la  letlre  de  saint  Cyrille  à 
Constantius,  58  et  59.  Fragments  de  quel- 
ques discours  de  saint  Cyrille,  39,  60.  [Le 
texte  grec  de  ces  fragments  a  été  publié  par 
Mai,  60,  note  1.]  Discours  de  saint  Cyrille 
qui  sont  perdus,  60.  Discours  sur  la  fête  de 
la  Purification,  faussement  attribué  à  saint 
Cyrille,  60,  61.  Chronologie,  faussement  at- 
tribuée à  saint  Cyrille,  61.  Lettres  qui  lui 
sont  aussi  faussement  attribuées,  61  et  62. 


Fragment  cité  par  saint  Thomas  sous  le  nom 
de  saint  Cyrille,  62.  Doctrine  de  saint  Cyrille, 
62  et  suiv.;  sur  l'Écriture  sainte,  62,  63;  sur 
la  tradition,  63,  64;  sur  la  doctrine  de 
l'Église,  64,  63;  sur  la  Trinité,  65,  60;  sur 
la  divinité  du  Fils,  66  et  suiv.;  sur  la  divinité 
du  Saint-Esprit,  69,  70;  sur  la  sainte  Vierge 
et  les  anges,  70  ;  [sur  l'union  de  la  sainte 
Vierge  et  de  saint  Joseph,  45,  note  3;]  sur 
la  grâce  et  le  libre  arbitre,  71,  72;  sur  le 
baptême,  72  et  suiv.;  sur  la  confirmation, 
74;  sur  l'Eucharistie,  74  et  suiv.;  sur  la  litur- 
gie, 76,  77  ;  sur  les  ministres  et  les  assem- 
blées de  l'Église  ;  sur  le  carême,  77,  78;  sur 
l'Église,  78;  sur  le  jeûne  et  le  culte  des  re- 
liques, 78  et  79;  sur  la  virginité  et  le  vœu 
de  continence  ;  sur  le  mariage  et  les  secon- 
des noces  et  sur  les  bonnes  œuvres,  79;  sur 
le  baptême  de  saint  Jean,  79  et  80;  surl'im- 
mortahté  de  l'âme,  80;  sur  divers  points 
d'histoire  et  de  disciphne,  80  et  81.  [Erreurs 
de  saint  Cyrille  dans  le  calcul  des  70  semai- 
nes, 44,  n.  3.]  Jugement  des  écrits  de  saint 
Cyrille,  81,  82.  Méthode  qu'il  sut  donner 
dans  ses  catéchèses  ;  arguments  qu'il  y  em- 
ploie, 81.  Qui  sont  ceux  qu'il  attaque;  son 
style,  82.  Éditions  de  ses  oeuvres,  82  et  suiv. 
[Éditions  et  traductions  nouvelles,  84.]  — 
Saint  Cyrille,  déposé  par  Acace  de  Césarée, 
se  trouve  au  concile  de  Séleucie,  IV,  567. 
Les  Acaciens  refusent  de  s'y  trouver  avec 
lui,  568.  Le  concile  le  rétablit  dans  son  siège, 
570.  Il  est  déposé  au  concile  de  Constanti- 
nople, 368.  —  Saint  Jérôme  envoie  sa  pro- 
fession de  foi  à  saint  Cyrille,  VII,  384.  Ex- 
phcation  du  symbole  adressée  à  saint  Cy- 
rille, 647.  Éloge  des  vertus  et  des  miracles 
de  saint  Jérôme,  ouvrage  faussement  attri- 
bué à  saint  Cyrille  et  à  saint  Augustin,  648. 
—  Lettres  supposées  de  saint  Augustin  à 
saint  Cyrille  et  de  saint  Cyrille  à  saint  Au- 
gustin, IX,  194. 

CYRILLE  (Saint),  patriarche  d'Alexandrie, 
docteur  de  l'Église  et  confesseur,  VIII,  256 
et  suiv.  Sa  naissance,  ses  éludes.  Il  est  fait 
évêque  d'Alexandrie,  256.  Sa  conduite  dans 
l'épiscopat.  Il  chasse  d'Alexandrie  les  Nova- 
tiens  et  les  Juifs,  236  et  257.  Il  refuse  de 
rétabhr  la  mémoire  de  saint  Jean  Chrysos- 
tome,  puis  il  la  rétablit,  237,  258.  Il  réfute 
l'hérésie  de  Nestorius  ;  celui-ci  forme  une 
accusation  contre  lui,  258.  Il  écrit  à  Nesto- 
rius. 258  et  239.  Il  assemble  un  concile  à 
Alexandrie  ;  il  est  chargé  d'examiner  la  sen- 
tence contre  Nestorius,  239  ;  il  écrit  sur  la 


413. 
41 4,  415. 

418, 


430. 


302 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


*3i-  condamnation  de  Nestorius,  2S9  et  260.  Il 
va  au  concile  d'Éphèse  où  il  préside  ;  il  est 
déposé  par  les  Orientaux;  il  demande  jus- 
tice contre  eux;  il  s'oppose  à  Juvénal  de  Jé- 
rusalem, 260.  Il  est  arrêté  avec  Memnon  et 
Nestorius,  260  et  261.  Il  retourne  à  Alexan- 
437  et  438.    flrie,  261.  Il  écrit  contre  Théodore  de  Mop- 

«*•  sueste,  261  et  262.  Sa  mort,  262.  Écrits  de 
saint  Cyrille  :  ses  ouvrages  sur  l'Ecriture 
sainte,  262  et  suiv.  Idée  de  l'ouvrage  inti- 
tulé :  De  l'Adoration  en  esprit  et  en  vérité. 
263  et  suiv.  Glaphyres  sur  le  Pentateuque, 
263.  Commentaires  sur  Isaïe,  265  et  266;  sur 
saint  Jean,  266  et  suiv.  Traité  sur  la  Trinité 
et  sur  l'Incarnation,  268  et  suiv.  Analyse  du 
Trésor  de  la  sainte  Trinité,  268  et  suiv.  Pas- 
sage faussement  attribué  à  saint  Cyrille, 
272.  Dialogues  sur  la  Trinité,  272  et  suiv. 
Dialogue  sur  l'Incarnation,  274  et  suiv.  Ho- 
mélies sur  la  fête  de  Pâques,  278,  279.  Ho- 
mélies sur  divers  sujets,  279  et  suiv.  Lettres 
de  saint  Cyrille  :  lettres  aux  solitaires,  281 
et  suiv.  ;  à  Nestorius,  283;  autre  au  même, 
283  et  284.  Lettre  à  quelques  personnes  de 
Gonslautinople,  284,  285  ;  à  un  ami  de  Nes- 
torius, 283;  aux  clercs  qu'il  avait  envoyés 
à  Constantinople,  285,  286;  au  pape  Cé- 
lestin^  286,  287  ;  à  Jean  d'Antioche  ;  à  Acace 
deBérée;  à  Juvénal  de  Jérusalem,  287;  à 
Nestorius,  287  et  suiv.  ;  au  peuple,  au  clergé 
et  aux  abbés  de  Constantinople  ;  au  clergé 
et  au  peuple  d'Alexandrie,  290.  Lettres  sur 
la  déposition  de  Nestorius,  290  et  291.  Let- 
tre à  Maximien  de  Constantinople  et  aux 
évêques  qui  l'avaient  sacré,  291,  292;  à 
Jean  d'Antioche,  292;  à  Acace  de  Mélitine, 
292  et  293;  autre  au  même,  293;  à  Euloge, 
prêtre,  293  et  294;  à  Successus,  294  ;  à  Théo- 
gnoste  et  autres  prêtres  et  diacres;  à  Donat 
de  Nicopolis;  à  Maximien  de  Constantinople; 
àValérien,  évêque  d'Icône,  295.  Explication 
du  symbole  de  Nicée,  293  et  296.  Lettre  à 
Gennade,  prêtre  ;  àMaxime,  296  ;  à  Jean  d'An- 
tioche, 296  et  297;  à  Acace  de  Mélitine;  à 
Lampon,  prêtre,  et  autres  clercs  députés  à 
Constantinople;  à  Procle,  297;  à  Rabblula. 
Qui  était  Rabblula  ;  ses  lettres,  297  et  298. 
Lettre  de  saint  Cyrille  à  Atticus  de  Constan- 
tinople, 298  et  suiv.  ;  àDomnus;  aux  évêques 
de  Libye  et  de  la  Pentapole,  300  ;  à  Aurèle 
et  aux  autres  évêques  du  concile  d'Afrique, 
300  et  301  ;  à  Gptimus,  à  Acace  de  Bérée, 
et  à  Rabbula,  301 ,  302  ;  à  Acace  de  Mélitine  ; 
à  Aristolaûs,  302  ;  à  l'empereur  Théodose, 
302  et  303  ;  à  Maxime,  à  Jean  et  à  Tlialasse; 


à  Musée  ;  à  Nestorius  ;  aux  moines  de  Phua, 
303.  A  quelle  occasion  et  en  quel  temps 
furent  écrits  les  cinq  livres  contre  Nestorius, 
306.  Analyse  de  ces  livres ,  306  et  suiv. 
Explication  des  douze  Anathématismes,  309. 
Leur  apologie  contre  André  de  Samosate , 
309  et  310.  Défense  de  ces  anathématismes 
contre  Théodoret,  310.  Apologie  de  saint 
Cyrille  à  l'empereur  Théodose,  310  et  311. 
Dix  livres  contre  Julien  l'Apostat,  311.  Ana- 
lyse de  ces  livres,  312  et  suiv.  A  quelle  occa- 
sion fut  écrit  le  livre  contre  les  Anthropo- 
morphites.  Lettre  à  Colosyrius,  318,  319. 
Réponse  aux  questions  sur  la  création  de 
l'homme  contre  les  Anthropomorphites , 
319  et  suiv.  Le  livre  de  la  Trinité  n'est  point 
de  saint  Cyrille,  322,  323  ;  ni  les  Explica- 
tions morales  sur  l'Ancien  Testament,  323. 
Quelques  ouvrages  de  saint  Cyrille  omis  dans 
l'édition  de  Paris,  323  et  324.  Liturgie  attri- 
buée à  saint  Cyrille,  324.  Écrits  de  saint 
Cyrille  qui  n'ont  pas  encore  été  imprimés 
ou  qui  sont  perdus,  324,  325.  Doctrine  de 
saint  Cyrille  sur  l'Écriture  sainte,  325  et 
suiv.  ;  sur  les  conciles;  sur  l'autorité  des 
Pères,  327  ;  sur  la  Trinité  et  la  génération 
du  Verbe,  327  et  328;  sur  la  procession  du 
Saint-Esprit,  328;  sur  l'Incarnation  du 
Verbe,  329;  sur  l'adoration  due  à  Jésus- 
Christ,  329  et  330.  Réfutation  des  erreurs 
attribuées  à  saint  Cyrille  sur  l'Incarnation, 

330,  331.  Doctrine  de  saint  Cyrille  sur  la 
volonté  en  Dieu  de  sauver  tous  les  hommes, 

331,  332;  sur  la  prière  de  Jésus-Christ  pour 
les  élus,  332;  sur  la  loi  de  Moïse,  332,  333. 
La  vraie  religion  était  dans  les  seuls  Israé- 
lites, depuis  la  loi  de  Moïse,  333,  334.  Doc- 
trine de  saint  Cyrille  sur  la  grâce  ;  sur  le 
libre  arbitre,  334;  sur  la  sainte  Vierge,  334 
et  333  ;  sur  le  signe  de  la  Croix  et  le  culte 
qu'on  lui  rendait,  333  ;  sur  le  culte  des  mar- 
tyrs, 335  et  336;  sur  le  temps  du  silence 
des  oracles,  336;  sur  le  baptême,  336  et 
337;  sur  l'Eucharistie,  337  et  suiv.;  sur 
l'excellence  de  l'Eucharistie,  340,  341  ;  sur 
l'union  avec  Jésus-Christ  dans  l'Eucharistie, 
341,  342;  sur  les  dispositions  pour  recevoir 
l'Eucharistie,  342,  343  ;  sur  les  lieux  où  l'on 
doit  offrir  le  sacrifice,  343  ;  on  conservait 
l'Eucharistie  plusieurs  jours,  343  et  344. 
Doctrine  de  saint  Cyrille  sur  la  primauté  de 
saint  Pierre,  344.  Jugement  des  écrits  de 
saint  Cyrille,  344.  Edition  de  ses  écrits,  344 
et  suiv.  [Edition  dans  la  Patrologie,  346. 
Ecrits  de  saint  Cyrille  d'Alexandrie  publiés 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


303 


récemment.  Explication  des  Psaumes,  VIH, 
34, 849.  Fragments  sur  le  cantique  de  Moïse, 
sur  celui  d'Anne,  sur  les  Proverbes,  sur  le 
Cantique  des  Cantiques  ;  fragments  sur  Ba- 
ruch,  Ézéchielj  Daniel,  349.    Commentaire 
sur  saint  Luc,  349,  350.  Jugement  sur  le 
commentaire  publié  par  Mai;   version  sy- 
riaque, 350.  Ciâoses  remarquables  contenues 
dans  ce  commentaire,   330   et  suiv.  Frag- 
ments du    commentaire  sur  les  Actes  des 
Apôtres,   352.   Explication  de  l'Épître  aux 
Romains,   332,  333.   Choses   remarquables 
contenues  dans  cette  explication,  333.  Com- 
mentaire de  la  deuxième  Épître  aux  Corin- 
thiens ;  fragments  du  commentaire  sur  l'Épî- 
tre aux  Galates  et  aux  Colossiens  ;  commen- 
taire de  l'Épître  aux  Hébreux.  Fragments 
des    commentaires    sur  les   Épîtres  catho- 
liques, 334.  Traité  de  la  Trinité.  Analyse  de 
ce  traité,  334  et  suiv.  Traité  de  l'Incarnation. 
Analyse  de  ce  traité,  336  et  suiv.  Dialogue 
avee  Nestorius,  339.  Traité  contre  ceux  qui 
ne  veulent  pas  accorder  à  la  sainte  Vierge 
le  titre  de  mère  de  Dieu,  339.  Analyse  de  ce 
traité,  339  et  suiv.  Fragments  d'ouvrages 
perdus,  362  et  suiv.  Quatre  lettres  :  deux  à 
Rufus,  une  à  Maxime  et  une  à  Amphiloque, 
364,363.  Trois  discours  sur  saint  Cyr  et  saint 
Jean.  Fragments  d'autres  discours,  363.  Ju- 
gement sur  les  ouvrages  de  saint  Cyrille  pu- 
bliés récemment,  363,  366.]  —  Lettre  adres- 
sée à  saint  Cyrille  par  Atticus  de  Constanti- 
nople,  VIII,  14,  13.  Lettre  que  lui  écrivit  le 
quatrième  concile  de  Carthage  ;  il  envoie  à 
Garthage  une  copie  authentique  des  canons  de 
Nicée,  369.  Lettre  qu'il  écrivit  à  saint  Céles- 
tin,  132, 133.  Lettre  du  pape  saint  Célestin  à 
saint  Cyrille,  134, 133.  Autre  du  même,  138. 
Lettre  d'Acace   de  Bérée,   238.   Autre   du 
même,  et  réponse  de   saint  Cyrille,   240. 
Autre  d'Acace  à  saint  Cyrille,  240  et  241. 
Paul,  évêque  d'Emèse,  est  député  vers  lui, 
241.  Lettre  de  Paul  à  saint  Cyrille  présent, 
241  et  242.   Entretien  de  Paul  avec  saint 
Cyrille,  au  sujet  de  la  lettre  de  saint  Atha- 
nase  à  Épictète,  corrompue  par  les  Nesto- 
riens,  243.  Lettre  que  lui  écrivit  Jean  d'An- 
tioche.  Saint  Cyrille  est  déposé  dans  un  con- 
cile  tenu   à  Éphèse  par   Jean  d'Antioche, 
243.  Saint  Cyrille  rétabli  est  déposé  de  nou- 
veau dans  un  concile  tenu  à  Tarse  par  Jean 
d'Antioche,  243  et  399.  Saint  Sixte  III,  pape, 
travaille  à  réunir  Jean  d'Antioche  avec  saint 
Cyrille,  246.   L'empereur  Théodose  écrit  à 
Jean  d'Antioche  et  à  saint  Cyrille  pour  les 


réunir,  246  et  247.  Concile  tenu  par  Jean 
d'Antioche  pour  sa  réunion  avec  saint  Cy- 
rille. Lettre  de  Jean  d'Antioche  et  des  Orien- 
taux à  saint  Cyrille,  247,  248.  Lettre  que  lui 
écrivit  Jean  d'Antioche,  247.  Lettre  de. saint 
Cyrille  à  Jean  d'Antioche,  248.  Procle  de 
Constantinople  se  réunit  à  saint  Cyrille  pour 
gagner  les  Orientaux,  249.  Lettres  que  lui 
écrivit  le  pape  Sixte  III,  231,  232.  Alexandre 
d'Hiéraple,  l'un  de  ses  plus  ardents  adver- 
saires, 374  et  suiv.  Lettre  qu'écrit  Acace  de 
Mélitine  à  saint  Cyrille,  389.  Saint  Cyrille 
adresse  à  Pulchérie  deux  de  ses  écrits  contre 
Nestorius,  471.  Saint  Isidore  de  Péluse  lui 
écrit  pour  le  porter  à  rétablir  la  mémoire  de 
saint  Chrysostôme,  477,  478;  il  lui  écrit  au 
sujet  de  sa  paix  avec  les  Orientaux,  478. 
Marins  Mercator  traduit  ses  anathématisraes 
et  en  prend  la  défense,  303,  506.  Il  traduit 
l'apologie  que  saint  Cyrille  fit  de  ses  ana- 
thématismes,  306.  Concile  que  saint  Cyrille 
tient  à  Alexandrie  contre  Nestorius,  373.  Il 
se  rend  à  Éphèse  pour  le  concile  convoqué, 
573.  Il  y  préside  au  nom  du  pape,  377.  Il 
est  déposé  par  les  Orientaux,  381.  —  Théo- 
doret  écrit  contre  lui,  X,  21,  et  se  réunit 
avec  lui,  21  et  140.  Témoignage  de  Théo- 
doret  en  sa  faveur,  103.  Lettre  que  lui  écrit 
Firmus  deCésarée  en  Cappadoce,  131,  132. 
Gennade,  patriarche  de  Constantinople,  écrit 
contre  saint  Cyrille  d'Alexandrie,  343  et  343. 
—  Doctrine  de  saint  Cyrille  sur  les  deux  na- 
tures en  Jésus-Christ,  justifiées  dans  la  con- 
férence de  Constantinople  entre  les  Catho- 
liques et  les  Sévériens,  XI,  844  et  suiv. 

CYRILLE,  diacre  de  saint  Hilaire  d'Arles, 
guéri  miraculeusement  par  ce  saint,  VIII, 
434,  433. 

CYRILLE,  évêque  de  Celle.  Représenta- 
tions qu'il  fait  au  concile  d'Éphèse,  VIII, 
591. 

CYRILLE,  surnommé  de  Scythople,  du 
nom  d'une  ville  de  Palestine  où  il  avait  pris 
naissance.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances 
de  sa  vie,  XI,  272  et  suiv.  Il  écrit  la  vie  de  y  55g 
saint  Euthymius.  Analyse  de  cette  Vie,  272. 
On  l'engage  aussi  à  écrire  celle  de  saint  Sa- 
bas.  Analyse  de  cet  ouvrage,  274  et  suiv. 
Vie  de  saint  Jean  le  Silencieux  :  autre  ou- 
vrage de  saint  Cyrille  de  Scythople,  277, 
278. 

CYRILLE   (le    Bienheureux),  ermite  du       1235. 
Mont-Carmel;  ses  révélations;  il  les  envoie 
à  l'abbé  Joachim  qui  en  fait  la  traduction  ; 
Editions  qu'on  en  a  données,  XIV,  830. 


304 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


CYRIN,  évêquede  Prisingue.  Voyez  Ari- 
bon  Cyrinus. 

CYRUS,  roi  de  Perse.   Circonstances  de 
sa  mort,  VI,  227. 
303.  CYRUS,  lecteur  de  Thibare  en  Afrique, 

confesseur,  III,  18. 

CYRUS,  à  qui  saint  Isidore  dePéluse  écrit, 
Vm,  485. 

CYRUS,  prêtre  d'Edesse,  l'un  des  accu- 
sateurs d'Ibas,  X,  144  et  147. 
v  siècle.         CYRUS,  médecin  d'Alexandrie  et  ensuite 
moine.  Son  traité  contre  Nestorius,  X,  471. 
649.  CYRUS  ,    évêque   de   Phaside ,  et  depuis 

patriarche  d'Alexandrie,  Monothélite,  XI, 
703.  Condamné  au  concile  de  Rome,  tenu 
par  le  pape  Martin  \",  749.  Anathématisé 
par  le  pape  Léon  II,  784.  —  Etant  évêque 
de  Phaside,  il  fut  sollicité  par  l'empereur 
Héraclius  d'embrasser  le  parti  des  Monothé- 
lites.  Il  écrit  sur  ce  sujet  au  patriarche  Ser- 
626.        gius.  Lettre  que  lui  écrit  Sergius  pour  l'en- 


traîner dans  l'erreur  des  Monothéhtes.  De-  630.  , 
venu  patriarche  d'Alexandrie,  il  l'embrasse, 
et  s'unit  avec  Théodore  de  Pharan.  Il  réunit 
les  Théodosiens  malgré  les  remontrances  de 
Sophrone.  Ses  neuf  articles,  XII,  922.  Il  re-  e 
çoit  l'Ecthèse  d'Héraclius,  925.  Reproches 
qui  lui  sont  faits  au  concile  de  Latran,  926 
et  suiv.  Ses  neuf  articles  sont  examinés  et 
condamnés  dans  ce  concile,  926  et  930. 

CYRUS  FLORUS.    Voyez  Paul  le  Silen- 
tiaire. 

CYSINIUS,  moine  à  qui  saint  Nil  écrit, 
VIII,  217. 

CYTHÉRIUS,  homme  de  qualité.  Poëme        400. 
de  saint  Paulin,  évêque  de  Noie,  qui  lui  est 
adressé,  VIII,  85.  (Voyez  son  article  dans 
VHistoire  littéraire  de  la  France,  t.  II,  p.  163 
et  suiv.) 

CYZIQUE,  ville  de  l'Hellespont.    Concile        376. 
qui  y  fut  tenu  par  les  Ariens,  VIII,  403. 


D 


304. 


541. 


VI  siècle. 


V  siècle. 


DACIEN,  gouverneur  en  Espagne,  devant 
qui  fut  amené  saint  Vincent,  III,  19.  —  Il 
bannit  saint  Valère,  évêque  de  Saragosse,  II, 
603. 

DACIEN  (Saint),  martyr  de  Carthage, 
III,  20,  21. 

DACIEN,  métropolitain  de  la  Byzacène, 
assemble  un  concile  dont  l'empereur  Justi- 
nien  confirme  les  décisions  par  un  rescrit, 
XI,  859. 

DACIER  (André),  de  l'Académie  française. 
Sa  traduction  latine  du  dousième  hvre  de 
l'Hexaméron  d'Anastase  le  Sinaïte,  XI, 
599. 

DACIUS,  évêque  de  Milan,  chargé  par 
Cassiodore  de  la  distribution  du  blé  dans  le 
Milanais,  XI,  220  et  264,  Ce  qu'on  sait  des 
circonstances  de  sa  vie.  Chronique  qu'on  lui 
attribue,  264.  Il  s'oppose  à  l'édit  de  l'em- 
pereur Justinien  contre  les  Trois-Ghapitres, 
11  se  retire  avec  le  pape  Vigile  au  palais 
d'Hormisdas.  Violences  qu'il  y  éprouve,  867. 
Miracle  que  saint  Grégoire  le  Grand  rapporte 
de  lui,  264  et  475. 

DADIN  DE  HAUTESERRE  (Antoine).  Ses 
Ilotes  et  observations  sur  l'Histoire  de  France 
de  Grégoire  de  Tours,  XI,  398. 

DADOÈS,  un  des  chefs  des  Messaliens, 
IV,  645. 

DADOLÈNE (Sainte),  vierge  dont  saint  Per- 


pétue, archevêque  de  Tours,  fait  mention 
dans  son  testament,  X,  439. 

DADON  (Saint),  archevêque  de  Rouen. 
Voyez  Saint-Ouen. 

DADON,  évêque  de  Verdun,  succède  à 
Berhard,  son  oncle.  Il  attire  auprès  de  lui 
plusieurs  savants.  Il  assiste  aux  conciles  de 
Metz  et  de  Tibur.  Sa  mort.  Ses  écrits,  dont 
il  ne  nous  reste  que  quelques  fragments, 
Xn,  792.  [Sa  lettre  formée,  792.]  Malheurs 
arrivés  à  la  ville  de  Verdun  sous  son  épis- 
copat,  792.  Poèmes  de  Salomon  III,  évêque 
de  Constance,  qui  lui  sont  adressés,  785  et 
792.  (Voyez  son  article  dans  VHistoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VI,  p.  196  et  le  Sup- 
plément, t.  X,  p.  Ivj.) 

DAGILA  (Sainte),  femme  du  maitre  d'hô- 
tel de  Hunéric.  Ses  souffrances  pour  la  foi 
catholique,  dans  la  persécution  des  Van- 
dales en  Afrique,  X,  460. 

DAGOBERT,  fils  de  Chilpéric  P'.  Son  épi- 
tapbe  par  Fortunat,  XI,  408. 

DAGOBERT  I",  roi  de  France,  donne  toute 
sa  confiance  à  saint  Éloi,  XI,  753,  754.  [Ses 
Gestes,  par  un  anonyme,  XII,  153.]  Ses  Ca- 
pitulaires,  227,  228.  (Voyez  son  article  dans 
VHistoire  littéraire  de  la  France,  t.  III,  p.  554 
et  suiv.  et  le  Supplément,  t.  XII,  p.  viij.) 

[DAGULFE,  écrivain  latin.  Son  Psautier, 
XII,  218.] 


879. 


895. 
923. 


TABLEÎGÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


305 


HOi. 


«07. 


1088. 


1089. 


D AILLÉ  (Jean),  ministre  de  Charenton. 
Son  sentiment  sur  le  canon  des  apôtres  ré- 
futé, II,  573  et  suiv.  Réponse  à  ses  objec- 
tions, 376  et  suiv.  Il  corrompt  un  passage 
de  saint  Ambroise,  468,  note  3. 

DAIMBERT,  archevêque  de  Sens,  succède 
à  Richer,  XIII,  590.  Hugues,  archevêque  de 
Lyon,  s'oppose  à  son  sacre,  exigeant  de  lui 
le  serment ,  comme  à  son  primat.  Lettre 
que  lui  écrit  à  ce  sujet  Yves,  évêque  de 
Chartres.  Réponse  de  Hugues.  Daïmbert 
s'arrange  avec  lui.  Accusations  formées 
contre  Daïmbert.  Lettre  que  lui  écrit  Hugues, 
591.  —  Il  fait  à  Orléans  le  sacre  de  Louis  le 
Gros,  XIV,  92.  Lettres  d'Yves  de  Chartres 
touchant  l'élection  de  Daïmbert,  105,  106. 
Lettres  du  même  adressées  à  Daïmbert,  111, 
112,  113,  117,  118,  Sa  mort.  Henri  lui  suc- 
cède, 466. 

DAIMBERT,  archevêque  de  Pise,  élu  pa- 
triarche de  Jérusalem,  XIII,  529.  —  Chassé 
injustement  de  son  siège,  il  vient  porter  ses 
plaintes  à  Rome.  Il  est  renvoyé  à  Jérusalem 
et  meurt  en  Sicile,  XIV,  1080. 

DALMAGE,  frère  de  l'empereur  Constan- 
tin. Lettre  que  cet  empereur  lui  écrit,  III, 
141,  142. 

DALMAGE,  tribun  et  notaire,  signifie  à 
saint  Ambroise  un  ordre  de  l'empereur  Va- 
lentinien,  V,  488. 

DALMAGE  (Saint),  abbé  de  Gonstanti- 
noble,  célèbre  par  ses  vertus,  VIII,  393. 
Saint  Cyrille  d'Alexandrie  lui  écrit  au  sujet 
de  la  déposition  de  Nestorius,  290.  Il  signale 
son  zèle  pour  la  foi,  370.  A  la  tête  de  tous 
les  moines  de  G.  P.,  il  présente  à  l'empe- 
reur la  lettre  du  concile  d'Ephèse,  395,  396 
et '594.  Sa  lettre  au  concile,  396.  [Édition  de 
cette  lettre  dans  la  Patrologie,  376. J  II  se 
scandalise  de  la  conduite  d'Ibas,  406.  [Dans 
la  table  du  VIII»  volume,  on  a  eu  tort  de 
distinguer  saint  Dalmace  de  l'abbé  Daimace.] 
DALMAGE,  moine,  élu  évêque  de  Gyzique 
au  préjudice  de  saint  Procle,  nommé  par 
Sisinnius,  VllI,  403. 

DALMACE ,  archevêque  de  Narbonne, 
refuse  de  sacrer  Artauld,  élu  évêqe  d'Elne , 
XIII,  420.  Son  voyage  à  Rome  pour  soutenir 
ses  droits  sur  la  province  de  Tarragone. 
Lettres  qu'Urbain  II  écrit  à  ce  sujet,  423. 

DALMATIE.  [Lettre  du  pape  Léon  VI  aux 
évêques  de  Dalmatie  :  ils  ont  ordre  d'obéir  à 
l'archevêque  deSpalatro,  XII,  749.]  —  Lettre 
du  pape  Alexandre  II  à  Pierre,  archevêque 
de  Dalmatie,  où  sont  détaillées  les  églises 

TAB.  I, 


qu'il  soumettait  à  sa  juridiction,  XIII,  286, 
287.  [Lettre  du  même  pape  aux  évêques  et 
au  roi  de  Dalmatie,  sur  l'incontinence  des 
clercs,  290.  —  Concile  teuu  en  Dalmatie, 
XIV,  1145.] 

DALMATIQUB,  habit  des  diacres.  Le  pape 
Symmaque  permet  aux  diacres  de  saint  Cé- 
saire  de  porter  des  dalmatiques  comme  ceux 
de  Rome,  XI,  127.  Le  pape  saint  Grégoire 
en  accorde  l'usage  à  l'évêque  de  Gap  et  à 
son  archidiacre,  518.  Canon  d'un  concile  de 
Rome  qui  défend  de  couvrir  de  dalmatiques 
les  corps  des  papes  qu'on  portait  en  terre, 
907 .  Voyez  Diacres. 

[DALRYMPLE.  Sa  traduction  anglaise  de 
Minucius  Félix,  I,  557.  —  Sa  traduction  an- 
glaise du  livre  de  Tertullien  à  Scapula,  II, 
87.] 

DAMÉTAS.  Nom  que  portait  dans  l'école 
de  Gharlemagne  Riculphe,  archevêque  de 
Mayence,  XH,  194  et  196. 

DAMARIS,  athénienne,  dont  il  est  parlé 
dans  les  Actes  des  apôtres,  était  femme  de 
saint  Denis  l'Aréopagite,  selon  saint  Am- 
broise, V,  530. 

DAMASCÈNE,  surnom  donné  à  saint  Jean 
de  Damas,  parce  qu'il  était  né  dans  cette 
ville,  Xn,  67. 

DAMASE  P'  (Saint),  pape,  V,  12  et  suiv. 
Ce  qu'on  sait  de  lui  jusqu'à  son  pontificat, 
12.  Il  est  élu  pape  ;  schisme  d'Ursin  ;  Ur- 
sin  est  banni,  12  et  13.  Il  est  rappelé  et 
banni  une  seconde  fois,  13.  Saint  Damase 
tient  à  Rome  des  conciles,  13  et  14.  Loi  de 
Valentinien  adressée  à  Damase;  saint  Da- 
mase est  trompé  par  Timothée,  disciple 
d'ApolMnaire  ;  il  le  condamne  ensuite,  14. 
Saint  Damase  tient  un  concile  à  Rome  ;  ana- 
lyse de  la  lettre  synodale,  14  et  13.  Saint 
Damase  écrit  à  Pierre  d'Alexandrie;  il  pour- 
suit les  Lucifériens,  15.  Vital  tâche  de  sur- 
prendre le  pape  Damase,  13  et  16.  Damase 
tient  un  concile  à  Rome  ;  autres  conciles  te- 
nus par  lui,  16.  Saint  Damase  écrit  à  saint 
Paulin,  16  et  17.  Il  condamne  Vital;  il  écrit 
à  saint  Aschole  et  à  cinq  autres  évêques  de 
Macédoine,  17.  Il  est  consulté  par  saint  Jé- 
rôme, 17  et  18.  Il  condamne  les  Priscillia- 
nistes  ;  il  est  prié  de  confirmer  l'élection  de 
Nectaire  ;  le  concile  d'Aquilée  écrit  en  faveur 
de  saint  Damase  ;  lettre  de  saint  Damase  aux 
Orientaux,  18.  Il  emploie  beaucoup  saint  Jé- 
rôme; ses  lettres  à  ce  docteur,  19.  Saint  Da- 
mase s'oppose  au  culte  des  idoles,  19  et  20. 
Lettre  qu'il  écrit  aux  Orientaux,  20.  [Remar- 

20 


599. 


367. 

368  et  370. 

370. 

377. 


372. 
373. 

374. 

376. 

377. 

318,  379. 

379. 

379. 

38(1. 

379. 

380. 

381. 

381. 

V.  381,  388. 

382  et 
aDD.  suiv. 
382  et  384. 


384, 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


306 

384.        que  sur  cette  lettre,  20,  n.  2.]  Lettre  en  fa- 
as*,        veur  de.Symmaque,  20  et  21.  Mort  de  saint 
Damase;  son  éloge,  21.  Ses  écrits,  21,  22. 
Ouvrages  qui  lui  sont  faussement  attribués, 
22  et  suiv.  Pontifical  qui  lui  est  aussi  attri- 
bué, 24.  [Notes  relatives  à  ce  Pontifical,  24, 
notes  7  et  9.]  [Canon  des  Écritures  attribué 
à  ce  pape;  éditions  des  œuvres  de  saint  Da- 
mase, 25.  Poëme  à  la  louange  du  rhéteur 
Chrysante  sous  le  nom  de  saint  Damase  ;  vers 
et  fragments  sous  le  nom  de  saint  Damase, 
675.]  Saint  Damase  tient  un  concile  à  Rome 
contre  Apollinaire  et  ses  disciples,  88,  et  IV, 
605,  606,  607.  —  Autre  concile  de  Rome 
pour  la  justification  du  pape  Damase,  IV, 
608,  609.  Lettre  du  concile  aux  empereurs 
en  faveur  du  pape,  et  contre  le  schisme  de 
l'antipape  Ursin,  609,  610.   Saint  Damase 
adresse  à  Paulin  d'Antioche  la  confession  de 
foi  dressée  au  concile  de  Rome,  611,  612. 
Saint  Jérôme  demeure  auprès  de  saint  Da- 
mase, 638.  Lettre  de  saint  Basile  le  Grand 
au  pape  Damase,  441.  —  Écrit  où  l'on  s'é- 
lève contre  le  pape  saint  Damase,  V,  150, 
151.  Paustin  etMarcellin,  prêtres  lucifériens, 
le  mettent  au  nombre  de  leurs  persécuteurs, 
153.  Saint  Damase  regarde  comme  nulle 
l'ordination  de  Maxime,  évêque  intrus   de 
Constantinople,  188.  —  Décrétâtes  qui  lui 
sont  faussement  attribuées,  VI,  93.  Loi  de 
Valentinien  1  adressée  à  ce  pape  au  sujet 
des  donations  faites  aux  clercs,  365.  Rescrit 
des  empereurs  Gratien  et  Valentinien  II  en 
faveur  de  ce  pape,  361.  L'empereur  Théo- 
dose veut  qu'on  suive  la  foi  de  ce  pape,  365. 
—  Saint  Jérôme  consulte  le  pape  sur  le  mot 
hypostase,  VII,  547  et  582,  583.  Le  pape  Da- 
mase le  fait  son  secrétaire  ;  sa  mort,  547.  Il 
avait  engagé  saint  Jérôme  à  revoir  le  Nou- 
veau-Testament sur  le  grec,  534.  Cinq  ques- 
tions proposées  par  ce  pape  à  saint  Jérôme  ; 
lettre  de  saint  Jérôme  à  saint  Damase  en  ré- 
ponse à  ces  questions,  558,  559.  Lettres  de 
saint  Jérôme  à  ce  pape  sur  les  séraphins 
dont  il  est  parlé  dans  Isaïe,  566;  sur  l'Ho- 
Eanna,570;  sur  la  parabole  de  l'enfantprodi- 
gue,  571.  Autres  lettres  de  saint  Jérôme  à  ce 
pape,  582,  583.  Lettres  supposées  de  saint 
Jérôme  à  saint  Damase,  et  de  saint  Damase 
à  saint  Jérôme,  646  et  et  648.  Symbole  attri- 
bué au  pape  saint  Damase  ;  explication  du 
symbole  qui  lui  est  adressée,  647.  —  Saint 
Damase  bâtit  à  Noie  une  église  en  l'honneur 
de  saint  Félix,  VIII,  84.  [Poëme  attribué  à 
saint  Damase  à  la  fin  du  volume  dans  les  ad- 


ditions; autres  écrits  annoncés  par  D.  Pitra; 
dissertation  historique  sur  saint  Damase  et 
saint  Laurent;  inscriptions  et  monuments 
qui  existent  à  Rome  sur  saint  Damase,  675.] 

DAMASE  II,  pape,  est  élu  après  la  der- 
nière abdication  de  Benoît  IX  et  ne  siège 
que  vingt-trois  jours,  XIII,  199. 

DAMÉRIUS  (Barnabe).  Ses  notes  sur  les 
exhortations  de  l'empereur  Basile  le  Macé- 
donien à  son  fils  Léon,  XII,  625. 

DAMIEN,  prêtre,  depuis  évêque  de  Pavie, 
compose  la  lettre  synodale  d'un  concile  de 
Milan,  XII,  942. 

DAMIEN  PIERRE  (Saint).  Voyez  Pierre 
Damien  (Saint). 

DAMIETTE.  Lettres  de  Jacques  de  Yitri 
concernant  ce  qui  a  précédé  la  prise  de  Da- 
miette,  XIII,  537.  Relation  de  la  prise  de 
cette  ville,  par  Olivier,  scholastique  de  Co- 
logne, 538. 

DAMNÉS.  On  attribue  à  Tite  de  Boslres 
d'avoir  nié  l'éternité  des  peines  des  damnés, 


IV, 


343.  Doctrine  de  saint  Basile,  542.  — 


Doctrine  de  saint  Cyrille  de  Jérusalem,  V, 
48;  de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  346;  de 
saint  Ambroise,574,373  ;  deDidyme  l'Aveu- 
gle, 630;  —  de  saint  Éphrem  ;  fragment  at- 
tribué à  saint  Éphrem  touchant  les  damnés, 
VI,  7.  Doctrine  de  saint  Grégoire  de  Nysse 
sur  l'éternité  de  la  damnation,  248  et  suiv.; 
—  de  saint  Jérôme,  VII,  685  ;  —  de  saint 
Cyrille  d'Alexandrie,  VIII,  281  ;  —  de  saint 
Augustin, IX,  321,  322,  705,  798,  799.  —Er- 
reurs de  Jean  Scot  sur  la  peine  des  damnés, 
réfutées  par  Florus  de  Lyon,  XII,  489,  et  par 
saint  Prudence,  497.  L'Église  ne  fait  point 
de  prières  pour  les  daninés,  810.  Adrévald 
croit  cependant  qu'on  peut  adoucir  par  des 
prières  les  peines  des  damnés,  630. 

DAMON  et  PYTHIAS,  disciples  de  Pytba- 
gore  dont  l'un  s'otfre  de  mourir  pour  l'autre, 
V,  430. 

DANEMARK.  La  foi  est  prêchée  en  Dane-  ix  siècle, 
mark  par  saint  Anschaire,  XII,  524.  —  Lettre  xi  siècle, 
du  pape  Alexandre  II  aux  évéques  de  Dane- 
mark, XIII,  290.  —  Histoire  des  rois  d'An- 
gleterre et  de  Danemark,  par  Siméon  de 
Durham;  continuée  par  Jean  d'Hagustad, 
XIV,  317.  Voyez  Danois. 

DANGER.  Maxime  de  salut  Cyprien  citée 
par  saint  Jérôme  sur  le  danger,  VII,  363. 

DANIEL,  prophète.  Histoire  de  sa  vie,  I,   Avant  J.-C 
170  et  suiv.  I^aissance  de  ce  prophète  ;  il  est 
mené  en  captivité  à  Babylone,  et  choisi  pour 
demeurer  au  palais  du  roi  ;  il  délivre  Su- 


618. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


307 


zanne  ;  explique  les  songes  de  Nabuchodo- 
nosor,  170.  Les  compagnons  de  ce  prophète 
sont  jetés  dans  la  fournaise;  Dieu  les  eu  dé- 
livre, 170  et  171.  Daniel,  jeté  dans  la  fosse 
aux  lions,  en  est  de  même  délivré  ;  il  y  est 
jeté  une  deuxième  fois  ;  Dieu  l'en  délivre  en- 
core; sa  mort;  éloge  de  Daniel,  171,  Il  est 
l'auteur  des  prophéties  qui  portent  son  nom  ; 
objections  contre  les  fragments  de  ce  livre 
qui  ne  se  trouvent  pas  dans  le  texte  original; 
première  réponse  :  Si  Josèphe  n'a  pas  parlé 
de  quelques  faits  qu'on  trouve  dans  ce  livre, 
il  a  fait  de  semblables  omissions  pour  des 
faits  très-certains  et  très-importants  qui  se 
trouvent  dans  d'autres  hvres,  172.  Seconde 
réponse  :  Si  l'histoire  de  Suzanne,  de  Bel, 
du  dragon,  et  le  cantique  des  trois  enfants 
ne  se  trouvaient  pas  dans  l'hébreu  du  temps 
de  saint  Jérôme,  ce  n'est  pas  une  raison  de 
les  rejeter  ;  sentiment  d'Origène  sur  ce  point, 
172  et  173.  Troisième  réponse  :  A  l'autorité 
d'Africain  sur  ce  même  sujet,  il  faut  opposer 
celle  de  toutes  les  églises  qui,  selon  Origène, 
recevaient  ces  histoires  comme  authentiques 
et  véritables  ;  les  Pères  de  l'Église  en  ont 
parlé  de  même  et  saint  Jérôme  se  justifie  du 
reproche  que  lui  avait  fait  Rufin  d'avoir  parlé 
de  ces  histoires  avec  peu  de  respect,  174, 
173.  Quatrième  réponse  :  Si  Méthodins,  Eu- 
sèbe  et  Apolhnaire  n'ont  pas  réfuté  Porphyre 
sur  la  vérité  de  ces  histoires,  on  peut  dire 
qu'ils  se  sont  trop  arrêtés  à  l'inscription  qui 
se  trouvaitplacée  à  la  tête  de  ces  pièces  dans 
la  version  des  Septante,  et  qui  en  faisaient 
auteur  Habacuc,  fils  de  Jasu.  Analyse  du  li- 
vre de  Daniel  ;  écrits  faussement  attribués 
à  Daniel,  175.  [Sur  quelques  passages  de 
Daniel,  par  Philon,  313,  n.  1.]  Daniel  est  au- 
teur de  l'histoire  de  Susanne  et  de  Bel^  selon 
saint  Irénée,  520,  521  ;  selon  saint  Hippo- 
lyte,  636.  Commentaire  de  saint  Hippolyte 
sur  Daniel,  613  et  suiv.  —  Daniel  a  écrit  le 
cantique  des  trois  Hébreux  dans  la  four- 
naise, selon  Tertulhen,  II,  69.  Ce  qu'a  fait 
Origène  sur  Daniel,  162.  Lettre  de  Jules  Afri- 
cain à  Origène  sur  l'histoire  de  Suzanne,  93, 
94  et  170.  Réponse  dOrigène,  170  et  suiv. 
—  Les  70  semaines  prédites  par  Daniel,  ex- 
pliquées par  Eusèbe  de  Césarée,  III,  194, 
195.  [Fragment  d'un  commentaire  d'Eusèbe 
de  Césarée  sur  Daniel,  260.]  Témoignage  de 
saint  Athanase  sur  le  cantique  des  trois  jeu- 
nes Hébreux  et  sur  l'histoire  de  Suzanne, 
IV,  189.  —  Explication  de  la  prophétie  des 
70  semaines,  par  sajnt  Cyrille  de  Jérusalem, 


V,  44  et  81 .  Sentiment  de  saint  Ambroise 
sur  l'abomination  de  la  désolation  prédite 
par  Daniel,  528.  [Dldyme  admet  comme  au- 
thentique le  cantique  des  trois  jeunes  hom- 
mes, 628.]  —  Saint  Éphrem  cite  comme  ca- 
noniques les  fragments  grecs  de  Daniel,  VI, 
50,  51.  [Son  commentaire  sur  Daniel,  439  et 
446.  Plusieurs  traités  de  saint  Zenon  de  Ver- 
ceil  sur  Daniel,  274.  Fragment  du  commen- 
taire d'Eudoxe  sur  Daniel,  333.]  Discours  de 
saint  Astère  d'Amasée  sur  l'histoire  de  Da- 
niel et  de  Susanne,  296,  297.  —  Commen- 
taire de  saint  Jean  Chrysostôme  sur  Daniel, 
VII,  199.  Son  sentiment  sur  la  prophétie  des 
70  semaines,  358.  Commentaire  de  saint  Jé- 
rôme sur  ce  prophète,  568,  569.  —  Témoi- 
gnage de  Sulpice  Sévère  sur  Daniel,  VIII, 
123.  Homélies  de  saint  Cyrille  d'Alexandrie 
sur  Daniel,  324.  —  Commentaires  de  Théo- 
doret  sur  les  prophéties  de  Daniel,  X,  40. 
Éloge  de  Daniel,  par  Photius,  41.  Commen- 
taire perdu  de  Gennade,  patriarche  de  Gons- 
tantinople,  sur  Daniel,  345.  —  [Fragments 
du  commentaire  de  Sévère  de  Sozopole  sur 
Daniel,  XI,  109.  Le  hvre  de  Daniel  admis 
commeauthentiqueparsaintGrégoired'Agri- 
gente,  589.  Fragments  sur  Daniel,  par  Hésy- 
chius  de  Constantinople,  657.]  —  Soixante- 
neuf  questions  sur  Daniel ,  par  Pierre , 
archidiacre,  XII,  148,  149.  Commentaire 
d'Haimon  d'Halberstat  sur  Daniel,  435.  Le 
commentaire  de  Raban  Maur  sur  Daniel  ne 
se  trouve  plus,  469.  —  Commentaire  de  Phi- 
lippe de  Bonne-Espérance  sur  le  songe  de 
Nabuchodonosor,  XIV,  685.  [Richard,  prieur 
de  Saint-Victor,  explique  les  chapitres  II, 
IV  et  VII  de  ce  prophète  dans  un  opuscule 
intitulé  :  De  eruditione  hominis  interioris,  703, 
706.]  Commentaire  de  l'abbé  Joachim  sur 
Daniel,  830. 

DANIEL  (Saint),  martyr  de  la  Palestine, 

m,  12. 

DANIEL  (Saint),  prêtre,  martyr  en  Perse. 
Actes  de  son  martyr  rapportés  par  Assé- 
mani,  IH,  332. 

DANIEL,  directeur  d'un  monastère  de 
vierges  en  Orient,  vient  dans  les  Gaules,  où 
il  est  accusé  de  divers  crimes,  et  néanmoins 
se  fait  ordonner  évèque.VIlI,  129  et  130. 

DANIEL,  abbé,  disciple  de  Paphnuce.  Sa 
conférence  avec  Cassien,  VIII,  166. 

DANIEL,  évêque  envoyé  par  saint  Cyrille 
à  Conslantinople,  VHI,  260.  Saint  Cyrille  lui 
écrit,  291. 

DANIEL,  prêtre  d'Alexandrie  envoyé  par 


309. 


308 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLESIASTIQUES. 


saint  Cyrille  à  trois  évêques  orientaux,  VIII, 
302. 

DANIEL,  disciple  de  saint  Arsène,  chargé 
de  l'hospitalité,  VIII,  399 
448.  DANIEL,  évéque  de  Charrhes,  neveu  d'I- 

bas,  évéque  d'Edesse,  accusé  avec  lui  au 
concile  de  Béryte,  X,  143.  Plaintes  portées 
contre  lui  à  l'empereur,  667,  668. 

DANIEL,  évéque,  à  qui  Firmus  de  Césa- 
rée  en  Cappadoce  adresse  une  de  ses  lettres, 

476.  DANIEL  STYLITE  (Saint).  Ses  comraen- 

cements,  X,  403.  A  l'exemple  de  saint  Si- 
méon  Stylite,  il  se  détermine  à  vivre  sur  une 
colonne,  404.  Recherché  par  l'empereur 
Basilisque  et  par  le  patriarche  Acace,  il  se 
déclare  pour  celui-ci,  403.  Conduite  qu'il 
tient  avec  l'empereur,  404.  Saint  Gennade, 
patriarche  de  Constantinople ,  l'ordonne 
prêtre  malgré  lui,  344.  Temps  de  sa  mort, 
404.  Le  patriarche  Euphémius  l'assiste  à  la 
mort  et  lui  donne  la  sépulture,  483. 

DANIEL,  moine,  auteur  de  la  Vie  de  saint 
Jean  Glimaque,  XI,  678. 

DANIEL,  évéque  de  Salach  en  Mésopo- 
tamie. Son  commentaire  sur  les  Psaumes, 

XII,  102. 

705.  DANIEL,  premier  évéque  de  Winchester, 

évêché  démembré  de  celui  de  Worchester, 
V.718.  XI,  804.  —  Il  donne  une  lettre  de  recom- 
mandation à  saint  Boniface  qui  allait  trou- 
ver le  pape  Grégoire  II,  XII,  46.  Lettre  que 
lui  écrit  saint  Boniface,  48.  Daniel  écrit  plu- 
sieurs livres  contre  les  Bretons  sur  le  temps 
de  Pâques,  794. 

DANIEL,  moine  de  Lérins,  auteur  d'un 
commentaire  sur  les  Psaumes.  (Voyez  dans 
Y  Histoire  littéraire  de  In  France,  t.  VII,  p.  42 
et  t.  Vm,  p.  319.) 

[DANIEL,  éditeur  du  Thésaurus  hymnolo- 
gicus,  où  l'on  trouve  plusieurs  hymnes  dont 
il  est  parlé  au  t.  VI,  72,  et  t.  XIII,  117.] 
iQlg  DANOIS.  Leur  incursion   en  Angleterre, 

XIII,  61.  Concile  de  Londres,  pour  aviser 
aux  moyens  d'empêcher  l'irruption  des  Da- 
nois, 667.  Voyez  Danemark. 

IV  siècle.  DANSE.  Canons  cinquante-troisième  et 
cinquante-quatrième  du  concile  de  Laodicée 
touchant  la  danse,  III,  513.  —  Canon  neu- 
vième du  concile  d'Auxerre,  XI,  898,  Canon 
vingt-troisième  du  troisième  concile  de  To- 
lède, 903. 

DAPHNÉ,  bourg  près  d'Antioche.  Son 
temple  brûlé  sous  Julien,  III,  409,  et  VII, 
9i. 


414. 


417. 


429. 


DAPHNIN.  Lettres  d'Âlcuin  adressées  à 
Daphnin,  XII,  170. 

DAPHNOPATES  (Théodore).  Voyez  Théo- 
dore Daphnopates. 

[DARBOY  (l'Abbé),  maintenant  archevê- 
que de  Paris.  Sa  traduction  des  écrits  de 
saint  Denis  l'Aréopagite,  X,  553.  —  Sa  Vie 
de  saint  Thomas  Becket,  XIV,  661.] 

DARDANIE,  province  qui  fait  partie  de  la 
Dacie.  Lettres  du  pape  Gélase  aux  évêques 
de  Dardanie,  X,  494. 

DARD  ANUS,  préfet  des  Gaules.  Lettre  que 
lui  écrivit  saint  Jérôme,  VII,  560.  Lettre 
à  Dardanus  faussement  attribuée  à  saint  Jé- 
rôme, 565.  —  Lettre  que  lui  écrivit  saint 
Augustin,  IX,  158,  159. 

[DAREMBERG,  médecin  :  son  édition  du 
livre  des  Subtihtés  des  créatures,  par  sainte 
Hildegarde,  XIV,  597,  n.  6.] 

[DARFERIUS,  comte.  Le  pape  Sylvestre  II 
lui  écrit,  XII,  910.] 

DARIA,  épouse  de  saint  Nicandre,  l'en- 
courage au  martyre,  III,  90  et  91. 

DARIUS,  comte.  Lettres  de  saint  Augustin 
à  Darius  et  de  Darius  à  saint  Augustin,  IX, 
183  et  575. 

DATIVE,  évéque  d'Afrique,  l'un  des  con-        456 
tessurs  à  qui  saint  Cyprien  écrit  et  qui  lui 
répondent,  II,  338,  339. 

DATIVE  (Saint),  sénateur,  martyr  de  Car-        3o4. 
thage.  Sa  confession,  III,  20,  21. 

[DAUM  en  latin  DAUMIUS  (Chrétien), 
allemand.  Son  édition  des  Dialogues  d'Hié- 
ronyme,  VI,  333.  —  Son  édition  des  œuvres 
de  Pauhn  de  Périgueux,  X,  443.] 

DAUSAS  (Saint),  évéque,  et  ses  compa-        ses. 
gnons  martyrs  en  Perso.  Leurs  actes  rap- 
portés par  Assemani,  III,  335,  336. 

DAUSQUÉIUS  (Claude),  jésuite,  et  ensuite 
chanoine  de  Tournai.  Son  édition  des  Dis- 
cours de  Basile,  archevêque  de  Seleucie, 
X,  168. 

DAVID ,  roi  et  prophète.  Histoire  de  sa  Avant  j.-c. 
vie,  I,  123  et  suiv.  Il  est  sacré  roi  à  quinze  ^''™* 
ans;  il  est  mis  auprès  de  Saiil  pour  adou- 
cir ses  agitations  par  les  sons  de  sa  harpe, 
123.  Il  défait  le  géant  Goliath,  126.  Saûl 
conçoit  de  la  jalousie  contre  lui  à  l'occasion 
de  cette  victoire,  et  cherche  à  se  défaire  de 
lui.  David  s'enfuit  à  Najoth,  ensuite  à  Nobé, 
de  là  chez  Achis,  roi  de  Geth;  délivre  Géila, 
attaquée  par  les  Philistins,  126.  Saillie  cher- 
che pour  le  mettre  à  mort.  David  l'ayant  en 
son  pouvoir  ne  veut  point  lui  ôter  la  vie.  Il 
se  retire  de  nouveau  chez  Achis,  126  et  127. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


309 


1085.  Mort  de  Saûl.  David  est  sacré  roi  de  Juda. 
Toutes  les  tribus  se  soumettent  à  lui.  Il  est 
sacré  roi  sur  Israël.  Il  chasse  les  Jébuséens 
de  Jérusalem,  défait  les  Philistins;  trans- 
porte l'arche  à  Jérusalem,  forme  le  dessein 
de  bâtir  un  temple  au  Seigneur.  Ses  victoires 
sur  divers  peuples,  127.  Il  commet  un  adul- 
tère et  un  homicide.  Dieu  lui  pardonne, 
mais  le  punit  par  diverses  afflictions,  127  et 
128.  Dieu  lui  envoie  le  fléau  de  la  peste  pour 
le  punir  d'avoir  fait  faire  le  dénombrement 
de  son  peuple.  David  fait  sacrer  son  fils  Sa- 
lOli.  lomon,  lui  donne  divers  avis  :  il  meurt.  Eloge 
de  David,  128,  Psaumes  de  David,  129  et 
suiv.  [Difficultés  à  vaincre  en  soutenant  que 
David  est  l'auteur  de  tous  les  psaumes,  129, 
n.  1.]  C'est  sans  fondement  qu'on  attribuait 
à  David  un  psaume  eu",  133,  136.  —  Quatre 
livre  de  l'interpellation  de  Job  et  de  David, 
par  saint  Ambroise,  V,  418,  419.  Apologie 
de  David  prr  le  même  saint  docteur,  419  et 
suiv.  Autre  apologie  de  David  attribuée  au 
même,  421  et  suiv.  —  Trois  homéhes  de 
saint  Jean  Chrysostôme  sur  Saiil  et  sur  Da- 
vid, VII,  168  et  suiv.  Analyse  de  ces  homé- 
lies, 170  et  suiv.  David,  sujet  d'un  opuscule 
faussement  attribué  à  saint  Jean  Chrysos- 
tôme, 33S.  David,  sujet  d'un  discours  faus- 
sement attribué  à  Jean  de  Jérusalem,  o02. 
—  Saint  Augustin  pense  que  David  est  seul 
auteur  des  psaumes,  IX  582  et  383.  —  Sen- 
timent de  Théodoret  sur  ce  point,  X,  108. 
Quatre  discours  de  Basile  de  Séleucie  sur 
David,  167.  —  Deux  discours  de  saint  Cé- 
saire  d'Arles,  XI,  132.  David  est,  selon  Cas- 
siodore,  le  seul  auteur  des  Psaumes,  224. 
Homélie  d'Hésychius  sur  David,  657.  Com- 
mentaire où  Héséchius  essaie  de  prouver 
que  David  est  le  seul  auteur  des  Psaumes, 
637.  Poëme  d'Apollonius  sur  le  combat  de 
David  et  de  Goliath,  743.  —  OtSce  en  l'hon- 
neur de  ce  saint  roi,  noté  par  Hucbald, 
moine  de  Saint-Amand,  XII,  802.  —  Du  Glo- 
rieux David  :  ouvrage  de  Rupert,  abbé  de 
Tuy,  qu'on  croit  perdu,  XIV,  292. 

DAVID,  diacre,  trésorier  de  l'Église  d'E- 
desse,  X,  146. 

DAVID ,  évêque ,  dont  saint  Léon  fait 
l'éloge,  X,  199. 
£  siècle.  DAVID  NICÉTAS,  surnommé  le  Paphla- 
gonien,  parce  qu'il  fut  évêque  en  Paphla- 
gonie.  Ses  homélies.  Sa  Vie  de  saint  Ignace, 
patriarche  de  Constantinople ,  XII ,  736. 
Autres  écrits  qu'on  lui  attribue,  737. 

DAVID ,  moine  de  Saint-Laurent  de  Liège. 


(Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  XI,  p.  79  et  suiv.) 

DAVID,  roi  d'Ecosse  :  sa  Vie,  par  ^Irède, 
abbé  de  Riedval,  XIV,  620. 

DAVID  (Claude),  bénédictin  de  la  congré- 
gation de  Saint-Maur.  Sa  dissertation  pour 
prouver  que  les  ouvrages  attribués  à  saint 
Denis  l'Aréopagite  sont  véritablement  de  lui, 
X,  343. 

DAVIES  (Jean).  Son  édition  du  Dialogue 
de  Minucius  Félix,  I,  337.  —  Ses  notes  sur 
l'Épitome  des  Institutions  de  Lactance,  II, 
331.  —  Son  édition  des  Instructions  de  Com- 
modien,  III,  149. 

DAZIMONE,  canton  du  Pont,  où  saint  Ba- 
sile fit  un  voyage,  IV,  362. 

DAZINE  ou  DAZIZE,  à  qui  Eustathe  de 
Sébaste  adresse  un  libelle  diffamatoire  con- 
tre saint  Basile,  IV,  361  et  433. 

DÉAL-UN.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Lulle,    viii  siècic. 
XII,  131. 

DÉBAUCHE.  Lettre  de  saint  Augustin  à 
Corneille  pour  le  retirer  de  la  débauche,  IX, 
189,  190. 

DÉBORA,  prophétesse,  délivre  et  juge 
Israël,  I,  51.  — Sentiments  opposés  de  saint 
Ambroise  et  de  saint  Jérôme  sur  Débora,  V, 
327.  —  Commentaire  sur  -le  cantique  de 
Débora  faussement  attribué  à  saint  Jérôme, 
VII,  564.  —  Sentiment  de  Sulpice  Sévère 
sur  Débora,  VIII,  123. 

DÉCALOGUE  ou  les  dix  préceptes  conte- 
nus sur  les  deux  tables  de  la  Loi  données 
aux  Israélites  par  le  ministère  de  Moïse,  I, 
14,  15.  [Traité  de  Philon  le  Juif  sur  les  trois 
derniers  commandements  de  Dieu,  361.]  — 
Doctrine  de  Tertullien  sur  le  Décalogue,  II, 
81 .  —  Poëme  de  saint  Grégoire  de  Naziauze,     iv  siècle. 

V,  274.  — Témoignage  de  saint  Augustin, 
IX,  498.  —  Commentaire  de  Hugues  de 
Saint-Victor,  XIV,  350. 

DÈCE,  empereur  païen,  persécuteur.  Sa     ^  g,^^,ç_ 
mort,  II,  303.  —  Témoignage  de  saint  Gré- 
goire de  Nysse  sur  la  persécution  de  Dèce, 

VI,  233,  236. 

DÉCENTIUS ,  évêque  de  Léon,  assiste  au     j^  ^^^^^^_ 
concile  d'Elvire,  II,  603. 

DÉCENTIUS,    évêque  d'Eugubio.   Lettre        4,6. 
canonique  du  pape  saint  Innocent  qui  lui  est 
adressée,  VII,  318  et  suiv. 

DÉCIMATION,  peine  militaire   chez  les     1,1  siècle. 
Romains,  II,  473,  note  5. 

DÉCISIONS  sur  la  discipline  ecclésias- 
tique attribuées  à  Théophile  d'Alexandrie, 

VII,  445  et  suiv. 


310 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


DÉCLAMATIONS  de  l'abbé  Geofifroi,  dis- 
ciple de  saint  Bernard,  XIV,  491 . 

DÉCOLLATION  de  saint  Jean-Baptiste. 
Discours  d'Anastase  d'Antioclie  sur  cette 
fête,  XI,  364.  —  Discours  de  Micbel  Psel- 
lus,  XIII,  337;  — de  Guillaume  d'Auvergne, 
XIV,  1027. 

DÉCRETS.  Décret  de  Boucbart ,  évêque 
de  Worms.  Dans  quel  dessein  il  fut  com- 
posé, XIII,  92.  Sommaire  de  ce  Décret,  92 
et  93.  Editions  de  ce  Décret,  93.  Abrégé  de 
ce  Décret,  par  un  anonyme,  93.  [Décret  de 
Bonison,  S66,  S67.]  —  Décret  d'Yves  de 
Chartres,  ce  que  c'est,  XIV,  93,  94.  Analyse 
de  ce  Décret,  94  et  suiv.  Editions  qu'on  en 
1127-U51.  a  faites,  97.  Décret  de  Gratien  :  en  quel 
temps  il  a  été  composé.  Réputation  dont  il 
a  Joui  d'abord.  Fautes  qu'on  y  remarque. 
Corrections  qui  en  ont  été  faites  par  diffé- 
rents papes,  760.  [Méthode  de  citalion  du 
Décret  de  Gratien,  761,  note  1.]  Editions 
qu'on  a  données  du  Décret,  761.  Ce  que 
contient  le  Décret.  Additions  au  Décret  dé- 
signées par  le  titre  Paléas.  Lettre  d'Antoine 
Auguste  de  la  Correction  de  Gratien,  761 .  — 
IV  siècle.  Décrets  des  conciles.  Loi  de  Constantin  qui 
les  confirme,  III,  146.  Ordonnance  du  con- 
cile de  Telle  ou  Télepte,  VIII,  S61. 

DÉCRÉÏALE  ou  compilation  des  décrets 
ecclésiastiques,  ouvrage  de  Bonison,  évêque 
de  Sutri,  XIII,  S63  et  366,  567. 

DÉCRÉTALES  (épîtres),  vraies  et  fausses. 
Origine  des  Décrétales,  VI,  71.  CoUeclions 
de  ces  épîtres  depuis  saint  Sirice  jusqu'à 
saint  Anastase,  73.  Fausses  Décrétales,  73 
et  suiv.  [Observation  sur  la  collection  d'Isi- 
dore et  sur  les  arguments  employés  par 
Dom  Ceiliier  pour  combattre  les  fausses  Dé- 
crétales, 73,  note  1.]  Quand  elles  ont  com- 
mencé à  paraître,  76,  77.  Preuve  générale 
de  leur  fausseté,  77,  78.  Décrétales  attri- 
buées à  saint  Clément,  78  et  suiv  ;  à  saint 
Anaclet,  80;  à  saint  Évariste,  80  et  81  ;  à 
saint  Alexandre,  à  saint  Sixte,  81  ;  à  saint 
Télesphore,  81  et  82  ;  à  saint  Hygin,  à  saint 
Pie,  à  saint  Anicet,  82  ;  à  saint  Soter,  82  et 
83  ;  à  saint  Eleuthère,  83  ;  à  saint  Victor, 
83  et  84  ;  à  saint  Zéphyrin,  84,  83  ;  à  saint 
Calixte,  à  saint  Urbain,  à  saint  Ponlien,  à 
saint  Antère,  83  ;  à  saint  Fabien,  83  et  86  ; 
à  saint  Corneille,  à  saint  Lucius,  86  ;  à  saint 
Etienne,  86  et  87;  à  saint  Sixte  II,  à  saint 
Denis,  87  ;  à  saint  Félix,  87  et  88.  Lettre  de 
ce  pape  à  Maxime,  évêque  d'Alexandrie,  88. 
Epîtres  attribuées  à  saint  Eutychien,  à  saint 


Caïus,  à  saint  Marcellin,  88  ;  à  saint  Marcel, 
88  et  89  ;  à  saint  Eusèbe,  à  saint  Melchiade, 
89.  Faux  actes  de  saint  Sylvestre,  89  et  suiv. 
Décrétale  attribuée  à  saint  Marc,  92;  à 
saint  Jules,  92  et  93;  au  pape  Libère,  à 
l'antipape  Félix,  93  ;  à  saint  Damase,  93  et 
94  ;  à  saint  Anastase,  à  saint  Sixte  III,  à 
saint  Léon  P%  à  saint  Jean  I",  94  ;  au  pape 
Félix  III,  94  et  95  ;  au  pape  Boniface  II,  au 
pape  Jean  II,  au  pape  saint  Agapet,  au  pape 
saint  Silvérius,  93  ;  au  pape  Pelage  I",  93 
et  96  ;  au  pape  Jean  III,  au  pape  Benoît  I", 
96  ;  au  pape  Pelage  II,  96  et  97  ;  à  saint 
Grégoire  le  Grand,  97,  98.  au  pape  saint 
Deus-Dedit,  98.  Conclusion,  98.  [Edition  des 
Décrétales  sous  le  nom  le  nom  d'Isidore  Mer- 
cator,  98  et  99.]  —  Angelramne,  évêque  de 
Metz,  est  le  premier  qui  ait  fait  usage  des 
fausses  Décrétales  ;  Riculfe,  archevêque  de 
Mayence,  les  répand  en  France,  XII,  133. 
Elles  sont  citées  par  Charlemagne,  244.  Ont- 
elles  été  alléguées  en  preuves  par  le  pape 
saint  Nicolas  I",  379,  [non,  note  1.] 

DÉDICACE.  Discours  d'Eusèbe  de  Césa-  iv  siècle, 
rée  à  l'occasion  de  la  dédicace  de  l'Église 
de  Tyr,  III,  196  et  suiv.  —  Témoignage  de  iv  siècle, 
saint  Athanase  sur  les  dédicaces,  IV,  217. 
—  Discours  que  saint  Grégoire  de  Nysse  pa- 
raît avoir  prononcé  à  la  dédicace  d'une 
église,  VI,  147.  —  Sermons  de  saint  Augus-  iv  ou 
tin  sur  la  dédicace  des  églises ,  IX,  240. 
[Deux  sermons  de  saint  Augustin  sur  la  dé- 
dicace d'une  église,  841.  Sermon  sur  la  dé- 
didace  d'une  église  faussement  attribué  à 
saint  Augustin,  833.  — On  joignait  quelque- 
fois la  dédicace  d'une  église  avec  la  fête 
d'un  martyr,  X,  273.  Discours  de  saint  Avit 
pour  la  dédicace  d'une  église,  365.  Discours 
de  saint  Ennode,  576.  —  Deux  discours  de 
saint  Césaire  d'Arles  sur  la  dédicace  d'une 
église  ou  consécration  d'un  autel,  XI,  135. 
Dédicace  des  églises  au  vi"  siècle,  388.  Con- 
ditions que  le  pape  saint  Grégoire  exigeait 
pour  autoriser  les  dédicaces  d'églises  et  de 
monastères,  378,  579.  Dédicace  d'un  ora- 
toire par  saint  Colomban,  616.  —  Hymne 
de  saint  Paulin  d'Aquilée  sur  la  dédicace 
d'une  église,  XII,  162.  Pourquoi  on  ne  les 
dédiait  pas  en  l'honneur  des  saints  de  l'An- 
cien Testament,  739.  Discours  de  l'empereur 
Léon  VI  sur  la  dédicace  du  palais  impérial, 
775.  La  solennité  de  la  dédicace  des  églises 
est  fixée  au  dimanche  par  un  concile  de 
Saragosse,  939.  —  Homélie  de  Moïse  Bar- 
Cépha  sur  la  dédicace  de  l'Église,  XIII,  30, 


V  siècle. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


311 


Trois  discours  de  saint  Pierre  Damien  pour  la 
dédicace  d'une  église,  309.  Rites  observés  au 
xie  siècle  dans  la  dédicace  des  églises,  452, 
4S3.  Explication  des  cérémonies  de  la  dédi- 
cace par  saintBrunon  de  Ségni,  501.  —  Dis- 
cours d'Yves  de  Chartres  sur  la  dédicace  d'une 
église,  XIV,  122.  Six  sermons  du  vénérable 
Hildebert  sur  la  dédicace  des  églises,  215. 
Témoignage  du  même  sur  les  indulgences 
accordées  à  l'occasion  des  dédicaces,  217. 
Six  sermons  de  saint  Bernard  sur  la  dédi- 
cace de  l'Église,  484.  [Sermon  de  Nicolas, 
secrétaire  de  saint  Bernard,  sur  la  dédicace 
d'une  église,  736.  Deux  sermons  pour  la  dé- 
dicace de  l'église  du  .Sauveur  à  Rome,  par 
Absolon,  abbé  de  Springkirsbach  ;  deux  au- 
tres sermons  du  même  pour  la  dédicace 
d'une  église,  877.]  Sermon  du  pape  Inno- 
cent III  sur  la  dédicace  d'une  église,  1012. 

DÉDIMIE,  troisième  abbesse  de  Sainte- 
Croix  de  Poitiers,  engage  Baudonivie  à  écrire 
la  vie  de  sainte  Radegonde,  XI,  414,  415. 

DÉFAUTS  NATURELS.  Défense  de  les  re- 
procher ;  cinquante-septième  canon  aposto- 
lique, II,  585. 
VII  ou  DÉFENSEUR,  moine  de  Ligugé  et  disci- 

vm siècle,  pjg  ^g  l'abbé  Ursin,  compose,  par  son  or- 
dre, le  recueil  des  Sentences  des  Pères  or- 
thodoxes; idée  de  ce  recueil;  différentes 
éditions  qu'on  en  a  faites,  XI,  813.  [Édition 
dans  la  Patrologie,  813.]  (Voyez  l'article  de 
Défenseur  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  III,  p.  654,  et  le  Supplément,  t. 
XI,  p.  X.) 

DÉFENSEURS  des  églises  et  des  pauvres, 
les  évêques  d'Afrique  demandent  à  l'empe- 
reur la  permission  d'en  établir,  VIII,  538. 
Défenseurs  des  églises  chargés  d'en  pour- 
suivre les  affaires  ;  les  évêques  d'Afrique 
demandent  à  l'empereur  la  permission  d'en 
établir,  542.  —  Décret  attribué  au  pape  Pe- 
lage II  qui  défend  de  choisir  des  moines  pour 
défenseurs  des  églises,  XI,  339.  Défenseur 
d'une  province  ecclésiastique  ;  c'était  un 
clerc  destiné  à  exécuter  les  ordres  du  pape 
pour  l'utilité  des  pauvres,  505.  Le  pape 
saint  Grégoire  établit  un  corps  de  défen- 
seurs, 510. 
lY  siècle.  DÉFINITIONS.  Poëme  de  saint  Grégoire 
de  Nazianze  contenant  diverses  définitions, 
V,  291. 
375.  DÉGRADATION    DES    CLERCS.    Canon 

trente-deuxième  dans  la  deuxième  épître 
canonique  de  saint  Basile  le  Grand,  IV,  467. 
Canon  quarante-huitième  du  quatrième  con- 


cile de  Carthage,  430,  431.  —  Exemple  de 
dégradation  dans  un  concile  tenu  dans  les 
Gaules,  XII,  959. 

DEGRÉS  SACRÉS.  [Sept  degrés  désignés        393. 
par  un  anonyme  du  n"  siècle,  I,  542.]  — 
Canon  dix-neuvième  du  concile  d'Hippone,        397. 
VII,  715.  Canon  quarante-huitième  du  troi- 
sième concile  de  Carthage,  725. 

DEGRÉS  DE  CONSANGUINITÉ  ou  de 
PARENTÉ.  Décision  du  pape  saint  Grégoire 
au  sujet  de  ces  degrés,  XI,  525,  526.  — 
Lettre  de  Raban  Maur  au  sujet  des  degrés 
de  consanguinité  dans  lesquels  il  est  permis 
de  contracter  mariage,  XII,  458.  —  Lettre  xi  siècle, 
du  pape  Alexandre  II,  au  clergé  de  Naples, 
touchant  les  degrés  de  parenté,  XIII,  291. 
Opuscule  de  saint  Pierre  Damien  sur  la  même 
matière,  312.  Constitutions  synodales  des 
patriarches  Michel  Cérularius  et  Constantin 
Lichudès  sur  les  degrés  dans  lesquels  il  est 
défendu  de  contracter  mariage,  338.  —  Ca-  1215. 
non  du  quatrième  concile  de  Latran  qui  res- 
treint au  quatrième  degré  de  parenté  la  dé- 
fense de  contracter  mariage,  XIV,  1170. 

DEGRÉS    D'AFFINITÉ   diminués  par  le       ms. 
concile  de  Latran,  XIV,  1169. 

DÉGUISEMENTS  défendus  par  le  concile 
de  Quinisexte,  XII,  963. 

DÉLATEURS.  Canon  cinquante-sixième  du        398. 
quatrième  concile  de  Carthage,  VII,  731. 

[DELÉCLUZE,  auteur  d'un  livre  intitulé 
Grégoire  VII,  François  d'Assise,  Thomas 
d'Aquin,  XIII,  374.] 

DÉLECTATION  CÉLESTE  qui  nous  fait 
surmonter  les  délectations  terrestres  ;  c'est 
le  caractère  de  la  grâce  de  Jésus-Christ,  IX, 
711. 

DELFAU  (François),  bénédictin  de  la  con- 
grégation de  Saint-Maur ,  chargé  par  ses 
supérieurs  de  l'édition  des  œuvres  de  saint 
Augustin;  une  mort  prématurée  l'arrêta, 
IX,  815. 

[DÉLICES  (Les)  de  ce  siècle  passager  dé- 
tournent l'esprit  de  la  béatitude  éternelle, 
sujet  d'un  sermon  de  saint  Éphrem,  VI,  497.] 

DELPHIN  (Saint),  évêque  de  Bordeaux, 
assiste  au  concile  de  Saragosse,  IV,  615. 
—  Il  était  lié  d'amitié  avec  saint  Phébade 
d'Agen,  V,  373.  — -  Il  baptise  saint  Paulin, 
évêque  de  Noie,  VIII,  51.  Lettre  que  lui  ^g_ 
écrit  ce  saint,  59,  60.  Autre,  63.  Autre  ;  au-  ^qj 
tre,  67.  Autre,  75.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littér.  de  la  France,  II,  44  et  suiv.) 

DELPHIN  (Saint) ,  évêque  de  Lyon,  donne  à 
saint  Wilfrid  la  tonsure  à  la  romaine,  XII,  62. 


380. 


312 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


DELRIO  (Martin-Antoine),  jésuite.  Ses  no- 
tes sur  le  traité  de  Mamert  Claudien  :  De  la 
nature  de  l'âme,  X,  359.  Son  édition  du 
poème  d'Orientius  intitulé  Avertissement 
aux  fidèles,  100,  note  2. 

DÉLUGE.  Saint  Optât  de  Milève  le  regarde 
comme  la  figure  du  baptême,  V,  133,  et 
note  4.  Sentiments  de  saint  Ambroise  sur  le 
déluge,  518,  525.  —  Opuscule  faussement 
attribué  à  saint  Jean  Chrysostôme  sur  le  dé- 
luge, VII,  335.  —  Sermon  faussement  attri- 
bué à  saint  Augustin  sur  le  déluge  et  la 
persécution  des  barbares,  IX,  284.  Remar- 
ques de  saint  Augustin  sur  le  temps  du  dé- 
luge, 313.  —  Discours  de  Basile  de  Seleucie 
sur  le  déluge,  X,  164,  165. 

DÉMÉTRIADE,   fille  d'Anicius  Probus, 
VI,  286. 
V.  412.  DÉMÉTRIADE  (Sainte),  fille  d'Olybrius, 

consul,  embrasse  la  virginité  par  les  exhor- 
tations de  saint  Augustin,  IX,  17.  —  Lettre 
*!*•  que  lui  écrivit  saint  Jérôme,  VII,  642.  Let- 
tre de  Pelage  à  Démétriade,  342.  Cette  let- 
tre est  dans  l'appendice  des  œuvres  de  saint 
Jérôme,  646,  —  et  dans  l'appendice  des 
œuvres  de  saint  Augustin,  IX,  194.  Saint  Au- 
gustin parle  de  cette  lettre,  159  et  452.  — 
Lettre  à  Démétriade  sur  la  grâce  ;  elle  a  été 
attribuée  à  saint  Ambroise,  mais  elle  n'est 
pas  de  lui,  V,  511.  —  L'auteur  de  cette  let- 
tre est  le  même  qui  a  écrit  la  Vocation  des 
Gentils  ;  ce  qu'elle  contient,  X,  246. 
m  siècle.  DÉMÉTRIEN,  gouverneur  d'Afrique,  per- 
sécute les  chrétiens,  II,  285.  Il  les  accuse 
d'être  la  cause  des  fléaux  qui  ravagent  l'em- 
pire, 286.  Ecrit  de  saint  Cyprien  contre  lui, 
286  et  287. 
252.  DÉMÉTRIEN  [ou  DÉMÈTRE,]  élu  évêque 

d'Antioche,  II,  403. 
IV  siècle.         DÉMÉTRIEN,  disciple  de  Lactance  qui  lui 
adresse  son  livre  de  l'Ouvrage  de  Dieu,  II, 
493  ;  et  deux  livres  de  ses  lettres,  508. 
DÉMÉTRIUS,  évêque  d'Alexandrie,  s'é- 
III  siècle,     lève  contre  Origène,  assemble  deux  conciles 
et  l'excommunie,  II,  133.  Sa  lettre  au  pape 
Victor  et  aux  évoques  de  Jérusalem  et  d'An- 
tioche touchant  la  fête  de  Pâques,  342.  Con- 
ciles qu'il  assemble   contre  Origène,   332, 
553.  —  Il  le  condamne,  VII,  436. 
DÉMÉTRIUS,  prêtre  d'Alexandrie,  II,  398. 
262.  DÉMÉTRIUS,    évêque   d'Egypte,    à   qui 

l'empereur  Gallien  écrit,  II,  412. 
304.  DÉMÉTRIUS,  centenier,  présente  les  saints 

confesseurs  Taraque,  Probe  et  Andronic  au 
gouverneur  Numérieu,  III,  32. 


DÉMÉTRIUS  (Saint),  martyr  à  Thessalo-  | 

nique.  Vie  de  saint  Démétrius,  traduite  en  * 

latin  par  Anastasele  Bibliothécaire,  XII,  714. 
Discours  de  l'empereur  Léon  VI  en  son  hon-  ^ 

neur,  775.  Sa  prédiction  de  la  ruine  de  Thés-  ] 

salonique,  797.  —  Hymne  en  son  honneur  et  î 

relation  de  ses  miracles  ,  par  Épiphane , 
prêtre  de  Jérusalem,  XIII,  31. 

DÉMÉTRIUS,  moine,  prie  saint  Jean 
Chrysostôme  d'écrire  sur  la  componction, 
Vn,  23. 

DÉMÉTRIUS,  évêque  de  Pessinonte,  va  à 
Rome  pour  la  défense  de  saint  Chrysostôme, 
VII,  127.  Est  relégué  dans  l'Oasis,  134. 

DÉMÉTRIUS,  à  qui  saint  Nil  écrit,  VIII, 
217. 

DÉMÉTRIUS,  évêque  de  Phihppe,  envoyé 
à  Rome  par  l'empereur  Justinien,  XI,  116. 

DÉMÉTRIUS,  évêque  de  Naples.  Lettre        590. 
que  lui  écrit  le  pape  saint  Grégoire,  XI,  481. 
Il  est  déposé  pour  ses  crimes,  487. 

[DÉMÉTRIUS  LE  SYNCELLE,  métropolite        loso. 
de  Cyzicène.  Sa  réponse  sur  les  noces  pro- 
hibées est  au  tome  GXIX  de  la  Patrologie 
grecque.] 

DÉMÉTRIUS  DE  CYZIQUE.  Son  écrit  de     xi  siècle, 
l'origine  des  erreurs  des  Jacobites  et  des 
Chatzizariens,  XI,  809.  Le  père  Combefislui 
attribue  aussi  le  Mémoire  sur  le  schisme  des 
Arméniens,  810.  [Temps  où  il  a  vécu,  809,        lOso. 
note!.] 

DÉMÉTRIUS  CYDONIUS.  Sa  Monodie  ou    xiv  sièeie. 
complainte  sur  les  ravages  arrivés  à  Thes- 
salonique  par  des  guerres  intestines  ;  édi- 
tions de  cet  écrit,  XII,  798.  [On  l'a  reproduit 
au  tome  CIX  de  la  Patrologie  grecque.] 

DÉMÉTRIUS  DE  LAMPE.  Son  erreur  sur       U66. 
l'égalité  du  Père  et  du  Fils  condamnée  dans 
un  concile  de  Constantinople,  XIV,  1131 . 

DEMEURES  DU  CIEL.  Discours  de  saint 
Éphrem  sur  les  différentes  demeures  du  ciel  ; 
autre  sur  la  demeure  des  bienheureux , 
VI,  10. 

DEMI-ARIENS.  Voyez  Semi-Ariens. 
DEMI-PÉLAGIENS.  Voyez  Semi-Pélagiens. 
DEMI-TON.  Traité  du  demi-ton,  ouvrage 
de  Raoul  de  Laon,  XIV,  183. 

DÉMOCRATE,  maître  de  rhétorique  de 
saint  Augustin,  IX,  2. 

DÉMOCRITE,  philosophe.  Son  sentiment 
sur  le  bonheur  de  l'homme,  X,  97. 

DÉMONIAQUES.  Saint  Antoine  en  guérit 
plusieurs  par  le  signe  de  la  croix,  III,  388. 
—  Défense  à  ceux  qui  sont  possédés  du  dé- 
mon de  servir  à  l'autel,  Xll,  941. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


313 


DÉMONS.  Doctrine  d'Hermas  sur  le  dé- 
mon, I,  335;  de  saint  Ignace  d'Antioche, 
376.  Témoignage  et  doctrine  de  saint  Justin, 
426  et  439  ;  de  saint  Tliéopliile,  480  ;  de  Ta- 
tien,  491  et  note  1  ;  de  Minucius  Félix,  S53, 
556  ;  de  Clément  d'Alexandrie,  596;  —  d'Ori- 
gène,  II,  216  et  221,  222;  de  saint  Gyprien, 
287  ;  de  Lactance,  498,  515.  On  croyait  que 
les  démons  se  repaissaient  du  sang  des  vic- 
times,535. —  Doctrine  de  saint  Méthode,  III, 
70.  Témoignages  d'Eusèbe  de  Gésarée  :  les 
démons  ou  génies,  auteurs  des  oracles,  de 
l'idolâtrie,  de  la  magie,  adorés  sous  divers 
noms  de  dieux,  185.  Puissance  de  Jésus- 
Christ  sur  eux;  témoignage  remarquable 
de  Porphyre,  185  et  191.  Le  pouvoir  de 
chasser  les  démons  seperpétue  dans  l'Église, 
238.  Doctrine  d'Eusèbe  de  Césarée,  278, 279. 
Saint  Antoine  est  tourmenté  par  le  démon  ; 
il  découvre  à  ses  disciples  les  artifices  du  dé- 
mon et  les  moyens  de  les  vaincre,  383.  Le 
seul  nom  de  Jésus-Christ  met  en  fuite  les  dé- 
mons, 388.  —  Témoignage  de  saint  Atha- 
nase  touchant  les  démons,  IV,  228.  Témoi- 
gnage de  Julius  Firmicus;  opinion  de  cet 
auteur,  313.  Sentiment  de  Tite  de  Rostres, 
340;  de  saint  Basile,  374.  Doctrine  de  ce 
Père,  375  et  517.  Erreurs  des  Priscillianistes 
touchant  les  démons,  614.  Erreurs  desMes- 
sahens,  643  ;  de  Jovinien,  651  ;  —  de  saint 
Cyrille  de  Jérusalem,  V,  80.  Poème  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze  sur  les  tentations  du 
démon  ;  antre  poème  contre  le  démon,  273. 
Témoignage  de  saint  Grégoire  de  Nazianze 
touchant  la  puissance  des  démons,  281.  Doc- 
trine de  ce  même  saint,  321,  322.  Témoi- 
gnage et  doctrine  de  saint  Ambroise,  398  et 
547.  [Témoignage  de  Didyme  l'Aveugle, 
621.]  —  Doctrine  de  saint  Ephrem,  VI,  57. 
[Le  démon  n'est  pas  l'auteur  des  ténèbres, 
454, 456.  C'est  lui  qui  forge  des  dogmes  nou- 
veaux ;  le  démon  n'est  pas  l'auteur  du  corps 
de  l'homme,  458.  De  l'Opération  du  démon 
pervers,  par  saint  Éphrem,  506,  507.  De  la 
Guerre  contre  les  démons,  sermon  par  le 
même,  507.]  Doctrine  de  saint  Grégoire  de 
Nysse,  239,  240.  —  Saint  Jean  Chrysostôme 
explique  comment  on  peut  dire  des  hommes 
qu'ils  deviennent  des  démons,  VII,  54.  Trois 
homélies  du  même  sur  les  démons,  73  et 
suiv.  Témoignages  de  Théophile  d'Alexan- 
drie, 446;  —  de  saint  Jérôme,  608  et  665  ; 
—  de  Bachiarius,  V1II,47.  [Sermon  d'Eusèbe 
d'Alexandrie  sur  le  diable,  383.]  Comment 
le  démon  connaît  nos  pensées,  491.  Canon 


d'un  concile  d'Orange  touchant  ceux  qui  ont 
été  publiquement  agités  du  démon,  609.  — 
Témoignages  de  saint  Augustin,  IX,  67  et 
321,  322.  Livre  des  Prédictions  des  démons, 
ouvrage  de  saint  Augustin,  279,  280.  Doc-  Entre  «6  et 
trine  de  saint  Augustin,  466,  480,  499,  505, 
554,  729,  737,799.  —  Erreur  des  Messaliens 
sur  le  démon,  X,  47.  Doctrine  de  Théodoret, 
118;  de  saint  Léon,  186;  de  saint  Prosper, 
288.  Témoignage  d'Isaac  le  Grand,  579.  — 
Comment  le  démon  persécute  les  bons,  XI, 
131.  Comment  il  se  présente  devant  Dieu; 
comment  Dieu  lui  parle  et  comment  il  parle 
à  Dieu,  selon  le  pape  saint  Grégoire  ;  il  n'a 
de  pouvoir  de  nous  tenter  qu'autant  que 
Dieu  lui  en  donne,  444.  Doctrine  du  pape 
saint  Grégoire  sur  les  démons,  564.  —  Erreur 
de  ceux  qui  prétendent  que  les  démons  re- 
viendront à  leur  premier  état,  XII,  26.  Doc- 
trine de  saint  Jean  Damascène,  95.  Senti- 
ment de  Raban  Maur,  461.  Défense  à  ceux 
qui  sont  possédés  du  démon  ou  agités  de 
violents  mouvements  de  servir  à  l'autel,  941. 
—  Traité  des  Opérations  des  démons,  ouvrage 
de  Michel  Psellus,  XIII,  337.  —  Livre  de 
saint  Anselme  intitulé  :  De  la  Chute  du  dia- 
ble, XIV,  13,  14.  Voyez  Anges  et  Oracles. 

DÉMONSTRATION  ÉV  ANGÉLIQUE.  Livres 
de  la  Démonstration  évangélique,  seconde 
partie  d'un  ouvrage  d'Eusèbe  de  Césarée 
contre  les  païens,  III,  188  et  suiv.  Voyez 
Eusèbe  de  Césarée. 

DÉMONSTRATION  SYLLOGISTIQUE.  Ou- 
vrage de  Théodoret,  qui  est  la  récapitula- 
tion de  son  Eraniste  ou  Polymorphe,  X, 
82,  83. 

DÉMOPHILE,  fait  évêque  de  Constanti- 
nople  par  la  faction  des  Ariens,  IV,  437. 

DÉMOPHILE,  moine  à  qui  est  adressée 
une  des  lettres  attribuées  à  saint  Denis 
l'Aréopagite,  X,  351. 

DÉMOSTHÈNE,  maître  d'hôtel  et  officier 
de  l'empereur  Valens  dans  le  Pont  et  la  Cap- 
padoce,  IV,  357  et  363.  Il  veut  faire  des  re- 
proches à  saint  Basile  de  Césarée,  357.  Il 
vient  à  Césarée  et  à  Sébaste  et  persécute 
ceux  qui  communiquaient  avec  saint  Basile, 
363.  Il  soutient  les  Ariens,  fait  assembler  un 
concile  à  Ancyre,  476  et  603  ;  et  un  autre 
conciliabule  à  Nysse  contre  saint  Grégoire 
de  Nysse,  476  et  604.  Lettre  que  saint  Basile 
le  Grand  lui  écrit,  476.  —  Il  veut  faire  arrê- 
ter saint  Grégoire  de  Nysse,  VI,  121. 

[DENAIN.  A  traduit  en  français  plusieurs 
ouvrages  des  Pères  dans  les  Chefs-d'oeuvres 


IV  siècle. 


372. 
376. 


375 


314 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


des  Pères  et  dans  les  Pères,  traduits  en  fran- 
çais par  M.  de  Genoude,  souvent  cité  dans 
les  tomes  I  et  II;  a  traduit  en  français  avec 
notice  et  notes  les  Méditations  de  saint  An- 
selme, XIV,  43.] 

[DENIER  d'or  donné  aux  baptisés,  VI, 
274,  275.] 
1  siède.  DENIS  L'ARÉOP AGITE  (Saint),  premier 
évêque  d'Athènes.  Liturgie  qui  lui  est  attri- 
buée, I,  288.  Témoignage  de  saint  Denis  de 
Corinthe  sur  saint  Denis  l'Aréopagite,  462. 

—  [Sermon  sur  saint  Denis  l'Aréopagite,  at- 
tribué au  pape  saint  Léon  le  Grand,  X,  276. 
Histoire  de  saint  Denis  l'Ai'éopagite,  534. 
A-t-il  été  envoyé  dans  les  Gaules,  534  et 
suiv.  Voyez  ci-dessous  saint  Denis  de  Paris 
qui  serait  le  même  que  saint  Denis  l'Aréo- 
pagite.] —  Discours  de  Michel,  prêtre  de 
Jérusalem,  en  l'honneur  de  ce  saint,  XII, 
362.  Opinion  qui  fait  saint  Denis  l'Aréopa- 
gite, le  même  que  saint  Denis,  évêque  de 
Paris  ;  ce  qu'en  disent  les  Aréopagitiques 
d'Hilduin,  384,  385.  Panégyrique  de  saint 
Denis  l'Aréopagite,  par  saint  Méthodius,  pa- 
triarche de  Constantinople,  424.  Sa  Vie,  tra- 
duite en  latin  parAnastasele  Bibliothécaire, 
ne  se  trouve  plus  ;  on  en  a  imprimé  la  préface, 
7i4.  —  Bulle  attribuée  au  pape  saint  Léon  IX 
en  faveur  de  ses  reliques  prétendues  parles 
moines  de  Saint-Emmeran  de  Ratisbonne  ; 
cette  bulle  est  visiblement  supposée,  XIII, 
208.  Histoire  de  la  translation  de  ses  reli- 
ques, attribuée  au  moine  Othlon,  283,  284. 

—  Sentiment  d'Abaillard  sur  l'apostolat  de 
ce  saint,  XIV,  319.  Lettre  du  même  sur  un 
témoignage  de  Bède  qui  prétend  que  saint 
Denis  l'Aréopagite  était  évêque  de  Corinthe, 
326.  —  La  question  sur  l'auteur  des  livres 
qui  portent  le  nom  de  saint  Denis  l'A- 
réopagite est  du  nombre  de  celles  qui 
trouveront  toujours  des  partisans  pour  et 
contre,  X,  539.  Preuves  qu'allèguent  ceux 
qui  prétendent  que  saint  Denis  l'Aréopagite 
est  auteur  des  hvres  qui  portent  son  nom, 
519  et  suiv.  Réponses  des  contradicteurs, 
541,  542.  Preuves  qu'allèguent  ceux  qui  sont 
d'un  sentiment  contraire,  542,  543.  Répon- 
ses des  défenseurs  du  premier  sentiment, 
543.  Ce  qu'on  peut  penser  des  ouvrages  at- 
tribués à  saint  Denis  l'Aréopagite ,  544. 
[Authenticité  de  ces  ouvrages,  d'après  l'opi- 
nion la  plus  probable,  7ol  et  suiv.]  Analyse 
de  ces  ouvrages,  5i4  et  suiv.  Livre  de  la 
Hiérarchie  céleste,  544,  545  ;  de  la  Hiérar- 
chie ecclésiastique,  546  ;  des  Noms  divins, 


550;  de  la  Théologie  mystique;  Lettres  sous 
le  nom  de  saint  Denis,  551 .  Ouvrages  per- 
dus, 552.  Éditions  et  traductions  qu'on  a 
faites  des  œuvres  de  saint  Denis  l'Aréopa- 
gite, 553.  [Autres  éditions  et  traductions, 
553.  M.  l'abbé  Dulac  a  publié  en  1865,  chez 
Martin  Beaupré,  à  Paris,  une  nouvelle  tra- 
duction française  des  œuvres  de  saint  Denis 
l'Aréopagite,  1  vol.  in-8°  avec  prolégomènes, 
manchettes,  notes,  table  analytique  et  al- 
phabétique, table  détaillée  des  matières.] 
Scholies  sur  les  livres  de  saint  Denis  l'Aréo- 
pagite, attribuée  à  saint  Denis  d'Alexandrie, 
539.  —  Saint  Denis  l'Aréopagite,  cité  par 
l'auteur  du  commentaire  sur  saint  Luc,  at- 
tribué à  Tite  de  Rostres,  IV,  344.  — Le  livre 
des  Noms  divins  cité  par  le  moine  Jobius, 
XI,  184.  Saint  Denis,  cité  par  Léonce  deBy- 
zance,  669  ;  par  saint  Sophrone,  patriarche 
de  Jérusalem,  704.  Commentaire  da  saint 
abbé  Maxime  sur  les  livres  attribués  à  saint 
Denis  l'Aréopagite,  770.  —  Les  ouvrages 
attribués  à  saint  Denis  sont  cilés  par  André 
de  Crète,  XII,  59;  par  saint  Jean  Damas- 
cène,  71  et  77.  Ils  sont  commentés  parPho- 
cas  d'Édesse.  Autres  commentaires  sur  les 
écrits  qu'on  lui  attribue,  101.  Ces  ouvrages 
sont  apportés  en  France  et  recueillis  par 
Hilduin,  384,  385.  [Auteurs  qui  avant  Hilduin 
ont  fait  un  seul  et  même  personnage  de  saint 
Denis  l'Aréopagite  et  de  saint  Denis  de  Paris, 
385,  note  1.]  Ou  trouve  cités  ces  écrits  dans 
la  conférence  tenue  à  Constantinople  contre 
les  Sés'ériens,  385.  Traduction  latine  des  œu- 
vres de  saint  Denis  l'Aréopagite  par  Jean 
Scot,  607,  608  [et  note  7].  Autres  traduc- 
tions, 608.  Anastase  le  Bibliothécaire  traduit 
les  scholies  faites  sur  le  livre  de  saint  Denis, 
714.  Un  passage  cité  par  les  Monothélites 
comme  étant  tiré  de  la  lettre  de  saint  Denis 
à  Gaius  et  favorable  à  leur  hérésie  est  expli- 
qué dans  un  sens  catholique  au  concile  de 
Latran,  928.  —  Commentaire  de  Hugues  de 
Saint- Victor  sur  la  Hiérarchie  céleste,  XIV, 
349. 

DENIS  (Saint),  premier  évêque  de  Paris,       i  siècle 
martyr,  III.  —  [A-t-il  été  envoyé  dans  les    ^  c^'uia 
Gaules  au  premier  siècle?  X,  534,  535.  Ob-     lii siècle, 
jections  contre  la  mission  de  saint  Denis  au 
premier  siècle,  535  et  suiv.  La  mision  de 
saint  Denis  au  premier  siècle  et  son  identité  ^ 

avec  saint  Denis  l'Aréupagite  sont  deux  tra-  ) 

ditions  distinctes,  539.]  —  Les  ùctes  de  saint 
Denis  ne  sont  pas  de  Portunat  de  Poitiers, 
XI,  412.  On  l'a  identifié  avec  saint  Denis 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


315 


l'Aréopagife.  Ce  qu'en  disent  les  Aréopage- 
tiques  d'Hilduin,  XII,  384,  383.  Lettre  sur 
ce  sujet  attribuée  à  Hincmar  de  Reims,  687. 
Poëme  de  Roswithe  de  Gandersheim,  en 
l'honneur  de  saint  Denis,  877.  —  Poëme  du 
roi  Robert,  XIII,  i08.  Histoire  de  la  trans- 
lation du  corps  de  saint  Denis  en  Allemagne, 
attribuée  àOtbon,  moine  de  Saint-Emmeran 
de  Ratisbonne,  283.  Raisons  de  croire  qu'elle 
est  l'ouvrage  du  même  imposteur  qui  a  fa- 
briqué, sous  le  nom  de  Léon  IX  une  bulle 
qui  déclare  que  le  corps  de  saint  Denis  était 
à  Ratisbonne,  283  et  284.  —  Histoire  de  la 
translation  des  reliques  des  saints  Denis, 
Rustique  et  Eleuthère,  écrite  par  l'abbé 
Suger,  XIV,  376.  Sermon  de  Guillaume 
d'Auvergne  pour  la  fête  de  saint  Denis, 
1027.  —  [Pièce  de  vers,  par  Fardulfe,  en 
l'honneur  des  temples  de  saint  Denis,  XII, 
218.]  —  Legs  que  fait  sainte  Perpétue  aune 
église  de  saint  Denis,  X,  MO.  —  Abbaye  du 
nom  de  Saint-Denis  près  Paris.  Le  pape 
Etienne  II  lui  accorde  le  privilège  d'avoir 
un  évéque  particulier,  XII,  114.  Confirma- 
tion de  ce  privilège  par  le  pape  Adrien  I", 
139.  [Privilège  que  Léon  III  lui  accorde,  402.] 
Privilèges  que  le  pape  Benoît  III  accorde  à 
cette  abbaye,  410  et  411.  Immunités  de 
cette  abbaye  confirmées  par  le  roi  Dago- 
bert,  921.  Privilège  accordé  à  cette  ab- 
baye par  le  concile  de  Clichy,  935.  — 
Un  concile  de  Rome  permet  à  l'abbé  de 
Saint-Denis  de  recevoir  le  Saint-Chréme  de 
l'archevêque  de  Reims  ou  de  ses  suflfra- 
gants,  XIII,  288.  — Réforme  de  cette  abbaye 
par  l'abbé  Suger,  XIV,  374.  Histoire  du  gou- 
vernement de  cet  abbé ,  écrite  par  lui- 
même.  Histoire  de  la  dédicace  de  cette  ab- 
baye, écrite  par  le  même,  376.  Constitutions 
de  Suger  pour  cette  abbaye,  376  et  377. 
Charte  du  roi  Robert  accordant  de  nouveaux 
privilèges  à  cette  abbaye,  1035.  Concile  qui 
y  fut  tenu  et  où  l'on  fit  la  reconnaissance 
des  reliques  des  saints  martyrs,  1038,  1039. 
—  Abbaye  sous  le  nom  de  Saint-Denis  dans 
un  des  faubourgs  de  Reims  :  l'archevêque 
Gervais  y  met  des  chanoines  réguliers,  XIII, 
264. 

DENIS  (Saint),  évêque  de  Corinthe,  1,461 
et  462.  En  quel  temps  il  fleurissait,  461.  Ses 
huit  lettres  ;  la  première  aux  Lacédémo- 
niens,  la  seconde  aux  Athéniens  ;  la  troi- 
sième aux  fidèles  de  Nicomédie  contre  les 
erreurs  de  Marcion  ;  la  quatrième  aux  Gor- 
tyniens  ;  la  cinquième  à  l'Église  d'Amastis  ; 


la  sixième  aux  Cnossiens  et  à  Pinytus,  leur 
évêque  ;  la  septième  à  l'église  de  Rome  et  à 
Soter  qui  en  était  évêque  ;  la  huitième  à  sa 
sœur  Ghrysophore,  461.  Autres  écrits  de 
saint  Denis,  461  et  462. 

DENIS,  évêque  de  Vienne,  au  temps  du 
pape  Victor,  VI,  84. 

DENIS  (Saint),  évêque  d'Alexandrie  et 
confesseur  :  histoire  de  sa  vie,  II,  396  etsuiv. 
Naissance  de   saint  Denis.  Sa  conversion , 

396.  Il  est  fait  prêtre  et  catéchiste,  396  et 

397.  Il  est  fait  évêque  d'Alexandrie.  Il  est 
arrêté  prisonnier  et  délivré  par  des  paysans, 
397.  Soin  de  saint  Denis  pour  son  peuple  pen- 
dant sa  retraite.  Il  travaille  à  éteindre  le 
schisme  et  l'hérésie  de  Novalien,  et  à  réta- 
blir la  paix  dans  l'Église  d'Antioche.  Il  écrit 
au  pape  saint  Etienne  sur  la  question  du 
baptême.  Lettre  que  saint  Etienne  lui  écri- 
vit sur  le  même  sujet,  398.  Saint  Denis  entre 
en  conférence  avec  les  Arsinoïtes,   398  et 

405,  406.  Il  confesse  Jésus-Christ,  et  est 
banni   à  Kephro  dans  la  Maréote,  398  et 

406.  Lettres  de  saint  Denis  pendant  son 
exil.  Il  retourne  à  Alexandrie,  399.  Il  est 
accusé  de  nier  la  consubstantialité  du  Verbe  ; 
il  s'en  Justine,  399  et  400.  Il  est  appelé  au 
concile  d'Antioche  contre  Paul  de  Samosate. 
Il  meurt,  401.  Ecrits  de  saint  Denis,  401  et 
suiv.  Lettre  de  saint  Denis  à  Novatien  ;  aux 
confesseurs  de  Rome,  401.  Diverses  autres 
lettres  de  saint  Denis,  401  et  402.  Lettres  du 
même  à  Fabius  d'Antioche,  402,  403.  Ce 
qu'il  y  rapporte  des  martyrs  d'Alexandrie 
sous  Dèce,  403.  Lettre  de  saint  Denis  à  saint 
Corneille,  403,  404;  à  Origène.  Discours  de 
saint  Denis  sur  la  solennité  de  Pâques,  404. 
Ecrit  contre  saint  Népos,  contre  les  Millé- 
naires, 404  et  suiv.  Sa  Conférence  avec  les 
Arsinoïtes,  403,  406.  Suite  de  son  écrit  con- 
tre les  Millénaires,  406.  Lettre  de  saint  Denis 
au  pape  saint  Etienne,  406  et  407.  Autres 
lettres  du  même  à  saint  Sixte,  407.  Lettres 
que  lui  écrivent  saint  Denis  et  Philèmon, 
prêtres  de  Rome,  407  et  408.  Réponse  qu'il 
leur  fait,  408,  409.  Réponse  de  saint  Denis 
aux  calomnies  de  Germain.  Sa  lettre  à  Do- 
mice  et  à  Didyme,  409.  Lettres  pascales  de 
saint  Denis,  409  et  410.  Sa  lettre  canonique 
à  BasiHde,  410,  411.  Autres  lettres  pascales 
du  même,  411,  412.  Lettre  du  même  à  Her- 
mammon  et  à  Théotécine  ;  aux  fidèles  d'E- 
gypte, 412.  Ses  écrits  à  Euphranor  et  à  Ti- 
mothée,  412  et  413.  Autres  contre  Sabellius, 
413  et  suiv.;  contre  Paul  de  Samosate,  416, 


231. 
248. 
250. 

251  et  252. 

254,255,256. 

257. 


258,  259. 
260,  261. 


264. 
251. 


254. 
255. 

255. 
257  et  258. 


258  et  259. 


2B0. 


263. 


264. 


316 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


417.  [Fragment  d'un  écrit  sur  la  pénitence, 
401,  note  10.  Lettre  de  saint  Denis  à  Paul 
de  Samosate.  Est-elle  authentique  ?  416, 
note  10.  Ses  écrits  exégétiques  sur  l'Ecclé- 
siaste,  411,  note  8;  et  417,  418;  sur  saint 
Luc  et  sur  saint  Jean,  418,  419.  Editions  de 
ses  écrits,  419.  Sa  lettre  au  diacre  Conon 
sur  la  pénitence  canonique  a  été  publiée  en 
grande  partie  par  le  cardinal  Pitra  dans  le 
premier  volume  des  Monumenta  Juris  eccle- 
siastici  Grœcorum.]  Jugement  de  ses  écrits, 
419.  Conférence  de  saint  Denis  avec  le  peuple 
d'Arsinoé,  en  Egypte,  364,  56S.  H  est  calom- 
nié sur  la  doctrine  auprès  du  pape  saint 
Denis.  Concile  de  Rome  à  ce  sujet,  S65.  — 
Apologie  de  ce  saint  par  saint  Atbanase,  IV, 
114,  113.  Pensées  de  saint  Basile  sur  les 
écrits  de  saint  Denis,  428.  Saint  Basile  lui 
attribue  d'avoir  admis  le  baptême  des  Pépu- 
zéniens  ou  Montanistes  456.  —  On  lui  attri- 
bue des  scholies  sur  le  livre  de  saint  Denis 
l'Aréopagite,  X,  339. 

256.  DENIS  (Saint),  pape,  II,  248  et  suiv.  Il  est 

prêtre  de  Rome;  il  écrit  touchant  le  bap- 

259.  tême.  Il  est  élu  pape  ;  il  écrit  aux  fidèles  de 
Cappadoce,  448.  Il  tient  un  concile  à  Rome 
et  écrit  contre  les  Sabelliens  et  les  Marcio- 
nites.  Sa  doctrine  sur  la  Trinité.  Fausses 
décrétales  qui  lui  sont  attribuées,  449.  Es- 
time qu'on  a  faite  de  saint  Denis,  450.  [Édi- 
tions des  écrits  de  ce  pape,  430.]  —  Lettre 
que  lui  écrivit  saint  Denis  évêque  d'Alexan- 

III  siècle,     drie ,    II ,  448.   Le  concile  d'Antioche  lui 

mande  la  déposition  de  Paul  de  Samosate, 
568  et  suiv.  Faux  concile  contre  Paul 
de  Samosate,  572.  —  Témoignage  que  lui 
rend  saint  Basile,  IV,  442.  —  Décrétales 
faussement  attribuées  à  ce  saint  pape,  VI,  87. 

304.  DENIS  (Saint),  de  Tripoliteus,  et  un  autre 

Denis,  martyrs  de  Palestine,  IIl,  6. 
DENIS,  oncle  de  saint  Pancrace,  Itl,  24. 

325.  DENIS  (le  comte),  assiste  au  concile  de 

Tyr,  III,  430.  Intimide  les  Eusébiens  par 
l'autorité  d'Alexandre,  évêque  de  Thessalo- 
nique,  452. 

IV  siècle.         DENIS  (Saint),  évêque  de  Milan,  prend  la 
355.        défense  de  saint  Atbanase,  III,  528.  —  Saint 

Denis  et  les  autres  évêques  catholiques  font 
rentrer  Lucifer  de  Cagliari  au  concile  de 
Milan,  IV,  240.  Il  mourut  dans  son  exil,  et 
saint  Basile  envoie  son  corps  à  saint  Am- 
broise,  464.  —  Témoignage  que  lui  rend 
saint  Ambroise,  V,  491. — Vers  à  sa  louange, 
par  saint  Ennode,  X,  576. 
DENIS,  évêque  de  Diospolis  en  Palestine, 


confesseur,  IV,  618.  —  Il  baptise  les  caté- 
chumènes de  saint  Jérôme,  VII,  611. 

DENIS,  moine  de  saint  Basile,  IV,  429. 

DENIS,  général  de  la  milice.  Jean  d'An- 
tioche lui  envoie  la  loi  contre  les  schisma- 
tiques  pour  l'exécuter.  Il  écrit  en  consé- 
quence aux  évêques  dénommés  dans  cette 
loi,  VIII,  248.  Alexandre  Hiéraple  lui  écrit, 
380.  —  Peut-être  le  même  que  celui  qui 
obligea  Timothée  Elure  de  sortir  d'Alexan- 
drie, X,  176. 

DENIS,  patriarche  des  Jacobites,  X, 
142, 

DENIS,  rhétoricien  d'Alexandrie,  est,  se- 
lon quelques-uns,  l'auteur  des  ouvrages  at- 
tribués à  saint  Denis  l'Aréopagite,  avec  le- 
quel on  l'a  confondu,  X,  541. 

DENIS  LE  PETIT.  Ce  qu'on  sait  de  sa  per-  v.  540. 
sonne,  XI,  121  ;  de  sa  science  et  de  ses  ver- 
tus, 121  et  122.  Il  enseigne  la  dialectique 
pendant  plusieurs  années.  Bède  le  qualifie 
abbé  de  la  ville  de  Rome  ;  on  ne  sait  cepen- 
dant pas  qu'il  ait  été  supérieur  d'aucune 
maison  monastique.  Sa  mort,  122.  Son  code 
des  canons  des  conciles  d'Orient  et  d'Occi- 
dent. Histoire  de  ce  code,  122  et  123.  Edi- 
tions qu'on  en  a  faites,  123.  [Autre  édition, 
122.]  [Édition  des  œuvres  de  Denis  le  Petit 
dans  la  Patrologie,  122  et  125.]  Cycles  de 
Denis,  123.  Ses  lettres  sur  la  fête  de  Pâques, 
123  et  124.  Différentes  traductions  qu'il  a 
faites  du  grec  en  latin,  123.  — Version  la- 
tine de  la  Vie  de  saint  Pacôme,  III,  368.  — 
Sa  version  latine  du  traité  de  saint  Grégoire 
de  Nysse  :  De  la  Construction  de  l'homme, 
VI,  128.  — Son  Cycle  corrigé  par  Abbon  de 
Fleury,  XIII,  33. 

[DENIS  de  Telmera   en   Carie,  écrit  une    vu  siècle, 
chronique  en  syriaque,  XI,  813.] 

DENIS,  évêque  de  Séleucie,  XI,  701. 

DENIS,  évêque  d'Ascalon,  XI,  702. 

DENIS  LE  CHARTREUX.  Son  commen- 
taire sur  les  sept  lettres  de  saint  Antoine, 
III,  392.  —  Sa  paraphrase  des  écrits  de  Cas- 
sien  ,  VIII,  204.  —  Ses  paraphrases  sur 
l'Echelle  de  saint  Jean  Climaque,  XI,  691. 

[DENIS.  Son  édition  de  vingt-cinq  sermons 
de  saint  Augustin,  IX,  882  et  suiv.] 

DENISE  (Sainte)  deLampsaque,  vierge  et        250. 
martyre,  II,  118. 

DENISE  (Sainte),  martyre  à  Alexandrie,        asi. 
Il,  402. 

DENISE  (Sainte),  martyre  en  Afrique  dans      v  siècle, 
la  persécution  d'Hunéric,  X,  459. 

[DÉNOMBREMENT.  Il  y  en  eut  un  à  Baby- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


317 


454. 


841. 

343, 

401. 

)rès  4o! 

418. 


lone  et  un  au  retour  des  Juifs  à  Jérusalem, 
I,  67,  note  1.] 

DÉNONCIATEURS.  Soixante-treizième  ca- 
non du  concile  d'Elvire,  II,  61.3. 

DENT  de  Notre-Seigneur.  Relique  qu'on 
prétendait  avoir  à  l'abbaye  de  Saint-Médard 
de  Soissons  ;  ouvrage  de  Guibert  de  Nogent 
pour  prouver  que  cette  relique  ne  peut  être 
véritable,  XIV,  197  et  suiv. 

[DENZINGER,  professeur  de  théologie  en 
l'université  de  Wurtzbourg.  Ses  Prolégo- 
mènes sur  les  fausses  décrétales,  VI,  99.  — 
Sa  dissertation  sur  onze  messes  gallicanes 
publiées  par  Mone,  XIII,  13.  Son  édition  des 
commentaires  de  saint  Brunon,  évêque  de 
Wurtzbourg,  116.  Il  a  publié  aussi  les  hym- 
nes composées  par  Héribert,  évêque  d'Eis- 
chtoedt,  117.] 

DÉOBGYTE.  Lettre  de  consolation  que  lui 
écrit  saint  Lulle,  XII,  131. 

DÉODAT,  évêque  de  Mâcon,  XI,  754. 

DÉODÉRIC ,    évêque     de    Metz.    Voyez 
Thierri  /". 
DÉODUIN,  évêque  de  Liège  .Voyez  Théoduin. 

DEO  GRATIAS.  Paroles  que  les  moines  se 
disaient  en  se  rencontrant,  IX,  787. 

DEOGRATIAS,  prêtre.  Lettre  ou  livre  de 
saint  Augustin  à  Deogratias,  IX,  104.  Peut- 
être  le  même  que  le  diacre  Deogratias  à  qui 
saint  Augustin  avait  adressé  son  traité  de 
la  Manière  d'instruire,  264. 

DEOGRATIAS,  évêque  de  Cartbage.  Sa 
charité  pour  les  prisonniers  que  Genséric 
avait  faits  en  Italie  ;  sa  mort,  X,  450. 

DÉPOSITION  des  clers.  Vingt-neuvième 
canon  apostolique,  II,  582.  Trente-deuxième 
canon  apostolique,  583.  Canon  cinquante- 
unième  du  concile  d'Elvire,  611.  Canon 
soixante-seizième  du  même  concile,  613.  — 
Canon  quatrième  du  concile  d'Antioche,  III, 
467.  Canon  douzième  du  même  concile, 
Déposition  des  évêques  ;  canons  troisième, 
quatrième  et  cinquième  du  concile  de  Sar- 
dique,  485,  486.  —  Règlement  du  concile 
général  de  Carthage,  VIII,  538.  Canon  qua- 
torzième du  concile  de  Rome  sous  le  pape 
sainl  Innocent,  546.  Ordonnance  du  concile 
de  Telle  ou  Téleple,  561. 

[DERMACE,  hibernois,  demande  à  Raim- 
baud,  prévôt  de  l'Église  de  Liège,  une  lettre 
pour  le  recommander  aux  fidèles  dans  son 
voyage  de  Terre-Sainte;  écrit  que  lui  donne 
Raimbaud,  XIV,  185.] 

DERMACH,  monastère  bâti  en  Irlande  par 
saint  Golomban  l'Ancien,  XI,  330. 


DÉS.  Traité  contre  le  jeu  de  dés  fausse- 
ment attribué  à  saint  Gyprien,  II,  346.  Ca- 
non soixante-dix-neuvième  du  concile  d'El- 
vire touchant  le  jeu  de  dés,  614. 

DESCENTE  de  Jésus-Christ  aux  enfers. 
Doctrine  du  pape  saint  Grégoire  sur  ce 
point,  XI,  507,  508.  —  Quel  en  fut  l'effet  se- 
lon Philippe  le  Sohtaire,  XIV,  84. 

DÉSERT.  Eloge  du  désert;  lettre  de  saint 
Eucher  à  saint  Hilaire  ;  analyse  de  cette 
lettre,  VIII,  443,  444.  —  Désert  spirituel. 
Sujet  d'un  ouvrage  de  saint  Ildefonse  de 
Tolède,  XI,  775. 

DÉSESPOIR.  Homélie  où  saint  Jean  Chry  ■ 
sostôme  parle  du  désespoir,  VII,  265. 

DÉSIRÉ.  Lettre  que  lui  écrit  Sidoine 
Apollinaire  au  sujet  de  la  mort  de  Phylima- 
cie,  X,  384. 

DÉSIRS.  Canon  quatrième  du  concile  de     iv  siècle. 
Néocésarée,  II,  641.  —  Doctrine  de  saint 
Augustin,  IX,  478,  504,  687. 

DESMARES.  Sa  traduction  française  de 
l'ouvrage  de  Jonas,  évêque  d'Orléans,  inti- 
tulé :  Institution  royale,  XII,  392.  —  [Sa 
traduction  française  de  l'ouvrage  de  saint 
Bernard  intitulé  :  De  la  Considération,  XIV, 
499.] 

DÉSOBÉISSANCE  aux  commandements 
de  Dieu,  IV,  396. 

[DESPREZ  (Jean),  imprime  différents 
opuscules  de  Jean  de  Garlande ,  Xlfl, 
^30.] 

DESTIN.  Sa  nécessité  combattue  par  Eu-  jy  siècle, 
sèbe  de  Césarée,  III,  177,  178.  —  Éciits  de 
Diodore  de  Tarse  contre  le  destin,  IV,  589. 
—  Livre  de  saint  Grégoire  de  Nysse  contre 
le  destin,  VI,  153,  154.  [Destin  combattu 
par  Némésius,  285.  Doctrine  de  saint 
Ephrem,  433.]  —  Sis  discours  sur  le  destin  ly  siècle, 
et  la  providence  attribués  à  saint  Jean 
Chrysostôme,  VII,  97.  Opuscule  sur  le  des- 
tin faussement  attribué  à  saint  Jean  Chry- 
sostôme, 335.  —  Témoignage  de  saint  Pau- 
lin sur  le  destin,  VIII,  85.  Traité  de  saint 
Isidore  de  Péluse  contre  le  destin;  il  n'existe 
plus,  479.  —  Doctrine  de  saint  Augustin, 
IX,  478,  534,  724.  La  grâce  ne  détruit  pas 
le  libre  arbitre  et  n'introduit  pas  le  destin, 
724.  —  Ce  que  c'est  que  le  destin  selon 
Boëce,  X,  662.  —  Vanité  du  destin  prouvée 
par  le  pape  saint  Grégoire,  XI,  579.  Doctrine 
des  païens  sur  le  destin,  combattue  par 
Léonce  de  Naples,  666.  (Voyez  Fatalisme.) 

DEUIL.  Usage  de  se  couper  les  cheveux    Xlt  siècle, 
dans  le  deuil,  V,  330, 


tVet 
V  siècle. 


318 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


600. 
601. 


61*. 


617. 


649. 


1099. 


IV  ou 

y  siècle. 


Ht  siècle. 


DEUIL,  prieuré  dépendant  de  l'abbaye  de 
Saint-Denis.  Abailard  y  ouvre  une  école, 
XIV,  319. 

DEUS-DEDIT,  greffier  à  Ravenne.  Lettre 
que  lui  écrit  Cassiodore,  XI,  220. 

DEUS-DEDIT,  élu  évêque  de  Milan  après 
la  mort  de  Constantin.  Lettre  du  pape  saint 
Léon  à  son  sujet,  XI,  520.  Lettre  que  lui 
écrit  ce  pape,  528. 

DEUS-DEDIT,  pape,  succède  à  Boniface 
IV.  Lettre  à  Gordien  évêque  de  Séville,  XI, 

645,  646.  [D.  Ceillier  se  trompe  en  disant 
que  cette  lettre  est  supposée  ;  seulement, 
Gordien  était  évêque  en  Espagne,  et  non 
précisément  de  Séville  ;  on  ignore  la  ville 
dont  il  était  évêque  ;  réponse  de  Gordien, 

646,  note  1.]— Mort  de  Deus-Dedit,  646. 
Décrétale  qui  lui  est  faussement  attribuée, 
VI,  98. 

DEUS-DEDIT,  évêque  de  Cagliari,  assiste 
au  concile  de  Latran,  XII,  927  et  suiv. 

DEUS  DEDIT,  cardinal  du  titre  de  Saint- 
Pierre-ès-Liens,  très-attaché  au  pape  saint 
Grégoire  VII,  XIII,  568,  569.  Sa  mort;  sa 
collection  de  canons  conservée  manuscrite 
au  Vatican  ;  traité  contre  les  Guibertins, 
qu'on  lui  attribue,  et  qui  semble  être  le 
précédent,  469.  [Son  traité  contre  les  Simo- 
niaques  et  les  Schisma  tiques  publié  par  Maï; 
analyse  de  ce  traité  ;  jugement  de  cet  ou- 
vrage, 469.]  —  Dans  sa  collection  de  canons, 
il  place  des  fragments  de  dix  lettres  du  pape 
saint  Gélase,  X,  504,  505. 

DEUTÉRIUS,  évêque  des  Ariens  de  Cons- 
tanlinople,  XI,  104. 

DEUTÉRIUS,  métropolitain  de  Césarée 
en  Mauritanie.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Au- 
gustin, IX,  184. 

DEUTÉRO-CANONIQUES  (Livres),  c'est-à- 
dire  qui,  n'étant  pas  dans  le  canon  des 
Ecritures  divines  chez  les  Juifs,  y  ont  été 
depuis  ajoutés  par  les  chrétiens  ;  tels  sont 
les  livres  de  Tobie,  Judith,  la  Sagesse,  l'Ec- 
clésiastique, Baruch  et  les  Machabées,  I,  90 
et  suiv, 

DEUTÉRONOME,  cinquième  livre  du  Pen- 
tateuque.  Ce  livre  est  certainement  de  Moïse; 
cela  est  prouvé  par  la  plupart  des  livres  de 
l'Ancien  Testament,  par  plusieurs  du  Nou- 
veau, et  enfin  par  livre  même  du  Deutéro- 
nome,  I,  22,  23.  Réponses  aux  objections, 
25  et  suiv.  Ce  que  c'est  que  le  Deuléronome, 
36.  —  Ouvrages  d'Origène  sur  le  Deutéro- 
noroe,  II,  151.  —  Homélie  de  saint  Basile 
le  Grand  sur  ces  paroles  du  Deutéronome  : 


X  siècle. 


IV  siècle. 
IV  siècle. 


Veillez  sur  vous-même,  IV,  378.  —  [Frag- 
ments de  saint  Ephrem  sur  le  Deutéronome, 
VI,  444.]  —  Questions  sur  le  Deutéronome  4i9. 
de  saint  Augustin,  IX,  213.  —  Autres  de 
Théodoret,  X,  30,  31.  Poëme  de'  saint  Avit 
sur  le  Deutéronome,  568-  —  Commentaire 
de  Walafride  Strabon  qui  n'a  pas  été  impri- 
mé, XII,  416.  Voyez  Pentateuque. 

[DÉTHIERS  publie  une  lettre  de  la  reine 
sainte  Mathilde,  XIH,  334.] 

DEVENTER,  ville  des  Pays-Bas.  Saint 
Ratbod  y  transfère  l'évêché  d'Utrecht,  XII, 
783. 

DEVINS.  Canon  vingt-troisième  du  con- 
cile d'Ancyre,  II,  639,  640.  —  Canon  troi- 
sième de  l'épître  canonique  de  saint  Gré- 
goire de  Nysse,  VI,  157.  —  Canon  d'un  con- 
cile de  Narbonne,  XI,  898.  —  Réponse  du 
pape  Léon  VII,  XII,  828. 

DÉVIRCEUS  (Renatus),  éditeur  des  ques- 
tions de  Loup  de  Ferrières,  XII,  312. 
DEVOIR  CONJUGAL.  Voyez  Mariage. 
DÉVOTIONS  particulières  observées  dans 
l'Église  du  temps  de  saint  Epiphane,  VI, 
435.  —  Pensée  de  saint  Léon  sur  la  dévo- 
tion, X,  273. 

DEXIEN ,  archevêque  de  Séleucie ,  en 
Isanrie,  vient  au  concile  d'Ephèse  ;  temps  de 
sa  mort;  il  a  pour  successeur  Basile,  X,  162. 
DEXTER,  préfet  d'Italie,  fils  de  saint  Pa- 
cien  de  Barcelone,  V,  157.  Ses  écrits,  157  et 
VI,  279. 

DIACONESSES,  nommées  veuves  au 
temps  de  saint  Ignace  d'Antioche,  I,  383. 
Leurs  obligations  selon  saint  Polycarpe , 
393.  —  Constitutions  apostoliques  qui  les 
concernent.  II,  593.  —  Canon  deuxième  du 
concile  de  Laodicée,  lil,  510.  Canon  qua- 
rante-quatrième dans  la  deuxième  épître 
canonique  de  saint  Basile  le  Grand,  IV,  468 
et  528.  —  Une  diaconesse  contribue  à  la 
conversion  d'un  jeune  homme,  fils  d'un 
prêtre  des  idoles,  V,  8.  —  Deux  lois  de  390. 
Théodose  au  sujet  des  diaconesses,  VI,  370, 
371.  Témoignage  de  saint  Epiphane,  432. 

—  Le  concile  d'Orange  défend  d'ordonner        *«. 
des  diaconesses,  VIII,  609.  Ce  que  prescrit  le 
concile  de  Cbalcédoine  à  leur  égard,  X,698. 

—  Ce  que  prescrivent  les  Novelles  de  Jus- 
tinien,  XI,  236.  La  consécration  des  diaco-        5i7. 
nesses  abolie  par  le  concile  d'Epaone,  816. 

Le  second  d'Orléans  défend  de  recevoir  dia- 
conesses les  femmes  mariées,  848. 

DIACRES.  Témoignages  de  saint  Ignace     il  sièc 
d'Antioche,  I,  376  et  383;  de  saint  Polycarpe, 


431. 

447. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


319 


iisiède.      396;  de  saint  Justin,  442;  —  d'Origène,  II, 
„iil  siècle.     233,  248.  Doctrine  de  saint  Cyprien,   301. 
Voyez  note  5.  Fonctions  des  diacres,  362  et 
424.  Diacres  dans  les  conciles,  362,  550,  558, 
567,  603.  Diacres  soumis  aux  évêques  ;  qua- 

V  siècle,    rantième  canon  apostolique,  584.  Constitu- 
tions apostoliques  qui  les  concernent,  592  et 

siècle,  suiv.  Canons  trente-deuxième,  trente-troi- 
sième, soixante-seizième  et  soixante-dix-sep- 
tième du  concile  d'Elvire,  608, 613,  614.  Ca- 
nons quinzième  et  dix-huitième  du  concile 

V  siècle.     d'Arlcs,  632.  Canons  deuxième  et  neuvième 
[V  siècle,     du  concile  d'Ancyre,  636.  Canon  quatorzième 

325.  du  concile  de  Néocésarée,  641.  —  Canon 
dix-huitième  du  concile  de  Nicée,  III,  437. 
Canon  vingtième  du  concile  de  Laodicée, 
511.  —  Témoignage  de  saint  Athanase,  IV, 

374.  217,  221,  222.  Canon  troisième  dans  la  pre- 
mière épîlre  canonique  de  saint  Basile,  460 
et  528.  Canon  soixante-dixième  dans  sa  troi- 

375.  sième  épître  canonique,  474.  —  Témoignage 
de  saint  Cyrille  de  Jérusalem,  V,  76,  77  ;  de 
saint  Optât  de  Milève,  129, 130,140;  de  saint 
Ambroise,  558  et  567.  —  Décret  du  pape 
saint  Sirice,  VI,  108.  Témoignage  de  saint 
Épiphane,  428  et  432;  —  de  saint  Jean  Chry- 
sostôme,  VII,  409  et  suiv.  ;  de  saint  Jérôme, 
682  et  699.  Les  diacres  étaient  debout  dans 
les  conciles,  719,  et  VIII,  542.  —  Canon 
quatrième  du  troisième  concile  de  Carthage, 

398.  VII,  719.  Canon  quatrième  du  quatrième 
concile  de  Carthage,  728.  Canons  trente- 
septième,  trente-huitième,  trente-neuvième, 
quarantième  et  quarante-unième  du  même 
concile,  729,  730.  —  Témoignage  de  saint 
Cyrille  d'Alexandrie  sur  les  fonctions  des 
diacres,  VIII,  264,  265,  294.  Canon  premier 
du  concile  de  Carthage  de  401,  537.  Canon 
*19.  du  concile  de  Telle,  561.  Canon  seizième  du 
*4i.  sixième  concile  de  Carthage,  563.  Le  pre- 
mier concile  d'Orange  leur  ordonne  de  gar- 
der la  continence,  609.  —  Témoignage  de 
saint  Augustin,  IX,  768.  —  Théodoret  offre 
les  saints  mystères  sur  les  mains  des  dia- 
cres, X,  39.  Règlement  de  saint  Léon  sur  les 
diacres,  200,  203,  261.  Fonctions  de  leurs 
ministères;  celles  qui  leur  sont  interdites, 
503.  Canon  de  saint  Patrice  contre  les  dia- 
cres qui  quittent  leur  curé,  706.  Le  concile 
d'Angers  leur  ordonne  de  déférer  anx  prê- 
tres, 709.  A  quel  âge  ils  doivent  être  ordon- 
nés, selon  le  concile  d'Agde,  738.  Divers  ca- 
nons concernant  les  diacres,  741,  742,  743. 
—  Saint  Césaire  d'Arles  n'ordonnait  aucun 
diacre  qu'il  n'eut  atteint  l'âge  de  trente  ans, 


XI,  126.  Au  commencement  du  vi^  siècle,  il 
n'y  avait  que  les  diacres  de  l'Église  romaine 
qui  portassent  des  dalmatiques;  ceux  des 
autres  églises  portaient  des  tuniques  à  man- 
ches étroites,  127.  Les  diacres  ne  doivent 
prêcher  qu'avec  la  permission  de  l'évêque, 
300.  Diacres  cardinaux  ou  régionnaires  de 
Rome,  429.  Lettre  que  le  pape  saint  Gré-  597. 
goire  le  Grand  écrit  aux  diacres  de  Catane 
sur  la  prétention  qu'ils  avaient  de  prendre 
la  chaussure  particulière  aux  évêques,  511. 
Leurs  fonctions,  selon  saint  Isidore  de  Sé- 
ville,  719.  Canons  du  second  concile  d'Or- 
léans concernant  les  diacres,  848;  du  con- 
cile de  Clermont,  849.  Un  diacre  ne  peut 
être  déposé  par  un  prêtre,  à  l'insu  de  l'évê- 
que, 882.  Les  diacres  doivent  porter  l'étole 
sur  l'épaule,  pour  les  distinguer  des  sous- 
diacres,  883.  Concile  de  Rome  qui  défend 
aux  diacres  de  faire  les  fonctions  de  chan- 
tres, 907.  —  Article  d'un  capitulaire  deCar- 
loman,  duc  des  Francs,  touchant  l'habit  des 
diacres,  XII,  228.  Témoignage  de  Raban 
Maur  surles  fonctions  des  diacres  ;  et  sur  leurs 
devoirs,  453.  Diacres  faits  évêques  sans  avoir 
passé  par  le  degré  de  la  prêtrise,  566.  Té- 
moignage d'Atton  sur  la  continence  des  dia- 
cres, 821.  Canon  viugt-unième  du  quatrième 
concile  de  Tolède  louchant  l'âge  des  diacres, 
917.  —  Leur  pouvoir  dans  l'administration 
du  sacrement  de  pénitence,  XIII,  52.  Diacre 
qui  avait  célébré  la  messe  ;  pénitence  que 
prescrit  Fulbert  de  Chartres  sur  ce  sujet,  82. 
—  [Etienne  de  Beaugé  accorde  à  tort  aux 
diacres  le  pouvoir  de  confesser,  XIV,  305, 
n.  1.] 

DIADÈME  DES  MOINE,  ouvrage  de  Sma- 
ragde,  abbé  de  Saint-Michel,  sur  les  devoirs 
des  moines,  XII,  233,  236. 

DIADOCHUS,  évêque  de  Photice  ;  en  quel  ly  „„ 
temps  il  a  vécu  ;  ses  écrits,  VI,  316.  Son  '^  s'^'='«- 
traité  de  la  Perfection  spirituelle,  316  et  317. 
Analyse  de  ce  traité,  318.  [Homélie  sur  l'As- 
cension, 328.  Discours  contre  les  Ariens,  328 
et  329.]  —  Disciple  anonyme  de  Diadochus, 
X,  448. 

DIALECTES  des  Grecs.  Livre  de  Jean  Phi- 
loponus  sur  ce  sujet,  XI,  631. 

DIALECTIQUE.  Livre  des  Principes  de 
Dialectique,  faussement  attribué  à  saint  Au" 
gustin,  IX,  63.  —  Traité  de  Cassiodore  sur  la 
Dialectique,  XI,  236.  —  Dialectique  de  saint 
Jean  Damascène,  XII,  68,  69.  Traité  d'Al- 
cuin,  189.  Traité  de  Dialectique,  attribué  à 
Gerbert,  903,  904.  —  Livre  du  cardinal  Al- 


320 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


béricsur  la  dialectique,  XIII,  494.  —  Ce  que 
dit  Abaillard  pour  justifier  l'usage  de  la  dia- 
lectique dans  la  théologie,  XIV,  332,  333. 
Dialectique  ou  logique,  composée  par  Abail- 
lard, 339. 

II  siècle.         DIALOGUE.  Celui   de  saint  Justin  avec 

Tryphon,  ou  traité  de  controverse  contre  les 

III  siècle.     Juifs,  I,  422  et  suiv.  Dialogue  de  Minucius 

Féhx,  intitulé  :  Octavius,  530  et  suiv.  — Dia- 
logue d'Adamance  contre  les  Marcionites, 

IV  siècle,     attribué  à  Origène,  II,  195,  196.  —  Dialogue 

intitulé  Xénon,  ouvrage  de  saint  Méthode, 
40S.        évêque  de  Tyr,  III,  67.  —  Dialogue,  ou  Vie 
de  saint  Jean  Chrysostôme,  par  Pallade,  VII, 
,  492.  Dialogue  entre  saint  Augustin  et  saint 
Jérôme  sur  l'origine  de  l'âme,  ouvrage  sup- 
posé, 648.  —  Dialogue  de  Sulpice  Sévère, 
VIII,  120  et  suiv.  [Dialogue  avec  Nestorius, 
339.]  —  Dialogue  de  Théodoret  sur  la  Tri- 
nité, X,  103,  106.  —  Dialogue,  attribué  à 
Grégentius,  archevêque  de  Taphar  en  Ara- 
bie, XI,  279,  280.  Dialogue  du  pape  saint 
Grégoire,  contenant  les  Vies   de  quelques 
saints    personnages  d'Italie,   470   et  suiv. 
Preuves  qu'ils  sont  de  saint  Grégoire  I"  sur- 
nommé le  Grand,  470,  471.  Réponse  aux 
objections,  471,  472.  Dessein  de  ces  dialo- 
gues, 472.  Règles  que  saint  Grégoire  y  ob- 
serve ;  le  pape  Zacharie  les  traduit  en  grec, 
471  et  472.  Autres  versions  qu'on  en  a  faites, 
472.  En  quel  temps  et  à  quelle  occasion  ils 
furent  composés,  472  et  473.  Analyse  de  ces 
dialogues,  473  et  suiv.  Éditions  particulières 
Y  siècle,      et  traductions  qu'on  en  a  faites,  586.  —  Dialo- 
logue  entre  Eutychus  et  Théophyle  sur  l'état 
de  l'Eglise,  ouvrage  dont  l'auteur  n'est  pas 
connu,  XII,  313,   514.   —  [Dialogue  entre 
un  philosophe,  un  juif  et  un  chrétien,  XIV, 
337,  338.  Dialogue  entre  le  maître  et  le  dis- 
ciple, ouvrage  d'Honoré  d'Autun  sur  huit 
questions  théologiques,  301.   Dialogue  sur 
la  religion  chrétienne  et  la  religion  juive, 
par  Odon,  abbé  de  Morimond,   625.  Dialo- 
gue entre  un  roi  et  un  abbé,  ouvrage  de 
Pierre  de  Blois  ;  l'auteur  y  explique  au  roi 
Henri  la  cause  des  maux  envoyés  par  la  Pro- 
vidence et  les  moyens  d'en  profiter,  783, 
n.  8.  Édition  dans  la  Patrologie,  738.  Dia- 
logue sur  le  conflit  de  l'amour  de  Dieu  et  la 
langue  trompeuse,   ouvrage   anonyme   du 
xn°  siècle,  909.   Dialogue  sur  la  manduca- 
tion  delà  volaille,  909.  Dialogue  entre  Dieu 
et  le  pécheur,  ouvrage  d'Innocent  III  publié 
par  Maï  et  reproduit  dans  la  Patrologie, 
1018.] 


DIANE,  déesse.  Son  temple  d'Éphèse  est        258. 
brûlé,  II,  444  et  VH,  313. 

DIANÉE  ou  DIANIUS,  évêque  de  Césarée  iv  siècle. 
en  Gappadoce,  III,  439.  —  Il  souscrit  la  for- 
mule de  Rimini,  IV,  351  et  427, 438.  Il  baptise 
saint  Basile;  il  le  fait  lecteur,  330.  Saint  Ba- 
sile se  sépare  de  sa  communion  et  y  revient  ; 
ce  n'est  point  par  lui  que  saint  Basile  fut 
ordonné  prêtre,  351. 

DIAPSALMA,  mot  qui  se  rencontre  sou- 
vent dans  les  versions  grecques  des  Psau- 
mes; ce  qu'il  signifie,  selon  saint  Jérôme, 
VU,  563  ;  -^  selon  Théodoret,  X,  33  ;  —selon  jR 

Cassiodore,  XI,  224,  223. 

[DIATAXIS  EGCLESIiE  GR^C^,  livre  li- 
turgique des  Grecs,  XIII,  138.]  | 

DIATIME,  évêque  de  Lymire,  IV,  473. 

DICAISE,  évêque  de  Tabie,  assiste  au  con-     i\  siècle, 
cile  de  Néocésarée,  II,  640. 

DICTATUS  PAP,^,  ou  décisions  du  pape, 
attribuées  à  saint  Grégoire  VIL  Raisons  de 
douter  qu'elles  soient  de  lui,  XIII,  374,  373. 
Analyse  de  ces  décisions,  373,  376. 

DICTIONNAIRE  des  termes  grecs  particu- 
liers à  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  346. 

DIGTYNNIUS,  évêque  d'Astorga  en  Espa- 
gne, avait  été  engagé  dans  les  erreurs  de 
Priscillien,  VII,  510.  —  Saint  Léon  défend 
la  lecture  des  écrits  que  Dictynnius  avait 
composés  lorsqu'il  était  engagé  dans  l'er- 
reur des  Priscillianistes,  X,  208. 

[DIDACE,  archevêque  de  Compostelie.  Le 
pape  Honorius  II  lui  écrit,  XIV,  233,  254.  Le 
pape  Innocent  II  lui  écrit,  262,  263,  265.] 

DIDIER,  évêque  de  Vienne.  Fausse  lettre 
du  pape  Victor  à  lui  adressée,  VI,  84. 

DIDIER,  prêtre  et  homme  savant,  prie 
saint  Jérôme  de   traduire  le  Pentateuque, 

VII,  351.  Saint  Jérôme  lui  écrit  une  lettre, 
619.  —  On  croit  que  c'est  à  lui  que  saint 
Paulin,  évêque  de  Noie,   écrit  une  lettre, 

VIII,  78.  On  croit  que  c'est  à  lui  que  Sulpice 
Sévère  adresse  son  livre  de  la  Vie  de  saint 
Martin,  116.  (Voyez  son  article  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  II,  p.  86  et 
suiv.). 

DIDIER  (Saint),  évêque  de  Langres  et  mar- 
tyr. Ses  actes  envoyés  par  Varnahaire  à 
saint  Céraune,  évêque  de  Paris,  XI,  631. 

DIDIER  (Saint),  évêque  de  Vienne  en 
Dauphiné.  Lettres  que  lui  écrit  le  pape  saint 
Grégoire,  XI,  517,  318.  Reproches  que  lui 
fait  ce  pape  sur  ce  qu'il  enseignait  les  belles- 
lettres,  324.  Il  s'attire  la  haine  de  Brunehaut 
qui  le  tait  déposer  et  périr,  909.  —  Ses  actes 


39i. 


406. 


615. 


599. 


600 


TABLE  GENEK.ALE  DES  MATIÈRES. 


321 


retouchés  parAdon,  l'unde  ses  successeurs, 
XII,  622. 
V.629.  DIDIER  (Saint),   évêque  de  Cahors,  suc- 

V.654.  cède  à  Rustique,  son  frère.  Sa  mort.  Analyse 
des  seize  lettres  que  nous  avons  de  lui.  Trois 
lettres  que  sa  mère  lui  écrivit  lorsqu'il  était 
à  la  cour  trésorier  sous  les  rois  Clotaire  II  et 
Dagobert.  Sa  vie.  Lettres  qui  lui  sont  adres- 
sées, XI,  733.  [Ses  écrits  dans  la  Palrologie, 
733,  734.]  Lettre  que  lui  écrit  saint  Éloi; 
lettre  de  saint  Didier  à  saint  Ouen  ;  autre  de 
saint  Ouen  à  saint  Didier,  757.  —  Acte  du 
roi  Dagobert  qui  confirme  son  élection  ; 
lettre  que  ce  prince  lui  éci'it,XII,228.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéi'aire  de  la 
France,  t,  III,  p.  580,  et  son  Supplément, 
t.  XI,  p.  X.) 
758.  DIDIER,  duc  de  Toscane,  est  reconnu  roi 

des  Lombards  après  la  mort  d'Astolphe,  XII, 
113.  Sa  conduite  avec  le  pape  Paul  I",  115, 

768.  116.  Il  donne  des  troupes  pour  chasser  l'an- 
tipape Constantin  du  palais  de  Latran,  117. 

769.  Il  favorise  l'intrusion  de  Michel  sur  le  siège 
de  Ravenne.  Lettre  calomnieuse  qu'il  obli- 
ge le  pape  Etienne  III  d  écrire  à  Charlema- 

772.  gne,  118.  Il  s'empare  de  plusieurs  villes  de 
l'exarchat  de  Ravenne  ;  son  dessein  de  faire 
sacrer  rois  des  Francs  les  deux  fils  de  Carlo- 
774.  man,  134.  Il  est  assiégé  dans  Pavie  par 
Cbarlemagne  ;  la  plupart  des  Lombards  l'a- 
bandonnent et  S8  donnent  au  pape  Adrien; 
il  est  forcé  dans  Pavie,  obligé  de  se  rendre 
à  Charlemagne,  qui  l'envoie  en  France,  dans 
le  monastère  de  Corbie  ;  Didier  y  finit  ses 
jours  dans  la  pénitence,  135. 

DIDIER ,   abbé  du  Mont-Cassin ,  depuis 
pape.  Voyez  Victor  111, 
1080.  DIDIER,  élu  évêque  de  CavaiUon  dans  un 

concile  de  Lyon,  XIV,  1070. 

DIDON,  évêque  de  Poitiers,  XI,  780. 
DIDON,    évêque    de    Laon.    Lettre   que 
Foulques,  archevêque  de  Reims,  lui  écrit, 
XII,  710. 

DIDON,    évêque    de    Ghâlon-sur-Saône. 
Ebroïn  le  fait  mourir,  XII,  939. 
m  siècle.         DIDYME,  à  qui  saint  Denis  d'Alexandrie 
écrit  deux  lettres,  II,  409. 
304.  DIDYME  (Saint),  soldat,  martyr  à  Alexan- 

drie, III,  23  et  suiv. 
DIDYME  L'AVEUGLE,  docteur  de  l'ÉgHse 
309.        d'Alexandrie,  V,  605  et  suiv.  Sa  naissance; 
il  devient  aveugle  à  l'âge  de  cinq  ans;  quoi- 
qu'aveugle,  il  apprend  à  lire;  ses  études, 
605.  11  prend  le  soin  de  l'école  d'Alexan- 
809.        drie  ;  il  est  visité  par  saint  Antoine;  Dieu 

TAB.  I, 


lui  révèle  la  mort  de  Julien  l'Apostat;  dis-        ses. 
ciples  de  Didyme,  606.  Sa  mort,  607.  Ses        399. 
ouvrages  :  traité   du   Saint-Esprit,    607   et 
suiv.  Occasion  de  ce  traité  ;  il  contient  trois 
hvres,   607.    Analyse    du   premier,   607  et 
suiv.;  du  deuxième,  609  et  suiv, ;  du  troi- 
sième, 611,  612.  Éditions  de  ce  traité,  612. 
Traité  contre  les  Manichéens,  612.  Analyse 
de  ce  traité,  612  et  suiv.  Commentaires  sur 
lesÉpitres  canoniques  faussement  attribués 
à  Didyme,  614,  613.  [Les  commentaires  sur 
les  Épîtres  canoniques  ne  sont  pas  de  lui, 
613,  n,  3.  Fragments  de  ces  commentaires 
sur  les  Actes  des  apôtres,  sur  l'Épître  aux 
Romains,  aux  Hébreux  ;  sur  les  Epîtres  ca- 
noniques, 616.]  Ouvrages  perdus  de  Didy- 
me, 613,  616.  [Écrits  de  Didyme  l'Aveugle 
publiés  depuis  D.  Geillier  :  fragments  de  ses 
commentaires  sur  les  Proverbes,  619.  Com- 
mentaire, sur  les  Psaumes,  619  et  suiv.  Com- 
mentaire sur  la  deuxième  Épître  aux  Corin- 
thiens, 621.  Commentaire  sur  l'Évangile  se- 
lon saint  Jean,  622.  Traité  de  la  Trinité  • 
son  authenticité,  623.   Orthodoxie  de  l'au- 
teur, 623  et  suiv.  Analyse  du  premier  hvre, 
624;  du  deuxième,  623  ;  du  troisième,  627. 
Jugement  sur  cet  ouvrage.  Dogmes  attestés 
sur  l'Ecriture  ;  sur  le  Pontife  Romain  ;  sur 
les  sacrements,  628  ;  sur  l'unité  de  Dieu,  la 
Trinité  des  personnes,  les  attributs  de  la 
Divinité,  629;   sur  l'immortalité  de  l'âme. 
Erreurs  apparentes  de  1  auteur.  Choses  re- 
marquables contenues  dans  son  ouvrage , 
630.    Opinions    particulières    de    l'auteur. 
Points  de  discipline  contenus  dans  le  traité 
de  la  Trinité,  631.  Faits  attestés  par  l'au- 
teur, 631, '632.  Auteurs   allégués;  héréti- 
ques réfutés  ou  cités.  En  quel  siècle  l'auteur 
du  traité  de  la  Trinité  a  vécu  ;  quel  est-il  î  632. 
Témoignage  des  anciens  en  faveur  de  Didyme, 
632,  633.  Observations  sur  les  commentaires 
des  Épîtres  canoniques,  615,  n.  3  ;  sur  di- 
vers fragments  de  Didyme,  613,  n.  5.]  Ce 
qu'il  y  a  de  remarquable  dans  les  écrits  de 
Didyme,  616  et  suiv.  Jugement  de  ses  écrits, 
618.  —  Didyme  visité  par  saint  Antoine,  III, 
386. — Il  écrit  contre  Eunomius,  IV,  410. 

—  Rufin  fut  un  de  ses  disciples,  VII,  449. 
Pallade  le  visite,  485.  Ce  qu'il  en  dit  dans 
l'Histoire  lausiaque,  489.  Lettre  que  Didyme 
compose  à  la  prière  de  saint  Jérôme,  548. 

—  Ses  commentaires  sur  les  Proverbes  de 
Salomon  et  les  Épîtres  canoniques  traduits 
en  latin  par  Epiphane  le  Scholastique ,  XI, 
102. 

21 


332 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


DIE,  ville  du  Dauphiné.  Concile  d'Arles 
au  sujet  d'une  entreprise  de  saint  Mammert 
sur  l'église  de  Die,  X,  338  et  715,  716. 

DlÉ  ou  DIEU-DONNÉ,  DEODATUS  (Saint), 
évêque  de  Nevers,  et  abbé  de  Jointures  en 
Lorraine.  Sa  vie  écrite  par  Valcande,  moine 
de  Moyen-Moutier  ;  [édition  qu'on  en  a  faite 
dans  la  Patrologie.]  Son  monastère  a  été 
sécularisé,  XIII,  71.  Histoire  de  ce  monastère, 
71  et  186.  Privilège  du  pape  saint  Léon  IX 
en  faveur  du  chapitre  de  Saint-Dié,  201  et 
209.  — •  Hymnes  et  répons  pour  l'office  de 
la  fête  de  saint  Dié,  composés  par  le  cardi- 
nal Humbert,  et  notés  par  le  pape  saint 
Léon  IX,  252. 

DIÉDÉRIC,  évêque  de  Meiz.  Voyez 
Thierri. 

DIÉDÉRIC,  moine  de  Fleury.  Voyez 
T/iierri. 

XI  siècle.         DIÉMONT ,  comte.    Lettre  que  lui  écrit 
l'empereur  Othon  II  au  sujet  des  pillages 
qu'il  exerçait  sur  l'abbaye  de  Tégernsée  en 
Bavière,  XIII,  96. 
955.  DIÉTHELME,    écolâtre    de    l'abbaye  de 

Saint-Mathias  de  Trêves.  Ses  ouvrages  ;  sa 
mort,  XII,  840. 

Il  siècle.  DIEU.  Doctrine  de  saint  Méliton,  1,  .i51, 
[453,  436  et  suiv.,  459,]  461  ;  d'Athénagore, 

lu siècle.  483  ;  de  saint  Irénée,  506  et  509  ;  de  Minu- 
cius  Félix,  552  et  554;  —  de  Tertullien,  II, 
45  et  71  ;  dOrigène,  [158],  181,  182  et  213, 
214,  215  ;  de  saint  Cyprien,  270.  —  Témoi- 
gnages des  martyrs,  466,  467,  et  III,  4.  — 

IV  siècle.  Doctrine  d'Arnobe,  II,  487  et  490  ;  de  Lac- 
tance,  510,  511.  —  [Doctrine  de  l'auteur  du 
poème  apologétique  contre  les  Juifs  et  les 
Gentils,  III,  150.  Doctrine  de  Macaire  Ma- 

IV  siècle,  gnès,  156.]  Opuscule  attribué  à  Eusèbe  de 
Césarée  sur  ce  que  Dieu  est  incorporel  et 
invisible,  233.  Autre  opuscule  attribué  au 
même  sur  ce  que  Dieu  le  Père  est  incorpo- 
rel, 234.  Doctrine  d'Eusèbe  de  Césarée, 
236,  237,  [260],  et  275;  —  de  saint  Hilaire 

IV  iiioie.  de  Poitiers,  IV,  68,  69  ;  de  saint  Athanase, 
sur  la  nature  d'un  seul  Dieu  en  trois  per- 
sonnes, 192  et  suiv.  ;  sur  la  personne  du 
Père,  194,  195;  du  Fils,  195  et  suiv.;  du 
Saint-Esprit,  201  et  suiv.  Les  Ariens  affec- 
taient de  relever  l'unité  de  Dieu,  pour  n'at- 
tribuer la  divinité  qu'à  la  personne  du  Père, 

IV  siècle.  849.  Dieu  n'est  pas  auteur  du  mal^  homélie 
neuvième  de  saint  Basile  le  Grand,  383. 
Doctrine  de  saint  Basile  sur  la  Trinité,  503; 
sur  chacune   des  trois  personnes  divines, 


de  Nazianze  sur  la  nature  divine,  V,  228, 
229.  Doctrine  du  même  sur  l'existence  et 
les  attributs  de  Dieu,  313,  314;  sur  la  Tri- 
nité, 314  et  suiv.;  sur  le  Saint-Esprit,  316, 
317.  [Son  existence  confirmée  par  le  con- 
sentement des  peuples,  619,  620.  Pourquoi 
saint  Paul  appelle  Dieu  béni,  621.  Dieu  est" 
esprit  ;  sa  visibilité,  622.  Ses  attributs,  629. 
—  Providence  de  Dieu  établie  par  Némésius, 
VI,  283.  Doctrine  de  saint  Epbrem  sur  la  na- 
ture de  Dieu,  436,  437.  On  ne  peut  scruter 
cette  nature,  461  et  suiv.  Pourquoi  Dieu 
exauce  quelques  demandes  et  en  rejette 
d'autres:  sermon  de  saint  Ephrem.  Dieu  dis- 
pose tout  pour  le  salut  des  hommes,  sermon 
par  le  même,  497.  De  la  crainte  de  Dieu  et 
de  la  consommation  du  siècle  par  le  même, 
498.  De  la  pratique  des  bonnes  œuvres  et 
de  la  patience  de  Dieu,  sermon  du  même, 
507.  Définition  de  Dieu  par  saint  Ephrem, 
433,  454.  Dieu  étranger  admis  par  Manès. 
Dieu  justifié  dans  l'incarnation.  Il  est  créa- 
teur ;  il  n'est  pas  opposé  à  Jésus-Christ 
nommé  le  Pèlerin  ou  le  Péregrin  par  Mar- 
cion.  Miséricorde  de  Dieu  même  dans  les 
châtiments  qu'il  envoie,  457.]  Discours  attri- 
bué à  Évagre  de  Pont  sur  les  noms  donnés 
à  Dieu  dans  l'Écriture,  117.  —  Saint  Jean  iv siècle. 
Chrysostôme  réfute  les  Auoméens  qui  pré- 
tendaient avoir  une  parfaite  connaissance 
de  Dieu,  Vil,  42,  43.  Doctrine  de  saint  Jean 
Chrysostôme  sur  la  divinité,  373,  374  ;  — 
de  saint  Augustin,  en  divers  endroits  de  ses  ivei 
ouvrages,  IX,  23,  28,  34, 129,  130,  226,  262,  "^  ""'"• 
308,  345  et  suiv.,  359.  Existence  de  Dieu; 
ses  perfections;  sa  nature,  636  et  suiv.  Tri- 
nité des  personnes  en  Dieu,  638  et  suiv. 
Mission  divine  et  procession  du  Saint-Es- 
prit, 640.  Règles  pour  l'explication  de  cer- 
taines dilfîcultés  touchant  la  Trinité,  640  et 
suiv.  [Ce  que  saint  Augustin  dit  de  Dieu 
dans  un  sermon  pour  la  veille  de  Pâques, 
828,  829,]  —  Doctrine  de  Théodoret,  X,  32, 
94,  113,  114;  de  saint  Léon,  230  et  suiv.; 
de  saint  Prosper,  300,  301  ;  —  de  Cassio- 
dore,  XI,  244.  —  [Hymne  du  Vénérable  Bède 
sur  les  œuvres  de  Dieu,  XII,  4.]  Ce  que  c'est, 
selon  Photius,  que  de  prendre  le  nom  de 
Dieu  en  vain.  Ce  que  dit  Photius  sur  les  di- 
vers noms  de  Dieu,  728.  Comment  Dieu  est 
dans  les  choses  créées.  Dissertation  de  Pho- 
tius sur  ce  sujet;  dissertation  du  même  sur 
les  différentes  manières  de  connaître  Dieu 
en  cette  vie,  732.  —  De  la  manière  dont     Xt  s'èdei 


IV  «licie.     804  et  suiv.  •—  Discours  de  saint  Grégoire     Dieu  est  dans  tous  les  ]ieu.\,  et  comment  sa 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


323 


30-1. 


IX  siècle. 


lumière  est  répandue  partout ,  ouvrage  de 
Siméon  le  Jeune,  abbé  de  Saint-Mamas  à 
Coustantinople,  XIII,  226.  Opuscule  de  saint 
Pierre  Damien  sur  les  attributs  de  Dieu,  319. 
~  [Ce  que  Honoré  d'Autun  dit  de  sa  défini- 
tion, de  son  existence,  de  ses  attributs,  XIV, 
297,  298.]  Voyez  Divinité,  Trinité  et  Unitéde 
Dieu. 

DIEU-DONNÉ  (Saint).  Voyez  saint  Dms- 
Dedit. 

DIEU-DONNÉ  (Saint),  évêque  de  Nevers. 
Voyez  saint  Dié. 

DIEU-DONNÉ  (Saint),  archevêque  de  Can. 
torbéry.  Sa  vie  écrite  par  le  moine  Gotcelin 
ou  Goscelin,  XIII,  550,  et  XIV,  233. 

DIEUX.  Origine  des  dieux  du  paganisme, 
IV,  311.  But  des  païens  dans  le  culte  de 
leurs  dieux,  311  et  312.  Symboles  mysté- 
rieux des  païens  dans  le  culte  de  leurs 
dieux,  312.  Les  ariens  accusent  les  catholi- 
ques dadorer  trois  dieux  ;  ils  sont  réfutés 
par  saint  Basile,  463.  —  Combien  les  faux 
dieux  du  paganisme  sont  méprisables,  IX, 
294  ;  même  ceux  appelés  les  dieux  choisis, 
300.  Voyez  Religion  p?'ofane. 

[DIETEMBERG  (Jean).  Son  édition  du  Mi- 
roir de  l'Église,  ouvrage  d'Honoré  d'Autun, 
et  des  sermons  de  saint  Gésaire  d'Arles, 
XIV,  275.] 

[DIÉTRIE  à  qui  Wigo,  doyen  d'un  monas- 
tère, écrit,  XII,  862.] 

DIGESTE  ou  PANDECTES.  Corps  de  lois 
compilées  par  ordre  de  Justinien,  XI,  255. 

DIGNE  (Sainte),  servante  de  sainte  Afre. 
Son  martyre,  III,  30. 

DIGNE  (Sainte),  l'une  des  martyres  de 
Cordoue,  XII,  519.  —  [Prologue  des  actes 
des  saintes  Digne  et  Mérite  par  Benoît,  prê- 
tre, XIU,  602.] 

DIGNITÉS  ECCLÉSIASTIQUES.  Comment 
on  doit  les  regarder,  IX,  782,  783.  — [On  ne 
doit  pas  s'y  nommer  soi-même  ;  à  qui  on 
doit  les  confier,  XIV,  263.  La  puissance  sé- 
culière n'a  pas  le  droit  de  les  contérer;  pri- 
vilège qu'on  prétend  avoir  été  accordé  à 
Gharlemagne  pour  les  conférer  comme  vi- 
caire du  pape  ;  pourquoi  ce  privilège  aurait 
été  retiré,  299.] 

DIJON,  [autrefois]  capitale  de  la  Bourgo- 
gne. [Différend  entre  les  chanoines  de  Dijon 
et  les  moines  de  Saint-Seine,  XIV,  262. 
Sainte-Chapelle  de  Dijon,  bâtie  par  Hugues 
III,  duc  de  Bourgogne,  928.]  Conciles  tenus 
en  cette  ville,  1040,  1068,  1144. 

[DILLINANN.  Satraduclion  faitesur  l'éthio- 


pien du  livre  supposé  intitulé  :  Livre  chrétien 
d'Adam,  I,  263,  n.  12.] 

DIMANCHE.   Doctrine  de    saint    Ignace     it  siècle. 
d'Antioche  sur  l'observation  du  dimanche, 
I,  387.  Témoignage  de  saint  Justin  sur  les      ii siècle, 
assemblées  des  fidèles  au  saint  jour  du  di- 
manclie,  443.  —  Canon  apostolique  sur  le 
dimanche,  11,  585.  Constitutions  apostoliques     iv  siède. 
sur  le  dimanche,  592,  598,  599.  Canon  vingt 
et  unième  du  concile  d'Elvire,  607  et  609. — 
Règlement  de  saint  Pierre  d'Alexandrie  pour        32i. 
ce  jour,  III,  59.  Lois  de  l'empereur  Constan- 
tin pour  la  sanctification  des  dimanches, 
123  et  144.  [Ce  qu'Eusèbe  de  Césarée  dit  du 
dimanche,  250.]  Canon  du  concile  de  Nicée 
concernant  le  dimanche,  438.  Le  dimanche 
était  un  jour  d'assemblée  sainte,  451.  Canon     iv  siècle, 
vingt-neuvième  du  concile  de  Laodicée,  511. 

—  Témoignage  de  saint  Hilaire  de  Poitiers, 
IV,  78.  Le  concile  de  Saragosse  défend  de 
jeûner  le  dimanche,  615.  —  Loi  de  Valenti-        368. 
nien  I"  touchant  la  sanctification  du  diman- 
che, VI,  356.  Loi  de  Théodose  qui  défend        387. 
de  donner  des  spectacles  le  dimanche,  369. 

—  Homélie  sur  le  nouveau  dimanche  faus- 
sement attribuée  à  saint  Jean  Chrysostôme, 
VII,  335.  Le  dimanche  était  le  jour  des  ordi- 
nations, 528,  534,  723,  et  VIII,  5,  6.  Canon  398. 
soixante-quatrième  du  quatrième  concile  de 
Carthage,  VII,  731. --[Sermon  d'Eusèbe  d'A- 
lexandrie sur  le  dimanche,  VIII,  383.]  —  On 

ne  jeûnait  point  le  dimanche.  Témoignage 
de  saint  Augustin,  IX,  805.  —  Témoignage 
de  saint  Léon  sur  la  coutume  de  faire  les 
ordinations  le  dimanche,  X,  248.  Canon  du 
premier  concile  de  Saint-Patrice,  706.  Canon 
du  premier  concile  d'Orléans,  746.  Canon 
d'un  concile  de  Tarragone,  748.  —  Canon  du  ses. 
concile  de  Mâcon  sur  l'observation  du  diman- 
che, XI,  325.  Loi  du  roi  Gontran  qui  confirme 
ce  canon,  325  et  326.  Lois  du  roi  Gontran, 
325,  326.  Comment  on  sancfifiait  le  diman- 
che au  temps  de  saint  Grégoire  de  Tours, 
398.  Comment  on  sanctifiait  le  dimanche, 
selon  saint  Grégoire  le  Grand,  529.  Doctrine 
de  ce  même  pape,  S79.  Témoignage  de  saint 
Théodore,  archevêque  de  Cantorbéry,  798. 
Canon  du  troisième  concile  d'Orléans  sur 
l'observation  du  dimanche,  858.  Ce  que  pres- 
crit le  second  concile  de  Mâcon  pour  l'obser- 
vation du  dimanche,  896,  897.  Canon  du 
concile  de  Narbonne,  904.  —  Ordonnance 
du  roi  Gontran  pour  l'observation  des  di- 
manches et  des  fêtes,  XII,  227.  Règlement 
du  roi  Dagobert  touchant  la  sanctification 


3M 


HISTOIRE   DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1201. 


III  siècle. 


IH  siècle. 


829. 


IX  siècle. 


80Ï. 


S9S. 


du  dimanche,  227.  Divers  règlements  de 
Charlemagne,  232, 239,  240.  Statut  de  Théo- 
dulfe  d'Orléans,  26S.  Autre  du  pape  Léon  IV, 
408.  Témoignage  de  Raban  Maur,  456.  Le 
capitulaire  d'Atton  défend  de  donner  des 
jeux  et  des  spectacles  les  jours  de  dimanche 
et  de  fête,  822.  Canon  d'un  concile  de  Cha- 
lon-sur-Saône, 932.  Le  concile  Quinisexte 
défend  de  s'absenter  dans  l'église  pendant 
trois  dimanches  sans  nécessité;  il  défend  de 
prier  à  genoux  les  dimanches,  964.  —  Ser- 
mon de  saint  Pierre  Damiensurlediraanclie 
des  Rameaux,  XIII,  308.  Canons  de  deux 
conciles  concernant  la  sanctification  du  di- 
manche, 614  et  616.  Canons  d'un  concile  de 
Frioal,  634;  d'un  concile  d'Arles,"  643;  du 
sixième  de  Paris,  665.  —  Sermons  de  Guil- 
laume d'Auvergne,  évêque  de  Paris,  pour  les 
dimanches,  XIV,  1026.  Prédication  de  l'abbé 
Eustache  sur  l'observation  du  dimanche  , 
H47.  Voyez  Assemblée  des  fidèles. 

[DIMANCHE  in  albis  :  sermon  d'Atton  de 
Verceil  sur  ce  dimanche,  XII,  826.] 

DIMAS,  nom  que  Geoffroi   de  Vendôme 
donne  au  bon  larron,  XIV,  169. 

DIME.  Doctrine  d'Origène,  II,  234;  de 
saint  Cyprien,  378,  379.  —  [Sermon  de  saint 
Augustin  sur  la  dîme,  IX,  841.]  —  Discours 
de  saint  Césaire  d'Arles  sur  l'obligation  de 
payer  les  dîmes,  XI,  140.  Homélie  attribuée 
au  même,  146.  Canon  du  second  concile  de 
Mâcon  ordonnant  de  payer  la  dîme,  897.  — 
Témoignage  de  saint  Boniface,  archevêque 
de  l'église  de  Mayence,  touchant  les  dîmes, 
XII,  53.  Règlements  de  Charlemagne  tou- 
chant les  dîmes,  231,  232,  236,  239,  241. 
Témoignage  de  Hetton,  évêque  de  Bâle,  337. 
Capitulaire  de  Louis  le  Débonnaire  sur  les 
dîmes,  382.  Discours  d'un  anonyme  sur  l'o- 
bligation de  payer  les  dimes  et  d'observer 
les  jeûnes  prescrits  par  l'Eghse,  387.  Témoi- 
gnage de  Jonas,  évêque  d'Orléans,  390;  de 
Walafrid  Strabon,  414.  Réponse  du  pape 
Formose  sur  les  dîmes,  738.  —  Saint  Abbon 
de  Fleury  s'oppose  aux  évoques  qui  voulaient 
ôter  aux  laïques  et  auxmoineslesdîmesqu'ils 
possédaient,  XIII,  27.  Lettre  du  même  sur 
ce  sujet,  30,  31.  Canons  du  concile  de  Gi- 
rone  concernant  la  dîme,  553.  Canon  d'un 
concile  de  Frioul,  634.  Disposilions  d'un  con- 
cile de  Salzbourg  sur  l'emploi  des  dîmes, 
642.  Canon  d'un  concile  de  Rouen,  727.  Ca- 
non d'un  concile  de  Mayence.  Canon  d'un 
concile  de  Melz,  732.  Canon  d'un  concile  de 
Tribur,  733.  Canon  d'un  concile  de  Nantes,      Naziauze,  V,  178. 


737.  Canons  d'un  concile  de  Coblentz,  744. 
Loi  d'Edgar,  roi  d'Angleterre,  sur  les  dîmes,  M22. 
736.  En  France,  on  veut  les  ôter  aux  laïques 
et  aux  moines  pour  les  rendre  aux  évoques, 
764.  —  Canon  d'un  concile  de  Londres,  1078. 
XIV,  6.  Décret  du  pape  Pascal  II,  qui  dé- 
clare que  les  moines  ne  doivent  point  la  dîme 
des  fruits  provenant  des  terres  qu'ils  culti- 
vent par  eux-mêmes  et  pour  leur  nourriture. 
Autre  décret  qui  déclare  que  les  clercs  doi- 
vent la  dîme  aux  autres  clercs  qui  leur  ad- 
ministrent les  choses  spirituelles,  137.  Selon 
Geoffroi  de  Vendôme,  les  ecclésiastiques 
doivent  les  dîmes  pour  les  biens  qu'ils  pos- 
sèdent sur  le  territoire  d'autrui,  164.  Senti- 
ment do  Robert  Pullas  sur  les  dîmes,  397. 
L'exemption  des  dimes  accordée  à  l'ordre 
de  C.teaux  cause  de  grands  différends  entre 
cet  ordre  et  celui  de  Cluny,  306,  507.  Canon 
d'un  concile  de  Latran  touchant  les  dîmes, 
1097.  Canon  d'un  concile  de  Reims,  1122. 
Canon  d'un  concile  d'Avranches,  1135.  Ca- 
non du  troisième  concile  de  Latran,  1141. 
Canon  d'un  concile  deDalmatie,  1145.  Canon 
d'un  concile  de  Londres,  1146.  Canon  d'un  laoo. 
concile  d'Avignon,  11,31.  Canons  du  qua-  1215. 
trième  concile  de  Latran  concernant  les  dî- 
mes, 1170. 

[DIMISSOIRE.  Défense  de  recevoir  un  clerc 
d'un  autre  diocèse  sans  lettre  de  recomman- 
dation, ou  sans  lettre  démissoire  de  l'évêque 
de  ce  clerc,  XII,  242.] 

DIMOERITES.  Saint  Epiphane  nomme 
ainsi  les  Apollinaristes,  V,  87,  et  VI,  409. 

DINA.  Histoire  de  son  rapt  mise  en  vers 
par  Marbode,  XIV,  228. 

DINCOMADE,  maître   des  offices,  assiste     iiisièeie. 
au  concile  de  Chalcédoine,  X,  683. 

[DINDORF  revoit  le  texte  grec  des  œuvres 
de  Josèphe,  I,  328.  —  Il  publie  uu  ouvrage 
de  Jean  Philoponus  sur  le  ton,  XI,  652.  Son 
édition  de  la  Chronique  pascale,  747.  —  Son 
édition  de  la  Chronique  de  Jean  d'Antioche, 
surnommé  Malélas,  XH,  796.] 

[DINER  DES  MOINES,  opuscule  où  l'on 
trouve  les  prières  que  l'on  faisait  au  dîner 
dans  les  monastères  de  Rome,  Xlll,  22.] 

DINGOLVINGUE.  Lieu  situé  eu  Bavière. 
Concile  qui  y  fut  tenu,  XIII,  616,  617. 

DINOCRATE,   frère  de   sainte  Perpétue,     m»ijcie. 
délivré  du  purgatoire  parles  prières  de  cette 
sainle,  1,  346.  —  Ce  que  saint  Augustin  pen- 
sait de  cette  histoire,  IX,  468. 

DIOCÉSARÉE.  Nom  donné  à  la  ville  de 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  iMATIÈRES. 


325 


IV  siècle. 

IV  siècle. 

IV  siècle. 

303. 


III  siècle. 


348. 


371  et  372. 
372. 

378  ou  379. 

379  et  381. 
394. 


377. 


DIOCÉSARÉE,  ville  épiscopale  de  l'Isau- 
rie,  VIII,  294. 

DIOCÈSES.  Le  pape  gouverne  de  plus 
grands  diocèses  selon  le  concile  d'Arles,  II, 
630. 

DIOCLÈS,  à  qui  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze  écrit,  V,  266.. 

DIOCLÉTIEN.  Persécution  de  Dioclétien, 
III,  1  et  suiv.  —  Témoignage  de  Lactance 
sur  sa  mort,  H,  S06.  —  Edit  par  lequel  il 
avait  ordonné  la  persécution,  V,  142.  —  Les 
sacrifices  qu'il  offrait  aux  faux  dieux  trou- 
blés par  la  présence  d'un  chrétien,  XI,  374. 

[DIODORE  (Saint),  de  Corinthe,  martyr, 
II,  464,  463.] 

DIODORE,  prêtre  du  bourg  de  Diodore  ou 
Diodoride  en  Mésopotamie.  Sa  dispute  avec 
Manès.  Lettre  de  Diodore  à  Archélaûs  con- 
tre Manès.  Réponse  d'Archélaiis,  II,  437. 

DIODORE,  évêque  de  Tarse  et  confesseur, 
V,  386  et  suiv.  Il  est  né  à  Antioche.  Il  étudie 
à  Athènes.  Ses  vertus.  Il  soutient  la  foi  con- 
tre Léonce  d'Antioche,  386.  Il  défend  la  re- 
ligion contre  les  païens.  Il  prend  soin  de 
l'Eglise  d'Antioche,  587.  Il  est  chassé  d'An- 
tioche. Il  est  élevé  à  l'épiscopat.  Il  assiste 
aux  conciles  d'Antioche  et  de  Constantino- 
ple,  588.  Disciples  de  Diodore.  Sa  mort.  Ses 
éloges,  389.  Ses  écrits  contre  le  destin,  589 
et  suiv.  ;  contre  les  païens  ;  contre  Photin  et 
SabeUius,  391.  Autres  écrits  de  Diodore 
sur  divers  sujvts,  591  et  592.  Commentaires 
de  Diodore  sur  l'Ecriture  sainte,  592,  593. 
[Fragments  des  commentaires  de  Diodore, 
393.]  Ses  discours.  Liturgie  sous  le  nom  de 
cet  auteur,  393.  Jugement  de  ses  écrits,  393 
el  suiv.  —  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Basile 
le  Grand,  IV,  454.  Autre  de  saint  Basile, 
456.  Il  assiste  en  381  au  concile  de  Constan- 
tinople,  618.  — Diodore  détend  la  foi  contre 
les  Ariens,  V,  9.  Lettre  que  lui  écrivit  Timo- 
thée  d'Alexandrie,  93.  —  Concile  d'Antioche, 
où  il  assiste,  VI,  121.  —  Discours  de  Dio- 
dore à  la  louange  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme,  et  de  celui-ci  à  la  louange  de  Diodore, 
VII,  140,  141.  —  Théodore  de  Mopsueste  a 
été  un  de  ses  disciples,  VIII,  17.  Il  eut  part 
à  l'ordination  de  Flavien,  patriarche  d'An- 
tioche, 238.  11  fut  le  premier  auteur  de  l'hé- 
résie de  Nestorius,  selon  saint  Cyrille  d'A- 
lexandrie, 261  et  293.  [Livre  contre  Diodore 
de  Tarse  ;  ouvrage  perdu  de  saint  Cyrille 
d'Alexandrie  ;  Livres  du  même  contre  Théo- 
dore de  Mopsueste  et  Diodore  de  Tarse,  363. 
Euthérius  de  Tyanes  parle  de  lui  avec  élo- 


ge, 383.  —  Saint  Cyrille  écrit  contre  lui,  323 
et  363,  et  X,  22.  Théodoret  prend  sa  dé- 
fense, 22.  Il  avait  pris  soin  de  l'Église  d'An- 
tioche en  l'absence  de  Mélèce,  47.  L'Apologie 
de  Théodoret  pour  lui  est  perdue,  108.  On  lui 
attribue  d'avoir  introduit  le  chant  des  psau- 
mes à  deux  chœurs,  137.  —  [Trois  fragments 
de  Diodore  de  Tarse  sur  l'Exode,  XI,   303.] 

DIODORE,  évêque  deTyr.  Saint  Epiphane 
lui  explique  les  douze  pierres  précieuses  da 
rational,  VI,  420, 

DIODORIDE  ,    bourg  de   Mésopotamie , 

II,  373. 

DIOGÈNE  LE  PHILOSOPHE,  refuse  les 
présents  d'Alexandre,  VII,  20. 

DIOGÈNE,  évêque  de  Gènes,  au  concile 
d'Aquilée,  IV,  629. 

DIOGÈNE,  prêtre  d'Alexandrie.  Basile 
d'Ancyre  le  fait  fouetter,  IV,  321. 

DIOGÈNE,  homme  de  qualité.  Lettre  que 
lui  écrit  saint  Jean  Ghrysostôme,  VII,  131. 

DIOGÈNE,  évêque  bigame,  X,  23. 

DIOGÈNE,  évêque  de  Cyzique,  au  faux 
concile  d'Ephèse,  X,  677,  et  au  concile  do 
Chalcédoine  où  il  souscrit  la  définition  de 
foi,  692. 

DIOGNÈTE,  païen.  Lettre  que  saint  Justin 
lui  écrit,  I,  428  et  suiv.  [Raisons  qui  por- 
tent à  croire  que  l'épître  à  Diognète  est 
plus  ancienne  que  saint  Justin,  429,  note  6.] 

DIOLQUE,  canton  de  l'Egypte  où  étaient 
des  monastères  visités  par  Cassien,-  VIII,  148. 

DION,  philosophe  au  temps  d'Apollonius, 

III,  177. 

DION ,  proconsul  d'Afrique  sous  lequel 
souffrit  saint  Maximilien,  II,  479. 

DION.  Ouvrage  de  Synésius  de  Ptolé- 
maïde  intitulé  :  Dion  ou  de  la  conduite  de 
sa  vie,  VHl,  28,  29. 

[DIONISI,  chanoine  de  Vérone.  Sa  tra- 
duction italienne  des  traités  de  saint  Zenon, 
évêque  de  Verceil,  VI,  273.] 

DIONYSE,  mère  de  saint  Euthymius, 
XI,  272. 

DIOPHANTE,  l'un  des  quatre  prêtres 
d'Antioche  auxquels  saint  Jean  Chysostôme 
écrit  une  lettre,  VII,  133. 

DIOPTRE,  ou  règle  de  la  vie  chrétienne , 
traité  spirituel  de  Philippe  le  Solitaire.  Ap- 
pendices à  ce  traité,  XIV,  82  et  suiv.  Re- 
marques sur  ce  traité,  84. 

DIOSCORE,  prêtre  d'Alexandrie,  H,  398. 

DIOSCORE,  jeune  homme  de  quinze  ans, 
confesse  Jésus-Christ  dans  Alexandrie,  II, 
402. 


405. 


405. 


326 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


V  siècle. 


V.  «0. 


439. 


Hi. 


M7. 


449. 


451. 


445. 


451. 


454 


519. 


DIOSCORE,  homme  de  qualité,  loge  saint 
Jean  Chrysostôme  à  Gueuse,  VII,  10. 

DIOSCORE,  évêque  des  Arméniens,  VII, 
345. 

DIOSCORE,  l'un  des  quatre  grands  frères. 
Ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  lausiaque  de 
Pallade,  VII,  488. 

DIOSCORE,  jeune  homme  de  qualité. 
Lettre  de  Dioscore  à  saint  Augustin,  et  de 
saint  Augustin  à  Dioscore,  IX,  HO,  IH. 

DIOSCORE,  médecin.  Ce  que  saint  Au- 
gustin dit  de  la  conversion  de  ce  païen  dans 
sa  lettre  à  Alypius,  IX,  181. 

DIOSCORE,  patriarche  d'Alexandrie  après 
saint  Cyrille,  persécute  les  parents  et  les 
•héritiers  de  son  prédécesseur,  VIII,  262.  — 
Prend  la  défense  des  erreurs  d'Eutychès,  X, 
17.  Persécute  Théodoret,  22  etsuiv.Ille  dé- 
pose, 23  et  73.  Lettre  que  lui  écrit  Théodo- 
ret pour  le  féliciter  de  son  élévation  sur  le 
siège  d'Alexandrie,  68.  Autres  lettres  qu'il 
lui  écrit  pour  se  justifier  des  erreurs  dont  il 
l'accusait,   70.   Dioscore    dit    anathème    à 
Théodoret  ;  raison  de  sa  haine  contre  lui , 
71.  Il  le  fait  condamner  comme  chef  d'hé- 
résie au  conciUabuIe  d'Ephèse,   73.    Nous 
n'avons  rien  des  écrits  de  Théodoret  contre 
Dioscore,  107.  Dioscore  préside  au  faux  con- 
cile d'Ephèse  où  il  rétablit  Eutychès  et  dé- 
pose saint  Flavien,  173  et  678.  Il  est  ana- 
thématisé   avec    Eutychès   au    concile    de 
Chalcédoine,  688.  Il  donne  avis  de  son  or- 
dination au  pape  saint  Léon  ;  lettre  que  lui 
écrit  ce  pape,  204,  203.  Eutychès  réclame 
son  secours,  674.  Dioscore  sollicite  la  con- 
vocation du  faux  concile  d'Ephèse  en  faveur 
d'Eutychès;  il  y  préside,  673.  Il  absout  et 
rétablit  Eutychès,  678.  Il  condamne  saint 
Flavien  de  Constantinople,  678  et  679.  Le 
parti  de  Dioscore  eut  le  côté  le  moins  hono- 
rable au  concile  de  Chalcédoine,  684.   Dios- 
core y  est  accusé,  684  et  685.  Il  est  aban- 
donné de  tous  les  évéques  et  se  trouve  seul 
de  son  parti,  686.  Il  est  cité  au  concile,  687. 
Différentes  accusations  portées  contre  lui, 
687  et  suiv.  Il  est  déposé,  688  ;  relégué  à 
Gangres  en  Paphlagonie.  Sa  mort,  689.  Son 
nom  fut  mis  dans  les  diptyques  par  Timo- 
thée  Elure,  177. 

DIOSCORE,  apocrisiaire  de  l'Église  d'A- 
lexandrie ,  présente  avec  Quirémon  une 
requête  au  pape  Anastase  au  nom  de  l'É- 
glise d'Alexandrie,  X,  519. 

DIOSCORE,  diacre,  l'un  des  légats  du  pape 
saint  Hormisdas  à  Constantinople,  X,62i. 


Commission  particulière  dont  le  pape  le 
charge,  625.  L'empereur  Justin  projette  de 
le  faire  évêque  d'Alexandrie ,  626.  Lettres 
touchant  les  moines  de  Scythie,  626  et  627. 
Il  l'informe  de  l'élection  d'Epiphane  au 
siège  de  Constantinople,  628. 

DIOSCORE,  antipape  élu  en  concurrence 
de  Boniface  II  ;  il  meurt  peu  après  ;  il  est 
anathématisé  après  sa  mort,  XI,  114.  Les 
formules  d'anathème  prononcées  contre  lui 
sont  brûlées  par  le  pape  Agapet,  118. 

DIOSPOLIS  en  Palestine.  Concile  qui  y  fut 
tenu,  VIII,  551  et  suiv. 

DIPTYQUES  SACRÉS.  Concile  de  Jérusa- 
lem qui  y  met  les  noms  des  quatre  premiers 
conciles  généraux  et  celui  du  pape  saint 
Léon,  XI,  819,  820.  —  On  y  nommait  les 
vivants  et  les  morts,  XIV,  514. 

DIRECTEUR  des  âmes.  Qualités  qu'il  doit 
avoir  et  obéissance  qu'on  lui  doit  selon  saint 
Basile,  IV,  394  et  522. 

DISCIPLES  (Les  soixante- dix).  Traité  sur 
eux  faussement  attribué  àsaintHippolyte,  I, 
635,  et  XI,  747,  n.  7.  —  L'auteur  de  la 
deuxième  décrétale  faussement  attribuée  au 
pape  saint  Anaclet,  attribue  aux  apôtres  l'é- 
lection des  soixante-dix  disciples,  VI,  80. 

DISCIPLINE.  Quelques  points  de  disci- 
pline marqués  par  saint  Optât,  V,  139, 140  ; 
par  saint  Pacien,  170  ;  par  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  350  et  suiv.;  par  saint  Ambroi- 
se,  574  ;  —  par  saint  Ephrem,  VI,  68,  69  ; 
par  saint  Grégoire  de  Nysse,  230  et  suiv.  ; 
—  par  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  430  et 
suiv.  Canons  sur  divers  points  de  la  disci- 
pline ecclésiastique  attribués  à  Théophile 
d'Alexandrie,  445,  446.  Autres  du  même, 
446.  Témoignage  de  saint  Jérôme  sur  divers 
usages  de  discipline,  697  et  suiv.  —  Disci- 
pline de  l'Église  catholique  ;  canon  sixième 
du  concile  de  Rome  sous  le  pape  saint  Inno- 
cent, VIII,  343.  —  Sermon  de  saint  Augus- 
tin sur  la  discipline  chrétienne,  IX,  284. 
Discours  faussement  attribués  à  saint  Au- 
gustin sur  le  bien  de  la  discipline ,  288.  Té- 
moignage de  saint  Augustin  sur  quelques 
points  de  discipline,  805.  —  Témoignage  de 
Théodoret  sur  divers  points  de  discipHne, 
X,  136,  137.  Du  bien  de  la  discipline  :  dis- 
cours de  saint  Valérien,  évêque  de  Sémèle, 
imprimé  parmi  les  œuvres  de  saint  Augus- 
tin, et  donné  séparément  par  Goldast,  155. 
Analyse  de  ce  discours,  155  et  156.  —  Traité 
de  Raban  Maur  :  De  la  discipline  ecclésias- 
tique, XII,  457.  Témoignage  de  Ratramne 


520. 
529. 
535. 

415. 


IV  siècle. 


IV  siècle. 
IV  slèele. 


IV  siècle. 

IV  et 

V  siècles. 
IV  ou 

V  siècle. 


IV  et 

V  siècles. 

Après  403. 


IV  et 
V  siècles. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


327 


sur  la  discipline  de  l'Église,  565.  Livres  de 
la  Discipline  ecclésiastique  et  de  la  Religion 
chrétienne,  composés  par  Réginon,  abbé  de 
Prume  ;  idée  de  cet  ouvrage,  771.  Éditions 
qn'pn  en  a  faites,  772.  —  Discipline  cléri- 
cale :  sujet  et  titre  d'un  ouvrage  de  Pierre 
Alphonse,  juif  converti,  XIV,  172. 

DISCIPLINE  ou  FLAGELLATION  s'intro- 
duit dans  les  monastères  au  xi'  siècle.  Ce  que 
dit  saint  Pierre  Damien  pour  autoriser  cette 
pratique,  XIII,  303,  304,  305  et  318.  Il  in- 
troduit cette  pratique  au  Mont-Gassin,  et 
elle  est  adoptée  dans  toute  la  congrégation 
et  ensuite  dans  plusieurs  autres  monastères, 
319. 
II siècle.  DISCOURS.  Discours  de  saint  Justin  aux 
U  siècle,  payens,  I,  409  et  412,  413;  de  Tatien  aux 
Grecs,  489  et  suiv.  —  Discours  au  peuple, 
après  l'Évangile  selon  les  Constitutions  apos- 
toliques, II,  395.  Cet  usage  était  observé 
dans  les  églises  d'Alexandrie  et  de  Constan- 
tinople,  593.  —  Discours  de  piété  de  l'em- 
pereur Constantin,  III,  129  et  suiv.  —  Dis- 
cours de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  193 
et  suiv.  —  Différence  des  discours  de  piété 
d'avec  les  discours  ordinaires,  selon  saint 
Pierre  Chrysologue,  X,  9.  Discours  de  saint 
Ennode,  évêque  de  Pavie,  376.  —  Discours 
sur  la  ruine  de  la  Grande-Bretagne  et  sur 
les  dérèglements  du  clergé  ;  ce  sont  deux 
écrits  de  saint  Gildas  de  Ruis,  XI,  319.  Ana- 
lyse de  ces  discours,  319  et  320,  Éditions 
qu'on  en  a  faites.  Originairement ,  ils  ne 
formaient  qu'un  seul  discours,  320.  Discours 
ascétique  de  saint  Maxime,  abbé  de  Chry- 
sopolls,  763,  764.  Voyez  Oraisons. 

DISCERNEMENT.  De  Discretione  animœ, 
spiritus  et  mentis,  ouvrage  d'Adam  de  Saint- 
Victor,  XIV,  722,  723.] 

DISIBODE  (Saint).  Sa  vie  écrite  par  sainte 
Hildegarde,  XIV,  393  et  595. 

DISPENSATEURS  (Les)  du  Seigneur.  Ser- 
mon de  saint  Fulgence  de  Ruspe,  XI, 
69. 

DISPENSES.  Dispense  d'un  vœu  de  pèle- 
rinage accordé  par  le  pape  saint  Léon  IX, 
XIII,  151  et  196.  —  Traité  des  dispenses  : 
ouvrage  de  Geoffroi  de  Vendôme,  XIV,  167. 
Témoignage  d'Alger  de  Liège  sur  les  dis- 
penses, 384.  Livre  de  saint  Bernard  du  Pré- 
cepte et  de  la  Dispense,  467.  Analyse  de  ce 
traité,  468  et  suiv.  Témoignage  de  Pierre 
le  Vénérable  sur  le  droit  de  dispenser, 
506. 

DISPUTES.  Conférence  d'Arsinoé,  modèle 


d'une  dispute  vraiment  chrétienne,  II,  564, 
565.  —  Discours  de  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze sur  la  modération  que  l'on  doit  gar- 
der dans  les  disputes,  V,  221,  222.  [Disputes 
sur  la  nature  de  Dieu  ;  maux  qu'elles  en- 
traînent, 467,  471,  472,  473,  474,  473, 
480.  Elles  viennent  du  démon,  474.]  —  Dis- 
pute entre  Théophile,  chrétien,  et  Simon, 
juif;  analyse  de  cet  ancien  ouvrage,  dont 
est  auteur  Évagre,  disciple  de  saint  Martin 
de  Tours,  VIII,  424,  425.  —  Dispute  entre 
Arnobe  et  Sérapion  :  ouvrage  attribué  à 
Arnobe  le  Jeune,  X,  332.  Quel  en  est  le 
but  ;  éditions  qu'on  en  a  faites ,  333.  — 
[Disputes  du  manichéen  Photin  avec  le 
chrétien  Paul,  ouvrage  d'un  anonyme  con- 
tre les  Manichéens,  XI,  342.]  —  Dispute  du 
patriarche  saint  Nicéphore  avec  l'empe- 
reur Léon  l'Arménien,  XII,  284.  Dispute 
des  Chrétiens  et  des  Juifs  à  Rome  :  ouvrage 
attribué  à  Gerbert,  905. 

DISSIMULATION.    Doctrine    d'Origène ,     m  «tècie. 
II,  244.  —  Témoignage   de   saint   Gordie, 
martyr,  Ul,  79.  Doctrine  d'Eusèbe  de  Césa- 
rée,  239. 

DITMAR,  premier  évêque  de  Prague,  XII,      x  siècle. 
833. 

DITMAR  (ou  THIETMARD),  d'abord  reli-  1009. 
gieux  de  Saint-Maurice  à  Magdebourg ,  puis 
évêque  de  Mersbourg;  ce  qu'on  sait  des 
circonstances  de  sa  vie  ;  sa  mort,  XIll,  62.  lo*»- 
Analyse  de  sa  Chronique,  62  et  suiv.  Diffé- 
rentes éditions  qu'on  en  a  faites,  64,  63. 
[Autres  éditions  et  traductions  ;  jugement 
sur  cet  ouvrage.  Vie  de  Ditmar,  65. 

[DITMAR  (Juste-Christophe)  publie  une 
Vie  de  saint  Grégoire,  VII,  373.] 

DITTOCHAION,  nom  que  Gennade  donne 
à  l'Enchiridion  du  poëte  Prudence,  VIII, 
106. 

DIVERTISSEMENTS.   Discours    de  saint     iVsiicie. 
Ephrem  sur  les  ris  et  les  divertissements, 
VI,  17,  18.  Autre  sur  les  jeux  et  les  divertis- 
sements, 18. 

DIVINATION.  Canons  soixante-douzième        375. 
et  quatre-vingt-troisième  dans  la  troisième 
épître  canonique  de  saint  Basile  le  Grand, 
IV,  474.  —  Loi  de  Théodose  défendant  les        335. 
sacrifices  et  les  divinations,  VI,  368. 

DIVINITÉ.  Erreur  des  Messaliens  sur  la 
Divinité,  IV,  646.  —  Poëme  de  Prudence 
intitulé  :  Apothéose  ou  sur  la  Divinité,  VIII, 
103, 104.  —  Livre  de  l'essence  de  la  Divinité, 
ouvrage  faussement  attribué  à  saint  Augus- 
tin, IX,  370.  —  Traité  du  philosophe  Boëce 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


11  siècle. 
IV  siècle. 


II  siècle. 


111  siècle. 

III  siècle. 

IV  siècle. 


IV  siècle. 


IV  siècle. 


IV  siècle. 
379  ou  380. 


IV  siècle. 


IV  ou 

V  siècle. 


328 

sur  celte  question  :  Si  le  Père,  le  Fils  et  le 
Saint-Esprit  peuvent  être  affirmés  substan- 
tiellement de  la  Divinité,  X,  636. 

DIVINITÉ  DU  FILS  ET  DU  SAINT- 
ESPRIT.  Doctrine  de  Clément  d'Alexandrie, 
1,  593  et  suiv.;  —  de  saint  Hilaire  de  Poitiers, 
IV,  68  et  suiv.  —  Discours  de  saint  Grégoire 
de  Nysse  sur  la  divinité  du  Fils  et  du  Saint- 
Esprit,  VI,  204,  205.  —  Lettre  de  saint  Au- 
gustin sur  la  divinité  du  Fils  et  du  Saint- 
Esprit,  IX,  148,  149.  Conférence  de  saint 
Augustin  avec  Maximin  sur  le  même  sujet, 
359  et  suiv. 

DIVINITÉ  DE   JÉSUS-CHRIST.  Doctrina 
de  saint  Justin,  1,437,438;  de  saint  Méliton, 
457  ;  de  Clément  d'Alexandrie,  593  ;  de  suint 
Hippolyte,  638  et  suiv.  —  de  Tertullien,  II, 
71;  de  saint  Cyprien,  351;  de  Théognoste, 
451  ;  —  de  saint  Pierre    d'Alexandrie,  III, 
60  ;  de  saint  Méthode,  évéque  de  Tyr,  68, 
69  ;  [de  l'auteur  du  Poëme  apologétique  con- 
tre les  Juifs  et  les  Gentils,  150,  151.  Témoi- 
gnage de   Macaire   Magnés,  156.    Doctrine 
d'Eusèbe  de  Césarée,  255,  257,  261,  262,] 
273,  276.   Preuves  de  la  divinité  de  Jésus- 
Christ  par  les  prophéties,  suivant  Eusèbe  de 
Césarée,  193.  Examen  de  sa  doctrine  sur  la 
divinité  de  Jésus-Christ,  302  et  suiv. ,  302,  n.  1 . 
—  Doctrine  de  saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV, 
68,  69;  de  Lucifer  de  Cagliari,  263,  264;  — 
de  saint  Cyrille  de  Jérusalem,  V,  66  et  suiv. 
Deux  discours  de  saint  Grégoire  deNazianze 
sur  la  divinité  du  Fils,  231  et  suiv.  Doctrine 
du  même,   314   et  suiv.;  —  de  saint  Am- 
broise,  IV,  631  et  suiv,  et  V,  135,  456,  472 
et  suiv.  ;  478  et  537  et  suiv.  Li\re  qui  lui  est 
attribué,  511.  Doctrine  de  Didyme  l'Aveugle, 
613.  Sermon  de  saint  Augustin  sur  la  divi- 
niné  de  Jésus-Christ,   IX,   241  et  suiv.  Doc- 
trine du  même,  644  et  suiv.;  —  de  Théodo- 
ret  sur  l'union  de  la   divinité  avec   l'huma- 
nité en  Jésus-Christ,  X,  113  et  suiv.;  de  saint 
Léon,  233  et  suiv.  Saint  Avit,  dans  une  lettre 
à  Gondebaud,  prouve  la  divinité  de  Jésus- 
Christ,  360.  Divinité  de   Jésus-Christ   atta- 
quée par  Elipaud  de  Tolède  et  Féhx  d'Urgel, 
défendue  par  le  pape  Adrien  I",  par  les  évo- 
ques de  France  et  ceux  d'itahe,  XII,   136; 
par  saint  Paulin,  patriarche  d'Aquilée,  158  et 
suiv.;  par  Alcuin,  160,  161, 178  et  suiv.,   181 
et  suiv.;  parBéatusetEthérius,  214  et  suiv.; 
par  saint  Benoit  d'Aniane,  261.  Traité  d'A- 
gobard  contre  les  erreurs  d'Elipand  et  de 
Félix,  366.  —  Traité  de  Pierre  le  Vénérable 
sur  la  divinité  de  Jésus-Christ,  en  forme  de 


lettre  adressée  à  Pierre  de  Saint-Jean,  XlV. 
513.  Autre  traité  du  même  contre  les  Juifs,  | 

316.  Voyez  Jésus-Christ,  Arius,  Ariens,  Eu-  \ 

nomius,  Eunoméens.  ^ 

DIVINITÉ  DU  SAINT-ESPRIT.   Doctrine     ivsiède. 
de  saint  Athanase,   IV,  146,  201  et  suiv. 
Doctrine  de  saint  Basile  le  Graud,  387,  391,     iv  siècle. 
392,  422.  Sa  conduite   pour  prêcher  la  divi- 
nité, 503.  La  divinité  du  Saint-Esprit  établie        362. 
au  concile  d'Alexandrie,  389;  soutenue  dans        377. 
un  concile  d'Icône  tenu  par  saint   Amphi- 
loque,  603.  —  Doctrine  de  saint  CyriJe  de 
Jérusalem,  V,  69,  70;  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  316,  317;   de  Didyme  l'Aveugle, 
607  et   suiv..   Voyez  Esprit-Saint,   Macédo- 
niens. 

DIVISION  entre  les  évêques.  Canons  vingt-  398. 
cinquième  et  vingt-sixième  du  quatrième 
concile  de  Carthage,  V,  729  ;  entre  les  clercs, 
canon  cinquante-neuvième  du  quatrième 
concile  de  Carthage,  731  ;  entre  les  frères, 
canon  quatre-vingt-treizième  du  quatrième 
concile  de  Carthage,  732. 

DIVISION  DES  NOMBRES.  Livre  de  Ger- 
bert  sur  ce  sujet,  XII,  903. 

DIVORCE.  Canon  quarante-huitième apos-     iv  siècle, 
tolique,  II,  384.  Dixième  et  onzième  canons     iv  siècle, 
du  concile  d'Elvire,  603,606.  Canon  dixième 
du  concile  d'Arles.  Les  lois  civiles  permet- 
taient aux  parties  séparées  de  contracter  un 
second   mariage,  631.  —  Canon  neuvième        374. 
dans  la  première  épître  canonique  de  saint 
Basile  le   Grand,  IV,    461.    Canon  trente-        375. 
cinquième  dans  sa  deuxième  épître  cano- 
nique, 468.    Canon    soixante-dix-septième        375. 
dans  sa  troisième  épître  canonique,  474.  — 
Discours  de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,         380. 
223,  226.  Doctrine  de  saint  Ambroise,  568.      iv  siècle. 
—  Discours  de  saint   Astère  d'Amasée,  VI, 
295,  296.  —  Sentiment  de  saint  Chromace, 
VII, 434.  Canon  sixième  dans  la  lettre  du  pape        ws- 
saint  Innocent  à  saint  Exupère  de  Toulouse, 
512.  —  Cas  auquel  le  pape  saint  Grégoire  II 
permet  le  divorce  aux  Germains  uouvelle- 
ment  convertis,  XII,  25,  et  VU,  512,  note  2. 
Deux  traités  d'Hincmar  de  Reims  sur  le  di- 
vorce de  Lothaire  et  de  Thietberge,  661  et 
suiv.  Divorce  interdit  par  le  concile  Quini- 
sexte,  963,  964.  —  Lettre  de  Gérard,  évêque 
de  Cambrai,  sur  le  divorce  d'Hézelin,  XIII, 
163. 

DIZONIEN ,   sous-diacre   de  Macédoine , 
VII,  316. 

DOARES,   bourg  de  la  seconde  Cappa- 
doce,  V,  225. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


329 


[DOBREE  (Paul),  publie  une  nouvelle  édi- 
tion du  Lexicon  grec  de  Photius,  XII,  734, 
note  8.] 

[BOBROWSHIUS,  travaille  avec  Peizelius 
à  une  édition  de  la  Chronique  de  Cosme  de 
Prague,  XIV,  174.] 

DOCÈTES,  hérétiques,  IV,  460  ;  combat- 
tus par  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  336. 
380  DOCTEURS.  Canon  septième  du  concile  de 

Saragosse.  Autorité  des  anciens  docteurs 
de  l'Église  reconnue  par  les  hérétiques,  IV, 
616.  —  Traité  des  mauvais  docteurs  et  des 
œuvres  de  la  foi  attribué  faussement  au 
pape  Sixte  IIl,  VIH,  233. 

[DOCTORAT,   dignité  dans   l'Église,  IV, 
616,  note  1.] 
Il  siècle.  DOCTRINE    CHRÉTIENNE.    Témoignage 

IV  siècle,     de  saint  Justin,  I,  413  ;  de  saint  Athanase, 

IV,  210.  Livre  intitulé  :  La  doctrine  d'Orsise, 
IV  siècle,     abbé  de  Tabenne,  239,  240.  —  Témoignage 

de  saint  Cyrille  sur  la  doctrine  de  l'Église, 

V,  64,  65  ;  —  de  saint  Augustin,  IX,  124. 
Sur  le  bon  usage  de  cette  doctrine,  177. 
Lettre  où  saint  Augustin  expose  la  doctrine 
de  l'Église  sur  la  Trinité   et   llncarnation, 

\.  397.  184.  Quatre  livres  de  la  Doctrine  chrétienne, 
ouvrage  de  saint  Augustin,  194  et  suiv.  — 
Traité  de  la  saine  Doctrine,  ouvrage  de  saint 
Jean  Damascène,  XII,  78.  —  Doctrine  spiri- 
tuelle, ouvrage  d'Otlon,  moine  de  Saint- 
Emmeran  de  Ratisbonne,  XIII,  281.  De  la 
Doctrine  en  tout  genre,  ouvrage  de  Michel 
Psellus,  336. 

DODANE,  femme  de  Bernard,  duc  de  Sep- 

841.  timanie.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de 

842.  sa  vie.  Son  Manuel  adressé  à  Guillaume, 
son  fils,  qui  était  à  la  cour  de  Charles  le 
Chauve.  Idée  de  cet  ouvrage,  XII,  398.  (Voy. 
son  article  dans  VHistoire  liltérmre  de  la 
France,  t.  V,  p,  170  et  suiv.) 

DODECHIN,  abbé  de  Saint  Disebobe.  Voy. 
du  Pin. 

DODON,  diacre.  Voyez  Bodon. 
848  DODON,  premier  abbé  de    Saint-Martial 

de  Limoges,  XIII,  103. 

DODON  (Augustin) ,  chanoine  de  Bâle, 
premier  éditeur  des  œuvres  de  saint  Augus- 
tin, IX,  815. 

DODWEL  (Henri),  professeur  d'histoire  à 
Oxford.  Ses  dissertations  sur  divers  endroits 
des  écrits  de  saint  Cyprien,  II,  383. 

DOGMES.  [Discours  de  saint  Athanase 
contre  ceux  qui  changent  les  dogmes  avec 
les  temps.  Sur  le  dogme  de  l'union  des  deux 
natures  en  Jésus-Christ,  fragment  d'un  traité 


de  saint  Athanase,  IV,  660.]  —  Ouvrages  iv  siécie. 
dogmatiques  de  saint  Ephrem,  VI,  48,  49  et 
[450  et  suiv.]  —  Sermon  dogmatique  de 
saint  Basile  le  Grand  faussement  attribué  à 
saint  Nil,  solitaire  de  Sinaï,  VIII,  211.  — 
Livre  des  Dogmes  attribué  à  saint  Augustin, 

IX,  371;  —  c'est  l'ouvrage  de  Gennade, 
prêtre  de  Marseille  ;  analyse  de  cet  ouvrage, 

X,  601  et  suiv.  ;  éditions  qu'on  en  a  faites, 
606.  —  Dogmes  de  la  Vraie  Foi  :  titre  sous 
lequel  on  a  réuni  cinq  discours  d'Anastase, 
patriarche  de  Constantinople,  XI,  360  et  suiv. 

DOL,   ville   de  Bretagne.    Bulle  du  pape       io94. 
Urbain  II  qui  oblige  l'évêque  de  Dol  à  re- 
connaître l'archevêque  de  Tours  pour  son 
métropolitain,   XIII,  427,  428.    Décision  du       io95. 
concile  de  Clermontsur  le  même  sujet,  433. 
—  Le  pape  Innocent  III  déclare  lévêque  de 
Dol  soumis  à  la  juridiction  de  l'archevêque 
de  Tours  et  le  prive  du  pallium,  XIV,   970. 
Concile  tenu  en  celte  ville,  1074.  L'évêque       1148. 
de  Dol  obligé  par  le  concile  de  Reims  de  re- 
connaître la  juridiction  de  l'archevêque  de 
Tours,  1121. 

DOLCI.  Sa  vie  de  saint  Jérôme,  VII,  349. 

DOLIQUE.  Nom  d'un  monastère  en  Syrie, 

X,  76. 

DOMESTIQUES  :  soin  que  l'on  doit  avoir 
de  leur  salut,  Vil,  267. 

DOMICE,  à  qui  saint  Denis  d'Alexandrie 
écrit  deux  lettres,  II,  259. 

DOMINICA,  impératrice,  épouse  de  l'em- 
pereur Valens,  IV,  357. 

DOMINICI,  évêque  de  Brescia  ou  Bresce. 
Son  édition  des  Morales  de  saint  Grégoire  le 
Grand  sur  Job,  XI,  583. 

DOMINIQUE,    évêque  de  Civita-Vecchia.        590. 
Lettre  que   lui  écrit  le  pape  saint  Grégoire 
le  Grand,  XI,  481. 

DOMINIQUE,  évêque  deCarthage.  Lettres        591. 
que  lui  écrit  le  pape  saint  Grégoire  le  Grand, 

XI,  489,  499,  509,  520. 

DOMINIQUE,  abbé  d'Altino,  élu  évêque 
de  Torcelle.  Opposition  à  son  élection.  Un 
concile  de  Ravenne  l'autorise  à  recevoir  les 
revenus  de  son  évêché,  XIII,  717.  Concile 
de  Rome  tenu  à  son  occasion,  719. 

DOMINIQUE  (Saint),  abbé  de  Bore.  Sa 
Vie  composée  par  le  cardinal  Albéric,  XIII, 


874. 


877. 


DOMINIQUE,  patriarche  de  Grade  et  d'A- 
quilée.  Sa  lettre  à  Pierre,  patriarche  d'An- 
tioche,  au  sujet  des  reproches  que  les  Grecs 
faisaient  à  l'Église  latine  sur  l'usage  où  elle 
est  de  n'employer  que  du  pain  azyme  dans 


XI  siècle. 


330 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


la  célébration  des  saints  mystères,  XIII,  221, 
222.  Réponse  que  lui  fait  Pierre  d'Antioche, 
222. 
XI  siècle.  DOMINIQUE  LE  CUIRASSÉ  (Saint).  Sa 
Vie,  écrite  par  Pierre  Damien,  XIII,  310.  Il 
pensait  que  cent  ans  de  pénitence  pouvaient 
être  rachetés  par  la  récitation  du  Psautier  dit 
vingt  fois,  en  accompagnant  cette  récitation 
de  discipline,  320,  321.  Opuscule  de  Pierre 
Damien  qui  lui  est  adressé,  321. 

DOMINIQUE  (Saint),   abbé  de  Silos.  Sa 
Vie  écrite  par  Grimoald,  moine  de  Milan  ; 
1073.       temps  de  sa  mort,  XIII,  489. 

DOMINIQUE  (Saint),  que  les  Grecs  nom- 
ment Cyriaque,  Histoire  de  sa  vie  et  de  son 
martyre,  par  Gonthier,  moine  de  Saint- 
Amand,  XIII,  561. 

DOMINIQUE  (Saint),  fondateur  de  l'ordre 
H70.  des  Frères  Prêcheurs.  [Il  naquit  |à  Calaruéga 
ou  Calaroga,  dans  la  Vieille-Castille ,  en 
H70.  Ses  parents  furent  Félix  deGuzman  et 
Jeanne  d'Aza].  Sermon  de  Guillaume  d'Au- 
vergne pour  le  jour  de  la  fête  de  saint  Do- 
minique, XIV,  1027.  [Voir,  sur  saint  Domi- 
nique, la  belle  Vie  de  ce  saint,  par  le  père 
Lacordaire.] 

DOMITIEN,  empereur,  persécute  les  chré- 
tiens, II,  506.  Sa  mort,  507. 

DOMITIEN,  évéque  de  Genève,  II,  472. 

DOMITIEN,  dont  saint  Basile  sollicite  le 
pardon  auprès  du  duc  Andronic,  IV,  450. 

DOMITIEN,  préfet,  assassiné  par  ordre  du 
César  Gallus,  VI,  256. 

DOMITIEN,  prêtre  et  économe  de  l'Église 
de  Constantinople,  VII,  136. 

DOMITIEN,  à  qui  saint  Nil  écrit,  VHI,  219. 

DOMITIEN,  questeur,  écrit  à  Hellade  de 
Tarse  et  à  Théodoret,  VHI,  248,  249. 

DOMITIEN,  évêque,  légat  de  saint  Léon 
dans  rOrient,  X,  236. 
VI  siècle.  DOMITIEN,  d'abord  abbé  de  Saint-Marty- 
rius,  puis  évéque  d'Ancyre.  Sa  requête  au 
pape  Vigile  au  sujet  de  la  condamnation 
d'Origène,  XI,  345. 
592.  DOMITIEN,  évêque  de  Mélitine,et  métro- 

politain d'Arménie.  Livre  que  lui  écrit  le 
pape  saint  Grégoire,  XI,  494.  Livre  que  lui 
dédia  saint  Euloge,  patriarche  d'Alexandrie, 
590. 
V  siècle.  DOMITIUS,  professeur  de  rhétorique  à 
Glermont.  Saint  Sidoine  Apolhnaire  l'invite  à 
venir  à  sa  maison  d'Avitac,  X,  384.  Sidoine 
lui  envoie  le  recueil  de  ses  poésies,  398. 
307.  DOMNIN   (Saint),  martyr  de  Palestine, 

m,  8. 


DOMNIN,  évêque  de  Grenoble,  au  concile 
d'Aquilée,  IV,  629. 

DOMNIN,  évêque  de  Marcianople,  sollicite 
le  rappel  d'Eunomius,  IV,  410  et  VI,  261. 

DOMNIN,  à  qui  saint  Nil  écrit,  VHI,  220. 

DOMNIN,  moine  qui  suit  Léporius  dans 
ses  erreurs  et  se  rétracte  avec  lui,  VHI,  233. 

DOMNIN,  évêque  de  Césarée,  bigame, 
X,23. 

DOMNIN,  diacre,  chargé  d'avertir  les  évé- 
ques  de  se  trouver  au  concile  de  Chalcé- 
doine,  X,  684. 

DOMNINE  et  THÉONILLE  (Saintes),  mar- 
tyres à  Egée  en  Cilicie,  II,  467. 

DOMNINE,  BÉRÉNICE  et  PROSDOCE,  ses 
filles  (Saintes),  martyres.  Leurs  actes,  III, 
46,  47.  On  a  confondu  ces  martyres  avec 
sainte  Pélagie  et  ses  sœurs,  80,  81.  —  Pa- 
négyrique de  ces  trois  saintes,  par  saint 
Jean  Ghrysostôme,  VII,  92. 

DOMNINE  (Sainte),  vierge,  célèbre  par  ses 
austérités,  et  dont  'Théodoret  a  écrit  la  vie, 
X,  64. 

DOMNION,  prêtre  de  Rome  à  qui  saint  Jé- 
rôme écrit  une  lettre,  VII,  603.  — 11  reçoit  à 
Rome  saint  Paulin,  VIII,  52. 

DOMNISON,  prêtre  et  moine  de  Canosse, 
chapelain  de  la  comtesse  Mathilde,  écrit  la 
vie  du  pape  Grégoire  VII  et  celle  de  la  com- 
tesse Mathilde,  XHI,  373. 

DOMNITIUS ,  à  qui  saint  Sidoine  adresse 
une  lettre,  X,  388. 

DOMNIUS  (Saint) ,  martyr.  Ses  actes  re- 
touchés par  Adam  de  Paris  ;  jugement  sur 
les  fragments  qui  en  restent,  XIll,  237. 

DOMNOLE  (Saint),  d'abord  abbé  de  Saint- 
Laurent  à  Paris,  puis  évêque  du  Mans.  11 
assiste  au  concile  de  Tours  dont  il  rédige  les 
actes  ;  il  fonde  l'abbaye  de  Saint-Vincent  du 
Mans.  Sa  mort.  Ses  écrits.  Sa  Vie,  écrite  par 
deux  auteurs  différents  ;  son  testament  et 
soncodicile,  XHI,  313.  [Édition  des  écrits  de 
saint  Domnole  dans  la  Patrologie,  313.] 
(Voyez  son  article  dans  V Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  HI,  p.  328  et  suiv.) 

DOMNULUS,  que  saint  Honorât  de  Mar- 
seille met  au  nombre  des  docteurs  de  son 
temps.  Il  ne  nous  reste  rien  de  lui,  VIII, 
452. 

DOMNULUS,  questeur  de  l'Empire.  Lettre 
que  lui  écrit  saint  Sidoine  Apollinaire  pour 
lui  faire  part  de  l'élection  de  Jean  à  l'évêché 
de  Châlon,  X,  389. 

DOMNUS  I,  évêque  d'Antioche,  mis  à  la 
place  de  Paul  de  Samosate,  H,  432.  L'em- 


381. 


285. 


301. 


392. 


393. 
394. 


XI  siècle. 


567. 


581. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


331 


pereur  Au  rélien  lui  adjuge  la  maison  épis- 
copale,  568. 
Ml.  DOMNDS  II,  évêque  d'Antioche;  en  quelle 

442.  année.  Lettre  que  saint  Cyrille  d'Alexandrie 
lui  écrit,  au  sujet  d'Athanase,  évêque  de 
Perrha;  autre  au  sujet  d'un  autre  évêque 
nommé  Pierre,  VIII,  300.  Il  indique  un  con- 
cile pour  juger  l'affaire  d'Athanase  de  Per- 
rha, 381.  Il  fait  le  comte  Irénée  évêque  de 
Tyr,  387.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Procle, 
407.  —  Il  avait  été  ordonné  diacre  par  Ju- 
vénal  de  Jérusalem,  X,  17.  Il  envoie  des 
évêques  à  Gonstantinople  pour  la  défense  de 
Théodoret  et  des  Orientaux,  22.  Théodoret 
lui  écrit,  23.  Autre  lettre  de  lui,  66.  Domnus 
ftiit  part  à  Théodoret  de  la  lettre  de  Dios- 
core,  70.  Lettre  que  Théodoret  écrit  à  Dom- 
nus pour  soutenir  l'ordination  d'Irénée,  évê- 
que de  Tyr,  72.  Autre  lettre  au  sujet  du 
concile  qui  devait  être  convoqué  à  Éphèse, 
73.  Comment  il  se  conduit  dans  l'affaire 
d'Ibas,  évêque  d'Édesse,  dénoncé  comme 
Nestorien,  144,  145.  Concile  où  il  juge  la 
cause  d'Athanase  de  Perrha,  666,  667.  Il 
consent  au  rétablissement  d'Eutychès,  678  ; 
et  à  la  condamnation  de  Flavien  ;  il  rétracte 
sa  souscription,  et  est  déposé,  679. 
V.  546.  DOMNUS  III,  patriarche  d'Antioche,  suc- 

cède à  Éphrem,  XI,  175. 

DOMNDS,  solitaire,  tué  par  les  Sarrasins, 
IV,  285. 

DOMNDS,  évêque  d'Apamée.  Lettre  que 
lui  écrit  Théodoret,  X,  71. 

DOMNDS  ou  DONDS,  évêque  de  Messine. 
S.  Grégoire  le  Grand  lui  envoie  le  pallium, 
XI,-  504.  Lettre  par  laquelle  le  pape  saint 
Grégoire  lui  défend  de  rien  exiger  pour  le 
lieu  de  la  sépulture  des  morts,  510. 

DOMNDS  ou  DONDS  I  et  II,  papes.  Voyez 
Bonus. 
6o2.  DONADEDS,  diacre  qui  se  plaint  d'avoir 

été  injustement  déposé  par  son  évêque,  XI, 
910. 

DONAT,  évêque  de  Carthage,  à  qui  suc- 
céda saint  Cyprien;  il  condamne  l'hérétique 
Privât,  II,  261,  n.  5,553. 
m  siècle         DONAT,  ami  de  saint  Cyprien.  Livre  que 
ce  saint  lui  adresse,  II,  268  et  n.  5. 

DONAT,  prêtre  de  Carthage,  II,  260  et 
299. 

DONAT ,  disciple  de  Lactance ,  qui  lui 
adresse  son  livre  de  la  Colère  de  Dieu,  II,  503. 

DONAT,  confesseur  sous  Dioclétien,  à  qui 
Lactance  adresse  un  livre  de  la  Mort  des 
persécuteurs,  II,  503  et  u.  3. 


597. 


677-679. 


DONAT  DE  CARISE  (Urbain),  chez  qui  fut        3»5. 
tenu  le  concile  de  Cirthe,  II,  620. 

DONAT,  évêque  de  Calame,  traditeur  au 
concile  de  Cirthe,  II,  620;  et  au  concile  de 
Carthage  contre  Cécihen,  622. 

DONAT,  évêque  de  Mascula,  est,  comme  le 
précédent,  traditeur  au  concile  de  Cirthe  et 
à  celui  de  Carthage,  U,  620  et  622. 

DONAT  (Saint),  évêque  d'Arezzo,  martyr,        304. 
III,  104. 

DONAT  et  HILARIEN  (Saints),  martyrs. 
Discours  de  saint  Pierre  Damien  à  leur  sujet, 
XIII,  309. 

DONAT,  évêque  des  Cases-Noires,  pre-     iv  siècle, 
mier  auteur  du  schisme  des  Donatistes,  II, 

622.  Il  assiste  au  concile  de  Rome  en  313, 

623.  Conduite  qu'il  y  tient,  626.  —  Il  est 
condamné,  V,  96, 97  et  IX,  485.  Il  appelle  de 
la  sentence  rendue  contre  lui,  V,  97  et  112. 

DONAT,  évêque  schismatique  de  Carthage,        sie. 
successeur  de  Majorin,  V,  97.  Qui  était  Do- 
uât, 97  et  98.  Son  savoir,  ses  écrits;  il  re-        u^. 
fuse  de  s'unir  aux  Eusébiens,  98.  Il  refuse        340. 
les  aumônes  de  Constant,  99.  Il  est  banni  ; 
sa  mort,  99  et  100.  11  condamne  l'hérétique        348. 
Privai,  553.  (Ceci  se  rapporte  plutôt  à  Do- 
uât, prédécesseur  de  saint  Cyprien).  Saint 
Optât  parait  confondre  Donat  avec  Donatdes 
Cases-Noires,  97  et  112.  Témoignage  de  saint 
Optât  sur  sa  mort,  141. 

DONAT,  diacre  donatiste  de  Carthage,  IV, 
658. 

DONAT  (iELIDS),  grammairien,  l'un  des 
maîtres  de  saint  Jérôme,  IV,  325.  —  Com- 
mentaire de  l'abbé  Smaragde  sur  ses  ou- 
vrages, XII,  256.  Commentaire  de  Rémi 
d'Auxerre,  759. 

DONAT  et  PRIMDS,  diacres  catholiques 
massacrés  par  les  Donatistes,  V,  115. 

DONAT,  évêque  de  Tysédis,  mis  en  péni- 
tence, quoique  d'une  vie  irréprochable,  V, 
116. 

DONAT,  évêque  de  Bagaïe,  suscite  les 
Circoncellions  contre  Paul  etMacaire,  V,  116, 
117. 

DONAT  (Saint),  évêque  d'Eurie  en  Syrie. 
Sa  Vie  traduite  en  lalin  par  Anastase  le  Bi- 
bliothécaire, XII,  713. 

DONAT,  évêque  de  Nicople,  Lettre  que  lui        433. 
écrivit  saint  Cyrille  d'Alexandrie,  VIII,  295. 

DONAT,  proconsul  d'Afrique,  IX,  17.  Let-        m. 
très  que  lui  écrivit  saint  Augustin,  104  et 
110. 

DONAT,  prêtre  donatiste.  Saint  Augustin        4i6, 
lui  écrit  aussi,  IX,  149. 


332 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


432.  DONAT,  évêque  de  Saline   ou  Salicine, 

quitte  avec  son  peuple  l'hérésie  des  Nova- 
tiens,  X,  137  et  199. 

DONAT,  évêque  d'Afrique,  assiste  en  487 
à  un  concile  de  Ronae,  X,  720. 

DONAT,  à  qui  saint  Fulgence  de  Ruspe 

adresse  son  livre  de  la  Foi  orthodoxe,  XI,  32. 

V.624.  DONAT  (Saint),  évêque  de  Besançon,  bap- 

646.        tisé  par  saint  Colomban  ;  devient  évêque  de 

Besançon  ;  assiste  au  concile  de  Ghâlon-sur- 

Saône  ;  fonde  le  monastère  de  Palais,  XI, 

738.  Compose  une  règle  pour  les  filles,  738 
et  618.  Autre  règle  qu'on  lui  attribue,  738, 

739.  [Édition  de  la  règle  de  saint  Donat  dans 
la  Patrologie,  739.]  Il  avait  été  moine  de 
Luxeuil,  618.  Il  succéda  à  saint  Protade. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  III,  p.  570  et  suiv.) 

DONAT,  patriarche  de  Grade,  XII,  23. 
viil  siècle.        DONAT,  diacre  de  l'Église  de  Metz,  auteur 
de  la  Vie  de  saint  Trond  ou  Trudon,  XII, 
133.   (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  IV,  p.  175  et  suiv.) 
369.  DONAT,  évêque  d'Ostie,  l'un  des  légats 

envoyés  par  le  pape  Adrien  II  au  quatrième 
concile  de  Gonstantinople ,  XIII ,  702  et 
suiv. 

DONAT  (Bernardin)  de  Vérone.  Sa  ver- 
sion latine  des  livres  d'Eusèbe  de  la  Démons- 
tration évangélique;  en  quoi  elle  est  défec- 
tueuse, III,  313.  —  Son  édition  des  homélies 
de  saint  JeanChrysostôme  sur  les  Épîlres  de 
saint  Paul,  VU,  436.  —  Son  édition  de  quel- 
ques ouvrages  de  saint  Jean  Damascène, 
XII,  98.  Son  édition  des  ouvrages  d'Œcumé- 
nius,  914. 

DONATIEN  (Saint),  confesseur  d'Afrique, 
baptisé  dans  la  prison  où  il  meurt,  II,  388. 
286 ou  287.        DONATIEN  et  ROGATIEN  (Saints),  mar- 
tyrs à  Nantes,  II,  475,476. 

DONATIEN,  évêque  d'Oriol,  assiste  en  313 
au  concile  de  Rome,  II,  625. 

DONATIEN,  évêque  de  Télepte  dans  la 
province  Byzacène,  IV,  643.  —  Il  préside  au 
concile  de  Télepte,  VIII,  361. 

DONATIEN,  évêque  de  Tabraca,  au  qua- 
trième concile  de  Carthage,  VII,  726. 

DONATIEN  (Saint),  archevêque  de  Reims. 
Sa  Vie,  attribuée  à  Gervais,  l'un  de  ses  suc- 
cesseurs, XIII,  263.  Relation  d'un  miracle 
opéré  par  son  intercession,  187  et467. 

DONATILLE  (Sainte,,  martyre  eu  Afrique, 
III,  39. 

DONATIONS.  Donation  au  pape  saint  Syl- 
vestre attribuée  à  l'empereur  Constantin, 


III,  122,  n.  7,  et  147.  —  Canons  treizième 
et  quarante-neuvième  du  concile  de  Car- 
thage en  397  touchant  les  donations,  VII, 
721  et  726.  —  Canon  du  concile  d'Agde  au 
sujet  des  donations  faites  aux  églises,  X, 
737.  —  Formules  des  donations  faites  aux 
églises,  XI,  739  et  suiv.  —  Loi  des  Alle- 
mands et  des  Bavarois  sur  les  donations, 

XII,  227.  Donation  de  Pépin,  roi  de  France, 
à  l'Église  romaine,  113.  Donations  de  Char- 
lemagne,  236  et  248.  Donations  faites  à 
l'Église  romaine  confirmées  par  l'empereur 
Louis  le  Débonnaire,  379,  380.  [Voyez  379, 
note  6.]  Canon  d'un  concile  de  Reims  sur  les 
donations,  915.  Canon  du  sixième  concile  de 
Tolède  qui  les  concerne,  920,  921.  Réponse 
du  pape  saint  Nicolas  \"  sur  les  donations 
faites  aux  églises,  576.  Canon  d'un  concile 
de  Mérida  touchant  les  donations  des  évê- 
ques,  938.  —  Canon  d'un  concile  de  Reims 
contre  les  donations  d'un  bien  mal  acquis, 

XIII,  645.  —  Donations  faites  aux  églises  ; 
quelle  en  était  la  forme  usitée  en  Dane- 
marck,  XIV,  965. 

DONATISTES,  schismatiques.  Origine  de 
leur  schisme,  II,  622  et  suiv.  Troubles  qu'ils 
excitent  dans  l'Église,  624.  Concile  de  Rome 
où  ils  sont  condamnés,  625  et  suiv.  Ils  se 
plaignent  de  ce  concile,  627.  Concile  d'Arles 
qui  leur  est  accordé  et  qui  confirme  leur 
condamnation,  628.  —  Ce  concile  fut  con- 
voqué par  Constantin  à  leur  sollicitation, 
III,  122.  Constantin  confirme  le  jugement 
prononcé  contre  eux  par  ce  concile,  123. 
Lettre  de  Constantin  aux  évêques  Donatis- 
tes,  133.  Réunion  d'un  grand  nombre  de 
Donatistes  à  l'Église  catholique,  498,  499. 
—  Requête  qu'ils  présentent  à  JuUen  l'Apos- 
tat ;  concile  qu'ils  tiennent  à  Tliéveste  dans 
la  Numidie  ;  leurs  violences  à  Lemelle  dans 
la  Mauritanie,  IV,  394.  Ils  tiennent  un  con- 
cile à  Carthage  au  sujet  de  l'élection  de 
Primien  au  siège  de  cette  ville,  638.  Ils 
condamnent  Primien  dans  un  concile  tenu 
à  Carbasussi,  658  et  659.  Concile  de  Bagaïa 
dans  lequel  Primien  porte  ses  plaintes,  639, 
660.  —  Origine  du  premier  schisme  des 
Donatistes  à  Carthage,  V,  93.  Origine  du 
second  ;  ils  demandent  des  juges  à  Constan- 
tin contre  Gécilien  qu'ils  avaient  déposé 
dans  un  concile,  96.  Gécilien  est  absous  dans 
un  concile  de  Rome  ;  Donat  des  Cases- 
Noires,  auteur  du  schisme,  est  condamné, 
96  et  97.  Un  autre  Donat  succède  à  Majorin 
dans  le  siège  schismatique  de  Carthage,  97. 


638. 


393. 


394. 


304. 


313. 


316. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


333 


314. 

320. 


304. 


332 


393. 
401. 
407. 
412. 
418. 
V  siècle. 


Ecrits  de  saint  Optât,  évêque  de  Milève, 
contre  les  Donatistes,  108  etsuiv.  LesDona- 
tistes  ont  recours  aux  puissances  séculières, 
m.  Leurs  cruautés,  ll-i  et  suiv.  Leur  folie, 
123,  124  et  133.  Quelques  points  de  leur 
histoire  rapportés  par  saint  Optât,  140.  Di- 
vers monuments  concernant  Thistoire  des 
Donatistes,  142  et  suiv.  Édits  touchant  la 
persécution  de  Dioctétien  ;  actes  de  saint 
Félix  de  Ttiibare,  de  saint  Saturnin  et  de 
ses  compagnons,  142.  Actes  de  la  justifica- 
tion de  Félix  d'Aphtonge,  142  et  143.  Pro- 
cès-verbal de  l'information  contre  Sylvain, 
évêque  de  Girthe,  143.  Lettre  de  Mensurius 
à  Second  de  Tigisi;  réponse  de  celui-ci  à 
Mensurius,  143  et  144.  Lettres  de  Constan- 
tin, 144  etsuiv.  Discours  sur  les  martyrs  do- 
natistes, 146,  147.  Canons  et  lois  contre  la 
rehaptisation,  147,  148.  Autres  monuments 
touchant  l'histoire  des  Donatistes,  148.  — 
Rescrit  de  l'empereur  Julien  en  faveur  des 
Donatistes;  loi  de  l'empereur  Honorius  qui 
les  concerne,  VI,  348.  Loi  de  Valentinien 
I"  contre  les  Donatistes,  396.  Loi  de  Gra- 
tien  contre  les  schismatiques,  361.  Ce  que 
saint  Epîphane  dit  de  cette  secte,  397.  — 
Quelques-uns  de  ces  schismatiques  sont 
réunis  à  l'Église  par  les  soins  de  saint  Pam- 
maque,  VII,  505.  Canon  huitième  concernant 
les  Donatistes  dans  la  lettre  du  pape  saint 
Innocent  à  saint  Victrice  de  Rouen,  508. 
Canon  quarante-unième  du  concile  d'Hip- 
pone  ;  autre  canon  sur  le  même  sujet, 
715.  Conclusion  d'un  concile  général  de  Gar- 
thage  touchant  les  Donatistes,  VIII,  537. 
Règlements  d'un  autre  concile  général  de 
Carthage  touchant  les  églises  des  Donatistes, 
543.  Lettre  synodale  du  concile  de  Girttie, 
adressée  aux  Donatistes,  écrite  par  saint  Au- 
gustin, 546  et  suiv.  Canons  d'un  concile  gé- 
néral de  Carthage  pour  la  réunion  des  Do- 
natistes, 559, 560.  —  Les  Donatistes  attentent 
à  la  vie  de  saint  Augustin  ;  ils  persécutent 
les  cathohques,  IX,  16.  Ils  les  rebaptisaient, 
80.  Lettre  de  saint  Augustin  à  ces  schisma- 
tiques, 90.  Aulre  lettre  que  leur  écrivit  saint 
Augustin,  107.  Autre,  126,  127.  Autre  en- 
core aux  Donatistes  de  Cirlhe  convertis, 
127,  128.  Précis  de  l'affaire  des  Donatistes, 
371  et  suiv.  Ouvrages  de  saint  Augustin 
contre  ces  hérétiques,  374  et  suiv.  Monu- 
ments pour  riiistoire  des  Donatistes,  415  et 
suiv.  Les  Donatistes  décriaient  la  vie  monas- 
tique, 787.  [Sermon  de  saint  Augustin  contre 
les  Donatistes,  831.  Autre,  832.]  —  L'hérésie 


des  Donatistes  reprit  de  nouveaux  accrois- 
sements eu  Afrique  au  temps  du  pape  saint 
Grégoire,  XI,  489.  Ce  saint  pape  ordonne 
à  Colomb,  évêque  de  Numidie,  de  s'opposer 
à  leurs  entreprises,  489  et  506.  Il  exhorte 
l'empereur  Maurice  à  punir  ceux  qui  con- 
trevenaient aux  lois  établies  contre  eux,  506. 

DONATULE,  évêque  de  Capse,  consulte 
saint  Cyprien,  II,  416  et  note  4.  Assiste  en 
256  au  grand  concile  de  Carthage,  316. 

DONI  D'ATTICHI  (Louis),  évêque  de  Riez. 
Sa  traduction  française  de  Faust  de  Riez  sur 
saint  Maxime,  X,  437. 

DONIDE.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Sidoine 
Apollinaire,  X,  384,  385. 

DONNÉS  ou  OBLATS  dans  les  monastères, 
XIII,  485. 

DONS  DU  SAINT-ESPRIT.  Ouvrage  de 
saint  Hippolyte  sur  ce  sujet,  I,  632.  —  Traité 
des  sept  vices,  et  des  sept  dons  du  Saint- 
Esprit,  faussement  attribué  à  saint  Augustin, 
IX,  287.  —  Lettre  de  Charlemagne  sur  les 
sept  dons  du  Saint-Esprit,  XII,  245.  —  Ber- 
non  de  Reichenau  en  compte  huit,  en  les 
mettant  en  parallèle  avec  les  huit  béatitudes, 
XIII,  124, 125.  —  Traité  de  Hugues  de  Saint- 
Victor  des  Sept  dons  du  Saint-Esprit,  XIV, 
361.  Discours  de  saint  Bernard,  484.  Ou- 
vrage d'Arnaud,  abbé  de  Bonneval,  619. 

DONS  SURNATURELS  des  premiers  chré- 
tiens. Témoignage  de  saint  Justin  sur  ce  su- 
jet, I,  426.  —  Dons  surnaturels  accordés  à 
saint  Pacôme,  III,  360,  361. 

DONS  ou  OFFRANDES.  Doctrine  d'Ori- 
gène,  II,  243,  244.  De  qui  les  évêques  peu- 
vent recevoir  des  dons.  Canon  vingt-huitième 
du  concile  d'Elvire,  608. 

DONUS  I",  pape,  succède  à  Adéodat.  Sa 
mort.  La  lettre  que  l'empereur  Constantin 
Pogonat  lui  avait  adressée  est  rendue  au 
pape  saint  Agathon,  XI,  783. 

DONUS  II,  pape,  succède  à  Benoît  VI  et 
ne  siège  que  trois  mois,  XII,  835. 

DORMANTS.  L'Histoire  des  sept  dormants 
traduite  par  saint  Grégoire  de  Tours  n'est  pas 
celle  que  nous  avons  aujourd'hui,  XI,  383, 
384.  Les  sept  dormants  de  Marmoutier  sont 
diSérents  de  ceux  d'Ephèse,  384. 

DORMEURS,  hérétiques.  Voyez  Nyctages, 

DORMUND,  ville  de  Westphalie.  Concile 
quiy  fut  tenu,  XIV,  1034. 

DOROSTOLE,  ville  de  Thrace,  X,  46. 

DOROTHÉE,  prêtre  d'Antioche,  connu 
d'Eusèbe  de  Gésarée,  I!I,  169. 

DOROTHÉE,  prêtre,  un  des  députés  par 


m  siècle. 


II  siècle. 
IV  siècle. 

III  siècle! 


677. 


V.  975. 


Itl  siècle. 


377. 


3U 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


les  Orientaux  au  concile  de  Rome,  IV,  479. 
Dispute  avec  Pierre  d'Alexandrie  au  sujet 
de  saint  Melèce  et  de  saint  Eusèbe  de  Samo- 
sate,  G07. 

DOROTHÉE,  diacre  de  l'Église  d'Antioche, 
porteur  de  quelques  lettres  de  saint  Basile, 
IV,  441. 

DOROTHÉE,  solitaire  près  d'Alexandrie, 
VII,  484. 
Vsiècie.         DOROTHÉE,   abbé.   Ce    qui    en   est  dit 
dans  l'Histoire  lausiaque  de  Pallade,  VU, 
489. 

DOROTHÉE,  évêque  qui  pensait  comme 
Nestorius,  VIII,  132  et  286. 
430.  DOROTHÉE,  évêque  de  Marcianople.  Let- 

tre que  saint  Cyrille  d'Alexandrie  écrit  à  sou 
occasion,  VllI,  281  et  suiv.,  286,  287.  Il  rejette 
sur  ce  saint  évêque  le  trouble  dont  la  ville  de 
Constantinople  était  agitée,  284  et  285. 11  em- 
brasse les  erreurs  de  Nestorius,  370.  Il  est 
déposé  de  l'épiscopal  et  banni  à  Césarée  en 
432.  Cappadoce.  Ses  lettres,  383.  Il  est  déposé 
dans  un  concile  tenu  à  Constantinople,  399. 
II  se  maintient  pendant  quelque  temps,  600. 
Son  obstination  dans  le  schisme.  Il  est  relé- 
gué à  Césarée  eu  Cappadoce,  604. 

DOROTHÉE,  abbé  eutychien,  que  l'empe- 
reur IMarcien  mit  bors  d'état  de  nuire,  X, 
233.  Refuse  de  souscrire  à  la  lettre  de  saint 
Léon,  681.  Soutient  qu'Eutychès  est  catho- 
lique. Persiste  à  refuser  de  souscrire  à  la 
lettre  de  saint  Léon,  690. 

DOROTHÉE,  diacre.  Une  lettre  qui  lui  est 
adressée  est  attribuée  à  saint  Denis  l'Aréo- 
pagite,  X,  551. 
5,5_  DOROTHÉE,   évêque    de  Thessalonique. 

Sa  lettre  au  pape  saint  Hormisdas  pour 
l'exhorter  à  travailler  à  la  paix  de  l'Eglise. 
Réponse  du  pape,  X,  616.  Vexations  qu'il 
exerce  contre  Jean  de  Nicopolis,  618.  Re- 
mède qu'y  apporte  le  pape  Hormisdas, 
618  et  619.  Ses  violences  contre  les  légats 
venus  à  Thessalonique  pour  la  réunion,  625, 
626.  Il  est  mené  à  Héraclée  par  ordre  de 
l'empereur.  Il  est  renvoyé.  On  craint  qu'il 
ne  se  justifie  en  distribuant  de  l'argent,  628. 
L'empereur  l'oblige  d'envoyer  au  pape  une 
députation  pour  lui  faire  satisfaction,  632. 
Lettre  qu'il  écrit  au  pape.  Réponse  qu'il  en 
reçoit,  632,  633. 

DOROTHÉE,  moine  d'Alexandrie,  écrit  en 
faveur  du  concile  d'Alexandrie,  et  pour  ce 
sujet  est  relégué  à  Oasis,  XI,  106,  107. 

DOROTHÉE,  religieux  de  grande  vertu, 
que  saint  Germain,  évêque  de  Paris,  établit 


abbé  au  monastère   de  Sainte-Croix,   plus 
tard  Saint-Germain-des-Prés,  XI,  311. 

DOROTHÉE,  nom  commun  à  plusieurs 
archimandrites,  XI,  693,  696.  On  discute 
auquel  on  peut  attribuer  vingt-quatre  dis- 
cours sur  la  manière  de  vivre  avec  piété.  11 
paraît  qu'ils  sont  de  Dorothée  le  Sévérien. 
Ce  que  contiennent  ces  discours.  Huit  lettres 
du  même,  696.  [Traduction  française  de  ses 
discours,  697.  Édition  des  écrits  de  Dorothée 
dans  la  Patmlogie  grecque,  6Qô,  notes  4  et  5 
et  p.  696,  note  6.] 

DOROTHÉE  LE  JEUNE.  Sa  vie  écrite  par 
son  disciple  Jean  Mauropus,  métropolitain 
d'Euchanie,  XIII,  229. 

DORO VERNE,  ancien  nom  de  Gantorbéry, 
XI,  437. 

[DORN,  publie  trois  chapitres  de  l'Histoire 
ecclésiastique  d'Eusèbe  de  Césarée  en  sy- 
riaque, III,  317.] 

DORUS,  évêque  de  Bénévent.  Lettre  que 
lui  écrit  le  pape  saint  Léon,  X,  210. 

DORYLÉE,  ville  épiscopale  de  Phrygie, 
X,  23. 

DOSITHÉE,  patriarche  de  Jérusalem, 
transféré  sur  le  siège  de  Constantinople, 
puis  chassé.  Georges  Xiphilin  est  mis  à  .sa 
place,  XIV,  823. 

DOSITHÉE,  liérétique,  V,  173. 

DOSITHÉENS,  secte  de  Samaritains.  Ce 
qui  en  est  dit  par  saint  Philastre,  V,  173.  — 
Par  saint  Epiphane,  VI,  384. 

DOT  des  Églises  :  canon  d'un  concile  de 
Mayence  sur  ce  sujet,  XIII,  731. 

DOUNOAS,  chef  de  brigands.  Persécution 
qu'il  fait  souffrir  aux  chrétiens.  Il  est  atta- 
qué par  Elesbaon,  roi  d'Auxume,  qui  le  fait 
prisonnier  et  lui  ôte  la  vie,  X,  649. 

DOUTE.  Doctrine  d'Origène,  H,  229;  — 
[de  saint  Ephrem  sur  le  doute  quand  on  a 
reçu  la  foi,  VI,  474.]  —  Sentiment  de  saint 
Léon  sur  les  cas  douteux,  X,  274.  —  Doutes 
hypothétiques  contre  ceux  qui  nient  les  deux 
natures  en  Jésus-Christ  :  ouvrage  de  Léonce 
de  Byzance,  XI,  671. 

DOUZI.  Conciles  tenus  en  cette  ville, 
XIII,  714  et  716. 

DOXAPATER.  Voyez  Nil  Doxapater, 

DOXARIENS  ou  Aposchites,  hérétiques 
dont  parle  saint  Jean  Damascèue,  XII,  70. 

DOXOLOGIE,  ou  formule  de  glorification. 
Elle  n'était  pas  encore  réglée  du  temps  de 
saint  Ignace  d'Antioche,  I,  386.  Vestiges  de 
l'ancienne  doxologie,  389,  407.  Doxologie 
de    Clément   d'Alexandrie,  572.  —  Doxo- 


448. 


1193. 


i 


IV  siècle. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


335 


354. 


360. 


84t. 


logie  dont  il  e§t  parlé  dans  les  Constitutions 
apostoliques,  II,  597.  —  Origine  de  la  doxo- 
logie  Gloria  Palri,  etc.,  111,  439.  —  Son  an- 
tiquité selon  le  témoignage  de  saint  Basile 
le  Grand,  IV,  A2A.  —  [Il  y  avait  deux  doxo- 
logies;  Didyme  en  réprouve  une,  V,  631.] 

DOYENS.  Doyens  des  monastères  au 
temps  de  saint  Augustin,  IX,  786.  — Quel 
est  leur  office  dans  la  règle  de  saint  Benoît, 

XI,  163.  — Doyens  ruraux.  Différentes  fonc- 
tions dont  ils  sont  chargés  par  les  capitulaires 
d^Hincmar,  XII,  664. 

[DRAGH,  rabbin  converti.  Son  édition  des 
Hexaples  d'Origène,  II,  148.] 

DRACHME  :  opuscule  faussement  attribué 
à  saint  Jean  Chrysostôme  sur  la  parabole  de 
la  Drachme  et  de  l'Enfant  prodigue,  VU, 
312. 

DRACILIEN ,  vicaire  des  préfets  du  pré- 
toire et  gouverneur  de  la  Palestine.  Ordre 
que  lui  donne  l'empereur  Constantin,  X,  133. 

DRACONCE ,  évéque  d'Hermopolis,  en 
Egypte.  Lettre  de  saint  Athanase  à  cet  évé- 
que, IV,  115.  Il  est  banni  par  la  faction  des 
Ariens,  237. 

DRACONCE ,  évoque  de  Pergame,  déposé 
au  concile  de  Constantinople,  IV,  578. 

DRACONCE,  prêtre  espagnol,  auteur  d'un 
poëme  sur  la  Création,  et  d'une  élégie  à 
l'emperenr  Théodose  le  Jeune.  Éditions  de 
ce  poëme,  X,  587.  [Nouvelles  éditions,  587.] 

DRAGMATICON  :  ouvrage  où  Guillaume 
de  Conches  rétracte  ses  erreurs  sur  la  Tri- 
nité, XIV,  388. 

DRAGONS  :  opuscule  de  saint  Jean  Da- 
raascène  sur  certaines  espèces  de  dragons, 

XII,  79,  80. 

DRAUSIN  (Saint),  évêque  de  Soissons, 
invoqué  par  ceux  qui  avaient  à  se  battre  en 
duel,  XIV,  678.  [D.  Ceillier  écrit  Dinsius.] 

DREPANIUS  FLORES,  nom  sous  lequel 
on  a  donné  les  poésies  de  Florus,  diacre  de 
Lyon,  XII,  489. 

[DRESSEL  (Albert)  :  son  édition  des  Pères 
apostoliques,  I,  338.] 

[DREUX  du  Radier  :  sa  traduction  française 
du  livre  de  la  Colère  de  Dieu,  II,  521.] 

DROCTOVÉE  (Saint),  premier  abbé  de 
Saint-Germain  des  Prés,  XI,  376. 

DROGON,  évéque  de  Metz,  fils  de  Gharle- 
magne  et  oncle  de  l'empereur  Lothaire. 
Lettre  que  lui  écrit  Frothaire,  évêque  de 
Toul,  XII,  398.  Lothaire  l'envoie  à  Rome 
avec  son  fils  Louis  pour  examiner  l'élection 
du  pape  Sergius.  Ce  pape  l'établit  vicaire 


apostolique  dans  toutes  les  provinces  en  deçà 
des  Alpes,  406.  Raban  Maurlui  adresse  son 
traité  des  chorévêques,  462.  —  Drogon  veut 
se  faire  reconnaître  vicaire  apostolique  dans 
le  royaume  de  Charles,  XIII,  672,  673. 

DROGON,  fils  de  Charles  le  Chauve  :  son 
épitaphe  par  Milon,  moine  de  Saint-Ainand, 

XII,  604. 

DROGON,   évéque  de  Minden.  Son  élec-        996. 
tion  confirmée  par  un  concile  de  Cologne, 

XIII,  730. 

DROGON,  frère  de  Gui,  évêque  du  Puy, 
est  nommé  par  le  roi  Hugues  Capet  pour 
lui  succéder,  XH,  894. 

DROGON ,  évêque  de  Beauvais  :  sa  lettre     io30-jo47. 
sur  l'excommunication,   XIII,  123.   (Voyez 
son  article  dans  VHistoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VII,  p.  370  et  suiv.) 

DROGON,  évêque  de  Térouanne,  injuste-    xi  siècle, 
ment  chassé  de  son  siège,  XIII,  163.  Il  doit 
être  distingué  de  Drogon,  moine  de  Berg- 
Saint-Vinok,  auteur  de  quelques  ouvrages, 
et  qui  vivait  dans  le  même  temps,  271. 

DROGON,  moine  de  Berg-Saint-Vinok,  xi  siècle, 
doit  être  distingué  du  précédent;  il  est  au- 
teur de  la  relation  des  miracles  de  saint  Vi- 
nok  ;  de  l'histoire  de  la  translation  des  reli- 
ques de  sainte  Lévine  ;  d'une  légende  de  saint 
Oswald,  roi  d'Angleterre,  et  de  deux  petits 
discours  en  l'honneur  de  ce  saint  roi,  XIII, 

271.  (Voyez  son  article  dans  VHistoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VIII,  p.  H  et  suiv.) 

DROGON,  moine  de  Saint-André  de  Bru- 
ges, confondu  avec  les  deux  précédents.  [Ce 
qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie  ;  il  ne 
doit  pas  être  confondu  avec  les  deux  auteurs 
précédents  ;  il  écrit  la  Vie  de  sainte  Godo- 
lève,  XIII,  271.  Analyse  de  cette  vie,  271  et 

272.  Jugement  sur  cet  écrit,  272.]  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  X,  p.  255  et  suiv.) 

[DROGON  ou  DREUX,  cardinal,  évêque 
d'Ostie.  Sa  vie;  ses  écrits  ;  son  traité  du  sa- 
crement de  la  Passion  du  Sauveur,  XIV,  248. 
Traité  de  la  création  et  de  la  rédemption  du 
premier  homme;  traité  des  sept  dons  du 
Saint-Esprit  et  des  sept  béatitudes  ;  traité 
des  offices  et  des  heures  canoniales,  249.] 
(Voyez  son  article  dans  VHistoire  littéraire  de 
la  France,  t.  XI,  p.  699  et  suiv.) 

DROIT.  Corps  du  droit  donné  par  Justî-     vi  aiècip, 
nien,  contenant  les  Institutes,  le  Digeste,  le 
Code  et  les  Novelles,  XI,  233  et  suiv, 

DROIT  CANONIQUE,  Abrégé  du  droit  ca-    vit  siècle, 
nonique,  ouvrage  de  Cresconius,  évêque  en 


336 


HTSTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Afrique;  ce  que  c'est;  éditions  qu'on  en  a 
faites,  XI,  808,  809. 

[DROLSHAGEN,  lecteur  en  droit,  a  fait  im- 
primer le  Cornufus,  ouvrage  de  Jean  de  Gar- 
lande,  avec  le  Cornufus,  œuvre  d'Othon, 
XIII,  230.] 

[DRONKE  (Em.).  Son  édition  de  la  Para- 
phrase de  David  Nicétas  sur  les  poésies  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  362.] 

DROSIS  ou  DROSIDE  (Sainte),  vierge  et 
martyre,  III,  86.  —  Son  panégyrique,  par 
saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  93.  —  [Deux 
homélies  de  Sévère  de  Sozopole  sur  cette 
sainte,  XI,  109.] 

DROUET  DE  MAUPERTUY  (J.-B.)  Sa  tra- 
duction française  du  premier  livre  des  Ins- 
titutions deLactance,  11,521.  —  Ses  traduc- 
tions des  traités  de  Salvien  sur  la  Providence 
et  sur  l'Aumône,  X,  378. 

DRUNGARIUS  (Jean),  auteur  du  xii^  siècle, 
IV,  373. 

DRUTHMAR.  Voyez  Chrétien  Druthmar. 
1152.  DUBLIN,  ville  d'Irlande,  où  on  établit  un 

archevêché,  XIV,  1123. 

[DDBNER.  Son  choix  des  écrits  de  saint 
Chrysostôme,  VII,  435.  11  a  publié  plusieurs 
choix  de  Pères  avec  des  notes.] 

[DUBOIS  (L.).  Sa  traduction  française  de 
l'Histoire  d  Orderic  Vital,  XIV,  373.] 

DUC  (Fronton  Le),  jésuite.  Ses  notes  sur 
lesœuvres de  Clément  d'Alexandrie,  1,606.  — 
Ses  éditions  des  œuvres  de  saint  Athanase. 
IV,  231  ;  de  saint  Basile  de  Gésarée,  546  ;  — 
de  saint  Grégoire  de  Nysse,  VI,  258  ;  —  de 
saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  434.  Ses  notes 
sur  saint  Jérôme,  700.  —  Son  édition  des 
œuvres  de  saint  Jean  Damascène,  XII,  98. 

DUGÉNAIRES,  ofSciers  de  finance  chez  les 
Romains,  II,  569. 

[DUCHESNE,  auteur  de  la  Collection  des 
Historiens  de  France,  y  insère  l'Histoire  des 
Albigeois,  par  Pierre  de  Vaulx-Gernay,  XIV, 
908.] 

DUDDE,  abbé.  Lettre  de  saint  Boniface 
qui  lui  est  adressée,  XII,  50. 

DUDE,  religieuse,  condamnée  au  concile 
de  Douzi,  XIII,  716. 

DUDON,  doyen  de  Saint-Quentin.  Son  ou- 
vrage sur  les  mœurs  et  les  gestes  des  Nor- 
mands, XIII,  416.  [Voyez  son  article  dans 
V Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VII,  p. 236 
et  suiv.) 

DUELS  ordonnés  par  la  loi  de  Gondebaud 
ponr  décider  les  procès  entre  particuliers. 
Représentations  d'Agobard ,  archevêque  de 


Lyon,  contre  celte  loi,  XII,  368,  369.  Déci- 
sion d'Alton,  évêque  de  Vercei),  contre  les 
duels  employés  pour  la  défense  des  évèques, 
823.  —  Duel  ou  combat  singulier  désap- 
prouvé par  Yves  de  Chartres ,  XIV ,  120. 
Lettre  de  saint  Bernard  contre  les  duels,  457. 
DUISBOURG,  ville  du  duché  de  Clèves. 
Concile  qui  y  fut  tenu,  XIII,  745. 

[DUJAL  DE  VILLENEUVE.  Sa  traduction 
française  des  sermons  de  saint  Gésaire,  XI, 
156.] 

[DULAC.  Sa  traduction  française  du  Té- 
moignage de  l'âme,  de  TertuUien,  II,  87  ; 
des  écrits  de  saint  Denis  l'Aréopagite.] 

DULAS,  abbé  de  Sinaï,  échappe  à  la  fu- 
reur des  Sarrasins,  XIV,  284. 

DULCÉTIUS,  gouverneur  de  Thessaloni- 
que  qui  condamna  les  saintes  Agape,  Quio- 
nie  et  Irène,  III,  23,  24. 

DULCITIUS,  tribun  et  notaire.  Lettre  que 
lui  écrivit  saint  Augustin,  IX,  169,  170.  So- 
lulion  des  Questions  de  Dulcitius,  ouvrage 
de  saint  Augustin,  252  et  suiv. 

DULCITIUS,  notaire  envoyé  par  le  pape 
saint  Léon  au  brigandage  d'Éphèse,  X,  173, 
335,  675  et  suiv. 

DUMAY  (Paul),  conseiller  au  parlement 
de  Dijon.  Son  édition  des  deux  premiers  li- 
vres des  lettres  du  pape  Innocent  III,  XIV, 
951. 

DUME,  monastère  de  Galice  établi  par 
saint  Martin,  depuis  archevêque  de  Brague, 
XI,  350.  Ce  monastère  est  érigé  en  évêché 
et  saint  Martin  en  fut  le  premier  évêque,  885. 
DUNAAN  ,  juif,  persécute  les  Homérites 
chrétiens  pour  les  obliger  à  embrasser  le  ju- 
daïsme, X,  644,  645. 

DUNESTABLE,  ville  d'Angleterre.  Concile 
qui  y  fnt  tenu,  XIV,  1158. 

DUNGAL,  reclus,  consulté  sur  les  deux 
éclipses  de  l'année  810,  XII,  247  et  326.  Sa 
dissertation  sur  ces  phénomènes,  326.  Son 
écrit  contre  Claude  de  Turin  en  faveur  du 
culte  des  images,  326  et  suiv.  Analyse  de 
cet  écrit,  326.  Ses  poésies;  poëme  en  son 
honneur,  328  ;  [ses  écrits  dans  la  Patrologie, 
328  et  329.]  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  l.  IV,  p.  493  et  suiv.) 
[DUNGE  (Georges),  Son  édition  du  Ligu- 
rinus,  ou  Gestes  de  l'empereur  Frédéric  Bar- 
berousse,  par  Gonthier,  moine  de  Citeaux, 
XIV,  893.] 

[DUNKERetSCHNEIDEWlN.  Leur  édition 
du  traité  des  hérésies,  par  saint  Hippolyle, 
I,  642.] 


420. 


422. 


562. 


VI  siècle. 


810. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


337 


DUNSTAN  (Saint),  archevêque  de  Gantor- 
bcry.  Sa  naissance,  XIII,  38.  Ses  commen- 
cements, S8  et  59.  11  rétablit  le  monastère 
de  Glastembury  ;  le  roi  Edui  l'envoie  en  exil  ; 
Edgar  le  rappelle  et  l'oblige  à  accepter  l'é- 
vêcbé  de  Worcbester;  il  succède  à  Odon 
dans  celui  de  Cantorbéry.  Ses  écrits.  Sa 
mort.  Sa  Vie,  par  Adalard,  abbé  de  Blandi- 
gni  ;  par  Bridferth,  moine  de  fiamsey,  ^9  ; 
par  Osberne,  moine  de  Cantorbéry,  58  et 
59.  [Édition  de  ses  Vies  dans  la  Palrologie, 
59.]  —  Son  voyage  à  Rome  ;  il  y  reçoit  le 
paliium  du  pape  Jean  XII.  Lettre  d'instruc- 
tion que  lui  remet  ce  pape,  XII,  831.  —  Son 
éloge  en  vers,  par  Abbon  de  Fleury,  XIII, 
33.  —  Sa  Vie,  par  Eadmer,  disciple  de  saint 
Anselme,  XIV,  43,  46.  Livre  de  ses  miracles, 
attribué  au  même,  46.  —  Saint  Dunstanmet 
en  pénitence  le  roi  Edgar,  XIII,  736.  Il  tient 
un  concile  général  d'Angleterre,  757,  758. 
Exemple  de  sa  fermeté,  738.  Il  préside  au 
concile  de  "Winchester,  739. 

DUPIN  ou  DU  PIN  (Louis-EUies).  Son  édi- 
tion des  œuvres  de  saint  Optât  deMilève,  V, 
149.  Critique  de  sa  Bibhothèque  ecclésiasti- 
que, I,  1  et  suiv. 

[DUPRÉ  (Jean).  Son  édition  des  Paraboles 
en  vers  élégiaques  d'Alain  de  Lille  sur  le 
livre  intitulé  :  Sylvœ  morales  cum  interpreta- 
tione  Ascencii,  XIV,  869.] 

[DU  RADIER.  Sa  traduction  française  du 
livre  de  la  Colère  par  Lactance,  II,  321.] 

DURAND,  abbé  de  Castres.  (Voyez  Du  Pin 

et  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VI, 

p.  12.) 

v.  1024.         DURAND,  évêque  de  Liège.  Sa  mort;  Ré- 

ci  siècle,     ginardlui  succède,  XIII,  234.  Onlui  a  attribué 

uue  lettre  à  Henri  III  qui  est  de  Théoduin; 

origine  de  cette  erreur,  273,  274. 

fv.  1059.  DURAND,  abbé  de  Saint-Martin  de  Troarn, 

1089.        Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie;  sa 

mort.  Son  traité  sur  l'Eucharistie  contre  Bé- 

renger,  XIII,  439.  Analyse  de  cet  ouvrage. 


460,  461.  Ses  poésies;  antiennes  et  répons 
pour  diverses  fêtes,  qui  lui  sont  attribués, 

461.  (Voyez  son  article  dans  V Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VIII,  p.  239  et  suiv.) 

DURAND,  évêque  de  Clermont.  Sa  mort,  loas. 
XIII,  431.  [11  avait  été  abbé  de  la  Chaise- 
Dieu  ;  lettre  qu'il  écrivit  alors  à  saint  An- 
selme, 431,  note  2.]  (Voyez  ce  qui  est  dit  de 
lui  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VIII,  p.  424  et  suiv.) 

DURANÏY    DE  BONRECUEIL  (Joseph), 
prêtre  de  l'Oratoire.  Sa  traduction  française 
des  œuvres  de  saint  Ambroise  sur  la  virgi- 
nité, V,  386;  —  et  de  plusieurs  ouvrages  de 
saiat  Jean  Chrysostôme,  VU,  437. 
DURAS,  province  d'Épire,  VIII,  128. 
DURHAM  ou  DUNELME,  ville  d'Angle- 
terre, L'Histoire  de  l'Éghse  de  Durham  est  de 
Turgot,  prieur  de  Durham,  et  non  pas  de 
Siméon  dont  elle  porte  le  nom,  XIII,  488.  — 
Histoire  de  cette  Église,  par  Turgot,  évêque  de 
Saint-André  en  Ecosse,  XIV,  232,  233  ;  con- 
tinuée par  le  moine  Siméon,  233  et  316,  317. 
DURiA  en  Saxe.  Concile  qui  y  fut  tenu, 
XIII,  617. 

DUUMVIRS.   Magistrats  romains.   Canon     jy  5,j,„|„ 
cinquante-sixième  du  concile  d'Eivire  qui  les 
concerne,  II,  6U1. 

DYNAME,  patrice.  Son  mariage  ;  il  est  fait  z%\. 
gouverneur  de  Provence  et  patrice,  XI,  400. 
Ses  violences  lui  font  perdre  les  bonnes 
grâces  du  roi  Chilpéric,  400  et  401 .  Sa  con- 
versiou;  il  quitte  le  monde  et  finit  sa  vie 
dans  la  retraite  ;  sa  mort.  C'est  à  tort  qu'on 
le  dit  prêtre  de  Marseille,  puis  évêque  d'Avi-  eoi. 
gnon,  401.  Ses  écrits:  Vie  de  saint  Mari  ou 
Marins,  401  et  402.  Vie  de  saint  Maxime, 
évêque  de  Riez;  ses  lettres,  402.  [Édition  de 
ses  écrits  dans  la  Patrologie,  402.]  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  III,  p.  437  et  suiv.) 

DYNAME,  petit-fils  du  patrice  Dyname, 
compose  son  épitaphe,  XI,  401. 


E 


EADGATHE  (Saint).  Sa  Vie  écrite  par 
Gotzelin,  moine  de  Cantorbéry,  XIV,  233. 

EADHÈDE,  premier  évêque  de  Lindis- 
farne,  XII,  21. 

EADMER  ou  EALMER,  prieur  de  Saint- 
Alban.  Temps  de  sa  mort.  Ouvrages  qu'on 
lui  attribue,  XIV,  45. 


TAB.  1. 


EADMER,  moine  de  Cantorbéry,  disciple 
et  ami  de  saint  Anselme,  archevêque  de 
Cantorbéry.  Il  est  fait  évêque  de  Saint-An-  ^jg^ 
dré  en  Ecosse  ;  il  abdique  son  évêché  et  re- 
vient au  monastère  de  Cantorbéry  dont  il  est 
fait  prieur;  sa  mort,  XIV,  43.  Ses  écrits,  45  1137. 
et  suiv.  Vie  de  saint  Anselme,  43.  Histoire 

22 


338 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLESIASTIQUES 
Livre  de  l'Excellence  de  la 


780. 
796. 


i31. 


816. 
822. 
833. 

834. 
835. 

8W. 
851. 


Vierge.  Traité  des  Quatre  vertus  qui 


des  Nouveautés 
sainte 

ont  été  dans  Marie.  Traité  de  la  Béatitude. 
Ti-aité  des  Similitudes,  46.  Différentes  Vies 
des  saints,  écrites  par  Eadmer,  46  et  47.  Ju- 
gement sur  ses  écrits,  47.  [Ses  écrits  dans  la 
Palrologie,  45.]  —  Il  écrivit  la  Vie  de  saint 
V^ilfrid,  évêque  d'York,  XII,  22  et  63. 

EANBALD  I,  archevêque  d'Yorli,  succède 
à  Elbert,  XII,  165. 

EANBALD  11,  archevêque  d  York,  succède 
à  Eanbald  I.  Lettre  d'instruction  que  lui  écrit 
AlcuiD  ;  [autre  lettre,  200,]  XII,  198. 

EAU.  Usage  de  mêler  l'eau  avec  le  vin 
dans  le  calice,  IV,  523.  —  A  Vérone  on  fai- 
sait chauffer  l'eau  pour  le  baptême  ,  VI , 
274.  Hérétiques  qui  regardaient  l'eau  comme 
une  divinité,  396.  —  Eau  bénite  à  la  porte 
des  églises,  VIII,  31.  — Eau  bénite  employée 
dans  la  consécration  des  églises,  XI,  195. 
[Rit  de  l'épreuve  par  l'eau  froide  ;  il  n'est  pas 
prouvé  que  le  pape  Eugène  111  ait  institué 
ce  rit  ;  Innocent  IIl  l'a  aboli  ;  en  quoi  il  con- 
sistait, 404.]  —  Bénédiction  de  l'eau,  XII, 
408,  414,  456,  663,  855.  —  Aspersion  de 
l'eau  bénite,  Xlll,  472.  —  Eau  qui  sortit  du 
côté  de  Jésus-Christ  sur  la  croix.  Selon  le 
pape  Innocent  III,  ce  fut  vraiment  de  l'eau, 
et  non  une  humeur  aqueuse  mêlée  au  sang, 
comme  le  soutenaient  quelques  théologiens, 
XIV,  1005.  Eau  chaude  et  eau  froide  servant 
d'épreuve.  Voyez  Épreuves. 

EBAGNB,  officier  qui  porta  à  Capréolus, 
évêque  de  Carthage,  la  lettre  de  l'empereur 
Théodose  le  Jeune  pour  l'inviter  au  concile 
d'Éphèse,  VIII,  417. 

EBALD,  roi  de  Kent.  Voyez  Edbald. 

EBBON,  archevêque  de  Reims,  succède  à 
Vulfaire.  Il  va  prêcher  la  foi  dans  le  nord;  il 
se  déclare  pour  Lothaire  contre  Louis  le  Dé- 
bonnaire, qu'il  dépouille  de  la  royauté,  sous 
prétexte  de  lui  imposer  la  pénitence.  Louis 
rétabh,  Ebbon  est  mis  en  prison,  XII,  330. 
On  lui  fait  son  procès,  et  il  est  déposé  dans 
l'abbaye  de  Thionville.  Libelle  où  il  avoue  sa 
faute;  il  le  présente  à  cette  assemblée.  Lo- 
thaire, devenu  empereur,  Ebbon  est  rétabli, 
331.  Analyse  de  l'Apologie  qu'il  composa 
alors,  pour  justi6er  sa  conduite  à  l'égard  de 
l'empereur  Louis,  331  et  333.  Charles  le 
Chauve  le  chasse  de  Reims;  il  est  fait  évêque 
d'Hildesheim  ;  sa  mort,  331.  Sa  lettre  à  Ha- 
litgaire.  Deux  petites  pièces  de  vers  qu'on 
lui  attribue,  332.  [Édition  de  ses  écrits  ou  de 
ceux  qui  le  concernent  dans  la  Palrologie  la- 


tine, 332.]  Le  pape  Pascal  lui  donne  la  per- 
mission d'aller  prêcher  l'évangile  dans  le 
nord,  403  et  524.  [Ce  pape  le  recommande 
aux  chrétiens  du  nord,  403.]  Le  page  Ser- 
gius  II  refuse  de  le  rétablir  sur  le  siège  de 
Reims,  406.  Héribald,  évêque  d'Auxerre, 
consulte  Raban  sur  la  déposition  et  le  réta- 
blissement d'Ebbon,  466.  —  Ebbon  fut  rétabli 
dans  son  archevêché,  XIII,  669.  Obligé  de  le 
quitter  pour  toujours,  670,  671.  On  lui  in- 
terdit toute  prétention  sur  l'archevêclie  de 
Reims,  676.  Ses  ordinations  sont  déclarées 
nulles,  683. 

EBBON,  évêque  de  Grenoble.  Sa  mort; 
Bernaire  lui  succède,  XII,  620. 

EBBON,  prêtre  et  moine,  auteur  d'une  Vie 
de  saint  Otton,  évêque  de  Bamberg,  XIV, 
180. 

EBED  JESU  (Saint),  diacre,  martyr  de 
Perse.  Ses  Actes,  rapportés  par  Assémani, 
III,  356. 

EBED  JESU  (Saint),  évêque  d'une  ville  des 
Cascaréniens.  Analyse  des  Actes  de  son  mar- 
tyre ,  rapportés  par  Assémani,  III,  336,  337. 

EBERARD  ou  EVRARD,  comte  de  Prioul. 
Lettre  que  lui  écrit  Raban  contre  Gotescalc, 

XII,  467,  468  et  613.  Sa  mort  ;  il  est  enterré 
à  l'abbaye  de  Cysoing  qu'il  avait  fondée.  Son 
testament;  sa  bibliothèque,  613.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  V,  p.  446  etsuiv.) 

EBERARD,  écolâtre  de  Saint-Mathias  de 
Trêves,  auteur  de  quelques  écrits.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VI,  p.  127  et  suiv.) 

EBERARD  ou  EBRARD,  chanoine  régulier 
de  Waast  ou  Guastines.  Sa  Chronique  de 
cette  abbaye,  XIII,  186,  187  et  467.  Re- 
lation d'un  miracle  opéré  par  l'intercession 
de  saint  Donatien,  archevêque  de  Reims, 
467. 

EBERARD  DE  BÉTHUNE.  (On  a  de  lui  un 
traité  contre  les  Manichéens  de  son  temps. 
Voyez  Du  Pin.) 

EBERaRD,  abbé  de  Tegernsé,  en  Bavière. 
Ses  remontrances  au  roi  Henri  sur  les  vexa- 
tions qu'on  faisait  essuj^er  à  son  monastère, 

XIII,  97.  [On  a  de  lui  onze  lettres,  97.] 
EBERARD,  disciple  de  saint  Hartwic,  abbé 

de  Tegernsé.  (On  a  de  lui  la  Vie  de  ce  saint 
abbé.  Voyez  Du  Pin.) 

EBERARD,  auteur  d'un  poëme  sur  la  Sa- 
lutation angélique,  XIV,  247. 

EBERARD,  premier  évêque  de  Bamberg, 

XIV,  1035. 


869. 


847. 


1088. 


Xll  siècle. 


I 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


339 


EBERGISE  (Saint),  évêque  de  Tongres, 
XIII,  231. 
èrte.         EBERS-MUNSTER  en  Alsace.  Chronique 
de  ce  monastère  écrite  par  un  anonyme, 
XIII,  186. 

[EBERTH  (P.  Gh.).  Son  édition  de  la  pre- 
mière Épître  aux  Corinthiens,  I,  361.] 

EBION,  hérésiarque,  condamné  dans  un 

concile  par  le  pape  saint  Victor,  II,  544. 

EBIONITES,  hérétiques.  Leur  Évangile,  I, 

1  siècle.     274.  Leurs  erreurs,  501 .  Ils  ne  se  servaient  que 

d'eau   dans  la  célébration  de  l'Eucharistie, 

'  siècle.     604.  Ce  que  saint  Épiphane  dit  de  cette  secte, 

VI,  389  et  428. 
I  siècle.  EBLES  ou  EBAL,  archevêque  de  Reims. 
Fulbert  de  Chartres  approuve  son  élection, 
XIII,  82,  83.  Lettre  de  consolation  que  lui 
écrit  Fulbert,  83.  Gérard,  évêque  de  Cam- 
brai, s'oppose  à  son  élection,  163.  [Pièces 
.concernant  Ebles,  dans  la  Patrologie,  82, 
n.  11.  Sa  charte  pour  le  monastère  de  Mou- 
zon,  82.] 

EBLES,  comte  de  Rouci  en  Champagne. 
Lettre  que  lui  écrit  le  pape  saint  Gi'é- 
goire  VII,  à  propos  de  son  projet  de  passer 
en  Espagne  pour  y  faire  des  conquêtes  sur 
les  infidèles,  XUI,  352. 

EBRÉGISILE,   évêque    de  Cologne,   XI, 
905. 
1107.  EBREMAR  ou  EVERMER,  patriarche  de 

Jérusalem,  mis  à  la  place  de  Daïmbert, 
chassé  injustement,  est  déposé  dans  un  con- 
cile, XIV,  1080.  On  lui  donne  l'évêché  de  Cé- 
sarée,  1081.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans 
V Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  X,  p.  394 
et  suiv.) 

EBROIN,  maire  du  palais,  fait  proclamer 
roi  Théodoric,  après  la  mort  de  Clotaire  III; 
Ghildéric le  relègue  au  monastère  de  Luxeuil, 
678.  XI,  780.  Il  en  sort  avec  saint  Léger  qu'il  fait 
ensuite périr,780  et  781 .  Il  avaitfait aussi  mou- 
rir Gairin,  frère  de  saint  Léger,  781.  —  11  fit 
déposer  et  condamner  à  mort  saint  Léger, 
évêque  d'Autun,  et  Didon,  évêque  de  Cha- 
lon-sur-Saône, XII,  959. 
844.  EBROIN,  évêque  de  Poitiers,  archi-chape- 

lain  du  palais,  préside  en  cette  qualité  au 
concile  de  Verneuil,  XIII,  672,  673. 
.  1060.  ECBERT   DE   LIÈGE,   écrivain   qui  n'est 

connu  que  par  ce  qu'en  disent  Sigebert  et 
Trithême.  Ses  Épigrammes  rustiques  ;  Vie  de 
saint  Amor,  qu'on  lui  attribue,  Xill,  236. 
(Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans  VHistoire 
l  ttéraire  de  la  France,  t.  VII,  p.  661  et  suiv.) 
V.1076.         ECBERT,  prêtre  d'Hersfeld,  écrit  la  Vie 


d'un  saint  prêtre  nommé  Heimerard;  idée  do 
cet  ouvrage,  XIII,  69. 

ECCARD  [ou  EKKEHART,  ou  EGGOHART,  ]  H09-ii30. 
premier  ahbé  de  Saint-Laurent  d'Uragen. 
Combien  de  temps  il  gouverna  cette  abbaye, 
XIV,  405.  [Circonstances  de  sa  vie,  405  et 
406.  —  Son  Histoire  de  Jérusalem,  XIII,  541, 
542,  et  XIV,  406.]  —  Son  ouvrage  intitulé  : 
Lanterne  des  moines.  Chronique  des  évêques 
d'Hildesheim  qui  lui  est  attribuée,  XIV,  405. 
[Sa  Chronique  universelle,  405  et  406.  Edi- 
tion de  la  Chronique  dans  Ibl  Patrologie,  405, 
n.  5.  D'après  Vaïtz,  la  Chronique  de  Wirz- 
bourg  n'est  pas  l'œuvre  d'Eccard,  406.]  Sa 
lettre  à  Erkembert,  abbé  de  Corbie,  405. 
Fabricius  croit  qu'il  y  eut  un  autre  Eccard, 
abbé  d'Urangen,  qui  aurait  composé  la  Chro- 
nique des  évêques  d'Hildesheim.  Raisons  à 
l'appui  de  ce  sentiment,  405.  (Rondet  a  eu 
tort  de  faire  deux  personnages  d'Eccard  et 
d'Ekkehart  à  qui  il  attribue  les  mêmes  ou- 
vrages. ) 

ECCARD,chanoinedeSaint-Victor,àParis,     xii  siècie. 
auteur  de   plusieurs  traités  spirituels,  tra- 
duits en  français  parle  P.  Gourdan,  XIV,  406. 

ECCHELLENSIS  (Abraham),  professeur 
au  collège  royal  de  Paris.  Sa  traduction  de 
plusieurs  cantiques  de  saint  Ephrem,  VI,  72. 

ECCLÉSIASTE,  livre  sacré.  Salomon  en 
est  l'auteur,  I,  140,  141.  Première  objection 
contre  ce  sentiment  :  On  trouve  dans  ce 
Livre  des  termes  étrangers  à  la  langue  hé- 
braïque. Réponse  :  Ces  termes  ne  sont  pas 
en  si  grand  nombre,  et  il  est  possible  que 
Salomon  en  ait  eu  l'usage.  Seconde  objec- 
tion :  L'auteur  prend  la  qualité  de  roi  de  Jé- 
rusalem, ce  qui  ne  convient  qu'après  la  di- 
vision des  dix  tribus.  Réponse  :  Il  ajoute 
qu'il  était  roi  d'Israël  dans  Jérusalem,  ce 
qui  est  impossible  après  la  division  des  dix 
tribus.  Troisième  objection  :  Il  dit  :  J'observe 
la  bouche  du  roi.  Réponse  :  Selon  l'hébreu  : 
Observez  la  bouche  du  roi,  141.  Quatrième 
objection  :  L'auteur  prend  le  titre  de  pas- 
teur. Réponse  :  Ce  titre  convient  à  Salomon 
à  cause  du  soin  qu'il  a  pris  de  recueillir 
toute  la  morale  de  la  loi  de  Dieu,  141  et  142. 
L'époque  de  ce  livre  est  incertaine.  Analyse 
de  ce  livre,  142.  Éclaircissements  sur  cer- 
tains endroits  de  ce  livre,  142  et  143.  Com- 
mentaire de  saint  Hippolyte  sur  l'Ecclé- 
siaste,  611.  —  Origène  a-t-il  travaillé  sur-ce 
livre?  II,  156.  [Origène  l'attribue  à  Salomon, 
138.]  [On  a  eu  tort  de  mettre  l'Ecclésiastique 
dans  la  table  particuUère  du  IP  volume;  il 


340 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


s'agit  de  l'Ecclésiaste.]  Paraphrase  de  saint 
Grégoire  le  Thaumaturge  sur  l'Ecclésiaste, 
M6.  [On  a  eu  tort  de  mettre  encore  ici  dans 
la  table  particulière  du  IP  volume  Ecclésias- 
tique au  lieu  d'Ecclésiaste.]  —  Commentaire 
de  saint  Athanase  sur  ce  livre,  IV,  186.  — 
Paraphrase  de  ce  livre  faussement  attribuée 
à  saint  Grégoire  de  Nazianze  :  elle  est  de 
saint  Grégoire  le  Thaumaturge,  V,  246.  — 
Huit  homélies  de  saint  (irégoire  de  Nysse 
sur  l'Ecclésiaste,  VI,  135  et  suiv.  —  Com- 
mentaire de  saint  Jérôme  sur  ce  livre,  VII, 
563,  564.  —  Passage  de  l'Ecclésiaste  expli. 
que  par  saint  Grégoire  le  Grand,  XI,  477, 
478.  [Commentaire  de  saint  Grégoire  d'Agri. 
gente  sur  l'Ecclésiaste,  588,  589.]  —  Com- 
mentaire d'Alcuin  sur  ce  livre,  XII,  170. 
Scholies  d'Olympiodore  sur  l'Ecclésiaste,  913. 

—  [Commentaire  d'un  anonyme  sur  l'Ecclé- 
siaste, XIII.  117,  118.]  Commentaires  sur 
l'Ecclésiaste  attribués  à  Nicélas  d'Héraclée, 
558.  —  L'Ecclésiaste  mis  en  vers  héroïques 
par  Sigebert,  moine  de  Gemblours,  XIV,  67, 
68.  Le  premier  chapitre  de  l'Ecclésiaste  mis 
en  vers  par  le  Vénérable  Hildebert,  222. 
Commentaire  de  Rupert,  abbé  de  Tuy,  282. 
[Questions  et  réponses  d'Honoré  d'Autun  sur 
ce  livre,  300,  301.  Editions  qu'on  en  a  faites, 
301.]  Homélies  d'Hugues  de  Saint-Victor  sur 
l'Ecclésiaste,  349. 

ECCLÉSIASTIQUE  de  Jésus,  fils  de  Sirach, 
livre  sacré,  I,  151  et  suiv.  Jésus,  fils  de  Si- 
Avant  j.  c.  rach,  auteur  de  ce  livre,  152.  Ce  livre  a  été 
commencé  sous  le  pontificat  de  Simon  P', 
1S2  et  153.  L'auteur  était  mort  avant  le  pon- 
tificat de  Simon  II,  et  d'ailleurs  il  n'est  pas 
croyable  qu'il  eût  parlé  de  Simon  II  préfé- 
rablement  à  Simon  I".  Ce  livre  ne  fut  achevé 
que  sous  le  pontificat  d'Eléazar.  Traduction 
grecque  de  ce  livre,  153  et  154.  Sa  canoni- 
cité,  154.  Analyse  de  ce  livre,  154  et  155. 
[Il  est  cité  par  le  pape  saint  Clément,  353.] 

—  [Ce  livre  est  allégué  souvent  par  l'auteur 
de  l'Exhortation  à  la  pénitence,  II,  343.] 
Ce  livre  ne  se  trouve  point  au  rang  des 
Écritures  canoniques  dans  les  Canons  apos- 
toliques, 587.  —  Saint  Patcien  cite  ce  livre 
sans  en  nommer  l'auteur,  V,  166.  Saint  Phi- 
lastre  reconnaît  que  ce  livre  est  écrit  depuis 
Salomon,  174.  [Il  est  admis  par  Didyme  l'A- 
veugle, 630.]  ~  Comment  saint  Jérôme  le 
cite,  VII,  652,  653.  —  [Il  est  admis  par  saint 
Cyrille  d'Alexandrie,  VIII,  348.]  — Sermons 
de  saint  Augustin  sur  l'Ecclésiastique,  IX, 
236. — Selon  Gennade,  Sal vien  avait  composé 


293. 


un  livre  pour  expliquer  la  dernière  partie  de 
l'Ecclésiastique,  X,  377.  —  Comment  le  pape 
saint  Grégoire  le  Grand  cite  ce  livre,  XI,  552. 

—  Alcuin  attribuait  ce  livre  à  Salomon,  XII, 
209.  Commentaire  de  Raban  Maur  sur  l'Ec- 
clésiastique, 451.  —  [Le  passage  Eleemosyna 
patris  non  erit  in  oblivionem  et  pro  peccato 
matris  restituetur  est  commenté  par  Richard, 
prieur  de  Saint-Victor,  XIV,  705,  706.] 

ECCLÉSIASTIQUES.  Devoirs  des  ecclé- 
siastiques. Morale  de  saint  Ambroise  dans 
son  traité  des  Offices  des  ministres,  V,  435, 
436.  —  Témoignage  de  saint  Jérôme  tou- 
chant la  vie  des  ecclésiastiques,  VII,  604  et 
suiv.  Divers  canons  du  concile  d'Hippone, 
706;  du  concile  de  Carthage  de  397,  720, 
725  ;  autres  de  celui  de  398,  730.  —  Paral- 
lèle que  fait  saint  Isidore  de  Peluse  des  ec- 
clésiastiques de  son  temps  avec  ceux  des 
siècles  précédents,  VIII,  495.  —  Canons  du 
concile  de  Chalcédoine  qui  les  concernent,  X 
337.  Règlement  du  pape  saint  Hilaire,  697. 

—  Témoignage  de  Raban  sur  la  science  né- 
cessaire aux   ecclésiastiques,  XII,  456,  457. 

ECDICE  (Saint),  martyr,  III,  83.  320. 

ECDICIUS  [ou  EGDITIUS[,  fils  de  l'empe- 
reur Avitus,  et  beau-frère  de  saint  Sidoine. 
Lettre  que  saint  Sidoine  lui  écrit,  X,  384.  Il 
défend  la  ville  de  Clermont  et  chasse  les 
Goths  de  l'Auvergne,  385.  L'empereur  Né- 
pos  le  fait  patrice,  389.  Poëme  que  saint  Si- 
doine lui  adresse,  397. 

ECÉBOLE,    sophiste,    maître  de    Julien     iVsièc 
l'Apostat,  III,  398. 

ECÉBOLE,  assesseur  du  gouverneur  de 
Cappadoce.  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Gré- 
goire de  Nazianze,  V,  225. 

ÉCHECS.  Entretien  moral  sur  le  jeu  d'é- 
checs :  ouvrage  faussement  attribué  au  pape 
Innocent  III.  Il  est  d'un  moine  anglais  nom- 
mé Innocent,  XIV,  1017. 

ÉCHELLE.  Echelle  du  cloître  ou  du  para- 
dis ;  ouvrage  faussement  attribué  à  saint 
Augustin,  IX,  287,  —  et  à  saint  Bernard, 
XIV,  402  et  491.  Fabricius  n'est  pas  éloigné 
de  l'attribuer  à  Gui,  prieur  généi'al  de  la 
Chartreuse,  491. — Échelle  sainte,  ou  degrés 
pour  monter  au  ciel.  Analyse  de  cet  ouvrage 
de  saint  Jean  Climaque,  XI,  678  et  suiv.  Ju- 
gement et  différents  commentaires  sur  cet 
écrit,  690.  Éditions  et  traductions  qu'on  en 
adonnées,  691,692.  [Édition  et  traduction 
dans  la  Patrologie,  692.  —  Échelle  du  ciel, 
ouvrage  mystique  d'Honoré  d'Autun,  divisé 
en  deux  parties.  Edition  donnée  par  Paz. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


341 


L'Échelle  du  ciel  est  un  ouvrage  différent  de 
celui  intitulé  :  De  affectibus  solis,  XIV,  299.] 

ECKEHARD ,  écrit  la  Vie  de  Notker  le 
Bègue,    moine   de  Saint-Gai,    XIII,  763. 

[ECLAIRCISSEMENT  de  quelques  pas- 
sages de  l'Ancien  et  du  Nouveau  Testament, 
ouvrage  de  Jean  Beleth,  XIV,  794.] 

ECLANE,  ville  de  la  Campanie,  dont  Ju- 
lien le  Pélagien  fut  évêque,  IX,  483. 

ÉCLIPSES.  Éclipse  arrivée  à  la  mort  de 
Jésus-Christ  :  témoignage  de  Phlégon,  cité 
par  Origène.  Ce  qu'Origène  pensait  de  cet 
événement,  II,  218.  —  Témoignage  de  saint 
Jean  Chrysostôme ,  VII,  2S0  [et  non  29, 
comme  on  l'a  imprimé  dans  la  table  du  VIP 
vol.]  —  Livre  sur  l'écIipse  du  soleil  et  de  la 
lune  attribué  à  saint  Eucher  de  Lyon,  VIII, 
455.  —  Circonstances  qui  sont  rapportées 
dans  une  des  lettres  attribuées  à  saint  Denis 
l'Aréopagite  sur  Téclipse  arrivée  à  la  mort  de 
Jésus-Christ,  X,  552.  Remarque  de  Philos- 
torge  sur  une  éclipse  de  soleil  qui  parut  au 
temps  de  Théodose  le  Jeune,  514.  —  Ho- 
mélies de  saint  Maxime  de  Turin  sur  une 
éclipse  de  lune,  X,  323.  —  Dissertation  d'un 
reclus,  nommé  Dungal ,  sur  les  deux  éclip- 
ses de  l'année  810,  XII,  326.  —  Éclipse  ter- 
rible décrite  par  Glaber,  XIII,  146. 

[ÉCLOGUES  prophétiques  d'Eusèbe  de 
Césarée,  publiées  pour  la  première  fois  par 
Gaisford,  III,  245.] 

ÉCLOGUE  sur  la  mort  des  bœufs,  ouvrage 
de  Severus  Endelchius,  VI,  330;  —  fausse- 
ment attribuée  à  Sulpice  Sévère,  VIII,   126. 

ÉCLOGUES  de  Théodule,  XII,  878. 

ÉCLOGUES  ou  extraits  des  écrits  de  saint 
Jean  Chrysostôme,  par  Théodore  Daphno- 
pates,  VII,  344  et  XIII,  50. 

ÉCOLES.  Ecole  célèbre  d'Alexandrie,  gou- 
vernée par  saint  Pantène,  I,  559;  par  Clé- 
ment, 563;  —  par  Origène,  II,  131.  —  Loi 
de  Valentinien  P^  pour  le  rétablissement 
des  écoles,  VI,  356.  —  Cassiodore  pense  à 
établir  à  Rome  des  écoles  pour  les  saintes 
Lettres,  XI,  210.  —  Écoles  établies  par 
Charlemagne,  XII,  236.  Règlement  de  Char- 
lemagne  pour  les  écoles,  240.  [Ce  qu'il  pres- 
crit pour  les  écoles,  242.]  Écoles  étabhes  à 
Lyon  par  Ledrade,  archevêque  de  cette 
ville,  251,  252.  Théodulphe,  évêque  d'Or- 
léans, établit  des  écoles  dans  les  monastères 
de  son  diocèse,  263.  Il  ordonne  que  les  prê- 
tres tiennent  des  écoles  dans  les  bourgs  et 
dans  les  villages,  264.  Capitulaire  où  Louis 
le  Débonnaire  recommande  l'établissement 


des  écoles,  381.  Écoles  recommandées  par 
Hérard,  archevêque  de  Tours,  602.  École  des 
Anglais  à  Rome,  déchargée  de  tributs  par 
le  pape  Martin  I",  651.  Écoles  recomman- 
dées par  Alton,  évêque  de  Verceil,  822.  Té- 
moignage de  Jean,  abbé  de  Saint-Arnould 
de  Metz,  touchant  les  écoles  de  Lorraine, 
866.  —  [École  de  Warlzbourg.  Apologie  de 
l'école  de  Wurtzbourg  par  Fromond,  XIII, 
98.]  Canon  d'un  concile  de  Chalon-sur-Saône 
qui  ordonne  d'établir  des  écoles,  646.  Écoles 
dans  les  monastères,  655.  Canon  d'un  con- 
cile de  Rome  qui  ordonne  d'en  établir  dans 
les  évêchés,  dans  les  paroisses  et  d'autres 
lieux,  661.  —  [Soin  qu'Ulger,  évêque  d'An- 
gers, prend  des  écoles  de  son  diocèse,  XIV, 
642.  Statuts  par  Henri,  archevêque  de 
Reims,  et  par  Guillaume,  évêque  de  Paris, 
pour  les  écoles  de  Paris,  731.]  Honoraire  xK  siècle 
prescrit  par  le  pape  Alexandre  III  pour  ceux 
qui  enseignaient  dans  les  écoles  de  Paris, 
926.  Défense  aux  moines  de  fréquenter  les 
écoles  sécuUères,  1130.  Canon  du  troisième  H79. 
concile  de  Lalran  sur  les  écoles,  1141. 

ÉCONOMES.  Discours  de  saint  Astère  iv  siècie. 
d'Amasée  sur  l'économe  injuste  de  l'Évan- 
gile, VI,  293,  294.  —  Canon  du  concile  de 
Chalcédoine  qui  ordonne  que  chaque  éghse 
cathédrale  aura  un  économe  pris  dans  son 
clergé,  X,  700.  —  Canon  du  second  concile  787. 
général  de  Nicée  qui  ordonne  que  chaque 
église  aura  son  économe,  XIII,  629. 

ECOSSE,  contrée  de  l'Europe.  Lettre  du 
pape  Honorius  aux  Écossais,  XI,  648.  Lettre 
du  clergé  de  Rome  aux  mêmes,  649.  —  Bulle 
du  pape  Clément  III  qui  déclare  le  royaume 
d'Ecosse  immédiatement  soumis  au  Saint- 
Siège,  XIV,  937.  Lettre  du  pape  Célestin  III 
confirmant  les  libertés  de  l'Église  d'Ecosse, 
943.  Conciles  tenus  en  Ecosse,  1138  et  1147.    1177  ei  U88. 

ÉCRITURE  SAINTE.  Histoire  des  livres 
sacrés  de  l'Ancien  Testament,  I,  12  et  suiv. 
Ces  livres  sont  le  Pentateuque  ou  les  cinq 
livres  de  Moïse,  savoir  :  la  Genèse,  l'Exode, 
le  Lévitique,  les  Nombres  et  le  Deutéro- 
nome,  les  trois  livres  de  Josué,  les  Juges, 
Ruth,  les  quatre  livres  des  Rois,  les  deux  li- 
vres des  Paralipomènes ,  les  deux  livres 
d'Esdras  et  de  Néhémias,  les  quatre  livres 
de  Tobie,  Judith,  Estherel  Job,  les  Psaumes, 
les  cinq  livres  sapientianx,  savoir  :  les  Pro- 
verbes, l'Ecclésiaste,  le  Cantique  des  Canti- 
ques, la  Sagesse  et  l'Ecclésiastique,  les  quatre 
grands  prophètes  :  Isaïe,  Jérémie  et  Baruch, 
Ezéchiel,  Daniel;  les  douze  petits  prophètes  : 


342 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Osée,  Joël,  Amos,  Abdias,  Jonas,  Michée, 
Nalium,  Habacuc,  Sophonie,  Aggée,  Zaclia- 
rie  et  Malachie,  et  enfin,  les  deux  livres  des 
Machabées.  (Voyez  chacun  de  ces  livres  à  leur 
titre  particulier.)  —  Histoire  des  auteurs  du 
Nouveau  Testament,  1, 191  etsuiv.  Ces  livres 
sont  les  quatre  Évangiles  de  saint  Mattbieu, 
de  saint  Marc,  de  saint  Luc,  de  saint  Jean, 
les  Actes  des  apôtres,  les  quatorze  Épîtres  de 
saint  Paul,  savoir  :  aux  Romains,  aux  Corin- 
thiens I  et  II,  aux  Galates,  aux  Éphésiens, 
aux  Philippiens,  aux  Colossiens,  aux  Thes- 
saloniciens  I  et  II,  àTimotbée  I  et  II,  à  Tite, 
à  Pbilémon,  aux  Hébreux,  les  sept  Épîtres 
catholiques,  savoir  :  de  saint  Jacques,  de 
saint  Pierre,  trois  de  saint  Jean,  de  saint 
Jude  ;  et  enfin,  l'Apocalypse.  Voyez  chacun 
de  ces  livres  à  leur  titre  particulier.  (Voyez 
aussi  le  titre  général  d'Ancien  et  Nouveau  Tes- 
tament.) —  Examen  et  origine  de  l'opinion 
qui  fait  Esdras  restaurateur  des  divines  Écri- 
tures, 1, 75  et  suiv.  Il  en  a  seulement  changé 
les  anciens  caractères  hébreux  en  caractères 
chaldéens,  80  et  suiv.  [Voyez  n.  3  et  4  de  la 
page  80.]  Ce  n'est  point  lui  qui  a  ajouté  à 
ceux-ci  les  points-voyelles,  81 .  Ce  n'est  point 
lui  qui  a  divisé  l'Écriture  en  versets,  ni  même 
en  chapitres,  82,  83.  En  quel  temps  cette  di- 
vision a  été  faite,  83.  [Voyez  83,  n,  5.]  Ca- 
non ou  Catalogue  des  Écritures  chez  les  Juifs 
et  chez  les  Chrétiens,  85  et  suiv.,  et  90  et 
suiv.  Il  n'y  a  dans  l'Écriture  ni  fictions  ni 
mensonges,  123.  [Doctrine  de  saint  Clément 
sur  l'Écriture  sainte,  353  et  360.]  Doctrine 
de  saint  Ignace,  387  ;  de  saint  Justin,  426, 
427  et  436,  437.  Canon  dressé  par  saint  Mé- 
liton,  évêque  de  Sardes,  449.  Doctrine  de 
Bardesane,  465;  de  saint  Hégésippe,  474; 
de  Théophile  d'Antioche,  477,  478  et  480  ; 
d'Alhénagore,  485;   de  saint  Irénée,   301^ 
503,  504,  306,  508,  310,  511,  520,  321.  Té- 
moignages des  martyrs  SciUitains,  544;  de 
saint  Pantène,   561.   Doctrine  de  Clément 
d'Alexandrie,  573,  591  et  suiv.;  de  saint  Hip- 
polyte,  636,  637  ;  —  de  Tertullien,  II,  14, 68 
et  suiv.  Origène  compose  divers  ouvrages  sur 
l'Écriture,  134.  Ouvrages  du  même  sur  l'Écri- 
ture, 142  et  suiv.  Versions  de  l'Écriture  dont 
Origène  composa  ses  Tétraples  et  ses  Héxa- 
ples,  142.  Version  attribuée  aux  Septante, 
142.  Version  d'Aquila,  142  et  143;  de  Théo- 
dotien,  143,  144;  de  Symmaque,  144.  Cin- 
quième, sixième  et  septième  versions  trou- 
vées par  Origène,  144  et  143.  Catalogue  des 
livres  de  l'Ancien  Testament,  suivant  Ori- 


gène, 154.  Témoignage  d'Origène  sur  l'inté- 
grité du  texte  hébreu,  160;  sur  les  Épîtres 
des  apôtres  et  sur  l'Apocalyse,  167  et  suiv. 
Lettre  d'Origène  sur  l'histoire  de  Suzanne, 
169  et  suiv.  Doctrine  d'Origène  sur  l'inspira- 
tion des  Livres  saints  et  la  manière  de  les 
entendre,  202  et  suiv.;  sur  les  différents  sens 
de  l'Écriture,  204  et  205  ;  sur  les  livres  cano- 
niques de  l'Ancien  Testament,  205  et  suiv.; 
sur  ceux  du  Nouveau,  207,  208;  sur  les  li- 
vres apocryphes  de  l'Ancien  et  du  Nouveau 
Testament,  208  et  suiv.;  sur  la  lecture  de 
l'Écriture  sainte  et  la  manière  de  l'étudier, 
211, 212.  Doctrine  de  saintCyprien,  348,  349. 
Commentaire  de  saint  Grégoire  le  Thauma- 
turge sur  l'Ecclésiaste,  446.   Ce  que  saint 
Grégoire  rapporte  d'Origène  touchant  l'Écri- 
ture, 438  et  440.  Témoignages  d'Archélaiis 
de  Cascare,  453,  457,  458,  459.  Écrits  et  té- 
moignage de  saint  Viclorin  de  Pettau,  460, 
461.  Édit   de  Dioclétien  contre  les  Livres 
saints,  487  et  III,  2  et  3.  —  Doctrine  et  té- 
moignage de  Lactance,  II,  510.  Catalogue 
des  livres  canoniques  dans  les  canons  des 
apôtres,  587.  Témoignage  des  constitutions 
apostoliques,  393,  398,  599.  —  Témoignage 
des  Actes  des  martyrs  de  la  Palestine,  III,  4 
et  suiv.,  9.  Autres  témoignages,  18,  19,  21. 
Témoignage  des  Actes  des  saintes  Agape, 
Quionie  et  Irène,  24,  25;  de  saint  Philéas, 
martyr,  34.  Ouvrage  de  saint  Méthode  sur 
l'Écriture  sainte,  67.  Doctrine  de  ce  saint  sur 
l'Écriture  sainte,  68.  Témoignage  de  saint 
Eustathe  d'Antioche,  164,  163.  Témoignage 
et  doctrine  d'Eusèbe  de  Césarée,  186,  187, 
[243,]  263  et  suiv.  Parole  de  saint  Antoine, 
392.  —  Témoignage  de  saint  Hilaire  de  Poi- 
tiers sur  les  connaissances  qu'il  puisa  dans 
l'Écriture  sainte,  IV,  2.  Doctrine  du  même, 
66  et  suiv.  Canons  des  Écritures  selon  lui, 
67,  68;  selon  saint  Athanase,  187,  188.  Sy- 
nopse  de  l'Écriture,  attribuée  à  saint  Atha- 
nase, 177  et  suiv.  Doctrine  du  même,  187  et 
suiv.  [Citation  des  saintes  Écritures  par  saint 
Athanase,  160.]  Doctrine  de  Lucifer  de  Ca- 
gliari,260etsuiv.Téraoignage  de  l'auteur  d'un 
commentaire  attribué  à  Tite  de  Rostres,  344. 
Traduction  de  l'Écriture  en  langue  gothique, 
par  Ulpbilas,  évêque  des  Goths,  346,  347. 
Écrits  de  saint  Basile  sur  rÉcriture,365  et  suiv. 
Méthode  de  saint  Basile  le  Grand  pour  expli- 
quer l'Écriture,  366,  367.  Doctrine  de  saint 
Basile,  496  et  suiv.  —  Canon  des  Écritures 
selon    saint  Cyrille  de  Jérusalem,  V,  38. 
Doctrine  de  ce  saint  évêque,  62,  63.  Règles 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


343 


de  Ticonius,  donatiste,  pour  l'intelligence  des 
Écritures,  102  et  suiv.  Doctrine  de  saint  Op- 
tât, 126,  127;  de  saint  Pacien,  165.  Témoi- 
gnages de  saint  Philastre,  177.  Poëme  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  la  lecture 
des  Livres  saints  ;  catalogue  qu'on  y  trouve, 
274.  Doctrine  de  saint  Grégoire  de  Nazianze, 
306  et  suiv.  Inspiration  des  Livres  saints, 
306,  307.  Canon  des  livres  de  l'Ancien  et  du 
Nouveau  Testament,  307,  308.  Manière  d'in- 
terpréter l'Écriture,  308.  Utilité  de  l'étude 
sur  l'Écriture,  308  et  309.  Avantage  de  l'é- 
tude des  Livres  saints  comparativement  à 
l'étude  des  livres  profanes,  309,  310.  Age 
auquel  on  doit  étudier  les  divines  Écritures, 
310.  Explication  de  divers  endroits  de  l'Écri- 
ture, 310  et  suiv.   Doctrine  de  saint  Am- 
broise,  516  et  suiv.  Inspiration  de  l'Écriture 
sainte,  516.  Manière  dont  s'est  faite  cette 
inspiration  ;  obscurité  de  l'Écriture,  517.  Di- 
vers sens  de  l'Écriture,  517  et  518.  Texte  et 
version  de  l'Écriture  sainte,  318.  Abus  que 
les  hérétiques  font  de  l'Écriture,  518  et  519. 
Différentes  leçons  de  l'Écriture,  519  et  suiv. 
Remarques  sur  le  livre  des  Psaumes  et  quel- 
ques autres  livres  de  l'Écriture  sainte,  521 
et  suiv.;  sur  la  division  du  Psautier,  523. 
Canonicité  de  diverses  parties  de  l'Ancien 
Testament,  523  et  524;  et  du  Nouveau,  524. 
Remarques  sur  diveis  endroits  de  l'Ancien 
Testament,  524  et  suiv.;  et  du  Nouveau,  528 
et  suiv.;  sur  la  lecture  de  l'Écriture  et  ses 
avantages,  330.  Méthode  de  saint  Ambroise 
dans  l'interprétation  des  saintes  Écritures, 
581,  582.  Commentaires  de  Diodore  de  Tarse 
sur  l'Écriture  sainte,  592,  593.  Écrits  de  Di- 
dyme  l'Aveugle  sur  l'Écriture,  614  et  suiv., 
et  619  et  suiv.  [Témoignages   de   Didyme 
l'Aveugle  sur  l'Écriture,  628  et  630, 631.]  — 
Ouvrages  de  saint  Éphrem  sur  divers  livres 
de  l'Écriture,  VI,  47,  48  [et  440  et  suiv.  Traité 
du  Paradis  terrestre  ou  de  l'Éden,  par  saint 
Éphrem.  Douze  sermons  exégétiques  de  ce 
saint  Éphrem  sur  l'Écriture,  448, 449.  Choses 
remarquables  contenues  dans  ces  sermons, 
449.  Autres  écrits  exégétiques  du  même,  430.] 
Doctrine  de  saint  Éphrem,  50  et  suiv,  et  449. 
[Version  dont  saint  Éphrem  s'est  servi,  441, 
442.  Méthode  suivie  par  saint  Éphrem  en  ex- 
pliquant l'Écriture,  442,  443.]  Doctrine  de 
saint  GrégoiredeNysse,  224  etsuiv.  Traité  des 
Poids  et  Mesures  dont  il  est  parlé  dans  l'Écri- 
ture sainte,  ouvrage  de  saint  Épipbane,  416 
et  suiv.  Saint  Épipbane  explique  les  mar- 
ques qui  se  voyaient  dans  les  Bibles  grec- 


ques, 416,  417.  Il  donne  l'histoire  des  six 
versions  grecques  de  l'Écriture,  417  et  suiv. 
Doctrine  de  saint  Épipbane,  424  et  suiv.;  sur 
l'inspiration  des  Livres  sacrés;  sur  la  lecture 
de  l'Écriture,  424;  sur  le  canon  et  la  division 
des  livres  de  l'Ancien  Testament,  424  et  425. 
Sentiment  de  ce  père  sur  l'authenticité  des 
hvres  du  Nouveau  Testament,  425,  426.  Di- 
verses remarques  sur  l'Ancien  Testament, 
426  ;  sur  le  Nouveau,  426  et  suiv.  — Homé- 
lies de  saint  Jean  Chrysostôme  sur  la  lecture 
de  l'Écriture  sainte,  VII,  102  et  341.  Autres 
témoignages   du    même  ,    151 ,    138 ,    198 , 
213,  217,  333,  354.  Synopse  de  l'Écriture 
sainte  attribuée  à  saint  Jean  Chrysostôme, 
203.  Doctrine  de  ce  saint,  346  et  suiv.;  sur 
l'inspiration  des  Livres  saints,  346  ;  sur  les 
versions  anciennes  de  l'Écriture,  350.  Sy- 
nopse des  livres  de  l'Ancien  Testament,  330 
et  suiv.  Authenticité  des  livres  de  l'Ancien 
et  du  Nouveau  Testament,  331  et  suiv.  Var 
riélé  des  leçons  de  l'Écriture,  333,  354.  Sen- 
timents de  saint  Jean  Chrysostôme  sur  di- 
vers points  de  l'histoire  de  l'Ancien  Testa- 
ment, 334  et  suiv.;  et  du  Nouveau,  359  et 
suiv.;  sur  les  traductions  de  l'Écriture  en 
langue  vulgaire,  364.  Doctrine  de  ce  père 
sur  l'utilité  de  la  lecture  de  l'Écriture,  364 
et  suiv.  [Note  sur  la  lecture  de  l'Écriture 
sainte,  752.   Fragments  de  plusieurs  ouvra- 
ges de  saint  Jean  Chrj'sostôme  sur  l'Écriture 
sainte,  752, 733.]  Doctrine  de  Rufîn  d'Aquilée, 
480,  481.  Canon  des  Livres  saints  dans  une 
lettre  du  pape  saint  Innocent  I,  312.  Écri- 
ture sainte  traduite  selon  l'hébreu  par  saint 
Jérôme,  550  et  suiv.  La  version  de  l'Ancien 
Testament,  par  saint  Jérôme,  est  reçue  dans 
l'Église,  excepté  celle  des  Psaumes,  555, 536. 
La  version  du  Nouveau  Testament,  reçue 
par  saint  Jérôme ,    est  aussi   reçue   dans 
l'Éghse,  556.  Livre  des  Noms  hébreux  con- 
tenus dans  l'Écriture  sainte ,   ouvrage  de 
saint  Jérôme.    Livre  des  Lieux  dont  il  est 
parlé  dans  l'Écriture  sainte,  traduit  du  grec 
d'Eusèbe,  par  saint  Jérôme,  557.  Lettre  de 
saint  Jérôme  à  saint  Paulin  touchant  l'étude 
de  l'Écriture  sainte,  621.  Lettre  de  saint 
Augustin  à  saint  Jérôme  et  de  saint  Jérôme 
à  saint  Augustin  touchant  les  traductions  de 
l'Écriture  de  saint  Jérôme,  626  et  suiv.  Té- 
moignage de  saint  Augustin  dans  une  lettre 
à  saint  Jérôme  touchant  l'autorité  des  livres 
saints,  631 .  Traité  faussement  attribué  à  saint 
Jérôme,  où  l'on  explique  quelques  expres- 
sions de  l'Écriture,  647.  Doctrine  de  saint 


344 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Jérôme  sur  l'Éci-iture   sainte,  650  et  suiv. 
Inspiration  des  Livres  saints;  style  de  l'Écri- 
ture ;   ses  diflerents  sens,  650.  Obscurité  et 
difficulté  de  l'Écriture,  650  et  651.  Canon  des 
livres  saints,  651,  652.  Lecture  de  l'Écriture 
sainte,  656,  657.  Quelques  points  de  l'his- 
toire de  l'Ancien  et  du  Nouveau  Testament, 
657  et  suiv.  Canon  trente-huitième  du  con- 
cile d'Hippone  en  393  sur  les  Écritures  ca- 
noniques, 715.  Canon  quarante -septième  du 
troisième  concile  de  Garthage  en  397,  725. 
—  Commentaires  de  Théodore  de  Mopsueste 
sur  l'Écriture,  VIII,  19  et  suiv.  [et  614  et 
suiv.]  Témoignage  de  Synésius,  29;  et  de 
Bachiarius,  47.  Doctrine  de  saint  Nil,  soli- 
taire de  Sinaï,  224.  Ouvrages  de  saint  Cyrille 
d'Alexandrie  sur  l'Écriture   sainte,  262  et 
suiv.    [et  347   et   suiv.]   Doctrine  de  saint 
Cyrille  d'Alexandrie,  325   et  suiv.  Remar- 
que sur  l'usage  que  les  hérétiques  font  de 
l'Écriture  sainte,  464.  Règle  qu'il  donne  pour 
en  connaître  le  vrai  sens,  464  et  465.  —  Les 
sept  livres  des  Locutions  ou  façons  de  parler 
des  sept  premiers  livres  de  l'Écriture  sainte, 
ouvrage  de  saint  Augustin,  IX,  208.  Trois 
livres  des  Merveilles  de  l'Écriture,  ouvrage 
faussement  attribué  à  saint  Augustin,  229. 
Sermons  du  même  sur  l'Écriture  sainte,  235 
et  suiv.  Autres  sermons,  faussement  attri- 
bués à  ce  père,  244.  Ce  que  saint  Augustin 
enseigne  sur  l'excellence  des  livres  de  l'Écri- 
ture sainte,  333,  334.  Doctrine  de  saint  Au- 
gustin, 64,  74,  120,  195  et  suiv.,  197,  198, 
202,  221,  382,  564  et  suiv.  Son  inspiration, 
564.  Son  infaillibilité,  564  et  565.  Sa  vérité  et 
son  autorité,  565  et  suiv.  Règles  pour  dis- 
tinguer les  livres  canoniques,  567,  568.  Ca- 
non des  Écritures,  568,  569.  Livres  contes- 
tés entre  les  catholiques  ou  rejetës  par  les 
hérétiques,  569  et  suiv.  Livres  perdus  cités 
dans  les  Écritures,  573,  574.  Livres  supposés 
ou  apocryphes,  574  et  suiv.  Livres  des  pro- 
phètes, 577  et  suiv.  Psaumes  de  David,  582 
et  suiv.  Évangiles,  585  et  suiv.  Éloquence 
des  divines  Écritures,  594  et  suiv.  Obscurité 
de  l'Écriture  ;  respect  qu'on  doit  lui  porter, 
596,  597.  Divers  sens  de  l'Écriture,  597  et 
suiv.  Comment  on  doit  s'apphquer  à  l'étude 
de  l'Écriture,  599.  Règles  pour  l'intelligence 
de  l'Écriture,  599  et  600.   Traductions  de 
l'Écriture,  600  et  suiv.  Loci.tions  de  l'Écri- 
ture, 603,  604.^  Quelles  sont  les  meilleures 
versions  de  l'Écriture,  604,  605.  Utihté  de 
diverses  connaissances  pour  l'intelligence  de 
l'Écriture,  605  et  suiv.  Manière  d'entendre 


les  endroits  dilBciles  de  l'Écriture,  607  et 
suiv.  Histoire  de  la  version  des  Septante; 
son  autorité,  610  et  suiv.  Autorité  du  texte 
du  Nouveau   Testament,   612.   Lecture  de 
l'Écriture  sainte,  612  et  suiv.  Divers  points 
de  l'histoire  de  l'Ancien  Testament,  614  et 
suiv.;  et  du  Nouveau,  616  et  suiv.  [Quatre 
sermons    de   saint  Augustin  sur   l'Écriture 
sainte  ;  dix-huit  sermons  du  même  sur  l'Écri- 
ture   sainte;   neuf  sermons   sur   l'Écriture 
sainte,  faussement  attribués  à  saint  Augus- 
tin, 836.]  —  Doctrine  de  saint  Pierre  Chry- 
sologue,  X,  9;  de  Théodoret,  108  et  suiv. 
Ancienne  coutume  de  lire  les  divines  Écri- 
tures dans  l'office  du  samedi  saint,  192.  Doc- 
trine du  pape  saint  Léon,  247.  Exemple  de 
Vectius,  laïque  distingué,  dont  parle  saint  Si- 
doine, 387.  Livres  de  l'Écriture  sainte  admis 
par  le  décret  du  pape  Gélase,  723.  —  Lecture 
de  l'Écriture  recommandée  par  saint  Ful- 
gence  àGalla,  XI,27.SainteCésarie,  sœur  de 
saint  Césaire,  s'occupait  delà  lecture  des  Li- 
vres saints,  153.  Introduction  à  la  sainte  Écri- 
ture, ouvrage  d'Adrien,  auteur  du  vi'' siècle, 
95.Témoignage  de  Cosme  d'Egypte  sur  l'Écri- 
ture sainte,  188,  189.  Introduction  à  l'étude 
de  l'Écriture  sainte,  par  Cassiodore,  226  et 
suiv.  Autres  ouvrages  semblables  indiqués 
par  Cassiodore,  232.  Ouvrage  semblable  de 
Junilius,  évêque  d'Afrique,  281  et  suiv.  Édi- 
tion de  l'Écriture  sainte  revue  par  Cassio- 
dore, 227  et  suiv.  Canons  de  l'Écriture  rap- 
portés par  Cassiodore  ;  avis  que  Cassiodore 
donne  à  ses  moines  sur  la  lecturede  1  Écri- 
ture sainte  et  la  manière  d'en  corriger  les 
exemplaires,  23.   Doctrine   de  Cassiodore, 
243  ;  du  pape  saint  Grégoire  le  Grand,  252 
et  suiv.;  sur  son  inspiration,  552  ;  sur  les  li- 
vres qui  la  composent,  552  et  553;  sur  son 
obscurité,  553  ;  sur  sa  lecture;  sur  ses  divers 
sens,  554.  Autres  témoignages  de  saint  Gré- 
goire sur  l'Écriture  sainte,  448,  508.  Saint 
Grégoire  préfère  la  version  de  saint  Jérôme 
à  l'ancienne  Vulgate  qu'il  cite  néanmoins 
quelquefois,  442  et  553.  Il  cite  aussi  celle 
des  Septante,  d'Aquila,  de  Théodotion  et  de 
Symmaque,  553.  Canon  des  Livres  saints 
selon  Léonce  de  Byzance,  668.  Pandectesou 
abrégé  de  l'Écriture,  par  le  moine  Antio- 
chus,  698.  Commentaire  de  saint  Isidore  de 
Séville  sur  les  livres  de  l'Ancien  et  du  Nou- 
veau Testament;  Allégories  du  même  saint 
Isidore,  715.  Canon  des  Livres  saints  selon 
le  même,  712  et  716.  Son  témoignage  sur 
leur  inspiration,   716.   Questions   de   saint 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


345 


Maxime,    abbé   de  Chrysopolis,  sur  l'Écri- 
ture; réponse  du  même  à  divers  doutes  sur 
l'Écriture,  763.  —  Traité  des  Figures  et  des 
Tropes  de  l'Écriture  sainte,  ouvrage  du  Véné- 
rable Bède,  Xll,  4.  Canon  des  Livres  saints 
selon  saint  Jean  Damascène,73et92. Doctrine 
du  même,  92.  Commentaires  et  scholies  de  Jac- 
ques d'Édesse  sur  presque  tous  les  livres  de 
l'Écriture  sainte,  101,  102.  Commentaire  de 
Georges,  évoque  des  Arabes,  sur  l'Écriture 
sainte,  102.  [Utilité  des  divines  Écritures,  par 
Pucôme,  132.]  Doctrine  d'Alcuin,  208,  209. 
Deux  poëmes  d'Alcuin  sur  le  nombre  des  li- 
vres de  l'Écriture  sainte,  208.  Constitution 
de  Charlemagne  pour  la  correction  des  livres 
de   l'Écriture,   230.    Sentiment  d'Agobard, 
archevêque  de  Lyon,  sur  l'inspiration  des 
livres  saints,  370.  Glose  ordinaire  sur  la  Bi- 
ble, par  Walatrid  Strabon,  411.  [Lettre  d'Al- 
var,  prêtre  de  Cordoue,  sur  diverses  ques- 
tions d'Écriture  sainte,   522.  Sentences  de 
l'Écriture,  par  Ansohaire,  archevêque  d'Ham- 
bourg, publiées  sous  le  titre  de  Pigmenta, 
526,  n.  4.]  Traité  de  saint  Rémi,  archevêque 
de  Lyon  :  De  l'attachement  inviolable  à  la 
vérité  de  l'Écriture,  618,  619.  [Discours  de 
Pierre  de  Sicile  sur  l'autorité  des  livres  de 
l'Ancien  Testament,  624.]  —  Lanfranc  s'ap- 
plique à  corriger  les  exemplaires  de  l'Écri- 
ture  sainte,   XIH,  442  et  448.   Grimauld, 
moine  de  Saint-Milhaa  de  la  Cuculle,  traduit 
tous  les  livres  de  la  Bible  en  langue  vulgaire, 
489.  —  [Écrits  de  Gondulphe  sur  l'Écriture 
sainte,  XIV,  48,  49.]  Doctrine  de  saint  An- 
selme, 38,  39.  Poëmes  de  Théodore  Pro- 
drome sur  diverses  histoires  de  l'Écriture 
sainte,  149.  Glose  interlinéaire  d'Anselme  de 
Laon  sur  l'Écriture  sainte,  182, 183.  Ses  rè- 
gles pour  en  concilier  les  contrariétés  appa- 
rentes, 183.  Commentaire  de  Rupert,  abbé 
de  Tuy,  sur  presque  toute  l'Écriture  sainte, 
281,  282.  [Explication  du  Psautier,  par  Ho- 
noré d'Aulun,  299.]  Étude  de  l'Écriture  sainte 
recommandée  par  Abaillard  aux  religieuses  du 
Paraclet  dans  la  règle  qu'il  leur  donne,  326. 
Lettre  par  laquelle  il  y  exhorte,  327.  Pro- 
blèmes sur  l'Écriture  proposés  par  Héloïse; 
solutions  qu'Abaillard  en  donne,  329,  330. 
Prolégomènes  d'Hugues  de  Saint-Victor  sur 
l'Ancien  et  le  Nouveau  Testament,  349.  Deux 
lettres  anonymes  touchant   la  méthode  et 
l'ordre  de  lire  l'Écriture  sainte,  407.  [Com- 
mentaire de  Volberon  sur  le  Cantique  des 
Cantiques,  633.  Histoire  de  la  Bible  en  vers, 
par  Léonins,  711 .  Ouvrages  de  Richard,  cha- 


1091. 


noine  de  Saint-Victor,  sur  l'Écriture  sainte, 
701,  702.  Summa  Britonis,  ou  des  Mots  dif- 
ficiles de  la  Bible,  par  Adam  de  Saint-Vic- 
tor, 717  et  suiv.  Exposition  sur  tous  les  pro- 
logues de  la  Bible,  721 ,  722.  Traité  de  la  divi- 
sion des  Livres  sacrés,  ouvrage  de  Pierre  de 
Blois,  765  et  782.  Commentaire  de  Thomas 
de  Citeaux  sur  le  Cantique  des  Cantiques, 
824  et  suiv.  [Sermons  du  temps  ou  concor- 
dance de  l'Ancien  et  du  Nouveau  Testament, 
par  le  bienheureux  Martin,  833,  834.  Com- 
mentaire sur  le  Cantique  des  Cantiques,  par 
Alain  de  Lille,  870.]  Lettre  du  pape  Inno- 
cent IIl  au  sujet  de  plusieurs  laïques  du  dio- 
cèse de  Metz,  qui  avaient  fait  traduire  l'Écri- 
ture sainte  en  français  et  tenaient  des  assem- 
blées secrètes,  970.  A  l'occasion  de  l'hérésie 
naissante  des  Albigeois,  un  concile  de  Tou- 
louse défend  aux  laïques  d'avoir  des  livres  de 
l'Ancien  et  du  Nouveau  Testament,  hors  le 
Psautier  et  des  livres  d'heures;  encore  ne 
pourraient-ils  les  avoir  traduits  en  langue 
vulgaire,  1109. 

ÉCRITURES  CANONIQUES  ET  APOCRY- 
PHES. Voyez  ces  mots. 

ÉCRITURE  GAULOISE.  Un  concile  deLéon 
en  Espagne  ordonne  que  dans  tous  les  actes 
ecclésiastiques  on  se  servira  de  l'écriture 
gauloise  au  lieu  de  l'écriture  gothique,  XIII, 
423,  426. 

ÉCRIVAINS.  Y  avait-il  des  écrivains  pu- 
blics chez  les  Hébreux  au  temps  de  Moïse? 
I,  24,  23.  —  Catalogue  des  Écrivains  ecclé- 
siastiques dressé  par  saint  Jérôme,  VII,  651, 
652.  —  Livre  de  Gennade  sur  les  Écrivains 
ecclésiastiques.  Idée  de  cet  ouvrage  ;  variété 
dans  les  manuscrits  ;  différentes  éditions 
qu'on  en  a  faites,  X,  600,  601.  —  Catalogue 
des  Écrivains  ecclésiastiques,  par  saint  Isi-  . 
dore  de  Séville,  XI,  773.  Éditions  qu'on  en 
a  faites,  726,  727.  Traité  de  saint  Ildefonse 
de  Tolède  sur  les  Écrivains  ecclésiastiques, 
776.  —  [Catalogue  des  Écrivains  ecclésiasti- 
ques, par  Honoré,  XIV,  299  et  300.  Ano- 
nyme de  Molk  sur  les  Écrivains  ecclésiasti- 
ques, 909,  910.] 

ECROUELLES.  Dès  le  xn'=  siècle,  on 
croyait  que  le  roi  de  France  en  guérissait, 
XIV,  198. 

ECTHÈSE.  Exposition  de  foi  favorable  aux  639. 
Monothélites ,  composée  par  Sergius,  pa- 
triarche de  Constantinople,  et  adoptée  par 
l'empereur  Héraclius,  XI,  648,  et  XII,  924. 
Troubles  qu'elle  occasionne  dans  l'Église. 
Elle  est  anathématisée  à  Rome  et  en  Afrique, 


346 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


616. 


XI  siècle. 


VIII  siècle. 


VIII  siècle. 


305. 


II  siècle. 
IV  siècle. 


XII,  924.  L'empereur  Constant  la  supprime 
et  y  substitue  son  Type,  926.  L'Ectlièse  et 
le  Type  sont  anathématisés  au  concile  de 
Latran,  928,  et  XI,  749. 

EDALDE,  arcbevêque  de  Vienne.  Lettre 
supposée  qu'on  prétend  lui  avoir  été  écrite 
par  le  pape  Jean  III,  XI,  334. 

EDBALD  ou  ETHELBALDE,  roi  de  Kent, 
fils  d'Ethelbert,  persévère  dans  l'idolâtrie  et 
chasselesévêques  de  son  royaume,  XI,  913. 
Il  est  converti  par  Laurent  et  rétablit  la  re- 
ligion chrétienne  dans  ses  États, 914.  L'exem- 
ple de  sa  conversion  est  proposé  à  Edouin, 
roi  de  Northumbre,  646.  Lettre  qu'il  avait 
écrite  au  pape  Boniface  V,  647. 

EDBERT,  évoque  de  Fari  en  Danemark, 
accusé  de  plusieurs  crimes,  refuse  de  se  ren- 
dre au  concile  où  Adalbert,  archevêque  de 
Brème,  l'avait  cité.  Lettre  du  pape  Alexan- 
dre II  à  son  sujet,  XIII,  290. 

EDBURGE  ou  BUGGE,  abbesse  dans  le 
pays  de  Kent.  Lettre  de  consolation  que  lui 
écrit  saint  Boniface,  XII,  48.  Autres  lettres 
de  saint  Boniface  qui  lui  sont  adressées, 
49,  50. 

EDBURGE  (Sainte),  vierge,  fille  d'E- 
douard I",  roi  d'Angleterre.  Sa  Vie  écrite 
par  Osbert  de  Stockeclare,  XIV,  408. 

EDELBADE,  roi  de  Kent.  Voyez  Edbald. 

EDELBURGE,  sœur  d'Edbald,  roi  de  Kent, 
épouse  Edouin,  roi  de  Northumbre  et  l'en- 
gage à  se  faire  chrétien.  Lettre  que  lui  écrit 
le  pape  Boniface  V,  XI,  646. 

EDÉSIUS  (Saint),  martyr  de  Palestine,  III, 
7, 8.  Ses  Actes  rapportés  par  Assémani,  352. 

EDÉSIUS,  philosophe  magicien,  visité  par 
Julien  l'Apostat,  III,  398. 

EDÉSIUS ,  compagnon  des  travaux  de 
saint  Frumentius,  VI,  344,  et  X,  138. 

EDÉSIUS,  diacre  d'Alexandrie.  Lettre 
d'Atticus  de  Gonstantinople  à  Pierre  et  à 
Edesius,  VIII,  15. 

EDÉSIUS,  poète  chrétien.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  II,  p.  332  et  suiv.) 

EDESSE,  ville  de  Mésopotamie,  patrie  de 
Bardesane,  hérésiarque,  I,  465.  —  Saint 
Éphrem,  diacre  de  cette  Église,  VI,  1  et  suiv. 
Son  témoignage  touchant  Édesse,  53.  Le 
corps  de  saint  Thomas  y  était  en  402, 
VII,  256.  —  Elle  était  métropole  de  l'Os- 
rhoène,  VIII,  380.  —  Elle  est  prise  et  brûlée 
par  les  troupes  romaines,  IX,  575.  —  Con- 
cile tenu  sous  l'évéque  Rabula,  X,  143. 
Edesse  assiégée   inutilement  par  Cavadès, 


roi  de  Perse,  586.  —  Chronique  d'Édesse 
par  un  auteur  anonyme  du  vi°  siècle.  Ce 
qu'elle  contient  de  remarquable,  XI,  342, 
343.  —  Édesse  prise  par  les  Turcs.  Lettre 
d'Eugène  III  au  roi  Louis  le  Jeune  à  ce  sujet, 
pour  l'engager  à  se  croiser,  XIV,  271. 

EDGAR,  roi  d'Angleterre,  remplace  son 
frère  Edwin.  Concile  qu'il  assemble  à  Bran- 
defort.  Son  diplôme  en  faveur  de  l'Église  de 
Winchester.  XIII,  755.  Ses  lois,  756,  757. 
Il  fait  confirmer  dans  un  concile  de  Londres 
ses  donations  au  monastère  de  Glassembury, 
758.  Il  met  des  moines  à  Malmesbury,  à  la 
place  des  chanoines  qui  y  étaient.  Sa  mort, 
759. — Lettre  que  lui  écrivit  le  pape  Jean  XIII, 
XII,  833.  —  Son  discours  aux  évoques  et 
aux  supérieurs  des  monastères,  XIV,  620  et 
623. 

EDGITE  (Sainte),  fille  du  précédent.  Sa 
Vie,  par  le  moine  Goscelin,  XIII,  530. 

EDIFICE  de  Dieu  :  ouvrage  composé  par 
Géroch,  prévôt  de  Reichesperg,  XIV,  630. 
Analyse  de  cet  ouvrage,  630  et  631. 

ÉDILBERT,  évêque.  Lettre  que  lui  écrit 
Alcuin,  XII,  194. 

[ÉDILBURGE,  abbesse.  Lettre  que  lui  écrit 
Alcuin,  XII,  200.] 

ÉDILHARD,  archevêque  de  Cantorbéry. 
Lettre  que  lui  écrit  Alcuin,  XII,  193,  194. 

ÉDILTHIDE,  reine  de  Northumbre.  Lettre 
que  lui  écrit  Alcuin,  XII,  194. 

ÉDITS.  Édit  de  Dioctétien  contre  les  chré- 
tiens, arraché  par  un  chrétien,  II,  518.  — 
Édits  pubMés  par  Dioctétien  contre  les  chré- 
tiens, III,  2,  18.  Édits  de  Constantin  et  de 
Licinius  en  faveur  des  chrétiens,  122,  143 
et  suiv.  —  Édit  de  Constance  contre  saint 
Athanase,  VI,  343, 344.  Édits  de  Julien  pour 
le  rétabhssementdu  paganisme,  346  et  suiv. 
Édit  de  Maxime  en  faveur  des  Juifs,  364. 

EDMOND  (Saint),  martyr,  roi  d'Est-Angle 
(et  non  pas  d'Angleterre).  Sa  Vie  par  Abbon 
de  Fleury,  XIII,  25  et  32.  —  Recueil  de  ses 
miracles  par  Osbertde Stockeclare,  XIV,  408. 
Le  monastère  de  Saint-Edmond  et  ses  dé- 
pendances sont  déclarés  exempts  de  la  juri- 
diction des  évêques,  1040. 

EDMOND,  roi  d'Angleterre.  Ses  lois, 
Xm,  747.  Sa  mort,  750. 

EDOUARD  I",  le  Vieux,  roi  d'Angleterre, 
y  fait  établir  de  nouveaux  évêchés,  XIII,  740. 

EDOUARD  II,  le  Martyr  (Saint).  (Il  ne  faut 
pas  le  confondre  avec  celui  qui  suit.) 

EDOUARD  m,  le  Confesseur  (Saint),  roi 
d'Angleterre,  demande  dispense  du  vœu  qu'il 


D57.J 

964. 
960. 
067 


074. 
075. 


984. 


303. 


312. 


3S8. 
859. 


1021. 


944. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


347 


H61. 


633. 


381. 


614. 


732. 


766. 


avait  fait  d'aller  à  Rome.  A  quelle  condition 
le  pape  saint  Léon  IX  la  lui  accorde,  XIII, 
208.  Cette  dispense  confirmée  par  le  pape 
Nicolas  II,  246.  [Autre  du  pape  Léon  IX  au 
roi  Edouard,  208,  209,]  —  Vie  d'Edouard, 
par  Osbert  de  Stockeclare,  XIV,  408.  Sa  Vie 
et  ses  miracles,  par  jElrède,  abbé  de  Ried- 
val.  Sa  vie  en  vers  élégiaques,  par  le  même, 
620.  [Sa  canonisation  demandée  par  les 
moines  de  Westminster.  Réponse  du  pape, 
267.]  Sa  canonisation  par  le  pape  Alexan- 
dre III,  922.  Recueil  de  ses  lois  ecclésias- 
tiques, 1034,  [dans  la  Patrolngie.  Lettre  que 
ce  prince  écrivit  au  pape  Nicolas  II,  414.] 

ÉDOUIN,  roi  de  Northumbre,  épouse  Edel- 
burge.  Lettre  que  lui  écrivit  le  pape  Boni- 
face  V  pour  l'engager  à  quitter  le  culte  des 
idoles.  Il  se  fait  chrétien,  XI,  646.  Lettre 
que  lui  écrit  le  pape  Honorius,  648. 

[EDRULPHE  ou  EARDULPHE,  roi  d'An- 
gleterre, à  qui  Alcuin  éciit,  XII,  200.  ] 

ÉDUCATION  de  saint  Grégoire  le  Thau- 
maturge par  Origène,  II,  437,  438  ;  —  de 
saint  Augustin,  par  sainte  Monique,  IX,  2  et 
26.  Sentiment  de  saint  Augustin  sur  l'édu- 
cation, 26. 

ÉGALITÉ  en  Dieu  du  Père  et  du  Fils 

■ 

Doctrine  de  saint  Ambroise,  V,  472  et  suiv.- 

—  de  saint  Augustin,  IX,  222.  M o^ez  Divinité, 
ÉGARA,   ancienne   ville  d'Espagne,   au. 

jourd'hui  Térassa,  à  quatre  lieues  de  Barce- 
lone. Concile  tenu  en  cette  ville,  XI,  911, 
912. 

EGB'ERT,  roi  de  Kent,  envoie  à  Rome  un 
prêtre  pour  y  être  ordonné  archevêque  de 
Gantorbéry,  XI,  796. 

EGBERT  ou  ECBERT,  évêque  d'York, 
était  frère  d'Edbert,  roi  de  Northumbre.  Il 
obtient  du  pape  Grégoire  III  le  pallium  et  le 
titre  d'archevêque.  Ses  soins  pour  le  réta- 
Hissementdes  études.  Sa  mort,  XII,  64.  Ses 
écrits.  Extraits  des  canons  et  des  saints 
Pères,  64  et  65.  Pénitentiel,  63.  Dialogue 
intitulé  :  De  l'Instruction  ecclésiastique,  63 
et  66.  Sa  lettre  à  saint  Boniface,  archevêque 
de  Mayence,  66.  [Quinze  canons  de  cet  évê- 
que. Deux  Pénitentiels  qui  ne  paraissent  pas 
lui  appartenir.  Pontifical  d'Egbert,  où  on 
trouve  les  cérémonies  pour  le  sacre  des  rois, 
63.  Analyse  de  ce  Pontifical,  66.  Édition  des 
écrits  d'Egbert  dans  la  Patrologie,  64.]  —  Il 
fait  mention  des  Canons  apostoliques,  II,  579. 

—  Il  fut  disciple  de  Bède,  XII,  2.  Lettre  que 
Bède  lui  écrivit,  13.  Lettres  de  saint  Boniface 
qui  lui  sont  adressées,  49,  51. 


EDITIDS.  Voyez  Edicius. 

[EGELBET,  évêque  de  Bamberg.  Le  pape 
Eugène  111  lui  écrit  ainsi  qu'aux  chanoines 
de  Bamberg  sur  la  canonisation  de  l'empe- 
reur Henri,  XIV,  277.] 

ÉGELNOTE,    archevêque  de  Gantorbéry,  ■ 
(auteur  de  quelques  ouvrages  perdus.  Voyez 
Du  Pin.) 

ÉGEBRIC,  évêque  de  Sussex,  déposé  au        io7o. 
concile  de  Windsor,  XIV,  1066. 

EGES,  ville  de  Cilicie,  où  se  trouvait  une 
foire  dont  parle  Théodoret,  X,  67. 

EGGESTEIN  (Henri).  Son  édition  du  Dé- 
cret de  Gratien,  XIV,  761. 

ÉCCOUHARD.  Voyez  Eccard. 

ÉGIALÉE,  grammairien  païen,  juge  de  la 
dispute  d'Archélaûs  avec  Manès,  II,  433. 

ÉGICA,  roi  d'Espagne,  gendre  et  succès-        688. 
seur  d'Ervige,  propose  aux  évêques  assem- 
blés à  Tolède  une  difficulté  sur  les  serments 
qu'il  avait  faits  au  roi  Ervige,  XII,  938.  Ré- 
ponse des  évêques,  938  et  959.  Il  assiste  au        603. 
seizième  concile  de  Tolède  auquel  il  pré- 
sente le  mémoire  des  choses  qu'on  devait  y 
traiter.  Il  en  confirme  les  canons  et  ceux  du        694. 
dix-septième  concile,  939. 

EGIL  ou  EIGIL,  moine  de  Prum,  puis  ar-     ixsiècie. 
chevêque  de  Sens.  Lettre  que  lui  écrit  le 
^pe  Nicolas  I",   XII,  583.  —  Concile   de 
Pistes,  où  l'on  confirme  quelques-unes  de 
ses  donations,  XIII,  713. 

EGILBERT,  évêque  d'Utrecht.  Sa  mort.        89o. 
Saint  Ratbod  lui  succède,  XII,  783. 

EGILBERT,   archevêque    de    Trêves.   Sa     xisiècie. 
lettre  contre  le  pape  saint  Grégoire  VII, 
XIII,  407.  Son  ordination,  413.  H  reçoit  le 
pallium  de  l'antipape  Guibert,  414. 

EGILON.  Voyez  Gilon. 

EGILWARD,  moine  à  Wirtzbourg,  écrit  xi  siècle. 
la  Vie  de  saint  Burchard,  premier  évêque 
de  Wirtzbourg,  XIII,  180.  Éditions  qu'on  en 
a  faites,  181.  Il  écrit  aussi  les  Actes  du  mar- 
tyre de  saint  Riliain  et  de  ses  compagnons. 
Idée  de  ces  Actes,  180,  181. 

EGINHARD,  abbé  de  Selgenstat,  est  élevé 
à  la  cour  de  Charlemagne.  Ce  prince  le  fait 
son  secrétaire,  XII,  332.  Son  mariage  avec 
Imma.  Elle  n'était  point  fille  de  Charlema- 
gne. Il  est  député  à  Rome  pour  faire  con-  soe. 
firmer  par  le  pape  Léon  III  le  premier  tes- 
tament de  Charlemagne.  Il  embrasse  la  vie 
monastique.  On  lui  donne  le  gouvernement 
de  divers  monastères.  Il  fonde  une  église 
dans  une  de  ses  terres,  nommée  Michlenstat. 
Il  fonde  le  monastère  de  Mulinheim  qui  prit       ^-  ^'^''- 


348 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


839  ou  SU. 


1   siècle. 
H  siècle. 


III  siècle. 


IV  sièele. 


IV 
et  Vsiècles. 


le  nom  de  Selgenstat.  Sa  mort,  3S3.  Ses 
écrits,  353  et  suiv.  ViedéCharlemagne,  353. 
[Éditions  et  traductions  nouvelles  de  cette 
vie,  354.]  Annales  d'Eginhard,  354.  Ses  let- 
tres, 355.  Histoire  de  la  translation  des  re- 
liques de  saint  Marcellin,  356.  Avis  à  l'Em- 
pereur. Traité  sur  le  culte  de  la  Croix. 
Abrégé  du  Psautier  gallican.  Histoire  des 
Saxons.  Sa  Chronique  abrégée.  Plan  du  mo- 
nastère de  Saint-Gai  et  de  toutes  ses  ofH- 
cines  avec  des  inscriptions,  357.  Lettres  de 
Loup  de  Ferrières  qui  lui  sont  adressées, 
502.  Eginhardus  illustratus  et  vindicatus.  Ce 
que  contient  cet  ouvrage,  356.  (Voyez  l'ar- 
ticle d'Eginhard  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  IV,  p.  550  et  suiv.,  et  le  Sup- 
plément, t.  XI,  p.  xiv  et  suiv.  Les  ouvrages 
d'Eginhard  sont  reproduits  au  tome  XGVII 
de  la  Patrologie  latine,  col.  28  et  suiv.) 

ÉGLISE.  Corps  entier  de  la  société  chré- 
tienne.   Doctrine  d'Hermas   sur  l'Eglise,  I, 
334  et  suiv.;  de  saint  Ignace,  383  et  suiv.  et 
386;  de  suint  Irénée,  512  et  522,  523;  de 
Clément  d'Alexandrie,  598,  599;  [de   saint 
Hippolyte,   612;]  — de  TertuUien,   II,  73; 
d'Origène,  [158],  229  et  suiv.  Traité  de  l'U- 
nité de  l'Église  catholique,  ouvrage  de  saint 
Cyprien,  274  et  suiv.   Doctrine  du  même, 
355  et  suiv.  Témoignage  de  saint  Fructueuî 
de  Tarragone,  388;  de  saint  Montan,  mar- 
'  tyr,  389;  de  saint  Victorin  de  Pettau,  461. 
Doctrine  de  Lactance,  513;  —  de  saint  Mé- 
thode, évêque  de  Tyr,  III,  70,  71.  Eusèbe  de 
Césarée  exhorte  les  fidèles  à  rendre  grâces 
à  Dieu  des  merveilles  qu'il  opérait  en  faveur 
de  son  Église,  196.  Doctrine  du  même,  233, 
237,  238,  288,   289  ;  —  de  saint  Hilaire  de 
Poitiers,  IV,  77,  78;  de  saint  Athanase,  209 
et  suiv.;  de  Lucifer  de  Caghari,  264  et  suiv.; 
[de  saint  Sérapion,  évêque  de  Tmuis,  336;] 
de  saint  Basile  le  Grand,  529;  —  de  saint 
Cyrille  de  Jérusalem,  V, 64  et  78;  de  saintOp- 
tat,  contre  les  Donatistes,  112  et  suiv.,  128, 
129.  Doctrine  de  saint  Pacien,  167;  de  saint 
Ambroise,  570; — desaintEphrem,VI,  66  [et 
450,461,479.]  Témoignage  de  saint  Épipha- 
ne  sur  les  mœurs  de  l'Église  catholique,  436. 
—  Doctrine  de  saint  Chrysostôme,  VII,  196, 
391,  392;  de  Rufin  d'Aquilée,  468,  481.  Ho- 
mélie sur  l'Église  ou  la  Tourterelle,  fausse- 
ment attribuée  à  Jean  de  Jérusalem,  502. 
Doctrine  de  saint  Jérôme,  684.  —  Titres  que 
saint  Procle  donne  à  l'Église,  VIII,  413.  Doc- 
trine de  saint  Vincent  de  Lérins,  457,  458, 
462,  463.  Saint  Isidore  de  Péiuse  détiuit 


l'Église  l'assemblée  des  saints  unie  par  la  vraie 
foi  et  par  la  bonne  vie.  Il  n'en  exclut  cepen- 
dant pas  les  pécheurs  ni  lesmau  vais  chrétiens, 
490.  Au  temps  du  concile  d'Éphèse,  l'Église 
catholique  se  nommait  Église  romaine  :  rai- 
sonde  cette  dénomination,  597. — Disputeen- 
tre  l'Église  etla  Synagogue,  faussementattri- 
buée  à   saint  Augustin,  IX,   370.  Livre  de 
l'Unité  de  l'Église,  oulettre  de  saint  Augustin 
contre  les  Donatistes,  394  et  suiv.  Quatre  li- 
vres contre  Cresconius,  donatiste,  où  saint 
Augustin  traite  encore  particulièrement  de 
l'unité  de  l'Église,  399.  Doctrine  de  saint  Au- 
gustin, 58,  196,  225,  235,  238,  334,  335,  338, 
339,  396  et  suiv.,  507,  623  et  suiv.  Carac- 
tères de  l'Eglise  :  sa  catholicité,  623;  sa  vi- 
sibilité, 626  et  suiv.;  son  indéfectibilité,  627, 
628.  Réponse  à  l'objection  tirée  des  temps 
de  nuages  et  d'obscurité,  628.  Quels  sont  les 
membres  de  l'Éghse,  629  et  suiv.   Observa- 
tion surle  mélange  des  bons  et  des  méchants 
dans  l'Église,  631  et  suiv.  Il  n'y  a  point  de 
salut  hors  de  l'Église,  633.  —  Témoignages 
et  doctrine  de  Théodoret,  X,  43,  46,    113, 
120,  121  ;    du  pape   saint  Léon,  194,  249, 
250,  266  et  suiv.  Les  quatre  livres  de  Sal- 
vien  adressés  à  l'Église  universelle,  361  et 
suiv.  Pourquoi  il  les  a  donnés  au  nom  de 
Timothée,  362.  Analyse  de  cet  ouvrage,  362 
et  suiv.  DiSérentes  doctrines  et  traductions 
qu'on  en  a  faites,  378.  —  Doctrine  de  saint 
Fulgence,  XI,  44,  53,  54,  67,  68;   de  saint 
Césaire  d'Arles,   144.  Homélie  sur  l'Éghse 
attribuée  à  ce  dernier,  147.  Eloge  de  l'Église 
catholique  par  Cassiodore,  226.  Doctrine  du 
même,  247,  248.  Traité  du  prêtre  Timothée 
sur  la  Manière  de  recevoir  ceux  qui  se  pi-é- 
sentent  à  l'Église  catholique,  340,  341 .  Doc- 
trine du  pape  saint  Grégoire  sur  l'Église, 
555,  556.  —  Témoignage  de  Raban  Maur, 
XII,  453,  460,  461.  Dialogue  entre  Euticius 
et  Théophile,  sur  l'état  de  l'Église,  ouvrage 
dont  l'auteur  n'est  pas  connu,  513,  514.  Dis- 
pute entre  la  Synagogue  et  l'Église,  ouvrage 
faussement  attribué  à  Maginhard,  moine  de 
Fulde,  523,  524.  Témoignage  de  saint  Pas- 
chase  Radbert  sur  l'Église,  530.  Livre  des 
Souffrances  de  l'Église;    ouvrage  d'Alton, 
évêque  de  Verceil,  823,  824.  —  Témoignage 
du  bienheureux  Lanfranc  sur  l'Église,  XIII, 
447.  Traité  de  Brunon  de  Ségni  sur  l'état  de 
l'Église  dans  le  xi'^  siècle,  502,  503.  Six  livres 
des  Louanges  de  l'Éghse  par  le  même,  504. 
[Livre  à  un  ami,  ou  sur  la  persécution  de 
l'Éghse,  en  neuf  livres,  ouvrage  de  Bonizon, 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


349 


évêque  de  Scutri,  S63.  Analyse  de  cet  ou- 
vrage, 563  et  564.]  Triste  état  de  l'Église 
exposé  au  concile  de  Mayence  en  888,  731  ; 
au  concile  de  Troslée  en  909,  741,  742.  — 
Doctrine  de  saint  Anselme,  XIV,  41.  Traité 
des  Qualités  de  l'Église  ;  ouvrage  de  Geoffroi 
de  Vendôme,  167.  De  l'État  de  l'Église,  ou- 
vrage de  Gilbert,  évêque  de  Limerick,  en 
Irlande.  Analyse  de  cet  ouvrage,  176, 
177.  Exposition  du  psaume  lxiv'',  ou  livre 
de  l'État  corrompu  de  l'Eglise,  ouvrage 
de  Géroch ,  prévôt  de  Reichesperg,  627, 
628.  Sermon  d'Alain  de  Lille  sur  le  gou- 
vernement de  l'Église,  870.  L'Église  ne  force 
personne  à  se  faire  chrétien,  dit  Innocent  III, 
mais  elle  est  obligée  de  protéger  ceux  qui 
ont  embrassé  la  foi,  1008.]  (Voyez  Biens  de 
l'Eglise^  Choses  ecclésiastiques,  Histoire  ecclé- 
siastique. ) 

ÉGLISE  ROMAINE  ou  de  Rome.  Témoi- 
gnage de  saint  Irénée,  1,522,523; — de 
saint  Cyprien,  II,  357  et  suiv.;  de  l'empe- 
reur Aurélien,  432  ;  —  de  saint  Basile,  IV, 
536;  —  de  saint  Ambroise,  V,  571;  — de 
saint  Jérôme,  VII,  580;  — de  saint  Augustin, 
IX,  633,  635.  —  Sa  prééminence  reconnue 
par  Théodoret,  X,  74,  121.  Sa  primauté  ex- 
posée par  le  pape  saint  Léon,  267,  269.  Té- 
moignage de  saint  Eugène,  évêque  de  Car- 
thage,  rapporté  par  saint  Victor  de  Vite, 
454.  Plaintes  d'Eupbémius  de  Constantino- 
ple,  contre  l'Église  de  Rome  au  sujet  d'A- 
cace,  486.  Prééminence  de  l'Église  de  Rome 
sur  celle  d'Alexandrie  et  d'Antioche,  selon 
le  décret  du  pape  saint  Gélase,  724.  —  Té- 
moignage du  pape  Vigile  sur  la  primauté  de 
l'Église  de  Rome,  XI,  195.  Son  autorité 
sur  toutes  les  autres  Églises,  selon  le  pape 
saint  Grégoire,  557.  —  Son  autorité,  selon 
Alcuin,  XII,  211.  [Prérogatives  que  lui  re- 
connaît saint  Nicéphore,  patriarche  de  Cons- 
tantinople,  293.]  Sa  primauté  et  la  préroga- 
tive de  ses  évêques ,  selon  Ratramne  de 
Corbie,  567.  Sa  foi  a  toujours  été  sans  tache 
selon  saint  Nicolas  I",  584.  Témoignage  que 
lui  rend  Énée,  évêque  de  Paris,  600.  Té- 
moignage d'Hincmar  de  Reims,  659;  de 
Rathériusde  Vérone,  849,  830,  836;  du  pape 
saint  Agathon,  944;  —  d'Ainould  de  Milan, 
XIII,  306.  [D'après  Bonizon,  évêque  de  Scu- 
tri, ses  possessions  remontent  au  pape  Ur- 
bain P',  567  ;]  —  de  Pierre  Abaillard,  XIV, 
331;  de  Hugues  Métellus,  363;  d'Anselme, 
évêque  d'Havelburg,  415;  de  saint  Bernard, 
465,  Comment  quelques  royaumes  apparte- 


naient à  l'Église  romaine,  352,  note  2.  Gom- 
ment le  pape  Innocent  III  justifie  le  titre 
d'Église  uni  verselle  donné  à  l'Église  deRome, 
971.  Ce  que  le  même  dit  de  la  primauté 
de  cette  Église,  978,  980,  982,  986,  987. 

ÉGLISE  DU  NORD.  Voyez  Nord. 

ÉGLISE.  Nom  donné  aux  lieux  d'assem-      m  siècle, 
blée  des  fidèles,   I,  640;    II,  211,   243.  Té- 
moignages des  Constitutions   apostoliques, 
593,  396.  —  Rescrit    et  loi  de  l'empereur     iv  siècle. 
Constantin  pour  la  construction  des  églises, 

III,  124, 143.  Réflexion  d'Eusèbe  de  Césarée 
touchant  ceux  qui  font  bâtir  des  églises,  197. 
Description  de  l'église  deTyr  par  Eusèbe  de 
Césarée,  196  et  suiv.;  de  l'église  du  Saint- 
Sépulcre  et  delà  Résurrection,  par  le  même, 
253,  254.  —  Témoignage  de  saint  Athanase 
sur  les  lieux   où  les   fidèles  s'assemblaient, 

IV,  217,  218.  —  Saint  Cyrille  de  Jérusalem 
témoigne  qu'il  prêchait  dans  l'église  de  la 
Résurrection,  V,  30.  Il  parle  aussi  de  l'église 
des  Apôtres,  78.  Bénédiction  des  églises. 
Comment  les  Donatistes  traitaient  les  églises 
des  Catholiques,  113  et  131.  Richesses  des 
églises,  139,  154.  Gallus  et  Julien  entre- 
prennent de  bâtir  une  église  en  l'honneur 
des  Martyrs,  197.  Église  bâtie  à  Nazianze 
par  saint  Grégoire  le  Père,  215.  Témoignage 
de  saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  les  églises 
de  Constantinople,  272,  331,  332.  Témoi- 
gnage de  saint  Ambroise  sur  les  églises, 
574;  —  de  saint  Éphrem  sur  la  fréquenta- 
tion des  églises,  VI,  9;  de  saint  Grégoire  de 
Nysse  sur  leur  magnificence,  251.  Loi  de 
Jovien  pour  la  restitution  des  biens  assignés 
aux  églises,  353.  Loi  de  Gratien  pour  la  res- 
titution des  églises  aux  catholiques,  361.  — 
Témoignage  de  saint  Jean  Chrysostôme  sur 
les  églises,  VII,  193,  233,  242,  263,  266, 
302, 303;  de  saint  Jérôme,  603.  Canon  trente- 
unième  du  concile  d'Hippone,  715;  canon 
trentième  du  troisième  concile  de  Garthage, 
722  ;  canon  sixième  du  cinquième  concile  de 
Carthage,  734.  —  Témoignage  de  saint 
Pauhn,  VIII,  62,  73,92,  94,  95.  Témoignage 
de  saint  Nil,  solitaire  de  Sinaï,  228.  —  Au 
temps  du  pape  saint  Léon,  il  n'y  avait  à 
Rome  et  à  Alexandrie  qu'une  seule  église 
où  on  dît  la  messe ,  même  dans  les  plus 
grandes  solennités,  X,  205.  [Sermon  de  saint 
Maxime  de  Turin  sur  la  réparation  de  l'église 
de  Milan,  326.]  État  des  églises  dans  les 
Gaules  au  temps  de  saint  Sidoine,  392.  Le 
pape  saint  Gélase  défend  aux  évêques  d'en 
consacrer  de  nouvelles  sans  les  pouvoiis 


350 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


nécessaires,  302.  Il  blâme  l'usage  de  don- 
ner à  quelques-unes  le  nom  de  morts  qui 
n'éLaient  pas  chrétiens,  504.  Églises  souil- 
lées par  les  hérétiques.  Selon  saint  Avit,  elles 
ne  peuvent  être  purifiées,  non  plus  que  les 
calices  qui  ont  été  à  leur  usage,  SS7.  Canons 
du  premier  concile  d'Orléans  touchant  les 
églises,  743.  — A  quelles  conditions  le  pape 
Pelage  P"'  consent  à  la  construction  d'une 
nouvelle  église,  XI,  333.  Dédicace  des 
églises.  Leurs  ornements.  Respect  qu'on 
leur  rendait  au  vi'=  siècle,  388.  Églises  renou- 
velées ou  bâties  par  Fortunat,  évêque  de 
Poitiers,  404.  Sentiment  de  saint  Grégoire  le 
Grand  sur  la  consécration  des  églises,  333, 
579.  Églises  par  lui  consacrées  et  réconci- 
liées, 379.  Les  églises  des  scliismatiques  doi- 
vent être  réconciliées,  selon  saint  Théodore 
de  Cantorbéry,  798.  Disposition  du  concile 
d'Epaone  à  l'égard  des  églises  des  héréti- 
ques, 817.— Règlement  de  Gharlemagne  tou- 
chant les  églises,  XII,  237  ;  de  Théodulphe, 
évêque  d'Orléans,  264;  de  saint  Nicéphore, 
patriarche  de  Constanlinople,  286,  287  ;  du 
pape  saint  Nicolas  I",  577,  583;  du  concile 
quinisexte,  964;  du  seizième  de  Tolède,  965. 
Pauvreté  des  églises  d'Espagne,  965.  — Res- 
pect qu'on  doitavoir  pour  les  églises  détendu 
contre  le  mépris  des  Manichéens,  XIII,  161. 
Témoignage  de  Lanfranc  sur  la  consécration 
des  églises,  452.  Canon  d'un  concile  de  Gi- 
rone  touchant  les  évêques  simoniaques,  553. 
Canon  d'un  concile  de  Celchyte,  653  ;  de 
Metz,  732.  —Témoignage de  saint  Anselme, 
XIV,  41,  [Dévotion  pour  la  construction  des 
églises  à  Chartres  et  en  Normandie,  589. 
Lettre  d'Aimon,  moine  de  Saint-Pierre-sur- 
Dives,  à  ce  sujet,  599,  600.  Lettre  de  Hugues, 
archevêque  de  Rouen,  sur  le  même  sujet, 
605,  n.  9.  Autres  témoignages,  605.]  Voyez 
Dédicace  des  églises. 

EGNACE  (J.-B.),  prêtre  de  Venise.  Son 
édition  des  œuvres  de  Laclance,  II,  520. 

V.  710.  EGWIN  (Saint),  évêque  de  Worchester, 

fonde  le  monastère  de  Covesham.  A  quelle 
occasion,  XII,  23;  XIII,  604.  Circonstances 

Y  „,       de  sa  vie.  Sa  mort.  Ses  écrits,  XII,  1109. 

EGYPTE.  Trente-sept  martyrs  égyptiens, 
III,  92,  93.  Les  Égyptiens  et  les  Phéniciens 
sont  réputés  les  premiers  adorateurs  des 
astres,  301.  Saint  Antoine,  premier  père  des 
solitaires  d'Egypte,  332  et  suiv.  Conciles  te- 
nus en  Egypte  à  l'occasionn  de  l'hérésie 
d'Arius,  414  et  suivantes.  Protestation  du 
clergé    d'Egypte    contre    les    informations 


faites  dans  la  Maréote  par  les  ennemis  de 
saint  Athanase ,  453 ,  454.  —  Discours  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze  en  l'honneur  des 
évêques  et  du  peuple  de  cette  province,  V, 
219,  220.  Saint  Macaire  d'Egypte,  instituteur 
des  solitaires  de  Scété,  596  et  suiv.  —  Ho- 
mélie de  saint  Jean  Chrysostôme  sur  les 
martyrs  d'Egypte,  VU,  96.  —  Les  homélies 
de  Neslorius  répandent  le  trouble  parmi  les 
moines  de  l'Egypte.  Saint  Cyrille  d'Alexan- 
drie leur  écrit  une  lettre  circulaire  et  géné- 
rale, VIII,  281.  —  Violences  que  Timothée 
Elure  excite  dans  l'Egypte  pour  y  rétablir 
l'Eutychianisme,  X,  176,  177.  Lettres  que  le 
pape  saint  Léon  écrit  aux  évêques  d'Egypte 
persécutés  pour  la  vérité,  234  et  suiv. 

EICHSTAT.  Lieu  d'Allemagne.  Saint  Wil-      v  740 
libald  y  fonde  un  évêché,  XII,  128. 

EIGIL  (Saint),  abbé  de  Fulde.  Ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie.  Il  succède  sis 
àRatgard  dans  l'abbaye  de  Fulde.  Sa  mort,  82s 
XII,  272.  Sa  vie  écrite  par  Candide,  un  de 
ses  disciples,  272,  273,  385,  386.  Il  est  au- 
teur de  la  vie  de  saint  Sturme,  272.  Ses 
autres  écrits,  272,  273. 

EINARD,  seigneur,  à  qui  saint  Fulbert  de 
Chartres  écrit  une  lettre  sur  un  usage  sin- 
gulier introduit  dans  quelques  églises,  XIII, 
80,  81. 

EINARD,  abbé  de  Saint-Pierre-sur-Dives. 
Voyez  Ainard, 

ERBERT,  abbé  de  Saint-Florin,  auteur  de    ^ii  siè. 
quelques  ouvrages.  Voyez  Du  Pin. 

EKKEHARD,  moine  de  Saint-Gai,  continue      x  sièc; 
l'Histoire  de  l'abbaye  de  Saint-Gai,  commen- 
cée   par  Ratpert,  XII,    700.    Il   entreprend 
d'écrire  la  vie  de  sainte  Wiborade,  879. 

EKKEHARD  LE  JEUNE,  traduit  en  latin     xii  siè. 
la  Vie  de  saint  Gai,  écrite  en  vers  allemands 
par  Ratpert,  XII,  700. 

EKKEHARD,  abbé  de  Saint-Laurent  d'U- 
rangen.  Voyez  Eccard. 

ELAPHE  fait  bâtir  une  église  en  Rouergue. 
Il  y  a  lieu  de  croire  qu'il  en  fut  ensuite 
évêque,  X,  382. 

ELBERT,  évêque  d'York,  succède  à  Eg-        m. 
bert.  Sa  mort,  XIII,  165. 

ELCANA  et  Anne,  mère  de  Samuel.  Ho-     m  siée 
méhe  de  saint  Hippolyte  sur  ce   sujet,  II, 
617,  618. 

ELCESAITES,  hérétiques  réfutés  par  Ori- 
gène,  II,  137. 

[ÉLÉAZAR  fiançais,  qui  de  chrétien  s'était 
fait  juif,  XII,  522.  Alvar,  prêtre  de  Cor- 
doue,  lui  écrit  quatre  lettres,  522  et  523.] 


TABLE  GÉNÉRALE 

ÉLECTION  :  Election  divine.  Doctrine  de 
saint  Clément,  I,  341,  343,  360.  Election  des 
apôtres.  Doctrine  de  Clément  d'Alexandrie, 
602.  —  Élection  des  évêques.  Constitutions 
apostoliques,  II,  391,  592.  Election  des  prê- 
tres, 593.  —  Élection  des  prêtres  et  des 
évêques.  Canons  douzième  et  treizième  du 
concile  de  Laodicée,  III,  510.  —  Canons  de 
plusieurs  conciles  de  quelques  villes  d'Afri- 
que sur  l'élection  des  évêques,  VIII,  361. 
Forme  prescrite  par  le  deuxième  concile 
d'Arles,  613.  —  Dispositions  de  ce  concile, 
X,  708.  —  Acte  de  l'élection  du  prêtre  Héra- 
clius  pour  succéder  à  saint  Augustin,  IX, 
174.  —  Concile  de  Rome,  dont  les  décrets 
défendent  toute  brigue  pour  parvenir  au 
souverain  pontificat,  X,  726.  Autre  concile 
de  Rome  qui  infirme  le  statut  du  préfet  Ba- 
sile, par  lequel  il  était  défendu  d'élire  l'évê. 
que  de  Rome  sans  le  consentement  du  roi 
d'Italie,  728,  229.  —  Comment  l'élection  des 
évêques  se  faisait  en  France  au  temps  de 
saint  Grégoire  de  Tours,  XI,  391.  Elle  devait 
être  confirmée  par  le  roi  qui  souvent  la  cas- 
sait, 391  et  suiv.  Formules  de  Marculfe 
touchant  l'élection  des  évêques,  740.  [De 
la  liberté  de  l'élection,  titre  d'une  lettre 
de  saint  Adellime,  évêque  de  Cantorbéry, 
807.]  Concile  tenu  à  Rome  pour  réformer  les 
abus  qui  s'étaient  introduits  dans  l'élection 
des  papes  et  des  évêques,  987.  Décrets  du 
cinquième  concile  de  Paris  sur  les  élections 
des  évêques,  912,  913.  —  Traité  de  l'élec- 
tion des  évêques,  par  Florus,  diacre  de 
l'Église  de  Lyon,  XII,  479,  480.  Éditions 
qu'on  en  a  faites,  480.  [Note  sur  l'élection 
des  papes,  479,  note  3.]  Décision  du  pape 
saint  Nicolas  I"  sur  l'élection  des  évêques, 
381.  Témoignage  d'Hincmar  de  Reims  sur  la 
liberté  des  élections,  668,  669.  —  [Élection 
des  évêques  au  x"  siècle,  XIII,  114,  113. 
Leur  élection  en  France  au  xix%  113.]  Dis- 
positions d'un  concile  de  Rome  sur  l'élec- 
tion du  pape,  243.  Témoignage  de  saint  An- 
selme de  Lucques  sur  les  élections  des  évê- 
ques, 393,  394.  —  Novelle  d'Alexis  Com- 
nène  touchant  les  élections  des  évêques, 
XIV,  141.  Canon  du  troisième  concile  géné- 
ral de  Latran  sur  les  élections  des  évêques, 
1140.  Canon  du  quatrième  concile  général 
de  La  Iran  concernant  les  élections  des  évê- 
ques, 1167. 

ÉLECTION  des  rois  goths  en  Espagne. 
Règlement  sur  ce  sujet  fait  au  huitième  con- 
cile de  Tolède,  XII,  320. 


DES  MATIÈRES.  351 

ÉLECTIONS  dans"  un  État,  selon  Abbon 
de  Fleury,  XIII,  23. 

ÉLÉMENTS.  Traité  de  l'Altération  que  les 
éléments  causent  sur  le  corps  et  sur  l'âme, 
ouvrage  de  Siméon  le  Jeune,  abbé  de  Saint- 
Mamas,  à  Constantinople,  XIII,  228. 

ÉLÉONORE,  reine  de  France,  épouse  de 
Louis  le  Jeune;  elle  en  est  séparée.  Elle 
épouse  Henri  Plantagenet,  duc  de  Norman- 
die, depuis  roi  d'Angleterre,  XIV,  1123.  [Elle 
écrit  au  pape  Gélestin  III,  946.] 

ÉLESBAAN,  roi  d'Auxume,  atlaque  le 
tyran  Dounoas,  gouverneur  des  Homérites, 
le  fait  prisonnier  et  lui  ôte  la  vie,  X,  649 
et  186. 

ÉLEDCHADIE  (Saint),  évêque  deRavenne. 
Sermon  de  saint  Pierre  Damien  en  son  hon- 
neur, XIII,  308. 

ÉLEUSINIDS,  envoyé  à  saint  Basile  par 
Eustathe  de  Sébaste,  IV,  444. 

ÉLEUSINIUS,  diacre  du  monastère  d'Eu- 
tychès,  appelé  au  concile  de  Constantinople, 
X,  672;  député  par  son  abbé  à  une  autre 
assemblée,  674. 

ELEUSIPPE  (Saint),  martyr,  I,  473,  et 
XIII, 

ÉLEUSIUS,  évêque  de  Cyzique,  déposé 
au  concile  de  Constantinople  en  361,  V,  378  ; 
il  assiste  au  concile  de  Constantinople  en 
381.  —  Il  fut  persécuté  par  Julien  l'Apostat, 
VI,  332. 

ÉLEUSIUS,  donatiste.  Lettre  de  saint  Au- 
gustin à  Éleusius  et  à  quelques  antres  dona- 
tistes,  IX,  79.  Autres  lettres  de  saint  Au- 
gustin aux  mêmes,  80. 

ÉLEUTHÈRE  (Saint),  pape.  Décrétale  qui 
lui  est  faussement  attribuée,  VI,  83.  — Saint 
Éleuthère  apparaît  à  Probus,  évêque  de 
Riéti,  XI,  478. 

ÉLEUTHÈRE  (Saint),  évêque  de  Tournai. 
(On  lui  attribue  quelques  écrits.  Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  m,  p.  133  et  suiv.) 

ÉLEUTHÈRE,  évêque,  à  qui  Sidoine  Apol- 
linaire recommande  un  Juif,  X,  390. 

ÉLEUTHÈRE,  évêque,  à  qui  est  adressée 
une  lettre  du  pape  Pelage  I,  XI,  333. 

ÉLÉVATION  de  l'Hostie  aussitôt  après  la 
consécration.  L'usage  ne  s'en  est  établi  qu'au 
XI"  siècle,  à  l'occasion  de  l'hérésie  de  Bé- 
renger,  XIH,  175. 

ELFÉGE  (Saint),  d'abord  abbé  de  Bath, 
est  fait  évêque  de  Winchester,  XIII,  60,  61. 
Il  est  transféré  sur  le  siège  de  Cantorbéry 
où  il  succède  à  saint  Alfric.  Il  est  tué  par 


II  sièole. 


V.  398. 


1000. 
1012. 


352 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


les  Danois  qui  ravageaient  l'Angleterre.  Sa 
Vie  par  Osberne,  61,  retouchée  par  Lan- 
franc,  437.  [Reproduction  de  cette  Vie  dans 
la  Pairologie,  61.]  Scrupules  que  Lanfranc 
avait  sur  le  culte  qu'on  lui  rendait,  levés  par 
saint  Anselme,  457.  —  Il  est  honoré  des 
Anglais  comme  martyr,  XIV,  2. 

ELFIE  [et  non  ELRIC  comme  on  l'a  im- 
primé], archevêque  de  Cantorbéry  (peut- 
être  le  même  que  le  précédent).  Ses  règle- 
ments ecclésiastiques,  XIV,  1054. 

ÉLIACIM,  grand  prêtre  des  Juifs,  n'est 
pas  auteur  du  livre  de  Judith,  mais  il  est 
possible  qu'il  ait  laissé  des  mémoires  qui 
servirent  à  le  composer,  I,  104. 

ÉLIE,  prophète.  Ecrits  qui  lui  sont  attri- 
IV  siècle,     bues,  I,  267  et  286.  —  Poëme  de  saint  Gré- 
goire de  Nazianze   des  Miracles  d'Elie   et 
390.        d'Elisée^  V,  291.  Livre  d'Ehe  et  da  jeûne  : 
iv  siècle.     Ouvrage  de  saint  Ambroise,  413,  414.  Ou- 
vrage perdu  du  même  sur  EUe,  314,  —  Té- 
moignage de  saint  Ephi'em  sur  Elle,  VI,  52. 
—  Homélie  de  saint  Jean  Chrysostôme  sur 
Elie  et  la  veuve  de  Sarepta,  VII,  115.  Opus- 
cule faussement  attribué  à  saint  Jean  Chry- 
sostôme sur  Marthe,  Marie  et  Lazare,  et  sur 
IV         Ehe,  312.  —  Sermon  de  saint  Augustin  sur 
ou  V  siècles.  Elie  et  la  veuve  de  Sarepta,  IX,  236.  —  Té- 
moignages du  même  sur  Elie,  186,  187,  615 
et  617.  -    Témoignages  de  Théodoret,  X, 
33  et  87.  —  Discours  de  Basile  de  Séleucie 
sur  Elie,   163.  Discours  de   saint  Césaire 
d'Arles,  XI,  132.  —  Discours  de  l'empereur 
Léon  VI,  Xn,  775. 
3„8.  ÉLIE  (Saint),   martyr  de  Palestine,  III, 

U. 
309.  ÉLIE  (Saint),  autre  martyr  de  Palestine, 

III,  12. 

309.  ÉLIE  (Saint),  prêtre,  encore  un  autre  mar- 

tyr de  Palestine,  III,  13. 

320.  ÉLIE  (Saint),  du  nombre  des  quarante 

martyrs,  III,  83. 

372.  ÉLIE,  gouverneur  de  la  Cappadoce.  Let- 

tres que  lui  écrivit  saint  Basile  le  Grand, 

IV,  443  et  447.  Lettre  que  saint  Basile  écrit 
en  sa  faveur,  448. 

ÉLIE,  solitaire  d'Egypte,  visité  par  saint 
Pétrone,  X,  160. 

ÉLIE,  abbé  de  Constantinople.  Saint  Léon 
lui  écrit,  X,  217. 
V.  512.  ÉLIE,  évêque  de  Jérusalem,  s'unit  à  Ma- 

cédonius,  patriarche  de  Constiintinople,  X, 
488.  Chassé  de  son  siège  pour  s'être  opposé 
aux  volontés  de  l'empereur  Anastase  au 
faux  concile  de  Sidon;  l'ordre  révoqué  à  la 


prière  de  saint  Sabas,  730.  Il  est  ensuite  dé- 
posé pour  s'être  réuni  un  des  premiers  à 
l'Église  romaine  ;  le  pape  s'intéresse  à  son 
rétablissement,  623  et  631,  [C'est  par  erreur 
que  l'auteur  a  fait  Elie  archevêque  de  Cé- 
sarée,  à  la  page  623.]  —  L'histoire  de  ce 
patriarche  se  trouve  dans  la  Vie  de  saint  Sa- 
bas, XI,  275  et  suiv. 

ÉLIE,  patriarche  d'Aquilée.  Lettres  que     vi  si4ci 
le  pape  Pelage  II  lui  écrit,  et  aux  évêques 
d'Istrie,  au  sujet  de  leur  opposition  à  la 
condamnation  des  Trois-Chapitres,  XI,  333 
et  suiv. 

ÉLIE,  métropolitain  de  l'île  de  Crète.  Son 
commentaire  sur  l'Échelle  sainte  de  saint 
Climaque  ;  il  n'a  pas  encore  été  imprimé  ; 
bibliothèques  où  il  se  trouve  manuscrit,  XI, 
691. 

ÉLIE,  évêque  des  Jacobites.  Sa  lettre  à 
Léon,  évêque  de  Gharras,  XII,  100. 

[ÉLIE ,  évêque  des  Jacobites  à   Gassou-     xii  siée 
nium,   confère  avec  Théorien,   XIV,    640, 
641.] 

ÉLIE,  député  du  patriarche  de  Jérusalem.        sra. 
Ses  discours  au  quatrième  concile  général 
de  Constantinople,  XIII,  704. 

[ÉLIE  DE  COXIDE,  abbé  de  Dunes.  Sa 
vie  ;  ses  écrits,  XIV,  839.  Nous  n'avons  que 
deux  de  ses  sermons  ;  analyse  de  ces  ser- 
mons, 859  et  860.] 

[ÉLIE  ECDICUS  le  Petit,  défenseur  de  H2i, 
l'Église  de  Crète.  On  a  de  lui  l'Anthologie 
gnomique,  ou  des  sentences  des  pieux  phi- 
losophes, et  des  sentences  gnostiques  ou 
spirituelles.  Ces  écrits  sont  reproduits  au  t. 
CXXVII  de  la  Patrologie  grecque.] 

ÉLIEN,  païen,  confère  avec  saint  Grégoire 
le  Thaumaturge,  II,  442. 

ÉLIEN  et  AMAND.  Leur  révolte  dans  les 
Gaules,  H,  473. 

ÉLIEN,  porte  à  saint  Basile  des  lettres  de 
saint  Amphiloque,  IV,  472. 

ÉLIEN,  proconsul  d'Afrique,  juge  l'affaire 
de  Féhx  d'Aptonge,  V,  112. 

ÉLIÉZER,  serviteur  d'Abraham.  Senti- 
ment de  Photius  sur  le  serment  qu'Abraham 
exigea  d'Ehézer,  XH,  726.  —  Homélie  de 
Godefroi,  abbé  des  Monts,  sur  la  députation 
d'Eliézer  pour  le  mariage  d'isaac,  XIV, 
588. 

ÉLION,  abbaye  en  Alsace.  Bulle  du  pape 
saint  Léon  IX  pour  cette  abbaye,  XIII, 
209. 

ÉLIPAND,  évoque  de  Tolède,  disciple  de 
Félix  d'Urgel,  adopte  son  erreur  sur  la  di- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


353 


siècle. 


519. 


vinité  de  Jésus-Christ  ;  il  écrit  pour  la  dé- 
fendre ;  cet  écrit  est  lu  au  concile  de  Franc- 
fort et  réfuté  par  une  lettre  synodique,  XII, 
136.  Son  erreur  condamnée  dans  plusieurs 
conciles  est  réfutée  par  saint  Paulin,  pa- 
triarche d'Aquilée,  IS7,  158.  11  continue  de 
répandre  son  erreur  et  Alcuin  la  combat 
dans  sept  livres  contre  Félix  d'Urgel,  178 
et  suiv.  Lettre  que  lui  écrit  Alcuin  pour  le 
ramener  à  la  foi  calliolique  ;  réponse  d'Eli- 
pand,  182.  Quatre  livres  d'Alcuin  contre  les 
erreurs  d'Elipand,  182  et  183.  Lettre  d'Eli- 
pand  à  Félix  d^Urgel,  183,  184.  Sa  lettre  à 
l'abbé  Fidèle  contre  Béatus  et  Ethérins  qui 
s'opposaient  à  ses  erreurs  ;  réponse  de  ces 
derniers  dans  un  écrit  où  ils  réfutent  ses 
erreurs,  214.  Ses  erreurs  sont  condamnées 
au  concile  de  Francfort,  216  el  225.  Il  les 
rétracte  dans  un  concile  qu'il  avait  assem- 
blé à  Tolède,  216,  217.  Sa  lettre  à  Charle- 
magne  qui  contenait  ses  erreurs,  243.  Ré- 
ponse de  Charlemagne  adressée  aux  évê- 
ques  d'Kspagne;  les  erreurs  d'Elipand  y 
sont  réfutées,  243,  244.  —  Ses  erreurs  sont 
réfutées  au  concile  de  Francfort,  XTII,  634 
et  suiv. 

ÉLIPHE  ou  ÉLOPHE  (Saint),  martyr  dans 
le  diocèse  de  Toul,  III,  413.  Sa  Vie  mise  en 
meilleur  style  par  Rupert,  abbé  de  Tuy, 
XIV,  285. 

ELISABETH  (Sainte),  mère  de  saint  Jean 
Baptiste.  Saint  Ambroise  croyait  qu'elle 
était  de  la  tribu  de  Juda,  V,  528. 

ELISABETH,  religieuse  de  Schonauge. 
Sa  naissance  ;  ce  qu'on  sait  des  circonstan- 
ces de  sa  vie.  Ses  révélalions.  Sa  mort.  Ce 
que  contiennent  ses  révélations,  XIV,  598. 
Ses  lettres,  593  et  598,  599.  Éditions  qu'on 
a  faites  de  ses  écrits,  598,  599.  Sa  Vie  par 
son  frère  Lebert,  598. 

ÉLISAGAR ,  chancelier  de  l'empereur 
Louis  le  Débonnaire,  XII,  345,  346. 

ELISÉE,  prophète.  Poëme  de  saint  Gré- 
goire de  Nazianze  sur  les  miracles  d'Elie  et 
d'Elisée,  V,  291.  —  Discours  de  Basile 
de  Séleucie  sur  Elisée,  X,  165.  Deux  homé- 
lies de  saint  Maxime  de  Turin  sur  Elisée, 
323.  —  Quatre  discours  de  saint  Césaire 
d'Arles,  XI,  132. 

ELISÉE,  moine  syrien,  supplée  à  un  des 
cahiers  de  la  Chronique  de  Josué  Styhte, 
qui  s'était  égaré,  X,  5  3. 

ÉLISSÉE,  condamné  à  rentrer  dans  l'es- 
clavage pour  désobéissance  à  son  évêque 
qui  lui  avait  donné  la  liberté,  XI,  91.t. 

TAB.  ]. 


ELLÉBICHUS,  ofHcier  d'armée  à  qui  saint     iv  sièci» 
Grégoire  de  Nazianze  écrit,  V,  264.  —  De- 
venu général  de  cavalerie  et  d'infaolerie  il 
est  envoyé  à  Antioche  au  temps  de  la  sédi- 
tion, VIT,  65  et  69, 

ELLIES  DU  PIN  (Louis).  Voyez  du 
Pin. 

ELLINGER,  abbé  de  Tegernsée  en  Ba- 
vière. Sa  lettre  au  moine  Fromond,  XIII, 
98. 

ELMENHORSTIUS  (Geverhart).  Ses  notes 
sur  le  Dialogue  de  Minutius  Félix,  I,  557;  — 
sur  Arnobe,  II,  493.  —  Son  édition  des  œu- 
vres de  saint  Sidoine  Apollinaire,  X,  399. 

ELNE,  ville  du  Roussillon.  Concile  tenu 
près  de  cette  ville  ;  on  y  donne  rang  à  l'é- 
vèque  d'Elne  après  l'archevêque  de  Nar- 
bonne,  XIII,  748.  Autre  concile  tenu  en 
cette  ville,  XIV,  1053,  1061,  1064.  Dédicace 
de  l'église  de  celte  ville,  1061. 

ÉLOI  (Saint),  évêque  de  Noyon.  Sa  nais-  sgg. 
sance  ;  il  travaille  d'abord  à  la  monnaie  de 
Limoges,  puis  il  devient  monétaire  de  Clo- 
taire  II  ;  le  roi  Dagobert  l'envoie  demander  y.  633. 
satisfaction  à  Judicaël,  prince  de  Bretagne, 
dont  les  sujets  avaient  fait  des  courses  sur 
les  frontières  du  royaume.  Son  application 
à  la  lecture,  à  la  prière  et  à  l'aumône,  XI, 

753.  Il  fonde  deux  monastères  :  l'un  à  Soli- 
gnac,  près  Limoges,  l'autre  à  Paris,  753  et 

754.  Il  est  fait  évêque  de  Noyon  ;  sa  mort,      64o,  659. 

754.  Idée  que  l'auteur  de  sa  Vie  donne  des 
discours  qu'il  faisait  à  ses  peuples,  754  et 

755.  Homélies  qu'on  lui  a  faussement  attri- 
buées; sa  lettre  à  saint  Didier,  évêque  de 
Cahors,  755.  Charte  qu'il  fit  dresser  pour  la 
fondation  du  monastère  de  Solignac,  755  et 

756.  Sa  Vie  par  saint  Ouen,  archevêque  de 
Rouen,  756.  [Édition  des  écrits  de  saint 
Eloi  dans  la  Patrologie,  757.  Exhortation  à 
un  jeune  roi,  publiée  par  Maï,  sous  le  nom 
de  saint  Eloi,  757.  Analyse  de  cet  écrit,  757 
et  suiv.  Autres  écrits  de  saint.Eloi,  760.]  Mo- 
nastère de  filles  fondé  à  Paris  par  saint  Eloi, 
754.  —  Poëme  de  saint  Angilbert  en  l'hon- 
neur de  saint  Eloi,  XII,  220.  Sa  Vie  dont  les 
exemplaires  étaient  devenus  rares,  copiée 
par  ordre  d'Amblard,  abbé  de  Solignac, 
911.  (Voyez  son  article  dans  V Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  III,  p.  505  et  suiv.) 

ÉLOQUENCE  de  l'Écriture  sainte.  Éloge 
qu'en  fait  Cassiodore,  XI,  225.  —  Éloquence 
que  l'on  admire  dans  un  discours  de  saint 
Grégoire  le  Thaumaturge,  II,  439. 

ELPIDIFORE,  apostat,  tourmente  les  ca- 

23 


334 


HISTOIRE   DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


360. 


371. 


375. 


tholiques  en  Afrique.  Reproches  que  lui  fait 
le  diacre  Muritta,  X,  460. 

ELPIDIUS,  rliéteur  espagnol,  maître  de 
Priscillien,  IV,  GVi. 

ELPIDIUS,  évêque  de  Satales,  déposé  au 
concile  de  Constantinople  en  360 ,  IV, 
618. 

ELPIDIUS,  prêtre  d'Antioche ,  au  concile 
de  Constantinople  en  381,  IV,  618. 

ELPIDIUS,  assesseur  du  gouverneur  de 
la  Cappadoce.  Lettre  de  saint  Basile  le  Grand 
pour  cet  officier,  IV,  444. 

ELPIDIUS,  évêque  d'une  ville  maritime. 
Lettre  que  saint  Basile  le  Grand  lui  écrit, 
et  aux  autres  évêques  maritimes,  IV, 
469. 

ELPIDIUS,  évêque  excommunié  par  Eus- 
tathe  de  Sébaste,  IV,  481. 

ELPIDIUS,  diacre  par  qui  saint  Basile 
écrit  aux  évêques  d'Egypte  exilés,  IV,  483. 

ELPIDIUS,  évêque  de  Laodicée,  défend 
saint  Jean  Chrysostôme  contre  ses  ennemis, 
VII,  8.  Dépouillé  de  son  église,  il  y  est  réta- 
bli, 316. 

ELPIDIUS  (ELPIDE  en  français).  L'empe- 
reur Tliéodose  voulait  marier  Olympiade 
avec  lui,  VII,  129. 

ELPIDIUS,  prêtre,  travaillant  à  la  conver- 
sion des  infldèles  du  Monl-Aman,  VII,  133. 

ELPIDIUS,  abbé  en  Cappadoce,  IV,  484. 

ELPIDIUS,  arien.  Lettre  que  lui  écrivit 
saint  Augustin,  IX,  186,  187. 

ELPIDIUS,  comte  du  consistoire,  envoyé 
par  l'empereur  Théodose  le  Jeune  au  faux 
concile  d'Éphèse  ;  conduite  qu'il  y  tint,  X, 
675  et  suiv. 

ELPIDIUS  (Rusticus),  diacre  de  lÉglise 
de  Lyon.  Ses  connaissances  dans  la  médecine 
lui  concilient  l'estime  du  roi  Théodoric  qui 
l'attire  à  sa  cour  ;  il  embellit  la  ville  de  Spo- 
lète;  ses  liaisons  avec  saint  Ennode  de  Pa- 
vie  et  saint  Avite  de  Vienne;  lettres  qu'il  en 
reçoit,  XI,  99.  Ses  deux  poëmes  en  vers 
hexamètres;  ce  qu'ils  contiennent;  éditions 
qu'on  en  a  faites,  99  et  100.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  m,  p.  163  et  suiv.) 

ELPIDIUS,  évêque,  auteur  d'un  écrit 
qu'on  ne  connaît  plus^  XI,  263. 

ELPIS,  première  femme  du  philosophe 
Boëce;  sa  mort,  X,  643.  On  lui  attribue  des 
hymnes  pour  la  fête  de  saint  Pierre  et  saint 
Paul,  643,  et  XII,  162. 

ELTUT  (Saint),  abbé  au  pays  de  Galles. 
Voyez  saint  Hildut. 


ELUCIDARIUM,  ouvrage  faussement  at- 
tribué à  saint  Anselme,  archevêque  de  Can- 
torbéry;  on  n'en  connaît  point  l'auteur  ;  ce 
que  c'est  que  cet  ouvrage,  XIV,  34.  Éditions 
qu'on  en  a  faites,  33.  [Cet  ouvrage  a  été 
composé  par  Honoré  d'Autun,  294.  Juge- 
ment sur  ce  livre,  294  et  293.  Traductions 
qu'on  en  a  faites,  295.] 

ÉLUS.  [Ce  qu'Origène  entend  par  élus, 
II,  p.  227.]  —  Sentiments  de  saint  Cyrille 
d'Alexandrie  sur  la  prière  de  Jésus-Christ 
pour  les  élus,  VIII,  332.  — Résolution  d'une 
question  de  la  condamnation  générale  de 
tous  les  hommes  par  Adam,  et  de  la  déli- 
vrance de  quelques  élus  par  Jésus-Christ, 
ouvrage  de  saint  Rémi,  archevêque  de 
Lyon,  XII,  617,  618.  Voyez  Prédestina- 
tion. 

ELVIRE,  ville  de  la  Bétique.  Concile  qui 
y  fut  tenu,  II,  602  et  suiv.  Canons  de  ce 
concile,  603  et  suiv. 

ELXAIj  chef  des  Samséens  ou  Sampséens, 
VI,  396. 

[EMBRICON,  évêque  de  Wirzbourg,  pro- 
nonce un  discours  aux  funérailles  de  saint 
Othon  de  Bambeig,  XIV,  182.] 

EMBRUN  en  Dauphiné,  ville  célèbre  au 
vi^  siècle  par  ses  fonts  baptismaux  miracu- 
leux, XI,  790. 

ÉMENON,  abbé  d'Aniane.  On  a  de  lui 
quelques  lettres.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France ,  t.  VIII, 
p.  313  et  suiv.) 

ÉMÉRITE  (Saint),  lecteur,  martyr  de  Car- 
thage,  III,  20.  Sa  confession.  22. 

ÉMÉRITE,  évêque  donaliste.  Lettre  que 
lui  écrivit  saint  Augustin,  IX,  94.  Discours 
de  saint  Augustin  au  peuple  de  Césarée  de 
Mauritanie  en  présence  d'Emérite,  410,411. 
Conférence  de  saint  Augustin  avec  plusieurs 
évêques  en  présence  d'Emérite,  411,  412  et 
448. 

ÉMÉRITE,  nommé  évêque  d'Embrun  à 
la  place  de  Salone,  déposé  au  concile  de 
Chalon-sur-Saône,  XI,  894. 

ÉMÉRIUS,  évêque  de  Saintes,  déposé 
dans  un  concile  ;  pourquoi  ?  XI.  886.  Réta- 
bli par  ordre  du  roi  Charibert,  887. 

ÉMÈSE  en  Phénicie.  Paul  évêque  de  cette 
ville,  auteur  ecclésiastique,  VIII,  241  et 
suiv. 

EMILE,  évêque,  VIII,  86. 

EMILE,  père  de  saint  Rémi,  XI,  76. 

EMILIE,  province  d'Italie.  Lettre  de  saint 
Ambroise  aux  évêques  de  celte  province,  V, 


3U. 


579. 


Vslèi 


388. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


35S 


H06.       492.  —  Au  concile  de  Guastalle  la  province 
d'Emilie   est  distraite  de  l'archevêché  de 
Ravenne,  XIV,  1079.  —  Elle  lui  est  rendue 
1118.       par  le  pape  Gélase  II,  1090. 

ÉMILIEN  ,  gouverneur  d'Espagne ,   con- 
damne saint  Fructueux,  II,  387,  388. 
V siècle.         ÉMILIEN  (Saint),  martyr  à  Dorostore  en 
Thrace,  III,  402.  —  Témoignage  de  Théo- 
doret,  X,  46. 

ÉMILIEN,  évêque  de  Valence,  assiste  au 
concile  de  Valence,  IV,  600. 

ÉMILIEN  (Saint),  ermite  en  Auvergne.  Sa 
Vie  par  saint  Grégoire  de  Tours,  XI,  381. 

ÉMILIEN,  notaire,  l'un  de  ceux  qui  écri- 
virent les  homélies  de  saint  Grégoire  le 
Grand  sur  les  Évangiles,  XI,  330. 

ÉMILIEN  (Saint),  évêque  de  Verceil,  XI, 
728. 

ÉMILIEN  [ou  MILHAU]  (Saint),  solitaire 
en  Espagne,  fondateur  du  monastère  de 
Saint-Émilien-de-la-Cuculle,  au  diocèse  de 
Tarragone.  Sa  Vie  par  Braulion,  évêque  de 
Saragosse,  XI,  728  [et  729].  Hymne  en  son 
honneur  par  le  même,  728  [et  732.] 

ÉMINENCE,  titre  d'honneur  que  les  évê- 
ques  se  donnaient,  XI,  734. 

EMMANUEL,  abbé  de  Constantinople. 
Saint  Léon  lui  écrit,  X,  214,  217,  219. 
Isiècie.  EMMAUS,  ville  de  Palestine.  Noms  des 
disciples  d'Emmaûs ,  II ,  249.  —  Discours 
sur  les  disciples  qui  allaient  à  Emmaiis  faus- 
sement attribué  à  saint  Bernard,  XIV,  492. 

EMME ,   rehgieuse  du  diocèse  d'Arras, 
morte  recluse  dans  celui  de  Lyon,  XIII,  390. 
368.  EMMÉLIE  (Sainte),  mère  de  saint  Basile, 

IV,  349.  Sa  mort,  353.  —  Ce  qu'en  dit  saint 
Grégoire  de  Nazianze,  V,  300. 
r.  697.  EMMERAN  (Saint),  d'abord   évêque   de 

Poitiers,  puis  apôtre  de  la  Pannonie.  [Traité 
du  prêtre  Constant  sur  la  passion  ou  le  mar- 
tyre de  saint  Emmeran,  XII,  132]  —  Diffé- 
rents écrits  faits  à  sa  louange  par  Arnold  ou 
Arnolf,  prévôt  de  Saint-Emmeran  de  Ratis- 
bonne,  XIII,  94,  95  et  181.  Sa  Vie  par  Mé- 
ginfroid,  prévôt  de  Magdebourg,  93.  Dialo- 
gue sur  les  vertus  des  saints  qui  ont  été 
enterrés  dans  le  monastère  de  Saint-Emme- 
ran de  Ratisbonne,  94.  [Registre  des  cens, 
revenus  et  fruits  du  monastère  de  Saint- 
Emmeran,  93,  n.  3.] 

EMMON,  moine  de  Citoaux ,  auteur  d'un 

écrit.  (Voyez  ce  qui   est  dit  de  lui  dans 

l'Hidoire  littéraire  de  la  France,  tome  XII, 

p.  248.) 

l  siècle.        EMPEREURS.  Doctrine  de  Tertullien,  II, 


27  ;  —  de  saint  Ambroise,  V,  366.  —Parole 
de  saint  Théodore  Studite  sur  la  puissance 
des  empereurs,  XII,  299. 

EMPEREURS  d'Orient.  Suite  de  l'Histoire 
des  empereurs  d'Orient  par  Léon,  diacre  de 
Constantinople,  XII,  881.  —  Histoire  des 
empereurs  d'Orient, par  NicéphoreBryenne, 
XlV,  643.  Voyez  Histoire  byzantine. 

EMPEREURS  D'OCCIDENT.  [Pouvoir  des 
empereurs  de  Rome  par  Benoit,  moine  de 
Saint-André  de  Soracte,  XHI,  187.  C'était 
l'empereur  d'Occident  seulement  qui  était 
cbargé  de  protéger  et  de  défendre  l'élection 
des  papes,  241,  n.  3.  Le  pape  Nicolas  II  dé- 
clare que  la  confirmation  du  pape  par  l'em. 
pereur  d'Occident  est  un  privilège  personnel, 
244,  n.  1.  —  Honoré  d'Autun  dit  que  c'est 
au  pape  à  éhre  l'empereur  avec  le  consen- 
tement des  princes,  à  le  sacrer  et  à  le  cou- 
ronner. Liste  cbronologique  des  empereurs, 
par  Honoré  d'Autun,  XIV,  300.  Cet  ouvrage 
fait  suite  au  IV''  livre  de  la  Pliilosophie  du 
monde,  298.]  — Manière  dont  les  Allemands 
procédaient  à  l'élection  de  l'empereur  d'Oc- 
cident, Xni,  763. 

EMPIRE  des  Assyriens  dans  l'Orient  et 
des  Romains  dans  l'Occident,  IX,  316. 

EMPIRE.  Traité  du  Gouvernement  de  l'em- 
pire, ouvrage  de  l'empereur  Constantin  Por- 
phyrogénète.  Deux  livres  de  la  Disposition 
de  l'empire,  ouvrage  du  même,  XII,  811. 
—  Traité  de  la  Division  de  l'empire  et  du  sa. 
cerdoce,  par  Guénéric,  XIII,  413  et  414. 
Voyez  Puissance  temporelle. 

EMPOISONNEURS.  Canon  septième  qui 
les  concerne  dans  la  première  épître  cano- 
nique de  saint  Basile  le  Grand,  IV,  461.  Ca- 
non soixante-cinquième  dans  la  troisième 
épître  canonique  du  même,  474.  —  Canon 
du  concile  de  Lérida,  XI,  824. 

ENCENS.  Témoignage  des  Canons  apos- 
toliques sur  l'usage  de  l'encens  dans  les 
églises,  II,  580.  —  Témoignage  de  saint 
Éphrem,  VI,  69. 

ENCHANTEURS.  Loi  de  Constantius  con- 
tre eux,  VI,  364.  —  Enchantements  défen- 
dus par  le  pape  Grégoire  II,  XII,  26,  27. 

ENCHIRIDION  :  poëme  de  Prudence,  VHI, 
106.  —  Enchiridion  de  saint  Augustin  ou 
Maimel  à  Laurent,  IX,  258  et  suiv. 

ENGGLPE,  évêque  donatiste,  à  Rome, 
V,  106. 

ENGRÂTIDE  on  ENGRATIE  (Sainte), 
vierge  martyre,  III,  44. 

ENCRATITES,  hérétiques,    disciples    de 


374. 


375. 


357. 


30t. 


336 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Tatien.  Leurs  livres  apocryphes,  I,  274.  Leur 
doctrine,  501,  502.  —  Sentiment  de  saint 
IV  siècle.  Basile  sur  les  Encratites,  IV,  393,  394.  —  Ce 
que  saiot  Épiphane  dit  de  cette  secte,  VI, 
393,  394.  —  Témoignage  de  Théodoret  sur 
leurs  erreurs,  X,  130,  131. 

[ENCYCLOPÉDIE  ou  Anti-Claudianus , 
poëme  d'Alain  de  Lille,  XIV,  867  et  suiv. 
Analyse  de  cet  ouvrage,  867,  868.  Éditions 
et  ti'aductions  qu'on  en  a  faites,  869.] 

ENDÉLÉCHIUS  (Sévérus  Sanctus),  rhé- 
teur et  poëte  chrétien.  [Sa  naissance,  VI, 
331,  n.  7.]  SonÉglogue  intitulée  :  Delà  mort 
des  bœufs,  330,  331.  —  Témoignage  que  lui 
rend  saint  Paulin,  VIII,  70. 

ENDURCISSEMENT.  Ce  que  Théodoret 
dit  de  l'endurcissement  de  Pharaon  dans  ses 
Questions  sur  l'Exode,  X,  28.  —  Doctrine 
de  saint  Fulgence  sur  l'endurcissement  des 
méchants,  XI,  43.  Discours  de  saint  Césaire 
d'Arles  sur  l'endurcissement  de  Pharaon, 
131. 

ÉNÉE  DE  GAZE,  philosophe  chrétien, 
professeur  de  sciences  et  de  belles-lettres. 
Il  florissait  à  la  fin  du  y"  siècle,  X,  490.  Son 
Dialogue  sur  l'immortalité  de  l'âme  et  sur  la 
résurrection  des  corps.  Analyse  de  cet  ou- 
vrage, 490  et  suiv.  Différentes  éditions  qu'on 
en  a  faites,  492,  493.  [Autres  éditions,  493.] 
Son  témoignage  sur  les  martyrs  qui  eurent 
la  langue  coupée,  4.=)9.  [Lettres  d'Énée  de 
Gaze,  493,  n.  1.] 
853.  ENÉE,  évéque  de  Paris,  succède   à  Er- 

canrad,  XII,  600.  Saint  Prudence,  évéque 
de  Troyes,  exige,  pour  consentir  à  son  or- 
dination, qu'il  signe  quatre  articles  sur  la 
grâce  et  la  prédeslination,  498.  Son  élection 
notifiée.  Témoignages  avantageux  qu'on  lui 
rend,  503.  11  fait  la  cérémonie  de  la  trans- 
lation des  reliques  de  saint  Maur,  600.  Ana- 
lyse de  son  traité  contre  les  Grecs,  600  et 
601.  [Éditions  de  ce  traité,  601.]  Ses  autres 
870,  écrits.  Sa  mort.  Ingelwin  lui  succède,  601 . 
—  Son  témoignage  sur  Vigile  de  Tapse,  X, 
472.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  V,  p.  386  et  suiv.) 

ÉNERGUMÈNES.  Canon  apostolique 
IV  siècle,  soixante-dix-neuvième,  II,  587.  Constitutions 
apostoMques,  596.  Canon  vingt-neuvième  du 
concile  d'Elvire,  608.  Canon  trente-septième 
du  même,  6C8  et  609.  —  Les  énergumènes 
n'osent  aporocher  du  tombeau  de  saint  Ju- 
lien, martyr,  lil,  88.  —Prière  pour  les  éner- 
gumènes dans  la  Liturgie,  Vil,  410.  Canon 
416.        sixième  dans  la  leltre  du  pape  saint  Inno- 


cent à  Décentius,  évéque  d'Eugubio,  520. 
Canons  quatre-vingt-dixième,  quatre-vingt-  3B8. 
onzième  et  quatre-vingt-douzième  du  qua- 
trième concile  deCarthage,  732.  —  Disposi- 
tions du  concile  d'Orange,  VIII,  608  et  609.  — 
Discours  de  saint  Césaire  d'Arles  à  l'occasion  «i. 
d'un  énergumène,  XI,  143. — Règlement 
d'Atton  de  Verceil,  XII,  822. 

ÉNERVIN,  prévôt  de  Sfentfel,  auteur  d'un    xii  siècle, 
traité    contre   les   hérétiques    de    Cologne. 
(Voyez  Du  Pin.) 

ENFANCE.  Traité  de  ceux  qui  meurent     IV  siècle. 
dans  l'enfance,  ouvrage  de  saint  Grégoire 
de  Nysse,  VI,  98.  Voyez  Enfants. 

ENFANTEMENT.  Ses  douleurs   sont  une  . 

peine  du  péché,  IX,  557.  j 

ENFANTEMENT  DE  LA  SAINTE  VIERGE.  ' 

Traité  sur  ce  sujet  :  ouvrage  de  Ratramne,  ï 

moine  de  Corbie,  XII,  562,  563.  Traité  de  i' 

saint  Paschase  Radbert  contre  celui  de  Ra-  3 

tramne,  345  et  suiv.  Réplique  de  Ratramne.  j 

Elle  est  perdue,  368.  ^ 

ENFANTS.  Nom  qu'on  leur  donnait, 
II,  406.  Ils  assistaient  à  la  célébration  des 
saints  mystères,  596.  —  Témoignage  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  les  devoirs 
des  enfants  envers  leurs  pères  et  mères,  V, 
283.  Témoignage  de  saint  Arabroise,  396  et 
412.  [État  futur  des  enfants,  d'après  Didyme 
l'Aveugle,  622.]  —  Loi  de  Théodose  qui  rend 
la  liberté  aux  enfants  vendus  par  leurs  pères, 
VI,  371.  Erreur  d'Hiérax,  touchant  les  en- 
fants morts  avant  l'âge  déraison,  combattue 
par  saint  Épiphane,  404.  [Canons  funèbres 
de  saint  Éphrem  pour  les  enfants,  517,  318.] 
—  Témoignage  de  saint  Chrysostôme.  tou- 
chant les  enfants,  VII,  91,  169,  318,  430;  de 
saint  Jérôme,  561;  —  de  saint  Augustin, 
IX,  27,  54,  103,  157,  419,  434,  470,  306, 
510,  659  et  suiv.,  662;  —  du  pape  saint  Gé- 
lase,  X,  499,  500.  Selon  Isaac  l'Ancien,  les 
enfants  doivent  être  baptisés  aussitôt  après 
leur  naissance  et  ne  doivent  point,  avant 
leur  baptême,  sucer  le  lait  de  leur  mère 
baptisée,  579.  —  [Sentiment  de  saint  Gré- 
goire d'Agrigente  sur  les  enfants  morts  sans 
baptême,  XI,  389.]  —  De  la  révérence  que 
les  enfants  doivent  à  leurs  pères,  les  sujets 
à  leurs  rois  :  ouvrage  de  Raban  Maur,  XII, 
463.  —  Réponse  de  Lanfranc  aux  évêques 
d'Hibernie  qui  lui  avaient  demandé  si  l'Eu- 
charistie était  nécessaire  aux  enfants  sous 
peine  de  salut,  XIII,  434,  437.  —  Coutume 
barbare  des  Poraéraniens  de  tuer  leurs  en- 
fants, XIV,  179.   Lettre  dans  laquelle  Thi- 


I 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


337 


baud  d'Étampes  prouve  que  les  enfants 
morts  sans  baptême  ne  peuvent  être  sau- 
vés, 189.  Sentiment  de  saint  Bernard  à  leur 
sujet,  488. 

ENFANTS  DES  HÉRÉTIQUES  reçus  dans 
l'Église  sans  délai,  vingt-deuxième  canon 
du  concile  d'Elvire,  II,  607. 

ENFANTS  DES  PAUVRES.  Loi  de  l'em- 
pereur Constantin  pour  la  nourriture  des 
enfants  des  pauvres,  III,  144. 

ENFANTS  EXPOSÉS.  Dispositions  du 
concile  de  Vaison  à  l'égard  des  enfants  ex- 
posés, III,  122  et  144.  —  Article  d'un  capi- 
talaire  de  Garloman,  XII,  229. 

ENFANTS  CONSACRÉS  A  DIEU  parleurs 
pères  et  mères,  V,  180  et  373.  —  Témoi- 
gnage de  Raban  Maur,  XII,  466,  467.  Ca- 
non du  dixième  concile  de  Tolède,  934. 

ENFANTS  OFFERTS  A  UN  MONASTÈRE. 
Comment  s'en  faisait  la  cérémonie,  XIII, 
451.  Comment  ils  étaient  élevés  à  Cluny, 
475.  —  Enfants  offerts  au  monastère  par 
leurs  parents.  L'usage  en  subsistait  encore 
au  xii'=  siècle,  XIV,  240  et  246.  Lettre  de 
Sibert,  prieur  de  Saint-Pantaléon,  à  Rodul- 
phe,  abbé  de  Saint-Tron,  au  sujet  d'un  en- 
fant offert  sans  dot.  Réponse  de  Rodulphe, 
240. 

ENFANTS  ÉLEVÉS  A  L'ÉPISCOPAT,  Ce 
qu'en  dit  Alton  de  Verceil,  XII,  822. 

ENFANTS  DES  CLERCS.  Canons  trei- 
zième, quatorzième  et  quinzième  du  concile 
d'Hippone,  VII,  713.  Canons  onzième,  dou- 
zième et  quatorzième  du  troisième  concile 
deCarthage,  720,  721. 

ENFANTS  DES  PRÊTRES.  Lettre  dans 
laquelle  Thibaud  d'Etampes  prouve  qu'ils  ne 
doivent  pas  être  exclus  des  ordres  sacrés, 
XIV,  189.  Canon  d'un  concile  de  Dalmatie 
qui  défend  ces  ordinations,  1145. 

ENFANTS  DE  DIEU,  Ce  que  signiBe  dans 
l'Écriture  l'expression  d'enfants  de  Dieu,  X, 
118. 

ENFER.  Doctrine  de  saint  Justin,  I,  440; 
de  Minucius  Félix,  326.  —  de  Tertullien,  II, 
83;  de  saint  Maxime,  martyr,  118;  de  saint 
Marcien,  martyr,  120;  d'Origène,  [136,  137], 
224,  287;  de  saint  Cyprien,  343,  331  ;  d'Ar- 
nobe,  492;  —  de  saint  Basile,  IV,  375;  — 
de  saint  Philastre,  V,  176;  de  saint  Am- 
broise,  374;  de  saint  Épbrem,  VI,  10,  53, 
67,  [313];  de  saint  Grégoire  de  Nysse,  249; 
de  saint  Épiphane,  430;  —  de  saint  Jean 
Chrysostôme,  VII,  16;  —  de  saint  Augustin, 
IX,  355,  357,  614,  617.  —  Pensée  du  moine 


Jobius  sur  la  descente  de  Jésus-Christ  aux 
enfers,  XI,  185.  Doctrine  du  pape  saint 
Grégoire  le  Grand  sur  l'enfer,  478,479,  .507, 
508.  Il  prouve  que  les  peines  en  sont  éter- 
nelles, 380,  381.  —  Sentiment  de  saint  Jean 
Damascène  sur  le  feu  de  l'enfer,  XII,  79. 
Erreurs  de  Jean  Scot  sur  l'enfer  réfutées  par 
Florus  de  Lyon,  489;  par  saint  Prudence  de 
Troyes,  497.  —  Prose  du  cardinal  Albéric 
sur  les  peines  de  l'enfer,  XIII,  494.  —  Traité 
du  Retour  des  dmes  de  l'enfer,  ouvrage  de 
Hugues  Étérien,  XIV,  637,  658. 

ENGELBERGE,  impératrice.  Deux  lettres 
que  lui  écrit  le  pape  Jean  VIII,  XII,  644. 
Elle  s'intéresse  pour  Anspert,  archevêque 
de  Milan,  646.  Elle  fonde  à  Plaisance  un 
monastère,  647. 

ENGELMODE,  évêque  de  Soissons.  Ce 
qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie,  XII, 
528.  Son  poëme  en  l'honneur  de  saint  Pas- 
chase  Radbert,  528  et  333.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  V,  p.  329  et  suiv.) 

ENGELTRUDE,  femme  de  Boson,  comte 
de  Lombardie.  Voyez  Ingeltrude. 

ENGRATIB  (Sainte).  Voyez  Sainte  Encra- 
tide. 

ENGUERRAN,  évêque  de  Metz.  Voyez 
Engelramne. 

ENGUERRAN,  ablé  de  Saint-Riquier.  Ce 
qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie,  XIII, 
111.  [Sa  notice  dans  la  Patrologie,  111,  n.  9.] 
Il  rétablit  les  études  dans  son  monastère  et 
y  fait  refleurir  les  lettres.  Sa  mort,  111.  Son 
épitaphe,  par  Gui,  archidiacre  d'Amiens, 
112  et  276.  Sa  Vie  écrite  aussitôt  après  sa 
mort  est  perdue,  mais  se  retrouve  en  grande 
partie  dans  la  Chronique  d'Hariulphe,  112. 
[Édition  de  cette  Vie  dans  la  Patrologie,  112.] 
Écrits  d'Enguerrand.  Sa  Vie  de  saint  Ri- 
quier,  112.  [Édition  de  cette  Vie  dans  la  Pa- 
trologie, 112.]  Autres  écrits  qu'on  lui  attri- 
bue, 112.  Vers  à  sa  louange  composés  par 
Gui,  276.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  delà  France,  t.  VII,  p.  331  et  suiv.) 

ÉNIGMES  de  saint  Adelme  de  Schirburn, 
XI,  805. 

ENNATHAS  (Sainte),  vierge,  martyre  de 
Palestine,  III,  10. 

ENNEMIS.  Témoignage  de  saint  Jean 
Chrysostôme  sur  l'avantage  qu'il  y  a  de  pré- 
venir ses  ennemis  par  des  devoirs  officieux, 
VII,  172.  —  [Deux  sei'mons  de  saint  Augus- 
tin sur  l'amour  des  ennemis,  IX,  841.] 

ENNODE  (Saint)  (Magnus Félix  Ennodus), 


879. 


861. 


IX  siècle. 


1045, 


308. 


V.  «3. 


358 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


évêque  de  Pavie  et  confesseur.  Sa  naissance, 
ses  études,  X,  369;  son  mariage;  sa  conver- 
V.  947.      sion.  Il  est  fuit  diacre.  Il  s'applique  à  l'étude 
des  sciences  ecclésiastiques,  570.  Il  compose 
l'apologie  du  pape  Symmaque,  570  et  630. 
Cette  apologie  est  lue  dans  un  concile  de  Ro- 
me. Ce  qu'elle  contient,  730,  731.  Il  prononce 
V.  510       le  panégyrique  du  roi  Théodoric,  570.  Il  de- 
vient évêque  de  Pavie,  570.  Ses  légations  en 
521.        Orient.  Sa  mort.  Ce  qui  lui  a  mérité  le  titre 
de  confesseur,  571.   Écrits   d'Ennode  :  ses 
lettres,  571  et  suiv.   Panégyrique  de  Théo- 
doric, 573.  Apologie  du   pape  Symmaque, 
571  et  574.  [D.  Ceillier  paraît  ici  confondre 
cette  apologie  avec  celle  qui  fut  composée 
par  Symmaque,  523.]  Vie  de  saint  Épiphane, 
évêque  de   Pavie,  574  et  373.  Vie  du  B. 
Antoine  de  Lérins.  Eucharisticon  d'Enuode. 
Exhortation  à  Ambroise  et  à  Béatus,   573. 
Ordonuance  touchant  les  clercs,  575  et  576. 
Acte   d'affranchissement.    Bénédictions    du 
cierge  pascal.  Dictions  ou  discours  de  saint 
Ennode,  576.  Ses  poésies,  576  et  577.  Juge- 
ment sur  les  écrits  d'Eunode,  377.  Éditions 
qu'on  en  a  faites,  577  et  578.  [Autres  éditions, 
578.]  Sa  Vie  écrite  par   lui-même,  375.  — 
Hymne  qu'il  composa  eu  l'honneur  de  sainte 
Euphémie,  III,  50. — Lettre  qu'il  écrit  à  Ma- 
xime de  Pavie  pour  le  pape  Symmaque,  X, 
523.  Autre  lettre  que  ce  pape  le  charge  d'é- 
crire  aux   évêques    d'Afrique    relégués   eu 
Sardaigne,  527.  Sa  lettre  à  Julien  Pomère, 
399.   Il  fut  député  par  le  pape  Hormisdas 
vers   l'empereur  Anastase  qui  avait  indiqué 
un  concile.  Instructions  qui  lui  sont  données 
ainsi  qu'à  ses  collègues,  613  et  suiv.  Son  re- 
tour, 615.  Il  est  député  une  seconde  fois  à 
Constautinople.  Lettres  et  instructions  dont 
il  est  chargé,   617,  618.  Autres  instructions 
qui  lui  sont  données  concernant  Jean,  évêque 
de  Nicopolis,  618,  619.  Lettre  qu'il  écrivit  à 
Boëce  pour  le  féliciter  de  son  élévation  au 
consulat,  648.  —  Jugement  qu'Arnould  de 
Lisieux  porte  de  ses  écrits,  XIV,  738. 

ÉiNOS,  fils  de  Seth.  Ecrits  supposés  sous 
son  nom,  I,  264. 

ENSEIGNEMENT.  Lettre  du  pape  Alexan- 
dre III  touchant  la  liberté  de  l'enseignement, 
XIV,  923.  —  Livre  des  enseignements  salu- 
taires :  ouvrage  faussement  attribué  à  saint 
Augustin,  IX,  287.  Doctrine  de  saint  Au- 
gustin sur  l'enseignement  divin,  529.  —  [De 
l'enseignement  de  l'homme  intérieur  :  ou- 
vrage de  Richard,  prieur  de  Saint-Victor, 
XIV,  703,  706.] 


ENTERREMENTS.  Les  Égyptiens  n'en- 
terraient pas  les  corps  des  saints.  Saint  An- 
toine blâme  cet  usage,  IV,  218.  Chant  des 
psaumes  à  l'enterrement  des  religieux  en 
Egypte,  233,  236.  —  Témoignage  de  saint 
Jérôme,  VII,  698. 

ENTHOUSIASTES,  nom  donné  aux  Mes- 
saliens,  IV,  643. 

ENTRÉE  des  Israélites  dans  la  terre  de 
Chanaan.  Discours  de  saint  Césaire  d'Arles 
sur  ce  sujet,  XI,  131,  132. 

ENTREZ  par  la  porte  étroite.  Homélie  de 
saint  Maxime  de  Turin  sur  ces  paroles  de 
Jésus-Christ,  X,  325. 

ENVIE.  Traité  de  saint  Cyprien  sur  l'en- 
vie et  la  jalousie,  II,  291,  292.  —  Homélie 
onzième  de  saint  Basile  le  Grand  sur  l'en- 
vie, IV,  384.  —  Envie  entre  les  clercs.  Ca- 
non cinquante-quatrième  du  quatrième  con- 
cile de  Carthage,  VII,  730.  —  Poëme  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze  contre  les  en- 
vieux, V,  289.  Autre  sur  le  même  sujet, 
295.  Pensée  de  saint  Ambroise  sur  l'envie 
imputée  aux  frères  de  Joseph,  411. 

ÉON  DE  L'ÉTOILE,  gentilhomme  breton. 
Ses  extravagances  condamnées  au  concile 
de  Reims.  On  le  fait  enfermer,  mais  ses  dis- 
ciples sont  livrés  au  bras  sécuher,  XIV,  608. 
Ses  erreurs  combattues  par  Hugues,  arche- 
vêque de  Rouen,  608  et  suiv. 

[ÉONS  de  Marcion,  réfutés  par  saint 
Éphrem,  VI,  453  et  460.] 

ÉONIUS  ou  iEONIUS,  évêque  d'Arles. 
Lettre  que  le  pape  saint  Gélase  lui  écrit 
pour  lui  faire  part  de  son  élévation,  X>  504. 
Éonius  réclame  contre  l'étendue  donnée  à 
la  juridiction  de  l'Église  de  Vienne  au  pré- 
judice de  sa  métropole,  523,  524,  523.  —  Il 
admet  saint  Césaire  dans  son  clergé  et  le 
désigne  comme  son  successeur,  XI,  123. 

ÉPACHIUS,  puni  miraculeusement  pour 
avoir  dit  la  messe  sans  être  à  jeiïn,  XI, 
374. 

ÉPANIA,  évêché  uni  à  celui  d'Héraclée, 
Vni,  591. 

ÉPAONE,  ville  que  l'on  croit  être  aujour- 
d'hui Yène,  dans  le  diocèse  de  Belley  (ou 
mieux  Albon  au  diocèse  de  Lyon).  Concile 
qui  se  tint  en  cette  ville  au  commencement 
du  VL°  siècle,  XI,  814.  Canons  de  ce  concile, 
814  et  suiv. 

ÉPAPHRODITES,  lecteur  et  notaire  d'Hel- 
lanique,  évêque  de  Rhodes,  député  à  Nes- 
torius  par  le  concile  d'Éphèse,  Vlll,  377. 
ÉPARCHIUS,  évêque  de  Clermont.  Temps 


517. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


339 


de  sa  mort.  Sidoine  Apollinaire  élu  pour  lui 
succéder,  X,  380. 

siècle.         ÉPERNAY,  ville  du  diocèse  de  Reims  en 
Champagne.  Foulques  de  Reims  y  bâtit  un 
châleau,  XII,  711.   —  Parlement  tenu  en 
cette  ville,  XIII,  676,  677 
't  siècle  ÉPHÈSE,   ville   d'Asie-Mineure.    Concile 

d'Ephèse  sur  la  fête  de  Pâques,  II,  S42  et 

401.        suiv.  —  Autre   concile  qai  y  fut  tenu,  VII, 

431.  745,  746.  —  Cette  ville  est  choisie  pour  y 
tenir  un  concile  général  contre  Nestorius, 
VIII,  137  et  260.  Concile  d'Éphèse,  troisième 
œcuménique,  S73  et  suiv.  —  Concile  tenu 
en  cette  ville  au  sujet  de  Bassien,  X,  666. 

449.  Faux  concile  tenu  en  faveur  d'Eutychès,  675 
et  suiv.  Lettre  de  saint  Léon  à  ce  concile, 
214. 

siècle       ,  ÉPHÉSIENS.   Épître  de    saint   Paul   aux 
[siècle.     Éphésiens,  I,  223  et  suiv.  ;  de  saint  Ignace, 
375. 

ÉPHÉSIUS  (ou  ÉPHÈSE),  évêque  lucifé- 
rien  à  Rome,  V,  153. 

ÉPHOD.  Ce  que  c'était  selon  Photius,  XII, 
729. 

ÉPHREM  (Saint),  diacre  d'Édesse ,  soli- 
taire et  docteur  de  l'Église,  VI,  1  et  suiv. 
Histoire  de  sa  vie.  Il  est  né  de  parents  pau- 
vres, mais  qui  avaient  confessé  la  foi  de  Jé- 
sus-Christ. Il  est  mis  en  prison  et  renvoyé 
absous,  1.  Il  se  retire  dans  un  monastère. 
Ses  austérités  ;  sa  douceur  ;  il  refuse  l'épis- 
copat  ;  son  amour  pour  les  livres  saints,  2. 
Il  va  de  Nisibe  à  Édesse  ;  il  est  fait  diacre 
d'Édesse  ;  ses  prédications  ;  son  zèle  contre 
les  païens  et  les  hérétiques  ;  il  fuit  le  mar- 
tyre; il  va  voir  saint  Basile  h  Césai-ée,  3. 

362.  Charité  de  saint  Éphrem  dans  une  année  de 
près  379.  famine  ;  sa  mort,  4.  Éloges  de  sa  vertu  ;  cir- 
constances particulières  de  la  vie  de  saint 
Éphrem  rapportéespar  les  Syriens,  et  que  les 
Grecs  n'ont  point  connues,  3.  Catalogue  de 
ses  écrits,  5  et  6.  Objections  des  protestants 
contre  les  écrits  de  saint  Éphrem,  6.  Ré- 
ponse à  ces  objections,  6  et  7.  Écrits  de 
saint  Éphrem,  7  et  suiv.  Écrits  renfermés 
dans  le  tome  I"  de  l'édition  de  Vossius,  7. 
Discours  sur  le  sacerdoce  ;  sur  le  mariage, 
8  ;  sur  la  punition  d  Hélie,  8  et  9  ;  sur  la 
manière  de  célébrer  les  jours  de  fêtes  ;  sur 
la  charité  envers  le  prochain  ;  sur  le  chant 
des  psaumes  ;  sur  la  prière  et  sur  l'amour 
des  pauvres,  9  ;  sur  le  jeûne,  9  et  10  ;  sur 
ces  paroles  de  saint  Matthieu  :  De  deux 
hommes  qui  seront  dans  un  champ  ;  sur 
différentes  demeures  du  ciel  ;   sur  la  de- 


meure des  bienheureux  ;  discours  sur  le 
psaume  soixante-douzième,  10.  Ode  sur 
ceux  qui  pèchent  et  font  pénitence  chaque 
jour,  10  et  11.  Discours  sur  les  vertus  et  sur 
les  vices,  11.  Maximes  de  piété,  11  et  12. 
Maximes  sur  la  vie  spirituelle,  12,  13.  Dis- 
cours sur  la  fuite  du  scandale  et  la  manière 
de  bien  vivre,  13  ;  sur  les  distractions  et  les 
mauvaises  pensées,  13  et  14.  Discours  inti- 
tulé :  De  la  crainte  de  l'esprit,  14.  Confes- 
sion de  saint  Ephrem,  14  et  13.  Exhortation 
à  la  piété  ;  autre  sur  le  même  sujet  et  ex- 
hortation aux  bonnes  œuvres,  15.  Discours 
sur  la  grâce,  13  et  16  ;  sur  la  foi  et  la  con- 
fiance en  Dieu  ;  sur  la  cause  des  tremble- 
ments de  terre  et  les  erreurs  des  Gentils, 
16;  sur  la  ruine  de  l'orgueil,  16  et  17  ;  sur 
l'humilité  ;  sur  la  médisance,  17  ;  sur  les  ris 
et  les  divertissements,  17  et  18;  sur  les 
jeux  et  les  divertissements,  18  ;  contre  les 
impudiques,  18  et  19  ;  sur  la  chute  d'un 
jeune  religieux  ;  sur  les  mauvaises  habi- 
tudes ;  contre  les  mauvaises  femmes,  19  ; 
sur  la  chasteté,  19  et  20  ;  des  passions  de 
l'âme,  20;  de  la  componction,  20  et  21  ;  sur 
la  pénitence,  21  ;  sur  la  patience,  21  et  22; 
sur  la  patience  et  la  componction;  sur  la 
patience  et  la  consommation  du  siècle,  22  ; 
sur  les  diverses  béatitudes,  22  et  23.  De- 
mandes et  réponses  sur  divers  sujets,  23  ; 
sur  le  jugement,  23  et  24  ;  sur  la  mort  ;  sur 
la  résurrection ,  24  ;  sur  la  consommation 
du  siècle  et  sur  l'Antéchrist,  24  et  25  ;  sur 
le  jugement  et  la  récompense,  23,  26.  La- 
mentations et  prières,  26.  Écrits  renfermés 
dans  le  tome  II,  26  et  suiv.  Vie  de  saint 
Éphrem  par  Métaphraste,  26.  Sentences  di- 
verses. Histoire  de  la  conversion  du  saint. 
Cantique  spirituel,  26  et  27.  Lettre  au  moine 
Jean  sur  la  vie  des  moines,  27,  28.  Exhor- 
tation à  la  vertu  ;  instruction  sur  la  piété  , 

28.  Discours  sur  la  vertu,  28  et  29  ;  sur  ces 
paroles  :    Soyez    attentifs    sur    vous-mêmes, 

29,  30.  Exhortations  aux  moines,  30  et  suiv. 
Maximes  de  piété,  34,  33.  Traité  des  Moines 
et  de  la  tourterelle  ;  de  la  Perfection  des 
moines,  33  ;  des  Armes  spirituelles,  33  et 
36;  du  Combat  spirituel;  discours  ascéti- 
que ;  du  Second  avènement  de  Jésus-Christ 
et  de  la  pénitence  ;  instructions  et  sentenses 
diverses  jointes  aux  œuvres  de  saint 
Éphrem,  36.  Écrits  renfermés  dans  le  t.  III, 
36  et  suiv.  Discours  ascétique  à  l'imita- 
tion des  Proverbes,  36,  37.  Autre  discours 
ascétique;  discours  sur  la  pénitence,  37; 


360 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


de  la   componction,  37  et  38.  Confession 
de  saint  Éplirem,  38.  Discours  sur  la  résur- 
rection générale,  38  et  39.  Prière  sous  le 
nom   de   saint  Éphrem,    39.    Discours   sur 
Noé,  Abraham^  Isaac  et  autres  patriarches, 
29.  [Voir  la  noie  2].  Homélies  sur  la  perle  de 
l'Évangile,  39,  30.  Discours  sur  ce  qu'il  ne 
faut  point  examiner  avec  trop  de  curiosité 
la  nature  du  Fils  de  Dieu,  -40,  41.  Discours 
sur  la  transfiguration,  41   [Voir  note  1]  ;  sur 
la  Passion  de  Jésus-Christ.  [Voir  note  2].  La- 
mentations de  la  sainte  Vierge,  41.  Discours 
sur  la  Croix  du  Seigneur,  41  et  42.  Quel- 
ques discours  faussement  attribués  à  saint 
Éphrem,  42.  Éloge  de  saint  Basile,  42;  des 
quarante  martyrs,  42  et  43  ;  des  martyrs  en 
général,  43.  Vie  de   saint   Abraham,  soli- 
taire et  de  sa  nièce,  43  et  suiv.  Vie  de  saint 
Julien,  anachorète,  43.  Trois  discours  sur 
les  saints  Pères  morts  en  paix,  45  et  suiv. 
Testament  de  saint  Éphrem  ;  cantiques  sur 
la  naissance  de  Jésus-Clirist  et  sur  l'adora- 
tion des  Mages,   47.   Ouvrages    de    saint 
Éphrem  qui  n'avaient  pas  encore  été  rendus 
publics  du  temps  de   Dom  Ceillier ,  47   et 
suiv.  ;  sur  l'Écriture  sainte,  47,  48  ;  sur  le 
dogme, '48,  49  ;  sur  la  morale,  49,  50.  His- 
toire des  livres  d'Apollinaire  collés  par  saint 
Éphrem,  30.  Doctrine  de  saint  Éphrem  ;  sur 
l'Ecriture  sainte,  30  et  suiv.  ;  sur  la  Trinité, 
55,   56  ;    sur  l'Incarnation,   56,  37  ;  sur  la 
sainte  Vierge,  57  ;   sur  les  anges  et  les  dé- 
mons, 57  et  58;  sur  le  libre  arbitre,  58;  sur 
la  grâce,  58  et  suiv.;  sur  l'élection  des  Gen- 
tils et  la  réprobation  des  Juifs,  60,  61  ;  sur 
le  baptême  et  la  confirmation,  61,  62  ;  sur 
l'Eucharistie,  62  et  suiv.  ;  sur  la  pénitence, 
64,  63  ;  sur  les  moines,  63,  66  ;  sur  l'Église 
et  la  primauté  de  saint  Pierre,  66  ;  sur  le 
purgatoire,  66  et  67  ;   sur  l'invocation  des 
saints  et  la  vertu  des  reliques,  67,  68  ;  sur 
quelques  points  de  discipline,  68,  69  ;  sur 
des  points  de  dogme  et  de  morale,  69.  Ju- 
gement de  ces  écrits;  70.  Catalogue  de  leurs 
éditions,  70  et  suiv.  [Éditions  et  traductions 
nouvelles,  72  et  suiv.  Sommaire  de  l'édition 
des  œuvres   de  saint  Éphrem    publiée    à 
Rome,  439.  Observations  sur  cette  édition. 
Commentaire  sur  l'Écriture  sainte,  440.  Au- 
thenticité de  ces  commentaires,  440  et  441. 
Version  dont  saint  Éphrem  s'est  servi,  441 
et  442.  Méthode  suivie  par  saint  Ephrem  en 
expliquant  l'Écriture  sainte,  442,  443.  Com- 
mentaire sur  la  Genèse,  443,  444.  Commen- 
taire sur  rÉ.xode,  le  Lévitique,  les  Nombres 


et  le  Deutéronome.  Commentaires  sur  Josué 
et  les  Juges,  444  ;  sur  les  quatre  livres  des 
Rois,  444  et  443  ;  sur  Job,  443  ;  sur  Isaïe  et 
Jérémie,  445  et  446;  sur  Ezécbiel  et  Daniel, 
446  ;  sur  Osée  et  sur  Joël,  446  et  447  ;  sur 
Amos  et  sur  Abdias,  447  ;  sur  Zacharie  et 
Malachie,  447  et  448.    Traités   ou  discours 
exégétiques.  Traité  sur  le  Paradis  d'Éden, 
448.  Douze  sermons  exégétiques  sur  quel- 
ques paroles  ou  quelques  faits  de  l'Écriture, 
448  et  449.  Autres  écrits  exégétiques,  449  et 
450.  Discours  dogmatiques  de  saint  Éphrem. 
Importance  de  ces  traités  pour  le  dogme, 
450.  Authenticité  des  écrits  dogmatiques  de 
saint  Éphrem,  450  et  431.  Poésie  et  psal- 
modie  des   anciens   Syriens.    Orthographe 
adoptée  par  l'éditeur,  451.  Difficultés  que 
l'éditeur  a  eu  à  surmonter,  431,  432.  Trai- 
tés ou  discours  polémiques  contre  les  héré- 
sies, 432  et  suiv.  Premier,  deuxième   dis- 
cours ,  432  ,  453.  Quatrième  ,   cinquième  , 
sixième,    septième,    huitième ,    neuvième, 
dixième,    onzième,    douzième ,    treizième, 

453,  454  ;  quatorzième,  quinzième,  seiziè- 
me ,  dix-septième ,  dix-huitième,  dix-neu- 
vième, vingtième,  vingt  et  unième  discours, 

454,  455.  Vingt-deuxième,  vingt-troisième, 
vingt-quatrième,  vingt-cinquième,  vingt- 
sixième,  vingt-septième,  vingt-huitième, 
vingt-neuvième,  trentième,  trente  et  unième, 
trente-deuxième ,  trente-troisième  ,  trente- 
quatrième  discours,  453,  456.  Trente-cin- 
quième ,  trente-sixième ,  trente-septième, 
trente-huitième,  trente-neuvième,  quaran- 
tième, quarante  et  unième  discours,  457, 
458.  Quarante-deuxième ,  quarante-troi- 
sième, quarante-quatrième,  quarante-cin- 
quième, quarante-sixième,  quarante-sep- 
tième discours,  458, 459.  Quarante-huitième, 
quarante-neuvième ,  cinquantième ,  cin- 
quante et  unième,  cinquante-deuxième,  cin- 
quante-troisième, cinquante-quatrième,  cin- 
quante-cinquième discours,  460.  Cinquante- 
sixième  discours,  461.  Discours  contre  les 
Scrutateurs,  461  et  suiv.  Qu'entend-on  par 
scrutateurs  ?  En  quel  temps  ce  traité  a  été 
composé.  Sa  valeur,  461 .  Analyse  de  ce  traité, 
461  et  suiv.  Premier,  deuxième,  troisième, 
quatrième,  cinquième  discoui-s,  461.  Sixiè- 
me, septième,  huitième  discours,  462.  Neu- 
vième ,  dixième  discours,  463.  Onzième, 
douzième,  treizième,  quatorzième,  quin- 
zième, seizième,  dix-septième,  dix-huitième 
discours,  464,  465.  Dix-neuvième,  ving- 
tième,   vingt   et   unième,    vingt-deuxième, 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


361 


vingt-troisième,  Yingt-quatrième ,  vingt- 
cinquième  discours,  46S,  466.  Vingt-sixième, 
vingt-septième,  vingt-liuitième,  vingt-nea- 
vième,  trentième,  trente  et  unième  discours, 
466.  Trente-deuxième ,  trente-troisième , 
trente-quatrième,  trente-cinquième,  trente- 
sixième,  trente-septième,  trente-huitième 
discours  ,  467.  Trente-neuvième  ,  quaran- 
tième, quarante  et  unième,  quarante-deu- 
xième, quarante-troisième,  quarante-qua- 
trième discours,  468,  469.  Quarante-cin- 
quième, quarante-sixième ,  quarante-sep- 
tième,  quarante-huitième  discours,  471. 
Quarante  -  neuvième  ,  cinquantième ,  cin  - 
quante  et  unième,  cinquante-deuxième  dis- 
cours, 470,  471 .  Cinquante-troisième,  cin- 
quante-quatrième, cinquante-cinquième  dis- 
cours, 471,  472.  Cinquante -sixième,  cin- 
quante-septième, cinquante -huitième,  cin- 
quante-neuvième discours,  472,  473.  Soixan- 
tième, soixante  et  unième,  soixante-deuxiè- 
me, soixante-troisième  discours,  473,  474. 
Soixante- quatrième,  soixante -cinquième, 
soixante-sixième,  soixante-septième,  soixan- 
te-huitième, soixante-neuvième  discours, 
474,  475.  Soixante-dixième,  soixante  et  on- 
zième ,  soixante-douzième ,  soixante-trei- 
zième, soixante-quatorzième,  soirante-quin- 
zième ,  soixante-seizième  discours,  473. 
Soixante-dix-septième ,  soixante-dix-huitiè- 
me, soixante-dix-neuvième,  quatre-ving- 
tième discours,  476.  Sept  discours  sur  la 
Perle,  476  et  suiv.  Authenticité  de  ces  dis- 
cours, 476,  477.  Analyse  des  premier  et 
deuxième  discours,  477,  478.  Analyse  des 
troisième,   quatrième,  cinquième  discours, 

478.  Analyse  des  sixième,  septième  discours, 

479,  480.  Trois  sermons  sur  la  Foi,  480  et 
suiv.  Contenu  de  ces  sermons,  480.  Analyse 
du  premier  discours,  480,  481  ;  du  deuxiè. 
me,  du  troisième  discours,  481.  Discours 
sur  les  fêtes  de  Notre-Seigneur,  sur  les 
louanges  de  la  sainte  Vierge  et  des  saints. 
Ce  que  sont  ces  sermons  et  leur  nombre, 
482.  Analyse  du  premier  sermon  sur  la 
Naissance  de  Notre-Seigneur,  483;  des 
deuxième,  troisième,  quatrième,  cinquième, 
sixième,  septième,  huitième,  neuvième  ser- 
mons, 483,  484;  des  dixième,  onzième,  dou- 
zième, treizième,  quatorzième  sermons,  484. 
Analyse  des  discours  sur  la  Passion  et  la 
Résurrection  de  Jésus-Chris!;,  484.  Analyse 
du  discours  sur  les  louanges  de  la  sainte 
Vierge,  485.  Éloge  de  saint  Pierre  et  de 
saint  Paul,  48S,  486.  Œuvres  morales  et  as- 


cétiques de  saint  Éphrem  ;  ce  qu'elles  com- 
prennent, 486.  Analyse  de  quatre  discours 
sur  le  Libre  arbitre,  486  et  487.  Discours 
parénétiques  ou  exhortations  à  la  péniten- 
ce; ce  que  ces  discours  renferment;  en  quel 
temps  ils  ont  été  composés  ;  leur  style,  leur 
authenticité,  487.  Analyse  des  premier,  deu- 
xième, troisième,  quatrième,  cinquième, 
sixième,  septième,  huitième  discours,  488  ; 
des  neuvième,  dixième,  onzième,  douzième 
discours;  des  treizième,  quatorzième,  quin- 
zième, seizième,  dix-septième  discours  ;  des 
dix-huitième,  dix-neuvième,  vingtième, 
vingt  et  unième,  vingt-deuxième,  vingt-troi- 
sième ,  vingt-quatrième  ,  vingt-cinquième, 
vingt-sixième  discours,  489;  vingt-septième, 
vingt-huitième,  vingt-neuvième,  trentième, 
trente  et  unième,  trente-deuxième,  trente- 
troisième,  trente-quatrième,  trente-cinquiè- 
me discours,  490  ;  des  trente-sixième,  trente- 
septième,  trente-huitième,  trente-neuvième, 
quarantième  discours,  490  et  491  ;  des  qua- 
rante et  unième,  quarante-deuxième,  qua- 
rante-troisième, quarante-quatrième,  qua- 
rante-cinquième discours,  491  ;  des  qua- 
rante-sixième, quarante-septième,  quarante- 
huitième  discours,  492  ;  du  quarante-neu- 
vième discours,  492  et  493  ;  des  cinquan- 
tième ,  cinquante  et  unième ,  cinquante- 
deuxième ,  cinquantième-troisième,  cin- 
quante-quatrième, cinquante-cinquième  dis- 
cours, 493  et  494;  cinquante-sixième,  cin- 
quante-septième, cinquante-huitième,  cin- 
quante-neuvième, soixantième  discours  ;  des 
soixante  et  unième,  soixante-deuxième  dis- 
cours, 494;  des  soixante-troisième,  soixante- 
quatrième,  soixante-cinquième,  soixante- 
sixième  ,  soixante-septième ,  soixante-hui- 
tième discours,  494  et  493  ;  des  soixante- 
neuvième,  soixante-dixième,  soixante  et  on- 
zième, soixante-douzième  discours,  493;  des 
soixante  -treizième,  soixante  -quatorzième, 
soixante-quinzième ,  soixante-seizième  dis- 
cours, 493  et  496.  Quinze  sermons  sur  dif- 
férents sujets.  Premier  et  deuxième  dis- 
cours :  Contemplation  de  la  divine  Provi- 
dence, 496.  Troisième  discours  :  de  la  Jus- 
tice et  de  la  Miséricorde,  497.  Quatrième 
discours  :  Pourquoi  Dieu  exauce  quelques 
demandes  et  en  rejette  d'autres.  Cinquième 
discours  :  Dieu  dispose  tout  pour  le  salut 
des  hommes.  Sixième  discours  :  Les  délices 
du  ciel  détournent  de  la  béatitude  céleste. 
Septième  discours  ■:  De  l'inconstance  de 
l'esprit  humain.  Huitième  discours  :  Qu'il 


362  HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 

faut  réprimer  les  affections  dépravées  de 
l'esprit,  497.  Neavième  discours  :  De  la 
garde  des  yeux.  Dixième  discours  :  De  la 
crainte  de  Dieu  et  de  fa  consommation  du 
siècle.  Onzième  discours  :  Du  Jeûne,  498. 
Douzième    discours  :  De  l'humilité   et  de 


l'orgueil,  499.  Treizième  discours  :  Du  pè- 
lerinage. Quatorzième  discours  :  Des  soli- 
taires et  des  anachorètes,  500.  Quinzième 
discours  :  De  la  réprimande,  300  et  suiv. 
Divers  discours  contenus  dans  le  troisième 
volume  grec  :  De  la  pensée  de  la  mort.  Dis- 
cours pour  un  frère  défunt  ou  pour  d'autres 
défunts.  Sermon  sur  la  Pénitence,  le  Juge- 
ment, la  Séparation  de  l'âme  et  du  corps. 
Discours  sur  le  second  Avènement  et  sur  le 
Jugement.  Autres  discours  sur  le  Jugemenl, 
sur  la  Résurrection,  503  ;  sur  la  Pénitence, 
sur  la  Vie  vaine  et  la  Pénitence,  505  ;  sur  la 
Pénitence  et  la  componction  ;  sur  la  Péni- 
tence, le  Jugement  et  la  fuite  des  femmes. 
Discours  sur  les  Vertus  et  sur  les  Passions  ; 
de  l'Opération  du  démon  pervers,  506  ;  de 
la  Guerre  contre  les  démons.  Homélie  sur 
la  femme  pécheresse  ;  de  l'Ame  négligente  ; 
de  la  Pratique  des  bonnes  œuvres  et  de  la 
patience  de  Dieu  ;  de  la  Direction  de  la  ver- 
tu; Comment  on  se  convertit;  Qu'un  chré- 
tien doit  s'abstenir  des  divertissements, 
507.  Fragments  du  discours  sur  le  mépris 
du  monde  ;  de  la  Conversion  des  frères 
dans  une  mutuelle  concorde  et  dilection  ; 
de  la  prière,  508.  Discours  sur  la  Correction 
de  soi-même  ;  du  Combat  spirituel.  Discours 
sur  le  Silence  et  le  repos;  Conseils  sur  la 
vie  spirituelle,  509.  Discours  ascétiques. 
Discours  adressé  à  ceux  qui  renoncent,  309 
et  510.  Instructions  aux  moines,  510.  Dis- 
cours sur  les  sept  occupations  du  moine. 
Prières,  hymnes,  paroles  de  saint  Éphrem, 
511.  Pièces  faussement  attribuées  à  saint 
Éphrem.  Nécrosimes  ou  canons  funèbres. 
Division  des  canons  funèbres,  312.  Huit 
premiers  canons,  sur  les  funérailles  des 
évêques,  512  et  513.  Neuvième  et  dixième 
canons,  sur  les  funérailles  des  prêtres.  On- 
zième canon,  sur  les  funérailles  des  prêtres 
et  des  moines.  Douzième  et  treizième  ca- 
nons sur  les  funérailles  des  prêtres  et  des 
diacres,  513.  Quatorzième,  quinzième,  sei- 
zième et  dix-septième  canons,  sur  les  funé- 
railles des  moines,  514.  Dix-huitième  canon 
et  suivants,  sur  les  funérailles  des  clercs, 
314  et  515.  Vingt-huitième  canon  sur  les 
funérailles  des  princes  et  des  riches,  315. 


Vingt-neuvième  canon,  sur  les  funérailles 
des  étrangers.  Trentième  canon  sur  les  fu- 
nérailles d'un  père  de  famille.  Trente  et 
unième  canon  sur  les  funérailles  d'une 
mère  de  famille.  Trente-deuxième  et  trente- 
troisième  canons,  sur  les  funérailles  des 
femmes,  516.  Trente-quatrième  et  trente- 
cinquième  canons,  sur  les  funérailles  des 
jeunes  gens,  317.  Trente-sixième  canon  et 
suivants,  sur  les  funérailles  des  enfants, 
517  et  318.  Quarante-cinquième  canon,  sur 
la  mort  d'un  de  ses  frères,  318.  Quarante- 
sixième  canon  et  suivants ,  canons  com- 
muns, 518  et  suiv.  Soixante-troisième  et 
soixante-quatrième  canons,  pour  un  temps 
de  peste,  319.  Ouvrages  de  saint  Éphrem 
en  arménien  ;  ouvrages  de  saint  Éphrem 
en    syriaque.    Traité   contre    Julien,    521.] 

—  Saint  Éphrem  alla  voir  saint  Basile,  IV, 
361 .  11  paraît  être  celui  que  saint  Basile  cite 
sous  le  nom  d'un  Syrien,  498.  Son  panégy- 
rique par  saint  Grégoire  de  Nysse,  VI,  213. 

—  Il  avait  composé  des  hymnes  et  des  odes 
contre  les  hérésies  de  son  temps,  I,  466,  et 

vm,  1. 

ÉPHREM,  d'abord  comte  d'Orient,  puis 
patriarche  d'Antioche,  XI,  171.  [Il  n'a  point 
le  titre  de  saint,  171,  note  1.]  Sa  hbéralité 
envers  les  pauvres,  171.  Ses  écrits  pour  la 
défense  des  dogmes  de  l'Église  catholique. 
Analyse  de  ces  écrits  par  Photius,  171  et 
suiv.  Il  condamne  les  erreurs  d'Origène. 
Mouvement  occasionné  par  cela.  11  con- 
damne les  Trois  Chapitres  pour  être  conservé 
dans  son  siège.  Temps  de  sa  mort,  175. 
[Fragments  des  ouvrages  d'Ephrem,  comte 
d'Orient,  171,  note  6.]  —  Quelques-uns  lui 
attribuent  un  discours  sur  la  transfiguration 
de  Jésus-Christ,  VI,  40.  —  Témoignage 
d'Ephrem  d'Antioche  sur  saint  Léon,  X, 
236.  —  Il  subit  l'épreuve  du  feu  et  convertit 
un  sévérien,  XI,  701. 

ÉPICARPE,  prêtre  de  Bénévent,  X,  210. 

ÉPICTBTE,  philosophe  stoïcien.  Sa  pa- 
tience, V,  302.  (Dans  la  table  du  V  vol.  on 
a  mis  sa  paironie.)  —  Son  Manuel  attribué 
à  saint  Nil,  VIII,  211. 

ÉPICTÈTE,  évêque  d'Assurés  en  Afrique. 
Lettre  de  saint  Cyprien  à  Epictète  et  à  son 
peuple,  II,  317.  • 

ÉPICTÈTE,  évêque  de  Coriuthe.  Lettre 
de  saint  Athanase  à  cet  évêque,  IV,  142, 143. 

ÉPICTÈTE,  chargé  de  porter  au  pape 
saint  Célestin  la  condamnation  de  Nestorius, 
vm,  143. 


369. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


363 


EPICURIENS  ;  secte  de  philosophes  com- 
battus par  Lactance,  II,  S03.  —  Ce  qui  en 
est  dit  par  saint  Épiphane,  VI,  383; — et 
par  Théodoret,  X,  97. 

ÉPIGONE ,  hérétique  dont  Noêt  renou- 
velle les  erreurs,  II,  554. 

ÉPIGONE,  évêque  de  Bulle-Royale,  au 
concile  de  Carihage,  en  390,  IV,  648  ;  —  et 
à  celui  de  393,  VII,  712. 

ÉPIGRAMMES.  Poëmes  de  saint  Grégoire 
de  Nazianze  sur  différents  sujets,  V,  288  et 
suiv.  Épigrammes  à  Dieu  contre  les  poëmes 
de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  295.  Recueil 
d'épigrammes  de  saint  Grégoire  de  Nazianze 
sur  divers  sujets,  302  et  suiv. —  Épigrammes 
de  saint  Prosper,  X,  291,  292,  Autres,  312, 
313.  Éditions  qu'on  en  a  faites,  318,  319. 
Épigrammes  de  saint  Avit,  évêque  de  Vienne, 
567;  de  saint  Ennode,  évêque  de  Pavie,  576, 
577.  —  [Épigrumme  d'Alcuin  pour  un  exem- 
plaire de  la  Bible,  XII,  173.]  Épigrammes 
de  saint  Théodore  Studite,  308.  [Épigrammes 
de  Cyprien,  archiprêtre  de  Cordoue,  323.] 
Épigrammes  attribuées  à  Werembert,  moine 
de  Saint-Gai,  694.  —  Épigrammes  de  Jean 
de  Mauropus,  métropolitain  d'Euchanie, 
XIII,  229;  de  Jean  le  Géomètre,  232.  Épi- 
grammes rustiques  d'Ecbert  de  Liège,  236. 

ÉPILEPSIE.  Règlement  du  pape  saint  Za- 
charie  touchant  ceux  qui  sont  attaqués  de  cette 
maladie,  XII,  33. —  Lettre  du  pape  Alexan- 
dre II  au  sujet  d'un  prêtre  épileptique,  XIII, 
292. 

ÉPIMAQUE  (Saint),  martyr  à  Alexandrie, 
11,402. 

ÉPINAL,  abbaye  en  Lorraine.  Popon, 
évêque  de  Mez,  y  établit  la  discipline  ecclé- 
siastique, XIII,  582. 

ÉPIPHANE,  sophiste  païen,  ami  des  Apol- 
linaires,  V,  86. 

ÉPIPHANE  (Saint),  archevêque  de  Sala- 
mine  et  docteur  de  l'Église,  VI,  375  et  suiv. 
Histoire  de  sa  vie.  Sa  naissance;  sa  patrie; 
son  éducation.  Il  fonde  un  monastère  près 
d'Eleuthérople,  où  il  était  né.  Il  est  fait 
prêtre  vers  l'an  364,  375.  Il  fait  anathéraa- 
tiser  un  hérétique  nommé  Pierre,  375  et 
376.  Il  fait  quelques  voyages.  Son  zèle  contre 
les  erreurs  attribuées  à  Origène.  Il  est  lui- 
même  accusé  d'hérésie.  Il  est  fait  évêque  de 
Salamine,  376.  Sa  conduite  dansTépiscopat. 
Son  zèle  contre  les  hérésies,  377.  Il  va  à 
Rome,  377  et  378.  Il  va  à  Bethléem  :  il  dé- 
chire un  rideau  où  était  peinte  une  image, 
378.  Ses  ditïicultés  avec  Jean  do  Jérusalem. 


Il  ordonne  Paulinien,  378  et  379-  H  écrit  à 
Jean  de  Jérusalem  touchant  l'ordination  de 
Paulinien,  379.  Il  assemble  un  concile  en 
Chypre  contre  Origène  et  ses  écrits,  379  et 
380.  Il  va  à  Constantinople  et  refuse  de 
communiquer  avec  saint  Jean  Chrysostôme, 
380.  Il  reçoit  la  visite  des  grands  frères  ;  sa 
mort,  380  et  381.  Son  éloge,  381.  [Sa  Vie 
écrite  par  un  de  ses  disciples,  381,  note  4.] 
Ses  écrits,  381  et  suiv.  Panarium,  ou  traité 
des  hérésies,  381.  En  quel  temps  il  a  été 
écrit,  381,  382.  Pourquoi  ce  traité  a  été  in- 
titulé Panarium.  Estime  qu'on  en  a  faite. 
Analyse  de  ce  traité,  382  et  suiv.  Une  lettre 
à  Paul  et  à  Acace  y  sert  de  préface,  382.  Ce 
que  c'est  que  l'hérésie  et  quand  elle  a  com- 
mencé, 382  et  383.  Secte  des  Stoïciens,  des 
Pythagoriciens  et  des  Épicuriens.  Secte  des 
Samaritains,  383.  Quatre  sectes  chez  les  Sa- 
maritains :  les  Esséniens,  les  Sabuens,  les 
Gorthéniens  et  les  Dosithéens,  383  et  384. 
Diverses  sectes  des  Juifs  :  les  Sadducéens, 
les  Scribes,  les  Pharisiens,  le  Hémérobap- 
tistes,  les  Nazaréens,  les  Esséniens  et  les 
Hérodiens,  334,  383.  Sectes  des  Simoniens, 
des  Ménondriens,  des  Saturniliens,  des  Ba- 
silidiens  et  des  Nicolaïtes,  383  et  suiv.  Les 
Gnostiques,  les  Cartopocratiens,  les  Cérin- 
thiens,  387  et  suiv.  Les  Nazaréens,  les  Ebio- 
nites,  les  Valentiniens,  les  Sécondiens  et  les 
Ptolémaïtes,  389  et  suiv.  Les  Marcosiens, 
les  Colorbasiens ,  les  Héracléonites ,  les 
Ophites,  les  Caïnites  et  les  Séthiens,  391, 
392.  Les  Archontiques  et  les  Cerdoniens, 
392.  Les  Marcionites,  les  Lucianistes,  les 
Appelléens  et  les  Sévériens,  392,  393.  Les 
Titianistes  et  les  Encratites,  393,  394.  Les 
Phryges  ou  Montanistes,  les  Tascodrugites, 
les  Quintiliens,  les  Pépuzéniens,  les  Pris- 
cilhens  et  les  Astotyrites,  394,  393.  Les 
Quartodécimans,  les  Aloges,  les  Adamites 
et  les  Sampséens,  393,  396.  Les  Théodo- 
tiens,  les  Melchisédéciens,  les  Bardésanistes, 
les  Noétiens  et  les  Valésiens,  396,  397.  Les 
Cathares  ou  Novatiens,  les  Donatistes,  les 
Angéhques  et  les  Apostoliques,  396,  398.  Les 
Sabelliens,  398.  Les  Origénistes,  398  et  suiv. 
Crime  d'idolâtrie  imputé  à  tort  à  Origène, 

400.  Erreurs  attribuées  à  Origène,  400  et 

401.  Paul  de  Samosate,  401,  402.  Les  Mani- 
chéens, 402,  403.  Les  Hiéracites  et  les  Mé- 
léciens,  403,  404.  Les  Ariens,  404,  403.  Les 
Audiens,  les  Photiniens  et  les  Marcelliens, 
405,  406.  Les  Semi-Ariens,  les  Pneumato- 
maques  ou  Macédoniens,  406,  407.  Les  Aé- 


394. 


V.400. 


mi. 


403. 


374. 


364 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


riens,  407  et  suiv.  Les  Anoméens,  408,  409. 
Les  Dimœrites  ou  Apollinaristes,  409,  410. 
Les  Antidicomaréinites  et  les  Gollyridiens, 
410,  411.  Les  Messaliens,  411  et  suiv.  Fin 
du  traité  des  hérésies,  S22.  [Voyez  les  addi- 
tions.] L'Anchorat,  ou  recueil  des  preuves 
des  dogmes  de  la  foi,  414  et  suiv.   En  quel 
temps   et  à  quelle  occasion  il  a  été  écrit, 
V.  37i.      414.   Analyse  de  cet  ouvrage,  414  et  suiv. 
Preuves  de  la  divinité  des  personnes  de  la 
Trinité,   413.   Preuves  de    la   résurrection 
tirées  de  la  fable.  Preuves  de  la  résurrec- 
tion contre  les  hérétiques  qui  la  niaient,  415. 
Quel  a  été  le  but  de  saint  Epiphane  en  écri- 
vant son  Anchorat,  413  et  416.  [L'Anacépha- 
léose  ou  récapitulation  qui  termine  est  rela- 
392.        tive  au  Panarium,  522.]  Traité  des  Poids  et 
mesures,  416  et  suiv.  Analyse  de  ce  traité, 
416.  Saint  Epiphane  y  explique  les  marques 
qui  se  voyaient  dans   les  Bibles    grecques. 
416,  417.  Il  y  donne  l'histoire  des  six  ver- 
sions grecques  de  l'Écriture,  417  et  suiv.; 
il  y  explique  les  poids  et  mesures  dont  il  est 
parlé  dans  l'Écriture,  419,  420.   Le  Physio- 
logue  ou  recueil  des  propriétés  des  animaux, 
420.  Traité  des  pierreries  qui  composaient 
le  Rational  du  grand  prêtre,   420  et  suiv.  ; 
quelle  en  fut  l'occasion,  420,  421.  Analyse 
de  ce  traité,  421,  422.  Lettres  de  saint  Epi- 
phane, l'une  à  Jean,  évêque  de  Jérusalem, 
l'autre  à  saint  Jérôme,  422.  Ouvrages  de  ce 
saint  docteur  qui  sont  perdus,  422  et  423. 
Ouvrages  qui  n'ont  point  encore  paru,  423. 
[Fragments  de  ces  ouvrages  pubUés  depuis 
dom  Ceillier,  423.]  Ouvrages  faussement  at- 
tribués à  saint  Epiphane,  423  et  424.  [Ce  que 
M.  Villemain  pense  des  homélies  attribuées 
à  saint  Epiphane,  423,  note  14.].  Doctrine 
de  saint  Epiphane,  424  et  suiv.  ;  sur  l'inspi- 
ration des  livres  sacrés;  sur  la  lecture  de 
l'Écriture  sainte,  424;  sur  le  canon  et  la  di- 
vision des  livres  de  l'Ancien  Testament,  424 
et  425.  Son  sentiment  sur  l'authenticité  des 
livres  du  Nouveau  Testament,  423,  426.  Di- 
verses remarques  sur  l'Ancien  Testament, 
Diverses  remarques  snr  le  Nouveau  Testa- 
ment, 426  et  suiv.  Doctrine  sur  la  Tradition, 
428,  429;  sur  la  Trinité,  429;  sur  l'Incarna- 
tion, 429  et  430;    sur  l'Éghse,  430  ;    sur   la 
primauté  de  saint  Pierre;   sur  la  Circonci- 
sion, 430;  sur  le  Baptême,  430  et  431  ;  sur 
l'Eucharistie;  sur  la  prière  pour  les  morts, 
431  ;    sur  la  distinction  des   évêques  et  dos 
prêtres;  sur  les  ordres  ecclésiastiques,  432; 
sur  saint  Joseph,  432  et  433  ;  sur  la  sainte 


Vierge,  433  ;  sur  le  célibat  des  clercs,  433 
et  434  ;  sur  le  vœu  de  virginité;  sur  le  ma- 
riage, 434;  sur  les  assemblées  et  le  jeûne 
ecclésiastiques,  434  et  435;  sur  les  dévo- 
tions observées  dans  l'Église  catholique, 
433  ;  sur  les  mœurs  de  l'Éghse  catholique, 
436.  Jugement  des  écrits  de  saint  Epiphane, 
436  et  437.  Éditions  de  ses  ouvrages,  437, 
438.  [Autres  éditions,  438.]  —  Les  Consti- 
tutions apostoliques  citées  par  saint  Epi- 
phane ne  sont  pas  celles  que  nous  avons  au- 
jourd'hui, II,  589,  590.  Idée  qu'il  donne  du 
schisme  de  Mélèce,  616,  —  Concile  de  Rome  38 
auquel  il  assiste  sous  le  pontificat  de  saint 
Damase,  IV,  638  et  V,  383.  —  Lettre  que 
lui  écrit  saint  Basile  le  Grand,  IV,  481.  — 
Saint  Epiphane  trouve  à  redire  au  discours 
de  saint  Mélèce  à  son  peuple,  V,  7.  —  Juge- 
ment de  Rufln  sur  saint  Epiphane,  VII,  438. 
Divers  sujets  de  division  entre  saint  Epi- 
phane et  saint  Jean  de  Jérusalem,  497  et 
suiv.  Lettre  qu'il  écrivit  sur  ce  sujet  au  pape 
saint  Sirice,  499.  .Lettre  qu'il  écrivit  à  Jean 
de  Jérusalem.  Lettre  de  Théophile  d'Alexan- 
drie à  saint  Epiphane,  646.  Lettre  que  lui 
écrivit  Théophile  d'Alexandrie,  736.  —  Let- 
tre que  lui  écrivit  Grégoire,  abbé  en  Pales- 
tine, VIII,  2.  Il  est  visité  par  Acace,  depuis 
évêque  de  Bérée,  238. —  Ses  commentaires 
sur  les  Cantiques  traduit  en  latin  par  Epi- 
phane le  Scholastique,  XI,  102.  —  Réponse 
à  l'objeclion  des  Iconoclastes  prise  de  la  con- 
duite de  saint  Epiphane,  XII,  76. 

EPIPHANE,  à  qui  saint  Grégoire  de  Na-     iv  si 
zianze  écrit,  V,  264. 

EPIPHANE ,  archidiacre  d'Alexandrie. 
Lettre  qu'il  écrit  à  IMaximien  de  Constanti- 
nople.  Vin,  383,  386. 

EPIPHANE,  diacre  de  Constantinople, 
chargé  de  citer  Eutychès,  X,  671. 

EPIPHANE,  laïque,  député  au  pape  saint 
Simplice  par  les  défenseurs  de  la  foi  catho- 
lique, X,  402.  (C'est  par  erreur  que  dans  la 
table  du  X°  volume  on  a  confondu  cet  Epi- 
phane avec  Epiphane,  diacre,  et  qu'on  a  mis 
131.) 

EPIPHANE  (Saint),  évêque  de  Pavie,  vient 
à  la  cour  du  roi  de  Bourgogne  pour  racheter 
des  captifs,  X,  503  et  554.  Sa  Vie  écrite  par 
saint  Ennode,  l'un  de  ses  successeurs,  374. 
Analyse  de  cette  Vie,  574  et  573.  Vers  à  sa 
louange,  576. 

EPIPHANE,  élu  évêque  de  Constantinople  fl 
après  la  mort  de  Jean  de  Cappadoce.  Ses  ™ 
lettres  au  pape  saint  Hormisdas.  Sa  mort.        5i9 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


363 


Réception  qu'il  fit  au  pape  saint  Jean  I"  à 
Constantinople,  XI,  M2.  [Édition  de  ses 
écrits  dans  la  Patrologie.  Sentence  portée 
par  Épiphane  et  le  concile  de  Constanti- 
nople contre  Sévère  et  Pierre  :  quarante- 
cinq  canons  qui  lui  sont  attribués,  112.]  — 
Témoignage  avantageux  que  lui  rend  le  lé- 
gat Dioscore,  X,  628.  Lettre  qu'il  écrit  au 
pape.  Conseils  qu'il  lui  donne  pour  rendre 
la  paix  générale,  629.  Lettres  que  lui  écrit 
le  pape  :  il  le  charge  de  terminer  l'atTaire  de 
la  réunion  des  Orientaux,  630.— Ses  liaisons 
avec  saint  André  Salus  ou  l'Insensé,  qui  lui 
prédit  qu'il  devait  être  patriarche  de  Cons- 
tantinople, XII,  881,  882. 

[ÉPIPHANE  de  Chypre  :  son  Exposition 
des  préséances  des  patriarches  et  des  mé- 
tropolitains. Éditions  de  cet  ouvrage,  XI, 
112.] 

ÉPIPHANE  LE  SCHOLASTIQUE.  Ce  qu'on 
sait  de  sa  personne.  A  la  prière  de  Cassio- 
dore,  il  traduit  en  latin  les  Histoires  ecclé- 
siastiques de  Socrate,  de  Sozomène  et  de 
Théodoret,  dont  ensuite  Cassiodore  forme 
un  seul  corps  auquel  il  donne  le  nom  d'His- 
toire tripartite.  Épiphane  traduit  aussi  en 
latin  les  Commentaires  de  Didyme  sur  les 
Proverbes  de  Salomon  et  sur  les  septÉpîtres 
canoniques  et  ceux  de  saint  Épiphane  sur 
les  Cantiques  :  nous  n'avons  plus  ces  traduc- 
tions. Sa  collection  des  épîlres  synodales  à 
l'empereur  Léon  pour  la  défense  du  concile 
de  Chalcédoine,  XI,  102.  —  Sa  traduction 
des  Histoires  de  Socrate,  de  Sozomène  et  de 
Théodoret,  sous  le  nom  d'Histoire  tripartite, 
VIII,  S24. 

ÉPIPHANE,  évêque  de  Tyr.  Lettre  que 
lui  écrit  Jean  de  Cappadoce,  évêque  de  Cons- 
tantinople, XI,  107.  Il  tient  une  assemblée 
d'évêques,  où  l'anathème  prononcé  contre 
Sévère  est  confirmé,  S20,  521. 

[ÉPIPHANE,  diacre,  à  qui  Licinien  et  Sé- 
vère le  Petit  écrivent  concernant  les  anges 
et  les  âmes,  XI,  429.] 

ÉPIPHANE,  moine,  et  prêtre  de  Jérusa- 
lem. Sa  description  géographique  de  la  Sy- 
rie et  de  Jérusalem,  XIII,  51.  Dom  Banduri 
conjecture  que  ce  fut  lui  qui,  sous  le  nom 
de  Polyeucte,  succéda  àThéophylaote  sur  le 
siège  de  Constantinople,  [mais  Mingarelli 
montre  qu'il  s'est  trompé.]  Sa  mort.  On  a  de 
lui  une  Vie  de  la  sainte  Vierge  et  une  de 
l'apôtre  saint  André.  Hymne  en  l'honneur 
de  saint  Démétrius  et  relatiou  de  ses  mi- 
racles, Xlil,  51.  [Tillemont  attaque  la  véra- 


cité de  la  Vie  de  la  sainte  Vierge  et  celle  de 
l'apôtre  saint  André.]  [Mingarelli  a  publié 
quatre  écrits  d'Épiphane  :  1°  le  Discours 
sur  la  vie  de  la  très-sainte  Mère  de  Dieu 
et  sur  ses  années;  2°  la  Vie,  les  Actes  et  la 
mort  de  saint  André,  le  premier  appelé  des 
apôtres;  3°  la  description  de  la  Syrie,  de 
la  Ville  sainte  et  des  Lieux  saints;  4°  Un 
écrit  sur  la  Religion  chrétienne.  Cet 
opuscule  est  traduit  en  latin  par  Pierre  de 
Monte.  Une  notice  historique  de  l'éditeur 
précède  ces  écrits.  Le  tout  est  reproduit  au 
tome  CXX  de  la  Patrologie  grecque.  Minga- 
relli prouve  qu'Épiphane  est  mort  en  1015.] 
ÉPIPHANE,  diacre  de  l'Église  de  Catane  : 
son  discours  en  faveur  du  culte  des  images 
prononcé  au  second  concile  général  de  Ni- 
cée,  XIII,  630.  [Édition  de  ce  discours  dans 
la  Patrologie,  630.] 

[ÉPIPHANE,  savant  évêque  arménien.  On 
a  de  lui  plusieurs  ouvrages  restés  manus- 
crits. V.  Biographie  universelle  de  Michaud.] 
[ÉPIPHANIDE  ou  ÉPIPHANE,  de  la  secte 
des  Décèles  et  des  Manichéens,  réfuté  par 
saint  Nicéphore,  patriarche  de  Constanti- 
nople, XH,  296.] 

EPIPHANIE.  Témoignage   de  saint  Gré- 
goire de  Nazianze  sur  cette  fête,  V,  327  et 
suiv.  —  Témoignage  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme,  VH,  80  et  85.  [Veille  de  l'épiphanie 
prolongée,   208.]  Opuscule  laussement  at- 
tribué à  saint  Jean  Chrysostôme  sur  l'Epi- 
phanie et  le  baptême  de  Jésus-Christ,  312, 
Canon  de  Théophile  d'Alexandrie  pour  la 
vigile  de  cette  fête,  443.  Discours  faussement 
attribuéà  saint  Jérôme  sur  l'Epiphanie,  647. 
—  Homélie    de  saint  Procle  de  Constanti- 
nople sur  ce  sujet,  VIll,  412.  —  Sermon  de 
saint  Augustin  sur  ce  sujet,  IX,  239.  Sermon 
douteux  de  saint  Augustin  sur  ce  sujet,  243. 
[Autres   sermons  de  saiut  Augustin  sur  ce 
sujet,  836.  Sermons  sur  ce  sujet  faussement 
attribués  à  saint  Augustin,  836  et  841.]  — 
Huit  sermons  du  pape  saint  Léon  sur  l'Epi- 
phanie, X,  184.  Les  églises  de  Sicile  don- 
naient le  baptême  solennel  à  la  fête  de  l'Epi- 
phanie :  le  pape  saint  Léon  leur  interdit  cet 
usage,  209.  Homélies  de  saint  Maxime  de 
Turin  sur  l'Epiphanie,  320  et  326.  Témoi- 
gnage de  saint  Loup  de  Troyes  sur  la  veille 
de  l'Epiphanie,  357.  Homélie  sur  l'Epiphanie 
prêchée  à  Constantinople  par  Érecthe,  406. 
Homélie  de  saint  Jacques  de  Batna  sur  la 
fête  de  l'Epiphanie,  641.  —  Sermon  de  saint 
Fulgence  de  Ruspe  sur  l'Epiphanie,  XI,  75, 


VII  siècle. 


IV 

ou  V  siècle. 


1 


366 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


[II  est  édité  par  Ang.  Maï,  75.]  Discours  de 
saint  Gésaire  d'Arles  pour  cette  fête,  134. 
Homélie  sur  l'Epiphanie  attribuée  à  Sédatus, 
évéque  de  Béziers,  324.  —  Vers  pour  la  fête 
de  l'Epiphanie  attribués  à  saint  Jean  Da- 
mascène,  XII,  85.  Hymne  de  Raban  Maur 
pour  la  fête  de  l'Epiphanie,  459.  Hymne  de 
Tutilon,  moine  de  Saint-Gai,  704.  [Sermon 
d'Atton,  évêque  de  Verceil,  sur  ce  sujet, 
826.]  —  Sermon  de  Bernon,  abbé  de  Rei- 
chenau,  sur  l'Epiphanie,  XIII,  127.  Sermon 
de  saint  Odilon,  abbé  de  Cluny,  155.  Ser- 
mon de  saint  Pierre  Damien^  308.  [Sermon 
de  saint  Brunon  de  Segni  sur  l'Epiphanie, 
500.]  Homéhe  de  Gnaifer,  496.  —  Sermon 
d'Yves  de  Chartres,  XIV,  122.  Trois  ser- 
mons du  Vénérable  Hildebert.  Sermon  du 
même  pour  le  troisième  dimanche  qui  suit 
cette  fête,  214.  Poëme  de  Marbode  sur  l'Epi- 
phanie, 228.  Sermon  d'Abaillard  pour  cette 
fête,  331.  Plusieurs  sermons  de  saiiat  Ber- 
nard sur  cette  fête  et  l'octave,  484.  [Sermon 
d'Odon,  chanoine  de  Sainte-Geneviève,  sur 
cetle  fête,  712.  Cinq  sermons  d'Absalon, 
abbé  de  Springkissbach,  sur  le  jour  de  l'Epi- 
phanie, 877.]  Sermons  de  Guillaume  d'Au- 
vergne sur  l'Epiphanie,  1027. 
U  siècle.  ÉPIPODE  (Saint),  martyr  de  Lyon,  1, 472. 
Éditions  et  traductions  de  ses  actes,  472.] 
—  Homéhe  de  saint  Encher  de  Lyon  en  son 
honneur,  VIII,  452. 

ÉPIRE,  province  de  la  Grèce.  Lettre  du 
pape  saint  Hormisdas  aux  évoques  de  l'an- 
cienne Épire,  X,  616.  —  Lettre  du  pape  Ho- 
norius  aux  évêques  d'Épire,  XI,  648. 

ÉPISCOPAT.  Doctrine  d'Origène,  II,  231  ; 
de  saint  Cyprien,  359.  Canon  apostohque, 
587.  —  Épiscopat  vénal  chez  les  Méléciens, 
IV,  220.  —  Doctrine  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme  sur  l'épiscopat,  VU,  36,  39,  41,  262, 
263  ;  de  saint  Jérôme,  680.  —  Doctrine  du 
pape  Célestin,  VIII,  130.  Dangers  et  devoirs 
de  l'épiscopat  représentés  dans  une  lettre 
de  saint  Isidore  de  Péluse,  483.  —  Témoi- 
gnage et  doctrine  de  saint  Augustin,  IX, 
783,  784.  —  Doctrine  de  saint  Léon  le 
Grand,  X,  205,  261,  262.  Voyez  Évêques. 

ÉPISTOLAIRE  (Livre).  Dialogue  de  Gé- 
roch,  de  Reichersperg,  sous  ce  titre,  XIV,  631 . 

ÉPITRES  et  ÉVANGILES.  Sermons  de 
l'abbé  Smarugde  sur  les  épîtres  et  les  évan- 
giles de  toute  l'année,  XII,  256,  —  Discours 
du  cardinal  Jacques  de  Vitry  sur  les  épîtres 
et  les  évangiles  de  l'année,  XIII,  538.  Homé- 
lies de  Raoul  Ardent  sur  les  épîtres  et  les 


évangiles  des  dimanches  et  des  fêtes  de  l'an- 
née. Difiérentes  éditions  et  traductions  qu'on 
en  a  faites,  579.  Ce  qu'elles  contiennent  de 
remarquable,  579  et  suiv. 

ÉPITRES  DES  APOTRES.  Écrits  des  Pères 
qu'il  faut  consulter  sur  les  épîtres  des  apô- 
tres indiqués  par  Cassiodore,  XI,  229,  230. 
Commentaire  de  Cassiodore  sur  ces  épîtres, 
retrouvé  par  le  marquis  Mafïéi  et  imprimé 
par  ses  soins,  242  et  254.  —  Ordre  selon  le- 
quel les  Grecs  hsent  les  épîtres  des  apôtres, 
XIII,  135,  136.  (Voyez  les  articles  suivants.) 

ÉPITRES  (les  quatorze)  de  saint  Paul,  sa- 
voir :  aux  Romains,  aux  Corinthiens,  I  et  II; 
aux  Galates,  aux  Éphésiens,  aux  Philippiens, 
aux  Colossiens,  aux  Thessalouiciens,  I  et  II  ; 
à  Timothée,  I  et  II;  à  Tite,  à  Philémon  et 
aux  Hébreux.  (Voyez  sur  chacune  d'elles  les 
articles  suivants  Nous  rassemblerons  dans 
celui-ci  ce  qui  est  commun  à  toutes  ou  à  plu- 
sieurs.) Caractères  de  ces  épîtres,  1,  220. 
[Preuves  de  leur  authenticité,  220,  note  5.] 
Leur  ordre  chronologique,  220,  221.  —  Com- 
mentaires d'Oi'igèue  sur  l'épître  aux  Romains, 
IL  167.  Autres  ouvrages  d'Origène  sur  les 
épîtres  de  saint  Paul,  168.  —  Commentaires 
sur  les  épîtres  de  saint  Paul  à  Timothée  et 
aux  Romains,  ouvrages  attribués  à  saint  Hi- 
laire  de  Poitiers,  IV,  65.  [Voyez  63,  note  13.] 
11  n'est  pas  certain  que  saint  Athanase  ait 
écrit  sur  les  épîtres  de  saint  Paul,  174.  Com- 
mentaires de  Victorin  sur  les  épîtres  de  saint 
Paul,  329.  [Ses  commentaires  sur  l'épître 
aux  Galates,  sur  celle  aux  Philippiens,  sur 
celle  aux  Galates,  publiés  par  Angélo  Maï, 
329.  Ce  qu'ils  contiennent  d'important,  329 
et  330.  Victorin  avait  commenté  la  deuxième 
épître  aux  Corinthiens,  329,  334.]  —  Com- 
mentaires sur  ces  épîtres,  ouvrage  fausse- 
ment attribué  à  saint  Ambroise,  V,  510. — 
[Prologue  et  canons  de  Priscillien  l'hérétique 
sur  les  épîtres  de  saint  Paul,  VI,  266.  Les 
commentaires  de  saint  Éphrem  sur  qua- 
torze épîtres  de  saint  Paul,  521.]  —  Trente- 
deux  ou  trente-trois  homélies  de  saint  Jean 
Chrysostôme  sur  l'épître  aux  Romains,  VU, 
268  et  suiv.  Quaraute-quatre  homélies  du 
même  saint  docteur  sur  la  première  épître  de 
saint  Paulaux  Corinthiens,  288  etsuiv.  Trente 
homélies  du  même  Père  sur  la  seconde  épî- 
tre de  saint  Paul  aux  Corinthiens,  304et  suiv. 
Commentaire  du  même  sur  l'épître  de  saint 
Paul  aux  Galates,  311,  312.  Vingt-quatre  ho- 
mélies du  môme  sur  l'épître  aux  Éphésiens, 
313  et  suiv.  Quinze  ou  seize  homélies  du 


TABLE  GENERALE  DES  MATIÈRES. 


o67 


même  sur  l'épîlre  aux  Pliilippiens,  319  et 
suiv.  Douze  homélies  du  même  sur  l'épître 
aux  Colossiens,  323  et  suiv.  Onze  homélies 
du  même  sur  la  première  épltre  aux  Thes- 
saloniciens,  et  cinq  sur  la  seconde,  326  et 
suiv.  Dis-huit  homélies  du  même  sur  la  pre- 
mière épître  à  Timothée  et  dix  sur  la  se- 
conde, 329  et  suiv.  Autres  homélies  du  même 
sur  quelques  paroles  de  ces  deux  épîtres,  58, 
59  et  201,  202.  Six  homélies  du  même  sur 
répitre  à  ïite,  333  et  suiv.  Trois  homélies 
du  même  sur  l'épître  à  Philémon,  334,  335. 
Trente-quatre  homélies  du  même  sur  l'épître 
aux  Hébreux^  335  et  suiv.  [Fragments  des 
commentaires  de  Sévéï-ien  de  Gabalessurles 
épîtres  de  saint  Paul,  208.]  Lettre  de  saint 
Jérôme  à  Minerve  et  à  Alexandre,  moines, 
sur  quelques  endroits  diflSciles  des  épîtres 
de  saint  Paul,  577,  578.  Commentaire  de 
saint  Jérôme  sur  l'épître  aux  Galates,  S78, 
795  ;  sur  l'épître  aux  Éphésiens,  579;  sur  les 
épîtres  à  Tite  et  à  Philémon,  579  et  580. 
Commentaire  sur  ces  épîlres,  faussement 
attribué  à  saint  Jérôme,  et  qui  peut  être  de 
Pelage,  649.  —  Recueil  de  commentaires  sur 
toutes  les  épîtres  de  saint  Paul,  ouvrage  at- 
tribué à  Sédulius,  VIII,  109.  [Les  commen- 
taires sur  les  épîtres  aux  Galates  et  aux 
Épbésiens,  publiés  sous  le  nom  de  saint  Hi- 
laire  par  D.  Pitra,  sont  l'œuvre  de  Théodore 
de  Mopsueste,  622  et  suiv.]  —  Question 
sur  l'épître  de  saint  Paul  aux  Romains,  ou- 
vrage de  saiutAuguslin.Explication  de  cette 
épître,  ouvrage  du  même  Père.  Explication 
de  l'épître  aux  Galates,  ouvrage  du  même,  IX, 
228.  Sermons  de  saint  Augustin  sur  divers 
passages  des  épîtres  de  saint  Paul,  237.  Doc- 
trine de  saint  Augustin  sur  quelques  passa- 
ges de  saint  Paul  touchant  la  grâce,  650, 
651,  652,  724,725.  —  Commentaire  deThéo- 
doret  sur  les  épîlres  de  saint  Paul,  X,  41, 42. 
Ses  lettres  à  ce  sujet,  64.  Commentaire  de 
Gennade,  patriarche  de  Constantinopre,  sur 
toutes  les  épîtres  de  saint  Paul;  ce  commen- 
taire est  perdu,  345.  —  Commentaire  sur  ces 
épîtres  attribué  faussement  à  saint  Rémi, 
évêque  de  Reims;  il  paraît  être  de  Rémi, 
moine  d'Auxerre,  XI,  84.  Commentaire  de 
Primase,  évêque  d'Adrumet,  sur  les  épîtres 
de  saint  Paul,  283.  Combien  le  pape  saint 
Grégoire  le  Grand  compte  d'épîtres  de  saint 
Paul,  552,  [Commentaires  de  Luculentius  sur 
les  épîtres  de  saint  Paul,  633.]  Homéhes 
d'Arbogaste,  évêque  de  Strasbourg,  en  forme 
de  commentaire  sur  les  épîtres  de  saint  Paul, 


781.  —  Commentaire  du  Vénérable  Bèdesur 
ces  épîtres,  XII,  10.  Commentaires  de  saint 
Jean  Damascène  sur  les  épîtres  de  saint 
Paul,  85,  86.  Commentaires  d'Alcuin  sur 
quelques-unes  de  ces  épîtres,  171.  [Froben 
les  a  publiés,  172.]  Commentaire  sur  ces  épî- 
tres, attribué  à  saint  Benoît  d'Aniane,  262. 
Commentaire  de  Claude  de  Turin  sur  ces 
épîtres,  351,  352.  [Le  cardinal  Maï  a  puMié 
la  préface  sur  les  commentaires  des  épîtres 
de  saint  Paul  ;  il  a  publié  aussi  le  commen- 
taire sur  l'épître  à  Philémon,  351,  note  5. 
Les  commentaires  de  Claude  existent  manus- 
crits ,  351.]  Commentaire  de  Sédulius  le 
Jeune  sur  toutes  les  épîtres  de  saint  Paul, 
357,  358.  Commentaire  sur  ces  épîtres,  attri- 
bué à  Haimon  d'Halberstadt,  435.  Commen- 
taire de  Raban  Maur  sur  ces  épîtres,  452. 
Commentaire  de  Florus,  diacre  de  Lyon,  sur 
ces  épîtres,  482,  483.  On  l'a  attribué  au  Vé- 
nérable Bède,  mais  il  était  véritablement  de 
Florus;  il  n'est  point  imprimé,  483.  Com- 
mentaire de  Rémi  d'Auxerre  sur  les  épîtres 
de  saint  Paul,  faussement  attribué  à  saint 
Rémi,  archevêque  de  Reims,  619.  [Commen- 
taires d'Alton,  évêque  de  Verceil,  sur  les 
épîtres  de  saint  Paul,  publiés  par  Buronzo, 
826. J  Commentaires  d'QEcuménus  sur  ces 
épîtres,  913,  914.  —  Scholies  marginales  et 
interlinéaires  de  Marianus  Schotus  sur  ces 
épîlres,  XIII,  401.  Commentaire  de  Lan- 
franc,  archevêque  de  Cantorbéry,  sur  ces 
épîtres  ;  celui  qu'on  a  imprimé  sous  son  nom 
n'est  pas  de  lui,  443.  CommentaTres  sur  ces 
épîlres  attribués  à  Gilbert,  moine  de  Saint- 
Amand;  ils  sont  encore  manuscrits,  487. 
Commentaires  de  Théophylacte,  archevêque 
d'Acride,  sur  ces  épîtres;  difTérenles  épîtres 
et  traductions  qu'on  en  a  faites,  556.  Com- 
mentaires sur  ces  épîtres,  attribués  à  Nicé- 
tas  d'Héraclée,  558.  Commentaires  de  saint 
Bruno,  instituteur  des  Chartreux,  sur  ces 
épîtres,  577.  Commentaires  de  Magenold, 
prévôt  de  Marbach,  sur  ces  épîtres,  583.  — 
Commentaire  sur  ces  épîtres,  attribué  à  Eu- 
thymius  Zigabène,  XIV,  155.  Commentaire 
sur  ces  épîtres,  attribué  à  Anselme  de  Laon, 
183.  Commentaire  de  Gilbert  de  la  Porée  sur 
ces  épîtres  ,  343.  Commentaire  d'Hervé , 
moine  bénédictin  du  bourg  de  Dol,  sur  ces 
épîtres,  403.  Commentaires  de  Pierre  Lom- 
bard sur  les  épîtres  de  saint  Paul,  567.  Com- 
mentaire de  Jean  de  Sarisbery  sur  les  épî- 
tres de  saint  Paul,  679.  Commentaire  sur  ces 
épîtres  par  Pierre  Comestor,  746.  Explication 


368 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


58. 


56. 


57. 


65. 


304 
Jusqu'à  406. 


de  ces  épîlres  par  Guillaume  d'Auvergne, 
évêque  de  Paris,  1025. 

ÉPITREDE  SAINT  PAUL  AUX  ROMAINS. 
L'apôtre  l'a  écrite  de  Corinthe;  obscurité  de 
cette  épître;  elle  est  écrite  en  grec,  I,  221. 
Occasion  et  sujet  de  cette  épître,  221  et  222. 
—  Gommentaii'es  d'Origène  sur  l'épître  aux 
Romains,  II,  167.  —  Leltre  à  Héracle  ou 
pi'éface  descommentaires  d'Origène  sur  cette 
épître;  cette  préface,  faussement  attribuée 
à  saint  Jérôme,  est  deRufiu,  VII,  646. —Ex- 
plication de  saint  Cyrille  d'Alexandrie,  VIII, 
352,  353.]  —  Le  commentaire  sur  cette  épître, 
attribué  à  Théodale  dans  la  Bibliothèque  des 
Pères,  est  d'un  auteur  qui  n'a  vécu  que  plu- 
sieurs siècles  après  lui,  X,  470.  [Fragment  du 
commentaire  de  Photius  sur  l'épître  auxRo- 
mainSjXII,  973.]  —Commentaire  d'Abaillard 
sur  cette  épître,  XIV,  330,  331  et  341.  Com- 
mentaire de  Guillaume ,  abbé  de  Saint- 
Thierry,  390. 

Épître  (première)  de  saint  paul 

AUX  corinthiens.  Occasion  et  sujet  de 
cette  épître,  l,  222,  223.  Temps  auquel  elle  a 
été  écrite  ;  son  authen  ticité,  223.  —  [Commen- 
taire de  saint  Cyrille  d'Alexandrie,  VIII,  353.] 

ÉPIÏRE  (DEUXIÈME)  DE  SAINT  PAUL 
AUX  CORINTHIENS.  Occasion  et  sujet  de 
cette  épître,  I,  223,  224.  En  quel  temps  elle 
a  été  écrite,  224.  —  [Commentaire  de  saint 
Cyrille  d'Alexandrie,  VIII,  354.  — Fragments 
du  commentaire  de  Photius  sur  cette  épître, 
XII,  973.  —  Saint  Éphrem  admettait  une 
troisième  ël^ître  aux  Corinthiens  sur  laquelle 
il  a  fait  un  commentaire,  VI,  521.] 

ÉPÎTRE  DE  SAINT  PAUL  AUX  GALATES. 
Quelle  fut  l'occasion  de  cette  épître,  1,224, 
229.  [Leschifires  dansla  nouvelle  édition,  pre- 
mier tirage,  sont  fautifs,  de  224  on  passe  à 
229.]  Ce  qu'elle  contient;  saint  Paul  l'a  écrite 
de  sa  propre  main;  en  quel  temps  il  l'a  écrite, 
229.  [Commentaire  sur  l'épître  aux  Romains, 
ouvrage  perdu  desaintHilaire  de  Poitiers,  IV, 
65,  n.  13.  —  Commentaire  de  Didyme  l'Aveu- 
gle, publié  en  grande  partie  parMaï,  V,  621, 
622.]  —  Commentaire  de  saint  Jérôme  sur 
cette  épître,  VII,  578,  579.  Lettre  de  saint 
Augustin  à  saint  Jérôme  et  de  saint  Jérôme 
à  saint  Augustin  sur  un  endroit  de  cette  épî- 
tre, 626  et  suiv.  —  [Fragments  du  commen- 
taire de  saint  Cyrille  d'Alexandrie,  VIII,  354. 
—  Commentaire  de  Claude  de  Turin  sur  l'é- 
pître aux  Galates,  XII,  352. 

EPITRE  DE  SAINT  PAUL  AUX  ÉPHB- 
SIENS.  En  quel  temps  cette  épître  a  été  écrite, 


1,  229,  230.  [Elle  est  écrite  aux  Éphésiens  et 
non  aux  Laodicéens  ;  son  authenticité,  230, 
note  9.]  Analyse  de  ce  qu'elle  contient,  230, 
231.  Commentaire  de  saint  Jérôme,  VII,  579. 

ÉPÎTRE  DE  SAINT  PAUL  AUX  PHILIP- 
PIENS.  Occasion  et  sujet  de  cette  épître,  I, 
231 .  En  quel  temps  elle  a  été  écrite,  231  et232. 

épître  DE  SAINT  PAUL  AUX  COLOS- 
SIENS.  En  quel  temps  elle  a  été  écrite  ; 
quelle  en  fut  l'occasion,  I,  232.  Analyse  de 
cette  épître;  ce  qu'il  faut  penser  de  la  lettre 
des  Laodicéens  dont  il  est  parlé  dans  cette 
épître,  233.  Les  Colossiens  auxquels  cette 
lettre  est  adressée  sont  ceux  de  Phrygie  et 
non  les  Rhodiens,  233  et  234.  [Fragments  du 
commentaire  de  saint  Cyrille  d^Alexandrie, 
VIII,  354.]  —  Commentaire  particulier  de 
Jean  de  Sarisbéry  sur  cette  épître,  XIV,  679. 

ÉPÎTRE  (PREMIÈRE)  DE  SAINT  PAUL 
AUX  THESSALONICIENS.  En  quel  temps 
elle  a  été  écrite;  occasion  et  sujet  de  cette 
épître,  I,  234. 

épître  (DEUXIÈME)  DE  SAINT  PAUL 
AUX  THESSALONICIENS.  Elle  a  été  écrile 
la  même  année  que  la  première  ;  occasion  et 
sujet  de  cette  épître,  I,  234. 

Épître  (première)  de  saint  paul  a 

TIMOTHÉE.  En  quel  temps  elle  a  été  écrite  ; 
quelle  en  a  été  l'occasion,  I,  234,  253.  Ana- 
lyse de  cette  épître;  ce  qu'il  faut  penser  des 
inscriptions  qui  se  lisent  aujourd'hui  dans  le 
texte  grec  de  cette  épître,  235. 

épître  (DEUXIÈME)  DE  SAINT  PAUL  A 
TIMOTHÉE.  En  quel  temps  elle  a  été  écrite 
et  ce  qu'elle  contient,  1,  233,  236. 

ÉPÎTRE  DE  SAINT  PAUL  A  TITE.  Occa- 
sion de  cette  épître,  I,  236.  Temps  auquel 
elle  a  été  écrite  et  ce  qu'elle  contient,  236  et 
237.  —  [Commentaire  d'Alcuin,  XH,  172.] 

épître  DE  SAINT  PAUL  A  PHILÉMON. 
Occasion  etsujetdecette  épître;  en  quel  temps 
elle  a  été  écrite,  I,  237.  —  [Commentaire  d'Al- 
cuin Sur  cette  épître,  XII,  172.  Commentaire 
de  Claude  de  Turin,  351,  note  5.] 

ÉPÎTRE  DE  SAINT  PAUL  AUX  HÉBREUX. 
Difficultés  sur  l'au  leur  et  lacanonicité  de  cette 
épître,  I,  237,  238.  Les  Pères  grecs  l'ont  tous 
reçue  comme  canonique,  quoique  la  plupart 
ne  l'attribuent  pas  à  saint  Paul.  Un  grand 
nombre  de  Pères  latins  l'ont  citée  sous  le  nom 
de  saint  Paul  et  l'ont  reconnue  pour  canoni- 
que. Dès  le  temps  des  apôtres,  l'Église  ro- 
maine la  recevait  comme  de  saint  Paul  ou 
du  moins  comme  canonique.  Saint  Pierre 
dit   que   l'apôtre   saint   Paul   a  écrit  aux 


52. 


52. 


64 


63  ouf 


62. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


369 


Hébreux  ;  cette  épître  porte  certains  carac- 
tères qui  prouvent  que  saint  Paul  en  est  au- 
teur; s'il  y  a  quelque  difiereuce  de  style,  elle 
vient  de  la  matière,  I,  238  et  suiv.  En  quel 
temps  et  en  quelle  langue  elle  a  été  écrite  ; 
pourquoi  saint  Paul  n'y  a  pas  mis  son  nom; 
occasion  de  cette  épître  ;  analyse  de  ce 
qu'elle  contient,  240.  —  Elle  est  citée  sous 
le  nom  de  cet  apôtre  par  saint  Méthode,  III, 
68  ;  —  par  saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  67  ; 
par  saint  Athanase,  189;  par  saint  Basile, 
262.  —  Témoignage  de  saint  Philastre,  V, 
173.  Saint  Grégoire  de  Naziauze  témoigne 
que  ceux  qui  la  rejettent  sont  dans  l'erreur, 
308.  —  Saint  Éphrem  l'attribue  à  saint  Paul, 
VI,  51.  —  Témoignage  de  saint  Augustin, 
IX,  572.  —  [Fragment  ducommentaire  d'Eu- 
sèbe  de  Césarée  sur  cette  épître,  III,  256.]  — 
Commentaire  de  saint  Cyrille  d'Alexandrie 
sur  cette  épître,  VllI,  324  [et  354].  —  Com- 
mentaire d'Hésychius  sur  cette  épître,  XI, 
667.  —  [Fi'agments  du  commentaire  de  Pho- 
tius  sur  cette  épître,  XII,  973.] 

ÉPURES  (les  sept)  catholiques,  savoir  : 
de  saint  Jacques,  de  saint  Pierre,  I  et  11;  de 
saint  Jean,  I,  II  et  III,  et  de  saint  Jude.  Saint 
Grégoire  de  Nazianze  les  met  dans  le  canon 
des  livres  sacrés,  V,  308.  —  Elles  sont  re- 
connues par  saint  Augustin,  IX,  572,  573.  — 
Sentiment  de  Cosme  d'Egypte  sur  ces  épî- 
tres,  XI,  189.  —  Commentaires  sur  les  épî- 
tres  de  saint  Pierre  et  de  saint  Jean,  ouvrage 
faussement  attribué  à  Clément  d'Alexandrie, 
I,  588.   —  [Exphcation  des  épîtres  canoni- 
ques, ouvrage  perdu  de  saint  Hilaire  de  Poi- 
tiers, IV,  65,  n.  13.]  —  Commentaires   sur 
les  épîtres  canoniques,  faussement  attribués 
à  Didyme  l'Aveugle,  V,  614.  —  Les  Syriens 
ne  recevaient  que  celle  de  saint  Jacques,  la 
première  de  saint  Pierre  et  la  première  de 
saint  Jean,  Vil,  203.  Sept  livres  sur  ces  épî- 
tres attribués  à  saint  Jérôme,  630.  —  Trai- 
tés ou  homélies  de  saint  Augustin  sur  la  pre- 
mière épître  de  saint  Jean,  IX,  220  et  suiv. 
Sermons  du  même  sur  diverses  paroles  des 
épîtres  de   saint  Jacques  et  de  saint  Jean, 
237.  —   Commentaires  du  Vénérable  Bède 
sur  les  sept  épîtres  canoniques,  XII,  9.  [Let- 
tre du  Vénérable  Bède  sur  les  épîtres  cano- 
niques, 33.]  Commentaire  sur  ces  épîtres, 
attribué  à   Haimon  d'Halberstat,  433,   436. 
Commentaires    d'Œlcumenius   sur   les  sept 
épîtres  catholiques,  913,  914.  [Fragments  de 
ces  commentaires,  914.]  —  Commentaires  de 
Théophylacte  d'Acride  sur  ces  épîtres,  XIII, 

TAB.  I. 


68 
ou  environ 


556.  Commentaires  sur  plusieurs  de  ces  épî- 
tres, attribués  à  Nicétas  d'Héraclée,  358.  — 
Commentaire  d'Euthymius  Zigabène  sur  ces 
épîtres,  XIV,  133.  Explication  de  ces  épîtres 
par  Guillaume  d'Auvergne,  1025.  [J.  A.  Cra- 
mer a  publié  en  1844  àOxfort,  un  volume  de 
chaînes  des  Pères  grecs  sur  les  épîtres  ca- 
noniques avec  les  commentaires  d'QEcu- 
méniuset  d'Aréthas  sur  l'Apocalypse.]  (Voy. 
les  articles  suivants.) 

ÉPÎTRE  DE  SAINT  JACQUES.  Pourquoi 
elle  est  appelée  catholique  et  canonique,  I, 
240.  Saint  Jacques  en  est  l'auteur  ;  elle  est 
canonique,  240  et  241.  C'est  saint  Jacques, 
fils  d'Alphée,  qui  en  est  l'auteur,  et  non  pas 
saint  Jacques,  fils  de  Zébédée,  241,  242. 
Analyse  de  cette  épître,  242,  —  Elle  est  ci- 
tée par  saint  Basile,  IV,  497. 

ÉPÎTRE  DE  SAINT  PIERRE.  Elle  fut  écrite 
de  Rome  ;  en  quel  temps  il  l'écrivit.  Analyse 
de  cette  épître,  1, 247.  Elle  fut  écrite  en  grec, 
247  et  248.  Caractère  de  cette  épître,  248. 

ÉPÎTRE  (DEUXIÈME)  DE  SAINT  PIERRE. 
Elle  fut  écrite  de  Rome  comme  la  première  ;  es 
en  quel  temps  ;  elle  est  de  saint  Pierre,  248. 
Elle  est  canonique,  248  et  249.  Analyse  de 
cette  épître,  249.  Elle  est  citée  par  saint 
Basile,  IV,  497.  ■ —  [Commentaire  de  Lucu- 
lentius  sur  la  première  épître  de  saint  Pierre, 
XI,  633.] 

Épîtres  de  saint  JEAN.  En  quel  temps 
elles  furent  écrites  ;  occasion  et  sujet  de  la 
première,  1,  230.  On  a  souvent  contesté  à 
saint  Jean  les  deux  autres  ;  mais  depuis  la 
fin  du  iv°  siècle  les  Pères  et  les  Conciles  s'ac- 
cordent à  les  recevoir  comme  de  lui,  et  elles 
ne  contiennent  rien  qui  ne  lui  convienne, 
230  et  231.  Analyse  de  la  seconde,  231,  232. 
Analyse  de  la  troisième.  Saint  Jean  n'a  mis 
son  nom  à  aucune  de  ses  épîtres,  232.  Diffi- 
culté sur  le  verset  7  du  chapitre  v  de  la  pre- 
mière épître  de  saint  Jean,  252  et  233.  Au- 
thenticité de  ce  verset;  il  se  trouve  dans  les 
plus  anciens  exemplaires  ;  il  est  cité  par  les 
plus  anciens  Pères;  il  peut  avoir  été  omis 
par  la  négligence  des  copistes  ou  supprimé 
par  la  malignité  des  hérétiques,  233,  254. 

Épître  de  saint  jude.  Eh  quel  temps      Après  65 
elle  a  été  écrite,  I,  255.  Analyse  de   cette 
épître,  253  et  236.  Sa  canonicité,  256. 

Épîtres  faussement  attribuées  aux  apô- 
tres, I,  279  et  suiv. 

Épître  attribuée  à  saint  Barnabe,  apôtre,       j  3^^^,^ 
1,  281   et  suiv.  Éditions  de  cette  épître,  284 
[et  283,  note  3.  Tischendorf  a  découvert  le 

24 


370 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


I  siècle 


H  siècle. 
Il  siècle. 


1C6. 


Il  siècle. 


III  siècle. 


IV  siècle. 


397. 


texte  grec  complet  dans  ua  manuscrit  du 
Sinaï.  Ce  manuscrit  a  été  reproduit  par 
Dressel,  avec  des  variantes  dans  les  Patres 
apostolici,  edit.  secunda,  Leipsik,  1863.  L'au- 
thenticité de  celte  épître  est  admise  par 
Alzog  dans  son  Manuel  de  Patrologie,] 

ÉPITRES  DE  SAINT  CLÉMENT,  pape,  I, 
340  et  suiv. 

ÉPITRE  DE  SAINT  IGNACE,  I,  363  et  suiv. 
ÉPITRE    DE   SAINT  POLYGARPE   AUX 
PHILIPPIENS,  L  393  et  suiv. 

ÉPITRE  de  l'Église  de  Smyrne  touchant 
le  martyre  de  saint  Polycarpe  ;  quelle  fut 
l'occasion  de  cette  leltre  ;  à  qui  elle  fut 
adressée;  en  quel  temps  elle  fut  écrite,  I, 
406.  Ce  qu'elle  contient  de  remarquable,  406 
et  407.  Jugement  de  cette  lettre,  407.  Édi- 
tions qui  en  ont  été  faites,  407,  408. 

ÉPITRE  DE  SAINT  JUSTIN  à  Diognète,  I, 
428  et  suiv. 

ÉPITRE  CANONIQUE  de  saint  Grégoire 
Thaumaturge,  II,  444  et  suiv. 

ÉPITRES  CANONIQUES  de  saint  Basile  le 
Grand  :  première,  IV,  438  et  suiv.;  seconde, 
463  et  suiv.;  troisième,  472  et  suiv. 

ÉPITRE  CANONIQUE  de  saint  Grégoire  de 
Nysse  adressée  à  Létoius,  évêque  de  Méli- 
tine,  VI,  153  et  suiv. 

ÉPITRES  CANONIQUES  des  Pères  grecs. 
Commentaires  de  Zonare  sur  ces  épîtres, 
XIV,  137. 

ÉPITRES  DÉCRÉTALES.  Voyez  Décré- 
tales. 

ÉPITRES  SYNODALES  écrites  à  l'empe- 
reur Léon  pour  la  défense  du  concile  de 
Chalcédoine ,  recueillies  par  Épiphane  le 
scholastique,  XI,  402. 

ÉPITRE  DE  MANICHÉE,  intitulée  Du  fon- 
dement ;  livre  de  saint  Augustin  contre  cette 
épître,  IX,  338, 

ÉPREUVES.  Épreuve  du  feu  rapportée 
par  Rufln  d'Aquilée,  VII,  474.  —  Saint  Gré- 
goire de  Tours  fait  mention  de  l'épreuve  du 
feu,  XI,  374.  Épreuve  du  feu  acceptée  par 
Éphrem,  patriarche  d'Antioche  ,  704.  — 
Epreuves  du  feu  et  de  l'eau,  et  autres  appe- 
lées Jugements  de  Dieu;  prières  à  ce  sujet, 
XII,  186.  Traité  d'Agobard  contre  ces  supers- 
titions, 373.  Témoignages  de  Raban  Maur, 
468,469.  Hincmar  de  Reims  prend  la  défense 
de  ces  épreuves,  468.  Thietberge  prouve  son 
innocence  par  l'épreuve  de  l'eau  bouillante, 
574.  Gothescalc  s'offre  de  s'exposer  à  l'é- 
preuve de  l'huile  bouillante,  394.  Hincmar 
de  Reims  prend  la  défense  de  ces  épreuves, 


662.  Traité  de  l'épreuve  de  l'eau  froide  par 
Hincmar  de  Reims,  678,  679.  —  Épreuve  du 
fer  chaud  pour  découvrir  un  crime,  XIII,  53, 
507,  508;  pour  prouver  la  vérité  de  la  reli- 
gion  chrétienne,  63  ;  assurer  la  vérité  d'une 
relique,  533.  Épreuve  de  l'eau  chaude  pour 
un  cas  semblable,  525,  L'épreuve  de  l'eau 
chaude  était  encore  en  usage  en  Flandre  à 
la  fin  du  xi"  siècle,  596.  Cérémonies  qui 
s'observaient  à  l'épreuve  de  l'eau  froide  ; 
cette  épreuve  est  défendue  par  un  concile  de 
Worms,  666.  Épreuve  par  le  feu  ordonnée 
dans  un  concile  de  Tours,  745.  Comment  les  928. 
épreuves  par  l'eau  ou  par  le  feu  se  faisaient 
en  Angleterre  suviant  les  canons  du  concile 
de  Gratelean,  745  et  746.  — Épreuves  du  fer 
chaud  et  autres  condamtiées  par  Yves  de 
Chartres,  XIV,  108, 114,  116,  117,  120.  Mani. 
chéens  éprouvés  par  le  jugement  de  l'eau 
exorcisée,  200.  Témoignage  deRobert  PuUus, 
suries  épreuves  du  feu  et  de  l'eau  chaude, 
396.  Exorcismes  qui  précédaient  l'épreuve 
du  feu,  313.  Épreuve  du  fer  chaud  ordonnée 
par  un  concile  de  Mayence,  1041.  Voy.  Eau. 

ÉPREUVES  MONASTIQUES.  Lettre  de 
Théodore  Balsamon  sur  ce  sujet,  XIV,  828. 
Lettre  du  pape  Innocent  III,  966. 

EPTENACH,  abbaye  au  diocèse  de  Trêves. 
Chronique  de  cette  abbaye  composée  par 
Adelhaire  ;  elle  n'a  pas  été  imprimée,  XII, 
883. 

ÉQUICE,  évêque  d'Hippozarrhites,  déposé       v.  54t 
pour  ses  crimes,  VIII,  538  et  341. 

ÉQUICE,  évêque  à  qui  le  pape  saint  Sim- 
plice  écrit,  X,  402, 

ÉQUICE,  père  de  saint  Maur,  disciple  de 
saint  Benoit,  XI,  137. 

ÉQUICE  (Saint),  père  de  plusieurs  monas- 
tères dans  l'Abrazze,  Sa  Vie  et  ses  miracles 
dans  les  Dialogues  de  saint  Grégoire  le 
Grand,  XI,  473,  474. 

ÉQUILIBRE  de  Julien  le  Pélagien,  IX, 
552. 

ÉQUINOXE.  Lettre  du  Vénérable  Bède  sur 
l'équinoxe  du  printemps  suivant  le  calcul 
d'Anatolius,  XII,  5.  —  Traité  des  solstices  et 
deséquinoxes  par  Pandulfe,  moine  du  Mont- 
Cassin,  Xin,  493. 

ÉQUIVOQUE.  Y  a-t-il  de  l'équivoque  dans 
les  paroles  de  Judith?  I,  101.  —  Les  équi- 
voques sont  condamnées    par  Tertullien, 

n,  73. 

ÉRAGLE  ouÉVÉRAGLE,  évêque  de  Liège,  959. 
succède  à  Baldric.  Temps  de  sa  mort.  Ses  97i. 
Lettres  à  Rathérius,  évêque  de  Vérone.  Re- 


i 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


371 


lation  d'une  guérison  miraculeuse  opérée 
sur  lui-même  par  l'intercession  de  saint 
Martin,  XII,  844.  —  Notger  lui  succède, 
XIII,  39.  —  [Sa  Vie,  par  Régnier,  moine  de 
Saint-Laurent  de  Liège,  XIV,  796.]  (Voyez 
ce  qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  FroMCe,  t.  VI,  p.  333  et  suiv.) 

ÉRACLIUS.  Voyez  Héraclius. 
V siècle.  ÉRACLIUS,    prêtre   d'Hippone,    désigné 

pour  succéder  à  saint  Augustin,  IX,  20  et 
174.  Ses  discours,  243. 

ÉRAJN'ISTE,  titre  que  Théodoret  a  donné 
à  un  de  ses  ouvrages.  Ce  que  signifie  ce 
«7.  titre,  X,  79.  A  quelle  occasion  et  en  quel 
temps  cet  ouvrage  a  été  composé,  79  et  80. 
Il  est  divisé  en  trois  dialogues  :  analyse  de 
ces  dialogues,  80  et  suiv. 

ÉRARD ,  moine  bénédictin ,  auteur  de 
quelques  ouvrages  perdus.   (Voyez  du  Pin.) 

ÉRASISTRATE,  évéque  de  Gorinthe,  re- 
fuse de  se  soumettre  à  l'évêque  de  TLtessa- 
lonique,  X,  206.  ' 

ÉRASME  (Didier),  savant  célèbre.  Son 
édition  des  œuvres  de  saint  Irénée,  I,  S30  ; 
—  de  celles  dOrigène,  II,  2oo  ;  de  celles  de 
saint  Gyprien,  382.  Ses  Scholies  sur  le  livre 
de  LacLance  intitulé  :  De  l'Ouvrage  de  Dieu, 
S20.  —  Son  édition  des  œuvres  de  saint 
Hilaire  de  Poitiers,  IV,  88  ;  de  celles  de 
saint  Basile,  archevêque  de  Césarée,  545. 
Érasme  rejette  le  Commentaire  de  saint 
Basile  sur  Isaïe,  376  ;  et  une  grande  partie 
du  livre  de  ce  saint  docteur  sur  le  Saint- 
Esprit,  419.  Son  édition  des  œuvres  de  saint 
Athanase,  230  ;  —  de  celles  de  saint  Am- 
broise,  V,  S83.  —  Sa  version  de  quelques 
opuscules  de  saint  Jean  Chrysostôme,  VII, 
436.  Préface  de  cet  auteur  sur  les  ouvrages 
de  saint  Jérôme,  648.  Son  édition  ties  œu- 
vres de  saint  Jérôme,  708,  709  ;  —  de  celles 
de  saint  Augustin,  IX,  813;  —  du  livre  de 
Gennade,  des  Écrivains  ecclésiastiques,  X, 
601.  —  Son  jugement  sur  l'écrit  d'Alger, 
scholastique  de  Liège,  touchant  l'Eucha- 
ristie, XIV,  384. 

ERCANRAD.  Voyez  Erchanrad, 

ERCHAMBALD  ou  ERGAMBALD,  abbé 
de  Saint-Trulpert,  auteur  de  quelques  écrits. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  lu  France,  t.  V,  p.  223  et  suiv.) 

ERCHAMBALD  ,  évêque  de  Strasbourg. 

V.  Erkembald. 

835  ERCHAMBERT,    évêque   de    Frisingue, 

succède  à  Hitton  son  oncle.  Ouvrages  qui 

nous  restent  de  lui,  XII,  440.  [Fragment  de 


853. 


868. 


887. 


XI  siècle. 


HiS. 


V  siècle. 


son  Histoire  des  rois  de  France  et  des  maires 
du  palais,  440.]  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  128 
et  suiv.) 

ERCHANRAD,  évêque  de  Paris.  Sa  mort; 
Énée  lui  succède,  XII,  600. 

ERCHANRAD,  évêque  de  Chàlons-sur- 
Marne.  Sa  mort;  Willebert  lui  succède, 
XHI,  700. 

EftCHEMPERT,  moine  du  Mont-Cassin. 
Son  illustre  naissance.  A  quelle  occasion  il 
se  fît  moine.  Il  est  député  au  pape  Etienne, 
pour  l'engager  à  obliger  Alhenulfe  de  ren- 
dre ce  qu'il  avait  pris  au  Mont-Cassin.  On 
ignore  le  temps  de  sa  mort,  XII,  779.  Sa 
Chronique  ou  Histoire  des  Lombards,  779 
et  780.  Ses  autres  écrits  ;  ils  n'ont  pas  été 
imprimés,  780. 

ERCHINFROID,  troisième  abbé  de  Molck, 
écrit  l'Histoire  du  martyre  et  des  miracles 
de  saint  Colman,  XIII,  138,  139.  On  ne  con- 
naît point  d'autre  ouvrage  de  lui,  139. 

ERGHONVALD  (Saint).  yo^QzErchenwald 
(saint). 

ÉREBERT,  chancelier  du  roi  Conrad, 
l'accompagne  à  la  croisade,  XiV,  523. 

ÉRECHTE,  évêque  d'Antioche  de  Pisidie, 
cité  par  Timothée  Élure  comme  père.  Ce 
qu'on  trouve  de  ses  écrits  ;  il  était  euty- 
chien,  X,  406. 

ÉRECTIONS  D'ÉVÊGHÉS.  Canon  sixième 
du  concile  de  Sardique,  III,  486.  —  Canons 
quarante-deuxième  et  quarante-troisième 
du  troisième  concile  de  Carthage,  VII,  724. 
Canon  quai'ante-sixième,  723.  — Règlement 
du  concile  général  de  Carthage,  VIII,  343. 

ÉREMVOLF,  hérétique,  condamné  par  S. 
Boniface,  archevêque  de  Mayence,XII,  47. 

ÉRÈSE  et  non  CRÈSE,  évêque  de  Placie 
ou  Plata,  au  concile  de  Néocésarée,  II,  640. 

ERFORT,  ville  de  Thuringe.  Saint  Boni-        741. 
face  y  établit  un  évêché,  XII,  47.  — Concile        1074. 
tenu  en  cette  ville  par  Sigefroi,  archevêque 
de  Mayence,  XIII,  356.  Autre  concile  tenu        932. 
en  cette  ville,  746. 

ERGEMBALD.  Voyez  Erchambald. 

ERHARD  (Saint).  Son  corps  levé  de  terre       ,052. 
par  le  pape  saint  Léon  IX,  XIII,  202. 

ERHENWALD  (Saint)  ou  ERGHONVALD, 
évêque  de  Londres.  Sa  Vie  écrite  par  Got- 
zeHn,  moine  de  Cantorbéry,  XIII,  551  et 
Xiy,  233. 

ÉRIARTH,   moine  coupable   d'homicide,     ix  siècle. 
Pénitence  que  lui  impose  le  pape  saint  Ni- 
colas I,  Xn,  584. 


397. 


407. 


372 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


965. 


XH  siècle. 


IX  siècle. 


1012. 


IX  siècle. 


8G5. 


ÉRI6ÈNE,  surnom  donné  à  Jean  Scot, 
écrivain  du  ix"  siècle,  XII,  603.  Voyez  Jean 
Scot  ou  Erigène, 
ÉRIPHIUS,  à  qui  S.  Sidoine  écrit,  X,  389. 
ERKEMBALD  ou  ARCHEMBOLD,  évêque 
de  Strasbourg.  Ce  qu'on  sait  des  circons- 
tances de  sa  vie,  XII,  883.  En  quelle  année 
il  succède  à  Uthon,  qui  l'avait  fait  son  coad- 
juteur,  XII,  883.  Son  poème  sur  lesévéques 
de  Strasbourg.  Ses  autres  écrits,  884.  (Voy. 
son  article  dans  V Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VI,  p.  467  et  suiv.) 

ERLEBALD,  comte,  usurpateur  de  quel- 
ques terres  deTÉglisedeReims,  excommunié 
et  déchargé  de  l'excommunication,  XIII,  744. 
ERLEBOLD,  se  fait  moine  à  Saint-Lau- 
rent de  Liège,  puis  passe  à  Stavelo,  dont 
Wibald,  son  frère,  était  abbé,  XIV,  523. 

ERLEGAUDUS,  prêtre  interdit  par  We- 
nillon,  archevêque  de  Sens.  Lettre  de  Loup 
de  Feirières  en  sa  faveur,  XII,  503. 

ERLUIN,  premier  abbé  de  Gemblours.  Sa 

Vie  écrite  en  vers  par  le  moine  Riquier.  Il 

n'en  reste  que  peu  de  chose,  XII,  883.  — 

.  Sa  mort.  Albert  lui  succède,  XIII,  142. 

ERLUIN,  évêque  d'Arras  et  de  Cambrai. 

Gérard  lui  succède,  XIII,  159. 

ERME  ou  ERMINON  (Saint),  évêque  et 
abbé  de  Lobes,  auteur  d'un  poëme  sur  les 
vertus  de  saint  Usmar.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 
IV,  p.  62  et  suiv.) 

ERMEMBERT,  archevêque  de  Bourges. 
Le  pape  Adrien  lui  accorde  l'usage  du  pal- 
lium,  XII,  140. 

[ERMENGARDE  ou  ERMENGAUD,  abbé 
de  Saint-Gilles.  Ce  qu'on  sait  des  circons- 
tances de  sa  vie,  XIV,  807.  Son  traité  contre 
les  Vaudois,  807  et  808.  Editions  de  ce  traité, 
809.] 

ERMENRIC,  abbé  d'Elvangen.  Temps  de 
sa  mort.  IJ  compose  la  Vie  de  l'ermite  Sole 
et  quelques  vers  à  sa  louange.  Sa  Vie  de 
saint  Hariolphe,  pi'emier  abbé  d'Elvangen. 
La  Vie  de  saint  Magne,  premier  abbé  de 
Fuesen,  qu'on  dit  qu'il  a  retouchée,  est  l'ou- 
vrage d'un  imposteur,  XII,  554.  —  Est-elle 
diflérente  de  celle  qui  est  attribuée  àOthlon, 
moine  de  Saint-Emraeramn,  XIII,  282,  283. 
(Voyez  l'article  d'Ermenric  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  324  et  suiv.) 
ERMENRIC,  moine  de  Ricbenow.  Son 
traité  de  Grammaire.  Ses  autres  écrits,  XII, 
553. 
ERMENTAIRE,   abbé  de  Herraoutier  en 


Poitou.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de 
sa  vie,  XII,  332,  553.  Son  Histoire  de  saint 
Philibert,  553.  (Voyez  son  article  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  315  et 
suiv.) 

ERMENTHÉE,  évêque  d'Orléans.  Sa  mort.         970. 
Afnoul,  son  neveu,  lui  succède,  XII,  894. 

ERMENTRUDE,  dame  noble.  Son  testa- 
ment par  lequel  elle  fait  une  donation  à 
l'église  de  Saint-Symphorien,  diocèse  de 
Meaux,  du  pain  et  du  vin  nécessaires  pour 
les  oblations,  XIII,  21. 

ERMINON  (Saint)  ou  ERME.  Voyez  Saint 
Erme. 

ERMITE.  Traité  de  la  Préférence  que  l'on 
doit  à  la  vie  érémitique  :  ouvrage  de  saint 
Nil,  solitaire  du  Sinaï,  VIII,  211.  —  Livre 
de  la  Vie  érémitique,  ouvrage  faussement 
attribué  à  saint  Augustin,  IX,  64.  —  Ermites  646. 
vagabonds  que  le  concile  de  Tolède  ordonne 
d'enfermer  dans  des  monastères,  XII,  921. 
Canon  du  concile  Quinisexte  ou  in  Trullo, 
962. 

ERMOLDUS  NIGELLUS.  Ce  qu'on  sait  des  ix  sièc 
circonslances  de  sa  vie,  XII,  333,  336.  Son 
poëme  en  l'honneur  de  Louis  le  Débonnaire, 
336,  [se  trouve  traduit  au  tome  IV  des  Mé- 
moires relatifs  à  l'Histoire  de  France,  par 
M.  Guizot,  336.]  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  I,  p.  520 
et  suiv.,  et  le  Supplément,  t.  XI,  p.  xiv.) 

[ERNESTI  (Jean-Chrétien-Gotheb).  Sa  dis- 
sertation sur  les  Commentaires  de  Procope, 
XI,  179.] 

[ERNOLP,  évêque  de  Saintes  :  sa  dépo- 
sition, XHI,  293.] 

ERREUR.  De  l'origine  de  l'erreur,  second 
livre  des  Institutions  de  Lactance,  II,  498, 
499.  —  Pensée  d'Eusèbe  de  Césarée  sur  les 
erreurs  où  tombent  les  justes,  III,  238,  239. 
—  Doctrine  de  saint  Chrysostôme  contre  les 
hérétiques  et  leurs  erreurs,  VII,  427  etsuiv. 

ÉRUDITION.  Livres  des  Mélanges  d'é- 
rudition théologique  faussement  attribués 
à  Hugues  de  Saint-Victor,  XIV,  336.  Érudi- 
tions didascaliques  par  le  même,  333,  334. 

ERVIGE,  roi  des  Golhs  en  Espagne.  Let-        6S3. 
tre  que  lui  écrit  le  pape  Léon  II  pour  l'in- 
former des   décrets  du  concile  de  Constan- 
tinople  contre  les  Monothélites,  XI,  783.  Il        Gso. 
avait  été  désigné  par  Wamba,  794,  et  XII, 
936.  —  Il  assemble  un  concile  à  Tolède,  où        eso. 
il  fait  confirmer  son  élection,  XII,  936,  937. 
Autre  concile  de  Tolède  où  il  propose  divers        683. 
règlements,  957,   958.  Autre  pour  adhérer        68*. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


373 


H77. 


391. 

401. 


au  sixième  concile  général  contre  les  Mono- 
thélites,  938,  9S9. 

[ERVISE  ou  ERNISE  ou  ERNEST,  abbé 
de  Saint-Victor.  Son  mauvais  gouvernement, 
XIV,  997,  998.  Il  se  démet  par  force,  698. 
Lettres  relatives  à  cet  événement,  710.  Ce 
qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie,  709. 
Salettre  àOdon,  cardinal  diacre,  709  et7IO. 
Lettre  de  Pierre,  cardinal  de  Saint-Cbryso- 
gone,  à  cet  abbé,  749.  Lettre  de  Roger, 
abbé  de  Saint-Euverte,  à  Ervise,  781.] 

ÉSAU,  fils  d'Isaac.  Ce  qu'en  pensait  saint 
Basile,  IV,  375.  —  Sermon  de  saint  Césaire 
d'Arles  sur  Jacob  et  Ésaû,  XI,  129. 

ESGIDUS.  Voyez  Théodore,  surnommé 
Escidus. 

ESCLAVES.  Doctrine  de  saint  Ignace,  I, 
386;  de  saint  Ambroise,  V,  409.  —  Canon 
quati'e-vingl-deuxième  apostolique,  II,  S87. 
Canon  cinquième  d'Elvire,  605. — Lois  de 
Constantin  en  faveur  des  esclaves,  III,  144. 
Canon  troisième  du  concile  de  Gangres,  §17. 
[Nom  des  maîtres  donné  aux  esclaves,  V, 
631.]  —  Loi  de  Théodose  sur  la  liberté  des 
esclaves,  VI,  371.  —  Règlement  d'un  con- 
cile général  de  Carthage,  VIII,  338.  —  Té- 
moignage de  saint  Léon  sur  l'ordination  des 
esclaves,  X,  262.  Ordonnance  semblable  du 
pape  saint  Gélase  qui  défend  de  recevoir 
les  esclaves  dans  les  monastères  sans  le 
consentement  de  leurs  maîtres,  503.  Canon 
semblable  du  concile  de  Chalcédoine,  697. 
Dispositions  du  concile  d'Agde  sur  les  es- 
claves des  églises,  737.  Canon  du  premier 
concile  d'Orléans  sur  les  esclaves  réfugiés 
dans  les  églises;  sur  ceux  ordonnés  à  l'insu 
de  leur  maître,  744.  —  Ordonnances  de  saint 
Grégoire  le  Grand  touchant  les  esclaves,  XI, 
506.  Lois  qu'il  cite  touchant  les  esclaves, 
532.  Témoignage  de  saint  Isidore  de  Séville 
touchant  les  esclaves,  723,  724.  Témoignage 
de  saint  Théodore,  archevêque  de  Cantor- 
béry,  798.  Canons  du  concile  d'Épaone,  815 
et  817;  de  Lérida,  823;  du  quatrième  d'Or- 
léans, 862  ;  du  troisième  de  Paris,  883;  du 
premier  de  Mâcon,  893  ;  du  deuxième  de 
Mâcon,  897.  —  Agobard,  archevêque  de 
Lyon,  défend  aux  chrétiens  de  vendre  des 
esclaves  chrétiens  aux  Juifs  et  de  souffrir 
que  les  Juifs  en  vendent,  XII,  366.  Louis 
le  Débonnaire  défend  de  baptiser  les  es- 
claves des  Juifs  sans  le  consentement  de 
leurs  maîtres,  367.  Réponse  deRaban  sur  la 
question  s'il  est  permis  de  prier  pour  un 
esclave  fugitif  mort  dans  sa  fuite,  465.  Dis- 


positions d'un  concile  de  Reiras  à  l'égard 
des  esclaves,  915  ;  de  trois  conciles  de  To- 
lède, 920,  934.  Canon  d'un  concile  de  Sara-  H™- 
gosse,  959  ;  —  du  troisième  de  Latran,  qui 
défend  aux  Juifs  et  aux  Sarrasins  d'avoir  des 
esclaves  chrétiens,  XIV,  1142. 

ESDRAS,  prêtre,  prophète  et  docteur  de 
la  loi.  Sa  vie,  I,  62  et  suiv.  Sa  famille.  Il  est 
mené  en  captivité;  il  étudie  la  loi,  62.  lire-  '^"'"'L,^-'^- 
vient  à  Jérusalem  avec  Zorobabel,  retourne 
à  Babyloue  et  obtient  du  roi  Arlaxercès  des 
lettres  de  retour,  62  et  63.  Esdras  retourne 
à  Jérusalem  suivi  d'un  grand  nombre  d'Is- 
raélites. Douleur  d'Esdras  en  apprenant  que 
plusieurs  Juifs  avaient  des  femmes  étran- 
gères ;  il  les  oblige  à  les  renvoyer,  63.  Il 
instruit  et  console  le  peuple,  63  et  64.  Il  as- 
siste à  la  dédicace  des  murs  de  Jérusalem; 
il  meurt,  64.  Esdras  est  l'auteur  du  premier 
des  livres  qui  sont  sous  son  nom.  Pi-emière 
objection  contre  ce  sentiment  et  réponse  : 
l'auteur  de  ce  livre  était  présent  à  l'ambas- 
sade des  officiers  du  roi  de  Perse  à  Jérusa- 
lem. Réponse  :  Esdras  est  venu  de  Babylone 
à  Jérusalem  une  première  fois  avec  Zoro- 
babel.  Il  a  donc  pu  répondre  aux  officiers 
du  roi  de  Perse;  d'ailleurs  il  est  ordinaire 
à  un  historien  de  parler  au  nom  de  sa  na- 
tion, 66.  Seconde  objection  :  on  trouve  dans 
le  livre  d'Esdras  un  dénombrement,  mais  à 
le  bien  considérer,  le  dénombrement  d'Es- 
dras n'est  pas  la  copie  de  celui  de  Néhémias, 

67.  [Voyez  67,  note  1,  et  66,  note  7.]  Som- 
maire du  premier  livre  d'Esdras.  Néhémias 
auteur  du  deuxième  livre,  67.  Réponse  aux 
objections,  67  et  68.  Sommaire  de  ce  livre, 

68.  Le  troisième  hvre  d'Esdras  était  le  pre. 
mier  chez  les  Grecs.  Les  Latins  ne  le  met- 
taient que  le  troisième  et  l'ont  mis  ensuite 
hors  du  rang  des  Écritures  canoniques,  68, 

69.  Grande  autorité  du  troisième  livre  chez 
les  Pères  grecs  et  latins.  Ce  livre  rejeté 
comme  apocryphe  par  saint  Jérôme,  69. 
L'auteur  de  ce  livre  est  très-ancien,  mais 
différent  d'Esdras,  69  et  70.  Ce  livre  est  sus- 
pect de  fausseté,  70  et  71.  Le  quatrième 
livre  qui  porte  le  nom  d'Esdras  a  été  cité 
par  les  anciens,  71.  [Versions  éthiopienne  et 
arabe  de  ce  livre,  71 .  Sentiment  de  M.  Law- 
rence sur  les  interpolations  faites  h.  ce  livre 
et  sur  l'auteur  du  livre,  71  et  72.]  Ce  livre 
ne  se  trouve  dans  aucun  canon  de  l'Église, 
72;  il  est  l'ouvrage  d'un  imposteur,  72  et  73. 
L'auteur  de  ce  livre  a  écrit  depuis  la  venue 
de  Jésus-Christ,  73.  [lia  écriten Syrie  ou  en 


374 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 

saint  Paul  a  été  en  Espagne,  VI,  428.  Saint 


404. 


Palestine,  entre  l'an  260  et  268.  Voyez  le 
beau  travail  de  M.  Le  Hir  sur  le  IV°  livre 
d'Esdras,  dans  les  t.  XI  et  XII  des  Études  re- 
ligieuses, par  les  Jésuites.]   Quelques  autres 
écrits  faussement  attribués  à  Esdras  :  deux 
cent  quatre  volumes.  Statuts,  74.  Apocalypse, 
73.  Examen  de  l'opinion  qui  fait  Esdras  res- 
taurateur des  divines  Écritures,  73  et  suiv. 
Cette  opinion  tire  son  origine  du  prétendu 
quatrième  livre  d'Esdras,  73.  Quelques  an- 
ciens auteurs  ont  suivi  cette  opinion  tirée 
du  faux  Esdras,  73  et  76.  D'autres  ont  cru 
qu 'Esdras  n'avait  fait  que  corriger  les  exem- 
plaires de  la  Bible,  76,  77.  L'opinion  intro- 
duite par  le  faux  Esdras  est  sans  fondement, 
77.  Elle  est  absolument  fausse,  77  et  suiv. 
En  quel  sens  on  peut  dire   qu'Esdras  est  le 
restaurateur   des    Écritures,  79,  80.    Quels 
changements  il  y  a  faits,  80  et  suiv.  Change- 
ment des  caractères  hébreux  en  caractères 
chaldéens,  80.  Esdras  est  reconnu  pour  au- 
teur de  ce  changement,  80  et  81.   [Voyez 
aussi  p.  80,  note  4.]  C'est  sans  fondement 
qu'on  lui    atribue  l'invention    des    points- 
voyelles,  81,    82.  Il  n'est  point  l'auteur  de 
la  division  des  livres  sacrés  en  versets,  82, 
83.  [Note  sur  l'époque  de  la  division  en  ver- 
sets, S2,  uotel.]  Il  ne  l'est  pas  non  plus  delà 
division  de  ces  mêmes  livres  en  chapitres, 
83.  [Note  sur  l'époque  de  la  division  en  cha- 
pitres et  sur  les  autres  divisions  de  la  Bible 
chez  les  Juifs,  83,    note  S.]  On  conjecture 
qu'Esdras  est  l'auteur  des  quatre  livres  des 
Rois,  56  et  suiv.  On  lui  attribue  aussi,  mais 
avec  moins  de  vi'aisemblance,'es  Paralipo- 
mènes,  61.  —  Origène  avait  travaillé  sur  les 
deux  livres  d'Esdras,   II,  133.  —  Troisième 
livre  d'Esdras  cité  par  Eusèbe,  III,  266  ;    — 
et  par  saint  Basile,  IV,  497.  Témoignages  de 
saint  Basile,  498;  — et  de  saint  Arabroise  sur 
Esdras,  V,  403,  493,  494,  524,  573.  —  Troi- 
sième livre  d'Esdi-as  cité  par  saint  Grégoire 
de  Nysse,  VI,    225.  —  Quatrième,    cité  par 
Vigilance,  VII,  608.  —  Troisième  cité  par 
saint  Augustin,  IX,  569.  —  Ttiéodoret  a  cru 
qu'Esdras  avait  rétabli  les  saintes  Écritures 
par  l'inspiration  du  Saint-Esprit,  X,  37.  — 
Au  vu"  siècle  on  croyait  qu'an  retour  de  la 
captivité,  Esdras  ayant  retrouvé  tous  les  li- 
vres saints  brûlés,   il  les  avait  rétablis  de 
mémoire,  XI,  668  et  712.  —  Commentaire 
du  Vénérable  Bède  sur  le  livre  d'Esdras, 
XII,  8.  Le  commentaire  de  Raban  Maur  sur 
le  livre  d'Esdras  ne  se  trouve  plus,  469. 
ESPAGNE.  Saint  Épiphane  prouve  que 


Èphrem  admettait,  d'après  la  version  Syria- 
que, que  les  captifs  de  Jérusalem  avaient 
été  transportés  jusqu'en  Espagne,  447.]  — Le 
pape  saint  Innocent  combat  les  abus  et  le 
schisme  de  l'Église  d'Espagne,  VII,  306, 
509,  510.  Lettre  du  pape  Zozime  à  tous  les 
évoques  des  Gaules,  de  l'Espagne  et  de 
l'Afrique,  534,  533.  —  L'Espagne  exposée 
en  proie  aux  Vandales  et  aux  Alains,  X, 
448.  Concile  d'Espagne  au  sujet  de  Silvain, 
évêque  de  Calahorra,  338,  339.  —  Lettre  du 
pape  saint  Léon  II  aux  évêques  d'Espagne 
XI,  784,  783;  —  du  pape  Adrien,  XII,  136'. 

ESPENCE  (Claude  d'),  docteur  de  Paris. 
Son  édition  de  VElucidarium  faussement  at- 
tribnéeàS.  Anselme  de  Cantorbéry, XIV,  33. 

ESPÉRANCE.  [Traité  de  la  Foi,  de  l'Espé- 
rance et  de  la  Charité,  par  saint  Zenon  de 
Verceil,  VI,  247.]  —  Discours  sur  ce  sujet 
faussement  attribué  à  saint  Chrysostôme,  VII, 
287.  —  Manuel  à  Laurent,  ou  traité  de  la 
Foi,  de  l'Espérance  et  de  la  Charité,  par 
saint  Augustin,  IX,  238  et  suiv.  —  Traité 
d'Agobard,  XII,  376,  377.  Ce  que  dit  saint 
Paschase  Radbert  de  l'espérance,  541,  542. 

[ESPINOSA  (Antoine).  Son  édition  des 
écrits  du  B.  Martin,  chanoine  de  Saint-Isi- 
dore de  Léon,  XIV,  833.] 

ESPIONS,  envoyés  par  les  Israélites  dans 
la  Terre  promise.  Discours  de  saint  Césaire 
d'Arles  sur  ce  sujet,  XI,  131. 

ESPRIT-SAINT.  Doctrine  [de  saint  Clé- 
ment pape,  1, 333]  ;  de  Théophile  d'Antioche, 
480.  [Voyez  480,  note  2];  de  saint  Athé- 
nagore,  483  ;  de  saint  Irénée,  522,  323  ; 
de  saint  Hippolyte,  638,  639;  —  d'Ori- 
gène,  II,  163,  214  ;  de  saint  Cyprien,  330  ; 
de  saint  Denis  d'Alexandrie,  449  ;  de  saint 
Grégoire  le  Thaumaturge,  441;  du  pape 
saint  Denis,  449;  de  saint  Athénagore, 
martyr,  464.  Lactance  est-il  coupable  d'er- 
reur surle  Saint-Esprit? 316.  Saint Pamphile 
en  est-il  lui-même  coupable  ?  327.  —  Doc- 
trine d'Eusèbe  de  Césarée,  III,  273,  276.  — 
Saint  Athanase  prouve  la  divinité  du  Saint-Es- 
prit, IV,  131, 132.  Livre  de  saint  Athanase  sur 
la  Trinité  et  le  Saint-Esprit,  146.  Doctrine  de 
saint  Athanase,  201  et  suiv.  Livre  du  Saint- 
Esprit,  ouvrage  de  saint  Basile  le  Grand, 
519  et  suiv.  Homélie  sur  le  Saint-Esprit, 
faussement  attribuée  à  saint  Basile,  489. 
Doctrine  de  saint  Basile,  387,  391,  392,  422 
et  505  et  suiv.  Erreur  des  Macédoniens, 
594,  Divinité  du  Saint-Esprit  établie  dans 


417. 


It  siècle. 


IV  siècle. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


375 


un  coacile  d'Alexandrie  en  362,  589  ;  et  dans 
celui  d'Icone  par  saint  Amphiloque,  603. 
Illusion  des  Messaliens,  643.  —  Doctrine  de 
saint  Cyrille  de  Jérusalem,  V,  69.  Discours 
de  saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  le  Saint- 
Esprit,  233,  234.  Ce  qu'il  pense  de  la  con- 
duite de  saint  Basile  dans  la  controverse  sur 
la  divinité  du  Saint-Esprit,  252.  Ce  qu'il  en- 
seigne touchant  le  Saint-Esprit  dans  son 
poëme  théologique,  283.  Doctrine  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze  sur  le  Saint-Esprit, 
316,  [317.  Doctrine  de  saint  Ampliiloque, 
366.  Trois  livres  sur  le  Saint-Esprit,  par 
saint  Ambroise,  473  et  suiv.  Autre  livre  sur 
le  Saint-Esprit  qui  lui  est  faussement  attri- 
bué, 311.  Sa  doctrine,  534  et  suiv.  Livre  du 
Saint-Espiit,  ouvrage  de  Didyme  l'Aveugle, 
607  et  suiv.  Sa  doctrine  sur  le  S^^int-Esprit, 
616  et  629.  —  Livre  où  saint  Grégoire  de 
Nysse  établit  la  divinité  du  Fils  et  du  Siiint- 
Esprit,  VI,  166  et  suiv.  Discours  du  même 
sur  la  divinité  'du  Fils  et  du  Saint-Esprit, 
204.  [Discours  du  même  contre  les  Macé- 
doniens pneumatomaques,  203.]  Doctrine 
de  saint  Grégoire  de  Nysse  sur  le  Saint- 
Esprit  ,  230  et  suiv.  Doctrine  de  saint 
Épiphane ,  429;  de  saint  Éphrem,  56, 
[461,  464,  468,  471,  472,  475,  474,  473.]  — 
de  saint  Jean  Ghrysostôme,  VII,  83,  83,  86 
et  230.  Homélie  sur  le  Saint-Esprit  iausse- 
ment  attribuée  à  saint  Jean  Chrysostôme, 
142.  Deux  homélies  sur  le  Saint-Esprit  faus- 
sement attribuées  à  Jean  de  Jérusalem,  302. 
Doctrine  de  saint  Jérôme  sur  le  Saint-Esprit, 
661.  —  Expression  de  Synésius,  VIII,  32. 
siècle.  Discours  de  saint  Gaudence ,  évêqiie  de 
Brescia,  38.  Doctrine  de  saint  Cyrille  d'A- 
lexandrie,382.  [Il  admet  laprocessionduSaint- 
Esprit,  349,  sa  divinité,  333.]  Divinité  du 
Saint-Esprit  établie  contre  les  Macédoniens  et 
les  Eunoméens,  par  saint  Procle  de  Constan- 
tinople,  413;  et  par  saint  Isidore  de  Péluse, 
482.  [Doctrine  de  Théodore  de  Mopsueste,  20, 
613,  616,  621.]  —  Doctrine  de  saint  Augustin, 

IX,  429  et  640.  [Sermon  de  saint  Augustin  sur 
le  Saint-Esprit,  836.  Deux  sermons  de  saint 
Augustin  sur  l'invocation  du  Saint  Esprit.  Un 
sermon  sur  le  Saint-Esprit  et  la  procession, 
par  le  même,  842.]  —  Doctrine  de  saintLéon , 

X,  230,  231.  Sermon  sur  le  Saint-Esprit,  attri- 
bué à  Salvien,  mais  qu'on  convient  être 
d' Arnaud  de  Bonneval,  377.  Témoignage  sur 
le  Saint-Esprit  dans  la  profession  de  foi  des 
évêques  catholiques  d'Afrique,  456.  Témoi- 
gnage de  saint  Eugène,  évêque  de  Garthage, 


460.  Livre  de  Fauste  de  Riez  sur  le  Saint- 
Esprit,  cité  parGennade,  434.  Éditions  qu'on 
en  a  faites  sous  le  nom  de  Paschase,  437. 
[Sermon  de  Fauste  de  Riez  sur  le  Saint- 
Esprit,  437.]  Traité  du  Saint-Esprit,  attribué 
à  Paschase,  diacre  de  l'Éghse  romaine.  Rai- 
sons qui  décident  que  ce  traité  est  de  Fauste 
de  Riez,  528,  329.  Analyse  des  deux  livres 
qui  composent  cet  ouvrage,  529  et  suiv.  Té- 
moignages de  saint  Avit,  évêque  de  Vienne, 
sur  la  divinité  du  Saint-Esprit,  555  et  363. 
—  Questions  sur  la  procession  du  Saint-Es- 
prit, ouvrage  de  saint  Fulgence.  Traité  du 
Saint-Esprit  adressé  à  Abragila,  autre  ou- 
vrage de  saint  Fulgence,  XI,  74.  Doctrine 
de  saint  Fulgence  sur  le  Saint-Esprit,  14, 
17,  51,  71  et  suiv.  Doctrine  de  Cassiodore, 
245;  d'Anastase,  patriarche  d'Antioche, 
362  ;  de  saint  Grégoire  de  Toui's,  387  ;  de 
saint  Grégoire  le  Grand,  459,  557,  538;  de 
saint  Isidore  de  Séville,713  ;  de  saint  Maxime, 
abbé  de  Chrysopolis,  763;  —  de  saint  Jean 
Damascène,  XII,  83,  93;  d'Alcuin,  dans  un 
livre  de  la  Trinité,  73  et  suiv.  Son  traité  de 
la  procession  du  Saint-Esprit,  176,  177. 
Autres  témoignages  du  même,  203,  209. 
Question  de  la  procession  du  Saint-Esprit, 
agitée  dans  deux  conciles  et  dans  une  confé- 
rence devant  le  pape  saint  Léon  III,  176,  177. 
Témoignage  du  même,  218  et  401  ;  de  Mag- 
nus,  archevêque  de  Sens,  250,  251  ;  de  Lei- 
drade,  archevêque  de  Lyon,  252.  Lettre  de 
Smaragde,  abbé  de  Saint-Michel,  sur  la 
procession  du  Saint-Esprit,  243,  234.  Témoi- 
gnage de  saint  Benoît  d'Aniane,  261.  Traité 
de  Théodulphe,  évêque  d'Orléans,  sur  la 
procession  du  Saint-Esprit,  267.  Témoignage 
de  Raban,  456;  de  saint  Paschase  Radbert, 
532.  Traité  de  Ratramne  sur  la  procession 
du  Saint-Esprit,  563.  Photius  nie  que  le 
Saint-Esprit  procède  du  Fils,  74,  724,  731, 
734,  el  974  [et  suiv.,  977  et  suiv.].  Témoi- 
gnage de  Rémi  d'Auxerre,  758.  Témoignage 
attribué  à  l'empereur  Léon  VI,  773.  Can- 
tique de  Gerbert  sur  le  Saint-Esprit,  903. 
Témoignage  du  sixième  concile  de  Tolède, 
920;  du  huitième  concile,  932.  — Hymne  de 
Fulbert  de  Chartres,  XIII,  88.  Témoignage 
de  saint  Odilon,  abbé  de  Cluny,  156.  Plainte 
sur  l'addition  du  Filioque  au  symbole,  223, 
224. — Témoignage  de  Siméonle  Jeune,  226. 
Fragment  d'une  dispute  contre  les  Grecs,  253. 
Témoignage  de  saint  Pierre  Damien,  310. 
Anathème  prononcé  dans  le  concile  de 
Bari,  437.  Traité  de  Grossulan  sur  la  pro- 


37G 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


cession  du  Sainl-Esprit,  308,  et  XIV,   148, 
149.  —  Procession  du   Saint-Esprit  définie 
dans  le  concile  de  Frioul,   XIII,  632,  633. 
Témoignage    de    saint    Paulin,    patriarche 
d'Aquilée,    633.    Conférence   des   Français 
avec  le  pape  sur  l'addition  Filioque,  641  ; — 
de  saint  Anselme  sur  le  même  sujet,  XIV,  12, 
Témoignage  d'Yves  de  Cbarlres,  123.  [Des 
sept  dons  du  Sainl-Esprit  et  des  sept  béati- 
tudes, ouvrage  du  cardinal  Drogon,  249.] 
Hymne  de  Rupert,  abbé  de  Tuy,  283.  Traité 
de  Rupert  de  la  Glorification  de  la  Trinité  et 
de  la  procession  du   Saint-Esprit,  283.  En 
quel   .sens  Rupert  a  dit  que  le  Saint-Esprit 
s'était    incarné,   291.    Réponse    d'Anselme 
d'Haverburg  aux  objections  des  Grecs  tou- 
chant la  procession  du  Saint-Esprit,  414, 413. 
Traité    de    Hugues    Étérien    pour  justifier 
le  sentiment  des  Latins  sur  la  procession  du 
Saint-Esprit,   658.  [Comment  le  Sainl-Esprit 
est  l'amour  du  Père  et  du  Fils,  pelittraité  de 
Richard,  prieur  de  Saint-Victor.  Sermon  du 
même     sur    la    mission    du    Saint-Esprit, 
704.  Hymnes  pour   l'office  du  Sainl-Esprit 
par   le  moine  Régnier,   796.  Sermon  d'A- 
lain   de    Lille    sur    le    Saint-Esprit,    870. 
Sermon   d'Adam  de  Perseigne  sur  les  dons 
du    Saint-Esprit,    882.    Pourquoi    dans    la 
liturgie  aucune  oraison  ne  s'adresse  indivi- 
duellement à  la  personne  du  Saint-Esprit; 
question  de  Jean  aux  Rlanches  Mains  et  ré- 
ponse du  pape  Innocent  III,  983,  986.] 

(ESPRIT-SAINT),  hôpital  sous  le  vocable 
du  Saint-Esprit.  Le  pape  Innocent  III  pro- 
tège l'hôpital  du  Saint-Esprit  à  Montpellier 
et  lui  accorde  des  privilèges,  XIV,  936,  937. 
ESPRIT.  [De  l'Inconstance  de  l'esprit 
humain;  discours  de  saint  Éphrem  ;  Qu'il 
faut  réprimer  les  affections  dépravées  de 
l'esprit,  discours  du  même,  VI,  497.]  — 
[Livre  de  l'Esprit  et  du  Corps ,  traité 
de  saint  Zenon  de  Verceil,  VI,  274.  — 
Nature  de  l'esprit  de  l'homme  d'après 
saint  Cyrille  d'Alexandrie,  VHI,  352.]  — 
Livre  de  l'Esprit  et  de  l'Ame ,  ouvrage  faus- 
sement attribué  à  saint  Augustin,  IX,  286. 
Livre  de  l'Esprit  et  de  la  Lettre,  ouvrage 
de  saint  Augustin,  427  etsuiv. — Théodoret 
entend  de  l'air  le  passage  de  la  Genèse  où  il 
est  dit  que  l'Esprit  de  Dieu  était  porté  sur 
les  eaux,  X,  27. 

ESPRIT  D'EAUBONNE,  père  capucin, 
détracteur  selon  quelques-uns  de  l'édition 
de  saint  Augustin  par  les  Bénédiclins,  IX, 
816. 


ESPRITS.  Deux  traités  des  Huit  Esprits 
de  malice,  ouvrage  de  saint  Nil,  solitaire  du 
Sinaï,  VIII,  212,  213.  —  Saint  Augustin  dis- 
tingue deux  sortes  de  mauvais  esprits,  IX,  41 . 
ESSÉENS.  Voyez  Esséniens. 
[ESSEN,  monastère  d'Allemagne.  Privi- 
lège que  lui  accorde  le  pape  Agapet  II,  XII, 
830.] 

ESSENCE  DIVINE.  Erreur  de  Gilbert  de 
la  Porrée  sur  l'essence  divine,  XIV,  342,  343  ; 
condamnées  au  concile  de  Reims,  343.  Let- 
tre de  Gauthier  de  Moitagne  sur  l'esseuce 
divine,  660.  (Voyez  Nature  divine.) 

ESSÉNIENS.  Leur  manière  de  vivre,  sui-     iv  sièd 
vaut  Eusèbe  de  Césarée,  HI,  207,  208.  Les 
Thérapeutes  étaient  une  espèce  d'Esséniens, 
210,  211.  —  Saint   Philastre   met  les  Essé-     iVsièci 
niens  au  nombre  des  hérétiques  de  l'Ancien 
Testament,  V,  173.  —  Esséniens,   secte  de     iv  sièci 
Siimaritains  :  ce   qui   en   est   dit   par  saint 
Épiphane,  VI,  383.  Esséniens,  secte  de  Juifs  : 
ce  qui  en  est  dit  par  saint  Ejpiphane,  384. 

ESTANG  (le  sieur  de  1').  Sa  traduction 
française  du  Commentaire  de  saint  Augustin 
sur  les  psaumes  de  la  pénitence,  IX,  813. 

ESTBRUIN,  abbé  de  Wiremoulh  et  de 
Jarou.  Son  histoire  par  le  Vénérable  Bède, 
XII,  14. 

ESTHER,  juive,  reine  des  Perses  et  Mar-  ^vant^^J 
dochée  son  oncle  :  histoire  de  leur  vie,  I, 
105  et  suiv.  Origine  de  Mardochée.  Assué- 
rus,  roi  de  Perse,  répudie  Vasthi  son  épouse. 
Il  épouse  Esther,  103.  Aman  est  élevé  en 
puissance  et  obtient  d'Assuérus  un   ordre 
d'exterminer  les  Juifs  de  ses  états,  103  et 
106.  Esther  fait  un  festin  auquel  elle  invite 
Assuérus  et  Aman.   Cet  officier  fait  dresser 
une   potence  à   Mardochée.    Assuérus   ré- 
compense la  fidélité  du  juif  Mardochée  enlui 
faisant  rendre   les  plus  grands   honneurs. 
Esther  obtient  la  révocation  de  l'arrêt  contre 
sa  nation,  106.  Aman  est  attaché  à  la  po- 
tence. Assuérus  permet  aux  Juifs  de  se  ven- 
ger de  leurs  ennemis.  Fête  solennelle  éta- 
blie chez  les  Juifs  en  mémoire  de  leur  triom- 
phe,107. [Monument  à  Ecbatane  en  l'honneur 
de  Mardochée  et  d'Esther,  107.]  Assuérus, 
mari  d'Esther,  ne  peutêtre  Darius,filsd'Hys- 
taspe,  107.  Il  est  plutôt  Artaxercès  Longue- 
mahi,  107  et  108.   Première  preuve  en  fa- 
veur de   ce   sentiment.  Circonstances  qui 
font  connaître  quel  était  cet  Assuérus,  108. 
[Observation  sur  cette  preuve,  108,  note  4.] 
Seconde  preuve  :  Artaxercès  était  roi  de 
Perse.  Troisième  preuve  :  Il  régna  sur  127 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


377 


provinces  ;  l'historien  Josèphele  dit  expres- 
sément, 108  et  109.  Quatrième  preuve  :  Il 
résidait  à  Suse.  Cinquième  preuve  :  II  avait 
succédé  au  royaume  de  ses  pères.  Sixième 
preuve  :  On  ne  peut  former  de  difficulté  rai- 
sonnable sur  le  long  règne  d'Artaxercès, 
puisque  celui  de  Darius  souffrirait  la  même 
difficulté.  Septième  preuve  :  L'affection 
d'Artaxercès  pour  la  nation  juive,  109.  Hui- 
tième preuve  :  Les  faveurs  qu'il  lui  accorda 
laissent  à  penser  qu'il  avait  épousé  une 
femme  juive.  Darius  s'est  déclaré  pour  les 
Juifs  dès  la  deuxième  année  de  son  règne  ; 
cela  ne  convient  pas  exactement  à  Assuérus, 
109  et  110.  Neuvième  preuve  :  Ce  qui  est  dit 
d'Assuérus,  qu'il  se  rendit  la  terre  et  les 
îles  tributaires,  convient  à  Artaxercès.  Di- 
xième preuve  :  Ce  prince  a  vécu  longtemps 
après  la  captivité  de  Babylone.  Le  temple  de 
Jérusalem  subsistait  lorsque  ce  prince  monta 
sur  le  trône.  Onzième  preuve  :  Les  plus  an- 
ciens auteurs  donnent  au  mari  d'Estlier  le 
nom  d'Artaxerxès,  110.  Objection  contre  le 
sentiment  qui  veut  qu'Assuérus  soit  le  même 
qu'Artaxercès.  Mardochée  un  des  captifs  de 
Babylone  était-il  en  âge  de  faire  la  cour  à 
Artaxercès,  110.  Réponse.  Mardochée  avait 
pour  aïeul  Gis,  un  des  captifs  de  Babylone, 
ce  qui  le  suppose  encore  assez  jeune  pour 
avoir  exercé  des  emplois  à  la  cour  d'Arta- 
xercès, 111.  [Le  sentiment  le  plus  commun 
de  nos  jours  admet  qu'Assuérus  est  Xercès, 
fils  de  Darius  et  père  d'Artaxercès  Longue- 
Main,  108,  n.  1.]  [Le  livre  d'Esther  ne  peut 
être  rejeté  comme  fabuleux  ou  contenant 
des  fables,  107,  n.  3.]  Le  livre  d'Esther  est 
reçu  pour  canonique  chez  les  Hébreux.  Il  y 
a  quelques  auteurs  ecclésiastiques  qui  ne  le 
mettent  point  dans  leurs  canons  des  divines 
Écritures,  111 .  On  doit  cependant  le  recevoir 
pour  canonique,  111  et  112.  On  doit  rece- 
voir de  même  pour  canoniques  les  derniers 
chapitres  de  ce  livre.  Objections  contre  la 
canonicité  de  ces  additions  :  il  est  dit  que 
Mardochée  reçut  des  présents  pour  le  ser- 
vice qu'il  avait  rendu,  cela  est  contraire  au 
premier  récit.  La  manière  dont  Esther  s'est 
présentée  devant  Assuérus  est  racontée  di- 
versement. Enfin  doit-on  recevoir  pour  Écri- 
tures divines  celles  qui  ne  sont  point  insérées 
•dans  le  canon  des  juifs  ?  Réponse  :  Ces  pré- 
sents reçus  par  Mardochée  pouvaient  être  si 
peu  de  chose  qu'ils  n'eussent  pas  été 
comptés,  ou  bien  ce  sont  les  mêmes  qu'il 
reçut  lorsqu'il  fut  élevé  à  la  place  d'Aman, 


112.  [Le  roi  ne  demande  pas  si  Mardochée 
avait  reçu  des  présents,  mais  s'il  avait  reçu 
quelqu'honneur  et  quelque  dignité,  112, 
note  4.]  La  différence  du  récit  sur  la  manière 
dont  Esther  s'est  présentée  à  Assuérus  ne 
consiste  que  dans  quelques  circonstances 
omises  dans  un  endroit,  suppléées  dans  un 
autre.  A  l'égard  du  scrupule  sur  les  livres 
qui  ne  sont  pas  dans  le  canon  des  juifs,  il 
faut  s'en  tenir  à  ce  que  ditsaint  Augustin  de 
l'autorité  de  l'Église  sur  ce  point,  112.  Mar- 
dochée est  le  principal  auteur  du  fivre 
d'Esther,  113,  114.  Le  compilateur  de  ce 
livre  est  inconnu,  114.  Saint  Jérôme  a  fait 
une  version  du  livre  d'Esther  sur  l'hébreu, 
en  renvoyant  à  la  fin  les  fragments  qui  n'en 
sont  pas,  114  et  US.  —  Analyse  de  ce  livre,» 
lis.  Saint  Grégoire  deNazianze  ne  met  pas 
ce  livre  dans  le  canon  des  livres  saints.  Ce 
qu'il  en  dit,  V,  307.  — Sentiment  de  Sulpice 
Sévère  sur  le  temps  où  vivait  Esther,  Vllt, 
123.  Saint  Augustin  cite  les-  derniers  cha- 
pitres du  livre  d'Esther,  IX,  S69.  —  Com- 
mentaire de  Raban  Maur,  XII,  4S0,  4SI. 

ESTONIE.  Contrée  du  Nord,  sa  conversion 
au  christianisme,  XIV,  924. 

ÉTAMPES,  ville  de  France,  [département 
de  Seine-et-Oise.]  Conciles  tenus  en  cette 
ville,  Xm,  426,  XIV,  1073,  1111,  1119. 

[ÉTAT.  De  l'État  de  l'homme  intérieur, 
traité  de  Richard,  prieur  de  Saint-Victor, 
Xiy,  704.] 

ÉTATS.  Trois  états  à  distinguer  dans 
l'Église,  selon  saint  Abbon  de  Fleury,  XIII, 
27. 

ÉTERNITÉ.  Doctrine  de  saint  Augustin 
sur  l'éternité,  IX,  33,  106,  308  et  323. 

ÉTHELBALDE,  roi  de  Kent.Voy.  Edbald. 

ÉTHELALD,  roi  des  Merciens.  Lettre  que 
lui  écrit  saint  Boniface,  XII,  49.  —  Autre 
lettre  qu'il  lui  écrit  conjointement  avec  plu- 
sieurs évêques,  50. 

ÉTHELBERT,  roi  de  Kent.  Comment  il 
reçoit  Augustin  et  ses  compagnons  envoyés 
en  Angleterre  par  le  pape  saint  Grégoire, 
XI,  437,  438.  — Il  se  fait  baptiser  avec  beau- 
coup de  ses  sujets,  438.  Il  confirme  le  mo- 
nastère de  Saint-Pierre  et  de  Saint-Paul, 
établi  à  Cantorbéry,  par  saint  Augustin,  910. 
Le  pape  Boniface  IV  lui  écrit,  911.  Sa  mort, 
913. 

ÉTHELBDRGE.  Voyez  Edelburge. 

ÉTHELRED,  roi  des  Merciens.  Lettre  que 
lui  écrit  le  pape  Jean  VI,  au  sujet  de  saint 
Wilfrid,  XII,  22. 


XII  sièele. 


VIII  siècle. 


597. 


605. 
616. 


378 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1009. 


1012. 


VII  siècle. 


750. 


984. 


VIII  siècle. 


X-Xl  siècle. 


ÉTHELRED  (Saint),  roi  des  Anglais  orien- 
taux. Sa  Vie  par  Gotzelin,  moine  de  Gan- 
torbéry,  XIV,  233.  —  Autre  par  Osbert  de 
Stockeclare,  408. 

ÉTHELRÈDE  (Sainte),  vierge.  Prose  en 
son  honneur,  par  Gotzelin,  XIV,  233. 

ÉTHELRÈDE  II,  roi  d'Angleterre.  [Le 
pape  Jean  XV  écrit  aux  fidèles  d'Angleterre 
touchant  la  réconciliation  de  ce  prince  avec 
son  peuple,  XI(,  837.]  Ce  prince  assemble 
un  concile  à  Anham,  XIV,  1035,  1036.  — 
[Il  est  reproduit  dans  la  Patrologie,  XIII, 
413.  Privilège  qu'il  accorde  aux  moines  de 
Cantorbéry,  XIV,  1036.]  —Son  Code  delois, 
1036. 

ÉTHELRÈDE,  abbé  de  Riedval.  Voyez 
Aelrède. 

ÉTHELSTAN,  roi  d'Angleterre.  Voyez 
Adelslan.  v 

[ÉTHELWALD  ,  écrit  à  saint  Adelhme 
son  maître,  XI,  806.] 

ÉTHELVOLD  BERNICIUS  confondu  par 
Pitséus  avec  Éthelvold ,  évêque  de  Win- 
chester. Ils  vivaient  à  deux  cents  ans  l'un 
de  l'autre.  Ses  ouvrages,  XII,  868.  Voyez 
Ethelvolfe. 

ÉTHELVOLD  (Saint),  évêque  de  Win- 
chester, en  Angleterre,  est  mis  par  ses  pa- 
rents au  monastère  de  Glastemburi,  où  il  est 
élevé  sous  la  discipline  de  saint  Dunstan.  Il 
rétabUt  le  monastère  d'Abbenden.  Il  est  fait 
évêque  de  Winchester.  Il  chasse  les  cha- 
noines de  sa  cathédrale  pour  leurs  désor- 
dres et  met  des  moines  à  sa  place.  Plusieurs 
chanoines  attentent  à  sa  vie,  XII,  867.  —  Sa 
mort.  Sa  Vie  écrite  par  Alfiid,  son  disciple. 
Les  ouvrages  que  Pitseus  lui  attribue  sont 
d'Ételwold,  surnommé  Bernicius,  plus  an- 
cien de  deux  cents  ans.  On  lui  attribue  avec 
plus  de  raison,  un  traité  de  la  manière  de 
vivre  des  moines  de  l'ordre  de  saint  Benoît, 
et  une  traduction  de  la  règle  de  saint  Benoît 
en  langue  saxonno,  868.  Sa  Vie  écrite  parle 
moine  Wolstan,  XIII,  53. 

ETHELVOLFE,  moine  anglais,  quahfié 
dans  les  manuscrits,  évêque  de  Winchester. 
Son  Histoire  en  vers  des  abbés  et  des  hommes 
vertueux  de  Lindisfarne.  Autres  ouvrages 
qu'on  lui  attribue,  XII,  128.  Voy.  Ethelvold 
Bernicius, 

ÉTHELWERD,  palrice  et  consul,  c'est-à- 
dire  comte.  Ce  qu'on  sait  de  sa  naissance  et 
du  temps  où  il  a  vécu,  XllI,  43,  44.  Analyse 
de  sa  Chronique.  Jugement  sur  elle,  44. 

ÉTHÉRIUS,  évêque  d'Antibes,  XI,  3U6, 


ÉTHÉRIUS,  évêque  de  Lyon,  XI,  517.  — 
Saint  Grégoire  lui  écrit.  Il  assiste  au  concile 
de  Nanterre,  906. 

ÉTHÉRIUS,  disciple  du  prêtre  Beatus,  de- 
puis évêque  d'Osma,  s'oppose  avec  son 
maître  aux  erreurs  d'Élipand  de  Tolède. 
Lettre  d'Élipand  contre  Béatus  et  Éthérius. 
Analyse  de  l'écrit  composé  par  Béatus  et 
Éthérius,  où  ils  réfutent  ses  erreurs,  XII, 
214.  Élipand  après  avoir  re  tracté  ses  erreurs 
se  réunit  avec  eux,  216,  217. 

ÉTHICOPROSCOPTES,  hérétiques  dont 
parle  saint  Jean  Damascène,  XII,  69. 

ETHNOPHRONES,  hérétiques  dont  parle 
saint  Jean  Damascène,  XII,  69. 

ETIENNE  (Saint),  premier  martyr.  Fausse 
apocalypse  sous  son  nom,  I,  286.  —  Deux 
panégyriques  de  ce  saint,  par  saint  Grégoire 
de  Nysse,  VI,  200,201.  Son  panégyrique, 
par  saint  Astère  d'Amasée,  307,  308.  [Ser- 
mon sur  saint  Etienne  par  saint  Éphrem ,  486.] 
—  Homélies  sur  saint  Etienne  faussement 
attribuées  à  saint  Ghrysostôme,  VII,  256  et 
259.  Trois  discours  sur  saint  Etienne  faus- 
sement attribués  au  même,  345.  Homélie  sur 
saint  Etienne  faussement  attribuée  à  Jean  de 
Jérusalem,  302.  —  Deux  discours  attribués 
à  saint  Procle,  VIII,  413.  —  Ses  reliques 
reçues  à  Hippone,  par  saint  Augustin,  IX, 
19.  —  Sermons  de  saint  Augustin  en  son 
honneur,  240  [et  836,  841 .]  Écrits  touchant 
l'invention  des  reliques  de  ce  saint  martyr, 
325,  326.  —  Relation  de  l'invention  de  ses 
reliques  traduite  en  latin  par  Avitus,  X,  3. 
Église  bâtie  en  son  honneur  à  Edesse,  par 
Rabula,  144.  Homélies  de  saint  Maxime  de 
Turin,  sur  saint  Etienne,  321  [et  326.]  —Ser- 
mon de  saint  Fulgence  de  Ruspe  en  l'hon- 
neur de  saint  Etienne,  XI,  69.  —  Témoi- 
gnage de  saint  Grégoire  de  Tours,  374. 
[Fragment  d'un  discours  sur  la  translation  du 
.corps  de  saint  Etienne,  811.]  ■ —  Monastère 
fondé  à  Royie  sous  les  noms  de  sainlÉtienne 
et  de  saint  Sylvestre  parle  papePuulI".  Pri- 
vilèges qu'il  lui  accorde,  domitions  qu'il  lui 
fait,  XII,  114.  Hymnes  de  Notker  le  Bègue 
en  l'honneur  de  saint  Etienne,  766.  Discours 
de  l'empereur  Léon  le  Philosophe,  773. 
Otlice  composé  par  Etienne,  évêque  de 
Liège,  pour  la  fête  de  l'invention  des  reli- 
ques de  saint  Etienne,  786.  —  [Hymne  su;- 
l'invention  de  saint  Etienne,  par  Héiibert, 
XIII,  117.]  Discours  de  saint  Pierre  Damien 
sur  saint  Etienne ,  308.  —  Dédicace  de 
l'église  de  Saint-Étienne  de  Gaen,  330.  Dis- 


785. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


379 


cours  de  Michel  Psellus  sur  la  translation 
des  reliques  de  saint  Etienne  à  Constanti- 
,i.  nople,  337.  A  quelle  occasion  l'abbaye  de 
Saint-Étienne  de  Caen  fut  fondée  ,  411. 
[Fragment  sur  la  translation  du  corps  de  ce 
saint  Etienne  à  Rome,  par  saint  Lucius,  ar- 
chidiacre, 602.]  Deux  sermons  du  vénérable 
Hildebert  en  l'honneur  de  saint  Etienne, 
XIV,  213.  —  Panégyrique  de  saint  Etienne, 
par  Abaillard,  327  et  332.  [Poème  sur  le 
martyre  de  saint  Etienne,  par  Jean,  moine 
de  Saint-Laurent,  de  Liège,  417.]  Sermon 
de  Nicolas  de  Clairvaux,  pour  le  jour  de 
saint  Etienne,  492.  [Excès  qu'on  commettait 
au  xiii°  siècle  à  la  fête  de  ce  saint  :  Odon  de 
Sully,  évêque  de  Paris,  s'efforce  de  les  abo- 
lir, 891.]  Panégyrique  de  saint  Etienne,  par 
Guillaume  d'Auvergne,  1026.  Sermon  du 
même  sur  l'invention  de  ses  reliques,  1027. 
i,  Chapelle  de  Saint-Étienne,  usurpée  par  les 
chanoines  de  Chemillé  et  rendue  h  l'atbaye 
=ie.  de  Marmoutier,  1082.  Chapitre  de  Saint- 
Étienne  à  Besançon,  uni  à  celui  de  Saint- 
Jean  de  la  même  ville  et  à  quelle  occasion, 
1087. 

ETIENNE  I  (Saint),  pape  et  martyr,  II, 
421  et  suiv.  En  quel  temps  il  est  élu  pape. 
Sa  mort,  481.  Si  l'on  doit  lui  donner  le  titre 
de  martyr.  Fausseté  des  Actes  qui  portent 
son  nom,  421  et  422.  [Voyez  cependant  422, 
note  1.]  Lettres  de  Faustin,  évêque  de  Lyon, 
et  de  saint  Cyprien,  évêque  de  Carthage,  à 
saint  Etienne  au  sujet  de  Marcien,  évêque 
d'Arles,  326  et  422.  Saint  Etienne  se  laisse 
surprendre  par  Basilide  et  par  Martial,  évé- 
ques  d'Espagne.  Il  écrit  aux  églises  d'Arabie. 
Il  écrit  à  saint  Cyprien  et  à  saint  Denis 
d'Alexandrie  sur  le  baptême  des  hérétiques, 
422.  Fausses  décrétales  qui  lui  sont  attri- 
buées. 423.  [Éditions  des  écrits  de  ce 
pape  et  divers  monuments  qui  le  concernent, 
423.]  Autre  lettre  de  saint  Cyprien  à  saint 
Etienne,  329,  330.  Saint  Etienne  dans  la 
dispute  sur  le  baptême  des  hérétiques  était- 
il  coupable  d'erreur?  331.  [Voyez  aussi 423, 
n.  7.]  Lettres  que  saint  Denis,  évêque  d'Ale- 
xandrie, lui  écrit,  400,  406,  407.  Décrétales 
qui  lui  sont  faussement  attribuées,  VI,  87.  — 
Discours  de  saint  Pierre  Damien  sur  ce  pape, 
Xlll,  308,  309. 

ETIENNE,  élu  pape  après  la  mort  de  saint 
Zacharie.  N'ayant  point  été  sacré,  parce 
qu'il  mourut  le  quatrième  jour  après  son 
élection,  il  n'est  point  compté  entre  les  papes, 
XII,  112. 


ETIENNE  II,  élu  pape  après  la  mort  de         '52. 
saint  Zacharie  et  d'un   autre  Etienne    qui 
n'est  point  compté  parmi  les  papes.  Il  fait 
la  paix  avec  Astolphe,  roi  des  Lombards,  • 
qui  peu  après  recommence  les  hostilités.  Ne 
pouvant  obtenir  de  secours  de  l'empereur 
d'Orient,  il  en  demande  au  roi  Pépin  et  passe 
en  France,  XII,  112.  —  Il  sacre  Pépin  et  ses        '^3. 
deux  fils  avec  la  reine  Bertrade,  112  et  113. 
Astolphe  ayant  été  obligé  de  faire  la  paix,         754. 
Etienne  retourne  à  Rome.  11  est  assiégé  dans 
Rome  et  délivré  par  les  troupes  de  Pépin         755. 
qui  soumettent  les  villes  qu'il  réclamait  et 
dont  il  lui  fait  donation.  Après  la  mort  d'As- 
tolphe,    il  fait  reconnaître   Didier   roi   des 
Lombards   avec   lequel  il    s'arrange,    111. 
Mort  d'Etienne,  113.  Ses  lettres,  113  et  114.         757. 
Privilèges  qu'il  accorde  à  différents  monas- 
tères, 114.  Ses  réponses  à  diverses  questions 
qui  lui  fureutfaites  à  l'assemblée  deQuercy- 
sur-Oise,  114  et  113.  Jugementsur  son  style. 
[Ses  écrits  dans  la  Patrologie.  On  a  de  lui 
treize  lettres,  une  autre  lettre  sur  une  vision 
et  dix-neuf  canons,    H3.]  Lettres   que  lui 
écrit  saint  Boniface  de  Mayence,  SI. 

ETIENNE  III,  pape,  succède  à  Paul  I",  7G8. 
après  une  assez  longue  vacance  du  Saint- 
Siège  successivement  occupé  par  deux  usur- 
pateurs. Son  éloge.  Ses  lettres  au  roi  Pépin 
et  aux  princes  ses  enfants,  XII,  117.  Il  tient 
un  concile  où  l'antipape  Constantin  est  dé- 
posé, 117  et  H8.  Ses  lettres  au  sujet  de  l'or- 
dination de  Michel,  usurpateur  du  siège  de 
Ravenne.  Ses  lettres  aux  princes  français 
pour  les  détourner  de  l'alliance  avec  les 
princes  lombards.  Autre  lettre  que  le  roi 
Didier  l'obligea  d'écrire  contre  Dodon,  118. 
Sa  mort,  119.  Jugements  sur  les  lettres 
d'Etienne,  111.  [Éditions  de  ces  lettres,  119.] 

ETIENNE  IV,  pape,  succède  à  saint  Léon  III         sie. 
et  ne  siège  que  sept  mois,  XII,  402.  —  [Sa 
bulle  pour  le  monastère  de  Farfa,  402.] 

ETIENNE  V,  pape,  succède  à  Adrien  III,  885. 
XII,  631.  Sa  lettre  à  l'empereur  Basile,  en 
réponse  à  celle  que  ce  prince  avait  écrite  à 
Adrien,  631  et  632.  Lettre  que  Stylien,  mé- 
tropolitain de  Césarée,  lui  écrit  au  sujet  de 
Photius.  Réponse  du  pape.  Sa  lettre  à 
Robert,  évêque  de  Metz,  632,  à  Foulques  de 
Reims  et  à  quelques  autres  évêques  de 
France,  632  et  633.  Il  abolit  l'impôt  mis  sur 
les  prêtres  qui  célébraient  tous  les  jours 
dans  l'église  de  Saint-Pierre.  Son  discours 
contre  les  immodesties  qui  se  commettaient 
à  l'église.  Sa  mort,  633.  [Lettres  de  ce  pape        soi. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


380 

dans  la  Patrologie.  Plusieurs  sont  nouvelles. 
Dans  une  lettre  adressée  à  Wichingus,  évê- 
que  des  Slaves,  il  condamne  l'usage  de  cé- 
lébrer les  saints  mystères  en  langue  sla- 
vonne,  653.]  Différentes  lettres  de  Foulques 
de  Reims  quilui  sont  adressées,  706. 

896.  ETIENNE  VI,  pape,  succède  à  Boniface, 
XII,  739.  —  Sa  lettre  à  Foulques,  arebe- 

897.  vêque  de  Reims.  Il  tient  un  concile  contre 
Florence.  La  faction  qui  lui  était  opposée 
ayant  prévalu,  il  est  étranglé  dans  une  pri- 
son. Ses  deux  lettres,  l'une  à  Aruuste,  l'autre 
à  Héribert,  tous  deux  archevêques  de  Nar- 
bonne,  7-40.  [Édition  de  ces  deux  lettres  dans 
la  Patrologie  où  elles  sont  suivies  d'un  privi- 
lège, 740.  [Lettres  de  Foulques  de  Reims  qui 
lui  sont  adressées,  708.  Sa  Vie  écrite  par 
Guillaume,  bibliothécaire  de  l'Église  ro- 
maine, XIIÏ,  344.  —  Concile  qu'il  assemble 
à  Rome  pour  faire  le  procès  à  Formose  son 
prédécesseur,  737.  Cette  procédure  annulée 
par  un  autre  concile,  738. 

ETIENNE    VII  ,    pape ,     successeur    de 
Léon  VI.  Il  tient  le  Saint-Siège  deux  ans, 
XII,  745.  [On  a  de  lui  deux  privilèges,  745.] 
942.  ETIENNE  VIII,  pape,  succède  à  Léon  VII. 

Ses  lettres  aux  seigneurs  de  France  qui  re- 
fusaient de  reconnaître  Louis  d'Outre-Mer, 
XII,  829.  [Deux  privilèges  accordés  par 
Etienne  VIII,  829,  note  3.] 

ETIENNE  IX,  pape,  nommé  auparavant 
Frédéric,  était  frère  de  Godefroi,  duc  de  Lor- 
raine, XIII,  241  et  suiv.  Léon  IX  l'emmène 
en  Italie  et  le  fait  chancelier  de  l'Église  ro- 
maine, 241.  m'envoie  àConstantinople  avec 
le  cardinal  Humbert  en  qualité  de  légat, 
206,  215  et  241.  A  son  retour  de  Constanti- 
nople,  ayant  trouvé  l'empereur  indisposé 
contre  lui,  il  se  fait  moine  au  Mont-Gassin  et 
après  il  en  est  élu  abbé.  Le  pape  Victor  II  le 
fait  cardinal.  Il  lui  succède  et  prend  le  nom 
d'Etienne  IV.  Il  va  au  Mont-Cassin  et  fait 
élire  Didier  abbé  à  sa  place.  Légation  qu'il 
envoie  à  Constantinople,  241.  Ses  prépa- 
ratifs contre  les  Normands,  241  et  242.  Sa 
1058.  mort.  Ses  deux  lettres,  l'une  à  Gervais,  ar- 
chevêque de  Reims,  l'autre  à  Pandulfe,  évo- 
que de  Marsi,  242.  [Recueil  des  lettres 
d'Etienne  IX  dans  la  Patrologie  au  nombre 
de  huit-  Analyse  de  ces  pièces,  242.]  (Voyez 
son  article  dans  VHistoire  littéraire  de  la 
France,  tome  VII,  page  480  et  suiv.) 
IV  siècle.  ETIENNE,  chorévêque  dans  la  Cappadoce, 
au  concile  de  Néocésarée,  II,  640. 

[ETIENNE    à    qui    Eusèbe    de    Césarée 


1055. 
1057. 


adresse  les  deux  premiers  livres  des  Ques- 
tions et  solutions  évangéliques,  III,  243.] 

ETIENNE  I",  évoque  arien  d'Antioche. 
Fragment  historique  attribué  à  saint  Atha- 
nase  au  sujet  de  cet  évêque,  IV,  172.  — 
Témoignage  de  Théodoret,  X,  43. 

ETIENNE  II,  évêque  d'Antioche,  à  la  place 
de  Pierre  le  Foulon,  X,  717.  —  Accusé  de 
nestorianisme,  il  est  justifié  au  concile  de 
Laodicée,  718.  Tué  par  les  Eutychiens,  407 
et  718. 

ETIENNE  III,  évêque  d'Antioche,  élu 
pour  succéder  au  précédent,  est  ordonné  à 
Constanlinople.  Sa  mort,  X,  407. 

ETIENNE,  archevêque  de  Mauritanie,  à 
qui  est  adressée  une  lettre  sous  le  nom  de 
saint  Basile,  IV,  22,  23. 

ETIENNE  DE  LYBIE.  Ce  qui  en  est  dit 
dans  1  Histoire  lausiaquedePallade,  V1I,489. 

ETIENNE  ,  évêque  d'Hiéraple,  assemble 
les  èvêqiies  de  la  province  et  ordonne  Sabi- 
nien  évêque  de  Perrha,  X,  667. 

ETIENNE,  évêque  d'Éphèse,  consent  au 
rétablissement  d'Eutychès,  X,  678.  Souscrit 
à  la  condamnation  de  Flavien  et  d'Eusèbe, 
679.  Ses  plaintes  au  concile  de  Chalcédoine 
contre  le  concile  d'Éphèse,  685.  Il  souscrit 
à  la  condamnation  de  Diosçore,  688.  Son 
différend  avec  Bassien  qui  prétendait  au 
même  siège,  666.  Cette  alïaire  est  traitée  au 
concile  de  Chalcédoine,  694,  695.  Quelques 
manuscrits  le  font  rédacteur  du  Code  des 
canons  de  l'Église  grecque,  696. 

ETIENNE,  évêque  de  Lyon.  Lettre  que  lui 
écrit  saint  Avit,  X,  559,  568. 

ETIENNE  BARSUDAILI.  Lettre  que  lui 
écrit  saint  Jacques,  évêque  de  Batna,  X, 
641,  642. 

ETIENNE,  évêque  de  Larissa.  Ses  plaintes 
examinées  dans  un  concile  de  Constanti- 
nople, XI,  114,  115.  —  Il  est  déposé,  841. 
Concile  assemblé  à  Rome  à  son  sujet,  841 
et  842. 

ETIENNE,  évêque  de  Salone  à  qui  Denis 
le  Petit  adresse  son  Code  de  canons,  XI,  122. 

ETIENNE,  diacre,  l'un  des  auteurs  de  la 
Vie  de  saint  Césaire,  évêque  d'Arles,  XI, 
128.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans  VHis- 
toire littéraire  de  la  France,  tome  III,  p.  242.) 

ETIENNE,  prêtre  venu  d'Afrique  dans  les 
Gaules,  est  chargé  par  saint  Aunaire,  évêque 
d'Auxerre,  d'écrire  la  vie  de  saint  Amateur 
et  celle  de  saint  Germain,  XI,  323,  324.  Il 
compose  celle  de  saint  Amateur  que  les 
Bollaudistes  ont  donnée.  On  ne  sait  s'il  a 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


381 


également  écrit  celle  de  saint  Germain,  324. 

ETIENNE,  accusé  et  convaincu  d'inceste 
avec  Palladia  au  concile  de  Lyon,  XI,  817 , 
818. 

ETIENNE,  envoyé  en  Sicile  en  qualité  de 
cartulaire  par  le  pape  saint  Grégoire  le 
Grand,  XI,  488. 

ETIENNE,  gendre  de  Raymond,  comte  de 
Toulouse.  Plaintes  contre  lui,  XIII,  697. 

ETIENNE,  évêque  de  Népi,  l'un  des  légats 
du  pape  Adrien  II  au  quatrième  concile  de 
Constantinple,  XIII,  70i  et  suiv. 

ETIENNE,  diacre  et  notaire.  Ses  fonctions 
au  quatrième  concile  de  Constantinople, 
XIII,  706  et  708. 

ETIENNE,  abbé  de  Lérins,  XI,  506. 

ETIENNE,  évêque  d'Espagne  déposé,  porte 
ses  plaintes  à  saint  Grégoire  qui  envoie  un 
député  pour  juger  celte  affaire,  XI,  532. 

ETIENNE,  évêque  de  Dore,  envoyé  par 
Sophrone  de  Jérusalem  au  pape  Honorius 
pour  animer  son  zèle  contre  les  Monotlié- 
lites,  XI,  705,  et  XII,  924.  —  Il  assiste  au 
concile  de  Latran,  où  le  Monotbélisme  est 
anathématisé,  XII,  926.  Requête  qu'il  pré- 
sente au  concile,  927.  —  Il  fut  légat  du 
siège  apostolique   sous  le  pape  Théodore, 

XI,  750. 
ETIENNE  HEDDI,  moine  de  Gantorbéry. 

Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie.  Il 
écrit  la  Vie  de  saint  "Wilfrid  dont  il  avait  été 
le  disciple,  et  celles  de  Gâta  ou  Céadda  et 
de  Tumbert,  XII,  22. 

ETIENNE  LE  JEUNE  (Saint),  abbé  du 
Mont-Saint-Auxence,  qui  répandit  son  sang 
pour  la  défense  du  culte  des  images  sous 
Constantin  Copronyme,  XII,  322  et  suiv.  Sa 
Vie  écrite  par  Etienne  de  Byzance  et  altérée 
par  Métaphraste,  322.  [Édition  de  cette  Vie 
dans  la  Patrologie,  322.]  Analyse  de  cette 
Vie,  322  et  suiv.  Mort  du  saint  abbé,  324. 
Sa  Vie  n'est  pas  de  saint  Jean  Damascène,  87. 
ETIENNE  DE  BYZANCE,  auteur  de  la  Vie 
'^'''-   de  saint  Etienne  martyr  sous  Copronyme, 

XII,  322.  Analyse  de  cette  Vie  qui  est  l'ori- 
ginale, gâtée  par  Métaphraste,  322  et  suiv. 

[ETIENNE,  évêque  de  Cahors.  Le  pape 
Pascal  lui  écrit,  XII,  403.] 

ETIENNE,  secondicier  de  l'Église  romai- 
ne, excommunié  dans  un  concile  pour  cons- 
piration contre  le  pape  Jean  VIII,  XII,  649 
et  suiv. 

ETIENNE  SYNCELLE,  frère  de  l'empe- 
reur Léon  VI,  est  fait  patriarche  de  Cons- 
tantinople à  la  place  de  Photius,  XII,  721. 


Lettres  écrites  au  pape  Etienne  Va  son  sujet. 
Réponse  du  pape,  65.  C'est  à  lui  que  l'em-        886. 
pereur  Léon  a  adressé  toutes  ses  Novelles 
sur  les  matières  ecclésiastiques,  774. 

ETIENNE,   gendre  du  comte  Raymond,         seo. 
refuse  d'habiter  avec  sa  femme.  Plaintes  de 
Raymond    au    concile    de    Tousy.    Lettre 
d'Hincmar  aux  archevêques  de  Reims  et  de 
Bordeaux,  XII,  678. 

ETIENNE,   évêque   de    Tongres  ou    de        903. 
Liège.  Ce  qu'on  sait  de  sa  personne,  XII, 
785;  786.  Sa  mort.  Ses  écrits.  C'est  le  même         920. 
que  l'anonyme  de  Molck  dit  avoir  été  excel- 
lent musicien,  786.  Troubles  à  l'occasion  de         920. 
l'élection  de  son  successeur,    744.   —  Son 
OtBce  de   la    Sainte    Trinité    inséré    dans 
l'Antiphonaire  du  pape  saint  Grégoire,   XI, 
544.  (Voyez  son  article  dans  VHisluire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VI,  p.  168  et  suiv.) 

ETIENNE,  évêque  du  Puy,  désigné  par 
Gui  son  oncle  pour  son  successeur.  H  se 
fait  sacrer  d'une  manière  irrégulière.  Il  est  g9g_ 
déposé  dans  un  concile  tenu  par  le  pape 
Grégoire  V.  On  croit  qu'il  se  retira  auMont- 
Cassin,  où  il  s'occupa  à  retoucher  les  Actes 
de  saint  Placide  et  de  ses  compagnons,  XII, 
894.  Sa  déposition  dans  le  concile  de  Rome, 
764,  Voyez  son  article  dans  VHistoire  lit- 
téraire de  la  France,  t.  VI,  p.  571  et  suiv.) 

ETIENNE,  abbé,  disciple  de  Macaire  gso. 
d'Antioche,  soutient  les  Monothélites  au 
sixième  concile  général,  XII,  949.  Il  est  ggj^ 
chassé  de  l'assemblée,  950.  On  le  convainc 
d'avoir  engagé  le  moine  Georges  à  ajouter 
aux  Actes  du  cinquième  concile  général 
plusieurs  Actes  supposés,  953.  Il  demande 
d'être  renvoyé  au  pape.  Il  est  renfermé 
dans  un  monastère,  955. 

ETIENNE  (Saint),  roi  de  Hongrie.  Sa  con- 
version, XIII,  145.  Il  invite  saint  Gonthier  à 
venir  le  voir,  181.  [Lois  religieuses  de  ce 
prince,  1048,  1049.  Son  instruction  à  son 
fils  sur  la  manière  de  bien  gouverner,  1049 
et  suiv.  —  Le  pape  Sylvestre  II  lui  écrit, 
XII,  909.  Analyse  de  cette  lettre,  909  et 
910.] 

ETIENNE,  clerc  de  l'Éghse  d'Orléans,  xisiécie. 
l'un  des  deux  qui  se  laissèrent  entraîner 
par  une  femme  dans  l'erreur  des  Mani- 
chéens, XIII,  145.  —  Il  est  condamné  au 
concile  d'Orléans  comme  Manichéen,  XIV, 
1038. 

ETIENNE,  cardinal-prêtre,  est  élu  pour       ^^^Q^^ 
succéder  au  pape  Nicolas  II  ;  mais  son  élec- 
tion n'a  point  d'effet,  la  cour  impériale  ne 


382 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


l'ayant  pas  approuvée,  XIII,  285.  Lettre 
que  lui  écrit  saint  Pierre  Damien ,  300. 
(Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  VIII,  p.  1  et  siiiv.) 
,053  [ETIENNE,  cardinal,  défenseur  de  l'Église 

romaine.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de 
sa  vie,  XIII,  253,  254.] 

ETIENNE  DE  GARLANDE,  élu  évêque  de 
Beauvais.  Yves  de  Chartres  s'oppose  à  son 
élection,  XIV,  91,  92.  Lettres  qu'il  écrit  à 
son  sujet.  Son  élection  est  cassée.  On  élit  à 
sa  place  Gualon,  abbé  de  Saint-Quentin, 
109. 
XI  siècle.  ETIENNE,  abbé  de  Saint-Laurent  à  Liège, 
auteur  de  quelques  écrits.  (Voyez  ce  qui  est 
dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  Vil,  p.  507  et  suiv.) 

ETIENNE,  abbé  de  Saint-Airic  de  Ver- 
dun, auteur  de  quelques  écrits.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VUI,  p.  39  et  suiv.) 

ETIENNE,  abbé  de  Saint-Urbain  au  dio- 
cèse de  GLâlons-sur-Marne.  On  a  de  lui 
quelques  écrits.  [Rondet  renvoie  ici  à  un 
volume  et  à  des  chitl'res  fautifs.]  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VlU,  p.  61  et  suiv.) 
logc.  ÉTlENNE,comtedeGhartresetdeBlois.Sa 

famille.  11  part  pour  la  croisade  avec  Robert, 
duc  de  Normandie.  Devenu  chef  de  l'armée 
qui  assiégeait  Antioche,  il  s'en  sépare  et 
HOi.  revient  en  France.  Il  retourne  à  la  croisade 
avec  Guillaume  IX,  comte  de  Poitiers.  Il  est 
tué  dans  un  combat,  XIV,  581.  Ses  Lettres, 
581,  S87.  Constitution  par  laquelle  il  abolit 
la  coutume  de  piller  la  maison  de  l'évêque 
de  Chartres  après  sa  mort.  Donation  qu'il 
fait  à  l'abbaye  de  Marmoutier,  582.  Lettre 
que  lui  écrit  Yves  de  Chartres  sur  ses  pré- 
tentions, 104. 

[ETIENNE ,  roi  d'Angleterre.  Le  pape 
Innocent  II  lui  écrit,  XIV,  263.] 

[ETIENNE  II,  évêque  d'Autun,  Hugues, 
archevêque  de  Rouen,  écrit  contre  lui  au 
pape  Eugène  III,  XIV,  607.] 

ETIENNE  II  STÉPÉLIN,  abbé  de  Saint- 
Jacques  de  Liège,  auteur  de  quelques  écrits. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  IX,  p.  522  et  suiv.) 

ETIENNE,  roi  d'Angleterre.  Concile  où 
il  est  reconnu,  XIV,  1117. 

ETIENNE,  grand  Jupan  de  Dalmatie,  fait 
tenir  un  concile  pour  soumettre  ses  états  à 
l'obéissance  de  l'Église  romaine,  XIV,  1143. 

ETIENNE  HARDING    (Saint),    abbé  de 


U02 


H36. 


1200. 


Citeaux,  né  en  Angleterre  oîi  il  embrasse 
la  vie  monastique,  passe  en  Ecosse,  puis  en 
France,  pour  suivre  le  cours  de  ses  études. 
Il  fait  le  pèlerinage  de  Rome,  de  retour  il 
s'arrête  à  Molesme.  Il  suit  Robert  etAlbéric 
à  Citeaux  dont  il  est  fait  prieur.  Il  en  est 
fait  abbé  après  la  mort  d'Albéric.  Il  tient 
un  chapitre  général  de  l'ordre  de  Citeaux. 
Autre  chapitre  dans  lequel  il  publie  la 
charte  de  charité.  Bulle  du  pape  Calixte  II 
qui  la  confirme.  Il  se  démet  du  gouverne- 
ment de  Cîteaux.  Sa  mort,  XIV,  230.  [Il  a 
reçu  de  l'Église  le  titre  de  saint,  230,  note 
2.]  Ses  écrits.  Ses  lettres  à  Louis  le  Gros  et 
au  pape  Honorius  II  au  sujet  d'Etienne  de 
Sentis,  évêque  de  Paris.  Ce  que  c'est  que  la 
charte  de  charité.  Ce  qu'elle  contient,  231. 
Éditions  qu'on  en  a  faites,  232.  [Écrits  de 
saint  Etienne  dans  la  Patrologie,  231.] 
(Voyez  l'article  de  saint  Etienne  Harding 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  XI, 
p.  213  et  suiv.) 

ETIENNE  DE  BAUGÉ,  évêque  d'Autun. 
Sa  vie,  XIV,  304.  Ses  écrits.  Traité  du  Sa- 
crement de  l'autel,  304  et  305.  [Édition  de 
ce  traité  dans  la  Patrologie,  303.  Chartes 
et  privilèges  donnés  par  cet  évêque.  Édition 
de  ces  écrits  dans  la  Patrologie,  305.]  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  XI,  p.  710  et  suiv.) 

ETIENNE  DE  SENLIS,  évêque  de  Paris, 
encourt  la  disgrâce  du  roi  Louis  le  Gros. 
Lettre  d'Etienne  Harding,  abbé  de  Cîteaux, 
à  son  sujet,  XIV,  231.  Il  est  attaqué  par  une 
troupe  de  gens  armés,  239.  Lettres  du  pape 
Innocent  II  qui  lui  sont  adressées,  259  et 
260.  Lettres  de  saint  Bernard  à  son  sujet, 
428.  [Notices  sur  Etienne  et  ses  Lettres  dans 
l&  Patrologie,  428,  n.  1.]  (Voyez  ce  qui  en 
est  dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  XII,  p.  132  et  suiv.) 

ETIENNE  DE  PARIS,  clerc  de  Paris,  au- 
teur d'un  Commentaire  sur  la  règle  de  saint 
Benoît.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'His- 
toire littér.  de  la  France,  t.  XII,  p.  152  et  suiv.) 

ETIENNE  DE  CHALMET,  moine  de  la 
Chartreuse  des  Portes.  Sa  lettre  aux  novices 
de  l'abbaye  de  Saiut-Sulpice  qui  voulaient 
en  sortir  pour  se  faire  chartreux,  XIV,  401. 
(Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  XII,  p.  260  et  suiv.) 

ETIENNE  DE  ROUEN,  moine  du  Bec, 
auteur  de  quelques  écrits.  (Voyez  ce  qui  est 
dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  Xll,  p.  973  et  suiv.) 


Ui 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


383 


ETIENNE  D'YORK,  abbé  de  Notre-Dame 
d'York,  auteur  de  quelques  écrits.  (Voyez 
son  article  dans  VHistoire  littéraire  de  la 
France,  t.  X,  p.  14  et  suiv.) 

[ÉTIliNNE,  évêque  de  Paris.  Geoffroi, 
évèqiie  de  Châlons-sur-Saône,  lui  adresse 
une  lettre,  XIV,  420.  n.  2.] 

ETIENNE  DE  MURET  (Saint),  instituteur 
de  l'ordre  de  Graadmonl,  en  Limousin,  dans 
la  paroisse  de  Saint-Sylvestre.  Sa  naissance, 
son  père  le  laisse  malade  à  Bénévent.  11 
prend  du  goût  pour  la  manière  de  vivre  des 
religieux  de  Calabre,  et  demande  au  pape 
Alexandre  II  la  permission  d'établir  un 
ordi-e  dont  la  règle  de  vie  y  fût  semblable. 
Bulle  qu'on  prétend  qu'il  obtint  du  pape  saint 
Grégoire  VII.  Cette  bulle  est  supposée.  Preu- 
ves, XIV,  S75.  De  retour  en  sa  patrie,  il  se 
retire  au  désert  de  Muret,  en  Limousin,  où 
il  fait  sa  profession  en  se  consacrant  à  Dieu, 

575  et  576.  Formule  de  sa  profession.  Sa 
manière  de  vivre.  Il  l'eçoit  quelques  disci- 
ples. 11  reçoit  la  visite  de  deux  cardinaux 
en  France.  Sa  mort.  Le  pape  Clément  III  le 
met  au  nombre  des  saints,  576.  Règle  de 
saint  Etienne.  Elle  est  véritablement  de  lui, 

576  et  577.  Elle  est  diJiérente  de  celle  de 
saint  Benoît,  577.  Analyse  de  cette  règle, 

577  et  578.  Éditions  de  cette  règle,  578. 
Maximes  et  Sentences  de  saint  Etienne,  578 
et  suiv.  Éditions  des  Maximes,  578.  Le  livre 
intitulé  :  Doctrine  ou  Instruction  des  novices 
de  Grandmont,  n'est  pas  de  lui.  Vie  de  saint 
Etienne  écrite  par  Etienne  de  Lisiac,  380. 
[Notice  sur  saint  Etienne,  sa  vie  et  ses  écrits 
dans  la  Patrologie,  573,  note  1.]  (On  peut 
voir  sur  cet  article  une  lettre  d'un  religieux 
de  Grandmont,  imprimée  dans  le  dominai  de 
Verdun  en  1766,  juillet,  p.  37  et  suiv.  et 
août,  p.  126  et  suiv.)  —  Fondation  de  l'or- 
dre de  Grandmont  par  saint  Etienne,  fils  du 
vicomte  de  Thiers,  Xlll,  333.  —  [Saint 
Etienne  de  Grandmont  canonisé  par  le  pape 
Clément  III,  XIV,  939.  [Lettre  que  ce  pape 
écrit  à  ce  sujet  à  Gérald,  prieur  de  Grand- 
mont, 939.] 

ETIENNE  DE  LISIAC,  quatrième  prieur 
de  Grandmont,  écrit  la  Vie  de  saint  Etienne 
de  Muret,  XIV,  580.  (Cela  est  contredit  dans 
le  Journal  de  Verdun  1776,  août,  p.  133.) 
[Édition  de  cette  Vie  dans  la  Patrologie,  580.] 

ETIENNE  DE  LANGTON,  archevêque  de 
Cantorbéry.  Concile  qu'il  tient  à  Lambyt, 
XIV,  1148.  Ses  quatre  livres  de  la  Vie  de 
saint  Thomas  de  Cantorbéry ,    679.   [Son 


élection  occasionne  de  grands  démêlés  en- 
tre Jean,  roi  d'Angleterre  et  le  pape  Inno- 
cent III,  1008.] 

■  [ETIENNE  ,  abbé  de  Sainte-Geneviève ,  1203. 
puis  évêque  de  Tournai.  Sa  vie,  XIV,  877, 
878.  Il  fut  disciple  de  Roger,  abbé  de  Saint- 
Euverte,  dans  le  diocèse  d'Orléans,  750.  Ses 
écrits.  Son  Commentaire  sur  Gratien,  878. 
Ses  Lettres.  878  et  suiv.  Édition  de  ses 
écrits  dans  la  Palrologie,  881.] 

ETIENNE  (Henri),  imprimeur.  Son  édi- 
tion de  deux  ouvrages  de  sahit  Justin  avec 
une  version  latine,  I,  445. 

ETIENNE  (Robert),  imprimeur,  fils  du 
précédent.  Son  édition  des  œuvres  de  saint 
Justin,  1,  443.  —  Ses  éditions  de  la  Prépa- 
ration évangélique;  de  la  Démonstration 
évangélique,  III,  313;  de  l'Histoire  ecclé- 
siastique d'Eusèbe ,  315.  —  Son  édition 
d'Eusèbe,  de  Socrate,  de  Sozomène,  de  Théo- 
dore le  Lecteur  et  d'autres  historiens  grecs, 
XI,  105.  Son  édition  de  l'Histoire  ecclésiasti- 
que d'Évagre,420.  —  [Sonédition  du  traitéde 
la  Trinité  de  Richard,  prieur  de  Saint-Victor, 
XIV,  701.] 

ETIENNE  (Robert)  LE  JEUNE,  fils  du 
précédent.  Sa  traduction  française  de  la 
Lettre  de  saint  Grégoire  de  Nysse  sur  les 
pèlerinages  de  Jérusalem,  VI,  259. 

[ETIENNE  (Sérénice).  Son  édition  du 
livre  de  la  Patience  par  saint  Cyprien,  II, 
384.] 

ÉTINCELLES  ou  Sentences  des  Pères  or- 
thodoxes recueilhes  par  Défenseur,  moine 
de  Ligugé,  XI,  813.  —  Étincelles  ou  Lieux 
communs  sur  les  vertus  et  les  vices,  attri- 
bués au  Vénérable  Bède,  Xll,  12.  Livre  des 
Étincelles  composé  des  Sentences  des  Pères, 
ouvrage  attribué  à  Alvar,  prêtre  de  Cordoue, 
522. 

ÉTOILES.  Étoile  qui  apparut  aux  Mages. 
Ce  qu'en  pensait  Eusèbe,  III,  273,  274  ;  — 
"[saint  Éphrem,  VI,  453;]  —  saint  Jean 
Chrysostôme,  VU,  215  et  359.  —  Tradition 
peu  fondée  que  rapporte  saint  Grégoire  de 
Tours,  XI,  372.  —  Opuscule  sur  les  Étoiles, 
faussement  attribué  à  saint  Jean  Chrysos- 
tôme, VII,  335. 

ÉTOLE.  Canon  d'un  concile  de  Brague 
qui  défend  aux  prêtres  de  célébrer  la  messe 
sans  étole,  Xll,  941. 

ÉTRANGERS.  Comment  les  recevait  le 
saint  abbé  Apollon  en  Egypte,  VII,  474. 

ÉTRENNES.   Discours    de   saint    Astère      ivsiôcie. 
d'Amasée  contre  les  étrennes,  VI,  293.  — 


384 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


IV  siècle.     Discours  de  saint  Jean  Ghrysostôme  contre 
les  étrennes,  VII,  53. 

ÊTRES,  Discours  de  saint  Augustin  sur 
les  êtres,  IX,  169  et  193.  —  Lettre  de  Ma- 
mertClaudien  sur  la  différence  des  êtres  spi- 
rituels et  des  êtres  corporels,  X,  354. 
iv-siècic.  ÉTUDE.  Avantage  de  l'étude  des  livres 
saints  sur  celle  des  livres  profanes,  V,  309. 
376.  —  Loi  de  Gratien  sur  les  études,  VI,  360.  — 
Sentiment  de  saint  Augustin  sur  les  études, 
XII  siècle.  IX,  26,  27.  —  Études  négligées  en  Angle- 
terre, rétablies  par  saint  Dunstan  et  saint 
Ettielwold,  XIII,  59.  Plan  d'études  proposé 
à  un  évêque  par  Théophylacte,  archevêque 
d'Acride,  553.  —  Plan  d'études  donné  à  un 
jeune  homme  par  Wibalde,  abbé  de  Stavélo, 
XIV,  531.  Étude  des  livres  profanes.  Voyez 
Lectures. 

ÉTUDIANTS.  Traité  de  la  discipline  des 
étudiants,  ouvrage  attribué  à  Boëce,  mais 
qui  certainement  n'est  pas  de  lui,  X,  664. 

ÉTYMOLOGIES.  Traité  de  saint  Isidore  de 

Séville  sur  les  étymologies,  XI,  711  et  suiv. 

309.  EUBULE  (Saint),  martyr  de  la  Palestine, 

m,  13. 

EUCARPE,  ami  de  saint  Nil,  solitaire  de 
Sinaï.  Traité  à  Eucarpe,  ouvrage  faussement 
attribué  à  saint  Nil,  VIII,  213. 

EUCHARISTICON  de  saint  Ennode,  évêque 
de  Pavie.  Ce  que  c'est,  X,  573. 

I  siècle.         EUCHARISTIE.  Doctrine   [de  saint  Clé- 

ment, pape,  sur  l'eucharistie,  1, 349, 334]  ;  [de 
saint  Aberce.  évêque,  449,  n.  1]  ;  de  saint 
Ignace,  373,  377,  378,  383.  [Doctrine  de  saint 

II  siècle.      Méliton,    454.]  Témoignage  de  saint  Justin, 

427,  442.  Doctrine  de  saint  Irénée,  323. 
[Doctrine  d'un  anonyme,  340,  541  ;  d'un  au. 

III  siècle/    tre  anonyme,  542.]  Doctrine  et  témoignage 

de  Clément  d  Alexandrie,  599,  600,  604.  Doc- 
trine de  saint  Hippolyle,  616,  640;  — deTer- 
tuUien,  II,  75,  76  ;  d'Origène,  [156, 157],  239, 
240  [et  647]  ;  de  saint  Cyprien,  281,  323,328, 
366,  367,  368.  Témoignage  de  saint  Deuis 
d'Alexandrie,  403,  407,  411,  417.  —  Témoi- 
gnages tirés  des  Actes  de  saint  Théodote,  III, 
15;  et  de  saint  Saturnin,  20,  21,  22;  du 
poëte   Juvencus,   117;  de  Macarus  Magnés, 

IV  siècle.  133,  [156,  n.  1.]  Doctrine  d'Eusèbe  de  Césa- 
rée,  [250],  292,  293.  [Au  temps  d'Eusèbe  de 
Césaree,    on  recevait  la  sainte   eucharistie 

IV  siècle,     tous  les  dimanches,  251.]  —  Témoignage  et 

doctrine  de  saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  73, 

76;   [de  saint  Athanase,  154,  155,  157,  154, 

372.         161, 162,  165].  Lettre  de  saint  Basile  le  Grand 

à  une  dame  nommée  Césarie  sur  l'usage  de 


la  communion  eucharistique,  446,  447.  Doc- 
trine de  saint  Basile,  406  et  322  ;  —  de  saint 
Cyrille  de  Jérusalem,  V,  73  et  suiv.  Témoi- 
gnage de  saint  Optât,  136,  137.  Doctrine  de 
saint  Pacien,  169,  170;  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  329  et  suiv.  Présence  réelle,  329 
et  suiv.  L'eucharistie  est  un  vrai  sacrifice  ; 
qualités  de  ceux  qui  l'offrent,  330.  Pour  qui 
offert,  331.  Réponse  aux  objections  contre  le 
dogme  de  la  présence  réelle,  332.  Cérémo- 
nies qui  accompagnent  la  consécration  eu-  387. 
charistique  expliquées  par  saint  Ambroise 
dans  son  Traité  des  mystères,  462  et  suiv. 
Preuves  de  la  présence  réelle,  463,  464.  Doc- 
trine de  l'auteur  des  six  livres  des  sacre- 
ments attribués  à  saint  Ambroise,  463.  Doc.  jy  ^^^^^ 
trine  de  saint  Ambroise,  336  et  suiv.  [Témoi- 
gnage de  saint  Amphiloque,  673.  Doctrine  et 
témoignage  de  Didyme  l'Aveugle,  629  et 
631.]  —  Témoignage  et  doctrine  de  saint 
Éphrem,  VI,  53  et  62  [443,  446,  447,  438  et 
suiv.,  463,  488,  490,  494,  495,  498,  314.] 
Doctrine  de  saint  Grégoire  de  Nysse,  242  et 
suiv. ;  de  saint Épiphaue,  431 . —Témoignages 
de  saint  Ghrysostôme  surl'eucharistie,  VII,  3,  ^^ 
44,  71,  72,  81,  82,  112,  187,  196,  232,  247, 
248,  299,  314.  Sa  doctrine,  396  et  suiv.;  sur 
la  présence  réelle,  396,  [733]  ;  sur  le  saint  sa-  ^ 

orifice,  399,  400  ;  sur  les  dispositions  à  y  ap- 
porter, 400,  401.  Réponses  à  quelques  ob- 
jections de  ceux  qui  nient  la  présence  réelle, 
401  et  suiv.  Doctrine  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme  sur  les  dispositions  à  la  communion, 
403,  404;  sur  la  fréquente  communion,  404 
et  suiv.;  sur  les  communions  indignes,  407 
et  suiv.;  sur  la  liturgie,  409  et  suiv.  Témoi- 
gnage de  l'auteur  de  la  lettre  à  Césaire  sous 
le  nom  de  saint  Jean  Ghrysostôme,  140.  Té- 
moignage de  Rufln,  476.  Eucharistie,  sujet 
d'une  homélie  faussement  attribuée  à  Jean 
de  Jérusalem,  502.  Canon  cinquième  dans  la        4i6j 
lettre   du  pape   saint  Innocent  à  Décentius, 
évêque  d'Eugubio,  319,  520.  Traité  du  Corps 
et  du  Sang  de  Jésus-Christ,  ouvrage  fausse- 
ment attribué  à  saint  Jérôme,  648.  Doctrine         iv 
et  témoignage  de  saint  Jérôme,  373,  611,    '=^^^'"'' 
617,  673  et  suiv.,  699  et  400.  —  Doctrine  de     iv  sièci: 
saint  Maruthas,  évêque,  auteur  syrien,  VIII, 
3,  4;  de  saint  Gaudence,  évêque  de  Brescia,      ivsièci 
36,  37  ;  de  saint  Paulin  de  Noie,  93,  94.  Té- 
moignage du  poëte  Prudence,  101.  Doctrine         rv 
de  saint  Nil,  solitaire  de  Sinaï,  227.  Homélie    <=t"V  *'*"■'' 
de  saint   Cyrille   d'Alexandrie  sur  la  cène 
mystique ,    280.   Doctrine   de   saint   Cyrille 
d'Alexandrie  sur  l'eucharistie,  337  et  suiv.; 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


385 


sur  l'union  avec  Jésus-Christ  dans  l'eucharis- 
tie, 341,  342  [et  3S0,  351];  sur  les  disposi- 
tions pour  la  recevoir,  342,  343;  sur  les  lieux 
où  l'on  doit  offrir  le  sacrifice,  343.  On  con- 
servait l'eucharistie  plusieurs  jours,  343, 344. 
Les  fidèles  la  recevaient  dans  la  main,  344. 
[Témoignage  d'Eusèbe  d'Alexandrie  sur  l'eu- 
charistie, 384.]  Un  Père  de  Scélé  croyait  ne 
recevoir  en  communiant  que  la  figure  du 
corps  de  Jésus-Christ;  une  révélation  par- 
ticulière le  désabuse  de  son  erreur,  402.  Doc- 
trine de  saint  Isidore  de  Péluse  sur  l'eucha- 
ristie, 482,  483.  —  Doctrine  de  saint  Augus- 
tin, IX,  84,  85  et  747.  Présence  réelle  de 
Jésus-Christ  dans  ce  sacrement,  240,  247  et 
suiv.  Les  méchants  comme  les  bons  reçoivent 
le  corps  de  Jésus-Christ,  750,  751.  La  chair 
de  Jésus-Christ  dans  l'eucharistie  est  ado- 
rable; comment  les  fidèles  la  mangent,  752. 
Réponses   à   quelques    objections    que    les 
adversaires  de  la  présence  réelle  prétendent 
tirer  de  saint  Augustin,  752  et  suiv.  Com- 
ment Jésus-Christ  est  prêtre  et  victime  dans 
l'eucharistie,  760  et  suiv.  Le  sacrifice  n'est 
dû  qu'à  Dieu  seul,  762,  763.  Figure  et  pro- 
phétie du  sacrifice  de  l'eucharistie,  763, 764. 
Sacrifices  et  prières  pour  les  morts,  764  et 
suiv.  Cérémonies  du  saint  sacrifice,  766  et 
suiv.  Fréquente  communion,  768,  769.  Dis- 
positions pour  recevoir  l'eucharistie,  769, 
770.  Doit- on  la  donner  aux  pécheurs   oc- 
cultes? 770.  Nécessité  de  l'eucharistie,  771, 
772.  [Sermon  de  saint  Augustin  sur  le  sacre- 
ment de  l'autel  adressé  aux  enfants,  c'est-à- 
dire  aux   néophytes,    829,    830.    Autre   du 
même  sur  le  même  sujet,  830,  831.  Ce  que 
saint    Augustin    dit   de  l'eucharistie   dans 
d'autres  termes,  837,  838,  842.  Sermon  de 
saint  Augustin  sur  ces  paroles  :  Celui  qui 
mange  ma  chair  et  boit  mon  sang,  841.]  — 
Doctrine  de  saint  Pierre  Chrysologue  sur  le 
sacrement  d'eucharistie,  X,  13.  Doctrine  et 
témoignage  de  Théodoret,  124  et  suiv.  Solu- 
tion des  objections  que  les  sacramentaires 
prennent  de  divers  passages  de  Théodoret 
sur  la  présence  réelle,  125  et  suiv.  Doctrine 
du  pape  saint  Léon  sur  le  sacrement  d'eu- 
charistie, 259.  Eucharistie  profanée  par  les 
Ariens  dans  l'Afrique,  451.  Explication  d'un 
passage  du  pape  saint  Gela  se  sur  l'eucharis- 
tie, 510.  Doctrine  de  Gennade  de  Marseille, 
605.  Témoignage'  de   saint  Jacques,  évêque 
de  Batna,  642  ;   [de  Jean,  évêque  de  Téla, 
643.]  —  Saint  Fulgence  prouve  contre  les 
Ariens  que  le  sacrifice  de  l'eucharistie  est 

ÏAB.  I. 


offert  en  l'honneur  de  toute  la  sainte  Trinité, 
quoiqu'on  l'adresse  nommément  au  Père,  XI, 
14,  15.  Saint  Fulgence  répond  à  une  ques- 
tion qui  lui  avait  été  proposée  sur  le  calice 
présenté  deux  fois  à  Jésus-Christ  par  ses  dis- 
ciples, 41 .  Doctrine  de  saint  Césaire  d'Arles, 
135,  137,  144,  145.  Témoignage  de  Jobius, 
moine  d  Orient,  183;  et  de  Cosme  d'Egypte, 
189.  [Témoignage  de   Théodose,  patriarche 
d'Alexandrie,  sur  la  présence   réelle,  193, 
n.  1.]  Doctrine  de  Cassiodore,  250.  Passage 
de  Facundus  sur  l'eucharistie,  293.  Passage 
d'Origène,  293,  294.   [Passage  de  Timothée, 
patriarche  monophysite  d'Alexandrie,  sur  lu 
présence  réelle,  303,  n.  1.]  Témoignage  de 
la  Liturgie  de  saint  Gei'main,  309  et  suiv.  Té- 
moignage de  saint  Véron,  évêque  de  Cavail- 
lon,  323.  Témoignage  de  saint  Grégoire  de 
Tours  sur  un  enfant  juif  qui  avait  participé 
à  la  sainte  eucharistie,  373.  Le  même   fait 
rapporté  parEvagre,  419.  Autres  témoigna- 
ges de  saint  Grégoire  de  Tours  sur  l'eucha- 
ristie, 390, 391.  [Doctrine  de  saint  Eutychius, 
patriarche  de  Constantinople,  353,  354,  356. 
Témoignage  de  saint  Athanase,  patriarche 
d'Alexandrie,  rapporté  par  saint  Eutychius, 
353.    Témoignage  de    saint   Grégoire,    pa- 
triarche d'Anlioche,  359.  Témoignage  de  Lu- 
culentius,  633,  n.  6.]  Dans  les  premiers  siè- 
cles, on  donnait  aux  jeunes  enfants  les  restes 
de  l'eucharistie,  373  et  390.  Doctrine  du  pape 
saint  Grégoire  sur  l'eucharistie,  567  et  suiv. 
De  son  temps   on  portait  l'eucharistie   en 
voyage;  on  la  donnait  aux  mourants  en  via- 
tique, on  la  mettait  sur  la  poitrine  des  morts, 
et  on  l'enterrait  avec  eux,  569.  Témoignages 
d'Anastase  Sinaïte,  596,  597,  598,  599,  604, 
606,  607.  Témoignages  d'Hésychius,  prêtre 
de  Jérusalem,  655,  656;  de  saint  Jean  Cli- 
maque,  686;  [de  saint  Sophrone  de  Jérusa- 
lem, 707  et  suiv.]  ;  de  saint  Isidore  de  SéviUe, 
717  ;  de  l'auteur  des  homélies  attribuées  à 
saintÉloi,  755.  [Doctrine  de  Braulion,  évêque 
de  Saragosse,  sur  la  présence  réeUe,  729. 
Doctrine  de  Pierre  de  Laodicée  sur  l'eucha- 
ristie, 788.]  —  Doctrine  du  Vénérable  Bède, 
XII,  16,  17;  d'un  auteur  anonyme,  84,  85  ; 
de  saint  Jean  Damascène,  94,  95;d'Ambroise 
Autpert,   121,122;   d'Alcuin,  205,211;  du 
prêtre  Béatus,  216  ;  de  Théodulphe,  évêque 
d'Orléans,  266, 270;  [de  saint  Nicéphore,  pa- 
triarche de  Constantinople,  291];  de  saint 
Théodore  Studite,  301,  308,  [313]  ;  du  prêtre 
Amalaire,  347  et  suiv.;  de  Walfrid  Strabon^ 
413  ;  de  Chrétien  Druthmar,  421,  422.  Traité 

25 


386 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


d'Haimon  d'Halberstadt  sur  l'eucbaristie,  in- 
titulé :  Du  corpsetda  sang  du  Seigneur  ;  ana- 
lyse de  ce  qui  nous  reste  de  cet  ouvrage, 
437,  438.  Doctrine  de  Raban  Maur  sur  l'eu- 
charistie, 434, 460, 461 ,  474, 475.  Témoignage 
et  doctrine  de  Florus,  diacre  de  Lyon,  sur 
l'eucharistie,  480  et  suiv.  Réponse  à  une  dif- 
ficulté des  calvinistes  prise  d'une  expression 
de  Florus,  482.  Sentiments  d'Amalaire  com- 
battus par  Florus,  484.  Doctrine  de  saint  Pas- 
chase  Radbert  sur  l'eucharistie,  S30, 531.  Son 
livre  du  Corps  et  du  Sang  de  Jésus-Christ, 
533  et  suiv.  Sa  lettre  à  Frudegar  sur  le  même 
mystère,  542,  343.  Passages  de  saint  Augus- 
tin sur  l'eucharistie  expliqués  par  saint  Pas- 

IX  siècle,     chase,  543.  Différents  traités  anonymes  sur 

l'eucharistie  composés  dans  leix°siècle  àl'oc- 
casion  du  traité  de  saint  Paschase  Radbert  du 
Corps  et  du  Sang  de  Jésus-Christ,  549  et  suiv. 
Traité  de  l'eucharistie  par  Ratramne;  con- 
trariété de  sentiments  sur  l'auteur  de  ce 
livre  ;  raisons  qui  prouvent  qu'il  est  vérita- 
blement de  Ratramne,  556.  Analyse  de  ce 
traité,  556  et  suiv.  Différentes  éditions  et  tra- 
ductions qu'on  en  a  faites,  561.  Traité  de 
Jean  Scot  s'ur  l'eucharistie  ;  il  n'est  pas  venu 
jusqu'à  nous,  607.  Témoignage  de  Hincmar 
de  Reims,  666;  de  Réginon,  abbé  de  Prum, 
771.  Hymne  de  saint  Odon,  abbé  de  Cluny, 
sur  l'eucharistie,  809.  Témoignage  deRathé- 
rias  de  Vérone,  851,  Sa  lettre  sur  l'eucha- 
ristie, 834  et  859.  Traité  de  Gerbert,  intitulé  : 
Du  corps  et  du  sang  du  Seigneur  ;  misons  qui 
prouvent  qu'il  en  est  véritablement  l'auteur  ; 
idée  de  cet  ouvrage,  904.  —  Il  a  toujours  été 
d'usage  dansl'Église  grecque  et  dans  l'Église 
latine  de  l'éserver  l'eucharistie  pour  les  ma- 
lades, XIII,  7  et  11.  Témoignages  des  Églises 

X  siècle,      des  Gaules  sur  l'eucharistie,  9  et  10.  Traité 

de  Gézon,  abbé  de  Tortone,  intitulé  :  Du 
corps  et  du  sang  de  Jésus-Christ,  19,  20.  Ana- 
lyse, 20.  Traité  d'Hériger,  abbé  de  Lobes, 
intitulé  :  Du  corps  et  du  sang  du  Seigneur;  il 
n'a  pas  encore  été  imprimé,  38.  Témoignage 
de  saint  Alfric,  archevêque  de  Cantorbéry, 
53.  Erreur  sur  l'eucharistie,  en  Angleterre, 
détruite  par  un  miracle,  60.  Doctrine  de 
saint  Fulbert  de  Chartres  sur  l'eucharistie, 
80  et  88.  De  sou  temps,  l'usage  était,  dans 
quelques  églises,  de  donner  à  un  prêtre  à 
son  ordination  une  hostie  consacrée  qu'il  de- 
vait consommer  dans  l'espace  de  quarante 
1025.  jours;  raison  de  cet  usage,  80,  81.  Témoi- 
gnage de  Rodolphe  Glaber  snr  l'eucharistie, 
146.  Erreurs  des  Manichéens  sur  l'eucharis- 


tie, réfutées  au  concile  d'Arras  par  Gérard, 
évêque  de  Cambrai,  161,  162.  Décret  de  ce 
concile,  162.  Profession  de  foi  sur  l'eucha- 
ristie, 169,  170.  Erreurs  de  Bérenger  sur 
l'eucharistie,  172  et  suiv.;  réfutées  par  Hu- 
gues, évêque  de  Langres,  dans  son  traité  du 
Corps  etduSangde  Jésus-Christ,  163  et  suiv.; 
réfutées  par  plusieurs  autres  et  condamnées 
en  différents  conciles,  167  et  suiv.  (Voyez 
l'article  de  Bérenger.)  Témoignage  de  Si- 
méon  le  Jeune  sur  l'eucharistie,  227,  228  ; 
d'Adelmamn,  écolâtre  de  Liège,  235,  236. 
Témoignage  d'Ascelin,  moine  du  Bec,  238. 
Profession  de  foi  des  Églises  de  Normandie 
sur  l'eucharistie,  contre  les  erreurs  de  Bé- 
renger, 267.  Différentes  erreurs  répandues 
dans  le  xi"  siècle  sur  l'eucharistie,  269.  Té- 
moignage d'un  anonyme  sur  l'eucharistie, 
269  et  270.  Témoignage  de  Théoduin,  évê- 
que de  Liège,  274  ;  de  Brunon,  évêque  d'An- 
gers, 275  ;  de  saint  Pierre  Damien,  318  et 
320.  Témoignage  d'un  concile  de  Rome  sous 
saint  Grégoire  VII,  367.  Petit  traité  en  forme 
de  lettre  de  l'ermite  saint  Anastase  sur  l'eu- 
charistie, 408,  409.  Témoignage  d'un  con- 
cile de  Plaisance,  430.  Traité  du  Corps  et  du 
sang  du  Seigneur,  ouvrage  de  Laufrancqui  y 
réfute  les  erreurs  de  Bérenger  sur  l'eucha- 
ristie, 443.  Analyse,  443  et  suiv.  Éditions 
qu'on  en  a  faites,  448.  Témoignage  et  doc- 
trine de  Lanfranc  sur  l'eucharistie,  446,  447 
et  454,  437.  Traité  de  Durand,  abbé  de 
Troarn,  contre  Bérenger,  459  et  suiv.  Poëme 
du  même,  461.  Traité  du  Sacrement  de  l'au- 
tel, contre  Bérenger,  par  Wolphelme,  abbé 
de  Bruuwiller,  484.  Traité  du  Corps  et  du 
Sang  du  Seigneur,  contre  Bérenger,  par  le 
cardinal  Albéric,  494.  De  la  vérité  du  corps 
et  du  sang  de  Jésus-Christ  dans  l'eucharis- 
tie, ouvrage  de  Guitmond  contre  Bérenger, 
517  et  suiv.  Doctrine  de  Théophylacte,  ar- 
chevêque d'Acride,  sur  l'eucharistie,  337, 
558.  fCe  que  Bonizon,  évêque  de  Scutri,  dit 
de  l'eucharistie,  563.]  Traité  de  Nicolas,  évê- 
que de  Méthone  en  Morée,  du  Corps  et  du 
Sang  de  Jésiis-Christ,  571,  572.  Dispute  de 
Samonas  sur  l'eucharistie,  572,  373.  Témoi- 
gnage que  renferme  un  écrit  qui  fut  lu  dans 
le  second  concile  de  Nicée,  625,  626. — 
Lettre  de  saint  Anselme,  XIV,  33.  Sa  doc- 
trine sur  ce  mystère,  40.  Doctrine  du  B. 
Odon,  évêque  de  Cambrai,*73,  74.  Partie  du 
Décret  d'Yves  de  Chartres  dans  laquelle  il  est 
question  de  l'eucharistie,  95.  Autres  témoi- 
gnages du  même,  121, 122.  Doctrine  d'Euthy- 


413. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


387 


mius  Zigabène  sur  la  présence  réelle,  ISO, 
153,  134.  Lettre  dans  laquelle  Zonare  dit 
qu'on  ne  doit  point  trop  approfondir  l'eu- 
cliaristie,  137.  Son  sentiment  sur  l'eucharis- 
tie, 138,  139.  Traité  du  Corps  et  du  Sang  de 
Jésus-Clirist,  par  Geofifroy  de  Vendôme,  166. 
Traité  du  même  sur  le  baptême,  la  confir- 
malion,  l'eucharistie  et  l'extrême-onction, 
168.  Témoignage  de  Francon,  abbé  d'AfUig- 
hem,  190,  191.  [Fragment  de  Guillaume  de 
Champeaux  sur  l'eucharistie,  oùFauteur  re- 
connaît le  dogme  de  la  présence  réelle  et 
parle  de  la  pratique  de  l'Église  dans  l'admi- 
nislration  de  ce  sacrement,  193,  194.]  Traité 
de  Guibert  de  Nogent  :  Du  Morceau  donné  à 
Judas  et  de  la  vérité  du  corps  du  Seigneur, 
196,  197.  Antres  témoignages  du  même,  197, 
198,  199.  Sentiment  d'Hildebert,  évêque  du 
Mans,  sur  l'usage  de  tremper  l'eucharistie 
dans  le  précieux  sang  pour  la  communion  ; 
et  sur  l'action  d'un  prêtre  qui  avait  célébré 
la  messe  avec  du  pain  fermenté,  211.  Doc- 
trine du  Vénérable  Hildebert,  215.  Son  traité 
du  sacrement  de  l'autel,  220;  et  son  poème 
sur  le  sacrement  de  l'autel,  221.  Témoignage 
d'Arnulphe,  évêque  de  Rochester,  236,  237. 
On  justifie  Rupert,  abbé  de  Tuy,  relative- 
ment aux  reproches  qu'on  lui  faisait  sur  sa 
doctrine  sur  l'eucharistie,  290,  291.  [Ce 
qu'Honoré  d'Autun  dit  de  la  présence  réelle, 
296.  Eucharisiicon,  ouvrage  d'Honoré  d'Au- 
tun ;  c'est  une  exposition  de  la  croyance  de 
l'Église  sur  l'eucharistie,  297.  Honoré  s'ex- 
prime très-correctement  sur  le  dogme  de  la 
présence  réelle  et  sur  celui  de  la  transsubs- 
tantiation, 297  et  298.]  Doctrine  d'Abaillard 
sur  l'eucharistie,  330.  Lettre  de  Gilbert  de  la 
Porrée  sur  l'eucharistie,  344.  Traité  de  l'abbé 
Abandus  de  la  fraction  du  corps  de  Jésus- 
Christ,  343.  Témoignage  de  Robert  Paululus, 
337  ;  de  Hugues  de  Saint- Victor,  360  ;  de 
Hugues  Métellus,  366,  367.  Traité  d'Alger, 
diacre  et  scolastique  de  Liège,  sur  l'eucha- 
ristie, 379  et  suiv.  Éloge  que  plusieurs  au- 
teurs en  ont  fait,  379  et  380.  Analyse  de  ce 
traité,  380  et  suiv.  Traité  de  Guillaume,  abbé 
de  Saint-Thierry,  intitulé  :  Du  Sacrement  de 
l'autel,  389,  390.  Lettre  du  même  sur  l'eu- 
charistie, 390.  Témoignage  de  Robert  Pul- 
lus,  393,  393,  398,  399;  d'Anselme,  évêque 
d'Havelburg,  413,  416.  Réponse  de  saint 
Bernard,  consulté  par  Gui,  abbé  de  Trois- 
Fontaines,  qui,  célébrant  la  messe,  n'avait 
consacré  que  de  l'eau,  les  ministres  n'ayant 
pas  mis  de  vin  dans  le  calice,  431,  432.  Doc- 


trine de  saint  Bernard,  487.  Sermon  attribué 
à  saintBernardtouchant  l'excellence  du  saint 
sacrement  et  la  dignité  des  prêtres,  492.  Mi- 
racles de  saint  Bernard  opérés  par  l'eucha- 
ristie, 494.  Témoignage  de  Pierre  le  Véné- 
rable, 320,  321,  323.  Plusieurs  miracles  qui 
regardaient  l'eucharistie  rapportés  par  lui, 
522.  Doctrine  de  Pierre  Lombard  sur  l'eu- 
charistie, 363,  364  ;  de  Pierre  de  Poitiers, 
569.  Doctrine  de  Godefroy,  abbé  des  Monts, 
588.  Expressions  de  sainte  Hildegarde,  593, 
594.  Erreurs  de  Folmar,  prévôt  de  Triens- 
tein  en  Franconie,  631  ;  réfutées  par  Géroch, 
prévôt  de  Reichersperg,  631  et  632  ;  et  par 
Arnon,  frère  de  Géroch,  633.  Doctrine  de 
Pierre  de  Celle  sur  l'eucharistie,  681.  [Gau_ 
thier,  chanoine  de  Saint-Victor,  rejette  plu- 
sieurs locutionsdesscholastiques  surFcucha- 
ristie, 742.]  Comment  Raoul  de Lisieux  s'expri- 
me sur  ce  mystère,  758.  Doctrine  contenue 
dans  le  Décret  de  Gratien,  762.  Traité  de  l'Eu- 
charistie, poëme  de  Pierre  de  Biois  ;  ce  qu'il 
contient  de  remarquable,  782.  Doctrine  du 
pape  Innocent  III,  1014.  Traité  de  ce  pape  sur 
l'eucharistie,  1014  et  suiv.  Doctrine  de  Guil- 
laume d'Auvergne,  1023. — Canons  apostoli- 
ques,II,  560et  suiv.  — Canon  quatorzième  du 
concile  de  Laodicée,  III,  510.  Canon  qua- 
rante-neuvième, 513.  —  Règles  de  saint  Ba- 
sile, IV,  406.  Canon  troisième  du  concile  de 
Saragosse  ,  613.  —  Règlements  de  Timo- 
thée,  évêque  d'Alexandrie,  V,  94.  —  Canon 
cinquième  dans  la  lettre  du  pape  saint  Inno- 
cent à  Décentius,  évêque  d'Eugubio,  VII, 
319, 320.  Canon  cinquième  du  concile  d'Hip- 
pone,  714.  Canon  du  troisième  concile  de 
Garthage,  720.  Canon  vingt-quatrième,  721, 
722.  —  Canon  dix-huitième  du  sixième  con- 
cile de  Garthage,  VIII,  365.  Conjectures  sur 
un  canon  du  concile  d'Orange  où  il  est  parlé 
de  l'eucharistie,  607.  —  Règlement  du  pape 
saint  Félix  III,  X,  721.  —  Témoignage  d'A- 
malaire,  archevêque  de  Trêves,  XII,  222. 
Article  d'un  capitulaire  de  Charlemagne, 
241.  Canon  d'un  Pénitenliel,  246.  Témoi- 
gnage de  Maxence,  patriarche  d'Aquilée, 
251  ;  de  Leidrade,  archevêque  de  Lyon,  232; 
de  Théodulphe,  évêque  d'Orléans,  267  ;  de 
saint  Théodore  Studite,  308  ;  de  Jessé,  évê- 
que d'Ajniens ,  338.  Règlement  de  saint 
Raoul,  archevêque  de  Bourges,  554.  Règle- 
ment du  pape  saint  Nicolas  I",  383.  Canon 
du  deuxième  concile  de  Tolède,  941.  Ca- 
nons d'un  concile  de  Brague,  941,  942.  Ca- 
nons du  concile  Quinisexte  ou  in  Trullo,  963, 


388 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


413. 


«2,  «3. 


Avant  441, 
449. 


964.  Canon  du  seizième  concile  de  Tolède, 

965.  — Témoignage  de  Gérard,  prctred'Augs- 
bourg,  XIII,  55.  Origine  de  l'élévation  à  la 
messe,  175.  Usages  de  Cluny  relativement  à 
l'eucharistie,  473, 474.  Statuts  du  monastère 
de  Saint-Bénigne  de  Dijon  et  de  celui  d'Hir- 
sauge,  479.  Canon  d'un  concile  de  Tours, 
646  ;  d'un  concile  de  Châlon-sur-Saôue , 
648  ;  d'un  concile  de  Celchyte,  653.  Lois 
d'Edgar,  roi  d'Angleterre,  756,  757.  —  Té- 
moignage d'Hildebert,  évoque  du  Mans,  XIV, 
221  ;  de  Marbode,  évêque  de  Rennes,  228  ; 
d'Arnulphe,  évêque  de  Rochester,  237;  de 
Gilbert  de  la  Porrée,  344  ;  de  Hugues  de 
Saint-Victor,  360  ;  de  Robert  Pullus,  398.  Ca- 
non du  quatrième  concile  de  Latran  qui 
oblige  les  fidèles  à  recevoir  l'eucharistie  à  la 
fête  de  Pâques,  1166.  Canons  de  divers  con- 
ciles de  Londres,  1114,  1135,  1146.  Décret 
d'un  concile  de  Lombers,  1136. 

EUCHARISTIQUE,  poëme  ainsi  intitulé, 
ouvrage  de  Paulin  le  Pénitent,  VIII,  99, 100. 

EUCHARIUS ,  défenseur  ^  de  l'Église  de 
Constantinople.  Le  concile  d'Éphèse  lui  donne 
avis  de  la  déposition  de  Nestorius,  VIII,  579. 

EUCHER.  Lettre  de  saint  Paulus,  évêque 
de  Noie  à  Eucber  et  à  Galla  sa  femme,  VIII,  81 . 

EUCHER,  archevêque  de  Lyon.  Son  ori- 
gine; son  mariage,  ses  enfants;  il  quitte  le 
monde,  VIII,  442.  Son  union  avec  saint  Ho- 
norât, saint  Paulin  et  saint  Hilaire,  442  et 
443.  Il  est  fait  archevêque  de  Lyon;  sa  mort, 
443.  Ses  écrits,  443  et  suiv.  L'Éloge  du  dé- 
sert; analyse  de  ce  traité,  443,  444.  Analyse 
du  traité  du  Mépris  du  monde,  444  et  suiv. 
Traité  des  Formules,  447.  [On  doit  distinguer 
trois  traités  des  formules  :  le  traité  des 
Gloses  ou  formules  mineures  ;  celui  des  for- 
mules majeures  et  celui  des  formules  ;  ce 
dernier  n'est  pas  de  saint  Eucher,  448.  D.  Pi- 
tra  a  publié  le  traité  des  Gloses  ou  formules 
mineures,  449.]  Institutions  à  Salone  ;  ana- 
lyse des  deux  livres  qui  le  composent,  449  et 
suiv.  Actes  du  martyre  de  saint  Maurice,  451, 

452.  Abrégé  de  Cassien  ;  autres  écrits  de 
saint  Eucher,  452.  Commentaire  sur  la  Ge- 
nèse qui  lui  est  attribué,  452  et  453;  sur  les 
livres  des  Rois  ;  lettres  à  Pbilon  et*  à  Faustus, 

453.  Homélies  de  saint  Eucher,  453  et  suiv. 
Autres  discours  qui  lui  sont  attribués;  au- 
tres écrits  dont  on  le  fait  auteur,  455.  Édi- 
tions de  ses  écrits,  455  et  456.  [Autres  édi- 
tions et  traductions,  456.]  — Saint  Eucher  a 
recueilli  les  Actes  du  martyre  de  saint  Mau- 
rice, II,  471.  — Analyse  d'une  lettre  que  lui 


a  écrite  saint  Hilaire  d'Arles,  VIII,  438.  Il  est 
mis  par  Claudien  Mamert  au  nombre  des  an- 
ciens docteurs  de  l'Église,  453.  —  Sa  consi- 
dération pourSalvien,  prêtre  de  Marseille  ;  il 
luiconfiel'éducationdesesdeuxfils  Salone  et 
Véran,  X,  359.  Lettre  de  Salvien  à  saint  Eu- 
cher, 376.  (Voyez  l'article  de  saint  Eucher 
dans  VHistoire  littéraire  de  la  Finance,  t.  II, 
p.  275etsuiv.,  et  le  Supplément,  t.  V,  p.  xj.) 

EUCHER,  fils  de  Stilicon,  se  réfugie  dans 
une  église  de  Rome.  L'empereur  Honorius 
le  lait  mourir,  VIII,  514. 

EUCHER.  Lettre  de  saint  Sidoine  Apolli- 
naire qui  lui  est  adressée,  VIII,  386. 

EUCHER  (Saint),  évêque  d'Orléans.  Dis- 
cours de  Thierry,  abbé  de  Saint-Trond,  sur 
la  translation  de  ses  reliques,  XIII,  598. 

[EUGHÉRIE  (Sainte).  Sa  Vie  et  les  saints 
pèlerinages  qu'elle  fait,  par  l'abbé  saint 
Valère,  XI,  734,  735.] 

EUCHITES,  sorte  de  Manichéens,  dont 
parle  Théodoret,  X,  53. 

EUCOLE  veut  assassiner  Macédonius,  pa- 
triarche de  Constantinople,  X,  488. 

EUCOLOGE.  Livre  à  l'usage  de  l'Église 
grecque  qui  répond  au  Rituel  de  l'Église  la- 
tine. DiËférentes  éditions  et  traductions  qu'on 
en  a  faites,  137.  Détail  de  ce  qu'il  contient, 
137  et  138. 

EUCRACE,  évêque  deThènes,  en  Afrique, 
consulte  saint  Cyprien.  Lettre  de  saint  Cy- 
prien  à  Eucrace,  II,  293. 

EUDEMAIRE.  Sa  traduction  française  des 
Lettres  de  saint  Ignace,  martyr,  I,  388. 

EUDÈME,  évêque  de  Patare,  IV,  475. 

EUDE,  abbé  de  Glanfeuil.  Voyez  Odon. 

EUDES,  sacré  roi  de  France  par  W^au- 
thier,  archevêque  de  Sens,  XII,  707. 

EUDES  ou  OTTON,  évêque  d'Ostie.  Voyez 
Urbain  II,  pape. 

EUDES,  sénéchal  de  Normandie.  Lettre 
que  lui  écrit  Yves  de  Chartres,  XIV,  102. 

[EUDOXE,  à  qui  saint  Sérapion,  évêque 
de  Tmuis,  écrit,  IV,  336.] 

EUDOXE,  évêque  de  Germanicie,  s'em- 
pare de  l'église  d'Antioche.  Il  y  tient  un 
concile,  IV,  550.  Il  est  mis  par  les  Acaciens 
sur  le  siège  de  Constantinople.  Il  y  célèbre 
la  dédicace  de  Sainte-Sophie,  580.  —  Let- 
tre de  l'empereur  Constance  à  l'Église  d'An- 
tioche, VI,  345,  346.  —  Témoignage  de 
Socrate  sur  Eudoxe,  VHI,  518.  —  Témoi- 
gnage de  Théodoret,  X,  45.  —  Comment 
saint  Grégoire  a  pu  dire  qu'il  ne  connaissait 
pas  cet  Eudoxe,  XI,  507. 


m  siècle. 


358. 

360. 

IV  siècle. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


389 


V  siècle.         EUDOXE,  rhéteur.  Lettres  que  lui  écrivit 
saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  23S  et  258. 

V.  398.  EUDOXE,    abbé.    Lettre   que   lui   écrivit 

saint  Augustin,  IX,  82. 

[EUDOXE,  philosophe,  paraît  être  le 
même  qu'Eudoxe,  évéque  de  Germanicie. 
Fragments  de  ses  Commentaires  sur  plu- 
sieurs livres  de  l'Ancien  Testament  et  sur 
l'Incarnation,  VI,  333.] 

«s.  EUDOXIE,  impératrice,  épouse  d'Arcade, 

choquée  d'un  discours  de  saint  Jean  Chry- 
sostôme,  soutient  ses  ennemis.  Elle  obtient 
son  rappel  et  lui  écrit,  VII,  6.  Elle  s'irrite 
de  nouveau  contre  lui  et  veut  le  chasser  à 
l'occasion  de  la  dédicace  d'une  statue,  6  et 
8.  Un  évêque  la  menace  de  la  colère  de 
Dieu,  8.  [Lettre  de  saint  Jean  Chrysostôme 
à  cette  princesse,  732.]  — Saint  Chrysostôme 
comparait  cette  princesse  à  Jézabel,  V,  242. 
—  Elle  ne  fut  point  excommuniée  par  le 
pape  saint  Innocent,  VII,  S27. 

421.  EUDOXIE  ou  EUDOCIE,  nommée  d'abord 

Athénaïs,  épouse  l'empereur  Théodose  le 

450.        Jeune.  Elle  prend  le  parti  des  Eutychiens. 

456.        Elle  se  réunit  à  l'Éghse   catholique,  VIII, 

460.  475.  Ses  différentes  fondations  ;  sa  mort,  473. 
Ses  poésies,  473  et  476.  De  qui  Eudoxie 
était  fille,  476.  —  Témoignage  de  Photius, 
sur  les  ouvrages  de  cette  princesse,  III,  96. 
Remarque  sur  les  poèmes  de  cette  prin- 
cesse sur  saint  Cyprien  d'Antioche,  96  et 

453.  XII,  722.  —  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  saint 
Léon  pour  la  retirer  du  schisme.  Autre  let- 
tre où  ce  saint  l'exhorte  à  employer  son 
pouvoir  à  ramener  les  moines  à  la  foi  ca- 
tholique, X,  228.  —  Elle  envoie  de  Jérusa- 
lem à  Pulchérie  le  portrait  de  la  Sainte 
Vierge  peint  par  saint  Luc,  XI,  104.  [Dans 
la  table  du  X°  volume  de  cette  édition  on  a 
reproduit  l'erreur  de  dom  CeiUier  qui  con- 
fond dans  la  table  du  XIV  volume  Eudoxie, 
femme  de  Théodose  le  Jeune  avec  Eudoxie, 
femme  de  Valentinien.] 

455.  EUDOXIE,  épouse  de  Valentinien  lil,  vient 

avec  lui  à  Rome  pour  visiter  les  églises  de 
cette  ville.  Saint  Léon  lui  persuade  d'écrire 
à  l'empereur  Théodose  le  Jeune,  son  père, 
sur  les  troubles  de  l'Église,  X,  217.  Deve- 
nue veuve,  elle  se  trouve  oMigée  d'épouser 
Maxime  et  appelle  Genséric  en  Italie,  176. 
[Eudoxie  est  la  même  qu'Eudoxia,  qu'on  a 
eu  tort  ensuivant  domCeilher  de  distinguer 
dans  la  table  du  X'  volume  de  la  nouvelle 
édition.] 
EUGENDE   (Saint),   quatrième  abbé  de 


V.  510. 


314. 


372. 


393. 


Condat,  reçoit  son  éducation  dans  ce  mo- 
nastère. Ses  vertus.  L'abbé  Némansius  le 
prend  pour  son  coadjuteur.  Il  lui  succède 
après  sa  mort,  611.  Éloges  de  sa  conduite. 
Sa  mort.  Aucun  de  ses  écrits,  si  ce  n'est  un 
billet,  n'est  venu  jusqu'à  nous,  X,  610. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  III,  p.  6&  et  suiv.) 

EUGÈNE  (Saint),  martyr  de  Deuil,  près 
Paris.  On  lui  attribue  quelques  poésies. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  I,  part.  I,  p.  415  et  suiv.) 

EUGÈNE,  diacre,  légat  du  pape  saint  Syl- 
vestre, au  concile  d'Arles,  II,  629, 

EUGÈNE,  diacre  d'Ancyre,  député  par 
Marcel  son  évêque  à  saint  Athanase,  IV, 
308  et  suiv. 

EUGÈNE,  moine,  porteur  de  la  lettre  de 
saint  Basile  à  l'Éghse  d'Alexandrie,  IV,  454. 

EUGÈNE,  empereur.  Saint  Ambroise  ne 
veut  ni  lui  écrire,  ni  le  voir.  Il  accorde  le 
rétablissement  de  l'autel  de  la  Victoire,  V, 
391,  392.  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Am-    392  ou  393. 
broise,  392. 

EUGÈNE,  évêque  de  Phrygie,  va  à  Rome 
pour  la  défense  de  saint  Chrysostôme,  VII, 
127. 

EUGÈNE  (Saint),  évêque  de  Carthage. 
Son  élection,  X,  452.  Mémoire  qu'il  pré- 
sente au  roi  Hunéric,  à  l'occasion  de  l'édit 
de  ce  prince  pour  uae  conférence  entre  les 
Catholiques  et  les  Ariens,  454.  Il  rend  mira- 
culeusement la  vue  à  un  aveugle,  434  et 
435.  On  lui  attribue  la  profession  de  foi  des 
cathoHques  lors  de  la  conférence  de  Car- 
thage, 453.  Il  est  exilé.  Sa  lettre  aux  fidèles 
de  Carthage,  460,  461  et  463.  Ses  autres 
écrits  perdus,  460.  Il  est  rappelé  à  son 
Église  par  Gontamond.  Condamné  à  perdre 
la  tête,  il  est  relégué  à  Alby.  Sa  mort,  464. 
—  Témoignage  de  Victor  de  Vite  sur  l'aveu- 
gle guéri  par  saint  Eugène,  V,  328.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  III,  p.  38  et  suiv.) 

EUGÈNE  I,  pape,  élu  pape  après  la  dépo- 
sition de  saint  Martin  I,  XI,  731 .  Sa  mort,  781 . 

EUGÈNE  II,  pape,  succède  à  Pascal.  Son 
éloge.  Sa  mort.  Lettres  qui  nous  restent  de 
lui,  XII,  403.  Ses  lettres  dans  la  Patrologie, 
403.  [Cinq  lettres  nouvehes,  404.]  Lettre 
que  lui  écrit  l'empereur  Louis  le  Débon- 
naire, 382.  —  Concile  qu'il  tient  à  Rome, 
XIII,  660. 

EUGÈNE  III,  pape,  succède  à  Lucius  IL 
Les  troubles  qui  régnaient  à  Rome  l'obli- 


484. 


505. 


653. 
658. 
824. 
827. 


1145. 


390 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


un. 

H48. 


H4'J. 

1150. 
H52. 
1153. 


646. 
657. 


879. 


gent  de  se  retirer  à  l'abbaye  de  Farfa,  où  il 
est  ordonné.  Lettre  que  saint  Bernard,  dont 
il  avait  été  disciple,  écrit  aux  cardinaux  au 
sujet  de  son  élection,  XIV,  269.  Séjour  du 
pape  à  Viterbe.  Il  y  reçoit  les  députés  des 
évêques  d'Arménie,  269  et  270.  Il  retourne 
à  Rome.  II  passe  en  France  et  tient  un  con- 
cile à  Paris.  Il  assemble  à  Trêves  un  concile 
où  les  écrits  de  sainte  Hildegarde  sont  ap- 
prouvés, 270.  Jl  vient  à  Reims  où  il  préside 
au  concile  qui  condamne  la  doctrine  de 
Gilbert  de  la  Porrée,  270  et  271.  Il  assiste 
au  chapitre  général  de  Citeaux.  Il  retourne 
à  Rome.  Obligé  d'en  sortir,  il  se  retire  en 
Campanie.  Enfin,  il  fait  la  paix  avec  les  Ro- 
mains et  revient  à  Rome.  Sa  mort,  271. 
[Notices  sur  Eugène  III  et  ses  lettres  dans 
la  Patrologie,  269,  n.  5.]  Analyse  de  ses 
lettres,  271  et  suiv.  Autres  lettres,  273  et 
suiv.  [Lettre  d'Eugène  III  à  Odon  ou  Eudes 
de  Bourgogne,  273.  Autres  lettres  d'Eugène 
III  dans  la  Patrologie,  Tll  et  suiv.  Lettres 
d'Eugène  III  à  l'abbé  Suger,  272,  n.  3.  Let- 
tres d'Eugène  III  à  saint  Bernard,  274,  n.  1, 
Nombre  des  lettres  d'Eugène  III  dans  la  Pa- 
trologie, 277.  Lettres  que  diverses  personnes 
écrivent  à  Eugène,  279,280.]  Saint  Bernard, 
pour  le  consoler  dans  ses  afflictions,  com- 
pose ses  livres  de  la  Considération,  460. 
Analyse  de  cet  ouvrage,  460  et  suiv.  Con- 
cile qu'Eugène  III  tient  à  Trêves,  1119.  Au- 
tre à  Reims,  1120.  [Lettre  de  Hugues,  arche- 
vêque de  Rouen,  à  Eugène  III,  contre 
Etienne,  évêque  d'Autun,  607.] 

EUGÈNE,  un  de  ceux  qui  écrivirent  en 
faveur  de  la  résurrection  des  morts  contre 
Jean  Philoponus,  XI,  632. 

EUGÈNE  I  (Saint)  (doit  être  nommé  Eu- 
gène II  d'après  Lorenzana),  évêque  de  To- 
lède, à  qui  saint  Isidore  écrit  une  lettre,  XI, 
723.  —  II  préside  au  cinquième  concile  de 
Tolède,  XII,  918. 

EUGÈNE  II  (Saint),  [appelé  Eugène  IH 
d'après  Lorenzana],  évêque  de  Tolède,  suc- 
cède au  précédent.  Durée  de  son  épiscopat. 
Son  livre  de  la  Trinité.    Ses   poésies,  XI, 

742.  [Ses  écrits  dans  la  Patrologie,  742. 
Lettre  qu'il  écrit  à  Braulion,  évêque  de  Sa- 
ragosse,  sur  plusieurs  questions  importan- 
tes, 731  et  742.  Réponse  de  Braulion,  742, 

743,  744.  Lettre  d'Eugène  à  Protase,  évêque 
de  Tarragone,  743.  Réponse  de  Taïon  aune 
lettre  d'Eugène,  743.] 

EUGÈNE,  évêque  d'Ostie,  l'un  des  légats 
du  pape  Jean  VIII  au  concile  de  Constanti- 


nople  pour  le   rétablissement  de   Photius, 
XII,  644  et  XIII,  723  et  suiv. 

[EUGÈNE,  diacre.  Son  édition  de  Théodo- 
ret,  X,  142.] 

EUGÉNIE  (Sainte),  martyre,  dont  parle 
saint  Avit,  X,  567. 

EUGÉSIPPE,  auteur  d'un  Traité  géogra- 
phique de  la  Terre-Sainte.  (Voyez  du  Pin.) 

EUGIPPIUS,  abbé  de  Lucullane.  Ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie.  Ses  Mé- 
moires sur  la  vie  de  saint  Séverin,  apôtre 
de  Norique,  XI,  83.  Édition  et  traduction 
qu'on  en  a  faites.  Règle  pour  ses  religieux 
que  lui  attribue  saint  Isidore  de  Séville.  Re- 
cueil de  Pensées  et  de  Sentiments  tirés  des 
ouvrages  de  saint  Augustin.  EiTcur  de  Sige- 
bert  qui  a  donné  lieu  de  distinguer  deux 
abbés  du  nom  d'Eugippius.  Lettre  que  lui 
adresse  saintFulgence, évêque  de  Ruspe,  tou- 
chant la  charité.  Lettre  que  lui  écrit  Fer- 
rand,  diacre  de  Carthage,  sur  l'unité  de 
nature  et  d'essence  de  Dieu,  et  sur  les  deux 
natures  en  Jésus-Christ,  86.  [Cette  lettre  est 
publiée  en  entier  par  Maï,  91,  n.  1.  Édition 
des  écrits  d'Eugippius  dans  la /'a^ro%?e,  86. 
Vie  de  saint  Augustin  de  Favian  par  Eugip- 
pius,  86,  n.  3.]  —  Témoignage  d'Eugippius 
sur  les  miracles  de  saint  Séverin,  X,  317. 
Lettre  que  lui  écrit  le  diacre  Paschase  pour 
l'engager  à  publier  les  Mémoires  qu'il  avait 
composés  pour  la  vie  de  saint  Séverin, 
apôtre  du  Norique,  531,  532. 

EUGIPPIUS,  prêtre,  à  qui  Denis  le  Petit 
adresse  sa  traduction  latine  du  livre  de 
saint  Grégoire  de  Nysse  de  la  Formation  de 
l'homme,  XI,  124. 

EUGRAPHIE,  dame  à  qui  Théodoret  écrit 
une  lettre  de  consolation  sur  la  mort  de  son 
mari,  X,  63. 

EULALIE  (Sainte),  vierge  martyre  à  Mé- 
rida,  IIl,  39.  —  Est-ce  elle  qui  a  donné  oc- 
casion à  un  canon  d'Elvire?  II,  612.  — 
Hymne  du  poète  Prudence  en  son  honneur, 
VIII,  102.  —  Monastère  de  filles  à  Lyon 
sous  son  nom.  Lettre  que  Bernard  des  Portes 
écrit  aux  religieuses  de  ce  monastère,  XIV, 
400. 

EULALIE  (Sainte),  vierge,  martyre  à  Bar- 
celone. Est-elle  différente  de  la  précédente? 
III,  40.  —  Saint  Euloge  de  Cordoue  cite  son 
exemple,  XH,  316. 

EULALIE,  dame  de  la  cour  de  Charle- 
magne.  Lettre  que  lui  écrit  Alcuin,  XII,  178. 

EULALIUS,  évêque  de  Doares  en  Cappa- 
doce.    Discours  de  saint  Grégoire  de  Na- 


304. 


304. 


373. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


391 


zianze  sur  l'élection  de  cet  évêque,  V,  225. 

EULALIUS,  évêque  de  Naziauze,  V,  191. 
Peut-être  le  même  à  qui  saint  Grégoire  de 
Nazianze  écrit,  264  ;  et  en  l'honneur  duquel 
il  fait  une  épigramme,  299.  Saint  Grégoire 
de  Naziauze  écrit  à  saint  Grégoire  de  Nysse 
touchant  l'ordination  d'Eulalius,  234. 

EULALIUS,  archidiacre,  élu  pape  après 
la  mort  de  Zozime,  Vlll,  5,  6  et  569.  Son 
élection  suspendue,  569.  Il  occasionne  de 
l'émotion  dans  Rome  et  en  est  chassé  par 
un  rescrit  de  l'empereur  Honorius,  7  et  569. 

EULALIUS,  évêque  dans  la  partie  d'Ar- 
ménie soumise  aux  Perses.  Lettre  que  lui 
écrit  Théodoret,  X,  68. 

EULALIUS,  évêque  de  Syracuse,  détourne 
saint  Fulgence  d'aller  visiter  les  moines 
d'Egypte,  XI,  i. 

EULALIUS,  évêque  d'Alexandrie.  Lettre 
que  lui  adresse  le  pape  Boniface  II.  Elle  est 
supposée.  Requête  présentée  à  ce  pape  par 
Eulalius.  Elle  est  également  supposée,  XI, 

lis. 

EULAMPIE,  mère  de  Philostorge  l'histo- 
rien, VIII,  509. 

EULOGE  (Saint),  diacre  et  martyr,  II,  387. 

EULOGE  (Saint) ,  évêque  d'Édesse,  au 
concile  de  Gonstantinople,  IV,  618;  —  à 
celui  d'Antioche,  VI,  121. 

EULOGE,  évêque  d'Egypte  exilé  pour  la 
foi,  IV,  485. 

EULOGE,  moine  à  qui  saint  Éphrem  écrit, 
VI,  34. 

EULOGE,  évêque  à  qui  saint  Ghrysostôme 
écrit,  VII,  132. 

EULOGE,  prêtre.  Ce  qui  est  dit  de  lui 
dans  les  Vies  des  Pères  écrites  par  Rufin 
d'Aquilée,  Vil,  475 ,  —  et  attribuées  à  saint 
Pétrone,  évêque  de  Bologne,  X,  160. 

EULOGE,  que  l'on  croit  archevêque  de 
Césarée  en  Palestine,  préside  au  concile  de 
Diospolis,  VIII,  551. 

EULOGE,  moine.  Traités  à  Euloge  conte- 
nant des  instructions  pour  la  vie  monasti- 
que :  ouvrages  de  saint  Nil,  solitaire  du 
Sinaï,  VIII,  217.  Lettre  que  ce  saint  lui  écrit, 
221. 

EULOGE,  prêtre  d'Alexandrie,  envoyé  à 
Gonstantinople.  Lettre  que  lui  écrit  saint 
Cyrille,  VIII,  290  et  293. 

EULOGE,  prêtre  d'Édesse,  l'un  des  accu- 
sateurs d  Ibas,  X,  144.  Réconcilié  avec  Ibas, 
il  recommence  ses  accusations,  145. 

EULOGE,  tribun  et  notaire,  envoyé  par 
l'empereur  Théodose  le  Jeuue  au  concilia- 


bule d'Éphèse,  X,  675.  Il  y  soutient  Dios- 
core,  679. 

EULOGE  (Saint)j  patriarche  d'Alexandrie. 
Estime  que  le  pape  saint  Grégoire  faisait  de 
sa  personne  et  de  ses  écrits.  Après  avoir 
été  prêtre  d'Antioche,  il  est  élu  patriarche 
d'Alexandrie.  Sa  mort,  XI,  589.  Notice  que 
Photius  a  donnée  de  ses  ouvrages,  589  et 
suiv.  De  son  traité  contre  les  Novatiens, 
589,  590.  De  ses  écrits  contre  Sévère  et  Ti- 
mothée,  590.  De  la  Défense  de  la  lettre  de 
saint  Léon  contre  Théodose  et  Sévère,  590 
et  591 .  De  son  discours  contre  les  Gaïnites 
et  les  Acéphales,  591.  De  ses  onze  discours 
sur  diverses  matières,  591  et  592.  Témoi- 
gnage de  saint  Euloge  touchant  la  lettre  de 
saint  Léon.  Jugement  que  Photius  porte  de 
ses  écrits.  Discours  sur  la  fête  des  Rameaux 
que  le  P.  Combefls  attribue  à  saint  Euloge, 
593.  Lettres  que  lui  écrit  le  pape  saint  Gré- 
goire, 501  et  509.  Autre  lettre  qu'il  lui  écrit 
sur  sa  demande  des  Actes  des  martyrs  re- 
cueillis par  Eusèbe,  511,  512.  Deux  autres 
lettres  au  sujet  des  Agnoïtes,  519.  Autres 
lettres  au  sujet  de  quelques  Monophysites 
réunis  à  l'Église,  529.  [Écrits  nouveaux  pu- 
bliés par  Mai.  Édition  des  écrits  de  ce  saint 
dans  la  Pafrologie,  594.] 

EULOGE  (Saint),  évêque  qui  tint  un  con- 
cile contre  les  Samaritains,  est  différent  de 
saint  Euloge  d'Alexandrie,  XI,  592. 

EULOGE  (Saint),  prêtre  de  Cordoue.  Sa 
naissance.  Il  est  fait  diacre,  puis  prêtre.  Son 
voyage  en  France.  Il  en  rapporte  quantité 
de  livres.  Il  est  élu  archevêque  de  Tolède, 
XII,  514.  Son  zèle  à  faire  persévérer  dans 
la  foi  une  jeune  fille  que  ses  parents  mal- 
traitaient pour  la  faire  retourner  au  maho- 
métisme,  lui  procure  la  gloire  du  martyre, 

514  et  515.  Ses  écrits  :  Mémorial  des  Saints 
ou  les  trois  livres  des  martyrs  de  Cordoue, 

515  et  suiv.  Apologie  des  saints  martyrs, 
519  et  suiv.  Martyre  des  saints  Rodrigue  et 
Salomon.  Discours  à  Flore  et  à  Marie.  Lettre 
à  l'évêque  de  Pampelune.  Lettres  à  Alvar. 
Lettre  à  Baldégoton,  520.  Sa  Vie  par  Alvar, 
522.  [Ses  écrits  dans  la  Patrologie,  515.] 

EULOGIES.  Constitution  apostolique  qui 
les  concerne,  II,  592,  593.  —  Canons  qua- 
torzième et  trentième  du  concile  de  Laodi- 
cée,  III,  510,  511.  —  Usage  de  ces  eulogies 
entre  saint  Paulin  et  ses  amis,  VII,  520,  et 
VIII,  56,  94.  Eulogie  mystique.  Saint  Cy- 
rille d'Alexandrie  nomme  ainsi  la  sainte  Eu- 
charistie, VIII,  344.  —  Eulogies.  Sorte  de 


581. 


596. 
597. 


599. 


557. 


858. 


858. 


IV  siècle. 


392 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


316. 


374. 


VI  siècle. 


304. 


379  ou  380. 


394. 


IV  siècle. 


363. 


pi'ésents  bénis  par  les  évêques  et  envoyés 
par  eux  ou  même  par  des  laïques,  X,  181. 
—  Eulogies  :  petits  présents  que  les  ecclé- 
siastiques faisaient  en  signe  de  charilé  et 
d'amitié,  XII,  2.  —  Eulogies  distribuées  aux 
moines  selon  les  canons  d'Aix-la-Chapelle, 
XIII,  655. 

EULOGIUM.  Idée  de  cet  ouvrage  de  Jean 
de  Gornouailles,  XIV,  358. 

EUMALE,  vicaire  d'Afrique.  Lettre  que 
l'empereur  Constantin  lui  écrit,  III,  133, 
136.  Lue  dans  la  conférence  des  catholiques 
avec  les  Donatistes,  409. 

EUMÉRIUS  ou  ÉVÉMÉRIUS,  évêque  de 
Nantes  au  concile  de  Valence,  IV,  600. 

EUMÉRIUS,  prêtre,  apporte  au  roi  Clovis 
une  lettre  du  pape  Anastase,  X,  520. 

EUMÉRIUS,  évêque  de  Nantes,  consulte 
Trojanus,  évêque  de  Saintes,  au  sujet  d'un 
enfant  qui  ne  se  souvenait  pas  d'avoir  été 
baptisé,  XI,  202. 

EUNAPE,  sophiste  et  historien,  mal  in- 
formé de  la  capacité  des  Gaulois,  V,  297. 

EUNOMIE  (Sainte) ,  servante  de  sainte 
Afre.  Son  martyre,  III,  30. 

EUNOMIENS  ou  EUNOMÉENS,  héré- 
tiques. Les  discours  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze  contre  les  Eunomiens,  V,  227, 228. 
Autre  discours  oii  il  les  combat,  229  et  suiv. 
Loi  de  Théodose  contre  ces  hérétiques,  370. 
Loi  du  même  qui  révoque  la  précédente, 
374.  —  Synésius  chasse  de  son  diocèse  les 
Eunomiens,  VIII,  23.  Leurs  erreurs  solide- 
ment réfutées  dans  le  traité  de  saint  Cyrille 
d'Alexandrie  intitulé  :  Trésor  de  la  sainte 
Trinité,  269  et  suiv.  ;  et  dans  ses  Dialogues 
sur  la  Trinité,  273  et  suiv.;  dans  son  traité 
de  l'Incarnation,  337.  Raisonnement  de  saint 
Isidore  de  Péluse  contre  les  Eunomiens, 
dont  il  confond  la  secte  avec  celle  des  Ariens, 
484  et  492.  —  Discours  de  Théodoret  contre 
les  Eunomiens,  X,  107.  Témoignage  de  Théo- 
doret touchant  leur  manière  d'administrer 
le  baptême,  122.  Eunomiens  combattus  par 
Théodore,  prêtre  d'Antioche,  587;  —  et  par 
Andronicien,  XI,  648. 

EUNOMIUS,  hérétique.  Son  histoire.  Ses 
écrits,  ses  erreurs,  IV,  409.  Livre  de  saint 
Basile  le  Grand  contre  cet  hérétique,  409  et 
suiv.  Lettre  du  même,  430.  Doctrine  de  saint 
Basile  opposée  à  celle  d'Eunomius,  505  et 
507.  —  Livre  de  saint  Grégoire  de  Nysse 
contre  Eunomius,  VI,  166  et  suiv.  Récapi- 
tulation de  ce  qui  concerne  Eunomius.  Ses 
erreurs  et  ses  écrits,  260  et  suiv.  —  Philos- 


torge  fait  un  grand  éloge  d'Eunomius,  VIII, 
513.  [Il  est  réfuté  par  saint  Cyrille  d'Alexan- 
drie, 357.]  —  Les  Ariens  l'ayant  mis  sur  le 
siège  de  Cyzique,  il  en  fut  chassé,  X,  45.  Il 
ôte  la  triple  immersion  et  l'invocation  de  la 
sainte  Trinité  dans  le  baptême,  122. 

EUNOMIUS,  mis  sur  le  siège  de  Samosate 
par  les  Ariens.  Il  s'en  retire,  V,  434. 

EUNOMIUS,  évêque  de  Nicomédie,  est 
maintenu  au  concile  de  Chalcédoine  dans 
les  droits  de  métropolitain  dans  la  Bithynie, 
X,  695. 

EUNUQUES.  Origène  blâmé  de  s'être 
fait  eunuque,  II,  132,  note  5.  Canons 
vingt-unième ,  vingt-deuxième  ,  vingt-troi- 
sième, vingt-quatrième  apostoliques,  582. — 
Canon  premier  du  concile  de  Nicée,  III, 
429.  —  Témoignage  de  saint  Athanase  sur 
les  eunuques,  IV,  222.  —  Sentiment  de  saint 
Ambroise,  V,  452.  —  [Discours  de  saint 
Cyrille  d'Alexandrie,  VIII,  365.]  —  Décision 
d'Yves  de  Chartres  au  sujet  d'un  moine 
qui,  pour  se  guérir  de  l'épilepsie,  s'était 
fait  eunuque,  XIV,  118. 

EUPATER.  Lettre  de  saint  Basile  le  Grand 
à  Eupater  et  à  sa  fille,  IV,  456. 

EUPHÈME,  à  qui  Mélèce  retenait  une 
terre,  V,  190. 

EUPHÉMIE  (Sainte),  vierge  et  martyre, 
III,  50,  51.  —  Description  de  son  martyre 
par  saint  Astère  d'Amasée,  VI,  303,  304. — 
Vers  à  sa  louange  par  saint  Ennode,  X, 
576. 

EUPHÉMIE,  impératrice,  épouse  de  Jus- 
tin. Lettre  que  lui  écrit  le  pape  saint  Hor- 
misdas,  X,  622. 

EUPHÉMIUS,  patriarche  de  Gonstanti- 
nople,  succède  à  Fravita,  X,  419  et  483.  Il 
raie  des  diptyques  le  nom  de  Pierre  Magnus 
et  écrit  au  pape  saint  Félix  III.  Il  assiste  à 
la  mort  de  saint  Daniel  Stylite,  483.  A  quelle 
condition  il  consent  à  couronner  Anastase 
Discorus,  élu  empereur.  Ses  lettres  au  pape 
saint  Gélase  pour  le  féliciter  sur  son  élec- 
tion et  lui  rendre  compte  de  sa  foi,  486. 
Réponse  que  lui  faille  pape,  486  et 487.  Eu- 
phémius  confirme  les  décrets  du  concile  de 
Chalcédoine,  487  et  722.  Ses  plaintes  contre 
l'Église  romaine  au  sujet  d'Acace,  487.  Il  est 
déposé  et  renvoyé  en  exil  pour  avoir  révélé 
un  secret  que  l'empereur  lui  avait  confié, 
488  et  722.  Sa  mort,  468.  —  Sa  mémoire 
rétablie  dans  les  diptyques  de  Constanti- 
nople,  XI,  111,  et  819. 
EUPHRANIUS,   évêque    de    Cappadoce. 


I 

1 


Illsièdé, 


329 


373j 


518. 


490. 


493. 
493. 
495. 
515. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


393 


Épigramme  de  saint  Grégoire  de  Nazianze 
en  son  honneur,  V,  299. 
e  EUPHRANOR,  à  qui  saint  Denis  d'Alexan- 
drie adresse  une  lettre  où  il  combat  les  Sa- 
belliens,  II,  399  et  565  ;  et  un  écrit  sur  les 
tentations,  412. 
3.'  EUPHRASIE  (Sainte),  vierge  et  martyre  à 

Ancyre,  III,  15. 

EUPHRASIUS,  opposant  au  rétablissement 
d'Ibas,  X,  147. 

EUPHRASIUS,  évêque.  Lettre  que  lui 
écrit  saint  Avit  de  Vienne,  X,  561.  Peut- 
être  le  même  qu'Euphrasius,  évêque  de  Cler- 
mont,  qui  va  suivre. 

EUPHRASIUS,  patriarche  d'Antioche,  pé- 
rit dans  un  tremblement  de  terre,  Éphrem 
lui  succède,  XI,  171. 

EUPHRASIUS,  évêque  de  Clermont,  XI, 
380. 
Mècie.         EUPHRATAS,  évêque  de  Cologne.  Con- 
cile que  l'on  prétend  avoir  été  tenu  contre 
lui,  III,  474,  475. 

EUPHRATAS,  accusateur  de  saint  Flavien, 
X,  176. 

EUPHRATE,  philosophe,  disciple  d'Apol- 
lonius, ni,  139. 

EUPHRATE,  prêtre.  Lettre  que  lui  adresse 
saint  Augustin,  IX,  127. 
le.         EUPHRATION,  évêque  de  Balania.  Lettre 
que  lui  adresse  Eusèbe  de  Césarée,  III,  171 
et  252,  253. 

EUPHRONE,  mis  sur  le  siège  d'Antioche 
pendant  l'exil  de  saint  Eustathe.  Sa  mort, 
IV,  318. 

EUPHRONE,  évêque  de  Colonie,  transféré 
à  Nicople,  IV,  530.  Lettre  de  saint  Basile  sur 
cette  translation,  477. 

EUPHRONE  (Saint),  évêque  d'Autun,  n'é- 
tant que  prêtre,  fait  bâtir  une  église  à  Au- 
tun,  sous  l'invocation  de  saint  Symphorien, 
X,  358.  En  quel  temps  il  fut  fait  évoque, 
357.  Lettre  qu'il  écrit  conjointement  avec 
saintLoup  de  Troyes,  à  Talase,  évêque  d'An- 
gers, qui  le  consultait  sur  divers  points  de 
discipline,  357  et  358.  Ses  liaisons  avec  saint 
Sidoine  Apollinaire.  Temps  de  sa  mort.  Sa 
lettre  au  comte  Agripin,  358.  —  Saint  Per- 
pétue, évêque  de  Tours,  lui  donne  par 
testament  un  livre  des  Évangiles  écrit  en 
grec  par  saint  Hilaire,  IV,  6,  et  X,  440. 
—  Lettre  que  lui  écrit  saint  Sidoine  Apol- 
linaire pour  se  défendre  de  composer  un 
ouvrage  qu'il  lui  proposait,  X,  394.  Con- 
cile de  Ghàlon  auquel  il  assiste,  389  et 
717.    (Voyez    son    article    dans    l'Histoire 


littéraire  de  la  France,  t.  II,  p.  465  et  suiv.) 

EUPHRONE,  évêque  de  Chartres.  Temps  556. 
de  son  élection.  Il  assiste  au  troisième  cou-  557. 
cile  de  Paris,  XI,  883. 

EUPHRONE,  archevêque  de  Tours,  fait  la 
cérémonie  de  la  réception  des  reliques  que 
sainte  Radegonde  avait  fait  venir  d'Orient 
pour  son  monastère  de  Poitiers,  XI,  316. 
Euphrone  refuse  de  souscrire  au  concile  de  562  ou  563. 
Saintes  qui  avait  déposé  l'évêque  Émérius, 
.886.  Il  fient  le  second  concile  de  Tours  où  566. 
sont  faits  plusieurs  canons  sur  la  discipline, 
887  et  suiv.  Temps  de  sa  mort,  365.  572  ou  573. 

EUPHROSINE,  prêtre  de  Néocésarée, 
n,  445. 

EUPILIUS  (Saint),  martyr  en  Sicile,  304. 
11,30,  31. 

EUPNIUS.  Lettre  que  lui  écrit  Firmus  de 
Césarée,  en  Cappadoce,  X,  152. 

EUPRÉPICE,  sœur  de  saint  Ennode  de 
Pavie.  Sa  lettre  insérée  parmi  celles  de  son 
frère,  X,  571. 

EUPRÉPRIUS,  abbé  du  monastère  où 
Nestorius  fut  élevé,  et  où  il  se  retira  après 
sa  déposition,  VIII,  366,  372  et  596. 

EUPRÉPRIUS,  évêque  de  Byze  en  Thrace. 
Remontrances  qu'il  fait  au  concile  d'Éphèse, 
Vm,  591. 

EUPRÉPRIUS  ou  THÉODOSE  et  THÉO- 
DORE, frères,  tous  deux  moines.  Ce  qu'ils 
rapportent  de  l'apocrisiaire  Anastase.  Leur 
Hypomnesticon,  XI,  772. 

EUPSYCHIUS  (Saint),  martyr  à  Césarée         362. 
en  Cappadoce,  III,  405.  —  On  célébrait  sa 
fête  à  Césarée  du  temps  de  saint  Basile,  IV, 
420  et  V,  253. 

EUPSYCHIUS.    Fragment    d'une    lettre      vsiède. 
d'Atticus  de  Constantinople  à  Eupsychius, 

vm,  15. 

EUPSYCHIUS,  homme  de  quahté,  par  qui 
saint  Léon  envoie  une  lettre  à  saint  Flavien, 
X,  23,  24. 

EUQUÉRIE  ou  EUCHÉRIE,  femme  du 
patrice  Dyname,  XI,  400,  401 . 

EURIC,  roi  des  Visigoths,  se  rend  maître 
de  l'Auvergne  ;  fait  enfermer  saint  Sidoine, 
X,  381.  —  Sa  haine  contre  l'Église  catho- 
lique, 391,  392.  Sa  magnificence,  393.  Ilfait 
la  pais  avec  l'empereur  Népos,  422. 

EUSÈBE  (Saint),  prêtre.  Sou  martyr  eu 
Palestine  sous  Dioclétien  et  Maximien,  II, 
483,  484. 

EUSÈBE,  confesseur,  évêque  de  Laodicée. 
Il  fut  d'abord  diacre  d'Alexandrie,  II,  432. 
—  Il    confesse    Jésus-Christ    et    demeure        seo. 


394 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


264. 


310. 


V.  306. 


307. 


315. 

320. 


325. 


831. 


335. 


339. 


303. 


3i3. 


banni.  Il  donne  du  secours  à  Alexandrie, 
pendant  qu'elle  est  assiégée  par  les  Romains. 
Il  est  fait  évoque  de  Laodicée.  Écrits  qui  lui 
sont  faussement  attribués,  433. 

EUSÈBE,  évèque  de  Gibales,  martyr,  III, 
28. 

EUSÈBE,  pape.  Décréttales  qui  lui  sont 
faussement  attribuées,  VI,  89. 

EUSÈBE  DE  CÉSARÉE  dans  la  Palestine, 
évèque,  III.  Histoire  de  sa  vie,  168  et  suiv. 
Son  origine,  168.  Il  vient  à  Antioche  et  y 
connaît  Dorothée,  prêtre  de  cette  église.  Il 
est  admis  dans  le  clergé.  Sa  liaison  avec 
saint  Pamphile.  Ses  occupations.  Il  fait  con- 
naissance avec  saint  Mélèce  de  Pont.  Il  est 
mis  en  prison  avec  saint  Pamphile,  169.  Ses 
voyages  durant  la  persécution  de  Dioclétien. 
On  lui  l'eproche  d'avoir  sacrifié  pour  se  tirer 
de  prison,  169  et  170.  Son  épiscopat,  170. 
Il  prend  la  défense  d'Arius,  et  est  frappé 
d'anathème  par  saint  Alexandre  d'Alexan- 
drie, 170  et  171.  Il  assiste  au  concile  de 
Nicée.  Il  écrit  à  son  Église  en  quel  sens  il 
avait  reçu  le  terme  de  consubstantialité.  Il 
harangue  l'empereur  Constantin  à  l'entrée 
de  ce  prince  dans  le  concile  de  Nicée,  171. 
Ses  liaisons  avec  les  Ariens.  Il  se  trouve 
avec  eux  au  concile  d' Antioche  où  fut  dé- 
posé saint  Eustathe,  évèque  de  cette  ville. 
Eusèbe  est  favorable  à  Asclépas  de  Gaza, 
persécuté  par  les  Ariens.  Il  refuse  l'évèché 
d'Antioche,  172.  Il  est  aimé  de  Constantin, 
172  et  173.  Il  assiste  au  concile  de  Tyr  où  il  ' 
contribue  à  opprimer  saint  Athanase,  173.  Ses 
dernières  actions,  1 73  et  174.  Sa  mort,  174.  [Si 
Eusèbe  de  Césarée  a  été  honoré  comme  saint 
par  l'Éghse  de  Limoges,  174,  n.  6.]  Catalogue 
des   ouvrages   d'Eusèbe   de   Césarée,    174, 

175.  Réponse  d'Eusèbe  aux  deux  livres 
d'Hériocle  contre  la  religion  chrétienne,  175 
et  suiv.  Ce  que  c'était  que  ces  livres,  175, 

176.  Analyse  de  la  réponse  d'Eusèbe,  176  et 
suiv.  Preuves  de  la  divinité  de  Jésus-Christ, 
176.  Apollonius  n'a  laissé  après  lui  aucune 
marque  qu'il  ait  été  Dieu.  Contradictions  qui 
se  trouvent  dans  son  histoire,  176  et  177. 
Fausseté  des  miracles  attribués  à  Apollo- 
nius, 177.  Eusèbe  combat  la  nécessité  du 
destin,  177,  178.  Chronique  d'Eusèbe,  178 
et  suiv.  [Note  sur  cette  Chronique,  178,  n.  6.] 
En  quel  temps  Eusèbe  l'a  composée.  Il  en 
a  lait  deux  éditions.  Cette  Chronique 
était  divisée  en  deux  parties  :  ce  qu'elles  con- 
tenaient ,  178.  Dessein  d'Eusèbe  dans 
cet   ouvrage.    Auteurs    dont  Eusèbe  s'est 


servi  dans  cette  Chronique.  Estime  que  les 
anciens  ont  fait  de  la  Chronique  d'Eusèbe,  179. 
Le  texte  grec  en  est  perdu.  Travail  de 
Scaliger  pour  le  rétablir,  179  et  180. 
Traduction  de  tout  l'ouvrage ,  par  saint 
Jérôme,  180,  181.  Usage  que  les  Latins  en 
ont  fait.  Jugement  que  Scaliger  en  a  porté, 
181 .  Chronologie  d'Eusèbe,  différente  de  celle 
des  Hébreux,  181.  [Découverte  et  pubhca- 
tion  de  la  Chronique  d'Eusèbe,  181  et  182; 
contenu  de  l'ouvrage  d'Eusèbe,  182.]  Livres 
de  la  Préparation  et  de  la  Démonstration 
évangéhques,  183  et  suiv.  En  quel  temps 
ces  livres  ont  été  publiés  ;  en  quel  temps  ils 
peuvent  avoir  été  composés.  Idée  des  livres  de 
laPréparationévangélique.Desseind'Eusèbe 
dans  cet  ouvrage,  183.  Analyse  de  ces  livres, 
183  et  suiv.  Preuves  de  la  religion  chrétienne 
par  les  prophéties  de  Jésus-Christ,  et  par 
celles  des  Juifs.  Préjugés  favorables  à  la  re- 
ligion chrétienne,  184.  Théologie  fabuleuse 
des  païens,  184  et  185.  Eusèbe  réfute  la 
théologie  des  païens  et  les.  oracles  des  faux 
dieux.  Démons  ou  mauvais  génies,  auteurs 
des  oracles,  de  l'idolâtrie,  de  la  magie, 
adorés  sous  divers  noms  de  dieux,  185. 
Puissance  de  Jésus-Christ  sur  les  démons. 
Témoignage  remarquable  de  Porphyre  à  ce 
sujet,  185  et  186.  Doctrine  des  Hébreux. 
Étymologie  de  leur  nom;  en  quoi  ils  sont 
distincts  des  Juifs,  186.  Excellence  de  la  loi 
de  Moïse.  Manière  dont  les  Juifs  interpré- 
taient l'Écriture,  186  et  187.  Les  païens  re- 
prochent aux  chrétiens  d'avoir  pris  leur 
religion  des  barbares;  réfutation  de  ce 
reproche,  187.  Pourquoi  les  chrétiens  n'ont 
point  reçu  la  doctrine  de  Platon,  quoiqu'elle 
soit  conforme  en  plusieurs  points  avec  celle 
des  Hébreux,  187  et  188.  Idée  des  livres  de 
la  Démonstration  évangéhque.  Ce  qu'Eusèbe 
s'y  propose.  Incompatibilité  de  la  loi  mo- 
saïque avec  l'Évangile.  Alliance  de  Dieu  avec 
les  nations  prédite  dans  les  Saintes  Écri- 
tures. En  quel  sens  elle  est  appelée  Nouvelle, 
188.  La  nouvelle  loi  subrogée  à  l'ancienne. 
Accomplissement  de  la  prophétie  de  Mala- 
chie.  Pourquoi  Jésus-Christ  a  voulu  accom- 
plir la  loi,  188  et  189.  Jésus-Christ  a  gravé 
sa  loi  dans  le  cœur  de  ses  disciples.  Sage 
économie  des  apôtres.  Perfection  de  cer- 
tains chrétiens.  Raisons  du  célibat  reçu  chez 
les  chrétiens.  Pourquoi  ils  ne  saci-ifiaient 
point  d'animaux,  189.  Prophéties  qui  re- 
gardent le  Messie  accomplies  en  Jésus-Christ, 
189  et  190.  Preuves  de  la  vérité  de  ce  que 


313. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


395 


les  apôtres  ont  écrit  de  Jésus-Christ,  fondées 
sur  ce  qu'il  est  impossible  qu'ils  aient  voulu 
nous  tromper,  190.  Caractères  de  vérité  dans 
les  Évangiles.  Bonne  foi  de  ceux  qui  les  ont 
écrits,  190  et  191.  Vérité  des  miracles  de 
Jésus-Christ.  On  ne  peut  les  attribuer  à  la 
magie,  191.  De  la  nature  du  Verbe,  191  et 
192.  État  de  la  nature  humaine  avant  l'In- 
carnation. Pourquoi  le  Fils  de  Dieu  s'est 
fait  homme  î  Distinction  des  deux  natures  en 
Jésus-Christ,  192.  En  quel  sens  le  nom  de 
Christ  ou  d'Oint  convient  à  Jésus-Christ,  192 
et  193.  Témoignages  des  prophètes  touchant 
la  génération  et  la  divinité  du  Fils.  Distinc- 
tion des  personnes  du  Père  et  du  Fils.  C'est 
le  Fils  qui  a  apparu  aux  patriarches,  193. 
Prophéties  touchant  la  venue  du  JVIessie. 
Exphcation  de  la  prophétie  de  Jacob,  194. 
Des  soixante-dix  semaines  de  Daniel,  194  et 
195.  Accomplissement  des  prophéties  en  la 
personne  de  Jésus-Christ.  Les  dix  derniers 
livres  de  la  Démonstration  évangélique  sont 
perdus.  Ce  qu'ils  contenaient,  195.  Discours 
d'Eusèbe  à  la  dédicace  de  l'église  de  Tyr. 
En  quel  temps  et  dans  quelles  circonstances 
ce  discours  fut  prononcé.  Analyse  de  ce  dis- 
cours. Easèbe  excite  ses  auditeurs  à  rendre 
grâce  à  Dieu  des  merveilles  qu'il  opérait  en 
faveur  de  son  Église,  196.  Puissance  de 
Jésus-Christ.  Il  est  l'Ange  du  grand  conseil, 
le  Gémirai  de  l'armée  de  Dieu,  Fils  de  Dieu 
et  Dieu  lui-même,  196  et  197.  Réflexion 
d'Eusèbe  touchant  ceux  qui  font  bâtir  des 
éghses.  Prérogatives  des  évéques,  197.  Des- 
cription de  l'Église  de  Tyr,  197  et  198.  Con- 
clusion de  ce  discours,  198.  Histoire  ecclé- 
siastique d'Eusèbe,  198  et  suiv.  En  quel 
temps  il  la  composa.  Il  est  le  premier  qui  ait 
entrepris  ce  travail,  198.  Son  utilité;  éloge 
qu'on  en  a  fait,  198  et  199.  Fautes  qui  s'y 
trouvent,  199,  200.  Histoire  de  saint  Jacques 
premier  évêque  de  Jérusalem,  écrite  par 
Hégésippe  et  rapportée  par  Eusèbe,  200. 
Eusèbe  a  eu  peu  de  connaissance  de  ce  qui 
regardait  l'Occident.  Eusèbe  n'a  pas  eu  pro- 
prement le  dessein  de  faire  l'iiistoire  du 
temps  qui  a  suivi  la  persécution,  201.  Divi- 
sion de  l'Histoire  d'Eusèbe.  Ce  qu'il  y  traite. 
Méthode  qu'il  y  a  suivie,  201  et  suiv.  Livre 
des  Martyrs  de  la  Palestine,  211  et  212.  Il 
ne  fait  pas  partie  de  l'Histoire  ecclésiastique, 
211.  Ce  livre  parle  aussi  des  martyrs  des 
autres  pays,  211  et  212.  Lettre  d'Eusèbe  à 
son  Église,  212,  213.  En  quel  temps  il  l'a 
écrite,  212.  Analyse  de  ce  qu'elle  contient, 


330. 


335 


337. 


338. 


212  et  213.  Livre  des  Topiques,  ou  traité  des 
lieux  marqués  dans  les  Saintes  Écritures.  En 
quel  temps  Easèbe  l'a  composé,  213.  Juge- 
ment de  cet  ouvrage.  Panégyrique  de  Cons- 
tantin. En  quel  temps  il  fut  composé,  214. 
Cinq  livres  contre  Marcel  d'Ancyre,  214  et 
suiv.  En  quel  temps  ils  furent  écrits,  214, 
215.  Analyse  des  deux  premiers  livres  inti- 
tulés :  Contre  Marcel,  21a  etsuiv.  Analyse  des 
trois  derniers  intitulés  :  De  laThéologie  ecclé- 
siastique contre  Marcel  d'Ancyre,  217  et  suiv. 
Quatre  livres  de  la  Vie  de  Constantin,  221, 
222.  En  quel  temps  ces  livres  ont  été  écrits. 
Ce  qu'ils  contiennent,  221.  [Contradictions 
d'Eusèbe  dans  la  Vie  de  Constantin.  Falsifi- 
cations dans  les  chapitres  61,  62,  p.  222, 
n.  13.]  Jugement  de  cet  ouvrage,  221,  222. 
Eusèbe  en  est  l'auteur,  mais  non  pas  des 
titres,  des  chapitres,  222.  Commentaires 
d'Eusèbe  sur  les  Psaumes,  222  et  suiv.  Cet 
ouvrage  est  cité  par  les  anciens.  Pourquoi 
Photius  n'en  parle  point,  223.  Le  Père  de 
Montfaucon  l'a  fait  imprimer  pour  la  pre- 
mière fois,  223  et  224.  Preuves  que  ces 
commentaires  sont  d'Eusèbe.  Jugement  de 
cet  ouvrage,  224.  Eusèbe  l'a  écrit  dans  les 
dernières  années  de  sa  vie,  225.  [Découverte 
et  publication,  par  le  cardinal  Mai,  du  com- 
mentaire d'Eusèbe  sur  les  Psaumes  de  119 
à  150.  Passages  remarquables,  225,  226.] 
Commentaires  d'Eusèbe  sur  Isaïe ,  226  et 
suiv.  Cet  ouvrage  est  cité  par  saint  Jérôme 
et  quelques  autres,  226.  Ces  commentaires 
édités  par  le  P.  de  Montfaucon.  Preuves 
qu'ils  sont  d'Eusèbe,  226  et  227.  En  quel 
temps  Eusèbe  peut  les  avoir  écrits,  227.  Mé- 
thode que  suit  Eusèbe  dans  ces  commen- 
taires. Saint  Jérôme  lui  reproche  de  s'être 
écarté  de  son  dessein,  227  et  228.  Saint 
Jérôme  s'est  servi  de  cet  ouvrage  dans  ses 
commentaires  sur  Isaïe,  228.  Les  quatorze  ^  .j,  33g 
opuscules  attribués  à  Eusèbe,  222  et  suiv. 
Motifs  qui  donnent  Heu  de  les  attribuer  à 
Eusèbe,  228,  229.  Analyse  du  premier  inti- 
tulé :  De  la  foi  contre  Sabellius,  229,  230  et 
du  deuxième,  230,  231.  Cet  ouvrage  est 
d'Eusèbe  et  non  d'Acace,  son  disciple,  230. 
Eusèbe  exhorte  son  peuple  à  la  paix.  Il 
montre  que  rien  ne  peut  excuser  le  schisme, 

230  et  231.  Analyse  du  troisième  intitulé     Après  324. 
de  la  Résurrection.  Idée  de  ce  sermon.  Qua- 
trième intitulé  delà  Résurrection  et  l'Ascen- 
sion, 231.  Analyse  de  ce  qu'ils  contiennent, 

231  et  suiv.  Preuves  de  la  résurrection  par 
la  destruction  de  l'idolâtrie  et  l'abandonne- 


396 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Avant  313. 


Avant  325. 


309. 


310. 


Avant  325. 


ment  de  la  synagogue,  231,232.  Dieu  fait 
des  miracles  pour  soutenir  la  foi  des  faibles, 
mais  il  est  plus  glorifié  par  les  souffrances 
des  martyrs  que  s'il  les  délivrait  de  leurs 
persécuteurs.  L'attachement  des  Juifs  à  leur 
loi  depuis  la  mort  de  Jésus-Christ  n'a  pu 
fléchir  Dieu  à  leur  égard.  Conséquences  qu'il 
faut  en  tirer,  232.  Preuves  de  la  résurrec- 
tion de  Jésus-Christ,  tirées  du  changement 
des  apôtres  et  du  miracle  des  langues,  232 
et  233.  Autres  preuves  tirées  de  la  prédi- 
cation  des  apôtres,  de  l'établissement  de 
l'Église,  de  l'accomplissement  des  prophéties 
de  Jésus-Christ,  233.  Cinquième  opuscule  : 
Dieu  incorporel  et  invisible, 233. Sixième  opus- 
cule :  De  l'incorporel,  233  et  234.  Septième 
opuscule  :  De  l'âme  incorporelle.  Huitième 
opuscule  :  De  la  pensée  de  l'homme.  Neu- 
vième et  dixièmes  opuscules  :  Dieu  le  Père 
incorporel ,    234.   Onzième   opuscule   :   De 
l'amour  de  Dieu,  234  et  235.  Douzième  opus- 
cule :  Témoignage  dû  à  Jésus-Christ  ;  ana- 
lyse de  ce  qu'il  contient,  235,  236.  Treizième 
opuscule  :  Des  bonnes   et  des  mauvaises 
œuvres  ;  analyse  de  ce  qu'il  contient.  Qua- 
torzième  opuscule   :   Des  bonnes  œuvres; 
analyse  de  ce  qu'il  contient,  236.  Ce  qu'il  y 
a  de  remarquable  dans  ces  quatorze  opus- 
cules,  236  et  suiv.    Canons    évangéliques 
d'Eusèbe,  240,  241.  Ce  que  c'était  que  cet 
ouvrage.  Pour  quel  usage   Eusèbe  l'a  fait. 
C'est  lui  qui  est  l'auteur  de  cette  méthode, 
240,  241.  [Rhythmesur  les  canons  d'Eusèbe 
publié  par  le  PèrePitra,  240.]  Livres  sur  les 
Contradictions   apparentes  des  Évangiles  : 
fragments  qui   nous  en  restent,  241,  242. 
Livre  des  Réponses  à  Marin.  En  quel  temps 
Eusèbe  peut  les  avoir  écrites,    244,    245. 
[PubMcation  par  le  cardinal  Maï,  des  deux 
livres  à  Etienne  et  du  hvre  à  Marin  sur  les 
Questions  et  les  solutions  évangéliques,  242, 
243.   Questions  contenues    dans   les   deux 
livres  à  Etienne,  243.  Questions  et  solutions 
d'après  l'Abréviateur  du  livre  de  Marin,  243. 
Endroits  remarquables,  244.]  Églogues  pro- 
phétiques d'Eusèbe.  En  quel  temps  il  les  a 
composées.243.  [Elles ont  été  publiéesàOxfoi't 
par  Gaisford.  Elles  sont  reproduites  dans  la  Pa- 
trologie  grecque,  245  et  246.]  Ouvrages  d'Eu- 
sèbe qui  sont  perdus,  246  et  suiv.  Apologie 
pour  Origène,  composée  par  Eusèbe.  Livres 
de  la  Vie  de  saint  Pamphile,  246.  Traité  de 
la  Polygamie  des  anciens.  En  quel  temps  il 
a  été  composé,   246  et  247.  Actes  des  an- 
ciens martyrs  recueillis  par  Eusèbe,  247  et 


suiv.  Écrits  d'Eusèbe  contre  saint  Euslathe 
d'Antioche,  249.  Livre  de  la  Pâque,  249  et 
230.  [La  plus  grande  partie  de  ce  traité  a  été 
publiée  par  Angelo  Maï.  Ce  qu'il  offre  de  re- 
marquable, 250.]  Lettre  d'Eusèbe  à  Cons- 
tantia  sur  les  images,  250  et  suiv.   [Elle  est 
publiée  par  dom   Pitra,    251 ,   252.]    Écrits 
d'Eusèbe  touchant  l'arianisme  avant  le  con- 
cile de  Nicée,   252,   253.    Trois    discours 
prononcés    par    Eusèbe    en    présence    de 
l'empereur  Constantin,  253.  Description  de 
l'église  du  Saint-Sépulcre  et  de  la  Résurrec- 
tion, 233  et  254.  Autres  ouvrages  d'Eusèbe 
qui  sont  perdus  et  qui  n'ont  point  été  donnés 
au  pubhc,  254  et  suiv.  [Fragments  de  quel- 
ques-uns de  ses  ouvrages,  256.  Autres  écrits 
d'Eusèbe,  pubMés  depuis  dom  Ceillier,  237 
et  suiv.  Les  commentaires  sur  saint  Luc.  Ce 
qu'ils  contiennent  d'important,  237, 238.  La 
Théophanie  d'Eusèbe,  238  et  suiv.  Date  du 
manuscrit  syriaque   qui  contient  l'ouvrage. 
Authenticité  de  l'ouvrage,    238.  Fragments 
grecs  du  même  ouvrage  réunis  et  traduits  en 
latin  parMaï.  Leur  authenticité,  239.  Raisons 
contre  leur  authenticité,  259  et  260.  Analyse 
de  la  Théophanie,  260  et  suiv.  Observation 
sur  la  version  anglaise,  262,  263.  Version 
syriaque  de  l'Histoire  ecclésiastique  d'Eusèbe 
317.  Doctrine  d'Eusèbe,  263  et  suiv.  Doit- 
elle  être  admise  dans  la  chaîne  de  la  tradi- 
tion, 263?  [Note  sur  la  justification  faite  par 
dom  Ceillier  de  l'orthodoxie  d'Eusèbe,  303, 
n.   1.]    Ce    qu'Eusèbe    enseigne    touchant 
l'Écriture  ,    363    et    suiv.  ;     sur  l'autorité 
de    la    tradition,    274,     273  ;    sur    l'exis- 
tence de  Dieu  et  l'idée  naturelle  que  nous 
en  avons,    273  ;   sur    la    Trinité,    273    et 
276.  Sur  les  bons  anges,  276  et  suiv  ;  sur  les 
démons,  278  et  suiv.  ;  sur  l'homme,  280,281; 
sur  le  péché  originel,  281,  282  ;  sur  l'Incar- 
nation et  les  deux  natures  en  Jésus-Christ, 
282  et  suiv.  ;  sur  la  prédestination  et  sur  la 
grâce,  284  et  suiv.  ;  sur  l'Église,  288,  289. 
Sur  la  hiérarchie  ecclésiastique,  289,  290  ; 
sur  les  assemblées  des  chrétiens,  290,  291  ; 
sur  la  prière  publique  et  sur  l'oraison,  291, 
292  ;  sur  l'Eucharistie,  292,  293  ;  sur  les  cé- 
rémonies et  les  sacrifices  des  Juifs  et  sur  le 
baptême,   293,  294;  sur  le  péché  et  la  pé- 
nitence, 294  et  295  ;  sur  le  culte  et  l'inter- 
cession des  saints,  296;   sur  la  prière  pour 
les  morts  et  le  purgatoire,  296,  297  ;  sur  di- 
vers points  de  morale,  297,   298  ;   sur  les 
mœurs  des  chrétiens,  298  et  suiv.  ;  sur  l'his- 
toire, 301,  302.  Jugement  des  écrits  d'Eu- 


V.  330 
V.  i 


AvaiSi 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


397 


sèbe,  302.  Examen  de  sa  doctrine  sur  la  di- 
vinité du  Fils.  Raisons  qui  ont  contribué  à 
]e  rendre  suspect  sur  ce  point,  302  et  303. 
[Note  contre  la  justification  d'Eusèbe,  faite 
par  dom  Ceillier,  303,  n.  1.]  La  conduite 
d'Eusèbe  n'est  pas  une  preuve  suffisante 
pour  en  faire  un  Arien,  303,  304.  Eusèbe  a 
souscrit  au  concile  de  Nicée.  Il  y  a  de  la  té- 
mérité à  l'accuser  de  l'avoir  fait  de  mau- 
vaise foi,  304.  Eusèbe  condamne  formelle- 
ment dans  ses  écrits  les  erreurs  d'Arius,  304, 

305,  Il  donne  au  Fils  les  mêmes  attributs 
qu'au  Père.  Conformité  de  sa  doctrine  avec 
celle  du  concile  de  Nicée,  305,  306.  Il  en- 
seigne au  fond  la  consubstantialité  du  Fils, 

306,  307.  [Doctrine  d'Eusèbe  sur  le  Verbe, 

307,  n.  6.]  Réponse  aux  objections  contre  le 
sentiment  qui  justifie  Eusèbe  d'arianisme, 
308  et  suiv.  [Doit-on  suspendre  son  juge- 
ment sur  Eusèbe  parce  qu'il  est  mort  exté- 
rieurement dans  la  communion  de  l'Église, 
3i0,  n.  1.]  Éclaircissements  sur  quelques 
endroits  difficiles  qui  se  trouvent  dans  Eu- 
sèbe, 310,  311.  Diverses  éditions  des  ou- 
vrages d'Eusèbe,  311  et  suiv.  [Éditions  et 
traductions  nouvelles,  312  et  suiv.  Édition 
dans  la  Patrologie,  317,  318.  Deux  manus- 
crits syriaques  contenant  l'Histoire  ecclésias- 
tique d'Eusèbe ,  317.]  Lettre  que  l'empe- 
reur Constantin  écrit  à  Eusèbe  ,  136. 
Eusèbe  n'a  point  écrit  l'histoire  des 
anciens  martyrs,  343,  344.  Eusèbe  écrit 
contre  Marcel  d'Ancyre,  IV,  305.  —  Son 
Histoire  ecclésiastique  traduite  par  Rulîn 
d'Aquilée,  VII,  459.  —  Lettre  de  saint  Jé- 
rôme à  Vincent  et  à  Gallien  pour  servir  de 
préface  à  la  traduction  de  la  Chronique 
d'Eusèbe,  645.  [Saint  Cyrille  d'Alexandrie 
parle  de  deux  éditions  d'Eusèbe  sur  les 
Psaumes,  VIII,  349.  Philostorge  l'accuse  d'a- 
voir enseigné  plusieurs  erreurs,  510.  —  Théo- 
doret  continue  son  Histoire  et  se  sert  de  son 
témoignage  contre  les  Ariens,  X,  43.  Saint 
Euloge  d'Alexandrie  croyait  qu'il  avait  re- 
cueilli les  actes  de  tous  les  martyrs.  Ce  que 
lui  dit  le  pape  saint  Grégoire  à  ce  sujet,  XI, 
511.  [Eusèbe  réfuté  sur  les  images  par 
saint  Nicéphore,  patriarche  de  Constantino- 
ple,  XII,  296.]  Photius  prétend  qu'Eusèbe 
était  infecté  d'arianisme  et  d'origénisme, 
728. 

EUSÈBE,  évêque  de  Nicomédie,  écrit 
plusieurs  fois  à  saint  Alexandre,  évêque 
d'Alexandrie  au  sujet  d'Arius,  \\l,  116  et 
416.    Lettre  que  lui  écrit   Arius.    Réponse 


d'Eusèbe  à  cette  lettre.  Lettre  d'Eusèbe 
à  Paulin,  évêque  de  Tyr,  415.  Eusèbe 
prend  le  parti  d'Arius  dans  le  concile  de 
Nicée.  Une  de  ses  lettres  est  lacérée,  422.  Il 
souscrit  au  symbole  du  concile  non  à  l'ana- 
thème,  425.  Il  est  envoyé  en  exil,  425.  Il 
était  passé  du  siège  de  Béry  te  à  celui  de  Nico- 
médie, il  est  transféré  sur  le  siège  de  Cons-  339. 
tantinople  à  la  place  de  Paul  déposé  par  les 
Eusébiens,  436.  Il  fait  exiler  saint  Eustathe 
d'Antioche.  Il  assiste  au  concile  d'Antiocbe 
dit  de  la  Dédicace,  464  et  suiv.  Reproches 
que  lui  fait  Théodoret  sur  ses  migrations 
d'une  église  à  une  autre,  X,  44. 

EUSÈBE  (Saint),  évêque  de  Verceil,  con- 
fesseur. Il  est  né  en  Sardaigne.  Il  est  or- 
donné lecteur,  puis  évêque  de  Verceil.  Ré- 
gularité qu'il  met  dans  son  clergé,  IV,  271, 
272.  — •  Le  pape  Libère  écrit  à  saint  Eusèbe  354. 
et  le  prie  de  s'employer  pour  obtenir  un  con_ 
cile.  Saint  Eusèbe  se  trouve  au  concile  de  355. 
Milan.  Il  est  envoyé  en  exil,  272.  Le  pape 
Libère  lui  écrit.  Plusieurs  personnes  le 
visitent  dans  son  exil,  272,  273.  Il  est 
maltraité  par  les  Ariens,  273.  Autres 
cruautés   des  Ariens  contre  saint  Eusèbe, 

273  et  274.  Analyse  de  la  lettre  d'Eusèbe 
aux  églises  qui  lui  avaient  écrit,  274. 
Nouvelles    souffrances    de    saint    Eusèbe , 

274  et  275.  On  change  le  lieu  de  son 
exil.   Sa    lettre   à   Grégoire,  évêque    d'El- 

vire.  Saint  Eusèbe  est  rappelé  par  Julien  seo. 
l'Apostat,  275.  Ses  travaux  pour  l'Église.  Il  36i. 
retourne  à  Verceil.  Il  travaille  à  la  paix  des        ^^^■ 

f^    1-  rvn».       ,  ,,-,^      X.  ,  .  363  011364 

Eghses,  275  et  276.  Il  combat  contre  Au-  m. 
xence,  276.  En  quel  temps  on  peut  placer  o.if'^^l'is 
sa  mort.  Le  titre  de  martyr  lui  convient-il  ? 
Ses  écrits,  276.  [Sa  confession  de  foi  sur  la 
Trinité.  Évangiles  copiés  par  saint  Eusèbe. 
Édition  de  ses  écrits  dans  la  Patrologie,  277.] 
Eusèbe  prend  la  défense  de  saint  Athanase 
au  concile  de  Milan,  III,  523.  —  Il  reçoit 
Lucifer  de  Caghari,  IV,  239.  11  confère  avec 
lui  au  sujet  du  schisme  d'Antioche,  243, 
244.  Il  veut  persuader  à  Lucifer  de  Cagliari 
d'aller  à  Alexandrie,  244.  Il  se  rend  à  An- 
tioche  à  l'occasion  de  l'ordinatiou  de  Paulin. 
Lucifer  se  sépare  de  lui,  244  et  suiv.  Lettre 
du  pape  saint  Libère  à  Eusèbe,  288.  Témoi- 
gnage de  saint  Ambroise  sur  Eusèbe,  V, 
500,  501.  —  Saint  Eusèbe  exilé  à  Scythople 
y  est  visité  par  saint  Èpiphaue,  VI,  376.  — 
Homélies  de  saint  Maxime  de  Turin  à  la 
louange  de  ce  saint  évêque,  X,  322  et  325. 
L'une  de  ces  homélies  est  attribuée  à  saint 


398 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


IV  siècle. 


361. 

363. 

370. 

372  et  373, 


374. 


375. 


378. 
379. 


Ambroise,  322.  [Sermon  pour  sa  fête  par 
Alton,  évêque  de  Verceil,  XII,  826.]  Autre 
sermon  sur  le  même  par  le  même.  Frag- 
ments d'anciennes  prières  en  forme  de  lita- 
nies en  son  honneur.  Noms  des  peuples  sou- 
mis à  saint  Eusèbe,  827.  Église  érigée  à  Au- 
xerresousle  nom  de  Saint-Eusèbe  de  Verceil. 
Bulle  du  pape  Adrien  IV  qui  confirme  aux 
chanoines  de  Saint-Eusèbe  d'Auxerre  une 
donation  qui  leur  avait  été  faite,  XIV,  916. 

EUSÈBE,   grand  chambellan  de  l'empe- 
reur Constance,  IV,  554. 

EUSÈBE,  magicien,  adresse  Julien  l'Apos- 
tat à  Maxime  d'Éphèse,  III,  398. 

EUSÈBE,  évêque  d'Émèse,  IV,  318,  319. 
Ses  écrits,  319.  —  Théodoret  se  sert  de  son 
témoignage,  X,  81.  —  Homélies  qui  lui  sont 
faussement  attribuées,  IV,  319,  Elles  pa- 
raissent être  de  Bruno,  évêque  d'Angers, 
319  [note  8.]  Dom  Ceillier  les  attribue  à 
saintBruno,  évêque  de  Segai,  319.  [D'autres 
écrits  publiés  sous  son  nom  ne  sont  pas  de 
lui,  320.]  Il  est  l'auteur  d'une  homélie  sur  le 
traître  Judas,  97.  — [Notices  et  édition  de  ses 
discoursdans  la  Pairologie,  XI,  128,  note  2.] 
On  croit  que  les  homélies  qui  portent  son 
nom  sont  de  saint  Gésaire  d'Arles,  128. 
D'autres  les  attribuent  à  un  Eusèbe  , 
évêque  dans  les  Gaules,  318  et  319.  (Voyez 
dans  ['histoire  littéraire  de  la  France,  t.  II, 
p.  301  et  suiv.)  [C'est  à  tort  que  D.  Ceillier 
et  Rondet  donnent  à  Eusèbe  d'Émèse  le  titre 
de  saint.] 

EUSÈBE  (Saint),  évêque  de  Samosate  et 
martyr,  V,  1  et  suiv.  Patrie  de  saint  Eusèbe. 
Sonzèle  pour  la  défense  de  la  véri  té, 1.  Il  assiste 
au  conciled'Antioclie,!  etVI,  121.  Safermeté. 
Il  signe  dans  un  concile  d'Antioche  la  foi  de 
Nicée. Il  travaille  à  l'élection  de  saint  Basile,!. 
Il  lui  écrit,  1  et  2.  Il  travaille  pour  l'église  de 
Tarse  et  pour  quelques  autres  affaires,  2.  Il 
est  banni  en  Thrace  par  Valens,  2  et  252.  Il 
écrit  à  saint  Gi'égoire  de  Nazianze  et  à  saint 
Basile,  3.  Eunome  mis  à  la  place  de  saint 
Eusèbe.  Lettres  de  saint  Eusèbe  à  son  clergé 
et  à  saint  Basile,  3  et  4.Luciusmisàlaplace 
d'Eunome.  Saint  Eusèbe  est  taxé  mal  à  pro- 
pos d'arianisme.  Il  est  rappelé  d'exil  ;  il  as- 
siste au  concile  d'Antioche.  Sa  mort ,  4. 
Toutes  les  lettres  de  saint  Eusèbe  sont  per- 
dues, 4  et  5.  —  Saint  Eusèbe  avait  contribué 
à  l'élection  de  saint  Basile,  IV,  353.  Lettre 
que  lui  écrivit  saint  Basile,  432.  Autres 
lettres  de  saint  Basile  à  Eusèbe,  432,  433, 
434,  437,  448,  449,  452,  453,  454,  465.  Saint 


Eusèbe  refuse  de  rendre  le  décret  de  l'élec- 
tion de  saint  Mélèce,  586.  Il  est  justifié  du 
reproche  d'arianisme  par  saint  Basile,  607. 
Lettre  que  lui  écrivit  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  V,  252.  Lettre  que  lui  écrivit  le 
fils  du  précédent,  253.  —  Témoignage  de 
Théodoret,  X,  46. 

EUSÈBE  (Saint),  martyr  à  Gaza  en  Pales- 
tine, m,  402. 

EUSÈBE,  évêque  de  Césarée  en  Capadoce, 
confère  la  prêtrise  à  saint  Basile,  IV,  351. 
Division  entre  lui  et  saint  Basile,  351  et  352. 
Sa  mort,  352. — Saint  Grégoire  de  Nazianze  le 
réconcilie  avec  saint  Basile,  V,  183.  Lettre 
de  saint  Grégoire  de  Nazianze  au  sujet  de 
cette  réconciHation,  250,251. 

EUSÈBE,  vicaire  du  Pont,  persécute  saint 
Basile  de  Césarée,  IV,  3S8. 

[EUSÈBE.  Lettre  de  saint  Athanase  à  Eu- 
sèbe, Lucien  et  ses  compagnons,  IV,  660.] 

EUSÈBE  (Saint),  évêque  de  Bologne,  au 
concile  d'Aquilée,  IV,  629. 

EUSÈBE,  citoyen  de  Bologne.  Saint  Am- 
broise lui  adresse  le  livre  de  l'Institution 
d'une  vierge,  V,  454  et  498.  Lettres  que  lui 
écrivit  saint  Ambroise,  498. 

EUSÈBE,  laïque,  à  qui  écrit  saint  Grégoire 
de  Nysse,  VI,  218. 

EUSÈBE,  évêque  de  Valentinianople,  s'é- 
lève contre  Antonin,  évêque  d'Éphèse,  VII, 
3,  4,  492,  743.  Il  se  laisse  gagner  et  se  rac- 
commode avec  lui,  4. 

EUSÈBE,  diacre,  dont  le  zèle  et  la  cons- 
tance sont  loués  par  saint  Jean  Chrysostôme, 
Vn,  135. 

EUSÈBE ,  évêque  d'Aspone,  au  concile 
d'Éphèse,  en  431,  VII,  486. 

EUSÈBE,  l'un  des  quatre  grands  frères. 
Ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  lausiaque 
de  Pallade,  VU,  488. 

EUSÈBE,  diacre  d'Aquilée,  frère  de  saint 
Ghromace,  VII,  448  et  493. 
EUSÈBE,  père  de  saint  Jérôme,  VII,  545. 
EUSÈBE,  évêque  de  Crémone,  obtient  de 
saint  Jérôme  un  commentaii'e  sur  saint  Mat- 
thieu, VII,  570. 

EUSÈBE,  disciple  de  saint  Jérôme.  Vie 
de  saint  Jérôme  qui  lui  est  attribuée,  VU, 
648. 

EUSÈBE,  prêtre.  Lettre  que  lui  écrivit 
Sulpice  Sévère,  VIII,  117. 

EUSÈBE,  homme  de  qualité,  donatiste. 
Lettre  que  lui  écrivit  saint  Augustin,  IX,  76. 
[EUSÈBE   D'ALEXANDRIE.    Ses  écrits. 
Qui  il  était,  VIU,  383,  384.] 


i 


i 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


399 


28.  EDSÈBE,  évêque  de  Dorylée.  Étant  sim- 
ple laïque,  il  s'élève  hautement  contre  les 

29.  erreurs  de  Nestorius,  VIII,  369  et  397.  Sa 
protestation  contre  les  erreurs  de  Nestorius, 

18.         397,  398.  Il  est  fait  évêque  de  Dorylée,  pour- 
suit la    condamnation    de    l'hérésie   euty- 
chienne,  398.  —  Il  accuse  Eutychès  auprès 
de  Flavien,  patriarche  de  Constantinople  et 
en  poursuit  la  condamnation,  X,   23,  669, 
i9         670,  671 ,  672.  Il  est  condamné  au  brigandage 
51.         d'Éphèse,  676,  677.  Il  assiste  au  concile  de 
Ghalcédoine,  sans  qu'on  voie  qu'il  eût  été 
rétabli,  683,  684.  11  y  accuse  Dioscore,  684 
et  683.  Il  y  est  justifié,  685,  686. 
lècie.  EUSÈBE,  ordonné  évêque  d'Ancyre  par 

saint  Procle,  VIII,  409.  —  Plaintes  que  lui 
fait  Théodoret,  X,  22.  Eusèbe  donne  des 
lettres  de  recommandation  à  l'évêque  Cy- 
prien,  chassé  d'Afrique,  67.  Lettres  que  lui 
écrit  Théodoret  pour  se  justifier  des  ca- 
lomnies répandues  contre  lui,  69  et  72.  Il 
souscrit  à  la  condamnation  de  Flavien  et 
d'Eusèbe  de  Dorylée,  679.  Il  est  déposé  au 
concile  de  Ghalcédoine,  686;  puis  rétabli, 
689.  Il  est  reconnu  orthodoxe  à  Ghalcé- 
doine, 689. 

EUSÈBE,  que  saint  Honorât  de  Marseille 
met  entre  les  docteurs  de  son  temps.  Il  ne 
nous  reste  rien  de  ses  écrits,  Vltl,  452. 
(Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  II,  p.  301  et 
suiv.) 

EUSÈBE,  évêque  de  Péluse.  Saint  Isidore 
de  Péluse  se  plaint  de  son  élection,  VIII,  477. 
Lettre  de  saint  Isidore  au  sujet  de  l'église 
qu'Eusèbe  faisait  bâtir,  480.  Autre  lettre  où 
il  parle  de  lui,  489.  —  Il  ordonne  Timothée 
Élure  évêque  d'Alexandrie,  X,  176. 

EUSÈBE,  évêque  de  Ghalcide,  visite  salut 
Marcien  solitaire,  X,  52. 

EUSÈBE,  solitaire,  disciple  de  saint  Mar- 
cien, X,  33.  C'est  peut-être  le  même  que  le 
suivant. 

EUSÈBE  (Saint),  solitaire.  Sa  Vie,  écrite 
par  Théodoret,  X,  53. 

EUSÈBE  (Saint),  autre  solitaire,  dont 
Théodoret  a  aussi  écrit  la  vie,  X,  38. 

EUSÈBE,  avocat.  Lettre  que  lui  écrit 
Théodoret  au  sujet  des  bruits  qui  se  répaa- 
daient  de  sa  disgrâce,  X,  66. 

EUSÈBE,  évêque  dans  la  partie  de  l'Ar- 
ménie  soumise  aux  Perses.   Lettre  que  lui 
écrit  Théodoret,  X,  68. 
451.  EUSÈBE,   évêque  de  Milan,  tient  un  con- 

cile où  la  lettre  de  saint  Léon  à  Flavien  est 


614. 


approuvée,   et  Eutychès  anathématisé,  X, 
224,  319,  320. 

EUSÈBE,  philosophe,  dont  saint  Sidoine 
fut  disciple,  X,  379.  [Dans  la  table  du 
X''  volume,  il  doit  être  séparé  de  saint  Eu- 
sèbe, sohtaire.] 

EUSÈBE,  évêque  d'Antibes,  est  auteur  vi siècle, 
d'une  Histoire  de  la  translation  des  corps 
des  saints  martyrs  Vincent,  Oronce  et  Victor, 
XI,  306,  307.  (Voyez  son  histoire  dans  V His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  III,  p.  303  et 
suiv.) 

EUSÈBE,  évêque  de  Paris,  ordonné  à  la         551. 
place  de  SaËfarac,   déposé  pour  une  faute 
considérable,  XI,  882. 

EUSÈBE,  évêque  de  Thessalonique.  Let-         60O. 
tre  que  lui  écrit  le  pape  saint  Grégoire  au 
sujet  d'un  moine  faussaire,  XI,  327.  (Il  a 
laissé   quelques  ouvrages  qui  sont   perdus. 
Voyez  Du  Pin.) 

EUSÈBE,  évêque  de  Tarragone,  préside 
comme  métropolitain  au  concile  d'Egara, 
XI,  912. 

EUSÈBE,  abbé  en  Sicile,  XI,  487. 

EUSÈBE,  patrice,  à  qui  saint  Grégoire  le 
Grand  écrit,  XI,  331. 

EUSÈBE,  l'un  des  disciples  du  Vénérable 
Bède,  XII,  2. 

[EUSÈBE,  à  qui  le  Vénérable  Bède  adresse 
une  lettre,  XII,  15.] 

EUSÈBE  ou  BRUNON,  évêque  d'Angers. 
Voyez  Brunon. 

EUSÉBIE,  prétendue  vierge  des  Mani- 
chéens,  VIH,  570. 

EUSÉBIE  (Sainte),  abbesse  d'Amay.  Sa 
Vie,  attribuée  à  Hucbald,  moine  de  Saint- 
Amand,  n'est  pas  de  lui,  XII,  803. 

EUSÉBIE  (Sainte),  apparemment  d'Orient. 
Sa  Vie,  écrite  qar  JeanMauropus.  Fragments 
qui  en  ont  été  imprimés,  XIII,  229.  Discours 
du  même  en  son  honneur,  230. 

EUSÉBIENS,  sectateurs  d'Eusèbe  de  Nico-  335. 
médie.  Lettre  que  Constantin  leur  écrit,  III, 
142.  Lettre  qu'ils  écrivent  au  pape  saint  ivsic.ie. 
Jules  contre  saint  Athanase,  372,  373.  Le 
pape  saint  Jules  les  appelle  à  un  concile  de 
Rome.  Ils  refusent  de  s'y  trouver,  373,  374. 
Ils  sont  condamnés  dans  ce  concile  de  Rome, 
374.  Le  pape  saint  Jules  leur  écrit  de  l'avis 
du  concile,  374  et  suiv.  Le  concile  de  Rome 
est  conflrmé  par  le  concile  de  Sardique  qui 
justifie  saint  Athanase,  378.  Ils  présentent  au 
concile  de  Nicée  une  profession  de  foi  qui 
est  rejetée  et  lacérée  ;  leur  subtilité  dans  ce 
concile,  423.  Ils  disputent  contrôle  terme  de 


325. 


400 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


331. 


333. 


335. 


consubstantiel,  424,  425.  Leurs  impostures 
pour  faire  déposer  saint  Eustathe  dans  le 
concile  d'Antioche,  448,  449.  Ils  s'associent 
les  Méléciens  pour  accuser  saint  Athanase  au 
concile  de  Césarée  en  Palestine,  449.  Leur 
conduite  au  concile  de  Tyr  contre  saint  Atha- 
nase, 449  et  suiv.  Ils  députent  dansla  Maréote 
pour  informer  contre  saint  Athanase,  451, 
452.  Information  qui  y  fut  faite  de  leur  part, 
452  et  suiv.  Ils  reçoivent  les  Méléciens  à  la 
communion  de  l'Église  et  donnent  à  Iscliy- 
raslenom  d'évéque,  435.  Conciliabule  qu'ils 
tiennent  à  Jérusalem,  où  ils  déposent  saint 
Athanase  et  reçoivent  Arius,  456, 457.  Lettre 
qu'ils  écrivent  à  Constantin  contre  saint 
33fi.  Athanase  et  Marcel  d'Ancyre.  Ils  font  exiler 
saint  Athanase,  457.  Ils  s'assemblent  à 
Constantinople  contre  Marcel  d'Ancyre,  le 
déposent  et  ordonnent  à  sa  place  Basile, 
438.  Ils  veulent  rétablir  Arius  dans  la  com- 
339.  munion  de  l'Église.  Il  meurt,  458  et  459.  Ils 
339.  déposent  Paul  évéque  de  Constantinople,  et 
mettent  à  sa  place  Eusèbe  de  Nicomédie. 
Concile  qu'ils  tiennent  à  Antioche,  où  ils 
ordonnent  Piste  évéque  d'Alexandrie,  à  la 
place  de  saint  Athanase,  459,  460.  Ils  re- 
fusent de  se  trouver  au  concile  de  Rome, 
464.  Ils  affectent  de  paraître  orthodoxes  au 
concile  d'Antioche,  464  et  465.  Profession  de 

34iou3ia  f°'  qu'ils  y  font,  465,  466.  Ils  tiennent  seuls 
un  concile  à  Antioche  contre  saint  Athanase, 
472.  Ils  envoient  une  députation  à  l'empe- 
reur Constant,  373.  Ils  tiennent  à  Antioche 
un  autre  concile  où  ils  dressent  la  formule 

^  ^g^g  macrostiche,  373  et  374.  Ils  la  présentent  à 
uu  concile  tenu  à  Milan.  Les  évêques  de  ce 

concile  la  refusent,  374.  Ils  viennent  à  Sar- 
347  [on  .         1  ■        i         • 

mieux 343.]  dique  au  nombre  de  soixante-seize  ou  qua- 
tre-vingts pour  la  tenue  du  concile,  478, 
Plaintes  portées  contre  eux  dans  le  concile, 
479.  Ils  craignent  de  s'y  trouver  et  forment 
le  projet  de  s'enfuir  dès  leur  arrivée,  479. 
Ils  s'enferment  dans  le  palais  à  Sardique. 
Deux  d'entre  eux  les  quittent  et  découvrent 
leurs  desseins  au  concile.  Ils  demandent  que 
saint  Athanase  et  les  autres  accusés  soient 
exclus  du  concile.  On  les  presse  de  s'y 
trouver  eux-méme,  480.  Leurs  prétextes 
pour  le  refuser,  481.  Ils  proposent  une  nou- 
velle information  dans  la  Maréote,  481. 
Osius  leur  fait  des  propositions  pacifiques, 
482.  lis  s'enfuient  de  Sardique  la  nuit,  482 
et  483.  Leurs  chefs  sont  déposés  et  analhé- 
matisés  par  le  concile,  484,  485.  Ils  s'assem- 
"343"  ^^^  blent  à  Philippopole  et  datent  de  Sardique 


341. 


345. 


35tà 


352. 
35Î. 
35S| 

341I 


la  lettre  de  leur  concile,  494.  Analyse  de 
cette  lettre,  495,  496.  Formule  de  foi  des 
Eusébieus  dans  ce  concile,  496.  Concile  de  346 
Milan  où  ils  déposent  Photin,  497,  498.  Ils 
veulent  se  rapprocher  de  saint  Athanase, 
après  son  retour  à  Alexandrie.  Ce  qu'ils 
font  à  ce  sujet  au  concile  de  Milan,  501,  502. 
Leurs  subtihlés  dans  le  premier  concile  de 
Sirmium,  503,  504.  Leur  formulaire  de  foi 
dans  le  deuxième  concile  de  Sirmium,  504. 
Ils  font  de  nouveaux  efiforts  pour  faire  con- 
damner saint  Athanase.  Conciles  à  ce  sujet, 
519,  520.  Concile  de  Rome,  520.  Concile 
d'Arles,  520  et  521.  Concile  de  Milan,  522  et 
suiv.  —  Ils  ordonnent  Pistus,  évéque  d'A- 
lexandrie. Ils  mettent  Grégoire  de  Cappa- 
doce  sur  le  siège  de  cette  église,  IV,  95.  Quel 
usage  le  pape  Libère  fait  de  leurs  lettres,  ivaia 
286.  Ils  condamnent  Marcel  d'Ancyre,  304,  3H. 
305.  —  Donat  de  Carthage  refuse  de  s'unir  à  337; 
eux,  V,  98. 

EUSTACHE  (Saint) ,  martyr.  Actes   sans     11  sièi» 
autorité,  I,  392.  î 

EUSTACHE,  abbé  du  monastère  d'Atta-  ? 

line,  engage  Antiochus  à  lui  faire  un  abrégé  ? 

de  l'Écriture,  et  la  relation  du  martyre  des 
moines  de  la  Laure  de  Saiut-Sabbas,  XI, 
697. 

EUSTACHE,  abbé  de  Play.  Ses  prédica-       1201. 
tiens  sur  l'observation  du  dimanche.  Lettre 
qu'il  suppose  lui  être  venue  du  ciel  pour  en 
recommander  la  sanctification,  XIV,  1147. 

EUSTACHE  s'empare  de  l'évêché  de  Va-      v.  ii3 
lence  en  Dauphiné.  Lettre  que  lui  écrit  saint 
Bernard  à  ce  sujets  XIV,  440. 

EUSTACHE,    comte.    Son   épitaphe   par 
Pierre  le  Vénérable,  XIV,  522. 

EUSTASE  (Saint),  abbé  de  Luxeuil,  disci-    xii  siét 
pie  de  saint  Colomban,  XI,  617.  Sa  Vie  écrite 
parle  moineJonas,  617,  633  et 736.  Il  défend    vn  sièc 
au  concile  de  Mâcon  la  règle  de  saint  Co- 
lomban. Sa  mort,  618.  Ce  qu'on  sait  des 
circonstances  de  sa  vie.  Méprise  d'Aubert 
le  Mire  à  son  sujet,   633.  —  Il  défend  au        625. 
concile  de  Mâcon  la  règle  de  saint  Colom- 
ban,   XII,    914.    (Voyez   son    article  dans 
VHistoire  littéraire  de  la  France,  t.  III,  p. 
534  et  suiv.) 

EUSTASIUS,  évéque,  au  concile  de  Milan 
contre  les  Jovinianistes,  IV,  653. 

EUSTATHE  (Saint),  évéque  d'Antioche, 
confesseur  de  Jésus-Christ,  III,  158  et  suiv. 
Il  est  d'abord  évéque  de  Bérée.  Il  est  trans-        323. 
féré  nu  siège  d'Antioche,  138.  Il  assiste  et        335. 
souscrit  au  concile  de  Nicée.  Il  tient  un  con- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


401 


cile  à  Antioche  vers  le  même  temps.  Son 
zèle  contre  les  Ariens.  Il  est  accusé  et  dé- 
posé dans  un  concile  d'Antioche,  malgré 
soninnocence,  159.  Il  est  relégué  en  Thrace, 
159,  160.  Sa  mort,  160.  Ses  écrits,  160  et 
suiv.  Ses  discours  contre  les  Ariens,  160, 
161.  Son  livre  de  l'Ame.  Ses  discours  sur  les 
Proverbes  et  sur  les  Psaumes.  Son  senti- 
ment sur  Melchisédecli,  161,  162,  163.  Son 
livre  de  la  Pythonisse,  163  et  suiv.  Analyse 
de  ce  livre,  163.  Écrits  faussement  attribués 
à  saint  Eustathe ,  166.  Commentaire  sur 
l'Hexaméron,  166  et  167.  Discours  à  Cons- 
tantin. Liturgie  attribuée  à  saint  Eustathe, 
167.  Jugement  de  ses  écrits,  167  et  168. 
[Édition  de  ses  écrits  dans  la  Pairologie, 
168. J  Eusèbede  Césarée  est  accusé  par  saint 
Eustathe  et  prend  part  à  la  condamnation  de 
cet  évéque,  172.  Saint  Eustathe  calomnié  et 
déposé  dans  un  concile  d'Antioche,  448. 
Écrits  d'Eusèbe  de  Césarée  contre  saint  Eus- 
tathe. Cet  ouvrage  est  perdu,  249.  —  Pané- 
gyrique de  saint  Eustathe  par  saint  Chrysos- 
tôme,  VII,  92. 

EUSTATHE,  évêque  de  Sébaste,  déposé 
dans  le  concile  de  Gangres,  III,  514.  His- 
toire de  sa  vie,  515,  516.  —  Il  assiste  au 
concile  d'Ancyre  et  y  condamne  la  consub- 
stantialité,  IV,  550,  551  et  571.  Il  est  dé- 
posé à  Constantinople,  518.  11  se  sépare  de 
saint  Basile  de  Césarée,  361.  Saint  Basile 
écrit  contre  lui,  363.  Eustathe  n'est  pas  auteur 
du  livre  des  Constitutions  monastiques,  408. 
Lettre  que  lui  écrivit  saint  Basile  le  Grand, 
444.  Autre  lettre  de  saint  Basile,  451.  Lettre 
synodique  ou  profession  de  foi  qne  saint  Ba- 
sile propose  à  Eustathe,  452.  Lettres  de  saint 
Basile  à  Théodote  et  à  Olympius  touchant 
Eustathe,  453.  Saint  Basile  décrit  la  conduite 
d'Eustathe  et  ses  erreurs,  484,  485. 

EUSTATHE,  philosophe  célèbre.  Saint 
Basile  le  cherche,  IV,  350.  Lettre  que  saint 
Basile  lui  écrit,  424. 

EUSTATHE,  diacre,  porteur  d'une  lettre 
de  saint  Grégoire  de  Nazianze  père  à  Eu- 
sèbe  de  Samosate,  IV,  437. 

EUSTATHE,  médecin.  Lettres  que  lui 
écrivit  saint  Basile,  IV,  466,  462. 

EUSTATHE,  évêque  d'Himmérie  [et  non 
d'Himmenée.]  Lettre  que  lui  écrivit  saint 
Basile,  IV,  458. 

EUSTATHE,  lecteur  de  l'Église  de  Césa- 
rée.  Vin,  489. 

EUSTATHE,  diacre,  dont  le  pape  saint 
Innocent  prend  la  défense,  VIII,  515. 

TAB.  I. 


chargé 


EUSTATHE,  évêque  d'Altalie  en  Pam- 
philie.  Dispositions  du  concile  d'Éphèse  à 
son  égard,  VIII,  591. 

EUSTATHE,  évêque  d'Éges  en  CiUcie, 
Lettre  que  lui  écrit  Théodoret  au  sujet  de 
Marie,  fille  de  qualité,  réduite  en  servitude 
dans  la  ruine  de  Carthage,  X,  167. 
EUSTATHE,  évêque  de  Béryte, 
avec  deux  autres  d'examiner  l'affaire  d'ibas, 
évêque  d'Édesse,  accusé  de  nestorianisme. 
Il  tient  un  concile  dont  le  jugement  est  fa- 
vorable à  Ibas,  X,  144.  Le  clergé  d'Édesse 
lui  adresse  une  lettre,  145.  On  lit  sa  remon- 
trance au  concile  de  Chalcédoine.  Il  y  est 
reconnu  orthodoxe,  685.  On  y  termine  son 
différend  avec  Photius  de  Tyr  au  sujet  de 
l'étendue  de  la  juridiction  du  métropohtain, 
690. 

EUSTATHE,  évêque  de  Marseille,  succes- 
seur de  saint  Vénérius,  X,  470. 

[EUSTATHE  LE  MOINE.  Sa  lettre  à  Ti- 
mothée  le  Scolastique  contre  les  erreurs  des 
Monophysites,  XI,  175.] 

EUSTATHE,  patriarche  d'Alexandrie.  Sa 
mort,  Xn,  362. 

EUSTATHE,  patriarche  de  Constantino- 
ple, demande  au  pape  Jean  XIX  le  titre 
d'évêque  universel  dans  les  Églises  d'O- 
rient. Ce  titre  lui  est  refusé,  XIII,  106,  145, 
194. 

EUSTATHE,  archevêque  de  Thessaloni- 
que.  Oraison  funèbre  d'Eustathe  par  Euthy- 
mius  Zigabène,  XIV,  153.  [Sa  vie.  Ses  Com- 
mentaires sur  l'Iliade  et  l'Odyssée.  Com- 
mentaire sur  l'hymne  des  Grecs  en  l'hon- 
neur du  Saint-Esprit.  Deux  autres  fragments, 
832.] 

EUSTATHE,  évêque  de  Nicée,  aide  l'em- 
pereur Alexis  Comnène  à  convertir  les  Pau- 
liciens,  XIV,  140,  141. 

EUSTATHIE,  dame  pieuse  que  saint  Gré- 
goire de  Nysse  trouva  à  Jérusalem,  VI,  124. 
Lettre  de  lui  à  elle,  Ambrosie  et  Basilisse, 
217. 

EUSTATHIENS,  schismatiques  d'Antio- 
che, condamnés  au  concile  de  Gangres,  II, 
514,  515. 

EUSTOCHIE  (Sainte).  Voyez  Eustoquie 
(sainte). 

EUSTOCHIUS,  dont  les  domestiques  ofifen- 
sèrent  Gallisthènes,  IV,  443. 

EUSTOCHIUS,  sophiste.  Saint  Grégoire 
de  Nazianze  lui  écrit,  V,  258. 

EUSTOCHIUS,  évêque  de  Tours,  X,  438. 
Tient  un  concile  à  Angers  pour  l'élection 

26 


431. 


448. 


V I  ùècle. 


1025, 


XII  siècle. 


379. 


IV  siècle. 


453. 


402 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


d'un  évêque,  708.  Il  ordonne  des  jeûnes  et 
des  veilles  pour  certains  jours,  XI,  372. 

553.  EUSTOGHIUS,  patriarche  de  Jérusalem, 

fait  recevoir  dans  un  concile  les  actes  da 
second  concile  général  de  Constantinople, 
XI,  882.  Les  moines  de  la  Laure  de  Saiut- 
Sabas  se  séparent  de  sa  communion  par  at- 
tachement pour  Origène,  272. 

384.  EUSTOQUIE  ou  EUSTOCHIE  (Sainte),  Elle 

de  sainte  Paule.  Saint  Jérôme  lui  dédie  son 
Commentaire  sur  Isaïe,  VII,  S66.  Elle  fut  la 
première  fille  de  distinction  qui  dans  Rome 
consacra  sa  virginité  à  Jésus-Christ,  586. 
Lettre  que  saint  Jérôme  lui  écrivit,  conte- 
nant un  traité  sur  la  virginité,   586  et  suiv. 

3gj,        Deux  autres  lettres  de  saint  Jérôme  à  cette 

387.  vierge,  590,  591 .  Lettres  de  sainte  Paule  et 
de  sainte  Eustoquie  à  sainte  Marcelle.  Elle 
est  attribuée  à  saint  Jérôme,  617,  618.  Let- 

404.  tre  de  saint  Jérôme  à  sainte  Eustoquie  sur 
la  mort  de  sainte  Paule,  635  et  suiv.  Lettre 

3gg  de  saint  Jérôme  à  sainte  Paule  et  à  sainte 
Eustoquie,  en  préface  de  la  traduction  des 
Homélies  d'Origène  sur  saint  Luc,  646.  Dis- 
cours sur  l'Assomption  de  la  sainte  Vierge 
adressé  à  sainte  Paule  et  à  sainte  Eustoquie. 
Ce  discours  est  faussement  attribué  à  saint 
Jérôme,  647.  Autres  lettres  qui  lui  sont  faus- 
sement attribuées,  648. 
EUSTOQUIUS.  Voyez  Eustochius,  sophiste. 
EUSTORGE,  évêque  de  Milan,  confesseur, 
dont  parle  saint  Ambroise,  V,  490. 

EUSTORGE,  autre  évêque  de  Milan.  Let- 
tre que  lui  écrit  saint  Avit  de  Vienne,  X, 
557,  —  Lettre  par  laquelle  le  roi  Théodoric 
le  charge  de  faire  rétablir  l'évêque  d'Au- 
gusta,  XI,  213.  [Dans  la  table  du  XP  volume 
on  a  joint  à  tort  un  trait  qui  regarde  Eusto- 
chius, patriarche  de  Jérusalem.] 

EUSTRACE,  parent  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  V,  260. 

EUSTRACE,  métropolitain  de  Nicée,  aide 
Alexis  Gomnène  à  convertir  les  Pauliciens. 
Éloge  qu'Anne  Gomnène  fait  de  lui.  Ses 
écrits  contre  Pierre,  évêque  de  Milan,  sur 
la  procession  du  Saint-Esprit.  Ses  Commen- 
taires sur  le  second  hvre  des  Analytiques  et 
sur  les  Morales  d'Aristote.  En  écrivant  con- 
tre les  Arméniens,  il  tombe  lui-même  dans 
plusieurs  erreurs,  dont  il  est  obligé  de  se 
rétracter  dans  un  concile  de  Constantinople, 
XIV,  148. 

EUSTRATE,  comte,  à  qui  Pirmus  de  Cé- 
sarée  en  Cappadoce  recommande  un  chan- 
tre de  son  éghse,  X,  152. 


EUSTRATE,    prêtre    de    Constantinople,         ssî 
fait  l'éloge  du    patriarche  Eulychius,    XI, 

347.  Son  traité  de  l'État  des  morts  après 
cette  vie.  Analyse  de  cet  ouvrage,  347  et 

348.  Ce  que  Photius  dit  de  ce  traité,  348.  [Il 
est  reproduit  au  t.  CLXII  de  \aPalrol.  grecque.] 

EUSTRATE,  qui  conjointement  avec  Hila- 
rion  avait  pi'oposé  plusieurs  difficultés  à 
Nicéphore,  patriarche  de  Constantinople, 
XII,  287,  288, 

EUSTRATE  DE  GARIDE,  patriarche  de      y.  « 
Constantinople.  Il  est  déposé  par  ordre  de       ios4 
la  cour.  Nicolas  le  Grammairien  est  mis  à  sa 
place,  XIII,  559. 

EUTACTE,  hérétique  archontique,  infecte 
l'Arménie,  VI,  392. 

EUTHALE,  diacre,  recommandé  h  saint 
Amphiloque  par  saint  Grégoire  de  Nazianze, 
V,  265. 

EUTHALE,  auteur  d'une  petite  Histoire      yg,j, 
de  saint  Paul,  VI,  289. 

EUTHALE,  évêque  de  Sulque,  a  fait  aussi 
un  travail  sur  saint  Paul,  VI,  289,  290. 

EUTHALE,  archidiacre  d'Alexandrie,  au- 
quel on  signifle  la  sentence  contre  Dioscore, 
X,  688. 

EUTHASIUS,  évêque  d'Aoste,  envoie  un 
de  ses  prêtres  tenir  sa  place  au  concile  de 
Milan,  X,  681. 

EUTHBERT,  l'un  des  disciples  du  Véné- 
rable Bède.  Voyez  Cuthbert. 

EUTHERIUS,  évêque  de  Césarée  en  Mau- 
ritanie, IX,  411. 

EUTHERIUS,  évêque  de  Tyanes,  parti- 
san deNestorius.  Ses  dix-huit  discours,  VIII, 
381  et  suiv.  Ce  qui  a  engagé  Photius  à  les 
attribuer  à  Théodoret,  385.  Analyse  de  ces 
discours,  381  et  suiv.  Euthérius  est  déposé 
deux  différentes  fois.  Il  est  chassé  de  Tyanes  432. 
et  relégué  à  Scythople  en  Palestine.  Il  se  435, 
retire  à  Tyr  où  il  finit  sa  vie,  383.  Il  avait 
écrit  au  pape  Sixte  III  contre  la  paix,  378 
et  603.  11  fut  déposé  dans  un  concile  de 
Constantinople.  Il  est  maintenu  dans  son 
siège  par  le  comte  Lingras,  599.  Son  obsti- 
nation dans  le  scbisme.  Il  est  relégué,  604. 
—  Il  est  auteur  de  vingt -sept  discours  con- 
tre les  Eutychiens  attribués  par  Photius  à 
Théodoret,  X,  99.  Sa  déposition,  149. 

EUTHÉRIUS,  à  qui  Firmus  de  Césarée  en 
Cappadoce  écrit  une  lettre,  X,  151. 

EUTHÉRIUS,  fils  de  Vîctorin  de  Marseille 
qui  lui  adresse  son  poëme  sur  la  Genèse,  X, 
443. 

EUTHÉRIUS,  nom  corrompu  pour  Profu- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


403 


iurus,  évêque  de  Brague,  à  qui  le  pape  Vi- 
gile adresse  une  décrétais,  XI,  193,  196. 

EUTHYMIDS,  qui  veut  enlever  saint  Am- 
broise,  est  lui-même  enlevé  et  conduit  en 
exil,  V,  381. 

EUTHYMIUS  et  PHILIPPE,  prêtres  de 
Gonstantindple.  Lettre  que  leur  écrivit  saint 
Chrysostôme,  VII,  136. 
iiécie.  EUTHYMIUS,  l'un  des  quatre  grands 
frères.  Ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  lau- 
siaque  de  Pallade,  VII,  488. 

EUTHYMIUS  (Saint),  solitaire.  Son  édu- 
cation fut  confiée  à  Acace  de  Mélitine,  VIII, 
388.  Il  ramène  l'impératrice  Eudoxie  à  l'É- 
glise catholique,  475.  —  Convertit  un  grand 
nombre  de  Sarrasins.  L'église  de  sa  laure 
est  dédiée  par  Juvénal  de  Jérusalem,  X,  17. 
—  Sa  Vie  écrite  par  saint  Cyrille  de  Scy- 
thople,  XI,  272  et  suiv. 

EUTHYMIUS,  patriarche  intrus  à  Cons- 
tantinople,  chassé,  XII,  776. 

EUTHYMIUS  ZIGABÈNE,  moine  du  mo- 
-s.  nastère  de  la  Mère  de  Dieu  à  Gonstantino- 
ple.  Son  mérite  lui  acquiert  une  grande 
considération  à  la  cour.  Alexis  Comnène  le 
charge  de  composer  un  Traité  sur  toutes  les 
hérésies,  avec  la  réfutation  de  chacune. 
C'est  ce  qu'il  exécute  dans  sa  Panoplie  dog- 
matique, XIV,  ISO.  Analyse  de  cet  ouvrage, 
150  et  suiv.  Éditions  de  cet  écrit.  Écrit 
d'Euthymius  contre  les  Latins,  132.  Son 
traité  contre  les  Massaliens,  152  et  133.  Ses 
lettres.  Son  oraison  funèbre  d'Eustathe, 
évêque  deThessalonique,  133.  Commentaire 
sur  les  psaumes  et  dis  cantiques  de  l'Écri- 
ture, 133  et  134  ;  sur  les  quatre  évangiles, 
154.  Doctrine  d'Euthymius  sur  la  présence 
réelle,  154  et  155.  Commentaire  sur  les  épî- 
tres  de  saint  Paul  et  sur  les  épîtres  catholi- 
ques, 135.  [Son  Exposition  sur  le  symbole, 
133.  Son  Traité  ou  sa  Dispute  avec  un  phi- 
losophe sur  la  foi  est  pubhé  par  Mai'.  Ce 
qu'il  contient,  1177.  Fragment  du  Dialogue 
d'un  chrétien  avec  un  Israélite.  Le  cardinal 
Maï  promettait  de  faire  paraître  le  Commen- 
taire d'Euthymius  sur  les  épîtres  de  saint 
Paul;  il  n'a  pas  tenu  parole,  1177.]  Lettre 
d'Euthymius  contre  les  MassaHens,  IV,  647. 

EUTRÉGHIUS,  préfet.  Lettre  que  lui  écrit 
Théodore  t,  X,  69. 

EUTROPE  (Saint),  martyr.  Ses  actes.  Ou- 
vrage perdu ,  attribué  à  saint  Denis  l'Aréo- 
pagite,  X,  552. 

EUTROPE  (Saint),  premier  évêque  de 
Saintes.  Monastère  au  diocèse  de  Saintes 


1083. 


sous  son  nom,  établi  par  Guillaume,  duc 
d'Aquitaine.  Mis  sous  la  discipline  de  l'abbé 
de  Cluny,  XIV,  1069. 

EUTROPE,  préfet  du  prétoire  à  qui  Théo- 
dose adresse  une  loi,  VI,  365. 

EUTROPE,  eunuque,  ministre  d'Arcade,  399, 
propose  saint  Chrysostôme  pour  le  siège  de 
Constantinople,  VII,  2.  Le  saint  évêque  s'op- 
pose à  ses  entreprises,  3.  Eutropo  se  fait 
donner  le  titre  de  patrice  et  de  consul.  Dis- 
gracié, il  se  réfugie  dans  l'église  sous  la 
protection  de  saint  Chrysostôme,  118.  Il  est 
pris,  banni  et  ensuite  décapité,  120.  Deux 
discours  de  saint  Chrysostôme  au  sujet  de 
cet  officier,  118. 

EUTROPE,  évêque  à  qui  saint  Augustin 
adresse  le  livre  de  la  Perfection  de  la  jus- 
tice, IX,  440,  etX,  2. 

EUTROPE,  préfet  des  Gaules.  Lettres  que 
lui  écrit  saint  Sidoine  Apollinaire,  X,  383, 
385,  386. 

EUTROPE,  évêque  d'Orange.  Lettre  d'a- 
mitié que  lui  écrit  saint  Sidoine  Apollinaire, 
X,  390.  On  lui  attribue  les  lettres  dont  il 
est  parlé  dans  l'article  suivant.  (Voyez  son 
article  dans  V Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  II,  p.  473  et  suiv.) 

EUTROPE,  prêtre  gaulois,  auteur  de  deux 
lettres,  différent  de  l'historien  du  même 
nom,  X,  587. 

EUTROPE,  père  de  saint  Benoît,  XI,  156.     yi  siècle. 

EUTROPE,  évêque  de  Valence  en  Espa- 
gne. Analyse  de  sa  lettre  à  Pierre  d'Iturbica, 
intitulée  :  De  l'étroite  observance  des  moi- 
nes et  de  la  ruine  des  monastères,  XI,  633 
et  636.  Une  autre  lettre  qu'il  avait  écrite  à 
Licinien  de  Carthagène  est  perdue,  635. 
[Autre  à  Pierre  d'Iturbica  sur  les  huit  vices. 
Édition  de  ces  lettres  dans  la  Patrologie, 
836.] 

EUTROPIE  (Sainte),  servante  de  sainte 
Afre.  Son  martyre,  III,  30. 

EUTYCHE  ou  EUTYCHIUS,  évêque  d'Eleu-     jy  siêcie. 
théropole,  maltraite  Lucifer  de  Cagliari,  IV, 
241.  —  Il  se  joint  aux  Ariens  dans  le  con-        35g_ 
elle  de  Séleucie.  Il  signe  la  consubstantialité        aes. 
dans  le  concile  d'Antioche,  VI,  375. 

EUTYCHÈS,  hérésiarque.  Fragments  de  iv  siècle, 
saint  Athanase  contre  l'erreur  qu'il  a  sou- 
tenue depuis,  IV,  171.  Autre  fragment  sem- 
blable attribué  à  saint  Athanase,  172.  — 
Réponse  de  saint  Pierre  Chrysologue  à  la 
circulaire  qu'Eutychès  avait  écrite  aux  évo- 
ques, X,  7  et  16.  Sermon  dans  lequel  saint 
Pierre  Chrysologue  l'apostrophe  en  particu- 


304. 


449. 


404 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


lier,  H.  Théodoret  combat  l'hérésie  d'Ea- 
tychès,  22.  Eusèbe  de  Dorylée  essaie  en 
vain  de  ramener  Eutychès  à  la  saine  doc- 
trine, 23.  On  croit  que  c'est  lui  que  Théo- 
doret a  en  vue  dans  le  traité  qu'il  a  intitulé  : 
Éraniste  ou  Polymorphe.  Eu  quoi  consiste 
)e  principal  point  de  son  hérésie,  80.  Nous 
n'avons  rien  des  écrils  de  Théodoret  contre 

448.  Eutychès,  107.  Eutychès  condamné  au  con- 
cile de  Constantinople,  172.  Sa  lettre  au 
pape  saint  Léon  oii  il  tâche  de  le  surprendre 
et  de  l'indisposer  contre  Flavien,  172  et  173. 

449.  Il  est  absous  au  faux  concile  d'Ephèse  ;  il 
451.        est  anathématisé  au  concile  de  Chalcédoine, 

173.  Sermon  du  pape  saint  Léon  contre  Eu- 
tychès, 183.  Sermon  contre  cet  hérésiarque, 
197.  Traité  contre  les  erreurs  d'Eutychès  et 
de  quelques  autres,  qui  n'est  point  de  saint 
Léon,  198.  Eutychès,  avant  de  publier  son 
erreur,  avait  écrit  à  saint  Léon.  Lettre  qu'il 
en  reçut,  210.  Différentes  lettres  du  pape 
saint  Léon  à  son  occasion,  210  et  suiv.  Saint 
Prosper  combat  ses  erreurs,  304.  Cinq  livres 
de  Vigile,  évéque  de  Tapse,  contre  Euty- 
chès et  ses  erreurs,  472  et  suiv.  Eutychès 
combattu  par  Mochimus,  582.  Traité  de 
Boëce  contre  les  erreurs  d'Eutychès  et  de 
Nestorius,  650  et  suiv.  Conférence  à  Rome 
sur  les  erreurs  d'Eutychès,  646.  Ses  erreurs 

448_  sont  dénoncées  au  concile  de  Constantinople 
par  Eusèbe  de  Dorylée,  669.  Il  est  sommé 
de  comparaître  au  concile.  Sa  réponse,  669 
et  670.  Seconde  sommation,  670  et  671.  Il 
charge  l'abbé  Abraham  de  se  présenter  pour 
lui  au  concile,  671.  Sommé  une  troisième 
fois,  il  promet  de  se  présenter,  671  et  672. 
Il  vient  au  concile,  où  il  soutient  ses  erreurs 

449.  avec  opiniâtreté,  672,  673.  11  est  déposé  et 
excommunié,  673.  11  prétend  que  les  acte.s 
du  concile  avaient  été  falsifiés  et  obtient  de 
l'empereur  Théodose  le  Jeune  que  l'examen 
en  soit  fait  dans  un  nouveau  concile,  673  et 

449.  674.  Faux  concile  d'Éphèse  tenu  à  son  oc- 
casion, 675  et  suiv.  11  y  présente  une  re- 
quête qui  est  admise,  676  et  suiv.  Il  est  dé- 

450.  claré  absous  et  rétabli,  678.  Il  est  anathé- 
matisé au  concile  de  Constantinople    tenu 

451.  par  Anatolius,  681.  Ce  qui  est  confirmé  par 
le  concile  de  Chalcédoine,  685  et  suiv.  Loi 
de  l'emperenrMarcien  contre  Eutychès  et  ses 
sectateurs,  704.  —  Ses  erreurs  réfutées  par 
Ferrand,  diacre  de  Carthage,  XI,  88  et  suiv. 
Traité  de  Léonce  de  Byzance  contre  les  er- 
reurs de  Nestorius  et  d'Eutychès,  669,  670. 
—  [Erreurs    d'Eutychès    combattues    par 


Théorien,  XIV,  640,  641.]  Réponse  de  Nicé- 
tas,  moine  de  Constantinople,  à  la  lettre 
d'un  prince  d'Arménie,  qui  prenait  la  dé- 
fense d'Eutychès,  XIV,  646,  647.  Voyez  ^m- 
tychianisme  et  Eutychiens. 

EUTYGHIANISME.  Abrégé  de  l'histoire 
de  l'eutychianisme  par  le  diacre  Libérât, 
XI,  303  et  suiv. 

EUTYCHIEN  (Saint),  pape.  Décrétâtes 
qui  lui  sont  faussement  attribuées,  VI,  88. 
EUTYCHIEN,  clerc  de  l'église  d'Aden  dans 
la  deuxième  Cilicie.  Son  Histoire  de  la  con- 
version et  de  la  pénitence  de  saint  Théo- 
phile, XI,  280, 281.  Différentes  éditions  qu'on 
en  a  données,  281.  [Autre  édition,  281.] 

EUTYCHIENS,  disciples  d'Eutychès.  Ils 
attribuèrent  aux  saints  docteurs  divers  écrits 
d'Apollinaire,  IV,  173, 174.  —  Ils  répandent 
des  calomnies  contre  sainte  Pulchérie,  VIII, 
474.  L'impératrice  Eudoxie  prend  leur  parti, 
473.  —  Ils  chassent  Juvénal  de  Jérusalem 
de  son  siège,  X,  18.  Vingt-sept  discours 
contre  les  Eutychiens,  attribués  faussement 
à  Théodoret  ipar  Photius,  99.  La  mort  de 
l'empereur  Marcien  leur  donne  lieu  de  se 
relever  à  Alexandrie,  176.  Cruautés  qu'ils 
exercent  sur  plusieurs  évéques  d'Egypte  et 
sur  leur  clergé,  234.  Ils  demandent  une 
conférence,  236.  Ils  sont  absous  au  faux 
concile  d'Éphèse,  679.  Les  Eutychiens  sont 
combattus  par  Jean,  prêtre  d'Antioche , 
471,  et  par  Isaac  le  Grand,  579.  Leurs  erreurs 
combattues  dans  l'ouvrage  de  Facundus, 
évêque  d'Hermiane ,  pour  la  défense  des 
Trois  Chapitres,  XI,  286  et  suiv.  Il  y  dis- 
tingue deux  sortes  d'Eutychiens,  287.  [Eu- 
tychiens et  Nestoriens  réfutés  par  Léonce 
de  Byzance,  673.]  Canon  du  cinquième  con. 
cile  d'Orléans  qui  condamne  les  erreurs  des 
Eutychiens,  862.  [Eutychiens  réfutés  par 
saint  Germain,  patriarche  de  Constantinople, 
Xn,  40.] 

EUTYCHIUS,  évêque  d'Eleuthéropole , 
Voyez  Euthique. 

EUTYCHIUS,  évêque  de  Théodosiople, 
souscrit  à  la  condamnation  de  Nestorius, 
Vm,  579. 

EUTYCHIUS  (Saint),  martyr  sous  Geu- 
séric,  X,  466,  467. 

EUTYCHIUS  (Saint),  patriarche ■  de  Cons- 
tantinople. Sa  naissance,  XI,  352.  [Note  sur 
le  titre  de  saint  qu'on  lui  donne,  352,  note 
87.]  L'évêque  d'Amasée  l'introduit  dans  son 
clergé,  352.  Il  le  députe  à  Constantinople 
pour  tenir  sa  place  dans  le  cinquième  con- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


ti  cile  général,  352  et  353.  Comment  il  se  rend 
agréable  à  l'empereur  Justinien  I"  qui  le 
fait  patriarche  de  Constantinople  après  la 
mort  de  Mennas,  353  et  868.  Il  condamne  les 
Trois  Chapitres.  Il  refuse  de  souscrire  l'édit 
que  Justinien  avait  publié  pour  la  défense 
de  l'erreur  des  incorruptibles.  II  est  exilé  et 
Jean  le  Scolastique  ordonné  à  sa  place,  353. 
Il  est  déposé  et  transféré  au  monastère 
d'Amasée,  354.  Après  la  mort  de  Jean  le 
Scolastique,  il  est  rétabli  sur  le  siège  deCons- 
tantinople,  354  et  355.  Dispute  qu'il  a  avec 
saint  Grégoire  sur  l'état  de  nos  corps  après 
la  résurrection,  355,  356.  Sa  mort,  356  et 
426,  431.  Sa  lettre  au  pape  Vigile,  356.  Son 
discours  sur  la  manière  dont  les  intelligences 
sont  dans  un  lieu,  348  et  356.  [Deux  frag- 
ments d'Eulychius  sur  la  Pâque  et  l'institu- 
tion de  l'Eucharistie,  353,  354.  Autres  frag- 
ments, 354.  Éditions  de  ses  écrits  dans  la 
Patrologie,  354,  356.]  Éloge  de  saint  Euty- 
chius  par  le  prêtre  Eustratius,  347.  Il  pré- 
sente au  pape  Vigile  sa  profession  de  foi  et 
convient  avec  lui  d'assembler  un  concile 
pour  décider  la  question  des  Trois  Chapitres, 
868.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Vigile,  en 
approuvant  les  décisions  du  concile  de  Cons- 
tantinople qui  condamne  les  Trois  Chapitres, 
879.  Erreur  d'Eutychius  au  sujet  de  nos 
corps  qu'il  croyait  ne  devoir  plus  être  pal- 
pables après  la  résurrection,  431.  Gontérence 
qu'il  eut  sur  ce  sujet  avec  saint  Grégoire  le 
Grand.  Il  rétracte  son  sentiment,  431  et  438. 

:cie.  EUTYGHIUS,  patriarche  d'Alexandrie.  Ce 
que  dit  Selden  des  circonstances  de  sa  vie. 
La  chronologie  n'en  est  pas  exacte,  XIII, 
45.  —  Idée  de  ses  Annales  ;  elles  sont  rem- 
plies de  fables  et  d'anachronismes,  45  et  46. 
On  réfute  le  témoignage  que  Selden  a  pré- 
tendu tirer  de  cet  auteur  en  faveur  de  la 
secte  des  presbytériens.  Autres  écrits  attri- 
bués à  Eutychius,  46.  [Les  écrits  d'Eutychius 
sont  reproduits  au  tome  GXII  de  la  Pat7-o- 
logie.  On  y  trouve  le  Periocha  d'Eutychius 
avec  les  deux  traductions  d'Abraham  et  de 
Selden,  le  livre  d'Histoires  ou  Annales  depuis 
Adam  jusqu'à  l'an  937  de  Jésus-Christ.  Le 
tout  est  précédé  de  la  préface  de  Selden  et 
de  celle  d'Abraham  de  l'Échelle.] 
ot.  EUTYQUIE,  veuve,  confesse  la  foi  à  Thes- 

salonique,  III,  24. 

[EUVERTE  (Saint).  Découverte  de  son 
corps.  Récit  de  cette  découverte  par  Roger, 
abbé  du  monastère  bâli  sous  le  nom  du 
saint,  XIV,  751.] 


361. 


373. 


[EUVERTE  (Saint-).  Monastère  dans  le 
diocèse  d'Orléans  ;  réforme  qu'y  fait  l'abbé 
Roger.  Bulle  d'Eugène  III  en  faveur  de  cette 
abbaye.  Diplôme  de  Louis  le  Jeune  en  sa 
faveur,  XIV,  750.] 

EUXITHÉE,  évéque  de  Thessalonique. 
Lettre  que  saint  Léon  lui  écrit,  X,  233. 

EUXOIUS,  disciple  d'Ai-ius,  mis  sur  le 
siège  d'Antioche  à  la  place  de  saint  Mélèce, 
IV,  585,  V,  8.  Il  baptisa  l'empereur  Cons- 
tance, VIII,  517. 

EUZOIUS  mis  par  les  Ariens  sur  le  siège 
de  Césarée  en  Palestine,  V,  180. 

EUZOIUS,  auteur  de  quelques  ouvrages 
perdus.  YojezduPin. 

ÉVAGRE,  prêtre.  Lettre  que  lui  écrivit 
saint  Basile  le  Grand,  IV,  456. 

ÉVAGRE,  évéque  de  Constantinople,  IV, 
616. 

ÉVAGRE,  moine.  Lettre  à  ce  moine  faus- 
sement attribuée  à  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze,  V,  241,  597.  [Cette  lettre  est  de  saint 
Grégoire  de  Nysse,  VI,  123, 126  et  215,  n.  1.] 

ÉVAGRE.  Lettre    à  Evagre    faussement     jy  siècle, 
attribuée  à  saint  Jérôme,  Vil,  647. 

ÉVAGRE  DE  PONT,  archidiacre  de  Cons- 
tantinople et  abbé  dans  le  désert  des  Cellules, 
VI,  110  et  suiv.  —  Sa  naissance,  son  édu- 
cation, sa  promotion  dans  le  clergé.  Il  sert 
l'Église  de  Constantinople  en  qualité  d'ar- 
chidiacre, 110.  Il  vient  à  Jérusalem.  Il  em-  gg^ 
brasse  la  vie  solitaire.  Sa  pénitence.  Il  est 
instruit  par  les  deux  MacairC;,  111.  Il  instruit 
des  solitaires  dans  le  désert  des  Cellules, 
111  et  112.  Il  reçoit  le  don  de  chasteté,  d'in- 
telligence et  des  miracles,  il  refuse  l'épis- 
copat.  Sa  mort,  112.  Écrits  d'Evagre,  113  et 
suiv.  Écrit  intitulé  :  Sicré  ou  Gnostiques, 
Traité  intitulé  :  LeMoineouIePratique,  113. 
L'antirrhétique.  Problèmes  prognostiques. 
Écrits  aux  moines  et  aux  vierges,  114.  Livre 
à  Mélanie.  Livre  de  l'Apathie.  Lettre  à  Ana- 
toliuSj  115.  Soixante-onze  articles  sur  divers 
sujets,  113  et  116.  Les  raisons  de  l'état  mo- 
nastique, 116,  117.  Discours  sur  les  noms 
donnés  à  Dieu  dans  l'Écriture.  Dispute 
d'Évagre  sur  la  foi,  117.  Autres  écrits  qu'on 
croit  être  d'Évagre,  117  et  118.  [La  lettre 
dogmatique  sur  la  foi  n'est  pas  d'Évagre, 
mais  de  saint  Basile,  117,  n.  12.]  Jugement 
des  écrits  d'Evagre,  118  et  [119  n.  3].  Édi- 
tions de  ses  écrits,  119.  [Les  écrits  d'Evagre 
sont  reproduits  aux  tomes  XL  et  CLXII  de  la 
Patrologie  grecque.]  Il  avait  été  disciple  de 
saint  Macaire   d'Egypte,  V,  596,  597.   — 


345. 
381. 


391. 


396. 


399. 


406 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Vf  siècle. 


423. 


535. 


V.  598. 


588. 


630. 


Vil  ou 
VIU  siècle. 


Traduction  de  quelques  ouvrages  de  cet  au- 
teur attribuée  à  Rufin  d'Aquilée,  VII,  450 
et  467.  —  Évagre  est-il  auteur  des  Vies  des 
Pères  attribuées  à  Rufin? 470.  Ce  qui  est  dit 
de  lui  dans  les  Vies  des  Pères,  écrites  par 
Rufin  d'Aquilée,  473  et  dans  l'Histoire  lau- 
siaque  de  Pallade,  488,  489,  490.  On  lui 
attribue  l'Histoire  de  Pachon  que  d'autres 
donnent  à  saint  Nil,  VIII,  211.  —  Évagre  de 
Pont  ni  Évagre  d'Antioche  ne  sont  auteurs 
de  l'ancien  ouvrage  intitulé  :  Dispute  entre 
Théophile,  chrétien  et  Simon,  juif,  424. 

[ÉVAGRE  (Saint),  évêque.  Ce  qu'on  sait 
de  sa  vie.  Fragments  de  ses  commentaires 
sur  saint  Luc,  VI,  333.] 

ÉVAGRE,  prêtre  d'Antioche,  son  zèle  pour 
la  foi.  Il  obtient  la  grâce  d'une  femme  ac- 
cusée d'adultère,  VII,  386. 

ÉVAGRE,  philosophe,  ami  de  Synésius, 
VIII,  23. 

ÉVAGRE,  évêque  d'Antioche,  auteur  de 
quelques  écrits  perdus.  Voyez  du  Pin. 

EVAGRE,  prêtre  et  disciple  de  saint  Martin 
de  Tours.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de 
sa  vie,  VIII,  424.  Il  est  le  véritable  auteur  de 
l'ouvrage  intitulé  :  Dispute  entre  Théophile, 
chrétien  et  Simon,  juif,  et  des  Consultations 
de  Zachée,  chrétien  et  d'Apollonius,  philo- 
sophe, 424  et  423.  Analyse  de  la  Dispute  et 
des  Consultations,  425  et  suiv.  Jugement  des 
écrits  d'Evagre,  432.  [Éditions  de  ses  ou- 
vrages, 423.]  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  II,  p.  119  et  suiv.) 

ÉVAGRE  LE  SCOLASTIQUE,  historien  ec- 
clésiastique. Sa  naissance,  ses  études,  XI, 
413,  416.  —  Il  suit  à  Antioche  la  profession 
d'avocat.  Son  mariage,  mort  de  sa  femme. 
Il  assiste  de  ses  conseils  Grégoire,  patriarche 
d'Antioche  à  qui  on  avait  suscité  desafiaires 
et  l'accompagne  à  Constantiuople.  Il  écrit 
son  histoire.  L'empereur  Maurice  le  fait  tré- 
sorier de  l'empire  et  préfet.  Temps  de  sa 
mort,  416.  Analyse  des  sis  livres  qui  par- 
tagent l'Histoire  d'Évagre,  416  et  suiv.  Juge- 
ment sur  son  style.  Éditions  de  son  Histoire, 
420.  [Autres  éditions,  420.] 

EVANCE,  fils  du  patrice  Dyname,  envoyé 
en  ambassade  vers  l'empereur  Maurice,  est 
tué  à  Carthagène  où  il  avait  relâché,  IX,  400. 

EVANCE,  archidiacre  de  Tolède,  à  qui  le 
cardinal  d'Aguirre  attribue  la  lettre  contre 
l'abstinence  du  sang  des  animaux,  XI,  812. 

EVANCE,  abbé  de  Troclar,  est  le  véritable 
auteur  de  la  lettre  dogmatique  contre  l'absti- 
nence du  sang  des  animaux,   XI,   812.   — 


Analyse  de  cette  lettre,  812  et  813.  [Édition 
de  cette  lettre  dans  la  Pa^rofog-fe,  813.]  (Voyez 
l'article  d'Évance  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  III,  p.  632  et  suiv.) 

EVANCE,  évêque  de  Vienne,  qui  vivait  à 
la  fin  du  xi°  siècle,  n'est  point  l'auteur  de 
cette  lettre,  XI,  812.  (Voyez  son  article  dans 
^'Hist.  litt.  de  la  France,  III,  p.  345  et  suiv.) 

EV ANDRE,  évêque  d'Ursin  ou  d'Adiazzo, 
en  Corse,  H,  623. 

EVANDRE,  évêque  que  Firmus  de  Césarée, 
en  Cappadoce,  invite  à  venir  célébrer  une 
fête  dans  son  diocèse,  X,  132. 

ÉVANGÉLISTES.  Voyez  Évangiles. 

ÉV ANGÉLUS,  prêtre  de  la  secte  des  Péla- 
giens,  VII,  86. 

ÉV  ANGÉLUS,  prêtre  à  qui  saint  Jérôme 
écrit  une  lettre,  VII,  339.  —  Autre  que  lui 
écrivit  ce  saint  docteur,  644. 

ÉVANGILES  (Les  quatre)  de  saint  Matthieu, 
de  saint  Marc,  de  saint  Luc  et  de  saint  Jean. 
Jésus-Christ  n'a  rien  laissé  par  écrit  et  n'a 
pas  ordonné  à  ses  disciples  d'écrire,  I,  191, 
192.  —  Grande  autorité  des  quatre  Évan- 
giles dans  l'Église.  Le  nom  d'Évangile  si- 
gnifie heureuse  nouvelle.  L'Église  ne  reçoit 
que  quatre  Évangiles  comme  canoniques, 

192.  Figures  des  quatre  évangélistes  dans 
les  quatre  animaux  de  la  vision  d'Ezéchiel, 
192, 193.  Ordre  dans  lequel  les  quatre  évan- 
giles ont  été  composés.  Pourquoi  des  quatre 
évangélistes  il  y  en  a  deux  apôtres  et  deux 
disciples  ?  Pourquoi  il  y  a  eu  quatre  évangé- 
hstes,  193.  Il  n'y  a  point  entre  eux  de  va- 
riétés essentielles.  Celles  qui  s'y  trouvent, 
loin  de  diminuer  leur  autorité  servent  à 
l'établir,  193.  Il  paraît  que  les  évangélistes 
ont  mis  leur  nom  à  la  tête  de  l'Évangile.  Au 
moins  il  est  certain  que  les  quatre  évan- 
giles sont  de  ceux  dont  ils  portent  les  noms, 

193.  [Preuves  de  l'authenticité  des  quatre 
Évangiles  vainement  attaqués  par  les  ratio- 
nalistes, 192,  n.  9.]  Les  Ébionites  ne  rece- 
vaient que  l'Évangile  de  saint  Matthieu,  501. 
L'Église  ne  reconnaissait  que  quatre  Évan- 
giles. Avec  quel  respect  on  les  lisait,  521. 
Témoignage  d'Origène,  II,  164,  207,  208;  de 
saint  Cyprien,  349.  Témoignage  des  Consti- 
tutions apostoliques,  593.  Évangile  pendu  au 
cou  du  martyr  saint  Euplius,  III,  31;  ■-  Té- 
moignage de  saint  Méthode  de  Tyr,  68  ; 
d'Eusèbe  de  Césarée,  190,  191.  Livres  d'Eu- 
sèbe  de  Césarée  sur  les  contradictions  appa- 
rentes des  Évangiles,  241,  242.  [Les  deux 
Uvres  à  Etienne  et  le  livre  à  Marin  sur  les 


581-589. 


398. 
385. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


407 


questions  et  solutions  évangéliques  publiés 
en  partie  par  Mai,  243,  244.]  Canon  16  du 
concile  de  Laodicée,  510.  Témoignage  de 
saint  Ambroise  sur  les  Évangiles,  V,  316.  — 
Témoignage  de  saint  Chrysostôme,  VII,  64, 
101,  212,  359  et  suiv.,  431;  de  saint  Jérôme, 
653,  697.  Ce  saint  docteur  revit  les  quatre 
Évangiles  sur  le  grec,  354.  Réponse  de  saint 
Isidore  de  Péluse  qui  objectait  la  nouveauté 
des  Évangiles,  VIII,  488.  —  Le  saint  Évan- 
gile posé  sur  un  trône  au  milieu  du  concile 
d'Éphèse,  577 .  Doctrine  de  saint  Augustin  sur 
les  saints  Évangiles,  IX,  585  et  suiv.  Carac- 
tères des  évangélistes,  383 ,  386.  Symboles  qui 
les  distinguent,  586, 587.  Durang  et  de  la  di- 
gnité des  évangélistes,  587,  588.  Dessein  de 
chaque  évangéliste,  588,  589.  Ce  qui  dis- 
tingue saint  Jean  des  trois  autres.  Les  trois 
premiers  nous  tracent  la  vie  active,  saint 
Jean  nous  présente  la  vie  contemplative, 
589.  Objections  des  païens  contre  les  Évan- 
giles, 589  et  suiv.  Jésus-Christ  ayant  conduit 
la  main  des  évangélistes,  on  peut  dire  que 
c'est  lui-même  qui  a  écrit  l'Évangile.  EEfet 
des  contradictions  apparentes  de  l'Évangile, 
591.  Les  omissions  des  évaugéhstes  n'em- 
pêchent pas  qu'ils  n'aient  dit  ce  qu'ils  de- 
vaient dire,  391  et  392.  Il  n'y  a  point  de 
contradiction  entre  les  évangélistes,  392, 
593.  Quoiqu'ils  diffèrent  dans  l'ordre  de 
rapporter  les  faits,  ils  s'accordent  pour 
le  fond  des  choses,  593,  394.  Témoignage 
de  Théodoret  sur  la  doctrine  de  l'Évangile, 
X,  95.  —  Parallèles  de  l'Évangile  avec 
les  lois  établies  par  les  plus  sages  légis- 
lateurs grecs  et  romains  ,  96.  Livre  des 
Évangiles  écrit  de  la  main  de  saint  Hilaire 
de  Poitiers,  440.  Le  saint  Évangile  placé  au 
milieu  de  l'assemblée  en  plusieurs  séances 
du  concile  de  Chalcédoine.  Écrits  des  Pères 
à  consulter  sur  les  Évangiles  selon  Cassio- 
dore,  XI,  228  et  suiv.  —  Témoignage  de 
saint  Grégoire  sur  la  lecture  solennelle  de 
l'Évangile  à  la  messe,  539.  Livre  contenant 
les  quatre  Évangiles,  dont  l'empereur 
Lothaire  fait  présent  au  monastère  de  Saint- 
Martin  de  Metz,  XII,  439.  —  Livre  des  Évan- 
giles à  l'usage  des  Grecs  dans  la  célébration 
des  mystères,  XIII,  135.  —  Poèmes  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze  sur  les  saints  Évan- 
giles, V,  275.  —  Histoire  des  Évangiles 
mise  en  vers  par  Florus,  diacre  de  Lyon, 
XII,  491.  —  Sommaire  des  quatre  Évangiles, 
poëme  de  saint  Prudence,  évêque  de  Troyes, 
499.  [Traduction  de  l'histoire  de  l'Évangile 


en  vers  tudesques ,  par  Otfrid ,  moine  de 
Weissembourg,  593,  396.]  Concorde  des 
quatre  Évangiles  attribuée  à  saint  Théophile, 
I,  479.  —  Concorde  évangélique  composée 
par  Tatien,  492.  Concorde  des  quatre  Évan- 
giles, ouvrage  d'Ammone  Saccas,  philosophe 
chrétien,  II,  99.  —  Canons  évangéliques 
d'EusèbedeCésarée,  III,  240.  —  [Harmonie 
des  Évangiles  ou  exphcation  comparée  des 
quatre  Évangiles,  pat-saint  Éphrem,  VI,  321 .] 
—  Quatre  livres  de  l'Accord  des  évangélistes, 
ouvrage  de  saint  Augustin,  IX,  216.  —  Har- 
monie des  Évangiles  reçus  par  Victor  de  Ca- 
poue,  XI,  303.  —  Concordance  des  évangé- 
listes, parle  prêtre  Hésychius,  656,  637.  Con- 
cordance des  quatre  évangélistes,  par  Maria- 
nus  Scotus,  XIII,  401.  —  Canons  des  Évan- 
giles dressés  par  le  B .  Odon  de  Cambrai,  XIV, 
76.  [Concorde  des  Évangiles,  par  Pierre  Lom- 
bard, 368.] — Homélies  de  saint  Chrysostôme 
sur  divers  endroitsdu  saint  Évangile,  VII,  98 
et  suiv.  —  Plusieurs  commentaires  sur  les 
Évangiles  attribués  à  Jean  de  Jérusalem, 
302.  Commentaires  sur  les  Évangiles  faus- 
sement attribués  à  saint  Jérôme,  649.  Com- 
mentaires de  saint  Maruthas  sur  l'Évangile, 
VIII,  3,  4.  —  Deux  livres  de  questions  sur 
quelques  endroits  de  l'Évangile  :  ouvrage  de 
saint  Augustin,  IX,  220.  — Sermons  de  saint 
Augustin  sur  les  quatre  évangélistes,  237  et 
suiv.  —  [Expositions  courtes  sur  les  Évangiles 
sous  le  nom  de  saint  Maxime  de  Turin,  X, 
326.]  Annotations  sur  les  Évangiles  attri- 
buées à  Arnobe  le  jeune,  332.  —  [Chaîne  sur 
les  quatre  évangélistes  par  Victor  de  Capoue 
ou  mieux  par  Jean,  diacre,  XI,  303.]  Homé- 
lies du  pape  saint  Grégoire  le  Grand  sur  les 
Évangiles,  432  et  suiv.  Analyse  de  ces  ho- 
méhes,  452.  Éditions  particulières  et  traduc- 
tions qu'on  en  a  faites,  586.  Commentaire  sur 
les  quatre  Évangiles  que  Trithème  attribue  au 
pape  saint  Grégoire,  532. — Commentaires  du 
vénérable  Bède  sur  les  quatre  Évangiles,  XII, 
9.  [Explication  des  préfaces  de  saint  Jérôme 
sur  les  Évangiles,  par  Sédulius  le  Jeune. 
Explication  de  la  différence  qu'il  y  a  entre 
les  sommaires  et  les  canons  des  Évangiles 
avec  sommaire  sur  chaque  évangéhsteetex- 
plication  de  ces  sommaires,  par  Sédulius  le 
Jeune,  361.  Exposition  sur  les  quatreÉvangi- 
lesattribuéeàValafrideStrabon,413.]Homé- 
lies  sur  les  Évangiles  de  l'année  attribuées 
à  Haimon  d'Halberstat,  433.  Commentaires 
d'Angélome,  moine  deLuxeuil,  sur  les  quatre 
Évangiles.  Ils  n'ont  pas  encore  été  imprimés, 


408  HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


41. 


4M.  Commentaire  sur  les  quatre  Évangiles 
attribué  à  Werembert,  moine  de  Saint-Gall, 
694.  Commentaires  de  Rémi,  moine  d'Au- 
xerre,  sur  les  Évangiles,  7S3  et  736.  Frag- 
ments du  commentaire  de  Photius  sur  les 
quatre  Évangiles,   973.  [Vers  sur  les    mi- 
racles de   l'Évangile,    par   Fromond,  XIII, 
98.]  Commentaires   de   Théophylacte,    ar- 
chevêque  d'Acride   sur   les  quatre   Évan- 
giles, 556.   Commentaires  sur    les    quatre 
Évangiles    attribués  à  Nicétas  d'Héraclée. 
Chaînes  sur  saint  Mathieu,  saint  Luc  et  saint 
Jean  attribuées  au  même,  558. — [Extrait  des 
Pères  sur  les  Évangiles  du  temps  par  Wer- 
ner,  abbé  de  Saint-Biaise,  XIV,  79.]  Com- 
mentaire   d'Euthymius    Zigabène    sur    les 
quatre  Évangiles.  Traduction  latine  qui  en 
a  été  laite.  Différents  auteurs  à  qui  ce  com- 
mentaire   a    été    attribué,    134.     Explica- 
tion de  quelques  endroits  des  Évangiles  attri- 
buée au  même,  183.  Seize  homélies  de  Pierre 
Babion  sur  les  Évangiles  attribuées  à  An- 
selme de  Laon,  184.  Glose  de  Guillaume  de 
Conches  sur  les  quatre  Évangiles,  388.  Com- 
mentaires du   moine  Hervé  sur  les  Évan- 
giles, 403,  404.  Sermons  d'Isaac ,  abbé  de 
l'Étoile,  sur  les  Évangiles    des  dimanches 
depuis    l'Epiphanie  jusqu'à  Pâques,  694.] 
Livre  des   Évangiles  à  l'usage  des  Grecs; 
éditions   récentes,  XIII.  135.   —  Sermons 
des  Guillaume  d'Auvergne    sur  les  Évan- 
giles des  dimanches  de  l'année,  XIV,  1023 
et  suivant.  Voyez  chacun  des  Évangélistes  à 
leur  titre  et  chacun  des  Évangiles  dans  les 
articles  suivants. 

ÉVANGILE  DE  SAINT  MATTHIEU.  En 
quel  temps  saint  Matthieu  l'écrivit.  Il  est  le 
premier  qui  écrivit  l'Évangile,  I,  196.  Il  l'é- 
crivit en  hébreu,  196  et  197.  Objections 
contre  ce  sentiment  :  Première  réponse  : 
L'explication  des  noms  hébreux  donnée  en 
grec,  doit  être  attribuée  au  traducteur,  197., 
Deuxième  réponse  :  Des  textes  cités  de  l'An- 
cien Testament,  si  quelques-uns  sont  con- 
formes à  la  version  des  Septante ,  c'est 
qu'elle-même  est  conforme  à  l'hébreu.  Les 
autres  sont  cités,  non  à  la  lettre,  mais  selon 
le  sens,  et  toujours  d'une  manière  qui  ap- 
proche le  plus  du  texte  original,  197  et  198. 
Troisième  réponse  :  La  ressemblance  qui  se 
trouve  entre  le  grec  de  saint  Marc  et  celui  de 
saint  Matthieu  doit  être  imputée  au  traduc- 
teur de  celui-ci.  On  ne  sait  qui  est  ce  tra- 
ducteur. Il  n'y  a  eu  qu'une  seule  version 
grecque  de  cet  Évangile  autorisée  dans  l'É- 


ghse.  C'est  sur  cette  version  que  saint  Jérôme 
a  corrigé  la  version  latine,  198.  On  ne  peut 
douter  que  saint  Matthieu  ne  soit  auteur  de 
l'Évangile  qui  porte  son  nom,   198  et  199. 
[But  de  saint  Matthieu  en  écrivant  son  Évan- 
gile, 199,  n.  2.]  Sommaire  de  cet  Évangile. 
Addition  au  texte  de   saint  Matthieu  dans 
quelques  exemplaires,  199.  L'Évangile   de 
saint  Marc  n'est  pas  l'abrégé  de  celui  de 
saint  Matthieu  :  différence  de  ces  deuxÉvan- 
giles,  202,  203.  Différences  et  accords  des 
deux  généalogies  de  Jésus-Christ  selon  saint 
Matthieu  et  saint  Luc,  207.  Les  Ébionitesne 
recevaient  que  l'Évangile  de  saint  Matthieu, 
501.  L'Évangile  de  saint  Matthieu  est  trouvé 
dans  les  Indes  par  saint  Pantène,  560.  Com- 
mentaire de  saint  Hippolyte  sur  cet  Évan- 
gile, 615.  —  Ouvrages  d'Origène  surl'Évan- 
gile  de  saint  Mathieu,  "II,  163.  — [Fragments 
du  Commentaire  d'Eusèbe  de  Césarée  sur 
saint  Matthieu,  III,  236.]  —  Commentaire  de 
saint  Hilaire  de   Poitiers  sur  cet  Évangile, 
IV,  25  et  suiv.  [Il  n'en  reste  que  le  commen- 
cement. Authenticité  de  ce  traité,  30,  Ana- 
lyse de  ce  traité,  30  et  suiv.]  Commentaire 
sur  cet  Évangile  attribué  i  saint  Athanase, 
170.  —  Discours  de  saint  Éphrem  sur  ces 
paroles  de  saint  Matthieu  :  De  deux  hommes 
qui  seront  dans  un  champ,  etc.,  VI,  10.  Té- 
moignage de  saint  Épipbane  sur  l'Évangile 
de  saint  Matthieu,  389.  —  Homélie  sur  le 
vingt-unième  chapitre  attribuée  àsaintChry- 
sostôme,  VII,  204,  203.  Ouvrage  imparfait 
sur  saint  Matthieu  faussement  attribué  à  saint 
Jean  Chrysostôme,  209  et  suiv.  Quatre-vingt- 
dix  ou  quatre-vingt-onze    homélies  de   ce 
Père  sur  saint  Matthieu,  211  et  suiv.  Opus- 
cule faussement  attribué  à  ce  Père  sur  ces 
paroles  ;  Mon  Père,  s'il  est  possible,  312.  Ou- 
vrage imparfait  sur  saint  Matthieu  attribué 
à  Jean  de  Jérusalem,  502.  Commentaire  de 
saint  Jérôme  sur  l'Évangile  de  saint  Mat- 
thieu, 570.  — Dix-sept  questions  faussement 
attribuées  à  saint  Augustin,  IX,  220.  Ser- 
mons du  même  sur  le  même  Évangile,  237. 
Discours  d'Hérachus,  prêtre  d'Hippone,  sur 
un  texte  de  l'Évangile  selon  saint  Matthieu, 
243.  —  Commentaires  de  saint  Cyrille  d'A- 
lexandrie, VIII,  324  et 349.  —  [Commentaire 
de  Luculentius  sur  saint  Matthieu,  XI,  633. 
—  Fragment   d'un  commentaire   de  saint 
Jean  Damascène  sur  l'Évangile  selon  saint 
Matthieu,  XII,  99.  Le  commentaire  sur  cet 
Évangile  attribué  à  Alcuin  ne  parait  pas  être 
l'œuvre  de  cet  auteur,  171.]  Commentaires 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


409 


de  Claude  de  Turin  sur  cet  Évangile,  331, 
[sa  préface,  331,  n.  3.  Le  commentaire  existe 
manuscrit,  331];  de  Sédulius,  358;  de  Chré- 
tien Druthmar ,  420  et  suiv.  ;  de  Raban 
Maur,  451,  432.  Analyse  de  celui  de  saint 
Paschase  Radbert,  529,  530.  [Douze  homé- 
lies de  Remy ,  moine  de  Saint-Germain , 
sur  des  passages  de  saint  Matthieu,  757.] 
Commentaire  de  Diethelme,  840.  —  Gloses 
de  Pierre,  chancelier  de  l'Église  de  Char- 
tres, XIII,  m.  Homélie  du  patriarche  Jean 
Xiphilin,  338.  Discours  d'Alphane,  arche- 
vêque de  Salerne,  sur  le  neuvième  cha- 
pitre de  saint  Matthieu,  493.  Gloses  de  Ma- 
negold,  prévôt  de  Marbach,  sur  l'Évangile 
de  saint  Matthieu,  583.  —  Commentaire 
d'Anselme  de  Lâon  sur  cet  Évangile.  Ce 
commentaire  n'a  pas  encore  été  imprimé. 
Celui  qui  est  imprimé  sous  son  nom  parmi 
les  œuvres  de  saint  Anselme  de  Cantorbéry 
est  de  Pierre  Babion,  anglais,  XIV,  283. 
Ouvrage  de  Rupert,  abbé  de  Tuy,  sur  saint 
Matthieu,  intitulé  :  De  la  Gloire  et  de  l'hon- 
near  du  Fils  de  l'Homme,  282,  283.  [Expli- 
cation de  ces  paroles  :  Quodcumque  ligaveri- 
tis  super  terram,  etc.,  et  de  ces  autres  : 
Quorum  remiseritis  peccata,  etc.,  par  Richard, 
prieur  de  Saint-Victor,  704,  703.  Explication 
de  ces  paroles  :  In  regeneratione  cum  sederit 
Filius  hominis,  etc.,  par  le  même,  703.] 

ÉVANGILE  DE  SAINT  MARC.  A  quelle 
occasion  saint  Marc  l'écrivit.  Cet  Évangile 
est  autorisé  par  saint  Pierre,  I,  201 .  Saint 
Marc  l'écrivit  en  grec,  201  et  202.  En  quel 
temps?  202.  Cet  Évangile  n'est  pas  l'abrégé 
de  celui  de  saint  Matthieu,  202  et  203.  Une 
partie  du  dernier  chapitre  ne  se  trouvait  pas 
dans  plusieurs  exemplaires  du  temps  de 
saint  Jérôme,  203.  Cette  partie  est  véritable- 
ment de  l'Évangile  de  saint  Marc,  203  et 
204.  Analyse  de  cet  Évangile,  204.  C'est  de 
saint  Pierre  que  saint  Marc  avait  appris  ce 
qu'il  a  écrit,  399,  note  4.  [Le  prétendu  ori- 
ginal latin  de  l'Évangile  selon  saint  Marc  est 
un  fragment  de  l'ancienne  italique,  201, 
note  1.]  —  Commentaires  d'Origène  sur  l'É- 
vangile selon  saint  Marc,  II,  164.  Commen- 
taire sur  saint  Marc  faussement  attribué  à 
Jean  de  Jérusalem,  VII,  302.  Commentaire 
sur  cet  Évangile  sous  le  nom  de  saint  Jé- 
rôme, 649.  —  Sermons  de  saint  Augustin 
sur  l'Évangile  selon  saint  Marc,  IX,  237  et 
suiv.  —  [Histoire  abrégée  de  saint  Marc 
pour  l'exposition  de  son  Évangile,  par  le 
Vénérable  Bède,  XII,  15.] 


ÉVANGILE  DE  SAINT  LUC.  Motif  qui  a 
engagé  saint  Luc  à  écrire  son  Évangile.  Il 
rapporte  un  grand  nombre  d'actions  de  Jé- 
sus-Christ dont  les  autres  évangélistes  n'ont 
point  parlé.  Il  écrit  sur  le  rapport  de  ceux 
qui  avaient  vu  les  choses  de  leurs  propres 
yeux,  L  206.  En  quelle  année  il  écrivit  son  58- 
Évangile,  206  et  207.  Pourquoi  on  l'attribue 
à  saint  Paul.  Altérations  faites  en  quelques 
exemplaires  de  cet  Évangile.  Analyse  de  cet 
Évangile.  Il  s'accorde  avec  celui  de  saint 
Matthieu  sur  la  généalogie  de  Jésus-Christ, 
207.  —  Ouvrages  d'Origène  sur  l'Évangile 
de  saint  Luc,  II,  164.  —  [Commentaire 
d'Eusèbe  de  Césarée  sur  saint  Luc  publié 
par  Mai,  III,  237,  238.] —  Commentaire  sur 
cet  Évangile  attribué  à  saint  Athanase,^  IV, 
170.  [Le  cardinal  Maï  a  publié  plusieurs 
fragments  du  Commentaire  sur  saint  Luc, 
171.]  Commentaire  sur  l'Évangile  de  saint 
Luc  attribué  faussement  à  Tite  de  Bostres, 
343.  —  Commentaire  de  saint  Ambroise  sur 
l'Évangile  selon  saint  Luc,  V,  429  et  suiv. 

—  Témoignage  de  saint  Épiphane  sur  l'É- 
vangile de  saint  Luc,  VI,  393.  —  Opuscule 
faussement  attribué  à  saint  Chrysostôme  sur 
ces  paroles  de  l'Évangile  de  saint  Luc  :  Je 
suis  venu  pour  jeter  le  feu  sur  la  terre,  VII, 
335.  Commentaire  sur  saint  Luc  faussement 
attribué  à  Jean  de  Jérusalem.  Cinq  homélies 
sur  saint  Luc  qui  lui  sont  aussi  faussement 
attribuées,  502.  Lettre  de  saint  Jérôme  à 
sainte  Paule  et  à  sainte  Eustoquie,  ou  pré- 
face de  la  traduction  des  homélies  d'Origène 
sur  saint  Luc,  646.  —  Sermon  de  saint  Nil, 
solitaire  de  Sinaï,  sur  un  passage  de  saint 
Luc,  VIII,  213.  —  Commentaire  de  saint 
Cyrille  d'Alexandrie  sur  saint  Luc,  324.  [Le 
cardinal  Maï  a  publié  ce  commentaire,  349 
et  suiv.]  —  Sermons  de  saint  Augustin  sur 
l'Évangile  selon  saint  Luc,  IX,  237  et  suiv'. 

—  Fragment  attribué  à  Théodoret  sur  un 
texte  de  l'Évangile  de  saint  Luc,  X,  100.  — 
Commentaire  de  Cosme  d'Egypte  sur  cet 
Évangile  :  nous  ne  l'avons  plus,  XI,  191. 
Explication  de  cette  parole  de  l'Évangile  de 
saint  Luc  :  Si  un  homme  vous  frappe  sur  une 
joue,  tendez-lui  l'autre,  par  l'abbé  Maxime, 
764.  —  [Lettre  dans  laquelle  le  Vénérable 
Bède  traite  de  l'Évangile  selon  saint  Luc, 
XII,  13.]  Fragments  d'André  de  Crète  sur 
l'Évangile  de  saint  Luc,  58,  59.  Scholies  de 
Chrétien  Druthmar  sur  cet  Évangile,  422. 
[Fragment  d'un  commentaire  sur  cet  Évan- 
gile par  Athanase  de  Corinthe,  899.  Frag- 


410 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


menls  du  commentaire  d'CEcumenius  sur  le 
même  Évangile,  913.]  —  Quatre  sermons 
de  saint  Bernard  sur  ces  paroles  :  L'ange 
Gabriel  fut  envoyé,  etc.,  XIV,  484. 
ÉVANGILE  DE  SAINT  JEAN.  Saint  Jean 
97.  écrivit  son  Évangile  à  Éphèse.  Quel  fut  son 
dessein  en  l'écrivant,  I,  210.  Il  l'écrivit  en 
grec,  210  et  211.  Difficultés  surle  derniercha- 
pitre  de  cet  Évangile,  211 .  Réponse  ;  Tous  les 
Pères  ont  regardé  ce  dernier  chapitre  comme 
faisant  partie  de  l'Évangile  de  saint  Jean, 
et  ce  chapitre  ne  renferme  rien  dont  saint 
Jean  ne  puisse  être  l'auteur,  211  et  212. 
Difficultés  sur  l'histoire  de  la  femme  adul- 
tère. Réponse  :  Quoique  cette  histoire  ne  se 
trouvât  pas  dans  plusieurs  anciens  exem- 
plaires, on  ne  laissait  pas  de  la  regarder 
comme  faisant  partie  de  l'Évangile  de  saint 
Jean.  Elle  n'en  a  été  retranchée  que  par 
ignorance  et  témérité,  et  dans  peu  d'exem- 
plaires. Ceux  qui  ne  l'ont  pas  commentée 
ou  ne  la  connaissaient  pas,  ou  la  trouvaient 
d'elle-même  assez  claire,  212  et  213.  Cano- 
nicité  et  excellence  de  l'Évangile  de  saint 
Jean,  213.  Son  style.  Analyse  de  cet  Évan- 
gile, 212.  —  Tomes  d'Origène  sur  cet  Évan- 
gile, II,  165.  —  [Évangile  selon  saint  Jean 
d'après  Eusèbe  de  Césarée,  III,  263.  —  Com- 
mentaire de  saint  Hilaire  de  Poitiers  sur  le 
commencement  de  l'Évangile  selon  saint 
Jean,  IV,  32,  33.]  Traité  de  saint  Atlianase 
sur  ces  paroles  de  Jésus-Christ  :  Toutes 
choses  m'ont  été  données  par  mon  Père,  110, 
m.  Homélie  de  saint  Basile  le  Grand  sur 
ces  paroles  :  Au  commencement  était  le  Verbe, 
387,  388.  —  Témoignage  de  l'historien  Phi- 
lostorge  touchant  l'Évangile  de  saint  Jean, 
VI,  349,  330.  —  Homélie  de  saint  Chrysos- 
tôme  sur  un  passage  de  l'Évangile  de  saint 
Jean,  VII,  203.  Quatre-vingt-sept  ou  quatre- 
vingt-huit  homélies  de  saint  Chrysostôme 
sur  l'Évangile  de  saint  Jean,  252  et  suiv. 
Opuscules  faussement  attribués  à  saint  Chry- 
sostôme sur  un  endroit  de  l'Évangile  de 
saint  Jean,  333.  Homélie  sur  le  commence- 
ment de  cet  Évangile  faussement  attribuée 
à  Sévérien,  évoque  de  Cabales,  343.  Com- 
mentaire attribué  à  saint  Chrysostôme,  346. 
Trois  homélies  faussement  attribuées  à  Jean 
de  Jérusalem,  502.  —  Discours  de  saint  Gau- 
dence  de  Bresse  snr  une  parole  de  l'Évan- 
gile de  saint  Jean,  VIII,  39.  Commentaire  de 
saint  Cyrille  d'Alexandrie  sur  l'Évangile  de 
saint  Jean,  266,  267.  Supplément  à  cet  ou- 
vrage par  Clichtou.  Casimir  Oudin  conteste 


ces  commentaires  à  saint  Cyrille.  On  le  ré- 
fute, 267.  (Dans  le  teste,  p.  267,  on  lit  dans 
la  nouvelle  édition  comme  dans  l'ancienne  : 
L'auteur  des  Commentaires  sur  Isaïe,  il  faut 
dire  sur  saint  Jean.) Explication  remarquable 
que  saint  Isidore  de  Péluse  donne  aux  derniè- 
res parolesde  l'Êvangileselonsaint  Jean, 488, 
489.  —  Traités  ou  homélies  de  saint  Augus- 
tin sur  l'Évangile  selon  saint  Jean,  IX,  237 
et  suiv.  Sermons  de  saint  Augustin  sur  l'É- 
vangile selon  saint  Jean,  220  et  suiv.  Ser- 
mon de  saint  Augustin  sur  un  passage  du 
même  Évangile,  239.  —  Explication  de  ce 
passage  :  Le  Verbe  était  avec  Dieu,  par  saint 
Fulgence,  XI,  16.  [Commentaire  de  Lucu- 
lentius  sur  l'Évangile  de  saint  Jean,  633.  — 
Le  commentaire  sur  saint  Jean  attribué  au 
Vénérable  n'est  pas  de  cet  auteur,  XII,  9, 
n.  2.]  Commentaire  d'Alcuin  sur  l'Évangile 
de  saint  Jean,  171.  Scholies  de  Chrétien 
Druthmar  sur  cet  Évangile,  422.  SchoUes 
sur  cet  Évangile  attribuées  à  Erchambert, 
cvêque  de  FrJsingue,  440.  [Homélie  sur  le 
prologue  de  l'Évangile  selon  saint  Jean,  par 
Jean  Scot.  Ses  variantes  sur  le  commentaire 
de  l'Évangile  selon  saint  Jean,  609.]  Com- 
mentaires de  Rupert,  abbé  de  Tuy,  sur  cet 
Évangile,  XIV,  283.  Commentaires  de  Gil- 
bert de  la  Porrée,  343.  Autre  attribué  par 
Tri  thème  à  l'abbé  Joachim,  830.  [Explication 
d'Élie  d'Oxida  sur  ces  paroles  :  Si  guis  di- 
liget  me,  sermonem  meum  scî'vabii,  859.] 

ÉVANGILES  FAUX,  I,  272  et  suiv.  [Leurs 
éditions,  273.]  Évangile  des  Nazaréens  ap- 
pelé Évangile  selon  les  Hébreux,  197,  n.  7. 
Faux  Évangile  de  saint  Pierre  réfuté  par 
saint  Sérapion,  358.  —  Origène  le  cite,  II, 
209.  —  Évangile  attribué  à  saint  Thomas. 
Témoignage  de  saint  Cyrille  de  Jérusalem, 
V,  81.  Témoignage  de  saint  Ambroise  sur 
les  faux  Évangiles,  316.  [Évangile  des  Égyp- 
tiens cité  par  Didyme  l'Aveugle,  620.]  — 
Témoignage  de  saint  Épiphane  sur  les  faux 
Évangiles  des  Gnostiques,  VI,  387,  388.  — 
Témoignage  de  saint  Jean  Damascène  sur 
le  faux  Évangile  de  saint  Thomas,  XII,  77. 

ÉVARISTE  (Saint),  pape.  Décrétâtes  qui 
lui  sont  faussement  attribuées,  VI,  80. 

EV  AZES,  ville  de  la  province  d'Asie,  X,  694. 

EVE,  première  femme.  Écrits  qui  lui  sont 
faussement  attribués,  I,  263,  264.  —  [Ce 
que  saint  Éphrem  dit  sur  Eve,  VI,  449.] 

ÉVÊCHÉS  en  grand  nombre  dans  les  pre- 
miers siècles  de  l'Église,  III,  486.  —  Évê- 
chés  unis  par  saint  Grégoire  le  Grand,  XI, 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


411 


374. 


1078. 


390. 


341. 


480,  488,  490,  —  Notice  des  évêchés  de  la 
Grèce  attribuée  à  l'empereur  Léon  VI,  XII, 
776.  —  On  ordonne  que  les  chaires  épisco- 
pales  établies  dans  des  villages  ou  des  bourgs 
soient  transférées  dans  des  villes,  XIV,  1066. 

ÉVÉMÈRE,  évèque  de  Nantes,  au  concile 
de  Valence,  IV,  600. 

ÉVÉMÈRE,  autre  évêqae  de  Nantes,  le 
même  qu'Eumérius. 

EVEN,  nommé  évêque  de  Dol  en  Breta- 
gne à  la  place  de  Johonée.  Saint  Grégoire 
VII  lui  envoie  le  pallium,  XIII,  366. 

ÉVENTAIL  dont  on  se  servait  à  l'autel 
dans  les  grandes  chaleurs,  XII,  491  ;  —  et 
pour  en  chasser  les  mouches,  XIV,  209. 

EVENTIUS,  évêque  de  Ceno  (peut-être  de 
Cosme),  au  concile  de  Milan,  IV,  653. 

ÉVÊQUE  (1')  ....  Sa  traduction  française 
de  la  Vie  de  saint  Éloi,  XI,  756,  757. 

ÉVÉQUES.  Témoignage  de  saint  Clément, 
pape,  I,  360.  Évêques  distingués  des  prêtres 
dès  les  premiers  siècles,  372  et  suiv.  Té- 
moignage de  saint  Ignace  d'Antioche  sur  les 
évoques,  376,  377,  379,  380,  384,  385,  387. 
Doctrine  de  saint  Irénée,  326;  de  Clément 
d'Alexandrie,  579  et  599.  —  Premier  exem- 
ple d'un  évêque  transféré  et  coadjuteur,  II, 
123.  Doctrine  d'Origène,  161  et  231  et  suiv.; 
de  saint  Cyprien,  359,  360  et  563.  Les  évê- 
ques s'assemblaient  fréquemment,  531.  Ils 
étaient  les  arbitres  ordinaires  entre  les  chré- 
tiens, 369.  Canons  apostoliques  qui  les  con- 
cernent, 383, 584.  Constitutions  apostoliques, 
592,  593.  Canons  dix-huitième  et  dix  neu- 
vième du  concile  d'Elvire,  607.  Canon  dix- 
neuvième  du  concile  d'Arles,  632.  Canon 
dix-septième  du  concile  d'Ancyre,  639.  — 
Juridiction  des  évêques  autorisée  par  plu- 
sieurs lois  de  Constantin,  III,  146, 147.  Leurs 
prérogatives  selon  Eusèbe  de  Césarée,  289, 
290.  Canon  quatrième  de  Nicée  touchant 
l'ordination  des  évêques,  431,  432.  Canon 
cinquième,  touchant  leur  juridiction,  432. 
Canons  troisième  et  quatrième  du  concile 
d'Antioche,  467.  Canons  seizième,  dix-sep- 
tième et  dix-huitième  du  même,  469.  Ca- 
nons du  concile  de  Sardique,  485  et  suiv. 
Canon  cinquième  d'un  concile  de  Carthage, 
500.  Canon  treizième  d'un  concile  de  Lao- 
dicée,  510.  Canons  cinquante-septième  et 
cinquante-huitième  du  même,  513.  —  Évê- 
ques pris  entre  les  personnes  mariées,  mais 
à  quelle  condition,  IV,  2.  Doctrine  de  saint 
Hilaire,  44,  79,  80;  de  saint  Athanase,  219 
et  suiv.;  de  Lucifer  de  Gagliari,  266  et  suiv. 


Les  Ariens  appelaient  Constance  l'Evêque 
des  évêques,  270.  Doctrine  de  saint  Basile, 
524  et  suiv.  Reproches  que  les  évêques  ariens 
s'attirent,  398.  Canon  sixième  du  deuxième 
concile  de  Constantinople,  624.  Canon  cin- 
quième du  huitième  de  Carlhage,  648,  649. 

—  Témoignage  de  saint  Optât,  V,  129  et 
suiv.,  140.  Doctrine  de  saint  Pacien,  167, 
168,  169.  Doctrine  de  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze  sur  les  qualités  que  les  évêques  doi- 
vent avoir,  224.  Poème  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze  sur  les  évêques  de  son  temps,  272, 
273.  Autre  adressé  aux  évêques  assemblés  en 
concile  à  Constantinople.  Autre  sur  les  bri- 
gues des  évêques,  273.  Autre  en  forme  d'é- 
pigramme,  aux  évêques  qui  avaient  occa- 
sionné son  abdication,  293.  Autre  poëme 
contre  la  vie  peu  réglée  de  quelques  évêques, 
293  et  296.  Autre  touchant  les  évêques, 
296.  Poëme  de  saint  Grégoire  de  Nazianze 
contre  les  évêques  de  son  temps,  306.  Doc- 
trine de  saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  le 
zèle  et  la  charité  des  évêques,  348,  349. 
Qualités  épiscopales  de  saint  Ambroise,  380 
et  suiv.  Doctrine  de  saint  Ambroise  sur  les 
évêques,  365  et  suiv.  et  567.  —  Le  pape 
Sii'ice  oblige  les  évêques  à  la  continence, 
VI,  107.  Témoignage  de  saint  Grégoire  de 
Nysse  sur  les  évêques,  220,  245,  246,  252_ 
Loi  de  Constance  touchant  les  évêques,  342, 
Les  évêques  intercédaient  pour  les  criminels, 
372.  Erreur  d'Aérius  sur  les  évêques,   407. 

—  Témoignage  de  saint  Ghrysostôme  sur  les 
évêques,  VII,  37  et  suiv.,  40,  319,  330.  Rè- 
glements du  pape  saint  Innocent  touchant 
l'ordination  des  évêques,  307.  Évêques  du 
premier  siège  :  canon  vingt-septième  du 
concile  d'Hippone,  713.  Canons  vingtième  et 
vingt-unième  du  troisième  concile  de  Car- 
thage, 721.  Canon  vingt-sixième  du  même 
concile,  722.  Canons  premier  et  deuxième 
du  quatrième  concile  de  Carthage  sur  l'or- 
dination des  évêques,  727,  728.  Canons  du 
même  sur  l'ordination  des  évêques,  depuis 
le  quatrième  jusqu'au  quatorzième,  728, 
729.  Canons  du  même  sur  les  devoirs  des 
évêques,  depuis  le  quatorzième  jusqu'au 
trente-sixième,  729,  730.  Règlements  du 
pape  Zozime  touchant  les  évêques,  335  et 
suiv.  Supériorité  des  évêques  sur  les  prêtres. 
Doctrine  de  saint  Jérôme,  680  et  suiv.  — 
Sentiment  de  Synésius  sur  les  évêques  déser- 
teurs, VIII,  31.  Règles  et  témoignage  du 
pape  saint  Célestin,  129, 130, 140,  146.  L'his- 
torien  Socrate  remarque  qu'il  est  plus  du 


IV  siècle. 
379. 


382. 


393. 
397. 


398- 


IV 

et  V  siècles. 


412 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


devoir  d'un  évêque'  de  souffrir  la  violence 
que  de  la  faire,  367.  Canon  du  concile  de 
Carlhage  en  407,  543.  Autre  du  concile  de 
Cartilage  en  409,  344.  Jugement  du  concile 
d'Éphèse  sur  un  évêque  qui  abandonnait 
439.  son  église,  591.  Le  concile  de  Riez  réserve 
aux  évêques  le  droit  de  bénir  dans  l'église 
à  l'exclusion  des  prêtres,  606.  Un  évêque 
infirme  doit  appeler  un  évêque  voisin  pour 
faire  les  fonctions  qui  lui  sont  réservées, 
610.  —  Évêques  catholiques  d'Afrique  qui 
consentent  à  quitter  l'épiscopat  pour  le  bien 
de  la  paix,  IX,  417.  Doctrine  de  saint  Au- 
gustin sur  les  évêques,  783,  784.  — L'évèque 
des  Sarrasins  nommé  évêque  des  Camps. 
Pourquoi,  X,  17.  Pensée  de  Théodoret  sur 
les  devoirs  des  évêques,  21.  Témoignage 
du  même  sur  les  évêques ,  120,  130.  Au 
temps  de  Théodorel,  une  des  plus  grandes 
et  des  plus  pénibles  occupations  des  évêques 
était  de  terminer  les  procès  de  leurs  peu- 
ples, 137.  Ce  que  dit  le  pape  saint  Léon  sur 
les  qualités,  les  devoirs,  les  fonctions  et  les 
prérogatives  des  évêques,  179  et  261  etsuiv. 
Règlement  du  pape  saint  Hilaire,  337  et  713. 
Témoignage  du  pape  saint  Gélase,  302.  In- 
vectives de  Julien  Pomère  contre  les  évêques 
de  son  siècle,  591,  592.  Portrait  d'un  évêque 
selon  la  doctrine  apostoliqae,  392,  394  et 
suiv.  Les  évêques  doivent  passer  par  les  de- 
grés du  saint  ministère,  620.  Canon  du  con- 
cile de  Chalcédoine  touchant  les  évêques, 
696  et  suiv.  Canons  du  concile  de  Tarragone 
concernant  les  évêques,  748.  —  Comment 
le  pape  saint  Agapet  veut  qu'on  en  use  avec  les 
évêques  ariens  qui  entraient  dans  l'Église 
catholique,  XI,  119.  Ce  que  dit  Cassiodore 
des  évêques  et  des  autres  ministres  de  l'É- 
ghse,  214  et  248.  Dispositions  des  Novelles 
de  Justinien  concernant  les  évêques,  236, 
258,  239,  260.  Dispositions  du  Code,  261, 
262.  Témoignage  de  saint  Grégoire  de  Tours 
touchant  l'élection  des  évêques,  391,  392. 
Évêque  œcuménique  ou  universel  :  titre 
donné  au  pape,  436;  usurpé  par  Jean  le 
Jeûneur  et  d'autres  patriarches  de  Constan- 
tinople,  427  et  436.  Saint  Grégoire  s'oppose  à 
cette  prétention,  312.  Homélie  du  pape  saint 
Grégoire  sur  les  devoirs  des  évêques,  437, 
438.  Pastoral  de  ce  pape,  qui  est  un  traité 
des  devoirs  des  évêques,  462  et  suiv.  Saint 
Grégoire  prend  soin  de  l'élection  des  évê- 
ques, 484,  483,  491  et  suiv.,  496,  534.  Di- 
vers témoignages  du  même  concernant  les 
évêques,  484,  483,,  492,  493,  313,  518,  523 


et  suiv,  323,  330,  533,  372  etsuiv.,  374.  Té- 
moignage de  saint  Isidore  de  Séville,  718, 
719.  Formule  de  Marculfe  touchant  l'élec- 
tion des  évêques,  740.  Dispositions  du  concile 
d'Épaone,  814  et  suiv.  Canons  du  concile  de 
Lérida,  826.  Canons  du  deuxième  concile 
d'Orléans,  848.  Canons  du  troisième,  836  et 
suiv.;  du  quatrième,  860  et  suiv.;  du  cin- 
quième, 862  et  suiv.  Canon  de  ce  concile 
qui  défend  de  donner  au  peuple  un  évêque 
qu'il  refuse,  863.  Canon  du  troisième  con- 
cile de  Paris  sur  le  même  sujet,  883.  Canons 
du  concile  de  Lyon  concernant  les  évêques, 
887.  Canons  du  deuxième  de  Tours,  888  et 
suiv.  Canon  du  concile  de  Rrague  et  de 
Lugo,  891,  892.  Canon  du  concile  de  Mâcon, 
894,  893.  Canon  du  troisième  concile  de  To- 
lède, 901  et  suiv.  Canon  d'un  concile  de 
Rome,  907  ;  autre  d'un  concile  de  Barcelone, 
908.  Canons  du  cinquième  concile  de  Paris, 
912,  913.  Modification  que  Clotaire  II  y 
ajoute,  913.  Autres  règlements  d'un  concile 
de  Séville,  914,  913.  —  Parole  de  saint  Bo- 
niface,  archevêque  de  Mayence,  XII,  33. 
Évêques  des  monastères  :  quelles  étaient 
leurs  fonctions  et  dans  quelle  étendue  ils  les 
exerçaient,  139,  140.  Plaintes  de  saint  Pau- 
lin, patriarche  d'Aquilée,  contre  les  évêques 
qui  s'absentaient  de  leur  église,  163.  Sur  les 
représentations  des  peuples,  Charlemagne 
dispense  les  évêques  et  les  prêtres  du  ser- 
vice militaire,  233.  Édit  de  Charlemagne 
touchant  le  i-espect  dû  aux  évêques  et  aux 
prêtres,  237.  Autres  ordonnances  de  Charle- 
magne, 237  et  suiv.  [et  242,  243].  Exhorta- 
tion aux  évêques  :  poëme  de  Théodulfe, 
269.  [Mode  de  consécration  des  évêques 
grecs,  293,  note  2.]  Traité  de  Florus  de  Lyon 
sur  l'élection  des  évêques,  479,  480.  Déci- 
sion du  pape  saint  Nicolas  I"  sur  l'élection 
des  évêques,  581.  Témoignage  d'Hincmar 
de  Reims  sur  la  liberté  des  élections,  668, 
669.  Lettre  du  même  sur  les  cérémonies  de 
l'ordination  d'un  évêque,  680,  681.  Traité 
de  la  translation  des  évêques,  par  le  même, 
682.  Traité  des  devoirs  d'un  évêque,  par  le 
même,  682.  [Anciennes  promotions  des 
évêques,  704].  Témoignage  d'Alton  de  Ver- 
ceil  sur  ce  qui  concerne  les  évêques,  823. 
Témoignage  de  Rathiérus,  évêque  de  Vé- 
rone, sur  les  évêques,  849,  830.  Témoignage 
de  Luitprand  sur  les  évêque  grecs,  873.  Dis- 
cours de  Gerbert  sur  les  évêques,  905.  Dis- 
position d'un  concile  de  Reims  qui  regarde 
les  évêques,  913.  Canons  du  quatrième  con- 


517. 

534. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


413 


cile  de  Tolède,  917  et  suiv.  Canons  du  sep- 
645,         tième,  921.  Canons  d'un  concile  de  Chalon- 
sur-Saône,    931,  932.  Canons  d'un  concile 
de  Mérida,   937,    938.  Canons   du   concile 
d'Hereford,  939,   940.   Canons  du  onzième 
concile  de  Tolède,  940,  941.  Canons  du  qua- 
trième de  Brague,  942.  Canons  du  treizième 
de  Tolède,  9o7,  958.  Canons  du  concile  Qui- 
nisexte,  960,  961,  962.  Évêques  in  partibus 
infidelium.  Leur  origine.  Canon  du  concile 
Quinisexte  qui  les  concerne,  962.  —  Évêques 
parla  grâce  de  Dieu,  formule  usitée  dans  le 
x°  siècle,  XIII,  70.  Sentiment  de  Fulbert  de 
Chartres  sur  les  laïques  élevés  à  l'épiscopat, 
82,   83  ;  et  sur  les  évêques  guerriers,  86. 
Eustathe,    patriarche    de     Gonstantinople, 
usurpe  le  titre  d'évêque  universel  dans  l'O- 
rient, 106,  143,  194.  Évêques  cardinaux  : 
opuscule  de  saint  Pierre  Damien  qui  leur  est 
adressé,  317.  Témoignage  de  saint  Anselme 
de  Lucques  sur  les  élections  des   évêques, 
393,  394.  Explication  des  cérémonies  de  la 
consécration  d'un  évoque,  par  saint  Brunon 
de  Segni,  501.  Canons  d'un  concile  de  Rome 
qui  concernent   les  élections  des  évêques, 
608.  Articles  d'un  capitulaire  de  Louis  le  Dé- 
bonnaire touchant  les  élections  des  évêques, 
657.  Canons  du  concile  de  Cloveshou,  en 
Angleterre,  610  et  suiv.  Canons  du  deuxième 
général  de  Nicée,  629.  Canons  d'un  concile 
de  Rome,  660,  661  ;  de  Paris,  663 ,  dePavie, 
680;  de  Ravenne,  719,  729;  deTroyes,  721; 
de  Constantinople,  724;  deTribur,  735,  736; 
de  Troslé,  742,  743.  —  Doctrine  de  suint 
Anselme  sur  l'autorité  des  évêques,  XIV,  41. 
Novelle  de  l'empereur  Alexis  Comnène  con- 
cernant le  choix  de  ceux  qu'on  voulait  éle- 
ver à  l'épiscopat  ou  à  la  prêtrise,  141,  142. 
Constitution  touchant  ceux  qui  étaient  occu- 
pés parles  infldèles,  142. Traité  de  Geoffroy 
de  Vendôme  sur  l'ordination  des  évêques, 
166,  167.  Traité  de  la  bénédiction  des  évê- 
ques,   par  le  même,    168.  [Ministres    de 
l'évêque  allant  officier  à  l'autel.  Fonctions 
de  l'évêque  durant  le  saint  sacrifice,  296.] 
Lettre  de  saint  Bernard  sur  les  devoirs  des 
évêques,  427.  Les  évêques,  selon  saint  Ber- 
nard, sont  les  vicaires  de  Jésus-Christ,  462. 
Traité  de  saint  Bernard   des  mœurs  et  des 
devoirs  des  évêques,  466.    Analyse  de  ce 
traité,  466  et  467.   Lettre  de   Philippe  de 
Bonne-Espérance,  contenant  l'explication  du 
mot  Èvêque,  des  marques  de  la  dignité  épis- 
copale,   des  fonctions   et  des   devoirs  des 
évêques,  684.  Instruction  sur  les  devoirs  et 


les  qualités  d'un  évêque,  contenue  dans 
une  lettre  de  Pierre  de  Blois,  767.  Canon 
épiscopal  ou  constitution  d'un  évêque,  par 
le  même,  779.  Traité  des  mauvais  pasteurs, 
autre  ouvrage  de  Pierre  de  Blois,  781. 
[Causes  qui,  d'après  le  pape  Innocent  III, 
motivent  la  renonciation  ou  la  déposition 
d'un  évêque,  1002].  Canons  du  troisième  1209. 
concile  de  Latran  sur  les  élections  des 
évêques,  1139.  Un  concile  d'Avignon  re- 
commande aux  évêques  de  prêcher  plus 
souvent  et  plus  soigneusement,  1151.  Dé- 
cret d'un  concile  de  Paris  concernant  les 
archevêques  et  évêques,  1156.  Canons  du 
quatrième  concile  de  Latran  touchant  les 
élections  des  évêques,  1167. 

[EVERARD  de  Béthune  fait  l'éloge  de 
l'Aurora ,  poëme  de  Pierre  de  Riga,  XIV, 
887.] 

EVERACLE,  évêque  de  Liège.  Voyez 
Éracle. 

EVERHELME,  d'abord  moine  de  Stavélp,      y.  im. 
supérieur  du  monastère  de   Hautemont.  Il       4059. 
est  fait  abbé  de  Blandimberg,  à  Gand.  Ac- 
cusé de  défauts  de  conduite,  il  est  déféré  au 
pape  Alexandre  II,  qui  renvoie  l'afiaire  à 
Gervais,  archevêque  de  Reims.    Sa  mort.       joeg. 
Everhelme  a  écrit  la  vie  de  saint  Popon, 
abbé  de  Stavélo ,   son   oncle,   XIII,   270. 
(Voyez  son  article  dans  V Histoire  littéraire 
de  la  France^  t.  VU,  p.  397  et  suiv.) 

EVERVIiN  ou  EBERWIN,  abbé  d'un  mo-     ^i  siècle, 
nastère  de  Trêves,  est  chargé  par  l'arche- 
vêque Poppon  d'écrire  la  Vie  de  saint  Si- 
méon,  XIII,  121.  [Écrits  publiés  sous  son 
nom,  121,  n.  5.] 

EVERVIN,  prévôt  des  Prémontrés  de 
Steinfeld,  auteur  d'une  lettre  adressée  à 
saint  Bernard.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 
XII,  p.  447  et  suiv.) 

ÉVÉSÉNIENS,   peuple   d'Orient.    Lettre        3,5 
que  leur  écrivit  saint  Basile  le  Grand,  IV, 
480. 

EVESHAM,  monastère  fondé  par  saint  ^^ 
Egwin,  archevêque  de  Çantorbéry.  Traité 
de  l'origine  et  de  l'établissement  de  ce  mo- 
nastère, XIV,  1109,  dans  les  additions.  — 
Les  donations  faites  à  ce  monastère  sont 
confirmées  au  concile  d'Aine,  XIII,  604. 

[EVILMÉRODACH,  roi  de  Babylone  :  l'au- 
teur le  confond  à  tort  avec  Balthazar,  I,  171, 
note  1.) 

EVODIUS,  évêque  d'Usal,  originaire  de        416. 
Tagaste.  Avant  son  épiscopat,  il  s'était  lié        w. 


414 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


414. 


416. 
V.415. 


1201. 


XI  siècle. 


III  siècle. 


avec  saint  Augustin,  IX,  9.  Saint  Augustin, 
dans  ses  livres  du  libre  arbitre,  examine 
une  question  qui  lui  avait  été  proposée  par 
Evodius,  51.  Lettre  d'Evodius  à  saint  Au- 
giislin  et  réponse  de  celui-ci,  140  et  suiv. 
Autre  lettre  d'Evodias  à  saint  Augustin  et 
de  saint  Augustin  à  Evodius,  142,  143.  Autre 
lettre  de  saint  Augustin  à  Evodius,  147,  148. 
Lettre  d'Evodius  à  quatre  autres  évoques 
d'Afrique,  au  pape  saint  Innocent.  Réponse 
de  ce  pape,  150  et  VII,  523.  (Du  Pin  lui  at- 
tribue un  traité  de  la  Foi  ou  de  l'Unité  de  la 
Trinité,  qui  se  trouve  parmi  les  œuvres  de 
saint  Augustin  au  VIP  tome.) 

EVODIUS,  pour  qui  saint  Sidoine  Apolli- 
naire composa  une  épigramme,  X,  397. 

EVOPTIUS,  frère  de  Synésius,  archevêque 
de  Ptolémaïde,  VIII,  24.  Il  lui  succède,  28. 
Il  envoie  à  saint  Cyrille  l'écrit  de  Théodoret 
contre  ses  anathématismes,  310.  (Dans  la 
table  du  VHP  volume  on  a  eu  tort  d'im- 
primer Evopius  pour  Evoptius  et  d'en  faire 
deux  personnes  distinctes.) 

EVRARD,  archevêque  de  Sens.  Sa  mort. 
Wauthierlni  succède,  XII,  788. 

EVRARD,  sous-doyen  de  l'église  de  Char- 
tres, assassiné  ;  lettre  de  saint  Fulbert  à  ce 
sujet,  XIII,  83. 

EVRAUD,  chevalier,  accusé  d'hérésie,  en 
est  convaincu  dans  un  concile  qui  le  livre  au 
bras  séculier;  il  est  brûlé,  XIV,  1147. 

ÈVRE  (Saint),  évêque  de  Toul.  Sa  Vie  et 
l'office  de  sa  fête  composés  par  Autmonde, 
XI,  323.  —  Sa  Vie,  attribuée  à  Adson,  abbé 
de  Montier-en-Der,  XII,  887.  —  Sa  Vie  et 
ses  miracles,  écrits  par  un  anonyme,  XIII, 
185.  Abbaye  sous  son  nom  à  Toul,  tombée 
eu  ruine,  est  rétablie  par  Berthold  et  Bru- 
non,  évêques  de  TouJ,  211. 

EXALTATION  DE  LA  SAINTE  CROIX. 
Discours  de  Sophrone  de  Jérusalem  sur  ce 
sujet,  XI,  705.  —  Deux  discours  d'André  de 
Crète  sur  ceUe  fête,  XII,  57.  Vers  attribués 
au  même  sur  cette  fête,  58.  Homélie  de  Ni- 
cétas  le  Paphlagonien ,  736.  Discours  de 
l'empereur  Léon  VI,  775. —  Discours  de  saint 
Pierre  Damien,  XIII,  309.  Homélies  de  Théo- 
phanes  Céraméus,  655.  Sermon  de  Guil- 
laume d'Auvergne,  1027. 

EXAMEN  DE  CONSCIENCE.  Doctrine  de 
saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  183  et  230. 

EXCOMMUNICATION.Doctrined'Origène, 
II,  233,  234  et  239;  de  saint  Cyprien,  373. 
Canons  deuxième  et  trente- troisième  apos- 
toliques, 581  et  583.  Constitutions  apostoli- 


ques ,  593.  Canons  cinquantième  et  cin- 
quante-troisième du  concile  d'Elvire,  611. 
Canon  seizième  du  concile  d'Arles,  632.  — 
Canons  deuxième  et  sixième  du  concile 
d'Autioche,  III,  466,  467.  Canons  treizième 
et  quatorzième  du  concile  de  Sardique,  489. 
—  Canon  cinquième  du  concile  de  Sarra- 
gosse,  IV,  616.  Ordonnance  d'un  concile  de 
Rome,  642.  Canons  septième  et  huitième  du 
deuxième  concile  de  Garthage,  649.  Excom- 
munication prononcée  par  saint  Athanase, 
104.  Doctrine  et  témoignage  de  saint  Basile, 
375,  404,  487,  543.  —  Témoignage  de  saint 
Grégoire  de  Nysse,  VI,  245.  —  Canon  troi- 
sième, attribué  à  Théophile  d'Alexandrie, 
VU,  445  et  446.  Canon  du  concile  d'Hippone 
sur  les  évêques  excommuniés,  716.  Canon 
vingt-quatrième  du  quatrième  concile  de  Gar- 
thage, 729.  Canon  soixante-treizième  du 
même,  731.  Canon  quinzième  du  premier 
de  Tolède,  741. — Règlement  du  concile  gé- 
néral de  Garthage,  VIII,  538.  Canons  de  plu- 
sieurs conciles  de  quelques  villes  d'Afrique, 
561.  Canons  d'un  concile  d'Hippone,  562. 
Canon  neuvième  du  sixième  concile  de  Gar- 
thage, 564.  Canon  vingt-neuvième  du  même 
concile,  567.  Un  évêque  ne  doit  pas  commu- 
niquer avec  celui  qu'un  autre  évêque  a  ex- 
communié, 608.  —  Doctrine  de  saint  Augus- 
tin, IX,  188,  189,  257,  524,  780  et  suiv.  — 
Ce  que  dit  Théodoret  de  l'excommunication, 
X,  123, 124.  Selon  Isaac  l'Ancien,  les  prêtres 
doivent  en  user  rarement,  579.  Canons  du 
premier  concile  de  saint  Patrice,  705.  Canons 
du  concile  d'Agde  contre  les  évêques  qui  ex- 
communiaient sans  sujet  ou  pour  des  fautes 
légères,  737.  —  Règlement  du  pape  Jean  I" 
conforme  aux  canons  sur  l'excommunica- 
tion, XI,  118.  Excommunications  monasti- 
ques dont  parle  saint  Césaire,  147,  149.  Ex- 
communications de  différentes  sortes  dont 
il  est  fait  mention  dans  la  règle  de  saint  Be- 
noît, 169.  Témoignage  de  saint  Grégoire  de 
Tours,  394.  Doctrine  du  pape  saint  Grégoire 
le  Grand,  497  et  571.  Règles  de  saint  Isidore 
de  Séville  touchant  les  excommunications 
monastiques,  724.  Canons  du  cinquième  con- 
cile d'Orléans  touchant  l'excommunication, 
862.  Canons  du  concile  de  Toul,  863.  Canons 
du  onzième  concile  de  Paris,  883.  Canons 
d'un  concile  de  Paris,  913.  —  Règlement  du 
pape  Zacharie,  XII,  34.  Témoignages  de  Jo- 
nas,  évêque  d'Orléans,  391.  Ordonnance  du 
pape  Léon  IV,  408.  Avis  de  saint  Paschase 
Radbert  sur  les  excommunications,  330.  [Ef- 


IV  siecl^ 


341. 


347  ou  ml< 
343. 


386. 
390. 


398. 
400. 
401. 


418. 
419. 


5|i6. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


41S 


fet  de  l'excommunication  contre  un  souve- 
rain au  moyen  ûge,  577,  n.  3.  Excommuni- 
cations prodiguées  par  le  pape  Jean  VIII, 
650.  Observation  sur  le  reproche  qu'on  lui 
adresse  à  cette  occasion,  650,  n.  3.]  Remon- 
trances d'Hincmar  de  Reims  au  pape  saint 
Nicolas  l^',  670.  Témoignage  de  saint  Odon 
de  Cluny  sur  le  mépris  des  excommunica- 
tions, 808.  Règlement  d'Atton  de  Verceil, 
822.  Témoignage  de  Rathérius  de  Vérone 
sur  le  mépris  des  excommunications,  851. 
g25.  Canons  d'un  concile  de  Reims, 915.  —  Lettre 
i  siècle,  de  saint  Vicon,  solitaire  d'Arménie,  sur  l'ex- 
communication injuste,  XIII,  47,  48.  [For- 
mule d'une  excommunication  au  x=  siècle, 
I  siècle.  61.]  Témoignage  de  saint  Fulbert  de  Char- 
tres sur  l'excommunication,  81.  Lettre  de 
Drogon,  évêque  de  Beauvais,  123.  Témoi- 
gnage de  Gérard,  évêque  de  Cambrai,  463, 
164.  Lettre  du  pape  saint  Grégoire  VII  sur 
l'excommunication  des  rois,  361.  (Voyez  361, 
note  6.)  Ses  droits  principalement  à  l'égard 
du  roi  d'Allemagne  et  de  l'empire  d'Occi- 
dent, 376.  Exception  qu'il  met  aux  etiets  de 
l'excommunication,  365.  [Exemples  d'excom- 
munication lancée  contre  ceux  qui  avaient 
excommunié  des  papes,  et  exemples  d'ex- 
communication contre  les  rois  et  les  empe- 
reurs, 564.]  Suites  et  effets  de  l'excommuni- 
cation au  vm"  siècle,  614.  Canon  d'un  con- 
cile de  Metz  sur  l'excommunication,  733.  — 
Doctrine  de  saint  Anselme,  XIV,  40.  Partie 
du  décret  d'Yves  de  Chartres  dans  laquelle 
il  parle  d'excommunication,  97.  Réponses 
d'Yves  de  Chartres  à  diverses  questions  qui 
lui  avaient  été  faites  sur  les  excommunica- 
tions, m,  115.  [Excommunication  encourue 
pour  avoir  coupé  tenez  à  un  clerc,  278.] Se- 
lon le  pape  Innocent  III,  on  ne  doit  pasrefu- 
fuser  la  sépulture  ecclésiastique  à  un  excom- 
munié qui,  avant  de  mourir,  a  reconnu  sa 
g  faute,  969.  Canons  du  concile  de  Reims  con- 
3_  cernant  les  excommuniés,  1121.  Canons  du 
concile  de  Tours,  1130.  Canons  d'un  concile 
5_  d'Avignon,  1151.  Canon  du  quatrième  con- 
cile de  Latran  concernant  les  excommunica- 
tions, 1169. 

EXÉCUTION  des  criminels  suspendue  pen- 
dant trente  jours  par  une  loi  de  Théodose, 
V,  372. 

[EXEMPLES  allégués  par  saint  Clément 
pour  la  conservation  et  la  perte  de  la  virgi- 
nité, 1,  352,  353.J 

EXEMPTIONS  accordées  aux  abbayes  et 
aux  monastères  par  les  rois,  XII,  503.  — 


Exemptions  blâmées  par  saint  Bernard,  XIV, 
463,  464.  Comment  elles  sont  justifiées  par 
Pierre  le  Vénérable,  505. 

EXERCICES  SPIRITUELS  attribués  à  Ead- 
mer,  prieur  de  Saint-Alban,  XIV,  45. 

EXHORTATION  aux  Grecs  par  saint  Jus-  ii  sièoie. 
tin,  1,  411,  412;  aux  païens,  par  Clément 
d'Alexandrie,  565  ;  —  au  martyre,  par  Ter- 
tullien,  11,31;  par  Origène,  177  et  suiv.;  par 
saint  Cyprien,  283  et  suiv.  [Exhortation  à  la 
pénitence,  livre  attribué  à  saint  Cyprien, 
343.]  —  Exhortation  par  le  poète  Prudence, 
VIII,  106.  —  [Exhortation  à  un  jeune  roi, 
par  saint  Éloi  ou  par  saint  Ouen,  XI,  757  et 
suiv.].  —  Exhortation  par  saint  Euloge  de 
Cordoue,XII,  520.  Exhortations  de  l'empe- 
reur Basile  le  Macédonien  adressées  à  son 
fils  Léon,  625. 

[EXIL  (De  F)  et  de  la  patrie  de  l'âme,  ou- 
vrage d'Honoré  d'Autun,  XIV,  300.] 

EXILÉS  rappelés  par  Julien,  V,  8;  —  en-     ,y ^^^^^^^ 
suite  par  Gratien,  IV,  364.  —  Loi  de  Gratien 
pour  le  rappel  des  exilés,  VI,  121. 

EXISTENCE  DE  DIEU.  Doctrine  de  saint     ,i,3,j„,e. 
Cyprien,  II,  350. 

EXODE,  second  livre  du  Pentateuque.  Ce 
livre  est  certainement  de  Moïse;  le  texte 
même  le  prouve;  Jésus-Christ  nous  assure 
que  l'Exode  est  de  Moïse,  I,  21,  22.  Ce  que 
c'est  que  l'Exode,  35.  [Questions  et  réponses 
sur  l'Exode  par  Philon  le  Juif,  313,  n.  1.] 
Commentaire  de  saint  Hippolyte  sur  l'Exode, 
610.  —  Ouvrages  d'Origène  sur  l'Exode,  II, 
149.  —  [Plusieurs  traités  de  saint  Zenon  de 
Verceil  sur  l'Exode,  VI,  274.]  —  Questions 
sur  l'Exode,  de  saint  Augustin,  IX,  209  et 
suiv.  Sermon  du  même  sur  l'Exode,  235.  — 
Questions  de  Théodoret  sur  l'Exode,  X,  28, 
29.  Poème  de  saint  Avit  sur  l'Exode,  567.  — 
Explication  de  quelquesfragments  de  l'Exode 
par  le  Vénérable  Bède,  XII,  8.  Commentaire 
de  Claude  de  Turin  sur  l'Exode,  351.  Voyez 
Pentateuque. 

EXOMOLOGÈSE.  Ce  que  ce  mot  signifie 
dans  saint  Cyprien,  II,  294. 

EXORCISMES  de   l'Église.    Témoignage     m  siècle. 
d'Origène,  11,236;  de  Lactance,  515.  — Ca-     iv  siècle, 
non  vingt-sixième  du  concile  de  Laodicée, 
III,  514.  —  Témoignage  de  saint  Cyrille  de     iv  siècle. 
Jérusalem,  V,  73;  de  saint  Optât,  132.Exor- 
cismes,  ouvrage  faussement  attribué  à  saint 
Ambroise,  512.  —  Canon  huitième  du  con-    Après  m. 
cile  de  Rome  sous  le  pape  saint  Innocent, 
VIII,  545,  546.  —  Doctrine  de  saint  Augustin   et  v  siècles, 
sur  les  exorcismes,  IX,  421, 465,  655,  753. 


416 


HISTOIRE   DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


m  siècle. 


III  siècle. 


416. 


EXORCISTES,  marqués  par  saint  Cyprien, 
II,  341  et  363.  Novatien  délivré  du  démon 
par  les  exorcistes  de  l'Église,  426.  Exorciste, 
marqué  dans  les  actes  de  saint  Genès  le  Co- 
médien, 467.  Constitutions  apostoliques  qui 
les  concernent,  594.  —  Exorcistes  marqués 
dans  les  Actes  de  saint  Procope,  III,  4  et  351  ; 
de  saint  Romain,  5.  — Saint  Épiphane parle 
des  excentriques,  VI,  432.  —  Canon  sep- 
tième du  quatrième  concile  de  Cartbage, 

VII,  728.  Canons  quatre-vingt-dizième  et 
quatre-vingt-douzième  du  même  concile, 
732.  —  Fonctions  des  exorcistes,  selon  saint 
Isidore  de  Séville,  XI,  719. 

EXOUCONTIENS,  nom  donné  aux  Ariens, 
IV,  135. 

EXPOSITION  de  la  sainte  Trinité  :  ouvrage 
faussement  attribué  à  saint  Justin,  I,  433. — 
Exposition  abrégée  de  la  foi  orthodoxe  :  ou- 
vrage attribué  à  saint  Cyrille  d'Alexandrie, 

VIII,  324  et  [324,  note  2.  —  Exposition  de  foi 
par  saint  Augustin,  836  et  841.]  —  Ouvrage 
de  Guitmond  sur  les  mystères  de  la  Trinité, 

^  de  l'Incarnation  et  de  l'Eucharistie,  XIII, 
.'522.  —  [Expositions  courtes  sur  les  évan- 
giles, sous  le  nom  de  saint  Maxime  de  Turin, 
ce  qu'elles  contiennent,  X,  326.]  —  Exposi- 
tion sur  tous  les  prologues  de  la  Bible,  ou- 
vrage d'Adam  de  Saint-Victor,  XIV,  721, 
722. 

EXTRAITS.  Dix  livres  d'extraits  attribués 
à  Hugues  de  Saint- Victor  par  les  uns,  et  à 
Richard,  son  disciple,   par  d'autres,  XIV 
352. 

[EXTERMINATION  du  mal  et  promotion 
du  bien  :  traité  de  Richard,  prieur  de  Saint- 
Victor,  XIV,  704.] 

EXTRÊME-ONCTION.  Doctrine  d'Origène 
sur  l'Extrême-Onction,  II,  243.  —  [Extrême- 
Onction  reconnue  comme  sacrement  d'ins- 
titution divine  par  saint  Éphrem,  VI,  450.] 
—  Canon  huitième  dans  la  lettre  du  pape 
saint  Innocent  à  Décentius,  évéque  d'Eu- 
gubio,  VII,  520.  —  Comment  ce  sacrement 
s'administrait  au  ix=  siècle,  XII,  270.  Témoi- 
gnage d'Halitgaire,  évêque  de  Cambrai,  330; 
de  Jonas,  évêque  d'Orléans,  391.  Extrême- 
Onction  administrée  par  plusieurs  prêtres  et 
plusieurs  jours  de  suite,  698.  —  Usage  d'ad- 
ministrer l'Extrême-Onction  avec  le  saint 
Viatique,  XIII,  55.  —  Geoffroy  de  Vendôme 
et  Yves  de  Chartres  croyaient  que  le  sacre- 
ment d'Extrême-Onction  ne  pouvait  se  réi- 


térer, XIV,  120,  162, 168.  Traité  de  GeoËfroy 
de  Vendôme  sur  l'Extrême-Onction,  168. 
Sentiment  de  Robert  Paululus  sur  l'Extrême- 
Onction,  357.  Sentiment  deHermanse,  abbé 
de  Saint-Martin  de  Tournai,  412.  Saint  Ma- 
lachie  d'Armagh  reçoit  l'Extrême-Onction 
avant  le  saint  Viatique,  482.  Témoignage  de 
Pierre  le  Vénérable  sur  le  même  usage,  502 
et  508.  Pourquoi,  selon  Pierre  le  Vénérable, 
on  peut  réitérer  ce  sacrement,  511.  Doctrine 
de  Pierre  Lombard  sur  l'Extrême-Onction, 
565.  Ce  que  Guillaume  d'Auvergne  dit  de 
l'Extrême-Onction  dans  son  traité  des  Sacre- 
ments, 1024. 

EXUPÉRANCE,  homme  de  guerre,  à  qui 
saint  Jérôme  écrivit  une  lettre,  VII, 

EXUPÈRE  (Saint),  martyr,  l'un  des  ofiS- 
ciers  généraux  de  la  légion  Thébéenne,  II, 
473. 

EXUPÈRE  (Saint),  évêque  de  Toulouse. 
Lettre  canonique  du  pape  saint  Innocent  qui 
lui  est  adressée,  VII,  510,  511.  Saint  Jérôme 
lui  dédie  son  commentaire  sur  Zacharie, 
569  ;  fait  son  éloge,  676. 

EX-VOTO.  Ils  étaient  en  usage  dès  le 
temps  de  Théodoret,  X,  96  et  133. 

[ÉZÉCHIEL,  prophète  '.  Sa  naissance.  11 
est  emmené  captif,  I,  167.  Il  commence  à 
prophétiser  en  3409.  Il  continue  à  prophé- 
tiser la  ruine  de  Jérusalem  et  du  peuple  juif. 
Autres  visions  d'Ézéchiel.  Mort  de  sa  femme. 
Dieu  lui  défend  de  pleurer.  Il  prophétise 
contre  divers  peuples  ennemis  des  Juifs.  Il 
prédit  le  retour  de  la  captivité,  le  rétablis- 
sement de  la  ville  et  du  temple  de  Jérusa- 
lem, 168.  Sa  mort.  Il  est  auteur  des  écrits 
qui  portent  son  nom  et  n'en  a  a  point  fait 
d'autres,  168.  Éloge  d'Ézéchiel,  169.  Son 
style  et  obscurité  de  ses  prophéties,  169  et 
170.  Commentaire  de  saint  Hippolyte,  évêque 
et  martyr,  sur  Ézéchiel,  613;  —  d'Origène, 
n,  161;— de  saint  Éphrem,  VI,  439et446;  — 
de  saint  Jérôme,  Vil,  567,  568;  —  de  saint 
Cyrille  d'Alexandrie,  on  n'en  a  que  des 
fragments,  VIII,  349.  —  ExpHcation  donnée 
par  saint  Augustin  de  l'endroit  que  Julien 
le  Pélagien  regardait  comme  son  plus  fort 
argument,  IX,  552.  —  Commentaire  de 
Théodoret  sur  Ézéchiel,  X,  39,  40.  —  Ho- 
méhes  de  saint  Grégoire  le  Grand  sur  Ézé- 
chiel, XI,  452  et  suiv.;  d'Isidore  de  Sé- 
ville, 775;  de  Patérius,  550;  —  de  Wa 
lafride  Strabon,   dans  sa  Glose   ordinaire, 


405 


>   Cet   article   ne    se   trouve   pas   dans    Rondet.      (L'éditeur.) 


XII,  411;  d'Haimon,  évêque  d'Halberstat, 
433  ;  de  Raban  Maur,  431.  Traité  de  Ri- 
chard, prieur  de  Saint- Victor,  sur  Ézéchiel, 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES.  417 

ou  explication  littérale  des  animaux,  des 
races  et  des  édifices  décrits  dans  les  visions 
du  prophète,  701.] 


V.240.  FABIEN  (Saint),  pape,  condamne  l'héré- 

tique Privât ,  II ,  353.  —  Décrétales  suppo- 
sées sous  son  nom,  VI,  83,  86.  — Origène 
lui  écrivit,  VII,  613.  —  Sermon  de  Guillaume 
■  d'Auvergne  en  l'honneur  de  saint  Fabien  et 

~  de  saint  Sébastien,  XIV,  1027. 

FABIEN,  arien,  contre  lequel  saint  Ful- 
gence  de  Ruspe  avait  écrit  dix  Uvres  dont  il 
ne  reste  que  des  fragments ,  XI ,  70.  Extrait 
de  ces  fragments,  70  et  suiv. 
7  çt  400.  FABIOLE  (Sainte),  dame  romaine  :  lettres 
que  lui  écrivit  saint  Jérôme,  VII,  539,  560. 
400.        Lettre  de  saint  Jérôme  à  Océanus  sur  la  mort 

de  cette  dame,  633. 
lY  FABIOLE,  fille  à  qui  saint  Augustin  écrivit 

vsiècie.    une  lettre,  IX,  192, 

251  FABIUS,  évêque  d'Antioche.  Lettres  que 

lui  écrit  le  pape  saint  Corneille,  II,  125  et 
[siècle.     ^^^^-  Lettres  que  lui  écrit  saint  Denys  d'A- 
lexandrie, 402.  Affaire  qui  donna  occasion 
à  ces  deux  lettres,  339. 

FABIUS  VICTOR  (Saint),  père  du  saint 

martyr  Maximilien,  martyr,  II,  279  et  480. 

FABLES  des  poètes,   dangereuses    aux 

enfants,  selon  Clément  d'Alexandrie,  I,  604. 

—  Théologie  fabuleuse  des  païens ,  exposée 
par  Eusèbe  de  Césarée,  III,  184.  —  Saint 
Augustin  blâme  l'usage  d'apprendre  les 
fables  aux  enfants,  IX,  26.  —  [Fables  du 
vénérable  Hildebert,  évêque  du  Mans,  XIV, 
223.] 

FABRACA,  ville  de  la  province  proconsu- 
laire, dans  l'Afrique,  VIII,  570. 

FABRICIUS  (Jean- Albert).  [Son  recueil 
des  Évangiles  apocryphes,  I,  275.]  Son  édi- 
tion des  ouvrages  de  saint  Hippolyte,  évê- 
que et  martyr,  641.  — Son  édition  du  traité 
des  Hérésies,  ouvrage  de  saint  Philastre, 
évêque  de  Brescia,  V,  178.  —  [Son  édition 
des  deux  Dialogues  d'Hiéronyme,  VI,  333.] 

—  Son  édition  de  l'Histoire  des  ÉgUses  du 
Nord,  par  Adam  de  Brème,  avec  plusieurs 
pièces  relatives,  XIV,  206.  [Son  édition  du 
Catalogue  des  écrivains  ecclésiastiques  d'Ho- 
noré d'Autun,  300.]  Erreur  de  Fabricius  sur 
un  concile  de  Véroli,  dans  la  Bibliothèque 
grecque,  1117.  [Son  édition  du  discours  de 

TAB.  1. 


Nicétas  Choniate,  sur  les   monuments  dé- 
truits par  les  croisés,  1177.] 

FABRICIUS  (Georges),  allemand.  Son  re- 
cueil des  poètes  chrétiens  latins,  X,  318. 

FABRICIUS  (Gui).  Son  édition  du  livre 
des  rites  du  baptême  et  de  la  communion,  à 
l'usage  des  chrétiens  de  Syrie,  XI,  108. 

FABROT  (Charles-Annibal).  Ses  notes  sur 
la  chronologie  de  saint  Nicéphore,  XII,  282. 
Son  édition  des  Basihques,  avec  une  tra- 
duction latine,  774.  —  [Son  édition  des  cinq 
premiers  livres  des  Annales  de  Nicétas 
Choniate,  XIV,  1076.] 

FACE  (la  Sainte)  de  Notre-Seigneur  :  his- 
toire de  sa  translation,  faussement  attribuée 
à  saint  Méthode,  III,  68. 

[FACETUS,  poème  de  Jean  de  Garlande, 
sur  les  devoirs  des  hommes,  XIII,  230.] 

FACUNDUS,  évêque  d'Hermiane  en 
Afrique,  se  trouve  au  concile  de  Constanti- 
nople,  présidé  par  le  pape  Vigile.  Il  s'op- 
pose à  la  condamnation  des  Trois-Chapitres. 
Il  rend  pubhc  l'ouvrage  qu'il  avait  composé 
pour  leur  défense  et  l'adresse  à  l'empereur 
Justinien,  XI,  285.  Analyse  des  douze  livres 
que  contient  cet  ouvrage,  285  et  suiv.  Pre- 
mier livre,  285  et  suiv,;  second,  288,  289; 
troisième,  289;  quatrième,  289  et  290;  cin- 
quième; sixième,  290;  septième,  290  et 
291;  huitième,  291,  292;  neuvième,  292  et 
suiv.;  dixième,  293,  296;  onzième,  296; 
douzième,  296  et  297.  Il  se  sépare  de  la 
communion  des  évêques  qui  avaient  con- 
damné les  Trois-Chapitres  ;  il  est  envoyé  en 
exil,  297,  Il  écrit  contre  Mucien  ;  analyse  de 
ce  traité,  297  et  298,  Sa  lettre  intitulée  :  De 
la  foi  catholique,  298, 299.  Jugement  sur  les 
écrits  de  Facundus.  Éditions  qu'on  en  a 
faites,  399  et  suiv,  [Autres  éditions,  301.] 

FAIBLESSE.  Le  Fils  de  Dieu  a  pris  toutes 
les  faiblesses  de  la  nature  humaine,  excepté 
l'ignorance  et  le  péché,  V,  339. 

FAIDE,  droit  de  vengeance,  XII,  239. 

FAILBÉUS,  abbé  de  Hi  :  sa  mort,  XI,  800. 

[FAILLON,  prêtre  de  la  société  de  Saint- 
Sulpice,  auteur  des  Monuments  inédits  sur 
l'apostolat  de  sainte  Madeleine.  Son  édition 

27 


5«. 


V.  664. 


418 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


303. 


XI  siècle. 


538. 

850. 

1033. 

Y.  1030. 


IX  siècle. 


394. 


192. 


de  la  Vie  de  sainte  Madeleine,  par  Raban 
Maur,  XII,  469  et  suiv,] 

FAINE  (Sainte),  vierge  et  martyre,  à  An- 
cyre,  III,  15. 

FALNÉANTS,  Moines  fainéants  contre  les- 
quels s'élève  saint  Augustin,  IX,  278. 

FALCON  ou  FAUCON,  moine  de  Tournas, 
écrit  la  Chronique  de  ce  monastère;  idée  de 
cette  Chronique  :  éditions  qu'on  en  a  faites, 

XIII,  464.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  VIII,  p.  327  et  suiv.) 

[FALCON,  notaire  et  secrétaire  du  Sacré 
Palais.  Sa  Chronique  sur  les  événements 
contemporains,  XIII,  523.] 

FALCON,  doyen  de  l'Église  de  Lyon,  est 
élu  archevêque,  XIV,  438. 

FALCONIAouFALïONIA.  Voyez  Valeria. 

FALGONILLE,  païenne  :  sa  prétendue  dé- 
livrance des  enfers,  XII,  84. 

FALLBTI  (Jérôme),  comte  de  Trignano. 
Sa  traduction  italienne  du  traité  d'Athéna- 
gore  de  la  Résurrection  des  morts,  I,  487. 
[De  la  Légation,  du  même,  487.] 

FALÏONIA  ou  FALCONIA.  Voyez  Valeria. 

FAMINE  et  sécheresse  en  Cappadoce. 
Saint  Basile  y  assiste  les  pauvres,  IV,  353. 
Homéhe  de  saint  Basile  à  cette  occasion, 
382,  383.  —  Famine  générale  au  temps  de 
Julien  l'Apostat,  VII,  88.  —  Famine  cruelle 
en  Ligurie,  XI,  219,  220.  Famine  dans  les 
Gaules,  370.  —  Autre  en  Allemagne,  XII, 
446.  —  Autre  en  France   et  en  Germanie, 

XIV,  142.  Famine  affreuse  en  France  ;  con- 
ciles à  cette  occasion,  146. 

FANATIQUE  dans  le  Gévaudan,  qui  se 
disait  le  Christ,  XI,  371. 

FANDILA  (Saint),  moine,  l'un  des  mar- 
tyrs de  Gordoue,  XII,  519. 

FANO,  ville  d'ItaUe.  Opuscule  dans  lequel 
saint  Pierre  Damien  exhorte  les  chanoines  de 
l'église  de  Fano  à  vivre  en  commun,  XIII,  316. 

FARAMOND ,  usurpateur  du  siège  de 
Maëstricht,  XII,  130. 

FARAMOND,  roi  de  France.  Voyez  Pha- 
ramond. 

FARCEURS.  Ils  n'étaient  point  admis  au 
baptême  qu  ils  n'eussent  quitté  leur  profes- 
sion, II,  S94.  —  Loi  de  Théodose  contre  les 
farceurs,  VI,  374. 

FARD.  Comment  saint  Gyprien  en  parle, 
II,  274.  —  Ce  qu'en  dit  saint  Ambroise,  V, 
397  ;  saint  Augustin,  IX,  187. 

FARDULFE,  abbé  de  Saiut-Denys,  était 
un  Lombard,  amené  en  France  avec  le  roi 
Didier,  après  la  prise  de  Pavie.  Comment  il 


est  instruit  de  la  conjuration  formée  par 
Pépin  contre  Charlemagne.  Il  en  instruit  le 
roi,  qui  quelque  temps  après  lui  donne  l'ab- 
baye de  Saint-Denys  près  Paris.  Sa  mort. 
Quelques  petits  poèmes  que  nous  avons  de 
lui,  XII,  217.  [Ses  écrits  dans  la  Patrologie, 
217,  218.]  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  tome  IV,  p.  355.) 

FARE  (Sainte),  abbesse  d'Évoriac  ou  Fa- 
remoutier.  Saint  Colomban  la  consacre  à 
Dieu,  XI,  616.  Sa  Vie  par  Jonas,  abbé  d'El- 
none,  737,  et  XII,  7. 

[FAREMOUTIER,  monastère.  Philippe, 
roi  de  France,  exhorte  Bernard,  abbbé  de 
Montmaïour,  à  réformer  les  mœurs  du  mo- 
nastère de  Faremoutier,  XIV,  91,  note  2.] 

FARFE,  monastère  au  duché  de  Spolète. 
[Bulle  du  pape  Etienne  IV  au  monastère  de 
Farfe,  XII,  402.  Bulle  du  pape  Pascal  pour 
ce  même  monastère,  403.]  —  Jugement  ren- 
du par  le  pape  Benoit  VIII  en  faveur  de 
l'abbaye  de  Farfe  contre  ceux  qui  avaient 
usurpé  de  ses  biens,  XIII,  190,  191 .  Com- 
ment la  discipline  de  Cluny  passa  dans  cette 
abbaye,  476.  Usages  de  cette  abbaye  recueil- 
lis par  le  moine  Gui.  Conformité  de  ces 
usages  avec  ceux  de  Cluny,  477,  478.  [Re- 
cueil des  chartes  de  Farfe,  470  et  471.] 

PARON  (Saint),  évêque  de  Meaux.  Privi- 
lège qu'il  accorde  au  monastère  de  Sainte- 
Croix,  XI,  734.  [Deux  chartes  et  son  testa- 
ment dans  la  Patrologie,  734,  note  3.]  —  Sa 
vie  écrite  en  prose  par  l'évêque  Hildegaire, 
est  mise  en  vers  par  Fulcoie,  sous-diacre  de 
l'Église  de  Meaux,  XIII,  341. 

FARSIT  (Hugues),  abbé  de  Saint-Père  en 
Vallée.  Voyez  Hugues  Farsit. 

FASAN,  élu  pape,  prend  le  nom  de  Jean 
XVIII,  XIII,  189.  Voyez  Jean  XVJII. 

FASCIUS,  débiteur  qui  réclame  les  se- 
cours de  l'Église,  et  dont  saint  Augustin 
paie  les  créanciers,  VI,  373. 

FASITELLUS  (Honorât).  Ses  éditions  des 
œuvres  de  Lactance,  II,  520. 

FASTES  consulaires  d'Idace,  X,  342. 

FASTIDIOSUS,  prêtre  apostat.  Écrit  de 
saint  Fulgence  de  Ruspe  contre  un  de  ses 
sermons,  XI,  34,  35. 

FASTIDIUS,  évêque  des  Bretons.  Temps 
où  il  a  vécu.  Pitséus  le  dit  évêque  de  Lon- 
dres; mais  Ussérius  ne  désigne  point  le  siège 
dont  il  était  évêque  ;  et  de  plus  quelques 
manuscrits  de  Gennade  ne  le  qualifient  point 
évêque  ;  il  paraît  même,  par  les  expressions 
dont  il  se  sert  dans  ses  écrits,  qu'il  était  un 


100*. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


419 


simple  moine,  X,  132.  Ses  traités  de  la  Vie 
chrétienne  et  des  Moyens  de  conserver  la 
viduité  ;  raisons  qui  portent  à  croire  que  ces 
deux  traités  ne  sont  qu'un  même  ouvrage, 
ou  que  le  second  est  perdu,  133.  Analyse 
du  traité  de  la  Vie  chrétienne,  133  et  134. 
Jugement  sur  cet  écrit  :  il  est  infecté  de  pé- 
lagianisme,  134.  [Éditions  de  ce  traité,  154.] 

FASTRADE,  femme  de  Charlemagne.  Son 
épitaphe  composée  par  Théodulphe  d'Or- 
léans, XII,  269. 

FASTRÈDE  ou  FASTRADE  ouFLASTER, 
abbé  de  Glairvaux.  [Circonstances  de  sa  vie. 
Sa  lettre  à  un  abbé  sur  l'observation  de  la 
discipline  monastique,  XIV,  623.  Sa  lettre  à 
Omnibon,  évêque  de  Vérone,  sur  l'extinc- 
tion du  schisme  de  l'antipape  Victor,  623  et 
t.  626.  Il  devient  abbé  de  Cîteaux,  626.  Édi- 
tion de  ses  lettres  dans  la  Patrologie,  626.] 
(L'article  qu'on  donne  dans  la  nouvelle  édi- 
tion de  dom  Ceillier  est  emprunté  à  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  XII,  p.  625  etsuiv.) 

FATALE,  nom  de  la  personne  à  qui  Fas- 
tidius,  évêque  des  Bretons,  adresse  une 
partie  de  son  traité  sur  la  Vie  chrétienne, 
X,  153. 

[FATALISME  réfuté  par  saint  Éphrem, 
VI,  433,  434,  433.]  Voyez  Destin. 

FAUCON,  moine  de  Tournus.  Voy.  Falcon. 

FAUSSAIRES.  Dispositions  du  pape  Inno- 
cent III  au  sujet  de  faussaires  qui  avaient 
fabriqué  des  bulles,  XIV,  960,  963,  969. 

FAUSTA,  seconde  femme  de  Constantin. 
Son  crime  et  sa  punition,  III,  123. 

FAUSTE,  auteur  des  Actes  de  saint  An- 
doche  et  de  ses  compagnons,  martyrs. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  I,  part,  T,  p.  294  et  suiv.) 

FAUSTE,  diacre  d'Alexandrie,  exilé  pour 

la  foi,  II,  397. 

30i.  FAUSTE(Saint),  diacre  deCordoue,  111,86. 

373_  FAUSTE,   ordonné  évêque  de  Satales  en 

Arménie,  IV,  338.  Saint  Basile  se  plaint  de 

son  ordination  illégitime,  360. 

FAUSTE,  diacre,  qui  avait  combattu  con- 
tre les  ennemis  et  en  avait  abattu  plusieurs, 
VIII,  31. 
404.  FAUSTE  le  Manichéen.  Conférences  que 

saint  Augustin  eut  avec  lui  et  dans  lesquelles 
il  reconnut  son  ignorance,  IX,  23.  Trente- 
trois  livres  de  saint  Augustin  contre  Fauste, 
339  et  suiv.  Comment  Fauste  définissait  le 
schisme  et  l'hérésie,  800. 

FAUSTE,  abbé  à  Constantinople,  souscrit 
à  la  condamnation  d'Eutychès,  X,  214.  Let- 


tres que  lui  écrit  le  pape  saint  Léon,  214  et 
216,  219.  Eutychès  envoie  son  tome  dans 
son  monastère  pour  y  être  souscrit,  672. 

FAUSTE,  abbé  de  Lérins,  depuis  évêque 
de  Riez  en  Provence.  Sa  naissance  et  ses 
études.  Il  se  retire  à  l'abbaye  de  Lérins,  X, 
420.  Il  en  est  fait  abbé.  Son  différend  avec  432. 
Théodore,  évêque  de  Fréjus,  terminé  dans 
un  concile,  420  et  421.  Après  la  mort  de 
saint  Maxime  il  est  fait  évêque  de  Riez.  Il  454. 
est  député  à  Rome  avec  Auxanius  d'Aix  au  455  ou  456. 
sujet  d'Hermès,  évêque  de  Narbonne.  Il  as-  462. 
siste  à  la  dédicace  de  l'église  de  Lyon  et  il  470. 
est  chargé  d'écrire  contre  Lucide,  421.  Son  V.  48i. 
exil  :  quel  a  pu  en  être  le  motif.  Sa  mort,  Après  493. 
422.  Ses  écrits  :  Lettre  à  Gratien,  diacre  de 
l'Église  catholique.  Lettre  ou  traité  contre 
les  Ariens  et  les  Macédoniens,  422  et  423. 
Ce  qu'il  y  dit  de  la  nature  de  l'âme  réfuté 
par  Mammert  Claudien,  348.  Lettre  à  Benoît 
Paulin,  424,  425.  Lettre  à  Lucide,  423  et 
suiv.  Livres  de  Fauste  sur  la  grâce  et  le 
libre  arbitre,  427  et  suiv.  Analyse  du  pre- 
mier livre,  428  et  suiv.  Analyse  du  second, 
431  et  suiv.  Lettre  à  l'évêque  Léonce  en  lui 
adressant  cet  ouvrage.  Les  sentiments  de 
Fauste  sur  la  grâce  et  le  libre  arbitre  sont 
rejetés  dans  toute  l'Église  catholique,  433. 
Livre  de  Fauste  sur  le  Saint-Esprit,  434. 
Lettres  de  Fauste,  434  et  435.  Ses  sermons, 
435,  436.  Homélies  qui  lui  sont  attribuées. 
Ouvrages  de  Fauste  qui  sont  perdus,  436. 
Jugement  sur  ses  écrits.  Éditions  qu'on  en 
a  faites,  437 .  [Autres  éditions.  Trois  nou- 
veaux discours  de  Fauste,  437.]  —  Fauste 
pourrait  être  auteur  de  quelques  homélies 
attribuées  à  Eusèbe  d'Émèse,  IV,  319.  —  H 
est  l'auteur  de  deux  homélies  sur  le  symbole 
qui  sont  la  neuvième  et  la  dixième  de  celles 
qui  portent  le  nom  d'Eusèbe  d'Émèse,  VIII, 
440.  —  Fauste  avait  vu  à  Lérins  Juhen 
d'Éclane,  IX,  484.  —  Son  ditiërend  avec 
Théodore  de  Fréjus,  X,  207.  Son  langage 
semi-pélagien,  332.  Sa  doctrine  est  combat- 
tue par  Mammert  Claudien,  348  et  suiv. 
Différentes  choses  que  nous  apprend  de  lui 
saint  Sidoine  Apollinaire,  391,  394,  395. 
Poëme  qu'il  lui  adresse,  397.  Fauste  est  as- 
sisté dans  son  exil  par  saint  Rurice,  évêque 
de  Limoges,  607.  Lettre  que  lui  écrit  saint 
Rurice,  608.  Lettres  qu'il  écrit  à  Rurice, 
609.  Lettre  du  pape  saint  Hormisdas  à  Pos- 
sessor  au  sujet  de  l'écrit  de  Fauste  de  Riez 
sur  la  grâce,  631.  -—Les  livres  de  Fauste 
sur  la  prédestination  et  sur  la  grâce  eau- 


420 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


.493. 


VI 

etVII  siècles. 


ni  siècle. 


311. 


sent  du  bruit  à  Constantinople.  On  en  écrit 
aux  évêques  d'Afrique  exilés  en  Sardaigne, 
XI,  M.  Réponse  de  saint  Fulgence  au  nom 
des  évêques  d'Afrique,  41  et  suiv.  Les  moi- 
nes de  Scythie  anathématisent  ses  livres,  45. 
—  Loup,  abbé  de  Ferrières,  rejette  les  écrits 
de  Fauste,  XII,  510.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  II,  p.  585 
et  suiv.) 

FAUSTE,  maître  des  offices,  envoyé  en 
ambassade  par  le  roi  Théodoric  à  l'empe- 
reur Anastase.  Instructions  que  lui  donne  le 
pape  Gélase  touchant  le  schisme  auquel  la 
condamnation  d'Acace  servait  de  prétexte, 

X,  497. 

FAUSTE,  sénateur.  Lettre  que  lui  écrit 
saint  Avit  de  Vienne,  X,  522  et  561.  Peut- 
être  le  môme  que  celui  qui  consulta  le  prê- 
tre Trifolius,  638. 

FAUSTE,  l'an  des  évêques  d'Afrique 
chassés  de  leurs  sièges,  bâtit  un  monastère 
où  il  reçoit  saint  Fulgence,  depuis  évêque 
de  Ruspe,  XI,  2.  Il  oblige  saint  Fulgence  à 
quitter  une  retraite  où  il  s'était  caché  et 
l'ordonne  prêtre,  5. 

FAUSTE,  moine  d'Agaune,  auteur  de  la 
Vie  de  saint  Séverin.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  III,  p.  111 
et  suiv.) 

FAUSTE,  moine  de  Glanfeuil,  est  donné 
par  ses  parents  à  saint  Benoît  pour  être 
élevé  au  Mont-Cassin.  Il  embrasse  la  vie 
monastique.  Saint  Benoît  le  choisit  avec 
quelques  autres  pour  accompagner  saint 
Maur,  qu'il  envoyait  en  France  pour  y  fon- 
der le  monastère  de  Glanfeuil.  Après  un  sé- 
jour de  quarante-six  ans  à  Glanfeuil,  il  re- 
vient à  Rome  et  se  retire  au  monastère  de 
Latran.  Il  y  compose  la  Vie  de  saint  Maur, 

XI,  610.  On  prouve  que  cette  Vie  est  vérita- 
blement de  Fauste,  611.  Ce  que  c'est  que 
cette  Vie;  difïérentes  éditions  qu'on  en  a 
faites,  611  et  612.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  III,  p.  496 
et  suiv.) 

FAUSTIN  (Saint),  évêque  de  Lyon,  écrit 
à  saint  Gyprieii  et  au  pape  saint  Etienne  au 
sujet  de  Marcien,  évêque  d'Arles,  II,  326, 
327.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  1. 1,  part.  I,  p.  405  et  suiv.) 

FAUSTIN,  évêque  de  Tuburbe,  condamné 
par  un  concile  de  Garthage,  H,  623. 

FAUSTIN,  évêque  dlcone.  Sa  mort,  IV, 
454.  Saint  Amphiloque  lui  succède,  457  et 
364. 


FAUSTIN,  à  qui  saint  Ambroise  écrit  pour 
le  consoler  sur  la  mort  de  sa  sœur,  V,  494. 
Peut-être  le  même  que  Paustin,  fils  d'Eusèbe 
de  Bologne  et  père  de  la  vierge  Ambrosie, 
498. 

FAUSTIN,  petit-fils  d'Eusèbe  de  Bologne 
et  frère  de  la  vierge  Ambrosie,  V,  498. 

[PAUSTIN  et  non  FAUTIN,  prêtre.  Son 
livre  sur  la  Trinité  ou  sur  la  Foi  contre  les 
Ariens,  V,  155.  Analyse  de  ce  livre,  155  et 
156.  Éditions  qu'on  en  a  faites,  156.  Voyez 
Marcellin.] 

FAUSTIN,  évêque  de  Potentia  dans  la 
Marche  d'Ancône.  Instruction  du  pape  Zo- 
zime  à  Faustin  et  aux  prêtres  Philippe  et 
Asellus,  ses  envoyés  en  Afrique,  VII,  537. 
—  Concile  de  Carthage  où  il  se  trouve,  VIII, 
563.  Le  même  Faustin  est  envoyé  en  Afrique 
par  le  pape  saint  Célestin  pour  rétablir  le 
prêtre  Apiarius,  127  et  570.  Sa  partialité 
pour  Apiarius  confondue  par  l'aveu  de  l'ac- 
cusé lui-même,  570  et  571. 

FAUSTIN,  pénitent,  qui  fait  une  confes- 
sion publique,  VIII,  222. 

FAUSTIN,  prêtre  de  l'Ile.  Lettre  qui  lui 
est  adressée  et  qui  porte  le  nom  d'un  Eu- 
cher,  évêque,  VIII,  453. 

FAUSTIN.  Diverses  homéhes  que  nous 
avons  sous  le  nom  d'un  Faustin,  X,  435,  436. 

FAUSTIN,  évêque  de  Brague  et  transféré 
au  siège  de  Séville,  XII,  965. 

FAUSTINE,  femme  d'un  Julien,  à  qui 
saint  Jérôme  écrit,  VII,  639. 

FAUSTINIEN,  un  des  sages  de  la  Grèce, 
VI,  79. 

PAUSTINIEN,  évêque  de  Dax,  déposé,  et 
ceux  qui  l'avaient  ordonné  obligés  de  pour- 
voir à  ses  besoins,  XI,  899. 

FAUTE.  En  quoi  eUe  diffère  du  péché, 
IX,  211.  Exemples  de  quelques  fautes  lé- 
gères chez  les  justes,  437. 

FAUX  TÉMOINS.  Soixante-quatorzième 
et  soixante-quinzième  canons  du  concile 
d'Elvire,  II,  613.  Canon  quatorzième  du 
concile  d'Arles,  632. 

FAVENTIUS,  réfugié  pour  dettes  dans 
l'église  d'Hippone.  Saint  Augustin  intercède 
pour  lui,  IX,  110. 

FAVERNEY,  abbaye  en  Franche-Comté, 
dont  l'abbé  de  la  Chaise-Dieu  prétend  avoir 
la  nomination,  XIV,  957. 

PAVEROLLE  (Dom' François),  bénédictin 
de  la  congrégation  de  Saint-Maur,  associé  à 
doin  Garnier  pour  l'édition  des  œuvres  de 
saint  Basile,  archevêque  de  Césarée,  IV,  546. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


421 


[FAVEROT.  Sa  traduction  française  de  la 
Chronique  d^Baudri,  XIII,  482.] 

FAVORIN,  acolyte  fugitif,  II,  309. 

FAVORIS  des  rois.  Ce  qu'en  dit  saint  Jean 
Chrysostôme,  VII,  233. 

FÉCAMP,  abbaye  en  Normandie.  Son 
Histoire  écrite  par  un  anonyme,  XIII,  348. 
[Chronique  de  Fécamp,  329,  note  9.  Catalo- 
gue des  abbés  de  Fécamp,  329.]  Lettre  de 
Baudri,  évêque  de  Dol,  aux  moines  de  Fé- 
camp, 530,  331.  [De  revelatione,  œdificatione 
et  auctoritate  Fiscannensis  monasterii,  ouvrage 
douteux  de  Baudri,  évêque  de  Dol,  331.] 

[FÉDER.  Sa  traduction  allemande  des 
sermons  sur  l'évangile  selon  saint  Matthieu, 
de  saint  Chrysostôme,  VII,  438.] 

FÉDOLIUS.  Poëme  de  saint  Colomban 
adressé  à  Fédolius,  XI,  628. 

FÉGADE.  Le  même  que  saint  Phébade, 
évêque  d'Agen,  V,  372.  Voyez  saint /'Ae'éarfe. 

FÉLICIE,  vierge.  Lettre  que  saint  Augus- 
tin lui  écrivit,  IX,  171. 

FÉLICIEN  (Saint),  soldat,  martyr  à  Mar- 
seille, II,  478. 

FÉLICIEN  (Saint),  martyr  à  Rome,  III,  100. 

FÉLICIEN,  évêque  de  Masti,  condamné 
parles  Donatistes,  et  par  eux  rétabli,  IX,  90. 

FÉLICIEN,  élu  évêque  de  Ruspe  après  la 
mort  de  saint  Fulgence,  XI,  10.  CoQcile  de 
Carthage  auquel  il  assiste,  830,  831. 

FÉLICIEN,  à  qai  Denis  le  Petit  adresse  sa 
traduction  latine  de  la  lettre  de  saint  Procle 
aux  Arméniens,  XI,  123. 

FÉLICIEN  (Jean-Bernardin)  de  Venise.  Sa 
traduction  latine  des  commentaires  d'CEcu- 
ménius  sur  les  Actes  des  apôtres  et  sur  les 
Épîtres  catholiques,  XII,  914.  —  Sa  traduc- 
tion latine  des  commentaires  d'Eustrate  sur 
les  Morales  d'Aristote,  XIV,  148. 

FÉLICISSIME,  diacre  de  Carthage.  Son 
schisme.  Saint  Cyprien  l'excommunie,  U, 
263.  Fin  de  son  schisme,  321.  Il  est  condamné 
par  un  concile  de  Carthage,  536. 

FÉLICITARIUS,  nom  estropié  par  un 
copiste,  sous  lequel  on  a  trois  homélies  qui 
paraissent  être  de  saint  Gésaire  d'Arles,  XI, 
146. 

FÉLICITÉ  éternelle  des  saints  décrite  par 
saint  Ambroise,  V,  407.  —  Sentiments  des 
Pélagiens  sur  la  félicité,  IX,  348  et  600. 
Doctrine  de  saint  Augustin  sur  la  félicité  des 
saints,  796,  797.  —  Discours  de  Théodoret 
sur  la  vraie  félicité  de  l'homme  et  du  jour 
du  jugement,  X,  97.  —  Sentiment  de  Gas- 
siodore  sur  la  félicité  des  saints  avant  le 


jour  du  jugement,  XI,  253.  Félicité  des 
saints  dans  le  ciel  ;  ce  qu'en  dit  le  pape 
saint  Grégoire,  380.  —  Félicité  des  saints 
dans  l'autre  vie,  poëme  de  Francon  sur  ce 
sujet,  XIV,  346. 

FÉLICITÉ  (Sainte)  et  ses  sept  fils,  mar-  n  siècle, 
tyrs.  Actes  de  leur  martyre,  I,  391.  —  Ho- 
mélie du  pape  saint  Grégoire  pour  la  fête 
de  sainte  Félicité,  XI,  453.  —  Monastère 
sous  le  nom  de  sainte  Félicité,  près  de  Flo- 
rence ;  privilège  que  le  pape  Nicolas  II  ac-  xi  siècle, 
corde  à  ce  monastère  que  l'abbesse  Tei- 
berge  venait  de  rétablir,  XIII,  246. 

FÉLICITÉ  (Sainte),  compagne  de  sainte     m  siècle. 
Perpétue,  martyre.  Actes  de  son  martyre, 
I,  544  et  suiv.  —  Sermons  de  saint  Augus- 
tin en  l'honneur  de  sainte  Perpétue  et  de 
sainte  Félicité,  IX,  240. 

FÉLICITÉ  (Sainte),  martyre  à  Capoue 
sous  Valérien,  II,  341. 

FÉLICITÉ ,    supérieure    des    religieuses     v  siècle. 
d'Hippiine.  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Au- 
gustin, IX,  20.  Lettres  de  saint  Augustin  à 
Féhcité,  à  Rustique  et  aux  religieuses  de 
leur  monastère,  171. 

FÉLIX  (Minuce).  Voyez  Minuce  Félix. 

FÉLIX,  créé  évêque  de  Mérida  à  la  place 
de  Martial,  II,  263.  Il  va  à  Carthage,  263  et 
563  ;  où  son  ordination  est  reconnue  par 
saint  Cyprien  pour  légitime,  363. 

FÉLIX,  évêque  de  Byzance,  consulte  saint 
Cyprien,  II,  316. 

FÉLIX  (Deux),  évêques  d'Afrique,  en- 
voyés aux  mines.  Saint  Cyprien  leur  écrit 
et  ils  l'en  remercient,  II,  338. 

FÉLIX,  chrétien,  qui  prie  saint  Fructueux 
de  Tarragone  de  prier  pour  lui,  II,  388. 

FÉLIX  (Saint),  prêtre  de  Noie  et  confes- 
seur. Sa  naissance,  II,  394.  Il  est  fait  lec- 
teur, puis  exorciste,  et  ensuite  prêtre  par 
saint  Maxime,  évêque  de  Noie.  Il  est  pris  et 
mené  en  prison  chargé  de  chaînes  dans  la 
persécution  de  Dèce.  Il  est  délivré  par  mi- 
racle pour  secourir  saint  Maxime.  Nouvelle 
persécution  contre  saint  Félix  :  il  en  échappe 
encore  par  miracle.  Il  est  nourri  dans  sa 
retraite  par  miracle.  Il  retourne  à  sa  patrie 
et  refuse  l'épiscopat,  393.  Sa  mort  ;  mira- 
cles à  son  tombeau,  396.  —  Quinze  poëmes  Depuis  394 
de  saint  Paulin,  évêque  de  Noie,  sur.la  fête  ^"'^"ès.'"" 
de  saint  Félix,  VIII,  83,  84.  La  Vie  de  saint 
Félix,  écrite  en  vers  par  saint  Paulin,  est 
mise  en  prose  par  le  Vénérable  Bède,  XII,  6. 

FÉLIX  I  (Saint),  pape,  condamne  Paul  de        269. 
Samosate,  II,  571.  —  Décrétales  qui  lui  sont 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


422 

faussement  attribuées,  VI,  87.  Sa  lettre  à 
Maxime,  évêque  d'Alexandrie,  88. 
355.  FÉLIX  II,   pape  ou  antipape,   mis  à  la 

place  du  pape  Libère,  IV,  293  et  V,  151. 
[Observation  sur  ce  Félix,  IV,  297,  note  8.] 
—  Décrétales  supposées,  VI,  93.  Loi  de 
Constantius  qui  lui  est  adressée,  342.  — 
Témoignage  de  Théodoret  sur  Félix,  X,  45. 

483.  FÉLIX  III  (Saint),  pape,  succède  à  saint 
Simplice,  X,  411.  Ses  soins  pour  rétablir  la 
paix  dans  les  Églises  d'Orient,  412  et  suiv. 
Sa  lettre  à  l'empereur  Zenon  sur  ce  sujet  ; 
à  Acace  pour  lui  reprocher  son  silence,  412. 
Ses  légats  sont  arrêtés  ;  leur  prévarication, 

484.  412  et  suiv.  Us  sont  déposés  dans  un  concile 
de  Rome,  414  et  719.  Acace  y  est  excom- 
munié, 414.  Justification  de  la  conduite  du 
pape,  414  et  415.  Le  pape  écrit  à  Acace  les 
motifs  de  sa  condamnation,  415.  Sa  lettre  à 
l'empereur  Zenon,  415  et  416.  Autre  au 
clergé  et  au  peuple  de  Constantinople  ;  à 
Rufin  et  aux  moines  de  Constantinople,  416. 
Lettres  à  Pierre  le  Foulon  ;  elles  sont  toutes 
supposées,  417.  Lettre  à  Zenon,  417  et  418; 
à  Fravita,  418  ;  à  Tbalassius  et  autres  abbés 
de  Constantinople,  418  et  419  ;  à  Fravita;  à 
l'empereur  Anastase;  aux  évèquesd'Afrique, 
419  ;  à  Zenon,  évêque  de  Séville,  419  et 
420;  à  saint  Césaire  d'Arles.  Cette  dernière 

493.  doit  être  de  Félix  IV.  Mort  du  pape  Félix  III. 
Il  est  compté  au  nombre  des  saints,  420. 
[Édition  de  ses  écrits  dans  la  Patrologie, 
411,  n.  2.  Lettre  de  Félix  aux  Orientaux, 
416,  n.  7.  Lettre  de  Félix  à  Succonius  ou 
Sacconius,  évêque  d'Uzale,  417,  n.  10.]  Con- 
ciles de  Rome  sous  son  pontificat,  719.  — 
Décrétales  qui  lui  sont  faussement  attri- 
buées, VI,  94.  —  Euphémius,  patriarche  de 
Constantinople,  lui  écrit,  X,  485, 

526.  FÉLIX  IV  (Saint),  élu   pape  par  le  roi 

529.  Théodoric,  succède  à  saint  Jean  I.  Sa  mort 
après  trois  ans  et  deux  mois  de  pontificat. 
Des  trois  lettres  que  nous  avons  sous  son 
nom,  il  y  en  a  deux  qu'on  rejette  comme 
apocryphes;  analyse  de  ces  lettres,  XI, 
115.  — Autre  lettre  qu'on  lui  attribue,  X, 
420. 

soj.  FÉLIX  (Saint),    évêque  de  Thibare    en 

Afrique.  Actes  de  son  martyre,  III,  18. 

FÉLIX  ET  ADAUGTE  (Saints),  martyrs. 
[Deux  sermons  de  saint  Augustin  pour  leur 
fête,  IX,  836  et  841.]  Poëme  de  Marbode  sur 
leur  martyre,  XIV,  227. 

30*.  FÉLIX  OCTAVE  (Saint),  martyr  à  Car- 

thage,  III,  20  et  22. 


FÉLIX  (Saint),  lecteur,  fils  de  saint  Sa-        so*. 
turnin,  martyr  de  Cartbage,   III,   20.    Sa 
confession,  22. 

FÉLIX  (Deux  saints),  martyrs  de  Carthage,        30*. 
III,  20.  Leur  confession,  22. 

FÉLIX,  l'un  des  fidèles  d'Anazarbe,  qui 
recueillirent  les  actes  de  saint  Taraque  et  de 
ses  compagnons,  III,  22. 

FÉLIX  (Saint),  martyr  de  Saragosse,  III,        soi. 
44. 

FÉLIX  (Saint),  diacre,  martyr  en  Afrique,     iVsièc 
III,  104. 

FÉLIX  (Saint),  martyr  de  Girone,  XII,  518. 

FÉLIX  (Saint),  prêtre  et  confesseur  en 
Espagne.  Sa  vie  écritepar  le  moine  Grimoald, 
XIII,  489. 

FÉLIX,  évêque  d'Acci  dans  la  Carthagi- 
noise, assiste  au  concile  d'Elvire,  II,  603. 

FÉLIX,  évêque  de  Rotaria,  assiste  au  con- 
cile de  Cirthe,  II,  621. 

FÉLIX,  diacre  de  Carthage,  accusé  d'avoir 
composé  un  libelle  contre  l'empereur,  II,  621 . 

FÉLIX,  évêque  d'Aptonge  en  Afrique,  or-  IV  siè 
donne  Cécilien,  évêque  de  Carthage.  Les 
Donatistes  l'accusent  d'être  traditeur;  il  est 
condamné  par  les  Donatistes,  II,  622.  Cons- 
tantin fait  informer  sur  l'accusation  des 
Donatistes.  Félix  est  justifié,  628;  — accusé, 
V,  111  ;  justifié,  112.  Actes  de  sa  justifi- 
cation, 142, 143  et  IX,  409. 

FÉLIX,  évêque  de  Florence,  en  Toscane, 
assiste  à  un  concile  de  Rome,  II,  625. 

FÉLIX,  évêque  de  Cisterna,  près  de  Rome, 
assiste  à  un  concile  de  Rome,  II,  625. 

FÉLIX,  évêque  donatiste  de  Diabe  ou  Zabe 
en  Afrique.  Cruautés  qu'il  exerce  sur  les  ca- 
tholiques, IV,  594. 

FÉLIX,  évêque  de  Selemsel.  Concile  de 
Carthage  où  il  assiste,  IV,  648. 

FÉLIX,  jovinianiste,  condamné  par  le  pape 
Sirice,  IV,  652. 

FÉLIX,  évêque  de  Jadres,  assiste  au  con- 
cile de  Milan  contre  les  Jovinianistes,  IV,  653. 

FÉLIX,  ordonné  évêque  de  Trêves  par        355, 
les  Ithaciens,  IV,  642  et  653.  —  Le  pape 
Sirice  et  saint  Ambroise  se  séparent  de  sa 
communion,  653. 

FÉLIX ,  évêque  donatiste  d'Idicre ,  en 
Afrique.  Cruautés  excessives  qu'il  exerce 
sur  les  cathohques,  V,  115. 

FÉLIX,  diacre  de  Milan,  porteur  de  deux 
lettres  de  saint  Ambroise  à  l'empereur 
Théodose,  V,  392  et  500. 

FÉLIX,  évêque  de  Côme.  Lettres  que  lui        380. 
écrivit  saint  Ambroise,  V,  481. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


423 


siècle.  FÉLIX,  évêque  de  Nocéra.  Lettre  cano- 
nique que  lui  écrivit  le  pape  saint  Innocent, 
VII,  524. 

FÉLIX,  évêque  de  la  province  de  Duras, 
en  Épire,  soutenu  par  le  siège  apostolique 
contre  ses  accusateurs,  VIII,  128. 
,  398.  FÉLIX,    donatiste.    Lettre  de    saint  Au- 

gustin à  Félix  et  à  quelques  autres  Dona- 
tistes,  IX,  79,  80.  —  Autre  lettre  de  saint 
Augustin  aux  mêmes  et  à  deux  autres  Félix, 
80,  81. 
.  404.  FELIX,   catholique  d'Hippone.  Lettre  de 

saint  Augustin  à  Félix  et  à  Hilarin,  IX,  90. 
IV  FÉLIX   à  qui   saint  Augustin  écrit  une 

'""='"'•    lettre,  IX,  92. 

404.  FÉLIX  le  Manichéen.  Deux  livres  de  saint 

Augustin  contre  Félix,  IX,  189. 

FÉLIX,  moine  d'Adrumet,  y  apporte  la  let- 
tre de  saint  Augustin  au  prêtre  Sixte,  IX,  513. 
FÉLIX,  archevêque  de  Ravenne,  a  re- 
cueilli les  sermons  de  saint  Pierre  Chrysolo- 
gue,  l'un  de  ses  prédécesseurs,  et  les  a  mis 
dans  l'ordre  oii  ils  sont  aujourd'hui,  X,  8. 

FÉLIX,   grand   trésorier   de   l'État  sous 
Julien  l'Apostat,  X,  137. 

FÉLIX  (Saint),   évêque   de  Bologne,  en 
Italie,  X,  161. 

FÉLIX,  fils  du  consul  Magnus,  devenu 
patrice.  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Sidoine 
Apollinaire  pour  le  congratuler,  X,  384. 
Autre  lettre,  383.  Poëme  que  lui  adresse 
saint  Sidoine  Apollinaire  ,  397.  Le  même 
Félix  devenu  préfet  du  prétoire.  Sa  con- 
version, 434.  Lettre  d'avis  que  lui  écrit 
Fauste  de  Riez,  434  et  435.  Éditions  qu'on  en 
afaites,  437.  Il  assiste  Fauste  de  Riez  dans  les 
besoins  pendant  son  exil,  607.  (Voyez  son 
article  dans  V Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  II,  p.  638  et  suiv.) 
483.  FÉLIX,  défenseur  de  l'Église  romaine,  l'un 

des  légats  envoyés  à  Constantinople  par  le 
pape  Félix  in,  X,  411.  —  Sa  fermeté,  414. 

FÉLIX  (Saint),  évêque  d'Abder,  banni  par 
Hunéric,  X,  448. 

FÉLIX,  habitant  de  Carthage,  aveugle,  re- 
couvre la  vue  par  miracle,  V,  328  et  X,  454. 
FÉLIX,  diacre,  l'un  des  légats  du  pape 
Hormisdas  à  Constantinople,  X,  621. 

FÉLIX,  abbé  d'un  monastère,  reçoit  saint 
Fulgence,  depuis  évêque  de  Ruspe,  au 
nombre  de  ses  moines  et  partage  avec  lui  le 
gouvernement  de  son  monastère.  Il  va  s'éta- 
blir à  Sicque.  Persécution  qu'il  a  à  souffrir 
de  la  part  d'un  prêtre  arien,  XI,  3.  Il  fonde 
avec  saint  Fulgence,  un  nouveau  monastère 


près  d'Ididi,  3  et  4.  Il  se  transporte  à  un 
autre  que  saint  Fulgence  venait  d'établir,  3. 

FÉLIX,  diacre,  qui  ambitionnait  d'être 
fait  évêque  de  Ruspe,  XI,  5. 

FÉLIX,  notaire.  Livre  de  la  Trinité  que 
lui  adresse  saint  Fulgence,  évêque  de  Ruspe, 
XI,  30. 

FÉLIX,  gaulois,  élevé  au  consulat.  Son 
éloge  et  celui  de  son  père,  XI,  213. 

FÉLIX,  homme  recommandable,  aide 
Cassiodore  à  écrire  des  lettres,  XI,  217. 

FÉLIX  (Saint),  évêque  de  Nantes,  assiste  v.  549. 
à  plusieurs  conciles.  Année  de  sa  mort.  582. 
Durée  de  son  épiscopat,  XI,  314.  —  Éloge 
que  Fortunat  fait  de  sa  personne  et  de  ses 
écrits,  dont  aucun  n'est  venu  jusqu'à  nous, 
313,  314.  Son  éloge  par  Fortunat,  403. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  III,  p.  330  et  suiv.) 

FÉLIX,  ami  de  Fortunat,  est  guéri  comme 
lui  d'un  mal  aux  yeux  par  l'intercession  de 
saint  Martin.  Il  devient  évêque  de  Trévise, 
XI,  402. 

FÉLIX,  violateur  d'une  vierge,  XI,  493. 

FÉLIX,  évêque,  contribue  à  la  conversion        59i. 
des  Barbaricins,  XI,  497. 

FÉLIX,  évêque  de  Messine.  Lettre  que  lui        59o. 
écrit  le  pape  saint  Grégoire,  XI,  483.  —  Il        603. 
consulte  le  pape  saint  Grégoire  sur  plusieurs 
difflcultés.  Réponse  du  pape,  333,  534.  Il  y 
a  eu  deux  évêques  de  Messine  du  nom  de 
Félix,  535. 

FÉLIX,  évêque  de  Pisaure.   Lettre  que    vu  siècle, 
lui  écrit  saint  Grégoire,  pape,  XI,  506. 

FÉLIX,  évêque  de  Narbonne.  Lettre  de     vil  siècle, 
saint  Didier  de  Cahors  à  cet   évêque,  XI, 
733. 

FÉLIX,  évêque  de  Limoges.  Sa  lettre  à 
saint  Didier  de  Cahors,  XI,  734. 

FÉLIX,  évêque  français,  docteur  et  apôtre 
du  pays  d'Estrangle.  (Voyez  dans  VUist.  lit. 
de  la  France,  t.  V,  avert.,  p.  iv  et  suiv.) 

FÉLIX,  archevêque  de  Tolède  après  saint        69o. 
Julien,  XI,  791.  Sa  Vie  de  saint  Julien,  795. 

FÉLIX,  archevêque  de  Ravenne,  ordonné  v.  708. 
par  le  pape  Constantin.  Sa  révolte  contre 
l'empereur  et  l'Église  de  Rome.  11  est  assiégé 
dans  Ravenne,  mené  chargé  de  chaînes  à 
Constantinople  et  exilé  dans  le  Pont,  après 
qu'on  lui  eut  crevé  les  yeux.  Son  goût  pour 
les  lettres.  Son  éloquence.  11  recueille  les 
sermons  de  saint  Pierre  Chrysologue.  Il 
avait  aussi  composé  un  commentaire  sur 
saint  Matthieu.  Ayant  donné  des  marques  de 
repentir  de  ses  fautes,  l'empereur  le  renvoie 


424 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


à  Ravenne.  Il  se  réconcilie  avec  le  pape 
Constantin,  et  termine  ses  jours  dans  la  pra- 
tique des  bonnes  œuvres,  XII,  20. 
viii  siècle.  FÉLIX,  moine  de  Jarou,  qui  vivait  au 
commencement  du  vni°  siècle,  est  auteur  de 
la  Vie  de  saint  Guthlac,  anachorète  dans  l'île 
de  Croiland,  XII,  21.  (Peut-être  le  même  que 
le  suivant,  c'est  du  moins  le  même  ouvrage.) 
V.  740.  FÉLIX,  moine  de  Croiland,  écrit  en  latin 

la  Vie  de  saint  Guthlac.  Il  est  différent  d'un 
évéque  de  même  nom,  dont  Bède  a  parlé, 
XII,  128.  (Mais  il  parait  être  le  même  que  le 
précédent,  du  moins  c'est  le  même  ouvrage.) 
FÉLIX,  évèque  d'Urgel.  Son  erreur  sur  la 
divinité  de  Jésus-Christ  réfutée    par  saint 
Paulin,  patriarche  d'Aquilée,  dans  son  livre 
intitulé  :  Sacro-Syllabus,  XII,  138.  —  Trois 
livres  du  même  saint  Paulin  contre  Félix, 
160  et  suiv.  Erreurs  de  Péhx  réfutées  par 
Alcuin,  160  et  178  et  suiv.  [Lettre  d'Alcuinà 
Félix,  179,  n.  2].  Lettre  d'Alcuin  à  Charle- 
magne  sur  cet  ouvrage,    181,  182.  Lettre 
de  Féhx  à  Élipand,  182.  Lettre  d'Élipand  à 
Félix,  183,  184.  Profession  de  foi  que  Félix 
fit  à  Aix-la-Chapelle,  183,  184.  Il  est  rélégué 
à  Lyon  pour  y  finir  ses  jours  dans  la  péni- 
tence. Son  écrit  où  il  prescrit  la  manière  de 
convaincre  ceux  qui  étaient  dans  la  même 
erreur  que  lui,  et  qu'il  avait  abjurée,  184. 
Charlemagne  fait  venir  Féhx  à  l'assemblée 
de   Ratisbonne,  où,  convaincu  d'erreur,  il 
est  obligé  de  se  rétracter.  Il  est  envoyé  au 
pape  Adrien  I,  devant  qui  il  confirme  sa  ré- 
tractation. De  retour  dans  son  évêché,   il 
répand  de  nouveau  ses  erreurs,  224.  Écrits 
de  saint  Benoît  d'Aniane  contre  les  erreurs 
de   Félix,  261.   Traité    d'Agobard,    arche- 
vêque de  Lyon,  contre  les  mêmes  erreurs, 
366.  Concile  de  Narbonne   assemblé  pour 
condamner  les  erreurs  de  Félix,  XIII,  632. 
—  Ses  erreurs  sont  condamnées  dans  le 
concile  de  Frioul,  632  et  633  ;  dans  celui  de 
Ratisbonne,  634  ;  dans  celui  de  Francfort, 
634  et  suiv.;  et  au  concile    de  Rome,  636, 
637.  Concile  d'Urgel  où  il  est  invité,  637. 
Concile  d'Aix-la-Chapelle  où  il  est  déposé, 
et  rétracte  ses  erreurs,  637  et  638.  (Voyez 
son  article   dans  VBistoire  littéraire  de  la 
France,  t.  IV,  p.  428  et  suiv.) 
IX  siècle.         FÉLIX  (Saint) ,  l'un  des  martyrs  de  Cor- 
doue,  XII,  518. 
693.  FÉLIX,  évêque  de  Séville,  est  transféré  à 

l'archevêché  de  Tolède,  XII,  965. 
693.  FÉLIX,  évêque  de  Portucal,  est  transféré 

au  siège  de  Brague,  XII,  965. 


FÉLIX,  évêque  de  Cornouaille,  déposé 
pour  cause  de  simonie,  XIII,  679. 

FELKMANNUS  (Pierre).  Son  édition  de 
plusieurs  fragments  des  écrits  de  saint 
Athanasa,  IV,  231. 

FELL  (Jean),  évêque  d'Oxford.  Son  édi- 
tion des  livres  d'Hermas,  1, 338  ;  —  des  livres 
de  saint  Théophile,  évêque  d'Antioche,  à 
Antolyque,  480.  Traité  de  Clément  d'Alexan- 
drie, intitulé  :  Quel  riche  sera  sauvé,  606* 
Des  œuvres  de  saint  Cyprien,  évêque  de 
Carthage,  II,  383. 

FEMMES  :  voilées,  I,   570.  —  Livres  de 
TertuUien  à  sa  femme,  II,  10  et  suiv.  —  Son 
traité  des  Ornements  des  femmes,  33,  34. 
Autre  ouvrage  du  même   sur  le  Voile  des 
vierges,  65,  66.  Femmes  sous-introduites  ou 
étrangères  dans  les  maisons  des  clercs  dé- 
fendues par  le  concile  d'Antioche  à  l'occasion 
de  Paul  de  Samosate,  569.  Canon  sixième 
entre  les  Canons  apostoliques  touchant  la 
conduite   que    les    évêques  et    les  prêtres 
doivent  tenir  à  l'égard  de  leurs  femmes,  581. 
Canon  vingt-septième  du  concile  d'Elvire  tou- 
chant les  femmes  qui  demeurent  chez  les 
évêques  ou  chez  les  clercs,  608.  Canon  qua- 
rante-quatrième du  même  concile  touchant 
la  conversion  des  femmes  qui  ont  été  déré- 
glées, 609.  Canon  troisième  du  concile  de 
Nicée  touchant  l'habitation  des  femmes  avec 
les  clercs,  III,  430,  431.  —  Canon  troisième 
d'un  concile  de  Carthage  sur  le  même  sujet, 
499.  Canon  quarante-quatrième  du  concile 
de  Laodicée,  qui  défend  aux  femmes  d'en- 
trer dans  le  sanctuaire,  512.  [Discours  sur 
les  femmes    étrangères    attribué    à    saint 
Basile,  IV,  392.]  —  Saint  Basile  veut  que  les 
moines  évitent  la  conversation  des  femmes, 
393.  Il  oblige  un  de  ses  prêtres  à  se  con- 
former au  canon  de  Nicée  touchant  l'habi- 
tation des  femmes  avec    les  clercs,   528. 
Poëme  de  saint  Grégoire  deNazianze  contre 
le  luxe   des  femmes,  V,  282.  —  Femmes 
sous-introduites  dans  les  maisons  des  clercs. 
Épigrammes  de  saint  Grégoire  de  Nazianze 
sur  ce  sujet,  303.  Saint  Ambroise  obtient 
une  loi  en  faveur  des  femmes  chrétiennes, 
381 .  Apologie  des  femmes  par  saint  Ambroise, 
454.  [Didyme  l'Aveugle  ne  leur  permet  pas 
defairedes  livres,  630.]  — Discours  contre  les 
mauvaises  femmes  attribué  à  saint  Éphrem, 
VI,  19.    Saint  Éphrem  défend  aux  femmes 
de  se  faire    porter    sur  les    épaules    des 
hommes,   69.    [Homélie  sur  la  femme  pé- 
cheresse, par  saint  Éphrem,  507;  sur  la 


848. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


425 


fuite  des  femmes,  parle  même,  S06,  507.  Ca- 
nons du  même  pour  les  funérailles  des  fem- 
mes, 616,  617.]  Julien  l'Apostat  permet  aux 
femmes  de  répudier  leurs  maris,  348.  —  Loi 
de  Théodose  au  sujet  des  femmes  qui  se  cou- 
paient les  cheveux,  371.  Deux  livres  de  saint 
Jean  Chrysostôme  contre  l'habitation  com- 
mune des  clercs  et  des  femmes,  VII,  28  et 
suiv.    Femmes    qui  achetèrent    des    par- 
fums, sujet  d'une  homélie  faussement  attri- 
buée à  saint  Jean  Chrysostôme,  258.  Opus- 
cule supposé  à  ce  père  sur  le  même  sujet, 
335.  Habitation  des  femmes  dans  les  maisons 
des  clercs  :  canon  dix-huitième  du  concile 
d'Hippone,    713.   Canon    dix-septième    du 
cent-onzième  concile    de    Carthage ,    721. 
Femmes  des  clercs.  Canon  septième  du  con- 
cile de  Tolède,  740. — Saint  Isidore  de  Péluse 
veut  que  l'on  interdise  aux  femmes  la  per- 
mission de  chanter  dans  les  églises,  VIII, 
482.  Il  explique  en  quel  sens  saint  Paul  a 
dit  que  la  femme  est  l'image  de  l'homme, 
491.  —  Doctrine  de  saint  Augustin  sur  la 
pluralité  des  femmes,    IX,    459.  Sur    les 
ornements  des  femmes  mariées,  563.  Son 
sentiment  sur  la  femme  pécheresse,  617. 
[Sermon  de  saint  Augustin  sur  la  femme 
qui  souËfre  d'une  perte  de  sang  ;  sermon  du 
même  sur  la  femme  adultère,  841.]  —  Les 
païens    sous   Julien    l'Apostat  persécutent 
cruellement  les  femmes  consacrées  à  Dieu, 
X,   46.  Témoignage  de  Théodoret  sur  ce 
qu'il  n'y  a  point  de  différence,  par  rapport  à 
l'âme,   entre  l'homme   et  la  femme,   94. 
Témoignage  de  Théodoret  sur  le  sentiment 
des  Nicolaïtes  touchant    les  femmes.    Son 
sentiment  sur  la  pluralité  des  femmes  dans 
les  anciens  temps,  131.   [Sermon  de  saint 
Maxime  de    Turin  sur    la    femme  chana- 
néenne,  336.]  Le  service  à  l'autel  est  in- 
terdit aux  femmes  par  saint  Gélase,  504. 
Canon  d'un  concile  de  Girone  qui  défend  aux 
prêtres,  aux  diacres  et  aux  sous-diacres  de 
vivre  séparés  de  leurs  femmes,  750. — Homé- 
lie sur  la  femme  forte  attribuée  à  saint  Cé- 
saire d'Arles,  XI,  147.  Homéhe  surlafemme 
pécheresse  attribuée  à  saint  Césaire  d'Arles. 
Saint  Grégoire  veut  qu'on  empêche  les  fem- 
mes d'habiter  avec  les  moines,  482.  Il  décide 
qu'une  femme  enceinte  peut  être  baptisée  et 
qu'il  n'y  a  point  de  temps  réglé  après  ses 
couches  où  elle   doive  s'abstenir  d'entrer 
dans   l'église ,   326.    Épigramme   de    saint 
Colomban  sur  la  femme,  628.  — Traité  de  la 
femme  forte  attribué  au  vénérable  Bède, 


XII,  12.  Lois  anciennes  qui  défendent  aux 
prêtres  et  aux  diacres  d'avoir  chez  eux  des 
femmes  étrangères,  228.  Capitulaire  de 
Carloman,  qui  permet  aux  femmes  d'aller  à 
l'église  pour  rendre  grâce  à  Dieu  après  leurs 
couches,  229.  Capitulaire  de  Théodulfe  qui 
défend  aux  femmes  d'approcher  de  l'autel, 
et  aux  prêtres  de  loger  et  de  manger  avec 
elles,  264.  Wulfade,  archevêque  de  Tours, 
veut  que  les  femmes  allaitent  elles-mêmes 
leurs  enfants,  628  Canon  du  quatrième 
concile  de  Tolède,  919.  [Femmes  de  prêtres 
et  de  diacres  violées  par  les  barbares. 
Réponse  de  Photius  sur  ce  sujet,  978.  Si  les 
femmes  peuvent  porter  la  communion  aux 
chrétiens  détenus  chez  les  Sarrasins  ;  ré- 
ponse de  Photius  à  cette  question,  979.]  — 
Femmes  consacrées  à  Dieu  ;  le  mariage  leur 
est  interdit  par  un  concile  de  Rome  tenu 
par  le  pape  saint  Grégoire  II,  XIII,  605  ;  par 
un  autre  concile  de  Rome  tenu  par  le  pape 
saint  Zacharie,  608.  Concile  de  Poitiers  qui 
défend  aux  prêtres  et  aux  diacres  d'avoir 
des  femmes  chez  eux,  765.  —  Épigramme 
de  PhiMppe  de  Bonne-Espérance  sur  le 
caractère  d'une  mauvaise  femme,  XIV, 
687.  —  Concile  de  Rouen  qui  défend  aux 
prêtres  tout  commerce  avec  les  femmes, 
1094. 

FEMMES  ILLUSTRES  DE  LIÈGE,  ou- 
vrage du  cardinal  Jacques  de  Vitry,  XIII, 
338. 

[FÉNELON.  Son  sentiment  sur  l'édition  des 
œuvres  de  saint  Augustin,  par  les  Béné- 
dictins, IX,  846  et  suiv.] 

PERALIA.  Fête  que  les  païens  célébraient 
en  l'honneur  des  morts,  et  dont  il  y  avait 
encore  des  vestiges  en  France  au  vi"  siècle, 
XI,  890. 

FERMENT,  envoyé  par  le  pape  chaque 
dimanche  aux  prêtres  des  églises  de  Rome. 
Ce  que  c'était,  VII,  519,  320.  —  On  désignait 
sous  ce  nom  la  sainte  Eucharistie,  XI,  541. 
—  Voyez  Eucharistie. 

FERMIER  ou  économe  d'iniquité,  sujet 
d'un  opuscule  faussement  attribué  à  saint 
Jean  Chrysostôme,  VII,  312.  —  Différentes 
homélies  sur  cette  parabole  de  l'Évangile, 
XIV,  76.  Sermon  de  Bernard,  moine  de 
Cluny,  sur  la  parabole  du  fermier  d'iniquité, 
492. 

FERMIERS.  Canon  d'un  concile  de  Car- 
thage qui  défend  aux  clercs  d'être  fermiers, 
VIII,  363. 

FÉRON  (Barthélémy  le),    chanoine  de 


426 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLESIASTIQUES. 


Chartres  :  son  édition  des  œuvres  de  Guil- 
laume d'Auvergne,  évêque  de  Paris,  XIV, 
1032. 

FERRAND,  disciple  de  saint  Fulgence, 
évêque  de  Ruspe,  dont  il  a  écrit  la  Vie,  est 
différent  de  Ferrand,  diacre  de  Carthage, 
XI,  10  et  93. 
VI siècle.  FERRAND,  nommé  aussi  Fulgence,  diacre 
de  Carthage.  Temps  auquel  il  vivait,  XI,  86. 
Sa  lettre  au  comte  de  Réginon  sur  la  ma- 
nière dont  doit  vivre  un  homme  de  guerre, 
86  et  suiv.  Lettre  à  Anatolius,  diacre  de 
Rome,  contre  l'hérésie  d'Eutychès,  88  et  suiv. 
Lettre  à  l'abbé  Eugippius  contre  les  Ariens, 
les  Nestoriens  et  les  Eutychiens.  [Elle  est 
donnée  en  entier  par  Mai,  91 ,  note  1 .  Ce 
qu'elle  contient,  91.]  Lettre  à  Sévère,  scho- 
lastique  à  Constantinople,  contre  les  Sabel- 
liens  et  les  Ariens,  91,  92.  Lettre  à  Pelage 
et  Anatolius,  diacres  de  l'Église  de  Rome,_ 
au  sujet  de  la  condamnation  des  Trois-Cha- 
pitres,  92  et  suiv.  Collection  des  canons  des 
conciles  d'Orient  et  d'Occident  faite  par  le 
diacre  Ferrand,  M.  Jugement  sur  ses  let- 
tres. Éditions  qu'on  en  a  faites,  93.  [Autres 
éditions,  86.]  Le  diacre  Ferrand  ne  paraît  pas 
être  l'auteur  de  la  Vie  de  saint  Fulgence, 
évêque  de  Ruspe,  10  et  95.  Diôerenles  ques- 
tions relatives  au  baptême  qu'il  propose  à 
saint  Fulgence,  36,  37.  Réponses  de  saint 
Fulgence,  37  et  suiv.  Autres  questions  qu'il 
propose  à  saint  Fulgence.  Réponse  du  saint, 
39  et  suiv.  — Question  proposée  à  saint  Ful- 
gence par  le  diacre  Ferrand,  IX,  772  et 
XI,  95. 

FERRAND  (Jean),  Jésuite.  Son  édition  de 
quelques  ouvrages  de  saint  Avit  de  Vienne, 
X,  369. 

[FERRAEE,  ville  d'Italie.  Le  pape  Jean  XIII 
confirme  les  privilèges  de  l'Église  de  cette 
ville,  XII,  833.] 
30i.  FERRÉOL  (  Saint  ) ,   ofiBcier ,    martyr   à 

Vienne,  dans  les  Gaules,  III,  42.  —  Inven- 
tion et  translation  de  ses  rehques  par  saint 
Mamert,  X,  391.  —  Monastère  bâti  à  Uzès 
sous  son  invocation,  XI,  312. 

FERRÉOL,  préfet  des  Gaules.  Lettre  que 
lui  écrit  saint  Sidoine,  X,  392. 
553.  FERRÉOL  (Saint),  évêque  d'Uzès,  succède 

à  saint  Firmin.  On  indispose  contre  lui  le 
roi  Childebert,  qui  le  retient  à  Paris  pen- 
dant trois  ans,  et  qui  ensuite,  convaincu  de 
son  innocence,  le  renvoie  à  son  église.  Il 
bâtit  à  Uzès  un  monastère  d'hommes  sous 
le  nom  de  saint  Ferréol,  martyr,  XI,  312. 


Analyse  de  la  règle  qu'il  donne  à  ce  monas- 
tère, 312  et  313.  Éditionsqu'on  en  adonnées, 
313.  [Édition  dans  la  Patrologie,  313.]  Ses 
lettres,  313.  (Voyez  son  article  dans  l'^istoVe 
littéraire  de  la  France,  tome  III,  p.  324 
et  suiv.) 

FERRÉOL,  prêtre,  dont  on  trouve  quel- 
ques sentences  dans  le  livre  intitulé  :  De  vf- 
ficio  rectoris  Ecclesiœ,  doit,  ce  semble,  être 
distingué  de   saint  Ferréol,  évêque  d'Uzès, 

XI,  313. 
FERRON  (Arnold  de).  Sa  traduction  fran- 
çaise de  l'Apologie  d'Athénagore,  I,  487. 

FERRUCE  (Saint),  martyr.  Discours  à  son 
honneur  par  Maginhard,  moine  de  Fulde, 

XII,  523. 
FESCHIÈRES,  heu  d'une  éghse  érigée  en     xis 

abbaye  par  Lambert,  évêque  d'Arras,  XIV, 
87. 

FESTINIEN,  évêque  de  Dol,  qui  s'attri-     iXf 
buait  les  droits  de  métropolitain  sur  les 
évoques  de  Bretagne.  Lettre  que  lui  écrit  sur 
ce  sujet  le  pape  saint  Nicolas  I",  XII,  583. 

FESTINS  DE  CHARITÉ.  Voyez  Agapes. 
Festins  aux  funérailles  des  chrétiens,  II, 
599;  — aux  tombeaux  des  martyrs.  Saint 
Ambroise  blâme  cet  usage,  V,  373.  —  [Du 
festin,  titre  d'un  sermon  d'Eusèbe  d'Alexan- 
drie, VIII,  383.]  —  Traité  de  saint  Augustin 
sur  les  festins  qui  se  faisaient  aux  funérailles, 
cité  par  Possidius,  IX,  360.  —  Festiu  de 
Dieu,  ouvrage  attribué  à  Raban  Maur,  XII, 
469. 

[FESTUS  POMPÉIUS.  Fragments  de  son 
livre  sur  la  signification  des  mots,  XII,  144.] 

FESTUS,  élève  de  saint  Basile.  Lettre  que 
saint  Basile  lui  écrit,  IV,  487. 

FESTUS,  otScier  de  l'empire.  Lettre  que 
lui  écrit  saint  Augustin,  IX,  95. 

FESTUS,  patrice  (et  non  patriarche),  dé- 
puté à  l'empereur  par  le  roi  Théodoric,  X, 
519,  521.  Il  convient  avec  l'empereur  de 
faire  recevoir  à  Rome  son  Hénotique,  321. 
Pour  y  parvenir,  il  fait  élire  l'antipape  Lau- 
rent. Il  suborne  des  témoins  qui  accusent 
le  pape  Symmaque  de  crimes  horribles,  522. 

FESTUS,  père  d'Elpis,  première  femme  de 
Boèce,  X,  646. 

FÊTES  des  Martyrs  instituées,  I,  389  et 
394.  —  Fêtes  des  païens  et  des  chrétiens  : 
témoignage  d'Origène,  II,  192,  245,  248.  . 
Fêtes  des  Martyrs  introduites  par  saint  Gré- 
goire le  Thaumaturge,  439.  Fête  des  Mar- 
tyrs de  la  légion  Thébéenne,  472.  Témoi- 
gnage  des  Constitutions  apostoliques  tou- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


427 


chant  les  fêtes  des  Martyrs,  599.  Canon  apos- 
tolique qui  défend  d'allumer  des  lampes  aux 
fêtes  des  païens,  S86.  —  Loi  de  l'empereur 
Constantin  touchant  les  fêtes,  III^  144.  Fêtes 
des  Martyrs.  Canon  cinquante-unième  du 
concile  de  Laodicée,  513.  —  [Des  Jeûnes,  des 
Trompettes  et  des  Fêtes,  titre  d'une  lettre 
pascale  de  saint  Athanase,  IV,  151.  Com- 
ment les  chrétiens  doivent  les  célébrer  d'a- 
près saint  Athanase,  152.]  Témoignage  de 
saint  Basile  sur  les  fêtes  des  Martyrs,  535. 

—  Exhortation  de  saint  Grégoire  de  Nazianze 
sur  la  manière  dont  les  chrétiens  doivent 
célébrer  les  fêtes  des  Saints,  V,  202,  203  et 
352.  —  Discours  de  saint  Éphrem  sur  la 
manière  de  célébrer  les  fêtes,  VI,  9, 40,  69  ; 
[sur  les  fêtes  de  Notre-Seigneur,  482  etsuiv.] 
Témoignage  de  saint  Grégoire  de  Nysse  sur 
la  célébration  des  fêtes,  250,  251.  —  Témoi- 
gnage de  saint  Jean  Chrysostôme  sur  les 
fêtes,  VII,  95,  96.  —  Fêtes  célébrées  dans 
l'Église  du  temps  de  saint  Paulin,  VIII,  85. 

—  Doctrine  de  saint  Pierre  Chrysologue  sur 
les  fêtes  de  l'Église,  X,  15,  16.  Parmi  les 
discours  de  saint  Pierre  Chrysologue,  il  n'y 
en  a  point  qui,  dans  les  manuscrits,  soit 
intitulé  d'aucune  des  fêtes  de  la  sainte 
Vierge,  16.  Lettres  festales  de  Théodoret, 
65  et  67.  Quelle  a  été,  selon  Théodoret,  l'in- 
tention de  Dieu  en  établissant  les  fêtes  de 
l'ancienne  loi,  95.  Discours  d'Isaac  l'Ancien 
sur  l'observation  des  fêtes,  578.  —  Témoi- 
gnage de  Sonnace,  évêque  de  Reims,  tou- 
chant les  fêtes  qui  se  célébraient  avec  la 
cessation  du  palais.  La  fête  de  tous  les 
Saints  établie  en  France  au  ix."  siècle,  XI, 
694.  Principales  fêtes  de  l'Église  selon  saint 
Isidore  de  Séville,  718.  Le  second  concile 
de  Mâcon  défend  de  donner  le  baptême  so- 
lennel aux  fêtes  des  Martyrs,  896.  —  Fête 
de  tous  les  Saints  dans  le  Martyrologe  de 
Bède,  XII,  7.  Canon  attribué  à  saint  Boni- 
face  touchant  la  fête  qu'on  doit  chômer, 
52,  53.  Règlement  de  Hetton  sur  le  même 
sujet,  337.  Louis  le  Débonnaire  fait  célébrer 
en  France  et  en  Allemagne  la  fête  de  tous 
les  Saints,  405  et  621.  Témoignage  de  Ra- 
ban  sur  les  principales  fêtes  de  l'aunée, 
456.  Fêtes  recommandées  par  le  pape  saint 
Nicolas,  582,  Saint  Adon  de  Vienne  est  le 
premier  qui  ait  mis  dans  le  Martyrologe  la 
fête  de  tous  les  Saints,  621.  Loi  d'Alfrède, 
roi  d'Angleterre,  touchant  l'observation  des 
fêtes,  782.  Lettre  d'Helpéric,  écolâtre  de 
Grandfeld,  sur  les  fêtes  des  Saints,  863.  — 


Homélies  de  Guillaume  de  Mérula  pour 
toutes  les  fêtes  de  l'année,  conservées  ma- 
nuscrites à  l'abbaye  de  Saint-Évroult,  XIII, 
269.  Fêtes  d'obligation  fixées  par  un  concile 
de  Mayence,  644.  Canon  d'un  concile  d'Er- 
ford  touchant  les  fêtes  des  douze  Apôtres, 
746.  —  Constitution  de  l'empereur  Manuel 
Comnène  sur  les  fêtes,  XIV,  656.  Plusieurs 
lettres  des  évêques  de  Paris  pour  l'abolition 
de  la  fête  des  fous  et  le  rétablissement  de  la 
fête  de  la  Circoncision  au  premier  jour  de 
janvier.  Décret  de  la  faculté  de  Paris  sur  la 
même  matière,  784.  [Odon  ou  Eudes,  évêque 
de  Paris,  s'efiorce  de  l'abolir,  890,  891. 
Fêtes  énumérées  par  Siccard,  évêque  de 
Crémone,  903,  904.]  Sermon  de  Guillaume 
d'Auvergne,  évêque  de  Paris,  pour  les 
fêtes,  1026.  Canon  d'un  concile  de  Toulouse 
qui  marque  les  jours  de  fêtes,  1109. 

FEU.  Maguséens,  peuples  adorateurs 
du  feu,  dont  parle  saint  Basile,  IV,  482. 
Epreuves  du  feu.  Voyez  Epreuves.  —  Le  feu 
adoré  par  les  Perses,  X,  49.  —  Usage  de 
l'Église  romaine  pour  allumer  le  feu  pascal, 
différent  de  celui  de  l'Église  de  France,  XII, 
33.  Bénédiction  du  feu  nouveau  au  Samedi 
Saint  recommandée  par  le  pape  Léon  IV, 
408.  — A  Cluny,  on  bénissait  le  feu  nouveau 
trois  jours  de  suite  dans  la  Semaine  Sainte, 
XIII,  472.  Feu  miraculeux  qui,  la  veille  de 
Pâques,  allumait  les  lampes  du  Saint-Sé- 
pulcre, 521. 

FEUARDENT  (François),  franciscain.  Son 
édition  des  œuvres  de  saint  Irénée,  I,  530. 

—  Sa  traduction  française  de  plusieurs  ou- 
vrages de  saint  Éphrem  d'Édesse,  VI,  71. — 
Son  édition  des  œuvres  de  saint  Ildel'o'nse 
de  Tolède,  XI,  776. 

FÈVRE  (Jacques  Le),  d'Étaples  (et  non 
d'Étampes).  Son  édition  des  livres  d'Hermas, 
I,  338.  —  Son  édition  du  poëme  de  Juven- 
cus  de  la  Vie  de  Jésus-Christ,  III,  118.  Ses 
notes  sur  les  œuvres  attribuées  à  saint  Denys 
l'Arébpagite,  X,  553.  —  Sa  traduction  latine 
des  hvres  de  saint  Jean  Damascène,  de  la  Foi 
orthodoxe,  XII,  97.  —  Son  édition  du  Micro- 
logue,  XIV,  125. 

FÈVRE  (Nicolas  le).  Son  édition  des 
fragments  de  saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  88. 

—  Son  édition  des  œuvres  de  Salvien,  X,  378. 
FÈVRE    (Hilarion  le),    bénédictin,    tra- 
vaille avec  D.  Mathoud  à  l'édition  des  Sen- 
tences  du  cardinal  Robert  Pullus,  XIV,  392. 

[FEYRABEND.  Sa  traduction  allemande 
des  écrits  de  saint  Gyprien,  II,  385.] 


428 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


[PIACEI.  Le  pape  saint  Léon  III  travaille 
au  rétablissement  du  monastère  de  cette 
ville,  XII,  403.] 

FIANÇAILLES.  Canon  cinquante-qua- 
trième du  concile  d'Elvire,  II,  611.  Canon 
dixième  du  concile  d'Ancyre,  638.  — Règle- 
ment fait  dans  l'Église  grecque  au  sujet  des 
fiançailles,  XIII,  338.  —  Constitutions  de 
l'empereur  Alexis  Comnène  concernant  les 
fiançailles,  XIV,  142. 

FIARI  (Saint),  le  même  que  saint  Phé- 
bade,  évêque  d'Agen,  V,  372.  Voyez  Saint 
Phébade. 

FIGIN  (Marsile),  chanoine  de  Florence. 
Sa  traduction  des  Dialogues  attribués  à 
Mercure  Trismégiste.  Différentes  éditions 
qu'on  en  a  faites,  I,  298.  —  Son  édition  du 
traité  des  Songes  de  Synésius,  VIII,  33.  — 
Sa  traduction  latine  des  œuvres  de  saint 
Denys  l'Aréopagite.  Édition  de  la  Théologie 
mystique  et  du  traité  des  Noms  divins,  X, 
553. 

FIDÈLE  (Saint),  martyr.  Discours  de  saint 
Pierre    Damiea    en    son    honneur ,    XIII , 
309. 
785.  FIDÈLE,  à  qui  écrivit  Elipand  de  Tolède 

contre  Béatus  et  Éthérien,  XII,  214. 

FIDÈLE,  épouse  de  Pneuraace.  Poëme 
que  saint  Paulin,  évêque  de  Noie,  leur 
adresse,  VIII,  86,  87. 

FIDÈLES.  On  donnait  ce  nom  aux  bap- 
tisés, et  celui  de  chrétiens  aux  catéchumènes, 
II,  610  et  note  1.  —  Devoir  de  confesser  la 
foi,  commun  à  tous  les  fidèles,  IV,  268  et 
suiv.  —  Saint  Jean  Chrysostôme  explique 
pourquoi  on  donnait  le  nom  de  fidèles  aux 
nouveaux  baptisés,  VII,  74.  —  Saint  Augus- 
tin témoigne  que  les  enfants  baptisés  sont 
mis  au  nombre  des  fidèles,  IX,  419.  —  [Let- 
tre du  pape  saint  Léon  III  à  tous  les  fidèles, 
XII,  402.]         ^ 

FIDENCE  (Saint),  évêque  et  martyr  d'A- 
frique, III,  95. 

FIDENCE  [et  non  Fidème],  évêque  dona- 
tiste,  V,  m. 

FIDENCE ,  auteur  ecclésiastique  peu 
connu.  (Voyez  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  tom.  IV,  p.  572.) 
m  siècle.  FIDUS,  évêque  en  Afrique,  consulte  le 
concile  de  Carthage.  Lettre  des  pères  du 
J52.  concile  de  Carthage  à  Fidus,  II,  317.  Lettre 
synodale  du  concile  de  Carthage  qui  lui  est 
adressée,  561. 

FIDUS,  diacre  de  Jérusalem,  envoyé  à 
Zenon  et  à  Acace  par  Martyrius,  X,  410.  — 


Son  naufrage.  Ordre  que  saint  Euthymius 
lui  donne,  XI,  274. 

FIEFS.  Origine  des  fiefs  dépendant  de 
l'Église,  XII,  667. 

FIGEAC,  abbaye  au  diocèse  de  Cahors. 
Histoire  de  cette  abbaye  écrite  par  un  ano- 
nyme, Xni,  347. 

FIGON  (Jean).  Sa  traduction  française  du 
poème  de  Théodore  Prodrome,  intitulé  : 
L'Amitié  bannie  du  monde,  XIV,  149. 

FIGUIER  séché  :  sujet  d'une  homélie  at- 
tribuée à  saint  Jean  Chrysostôme  ou  à  Sé- 
vérien,  évêque  de  Gabales,  VII,  257,  258. 
—  Homélie  du  pape  saint  Grégoire  sur  la 
parabole  du  figuier  stérile,  XI,  460.  —  Ho- 
mélie de  saint  Jean  Damascène  sur  la  para- 
bole du  figuier  qui  devint  sec,  XII,  86. 

FIGULUS,  auteur  inconnu,  cité  au  nombre 
des  pères  par  Smaragde,  XII,  256.  (Voyez 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France^  t.  IV, 
p.  444.) 

FIGURATIF,  successeur  de  Bérenger, 
XIII,  173. 

FIGURE  DU  MONDE  ;  dissertation  dans  la- 
quelleCosme  d'Egypte  prétend  prouver  que 
la  figure  du  monde  n'est  pas  ronde,  mais 
plate,  XI,  191.  Ce  qu'il  en  dit  dans  sa  Topo- 
graphie chrétienne,  186, 187. 

FIGURE  DE  LA  DIVINITÉ.  Aucune  chez 
les  chrétiens,  I,  601. 

FIGURES  DU  DISCOURS.  Traité  des 
Tropes  ou  figures  du  discours,  par  Cassio- 
dore,  XI,  237,  238.  —  Figures  et  tropes  de 
l'Écriture  sainte  ;  ouvrage  de  Bède  sur  ce 
sujet,  XII,  4. 

FILIOQUE,  addition  faite  par  les  Français 
au  symbole  de  Constantinople,  pour  mar- 
quer que  le  Saint-Esprit  procède  du  Père  et 
du  Fils,  XII,  176.  Le  pape  Léon  III  désap- 
prouve cette  addition,  et  cependant  en  per- 
met l'usage  pour  la  chapelle  du  roi.  Elle 
s'établit  dans  toutes  les  Églises  d'Occident 
avant  le  milieu  du  ix°  siècle,  177.  Lettre  de 
Léon,  moine  français,  sur  ce  mot,  218.  Let- 
tre attribuée  au  pape  Jean  VIII  sur  l'addi- 
tion Filioque  faite  au  symbole,  est  visi- 
blement supposée  ou  corrompue  par  les 
Grecs,  646.  Lettre  de  Photius  qui  blâme 
cette  addition  faite  au  symbole.  C'est  à  cette 
lettre  qu'Énée  de  Paris,  Odon  de  Beauvais 
et  Ratramne  furent  chargés  de  répondre, 
724.  Lettre  de  Photius  au  patriarche  d'Aqui- 
lée  sur  le  même  sujet,  731.  — Concile  d'Aix- 
la-Chapelle,  oii  il  fut  question  du  Filioque, 
sous  l'empereur   Gharlemagne,  XIII,  641. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


429 


Atteinte  portée  par  Photius  au  Filioque  dans 
le  concile  de  Constantinople,  où  il  se  fit  ré- 
tablir, 725.  —  Dissertation  du  P.  Le  Quien 
sur  l'addition  du  Filioque,  XII,  98.  Voyez 
Esprit-Saint. 

FILLEAU.  Sa  traduction  française  de  l'His- 
toire sacrée  de  Sulpice  Sévère^  VIII,  122. 

FILLES.  Le  concile  d'Elvire  qui  défend 
de  marier  les  filles  chrétiennes  à  des  païens, 
hérétiques  ou  schismatiques  ou  prêtres  des 
idoles,  II,  606.  — Filles  de  l'alliance.  Quelles 
étaient  les  vierges  auxquelles  les  Syriens 
donnaient  ce  nom,  III,  328.  —  Filles  punies 
de  leur  impudence,  X,  51.  —  Un  canon  du 
concile  de  Nîmes  défend  de  marier  les  filles 
avant  l'âge  de  douze  ans,  XIII,  435.  Pilles 
ou  veuves  consacrées  à  Dieu.  Canon  d'un 
concile  de  Frioul  qui  les  concerne,  633. 

FILLEUL.  Selon  Alton  de  Verceil,  le  fil- 
leul ne  peut  épouser  la  fille  de  son  parrain, 
XII,  825.  Le  pape  Léon  VII  décide  la  même 
chose,  828. 

FILS  DE  DIEU.  [Que  le  Fils  de  Dieu  n'est 
pas  étranger  à  la  nature  du  Père,  mais  qu'il 
lui  est  connaturel  et  consubstantiel,  II,  418. 

—  Ce  que  saint  Hilaire  de  Poitiers  dit  du 
Fils  de  Dieu,  IV,  32,  33.]  Doctrine  de  Lac- 
tance  sur  le  Fils  de  Dieu,  511,  512.  —  Doc- 
trine de  saint  Ambroise  sur  l'éternité  du  Fils 
de  Dieu,  V,  630,  631.  Sa  divinité  sou- 
tenue contre  les  Ariens  par  saint  Grégoire 
de  Nazianze,  229  et  suiv.  et  285,  286; 
par  saint  Ambroise,  472  et  suiv.;  [par  Di- 
dyme  l'Aveugle,  624  et  suiv.]  —  Discours  de 
saint  Éphrem  sur  la  nature  du  Fils  de  Dieu, 

VI,  40.  [Preuves  de  sa  divinité  par  le  même, 
468,  469  et  473.  Il  connaît  le  jour  du  Ju- 
gement, 476.]  Traité  de  la  soumission  du 
Fils  de  Dieu  à  son  Père  à  la  fin  des  siècles, 
ouvrage  attribué  à  saint  Grégore  de  Nysse, 
145.  Discours  de  saint  Grégoire  de  Nysse  sur 
la  divinité  du  Fils  et  du  Saint-Esprit,  204, 
203.  [Sa  génération  éternelle,  d'après  saint 
Zenon  de  Verceil,  274.]  ■—  Témoignage  de 
saint  Jean  Ghrysostôme  sur  le  Fils  de  Dieu, 

VII,  44,  46,  178  et  233  ;  —  [de  saint  Cyrille 
d'Alexandrie,  VIII,  332.]  —  Témoignage  de 
Théodoret,  X,  81  ;  de  saint  Léon,  233  et  suiv. 

—  Doctrine  de  saint  Fulgence,  XI,  16  et 
suiv.,  20  et  suiv.  —  Question  sur  l'égalité  du 
Père  et  du  Fils  agitée  à  Constantinople,  XIV, 
1124.  Voyez  Incarnation  de  Jésus-Christ. 

FILS  DE  L'HOMME.  Traité  de  la  gloire 
et  de  l'honneur  du  Fils  de  l'homme,  ouvrage 
de  Rupert,   abbé  de  Tuy,  XIV,  282,  283. 


Traité  de  la  glorification  du  Fils  de  l'homme, 
ouvrage  de  Géroch,  prévôt  de  Reichersperg, 
629.  Voyez  Incarnation  de  Jésus-Christ. 

FILTÉRIUS,  évêque  des  Gaules,  l'un  de 
ceux  à  qui  saint  Célestin  écrit  en  faveur  de 
saint  Augustin,  X,  277. 

FIN.  Pour  la  fin.  Voyez  In  finem. 

FINARD,  nom  défiguré  donné  dans  les 
imprimés  des  œuvres  de  Fulbert  de  Chartres 
à  un  seigneur  qui  s'appelaitEinard,  XIII,  80. 

FINCENHALLE,  en  Angleterre.  Concile 
tenu  en  cette  ville,  XIII,  632. 

FINCH ALLEND,  en  Angleterre.  Concile 
tenu  en  ce  lieu,  XIII,  636. 

FINEM  (In),  pour  la  fin.  Ce  que  signifie 
cette  expression  à  la  tête  des  Psaumes,  se- 
lon Cassiodore,  XI,  224. 

[FINETTI,  chargé  de  revoir  le  texte  sy- 
riaque des  deux  épitres  de  saint  Clément, 
pape,  sur  la  virginité,  I,  344.] 

FINGEN,  abbé  de  Saint-Vanne.  Sa  mort;      y.  looi. 
Richard  lui  succède,  XIII,  118. 

FINLANDE.  Lettre  du  pape  Alexandre  III    xiisièeie. 
au  sujet  des  conversions  simulées  des  Fin- 
landais, XIV,  924. 

FIRMICUS  (Julius)  Maternus,  sénateur  343  «t  350. 
romain,  IV,  310  et  suiv.  Quel  il  était,  310, 
311.  Il  embrasse  la  religion  chrétienne,  et 
compose  pour  sa  défense  un  écrit  intitulé  : 
De  l'Erreur  et  la  fausseté  des  reMgions 
profanes,  311.  Analyse  de  cet  ouvrage,  311 
et  suiv.  Vanité  du  culte  des  faux  dieux,  leur 
origine,  311.  But  des  païens  dans  le  culte 
des  dieux,  311.  Suite  de  l'origine  des  dieux. 
Symboles  mystérieux  des  païens,  312.  De  la 
substance  des  idoles  :  qu'elles  sont  défen- 
dues dans  la  loi  de  Dieu,  312  et  313.  Éditions 
de  cet  ouvrage,  313.  [Autres  éditions,  313.] 
Livres  d'astronomie  attribués  à  Julius  Fir-  j 

micus  :  ils  ne  sont  pas  de  lui,  313. 

FIRMILIEN  (Saint),  évêque  de  Césarée  en 
Cappadoce,  II,  433  et  suiv.  Naissance  de 
Firmilien  et  sa  conversion,  435.  Il  est  fait 
évêque,  et  assiste  au  concile  d'Icône,  435  et 
548.  Il  visite  Origène  et  s'instruit  auprès  de 
lui  ;  il  invite  saint  Denys  d'Alexandrie  au 
concile  d'Antioche,  435.  Lettre  de  saint  Fir- 
milien au  sujet  du  Baptême,  433  et  436. 
[Jugement  sur  cette  lettre,  436,  n.  4.]  Au- 
tres écrits  de  Firmilien  ;  son  zèle  contre 
l'erreur  de  Paul  de  Samosate;  sa  mort,  436. 
[Il  est  honoré  comme  saint  par  les  Orien- 
taux, 436.  Date  de  sa  mort,  436,  n.  7.]  Let- 
tres de  saint  Cyprien  à  saint  Firmilien,  et  de 
saint  Firmilien  à  saint  Cyprien,  333  et  suiv. 


S31. 


251. 


430 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Saint  Etienne,  pape,  ne  veut  plus  commu- 
niquer avec  lui,  349.  Concile  d'Antioche  où 
Firmilien  préside;  autre  où  il  allait  lorsqu'il 
mourut,  567. 
308.  FIRMILIEN,    gouverneur    de    Palestine, 

condamne  un  grand  nombre  chrétiens  aux 
mines,  III,  9. 
372.  FIRMIN,  jeune  homme  à  qui  saint  Basile 

adresse  une  lettre  ;  réponse  de  Firmin,  IV, 
451. 

FIRMIN  (Saint),  évêque  de  Verdun.  Son 
corps  transféré  au  prieuré  de  Flavigny; 
histoire  de  cafte  translation,  XIII,  239. 

FIRMIN  D'ARLES,  à  la  prière  de  qui  saint 
Sidoine  Apollinaire  publie  le  neuvième  livre 
de  ses  lettres,  X,  394.  Saint  Sidoine  Apolli- 
naire lui  adresse  un  petit  poëme,  393. 

FIRMIN  (Saint),  évêque  d'Uzès,  que  l'on 
croit  être  l'un  des  auteurs  de  la  Vie  de  saint 
Césaire,  évêque  d'Arles,  XI,  128.  Il  eut  pour 
successeur  saint  Perréol,  312.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  III,  p.  261  et  suiv.) 
602.  FIRMIN,  évêque  de  Trieste  en  Istrie,  se 

601.  réunit  à  l'Eglise  catholique,  XI,  440.  Lettre 
que  lui  écrit  le  pape  saint  Grégoire  le  Grand 
en  lui  envoyant  quelques  assistances,  328. 

FIRMIN   (Jean).    Ses   notes  sur  le  petit 
commencement  de  l'ordre  de  Gîteaux,  XIV, 
231. 
V  siècle  FIRMUS,  prêtre,  porteur  d'une  lettre  du 

pape  Sixte  III  à  saint  Augustin  et  à  Alypius, 
VIII,  631. 

FIRMUS,  archevêque  de  Gésarée  en  Cap- 
padoce,  X,  149  et  suiv.  Jean  d'Antioche  ne 
peut  réussir  à  l'attirer  à  son  parti  contre 
saint  Cyrille  ;  est  du  nombre  des  députés 
envoyés  par  le  concile  d'Éphèse  à  l'empe- 
reur Théodose  le  Jeune  pour  défendre  les 
intérêts  de  la  foi  ;  il  tient  un  concile  pour 
donner  un  successeur  à  Euthérius,  évêque 
de  Thyanes;  sa  mort;  Thalasse  lui  succède, 
149.  Analyse  des  lettres  de  Firmus,  150, 
131.  Édition  qu'en  a  donnée  Muratori,  132. 
[Autres  éditions,  132.] 

FISMES,  bourg  de  Champagne.  Conciles 
tenus  en  cette  ville,  XIII ,  728  et  suiv., 
749. 

FITADE  (Saint),  le  même  que  saint  Phé- 
bade,  évêque  d'Agen,  V,  372.  Voyez  Phé- 
bade  (saint). 

FLACGILE,  évêque  d'Antioche.  Voyez 
Flacille, 

PLACCILLE,  impératrice,  épouse  de  Théo- 
dose, IV,  410. 


431. 


432. 


439. 


[FLACCILLE ,  princesse  à  qui  Faustin 
adresse  son  livre  de  la  Trinité  et  de  la  Foi, 
V,  153.] 

FLACCILLE,  fille  de  l'empereur  Arcade, 
embrasse  la  virginité,  VIII,  471. 

FLACCIUS  ILLYRICUS  (Matthias),  dit 
Francowitz.  Son  édition  du  traité  de  Julius 
Maternus  Firmicus,  de  l'Erreur  et  de  la 
fausseté  des  rehgions  profanes,  IV,  313.  — 
Son  édition  de  l'Histoire  des  Français,  par 
saint  Grégoire  de  Tours,  XI,  398.  —  Son 
édition  des  questions  d'Alcuin  sur  la  Tri- 
nité ;  son  traité  sur  le  consentement  una- 
nime de  l'Église  primitive,  XII,  212.  —  Son 
édition  d'une  ancienne  messe  latine  ;  on  y 
trouve  tous  les  dogmes  de  l'Église  bien  éta- 
bhs  ;  les  Luthériens  suppriment  les  exem- 
plaires qu'ils  peuvent  trouver  de  cette  litur- 
gie, XIII,  16.  —  [Son  édition  de  l'Image  du 
monde  par  Honoré  d'Autun,  XIV,  298.] 
FLACCUS  ALBINUS.  Voyez  Alcuin. 
FLACILLE  ou  PLACILLE ,  évêque  d'An- 
tioche. Eusèbe  de  Césarée  lui  adresse  ses 
hvres  contre  Marcel  d'Ancyre,  III,  217.  Il 
préside  au  conciliabule  de  'Tyr,  430.  —  Té- 
moignage de  Théodoret  sur  cet  évêque,  X, 
43. 

FLAGELLATION.  Voyez  Discipline. 
FLAMINES,  ou  pontifes  des  faux  dieux. 
Deuxième,  troisième  et  quatrième  canons 
du  concile  d'Elvire,  II,  604. 

PLAMINIE,  province  comprise  dans  la 
Gaule  Cisalpine,  X,  7. 

FLAMINIUS  (Jean-Antoine).  Sa  Vie  de 
saint  Pierre  Damien,  XIII,  324. 

FLAMIR,  abbé  de  Chinon  en  Touraine, 
à  qui  saint  Germain,  évêque  de  Paris,  avait 
écrit  une  lettre,  XI,  311. 

FLATTEURS,  Parole  de  saint  Basile  sur 
les  flatteurs  et  les  amis,  IV,  430. 

FLAUVALD  ou  FLAVALD,  chanoine  de 
Reims.  Voyez  Frodoard. 

FLAVIEN  (Saint),  diacre,  martyr  d'Afri- 
que, II,  389.  Il  fait  l'éloge  du  prêtre  Lucien 
dont  il  prédit  l'épiscopat,  390. 

FLAVIEN,  gouverneur  de  Palestine  au 
temps  de  Dioclétien,  III,  4. 

FLAVIEN,  préfet  du  prétoire,  V,  391  et 
VI,  372. 

FLAVIEN  I,  évêque  d'Antioche,  [n'a  pas 
droit  au  titre  de  saint,  VI,  310,  n.  3.]  Son 
éducation,  son  zèle,  310,  311.  Il  est  fait 
évêque  d'Antioche  par  les  Orientaux  au 
temps  du  schisme  ;  sa  conduite  épiscopale, 
381.  Il  apaise  Théodose  irrité  contre  la  ville 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


431 


d'Antioche,  381  et  suiv.  Flavien  est  récon- 
cilié avec  l'Occident  et  avec  l'Egypte,  313, 
314.  Sa  mort  ;  ses  écrits ,  314.  —  Il  avait 
assisté  comme  prêtre  au  concile  de  Cons- 
tantinople  où  il  fut  élu,  IV,  618  et  620.  Il 
confond  les  Messaliens  et  assemble  un  con- 
cile à  Antioche  où  ces  hérétiques  sont  con- 
damnés, 646.  Il  écrit  aux  évêques  de  l'Os- 
rhoëne  contre  ces  hérétiques,  647.  Il  est 
appelé  au  concile  de  Capoae;  Théodose  en- 
gage les  évêques  à  communiquer  avec  Fla- 
vien, 654.  —  Il  n'était  encore  que  simple 
prêtre  lorsqu'il  commença  de  défendre  la  foi 
contre  les  Ariens,  V,  9.  Il  est  en  différend 
avec  Evagre  pour  le  siège  d'Antioche  ;  le 
concile  de  Capoue  renvoie  l'examen  de  cette 
affaire  à  Théophile,  évêque  d'Alexandrie, 
498.  —  Saint  Jean  Chrysostôme  est  ordonné 
prêtre  par  Flavien,  qui  lui  confie  le  minis- 
tère de  la  prédication,  VII,  2  et  41.  Éloge 
de  Flavien  par  saint  Jean  Chrysostôme,  41. 
Il  fait  exhumer  les  corps  des  martyrs  enter- 
rés avec  des  hérétiques,  84.  —  Concile  qu'il 
assemble  à  Side  en  Pamphyhe,  contre  les 
Messaliens,  Vlll,  3.  Acace,  évêque  de  Bérée, 
eut  beaucoup  de  part  à  son  ordination  ;  il 
lui  apporte  des  lettres  de  communion  de  la 
part  du  pape  saint  Sirice,  238.  Son  corps 
est  transféré  solennellement  à  Constantino- 
ple,  473.  Philostorge  lui  attribue  d'avoir 
introduit  la  doxologie  ;  Gloire  au  Père,  au 
Fils  et  au  Saint-Esprit,  511.  —  Flavien 
prend  soin  de  l'Église  d'Antioche  en  l'ab- 
sence de  saint  Mélèce,  X,  47  ;  visite  saint 
Marcien,  solitaire,  S2.  Théodoret  lui  attri- 
bue l'usage  de  chanter  les  psaumes  en  deux 
chœurs,  137. 

FLAVIEN  II  (Saint),  évêque  d'Antioche, 
exilé  à  Pétra  pour  s'être  opposé  aux  volon- 
tés de  l'empereur  Anastase  au  faux  concile 
de  Sidon  ;  il  meurt  dans  son  exil,  XI,  750. 
—  Il  est  déposé  par  les  Eutychiens,  et  rem- 
placé par  Sévère  de  Sozople,  XII,  107. 

FLAVIEN,  évêque  en  Cappadoce.  Lettre 
que  lui  écrivit  saint  Grégoire  de  Nysse,  VI, 
215,  216. 

FLAVIEN  (Saint),  évêque  de  Constantino- 
ple.  Eutychès  se  plaint  de  lui  à  saint  Pierre 
Chrysologue,  X,  7.  Eusèbe  de  Dorylée  l'a- 
vertit des  erreurs  d'Eutychès  ;  il  est  exilé 
par  l'empereur  Théodose  le  Jeune,  et  rap- 
pelé par  Marcien,  23.  Lettre  que  lui  écrit 
Théodoret  pour  le  féliciter  de  la  déposition 
d'Eutychès,  65.  Autres  lettres  où  Théodo- 
ret   se  justifie    des   calomnies    répandues 


contre  lui ,    71 ,    72.   Il    tient  un    concile        448. 
où   il    condamne    Eutychès ,    172.    Lettre 
qu'il  écrit  à  ce  sujet  au  pape  saint  Léon  ; 
il  est  déposé  au  faux  concile  d'Éphèse,  173.        «9. 
Différentes  lettres  que  lui  écrit  le  pape  saint 
Léon,  173  et  210,  211.   Grande  lettre  de 
saint  Léon  à  saint  Flavien'  contre  l'erreur 
d'Eutychès,  211  et  suiv.  Autres  lettres  de 
saint  Léon  à  saint  Flavien,  214  et  216.  Édi- 
tions particuhères  qu'on  a  faites  de  la  lettre 
du  pape  saint  Léon  à  Flavien,  275.  Saint 
Flavien  préside  aux  conciles  tenus  à  Cons-        448. 
tantinople ,  669  et  suiv.  Prononce  la  sentence        449. 
contre  Eutychès,  et  la  soutient,    673.    Est 
obhgé  de  donner  sa  profession  de  foi  ;  ac- 
cusé par  l'empereur  d'être   la  cause  des 
troubles  arrivés  dans  l'Église  à  l'occasion 
d'Eutychès,  675.  Il  est  condamné  au  brigan- 
dage d'Éphèse,  678.  Il  meurt  des  mauvais 
traitements  qu'il  y  avait  reçus,  680.  Sa  mé- 
moire est  en  vénération  dans  l'Église,  680. 
Son  nom  est  mis  dans  les  diptyques,  681.        450. 
Saint  Flavien  est  justifié  dans  un  concile  de 
Chalcédoine,  685  et  suiv. 

FLAVIEN,  évêque  de  Philippes,  se  donne 
la  qualité  de  subdélégué  de  Rufus  de  Thes- 
salonique,  X,  103. 

FLAVIGNY,  [autrefois]  prieuré  dépendant 
de  Sainte-Vanne  de  Verdun,  dans  le  diocèse 
de  Toul,  XIII,  413. 

FLAVIGNY,  [autrefois]  abbaye  en  Bourgo-        g77. 
gne,  dans  le  pays  d'Auxois.  Un  concile  de 
Ravenne  confirme  à  l'évêque  d'Autun  ses 
droits  sur  ce  monastère,  XIII,  720. 

FLAVIN,  clerc  de  l'Église  de  Metz.  Lettre     ,x  siècle, 
que  le  pape  Etienne  V  écrit  à  son  sujet,  XII, 
652. 

FLAVIUS,  à  qui  saint  Denys  d'Alexandrie 
écrit  une  lettre,  II,  410. 

FLAVIUS,  évêque  d'Elvire ,  assiste  au 
concile  tenu  en  cette  ville,  II,  603. 

FLAVIUS   BOÈCE,  père    du  philosophe        m. 
Boèce.  Éducation  qu'il  donne  à  son  fils.  Sa 
mort,  X,  645. 

[FLAVIUS  DEXTER.  Faux  nom  sous  le- 
quel se  trouve  caché  Jérôme  Romand  de  la 
Higuerra.  Voyez  Romand,] 

[FLEUR  DU  DÉSERT  ou  Vie  de  saint  Tié- 
baut  ou  Thibaut  :  ouvrage  de  Régnier,  moine 
de  Saint-Laurent  de  Liège,  XIV,  796.] 

[FLEURS  :  ouvrage  d'Héhnand,  moine  de 
Froidmont,  XIV,  899.] 

FLEURS  DES   PSAUMES  :  ouvrage  de 
saint  Prudence,  évêque  de  Troyes.  A  quelle  ■ 
occasion  il  fut  composé,  XII,  500. 


432 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


i 


X  siècle. 


IX  siècle. 


851. 


FLEURY  ou  SAINT-BENOIT-SUR-LOIRE, 

[autrefois]  abbaye  dans  le  diocèse  d'Orléans. 
[Lettre  du  pape  Grégoire  IV  aux  é vêques  et  aux 
fidèles  de  la  Gaule  sur  la  dignité  et  les  pri- 
vilèges du  monastère  de  Pleury,  XII,  406. 
Privilèges  accordés  à  ce  monastère  par  le 
pape  Marin  II,  '829  ;  par  le  pape  Jean  XII, 
832.]  Recueil  des  statuts  et  coutumes  de  ce 
monastère,  911 .  —  Vies  des  abbés  de  Fleury 
écrites  par  Aimon  ;  elles  ne  se  trouvent  plus, 
XIII,  42.  Gauslin,  archevêque  de  Bourges, 
rebâtit  cette  abbaye  qui  avait  été  brûlée, 
89.  Thierry,  moine  de  cette  abbaye,  en  avait 
recueilli  les  statuts  et  les  coutumes,  101.  — 
Conciles  tenus  en  cette  abbaye,  XIV,  1081 
et  1083. 

FLODOARD,  chanoine  de  Reims.  Voyez 
Frodoard. 

FLOHAIRE,  prêtre  au  diocèse  de  Paris, 
auteur  des  Actes  de  saint  Eugène.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  tom.  VI,  p.  194  et  suiv.) 

FLORBERT,  moine  de  Saint-Matthias,  à 
Trêves,  auteur  de  quelques  écrits.  (Voyez 
dans  V Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 
IV,  p.  238.) 

FLORBERT,  abbé  de  Gand.  Ses  liaisons 
avec  saint  Livin,  apôtre  du  Bi'abant,  XI, 
741. 

FLORE  et  LUGILLE  (Saintes),  martyres 
de  Rome.  Deux  discours  de  saint  Pierre  Da- 
mien  pour  leur  fête,  XIII,  308.  Actes  de 
leur  martyre,  par  le  même,  310. 

FLORE,  dame  de  qualité,  dont  le  fils  fut 
enterré  auprès  de  saint  Félix  de  Noie,  V,  301 
et  VlII,  53. 

FLORE  (Sainte),  martyre  de  Cordoue.  Ses 
actes  écrits  par  saint  Euloge,  XII,  517  et 
suiv.  Instruction  que  lui  adresse  saint  Eu- 
loge,  520,  521. 

FLORE,  monastère  fondé  au  diocèse  de 
Cosence  par  l'abbé  Joachim,  XIV,  829. 

FLORENCE,  ville  de  Toscane.  Saint  Am- 
broise  y  dédie  une  église,  qui  fut  nommée 
la  basilique  Ambroisienne,  V,  457.  —  Con- 
cile tenu  en  cette  ville  contre  Bérenger,  XIII, 
169.  Constitution  d'Alexandre  II  adressée 
au  clergé  et  au  peuple  de  Florence,  287. 
Schisme  entre  les  Florentins  et  Pierre,  leur 
évêque  :  lettre  que  saint  Pierre  Damien  leur 
écrit  à  ce  sujet,  317.  —  Conciles  tenus  en 
cette  ville  en  1053,  XIV,  1059;  autre  en 
1106,  p.  1079. 

FLORENT  (Saint),  martyr.  Sa  Vie  écrite 
par  Marbode,  XIV,  229.  [Le  discours  sur  la 


vie  de  saint  Florent  est  reproduit  au  tome 
GXXXI  de  la  Patrologie  latine.] 

FLORENT  DE  SAUMUR  (Saint-).  Histoke 
de  l'abbaye  de  ce  nom  écrite  par  un  ano- 
nyme, qui  vivait  dans  le  onzième  siècle, 
XIII,  273. 

FLORENT  D'ANGERS  (Saint-).  Relation 
des  miracles  opérés  au  tombeau  de  saint 
Florent,  par  Rainaud  d'Angers.  Répons  de 
l'olSce  de  ce  saint,  par  le  même,  XIII, 
327. 

FLORENT,  évêque  deMérida  en  Espagne, 
au  concile  de  Sardique,  et  peut-être  au  con. 
cile  de  Milan,  IV,  240. 

FLORENT,  grand-maître  du  palais  sous 
Constantin,  IV,  242. 

FLORENT,  occupé  à  diverses  œuvres  de 
charité  dans  Jérusalem,  VII,  449.  Saint  Jé- 
rôme lui  écrit  deux  lettres,  581. 

FLORENT,  évêque  de  Cahors,  VII,  573. 
—  Lettre  que  lui  écrivit  saint  Paulin,  évêque 
de  Noie,  VIII,  78. 

FLORENT,  évêque,  député  d'Afrique  vers 
l'empereur,  IX,  117. 

FLORENT,  préfet  d'Orient,  X,  67. 
FLORENT,    évêque,    à    qui    Théodoret 
adresse  une  de  ses  lettres,  X,  74. 

FLORENT,  à  qui  écrit  Firmin  de  Césarée 
en  Cappadoce,  en  lui  envoyant  des  eulogies, 
X,  151. 

FLORENT,  évêque  de  Sardes.  Son  diffé- 
rend avec  deux  évêques  de  sa  province  oc- 
casionne la  tenue  du  concile  de  Constanti- 
nople,  où  Eutychès  est  condamné,  X,  669. 

FLORENT,  patrice,  envoyé  de  l'empereur 
au  concile  de  Gonstantinople,  touchant  Eu- 
tychès, X,  672.  Conduite  qu'il  y  tient,  672 
et  suiv. 

FLORENT,  évêque,  à  qui  le  pape  saint 
Simplice  écrit,  X,  402. 

FLORENT,  père  de  saint  Grégoire  de 
Tours,  XI,  365. 

FLORENT,  père  de  saint  Nizier,  évêque 
de  Lyon,  XI,  381. 

FLORENT,  sous-diacre  de  l'Éghse  de 
Rome,  élu  évêque  de  Naples,  refuse.  Lettre 
du  pape  saint  Grégoire  à  ce  sujet,  XI,  491. 
FLORENT,  évêque  de  Raguse,  XI,  491. 
FLORENT,  prêtre  de  l'église  des  Trois- 
Châteaux,  auteur  de  la  Vie  de  sainte  Rusti- 
cule,  abbesse  d'un  monastère  d'Arles,  XI, 
695.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  III,  p.  554  et  suiv.) 

FLORENT,  abbé  de  Saint-Josse,  auteur 
d'une  Vie  de  saint  Josse.  (Voyez  ce  qui  en 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


433 


est  dit  daire  VHistoire  littéraire  de  la  France, 
t.  Vil,  p.  234  et  suiv.) 

FLORENT  BRAVON,  bénédictin  du  mo- 
nastère de  Worchester.  Ce  qu'on  sait  de  sa 
personne;  temps  de  sa  mort.  Sa  Chronique 
continuée  par  un  moine  du  même  monas- 
tère. Son  livre  de  la  Race  royale  des  An- 
glais. Éditions  qu'on  a  faites  de  ces  deux 
ouvrages,  XIV,  245. 

PLORENTIEN,   évêque   d'Utique,  confes- 
seur sous  le  roi  Huneric,  X,  448. 
ècie.  FLORENTIN,  évêque  de  Tivoli.  Lettre  que 

lui  écrivit  le  pape  saint  Innocent,  VII,  S25. 

FLORENTIN,  à  qui  saint  Augustin  écrit 
une  lettre,  IX,  110. 

FLORENTIN  (Saint),  premier  abbé  du 
monastère  fondé  à  Arles  par  saint  Aurélien. 
Temps  de  sa  mort,  XI,  321.  Translation  de 
son  corps,  à  l'occasion  de  laquelle  Januarin 
fait  son  épitaphe,  321  et  322. 

FLORENTIN,  à  qui  saint  Sidoine  écrit, 
X,  388. 

FLORENTIN,  archidiacre,  proposé  pour 
l'évêché  d'Ancône,  XI,  334. 

FLORENTIN  (Maxime).  Sa  traduction  de 
quelques  ouvrages  d'QEcuménius,  Xll,  914. 

FLORENTIN  (Marc-Émile).  Sa  traduction 
italienne  des  Annales  de  Zonare,  XIV,  137. 

FLORENTINE,  jeune  fille  à  qui  saint  Au- 
'""•    gustin  écrivit  une  lettre,  IX,  192. 

FLORENTINE,  sœur  de  saint  Léandre  et 

de  saint  Isidore   de  Séville.  Lettre  que  lui 

ècie.     adresse  son  frère  Léandre,  XI,  423.  C'est  à 

elle  que  saint  Isidore  adresse  ses  deux  lettres 

contre  les  Juifs,  715. 

FLORENTIUS,  évêque  de  Vienne,  assiste 
et  peut-être  préside  au  concile  de  Valence, 
IV,  600,  601. 

FLORENTIUS,  prêtre  du  voisinage  de 
Sublac.  Sa  jalousie  contre  saint  Benoît,  XI, 
138. 

FLORENTIUS,  diacre  de  Ravenne,  pro- 
posé pour  l'évêché  d'Ancône,  XI,  33 i. 

[FLORETUS  ou  LIBER  FLORKTI  :  ou- 
vrage de  Jean  de  Garlande,  où  sont  résu- 
mées ses  lectures,  XIII,  230,  231.] 

[FLOREZ,    auteur  de  l'Espâna   sagrada. 

Son  édition  des  écrits  de  Braulion,  XI,  739; 

-   de  Quiricius  et  de  Taïon,  777.  —  Son  édition 

des  écrits   de  saint  Euloge  et  d'Alvar,  XII, 

522,  523.] 

FLORIDUS  ASPECTUS  :  recueil  de  poésies 
du  Vénérable  Hildebert,  XIV,  222. 

FLORIEN,  à  qui  est  adressée  une  lettre 
attribuée  à  saint  Ambroise,  V,  311. 

TAB.  I. 


FLORIEN,  abbé  de  Remane-Moutier.  Ara- 
tor  lui  dédie  une  partie  de  son  poëme  des 
Actes  des  Apôtres,  XI,  197.  Lettres  qu'il 
écrit  à  saint  Nicétius  de  Trêves,  206.  (Voyez 
son  article  dans  {'Histoire  littéraire  de  la 
France,  tome  III,  p.  319  et  suiv.) 

FLORIMONZE  (Galéas),  évêque  de  Sessa. 
Sa  traduction  italienne  de  plusieurs  sermons 
de  saint  Basile  de  Césarée,  IV,  348. 

FLORIN,  prêtre  de  l'Église  de  Rome,  hé-      ii  siècle, 
résiarque.  Lettre  de  saint  Irénée  à  Florin, 
I,  316.  Autre  ouvrage  de  saint  Irénée  contre 
les  erreurs  de  Florin,  516  et  517. 

FLORIN,  évêque  de  Césène.  Concile  de 
Rome  où  il  assiste,  II,  623. 

FLORUS,  diacre  de  Syracuse.  Concile 
d'Arles  où  il  assiste,  II,  628. 

FLORUS,  préfet  du  prétoire,  à  qui  l'em- 
pereurThéodose  adresse  une  loi,  VI,  367. 

FLORUS,  moine  d'Adrumet,  transcrit  la 
lettre  de  saint  Augustin  au  prêtre  Sixte,  IX, 
313  el  318. 

FLORUS,  prêtre,  auteur  de  commentaires 
surles  Epitres  de  saint  Paul,  selon  Trithême, 
est  le  même  que  Florus,  diacre  de  l'Église  de 
Lyon,  XII,  478.  Voyez  l'article  suivant. 

FLORUS,  diacre  de  l'ÉgHse  de  Lyon,  mais 
qualifié  prêtre  dans  plusieurs  manuscrits,  ce 
qui  donne  lieu  à  Trithême  d'en  faire  deux 
auteurs  différents.  Sa  naissance  et  son  édu-  779. 
cation;  il  est  chargé  de  la  conduite  des  éco-  325. 
les  de  Lyon  ;  il  fait  condamner  au  concile  de  837. 
Quierci-sur-Oise  les  explications  liturgiques 
d'Amalaire  ;  on  le  charge  de  réfuter  les  er- 
reurs de  Jean  Scot  Erigène  sur  la  prédesti- 
nation; il  entre  aussi  dans  les  disputes  sur  gj^^ 
ce  sujet,  renouvelées  à  l'occasion  de  Golhes- 
calc,  XII,  478.  Ou  ignore  le  temps  de  sa 
mort,  473  et  479.  Son  éloge,  479.  Ses  écrits  : 
traité  de  l'Élection  des  évêques,  479  et  480. 
Traité  de  l'Explication  de  la  messe,  480.  Ana- 
lyse de  ce  traité,  480  et  suiv.  On  répond  à 
quelques  objections  prises  de  quelques  ex- 
pressions de  ce  traité,  482.  Commentaires 
sur  les  Épîtres  de  saint  Paul,  482  et  483.  - 
Écrits  contre  Amalaire,  483,  484.  Actes  du 
concile  de  Quierci-sur-Oise  ;  lettres  au  cou- 
.  cile  de  Thionville,  484.  Collection  de  décrets  ; 
Martyrologe  de  Florus,  483.  [D'après  dom 
Guéranger,  les  additions  au  Martyrologe  de 
Florus  appartiennent  à  Florus,  moine  de 
Saint-Trond,  vers  l'an  360,  485.]  Discours 
sur  ce  qu'on  doit  croire  de  la  prescience,  de 
la  prédestination,  de  la  grâce  et  du  libre  ar- 
bitre, 485, 486.  Réfutation  des  écrits  de  Jean 

28 


434 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Scot  Erîgène  sur  ces  matières,  480,  487. 
Poésies  de  Florus,  489  et  suiv.  [Quelques 
vers  de  Fiorus  publiés  par  Muralori,  491, 
492.  Lettre  de  Florus  à  Hildrade,  abbé,  492. 
Ses  écrits  dans  la  Patrologie,  480,  483,  485, 
486,  490,  491.  Lettre  adressée  par  Florus  h 
l'impératrice  Judith,  492,  n.  2.]  Livres  de 
Florus  qui  sont  perdus,  492.  Jugement  sur 
ses  ouvrages  et  sur  son  style,  492  et  493. 
Raisons  qui  prouvent  qu'il  est  auteur  de 
récrit  contre  les  erreurs  de  Jean  Scot  sur  la 
prédestination,  et  qu'il  le  composa  au  nom 
de  l'église  de  Lyon,  614.  Il  est  auteur  de 
l'opuscule  sur  la  grâce  et  le  libre  arbitre,  at- 
tribué k  Amolon,  431.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  V, 
p.  213  et  suiv. ,  et  le  Supplément,  t.  IX,  p.  xx.) 

[FLOSS  (H.  Joseph).  Son  édition  des  œu- 
vres de  saint  Macaire,  V,  604,  n.  2.  —  Son 
édition  des  œuvres  de  Jean  Scot,  XII,  608, 
609.] 

FLOYER  [et  non  ÉLOYER]  (le  chevalier). 
Sa  traduction  française  des  livres  Sibyllins, 
I,  308. 
\m.  FLUENTIUS,  évêque  de  Florence,  Concile 

dans  lequel  on  combat  la  fausse  opinion  où  il 
était,  que  l'Antéchrist  était  né,  XIV,  1079. 

[FOGGINI.  Son  édition  des  Douze  pierres, 
par  saint  Épiphane,  VI,  437.  —  Éditeur  des 
Opéra  selecta  Patrum;  son  édition  des  écrits 
de  saint  Prosper,  X,  318.  —  Des  écrits  de 
Georges  Pisidès,  XI,  654.] 

FOI.  Doctrine  de  saint  Clément,  pape,  sur 
la  foi,  I,  [354],  359  et  360,  note  11  ;  de  saint 
Ignace,  385,  386,  387,  note  5  ;  de  saint  Poly- 
carpe,  397,  note  9.  Exposition  de  la  vraie  foi 
ou  de  la  sainte  et  consubstantielle  Trinité, 
ouvrage  faussement  attribué  à  saint  Justin, 
433,  434.  Doctrine  de  Clément  d'Alexan- 
drie, 602  et  604.  Foi  catholique  touchant 
la  Trinité  et  l'Incarnation ,  exposée  par 
saint  Hippolyte,  625,  626.  —  Erreur  des 
Élcésaïtes  sur  la  foi,  II,  137.  Doctrine  d'Ori- 
gène  sur  la  foi,  225  et  suiv.  Exposition  de  la 
foi  de  saint  Grégoire  Thaumaturge,  442  et 
suiv.  —  Opuscules  sur  la  foi  contre  Sabel- 
lius,  attribués  à  Eusèbe  de  Césarée,  III,  230. 
Doctrine  d'Eusèbe  de  Césarée  sur  la  foi,  237. 
—  Doctrine  de  saint  Hilaire  sur  la  foi,  IV,  80;  ' 
Exposition  de  la  foi,  ouvrage  de  saint  Alha- 
nase,  109,  110.  Discours  sur  la  foi,  par  saint 
Athauase,  172.  Doctrine  de  saint  Athanase, 
[160,]  210  et  suiv.  Témoignage  que  saint 
Athanase  rend  à  la  foi  du  concile  de  Ni- 
cée,396.  [Doctrine  del'orateurVictorinsurla 


foi,  330.  Formule  de  la  foi,  attribuée  à  Luci- 
fer de  Cagliari;  elle  est  de  Faustin,  260.]  Li- 
vre de  la  foi  contre  les  hérétiques,  ouvrage 
d'Audentius,  348.  Livre  de  la  foi,  par  Gré- 
goire d'Elvire,  348  et  349.  Homélie  quin- 
zième de  saint  Basile,  387.  Traité  de  la  foi, 
ouvrage  perdu  de  saint  Basile,  396.  Lettre 
de  saint  Basile  sur  la  foi,  396  et  suiv.  Doc- 
trine de  saint  Basile  sur  la  foi,  542.  —  Pro- 
fession de  foi  dressée  dans  un  concile  de 
Rome  sous  le  pape  saint  Damasc,  V,  116. 
Doctrine  de  saint  Cyrille  de  Jérusalem,  38 
et  78.  Conduite  de  l'empereur  Théodose  à 
l'égard  de  la  foi,  154.  Doctrine  de  saint  Phi- 
lastre,  177,  178.  Exhortation  à  embrasser  la 
foi,  poëme  de  saint  Grégoire  de  Nazianze  à 
Némésius,  281.  Foi  des  mystères  de  la  reli- 
gion, doctrine  de  saint  Grégoire  de  Nazianze, 
344,  345  et  353.  Cinq  livres  de  la  foi,  ou- 
vrage de  saint  Ambroise,  471  et  suiv.  Frag- 
ment d'un  livre  de  saint  Ambroise  intitulé  : 
Exposition  de  la  foi,  479.  Doctrine  de  saint 
Ambroise  sur  la  foi,  425  et  576.  [Livre  de  la 
Trinité  et  de  la  foi,  par  le  prêtre  Faustin, 
155,  156.  Confession  de  foi,  par  le  même, 
156.]  —  Discours  de  saint  Éphrem  intitulé  : 
De  la  foi,  VI,  16.  [Ouvrages  de  saint  Éphrem 
sur  la  foi,  48,  49,  476  et  suiv.]  Doctrine  de 
saint  Éphrem,  69  [et 415,  478  et  suiv.  Traité 
de  saint  Zenon  de  Verceilsur  la  foi,  274.  De 
la  foi,  de  l'espérance  et  de  la  charité,  autre 
traité  du  même,  274.]  Dispute  d'Évagre  de 
Pont  sur  la  foi,  117.  Traité  de  la  foi,  ouvrage 
de  saint  Grégoire  de  Nysse,  186,  187.  Doc- 
trine de  saint  Grégoire  de  Nysse  sur  la  foi, 
137  et  254.  — •  Traité  de  la  foi,  faussement 
attribué  à  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  58. 
Trois  homélies  de  saint  Jean  Chrysostôme 
sur  la  foi,  112  et  suiv.  Autre  homélie  où  il 
montre  le  danger  qu'il  y  a  d'abandonner  les 
choses  de  la  foi  aux  raisonnements  humains, 
184.  Autres  témoignages  de  saint  Jean  Chry- 
sostôme sur  la  foi,  217,  266,  273,  298,  373. 
Discours  sur  la  toi,  faussement  attribué  à  ce 
Père,  287.  Doctrine  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme sur  la  soumission  aux  vérités  de  la  foi, 
373.  Trois  livres  de  la  foi,  faussement  attri- 
bués à  Théophile  d'Alexandrie,  447.  Homé- 
he  sur  la  foi  et  sur  la  loi  de  nature,  fausse- 
ment attribuée  à  Jean  de  Jérusalem,  502.  Foi 
en  Jésus-Christ;  sa  nécessité;  doctrine  de  saint 
Jérôme,  663.  —  Traité  de  la  foi  et  de  la  vir- 
ginité, ouvrage  d'Atticus  de  Constantinople, 
VIII,  15.  Livre  de  la  Foi,  ouvrage  de  Bac- 
chiarius,  45  et  suiv.  Foi  de  l'Église  défendue 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


435 


par  le  poète  Prudence  contre  différentes  hé- 
résies, 103.  Trois  traités  de  saint  Cyrille 
d'Alexandrie  sur  la  foi,  adressés,  le  premier 
à  l'empereur  Tliéodose  le  jeune,  et  les  deux 
autres  aux  princesses  ses  sœurs,  304etsuiv. 
Autre  traité  de  saint  Cyrille  sur  la  foi,  celui- 
ci  est  perdu,  325.  Doctrine  de  saint  Isidore 
de  Péluse  sur  la  foi,  491  et  693.  —  Livre  de 
la  Croyance  des  choses  qu'on  ne  voit  pas,  ou- 
vrage de  saint  Augustin,  IX,  254,  255.  Livre 
de  la  Foi  et  du  Symbole,  ouvrage  du  même 
Père,  255, 236.  Livre  de  la  Foi  et  des  œuvres, 
ouvrage  du  même  Père^  236  et  suiv.  Manuel 
à  Laurent,  ou  traité  de  la  foi,  de  l'espérance 
et  de  la  charité,  ouvrage  de  saint  Augustin, 
258  et  suiv.  Premier  livre  de  cet  ouvrage  : 
De  lafoi,259  et  suiv.  Livre  de  la  foi  à  Pierre, 
ouvrage  faussement  attribué  à  saint  Augus- 
tin, 286.  Livre  de  l'Utilité  de  la  foi,  ouvrage 
de  saint  Augustin,  332  et  suiv.  Livre  de  la 
Foi  contre  les  Manichéens,  ouvrage  fausse- 
ment attribué  à  saint  Augustin,  370.  Divers 
témoignagesde  saint  Augustin  sur  la.  foi, 45, 
160,  161,  164,  183  et  suiv.,  249,  259,  333, 
477,  528,  529,532.  Doctrine  de  saint  Augus- 
tin sur  la  foi,  647  et  suiv.  Nécessité  de  la  foi 
en  Jésus-Christ  pour  être  sauvé,  647.  La  foi 
est  un  don  de  Dieu,  697.  La  foi  n'est  pas 
donnée  à  tous,  700,  701.  La  vocation  à  la  foi 
prévient  le  mérite  de  l'homme,  725.  Pour- 
quoi les  Tyriens  et  les  Sidoniens  n'ont  pas 
cru  en  Jésus-Christ.  726,  727.  [Exposition  de 
foi  par  saint  Augustin,  836  et  841.]  —  Dis- 
cours de  Théodoret  contre  les  payens,  inti- 
tulé :  De  la  foi,  X,  91 .  Doctrine  du  pape  saint 
Léon  sur  la  foi,  192,  249  et  suiv.,  262.  Doc- 
trine de  saint  Prosper,  287  et  301.  Sentiment 
de  Fauste  de  Riez  sur  la  foi,  432,  433.  Traité 
de  la  foi,  composé  par  Syagrius,  469.  Doc- 
trine de  saint  Avit,  évêque  de  Vienne,  sur  la 
foi, 565.  — Livre  de  saint  Fulgence  de  Ruspe  : 
De  la  foi  orthodoxe,  adressé  à  Denase,  XI, 
32  et  suiv.  Livre  de  la  Règle  de  la  vraie  foi, 
adressé  à,  Pierre,  63  et  suiv.  Quarante  ar- 
ticles de  foi  qu'il  propose,  65  et  suiv.  Article 
ajouté  à  ceux  de  saint  Fulgence,  68.  Le  livre 
de  la  foi  contre  Pinta  n'est  point  de  saint 
Fulgence,  69.  Doctrine  de  saint  Fulgence  sur 
la  foi,  41.  [Exposition  de  la  foi  parTliéodore 
le  lecteur,  105.  Formule  de  la  vraie  foi  par 
Sévère  de  Sozopole,  109.]  Sermon  de  saint 
Césaire  d'Arles  sur  la  foi,  138.  Doctrine  de 
Cassiodore  sur  la  foi,  244.  Témoignage  de 
Facundus,  évêque  d'Hermiane,  sur  la  foi, 
297.  Lettre  du  même  sur  la  foi  catholique, 


où  il  prend  la  défense  des  Trois-Chapitres, 
298, 299.  Éditions  qu'on  eu  a  failes,  299.  Pro- 
fession de  foi  du  pape  Pelage  1, 330.  Doctrine 
de  saint  Grégoire  le  Grand  sur  la  toi  en  Jésus- 
Christ,  559.  —  De  la  vraie  foi,  homéhe  attri- 
buée à  saint  Boniface  deMayence;  autre  ho- 
mélie de  la  foi  et  des  œuvres  de  charité,  XII, 
53.  Autres  homélies  de  la  foi  et  de  la  cha- 
rité, 54.  [Opuscule  d'Alcuinpour  la  confirma- 
tion de  la  foi  catholique,  179,  n.  1.  Définition 
de  la  foi  catholique  par  Nicéphore,  patriar- 
che de  Constanlinople,  293,  n.  4.]  Livre  de 
saint  Jean  Damascène  :  De  la  foi  orthodoxe, 
70  et  suiv.  Analyse  de  cet  ouvrage,  71  et 
suiv.  Règle  de  la  foi,  poëme  de  saint  Paulin 
d'Aquilée,  162.  Traité  d'Agobard  :  De  la  vé- 
rité de  la  foi,  373.  [Exposition  de  la  foi,  at- 
tribuée faussement  à  saint  Fortunat  de  Poi- 
tiers, 414.]  Poëme  de  Raban  Maur  sur  la  foi 
catholique,  459.  Traité  de  la  foi  chrétienne, 
attribué  à  Raban  Maur,  469.  Traité  sur  la 
foi  et  le  symbole  des  apôtres,  attribué  à  Ma- 
ginhard,  moine  de  Fulde,  523.  Traité  de  la 
foi,  de  l'espérance  et  de  la  charité,  ouvrage 
de  Pasohase  Radbert  ;  analyse  de  ce  traité, 
540.  Doctrine  de  Rathier  de  Vérone,  837.  — 
Doctrine  du  Vénérable  Hildebert  sur  la  foi  en 
Jésus-Christ,  XIV,  215.  Traités  du  Miroir  et 
de  l'Énigme  de  la  foi,  deux  opuscules  de  Guil- 
laume de  Saint-Thierri,  388.  Sentences  de  la 
foi,  autre  opuscule  du  même,  389.  Doctrine 
de  saint  Bernard  sur  la  foi,  441.  Instruction 
sur  la  foi  chrétienne  dressée  par  Pierre  de 
Blois  pour  le  sultan  d'Icône,  778.  —  [De  la 
recommandation  de  la  foi,  ouvrage  de  Bau- 
douin, archevêque  de  Cantorbéry,  XIV,  802. 
De  la  foi  catholique,  traité  d'Alain  de  Lille 
contre  les  hérétiques  de  son  temps;  division 
de  ce  traité;  jugement  qu'on  en  porte;  édi- 
tions qu'on  en  a  faites.  De  l'art  ou  des  arti- 
cles de  la  foi,  ouvrage  d'Alain  de  Lille; 
division  de  cet  ouvrage,  871.  Prologue  de 
l'auteur,  871  et  872.  Méthode  géométrique 
que  l'auteur  y  suit;  pourquoi  il  l'a  dédié 
au  pape,  872.]  Traité  des  articles  de  la 
foi,  ouvrage  attribué  à  l'abbé  Joachim,  830. 
Traité  de  la  Foi ,  ouvrage  de  Guillaume  de 
Paris,  1020.  Exposition  de  la  foi  catholique 
dressée  au  quatrième  concile  de  Latran , 
1162. 

FOI  (Sainte),  vierge  et  martyre.  Comédie 
de  Rosvith,  religieuse  à  Gandersheim,  sur  le 
martyre  des  saintes  vierges  Foi,  Espérance 
et  Charité,  XII,  876. 

FOILTAN  et  SALVIEN  (Saints).  Les  actes 


436 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


de  leur  martyre  écrits  par  Philippe  de  Bonne- 
Espérance,  XIV,  687. 

10C8.  FOLCARD  ou  FOULCARD  ou  FULCARD, 

abbé  de  Torney,  d'abord  moine  de  Saint- 
Bertin,  puis  de  Cantorbéry,  XIII,  342,  343. 
Le  roi  Guillaume  le  Conquérant  le  fait  abbé 
de  Torney;  un  différend  avec  l'évêque  de 
Lincoln  l'oblige  à  quitter  cette  abbaye  ;  on 
ignore  le  lieu  de  sa  retraite  et  le  temps  de  sa 
mort.  Ses  écrits  :  A^ie  de  saint  Bertin;  Vie  de 
saint  Orner;  Poëme  en  l'honneur  de  saint  Vi- 
gor;  Vie  de  saint  Oswald,  343.  Vie  de  saint 
Jean  de  Béverlai,  343  et  344.  Vie  de  saint 
Botulfe,  344.  [Édition  de  ses  écrits  dans  la 
Patrologie,  260.]  (Voir  son  article  dans  l'His- 
toire litt.  delà  France,  t.  VIII,  p.  132etsuiv.) 
XI  siècle.  FOLCARD,  moine  de  Cantorbéry,  paraît 
être  le  même  que  Folcard  ou  Fulcard,  moine 
de  Saint-Bertin,  qui  serait  passé  en  Angle- 
terre, XIII,  353,  534.  Il  est  auteur  des  Vies 
de  saint  Jean  de  Béverlai,  de  saintOswald  et 
de  quelques  autres  saints  d'Angleterre,  554. 
Voyez  l'article  précédent. 

965.  FOLCMAR,  archevêque  de  Cologne,  suc- 

cède à  saint  Brunon,  XII,  838. 

FOLGIEN  (Saint),  évèque  de  Térouane. 
Son  épitaphe,  composée  par  Folcuin,  moine 
de  Saint-Bertin,  XII,  860  ;  et  sa  Vie,  par  Fol_ 
cuin,  abbé  de  Lobes,  872,  873.  —  Soin  qu'il 
avait  pris  de  cacher  le  corps  de  saint  Bertin, 
XIII,  260. 
FOLCUIN,  moine  de  Saint-Bertin,  descen- 
V.  975.  dait  de  Charles-Martel  ;  temps  de  sa  mort , 
XII,  860.  Son  recueil  de  chartes  et  diplômes 
du  monastère  de  Saint-Bertin.  Ce  recueil  a 
servi  à  former  les  Annales  ou  Chroniques  de 
Saint-Bertin,  861.  [Ce  recueil  est  publié  par 
M.  Guérard,  861.]  Folcuin  fait  l'épitaphe  de 
saint  Folcuin,  évêque  de  Térouane.  On  doit 
distinguer  le  moine  Folcuin  d'un  autre  Fol- 
cuin, abbé  de  Lobes,  861.  (Voyez  l'article 
du  moine  Folcuin  dans  V Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  VI,  p.  384  et  suiv.) 

955  FOLCUIN,  abbé  de  Lobes,  succède  à  Ale- 

tran;   est  dépossédé  par  Rathérius,  évêque 
de  Vérone  ;  est  rétabli  ;  éloge  de  son  gou- 

j,g(,_  vernement;samort,XIl,872.Ses  écrits:Vie 
de  saint  Folcuin,  évêque  de  Térouanne,  872 
et  873.  Les  Gestes  des  abbés  de  Lobes.  Au- 
tres écrits  qu'on  lui  attribue,  873.11  écrivit  la 
Vie  de  saint  Folcuin,  évêque  de  Térouane, 
861.  — [Folcuin,  abbé  de  Lobes,  est  le  même 
que  Folcuin,  abbé  de  Saint-Bertin,  XII,  872, 
n.  1.]  —  Sa  mort;  Hériger  lui  succède,  XIII, 
33.  (Voyez  l'article  de  l'abbé  Folcuin  dans 


l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VI,  p.  451.) 

FOLCUIN,  moine  de  Sithiu  ou  Saint-Ber- 
tin, travaille  le  premier  à  la  Chronique  de  ce 
monastère;  il  rassemble  les  diplômes  donnés 
en  faveur  du  monastère,  XIII,  186. 

FOLIE.  Miroir  de  la  folie,  poème  de  Jean 
de  Sarisbéry,  XIV,  679. 

FOLMAR,  prévôt  de  Triéfenstein  en  Fran- 
conie.  Ses  erreurs  sur  l'Eucharistie,  XIV,  631 . 
Réfutées  par  Géroch,  prévôt  de  Reichers- 
perg;  il  rétracte  ses  erreurs,  632.  Écrits 
d'Arnon,  frère  et  successeur  de  Géroch, 
contre  Folmar,  633. 

FONDATEURS  des  églises.  On  récitait 
leurs  noms  dans  le  saint  sacrifice,  VII,  265. 

FONDEMENT.  Livre  de  saint  Augustin 
contre  l'épître  de  Manichée  intitulée  :  Du 
fondement,  IX,  338,  339.  —  Discours  de  saint 
Césaire  d'Arles  sur  le  fondement  de  l'édifice 
du  salut,  XI,  133. 

FONDET  (Pierre),  nom  sous  lequel  s'est 
déguisé  l'abbé  Chanut  pour  donner  sa  tra- 
duction française  de  la  grande  apologie  de 
saint  Justin,  I,  -446. 

FONDS.  L'Église  avait  des  fonds  dès  le 
IV'  siècle.  II,  319.  —  Canon  touchant  l'alié- 
nation des  fonds  des  églises  et  des  monas- 
tères, XIII,  634. 

[FONS  PHILOSOPHIE,  ouvrage  attribué  à 
Geoffroi  ou  Godefroi  de  Saint- Victor,  XIV,  813 
et  suiv.  Cet  écrit  est  de  Godefroi  de  Breteuil. 

FONT-AVELLANE.  Opuscules  de  saint 
Pierre  Damien  qui  contiennent  les  règles 
qu'il  avait  données  aux  ermites  delà  congré- 
gation de  Saint-Avellane,  XIII,  313,  314. 

FONTAINE  DE  VIE.  Discours  de  saint 
Colomban  sur  la  fontaine  de  vie,  qui  est  Jé- 
sus-Christ, XI,  624.  —  Fontaine  de  vie, 
poëme  dont  est  auteur  Audradre ,  cboré- 
véque  de  Sens.  Casimir  Oudiu  se  trompe 
en  l'attribuant  à  Hincmar  de  Reims,  XII, 
441  et  687. 

FONTAINE  (Nicolas).  [Sa  traduction  fran- 
çaise des  Oraisons  de  s;iint  Grégoire  de  Na- 
zianze,  V,  362.]  —  Sa  traduction  française 
des  homélies  de  saint  Jean  Chrysostôme  sur 
les  Épîtres  de  saint  Paul,  VII,  437. 

FONTAINE  (Simon),  franciscain.  Son  édi- 
tion des  œuvres  de  saint  Anselme,  XIV,  44. 

FONTAINES,  monastère  fondé  par  saint 
Colomban,  ;\  une  lieue  de  Luxeuil,  XI,  613. 

FONTAINES,  près  d'Elne.  Concile  tenu  en 
ce  lieu,  XHI,  748. 

[FONTANI.  Son  édition  des  quatre  ser- 
mons de  saint  Augustin,  IX,  833,  834.  Sou 


397. 


V.  592. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


437 


édition  de  douze  homélies  de  Rémi,  moine 
de  Saint-Germain,  XII,  737.] 

[FOiNTANINI  (François).  Son  édition  de 
quatre  lettres  de  Michel  Glycas,  XIV,  642.] 

FONTEIUS,  évêque  de  Vaison,  à  qui  saint 
Sidoine  Apollinaire  adresse  une  de  ses  let- 
tres, X,  .390. 
ms.  FONTENAI,  monastère  établi  dans  le  dio- 

cèse d'Autun  par  une  colonie  de  Glairvaux, 
XIV,  419. 

FONTENAI,  près  d'Auxerre.  Assemblée 
tenue  en  ce  lieu  après  la  bataille  entre  l'em- 
pereur Lothaire  et  Charles,  roi  de  France, 
et  Louis,  roi  de  Bavière,  XIII,  670. 
Ssiècie.  FONTENELLE,  aujourd'hui  Saint-Van- 
drille,  au  diocèse  de  Rouen.  Chronique  de 
ce  monastère  écrite  par  un  anonyme  au 
temps  de  Louis  le  Débonnaire,  XII,  334. 
Analyse  de  cette  Chronique,  334  et33S.  Au- 
tre Chronique  de  Fontenelle  par  un  auteur 
aussi  anonyme  et  du  même  siècle,  33S. 

FONTEVRAUD,  monastère  sur  les  confins 
du  Poitou.  Éloge  que  fait  Geofïroi  de  Ven- 
dôme des  religieuses  de  Pontevraud,  XIV, 
164.  Charte  de  société  entre  l'abbaye  de  Fon- 
tevraud  et  celle  de  la  Trinité  de  Vendôme, 
164  et  163.  [Le  pape  Innocent  II  écrit  en  fa- 
veur des  biens  de  ces  rehgieux,  264.] 

FONTS  BAPTISMAUX.  Ordre  et  modestie 
avec  lesquels  les  catéchumènes  y  entraient, 
V,  74.  —  Fonts  miraculeux  en  Sicile,  X,  202 
et  270  ;  —  en  Calabre,XI,  216;  en  Espagne, 
390  et  773  ;  à  Embrun  en  Dauphiné,  390  ;  à 
Céane  et  à  Cadebrate  en  Cilicie,  702. 

FORCE.  Morale  de  saint  Ambroise  sur  la 
force  considérée  comme  vertu  cardinale,  V, 
438,  439.  —  Témoignages  de  saint  Augustin 
sur  la  force,  IX,  49,  37  et  541. 
1077.  FORCHEIM,  ville  d'Allemagne.  Assemblée 

qui  y  fut  tenue;  Henri  IV,  roi  des  Romains, 
y  est  déposé  par  les  séditieux,  et  Rodolphe, 
duc  de  Souabe,  est  élu  à  sa  place,  XIII, 
364. 

FORMIES,  ville  d'Itahe.  Le  pape  saint  Gré- 
goire unit  l'église  de  Minturne  à   celle  de 
Formies,  XI,  480. 
866.  FORMOSE,  évêque  de  Porto,  puis  pape; 

envoyé  par  le  pape  Nicolas  I"  pour  instruire 
les  Bulgares;  succès  de  sa  mission, XII,  737. 
Accusé  de  brigue  pour  parvenir  à  la  papauté  ; 
876         sentence  prononcée  contre  lui  par  le  pape 
Jean  VIII  dans  un  concile  de  Rome,  649  et 
V.  884.       737.  Rétabli  par  Marin  I",  631  et  737.  Il  est 
891.         élu  pape  et  succède  à  Etienne  V,  737.  Il  cou- 
ronne Arnoul  empereur  ;  serment  qui  lui  est 


prêté  par  ce  prince,  739.  Sa  mort.  Sa  lettre 
à  Stylien  ;  ses  lettres  à  Foulques,  archevêque 
de  Reims,  737  et  738.  Lettres  de  Foulques 
qui  lui  sont  adressées,  707,  708.  Lettre  de 
Formose  à  Bernon,  abbé  de  Gigny.  Celle 
adressée  aux  évêques  d'Angleterre  est  sup- 
posée, 738.  Etienne  VI  fait  le  procès  à  la 
mémoire  de  Formose,  fait  déterrer  son  corps, 
et  le  traite  indignement;  sa  mémoire  est  ré- 
tablie par  les  papes  Théodore  et  Jean  IX, 
440.  Trois  traités  d'Auxilius  pour  prouver  la 
validité  des  ordinations  de  Formose,  748  et 
suiv.  [Édition  des  écrits  de  Formose  dans  la 
Patrologie.  Lettres  nouvelles,  739.  Observa- 
tion sur  Formose,  737,  n.  1.  La  relation  sur 
les  mauvais  traitements  infligés  au  corps  de 
Formose  est  suspecte,  740,  n.  2.  Le  pape 
Etienne  VI  n'a  pas  réordonné  les  prêtres  or- 
donnés par  Formose,  740,  n.  3,  5  et  7.]  — 
Concile  que  Formose  tient  à  Rome,  XIII, 
734.  Concile  assemblé  par  Etienne  VI  pour 
lui  faire  son  procès,  737.  Concile  assemblé 
par  Jean  IX,  où  la  procédure  faite  contre  lui 
est  annulée  ;  on  y  ordonne  de  jeter  au  feu 
les  actes  du  concile  tenu  contre  lui,  738. 

FORMULE  D'UNE  VIE  HONNÊTE,  ou- 
vrage de  saint  Martin  de  Dume,  où  il  est 
traité  des  quatre  vertus  cardinales,  XI,  331. 

FORMULES  ou  FORMULAIRES  DE  FOI. 
Formule  de  saint  Lucien,  prêtre  d'Antioche, 
III,  73,  76  et  463.  Formule  des  Eusébiens 
au  concile  d'Antioche,  463.  Formule  des 
catholiques  au  même  concile  d'Antioche, 
466.  Formule  des  Eusébiens  diSéi'ente  de  la 
précédente.  Autre  formule  des  Eusébiens 
appelée  macrostiche,  473.  Formule  des  Eu- 
sébiens dans  leur  faux  concile  de  Sardique  l"'™"  ^''^■^ 
tenu  àPhilypopole,  496.  Première  formule  de  351. 
Sirmium,  304  et  303.  —  Formules  ou  for- 
mulaires des  Ariens,  rapportés  par  saint 
Athanase,  IV,  134,  133.  Le  pape  Libère 
souscrit  à  la  première  formule  de  Sirmium, 
294.  [Voyez  133,  note  3.]  Il  souscrit  à  la 
troisième  formule  du  troisième  concile  de 
Sirmium,  296.  Formule  de  Ilimini  :  le  pape 
Libère  et  Vincent  de  Gapoue  refusent  de  la  si- 
gner, 297.  Seconde  formule  de  Sirmium, 
349  et  5S0.  Troisième  formule  de  Sirmium, 
332,  533.  Formule  de  Basile  d'Ancyre,  333. 
Les  Ariens  présentent  au  concile  de  Rimini 
la  troisième  formule  de  Sirmium.  Argument 
des  évêques  catholiques  contre  cette  for- 
mule, 336.  Formule  de  Nicée  ou  Nice  sous- 
crite par  les  députés  du  concile  de  Rimini, 
560,  561  ;  par  le  grand  nombre  des  évêques 


IV  siècle. 


341, 


347 


351. 


358. 


360. 


357. 


359. 


359. 


438 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


360.         de  ce  concile,  562.  Elle  est  envoyée  dans 

les  provinces  d'Orient  et  d'Occident  pour  y 

359.         être  signée,  S80  et  suiv.  Formule  des  Aca- 

359.  ciens  au  concile  de  Seleucie,  569.  Les  dé- 
putés du  concile  de  Seleucie,  forcés  par  les 
menaces  de  Gonstantius,  signent  la  formule 

360.  de  Rimini,  S74.  Formule  des  Acaciens  au 
360.        concile  de  Conslanlinople,  575.  Formule  de 

Rimini  signée  par  Ulpliilas,  évéque  des 
358.  Goths,  346.  Saint  Phébade,  évêque  d'Agen, 
réfute  la  seconde  formule  de  Sirmium,  372. 
Traité  qui  contient  cette  réfutation,  374  et 
suiv. 

FORMULES.  [Formules  de  saint  Méliton, 
évêque  de  Sarde,  I,  453  et  suiv.]  —  Traité 
des  Formules,  ouvrage  de  saint  Eucher 
adressé  à  Véran,  l'un  de  ses  fils,  VIII,  447  et 
suiv.  [On  doit  distinguer  trois  traités  des 
Formules,  447.  Les  Gloses  ou  petites  for- 
mules sont  le  seul  ouvrage  authentique, 
448,  449.]  — Formules  de  brevets  et  de  pro- 
visions de  charge,  etc.,  dans  les  lettres  de 
Cassiodore,  XI,  215  et  219.  Formule  de  par- 
don accordé  à  des  personnes  retenues  dans 
les  prisons,  rapportée  par  Cassiodore,  219. 

VI  siècle.     Formule  de   réception  des  Manichéens    à 

VII  siècle.     l'Église  catholique,  341.  Formules  de  Mar- 

culfe,  740.  Autres  formules  d'un  auteur  in- 
connu,   741.    (Voyez   Marculfe.)    [Poi-mules 

IX  siècle,  recueillies  dans  \a.  Patrologie,  741.] —  Dif- 
férents recueils  de  formules  donnés  dans  le 
IX'  siècle.  Formules  d'Alsace,  XII,  711.  For- 
mules recueillies  par  Anomode  ou  Anomo- 

■VI  siècle,  tel,  711  et  712.  Formules  d'Angers,  712. 
[Formules  inédites  publiées  par  Eugène  de 
Rozière,  712.  —  Formules  usitées  pour 
l'élection  des  évêques  au  xi"  siècle,  XIII, 
H4,  115.]  (Voyez  l'Histoire  littéraii^e  de  la 
France,  t.  III,  p.  321  et  suiv.,  et  le  Supplé- 
ment, t.  XI,  p.  IX.)  Formules  à  l'usage  des 
papes.  Voyez  Jou7'nal  des  évêques  de  Rome. 

FORNICATEURS.  Discours  de  saint  Gré- 
goire de  Nysse  contre  les  fornicateurs,  VI, 
161. 

FORNICATION  défendue  dans  le  concile 
de  Jérusalem,  II,  532,  533.  Canons  vingt- 
cinquième  et  vingt-si.Kième  apostoliques, 
382.  Canon  septième  du  concile  d'Elvire, 
603.  Ciuions  treizième  et  quatorzième  du 
concile  d'Elvire,  606.  Canon  soixante-dou- 
zième du  même  concile,  613.  Canons  quin- 
zième et  seizième  du  concile  d'Ancyre,  638. 
Canon  vingt-quatrième  du  concile  d'Ancyre, 
640.  Canons  premier,  neuvième  et  dixième 
dn  concile  de  Néocésarée,  640,  641.  —  Ca- 


non troisième  de  la  première  épître  cano- 
nique de  saint  Basile,  IV,  460.  Canon  sep- 
tième de  la  même  épître,  461.  Canons  vingt 
et  unième,  vingt-deuxièrae,  vingt-cinquième 
et  vingt-sixième  de  la  première  épître  cano- 
nique de  saint  Basile,  466,  467.  Canon  tren- 
te-huitième de  la  même.  Canon  quarantième 
de  la  même.  Canon  quarante-sixième  de  la 
même,  468.  Canon  cinquante-neuvième  de 
la  troisième  épître  de  saint  Basile.  Canons 
soixante-deuxième  et  soixante-troisième  de 
la  même,  473.  —  Canon  quatrième  de  l'épî- 
tre  canonique  de  saint  Grégoire  de  Nysse, 
VI,  157.  —  Canons  cinquième  et  huitième 
attribués  à  Théophile  d'Alexandrie,  VII,  446. 
—  Décrets  sur  la  fornication  attribués  au 
pape  saint  Célestin,  VII,  146.  —  Sentiment 
de  Théodore,  archevêque  de  Cantorbéi-y, 
sur  celui  dont  la  femme  est  tombée  en  for- 
nication, XI,  798.  —  Peines  imposées  par 
un  concile  d'Allemagne  aux  personnes  con- 
sacrées à  Dieu  qui  seraient  tombées  dans  la 
fornication,  XII,  607. 

FORON,  maison  royale  entre  Maestricht 
et  Aix-la-Chapelle.  Le  roi  de  France  Louis- 
le-Bègue  y  fait  un  traité  de  paix  avec  le  roi 
de  Germanie,  XII,  634. 

[FORTIA  D'URBAN.  Ses  traductions  de 
plusieurs  écrits  de  saint  Cyprien  dans  les 
chefs-d'œuvre  des  Pères.  Ses  articles  sur 
saint  Cyprien,  II,  384.  —  Son  édition  et  sa 
traduction  de  plusieurs  écrits  de  saint  Ber- 
nard, XIV,  500.] 

FORTIS,  évêque  donatiste,  V,  i43. 

FORTUNAT,    évêque    de    Tuccabor,    en      nisièc 
Afrique.    Saint    Cyprien    lui    adresse    son 
exhortation  au  martyre,  H,  284. 

FORTUNAT,  sous-diacre  de  Cirthage,  II, 
309. 

FORTUNAT,    évêque  dans  la   Byzacène,      ni  sièc 
consulte   saint    Cyprien.    Lettre    de    saint 
Cyprien  à  Fortunat,  II,  316. 

FORTUNAT,  faux  évêque  de  Carthage, 
II,  318  et  suiv.  Son  portrait,  320. 

FORTUNAT  (Anastase),  préfet  de  la  légion 
de  Trajan,II,  473. 

FORTUNAT,  évêque,  qui  assiste  à  un  con-        3gQ_ 
cile  de  Carthage,  IV,  648. 

FORTUNAT,  prêtre  donatiste,  jeté  dans 
un  cloaque,  IV,  658. 

FORTUNAT,  diacre,  recommandé  par 
saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  234. 

FORTUNAT,  sous-diacre,  par  qui  saint 
Célesliu  écrivit  à  l'évêque  d'Arles,  VIII, 
130. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


439 


0.  FORïUNAT,  cvêque  de  Girtlie.  Lettre  que 

lui  écrivit  saint  Augustin,  IX,  HO. 
2.  FORTUNAT,  manichéen.  Livre   de  saint 

Augustin  contre  cet  hérétique,  IX,  336,  337. 
FORTUNAT,  évoque,  à  qui  Primase,  dis- 
ciple de  saint  Augustin,  dédie  un  écrit,  X, 
333. 

FORTUNAT,  évêque,  l'un  des  légats  en- 
voyés en  Orient  avec  saint  Ennode  par  le 
pape  Hormisdas,  X,  570. 

I  siècle.  FORTUNAT  (Saint),  évêque  en  Lombar- 
die,  différent  de  Fortunat,  évêque  de  Poitiers, 
est  auteur  de  la  Vie  de  saint  Marcel,  évêque 
de  Paris.  On  le  fait  aussi  auteur  du  premier 
livre  de  la  Vie  de  saint  Hikiire  de  Poitiers, 
XI,  306.  [Éditions  de  ces  écrits,  306.]  (Voyez 
son  article  dans  YHistoire  litiérairc  de  la 
France,  tome  III,  p.  298  et  suiv.) 

..  565.  FORTUNAT  (Saint)  (Venance),  évêque  de 

Poitiers.  Ses  études,  XI,  402,  403.  Il  vient 
en  France  au  tombeau  de  saint  Martin;  à 
quelle  occasion.  Il  est  bien  reçu  à  la  cour  de 
Sigebert.  Son  séjour  à  Tours.  Il  passe  à 
Poitiers,  où  il  s'attache  au  service  de  sainte 
Radegonde.  Il  est  fait  évêque  de  Poitiers. 
Éloge  que  fait  de  lui  Paul,  diacre  d'Aquilée. 
L'Église  de  Poitiers  l'honore  comme  saint, 
403.  Ce  que  contiennent  les  onze  livres  du 
recueil  de  ses  poésies,  403  et  suiv.  Premier, 
403,404;  second,  404,  403;  troisième,  405, 
406;  quatrième,  cinquième,  406;  sixième, 
406  et  407  ;  septième,  407  ;  huitième,  407 
et  408;  neuvième,  408;  dixième,  408  et  409; 
onzième,  409,  410.  Ses  quatre  livres  de  la 
Vie  de  saint  Martin,  410,  411.  Poème  sur 
la  destruction  de  la  ville  et  du  royaume  de 
Thuringe.  Poème  à  la  louange  de  l'empereur 
Justin  le  Jeune.  Poëme  à  Artachis.  Épi- 
gramme  à  la  louange  de  Ghildebert  II.  Vies 
des  saints  composées  par  Fortunat,  411. 
[Pièce  de  vers  en  l'honneur  de  saint  Martial; 
authenticité  de  cette  pièce,  404,  405.  Justi- 
fication de  saint  Fortunat,  413,  414.]  Ou- 
vrages de  Fortunat  qui  sont  perdus,  412, 
413.  Jugement  sur  ses  écrits,  413,  414.  Édi- 
tions qu'on  en  a  faites,  414.  [Édition  com- 
plète des  écrits  de  cet  évêque.  Écrits  nou- 
veaux, 414.]  —  Fortunat  écrit  la  Vie  de 
saint  Martin,  VIII,  121.  —  Il  fait  l'épitaphe 
des  deux  Rurice,  père  et  petit-fils,  évêques 
de  Limoges,  X,  607.  —  Auteur  du  second 
livre  de  la  Vie  de  saint  Hilaire,  évêque  de 
Poitiers,  XI,  306.  Sainte  Radegonde  l'ap- 
pelle à  Poitiers,  et  le  fait  son  aumônier  et 
son  directeur,  313.  A  quelle  occasion  il  a 


composé  l'hymne  Vexilla  régis,  316.  Il  com- 
pose les  Vies  de  saint  Maurille  et  de  saint 
Aubin,  384.  Circonstances  de  sa  vie  qu'il 
rappelle  dans  quelques-uns  de  ses  poèmes, 
407  et  409.  —  Son  épitaphe  avec  un  abrégé 
de  sa  vie,  par  Paul,  diacre,  XII,  146.  — 
Hymne  en  son  honneur,  par  Alphane,  ar- 
chevêque de  Salerne,  XIII,  493.  (Voir  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  III,  p.  464  et  suiv.) 

FORTUNAT,  évêque  de  Todi,  dont  le  pape 
saint  Grégoire  rapporte  les  miracles  dans 
ses  Dialogues,  XI,  474. 

FORTUNAT,  évêque  de  Naples,  XI,  492.         592. 
Lettres  que  lui  écrit  le  pape  saint  Grégoire, 
502,  504,  506,  517. 

FORTUNAT,  évêque  de  Fanes.  Lettre  que 
lui  écrit  saint  Grégoire,  XI,  507. 

FORTUNAT,   abbé    du    monastère    des        eos. 
Saints-Laurent    et   Césenne.    Ses    plaintes 
contre  son  évêque,  XI,  533. 

FORTUNAT,  évêque  de  Grade,  abandonne     viisiècie. 
son  église  et  passe  chez  les  Slaves.   Lettre 
du  pape  Honorius  à  ce  sujet,  XI,  647. 

FORTUNAT,  abbé  de  Moyen-Moutier.  Son 
différend  avec  ses  moines  touchant  les  re- 
venus de  son  abbaye,  XII,  234. 

FORTUNAT,    élu  patriarche  de   Grade,        «03. 
XIII,  640.  [Le  pape  saint  Léon  III  lui  écrit, 
401,  402.  11  se  retire  en  France,  72.] 

FORTUNAT  (Robert),  de  Saint-Malo.  Son 
édition  des  œuvres  de  saint  Hilaire  de  Poi- 
tiers, IV,  88. 

[FORTUNATE  (Sainte),  vierge  et  martyre. 
Prologue  de  sa  passion  par  Benoit,  prêtre, 
XIII,  602.] 

FORTUNATIEN,  évêque  d'Assurés,  dé- 
posé de  l'épiscopat,  II,  317. 

FORTUNATIEN,  avocat  païen,  frère  de 
sainte  Victoire,  III,  21.  Elle  le  désavoue,  23. 

FORTUNATIEN,  évêque  d'Aquilée.  Son  ly^ijeie. 
savoir  et  son  zèle  pour  la  foi  le  font  estimer 
du  pape  Libère.  11  signe  la  condamnation 
de  saint  Athanase  dans  le  concile  de  Milan  ; 
sollicite  la  chute  de  Libère.  Ses  écrits,  IV, 
317.  Lettre  du  pape  Libère  à  cet  évêque, 
288,  289. 

FORTUNATIEN,   évêque  de  Sique.  Lettre        4,3. 
que  lui  écrivit  saint  Augustin,  IX,  130,  131. 

FORTUNATIEN,  évêque  de  Néapoiis  en 
Afrique.  Conciles  auxquels  il  assista,  VIII, 
560.  Il  est  député  à  l'empereur,  543. 

FORTUNE.  Temple  de  la  Fortune  démoli 
à  Césarée  en  Cappadoce,  III,  405.  —  Fortune 
et  Hasard,  divinités  imaginaires,  VIII,  64. 


440 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


B51. 


XII  siècle. 


XII  siècle. 


1094-1107. 


882. 


—  Pensée  de  saint  Augustin  sur  les  biens 
de  la  fortune,  IX,  38.  —  Épigramme  de  Phi- 
lippe de  Bonne-Espérance  sur  la  roue  de  la 
forliune,  XIV,  687.  Traité  des  prestiges  de 
la  fortune  :  ouvrage  de  Pierre  de  Blois,  782. 
[De  la  diversité  de  la  Fortune  et  de  la  conso- 
lation que  donne  la  philosophie,  ouvrage  eu 
vers  de  Henri  Septimel,  804,  805. J 

FORTUNIUS ,  qui  épouse  une  seconde 
femme  pendant  la  captivité  de  la  première, 
Vn,  521. 

FORTUNIUS,  évèque  de  Carthage,  mono- 
thélite,  Xn,  925. 

FORTUNIUS  (Augustin).  Sa  Vie  de  saint 
Pierre  Damien,  Xlll,  324. 

FOSSOYEURS,  dont  l'emploi  était  d'en- 
terrer les  corps  des  chrétiens,  V,  139,  140. 
FOUCHER,  moine  et  doyen  de  Saint-Mé- 
dard  de  Soissons,  est  fait  évèque  de  Noyon 
et  de  Tournay,  en  concurrence  de  Frodoard 
auquel  il  est  préféré,  XII,  841. 

FOUCHER,  moine  de  Chartres.  Son  His- 
toire du  pèlerinage  des  Français  à  Jérusa- 
lem. Éditions  qu'on  en  a  faites,  XIII,  534. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  XI,  p.  47  et  suiv.) 

FOUCHER,  second  archevêque  de  Tyr, 
pour  les  Latins.  Persécution  qu'il  a  à  essuyer 
de  la  part  du  patriarche  de  Jérusalem ,  XIV, 
259. 

[FOUDRE.  De  la  chute  de  la  foudre  sur 
le  monastère  de  Saint-Laurent  de  Liège, 
par  Régnier,  moine  de  ce  monastère,  XIV, 
796.] 

FOULCARD,  abbé  de  Tournay.  Voyez 
Folcurd. 

FOULCARD,  abbé  de  Lobes,  répare  les 
dommages  que  l'abbaye  avait  reçus  sous 
son  prédécesseur,  Xlll,  598.  Sa  requête  à 
l'empereur  Henri  IV  contre  les  avoués  des 
monastères,  598  el599.  Diplôme  de  ce  prince 
donné  en  conséquence,  599.  (Voyez  ce  qui 
en  est  dit  dans  VHistuire  littéraire  de  la 
France,  t.  IV,  p.  348.) 

FOULCOIE,  sous-diacre  de  l'Église  de 
Maux.  Voyez  Fulcoie. 

FOULQUES,  évèque  de  Tongres.  Lettre 
que  lui  écrit  saint  Rémi  de  Reims  au  sujet 
de  ses  entreprises  sur  la  ville  de  Mouzon, 
XI,  81. 

FOULQUES,  archevêque  deReims,  succes- 
seur d'Hincmar.  Éloge  de  son  gouvernement, 
XH,706.  Il  reçoit  du  pape  Marin  le  pallium, 
706  et  651 .  Confiance  que  lui  témoigne  le  pape 
Etienne  V.  Différentes  lettres  qu'il  reçoit  de 


lui,  652,  653.  Il  est  tué  par  les  vassaux  du 
comte  Baudouin,  dontil  s'était  attiré  la  haine 
en  échangeant  avec  le  comte  Almar  l'abbaye 
de  Saint-Vast  d'Arras  contre  celle  de  Saint- 
Médard.  Ses  lettres  au  pape  Marin,  706;  au 
pape  Etienne  V,  706,  707  ;  au  pape  Formose, 
707,  708.  Il  tient  un  concile  à  Reims  où  il 
fait  reconnaître  roi  Charles  le  Simple.  Ses 
lettres  au  pape  Etienne  VI,   708  ;   au  roi 
Charles  le  Gros;  à  Arnoul,  roi  de  Germanie, 
et  à  d'autres  princes,  708  et  709;  à  l'empe- 
reur Lambert  ;  à  Alfred,  roi  d'Angleterre  ;  à 
l'impératrice  Richilde ,  709  ;  à  divers  évê- 
ques,  709  et  710;  à  plusieurs  abbés  et  autres 
personnes  de  distinction,  710,  711  ;   au  roi 
Alfred,  711.   Lettres  que  lui  écrit  le  pape 
Formose,  737, 738.  Autre  du  pape  Etienne  VI, 
740.  Sentence  d'excommunication  prononcée 
contre  ses  meurtriers  par  Hervé,  son  suc- 
cesseur, 787.  —  Concile  de  Reims,  où  il  fit 
proclamer  roi  le  jeune  prince  Charles,  fils 
de  Louis  le  Bègue,  XIII,  734.  Concile   de 
Reims  assemblé  contre  ceux  qui  avaient  eu 
part  à  sa  mort,  737.  Le  concile  de  Troslé 
renouvelle  la  sentence  d'excommunication 
contre  ses  meurtriers,  743.   (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  V,  p.  688  et  suiv.) 

FOULQUES  II  LE  BON,  comte  d'Anjou, 
assiste  à  la  réception  de  saint  Odon  dans  le 
clergé  de  Tours,  XII,  804.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VI,  p.  462  et  suiv.) 

FOULQUES  m  NERRA,  comte  d'Anjou. 
Lettre  que  lui  écrit  Fulbert  de  Chartres,  sur 
ce  qu'il  protégeait  les  rebelleS;,  Xlll,  85.  Il 
bâtit  le  monastère  de  Beaulieu,  189. 

FOULQUES  IV  RÉCHIN,  comte  d'Anjou, 
excommunié  ;  pour  quel  sujet.  Lettre  du 
légat  Hugues  qui  le  concerne,  Xlll,  594. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litéraire  de 
la  France,  t.  IX,  p.  391  et  suiv.) 

FOULQUES  LE  GRAND,  abbé  de  Corbie. 
Son  différend  avec  Gui,  évèque  d'Amiens, 
Xlll,  288.  Année  de  sa  mort.  Vers  à  son 
éloge,  525.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VIII,  p.  426 
et  suiv.) 

FOULQUES  ou  FOULCHER,  historien. 
Son  Histoire  de  la  première  croisade  en 
vers,  Xlll,  540.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  XII, 
p.  85.) 

FOULQUES,  évèque  de  Beauvais.  Lettre 
que  lui  écrit  Yves  de  Chartres,  XIV,  102, 


90D. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


441 


FOULQUES,  doyen  de  l'Eglise  de  Paris, 
en  est  élu  évêque.  Sa  mort,  XIV,  112. 

FOULQUES,  curé  de  Neuilly,  prédicateur 
de  la  croisade,  XIV,  1147. 

FOULQUES ,  chanoine  régulier.  Lettre 
que  lui  écrit  saint  Bernard  sur  ce  qu'il  avait 
quitté  son  monastère,  XIV,  425. 

FOULQUES,  moine  de  Moustier-la-Celle, 
puis  évêque  d'Estonie.  Dififérentes  lettres  du 
pape  Alexandre  III  sur  sa  mission  en  Es- 
tonie, XIV,  924. 

FOULQUES,  prieur  de  Deuil,  auteur  d'une 
lettre  à  Abaillard.  (Voyez  son  article  dans 
V Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  XII,  p. 
249  et  suiv.) 

FOURNIER  (Guillaume).  Son  édition  des 
œuvres  de  Cassiodore,  XI,  254. 

FRACTION.  Traité  de  l'abbé  Abandus  sur 
la  fraction  du  corps  de  Jésus-Cbrist,  XIV, 
345. 

FRAGMENTS.  Livre  des  Fragments  ;  ou- 
vrage de  saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  62 
et  suiv. 

FRANCE.  Quelques  remarques  de  saint 
Grégoire  de  Tours  sur  les  rois  de  France, 
XI,  395.  —  Lettre  du  pape  Zacharie  aux 
évèques  de  France,  Xll,  32.  Témoignage  de 
Florus,  prêtre  de  Lyon,  sur  l'état  florissant 
de  la  France  sous  le  règne  de  Cliarlemagne, 
490.  —  Lettre  du  pape  saint  Léon  IX  aux 
fidèles  de  France,  XllI,  201.  —Histoire  des 
Gestes  des  rois  de  France  de  la  seconde 
race,  ouvrage  de  Hugues  de  Sainte-Marie, 
moine  de  Fleury-sur-Loire,  XIV,  243. 

FRANCFORT-SUR-LE-MEIN,  ville  d'Alle- 
magne. Concile  assemblé  en  cette  ville  par 
Charlemagne ,  XII ,  136.  —  Autre  concile 
tenu  en  cette  ville,  XIII,  634  et  suiv.  — 
Autres  conciles,  XIV,  1034,  1035,  1041. 

FRANCHEVILLE  (Le  sieur  de).  Traduction 
en  prose  et  en  vers  des  livres  de  Boèce  de 
la  Consolation  de  la  philosophie,  X,  665. 

FRANCIADE  ORIENTALE.  Titre  que  Ga- 
briel du  Préau  a  donné  à  sa  traduction 
française  de  l'Histoire  des  croisades,  de 
Guillaume  de  Tyr,  XIII,  536. 

FRANK  (Bernard),  bibliothécaire  de  l'ab- 
baye de  Saint-Gai.  Ses  remarques  sur  les 
gloses  de  Kéron,  XII,  110. 

FRANÇAIS.  On  a  prétendu  qu'ils  tiraient 
leur  origine  des  Troyens,  XI,  746.  — Lettre 
du  pape  Zacharie  aux  Français  et  aux  Gau- 
lois, XII,  30.  Le  pape  Zacharie  consulté  par 
les  seigneurs  français,  leur  conseifle  de  re- 
connaître Pépin  pour  roi,  34  [et  34,  note  7.] 


—  Histoire  ecclésiastique  des  Français,  par 
saint  Grégoire  de  Tours,  XI,  367  et  suiv. 
[Histoire  des  Français,  par  Richer,  moine 
de  Reims  ;  on  ne  la  connaissait  plus  du  temps 
de  domCeillier;  elle  a  été  publiée  depuis 
par  Pertz,  890.  Appréciation  de  cette  His- 
toire, 891,  892.]  —  Histoire  des  Français, 
par  Aimon,  moine  de  Pleury,  XIII,  40,  41. 
Différences  dans  les  manuscrits  qu'on  a 
de  cette  Histoire.  Diverses  éditions  qu'on 
en  a  faites.  Différences  dans  les  imprimés, 
41. 

[FRANCHESINI  (Edouard),  carme.  Son 
édition  des  écrits  de  Lactance,  II,  520, 
521.] 

[FRANCK  (Barthélémy),  ministre  de  l'É- 
glise réformée  de  Neustadt,  édite  le  livre  de 
la  Mortalité  par  saint  Cyprien,  II,  384.] 

FRANÇOIS  D'ASSISE  (Saint).  Sermon  de 
Guillaume  d'Auvergne  pour  le  jour  de  sa 
fêle,  XIV,  1027. 

FRANCON,  évêque  d'Aix,  XI,  394. 
FRANCON,  évoque  de  Tongres  ou  de 
Liège,  demande  pardon  au  pape  Nicolas  1°'^ 
d'avoir  assislé  et  consenti  au  concile  tenu  à 
Metz  contre  ïhietberge  ;  lettre  que  lui  écrit 
le  pape  à  ce  sujet,  XII,  577.  Sa  mort  ; 
Etienne  lui  succède,  786. 

FRANCON,  diacre  de  l'ÉgHse  romaine, 
élu  pape,  prend  le  nom  de  Boniface  VII, 
Xn,  835. 

FRANCON,  évêque  de  Worms.  Sa  mort, 
XIH,  91. 

FRANCON,  écolâtre  de  la  cathédrale  de 
Liège.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa 
vie.  Ses  écrits,  XllI,  341.  [Trois  fragments 
de  l'écrit  sur  la  Quadrature  du  cercle  pu- 
bliés par  Mai,  341,  n.  15.]  (Voyez  son  arti- 
cle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VllI,  p.  121.) 

FRANCON,  abbé  d'Afflighem,  succède  à 
Fulgence.  Son  voyage  en  Angleterre.  Il  fait 
fleurir  la  piété  etles  lettres  dans  son  abbaye, 
XIV,  190.  Sa  mort,  190  et  345.  Ses  écrits  : 
Livre  de  la  Grâce  et  de  la  Miséricorde,  190. 
Analyse  de  cet  ouvrage,  190  et  191.  Poème 
sur  la  gloire  future.  Lettres  de  Prancon. 
Autres  écrits  qu'on  lui  attribue,  191.  [Édi- 
tion des  écrits  de  Francon  dans  la  Patrologie, 
192.]  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  XI,  p.  588  et  suiv.) 

FRANCO WITZ  (Matthias).  Voyez  Flaccius 
lllyricus. 

FRANCUS  (François),  nom  sous  lequel 
s'est  caché  Saumaise  pour  répondre  àDenys 


864. 


903. 


073. 


V.  1000. 


1066. 
1083. 


H22oull23. 
1130. 


1135. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


U2 

Pétan ,  qui ,  sous  le  nom  d'Antoine  Rer 
Koétius,  avait  attaqué  ses  Notes  sur  le  livre 
de  Tertullien  du  Manteau,  II,  86. 

FRANGIPANE  (Cencio),  cbef  d'une  fiic- 
tion  opposée  au  pape  Gélase  II,  XIV,  1089. 

[FRANGIPANE.  Son  édition  de  dix  ser- 
mons de  saint  Augustin,  IX,  834,  83o.] 

[FRASSEN  (le  Père).  On  lui  attribue  la 
traduction  française   des    lettres   de    saint 
Paulin  de  Noie,  VIII,  99.] 
489.  FRAVITA,  élu   patriarche  de   Constanli- 

nople  après  la  mort  d'Acace,  notifie  son 
élection  au  pape  saint  Félix  III,  X,  417. 
Lettres  que  le  pape  lui  écrit,  418  et  419.  Il 
entre  dansla  communion  de  Pierre  Mongus. 
Sa  mort,  419  et  485. 

FRÉGULFE,  évèque  de  Lisieux.  Tritbême 
s'est  trompé  en  le  faisant  moine  de  Fulde. 
Différentes  commissions  dont  le  charge 
82U-849  l'empereur  Louis  le  Débonnaire.  Il  assiste  à 
plusieurs  conciles.  Idée  de  sa  Chronique, 
XII,  417.  Ce  qu'elle  contient  de  remarqua- 
ble, 418,  419.  Éditions  qu'on  eu  a  faites.  Sa 
lettre  à  Raban  Maur,  419.  [Deux  lettres  à 
Hélisacar,  419.]  (Voyez  son  article  dans 
VHistoire  littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  77 
et  suiv.) 
658.  FRÉDÉGAIRE  LE  SCHOLASTIQUE,  his- 

torien. Ce  qu'on  peut  conjecturer  des  cir- 
constances de  sa  vie  et  du  temps  où  il  a 
vécu.  Analyse  des  cinq  livres  de  sa  Chro- 
nique, XI,  744.  Jugement  sur  cet  ouvrage, 
745,  746.  Continuateurs  de  Frédégaire  au 
nombre  de  quatre,  tous  anonymes.  Diffé- 
rentes éditions  et  traduction  de  ces  Chro- 
niques, 746.  Sa  Chronique  imprimée  à  la 
suite  de  l'Histoire  des  Français  de  saint 
Grégoire  de  Tours,  399  ;  traduite  en  fran- 
çais par  l'abbé  de  Marolle  [et  par  M.  Gua- 
det,  399.]  (Voir  l'article  de  Frédégaire  dans 
l'Histoire  littéraire  de  laFrance,  t.  III,  p.  186 
et  suiv.) 

FRÉDÉGIRE  ,  abbé  de  Saint-Martin  de 
Tours.  Voyez  Fridugire. 

FRÉDÉGONDE,  reine  de  France.  On  la 
supposait  accusée  d'adultère,  XI,  366. 
Poëme  de  saint  Fortunat  à  sa  louange,  408, 

FRÉDÉRIC,  fière  de  Théodoric,  roi  des 
Goths,  député  au  pape  saint  Hilaire  contre 
Hermèse,  évèque  de  Narbonne,  X,  337  et 
71S. 

[FRÉDÉRIC,  archevêque  de  Mayence.  Le 
pape  Léon  VII  lui  écrit,  XII,  829.] 

FRÉDÉRIC,  duc.  Son  épitaphe  par  Ger- 
bert,  XII,  904. 


FRÉDÉRIC,  comte  de  Verdun,  embrasse 
la  vie  monastique  à  Saint -Vanne,  XIII, 
118. 

FRÉDÉRIC,  diacre  et  chancelier  de  l'É- 
glise romaine,  depuis  pape  sous  le  nom 
d'Etienne  IX,  XIII,  206  et  213.  Voyez 
Etienne  IX. 

FRÉDÉRIC  RARREROUSSE,  empereur, 
succède  au  roi  Conrad,  son  oncle,  XIII,  543. 
Son  histoire  commencée  par  Otton  de  Fri- 
singue  et  continuée  par  Radevic,  543  et  544. 
Lettre  sur  son  expédition  à  la  Terre-Sainte, 
5i4.  Histoire  de  cette  expédition  écrite  par 
Tagenon,  544  et  545.  Sa  mort,  344.  Sept 
lettres  de  ce  prince  qui  regardent  les  affaires 
de  l'Église,  545.  —  [Frédéric  écrit  au  pape 
Eugène  III,  XIV,  279.  Traité  conclu  entre 
le  pape  et  l'empereur,  280.]  Il  succède  à 
Conrad.  Députation  qu'il  envoie  au  pape 
Eugène  III,  534.  Traité  que  le  p;ipe  et  l'em- 
pereur font  ensemble,  534  et  533.  Députa- 
tion que  l'empereur  reçoit  du  pape  Adrien 
IV.  Il  passe  en  Italie,  se  fait  couronner  roi 
des  Lombards,  puis  va  à  Rome,  où  il  est 
couronné  empereur,  535.  Il  est  couronné 
empereur  par  le  pape  Adrien  IV.  Ses  diffé- 
rends avec  ce  pape,  911.  Il  refuse  de  recon- 
naître le  pape  Alexandre  III  et  fait  confir- 
mer par  le  concihabule  de  Pavie  l'élection 
de  l'antipape  Octavien,  917,  918.  Il  se  fait 
couronner  par  l'antipape  Gui  de  Crème,  qui 
avait  succédé  à  Octavien.  Il  se  réconcilie 
avec  le  pape  Alexandre  III,  919.  Il  se  trouve 
au  concile  de  Vérone,  tenu  par  le  pape  Lu- 
cius  III,  929.  Ses  démêlés  avec  le  pape  Ur- 
bain III,  933.  Il  fait  confirmer  l'élection 
de  l'antipape  Octavien  sous  le  nom  de  Vic- 
tor III.  Il  est  excommunié  par  le  pape 
Alexandre  III.  Lettre  qu'il  éci'it  à  quel- 
ques évèques  d'Allemagne,  H27.  Concile 
de  Lodi  où  il  fait  excommunier  le  pape 
Alexandre  III  et  ses  partisans,  1129.  Concile 
de  Wirtzbourg  où  il  fait  reconnaître  l'anti- 
pape Gui  de  Crème  sous  le  nom  de  Pascal 
JII,  1131.  Concile  de  Latran  où  il  est  excom- 
munié de  nouveau  par  le  pape  Alexandre  III, 
1133.  Concile  de  Venise  pour  confirmer  la 
paix  qu'Alexandre  III  avait  faite  avec  lui, 
1138.  [Lettre  de  Gérard,  évèque  de  Cahors, 
à  ce  prince,  822.  Lettre  d'Adrien  IV,  pape, 
concernant  son  différend  avec  cet  empereur, 
917,  918.  Frédéric  ne  fut  excommunié  que 
par  Alexandre  III,  918,  note  2.  Ce  que  fait 
Innocent  III  par  rapport  h  Frédéric,  927. 
Ce  que  fait  Urbain  III,  934  ;   Grégoire  VIII, 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


443 


936.   Frédéric  persécute  l'Église   de   Salz- 
bourg,  730.] 
0.  FRÉDÉRIC  II,  élu  roi  de  Germanie  du  vi- 

is.  vaut  de  l'empereur  Henri  VI,  son  père.  Son 
élection  confirmée  quelque  temps  après, 
mais  devenue  inutile  par  la  concurrence  de 
Philippe  de  Souabe  et  d'Othouy  duc  de  Saxe, 
élus  par  d'autres  partis.  Lettres  du  pape 
Innocent  III  qui  se  déclare  pour  Othon,  XIV, 
980.  Lettres  de  Frédéric  contre  les  pontifes 
romains,  272. 

FRÉDÉRIC ,  évéque  de  Liège  ,  auteur 
d'une  lettre  à  l'Église  de  Malines.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  X,  p.  319  et  suiv.) 

0.  FRÉDÉRIC,  duc  de  Souabe,  fils  de  l'em- 
pereur Frédéric  Barberousse,  prend  le  com- 
mandement de  l'armée  après  la  mort    de 

11.  son  père,  XIII,  344.  Il  meurt  devant  Acre, 
544,  S45. 

FRÉDÉRIC,  duc  d'Autriche.  Son  épitaphe 
par  un  moine  nommé  Conrad,  XIV,  247. 

FRÉDÉRIC,  évoque  d'Utrecht.  Voyez 
Fridurich. 
Scie.  FRÉDÉRIC,  archevêque  de  Cologne.  Sa 
lettre  à  l'évêque  de  Liège  en  faveur  des 
moines  méprisés  par  les  chanoines  régu- 
liers, XIV,  287,  288.  [Ses  lettres  et  ses  pri- 
vilèges dans  la  Palrologie,  288,  n.  1.] 

FRÉDÉRIC,  fils  de  l'impératrice  Cons- 
tance. A  quelles  conditions  le  pape  Inno- 
cent III  le  reconnaît  roi  de  Sicile,  XIV, 
965. 

FRÉDUGARD.  Voyez  Frudégard. 

FRÉHER  (Marquard).  Son  édition  de 
l'ouvrage  d'Adrien  intitulé  :  Introduction  à 
la  sainte  Écriture,  XI,  95.  —  Snn  édition  de 
l'Histoire  des  Français  par  Aimoin,  XIII, 
41. 

PREIG  (Thomas).  Ses'additions  aux  livres 
d'Eusèbe  de  la  Préparation   évangélique, 

m,  313. 

FRÉJUS ,  ville  de  Provence.  Concile 
d'Arles,  où  l'on  règle  les  droits  de  l'évêque 
de  Fréjus  sur  l'abbaye  de  Lérins,  X,  710. 

FRÉMIN  CAPITIS.  Sa  traduction  française 
des  homélies  de  Raoul  Ardent  sur  les  Épî- 
tres  et  les  Évangiles  des  principales  fêtes  de 
l'année,  XIII,  379. 

[FRÉNÉSIE.  Livre  de  Rathier  intitulé 
Frénésie,  XH,  859,  n.  7.] 

FRÉNÉTIQUES.  Voyez  Phrénétiques. 

1.  FRÈRES   (les  Grands).    Saint  Épiphane 

2.  reçoit  leur  visite,  VI,  380.  —  Différend  de 
saint    Jean    Clirysostôme   avec    Théophile 


d'Alexandrie  au  sujet  des  Grands   Frères, 

IX,  5,  6.  Ils  présentent  un  mémoire  à  l'em-         «i. 

pereur  contre  Théophile,  5.  Théophile  d'A-      V  siècle. 

lexandrie  les  persécute,  440,  441.  Ce  qui  est 

dit  des  Grands  Frères  dans  l'Histoire  lau- 

siaque  de  Pallade,  488. 

FRÈRES  DU  DÉSERT.  Soixante-seize  ser- 
mons adressés  aux  frères  du  désert  fausse- 
ment attribués  A  saint  Augustin,  IX,  288. 

FRÈRES  LAIS  ou  CONVERS.  La  règle  de 
saint  Benoît  n'en  fait  point  mention.  Ils  n'ont 
été  admis  dans  les  communautés  que  vers 
le  xi°  siècle ,  XI,  159.  —  Guillaume ,  abbé  x[  siècle. 
d'Hirsauge,  en  est  regardé  comme  l'institu- 
teur, Xin,  484,  485. 

FRESNE  (Charies  du),  sieur  du  Cange. 
Son  édition  de  la  Chronique  pascale,  XI, 
747.  —  Son  édition  des  Annales  de  Zonare, 
XIV,  156.  Son  édition  de  l'Histoire  des  em- 
pereurs Jean  et  Manuel  Comnène,  642. 

FRÉTÉLA,  homme  de  guerre.  Lettre  de        405. 
saint  Jérôme  à  Sunnia  et  à  Frétéla,    VII, 
561,  562. 

[FRÉTELLUS,  archidiacre.  Son  livre  des     xu  siècle. 
Lieux-Saints  de  la  terre  de  Jérusalem,  XIII, 
545.] 

[FREY  (Louis).  Son  édition  des  Pères 
apostoliques,  I,  361.] 

FRIARD  (Saint),  reclus.  Sa  Vie  par  saint 
Grégoire  de  Tours,  XI,  381. 

FRICORE  ou  FRÉCHORE  (Saint),  moine 
de  Saint-Riquier.  Son  épitaphe  par  Angil- 
bert,  abbé  de  Saint-Riquier,  XII,  220. 

FRIDÉGER  ou  FRIDÉGÛD,  moine  anglais.  x  siècle. 
Sa  Vie  de  saint  Wilfrid  en  vers.  Autres  écrits 
qu'on  lui  attribue,  XII,  839.  On  lui  attribue 
faussement  l'Histoire  des  archevêques 
d'York.  Temps  auquel  il  vivait,  202.  -  ■  Sa 
Vie  de  saint  Wilfrid,  archevêque  d'York, 
XIH,  60. 

FRIDÉRIG  ou  FRÉDÉRIC,  [établi  évêque      x  siècle, 
de  Saltzbourg  à  la  place d'Hérold,  XII,  833.] 
Il  est  constitué  par  le  pape  Benoît  VI  vicaire 
apostolique  dans  le  Norique  et  la  Pannonie, 
835.      ■ 

FRIDOLIN  (Saint),  abbé  de  Saint-Hilaire 
de  Poitiers.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances 
de  sa  vie.  Divers  écrits  qu'on  lui  attribue, 

XI,  321.  —Sa  Vie,  attribuée  à  Notker  le 
Bègue,  est  de  Balther,  moine  de  Seckingen, 

XII,  748.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  III,  p.  296  et 
suiv.) 

FRIDUGÈRE,  abbé  de  Saint-Martin  de 
Tours.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa 


5C2. 


iu 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


vie.  Sa  facilité  introduit  le  relâchement  dans 
cette  abbaye  et  quelques  autres  dont  il  fut 
aussi  abbé.  Sa  disputé  avec  Agobard,  ar- 
chevêque de  Lyon,  XII,  333.  Sa  lettre  sur 
le  néant  et  les  ténèbres,  qu'il  prétend  être 
g34.  quelque  chose  de  réel,  333  et  334.  Sa  mort, 
334.  Réponse  d'Agobard  aux  erreurs  que 
Fridugère  lui  imputait,  370,  371.  Fridugère 
avait  succédé  à  Alcuin,  166.  Piéponse  que 
fait  Alcuin  à  ses  questions  sur  la  Trinité, 
176.  Lettre  que  lui  avait  écrite  Alcuin,  199. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  IV,  p.  S12  et  suiv.) 

FEIDURICH  ou  FRÉDÉRIC,  évêque  d'U- 
trecht,  martyrisé  pour  la  foi,  XII,  460,  461. 
833  Raban  Maur  lui  adresse  son  commentaire 
sur  Josué.  Il  avait  composé  un  ouvrage  sur 
la  Trinité  ;  cet  écrit  est  perdu,  461.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  IV,  p.  270,  et  t.  V,  p.  177.) 

FRIGIDIEN,  évêque  de  Lucques.  Miracle 
que  rapporte  de  lui  le  pape  saint  Grégoire, 
XI,  476. 

FRIOC,  tué  par  le  roi  Morcant  son  neveu, 

XI,  884. 

1053_  FRIOUL,  ville  d'Italie.  Concile  qui  y  fut 

tenu  par  saint  Pauhn,  patriarche  d'Aquilée, 

XII,  160,  et  XIII,  633,  634.  Un  concile  de 
Rome  décide  que  Grade  sera  reconnue  mé- 
tropole des  deux  provinces  de  Vénétie  et 
d'Istrie,  et  que  la  juridiction  de  l'évêque  de 
Prioul  sera  renfermée  dans  la  Lombardie, 

XIII,  203,  204  et  205.  Concile  de  Mantoue, 
où  l'on  adjuge  au  patriarche  de  Prioul  quel- 
ques évêchés  qui  lui  étaient  disputés  par 
celui  de  Grade,  668. 

FRISCHE  (Dom  Jacques  de),  bénédictin 
de  la  congrégation  de  Saint-Maur,  entre- 
prend une  édition  des  œuvres  de  saint  Gré- 
goire de  Nazianze,  V,  361.  Il  donne,  avec 
dom  Le  Nourry,  celle  de  saint  Ambroise, 
§84.  —  11  travaille  avec  dom  Vaillant  à  la 
Vie  de  saint  Augustin,  IX,  816. 

FRISE,  province  d'Europe.  Saint  Boniface 
y  prêche  la  foi    conjointement  avec    saint 
Willebrod,  XII,  46,  47. 
V.  „o.  FRISINGUE,  ville  de  Bavière.  Saint  Boni- 

tx  siècle,     face  y  étabht  un  évêûhé.  Suite  des  évêques 
de  Frisingiie,  XII,  47. 
395.  FRITIGILE,  reine  des  Marcomans,  envoie 

des  ambassadeurs  à  saint  Ambroise,-V,  392. 
Le  livre  que  ce  saint  lui  écrivit  est  perdu, 
S14. 

[FRITZCHE  (0.  P.)  Son  édition  des  écrits 
de  Lactance,  II,  521.] 


FRITSCHIUS  (Thomas).  Son  édition  des      v. 
œuvres  de  Sulpice  Sévère,  VIII,  122. 

FRITZLAR,  ville  d'Allemagne.  Saint  Bo- 
niface y  bâtit  une  église  et  un  monastère, 
XII,  47.  Lettre  qu'il  écrit  aux  moines,  49, 
50.  —  Concile  tenu  eu  cette  ville,  XIV, 
1090. 

[FROBEN.  Édition  des  œuvres  d'Alcuin , 
XII,  167,  n.  3,  et  213,  214.  Il  y  a  joint  les 
œuvres  d'Amalaire,  223.] 

FRODIN,  abbé  de  Tulle.  Sa  mort  ;  Gauz- 
bert  lui  succède,  XIII,  466. 

FRODOARD  ou  PLODOARD,  chanoine  de 
Reims.  Sa  naissance.  Ses  études.  Il  est  fait 
curé  de  Cormici.  Son  voyage  à  Rome,  où  il 
est  bien  reçu  du  pape  Léon  VII.  Persécution 
qu'il  a  à  soutl'iir  pour  son  attachement  à 
l'archevêque  Artaud.  Il  est  élu  évêque  de 
Noyon  et  de  Tournai  ;  mais  Foucher  lui  est 
préféré.  Il  embrasse  la  vie  rûonastique.  Sa 
mort,  XII,  841.  Son  éloge,  842.  Ses  écrits  : 
Vies  de  plusieurs  saints  et  de  plusieurs  pa- 
pes, en  vers,  842  et  843.  Histoire  de  l'Église 
de  Reims  ;  éditions  qu'on  en  a  faites,  843. 
[Traduction  française  de  cette  Histoire,  843, 
n.  1.]  Chronique  de  Frodoard,  843  et  844. 
Éditions  qu'on  en  a  données,  844.  —  Il 
écrivit  en  vers  la  Vie  de  saint  Colomban, 
XI,  615.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  VI,  p.  313  et  suiv., 
et  le  Supplément,  t.  XI,  p.  xxiv  et  suiv.) 

FRODOBERT  (Saint),  fondateur  et  pre- 
mier abbé  de  Moutier-la-Celle.  Sa  Vie  écrite 
par  Loupel,  son  disciple,  et  refaite  par 
Adson,  abbé  de  MouUer-en-Der.  Poëme  en 
l'honneur  du  même  saint,  XII,  882. 

FRODON,  chanoine  de  la  cathédrale  xn 
d'Auxerre,  écrit  la  Vie  de  GeoITroi  de  Cham- 
plemart  et  celle  de  Robert  de  Nevers,  tous 
deux  évêques  d'Auxerre,  XIII,  463,  464. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  VIII,  p.  324  et  suiv.) 

FROLLAND,  évêque  de  Sentis,  succède  à     v. 
Gui.  Il  assiste  à  plusieurs  conciles.   Il  se       lo 
trouve  au  couronnement  du  roi  Philippe  I", 
Sa  mort.  Sa  lettre  à  Bérenger,  XII,   272.      v. 
Éditions  qu'on  en  a  laites.  (Voyez  sou  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VIII, 
p.  17  et  suiv.) 

FROMOND,  moine  de  Tégernsée  en  Ba- 
vière, que  l'on  engage  à  se  faire  ordonner 
prêtre.  Sa  lettre  sur  ce  sujet  à  Eberhard, 
son  abbé.  Sa  lettre  à  Tliéodule,  évêque  de 
Frisiugue,  au  sujet  de  ceux  qui  pihaient  le 
monastère  de  Tégernsée,  XIII,  98.  [On  a  de 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


445 


lui  seize  lettres  et  vingt-sept  poëmes,  98.] 

FRONTEAU  (Jean),  chanoine  régulier  de 
Sainte-Geneviève.  Sa  Vie  d'Yves  de  Char- 
tres, XIV,  93.  Son  édition  des  œuvres  de 
cet  évêque,  97  et  99. 

FRONTIN  ou  PRONTIN,  jovinianiste,  con- 
damné par  le  pape  saint  Sirice,  IV,  642. 

FRONTON,  prêtre,  enlève  le  corps  du 
martyr  saint  Théodote,  III,  17. 

FRONTON  (Saint),  martyr  de  Sarragosse, 
III,  44. 

FRONTON,  évêque  de  Nicopole,  est  fait 
évêque  de  cette  ville  par  les  Ariens,  IV,  481. 

FROTAIRE,  vingt-cinquième  évêque  de 
Toul,  succède  à  Waninéus.  Ce  qu'on  sait 
des  circonstances  de  sa  vie.  Sa  mort,  XII, 
397.  Ses  lettres  insérées  dans  le  second 
tome  du  recueil  de  Du  Ghesne,  397  et  suiv. 
[Édition  de  ses  lettres  dans  la  Patrologie, 
399.]  Lettre  que  lui  écrit  saint  Aldric,  ar- 
chevêque de  Sens,  339  et  398.  —  Lettre 
qu'il  écrit  à  Hetti,  archevêque  de  Trêves, 
XIII,  6S0.  Lettre  de  Hetti  à  Frotaire,  656. 
(Voyez  l'article  de  Frotaire  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  52  et  suiv.,  et 
le  Supplément,  t.  XI,  p.  xx.) 

FROTAIRE,  archevêque  de  Bordeaux, 
transféré  à  Bourges  à  cause  des  incursions 
des  Normands,  XII,  643.  —  Concile  de 
Troyes  où  il  est  cité,  XIII,  721. 

FROWIN,  abbé  du  Mont-des-Anges,  vul- 
gairement Engelberg  en  Suisse.  Son  expli- 
cation de  l'oraison  dominicale.  Ses  sept 
livres  à  la  louange  du  libre  arbitre.  On  n'a 
imprimé  que  les  prologues  ou  préfaces  de 
ces  deux  ouvrages,  XIV,  232. 

FRUCTUEUX  (Saint),  évêque  de  Tarra- 
gone.  Son  martyre,  II,  387,  388.  —  Hymne 
du  poëte  Prudence  en  son  honneur,  VIII, 
102.  —  [Sa  Vie  par  l'abbé  saint  Valère,  XI, 
734.] 

FRUCTUEUX  (Saint),  archevêque  de  Bra- 
gue.  Sa  naissance  et  son  éducation.  Il  fonde 
plusieurs  monastères.  Il  est  fait  évêque  de 
Dume,  puis  transféré  à  l'archevêché  de 
Brague.  Sa  mort,  XI,  799.  Ses  deux  règles, 
799  et  800.  [Édition  de  ses  écrits  dans  la 
Patrologie.  Écrits  nouveaux,  800.]  —  Il  est 
chargé  par  le  dixième  concile  de  Tolède,  de 
gouverner  l'archevêché  de  Braguej  XII, 
935. 

[FRUCTUEUX,  prêtre,  qui  écrit  à  Brau- 
lion  sur  trois  questions  relatives  à  l'Écriture 
Sainte.  Réponse  de  Braulion,  XI,  731.] 

FRUDÉGARD  ou  FRÉDUGARD,  moine  de 


la  NouvelleCorbie.  Lettre  de  PaschaseRad- 
bert  sur  l'Eucharistie  qui  lui  est  adressée, 
XII,  542  et  suiv.  Éditions  de  cette  lettre, 
549. 

FRUITS  DE  LA  TERRE.  L'Église  les  bé- 
nissait, II,  610.  —  Cette  bénédiction  se  pra- 
tiquait à  Cluny,  XIII,  472. 

FRUITS  DE  LA  CHAIR  ET  DE  L'ESPRIT  : 
livre  attribué  à  Hugues  de  Saint- Victor, 
XIV,  352. 

FRUMENTIUS,  apôtre  et  évêque  des 
Éthiopiens,  est  ordonné  par  saint  Athanase, 
IV,  91,  92.  —  Lettre  de  l'empereur  Cons- 
tantin contre  l'ordination  de  cet  évêque, 
VI,  344.  Histoire  de  Frumentius  et  de  son 
élection,  344  et  345.  —  Témoignage  de 
Rufm  sur  cette  histoire,  VII,  469.  —  Té- 
moignage de  Théodoret,  X,  138. 

FRUTARE  ou  Saint-Balain,  monastère 
fondé  au  diocèse  d'Yvrée  en  Piémont  par 
Guillaume,  abbé  de  Saint-Bénigne  de  Dijon, 
Xin,  106.  Charte  de  sa  fondation,  107. 

FRUTARE,  monastère  du  diocèse  de 
Langres  ,  fondé  par  Godefroid  et  Ni- 
thard.  Le  pape  Benoît  VIII  en  conQrme 
la  fondation  dans  un  concile.  L'évêque  de 
Langres  en  confirme  l'exemption,  XIII,  192. 
—  Privilège  accordé  à  cette  abbaye  par  le 
pape  Benoît  VIII  dans  un  concile  de  Rome, 
XIV,  1037. 

FUCHREN  (Jean).  Son  édition  du  traité 
de  Paschase  Radbert  du  Corps  et  du  Sang 
de  Jésus-Christ,  XII,  549. 

FUCHTE  (Jean  de).  Son  édition  du  livre 
de  Gennade  des  Écrivains  ecclésiastiques,  X, 
601. 

FUGILINE,  lieu  du  diocèse  de  Calame, 
IX,  563. 

FUITE.  Traité  de  la  Fuite  durant  les  per- 
sécutions, ouvrage  de  TertuUien  après  sa 
chute,  II,  63.  Fuite  condamnée  parTertullien, 
63,  approuvée  par  Origène,  248.  —  Lettre 
de  saint  Augustin  sur  ce  sujet,  IX,  181. 

FULBERT.  Plusieurs  écrivains  de  ce  nom 
ont  vécu  dans  le  xi=  siècle,  XIII,  89. 

FULBERT,  évêque  de  Chartres.  [Notices 
sur  Fulbert  dans  la  Patrologie,  XIII,  78,  n. 
1.]  Sa  naissance,  ses  études.  Il  est  chargé 
de  la  direction  de  l'école  de  Chartres.  Il  est 
élu  évêque  après  la  mort  de  Rodulphe.  Il 
assiste  au  concile  de  Chelle.  Il  rebâtit  son 
église  cathédrale,  qui  avait  été  réduite  en 
cendres  avec  une  partie  de  la  ville,  78.  Sa 
mort,  79.  [Il  n'a  pas  le  titre  de  saint  que  lui 
donne  dom  Ceillier,  78,  note  1,]  79.    Ses 


IV  siècle. 


XI  siècle. 


4015. 

1017. 
1015. 


III  siècle. 


III  siècle. 


1007. 


1008. 
1020. 


1028. 


446 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


lettres,  79  et  suiv.  [Ses  lettres  dans  la  Pa- 
irologie,  79.]  Discours  sur  la  religion.  Dis- 
cours sur  la  Nativité  de  la  sainte  Vierge,  86. 
Traité  contre  les  Juifs,  86  et  87.  Discours 
sur  les  mystères  et  la  pénitence,  87,  88. 
Autres  discours  qui  lui  sont  attribués.  Poé- 
sies de  Fulbert.  Traité  sur  quelques  paroles 
du  chapitre  douzième  des  Actes  des  apôtres, 
88.  Autres  écrits  qu'on  lui  attribue,  88  et  89. 
[Écrits  publiés  récemment,  89.  Quelques 
écrits  de  Fulbert,  88,  n.  9.]  Jugement  sur 
ses  ouvrages,  89.  [Vingt-quatre  lettres  qui 
sont  adressées  à  Fulbert,  79.]  Lettre  de  saint 
Odilon,  abbé  de  Cluny,  à  Fulbert  de  Char- 
tres, 157.  (Voyez  l'article  de  Fulbert  de 
Chartres  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
Finance,  t.  VII,  p.  201  et  suiv.) 

FULBERT,   clerc  ou  moine  à   Cambrai, 

auteur  de  la  Vie  de  saint  Aubert.  (Voyez  ce 

qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 

France,  t.  VII,  p.  277  et  suiv.) 

.„,    ^  ,  FULBERT,  archidiacre   de   Rouen,    sur- 

XI  siècle.  '  ' 

nommé  le  Sophiste,  doit  être  distingué  de 
Fulbert,  doyen  de  la  même  Église,  qui  n'a 
vécu  que  quelque  temps  après,  XIII,  468.  Il 
doit  être  anssi  distingué  de  Fulbert,  moine 
de  Saint-Ouen,  qui  vivait  daus  le  même 
temps,  468, 469.  C'est  l'archidiacre  de  Rouen 
qui  est  auteur  de  la  Vie  de  saint  Romain  et 
de  celle  de  saint  Rémi,  archevêque  de 
Rouen,  468.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  VIII,  p.  370  et  suiv.) 

FULBERT,  moine  de  Saint-Ouen  de 
Rouen.  Il  est  auteur  du  recueil  des  miracles 
de  saint  Ouen.  Il  retouche  la  Vie  de  saint  Ai- 
cadre,  second  abbé  de  Jumiége.  Surius  s'est 
trompé  en  le  croyant,  sur  ce  fondement, 
moine  de  Jumiége,  XIII,  469.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VIII,  p.  379  et  suiv.) 

FULBERT,  chanoine  de  l'Église  de  Paris, 
charge  Abaillard  d'instruire  Héloïse  sa  nièce. 
Tous  deux  abusent  de  sa  confiance.  Il  mal- 
traite sa  nièce.  Vengeance  indigne  qu'il  tire 
d' Abaillard,  XIV,  318. 
XI  siècle.         FULCARD,  moine  de  Saint-Bertin.  Voyez 

Folcard,  moine  de  Cantorbéry. 
V.  1020.  FULCOIE ,  sous-diacre  de  l'Église  de 
Meaux.  Sa  naissance,  XIII,  340.  Ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie,  340  et  341. 
V.  losa,  Temps  de  sa  mort.  Ses  poésies,  341.  Louan- 
ges qu'il  donne  à  Manassès,  archevêque  de 
Reims,  341  et  548.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VIII,  p. 
113  et  suiv.) 


XI  siècle. 


FULDE,  monastère  d'Allemagne  fondé 
par  saint  Boniface,  XII,  33  et  47.  Le  pape 
saint  Zacharie  l'exempte  de  la  juridiction 
de  tout  autre  évêque  que  le  pape,  33.  Saint 
Sturm  en  fut  le  premier  abbé,  126,  127. 
Requête  des  moines  de  Fulde  à  Charlema- 
gne  contre  Ratgaire,  leur  abbé,  272,  273. 
[Privilège  accordé  par  le  pape  Léon  IV  à  ce 
monastère,  409.  Diplôme  et  privilèges  au 
même,  par  le  pape  Benoît  III,  410.  Privi- 
lèges au  même  par  le  pape  Léon  VII,  827  ; 
par  le  pape  Marin  II ,  829  ;  par  le  pape 
Jean,  832.]  Annales  de  Fulde  attribuées  à 
Walafride  Strabon;  elles  ne  sont  pas  de  lui, 
416.  Raban  Maur  rend  célèbre  l'école  de 
Fulde,  446.  Poëme  de  Raban  Maur  sur  la 
sortie  des  moines  de  Fulde  à  l'occasion  des 
vexations  de  l'abbé  Ratgaire,  459.  —  Chro- 
nique de  Fulde  par  Méginfroid,  prévôt  de 
JMagdebonrg,  XIII,  95.  Cette  abbaye  ôtée 
de  la  dépendance  du  Saint-Siège,  202. 

FULGENCE  le  Donatiste.  Livre  contre 
Fulgence,  ouvrage  supposé  sous  le  nom  de 
saint  Augustin,  IX,  415. 

FULGENCE  (Saint),  évêque  de  Ruspe  et  a 
confesseur.  Sa  naissance  et  son  éducation, 
XI,  1.  Il  est  chargé  des  affaires  de  sa  fa- 
mille et  se  dégoûte  du  monde,  1  et  2.  Il  se 
relire  dans  le  monastère  de  l'évêque  Fauste, 
2.  Il  est  chargé  de  la  conduite  d'un  autre 
monastère.  Sa  retraite  à  Sicque  ;  il  est  per- 
sécuté par  un  prêtre  arien,  3.  Il  fonde  un 
nouveau  monastère  près  de  la  ville  d'Ididi, 
3  et  4.  Il  entreprend  le  voyage  d'Egypte, 
dont  il  est  détourné  par  Eulalius,  évêque  de 
Syracuse.  Il  va  voir  l'évêque  Rufinien,  qui 
le  détourne  aussi  du  voyage  d'Egypte,  4.  Il 
retourne  en  Afrique,  bâtit  un  nouveau  mo- 
nastère, puis  se  retire  dans  une  île  où  il  vit 
en  simple  moine,  4  et  5.  Son  évêque  l'en 
retire  et  l'ordonne  prêtre.  Il  est  élu  évêque 
de  Ruspe,  5.  Sa  conduite  pendant  son  épis- 
copat,  5  et  6.  Il  est  exilé  en  Sardaigne  par 
le  roi  Trasamond,  6,  7.  Ce  prince  le  fait  re- 
venir, et  pour  éprouver  sa  science,  il  lui 
propose  plusieurs  questions.  Réponses  qui 
y  sont  faites  par  saint  Fulgence,  7.  Il  est  v 
renvoyé  en  Sardaigne,  où  il  bâtit  un  nou- 
veau monastère,  7  et  8.  Il  est  rappelé  de 
son  exil  par  le  roi  Hildéric  et  revient  à 
Ruspe,  8.  Sa  retraite  dans  l'île  de  Circine, 

9.  Sa  mort.  9  et  10.  Sa  Vie,  par  qui  écrite, 

10.  Ses  écrits.  Trois  livres  à  Monime,  10  et 
suiv.  Analyse  du  premier  livre,  10;  du  se- 
cond, 14  et  suiv.  :  du  troisième ,  16.  Répon- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


Ul 


ses  aux  dix  objections  des  Ariens,  16  et 
sniv.  Trois  livres  au  roi  Trasamond,  19  et 
suiv.  Analyse  du  premier  livre,  19,  20  ;  du 
second,  20  et  suiv.;  du  troisième,  22  et  suiv. 
Lettre  sur  le  vœu  de  continence,  25,  26. 
Lettre  à  Galla  ;  lettres  à  Roba,  26  et  suiv. 
Lettre  à  l'abbé  Eugippius,  29,  30  ;  à  Théo- 
dore, 30,  31  ;  à  Vénantie,  31.  Livre  de  la 
Foi  orthodoxe  à  Donat,  32  et  suiv.  Livre 
contre  le  sermon  de  Fastidiosus  à.  Victor, 

34,  35.  Livre  à  Scarilas  sur  l'Incarpation, 

35,  36.  Lettre  en  réponse  à  plusieurs  ques- 
tions du  diacre  Ferrand  sur  le  baptême,  37 
et  suiv.  Autre  lettre  en  réponse  à  d'autres 
questions  du  même,  39  et  suiv.  Lettre  au 
nom  des  évéques  d'Afrique  exilés  en  Sar- 
daigne  à  Jean  et  à  Vénérius  au  sujet  des  li- 
vres de  Fauste  de  Riez  sur  la  grâce,  M  et 
suiv.  Autre  lettre  au  nom  des  mômes  adres- 
sée aux  moines  de  Scytbie  au  sujet  de  cette 
proposition  :  Un  de  la  Trinité  a  souffert,  M 
et  suiv.  Lettre  au  comte  Régin  sur  le  Corps 
de  Jésus-Christ,  50.  Livre  de  la  Trinité 
adressé  à  Félix,  50  et  suiv.  Deux  livres  de 
la  Rémission  des  péchés,  52  et  suiv.  Analyse 
du  premier,  33,  34  ;  du  second,  54  et  suiv. 
Trois  livres  de  la  Vérité,  de  la  Prédestina- 
tion et  de  la  Grâce  de  Dieu,  56  et  suiv.  Ana- 
lyse du  premier,  56;  du  second,  39  etsuiv.; 
du  troisième,  61  et  suiv.  Analyse  du  livre 
de  la  Foi  à  Pierre,  63  et  suiv.  Le  livre  de  la 
Foi  contre  l'évêque  Pinta  n'est  point  de 
saint  Fulgence,  69.  Ses  sermons,  69  et  70. 
Les  dix  livres  contre  Fabien  sont  perdus  ; 
fragments  qui  en  restent,  70  et  suiv.  [Dis- 
cours sur  l'Epiphanie  publié  par  Mai,  73.] 
Autres  ouvrages  de  saint  Fulgence  qui  sont 
perdus,  74,  73.  Écrits  supposés,  75.  Juge- 
ment sur  ses  ouvrages,  73  et  76.  Éditions 
qu'on  en  a  faites,  76.  [Édition  dans  la  Pa- 
trologie,  76.]  —  Saint  Fulgence  cite  le  livre 
de  saint  Augustin  de  la  Correction  et  de  la 
grâce,  IX,  319.  —  Il  réfute  Fauste  de  Riez, 
X,  433. 

FULGENCE,  diacre  de  Carthage.  Voyez 

Ferrand. 
[  siècle.        FULGENCE,  évêque  d'Astigite,  puis  de 

Garthagène,  frère  de  saint  Isidore  de  Séville, 

l'engage  à  écrire  ses  livres  des  Offices  ec- 
619.        clésiastiques,  XI,  716.  Son  différend   avec 

Honorius,  proposé  à  un  concile  de  Séville, 

914. 
!ouii23.       FULGENCE,   premier  abbé  d'Afflighem, 

Sa  mort.  Francon  lui  succède.  Sa  lettre  à 

Francon   pour  l'engager   à   écrire    sur  la 


grâce,  XIV,  190.  Éloge  que  Francon  fait  de 
lui,  191. 

FULRAD,  chapelain  de  Pépin,  et  depuis  viii  siècie. 
abbé  de  Saint-Denis.  Il  va  à  Rome  avec 
l'évêque  Bui-chard  consulter  le  pape  saint 
Zacharie  sur  le  dessein  qu'on  avait  de  dé- 
clarer Pépin  roi  de  France,  XII,  34.  Lettre  v.  754. 
que  lui  écrit  saint  Boniface ,  archevêque  de 
Mayence,  31  II  est  chargé  de  faire  rendre 
au  pape  les  villes  usurpées  par  les  Lom- 
bards, et  en  remet  les  clefs  sur  le  tombeau 
de  saint  Pierre,  113.  Différents  privilèges 
que  lui  accorde  le  pape  Etienne  II,  11 3  et  114. 

FULRAD,  abbé,  à  qui  une  des  lettres  de 
Charlemagne  est  adressée,  XII,  247. 

FUMÉ  (René).  Sa  traduction  française  des 
Institutions  de  Lactance,  II,  521. 

FUDANIUS,  rhéteur  de  Carthage,  privé 
d'un  œil,  IX,  308. 

FUNDANUS,  évêque  d'Abitine,  livre  les 
Écritures  divines,  II,  20,  21. 

FUNÉRAILLES  des  chrétiens,  selon  Mi- 
nuce  Félix,  I,  353,  334  ;  —  selon  les  Constitu- 
tions apostoliques,  II,  399.  — Règle  de  saint 
Pacôme  sur  les  funérailles,  III,  366.  Comment 
saint  Antoine  fil  les  funérailles  de  saint  Pau], 
ermite,  386.  —  Funérailles  de  sainte  Ma- 
crine  faites  par  les  soins  de  saint  Grégoire  de 
Nysse,  VI,  122, 123.  [Canons  de  saint  Éphrem 
pour  les  funérailles,  512  et  suiv.]  —  Témoi- 
gnage de  saint  Jean  Chrysostôme  sur  les  fu- 
nérailles des  fidèles,  VII,  56,  337,  431.  Des- 
cription des  funérailles  de  sainte  Paule,  698. 
Canon  vingt-neuvième  du  troisième  concile 
de  Carthage,  722.  —  Traité  de  saint  Augustin 
sur  les  funérailles,  cité  par  Possidius,  IX, 
560.  —  Couiment  Justinien  pourvoit  aux 
funérailles,  à  la  décharge  des  héritiers,  XI, 
257.  Canon  d'un  concile  de  Valence  tou- 
chant les  funérailles  des  évêques,  827,  828. 
Canon  du  troisième  concile  de  Tolède  sur 
les  funérailles,  903.  —  Sur  les  funérailles 
des  évêques,  XII,  239.  —  Cérémonies  pres- 
crites par  les  lois  de  Kennet,  roi  d'Ecosse, 
pour  les  funérailles  des  nobles,  XIII,  669. 

FURIA,  veuve  illustre.  Lettre  que  lui  écri-        394. 
vit  saint  Jérôme,  VII,  618,  619. 

FURNES,  ville  d'Afrique.  Lettre  de  saint     iiisiecie. 
Cyprien  à  l'Église  de  Furnes,  II,  292,  293. 

FURSY  (Saint),  premier  abbé  de  Lagny. 
[Trois  auteurs  ont  écrit  sa  Vie.  Voyez  ce 
qui  en  est  dit  dans  V Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  IX,  p.  291  et  suiv.) 

FUSCINE,  sœur  de  saint  Avit,  évêque  de 
Vienne.  Poëme  qu'illui  adresse,  X,  567  et  569. 


448  HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 

FUSSALE,   bourg  du  diocèse  d'Hippone. 
Saint  Augustin  y  met  un   évêque,   VIII, 


FUSSEL  ou  HUZILLOS,  ville  de  la  Vieille- 
Castille.  Conciles  qui  y  furent  tenus,  XIV, 
1072  et  1079. 


G 


[GABELENTE  publie,  avec  le  docteur 
Lobbe,  une  édition  de  la  version  gotbique 
d'Ulphilas,  IV,  347.] 

GABINUS,  donatiste  qui  revient  à  l'Église 
catholique,  IX,  413. 

GABIUS  (Jean-Baptiste),  traducteur  du 
commentaire  de  Théodore!  sur  le  Cantique 
des  Cantiques,  et  de  celui  sur  Ézéchiel,  X, 
141.  —  Sa  version  latine  de  la  première  partie 
de  la  Chronique  de  Jean  Scylilz,  XIII,  560. 
GABRIEL  (Saint)  (Dom  Antoine),  feuillant. 
Sa  traduction  française  des  sermons  de  saint 
Bernard,  XIV,  499. 

GABRIEL!  (Jules).  Sa  version  latine  des 
trois  oraisons  de  saint  Grégoire  de  Nazianze, 
V,  360. 

GAD,  prophète,  avait  écrit  des  mémoires 
qui  n'ont  pas  été  conservés,  I,  53. 

GAÉTAN  (Jean),  cardinal,  XIII,  419.  Voyez 
Gélase  II,  pape. 

GAGNEY  ou  DE  GAGNIou  GAIGNY(Jean), 
aumônier  du  roi  François  I".  Son  édition 
des  poésies  et  des  homélies  de  saint  Avit, 
évêque  de  Vienne,  X,  569.  —  Son  édition 
du  commentaire  de  Primas  sur  les  épitres 
de  saint  Paul,  XI,  283.  —  Son  édition  du 
livre  d'Arnaud,  abbé  de  Bonneval,  des  sept 
paroles  de  Jésus-Christ  sur  la  croix,  XIV, 
618. 

GAIEN  ,  patriarche  d'Alexandrie ,  XI , 
304. 

GAINAS,  général  des  Goths,  demande  et 
obtient  la  disgrâce  d'Eutrope,  VII^  118  et 
196.  —  Il  fait  beaucoup  de  maux  en  Occi- 
dent, VIII,  29.  Il  consulte  saint  Nil,  206. 
Saint  Nil  lui  écrit,  216,  217. 

GAINITES.  Discours  de  saint  Euloge  d'A- 
lexandrie   conti'e   les  Gaïnites  et  les  Acé- 
phales, XI,  591.  Voyez  Incorruptibles. 
VII  siècle  GAIRIN,    frère   de   saint   Léger,    évêque 

d'Autun.  Ébroïn  le  fait  mourir.  Lettre  que 
saint  Léger  écrit  sur  ce  sujet  à  Gigrade,  sa 
mère,  XI,  781. 

[GAISFORD  (Th.).  Son  édition  des  Éclogues 
d'Eusèbe  de  Césarée,  III,  245.  Son  édition 
de  la  Préparation  évangélique  d'Eusèbe; 
des  Démonstrations,  du  même,  313.] 


GAIUS,  prêtre  de  Didde,  séparé  de  la  com- 
munion, II,  301,  notel,  et  309. 

GAIUS  ,   juge    d'Augsbourg ,   condamne 
sainte  Afîre .  III,  29. 

GAIUS,  à  qui  saint  Augustin  écrivit  une 
lettre,  IX,  69. 

GAL  (Saint),  abbé,  disciple  de  saint  Colom- 
ban,  passe  avec  lui  en  France,  XI,  736  ;  l'ac- 
compagne à  Zug,  d'où  un  excès  de  zèle  le  fait 
chasser,  616  et  736;  s'établit  sur  le  lac  de 
Constance,  où  il  convertit  les  peuples  et  bâtit 
un  monastère.  Sa  mort.  Analyse  d'un  dis- 
cours que  nous  avons  de  lui,  736.  [Éditions 
de  ce  discours,  736,  737.]  La  lettre  qu'Us- 
sérius  lui  attribue  est  de  Gai,  évêque  de 
Clermont,  737.  Il  prêche  la  foi  à  Brégents, 
616.  —  Sa  Vie  composée  par  Walafride 
Strabon,  XII,  415.  Autre,  en  vers  héroïques, 
commencée  par  Hermenrie,  moine  de  Riche- 
now,  554.  Autre,  également  écrite  en  vers, 
par  un  nommé  Grimald,  603.  Deux  hymnes 
au  moine  Ratpert  en  l'honneur  de  saint  Gai. 
Vie  de  saint  Gai,  en  rimes  allemandes,  par 
le  même,  mise  en  latin  par  Ekkehard  le 
Jeune,  700.  Autre  en  vers  latins  par  Notber 
le  Bègue,  768. 

GAL  (Saint-),  abbaye.  Plan  du  monastère 
de  Saint-Gai  et  de  toutes  ses  officines,  avec 
des  inscriptions  par  Eginhard,  Xll,  357. 
Deux  lettres  des  moines  de  Saint-Gai.  Trésor 
de  l'abbaye  de  Saint-Gai  enlevé  par  un  vo- 
leur, 441.  Histoire  de  l'abbaye  de  Saint-Gai, 
attribuée  à  Werembert,  moine  de  Saint-Gai, 
694.  Histoire  de  la  même  abbaye,  attribuée 
à  Harmote  ;  elle  est  de  l'abbé  Hartmanne, 
694  et  879.  Histoire  de  l'abbaye  de  Saint- 
Gai,  par  le  moine  Ratper,  700.  [Bulle  pour 
cette  abbaye,  donnée  parle  pape  Sergiuslll, 
743.]  Chronique  anonyme  de  l'abbaye  de 
Saint-Gai  :  elle  est  d'un  moine  de  cette  ab- 
baye, 794.  L'abbaye  de  Saint-Gai  ravagée 
par  les  Hongrois,  879.  Le  prêtre  Conruy 
continue  l'Histoire  de  Saint-Gai,  879.  (Voyez 
l'article  de  Saint-Gai  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  III,  p.  561  et  suiv.) 

GAL  (Saint),  évêque  de  Clermont,  oncle 
de  saint  Grégoire  de  Tours,  XI,  365.  Sa  Vie 


V.K 


V.  & 


TABT.E  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


449 


écrite  par  saint  Grégoire  de  Tours,  380,  381. 
siècle.  Sa  lettre  à  saint  Didier,  évêque  de  Cahors, 
734.  Ussérius  s'est  trompé  en  attribuant 
cette  lettre  à  saint  Gai  disciple  de  saint  Co- 
lomban,  737.  (Voir  ce  qui  enestdit  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  III,  p .  S63  et  583.) 

[GALANUS,  tliéatin.  Son  livre  intitulé  : 
Conciliation  de  l'Église  arménienne  avec 
l'Église  romaine,  d'après  les  témoignages 
des  pères  et  des  docteurs  arméniens,  XII,  39.] 

GALATES,  peuples  d'Asie.  Leur  origine 
selon  Lactance,  VU,  579  ;  —  d'après  Claude 
de  Turin,  XII,  352.  —  Épître  de  saint  Paul 
aux  Galates,  I,  224. 

GALBERT,  moine  de  Marcliiennes,  écrit 
les  miracles  de  sainte  Rictrude.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  XI,  p.  412  et  suiv.) 

GAL  [en  latin  GALEUS]  (Thomas).  [Son 
édition  des  scholies  de  l'abbé  saint  Maxime 
sur  saint  Grégoire  de  Nazianze,  I,  360.]  — 
Sa  traduction  latine  d'une  lettre  de  l'abbé 
saint  Maxime  à  l'abbé  Thomas,  XI,  770.  — 
Son  édition  du  traité  de  Jean  Scot  de  la  Di- 
vision des  natures,  I,  560  et  XII,  607. 

[GALEARDI  (Paul).  Son  édition  du  traité 
de  saint  Philastre,  V,  178.  —  Son  édition  des 
œuvres  de  saint  Gaudence,  VIII,  43.]  — Son 
édition  des  opuscules  des  anciens  évêques 
de  Bresce,  XIII,  257. 
j5_  GALÈRE  (Maximien),   empereur,   persé- 

cute les  chrétiens.  Sa  maladie.  Son  édit  en 
faveur  des  chrétiens.  Sa  mort,  II,  507.  —  Il 
continua  la  persécution  commencée  par  Dio- 
clétien,  III,  47.  Il  la  fit  cesser,  47  et  48. 

GALÉSINI  (Pierre).  Sa  version  latine  des 
homélies  de  saint  Grégoire  de  Nysse  sur 
l'Oraison  dominicale,  VI,  258.  Du  livre  de 
la  Virginité,  239. 
,,^  GALFRÈDE  ou  GEOFROI  LE  GROS,  moine 
de  Tiron,  écrit  la  Vie  de  saint  Bernard,  fon- 
dateur du  monastère  de  Tiron,  XIV,  404, 
405.  (Voy.  ce  qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  XII,  p.  163  et  suiv.) 

GALICE,  province  d'Espagne,  infectée  du 
priscillianisme,  X,  206  et  suiv.  Concile  tenu 
en  cette  province  contre  les  Priscillianistes, 
646  et  669. 

GALILÉENS,  nom  que  les  païens  don- 
naient par  dérision  aux  chrétiens,  II,  335, 
et  111, 17.  Julien  l'Apostat  veut  rendre  ce  nom 
commun  à  tous  les  chrétiens,  535.  C'est  ainsi 
qu'il  les  nommait,  III,  401.  —  Manès  leur 
donnait  aussi  ce  nom,  IV,  343.  —  Remar- 
ques de  saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  ce 

TAB.    I. 


nom,  V,  198  et  357.  —  Loi  de  Julien  pour 
rendre  ce  nom  commun  à  tous  les  chrétiens, 
VI,  347. 

GALINDO,  nom  primitif  de  saint  Prudence, 
évêque  de  Troyes,  XII,  493. 

GALLA,  fille  de  l'empereur  Valentinien  I" 
et  de  Justine,  VI,  359. 

GALLA  PLACIDIA,  sœur  de  l'empereur 
Honorius,  épouse  Constance,  VIII,  7. 

GALLA,  épouse  saint  Eucher,  depuis  évê-  y  siècle, 
que  de  Lyon,  l'accompagne  dans  sa  retraite; 
leur  liaison  avec  saint  Paulin,  évêque  de 
Noie,  VIII,  442.  Lettre  que  saint  Paulin,  évê- 
que de  Noie,  écrivit  à  saint  Eucher  et  à 
Galla,  son  épouse,  qui  avaient  envoyé  vers 
lui,  81. 

GALLA,  fille  du  consul  Symmaque.  Lettre 
que  lui  écrit  saint  Fulgence  de  Ruspe  àl'oc- 
casion  de  son  veuvage,  XI,  26. 

GALLiEUS  (Serval),  ministre  à  Harlem. 
Son  édition  des  livres  Sibyllins,  I,  307.  — 
Son  édition  des  œuvres  de  Lactance,  II,  520. 

[GALLAND  ou  GALLANDE  (A.),  oratorien, 
auteur  de  la  Bibliotlieca  vetei^um  Patrum  et 
antiquorum  scriptorum  ecclesiasticorum.  Ve- 
nise, 1765-81,  XIV,  vol.  in-fol.  souvent  cité 
dans  la  nouvelle  édition.] 

GALLASIUS  ou  DES  GALLARS  (Nicolas), 
ministre  de  Genève. Ses  notes  sur  les  œuvres 
de  saint  Irénée,  I,  530. 

GALLES,  pays  d'Angleterre.  Lois  pour  le 
pays  de  Galles,  prescrites  par  le  roi  Hoeli, 
surnommé  le  Bon,  XIII,  746. 

GALLICAN  (Saint).  Comédie  de  Roswithe, 
religieuse  de  Gandersheim,  sur  la  conver- 
sion de  saint  Gallican  et  le  martyre  de  saint 
Jean  et  saint  Paul  sous  Julien  l'Apostat,  XII, 
877. 

GALLIEN,  empereur,  favorable  aux  chré- 
tiens, II,  412. 

GALLIEN.  Lettre  de  saint  Jérôme  à  Vin- 
cent et  Gallien  pour  servir  de  préface  à  la  tra- 
duction de  la  Chronique  d'Eusèbe,  VII,  645. 

[GALLICIOLI,  publie  en  itahen  les  écrits 
de  saint  Athénagore,  I,  487.  —  Son  édition 
des  écrits  de  saint  Grégoire  le  Grand,  XI,  585.] 

GALLIPOLI  en  Romanie,  évêché  d'abord 
uni  à  celui  de  Celle  ;  on  y  met  ensuite  un 
évêque  particulier,  VIII,  591. 

GALLUS,  frère  de  Julien  l'Apostat,  fait  ap- 
porter à  Antioche  le  corps  de  saint  Babylas, 
III,  406.  —  Il  avait  été  reçu  dans  le  clergé 
au  rang  des  lecteurs,  V,  197  et  335.  Il  est 
ensuite  associé  à  l'empire  ;  sa  mort,  197.  • — 
Il  avait  fait  assassiner  le  préfet  Domitien  et 

29 


V.  935. 


380. 


450 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1001. 


1027. 


102U. 
1030, 


Montius;  il  fat  mis  à  mort  par  l'ordre  de 
Constance,  VII,  33. 

GALLUS,  disciple  de  saint  Martin,  VIII, 
in  et  120.  (Voyez  son  article  dans  VHis- 
toire  littéraire  de  la  France^  t.  II,  p.  HO  et 
suiv.) 

GALLUS,  moine  à  qui  saint  Nil  écrit,  VIII, 
217. 

GALLUS,  réconcilié  avec  son  épouse 
par  les  soins  de  saint  Loup  de  Troyes,  X, 
357. 

GALON,  évéque  de  Paris,  mal  à  propos 
confondu  avec  le  cardinal  qui  suit,  XIV, 
11-49.  11  fut  auteur  de  quelques  écrits.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  X,  p.  93  et  suiv.) 

GALLON,  cardinal,  légat  du  pape  Inno- 
cent III  en  France.  Son  règlement,  qui  pres- 
crit aux  clercs  la  continence,  la  modestie 
dans  les  habits,  et  le  désintéressement,  XIV, 
1149. 

GALOPIN  (George),  moine  de  Saint-Guis- 
lain.  Son  édition  du  commentaire  de  Bru- 
non,  évêque  de  Wirtzbourg,  sur  le  Penta- 
teuque,  XIII,  116.  Son  édition  de  la  Vie  de 
saint  Véron  par  Olbert,  142.  —  Son  édition 
de  la  Somme  de  Pierre  le  Chantre,  XIV, 
571. 

GALSUINDE,  reine  de  France.  Poëme  de 
Fortunat  sur  son  mariage  avec  Chilpéric, 
XI,  407. 

GAMME,  inventée  par  Guy  d'Arezzo,  XIII, 
129,  130.  Sa  lettre  à  ce  sujet,  130. 

[GAMS,  un  des  auteurs  du  Dictionnaire  de 
la  théologie  catholique.  Jugement  qu'il  porte 
sur  Honoré  d'Autun,  XIV,  303.] 

GANDERSHEIM,  monastère  en  Basse-Saxe. 
Histoire  des  commencements  et  des  fonda- 
teurs de  ce  monastère,  écrite  en  vers  par  la 
religieuse  Roswithe  ;  histoire  diplomatique 
de  cette  église,  par  Christophe  Harenberge; 
vie  de  Halumode,  première  abbesse  de  ce 
monastère,  XII,  867.  —  Ce  monastère  fut 
l'occasion  d'un  différend  entre  les  archevê- 
ques de  Mayence  et  les  évéques  d'Hildes- 
heim,  XIII,  66,  67.  —  La  Juridiction  en  est 
disputée  par  l'archevêque  de  Mayence;  plu- 
sieurs conciles  tenus  sur  cette  allaire,  XIV, 
1033  et  suiv.  Un  concile  de  Francfort  con- 
serve la  juridiction  à  l'évêque  d'IIildesheim, 
1041.  L'archevêque  renouvelle  sa  prétention 
au  concile  de  Palith;  il  s'en  désiste  enfin 
pour  toujours,  1043. 

GANDULPHE,  hérésiarque.  Ses  disciples 
et  sa  doctrine,  XIII,  160. 


GANEI  (Louis).  Sa  traduction  française  des 
Catéchèses  de  saint  Cyrille,  V,  82. 

GANGOLFE  (Saint),  martyr  à  Varenne  en 
Bourgogne.  Voyez  saint  Gengoul. 

GANGRES,  dans  la  Paphlagonie.  Concile 
qui  y  fut  tenu,  III,  514  et  suiv. 

GAP,  ville  du  Dauphiné.  Le  pape  saint 
Grégoire  accorde  l'usage  des  dalmatiques  à 
l'évêque  de  Gap  et  à  son  archidiacre,  XI, 
518. 

[GARCIAS,  archevêque  d'Auch.  Lettre  que 
lui  adresse  Odon,  diacre  d'Auch,  XII,  867.] 

GARCIAS  (Diego).  Sa  traduction  espagnole 
des  Offices  de  saintAmbroise,  V,  583.  —  Ses 
notes  sur  les  Sentences  de  saint  Isidore  de 
Séville,  XI,  726,  727. 

GARDIEN,  nom  affecté  au  supérieur  des 
frères  mineurs,  XIII,  513. 

GARET(D.  Jean),  bénédic-tin.  Son  édition 
des  œuvres  de  Cassiodore,  XI,  252. 

GARGARIS,  paroisse  d'Arles,  VII,  529. 

GARGON.  Sa  traduction  flamande  du  Dia- 
logue de  Minutius  Féhx,  II,  537. 

GARIBALDE  ou  GERBAULD,  évêque  de 
Liège.  Sa  lettre  pastorale  aux  curés  de  son 
diocèse,  conforme  à  celle  par  laquelle  Char- 
lemagne  exigeait  que  les  parrains  sussent  de 
mémoire  l'oraison  dominicale  et  le  symbole  ; 
autre  lettre  qu'il  écrit  aux  prêtres  sur  le 
même  sujet;  lettre  que  Charlemagne  lui 
adresse  en  forme  d'édit,  portant  indication 
d'un  jeûne,  XIV,  246.  (Voyez  ce  qui  en  est 
dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  IV, 
p.  356  et  suiv.) 

GARNIER,  abbé  de  Rebais,  auteur  d'un 
poème  sur  saint  Vincent  de  Sari-agosse. 
(Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VI,  p.  512  et  suiv.) 

[GARNIER,  abbé.  Son  discours  au  roi  As- 
tolfe,  XII,  110.] 

GARNIER,  moine  de  Tournas,  l'un  des 
auteurs  des  Actes  de  saint  Valéi-ien,  martyr, 
et  de  sa  translation,  XIII,  464.  (Voyez  ce  qui 
en  est  dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  IX,  p.  513  et  suiv.) 

GARNIER  ou  WARNIER  l'homéliaire , 
moine  de  Westminster.  (Voir  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  IX,  p.  23  et 
suiv.) 

[GARNIER,  chanoine  et  sous-prieur  de 
Saint-Victor  de  Paris.  Sou  traité  intitulé  : 
Grégorien,  ou  extrait  des  livres  de  saint  Gré- 
goire le  Grand,  XIV,  624.] 

[GARNIER  DE  ROCHEFORT,  évêque  de 
Langres.  Sa  vie,  XIV,  808  et  suiv.  Sermons, 


IX  s 


116 


XII  si. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


451 


810,  811.  Son  Glossaire,  811.  [Édition  des 
sermons  de  Garnier  dans  la  Patrologie, 
811.] 

GARNIER  (Jean),  jésuite,  prend  la  dé- 
fense d'Origène  et  deDidyme,  V,  619.  —  On 
l'accuse  d'avoir  corrompu  le  texte  de  la  let- 
tre du  pape  Anastase  à  Jean  de  Jérusalem, 

VI,  336.  —  Ses  dissertations  sur  l'histoire  des 
Pélagiens,  IX,  818.  —  Il  ajoute  un  cinquième 
volume  à  l'édition  des  œuvres  de  Théodo- 
ret,  donnée  par  le  P.  Sirmond;  ce  que  con- 
tient ce  volume,  X,  142.  —  Son  édition  du 
Breviarium  du  diacre  Libérât,  avec  des  notes 
et  des  dissertations,  XI,  303.  —  Son  édition 
du  Liber  diurnus  Romanorum  Pontifîcum, 
XII,  43. 

GARNIER  (D.  Julien),  bénédictin.  Son 
édition  des  œuvres  de  haint  Basile,  arche- 
vêque de  Césarée,  IV,  S46. 

GARSIAS,  moine  de  Saint-Michel  de  Cu- 
san  [ou  Cosone],  auteur  d'une  histoire  de 
son  monastère,  [XIII,  348.]  (Voyez  ce  qui  en 
est  dit  dans  VHistoira  littéraire  de  la  France, 

VII,  345.) 

GARSIAS,  roi  d'Espagne,  XIII,  157. 

GARUS,  évêque  donatiste,  mais  non  de 
Carthage,  V,  99. 

GARZON  (Thomas),  chanoine  régulier  de 
Saint-Jean  de  Latran.  Son  édition  des  œu- 
vres de  Hugues  de  Saint- Victor,  XIV,  348. 

[GARZON,  jésuite.  11  prépare  une  édition 
de  la  Chronique  d'Idace,  X,  343.] 

GASCONS.  Leurs  courses  réprimées  par 
le  roi  Dagobert,  XI,  733. 

GASPARD,  nom  donné  à  l'un  des  trois 
mages  ou  rois,  XIV,  926. 

GAST  (Jean  du),  luthérien.  Son  édition  du 
traité  de  saint  Paschase  Radbert  du  Corps 
et  du  Sang  de  Jésus-Christ,  XII,  348  et 
349. 

GATEAUX.  Le  concile  de  Quinisexte  dé- 
fend de  donner  des  gâteaux  à  Noël,  sous 
prétexte  des  couches  de  la  sainte  Vierge, 
XII,  963. 

GATIEN  ou  GRATIEN  (Saint),  premier 
évêque  de  Tours,  X,  428,  et  XI,  372  et 
983. 

GAUCELIN,  évêque  de  Lodève,  interroge 
et  condamne  les  Albigeois,  XIV,  1136.  Il 
condamne  aussi  la  secte  d'OJivier  et  de  ses 
compagnons,  1137. 

GAUCHER,  élu  évoque  de  Cambrai  en 
concurrence  de  Manassé,  XIII,  587.  —  Dé- 
posé au  concile  de  Clermont,  se  maintient 
par  la  protection  de  l'empereur  Henri  IV  ; 


dans  un  autre  concile  Odon,  abbé  de  Saint-       nos. 
Martin,  est  élu  pour  le  remplacer,  XIV,  72. 
Sa  déposition,  1080. 

GAUCHER,  évêque  de  Durham.  Sa  mort;        loso. 
Guillaume  lui  succède,  XIII,  488. 

GAUDENCE,  évêque  de  Pise.  Concile  de 
Rome  auquel  il  assiste,  II,  625. 

GAUDENCE,  évêque  de  Naisse  eu  Mésic, 
assiste  au  concile  de  Sardique,  III,  478. 

GAUDENCE,  à  qui  saint  Jérôme  écrit  sur 
l'éducation  de  Pacatule,  sa  fille,  VII,  643. 

GAUDENCE  (Saint),  évêque  deBresce[ou  iv 
Brescia,]  Vni,  34  et  suiv.  Ce  qu'on  sait  de  sa  "^'^^'^cics. 
naissance  et  de  sa  famille,  34,  33.  Son 
voyage  en  Orient  ;  il  est  fait  évêque  de 
Bresce  ;  il  travaille  pour  saint  Chrysostôme  ; 
mort  de  saint  Gaudence;  son  éloge,  33.  Dis- 
cours de  ce  saint  évêque,  33  et  suiv.  Dix 
discours  faits  pour  les  néophytes,  36  et  suiv. 
Analyse  du  premier,  36.  Analyse  du  second, 
36  et  37  ;  du  troisième,  du  quatrième,  du 
cinquième,  37  ;  du  sixième,  37  et  38  ;  du 
septième,  du  huitième,  38  ;  du  neuvième,  38 
et  39;  du  dixième,  39.  Onzième  discours  sur 
le  paralytique  ;  douzième  discours  sur  cette 
parole  :  Le  monde  va  être  jugé,  39.  Trei- 
zième discours  sur  la  naissance  de  Jésus- 
Christ,  39  et  40.  Quatorzième  discours  sur 
le  Saint-Esprit  ;  quinzième  discours  sur  les 
Machabées  ;  seizième  discours  de  saint  Gau- 
dence au  jour  de  son  ordination,  40.  Dix- 
septième  discours  sur  les  quarante  martyrs 
et  le  culte  des  reliques,  41.  Dix-huitième 
discours ,  ou  lettre  à  Germinius  sur  la  para- 
bole de  l'économe  infidèle,  41  et  42.  Dix- 
neuvième  discours  ou  lettre  à  Paul,  diacre, 
sur  les  deux  natures  en  Jésus-Christ,  42. 
Vingtième  discours  en  l'henneur  de  saint 
Philastre,  42  et  43.  [Discours  sur  saint 
Pierre  et  saint  Paul,  43.]  Jugement  du  style 
de  saint  Gaudence  ;  éditions  de  ces  discours, 
43.  [Éditions  nouvelles,  43.]  —  Saint  Gau- 
dence fut  disciple  de  saint  Philastre,  V,  172. 
Témoignage  qu'il  rend  à  saint  Ambroise, 
393.  —  Il  est  député  vers  l'empereur  Ar- 
cade par  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  11. 
Lettre  que  lui  écrivit  saint  Jean  Chrysos- 
tôme, 135.  Rufin  lui  adresse  sa  traduction 
des  Récognitions,  463. 

GAUDENCE,  évêque  de  Thamugade,  do-      v.  m. 
natiste.  Deux  livres  de  saint  Augustin  contre 
Gaudence,  IX,  413  et  suiv.  —  Lettre  que 
saint  Augustin  lui  écrit,  360. 

GA.UDENCE,  vicaire  du  préfet  des  Gaules, 
X,  402. 


4S2 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


GAUDENGE,  évêque  cl'Aufinium  (et  non 
Ausinium),  dans  l'Abnizze.  Sa  mauvaise 
conduite  à  laquelle  le  pape  saint  Simplice 
met  ordre,  X,  385. 

Yisiède.  GAUDENGE,  abbé,  ù  qui  Denys  le  Petit 
adresse  sa  traduction  latine  de  l'Histoire  de 
la  translation  du  chef  de  saint  Jean-Baptiste, 
XI,  123. 

XII  siècle.  GAUDRI,  élu  évêque  de  Laon.  Sa  fin  dé- 
plorable, XIV,  182  et  199. 

GAUGÉRIC  ou  GÉRY  [et  non  GAUCHER] 
(Saint),  évêque  de  Cambrai.  Sa  Vie  écrite 
par  Baudri,  chantre  de  Thérouanne,  XIII, 
183. 

GAULES.  Concile  qui  y  fut  tenu  sur  la 
Pâque,  I,  S33,  et  II,  342.  —  Lettre  de  saint 
Basile  le  Grand  aux  évêques  d'Italie  et  des 
Gaules,  IV,445.  Autre  aux  mêmes,  479,  480. 

—  Les  Églises  des  Gaules  condamnent  la  se- 
conde formule  de  Sirmium,  IV,  350,  et  V, 
373.  —  Divers  conciles  dans  les  Gaules  con- 
tre les  Ariens,  IV,  382.  Concile  général  des 
Gaules  tenu  à  Valence,  600  et  suiv.  —  Sul- 
pice  Sévère  prétend  qu'il  n'y  a  point  eu  de 
martyrs  dans  les  Gaules  avant  la  persécution 
de  Marc-Aurèle,  VI,  82  et  VIII,  123.  [Voyez 
la  note  3,  où  l'on  contredit  cette  assertion, 
et  II,  475,  n.  3.]  —  Lettre  du  pape  saint 
Sirice   aux  évêques   des  Gaules,  VI,    108. 

—  Lettre  du  pape  saint  Zosime  aux  évê- 
ques des  Gaules,  VII,  528,  329.  Lettre 
du  même  pape  à  tous  les  évêques  des 
Gaules,  d'Espagne  et  de  l'Afrique,  534,  535. 
Lettre  du  même  aux  évêques  de  la  province 
Viennoise  et  de  la  seconde  Narbonnaise, 
533.  Affaire  renvoyée  par  le  pape  Zosime 
aux  évêques  des  Gaules,  339.  Lettre  de  saint 
Jérôme  à  deux  dames  gauloises,  637.  — 
Lettre  du  pape  saint  Célestin  aux  évêques 
des  Gaules,  VIII,  139,  140.  Les  évêques  des 
Gaules  condamnent  les  erreurs  de  Léporius, 
et  le  chassent  de  l'Église,  233,  234.  —  Let- 
tres de  saint  Léon  aux  évêques  des  Gaules, 
X,  203,  204,  223,  223,  232.  Réponses  de 
saint  Prosper  aux  objections  des  Gaulois  sur 
la  grâce,  277  et  suiv.  Sentences  de  saint 
Prosper  opposées  à  ces  objections,  311.  Let- 
tre des  évêques  des  Gaules  au  sujet  du  con- 
cile de  Rome  en  faveur  de  Symmaque,  322, 
323.  Lettre  du  pape  Symmaque  aux  évêques 
des  Gaules,  323.  Concile  tenu  dans  les 
Gaules  au  sujet  des  Pélagiens  qui  trou- 
blaient la  Grande-Bretagne,  667.  —  Com- 
mencement de  l'Église  gallicane  selon  saint 
Grégoire  de  Tours,  XI,  393.  (Voyez  le  Sup- 


plément à  la  fin  du  onzième  vol.)  Lettre  du 
pape  saint  Zacharie  aux  Francs  et  aux  Gaulois, 
XII,  30.  —  Lettre  de  Nicolas  II  aux  évêques 
et  aux  fidèles  des  Gaules,  XIII,  244.  Lettre 
d'Alexandre  II  aux  principaux  évêques  des 
Gaules,  291.  Conciles  des  Gaules  dont  le  lieu 
est  inconnu,  763. 

GAULLYER  (Denys),  professeur  en  l'Uni- 
versité de  Paris.  Son  édition  des  poèmes 
choisis  de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V, 
361. 

GAULMIN  (Gilbert).  Son  édition  du  traité 
de  Michel  Psellus  des  Opérations  des  dé- 
mons, XIII,  337.  Sa  traduction  latine  des 
neuf  livres  de  Théodore  Prodome  sur  les 
amours  de  Rhodantes  et  de  Dasiclès,  XIV, 
149. 

GAULTIER  le  chancelier.  Voyez  Gau- 
thier. 

[GAUME  (L'abbé).  Son  choix  de  Pères  la- 
tins, II,  384.  —  Son  choix  des  écrits  de  saint 
Chrysostôme,  VII,  435.] 

[GAUME  (frères).  Leur  édition  des  œuvres 
de  saint  Basile,  IV,  347  ;  —  de  saint  Jean 
Chrysostôme,  VII,  434  ;  de  saint  Bernard, 
XIV,  499.] 

GAUNILON,  moine  de  Marmoutier,  pré- 
tend réfuter  ce  qu'avait  dit  saint  Anselme, 
qu'on  ne  peut  avoir  l'idée  d'un  être  parfait 
sans  concevoir  qu'il  existe  nécessairement  ; 
réponse  de  saint  Anselme,  XIV,  10.  (Voyez 
ce  qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  VIII,  56,  et  son  article  dans 
let.  Vm,  p.  133  et  suiv.) 

GAUSBERT  ou  GAUZBERT,  moine  de 
Fleury.  Son  poème  en  vers  élégiaques  en 
l'honneur  de  saint  Benoît;  son  éloge  de 
Guillaume,  comte  de  Blois,  en  vers  acrosti- 
ches, XII,  324.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui 
dans  V Histoire  littéraire  de  la  France ,  tome 
V,  p.  276  et  suiv.) 

GAUSBERT  ou  GAUZBERT,  chorévêque 
de  Limoges,  auteur  des  prétendus  Actes  de 
saint  Front.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VI,  p.  440 
et  suiv.) 

GAUSBERT  ou  GAUZBERT,  abbé  de  Saint- 
JuHen  près  de  Tours,  est  chargé  par  Abbon 
de  Fleury  de  s'informer  des  troubles  arrivés 
à  Marmoutiers,  XIII,  29.  (11  y  a  eu  deux 
Gausbert,  abbés  de  Saint-Julien.  On  a  attri- 
bué à  l'un  des  deux  les  Actes  de  saint  Savin 
et  de  saint  Cyprien,  honorés  dans  le  Poitou. 
Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VII,  p.  188  et  suiv.) 


IX 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


433 


GAUSBERT  ou  GAUZBERT,  abbé  de  TuUe, 
succède  à  Frodin  ;  on  attaque  son  élection 
comme  irrégulière;  lettre  qu'il  adresse  à 
l'abbé  Adémar  pour  la  soutenir,  XIII,  466. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  VIII,  p.  343  et  suiv.) 

GAUSLIN  ou  GAUZLIN,  archevêque  de 
Bourges,  était  fils  naturel  du  roi  Hugues- 
Capet;  il  est  fait  abbé  de  Fleury  par  le  roi 
Robert;  difficultés  que  font  les  moines  sur  sa 
naissance  ;  il  est  nommé  archevêque  de 
Bourges  ;  le  pape  Benoît  VIII  confirme  son 
élection;  il  rétablit  l'abbaye  de  Fleury  qui 
avait  été  brûlée  ;  sa  mort,  XIII,  89.  Difficul- 
tés sur  l'énoncé  de  son  épitaphe.  Ce  qui  reste 
de  ses  écrits,  90.  Sa  lettre  au  roi  Robert  sur 
la  pluie  de  sang  tombée  en  Aquitaine,  84  et 
83.  Sa  lettre  à  Oliba,  évêque  de  Vich.  Son 
discours  en  faveur  de  l'apostolat  de  saint 
Martial.  Histoire  manuscrite  de  sa  vie,  90. 
[Deux  notices  sur  cet  archevêque  dans  la 
Patrologie,  89,  n.  7.]  Lettre  que  lui  écrit  le 
roi  Robert  sur  la  pluie  de  sang,  109.  Réponse 
que  lui  fait  Oliba,  évêque  de  Vich,  122.  Il 
excommunie  Jourdain,  évêque  de  Limoges, 
qui  avait  reçu  d'un  autre  l'ordination  épis- 
copaie,  179.  (Voyez  son  article  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  Finance,  t.  VII,  p.  279  et 
suiv.) 

GAUSLIN,  abbé  de  Glanfeuil.  Voyez 
Gauzlin. 

GAUSLIN,  abbé  de  Fleury.  Voyez  Gauzlin. 

GAUSSARD.  Sa  traduction  française  de 
l'Apologie  d'Athénagore,  I,  487. 

GAUTHIER  ou  GAUTIER,  évêque  d'Or- 
léans. Ses  Capitules,  IX,  771. 

GAUTHIER-SAVEYR,  évêque  de  Meaus. 
Son  épitaphe,  par  Fulcoie,  XIII,  341.  [Notice 
sur  cet  évêque,  341,  note  1.] 

GAUTHIER,  auteur  de  la  Vie  de  saint 
Anastase,  ermite,  XIV,  32.  (Voyez  ce  qui  est 
dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VIII,  p.  428.) 

GAUTHIER,  abbé  de  Bonneval,  quitte  sou 
abbaye  et  se  retire  à  Marmoutier;  lettre 
d'Yves  de  Chartres  à  ce  sujet,  XIV,  99. 

GAUTHIER  (Saint),  prévôt  et  ensuite  abbé 
de  l'Esterpe.  Lettre  que  lui  écrit  Yves  de 
Chartres,  XIV,  107.  Sa  Vie  écrite  par  Mar- 
bode,  229. 

GAUTHIER  (le  chanceher).  Son  Histoire 
des  guerres  d'Autioche,  XIII,  334.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  XI,  p.  33  et  suiv.) 

GAUTHIER,  évêque  de  Maguelone,  auteur 


de  quelques  écrits.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  XI,  p.  48 
et  suiv.) 

GAUTHIER,  archevêque  de  Térouane,  au- 
teur d'une  Histoire  de  Charles  le  Bon,  comte 
de  Flandre.  (Voyez  dans  VHistoire  littéraire 
de  la  France,  t.  XI,  p.  139  et  suiv.) 

GAUTHIER,  moine  de  Melun,  écrit  les  mi- 
racles de  saint  Liesne.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoii'e  littéraire  de  la  France,  t.  XI, 
p.  630  et  suiv.) 

GAUTHIER  de  Compiègne,  prieur  de  Saint- 
Martin-en-Vallée,  auteur  de  quelques  écrits. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  XII,  p.  491  et  suiv.) 

[GAUTHIER,  ordonné  évêque  de  Tournay 
par  Henri,  archevêque  de  Reims  ;  reproches 
que  fait  le  pape  Alexandre  III  à  Henri  au 
sujet  de  cette  ordination,  XIV,  731.] 

GAUTHIER,  archevêque  deRavenne.  Let- 
tre que  lui  écrit  le  pape  Gélase  II  pour  lui 
rendre  la  juridiction  sur  les  villes  de  l'Emi- 
lie, XIV,  1090. 

GAUTHIER,  évêque  de  Laon.  Sa  mort  ; 
Gauthier  de  Mauritanie  ou  de  Mortagne  lui 
succède,  XIV,  639. 

GAUTHIER  de  Mauritanie  ou  de  Morta- 
gne,  évêque  de  Laon,  enseigne  à  Paris  la 
rhétorique,  puis  la  philosophie,  ensuite  la 
théologie;  il  tient  les  écoles  de  Laon,  où  il 
est  fait  chanoine  et  ensuite  doyen  de  la  ca- 
thédrale; il  est  fait  évêque  de  Laon;  diffé- 
rentes affaires  auxquelles  il  eut  part  ;  sa 
mort,  XIV,  639.  Lettres  qui  restent  de  lui, 
639  et  suiv.  Donation  de  Gauthier,  661.  Sa 
lettre  à  Hugues  de  Saint-Victor,  394. 

[GAUTHIER,  chanoine  de  SainttVictor. 
Son  traité  contre  les  quatre  labyrinthes  delà 
France,  XIV,  341  et  342.] 

[GAUTHIER  de  Chàtillon.  Son  écrit  contre 
les  Juifs,  XIV,  834  et  suiv.] 

[GAUTHIER,  moine  de  Cluny.  Son  opus- 
cule sur  les  miracles  de  la  sainte  Vierge, 
XIV,  346,  347.] 

[GAUTHIER  (frères).  Leur  édition  de  plu- 
sieurs Pères  et  en  particuher  d'Arnobe,  II, 
493  ;  —  des  Œuvres  de  saint  Bernard,  XIV, 
499.] 

[GAUTHIER  (Léon),  archiviste.  Son  édi- 
tion des  Œuvres  poétiques  d'Adam  de  Saint- 
Victor,  précédées  d'un  Essai  sur  sa  vie  et  ses 
ouvrages,  XIV,  714  et  suiv.] 

GAUZLIN,  archevêque  de  Bourges.  Voyez 
Gauslin. 

GAUZLIN,    abbé    de    Glanfeuil,   auteur 


1118. 


H55. 


1155. 

1174. 


XH  siècle. 


1200. 


1141. 


454 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


d'une  Hisloire  de  l'invention  des  reliques  de 
saint  Maur,  XII,  600.  (Voyez  ce  qui  en  est 
dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  V, 
p.  385.] 

GAUZLIN,  abbé  de  Fleury.  Sa  Vie  fut 
écrite  par  André,  moine  de  Fleury.  (Voyez 
dans  VFIistoire  littéraire  de  la  Finance,  t.  VII, 
p.  350.) 

GAZE,  ville  de  Palesline.  Saint  Porphyre 
y  détruit  un  temple  d'idoles,  VII,  623,  624. 
—  Persécution  que  les  fidèles  y  souffrent 
sous  .Julien  l'Apostat,  X,  46.  Cette  ville  pro- 
duit Ènée,  surnommé  de  Gaze,  490. 

GAZÉE  ou  GAZET(Alarl),  bénédictin.  Son 
édition  des  Œuvres  de  Cassien,  VIII,  204. 

GÉANTS.  Fausse  opinion  des  anciens  sur 
leur  origine,  I,  520.  ■ —  Elle  est  lejetée  par 
saint  Philastre,  V,  176.  Saint  Ambroise  a 
suivi  néanmoins  le  même  sentiment,  400.  — 
Les  géants  sont  le  sujet  d'un  opuscule  fausse- 
ment attribué  à  saint  Jean  Ghrysostôme, 
VII,  335. 
XI  siècle.  GÉBEHARD,  chanoine  de  Ratisbonne.  Ses 
lettres  à  Saint-Martin,  garde  du  trésor  de 
Saint-Ambroise,  pour  lui  demander  les  li- 
vres de  la  Liturgie  ambrosienne,  XIII. 
XI  siècle.  GÉBEHARD  (et  non  GÉRARD),  prêtre  de 
l'Église  d'Augsbourg,  écrit  la  Vie  de  saint 
Udalric,  évêque  d'Augsbourg,  XIII,  53.  Idée 
de  cette  Vie,  55  et  56. 

1055.  GÉBEHARD,  évêque  d'Eichstedt,  est  élu 

pape  et  prend  le  nom  de  Victor  II,  XIII,  239. 
Voyez  Victor  II. 

1060.  GÉBEHARD,  d'abord  archichapelain  du 

roi  Henri  III,  puis  de  Henri  IV,  devient  ar- 

1072.       chevêque  de  Saltzbourg;  il  fonde  l'évêché 

1074.  de  Gurck;  il  fonde  un  monastère  en  l'hon- 
neur de  la  sainte  Vierge  et  de  saint  Biaise, 
connu  aujourdhui  sous  le  nom  d'Admont, 
en  Bavière,  XIII,  399.  Son  attachement  au 
pape  saint  Grégoire  VII  ;  lettre  qu'il  écrit  à 

1081.  Herman,  évêque  de  Metz,  397,  398.  Son  dis- 
cours dans  l'assemblée  de  Capoue,  398.  Il  se 

1085.  trouve  à  l'assemblée  de  Berchach  (et  non 
Derchach);  discours  qu'il  y  prononce,  398  et 
399.  Il  assiste  au  concile  de  Quedlimbourg. 

1088.  Sa  mort,  399. 

1089.  GÉBEHARD,  évêque  de  Constance.  Le* 
pape  Urbain  II  le  fait  légat  en  Allemagne  ; 
instruction  qu'il  lui  donne  touchant  les  ex- 

1094.  communies,  XIII,  421.  Il  tient  un  concile  à 
Constance,  428. 

GÉBEHARD,  archevêque  de  Ravenne. 
Lettre  que  lui  écrit  saint  Pierre  Damien , 
XHI,  301. 


GÉBOUIN,  évêque  de  Châlons-sur-Marne, 
confond  un  faux  apôtre,  XIII,  144,  143. 

GÉBOUIN  (Saint),  archevêque  de  Lyon,  lOTi 
est  mis  à  la  place  d'Humbert,  déposé  au  con- 
cile d'Autun  pour  tause  de  simonie,  XII], 
339.  Discours  de  Rainard,  évêque  de  Lan- 
gres,  à  ce  sujet,  342.  Gébouin  va  à  Rome  ;  loss 
saint  Grégoire  VII  lui  confirme  la  primatie 
sur  les  quatre  provinces  de  Lyon,  de  Rouen, 
de  Tours  et  de  Sens,  339,  367, 368.  Sa  mort, 
339.  Ses  lettres,  339  et  340.  Erreur  où  Fa- 
bricius  est  tombé  en  faisant  évêque  de  Lan- 
gres  Gébouin,  archidiacre  de  cette  Église,  et 
depuis  archevêque  de  Lyon,  481.  Mort  de 
saint  Gébouin  ;  Hugues  lui  succède,  589.  — 
Saint  Gébouin  avait  été  élu  archevêque  de 
Lyon  pour  remplacer  Humbert,  qui  s'était 
retiré,  XIV,  1068.  (Voyez  son  article  dans 
l'IIistoi?'e  littéraire  de  la  France,  t.  VIII,  p. 
104  et  suiv.) 

GÉDÉON,  juge  d'Israël,  I,  51. 

GÉDOYN  (Nicolas),  chanoine  de  la  Sainte- 
Chapelle  de  Paris.  Son  projet  de  traduire  en 
frauçais  la  Bibliothèque  de  Pholius,  XII, 
723. 

GEILON  ou  ÉGILON,  abbé  de  Noirmou- 
tier,  depuis  évêque  de  Langres,  XII,  383. 

GÉLASE,  évêque  de  Césarée  en  Palestine,  36 
neveu  de  sainlCyrille  de  Jérusalem;  il  est  fait 
évêque  de  Césarée,  V,  28  et  84.  Ses  écrits, 
84  et  83.  Jugement  de  ses  écrits,  83.  —  Gé- 
lase  assiste  au  concile  deConstantinople,  IV, 
618.  —  Saint  Cyrille  de  Jérusalem  l'avait 
mis  sur  le  siège  de  Césarée,  V,  28.  —  Théo- 
doret  allègue  le  témoignage  de  Gélase,  X, 
81.  Il  n'est  point  auteur  des  Deux  natures  en 
Jésus-Christ,  308;  ni  de  l'Histoire  du  concile 
de  Césarée,  qui  est  de  Gélase  de  Cyzique, 
333. 

GÉLASE,  à  qui  saint  Sidoine  Apollinaire 
adresse  quelques  vers,  X,  393. 

GÉLASE  I  (Saint)  pape,  succède  au  pape        48 
Félix,  III,  493.  Sa  lettre  à  l'empereur  Anas- 
tase  ;  lettre    qu'il   reçoit  d'Euphémius;  ré- 
ponse qu'il  lui  fait,  493  et  486,  487.  Sa  lettre 
à  Laurent,  évêque  de  Lignide  en  lUyrie,  en 
lui  envoyant  le  formulaire  de  sa  foi.  Sa  lettre        49 
aux  évêques  de  Dardanie,  494.  Seconde  let-        49 
tre  aux  mêmes  au  sujet  d'Acace  de  Cons- 
tantinople,  494  et  493.  Troisième  lettre  aux       40 
mêmes  sur  le  même  sujet,  493  et  suiv.  Ins- 
truction à  Fauste  et  à  Irénée,  ambassadeurs 
du  roi  Théodoric,  497,  498.  Lettre  àHono-        4S 
rius,  évêque  en  Dalmatie,  au  sujet  de  l'hé- 
résie de  Pelage  qui  se  répandait  de  nouveau 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


455 


dans  le  pays,  499.  Lettres  aux  évêques  de  la 
Marche  d'Ancône  pour  le  même  sujet,  499 
et  suiv.  Lettre  à  l'empereur  Anastase,  SOI, 
502.  Lettre  aux  évêques  de  Lucanie  et  des 
Brutiens,  502  et  suiv.;  aux  évêques  de  Sicile; 
à  ^onius  ou  Eonius,  évêque  d'Arles,  504. 
Fragments  de  diverses  lettres  du  pape  Gé- 
lase  insérés  par  le  cardinal  Deus-Dedit  dans 
sa  Collection  des  canons,  504  et  505.  Lettre 
à  Rustique,  évêque  de  Lyon,  505.  Traité  de 
l'anathème,  505  et  506.  Traité  contre  Andro- 
maque,  sénateur,  qui  voulait  rétablir  à 
Rome  les  Lupercales,  506,  507.  Traité  contre 
les  Pélagiens,  507,  508.  Traité  des  deux  na- 
tures en  Jésus-Christ  :  raisons  qui  l'assurent 
au  pape  Gélase,  308  et  509.  Analyse  de  ce 
traité,  509  et  suiv.  Explication  d'un  passage 
sur  l'Eucharistie,  510.  Écrits  de  Gélase  qui 
sont  perdus.  Jugement  sur  sa  manière  d'é- 
crire. Temps  de  sa  mort,  511.  [Écrits  de  saint 
Gélase  dans  la  Patrologie,  493,  note  3,]  Sa- 
cramentaire  de  l'Église  romaine  attribué  au 
pape  Gélase,  511  et  suiv.  Analyse  du  premier 
livre,  512  et  suiv.;  du  second,  517;  du  troi- 
sième, 517.  [Éditions  du  Sacramentaire  de 
saint  Gélase,  511,  note  3.]  Concile  de  Rome 
sous  le  pape  Gélase;  décret  qu'il  y  publia  ; 
ce  que  contient  ce  décret;  livres  canoniques 
de  l'Ancien  et  du  Nouveau  Testament,  723. 
Prééminence  de  l'Éghse  romaine.  Conciles 
reçus  dans  l'Église  romaine.  Ouvrages  des 
Pères  dont  elle  admet  l'autorité,  724.  Livres 
qu'elle  rejette  et  qu'elle  regarde  comme 
apocryphes,  725.  Le  décret  attribué  au  pape 
saint  Hormisdas  appartient  au  pape  saint 
Gélase,  633.  Autre  concile  de  Rome  sous  le 
pape  saint  Gélase,  725.  —  Gélase  a-t-il  mis 
au  rang  des  livres  apocryphes  les  Canons 
des  apôtres?  II,  577.  —  Il  y  a  mis  les  écrits 
de  Fauste  de  Riez,  X,  433.  Lettre  qu'Euphé- 
mius  lui  écrit,  486.  Réponse  du  pape,  486 
et  487.  —  Son  éloge  par  Denis  le  Petit,  XJ, 
123.  —  Édition  de  son  décret  donnée  par 
Muratori.  Deux  de  ses  lettres  :  l'une  à  Suc- 
conius,  l'autre  à  Natalis,  XII,  718.  —  Le  pape 
saint  Gélase  a  composé  des  oraisons  et  des 
préfaces,  XIII,  1.  [Il  avait  composé  d'innom- 
brables traités.  Le  cardinal  Maï  a  publié  en 
grec  une  lettre  de  ce  pape,  567.] 

GÉLASE  II,  pape,  auparavantnommé  Jean 
de  Gaëte,  et  chancelier  de  l'Églie  romaine, 
(18.  succède  à  Pascal  IL  Une  faction  favorisée 
par  l'empereur  Henri  V  l'oblige  de  se  retirer 
à  Gaëte  où  il  est  sacré.  L'empereur  fait  élire 
antipape  Maurice  Bourdin ,  archevêque  de 


Bragues,  qui  prend  le  nom  de  Grégoire  VIII. 
Lettres  de  Gélase  sur  ce  sujet  aux  arche- 
vêques, évêques  et  autres  fidèles  des  Gaules, 
à  l'archevêque  de  Tolède,  et  au  clergé  et  au 
peuple  de  Rome.  Il  tient  àCapoue  un  concile 
où  il  excommunie  l'antipape,  1089.  Il  re- 
vient à  Rome,  d'où  la  faction  Frangipane 
l'oblige  encore  de  sortir.  Sa  lettre  à  Gau- 
thier, archevêque  de  Ravenne.  Il  passe  en 
France  et  vient  demeurer  à  l'abbaye  de 
Cluny,  1090.  Il  favorise  la  croisade  contre 
les  Maures  d'Espagne.  Étant  à  Avignon,  il 
confirme  les  biens  et  les  privilèges  de  l'ab- 
baye de  Cluny.  Il  revient  à  Cluny  et  y  meurt,  mo- 
1091.  Son  épitaphe  par  Pierre  de  Poitiers, 
grand  prieur  de  Cluny,  570. 

GÉLASE  DE  CYZIQUE.  Quel  était  son 
père.  Son  voyage  en  Bithynie,  X,  532.  Sa 
conférence  avec  les  Eutychiens,  qui  lui  don- 
nent occasion  de  composer  l'Histoire  du 
concile  de  Nicée,  532  et  333.  Jugement  qu'on 
doit  porter  de  cette  histoire  :  elle  est  très- 
incertaine.  Idée  de  celte  histoire  ;  éditions 
qu'on  en  a  faites,  533.  [Autres  éditions,  533.] 
Gélase  de  Cyzique  n'est  point  auteur  du 
traité  des  Deux  natures  en  Jésus -Christ, 
508. 

GÉLASE,  moine  fugitif.  Lettre  que  lui 
écrit  saint  Théodore  Studite,  XII,  309. 

GÉLASTIN  (Saint),  martyr  à  Hiéraple, 
n,  468. 

GÉLÉNIUS  (Sigismond),  Sa  traduction 
latine  des  œuvres  de  Philon,  I,  313.  Sa  tra- 
duction latine  des  sommaires  des  chapiti'es 
de  l'Histoire  de  Josèphe,  328.  —  Son  édition 
des  œuvres  de  TertuUien,  II,  84.  Sa  version 
latine  du  traité  d'Origène  contre  Celse,  253. 
Son  édition  des  ouvrages  d'Arnobe,  493;  — 
des  œuvres  de  saint  Ambroise,  V,  583  ;  — 
des  œuvres  de  saint  Jean  Chrysostôme,  VII^ 
433. 

GÉLIMER,  dernier  roi  des  Vandales,  X, 
466. 

GELLONE,   monastère  près   de  Lodève,        304. 
nommé    depuis  Saint-Guillelme-du-Désert. 
Sa  fondation,  XIII,  234. 

GEMBLOU  ou  GEMBLOURS  ,  abbaye 
près  de  Namur.  Chronique  de  cette  ab- 
baye ,  ouvrage  commencé  par  Sigebert 
et  continué  par  un  de  ses  disciples,  XIV, 
60,  61. 

GÉMINÉ  ou  GÉMINIEN,  prêtre  d'Antioche.     m  siècle. 
Ses  écrits,  II,  90. 

GÉMINIEN,  évêque  de  Modène,  assiste  au 
concile  de  Milan,  IV,  653  et  V,  532. 


4S6 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


256. 


GÉMINIEN,  évêque  d'Italie,  légat  de  saint 
Léon  dans  1  Orient,  X,  236. 

GÉMINIUS,  évêque  de  Furnes.  Concile  de 
Carthage  où  il  assiste,  II,  351. 

GÉMINIUS  (Faustin),  prêtre  de   Furnes, 
nommé  tuteur,  II,  292  et  356. 

GÉMINIUS   (Victor),    privé    des    prières 
après  sa  mort,  II,  292  et  536. 

GENDARE,  bourg  dans  le  territoire  d'An- 
tioche,  VIII,  238. 

GÉNÉALOGIE  DE  JÉSUS-CHRIST.  Lettre 
de  Jules  Atricain  au  sujet  des  deux  généa- 
logies de  Jésus-Christ,  II,  92,  93.  —  Senti- 
ment de  saint  Hilaire  sur  ces  deux  généa- 
logies, IV,  25  [30,  31].  —  Poëme  de  saint 
Grégoire  de  Nazianze  sur  ce  sujet,  V,  275. 
Sentiment  de  saint  Ambroise  sur  la  généa- 
logie de  Jésus-Christ  selon  saint  Matthieu, 
529.  —  Sentiment  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme  sur  cette  généalogie,  VII,  213,  214. 
Homélie  de  Walafride  Strabon  sur  cette  gé- 
néalogie, 415. 

[GÉNÉALOGIE  des  rois  de  Danemark, 
attribuée  à  saint  Guillaume,  abbé  du  Para- 
clet,  XIV,  844.] 

[GÉNÉALOGIE  des  comtes  de  Flandres 
dans  la  Patrologie,  XIV,  839.] 

GÉNÉBRARD  (Gilbert),  professeur  royal 
en  hébreu,  et  depuis  archevêque  d'Aix.  Son 
édition  des  œuvres  d'Origène.  Sa  traduction 
latine  des  livres  contre  Celse,  II,  253.  — 
Son  édition  latine  des  œuvres  de  saint  Gré- 
goire de  Nazianze,  V,  361.  —  Sa  traduction 
latine  du  Dialogue  de  Zacharie  de  Mitylène 
sur  la  création  du  monde,  XI,  270.  —  Sa 
traduction  latine  de  plusieurs  des  opuscules 
de  Théodore  Aboucara,  XII,  625. 

GÉNÉRATION  DU  VERBE.  Doctrine  de 
saint  Justin,!,  438;  de  saint  Théophile,  479; 
de  Tatien,  490;  de  saint  Hippolyte,  626;  — 
de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  203  et 
285  ;  de  saint  Ambroise,  533  ;  —  [de  saint 
Éphrem,  VI,  463]  ;  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme,  VII,  198;  —  de  saint  Cyrille  d'Alexan- 
drie, Vni,  327,  328.  Voyez  Verbe. 

GÉNÉRATION  DE  JÉSUS-CHRIST.  Doc- 
trine de  saint  Augustin,  IX,  237.  Voyez  Jé- 
sus-Christ. 

GÉNÉRATION  DE  L'HOMME  et  des  ani- 
maux. Commentaire  de  Jean  Philoponus  sur 
les  livi'es  d'Aristote  de  la  génération  de 
l'homme  et  de  la  génération  des  animaux, 
XI,  651. 

GÉNÉRATION  DES  HOMMES.  Saint  Ba- 
sile en  compte  soixante  et  dix-sept  dans  saint 


Luc,  IV,  498.  —  [Pourquoi  quatorze  généra- 
tions de  rois  depuis  David  jusqu'à  Jécho- 
nias,  VI,  449.] 

GÉNÉROSUS  de  Constantine.  Lettre  que 
lui  écrivit  saint  Augustin,  IX,  83. 

GÉNÉROSUS,  gouverneur  de  la  Numidie. 
Lettre  que  lui  écrivit  saint  Augustin,  IX, 
110. 

GÈNES,  ville  d'Italie.  Réponse  de  saint 
Prosper  d'Aquitaine  à  quelques  propositions 
des  prêtres  de  Gênes,  X,  300  et  suiv.  — 
Concile  tenu  en  cette  ville,  XIII,  617. 

GENES  (Saint),  comédien,  martyr  à  Rome, 
n,  467,  468. 

GENES  (Saint),  greffier  à  Arles.  Son  mar- 
tyre, m,  87.  —  Histoire  de  son  martyre  rap- 
portée par  saint  Paulin,  évêque  de  Noie, 
VIII,  82.  Homélie  sur  le  martyre  de  saint 
Genès,  qui  est  la  cinquantième  parmi  celles 
d'Eusèbe  d'Emèse,  est  vraisemblablement 
de  saint  Hilaire  d'Arles,  439.  L'histoire  du 
martyre  de  ce  saint,  attribuée  au  même 
saint  Hilaire,  porte  le  nom  de  saint  Paulin, 
441.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  I,  part.  I,  p.  423  et 
suiv.) 

GENÈS  (Saint),  martyr  de  Jérusalem. 
Histoire  de  la  translation  de  ses  reliques,  at- 
tribuée à  Talton,  moine  de  Richenou,  XII, 
603. 

GENÈSE,  premier  livre  du  Pentateuque. 
Ce  livre  est  certainement  de  Moïse  ;  cela  est 
prouvé  par  l'Ancien  et  le  Nouveau  Testa- 
ment, I,  21.  Ce  que  c'est  que  la  Genèse,  34, 
33.  [Quatre  livres  de  questions  et  de  réponses 
sur  la  Genèse,  par  Philonle  Juif,  313,  n.  1.] 
Commentaire  de  saint  Hippolyte  sur  la  Ge- 
nèse, 610.  —  Poëme  sous  ce  titre  attribué  à 
Tertullien,  II,  67.  Ouvrages  d'Origène  sur 
la  Genèse,  149.  —  [Paraphrase  surla  Genèse 
par  le  poète  Juvencus,  III,  118.  —  Com- 
mentaire sur  la  Genèse,  composé  par  saint 
Hilaire  de  Poitiers,  IV,  7,  n.  2.  Fragment 
de  ce  commentaire,  7.]  Traité  de  Victorin 
sur  ces  paroles  de  la  Genèse  :  Du  soir  et  du 
matin  se  fit  le  premier  jour,  328.  —  Dis- 
cours de  saint  Jean  Chrysostôme  sur  quel- 
ques textes  de  la  Genèse,  VII,  78, 79.  Soixan- 
te-sept homéUes  de  saint  Jean  Chrysostôme 
sur  la  Genèse,  142  et  suiv.  Huit  discours  de 
ce  Père  sur  la  Genèse,  165  et  suiv.  Autres 
discours  de  ce  Père  sur  quelques  endroits 
de  la  Genèse,  168.  Homélies  sur  la  Genèse 
faussement  atribuées  à  ce  Père,  203  et  suiv. 
Questions  hébraïques  sur  la  Genèse,  ouvrage 


V.* 


410. 


V.  K 


IV 

ou  Vsii 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


457 


de  saint  Jérôme,  357,   558.  —  Poëme  de 
Claudius  Marius  Viclor  [ou  Victorin]  sur  la 
Genèse,  en  trois  livres,  Ylïl,  420  et  421,  et 
X,  443,  444.  — Commentaire  sur  la  Genèse 
atiribué    à  saint  Eucher  de  Lyon,  VIH,  452, 
453.  Le  poëme  en  vers  héroïques  sur  les  six 
premiers  chapitres  de  la  Genèse,  imprimé 
parmi  les  œuvres  de  saint  Léon,  n'est  pas  de 
saint  Hilaired'Arlesàquionl'aattribué,  441. 
—  Deux  livres  sur  la  Genèse  contre  les  Ma- 
nichéens, ouvrage  de  saint  Augustin,  IX,  54 
et  suiv.  Livre  imparfait  sur  la  Genèse,  ou- 
vrage du  même,  201,  202.   Douze  livres  de 
ce  Père  sur  la  Genèse  à  la  lettre,  203  et  suiv. 
Questions  sur  la  Genèse,  ouvrage  du  même 
Père,  209.  Sermons  de  ce  Père  sur  la  Ge- 
nèse,235.  Questions  surlaTrinité  etsur  la  Ge- 
nèse, ouvrage  faussement  attribué  àsaint  Au- 
gustin, 286.  —  Questions  de  Théodoret  sur 
la  Genèse,  X,  26  et  suiv.  Ouvrage  de  Salvien 
en  vers,  où  était  expliqué  le  commencement 
de  la  Genèse,  377.  —  Scholies  de  Hésychius 
sur  la  Genèse,  XI,  657.  —  Commentaire  du 
Vénérable  Bède  sur  les  vingt  premiers  cha- 
pitres de  la  Genèse  et  le  commencement  du 
vingt-unième,   XII,  7,  8.   [Lettre  du  Véné- 
rable Bède  sur  le  commencement  de  la  Ge- 
nèse,  15.]    Commentaire    d'Alcuin    sur  la 
Genèse,  167, 168.  Explication  de  ces  paro- 
les :  Faisons   l'homme  à  noire  image,    168. 
[Deux  ouvrages  de  Procope  de  Gaze  sur  la 
Genèse,   178.  Ce  que  contient  le  second  de 
ces  ouvrages,  178   et  179.  Il  est  traduit  en 
latin  dans  la  Patrologie,  180.  Scholies  sur  la 
Genèse  par  Victor  de  Capoue,  303.]   Com- 
mentaire de  Claude  de  Turin  sur  la  Genèse, 
351.    Commentaire    d'Anselme,    moine    de 
Luxeuil,  sur  la  Genèse,  442,  443.  Commen- 
taire sur  la  Genèse  attribué  à  Werembert, 
moine  de  Saint-Gai,  694.  Commentaire  de 
Hcmi,  moine  d'Auxerre,  sur  la  Genèse,  753, 
754.  —  Opuscule  de  saint  Pierre  Damien, 
qui  contient  l'explication   de   quelques   en- 
droits de  la  Genèse,  XIII,  32.  [Commen- 
taire  sur  la   Genèse   intitulé  :   Problemata 
de  œnigmatibus  ex  tomis  canonicis,  par  Paul 
Diacre,  90,  91.   Commeataire  de  Richard, 
abbé  de  Préaux,  sur  la  Genèse,  514.]  —  Mo- 
rales de  Guibert,  abbé  de  Nogent,  sur  la  Ge- 
nèse, XIV,  195.  Explication  de  la  Genèse 
par  le  moine  Hervé,  403.  Voyez  Pentateuque. 
GENÈSE  (la  Petite),  attribuée  à  Moïse  : 
livre  apocryphe,  I,  139. 

GÉNÉTHIOLOGIE ,  combattue  par  saint 
Jean  Chrysoslôme,  VII,  429. 


GÉNETHLIUS,  évêque  de  Carthage.  Con- 
cile de  Carthage  auquel  il  assiste,  IV,  647. 
—  Sa  mort,  IX,  12. 

GÉNETHLIUS,  intendant  du  domaine  du 
prince,  assiste  au  concile  de  Chalcédoine, 
X,  683. 

GENEVIÈVE  (Sainte),  vierge.  Sermon  du 
Vénérable  Hildebert  à  l'honneur  de  sainte 
Geneviève,  XIV,  215.  Le  pape  Eugène  III 
permet  de  mettre  des  chanoines  réguliers  de 
Saint-Victor  dans  l'abbaye  de  Sainte-Gene- 
viève, 272,  273  et  456.  L'abbé  Suger  travaille 
à  cette  réforme,  374.  Abaillard  ouvre  une 
école  sur  le  mont  Sainte-Geneviève  près 
Paris,  318.  [Revelatio  reliquiarum  sancice  Ge- 
novefce,  opuscule  de  saint  Guillaume,  abbé 
de  Saint-Thomas  du  Paraclet,  844.]  Le  pape 
Adrien  IV  confirme  l'établissement  des  cha- 
noines réguliers  de  Sainte- Geneviève  à  Pa- 
ris, 910.  Règlement  du  pape  Alexandre  III 
concernant  les  prébendes  dont  la  cathédrale 
de  Paris  était  chargée  envers  l'abbaye  de 
Sainte-Geneviève,  926. 

GENGOUL  [ou  GANGOLFE]  (Saint),  mar- 
tyr à  Varenne  en  Bourgogne.  Ses  Actes  en 
vers  par  Roswithe,  religieuse  de  Ganders- 
heim,  XII,  877.  —  Relation  des  miracles 
opérés  par  son  intercession,  écrite  par  Gou- 
zon,  abbé  de  Varenne,  XIII,  233.  [Église 
fondée  en  son  honneur  par  saint  Gérard, 
évêque  de  Toul,  183.] 

[GENIN.  Sa  traduction  française  des  let- 
tres de  saint  Basile,  de  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze  et  de  saint  Jean  Chrysostôme,  IV, 
547.] 

GÉNIAL,  jovinianisle^  condamné  par  le 
pape  saint  Sirice,  IV,  632. 

GENNADE,  prêtre  et  abbé  d'un  monastère 
à  Constanlinople.  Lettre  que  lui  écrit  saint 
Cyrille  d'Alexandrie,  VIII,  206  et  404. 

GENNADE  I"  (Saint),  patriarche  de  Cons- 
tanlinople. Éloge  qu'en  ont  fait  les  anciens 
qui  ont  parlé  de  lui,  X,  343.  Il  se  déclare  ^gj^^^sg 
avec  beaucoup  de  vivacité  contre  saint  Cy- 
rille d'Alexandrie,  343  et  345.  Il  se  réunit 
ensuite  avec  lui,  343.  Il  est  élu  évêque  de  ^^g 
Constantinople,  343  et  344.  Son  zèle  pour  la 
foi  cathoMque  et  le  maintien  de  la  discipline, 
344.  II  tient  un  concile  à  Constantinople 
contre  la  simonie,  344  et  710,  711.  Vision 
qui  lui  annonce  les  maux  de  l'Église,  345.  Sa  y  ^-ji. 
mort.  Ses  écrits,  345.  [Fragments nouveaux: 
Son  épître  à  tous  les  métropolitains  et  au  pape 
de  Rome  ;  ses  Fragments  dogmatiques,  346. 
Édition  de  ses  écrits  dans  la  Patrologie,  345 


438. 


V.  460. 


458 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


et  346.]  —  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  saint 
Léon  au  sujet  de  Timothée-Élure  reçu  à 
Constantinople,  X,  238. 

GENNADE  II,  patriarche  de  Constanti- 
nople. Voyez  Georges  II  Scholarius. 
V siècle.  GENNADE,  prêtre  de  l'Église  de  Mar- 
seille. Ce  qu'on  sait  de  lui,  X,  600.  Ses  ou- 
vrages, 600  et  suiv.  Livres  des  Écrivains  ec- 
clésiastiques, 600,  601.  Traité  des  Dogmes 
ecclésiastiques,  60i.  Analyse  de  ce  traité,  601 
et  suiv.  Jugement  sur  ses  écrits,  605,  606. 
Autres  écrits  de  Gennade.  Jugement  sur  son 
style,  606.  [Éditions  de  ses  écrits,  601  et606. 
Son  commentaire  sur  l'Apocalypse,  606, 
n.  6.]  —  Avis  de  Florus  sur  le  livre  de  Gen- 
nade touchant  les  Dogmes  ecclésiastiques, 
XII,  499.  (Voyez  son  article  dans  VHistoire 
littéraire  de  la  France,  t.  II,  p.  632  et  suiv.) 
590.  GENNADE,  patrice,  exarque  de  la  province 

d'Afrique.  Deux  lettres  que  lui  écrit  le  pape 
saint  Grégoire  le  Grand,  XI,  486. 
XII  siècle.        [GÉNOIS.  Démêlé  des  Génois  eldes  Pisans, 
XIV,  234.] 

[GENOUDE  (l'abbé  de),  a  traduit  en  fran- 
çais, 9  vol.  in-8'',  les  Pères  des  premiers 
siècles;  il  est  cité  souvent  dans  les  trois 
premiers  volumes.] 

GENS  DE  BIEN.  Ils  sont  toujours  en  hon- 
neur et  en  crédit  même  en  ce  monde,  X, 
661. 

GENS  DE-  GUERRE.  Lettre  de  Ferrand, 
diacre  de  Carthage,  sur  la  manière  dont  doi- 
vent vivre  les  gens  de  guerre,  XI,  86  et  suiv. 
Précautions  employées  par  Cassiodore  pour 
les  contenir  dans  le  devoir,  219. 

GENSÉRIC,  roi  des  Vandales  en  Afrique, 
455.  vient  assiéger  Hippone,  IX,  21.  —  Il  prend 
Carthage,  X,  66  et  449,  et  XI,  1.  —  Appelé 
ensuite  par  l'impératrice  Eudoxie  pour  pren- 
dre Rome,  la  pille,  mais  à  la  prière  du  pape 
saint  Léon,  il  s'abstient  des  incendies  et  des 
meurtres,  X,  170.  Il  persécute  l'Église  ca- 
tholique, 449  et  suiv.  Fait  mourir  le  comte 
Sébastien  ;  pille  Rome,  450.  Suite  de  sa  per- 
sécution, 451,  452.  Sa  mort,  432. 

GENTILLY  près  Paris.  Concile  convoqué 
en  ce  lieu  par  le  roi  Pépin,  XIII,  616. 

GENTILS.  Livres  de  Tertullien  aux  Gen- 
tils, ouvrage  de  ce  docteur  avant  sa  chute, 
II,  20  et  suiv.  Gentils  mis  au  rang  des  caté- 
chumènes dans  le  cas  de  maladie  :  trente- 
neuvième  canon  du  concile  d'Elvire,  609. 
[Poëme  contre  les  Juifs  et  les  Gentils,  attri- 
bué à  Commodien,  149  et  suiv.]  —  Discours 
de  saint  Athanase  contre  les  Gentils,  IV,  103 


et  suiv.  ' —  Le  traité  de  la  vocation  des  Gen- 
tils n'est  pas  de  saint  Ambroise,  V,  512.  — 
Doctrine  de  saint  Éphrem  sur  l'élection  des 
Gentils,  VI,  60,  61.  —  Traité  de  saint  Jean 
Chrysostôme  contre  les  Juifs  et  les  Gentils, 
VII,  46  et  suiv.  Traité  contre  les  Juifs,  les 
Gentils  et  les  hérétiques,  faussement  attribué 
à  ce  Père,  56.  Livre  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme sur  saint  Babylas,  intitulé  :  Contre  Ju- 
lien et  contre  les  Gentils,  91,  92.  —  Les  li- 
vres de  la  Vocation  des  Gentils  sont  attribués 
à  saint  Hilaire  d'Arles,  VIII,  441.  Traité  con- 
tre les  Gentils,  par  saint  Isidore  de  Péluse  ; 
sujet  de  ce  traité  qui  ne  se  trouve  plus,  479. 
—  Manière  de  recevoir  les  Gentils  lorsqu'ils 
se  présentaient  à  l'égUse,  X,  12.  Notice  et 
analyse  des  livres  de  la  Vocation  des  Gentils 
dont  l'auteur  est  inconnu,  240  et  suiv.  Voyez 
Païens. 

GEOFFROI,  évêque  d'Angers,  étant  clerc 
de  cette  église,  avait  attaqué  Bérenger  qui 
était  revenu  à  ses  erreurs,  XIII,  171.  Il  suc- 
cède à  Brunon,  évêque  d'Angers,  275. 

GEOFFROI  I",  évêque  de  Chartres,  obligé 
de  se  démettre  de  l'épiscopat,  est  rem- 
placé par  Yves,  XIII,  426.  —  Il  fut  deux  fois 
déposé  et  deux  fois  rétabli  ;  obligé  enfin  de 
renoncer  à  l'épiscopat,  Yves  est  élu  à  sa 
place  ;  rétabli  par  le  concile  d'Étampes,  XIV, 
91.  Se  maintient  dans  une  partie  du  diocèse, 
100. 

GEOFFROI  II,  évêque  de  Chartres,  suc- 
cède à  Yves  ;  ses  liaisons  avec  Geofifroi,  abbé 
de  Vendôme,  XIV,  162.  Il  confirme  tous  les 
droits  et  exemptions  accordés  par  ses  prédé- 
cesseurs à  l'abbaye  de  la  Tinnité  de  Ven- 
dôme, 162  et  170.  Lettres  de  saint  Bernard 
qui  lui  sont  adressées,  430.  Témoignage  que 
saint  Bernard  rend  à  son  désintéressement, 
464,  465. 

GEOFFROI  DE  CHAMPLEMART,  évêque 
d'Auxerre.  Sa  mort,  XII,  463.  Sa  Vie,  écrite 
par  Rodon,  chanoine  de  la  cathédrale,  463 
et  464. 

GEOFFROI  DE  MALATERRE.  Ce  qu'on 
sait  de  sa  personne  ;  son  Histoire  de  la  con- 
quête de  la  Calabre,  de  la  Pouille  et  de  la 
Sicile  par  les  princes  normands,  XIII,  508. 
Différentes  éditions  qu'on  en  a  faites,  508  et 
309.  Traduction  de  cette  Histoire  en  langue 
romaine,  attribuée  à  Atlou,  moine  duMont- 
Cassin,  493  et  509.  (Voyez  son  article  dans 
VHistoire  littéraire  de  la  France,  t.  VIII,  p.  481 
et  suiv.) 

GEOFFROI,  comte  de  Ribemont,  fils  d'An- 


f 
I 


1081. 


1091. 


1116 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


439 


selme,  confirme  toutes  les  fondations  ftiites 
par  son  père,  XIII,  513. 

GEOFFROl  BABION,  scliolastique  d'An- 
gers ,  auteur  de  quelques  écrits.  (Voyez 
Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  IX,  p. 
520.) 

GEOFFROl,  abbé  de  la  Trinité  de  Ven- 
dôme. Sa  naissance  et  son  éducation;  il  em- 
brasse la  vie  monastique  au  monastère  de 
Vendôme  dont  il  est  élu  abbé  sur  la  démis- 
sion deBernon,  XIV,  139.  Il  va  à  Rome  por- 
ter au  pape  Urbain  II  des  secours  d'argent 
au  moyen  desquels  ce  pontife  rétablit  son 
autorité  à  Rome,  139  et  160.  H  reçoit  le  pape 
Urbain  à  Vendôme,  160.  Son  second  voyage 
à  Rome  ;  il  fait  confirmer  les  privilèges  de 
son  abbaye  ;  ses  liaisons  avec  les  papes  Pas- 
challl  etCalliste  II  ;  Honoriusll  lui  confirme 
et  à  ses  successeurs  la  possession  de  Sainte- 
Prisque  à  Rome  ;  il  est  un  des  arbitres  que 
prend  Louis  VI  pour  terminer  son  diflerend 
avec  Foulques,  comte  d'Anjou,  160.  Sa  mort  ; 
son  éloge,  160  et  161.  Ses  lettres  eia  cinq  li- 
vres, 161  et  suiv.  Son  traité  du  Corps  et  du 
Sang  du  Seigneur,  166.  Traité  de  l'Ordina- 
tioa  des  évoques  et  de  l'investitare  des  laï- 
ques, 166,  167.  Traité  des  Investitures  que 
les  rois  peuvent  donner  ;  traité  des  Dispen- 
ses ;  traité  desQualités  de  l'Église,  167  ;  traité 
de  l'Arche  d'alliance  et  delà  sortie  d'Egypte, 
167  et  168.  Traité  du  Baptême,  de  la  Confir- 
mation, de  l'Eucharistie  et  de  l'Onction  des 
malades  ;  traité  de  la  Réitération  des  sacre- 
ments; traité  de  la  Bénédiction  des  évoques, 
168.  Traité  de  la  Manière  de  se  comporter 
dans  le  chapitre,  168  et  169.  Traité  des  Ver- 
tus nécessaires  aux  pasteurs.  Discours  entre 
Dieu  et  le  pécheur.  Hymne  de  Geoffroi  de 
Vendôme.  Ses  sermons.  Traité  des  Investi- 
tures, 169.  Jugement  sur  les  ouvrages  de 
Geoffroi;  éditions  qu'on  en  a  faites,  169  et 
170.  — Service  important  qu'il  rend  au  pape 
Urbain  II,  en  lui  procui'ant  les  moyens  de 
rentrer  dans  Rome  ;  le  pape  lui  confirme  et 
à  ses  successeurs  le  titre  de  cardinal  du  litre 
de  Sainte-Prisque,  Xlll,  428.  —  Lettres  que 
lui  écrit  Yves  de  Chartres  sur  la  bénédiction 
des  moines,  XIV,  103  et  103.  [Autre  lettre 
que  lui  écrit  cet  évêque,  121.]  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  XI,  p.  177  et  suiv.) 

[GEOFFROl,  archevêque  de  Dol.  Le  pape 
Innocent  II  lui  écrit,  XIV,  263.] 

GEOFFROI  LE  GROS,  moine  de  Tiron, 
Voyez  Galfrède. 


GEOFFROI  DE  LORIOLE  ou  DE  LOROUR, 
archevêque  de  Bordeaux,  succède  à  Gérard 
d'Angoulême;  il  assiste  à  plusieurs  conciles. 
Sa  mort.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Bernard 
pour  l'engager  à  s'opposer  au  schisme.  Ses 
lettres  imprimées  avec  celles  de  l'abbé  Su- 
ger.  Ses  sermons.  Commentaires  sur  les  cin- 
quante premiers  psaumes  qu'on  lui  attribue, 
XIV,  409.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  XII,  p.  341  et 
suiv.) 

GEOFFROI  DE  BRETEUIL,  chanoine  ré- 
gulier de  Sainte-Barbe  en  Neustrie,  puis 
abbé.  Ses  lettres,  XIV,  409,  410. 

GEOFFROI,  archevêque  de  Rouen.  Sa 
mort;  Hugues  lui  succède,  XIV,  600. 

GEOFFROI,  abbé  de  Saint-Médard  de 
Soissons,  est  élu  évêque  de  Châlons-sur- 
Marne,  XIV,  420.  [Notices  sur  Geolïroi  et  ses 
chartes  dans  la  Patrologie,  420,  n.  2.]  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraii'e  de  la 
France,  t.  XII,  p.  183  et  suiv.) 

GEOFFROI,  prieur  de  Clairvaux,  élu  évê- 
que de  Langres,  XIV,  438. 

GEOFFROI,  moine  de  Clairvaux,  secré- 
taire de  saint  Bernard,  puis  abbé  d'Igny  ;  ses 
Déclamations  prises  de  divers  endroits  des 
sermons  de  saint  Bernard  ;  éditions  qu'on  en 
a  faites  sous  le  nom  de  saint  Bernard,  XIV, 
491.  Il  continue  la  Vie  de  saint  Bernard, 
commencée  par  Guillaume  de  Saint-Thierry, 
et  fait  un  discours  à  sa  louange,  491  et  494. 
[Jugement  sur  la  vie  de  saint  Bernard, 
403 ,  n.  1.  ]  Il  abandonne  son  monastère 
et  se  retire  à  Fosse-Neuve  en  Italie;  ses 
ouvrages,  494.  [Ses  écrits  dans  la  Patro- 
logie, 494.] 

GEOFFROI,  comte,  excommunié  pour 
avoir  répudié  sa  femme;  lettre  du  pape 
Adrien  IV  à  son  sujet,  XIV,  917. 

[GEOFFROI  de  Reims.  Son  écrit  intitulé  : 
Somnium  de  Odone  Aurelianensis,  XIV,  77.] 

[GEOFFROl  ou  GAUFRIDUS,  sous-prieur 
des  chanoines  de  Sainle-Barbe.  S'il  est  dis- 
tinct de  Godefroi  ou  Geoffroi,  chanoine  de 
Saint-Victor,  XIV,  811,  812.  Ce  qu'on  sait 
des  circonstances  de  sa  vie, 812.  Ses  lettres, 
812  et  suiv.  Édition  de  ces  lettres  dans  la 
Patrologie,  818.] 

[GEOFFROI  ou  GAUFRIDUS,  chanoine  de 
Saint-Victor,  XIV,  811,  812.  Ce  qu'on  sait 
des  circonstances  de  sa  vie  ;  ses  lettres,  812. 
S'il  est  distinct  de  Geoffroy,  sous-prieur  de 
Saint- Victor,  811.  Il  parait  ne  faire  qu'un 
seul  et  même  personnage,  811  et  812.] 


1136. 
II 58. 


XII  siècle. 


1131. 


H62. 


1165. 


XII  siècle. 


Xir  siècle. 


XII  siècle. 


460 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


xa  siècle.  [GEOPFROI  ou  GODEFROI  DE  VITERBE. 
Ce  qu'oïl  sait  des  circonstances  de  sa  vie, 
XIV,  742.  Il  fut  évêque  de  Viterbe,  742,  n.  3. 
Son  Panthéon;  ce  que  c'est;  éditions  de 
cet  écrit.  Son  Spéculum  regum,  742.] 

[GEOPPROI  DE  WATERFORD,  domini- 
cain. Sa  traduction  française  de  VElucida- 
mm d'Honoré  d'Autun,  XIV,  295.] 

[GEOFFROI,  archevêque  d'York,  accusé 
et  privé  de  l'exercice  de  ses  fonctions  parle 
papeCéIestinin,XIV,  942.] 

[GEOFFROI  DE  MONMOUTH.  Sa  traduc- 
tion latine  des  prophéties  de  Merlin,  XIV, 
873.] 

GÉOGRAPHIE.  Auteurs  indiqués  par  Cas- 
siodore  sur  la  géographie,  XVI,  232,  233. 

GÉOMÉTRIE.  Deux  livres  de  Boëce  sur  la 
géométrie,  X,  664.  —  Ce  que  Cassiodore  dit 
delà  géométrie,  XI,  236,  237.  Traité  de  géo- 
métrie, par  Cassiodore,  242.  —  Autre,  par 
Gerbert,  XIV,  903. 

GEORGE  (Saint),  martyr.  Son  éloge,  par 
Fortunat,  XI,  404.  —  Discours  sur  ce  saint, 
attribué  à  André  de  Crète,  XII,  58.  Faux 
Actes  de  saint  Georges  condamnés  à  Rome, 
S9.  [Huit  hymnes  en  son  honneur,  par  saint 
Jean  Damascène,  89.  Les  deux  martyres  de 
saint  Georges,  ouvrage  prohibé  par  saint  Ni- 
céphore,  patriarche  de  Constantinople,  297.] 

—  Sermon  de  saint  Pierre  Damien  sur  saint 
Georges,  XIII,  308.  —  [Sermon  sur  saint 
Georges,  par  Zacharie,  évêque  d'un  siège 
inconnu,  XIV,  402.]  —  Sermon  de  Guil- 
laume d'Auvergne  sur  sa  fête,  XIV,  1027. 

IV  siècle.  GEORGE ,  arien ,  s'empare  du  siège 
d'Alexandrie,  II,  575.  —  Il  avait  été  déposé 
du  sacerdoce  par  saint  Alexandre,  III,  107. 
Il  dépouille  les  temples  des  faux  dieux  de 
leurs  ornements  et  de  leurs  richesses,  412. 

—  Auxence  de  Milan,  complice  des  maux 
faits  par  George,  usurpateur  du  siège 
d'Alexandrie,  V,  93.  Il  ordonne  de  nouveau 
Théodore  évêque  d'Oxyrinque,  154.  Témoi- 
gnage de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  216. 

—  Témoignage  de  Tliéodoret,  X,  45. 
GEORGE,  évêque  de  Laodicée,  fait  assem- 
bler un  concile  à  Ancyre  contre  Aëtius,  IV, 
550.  Il  assiste  à  l'intronisation  d'Eudoxe,  574. 

GEORGE,  ami  de  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze. Épigramme  de  saint  Grégoire  en  son 
honneur,  V,  299. 

GEORGE,  diacre  pour  qui  saint  Grégoire 
écrit  à  Astère,  V,  255. 

GEORGE  DE  PASPASE,  condamné  par 
saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  261. 


620. 
630. 


V.  630. 


GEORGE,  moine,  trouble  la  Cappadoce 
par  ses  écrits  et  ses  prédications,  X,  227. 

GEORGE,  disciple  de  saint  Jacques  de 
Batna,  fait  son  éloge  après  sa  mort,  X,  643. 

GEORGE,  surnommé  Arsan,  paulînianiste, 
XII,  922. 

GEORGE  PISIDÈS,  diacre  et  garde-chartes  "Vn  sièci 
de  l'Église  de  Constantinople.  Ses  vers  contre 
Philoponus;  son  poëme  sur  l'Hexaméron; 
autre  poème  sur  la  vanité  de  la  vie  liumaine  ; 
fragments  qui  restent  de  ses  autres  ouvrages. 
Poëme  sur  le  temple  de  la  Mère  de  Dieu  à 
Constantinople;  autres  poëmes  qui  sont  per- 
dus, XI,  653.  DiËférents  discours  qu'on  lui  a 
attribués  sont  d'un  autre  George,  qui  vivait 
au  ix°  siècle,  653  et  654.  [Édition  de  ses 
écrits  dans  la  Patrologie.  Écrits  nouveaux, 
654.] 

GEORGE,  frère  de  saint  Jean  Climaque, 
est  établi  à  sa  place  abbé  du  Mont-Sinaï,  XI, 
678. 

GEORGE,  patriarche  d'Alexandrie,  suc- 
cède à  saint  Jean  l'Aumônier.  Sa  mort.  Il 
écrit  la  Vie  de  saint  Jean  Chrysostôme.  Idée 
de  cette  Vie  ;  éditions  qu'on  en  a  faites,  XI, 
699. 

GEORGE,  abbé  de  Saint-Théodose.  Lettre 
que  lui  écrit  le  pape  saint  Martin,  XI,  750. 

GEORGE,  patriarche  de  Constantinople, 
monothélite,  XII,  946.  Il  abandonne  le  mo- 
nothélisme  dans  le  sixième  concile  général, 
948. 

GEORGE,  évêque  de  Syracuse.  Lettre  que 
lui  écrit  le  pape  Vitalien  au  sujet  de  Jean, 
évêque  de  Lappa,  XI,  782. 

GEORGE,  évêque  de  Tagrit.  Ce  qu'on  con-     vit  siècn 
naît  de  ses  écrits,  XII,  100. 

GEORGE,  évêque  des  Arabes.  Ses   ou-    viitsiècii 
vrages,  XII,  102. 

GEORGE  Syncelle,  est  proposé  pour  suc- 
céder au  patriarche  Taraise  sur  le  siège  de 
Constantinople.  Sa  Chronographie,  ce  que 
c'est.  Il  charge  l'abbé Théophaue  delà  con- 
tinuer, XII,  155.  Éditions  qu'on  en  a  faites. 
Ce  que  George  eut  à  soufl'rir  des  Icono- 
clastes, 156.  [Il  est  différent  de  George  Ha- 
martole,  799,  n.  1.] 

GEORGE,  abbé  d'Aniane.  Lettre  que  lui 
écrit  saint  Benoît  d'Aniane,  XII,  260. 

GEORGE,  surnommé  Hamartole,  c'est-à- 
dire  pécheur,  était  un  moine  grec  qui  vivait 
dans  le  ix"  siècle.  Sa  Chronique  depuis  la 
création  du  monde  jusqu'à  l'empereur  Mi- 
chel, fils  de  Théophile  ;  quoiqu'elle  ait  beau- 
coup   servi    aux    chronologisLes    qui    sont 


VII  slticl. 


806. 


821. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


Â6i 


venus  depuis  lui,  elle  n'a  pas  été  imprimée, 
XII,  423.  [Elis  a  été  imprimée  à  Saint-Péters- 
bourg en  18S9par  Edouard  de  Muralto,  423, 
n.  2;e]le  est  reproduite  au  tome  CXde  la  Pa- 
trologie  grecque,  avec  traduction  laline,  faite 
par  les  éditeurs  de  la  Patrologie.  Elle  y  est 
précédée  de  prolégomènes  dus  aux  éditeurs. 
La  Chronique  est  en  huit  livres  :  les  quatre 
premiers  sont  l'œuvre  de  George,  et  les 
autres  sontdeSiraéonLogothète  et  de  quel- 
ques auteurs  anonymes.  Elle  s'étend  depuis 
la  création  du  monde  jusqu'en  840  :  c'est  la 
partie  faite  par  George;  l'autre  partie  va 
jusqu'à  l'an  1143.  Fragment  de  George  sur 
la  science  des  barbares,  423.] 

GEORGE  (Saint)  martyr  en  Espagne.  Ses 
reliques  apportées  à  Paris,  XII,  6H.  Histoire 
de  cette  translation,  701. 

GEORGE,  archevêque  et  métropolitain  de 
Nicomédie,  partisan  de  Photius.  Il  n'est  pas 
différent  de  George  Chartophylax  ou  garde 
des  chartes  de  la  grande  église  de  Constan- 
tinople.  Ses  homélies,  XII,  733.  Différentes 
lettres  de  Photius  qui  lui  sont  adressées, 
72S,  728,  433.  [Édilion  dans  la  Patrologie 
des  discours  et  fragments  qui  nous  restent 
de  George,  733,  736.] 

GEORGE,  moine.  Sa  Chronique,  XII,  799. 
[Elle  est  reproduite  au  tome  GIX  de  la  Pa- 
trologie grecque.] 

GEORGE  CEDRENE,  moine  grec.  Sa 
Chronique.  Différentes  éditions  et  traduc- 
tions qu'on  en  a  faites,  XIII,  560.  [Elle  est 
reproduite  au  tome  CXXP  et  au  commence- 
ment du  tome  CXXIP  de  la  Patrologie  grec- 
que, d'après  l'édition  de  Fabrotti,  avec  les 
notes  de  Xilander  et  de  Goar,  mises  au  bas 
des  pages  et  non  à  la  fin  du  volume  comme 
dans  les  autres  édifions.] 

GEORGE,  métropohtain  de  Corfou.  Lettre 
qu'il  écrit  à  l'empereur  Frédéric  Barbe- 
rousse  pour  le  détourner  d'attaquer  l'île  de 
Corfou.  L'empereur  Manuel  Ducas  le  charge 
de  mettre  l'île  en  état  de  défense.  Il  est  dé- 
puté au  concile  tenu  à  Rome  par  le  pape 
Alexandre  III.  Une  maladie  l'empêche  d'y 
assister,  XIV,  652.  Ses  lettres  à  Siméon,  pa- 
triarche d'Antioche  ;  à  Jean,  notaire  de  l'em- 
pereur; et  à  Nectaire,  abbé  de  Casules,652, 
653.  Monodiesurla  mort  de  Nectaire;  sa  lettre 
à  Athanase,  patriarche  de  Jérusalem,  633. 

GEORGE  XIPHILIN,  grand  trésorier  de 
l'Église  de  Contantinople,  en  est  élu  patriar- 
che à  la  place  de  Dosithée,  XIV,  826. 

GEORGE  II,  surnommé  Scholarius  et  Gen- 


nade,  patriarche  de  Constantinople,  cite  un 
passage  de  saint  Grégoire  de  Nysse  pour 
prouver  que  le  Saint-Esprit  procède  du  Fils 
comme  du  Père,  VI,  231.  —  Il  traduit  en 
grec  la  Logique  de  Piei're  Alphonse,  XIV, 
172. 

GEORGE  DE  TRÉBIZONDE.  Sa  traduc- 
tion latine  des  livres  d'Eusèbe ,  de  la  Pré- 
paration évangélique  ;  elle  est  défectueuse, 
III,  313.  [Sa  traduction  latine  de  la  Vie  de 
Moïse,  écrite  par  saint  Grégoire  de  Nysse, 
VIII,  441.]  —  Il  n'est  pas  le  traduc- 
teur de  la  Vie  de  l'ermite  Barlaam,  XII, 
87. 

GEORGE,  moine  de  Breteuil,  auteur  d'un 
commentaire  sur  l'Exode.  (Voyez  ce  qu'il  en 
est  dit  dans  VHistoire  littéraire  de  la  France, 
t.  XII,  p.  449.) 

GEORGE  (le  père),  capucin.  Son  com- 
mentaire sur  les  ouvrages  de  Tertullien,  II, 
83. 

GEPPAN.  Lettre  de  saint  Boniface  qui  lui 
est  adressée,  XII,  50. 

GÉRALD  ou  GÉRARD,  archevêque  de  Nar- 
bonne.  Voyez  Gérard. 

[GERANDO  (De).  Ouvrage  deNémésiussur 
la  nature  de  l'homme  jugé  par  de  Gérando, 
VI,  283.  Son  appréciation  raisonnée  sur 
Guillaume  d'Auvergne,  XIV,  1031,  1032.] 

GÉRARD  (Saint),  confesseur  :  sa  Vie  écrite 
par  saint  Grégoire  de  Terracine,  XIII,  498. 

GÉRARD  ou  GÉRALD,  s'empare  de  l'ar- 
chevêché de  Narbonne.  Lettre  du  pape 
Jean  X  à  son  sujet,  XII,  744  et  792,  793. 

GÉRARD,  doyen  de  Saint-Médard  de  Sois- 
sons,  auteur  d'une  Vie  de  saint  Romain  et 
d'une  Vie  de  saint  Rémi,  archevêque  de 
Rouen.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  VHis- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  VI,  p.  277  et 
suiv.) 

GÉRARD  (Saint),  évêque  de  Toul.  Durée 
de  son  épiscopat,  XIII,  236.  Analyse  de  sa 
vie  par  l'abbé  Widric,  236  et  237.  La  bulle 
de  sa  canonisation  est  souscrite  dans  un 
concile  de  Rome,  183  et  201.  Translation  de 
ses  reliques  faite  par  le  pape  saint  Léon  IX, 
201  et  236.  Sa  Vie  écrite  par  Widric,  abbé 
de  Saint-Èvre,  avec  la  relation  de  ses  mi- 
racles et  l'Histoire  de  la  translation  de  ses 
rehques,  183  et  237.  Office  pour  la  fête  de 
la  translation  des  reliques  de  saint  Gérard, 
237.  —  Saint  Gérard  est  mis  au  nombre  des 
saints  par  saint  Léon  IX,  XIV,  1038. 

GÉRARD  ou  GÉRAULT,  moine  de  Fleury. 
Voyez  Gérauld. 


922. 


963-994. 


1050. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


462 

[GÉRARD  d'ALSACE,  frère  du  pape  saint 
Léon  IX,  XIII,  i99,  note  4.] 
1012-1013.  GÉRARD  I,  évêque  de  Cambrai,  est  ins- 
truit dans  l'école  de  Reims,  puis  devient 
chapelain  du  roi  Henri  qui  le  fait  évêque 
d'Arras  et  de  Cambrai  après  la  mort  d'Al- 
cuin,  XIII,  159.  [Sa  notice  dans  la  Pairo- 
logie,  1S9,  note  6.]  II  fonde  plusieurs  monas- 
tères. Divers  conciles  auxquels  il  a  assisté. 
1033.  Il  désapprouve  les  règlements  de  la  Trêve 
1051.  de  Dieu.  Date  de  sa  mort,  160.  Actes  du 
1025.  concile  d'Arras,  dans  laquel  il  confondit  des 
Manichéens  venus  d'Italie  dans  son  diocèse, 
160  el  suiv.  Analyse  de  ses  actes:  comment 
Gérard  réfute  les  erreurs  des  novateurs  sur 
le  sacrement  de  Baptême,  160, 161  ;  sur  celui 
de  l'Eucharistie,  161;  sur  la  sainteté  des 
éghses,  161  et  162;  sur  le  Mariage;  sur 
d'autres  points  de  doctrine.  Sentence  pro- 
noncée par  le  concile  contre  les  erreurs  des 
Manichéens,  162.  Lettres  de  Gérard,  163. 
Son  sentiment  sur  le  jeune  des  Quatre-Temps 
du  Carême,  164.  Année  de  sa  mort,  480.  — 
Concile  où  il  confond  les  Manichéens,  XIV, 
1040.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  lit- 
léraire  de  la  France,  t.  VU,  p.  431  et  suiv.) 
1076.  GÉRARD  II,  évêque  de  Cambrai,  succède 

à  saint  Lietbert.  Ce  qu'on  sait  des  circons- 
tances de  sa  vie.  Sa  mort.  Il  fut  le  dernier 
qui  gouverna  les  évêchés  de  Cambrai  et 
d'Arras  réunis.  Ses  statuts  pour  les  moines 
de  Saint-Guillain.  La  démissoire  qu'il  ac- 
corde à  Baudri,  XIII,  480.  [Charte  de  fon- 
dation faite  par  lui,  480.]  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 

VIII,  p.  336  et  suiv.) 

GÉRARD,  légat  du  Saint-Siège,  assemble 
un  concile  à  Tours  contre  Bérenger,  XIII, 
169. 
XI  siècle.  GÉRARD,  élu  évêque  de  Sisteron  par  Hu- 
gues, abbé  de  Cluny,  et  ordonné  par  le  pape 
Nicolas  II,  Xlll,  247. 

GÉRARD,  évêque  de  Florence,  élu  pape, 
prend  le  nom  de  Nicolas  II,  XIII,  243.  Voy. 
Nicolas  11. 

GÉRARD,  archevêque  d'York  :  sa  mort. 
Thomas  lui  succède,  XIV,  8.  (Voyez  son  arti- 
cle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  Finance,  t. 

IX,  p.  376  et  suiv.) 

11(30.  GÉRARD,  chef  d'une  secte  d'hérétiques, 

condamné  par  un  concile  d'Oxford ,  XIV, 
1128. 

GÉRARD,  chanoine  régulier,  cardinal,  élu 
pape  sous  le  nom  de  Lucius  II,  XIV,  268. 
Voyez  Lucius  II. 


[GÉRARD,  évêque  d'Angoulême  :  sa  let- 
tre sur  le  schisme  d'Anaclet  el  d'Innocent  II, 
XIV,  184.] 

[GÉRARD,  abbé  de  Saint-Maximin  de 
Trêves,  accusé  de  simonie  et  de  dilapidation. 
Sa  déposition  et  sa  mort,  XIV,  26S.] 

[GÉRARD,  prévôt  de  Bonn.  Le  pape  Inno- 
cent HI  lui  écrit,  XIV,  266.] 

[GÉRARD  (Hector),  évêque  de  Cahors  :  ce 
qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie.  Sa 
lettre  à  l'empereur  Frédéric,  XIV,  822.] 

GÉRASIME,  anachorète,  XI,  273,  274. 

GÉRAULD  (Saint),  comte  d'Aurillac  :  sa 
Vie  écrite  par  saint  Odon,  abbé  de  Cluny, 
XII,  806,  807.  Il  a  fondé  le  monastère  d'Au- 
rillac, 793. 

GÉRAULD  ou  GÉRARD,  moine  de  Fleury, 
disciple  de  saint  Abbon  :  ses  poésies,  XIII, 
35.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  tome  VI,  p.  438  et 
suiv.  et  tome  VII,  p.  183  et  suiv.) 

GÉRAULD,  cardinal  évêque  d'Ostie,  pré- 
side au  concile  de  Poitiers  tenu  contre  Bé- 
renger, XIII,  170. 

GÉRAULD,  écolâtre  de  Ratisbonne,  fait 
avec  Ulric  le  voyage  de  Rome,  puis  se  fait 
moine  à  Cluny,  XIII,  470. 

GÉRAULD  ou  GÉRARD  (Saint),  abbé  de 
la  Sauve-Majour,  est  offert  par  ses  parents 
à  l'abbaye  de  Saint-Pierre  de  Corbie.  Il  ac- 
compagne Foulques,  son  abbé,  dans  son 
voyage  à  Rome.  Il  est  choisi  abbé  de  Saint- 
Vincent  de  Laon,  puis  de  Saint-Médard  de 
Soissons.  Il  fonde  le  monastère  de  la  Sauve- 
Majour.  Sa  mort.  Le  pape  CélestinlII  le  met 
au  catalogue  des  saints,  XIII,  485.  Il  retou- 
che la  Vie  de  saint  Adalhard,  abbé  de  Cor- 
bie, écrite  par  saint  Paschase  Radbert,  485  et 
486.  Poésies,  etc.,  qu'il  faiten  l'honneur  du 
même  saint.  Mémoire  et  statuts  pour  son 
abbaye.  Vie  de  saint  Gérauld,  écrite  par  un 
moine  anonyme,  486.  —  Vie  de  saint  Adal- 
hard, abbé  de  Corbie,  composée  par  saint 
Paschase  Radbert  et  abrégée  par  saint  Gé- 
rauld, qui  y  ajoute  l'histoire  de  ses  miracles, 
XII,  544.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
Ultéraii^e  de  la  France,  tome  VIII,  p.  407.) 

GÉRAULD  DE  LA  VENNE,  disciple  de 
saint  Robert,  abbé  de  La  Chaise-Dieu,  écrit 
sa  vie.  Cet  ouvrage  est  revu  par  Marbode, 
XIV,  227.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  VIII, 
p.  21  et  22.) 

GERBAUD,  évêque  de  Liège.  Voyez  Ga- 
ribalde. 


\ 


1199. 


1075. 


1080. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


•463 


GERBELIUS.  Son  édition  des  œuvres 
d'Hermas,  I,  338. 

GERBERGE,  reine  de  France,  femme  de 
Louis  d'Outremer,  engage  Adson  à  écrire 
sur  l'Antéchrist,  XII,  885. 

GERBERON  (Gabriel),  bénédictin.  Son 
édition  des  œuvres  de  saint  Anselme.  Corps 
de  doctrine  tiré  des  œuvres  de  ce  père,  par 
le  même,  XIV,  M.  Son  apologie  de  l'abbé 
Rupert,  291.  Sa  traduction  française  des 
livres  de  saint  Augustin  et  de  saint  Bernard 
de  la  Grâce  et  du  libre  arbitre,  500. 

GERBERT,  archevêque  de  Reims,  et  de- 
puis pape  sous  le  nom  de  Sylvestre  II,  XII, 
901  et  suiv.  [Auteurs  à  consulter  sur  Syl- 
vestre II,  901,  note  6.]  Ses  commencements, 
901.  Il  devient  archevêque  de  Reims  après 
la  déposition  d'Arnoul;  chassé  de  ce  siège, 
il  se  i-etire  auprès  de  l'empereur  Othon  III, 
qui  le  fait  archevêque  de  Ravenne.  11  est  élu 
pape  après  la  mort  de  Grégoire  V,  à  qui  il 
succède.  Sa  mort,  902.  Ses  écrits  sur  l'arith- 
métique, et  sur  la  sphère  et  la  géométrie  ; 
sur  la  dialectique,  903,  904.  Traité  du  corps 
et  du  sang  du  Seigneur,  904.  Cantique  sur 
le  Saint-Esprit  qu'on  lui  attribue.  Son  dis- 
cours au  concile  de  Mouson  contre  Arnoul, 
son  compétiteur  à  l'archevêché  de  Reims, 
905.  Discours  sur  les  évoques,  905  et  906. 
Lettres  de  Gerbert  :  éditions  qu'on  en  a 
faites.  Remarques  sur  ces  lettres,  906.  Ana- 
lyse des  principales,  906  et  907.  Profession 
de  foi  de  Gerbert,  907.  Vies  de  quelques 
saints  attribuées  à  Gerbert,  910.  Jugement 
sur  ses  écrits,  910  et  911.  [Édition  de  ses 
écrits  dans  la  Patrologie,  902,  903.  Sa  lettre 
à  Etienne,  duc  de  Hongrie,  909,  910.  Autres 
lettres  et  privilèges,  910.  Jugement  sur  ce 
pape,  911.]  Lettre  écrite  à  Gerbert  par  le 
pape  Grégoire  V,  900.  — Livre  de  la  dignité 
sacerdotale,  dont  Gerbert  est  l'auteur,  V, 
511.  — Il  compose  envers  héroïques  l'éloge 
du  philosophe  Boèce,  X,  650.  —  Lettre  que 
lui  écrit  Adelbold,  évêque  d'Utrecht,  XIII, 
75.  Il  est  l'auteur  d'un  traité  anonyme  sur 
l'Eucharistie,  173.  Son  élection  pour  le  siège 
de  Reims,  761,  762.  Elle  est  contestée.  Il 
lait  son  apologie  au  concile  de  Mouson.  II 
est  déposé  au  concile  de  Reims,  762.  Il  est 
fait  archevêque  de  Ravenne.  Concile  qu'il  y 
tient,  763.  [M.  OUeris,  doyen  de  la  faculté 
des  lettres  de  Clermont,  a  publié  récemment 
les  œuvres  de  Gerbert.]  (Voyez  son  article 
dans  VHistùire  littéraire  de  la  France,  t.  VI, 
p.  579  et  suiv.) 


[GERBERT,  bénédictin,  pubhe  dans  les 
Scriptores  de  Musica  le  traité  de  la  Musique, 
par  Rémi  d'Auxerre,  XII,  759,  n.  9.  Deux 
écrits  sur  la  musique  par  Hucbald,  802. 
Deux  écrits  sur  la  même  matière  par  saint 
Odon  de  Cluny,  806  et  809.] 

GERDAG,  évêque  d'Hildesheim  :  sa  mort. 
Saint  Bernouard  lui  succède,  XIII,  66. 

[GÉRÉON  (Saint),  martyr  de  la  légion  thé- 
baine.  Relation  de  la  translation  de  ses  re- 
liques par  Rodulphe,  abbé  de  Saint-Trond, 
XIV,  241.  Leurs  actes,  d'après  Hélinard, 
moine  de  Froidmont,  898,  899.] 

GERFROI,  moine  de  Flavigny,  accusé 
d'avoir  empoisonné  Adalgaire,  évêque  d'Au- 
tun  :  comment  il  s'en  justifie,  XIV,  734. 

GERGÉSÉENS,  peuple  dont  le  nom  est 
confondu  avec  celui  des  Géraséniens,  II,  210. 

GERHARD,  archevêque  de  Lorche,  reçoit 
le  pallium  du  pape  Léon  VU ,  XII,  828.  Il 
consulte  ce  pape  sur  diverses  questions. 
Réponse  de  Léon  adressée  aux  évêques  des 
Gaules  et  de  l'Allemagne,  828  et  829.  Son 
différend  avec  Hérolde,  archevêque  de  Salz- 
bourg,  réglé  par  le  pape  Agapet  II,  830. 

GERLAND,  homme  savant.  Lettre  que 
Hugues  de  Metellus  lui  écrit  pour  le  faire 
revenir  de  l'erreur  de  Bérenger  dans  laquelle 
il  avait  donné,  XIV,  366, 367.  Il  est  différent 
de  Gérard  à  qui  une  autre  lettre  de  Hugues 
est  adressée,  365.  Son  Comput  ecclésias- 
tique conservé  manuscrit,  367. 

GERLAND,  chanoine  régulier  de  Saint- 
Paul,  à  Besançon,  auteur  d'un  traité  de  théo- 
logie intitulé  :  Chandelle  évangélique,  XIV, 
406.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  XH,  p.  275  et  suiv.) 

GERMAIN,  évêque  d'Egypte.  Réponse  de 
saint  Denys  d'Alexandrie  aux  calomnies  de 
cet  évêque,  II,  409. 

GERMAIN  (Saint),  martyr  de  Palestine, 

m,  10. 

GERMAIN,  évêque  deNapIes  ouNaplouse, 
en  Palestine,  assiste  au  concile  de  Néocé- 
sarée,  II,  640. 

GERMAIN,  prêtre  de  Constanlinople,  en. 
voyé  vers  le  pape  saint  Innocent.  Il  va  de  là 
en  Afrique,  où  il  porte  une  lettre  de  ce  pape, 
VU,  512. 

GERMAIN  (Saint),  évêque  d'Auxerre,  est 
envoyé  dans  la  Grande-Bretagne  par  le  pape 
saint  Célestin,  VIII,  145.  Saint  Hilaire  d'Arles 
va  le  voir  à  Auxerre,  436.  —  Son  voyage  à 
Ravenne  où  il  est  reçu  avec  affection  de  saint 
Pierre  Chrysologue,  X  ,  7.  Il  est  envoyé  en 


992. 


X  siècle. 


XII  siècle. 


XII  siècle. 


III  siècle. 


308. 


429. 


1 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


V.  496. 
555. 


Angleterre  avec  saint  Loup  de  Troyes  pour 
y  défendre  la  doctrine  de  la  grâce  de  Jésus- 
Christ,  667.  Député  par  les  évéques  des 
Gaules  dans  la  Grande-Bretagne,  conjointe- 
ment avec  saint  Loup,  pour  combattre  les 
Pélagiens,  356.  Il  y  guérit  une  fille  aveugle, 
337.  Sa  Vie  écrite  par  le  prêtre  Constance, 
400,  et  XII,  640  ;  et  par  le  moine  Éric  ou  Hei- 
ric,  XI,  324,  et  XII,  640.  Recueil  de  ses  mira- 
cles par  le  même,  640.  —  Lettres  du  pape 
Innocent  III  au  sujet  des  démêlés  de  l'abbaye 
de  Saint-Germain  d'Auxerre  avec  l'évêque 
d'Auxerre,  XIV,  959.  (Voyez  l'article  de  saint 
Germain  d'Auxerre  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  II,  p.  256  et  suiv.) 

GERMAIN,  parent  et  ami  de  Gassien,  vi- 
site avec  lui  la  Thébaïde,  VIII,  147, 148. 

GERMAIN,  diacre  de  Constantinople,  est 
chargé  de  citer  Eutyçhès  ;  il  fait  un  rapport, 
X,  671. 

GERMAIN  (Saint),  évêque  de  Capoue,  en- 
voyé légat  à  Constantinople  par  le  pape  Hor- 
misdas,  X,  621.  Instructions  qui  lui  sont 
données  et  à  ses  collègues,  622,  623.  Rela- 
tion de  leur  voyage,  623,  624.  Germain 
mande  au  pape  le  succès  de  salégation,  624, 
625.  —  Autre  mention  de  cette  légation,  XI, 
475.  Saint  Benoît  voit  l'âme  de  ce  saint  évê- 
que monter  au  ciel,  823. 

GERMAIN  (Saint),  évêque  de  Paris.  Sa 
naissance,  ses  commencements  ;  il  est  fait 
évêque  de  Paris ,  différents  conciles  auxquels 
il  présida  ou  fut  présent;  il  fait  la  dédicace 
de  l'église  de  Sainte-Croix,  nommée  depuis 
Saint-Vincent  et  aujourd'hui  Saint-Germain, 
XI,  307.  Il  excommunie  le  roi  Chéribert  ou 
Charibert  pour  ses  débauches,  307  et  394. 
Sa  lettre  à  la  reine  Brunehaut  pour  l'enga- 
ger à  porter  à  la  paix  les  rois  Chilpéric  et 
Sigebert,  307,  308.  Mort  de  saint  Germain, 
308.  La  liturgie  qui  porte  son  nom  est  véri- 
tablement de  lui,  308  et  309.  Analyse  de 
cette  litiirgie,  309  et  suiv.  Sa  lettre  à  Fla- 
mir,  abbé  de  Chinon  en  Touraine  ;  privilège 
qu'il  accorde  au  monastère  de  son  nom  à 
Paris,  311.  [Édition  des  écrits  de  saint  Ger- 
main et  sa  Vie  dansla  Patrologie,  307,  n.  10.] 
Son  voyage  à  Poitiers  ;  quelle  en  fut  l'occa- 
sion ;  il  bénit  Agnès  que  sainte  Radégonde 
avait  faite  abbesse  de  son  monastère,  316.  Il 
excommunie  le  roi  Charibert  pour  deux  ma- 
riages contractés  du  vivant  de  son  épouse 
avec  deux  soeurs,  394.  Sa  Vie  parFortunat, 
411.  —  Ses  miracles  écrits  par  le  moine 
Aimoin,  XII,  701,  702.  Discours  en  l'hon- 


neur de  ce  saint,  attribué  au  même,  702.  — 
Authenticité  de  sa  liturgie,  XIII,  11,  12. 

GERMAIN-DES-PRÉS  (SAINT-).  Depuis 
quand  l'église  de  Saint-Germain-des-Prés 
porte  ce  nom  ;  temps  de  sa  fondation  et  de 
sa  dédicace,  XI,  307.  Privilège  accordé  à 
cette  église  par  saint  Germain,  évêque  de 
Paris,  307  et  311.  Ce  privilège,  attaqué  par 
M.  de  Launoy,  est  défendu  par  M.  de  Valois 
et  de  Quatremaires,  511.  Fondation  de  cette 
abbaye  sous  le  nom  de  Saint-Vincent  par  le 
roi  Ghildebert,  883,  884.  (Voyez  l'article  de 
saint  Germain  de  Paris  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  III,  p.  310.) 

GERMAIN  I"  (Saint),  patriarche  de  Cons- 
tantinople, auparavant  métropoUtain  de  Cy- 
sique,  succède  à  Jean,  XII,  36.  II  résiste  for- 
tement à  l'empereur  Léon  qui  voulait  abolir 
le  culte  des  images  ;  ses  trois  lettres  au  su- 
jet de  ce  culte  :  l'une  à  Jean,  évêque  de 
Synnade  ;  l'autre  à  Constantin,  évêque  de 
Nacolie,  37.  La  troisième  à  Thomas,  évêque 
de  Claudiopolis,  37  et  suiv.  Lettre  que  lui 
écrit  le  pape  Grégoire  III  sur  la  vigueur  avec 
laquelle  il  défendait  la  doctrine  de  l'Église, 
39.  Ce  que  Photius  nous  apprend  de  la  doc- 
trine de  Germain,  intitulé  :  De  la  rétribution 
légitime,  40.  [Saint  Germain  n'a  point  ensei- 
gné le  monothélisme,  40.]  Traité  des  six  Con- 
ciles généraux  ;  raisons  qui  l'assurent  à  Ger- 
main; nous  ne  l'avons  pas  entier,  40,  41. 
Écrits  qu'on  lui  a  attribués,  [mais  qui  sont, 
d'après  D.  Geillier,  d'un  autre  patriarche  du 
même  nom  qui  va  suivre  ;  d'après  les  nou- 
veaux éditeurs,  ils  sont  véritablement  de 
saint  Germain,  41.  [Sa  lettre  aux  Arméniens 
pour  les  décrets  du  concile  de  Chalcédoine, 
39,  40.  Le  véritable  écrit  de  saint  Germain 
sur  les  conciles,  publié  par  Maï;  analyse  de 
ce  traité  ;  choses  remarquables  qui  y  sont 
contenues,  41.  Terme  de  la  vie,  autre  ou- 
vrage édité  par  Maï;  ce  qu'il  contient.  Dis- 
cours attribués  à  saint  Germain;  la  plupart 
sont  de  lui  ;  il  y  en  a  un  sur  l'adoration  de  la 
vraie  croix;  deux  sur  la  Présentation  de  Ma- 
rie au  temple,  42.  Un  discours  sur  l'Annon- 
ciation; trois  sur  la  mort  de  la  sainte  Vierge  ; 
Histoire  ecclésiastique  et  Contemplationmys- 
tique,  ouvrage  rangé  parmi  les  œuvres  dou- 
teuses de  saint  Germain;  ce  que  c'est,  43. 
Hymne  sur  la  Mère  de  Dieu,  pubUé  par  Da- 
niel ;  édition  des  écrits  de  saint  Germain  dans 
la  Patrologie,  37,  n.  1,  et  42,  43.]  —  Saint 
Germain  justifie  saint  Grégoire  de  Nysse  sur 
les  erreurs  attribuées  à  Origène,  VI,  248.  — 


715 


727 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


463 


Sa  Vie,  écrite  par  Paul  Diacre,  XII,  147.  — Il 
s'élève  contre  l'édit  que  Léon  l'Isaurien  avait 
publié  contre  les  saintes  images,  XIII,  619. 
GERMAIN  II ,  au  commencement  du 
xiii"  siècle,  patriarche  de  Constantinople , 
est,  d'après  D.  Geillier,  le  véritable  auteur 
de  quelques  ouvrages  attribués  au  précé- 
dent ;  [ce  qu'on  doit  penser  de  cette  assertion, 
XII,  42.  Écrits  de  Germain  II  dans  la  Patro- 
logie  grecque,  t.  CXL.] 

GERMANIGIE,  ville  de  la  Syrie  Euphraté- 
sienne  dont  était  Nestorius,  VIII,  366. 
GERMANICUS  (Saint),  martyr,  393. 
GERMANIE,  province  d'Occident.   Faux 
évêques  et  faux  prêtres  opposés  à  saint  Bo- 
niface,  XII,  32. 

GERMANIQUE,  homme  de  quahté  à  l'oc- 
casion duquel  saint  Sidoine-Apollinaire  écrit 
à  Vectius,  X,  388. 

GERME,  ville  épiscopale  dans  l'Hellespont, 
VIII,  367. 

GERMER  (Saint),  fondateur  du  monastère 

de  Flay.  Sa  Vie,  imprimée  dans  l'appendice 

des  œuvres  de  Guibert  de  Nogent,  XIV,  200. 

GERMINATEUR,  jovinianiste  condamné 

par  le  pape  Sirice,  IV,  652. 

GERMINIUS,  évêque  de  Sirmium.  Lettre 
que  lui  écrit  le  pape  Libère,  IV,  295,  296. 
Concile  de  Sirmium  où  il  se  trouve,  549.  Il  est 
condamné  au  concile  de  Rimini,  557  et  559. 
GERMINIUS,  homme  savant.  Lettre  que 
Ini  écrit  saint  Gaudence,  évêque  de  Bresce, 
VIII,  41. 

GÉRGCH,  prévôt  de  Reichersperg.  Ses 
études  ;  différents  emplois  qu'il  rempht  avant 
d'être  prévôt  de  Reichersperg  ;  il  succède  à 
Gothescalc ,  et  gouverne  son  monastère 
avec  succès  pendant  près  de  quarante  ans  ; 
sa  mort,  XIV,  627.  Ses  écrits,  627  et  suiv. 
[Pièces  relatives  à  Géroch  dans  la  Patrologie, 
624,  n.  4.  Ses  écrits  dans  la  Patrologie,  627.] 
Traité  sur  l'État  corrompu  de  l'ÉgUse,  621, 

628.  Traité  contre  les  simoniaques,  628,  629. 
Traité  de  la  Glorification  du  fils  de  l'homme, 

629.  Traité  contre  deux  hérésies  :  l'une  des 
nouveaux  Nestoriens  ;  l'autre  de  ceux  qui 
admettent  les  prêtres  excommuniés  et  les  sa- 
crements qu'ils  confèrent,  629  et  630.  Lettre 
où  il  est  fait  mention  d'un  ouvrage  de  Gé- 
roch touchant  les  différends  entre  les  Grecs 
et  les  Latins  ;  autres  lettres  de  Géroch  ;  Vies 
de  Bérenger  et  de  Wirnton,  abbés  de  Porm- 
bach,  630.  Livre  de  l'Éditice  de  Dieu,  630  et 
631.  Livre  épistolaire  au  pape  Innocent  1% 
631.  Lettre  à  l'abbé  d'Ebracb  au  sujet  des 

TAB,  I. 


erreurs  de  Folmar  sur  l'eucharistie,  631 
et  632.  Traité  de  l'Antéchrist,  632.  [Juge- 
ment sur  Géroch,  632,  633.]  (Voyez  ce 
qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  XII,  p.  248.) 

GÉROLD,  comte.  Son  épitaphe  par  Wala-     ix  siécie. 
frid  Slrabon,  XII,  416. 

GÉRON,  archevêque  de  Cologne,  XIII,  63. 
GÉRON ,    archevêque    de    Magdebourg.     xi  siêcie. 
Lettre  que  lui  écrit  Bernon,  abbé  deReiche- 
nau,  XIII,  126. 

GÉRONCE,  évêque  de  Larisse  en  Syrie, 
assiste  au  concile  de  Néocésarée,  II,  640. 

GÉRONCE,  prêtre  de  Syrie.  Lettres  que        «5. 
lui  écrivit  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  131, 
132. 

GÉRONCE,  prêtre  de  Césarée  en  Cappa- 
doce,  à  qui  Firmus  de  Césarée  adresse  une 
de  ses  lettres,  X,  150. 

GÉRONCE  (Saint),  évêque.  Vers  d'Ennode 
à  sa  louange,  X,  577. 

GÉRONCE,  abbé  de  l'un  des  monastères 
de  Cassiodore.  Exhortation  qui  lui  est  adres- 
sée, XI,  234,  235. 

GÉRONTIE.  Lettre  aux  filles  de  Gérontie 
faussement  attribuée  à  saint  Jérôme,  VII,  647 . 
[GERSDORF.  Sa  Bibliotheca  Patrum  latino- 
rum  selecta,  I,  361.] 

GERVAIS  et  PROTAIS  (Saints),  martyrs.  agg. 
Révélation  de  leurs  reliques,  V,  386.  Lettre 
de  saint  Ambroise  à  sainte  Marcelline  sur  ce 
sujet,  490,  491.  — Éghse  dédiée  à  Rome  sous 
les  noms  de  saint  Gervais  et  saint  Protais 
par  le  pape  saint  Innocent,  VII,  527.  —  Le 
lieu  où  reposait  leur  corps  révélé  à  saint 
Ambroise,  IX,  33.  Sermon  de  saint  Augus- 
tin sur  ces  deux  saints,  340, 341 .  Témoignage 
de  saint  Sidoine  Apolhnaire,  X,  391.  —  Pa- 
négyrique de  ces  deux  saints  par  Guillaume 
d'Auvergne,  XIV,  1027. 

GERVAIS,  archevêque  de  Reims.  Sa  nais-       jooT. 
sance  ;  ses  études  dans  l'école  du  Mans  ;  il       1036. 
succède,  dansl'évêché  du  Mans,  à  Avesgaud, 
son  oncle;  la  persécution  qu'il  a  à  souffrir  de 
Herbert  Bavon  et  de  Geoffroi  Martel  l'obhge 
à  se  retirer  en  Normandie  auprès  du  duc 
Guillaume  ;  le  roi  Henri  I"  le  nomme  à  l'ar-       1055. 
chevêche  de  Reims  après  la  mort  de  Gui; 
ses  différentes  fondations  dans  le  diocèse  du 
Mans;  il  sacre  Philippe  I",  fils  du  roi  Henri,       josg. 
XIII,  263.  Ses  liaisons  avec  les  papes  Vic- 
tor U,  Nicolas  II  et  Alexandre  II,  263  et  264. 
Il  rebâtit  l'abbaye  de  Saint-Nicaise  et  y  réta- 
blit la  discipline  monastique  ;  met  des  cha- 
noines réguUers  dans  celle  de  Saint-Deuys  ; 

30 


466 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


fait  revivre  les  études  dans  l'école  de  sa 
1067.  cathédrale;  il  meurt  en  faisant  sa  profes- 
sion de  foi  sur  l'eucharistie;  son  éloge, 264. 
Ses  écrits  :  ses  lettres,  264  et  263.  Relation 
des  miracles  de  saint  Melaine.  Actes  du  sacre 
de  Philippe,  roi  de  France,  26o.  Autres 
écrits  qu'on  lui  attribue,  263  et  266.  [Deux 
diplômes  donnés  par  cet  archevêque,  266.]  — 
Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Etienne,  IX,  242. 
Quatre  lettres  du  pape  Nicolas  II  qui  lui  sont 
adressées,  245,  246.  Analyse  de  treize  lettres 
du  pape  Alexandre  II  qui  lui  sont  adressées, 
287  et  suiv.  [Quinze  lettres  de  ce  pape  à 
Gervais,  287,  n.  10.]  Sa  mort;  Manassès  I" 
lui  succède,  S48.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VII,  p.  372 
et  suiv.) 

GERVAIS,  évêque  du  Mans,  XIII,  263. 

[GERVAIS,  prieur  de  Saint-Céneré,  du 
Maine  :  lettre  que  lui  écrit  Robert  de  Tori- 
gni,  XIV,  791.] 

[GERVAISE ,  bénédictin  :  sa  Vie  de  saint 
Épiphane,  VI,  438.] 

GERVAISE  (Nicolas),  évêque  d'Horen  :  sa 
traduction  française  de  la  lettre  de  Fauste 
de  Riez  au  prêtre  Lucide,  X,  437.  Sa  Vie  de 
Boëce  avec  l'analyse  de  ses  ouvrages,  665. 

GERVAISE    (Armand-François),   ancien 
abbé  de  la  Trappe,  frère  du  précédent  :  sa 
traduction  française  des  lettres  d'Abaillard 
et  d'Héloïse  avec  leur  Vie,  XIV,  341. 
1045_  GERVIN,  abbé  de  Saint-Riquier,  succède 

à  Enguerrand,  XIII,  112. 

GERVIN,  second  abbé  d'Altembourg  :  sa 
Vie  écrite  par  Hariulfe,  XIV,  234. 

GÉRY  (Saint),  évêque  de  Cambray.  Voy. 
Saint  Gaugérie. 

GESNER  (Conrad),  médecin  :  son  édition 
des  lettres  de  saint  Ignace,  I,  387.  Son  édi- 
tion des  livres  de  saint  Théophile,  évêque 
d'Antioche,  à  Autolyque,  480.  Sa  traduction 
latine  de  l'apologie  d'Athénagore  et  du  dis- 
cours de  Tatien  contre  les  Grecs,  487.  —  Son 
édition  du  traité  d'Hermias  intitulé  :  Rail- 
leries des  philosophes  païens,  VI,  332.  —  Sa 
version  latine  des  extraits  d'Antoine  Mélisse, 
XIII,  568.  —  Sa  traduction  latine  du  poëme 
de  Théodore  Prodrome  intitulé  :  l'Amitié 
bannie  du  monde,  XIV,  149. 

GESTES  DU  PAPE  LIBÈRE  :  actes  sup- 
posés, IV,  302. 

GESTES  ÉPISGOPAUX  CONTRE  LES 
MANICHÉENS  :  nom  que  donne  Idace  à  ce 
qui  se  fit  à  Astorga  contre  les  Manichéens, 
X,  667. 


[GESTES  ou  exploits  des  Français,  par 
Roricon,  XIII,  187,  188.] 

GESTES  DE  DIEU  PAR  LES  FRANÇAIS  : 
recueil  des  historiens  de  la  croisade,  donné 
sous  ce  titre  par  Jacques  Bongars,  XIII, 
529. 

[GESTES  de  Henri  I,  roi  d'Angleterre, 
par  Robert  de  Torigni,  XIV,  788.] 

GESTIDIUS,  à  qui  sont  adressés  les  deux        389; 
premiers  poèmes  de   saint  Paulin,  évêque 
de  Noie,  VHI,  82. 

GÉTASE,  terre  qui  appartenait  à  saint 
Mélèce.  Il  y  reçut  saint  Basile,  V,  10. 

GETHES  ou  GÉTAS,  roi  des  Hérules,  bap- 
tisé à  Constantinople  le  jour  de  l'Epiphanie, 
V,  327. 

GÉTULICUS,  évêque,  obligé  par  les  Do- 
natistes  de  se  mettre  en  pénitence,  V,  116. 

GÉVILIEB,  faux  évêque  de  Mayence,  à        745 
qui  le  pape  Zacharie  interdit  toutes  fonctions 
épiscopales.  Il  quitte  ses  désordres  et  meurt        76e 
pénitent,  XII,  33.  —  Il  fut  déposé  dans  un        745 
concile  tenu  par  saint  Boniface,  XIII,  609. 

GEZON,  abbé  de  Tortone  eu  Italie  :  ce  xsih 
qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie  et  du 
temps  où  il  a  vécu,  XIII,  18.  Son  traité  du 
Corps  et  du  sang  de  Jésus-Christ,  19.  Ana- 
lyse de  ce  traité,  19  et  20.  —  Il  y  fait  entrer 
le  livre  de  saint  Paschase  Radbert  presque 
tout  entier,  XII,  547. 

[GFRORER  (et  non  SFROER),  traduit  en 
latin  et  publie  lehvre  d'Hénoch,  1, 265. —  Son 
Histoire  de  saint  Grégoire  VH,  XIII,  374.] 

GHÉRAUD  ou  GÉRAUD,  duc.  Lettre  que     ix  si. 
lui   écrit  Loup  de  Ferrières  au  sujet  d'un 
moine,  XII,  506. 

[GIACOMELLI (Michel):  son  édition  et  sa 
traduction  italienne  du  Sacerdoce  de  saint 
Jean  Chrysostôme,  VII,  435.  —  Son  édition 
d'un  discours  de  saint  Modeste,  patriarche 
de  Jérusalem,  XI,  699,  n.  2.] 

GIBBON  (Richard),  jésuite  :  son  édition 
des  sermons  et  autres  œuvres  spirituelles 
d'^lrède,  abbé  de  Riedval,  XIV,  620.  Son 
édition  des  sermons  d'Amédée,  évêque  de 
Constance,  623. 

GIBELIN,  patriarche  de  Jérusalem,  et  au-  xi 
paravant  archevêque  d'Arles  :  ce  qu'on  sait  ^^^"^^ 
des  circonstances  de  sa  vie,  XIV,  68.  Sa  let- 
tre au  peuple  et  à  l'église  d'Arles,  après  son 
élévation  sur  le  siège  de  Jérusalem,  68  et 
69.  On  ignore  le  temps  précis  de  sa  mort, 
69.  Il  est  élu  patriarche  de  Jérusalem  et  oc-  noi 
cupe  ce  siège  pendant  cinq  ans,  1080.  Il 
avait  été  élu  archevêque  d'Arles  à  la  place 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


467 


d'Achard,  déposé  dans  un  concile  d'Avignon, 
1070.  (Voyez  son  article  dans  V Histoire  lit- 
téraire de  la  France,  t.  IX,  p.  565  et  suiv.) 

GIBERT,  évêque  de  Nimes^  s'empare  d'un 
monastère  :  lettre  du  pape  Jean  VIII  à  ce 
sujet,  XII,  646.  [Lettre  du  pape  Adrien  III 
à  cet  évêque,  au  sujet  du  monastère  de  Saint- 
Gilles,  651,  n.  8.] 

GIBUIN,  évêque  de  Châlons-sur-Marne, 
auteur  d'un  poëme  sur  le  paradis.  Il  y  a  eu 
deux  prélats  de  ce  nom.  (Voyez  ce  qui  en 
est  dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France^ 
t.  VI,  p.  536  et  538.] 

GIBUIN,  archidiacre  de  Troyes,  auteur 
de  quelques  sermons.  (Voyez  ce  qui  est  dit 
de  lui  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  XII,  p.  230.) 

GIBULDE,  roi  des  Allemands,  X,  3o9. 

GIGANTIUS  ou  SIGANTIUS ,  solitaire  : 
épigramme  que  lui  adresse  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  V,  305. 

GIGNY,  [autrefois]  abbaye  dans  le  terri- 
toire de  Lyon.  Le  pape  Pormose  déclare 
exempts  des  dîmes  les  biens  dont  elle  avait  été 
dotée,  XII,  738.  —  La  celle  de  la  Baume 
qui  lui  avait  été  ravie  lui  est  rendue  par  le 
concile  de  Varennes,  XIII,  733.  —  [Leurs 
excès  contre  les  moines  du  Miroir.  Lettre  du 
pape  Eugène  m  à  ce  sujet,  XIV,  278,  279.] 

GILBERT,  archevêque  de  Reims.  Voyez 
Gerbert. 
5.  GILBERT  ou  GISLEBERT,  moine  de  Saint- 
Remi  de  Vareilles,  au  diocèse  de  Sens,  au- 
teur d'une  Histoire  de  saint  Romain,  abbé 
de  Pont-Rouge.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui 
dans  VHistoire  littéraire  de  la  France,  tome 
VII,  p.  501  et  suiv.) 

GILBERT,  doyen  de  l'église  de  Saint-An- 
dré, puis  moine  de  Saint-Amand.  Sa  mort. 
Son  Histoire  du  transfert  des  reliques  de 
saint  Amand.  Autres  écrits  qu'on  lui  at- 
tribue, XIII,  487.  (Voyez  son  article  dans 
VHistoire  littéraire  de  la  France,  tome  VIII, 
p.  429  et  suiv.) 

GILBERT ,  évêque  de  Limerick  en  Ir- 
lande :  Combien  de  temps  il  y  gouverna 
cette  église.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances 
i9.  de  sa  vie.  Sa  mort.  Sa  lettre  circulaire  à 
tous  les  évoques  et  prêti'es  d'Hibernie , 
intitulée  :  Des  usages  ecclésiastiques,  XIV, 

176.  Son  traité  de  l'État  de  l'Église,  176, 

177.  Sa  lettre  à  saint  Anselme,  archevêque 
de  Cantorbéry.  Réponse  de  saint  Anselme 
177.   Ses  lettres  et  son  traité   de  l'Élat  de 
l'Église,  247. 


[GILBERT,    élu    archevêque    d'Aquilée,        im. 
XIV,  182.] 

GILBERT,  chancelier  du  comte  de  Hai- 
naut,  auteur  d'une  chronique.  (Voyez  ce 
qui  est  dit  de  lui  dans  VHistoire  littéraire  de 
la  France,  tome  XII,  p.  536.) 

GILBERT,  moine  de  Saint-Laurent  de 
Liège,  auteur  de  quelques  poëmes.  (Voyez 
ce  qui  en  est  dit  dans  VHistoire  littéraire  de 
la  France,  tome  XII,  p.  529.) 

GILBERT  DE  LA  PORRÉE,  évêque  de 
Poitiers  :  ses  études.  Il  enseigne  avec  succès 
la  philosophie  en  diverses  provinces  de 
France;  il  succède  à  Grimoard  dans  l'évê-  n^j. 
cbé  de  Poitiers.  Il  donne  dans  des  sentiments 
singuliers.  Deux  de  ses  archidiacres  défèrent 
au  pape  plusieurs  de  ses  propositions.  Con-  ^47, 
cile  de  Paris  où  elles  sont  examinées,  XIV, 
342.  Seserreurs  sur  l'essence  divine  sontcon-  1148. 
damnées  au  concile  de  Reims  ;  il  acquiesce  à 
ce  jugement,  342  et  343.  Ses  ouvrages,  343 
et  423.  Sa  lettre  à  Matthieu,  abbé  de  Saint- 
Florent  sur  l'Eucharistie,  344.  [Autres  écrits 
de  Gilbert,  343,  344.  Jugement  sur  les  écrits 
de  Gilbert,  344.  Notices  et  éditions  de  ses 
écrits  dans  la  Patrologie,  343,  n.  2.]  —  Son 
commentaire  sur  le  traité  de  Boëce  des  deux 
natures  et  d'une  personne  en  Jésus-Christ, 
X,  654.  Autre  commentaire  sur  le  traité  du 
même  de  l'unité  de  Dieu,  656  et  665.  —  Ses 
sentiments  sur  la  Trinité  déférés  au  concile 
de  Paris,  XIV,  1119;  condamnés  à  celui  de 
Reims,  1120.  Saint  Bernard  convainc  d'er- 
reur la  doctrine  de  ce  docteur  sur  l'essence 
divine,  423.  (Voyez  son  article  dans  VHistoire 
littéraire  de  la  France,  t.  XII,  p.  466  et  suiv.) 

GILBERT,  archevêque  de  Tours  :  sa  mort  ; 
Hildebert  lui  succède,  XIV,  208. 

GILBERT  L'UNIVERSEL,  évêque  de 
Londres  :  éloge  que  saint  Bernard  fait  de 
lui.  Anglais  de  naissance,  il  passe  en  France, 
se  fait  une  grande  réputation  à  Paris  et  de- 
vient chanoine  d'Auxerre.  Il  succède  à  Ri- 
chard dans  l'évêché  de  Londres.  Sa  mort,  ^^a.J_ 
XIV,  247.  Ses  écrits  :  aucun  n'a  été  imprimé.  ,,34, 
(Voyez  son  article  dans  VHistoire  littéraire  de 
la  France,  tome  XI,  p.  236  et  suiv.) 

GILBERT  FOLIOTH,  transféré  de  l'évê- 
ché d'Erford  à  celui  de  Londres;  [sa  célé- 
brité ;  il  fut  un  des  adversaires  de  saint  Tho- 
mas de  Cantorbéry.  Son  exposition  sur  le 
Cantique  des  Cantiques;  ses  lettres  et  lettres 
qui  lui  sont  adressées,  XIV,  666;  son 
Homiliaire,  666  et  669,  n.  5.]  Sa  lettre  au 
pape  Alexandre  III.  [Écrits  de  Gilbert  de 


468 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Folioth  dans  la  Patrologie,  669,  noie  S.] 

GILDARD  (Saint),  évêque  de  Rouen  :  an- 
tienne en  son  honneur  attribuée  à  saint 
Grégoire  de  Tours,  XI,  384.  Sa  Vie,  attribuée 
à  Fortunat,  évêque  de  Poitiers,  412.  Vers  à 
sa  louange  attribués  à  saint  Ouen,  757. 

GILDAS,  surnommé  ALBANIE,  solitaire 
qui  vivait  auprès  de  Glaston,  est  dififérent  de 
425.  saint  Gildas,  abbé  de  Ruis.  Temps  de  sa 
naissance  et  de  sa  mort,  XI,  318. 
VI  siècle.  GILDAS  (Saint),  abbé  de  Ruis,  surnommé 
le  Sage  et  quelquefois  Badonie;  ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie  ;  ses  voyages. 
11  fixe  sa  demeure  près  de  Vannes  où  il  bâtit 
le  monastère  de  Ruis,  XI,  318.  Incertitude 
où  l'on  est  sur  l'année  de  sa  mort,  318  et 
319.  Les  deux  discours  sur  la  ruine  de  la 
Grande-Bretagne  et  sur  les  dérèglements  du 
clergé  sont  véritablement  de  lui,  319.  Ana- 
lyse de  ce  discours,  319  et  320.  Canons  ou 
règlements  de  discipline  recueillis  par  saint 
Gildas,  320.  Écrits  qu'on  lui  a  attribués  mais 
qui  ne  sont  pas  de  lui,  320.  [Éditions  de  ses 
écrits,  320.]  (Voyez  son  article  dans  VHis- 
toire  littéraire  de  la  France,  t.  III,  p.  279  et 
suiv.) 

[GILDUIN,  archevêque  de  Sens.  Lettre 
que  lui  écrit  Odoranne  sur  une  hérésie  des 
Bourguignons,  XIV,  116.] 

GILDUIN,  abbé  de  Saint-Victor  de  Paris. 
On  lui  attribue  le  livre  de  l'Ordre  de  Saint- 
Victor.  [Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de 
sa  vie,  XIV,  707.  Lettres  et  chartes  de  Gil- 
duin,  708.] 

[GILES,  docteur  anglais  :  son  édition  des 
œuvres  du  Vénérable  Bède,  XII,  18.  Son  édi- 
tion des  lettres  de  saint  Boniface,  37;  — des 
œuvres  de  saint  Thomas  de  Cantorbéry,  XJV, 
667,  668;  des  écrits  d'Héribert,  667,  note  1; 
d'Alain,  667,  note  2;  des  œuvres  de  Gilbert 
Folioth,  668, 669,  n.  S  ;  de  Jean  de  Sarisbéry, 
679;  d'Arnoul,  évêque  de  Lisieux,  668,  754, 
758;  de  Pierre  de  Blois,  76S.] 

GILLEBERT  ou  GILBERT,  abbé  de  Hoil- 
lande,  petite  île  située  entre  l'Angleterre  et 
l'Ecosse  :  ce  qu'on  sait  des  circonstances  de 
H72.  ®^  ^'6'  XIV'  •i^^  et  490.  Sa  mort;  ses  qua- 
rante-huit discours  sur  le  Cantique  des  Can- 
tiques; ils  font  la  suite  de  ceux  de  saint 
Bernard.  Ses  hvres  ascétiques  ;  ses  lettres, 
490. 

GILLES,  abbé  d'un  monastère  dans  la 
Gaule  Narbonnaise,  accompagne  saint  Cé- 
saire  d'Arles  à  Rome  ;  supplique  qu'il  pré- 
sente au  pape  Symmaque,  pour  demander 


que  l'Église  d'Arles  soit  maintenue  dans  ses 
privilèges,  XI,  100.  (On  croit  qu'il  est  le 
même  que  saint  Gilles  qui  suit.  Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
tome  III,  p.  243  et  suiv.) 

GILLES  (Saint),  abbé  :  prose  et  répons  de 
Fulbert  de  Chartres  en  l'honneur  de  ce  saint, 
XIII,  88. 

GILLES  (Saint-) ,  abbaye.  [Lettre  du  pape 
Marin  I  aux  moines  de  Saint-Gilles,  XII,  651.] 
Contestation  entre  l'abbaye  de  Saint-Gilles 
et  celle  de  Cluny terminée  parle  pape  Inno- 
cent II,  XIV,  261. 

GILLES,  archevêque  de  Reims,  entre- 
prend d'ériger  un  évêché  à  Châteaudun  ; 
cette  entreprise  est  réprimée  par  le  qua- 
trième concile  de  Paris,  XI,  892.  Il  sacre 
saint  Grégoire,  évêque  de  Tours,  363.  Con- 
vaincu d'avoir  conspiré  contre  le  roi  Childe- 
bert,  il  est  déposé  au  concile  de  Metz  et 
exilé  à  Strasbourg,  903,  906. 

GILLES  DE  PARIS.  Voyez  Gilon  de 
Paris. 

GILLES ,  abbé  de  Venouse  :  sa  mort  : 
Pierre,  bibliothécaire  du  Mont-Cassin,  lui 
succède,  XIV,  582. 

[GILLET  (Joachim)  :  sa  traduction  fran- 
çaise des  écrits  de  l'historien  Josèphe,  I, 
329.] 

[GILLES  CLÉMENT,  ministre  disgracié 
de  Phihppe-Auguste  :  lettre  que  lui  écrit 
Odon  de  Saint-Père,  XIV,  712.] 

GILLES  ou  GILLIUS,  traducteur  du  com- 
mentaire de  Théodoret  sur  les  douze  petits 
Prophètes,  X,  141. 

GILLOT  (Jean)  :  son  édition  des  œuvres 
de  saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  88  ;  —  son 
édition  des  œuvres  de  saint  Ambroise,  V, 
383  ;  —  son  édition  des  œuvres  du  pape 
saint  Grégoire  le  Grand,  Xi,  384;  —  son 
édition  des  œuvres  de  saint  Bernard,  XIV, 
498. 

GILON  ou  GILES  de  Paris  :  sa  continua- 
tion de  l'Histoire  de  la  première  croisade 
commencée  par  Foulques,  XIII,  540.  Cir- 
constances de  sa  vie  qu'on  tient  d'un  ma- 
nuscrit de  Marchiennes,  340.  [Quelques  cir- 
constances de  sa  vie,  540.  Lettre  de  Gilon  à 
Pons,  abbé  de  Cluny,  341,  342.  Sa  dispute 
avec  le  patriarche  d'Antioche,  342.  Giles  de 
Paris  fait  paraître  avec  de  nombreuses  cor- 
rections et  additions  l'ouvrage  de  Pierre  de 
Riga  intitulé  Auro7'a,  XIV,  887.  Notice  sur 
lui  et  fragments  dans  la  Patrologie,  888.] 

GILON,  moine  de  Cluny,  depuis  cardinal- 


590. 


f 


11S9J 


XI  el 

XlUlèc 


I 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


469 


120. 


évêque  d'Ostie,  écrit  la  Vie  de  saint  Hugues, 
XIV,  51. 

GINGULFE,  monastère  fondé  à  Florines 
par  Gérard,  évêque  de  Cambrai,  et  par  son 
père,  XIII,  160. 

GIRARD,  évêque  de  Limoges;  sa  mort: 
Jourdain  lui  succède,  XIII.  179. 

GIRARD,  évêque  d'Angoulême  :  bulle  par 
laquelle  le  pape  Pascal  II  l'établit  légat  des 
provinces  de  Bourges,  Bordeaux,  Tours, 
Auch  et  Bretagne,  XIV,  135.  Il  meurt  arche- 
vêque de  Bordeaux  et  Geoffroi  de  Loriole  lui 
succède,  409.  Devenu  fauteur  du  schisme, 
ses  ordinations  sont  déclarées  nulles,  1114. 
[Pièces  relatives  à  cet  évêque  dans  la  Patro- 
logie,  t.  XIV,  p.  135,  note  l.J 

GIRARD,  abbé  du  Mont-Cassin;  sa  mort; 
Odérise  II  lui  succède,  XIV,  1097. 

[GIRARD,  chanoine  et  curé  :  il  travaille  à 
l'Histoire  de  l'église  de  Compostelle,  XIV, 
541,  542.] 

[GIRALDI  :  son  édition  des  œuvres  de 
Tertullien,  II,  85.] 

GIRBERGE,  mère  de  saint  Odilon,  abbé 
de  Cluny,  embrasse  la  vie  monastique  après 
la  mort  de  son  mari,  XIII,  150. 

GIRBERT,  évêque  de  Paris  :  lettre  que 
lui  écrit  le  pape  Gallixte  II,  XIV,  1098. 

GIRONE.  Concile  tenu  en  cette  ville,  X 
749.  —  Autres,  XIII,  436,  553.  —  Autres | 
XIV,  1048,  1065.  —  [Bulle    du  pape  For- 
mose  en  faveur  de  l'Église  de  Girone,  XII, 
739.] 

GIRVE  ou  JAROU,  monastère  fondé  par 
saint  Benoît  Biscop,  XI,  802. 

GIRY  (Louis),  avocat  :  sa  traduction  fran. 
çaise  de  l'Apologétique  de  Tertullien,  II, 
86;  du  traité  de  la  Chair  de  Jésus-Christ  et 
de  celui  de  la  Résurrection  de  la  chair,  87  ;  — 
sa  traduction  française  de  l'Histoire  sacrée 
de  Sulpice-Sévère ,  VIII,  122  ;  —  des  dix 
premiers  livres  de  la  Cité  de  Dieu  de  saint 
Augustin,  IX,  812.  Son  édition  des  lettres 
choisies  de  saint  Augustin,  815. 

GISÈLE,  fille  de  Théodulfe,  évêque  d'Or- 
léans, XII,  262.  Psautier  que  Théodulfe  avait 
fait  écrire  pour  elle,  269. 

GISÈLE,  fille  de  Pépin  le  Bref  et  sœur  de 
Charlemagne,  XII,  116. 

GISÈLE,  fille  de  Charlemagne.  Voyez 
Gisla. 

GISÈLE,  fille  de  Louis  le  Débonnaire  et 
femme  d'Éberard,  comte  de  Frioul  :  son 
testament,  XII,  613. 

GISELIN  (Victor),  médecin  :  ses  notes  et 


corrections  sur  le  Manuel  du  poète  Prudence, 
Vm,  107. 

GISILER,  évêque  deMersbourg,  transféré        983. 
à  l'archevêché  de  Magdebourg,  XIII,  760; 
accusé  dans  un  concile  de  Rome  de  posséder        999. 
en  même  temps  les  deux  évêchés  de  Mers- 
bourg  et  de  Magdebourg,  764. 

GISLA  ou  GISÈLE,  fille  de  Charlemagne, 
demande  à  Aleuin  un  commentaire  sur  l'Evan- 
gile de  saint  Jean,  et  il  le  lui  adresse,  XII, 
171.  (Les  auteur  de  l'Histoire  littéraire  de  la 
France  supposent  que  ceci  regarde  plutôt 
Gisèle,  sœur  de  Charlemagne.) 

GISLA,  abbesse  de  Remiremont  :  son  dif-        Fm 
férend  avec  l'abbé  Séher  pour  la  cure  de 
Chaumonsey,  XIII,  600. 

GISLEBERT,    évêque  de  Chartres,  con-     ix  siècle, 
fondu  par  Baluse  avec  Guillebert,  évêque 
de  Châlons-sur-Marne,  XII,  628. 

GISLEBERT  Crispiu,  abbé  de  Westmins- 
ter, fait  profession  delà  vie  monastique  dans 
l'abbaye  du  Bec;  il  parcourt  les  plus  célè- 
bres écoles  de  France,  d'Itahe,  d'Allemagne; 
ses  conférences  à  Mayence  avec  un  Juif  sur 
la  religion  chrétienne  ;  il  a  avec  lui  une  dis- 
pute publique.  Il  est  élu  abbé  de  West-  «82. 
minster,  XIV,  174.  On  ignore  le  temps  pré-  v.  ii23. 
cis  de  sa  mort,  174  et  175.  Il  met  par  écrit 
sa  conférence  avec  le  Juif;  analyse  de  cet 
ouvrage,  175  et  176.  Autres  ouvrages  qu'on 
lui  attribue,  176.  (Voyez  son  article  dans 
VHisioire  littéraire  de  la  France,  t.  X,  p.  192 
et  suiv.;  voyez  aussi  Crispin.) 

GISLEBERT,  moine  qui  embrasse  une  plus    xii  siècle, 
grande  retraite  :  lettre  d'instructions  que  lui 
écrit  Pierre  le  Vénérable,  XIV,  503. 

GISLEMAR,  moine  de  Saint-Germain  des 
Prés,  auteur  d'une  Vie  de  saint  Doctrovée. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  V,  p.  396  et  suiv.) 

GLABER  (Rodulphe),  moine  de  Cluny. 
Voyez  Rodulphe  Glaber. 

GLADBAC,  monastère  an  diocèse  de  Co-      y.  973. 
logne  :  temps  de  sa  fondation,  XII,  911. 

GLADIATEURS.  Ils  n'étaient  point  admis 
au  baptême  avant  qu'ils  eussent  quitté  leur 
profession,  II,  594  —  Lois  de  Constantin 
touchant  les  gladiateurs,  III,  124, 144  et  146. 
—  Lois  de  Constance  contre  les  spectacles 
des  gladiateurs,  VI,  342.  Loi  de  Valenti- 
nien  I  touchant  les  gladiateurs,  355.  —  Ils 
furent  abolis  à  Rome  l'an  403,  III,  99.  A 
quelle  occasion  ils  furent  abolis  à  Rome,  X, 

139. 
[GLAIRE  (l'abbé)  :  sa  traduction  française 


470 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


970. 


971. 


VI  siècle. 


ion. 


325. 


des  écrits  de  l'historien  Josèphe,  I,  329.] 

GLAIVE.  Explication  que  donne  Alcuin 
de  l'allégorie  des  deux  glaives,  XII,  600.  — 
Explication  donnée  par  saint  Bernard,  XIV, 
464. 

GLANFEUIL,  monastère  de  France  fondé 
par  saint Maur,  XI,  610;  abandonnée  cause 
des  courses  des  Normands,  611.  Histoire  de 
son  rétablissement  par  l'abbé  Odon,  611  et 
612.  —  Ce  monastère  avait  été  soumis  à  ce- 
lui de  Saint-Maur  des  Fossés,  où.  on  trans- 
porta les  reliques  de  saint  Maur.  Histoire  de 
la  destruction  et  du  rétablissement  de  ce 
monastère  écrite  par  Odon,  XII,  600. 

GLAPHIRES  SUR  LE  PENTATEUQUE, 
ouvrage  de  saint  Cyrille  d'Alexandrie,  VIll, 
265. 

GLARÉANUS.  Voyez  Lorit. 

[GLASER  (Nicolas)  :  son  recueil  des  écrits 
apocryphes  de  l'Ancien  et  du  Nouveau  Tes- 
tament, I,  275.] 

GLASTEMBURI ,  monastère  que  le  roi 
Edgar  prend  sous  sa  protection,  et  auquel  il 
fait  plusieurs  donations  qu'il  fait  confirmer 
par  un  concile  de  Londres  et  par  une  bulle 
du  pape  Jean  XllI,  XllI,  758. 

GLASTON  :  de  l'antiquité  de  l'Église  de 
Glaston,  ouvrage  de  Guillaume  de  Malmes- 
bury,  XIV,  315. 

GLOIRE  DES  SAINTS.  Doctrine  de  Clé- 
ment d'Alexandrie ,  1 ,  596.  Doctrine  de 
saint  Jean  Chrysostôme  sur  la  gloire  de 
l'homme,  VU,  170  et  191.  —  Doctrine  de 
saint  Cyprien  et  de  saint  Augustin,  IX,  528, 
529  et  796.  —  Poëme  de  Francon,  abbé 
d'Afflighem,  sur  la  gloire  future,  XIV,  191. 

GLORIA  IN  EXCELSIS.LepapeSymma- 
que  établit  l'usage  de  chanter  cette  hymne 
le  dimanche  et  aux  fêtes  des  martyrs,  X, 
S28.  —  Comment  on  le  disait  dans  la  messe 
pontificale,  XI,  539.  —  Témoignage  de  Ra- 
ban  Maur  sur  l'origine  de  cette  doxologie, 
XII,  454.  Le  pape  saint  Nicolas  I  déclare  que 
lesévèques  selon  l'usage  romain  doivent  dire 
le  Gloria  inexcelsis  à  la  messe  du  Jeudi-Saint, 
582.  —  Bulle  du  pape  Benoît  VllI  qui  per- 
met à  un  monastère  de  le  chanter  le  jour  de 
la  Purification,  lorsque  cette  fête  arrive 
après  la  Septuagésime,  XIII,  192.  Ce  can- 
tique est  mis  en  chant  par  le  pape  saint 
Léon  IX,  212. 

GLORIA,  LAUS  ET  HONOR,  etc.  Hymne 
dont  Théodulphe,  évêque  d'Orléans,  est  au- 
teur, XII,  268. 

GLORIA  PAÏRI  :  iaslitution  de  cette  for- 


mule attribuée  au  concile  de  Nicée;  Arias  y 
fait  quelques  changements,  III,  439.  —  On 
attribue  faussement  au  pape  saint  Damase 
cette  doxologie,  V,  27.  —  Addition  faite  au 
Gloria  Pa^n  adoptée  par  le  concile  de  Vaison, 
XI,  839.  Le  concile  de  Narbonne  ordonne 
de  le  chanter  à  la  fin  de  chaque  psaume  et 
et  même  de  chaque  division,  904.  —  Dispo- 
sition du  quatrième  concile  de  Tolède  sur  le 
chant  du  Gloria  Patri,  XII,  917. 

GLORIFIER  (se)  dans  le  Seigneur  :  Dis- 
cours de  saint  Valérien  de  Cémèle  sur  ces 
paroles  de  saint  Paul  :  «  Que  celui  qui  se 
glorifie,  se  glorifie  dans  le  Seigneur,  d  X, 
157,  158. 

GLORIUS,  Donatiste  :  lettre  de  saint  Au- 
gustin à  Gloi'ius  et  à  quelques  autres  Dona- 
tistes,  IX,  76  et  80;  autre  lettre  de  saint  Au- 
gustin aux  mêmes,  80. 

GLOSCHER,  moine  etécolâtre  de  l'abbaye 
de  Saint-Matthieu  à  Trêves,  XIII,  560.  Son 
travail  dans  l'Histoire  des  archevêques  de 
Trêves,  561. 

[GLOSES  ou  petites  formules,  ouvrage  de 
saint  Eucher  de  Lyon,  VIII,  448,  449.] 

GLOSE  ORDINAIRE  SÛR  LA  BIBLE  : 
ouvrage  de  Walafrid  Strabon;  ce  que  c'est; 
différentes  éditions  qu'on  en  a  données,  XII, 
411. 

GLOSE  INTERLINÉAIRE  SUR  L'ÉCRI- 
TURE SAINTE,  par  Anselme  de  Laon, 
XIV,  182. 

GLOSSAIRES  GRECS  ET  LATINS  :  pour- 
quoi attribués  à  saint  Cyrille  d'Alexandrie, 
VIII,  324.  —  Glossaire  attribué  à  saint  Isi- 
dore de  Séville,  XI,  726.  —  Glossaire  de 
l'ancienne  langue  tudesque  rédigé  par  Gol- 
dast,  XII,  110.  Glossaire  latin-tudesque,  ou- 
vrage de  llaban  Maur,  468.  [Glossaire  ou 
lexicon,  sous  le  nom  de  Salomon,  est  du 
moine  Ison,  605.  —  Glossaire  ou  diction- 
naire latin,  par  Garnier,  évêque  de  Langres, 
XIV,  8H.1 

GLOSSINDE  (Sainte),  fondatrice  et  pre- 
mière abbesse  du  monastère  qui  porte  son 
nom  à  Metz  :  sa  Vie,  retouchée  par  Jean, 
abbé  de  Saint-Arnoul,  XII,  865.  Histoire  des 
trois  translations  de  ses  reliques  écrite  par 
le  même,  865  et  866.  Office  de  la  nuit  pour 
le  jour  de  sa  fête,  par  un  autre  Jean,  abbé 
de  Saint-Arnoul,  867. 

[GLUSSING   (J.   Otto)  a  traduit  en  alle- 
mand l'épître  de  saint  Barnabe  et  les  deux 
éplires  aux  Corinthiens,  I,  361.] 
GLYCAS  (Michel).  Voyez  Michel  Glycas. 


633. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


174. 


blècle. 


GLYGÉRIUS  (Saint),  évêque  :  vers  d'En- 
node  à  sa  louange,  X,  577. 

GLYGÉRIUS,  moine  et  diacre  :  lettre  de 
saint  Basile  à  saint  Grégoire  de  Nazianze 
touchant  l'affaire  de  ce  moine  ;  lettre  à  Gly- 
cérius  même,  IV,  4S7. 

GNOSIMAQUES,  hérétiques  dont  parle 
saint  Jean  Damascène,  XII,  69. 

GNOSTIQUE  :  ouvrage  d'Évagre  de  Pont 
intitulé  le  Sacré  ou  Gnostique,  VI,  113. 

GNOSTIQUES,  hérétiques  :  leur  faux 
évangile,  I,  274.  Leur  erreur  touchant  le 
Verbe,  376.  Ils  sont  réfutés  par  saint  Irénée, 
497  et  suiv.  —  Ce  que  saint  Épiphane  dit  de 
celte  secte,  VI,  387. 

GOAR  (Saint) ,  ermite  :  sa  Vie  retouchée 
par  Wandalbert,  moine  de  Prum,  qui  y 
ajoute  la  relation  de  ses  miracles,  XII,  S98. 

GOAR  (Jacques),  dominicain  :  son  édition 
de  la  Ghronographie  de  Georges  Syncelle  ; 
de  celle  de  Théophanes,  XII,  156.  Ses  notes 
sur  la  Ghronologie  de  Nicéphore,  282.  — 
Son  édition  de  l'Eucologe  des  Grecs,  avec 
une  traduction  latine  et  de  savantes  notes, 
XIII,  137. 

GODBALDE,  prêtre,  convaincu  d'incon- 
tinence, est  privé  de  ses  fonctions,  XIII, 
728. 

GODEBERT  (Saint).  Sa  Vie  attribuée  à 
Radbod,  évêque  de  Noyon  et  de  Tournai, 
XIII,  490. 

GODEFROI,  prévôt  de  la  grande  église 
de  Liège,  vole  à  Rome  des  reliques  de  saint 
Laurent  et  les  apporte  à  Liège,  XIII,  262. 

GODEFROI,  duc  et  marquis  de  Toscane  : 
lettre  que  lui  écrit  saint  Pierre  Damien,  XIII, 
306  et  322.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Gré- 
goire VII  après  son  élection,  351. 

GODEFROI,  prévôt  de  Stavélo.  Ge  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie,  XIII,  345. 
Son  ouvrage  intitulé  :  Triomphe  de  saint 
Rémacle  sur  le  monastère  de  Malmédi,  345 
et  346.  A  quelle  occasion  il  fut  composé  ; 
idée  de  cet  ouvrage  ;  éditions  qu'on  en  a 
faites.  Ghansons  sur  ce  qui  s'était  passé  à 
Liège  dans  la  translation  des  reliques  de 
saint  Rémacle,  346.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  VIII, 
p.  147  et  suiv.) 

GODEFROI,  usurpateur  du  siège  de  Milan. 
Lettre  que  le  pape  Grégoire  VII  écrit  à  son 
sujet  aux  fidèles  de  Lombardie,  XIII,  352. 

GODEFROI,  scholaslique,  puis  chancelier 
de  l'Église  de  Reims  :  ce  qu'on  sait  des  cir- 
constances de  sa  vie,  XIII,  480,  481.  Sa 


1076. 


1096. 


1097. 
1098. 
1099. 
1100. 


471 

mort;  ses  poésies  :  on  n'en  a  que  quelques       1095. 
fragments,  481.  Son  éloge  par  Baudri,  évê- 
que de  Dol,  531.  (Voyez  son  article  dans 
V Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  VIII, 
p.  398  et  suiv.) 

GODEFROI  IV ,  duc  de  la  Basse-Lorraine  : 
sa  réconciliation  avec  Baudouin,  comte  de 
Flandres,  XIV,  1059. 

GODEFROI  V,  duc  de  la  Basse-Lorraine 
et  de  Bouillon  :  sa  mort,  XIII,  526. 

GODEFROI  DE  BOUILLON,  roi  de  Jéru- 
salem :  son  illustre  naissance.  Il  se  croise 
avec  ses  deux  frères  Eustache  et  Baudouin  ; 
il  oblige  l'empereur  Alexis  Comnène  à  re- 
mettre en  liberté  Hugues  le  Grand  et  d'au- 
tres seigneurs,  XIII,  526.  Il  prend  Nicée, 
Prise  d'Antioche  ;  Jérusalem  est  assiégée  et 
prise.  Godefroi  est  élu  roi  ;  il  remporte  une 
grande  victoire  sur  le  Soudan  d'Egypte;  sa 
mort.  Son  code  ou  corps  de  droit  coutumier 
intitulé  Livre  des  assises,  527.  [Éditions  ré- 
centes de  ce  code;  ses  lettres,  527  et  suiv. 
Ses  trois  diplômes,  529.]  —  Il  est  élu  roi  de 
Jérusalem,  XIV,  1074.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 
VIII,  p.  598  et  suiv.) 

GODEFROI,  prieur  de  Vinchester,  rétablit 
le  bon  ordre  dans  cette  abbaye,  XIII,  600. 
Sa  mort;  les  écrits  dont  on  le  fait  auteur, 
600.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  tome  IX,  p.  332  et  suiv.) 
GODEFROI  (Saint),  abbé  de  Nogent,  est 
élu  évêque  d'Amiens,  XIV,  194.  Goncile  de 
Troyes  où  son  élection  est  confirmée,  1078. 
Il  abdique  l'épiscopat  pour  se  retirer  à  Gluny, 
puis  à  la  Ghartreuse,  305  et  1085.  Les  dé- 
putés de  la  ville  d'Amiens  viennent  au  con- 
cile de  Beauvais  se  plaindre  de  sa  retraite; 
reproches  que  leur  fit  Raoul,  archevêque 
de  Reims,  1083.  Le  concile  de  Soissons  lui 
enjoint  de  retourner  à  son  évêché.  Il  y  est 
reçu  avec  une  grande  joie,  303  et  1083.  [Ses 
écrits  et  pièces  qui  le  concernent  dans  la  Pa- 
trologie,  194,  note  10.] 

GODEFROI,  évêque  de  Chartres,  succède       ms. 
à  Hugues.  Ge  qu'on  sait  des  circonstances 
de  sa  vie;  sa  mort  ;  ses  lettres,  XIV,  404.  H48. 

GODEFROI  (le  Vénérable),  abbé  des  Monts; 
ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie;  sa  H65. 
mort.  Ses  homélies  ;  méthode  qu'il  y  suit. 
Sur  la  grâce  et  la  prédestination ,  il  suit  les 
sentiments  de  saint  Augustin.  Sur  la  concep- 
tion de  la  sainte  Vierge,  il  suit  celui  de  saint 
Bernard,  XIV,  387.  Homélies  sur  les  di- 
manches de  l'année,  587  et  588.  Homélies 


1082. 
1107. 

1104. 
1114. 
1115. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


472 

sur  les  fêles;   homélies   sur  divers  sujets, 
588.  Opuscule  surles  bénédictions  que  Jacob 
donna  à  ses  enfants,  588  et  589.  Livre  des 
dix  calamités  prédites  par  Isaïe,  589.  Lettre 
à  un  moine,  589.  [Écrits  de  Godefroi  dans  la 
Patrologie,  589  et  suiv.] 
Xll  siècle.        [GODEFROI,   chanoine  de  Saint-Victor  : 
s'il  est  différent  de  Geoffroi  ou  Godefroi,  sous- 
prieur  de    Sainte-Barbe,   XIV,   811,   812. 
Écrits  publiés  sous  son  nom,  815   et  suiv. 
Son  Microscomus  ;   ses  sermons,  815.  Son 
écrit    intitulé  :  Fons  philosophise,  815   et 
suiv.  Son  éloge  de  saint  Augustin,  817,  818. 
Autres  écrits;    quelques  fragments  de  ses 
écrits  et  notice  sur  l'auteur  dans  la  Patro- 
logie, 818.] 

GODEFROI  (Jacques)  :  ses  notes' sur  les 
livres  de  Tertullien  aux  nations,  II,  86. 

GODEGISILE,  frère  de  Gondebaud,  règne 
sur  une  partie  des  Bourguignons,  X,  735. 
1022.  GODEHARD  (Saint),  évêque  d'Hildesheim, 

succède  à  saint  Bernouard,  XIII,  67  et  96. 
1083.  Sa  mort,  96.  Analyse  de  sa  Vie  écrite  par 
Wolférus,  96  et  97.  Lettres  de  saint  Gode- 
hard,  971.  —  [Vie  de  saint  Godehard  dans  la 
Patrologie  latine,  61.  Bulle  de  sa  canonisation, 
sa  Vie  et  ses  quatre  lettres  dans  la  Patrologie, 
XIII,  97. J — Il  est  canonisé  au  concile  de 
Reims  par  le  pape  Innocent  II,  XIV,  1112. 
VIII  siècle.  GODESCALC,  diacre  de  l'Église  de  Liège, 
auteur  de  la  Vie  de  saint  Lambert,  évêque 
de  Maestricht,  XII,  150.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 
IV,  p.  57  et  suiv.) 
VIII  siècle.  GODESCALE,  auteur  d'un  poëme  à  l'hon- 
neur de  Charlemagne,  XII,  151. 

[GODELÈVE  (Sainte)  :  sa  Vie  par  Drogon, 
abbé  de  Saint-André  de  Bruges,  XIII,  271, 
272.] 
743.  GODOLSACE,   l'un  des  imposteurs    qui 

furent  condamnés  au  concile  de  Leptines  et 
à  celui  de  Rome,  XII,  151. 
745.  [GODESGALR,  moine.  On  a  quatre  proses 

ou  séquences  sous  le  nom  de  ce  moine,  XIII, 
117.] 

GOERIC,  évêque  de  Metz.  Voyez  Abbon. 
1097.  GOIFFRED,  doyen  de  la  cathédrale  du 

Mans,  s'oppose  à  l'élection  de  l'évêque  Hil- 
debert,  XIV,  207. 

GOISBAUD  DU  BOIS  (Philippe)  :  sa  tra- 
duction française  des  Confessions  de  saint 
Augustin,  IX,  813  ;  de  plusieurs  autres  ou- 
vrages, 814,  815. 

GOLDAST  (Me)chior),  jurisconsulte  alle- 
mand, éditeur  du  discours  de  saint  Valérien, 


évêque  de  Cémèle,  du  Bien  de  la  discipline, 
X,  155.  —  Son  Glossaire  de  l'ancienne  lan- 
gue tudesque  formé  des  gloses  de  Kéron, 
moine  de  Saint-Gai,  XII,  110. 

GOLEFER  (Paul).  Son  édition  des  Remar- 
ques du  P.  Gombefis  sur  divers  ouvrages 
de  saint  Basile  de  Césarée,  .IV,  546. 

GOLGOTHA  ou  mont  Calvaire,  réputé  si- 
tué au  miheu  de  la  terre,  V,  45  [et  630.] 

GOMI,  ville  d'Afrique.  Lettre  du  pape 
Léon  IX  qui  défend  à  l'évêque  de  Gomi 
d'usurper  les  droits  de  métropolitain  en 
Afrique,  au  préjudice  de  celui  de  Carthage, 
XIII,  205,  206. 

GOMORRHIEN,  opuscule  de  Pierre  Da- 
mien  contre  les  clercs  impudiques,  XIII, 
312. 

GONDEBAUD,  roi  des  Bourguignons.  Sa 
déférence  pour  saint  Avil,  évêque  de  Vienne, 

X,  554.  Plusieurs  lettres  que  lui  écrit  ce 
saint,  554,  359,  561.  Il  reçoit  de  Théodoric 
des  cadrans  solaires  et  des  hydrauliques, 
647.  Il  permet  que  les  évêques  catholiques 
aient  à  Lyon  en  sa  présence  une  conférence 
avec  les  évêques  ariens,  733  et  suiv.  Il  se 
fait  catholique,  mais  sans  vouloir  que  son 
changement  fût  connu,  736.  —  Lettre  d'A- 
gobard  de  Lyon  contre  la  loi  touchant  les 
combats  singuhers,  XII,  368,  369.  (Voyez 
l'article  de  Gondebaud  dans  ['Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  III,  p.  81  et  suiv.) 

[GONDECHAR,   évêque   d'Eicshtadt.   Ses 
écrits,  XIII,  326,  n.  4.] 
GONDÉGÉSILE,    évêque   de    Bordeaux, 

XI,  905. 

GONDEMAR,  roi  des  Goths  en  Espagne, 
conBrme  le  décret  du  concile  de  Tolède  qui 
mettait  la  province  de  Carthagène  sous  la 
métropole  de  Tolède,  XI,  911. 

GONDIGAIRE  ou  GONDIAC,  roi  des  Bour- 
guignons, X,  338. 

GONDULFE,  à  qui  Lanfranc  écrit  une 
lettre  en  lui  envoyant  une  croix  avec  des 
reliques,  XIII,  454. 

[GONDULFE,  évêque  de  Rochester,  zélé 
pour  la  correction  des  anciens  hvres.  Sa 
vie,  XIV,  47,  48.  Ses  écrits  sur  la  sainte 
Écriture,  48,  49.  Ses  sermons,  49  et  50.] 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  IX,  p.  369  et  suiv.  On  l'a  re- 
produit à  peu  près  dans  la  nouvelle  édi- 
tion.) 

[GONET  (l'abbé).  Sa  traduction  du  livre 
de  la  Colère  de  Dieu  ;  du  premier  livre  des 
Institutions  de  Lactance,  II,  321.  —  Sa  tra- 


% 


1053. 


610. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


473 


duction  française  de  quelques  écrits  d'Eu- 
sèbe  de  Césarée,  III,  312  ;  —  de  plusieurs 
écrits  de  saint  Athanase ,  IV,  233  ;  —  de 
plusieurs  écrits  de  saint  Ambroise,  V,  386.] 

i-  GONTAMOND,  roi  des  Vandales  en  Afri- 

que, succède  à  son  oncle  Hunéric,  X,  462. 

6-  Il  rend  la  paix  à  l'Église,  464  et  719.  Sa 
mort,  462. 

[GONTHAIRE,  évêque.  Lettre  contre  lui, 
XII,  386.] 

0-  GONTHIER,  archevêque  de  Cologne.  Ses 

intrigues  pour  autoriser  le  divorce  de  Lo- 
thaire  avec  Tietberge  et  son  mariage  avec 
Waldrade,  XII,  575.  Conduite  du  pape  saint 
Nicolas  I"  à  son  égard,  373  et  595.  Son 
mémoire  en  forme  de  plainte  contre  ce 
pape.  Deux  lettres  qui  nous  restent  de  lui, 
595-  Lettre  que  lui  écrit  Hincmar  de  Reims 
au  sujet  d'Ingeltrude ,  séparée  du  comte 
Boson,  son  mari,  678.  —  Il  est  déposé  par 
le  pape  saint  Nicolas  I",  XIII,  698.  Confir- 
mation de  ses  statuts  pour  les  chanoines  de 
la  cathédrale,  715.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  364 
et  suiv.) 

GONTHIER  (Saint),  comte,  puis  moine 
d'Altach.  Analyse  de  sa  Vie  écrite  par  Wol- 
ferus,  chanoine  d'Hildesheim,  XIII,  181, 
182.  Année  de  sa  mort,  182. 

>!cie.  GONTHIER,  évêque  de  Bamberg  et  chan- 
celier de  l'empereur  Henri  IV.  Sa  lettre  au 
pape  Nicolas  II  en  faveur  du  mariage  des 
prêtres,  XIH,  326. 

icie.  GONTHIER,  moine  de  Saint-Amand.  Ce 
que  Trithème  dit  de  ses  talents  ;  ouvrage 
qu'il  lui  attribue,  XIII,  561.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  litléj^aire  de  la  France, 
t.  IX,  p.  381  et  suiv.) 

[GONTHIER,  moine  de  Cîteaux.  Ce  qu'on 
sait  de  sa  vie,  XIV,  893.  Son  Ligurinus,  893 
et  suiv.  Son  Histoire  de  la  prise  deConstan- 
tinople,  896,  897.] 

s.  CONTRAN,  roi  d'Orléans  et  de  Bourgo- 

gne, confirme  par  une  loi  le  canon  du  con- 
cile de  Mâcon  qui  recommandait  la  célébra- 
tion du  dimanche,  XI,  323,  326.  Avec  quelle 
religion  il  observe  le  droit  d'asile  confirmé 
par  le  même  concile.  Son  discours  aux  gé- 
néraux de  son  armée,  326.  Son  traité  de 
paix  avec  Childebert.  Sa  mort,  327.  Ambas- 
sade de  saint  Grégoire  de  Tours  auprès  de 
lui  de  la  part  de  Childebert,  366.  Église 
qu'il  fait  bâtir  à  Chalon-sur-Saône  en  l'hon- 
neur de  saint  Marcel,  745.  Concile  qu'il  as- 
sembla à  Valence  où  il  fit  confirmer  toutes 


ses  donations  faites  ou  à  faire,  896.  —  Son 
ordonnance  par  laquelle  il  confirme  les  dé- 
crets du  second  concile  de  Mâcon,  XII,  227. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  III,  p.  368  et  suiv.) 

CONTRAN  BOSON,  soupçonné  d'avoir 
assassiné  le  roi  Childebert  II,  se  réfugie 
dans  l'église  de  Saint-Martin,  d'où  on  ne 
peut  le  tirer,  XI,  370. 

[GONZALÈS  (Antoine).  Son  édition  de  la 
colJection  des  canons  attribués  à  saint  Isi- 
dore de  Séville,  XI,  727.] 

GONZON,  abbé  de  Florence.  Ce  qu'on  sait 
des  circonstances  de  sa  vie.  Il  assiste  au  1059. 
sacre  du  roi  de  France  Philippe  I".  Il  est 
auteur  de  la  relation  des  miracles  opérés 
par  l'intercession  de  saint  Gengoul.  Valère 
André  lui  attribue  un  écrit  sur  la  fondation 
d'un  monastère  de  Saint-Gengoul,  XIII, 
233.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VII,  p.  491  et  suiv.) 

GORDIE  ou  GORDIUS  (Saint),  martyr  de  iv  siècle. 
Césarée  en  Cappadoce,  111,78,  79.  —  Ho-  iv  siècle, 
mélie  de  saint  Basile  sur  ce  saint,  IV,  388. 

GORDIEN  (Saint),  martyr  à  Rome,  III, 
413. 

GORDIEN  LE  JEUNE,  empereur,  mis  à 
mort  par  l'ordre  de  Phifippe,  depuis  empe- 
reur, VI,  96. 

GORDIEN,  aïeul  de  saint  Fulgence,  évê- 
que de  Ruspe,  chassé  d'Afrique,  s'établit  en 
Italie,  XI,  1. 

GORDIEN,  prêtre,  père  du  pape  saint  Aga- 
pet,  XI,  118. 

GORDIEN,  moine,  auteur  supposé  des 
Actes  du  martyre  de  saint  Placide,  disciple 
de  saint  Benoît,  XI,  349. 

GORDIEN,  père  du  pape  saint  Grégoire  le 
Grand,  était  du  nombre  des  sénateurs.  II 
embrasse  l'état  ecclésiastique.  11  est  fait 
diacre  régionnaire.  Son  portrait  se  voit  en- 
core à  Rome,  XI,  429. 

GORDIEN,  évêque  de  Séville  (ou  plutôt 
d'Espagne).  Combien  a  duré  son  épiscopat, 
XI,  646,  [La  lettre  du  pape  Deus-Dedit  à 
Gordien  est  une  pièce  supposée  d'après  dom 
Ceillier,  XI,  646  ;  elle  est  authentique  d'a- 
près l'éditeur,  646,  note  3.] 

GORDIUS,  prêtre  de  Carthage,  H,  299. 

GORGONE,  évêque  de  Germanicie,  l'un 
des  ordinateurs  de  Paulin,  évêque  d'Antio- 
che,  IV,  244. 

GORGONIE  (Sainte),  sœur  de  saint  Gré-        370. 
goire  de  Nazianze,  V,  179.   Son  oraison  fu- 
nèbre par  saint  Grégoire  son  frère,  206. 


474 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


IV  siècle. 


II  siècle. 


757. 


IX  siècle. 


1075. 


llbl. 


GORORANES,  roi  de  Perse,  continue  la 
persécution  commencée  par  son  père,  X, 
49. 

GORSE  (Pierre).  Sa  traduction  française 
des  livres  de  Salvien  sur  la  Providence,  X, 
378. 

GORTHÉNIENS,  secte  de  Samaritains.  Ce 
qui  en  est  dit  par  saint  Épiphane,  VI,  384. 

GORTYNE,  ville  de  l'Ile  de  Crète.  Lettre 
de  saint  Denys  aux  fidèles  de  cette  ville,  I, 
462. 

GORZE,  monastère  fondé  par  saint  Ghro- 
degand,  évéque  de  Metz,  XII,  106.  Sa  fon- 
dation confirmée  au  concile  tenu  dans  le 
palais  de  Compiègne,  109.  Charte  de  cette 
fondation,  109  et  110. 

GOSBERT  ou  GOTZBERT,  moine  et  en- 
suite abbé  de  Saint-Gai,  écrit  les  miracles 
de  saint  Gai  et  la  Vie  de  saint  Othmar,  XII, 
415.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  V,  p.  66  et  suiv.) 

GOSCELIN,  archevêque  de  Bordeaux, 
préside  au  concile  de  Saint-Maixent,  où  Bé- 
ranger  anathématise  de  nouveau  ses  er- 
reurs, XIII,  170. 

GOSCELIN,  ou  GOTCELIN,  ou  GOTZELIN, 
moine  de  Saint-Bertin.  Son  talent  pour  la 
musique,  XIII,  594.  Il  accompagne  Herman, 
évéque  de  Salisbury,  à  son  voyage  à  Rome, 
594  et  550.  Il  passe  avec  lui  en  Angleterre 
et  s'étabUt  d'abord  au  monastère  de  Ram- 
sey,  puis  il  passe  à  celui  de  Saint-Augustin 
de  Cantorbéry.  On  ignore  le  temps  de  sa 
mort.  Il  s'était  consacré  à  écrire  des  Vies  des 
saints  :  sa  Vie  de  saint  Augustin  de  Cantor- 
béry, 5S0.  Autres  Vies  de  plusieurs  saints 
qu'il  a  composées,  550  et  551.  Autres  écrits 
qu'on  lui  attribue,  551.  —  [Édition  de  ses 
écrits  dans  la  Patrologie ,  XIV,  234.]  (Voyez 
un  second  article  qui  le  concerne  sous  le 
nom  de  Gotzelin  au  tome  XIV,  233,  234. 
Voyez  aussi  son  article  dans  VHistoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VIII,  p.  660  et  suiv.) 

GOSLIN,  évéque  de  Paris,  se  signale  dans 
le  siège  de  Paris  par  les  Normands,  XII, 
790. 

GOSSET  (Nicolas).  Sa  traduction  française 
de  la  Vie  et  des  miracles  de  sainte  Oppor- 
tune écrite  par  Adelhelme,  évéque  de  Séez, 
XII,  760. 

GOSVIN,  abbé  de  Bonneval,  est  élu  abbé 
de  Gîteaux,  XIV,  449. 

GOTCELIN  (Saint),  ermite.  Sa  Vie  écrite 
par  Acbard,  moine  de  Clairvaux,  XiV,  346. 

GOTCELIN,  moine.  Voyez  Goscelin. 


GOTHESCALC,  moine  d'Orbais,  embrasse 
la  vie  monastique  au  monastère  de  Fulde. 
Il  réclame  contre  ses  vœux.  11  passe  au  mo- 
nastère d'Orbais  oi\  il  s'applique  à  la  lecture 
des  Pères  et  principalement  de  saint  Au- 
gustin. Il  fait  le  pèlerinage  de  Rome.  Sa 
doctrine  sur  la  prédestination  paraît  sus- 
pecte à  Notingue,  évéque  de  Vérone.  Elle 
est  condamnée  au  concile  de  Mayence  et  à 
celui  de  Quiercy.  Mauvais  traitemepts  que 
Gothescalc  essuie.  Hincmar  le  fait  enfermer 
à  Hautvilliers.  Il  appelle  au  pape,  XII,  593. 
On  le  prive  des  sacrements.  Sa  mort,  593  et 
594.  Ses  écrits  :  Deux  confessions  de  foi  sur 
la  double  prédestination.  Profession  de  foi 
présentée  au  concile  de  Mayence.  Lettre  à 
Ratramne  sur  la  vision  béatifique.  Traité 
sur  le  Trina  Deitas,  594.  Pièce  de  poésie, 
594  et  595.  Écrits  de  Gothescalc,  595.  Saint 
Rémi,  archevêque  de  Lyon,  blâme  les  mau- 
vais traitements  qu'on  lui  avait  fait  essuyer, 
617.  Mémoires  d'Hincmar  au  pape  Nico- 
las I"  contre  Gothescalc,  672.  Lettre  que 
Gothescalc  écrit  à  Amolon,  archevêque  de 
Lyon;  réponse  d'Amolon  qui  réfute  plu- 
sieurs de  ses  propositions  sur  la  prédesti- 
nation et  sur  la  grâce,  430,  431.  Il  revient 
contre  ses  vœux.  Écrit  composé  par  Raban 
Maur  à  ce  sujet.  Ne  pouvant  s'accorder  avec 
Raban  Maur,  il  quitte  le  monastère  de  Fulde 
et  revient  à  celui  d'Orbais.  Son  voyage  en 
Italie  ;  il  y  répand  ses  sentiments  sur  la 
prédestination,  466.  Raban  réfute  sa  doc- 
trine dans  deux  lettres,  l'une  à  Notingue, 
l'autre  à  Ébérard,  466  et  468.  Chassé  d'Italie 
il  vient  à  Mayence  ;  dans  un  concile  il  pré- 
sente sa  profession  de  foi,  qui  y  est  con- 
damnée comme  erronée.  Il  est  envoyé  à 
Hincmar  qui  le  fait  enfermer  ;  lettre  de  Ra- 
ban à  son  sujet,  468.  Discours  de  Florus, 
diacre  de  Lyon,  contre  les  erreurs  qu'on 
imputait  à  Gothescalc,  485,  486.  Lettre  de 
saint  Prudence  de  Troyes  à  Hincmar  de 
Reims  au  sujet  de  Gothescalc,  493.  Traité 
du  même  sur  les  points  de  doctrine  agités 
dans  cette  dispute,  494,  495.  Il  en  parle  en- 
core dans  son  éci-it  contre  Jean  Scot,  495  et 
suiv.  Lettre  que  Loup  de  Ferrières  écrit  à 
Gothescalc  sur  la  vision  béatifique,  503.  Ré- 
ponse de  saint  Rémi  de  Lyon  aux  trois  let- 
tres écrites  à  Amolon  par  Raban  Maur, 
Hincmar  de  Reims  et  Pardule  de  Laon  au 
sujet  de  Gothescalc,  614.  Lettre  d'Hincmar 
de  Reims  au  moine  d'Hautvilliers  au  sujet 
de  Gothescalc,  672.  —  Concile  de  Mayence 


8». 


m. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


475 


au  sujet  de  sa  doctrine,  XIII,  678.  Concile 
de  Quiercy  où  il  est  condamné,  679.  Autre 
concile  de  Quiercy  où  sont  signés  quatre 
articles  contre  sa  doctrine,  684.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  V,  p.  352  et  suiv.) 

GOTHESCALC  (Saint),  fils  d'Utm,  prince 
des  Slaves,  XIV,  203.  Sa  mort,  204. 

[GOTHESCALC,  élu  évêque  d'Arras.  Le 
pape  Eugène  III  lui  écrit,  XIV,  278.  Il  va  à 
Rome.  Il  en  rapporte  un  décret  contre  cer- 
tains hérétiques.  Autres  lettres  qui  le  con- 
cernent, 279.] 

[GOTHESCALC,  abbé,  à  qui  Honoré  d'Au- 
tun  adresse  un  de  ses  ouvrages,  XIV,  301.] 

GOTHESCALC,  prévôt  de  Reichersperg, 
résigne  sa  dignité  ;  on  lui  donne  Geroch 
pour  successeur,  XIV,  627. 

GOTHRIC,  roi  d'Irlande.  Lettre  que  Lan- 
franc  lui  écrit,  XIII,  454. 

GOTHS.  Ils  embrassent  la  religion  chré- 
tienne, V,  126.  En  quel  temps  la  religion 
chrétienne  a-t-elle  été  établie  chez  ces  peu- 
ples? IV,  278,  et  V,  80,  81.  —  Martyrs  chez 
les  Goths,  V,  81.  Persécution  d'Athanaric, 
81  et  279.  Ceux  qui  y  souffrirent  étaient  ca- 
tholiques et  non  pas  ariens  ;  en  quel  temps 
les  Goths  sont  tombés  dans  l'arianisme,  279 
et  suiv.  Une  bonne  partie  des  Goths  de- 
meure dans  la  foi  cathohque,  280.  En  quel 
temps  commence  la  persécution  d'Athana- 
ric, 280,  281.  Analyse  de  la  lettre  de  l'Église 
de  Gothie  touchant  le  martyre  de  saint  Sa- 
bas,  281  et  suiv.  Première  persécution  ;  se- 
conde persécution  ;  troisième  persécution, 
où  Sabas  souffre  le  martyre,  282.  Saint  As- 
cole  est  auteur  de  la  lettre  de  l'Église  de 
Gothie,  283.  Uiphilas  évêque  des  Goths, 
346  et  suiv.  —  Ravages  des  Goths  dans 
la  Thrace,  V,  381.  Saint  Ambroise  pense 
que  les  Goths  sont  marqués  dans  Ézé- 
chiel,  sous  le  nom  de  Gog,  472,  —  Saint 
Jean  Chrysostôme  travaille  à  leur  couver- 
sion,  VII,  3.  L'empereur  Théodore  fait 
la  paix  avec  eux,  33,  34.  Lettres  de  saint 
Jean  Chrysostôme  au  sujet  des  églises 
de  Gothie,  135.  —  Saint  Paulin,  évêque 
de  Noie,  est  pris  par  les  Goths,  VIII,  53. 
Ravages  des  Goths  dans  Constantinople, 
519,  520.  —  Les  Goths  ravagent  l'Espagne, 
X,  3.  —  Chasteté  des  Goths,  XI,  213.  His- 
toire des  Goths  composée  par  Cassiodore, 
abrégée  par  Jornandès.  Celle  de  Cassiodore 
ne  se  trouve  plus,  222.  Discours  de  saint 
Léandre  sur  la  conversion  des  Goths,  425. 


Chronique  des  Goths,  des  Vandales  et  des 
Suaves  par  saint  Isidore  de  Séville,  714, 
715.  Éditions  qu'on  en  a  faites,  726,  727. 
—  Le  cinquième  concile  de  Tolède  défend  à 
tous  autres  qu'aux  Goths  de  prétendre  à  la 
couronne  d'Espagne,  XII,  920. 

GOTZBERT,  abbé  de  Saint-Gai.  Voyez 
Gosberg. 

GO'TZELIN,  moine  de  Saint-Bertin  et  de 
Saint-Augustin  de  Cantorbéry.  Voyez  Gos- 
celin. 

GOUJET  (Claude-Pierre),  chanoine  de 
Saint-Jacques  de  l'Hôpital,  à  Paris,  [a  publié 
en  français  les  Apologistes  de  la  religion 
chrétienne,  souvent  cités  dans  les  premiers 
volumes.]  Sa  traduction  française  des  deux 
Apologies  de  saint  Justin  projetée,  I,  446. 

GOULART  (Simon).  Son  édition  des  œu- 
vres de  saint  Cyprien  ;  ses  notes  et  ses  ob- 
servations, II,  382.  Sa  traduction  française 
du  traité  De  Lapsis,  384.  —  Sa  traduction 
française  du  traité  de  Théodoret  sur  la  Pro- 
vidence, X,  141.  —  [Son  édition  des  cinq 
premiers  hvres  des  Annales  de  Nicétas  Cho- 
niale,  XIV,  1176.] 

GOULU  (Nicolas),  professeur  au  collège 
royal.  Ses  notes  sur  le  Dialogue  attribué  à 
saint  Grégentius,  XI,  280. 

[GOURCY  (de).  Ses  Monuments  des  an- 
ciens apologistes,  I,  557.  —  Sa  traduction 
française  des  Prescriptions  et  de  l'Apologé- 
tique de  TertuUien,  II,  87.] 

GOURDAN  (Simon),  chanoine  régulier  de 
Saint-Victor  de  Paris.  Son  édition  et  sa  tra- 
duction française  des  traités  spirituels  d'Ec- 
card,  chanoine  de  Saint-Victor,  XIV,  406. 
[Sa  traduction  française  du  traité  de  l'Ab- 
négation de  soi-même  par  Achard  n'a  pas 
été  imprimée,  709.] 

GOUSSAINVILLE  (Pierre  de).  Son  édition 
des  œuvres  de  saint  Grégoire,  XI,  585.  — 
Son  édition  des  œuvres  de  Pierre  de  Blois, 
XIV,  783. 

GOUTER  LE  PÉCHÉ  :  sens  auquel  Théo- 
doret emploie  cette  expression,  X,  87. 

GOUVERNEMENT.  Loi  de  Théodose  au 
sujet  de  ceux  qui  parleraient  mal  du  gou- 
vernement, VI,  373.  —  Parallèle  du  gouver- 
nement temporel  et  du  gouvernement  spiri- 
tuel, par  saint  Jean  Chrysostôme,  VII,  308. 
—  De  la  comparaison  du  gouvernement 
ecclésiastique  et  politique,  ouvi'age  d'Ago- 
bard,  archevêque  de  Lyon,  XII,  374.  Traité 
du  gouvernement  de  l'empire,  ouvrage  de 
Constantin  Porphyrogénète,  811. 


XI 

et  XII  siècles. 


393. 


476 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1059  ou  1060. 


X 

ou  XI  siècle. 


GOUVERNEURS  DE  PROVINCES.  Serment 
que  leur  prescrit  une  Novelle  de  Justinien, 
XI,  256. 

GOZECHIN,  écolâtre  de  Liège,  se  retire  à 
Mayence;  sa  lettre  à  Valcber,  son  disciple, 
où  il  rend  compte  des  motifs  de  sa  retraite, 
XIII,  235.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  VII,  p.  499  et  suiv.) 

GOZPEN  ouGOZPERT,abbéde  Tégernsé. 
Ses  lettres,  XIII,  98.  Seize  lettres  ajoutées 
aux  quatre  publiées  par  Mabillon,  98  et  99. 

[GRAAB  :  son  apologie  de  saint  Gré- 
goire VII,  XIII,  373.] 

GRABE  (Jean-Ernest),  prêtre  anglican  : 
son  édition  de  la  grande  Apologie  de  saint 
Justin,  I,  445.  Son  édition  des  œuvres  de 
saint  Irénée,  530.  Son  écrit  contre  l'édition 
de  D.  Massuet,  331,  n.  1, 

GRACE.  [Doctrine  de  saint  Clément,  pape, 
I,  333.]  Doctrine  d'Hermas  sur  la  grâce,  335, 
338.  Doctrine  de  saint  Clément,  360  ;  de  saint 
Ignace,  385,  386;  de  saint  PoJycarpe,  397; 
de  saint  Justin,  441  ;  de  saint  Irénée,  323  ; 
de  Clément  d'Alexandrie,  597  ;  —  de  Ter- 
tullien,  II,  73;  d'Origène,  157,  223,  226, 
227;  de  saint  Cyprien,  280,  332  et  suiv.;  de 
Lactance,  512  ;  de  saint  Alexandre,  patriar- 
che d'Alexandrie,  III,  113, 114.  Témoignage 
de  l'empereur  Constantin ,  131.  Doctrine 
d'Eusèbe  de  Césarée,  238,  284  et  suiv.;  — 
de  saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  72  et  suiv.; 
de  saint  Athanase,  213,  214;  de  Lucifer  de 
Cagliari,  269  ;  [de  Victorin,  orateur  chrétien, 
330;]  de  Tite  de  Bostres,  343;  de  l'auteur 
des  Constitutions  monastiques  attribuées  à 
saint  Basile,  408.  Doctrine  de  saint  Basile, 
512,  513  ;  —  de  saint  Cyrille  de  Jérusalem, 
V,  71,  72;  de  saint  Optât  de  Milève,  132;  de 
saint  Philaslre  de  Brescia,  176,  177;  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze,  342  et  suiv.  ;  de 
saint  Ambroise,  480 et  suiv.;  de  l'auteur  des 
homélies  attribuéesà  saint  Macaire  d'Egypte, 
600.  [Doctrine  de  Didyme  l'Aveugle  sur  la 
grâce,  620  et  624.]  —  Discours  de  saint 
Éphrem  sur  la  grâce,  VI,  15,  16.  [Son  senti- 
ment sur  la  grâce,  58,  465,  482,  488,  489, 
491 ,  497, 502, 503 ,  308.]  Doctrine  de  saint  Gré- 
goire de  Nysse,  237  ;  —  de  saint  Jean  Chry- 
sostôme,  VII,  24,  100,  214,  247,  386  et  suiv"; 
sur  l'accord  du  libre  arbitre  et  de  la  grâce, 
386  ;  sur  la  nécessité  de  la  grâce,  387 ,  38S. 
Doctrine  de  saint  Innocent,  pape,  322  ;  du 
pape  saint  Zozime,  339.  Lettre  de  saint  Jé- 
rôme, 616.  Accord  de  la  grâce  et  du  libre  ar- 
bitre. Réponse  aux  arguments  des  Pélagiens 


contre  la  nécessité  de  la  grâce,  617.  Doctrine 
de  saint  Jérôme,  666  et  suiv.  —  Doctrine  de 
saint  Gaudence,  évéque  de  Brescia,  VIII,  42  ; 
de  saint  Paulin,  évêque  de  Noie,  91 .  Recueil 
touchant  l'autorité  des  évoques  de  Rome  au 
sujet  delà  doctrine  de  la  grâce,  140  et  suiv. 
Doctrine  de  Cassien,  179  et  suiv.  ;  de  saint  Nil, 
solitaire  duSinaï,  226;  de  saint  Cyrille  d'A- 
lexandrie, 334,  [348,  n.  4;  333.]  [Que  celui  qui 
a  la  grâce  doit  la  communiquer  à  celui  qui  ne 
l'a  pas,  sujet  d'un  sermon  d'Eusèbe  d'Alexan- 
drie, 383.  La  grâce  a  toujours  été  donnée  au 
genre  humain,  d'après  saint  Procle,  415.] 
Sentiment  de  saint  Isidore  de  Péluse  sur  la 
grâce,  486, 492, 496  ;  de  Marius  Mercator,  l'un 
des  défenseurs  de  la  grâce,  499  ;  —  de  saint 
Augustin,  IX,  125, 126, 139, 131, 155  et  suiv., 
137,  167, 175,  176  et  suiv.  Les  douze  ar- 
ticles de  la  lettre  à  Vital  sur  la  grâce,  177 
et  suiv.  Autres  fragments,  212  et  224.  Saint 
Augustin  réforme  ses  premiers  sentiments 
sur  la  grâce,  249.  Divers  fragments  de  saint 
Augustin  sur  la  grâce,  424,  432.  Livre  de 
la  Nature  et  de  la  grâce  contre  Pelage ,  ou- 
vrage de  saint  Augustin,  433  et  suiv.  Livre 
de  la  Grâce  de  Jésus-Christ  et  du  péché  ori- 
ginel, ouvrage  du  même  père,  448  et  suiv. 
Autres  fragments,  473,  499,  510.  Livre  de 
la  grâce  et  du  libre  arbitre,  ouvrage  de  saint 
Augustin,  512  et  suiv.  Livre  de  la  Correction 
et  de  la  grâce,  ouvrage  du  même  père,  518 
et  suiv.  Autres  fragmens,  533,  542.  Traité 
de  la  Prédestination  et  de  la  grâce  fausse- 
ment attribué  à  saint  Augustin,  559.  Doc- 
trine de  saint  Augustin  sur  la  grâce  et  le 
libre  arbitre.  Grâce  d'Adam  et  son  libre  ar- 
bitre, 673.  Adam  avait-il  reçu  le  don  de  la 
persévérance,  676  et  suiv.  Grâce  des  deux 
états,  681  et  suiv.  Nos  bonnes  pensées  vien- 
nent de  Dieu,  686,  687.  Dieu  nous  inspire  le 
désir  du  bien,  687.  Réponse  aux  objections 
des  Pélagiens,  687  et  688.  Nécessité  de  la 
grâce  pour  les  actions  de  piété  et  la  fuite  du 
mal,  688,  689  ;  contre  les  tentations,  689  et 
suiv.;  pour  la  pénitence  et  la  conversion  des 
pécheurs,  691  et  692;  pour  aimer  Dieu,  692 
et  693.  Possibilité  des  commandements  de 
Dieu,  694.  Nécessité  de  la  grâce  pour  ac- 
complir les  commandements  de  Dieu,  694  et 
suiv.  Il  faut  demander  à  Dieu  ce  qu'il  nous 
commande,  696,  697.  La  foi  est  un  don  de 
Dieu,  697  et  suiv.  La  foi  n'est  pas  donnée  à 
tous,  700.  La  prière  est  un  don  de  Dieu,  700 
et  701.  La  persévérance  est  un  don  de  Dieu, 
701  et  suiv.  La  nature  est  commune  à  tous 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


477 


les  hommes  et  non  la  grâce,  703  et  suiv.  La 
grâce  est  donnée  gratuitement,  705,  706. 
Nos  mérites  sont  des  dons  de  Dieu,  706, 

707.  Réponse  aux  objections  des  Pélagiens 
contre  la  gratuité  de  la  grâce,  707,  708.  La 
grâce  ne  suit  pas  mais  précède  la  volonté, 

708,  709.  En  quoi  consiste  la  grâce,  709, 
710.  Comment  elle  agit,  710  et  suiv.  Force 
delà  grâce,  714,  713.  Pouvoir  de  Dieu  sur 
la  volonté  de  l'homme,  715,  716.  Réponse  à 
quelques  objections  sur  ce  point  de  doc- 
trine, 716  et  suiv.  Comment  Dieu  prépare 
la  volonté  de  l'homme  et  comment  l'homme 
se  prépare.  Gomment  Dieu  opère  en  nous 
afin  que  nous  veuillions  et  coopère  avec 
nous  lorsque  nous  voulons,  720.  Accord  du 
libre  arbitre  avec  la  grâce,  720  et  suiv.  La 
grâce  ne  détruit  pas  le  libre  arbitre  et  n'in- 
troduit pas  le  destin,  723,  724.  Explication 
de  ces  paroles  :  «  Cela  ne  dépend  pas  de 
celui  qui  veut,  ni  de  celui  qui  court,  mais 
de  Dieu  qui  fait  miséricorde,  »  724,  725.  La 
vocation  à  la  foi  prévient  le  mérite  de 
l'homme,  725,  726.  Pourquoi  les  Tyriens  et 
les  Sidoniens  n'ont  pas  cru  en  Jésus-Christ, 
726,  727.  Le  libre  arbitre  ne  détruit  pas  la 
nécessité  de  la  grâce,  727  et  suiv.  Il  est  libre 
à  l'homme  de  consentir  on  de  ne  pas  con- 
sentir aux  suggestions  du  démon,  729,  730. 
Sentiment  des  Pélagiens  sur  le  libre  arbitre, 
730,  731.  Quelle  liberté  nous  avons  perdue 
par  le  péché  du  premier  homme,  731  et 
suiv.  La  nature  humaine  est  rétablie  dans  le 
bien  qu'elle  a  abandonné,  733,  734.  Juge- 
ment des  ouvrages  de  saint  Augustin  sur  la 
grâce,  810  et  suiv.  [Effets  admirables  de  la 
grâce  dans  la  conversion  de  saint  Paul  d'a- 
près saint  Augustin,  838.  Deux  sermons  de 
saint  Augustin  à  ceux  qui  s'approchent  de  la 
grâce,  842.  Supplément  où  l'on  exphque  la 
doctrine  de  saint  Augustin  sur  la  grâce,  845, 
846.]  —  Doctrine  de  Théodoret,  X,  120. 
Doctrine  de  l'auteur  des  livres  de  la  Voca- 
tion des  gentils  et  de  la  lettre  à  Démélriade 
sur  la  grâce,  242  et  suiv.  Doctrine  du  pape 
saint  Léon  sur  la  grâce  et  le  libre  arbitre, 
264  et  suiv.  En  quoi  consiste  la  grâce,  selon 
les  Pélagiens,  280.  Leur  doctrine  condam- 
née par  les  pères,  280  et  suiv.  La  grâce  ne 
détruit  pas  le  libre  arbitre,  283.  C'est  elle 
qui  convertit  les  cœurs,  286 ,  287  ;  elle  se 
fait  obéir,  287;  loin  de  détruire  la  liberté, 
elle  la  perfectionne,  288,  289  ;  elle  n'est  pas 
donnée  à  tous,  301,  302.  Livre  de  la  grâce 
de  Dieu  et  du  libre  arbitre  contre  les  GoUa- 


teurs  :  analyse  de  cet  ouvrage  de  saint  Pros- 
per  d'Aquitaine,  303  et  suiv.  Éditions  qu'on 
en  a  faites,  318,  319.  Analyse  des  deux  li- 
vres de  Fauste  de  Riez  sur  la  grâce  et  le  libre 
arbitre,  427  et  suiv.  Éditions  qu'on  en  a 
faites,  437.  Doctrine  du  pape  saint  Gélase 
sur  la  grâce,  499  et  suiv.,  507.  Doctrine  de 
saint  Ennode,  571,  572.  Erreurs  du  prêtre 
Lucide  sur  la  grâce  et  la  prédestination,  425 
et  suiv.  et  717,  718.  —  Doctrine  de  saint 
Fulgence,  évêque  de  Ruspe,  sur  la  grâce  et 
le  libre  arbitre,  XI,  11  et  suiv.;  28,  29,  31, 
52,  57  et  suiv.,  63.  Vérité  de  la  prédestina- 
tion et  de  la  grâce  de  Dieu,  ouvrage  de  saint 
Fulgence,  56  et  suiv.  Doctrine  des  évèques 
d'Afrique,  41  et  suiv.  et  45;  de  Ferrand, 
diacre  de  Carthage,  87  ;  de  Laurent,  évêque 
de  Novarre,  96,  97.  Doctrine  de  saint  Césaire 
d'Arles  sur  la  grâce  prévenante,  confirmée 
par  le  pape  Boniface  II,  113,  116.  Si  saint 
Césaire  d'Arles  a  fait  un  traité  particulier 
sur  la  grâce  et  le  Hbre  arbitre,  134.  Doc- 
trine de  Cassiodore  sur  la  grâce  et  le  libre 
arbitre,  231,  232.  Doctrine  de  saint  Grégoire 
de  Tours,  398;  de  saint  Fortunat,  évêque 
de  Poitiers,  406,  408,  409.  Doctrine  du  pape 
saint  Grégoire  sur  la  grâce,  sa  nécessité, 
559,  560.  Dieu  la  retire  quelquefois,  560.  On 
y  résiste,  561.  Grâce  prévenante  et  gratuite, 
561  et  362.  Accord  de  la  grâce  et  du  libre 
arbitre,  362.  Doctrine  de  Marc  l'Ermite, 
637;  de  saint  Isidore  de  Séville,  721,  722. 
Doctrine  du  second  concile  d'Orange,  832  et 
suiv.;  du  concile  de  Valence,  838.  —  Doc- 
trine du  Vénérable  Bède,  XII,  15  et  16;  de 
saint  Jean  Damascène,  93  ;  d'Ambroise  Aut- 
pert,  122;  d'Alcuin,  209,  210.  Poëme  de 
Théodulfe  d'Orléans  sur  la  grâce  de  Dieu, 
269.  Opuscule  sur  la  grâce,  la  prédestina- 
tion et  le  libre  arbitre,  attribué  à  Amolon  ; 
il  est  du  diacre  Florus,  431.  Autre  opuscule 
sur  le  même  sujet  attribué  encore  à  Amolon. 
Recueil  des  sentences  de  saint  Augustin  sur 
ces  matières,  432.  Discours  de  Florus,  diacre 
de  Lyon,  sur  la  grâce  et  la  prédestination, 
483,  486.  Doctrine  de  saint  Prudence  sur  la 
grâce,  496.  Doctrine  de  Loup,  abbé  de  Fer- 
rières,  308.  La  doctrine  catholique  sur  ces 
matières  est  confirmée  par  le  pape  saint  Ni- 
colas I,  369.  —  Doctrine  de  Gérard,  évêque 
de  Cambrai,  XIII,  152.  Témoignage  du  pape 
saint  Léon  IX,  206.  Doctrine  du  concile  de 
Quiercy  de  853,  684,  683;  du  concile  de 
Valence  de  855,  686,  687.  —  Traité  de 
Francon,  abbé  d'Afïlighem,  sur  la  grâce  et 


478 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1053. 


«57. 


1215. 


la  miséricorde  de  Dieu.  Analyse  de  cet  ou- 
vrage, XIV,  190.  Éditions  qu'on  en  a  faites, 
192.  Voyez  un  autre  article  sur  le  même 
sujet,  192,  343  et  suiv.  Doctrine  du  Véné- 
rable Hildebert,  évéque  du  Mans,  sur  la  pré- 
destination et  la  grâce,  216.  [Harmonie  de 
la  grâce  et  du  libre  arbitre,  ouvrage  de  Vi- 
vien, prémontré  :  ce  que  c'est,  249.  Analyse 
de  cet  ouvrage,  249  et  250.]  Sentiment  d'A- 
baillard  sur  la  grâce,  331.  Traité  de  la  grâce 
et  du  libre  arbitre,  ouvrage  d'Alger,  scho- 
lastique  de  Liège,  386.  Traité  de  saint  Ber- 
nard de  la  grâce  et  du  libre  arbitre,  476  et 
suiv.  Jugement  sur  ce  traité,  478,  479.  Doc- 
trine de  saint  Bernard  sur  la  grâce,  487. 
Doctrine  de  Pierre  Lombard  sur  la  grâce, 
560,  561.  — Les  évêques  ont  commencé 
vers  le  x"  siècle  à  se  servir  de  la  formule  : 
Par  la  grâce  de  Dieu,  XIII,  70. 

GRADE,  ville  de  Frioul.  Un  concile  de 
Rome  décide  qu'elle  sera  reconnue  métro, 
pôle  des  deux  provinces  de  Vénétie  et  d'Is- 
trie,  XIII,  203  et  205  [et  195.]  —  Privilèges 
accordés  au  patriarche  de  Grade  par  le  pape 
Adrien  IV,  XIV,  915. 

GR./ECUS,  évêque  de  Marseille  :  sa  lettre 
à  saint  Rurice,  évêque  de  Limoges,  X,  610. 
(Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  V Histoire  lit- 
téraire de  la  France,  tome  III,  p.  56.) 

GRAI  (Gautliier  de),  élu  archevêque 
d'York  :  son  élection  confirmée  par  le  pape 
Innocent  m,  XIV,  1161. 

GRAISSE,  permise  en  certains  jours  aux 
moines,  XIII,  655. 

GRAMMAIRE.  Livre  de  la  grammaire  faus- 
sement attribué  à  saint  Augustin,  IX,  64.  — 
Traité  de  la  Grammaire  par  Cassiodore,  XI, 
235.  —  L'Enfance  ,  ou  les  principes  de  la 
grammaire  de  Donat,  ouvrage  attribué  au 
Vénérable  Bède,  XH,  3.  [Traité  de  la  gram- 
maire composé  par  saint  Bonifàce,  arche- 
vêque de  Mayence,  56.]  Grammaire  sy- 
riaque, composée  par  Jacques,  évêque 
d'Édesse,  101.  [Écrit  sur  la  grammaire,  par 
le  moine  Pacôme,  152.]  Traité  d'Alcuin  sur 
la  grammaire,  189.  Charlemagne  établit 
Çlusieurs  écoles  de  grammaire  dans  ses 
États,  224  et  230.  Traité  de  Raban  Maur  sur 
la  grammaire,  440.  Livre  de  la  grammaire, 
composé  par  Ermenric,  moine  de  Richenow, 
555.  Traité  de  l'accord  de  la  grammaire  et 
de  la  musique,  imprimé  à  la  suite  du  Mar- 
tyrologe d'Usuard,  612.  Traité  de  gram- 
maire, composé  par  saint  Berthaire,  abbé 
du  Mont-Cassin,  696.  Canon  du  concile  de 


Latran  qui  ordonne  que  dans  les  églises 
cathédrales  il  y  aura  un  maître  de  gram- 
maire et  des  autres  sciences,  qui  instruise 
gratuitement  les  clercs  et  les  pauvres  éco- 
liers, XIV,  1165. 

GRAMMAIRIEN.  Traité  du  grammairien  : 
ouvrage  de  saint  Anselme,  XIV,  20. 

GRAMMATICUS,  Donatiste.  Lettre  de  saint      v.398 
Augustin  à  Grammaticus  et  à  quelques  au- 
tres Donatistes,  IX,  79,  80.  Autre  lettre  de 
saint  Augustin  aux  mêmes,  80,  81. 

GRANCOLAS  (Jean),  docteur  en  théo- 
logie :  sa  traduction  française  des  Catéchèses 
de  saint  Cyrille,  V,  82. 

GRAND  (Etienne  le),  jésuite.  Sa  traduc- 
tion française  du  discours  d'Aganon  sur  la 
■vie  et  les  miracles  de  saint  Vorle,  XIII,  77. 

GRANDEUR  DE  DIEU.  Idée  qu'en  donne 
saint  Augustin,  IX,  25. 

GRANDMONT.  Bulle  d'érection  de  l'ordre  1073 
de  Grandmont,  XIII,  327  et  353,  et  XIV, 
575.  —  Fondation  de  l'ordre  de  Grandmont  v.  lo 
par  saint  Etienne  de  Muret,  XIV,  576,  377. 
Règle  de  cet  ordre  ;  preuves  qu'elle  est  de 
saint  Etienne,  577  et  suiv.  Elle  est  diflérente 
de  celle  de  saint  Benoît,  377.  Analyse  de 
cette  règle,  577  et  578.  [Lettres  de  quelques 
prieurs  de  Grandmont  dans  la  Pairologie, 
580,  n.  8.]  Intrigues  des  frères  convers  con- 
tre les  religieux  clercs  de  cette  congréga- 
tion. Lettres  touchant  cette  affaire,  711.  Ju- 
gement rendu  par  le  roi  en  faveur  de  quel- 
ques élèves  de  l'ordre  de  Grandmont  contre 
leur  prieur  et  quelques  frères  convers  du 
même  ordre,  879.  Lettre  d'Etienne  de  Tour- 
nai sur  la  désobéissance  des  convers  de 
Grandmont,  881.  Indulgences  accordées  à 
ceux  qui  suivent  la  règle  de  Grandmont, 
928. 

GRANDS.  Avantages  que  l'Église  reçoit 
de  la  conversion  des  grands,  XI,  30. 

GRANGÉUS  (Isaac).  Son  édition  des  li- 
vres du  poète  Prudence  contre  Symmaque, 
Vm,  107. 

GRAPTUS,  surnom  des  deux  frères  Théo- 
phanes  et  Théodore,  XII,  428.  Voyez  Théo- 
phanes  et  Théodore. 

GRAS  (le),  confrère  de  l'Oratoire.  Sa 
traduction  française  de  l'épître  attribuée  à 
l'apôtre  saint  Barnabe,  I,  285  ;  des  livres 
d'Hermas,  339;  des  deux  lettres  de  saint 
Clément,  361  ;  des  lettres  de  saint  Ignace, 
martyr,  388  ;  de  celle  de  saint  Polycarpe, 
398.  Sa  traduction  française  de  l'épître  de 
saint  Justin  à  Diognète,  446. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


479 


GRASSE.  Un  concile  de  Narbonne  recon- 
naît les  droits  de  l'abbaye  de  Grasse  sur 
celles  de  Saint-Laureut  et  de  Saint-Poly- 
carpe,  XIII,  423. 

GRATA,  sœur  de  Valentinien  le  Jeune, 
VI,  339. 

GRATAROLE  (André).  Sa  traduction  la- 
tine du  commentaire  d'Eustrace  sur  le  se- 
cond livre  des  Analytiques  d'Aristote,  XIV, 
148. 

GRATELÉAN.  Voyez  Gratlei. 

GRATIEN,  empereur,  reconnaît  Juridi- 
quement l'innocence  du  pape  Damase,  IV, 
608.  Lettre  du  concile  de  Rome  qui  lui  est 
adressée,  608  et  suiv.  Son  rescrit  pour 
l'Église  à  celte  occasion,  610,  611.  Il  rap- 
pelle les  exilés,  611.  Il  chasse  de  l'Espagne 
les  Priscillianistes,  616.  Il  convoque  le  con- 
cile d'Aquilée,  628,  629.  Lettre  du  concile 
d'Aquilée  aux  trois  empereurs,  633.  Autre 
lettre  de  ce  concile  à  Gratien  en  particulier, 
633  et  634.  Il  concourt  à  la  convocation  du 
concile  de  Rome,  638.  Il  donne  un  rescrit 
pour  le  rétablissement  des  Priscillianistes. 
Sa  mort,  640.  —  Il  avait  rappelé  d'exil  saint 
Mélèce  d'Antioche  et  autres  bannis  par  Va- 
lens,  V,  10.  Il  rappelle  saint  Cyrille  de  Jéru- 
salem, 29.  Il  rend  une  loi  en  faveur  des 
femmes  chrétiennes,  381.  Autre  loi  de  cet 
empereur  en  faveur  des  criminels  condam- 
nés à  mort.  Il  fait  détruire  l'autel  de  la  Vic- 
toire. Il  accorde  à  saint  Ambroise  la  grâce 
d'un  officier  qui  l'avait  outragé,  382.  Sa 
mort,  383  et  478.  Saint  Ambroise  est  député 
par  l'impératrice  Justine  pour  demander  à 
Maxime  le  corps  de  Gratien,  587.  Saint  Am- 
broise écrit  à  la  prière  de  Gratien  les  cinq 
livres  de  la  Foi,  471  ;  et  les  trois  livres  du 
Saint-Esprit,  475.  Difficulté  qu'il  propose  à 
saint  Ambroise.  Lettre  que  lui  écrit  saint 
Ambroise,  480.  Le  jeune  Valentinien  est 
enterré  près  du  tombeau  de  Gratien  à  Milan, 
506.  —  Gratien  fait  rendre  aux  cathohques 
les  églises  dont  les  Ariens  s'étaient  empa- 
rés, VI,  121.  Lois  de  ce  prince  touchant  la 
religion,  360  et  suiv.  Rescrit  de  cet  empe- 
reur et  de  Valentinien  II  en  faveur  du  pape 
saint  Damase  et  touchant  la  juridiction  des 
évêques,  361.  Deux  rescrits  de  ce  prince 
pour  et  contre  les  Priscillianistes.  Lois  de 
ce  prince  pour  suspendre  l'exécution  des 
sentences  de  mort,  362.  —  Témoignage  de 
Théodoret  sur  l'empereur  Gratien,  X,  48. 
(Voyez  son  article  dans  VHistoire  littéraire 
de  la  France,  t.  I,  part.  II,  p.  233  et  suiv.) 


GRATIEN,  moine  bénédictin  du  raonas-  1127-1151. 
tère  de  Saint-Félix  et  de  Saint-Nabor  à  Bo- 
logne. Erreurs  où  plusieurs  auteurs  sont 
tombés  à  ce  sujet.  Son  Décret;  combien  de 
temps  il  mit  à  le  composer.  Estime  qu'on 
fait  de  ce  Décret,  XIV,  760.  Fautes  qu'on 
lui  reproche.  Correction  qu'on  en  a  faite  en 
divers  temps,  760  et  761.  Éditions  qu'on  en 
a  données.  761.  [Autres  éditions,  761.]  Ce 
que  contient  ce  Décret.  Additions  désignées 
sous  le  nom  de  Paléas,  761.  Correction  du'. 
Décret  par  Antoine  Augustin,  761  et  762. 
Doctrine  de  Gratien  sur  l'Eucharistie,  762, 
763.  Il  traite  de  tous  les  sacrements,  763. 
Son  sentiment  sur  l'autorité  du  pape  relati- 
vement aux  canons,  763  [et  note  3.  Com- 
mentaire sur  le  Décret  de  Gratien  par 
Etienne,  évèque  de  Tournai,  878.  La  pré- 
face seule  est  imprimée,  878.] 

GRATISSIMUS,  grand  chambellan,  fonde     y  siècle, 
le  monastère  de  Saint-Cyriaque  à  Constan- 
tinople  et  y  prend  l'habit  sans  quitter  les 
fonctions  de  sa  charge,  X,  345. 

GRATISSIMUS,  opuscule  de  saint  Pierre 
Damien  en  faveur  des  ordinations  faites  par 
les  simoniaques,  XIII,  311. 

GRATLEI  ou  GRATLÉAN,  ville  d'Angle- 
terre. Concile  qui  y  fut  tenu,  XIII,  745. 

[GRATTULA,  auteur  d'une  Histoire  du 
Mont-Cassin.  Prologue  et  épilogue  de  la  Vie 
de  saint  Mennas,  XIII,  497.] 

GRATUS,  évêque  de  Carthage,  assiste  au       347  „„ 
concile  de  Sardique,   Ili,   477  ;   préside   à    ""='"'  343. 
celui  de  Carthage,  498.  ^*^'"'  '*^" 

GRATUS,  évêque  d'Aouste,  II,  472. 
GRATUS,  diacre  en  Provence.  Son  traité 
dans  lequel  il  prétendait  montrer  qu'il  n'y 
avait  qu'une  nature  en  Jésus-Christ,  X,  422. 
Il  est  réfuté  par  Fauste  de  Riez,  422  et  suiv. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  II,  p.  317  et  suiv.) 

GRAVITÉ  DES  CLERCS  ET  DES  MOINES, 
sujet  d'un  canon  de  quelques  conciles  de 
Carthage,  VII,  726.  Canons  soixantième  et 
soixante-deuxième  du  quatrième  concile  de 
Carthage,  731. 

GRAVIUS  (Henri),  dominicain.  Ses  notes 
sur  les  lettres  de  saint  Jérôme,  VII,  709.  — > 
Sa  révision  du  texte  de  saint  Paulin,  évêque 
de  Noie,  VIII,  97,  98.  —  Son  édition  des 
œuvres  de  saint  Jean  Damascène,  XII,  97. 
GREC,  évêque  de  Marseille.  Voyez  Grœ- 
cus. 

GRÈCE,  poëme  de  l'empereur  Léon  le 
Philosophe    sur   le   misérable   état  de  la 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Grèce,  XII,  775.  Notice  des  évêchés  de  la 
Grèce  avec  l'ordre  que  les  palriarches  tien- 
nent entre  eux,  attribué  au  même  prince, 
776.  —  [Ouvrages  à  consulter  sur  les  griefs 
des  Grecs  et  des  Latins,  XIIF,  214,  n.  2.] 

GRÉGIEN,  évêque  de  Galles  en  Italie,  as- 
siste au  concile  de  Rimini,  IV,  335.  Il  y  de- 
mande la  condamnation  d'Ursace  et  de 
Valens,  557. 
Il  siècle,  GRECS.  Exhortation  de  saint  Justin  aux 
Grecs,  I,  411.  Discours  de  Tatien  aux  Grecs, 
489  et  suiv.  —  Différentes  opinions  des  Grecs 
sur  le  bonheur  de  l'homme,  X,  97.  —  Ré- 
ponses de  Ratramne  aux  objections  des 
Grecs  schismatiques,  XII,  363  et  suiv.  Ré- 
ponses d'Énée,  évêque  de  Paris,  600,  601. 

—  Fragments  d'une  dispute  contre  les 
Grecs,  XIII,  253.  [Écrits  concernant  les 
griefs  des  Grecs  contre  les  Latins,  214,  n.  2.] 

—  Dialogues  d'Anselme  d'Havelburg  sur  les 
points  qui  divisaient  les  Grecs  et  les  Latins, 
XIV,  414  et  suiv.  Ouvrage  de  Géroch,  pré- 
vôt de  Reichersperg,  sur  les  questions  agi- 
tées entre  les  Grecs  et  les  Latins;  lettres 
qui  en  font  mention,  630. 

GREFFIER.  Détails  des  avantages  et  des 
devoirs  de  la  charge  de  greffier  dans  une 
lettre  de  Cassiodore,  XI,  220. 
VI  siècle.  GRÉGENTIUS  (Saint),  archevêque  de  Ta- 
phar  en  Arabie,  Ce  qu'on  sait  des  circons- 
tances de  sa  vie,  XI,  279.  Le  Dialogue  donné 
sous  son  nom  est  une  pièce  supposée,  279 
et  suiv.  Éditions  qu'on  en  a  faites,  280. 
[Éditions  de  ses  écrits  dans  la  Patrologie, 
Écrits  nouveaux.]  Gode  de  lois  pour  les  Ho- 
mérites  qu'on  lui  attribue,  280.  [Éditions  de 
cet  écrit,  280.] 

GRÉGOIRE  THAUMATURGE  (Saint),  évê- 
que de  Néocésarée  dans  le  Pont.  Histoire  de 
sa  vie,  II,  437  et  suiv.  Naissance  de  saint 
Grégoire  ;  pourquoi  il  est  nommé  Tliauma- 
231.        turge.  Ses  études.  Il  devient  disciple  d'Ori- 
235.        gène  à  Césarée  en  Palestine,  433.  Suite  des 
237  ou  238.    études  de  saint  Grégoire,  433  et  438.  Il  va  à 
Alexandrie,  retourne  à  Césarée  auprès  d'Ori- 
238,        gène,  est  baptisé.  Il  retourne  en  son  pays 
après  avoir  fait  l'éloge  d'Origène  ;  estime 
qu'Origène  avait  pour  saint  Grégoire,  438. 
240.        Saint  Grégoire  quitte  Néocésarée  et  se  retire 
250.        à  la  campagne,  438  et  439.  Il  est  fait  évêque 
de  Néocésarée,  438.  Son  zèle  pour  la  foi,  ses 
g5i.        miracles  ;  il  se  retire  durant  la  persécution  ; 
864.        il  retourne  en  son  église.  Concile  d'Antio- 
270.        che  où  il  assiste;  il  meurt,  439.  Écrits  de 
saint  Grégoire,   439  et  suiv.   Discours   en 


l'honneur  d'Origène,  439.  Analyse  de  ce 
discours,  439  et  440.  Symbole  que  saint  '■ 
Grégoire  reçoit  dans  une  vision,  440.  Ce 
que  contenait  ce  symbole,  440  et  441.  On 
ne  peut  douter  de  l'authenticité  de  ce  sym- 
bole, 441 ,  442.  Exposition  de  foi  de  saint 
Grégoire  à  Élien,  442,  Autre  exposition  et 
anathématismes  faussement  attribués  à  saint 
Grégoire,  443.  [Voyez  443,  n.  1.  Leur  au- 
thenticité soutenue  par  plusieurs  critiques, 
447.  n.  6.]  Lettres  de  saint  Grégoire,  444  et 
suiv.  Lettre  ou  épître  canonique,  444.  Ana- 
lyse de  cette  lettre,  444  et  443.  Addition  à 
cette  lettre,  443,  446.  Paraphrase  de  saint 
Grégoire  sur  l'Ecclésiaste,  446.  [Fragments 
d'un  discours  de  saint  Grégoire,  446,  n.  10.] 
Ouvrages  supposés,  446  et  447.  [Fragments 
d'autres  écrits  de  saint  Grégoire,  447.]  Ju- 
gement des  écrits  de  saint  Grégoire,  447, 
Édition  de  ces  œuvres,  447  et  448.  [Autres 
éditions,  448.  —  Il  est  l'auteur  de  la  para- 
phrase sur  l'Ecclésiaste  faussement  attribuée 
à  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  246.  —  Sa 
Vie  écrite  par  saint  Grégoire  de  Nysse,  VI, 
211  et  suiv.  —  Saint  Augustin  ne  savait  pas 
le  fait  de  la  montagne  transportée  par  la  foi 
de  ce  saint  évêque,  IX,  433. 

GRÉGOIRE,  évêque  de  Porto,  assiste  au 
concile  d'Arles,  II,  629. 

GRÉGOIRE  ou  GORGONNE,  évêque  de 
Cinne,  assiste  an  concile  de  Néocésarée,  II, 
640. 

GRÉGOIRE  DE  CAPPADOCE,  mis  par  les 
Eusébiens  sur  le  siège  d'Alexandrie  à  la 
place  de  saint  Athanase,  III,  472,  et  IV,  95. 
GRÉGOIRE,  évêque  d'Elvire,  III,  348  et 
349.  Histoire  de  sa  vie,  348.  Ses  écrits,  349, 
Il  refuse  la  communion  à  Osius,  397.  — 
Lettre  que  saint  Eusèbe  de  Verceil  lui  écrit, 
IV,  273.  11  refuse  de  signer  la  formule  de 
Rimini,  382.  Éloges  que  lui  donnent  Faus- 
tin  et  Marcellin,  V,  153.  II  pourrait  être  au- 
teur de  quelques  écrits  attribués  à  saint 
Grégoire  de  Nazianze,  242.  [Le  traité  de  la 
Foi  attribué  à  saint  Phébade  est  de  Grégoire 
d'Elvire,  377.] 

GRÉGOIRE  (Saint),  surnommé  l'Illumina- 
teur,  martyr,  apôtre  de  l'Arménie.  Son  éloge 
attribué  à  saint  Jean  Chrysostôme,  Vil,  345, 
[Lettre  de  saint  Grégoire  l'IUuminateur  et 
trente  canons  publiés  par  Mai,  343.] 

GRÉGOIRE  (Saint),  évêque  de  Nazianze, 
père  de  saint  Grégoire  surnommé  le  Théo- 
logien. Sa  conversion  et  son  baptême.  Y, 
178,  179  et  214,  Il  est  fait  évêque,  179.  Son 


V.2 


31' 


34i 


IV  «li 


i359. 
11. 

;5. 

IS. 
10. 


u  379. 


u  382. 


TABLE  GÉNÉRALE 

fils  prend  soin  de  sa  maison.  II  confère  le 
sacerdoce  à  son  fils,  181.  Il  se  laisse  sur- 
prendre ;  les  moines  se  séparent  de  lui,  182 
et  214.  Ils  s'en  rapprochent,  182  et  183.  Sa 
mort,  184  et  299.  Discours  de  saint  Grégoire 
son  fils  sur  la  réunion  des  moines  de  Na- 
zianze  avec  son  père,  207,  208.  Son  oraison 
funèbre  par  saint  Grégoire  de  Nazianze  son 
fils,  313  et  suiv.  Lettres  qu'il  écrivit  au  peu- 
ple de  Césarée,  aux  évêques  de  la  province 
de  Gappadoce  et  à  Eusèbe  de  Samosate, 
250.  —  Ses  lettres  pour  l'élection  de  saint 
Basile,  IV,  437.  Il  signe  la  formule  de  Ri- 
mini,  .o61. 

GRÉGOIRE  DE  NAZIANZE  (Saint),  sur- 
nommé le  Théologien,  archevêque  de  Cons- 
tantinople  et  docteur  de  l'Église,  V,  172  et 
suiv.  Histoire  de  sa  vie.  Lieu  de  sa  nais- 
sance, 178.  Ses  parents  ;  leurs  vertus,  178 
et  179.  Nombre  de  leurs  enfants.  Naissance 
de  saint  Grégoire,  179.  [Date  de  sa  nais- 
sance. Son  caractère,  179,  n.  13.]  Son  édu- 
cation. Ses  études.  Il  va  à  Athènes.  Il  re- 
tourne en  son  pays,  180.  Il  reçoit  le  bap- 
tême ;  ses  vertus.  Il  prend  soin  de  la  maison 
de  son  père.  Il  se  retire  quelque  temps  avec 
saint  Basile,  181.  Il  est  ordonné  prêtre,  181 
et  suiv.  Il  réconcilie  Eusèbe  de  Césarée  en 
Gappadoce  avec  saint  Basile.  Il  tâche  de 
retirer  de  la  cour  son  frère  Césaire.  Il  tra- 
vaille à  faire  choisir  saint  Basile  pour  évê- 
que  de  Césarée.  Il  est  choisi  évêque  de  Sa- 
simes  et  sacré,  183.  Il  gouverne  l'Église  de 
Nazianze  sous  son  père,  183  et  184.  Après 
la  mort  de  son  père  il  se  retire  à  Séleucie, 

184.  Il  est  choisi  évêque  de  Constantinople, 

185.  Il  y  assemble  les  catholiques  dans 
l'Anastasie,  185  et  186.  Sa  conduite  dans 
l'épiscopat.  Effets  des  prédications  de  saint 
Grégoire,  186.  Saint  Jérôme  vient  l'écouter, 
187.  Troubles  arrivés  pendant  son  épiscopat 
par  l'ordination  de  Maxime,  187  et  188. 
Maxime  est  rejeté;  saint  Grégoire  maintenu 
sur  le  siège  de  Constantinople,  188,  189  ; 
son  élection  est  confirmée  dans  le  concile  de 
Constantinople,  189.  Il  se  retire  de  Constan- 
tinople, 189  et  190.  Il  fait  son  testament, 
190,  191,  Il  revient  à  Nazianze,  191.  Sa  re- 
traite à  Arianze,  191  et  192;  ses  occupations 
pendant  sa  retraite.  Sa  mort ,  192.  Son 
éloge.  Ses  écrits,  193  et  suiv.  Oraisons  ou 
discours  de  saint  Grégoire.  Les  deux  dis- 
cours de  saint  Grégoire  touchant  le  sacer- 
doce; analyse  du  premier  discours.  Vertu 
nécessaire  dans  un  prêtre.  Maximes  pour  la 

TAB.  1. 


DES  MATIÈRES. 


481 


conduite  des  âmes,  193.  Doctrine  nécessaire 
pour  la  direction  des  âmes,  191  et  192.  Age 
convenable  pour  enseigner  les  autres,  194. 
Raisons  que  saint  Grégoire  avait  de  fuir  le 
sacerdoce  et  de  s'y  soumettre,  194  et  195. 
Second  discours,  195;  ce  qu'il  contient,  195 
et  196.  Deux  discours  de  saint  Grégoire 
contre  Julien  l'Apostat,  196  et  suiv.  Analyse 
du  premier  discours,  196.  Impiété  de  Julien, 
197.  Il  conçoit  le  dessein  d'abolir  le  chris- 
tianisme. Avantages  de  la  i^eligion  chré- 
tienne, 197  et  suiv.  Injustice  de  la  pi'étention 
de  Julien,  199.  Infamies  des  fables  païennes, 
199  et  200.  La  morale  des  païens  renverse 
les  grands  principes  :  perfection  de  la  morale 
chrétienne,  200.  Analyse  du  second  dis- 
cours, 200  et  suiv.  Reproches  des  païens 
contre  les  chrétiens;  ressources  des  chré- 
tiens dans  les  persécutions,  201.  Maximes 
qu'ils  doivent  observer,  201  et  202.  Cin- 
quième discours  de  saint  Grégoire,  202; 
sixième  discours  de  saint  Grégoire,  202  et 
203  ;  septième  discours,  203;  huitième  dis- 
cours, 203  et  204;  neuvième,  204,  205; 
dixième  :  oraison  funèbre  de  Césaire,  son 
frère,  205,  206.  Onzième  discours:  oraison 
funèbre  de  sainte  Gorgonie,  sœur  de  saint 
Grégoire,  206.  Douzième  discours,  sur  la 
réunion  des  moines  de  Nazianze  avec  saint 
Grégoire  le  père,  207,  208;  treizième  dis- 
cours, sur  la  paix,  208;  quatorzième  dis- 
cours, sur  la  paix,  208  et  209  ;  quinzième 
discours,  sur  la  grêle,  209,  210;  seizième 
discours,  sur  l'amour  des  pauvres,  210,  211  ; 
dix-septième  discours,  au  sujet  de  quelques 
séditions  arrivées  à  Nazianze,  211,  212;  dix- 
huitième  discours,  en  l'honneur  de  saint 
Cyprien,  martyr,  212;  dix-neuvième  dis- 
cours de  saint  Grégoire  :  oraison  funèbre  de 
son  père,  213  et  suiv.  Vingtième  discours  : 
oraison  funèbre  de  saint  Basile,  215,  216  ; 
vingt-unième  discours  :  panégyrique  de 
saint  Athanase,  216  et  suiv.;  vingt-deuxième 
discours,  à  l'honneur  des  Machabées,  217 
et  suiv.;  vingt-troisième  discours  :  panégy- 
rique du  philosophe  Héron,  219;  vingt-qua- 
trième discours,  en  l'honneur  des  Égyptiens, 
219  et  220;  vingt-cinquième  discours,  aux 
Ariens  :  apologie  de  la  conduite  de  saint 
Grégoire,  220,  221  ;  vingt-sixième  discours  : 
de  la  modération  qu'il  faut  garder  dans  les 
disputes,  221, 222  ;  vingt-septième  discours  : 
apologie  de  saint  Grégoire  contre  ceux  qui 
l'accusaient  d'avoir  brigué  le  siège  de  Cons- 
tantinople,  222,    223;   vingt-huitième  dis- 

31 


482 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES, 


cours,  sur  son  retour  après  la  persécution 
de  Maxime,  223.224;  vingt-neuvième  dis- 
cours, sur  l'établissement  des  évêques  et 
sur  le  dogme  de  la  Trinité,  224,  225;  tren- 
tième discours,  sur  l'élection  de  l'évêque 
Eulalius,  225,  226;  trente-unième  discours. 
Sur  le  divorce,  226;  trente-deuxième  dis- 
cours de  saint  Grégoire  :  son  adieu  au  sor- 
tir de  Constantinople ,  226,  227.  Trente- 
troisième  discours,  contre  les  Eunoraiens  : 
le  premier  des  cinq  sur  la  théologie,  227, 

228.  Trente-quatrième  discours,  sur  la  na- 
ture divine  :  second  sur  la  théologie,  228, 

229.  Trente-cinquième  discours,  sur  la  divi- 
nité du  Fils,  contre  les  Eunomiens  ;  troi- 
sième sur  la  théologie,  229  et  suiv.  Trente- 
sixième  discours,  sur  la  divinité  du  Fils  :  qua- 
trième sur  la  théologie  ;  réponse  aux  passa- 
ges allégués  par  les  Eunomiens,  231  et  suiv. 
Trente-septième  discours,  sur  le  Saint-Esprit, 
contre  les  Macédoniens,  233.  Réponse  aux 
objections  des  Macédoniens,  233  et  234. 
Remarques  sur  la  divinité  du  Saint-Espr'it, 
234.  Trente-huitième  discours,  sur  la  nati- 
vité de  Jésus-Christ,  ou  sur  la  théophanie, 
234  et  235.  Trente-neuvième  discours,  sur 
la  tête  des  lumières,  ou  sur  le  baptême  de 
Jésus-Christ ,  235 ,  236.  Quarantième  dis- 
cours, sur  le  sacrement  de  baptême,  236 
et  suiv.  Réponse  aux  objections  de  ceux  qui 
différaient  leur  baptême,  237,  238.  Du  bap- 
tême des  enfants,  238,239.  Quarante-unième 
discours,  sur  la  fête  de  Pâques;  quarante- 
deuxième  discours,  second  sur  la  fête  de 
Pâques,  239;  quarante-troisième  discours, 
sur  le  dimanche  de  l'octave  de  Pâques,  239 
et  240;  quarante-quatrième  discours,  sur  la 
fête  de  la  Pentecôte,  240,  241  ;  quarante- 
cinquième  discours  :  lettre  à  Évagre,  la- 
quelle n'est  pas  de  saint  Grégoire,  241  ;  qua- 
rante-sixième discours  :  sa  lettre  à  Nectaire 
241  et  242;  quarante-septième  discours,  sur 
Ezéchiel  :  ce  discours  n'est  pas  de  saint 
Grégoire.  Quarante-huitième  discours  de 
saint  Grégoire,  à  la  louange  des  martyrs, 
242;  quarante-neuvième  et  cinquantième 
discours,  lesquels  ne  sont  pas  de  saint  Gré- 
goire, 242  et  243.  Cinquante-unième  dis- 
cours de  saint  Grégoire  :  première  lettre  au 
prêtre  Clédonius  contre  les  Apollinaristes, 
243  et  suiv.  Réponse  aux  objections  des 
Apollinaristes,  245, 246.  Cinquante-deuxième 
discours  :  seconde  lettre  à  Clédonius  contre 
les  Apollinaristes,  246.  [Fragment  de  son 
discours  contre  les  astronomes,  246.  Com- 


mentaire sur  les  discours  de  saint  Grégoire 
de  Nazianzq,  246,  247.]  La  paraphrase  sur 
l'Ecclésiaste  n'est  pas  de  saint  Grégoire,  246. 
Lettres  de  saint  Grégoire,  247  et  suiv.  Let- 
tres à  Céleusius,  247.  Lettres  à  Nicobule, 
père  et  fils,  247  et  248.  Lettres  à  saint  Basile, 
248,  249.  Lettres  à  Amphiloque;  lettres  ii 
Bosphore,  évêque  de  Colonie,  249.  Lettres 
à  Césaire,  son  frère,  249  et  250.  Lettre  à 
Sophrone ,  préfet  de  Constantinople,  250. 
Lettres  à  Eusèbe  de  Gésarée  en  Gappadoce, 
250.  Lettres  à  saint  Basile,  250  et  251.  Let- 
tres de  saint  Grégoire  père  au  peuple  de  Cé- 
sarée,  après  la  mort  d'Busèbe  ;  aux  évêques 
assemblés  à  Césarée  pour  l'élection,  et  à 
Eusèbe  de  Samosate,  251,  252.  Lettres  de 
saint  Grégoire  fils  à  saint  Basile,  252.  Lettres 
à  Eusèbe  de  Samosate,  252  et  253.  Lettres 
à  saint  Basile,  253.  Lettres  à  saint  Grégoire 
de  Nysse,  253  et  254.  Lettre  à  Simplice  ; 
lettre  à  Alype,  mari  de  Simplice  ;  lettres  à 
Jacques,  gouverneur  de  Gappadoce ,  pour 
Simplice,  254.  Lettre  à  Eudoxe,  rhéteur; 
lettre  à  Philagrius,  255.  Lettres  à  Grégoire, 
gouverneur  de  Gappadoce,  à  Eusèbe,  à  Sa- 
turnin, à  Sophrone,  à  Hellade,  à  Thémis- 
tius,  à  Eudoxe,  à  Africain,  à  Astérius,  à 
Olympius,  pour  Nicobule,  neveu  de  saint 
Grégoire,  255  et  256.  Autres  lettres  à  Olym- 
pius, 256  et  257.  Lettres  à  Nectaire;  lettres 
à  Hellade;  lettres  à  Théodore  de  Tyanes, 
257.  Lettres  à  Procope,  257  et  258.  Lettres 
à  Sophrone;  lettres  à  Eastochius;  lettres  à 
Stagire,  258.  Lettres  à  Eudoxe  ;  lettre  à  Postu- 
mien,  258  et  259;  à  Saturnin;  à  Amazone; 
à  Léonce  ;  à  Hypatius,  239.  Lettres  contre 
les  Apollinaristes  à  Olympius,  259  et  260. 
Lettres  à  Némésius;  lettres  à  Aërius  et  à 
Alypius,  260.  Lettres  à  Théodore  de  Tyanes, 
260  et  suiv.  Lettre  à  Castor  touchant  un 
jeune  homme  nommé  Sacerdos,  262.  Lettres 
à  Sacerdos,  262  et  263.  Lettres  à  Homo- 
phrone,  à  Hellade,  à  Eudoxe,  à  Thècle, 
sœur  de  Sacerdos  ;  à  Castor,  touchant  Sa- 
cerdos, 263  et  264.  Lettre  à  saint  Grégoire 
de  Nysse;  lettres  à  Clédonius,  à  Eulalius,  à 
Léonce,  à  Epiphane.  Lettre  à  Césaire,  préfet 
de  Constantinople.  Lettres  pour  Amphiloque, 
laïque,  à  Césaire,  à  Sophrone,  à  Thémis- 
tius.  Lettres  àunjeune  homme  de  condition. 
Lettre  à  Ellébichus,  264.  Lettres  à  Adel- 
phe, 264  et  265.  Lettres  à  Ablabius,  à  Victor, 
à  Modarius,  à  saint  Amphiloque.  Lettres  à 
Julien,  officier  des  tailles,  265.  Lettre  tou- 
chant la  mort  de  l'abbé  Leucadius.  Lettre^ 


I 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


à  Timothée,  prêtre  de  Cqnstantinople,  265  et 

266.  Lettres  à  Dioclès,  à  Candidien,  à  Va- 
lentinien,  parent  de  saint  Grégoire.  Lettre 
touchant  Bosphore,  évêque  de  Colonie;  à 
Théodore  et  à  Nectaire.  Lettre  à  Homo- 
phrone,  266;    à  saint  Ampbiloque,  266  et 

267.  [Lettre  à  Basilisse  :  exhortation  à  la 
constance  dans  la  vertu,  267.]  Poésies  de 
saint  Grégoire,  267  et  suiv.  Premier  poëme 
de  ce  saint  :  sa  vie,  268,  269;  second,  inti- 
tulé :  De  son  état,  269;  troisième,  sur  la 
virginité,  269  et  270  ;  quatrième,  sur  la  vir- 
ginité, 270,  271  ;  cinquième,  intitulé  :  Des 
calamités  de  son  âme;  sixième,  sur  les  af- 
flictions dont  il  était  accablé,  271  ;  septième, 
exhortation  aux  jeunes  gens;  huitième  et 
neuvième,  sur  les  maux  qu'il  avait  soufferts 
et  qu'il  souËfrait.  Dixième,  sur  les  églises  de 
Gonstantinople,  272;  onzième  et  douzième, 
sur  les  évéques  de  son  temps,  272  et  273  ; 
treizième,  adressé  aux  évêques  assemblés  en 
concile  à  Gonstantinople;  quatorzième  et 
quinzième,  sur  les  misères  de  l'homme  ;  sei- 
zième et  dix-septième,  sur  le  bonheur  de 
l'homme;  dix-huitième,  intitulé  :  Serment. 
Dix-neuvième,  contre  la  chair;  vingtième, 
sur  les  tentations  du  démon  ;  vingt-unième, 
surles  brigues  des  évêques;  vingt-deuxième, 
contre  le  démon  ;  vingt-troisième,  sur  le 
désir  de  la  mort  ;  vingt-quatrième,  sur  la 
brièveté  de  la  vie,  273.  Vingt-cinquième, 
vingt-sixième  et  vingt-septième,  sur  les  mi- 
sères de  la  vie,  273  et  274.  Vingt-huitième, 
vingt-neuvième  et  trentième,  sur  le  désir  de 
la  mort.  Trente-unième,  brièveté  de  la  vie, 
en  iorme  d'épitaphe;  trente-deuxième  et 
trente-troisième,  surles  maux  qu'il  souffrait. 
Trente-quatrième,  sur  la  lecture  des  livres 
saints  ;  trente-cinquième ,  sur  les  plaies 
d'Egypte  ;  trente-sixième,  sur  le  Décalogue; 
trente-septième,  sur  les  douze  fils  de  Jacob; 
trente-huitième,  sur  les  douze  Apôtres,  274. 
Trente-neuvième  ,  intitulé  :  Généalogie  de 
Jésus-Christ,  274,  27S.  Quarantième,  qua- 
rante-unième, quarante-deuxième, quarante- 
troisième,  quarante-quatrième,  quarante- 
cinquième  et  quarante-sixième,  sur  les  mi- 
racles et  les  paraboles  de  Jésus-Christ; 
quarante-septième,  sur  la  vie  cénobitique, 
273  ;  quarante-huitième ,  en  faveur  des 
moines,  273  et  276  ;  quarante-neuvième,  à 
Julien,  receveur  des  tailles,  en  faveur  des 
pauvres,  276.  Cinquantième  et  cinquante- 
unième,  au  sujet  de  Nicobule,  276  et  277  ; 
cinquante-deuxième,  à  Vitalien,  homme  dis- 


483 

tingué,  en  faveur  de  ses  fils,  277,  278;  cin- 
quante-troisième, sur  la  vraie  noblesse;  cin- 
quante-quatrième, prière  pour  un  voyage  ; 
cinquante-cinquième,  sur  le  silence  ;  cin- 
quante-sixième, intitulé  :  Hymne  à  Jésus- 
Christ  au  jour  de  Pâques,  278  ;  cinquante- 
septième,  sur  le  mariage  de  sainte  Olym- 
piade, 278  et  279;  cinquante-huitième,  sur 
sa  propre  retraite,  279;  cinquante-neuvième, 
sur  la  grandeur  et  la  bassesse  de  l'homme, 

279  et  280;    soixantième,   sur  les  moines, 

280  et  281  ;  soixante-unième,  sur  ses  propres 
maux,  281;  soixante-deuxième,  àNémésius, 
exhortation  à  embrasser  la  foi;  soixante- 
troisième  ,  sentences  acrostiches ,  281  et 
282;  soixante-quatrième,  contre  le  luxe  des 
femmes,  282;  soixante-cinquième,  épitaphe 
de  saint  Basile,  282  et  283  ;  soixante-sixième, 
sentences  morales  ;  soixante-septième,  sur 
la  brièveté  de  la  vie  ;  soixante-huitième , 
contre  l'avarice,  283;  soixante-neuvième, 
intitulé  :  Sentences  tétrastiques  du  grand 
Grégoire  le  Théologien, 283  et  284.  Soixante- 
dixième,  onzième,  douzième ,  treizième, 
quatorzième,  quinzième,  seizième  et  dix- 
septième,  contenant  les  principaux  points 
de  la  théologie  sous  ce  titre  :  Les  secrets  de 
saint  Grégoire,  284  et  suiv.;  soixante-dix- 
huitième,  de  la  pudicité.  Soixante-dix-neu- 
vième et  suivants,  jusqu'au  cent  vingtième, 
épigrammes  sur  différents  sujets,  288.  Cent 
vingtième,  surles  agréments  de  la  vie;  cent 
vingt-unième,  sur  la  sainte  Trinité;  cent 
vingt-deuxième  ,  sentences  acrostiches  ; 
cent  vingt-troisième ,  contre  les  envieux, 
289  ;  cent  vingt-quatrième,  sur  la  Provi- 
dence, 289  et  290;  cent  vingt-cinquième, 
divers  avis  à  Séleucus  :  ce  poëme  est  attri- 
bué à  saint  Amphiloque,  290.  Cent  vingt- 
sixième,  sur  la  veuve  de  Sarepta,  290  et 
291;  cent  vingt-septième  et  cent  vingt-hui- 
tième, adressés  à  Jésus-Christ;  cent  vingt- 
neuvième,  reproches  à  son  âme.  Cent  tren- 
tième et  les  six  suivants,  sur  divers  sujets. 
Cent  trente-cinquième,  contenant  des  défi- 
nitions; cent  trente-huitième,  contre  les 
violateurs  des  sépulcres;  cent  trente-neu- 
vième, sur  les  miracles  d'Élie  et  d'Elisée, 
291.  Cent  quarantième,  sur  la  vertu,  291  et 
292;  cent  quarante-unième,  dialogue  sur  la 
vie  spirituelle  et  la  vie  commune,  292  ;  cent 
quarante-deuxième,  dialogue  sur  le  jure- 
ment, 292  et  293  ;  cent  quarante-troisième, 
contre  la  colère,  293,  294;  cent  quarante- 
quatrième,  contre  l'avarice;  cent  quarante- 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


cinquième,   sur  l'église  de   Nazianze,  294; 
ceirt  quarante-sixième ,  abrégé  des   deux 
lettres  à  Clédonius  ;  cent  quarante-septième, 
sur  ses  poésies;    cent  quarante-huitième, 
contre  Maxime  le  Cynique;  cent  quarante- 
neuvième,  adressé  aux  évêques  qui  avaient 
occasionné  son  abdication;   cent  cinquan- 
tième, contre  un  noble  vicieux  ;  cent  cin- 
quante-unième,  contre  ses  envieux;  cent 
cinquante-deuxième,  l'éloge  de  la  chasteté  ; 
cent  cinquante-troisième,  hymne  à  Dieu  ; 
cent  cinquante-quatrième,    épigrammes   à 
Dieu;   cent  cinquante-cinquième,  exhorta- 
tion aux  vierges;   cent  cinquante-sixième, 
contre  la  vie  peu  réglée  de  quelques  évêques  ; 
cent  cinquante-septième,  sur  les  évêques, 
295  ;  cent  cinquante-huitième,  sur  la  cadu- 
cité des  choses  de  ce  monde,  296.  La  tra- 
gédie intitulée  :  Jésus-Christ  souffrant,  n'est 
pas  de  saint  Grégoire,  296,  297.  Épigrammes 
de  saint  Grégoire,  297  et  suiv.  Épigramme 
en  l'honneur  du  sophiste  Proêrèse,  297  et 
298;  en  l'honneur  d'un  grammairien  nommé 
Tespésius.  Épigramme  à  la  louange  d'un 
nommé  Martinien.  Épigrammes  en  l'hon- 
neur d'Amphiloque,  homme  distingué  par 
sa  science.  Épigramme  en  l'honneur  d'un 
autre  Amphiloque,  rhéteur,  298.  Épigramme 
à  Nicomède,  parent  de  saint  Grégoire,  298 
et  299.  Épigramme,  à  la  louange  de  Car- 
terre,  ami  de  saint  Grégoire  et  son  maître 
dans  la  vie  spirituelle.  Épigrammes  en  l'hon- 
neur des  parents  et  amis  de  saint  Grégoire, 
299.  Épigrammes  sur  la  vie  de  saint  Gré- 
goire :  quelques-unes  paraissent  n'être  pas 
de  ce  saint  docteur.  Épigrammes  sur  la  fa- 
mille de  saint  Basile  et  sur  celle  de  saint 
Grégoire  :  quelques-unes  de  ces   épigram- 
mes doivent    être  rejetées  comme  n'étant 
pas  de  saint  Grégoire.  Épigrammes  à  Ma- 
xence,  ami  de  saint  Grégoire,  300.  Épigram- 
mes touchant  la  sépulture  et  les  tombeaux 
des  morts,  300  et  suiv.  Autres  épigrammes 
sur  divers   sujets,   303,   304.  Épigrammes 
contre  les   femmes    sous-introduites,  304. 
Epigrammes  contre  ceux  qui  parlaient  mal 
des  moines,  303  et  304.  Épigramme  inti- 
tulée :  Des  noces.  Autre  sur  la  vieillesse. 
Épigramme  contre  les  repas  qui  se  faisaient 
dans  les  basiliques  des  martyrs.  Épigram- 
mes touchant  quelques  particularités  de  la 
vie  du  saint  docteur,  304.   Paraphrase  du 
Scholiaste  sur  le  poème  de  saint  Grégoire 
touchant  l'avènement  de  Jésus-Christ,  304 
et  ,303.  Autres  épigrammes  de  saint  Grégoire 


,    sur  divers  sujets,  305.  [Poëme  contre  Apol- 
linaire, différent  de  celui  dont  parle  D.  Ceil- 
lier,  305,  n.  I.]  Autres  poésies  de  saint  Gré- 
goire, 305  et  306.  Poëme  contre  les  évêques. 
Poëme  pour  répondre  aux  reproches  de  ceux 
de  la  ville  de  Nazianze,  305.  Poëme  contre 
ceux  qui  l'avaient  forcé  de  quitter  l'église 
de  Constantinople,  305  et  306,  Poëme  sur 
les  maux    de    l'éghse   de   Gonstantinople. 
Poëme   en   forme   d'invocation  à  la  sainte 
Trinité.  Poëmes  en  forme  d'hymnes  et  de 
prières,  306.  [Prière  et  exorcisme  attribués 
à  saint  Grégoire  de  Nazianze,  363.]  Doctrine 
de  saint  Grégoire,  306  et  suiv.;  sur  l'inspi- 
ration des  livres  saints,  306,  307  ;  sur  le  ca- 
non des  livres  de  l'Ancien  et  du  Nouveau 
Testament,  307,   308;  sur  la  manière  d'in- 
terpréter l'Écriture,  308;  sur  l'utilité  de  l'é- 
tude de  l'Écriture,  308  et  309;    sur  l'avan- 
tage de  l'étude  des  Livres  saints  au-dessus 
de  l'étude  des  livres  profanes,  309,  310;  sur 
l'âge  auquel  on  doit  étudier  les  divines  Écri- 
tures, 310;  sur  divers  endroits  de  l'Écriture, 
310  et  suiv.;  sur  les  conciles,  312,  313;  sur 
la  tradition,  313;  sur  l'existence  et  les  attri- 
buts de  Dieu,  313  et  314  ;  sur  la  Trinité,  314 
et  suiv.  ;  sur  la  divinité  du  Fils  de  Dieu,  315 
et  316;  sur  la  divinité  du  Saint-Esprit,  316, 
317;  sur  le  péché  originel,  317,  318;   sur 
l'Incarnation  et  sur  la  sainte  Vierge,  318  et 
suiv.;  sur  les  anges  et  les  démons,  321  et 
322;  sur  l'origine  de  l'âme  et  son  immorta- 
lité, 322,  323;  sur  le  baptême,  323;  sur  les 
diverses  sortes  de  baptêmes,  323  et  324;  sur 
le  ministre  du  baptême,  324,  325;  sur  le 
baptême  des  adultes,  325;  sur  les  personnes 
qui  meurent  sans  baptême  et  sur  les  peines 
qu'elles  souffrent  en  l'autre  vie,  325  et  326; 
sur  le  baptême  des   enfants,   326;  sur  la 
forme  du  baptême,  326  et  327;  sur  les  ef- 
fets du  baptême,  327  ;  sur  la  fidélité  aux 
promesses  du  baptême,  327;  sur  le  temps 
d'administrer  le  baptême,  327  et  suiv.;  sur 
quelques  cérémonies  du  baptême,  329;  sur 
la  pi-ésence  réelle  de  Jésus-Christ  dans  l'Eu- 
charistie, 329  et  330.  Que  l'Eucharistie  est 
un  vrai  sacrifice  :  qualités  de  ceux  qui  l'of- 
frent, 330  et  suiv.  Réponse  aux  objections 
contre  la  présence  réelle,  331, 332.  Réponse 
à  une  autre  objection  sur  l'Eucharistie,  332. 
Doctrine  sur  la  pénitence,  333  et  suiv.;  sur 
l'ordre,  334,  335  ;  sur  la  primauté  de  saint 
Pierre;  sur  le  mariage;  sur  l'excellence  de 
la  virginité  au-dessus  du  mariage,  333  ;  sur 
les  secondes  noces,  336;  sur  l'indissolubilité 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


485 


du  mariage,  336  et  337  ;  sur  le  ministre  du 
mariage;  sur  les  cérémonies  de  ce  sacre- 
ment, 337  ;  sur  l'usage  du  mariage,  338  ; 
sur  l'invocation  et  l'intercession  des  saints, 
339,  340;  sur  le  culte  des  reliques,  340. 
Réponse  à  quelques  objections  sur  le 
culte  des  saints  et  de  leurs  reliques,  342  et 
suiv.  Sur  la  grâce  et  le  libre  arbitre,  342  et 
suiv.;  sur  la  foi,  sur  le  respect  et  le  secret 
des  mystères,  344,  343;  sur  la  lecture  et 
l'étude  des  livres  profanes,  343,  346  ;  sur 
les  peines  des  damnés,  346;  sur  la  puis- 
sance temporelle  et  la  puissance  ecclésias- 
tique; sur  la  hiérarchie  ecclésiastique;  sur 
le  célibat  des  prêtres,  347;  sur  les  causes 
ecclésiastiques,  347  et  348  ;  sur  le  zèle  et  la 
charité  des  évéques,  348, 349;  sur  les  vœux, 
les  moines  et  les  vierges,  349,  330;  sur  di- 
vers points  de  discipline,  330  et  suiv.  ;  sur 
divers  points  de  morale,  332  et  suiv.;  sur 
l'histoire,  335  et  suiv.;  [sur  les  éloges  qu'il 
donne  à  l'empereur  Constance,  357,  note  3.] 
Jugement  des  écrits  de  saint  Grégoire,  359, 
360.  Catalogue  des  éditions  latines  de  ses 
écrits.  Editions  grecques  des  écrits  de  saint 
Grégoire,  360.  Éditions  grecques  et  latines, 
360.  [Éditions  des  Bénédictins,  361,  362.] 
Éditions  françaises,  362.  Éditions  de  la  li- 
turgie attribuée  à  saint  Grégoire,  363.  [Au- 
tres éditions  et  autres  liturgies  attribuées  à 
saint  Grégoire.]  —  Saint  Grégoire  de  Na- 
zianze  fait  l'éloge  de  la  lettre  de  saint  Atha- 
nase  à  l'empereur  Jovien,  IV,  136.  Sa  liaison 
dans  sa  Jeunesse  avec  saint  Basile  le  Grand, 
330  et  suiv.  Saint  Basile  le  fait  évêque  de 
Sosimes,  359.  Première  lettre  de  saint  Ba- 
sile à  saint  Grégoire,  424,  425  ;  seconde  let- 
tre, 426,  427;  troisième  lettre,  429;  qua- 
trième lettre,  430.  Lettre  qu'il  écrivit  tou- 
chant l'élection  de  saint  Basile  le  Grand, 
437.  Autres  lettres  de  saint  Basile  le  Grand 
à  saint  Grégoire  de  Nazianze,  442,  443,  457. 
Philocalie  :  ouvrage  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze  et  de  saint  Basile  le  Grand,  495, 
496.  Il  est  chargé  du  soin  de  l'Église  de 
Constantinople,  617.  Il  en  est  établi  évêque. 
Il  préside  au  concile  de  Constantinople  après 
la  mort  de  saint  Mélèce,  619.  Les  évêques 
d'Egypte  et  de  Macédoine  arrivés  au  concile 
se  plaignent  de  ce  que  saint  Grégoire  avait 
été  établi  sur  le  siège  de  Constantinople, 
620.  Il  quitte  le  siège  et  le  concile,  621.  Il 
refuse  de  venir  au  second  concile  de  Cons- 
tantinople, 636.  —  Lettre  que  saint  Eusèbe 
de  Samosate  écrivit  à  saint  Grégoire  de  Na- 


zianze, V,  3.  Saint  Grégoire  engage  saint 
Amphiloque  à  faire  un  voyage  pour  justifier 
Bosphore,  évêque  de  Colonie,  367.  —  Quel- 
ques-uns des  discours  de  ce  père  traduits 
par  Rufin  d'Aquilée,  VII,  466.  Jérôme  fut 
disciple  de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  547. 

—  Témoignage  de  Philostorge  sur  ce  saint 
docteur,  VIII,  312.  —  Saint  Augustin  cite 
saint  Grégoire    de  Nazianze,    IX,   486.    — 

—  Commentaire  de  l'abbé  saint  Maxime  sur 
les  endroits  difficiles  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  XI,  770, 771.  —  Discours  de  Théo- 
dore Daphnopates  en  son  honneur,  XIIL  30. 
Hymne  de  Jean  Mauropus  pour  le  jour  de 
sa  fête.  Discours  du  même  en  son  honneur, 
229.  Commentaire  de  Nicétas,  métropohtain 
d'Héraclée,  sur  ses  oraisons  et  sur  ses  poé- 
sies ,  338.  —  Commentaire  sur  quelques- 
uns  de  ses  poëmes  attribué  à  Nil  Doxopater, 
XIV,  634. 

GRÉGOIRE,  préfet  du  prétoire.  Donat  de 
Carthage  le  traite  indignement  dans  une 
lettre,  V,  98. 

GRÉGOIRE,  diacre  et  moine  de  Nazianze, 
héritier  de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V, 
190, 

GRÉGOIRE,  gouverneur  de  Cappadoce. 
Lettres  que  saint  Grégoire  de  Nazianze  lui 
écrit,  V,  235. 

GRÉGOIRE,  oncle  de  saint  Basile,  a  quel-        371. 
ques   différends  avec  lui.    Lettres   que  lui 
écrit  ce  saint  docteur,  V,  440.  —  Saint  Gré- 
goire de  Nysse  travaille  à  réconcilier  avec 
lui  saint  Basile,  VI,  120. 

GRÉGOIRE    (Saint),    évêque   de    Nysse, 
docteur  de  l'Église  et  confesseur,  VI,  119  et 
suiv.  Histoire  de  sa  vie.  Naissance  de  saint        371. 
Grégoire  ;  ses  études,  119.  Il  s'engage  dans 
le  mariage,  119  et  120.  [Voyez  119,  note  9.] 
Il  est  fait  lecteur.  Il  travaille  à  réconcilier    374  ç[  375. 
saint  Basile  avec  son  oncle  Grégoire,  120. 
Il  est  élevé  à  l'épiscopat,   120,   121.   Il  est        376. 
persécuté  par  les  Ariens,  déposé,  banni.   Il        378_ 
est  rétabli,  121.  Il  assiste  au  concile  d'An-        37g. 
tioche,  121  et  122.  Il  va  voir  sainte  Macrine 
sa  sœur,  l'assiste  à  la  mort  et  célèbre  ses 
funérailles,  122,  123.  Son  voyage  en  Arabie        380. 
et  en  Palestine,  123.  Il  assiste  aux  conciles    331  g,  383. 
tenus  à  Constantinople,  123  et  124.  Son  dif-        593. 
férend  avec  Hellade,  évêque  de  Césarée  en 
Cappadoce,  124,  123.  Saint  Grégoire  assiste         3ç,4_ 
au  concile  de    Constantinople.    Sa    mort,     j^^^^i  403. 
Éloge  de  ses  vertus,  123.  Catalogue  de  ses 
écrits,  123  et  126.  [La  lettre  au  moine  Éva- 
gre  est  de  saint  Grégoire  de  Nysse,  126.] 


486 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Écrits  de  saint  Grégoire,  126  et  suiv.  Hexa- 
meron,  126.  En  quel  temps  il  a  été  écrit, 
126.  Analyse  de  ce  livre.  Traité  de  la  For- 
mation de  l'homme,  128  et  suiv.  En  quel 
temps  il  a  été  écrit,  128.  Analyse  de  ce 
qu'il  contient,  128  et  suiv.  Homélies  sur  ces 
paroles  :  Faisons  riiomme  à  noire  image, 
faussement  attribuées  à  saint  Grégoire,  131. 
Livre  de  la  Vie  de  Moïse  ou  de  la  Vie  par- 
faite, 131  et  suiv.  A  quelle  occasion  il  a  été 
écrit,  131.  Analyse  de  ce  traité,  131  et  suiv. 
Traité  sur  les  Inscriptions  des  Psaumes,  133 
et  suiv.  Occasion  de  cet  ouvrage,  133,  134. 
Quel  en  est  le  but,  134.  Ce  que  l'on  peut  y 
remarquer,  134  et  133.  Homélie  sur  le 
psaume  sixième,  135.  Huit  homélies  sur 
l'Ecclésiaste,  135  et  suiv.  Idée  de  cet  ou- 
vrage, 133,  136.  Ce  que  l'on  peut  y  remar- 
quer, 136,  137.  Quinze  homélies  sur  le  Can- 
tique des  Cantiques,  137  et  suiv.  Saint  Gré- 
goire les  a  composées  à  la  prière  de  saiute 
Olympiade,  137.  Saint  Grégoire  y  suit  le 
sens  mystique,  137  et  138.  Ce  qu'il  y  a  de 
remarquable  dans  ces  homélies,  138,  139. 
Cinq  homélies  sur  l'oraison  dominicale,  139 
et  suiv.  Ces  homélies  sont  citées  par  les  an- 
ciens, 139,  140.  Analyse  de  la  première  de 
ces  homélies,  140.  Analyse  de  la  seconde, 
140,  141.  Analyse  de  la  troisième,  141. 
Analyse  de  la  quatrième.  Analyse  de  la  cin- 
quième, 142.  Huit  homélies  sur  les  huit 
béatitudes,  142  et  suiv.  Elles  sont  citées  par 
les  anciens,  142^  143.  Ce  que  contient  la 
première  ;  la  seconde  ;  la  troisième  ;  la  qua- 
trième, 143;  et  la  cinquième,  143  et  144  ;  la 
sixième  ;  la  septième,  144  ;  la  huitième,  144 
et  143.  Traité  sur  la  Soumission  du  Fils  de 
Dieu  envers  son  Père  à  la  fin  des  siècles. 
On  doute  si  ce  traité  est  de  saint  Grégoire. 
Analyse  de  ce  traité,  143.  Traité  qui  a  pour 
titre  :  Comment  l'homme  est  fait  à  l'image 
de  Dieu;  ce  traité  n'est  pas  de  saint  Gré- 
goire, 143  et  146.  Discours  sur  la  pythonisse. 
11  est  de  saint  Grégoire,  146.  Analyse  de  ce 
discours,  146  et  147.  Discours  de  saint  Gré- 
goire sur  son  ordination.  Il  paraît  avoir  été 
prononcé  au  jour  de  la  dédicace  de  l'église 
bâtie  par  Rufin.  Ce  discours  est  de  saint 
Grégoire,  147.  Antirrhétique  ou  traité  con- 
tre Apollinaire,  148  et  suiv.  Ce  traité  est  de 
saint  Grégoire  ;  en  quel  temps  il  l'a  com- 
posé, 148.  Analyse  de  ce  traité,  148  et  suiv. 
Discours  de  saint  Grégoire  sur  l'amour  des 
pauvres,  132.  A  quelle  occasion  il  a  été  fait. 
Analyse  de  ce  discours,  153.  Livre  de  saint 


Grégoire  contre  le  destin,  133  et  134.  En 
quel  temps  il  a  été  écrit,  153.  Analj'se  de 
ce  livre,  133  et  134.  Traité  des  Notions 
communes  ;  ce  que  c'est  que  ce  traité,  134, 
155.  [Édition  de  ce  livre  dans  la  Patrologie, 
136.]  Livre  intitulé  :  De  l'Ame  ;  il  n'est  pas 
de  saint  Grégoire,  155.  [Édition  de  ce  livre, 
135.]  Épltre  canonique  à  Létoïus,  155  et 
suiv.  Elle  est  de  saint  Grégoire,  135,  156. 
A  quelle  occasion  elle  fut  écrite,  156.  Ana- 
lyse de  cette  lettre,  136  et  suiv.  Discours 
contre  ceux  qui  diffèrent  leur  baptême,  139 
et  suiv.  Il  est  de  saint  Grégoire,  159.  Ana- 
lyse de  ce  discours,  139  et  suiv.  Histoire 
tragique  d'un  jeune  homme  qui  avait  dif- 
féré son  baptême,  160.  Réponse  aux  ob- 
jections de  ceux  qui  différaient  leur  bap- 
tême, 160  et  161.  Les  nouveaux  bapti- 
sés semblables  aux  soldats  nouvellement 
enrôlés.  Discours  contre  les  fornicateurs. 
Il  est  de  saint  Grégoire.  Analyse  de 
ce  discours,  161.  [Édition  de  ce  traité,  161.] 
Traité  de  la  Pénitence  ;  il  est  de  saint  As- 
tère.  Discours  sur  l'aumône,  161.  Il  est  de 
saint  Grégoire,  161  et  162.  Analyse  de  ce 
discours,  162  et  163.  Il  faut  soulager  les 
pauvres  et  les  malades,  162.  Réponse  aux 
excuses  de  ceux  qui  ne  les  soulageaient  pas, 
162  et  163.  Quelle  estime  on  doit  faire  des 
pauvres,  163.  Discours  sur  la  Pentecôte, 
163,  164.  Discours  contre  les  usuriers,  164, 
163.  Analyse  de  ce  discours.  Les  usuriers 
sont  inutiles  à  la  société,  164.  Motifs  pour 
détourner  de  l'usure,  164  et  165.  Réponses 
aux  objections  des  usuriers,  163.  Les  témoi- 
gnages contre  les  Juifs  sont  de  saint  Gré- 
goire ;  ce  que  c'est  que  cet  ouvrage,  163  et 

166.  [Édition  de  cet  ouvrage,  166.]  Livres 
de  saint  Grégoire  contre  Eunomius,  166  et 
suiv.  Quelle  en  fut  l'occasion.  Saint  Grégoire 
fait  difficulté  de  les  rendre  publics,  166.  Ils 
sont  au  nombre  de  douze,  166  et  167.  Es- 
time qu'on  en  a  faite  dans  l'Église  ;  en  quel 
temps  ils  ont  été  faits,  167.  Analyse  du  pre- 
mier de  ces  livres,  167  et  suiv.  Apologie  de 
saint  Basile   opposée  à  celle  d'Eunomius, 

167,  168.  Réfutation  de  la  doctrine  d'Euno- 
mius, 168,  169.  Preuves  de  la  divinité  du 
Fils,  169.  Égalité  des  trois  personnes  divi- 
nes, 169  et  170.  Justification  de  la  doctrine 
de  l'Église,  170.  Réponse  à  l'objection  sur 
le  terme  d'innascible,  170  et  171.  Réponse 
à  l'objection  sur  la  génération  du  Fils,  171 . 
Analyse  du  second  hvre  :  Doctrine  d'Euno- 
mius exposée  et  réfutée,  171  et  suiv.  Ana- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


487 


]yse  du  troisième  livre  :  Explication  de  ces 
paroles  :  Le  Seigneur  m'a  créé  au  commen- 
cement de  ses  voies,  173,  174.  Analyse  du 
quatrième  livre  :  Génération  du  Fils  de 
Dieu,  174,  175.  Analyse  du  cinquième  li- 
vre :  Explication  de  ces  paroles  :  Dieu  a 
fait  Seigneur  et  Christ  celui  que  vous  avez 
crucifié,  175  et  suiv.  Analyse  du  sixième 
livre  :  Réfutation  des  subtilités  d'Eunomius, 
177.  Analyse  du"  septième  livre  :  Éternité  et 
immutabilité  du  Fils  de  Dieu,  177  et  178. 
Analyse  du  huitième  livre  :  La  génération 
divine  doit  être  éternelle,  178,  179.  Analyse 
du  neuvième  livre  :  Diverses  preuves  de  la 
divinité  du  Fils,  179.  Analyse  du  dixième 
hvre,  179  et  180.  En  quel  sens  Jésus-Christ 
a  dit  :  H  n'y  a  que  Dieu  seul  qui  soit  bon. 
C'est  abuser  de  l'Écriture  de  mettre  le  Fils 
de  Dieu  au  rang  des  anges,  180.  Analyse 
du  onzième  livre,  180  et  181.  En  quel  sens 
il  faut  entendre  ce  que  Jésus-Christ  ressus- 
cité dit  à  Madeleine,  180.  Réfutation  des 
subtilités  d'Eunomius,  180  et  181.  Le  dou- 
zième livre  de  saint  Grégoire  contre  Euno- 
mius  est  un  ouvrage  séparé  des  onze  pré- 
cédents ;  analyse  de  ce  qu'il  contient,  181 
et  suiv.  Écrits  de  saint  Grégoire  sur  la  Tri- 
nité, 183  et  suiv.  Le  livre  intitulé  :  De  la 
Trinité,  n'est  pas  de  saint  Grégoire.  Le 
traité  adressé  à  Ablavius,  qu'il  ne  faut  pas 
dire  trois  dieux,  est  de  saint  Grégoire,  183. 
Analyse  de  ce  traité,  183  et  186.  Le  traité 
de  la  différence  des  termes  de  substance  et 
d'hypostase  n'est  pas  de  saint  Grégoire.  Le 
traité  de  la  Foi  est  de  saint  Grégoire,  186. 
Analyse  de  ce  traité,  186  et  187.  Grande 
Catéchèse  de  saint  Grégoire,  187  et  suiv. 
Elle  est  de  lui.  Ce  que  c'est  que  cette  caté- 
chèse, 187.  Analyse  de  ce  qu'elle  contient, 
187  et  suiv.  Livre  de  la  Virginité,  191  et 
suiv.  Il  est  de  saint  Grégoire,  191.  Analyse 
de  ce  livre,  191  et  suiv.  Ce  que  c'est  que 
les  Syllogismes  contre  les  Manichéens,  192. 
Traité  de  l'Ame  et  de  la  Résurrection,  192 
et  suiv.  Quelle  en  fut  l'occasion,  192.  Ana- 
lyse de  ce  traité,  192  et  suiv.  Lettre  de  saint 
Grégoire  à  Théophile  d'Alexandrie  contre 
les  Apollinaristes,  194.  En  quel  temps  elle 
a  été  écrite.  Analyse  de  ce  qu'elle  contient, 
194  et  193.  Les  trois  traités  de  la  Perfection 
chrétienne,  193  et  suiv.  Quelle  fut  l'occa- 
sion du  premier  de  ces  traités,  193.  Ana- 
lyse de  ce  traité,  193  et  196.  Analyse  du 
second  traité  de  la  Perfection,  196.  Analyse 
du  troisième,  196  et  197,  Discours  sur  les 


répréhensions,  197,  198.  A  quelle  occasion 
il  fut  fait,  197.  Analyse  de  ce  discours,  197 
et  198.  Traité  de  ceux  qui  meurent  dans 
l'enfance,  198,  199.  A  quelle  occasion  saint 
Grégoire  l'a  écrit,  198.  Analyse  de  ce  traité, 

198  et  199.  Discours  sur  la  Nativité  de  Jé- 
sus-Christ, 199.  Il  est  de   saint  Grégoire, 

199  et  200.  Analyse  de  ce  discours,  200. 
Panégyrique  de  saint  Etienne,  200  et  201. 
Autre  panégyrique  de  saint  Etienne,  201. 
Discours  sur  le  baptême  de  Jésus-Christ, 
201  et  202.  Premier  discours  sur  la  résur- 
rection de  Jésus-Christ,  202.  Il  est  de  saint 
Grégoire,  202  et  203.  Second  discours  sur  le 
même  sujet  ;  il  n'est  pas  de  saint  Grégoire. 
Troisième  discours  ;  il  est  de  saint  Grégoire. 
Quatrième  discours;  il  est  aussi  de  saint 
Grégoire.  Cinquième  discours  ;  il  n'est  pas 
de  saint  Grégoire.  Discours  de  saint  Grégoire 
sur  l'Ascension  de  Jésus-Christ,  203.  Dis- 
cours sur  la  fête  de  la  Purification  ;  il  n'est 
pas  de  saint  Grégoire,  203  et  204.  Discours 
de  saint  Grégoire  sur  la  divinité  du  Fils  et 
du  Saint-Esprit.  Quelle  en  fut  l'occasion, 
204.  Analyse  de  ce  discours,  204  et  205. 
Panégyrique  de  saint  Basile,  208,  209.  Ana- 
lyse de  ce  panégyrique,  209.  Trois  discours 
ou  panégyriques  des  quarante  martyrs,  209 
et  210.  Premier  et  second  de  ces  panégyri- 
ques. Troisième  panégyrique  des  quarante 
martyrs.  Oraison  funèbre  de  Pulchérie,  210 
Oraison  funèbre  de  Placille,  210  et  211.  Vi 
de  saint  Grégoire  Thaumaturge,  211  et  suiv. 
Authenticité  de  cette  Vie,  211.  Sommaire 
de  cette  Vie,  212,  213.  Panégyrique  de  saint 
Théodore,  martyr  d'Amasée.  Panégyrique 
de  saint  Melèce  et  de  saint  Éphrem,  213. 
Vie  de  sainte  Macrine,  213  et  214.  Discours 
de  saint  Grégoire  sur  la  mort.  Quelle  en  fut 
l'occasion,  214.  Analyse  de  ce  discours,  214 
et  213.  Lettres  de  saint  Grégoire,  213  et 
suiv.  Lettre  à  Flavien,  évéque  de  Cappa- 
doce,  213,  216.  Lettre  sur  le  pèlerinage  de 
Jérusalem,  216,  217.  Quelle  en  fut  l'occa- 
sion. Analyse  de  cette  lettre,  216.  Saint 
Grégoire  n'a  pas  absolument  condamné  le 
pèlerinage  de  Jérusalem,  216  et  217.  Lettre 
à  Eustathie,  à  Ambrosie  et  à  Basilisse,  217, 

218.  Lettre  à  Eusèbe,  laïque,  218  ;  aux  ca- 
thohques  de  la  ville  de  Sébaste,  218  et  219. 
Lettre  de  saint  Grégoire  à  un  évéque  sur 
son  retour  à  Nysse.  Lettre  de  saint  Grégoire 
à  Cynégius,  préfet  du  prétoire.  Quatre  let- 
tres de  ce  saint  écrites  à  diverses  occasions, 

219.  Deux  lettres   écrites   à  un    sophiste 


488 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


nommé  Libanius,  219  et  220.  Lettre  de  saint 
Grégoire  au  sujet  de  ses  ouvrages  contre 
les  hérétiques,  220.  Lettre  aux  fidèles  de 
Nicomédie,  220  et  221.  Lettre  de  saint  Gré- 
goire à  un  ami.  Lettre  à  un  évoque  nommé 
Jean.  Lettre  au  schoJastique  Adelphius  ;  à 
Ablabius,  évêque  ;  à  quelques  évêques,  221. 
Lettre  de   saint  Grégoire  sans  inscription, 
221  et  222.  Lettre  à  Héraclien,  hérétique  ; 
à  Amphiloque  son  ami,  222.  [Son  discours 
contre  Arius,   Sabellius,    et   un  autre  con- 
tre les  Manichéens  pneumatomaques,  125, 
205  et  suiv.  Fragments  qui  nous  restent  des 
écrits  perdus  de  saint  Grégoire,  223  et  224.] 
Ouvrages  de  saint  Grégoire  qui  ne  sont  pas 
venus  jusqu'à  nous,  223,   224.  Doctrine  de 
saint  Grégoire,  224  et  suiv.  Sur  l'Écriture 
Sainte,  224;  sur  la  tradition,  228,  229;  sur 
la  Trinité,  229  et  suiv.  ;  sur  le  péché  origi- 
nel, 232  ;  sur  l'Incarnation,  232  et  suiv.  ;  sur 
le  libre  arbitre  et  la  grâce,  236  et  suiv.  ;  sur 
la  sainte  Vierge,  238,  239  ;  sur  les  anges  et 
les  démons,  239,  240  ;  sur  la  Circoncision  et 
le  Baptême,  240  et  suiv.  ;  sur  l'Eucharistie, 
242  et  suiv.  ;  sur  la  prière  pour  les  morts  ; 
sur  les  dispositions  aux  mystères  et  sur  les 
autels,  244  ;  sur  Je  sacrement  de  Pénitence, 
244  et  245  ;  sur  l'ordination,  245,  246  ;  sur 
le  mariage,  246  ;  sur  la  primauté  de  saint 
Pierre,  246  et  247  ;  sur  l'intercession  des 
saints,  247,  248  ;  sur  l'éternité  des  peines, 
248  et  suiv.  ;  sur  divers  points  de  discipline, 
250  et  suiv.  ;  sur  divers  points  de  morale, 
253,  254  ;  sur  l'histoire,  254   et  suiv.  Juge- 
ment des  écrits  de  saint  Grégoire,  257,  258. 
Éditions  générales  de  ses  œuvres,  258.  [Édi- 
tion dans  la  Patrologie,  258.]  Éditions  parti- 
culières, 258  et  suiv.  [Traductions  françaises, 
260.]  —  Lettres  que  lui  écrivit  saint  Basile 
le  Grand,  IV,  434,  440.  Saint  Basile  se  plaint 
de  la  simplicité  de  saint  Grégoire  de  Nysse, 
449.  Saint  Grégoire  de  Nysse  n'est  pas  l'au- 
teur de  la  lettre  à  Eustathe,  médecin  ;  cette 
lettre   est  de  saint   Basile  le  Grand,  462, 
463.  Saint  Grégoire  de  Nysse  cité  dans  un 
concile     tenu  à  Ancyre    par    les    Ariens, 
604.  Sa  lettre  au  moine  Olympius,  61 1 .  Il  as- 
siste au  concile  de  Constantinople,  618.  Ses 
discours  dans  ce  concile,  619.  —  Il  va  à 
Césarée  en  Cappadoce  consulter  saint  Gré 
goire  de  Nazianze   sur  son   ordination,   V, 
202.  Il  est  obligé  de  se  cacher  dans  la  per- 
sécution de  Valons,  252.  Lettre  que  lui  écri- 
vit saint  Grégoire  de  Nazianze,  253,  234, 
264.  —  Denys  le  Petit  traduit  son  livre  de 


la  Formation  de  l'homme,  XI,  125.  —  Écrit 
par  lequel  Germain,  patriarche  de  Constan- 
tinople, prend  sa  défense,  XII,  40. 

GRÉGOIRE,  évêque  de  Mérida,  VII,  510. 

GRÉGOIRE,  abbé  en  Palestine,   auteur 

ecclésiastique,  VIII,  2.  °' 

GRÉGOIRE,  ordonné  contre  son  gré  évê- 
que de  Modène,  X,  401. 

GRÉGOIRE,  diacre  de  l'Église  romaine, 
depuis  pape,  est  envoyé  par  le  pape  Pelage  II 
à  Constantinople  solliciter  du  secours  contre 
les  Lombards  :  lettre  que  lui  écrit  Pelage,  XI, 
334.  Voyez  Saint  Grégoire  le  Grand. 

GRÉGOIRE,  patriarche  d'Antioche,  em- 
brasse la  vie  monastique  dans  le  monastère 
des  Byzantins,  aux  environs  de  Jérusalem, 
dont  il  devient  supérieur.  Il  gouverne  en- 
suite le  monastère  de  Pharan,  puis  celui  du 
Mont-Sina.  Son  éloge.  Il  est  fait  patriarche 
d'Antioche   à  la   place   d'Anastase  devenu 
odieux  à  l'empereur  Justin,  XI,  356.  11  est 
accusé  par  Astérius,  comte  d'Orient,  et  se 
justifie,  357.  L'empereur  Maurice  le  charge 
de  ramener  au  devoir  l'armée  d'Orient  qui 
s'était  révoltée,  357  et  358.  Discours  qu'il 
fait  aux  soldats  à  ce  sujet.  Son  discours  sur 
la  sépulture  de  Jésus-Christ.  Il  est  envoyé 
en  ambassade  vers  Chosroës,  roi  de  Perse, 
qui  lui  fait  de  grands  présents.  Il  visite  les 
solitudes  de  la  frontière  et  convertit  beau- 
coup lie  Sévériens.  Sa  mort.  Ce  que  dit  Éva- 
gre  de  ses  ouvrages,  329.  [Discours  de  saint 
Grégoire  sur  le  baptême  de  Jésus-Christ,  358. 
Autres  écrits  nouvellement  publiés,  358  et 
359.]  Grégoire,  accusé  d'inceste,  est  déclaré 
innocent  dans  un  concile,  338  et  416. 

GRÉGOIRE  (Saint),  évêque  de  Tours. 
XI,  365  et  suiv.  [Sa  Vie,  365,  n.  1.]  Sa  nais- 
sance, son  éducation.  Il  est  ordonné  diacre 
à  Clermont,  par  saint  Avit.  Il  est  fait  évêque 
de  Tours,  365.  Sa  conduite  pendant  son  épis- 
copat.  Il  assiste  au  concile  de  Paris,  où  il 
prend  la  défense  de  saint  Prétextât.  Il  dé- 
tourne le  roi  Chilpéric  de  donner  un  édit 
qui  ordonnait  de  nommer  la  sainte  Trinité 
sans  distinction  de  personnes.  Il  est  accusé 
dans  un  concile  de  Braine,  et  justifié.  Ses 
conférences  avec  des  Ariens  et  avec  un  Juif. 
Childebert  l'envoie  en  ambassade  auprès  de 
Gontrand,  roi  de  Bourgogne,  pour  ratifier 
le  traité  d'Andelan,  366.  Son  voyage  à 
Rome  :  il  découvre  la  pensée  que  le  pape 
saint  Grégoire  formait  à  son  sujet,  366  et 
367.  11  revient  à  Tours.  Sa  mort,  367.  Ses 
écrits,  367  et  suiv.  Son  caractère,  367.  Son 


>, 

577. 


572. 


593. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


489 


Histoire  ecclésiastique  des  Français,  367  et 
suiv.  Utilité  de  cette  Histoire.  En  quel  temps 
elle  a  été  écrite,  367,  368.  Analyse  des  dix 
livres  qui  la  composent,  368  et  suiv.  Premier, 
second,  368;  troisième,  368,  369;  quatrième, 
cinquième,  369  ;  sixième,  369, 370  ;  septième, 
370;  huitième,  370  et  371;  neuvième,  371; 
dixième,  371  et  372.  Livre  de  la  Gloire  des 
martyrs,  372  et  suiv.  Livre  du  Martyre  de 
saint  Julien  :  ses  Actes,  374,  375.  Livre  de 
la  Gloire  des  confesseurs,  373  et  suiv.  Qua- 
tre livres  des  Miracles  de  saint  Martin,  377 
et  suiv.  Les  Vies  des  Pères,  379  et  suiv. 
Commentaire  sur  les  Psaumes.  Livre  des 
Miracles  de  saint  André.  Livre  du  Martyre 
de  saint  Julien,  383.  L'Histoire  des  sept  dor- 
mants, 383  et  384.  Écrits  attribués  à  saint 
Grégoire  de  Tours,  384,  383,  Écrits  qui  sont 
perdus,  385.  Doctrine  de  saint  Grégoire  de 
Tours  sur  le  sort  des  saints,  385  et  suiv.;  sur 
la  divinité  de  Jésus-Christ  ;  la  procession  du 
Saint-Esprit,  du  Père  et  du  Fils;  l'Incarna- 
tion du  Verbe,  387  ;  sur  l'Assomption  de  la 
sainte  Vierge,  ses  images  et  celles  de  Jésus- 
Christ  et  des  apôtres,  387  et  388.  Églises, 
leur  dédicace,  leurs  ornements;  respect 
qu'on  leur  rendait,  388.  Reliques  des  saints, 
388  et  389.  Croix,  on  l'adorait;  baptême, 
confirmation,  389.  Difficultés  sur  la  Pâque; 
fonts  baptismaux  miraculeux  en  Espagne, 

389,  390.  Eucharistie,  messe  pour  les  morts, 

390,  391.  Dimanche  :  comment  on  le  sanc- 
tifiait, 391.  Ministres  de  l'Église,  391  et  suiv. 
Conciles,  393.  Censures  ecclésiastiques  inter- 
dites, 393  et  394.  Pénitence  sacramentelle 
refusée  à  ceux  qui  étaient  condamnés  à 
mort,  accordée  en  secret,  394.  Moines  et 
moniales,  394  et  393.  Sur  les  rois  de  France, 
39S.  Commencements  de  la  foi  chrétienne 
dans  les  Gaules,  394  [et  955.]  Jugement  sur 
les  écrits  de  saint  Grégoire  de  Tours  ;  son 
style,  395,  396.  Sa  crédulité  était-elle  exces- 
sive? 396  et  397.  Ses  fautes  de  chronologie. 
Éloge  de  son  Histoire,  397.  Pureté  de  sa  foi, 
398.  Différentes  traductions  et  éditions  qu'on 
a  faites  des  ouvrages  de  saint  Grégoire  de 
Tours,  397  et  suiv.  [Saint  Grégoire  justifié, 

391,  n.  1.  Éditions  et  traductions  nouvelles, 
399.]  Son  éloge  par  Fortunat,  406.  Autres 
vers  du  même  à  sa  louange,  408,  409.  Saint 
Grégoire  de  Tours,  accusé  d'avoir  calomnié 
la  reine  Brunehaut,  se  justifie  au  concile 
de  Braine  assemblé  pour  le  juger,  895, 
896.  —  Sa  Vie  écrite  par  saint  Odon, 
abbé  de  Cluny,  X,  809.  (Voyez  son  article 


dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 
m,  p.  372  et  suiv.) 

GRÉGOIRE  LE  GRAND  (Saint) ,  pape  et 
docteur  de  l'Église,  XI,  429  et  suiv.  Sa  nais-  sw. 
sauce,  son  éducation,  429.  Il  est  fait  préteur 
de  Rome,  429  et  430.  Il  souscrit  la  condam- 
nation des  Ti'ois-Chapilres.  Il  quitte  le 
monde  et  se  retire  daus  un  monastère,  l'un 
de  ceux  qu'il  avait  fondés,  430.  11  s'inté- 
resse à  la  conversion  des  Anglais,  430  et 

431.  Il  est  fait  l'un  des  sept  diacres  de  l'É- 
glise romaine.  Le  pape  Pelage  II  l'envoie,       v.578. 
en  qualité  de  nonce,  à  Constantinople,  431. 

Il  fait  changer  de  sentiments  au  patriarche        582. 
Eutychius,  qui  croyait  qu'après  la  résurrec- 
tion nos   corps  seront  impalpables,  431  et 

432.  11  compose  ses  Morales  sur  Job.  Il  re-        585. 
vient  à  Rome  et  est  fait  abbé  de  Saint-André, 

432.  Il  fait  auprès  du  pape  Pelage  II  les 
fonctions  de  secrétaire,  432  et  433.  Ce  pape        59o. 
étant  mort,  il  est  élu  pour  lui  succéder,  433. 
Il  tient  un  concile  d'où  il  envoie  en  Orient        591. 
ses  lettres  synodales,  433  et  434.  Sa  conduite 
pendant  son  pontificat,  434.  Son  attention 
pour  les  églises  du  dehors,  434  et  433.  Le        592. 
chagrin  des  maux  de  l'Italie  le  fait  tomber 
malade.  Il  travaille  à  faire  révoquer  à  l'em-        593. 
pereur  Maurice  l'édit  qu'il  avait  donné  pour 
défendre  aux  soldats  de  se  faire  moines, 
435.  Sa  retraite  au  monastère  de  Saint-An- 
dré, où  il  compose  ses  dialogues,  435,  436. 
Démêlé  de  saint  Grégoire  avec  Jean  le  Jeu-        595. 
neur,  patriarche  de  Constantinople  sur  le 
titre  d'œcuménique,  436,  437.  Il  envoie  des      596-597. 
missionnaires  en  Angleterre,  437,  438.  Gon-        598. 
version  des  idolâtres  de  l'ile  de  Corse  et  de 
plusieurs   Juifs  du  voisinage  de  Gergenti, 
438.  Grégoire  fait  la  paix  avec  les  Lom-        599. 
bards,  438et  439. 11  est  attaqué  par  la  goutte. 
Ses  sentiments  pendant  sa  maladie.  Il  tient        eoi. 
un  concile  où  il  fait  une  constitution  en  fa- 
veur des  moines,  439.  Il  entreprend  de  ré-        602. 
parer  les  basiliques  de   Saint-Pierre  et  de 
Saint-Paul,  439  et  440.  Les  guerres  qui  s'é- 
lèvent en  Italie  l'empêchent  d'effectuer  ce 
dessein.  Il  envoie  un  nonce   à   Constanti-        gos. 
nople,  et  obtient  de  Phocas  que  le  patriarche 
de  cette  ville  n'aurait  plus  le  titre  d'œcumé- 
nique. Sa  mort,  440.  Son  portrait,  440  et        504. 
441.  [Il  n'a  point  fait  brûler  la  bibliothèque 
palatine,  441,  n.  2.  Pièces  métriques  de  saint 
Grégoire  le  Grand  annoncées  par  dom  Pitra, 
441,  n.  3.]  Ses  écrits,  441  et  suiv.  Ses  com- 
mentaires ou  livres  de  morale  sur  Job,  441 
et  suiv.  Méthode  de  cet  ouvrage,  442.  Estime 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


490 

qu'on  a  faite  de  ce  commentaire,  442  et  443. 
Analyse  :  première  partie,  443  et  suiv.;  se- 
conde partie,  445  et  suiv.;  troisième  partie, 
447  et  suiv.;  quatrième  partie,  448  et  suiv.; 
cinquième  partie,  430,  4SI  ;  sixième  partie, 
conclusion,  451.  Jugement  sur  cet  ouvrage, 
431  et  452.  Homélies  sur  le  prophète  Ézé- 
cliiel,  452  et  suiv.  Ce  qu'elles  contiennent, 
452  et  suiv.  Temps  où  elles  furent  compo- 
sées. Elles  sont  écrites  pendant  qu'il  prê- 
chait. Sa  présence  d'esprit  dans  les  plus 
grands  troubles,  452.  Il  s'est  servi  du  com- 
mentaire de  saint  Jérôme,  432  et  433.  Nom- 
bre de  ses  homélies,  433.  Ses  homélies  sur 
les  évangiles,  434.  Analyse  de  cet  ouvrage, 
454  et  suiv.  Premier  livre,  433  et  suiv.;  se- 
cond livre,  458  et  suiv.  Discours  sur  une 
mortalité  occasionnée  par  la  peste,  462.  Ou- 
vrage sur  le  devoir  des  évéques,  intitulé  : 
Pastoral,  462  et  suiv.  Première  partie,  463, 
464;  seconde  partie,  464,  463;  troisième 
partie,  463  et  suiv.;  quatrième  partie,  470. 
Dialogues  de  saint  Grégoire  :  on  prouve 
qu'ils  sont  de  lui,  470  et  suiv.  Réponse  aux 
objections,  471,  472.  Dessein  de  ces  Dia- 
logues :  règles  qu'il  y  suit  :  estime  qu'on 
en  fait  :  temps  auquel  ils  furent  écrits,  472. 
A  quelle  occasion  ils  furent  écrits,  473.  Ana- 
lyse des  quatre  livres  qui  les  composent  : 
premier  livre,  473  et  474;  second  livre,  474 
et  473;  troisième  livre,  475  et  suiv.;  qua- 
trième livre,  477  et  suiv.  Lettres  de  saint 
Grégoire  distribuées  en  quatorze  livres,  479 
et  suiv.  Premier  livre,  479  et  suiv.;  second 
livre,  486  et  suiv.;  troisième  livre,  490  et 
suiv.;  quatrième  livre,  494  et  suiv.;  cin- 
quième livre,  499  et  suiv.;  sixième  livre, 
503  et  suiv;  septième  livre,  506  et  suiv.; 
huitième  livre,  309  et  suiv.  ;  neuvième  livre, 
312  et  suiv.;  dixième  livre,  318  et  suiv.;  on- 
zième livre,  320  et  suiv.;  douzième  livre, 
328,  529;  treizième  livre,  529  et  suiv.;  qua- 
torzième livre,  533  et  suiv.  Appendice  à  ces 
lettres,  533  et  suiv.  Sacramenlaire  de  saint 
Grégoire,  537  et  suiv.  Messe  pontificale,  538 
et  suiv.  Messe  pour  toute  l'année,  342,  343. 
Appendice,  343.  Bénédictionnaire.  Preuve 
que  le  Sacramentaire  est  de  saint  Grégoire, 
543  et  544.  Antiphonaire,  344.  Autre  Anti- 
phouaire  qui  lui  est  attribué,  344  et  543.  Le 
commentaire  du  premier  livre  des  Rois  n'est 
pas  du  pape  saint  Grégoire,  345;  il  n'est  pas 
non  plus  de  Claude,  abbé  de  Classe,  543  et 
suiv.  Le  commentaire  sur  le  Cantique  des 
Cantiques  est  véritablement  de  saint  Gré- 


goire, 547,  548.  Le  commentaire  sur  les  sept 
Psaumes  pénitentiaux  est  aussi  de  lui,  548, 
549.  Idée  de  ce  commentaire,  349,  530. 
Concordance  de  quelques  passages  de  l'Écri- 
ture, Autres  ouvrages  de  saint  Grégoire, 
350.  Extrait  des  écrits  de  saint  Grégoire  par 
Palérius,  350  et  531  ;  par  Alulte.  Remarques 
du  cardinal  Carafa  sur  les  lettres  de  saint 
Grégoire,  351.  Doctrine  du  pape  saint  Gré- 
goire, 552  et  suiv.;  sur  l'Écriture  sainte  et 
particulièrement  sur  son  inspiration;  sur 
l'esprit  de  prophétie,  532  ;  sur  les  livres  ca- 
noniques, 552  et  353;  sur  l'obscurité  de 
l'Écriture  sainte,  son  excellence,  553,  534; 
sur  la  lecture  de  l'Écriture  sainte  ;  sur  les 
divers  sens  de  l'Écriture  sainte,  354;  sur  les 
conciles,  554  et  555;  sur  l'Église,  335,  536; 
sur  la  primauté  de  saint  Pierre,  356,  3.H7; 
sur  l'autorité  du  Siège  apostolique  ;  sur  la 
Trinité  et  Tlncarnation,  557;  sur  la  mission 
des  personnes  divines  et  la  procession  du 
Saint-Esprit,  557  et  558;  sur  les  deux  na- 
tures en  Jésus-Christ  :  Nestorius  réfuté,  538 
et  359;  sur  la  foi  en  Jésus-Christ,  539;  sur 
la  grâce,  sa  nécessité  :  Dieu  la  retire  quel- 
quefois; on  y  résiste,  539  et  suiv.;  grâce 
prévenante  et  gratuite,  561,  362;  sur  la 
prédestination  et  la  réprobation;  sur  l'accord 
de  la  grâce  avec  le  hbre  arbitre,  562.  L'in- 
certitude de  notre  prédestination,  562  et 
563  ;  sur  les  anges  et  sur  les  démons,  564; 
sur  l'état  du  premier  homme,  le  péché  ori- 
ginel, la  circoncision  et  le  baptême  des  en- 
fants, 564  et  563  ;  sur  le  baptême  de  saint 
Jean  et  celui  de  Jésus-Christ  :  ses  effets  :  cé- 
rémonies du  baptême,  363  ;  sur  le  ministre 
du  baptême  et  le  temps  de  l'administrer, 
566;  sur  le  sacrement  de  confirmation  et 
son  ministre,  566  et  567;  sur  l'Eucharistie  : 
preuve  de  la  transsubstantiation,  567,  568; 
sur  le  sacrifice  de  l'autel  :  il  est  utile  aux 
vivants  et  aux  morts,  568,  569;  sur  les  ora- 
toires et  quelques  points  de  discipline  tou- 
chant la  célébration  des  messes  et  la  com- 
munion, 369  ;  sur  la  pénitence  et  le  pouvoir 
des  clefs  ;  sur  la  confession  des  péchés,  369 
et  370.  En  quoi  consiste  la  pénitence,  370, 
571;  sur  l'excommunication,  571  ;  sur  l'or- 
dination et  la  résidence  des  clercs,  571  et 
572;  sur  les  qualités  des  évêques  et  leur 
manière  de  -vivre,  572  ;  sur  le  célibat  des 
clercs,  372  et  373.  Pénitence  des  clercs,  573 
et  574.  Diverses  sortes  de  pénitence  impo- 
sées aux  clercs,  374  ;  sur  les  monastères  et 
sur  les  moines,  574  et  575;  sur  les  reli- 


^ 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


491 


gieuses,  575,  576  ;  sur  le  mariage,  576,  577  ; 
sur  l'invocation  des  saints  et  sur  les  miracles 
qui  s'opéraient  sur  leurs  tombeaux,  577; 
^ur  les  reliques  des  saints,  577  et  378  ;  sur 
la  dédicace  des  églises  et  des  monastères, 

578,  579;  sur  le  destin  et  les  superstitions, 

579,  580;  sur  la  félicité  des  saints;  sur  le 
purgatoire,  580;  sur  l'enfer,  580  et  581;  sur 
l'éternité  des  peines  de  l'enfer,  581  ;  sur  la 
délivrance  de  l'âme  de  Trajaa,  581  et  suiv.; 
sur  l'hérésie  et  le  schisme;  sur  la  simonie, 
S83.  Jugement  sur  les  ouvrages  de  saint 
Grégoire  le  Grand,  583  et  584.  Éditions  gé- 
nérales qu'on  en  a  faites,  584  et  585.  Édi- 
tions et  traductions  des  traités  particuliers, 
585  et  suiv.  [Œuvres  de  saint  Grégoire  dans 
l'édition  de  Venise,  545  n.  1.  Édition  complète 
de  ses  œuvres  dans  laPa/fo/og'te,  585. Éditions 
et  traductions  nouvelles,  586,  587.]  Diffé- 
rentes Vies  du  pape  saint  Grégoire,  585. 
Conciles  tenus  par  saint  Grégoire,  906,  908 
et  910.  —  Décrétale  qui  lui  est  faussement 
attribuée,  VI,  97.  Il  semble  avoir  confondu 
l'Histoire  de  Sozomène  avec  celle  de  Théo- 
doret,  VIII,  526.  Lettres  qu'il  écrit  à  Anas- 
tase  ,  patriarche  d'Antioche ,  459  ,  460  , 
482  et  510.  Il  reçoit  à  Rome  saint  Grégoire 
de  Tours,  366,  367.  Lettre  que  lui  écrit  saint 
Colomban  pour  justifier  l'usage  qu'il  avait 
apporté  d'Irlande  de  célébrer  la  Pâque  le 
quatorze  de  la  lune,  624,  623.  Il  le  consulte 
en  même  temps  sur  diverses  difficultés.  On 
n'a  point  la  réponse  que  fit  le  pape,  ni  deux 
autres  lettres  que  lui  écrivit  saint  Colomban, 
625.  Sentences  tirées  de  ses  Morales  par 
Taïon,  évêque  de  Sarragosse,  376,  577.  — 
—  Le  pape  saint  Zacharie  traduit  en  grec  ses 
Dialogues,  XII,  35.  Sa  Vie  écrite  par  Paul, 
diacre  surnommé  Warnefrid,  144.  Sa  lettre 
à  Secondin,  altérée  et  corrompue,  146.  Une 
partie  de  ses  reliques  apportées  à  Soissons, 
364.  Son  Sàcramentaire  revu  et  augmenté 
par  Grimald,  abbé  de  Saint-Gai,  et  par  Ro- 
trade,  prêtre  du  diocèse  d'Amiens,  603.  Sa 
Vie  écrite  par  Jean,  diacre  de  l'Église  ro- 
maine, 718,  719.  Histoire  de  la  translation 
de  ses  reliques,  écrite  par  Odilon,  moine  de 
Saint-Médard  de  Soissons,  786,  787.  Abrégé 
de  ses  Morales,  par  saint  Odon,  abbé  de 
Cluny,  806.  Autre,  par  Adalbert,  écolâtre 
de  Saint- Vincent  de  Metz,  862.  —  Saint 
Grégoire  a  retouché  le  Sacramentaire  du 
pape  saint  G«lase,  XIII,  1.  Hymne  et  ré- 
pons composés  pour  son  office  par  le  car- 
dinal Humbert,  et  notés  par  le  pape  saint 


Léon  IX,  212,  252.  L'observation  de  sa  fête 
recommandée  par  le  concile  de  Cloveshou, 
611.  —  Sermon  de  Guillaume  d'Auvergne 
en  son  honneur,  XIV,  1027. 

GRÉGOIRE  II  (Saint),   pape,   succède   à        715. 
Constantin.  Combien  a  duré  son  pontificat, 
XII,  24.  II  avait  accompagné  Constantin  à 
son  voyage  à  Constantinople  et  s'était  fait 
estimer  de  l'empereur  Justinien.   Analyse 
de  ses  lettres,  24  et  suiv.  Il  tient  un  concile        721. 
pour   réformer  plusieurs  abus.   [1   rétablit 
plusieurs  monastères  et  en  fonde  un  nou- 
veau en   l'honneur  de   sainte  Agathe.   Sa        731. 
mort,  26.  Lettre  que  lui  écrit  Jean,  patriar- 
che de  Constantinople,  36.  Il  donne  une  mis- 
sion à  saint  Boniface  et  l'ordonne   évêque, 
46.  [Ses  écrits  dans  la  Patrologie,  26.] 

GRÉGOIRE  III  (Saint),  pape,  succède  à  73,. 
Grégoire  II,  XII,  26.  Durée  de  son  pontifi- 
cat ;  sa  lettre  à  l'empereur  Léon  au  sujet 
des  images,  27,  Ses  autres  lettres,  27  et  28. 
Sa  mort  ;  recueil  de  canons  qu'on  lui  attri-  741. 
bue  ;  il  tient  à  Rome  un  concile  au  sujet  du 
culte  des  images,  28.  Lettre  que  lui  écrit 
Germain,  patriarche  de  Constantinople  ;  sa 
réponse,  39.  Il  donne  le  pallium  à  saint  Bo- 
niface, qu'il  reçoit  ensuite  à  Rome,  47.  [Ses 
lettres  et  ses  canons  dans  Mansi  et  dans  la 
Patrologie,  28,  29.  Il  y  a  deux  lettres  nou- 
velles, 28.  Son  éloge  par  Photius,  28, 
n.  2.] 

GRÉGOIRE  IV  ,  pape  ,  succède  à  Va- 
lentin.  Il  est  amené  en  France  par  Lo- 
thaire,  révolté  contre  son  père,  XII,  404. 
Lettre  que  lui  écrivent  les  évêques  du  parti 
de  Louis  le  Débonnaire,  374,  375.  Sa  ré- 
ponse à  ces  évêques  ;  ses  conférences  avec  533. 
l'empereur  ;  il  prend  part  à  la  déposition  de 
Louis,  373.  Il  retourne  à  Rome,  honteux 
d'avoir  prêté  son  nom  et  son  autorité  aux 
factieux,  378.  Le  décret  qu'on  lui  attribue 
en  faveur  d'Aldric,  évêque  du  Mans,  est  une 
pièce  qui  paraît  supposée  ;  raisons  pour  et 
contre,  404,  403.  La  lettre  adressée  aux 
évêques  et  aux  fidèles  orthodoxes,  par  la- 
quelle Grégoire  rétaWit  Ebbon  sur  le  siège 
de  Reims,  est  certainement  supposée  ;  mort  su. 
du  pape  Grégoire  IV,  403.  [Ses  lettres  dans 
la  Patrologie.  Cinq  pièces  nouvelles,  403, 
406.]  ^ 

GRÉGOIRE  V,  pape,  neveu  de  l'empereur        906. 
Otton  ni,  succède  à  Jean  XV,  XII,  899  et  900. 
Il  est  chassé  par  le  sénateur  Grescence,  qui        997. 
met  à  sa  place  Philagathe,  nommé  Jean  XVI  ; 
l'empereur  son  oncle  le  rétablit  ;  sa  mort  ;        999. 


827. 


492 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1046. 


1048. 


10S5. 

1057. 
1058. 
1059. 
lOC). 
1073. 


1074. 


ses  décrets  ;  lettre  à  Jean  de  Ravenne  ;  let- 
tre à  Gerbert  ;  lettre  aux  moines  de  Mont- 
Mayour,  900.  Privilège  pour  le  monastère 
de  Saint-Ambroise  à  Milan  ;  lettre  à  Cons- 
tantia;  lettre  à  Abbon  de  Fleury,  901.  [Ses 
lettres  et  privilèges  dans  la  Patrologie.  11  y  a 
vingt-deux  pièces  dont  plusieurs  nouvelles, 
901  ]  —  Trois  lettres  d'Abbon  de  Fleury  qui 
lui  sont  adressées  ;  réponse  du  pape,  XIII, 
28.  Concile  qu'il  tient  à  Rome  ;  chassé  de 
Rome,  se  retire  à  Pavie  ;  concile  qu'il  y 
tient,  763.  Concile  qu'il  tient  à  Rome,  764. 

GRÉGOIRE  VI,  pape,  succède  à  Benoît  IX 
de  qui  il  achète  le  pontificat,  XIII,  141,  147 
et  197.  Éloge  que  Raoul  Glaber  fait  de  lui, 
197.  [L'accusation  de  simonie  portée  sur  lui 
par  Glaber,  n'est  pas  fondée,  197,  n.  4.  Cir- 
constances de  son  abdication,  197,  n.  7.]  Il 
se  rend  au  concile  que  le  roi  Henri  le  Noir 
avait  assemblé  à  Sutri  ;  il  reconnaît  lui- 
même  l'irrégularité  de  son  élection,  et  quitte 
le  souverain  pontiBcat  ;  on  lui  donne  pour 
successeur  Luidger,  évêque  de  Bamberg, 
qui  prend  le  nom  de  Clément  II;  sa  bulle  en 
faveur  du  monastère  de  Saint-Quentin,  197. 
[Ses  trois  lettres  dans  la  Patrologie,  197.] 
Lettres  que  lui  écrit  saint  Pierre  Damien, 
298.  —  Concile  de  Sutri  où  il  abdique  le 
pontificat,  XIV,  1053. 

GRÉGOIRE  VII  (Saint),  pape,  connu  au- 
paravant sous  le  nom  d'Hildebrand;  sa  nais- 
sance ;  il  embrasse  jeune  la  profession  mo- 
nastique ;  [il  a  droit  au  titre  de  saint,  XIII, 
349,  n.  1.]  Il  accompagne  en  Allemagne  le 
pape  Grégoire  VI;  il  se  trouve  à  l'assemblée 
de  Worms,  où  saint  Léon  IX  est  élu  pape  ; 
ce  pape  le  ramène  à  Rome,  l'ordonne  sous- 
diacre,  et  lui  donne  le  gouvernement  de 
l'abbaye  de  Saint-Paul,  349.  Après  la  mort 
de  saint  Léon  IX,  il  est  envoyé  en  Allema- 
gne et  fait  élire  Victor  II  ;  sa  légation  à  Mi- 
lan ;  après  la  mort  d'Etienne  IX,  il  fait  élire 
Nicolas  II,  350.  Il  devient  archidiacre,  puis 
chancelier  de  l'Église  romaine,  3o0  et  351. 
Il  est  élu  pape,  et  succède  à  Alexandre  II  ; 
il  donne  avis  de  son  élection  au  roi  d'Alle- 
magne Henri  IV,  qui  la  confirme  ;  sa  lettre 
à  l'abbé  du  Mont-Cassin,  à  Guibert  de  Ra- 
venne, et  à  Godefroy,  duc  de  Toscane,  sur 
son  élection;  il  fait  adopter  en  Espagne  l'of- 
fice romain,  au  lieu  du  gothique  qui  y  était 
en  usage,  351.  Sa  lettre  au  comte  de  Rouci  ; 
lettre  aux  fidèles  de  Lombardie  au  sujet  de 
Godefroy,  usurpateur  de  l'Église  de  Milan  ; 
sa  conduite  touchant  les  investitures,  352. 


Ses  lettres  au  sujet  de  la  simonie  qui  s'exer- 
çait en  France,  352  et  353.  Lettres  à  l'évê- 
que  et  aux  habitants  de  Carthage,  353.  Pre- 
mier concile  de  Rome  sous  saint  Grégoire 
VII,  353  et  354.  Lettres  écrites  pendant  la 
tenue  de  ce  concile,  354,  355.  Rétabfisse- 
ment  de  l'évêché  d'Olmuth,  355.  Concile 
d'Erfort,  356.  Lettres  du  pape  sur  l'inconti- 
nence des  clercs,  356  et  357.  Lettres  au  roi 
Henri,  357.  Autres  lettres,  357  et  358.  Se- 
cond concile  de  Rome  contre  les  investi- 
tures, la  simonie  et  l'incontinence  des  clercs, 
358.  Déposition  d'Herman,  évêque  de  Bam- 
berg ,  358  et  3S9.  Conjuration  contre  [saint] 
Grégoire  VII,  359.  Le  roi  Henri  se  déclare 
contre  Grégoire  VII  ;  assemblée  de  Worms  où 
Grégoire  est  déposé,  359, 360.  Troisième  con- 
cile de  Rome  où  le  roi  Henri  est  excommu- 
nié, etc.,  360.  Conciliabule  de  Pavie,  où  le 
pape  est  de  nouveau  déposé  ;  lettres  par 
lesquelles  [saint]  Grégoire  VII  justifie  l'ex- 
communication des  rois,  361.  [Voyez  361, 
notes  3,  4,  5,  6.]  Lettre  aux  évêques  et  aux 
seigneurs  du  royaume  teutonique,  362.  As- 
semblée de  Tribur  contre  le  roi  Henri,  362 
et  363.  Ce  prince  vient  en  Italie  se  faire  ab- 
soudre de  l'excommunication,  363.  Lettre 
du  pape  aux  seigneurs  allemands  sur  l'ab- 
solution du  roi  ;  rechute  de  ce  prince,  364. 
Assemblée  de  Forcheim,  où  Rodolphe  est 
élu  roi  à  la  place  d'Henri,  364  et  365.  Let- 
tres à  l'évêque  de  Die ,  légat  en  France  ; 
quatrième  concile  de  Rome  ;  lettre  aux  sei- 
gneurs d'Allemagne,  365.  Lettres  à  Hugues, 
abbé  de  Cluny;  affaire  de  Dol  en  Bretagne, 

366.  Cinquième  concile  de  Rome,  366  et 

367.  Lettre  à  l'abbé  de  Cluny  ;  sixième  con- 
cile de  Rome,  367.  Lettre  sur  la  primatie  de 
Lyon,  367  et  368.  Lettre  aux  rois  d'Angle- 
terre, de  Norwège  et  de  Suède  ;  lettres  aux 
Arméniens,  368.  Septième  concile  de  Rome, 

368.  369.  Le  roi  Henri  y  est  déposé  et  Ro- 
dolphe confirmé  roi,  369.  [Voyez  369,  n.  8.] 
Assemblée  deBrixen,  où  [saint]  Grégoire  est 
déposé,  et  Guibert  élu  à  sa  place  sous  le 
nom  de  Clément  III,  369  et  370.  Grégoire 
demande  du  secours;  Rodolphe  est  tué  dans 
une  bataille  ;  Henri  passe  en  Italie,  370. 
Huitième  concile  de  Rome  ;  le  roi  Henri  se 
présente  inutilement  plusieurs  fois  devant 
Rome  pour  y  étabUr  Guibert;  neuvième 
concile  de  Rome,  371.  Henri  entre  dans 
Rome  et  y  installe  son  antipape  ;  il  en  est 
chassé  par  Robert  Guiscard,  qui  vient  au  se- 
cours de  saint  Grégoire,  371  et  372.  Dixième 


1074. 


1074. 


1075. 


1076. 


1077. 


1078. 


1078. 
1079. 


1080. 


1081. 
1083. 


1084. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


493 


concile  de  Rome  ;  Henri  et  l'antipape  y  sont 
excommuniés  de  nouveau,  372.  [Grande  in- 
dulgence du  pape  à  l'égard  du  roi  Henri, 
p.  363,  n.  S.  Conduite  du  pape  à  l'égard  de 
1085.  ce  prince,  p.  377,  n.  1,  et  p.  369,  n.  8.  Mort 
du  pape  saint  Grégoire  VH  ;  dissertations  sur 
saint  Grégoire  et  différentes  Vies  de  ce 
pape,  573,  374  et  869.]  Sa  vie  écrite  par 
Paul  de  Berneried  et  par  Donison,  373. 
Écrits  de  [saint]  Grégoire  VII  ;  ses  lettres, 
374.  [Ses  lettres  au  roi  Annasir,  au  peuple 
et  au  clergé  d'Hippone,  à  l'arcbevêque  de 
Carthage,  353.  Éditions  des  écrits  de  saint 
Grégoire  VH  dans  la  Pntrologie,  379.  Pièces 
qui  le  concernent,  380.]  Le  Dictatus  papœ 
n'est  pas  de  lui,  374  et  suiv.  Ses  idées  sur 
le  pouvoir  des  papes,  376.  Lettres  contre  la 
simonie,  l'incontinence  des  clercs  et  les  in- 
vestitures, 376  et  377.  Calomnies  contre  le 
pape,  377.  [Voyez  aussi  377,  n.  d .]  Écrils  du 
cardinal  de  Bennon,  378.  Remarques  sur  la 
discipline  de  l'Église  qui  s'observait  de  son 
temps,  378  et  379.  Ouvrages  supposés,  380. 
Jugement  des  écrits  de  [saint]  Grégoire  VH  ; 
sa  fête  ordonnée  dans  l'Église,  381.  [Voyez 
aussi  n.  2.]  [Justification  de  saint  Grégoire 
VII  contre  les  reproches  qu'on  lui  adresse, 
381  et  suiv.  Jugement  de  plusieurs  auteurs 
sur  saint  Grégoire  VII,  388  et  suiv.]  Gré- 
goire XIII  fait  insérer  son  nom  au  Martyro- 
loge romain,  'et  Paul  V  permet  à  l'Église  de 
Salerne  de  l'honorer  comme  saint,  372  et 
381.  Sa  légende  insérée  dans  le  bréviaire 
romain  est  rejetée  en  Allemagne,  en  France 
et  eu  Flandre,  381 .  [Observation  sur  la  fête 
et  l'ofSce  de  saint  Grégoire  VII,  p.  381,  n. 
13.  Conduite  de  la  France  à  l'égard  de  l'of- 
fice de  saint  Grégoire  VII,  381,  n.  S.]  Son 
apologie  par  saint  Anselme,  évéque  de  Luc- 
ques,  392  et  suiv.  Lettre  de  Thierry,  évêque 
de  Verdun,  contre  [saint]  Grégoire  VII,  413. 
Ce  pape,  auparavant  nommé  Hildebrand, 
préside,  en  qualité  de  légat,  au  concile  de 
Tours,  où  Bérenger  rétracte  ses  erreurs, 
169.  Lettre  que  lui  écrit  Lanfranc,  452.  Let- 
tre qu'il  écrit  à  Lanfranc,  453.  Son  éloge  par 
Amé,  moine  du  Mont-Cassin  ;  son  apologie 
par  Albéric,  494.  Discours  de  Conrad,  évê- 
que d'Utrecht,  contre  les  entreprises  de  Gré- 
goire VII,  513.  Lettre  que  lui  écrit  Ma- 
nassé  I,  archevêque  de  Reims,  549.  Sa  Vie 
écrite  par  Pierre,  cardinal  et  bibliothécaire 
de  l'Église  romaine,  568.  Deux  apologies  de 
Manegold,  prévôt  de  Marbach,  pour  ce 
pape,  583  et  suiv.  Analyse  de  celle  qui  a  été 


imprimée,  584  et  suiv.  Apologie  pour  ce 
pape  attribuée  à  Hugues,  archevêque  de 
Lyon,  594.  —  Prétendue  réfutation  d'une 
lettre  de  ce  pape  par  Sigebert,  abbé  de  Gem- 
blours,  XIV,  64.  [Richard,  archevêque  de 
Narbonne,  écrit  à  saint  Grégoire  VII,  188.] 

GRÉGOIRE  VIII,  antipape.  Voyez  Bourdin 
{Maurice). 

GRÉGOIRE  VIII,  pape,  succède  à  Urbain        1187. 
III.  Son  zèle  pour  la  croisade;  sa  mort,  XIV, 
935.  Ses  lettres,   935   et  936.  [Ses  lettres 
dans  la  Patrologie,  935,  n.  1,    et  936  et 
suiv.] 

GRÉGOIRE  Xni,  pape.  Édition  du  Décret 
de  Gratien  donnée  par  ses  ordres ,  XIV, 
761. 

GRÉGOIRE,  patrice  et  préfet  d'Afrique, 
engage  une  conférence  entre  saint  Maxime, 
abbé  de  Chrysopolis,  et  Pyrrhus,  partisan 
des  Monothélites,  XI,  766.  Lettre  que  lui 
écrit  saint  Maxime,  767,  768. 

GRÉGOIRE  (Saint),  évêque  de  Langres. 
Sa  Vie  écrite  par  saint  Grégoire  de  Tours, 
XIII,  381 . 

[GRÉGOIRE  (Saint),  évêque  d'Agrigente,       v.598. 

XI,  585.  Sa  vie,  585  et  suiv.  Commentaire 
de  saint  Grégoire  sur  l'Ecclésiaste ,  588 , 
589.  Choses  remarquables  contenues  dans 
ce  commentaire  ;  contenu  de  l'édition  pu- 
bliée par  Morcelli,  589.] 

GRÉGOIRE,  abbé,  à  qui  une  des  lettres        vers 
de  saint  Lulle  est  adressée,  XII,  131 .  '^^"  ''*'='''■ 

GRÉGOIRE  (Saint),  administrateur  de  l'É-     viii  siècle, 
glise  d'Utrecht.  Sa  Vie  écrite  par  saint  Lud- 
ger,  son  disciple,  XII,  218. 

GRÉGOIRE,  nomenclateur  de  l'Église  ro-      ix  siècle, 
maine,  ayant  conspiré  contre  le  pape  Jean 
VIII,  est  excommunié  avec  ses  complices, 

XII,  649. 

GRÉGOIRE,  gendre  de  Grégoire  nomen-     ix  siècle, 
dateur,  est  excommunié  avec  lui  pour  cons- 
piration contre    le    pape    Jean  VIII,   XII, 
649. 

[GRÉGOIRE,  prêtre  de  Césarée,  a  fait  ime  94o. 
Vie  de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  on  la 
trouve  au  t.  XXXV  de  la  Patrologie.  Il  a 
aussi  composé  un  discours  sur  les  318  pères 
du  cinquième  concile  de  Nicée  et  sur  l'em- 
pereur Constantin.  Ce  discours  est  reproduit 
au  t.  CXI  de  la  Patrologie  grecque.] 

GRÉGOIRE,   moine  et  disciple  de  saint     x  siècle. 
Basile  le  Jeune,  anachorète  à  Constantino- 
ple,  dont  il  a  écrit  la  vie  et  les  miracles, 
XII,  795,  796. 

GREGOIRE,  antipape,  élu  par  une  faction       loia. 


494 


HISTOmE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1013. 


1051. 


opposée  à  Benoît  VIII  ;  il  se  sauve  à  l'arri- 
vée du  roi  Henri,  et  Benoit  est  rétabli,  XIII, 
190. 

GRÉGOIRE,  évêque  de  Verceil,  est  ex- 
communié dans  un  concile  pour  cause  d'a- 
dultère, et  est  ensuite  rétabli,  XIII,  201.  Il 

1073.  est  député  par  le  roi  Henri  IV,  pour  confir- 
mer l'élection  du  pape  Grégoire  VII,  et  as- 
sister de  sa  part  à  son  couronnement,  331. 
—  Sa  déposition,  XIV,  1038. 

754  GRÉGOIRE,  évêque  de  Néocésarée,  pré- 

side au  faux  concile  de  Constantinople  tenu 

787.  par  les  Iconoclastes,  XIII,  613.  Il  se  pré- 
sente au  concile  général  tenu  à  Nicée,  s'a- 
voue coupable  et  demande  pardon,  621.  Sa 
confession  de  foi  y  est  lue  et  reconnue  ca- 
tholique ;  il  prend  sa  place  parmi  les  évé- 
ques,  621  et  623. 

[GRÉGOIRE  (Saint),  décapolite.  Ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie  ;  son  dis- 
cours historique,  XII,  323.] 

[GRÉGOIRE,  évêque  de  Porto.  Le  pape 
Jean  XV  lui  écrit,  XII,  837.] 

GRÉGOIRE,  prêtre  et  abbé,  assiste  au  se- 
cond concile  général  de  Nicée ,  XIII , 
624. 
XI  siècle.  GRÉGOIRE  ,  moine  et  garde-chartes  de 
l'abbaye  de  Farfe.  Son  recueil  des  chartes 
de  ce  monastère,  XIII,  477,  478. 

noG.  GRÉGOIRE,  évêque  de  Terracine,  et  d'a- 

112G.  bord  moine  du  Mont-Cassin.  Il  assiste  au 
concile  de  Guastalle  ;  il  souscrit  la  bulle  que 
le  pape  Honorius  II  accorde  à  l'Église  de 
Pise  ;  ses  écrits,  XIII.  498. 

GRÉGOIRE,  moine  du  Mont-Cassin,  puis 
évêque  de  Sinuesse.  Sonpoëme  sur  la  ruine 
du  Mont-Cassin,  XIII,  498,  499.  Ses  autres 
opuscules  conservés  manuscrits  au  Mont- 
Cassin  ;  sa  mort,  499. 

1120.  GRÉGOIRE,  cardinal,  évêque  de  Sabine, 

v.  1070.  très-attaché  au  pape  [saint]  Grégoire  VIL  Son 
Polycarpe  ou  collection  de  canons  ;  il  n'a 
pas  encore  été  imprimé,  XIII,  368.  [Notice 
sur  ce  cardinal  ;  épître  dédicatoire  et  som- 
maire des  chapitres  contenus  dans  les  huit 
livres  de  sa  Collection,  568.] 

XI  siècle.         [GRÉGOIRE,  clerc,  son  prologue  sur  la 

passion  ou  martyre  du  moine  saint  Auas- 
tase,  XHI,  602.] 

XII  siècle,        GRÉGOIRE,  abbé  d'Oxia.  Ses  deux  let- 

tres :  l'une  à  l'empereur  Alexis  Comnène, 
l'autre  à  la  princesse  Tliéodora  Porphyro- 
génète,  XIV,  150.  Lettre  que  lui  écrit  Théo- 
dore Prodrome,  avec  lequel  il  était  lié, 
149. 


GREGOIRE  BÉCHADE,  limousin.  Il  est 
auteur  d'un  poëme  sur  la  prise  de  Jérusa- 
lem. (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  tome  X,  p.  403.) 

GRÉGOIRE  DE  CRESCENT,  cardinal- 
diacre  de  Saint-Théodore,  envoyé  légat  en 
Danemarck  par  le  pape  Honorius  II,  XIV, 
231. 

GRÉGOIRE,  cardinal  de  Saint-Ange,  lé-       1130. 
gat  en  AHemagne  et  en  France,  est  élu  pape 
et  prend  le  nom  d'Innocent  II,  XIV,  236. 
Voyez  Innocent  IL 

GRÉGOIRE,  prêtre-cardinal,  est  élu  pour       nss. 
succéder  à  l'antipape  Anaclet  II  sous  le  nom 
de  Victor  IV  ;  il  quitte  la  mitre  et  la  chape 
et  se  soumet  à  l'obédience  d'Innocent  II; 
XIV,  238. 

GRÉGOIRE,  évêque  de  Syracuse,  déposé        85*. 
dans  un  concile  tenu  à  Constantinople  par 
le  patriarche  saint  Ignace  ;  pour  s'en  ven- 
ger, il  entreprend  de  mettre  Photius  sur  le 
siège  de  Constantinople  à  la  place  d'Ignace, 

XIII,  686.  II  donne  l'ordination  à  Photius,        858. 
689.  Un  concile  de  Rome  l'interdit  de  toute        863. 
fonction  sacerdotale,  696.  Il  est  anathéma-        869. 
tisé  par  le  patriarche  Ignace  et  par  l'Église 
romaine,  703.  Il  est  anathématisé  avec  Pho- 
tius au  quatrième  concile  général  de  Cons- 
tantinople, 706.  —  Son  interdiction  par  le 
concile  de  Rome,  XII,  571. 

[GRÉGOIRE  LE  MOINE.  On  a  de  lui  un      xsièci 
extrait  de  la, vie  de  Basile  le  Jeune;  cet  ex- 
trait est  reproduit  au  tome  CIX  de  la  Patro- 
logie.] 

GRÉGOIRE,  évêque,  parent  de  Norsésis,       ino. 
patriarche  des  Arméniens,  assiste  aux  con- 
férences tenues  entre  Norsésis  et  Théorien, 
député    de  l'empereur  Manuel  Comnène, 
XIV, 633. 

[GRÉGOIRE  et  Collombet.  Voy.  Collombet.] 

[GRÉGOIRE,  prêtre  de  Césarée.  On  a  de        940. 
lui  une  Vie  de  saint  Grégoire  de  Nazianze.] 

GRÉGORIA,  l'une  des  dames  de  la  cham-        596. 
bre  de  l'impératrice.  Lettre  que  lui  écrit  le 
pape  saint  Grégoire,  XI,  308. 

GRÉGORIAL.  Extraits  des  livres  du  pape 
saint  Grégoire  le  Grand,  composés  par 
Alulfe,  chantre  de  Saint-Martin,  XI,  331,  et 

XIV,  72. 

[GRÉGORIEN,  traité  composé  par  Gar- 
nier,  chanoine  et  sous-prieur  de  Saint-Vic- 
tor ;  ce  que  c'est,  XIV,  624.] 

[GREITH.  Son  Spicilegium  Vaticanum  où 
l'on  trouve  les  complaintes  d'Abailard,  t. 
XIV,  339.] 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


49S 


GRÊLE  extraordinaire  à  Gonstantinople 
suivie  d'une  famine,  IV,  333.  —  Discours  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze  à  l'occasion 
d'une  grêle,  V,  209  et  suiv.  —  Livre  d'Ago- 
bard  de  Lyon  sur  le  tonnerre  et  la  grêle, 
XII,  369,  370. 

[GRÉMAUD  (et  non  GRIMAUD).  Sa  notice 
sur  le  bienheureux  Amédée ,  évêque  de 
Constance,  XIV,  623.  Il  publie  aussi  une 
lettre  de  cet  évêque,  623  et  624  ;  avec  quel- 
ques pièces  qui  le  concernent,  624.] 

GRENADE  (Louis  de),  dominicain,  a  tra- 
duit en  espagnol  la  lettre  de  saint  Eucher  de 
Lyon  à  Valérien,  VIII,  436.  —  Sa  traduction 
espagnole  de  l'Écbelle  sainte  de  saint  Jean 
Climaque,  XI,  691. 

[GRENOBLE,  ville  de  France,  Noms  des 
évéques  de  Grenoble,  Xlll,  62.] 

[GREPPO (l'abbé). Ses  dissertations  sur  di- 
vers sujets  d'archéologie  chrétienne,  VII, 711 .] 

GRETSER  (Jacques),  jésuite.  Son  édition 
de  la  lettre  de  saint  Cyrille  de  Jérusalem  à 
Constance,  V,  82.  —  Sa  version  latine  des 
deux  livres  de  saint  Grégoire  de  Nysse,  de 
l'Inscription  des  Psaumes,  VI,  238.  Ses  notes 
sur  les  dissertations  de  Pierre  du  Moulin  sur 
les  pèlerinages,  259.  —  Son  édition  de  l'O- 
degos  d'Anastase  Sinaïte,  XI,  593.  Inexacti- 
tude de  cette  édition,  599.  Son  édition  des 
Questions  du  même ,  601 ,  602.  Sa  traduc- 
tion latine  du  discours  de  saint  Théodore 
Studite ,  sur  l'adoration  de  la  Croix  au 
milieu  du  carême,  XII,  320.  Sa  traduction 
latine  de  quelques  traités  dogmatiques  de 
Théodore  Aboucara,  625.  —  Ses  notes  sur 
quelques  ouvrages  de  Siméon  le  Jeune, 
abbé  de  Saint-Mamas  à  Gonstantinople, 
XUI,  226. 

GRÉALUS  (Jean).  Ses  notes  sur  les  œu- 
vres de  saint  Isidore  de  Séville,  XI,  727. 

GRIGNI,  ancien  monastère  du  diocèse  de 
Vienne,  X,  393  et  362. 

GRIGNY  (Jean-Jacques  de).  Sa  Vie  de 
saint  Hilaire  de  Poitiers,  IV,  88. 

GRIMALD  ou  GRIMOLD,  abbé  de  Saint- 
Gai,  frère  de  Hetti,  archevêque  de  Trêves, 
se  fait  moine  de  Richenow,  XII,  603.  Son 
voyage  à  Saint-Benoît  d'Aniane  ;  Louis  de 
Germanie  le  fait  son  archichapelain,  puis  lui 
donne  l'abbaye  de  Saint-Gai;  sa  mort;  il 
revoit  le  Sacrementaire  de  saint  Grégoire  et 
y  fait  des  additions,  XII,  603.  Lettre  qu'il 
écrit,  conjointement  avec  Tatton,  à  Regim- 
bert,  leur  maître  commun,  603  et  441.  Har- 
mote  lui  succède,  694.  (Voyez  l'article  de 


Grimald  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  V,  p.  402  et  suiv.) 

GRIMALD,  auteur  d'une  vie  de  saint  Gai,     ixsiécie. 
en  vers,  ne  doit  pas  être  confondu  avec  Gri- 
mald, abbé  de  Saint-Gai,  XII,  603.  (Voyez 
son   article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  V,  p.  408  et  suiv.) 

GRIMALT,  moine  de  Saint-Gai.  Sa  lettre 
à  Régimbert,  abbé  de  Richenow,  en  lui  en- 
voyant une  copie  de  la  règle  de  saint  Be- 
noît, XII,  441. 

GRIMBALD,  moine  de  Saint-Bertin,  qui 
n'est  connu  que  par  une  lettre  supposée  de 
Foulques  de  Reims  à  Alfrède,  XII,  711. 

GRIMBALD  (Saint),  moine  de  Saint-Ber- 
tin, puis  abbé  de  Winchester  en  Angleterre. 
Sa  Vie  paraît  n'être  point  du  moine  Gosce- 
lin,  XIII,  531.  —  Sa  Vie  écrite  par  Goscelin, 
moine  de  Cantorbéry,  XIV,  233.  (Voir  ce 
qui  est  dit  de  lui  dans  VHistoire  littéraire  de 
la  France,  t.  IV,  p.  283  et  suiv.) 

GRIMLAIC.  On  connaît  deux  prêtres  de  ce  ixtiècie. 
nom,  qui  vivaient  dans  le  ix"  siècle,  sous  le 
pontificat  de  Pormose,  XII,  704.  On  ne  sait 
auquel  des  deux  attribuer  la  règle  des  soli- 
taires, qui  porte  le  nom  de  Gdmlaïc,  704  et 
705.  Analyse  de  cette  règle,  703.  (Voyez  son 
article  dans  VHistoire  littéraire  de  la  France^ 
t.  V,  p.  683  et  suiv.) 

GRIMOALD,  maire  du  palais.  Lettre  que 
lui  écrit  saint  Didier,  évêque  de  Cahors,  XI, 
733.  [Charte  qu'il  donne,  733,  n.  2.] 

GRIMOALD,  moine  de  Cluny,  et  ensuite  Après  ms. 
du  monastère  de  Saint-Milhan  de  la  Cucule; 
il  écrit  la  Vie  de  saint  Dominique,  abbé  de 
Silos;  éditions  qu'on  en  a  faites;  l'Histoire 
de  la  translation  de  saint  Félix  est  aussi  son 
ouvrage;  autres  ouvrages  qu'on  lui  attribue, 
XIII,  489.  (Voyez  ce  qui  est  dit  de  lui  dans 
VHistoire  littéraire  de  la  France,  t.  VIII, 
p.  446.) 

GRIMOLD,  abbé  de  Saint-Gai.  Voyez  Gri- 
mald. 

GRIMON,  archevêque  de  Rouen,  pour  qui        743. 
saint  Boniface  demande  le  pallium,  XII,  30. 

GRINOVER,  abbé  d'un  monastère  à  Co- 
logne. Lettre  que  lui  écrit  Bernon,  abbé  de 
Richenow,  XIII,  127. 

GRIPHON  ou  GRIPON,  frère  de  Pépin,    ym siècle. 
Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Zacharie,  XII, 
34.  Lettres  de  saint  Boniface  qui  lui  sont 
adressées,  30. 

GRODEC  (Jean),  chanoine  de  Varnie. 
Sa  traduction  latine  des  Catéchèses  de  saint 
Cyrille,  V,  82. 


496 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


H02. 


XI  siècle. 


XI  siècle. 


XI  siècle. 


1104. 


GRONOVIUS  (Jacques).  Son  édition  du 
Dialogue  de  Minutius  Félix,  I,  556.  —  Son 
édition  des  CEuvres  de  Marbode,  évêque  de 
Rennes,  XIV,  225. 

GROSSULAN  ou  GROSSOLAN,  archevêque 
de  Milan.  Voyez  Pierre  Grossulan. 

GRUNINGUE.  Ulric  y  établit  un  monas- 
tère qu'il  transfère  ensuite  à  la  Celle,  XIII, 
470. 

GRUTER  (Jean).  [Son  édition  des  écrits  de 
Sédulius,  VIII,  109.]  —  Son  édition  de 
l'Abrégé  de  l'Histoire  romaine  de  Paul, 
diacre,  XII,  144. 

GRYNÉE,  en  latin  GRYNiEUS  (Jean-Jac- 
ques). [Son  recueil  des  écrits  apocrypbes  de 
l'Ancien  et  du  Nouveau  Testament,  I,  275.] 
Son  édition  des  œuvres  de  saint  Irénée,  530. 

—  Ses  additions  aux  livres  d'Eusèbe  de  la 
Préparation  évangélique,  III,  313.  Sesscho- 
lies  sur  l'Histoire  ecclésiastique  du  même, 
314.  —  Son  édition  des  œuvres  de  saint 
Paulin,  évêque  de  Noie,  VIII,  98.  Ses  notes 
sur  l'Histoire  tripartite,  525. 

[GUADET  (J.)  et  TARANNE.  Leur  édition 
et  leur  traduction  française  de  l'Histoire  des 
Francs  de  saint  Grégoire  de  Tours,  XI,  399. 

—  Traduction  de  l'Histoire  de  Richer,  XII, 
890.] 

GUAIFER,  moine  du  Mont-Cassin,  était  ori- 
ginaire de  Salerne  ;  ses  progrès  dans  la  vertu 
et  dans  les  sciences  ;  il  est  auteur  de  la  Vie 
de  saint  Secondin,  évêque  de  Troie  en  Pouille, 
et  de  quelques  hymnes  en  son  honneur;  ses 
homélies  et  ses  poésies  n'ont  pas  été  impri- 
mées, XIII,  496.  [Quelques  poëmes  publiés 
récemment,  496,  497  et  496,  n.  3.]  11  joint  à 
la  Vie  de  saint  Secondin  l'Histoire  de  l'inven- 
tion de  ses  reliques,  415. 

GUALDON,  moine  de  l'ancienne  Corbie. 
On  lui  attribue  la  Vie  de  saint  Anschaire, 
évêque  de  Hambourg,  écrite  en  vers;  il  pa- 
raît avoir  seulement  conseillé  à  l'auteur  ano- 
nyme de  la  composer,  XIII,  325.  (Voyez  ce 
qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  Vil,  p.  428  et  suiv.) 

GUALON,  abbé  de  Saint-Quentin  de  Beau- 
vais,  consulte  Yves  de  Chartres  sur  le  ma- 
riage des  enfants  impubères  ;  il  est  élu  évê- 
que de  Beauvais  à  la  place  d'Etienne  de 
Garlande  ;  lettre  d'Yves  de  Chartres  à  son 
sujet,  XIV,  109.  Il  devient  évêque  de  Paris, 
112. 

GUALTÉRUS  (Rodolphe).  Sa  traduction 
latine  des  homélies  de  Théodore!  sur  la  pro- 
vidence, X,  141. 


GUANERNÉRUS,  sous-prieur  de  Saint- 
Victor  de  Paris.  Ses  Explications  allégori- 
gues  de  la  Bible  tirées  des  paroles  de  saint 
Grégoire,  XI,  585,  586.  [C'est  le  même  que 
Garnier.  Voyez  plus  haut.] 

GUARNIER,  abbé  de  Rebais.  V.  Garnier. 
[GUARIN,  abbé  de  Saint- Victor.  Ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie,  XIV,  710.  Il 
succède  à  Ervisius  et  fut  un  homme  pieux  et 
sage,  698.  Ses  lettres,  710  et  711.  Ses  ser- 
mons, 711.  Ses  écrits  dans  la  Patrologie,  711 
et  712.  Lettre  du  cardinal  Pierre  de  Saint- 
Chrysogone  à  cet  abbé,  749.  Lettre  que  Gua- 
rin  écrit  au  pape  Célestin  III,  946.] 

GUASTALLE,  ville  de  Lombardie.  Concile 
tenu  en  cette  ville,  XIV,  1106. 

GUASTINES  ou  WALTEN,  premier  mo- 
nastère de  chanoines  réguliersen  Flandre;  sa 
Chronique,  écrite  par  Eberard,  XIII,  467. 

GUDELINE,  femme  du  roi  Théodat.  Ses 
lettres,  écrites  par  Cassiodore,  XI,  216. 

GUDILA,  diacre  de  l'Église  de  Tolède.  Ses 
liaisons  intimes  avec  saint  Julien  ;  sa  mort, 
XI,  791. 

[GUDIN,  moine  de  Luxeuil.  Sa  complainte 
rhythmique  sur  la  mort  de  Constance,  XIII, 
77.] 

GUDIUS  (Marquard).  Son  édition  du  livre 
de  saint  Hippolyte  sur  l'Antéchrist,  I,  642. 

GUEDEL,  île  sur  les  côtes  de  Bretagne. 
Voyez  Belle-Ile. 

GUENERIC,  évêque  de  Verceil.  Voyez 
Vénerie. 

[GUÉRANGER,  abbé  de  Solesme.  Son  ar- 
ticle sur  la  confirmation  du  concile  de  Nicée, 
ni,  529  et  suiv.] 

[GUÉRARD.  Ses  observations  surlei^ecueil 
des  chartes  de  Saint-Bertin  par  Folcuin,  XII, 
860,  n.  4.  Son  édition  du  Cartulaire  de  Saint- 
Bertin,  861.] 

GUÉRIN  DES  ESSARTS,  abbé  de  Saint. 
Évroul,  auteur  d'une  espèce  de  théologie. 
(Voyez  son  article  dans  Y  Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  XI,  p.  637  et  suiv.) 

GUÉRISON  (La)  des  erreurs  des  payens, 
ouvrage  de  Théodoret,  partagé  en  douze  dis- 
cours, X,  90  et  suiv.  Corrections  pour  cet  ou- 
vrage, 142. 

GUÉRISONS  MIRACULEUSES.  Guérison 
d'une  dame  de  qualité  par  l'intercession  des 
saints  martyrs  de  la  légion  thébéenne,  II,  472. 
—  Guérison  des  plaies  du  martyr  saint  An- 
dronic,  RI,  33,  34.  Guérisous  miraculeuses 
opérées  par  les  reliques  de  saint  Cyprien,  99. 
GUERRA  SACRA,  titre  que  Joseph  Horo- 


TABLE  GÉNÉRALE  DÈS  MATIÈRES. 


497 


loggi  a  donné  à  sa  traduction  italienne  de 
l'Histoire  des  croisades  de  Guillaume  de  Tyr, 
XIII,  536. 

GUERRE.  Évêques  et  prêtres  dispensés  de 
la  guerre  par  Charlemagne,  XII,  233.  Ré- 
ponse du  pape  saint  Nicolas  I"  aux  Bul- 
gares touchant  la  guerre,  583.  Sous  Charles 
le  Chauve ,  les  évêques ,  les  abbés  et  les 
abbesses  doivent  fournir  certaine  quantité 
de  soldats  armés,  633.  Réponse  du  pape 
Jean  VIII  touchant  les  chrétiens  tués  en 
guerre  en  combattant  contre  les  payens, 
643. 
13,,  GUERRIC ,  chanoine  de  Tournai ,  puis 
moine  de  Clairvaus;  est  fait  abbé  d'Igui 
57  après  la  mort  d'Humbert;  sa  mort;  ses  ser- 
mons, XIV,  439.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t. XII,  p. 430 
et  suiv.) 

GUESMÉ  (Claude),  bénédictin  de  la  con- 
gré^^ation  de  Saint-Maur,  auteur  de  la  table 
des  matières  de  l'édilion  des  Œuvres  de 
saint  Augustin  donnée  par  les  Bénédictins, 
IX,  816. 

GUI,  comte,  à  la  prière  duquel  Alcuin  com- 
pose son  traité  des  Vertus  et  des  Vices,  XII, 
187. 

GUI,  duc  de  Spolète,  couronné  empereur, 

XII,  707  et  738. 

GUI,  évêque  d'Auxerre,  auteur  de  quel- 
ques compositions.  (Voyez  ce  qu'on  dit  de  lui 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VI, 
p.  288  et  suiv.) 

GUI,  évêque  du  Puy,  fils  de  Foulques  le 
Bon,  comte  d'Anjou,  se  fait  moine  dans  l'ab- 
baye de  Gormeri  ;  en  devient  abbé,  et  possède 
en  même  temps  plusieurs  autres  abbayes;  il 
quitte  ses  abbayes,  à  l'exception  de  celle 
,5  de  Gormeri  ;  il  est  fait  évêque  du  Puy  ;  ce  qui 
ig,        rend  son  épiscopat  remarquable  ;  sa  mort, 

XIII,  893.  Trois  chartes  qui  restent  de  lui, 
893  et  894.  [Leur  reproduction  danslaPa^ro- 
logie,  894.]  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  tome  VI,  p.  307  et 
suiv.) 

GUI,  moine  de  Saint-Pierre  de  Chalon- 
sur-Saône,  auteur  d'un  petit  écrit.  (Voyez  ce 
qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  VI,  p.  330.) 

GUI,  évêque  de  Sentis.  Lettre  que  lui  écrit 
saint  Fulbert,  évêque  de  Chartres,  XIII , 
82. 

GUI,  archidiacre,  puis  évêque  d'Amiens, 
fait  l'épitaphe  d'Enguerran,  abbé  de  Saint- 
Riquier,  XIII,  H2  et  276.  Ce  qu'on  sait  des 

TAB.  I. 


circonstances  de  sa  vie  ;  année  de  sa  mort  ;  ion. 
son  poème  sur  les  victoires  que  Guillaume 
le  Conquérant  remporte  sur  Harold  à  Has- 
tings  ;  autres  vers  à  la  louange  d'Enguerran 
qu'on  lui  attribue,  276.  Son  différend  avec  V.  ii62. 
Foulques,  abbé  de  Corbie,  288.  [Sa  lettre 
à  cet  abbé,  288.  Pièces  qui  concernent  Gui 
et  ses  écrits  dans  la  Patrologie ,  276.] 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  tome  VIII ,  p.  29  et 
suiv.) 

GUI,  abbé  de  Forêt-Montier.  Son  épitaphe, 
par  EngLierran,  abbé  de  Saint-Riquier,  son 
frère,  Xlll,  112. 

GUI  D'AREZZO,  moine,  inventeur  delà  xi siècle, 
gamme.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de 
sa  vie  et  de  ses  ouvrages,  XIII,  129,  130.  Sa 
lettre  à  Michel,  où  il  rend  compte  du  succès 
de  sa  nouvelle  méthode  ;  son  Micologue  ;  ce 
que  c'est,  130.  Son  traité  de  la  Mesure  du 
monocorde,  130  et  131.  C'est  par  erreur  que 
Trithème  lui  attribue  un  traité  du  Corps  et 
du  Sang  de  Jésus-Christ  contre  Bérenger, 
131.  [Son  Micrologue,  publié  par  D.  Gerbert  ; 
autres  écrits  de  Gui  publiés  par  le  même  édi- 
teur, 130.  Jugement  sur  les  écrits  de  Gui, 
130,  131,  132.  —  On  lui  a  contesté  avec 
raison  plusieurs  de  ses  inventions,  XII, 
803.] 

GUI  ou  WIDON,  neveu  de  Bérold  ou  Ber- 
told,  évêque  de  Soissons,  choisi  pour  lui 
succéder,  XIII,  165. 

GUI    [DE  CHATILLON] ,   archevêque  de       wss. 
Reims.  [Notice  sur  cet  archevêque  et  cinq 
diplômes  donnés  par  lui  dans  la  Patrologie, 
XIII,  214,  n.  1.]  Sa  mort;  Gervais  lui  suc- 
cède, 263. 

GUI,  archevêque  de  Milan.  Lettre  que  lui 
écrit  saint  Pierre  Damien,  XIII,  301. 

GUI,   moine,  puis  abbé   de  Farfe.    Son     ^i  aiècie. 
Recueil  des  usages  de  l'abbaye  de  Farfe, 
XIII,  477. 

GUI,  abbé  de  Bobio.  Ses  statuts  pour  les       jogs, 
chanoines  réguliers,  XIII,  479. 

GUI,  chancelier  et  trésorier  de  l'Église  de 
Noyon,  écrit  la  Vie  de  Radbod,  évêque  de 
Noyon  et  de  Tournay,  Xlll,  490.  (Voyez  ce 
qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VIII,  p.  467  et  suiv.) 

GUI,  chancelier  et  trésorier  de  l'Église  de 
Noyon,  auteur  d'une  déclaration  sommaire 
de  l'Église  de  Noyon,  paraît  être  différent  du 
précédent.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  X,  p.  279.) 

GUI,  archevêque  de  Vienne  en  Dauphiné.         ma. 

32 


498 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


mz. 


H76. 


H8S. 


XII  siècle. 


1164. 


1168. 


1061. 


1073. 


1075. 


Lettre  que  le  pape  Urbain  II  écrit  à  ce  sujet, 

XIII,  430.  —  Lettre  que  lui  écrit  le  pape 
Paschal  II  dont  il  était  légat,  XIV,  133.  Il 
assemble  un  concile  à  Vienne,  où  l'on  dé- 
clare nulle  la  bulle  que  l'empereur  Henri  V 
avait  extorquée  du  pape  sur  les  investitures, 
et  ce  prince  est  excommunié,  133  et  suiv. 
Lettres  du  pape  Pascbal  II  qui  lui  sont  adres- 
sées, 136.  Il  est  élu  pape  et  prend  le  nom  de 
Calliste  H,  1092. 

GUI,  second  abbé  de  Molesme,  auteur 
d'une  Vie  de  saintRobert,  son  prédécesseur. 
(Voyez  son  article  dans  TZ^wtoiVe  littéraire  de 
la  France,  t.  XI,  p.  208  et  suiv.) 

GUI  DE  CASTEL,  prêtre-cardinal  du  titre 
de  Sainl-Marc,  est  élu  pape  pour  succéder  à 
Innocent  II;  il  prend  le  nom  de  Célestin  H, 

XIV,  267.  Voyez  Célestin  II. 

GUI  ou  GUIGNES  I",  cinquième  prieur  gé- 
néral de  la  Chartreuse.  Voyez  Guignes. 

GUI  ou  GUIGNES  II,  autre  prieur  général 
de  la  Chartreuse.  Date  de  son  abdication  ;  sa 
mort  ;  son  livre  des  Quatre  exercices  de  la 
cellule,  XIV,  402.  Pabricius  n'est  pas  éloigné 
de  lui  attribuer  l'Échelle  du  paradis  ou  des 
cloîtres,  imprimée  parmi  les  Œuvres  de  saint 
Augustin  et  de  saint  Bernard,  402  et  491.  Il 
ne  faut  pas  le  confondre  avec  Guignes,  cin- 
quième prieur.  Voyez  Guignes, 

GUI,  chancelier  de  l'Église  romaine.  Erreur 
de  Ciaconius  sur  la  date  de  sa  mort ,  XIV, 
533. 

GUI,  fils  du  comte  de  Blandrate,  est  élu 
archevêque  de  Ravenne  par  ordre  de  l'em- 
pereur Frédéric  P^.  Le  pape  Alexandre  IV 
s'y  oppose  en  vain,  XIV,  913. 

GUI  DE  CRÈME,  cardinal,  est  élu  antipape 
après  la  mort  d'Ûctavien;  il  prend  le  nomde 
Paschal  III,  XIV,  918  et  1131.  Il  couronne 
l'empereur  Barberousse  avec  Béatrix  sa 
femme  ;  sa  mort  ;  on  lui  donne  pour  succes- 
seur Jean,  évêque  d'Albane,  qui  prend  le 
nom  de  Calliste  III,  919. 

[GUI  DE  VICENGE  fait  l'éloge  de  l'Aurora, 
poërae  de  Pierre  de  Riga,  XIV,  887.] 

GUIARS  DES  MOULINS.  Voyez  Des  Mou- 
lins. 

GUIBERT  DE  PARME,  chancelier  du 
royaume  d'Italie,  excite  les  évêques  deLom- 
bardie  à  ne  point  reconnnaitre  le  pape 
Alexandre  II,  et  fait  élire  l'antipape  Cada- 
loûs,  Xin,  285. 

GUIBERT,  archevêque  de  Ravenne.  Lettre 
que  lui  écrit  le  pape  [  saint]  Grégoire  VII  après 
son  élection ,  XIII,  351 .  Cherche  les  moyens  de 


devenir  pape  ;  il  fomente  la  conjuration  for- 
mée contre  [saint]  Grégoire  VII  ;  il  l'excommu- 
nie dans  un  concile  tenu  à  Pavie,  359.  Il  est 
déposé  dans  un  concile  tenu  à  Rome,  365.  Il 
est  élu  pape  à  l'assemblée  de  Brixen,  et 
prend  le  nom  de  Clément  III,  369,  370.  Rac- 
compagne le  roi  Henri  en  Italie,  370  et  371. 
Il  est  introduit  dans  Rome,  et  l'y  couronne 
empereur,  371,  372.  Concile  de  Rome  où  il 
est  excommunié,  372.  Plusieurs  de  ses  let- 
tres ;  dissertation  où  l'on  prétend  prouver 
qu'il  avait  été  élu  canoniquement  ;  relation  de 
quelques  miracles  qu'on  lui  attribue,  407. 
Son  schisme  continue  sousles  papes  VictorlII 
et  Urbain  II,  421,  425,  430,  435.  Ses  parti- 
sans tiennent  un  concile  dont  la  lettre  syno- 
dale est  adressée  à  tous  ceux  qui  craignent 
Dieu  et  qui  aiment  le  salut  de  la  république 
romaine,  437.  [Bonizon,  évêque  de  Sutri, 
prouve  qu'il  était  permis  de  tuer  les  parti- 
sans de  l'antipape;  il  raconte  les  persécu- 
tions que  saint  Grégoire  VII  éprouva  de  la 
part  des  sectateurs  de  Guibert,  564.]  —  Il  est 
excepté  de  l'indulgence  avec  l'empereur 
Henri  IV,  XIV,  61.  Il  est  chassé  de  Rome;  sa 
mort,  129.  —  Invectives  de  Guillaume,  cha- 
noine de  Poitiers,  contre  lui,  XIII,  489.  — 
Formule  d'anathème  contre  ses  partisans 
dressée  par  Paschal  H,  XIV,  1077. 

GUIBERT  (Saint),  fondateur  de  l'abbaye  de 
Gemblou.  Translation  de  ses  reliques,  XIV,  59, 
60.  Sa  Vie,  composée  par  Sigebert;  Antien- 
nes et  répons  pour  son  office  ;  Histoire  de  la 
translation  de  son  corps,  par  un  autre  moine, 
63. 

GUIBERT,  abbé  de  Nogent.  Sa  naissance, 
son  éducation  ;  il  embrasse  la  vie  monastique 
à  Saint-Germer  ;  ses  études  ;  il  est  élu  abbé 
de  Nogent  à  la  place  de  Godefroi,  élu  évê- 
que d'Amiens,  XIV,  194.  Sa  mort.  Ses  écrits: 
traité  sur  la  Prédication  ;  Morales  sur  la  Ge- 
nèse; Commentaires  sur  Osée,  Araos  et  les 
Lamentations  de  Jérémie,  193.  Commentaire 
sur  le  prophète  Abdias,  196.  Traité  de  l'In- 
carnation contre  les  Juifs  ;  traité  de  la  Vérité 
du  corps  de  Jésus-Christ  dans  l'eucharistie, 
196  et  197.  Éloge  delà  sainte  Vierge  Marie; 
traité  de  la  Virginité,  197.  Traité  des  reliques 
des  saints,  197  et  suiv.  Histoire  de  la  pre- 
mière croisade  sous  la  conduite  de  Boémond, 
duc  de  Pouille,  et  de  Godefroi  de  Bouillon, 
roi  de  Jérusalem,  199  et  XIH,  534,  535.  — 
Histoire  de  sa  vie,  écrite  par  lui-même,  XIV, 
199  et200.  Appendice  de  ses  œuvres  ;  sermon 
qu'on  lui  attribue.  Jugement  sur  ses  écrits  ; 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


éditions  qu'on  en  afaites,  200.  [Ses  écrits  dans 
la  Patrologie,  193.]  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  X,  p.  433 
et  suiv.) 

GUIBERT,  abbé  de  Florin,  puis  de  Gem- 
blou.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa 
208.  vie;  sa  mort.  Ses  écrits  :  Vie  de  saint  Martin 
de  Tours;  ses  lettres;  Vie  de  sainte  Hilde- 
garde,  XIV,  862.  Autres  écrits  de  Guibert, 
862  et  863.  Question  qu'il  propose  à  sainte 
Hildegarde ,  863.  Réponse  qu'il  en  reçoit, 
596. 

GUJBERTINS,  partisans  de  l'antipape  Gui- 
bert. Traité  du  cardinal  Deusdedit  contre 
eux,  XIII,  569. 

GUIGHARD  ou  GUIKARD,  abbé  de  Saint- 
Tron,  auteur  d'une  Vie  de  ce  saint.  (Voyez 
ce  qui  est  dit  dans  VHistoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VI,  p.  461  et  suiv.) 
H81.  [GUIGHARD ,  archevêque  de  Lyon.  Ce 
qu'on  sait  des  circonstances  de  sa  vie,  XIV, 
746,  747.  Ses  lettres,  747,  748.  Ses  statuts 
sur  l'ollice  divin,  748.] 

GUIGHARD,  abbé  de  Blandinberg  à  Gand. 
)59.       Sa   mort  ;    Everhelme    lui  succède,    XIII, 
270. 

GUIDE  DU  VRAI  CHEMIN,  ouvrage  d'A- 
nastase  le  Sinaïte.  Voyez  Odegos. 

GUIDNERTH  tue  son  frère  qui  lui  dispu- 
tait la  couronne,  XI,  884.  Pénitence  à  la- 
quelle il  se  soumet,  884  et  885. 

GUIDRIC,  abbé  de  Saint-Evre  à  Toul. 
Voyez  Widric.  ' 

)54.  GUIFROI,  archevêque  de  Narbonne,  pré- 

side à  un  concile,  XIV,  1059.  Bérenger,  vi- 
comte de  Narbonne,  forme  de  grandes  plain- 
tes contre  lui,  1060. 

[GUIGNIARD  (Philippe),  bibliothécaire  à 
Dijon.  Sa  lettre  sur  les  reliques  de  saint 
Bernard  et  celles  de  saint  Malachie,  XIV, 
499.] 

GUIGUES  ou  GUI  I"  (le  Bienheureux),  cin- 
quième prieur  de  la  Chartreuse.  Son  éloge, 
XIV,  305.  Estime  qu'il  avait  pour  l'ordre  de 
Cîteaux,  305  et  306.  Il  fonde  plusieurs  char- 
treuses ;  il  s'applique  à  faire  transcrire  des 
livres;  de  son  temps,  une  inondation  ruine 
37.  les  bâtiments  de  la  Chartreuse  ;  sa  mort,  306. 
Son  Recueil  des  usages  et  des  statuts  de  l'or- 
dre des  Chartreux,  306  et  307.  Ses  Médita- 
tions, 307,  308.  Par  ordre  du  pape  Inno- 
cent II,  il  écrit  la  Vie  de  saint  Hugues, 
évêque  de  Grenoble,  308.  Son  traité  de  la 
Vie  monastique,  adressé  aux  religieux  du 
Mont-Dieu;  d'après  D.  CeiUier,  il  en  est  vé- 


ritablement auteur,  308, 309.  [Il  n'en  est  pas 
l'auteur;  cet  ouvrage  est  de  Guillaume  de 
Saint-Thierri,  308,  n.  3.]  Analyse  de  ce 
traité,  309.  Lettres  qui  nous  restent  de  lui, 
309  et  310.  Ouvrages  qu'on  lui  a  attribués, 
310.  [Deux  autres  lettres  de  Guigues,  310, 
n.  1.  Plusieurs  traités,  attribués  à  Guigues, 
sont  de  Gui  II,  310,  n.  4.  Éditions  de  ses 
écrits,  310.]  Jugement  sur  ses  écrits,  310. 
Lettres  que  lui  écrit  saint  Bernard,  426.  Il 
fut  chargé  d'écrire  la  Vie  de  saint  Hugues, 
évêque  de  Grenoble,  1112.  Il  ne  faut  pas  le 
confondre  avec  le  suivant.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  XI, 
p.  640  et  suiv.) 

GUIGUES  ou  GUI  H,  autre  prieur  de  la 
Chartreuse.  Voyez  Gui. 

GUIKARD,  abbé  de  Saint-Tron.  Voyez 
Guichard. 

GUILLAIN  (Saint)  ,  disciple  de  saint 
Arnaud.  Sa  Vie  écrite  par  Philippe  de 
Bonne-Espérance,  XIV,  687.  —  Statuts 
pour  les  moines  de  l'abbaye  qui  porte  son 
nom,  dressés  par  Gérard  II,  évêque  de 
Cambrai,  XHI,  480. 

[GUILLAUME,    moine    de    Châlon-sur-     ix  siècle. 
Saône.  Son  récit  du  ravage  produit  par  la 
foudre    sur  l'église    de   Saint-Pierre,    XII, 
840.] 

GUILLAUME  (Saint),  comte  de  Toulouse        804. 
et  duc  d'Aquitaine,  fondateur  de  l'abbaye 
de  Gellone.  Analyse  de  sa  Vie  écrite  par  un 
anonyme,  XIII,  234,  233. 

GUILLAUME  I,  comte  d'Auvergne  et  duc       9W. 
d'Aquitaine.    Son    testament  par  lequel    il 
fonde  l'abbaye  de  Cluny,  XIV,  743. 

GUILLAUME  III,  comte  de  Poitiers,  et  V"       looo. 
duc  d'Aquitaine.  Concile  qu'il  tient  à  Poi- 
tiers, XIII,   765.   (Voyez   son   article   dans 
VHistoire  littéraire  de  la  France,  t.   VII,    p. 
284  et  suiv.) 

GUILLAUME  VI,  comte  de  Poitiers,  et  loso. 
VIII,  duo  d'Aquitaine,  fonde  le  monastère 
de  Sauve-Majour,  XIV,  1069.  Il  remet  le 
monastère  de  Saint-Eutrope  à  l'abbé  de 
Cluny,  pour  y  rétablir  le  service  de  Dieu, 
1072. 

GUILLAUME  VIII,  comte  de  Poitiers,  et       ii35. 
X'=   duc   d'Aquitaine,  fauteur  du   schisme, 
converti  par  saint  Bernard,  XIV,  421. 

GUILLAUME,  comte  de  Blois.  Son  éloge 
en  vers  acrostiches  composé  par  Gauzbert, 
moine  de  Fleury,  XII,  524. 

GUILLAUME,  moine  de   Saint-Denis  en      ixsiecie. 
France,  fait  une  traduction  latine  des  œu- 


500 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


vres  de  saint  Denis  l'Aréopagite,  XII,  608. 
—  [II  est  sans  doute  le  même  que  celui  à 
qui  écrit  Odoranne,  XIII,  H4.] 

GUILLAUME,  abbé,  auteur  d'un  écrit  sur 
l'âme.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  tome  VI,  p. 
77.) 

1028.  GUILLAUME,  comte  d'Angoulême.  Récit 

de  sa  mort  tiré  de  la  Chronique  d'Adémar, 
XIII,  103. 

961.  GUILLAUME  (Le  bienheureux),  abbé  de 

Saint-Bénigne  de  Dijon.  Sa  naissance  ;  il  est 
tenu  sur  les  fonts  de  baptême  par  l'empe- 
reur Otton  I",  XIII,  105,  106.  Ses  études.  Il 
refuse  d'être  ordonné  à  condition  de  prêter 
serment  de  fidélité  à  l'évêque  de  Verceil.  Il  se 
retire  à  Cluny  avec  saint  Maïeul.  Il  met  la  ré- 
forme dans  le  monastère  de  Saint-Saurin  sur 
le  Rhône,  puis  dans  celui  de  Saint-Bénigne 
de  Dijon.  Il  rétablit  la  discipline  dans  plu- 

,031.  sieurs  autres  monastères.  Sa  mort,  106.  [Sa 
notice  et  ses  fondations  dans  la  Patrologie, 
105,  n.  12.  L'Église  ne  lui  rend  aucun  culte, 
105.  Ses  deux  Vies,  106.  Ses  lettres  dans  la 
Patrologie,  107.]  Sa  Vie  écrite  par  Glaber 
Rodulphe  et  par  un  anonyme,  106  et  147, 
148.  Ses  lettres,  106,  107.  Charte  de  la  fon- 
dation de  l'abbaye  de  Fruiare.  Discours  que 
Guillaume  prononça  à  la  dédicace  de  l'église 
de  Saint-Bénigne  qu'il  avait  fait  rebâtir. 
Formules  de  prières  qu'il  avait  composées, 
107.  Lettres  que  lui  écrit  le  pape  Benoît 
Vin,  192,  193.  (Voyez  son  article  dansl'^w- 
toire  littéraire  de  la  France,  t.  VII,  p.  318  et 
suiv.) 

1050.  GUILLAUME  I,  comte  de  Nevers,  usurpa- 

teur des  biens  de  l'abbaye  de  Moutier  en 
Der,  menacé  d'excommunication  pour  ce 
sujet,  XIII,  209,  210. 

GUILLAUME  II,  comte  de  Nevers,  élu 
régent  du  royaume.  Se  fait  chartreux,  XIV, 
1119. 

GUILLAUME  LONGUE-ÉPËE ,  duc  de 
Normandie.  Son  épitaphe  composée  par 
Maurille,  archevêque  de  Rouen,  XIII,  266. 
XI  siècle.  GUILLAUME  DE  MÉRULLA,  moine  de 
Saint-Évroul.  Ses  homélies  pour  toutes  les 
fêles  de  l'année  et  sur  l'Apocalypse.  Recueil 
des  miracles  opérés  par  les  reliques  de  saint 
Josse,  qu'Ordéric  Vital  lui  attribue,  XIII, 
269.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  tome  VII,  p,  602  et 
suiv.) 
XI  siècle.  GUILLAUME  LE  CONQUÉRANT,  duc  de 
Normandie  et  roi  d'Angleterre.  Poëme  de 


Gui,  évêque  d'Amiens,  sur  la  victoire  qu'il 
remporta  sur  Harold  à  Hastings,  XIII,  276. 
Le  pape  Alexandre  II  lui  envoie  un  éten- 
tard  pour  marque  de  la  protection  de  saint 
Pierre,  286.  Deux  lettres  de  ce  pape  qui  lui  i078. 
sont  adressées,  290.  Lettres  que  lui  écrit  le  i079. 
pape  [saint]  Grégoire  VII,  368.  Son  Histoire 
écrite  par  Guillaume,  archidiacre  de  Lisieux, 

410.  Les  principales  circonstances  de  sa  vie, 

410  et  411.   Sa  mort.   Discours  qu'il  fit  à       los;. 
sa  mort  à  ceux  qui  étaient  près  de   lui, 

411.  Ses  lettres,  412.  Il  fonde  le  monastère 
de  Saint-Étienne  de  Caen,  441.  Son  Histoire 
écrite  par  Lanfranc  n'a  pas  été  imprimée, 
457.  Discours  que  lui  adresse  Guitmond, 
nommé  évêque  d'Averse,  523.  Son  épitaphe 
composée  par  Thomas,  archevêque  d'York, 
547.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  tome  VIII,  p.  173  et 
suiv.) 

GUILLAUME  LE  ROUX,  roi  d'Angleterre.  mi 
Son  couronnement,  XIII,  442.  —  Il  succède  1087 
à  Guillaume  le  Conquérant  son  père,  XIV, 

2.  A  la  sollicitation  des  seigneurs  il  nomme       1093 
saint  Anselme  à  l'archevêché  de  Gantorbéry. 

il  s'indispose  contre  lui  ;  à  quelle  occasion, 

3.  Suite  de  cette  aversion,  3   et  suiv.  Sa       noo 
mort,  5.  —  Son  frère  Henri  P'  lui  succède 

et  est  couronné  par  Thomas,  archevêque 
d'York,  en  l'absence  de  saint  Anselme,  XIII, 
547. 

GUILLAUME,  évêque  d'Utrecht,  ennemi  io70 
du  pape  [saint]  Grégoire  A'II.  Sa  mort,  XIII,  io75ou 
360.  Conrad  lui  succède,  513. 

GUILLAUME,  bibliothécaire  de  l'Église  xisiè 
romaine.  Sa  continuation  des  Vies  des  pa- 
pes. Il  ne  nous  en  reste  que  les  Vies 
d'Adrien  II  et  d'Etienne  VI  ;  éditions  qu'on 
en  a  faites,  XIII,  344.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VIII, 
p.  140  et  suiv.) 

GUILLAUME  DE  JUMIÉGE,  moine.  Son  xi  siè. 
Histoire  des  Normands.  Le  huitième  livre 
n'est  pas  de  lui;  conjectures  sur  le  temps  où 
il  a  composé  cette  Histoire  ;  idée  de  cet  ou- 
vrage, XIII,  409.  [Éditions  qu'on  en  a  faites, 
410.]  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  tome  VIII,  p.  167  et 
suiv.) 

GUILLAUME  DE  POITIERS,  archidiacre  xtsiè. 
de  Lisieux.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances 
de  sa  vie,  410.  Son  Histoire  de  Guillaume 
le  Conquérant,  410  et  suiv.  [Édition  dans  la 
Patrologie  et  appendices  qui  s'y  trouvent, 
410.  Guillaume  de  Poitiers,  archidiacre  de 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


501 


Lisieux,  doit  être  distingué  de  Guillaume, 
chanoine  de  Poitiers,  489,  n.  H.]  Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  VIII,  p.  192  et  suiv.) 

1070.  GUILLAUME  DE  BONNE-AME,    arche- 

1079.       vêque  de  Rouen,  d'abord  moine,  puis  abi)é 

mo.  de  Caen,  nommé  archevêque  de  Rouen.  Sa 
mort,  XIV,  37.  Trois  lettres  qui  nous  res- 
tent de  lui,  S6,  37.  Conciles  tenus  par  cet 
archevêque,  57  et  XIII,  434.  Lettres  qui  lui 
sont  adressées,  57.  —  Urbain  II  lui  défend 
l'usage  du  palliam,  XIII,  421,  422.  —  [Let- 
tre que  lui  écrit  Yves  de  Chartres  au  sujet 
d'un  sous-diacre  qui  n'avait  pas  reçu  la  bé- 
nédiction cléricale,  XIV,  122.]  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  IX,  p.  490  et  suiv.) 

1095.  GUILLAUME,  prieur  de  Saint-Martial  de 

Limoges,  est  fait  évéque  de  cette  ville  à  la 
place  d'Humbault,  XIII,  434. 

siècle.  GUILLAUME,  abbé  du  Bec.  Son  épitaphe 
par  Milon  Crispin,  XIII,  459. 

050.  GUILLAUME  CRISPIN  L'ANCIEN.    Son 

épitaphe,  XIII,  459.  Voyez  Crispin. 

GUILLAUME  WALON,  abbé  de  Saint- 
Arnoul  de  Melz,  succède  à  Warin.  On  le 
charge  de  l'abbaye  de  Saint-Remi  de  Reims 
ses  plaintes  à  ce  sujet.  Il  renonce  à  l'abbaye 
de  Saint-Remi,  XIII,  461.  Hérimanne,  évê 
que  de  Metz,  attaché  à  [saint]  Grégoire  VII, 
ayant  été  chassé  par  Henri  IV,  Guillaume 
occupe  pendant  quelque  temps  cet  évêché, 
461  et  462.  Il  se  retire  à  Gorze.  Il  est  rap- 

1089.  pelé  à  Saint-Arnoul  ;  sa  mort.  Ses  lettres, 
462.  Oraison  en  l'honneur  de  saint  Augustin 
qui  lui  est  attribuée,  463.  (Voyez  son  article 
daus  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VIII, 
p.  305  et  suiv.) 

stècie.  GUILLAUME  KÉCELLE,  chanoine  de  Bé- 
verlai,  au  diocèse  d'Yorkj  écrit  l'Histoire 
des  miracles  de  saint  Jean  de  Béverlai.  Édi- 
tion qu'on  en  a  donnée,  XIII,  463.  (Voyez 
ce  qui  est  dit  de  lui  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  VIII,  p.  317  et  suiv.) 

iiècie.  GUILLAUME,  abbé  d'un  monastère  en 
Allemagne.  Lettre  que  lui  écrit  Ulric,  moine 
de  Cluny,  sur  ce  qu'il  affectait  de  porter  la 
chape,  XIII,  476. 

070.  GUILLAUME    (Saint),    abbé   d'Hirsauge, 

avait  été  d'abord  moine  à  Saint-Emmeran 
de  Ratisbonne.  En  quelle  année  il  est  fait 
abbé.  Ses  talents.  Il  emploie  nombre  de  ses 
religieux  à  transcrire  les  livres  de  l'Écriture 
et  des  Pères.  On  le  regarde  comme  l'insti- 
tuteur des  frères  lais  ou  convers.  Sa  mort. 


1080. 


XIII,  484.  Constitutions  qu'il  avait  rédigées 
pour  son  monastère.  Analyse  de  ces  Consti- 
tutions, 483.  [Publication  de  son  traité  de 
Musique  et  de  la  préface  de  son  traité  sur 
l'Astronomie,  483.  Pièces  concernant  saint 
Guillaume,  abbé  d'Hirsauge,  484,  n.  4.]  Il 
engage  Ulric  à  composer  le  recueil  des 
usages  de  Cluny,  471. 

GUILLAUME,  évêque  de   Durham,  suc- 
cède à  Gaucher.  Confiance  dont  l'honore  le 
roi  GuillauQie  le  Conquérant.  Accusé  d'être        1089. 
entré  dans  la  faction  d'Odon  de  Bayeux,  il 
est  exilé.  De  retour  en  Angleterre,  il  se  dé-       '"9'- 
clare  contre  saint  Anselme.   Sa  mort.  Ses       i^ss. 
lettres,  XIII,  486.  [Autre  écrit,  486.]  (Voyez 
son   article  dans  l'Histoire  littéraire  de   la 
France,  t.  VIH,  p.  433  et  suiv.) 

GUILLAUME,  chanoine  de  Saint-Hilaire  "95. 
de  Poitiers.  Son  invective  en  vers  léonins  i^^e. 
contre  l'antipape  Guibert,  XIII,  489. 

GUILLAUME,  moine  de  Cluse.  Son  His-  xi  siècle, 
toire  de  l'abbaye  de  Cluse;  il  n'en  reste  que 
quelques  fragments.  Vies  de  Benoît  P'  et 
de  Benoît  II,  abbés  de  cette  maison  ;  la  pre- 
mière ne  se  trouve  plus  ;  analyse  de  la  se- 
conde, XIII,  490.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  VIII,  p. 
451  et  suiv.) 

GUILLAUME  DE  LA  FOUILLE,  auteur 
d'un  poëme  sur  les  expéditions  des  Nor- 
mands en  Sicile,  en  Pouille  et  en  Calabre. 
Conjeclure  sur  sa  personne.  Idée  de  son 
poëme,  XIII,  510.  Différentes  éditions  qu'on 
en  a  faites,  510  et  311.  On  met  cet  auteur 
parmi  les  écrivains  français,  511.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VIII,  p.  488  et  suiv.) 

GUILLAUME,  auteur  d'un  panégyrique 
de  la  sainte  Vierge.  (Voyez  ce  qui  en  est  dit 
dans  l'Histoire  littérairede  la  France,  t.  VIII, 
p.  679  et  suiv.) 

GUILLAUME  AUDIÈRE,  favori  du  roi 
d'Angleterre  Guillaume  le  Roux,  condamné 
injustement  à  être  pendu,  XIII,  524. 

GUILLAUME,  évêque  de  Tyr.  Ce  qu'on  U75. 
sait  des  circonstances  de  sa  vie,  XIII,  335. 
Son  Histoire  des  Croisades  ;  différentes  édi- 
tions qu'on  en  a  faites,  533  et  336.  [Juge- 
ment sur  Guillaume  de  Tyr,  536.]  Son  His- 
toire des  princes  d'Orient  est  perdue,  ainsi 
que  le  recueil  qu'il  avait  fait  des  actes  du 
concile  de  Latran,  537.  Son  Histoire  des 
Croisades  traduite  et  continuée  par  un  ano- 
nyme, 543.  —  [Le  pape  Innocent  II  lui 
écrit,  XIV,  265,  266.] 


302 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


V.  1101.  GUILLAUME  I  DE  MONTFORT,   évêque 

de  Paris.  Témoignage  avantageux  que  lui 
rend  Yves  de  Chartres,  XIV,  103,  104.  Sa 
mort.  Foulques  lui  succède,  112. 

GUILLAUME,  moine  de  Cliester  en  An- 
gleterre, auteur  de  deux  poëmes  en  l'hon- 
ueur  de  saint  Anselme.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  X, 
p.  12  et  suiv.) 

ioa7.  GUILLAUME  DE  GHAMPEAUX,  évêque 

de  Châlons,  enseigne  à  Paris  la  rhétorique, 

1108.  la  dialectique  et  la  théologie.  Devenu 
premier  archidiacre  de  la  catliédrale,  il  fait 

1H3.  ses  leçons  dans  le  cloître,  XIV,  192.  Il  se 
retire  avec  quelques-uns  de  ses  disciples  à 
Saint-Victor,    alors  hors  de  Paris,    192  et 

1115.  209.  Il  est  élu  évêque  de  Châlons.  Il  donne 
à  saint  Bernard,  élu  abbé  de  Clairvaux,  la 
bénédiction  abbatiale.  Il  assiste  à  plusieurs 

1119.  conciles.  Il  est  député  avec  Pons,  abbé  de 
Cluny,    vers    l'empereur    Henri  V  par    le 

1121.  pape  Calliste  II.  Sa  mort,  192.  Ditïéients 
écrits  qu'on  lui  attribue,  192  et  193.  Son 
traité  de  l'Origine  de  l'âme.  Son  sentiment 
sur  les  enfants  morls  sans  baptême,  193. 
[Fragment  de  son  écrit  sur  le  sacrement  de 
l'Eucharistie,  193  et  194.]  Sa  dispute  publi- 
que avec  Rupert,  sur  la  volonté  de  la  toute- 
puissance  de  Dieu,  281.  (Voyez  son  article 
dans  VHistoire  littéraire  de  la  France,  t.  X, 
p.  307  et  suiv.) 

GUILLAUME,  fils  de  Henri  P%  roi  d'An- 
gleterre, est  reconnu  pour  son  futur  succes- 
seur au  concile  de  Verberie,  XIV,  1088. 

GUILLAUME  DE  CORBEIL,  archevêque 
de  Cantorbéry.  Sa  mort.  Thibaud,  ubbé  du 
Bec,  est  élu  pour  lui  succéder  au  concile  de 
Londres,  XIV,  H14.  [Le  pape  Honorius  II 
lui  écrit  touchant  un  différend  entre  trois 
évoques  d'Angleterre^  233,  256.] 

1179.  GUILLAUME,  archevêque  de  Reims,  fait 

cardinal  par  le  pape  Alexandre  III  au  con- 
cile de  Latran,  XIV,  1143. 

GUILLAUME  DE  MALMESBURY  ou  DE 
SOMMERSET.  D'où  lui  viennent  ces  deux 

1U3.  surnoms.  Temps  où  il  florissait.  Ses  écrits  : 
Histoire  des  rois  d'Angleterre,  XIV,  311. 
Analyse  de  cette  Histoire,  311  et  suiv.  His- 
toires nouvelles,  ou  supplément  à  l'Histoire 
d'Angleterre.  Les  Gestes  des  évêques  d'An- 
gleterre ;  analyse  de  cette  Histoire,  313.  Vie 
de  saint  Wlstan,!  évêque  de  Worchester. 
Vie  de  saint  Adelme,  évêque  de  Schirburn, 
314.  Livre  de  l'Antiquité  de  l'Église  de  Glas- 
ton.  Lettre  à  Pierre,  moine  de  Malmesbury. 


1116. 


1136. 
1138. 


Autres  écrits  de  Guillaume  qui  n'ont  pas  été 
imprimés,  313.  [Édition  des  écrits  de  Guil- 
laume dans  la  Patrologie,  311.  Jugement 
sur  les  écrits  de  Guillaume.  Jugement  sur 
ces  ouvrages,  313.]  Éditions  qu'on  en  a 
faites,  314. 

[GUILLAUME,  moine  de  Saint-Denis,  as- 
siste Suger  à  la  mort.  Sa  circulaire  sur  cette 
mort,  373.  Ses  écrits  sur  Suger.  Sa  lettre  à 
quelques-uns  de  ses  confrères,  375,  n.  2. 
Édition  de  ces  écrits  dans  la  Patrologie,  373. 
Traduction  française  de  la  Vie  de  Suger, 
376.] 

GUILLAUME,  abbé  de  Saint-Thierri,  né  à 
Liège,  est  envoyé  a  'ec  Simon  son  frère  à 
Reims  pour  y  faire  ses  études.  Ils  embras- 
sent la  vie  monastique  à  l'abbaye  de  Saint- 
Nicaise,  XIV,  386.  Guillaume  est  fait  abbé 
de  Saint-Thierri.  Ses  liaisons  avec  saint 
Bernard.  Il  quitte  son  abbaye  et  se  retire 
au  monastère  de  Signi,  de  l'ordre  de  Cî- 
teaux.  Sa  mort.  Catalogue  de  ses  ouvrages; 
éditions  qu'on  en  a  faites,  387.  Livre  des 
Méditations,  387  et  388,  Traité  de  la  Nature 
et  de  la  Dignité  de  l'amour  divin.  Traité  de 
la  Contemplation  de  Dieu.  Traités  du  Miroir 
et  l'Énigme  de  la  foi  ;  de  la  Nature  du  corps 
et  de  l'âme.  Lettres  à  Geoffroi  de  Chartres, 
et  dispute  contre  les  Dogmes  de  Pierre 
Abailard,  388.  Traité  contre  les  erreurs  de 
Guillaume  de  Conches.  Commentaire  sur  le 
Cantique  des  Cantiques.  Sentences  de  la  foi, 

389.  Traité  du  Sacrement  de  l'autel,  389  et 

390.  Lettre  sur  l'Eucharistie.  Commentaire 
sur  l'épître  aux  Romains.  Vie  de  saint  Ber- 
nard, 390  et  410.  Traité  de  la  Vie  solitaire 
aux  frères  du  Mont-Dieu,  390.  [Ce  traité  lui 
appartient,  308,  n.  3.  Le  traité  de  la  Con- 
templation semble  aussi  lui  appartenir,  310, 
n.  4.  Notices  sur  Guillaume  et  édition  de 
ses  écrits  dans  la  Patrologie,  387,  n.  5.  Son 
commentaire  sur  l'épître  aux  Romains,  390, 
n.  4.]  Jugement  des  écrits  de  Guillaume  de 
Saint-Thierri,  390.  [Autre  jugement,  390, 
n.  8.]  —  Temps  auquel  Guillaume  écrivit 
son  commentaire  sur  le  Cantique  des  Canti- 
ques, V,  422.  —  Il  remarque  plusieurs  er- 
reurs dans  les  écrits  d' Abailard,  XIV,  380. 
(Voyez  son  article  dans  VHistoire  littéraire 
de  la  France,  t.  XII,  p.  312  et  suiv.). 

GUILLAUME  DE  CONCHES.  Ses  erreurs 
sur  la  Trinité.  Il  les  rétracte  dans  son  ou- 
vrage intitulé  :  Dragmaticon,  XIV,  388.  Sa 
Glose  sur  les  quatre  évangiles,  388  et  389. 
Temps  de  sa  mort,  389.  Réfutation  de  ses 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


303 


erreurs  par  Guillaume  de  Saint- Thierri,  388. 
(Voyez  son  article  dans  VHistoire  littéraire 
de  la  France,  t.  XII,  p.  435  et  suiv.) 

H40.  GUILLAUME,  trésorier  de  l'Église  d'York, 

en  est  élu  archevêque  pour  succéder  à 
Turstain.  DifScultés  sur  son  élection,  XIV, 

148.  443,  446.  Il  est  déposé  au  concile  de  Reims, 
et  Henri  Murdac  élu  à  sa  place.  Sa  consti- 
tution, 446. 

m.  [GUILLAUME  DE  TRAHINAC,    sixième 

prieur  de  Grandmont.  Deux  lettres  de  lui 
dans  la  Palrologie,  XIV,  380,  n.  8.] 

187.  [GUILLAUME  DONDINA.  Sa  Vie  de  saint 

Hugues  de  Lacerta,  XIV,  380,  n.  7.] 

317.  GUILLAUME  PELLICIER,  le  premier  qui, 

dans  l'ordre  de  Grandmont,  a  pris  le  titre 
d'abbé.  Dom  Martène  lui  attribue  l'Instruc- 
tion des  novices  de  l'ordre  de  Grandmont, 
XIV,  380. 

[GUILLAUME,  religieux  de  Grandmont 
et  depuis  archevêque  de  Bourges,  écrit  à 
Guarin,  abbé  de  Saint- Victor,  XIV,  711.] 

[GUILLAUME  IV,  comte  de  Nevers.  Ses 
contestations  au  sujet  de  certains  droits  sei- 
gneuriaux, XIV,  783.] 

[GUILLAUME  DE  JUMIÈGES,  n'est  pas 
l'auteur  du  premier  hvre  ni  des  huit  chapi- 
tres du  second  livre  des  Gestes  de  Henri  P"', 
roi  d'Angleterre,  XIV,  789.] 

GUILLAUME,  frère  de  Pierre  de  Blois, 
Lettre  que  lui  écrit  son  frère,  XIV,  774. 

185.  GUILLAUME  D 'EXESTER,  abbé  de  Gres- 
tain.  Lettre  d'Arnoul  de  Lisieux  à  son  occa- 
sion. Il  est  transféré  à  l'abbaye  de  Saint- 
Martin  près  Pontoise,  XIV,  737. 

156.  GUILLAUME,  roi  de  Sicile.  Sa  querelle 

avec  le  pape  Adrien  IV  ;  accommodement 
par  lequel  elle  se  termine,  XIV,  911. 

182.  GUILLAUME,  roi  d'Ecosse.  Son  dififérend 

avec  la  cour  de  Rome  au  sujet  de  l'évêché 
de  Saint-André.  Bulle  du  pape  Lucius  III 
qui  lève  l'excommunication  prononcée  par 

186.  l'archevêque  d'York,  XIV,  929.  Lettre  d'Ur- 
bain III  au  sujet  de  la  même  affaire,  934. 
Lettre  de  Clément  IH,  937. 

GUILLAUME,  comte  de  Montpellier.  Rai- 
sons qui  portent  Innocent  III  à  refuser  de 
légitimer  les  bâtards  de  ce  comte,  XIV,  979. 
203.  [GUILLAUME   (Saint),    abbé  de   Saint- 

Thomas  du  Paraclet.  Sa  vie,  XIV,  836  et 
suiv.  Ses  lettres,  836  et  suiv.  Ses  lettres  sur 
le  divorce  de  Philippe  Auguste,  839  et  suiv. 
Ses  lettres  aux  souverains  pontifes,  841;  à  des 
cardinaux  ;  à  des  évêques,  842  ;  à  des  abbés 
et  à  des  religieux,  843,  844.  Ses  opuscules, 


844,  843.  Ses  écrits  dans  la  Patrologie,  843. J 

[GUILLAUME    DE    CHAMPAGNE    AUX        1202. 
BLANCHES  MAINS,  archevêque  de  Reims. 
Sa  vie,  XIV,  843  et  suiv.  Ses  écrits;  ses 
lettres,  849  et  suiv.  Ses  chartes,  832.] 

[GUILLAUME  DE  LONGCHAMP,  chance-  xiii  siècle, 
lier  d'Angleterre,  évêque  dÉly.  Lettre  que 
lui  écrit  Adam,  abbé  de  Perseigne,  pour 
lui  représenter  les  dangers  qu'il  courait  en 
exerçant  un  emploi  qui  ne  convenait  guère 
à  un  évêque,  XIV,  883.] 

[GUILLAUME  LE  BRETON,  de  l'ordre  des 
mineurs,  fait  l'éloge  de  l'Aurora,  poëme  de 
Pierre  de  Reiga,  XIV,  887.  Il  n'est  pas  l'au- 
teur du  Glossaire  intitulé  :  Summa  Britonis 
seu  de  difjicilibus  vocabulis  in  Biblia  conten- 
us, 719.] 

GUILLAUME  D'AUVERGNE,  évêque  de  1228. 
Paris,  succède  à  Barthélemi.  Son  éloge.  Sa  i248. 
mort,  XIV,  1019.  Ses  écrits  :  Traité  de  la 
Foi.  Traité  des  Lois,  1020.  Traité  des  Ver- 
tus. Traité  des  Mœurs.  Traité  des  Vices  et 
des  Péchés,  1021.  Traité  des  Tentations, 
1021  et  1022.  Traité  du  Mérite  et  de  la  Ré- 
compense. Traité  de  l'Immortalité  de  l'âme. 
Traité  de  la  Rhétorique  divine,  1022.  Traité 
des  Sacrements,  1023.  Traité  des  Causes  de 
l'Incarnation.  Traité  de  la  Pénitence.  Traité 
de  l'Univers,  1024.  Sermons  de  Guillaume 
d'Auvergne,  1023  et  suiv.  Traité  de  la  Tri- 
nité, 1027.  Traité  de  l'Ame.  Traité  de  la 
Pénitence.  Traité  de  la  Collation  des  béné- 
fices, 1028.  Autres  ouvrages  de  Guillaume. 
Autres  ouvrages  qui  n'ont  pas  été  imprimés, 
1030.  Jugement  sur  ses  écrits,  1031.  Édi- 
tions qu'on  en  a  faites,  1032. 

GUILLEBAUD  (Pierre),  feuillant,  connu 
sous  le  nom  de  dom  Pierre  de  Saint-Ro- 
muald.  Son  édition  de  la  Chronique  d'Ade- 
mar,  avec  une  continuation,  XIII,  102. 

GUILLEBERT,  évêque  de  Châlons-sur-  g,6. 
Marne,  confondu  par  Baluse  avec  Gislebert, 
évêque  de  Chartres,  XII,  628.  Ce  qu'on  sait 
des  circonstances  de  sa  vie,  628  et  629.  Il 
assiste  à  l'assemblée  de  Pontion.  Son  ins- 
truction pastorale,  629.  (Voyez  son  article 
dans  VHistoire  littéraire  de  la  France,  t.  V, 
p.  481  et  suiv.) 

GUILLEM  (Saint)  du  désert,  auparavant        804. 
nommé  Gellone.  Fondation  de  ce  monastère, 
Xin,  234. 

[GUILLON,  évêque  de  Maroc.  Sa  traduc- 
tion française  des  écrits  de  saint  Cy- 
prien.  II,  386.  Sa  traduction  des  écrits  de 
saint  Chrysostôme,  VII,  437.] 


504 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1017. 


1077. 


1085. 


1105. 


[GUIMPOLE  (Saint),  évêque  de  Mantoue  : 
il  écrit  la  Vie  de  saint  "Winceslas,  XII,  845.] 

GUINIER,  FINGAR  (Saints),  et  leurs  com- 
pagnons, martyrs  en  Irlande  :  leurs  Actes 
faussement  attribués  à  saint  Anselme,  XIV, 
35. 

GUINISON  et  JANVIER  (Saints)  :  leur  Vie 
écrite  par  Pierre,  diacre  et  bibliothécaire 
du  Mont-Cassin,  XIV,  586. 

[GUISCHARDl  :  sa  traduction  française 
des  fragments  du  livre  des  Gestes  de  Jules 
Africain,  II,  96.] 

[GUIFRED,  premier  évêque  de  Besalu, 
XIII,  193.] 

GUITMOND,  surnommé  Chrétien,  évêque 
d'Averse.  Ses  commencements.  Pendant 
qu'il  état  moine  du  Bec,  on  le  presse  de  se 
charger  d'un  évèché  en  Angleterre  :  il  le 
refuse.  Il  passe  en  Italie,  et  change  de  nom 
pour  y  demeurer  inconnu.  Il  accompagne 
l'abbé  Bernard  à  l'assemblée  de  Forcheim. 
Il  se  trouve  à  l'élection  du  pape  Victor  III. 
Erreurs  oii  Ordéric  Vital  est  tombé  à  son  su- 
jet. Le  pape  Urbain  II  le  fait  évêque  d'A- 
verse. Sa  mort,  XIII,  516.  Ses  écrits.  Traité 
de  l'Eucharistie,  contre  Bérenger,  131,  173 
et  517.  Analyse  de  ce  traité,  517  et  suiv. 
Livre  premier,  517,  518;  livre  second,  518 
et  suiv.;  livre  troisième,  520  et  suiv.  Expo- 
sition sur  les  mystères  de  la  Trinité,  de  l'In- 
carnation et  de  l'Eucharistie,  522.  Traité  sur 
la  Trinité,  522  et  525.  Discours  au  roi  Guil- 
laume. Jugement  sur  les  ouvrages  de  Guit- 
mond  :  éditions  qu'on  en  a  faites,  523.  [Édi- 
tions dans  la  Patrologie,  523.]  —  Explication 
qu'il  donne  d'un  passage  de  saint  Augustin, 
IX,  759,  760.  (Voyez  son  article  dans  VHist. 
littér.  de  la  France,  t.  VIII ,  p.  533  et  suiv.) 

GUITOT  (Jean).  Sa  traduction  française 
de  plusieurs  des  méditations  et  oraisons  de 
saint  Anselme,  XIV,  24  et  43. 


[GUIZOT,  ministre  sous  Louis-Philippe. 
Ses  Mémoires  relatifs  à  l'Histoire  de  France, 
XI,  811.  On  y  trouve  différentes  traduc- 
tions et  notions  sur  des  auteurs  ecclésias- 
tiques.] 

GUMBALD,  abbé  de  Sainte-Croix  à  Bor- 
deaux. Privilège  que  le  pape  Benoit  IX  ac- 
corde à  son  monastère,  XIII,  196. 

GUNTARD.  Lettre  que  lui  écrit  Amalaire, 
prêtre  de  Metz,  XII,  348. 

GUNZON,  diacre  de  l'Église  de  Novare  : 
sa  lettre  à  Attende  Verceil,  où  il  décide  que 
le  filleul  ne  peut  épouser  la  fille  de  son  par- 
rain, XII,  825.  [Le  même  que  Gunzon,  gram- 
mairien :  sa  lettre  aux  moines  de  Richenow, 
823,  n.  1.  Lettre  qu'il  écrit  à  l'occasion  d'une 
faute  contre  la  grammaire,  823.]  (Peut-être 
le  même  que  Gunzon,  grammairien,  dont 
on  peut  voir  l'article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VI,  p.  386  et  suiv.) 

GURK  :  fondation  de  cet  évêché  par  Ger- 
bert,  archevêque  de  Saltzbourg,  XIII,  399. 

GURDISTIN  ou  WRDISTIN,  abbé  de  Lan- 
devenec,  auteur  d'une  Vie  de  saint  Guinga- 
lois.  (Voyez  son  article  dans  VHistoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  V,  p.  623  et  suiv.) 

GURHERDEN,  moine  de  Sainte-Croix  de 
Quimperlé,  auteur  d'une  Histoire  de  cette 
abbaye.  (Voyez  son  article  dans  VHistoire 
littéraire  de  la  France,  t.  XI,  p.  43  et  suiv.) 

GURIE  (Saint) ,  martyre  à  Édesse,  III, 
102,  103. 

GUTHLAG  (Saint),  anachorète  dans  l'île 
de  Croiland.  Sa  Vie,  écrite  par  Félix,  moine 
de  Jarou,  XII,  21  ;  par  deux  moines  de  Croi- 
land, 128.  —  Sa  Vie,  attribuée  à  Goscelin 
ou  Gotcelin,  moine  de  Cantorbéry,  XIII,  531 
et  XIV,  233.  —  Autre,  par  Pierre  de  Blois, 
XIV,  783. 

GYNÉCÉES,  maisons  où  l'on  enfermait 
les  filles  et  les  femmes  déréglées,  VI,  340. 


H 


AV.J.-C.607. 


HABACUC  ,  prophète.  Temps  auquel  il 
commence  à  prophétiser.  Analyse  de  sa 
prophétie  :  son  style,  1, 181.— On  prétendait 
en  plusieurs  endroits  posséder  son  tombeau, 
VII,  638.  —  Homélie  de  saint  Cyrille 
d'Alexandrie  sur  ce  prophète ,  VIII ,  324. 
Ses  reliques  trouvées  à  Céila,  53'i.  [Com- 
mentaire de  Théodore  de  Mopsueste  sur  ce 
prophète,  620.]  —  Commentaire  d'Héséchius 


sur  ce  prophète,  XI,  637.  —  Commentaire 
du  Vénérable  Bède  sur  le  cantique  d'Haba- 
cuc,  XII,  13.  —  Commentaire  de  l'abbé 
Joachim  sur  quelques  chapitres  du  prophète 
Habacuc,  XIV,  830. 

HABERT  (Nicolas),  bénédictin,  prieur 
claustral  de  l'abbaye  de  Mouson,  fait  impri- 
mer l'abrégé  de  la  Chronique  de  ce  monas- 
tère, XIII,  110. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


505 


HABET-DEUM,  évêque  en  Afrique.  Les 
Ariens  le  rebaptisent.  Ses  protestations.  Sa 
requête  contre  les  Ariens,  X,  461 . 

[HABIBUS  ou  HABIBE  (Saint),  martyr  à 
Samosate,  II,  469  et  suiv.] 

HABILLEMENTS  prêtés  pour  les  céré- 
monies païennes  :  cinquante-septième  canon 
du  concile  d'Elvire,  II,  6H. 

HABITATION  des  personnes  du  sexe  dans 
les  maisons  des  clercs  :  vingt-septième  ca- 
non du  concile  d'Elvire,  II,  608. 

HABITATIONS  :  livre  des  Trois  Habita- 
tions, ouvrage  faussement  attribué  à  saint 
Augustin,  IX,  287  ;  —  et  à  saint  Patrice,  X, 
447. 

HABITS.  Saint  Cyprien  ne  voulait  pas  que 
les  chrétiens  portassent  le  noir  dans  leurs 
habits  en  marque  de  deuil,  II,  379.  —  Ca- 
nons douzièjne  et  treizième  du  concile  de 
Gangres,  III,  517. — Habits  des  ministres  de 
l'Église  au  temps  de  saint  Jérôme,  VII,  699. 
—  Témoignage  et  sentiment  du  pape  saint 
Célestin  sur  les  habits  des  ecclésiastiques  et 
des  moines,  VIII,  129.  —  Habits  monas- 
tiques au  temps  de  saint  Benoît,  XI,  167. 
Habits  des  moines  prescrits  par  la  règle  de 
saint  Benoît,  167  et  168.  Saint  Grégoire  fait 
acheter  des  habits  blancs  par  ceux  qui  de- 
vaient être  baptisés,  510.  Habits  sacerdo- 
taux au  temps  de  saint  Grégoire,  538,  539. 
Défense  aux  clercs  de  porter  des  habits  de 
pourpre,  904.  —  Explication  allégorique  du 
Vénérable  Bède  sur  ce  qui  est  dit  des  habits 
sacerdotaux  dans  le  livre  de  l'Exode,  Xll, 
8.  [Le  pape  Jean  VI  ordonne  aux  clercs 
anglais  de  porter  l'habit  long  à  la  manière 
des  Romains,  22,  n.  8.]  Habits  sacerdotaux 
marqués  par  le  pape  Léon  IV,  408;  et  par 
Walafride  Strabon,  414.  Traité  de  Raban 
Maur  sur  les  habits  sacerdotaux,  457.  — Les 
clercs  et  les  moines  doivent  s'habiller  sui- 
vant leur  état,  XIII,  711.  Les  moines,  les 
religieuses  et  les  veuves  qui  quittent  les  ha- 
bits de  religion  pour  retourner  au  siècle, 
doivent  être  renfermés  dans  les  monastères, 
920.  —  Habits  des  clercs  d'une  seule  cou- 
leur, XIV,  67.  Sermon  d'Yves  de  Chartres, 
sur  la  mondanité  des  habits,  123.  Habits  des 
clercs,  217.  La  bénédiction  des  habits  sacer- 
dotaux et  de  tout  ce  qui  sert  à  l'Église  est 
réservée  à  l'évêque,  1076.  Il  est  défendu 
aux  clercs  de  porter  des  habits  de  couleur 
rouge  ou  faits  à  la  manière  des  séculiers, 
1150.  Canon  d'un  concile  de  Coyac  concer- 
nant les  habits  ecclésiastiques,  1057.  Canons 


d'un  concile  de  Montpellier  concernant  les 
habits  des  ecclésiastiques,  1159. 

HABITUDES  MAUVAISES.  Discours  sous 
le  nom  de  saint  Éphrem  contre  les  mau- 
vaises habitudes,  VI,  19. 

HABSBOURG.  La  généalogie  de  cette  mai-    xui  siècle, 
son,  jointe  aux  actes  de  l'abbsftye  de  Moury, 
n'est  pas  exacte,  XIV,  538.  Elle  n'est  ni  du 
même  temps  ni  du  même  auteur  que  les 
actes.  En  quel  temps  elle  a  été  faite,  539. 

HADRIEN,  pape  et  autres  du  même  nom. 
Voyez  Adrien, 

HAGANON,  chanoine  de  Châtillon-sur- 
Seine.  Voyez  Aganon. 

HAGANON,   évêque  d'Autun.  V.  Aganon,        loos. 

HAGIOGRAPHES.  (Sous  ce  nom  sont  com- 
pris les  livres  de  Tobie,  Judith,  Esther,  Job, 
Esdras,  Néhémias  et  les  Macchabées.)  Écrits 
des  Pères  à  consulter  sur  les  hagiographes, 
selon  Casiodore,  XI,  229. 

HAGUENBOT  (Jean),  surnommé  Coma- 
rius,  médecin  allemand.  Sa  version  latine  des 
fragments  de  saint  Irénée  tirés  de  saint  Épi- 
phane,  I,  530.  —  Son  édition  des  œuvres  de 
saint  Basile,  IV,  546.  —  Sa  version  latine  de 
plusieurs  ouvrages  de  saint  Épiphane,  VI, 
437.  —  Sa  version  latine  de  quelques  ou- 
vrages de  Synésius,  VIII,  33. 

HAGULSTAD  ou  HAUGULSTAD,  vulgai-  vu  siède. 
rement  Hauston,  évêché  d'Angleterre,  dé- 
membré de  celui  d'York.  Histoire  de  la  vie  et 
du  martyre  des  saints  dont  les  reliques  repo- 
saient dans  cette  église,  par  Accas,  XII,  21 .  — 
Livre  des  miracles  de  l'église  d'Hagulstad, 
par  iElrède ,  abbé  de  Riedval ,  XIV,  620. 

[HAHN  et  SIEFPERT.  Leur  Chrestomo- 
thie  syriaque,  VI,  72.] 

HAIMERIC,  Français  de  naissance,  est  fait       U2i. 
cardinal  par  le  pape  Calliste  II.  Honorius  II       \m. 
le  fait  chanceher  de   l'Église  romaine.   Sa       i«i. 
mort,  XIV,  475.  Ses  liaisons  avec  saint  Ber- 
nard. Lettre  que  ce  saint  lui  écrit  sur  diffé- 
rentes affaires,  426,  427,  430,  437,  441,  452. 
Saint  Bernard  lui  adresse  son  traité  de  l'a- 
mour de  Dieu,  475.  Lettres  de  Pierre  le  Vé- 
nérable qui  lui  sont  adressées,  502  et  507. 

HAIMIN,  moine  de  Saint-Vaast  d'Arras,  ,x  s,éeie. 
est  auteur  d'une  relation  des  miracles  opérés 
par  l'intercession  de  saint  Vaast,  et  d'un  dis- 
cours à  sa  louange  prononcé  le  jour  de  sa 
fête.  Sa  lettre  à  Milon,  auteur  de  la  Vie  de 
saint  Vaast,  XH,  334.  [Reproduction  dans 
la  Patrologie  des  écrits  d'Haimin,  334.] 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  IV,  p.  515  et  suiv.) 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


841. 


853. 


XI  siècle. 


1031. 
1041. 


1046. 
1047. 


1052. 


817. 


506 

HÂIMON,  évêque  d'Halberstat  :  ses  études. 
Il  enseigne  la  théologie  dans  le  monastère 
de  Fulde  ;  il  succède  à  Thiatgrim  dans  l'évê- 
ché  d'Halberstat.  Sa  mort.  Ses  commen- 
taires sur  les  Psaumes;  sur  les  douze  petits 
Prophètes,  XII,  434  ;  sur  les  prophètes  Isaïe, 
Jérémie,  Ézéchiel,  Daniel  et  les  douze  petits 
Prophètes;  sur  les  Évangiles;  sur  les  Actes 
des  Apôtres,  435  ;  sur  les  Épîtres  de  saint 
Paul  et  sur  les  Épîtres  catholiques,  435  et 
436  ;  sur  l'Apocalypse,  436.  Traité  de  la  Vé- 
rité ou  de  la  variété  des  livres,  436,  437. 
Histoire  du  Christianisme,  437.  Traité  sur 
l'Eucharistie,  437  et  438.  Ouvrages  d'Hai- 
mon  qui  sont  perdus,  438.  [Édition  de  ses 
œuvres  dans  la  Pairologie,  439.  Son  com- 
mentaire sur  le  Cantique  des  Cantiques  est 
encore  manuscrit,  755.  Celui  qui  est  im- 
primé dans  la  Patrologie  appartient,  d'après 
D.  Ceillier,  à  saint  Rémi  d'Auxerrre.]  On  l'a 
confondu,  ainsi  que  plusieurs  autres,  avec 
ceux  de  Rémi,  moine  d'Auxerre,  455.  (Voir 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  V,  p.  111  et  suiv.) 

[HAIMON,  prêtre  et  moine  de  Bamberg. 
Ses  Annales  de  Bamberg,  d'Ensdorf,  d'Au- 
gusta.  Sa  Chronographie,  livre  perdu,  XIV, 
182.] 

HAIMON  DE  BASOCHE,  évêque  de  Châ- 
lons-sur-Marne.  Voyezson  article  dans  l'His- 
toire littéraire  de  la  France,  t.  XII,  p.  426 
et  suiv.) 

HAISTULPE,  archevêque  de  Mayence. 
Raban  lui  dédie  son  commentaire  sur  saint 
Matthieu  et  ses  homélies,  XII,  452. 

HALAIN,  abbé  de  Farfe.  Voyez  Alain. 

HALINARD,  archevêque  de  Lyon  :  sa  nais- 
sance. Il  est  élevé  sous  la  discipline  de  Bru- 
non,  évêque  de  Langres,  qui  l'admet  dans 
le  clergé  de  sa  cathédrale.  Il  embrasse  la 
vie  monastique  à  Saint-Bénigne  de  Dijon.  Il 
en  est  fait  abbé  après  la  mort  de  Guillaume. 
11  refuse  l'archevêché  de  Lyon.  Le  pape  [saint] 
Grégoire  VII,  l'oblige  de  l'accepter  après  la 
mort  d'Odalric.  Il  refuse  de  prêter  serment 
à  l'empereur.  11  accompagne  ce  prince  qui 
allait  se  faire  couronner  à  Rome,  et  assiste 
à  plusieurs  conciles.  On  pense  à  le  faire 
pape  ;  il  cesse  pour  un  temps  de  fréquenter 
la  cour,  XIII,  177.  Ses  autres  voyages  à 
Rome.  11  y  est  empoisonné.  Son  amour  pour 
l'étude,  177  et  178.  Ses  lettres  [dans  la  Pa- 
trologie, 178.]  (Voir  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  VII,  p.  447  et  suiv.) 

HALITGAIRE,  évêque  de  Cambrai  et  d'Ar- 


ras.  Ebon,  archevêque  de  Reims,  se  l'associe 
pour  aller  prêcher  la  foi  en  Saxe  et  en  Da- 
nemark. Son  ambassade  à  Constantinople. 
Sa  mort,  XII,  329.  Analyse  de  son  Péniten- 
tiel,  329  et  330.  Autre  Pénitentiel  qu'on  lui 
attribue.  De  la  Vie  des  prêtres,  ouvrage 
qu'on  lui  attribue  aussi,  330.  Lettre  que  lui 
écrit  Ebbon  de  Reims,  329.  [Éditions  ré- 
centes de  ses  écrits,  329  et  330.  11  est  recom- 
mandé aux  chrétiens  du  Nord,  403.]  11  est 
auteur  de  deux  ouvrages  attribués  à  Raban, 
457  et  473.  (Voyez  son  article  àans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  t.  IV,  p.  504  et  suiv.) 

HALLOIX  (Pierre),  jésuite.  Sa  traduction 
latine  de  la  lettre  de  l'ÉgUse  de  Smyrne 
touchant  le  martyre  de  saint  Polycarpe,  I, 
407.  —  C'est  un  zélé  défenseur  de  Didyme 
et  d'Origène,  V,  619. 

HALTON,  évêque  de  Troyes,  consent  à 
l'établissement  de  l'abbaye  duParaclet,  XIV, 
320. 

HAMANABOURG,  ville  d'Allemagne.  Saint 
Boniface  y  bâtit  une  égUse  et  un  monastère, 
XII,  47. 

HAMARTIGÈNE,  ou  de  l'Origine  du  péché, 
ouvrage  du  poëte  Prudence,  VIll,  104  et 
105. 

HAMARTOLE.  Voyez  Georges  Hamartole. 

[HAMARTOLE  (Michel).  On  a  de  lui  une 
lettre  à  l'évêque  de  Tyr  :  elle  est  reproduite 
d'après  Boissonade  au  tome  CXVII  de  la 
Patrologie  grecque.] 

HAMBALD,  père  de  Lanfranc,  XHI,  440. 

HAMBERGERUS  (Georges-Albot) ,  luthé- 
rien, mathématicien.  Sa  traduction  latine  des 
scholies  de  Procope  de  Gaze  sur  les  Rois  et 
les  Parahpomènes,  XI,  179. 

HAMBOURG,  ville  d'Allemagne.  Saint 
Anschaire  y  établit  un  évêché,  XII,  382  et 
524,  qui  peu  après  est  uni  à  celui  de  Bré- 
men,  525.  L'union  est  confirmée  parle  pape 
saint  Nicolas  I,  526  et  569.  [Privilège  que  lui 
accorde  le  pape  Anastase  111,  744.]  — Lettre 
du  pape  Innocent  II  concernant  les  di'oits  de 
l'Église  de  Hambourg  sur  les  évêchés  de 
Danemarck,  de  Suède  et  de  Norwége ,  XIV, 
260. 

HANANIAS  (Saint),  compagnon  de  saint 
Siméon  Bar-Saboé.  Son  martyre,  III,  327. 

[HANKIUS.  Détails  qu'il  a  recueillis  sur 
Nicétas  Choniate,  XIV,  1177.] 

HANNEMOND  ou  CHAUMONT  (Saint), 
évêque  de  Lyon.  Voyez  Delphin. 

HARDING  (Etienne),  abbé  de  Cîteaux. 
Voyez  Etienne  Harding. 


XII  sièc 


V.  73i 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


307 


HARDOUIN  (Jean),  jésuite).  Son  jugement 
sur  l'édition  bénédictine  des  œuvres  de  saint 
Augustin,  IX,  815,  n.  1. 

iiècie.  HARDUIC,  évêque  de  Besançon.  Lettre 
que  lui  écrit  le  pape  saint  Nicolas  I,  en  ré- 
ponse à  diverses  questions  qu'il  lui  avait 
proposées,  XII,  581. 

[HARDY  (Thomas-Dufius).  Son  édition  des 
sectes  des  Anglais  et  des  histoires  nou- 
velles, par  Guillaume  de  Malmesbury,  XIV, 
3H.] 

HARDWIDE,  abbesse,  fille  d'Ecbert,  duc 
des  Saxons,  et  de  Sainte-Ide,  XIII,  98. 

HARENBERGE  (Christophe).  Son  histoire 
diplomatique  de  l'Église  de  Gandersheim, 
XII,  877. 

74.  HARIBERT,  abbé  de  Murbach.  Temps  de 

sa  mort,  XII,  218. 

HARIOLPHE,  premier  al^bé  d'Elvangen. 
Sa  Vie  composée  par  Ermenric,  XII,  554. 
(II  y  en  eut  dans  la  suite  une  autre  écrite 
par  Adalbéron,  évêque  d'Augsbourg.  Dom 
Geillier  n'en  parle  pas  ;  mais  voyez  Du  Pin 
elMoréri,  à  l'article  d'Arfa^ééron,  aux'' siècle.) 

H30.  HARIUPLE,   moine  de  Saint-Riquier,  et 

ensuite  abbé  d'Aldenbourg.  Sa  mort.  Ana- 
lyse de  la  Vie  de  saint  Angilbert.  Sa  Vie  de 
saint  Arnoul,  premier  abbé  d'Aldenbourg. 
Sa  continuation  de  la  Chronique  de  Saint- 
Riquier.  Autres  ouvrages  qu'on  lui  attribue. 
Son  épitaphe,  composée  par  lui-même,  XIV, 
234.  Son  élégie  en  l'honneur  d'Anscher,  abbé 
de  Saint-Riquier,  235.  [Édition  de  ses  écrits 
dans  la  Patrologie,  235.]  (Voyez  son  article 
dans  VBistoire  littéraire  de  la  France,  tome 
XII,  p.  204  et  suiv.) 

78.  HARMATIUS.  Lettre  que  lui  écrivit  saint 

Basile  le  Grand,  IV,  486. 

HARMÉNOPDLE.  Voyez  Constantin  Har- 
ménopule. 

lècie.  HARMONIUS,  fils  de  Bardesane,  héré- 
tique, I,  455.  Ses  écrits,  466. 

HARMONIUS,  ami  et  disciple  de  saint 
Grégoire  de  Nysse,  qui  lui  adresse  un  de  ses 
écrits,  VI,  195. 

HARMOTE  ou  HARTMOTE,  abbé  de  Saint- 
Gai,  est  chargé  du  gouvernement  de  l'ab- 

5,2        baye  pendant  l'absence  de  Grimald,  et  lui 

jg3         succède  après  sa  mort.  Il  se  démet  de  sa  di- 

(84.  gnité  et  meurt  dans  la  retraite.  Ses  soins 
pour  enrichir  la  bibliothèque  de  son  monas- 
tère. Écrits  qu'on  lui  attribue,  XII,  694. 
[Leur  reproduction  dans  la  Patrologie,  694.] 
On  l'a  confondu  avec  Hartmanne,  abbé  de 
Saint-Gai,  qui  vivait  dans  le  x"  siècle.  (Voy. 


son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  V,  p.  611  et  suiv.) 

HAROLD  ou  HÉRIOLD,  roi  des  Danois  :      x  siècle, 
à  quelle  occasion   il   embrassa  la  religion 
chrétienne,  XII,  524  ;  XIII,  63  et  XIV,  202. 
Sa  mort,  XIV,  202. 

HAROLD  ou  HARTOLD,  roi  de  Norwége.     xi  siècle. 
Lettre  que  lui  écrivit  le  pape  Alexandre  II, 
XIII,  286. 

HARPOGRATION,  évêque  d'Egypte.  Let- 
tre que  lui  écrit  saint  Basile,  IV,  485. 

HARTMANNE,    abbé    de    Saint-Gai.    Sa        92.4. 
mort.  Son  Histoire  de  l'abbaye  de  Saint-Gai, 
XII,  694. 

HARTMANNE,  autre  abbé  de  Saint-Gai, 
auteur  de  plusieurs  ouvrages  qui  n'ont  pas 
encore  été  imprimés,  XII,  694. 

HARTMANNE  LE  JEUNE,  moine  de  Saint-      x  siècle. 
Gai,  écrit  la  Vie  de  sainte  Wilborade,  XII, 
879.  Autres  ouvrages  dont  on  le  croit  auteur, 
879  et  880.  On  l'a  confondu  avec  Hartmanne 
l'ancien,  880. 

HARTMOTE.  Voyez  Harmote. 

HARTOLD,  roi  de  Norwége.  Voyez  ZTa- 
rold. 

HARTWIC,  abbé  et  restaurateur  de  l'ab- 
baye de  Tégernsée  en  Bavière.  Son  épi- 
taphe, XIII,  98. 

HARVINGE  (Philippe  de),  abbé  de  Bonne- 
Espérance.  Voyez  Philippe  de  Harvinge. 

HASARD.  Sentiment  de  saint  Paulin  sur 
le  hasard  et  la  fortune,  VIII,  64.  —  Ce  que 
c'est,  d'après  Boèce,  X,  662. 

[HASE.  Son  édition  de  l'Histoire  des  em- 
pereurs par  le  diacre  Léon,  XII,  881.] 

HASNON,  abbaye  de  la  Scarpe,  au  dio- 
cèse d'Arras.  Chronique  de  ce  monastère, 
écrite  par  le  moine  Thomel  ou  Thomelle, 
Xm,  186  et  344,  345. 

HASTINGS,  ville  et  port  de  mer  d'Angle- 
terre. Poème  de  Gui,  évêque  d'Amiens,  sur 
la  victoire  remportée  à  Hastings  par  Guil- 
laume le  Conquérant,  XIII,  276. 

HATTON,  abbé  de  Fulde,  disciple  d'Al- 
cuin,  XII,  4i6.  On  croit  qu'il  est  le  même 
que  Bonose,  à  qui  Raban  écrit,  458. 

HATTON,  évêque  de  Verdun,  envoyé  à     ix  siècle. 
Rome  par  Lothaire,  XII,  575.  Lettre  que  lui 
écrit  Adventius,  évêque  de  Metz,  sur  le  di- 
vorce de  Lothaire  avec  Thietberge,  610. 

HATTON,  archevêque  de  Mayence.  Sa 
lettre  au  pape  Jean  IX  au  sujet  de  Félsction 
de  Louis,  roi  de  Germanie,  XII,  742.  (Voy. 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VI,  p.  144  et  suiv.) 


508 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


HATTON  ouHETTON,  évêque  de  Bâle. 
Voyez  iletton. 

[HATTON,  abbé  de  Fulde.  Le  pape  saint 
Grégoire  V  lui  écrit,  XII,  901.] 

HATUiMODE,  première  abbesse  de  Gan- 
dersheim.  Sa  Vie  par  le  moine  Agius,  XII, 
877. 

HAUSTON.  Voyez  Haguhtad. 
849.  [HAUDOUIN,  abbé.  Ses  vers  sur  le  tom- 

beau de  saint  Rémi,  XII,  425.] 

HAUTESERRE  (Antoine  Dadin  de).  Voyez 
Dadin. 

HAUTMONT,  abbaye  sur  la  Sanibre  au 
diocèse  de  Cambrai.  Topographie  de  celte 
abbaye.  Son  origine,  XIII,  334. 

[HAUTERIVE  (le  comte  d').  Sa  traduction 
française  du  discours  de  Nicétas  Ciioniate 
sur  les  monuments  détruits  par  les  croisés, 
XIV,  1177.] 
IX  siècle.  HAUTVILLERS,  abbaye  sur  la  Marne  au 
diocèse  de  Reims,  détruite  par  les  Barbares 
et  rebâtie  par  saint  Nivard,  XII,  935.  Lettre 
d'Hincmar  de  Reims  aux  moines  de  Haut- 
villers,  sur  la  manière  dont  ils  doivent  trai- 
ter Gothescal  près  de  mourir,  672. 

HAVESCAMP  (Sigebert),  professeur  de 
grec,  d'histoire  et  d'éloquence.  Son  com- 
mentaire sur  l'Apologétique  de  Tertullien, 
II,  86. 

HAVID,  sœur  de  Wibald,  abbé  de  Stavélo. 
se  fait  religieuse  à  Gérisheim,  XIV,  S25. 

[HEBERNUS,  archevêque  de  Tours.  Il 
écrit  les  miracles  de  saint  Martin  de  Tours. 
Éditions  de  cette  Histoire,  XII,  425.] 

HÉBERT,  père  de  Phaleg,  ne  consentit 
point  à  la  construction  de  la  tour  de  Babel, 
VII,  356. 

[HÉBERT,  abbé  de  Saint-Étienue  de  Dijon. 
Le  pape  Innocent  II  lui  écrit,  XIV,  264.] 

HÉBERT,  comte  de  Vermandois.  Voyez 
Herbert. 

HÉBERT,  comte  du  Maine.  Voyez  Herbert. 

HÉBERT  (..,).  Sa  traduction  française  du 
traité  de  Tertullien,  des  Prescriptions;   de 
l'Habillement  des  femmes;   du  Voile  des 
vierges,  II,  86. 
1084.  HÉBRETME,  moine  de  Cluny,  passe  au 

monastère  de  la  Penna  pour  y  établir  l'ob- 
servance de  Cluny.  Son  Histoire  de  la  trans- 
lation des  reliques  de  saint  Indalece.  On  lui 
attribue  aussi  celle  de  la  translation  du  corps 
de  saint  Isidore  de  Séville,  XIII,  346.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VIII,  p.  150  et  suiv.) 

HÉBREU,  langue  hébraïque.  On  ne  doit 


V.  1150. 


855. 


pas  rejeter  comme  apocryphes  les  parties  de 
l'Écriture  qui  ue  se  trouvent  pas  dans  le 
texte  hébreu,  I,  179.  —  Le  texte  hébreu  est 
quelquefois  cité  par  saint  Basile,  IV,  498. 

—  Saint  Jérôme  traduit  l'Écriture  de  l'hé- 
breu, VII,  550.  Son  livre  des  Noms  hébreux. 
Celui  des  Lieux  hébreux,  557.  Ses  Questions 
hébraïques,  557  et  558. 

HÉBREUX,  descendants  d'Abraham  par 
son  fils  Isaac.  Épîlre  de  saint  Paul  aux  Hé- 
breux, I,  232  et  suiv.  Voyez  Épîtres  de  saint 
Paul.  —  Doctrine  des  Hébreux;  étymologie 
de  leur  nom  ;  en  quoi  ils  sont  distingués  des 
Juifs.  Sentiment  d'Eusèbe  de  Césarée,  III, 
186  et  suiv.  et  271.  —  Remarque  de  saint 
Basile  sur  les  anciens  Hébreux,  IV,  497. 

HÉBREUX  (les  trois).  L'histoire  des  trois 
jeunes  Hébreux  jetés  dans  la  fournaise  est 
reçue  par  saint  Basile,  IV,  497;  —  par  saint 
Pacien,  V,  166;  — par  saint  Éphrem,  VI, 
50,51. 

HÉCHIARD,  comte  d'Amiens,  fait  retou- 
cher le  livre  intitulé  :  Cornes,  XII,  206. 

HEDDI  (Saint),  évêque  de  Worchester.  Sa 
mort,  XI,  804. 

HEDDI  (Etienne),  moine  de  Cantorbéry, 
XII,  22.  Voyez  Etienne  Heddi. 

HÉDENULFE,  est  ordonné  évêque  de 
Laon  à  la  place  d'Hincmar,  XII,  636.  Ins- 
tructions qui  lui  sont  données  par  ses  con- 
sécrateurs,  686. 

HÉDIBIE.  Lettre  de  saint  Jérôme  en  ré- 
ponse à  diverses  questions  proposées  par 
cette  dame,  VII,  572  et  suiv. 

HÉDION  (Gaspard),  ministre  protestant 
d'Allemagne.  Sa  version  allemande  de  l'His- 
toire ecclésiastique  d'Eusèbe,  III,  315.  — 
Sa  traduction  allemande  des  homélies  de 
saint  Jean  Chrysostôme  sur  saint  Mrtthieu 
et  sur  saint  Jean,  VII ,  438.  —  Sa  traduction 
allemande  de  l'Histoire  tripartite,  VIII,  524. 

—  Sa  traduction  allemande  de  l'Histoire 
ecclésiastique  de  Théodoret,  X,  141.  —  Sa 
traduction  allemande  des  Postilles,  ou  ser- 
mons sur  les  épîtres  et  évangiles  de  l'année 
de  l'abbé  Smaragde,  XII,  256. 

HEDUUS  (Qaintus).  Ses  notes  sur  le  traité 
de  Tertullien,  des  Prescriptions,  II,  86. 

[HEFÈLE.  Ses  éditions  du  Pasteur  d'Her- 
mas,  I,  338.  Son  édition  des  Pères  aposto- 
liques, 361.  Il  est  souvent  cité  dans  ce  pre- 
mier volume.] 

HÉGÉMONE,  écrivit  ou  plutôt  traduisit  en 
grec  les  Actes  de  la  dispute  entre  Manès  et 
Archélaûs,  II,  453. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


509 


HÉGÉSIPPE  (Saint),  historien  ecclésias- 
tique, I,  473  et  suiv.  Il  était  juif  de  nais- 
sance. Son  voyage  à  Rome  ;  sa  mort,  473. 
Ses  écrits  sont  perdus.  Ce  qu'ils  contenaient, 
474.  [Éditions  des  fragments  de  ses  écrits, 
473.]  Écrits  supposés,  474.  Jugement  que 
l'on  a  porté  de  ceux  dont  il  est  auteur,  474 
et  473.  Histoire  de  la  ruine  de  Jérusalem 
qui  lui  est  attribuée,  330  et  474.  —  Son  ré- 
cit sur  Jacques  le  Mineur  rapporté  par 
Eusèbe  de  Césarée,  III,  200. 

HÉGÉSIPPE  ou  JOSÈPHE.  Yoyez  Josèphe. 

HEIDEGGIUS  [et  non  HEIDEGGIRUS] 
(Henri).  Son  édition  de  la  lettre  de  saint 
Grégoire  de  Nysse  sur  les  pèlerinages  de 
Jérusalem,  VI,  239. 
siècle.  HEIDENHEIM ,  monastère  d'Allemagne 
fondé  par  Vunebald,  parent  de  saint  Boni- 
face,  archevêque  de  Mayence,  XII,  780. 
019.  HEIMERAD  ou  HEIMON,   saint  prêtre. 

Analyse  de  sa  Vie  écrite  par  Ecbert,  prêtre 
d'Hersfeld,  XHI,  68,  69.  Monastère  bâti  en 
sa  mémoire  par  Aribon,  archevêque  de 
Mayence,  69. 

HEIMERIG,  cardinal  et  chancelier  de 
l'Église  romaine.  Lettre  du  bienheureux 
Guigues  le  Chartreux  qui  lui  est  adressée, 
XIV,  310. 

HEIMON,  prêtre.  Voyez  Heimerad. 
iiècie.         HEIMON,  évêque  de  Verdun,  veut  enfer- 
mer le  monastère  de  Saint- Vanne  dans  les 
murs  de  Verdun  ;  l'abbé  Richard  s'y  oppose, 
XIII,  lis. 

HEINDRIX  (Jacques).  Sa  traduction  eu 
langue  flamande  de  la  Vie  de  sainte  Amal- 
.    berge  écrite  par  Thierri,  abbé  de  Saint-Tron, 
Xm,  597. 

[HEINICHEN.  Son  édition  de  la  Prépara- 
tion évangélique  d'Eusèbe,  III,  313;  de 
l'Histoire  ecclésiastique  du  même,  315;  de 
la  Vie  de  Constantin  par  le  même,  316.] 

HEINSIUS  (Daniel),  professeur  d'histoire 
à  Leyde.  Son  édition  des  œuvres  de  Clé- 
ment d'Alexandrie,  I,  606. 

HEINSIUS  (Nicolas),  poëte  latin,  fils  du 
précédent.  Son  édition  de  l'Enchiridion  du 
poêle  Prudence,  VIII,  107. 
ra883.  HEIRIG,  moine  de  Saint-Germain  d'Au- 
xerre.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa 
vie,  XII,  640.  Sa  mort,  641.  Ses  écrits  :  Vie 
de  saint  Germain,  évêque  d'Auxerre.  Re- 
cueil des  miracles  de  saint  Germain,  640. 
Histoire  des  évêques  d'Auxerre.  Homélies 
d'Heiric.  Son  recueil  des  Sentences  des 
Pères.    Autres  ouvrages  qui  lui    sont  at- 


tribués, 641.  [Reproduction  des  ouvrages 
d'Heiric  dans  la  Patrologie,  641.]  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  V,  p.  535  et  suiv.) 

HEISTULFE,  qui  avait  tué  sa  femme,  la 
soupçonnant  d'adultère.  Lettre  que  lui  écrit 
saint  Paulin  d'Aquilée  ;  pénitence  qu'il  lui 
impose,  XH,  138,  159. 

HELDAM  et  MODAL.  Livre  apocryphe 
sous  leur  nom,  I,  267. 

HÉLÈNE,  femme  que  Simon  le  Magicien 
menait  avec  lui,  VI,  383. 

HÉLÈNE,  évêque  de  Tarse  en  Cilicie, 
s'élève  contre  l'hérésie  de  Novatien,  11,403. 
Le  pape  saint  Etienne  ne  voulait  pas  com- 
muniquer avec  lui  à  cause  de  la  rebaptisa- 
tion,  549.  Il  se  trouve  au  concile  d'Antioche 
contre  Paul  de  Samosate,  367,  568. 

HÉLÈNE  (Sainte),  mère  de  Constantin. 
A-t-elle  été  convertie  par  saint  Sylvestre? 
Lieu  de  sa  naissance,  III,  118  [et  119,  n.  2, 
La  lettre  sous  son  nom  à  Constantin  est 
supposée,  143.]  —  Sainte  Hélène  découvre 
la  vraie  Croix  de  Notre-Seigneur,  V,  308, 
379,  580;  VII,  482,  483;  VIII,  71,72  et  114. 
—  Elle  avait  été  une  simple  hôtelière,  V, 
379.  —  Elle  fait  bâtir  une  égUse  au  lieu 
d'où  Jésus-Christ  est  monté  au  ciel,  VIII, 
113.  Elle  fait  abattre  à  Jérusalem  la  statue 
de  Vénus.  Elle  envoie  à  son  fils  une  portion 
de  la  vraie  Croix  avec  les  clous.  Elle  fait 
élever  une  éghse  au-dessus  du  tombeau  de 
Jésus-Christ,  516.  —  Les  mêmes  faits  rap- 
portés par  Théodoret,  X,  44.  —  Sa  Vie 
écrite  par  Almanne,  moine  de  Hautvilliers, 
XII,  697.  — Ses  rehques  apportées  de  Rome  §49, 
à  l'abbaye  de  Hautvilliers,  XIII,  324.  Véri- 
fication qui  en  est  faite.  Seconde  vérifi-  4095, 
cation  faite  à  la  prière  de  l'abbé  Notcher, 
323. 

HÉLÉNOPLE,  ville  de  Bithynie  dont  fut         ,v 
évêque  Pallade,  auteur  ecclésiastique,  VII,    etVsiècies. 
484. 

[HELFRECHT.  Son  édition  du  Hvre  de  la 
Consolation  de  Boëce,  X,  663.] 

HELGAUD,  moine  de  Fleury.  Ce  qu'on  xi  siècle. 
sait  des  circonstances  de  sa  vie  et  du  temps 
où  il  florissait.  Il  écrit  la  Vie  de  Robert,  roi 
de  France  ;  idée  de  cette  Vie,  XIII,  148.  Ce 
qu'elle  contient  de  remarquable,  148  et  149. 
Différentes  éditions  qu'on  en  a  faites,  149. 
La  Vie  de  saint  Abbon  de  Fleury  qu'on  lui 
a  attribuée  n'est  pas  de  lui,  mais  d'Aimon, 
149.  (Voyez  son  article  dans  V Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VII,  p.  403  et  suiv.) 


510 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


4212. 


HÉLI,  grand-prêtre  des  Juifs,  I,  56.  — 
Discours  de  saint  Éphrem  sur  Ja  punition 
d'Héli,  VI,  8,  9.  —  Homélie  sur  ce  sujet 
faussement  attribuée  à  Sévérien,  évêque  de 
Cabales,  VII,  209.  Sentiment  de  saint  Jean 
Cbrysostôme  sur  ce  pontife,  358. 
xn  siècle.  HÉLI,  ville  d'Angleterre.  Érection  de  l'é- 
vêcbé  d'Héli  détaché  de  celui  de  Lincoln, 
XIV,  137. 

HÉLIAS  D'OXIDA.  Voyez  Elias. 
)V  siècle.         HÉLICONE,   historien   grec  et  sophiste. 
Ses  écrits,  VJ,  290,  291. 

HÉLIE,  avocat,  à  qui  Théodoret  adresse 
une  de  ses  lettres,  X,  65. 

HÉLIE,  patriarche  de  Jérusalem.  Voyez 
Du  Pin. 

HÉLIE  DE  ROFIAC,  moine,  continue  la 
Notice  des  abbés  de  Saint-Martial  de  Li- 
moges commencée  par  Adémar,  XIII,  103. 

[HÉLINAND,  moine  de  Froidmont,  poëte. 
Ses  écrits,  XIV,  898,  899.  La  reproduction 
de  quelque.s-uns  dans  la  Patrologie,  899.] 

HÉLIODORE,  évêque  de  Laodicée,  s'élève 
contre  l'bérésie  de  Novatien,  II,  403. 

HÉLIODORE,   évêque  de   Bethzabde  en 
302.         Perse.  Sa  mort,  III,  335. 

HÉLIODORE,  prêtre,  ami  de  saint  Hi- 
laire,  IV,  8.  —  On  lui  attribue  un  ouvrage 
sur  la  nature  des  principes,  VI,  291.  (Voyez 
son  article  dans  ['Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  I,  part.  II,  p.  195.) 

HÉLIODORE,  solitaire  de  Nazianze,  V, 
276. 

HÉLIODORE,  évêque  d'Altino,  ami  de 
saint  Jérôme.  Lettres  que  saint  Jérôme  lui 
écrit,  VII,  581,  582.  Lettres  supposées  de 
saint  Chromace  et  d'Héliodore  à  saint  Jé- 
rôme, avec  les  prétendues  réponses  de  ce 
saint  docteur,  494. 

HÉLIODORE,  moine,  à  qui  saint  Nil  écrit, 
Vm,  217. 

HÉLIODORE,  prêtre  d'Antioche.  Voyez 
Du  Pin. 

HÉLIOGNOSTES,  ou  adorateurs  du  soleil, 
V,  173. 

HÉLIOPOLE,  ville  proche  du  mont  Liban, 
X,  46. 

HÉLIOTROPITES,  hérétiques  dont  parle 
saint  Jean  Damascène,  XII,  69. 

HÉLISACAR,  abbé  de  Fulde.  Fréculfe  lui 
dédie  sa  Cbronique,  XII,  418. 

HÉLIX,  hérétique  combattu  par  saint 
Hippolyte,  I,  626. 

HELLADE  [ou  HELLADIUS],  comte,  à 
qui  saint  Basile  écrit,  IV,  450. 


374. 


IX  siècle. 


HELLADE,  à  qui  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze adresse  une  lettre,  V,  256. 

HELLADE,  évêque  dans  la  seconde  Cap- 
padoce,  à  qui  saint  Grégoire  de  Nazianze 
écrit,  V,  257. 

HELLADE,  évêque  de  Césarée  dans  la 
première  Cappadoce,  successeur  de  saint 
Basile,  X,  149.  —  Assiste  au  concile  œcu- 
ménique de  Constantinople,  IV,  618.  — 
Saint  Grégoire  de  Nazianze  lui  écrit,  V,  257. 
—  Son  différend  avec  saint  Grégoire  de 
Nysse,  VI,  124. 

HELLADE,  ami  de  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze. Épigramme  de  saint  Grégoire  en 
l'honneur  de  cet  ami,  V,  299. 

HELLADE,  luciférien.  Sa  dispute  avec 
un  catholique,  VII,  609  et  suiv. 

HELLADE,  anachorète  et  ensuite  évêque, 
à  qui  Cassien  adresse  la  première  classe  de 
ses  conférences,  VIII,  161. 

HELLADE,  évêque  métropolitain  de  Tarse, 
engagé  dans  le  parti  de  Nestorius.  Ses  let- 
tres. Sa  mort.  Son  éloge,  VIII,  385.  Let- 
tre que  lui  écrivit  Jean,  évêque  d'Antioche, 
245.  Il  est  sommé  de  choisir  ou  la  paix,  ou 
l'exil,  248.  Alexandre  d'Hiéraple  l'empêche 
de  concourir  à  la  paix  de  l'Église,  376  ;  et 
lui  fait  part  du  résultat  du  concile  d'Ana- 
zarbe,  377,  378.  Il  permet  à  Jean  d'Antioche 
de  tenir  un  concile  contre  saint  Cyrille,  599. 
Il  est  déposé  dans  un  concile  de  Constanti- 
nople. Il  demeure  en  possession  de  son 
Éghse,  600  et  604.  Il  se  réunit  à  Jean  d'An- 
tioche avec  presque  tous  les  évêques  de  la 
première  Cilicie,  604. 

HELLADE,  prêtre  païen  d'Alexandrie, 
célèbre  professeur  de  grammaire,  retiré  à 
Constantinople,  VIII,  514. 

HELLADE,  supérieur  du  monastère  de 
Saint-Théodose,  X,  56. 

HELLADE.  Lettre  que  lui  écrit  Firmus  de 
Césarée  en  Cappadoce,  pour  lui  représen- 
ter les  besoins  de  la  Cappadoce,  X,  150. 

HELLADE,  évêque,  à  qui  Firmus  (Je  Cé- 
sarée en  Cappadoce  adresse  une  de  ses  let- 
tres, X,  151. 

HELLADE,  évêque  de  Tolède.  Ce  qu'en 
dit  saint  Ildefonse,  évêque  du  même  siège, 
XI,  699.  Lettre  que  saint  Isidore,  évêque 
de  Séville,  écrit  à  Helladius  et  aux  autres 
évêques  assemblés  avec  lui,  722. 

HELLÉNIUS,    commis    à    l'assiette    dos 
tailles  de  Nazianze.   Poëme  que  saint  Gré- 
goire de  Nazianze  lui  envoie,  V,  275. 
HELMENHORSTIUS  [ou  ELMENHORSTE] 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


5H 


(Gevei'harl).  Ses  éditions  des  Dogmes  ecclé- 
siastiques de  Gennade,  X,  601. 

siècle.  HELMOLD,  prêtre  de  Bosoaii.  Sa  Chroni- 
que continuée  par  Arnold,  et  ensuite  par 
un  anonyme  ;  idée  de  cette  Chronique,  XIII, 
545. 

HÉLOISE,  abbesse  du  Paraclet,  épouse 
Abailard,  chargé  de  lui  donner  des  leçons. 
Maltraité  par  Fulbert  son  oncle,  Abailard 
l'envoie  à  Argenteuil.  Elle  y  fait  profession 
de  la  vie  religieuse;  à  quelle  occasion,  XIV, 
318.  Elle  s'établit  au  Paraclet  avec  plusieurs 
religieuses  d'Argenteuil,  320.  Ses  lettres  à 
Abailard,  321  et  suiv.  Ses  problèmes  pro- 

H64.  posés  à  Abailard,  329,  330.  Ses  statuts,  ou 
règle  pour  l'abbaye  du  Paraclet  et  les  mo- 
nastères en  dépendants,  326,  339,  340.  Ce 
qu'ils  contiennent  de  remarquable,  339, 
340.  Sa  mort.  Son  éloge,  340.  Voyez  Abail- 
lard.  Sa  Vie  par  D.  Gervaise,  340,  341.  Hu- 
gues Métellus  relève  ses  vertus  et  son  savoir, 
364.  (Voyez  son  article  dans  VHistoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  XII,  p.  629  et  suiv.) 

HELPÉRIC,  moine  de  Saint-Gai.  Poème 
qu'on  lui  attribue,  XII,  151. 

,j,,e.  HELPÉRIC  ou  CHILPÉRIC,  écolâtre  de 
Grandfel  ou  Grandval  au  diocèse  de  Bâle. 
Ce  qu'on  sait  de  sa  personne  et  du  temps 
où  il  vivait.  Son  traité  du  Comput  ecclésias- 
tique; à  quelle  occasion  il  le  composa,  XII, 
862.  Idée  de  cet  ouvrage,  862  et  863.  Une 
lettre  qui  fait  partie  du  traité  des  Offices  di- 
vins ,  attribuée  à  Alcuin ,  est  d 'Helpéric,  moine 
de  Grandfel;  analyse  de  cette  lettre,  863. 
[Jugement  sur  cette  lettre,  863.]  Autres 
écrits  que  Trithéme  lui  attribue,  863  et  864. 
[Reproduction  des  écrits  d'Helpéric  dans  la 
Patrologie,  862.]  (Voyez  son  article  dans 
VHistoire  littéraire  de  la  France,  t.  VI,  p.  397 
et  suiv.) 

HELVIDIA,  mère  du  pape  Léon IX,  achète 
un  Psautier  qui  avait  appartenu  à  l'abbaye 

1012.  de  Saint-Hubert.  Elle  le  restitue  après  qu'il 
eut  été  réclamé.  Elle  se  retire  à  l'abbaye  de 

046.       Moyen-Moutier,  Sa  mort,  XIII,  210. 

384.  HELVIDIUS,  ai'ien.  Livre  de  saint  Jérôme 

contre  celui  d'Helvidius,  VII,  595  et  664.  — 
Helvidius  est  aussi  réfuté  par  Bachiarius, 
VIII,  45  et  47. 

3,j„,^.  HÉMÉROBAPTISTES,  secte  de  Juifs.  Ce 
qui  en  est  dit  par  saint  Épiphane,  VI,  384. 

HÉMÉTÈRE  (Saint),  martyr  à  Calahorra 
dans  la  Vieille-Gastille,  III,  19.  —  Hymne 
de  Prudence  en  son  honneur,  VIII,  102. 
HÉMINE  DE  VIN ,  dont  il  est  parlé  dans 


la  règle  de  saint  Benoît.  Évaluation  de  cette 
mesure,  XI,  168. 

[HEMMERADE,  roi  de  Hongrie.  Le  pape    xm  siècle. 
Innocent  III  lui  dénonce  la  secte  des  Bogo- 
miles,  XIV,  976.] 

[HEMMINGUS,  moine  et  prêtre  de  Saint-      v.  i095. 
Vigor.  Son  écrit  manuscrit  sur  l'église  de 
Saint- Vigor,  d'où  l'on  a  tiré  la  Vie  de  saint 
Wulstan  et  quelques  autres  pièces ,  XIV , 
469. 

HEMMON,  évêque  d'Halberstat.  Voyez 
Haimon. 

HÉMORRHOISSE  de  l'Évangile.  Statue 
qu'elle  avait  fait  élever  à  Jésus-Christ,  VI, 
308.  Sermon  de  saint  Pierre  Chrysologue 
sur  l'hémorrhoïsse. 

[HENRE  et  LINDENKOHL.  Leur  édition 
des  œuvres  théologiques  et  philosophiques 
d'Abailard,  XIV,  341.] 

HENNEQUIN  (Aimar),  évêque  de  Rennes. 
Sa  traduction  française  des  Confessions  de 
saint  Augustin,  IX,  813. 

HÉNOCH  [ou  ENOCH],  cité  par  saint  Jude, 
pouvait  avoir  laissé  quelque  écrit  que  nous 
n'avons  plus,  I,  236  et  264.  Écrits  supposés 
sous  son  nom,  264,  263.  [Publication  du 
livre  d'Hénoch  ;  quel  en  est  l'auteur,  263.] 
—  Tertullien  soutient  l'autorité  du  livre 
d'Hénoch,  II,  70.  —  Le  livre  d'Hénoch  est 
rejeté  par  saint  Hilaire,  IV,  68.  —  Témoi- 
gnage de  saint  Éphrem  sur  Hénoch  et  Élie, 
VI,  52.  —  Sentiment  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme  sur  Hénoch,  VII,  355.  —  Sentiment 
de  saint  Augustin  sur  ÉUe  et  Hénoch,  IX, 
314,  558  et  614  ;  sur  le  livre  d'Hénoch,  374, 
575.  —  Pourquoi  Hénoch  demeure-t-il  si 
longtemps  sans  mourir,  XII,  167. 

HENOTICON  de  l'empereur  Zenon.  Ce 
qu'il  contient,  X,  409  et  suiv. 

HENRI,  comte  ou  duc  de  Prioul.  C'est  à 
lui  que  saint  Paulin  d'Aquilée  a  adressé  ses 
Instructions  salutaires,  XII,  139. 

[HENRI,  archevêque  de  Trêves.  Le  pape 
Jean  XII  lui  écrit,  XII,  832.] 

[HENRI,  chef  des  Bavarois.  Wigo  lui 
écrit,  XII,  862.] 

HENRI  I,  dit  l'Oiseleur,  empereur.  Sa  Vie 
écrite  par  Witiliind,  XII,  878. 

HENRI  II,  dit  le  Saint,  couronné  empe- 
reur par  Benoît  VIE,  XHI,  144  et  190.  II 
envoie  à  Cluny  la  pomme  d'or  que  le  pape 
lui  avait  donnée,  144.  Tâche  de  déraciner 
la  simonie,  147.  Édit  de  cet  empereur  con- 
firmatif  des  canons  du  concile  de  Pavie, 
192.  II  assemble  un  concile  contre  les  simo- 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


512 

niaques,  198.  Sa  Vie  écrite  par  Adelbolde, 
évêque  d'Utrechl,  74,  75.  Autre  Vie  par  un 
anonyme,  75.  Poème  funèbre  de  saint  Odi- 
lon  en  son  honneur,  157.  [Pièces  concer- 
nant l'empereur  saint  Henri  reproduites 
dans  la  Patrologie,  74,  n,  10.  Ses  lois  et  ses 
diplômes.  Son  discours  au  concile  de  Franc- 
fort, 74.]  Bernon  de  Reichenau  lui  avait 
écrit  des  lettres,  128.  —  Il  est  canonisé  par 
le  pape  Eugène  III,  XIV,  272.  [Lettre  de  ce 
pape  concernant  sa  canonisation,  277.] 

HENRI  ni,  dit  le  Noir,  roi  de  Germanie. 
Lettre  que  lui  écrit  Bernon,  abbé  de  Rei- 
chenau ;  il  reçoit  Pierre,  roi  de  Hongrie,  et 
l'aide  à  rentrer  dans  son  royaume,  XIII, 
127.  Lettre  que  lui  écrit  Vazon,  évêque  de 
Liège,  141.  Il  passe  en  Italie  pour  se  faire 
couronner  empereur  et  travailler  à  la  réu- 

1046.  iiion  de  l'Église  ;  il  assemble  à  Sutri  un  con- 
cile où  Grégoire  VI  renonce  au  souverain 
ponti6cat;  Clément  II  est  élu  pape;  il  reçoit 

1047.  de  lui  la  couronne  impériale,  197.  Concile 
qu'il  assemble  en  Allemagne  où  il  harangue 

1055.  les  évéques  sur  la  simonie,  198.  Il  fait  élire 
pape  Gébehard,  évêque  d'Eichstet,  qui  prend 
le  nom  de  Victor  II  ;  il  fait  confirmer  l'élec- 

1056.  tion  de  son  fils;  sa  mort,  239.  Son  panégy- 
rique en  vers  parVippon,  son  chapelain; 
recueil  de  sentences  que  Vippon  lui  adresse, 
176.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Pierre  Da- 
mien,  303.  —  Protection  que  cet  empereur 
accorde  à  l'ordre  de  Cluny;  statut  Uiu  en 
sa  faveur,  XIV,  33.  Concile  de  Constance 
oi\  il  se  réconcilie  avec  tous  ses  ennemis, 
1033. 

1054.  HENRI  IV,   dit  le  Vieux,  empereur,  est 

1056.  couronné  roi  d'Allemagne,  XIII,  239.  Son 
élection  confirmée  ;  il  succède  à  son  père 
sous  la  tutelle  de  l'impératrice  Agnès,  239 
et  240.  Grégoire  VII  lui  donne  avis  de  son 
élection,  et  Henri  la  confirme,  331.  Le  pape 
songe  aux  moyens  de  le  faire  revenir  de  ses 
désordres,  353.  Lettres  que  saint  Grégoire 
VII  lui  écrit,  337.  Henri  se  déclare  contre 
[saint]  Grégoire  Viï,  359.  Il  le  fait  déposer, 
339  et  360.  Le  pape  veut  le  priver  de  la  di- 
gnité royale,  360.  Lettre  du  pape  au  sujet 
de  la  déposition  de  Henri,  362.  Assemblée 
de  Tribur  contre  le  roi  Henri,  362  et  363. 
Son  absolution,  363.  Sa  rechute  ;  les  sei- 
gneurs élisent  à  sa  place  Rodolphe,  364. 
Henri  est  déposé  de  nouveau  et  Rodolphe 
confirmé,  369.  [Voyez  369,  n.  8.]  Henri 
passe  en  Italie,  370,  371.  Il  entre  dans 
Rome,  371.  Il  y  est  couronné  par  l'antipape 


Guibert,  372.  Lettre,  en  forme  d'oraison  fu- 
nèbre, de  ce  prince  ;  vie  anonyme  de  ce 
prince;  neuf  lettres  de  ce  prince,  405.  Lettre 
que  lui  écrit  saint  Pierre  Damien ,  306. 
Écrits  de  divers  auteurs  en  sa  faveur,  404, 
405.  [Ses  constitutions  et  ses  diplômes  dans 
la  Patrologie,  414.]  —  Écrit  satyrique  contre 
lui  par  Bernard,  moine  de  Corbie,  XIV,  90. 
Paschal  II  excite  Robert,  comte  de  Flandre, 
à  poursuivre  Henri  comme  chef  des  héréti- 
ques, 130.  [Lettres  que  Henri  adressa  à  saint 
Otton  de  Bamberg,  131.]  Il  est  obligé  de  se 
réunir  à  la  reine  Berthe,  son  épouse,  1063. 
Concile  assemblé  à  Wirtzbourg  pour  discu- 
ter ses  droits  à  l'empire,  1070.  L'excommu- 
nication prononcée  contre  lui  est  confirmée 
dans  un  concile  de  Latran  ;  il  remet  les  or- 
nements impériaux  à  Henri  V,  son  fils,  qui 
est  élu  une  seconde  fois  roi  de  Germanie, 
1080.  Sa  mort,  1077.  Voyez  les  articles  de 
papes  saint  Grégoire  VII  et  Urbain  11. 

HENRI  V,  dit  le  Jeune,  roi  d'Allemagne, 
se  révolte  contre  l'empereur  Henri  IV,  son 
père,  XIV,  130.  Il  vient  en  Itahe,  s'empare 
de  Rome,  se  saisit  du  pape  Paschal  II,  et 
l'oblige  de  donner  une  bulle  par  laquelle  il 
lui  accordait  les  investitures,  131,  132.  Il  se 
fait  ensuite  couronner  empereur  par  le 
pape,  132.  Lettre  que  le  pape  lui  écrit  pour 
lui  notifier  que  le  concile  de  Latran  avait 
annulé  la  bulle  qu'il  avait  extorquée  de  lui, 
132  et  133.  Henri  est  excommunié  au  con- 
cile de  Vienne;  il  soutient  le  parti  des  sédi- 
tieux contre  le  pape  Paschal,  133.  Ce  prince 
révolté  contre  l'empereur  Henri  IV  son 
père  assemble  un  concile  à  Northus,  1079. 
L'empereur  lui  remet  les  marques  de  sa  di- 
gnité au  concile  de  Mayence,  1080.  Il  est 
excommunié  dans  plusieurs  conciles  parti- 
culiers, 1083  et  suiv.,  1089,  1090,  1093.  Sa 
conduite  à  l'égard  du  pape  Gélase  II,  1090. 
Sa  conduite  avec  le  pape  Callixte  II;  condi- 
tions de  la  pais  conclue  avec  ce  pape  en  la 
diète  de  Worms;  sa  réconciliation  dans  cette 
assemblée,  1093.  [Lettre  du  pape  Callixte  II 
à  ce  prince,  HOl.] 

HENRI  VI,  dit  le  Sévère,  couronné  empe- 
reur avec  Constance,  sa  femme,  par  le  pape 
Célestin  HI,  XIV,  941. 

HENRI,  évêque  de  Wirtzbourg.  Bamberg 
est  détaché  de  son  diocèse  et  érigé  en  évê- 
ché.  Lettre  que  lui  écrit  à  ce  sujet  Arnold, 
évêque  d'Alberstat,  XHI,  93,  94.  Lettre  de 
Jean,  patriarche  d'Aquilée,  au  même  évê- 
que, 326. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


513 


1015.         [HENRI,  évêque  de  Parme.  Discours  sur 

la  Pâque  publié  par  Maï,  XIII,  99.] 
ècie.         [HENRI,  clerc  de  Pomposie.  Sa  lettre  à  un 

nommé  Etienne,  XIII,  469.] 
28  HENRI  I,  roi  de  France.  Lettre  que  lui 

écrit  Vazon,  évêque  de  Liège,  pour  le  dé- 
tourner de  faire  la  guerre  à  Henri  le  Noir, 
qui  était  allé  à  Rome  pour  recevoir  la  cou- 
ronne impériale,  XIII,  140,  141.  Lettre  que 
lui  écrit  Théoduin,  évêque  de  Liège,  274. 
[Lettre  que  le  pape  saint  Léon  IX  écrit  à  ce 
prince,  XIII,  210.  Diplôme  du  roi  Henri  dans 
la  Pairologie,  414.] 

HENRI ,  moine  de  Reichenau.  Ses  confé- 
rences avec  Othlon,  moine  de  Saint-Emme- 
ran,  XHI,  278. 
70.  HENRI,  archevêque  de  Ravenne.  Sa  mort, 

XIII,  297.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Pierre 
Damien  au  sujet  de  l'antipape  Cadaloiis, 
301. 
Bie.         HENRI,  évêque  de  Spire.  Sa  lettre  contre 

le  pape  [saint]  Grégoire  VII,  XHI,  407. 
;_  HENRI,  fils  de  Frédéric,  comte  de  Toul, 

est  élu  évêque  de  Liège  après  la  mort  de 
Théoduin,  XIII,  466,  467.  Ce  qu'on  sait  des 
i_  circonstances  de  sa  vie  ;  ses  lettres;  sa  mort, 
467.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  tome  VIII,  p.  352  et 
suiv.) 

HENRI  I",  roi  d'Angleterre.  Son  couron- 
nement par  Thomas,  archevêque   d'York, 
0.       XIIL  547,  —  Il  succède   à  Guillaume  le 
Roux,  son  frère,  XIV,  2.  Se  brouille  avec 
saint  Anselme  au  sujet  des  investitures,  3  et 
suiv.  Fait  saisir  les  revenus  de  son  archevê- 
ché, 7.  Par  l'entremise  de  la  comtesse  de 
Blois,  il  rend  ses  bonnes  grâces  au  prélat  ; 
conditions  de  cet  accommodement,  7  et  8. 
Il  soutient  le  droit  des  investitures,  fondé 
sur  l'exemple  de  son  père  et  de  son  prédé- 
9.       cesseur,  130.  Il  a  une  conférence  à  Gisors 
avec  le  pape  Callixte  II  qui  confirme  les 
coutumes  d'Angleterre  et  de  Normandie, 
^5.       1094.  Sa  mort,  601,  602. 

HENRI  II,  roi  d'Angleterre.  Origine  du 
différend  d'entre  lui  et  saint  Thomas  de 
Gantorbèry,  XIV,  663.  Il  prend  pour  chan- 
celier Thomas  Becket  et  lui  confie  l'éduca- 
tion de  son  fiis  ;  il  le  fait  élire  archevêque 
de  Gantorbèry  ;  il  s'indispose  contre  lui  par- 
ce qu'il  lui  avait  renvoyé  les  sceaux,  662. 
Assemblée  de  Clarendon  où  le  roi  fait  ap- 
prouver sans  restriction  les  coutumes 
d'Angleterre,  662  et  663.  Thomas  ayant  re- 
fusé ensuite  d'y  accéder,  le  roi  le  prend  en 

TAB.    I, 


mo. 


1183. 


1129. 


aversion  ;  suites  de  cette  haine  entre  le  roi 
et  le  prélat,  663  et  suiv.  Ils  font  la  paix  dans 
une  entrevue,  663.  La  suite  de  ce  différend 
est  cause  de  la  mort  du  saint  évêque,  666. 
Son  épitaphe  composée  par  Arnoul  de  Li- 
sieux,  759.  [Lettre  d'Aimeric,  patriarche 
d'Antioche,  à  ce  prince;  lettre  de  Terric, 
grand  maître  des  Templiers,  au  même,  793. 
Deux  lettres  de  Henri,  abbé  de  Clairvaux,  au  ' 
même,  800.  Conduite  du  pape  Alexandre  III 
dans  sa  lettre  avec  ce  prince,  927,  928.] 
Concile  de  Chinon  touchant  le  différend  en- 
tre Henri  II  et  Thomas  de  Cantorbéry,  1133. 
Henri  est  reconnu  roi  d'Irlande  au  concile 
de  Cassel  ;  concile  d'Avranche  où  il  reçoit 
l'absolution  du  meurtre  de  saint  Thomas  de 
Cantorbéry,  H34.  Concile  qu'il  assemble  à 
Northampton,  1136. 

HENRI  III,  roi  d'Angleterre.  Relation  de 
sa  mort  dans  une  lettre  de  Pierre  de  Blois, 
XIV,  777, 

HENRI,  évêque  de  Verdun.  [Deux  lettres 
sont  adressées  à  cette  évêque  par  le  pape 
Honorius,  XIV,  232,  253.]  Déféré  pour  le 
dérèglement  de  ses  mœurs,  comparaît  au 
concile  de  Châlons-sur-Marne,  et  y  renonce 
à  l'épiscopat,  XIV,  1108.  Ursion,  abbé  de 
Saint-Denys  de  Reims,  est  élu  à  sa  place, 
1109. 

HENRI,    hérésiarque ,    excommunié    au       ^^^^_ 
concile  de  Pise  ;  convaincu  de  plusieurs  er-    ^j,  siècle 
reurs  par  Hildebert,   évêque  du  Mans,  et 
chassé  de  ce  diocèse,  XIV,  208.  Il  prêche     ^■^^  g,j,^,^_ 
au  Mans  et  à  Toulouse,  422.  Il  devient  chef 
des  Henriciens,  423.  Lettres  de  saint  Ber- 
nard contre  lui,  447. 

HENRI,  évêque  de  Winchester  et  légat        1,39 
du  Saint-Siège,  frère  d'Etienne,  roi  d'An- 
gleterre. Ses  plaintes  contre  le  roi  son  frère, 
XIV,  1113. 

HENRI,  archidiacre  de  Hungtington,  et 
auparavant  chanoine  de  Lincoln.  Son  His- 
toire des  Anglais,  sa  lettre  sur  le  mépris  du 
monde,  XIV,  315,  316. 

HENRI  DE  LORRAINE,  évêque  de  Toul, 
XIV,  364, 

HENRI  DE  COILI,  est  élu  pour  succéder 
à  Turatain,  archevêque  d'Yorck.  Son  élec- 
tion n'a  pas  lieu  parce  qu'il  ne  veut  pas 
quitter  l'abbaye  de  Saint-Étienne  de  Caen, 
XIV,  443,  446. 

HENRI  MURDAC,  abbé  de  Fontaines,  est 
élu  archevêque  d'Yorck  à  la  place  de  Guil- 
laume, déposé  au  concile  de  Reims,  XIV, 
446. 

33 


1153. 


lUO, 


1148. 


514 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1122.  HENRI,  archevêque  de  Sens,  succède  à 

Daïmbei't.  Saint  Bernard  lui  adresse  son 
traité  des  Mœurs  et  des  Devoirs  des  évêques, 
XIV,  466.  [Henri  écrit  au  pape  Innocent  II 
qui  lui  répond,  267.  Lettre  que  lui  adresse 
Etienne  de  Senlis,  428,  n.  1.] 

iUi.  HENRI,  abbé  de  Corbie  en  Saxe,  Plaintes 

H4G.       formées  contre  lui  ;  il  est  déposé  et  Wibald 
élu  à  sa  place,  XIV,  327. 
XII  siècle.        HENRI,  chanoine  de  Tournai.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  Xn,  p.  245  et  suiv.) 

HENRI  DE  LAMPUNE,  chanoine  et  chan- 
celier de  l'Église  de  Milan,  XIV,  963. 
V.  H50.         [HENRI  DE  SAULTERI,  moine.  Son  livre 
sur  le  Purgatoire  de  saint  Patrice,  XIV,  416, 
417.] 

«74.  [HENRI,  archidiacre  de  Salzbourg.  Son 

Histoire  des  calamités  de  l'Église  de  Salz- 
bourg, XIV,  730,  731.] 

H75.  HENRI,  frère  de  Louis  VII  roi  de  France 

et  archevêque  de  Reims.  [Ce  qu'on  sait  des 
circonstances  de  sa  vie,  XIV,  731.  Ses  liai- 
sons avec  Nicolas,  secrétaire  de  saint  Ber- 
nard, 734.  Ses  lettres  dans  la  Patrologie,  731 
et  732.]  Lettre  que  lui  écrit  l'abbé  Suger 
pour  le  détourner  de  se  révolter  contre  le 
roi,  378.  Différentes  lettres  du  pape  Ale- 
xandre III  qui  lui  sont  adressées,  923. 
XII  siècle.        [HENRI,  évêque  de  Ratisbonne.  Le  pape 

Innocent  H  lui  écrit,  XIV,  263.] 
XII  siècle.        [HENRI,  évêque  de  Moravie.  Le  pape  In- 
i      nocent  II  lui  écrit,  XIV,  267 ,  ainsi  qu'Eu- 
gène m,  277,  278.] 
XII  siècle.        [HENRI,  évoque  d'Olmutz.  Le  pape  Inno- 
cent H  lui  écrit,  XIV,  267.] 

[HENRI,  archevêque  de  Mayence.  Le  pape 
Eugène  IH  lui  écrit,  XIV,  278.] 

H88.  [HENRI    DE    MARSI,   d'abord  abbé  de 

Haute-Combe,  puis  de  Clairvaux ,  ensuite 
évêque  d'Albano  et  cardinal.  Sa  vie,  XIV, 
797  et  suiv.  Ses  écrits  :  1°  Ses  lettres,  799, 
800  ;  2°  Autres  ouvrages,  800  ;  3°  Son  hvre 
de  Peregrinante  cimtale  Dei,  800  et  801.  Au- 
tres lettres  écrites  par  Henri,  mais  qui  sont 

ing.       perdues,  801.]  Le   pape  Alexandre  le  fait 
cardinal  et   lui  donne  l'évêché  d'Albano, 
1143. 
v.  H92.  [HENRI  SEPTIMEL.  Ce  qu'on  sait  des  cir- 

constances de  sa  vie,  XIV,  804.  Son  poëme 
élégiaque  intitulé  :  De  la  Diversité  de  la  for- 
tune et  de  la  Consolation  que  donne  la  phi- 
losophie, 804  et  805.] 

Hi7.  HENRICIENS,  hérétiques  du  xiP  siècle 

confondus  par  saint  Bernard,  XIV,  423  et  447. 


HENTEN  (Jean),  hiéronymite  et  ensuite 
dominicain.  Son  édition  du  commentaire  de 
Rémi  d'Auxerre  sur  les  Petits  Prophètes, 
XII,  733.  Son  édition  de  quelques  commen- 
taires d'CEcuménius,  914.  —  Sa  traduction 
latine  du  commentaire  d'Eutymius  Zigabe- 
nus  sur  les  quatre  Évangiles,  XIV,  154.  On 
lui  attribue  une  traduction  latine  du  com- 
mentaire du  même  sur  les  Épîtres  de  saint 
Paul,  153. 

HÉORTASE,  évêque  de  Sardes,  déposé        360. 
dans    un    concile    de    Constantinople,  IV, 
578. 

HÉPIDANN,  moine  de  Saint-Gai.  Ses  An-     xi, 
nales  ;  continuation  qu'on  en  a  faite.  On  lui 
attribue  aussi  la   Vie  de  sainte  Viborade, 
Xni,  325. 

HEPTATEUQUE.  Ce  que  c'est  ;  commen- 
taire de  Procope  de  Gaze  sur  les  livres  qui 
le  composent,  XI,  176.  Différentes  éditions 
imprimées  et  manuscrites  qu'on  en  connaît, 
179.  [Exposé  sur  l'Heptateuque  par  Jean, 
diacre,  depuis  pape  sous  le  nom  de  Jean  IH, 
334.] 

HÉRACLAS,  père  de  Melchisédech,  selon 
quelques-uns,  VI,  396. 

HÉRACLAS  ou  HÉRACLE,  catéchiste,  et 
ensuite  évêque  d'Alexandrie.  Sa  mort,  II,        a 
396.    Comment  il  recevait  les  hérétiques 
lorsqu'ils  revenaient  à  l'Église,  408. —  11  n'a 
point  condamné  Origène,  VII,  735. 

HÉRACLE,  évêque  de  Zélone,  se  trouve        3)5. 
au  concile  de  Laodicée,  II,  640. 

HÉRACLE.  Lettre  à  Héracle,  ou  préface         iv 
des  commentaires  d'Origène  sur  l'Épître  aux    "" 
Romains,  faussement  attribuée  à  saint  Jé- 
rôme; elle  est  de  Rufin,  VII,  646. 

HÉRACLE,  évêque  de  Paris.  Lettre  que 
lui  écrit  saint  Rémi,  évêque  de  Reims,  XI, 
80. 

HÉRACLÉE,  ville  de  Thrace,  dont  Théo-     iv  sièt 
dore  fut  évêque,  IV,  316,  317.  Au  temps  du        43). 
concile  d'Éphèse,  i'évêqued'Héraclée  l'était 
aussi  d'Épania,  VIII,  591. 

HÉRACLÉON,  hérésiarque,  condamné, 
dit-on,  dans  la  Sicile,  II,  536. 

HÉRACLÉONITES,  Ce  que  saint  Épiphane     iv  sièc 
dit  de  cette  secte,  VI,  391. 

HÉRACLIDE  (Saint),  disciple  d'Origène,     •"»i'«' 
martyr,  I,  548. 

HÉRACLIDE,  évêque  d'Oxyrinque,  dont 
parle  l'empereur  Théodose,  IV,  348.  — 
Marcellin  et  Faustin,  lucifériens,  lui  donnent 


de  grands  éloges,  V,  154. 


HÉRACLIDE,  jeune  homme  sous  le  nom 


373. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


515 


duquel  saint  Basile  le  Grand  écrit  à  saint 
Amphiloque,  IV,  456,  et  V,  364. 

HÉRAGLIDE,  évêque  d'Éphèse,  VU,  487 
et  745. 

HÉRAGLIDE ,  à  qui  on  attribue  l'Histoire 
lausiaque  de  Pallade,  VII,  487. 

HÉRAGLIEN,  hérétique.  Lettre  que  lui 
écrivit  saint  Grégoire  de  Nysse,  VI,  222. 

HÉRAGLIEN,  comte  d'Afrique.  Sa  révolte, 
VII,  567.  —  Loi  d'Honorius  qui  lui  est 
adressée,  VIII,  544. 

HÉRAGLIEN,  évêque  de  Toulouse,  assiste 
au  concile  d'Agde,  X,  736. 

HÉRAGLIEN,  évêque  de  Ghalcédoine, 
IV,  339.  —  Idée  que  donne  Photius  de  son 
ouvrage  contre  les  Manichéens,  XI,  646. 

HÉRAGLITE,  auteur  ecclésiastique.  Ses 
commentaires  sur  saint  Pau],  I,  537. 

HÉRAGLIDS  ou  ÉRAGLIUS,  désigné  par 
saint  Augustin  pour  être  son  successeur 
dans  le  siège  d'Hippone,  VIII,  571,  IX,  20 
et  174.  —  Discours  qu'il  prononça  avant 
son  élection,  IX,  243.  Acle  de  son  élection 
sur  le  siège  d'Hippone,  174. —  Il  reste  dans 
l'ordre  de  prêlre,  saint  Augustin  se  déchar- 
geant sur  lui  du  poids  de  ses  occupations, 
Vin,  571. 

HÉRAGLIUS,  orateur,  qui  prend  la  dé- 
fense de  la  foi  catholique.  Lettre  que  lui 
écrit  saint  Avit  de  Vienne  ;  réponse  d'Héra- 
clius  ;  on  croit  qu'il  fut  évêque  de  Trois- 
Châteaux,  X,  562.  (Voyez  son  article  dans 
V Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  III,  p.  187 
et  suiv.) 

HÉRAGLIUS,  prêtre  de  Bordeaux,  élu 
évêque  de  Saintes  à  la  place  d'Émérius  dé- 
posé, XI,  886. 

HÉRAGLIUS  ,  empereur  d'Orient ,  surpris 
par  le  patriarche  Sergius,  protège  les  Mo- 
nothélites,  XII,  922.  —  Il  publie  l'Ectbèse 
favorable  à  leurs  erreurs,  XI,  648.  —  Elle 
est  condamnée  à  Rome  ;  il  déclare  qu'elle 
est  l'ouvrage  du  patriarche  Sergius  ;  sa 
mort,  Xn,  924. 

HÉRAGLIUS,  patriarche  de  Jérusalem, 
Xin,  537. 

HÉRAIDE  (Sainte),  martyre,  II,  548. 

HERALD.  Voyez  Hérauld. 

HÉRARD,  archevêque  de  Tours.  Ge  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie,  XII,  601  et 
602.  Sa  mort;  ses  statuts  synodaux;  dis- 
cours qu'il  prononça  au  concile  de  Soissons; 
on  lui  attribue  les  actes  de  saint  Ghrode- 
gand,  évêque  de  Seez,  602.  [Sa  lettre  à  Wé- 
nilon,  archevêque  de  Sens  ;  ses  écrits  dans 


la  Patrologie,  602.]  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  litté)-aire  de  la  France,  t.  V,  p.  391 
et  suiv.) 

HÉRAULD  (Didier),  avocat  au  parlement 
de  Paris.  Ses  notes  sur  l'Apologétique  de 
Tertullien,  II,  86.  Ses  notes  sur  Arnobe, 
493. 

HERBERNE  [ou  HEBBRNE],  archevêque 
de  Tours.  (Dom  Geillier  n'en  parle  pas. 
Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  VI,  p.  146  et  suiv.)  [Il  écrit 
les  miracles  de  saint  Martin  de  Tours  ;  édi- 
tions de  cette  Histoire,  XII,  425.] 

HERBERT  (ou  HÉRIBERT  ou  HÉBERT), 
comte  de  Vermandois,  veut  faire  ordonner 
archevêque  de  Reims,  Hugues  son  fils,  XII, 
745  et  841. 

HERBERT  (ou  HÉBERT),  comte  du  Maine, 
s'empare  des  maisons  et  des  biens  de  l'évê- 
ché  du  Mans,  XIII,  81, 

HERBERT,  évêque  de  Norvich.  Lettre  de 
reproches  que  lui  écrit  Lanfranc,  XIII,  433. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  X,  p.  265  et  suiv.) 

[HERBERT.  Sa  traduction  française  des 
écrits  de  Sulpice  Sévère,  VIII,  122.] 

HERGULAN,  évêque,  vicaire  de  saint  Gy- 
prien,  évêque  de  Garthage,  pendant  sa  re- 
traite, II,  262. 

HERGULE,  faux  dieu.  Une  de  ses  statues 
brisée  par  des  chrétiens,  IX,  82. 

HERGULIEN  (Saint),  martyr  à  Antioche, 
III,  411. 

HÉREFRID,  prêtre.  Lettre  de  saint  Boni- 
face  qui  lui  est  adressée,  XII,  49. 

HÉREMPERT,  moine  du  Mont-Gassin. 
Voyez  Erchempert. 

HÉRENNIEN,  sous-diacre,  porte  aux  con- 
fesseurs condamnés  aux  mines,  la  lettre  et 
les  aumônes  de  saint  Gyprien,  II,  389.  As- 
siste les  confesseurs  d'Afrique  qui  étaient 
en  prison,  338. 

[HERGENROETHER ,  professeur  à  l'uni- 
versité de  Wirtzbourg.  Son  édition  de  l'Am- 
philochia  de  Photius,  XII,  969.] 

HÉRÉSIE.  Doctrine  de  saint  Ignace  sur 
l'hérésie,  I,  377  et  385.  Traité  de  saint  Iré- 
née  sur  les  hérésies,  497  et  suiv.  Traité  de 
saint  Hippolyte,  622,  623.  —  Traité  des 
Prescriptions  contre  les  hérésies  par  Ter- 
tullien, II,  13  et  suiv.  [D'après  l'auteur  ano- 
nyme des  Philosophumena,  les  hérésies  pro- 
viennent de  la  philosophie  païenne,  201, 
Doctrine  de  saint  Gyprien,  319  et  376. 
Quelle  est   la    source    de    l'hérésie;    doc- 


X(  siècle. 


363. 


VIII  siècle. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


316 

trine  de  Lactance  ,  314.  Canon  vingt- 
deuxième  du  concile  d'Elvire ,  607.  Ca- 
non cinquante  et  unième  du  même  con- 
cile, 611.  [Les  hérésies  des  premiers  siècles 
n'ont  pas  été  détruites  de  la  manière  que  le 
prétend  Dom  Ceillier,  531,  n.  3  et  6.J  — 
Discours  contre  toutes  les  hérésies,  ouvrage 
faussement  attribué  à  saint  Athanase,  IV, 
180.  Opuscules  contre  diverses  hérésies 
aussi  faussement  attribués  à  saint  Athanase, 
183.  Doctrine  de  Lucifer  de  Cagliari,  266. 
Doctrine  de  saint  Basile  le  Grand,  344.  Con- 
duite du  concile  d'Alexandrie  à  l'égard  de 
ceux  qui  avaient  enseigné  l'hérésie  ou  qui 
y  avaient  cédé,  388,  389.  —  Doctrine  de 
saint  Pacien,  V,  167,  168.  Traité  des  héré- 
sies par  saint  Philastre,  172  et  suiv.  Zèle  de 
saint  Épipbane  contre  les  hérésies,  376.  Son 
traité  des  hérésies  intitulé  Panariuni,  381  et 
suiv.  Ce  que  c'est  que  l'hérésie  et  quand 
elle  a  commencé,  396.  [Sermons  ou  discours 
de  saint  Éphrem  contre  les  hérésies,  432  et 
suiv.  Discours  du  même  contre  les  héréti- 
ques nommés    Scrutateurs,   461  et  suiv.] 

—  Homélies  de  saint  Jean  Chrysostôme 
sur  ces  paroles  de  saint  Paul  :  //  faut 
qu'il  y  ait  des  héi'ésies,  VII,  110,  111.  Traité 
des  hérésies  faussement  attribué  à  Théo- 
phile d'Alexandrie,  447.  Se  taire  quand  on 
est  accusé  d'hérésie,  c'est  avouer  qu'on  est 
hérétique,  457.  —  Combien  on  doit  craindre 
d'être  auteur  d'hérésie,  VIII,  459  et  suiv.  — 
Traité  des  hérésies,  ouvrage  de  saint  Au- 
gustin, IX,  330  et  suiv.  Traité  contre  les 
cinq  hérésies,  c'est-à-dire,  contre  les  Païens, 
Juifs,  Manichéens,  SabeUiens  et  Ariens,  ou- 
vrage faussement  attribué  à  saint  Augustin, 
369.  Plusieurs  hérésies  ont  été  condamnées 
sans  concile,  483  st  622.  Les  hérésies  ne 
sont  nées  que  de  ce  que  les  Écritures  ont 
été  mal  interprétées,  596,  597.  Les  hérésies 
sont  sorties  de  l'Église  comme  des  sarments 
inutiles,  626.  Doctrine  de  saint  Augustin  sur 
les  hérésies,  799  et  suiv.  —  Ouvrage  de 
Théodoret  sur  les  hérésies;  à  quelle  occa- 
sion il  a  été  composé,  X,  83.  Il  est  divisé  en 
cinq  hvres;  ce  que  contiennent  les  trois  pre- 
miers, 83  et  84.  Analyse  du  quatrième,  84, 
83.  Le  cinquième  livre  est  l'abrégé  de  la 
doctrine  de  l'Église  sur  les  principaux  arti- 
cles de  la  foi  et  de  la  morale,  83  et  suiv. 

—  Hérésie  nouvelle  à  Conslantinople  ;  peut- 
être  imaginaire,  XI,  522.  Selon  saint  Gré- 
goire, ne  pas  croire  celui  qui  professe  la  vé- 
rité, ce  n'est  pas  détruire  une  hérésie,  c'est 


l'établir,  583.  Le  traité  des  hérésies  com- 
posé par  saint  Isidore  de  Séville  n'existe 
plus,  726.  —  Traité  des  hérésies,  ouvrage 
de  saint  Jean  Damascène,  XII,  69.  Selon 
Énée,  évêque  de  Paris,  toutes  les  hérésies 
sont  nées  en  Grèce,  600.  —  [Ce  qu'était 
l'hérésie  de  Guibert  d'après  saint  Brunon  de 
Segni,  Xni,  303,  304.]  —  Traité  sur  toutes 
les  hérésies  intitulé  Panoplie  dogmatique, 
ouvrage  d'Euthymius  Zigabène,  XIV,  150 
et  suiv.  [Livre  des  Hérésies  par  Honoré 
d'Autun  ;  combien  Honoré  compte  d'héré- 
sies ou  de  sectes  ;  ses  éditions,  300.]  Livre 
d'Abaillard  contre  les  hérésies,  330,  331. 
Différence  de  l'hérésie  d'avec  le  schisme, 
383.  Livre  de  Hugues ,  archevêque  de 
Rouen,  contre  les  hérésies  de  son  temps, 
608  et  suiv. 

HÉRÉTIQUES.  Doctrine  de  saint  Ignace, 
I,  373,  376,  377,  378,  386,  387.  Doctrine  de 
Polycarpe,  396,  397.  Doctrine  de  saint  Iré- 
née,  499,  504,  522,  323.  Doctrine  d'un  an- 
cien auteur,  338,  339.  —  Doctrine  de  Ter- 
tuUien,  II,  17.  Catalogue  des  hérétiques,  at- 
tribué à  TertuUien,  18.  Doctrine  d'Origène, 
241.  Doctrine  de  saint  Cyprien,  344,  371, 
376.  Témoignage  d'un  ancien  auteur, 
344,  345.  Avantage  que  saint  Denys  d'A- 
lexandrie tirait  de  la  lecture  des  livres  des 
hérétiques,  397,  Sentiment  de  Firmi- 
lien ,  433,  436.  Doctrine  du  pape  saint 
Etienne,  422,  423.  Canons  quarante-cin- 
quième et  quarante-sixième  apostoliques , 
585.  Canon  cinquante-et-unième  du  concile 
d'Elvire,  611.  —  Lois  de  l'empereur  Constan- 
tin contreleshéré  tiques,  III,  146.Éloignement 
de  saint  Antoine  pour  les  hérétiques  et  les 
schismatiques,  383.  Canons  sixième,  neuviè- 
me et  dixième  du  concile  de  Laodicée,  509, 
310.  Canon  trente-unième,  510.  Canon?  tren- 
te-deuxième, trente-troisième  et  ti'ente-qua- 
trième  du  même  concile,  511.  Canon  trente- 
septième,  512.  —  Conduite  de  saint  Hilaire 
à  l'égard  des  hérétiques,  IV,  2  et  4.  Doctrine 
de  saint  Athanase,  [159  et  165,]  190  et  226. 
Livre  de  Lucifer  de  Cagliari  sur  ce  qu'il  ne 
faut  point  communiquer  avec  les  héréti- 
ques, 254  et  suiv.  Canon  cinquième  dans  la 
première  épître  canonique  de  saint  Basile  le 
Grand,  460,  461.  Doctrine  de  saint  Basile  le 
Grand  sur  les  hérétiques,  501.  —  Réponse 
neuvième  de  Timothée  d'Alexandrie,  V,  94. 
Doctrine  de  saint  Optât,  131.  Doctrine  de  saint 
Pacien,  167, 168.  Loide  Valentinienen  faveur 
des  hérétiques,  386.  Hérétiques  condamnés 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


317 


dans  un  concile  d'Alexandrie  sous  saint  Atha- 
nase,  S89.  Canon  septième  du  premier  con- 
cile œcuménique  de  Constantinople,  624. 
Concile  de  Rome,  642.  —  Règlement  du  pape 
saint  Sirice  sur  la  réception  des  hérétiques, 
VI,  99.  Loi  de  Gratien  contre  les  hérétiques, 
360.  Autres  lois  du  même  prince  contre  les 
hérétiques,  361,  362.  Loi  de  Théodose  con- 
tre les  hérétiques  ;  deux  lois  du  même  prince 
contre  les  hérétiques,  36S,  366.  Loi  contre 
quelques  hérétiques,  366.  Trois  lois  contre 
les  hérétiques,  367,  368.  Trois  lois  du  même 
prince  contre  les  hérétiques,  369,  370.  Loi 
du  même  prince  contre  les  hérétiques,  370. 
Autre  loi  du  même  prince  contre  les  héréti- 
ques, 372.  Deux  lois  du  même  prince  contre 
les  hérétiques,  373.  Loi  du  même  prince 
contre  les  hérétiques,  374.  [Portrait  des  hé- 
rétiques par  saint  Éphrem,  434.].  —  Traité 
sur  les  Juifs,  les  Gentils  et  les  hérétiques, 
faussement  attribué  à  saint  Jean  Chrysos- 
tôme,  VII,  38.  Conduite  qu'on  doit  tenir  en- 
vers les  hérétiques,  selon  saint  Jean  Chry- 
sostôme,  231.  Discours  contre  les  hérétiques, 
faussement  attribué  à  saint  Jean  Chrysos- 
tôme,  287.  Doctrine  de  saint  Jean  Chrysos- 
tôme  contre  les  hérétiques  et  leurs  erreurs, 
427  et  suiv.  Discours  sur  les  faux  prophètes 
et  sur  les  hérétiques,  faussement  attribué  à 
Jean  de  Jérusalem  ;  décision  du  pape  saint 
Innocent  sur  la  manière  de  recevoir  les  clercs 
hérétiques,  S02.  Comment  on  doit  recevoir 
les  hérétiques  selon  le  concile  de  Nicée, 
610.  Canons  soixante-dixième,  soixante- 
onzième,  soixante-douzième  du  quatrième 
concile  de  Carthage,  731.  ■ —  Loi  qui  leur 
défend  d'ordonner  aucun  clerc,  et  qui 
renouvelle  toutes  les  anciennes  lois  faites 
contre  eux,  VIII,  367.  C'est  contre  eux  que 
VincentdeLérins  compose  son  Mémoire,  437 
et  suiv.  Il  faut  se  séparer  des  héi'étiques  et 
s'attacher  à  l'Église  et  à  l'antiquité,  457,  438, 
439.  Combien  il  est  dangereux  de  les  écouter, 
461,  462.  A  quelles  marques  on  connaît  les 
hérétiques,  selon  Vincent  de  Lérins,  463, 
464.  Quel  usage  ils  font  de  l'Écriture  sainte, 
464.  Le  concile  d'Orange  décide  que  les  hé- 
rétiques en  danger  de  mort  pourront  rece- 
voir des  prêtres  l'onction  du  chrême  et  la 
bénédiction,  au  défaut  de  J'évêque,  607.  — 
Conduite  de  l'Église  envers  les  hérétiques  ; 
témoignage  de  saint  Augustin  sur  ce  sujet; 
ce  que  l'on  doit  penser  de  leurs  martyrs, 
IX,  223.  Caractères  qui  distinguent  lés  héré- 
tiques, 318,  331,  383,  799, 800.  Les  puissan- 


ces de  la  terre  ont  droit  de  réprimer  l'audace 
des  hérétiques,  339.  Les  hérétiques  n'appar- 
tiennent point  à  l'Église,  629  et  638.  —  On 
ne  doit  point  rebaptiser  ceux  qui  ont  été 
baptisés  par  les  hérétiques,  X,  238,  239.  On 
peut  admettre  aux  ordres  sacrés  ceux  qui  se 
convertissent,  273.  Les  hérétiques  sont  moins 
criminels  que  les  catholiques,  en  commet- 
tant les  mêmes  crimes,  373.  Leurs  noms  n'é- 
taient pas  récités  dans  la  célébration  des 
saints  mystères,  486;  parce  que  cela  ne  peut 
se  faire  sans  donner  lieu  de  croire  qu'on  em- 
brasse leur  mauvaise  doctrine,  494,  493.  Les 
hérétiques,  qui  ont  abandonné  l'hérésie,  peu- 
vent être  élevésauxpremières  dignités,  pour- 
vu qu'il  n'y  ait  rien  dans  leur  vie  ou  dans  leurs 
mœurs  qui  y  mette  obstacle,  360.  Les  clercs 
hérétiques  bien  convertis  peuvent  être  admis 
aux  fonctions  dont  l'évêque  les  juge  dignes, 
743.  —  La  grâce  du  Saint-Esprit  n'est  point 
chez  tous  les  hérétiques,  et  leurs  sacrifices 
ne  peuvent  plaire  à  Dieu,  XI,  13.  L'empe- 
reur Justinien  défend  les  assemblées  parti- 
culières des  hérétiques,  261.  Ce  qui  rend 
hérétique,  selon  Facundas,  évêque  d'Her- 
miane,  296.  De  quelle  manière  on  doit  rece- 
voir les  hérétiques,  326,  327.  Manière  de  les 
combattre,  395,  396.  Ils  cori?ompent  le  texte 
de  l'Écriture  et  supposent  aux  Pères  de  faux 
écrits,  663,  666.  Les  bonnes  œuvres  qu'ils 
font  ne  leur  servent  de  rien  pour  le  salut, 
720.  La  lecture  des  livres  hérétiques  ou  des 
païens  est  défendue  aux  moines,  724.  Dé- 
fense aux  clercs  de  manger  avec  les  héréti- 
ques, 813.  Défense  de  se  servir  de  leurs 
églises,  878.  —  Le  baptême  peut  être  admi- 
nistré chez  eux,  pourvu  que  ce  soit  au  nom 
des  trois  personnes  divines,  XII,  216.  On  doit 
instruire  les  hérétiques,  et  non  pas  les  met- 
tre à  mort,  306.  Ceux  qui  communiquent 
avec  les  hérétiques  ne  peuvent  être  admis  au 
synode  par  les  catholiques;  ceux  qui  renou- 
vellent une  hérésie  doivent  être  rejetés  par 
tous  les  évêques,  660.  Canon  du  concile  Qui- 
nisexte  concernant  les  hérétiques,  964.  — 
Hérétiques  découverts  à  Cologne  et  en  West- 
phalie;  leurs  erreurs  réfutées  par  saint  Ber- 
nard, XIV,  488.  [Hérétiques  dans  le  midi  de 
la  France  sous  Louis  VU;  mesures  contre 
eux,  749.  Efforts  d'Innocent  III  contre  les  hé- 
rétiques Patarins  ou  Manichéens  et  Vaudois 
répandus  dans  les  États  de  l'Église,  997, 998, 
1002.  Réflexions  de  l'historien  Hurter  sur  les 
principes  qui  guidaient  la  conduite  d'Inno- 
cent ni  à  l'égard  des  hérétiques,  1003, 1004.] 


518 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


XI  siècle. 


970. 


X  siècle. 


X  siècle. 


1021. 


XII  siècle. 


XII  siècle. 


Canon  d'un  concile  de  Toulouse  contre  les 
hérétiques,  1108.  Défense  de  recevoir  ou 
de  protéger  les  hérétiques  de  Gascogne  et  de 
Provence,  1109.  Hérétiques  en  Angleterre  ; 
leurs  erreurs,  1128.  Hérétiques  de  divers 
noms  condamnés  au  concile  de  Latran , 
1163. 

HERFASTE,  évêque  de  Thedford.  Son  dif- 
férend avec  Baudouin,  abbé  de  Saint-Ed- 
mond, XIII,  433. 

HERFORD,  ville  d'Angleterre.  Concile  qui 
y  fut  tenu,  XII,  939. 

HERFORD,  ville  deThuringe.  Érection  de 
son  évêché,  XII,  47. 

HERIBALD,  évêque  d'Auxerre.  Lettre  que 
lui  écrit  RabanMaur  en  réponse  à  des  ques- 
tions sur  la  Pénitence  et  sur  l'Eucharistie, 
XII,  465, 466.  Florus  de  Lyon  lui  envoie  son 
ouvrage  sur  la  prédestination,  486. 

HÉRIBERT,  comte,  convoque  un  concile 
à  Troslé,  XIII,  745. 

HÉRIBERT,  écolâtre  d'Epternach.  Temps 
de  sa  mort,  ses  ouvrages,  XII,  840.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t,  VI,  p.  334  et  suiv.) 

HÉRIBERT,  prince  abbé  de  Saint-Arnoul 
de  Metz,  y  établit  l'obéissance  régulière, 
XII,  865. 

HÉRIBERT  (Saint),  archevêque  de  Colo- 
gne. Le  pape  Grégoire  V  le  nomme  un  des 
électeurs  qui  avaient  le  pouvoir  d'élire  l'em- 
pereur, XII,  900.  —  Lettre  d'un  citoyen  de 
Spire  qui  lai  est  adressée  au  sujet  d'absolu- 
tions données  d'une  manière  inusitée,  XIII, 
76. Lettre  que  lui  écrit  Albuin  qu'il  avait  chargé 
de  faire  un  recueil  de  passages  de  l'Écriture 
sur  les  vertus,  76  et  77.  [Lettre  que  Wido 
écrit  à  cet  archevêque  ;  il  est  accusé  fausse- 
ment de  simonie,  77.]  Temps  de  sa  mort,  270. 
Sa  Vie,  écrite  par  Lambert,  abbé  de  Saint- 
Laurent  de  Liège,  270  et  271.  Hymnes  et  ré- 
pons pour  son  office  composés  par  le  même , 
271.  —  Sa  Vie  mise  en  meilleur  style  par 
Rupert,  abbé  de  Tuy,  XIV,  281  et  285. 

[HERIBERT,  moine.  Sa  lettre  sur  la  doc- 
trine et  les  mœurs  des  Manichéens  dans  le 
Périgord;  édition  de  cette  lettre,  XIV,  591.] 

[HÉRIBERT  ou  HERBERT  de  Boseham. 
Sa  Vie  de  saint  Thomas  de  Cantorbéry.  Ses 
Mélodies.  Son  homéhe  sur  saint  Thomas. 
Des  causes  de  l'exil  et  du  martyre  de  saint 
Thomas.  Lettres  adressées  à  diverses  per- 
sonnes. Ses  commentaires  sur  les  Psaumes, 
XIV,  667,  n.  1.] 

HÉRIBRAND,  abbé  de  Saint-Laurent  de 


Liège.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  lit- 
téraire de  la  France,  t.  XI,  p.  76  et  suiv.) 

HÉRIGER,  abbé  de  Lobbes,  succède  à  Pol- 
cuin,  XIII,  33.  Ses  liaisons  avec  Notger,  évê- 
que de  Liège,  35  et  36.  Sa  mort.  On  le  fait 
auteur  des  Gestes  des  évêques  de  Tongres, 
de  Mastricht  et  de  Liège,  mais  cet  ouvrage  p» 
raît  être  de  Notger,  36.  [Édition  de  l'Histoire 
des  évêques  de  Liège  donnée  par  Perlz,  36.] 
Il  y  a  heu  de  croire  que  Notger  avait  recueilli 
les  mémoires,  et  qu'Hèriger  les  a  rédigés, 
36.  [Hériger  est  le  véritable  auteur  des  Gestes 
des  évêques  de  Liège,  de  la  Vie  de  saint  Re- 
macle,  etc.,  36  n.  6.  Il  paraît  être  l'auteur 
du  traité  du  corps  et  du  sang  du  Seigneur, 
attribué  à  Gerbert,  38,  n.  5.  Il  a  écrit  la  let- 
tre qui  est  en  tête  de  la  Vie  de  saint  Rema- 
cle,  39,  n.  14.]  Vie  de  saint  Ursmar  en  vers, 
36,  37.  Lettres  à  Hugues  sur  quelques  diffi- 
cultés de  chronologie,  37,  38.  Traité  sur  le 
nombre  de  jours  dont  l'Avent  doit  être  com- 
posé, 38.  Traité  du  Corps  et  du  Sang  du  Sei- 
gneur; autres  écrits  d'Hériger,  38  et  39.  Ju- 
gement sur  son  style,  39.  —  Le  traité  du 
Corps  et  du  Sang  du  Seigneur  qui  lui  est  at- 
tribué appartient  à  Gerbert,  XII,  904.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VII,  p.  194  et  suiv.) 

HÉRILAN,  évêque  de  Verdun.  Sa  mort  ; 
Helduin  lui  succède,  XII,  440. 

HÉRIMAN,  évêque  de  Nevers.  Concile  où 
il  est  question  de  le  déposer  pour  cause  de 
faiblesse  de  tête,  XII,  506,  507  et  XHI,  695. 

HÉRIMAN,  évêque  deToul.  Sa  mort;  Bru- 
non  lui  succède,  XIII,  200. 

HÉRIMAN,  cardinal  dont  parle  Guillaume, 
moine  de  Cluse,  dans  la  Vie  de  Benoît  II, 
abbé  de  Cluse,  XIH,  490. 

HÉRIMAN,  évêque  de  Metz.  Voyez  Her- 
man. 

HÉRIMAR,  abbé  de  Saint-Remi  de  Reims, 
reconstruit  l'église  de  son  abbaye,  et  invite 
le  pape  Léon  IX  à  en  faire  la  dédicace,  XIII, 
200  et  213. 

HÉRIOLD  ouHAROLD,  roi  deDanemarck, 
embrasse  le  christianisme  avec  son  épouse, 
XH,  324. 

HÉRIVAL,  monastère  de  chanoines  régu- 
liers en  Lorraine,  fondé  par  Maurice  de 
Sully,  évêque  de  Paris,  XIV,  548. 

HERLEFRIDE,  prêtre  qu'on  avait  dé- 
pouillé de  son  titre  et  de  ses  revenus.  Let- 
tre d'Adrien  II  au  roi  Charles  le  Chauve  en 
sa  faveur,  XII,  390. 

HERLEMBAUD  combat  la  simonie  et  l'in- 


990. 


1007. 


1026. 


XI  siècle. 


1090. 


1049. 


1160. 


IX  siècle. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


519 


continence  des  clercs  de  Milan,   XIII,  29. 
[Son  martyre,  29.] 

HERLOUIN,  élu  évêque  de  Cambrai,  va  à 
Rome  se  faire  sacrer  par  le  pape,  XII,  900. 
[Le  pape  Grégoire  V  lui  écrit,  901.]  Il  ob- 
tient du  pape  Grégoire  V  une  lettre  pour 
réprimer  les  seigneurs  qui  pillaient  les  biens 
de  son  église,  XIII,  763. 

HERLOUIN  (  le  bienheureux  ) ,  pi-emier 
abbé  du  Bec.  Sa  Vie,  XIII,  4S8.  —  On  l'at- 
tribue à  Gislebert  Crispin,  abbé  de  West- 
minster, XIV,  176.  Sa  mort.  Saint  Anselme 
lui  succède,  2. 

HERLUCE  (la  bienheureuse).  Sa  Vie,  com- 
posée par  Paul  de  Berneried,  XIII,  373. 

HERLUIN  (comte),  admis  à  pénitence  pour 
un  mariage  adultérin,  XIII,  743. 

HERMAMMON,  à  qui  saint  Denys  d'Ale- 
xandrie adresse  une  lettre,  II,  412. 

HERMANN  ou  HERIMAN,  archevêque  de 
Cologne,  porte  ses  plaintes  au  Saint-Siège 
contre  Adelgaire ,  évêque  de  Hambourg, 
XIII,  733.  —  [Lettre  que  lui  adresse  le  pape 
Formose  au  sujet  du  différend  entre  Héri- 
man  et  Adalgaire,  archevêque  de  Hambourg 
et  de  Brème,  XII,  739.]  Lettre  que  lui  écrit 
le  pape  Jean  X  à  l'occasion  d'Helduin  qu'il 
avait  ordonné  évêque  de  Liège,  744. 

HERMAN,  évêque  de  Bamberg,  accom- 
pagne Sigefroi  à  son  voyage  de  Rome,  XIII, 
406.  Quelques  lettres  de  lui  insérées  dans  le 
code  d'Uldaric,  407.  Son  affaire  avec  les 
chanoines  de  Saint-Jacques,  qu'il  avait  fon- 
dés. Sa  déposition,  358,  339. 

HERMAN,  évêque  de  Salisbury.  (Voyez 
son  article  dans  VHistoire  littéraire  de  la 
France,  t.  VIII,  p.  39  et  suiv.) 

HERMAN  (Laurent),  seigneur  de  Luxem- 
bourg, est  élu  roi  d'Allemagne  par  les  fac- 
tieux après  la  mort  de  Rodolphe ,  XIII , 
371. 

HERMAN  ou  HÉRIMAN,  évêque  de  Metz. 
Son  attachement  au  pape  [saint]  Grégoire  VII, 
qui  le  charge  de  différentes  affaires,  XIII, 
464.  Il  est  chassé  de  son  siège ,  et  Guillaume 
Walon  mis  à  sa  place,  462  et  464.  Il  est  ré- 
tabh  dans  son  évêché.  Il  fait  la  translation 
du  corps  de  saint  Clément,  et  en  écrit  l'his- 
toire. Sa  mort,  464.  Lettre  que  lui  écrit  Geb- 
hart,  archevêque  de  Sti'asbourg,  397,  398. 
Popon  lui  succède,  382.  (Voyez  son  article 
dans  VHistoire  littéraire  de  la  France,  tome 
Vni,  p.  330  et  suiv.) 

HERMAN,  moine  de  Cluny,  frère  de  Gé- 
rard, évêque  de  Constance.  Sa  Vie  et  son 


épitaphe  par  Ulric,  moine  de  Cluny,  XIII, 
476. 

HERMAN,  évêque  d'Augsbourg,  accusé 
de  simonie,  est  suspendu  de  ses  fonctions  au 
concile  de  Guastalle,  XIV,  1079. 

HERMAN  CONTRACTE.Sanaissance;  d'où 
lui  vient  le  surnom  de  Contracte,  XIII,  182. 
Trithème  se  trompe  en  le  faisant  moine  de 
Saint-Gai  :  ce  fut  à  l'abbaye  de  Richenow 
qu'il  embrassa  la  vie  monastique.  L'étendue 
de  ses  connaissances  lui  fait  une  grande  ré- 
putation. Sa  mort.  Ses  écrits.  Sa  Chronique, 
182,  183.  Notice  de  cette  Chronique,  183. 
[Éditions  de  cette  Chronique,  182,  183.]  Au- 
tres écrits  dont  Trithème  le  fait  auteur,  183 
et  184.  Ses  livres  sur  l'Astrolabe.  Autres 
traités  qu'on  lui  attribue,  184.  [Écrits  d'Her- 
man  publiés  depuis  D.  Geillier,  183,  n.  8, 10 
et  p.  184,  n.  2.] 

[HERMAN,  juif  converti  de  Cologne.  Son 
écrit  sur  sa  conversion,  XIV,  341.] 

HERMAN,  évêque  de  Prague,  succède  à 
Cosme,  XIV,  173. 

HERMANN,  moine  de  Saint-Jean  de  Laon. 
Ses  livres  sur  les  miracles  de  la  sainte  Vierge 
à  Laon,  et  les  actions  de  saint  Norbert,  XIV, 
200.  (Voyez  son  article  dans  VHistoire  litté- 
raire de  la  Finance,  t.  Xll,  p.  289  et  suiv.) 

HERMANN  ou  HÉRIMANN,  moine,  puis 
abbé  de  Saint-Martin  de  Tournay.  Ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie.  Son  Histoire 
du  rétablissement  de  l'abbaye  de  Saint- 
Martin.  Son  traité  de  l'Incarnation.  Livre 
des  Miracles  de  Notre-Dame  de  Laon,  XIV, 
411.  (Voyez  son  article  dans  VHistoire  litté- 
raire de  la  France,  tome  XII,  p.  279  et  suiv.] 

[HERMAN,  savant  allemand,  publie  le  Le- 
xicon  grec  de  Photius,  XII,  734,  n.  8.] 

HERMANT  (Godefroi),  chanoine  de  Beau- 
vais.  Sa  traduction  française  des  Ascétiques 
de  saint  Basile  de  Césarée,  IV,  347.  —  Sa 
traduction  française  du  traité  de  saint  Jean 
Chrysostôme  sur  la  Providence,  VII,  437. 

HERMAS  (Saint),  disciple  des  apôtres. 
Histoire  de  sa  vie,  I,  330  et  suiv.  Quel  était 
Hermas,  330  et  331.  [Il  est  le  même  qu'Her- 
mès, frère  du  pape  saint  Pie  I,  331,  note  1, 
et  333,  note  12.]  Son  origine;  sa  demeure; 
sa  famille.  Il  est  mis  entre  les  mains  de  l'an- 
ge de  la  pénitence  ;  il  la  prêche  lui-même. 
Le  temps  de  sa  mort  est  incertain  ;  il  vivait 
sous  le  pontificat  de  saint  Clément.  Il  reçoit 
ordre  de  mettre  par  écrit  les  instructions  de 
l'ange,  331,  Il  les  écrit  en  grec.  Autorité  de 
ces  écrits,  332.  Jugement  qu'on  en  doit  por- 


1106. 


1054. 


XII  siècle. 


1099. 


V.  1113. 


1120. 


1137. 


V.  05. 


520 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 

père  de  saint  Félix  de  Noie 


583. 


859. 


304. 


ter,  332  et  333.  Cet  ouvrage  est  le  même  que 
celui  dont  parlent  les  anciens.  D'après  Dom 
Ceillier,    l'auteur  est  Hermas,  et  non  pas 
Herme  ou  Hermès,  frère  du  pape  saint  Pie, 
333.  [Voyez  pourtant  la  note  12  et  note  3, 
p.  331.]  Analyse  du  premier  livre,  appelé  les 
Visions,  334.  Analyse  du  second  livre  appelé 
les  Préceptes,  334  et  333.  Analyse  du  troi- 
sième livre,  appelé  les  Similitudes,  333  et 
336.  Usage  que  l'on  a  fait  de  ces  livres  dans 
l'Église,  336.  Points  capitaux  de  la  doctrine 
de  ces  livres,  336  et  suiv.  Sur  les  deux  na- 
tures en  Jésus-Christ,  336,  337.  Sur  les  an- 
ges. Sur  le  baptême  et  la  pénitence.  Sur  le 
mariage.  Sur  le  jeûne  et  la  prière,  337.  Sur 
l'observation  des  commandements,  le  bap- 
tême donné  aux  morts,  les  visions,  la  ruine 
du  monde  et  les  divers  degrés  du  ministère 
de  l'Église,  337  et  338.  Sur  la  grâce.  Style 
des  ouvrages  d'Hermas.  Éditions  qui  en  ont 
été  faites,  338.  [Autres  éditions  et  traduc- 
tions, 338  et  339.]  —  Témoignage  de  saint 
Jérôme  sur  le  livre  d'Hermas,  VII,  635. 
HERMAS,  disciple  de  Manès,  VI,  402. 
HERMAS,  l'un  des  chefs  des  Messaliens, 
IV,  645.  —  Est  chassé  de  la  Syrie,  X,  47. 
HERMÉNÉGILDE  (Saint),  fils  de  Lévigilde, 
roi  des  Goths  en  Espagne,  est  converti  à  la 
foi  catholique  par  saint  Léandre ,  XI,  422  et 
899.  Il  se  révolte  contre  son  père  et  de- 
mande du  secours  à  Constantinople.  Il  est 
exilé  à  Valence,  422.  Son  père  le  fait  mou- 
rir, 423. 

HERMENFROI,    évéque  de  Beauvais.  Sa 
mort.  Odon  lui  succède,  XII,  639. 

HERMENTRUDE,   épouse  du  roi  Charles 
le  Chauve.  Son  couronnement,  XII,  602. 

[HERMÈS,  nom  de  Mercure,  I,  297  ;  sem- 
ble un  nom  collectif,  297,  note  4.] 

[HERMÈS,  frère  du  pape  saint  Pie  I,  le 
même  qu'Hermas,  I,  331,  n,  3;  333,  n.  12.] 
HERMÈS  (Saint),  diacre  d'Héraclée,  mar- 
tyr, m,  36  et  suiv. 

HERMÈS,  archidiacre  de  l'Éghse  de  Nar- 
bonne,  porte  une  lettre  de  saint  Léon  le 
Grand  à  saint  Rustique  son  évêque,  X,  199. 
Il  est  ordonné  évêque  de  Béziers  ;  les  ha- 
bitants refusent  de  le  recevoir.  Après  la 
mort  de  saint  Rustique,  il  se  fait  élire  évêque 
de  Narbonne,  337.  Disposition  du  concile 
de  Rome  à  son  égard,  337  et  421,  715. 

HERMÉSIGÈRE,  à  qui  écrit  Théodoret, 
X,  67. 

HERMIAS  (Saint),  martyr  du  iv  siècle, 
VI,  332. 


HERMIAS, 
11,394. 

HERMIAS,  philosophe  :  son  traité  intitulé: 
Raillerie  des  philosophes  païens,  VI,  332. 
Analyse  de  ce  traité,  332  et  333.  [Éditions 
et  traductions  qui  en  ont  été  faites,  333.] 

HERMIAS  SOZOMÈNE,  historien.  Voyez 
Sozojyiène. 

HERMIAS,  prêtre,  à  qui  sont  adressés  les 
Dialogues  sur  la  Trinité,  et  les  Dialogues 
sur  l'Incarnation,  ouvrages  de  saint  Cyrille 
d'Alexandiie,  VI,  333.  — Les  sept  Dialogues 
sur  la  Trinité  adressés  par  saint  Cyrille 
d'Alexandrie  à  cet  Hermias,  VIII,  273.  Les 
deux  Dialogues  du  même  sur  l'Incarnation 
adressés  au  même,  275. 

HERMINUS  (comte).  Lettres  que  lui  écrit 

saint  Isidore  de  Péluse,  VHI,  479,  480,  487. 

HERMION,  évêque  de  Tanis,  assiste  au 

concile  d'Alexandrie   sous  saint  Athanase, 

IV,  388. 

HERMIONE,  vierge  et  abbesse  lucifé- 
rienne  à  Éleuthéropole,  V,  154. 

HERMOGÈNE,  hérétique.  Traité  contre 
Hermogène,  ouvrage  de  TertuUien  avant  sa 
chute.  H,  35,  36. 

HERMOGÈNE,  évêque  de  Césarée  en  Cap- 
padoce,  trompé  par  Eustathe  de  Sébaste, 
IV,  484. 

HERMOGÈNE,  évêque  de  Rhinocorure  en 
Egypte,  présent  à  l'élection  du  pape  Sixte  III, 

VIII,  250.  Saint  Isidore  de  Péluse  lui  écrit, 
478. 

HERMOGÉNIEN,  ami  de  saint  Augustin, 

IX,  39.  Lettre  que  saint  Augustin  lui  écrit,  65. 
HERMOPOLE,   ville  de  la  Thébaïde,  où 

l'on  croyait  que  Jésus-Christ  était  venu  dans 
sa  fuite,  VII,  474. 

HÉRODE  LE  GRAND,  roi  de  Judée.  Opus- 
cule faussement  attribué  à  saint  Jean  Chry- 
sostôme  sur  les  enfants  massacrés  par  ordre 
d'Hérode,  VII,  312. 

HÉRODE  AGRIPPA,  roi  de  Judée.  Traité 
de  Fulbert  de  Chartres  sur  ces  paroles  du 
chapitre  xii  des  Actes  des  apôtres  :  En  ce 
temps-là  le  roi  Hérode  employa  sa  puissance 
pou?'  maltraiter  quelques-uns  de  l'Église  , 
Xm,  88. 

HÉRODIADE,  épouse  d'Hérode  Antipas. 
HoméUe  sur  Hérodiade  et  sur  la  décollation 
de  saint  Jean,  attribuée  à  saint  Jean  Chry- 
soslôme  ou  à  Sévérien,  évêque  de  Gabales, 
Vn,  256,  237. 

HÉRODIENS,  secte  de  Juifs.  Ce  qui  en  est 
dit  par  saint  Épiphane,  VI,  385. 


IV  siècle. 


432. 


386. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


521 


siècle.  HÉROLD  ou  HERALD,  archevêque  de 
Saltzbourg.  Son  dififérend  avec  Gerhard  de 
Lorch,  au  sujet  de  l'étendue  de  leurs  dio- 
cèses, réglé  par  le  pape  Agapet  II,  XII,  830. 

—  Sa  déposition,  XIII,  735.  —  [Le  pape 
Jean  XII  le  dénonce  comme  frappé  d'ana- 
Ihème,  XII,  832.  Le  pape  Jean  XIII  le  dé- 
pose et  l'excommunie,  833.] 

[HÉROLD,  continuateur  de  l'Histoire  de 
la  croisade,  par  Guillaume  de  Tyr,  XIII, 
533.] 

[HÉROLD  (Jean).  Son  édition  de  l'Image 
du  monde,  par  Honoré  d'Autun,  et  de  six 
autres  écrits  du  même,  XIV,  298.] 
siècle.         HÉRON  (Saint),  disciple  d'Origène,  martyr 

sous  Sévère,  I,  548. 
siècle.         HÉRON  (Saint),  martyr  à  Alexandrie  sous 

Dèce,  U,  -402. 
1379.'  HÉRON,  religieux  de  Tabenne,  IV,  236. 

HÉRON,  philosophe.  Son  panégyrique, 
par  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V,  219. 

HÉRON,  à  qui  saint  Sidoine  Apollinaire 
écrit  une  lettre,  X,  383. 

HÉROS,  évéque  d'Arles,  disciple  de  saint 
Martin,  VII,  532,  s'élè\e  contre  Célestius, 
529,  530.  Il  est  mal  reçu  du  pape  Zozime, 
330,  331,  532.  Il  s'élève  contre  Pelage,  532, 

—  Mémoire  qu'il  présente  au  concile  de  Dios- 
polis  contre  Pelage  et  contre  Célestius,  VIII, 
551,  532,  et  IX,  443.  —Le  prêtre  Orose  ap- 
porte leurs  lettres  à  Carlhage,  X,  3.  (Voir 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  tome  II,  p.  147  et  suiv.) 

siècle.  [HERRADE,  abbesse  de  Holembourg.  Ses 
écrits,  XIV,  634.] 

HERRIC,  moine  de  Saint-Germain  d'Au- 
xerre.  Voyez  Heiric. 

HÉRULES,  peuples  barbares.  Ils  font  des 
ravages  dans  la  Toscane,  XI,  334. 

HERVÉ,  trésorier  de  Saint-Martin  de 
Tours,  XIII,  28,  29.  —  Lettre  que  lui  écrit 
Amblard,  en  lui  adressant  une  copie  de  la 
Vie  de  saint  Éloi,  XH,  911. 

900.  HERVÉ,  archevêque  de  Reims,  succède  à 

Foulques.  Sa  conduite  pendant  son  épisco- 
pat,  XII,  787.  Charles  le  Simple  le  fait  son 

922.  chanceher.  Sa  mort,  788.  Sa  lettre  cano- 
nique. Sentence  d'excommunication  qu'il 
prononça  contre  les  meurtriers  de  son  pré- 
décesseur, 787  et  788.  Il  consulte  le  pape 
Jean  IX  sur  divers  cas  de  pénitence,  741. — 
Discours  qu'il  prononce  au  concile  de  Troslé 
sur  les  maux  de  l'Église  et  de  l'État,  XIII, 
741 ,  742.  U  donne  l'absolution  au  comte 
Erlebald  ,   mort   dans  l'excommunication , 


744.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  France,  t.  VI,  p.  184  et  suiv.) 

HERVÉ,  moine  bénédictin  du  bourg  de  xii  siècle. 
Dol,  au  diocèse  de  Bourges.  Son  éloge  dans 
la  lettre  circulaire  que  ses  confrères  écri- 
virent après  sa  mort,  XIV,  402,  403.  Ses  ou- 
vrages. On  n'a  imprimé  que  son  Commen- 
taire sur  les  Épîtres  de  saint  Paul,  403,  404. 
[Jugement  sur  le  commentaire  d'Hervé  sur 
le  prophète  Isaie,  403,  n,  2.]  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  Xn,  p.  344  et  suiv.) 

HERVET  (Gentien),  chanoine  de  Reims. 
Sa  traduction  latine  de  quelques  ouvrages 
de  Clément  d'Alexandrie.  Ses  scholies  sur 
tous  les  ouvrages  du  même,  I,  606.  —  Sa 
traduction  française  des  hvres  de  saint  Au- 
gustin de  la  Cité  de  Dieu,  IX,  812.  —  Il  tra- 
duit en  latin  quelques  ouvrages  de  Théodo- 
ret,  X,  140.  —  Sa  traduction  latine  de  plu- 
sieurs des  Questions  d'Anastase  Sinaïte,  XI, 
601.  Sa  traduction  latine  de  la  Mystagogie 
de  l'abbé  saint  Maxime,  770.  —  Sa  traduc- 
tion latine  du  Nomocanon  de  Photius,  XII, 
723.  Sa  traduction  latine  des  Basiliques,  773. 

[HÉSÉCHIUS,  évêque  d'Egypte,  écrit  avec 
trois  autres  évêques  unelettreà  Mélèce,  évê- 
que schismatique  deLycopole,  III,  52,  note  4.] 

HESPER  ou  HESPÉRIUS,  poète  célèbre  du 
vi"  siècle.  Lettres  que  saint  Sidoine  Apolli- 
naire lui  a  écrites,  X,  384,  385.  On  croit 
qu'il  avait  épousé  une  des  filles  de  saint  Ru- 
rice,  évêque  de  Limoges,  608.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  II,  p.  636  et  suiv.) 

HESSE,  province  d'Allemagne.  Saint  Bo- 
niface  y  prêche  la  foi,  XII,  46,  47. 

HESSE,  abbaye  au  pied  des  Vosges.  Bulle 
du  pape  saint  Léon  IX  pour  cette  abbaye, 
XIII,  209. 

[HESSE  (Frédéric).  Son  édition  des  An- 
nales de  Lambert  de  Schafnaburg,  XIII,  400.] 

HÉSYGHIUS  altère  les  évangiles  en  vou- 
lant les  corriger,  I,  275.  [Il  n'est  pas  héré- 
tique, note  4.] 

HÉSYCHIDS,  disciple  de  saint  Hilarion, 
qui  lui  écrit  une  lettre  en  forme  de  testa- 
ment, VII,  594. 

HÉSYCHIDS,  à  qui  saint  Basile  le  Grand        m- 
écrit  une  lettre,  IV,  440.  Autre  lettre  de  saint 
Basile,  443. 

HÉSYGHIUS,   évêque  de  Solone.   Lettre        406. 
que  lui  écrivit  saint  Jean  Chrysostôme,  VII, 
133.  Lettre  que  lui   écrivit  le  pape  Zozime,         "s. 
536,  —  Lettres  d'Hésychius  à  saint  Augus-      ^-  *19- 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


322 

tin  et  de  saint  Augustin  à  Hésychius,  IX, 
167  et  suiv. 

HÉSYCHIUS,  auteur  d'une  Histoire  ecclé- 
siastique, VIII,  19. 

HÉSYCHIUS,  évêqne  de  Jérusalem,  brûle 
deux  livres  de  Nestorius,  VIII,  373. 

HÉSYCHIUS  de  Castabales  en  Cilicie, 
se  sépare  de  la  communion  de  Jean  d'An- 
tioche,  et  y  rentre  peu  après.  Son  billet  à 
Mélèce  de  Mopsueste,  VIII,  386. 

HÉSYCHIUS,  prêtre,  assiste  à  la  dédicace 
de  l'église  de  la  Laure  de  Saint-Euthymius, 
X,  17, 

HÉSYCHIUS,  père  de  saint  Avit,  est  fait 
évèque  de  Vienne.  Son  fils  lui  succède,  X, 
490.        553.  —  Hésychius  assiste  au  deuxième  con- 
cile de  Paris,  XI,  882. 

HÉSYCHIUS,  père  de  saint  Siméon  Sty- 
lyte,  X,  581. 
600.  HÉSYCHIUS  ou  ISACIUS,  patriarche  de 

Jérusalem,  successeur  d'Amos.  Lettre  que 
lui  écrit  le  pape  saint  Grégoire  en  réponse 
à  sa  Synodique,  XI,  523. 

HÉSYCHIUS,  prêtre  de  Jérusalem,  auteur 
d'un  commentaire  latin  sur  le  Lévitique,  est 
différent  de  plusieurs  autres  auteurs  du 
même  nom,  qui  ont  écrit  en  grec,  XI,  654, 
655.  Analyse  de  ce  commentaire,  655,  656. 
Homélies  et  autres  écrits  que  nous  avons 
sous  le  nom  du  prêtre  Hésychius,  656,  657. 
[Écrits  nouveaux.  Édition  des  écrits  d'Hé- 
sychius  dans  la  Patrologie,  657.]  —  Discours 
sur  la  Résurrection  qui  lui  est  attribué,  VI, 
203. 

HÉSYCHIUS,  prêtre  de  Constantinople, 
auteur  de  quatre  livres  sur  le  Serpent  d'ai- 
rain. Idée  peu  avantageuse  que  Photius 
donne  de  cet  ouvragé,  XI,  658. 

HETFELD,  ville  d'Angleterre,  Concile  qui 
y  fut  tenu,  Xïï,  943. 
810.  HETTI  ou  HETTON,  archevêque  de  Trê- 

ves. Sa  lettre  à  Frothaire,  évêque  de  Tou), 
pour  l'avertir  de  s'informer  si  les  règles  don- 
nées aux  chanoines  par  le  concile  d'Aix-la- 
Chapelle,  s'observaient  dans  son  diocèse, 
XIII,  650. 
806.  HETTON  ou  HATTON,  évêque  de  Bâle,  est 

élevé  dans  le  monastère  deReichenau,  dont 
il  devint  ensuite  abbé.  11  est  élu  évêque  de 
Bâle  ;  en  cette  qualité,  il  souscrit  au  tesla- 
823.  ment  de  Cbarlemagne.  Son  ambassade  à 
Constantinople  :  il  en  écrit  la  relation,  11 
quitte  l'évêché  de  Bâle  et  se  retire  à  Reiche- 
nau,  où  il  finit  sa  vie  en  simple  religieux;  sa 
836.        mort,  XII,  336,  Son  capitulaire,  336  et  337, 


Il  écrit  la  vision  que  le  moine  Wetin  eut  sur 
les  peines  et  les  récompenses  de  l'autre  vie, 
337  et  273.  Lettre  que  lui  écrit  l'historien 
Thégon.  On  ne  sait  pourquoi  il  lui  donne 
les  titres  de  duc  et  de  consul,  396.  (Voyez 
son  article  dans  VHisloire  littéraire  de  la 
France,  t,  IV,  p.  523  et  suiv.) 

HETTON,  moine  que  l'on  croit  être  celui 
qui  d'abbé  d'Eplernach  devint  archevêque 
de  Trêves,  consulte  Amalaire,  prêtre  de 
Metz,  pour  savoir  si  la  finale  du  mot  séra- 
phin doit  être  une  m  ou  une  n.  Réponse 
d' Amalaire,  XII,  347.  Voyez  Hetti. 

[HEUMAN.  Son  édition  des  écrits  de  Lac- 
tance,  II,  520.] 

HEURES,  Leur  division  dans  les  Gaules 
au  temps  de  saint  Irénée,  I,  529,  —  [Frag- 
ments d'une  lettre  du  Vénérable  Bède  sur 
la  division  des  heures,  XII,  15.] 

HEURES  canoniales,  ou  heures  de  la 
prière  selon  les  Constitutions  apostoliques, 
II,  599.  —  Témoignage  de  saint  Basile,  IV, 
403.  —  Témoignage  de  saint  Jérôme,  VII, 
588,  624  et  697,  —  Elles  sont  d'obligation, 
XII,  337,  Leur  récitation  puHique  recom- 
mandée aux  prêtres,  338,  —  Écrits  où  l'on 
rend  raison  de  leur  institution,  XIII,  11. 
L'évêque  et  les  autres  prélats  obligés  à  dire 
leurs  heures  canoniales  avec  leurs  clercs, 
663.  —  Vers  du  Vénérable  Hildebert  sur  les 
sept  heures  canoniales,  XIV,  222. 

HÉVACLANIUS  (Jean).  Sa  version  latine 
des  homélies  de  saint  Grégoire  de  Nysse  sur 
le  Cantique  des  Cantiques,  VI,  258. 

HEXAÉMÉRON  ou  HEXAMÉRON,  c'est- 
à-dire  ouvrage  des  six  jours  de  la  création. 
Commentaire  sur  l'Hexaérnéron  attribué  à 
saint  Eustathe  d'Antioche,  III,  166.  —  Ho- 
mélies de  saint  Basile  le  Grand  sur  l'Hexaé- 
méron,  IV,  363  et  suiv,  —  HoméHes  sur 
l'Hexaéméron  faussement  attribuées  à  ce 
Père,  369,  370.  —  Hexaéméron  de  saint 
Ambroise,  V,  394  et  suiv.  —  Hexaéméron 
de  saint  Grégoire  de  Nysse,  VI,  126  et  suiv. 
—  Poëme  sur  l'Hexaméron,  ouvrage  de 
Prudence,  VIII,  106.  —  Poëme  deDraconce 
sur  les  six  jours  de  la  création,  X,  587.  — 
Considérations  anagogiques  sur  l'Hexaémé- 
ron ou  sur  la  création  du  monde,  ouvrage 
d'Anastase  le  Sinaïte,  XI,  599.  Ce  qu'elles 
contiennent  de  remarquable,  600.  Commen- 
taire de  Jean  Philopouas  sur  l'ouvrage  des 
six  jours  de  la  création,  651.  Poëme  de 
Geoi'ge  Pisidès  sur  le  même  sujet,  653.  — 
Commentaire  du  Vénérable   Bède  sur  le 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES, 


523 


même  sujet,  XII,  7.  — Poème  du  Vénérable 
Hildebert  sur  le  même  sujet,  XIV,  222. 
[Traité  de  l'ouvrage  des  six  jours  par  Ho- 
noré d'Autun.  Ce  que  c'est.  Traits  remar- 
quables qu'il  offre,  296.]  Commentaire 
d'Abaillard  sur  les  sis  jours  de  la  création, 
333,  336.  Commentaire  d'Hugues,  arche- 
vêque de  Rouen,  sur  le  même  sujet,  604. 
Traité  d'Arnaud,  abbé  de  Bonneval,  sur  le 
même  sujet,  618,  619. 

HEXAPLES  d'Origène,  ouvrage  à  six  co- 
lonnes, contenant  le  texte  hébreu  de  l'An- 
cien Testament  en  caractères  hébreux  et  en 
caractères  grecs,  avec  quatre  versions  grec- 
ques, savoir  :  celle  qui  est  attribuée  aux 
Septante,  et  celles  d'Aquila,  de  Symmaque 
et  de  Théodotion,  II,  143  et  suiv.  Remar- 
ques sur  ces  versions,  143.  En  quel  temps 
Origène  composa  cet  ouvrage.  Ce  qui  nous 
en  reste,  147  [et  235,  236.] 

HEYMARD,  abbé  de  Cluny,  déclare  saint 
Maïeul  son  successeur,  XIII,  155. 

HIBERNIE  ou  IRLANDE,  île  de  l'Europe 
dans  l'Océan.  Lettre  de  Lanfranc  aux  évê- 
ques  d'Hibernie.  Autres  aux  roisd'Hibernie, 
XIII,  454.  Voyez  Irlande. 
;cie.  HIBERNOIS,  peuples  d'Hibernie.  Lettre 
que  leur  écrit  le  pape  Honorius  sur  la  Pâ- 
que,  XI,  648.  Lettres  qu'ils  adressent  au 
pape  Sévérin;  réponse  que  leur  fait  le 
clergé  de  Rome,  649.  Voyez  Écossais  et  Ir- 
landais. 

HIECTES,  moines  hérétiques  dont  parle 
saint  Jean  Damascène,  XII,  69. 

[HIÉMANTES,  sorte  de  pénitents  exposés 
aux  injures  de  l'air,  III,  719  et  720.] 

HIÉRACE,  homme  de  condition.  Lettres 
que  lui  écrit  saint  Isidore  de  Péluse,  VIII,  481. 

HIÉRACE.  Voyez  Hiérax. 
cie.         HIÉRACITES,   hérétiques.   L'un  d'entre 
eux  est  confondu  par  saint  Macaire  d'Egypte, 
V,  597.  —  Ce  que  saint  Épiphane  dit  de 
cette  secte,  VI,  403,  404. 

HIÉRAPLE,  ville  de  Phrygie.  Concile  qui 
y  fut  tenu.  Sabinia  y  est  ordonné  évêque  de 
Perrha,  X,  667. 

HIÉRARCHIE  CÉLESTE.  Analyse  du  livre 
de  la  Hiérarchie  céleste  attribué  à  saint 
Denys  l'Aréopagite,  X,  544  et  suiv.  Édition 
particulière  qu'on  en  a  faite,  553.  [Doublet 
attribue  à  tort  un  commentaire  sur  la  Hié- 
rarchie de  saint  Denys  à  Honoré  d'Autun, 
302.]  —  Commentaire  d'Hugues  de  Saint- 
Victor  sur  cet  ouvrage  de  saint  Denys  l'A- 
réopagite, XIV,  349. 


HIÉRARCHIE  ECCLÉSIASTIQUE.  Doc- 
trine d'Hermas  sur  la  hiérarchie  ecclésias- 
tique, I,  338.  Doctrine  de  saint  Clément, 
342,  360.  Doctrine  de  saint  Ignace,  372, 
384.  Doctrine  de  saint  Irénée,  526.  —  Doc- 
trine d'Eusèbe  de  Césarée,  III,  289,  290.  — 
Doctrine  de  saint  Athanase,  TV,  219  et  suiv. 

—  Doctrine  de  saint  Grégoire  de  Nazianze, 

V,  347.  —  Doctrine  de  saint  Épiphane.  Dis- 
tinction des  évoques  et  des  prêtres  ;  divers 
ordres  ecclésiastiques,  VI,  432.  —  Livre 
des  sept  ordres  ecclésiastiques  faussement 
attribué  à  saint  Jérôme,  VH,  647.  Supé- 
riorité des  évêques  sur  les  prêtres;  doctrine 
de  saint  Jérôme,  680  et  suiv.  Analyse  du 
livre  de  la  Hiérarchie  ecclésiastique  attribué 
à  saint  Denys  l'Aréopagite,  X,  546  et  suiv. 
Édition  particulière  qu'on  en  a  faite,    553. 

—  Hiérarchie  ecclésiastique  d'institution 
apostolique,  XIII,  162.  Voyez  Évêques^ 
Prêtres,  Diacres,  etc. 

[HIÉRARCHIES  (Des  trois)  et  des  trois 
degrés  par  lesquels  nous  arrivons  au  salut, 
ouvrage  inédit  d'Odon,  abbé  de  Morimond, 
XIV,  625.] 

HIÉRARCHIE  LÉGALE,  traité  perdu  at- 
tribué à  saint  Denys  l'Aréopagite,  X,  352. 

HIÉRARCHIE  DES  MONTANISTES,  III, 
510. 

HIÉRARCHIES.  Traité  des  Hiérarchies 
attribué  à  un  abbé  Thierri,  qu'on  ne  con- 
naît point,  XIII,  598. 

HIÉRARCITES,    hérétiques,   V,   597,   et 

VI,  403,  404. 

HIÉRAX,  évêque  d'Egypte,  à  qui  saint 
Denys  d'Alexandrie  adresse  une  lettre  pas- 
cale, II,  411. 

HIÉRAX,  hérésiarque.  Son  histoire  ;  ses 
écrits  ;  ses  erreurs,  VI,  403,  404. 

HIÉRAX,    professeur  de    grammaire    à    4i4ou4i5. 
Alexandrie,  cause  innocente  d'une  sédition, 
VIH,  257. 

HIÉRIUS ,  gouverneur  de  Cappadoce , 
pour  qui  saint  Grégoii'e  de  Nysse  compose 
un  de  ses  écrits,  VI,  198. 

HIÉRIUS,  célèbre  orateur  de  Rome,  IX, 
29. 

HIÉROCLÈS,  magistrat  païen,  écrit  deux     iv  siècle, 
livres  contre  les  chrétiens,  II,  494.  —  Ré- 
ponse d'Eusèbe  de  Césarée  aux  deux  livres 
d'Hiéroclès,  III,  175  et  suiv. 

HIÉROCLÈS,  philosophe  platonicien.  Son 
ouvrage  du  Destin  et  de  la  Providence,  cité 
par  Photius,  HI,  175. 

HIÉROGLYPHES  en  forme  de  croix  trou- 


324. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLESIASTIQUES. 


353. 
355. 
356. 


359. 
360. 
360. 

360, 
361  et  362. 

362. 

364. 

368. 


vés  dans  la  démolition  du  temple  de  Sérapis 
à  Alexandrie.  Conversion  de  plusieurs  païens 
à  cette  occasion,  VIII,  S20. 

HIÉROME,  savant,  dont  la  Vie  fut  écrite 
par  Sébastien,  disciple  de  saint  Benoît,  XI, 
634. 

HIGUERRA  (De  la).  Voyez  Romand. 

[HIÉRONYME,  théologien  grec.  Ce  qu'on 
sait  sur  lui.  Il  a  composé  un  Dialogue  sur  la 
Trinité  et  un  autre  sur  l'effet  du  baptême  et 
les  notes  du  chrétien.  Édition  de  ces  Dialo- 
gues, VI,  333.] 

HILAIRE  (Saint),  évêque  de  Poitiers,  doc- 
teur de  l'Église  et  confesseur.  Histoire  de 
sa  vie,  IV,  1  et  suiv.  Saint  Hilaire,  né  dans 
les  Gaules,  de  parents  idolâtres,  se  conver- 
tit à  la  foi  ;  motifs  de  sa  conversion,  1  et  2. 
Il  est  fait  évêque  de  Poitiers,  2  et  3.  Il  s'op- 
pose aux  Ariens.  Il  assiste  au  concile  de 
Béziers.  Constance  l'exile  en  Phrygie.  Ses 
occupations  pendant  son  exil,  3.  Il  assiste 
au  concile  de  Séleucie,  3  et  4.  Il  va  à  Cons- 
tantinople;  il  y  prend  la  défense  de  la  foi; 
Constance  le  renvoie  dans  les  Gaules.  Saint 
Hilaire  rétablit  la  pureté  de  la  foi  dans  les 
Gaules,  4.  Il  passe  en  Italie  ;  il  y  rétablit  de 
même  la  pureté  de  la  foi  ;  il  oblige  Auxence 
à  confesser  de  bouche  la  divinité  de  Jésus- 
Christ,  5  et  6.  Mort  de  saint  Hilaire,  6.  [Il 
est  déclaré  docteur  de  l'Église,  7.]  Catalogue 
de  ses  écrits,  6.  Commentaire  de  saint  Hi- 
laire sur  les  Psaumes,  6  et  suiv.  Pourquoi 
on  les  met  les  premiers;  leur  authenticité; 
ils  ne  sont  pas  parvenus  entiers  jusqu'à 
nous,  7.  11  les  composa  sur  la  fin  de  sa  vie, 
7  et  8.  Sa  méthode  dans  l'explication  des 
Psaumes,  8.  Il  se  sert  des  commentaires 
d'Origène,  8  et  9-  Il  suitles  versions  latines, 
a  recours  aux  grecques  et  à  l'hébreu.  Psau- 
mes ajoutés  au  commencement  de  ses  com- 
mentaires sur  chaque  psaume.  Prologue  de 
saint  Hilaire  sur  les  Psaumes.  Ce  qu'il  pense 
de  l'auteur  des  Psaumes,  9  ;  et  de  l'ordre 
qui  leur  a  été  donné,  9  et  10.  Quels  sont 
ceux  de  ses  commentaires  qui  sont  parve- 
nus jusqu'à  nous,   10.  Ce  qu'il  y  a  de  plus 
remarquable  dans  les  commentaires  de  saint 
Hilaire  sur  les  Psaumes,  10  et  suiv.  Sur  le 
premier,  10  ;  sur  le  second  ;  sur  le  neuvième, 
H;   sur  le  treizième  et  le  quatorzième,  11 
et  12;  sur  le  cinquante-unième  ;  sur  le  cin- 
quwite-deuxième,  13  ;  sur  les  psaumes  cin- 
quante-troisième, cinquante-quatrième,  cin- 
quante-huitième,  soixante-unième,  soixante- 
deuxième  et  soixante-troisième,  13  et  suiv.; 


sur  les  psaumes  soixante-quatrième,  soixan- 
te-cinquième,  soixante-sixième,    soixante - 
septième  et  soixante-huitième,  15  et  suiv.  ; 
sur  le  psaume  cent  dix-huitième,  16  et  suiv.; 
sur  les  psaumes  cent  dix-neuvième,  cent 
vingtième,   cent  vingt-unième,  cent  vingt- 
deuxième  et  cent  vingt- troisième,  19,  20; 
sur  les  psaumes  cent  vingt-sixième,   cent 
vingt-septième,    cent   vingt-huitième,   cent 
vingt-neuvième  et  cent  trentième,  20,  21  ; 
sur  les  psaumes  cent  trente-deuxième,  cent 
trente-troisième,  cent  trente-quatrième,  cent 
trente-cinquième,    cent    trente-sixième    et 
cent  trente-septième,  21  et  suiv.;  sur  les 
psaumes  cent  trente-huitième  et  cent  trente- 
neuvième,  23.  [Fragment  sur  ce  psaume, 
23.  Voyez  note  3.]  Commentaire  de  saint  Hi- 
laire SLir  l'évangile  selon  saint  Matthieu,  24  et 
suiv.  Les  commentaires  sous  le  nom  de  saint 
Hilaire  sont  de  lui.  Il  ne  parait  point  qu'il 
ait  eu  recours  aux  commentaires  d'Origène 
sur  saint  Matthieu,   24.   En  quel  temps  il 
peut  les  avoir  composés,  24  et  25.  Estime 
qu'on  en  a  faite,  25.  Ce  qu'ils  contiennent 
de  remarquable,  25  et  suiv.  [Fragment  d'un 
sermon  sur  le  paralytique  attribué  à  saint 
Hilaire  de  Poitiers.  Fragment  tiré  du  livre 
des  Explications   sur  l'apôtre  saint   Paul. 
(C'est  à  tort  qu'on  a  imprimé  Explication 
des  apôtres.)  Autre  fragment  tiré  du  livre  de 
la  Trinité,  33.]  Les  douze  livres  de  saint  Hi- 
laire sur  la  Trinité,  33  et  suiv.  Ces  douze 
livres  sont  de  saint  Hilaire,  33.  Dessein  de 
ces  livres,   33   et  34.   [Sommaires  de  ces 
douze  livres  retrouvés,  34,  n.  17.]  Il  écrivit 
ces  livres  pendantson  exil.  Motifs  de  saintHi- 
laire  pour  composer  ces  livres.  Ces  livres  sont 
au  nombre  de  douze,  34.  Estime  qu'on  en  a 
faite.  Analyse  du  premier  livre  de  la  Tri- 
nité ;  plan  de  cet  ouvrage,  35.  Analyse  du 
second  livre  :  doctrine  de  l'Eglise  touchant 
les  trois  personnes  divines,  35  et  36.  .\na- 
lyse  du   troisième  livre  :    génération   éter- 
nelle du  Verbe  et  de  sa  divinité,  36  et  suiv. 
Analyse  du  quatrième  livre:  justification  du 
terme  de  consubstantiel  ;  distinction  de  per- 
sonnes en  Dieu  selon  les  Écritures,  38.  Ana- 
lyse du  cinquième  hvre  :  le  Verbe  est  vrai- 
ment Dieu  selon  les  Écritures  ;  sa  divinité 
ne  déroge  point  à  l'unité  de  substance  en 
Dieu,  38  et  39.    [Fragment  du  cinquième 
livre  conservé  par  le  diacre  Jean,  38,  n.  4.] 
Analyse  du  sixième  livre  :  preuves  de  la  di- 
vinité du  Verbe  par  les  passages  de  l'évan- 
gile, 39  et  suiv.  Analyse  du  septième  livre  : 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


52S 


comment  les  hérésies  se  combattent  entre 
elles;  la  victoire  est  pourFÉglise,  parce  que 
sa  doctrine  est  fondée  sur  celle  des  Évan- 
giles et  des  écrits  des  apôtres  ;  récapitula- 
tion des  preuves,  41  et  suiv.  Analyse  du 
huitième  hvre  :  unité  de  substance  da  Père 
et  du  Fils,  43,  44.  Analyse  du  neuvième  li- 
vre: de  l'union  des  deux  natures  divine  et 
humaine  en  Jésus-Christ,  45  et  suiv.  Ana- 
lyse du  dixième  livre  :  réponse  aux  objec- 
tions prises  de  la  tristesse  de  Jésus-Christ 
et  de  sa  prière  dans  son  agonie,  47,  48. 
Analyse  du  onzième  livre  :  comment  il  faut 
entendre  quelques  passages  de  l'Évangile  et 
des  écrits desaint  Paul  touchant  Jésus-Christ 
ressuscité  et  glorieux,  48, 49.  Analyse  du  dou- 
zième livre  :  il  ne  faut  pas  mettre  Salomon 
en  contradiction  avec  les  autres  écrivains 
sacrés;  nouvelles  preuves  de  la  divinité  du 
Verbe,  49,  SO.  [Notes  relatives  au  hvre  de 
la  Trinité,  38,  n.  4;  41,  n.  1  ;  43,  n.  4;  47, 
n.  1,  3;  48,  n.  4;  50,  n.  1;  51,  n.  1.]  Livre 

1359  des  Synodes,  51  et  suiv.  En  quel  temps  il  a 
été  écrit,  51.  A  quelle  occasion  il  a  été  écrit, 
51  et  52.  Estime  qu'on  a  faite  de  ce  livre, 
52.  Analyse  de  ce  livre,  52  et  suiv.  Apologie 
du  livre  des  Synodes.  Lettre  de  saint  Hilaire 
à  sa  fille,  54.  Cette  lettre  n'est  point  suppo- 
sée, 54  et  55.  Il  envoie  à  sa  fihe  deux 
hymnes,  55.  [L'hymne  pour  le  soir  est 
de  lui  aussi  bien  que  celui  du  matin,  55. 
Voyez  55,  n.  5.  Deux  autres  hymnes,  55. J 
Livres  de  saint  Hilaire  à  Constance,  35  et 

356.  suiv.  En  quel  temps  le  premier  de  ces  hvres 
peut  avoir  été  écrit,  55.  Analyse  de  ce  livre, 

I.  56.  Livre  second  à  Constantius;  en  quel 
temps  il  a  été  écrit,  56  et  57.  Analyse  de  ce 
livre,  57,  58.  Livre  de  saint  Hilaire  contre 
Constance,  58  et  suiv.  Pourquoi  il  est  écrit 
avec  tant  de  force.  11  est  adressé  aux  évê- 

).  ques  des  Gaules  ;  en  quel  temps  il  a  été 
écrit,  58.  Analyse  de  ce  livre,  S8  et  suiv. 
Livre  de  saint  Hilaire  contre  Auxence,  60  et 

I.  suiv.  En  quel  temps  il  a  été  écrit,  60,  61. 
A  quelle  occasion,  61.  Analyse  de  ce  livre, 
61  et  62.  Livre  des  Fragments,  62  et  suiv. 
Ce  livre  est  de  saint  Hilaire,  62,  63.  [Rai- 
sons contre  l'authenticité  de  ce   livre,  63, 

365.  n.  1.]  En  quel  temps  il  a  été  écrit;  dessein 
de  cet  ouvrage,  63.  Ce  qu'il  contient,  63  et 
64.  Ouvrages  de  saint  Hilaire  qui  sont  per- 
dus, et  ceux  qu'on  lui  a  faussement  attri- 
bués, 64,  65.  Commentaires  sur  Job,  64. 
Commentaires  sur  les  Épitres  de  saint  Paul 
h  Timothée  et  aux  Romains  attribués  à  saint 


Hilaire,  64  et  65.  [Commentaires  attribués  à 
saint  Hilaire,  65,  n.  3.   Te  Deum,  66,  n.  9.] 
Autres  ouvrages   attribués  à   saint  Hilaire 
qui  sont  perdus,  65,  66.  Ouvrages  supposés 
et  qui  ne  peuvent  être  de  ce  docteur,  66. 
[Autres  écrits  de  saint  Hilaire  de  Poitiers 
publiés    depuis    dom    Ceilher.    Écrits    de 
saint  Hilaire  de  Poitiers  publiés  récemment. 
Commentaire  sur  les  psaumes  quinzième, 
vingt-unième,  quarante-unième,  12.  Trai- 
tés ou  homélies  de  saint  Hilaire  sur  l'Écri- 
ture. Authenticité  du  premier  traité  sur  le 
commencement  de    l'évangile  selon    saint 
Matthieu,  30.  Analyse  de  ce  traité,  30  et 
suiv.    Analyse   du   deuxième   traité  sur  le 
commencement  de  l'évangile  selon    saint 
Jean,  32.  Autres  fragments  des  écrits  de 
saint  Hilaire,  33.  Hymnes  attribuées  à  saint 
Hilaire,  57.  Lettre  ou  petit  livre  pubhé  par 
TrombeUi,  66.  Sermon  sur  la  dédicace  d'une 
éghse  ;  vers  sur  le  Christ  enfant  ;  fragment 
contre  les  Ariens,   ouvrages  qui  semblent 
supposés.  Le  cardinal  Maï  attribue  à  saint 
Hilaire  l'hymne  pour  le  soir,  53,  n.  5.  Deux 
autres  hymnes,  l'une  sur  la  vie  de  Jésus- 
Christ  et  l'autre  sur  l'Epiphanie,  33.  Frag- 
ment publié  par  dom  Pitra,  66,  n.  11.  Com- 
mentaires sur  l'épltre  aux  Galates   et  aux 
Éphésiens  pubhés  sous  le  nom  de  saint  Hi- 
laire par  dom  Pitra,  30,  n.  4.]  Doctrine  de 
saint   Hilaire,   66   et   suiv.  :    sur  l'Écriture 
Sainte,  66,  67  ;  sur  le  canon  des  Écritures, 
67,  68;  sur  les  versions  de  l'Écriture,  68; 
sur  la  nature  de  Dieu,  la   distinction    des 
personnes,  la  divinité  du  Fils  et  du  Saint- 
Esprit,  68  et  suiv.  ;  sur  la  sainte  Vierge,  70; 
sur  les  anges,  70  et  71  ;  sur  l'âme,  71,  72; 
sur  le  libre  arbitre  et  la  grâce,  72  et  suiv. 
[Voyez  aussi  72,  n.  6.]  Sur  le  péché  originel 
etsur  le  péché  actuel, 74, 73  ;  surleBaptême, 
la  Confirmation  et  l'Eucharistie,  75,  76  ;  sur 
la  Pénitence,  76,  77  ;  sur  l'Église  et  les  apô- 
tres, 77,  78;  sur  divers  usages  de  l'Église, 
78,  79  ;  sur  divers  points  de  morale,  79  et 
suiv.  Explication  de  quelques  endroits  dif- 
ficiles de  saint  Hilaire,  81  et  suiv.  Jugement 
des  écrits  de  saint  Hilaire  86,  87.   [Voyez 
87,  n.  12.]  Catalogue  des  éditions  de  ses 
ouvrages,  87  et  suiv.  [Éditions  récentes,  87. 
Ti'aductions  de  quelques  ouvrages  de  saint 
Hilaire,  89.]  —  Saint   Hilaire  dénonce  au 
concile    de    Béziers    les    protecteurs    des 
Ariens,  III,  524.  —  Assiste  au  concile  de 
Séleucie,  IV,  566.  Il  y  découvre  les  excès 
des  Ariens,  569,  570.  Il  suit  à  Constantino- 


526 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRES  ET  ECCLESIASTIQUES. 


pie  les  députés  du  concile,  S71.  Les  chefs 
des  Ariens  s'élè-vent  contre  lui,  573.  Il  de- 
mande à  Constance  de  disputer  de  la  foi 
avec  ses  adversaires  au  concile  de  Constan- 
tinople,  574,  575.  Les  Ariens  refusent  de 
disputer  avec  lui,  576.  Il  assemble  divers 
conciles  dans  les  Gaules  contre  les  Ariens, 
582  et  suiv.  —  Témoignage  de  saint  Augus- 
tin sur  saint  Hilaire,  IX,  485.  Saint  Augus- 
tin le  cite  contre  Julien,  486  et  490.  Saint 
Augustin  explique  un  passage  de  saint  Hi- 
laire, 628.  —  Saint  Perpétue,  évêque  de 
Tours,  lègue  à  saint  Eupbrone,  évêque 
d'Autun,  un  livre  des  Évangiles  écrit  de  la 
main  de  saint  Hilaire,  X,  440.  —  Sa  Vie, 
dont  le  premier  livre  est  de  saint  Fortunat, 
né  à  Verceil,  XI,  306  ;  et  le  second  de  Vé- 
nance  Fortunat,  306.  Son  éloge  par  Fortu- 
nat, 404.  Sa  Vie  par  deux  auteurs  différents 
nommés  Fortunat,  412.  C'était  la  coutume 
des  monastères  aux  environs  de  Poitiers  de 
venir  dans  cette  ville  le  jour  de  la  fête  de 
Hilaire  et  d'y  célébrer  les  veilles,  415.  — 
Monastère  érigé  sous  le  nom  de  saint  Hi- 
laire, et  auquel  le  pape  Paul  I"  accorde  un 
privilège  qui  le  met  sous  la  juridiction  de 
l'Église  de  Ravenne,  XII,  116.  Passage  de 
saint  Hilaire  corrompu  par  Félix  d'Urgel, 
181.  —  Saint  Hilaire  accusé  par  Bérenger 
d'avoir  erré  sur  l'humanité  de  Jésus-Christ. 
Lettre  de  Lanfranc  sur  ce  sujet,  XIII,  170  et 
455.  Sermon  de  saint  Pierre  Damien  pour 
la  tête  de  la  translation  de  ses  reliques, 
308.  Les  chanoines  de  la  collégiale  érigée 
sous  son  nom  à  Poitiers  obligés  de  recevoir 
ceux  de  la  cathédrale  lorsqu'ils  venaient  en 
procession  à  certains  jours,  354.  (Voyez 
l'article  de  saint  Hilaire  de  Poitiers  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  1. 1,  part.  II, 
p.  139  et  suiv.) 

HILAIRE  ,  ami  de  saint  Basile,  IV , 
362. 

HILAIRE,  évêque  de  Telmesse  en  Lycie, 
IV,  473. 

HILAIRE,  évêque  d'Isaure,  signe  le  tes- 
tament de  saint  Grégoire  de  Nazianze,  V, 
191. 

HILAIRE,  évêque  de  Pavie,  paraît  être 
auteur  du  commentaire  sur  les  Épîtres  de 
saint  Paul  attribué  à  saint  Ambroise,  V, 
310. 

HILAIRE  DE  SARDES,  diacre  de  Rome, 
luciférien.  On  lui  attribue  le  même  com- 
mentaire, V,  510. 

HILAIRE,  évêque  de   Narbonne.  Lettre 


que  lui  écrivit  le  pape  Zosime,  VII,  335.  — 
Lettre  que  lui  écrivit  le  pape  saint  Boni- 
face,  VIII,  H.  Lettre  que  saint  Augustin  lui 
écrit,  IX,  150. 

HILAIRE  DE  SYRACUSE  et  saint  Prosper 
d'Aquitaine  écrivent  à  Augustin  pour  lui 
demander  ses  Rétractations,  IX,  24.  Lettre 
d'Hilaire  i  saint  Augustin,  138.  Lettre  de 
saint  Augustin  à  Hilaire,  138  et  suiv.  Lettres 
d'Hilaire  et  de  saint  Prosper  à  saint  Augus- 
tin, 181  et  326,  327.  Livre  de  la  Prédestina- 
tion des  saints,  ouvrage  de  saint  Augustin 
adressé  à  saint  Prosper  et  à  Hilaire,  327  et 
suiv.  Livre  du  Don  de  la  persévérance,  ou- 
vrage du  même  père  aussi  adressé  à  saint 
Prosper  et  à  Hilaire,  332  et  suiv.  Saint  Pros- 
per et  Hilaire  vont  à  Rome  porter  leurs 
plaintes  au  pape  Célestin  contre  quelques 
prêtres  des  Gaules  opposés  à  la  doctrine  de 
saint  Augustin,  VIH,  139  et  X,  277.  (Voyez 
l'article  de  cet  Hilaire  dans  VHistoii'e 
littéraire  de  la  France,  t.  II,  p.  209  et 
suiv.) 

HILAIRE  (Saint),  archevêque  d'Arles.  Sa 
naissance  ;  ses  qualités  naturelles  ;  il  s'atta- 
che au  monde.  Dieu  se  sert  de  saint  Hono- 
rât pour  le  convertir.  Il  distribue  ses  biens 
aux  pauvres  et  se  retire  à  Lérins.  Il  accom- 
pagne saint  Honorât  devenu  évêque  d'Arles. 
Il  retourne  à  Lérins,  d'où  il  est  rappelé  deux 
ans  après  par  saint  Honorât,  VIII,  433.  Il 
est  élu  évêque  d'Arles  après  la  mort  de 
saint  Honorât,  433  et  434.  Sa  conduite  dans 
l'épiscopat.  Sa  charité  envers  les  pauvres, 
434.  Sa  conduite  dans  le  ministère  épisco- 
pal,  434  et  435.  Il  tient  un  concile  à  Riez, 
dépose  Armentaire,  435.  Il  tient  un  autre 
concile  à  Orange  ;  un  autre  à  Vaison  ;  un 
autre  à  Arles,  435.  Il  dépose  Quéhdoine, 
évêque  de  Besançon,  435  et  436.  Sur  les 
plaintes  de  Quéhdoine,  il  va  à  Rome  se  jus- 
tifier. 11  assiste  au  concile  qui  s'y  tient  sur 
cette  affaire,  436.  Après  son  retour  à  Arles, 
il  est  accusé  à  Rome  de  divers  crimes  et 
condamné,  437.  Il  tâche  inutilement  de  flé- 
chir le  pape,  437  et  438.  [Observation  sur 
la  conduite  de  saint  Léon  à  l'égard  de  saint 
Hilaire  d'Arles,  438,  n.  3.]  Mort  de  saint 
Hilaire,  438.  Son  éloge,  438  et  439.  Ses 
écrits,  439  et  suiv.  Ses  lettres,  439.  Pané- 
gyrique de  saint  Honorât  d'Arles,  439  et 
440.  Autres  écrits  de  saint  Hilaire  ou  qui 
lui  sont  attribués,  440,  441.  Éditions  et  tra- 
ductions qu'on  en  a  faites,  441.  [Autres  édi- 
tions, 441,  442.]  Récit  qu'il  fait  lui-même  de 


«7 


416 


4U 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


527 


sa  conversion,  qui  est  l'exposition  de  ses 
sentiments  sur  la  grâce,  441.  Union  de  saint 
Eucber  de  Lyon  avec  saint  Hilaire  d'Arles, 
442.  Lettre  que  lui  écrit  saint  Eucher  de 
Lyon,  452.  Il  préside  au  concile  de  Riez, 
605  ;  à  celui  d'Orange,  606.  Chargé  d'en- 
voyer une  copie  des  actes  aux  évêques  ab- 
sents, 610.  Préside  au  second  concile  d'Ar- 
les, 611  ;  et  à  celui  de  Besançon,  où  Quéli- 
doine  est  déposé,  613.  — Son  différend  avec 
saint  Léon  au  sujet  de  Quélidoine,  évêque 
de  Besançon,  X,  203.  Lettres  de  saint  Léon 
au  sujet  de  cette  affaire,  203  et  204.  Rescrit 
de  l'empereur  Valentinien  contre  ce  saint 
évêque,  204.  Sa  mort;  termes  honorables 
dont  use  saint  Léon  en  parlant  de  lui,  215. 
Sa  Vie,  écrite  par  saint  Honorât,  600.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  II,  p.  262  et  suiv.) 

HILAIRE  (Saint),  diacre  de  Rome,  plus 
tard  pape.  Théodoret  lui  écrit,  X,  24.  Prie 
Victorius  de  composer  un  cycle  paschal,  176. 
—  Écrit  à  l'impératrice  Pulchérie,  VIII,  472 
et  X,  333.  —  Est  députédu  pape  saint  Léon 
au  faux  concile  d'Éphèse,  VIII,  472  et  X, 
173,  333  et  675.  —  Il  s'oppose  à  la  condam- 
nation de  Flavien  et  d'Eusèbe  ;  Dioscore 
s'efforce  à  l'engager  à  se  trouver  à  une  se- 
conde séance,  X,  679.  Hilaire  s'échappe 
d'Éphèse  et  rend  compte  au  pape  de  ce  qui 
s'y  étail  passé,  173  et  680.  Succède  au  pape 
saint  Léon,  178.  Voyez  l'article  suivant. 

HILAIRE  (Saint),  pape  et  confesseur.  De 
quel  pays  il  était  originaire;  le  pape  saint 
Léon  le  nomme  son  légat  au  faux  concile 
d'Éphèse;  conduite  qu'il  y  tient;  sa  lettre  à 
l'impératrice  Pulchérie;  sa  lettre  à  Victorius 
pour  l'engager  à  dresser  un  cycle  paschal; 
il  est  élu  pape  après  la  mort  de  saint  Léon, 
X,  335.  Sa  lettre  aux  évêques  d'Orient,  335 
et  336.  Autres  à  Léonce  d'Arles,  336,  337  ; 
aux  évêques  des  Gaules,  337  ;  à  Léonce,  à 
Véran,  à  Victurus,  337  et  338  ;  à  Léonce  et 
aux  évêques  des  Gaules,  338,  339;  aux  évê- 
ques d'Espagne  et  àAscagne;  saint  Hilaire 
s'oppose  à  l'hérésie  des  Macédoniens,  339. 
Sa  mort,  340.  [Édition  de  ses  écrits  dans  la 
Patrologie,  340,  n.  3.]  Victorius  lui  dédie  son 
cycle  paschal,  340.  Concile  que  le  pape  saint 
Hilaire  tient  à  Rome  en  462,  715  et  320.  Au- 
tre concile  qu'il  tient  à  Rome  en  465,  716. 

[HILAIRE,  disciple  d'Abaillard.  Son  élégie 
sur  le  départ  d'Abaillard  du  Paraclet,  XIV, 
341.]  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  litté- 
raire de  la  F7'ance,  t.  XII,  p.  281  et  suiv.) 


HILARE  (Sainte),  mère  de  sainte  Afre. 
Son  martyre,  III,  30. 

HILARIEN  (Saint),  enfant,  fils  de  saint 
Saturnin,  martyr  de  Garthage,  III,  20.  Sa 
confession,  23. 

HILARIN  (Saint),  martyr,  III,  413. 

HILARIN,  catholique  d'Hippone.  Lettre  de 
saint  Augustin  à  Félix  et  à  Hilarin,  IX, 
91,  92. 

HILARION  (Saint),  solitaire.  Saint  Épi- 
phane  fait  son  éloge,  VI,  376.  —  Sa  Vie, 
écrite  par  saint  Jérôme,  Vil,  593,  594.  Il 
n'avait  été  qu'une  fois  à  Jérusalem,  quoi- 
qu'il demeurât  dans  la  Palestine,  690. 

HILARION  (Quintusjulius),  auteur  de  deux 
écrits,  VI,  288,  289. 

HILARION,  abbé  de  Saint-André  à  Rome, 
XI,  430. 

HILARION  et  EUSTRATE  proposent  plu- 
sieurs difficultés  à  Nicéphore,  patriarche  de 
Constantinople,  XII,  287  et  suiv. 

HILARIUS,  nom  quelquefois  donné  au 
pape  Hilaire.  Voyez  Hilaire  (Saint),  pape. 

HILARUS,  tribun,  contre  qui  saint  Augus- 
tin écrit,  IX,  559  et  767. 

HILARUS,  nom  latin  du  papesaintHilaire, 
X,  335.  Voyez  Hilaire  (Saint),  pape. 

HILARUS ,  notaire,  l'un  des  légats  envoyés 
par  le  pape  Hormisdas  à  l'empereur  Anas- 
tase,  X,  613. 

HILARUS,  sous-diacre  de  Naples,  puni 
comme  calomniateur,  XI,  527. 

HILDEBALD  ou  HIDELBALD,  archevêque 
de  Cologne,  XII,  231. 

HILDEBERT  (Saint),  archevêque  de 
Mayence.  Sa  Vie  écrite  par  Méginfroid  pré- 
vôt de  Magdebourg,  XHI,  95. 

HILDEBERT  (Le  Vénérable),  évêque  du 
Mans,  puis  archevêque  de  Tours.  Sa  nais- 
sance, XIV,  207.  [Observation  sur  sa  famille, 
207,  n.  2.]  Ses  études  ;  il  est  chargé  de  la 
direction  de  l'école  du  Mans,  puis  il  est  fait 
archidiacre;  il  succède  à  Hoeldans  l'évèché 
du  Mans;  calomnies  dont  on  noircit  sa  répu- 
tation ;  il  est  la  victime  des  dissensions  entre 
Guillaume  le  Roux  et  Henri  I"  qui  se  dispu- 
taient la  ville  du  Mans,  207.  Il  combat  l'hé- 
rétique Henri,  le  chasse  de  son  diocèse,  et 
ramène  ceux  qu'il  avait  séduits,  207  et  208. 
Il  est  mis  une  seconde  fois  en  prison  par 
Rotrou,  comte  du  Perche;  rendu  à  son 
Église,  il  la  gouverne  avec  beaucoup  de 
piété,  de  zèle  et  de  prudence  ;  après  la  mort 
de  Gilbert,  archevêque  de  Tours,  il  est  élu 
pour  lui  succéder  ;  sa  mort  ;  son  éloge  ;  ses 


304. 


304. 


V.  404. 


Avant! 


4057. 


4092. 


4097. 


4420. 


1425. 


4  433  ou 

4434. 


528 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


XII  siècle. 


écrits;  ses  lettres,  208.  Premier  livre,  208  et 
suiv.  Second  livre,  210  et  suiv.  Troisième 
livre,  213,  214.  [Deux  autres  lettres  données 
par  Muratori  et  reproduites  dans  la  Patrolo- 
gie,  214,  n.  3.  Douze  diplômes  d'Hildebert, 
214.]  Ses  sermons,  214,  215.  [Trois  autres 
sermons,  214,  n.  4.]  Doctrine  d'Hildebert 
sur  la  foi  en  Jésus-Christ  ;  sur  l'incarnation, 
215  ;  sur  l'Eucharistie,  213  et  216  ;  sur  la 
prédestination  et  la  grâce;  sur  la  conception 
immaculée,  '216  ;  sur  quelques  points  de  dis- 
cipline, 216  et  217;  sur  le  purgatoire  et  au- 
tres points  de  doctrine  ;  sur  le  célibat  des 
prêtres,  217.  [II  n'a  point  condamné  les  ap- 
pels à  Rome,  213,  n.  1.]  Opuscules  d'Hilde- 
bert ;  Vie  de  sainte  Radegonde,  217.  Vie  de 
saint  Hugues,  abbé  de  Gluny,  217  et  218. 
De  la  Plainte  et  du  combat  de  la  chair  et  de 
l'âme  ;  traité  de  l'Honnête  et  de  l'utile  ;  livre 
des  Quatre  Vertus  de  la  vie  honnête  ;  traité 
de  Théologie,  218.  Analyse  de  ce  traité,  219, 
220.  Traité  sur  le  Sacrement  de  l'autel,  220. 
Exposition  de  la  messe,  220  et  221.  Poésies 
d'Hildebert;  traité  de  la  Concorde  de  l'ancien 
et  du  nouveau  sacrifice,  ou  de  la  messe,  221 . 
Livre  surrEucharistie,221,  222.  [D'aprèsles 
auteurs  de  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
il  appartient  à  Pierre  le  Peintre,  chanoine  de 
Saint-Omer,  221,  n.  3.]  Poëme  sur  l'ouvrage 
des  six  jours  et  autres  sujets;  [d'après  les 
auteurs  de  l'Histoire  littéraii^e  de  la  France, 
cet  ouvrage  seraitl'œuvre  de  l'évêqueThéo- 
bald,  222,  n.  2.]  Autres  poèmes,  222.  Juge- 
ment sur  les  écrits  d'Hildebert,  223,  224. 
Différentes  éditions  générales  et  particulières 
qu'on  en  a  ftiites,  224.  Épigramme  de  Mar- 
bode  qui  lui  est  adressée,  227.  Opuscules 
d'Hildebert  qui  ne  sont  point  dans  Tédition 
de  ses  œuvres  ou  qui  sont  perdues  ;  [opus- 
cules d'Hildebert  publiés  récemment  ;  autres 
écrits  d'Hildebert,  223.  Édition  des  œuvres 
d'Hildebert  par  M.  Bourassé,  223.  Hilde- 
bert  est  l'auteur  des  six  sermons  sur  les  de- 
voirs des  pasteurs  ;  Hieronymus  in  Annalibus 
hebrœorum  de  13  signis  quindecim  dierum  ante 
diem  judicii,  ouvrage  attribué  à  Hildebert, 
évêque  du  Mans,  223.]  Lettre  d'Yves  de 
Chartres  qui  lui  est  défavorable  ;  remarques 
sur  cette  lettre,  128.  Lettres  de  Geotfroi  de 
Vendôme  qui  lui  sont  adressées,  163.  Sa 
mort  ;  troubles  à  l'occasion  de  l'élection  de 
son  successeur,  496.  (Voyez  son  article  dans 
l'Hist.  litt.  de  la  France,  t.  XI,  p.  130  et  suiv.) 
[HILDEBERT  le  jeune.  Son  opuscule  sur 
lu  contemplation,  XIV,  404,  n.  1.] 


HILDEBOLDE,  évêque  deSoissons,  envoie 
sa  confession  à  Hincmar  de  Reims  ;  lettre 
que  lui  écrit  Hincmar,  XII,  679. 

[HILDEBRAND  (le  docteur).  Son  édition 
des  œuvres  d'Arnobe,  H,  493.] 

HILDEBRAND,  donné  pour  chef  aux  Lom- 
bards par  le  pape  Adrien  I",  XII,  134. 

HILDEBRAND,  sous-diacre  de  Rome  et  lé- 
gat, assemble  un  concile  à  Lyon,  XIII,  350; 
à  Tours  contre  Bérenger,  169  et  350.  Il  est 
fait  cardinal,  330.  Lettres  que  lui  écrit  saint 
Pierre  Damien,  300.  Lettre  de  Lanfranc  à  ce 
cardinal,  452.  Il  est  fait  pape  sous  le  nom  de 
Grégoire  VII.  Voyez  Grégoire  Vil  (Saint). 

HILDEBRAND  (Joachim),  théologien  alle- 
mand. Son  édition  de  la  Collection  de  Régi- 
non  sur  la  discipline  ecclésiastique  et  la  reli- 
gion chrétienne,  XII,  772. 

HILDEGAIRE,  évêque  de  Meaux,  aupara- 
vant moine  de  Sainl-Denys.  (Dom  Ceillier 
n'en  parle  pas.  Voyez  son  article  dans  l'His- 
toire littéraire  de  France,  t.  V,  p.  474  et 
suiv.) 

HILDEGAIRE,  ordonné  évêque  de  Beau- 
vais  au  concile  de  Château-Thierri,  XIII, 
746. 

HILDEGAIRE,  disciple  de  Fulbert  de  Char- 
tres. Ses  lettres  à  Fulbert  ;  lettres  que  lui 
écrit  Fulbert,  XIII,  95.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littérairede  la  France,  t.  VII,  p.  470 
et  suiv.) 

HILDEGARDE,  femme  de  Gharlemagne, 
XH,  139  et  232. 

HILDEGARDE,  abbesse  dans  le  diocèse  de 
Sens.  Son  démêlé  avecPoulques,  archevêque 
de  Reims,  XII,  709. 

HILDEGARDE, femme  de  Poulques-Nerra, 
comte  d'Anjou.  Lettre  que  lui  écrit  Gatwa- 
lon,  abbé  de  Redon,  sur  ce  qu'elle  s'était 
recommandée  à  ses  prières,  XIII,  158. 

HILDEGARDE  (Sainte),  vierge,  abbesse 
du  Mont-Saint-Rupert.  Offerte  à  Dieu  dans 
son  enfance,  elle  mène  ensuite  la  vie  de  re- 
cluse sous  la  bienheureuse  Jutte,  puis  elle  se 
retire  à  Bingue,  où  elle  bâtit  le  monastère 
du  Mont-Saint-Rupert;  elle  devient  célèbre 
par  les  visions  dont  Dieu  la  favorise,  XIV, 
591.  Elle  les  met  par  écrit;  considération 
dont  elle  jouit  dans  l'Église  et  dans  l'État, 
392.  [Notice  sur  sainte  Hildegarde  et  ses 
Vies,  591,  n.  2.  Différents  écrits  de  sainte 
.Hildegarde,  597,  n.  4,  5,  6,  8.]  Ses  écrits 
sont  approuvés  du  pape  Eugène  III,  92.  Il 
est  douteux  que  saint  Bernard  lui  ait  rendu 
visite.  Sa  mort.  Ses  miracles,  592  et  593. 


IX  siècle; 


iu<. 


1147. 


1178. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


529 


[Elle  n'a  jamais  été  canonisée,  mais  son  nom 
est  dans  le  Martyrologe  romain.  Sa  science 
infuse.  Ses  lettres  dans  la  Patrologie  ;  édi- 
tions qu'on  en  a  faites,  S93.  Jugement  sur 
ses  lettres,  395,  596.]  Solutions  de  sainte 
Hildegarde  aux  questions  de  Guibert  de 
Gemblou.  Explication  de  la  règle  de  saint 
Benoît.  Explication  du  symbole  attribuée 
à  saint  Atlianase,  396.  Révélations  de 
sainte  Hildegarde,  596  et  397.  [Ses  écrits 
dans  la  Pafîvlogie,  593.  Son  livre  des  Diver- 
ses (Euvres  de  l'homme  simple,  597.]  Té- 
moignages avantageux  qui  lui  sont  rendus 
dans  un  concile  de  Trêves  présidé  par  le  pape 
Eugène  III  qui  lui  permet  de  publier  ce  que 
le  Saint-Esprit  lui  inspirait,  1122.  [En  quel 
sens  fut  conçue  cette  approbation,  592,  n.  4.] 
Sa  Vie,  écrite  par  le  moine  Théodore,  149. 
Ses  écrits  approuvés  par  Eugène  III,  270. 
Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Eugène  III,  271. 
Lettre  que  saint  Bernard  lui  écrit,  456. 
[Lettre  de  Henri,  archevêque  de  Reims,  à 
sainte  Hildegarde,  731.] 

HILDEGONDE  (Sainte).  Sa  Vie  écrite  par 
Guibert,  abbé  de  Gemblou,  XIV,  863. 

HILDEMANNE,  archevêque  de  Sens. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  VI,  p.  329  et  suiv.) 

HILDEMAR,  moine  appelé  en  Italie  pour 
y  faire  revivre  la  discipline  monastique. 
Commentaire  sur  la  règle  de  saint  Benoît 
qu'on  lui  attribue,  XII,  363.  Sa  lettre  à  Urse, 
évêque  de  Bénévent,  sur  la  manière  d'écrire 
et  de  prononcer  correctement  le  latin,  363 
et  364.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  lit- 
téraire de  la  France,  t.  V,  p.  36  et  suiv.) 

HILDERIC,  fille  d'Hunéric,  roi  des  Van- 
dales en  Afrique,  X,  458,  462  et  XI,  8.  Il 
succède  à  Trasamond;  il  rappelle  les  évê- 
ques  que  Trasamond  avait  exilés  en  Sardai- 
gne,  XI,  8. 

HILDERIC,  abbé  de ,  fait  l'épitaphe  de 

Paul,  diacre,  XH,  142. 

HILDESHEIM,  ville  de  la  Basse-Saxe. 
Chronique  des  évêques  d'Hildesheim,  attri- 
buée à  Ekkehard,  XIII,  542;  —  et  à  Eccard, 
abbé  de  Saint-Laurent  d'Uragen,  XIV,  405. 

HILDOARD,  évêque  de  Cambrai  et  d'Ar- 
ras.  Poëme  à  sa  louange  composé  par  Dun- 
gal,  XII,  328. 

[HILDRADE,  abbé,  écrit  à  Florus,  prêtre 
de  Lyon;  réponse  de  Florus,  XII,  492. J 

HILDRIG,  abbé  de  Saint-Germain  d'Au- 
xerre.  Lettres  que  lui  écrit  Brunon,  évêque 
de  Langres,  XIII,  70.  Autre  lettre  au  sujet 

TAB.  I. 


d'un  excommunié  qu'on  croit  lui  être  adres- 
sée, 71. 

HILDUIN,  abbé  de  Saint-Denys,  succède 
à  Waldon,  XII,  383.  Témoignages  que  lui 
rendent  les  auteurs  du  temps,  383  et  384. 
Louis  le  Débonnaire  le  fait  son  archichape- 
lain  et  lui  donne  les  abbayes  de  Saint-Ger- 
main-des-Prés  et  de  Saint-Médard  de  Sois- 
sons  ;  différentes  commissions  dont  il  est 
chargé;  il  prend  part  à  la  révolte  de  Lo- 
thaire  ;  il  est  exilé  à  la  nouvelle  Corbie;  il  est 
rappelé  et  se  joint  encore  à  Lothaire  dans  la 
seconde  révolte.  Sa  mort,  384.  L'empereur 
Louis  l'avait  chargé  de  recueillir  tout  ce  qui 
pouvait  concerner  Saint-Denys,  évêque  de 
Paris.  Ses  Aréopagi  tiques  sont  le  fruit  de  ses 
recherches;  analyse  de  cet  ouvrage,  384  et 
383.  Éditions  de  cet  ouvrage,  383.  [Éditions 
dans  la  Patrologie,  383.  Il  n'est  pas  le  pre- 
mier qui  ait  parlé  d'Hilduin,  383,  n.  1.]  Let- 
tre d'Agobard  à  Hilduin  au  Sujet  des  Juifs, 
367,  368.  Différentes  lettres  de  Frothaire 
adressées  à  Hilduin,  397,  398.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  IV,  p.  607  et  suiv.) 

HILDUIN,  évêque  de  Verdun,  succède  à 
Hérilan.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de 
sa  vie.  Sa  mort.  Sa  Lamentation  sur  ce  que  le 
roi  Charles  avait  ôté  à  l'église  de  Verdun 
l'abbaye  de  Tholey,  XII,  440.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  V,  p.  130.) 

HILDUIN,  frère  de  Gonthier,  archevêque 
de  Cologne,  est  nommé  par  Lothaire  évê- 
que de  Cambrai,  XII,  580.  Hincmar  refuse  de 
l'ordonner  ;  il  se  met  en  possession  du  tem- 
porel de  l'Église.  Lettres  du  pape  saint  Ni- 
colas 1"  à  son  occasion.  Jean  est  consacré  à 
sa  place,  581. 

HILDUIN,  évêque  de  Tongres  et  de  Liège 
et  rejeté  par  le  roi  Charles  le  Simple,  XII, 
744.  N'ayant  pu  obtenir  l'évêché  de  Liège 
auquel  il  prétendait,  il  se  retire  en  Italie  au- 
près du  roi  Hugues  ;  il  est  fait  évêque  de  Vé- 
rone, et  ensuite  archevêque  de  Milan,  846. 

HILDUIN,  comte  d'Arcy  en  Champagne, 
se  convertit  par  les  instructions  d'Adson, 
abbé  de  Montier-en-Der,  et  entreprend  le 
pèlerinage  de  Jérusalem,  XII,  883. 

HILDUT  ou  ELTUT  (Saint),  abbé  au  pays 
de  Galles,  regardé  comme  le  père  de  la  vie 
monastique  en  Angleterre,  XI,  318. 

HILMÉRODUS,  évêque  d'Amiens.  Lettre 
que  Loup  de  Perrières  écrit  à  son  sujet,  XII, 
505. 

-34 


814. 


830. 
840. 


854. 


863. 


865. 

920. 
V.  922. 

931. 
X  siècle. 

VI  siècle. 
IX  siècle. 


330 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


VIII  siècle. 


1052. 


385. 


431. 


432. 


845. 
849. 


853. 


858. 


876. 


881. 


882. 


HILTBERT,  abbé  de  Fontenelle,  succède 
à  saint  Ansbert,  XII,  21. 

HILTRUDE,  nièce  d'Herman  Contracte, 
XIII,  182.  Son  épitaphe  faite  par  son  fils  en 
trente-deux  vers  élégiaques,  183. 

HIMÉRIUS,  sophiste  à  Athènes,  souslequel 
étudient  saint  Basile  et  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  IV,  330. 

HIMÉRIUS  (ou  HIMÈRE),  évéque  de  Tar- 
ragone.  Letti'e  que  lui  écrit  le  pape  saint  Si- 
rice  :  première  décrétale,  YI,  99. 

HIMÉRIUS,  évêque  de  Nicomédie,  s'unit 
d'abord  à  Jean  d'Antioche  et  est  déposé, 
VIII,  383,  399.  Sa  lettre  à  Théodoret;  il  est 
rétabli,  383.  —  Théodoret  lui  écrit,  X,  104. 
Alypius  l'emploie  pour  adoucir  Firmus  irrité 
contre  lui,  150. 

HIMÉRIUS,  disciple  de  saint  Loup.  Son 
éloge  par  saint  Sidoine,  X,  393. 

HIMÉRIUS,  général  des  armées  sousTem- 
pereur  Léon  le  Philosophe.  Éloge  que  fait  de 
lui  SiméonMétaphraste,  XII,  813.  Sa  disgrâce 
sous  le  règne  de  l'empereur  Alexandre, 
818. 

HIMILTRUDE,  mère  d'Ebbon,  archevêque 
de  Reims.  Son  épitaphe  composée  par  son 
fils,  Xn,  332. 

HINCMAR,  archevêque  de  Reims.  Son 
éducation;  il  se  fait  moine,  puis  il  est  pour- 
vu des  abbayes  de  Saint-Germain  de  Gom- 
piègne  et  de  Saint-Germer  de  Plais  ;  il  est 
fait  archevêque  de  Reims  ;  il  préside  au  con- 
cile de  Quierci-sur-Oise,  où  Gothescalc  est 
condamné  ;  dans  un  concile  de  Soissons,  il 
dépose  Wulfade  et  les  autres  clercs  condam- 
nés par  Ebbon  ;  mécontentement  que  cette 
conduite  occasionne;  son  affaire  avec  Ro- 
thade,  évêque  de  Soissons,  XII,  634.  Il  cou- 
ronne Charles  le  Chauve  roi  de  Lorraine 
après  la  mort  de  Lothaire  ;  il  assiste  au  con- 
cile de  Pontion,  et  refuse  le  nouveau  ser- 
ment que  Charles  exigeait  de  ses  vassaux  ;  il 
prend  au  concile  de  Fismes  la  défense  de  la 
liberté  des  élections  ;  sa  mort,  653.  Ses  ou- 
vrages :  son  premier  écrit  sur  la  prédestina- 
tion est  perdu.  Second  écrit  sur  la  prédesti- 
nation, 636.  Analyse  de  cet  écrit,  636  et 
suiv.  Traité  sur  la  Trinité,  660,  661.  Traité 
sur  le  divorce  de  Lothaire  et  de  Thietberge, 
661,  662.  Autre  traité  sur  le  divorce  de  Lo- 
thaire, 662,  663.  Capitulaires  d'Hincmar, 
663.  Traité  sur  le  service  de  la  table  de  Sa- 
lomon,  664.  Discours  au  roi  Charles  le 
Chauve,  664,  665.  Autre  discours  au  même; 
traité  de  la  Nature  de  l'âme,  666.  Avertisse- 


ment à  Louis  de  Germanie,  666  et  667.  Lettre 
au  roi  Charles,  667.  ExpHcation  d'un  texte  du 
psaume  cent  troisième  à  Louis  de  Germanie, 
667  et  668.  Lettre  aux  évêques  et  aux  sei- 
gneurs de  la  province  de  Reims  ;  au  roi  Louis 
le  Bègue  ;  à  l'empereur  Charles  le  Gros  ;  au 
roi  Louis  III,  668.  Autre  au  roi  Louis  III. 
Sentence  contre  Odoacre  élu  pour  le  siège  de 
Beauvais  ;  instruction  pour  Carloman  ;  traité 
contre  les  ravisseurs,  669.  Lettre  au  pape 
saint  Nicolas  l"',  670.  Mémoire  contre  les 
clercs  ordonnés  par  Ebbon,  670  et  671.  Let- 
tre au  pape  saint  Nicolas  P"',  671,  672.  Autre 
lettre  au  même  ;  aux  moines  de  Hautvillers 
au  sujet  de  Gothescalc,  672  ;  au  roi  Charles, 
672  et  673  ;  à  Hincmar  de  Laon,  673  ;  à  Rémi 
de  Lyon,  673  et  674.  Son  écrit  de  cinquante- 
cinq  chapitres,  674  et  suiv.  Lettre  à  Hincmar 
de  Laon,  677.  Autres  lettres,  678.  Traité  sur 
l'épreuve  de  l'eau  froide,  678  et  679.  Lettre 
à  Hildebolde  de  Soissons,  679.  Lettre  aupape 
Adrien  II,  679  et  680.  Lettre  d'Hincmar  à  ce 
pape  au  nom  du  roi  Charles,  680,  681.  Autre 
à  Adventius,  évêque  de  Metz,  sur  les  céré- 
monies de  l'ordination  d'un  évêque,  681. 
Traité  sur  le  droit  des  métropolitains,  681, 
682.  Traité  de  la  translation  des  évêques; 
traité  des  devoirs  d'un  évêque,  682;  des  ju- 
gements des  appellations  ;  des  prêtres  cri- 
minels, 683.  Règles  pour  le  jugement  de  la 
cause  de  Teutfride,  683  et  684.  Vis-'on  de 
Bernold;  lettre  à  Odon  de  Beauvais,  684. 
Traité  sur  le  concile  de  Nicée  ;  lettre  à  Char- 
les le  Chauve  au  sujet  de  Pépin  son  neveu  ; 
traité  sur  le  Serment,  683.  DiSérentes  let- 
tres, 683  et  686.  Autres  écrits  d'Hincmar, 
686.  Écrits  qu'on  lui  attribue,  686  et  687.  Sa 
lettre  à  Louis  III,  687.  Écrits  perdus,  688. 
Jugement  sur  les  écrits  d'Hincmar,  688, 689. 
[L'éloge  d'Hincmar  par  Dom  Ceilher  est  exa- 
géré, 689,  n.  1.]  Éditions  qu'on  a  faites  de 
ses  œuvres,  689.  [Ses  œuvres  dans  la  Patro- 
logie,  689.]  Est-il  vrai  qu'Hincmar  de  Reims 
soit  auteur  d'une  partie  des  Annales  de  Saint- 
Bertin,  690,  691.  [Voyez  924,  n.  4  et  691, 
n.  10.]  —  Son  sentiment  sur  les  canons  des 
apôtres,  II,  577  ;  —  sur  l'Hypomnesticon  at- 
tribué à  saint  Augustin,  IX, 538.  —  Le  pape 
Léon  IV  lui  accorde  le  pallium,  XII,  407;  lui 
écrit  deux  lettres,  408.  Benoit  III  le  déclare 
exempt  de  toute  juridiction,  excepté  de  celle 
du  Saint-Siège,  409.  Lettre  que  lui  écrit  Ra- 
ban  Maurau  sujet  des  sentiments  de  Gothes- 
calc sur  la  prédestination,  468.  Écrit  que  lui 
adresse  saint  Prudence  de  Troyes,  494.  Il 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


531 


censure  la  conduite  de  saint  Prudence,  évè- 
que  de  Troyes,  498.  Différentes  lettres  que 
lui  écrit  Loup,  abbé  de  Ferrières,  504.  Lettre 
du  même  sur  la  prédestination,  310,  511. 
Lettres  que  lui  écrit  le  pape  saint  NicolasP'' 
au  sujet  de  Rothade,  évêque  de  Soissons, 
577  et  suiv.;  au  sujet  de  Vulfade,  ordonné 
par  Ebbon,  et  nommé  archevêque  de  Bour- 
ges ,  579,  580;  au  sujet  d'Hilduin,  nommé 
à  l'évêché  de  Cambrai,  580,  581  ;  au  sujet 
du  moine  Eriarth,  coupable  d'homicide,  584, 
385.  Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Adrien  II  au 
sujet  d'Hincmar  de  Soissons,  son  neveu,  590. 
Réponse  de  saint  Rémi  de  Lyon  à  la  lettre 
qu'Hincmar  avait  écrite  à  Amolon  au  sujet 
de  Gothescalc,  614  et  suiv.  Écrits  d'Hincmar 
de  Laon  au  sujet  de  ses  démêlés  avec  Hinc- 
mar  de  Reims,  son  oncle,  636,  637.  Lettres 
d'Anastasele  Bibliothécaire  qui  lui  sontadres- 
sées,  715.  — Concile  de  Beauvais  où  il  est  élu, 
XIII,  673.  Concile  de  Quierci  où  Gothescalc 
est  condamné  sous  la  présidence  d'Hincmar, 
679.  Ses  quatre  articles  contre  Gothescalc, 
signés  dans  un  nouveau  concile  de  Quierci, 
684.  Ils  sont  contredits  par  ceux  du  concile 
de  Valence,  686,  687.  On  propose  au  concile 
de  Troyes  d'examiner  de  nouveau  la  cano- 
nicité  de  son  élection,  700.  Règlement  qu'il 
pubhe  pour  les  prêtres  de  son  diocèse,  716, 
717.  (Voyez  son  article  dans  VHi&toire  litté- 
raire de  la  France,  t.  V,  p.  544  et  suiv.) 

HINGMAR,  évêque  de  Laon,  était  neveu, 
par  sa  mère,  de  l'archevêque  de  Reims  du 
même  nom  ;  son  oncle  prend  soin  de  son 
éducation  et  lui  procure  l'évêché  de  Laon; 
il  se  trouve  au  concile  de  Quierci  ;  autres 
conciles  auxquels  il  assiste,  XII,  633.  Origi- 
nes de  ses  brouilleries  avec  son  oncle,  673. 
Il  se  brouille  avec  son  clergé,  et  refuse  de 
répondre  devant  le  roi  aux  accusations  for- 
mées contre  lui  ;  il  calomnie  auprès  du  pape 
le  roi  et  l'archevêque  de  Reims;  assemblée 
de  Verberie  convoquée  pour  le  juger;  il  ap- 
pelle au  pape;  il  excommunie  son  clergé;  le 
roi  le  fait  mettre  en  prison,  635.  Concile 
d'Attigny  ;  il  s'y  réconcilie  avec  le  roi  et  avec 
son  oncle,  633  et  636.  On  lui  refuse  la  per- 
mission d'aller  au  pape  ;  il  écrit  au  pape,  et 
se  joint  au  prince  Carloman  révolté  contre 
son  père  ;  il  est  déposé  au  concile  de  Douzi; 
le  pape  Jean  VIII  confirme  la  sentence  de 
déposition,  et  on  nomme  un  autre  évêque  de 
Laon  ;  concile  de  Troyes  où  on  lui  permet 
de  dire  la  messe,  et  on  lui  assigne  sa  sub- 
sistance, 636.   Ses  lettres  à  Hincmar  de 


Reims  son  oncle,  636  et  637.  Analyse  des 
écrits  qu'il  composa  au  sujet  de  ses  démêlés 
avec  le  roi  et  avec  son  oncle,  637.  Écrits 
composés  par  Hincmar  de  Reims  à  son  oc- 
casion, 672  et  686.  [Ses  écrits  dans  la  Patro- 
logie,  637.]  —  Lettres  du  pape  Adrien  II  au 
sujet  d'Hincmar  de  Laon,  590.  Révolte 
d'Hincmar,  590  et  391.  Lettre  d'Hincmar  à 
Charles  le  Chauve  en  faveur  d'Hincmar  de 
Laon  ;  lettre  du  même  à  Hincmar  de  Laon  ; 
réponse  d'Hincmar  de  Laon,  673.  Autre  let- 
tre d'Hincmar  de  Reims  à  Hincmar  de  Laon, 
677.  Réponse  d'Hincmar,  677  et  678.  Autre 
lettre  d'Hincmar  de  Reims,  678.  —  Concile 
de  Verberie  où  l'on  examine  les  accusations 
formées  contre  lui,  XHI,  712,  713.  Concile 
d'Attigny  où  l'on  procède  contre  lui,  713. 
Concile  de  Douzy  où  il  est  déposé,  714, 
Plainte  qu'il  forme  contre  Hincmar  de  Reims, 
721.  Il  est  réhabilité,  722.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  V, 
p.  522  et  suiv.) 

HINKELMANN  (Abraham),  auteur  d'une 
traduction  allemande  de  quelques  ouvrages 
deTertulhen,  11/86. 

[HIPP ARQUE  (Saint)  et  ses  six  compa-        297. 
gnons,  martyrs  à  Samosate.  Analyse  de  leurs 
Actes  pubhés  par    Assemani,   III,   469   et 
suiv.] 

HIPPOCENTAURE.  Saint  Antoine  en  ren- 
contre un  dans  le  désert,  VII,  593. 

HIPPOLYTE  (Saint),  évêque  et  martyr,  m  siècie. 
docteur  de  l'Église.  Histoire  de  sa  vie  ;  ses 
études,  I,  607.  Il  est  élu  évêque,  607  et  608. 
Éloges  qui  lui  sont  donnés,  608.  Son  martyre,  269. 
608,  609.  [Les  Actes  de  son  martyre  publiés 
par  de  Magistris,  609.]  Ce  saint  est  différent 
de  celui  du  même  nom  qui  est  loué  par  le 
poëte  Prudence,  609.  Ouvrage  de  saint  Hip- 
polyte,  609  et  suiv.  Ouvrages  de  ce  docteur 
qui  existent  en  tout  ou  en  partie,  609.  Ou- 
vrages dont  il  ne  reste  plus  que  les  noms  ; 
ouvrages  faussement  attribués  à  saint  Hip- 
polyte,  609  et  610.  Commentaires  de  saint 
Hippolyte  sur  les  livres  de  l'Ancien  et  du 
Nouveau  Testament,  610  et  suiv.;  sur  la  Ge- 
nèse et  l'Exode,  610  ;  sur  les  Psaumes,  610 
et  611  ;  sur  les  Proverbes,  l'Ecclésiaste,  le 
Cantique  des  Cantiques,  611  et  suiv.  [Frag- 
ment considérable  du  commentaire  sur  les 
Proverbes  publié  par  Mai,  611,  612.]  Frag- 
ment sur  le  même  livre  publié  par  Fabri- 
cius,  613,  616.  Fragment  sur  les  Cantiques, 
613;  sur  les  prophètes  Isaïe  et  Ézéchiel, 
613;  sur  Daniel  et  Zacharie,  613  et  suiv. 


S32 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLESIASTIQUES. 


[Scholies  sur  Daniel  publiées  par  Mai;  frag- 
ments sur  saint  Matthieu,  615.  Son  livre  des 
Dimensions  du  temple  de  Salomon  publié  par 
de  Magistris,  613.]  Ses  commentaires  sur  les 
évangiles  de  saint  Matthieu  et  de  saint  Jean  et 
sur  l'Apocalypse,  613.  [Fragments  nouveaux 
publiés  par  Mai,  616.J  Discours  ou  homélies  de 
saint  Hippolyte,  616  et  suiv.  Homéhe  sur  la 
Théophanie  ou  le  baptême  de  Jésus-Christ, 
616,  617.  Analyse  de  cette  homélie,  617.  Sur 
Elcaua  et  Anne,  mère  de  Samuel,  sur  le  di- 
manche de  Pâques,  et  quelques  autres  sujets, 
617, 618.  Livre  de  saint  Hippolyte  sur  l'Anté- 
christ ;  celui  qui  a  été  donné  par  Gudius  est 
véritablement  celui  de  ce  docteur,  618,  619. 
Divers  titres  qui  lui  sont  donnés  ;  l'époque 
de  ce  livre  est  incertaine  ;  traduction  latine 
de  ce  livre,  619.  Analyse  de  ce  livre,  619  et 
suiv.  Gomment  le  Verbe  se  fait  connaître  aux 
prophètes,  et  pourquoi  il  est  devenu  le  ser- 
viteur de  Dieu  par  l'Incarnation;  circons- 
tances de  l'avènement  de  l'Antéchrist  ;  l'An- 
téchrist naîtra  de  la  tribu  de  Dan,  620.  Il  ne 
viendra  qu'à  la  fin  du  monde  ;  son  règne,  ses 
persécutions.  620,  621.  Son  nom;  son  rè- 
gne, 622.  Traité  de  saint  Hippolyte  contre 
les  hérésies,  622  et  suiv.  Son  livre  contre 
Marcion,  622.  Son  livre  contre  les  hérésies 
où  il  en  réfute  trente-deux,  622  et  suiv.  11  y 
combat  entr'autres  les  Valentiniens,  les  Nico- 
laïtes,  les  Montanistes,  les  Noëtiens,  622  et 
623.  En  quel  temps  ce  traité  a  été  composé  ; 
est-il  en  forme  d'homélies  ?  623.  Analyse  du 
traité  de  saint  Hippolyte  contre  les  Noëtiens, 
623  et  suiv.  Qui  était  Noët,  chef  de  cette 
secte,  623,  624.  Passages  de  l'Écriture  sur 
lesquels  il  appuyait  ses  erreurs,  624.  Preuves 
de  la  distinction  des  personnes  en  Dieu,  624 
et  623.  Exposition  de  la  foi  catholique  tou- 
chant la  Trinité,  623,  626;  et  touchant  l'In- 
carnation. Livre  de  saint  Hippolyte  contre 
l'hérésie  de  Béron  et  d'Hélix,  626.  Doutes 
que  l'on  forme  sur  cet  écrit,  626  et  627. 
Preuves  que  les  passages  de  l'écrit  contre 
Béron  sont  de  saint  Hippolyte,  627,  628.  Er- 
reurs de  Béron  ;  saint  Hippolyte  les  réfute. 
Livre  de  saint  Hippolyte  sur  la  Pâque,  628. 
Ce  que  ce  hvre  contient.  Cycle  pascal,  628 
et  629.  Comment  on  l'a  trouvé  ;  on  le  donne 
au  public;  les  savants  y  font  des  notes;  ce 
qui  a  donné  occasion  à  saint  Hippolyte  de 
composer  un  Cycle  pascal;  analyse  de  la 
première  partie  de  ce  Cycle,  629.  Analyse  de 
la  seconde  partie,  629  et  630.  Démonstration 
des  temps  de  la  Pâque  et  Chronique  de 


saint  Hippolyte,  630.  Chronique  attribuée  à 
saint  Hippolyte,  630  et  631.  L'auteur  de  cette 
Chronique  est  inconnu  ;  temps  auquel  il  a 
vécu;  ce  que  c'est  que  cette  Chronique,  631. 
[Éditions  de  cette  Chronique,  631.]  Traité  de 
saint  Hippolyte  contre  Platon  ;  ce  qu'il  con- 
tient, 631  et  632.  Traité  intitulé  :  De  la  tra- 
dition apostolique  sur  les  dons  du  Saint-Es- 
prit, 632.  Écrits  sur  la  résurrection,  sur  le 
jeûne  du  samedi,  sur  la  communion,  632  et 
633.  Histoire  d'une  vierge  de  Gorinthe;  let- 
tres de  saint  Hippolyte,  633.  Ouvrages  faus- 
sement attribués  à  saint  Hippolyte,  634  et 
suiv.  Livre  sur  l'Antéchrist;  commentaires 
sur  l'Apocalypse,  634.  Traité  sur  les  douze 
apôtres,  634  et  633.  Traité  sur  les  septante 
disciples.  Ouvrages  d'Hippolyte  de  Thèbes 
faussement  attribués  à  saint  Hippolyte.  Écrits 
attribués  à  saint  Hippolyte  par  les  Éthiopiens 
et  par  les  Chaldéens,  623.  [Les  Philosophu- 
mena  ne  sont  pas  de  saint  Hippolyte,  633  et 
636.]  Doctrine  de  saint  Hippolyte,  636  et 
suiv.  :  sur  l'Écriture  sainte,  636,  637  ;  sur  la 
tradition,  637,  638  ;  sur  le  mystère  de  la 
sainte  Trinité;  sur  la  divinité  du  Fils,  638; 
sur  la  divinité  du  Saint-Esprit,  638  et  639  ; 
sur  le  mystère  de  l'Incarnation  et  la  distinc- 
tion des  deux  natures  en  Jésus-Christ,  639, 
640;  sur  la  maternité  de  la  sainte  Vierge  et 
sa  virginité  perpétuelle,  640  ;  sur  les  sacre- 
ments de  baptême  et  d'eucharistie  ;  sur  la 
nature  des  anges  et  de  l'âme,  640  et  641. 
Jugement  du  génie  et  du  style  de  saint  Hip- 
polyte, 641.  Édition  de  son  ouvrage  par 
M.  Fabricius  ;  autres  éditions  des  ouvrages 
de  saint  Hippolyte,  641  et  642.  [Éditions 
nouvelles,  642.]  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  I,  part,  I, 
p.  631  et  suiv.) 

HIPPOLYTE  (Saint),  prêtre  de  l'Église  de        s« 
Rome,  martyr,  H,  120,  121.—  Hymne  du 
poëte  Prudence  en  son  honneur,  VIII,  162. 

HIPPOLYTE  LE  THÉBAIN.  Sa  Chronique,  x  sied 
XIII,  44,  43.  Traité  des  douze  apôtres  qu'on 
lui  attribue,  43.  —  Sa  Chronique  a  été  attri- 
buée à  saint  Hippolyte,  martyr,  I,  633.  [Au 
tome  CXVIl  delà  Patrologie  grecque,  on  trouve 
divers  fragments  de  la  Chronique  d'Hippo- 
lyte le  Thébain  sur  la  naissance  de  Jésus- 
Christ,  sur  la  vie  de  la  sainte  Vierge,  sur  les 
apôtres  et  leurs  enfants,  sur  des  statues  po- 
sées par  Constantin,  sur  la  chronologie  des 
principaux  faits  bibhques  et  évangéliques, 
sur  l'époque  où  les  évangélistes  ont  écrit 
leurs  évangiles.  Le  tome  X  de  la  même  Pa- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


333 


trologie  reproduit  les  fragments  sur  les  tra- 
vaux et  la  mort  des  douze  apôtres.  Un  autre 
fragment  sur  la  patrie  et  le  nom  primitif  des 
douze  apôtres  est  au  t.  XCVII,  p.  1075.] 

HIPPONE,  ville  maritime  d'Afrique,  IX, 
\  0.  Assiégée  par  les  Vandales,  21  ;  incendiée, 
22.  —  Concile  général  d'Afrique  tenu  dans 
cette  ville,  VII,  712  et  suiv.  —  Lettre  de 
saint  Augustin  au  clergé  de  cette  Église^  IX, 
90  et  suiv.  Autre  de  saint  Augustin  à  son 
clergé,  113, 114.  Lettre  de  saint  Augustin  au 
peuple  d'Hippone,  192.  —  Canons  d'un  con- 
cile tenu  dans  cette  ville,  VIII,  562.  Concile 
qui  y  lut  tenu  par  saint  Augustin  ;  il  y  dési- 
gne le  prêtre  Héraclius  pour  son  successeur, 
571. 

HIPPONICUS,  à  qui  saint  Nil  écrit,  VIII, 
217. 

HIRMINGARE,  abbesse  de  Zurich,  pour 
laquelle  s'intéresse  Bernon,  abbé  de  Reiche- 
nau,  XIII,  127. 

HIRMOLOGE,  livre  de  chant  à  l'usage  de 
l'Église  grecque,  Xlll,  138. 

HIRSAUGE,  abbaye  d'Allemagne,  fon- 
dée au  ix"  siècle  et  dont  Luitbert  fut  le  pre- 
mier abbé,  XII,  439.  —  Constitutions  de  ce 
monastère  rédigées  par  l'abbé  Guillaume, 
Xlll,  479  et  483.  [Éditions  qu'on  en  a  don- 
nées, 483.] 

HIRSFELD,  abbaye  d'Allemagne.  Fonda- 
tion de  ce  monastère  par  saint  Sturme,  XII, 
126.  —  Chronique  de  cette  abbaye  par  Lam- 
bert de  Schafnabourg,  XIII,  400. 

HISTOIRE.  Utilité  de  la  connaissance  de 
l'histoire  pour  l'intelligence  de  l'Écriture 
sainte  ;  doctrine  de  saint  Augustin,  IX,  606, 
607.  —  Règles  que  doivent  suivre  ceux  qui 
écrivent  l'histoire,  Xllî,  74. 

HISTOIRE  SACRÉE,  écrite  par  Moïse,  est 
la  plus  ancienne  selon  saint  Justin,  I,  437. 
—  Histoire  sacrée ,  écrite  par  Sulpice-Sé- 
vère,  VHI,  113  et  suiv.  —  Abrégé  de  l'His- 
toire sainte  par  saint  Pirmin,  XII,  104,  103. 

HISTOIRE  ECCLÉSIASTIQUE  sous  le  titre 
de  Commentaires  de  saint  Hégésippe,  I,  474. 
-  Histoire  ecclésiastique  d'Eusèbe  de  Cé- 
sarée,  III,  198,  199.  —  Divers  points  de 
l'histoire  de  l'Église  rapportés  par  saint  Op- 
tât, V,  140,  141.  —  Histoire  ecclésiastique 
d'Eusèbe,  traduite  par  Rufm  d'Aquilée,  VII, 
459  et  469,  et  continuée  par  le  même,  469, 
470.  — Histoire  ecclésiastique  de  Philostorge, 
VIII,  310  et  suiv.  Histoire  ecclésiastique  de 
Socrate,  515  et  suiv.  Histoire  ecclésiastique 
de  Sozomène^  526  et  suiv,  —  Histoire  ecclé- 


siastique de  Théodoret,  plus  exacte  et  plus 
complète  que  celle  de  Socrate  et  de  Sozo- 
mène,  X,  42  et  suiv.  Fautes  contre  la  chro- 
nologie qu'on  reproche  à  cette  Histoire  ;  ju- 
gement de  Photius  sur  cette  Histoire,  42.  Sa 
distribution  en  cinq  livres,  42  et  43.  En  quel 
temps  elle  a  été  écrite,  43.  Analyse  de  cette 
Histoire,  43  et  suiv.  Différentes  éditions  et 
traductions  qu'on  en  a  faites,  141,  142.  — 
Histoire  tripartite  d'Épiphane  le  Scholastique , 
ou  traduction  latine  de  celles  de  Socrate,  de 
Sozomène  et  de  Théodoret,  XI,  102.  Histoire 
tripartite  de  Théodore  le  Lecteur,  qui  réunit 
celles  de  Socrate,  de  Sozomène  et  de  Théo- 
doret, 103.  Histoire  ecclésiastique  de  Théo- 
dore le  Lecteur,  servant  de  continuation  à  son 
Histoire  tripartite,  103  et  suiv.  Histoire  ecclé- 
siastique de  Basile  de  Cihcie;  Histoire  ecclé- 
siastique de  Jean  d'Egée,  110.  Histoire  tri- 
partite composée  par  Cassiodore,  220,  221. 
Histoire  ecclésiastique  des  Français  par  saint 
Grégoire  de  Tours  ;  différents  titres  donnés 
à  cet  ouvrage  ;  temps  où  il  fut  composé,  367. 
Analyse  des  dix  livres  qui  le  composent,  368 
et  suiv.  Différentes  éditions  qu'on  en  a  fai- 
tes, 398,  399.  Histoire  ecclésiastique  d'Éva- 
gre  le  Scholastique,  416.  Analyse  des  six  li- 
vres qui  la  composent,  416  et  suiv.  Éditions 
qu'on  en  a  faites,  420.  Histoire  ecclésiastique 
écrite  par  un  Hésychius,  637.  — Histoire  ec- 
clésiastique des  Anglais,  ouvrage  de  Bède, 
XII,  3,  6.  Histoire  du  Christianisme  parHai- 
mon,  évêque  d'Halberstat,  437.  —  Histoire 
ecclésiastique  composée  parLanfranc;  nous 
ne  l'avons  plus,  XIII,  457.  —  Histoire  ecclé- 
siastique de  Hugues  de  Sainte-Marie,  moine 
de  Fleury-sur-Loire,XIV,  242,  243.  Histoire 
ecclésiastique  écrite  par  Ordéric  Vital,  moine 
de  Saint-Évroul,  369.  Analyse  des  treize  li- 
vres qui  la  composent,  369  et  suiv.  Juge- 
ment sur  cette  Histoire,  372.  Édition  qu'on 
en  a  faite,  372  et  373.  [Éditions  récentes,  373.] 

[HISTOIRE  DES  SAINTS  CONCILES  et  des 
hérésies  depuis  la  prédication  des  apôtres, 
par  saint  Germain,  patriarche  de  Constanti- 
nople,  XII,  41,  42.] 

HISTOIRE  BYSANTINE.  Continuation  de 
cette  Histoire  par  Théophane,  XII,  796,  799. 
[Cette  continuation  est  au  t.  CIX  de  la  Pairo- 
logie  grecque.]  Suite  de  l'Histoire  des  empe- 
reurs d'Orient^  par  Léon,  diacre  de  Constan- 
tinople,  881.  —  Histoire  bysantine,  conti- 
nuée par  Michel  Psellus ,  XIII ,  337.  — 
Histoire  des  empereurs  d'Orient  par  Nicé- 
phore  Brienne,  XIV,  643. 


S34 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


835. 


[HISTOIRE  DES  FRANCS,  par  le  moine 
Richer,  XH,  890  et  suiv.] 

HISTOIRE  LAUSIAQUE,  ouvrage  de  Pal- 
lade,  évêque  d'Hélénopole,  contentint  les 
Vies  des  solitaires  d'Egypte,  VII,  486  et 
suiv. 

HISTOIRE  MÊLÉE,  titre  que  l'on  donne 
quelquefois  à  l'Abrégé  de  l'Histoire  romaine 
de  Paul,  diacre,  XII,  143. 

HISTOIRE  PHILOTHÉE,  nom  sous  lequel 
quelques  auteurs  citent  l'Histoire  des  soli- 
taires que  Tliéodoret  a  composée,  X,  SO  et 
suiv. 

HISTOIRE  SGHOLASTIQUE  écrite  par 
Pierre  Comestor.  Analyse  de  cette  Histoire  ; 
elle  est  appelée  scholastique,  parce  qu'on  en 
faisait  usage  dans  les  écoles,  XIV,  743.  Édi- 
tions qu'on  en  a  données  ;  traduction  fran- 
çaise par  Guiars  des  Moulins,  744. 

HISTOIRE  TRIPARTITE  d'Épipliane  le 
Scliolastique.  Éditions  qu'on  en  a  faites,  VIII, 
521.  —  Elle  a  précédé  celle  de  Cassiodore, 

XI,  102.  Histoire  trjpartite  composée  en  grec 
par  Théodore  le  Lecteur,  103.  Histoire  tripar- 
tite  composée  en  latin  par  Cassiodore,  220, 
221.  Reproches  qu'on  fait  à  l'auteur,  221. 
Éditions  et  traduction  de  cette  Histoire,  254. 

HISTOIRE  UNIVERSELLE,  écrite  par  Paul 
Orose,  X,  4.  Analyse  de  cette  Histoire,  4  et  5= 
DiËférentes  éditions  qu'on  en  a  faites,  6. 

HISTOIRE  UNIVERSELLE,  ou  Chronique 
de  Fréculphe,  XII,  417,  418. 

HISTOIRE  UNIVERSELLE  de  Rodolphe 
Glaber  depuis  l'an  900  jusqu'à  1046,  XIII, 
143  et  suiv.  Analyse  de  cette  Histoire,  144  et 
suiv.  Jugement  sur  cette  Histoire  ;  éditions 
qu'on  en  a  faites,  147. 

HISTOIRE  ABRÉGÉE  de  Nicéphore,  XII, 
281. 

HISTOIRE  DES  GESTES  des  rois  et  des 
empereurs,  par  Luitprand,  XII,  874. 

[HISTORIA  SOLEMNIS,  ouvrage  inédit 
d'Honoré  d'Autun.  On  ne  sait  s'il  est  diffé- 
rent de  l'écrit  du  même,  intitulé  :  Summa 
totius  de  omni  modo  historia,  XIV,  302.] 

HISTORIAL  du  cardinal  Humbert.  On  ne 
sait  ce  que  c'est,  XIII,  253. 

HITTON,  évêque  de  Frisingue.  Sa  mort  ; 
Échambert,  son  neveu,  lui  succède,  XII, 
440. 

HITTORPIUS.  Son  édition  des  Homélies 
d'Haimon  d'Halberstat  sur   les    Évangiles, 

XII,  435. 

HOBBES  (Thomas),  philosophe  anglais. 
Son  sentiment  sur  le  Pentateuque,  I,  23. 


HOBIER  ( ).  Sa  traduction  fi'ançaise  du 

traité  de  Tertullien  :  De  la  Patience,  II,  86. 

[HOGER,  évêque  de  Hambourg.  Le  pape 
Sergius  HI  lui  écrit,  XH,  743.] 

HOEL,  évêque  du  Mans.  Sa  mort  ;  Hilde- 
bert  lui  succède,  XIV,  207. 

HOÉLI,  surnommé  le  Bon,  roi  de  Galles. 
Ses  lois,  XHl,  746. 

[HOCFEDER  (Gaspar).  Son  édition  de 
l'Image  dumonde,  par  Honoré  d'Autun,  XIV 
298.]  ^ 

HOÉNUS,  poëte  du  v°  siècle,  l'un  des  maî- 
tres de  saint  Sidoine  Apollinaire,  X,  379. 

HOESCHELIUS  ou  HOESCHEL  (David),  bi- 
bliothécaire d'Augsbourg.  Ses  traductions 
latines  de  quelques  ouvrages  de  Pliilon,  I, 
313.  Ses  notes  sur  saint  Justin,  445.  —  [Son 
édition  de  deux  lettres  de  Jules  Africain,  II, 
96.]  Son  édition  du  traité  d'Origène  contre 
Celse,  255.  —  Son  édition  de  la  Vie  de  saint 
Antoine  par  saint  Athanase,  IV,  231  ;  —  de 
quelques  poèmes  de  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze,  V,  360.  —  Son  édition  du  discours 
de  saint  Grégoire  de  Nysse  de  l'amour  des 
pauvres,  VI,  258;  de  plusieurs  autres  dis- 
cours, 259.  —  Sa  version  latine  de  plusieurs 
homélies  de  saint  Jean  Ghrysostôme,  VII, 
435.  —  Son  édition  de  la  Question  de  Théo- 
doret  sur  le  livre  de  Ruth,  X,  140.  —  Son 
édition  des  Sommaires  sur  les  douze  Petits 
Prophètes,  ouvrage  du  prêtre  Hésychius, 
XI,  657.  —  Son  édition  de  la  Bibliothèque 
de  Photius,  XII,  722,  723.  —  Son  édition  des 
huit  premiers  livres  de  l'Alexiade  d'Anne 
Comnène,  XIV,  147. 

HOHÉNAU,  vihe  de  Bavière  dans  le  dio- 
cèse de  Saltzbourg.  Concile  tenu  en  cette 
ville,  XIV,  1138. 

HOLOPHERNE,  général  des  Assyriens  : 
son  entreprise  sur  Béthulie,  I,  95. 

HOLSTÉNIUS  (Luc),  bibliothécaire  du  Va- 
tican, Ses  notes  sur  la  traduction  qu'Accio- 
cole  a  faite  du  traité  d'Eusèbe  contre  Hié- 
roclès,  III,  311.  Son  édition  de  la  Règle  de 
saint  Pacôme,  368.  —  Son  édition  du  traité 
de  Fastidius,  intitulé  :  Delà  Vie  chrétienne, 
X,  133.  —  Son  édition  du  Gode  des  règles 
de  saint  Benoît  d'Aniane,  XII,  259. 

HOMBLIÈRES,  monastère  de  filles,  à  une 
lieue  de  Saint-Queutin  ;  le  relâchement  s'y 
étant  introduit,  on  y  établit  des  moines,  XII, 
864. 

HOMÉLIES  :  de  saint  Hippoly te  sur  divers 
sujets,  I,  616,  617.  —  Homélies  d'Origène 
sur  l'Écriture  sainte,  H,  249  et  suiv.;  — tra- 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


333 


duiles  par  Rufm  d'Aquilée,  VH,  463,  464. 
Quatre  homélies  d'Origène  sur  le  Cantique 
des  Cantiques,  faussement  attribuées  à  saint 
Jérôme,  648.  Homélies  du  même  sur  le  Can- 
tique des  Cantiques,  traduites  par  saint  Jé- 
rôme, 364.  Homélies  du  même  sur  Ézéchiel 
et  sur  Jérémie.  Lettre  de  saint  Jérôme  à 
Vincent,  ou  préface  sur  la  traduction  de  ces 
homélies.  Lettre  du  saint  docteur  à  sainte 
Paule  et  à  sainte  Eutochie,  ou  préface  de 
la  traduction  des  homélies  d'Origène  sur 
saint  Luc,  646. — Homélies  attribuées  à  saint 
Athanase,  IV,  182.  Homélies  faussement  at- 
tribuées à  Eusèbe  d'Émèse,  319.  HoméHe 
sur  les  Rameaux,  attribuée  à  Tite  de  Ros- 
tres, 344.  Homélies  de  saint  Basile  le  Grand 
sur  l'Écriture  sainte,  363  et  suiv.  ;  sur  divers 
sujets,  376  et  suiv.  Homélies  faussement  at- 
tribuées à  saint  Basile  le  Grand,  489  et  suiv. 
—  Homélies  de  saint  Cyrille  de  Jérusalem 
sur  le  Paralytique,  V,  36.  Homélies  de  saint 
Ambroise  sur  douze  psaumes,  423,  424.  Ho- 
mélies perdues  de  saint  Ambroise,  513.  Les 
cinquante  homélies  sous  le  nom  de  Macaire 
ne  sont  pas  de  saint  Macaire  d'Egypte,  mais 
d'un  autre  qui  vivait  depuis  l'hérésie  de  Pe- 
lage, 399.  —  Homélie  de  saint  Éphrem  sur 
la  perle  de  l'Évangile,  VI,  39,  40.  [Homélie 
par  le  même  sur  la  femme  pécheresse,  506.] 
Homélies  sur  ces  paroles  :  «  Faisons  l'homme 
à  notre  image,  »  faussement  attribuées  à  saint 
Grégoire  de  Nysse,  131.  Homélie  de  saintGré- 
goire  de  Nysse  sur  le  psaume  sixième,  135  ; 
sur  l'Ecclésiaste,  135  et  suiv.;  sur  le  Can- 
tique des  Cantiques,  137  et  suiv.;  sur  l'Orai- 
son dominicale,  1^9  et  suiv.;  sur  les  huit 
Béatitudes,  142  et  suiv.  Homélie  de  Nec- 
taire, évêque  de  Constantinople,  282.  Ho- 
mélies de  saint  Astère  d'Amasée,  292  et 
suiv.  Homéhe  de  Novat,  moine  catholique, 
adressée  à  ses  frères  sur  l'humilité  et  l'obéis- 
sance, 351.  —  Homélies  de  saint  Jean  Chry- 
sostôme  contre  les  Anoméens,  VII,  41  et  suiv. 
Quelques  homélies  faussement  attribuées  à 
ce  saint  docteur,  37.  Homéhes  de  ce  saint 
évêque  sur  la  sédition  d'Antioche,  ou  sur 
les  statues,  38  et  suiv.;  sur  le  démon,  74  et 
suiv.;  sur  la  pénitence,  76  et  suiv.;  sur  les 
mystères  deNotre-Seigneur,  79  et  suiv.;  sur 
divers  sujets,  82  et  suiv.  Homélies  attribuées 
à  ce  Père,  97.  Douze  homéhes  de  saint  Jean 
Chrysostôme  sur  divers  endroits  du  Nouveau 
Testament,  98  et  suiv.  Homéhes  du  même 
Père  sur  divers  autres  sujets,  103  et  suiv. 
Homéhes  faussement  attribuées  à  saint  Jean 


Chrysostôme,  141,  142.  Soixante-sept  ho- 
mélies de  ce  Père  sur  la  Genèse,  142  et  suiv. 
Cinq  homéhes  du  même  Père  sur  Anne, 
trois  sur  Saûl,  et  une  sur  David,  168  et  suiv. 
Cinquante-huit  homélies  de  ce  Père  sur  les 
Psaumes,  173  et  suiv.  Quatre  homélies  du 
même  sur  les  Psaumes.  Homélies  sur  les 
Psaumes,  faussement  attribuées  à  saint  Jean 
Chrysostôme,  192,  193.  Six  homélies  du 
même  Père  sur  Isaïe,  194  et  suiv.  Autres 
homéhes  du  même  Père  sur  le  même  pro- 
phète, 197.  Homélies  du  même  Père  sur 
Jérémie ,  197  et  198.  Deux  homélies  du 
même  Père  sur  l'obscurité  des  prophètes, 
198,  199.  Homélie  du  même  Père  sur  un 
passage  de  l'Évangile  de  saint  Jean,  200, 
201 .  Homéhe  du  même  Père  sur  Melchisé- 
dech.  Homélie  du  même  Père  contre  les 
jeux  et  les  théâtres,  201  ;  sur  la  seconde 
Épître  à  Timothée,  201  et  202  ;  sur  la  cha- 
rité ;  sur  Joseph  et  sur  la  continence,  202. 
Homélie  sur  la  naissance  de  Jésus-Christ, 
attribuée  à  saint  Jean  Chrysostôme;  ho- 
mélie sur  l'unique  Législateur,  attribuée  au 
même  Père,  204.  Homéhe  sur  le  vingt- 
unième  chapitre  de  saint  Matthieu,  aussi  at- 
tribuée à  ce  Père,  204  et  203.  Six  homélies 
de  Sévérien,  évêque  de  Gabales,  sur  la 
Création  :  elles  sont  faussement  attribuées 
à  saint  Jean  Chrysostôme,  203  et  suiv.  Ho- 
mélie de  Sévérien  sur  le  serpent,  206,  207. 
Homéhes  faussement  attribuées  à  saint  Jean 
Chrysostôme  sur  la  Genèse;  sur  Job,  209. 
Quatre-vingt-dix  ou  onze  homélies  de  ce 
Père  sur  saint  Matthieu,  211  et  suiv.  Qua- 
tre-vingt-sept ou  huit  homélies  de  ce  Père 
sur  saint  Jean,  232  et  suiv.  Homéhes  faus- 
sement attribuées  à  saint  Jean  Chrysostôme, 
256  et  suiv.  Quelques-unes  de  ces  homélies 
sont  faussement  attribuées  à  Sévérien , 
évêque  de  Gabales  ,  236.  Cinquante-deux 
homéhes  du  même  Père  sur  le  livre  des  Ac- 
tes des  apôtres,  260  et  suiv.  Trente-deux  ou 
trente-trois  homéhes  de  ce  Père  sur  l'Épître 
aux  Romains,  268  et  suiv.  Quarante-quatre 
homéhes  de  ce  Père  sur  la  première  Épître 
aux  Corinthiens,  288  et  suiv.  Trente  homé- 
hes de  ce  Père  sur  la  seconde  Épître  aux 
Corinthiens,  304  et  suiv.  Vingt-quatre  ho- 
méhes du  même  saint  Jean  Chrysostôme  sur 
l'Épître  aux  Éphésiens,  313  et  suiv.  Quinze 
ou  seize  homélies  de  ce  Père  sur  l'Épître 
aux  Philippiens,  319  et  suiv.  Douze  homélies 
du  même  Père  sur  l'Épître  aux  Colos- 
siens,  323  et  suiv.  Onze  homéhes  de  ce  Père 


S36 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


sur  la  première  Épître  aux  Thessaloniciens, 
et  cinq  sur  la  seconde,  326  et  suiv.  Dix-huit 
homélies  de  ce  Père  sur  la  première  Épître 
à  Timothée,  et  dix-huit  sur  la  seconde,  328 
et  suiv.  Six  homélies  de  ce  Père  sur  l'Épître 
à  Tite,  333,  334.   Trois  homélies  du  même 
Père  sur  l'Épître  à  Philémon,  334.  Trente- 
quatre  homélies  du  même  Père  sur  l'Épître 
aux  Héhreux,  333  et  suiv.  Onze  homélies  de 
ce  Père  sur  divers  sujets,  340  et  suiv.  Ho- 
mélies faussement  attribuées  à  saint  Jean 
Ghrysostôme,  343.  Treize  discours  ou  homé- 
lies attribués  à  ce  Père,  343  et  346.  [Homé- 
lie sur  le  saint  jour  de  la  Pentecôte,  par  le 
même,  750.  Deuxième  homélie  sur  la  péni- 
tence des  Ninivites,  par  le  même,  750.  Ho- 
mélie sur  les  dix  mille  talents,  par  le  même, 
751.  Cinq  homélies  du  même,  publiées  par 
Bêcher,  751.  Sur  l'authenticité  de  l'homélie 
sur  la  préparation  à  la  Communion,  731, 
n.  1.  Péroraison  de  la  dix-huitième  homélie 
sur  la  Genèse,  par  le  même,  732.]  Homé- 
lies surHéli,  sur  Joseph,  sur  Suzanne  et  sur 
les  trois  enfants  de  Babylone,  faussement 
attribuées  à  Sévérien,  évêque  de  Cabales  ; 
quinze  homélies  de  Sévérien  de  Gabales,  pu- 
bliées par  le  père  Aucher,  209.  Autres  ho- 
mélies supposées   de   Sévérien  évêque  de 
Gabales,   343,  344.  Trois  homélies  de  saint 
Chromace,    évêque    d'Aquilée,   494,   493. 
Homélies    faussement    attribuées    à    saint 
Chromace,  496.  Homélies  faussement  attri- 
buées à  Jean  de  Jérusalem,  502.   Homélie 
des  Pasteurs,  ouvrage  de  saint  Augustin,  at- 
tribué à  saint  Jérôme;  homélie  sur  la  para- 
bole d'un  importun  qui  demande  du  pain  à 
son  ami,  aussi   attribuée  à  saint  Jérôme, 
648.  —  Homélie  faussement  attribuée    à 
Cassien,  sous  le  titre  de  Remède  spirituel 
du  moine,  VIII,  200.  Homélies  de  saint  Cy- 
rille d'Alexandrie,  279  et  suiv.  [Fragment  de 
la  première  homélie  que  le  Christ  ne  doit  pas 
être  appelé  homme  porte-Dieu,  mais  Dieu  fait 
homme  ,  365.  Fragment  d'une  homélie  aux 
Alexandrins,  parle  même,  365.]  Homélies  de 
Nestorius,  rassemblées  par  le  père  Garnier, 
372,  373.  Homélies  de  saint  Eucher  de  Lyon, 
453,  454.  —  Homélies  ou  traités  de  saint 
Augustin  sur  l'Évangile  selon  saint  Jean  et 
sur  la  première  Épître   de  cet  apôtre,  IX, 
220  et  suiv.  Dix-neuf  homélies  sur  l'Apoca- 
lypse, ouvrage  faussement  attribué  à  saint 
Augustin,  229.  —  Homélies  de  saint  Maxime 
de  Turin,  X,  320  et  suiv.  Homélies  de  saint 
Gennade,  patriarche  de  Constantinople,  qui 


ne  se  trouvent  plus,  343.  Homélies  de  saint 
Avit  de  Vienne,  563  et  suiv. —  Homélies  du 
pape  saint  Grégoire  sur  Ézéchiel,  XI,  432 
et  suiv.  Homéhes  du  même  sur  les  Évan- 
giles, 435  et  suiv.  Les  homélies  imprimées 
sous  le  nom  de  saint  Ildefonse  de  Tolède,  ne 
sont  pas  de  lui,  773,  777.  —  Homélies  du 
Vénérable  Bède,  XH,  10,  11.  Autres  homé- 
lies qu'on  lui  attribue,  mais  qui  ne  sont  pas 
de  lui,  11,  12.  Homélies  attribuées  à  saint 
Boniface,  archevêque  de  Mayence,  53  et  suiv. 
Homélies  de  saint  Jean  Damascène ,  86,  87. 
Homélies  d'Ambroise  Autpert,   124,    125. 
Homiliaire    de    Paul,    diacre,    144,    143. 
Autre  d'Alain,  abbé  de  Tarse,  119  et  143. 
La  plupart  des  homélies  attribuées  à  Alcuin 
sont  d'Ambroise  Autpert,   186.    Homélies 
d'Alcuin;  autres  qu'on  lui  a  attribuées,  207. 
Recueil  d'homélies  de Raban  Maur,  452.  Ho- 
mélies  d'Héiric,    moine   de   Saint-Germain 
d'Auxerre,  641.  Homélies  de  Photius,  733. 
734.   Homéhes  de  Rémi,  moine  d'Auxerre, 
737.  —  [Homélie  pour  la  fête  de  saint  Alexis 
par  saint  Adalbert,  évêque,  XIII,  96.]  Ho- 
mélie sur  sainte  Scholastique,  par  le  cardi- 
nal Albéric,  494.  Homélies  qu'on  ordonne  de 
traduire  en  langue  romane  rustique  ou  en 
langue  tudesque,  643,  646.  —  [Homélies  sur 
les  Évangiles  que  saint  Grégoire  n'a  point 
expliqués,  ouvrage  perdu  d'Honoré  d'Au- 
tun,  XIV,  302.  Homiliaire  ou  recueil  d'ho- 
mélies de  Gilbert  FoHoth,  667,  n.  1.]  (Voyez 
Se7'rnons.) 

HOMÈRE,  poète  grec.  Explication  des  vers 
d'Homère  par  Procope  de  Gaze,  citée  par 
Photius,  XI,  179. 

HOMÉRITES,  peuples  d'Arabie.  Lettre  de 
Siméon,  évêque  de  Beth-Arsam,  sur  plu- 
sieurs martyrs  des  Homérites,  X,  644,  643. 
Lois  pour  les  Homérites  attribuées  à  saint 
Grégentius,  archevêque  de  Taphar,  XI,  279, 
280. 

HOMICIDE.  Doctrine  d'Athénagore  sur 
l'homicide,  I,  483.  —  Doctrine  de  Lactance, 
II,  314.  Canon  soixante-sixième  apostolique, 
386.  Canons  cinquième  et  sixième  d'Elvire, 
603,  606.  Canons  soixante-troisième  et  soi- 
xante-huitième du  même  concile,  612  et 
613.  Canons  vingt-unième  et  vingt-deuxième 
du  concile  d'Ancyre,  639.  Canon  vingt-qua- 
trième du  concile  d'Ancyre,  640.  Homicide 
des  esclaves  :  cinquième  canon  du  concile 
d'Elvire,  603.  —  Canon  deuxième  dans  la 
première  épître  canonique  de  saint  Basile 
le  Grand;  canon  septième  du  même;  canon 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


537 


liuitième  du  même,  IV,  460.  Canon  onzième, 
canon  treizième ,  462.  Canon  trente-troi- 
sième dans  la  deuxième  épître  canonique 
de  saint  Basile,  467  ;  canon  quarante-troi- 
sième, 468;  canon  cinquante-deuxième^ 
cinquante-cinquième ,  cinquante-sixième  , 
cinquante-septième  dans  la  troisième  épître 
canonique  du  même,  472,  473.  —  Réponse 
quatorzième  de  Timothée  d'Alexandrie,  V, 
95.  —  Canon  cinquième  de  l'épître  cano- 
nique de  saint  Grégoire  de  Nysse,  VI,  157, 

158.  —  Doctrine  de  saint  Augustin  sur  le 
suicide  ou  homicide  de  soi-même,  IX,  169, 
170  et  377.  L'homicide  soumis  à  la  péni- 
tence publique,  777.  —  Canon  du  concile  de 
Tours  qui  défend  tout  commerce  avec  eux; 
canon  du  concile  de  Vannes  qui  sépare  de 
la  communion  les  homicides  jusqu'à  ce 
qu'ils  aient  eflfacé  leur  crime  par  la  péni- 
tence, X,  712.  —  Pénitence  imposée  à  un 
homme  qui  avait  tué  son  frère,  XI,  377.  Ho- 
micide interdit  aux  clercs  dans  quelque  cas 
que  ce  puisse  être,  824.  —  Pénitences  im- 
posées aux  homicides,  XII,  27,  159,  581, 
638.  Suivant  les  lois  barbares,  il  était  permis 
à  tous  les  parents  de  tirer  vengeance  de 
l'homicide,  29.  Jugement  de  saint  Paulin 
touchant  un  homme  qui  avait  tué  sa  femme, 

159.  Ceux  qui  exposent  un  enfant  sont  punis 
comme  homicides,  229.  Défense  de  donnera 
manger  aux  homicides  qui  se  réfugient  dans 
les  temples,  230.  Questions  sur  les  homici- 
des, 464.  Règlement  du  pape  saint  Nicolas  I 
sur  la   sépulture    de    ceux    qui    se   tuent 
eux-mêmes.     Pénitence    imposée     par    le 
pape  saint  Nicolas  I  pour  un  homicide,  584. 
Un  prêtre  homicide  ne  peut  plus  faire  les 
fonctions   de   son   ordre,  649,  650.  L'homi- 
cide volontaire  excommunié  toute  sa  vie, 
915.  —  Pénitence  imposée  à  un  homme  qui 
avait  tué  son  père,  XIII,  55.  Saint  Fulbert 
refuse  d'absoudre  les  homicides  de  Senlis, 
83.  Pénitences  prescrites  par  le  pape  Ale- 
xandre II  pour  l'homicide,  292.   Genre  de 
pénitence  imposée  dans  l'onzième  siècle  aux 
homicides  de  leurs  parents,  596.  Pénitence 
prescrite  par  un  concile  de  Worms  pour 
l'homicide  commis  en  la  personne  d'un  prê- 
tre, 701.  Pénitence  prescrite  pour  le  même 
crime  par  un  concile  de  Mayence,  731,  732. 
Canons  du  concile  de  Tribur,  735,  736.  Ce- 
lui qui  séduit  un  chrétien  pour  le  vendre  est 
coupable  d'homicide,  744.  Lettre  circulaire 
de  l'évêque  de  Schepton  sur  un  homicide, 
765.  [Homicide   commis  par  un  prêtre  en 


défendant  sa  vie  et  celle  de  son  père  :  dé- 
cision de  Lanfranc,  par  rapport  à  ce  cas, 
455,  456.  —  Décisions  du  pape  Clément  III 
sur  plusieurs  cas  d'homicide  involontaire 
commis  par  des  clercs,  XIV,  939,  940.  Cas 
d'homicide  involontaire,  975,  976.] 

HOMILIAIRE  ,  ou  recueil  d'homélies. 
Voyez  Homélies. 

HOMMAGE,  père  d'Ibérie,  femme  de  Ru- 
ricius  :  poëme  que  lui  adresse  saint  Sidoine, 
X,  397. 

HOMMAGE.  Défense  aux  clercs  de  faire 
hommage  aux  laïques  pour  des  biens  tem- 
porels, XIV,  135  et  1168. 

HOMME.    Doctrine  de  saint  Irénée   sur 
l'homme  véritablement  spirituel,  I,  513.  — 
Devoirs  de  l'homme  envers  Dieu  ;  en  quoi 
consiste  son  vrai  bonheur.  Doctrine  de  Lac- 
tance,  iï,  508,  509.  — Doctrine  d'Eusèbe  de 
Césarée  sur  l'état  de  l'homme  avant  l'Incar- 
nation, III,  192.  Doctrine  d'Eusèbe  de  Césa- 
rée sur  l'homme,  280.  [État  surnaturel  de 
l'homme,  d'après  Macaire  Maguès,  156,  n. 
4.]  —  Doctrine  de  saint  Athanase  :  état  de 
l'homme  durant  et  après  le  péché,  IV,  205  et 
suiv.  Réparation  du  genre  humain  par  Jésus- 
Christ,  205  et  206. —  Poëme  de  saint  Grégoire 
de  Nazianze  sur  les  misères  de  l'homme,  V, 
273,  274;  sur  le  bonheur  de  l'homme,  273. 
Poëme  de  saint  Grégoire  de  Nazianze  sur  lu 
grandeur  et  la  bassesse  de  l'homme,  278. 
Livre  sur  la  dignité  de  la  condition  humaine, 
faussement  attribué  à  saint  Ambroise,  312. 
[Témoignage  de  Didyme  l'Aveugle  sur  l'hom- 
me, 623.]  —  Traité  de  la  Formation  de  l'hom- 
me, ouvrage  de  saint  Grégoire  de  Nysse,  VI, 
128  et  suiv.  Homélie  sur  ces  paroles  :  «  Fai- 
sons l'homme  à  notre  image,  »  faussement 
attribuée  à  saint  Grégoire  de  Nysse,   131. 
Traité  qui  a  pour  titre  :  Comment  l'homme 
est  fait  à  l'image  de  Dieu,  faussement  at- 
tribué à  saint  Grégoire  de  Nysse,  145,  146. 
[De  la  nature  de  l'homme,  ouvrage  de  Némé- 
sius,  243  et  suiv.  Exphcation de  ces  paroles  : 
«  Faisons  l'homme  à  noti-e  image  et  à  notre 
ressemblance,  »  par  saint  Zenon  de  Verceil, 
247.] — Réflexions  de  saint  Jean  Chrysostôme 
sur  l'origine  de  l'homme,  VII,  148.  Discours 
intitulé  :  A   quoi  l'homme    est    semblable, 
faussement  attribué  à  Théophile  d'Alexan- 
drie, 447.  —  En  quel  sens  il  est  fait  à  l'image 
de  Dieu;  pourquoi  il  a  perdu  son  domaine 
sur  les  animaux,  VIII,  491.  —  Doctrine  de 
saint  Augustin  sur  l'homme,  IX,  307  et  suiv. 
—  Le  nom  d'homme  est  commun  à  toute  la 


538 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


nature  humaine,  X,  80.  Il  est  de  l'usage 
commun  de  donner  le  nom  d'homme  à 
toutes  ses  parties,  81.  Les  malheurs  aux- 
quels il  peut  être  sujet  ont  leur  utilité  et 
leur  avantage,  90.  Discours  de  Théodoret 
sur  la  nature  de  l'homme,  93,  94.  L'homme 
est  libre  de  sa  nature,  118.  Il  est  en  son 
pouvoir  de  régler  en  quelque  manière  le 
jugement  de  Dieu,  187.  D'où  vient  quêtant 
qu'il  est  sur  la  terre,  il  fait  des  chutes  con- 
tinuelles, 282.  En  quel  sens  Dieu  veut  sau- 
ver tous  les  hommes,  282  et  286.  —  De  la 
Formation  de  l'homme,  ouvrage  de  saint 
Grégoire  de  Nysse,  traduit  en  latin  par 
Denys  le  Petit,  XI,  123.  Doctrine  du  pape 
saint  Grégoire  sur  l'état  du  premier  homme, 
564,  363.  Discours  d'Anastase  Sinaïte,  de 
la  formation  de  l'homme  à  l'image  de  Dieu, 
608.  Deux  livres  du  même  sur  la  formation 
de  l'homme  sont  perdus,  609.  —  Homélie 
de  saint  Boniface  de  Mayence  sur  l'origine 
de  la  nature  humaine,  XII,  33.  Autre  sur  la 
réparation  du  genre  humain,  34.  Explica- 
tion que  donne  Alcuin  de  ces  paroles  :  «  Fai- 
sons l'homme  à  notre  image  et  ressem- 
blance, »  168.  Résolution  d'une  question  sur 
la  perte  de  tous  les  hommes  par  Adam  : 
écrit  de  saint  Rémi  de  Lyon,  618.  Obser- 
vation sur  l'état  surnaturel  de  l'homme, 
618,  n.  3.  —  Deux  livres  de  saint  Anselme  ; 
Pourquoi  Dieu  s'est  fait  homme,  XIV,  14, 
13.  Lettre  de  Zonare  intitulée  :  De  l'homme 
créé  à  l'image  de  Dieu,  137.  Miroir  de  l'état 
de  l'homme,  ouvrage  d'Adalbert,  moine  de 
Spaldingen ,  en  Angleterre ,  346.  [De  la 
création  et  de  la  rédemption  du  premier 
homme,  ouvrage  du  cardinal  Drogon,  ce 
que  c'est,  249.  L'homme  considéré  comme 
un  monde  en  raccourci,  par  GeofTroi  ou  Go- 
defroi,  chanoine  de  Saint-Victor,  813.  Quem 
dicunt  hommes  esse  filiiim  hominis  ?  Explica- 
tion de  ces  paroles  par  Alexandre ,  abbé  de 
Jumiége,  822.  Homme  parfait,  d'après  Alain 
de  Lille,  867,  868.  Prose  d'Alain  de  Lille  sur 
la  caducité  de  la  nature  humaine,  870.] 

HOMMES  ILLUSTRES.  Traité  des  hommes 
illustres,  par  Sigebert  de  Gemblou,  XIV, 
61,  62. 

HOMO  DOMINIGUS.  Expression  employée 
par  saint  Athanase  et  par  saint  Jérôme,  V, 
19  et  318. 

HOMOBONUS,  sous-diacre  de  l'Église  ro- 
maine, XI,  332. 

HOMOIOUSIOS  et  HOMOOUSIÛS ,  mois 
grecs.   Ditférence  essentielle  de  ces  deux 


mots  dans  la  controverse  des  catholiques 
contre  les  Ariens,  III,  424,  n.  7  et  426. 

HOMOPHRONE,  moine.  Saint  Grégoire  de 
Nazianze  lui  écrit,  V,  26. 

HONESTIS  (Pierre  de),  \ojez  [Pierre  de 
Honeslis. 

HONGROIS,  peuples  barbares.  Descrip- 
tion de  leurs  mœurs,  XII,  770.  Ravagent 
l'abbaye  de  Saint-Gai,  879. 

HONNÊTE.  Traité  de  l'Honnête  et  de 
l'Utile,  opuscule  du  Vénérable  Hildebert, 
XIV,  218. 

HONNEUR.  On  n'est  pas  moins  homicide 
en  ôtant  l'honneur  à  son  prochain  qu'en  lui 
ôtant  la  vie,  V,  140. 

HONORAT  (Saint),  évêque  de  Verceil.  Son 
élection  ;  il  assiste  à  la  mort  de  saint  Am- 
broise,  V,  373. 

HONORAT,  évêque  dans  la  Mauritanie. 
Concile  d'Hippone  auquel  il  assiste  ;  il  y  de- 
mande un  règlement  pour  la  Pâque,  VU, 
712,  et  un  primat  pour  sa  province,  713, 714. 

HONORAT,  évêque  donatiste.  Lettre  que 
lui  écrivit  saint  Augustin,  IX,  82. 

HONORAT,  catéchumène.  Lettre  que  lui 
écrivit  saint  Augustin,  IX,  123,  126. 

HONORAT,  prêtre.  Lettre  que  lui  écrivit 
saint  Augustin,  IX,  181. 

HONORAT,  ami  de  saint  Augustin,  IX,  4. 
Ce  saint  docteur  lui  adresse  son  livre  de 
rutililé  de  la  foi,  332. 

HONORAT  (Saint),  abbé  de  Lérins,  quitte 
sa  retraite  pour  venir  exhorter  saint  Hilaire 
à  se  convertir  ;  devient  évêque  d'Arles,  VIII, 
440.  Sa  mort,  433  et  440.  Ses  homélies,  ses 
lettres  et  sa  règle,  440.  Son  panégyrique  sur 
saint  Hilaire  qui  lui  avait  succédé,  439,440. 
Vie  de  saint  Honorât  par  saint  Edésius  ; 
diverses  éditions  qui  en  ont  été  faites,  441, 
442.  Lettre  de  saint  Eucher  à  saint  Ho- 
norât, 440  et  452.  —  Homéhe  où  il  est  loué, 
IV,  320.  —  Union  de  saint  Eucher  de  Lyon 
avec  lui,  VIII,  442.  —  Son  éloge  funèbre, 
composé  par  Salvien,  X,  377.  (Voyez  son  ar- 
ticle dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  n,  p.  136  et  suiv.) 

HONORAT  (Saint),  évêque  de  Marseille,  au- 
teur de  la  Vie  de  saint  Hilaire  dont  il  avait  été 
le  disciple,  VIII,  434, 438, 439.  —Son  éloge  ;  sa 
Vie  de  saint  Hilaire  d'Arles  ;  ses  autres  écrits 
sont  perdus,  X,  600.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  II,  p.  644 
et  suiv.) 

HONORAT  (Antonin),  évêque  de  Constan- 
tine  ou  de  Cirthe.  Sa  lettre  à  Arcade  et  à  ses 


925. 


396. 


412. 

V.  429. 

391. 


427. 
429. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


539 


compagnons  pour  les  confirmer  dans  la  foi, 
X,  466,  467.  Différentes  éditions  de  cette 
lettre ,  468,  [Édition  dans  la  Patrologie , 
468.] 

HONORAT,  évêque  de  Novare,  XI,  96. 
533.  HONORAT,  archevêque  de  Bourges,  pré- 

535.         side  au  second  concile  d'Orléans,  XI,  847;  à 
celui  de  Clermont  en  Auvergne,  849. 

HONORAT  (Saint),  abbé  àFondi.  Sa  vie  et 
ses  miracles  rapportés  dans  les  Dialogues  du 
pape  saint  Grégoire,  XI,  473. 
580.  HONORAT,  archidiacre  de  l'Église  de  Sa- 

lone,  présenté  par  son  évêque.  Lettre  du 
pape  saint  Grégoire  à  ce  sujet. 

HONORÉ  (Saint),  archevêque  de  Cantor- 
béry.  Voyez  Honorius  (Saint). 
X  siècle.         HONORÉ,  évêque  de  Beauvais.  Ses  diffé- 
rends avec  Foulques,  archevêque  de  Reims, 
XII,  710. 

[HONORÉ  ou  HONORIUS ,  prêtre  et  scho- 
lastique  de  l'Église  d'Autun,  ensuite  solitaire 
ou  moine.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de 
sa  vie,  XIV,  293, 294.  Ses  ouvrages  imprimés  : 
['Elucidariwn,29i,  295;  le  Sigillum  Mariœ ; 
l'Inévitable;  le  Miroir  de  l'Église,  295  ;  la 
Perle  de  l'âme,  295  et  296  ;  le  Sacrameu- 
taire,  296;  l'Hexaméron,  296  et  297;  l'Eu- 
charisticon,  297  ;  la  Connaissance  de  la  vie, 
297  et  298  ;  l'Image  du  monde,  298  ;  le  Traité 
du  pape  et  de  l'empereur,  298  et  299; 
l'Éclielle  du  ciel;  l'Explication  du  Psautier, 
299  ;  le  Catalogue  des  écrivains  ecclésiasti- 
ques, 299  et  300  ;  le  Traité  de  la  philosophie 
du  monde,  300,  301  ;  la  Summa  duodecim 
quœstionum  ;  le  Dialogue  entre  le  maître  et 
le  disciple  ;  le  Traité  de  l'exil  et  de  la  patrie 
de  l'âme  ;  le  Traité  du  libre  arbitre  ;  le  Dis- 
cours sur  la  vie  du  cloître,  301.  Écrits  non 
imprimés  ou  perdus,  301  et  302.  Jugement 
des  écrits  d'Honoré,  202  et  303.  Édition  de 
ses  œuvres  dans  la.  Patrologie  ;  jugement  sur 
l'auteur,  303.] 

HONORI,  monastère  de  la  Bétique  pour 
lequel  saint  Isidore  de  Séville  compose  sa 
règle,  XI,  723. 
V  siècle.  HONORIUS,  empereur,  renouvelle  l'or- 
donnance de  Constantin  contre  le  spectacle 
des  gladiateurs,  HI,  124,  —  et  X,  139.  -- 
Sa  loi  contre  lesjovianianistes,  IV,  632.  —  11 
défend  aux  ecclésiastiques  d'avoir  avec  eux 
des  femmes,  V,  304.  Saint  Ambroise  pro- 
nonce en  sa  présence  l'oraison  funèbre  de 
Théodose,  307.  —  Honorius  écrit  à  l'empe- 
reur Arcade  en  faveur  de  saint  Jean  Chry- 
sostôme,  VII,  il.  Le  pape  saint  Innocent  le 


sollicite  en  faveur  de  quelques  ecclésiasti- 
ques, 506.  —  Honorius  se  déclare  pour  l'an- 
tipape Eulalius,  VIII,  6.  Il  l'abandonne  et 
confirme  l'élection  du  pape  Boniface,  7.  Let- 
tres et  dépntation  du  pape  Boniface  à  l'em- 
pereur, 9.  —  Il  donne  des  lois  contre  les 
Donatistes,  16  et  96.  Accorde  la  liberté  de 
conscience,  107.  Lettres  des  empereurs  Ho- 
norius et  Théodose  à  Arcade  de  Carthage  et 
à  saint  Augustin,  169.  Il  défend  les  solenni- 
tés sacrilèges  du  paganisme,  363.  —  Il  ban- 
nit un  évêque  déposé  par  un  concile,  VIII, 
341.  Il  fait  une  loi  contre  les  Pélagiens,  556. 
Il  fut  tenu  sur  les  fonts  de  baptême  par  saint 
Arsène,  qui  ensuite  fut  chargé  de  son  édu- 
cation, 398.  Il  convoque  le  concile  de  Ra- 
venne  pour  terminer  le  schisme  qui  s'était 
élevé  dans  l'Église  de  Rome  au  sujet  de 
l'élection  d'un  pape ,  369 ,  370.  L'affaire 
n'ayant  pu  être  décidée  dans  ce  concile,  il 
charge  un  évêque  neutre  de  célébrer  la  fête 
de  Pâques  à  Rome,  puis  il  convoque  un  au- 
tre concile  ;  Eulalius  est  chassé  de  Rome  par 
son  rescrit,  et  Boniface  y  rentre  pour  pren- 
dre le  gouvernement  de  l'Église.  Honorius 
défend  les  combats  des  gladiateurs,  570.  — 
Il  fait  mettre  au  nombre  des  martyrs  le  soli- 
taire Télémaque  qui  était  mort  en  s'opposant 
à  ces  combats,  X,  139. 

HONORIUS,  évêque  de  Dalmatie.  Lettre 
que  lui  écrit  le  pape  Gélase,  X,  499. 

HONORIUS  I,  pape,  succède  à  Boniface  V  ;  c-26. 
il  envoie  en  Angleterre  des  missionnaires  et 
fait  cesser  le  schisme  de  Tlstrie  ;  ses  lettres  à 
Isaac,  exarque  de  Ravenne,  aux  évêques  de 
Vénétie  et  d'Istrie,  XI,  647  ;  à  Sergius,  pa- 
triarche de  Constantinople,  sur  la  question 
des  deux  volontés  et  des  deux  opérations  en 
Jésus-Clirist,  647  et  648;  à  Edvin,  roi  de 
Northumbre  ;  à  Honorius,  évêque  de  Can- 
torbéry,  à  qui  il  accorde  le  pallium,  et  à  l'é- 
vêque  d'York  ;  aux  Écossais  ;  aux  évêques 
d'Épire  ;  au  sous-diacre  Sergius.  Sa  mort,  639. 
648.  [Recueil  de  ses  écrits  dans  la  Palrologie, 
648,  649.]  Écrits  en  sa  faveur,  649.  Apologie 
d'Honorius  par  le  pape  Jean  IV,  649  et  630, 
—  et  XII,  714.  —  Honorius  condamné  par  le 
pape  Léon  II  et  parle  sixième  concile  géné- 
ral, XI,  784,  —  et  XII,  951.  Dissertation  où 
le  père  Garnier,  jésuite,  prétend  prouver  que 
ce  pape  est  tombé  dans  le  monothélisme, 
XII,  43.  [Honorius  n'est  point  compté  parmi 
les  monothéhtes  par  saint  Nicéphore,  pa- 
triarche de  Constantinople,  293.]  Lettre  in- 
sidieuse écrite  à  Honorius  par  le  patriarche 


S40 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


Sergius,  923.  Il  se  laisse  surprendre  et  donne 
une  réponse  dont  les  Monothélites  abusent; 
sens  favorable  qu'on  peut  donner  à  cette  ré- 
ponse du  pape,  924.  Lettre  d'Honorius  à  Cy- 
rus,  à  Sophrone,  à  Sergius,  924  et  suiv.  Ses 
lettres  à  Sergius,  rejetées  par  le  sixième  con- 
cile général  tenu  à  Constantinople  comme 
favorisant  le  monothélisme,  9S1.  [Observa- 
tions sur  la  condamnation  d'Honorius,  924, 
n.  4,  et  931,  n.  1,955,  n.  1  et  3.] 

HONORIUS  II,  antipape,  fait  la  guerre 
pour  entrer  dans  le  siège  de  Rome,  XIII, 
283.  Voyez  Cardoloûs,  évêque  de  Parme. 

HONORIUS II,  pape.  Son  origine;  le  pape 
Pascal  II  le  fait  venir  à  Rome  et  lui  donne 
l'évêciié  deVellétri  ou  d'Ostie  ;  il  est  envoyé 

liai.       légat  en  Allemagne  et  fait  la  paix  entre  le 

112*.  pape  et  l'empereur  ;  il  est  élu  pour  succéder 
au  pape  Callixte  II  ;  événements  de  son  pon- 

H30.  tificat,  XIV,  251.  Sa  mort,  231  et  232.  Ses 
lettres  ;  autre  lettre  du  même,  232.  [Lettres 
d'Honorius  dans  la  Patrologie^a^  et  suiv.,  et 
252,  n.  2.]  Les  cardinaux  se  divisent  dans  le 
choix  de  son  successeur,  1110.  Différentes 
lettres  que  lui  écrit  le  vénérable  Hildebert, 
212,  213. 

633,  HONORIUS  (Saint),  évêque  de  Cantorbéry. 

Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Honorius  en  lui 
envoyant  le  pallium,  XI,  648.  —  Sa  Vie 
écrite  par  le  moine  Gotcelin,  XIII,  530,  —  et 
XIV,  238. 

619.  HONORIUS,    évêque  de  Cordoue.  Diffé- 

rentes plaintes  portées  contre  lui  à  un  con- 
cile de  Séville,  XI,  914. 

HOPITAUX.  Il  n'y  en  avait  pas  à  Rome  au 
iii^  siècle,  II,  477.  —  Saint  Basile  en  fait  bâ- 
tir plusieurs,  IV,  447,  —  et  V,  210.  Julien 
l'Apostat  veut  faire  bâtir  des  hôpitaux  à  l'imi- 
,  lation  des  chrétiens,  V,  199.  —  Saint  Pam- 
maque  en  bâtit  un  pour  les  étrangers  dans 
le  port  de  Rome,  VII,  504.  —  Hôpital  bâti 
par  saint  Augustin  pour  les  étrangers,  IX,  14. 
—  Administrateurs  des  hôpitaux,  XI,  261, 
262.  Administrateurs  clercs,  497.  Hôpital 
fondé  à  Lyon  par  le  roi  Ghildebert  et  la  reine 
Ultrogothe;  la  fondation  en  est  confirmée 
par  le  cinquième  concile  d'Orléans,  863.  — 
Hôpitaux  fondés  ou  rétabUs  par  le  pape 
Etienne  II,  XII,  112.  A  quelle  condition  on 
accordait  aux  séculiers  la  permission  de  ré- 
gir les  hôpitaux,  232.  —  Hôpitaux  fondés 
par  des  églises  cathédrales  et  gouvernés  par 
des  chanoines,  XIII,  651,652.  Hôpitaux  fon- 
dés en  France  par  des  Hibernois  pour  ceux 
de  leur  nation,  674.  Dispositions  d'un  con- 


cile de  Pavie  concernant  les  hôpitaux,  681. 
—  Décrets  d'un  concile  de  Paris  concernant 
les  hôpitaux,  XIV,  1156. 

HOPKENSIUS (...),  chanoine  de  Worches- 
ter.  Sa  traduction  anglaise  du  traité  de  Ra- 
tramne  sur  l'Eucharistie,  XII,  561. 

HOPPER  (Marc),  docteur  en  droit,  profes- 
seur à  Bâle.  Sa  traduction  latine  du  quin- 
zième livre  de  la  Préparation  évangéhque, 
III,  313.  —  Son  édition  des  œuvres  de  Cas- 
sien  et  de  saint  Jean  de  Damas,  VIII,  204.  — 
Son  édition  des  œuvres  de  saint  Jean  Damas- 
cène,  XII,  98. 

HOR,  abbé  en  Egypte,  visité  par  saint 
Pétrone,  X,  160. 

HORLOGE.  Traité  de  la  mesure  de  l'hor- 
loge, attribué  au  vénérable  Bède,  XII,  4.  — 
Horloges  dans  le  monastère  de  Cassiodore, 
XI,  234.  [Description  d'une  horloge  de  la 
ville  de  Gaza  par  Choricius,  181.]  — Horloge 
nocturne  envoyée  au  roi  Pépin  par  le  pape 
Paul  I,  XII,  116.  Horloge  d'un  ouvrage  ad- 
mirable faite  par  Gerbert,  903. 

HORLOGE,  livre  d'église  à  l'usage  des 
Grecs.  Ce  que  c'est,  XIII,  137.  [Édition  ré- 
cente, 137.]  Le  Petit  Horloge,  138. 

HORLOGE  MONASTIQUE,  écrit  attribué  à 
saint  Nil,  solitaire  du  Sinaï,  VHI,  215,  216. 

HORLOGE  SOLAIRE,  décrite  en  vers  par 
Wandalbert,  XH,  599. 

HORMISDAS  (le  prince),  frère  de  Sapor, 
roi  de  Perse,  visite  les  saints  martyrs  Bonose 
et  Maximilien,  HI,  409. 

HORMISDAS,  grand  seigneur  en  Perse, 
est  dépouillé  de  ses  charges  et  chassé  du 
royaume  pour  son  attachement  à  la  religion 
chrétienne,  X,  49.  (La  table  du  X'  volume 
le  confond  mal  à  propos  avec  le  suivant.) 

HORMISDAS  (Saint),  pape,  succède  à 
Symmaque;  le  roi  Clovis  lui  témoigne  sa 
joie  de  son  élection  et  lui  envoie  une  cou- 
ronne d'or  ;  lettre  d'Hormisdas  à  saint  Rémi, 
qu'il  constitue  son  vicaire  dans  tous  les  états 
du  roi  Clovis,  X,  612.  Lettre  que  lui  écrit 
l'empereur  Anastase  au  sujet  des  troubles 
excités  par  Vitalien  ;  réponse  du  pape  qui 
justifie  la  conduite  de  ses  prédécesseurs, 
613.  Instruction  du  pape  pour  les  légats 
qu'il  envoie  en  Orient,  613  et  suiv.  Articles 
touchant  la  réunion,  61 5.  Lettre  àl'empereur; 
il  promet  de  se  trouver  au  concile,  615  et  616. 
Conduite  peu  sincère  de  l'empereur;  lettre  k 
Dorothée  de  Thessalonique,  616.  Lettres  aux 
évoques  de  l'ancienne  Épire  et  à  Jean  de  Ni- 
copolis,  016  et  617.  Lettres  à  saint  Avit,  évê- 


t 


IV  siècle. 


5U. 


516. 


515. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


541 


que  de  Vienne,   617.  Lettre  à  l'empereur 
Anastase  pour  l'engager  à  exécuter  ses  pro- 
messes, 617  et  618.  Lettres  à  Timothée,  évê- 
quede  Constantinople,  aux  évêques  schisma- 
tiques  et  aux  évêques  orthodoxes  d'Orient, 
et  à  Possessor,  évêque  d'Afrique,  618.  Nou- 
velles instructions  que  le  pape  donne  à  ses 
légats  avec  des  lettres  pour  l'empereur  Anas- 
tase, pour  Jean  de  Nicopolis  et  pour  Doro- 
thée de  Thessalonique,  618  et  619.  L'empe- 
reur refuse  le  formulaire  présenté  par  les 
légats  du  pape  et  lui  écrit,  619.  Lettre  aux 
archimandrites  de  Syrie  en  réponse  à  une 
requête  qu'ils  lui  avaient  adressée,  619  et 
620.  Lettres  à  Jean  de  Tarragone,  que  le 
pape  fait  son  vicaire  en  Espagne,  et  à  d'au- 
tres évêques,  620,  621.  Lettres  à  l'empereur 
Justin  et  à  Jean  de  Constantinople,  621  et 
suiv.  Voyage  des  nouveaux  légats  envoyés 
par  le  pape  ;  leur  arrivée  à  Constantinople, 
623,  624.  Lettre  de  l'empereur  Justin  et  ré- 
ponse du  pape  touchant  la  réunion  de  l'Éghse 
d'Orient  avec  l'Église   romaine,    624,  625. 
Autre  lettre  du  pape  sur  le  même  sujet,  625, 
626.  Lettre  à  Jean  de  Militane  et  aux  évê- 
ques d'Espagne  pour  leur  faire  part  de  la 
réunion  des  Églises  d'Orient,  626.  Lettre  tou- 
chant les  moines  de  Scythie,  626  et  suiv.; 
sur  l'ordination  d'Épiphane,  évêque  de  Cons- 
tantinople, et  sur  la  réunion,  628  et  suiv. 
Lettre  au  pape  et  du  pape  à  ses  légats,  631. 
Lettre  à  Possessor  au  sujet  de  l'écrit  de  Fauste 
de  Riez  sur  la  grâce,   631   et  632.  Jean 
Maxence,  moine   de  Scythie,    écrit  contre 
cette  lettre,  634.  Lettre  à  Dorothée  de  Thes- 
salonique, accusé  d'avoir  excité  le  peuple 
contre  les  légats,  632,  633.  Lettres  au  pape 
Hormisdas.  Décrets  qu'on  lui  attribue.  Sa 
mort.  Le  décret  touchant  les  livres  sacrés  et 
ceux  qui  sont  apocryphes  n'est  pas  de  saint 
Hormisdas,  mais  de  saint  Gélase,  633.  [Édi- 
tion des  écrits  de  saint  Hormisdas  dans  la 
Patrologie,  633.]  Hormisdas  exclut  Fauste  de 
Riez  du  nombre  des  pères  qu'il  faut  prendre 
pour  juges,  433.  Lettre  que  lui  écrit  saint 
Avit  au  nom  de  toute  la  province  de  Vienne, 
561.  —  Lettre  que  saint  Rémi  de  Reims  lui 
écrit;  réponse  d'Hormisdas  qui  le   déclare 
son  vicaire  et  son  légat,  XI,  81 .  Lettre  que 
lui  écrit  Jean  de  Cappadoce,  patriarche  de 
Constantinople,  et  Épiphane,  successeur  de 
Jean,  112.  Il  tient  à  Rome  un  concile,  où 
l'on  confirme,  à  quelque  chose  près,  ce  qui 
s'était  fait  au  concile  de  Constantinople  tenu 
la  même  année,  823.  [Soixante-dix-neuf  let- 


tres nouvelles  de  ce  pape  ont  été  éditées  tout 
récemment  dans  l'Appendice  au  Bullaire  de 
Turin.] 

HORNBACH,  monastère  du  diocèse  de 
Metz,  Xn,  104. 

HOROLOGGl  (Joseph).  Sa  traduction  ita- 
lienne de  l'Histoire  des  croisades,  de  Guil- 
laume de  Tyr,  sous  le  titre  de  Guerre  sacrée, 
XIII,  536. 

HORSTIUS  (Jacques  Merlon).  Son  édition 
des  œuvres  de  saint  Bernard,  XIV,  498. 

HORTENSE,  livre  de  Cicéron.  Ce  qu'il 
opère  sur  saint  Augustin  avant  sa  conver- 
sion, IX,  28. 

HORTDLAN,  évêque,  refuse  de  jurer  un 
écrit  présenté  par  Hunéric,  X,  438. 

HORTULAN,  moine  de  Fondi,  dont  parle 
saint  Grégoire  le  Grand  dans  ses  Dialogues, 
XI,  473.  [Le  mot  horiulanus  employé  par  saint 
Grégoire  n'est  pas  un  nom  propre.  V.  n.  5.] 

HORTULUS,  poëmede  Walafride  Strabon. 
Différentes  éditions  qu'on  en  a  faites  ;  idée 
de  ce  poëme,  XII,  416. 

HOSANNA.  Le  pape  Damase  consulte 
saint  Jérôme  sur  la  signification  de  ce  mot, 
V,  19.  —  Lettre  de  saint  Jérôme  VII,  570. 

HOSPITALIERS,  ordre  de  chevalerie. 
Plaintes  formées  au  troisième  concile  deLa- 
tran  contre  ces  chevaliers  hospitaliers,  XIV, 
1140. 

HOSPITALITÉ.  Manière  de  recevoir  les 
hôtes  dans  les  monastères,  selon  saint  Ba- 
sile, IV,  402.  —  Règles  données  par  saint 
Éphrem  sur  Thospilalité,  VI,  36.  — Doctrine 
de  saint  Jean  Chrysostôme  sur  l'hospitalité, 
VII,  116  et  267.  —  [Sermon  de  saint  Augus- 
tin sur  l'hospitalité,  IX,  841.]  —  Homélies 
de  saint  Maxime  de  Turin  sur  l'hospitahlé, 
X,  322.  —  Hospitahté  recommandée  par  le 
second  concile  de  Mâcon,XI,  897.  — Recom- 
mandée aux  laïques,  XII,  234  ;  ordonnée  en- 
vers les  voyageurs,  235  ;  recommandée  sans 
intérêt,  265.  — Lettre  du  Vénérable  Hildebert 
sur  l'hospitalité,  XIV,  209.  Éloge  de  l'hospi- 
talité dans  une  lettre  de  Pierre  de  Blois,  768. 

HOSPITON,  chef  des  Barbaricins,  peuple 
de  Sardaigne,  se  soumet  au  joug  de  l'Évan- 
gile, XI,  497. 

HOSTIE  consacrée  mise  sur  la  poitrine 
des  défunts,  XI,  569.  —  Usage  établi  en 
plusieurs  églises  de  donner  à  un  prêtre, 
après  son  ordination,  une  hostie  consacrée 
qu'il  devait  consumer  pendant  quarante 
jours,  XII,  80.  Sentiment  de  saint  Fulbert 
sur  cet  usage,   81.  Chaque  particule  est  le 


1179. 


VI  sléeli'. 


542 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


corps  de  Jésus-Christ,  et  trois  particules  ne 
font  qu'un  seul  corps,  517.  —  Défense  de 
tremper  l'hostie  consacrée  dans  le  sang  de 
Jésus-Christ,  XIV,  126  et  134.  Pourquoi,  au 
sacrifice  de  la  messe,  on  met  une  partie  de 
l'hostie  dans  le  calice,  236,  237.  [La  forme 
des  hosties,  leur  grandeur,  leurs  em- 
preintes, 296  et  296,  n.  1.]  Il  ne  faut  pas 
donner  une  hostie  non  consacrée  au  lieu 
d'une  consacrée.  Hosties  renouvelées  chaque 
dimanche,  1146. 

HOTES.  Règle  de  saint  Pacôme  sur  les 
hôtes,  III,  365.  —  Manière  de  recevoir  les 
hôtes,  selon  saint  Ambroise,  V,  487.  —  Ce 
que  prescrit  à  leur  égard  la  règle  de  saint 
Benoît,  XI,  168. 

HOVÉDEN  (Roger  de),  professeur  d'Ox- 
ford. Voyez  Roger  de  Hovéden. 

HOYER  (Michel),  augustin.  Sa  Vie  de  saint 
Éphrem,  diacre  d'Édesse,  VI,  73. 

HRATGAN,  nom  corrompu  de  Raban,  à 
qui  un  manuscrit  attribue  le  traité  d'Amo- 
lon,  contre  les  Juifs,  XII,  433. 

HUBERT  (Saint),  évêque  de  Maêstricht  et 
de  Liège  :  Histoire  de  la  translation  de  son 
corps,  écrite  par  Jonas,  évêque  d'Orléans, 
XII,  394.  —  Monastère  sous  son  nom  dans 
les  Ardennes,  XIII,  210.  Relation  des  mi- 
racles opérés  par  son  intercession  dans  l'ab- 
baye de  son  nom.  Dès  le  xi"  siècle,  on  re- 
courait à  ce  monastère  pour  être  guéri  de 
la  rage»  Les  seigneurs  faisaient  des  parties 
de  chasse  le  jour  de  la  fête  de  saint  Hubert, 
466.  Histoire  de  l'abbaye  de  Saint-Hubert, 
par  un  anonyme  qui  vivait  au  commence- 
ment du  xii^  siècle,  595,  596.  [Édition  pu- 
bliée par  Pertz,  et  reproduite  dans  la  Pa- 
trologie  latine ,  596.  Jugement  que  Pertz 
porte  de  cet  auteur,  595,  n.  3.] 
IX  siècle.  HUBERT,  sous-diacre,  qui  s'était  souillé 
de  plusieurs  crimes.  Lettre  que  le  pape  Be- 
noît IH  écrit  à  son  sujet,  XII,  409. 

HUBERT,  évêque  de  Parme,  à  qui  Ra- 
thérius  de  Vérone  adresse  un  de  ses  écrits, 
XII,  409. 

XI  siècle.         HUBERT,  auteur  d'une  Vie  de  sainte  Gu- 

dule.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  lit- 
téraire de  la  France,  t.  VII,  p.  429  et  suiv.) 

XII  sièeie.        HUBERT,  abbé  de  la  Trinité  de  Vendôme, 

obtient  de  Geotfroi,  évêque  de  Chartres,  la 
confirmation  des  privilèges  de  son  abbaye, 
XIV,  170. 
ijoi.  HUBERT,  évêque  de  Senlis,  est  accusé  de 

simonie  au  concile  de  Troyes,  et  se  justifie, 
XIV,  1078. 


HUBERT ,  archevêque  de  Cantorbéry , 
nommé  légat  en  Angleterre  par  le  pape  Cé- 
lestin  III.  Lettres  que  ce  pape  lui  écrivit, 
XIV,  942.  Lettres  du  pape  Innocent  III  qui 
lui  sont  adressées,  964,  974. 

HUCBALD  ou  HUGBAUD,  moine  de  Saint- 
Amand,   est  élevé  dans  cette  abbaye,  XII, 

799,  800.  Rodulfe,  élu  abbé  de  Saint- Martin, 
le  demande  pour  lui  servir  de  maître  dans 
les  études  qu'il  voulait  faire;  Foulques,  ar- 
chevêque de  Reims,  le  choisit  avec  Rémi 
d'Auxerre,  pour  rétabhr  les  écoles  de  sa 
ville  épiscopale.  De  retour  à  Saint-Amand, 
Hucbald  est  chargé  de  la  direction  de  l'école 
de  ce  monastère.  Sa  mort.  Considération 
que  le  roi  Charles  le  Simple  avait  pour  lui. 
Ses  écrits  :  Office  de  saint  Thierry.  Ses  poé- 
sies, 800.  Vie  de  sainte  Cifinie  ;  Martyre  de 
saint  Cyr  et  de  sainte  Julitte  ;  Vie  de  sainte 
Rictrude  ;  de  sainte  Aldegonde,  801  ;  de 
saint  Lebwin,  56  et  802;  de  saint  Jonas, 
premier  abbé  de  Marchiennes.  Commentaire 
sur  la  règle  de  saint  Benoît,  802.  Ses  ou- 
vrages sur  la  musique,  802  et  803.  [Ses  deux 
ouvrages  sur  la  musique  pubfiés  par  Ger- 
bert,  802,  S03.  Ses  écrits  dans  la  Patrologie, 

800.  Il  est  probablement  l'auteur  du  can- 
tique allemand  sur  Louis  111,  801.]  Lettre 
que  lui  écrit  Odilon,  moine  de  Sciint-Médard 
de  Soissons,  787.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  VI, 
p.  210  et  suiv.) 

HUBERT  (Saint),  évêque  de  Tongres. 
Voyez  Saint  Hubert,  évêque  de  Maêstricht. 

HUCHER  DE  VERNEUIL  (Jean).  Son  édi- 
tion des  œuvres  de  saint  Jean  Chrysostôme, 
Vn,  433. 

HUESCA,  ville  épiscopale  d'Espagne  dans 
le  royaume  d'Aragon.  Concile  qui  y  fut 
tenu,  XI,  907.  —  Le  siège  épiscopal  de  cette 
ville  est  transféré  à  Jacca,  XIV,  1062. 

HUET  (Daniel),  évoque  d'Avrauches.  Son 
édition  des  œuvres  d'Origène,  II,  254. 

HUETBERT,  abbé  de  Wiremouth  et  de 
Jarou  en  Angleterre.  Voyez  Wirtbert. 

HUGBAUD,  moine  de  Saint-Amand.  Voy. 
Hucbald. 

[HUGONIN  (l'abbé).  Sa  notice  sur  Hugues 
de  Saint- Victor,  XIV,  697  et  suiv.] 

HUGUCION  ou  HUGUES,  légat  en  Angle- 
terre, donne  l'absolution  aux  clercs  de  l'ar- 
chevêque d'York  que  Richard  de  Cantor- 
béry avait  frappés  d'anathème,  XIV,  136. 

[HUGUES,  fils  de  Charlemagne  et  abbé. 
Complainte  sur  sa  mort,  XII,  477.] 


«05. 


1 
ssa. 


598. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


343 


HUGUES,  fils  naturel  de  Lothaire,  roi  de 
Lorraine.  Concile  de  Neustrie  au  sujet  de 
ses  ravages,  XIII,  720. 

HUGUES,  cinquième  fils  d'Herbert,  comte 
de  Vermandois,  est  élu  archevêque  de  Reims, 
quoique  âgé  seulement  de  cinq  ans,  et  son 
élection  est  confirmée  par  le  roi  Raoul  et  le 
pape  Jean  X,  XH,  743,  et  841,  et  XHI,  746, 
747.  —  Il  est  consacré  malgré  les  protesta- 
tions d'Artaud,  XIII,  747.  Contestation  entre 
lui  et  Artaud  au  sujet  de  cet  archevêché, 
agitée  en  différents  conciles  où  il  est  excom- 
munié, 748  et  suiv.  Le  pape  confirme  la 
sentence  rendue  contre  lui,  730.  Il  veut  ren- 
trer dans  l'archevêché  après  la  mort  d'Ar- 
taud, 752. 

HUGUES  dit  l'Abbé,  duc  de  France,  comte 
de  Paris  et  abbé  de  Saint-Martin  de  Tours. 
Lettre  que  lui  écrit  le  pape  Léon  VII,  XII, 
828.  —  Il  est  excommunié  dans  plusieurs 
conciles  à  cause  de  ses  ravages,  XIII,  748 
et  suiv. 

HUGUES,  roi  d'Italie.  Son  animosité  con- 
tre Rathérius,  évêque  de  Vérone,  XII,  846, 
847. 

HUGUES  CAPET,  roi  de  France,  est  sa- 
cré par  Adalbéron,  archevêque  de  Reims, 
qui  s'en  justifie,  XII,  870.  Sa  mort,  895.  — 
Vers  de  Rodulfe  Glaber  sur  sa  mort,  XIII, 
148. 

HUGUES,  à  qui  est  adressée  une  lettre  de 
Hériger,  abbé  de  Lobes,  sur  quelques  difiS- 
cultés  de  chronologie,  XIII,  37. 

HUGUES,  évêque  d'Angoulême.  (Dom 
Ceillier  n'en  parle  pas.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 
VI,  p.  492  et  suiv.) 

HUGUES,  abbé  de  Farfa,  XIII,  190.  Son 
décret  pour  faire  adopter  à  son  abbaye  les 
usages  de  Cluny.  Sa  mort,  477. 

HUGUES,  abbé  de  Saint-Martial  de  Li- 
moges. Sa  mort;  Odolric  lui  succède,  XIII, 
103. 

HUGUES  de  Châleaudun,  archevêque  de 
Tours,  refuse  de  consacrer  l'église  de  Beau- 
lieu,  XIII,  144  et  189.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 
Vn,  p.  269  et  suiv.) 

HUGUES,  archevêque  de  Besançon,  vou- 
lant détendre  Hugues  de  Langres,  perd  la 
parole,  XHI,  163. 

HUGUES,  évêque  de  Langres,  succède  à 
Richard.  Accusé  au  concile  de  Reims,  il  est 
excommunié.  Confesse  publiquement  ses 
désordres  et  se  soumet  à  la  pénitence.  Il  se 


retire  dans  un  monastère.  Sa  mort,  XIII, 
165.  Son  traité  du  Corps  et  du  Sang  de  Jé- 
sus-Christ contre  Bérenger ,  165  et  suiv. 
Analyse  de  ce  traité,  166,  167. 

[HUGUES  DE  CLEERS.  Pièce  sur  une 
négociation  dont  il  fut  chargé,  XIV,  192, 
n.  2.] 

HUGUES  DE  CHALONS,  évêque  d'Au- 
xerre.  Lettre  d'absolution  qu'il  obtient  du 
pape  Jean  XIX,  XII,  194,  195. 

[HUGUES  II,  évêque  de  Nevers.  Ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie,  XIII,  238. 
Sa  lettre  à  Barthélémy,  archevêque  de  Tours, 
239.] 

HUGUES  LE  BLANC,  cardinal,  envoyé 
légat  en  Espagne  par  Je  pape  saint  Gré- 
goire VII  pour  y  faire  adopter  l'office  ro- 
main, XIII,  331.  Il  se  lie  avec  les  ennemis 
de  [saint]  Grégoire  Vïï,  3o9. 

HUGUES,  archidiacre  de  Tours.  Voyez 
Du  Pin. 

HUGUES,  abbé  de  Saint-Léger,  déposé 
dans  un  concile  de  Bordeaux,  XIV,  1069. 

HUGUES  (Saint),  évêque  de  Grenoble,  élu 
dans  un  concile  de  Lyon,  XIV,  1070.  — 
Donne  à  saint  Bruno  le  désert  de  Chartreuse 
pour  y  établir  la  première  maison  de  son 
ordre,  XIII,  574.  [Pièces  concernant  saint 
Hugues,  dans  la  Patrologie,  574.  On  a  de  lui 
six  chartes,  574.] — Il  excommunie  l'antipape 
Anaclet,  XIV,  267.  Il  est  canonisé  au  concile 
de  Pise,  1H3.  Sa  Vie  écrite  par  le  bienheu- 
reux Guignes,  prieur  de  la  Chartreuse,  308. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de   la  France,  t.  XI,  p.  149  et  suiv.) 

HUGUES,  évêque  de  Châlons,  vexé  par 
Albéric,  seigneur  de  Meslant,  XIII,  588. 

HUGUES,  archevêque  de  Lyon.  Son  illus- 
tre naissance.  On  n'est  point  d'accord  sur  sa 
première  profession.  Comment  il  fut  élu 
évêque  de  Die.  Il  va  à  Rome  se  faire  sacrer 
par  le  pape  [saint]  Grégoire  Vil.  Il  est  élu 
archevêque  de  Lyon  à  la  place  de  Gébouin. 
Démarches  qu'il  fait  pour  parvenir  à  être 
pape,  XIII,  580.  Ses  pèlerinages  à  Saint- 
Jacques,  en  GaHce,  puis  à  Jérusalem,  380  et 
590.  Sa  mort,  590.  Ses  lettres  et  autres  actes 
qui  nous  restent  de  lui,  590  et  suiv.  Apolo- 
gie pour  [saint]  Grégoire  VII  qu'on  lui  at- 
tribue ,  594.  [Notices  sur  Hugues  et  ses 
écrits  dans  la  Patrologie,  600,  n.  1.  Ce  que 
dit  Hugues  sur  les  prêtres  déposés  et  ex- 
communiés qui  consacrent,  604,  n.  6.  Lettre 
de  Hugues  à  Thierri  au  sujet  de  la  cons- 
truction de  l'éghse  de  Saint-Martin  à  Char- 


1051. 


XI  siècle. 


1085. 


1084. 


H34. 


1073. 


1082. 


llOl. 
1103. 


1106. 


544 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


1024. 
1038. 


(049. 


1109. 


1122. 


1097. 


très,  60S,  n.  9.  Autres  lettres  de  Hugues  dans 
la  Patrologie,  606,  n.  6.]  Il  est  ordonné  évê- 
que  de  Die  par  le  pape  [saint]  Grégoire  VII, 
352.  Il  est  nomDJé  légat  en  France.  Lettre 
que  [saint]  Grégoire  VII  lui  écrit,  365.  Il  de- 
vient archevêque  de  Lyon.  Sa  lettre  à  la 
comtesse  Mathilde  contre  le  pape  Victor  111, 
417.  Il  tient  un  concile  à  Autun  où  il  ex- 
communie le  roi  Philippe  I,  à  cause  de  son 
mariage  avec  Bertrade.  Il  est  suspendu  de 
ses  fonctions  au  concile  de  Plaisance^  429. 
Son  épitaphe  par  Baudri,  évéque  de  Dol, 
53i.  —  Yves  de  Chartres  lui  écrit,  XIV, 
105.  Il  assemble  un  concile  pour  en  obtenir 
les  subsides  nécessaires  aux  frais  du  voyage 
qu'il  voulait  faire  en  Terre-Sainte,  1077. 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  IX,  p.  303  et  suiv.) 

HUGUES  (Saint),  abbé  de  Gluny.  Sa  nais- 
sance ;  ses  commencements.  Il  prend  l'ha- 
bit monastique  à  Gluny,  dont  ensuite 
il  est  fait  prieur.  Il  est  député  à  la  cour 
d'Allemagne  pour  y  négocier  la  réconciha- 
tion  des  moines  de  Payerne.  Il  est  élu  abbé 
de  Gluny  après  la  mort  de  saint  Odilon.  Il 
reconduit  à  Rome  le  pape  saint  Léon  IX, 
XIV,  50.  Grande  considération  dont  il  jouit. 
Différentes  négociations  où  il  est  employé, 
50  et  51.  Sa  mort.  Sa  Vie  écrite  par  trois  au- 
teurs ditïerents.  Il  est  mis  au  nombre  des 
saints,  51.  Ses  lettres,  51  et  suiv.;  ses  sta- 
tuts, 54,  55.  Vision  de  saint  Hugues,  55. 
[Donations  faites  de  son  temps  au  monastère 
de  Cluny,  55.]  — Lettre  que  lui  écrit  le  pape 
Alexandre  II,  XIII,  294.  Confiance  que  lui 
témoignait  le  pape  [saint]  Grégoire  VII,  366. 
Lettres  que  ce  pape  lui  écrit,  367.  [Sa  Vie, 
composée  par  le  cadinal  Gilon,  540,  541. 
Abrégé  de  cette  Vie,  par  un  anonyme,  541.] 
—  Sa  Vie  écrite  par  le  Vénérable  Hildebert, 
XIV,  217,  218.  Poésie  de  Pierre  le  Vénérable 
en  son  honneur,  522.  (Voyez  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome  IX, 
p.  465  et  suiv.) 

HUGUES  II  du  nom,  abbé  de  Cluny.  Sa 
mort;  Pierre  le  Vénérable  lui  succède,  XIV, 
500. 

[HUGUES,  abbé  de  Fulde.  Privilège  que 
lui  accorde  le  pape  Benoit  IV,  Xll,  742.] 

HUGUES,  abbé  de  Flavigny,  fut  un  des 
moines  de  Saint-Vannes  qui,  pour  éviter  la 
persécution  de  Thierry,  évéque  de  Verdun, 
se  retirèrent  à  Flavigny,  puis  à  Saint-Bé- 
nigne de  Dijon.  Il  accompagne  l'abbé  Ja- 
renton  à  son  voyage  en  Angleterre.  11  est  élu 


abbé  de  Flavigny  et  béni  par  Haganon, 
évéque  d'Autun,  XIV,  80.  Ses  difficultés  avec 
Norgaud,  successeur  d'Haganon,  80  et  81. 
Il  est  chassé  de  son  abbaye  :  le  concile  de 
Valence  le  rétablit.  Il  est  fait  abbé  de  Saint- 
Vannes.  On  ignore  le  temps  de  sa  mort,  81. 
Sa  Chronique,  81  et  82.  Utilité  de  cette 
Chronique,  82.  On  l'a  attribuée  mal  à  propos 
à  Yves  de  Chartres,  124.  [Édition  de  sa 
Chronique  dans  la  Patrologie.  Jugement 
porté  par  Pertz  sur  cet  écrivain,  82.]  —  Hu- 
gues de  Flavigny  écrit  la  Vie  du  Bienheureux 
Richard,  abbé  de  Saint- Vannes,  dont  il  fut 
disciple,  XIII,  119.  (Voir  son  article  dans 
l'Histoire  littéraire  de  la  France,  t.  X,  p,  73  et 
suiv.) 

HUGUES,  vicomte  de  Chartres,  arrêté  de 

la  part  du  roi  Yves  de  Chartes,  XIV,  101. 

HUGUES,  évéque  de  Soissons.  Lettre  que 

lui  écrit  Yves,   évéque   de   Chartres,  XIV, 

103. 

HUGUES,  seigneur  du  Puiset.  Ses  vexa- 
tions sur  les  terres  de  l'église  de  Chartres. 
Lettre  d'Yves  de  Chartres  sur  ce  sujet,  XIV, 
108,  110,  111. 

HUGUES,  évéque  de  Laon.  Sa  mort;  Bar- 
thélémy lui  succède,  XIV,  195. 

HUGUES  DE  SAINTE-MARIE,  moine  de 
Fieury-sur-Loire.  On  ne  sait  aucune  des  cir- 
constances de  sa  vie.  Son  commentaire  sur 
les  Psaumes.  Son  Histoire  ecclésiastique. 
Ditlerence  des  manuscrits  de  cette  histoire, 
XIV,  242.  [Différentes  éditions  qu'on  en  a 
données,  242  et  243.]  Histoire  des-  Gestes  des 
rois  de  France  de  la  seconde  race,  243.  [Édi- 
tions et  traductions  qu'on  en  a  données, 
243.]  Traité  de  la  puissance  royale  et  de 
la  dignité  sacerdotale,  243  et  244.  Vie  de 
saint  Sacerdos,  évéque  de  Limoges,  244. 
Chronique  des  Gaules  qui  lui  est  attribuée, 
244,  245.  [Jugement  sur  le  style  de  Hugues, 
242.  Différentes  notices  sur  Hugues  de  Pleu- 
ry,  242,  n.  1,  4,  5  ;  243,  n.  2  et  245,  n.  5.] 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire 
de  la  France,  t.  X,  p.  285  et  suiv.) 

HUGUES ,  chanoine  régulier  de  Saint- 
Victor.  Incertitude  où  l'on  est  sur  le  lieu  de 
sa  naissance.  Différents  sentiments  sur  ce 
point.  Ses  études,  XIV,  347.  Il  se  fait  cha- 
noine régulier  à  Saint-Victor  près  Paris.  Il 
y  enseigne  avec  succès  la  philosophie  et  la 
théologie,  347  et  348.  Il  ne  fut  élevé  à  au- 
cun grade  de  supériorité.  Ses  derniers  mo- 
ments; sa  mort.  Ses  ouvrages;  différentes 
éditions  qu'on  en  a  faites,  348.  [Édition  dans 


1113. 

XU  sièch 


1115. 


lUi. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


545 


la  Pafrologie,  348  et  349.]  Prolégomène  sur 
l'Ancien  et  le  Nouveau  Testament,  349.  [Deux 
opuscules  qui  sont  joints  au  Commentaire 
sur  saint  Matthieu  doivent  en  être  séparés, 
349,  n.  1.  Hugues  de  Saint-Victor  a  publié 
des  notes  sur  saint  Jean,  349,  n.  2.]  Notes 
sur  le  Pentateuque  ;  homélies  sur  l'Ecclé- 
siaste;  notes  sur  les  Lamentations  de  Jé- 
rémie,  et  sur  les  prophéties  de  Joël  et  d'Ab- 
dias.  Commentaire  sur  la  Hiérarchie  céleste 
de  saint  Denys,  349.  [On  signale  un  com- 
mentaire sur  la  Hiérarchie  ecclésiastique, 
349,  n.  4.]  Commentaire  sur  le  Décalogue. 
Explication  de  la  Règle  de  saint  Augustin. 
Instilution  des  novices,  350.  Soliloque  de 
l'âme,  351.  Éloge  de  la  charité,  351  et  352. 
Traité  de  la  prière  ;  Discours  sur  l'amour  de 
l'Époux  et  de  l'Épouse;  de  la  Manière  de 
méditer;  de  l'Arche  de  Noé,  352.  Livre  des 
Trois  Colombes  et  des  animaux  mentionnés 
dans  la  sainte  Écriture,  353.  Éruditions  didas- 
coliques,  353  et  354.  Traité  de  la  Puissance 
et  de  la  volonté  de  Dieu.  Des  Quatre  Volon- 
tés en  Jésus-Christ.  Traité  de  la  Sagesse  de 
Jésus-Christ,  354.  De  l'Union  du  corps  et 
de  l'esprit,  354  et  355.  De  l'Unité  du  Verbe 
incarné,  355.  De  la  Virginité  perpétuelle  de 
Marie,  355  et  suiv.  Traité  de  la  Manière 
d'apprendre  et  de  méditer,  358  et  359.  Des 
Sacrements  de  la  loi  naturelle  et  de  la  loi 
écrite.  Somme  des  sentences,  359.  Livre  des 
Sacrements  de  la  loi  chrétienne,  359  et  suiv. 
[Ce  livre  mérite  justement  le  nom  de  Sys- 
tème, 359,  n,  4.]  Ouvrages  de  Hugues  de 
Saint- Victor  qui  ne  sont  pas  imprimés,  361. 
[Notes  relatives  à  ces  ouvrages,  361,  n,  1, 
2,  3,  4,  5,  7.]  Jugement  sur  ses  écrits,  361. 
[Jugement  porté  par  les  éditeurs  du  Diction- 
naire de  théologie  catholique,  361,  n.  S.] 
Différents  ouvrages  qu'on  lui  a  faussement 
attribués,  349,  350,351,  352,  356,  357.  [Dif- 
férentes notes  relatives  aux  écrits  de  Hugues 
de  Saint- Victor,  349  et  suiv.  Notes,  349.  Ju- 
gement sur  Hugues,  361,  n.  7.]  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
tome  Xn,  p.  1  et  suiv.) 

HUGUES  FOLIET  ou  de  Saint-Laurent 
d'HelHac.  11  est  élu  abbé  de  Saint-Remi  de 
Reims  et  refuse  d'accepter  cette  dignité.  Son 
livre  du  Cloître  de  l'âme,  XIV,  350.  Traité 
sur  les  noces  charnelles  et  spirituelles,  350 
et  351.  Autres  écrits  qu'on  lui  attribue, 
351. 

HUGUES  MÉTELLUS,  chanoine  régulier 
de  Toul.  Ses  études;  progrès  qu'il  fait  dans 

TAB.  I. 


les  sciences.  Dégoûté  du  monde,  il  se  fait 
chanoine  régulier  à  Saint-Léon  de  Toul,  On 
ignore  le  temps  de  sa  mort,  XIV,  362.  Ana-  v.  U49. 
lyse  de  ses  lettres,  362  et  suiv.  Ses  poésies, 
368.  Jugement  sur  son  style,  368  et  351. 
Notice  sur  Hugues  Métellus  et  édition  de  ses 
écrits  dans  la  Patrologie,  362,  n.  6.]  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  tome  XII,  p.  493  et  suiv.) 

HUGUES  DE  RIBEMOND  ou  RIBEMONT    xii  siècle, 
(ou  RUBOMONTD).  Sa  lettre  sur  la  nature  de 
l'âme,   XIV,  406,   407.   (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 
XI,  p.  113  et  suiv.) 

HUGUES,  archidiacre  de  Saint-Jacques  x.n  siècle, 
de  Compostelle,  puis  évêque  de  Porto,  en 
Portugal,  [travaille  à  l'Histoire  de  l'Église  de 
Compostelle,  XIV,  541,  542.].  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
tome  XI,  p.  US  et  suiv.) 

HUGUES  DE  MAÇON,  premier  abbé  de  "^6. 
Pontigni,  puis  évêque  d'Auxerre.  Ce  qu'on 
sait  des  circonstances  de  sa  vie.  Sa  mort,  "^i- 
XIV,  408.  Lettres  et  actes  qui  restent  de  lui, 
408  et  409.  [Ses  écrits  dans  la  Patrologie, 
408,  409.]  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire 
littéraire  de  la  France,  tome  XII,  p.  408 
et  suiv.) 

HUGUES  FARSIT,  abbé  de  Saint-Jean 
près  de  Chartres,  Lettres  de  saint  Bernard 
qui  lui  sont  adressées,  XIV,  428.  C'est  peut- 
être  le  même  que  Hugues  de  Chartres,  ci- 
après.  (Voyez  son  article  dans  l'Histoire  lit- 
téraire de  la  France,  t.  XI,  p.  626  et  suiv.) 

HUGUES  FARSIT,  chanoine  réguHer  de 
Saint-Jean  de  Vignes.  (Voyez  son  article 
dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France,  tome 
XH,  p.  294  et  suiv.) 

HUGUES,   évêque  de  Gabale  en  Syrie,        "*5. 
passe  en  Occident  solliciter  du  secours  contre 
les  Mahométans  ;  ce  qui  donne  lieu  à  la  se- 
conde croisade. 

HUGUES,  archevêque  de  Tours,  succède       <i36. 
à  Hildebert.  Lettres  de  saint  Bernard  en  sa 
faveur,  XIV,  496. 

[HUGUES,  archevêque  de  Vienne.  Le  pape    xii  siècle. 
Eugène  III  lui  écrit,  XIV,  279.] 

HUGUES,  archevêque  de  Sens.  Sa  lettre       "bo- 
à  Barbe  d'Or,  doyen  de  l'Éghse  de  Paris,  sur 
la  mort  de  l'archevêque  Pierre  Lombard, 
XIV,  549.  Il  montre  le  corps  entier  de  saint 
Loup,  1006. 

HUGUES  DE  LACERTA,  disciple  de  saint 
Etienne  de  Muret,  fait  le  recueil  de  ses  ma- 
ximes et  sentences,  XIV,  S78.   [Nota.  Cela 

35 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


546 

est  contredit  dans  le  Journal  de  Verdun, 
1766,  août,  p.  132.) 

HUGUES    d'AMIENS,    archevêque     de 
Rouen,  embrasse  d'abord  la  vie  monastique 

JJJ5  à  Gluny.  Il  est  fait  prieur  de  Saint-Martial  à 
Limoges.  Il  passe  en  Angleterre  pour  être 

H28.  prieur  de  Saint-Pancrace,  et  dévient  ensuite 
abbé  du  monastère  de  Reading,  nouvelle- 
ment fondé.  Après  la  mort  de  Geoffroi,  ar- 

j,30  chevêque  de  Rouen,  il  est  élu  pour  lui  suc- 
céder. Il  reçoit  la  consécration.  Lettres  que 
lui  écrivent  saint  Bernard  et  Pierre  le  Véné- 
rable, XIV,  600.  Différents  conciles  auxquels 
il  assiste,  600  et  601.  Il  érige  en  abbaye 
l'église  d'Aumale.  Son  attachement  au  pape 

1135^  Innocent  II.  [Son  zèle,  601.]  Il  assiste  à  la 
mort  du  roi  d'Angleterre,  Henri  I,   601  et 

1164.  602.  Mort  de  l'archevêque  Hugues,  602.  Ses 
écrits.  Ses  Dialogues.  Analyse  de  cet  ou- 
vrage, 602  et  suiv.  Commentaire  sur  l'ou- 
vrage des  Six  Jours,  604.  Livre  de  la  Mé- 
moire. Explication  du  Symbole  et  de  l'Oraison 
dominicale,  605.  Lettres  de  Hugues  de 
Rouen,  606,  607.  [Autres  lettres  de  Hugues, 
607,  608.]  Vie  de  saint  Adjuteur,  608.  Livres 
contre  les  hérésies,  608  et  suiv.  Jugement 
sur  les  écrits  de  l'archevêque  Hugues,  610^ 
611.  — Sa  Vie  et  relation  de  son  voyage  en 
Bretagne,  par  Baudri,  évêque  de  Dol,  XIII, 
S31.  —  [Le  pape  Honorius  II  lui  écrit,  XIV, 
263,  264.]  Lettre  que  saint  Bernard  lui  écrit, 
XIV,  427.  [Lettre  que  Hugues  écrivit  à 
Thierri,  évêque  d'Amiens,  au  sujet  de  la 
construction  de  l'église  de  Saint-Martin  de 
Chartres,  605,  n.  9.]  Son  épitaphe,  compo- 
sée par  Arnoul  de  Lizieux,  759.  (Voyez  son 
article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  XII,  p.  647  et  suiv.) 

[HUGUES  LE  SCHISMATIQUE.  Livre  de 
Bonizon  contre  ce  schismatique  ;  il  est  perdu, 
Xm,  566.] 
XII  siècle.  HUGUES  ÉTÉRIEN,  né  en  Toscane,  puis 
établi  à  Conslantinople.  Son  traité  du  Retour 
des  âmes  de  l'enfer,  dédié  au  clergé  de  Pise, 
XIV,  657.  Analyse  de  cet  ouvrage,  657  et 
658.  Son  traité  de  la  Procession  du  Saint- 
Esprit  ;  il  le  compose  à  la  prière  de  l'empe- 
reur Manuel  Comnène,  658.  Analyse  de  cet 
ouvrage,  658  et  659.  Lettre  que  lui  écrit  le 
pape  Alexandre  III  sur  cet  ouvrage,  658  et  925 . 
HUGUES  DE  CHARTRES.  Son  épitaphe, 
parPhiUppede  Bonne-Espérance,  XIV,  687. 
(C'est  peut-être  le  même  que  Hugues  Farsit, 
abbé  de  Saint-Jean  près  de  Chartres,  dont  il 
est  parlé  plus  haut.) 


HUGUES  DE  CHAMPFLEURI,  chancelier 
de  France.  Différentes  lettres  du  pape 
Adrien  IV  pour  lui  procurer  plusieurs  bé- 
néfices et  lui  conférer  ceux  dont  il  jouis- 
sait, XIV,  914.  Sa  mort,  927.  [Notice  sur 
Hugues  et  ses  lettres  dans  la  Patrologie,  927, 
n.  1.] 

HUGUES,  fils  de  Pierre  de  Léon,  évêque 
de  Plaisance.  Lettres  du  pape  Adrien  IV  à 
son  sujet,  XIV,  915. 

HUGUES,  cardinal,  évêque  d'Ostie.  (Voyez 
son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  XII,  p.  572  et  suiv.) 

[HUGUES  DE  POITIERS,  moine  de  Véze- 
lai.  Ce  qu'on  sait  des  circonstances  de  sa 
vie,  XIV,  691.  Son  Histoire  du  monastère  de 
Vézelai.  Analyse  de  cet  ouvrage,  691  et  suiv. 
Édition  de  cette  Histoire  dans  la  Patrologie, 
693.  Chi'onique  des  comtes  de  Nevers  qui  lui 
est  attribuée.  Analyse  de  cet  écrit,  693, 694.] 
(Voyez  son  article  dans  l'Histoire  littéraire  de 
la  France,  t.  XII,  p.  668  et  suiv.) 

[HUGUES,  moine  de  Gluny.  Ce  qu'on  sait 
des  circonstances  de  sa  vie,  855.  Ses  écrits, 
855  et  856.  Ses  statuts,  856.]  Voyez /)«  Pin. 

HUGUES,  nommé  à  l'évêché  de  Saint-An- 
dré par  Guillaume,  roi  d'Ecosse,  XIV,  929, 
934,  937. 

HUGUES  ou  HUGUCION,  légat.  Voyez 
Hugucion. 

HUGUES  DE  NOYERS,  évêque  d'Auxerre. 
Sa  mort;  Guillaume  de  Seignelai  lui  succède, 
XIV,  1004. 

HUILE  de  l'Église.  Elle  guérissait  les  ma- 
lades, VII,  225.  Les  moines  de  Sainte-Vie 
guérissaient  les  malades  en  les  oignant 
d'huile  bénite,  490.  —  Les  moines  de  Saint- 
Colomban  portaient  sur  eux  de  l'huile  bénite 
pour  en  oindre  les  malades,  XI,  620.  [Huile 
allumée  devant  les  rehques  des  martyrs. 
Sa  vertu  médicale  attestée  par  saint  So- 
phrone  de  Jérusalem,  XI,  708.]  —  Huile 
sainte,  rend  la  santé  aux  malades  ;  on  s'en 
sert  à  divers  usages,  XIII,  146. 

HUMANITÉ  DÉ  JÉSUS-CHRIST,  opuscule 
de  Théodore  Aboncara  sur  l'humanité  de 
Jésus-Christ,  XH,  626. 

HUMBAUD,  évêque  de  Limoges,  déposé 
pour  avoir  falsifié  des  lettres  apostoliques, 
XHI,  434. 

HUMBELINE,  sœur  de  saint  Bruno,  quitte 
le  monde  à  la  persuasion  de  son  frère,  XIV, 
419. 

.   HUMBERT,  évêque  de  Virtzbourg.  Lettre 
qu'il  écrit  à  Raban  Maur  ;  Raban  lui  adresse 


1175. 


XII  siècl 


1101. 


XII  siècl 

1175. 
1206. 


1095. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


547 


son  commentaire  sur  les  Juges  et  sur  Ruth, 
XII,  450.  Lettre  que  lui  écrit  Raban  Maur 
sur  les  degrés  de  parenté,  458.  (Voyez  ce  qui 
en  est  dit  dans  l'Histoire  littéraire  de  la 
France,  t.  X,  p.  160.) 

HUMBERT,  cardinal,  évêque  de  Blanclie- 
Selve,  offert  par  ses  parents  au  monastère 
de  Moyen-Mouliers,  y  prend  l'habit  monas- 
tique, XIII,  248,  249.  pi  était  Bourgui- 
gQon,  249,  n.  1.]  Le  pape  [saint]  Léon  IX 
l'emmène  avec  lui  et  l'ordonne  archevêque 
de  toute  la  Sicile  pour  y  rétablir  la  religion 
détruite  parles  Sarrasins;  Humbertne  peut 
pénétrer  en  cette  lie  ;  le  pape  le  fait  cardinal 
de  Blanche -Selve;  il  accompagne  saint 
Léon  IX  en  ses  voyages  en  France,  en  Alle- 
magne et  à  son  retour  à  Rome,  249.  Il  tra- 
duit en  latin  la  lettre  de  Michel  Cérularius 
et  de  Léon  d'Acride  contre  différents  usages 
de  l'Église  latine,  204,  214,  250.  Il  présente 
cette  lettre  au  pape  et  l'aide  à  la  réfater  ; 
saint  Léon  IX  envoie  Humbert  en  qualité  de 
légat  à  Conslantinople  où  l'empereur  le  re- 
çoit avec  honneur,  206,  214,  249.  Analyse  de 
l'écrit  qu'il  y  composa  contre  la  lettre  du  pa- 
triarche Michel,  215  et  suiv.  Cet  écrit  est 
traduit  en  grec  par  ordre  de  l'empereur 
Constantin  Monomaque,  216.  Écrit  de  Nicé- 
tas  Pectorat  contre  les  Latins,  217.  Le  cardi- 
nal Humbert  le  réfute,  217  et  suiv.  Sa  réfu- 
tation est  aussi  traduite  en  grec  par  ordre 
de  l'empereur,  220.  Conjointement  avec  les 
autres  légats  ses  collègues,  le  cardinal  Hum- 
bert excommunie  le  patriarche  Michel  Céru- 
larius ;  suite  de  cette  démarche,  220.  Ana- 
lyse de  l'acte  d'excommunication,  220  et 
221.  Décret  du  patriarche  contre  cette  ex- 
communication, 221.  La  mort  du  pape  saint 
Léon  IX  rappelle  Humbert  à  Rome,  249.  Son 
crédit  sous  les  papes  Victor  II,  Etienne  IX 
et  Nicolas  II.  Différentes  affaires  où  il  fut 
employé,  240,  241,  244,  246.  Ses  voyages, 
206  et  249.  Son  crédit,  249,  2.o0.  11  est  chargé 
dans  un  concile  de  Rome  de  dresser  la  for- 
mule de  foi  qu'on  fit  signer  à  Bérenger,  170, 
250,  253.  Sa  mort;  témoignage  avantageux 
que  lui  rend  Lanfranc  ;  autres  écrits  du  car- 
dinal Humbert,  250.  Analyse  de  son  Traité 
contre  les  simoniaques,  250  et  suiv.  Son 
sentiment  touchant  la  validité  de  leurs  ordi- 
nations, 250,  251,  252.  Hymnes  et  répons 
qu'il  a  composés  pour  les  offices  de  divers 
saints,  252,  253.  Autres  écrits  qu'on  lui  at- 
tribue, 253.  Bérenger  le  charge  d'injures  et 
lui  reproche  ses  sentiments,  444.  (Voyez  son 


article  dans  l'Histoire  littéraire  de  la  France, 
t.  Vn,  p.  527  et  suiv.) 

HUMBERT,  prévôt  de  l'église  de  Lyon. 
Halinard,  archevêque  de  Lyon,  le  désigne 
pour  son  successeur,  XIII,  178.  Il  est  déposé 
au  concile  d'Autun  pour  cause  de  simonie, 
339.  —  On  élit  Gébonin  pour  le  remplacer, 
XIV,  1068. 

HUMBERT,  premierabbé  de  Saint- Vannes. 
Sa  mort,  XIH,  259. 

HUMBERT,  moine  de  Clairvaux.  Sermon 
de  saint  Bernard  sur  la  mort  de  ce  religieux, 
XIV,  484. 

HUMBERT,  abbé  d'Igny.  Sa  mort;  Guer- 
ric  lui  succède,  XIV,  493. 

HUMBERT  DE  BEAUJEU,  chevalier  du 
Temple,  quitte  l'ordre  et  reprend  sa  femme  ; 
lettre  de  Pierre  le  Vénérable  à  son  sujet, 
XIV,  513. 

HUMBERT,  général  des  Dominicains,  XIII, 
253. 

HUMBLES.  Discours  de  saint  Césaire 
d'Arles  sur  les  humbles  et  les  orgueilleux, 
XI,  142. 

[HUMBGLD,  archevêque  de  Lyon.  Le  pape 
Honorius  H  lui  écrit,  XIV,  254.] 

HUMILITÉ.  Doctrine  d'Origène,  II,  190. 
— Homélie  vingtième  de  saint  Basile  le  Grand, 
IV,  388,  389  ;  [de  Victorin,  330.]  —  Traité  de 
saint  Éphrem  sur  l'humilité,  VI,  33.  [Dis- 
cours sur  l'humilité  et  l'orgueil  par  saint 
Éphrem,  499.  Traité  de  l'humilité  par  saint 
Zenon,  évêque  deVerceil,  274.]  Homélie  de 
Novat,  moine  catholique,  sur  l'humilité  et 
l'obéissance,  331.  —  Exemple  d'humilité 
dans  saint  Augustin,  IX,  192.  Humilité  de 
Jésus-Christ,  224.  Nécessité  de  l'humilité, 
269.  Discours  faussement  attribué  à  saint 
Augustin  sur  l'obéissance  et  l'humilité,  288. 
—  Discours  de  saint  Valérien  de  Cémèle  sur 
l'humilité,  X,  158.  L'humilité  est  essentielle 
aux  vierges  ;  en  quoi  elle  consiste,  246.  — 
Lettre  de  saint  Fulgence  de  Ruspe  sur  l'hu- 
milité et  la  virginité,  XI,  27,  28.  Livre  de 
rOi^ueil  et  de  l'Humilité,  par  saint  Martin  de 
Dume,  lequel  est  resté  manuscrit,  351.  — 
Traité  de  saint  Bernard  des  Degrés  d'humi- 
lité et  d'orgueil,  XIV,  474,  475. 

HUMPHREYS  (David).  Sa  traduction  an- 
glaise des  œuvres  d'Athénagore,  I,  487. 

HUN,  abbé  d'Herfeld.  Combien  de  temps 
il  gouverna  cette  abbaye,  XII,  434. 

HUNALD,  disciple  de  saint  Colomban. 
Poëme  que  saint  Colomban  lui  adresse,  XI, 
627,  628. 


1052. 


1077. 


1077. 


972. 


V.  1131. 


831-S4C. 


548 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


946.  HUNÉGONDE  (Sainte),  première  abbesse 

d'Homblières.  Sa  Vie,  la  translation  de  ses 
reliques  et  ses  miracles,  écrits  par  l'abbé 
Bernier,  XII,  864. 

HUNÈRIC,  roi  des  Vandales  en  Afrique, 
informé  d'un  miracle,  V,  328.  —  Il  consent 
à  ce  que  l'Église  de  Carthage  se  donne  un 
évéque,  X,  452.  Il  continue  la  persécution 
contre  les  catholiques,  452  et  suiv.  Édit  par 
lequel  il  indique  une  conférence  entre  les 
484.  Catholiques  et  les  Ariens,  454.  Il  publie  son 
édit  de  persécution  générale  contre  les  ca- 
tholiques, 457.  Cruauté  avec  laquelle  cette 
persécution  s'exerce,  457  et  suiv.  Sa  mort 
extraordinaire  ;  son  neveu  Gondamond  lui 
succède,  462.  —  Hunéric  fit  couper  la  lan- 
gue à  des  évêques  qui  ne  laissèrent  pas  de 
parler  librement,  XI,  477. 

HUNS,  peuples  barbares.  Leur  incursion 
en  395,  VII,  76  et  605.  —  Ils  se  répandent 
sur  les  terres  des  Romains  et  désolent  toute 
l'Europe,  VIII,  513.  —  Leurs  ravages  sous 
Attila,  X,  355.  —  Histoire  de  leur  conver- 
sion au  christianisme ,  XII ,  476.  Voyez 
Avares, 

HUR,  époux  de  Marie,  sœur  de  Moïse,  se- 
lon Josèphe,  VI,  227. 

[HURMUCE  (Odoard).  Sa  version  latine 
d'une  lettre  de  saint  Germain  de  Constanti- 
nople,  XU,40.] 

[HURTER,  historien  d'Innocent  IH,  XIV, 
948  et  suiv.] 

[HURTER  (Hugues),  fils  du  précédent, 
jésuite,  professeur  à  Inspruck,  publie  une 
collection  d'opuscules  des  Pères  de  l'Église 
très-estimée.] 

[HU5SEY.  Son  édition  de  l'Histoire  ecclé- 
siastique de  Socrate,  VIII,  S25.] 

HUTGHINUS  (H.).  Son  édition  de  quelques 
ouvrages  de  saint  Justin,  martyr,  I,  445. 

HUZILLOS  ou  FUSSEL,  ville  dans  la 
Vieille-Castille.  Conciles  tenus  en  cette  ville, 
XIV,  i072  et  1079. 

HY,  île  au  nord  de  l'Irlande,  où  saint  Go- 
lomban  l'ancien  bâtit  un  monastère  qui  de- 
vient ensuite  le  chef-lieu  de  toute  la  pro- 
vince, XI,  612. 
mi.  HYACINTHE,  cardinal  diacre  du  titre  de 

Sainte-Marie-en-Cosmedin,  est  élu  pape  et 
prend  le  nom  de  Célestin  III,  XIV,  940. 

HYDASPES,  mage  ou  devin  du  paganisme. 
Oracles  supposés  sous  son  nom,  I,  299. 

HYDRAULIQUES,  qui  marquaient  exac- 
tement le  cours  des  astres,  envoyées  à  Gon- 
debaudpar  Théodoric,  X,  647. 


HYDRE.  Saint  Jérôme  désigne  Rufin  sous 
le  nom  d'hydre  à  plusieurs  têtes,  VIII,  460. 

HYDROMANGIE,  pratiquée  par  Numa,  IX, 
301. 

HYDROPARASTATES.  Nom  donné  aux 
Encratites  parce  qu'ils  n'offraient  que  de 
l'eau  dans  les  mystères,  X,  130.  — Saint  Ba- 
sile paraît  néanmoins  les  distinguer  des  En- 
cratites; il  rejette  leur  baptême,  IV,  459.  — 
Loi  de  Théodose  contre  eux,  VI,  367. 

HYDULPHE  (Saint),  archevêque  de 
Trêves.  L'Histoire  de  saint  Hydulphe  et  de 
ses  successeurs  n'est  point  de  saint  Léon  IX, 
mais  du  moine  Valcande,  XIII,  71  et  253. 
Les  répons  de  son  office  composés  par  le 
cardinal  Humbert  et  notés  par  le  pape  saint 
Léon  IX,  252.  [Vie  de  saint  Hydulphe,  dans 
la  Patrologie,  71.  Traité  de  ses  successeurs, 
71  et  72.] 

HYGIN  (Saint),  pape.  Décrétales  qui  lui 
sont  faussement  attribuées,  VI,  82. 

HYGIN,  évêque  de  Cordoue,  premier  dé- 
nonciateur des  Priscillianistes,  IV,  615. 

HYLARIUS,  nom  qu'on  donne  quelquefois 
au  pape  saint  Hilaire,  X,  335. 

HYLDILICHA,  supérieure  d'un  monastère     vu 
de  filles,  à  qui  saint  Adelme  de  Schirburn 
adresse  son  Traité  de  la  Virginité,  écrit  en 
prose,  XI,  804. 

HYMÉNÉE,  évéque  de  Jérusalem,  assiste 
au  concile  d'Antioche  contre  Paul  de  Samo- 
sate,  n,  567. 

[HYMÉNÉE  et  Alexandre,  dont  il  est  parlé 
dans  les  Actes  des  apôtres  :  sermon  de  saint 
Augustin  sur  eux,  IX,  841.] 

HYMNEMOND,  élu  abbé  d'Agaune,  X, 
747. 

HYMNES.  Hymne  d'Harmonius,  héré- 
tique; hymnes  que  saint  Éphrem  y  op- 
pose, I,  466.  Hymnes  des  premiers  fidèles, 
538  et  570.  Hymnes  de  Clément  d'Alexan- 
drie, 570.  —  Hymnes,  d'après  Origène,  II, 
192  ;  hymnes  de  Népos,  405  ;  hymnes  d'Athé- 
nogène,  464.  —  Hymnes  de  saint  Hilaire  de 
Poitiers,  IV,  54,  55.  [On  lui  attribue 
l'hymne  TeDeum,  66,  n.  9.]  Hymnes  dans  les 
églises  :  on  finissait  le  jour  par  le  chant  des 
hymnes,  78.  Hymne  de  Victorin,  orateur 
chrétien,  328.  —  Hymne  à  Jésus-Christ,  au 
jour  de  Pâques,  poëme  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  V,  279.  Hymne  à  Dieu,  poëme  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze,  295.  Autres 
poëmes  ou  hymnes  de  saint  Grégoire  de 
Nazianze,  306.  Hymnes  de  saint  Ambroise. 
L'hymne   Te  Deuin  n'a  point  été  faite  par 


siècle. 


TABLE  GÉNÉRALE  DES  MATIÈRES. 


549 


saint  Ambroise,  509.  —  [Hymne  de  saint 
Éphrem,  YI,  511,  512.]  —  Hymnes  de  Sy- 
nésius  de  Ptolémaïde,  VHl,  32.  Hymne  en 
l'honneur  de  saint  Ambroise,  faussement 
attribuée  à  saint  Paulin,  évêque  de  Noie,  87 
et  88.  —  Hymne  des  trois  jeunes  Hébreux 
citée  par  saint  Augustin,  IX,  571,  Hymne 
que  les  Priscillianistes  disaient  avoir  été  ré- 
citée par  Jésus-Christ  après  la  dernière 
Cène,  576.  On  chantait  des  hymnes  tirées 
des  Psaumes,  tant  avant  l'oblation  que  du- 
rant la  communion,  766,  767.  —  Hymnes  du 
poète  Prudence,  le  Cathémérinon,  ou  hymne 
de  chaque  jour,  X,  101,  102.  Le  Péristepha- 
non,  ou  hymne  des  Couronnes,  102,  103. 
Hymne  de  saint  Mamert  Claudien,  335.  Le 
pape  saint  Gélase  avait  composé  des  hymnes 
àrimilation  de  saint  Ambroise,  510.  Hymnes 
divins  attribués  à  saint  Denys  l'Aréopagite, 
353. — Hymnes  de  Fortunat  de  Poitiers  :  elles 
sont  perdues,  XI,  412.  Saint  Isidore  de  Sé- 
ville  attribue  à  saint  Hilaire  de  Poitiers  et  à 
saint  Ambroise  de  Milan  les  hymnes  qu'on 
chante  dans  les  églises,  716.  —  Hymnes  at- 
tribuées au  Vénérable  Bède  ;  elles  paraissent 
du  style  de  Manfrède,  XII,  4.  [Treize  hym- 
nes de  Bède  ;  autre  hymne  du  même.  Hym- 
nes sur  la  Mère  de  Dieu,  par  saint  Germain, 
patriarche  de  Constantinople,  43.]  Hymnes 
attribuées  àsaint  Jean  Damascène,  85.  [Hym- 
nes du  même,  publiées  par  Maï,  89  et  suiv.] 
Hymne  Ut  queant  Iaxis,  attribuée  à  Paul, 
diacre  d'Aquilée,  147.  Hymnes  de  saint 
Paulin,  patriarche  d'Aquilée,  162,  163. 
Hymne  Gloria  in  excelsis,  chantée  aux  dinian- 
ches  et  fêtes,  216.  L'hymne  Te  Deum  mise 
en  vers  par  Candide,  moine  de  Pulde,  383, 
386.  Décret  attribué  à  Léon  IV  pour  faire 
chanter  le  Te  Deum  la  veille  de  l'Assomption 
de  la  sainte  Vierge,  668.  Hymnes  attribuées 
à  Werembert,  moine  de  Saint-Gai,  694. 
Hymnes  de  Notker  le  Bègue^  766.  Le  qua- 
trième concile  de  Tolède  autorise  l'usage 
de  chanter  aux  offices  de  l'Église  les  hymnes 
composées  par  les  Pères,  917.  —  [Hymnes 
anciennes,  XIII,  22,  23.]  Faute  corrigée  dans 
l'hymne  Te  Deum,  par  AbbondeFleury,32, 
Hymnes  du  roi  Robert,  108,  109,  Hymnes 
des  Grecs,  136;  hymnes  de  Jean  Mauropus, 
métropolitain  d'Euchanie,  229,  230.  —  Hym- 
nes et  proses  d'Abaillard,  XIV,  333,  338, 
339.  —  Reproches  faits  aux  moines  de  ce 
qu'ils  chantaient  le  Te  Deum  aux  dimanches 
de  l'Avent  et  du  Carême  :  ils  s'en  justifient 
par  la  règle  de  saint  Benoit,  XIII,  763. 


415. 


[HYMNODIE  CÉLESTE  :  ouvrage  de  sainte 
Hildegarde,  XIV,  597,  n.  8.] 

HYPATIA,  fille  savante,  tenait  à  Alexan- 
drie une  école  publique  de  la  doctrine  de 
Platon  et  de  Plotin,  VIII,  23.  Tuée  dans  une 
sédition  à  Alexandrie,  237  et  387.  Lettre 
qu'on  lui  attribue  et  dont  elle  ne  peut  être 
l'auteur,  387. 

HYPATIA,  femme  différente  de  celle  qui      y  siècle, 
fut  massacrée  :  lettre  qui  lui  est  attribuée, 
VIII,  387. 

HYPATIUS,   parent  de   saint  Basile;  va     iv  siècle, 
voir  Eusèbe  de  Samosate,  IV,  433. 

HYPATIUS,  à  qui  saint  Grégoire  de  Na- 
zianze  écrit,  V,  239. 

HYPATIUS,  qui  vient  d'Egypte  vers  saint 
Épiphane,  VI,  414. 

HYPATIUS,  prêtre,  à  qui  saint  Jean  Chry-  404. 
sostôme  adresse  une  lettre,  VII,  133.  Autre  W5. 
lettre  de  ce  père  à  Hypatius,  135. 

HYPATIUS,  prêtre  et  chorévêque,  envoyé 
à  Rome  par  Théodoret,  X,  23  et  74. 

HYPATIUS,  ami  de  Théodoret,  à  la  prière 
de  qui  celui-ci  composa  son  commentaire 
sur  rOctateuque,  X,  26.  (C'est  peut-être  le 
même  que  le  précédent.) 

HYPATIUS,  père  de  Palladio,  femme  de 
Salvien,  prêtre  de  Marseille.  Son  méconten- 
tement de  la  résolution  qu'elle  avait  prise 
de  vivre  en  continence  avec  son  mari,  X, 
360,  361.  Lettre  que  Salvien  lui  écrit  sur  ce 
sujet,  361  et  376. 

HYPATIUS,  à  qui  saint  Sidoine  écrit  en  533. 
faveur  de  Donide,  X,  385. 

HYPATIUS,  archevêque  d'Éphèse,  envoyé 
à  Rome  par  l'empereur  Justinien,  XI,  116, 
117.  Il  tient  pour  les  Catholiques  la  confé- 
rence contre  les  Sévériens,  à  Constantinople, 
843  et  suiv. 

HYPATIUS,  évêque  de  Nicople.  Lettre  que 
le  pape  Honorius  écrit  à  son  sujet ,  XI , 
648. 

HYPÉRÉCHIUS,  prêtre  et  abbé,  qui  vivait 
avant  le  milieu  du  vi'  siècle.  Ses  Capitules 
ou  règles  abrégées  de  la  vie  spirituelle,  IX, 
697 .  [Édition  de  ses  écrits  dans  la  Patrologie, 
697. 

HYPOGNOSTICON  ou  HYPONMESTICON, 
ouvrage  faussement  attribué  à  saint  Augus- 
tin, IX,  338  et  Xll,  637  et  660.  —  Il  a  été 
aussi  faussement  attribué  au  pape  saint 
Sixte  III,  VIII,  233.  Raisons  qui  portent  à 
croire  que  cet  ouvrage  est  de  Marins  Mer- 
cator,  499  et  359.  Idée  de  ce  livre,  499 
et  suiv. 


HISTOIRE  DES  AUTEURS  SACRÉS  ET  ECCLÉSIASTIQUES. 


5S0 

HYPOMNESTICON    d'Euprépius    et     de 
Théodore,  XI,  772. 
362.  HYPOSTASE.   Question   sur  le  sens  de 

ce  terme  examinée  dans  le  concile  d'A- 
lexandrie, IV,  590.  Saint  Basile  marque 
la  différence  des  termes  de  substance  et 
d'hypostase,  434.  —  Ce  terme  a  donné 
lieu  à  de  grandes  contestations,  V,  217. 

—  Le  traité  de  la  différence  des  termes 
de  substance  et  d'hypostase  est  de  saint 
Basile,  VI,  186.  —  Division  dans  l'Église 
sur  le  terme  d'hypostase,  VII,  546  et  583. 

—  Remarque  de  saint  Augustin  sur  ce  terme, 
IX,  366.  —  Ce  terme  est  employé  par  saint 
Eiiloge,  patriarche  d'Alexandrie,  XI,  592. 


HYPOTYPOSES   :   ouvrage   de    Clément     iuiïI 
d'Alexandrie,  I,  586,  587.  —  Livres  de  Théo-     iii3iécie.1 
gnoste  d'Alexandrie  intitulés  des  Hypoty- 
poses,  II,  450  et  suiv. 

HYPSIS,  évéque  de  Parnasse,  chassé  par 
les  Ariens,  IV,  440. 

HYPSISTAIRES  ou  adorateurs  du  Très- 
Haut,  IV,  645.  —  Secte  mêlée  de  paganisme 
et  de  judaïsme,  V,  179  et  213.  Le  père  de 
saint  Grégoire  de  Nazianze  y  avait  été  eu- 
gagé,  213.  —  En  quoi  les  Hypsistaires  dif- 
féraient des  Chrétiens,  VI.  255. 

HYPSIUS,  évêque  d'Ancyre,  déposé  par        375 
les  Ariens  dans  un  concile  de  cette  ville,  IV, 
604. 


FIN  DU  TOME  PREMIER. 


ANGERS,  IMPRIMERIE  P.  LACHÈSE,  BELLEUVRE  ET  DOLBEAU. 


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