^ MEMÓRIAS DO INSTITUTO BUTANTAN 1941 4 TOMO XV * Sâo Paulo, Brasil Caixa Postal 65 MEMÓRIAS DO INSTITUTO BUTANTAN 1941 TOMO XV * Sáo Paulo, Brasil Caixa Postal 65 ÍNDICE Pag. Noticiário VII JOSÉ n. VALLE 5: ANANIAS PORTO — Novos resultados do estudo “in vilro” da musculatura lisa genital masculina do cobaio Influência do cstilboestrol 1 JOSÉ R. VALLE — Padronisation biologique de la Prolactine 9 JOSÉ R. VALLE — Sensibilidade à acetilcolina da sanguesuga Diplobdclla hrasi- li.n-U PINTO, 19201 17 ANANIAS PORTO — Sôbre a presença de Progcsterona no corpo amarelo de serpentes ovoviviparas 27 ANANIAS PORTO & RENATO SCAVONE — Efeitos da implantação de estiibocstrol sòbrc o aparelho reprodutor da canária (Sicalis flareola holti MOLLER) 31 J. I. LORO & LUCIANO DÉCOURT — O tratamento do diabete insípido 37 ARMANDO RODRIGUES TABORDA & LAURA COMETTE TABORDA — Da relação entre o corante dos venenos de cobra c sua fluorescência. I. Flavina no veneno da Bothrops jararaca 47 t WALDEMAR PECKOLT — Contribuição á matéria médica vegetal do Brasil. 7. Estudo farmacognóstico de Heckeria umbellata (L.) KUNTH; Piperaceae 69 J. TRAVASSOS éfc A. VALLEJO — Comportamento de alguns cavldcos (Carla aperra e llydrochoerus capybara) às inoculações experimentais do virus da febre maculosa. Possibilidade desses cavldcos representarem o papel de depositários transitórios do vinis na natureza 73 J. TRAVASSOS & A. VALLEJO — Possibilidade de Amhlyomina cajennrnse se infetar cm Hydrochocru» capybara expcrimcntalmcntc inoculado com o virus da febre maculosc 87 FLAVIO da FONSECA & RENATO R. CORRÊA — Infeção experimental de Ano- phelrs (Krrteazia) cruzi pelo Plasmodium vivax 91 J. A. B. da FONSECA & FLAVIO da FONSECA — Leptomona» anophclini, sp. n, parasita do Anopheles eincnl 101 FLAVIO da FONSECA — Notas de Acareologia. XXXII. Novas espécies brasileiras do género LiponUmis KOLENATI (Arari. Liponissidar) 103 WOLFGANG UCCHERL — (Juilópodos novos da coleção miriapndològica do Museu Nacional do Rio de Janeiro 119 WOLFGANG BCCHERL — Estudos morfo-anatòmicos sôbre Gcofilomorfos nco- trópicos 189 WOLFGANG BPCHERL — Catálogo dos (Juilópodos da zona nrotrópica 251 ALCIDES PRADO — Notas Ofiolõgk.i' 11. Sôbre uma raça de serpente neotrópica 373 12. Considerações cm torno de dois Atraetus da Colômbia com a descri- ção de uma nova espécie 377 JANDYRA PLANET do AMARAL — Observações cm torno da imunidade antidiftérica 383 PLÍNIO MARTINS RODRIGUES — Contrôle de esterilidade de produtos biológicos c químicos. Técnica adotada no Instituto Rutantan 391 HASSIB ASHCAR — Ensaios sôbre imunidade anticstafilocócica 399 J. de TOLEDO MELLO — Sôbre a prova de leite nas pesquisas bacteriológicas.... 423 J. de TOLEDO MELLO — Sôbre um Protcus imóvel 429 SciELO 1 0 11 12 13 14 NOTICIÁRIO Ao ser impresso o presente número das “Memórias”, é a seguinte a relação do pessoal técnico superior das várias secções do Instituto Butantan: Diretor: Flavio Oliveira Ribeiro da Fonseca, Dipl. Med. (D. M.), Prof. Parasit. Esc. Paul. Med. Assistentes-chefes: Alcides Prado, B. Cienc. & L., Dipl. Med. Cícero de Moura Neiva, B. Cienc. «£ L., Dipl. Med. Veter., ex-Prof. Esc. Med. Veter. S. Paulo. Joaquim Travassos da Rosa, B. Cienc. & L., Dipl. Med. José Bernardino Arantes, Dipl. Farm., Dipl. Med. (D.M.) Moacyr de Freitas Amorim, Dipl. Med., Prof. Fac. Med. Veter. S. Paulo. Paulo Monteiro de Bardos Marrey, Dipl. Med. Sebastião de Camargo Calazans, Dipl. Med. Assistentes: Aristides Vallejo Freire, Dipl. Med. Armando Taborda, B. Cienc. & L., Dipl. Quim. Fernando Paes de Barros. Dipl. Farm., Dipl. Med. (D.M.) Jandyra Planet do Amaral, Dipl. Med. (D.M.) José Ribeiro do Valle, B. Cienc. capnin und 933F wirken auf alie untersuchten Organe erregend. Xach Zugabe von Bulbocapnin oder 933F ist die Wirkung des Adrenalins hemmend. jedoch stãrker nach Kokain. Pito- cin erzeugtc niemals typischc Erregung. José R. Valle 4 Axanias Porto — Estudo “in vitro” da musculatura lisa genital masculina do cobaio 7 BIBLIOGRAFIA 1 — Valle, J. R. & Porto .1. — Contractilité et pharmacologie “in vitro" des canaux dé- fèrents et des vésicules séminales des cobayes normaux et castrés — C. R. Soc. Biol. 131:302.1939. 2 — l 'alie, J. R, &■ Porto A. — Influcnce des hormones sexucllcs sur le comportcment “in vitro" des canaux déférents et des vésicules séminales du cobaye — C. R. Soc. Biol. 131:306.1939. 3 — 1 alie, J. R, — Farmacologia do canal deferente e da vesícula seminal do cobaio (Papel dos hormônios sexuais). Tése, São Paulo. 1939. 4 — Martins, Th.; 1'alle, J. R. & Porto, A. — Estudo “ in vitro “ da musculatura lisa genital masculina de ratos cm diversas condições hormonais — Mem. Inst Butantan 14:119.1940. 5 — Martiiu, Th. & Valle, J, R. — Excitação do hipogástrico c ação da adrenalina c da pitocina sôbre a musculatura lisa genital masculina de gatos c cobaios em diver- sas condições hormonais — Mem. Inst. Butantan 14:109.1940. (Trsbalho da SecçSo de Endocrinologia do Instituto Hutan- tan. Entregue em maio de 1941 c dado à publicidade em janeiro de 1942.) 574 . 19 : 391.19 PADRONISATION BIOLOGIQUE DE LA PROLACTINE PAR JOSÉ R. YALLE Suivam les mstructions de FOrganisation d'Hygiène de Ia Socicté des Na- lons (I) et disposant de letaldn International de Ia Prolactine envové au protesseur Thales Martins par le professeur A. S. Parker, de Londres, nous avons eu I opportunite dessayer sur nos pigeons lactivité de cette homione préhy- pophysaire. Cette standardisation doit être faite, chez nous. avec un soin par- ticulier, car nous ne possédons pas. actuellement, des pigeons sélectionnés et mane a une ccrtainc époque. nous n*avons pü disposer de quclques animaux d age connu. En plus de ces inconveniente il faut rcmarqucr que nos pigeons domestiques, en genéral. vivent dans des conditions physiques peu satisfaisantcs : ,1 suffit de dire que près de 80^.' de ceux que nous avons eu, etaient intcctes naturcllcment par 1’Hcmoprotcus columbae. Lun des premiers soins pour la vérification de lactivité de Hionnone lactogauque preh^physaire est Pemploi de pigeons adultes. des deux sexes. tion du 7 n 7 d,nC “ ba . tÍO "’ P™*'* Ia niéthodc se base sur Faugmenta- t.on d poids des liourses laterales du jabot. Cette nécessité exige l.solement p «dable. au moms durant un mois. ou bicn. lexamen des conditions des engluvies as-ant de commencer le traitement. A cause de la loi de la varia- fon. surtout quand on emploie des animaux de groupes hétérogènes. conime dans le cas present, «1 faut o,K-rcr sur le plus grand nombre possiblc de pigeons IKUir chaque dose essayée. Riddle (2) a déniontré que la variation indivi- d .lf deS re P° nses ^ ut ítre ^ 1 à 6. même en faisant abstraction du facteur racial. Dans ce travail. nous exposons minutieusonent la méthode suivie dans notre Laborato.re et nous donnons les résultats obtenus avec letalon intema- T l0U " dcS motifs 'Hdépemlants de notre volonté nous navons pú em- ployer que ou o p.geons pour chaque dose étudiée. Les dosages ont été reahses en ple.n ete. avec la température movenne ambiante de 28T C 1 10 Memórias do Instituto Butantan Tomo XV MÉTHODE ET RÉSULTATS 1. Séléction des pigeons Des pigeons adultes de 270 à 320 gr. de poids som fistules, suivant la technique décrite dans un travail antérieur (3) et. lorsque 1’inspection des engluvies est négative, on les isole dans des cages individuelles. Dans le cas d'inspection positive, c’est-à-dire quand nous rencontrons épaississement. plis- sage ou sécrétion au niveau des Ixnirses latérales du jalx)t. les pigeons sont re- jetés temporairenient. Quelquefois. 1’inspection n’est pas suffisante pour dé- cider sTT y a ou s’il n'y a pas de réaction positive, comine par exemple tout au débout de la période d'incubation ; alors. le írottis de la muqueuse. comme nous avons eu 1'occasion de le décrire (4). sera la preuve décisive. Avec írottis positií 1’animal est ecarté. Cépendant, lorsque 1'inspection est négative mais le frottis révèle la présence d’une ou dautre gouttelette de graisse colorée par le Sudan III. le pigeon peut être utilisé. Nous avons vérifié que. parfois, le frottis est positif. même durant risolement. II est probable que cette “positi- vité”, vue la sensibilité du test. dépend de l'équilibre entre les gonades et l’hy- pophyse. Dans le cas de 1‘isolement. il y aurait baisse des hormones sexuelles et décharge conséquente de prolactine. influam sur les propres engluvies. Dans un travail récent, Morató Manaro (5) a démontré que la castration est accom- pagnée de frottis positifs. II conviendra donc d’empIoyer le pigeon dês qiTi! est fistule et choisi. Y aurait-il avantage à nemployer que les mâles. ou bien les femelles? Nous n 'avons pas observe des diííérences, ni qualitatives, ni quantitatives. dans les réponses de pigeons à l’honnone lactogénique suivant le scxe. On agira de bon aloi. cependant. si on determine le sexe des pigeons choisis et si on laisse de côté les femelles aux o va ires développés. surtout si on a presente à 1’esprit 1’action antagonique des oestrogènes sur la réponse à la prolactine (Fol- ley et White) (6). En résumé, la séléction des pigeons se fait par le poids (270-320 gr.) et par 1'inspection négative des bourscs latérales du jabot. Les femelles dont les ovaires pèsent plus d’un gramme ne doivent pas être employées. 2 . .Modus operandi Les pigeons sélectionnés sont divisés en groupes de 3 à 5 et injectés, soit au muscle pectoral (essais préliminaires). soit sous la peau. au dos (étalon). avec la même dose quotidienne de prolactine: dans 0,5 cc. de vêhicule aqueux o 1, | SciELO José R. Valle — Padronisation biologique de la Prolactine 11 * alcalin. On íait 4 injections (4 x 0.5 cc.) et les pigeons sont sacrifiés 24 lieures après la demière dose, c’est à dire 96 heures aprés le début du traite- nient. Chaque jour au moment de l'injection, on procède ã 1’inspection des en- gluvies et on prend note des observations : — négative, ± congestion, -f- conges- tion et épaississement, — (- épaississenient et plissage. -j — | — [- épaississement. plissage et sécrétion (crop-milk). En principe, avec Icmploi de préparations actives, on fait le frottis seulenient 24 et 48 lieures après le début de 1'expérience. II est clair quon peut dispenser le frottis lorsque 1'inspection est positive. A 1‘autopsie on pèse les thyroides. les gonades et les bourses latérales du jabot, liliérées de la graisse dorsale et des sécrétions. Le poids moyen de cha- cun de ces élénients est compté avec le poids moyen final des pigeons du groupe respectif. En somme. toutes les valeurs rencontrées sont calculées pour des ]>igcon> de 300 gr. poids coqiorel. que nous avons adopté comme l»ase jiour la facilite des comparaisons. 3. Poids normal des engluvies Pour mésurer les effets d’une préparation donnée de Prolactine. jiar la mé- thur la ligne moyenne du jabot, bien qu'elle ne provoque pas des réactions éten- «lues. ne nuit-ellc pas à la pesée des engluvies? II y a toujours, il est vrai, un éjiaississemcnt cicatriciel autour de la canule, mais, si ce nest des cas rares, s °n extension est limitéc et n'arrive pas jusqu’à la zonc dc réaction des bourses latérales. Lorsque la surfacc stimulée s'étcnd jusquaux liords dc la blcssurc alors 1 objcction compte. mais cela narrive que rarement. Mcme pour les gTandes doses, la surface de la muqueuse, qui s’épaissit extraordinairement, at- teint à peine la zonc de fixation de la canule. D’ailleurs, tous les pigeons étant dans des conditions expérimentales identiques, les résultats peuvent être com- ]>arab!es. Riddle (2) donne comme poids normal des engluvies 250 mgr. pour 100 gr. de poids corporel. c’est à dire. la moyenne de 7 50 mgr. pour des pigeons de 300 gr. Ce nombre, peu inférieur au nótre. signifie à peine que normale- ment nous avons pratiqué 1’incision sur une surface plus étendue. ■SciELO 0 11 12 13 14 15 16 cm 12 Memórias do Instituto Butantan — Tomo X\ 4. Essais préliminaires Les essais préliminaires des eííets de l'hormone lactogénique sur nos pi- geons ont été íaits principalement avec la préparation 7 Pr B. obtenue d*hypophy- ses bovines par la méthode de Bates et Riddle (7) et 1'amicale collaboration du Dr. H. W. Rzeppa. Avec cette préparation nous avons confirmé que 1'emploi de la voie sous- cutanée est préférable à celui de la voie intramusculaire (Bates) (8). Le ta- bleau Xo. 1 est élucidatit : Tabueau Xo. 1 IXFLUEXCE DE LA VOIE DWDMIXISTRATIOX Nombrc de pigcon* Poids moyen a l‘aut..psie (*T.) Préparation et dose Voie cf administration Poids moyen des en- gluvies (mgr.) Poids moyen des thyroides (mgr.) Unité pigeon par mgr. <•) 4 290 10 mgr. 7 PrB intramusculaire 2525 26.5 3.0 3 276 » sous-cutanée 3050 26.6 8.6 3 2S6 5 mgr. 7 PrB intramusculaire 1556 22 0 1.3 3 276 9 sous-cutanée 2326 21.6 5.3 (•) Calcul sclon U tahle de Riddle (Se* and Int. Secrct. 2.* ed. p. 1102). Lessai de 1'extrait initial 4 Pr a démontré llmportance du poids de 1'ovaire dans la variation des réponses (Tableau Xo. 2). La mcme dose de 4 Pr, qui a augmenté 3 fois le poids des engluvies de màle avec testicules développés. n’a pas modifié le poids des bourses latérales du jabot de la fcnielle avec ovairc grand et oviductc très hypertrophié. Tableac Xo. 2 IXFLUEXCE DU DÉVELOPFEMEXT GOXADAL Pigeons n. Poids á lau- t»»psic (»!«■.) Préparalion et dose Voie d*administration Volume injecté Poids des en- gluvies (mgr.) poids de% go- nades (mgr.) 70 285 4 Pr 50 mgr. intramusculaire 4.\05cc. 650 : Ova ire 2830 99 320 9 > 9 2350 Tc-ticule 2850 S4 310 9 > > 1950 Testirule 3700 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 José R. Valle — Padronisation biologique de la Prolactine 13 5. Essai de Ia prolactine Internationale Nous avons usé les comprimes de 10 mgr. = 100 u. i. venus en tubes fermés et conserves depuis la fin de 1938 dans leur emballage original à la Cou'b« d«» dt» #"^lj»i«s d«» pistons t I intcrnâlion»! d* Prolictin* obj * Lo &i^n«ui (») rrpt3faff*l 1 m val««ri p^r chèc»*« dn dOM) r*«*p1ojr«r» à « f I *0*1 1*» v*r*èfi*w» d* poidi d»S cn^lwvtt) trmoms températurc de 3 à 6 o . Xous avons fait 3 Solutions dans de Teau distillée, plus XaOH à 3 Ç& jusqu*à dissolution de telle manière que, après les corrections de 5 14 Memórias do Instituto Butantan Tomo XV volume. Ia solution A contenait 5 u. i., la solution B 12.5 et la solution C 2S,5 u. i. par cc. Le dosage ayant été calcule pour des pigeons de 300 gr., les 5 animaux du premier groupe reçurent chacun 12 u. i.; les 4 du second groupe 37 u. i. et íinalement les 4 pigeons du troisième groupe 55 u. i. Les 4 injections furent sous-cutanées. au dos, au volume de 0,5 cc. cha- cune, espacées par 24 heures. L’emploi de la voie sous-cutanée pour la pré- paration intemationale et dans les expériences comparatives est obligatoire. Le tableau Xo. 3 résume les résultats obtenus. Dans le graphique 1 nou- voyons la courbe des réponses et les points réprésentant, pour chacune des doses mentionnées, les valeurs individuelles. La simple inspection du graphi- que démontre combien est indispensable 1’emploi de divers animaux pour cha- que dose. Seulement des essais postérieurs pourront foumir des éclaircisse- ments sur les points intermédiaires de la courbe et, par 1’emploi d'un plu> grand nombre de pigeons, indiquer si les points établis som acceptables. Tableau Xo. 3 RÉSULTAT GÉXÉRAL * V =r o C Nombre de pigeons Dow mgr.’ 300 gr. p. corp. Poids moyen initial *T) Poids des en- gluvies mgr. 300 gr. p. corps- Poids moyen dé« 1 (mgr.) Poids de* thyroide* mgr. 300 gr. p. corp>. 0 9 Total K 12 14 26 273 746 S20 26.0 2S.6 A 3 2 5 1.2 270 250 1S26 2101 26 4 24 1 B 4 — 4 3.7 280 283 375.5 3980 26.5 28.1 C 4 — 4 5 5 204 308 4572 4453 28.2 27.1 Le frottis des engluvies ou 1’inspection pourront servir dès le dcbut du traitement comme critérium objectif pour la vérification de 1’activité des pre- pares injectés. Donnant des valeurs arbitraires aux signes ±, 4-, -| — (- e 4 — 1 — K de 5. 10. 20 et 30. il est possible. au cours du traitement, de se íaire peu à peu une idée de 1'activité de la préparation en étude. Dans le tableau Xo. 4 nous voyons non seulement la coincidence des valeurs proportionnelles aux doses, mais aussi la précocité de la réaction. Avec 1’emploi de 12 u. i.. ã Ia fin de 48 heures 1'inspection est pratiquement négative (10), et fortement positive (100) avec la dose de 55 u. i. Ce procédé, naturellement, fait place à une analyse plus minutieuse de 1’activité des préparations employées. 6 1, | SciELO José R. Valle — Padronisation biologique de la Prolactine 15 Tableau No. 4 VALEURS ARBITRAI RES DONNÉES A LTNSPECTIOX DES ENGLUVIES DE 4 PIGEONS DE CHAQUE GROUPE DURANT LE TRAITEMENT AVEC L’ÊTALON INTERNATIONAL Heures Groupe A 12 ii. i Groupe B 37 u.t Groupe C 55 u.i 0 0 0 0 24 0 5 35 48 10 45 100 72 40 70 100 96 55 110 140 Total 105 230 375 Pour les raisons exposécs au début, quoique les modifications proposécs soicnt de grande utilité, 1’essai quantitatif devra être considere comme prélimi- naire jusqu*à cc qu’il soit possible d’avoir, dans notre la1x)ratoire. des pigeons seleetionnés et d'âge connu. RÉSUMÊ Des pigeons adultes des deux scxes, de 270-320 gr. de poids. fistnlés cn dehors de la période de la couvaison avec inspection et frottis ncgatifs des englu- vies, ont été repartis en deux groupes: 26 controles, soit 12 mâles et 14 femcllcs; 13 traités, 11 mâles et 2 fcmelles. Les pigeons traités ont été subdivisés cn 3 groupes: 5 ont rcém as reações à adrenalina (1 : 500.000 — 1 : 100.000), à histamina (1 : 500.000 — 1 : 100.000). à nicotina ( 1 : 600.000 — 1 : 300.000), â pilocarpina e à muscarina (1 : 50.000 — 1 : 10.000), ao bário (1 : 30.000) e à atropina (1 : 20.000). Particularmentc importante era a verificação dos efeitos do ion K. Em- pregamos soluções de KC1 na concentração final no banho de 1 : 20000 a . . . 1 : 3.000. Numa série de experiências com Ananias Porto c que serão publicadas cm outro lugar, fizemos o ensaio do teor de acetilcolina em extratos de tecidos. O método de preparo destes extratos, descrito por Chang c Gaddum (10) c se- guido por Reynolds (11) para demonstrar a liberação de acetilcolina no úte- ro de coelhas depois do tratamento cstrogcnico, pode ser assim resumido : 20 Memórias do Instituto Butantcn — Tomo XV O órgão a extrair é picado e triturado num gral com ácido tricloracético a 10%, 2 ccs. por g. de tecido. Deixa-se a papa à temperatura ambiente du- rante duas horas, agitando-se neste intervalo várias vèzes. Filtra-se e lava-se o papel de filtro com ácido tricloracético a / % que serve também para re- extrair o bagaço. O liquido claro obtido é lavado com éter. num funil de se- paração, tantas vèzes quantas necessárias {«rã remoção do ácido; 3 a 4 vèzes são suficientes para o líquido não azular mais o papel de vermelho congo. Os ex- tratos etéreos são desprezados e o liquido é avaporado em banho-maria, no vácuo, a temperatura inferior a 40°. Uma vez evaporado, o volume restante é acertado com água distilada de tal modo que. p. cx., 1 cc. = 1 g., depois neutralizado com soda 0,1 normal e, finalmente, ensaiado. Fig. 2 Músculos dorsais escrmad-s de Viftobdcttm brasilicnsis etn Locke diluido ao terço, a) 0,5 cc. de um extrato obtido de órgãos genitais acessórios de rato» tratados cora estradicl; b) O mesmo volume de extrato pre- Ytamentc tratado cora soda; c) Acetilcolina a 1:600 milhões; d) A mesma dose de acetilcolina posta era contado prério durante 5 minutos com sóro humano; e) 1 cc. de ura extrato de baços de ratos tratados com substâncias estrogênicas. A mesma preparação de sanguesuga pode ser utilizada no ensaio de di- ferentes extratos e, com o emprego de uma diluição conhecida de acetilcolina, é facil calcular o seu teor no material examinado. O fator limitante é a con- tração persistente do músculo. A descontração pode ser apressada por mudan- ças repetidas do banho nutridor e. também, por leve tração na haste inscritora. Para cada nova verificação adicionava-se previamente ao banho a eserina na concentração referida. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 José R. Valle — Sensibilidade à acetilcolina da sanguesuga 21 Algumas vézes guardavamos a preparação em Ringer, à baixa temperatura de 3 o a 6 o . e repetíamos no dia seguinte a experiência nas condições assinaladas. RESULTADOS Xa maioria das preparações não foram registados movimentos espontâ- neos. Quando eles aparecem, deve-se pensar numa dissec.ão insuficiente. O automatismo é frequente na Haementeria lutei; talvez perque, a parede mus- cular dorsal sendo mais espessa nesta espécie, é com tr.ais dificuldade desem- baraçada dos elementos nervosos. Xos nossos ensaios somente examinamos as preparações quiescentes ab initio. A sensibilidade à acetilcolina do músculo dorsal eserinado da DiplubdcUa brasiliensis é variável com os exemplares. Encontramos reações francas desde a concentração final no banho, daquela droga, de 1 :30 milhões até 1 :3 bilhões. Como termo médio de sensibilidade, observada nas nossas condições experimen- tais, podemos dar 1 :300 milhões. Ftg. 3 Mósculof dofMi, cxcrinado* de DifU bJrlU bwMntU em Lccke diluido ao terço. al Clomo de poti»rio a 1:10.000; b) Coreto dc potiuío a 1:20.000; e) Nicotina 1:400.0 00. A piiocarpina, a muscarina, o liário e a nicotina exercem efeitos excitan- tes. A contração tônica provocada pela nicotina é persistente. A adição pré- via ao banho de atropina, não anula o efeito da acetilcolina. Quando as preparações não foram utilizadas para os ensaios farmacoló- gicos com as drogas acima mencionadas, elas mantém no dia seguinte a sua ’ 5 1, | SciELO 22 Memórias do Instituto Butantan Tomo XV sensibilidade à acetilcolina. Em um caso, mesmo, a sensibilidade da prepara- ção conservada 24 horas no frio, foi maior do que a registada na experiência inicial. A preparação é praticamente insensivel à adrenalina e à histamina nas concentrações referidas. Não é preciso acentuar a importância destes dados negativos quando se examina os efeitos farmacológicos de extratos orgânicos. O cloreto de potássio, ao contrário do referido por Chang e Gaddum para a Hirudo mcdicinalis, pode excitar, nas concentrações usadas, o músculo dor- sal da Diplobdclla brasilicnsis. O efeito excitante do KC1 parece, entretanto, menor do que o referido por Cicardo para a Semiscolex similis. COMENTÁRIOS E APLICAÇÕES No Quadro 1 vemos a variação, com a espécie, da sensibilidade â acetilcolina do músculo dorsal eserinado de sanguesuga. Para melhor comparação consi- deramos a Diplobdclla brasilicnsis com a sensibilidade à acetilcolina metade da referida por Gaddum para a Hirudo mcdicinalis. No pequeno número de exem- plares de Hacmcntcria lutzi que examinamos, a sensibilidade encontrada foi igual à assinalada por Lanari para a Argyrobdella ornata. Quadro 1 VA RIA ÇA O, COM A ESPÉCIE, DA SENSIBILIDADE DO MCSCULO DORSAL DE SANGUESUGA A ACETILCOLINA. ESPÉCIE Y por litro Concentração final no banho Autor Hirudo mcdicinalis Linxec 2 2x10’ Gaddum Diplobdclla brasilienis (Pinto) .... 4 4x10* Valle Semiscolex similis (Weyexb.) .... 10 1x10* Lanari Argyrobdella omata (Weyexb.) .. 20 2x10* Lanari Haementcria lutsi (Pinto) 20 2x10* Valle Com fins comparativos também estudamos a sensibilidade à acetilcolina do músculo reto abdominal e do coração da Lcptodactylus occllatus. A primeira preparação se mostrou muito pouco sensível. Apenas havia contração nitida do músculo eserinado na concentração de 1 :3 milhões de acetilcolina. O cora- ção se apresenta mais sensível, entretanto a sua especificidade é mais discutida. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 José R. Valxe — Sensibilidade à acetilcolina da sanguesuga 23 P Do que ficou exposto concluímos que. entre nós, a Diplobdella brasiliensis, na dificuldade de obtenção da Hirudo medicinalis, deve ser o test preferido nos ensaios de identificação da acetilcolina ou nos estudos da mediação quími- ca parasjmpática. *1» clÁMÍca optríntia d t Loori 0921), utando como tot a Diplobdtlla branltnsij ( 1*1 x TO, 1920). A sensibilidade da preparação ao ion K não constituc fator limitante do seu emprego, dadas as propriedades conhecidas da acetilcolina : instabilidade em meio alcalino, à calcinação c à colincsterase do soro. Lma tias aplicações desta preparação é o estudo, p. cx., da produção de acetilcolina pelo coração durante a excitação vagai. E’ uma velha experiên- cia de 1921, mas sempre nova j>elo seu valor objetivo. A clássica experiência de Loewi dos dois corações isolados de rans foi repetida com nova técnica en- tre outros por Bain, em 1932 (12). Xós realizamos a cxjieriéncia de outra ma- neira, empregando o coração do Bufo tnariniis e a sanguesuga mergulhada na cânula de períusão. A figura dispensa as minúcias c mostra o resultado. Si a contração da sanguesuga, nestas condições, é devida à acetilcolina liberada ou ao ion K, tido como seu prccursos. ou então a ambas as substâncias, é ques- tão a ser esclarecida. SUMARIO O músculo dorsal da sanguesuga Diplobdella brosiliensis, cserinado e “in vitro”, é bastante sensível à acetilcolina e aos extratos orgânicos contendo esta ■SciELO 0 11 12 13 14 15 16 cm 24 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV substância. A sensibilidade é variável conforme os exemplares, sendo o va- lor médio encontrado o correspondente à concentração final no banho de 1 :300 milhões. A adrenalina e a histamina são ineficazes. A pilocarpina, a muScarina e o bário provocam contração tônica que é enérgica e persistente depois da nico- tina. A atropina, préviamente adicionada ao banho, não inibe a resposta à ace- tilcolina. Embora a preparação seja também sensível ao ion K, as propriedades da acetilcolina permitem distinguir si a contração registada depende de uma ou de outra das duas substâncias. Das espécies de sanguesugas estudadas na América do Sul, a Diplobdel- la brasiliensis parece ser a mais apropriada para êstes ensaios biológicos. Uti- lizando-se da preparação em apreço, foi preconizada nova técnica para a reali- zação da clássica experiência de Loewi. SENSITIVENESS TO ACETYLCHOLINE OF THE DORSAL ESE- RINTZED MUSCLE OF DIPLOBDELLA BRASILIENSIS (Pinto, 1920) As a highly sensitive test for acetylcholine the dorsal muscle of Hirudo medicinalis L. is largely employed. This species is not available among us: therefore, we thought it interesting to veriíy the sensitiveness to that drug of Diplobdclla brasiliensis, a neotropic Hirudinae, resembling the European leech. The dorsal muscle was isolated, transferred to a beaker with oxygenated Rin- ger’s solution and treated with eserine. Although an individual variation may have existed, we can takc the average sensitiveness as being 1 : 300 millions. According to Gaddum, the European leech is sensitive to 1 : 500 millions. Adrenaline and histamine proved to be ineffective. Pilocarpine, muscarine, baryum and nicotine provoked tonic contraction, the former with a weak and the latter with a persistam effect. Atropine did not antagonize the action of acetylcholine. Potassium chloride also had a stimulating effect, but the active concentration found was only 1 : 20.000. In connection with the usefulness of the test a modification of Locwi’s clnssic experiment was performed. The hcart of Bufo marinus L. and the leech immersed in the Straub's canule were employed. Also here, after the arrest of the heart by vagai stimulation, a little contraction of the dorsal eserinized muscle was noticed. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 José R. Valle — Sensibilidade ã acetilcolina da sanguesuga 23 BIBLIOGRAFIA 1 — Fühner, H. — Untersuchungen über dcn Synergismus von Giíten. IV. Die chc- mische Errcgbarkeitsstcigerung glattcr Muskulatur — Arch. f. exper. Path. u. Pharmakol. 28:51.1918. 2 — Mims, li. — Pharmakologischc Unter.-uchungcn am Blutcgclprãparat zuglcich cine Methodc zum biologischen Xachwcis von Acetylcholin bei Amvcscnhcit amlcrer pharmakologisch wirksamer kõrpereigcner Stoííe — Arch. f. exper. Path. u. Pharmakol. 168 :292. 1932. 3 — Gadduni. J. — Getãsserwciterndc Stoííe der Gewebe. G. Thiente. Lcipzig, 1936. 4 — Xavier. .4. — " Diplobdella brasiliensis ”, espécie de sanguesuga comum nos arredo- res do Rio de Janeiro, como objeto de prova cm farmacologia quantitativa — Brasil-Médico 54(46) :760. 1940. 5 — Carvalho. P. — Dosagem de acetilcolina cm músculos de sanguesugas brasileiras — Arq. Inst. Bcnjamin Baptista (Rio) 6:73.1940. 6 — Lanari A. — Los transmisores químicos. Contribución al estúdio fisiológico y farmacológico de la acetilcolina. Tése. “El Ateneo”. Buenos Aires, 1936. ~ — Cicardo, V. — Ia acción dcl potacio cn los extractos de tejidos — Rcv. Soc. Arg. de Biologia 1S(7) :318.1939. 8 — Pinto. Cesar — Contribuição ao estudo de hirudincos do Brasil (3 artigos) — Bra- sil-Médico 34 ( 35,38,43 ) . 1920. 9 — Cordero, F.. //. — Revisión de los tipos de hirudincos brasileros dcscriptos por Cesar Pinto cm 1920 — An. Acad. Bras. Scicncias 8(3) :221. 1936. 10 — Chang. H . Sr Gaddum, J. — Cholinc esters in tissuc extraets — J. Physiol. 79: 255.1933. 11 — Rrynolds. S. — Acctylcholinc contcnt of uteri before and aíter administration of oestrin to ovaricctomizcd rabbits — J. Physiol. 95:258.1939. 13 — Baia. A. — A mcthod of demonstrating thc humoral transmission of thc cffccts of cardiac vagus stimulation in thc frog — Quart. J. Exp. Physiol. 22:269.19 32. (Trabalho da Secçío de Endocrinologia do Inrlituto Butaa- tan. Eíitrrgur em maio de 1941 e dado 4 publicidade etn janeiro de 1942.) 9 391 19 SÔBRE A PRESENÇA DE PROGESTERONA NO CORPO AMA- RELO DE SERPENTES OVOVIVÍPARAS POR ANANIAS PORTO Fraenkel e Martins (1-4). estudando a genitália de serpentes ovoviviparas — Crotalus terrificus (Laur.) e Bothrops jararaca (Wied.) — descreveram uma formação semelhante ao corpo amarelo dos mamíferos, sempre presente nos ovários de exemplares prenhes, em número variável, mas concordando com o número de embriões cqntidos no útero c altemando-se com folículos desen- volvidos. Fazendo a castração das citadas serpentes prenhes, apesar da grande mortalidade, puderam verificar os autores que, dos 160 exemplares estudados, nenhum chegou com a gravidez a termo, tendo havido cm alguns casos almrto e cm outros alterações graves do ovo. Concluem os autores que. semelhantemente aos mamíferos, o corpo ama- relo é essencial ao prosseguimento normal da prenhez. Clausen (5) também estudou o efeito da ovarectomia. hipofisectomia c a administração de progesterona c extrato pituitário sôbre a gestação de cobras ovoviviparas, usando os gêneros Xatri. r ( ciclo piou . rhombifera. confluais, si- pedon). Thamnophis ( sirtalis , butlcri ) c a Storcria dckayi. Concluc o autor que a castração no inicio da prenhez resulta na absorção dos embriões; durante a metade, morte dos embriões c no fim. cm alguns casos, retardamento do cres- cimento embrionário, mas não sendo completamente inibido. A hipofisectomia durante o inicio da gestação traz a reabsorção dos em- briões, ao passo que a retirada da hipófise no meio ou no fim da gestação resulta na morte dos embriões, parto prematuro ou. em alguns casos, reabsorção. Por outro lado, a injeção de progesterona cristalina não prolonga o periodo de ges- tação das prenhes castradas. A administração de extratos do lobo posterior, quando feita no inicio ou no meio da gestação, não a afeta, havendo porém parto si a administração for feita em periodo mais tardio. 1 28 Memórias do Instituto Butantan — Tomo X\ Os corpos amarelos de serpentes o vo vi vi paras não venenosas, pertencentes aos gêneros Tomodon e Dryophylax, serão descritos em próximo trabalho deste Laboratório. Xo presente trabalho procuramos demonstrar a presença de substâncias de ação progestacional nos corpos amarelos das duas espécies: Crotalus tcrrificus e Bothrops jararaca. MATERIAL E MÉTODO Os corpos amarelos obtidos de exemplares sacrificados ou mortos eram pe- sados, contados, triturados e conservados a temperatura ambiente, em álcool a 96% ou em acetona. Ajuntavam-se assim os corpos amarelos durante algum tempo, variável de 42 a 155 dias. Extraímos o hormônio, agitando o material durante meia a duas horas, com 50 ccs. de álcool a 96% várias vêzes, como acon- selha Clauberg (6) ; as frações alcoólicas eram reunidas após centrifugação e o resíduo desprezado. Evaporava-se o álcool em banho-maria a 40°, no vácuo, c o resíduo era suspenso em óleo de sésamo, em volume conveniente e injetado durante 5 dia-, subcutaneamente, em coelhas infantis, de 600 gs. no início do tratamento. As coelhas eram antes tratadas com 1 y de benzoato de estradiol diariamen- te, durante 8 dias. Os animais eram autopsiados no dia seguinte à última injeção de extrato e os órgãos fixados em Bouin. Algumas vêzes fizemos a aplicação local do extrato cm volume igual a 0. 10 cc. dentro da luz uterina (7-11). Sempre as experiências eram acompanhadas de provas em branco, isto é, as coelhas testemunhas recebiam após a estrina óleo de sésamo puro. Para se ter idéia quantitativa, citaremos uma das experiências em que 158 corpos amarelos, pesando 2900 mgs. foram extraidos várias vêzes com 50 ccs. de álcool a 96%, dissolveu-se o resíduo da evaporação das frações alcoólicas cm 5 ccs. de óleo de sésamo e injetou-se 1 cc. diariamente, por via subcutânea. Ao exame histológico o útero apresentava uma reação igual a 2 pela escala de Mac Phail (12). Injetamos também os extratos em gatas e ratas castradas e sensibilizadas pela estrina. O exame histológico dos fragmentos uterinos das coelhas infantis, tratadas com os extratos e previamente sensibilizadas com o estradiol, permite concluir que existem substâncias de ação progestacional nos corpos amarelos de serpentes ovoviví paras. 1, | SciELO 2 Ananias Porto — Progesterona no corpo amarelo de serpentes ovoviviparas 29 CBER DAS VORHAXDENSEIN VOX PROGESTATIYEX SUBSTAX- ZEX IM GELBKORPER VOX OVOVIVIPAREX SCHLAXGEN Fraenkel und Martins haben bei den ovoviviparen Schlangen, Crolalus terrificus (Laur.) und Bothrops jararaca (Wikd.) , einen Kòrper beschrieben, der bei graviden Tieren iminer vorhanden ist und dem Gclbkôrper der Sãugetiere gleicht. Auch Clausen widmete sich dem gleichen Studium bei Schlangen der Gattungen: Xatrix, Thamnophis und Storcria und bcwies ebenfalls einen inni- gen Zusammenhang dieses Gelbkõrpers mit der Graviditãt. Fif. 1 Microfutofraía do utero da c.clha Xa 158, de 600 fv. iratxU duran- tf 8 diat coei 10 LM. de benxoato de estradioi e mai* 5 dia* coo 0.S cc. tubeutanea mente de óleo de *ê- taroo pera Corte de 5 micra, c ol. H.E.. Aumento de J9X. Fig. 2 MtcrofotcfTafia do út:ro da coelha No. 19$. de $50 £v. tratada durante 8 dia* Cvtn 10 LM. de benaoato de e*tradic4 e rr.ii» 5 dia* tubcutancamentc com 0 5 cc. de extrato corre*poodentc a 158 corpo* ama- relo*. Corte dr $ micra, col. II. E. Au- mento J8X. In vorliegendcr Arbeit weist der Ycrfasser das Vorhandcnscin von Substanzen mit progestativer \\ irksamkcit im Gclbkôrper von trãchtigen Crolalus und Bothrops nach. Zu diesem Zweckc wurden dic Gelbkõrper sotort nach dem Tode der genannten Tiere gesammelt, gcmahlcn, verschiedene Male mit 96 proz. Alkohol ausgezogen und die alkoholischcn Fraktionen im Vakuum bei 40° eingcdampft. Der Rückstand wurde in Sesamõl suspendiert und wãhrend 5 Tagcn jungen, weiblichen Kaninchen von 600 g subkutan injiziert. Dic l>etreí fenden Kaninchen wurden zuvor 8 Tage lang mit Oestradiol-Benzoat behandclt (1 gama pro Tag). 3 30 Memórias do Instituto Butantan Tomo XV Die Uterusreaktion wurde 24 Stunden nach der letzten Injektion des genannten Extraktes untersucht. Um eine quantitative Idee der Versuche zu geben, wird angeführt, dass 158 Gelbkõrper, mit einem Gesamtgewicht von 2.9 g in Mengen von 1 ccm. tãglich subkutan injiziert, eine Reaktion gaben entsprechend Xo. 2 der Skala von MacPhail. BIBLIOGRAFIA 1 — Fraenkel, L. & Martins, Th. — Sur le corps jaune des scrpetUs vivi pares — C. R. Soc. Biol. 127:466.1938. 2 — Fraenkel, L. & Martins, Th. — Estudos sóbre a fisiologia sexual das serpentes — Mem. Inst. Butantan 13:393.1939. 3 — Fraenkel, L Martins, Th- & Mello, R. F. — Observaciones sobre el embarazo de las serpientes viviparas — Arcli. Soc. Biol. Montevideo 10:1.1940. 4 — Fraenkel, L.; Martins, Th. & Mello, R. F- — Studies on thc pregnancy oi viviparous snakcs — Endocrinology 27(5) :836. 1940. 5 — Clausen, II. J. — Studies on tbe ciícct of ovariotomy and hypophyscctomy on gesta- tion in snakcs — Endocrinology 27(4) :700. 1940. 6 — Clauberg, C. — I.as hormonas scxualcs íemeninas. Tradução. Editorial Labor S. A. Barcelona, 1935, p. 103. 7 — Mussio Fournier, J. C.; Morató-Manaro, J. & Albrieu i, A. — Action locale des hormones — Prcssc Médicalc 44:844.1939. 8 — Mussio Fournier, J, C.; Albrieux, A. & Grosso, O. — Thc local eíícct of luteo- hormone on uterine mucosa of thc infantile rabbit — Endocrinology 24(4) :515.1939. 9 — Mussio Fournier, J. C.; Albrieux, A.; Morató-Manaro, J. & Grosso, O. — Action lo- cal c de la progesterone sur la muqueuse de 1’uterus dc la lapinc infantile. Sa valeur possiblc commc test biologique de la progesterone — Buli. 1'Acad. Med. Paris 120:273.1938. 10 — Haskins, Jr., A. L. — Assay of progesterone by intra-uterinc application in thc rabbit — Proc. Soc. Exp. Biol. a. Med. 42(2) :624. 1939. 11 _ Mac Ginty, D. A.; Anderson. L. P. & Mac Cullagh, S. B. — Eíícct of local appli- cation of progesterone on thc rabbit uterus — Endocrinology 24(6) :829. 1939. 12 — MacPhail, M. K. — Thc assay of Progrestin — J. Physiol. 83:145.1934. (Tratolbo A» S«c(áo de Endocrinolofia do Instituto Butan- tan. Entregue em maio de 1941 c dado i publicidade em janeiro de 1942.) cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 391 . 19 : 598.2 EFEITOS DA IMPLANTAÇÃO DE ESTILBOESTROL SÔBRE O APARELHO REPRODUTOR DA CANÁRIA (SICALIS FLAVEOLA HOLTl MÜLLER) POR ANANIAS PORTO & RENATO SCAVONE Tem sido bctn estudada a ação dos estrogênicos naturais, de estrutura fcnantrênica, sõbre os caracteres sexuais secundários das aves. No pardal, Ringoen (1), Ringoen & Kirschbaum (2), Keck (3); no pombo, Riddle & Tange (4); no embrião de galinha, Wolíf & Ginglinger (5), Willicr, Gallagher & Koch (6), verificaram que os estrogênicos naturais são cajrazes de produzii uma hipertrofia do oviduto. Wolff (7) estudou a ação do dictilcstilboestrol sõbre os órgãos genitais do embrião de galinha, geneticamente machos, concluindo que esse cstrogênico sin- tético, de estrutura não fcnantrênica, produz uma hipertrofia do oviduto. No presente trai ml ho estudamos a ação do dictilcstilboestrol sõbre o ovário e o oviduto de nossas canárias da terra, Sicalis flavcola holti Aí.. É sabido que essas aves em cativeiro só se reproduzem em circunstâncias especiais, como veri- ficou Gocldi (8), interessante, portanto, seria verificar a ação dessa substância em aves nessas condições, motivo porque fizemos nossas experiências no inicio da estação reprodutora. MÉTODO E RESULTADOS As aves foram capturadas cm novembro de 1939, no Vale do Paraiba. Em 15 de janeiro de 1940 foram laparatomizadas pelo prof. Thalcs Martins, afim de verificar com exatidão o sexo c, cm seguida, distribuídas aos pares em gaiolas, deixadas cm biotério interno do Laboratório. A alimentação consistia em alpiste, fubá c, uma ou duas vèzes por semana, verdura. Em 19 de novembro, isto é, no inicio do verão, foi feita em 5 canárias a implantação subcutânea de 10 mgs. de estilboestrol na região jieitoral. tampo- 1 32 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV nando-se o lugar da incisão com colódio. Como controle foram deixadas 4 canárias, sem nenhum tratamento. Em 3 de dezembro, isto é, 14 dias após a implantação foram autopsiadas, pesando-se o oviduto e o ovário, além de se pesar restos de estilboestrol porventura ainda não absorvidos. Os órgãos foram fixados em líquido de Bouin para exame microscópico. Os resultados estão descriminados no Quadro abaixo: Xo. T ratamento (Implantação) Peso corporal Peso do oviduto Peso do ovário Restos de Estilboestrol 1 10 mgs. Estilb. 20 gs. 1.215 mgs. 25 mgs. 0 2 ” " Estilb. 20 gs. 169 mgs. 10 mgs. 0 3 " " Estilb. 18 gs. 579 mgs. 17 mgs. 5 mgs. 4 (*) ” " Estilb. 18 gs. 668 mgs. 11 mgs. 0 5 Estilb. 14 gs. 397 mgs. 13 mgs. 4 mgs. 6 — 23 gs. 59 mgs. 46 mgs. — 7 (*) — 19 gs. 61 mgs. 30 mgs. — 8 — 21 gs. 63 mgs. 40 mgs. — 9 — 22 gs. 34 mgs. 27 mgs. (•) Fotografada», Fig. 1. A ave Xo. 5 se apresentou, a partir do 7.° dia. encorajada, penas arre- piadas, asas caídas, vindo a morrer no 12.° dia após a implantação. A Xo. 2 também apresentou sinais de intoxicação no 8.° dia, porém resistiu até o dia da autópsia. Macroscopicamente o oviduto, nas tratadas, se apresentava calibroso e eno- velado. ao passo que as testemunhas apresentavam-no fino e retilíneo. Pelo exame do quadro pode-se notar que o ovário das tratadas foi depri- mido pelo estilboestrol. Êstes resultados estão de acordo com os de Ringoen, que observou o mesmo fato no ovário de Passcr domesticas L., tratado com estradiol no início do verão. Xas nossas aves não tratadas, havia no dia da autópsia, grande quantidade de gordura na região próxima à cloaca entre a emergência das duas patas ; cm nenhuma das tratadas foi encontrada essa gordura. Fizemos tanto nas controles como nas implantadas o “frottis” da cloaca, nada fornecendo de interessante. Microscopicamente nos cortes examinados, encontramos: Oviduto da não tratada No. 7: Maior diâmetro transversal 1 mm.. Mucosa nitidamente pregueada no sentido longitudinal, revestida por epitélio cilíndrico ciliado, sem células calici formes. Lâmina própria constituida por tecido con- SciELO 10 11 12 13 14 15 16 cm An AN ias Porto A Renato ScaYone — Implantação de estilboestrol no aparelho reprodutor da canária 33 juntivo, não se vendo glândulas. Túnica muscular lisa. com uma camada interna circular e uma externa longitudinal. Oviduto da tratada Xo. 4 : Maior diâmetro transversal 3 mm.. Luz cheia de secreção, constituída por uma substância homogênea, fracamcnte corada pela cosina e numerosas células descamadas. Mucosa pregueada longitudinalmente, revestida por epitélio cilíndrico ciliado, com numerosas células caliciformes, vendo-se aliai xo dele numerosas glândulas tubulares, comprimidas umas contra as outras, cujo epitélio é constituído por células claras, de citoplasma finamente granuloso. Entre a mucosa e as camadas musculares subjacentes nota-se uma delgada lâmina conjuntiva. Devido à presença dessas glândulas a mucosa se apresenta consideravelmente mais espessa do que a controle. Canária» da tetra, feroea*. À «querda controle, à direita implan- tada cora 10 rap. de dietilevtilboevtroJ. Notar a grande hipertrofia e o enovelamento do oviduto da tratada. 3 — ■ 34 Memórias dr Instituto Butantan — Tomo XV Concluímos, do presente estudo, que uma substância estrogênica sintética, de estiutura não fenantrênica como o estilboestrol, pode determinar notável hipertrofia do oviduto e depressão do ovário de canárias da terra. Êste último efeito foi obtido no início do verão, restando verificar si o mesmo acontece na época de repouso sexual. Fi*. 2 Oviduto das canárias 7 t controle á esquerda, c 4 i direita implantada cora 10 tngi. de dietilestilloe trol. Col. H. K. Aumento 6 2JS X RESUMO Foram estudados os efeitos da implantação de 10 mgs. de dietilestilboestrol durante 12 a 14 dias sóbre o aparelho reprodutor de canárias da terra ( Sicalis flavcoh holti Müller). Da comparação entre as tratadas e um grupo de con- troles ficaram patentes a hipertrofia do oviduto e a depressão do ovário. A depressão do ovário foi obtida no inicio do verão, em novembro, ficando para ser determinado si o efeito é também registado no inicio do inverno. ZUS A M M EXFASSU NG Da wir bereits die Wirkungen der natürlichen oestrogenen Substanzen auf den Reproduktionsapparat der Vogei sehr gut kennen. wãre es interessam. 4 / Ananias Porto i Renato Scavone — Implantação de estilboestrol no aparelho reprodutor da canária 35 auch einmal die Wirkung des Diãthvlstilboestrols auf eine noch nicht studierte Art, die Sicalis jlaveola holti Müller, zu erforschen. Bei diesen Versuchen, die immer zu Beginn der Fortpflanzungszcit, d. h. im November, ausgeführt wurden, wurde bei weiblichen, vor rund einem Jahr geíangenen, Kanarien eine subkutane Implantation von 10 mg. Stilboestrol Merck vorgenommen. 12 bis 14 Tage nach der Implantation wurden die Tiere seziert. die Geschlechtsorgane gcwogen und in Bouin fixiert. Zwei der so behandelten Võgel zeigten Vergiftungserscheinungen, wobei der eine ani 12 Tage erlag. Parallel dem Versuche wurde auch eine Anzahl Kontrolltiere gehaltcn. Der Eierstock sãmtlicher Versuchstiere wog weniger ais der der Kontroll- tiere, was die Einschrumpfung des Eierstockcs Ersterer beweist. Die Eilciter dagegen warcn bei allen Versuchstieren schon makroskopisch ais sehr um- íangreiche und ver schlun gene Organc zu schen und wogen in jedem Falle mehr ais die der Kontrolltiere. Das Gewichtsverhãltnis der Eileiter Ersterer zu I.ctz- terem schwankte zwischcn 2. 5 bis 19 mal mehr l>ei den Versuchstieren- Die Eileiter der Kontrolltiere warcn schmal und zeigten einen geraden Verlauf. Es wird somit der Bewcis crbracht, dass eine nicht phenanthrenischc oestrogene Substanz l>ci Sicalis flaveola holti M 01. LER eine Vergròsserung dei Eileiter und eine Gcwicht sabnahme des Ovars hervorruíen kann. BIBLIOGRAFIA 1 — Rmgofn. .4. R. — Effccts of administration of theclin on th** reproduction system oi thc fetnalc English spatTow (Passcr domcslicus L.) — J Exp. Zool. 83(3): 379.1940. 2 — Kischbaum. A. &r Ringocn, A. — Scasonal sexual activy and it> experimental modifi- cation in the male sparrow ( Passcr domfitúus I_) — Anat. Record 64:453.1935. 3 — Keck, li'. E. — The control of the secondary sex charactcrs in ll.*c English sparrow (Pajsfr domcslicus L.) — J. Exp. ZooL 67:315.1934. 4 — Riddlc . O. & Tange, M — The action of thc os-arian and placcntal hormones in thc pifteon — Am. J. of Phjrsiol. 87:97.1928. 5 — Wolff, E. & Ginijlirtfitr. A. — Sur la production d'intcrsextics par 1’injcction de folliculine â I'emt)ryon de poulet — C. R. de 1'Acad. des Sceanccs. 200:2118.1935. 6 — Wdlier, fí. //.; GaUaahtr. T. F. & Koch. F. C. — Thc modiíieatkm of sex dcvclop- ment in thc embryo by male and fctnale sex hormones — Physiol. 'Zoologj' 1:101.1937. 7 — I E. — L 'action du diethylstilbocstrol sur les organes genitaux de 1‘embryon dc poulet — C. R. de 1‘Acad. des Sceanccs. 208 : 34. 1939. 5 36 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 8 — Goeldi, E. — As aves do Brasil — Alves & Cia. — 1894 — 1.* parte: 303. 9 — Bradley , O. — The structure of the fowl — A. & C Black Ltd. — Londres — 1915. 10 — Kaupp, B. F. — The Anatomy oi the Domestic Fowl — W. B. Saunders Co. — Philadelphia — 1918. Agradecemos ao Proí. Oliverio Pinto, do Museu Paulista, a classificação das aves estudadas e ao Dr. Paulo Rath de Souza o auxílio prestado na interpre- tação das lâminas. Finalmente agradecemos à Casa Merck o Dietilestilboestrol, gentilmente cedido para a realização das nossas experiências. (Trabalho da Secçào de Endocrinologia do Instituto Butan- tan. Entregue em maio de 1941 e dado i publicidade em janeiro de 1942.) 6 í, | SciELO 61663:6155 0 TRATAMENTO DO DIABETE INSÍPIDO POR J. I. LOBO & LUCTANO DÉCOURT INTRODUÇÃO Apesar de ser o diabete insípido uma entidade relativamente rara, tivemos, contudo, ocasião de observar, no curto espaço de 4 meses, dois casos dessa moléstia. Para relatar, principalmente, os resultados obtidos com a terapêutica insti- tuída apresentamos nossos casos precedidos de ligeiro apanhado sôbre a etio- patogenia. ETIOPAT OGEN I A Nosso conhecimento sôbre o controle do metabolismo hídrico pela hipófise baseia-se cm grande número de trabalhos experimentais. Nesse campo foi pio- neiro H. Cushing. que desde 1912 estudava os efeitos resultantes da hipofiscc- tomia e da oclusão da haste pituitária. Richter, iniciando seus estudos cm 1928 e prolongando-os até hoje, tem veri- ficado o papel desempenhado pelas diferentes partes da hipófise na proibição do diabete insípido; conseguiu assim demonstrar o papel predominante exercido ]>clo lobo posterior (1). Gciling e Oldham. rccentcmente provaram que é o próprio lobo posterior que elabora um hormônio anti-diurético c não a pars intermedia, como pensavam al- guns; seus estudos foram realizados cm espécies nas quais a hipófise não apre- senta a pars intennedia (2). Richter e Wislocki, em 1930, estudaram cxperimentalmente, os efeitos sóbre a ingestão de água, produzidos pela remoção da hipófise. Os animais - ratos - apresentavam notável polidipsia. sendo mais intensa um a dois dias após a operação e, decorridos cm média 10 dias, a ingestão aquosa era inferior aos va- lores pre-operatórios. A hipofisectomia era realizada através do esfenóide pel<> I 38 Memórias do Instituto Butantan Tomo XV método de sução, de modo a não lesar o cérebro, eliminando, assim, a hipótese do diabete insípido correr por conta de lesões cerebrais, na região infundibuli- íomie. acima dos corpos mamilares, como foi admitido por Bailey e Bremer (3). Observava-se, entretanto, que nem todos os animais operados pelo mesmo processo apresentavam diabete insípido. Verificava-se, também, que a porção da haste que permanecia não apresentava sempre o mesmo tamanho, sofrendo grandes variações: às vèzes bem curta, em outras muito longa, incluindo elemen- tos do lobo posterior. Xestas últimas condições não aparecia o diabete insípido. Richter conseguiu, com uma técnica delicada, determinar lesões da haste sem atingir nem o cérebro, nem a hipófise. Póde assim provocar o aparecimento do diabete, havendo, contudo, casos nos quais não aparecia o sindrome; ligou èle êste fato à séde da lesão, parecendo que os sintomas são tanto mais nítidos, quanto mais próxima do cérebro fõr a mesma, de modo a não haver probabilidade de permanecerem elementos do lobo posterior. Bastava que poucos desses elementos ])ermanecessem para que não se manifestasse o diabete. Devemos ainda não esquecer o papel desempenhado pelo 1o1k> anterior. Os sintomas não são permanentes si todo o lobo anterior fõr removido. Quando se realiza a hipoíisectomia total, apresenta-se o diabete insípido, mas nunca é per- manente (4). O grau do diabete insípido depende da quantidade de lobo anterior existente. O máximo é conseguido pela remoção completa do lobo posterior, deixando in- tacto todo o lobo anterior (5). Xas hipofisectomias totais, devido ã falta das secreções do lobo anterior, ha redução acentuada do metabolismo: a ingestão de alimentos decai muito, che- gando a 50 ou 60 r '( abaixo do normal. A diminuição da ingestão de água. que, como vimos, acompanha essas operações, seria, pois, uma parte desse fenômeno geral. Pode-se, nas hipofisectomias totais, tornar permanentes os sintomas pelas injeções de extratos de lobo anterior. Admite-se que para a produção experi- mental do diabete insípido é necessária a presença de uma tireóide intacta, desde que o sindrome, uma vez estabelecido, desaparece com a tircoidectomia e dc novo se instala com a administração de tireóide (6). Ranson, Fisher e Ingram, que estudaram o papel do hipotálamo na produção do diabete insípido, concluem: “Xos«a concepção sôbre a etiologia do diabete é que o hipotálamo regula a atividade secretora do lobo nervoso hipofisário através do sistema supra-ótico hipofisário, sendo que, como primeiro mostrou von Hann, o diabete insípido devido à ausência do lobo posterior só ocorre si houver tecido do lobo anterior” (7). Várias provas in.ücam que uma lesão que interrompa o trato supra-ótico hipo- fisário em qualquer parte de seu curso, a remoção do lobo posterior ou uma lesão bilateral dos núcleos supra-óticos, pode provocar o aparecimento desse sindrome. 2 1, | SciELO J. I. Lobo 4 Luciano Dêcoibt — O tratamento do diabete insipido 39 Devemos, portanto, considerar o sistema supra-ótico hipofisário como uma uni- dade anatômica e funcional. Qualquer lesão em uma dessas partes repercute sôbre as outras; daí a grande dificuldade de se dissociarem êsses elementos e ajuizar o seu valor na produção do sindrome. Richter. por meio de três experiências diversas e observando o volume uri- nário e a ingestão aquosa, conseguiu estabelecer a primazia da poliúria no sindrome : a) Em animais hipoíisectomizados o aumento do volume urinário precede dc 1 a 4 horas o da ingestão aquosa; b) o bloqueio do volume urinário pela ligadura dos ureteres determina ausência dc sede. c) a completa privação de água não previne a enorme secreção urinária. Um fato que in anima nobile demonstra também que o fenômeno primário é a poliúria e não a excessiva passagem de água dos tecidos para o sangue, é a tendência à inspissalio sanguinis que regularmente se observa nestes casos. Um de nós (10) já teve oportunidade dc demonstrar que no diabete insipido o ín- dice refratomctrico do sóro tende a clevar-sc c que esta elevação se torna muito nitida logo que se instituc a prova da sêdc. Resumindo leriamos: 1 . O diabete insijúdo é o resultado da ausência do hormônio anti-diu- rético, elaborado pelo lobo posterior; 2. O diabete insipido aparece pela: a) hipofiscctomia total b) hipofisectomia posterior c) secção da liaste próxima ao cérebro; 3. O diabete insipido só é permanente si houver tecido do lobo anterior que possa manter o metabolismo em nivcl normal ; 4. O hipotálamo regula a secreção do hormônio pelo lobo posterior; 5. Qualquer lesão no trato supra-ótico hipofisário determina o ajxircci- mento do sindrome; 6. O hormônio age diretamente sôbre o rim, aumentando a reabsorção aquosa ao nivcl dos túbulos (8) ; 7 . A glândula tireoide é necessária para a produção experimental do dia- bete insipido; êste, uma vez provocado, é abolido pela tireoidectomia e pode novamente reaparecer com a administração de tireoide. 3 1, | SciELO 40 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV OBSERVAÇÕES I — W. N., sexo masculino, branco, 11 anos, brasileiro. Ha 7 meses começou a sentir sède intensa, ingerindo cerca de 8 litros de água nas 24 * horas, acompanhada de poliúria acentuada — 8 a 10 litros. A perturbação instalou-se subitamente e não foi precedida por qualquer doença ou trauma. Queixa-se. ainda, de secura intensa na garganta e ceíaléia. As vezes náuseas e vômitos. Levanta-se várias vèzes à noite para urinar e beber água. Não ha entre os parentes nenhum caso de perturbação glandular. Desenvolvimento somático inferior ao normal para sua idade. Desenvolvimento psíquico normaL Temperamento irritável. Apresenta bóa disposição para o estudo e trabalho. O exame objetivo revela: peso — 22,500 quilos; altura — 127 cms. ; envergadura — 127 cms.. Radiografia do crânio de W. X. (Caso No. 1). Sela túrcica de pequena» dimensões com apófises dinóides hipertrofiadas e pneumatixação das posteroires. Pele sêca. panículo adiposo bem reduzido. Mucosas pouco coradas. Dentes bem con- servados c regularmente implantados. Tireoide não palpável. Pulso — 88; pressão arterial 90 — 60. 4 J. I. Lobo & Luciano Décovkt — 0 tratamento do diabete insípido 41 Genitália de acórdo com o desenvolvimento somático, isto é, reduzida para a idade. Reflexos tendinosos presentes e normais. Nada de importância nos demais aparelhos. \V e K — negativos. Urina — densidade — 1001. A dosagem do G plasmático e globular foi normal. II — C. B. C, sexo feminino, branca, 44 anos, brasileira, casada. Ha mais ou menos 24 anos fez regime para emagrecer — pesava nessa ocasião 70 quilos. Comia muito pouco e, sentindo muita fome, ingeria água em abundância para encher o estômago e fazer desaparecer a sensação de fome. Passados 4 meses emagrecera 30 quilos e era torturada por sede intensa, que combatia pela ingestão de enormes quantidades de água. Também urinava muito, chegando, só durante a noite, a encher um balde de cerca de 6 litros. A pele era seca e rachava com facilidade. Submeteu-sc a vários tratamentos sem o menor resultada Posteriormente tem engordado muito, sendo que ha 4 anos pesava já 82 quilos e atualmente seu peso é de 102 quilos. A polidipsia e poliúria tem-se mantido, chegando cm média a urinar 12 litros nas 24 horas. A paciente é atormentada à noite, pois chega a se levantar cerca de 20 vezes para ingerir água e urinar. Menarca aos 13 anos e até ao casamento — ha 10 anos — as menstruações eram nor- mais; após esse evento, períodos de amenorréia que duram de 3 a 6 meses. Não apresenta disposição para o trabalho, sentindo muito desânimo c fraqueza. De temperamento exccssi- vamente nervoso, chora com facilidade, mesmo à simples palestra. Apetite bom c alimen- tação variada. Não apresenta nenhum antecedente de importância e não existe entre os parentes nenhum caso de perturbação endócrina. O exame objetivo revela: tipo pletórico — fácies de lua cheia. Peso — 102 quilos; altura — 159 cms. ; envergadura — 158,5 cms. Paniculo adiposo abundantíssimo c sem preferência de localização. Aparelho circulatório — pulso — 100, pressão arterial — 160 — 98. Varizes e edemas dos membros inferiores. Nada mais de importância nos outros órgãos e aparelhos. \V e K — positivos ha 4 anos; fez tratamento que negativou o exame. Fez nova reação de W, que foi negativa. Radiografia no cráneo normal, a não ser a calcificação da pincal. A dosagem do G plasmático c globular feita sob várias condições (sem tratamento c com tratamento; regimes com sal e sem sal) sempre forneceu resultados dentro dos limites normais. TERAPÊUTICA Não vamos aqui fazer uma apreciação sóbre o tratamento em geral do diabete insipido, mas sim apresentar a terapêutica instituída nos nossos casos e quais os resultados obtidos: Caso No. 1 — Inicialmente o paciente foi colocado em regime pobre cm sal e protidios; como êsse regime, seguido durante alguns dias, não influen- ciasse a terapêutica, foi posteriormente abandonado c prescrito um regime li- beral O tratamento medicamentoso inicialmcnte esteve a cargo do “Pitres- .1 42 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV sin” (Parke Davis), que se admite conter o hormônio anti-diurético. Era apli- cada uma injeção diária, sempre após o almoço. Houve, como se pode verificar pelo quadro anexo (Fig. 1) apreciável redução do volume urinário — que de 7 a 8 litros baixou para 4 a 5 litros — e da ingestão de água. Levanta-se ainda à noite para urinar uma a duas vêzes, mas não para beber água. A den- sidade da urina continua baixa, ao redor de 1002 e 1003. As injeções eram, além disso, acompanhadas de alguns fenômenos desagradáveis: intensa palidez, tonturas, cefaléias e aumento da pressão arterial. Esta foi medida repetidas vê- zes. antes e após as injeções, e pôde-se verificar apreciável elevação. Antes da injeção Após a injeção 84 — 58 106 — 83 89 — 62 110 — 85 Êsse tratamento apresentava, entretanto, um grande inconveniente — efeitos passageiros durando em média de 6 a 8 horas ; assim sendo, para o con- trole nas 24 horas, seriam necessárias pelo menos 3 injeções. Devido à grande dificuldade de se proceder desse mesmo modo, pois trata-se de doente de Am- bulatório, fizemos somente durante 2 dias, a titulo de experiência, as três inje- ções diárias. A diurese desceu para 2.5 litros, mas não foi acompanhada por uma elevação paralela da densidade, que se conservou entre 1004 e 1005. Tendo em vista os trabalhos de Greene e January (9), experimentámos o tanato de pitressina, que, segundo aqueles autores, apresentaria a vantagem de uma absorção lenta, de maneira a se conseguir a normalização da diurese com uma única injeção cada 2 ou 3 dias. Dadas as dificuldades da obtenção do tanato de pitressina original de Parke Davis, foi o mesmo preparado na Parte Experimental da Secção ce Endocrinologia do Instituto Butantan a partir do “Pitressin”, por precipitação com ácido tânico. O precipitado, séco em ace- tona. era susjienso em óleo de sésamo. Nestas condições não é possível, por se partir de pequena quantidade, obter-se uma suspensão homogênea. Foram feitas injeções diárias c os resultados, si bem que levemente superiores aos obtidos com o “Pitressin”, não satisfizeram completamente, nem foram con- cordes com os obtidos por Greene e January. A razão dessa diferença pode residir, como já falámos, no fato de partir-se de pequena quantidade do hor- mônio. Passámos, então, a aplicar o pó de hipófise posterior, por via nasal, três vê- zes ao dia. preparado pela Secção já citada, conservado em câmara frigorífica, iniciando seu uso imediatamente após sua preparação. Os resultados foram alta- mente satisfatórios: além da grande facilidade de aplicação, ausência de fenômeno secundário desagradável e ótimo controle dos sintomas. A diurese reduziu-se a 1 litro ou pouco mais, a densidade elevou-se gradualmente, estacionando entre 1010 e 1020. Notável melhoria do temperamento e das condições gerais. Ligeiro f. J. I. Lobo Sí Luciako Dêcocrt — O tratamento do diabete insípido -13 aumento de peso. Suspendendo-se o tratamento, retomaram todos os sintomas com a mesma intensidade primitiva. Caso No. 2 O inicio do sindrome, nesta paciente, é interessante, porque sugere uma perturbação do mecanismo regulador do metabolismo hídrico devido à ingestão exagerada de água para combater a sensação de fome. Assim como o diabete melito pode ser condicionado por uma alimentação exageradamente rica cm glucidios. determinando exaustão do ajiarelho glico-rcgulador. o mesmo jxxleria acontecer com o diabete insípido, havendo naturalmcnte outras causas predis- ponentes. Usámos, desde logo, o pó de hipófise posterior cm inalações devido aos óti- mos resultados obtidos com o mesmo no primeiro caso. Como a paciente apre- sentasse, concomitantcmcntc, hipertensão arterial (160 — 98) c obesidade (102 quilos), foi aconselhado regime isento de sal e pobre cm glucidios c lipídios. Após as primeiras inalações a diurese baixou de 1 1 para 2 a 3 litros e depois, pela re- dução do mJmcro de inalações, clcvou-sc para 3.5 a 4,5 litros c tem-se mantido nesse nivcl. O motivo que determinou a redução do número de inalações (de início 5 c posteriormente 2) foi o fato de, sendo a paciente obesa c hipertensa, desejar-se uma redução de peso e. nestas condições, haver necessidade de não se dificultar uma diurese maior. A paciente, que ha 20 anos não sabia o que era dormir uma noite toda, pois era forçada a se levantar várias vezes para urinar ou beber água, ficou desde o inicio livre desses aborrecimentos. A ingestão aquosa nas 24 horas tamltcm se reduziu bastante, não passando de 2 litros. Ainda mais. o peso de 102 caiu para 92 c a pressão arterial de 160 — 98 para 140 — 80. A titulo de experiência, pois muitos autores o recomendam, usámos também o piramido, sem qualquer resultado apreciável. 1, | SciELO 7 44 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Para afastar a hipótese de um efeito psíquico, decorrente do habito de inala- ções diárias, usámos, sem que a paciente disso soubesse, um pó inerte, preparado com amido e peptona. Os resultados foram completamente nulos, pois, ao cabo de 4 dias de uso, a diurese já havia se elevado para 9 litros. Restabelecido o em- prego do pó de hipófise posterior, os valores voltaram ao normal. Para finalizar, queremos acentuar que a grande eficiência do pó de hipófise por nós empregado depende do fato de se tratar de preparação recente e con- servada ao abrigo da temperatura ambiente. RESUMO Dois casos de diabete insipido são relatados, um em menino, que apresenta concomitantemente um moderado nanismo hipofisário, e outro em mulher obesa. Ambos foram tratados com inalações de pó de hipófise posterior bovina e em ambos os resultados se mostraram sumamente satisfatórios, não só quanto à nor- malização da diurese, como quanto à elevação da densidade urinária. Nenhuma outra forma de tratamento se mostrou tão eficaz como esta que, no entanto, permanece uma terapêutica substituitiva. mas que pode ser mantida duradouramente. ABSTRACT Two cases of diabetes insipidus are reported, one on a boy showing concomit- tantly a moderate hypophysary dwarfism and the othcr one on an obese woman. Both wcre treated with inhalations of bovine posterior hypophysis in povvder form, and both showed most satisíactory results, as well as to normalization of diu- resis, as to a raise of the specific urinary gravity. No other form of treatment proved so eííicacious as this one, which, never- theless, remains a substitutional therapy, but may be employed lastingly. BIBLIOGRAFIA 1. Richter. Curt P. — The pituitary gtand — p. 392. 1938. 2. Geiling, E. ií. K. & Oldham. Francês K. — Jour. Amer. Mcd. Assn. 116(4) : 303.1941. 3. Bailey, P. & Bremer, F. — Arch. Inter. Mcd. 28 : 773-803.1921. 4. Richter, C. P. & IVislocki, G. B. — Amer. Jour. Physiol. 95 : 481-492.1930. 5. Richter , C. P. & 11'istocki, G. B. — The pituitary gland — p. 399.1938. 8 J. I. Lobo & Luciano Décocrt — O tratamento do diabete insípido 45 6. Best, ll. C. & Taylor, B. .V. — The physiological basis of medicai practice — p. 1188.1939. 7. Ranson, IV. S.; Fisher, C. & Ingram, R. IV. — The pituitary gland — p. 424.1938. 8. Burgess, II”. \V.; Horcey, A. M. & ilarskall. Jr„ E. K. — Jour. Pharm. a. Exp. Therap. 49 : 237.1933. 9. Greene. A. J. & January, L. E. — Jour. Amer. Med. Assn. 115(Í4) :1183.1940. 10. Lobo. J. I. — São Paulo Médico 9. 1(3) :179.1936. (Trabalho da Secçio de Eodocrinoloçia do Instituto Butan- ton. Entregue para publicação em julho de 1941 c dado è publicidade em janeiro de 1942.) 9 í, | SciELO 543 . 5 : 615.94 DA RELAÇÃO ENTRE O CORANTE DOS VENENOS DE COBRA E SUA FLUORESCÊNCIA I. Flavina no veneno da Bothrops jararaca POR ARMANDO RODRIGUES TABORDA & LAURA COMETTE TABORDA A maioria do> venenos de serpentes, especialmente brasileiras c norte-ame- ricanas. apre-enta uma coloração amarela, cuja intensidade varia ar. etc., 'etc.. Logo depois fala resumidamente sõbrc o estudo químico c cspectrográfieo da fluorescência destes venenos, c, embora não associe os dois fatos, sentc-sc que élc os ligou mentalmentc. De ha muito havíamos observado que o veneno da Bothrops jararaca “in natura" alandonado cm tubo fechado a baixa temperatura ( í: 5°C) por 2 ou 3 dias. deixava separar, na parte superior do liquido, um anel amarelo, da mes- ma forma que por centrifugação durante 10 ou 15 minutos. A camada inferior do liquido tornava-se incolor e por exposição ao ar, voltava novamente ao amarelo. Relacionamos êste fato com a possível pr«sença de flavinas como respon- sável talvez pela côr amarela comum á maioria dos venenos. Sob a luz de uma lâmpada de quartzo dc raios ultra-violeta Hanau cons- tatamos fluorescência cm todos os venenos secos dc que dispúnhamos e que eram os seguintes: t 48 Memórias do Instituto Butantan - — Tomo XV 1 . 2 . 3 . 4 . 5 . 6 . 7 . 8 . 9 . 10 . 11 . 12 . Crotoluj Urrificus terrificus Bothrops itafetmingae Elaps frontolis Bothrops jararaca jararacussu ” altemata ncuzL-iedii ” atrox cotiara Lachcsis muta Agkistrodon pischorus Crotalus americanas (mistura ?) Fluorescência Azul Amarela Tratamos depois todos êstes venenos em solução 1% em água bidistilada, por uma mistura de 3 partes de metanol e uma de água, incubamos por 36 horas em estufa a 38°C, centrifugamos e nos liquidos sobrenadantes observamos as mesmas fluorescências que nos venenos secos. Constatamos ainda que êsses líquidos sobrenadantes continham o corante e que os resíduos protéicos não eram fluorescentes. E’ interessante assinalar que diversos pesquisadores dentre os quais, Massol (2), André Arthus (3), Macht e Davis (4) e Vellard e Penteado (5), estudaram a ação dos raios ultra- violeta sôbre alguns venenos, inclusive em solução, porém, nenhum deles se refere à fluorescência. Escolhemos então para objeto do estudo da relação entre o pigmento e a fluorescência e sua identificação, o veneno da Bothrops jararaca por ser o de que maior quantidade possuímos. Flavina no veneno da Bothrops jararaca A extração do corante do veneno da Bothrops jararaca foi realizada, inicial- mente, com soluções de veneno seco a 37°C em estufa, dessecado a baixa tem- peratura (20^*0 em alto vácuo e com veneno fresco, revelando-se êste último o mais adequado. Conseguimos obter uma extração completa, usando, para cada centímetro cúbico de veneno fresco, 13 ccs. de uma mistura de 3 partes de metanol e 1 de água e incubando por 36 horas em estufa a 40 P C, isto é, pelo método que War- burg e Christian (6) empregaram para a separação do corente do fermento amarelo ou respiratório, apenas com uma pequena variante. 2 Armando Rodrigues Taborda & Lacra Comette T .aborda — O corante dos venenos de cobra e sua fluorescência. L 49 Ao cabo dessas 36 horas centrifugamos o todo, decantamos o sobrenadante c tratamos novamente o resíduo pela mistura de metanol e água e incubamos por 24 horas a 40°C. Repetimos mais duas vêzes esta operação e verificamos que, por um quinto tratamento, o liquido sobrenadante não era fluorescente. O primeiro sobrenadante apresenta a fluorescência verde amarelada intensa, caraterística das flavinas e os demais sobrenadantes das subsequentes extrações apresentam a mesma fluorescência, apenas progressivamente mais fraca. Como até agora, todas as flavinas extraidas de fontes naturais se mostra- ram idênticas à lactoflavina (riboflavina) ou vitamina Bj, exceção feita, so- mente, das flavinas da urina, realizamos todos os tests de caraterização da nossa fia vi na, em paralelo com a vitamina B 2 (riboflavina) Merck, ambas em solução aquosa. Para tal, distilamos os extratos de metanol em vácuo a baixa temperatura, até obter um resíduo seco que dissolvemos cm água para as provas. A flavina do veneno comportou-sc como uma flavina do grupo dos pigmen- tos estudados por Warburg, EUingcr, Kuhn, Stcm, Karrcr, etc.. Solubilidade Em água — dissolução completa como já vimos. Em álcool — dissolução um pouco menor. Em éter — insolúvel. Em clorofórmio. — insolúvel. Esj)ecialmente esta propriedade geral das flavinas de serem insolúveis no clorofórmio é aproveitada para separá-las de outros pigmentos que porventura a acompanhem. Xo caso da flavina do veneno, tal como no das flavinas do fígado, do cora- ção c dos rins (7), o clorofórmio, após 15 minutos de agitação c 3 horas de repouso cm funil de separação, apresenta-se incolor c não fluorescente. Diálise Dialisando cm água à temperatura de cêrca de 5°C 1 cc. de veneno fresco, verificamos que uma parte do corante atravessa a membrana, mas que outra permanece ligada à proteína. Dissociando, porém, o suporte protéico do corante do veneno por diálise contra uma solução de ácido acético, observamos a passagem de todo o corante. 3 50 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Estes fatos parecem mostrar que, no veneno, a flavina existe sob duas formas — livre e combinada como uma flavoproteina. Adsorção c eluição Em solução acidificada com ácido acético, a flavina do veneno é absorvida pela franconita após 1 hora e eluida, tal como as demais flavinas, quer por uma mistura de 2 partes de água, 1 de piridina e 1 de álcool etílico, quer por uma mis- tura nas mesmas proporções, porém, com álcool metilico. E’ ainda adsorvida por terra Fuller em suspensão ara o conhecimento da composição quimica do veneno c sua ação. * No tópico sõbrc a diálisc dizemos que, no veneno da jararaca, a flavina parece existir sob duas formas — livre c combinada, como uma flavoprotcina. Conhecemos a ação tia lactoflavina (vitamina B s ), isto é, flavina livre, sòbrc o crescimento e também como transportador de hidrogénio nas óxido-reduções (16) c ainda sóbre a respiração. É. porém, a forma combinada da flavina que parece desempenhar um papel fisiológico mais importante. Num interessante esquema. Bali (17) sintetiza a enorme importância das flavoprotcinas como mediador nas oxidações biológicas, o que nos leva a adian- tar que a presença de flavina nos venenos virá lançar uma nova luz, não só sóbre a fisiologia das próprias cobras como, possivelmente, ainda, sòbrc o complexo mecanismo do envenenamento. Resumo Os autores verificaram pela primeira vez uma fluorescência nos venenos das seguintes cobras: Bothrops: jararaca, jararacussu, ncuuncdii, alrox, alternata, co- fiara e ilapetiningae; Elaps frontalis; Lachcsis mula; Agkistrodon piserrorus; CrolaJus tcrrificus Icrrificus c num veneno misto (?) de Crolaius norte-ame- ricanas. 54 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Conseguiram extrair o corante de todos êsses venenos por uma mistura de metanol e agua e observaram estar no corante a fração fluorescente que, possi- velmente, pertence ao grupo das flavinas. Estudando o corante extraido do veneno da Bothrops jararaca, identiíica- ram-no como sendo uma flavina e dosaram-na fluorometricamente pelo fotómetro de Pulfrich, adaptado a uma lâmpada de raios ultravioleta de Hanau. Abstract The authors for the first time stated a fluorescence in the venoms of the following snakes: Bothrops: jararaca, jararacussu, neuiciedü, atrox, altcrnata, co- tiara and itapctiningae, Elaps frontalis, Lachcsis imita, Agkistrodon piscivorus, Crotalus and in a mixed ( ?) venom of Xorth-American Crotalus species. They succeeded in extracting the dyeing substance from all these venoms with a mixture of methanol and water, being able to check in the dyeing substance the íluorescent fraction, which probably belongs to the group of the flavins. When studying the dyeing substance extracted from the venom of the Bo- throps jararaca, the authors identified it as being a flavin, and measured it fluo- rometrically by the Pulfrich photometer, adapted to a ultraviolet rays lamp of Hanau. ZUSAMMENFASSUNG Die AA stellten zum ersten Male eine Fluoreszenz der Gifte der folgenden Schlangcn: Bothrops: jararaca, jararacussu. neutvUdii, atrox, altcrnata, cotiara und itapctiningae; Elaps frontalis; Lachcsis mula; Agkistrodon pisch-orus ; Cro- talus tcrrificus terrificus und einer Giítmischung (?) «ler nordamerikanischen Crotaliden fest. Sic konnten den Farbstoíf aller dieser Gifte mittels einer Mischung von Me- thanol und Wasser isolicrcn und dabei feststellen. dass die fluoreszierende Frak- tion im Farbstoffe enthaltcn sei und mòglichervveise zur Flavingruppc gehõre. Bei der Analyse des Farbstoffes aus dem Gifte von Bothrops jararaca stell- ten sie fest, dass es sich tatsãchlich um ein Flavin handclt und sie dosierten diesen Stoff nach der fluormetrischen Methode mit Hilfe des Photometers von Pulfrich. der einer I.ampe mit ultra-violetten Strahlen nach Hanau angeschlossen war. BIBLIOGRAFIA 1 — Brooks, Georgcs — C. R. A. Sciences 209:248.1939. 2 — Massol, L. — C R. Soc. Biol. 71:183.1911. 8 Armando Rodrigues Tarorda & Lacra Comette T aborda — O corante dos venenos de cobra e sua fluorescência. I. 55 3 — Arthus, André — C. R. Soc. Biol. 103:130.1930. 4 — .\facht, David I. Sr Davis, Slary, E. — Proc. Soc. Exp. Biol. a. Med. 30:990.1933. 5 — Vellard, Jchan Sr Penteado, Jarbas — Rev. Flum. Med. 5:99.1940. 6 — Warburg , O. & Christian. W. — Biochem. Z. 266 :377. 1933. 7 — Charite, Abram ]. Sr Khaustov, Xicolay li'. — Biochem. J. 29:34.1935. 8 — Karrer, P. Sr Fritzsche, H. — Helv. Chim. Acta 18:911.1935. 9 — Kuhn, R. & Maruzzi — Ber. Dtsch. Chem. Ges. 67:888.1934. 10— Warburg, O. Sr Christian, W. — Biochem. Z. 254:438.1932. 11 _ IVarburg, O. Sr Christian, JK. — Biochem. Z. 263:228.1933. 12 — Theorell, Hugo — Ergebnisse der Enzymforschung 6:111.1937. 13 — ireltmann-Barrenscheen — Wiener med. Wschr. :766.1922. 14 — Kuhn, R.; Gyõrgy, P. & 11’agner-Jauregg — Ber. Dtsch. Chem. Ges. 66:576.1933. 15 — Kuhn, R.; Gyõrgy, P. Sr IVagner-Jaurcgg — Ber. Dtsch. Chem. Ges. 66:1034.1933 et 67:1770.1934. 16 — Euler & Adler — Lcs Vitamines et Ies Hormones — 6.° Conselho :185.1938. 17 — Bali, Eric G. — Cold Spring Harbor Syraposia on Quantitative Biol. 7:100.1939. (Trabalho de colaborando das Secções de Ftsico-Quicnica e Química e Farmacologia Experimentais e apresentado !.• Ccngrrsso da Associaçio Química do Brasil — Paulo. 21 de Julho de 1941. Dado à publicidade janeiro d? 1942.) 6 1 g Armando Rodrigues T aborda A La ura Comette T aborda — O corante dos venenos de cobra e sua fluorescência. I. Yol. XV — 1941 Mct. Ir.st. Bntaman 1) Evrotroçt.ma da Ravina do wntno -ia Bothrcfi jararacc 2) E«p»trn*rama da vitamina B, í riboflavina) Mcrvls 11 581.634:615.381 CONTRIBUIÇÃO À MATÉRIA MEDICA VEGETAL DO BRASIL 7. Estudo farmacognóstico de Heckeria umbellata (L.) Kunth.; Pijyeraceae POR * WADDEMAR PECKOLT Nomes vulgares : Pariparoba, P. do mato, Pariparova, Periparoba, Caa- Ptba, Capeba, Caena, Aguaxima (no nordeste) etc.. Sinonímia científica: Pi per umbelltUum (L.) Kunth.; Potomorpha umbellata MIQ.. Pátria : Brasil. Distribuição geográfica: Estados de Minas Gerais, Espirito Santo, Rio de Janeiro, São Paulo c outros. Histórico: Desde os relatos de Pison in “Dc medicina brasiliensis” lib. IV, 57, 1638, são conhecidos no novo continente alguns vegetais vulgarmentc cha- gados Caapebas ou Periparobas, pertencentes à família Pipcraccac e aos quais se atribuíam propriedades sialagogas, diuréticas, sudoríficas c colagogas, pelo fato de serem empregados pelos nativos do Brasil com êsses fins. Dentre êles, o referido autor menciona o Pipcr sidaefolium Link & Otto, v ulga rmente conhecido por Aguaxima no nordeste do Pais e designado como Pipcr umbellatum por Frei Marianno da Conceição Vellozo, P. peltatum por Ruiz e Pavon e atualmente identificado como Heckeria sidaefolia (Link * Otto) Kunth. Outro ainda, o Pipcr peltatum L. ou P. pruinosum H. B. K., também cha- gado Pothomorphc pruinosa Miquel e Pipcr pcltata Miquel, vulgarmente co- nhecido pelo nome de Caapeba no norte e Caapcná ou Catagé cm outros Estados d° nordeste brasileiro, atualmente identificado com o nome de Heckeria pcltata (L.) Kunth.; e, finalmente, o Pipcr umbellatum L. ou Pothomorphc umbellata ^IíQUel. atualmente Heckeria umbellata (L.) Kunth., vulgarmentc conhecido PHos mesmos nomes, já referidos, e possuidor de idênticas virtudes. Êste últi- 1 CO Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV mo goza. entretanto, de ampla distribuição geográfica, habitando de preferência os Estados centrais e setentrionais do Pais. Todos enfim, espalhados pelo nosso vasto território, conquistavam méritos, estendendo o amplo circulo de suas indicações, no tratamento de várias enfer- midades: hemoptises, coqueluche, asma e tosses espasmódicas e até como tópicos em queimaduras e outros estado mórbidos locais. Dentre todos, o último, ganhando maior fama, foi empregado também no reumatismo, nas úlceras sifiliticas, no linfatismo, etc., constituindo verdadeira panacéia, como sucede à maioria de vegetais, logo que seja divulgada alguma de suas propriedades reais ; e como tal, sua fama não podia perdurar, prejudicando, assim, suas verdadeiras indicações. Caindo no olvido, depois de culminar como panacéia. conservou, entretanto, seu modesto uso empírico entre nativos e ser- tanejos, que lhe atribuíam virtudes curativas em todas as moléstias do fígado, quaisquer que fossem sua origem e patogenia. Dali passou à medicina nacional lentamente e por observações esparsas aqui e acolá, sendo indicado nas moléstias do fígado, como um eficaz colagogo, indicação que ganhou vulto, até a atuali- dade, sendo confirmada por sucessivos ensaios, achando-se incluído oficialmen- te na Farmacopéia Brasileira. Fotografias — É um arbusto ereto, de 1.50 ms. de altura, de ramos angu- losos, nodosos, de côr verde clara e glauca; folhas cordiformes ou arredondadas, com 10 cms. de extensão por 16-18 cms. de largura, membranosas, glabras, rugo- sas, luzidias, na face dorsal, salpicadas de pontos translúcidos glandulosos, poli- nervadas da base para o ápice. Seu peciolo geralmente longo é sulcado e ave- ludado, medindo 5 a 10 cms. de extensão. Essas folhas, quando esmagadas, possuem aroma agradável e particular. In florescência axilar, em amentilhos a formarem espigas dispostas em umbelas, contendo pequenas e numerosas flores; o fruto é uma baga longa, em espigueta. A raiz é de cór parda, lenhosa, tor- tuosa, aromática quando fresca, possuindo sabor ardente. Drogas — Folia, radix et fructicis Hackcrias. Parte usada da planta — Toda a planta, mormente folhas, raizes e fru- tos. onde se encerra maior percentagem de principio ativo; quanto a éste. o fruto e a raiz possuem maior riqueza. Estrutura microscópica — Raiz — “Suber pouco espesso, de côr parda, recobrindo o parenquima cortical formado de células poliédricas. em cujo meio observam-se numerosas glândulas óleo-resinosas unicelulares, de conteúdo ama- relo pardacento, c células de paredes espessas e pontuadas, isoladas ou reunidas em pequeno número; êsse parenquima cortical apresenta ainda, próximo à ca- mada suberosa, numerosos grupos de fibras esclerenquimatosas pequenas, de *> t NValdemar Peckolt - — Contribuição ã matéria médica vegetal do Brasil. 7. 61 paredes espessas. Endoderma pouco aparente, separando a casca do cilindro lt nhoso; este é dividido em estreitos feixes lenhosos cuneiíomies, separados entre si por largos raios medulares que contêm glândulas óleo- resinosas. Cada feixe é formado de fibras de paredes espessas e de vasos, isolados ou reunidos em pequenos grupos, pouco largos, recobertos por liber pouco desenvolvido. Na base dos feixes lenhosos e no intervalo destes na periferia da medula, encontra-se lenho primário. A medula, mais ou menos desenvolvida, é formada de um pa- renquima de células arredondadas e contem também numerosas células glandu- losas de conteúdo amarelo pardacento". (Farmacopeia dos Estados Unidos do Brasil, Albino Dias da Costa, 1926). Folha — Cutícula espessa, delicada, revestindo todo o limbo; nota-se a pre- sença de alguns pêlos secretores, esparsos, curtos, que vão ter às glândulas, lo- calizadas na periferia e constituídas por numerosas células, pequenas, redondas, regulares e refringentes, contendo essência. Abaixo, notam-se células maiores, ó!eo-resinosas, que conservam sua coloração amarela escura, disposta irregular- niente em toda a extensão da folha. Mais abaixo desse plano, observam-se numerosos vasos lenhosos, dispostos elipticamente e situados na parte central das três nervuras, que apresentam formas sinuosas; limitando êsses vasos vêm-se novas camadas de células refringentes de essência. Finalmente, um tecido j»- iissádico, contendo alguns cristais de oxalato de cálcio, impregnados de resina c um tecido de células simétricas, refringentes, revestindo, exteriormente, a zona periférica no nivel das nervuras proeminentes, terminando por alguns pêlos secretores, mais finos e ainda mais esparsos. Fruto — E uma baga peponida. com placentas livres, que constituem os amen- tos. internamente unidas c separadas por tênue camada de tecido cuticular; cada arnento apresenta em média 15 lragas. de forma piramidal, de vértice voltado Para o endocarpo, formando o todo um desenho simétrico de forma estrelar. A parte central do endocarpo é circular e delimitada por uma camada de células pequenas, simétricas não ligni ficadas, observando-se. cm pleno espaço óe tecido conjuntivo, numerosas drusas de oxalato de cálcio. Os amentilhos ou bagas piramidais, que formam o arnento. são revestidos por duas camadas super- postas de tecido cutinizado, sendo a exterior mais espessa do que a interior; encerram numerosíssimas células ovóides, óleo-resinosas, que, em época próxima ao seu amadurecimento, se rompem, formando verdadeiras bolsas de resina, li- citadas apenas pela camada cutinizada da placenta. A medida que se processa o ciclo evolutivo, a resina se vai depositando nas células ovóides, do centro jiara a periferia, de modo que, ao alcançar plena maturação, se observam em corte transversal, verdadeiras bolsas repletas de óleo — resina, de côr amarela. F’ela •Corme quantidade de óleo — resina encontrado no fruto, em relação aos outros or gãos da planta, devemos considerá-la como a droga principal. 3 62 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Farmacoqcímica — Essa planta foi analisada pela primeira vez pelos quí- micos Theodor e Gustavo Peckolt que. em 1.000 gs. das folhas írescas, en- contram : Agua 820,000 gs. Acido potomórfico cristalizado 0.058 ” Acido resinoso 7,368 " Poriparobino crist 0,187 " Substância cerácea 0,790 ” Acido tânico 0,158 ” Clorofila 0,842 ” Ácidos orgânicos (tartárico, etc.) 0,184 " Substâncias albuminoides gomosas, mat extrativa, etc. 11,081 Sulfato de potássio 4,684 " Cinzas 36,000 " (Hist. Pl. Med. Nt. Bras., Vol. V, 937, 1893, Th. Peckolt e Gustavo Peckolt, Rio de Janeiro). Por igual proceder ao desses notáveis químicos, obtivemos na Secção de Bo- tância Médica do Instituto Butantan o ácido potomórfico do suco das folhas frescas, maceradas em álcool de 98°C, filtrado, destilado ao terço e evaporado até consistência de extrato; o qual, dissolvido em água destilada e filtrado, foi precipitado pelo soluto de acetato de chumbo neutro, até não mais reagir. Se- parado por filtro e diversas vezes lavado em água destilada, secado e reduzido a pó, esgotado pelo álcool de 86°C e novamente filtrado, foi, em soluto alcoóli- co, submetido à corrente de gás ácido sulfídrico até não mais reagir. Separa- do o liquido do precipitado de sulfureto de chumbo, foi evaporado em banho- maria à consistência xaroposa e levado a um cristalizador, onde. posto a secar sòbre cal virgem, em temperatura ambiente, depositou cristais simétricos. Se- parados êsfes c novamente secados no cristalizador, forneceram agulhas finas, pequenas e sedosas, de sabor amargo, ardente e fortemente ácido. Êsses cris- tais reagiram fortemente ao tomassol, portando-se como um ácido; são solúveis em água destilada, no álcool, de 40° C e no de 96° C. no éter sulfúrico e no clorofórmio. A pariparobina apresenta-se cristalizada em agulhas finíssimas e prismá- ticas, de cór amarelada, de sabor fortemente amargo, picante e acre, com poder de sensível excitação sôbre as glândulas salivares, de aroma ativo e agradável, semelhante ao das folhas frescas, quando esmagadas. Tem reação francamente alcalina ao tomassol e é solúvel em água destilada, mais a quente, tornando-se o soluto opalcscente. Muito solúvel nos álcoois de 36, 40 e 96°C onde se dissolve completamente sem emulsionar, na benzina, no éter sulfúrico, no clorofórmio, no álcool amílico e na água acidulada pelo ácido clorídrico. 4 t Waldemar Peckolt — Contribuição ã matéria médica vegetal do Brasil. 7. 63 Reage com o ácido sulfúrico, dissolvendo-se com coloração amarela; com o ácido azótico idem, tomando côr áurea ; com o ácido clorídrico dissolve-se, sem mudar de côr. Segundo aqueles autores, oferece ainda reações com o cloreto de ouro, pre- cipitando ligeiramente em amarelo; com o cloreto de platina, turvando com co- loração amarelada; com o bicloreto de mercúrio, precipitando em branco; com o ácido fosfo-molíbdico, turvando levemente com coloração amarelada. A pariparobina que obtivemos das follias frescas foi preparada do seguinte modo: partindo do macerato alcoólico das folhas contusas até completo esgota- mento, filtrado e destilado em retorta o liquido alcoólico, foi o seu residuo es- gotado a frio pela água destilada e a solução aquosa evaporada a banho-maria até consistência de extrato. O residuo condensado foi então tratado pelo álcool de 98°C e a solução alcoólica filtrada e destilada de igual modo, dissolvendo-se o resíduo final em água acidulada pelo ácido clorídrico. Êste soluto, saturado então pela soda cáustica a 10% e agitado em frasco separador, com q. s. de clo- rofórmio, foi separado do veiculo extrator, o qual foi novamente lavado em água destilada e de igual modo separado; posto em cristalizador a evaporar, forneceu agulhas finissimas de côr amarela. As raizes da mesma planta, também analisadas pela primeira vez pelos cita- dos químicos, forneceram-lhes de 100 gs. de raizes frescas: Principio amargo ( pariparobina ) 0,022 gs. Resina mole a 0,325 " Resina mole b 0,412 " Acido resinoso 0.065 " Nitrato de potássio e de cálcio 0.523 " Substâncias albuminoides gomosas, etc. 2,500 " Matéria extrativa, sacarina, ácidos orgânicos, etc. 0,512 " Agua, celulose, sais inorgânicos, etc. 95.641 " O princípio amargo ( pariparobina ) é solúvel cm água destilada, no álcool de 36°C e nos de 40°C e 98°C, no clorofórmio e no éter sulfúrico, tomando côr Parda. Precipita, reagindo carateristicamente, como a maioria dos reagentes dos alcalóides. A resina mole a é de côr amarela alaranjada, solúvel no éter sulfúrico, no clo- rofórmio, na benzina, no álcool de 36°C, no de 40°C e no de 98°C; é insolúvel n ° éter de petróleo. Tratada pelo ácido sulfúrico, toma coloração verde garrafa; c ^ ni o ácido azótico fica corada em verde azulado; com o ácido clorídrico, toma cor levemente esverdeada. A resina mole b, de côr parda, é solúvel no éter sulfúrico, no éter de pe- lr ó!eo, no álcool de 36°C e no de 98°C, no clorofórmio e na benzina. 5 64 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV O ácido resinoso é solúvel no álcool de 40° C e no de 98 ; pouco solúvel no clorofórmio e na benzina; dissolve-se no éter sulfúrico. Tratado pelo ácido sulfúrico fica corado de vermelho pardo; pelo ácido azótico cora-se em ama- relo e com o ácido clorídrico não dá reação. (Theodor e Gustavo Peckolt, Hist. PI. Med. Nt. Bras., Vol. V, 937, 1893, Rio de Janeiro). No serviço da Secção de Botânica Médica do Instituto Butantan pesquisá- mos os componentes do fruto dessa mesma planta, cuja análise não tinha sido ainda efetuada e cujo exame citoquimico nos rcvelára deter maior quantidade de princípios químicos do que os demais órgãos da planta. De 100 gs. de frutos frescos, bem desenvolvidos, obtivemos: Pariparobino cristalizada 0.042 gs. Acido resinólico 0,463 " Resina mole (de consistência fluida) 0,223 ” Cinzas (nitrato de potássio, etc.) 48,333 ” Substâncias outras não pesquisadas q. s. p 100.000 " A pariparobino dos frutos frescos foi obtida do seguinte modo: contun- didos os frutos, acrescentamo-lhes u’a mistura de cal hidratada (leite de cal) que, posta a secar, foi esgotada pelo álcool de 98°C fervente. Filtrado o liqui- do alcoólico e destilado em retorta, foi o resíduo evaporado e tratado pela água destilada fervente; filtrado ainda quente e evaporado o liquido aquoso, foi o re- síduo de consistência xaroposa esgotado pelo álcool de 98°C: filtrado novamen- te e vascolcjado com carvão animal, filtrado e evaporado, foi o resíduo esgo- tado pelo clorofórmio, do qual foi separado; o liquido extrator posto a evapo- rar cm cristalizador deu, finalmente, agulhas finíssimas, leves e de côr ama- rela, com reação fracamente alcalina, reagindo aos reativos ensaiados com os ca- raterísticos dos alcalóides. Forneceu-nos reações perfeitamente idênticas àquelas obtidas com a mesma substância encontrada nas folhas e já citadas. Estas pesquisas provavelmente serão continuadas nas secções competentes deste Instituto, pois, doravante, essa parte, que vinha sendo efetuada com o en- tusiasmo patriótico e bastante esforço pela falta de aparelhamento na Secção de Botânica Médica, será brilhantemente executada nas Secções ultimamente criadas para êsse fim, especialmente nas de Quimica e Farmacobiologia espe- cializadas. Farmacokrgasia — A cultura da Caapeba ou Pariparoba não é relativa- mente fácil. Embora espontânea e silvestre na maioria dos Estados do Pais, a cultura dessa planta se faz pelas sementes, em época que precede ou sucede a estação chuvosa. Exige terreno rico e solo úmido, preferindo as regiões sombrias das matas e proximidades de córregos ou riachos para se desenvolver normalmente. E’ 6 t Waldemar Peckolt — Contribuição à matéria médica vegetal do Brasil. 7. 65 planta perene ou vivaz, que uma vez nascida forma touceiras que se reproduzem rapidamente quando cortadas. Necessita de calor e umidade ao par da sombra e humo. Seu ciclo vegetativo se processa cada 6 mêses, frutificando em maio e novembro ou ainda antes, conforme as condições de meio; durante todo o ano encontram-se os frutos em diversas etapas de desenvolvimento. As sementeiras se fazem, misturando as pequeníssimas sementes com terra humosa e fôfa que se espalha pelo solo previamente afofado e se irriga logo após, tendo-se o cuidado de abrigá-las dos raios solares, procurando-se, para êsse fim, lugar na mata em condições previstas. Prefere os terrenos pouco soalhei- ros. “noruegas”, dando-se perfeitamente nas proximidades dos ribeiros ou lugar fresco; contudo, não vive na umidade, nem em terrenos de vargedos e brejos. Seu plantio ocorre de janeiro a março ou de agosto a outubro. Propriedades, indicações terapêuticas e farmacodixámicas — As Pi- Pcraccac são em geral estimulantes, estomáquicas c carminativas; algumas são usadas especificamente e dentre elas as do gênero Hcckcria Kunth.. São con- sideradas desobstruentes do fígado e detersivas. Essa planta possue a propriedade de fluidificar a bile, facilitando desse modo o seu escoamento através do colédoco, quando impedido pela consistência da secreção, muito condensada pelo embaraço fisiológico, bem como por moti- 'o da presença de catarro; entretanto, favorece e estimula a secreção biliar, at 'iando, pois, como colagogo e colcrético. Devido à presença de notáveis quan- tidades de sais potássicos (nitrato e sulfato), goza igualmete de nítida ação diurética, possuindo o fruto maior indicação nesse sentido, mormcntc nos casos d® litiasc urinária, úrica e oxalúrica. Pelo mesmo motivo alguns o indicam também na asma. nos estados de eretismo e de afrodisia de causas mecânicas. O cozimento a 5% desses frutos ocasiona notável aumento da diurese, acompa- nhada do abaixamento da pressão sanguínea; provoca também sudorese c sia- lorréia seguida de ligeiro tremor na lingua, como sóc acontecer a outras Pipcrá- Ceas dos géneros Pi per e Ottonia, consideradas “falsos jaborandis” ou seus 'crdadeiros sucedâneos. A observação empírica da ação fisiológica dessa planta levou ao seu emprégo 'Ulernamente e em pequenas doses, como excitante das funções do estômago e do ^'gado, por fazer aumentar o apetite, ativar a digestão tal como um amargo aro- matico e promover o escoamento da bile. como colagogo que é. Em doses mais elevadas, acima da posologia normal, provoca náuseas, vômi- * 0s . cólicas e diarréia, ação muito variável individualmente, observando-se em sc- Smda pequena elevação de temperatura ; algumas vêzes, cefaléia, movimentos con- y nlsivos (tremores nos membros) que evoluem, podendo ir até á paresia. G6 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Sua eliminação faz-se através da mucosa respiratória; pela pele, produzindo erupções urticosas; pelos rins, cuja excreção exagera, bem como pelo fígado com dissolução e íluidificação da secreção biliar, que exata. Em doses muito elevadas determina sintomas de inflamação colecística e pie- lorenal, acompanhados de dôres nas regiões escápulo-umeral direita, hepato-vesi- cular, lombar e vesical, seguida de hematúria, notando-se na urina a presença de cristais de oxalato, uratos, de bile e de alguns resíduos celulares, sedimentos e resina. Internamente, a Pariparoba é um colagogo de ação enérgica e, ao mesmo tempo, um colerético e diurético. Tem sido empregada ainda no tratamento da leucorréia, da blenorragia e das inflamações das vias urinárias. Devido à sua eliminação pela mucosa respiratória e ao seu elevado teor po- tássico, tem sido recomendada como um sedativo das tosses espasmódicas, coque- luche e bronquites crônicas com expectoração muco-purulenta, nas quais atua como detersivo. Suas indicações principais são, todavia, na insuficiência hepático-biliar, na icterícia, nas colecistites catarrais e nos casos de início de formações litiásicas, quando impedida de escoar da vesicula, a bile se condensa, cristaliza, forman- do, com o acréscimo de catarro, verdadeiros cistolitos, cuja inicial é sempre a presença de um agente estranho, germe ou parasita ( B . coli ou protozoário na maioria das vêzes). São, portanto, essas as reais propriedades das Pariparobas. Entretanto, têm ‘sido usadas ainda e empiricamente como anti-espasmódicos, o que carece, porém, ser confirmado por ensaios clinicos. Internamente essas plantas gozam no Pais, evidentemente, um largo mérito e aceitação que datam de tempos remo- tos e que vêm dos aborígenes, razão pela qual a apelidaram de “Caapeba”, cujo significado é ‘‘herva camarada”, ‘‘herva amiga”. Farmacologia e emprego oficial — A Farmacopéia dos Estados Uni- dos do Brasil, considera apenas como droga a raiz da Pariparoba, nus em vista dos exames citoquimicos e das análises efetuadas na nossa Secção de Botânica Médica, verificou-se que, além das raizes, as folhas, o caule e principalmente os frutos encerram elevado teor em princípios quimicos, razão pela qual consi- deramos como droga a planta toda ou, ao menos, suas raizes, folhas e frutos. No nosso código farmacêutico, somente três preparações são oficializadas: o extrato fluido, a tintura e o xarope de Pariparoba. Extrato fluido — Extractum hcckcriacs fluidum — Êste extrato fluido deve ser preparado (segundo as indicações da Farmacopéia Brasileira, 1926) pelo processo B (pag. 385) ou seja: empregando u'a mistura de 100 ccs. de 8 t Waldemah Peckolt — Contribuição à matéria médica vegetal do Brasil. 7. 67 glicerina, 650 ccs. de álcool e 250 ccs. de água destilada, como veiculo extrator I, e u’a mistura de dois volumes de álcool, com um volume de água, como líquido extrator II. Com êste extrato fluido, prepara-se o xarope de Pariparoba e o xarope de Pariparoba composto. Tixtura — Tinctura heckeriae. Cada cc. dessa preparação deverá corres- ponder a 1 g. da planta fresca. A tintura de Pariparoba é um liquido de côr parda, de aroma agradável e sabor acre, resinoso. U’a mistura de volumes iguais de tinctura heckeriae e água destilada deverá tornar-se ligeiramente opalescente. Ela se prepara de acordo com o nosso código pelo processo P: Pariparoba cm pó (II) 200 gs. Álcool qs . Agua qs. 1.000 CCS. Entretanto, outras preparações são ainda usadas, embora não oficialmentc: entre os nativos, o suco expresso das folhas, o dos frutos e, algumas vezes tam- bém, o das raizes e seu cozimento. Em nossa matéria médica são algumas prescritas, geralmente o infuso c o decoto ou o cozimento de quaisquer das drogas da planta: raizes, folhas, frutos e algumas vêzes as cascas do caule. Porém, como todos os princípios quimicos da planta são solúveis no aicool de 38°C, pode-se considerar como suas melhores preparações a Tintura e o Extra- io fluido. Posologia — O extrato fluido é prescrito nas doses de 4 a 8 gs. por dia; a tintura nas de 2 a 5 gs. por frações de 1 g. por dose; o xarope nas de 20 K s - por vez e de 60 a 80 gs. nas 24 horas. Embora não oficialmentc, são também prescritas, algumas vézes, o infuso e o decoto das folhas — 30 gs. para 750 gs. de água fervente — na dose de 3 chicaras, das de chá, diariamente; o pó, na dose de 2 a 4 gs. fracionadamcn- te {Vi a 2 gs. por vez). * * O presente trabalho do saudoso dr. guando aquele cientista dirigia a Secção ^ntan, foi encontrado após a sua morte. Waldemar Peckolt, escrito cm 1935, de Botânica Médica do Instituto Bu- Vindo às nossas mãos êste valioso tra- 9 68 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV balho. tão valioso como todos os que nos legou a brilhante mentalidade do distinto e ilustrado médico, botânico e químico, nós, desde logo. sentimos ser um dever dá-lo à publicidade; e é o que ora fazemos, nas Memórias do Instituto onde foi êle elaborado e escrito. FERXAXDO PAES DE BARROS (Chefe da Secção ae Botânica Médica). (Trabalho da Secção de Botânica Médica do Instituto Bu- tantan. Escrito em dezembro de 1935 e dado â publici- dade em janeiro de 1942.) 10 f Waldemar Peckolt — Contribuição à matéria médica vegetal do fírasil. 7. Mem. Inst. Rutantan VoL XV — 1941 Kif. 1 Htckeria umbfllata (L.) Kcxth. Pariparoba, Ca peba, Caapcba. Ramo e amroto (fruto). 11 Metn. In»t. Butantan f Waloemar Peckolt — Contribuição à matéria médica vegetal do Brasil. 7. Vol. XV — 1941 Fic. 2 Riii — Htrkfria umbetlala (L) Kuxth. Corte tran»vcr*al. Fi*. 3 Folha — Hfchttiã mmbrllatú (I-) KtíJCTH. Corte trar.»ver*al. Fif. 4 ^nrto — Hrckrria mmbfltata (L.) KuwTH. Corte tran^reml — microfoto. Fi*. 5 Caule — Hftktfim mmbtUmí a (L.) Kcsítii. Corte trar#ver*al. 13 599 . 32 : 614.526 COMPORTAMENTO DE ALGUNS CAVÍDEOS (CAVIA APE- rea e hydrochoerus CAPYBARA) Xs inoculações experimentais do vírus da febre maculosa. pos- sibilidade DESSES CAVÍDEOS REPRESENTAREM O PAPEL DE DEPOSITÁRIOS TRANSITÓRIOS DO VIRUS NA NATUREZA. rãs J. TRAVASSOS & A. VALLEJO Os estudos realizados em São Paulo em busca de depositários naturais do v *nis da febre maculosa, evidenciam claramente a alta importância representada P° r certos Ixodidas, já encontrados naturalmcntc infetados em zonas semi-rurais ( h Capital, consideradas focos endêmicos (1 e 2). Além de transmissores da febre maculosa, os Ixodidas são verdadeiros reservatórios do viras na natureza. Conservam nas diversas fases do seu ciclo vital, o agente ctiologicamente respon- ^'el pela infeção — a rickettsia — transmitindo-a congenitamente a noras ge- rações, como ficou liem demonstrado experimcntalmcnte (3 e 4). Por outro lado, é admitido hoje que, com exceção do tifo exantemático epi- dêmico e da febre das trincheiras, as rickettsioses cm geral seriam doenças dc an 'niais, transmissíveis ao homem por artrópodos hematófagos (5). Êsscs an >mais apresentariam o papel de depositários transitórios, infetando os artrópodos 11 a fase da circulação sanguínea do viras, concorrendo, assim, para a sua manu- ie nção e difusão na natureza. Dentre os animais até agora estudados entre nós, só do gambá ( Didelphys aur ita e Didelphys paraguaycnsis) foi possível isolar um viras que se identificou 10 da febre maculosa (6 e 7). Continuando as pesquisas sóbre possíveis depositários do viras da febre ma- Cu '° s a entre nós, expomos nesta nota alguns resultados de experiências realizadas trT1 preás ( Ctn-ia a per ca) c capivaras ( Hydrochoerus eapybara), dois dos cavideos 1 7-1 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV mais frequentemente encontrados nas zonas semi-rurais e rurais da Capital e do Interior de São Paulo. Nessas experiências procuramos verificar: a) O comportamento desses dois ca vídeos às inoculações experimentais do vinis da febre maculosa; b) possibilidade de se encontrarem exemplares naturalmente imune* ao virus ; c) possibilidade de se encontrarem exemplares naturalmente infetados, portadores do virus; Os cavídeos com que trabalhamos eram, na sua maioria, oriundos de zonas consideradas focos de doença. Os virus que serviram para as inoculações expe- rimentais foram isolados de doentes ou de carrapatos naturalmente infetados ( Amblyomma slriatum) e são mantidos no laboratório por passagens sucessivas de cobaia a cobaia. O material infetante usado nestas inoculações era sangue de cobaia infetada, colhido no 2.° ou 3.° dia de temperatura elevada, ou cérebro de cobaia sacrificada no 3.° ou 4.° dia de reação febril ou ainda u’a mistura de sangue e cérebro. Experiências em preás A preá recém-capturada é. de modo geral, de dificil adaptação às condições de vida no laboratório. Geralmente recusa a alimentação e morre, na maioria, nos 3 a 5 dias que se seguem à captura. Embora tivéssemos conseguido bastante exemplares desse roedor, muito pequeno foi o número dos que sobre- viveram e só com êstes pudemos fazer algumas experiências sôbre a sua sensi- bilidade às inoculações experimentais do virus. Aproveitamos apenas os exem- plares que nos pareciam adaptados às condições de vida em laboratório para que assim fossem afastadas as naturais causas de erro. No gráfico abaixo damos as curvas febris de alguns exemplares, mostrando três modalidades de comportamento da preá quando experimentalmente inoculada com virus-sangue de cobaia infetada, seguramente ativo. Como se vê por êsses resultados, a preá mostra-se sensível ao virus da febre maculosa em São Paulo, como bem fica evidenciado nos animais Nos. 1, 6 e 7, que reagiram febrilmente após o período de incubação idêntico ao das cobaias, não so- brevivendo e mostrando à necropsia lesões típicas. Os animais Nos. 2 e 4 não reagiram febrilmente, porém o primeiro veio a morrer no 5.° dia após a inoculação e o segundo no 6.° dia, ambos apresentando igualmente, à necropsia, lesões tipicas. 2 J. Travassos &. A. Vallejo — Comportamento de alguns cavideos na febre maculosa experimental 75 Duas de nossas preás (Nos. 5 e 12), porém, resistiram às inoculações do rírus, uma delas não tendo apresentado nenhuma reação febril e a outra mos- trando apenas alguns dias de ligeira elevação térmica depois de prolongado pe- ríodo de incubação. Não é impossível pensar que êsses animais tivessem uma certa imunidade que os protegeu contra a inoculação infetante experimental. EXPERIENCIAS EM PREA5 (cavia arerea) mOCULAÇÕCi DE VIRUS DA F.nACUlOSA rtuv »tSULTA»OJ i j ^ ' 5 r.M * t f.M (luto 4.xnUj^ 4 ^ + r.M 6 r.M 7 r.M 12 IMUNES Griíico No. 1 Todas as experiências até agora realizadas com o fim de verificar a pre- natural de virus em órgãos de preás capturadas quer em focos de febre tttaculosa, quer em outros locais, foram sempre negativas. Experiências em capivaras Para as pesquisas em capivaras usamos de preferência animais jovens, não 50 Por ser mais facil o seu manuseio, como pelo fato de melhor resistirem às Punções cardíacas, o que não acontece em geral com os exemplares adultos, ^lesmo assim, as nossas experiências sóbre a fase circulante do virus na capi- Vara não puderam ser estendidas a um período superior a 15 dias, dado os an 'mai s , de que dispúnhamos sempre em pequeno número, mostrarem-se muito ** 0s, v*is às punções cardíacas, geralmente não suportando essa prática operatória. As inoculações experimentais em capivaras foram feitas por via subcutânea CotT1 2 a 3 ccs. de sangue de cobaias infetadas, colhido no 2.° ou 3.° dia da rea- febril. 3 76 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV O gráfico No. 2 mostra comparativamente as cursas térmicas de capivaras normais e as cursas térmicas de algumas capis-aras inoculadas com o vinis da febre maculosa em São Paulo. Relataremos aqui em minúcia apenas as experiências feitas com duas das capivaras inoculadas (capis-aras Nos. 3 e 7 Gráficos Nos. 3 e 4). 4 J. Travassos & A. Vallejo — Comportamento de algnns cavideos na febre maculosa experimental 77 Como todas as demais, a capivara No. 3 era um animal jovem, capturado no foco de Agua Funda, pesando aproximadamente 20 quilos. O gráfico No. 3 ntostra-nos claramente as diversas fases da experiência. A temperatura da capi- nara não sofreu alterações dignas de nota durante todo o período da experiência. Antes da inoculação infetante (em (1) do gráfico No. 3) foi sangrada para exame da existência de qualquer virus circulante ou presença de quaisquer para* ãitos visiveis em exame microscópico. A sangria, feita por punção cardíaca por meio de uma longa agulha, forneceu 6 ccs. de sangue que serviram para inocular as cobaias Nos. 7507 e 7508. A primeira não reagiu febrilmente e 15 dias mais tarde, quando foi ino- culada com virus de passagem, não se mostrou imune. A sua companheira, a cobaia No. 7508, apresentou no 5.° dia uma ligeira elevação de temperatura. Sangrada nessa ocasião, serviu o seu sangue para inocular duas novas cobaias, 35 de Nos. 7550 e 7551, que não reagiram. Sacrificada a cobaia No. 7508 no ®"° dia. seu cérebro de mistura com sangue serviu para novas inoculações, tendo l °das dado resultado negativo. A cobaia No. 1529 foi, além disso, reinoculada coni o virus de passagem, reagindo francamente, evidenciando deste modo que n ao estava imune. Ficava assim bem claro que a capivara No. 3 não continha v,r n ' circulante no sangue. Na mesma ocasião fizemos a reação de Weil-Felix, constatando o seguinte resultado: OX19 negativo; OX2 negativo; OXK — 1/40. No dia seguinte inoculamos o cavideo por via subcutânea com 2 ccs. de u a mistura sangue-cérebro de cobaia infetada e no 3.° dia de reação febril. O v,r tts inoculado era originário de Atnblyomma striaium, encontrado naturalmcntc mfetado. Cinco dias após esta inoculação (em (2) do gráfico No. 3) sangramos n ovanicntc a capivara e inoculamos 2 ccs. de seu sangue por via intrapcritoneal 03 cobaia Xo. 7521, que reagiu após 6 dias de incubação, dando alta tempera- •ura e fazendo uma típica curva térmica. No segundo dia de temperatura c, cvada, tendo 40°2, foi essa cobaia sangrada e seu sangue inoculado em duas °utras de Nos. 7552 e 7553, que fizeram uma típica curva térmica, mostrando fesfies caraterísticas. A cobaia No. 7552 ainda foi sangrada e inoculando-sc material na cobaia No. 7593, esta reagiu fortemente, morrendo. Todos Cs,es animais de experiência mostraram lesões absolutamente típicas da febre m -eulosa experimental. Picava dei tal comportamento. Damos aqui tão somente as experiências feitas com a capivara No. 4, por ^em mais interessantes (Gráfico No. 5). Depois de uma observação de alguns dias no laboratório sem que o gráfico ^ curva térmica mostrasse qualquer anormalidade (Vide Gráfico No. 2), a Ca pivara No. 4 foi sangrada em (A) para verificação da presença de virus cir- ^lante. Com efeito, das cobaias Nos. 7572 c 7573, inoculadas por via peritoneal Om o seu sangue, uma não mostrou reação febril e as 4 novas cot>aias inocula- is, quer com sangue, quer com cérebro da companheira, que apresentara tem- f* r atura elevada, embora atipica, não revelaram sintoma algum de febre ma- c tiIosa, o que exclúe a possibilidade da presença natural do virus circulante. Nessa capivara, em ac , foram postos a picar 10 Atnblyomma cajcnncnse de ütT| lote de carrapatos infetados nas fases de lana e ninfa c que são por nós ut >lizados para o preparo da vacina contra a febre maculosa. Deste mesmo lote, ° mr os 10 carrapatos foram postos a picar a cobaia normal No. 7581, que sen-e i testemunha da capacidade destes Ixodidas transmitirem a infeção por picada, dias após a inoculação, esta cobaia reagiu, morrendo com lesões típicas. 80 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 8 Gráfico No. J. Travassos & A. Vallejo — Comportamento de alguns cavideos na febre maculosa experimental 81 Sangrada no 2.° dia de temperatura, o sangue obtido foi inoculado nas cobaias Nos. 7615 e 7616, que reagiram tipicamente, mostrando de modo evidente a infeção da cobaia anterior e, por consequência, a capacidade infetante dos Ixo- didas do mesmo lote dos que foram postos a picar a capivara No. 4. Estes Ixodidas alimentaram-se na capivara durante todo o período da experiência, isso com o fim de assegurarmos a infeção. Em (B), 7 dias após termos colocado os Ixodidas infetados a sugar a capivara, foi ela sangrada por punção cardíaca e seu sangue inoculado nas co- baias Nos. 7605 e 7606. Estas não evidenciaram a presença do virus circulante no sangue da capivara. As experiências feitas com material de sangrias poste- riores, uma cm (C) feita aos 12 dias da colocação dos Ixodidas e outra em (D) decorridos 17 dias, também não revelaram a presença de virus circulante na capivara. As tentativas feitas com o intuito de infetar carrapatos normais nessa capi- v ara, carrapatos êsses que sugaram do 10." ao 17.° dia, do mesmo modo foram infrutíferas. No 20.° dia da colocação dos carrapatos infetados, a capivara foi inoculada com virus-sangue de uma cobaia infetada com virus de passagem, cuja atividade loi concomiíantemente comprovada em cobaias. Uma sangria feita no 5.° dia, em (E), após a inoculação do virus demons- tra, ainda agora, ausência completa de virus circulante. Infclizmente, a nossa ^pivara morreu após essa sangria e aproveitamos para pesquisar a presença de 'irus cm seus órgãos. Cobaias foram inoculadas com emulsões de cérebro, baço e fígado e mais uma vez os resultados foram totalmente negativos. As nossas pesquisas, visando evidenciar a existência do virus cm capivaras °riundas do foco de Agua Funda, si bem que limitadas a 3 exemplares, por terem sido negativas, não nos autorizam a imputar a esse cavideo de modo deíi- nitivo o papel de depositário natural do virus da febre maculosa entre nós. RESULTADOS Podemos resumir os resultados das nossas experiências em preás e capna- ras nos seguintes itens: 1 . Preás inoculadas experimentalmente com o virus da febre maculosa rea gem febrilmente, apresentando um quadro patológico semelhante ao da cobaia. A inoculação do virus em capivaras não provoca modificações anormais na sua 011 rv a térmica, nem lesões patológicas macroscopicamente evidenciáveis. 2. Nas capivaras, o vinis após a inoculação subcutânea experimental já a °* 5 dias pôde ser encontrado em circulação no sangue, aí permanecendo por 9 82 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV período superior a 11 dias. Nos órgãos das capivaras encontra-se o virus mes- mo 15 dias após a inoculação. 3. O virus, após passagem em capivara, conserva a sua primitiva virulência. 4. Alguns exemplares de Cavia aperca e de Hydrochorus capybara, oriun- dos de focos de febre maculosa, quando inoculados com virus de passagem ou picados por Ixodidas infetados, não reagiram, evidenciando uma certa imunidade provavelmente decorrente de uma infeção natural, ocorrida anteriormente. 5. Todas as pesquisas até agora realizadas com o fim de verificar a pre- sença de virus em preás e capivaras, oriundas de focos endêmicos de febre ma- culosa, foram negativas. COMENTÁRIOS Como possíveis depositários do virus da febre maculosa. os roedores pare- cem representar um papel de alta importância, não só na manutenção do virus na natureza, como também na exaltação periódica de sua virulência. Já Ri- cketts havia observado, em 1909, uma estreita relação entre a maior virulência do virus em determinados focos endêmicos e o número e a variedade das espé- cies de roedores neles existentes. Nos locais onde abundassem os roedores, a possibilidade de se efetuarem passagens sucessivas e mais numerosas do virus através o organismo desses animais, num ciclo roedor-carrapato, exaltaria a sua virulência. Ao contrário, nos focos em que a maior benignidade da doença indicava u’a menor virulência do agente infetante, a observação evidenciava sempre um menor número desses roedores. Essa menor virulência provavel- mente adviria da impossibilidade de se efetuarem passagens sucessivas e frequen- tes através os seus organismos, causas dessa exaltação. Embora não tenham sido até agora encontrados roedores naturalmente infe- tados nos focos de febre maculosa nos Estados Unidos, nem mesmo no das Montanhas Rochosas, onde os estudos têm sido mais intensivos, experimental- mente alguns deles mostraram-se suscetíveis de infeção sob forma benigna e capazes de infetarem Ixodidas. Entretanto, muitos dos roedores de focos en- dêmicos das Montanhas Rochosas revelaram a presença de anticorpos protetores em seu sangue, bem como alguns deles se mostraram imunes quando experi- mentalmente inoculados com o virus. Essas provas indicariam, como é evidente, uma infeção natural anterior (8, 9 c 10). O estudo da fauna cm certos locais de São Paulo, em que se verificam periodicamente casos geralmente letais de febre maculosa, mostra que, além de marsupiais, ha sempre um elevado número de roedores. 10 J. Travassos & A. Vallejo — Comportamento de alguns cavideos na febre maculosa experimental 83 Entre os marsupiais, o opossum, gambá ( Didelphys paraguaycnsis e Didel- phys aurita ), já foi por um de nós assinalado como depositário de virus, dado d diffusion among the transmitters ( Ixodidac ) of the spotted fever virus. BIBLIOGRAFIA Gomes, L. S. — Brasil-Médico 47(52) .-919.1933. 2 - Travassos, ]. — C. R. Soc. Biol. 127(13) : 1377. 1938. Monteiro. J. Lemos & Fonseca, F. — Mcm. Inst. Butantan 7:35.1932. j T Gessos. J. — C R. Soc Biol. 127(5) :462.1938. fion-tien, A. & Lestoquard, F. — Arch. Inst Pasteur Algéric 15:142.1937. 13 86 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV T raivssos, J. — C. R. Soc. Biol. 126(33) :1054. 1937. T ravassos, J. — Comunicação à Soc. Biol. de São Paulo, sessão de 8/11/1937. Ricketls, H. T. — Medicai Record 76:842.1909, cil. in System of Bacteriology in relation to Medicine 7:443.1930. I Volbach, S. B. — Jour. Med. Res. 41:1.1919. Speneer, R. R. — Jour. Inf. Dis. 44:257.1929. Magalhães, C. — “Ensaio sóbie a fauna brasileira” — Secr. Agr. Ind. e Comérdo de São Paulo, 1939. Dias. E. — Brasil-Médico 51(51) :1245. 1937. Moreira, /. A. & Magalhães, O. — Brasil-Médico 49(21) :465. 1935. Aragão, H. B. — Mem. Inst Oswaldo Cruz 31(4) :759. 1936. T razassos, J. — Comunicação à Soc. Biol. de São Paulo, sessão de 8/3/1938. (Trabalho da Secção de Vírus e Virusterapia do Instituto Butantan. Comunicação feita à Sociedade de Biologi* de São Paulo em 8 de Junho de 1940. Dado à publi- cidade em janeiro de 1942.) 14 cm 'SciELO 0 11 12 13 14 15 16 199 . 33:614 . 526:616.9685 POSSIBILIDADE DE AMBLYOMMA CAJEWENSE SE IN- FETAR EM HYDROCHOERUS CAPYRARA EXPERIMENTAL- MENTE INOCULADO COM O VIRUS DA FEBRE MACULOSA POR J. TRAVASSOS & A. VALLEJO Em trabalho anterior (1), foi posta em evidência a possibilidade de Hydro- thocrus capybara, cavídeo frequente nas zonas rurais de São Paulo, ser infetado ^^pcrimen talmente com o virus da febre maculosa. Ficou então demonstrado que ° virus circula na torrente sanguínea da capivara por período superior a 1 1 dias, ç ncontrando- se -o igualmente em seus órgãos mesmo após decorridos 15 dias da 'noculação experimental. O virus passando no organismo do cavidco, não evi- denciou qualquer alteração em sua virulência primitiva. Nesta nota damos os resultados de experiências realizadas com o fim de de- ^nnstrar a possibilidade de Amblyomma cajennense se infetar quando alimentado ent capivara experimentalmente infetada. Essas experiências foram feitas na capivara No. 7. inoculada com virus iso- lado de Amblyomma strialum naturalmente infetado, encontrado cm cão oriundo de uni foco endêmico da febre maculosa. Êste virus é mantido em nosso laltora- l°rio por passagens seriadas em cobaias e, no momento da inoculação, contava COf n 15 passagens. Virus-sangue obtido de cobaia infetada, sangrada por punção Car diaca no 3.° dia de reação febril, foi inoculado por via subcutânea na dose de ** ves. na capivara e, ao mesmo tempo, na dose de 1 cc. em 3 cobaias, que serviram d e testemunhas da atividade do virus. Como se pode verificar no gráfico No. 1 . essas cobaias fizeram curvas tér- ^'cas típicas, morrendo de febre maculosa. testemunhando assim a alta infetuo- *' ' a de do material usado na inoculação da capivara. . O) Comportamento de alguns cavideos (Cavia aperta e Hydrochocrus capybara) ás "Vxndaçõcs experimentais do virus da febre maculosa. Possibilidade destes cavideos repre- ^tarem o papel de depositários transitórios de virus "in natura . — .1. Travassos & A. s Hcjo neste volume (em publicação neste volume à p. 73). 1 88 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Gráfico No. 1 Cinco dias após a inoculação, prazo em que já é possível isolar o virus dc sangue circulante, preparamos um dispositivo de proteção especial, que permitiu colocar no pavilhão da orelha do animal um lote de 10 exemplares de Amblyomtna cajennense normais, com o fim de proceder à alimentação infetante. Êsses 10 exem- plares faziam parte de um lote de 20 carrapatos colhidos em terrenos do Instituto Butantan, onde nunca foram encontrados Ixodidas naturalmente infetados, nem tão pouco constatados casos humanos de febre maculosa. Os outros 10 exempla- res serviram-nos para controlar a ausência de infeção natural dos carrapatos do lote. Êles foram postos a sugar cobaias normais e depois triturados e emulsio- nados em salina, servindo a emulsão para inoculação de novas cobaias. Toda-' o J. Travassos & A. Vaixejo — Possibilidade de A. cajennense se infetar em //. capybara 89 e $sas provas, bem como as de imunidade posieriormente feitas, demonstraram a uséncia de infeção natural nesses Ixodidas. Para bem provar que no período em que os carrapatos sugaram a capivara «avia virus circulante em seu sangue, sangramos o cavideo alguns minutos antes de serem colocados os Ixodidas e também 6 dias após, quando da retirada dos carrapatos. O sangue colhido nessas duas sangrias foi inoculado em cobaias e, Mostrando estas curvas térmicas e sintomas típicos de febre maculosa experi- Mcntal, ficou comprovada nitidamente a infeção da capivara e a circulação do vtrus no seu sangue naquele período. Dos 10 carrapatos somente 2 picaram seguramente a capivara, sem contudo ** Cimentarem completamente. Com êstes dois Ixodidas fizemos então as nossas experiências, após a sua permanência à temperatura ambiente durante 6 dias, o que viria facilitar não só a digestão do sangue ingerido pelos Ixodidas, como a Multiplicação iti vivo das rickettsias. Após êsse prazo, os dois Ixodidas foram postos a sugar a cobaia Xo. 8378, durante 4 dias, sendo então retirados. No dia seguinte à retirada dos carrapatos, eles foram triturados e obtida uma suspensão em salina, foi essa inoculada por v >a subcutânea nas cobaias Nos. 8411 e 8412. A cobaia No. 8378, picada pelos Ixodidas, fez uma infeção, elevando-sc a Sua temperatura por 10 dias sucessivos e, sacrificada, mostrou lesões típicas, com c -!>lenomegalia acentuada. As cobaias Nos. 8411 e 8412, reagiram igualmentc e apresentaram curvas térmicas típicas. A primeira morreu e à necropsia revelou lesões caraterísticas febre maculosa. A segunda resistiu à infeção e, quando posteriormente rei- t^culada com virus de passagem, mostrou-se imune e sobreviveu. As cobaias Xos - 8391 c 8394, normais, igualmentc inoculadas com o virus de passagem que * trv, u para o controle da imunidade da cobaia No. 8412, mostraram infeção 'xperirnental tipica c morreram de febre maculosa, o que comprova a perfeita aii 'idade do virus inoculado. CONCLUSÃO dnblyomma cajennense pode, alimentando-se em Hydroclwcrus capybara lri! "ctar-se e, posteriormente, transmitir a infeção por picada a outros animais ou P° Ss >velmente ao homem. 3 ÜO Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV I CONCLUSIONS Amblyotnma cajenncnse, fed on Hydrochocrus capybara experimentally ino- culated with the spotted fever vírus, may be infected and posteriorly transmit the infection by bite to other animais or possibly to man. \ (Trabalho da Secção de Vírus e Virusterapia do Instituto Butantan. Comunicação feita i Sociedade de Biologia de São Paulo, em 8 de Junho de 1940. Dado ã publicidade era janeiro de 1942.) 4 591 . 69 : 616.9681 INFEÇÃO EXPERIMENTAL DE A\OPHELES (KERTESZ1A) CRUZI PELO PLASMODIUM VIVAX POR FLAVIO da FOXSECA & RENATO R. CORRÊA O estudo do comportamento dos anofelinos do subgênero Kcrtcseia em tdação à potencialidade vetora da malária humana apresenta grande importân- Cla para a compreensão dos problemas da transmissão da plasmodiose nas zonas florestais e montanhosas da região neotrópica. Longe de ser nova. a questão foi uma das primeiras a serem abordadas no re ferente à epidemiologia da malária ligada ao Anophclcs. Em 1903, Adolpho Lutz, o sábio patologista brasileiro recentemente falecido, ^ trabalho sobre a “Malaria nas florestas e mosquitos da mata” (1), datado 'k 1902 c versando sôbre a transmissão do impaludismo na Serra do Cubatão, 'lurante os trabalhos de duplicação da linha da estrada de ferro que liga São f aulo ao pòrto de Santos, incriminava o Anophclcs lutei como vetor da infeção. Nunca será demais chamar a atenção para o fato de constituir este traba- lho um dos mais extraordinários documentos da admiravcl capacidade de dicer- n, uiento de que era dotado Lutz. Eoi estudando a epidemia que se desencadeou no decorrer dessas pesquisas, concluiu ser a malária naquela região veiculada por um culicideo por éle re uietido a Theobald em 1899. o qual o descreveu em 1901 (2) sob o nome de •Inophcles lutei, nome mais tarde mudado para Anophclcs ( Kcrtcseia ) cruei. Como na época em que Lutz fizera tal verificação (*) nada era conhecido no ,r,c ante ao mecanismo transmissor da infeção palúdica, pois os estudos de Ross c ( fa Escola Italiana só em 1899 fixaram a importância do papel dos anofelinos, Cotl clue-se que Lutz foi o primeiro a determinar que a malária era transmitida um anofelino, o que aliás relata no seu trabalho, dizendo: ç- ^ 1 A dat a deve a de fevereiro de 1898. segundo se dedos da lista completa de excursões Ir» 1 *** P° r Luta de 1897 a 1908, publicada por este autor no "Resumo dos Trabalhos do 'btuto Bactenologico de S. Paulo, de 1892 a 1908, pag. 35, Tipografia do Diário Oficial. S. Paulo." 1 cm 7 SCÍEL0) 2.1 12 13 14 15 16 92 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV “Fiquei logo certo de ter encontrado a especie de mosquitos que procurava, embora naquela época ainda nada se soubesse acerca dos caracteres dos transmissores da malária. Quando se teve conheci- mento, logo depois, que os mesmos deveriam ser procurados entre as espécies de Anophclcs, vi com satisfação que a nora espécie era um Anophclcs. É éle o mesmo que mais tarde foi descrito por Theobald sob o nome de Anophclcs lutei, uma das espécies menores e mais delicadas”. É esta verificação, que nunca vimos citada ou encarecida nos estudos bio- gráficos, aliás cuidadosos, sobre a personalidade impar de Lutz, que lhe dá pre- cedência na descoberta da transmissão da malária humana e constitue uma das maiores glórias do sábio brasileiro e da ciência pátria, sendo para lamentar que a sua publicação, preterida até 1903, não possa conferir-lhe a merecida prio- ridade. * * * Logo a seguir, Galli-Valério fornecia elementos para que melhor se funda- mentasse a suspeita de Lutz, publicando em 1904 (3) um trabalho em que de- monstrou a infeção do Anophclcs lutei, ou pelo menos de uma espécie do subgê- nero Kcrtcseia, por um hematozoário da malária, em material remetido por seu antigo discípulo, dr. Rebsamen de Wintherthon, e colhido a 32 kms. de Paranaguá. Constou tal verificação do encontro de um exemplar infetado com cerca de 13 oocistos dentre 20 que lhe foram enviados. Esta observação é habitualmente posta em dúvida, pois não só os seus exemplares eram conservados em álcool, o que torna difficil ajuizar sobre a infeção, como também o encontro exclusivo de oocistos não só não prova que se tratasse de malária humana, como também não demonstra que a evolução se processe até a fase infetante de esporozoito. Da literatura por nós compulsada, consta ainda um trabalho publicado 23 anos após a observação de Galli-Valério por Nelson Davis (4), o qual, traba- lhando em Angra dos Reis com uma Kcrtcseia que identificou a Anophclcs ( Kcrtcseia ) bcllator e que Komp (5) julga talvez se trate de Anophclcs ( Kcr - teseia) anoplus KOMP, 1937. constatou a infeção experimental de um único espécime entre cerca de 167 alimentados em gametóforos e dissecados 5 dias ou mais depois do repasto infetante. As condições em que trabalhou Davis, em rápida excursão, operando com exemplares de captura e com gametóforos extre- mamente pobres (só 4 mosquitos alimentados em doentes com relação de game- tocitos e leucócitos superior a 1 :100), não permitem seja tirada conclusão segura do seu trabalho, que aliás versou sobre um total de 418 exemplares. 2 Flavio da Fonseca & Renato R. Coriièa — Infeção exper. de Anopheles Entre 1929 e 1938 os drs. Severiano de Miranda e Carvalho Franco (co- municação verbal), trabalhando sob a orientação do dr. Humberto Pascale no 'aveis vetores autóctones da infeção malárica, mormente nas cotas altimétricas superiores a 400 ms.. Um daqueles médicos nos forneceu uma carta que, cm "... o mosquito Anopheles cruzi (espécie bromelícola por nós en- contrada naquela região e sôbre cujo papel como transmissor da malária alimentamos por ora, forte convicção) ...” * * * Presentemente, por sugestão do dr. Arthur Costa Filho, Diretor do Serviço de Profilaxia da Malária, e orientado por um dos autores, foi encetado Uln programa de pesquisas, figurando no mesmo a verificação da potencialidade 'etora de malária dos anofelinos pertencentes ao subgênero Kerteszia. Os trabalhos se desenvolveram do seguinte modo: Foram capturadas por um dos autores na Ilha de Santo Amaro, Estado São Paulo, nas proximidades da Vila Balncária do Guarujá, algumas fémeas, 0111 seguida conservadas em vidros entomológicos e alimentadas com sangue de ^taia até desovarem. Os ovos foram semeados e deles saíram larvas viáveis que atingiram as fases de pupa e imago, tendo-se seguido para a criação a técnica original do labo- ^lorio de Ecologia deste Serviço, a qual será oportunamente descrita pelo seu ( Kerteszia ) cruzi 93 serviço de combate à malária realizado durante a construção da E. F. Mayrink- Santos, incriminaram os anofelinos do subgênero Kerteszia como os mais pro- junho de 1930, o dr. Humberto Pascale dirigia ao dr. Mario Souto, engenheiro- chefe da construção daquela ferrovia, na qual escreve textualmente: «tutor. Dos adultos obtidos, os machos foram destinados à determinação da espécie l*lo exame dos caracteres da terminália após dissecação de suas várias peças (uiesosoma e lobos da pinccta), como o aconselha Komp cm 1937, tendo sido fixada provisoriamente a diagnose de Anopheles ( Kerteszia ) cruzi. Dizemos Provisoriamente, por terem sido observadas pequenas divergências na morfologia dos lobos da pinceta, comparados com a descrição de Komp para esta espécie, a$Sun to que deverá ser definitivamente elucidado em trabalho ulterior. As fêmeas virgens da criação foram, depois de um a tres dias de jejum. a hnientadas em gametóforos portadores de infeção por Plastnodium vhvx e con- e con- 91 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV No decorrer das experiências a temperatura ambiente, na qual foram man- tidos estes exemplares, oscilou entre 20 e 32°C. Os espécimes infetados eram examinados diariamente, sendo efetuada a dis- secação no dia em que morriam. A presente nota engloba um total de 35 exemplares trabalhados. A súmula destes trabalhos se encontra condensada no Quadro No. 1. QUADRO 1 Resultado geral das dissecações das fêmeas de A. (Kertcszia) cruxi infetadas por PI. e irar. No. exem- plares Data da refeição infetante No. de gameto- citos po«- 200 leucócitos % Data da dissecação Dias de incubação extrínseca Estômago Gl. Sal. 1 30-X-40 10 MA. 5 MI. 7.5 22-Xt 40 23 , _ 2 30-X-40 10 MA. 5 MI. 7.3 22-XI-40 23 — 3 3ax-»o 10 MA. 5 Ml 7.5 22-XI-40 23 — — 4 30X-40 10 MA. 5 MI. 7.5 20-XI-40 21 — — s 7-XI-40 20 MA. : ' MI. 15.0 20-XI-40 13 inut. inut. 6 18-XI-40 5 MA. 5 MI. 5.0 21-XI-40 3 — — 7 18 Xl-40 5 MA. 5 MI. 5.0 20-XI-40 2 — — 5 18X1 40 5 MA. 5 311. 5.0 2-X IMO 14 — inut. 9 18X140 5 MA. 5 MI. 5.0 2-X IMO 14 — — 10 18-XI 40 3 MA. 5 M I. 5.0 6-XII-40 18 inut. — 11 18-XI-40 5 MA. 5 MI. 5.0 26-X 1-40 8 — — 12 18 XI 40 5 MA. 5 MI. 5.0 2-X IMO 14 — — 13 18-XI 40 5 MA. 5 MI. 5.0 28-XIMO 10 inut. — 14 18-XI40 5 MA. 3 Ml. 5.0 23X140 5 — — 15 18 XI-40 5 MA. 5 MI. 5.0 28 XI-40 5 — — 16 18X140 5 MA. 5 MI. 3.0 6-XI140 18 — — 17 18 XI 40 5 MA. 5 MI. 5.0 21-XMO 3 — — IS 18-XI 40 5 MA. S MI. 5.0 21-XMO 3 inut. — 19 18 XI 40 5 MA. 5 MI 5.0 23 XI 40 5 — — 30 18 XI 40 5 MA. 5 MI. 5.0 2-X IMO 14 inut. inut. 21 18-XI 40 5 MA. 5 MI. 5.0 I9-XI-40 1 inut. — 22 18 XI-40 5 MA. S MI. 3.0 6-XII-40 18 — + 23 25X1-40 4 MA. 2 MI. 3.0 3-XII-40 8 — — 24 25 XI-40 4 MA. 2 MI. 3.0 4-XII-40 9 inut. inut. 23 25-XI 40 4 MA. 2 MI. 30 2-XII 40 7 inut. inut. 26 25-XI 40 4 MA. 2 ML 3.0 10-XIM0 14 — — 27 28 XI 40 8 MA 3 MI 5.5 2-X 11-40 4 — — 23 28X1-40 8 MA. 3 MI. 5.5 7-XII 40 8 — inut. 29 28 XI-40 8 MA. 3 Ml 5.5 4-XII40 6 — — 30 28-XM0 8 MA 3 Ml 5.5 2-X II 40 4 — — 31 28-XT-40 8 MA. 3 MI. 5.3 30-XI-40 2 — — 32 19-XII 40 18 MA. 10 MI. 9 24-X 11-40 5 inut. inut. 33 19 XII 40 18 MA. 10 MI. 9 24-XII-49 5 + — 34 26-X II-40 3 MA. 1 MI. 2.0 30-XII 40 4 inut. inut. 35 26-X 11-40 3 MA. 1 MI. 2.0 30-XII-40 4 ” MA. — Macrcgametccito. MI = Microcamctocito. 4 Flavio da Fonseca 4 Renato R. Corrêa — Infeção exper. de Anopheles (Kerteszia) cruzi 95 Para o caiculo de porcentagem de glândulas salivares infetadas, apenas foram levados em consideração os exemplares que resistiram por um prazo mínimo superior a 6 dias depois da refeição infetante. Dos 35 espécimes utilizados, 14 não resistiram ao prazo prefixado e 6 foram inutilizados por várias causas. Restaram, portanto, 15 fêmeas aproveitáveis, das quais uma teve as glândulas inutilizadas. Dai resulta que puderam ser devida- mente examinadas 14 glândulas, tendo uma se mostrado positiva, numa pro- P°tção, portanto, de 7,1%. Com material de glândulas infetadas com esporozoitos foi preparado um e; >f regaço corado pelo Giemsa, no qual a microfotografia (Fig. 1) mostra espo- rozoitos localizados em um dos campos da preparação. A fêmea encontrada Positiva efetuou a refeição infetante a 18-XI-40 e foi dissecada a 6-XII-40, a Presentando o gametóforo utilizado formas sexuadas diferenciadas de Plas- n, odiutn vivax na proporção de 5 macrogametocitos e 5 microgametocitos para 200 leucócitos, em 5.0%, portanto. Procedeu-se, igualmente, ao exame de 25 estômagos, incluídos os dos espé- ttnies que morreram nos 6 primeiros dias após haverem sugado os gametóforos. deles foi encontrado positivo, apresentando oocistos (Fig. 2) de várias dimensões e ainda na fase pre-csporozoitica. O exemplar infetado foi alimen- to em gametóforo a 19-XII-40 e foi dissecado em 24-XII-40. No sangue Periférico do paciente foram encontradas formas sexuadas diferenciadas do ^hsniodium vivax na proporção de 18 macrogametocitos c 10 microgametocitos P^ 200 leucócitos, em 9%, por conseguinte. O percentual de estômagos infetados se elevou a 4.0, considerando que um a P r esentou oocistos para um total de 25 examinados. Resumindo: num total de 29 Kerteszia dissecadas, duas acusaram a infe- < ‘ a ° Pelo Plasmodium vivax, atingindo a percentagem de 6,8. Sintetizamos no Quadro Xo. 2 o resultado das dissecações: QUADRO 2 *- _ Xo. de exemplares examinados po$. 7c gl. sal. examinadas pos. % estômagos examinados l«os. 7c 29 2 6.8 14 1 7.1 25 1 4.0 A o dr. A. Carvalho Franco, cuja técnica para a obtenção de anofelinos ÜIt °s utilizamos, e ao dr. J. A. Fonseca, pelas microfotografias e demais 5 9G Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV auxilio prestado pelo seu laboratório, o nosso cordial agradecimento. Ao dr. Arthur Costa Filho, fundador e Diretor do Serviço de Profilaxia da Malária do Estado de S. Paulo e criador da respectiva Estação Experimental, cuja organi- zação tornou possíveis estas pesquisas, exprimimos profundo reconhecimento. CONCLUSÕES A. Os autores chamam a atenção para o fato de ter sido Adolpho Lutz o primeiro a suspeitar ser a malária veiculada por um mosquito do genero Ano- phcles , segundo se infere do seu trabalho “Waldmosquitos und Waldmalaria”. realizado em 1898 e dado à publicidade em 1903. B. Tendo encetado alguns trabalhos no sentido de infetar em condições experimentais anofelinos do subgênero Kcrteszia, conseguiram criar em labo- ratório machos e fêmeas destes mosquitos. Os machos foram destinados à iden- tificação da espécie, procedendo-se à dissecação da terminália e algumas de suas peças em separado (mesosoma e lobos da pinceta). Fixaram em caráter provisó- rio a diagnose de Anopheles ( Kcrtcszia ) cruzi, por terem constatado ligeiras di- ferenças na estrutura dos lobos da pinceta comparados com os descritos e figu- rados por Komp em trabalho publicado em 1937, no qual êste autor faz uma revisão completa do subgênero. C. As fêmeas virgens sugaram portadores de formas sexuadas diferenciadas do Plasmodiutn viva. r e foram dissecadas à medida que morriam. Vinte e nove dos espécimes alimentados em gametóforos portadores de Pias- modium vivax foram examinados, tendo dois apresentado formas evolutivas do parasita, um no estômago e outro nas glândulas salivares, em 6,8% dos casos, por- tanto. iD. A comprovação apresentada de poder o Plasmodium vivax evoluir até a fase final do ciclo em uma espécie do subgênero Kcrtcszia vem contribuir para dar base mais sólida à suposição de Lutz, segundo a qual as Kcrtcszia seriam culpa- das da transmissão da malária nas matas. ABSTRACT Adolpho Lutz was the first to suspect that the malaria is transmitted by a mosquito of the genus Anopheles, fonvarded by him in 1899 to Theobald (2). during researches made on February 1898 at the São Paulo Railway, as can be dedueed from his work “Waldmosquitos und Waldmalaria” dated 1902 and published in 1903 (1), where he says: C Flavio da Fonseca & Renato R. Corrêa — Infeção exper. de Anopheles (Kerteszia) cmzi 97 "Ich war sofort überzeugt, die gesuchte Mückenart gefunden zu haben, obgleich damals õber die Charakteren der Malariaüber- trãger noch nichts bekannt war. Ais bald darauf erkannt wurde, dass dieselben unter den Anopheles-Arten zu suchen seien, sah ich mit Befriedigung, dass die neue Art ein Anopheles war. Es ist derselbe, welcher spãter von Theobald unter dem Namen Ano- pheles lutzii beschrieben wurde, einer der kleinsten und zartesten Arten”. Lutz’ supposition conceming the transmission of malaria by mosquitoes of genus Kerteszia had not been confirmed entirely up to today. Galli-Valerio’s P^per (3) dealing with oocysts found in the stomach of a Kerteszia specimen in- lected under natural conditions, has not proved that it concerned a human Plas- m °dium, nor that the infection could reach the sporozoitic phase; it even has ° cci1 doubted that it were really oocysts due to the bad preservation of the ma- ,er ial. Davis’ (4) researches in Brazil also have reachcd only the oocystic phase an d this in only one among 148 specimens experimented, this result, being, doubt- * Css > owing to the difficulties due to the lack of a laboratory. In the present paper the results obtained with Anopheles ( Kerteszia ) cruzi Wd in the laboratory are reported. Wild female specimens, captured on the Ilha de Santo Amaro”, State of São Paulo, in the neighbourhood of the “Scr- ^ do Cubatão”, where Lutz worked. were preserved until oviposition, the cggs being bred until the adult phase. The male specimens were dissectcd for determination of the specics, as advis- 'd by Komp (5), the female on es being fed on patients with gametocyts of Pfosinodium vrvax in the circulating blood. Of 39 infected specimens, 29 were used for dissections, one specimen hav- ,n ? Presented infection of the stomach aíter 5 days of extrinsic incubation and jjbother one infection of the salivary glands after IS days of extrinsic incubation. . percentage of infection was, thereíore, of 6,8 or 10^c whcn taking in con- s 'deration only those specimens that lived 5 days or more after the infective meai. BIBLIOGRAFIA 1. 2 . 3 . A. — Waldmosquitos und Waldmalaria — Ccntralbl. Bakt. Parasitenk. u. Infckt.- Krankh. Abt L 33(4)^82.1903. Theobatd, F. V. — Mon. Cul. 1:177-178.1901. CíiUi.y alerío — Notes de parasitologie — Ccntralbl. Bakt., Parasitenk. u Infekt- Krankh. AbL L 35:81-91.1904. 7 Ui> Memórias Pig. 7 ' " 8 onde se lê: “ brasiliensis Fonseca, 1935 — Face ventral do macho Face dorsal do macho leia-te : “ brasiliensis Fonseca, 1939 Face dorsal do macho Face ventral do macho 102 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV era 4 e 87 micra, dimensão esta última não alcançada por espécie alguma das acima citadas como parasitas de Culicidac, a maior das quais apenas atinge 45 micra, levam os autores a considerar a espécie encontrada diversa das já conhecidas, para ela propondo o nome de Leptomotuu anophelini, sp. n„ O fato de terem sido medidas enquanto móveis, impediu fosse calculada a sua largura, bem como o comprimento do flagelo livre. O aspecto, entretanto, era de flagelados muito longos e estreitos, com flagelo livre relativamente curto, preponderando as formas maiores. A infeção por êste flagelado deve ser rara, pois só foi verificada uma única vez em 30 Anophelcs ciseni da mesma procedência, nunca tendo sido observada infeção em 351 Anopheles adultos da série tarsimaculaius. Quadro I Flagelado Leptomonas fasci- culata (Léger) I.eptomonas alge- ríensis Sergext & Sergext Leptomonas michiganensis (Speer) Leptomonas culi- cis Xow, Mcxeal & Torrey Mosquito Culex pipiens A. maculipcnnis Culex pipiens A. aegypti Culex pipiens Cule x pipiens Dimensões x 2(i 8(i — 14(i 12(t x 2.5(i mais 3(i 5 a 6(i para o flagelo a 22(i5 (inclusive flagelo de 17(i 3-4 x 2(i c 5 a 14(i 30-35n x l(i sem flagelo e 12 a 20(i e 30-45n com flagelo Localidade França Algéria Michigan Michigan BIBLIOGRAFIA 1. Ligcr — C. R. Soc. Biol. :354.1902. 2. Novy, McNeal & Torrey — J. Infect. Dis. :249.1907. 3. Speer — Buli. Hygicnic Laboratory Xo. 146:7.1927. (Ttabalho de colaboração do Serriço de Profilaxia da Maliri* do Estado de São Paolo e da Secção de Parasitolof»* do Instituto Butantan. Entregue para publicação ^ abril de 1941 e dado ã publicidade em janeiro de 1942.) 2 616.9685 NOTAS DE ACAREOLOGIA XXXIT. Novas espécies brasileiras do gênero Lijwnissus Kolexati (Acari. Liponissidae ) POR FLAVIO da pONSECA O gênero Liponissus Kolexati é, entre os Mcsostigmata, o que maior inte- rcsse aplicado apresenta, dada a frequência com que várias das suas espécies ,e m sido assinaladas sôbre o homem. Liponissus bursa (Berlese), Liponissus baco ‘i (Hirst), Liponissus nagayoi Yamada e Liponissus brasiliensis Fonseca sa ° parasitas acidentais do homem, não sendo impossível que se venha a de- monstrar para o futuro que alguma das três últimas espécies apresente importán- ^ na epidemiologia de infeções humanas, das quais os ratos, seus hospedeiros n °rmais, sejam os depositários. Na região neotrópica existem registadas, por ora. dez espécies deste gênero, mcluido Liponissus bacoti, já assinalado na Rep. Argentina. Descrevemos- agora três espécies brasileiras, elevando assim a onze as espécies que ocorrem n ° brasil, de acordo com a seguinte lista: Liponissus bursa Berlese, 1888 bacoti (Hirst, 1913) (Argentina) venezolanus Vitzthum, 1931 (Venezuela) wernecki Fonseca, 1935 cruditus Fonseca, 1935 i/icringi Fonseca, 1935 hirsti Fonseca, 1935 (Argentina) pcrcirai Fonseca, 1935 hacmatophagus Fonseca, 1936 brasiliensis Fonseca, 1935 lutei, sp. n. monteiroi, sp. n. vitzthumi, sp. n. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 104 Memórias do Instituto Butantan Tomo XV Liponissus Iutzi, sp. n. Figfs. 1 e 2 Descrição do holotipo 9 O único exemplar conhecido é o holotipo 9 , que, embora danificado pela montagem, de modo a não ser possível tomai as dimensões totais, apresenta to- das as partes quitinizadas em bom estado de conservação, permitindo descrição completa. A espécie deve ser de dimensões grandes, a julgar pelo tamanho do escudo dorsal e das patas Idiosoma Face ventral. Placa cstcrnal mais larga do que longa, porém com diâmetro ântero-poste- rior bastante grande; mede 143u ao nivel do bordo anterior, excluídos os pro- longamentos e 124p ao nivel do bordo posterior, tendo 85u de comprimento da linha média. Os bordos côncavos, exceto o anterior, que é antes levemente con- vexo. Superfície reticulada e pontilhada. Poros em forma de fenda relativa- mente larga, ficando os anteriores para trás e muito para fóra das cerdas ester- nais anteriores. Cerdas estemais anteriores com 46u, próximas do bordo ante- rior. separadas por intervalo de 70u ; médias com 65p. ao lado do bordo externo e posteriores com 73p. nos ângulos posteriores: o tamanho das cerdas é tanto maior quanto mais posteriores, apresentando-se elas lisas. Placa genital afilada do terço posterior em diante, com superfície percorrida por linhas longitudinais e escultura alongada central até o começo da zona es- treitada. Extremidade posterior estreita, porém não muito aguda. Mede cérca de 232p por 62p de largura ao nivel do par genital. Placa anal de contorno bastante alongado, com 182u de comprimento p° r 85u de maior largura, de bordos espessados e anus com 58u. bem anterior, di*' tando o seu bordo anterior 23u do bordo anterior da placa e ficando o bordo posterior a 104}t da extremidade posterior da placa. Difere, pois. muito do o 5 ' pecto da placa anal de Liponissus monteiroi, sp. n„ mas fica longe do along 3 ' mento verificado em Xfamtherionyssus heterotarsus (Vitzthum, 1924) (sir Lyponissus heterohnsus Vitzthum, 1924), aproximando-se mais da de Lyf' 0 ' nyssus tcnuiscutatus Ewing, 1923. O anus é eliptico. de margem espessadâ- As cerdas pares, mais curtas do que a ímpar, ficam mais próximas do nivel do polo posterior do que do nivel do centro do anus. não permitindo a sua posiçá e cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 Flavio da Fonseca — Notas de Acareologia. XXXII. 105 usto. Garras e pulvilli em todas as patas. Tíbia II mais larga do que na es T>écie seguinte, medindo 92u x 77p, ao passo qua a tibia I mede 107p x 46u. SciELO 10 11 12 13 14 110 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Gnatosoma Gnalosoma com 261p até o ápice dos palpos. Das cerdas do gnatosoma as póstero-internas são bem mais longas e as maxillicoxales as mais curtas. Rima hypopharyngis com séries de denticulos pouco quitinizados e porisso difíceis de ver. Palpos medindo 169p, com dente muito curto no bordo interno do l.° articulo, muito difícil de ser percebido, a ponto de quasi não ser visto no palpo esquerdo. Mandíbulas finas e típicas, estando uma protraida no holotipo, medindo 170u de comprimento total. Tritostemo pouco perceptível. Descrição do holotipo $ No. 1242, capturado a 21. VI. 1935 sôbre o rato do mato ZygodoiUomys lasiurus Lund, em Butantan, S. Paulo. No mesmo hospedeiro, que foi identificado no Museu Britânico, foram capturados Eubra- chylaclaps (?) rotundus Foxs. e Gigantolaclaps butantanensis (Fonseca). A espécie é dedicada ao cientista brasileiro J. Lemos Monteiro, falecido em con- sequência de infeção contraída em seu laboratório no Instituto Butantan, durante pesquisas sôbre a rickettsiose neotrópica, que foi o primeiro a estudar. Foi colaborando nas pesquisas de Lemos Monteiro que entrevi a importância do estudo dos Acari parasitas de vertebrados sul-americanos e resolvi estudar-lhes a sistemática. Liponissus vitzthumi, sp. n Figs. 5 a 10 Descrição do holotipo 9 Espécie pequena e estreita, sanguessuga voraz, podendo aumentar de 200u no comprimento c outro tanto na largura depois de repleta. Idiosoma Elíptico regular, estreito, medindo 6 77p de comprimento por 400p de largura ao nivel do 4.° par, bastante piloso, com placas de quitinização normal para o gênero. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 Flavio da Fonseca — Notas de Acareologia. XXXII. 111 Face ventral. Placa estcrnal muito caraterística por ter comprimento muito pequeno em r elação à largura, que é maior na frente do que atrás, apresentando os bordos Pronunciadamente côncavos, inclusive o bordo anterior entre as cerdas anteriores. Suas medidas são as seguintes: 147p ao nivel do bordo anterior, com exclusão dos prolongamentos; 131 p ao nivel do bordo posterior e 42u5 de comprimento ao nivel da linha mediana. A superfície é reticulada e pontilhada, sendo os ângulos anteriores salientes, o que não acontece nos posteriores. Os dois pares de poros pareceram mais estreitos do que habitualmente. Os três pares de cer- das, todas lisas, divergem para trás e aumentam de tamanho à medida que são ntais posteriores (50, 54 e 62u), ficando as anteriores separadas por intervalo de 70p. Placa genital com o aspecto habitual no gênero, afilando-se mais bruscamente a partir da união do 1/3 posterior com os 2/3 anteriores. Mede cêrca de 220u P°r 50u de largura ao nivel das cerdas genitais. Xo holotipo não foi visto r eticulo nesta placa, cuja superfície apenas apresenta uma área clara, alongada e eentral. visível também em outras espécies do gênero. A extremidade poste- r,0r é bem mais afilada do que em L. lutei, p. ex.. As cerdas genitais são lisas. Placa anal alongada, medindo 135ii x 77»5 de maior largura, com ligeira Proeminência no bordo anterior. O anus, que mede 42u x 25u, fica bastante a fastado do bordo anterior (27p). As cerdas pares, de 35u. ficam a meia distância entre o bordo posterior e o nivel do meio do anus, igualmcnte afasta- das deste e do bordo lateral, sendo lisas como todas as cerdas das placas ven- tra is ; a cerda ímpar mede cêrca de 40u. Ha vestígios de plaquetas inguinais e paragenitais, estas muito alongadas c estreitas. A face ventral descoberta apresenta cerdas menores, cêrca de 35 para cada kdo, tanto maiores quanto mais externas e mais posteriores. São flexíveis, c ° m zona afilada muito longa, apresentando todas as do opistosoma, exceto as próximas dos bordos da anal. uma ou mais farpas dorsais. Face dorsal. Pseudo dorsal com 632p por 225}i de maior largura ao nivel do 2.° par patas, deixando larga margem descoberta, bastante afilado para trás, lem- kcando o de L. bacoti (Hirst), de superfície fracamente reticulada e sem cscul- ,Ur a. O grande comprimento das cerdas do escudo, excetuadas as verticais, é ^roteristico nesta espécie, distinguindo-a de L. hirsti Fons., 1935, da qual a a fasta, aliás, a conformação da placa estemal. Todas as cerdas do escudo são fkxíveis, muito afiladas na 1/2 distai e apresentam uma farpa às vêzes com ^Pecto filamentoso. O l.° par paramediano mede 97u e os restantes 77 a 97p. 9 SciELO 10 11 12 13 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Liponissuj zitxtkumi, sp. n. Face rentral da fêmea Fic. 6 Liponijsvj vititkumi, sp. n. Face dorsal da fémea Flavio da Fonseca — Xotas de Acareologia. XXXII. 113 P grupo das três marginais posteriores é composto de elementos subiguais, de 'Ou. havendo uma cerda minúscula para trás do par mais anterior. A extremi- dade do escudo dista 6 2p do bordo posterior do corpo. A superfície descoberta apresenta numerosas cerdas longas semelhantes às do escudo dorsal, tendo às vêzes duas farpas. Estigmas ventrais ao nivel do intervalo das coxas III e IV. Peri tremas passando ao nivel do bordo posterior da coxa II para a face dorsal, não chegando a atingir o meio da coxa I. Pcritrcmatalia prolongadas !,ara Irás até o bordo posterior da coxa IV, apresentando o poro habitual atrás dos estigmas. 0 l.o Patas Coxas sem espinhos, exceto o dorsal da coxa II, que, aliás, tem pequeno esenv oIvimento, não chegando a atingir o bordo anterior deste articulo. O 4.° par é o mais longo, com 647u, sendo o 2.° o mais curto, com 473u. • par mede 640ii e o 3.° 485u. Não ha cerdas espini formes, sendo, porém. to das rígidas. O 2. par é o mais robusto, apresentando as tibias curtas, com 62p x 50ii, como em Ichoronyssus Kolenati, segundo a definição de Ewing, o que, ^'•a, não acontece com as tibias do 1. par, que mede S9u x 42p. Garras e pulvilli em todas as patas. Gnatosoma Gnatosoma com 272p até o ápice dos palpos. ç ^ as cerdas das maxillicoxac as posteriores internas são muito mais longas as > naxillicoxales as mais curtas. Pinta hypopharyngis com série de denticulos difíceis de contar no holotipo. f aipos de 167p, com dente rombo no bordo interno da extremidade distai. •'I aiidíbulas normais, com 214u de comprimento total. ^*ão foi possivel ver o tritocstcrno. Descrição do alotipo $ ^ íd, osoma elíptico muito regular, medindo 554p de comprimento por 340p n ' v cl do 4.° par de patas. 11 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 114 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Face ventral. Placa holoventral de superíície reticulada, medindo 415u de comprimento, com 97p de largura ao nivel do bordo anterior, excluidos os prolongamentos, I (, ó f I V y/v l f \ N\\ W. Sr / Y/VU Fic. 7 Lifonissuj vitsthumi, *p. n. Face ventral do macho Fic. E Liponisms »p. n. Face dorsal do macho I com maior largura de 65fi na zona genital e de 5 8u na zona anal. As cerda» da zona esternal medem, respectivamente, 34, 34 e 40p. A placa tem 3 ° todo 10 pares de cerdas, incluídas as anais e as metaestemais e mais a ccrd* ímpar anal. Dessas cerdas cabem quatro pares à zona ventral. As cerdas a» 31 '* pares medem 23u e ficam ao nivel do meio do anus, medindo a ímpar 27l t 12 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 Flavio da Foxseca — Notas dc Acareologia. XXXII. 115 Entre as zonas anal e ventral a placa é estriada. A zona descoberta da face ventral apresenta cêrca de 16 cerdas, tanto maiores quanto mais posteriores, sendo as mais longas providas de uma farpa. Estigmas entre as coxas III e IV e pcritremas alcançando o meio da coxa II. Face dorsal. Escudo dorsal de superfície reticulada, medindo 473u por uma maior fergura de 232u ao nivel do 3.° par de patas. Afila-se em seguida, para trás, terminando ao nivel da extremidade posterior da anal, a 54ji da extremidade pos- terior do corpo. É provido de cerdas muito longas, de 50 e 70u, farpeadas e de Cx tremidade muito fina. Patas Coxas sem espinhos, exceto o dorsal da coxa II, que é muito interno e pe- queno. l.o e 4.o pares d e i gU al comprimento, com 465p; 2. par, alargado, com íOu e 3 0 par com c £ rca de 320u. Tíbias I com 70 x 35p e tibias II com 47 1» x 42p. Gnatosoma Alargado, medindo 202p até o ápice dos palpos, medindo estes 112u. Mandíbulas C om 136u. Palpos com 2.° articulo dilatado. Protoninfa Entre as várias protoninfas uma das existentes na mesma lâmina que o holo- foi escolhida para serem tomadas as dimensões. do 4.0 O idiosoma media 539u de comprimento por 338u dc largura ao nivel par. A esternal, de 131p x 97p de maior largura, tem o bordo anterior pratica- rr J tnt e reto e a extremidade posterior arredondada. Os seus três pares de cerdas ^ finos e longos, ultrapassando os posteriores o limite da placa. anal mede 77p x 46u, tem o bordo anterior quasi reto e as cerdas pares, 0res do que a ímpar, imediatamente para trás do nivel do meio do anus. A restante superfície ventral tem cêrca de 5 pares de cerdas, das quais o Crjrr cspondente à zona genital muito mais fino e mais curto. C) escudo do podosoma mede 200u x 148u no bordo posterior. Tem 5 es longas cerdas marginais externas, 1 par posterior um pouco menor, 3 13 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Fig. ? Lipcnissus vitstkumi , *p. n. Face vcntral da protoninfa Fic. 10 LifonUsus x-itxthumi, sp. n. F?ce dorsal da protoninfa Flavio da Fonseca Notas de Aeareologia. XXXII. 117 Pares submedianos ainda menores e I par vertical curto. As cerdas marginais externas são farpeadas. O escudo pigidial mede 70u de comprimento por 104u de maior largura 7,0 bordo anterior, apresentando três pares de cerdas, tanto maiores quanto ^is posteriores. Uma plaqueta elíptica, anterior e outra arredondada, posterior, ficam nas Proximidades do escudo do podosoma. O peritrema, curto e encurvado, vai do nivel do 4.° ao do 3.° par, apre- stando um curto ramo, de direção anterior, partindo do estigma. A restante superfície dorsal tem cêrca de 8 pares de cerdas farpeadas. Descrição do holotipo 9 Xo. 201 e de uma protoninfa da mesma lâmina ^ do alotipo Xo. 4157. Paratipos nas lâminas 4156 e 4157. Capturados em butantan. S. Paulo, a 9-XI-35 sobre o rato silvestre não identificado. Xo. 906 da coleção de hospedeiros da Secção de Parasitologia do Instituto Butantan. O nome da espécie é dado em homenagem ao Conde Hermann \ itzthum, München, a quem são devidos notáveis trabalhos que muito contribuiram Para o esclarecimento da sistemática dos Liponissidae. ABSTRACT Three new species of the genus Liponissus Kolexati are being described, ^Xisting eleven Brazilian species and fourteen neotropic ones. Liponissus lutei, n. sp., presents the following characteristies : Spine at the first joint of the palps; coxae without spines others than the dorsal of coxa II; stemal plate comparatively long, 85u in length, without line Paralld to the posterior margin; dorsal shicld pointed from the posterior lialf on; ^ac of the dorsal shield very long; posterior margin of the anus at the limit ^ttvcen the anterior 2/5 and the posterior 3/5 of the anal plate. The species Parasites a wild rat of Butantan. São Paulo, and its holotipe was included in the Hom author's collection under Xo. 513. The speciíic name was givcn in ° Ur to Adolpho Lutz, Brazilian zoologist and pathologist recently passed away. Liponissus inonteiroi, n. sp., is very similar to the former, being distin- ^'shed principally by the smaller length of the sternal plate at the median line "t 1 ). by the stemal setae, which are shorter, by the less elongated anal plate by the median position of the posterior margin of the anus. It is a papasite ^ thç wild rat Zygodontomys lasiurus Lu ND, of Butantan, São Paulo, and its J ntvpe has the number 1242 in the author's collection. The species is lã cm SciELO 10 11 12 13 14 15 118 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV dedicated to the Brazilian scientist Lemos Monteiro, who died when performing the first studies on the neotropic typhus at Butantan, 1936. Liponissus vitzthumi, n. sp., is distinguished from the former ones by the sternal plate, which is very short, measuring only 425u in length at the median line, whereas the anterior margin has 147p, excluding the prolongations. The species parasites a wild rat of Butantan, São Paulo, its holotype having No. 201 and the allotype No. 4157. The species is dedicated to the remarkable acarologist of München, Count Hermann Vitzthum. (Trabalho da Secção dc Parasit elogia do Instituto Butantan. Recebido para publicação em junho de 1941 e dado à publicidade em janeiro de 1942.) 16 2 3 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 595.6281 QüILóPODOS novos da coleção MÍRIAPODOLÓGICA DO MUSEU NACIONAL DO RIO DE JANEIRO POR WOLFGANG BCCHERL SCOLOPEXDROMORPHA 1. Fam. Scolopendridae A. Subfam. Scolopendrinae 1. Tribu Scolopendrini Gen. SCOLOPEXDRA L. Scolopcndra angulata angulata, n. subsp. Colorido: Placa cefálica, l.° tergito, último tergito e prcfêmur do último 'le patas marrom esverdeado e o resto marrom com estrias horizontais ' cr ^s no bordo posterior de cada tergito. 4 articulos lasilares das antenas in- ^ratnente verdes, os outros cobertos por pêlos de còr marrom. Fordpulas c ^ Xr, pleuras vermelho-tijolo, abruptamente distintas do colorido do tronco. '•ernitos e patas amarelos; pleuras amarelo-cinza. Últimas patas com transição • ^ cores marrom no prefêmur ao verde dos tarsos. Ou então toda a área dorsal florido uniforme marrom esverdeado, prevalecendo ora o verde, ora o mar- 0rn - Todo o animal com um fraco brilho oleoso. ^fedidas: Comprimento (inclusive as últimas patas) 130 -• 155 mms * das antenas 18 — 21 " " da placa cefálica 7 — 8 ” " das últimas patas 11 — 14 " * do último tergito 5 — 5)4 " Largura dos tergitos 8 — 9 ” da placa cefálica 6 — 6Yi " do último tergito 6 — 6'/í I cm SciELO 10 11 12 13 14 15 120 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Pontuações: Mais abundantes e nítidas na placa cefálica e no coxostemum das forcípulas. Xos tergitos e estemitos o número e a profundidade das pon- tuações decresce da frente para trás. Último tergito sem pontuações. Placa cefálica : Com 2 sulcos longitudinais muito pronunciados (em Sc. ongulata Newp. êstes sulcos são quasi invisíveis), percorrendo a placa cefálica de um ao outro bordo. Atrás os 2 sulcos são atravessados por um sulco fraco ho- rizontal. frequentemente ramificado (vide Fig. 2). A placa cefálica ultrapassa apenas pequena porção do l.° tergito. Antenas: Com 17 artículos, indo até a margem posterior do 3.° tergito. 4 artículos basilares totalmente desprovidos de pêlos; 5.°, 6.° e 7.° sem pêlos no lado ántero-superior ; os outros artículos inteiramente cobertos por pêlos curtos, vermelho-dourados (vide Fig. 1). Coxostemum forcipular: (vide Fig. 1) Com um sulco horizontal reto a atravessar toda a largura da placa e, atrás deste sulco, na zona mediana, uma fraca depressão longitudinal, irregular. Em frente, igualmente na linha mediana, existe um sulco mediano profundo, que atinge ou não o sulco horizontal. Sulcos basilares das placas dentárias, formando um ângulo de 100°; seus prolongamentos não atingem o sulco horizontal. Placas dentárias com grande cavidade redonda e dentro dela um tubérculo, do qual nasce uma cerda bem visível. 4 4- 4 dentes, dispostos em linha reta, sendo os dois internos completamente unidos e o 3.° ape- nas unido aos dois pelo lado basal. O 4.° está inteiramente isolado (vide Fig. 1)- Apêndice prefemural com 2-3 protuberâncias dentárias, parcialmente unidas. Tergitos: Pontuados. l.° tergito com fossa hemicircular. Em sua frente dois sulcos fraquíssimos, curtos e retos- Atrás da fossa uma rede de sulcos ainda mais fracos. 2.° tergito com sulcos fracos, que partem da borda posterior e divergem para os lados, sem atingirem a borda anterior (vide Fig. 2). Sulcos episcutais do 3.° até o 20° tergito; no lado ántero-extemo dos últimos um sulco fraco obliquo, que começa no bordo anterior ao lado dos sulcos episcutais e ter- • mina no l.° terço perto da carcna lateral. Carenas laterais do 5.° — 7.° tergito «m diante; mais curtas nos tergitos anteriores, mais longas nos posteriores, atin- gindo o bordo posterior só no último tergito. Último tergito sem quilha nem sulco medianos, com a área central arqueada e o bordo posterior protraido. Estemitos: A começar do 2.° até o 20.° com dois sulcos fracos, curtos, qu* nas placas posteriores se extendem quasi até a metade. Último esternito \]/i vêzcs mais longo do que largo, com bordas laterais convergentes e borda posterior ar- redondada. Na área mediana, diante do bordo posterior, existe uma leve de- pressão longitudinal (vide Fig. 3). IP par de patas: Com um esporão no prefêmur, fêmur, tíbia e com doi* esporões no l.° tarso; 2.° ao 20.° par de patas com um esporão tarsal muito x 2 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 "olfgang Bvcherl — Coleção miriapodológica do Museu Nacional do Rio 121 forte e facilmente visível a olho nú. Patas 1-21 com dois esporões ao lado da 2 a Ta. Prefêmur do 19.° par de patas no lado dorso-terminal com 1-2 espinhos, fêmur com 0-1 ; prefêmur do 20. Q par com 1-2. fêmur com 1 e na área mediana com 0-1 espinhos. Apêndice coxopleural : Muito curto, com 2-4. geralmente 2-3 espinhos. Na tnar gem lateral, porém fora do âmbito do campo poroso, uma mancha enegre- 0( &. de quitina mais dura, porém sem espinho (vide Fig. 3). Prefêmur das últimas patas achatado no lado dorsal e com uma fossa curta, nias profunda na ponta terminal. Com 12-18 espinhos, localizados desde a zona 'forso-intema até o lado ventral, sendo sua disposição a seguinte: no lado ven- tra l: 6-8, geralmente 7 espinhos em 3 fileiras (2-3-2) ; no lado interno: 3-5 e ^ lado dorso-intemo : 3-5 espinhos. "Espinho do canto”: Com 4 pontas isoladas, sendo 2 maiores, com espi- nh °s bem desenvolvidos, e 2 menores, localizadas na base das primeiras. Fêmur no bordo dorsal posterior com 0-1 espinho, na área dorsal intenta (2) espinhos. Scolopendra angulata angulata, n. subsp., distingue-se de Sc. angulata Kewp., 1844: l.o _ ?o pelo menor tamanho; 2. ° — pelos sulcos longitudinais muito nítidos, quasi impcrceptiveis em Mulata; 3. ° — pela ausência do triângulo no coxostemum forcipular, pois os sulcos ^‘erais não atingem o sulco horizontal ; 4. ° — pela presença de um curto sulco mediano profundo; 5. ° — pela presença de uma cavidade com cerda nas duas placas dentá- 045 • ausente em angulata; 6. ° — pela depressão longitudinal no último estemito; / -° — pela ausência do pequeno espinho, presente na margem lateral das Co,co pleuras de angulata. % , r UrI O colorido, a disposição dos pêlos nos artículos antenais, os sulcos, as cavi- les e a formação dos dentes do coxostemum forcipular são quasi idênticos 5 arinata Krpln., 1903, que ocorre na Venezuela. Quanto aos outros cara ^‘icos ha diferenças morfológicas profundas. Através de um confronto entre esta nova subespécie e a Sc. explorans í Ha Mb.. 1914 , da qua! Attems (Das Tierreich 54 — Scolopendromorpha. 1930) ., 1 1 u e deveria ser considerada como subespécie de Sc. angulata Newp. (vide f (Js quilopodos do Brasil” in Mem. Inst. Butantan 13:241.1939). ressalta de 1,0 concordância morfológica muito grande como o colorido, a morfologia da cm SciELO 10 11 12 13 14 15 ig: 122 >• 'Hl Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV ÜI« * placa cefálica, a conformação da placa dentária, do último tergito, dos sulcos dos estemitos e do apêndice coxopleural, como também a ausência de um espinho lateral nas coxopleuras. Por outro lado, existem diferenças morfológicas que impõem a separação **•#»- — ” » de angulata angulata e cxplorans. Podem Sc. angulata angulata, n. subsp. Comprimento : 130-155 mms. ; Coxost. forcip. com sulco mediano; Placas dent com cavidade e cerda; Carenas laterais desde o 5.® ou 7.° tergito ; 2.°-20* par de patas com 1 esporão tarsal; Espinhos no 21.° preícmur : 12-18. ser resumidas da seguinte maneira: Sc. cxplorans Chamb., 1914 T Comprimento : 78 - 96 mms. ; Coxost. forcip.. sem sulco mediano; Placas dent. sem cayidade e cerda; Carenas laterais desde o 11.'* ou l’- t tergito ; 2.°-20.° par de patas com 1 esporão tarsal. Espinhos no 21.° prefêmur: 11-12. - , . »* > Vê-se, porém, que Attems tem razão, quando considera Sc. cxplorans coniO subespécie de Sc. angulata Newp.. Satisfazendo estas exigências, estabelecemos a chave sistemática de Sc. a' 1 ' gulata com as duas subespécies: Sc. angulata angulata, n. subsp., e Sc. explora uS Chamb., para a qual propomos a denominação: Sc. angulata cxplorans (ChaM*" 1914) : l.° tergito com fossa semicircular; prefêmur do \ 20.° (às vêzes também 18.° e 19.°) par de jiatas com um ou mais espinhos no bordo súpero-termin*H Coxosternum forcipular com sulco horizontal. Placa cefálica com 2 sulcos 1°** gitudinais completos. Carenas laterais a começar do 4.° ou 14.° tergito. Prctf" mur do 20.° par de patas $em espinho no lado ventral. 4-5 artículos basilar 1 ’’ das antenas sem pêlos. Fémur de 20.° e do 19.° par de patas no bordo póste rcr terminal com 0-2 espinhos. Estemitos sem sulcos longitudinais ou com dois sulc^ curtos e fracos. Fémur do último par de patas na borda terminal com um a m*** espinhos. Antenas com 17 artículos. Coxopleuras cora um. espinho na marg ofl lateral ! Sc. angulata. , , . •Í i » * Carenas laterais desde o 5.° - 7.° tergito ; coxostçmum forcip’- 1 ! 1 * com um sulco mediano profundo; placas dentárias com cavidade * cerda; 20.° par de patas com um esporão tarsal; "espinho do canto no último prefêmur com quatro pontas isoladas- Sc. angulata angulai n. subsp.. . . . , Carenas laterais desde o 11.° ou 14.° tergito; coxosternum f° r t • • j * 1 * cipular sem sulco mediano; 20.° par de patas sem esporão tarstm G 4 Wolfgang Bücherl — Coleção iniriapodológica do Museu Nacional do Rio 123 “espinho do canto” no último prefêmur com duas pontas: Sc. an- gulata explorans (Chamb., 1914). Scolopendra angulata angulata, n. subsp., foi encontrada no Estado de Mato Grosso, na Barra do Tapirapê, sendo colhidos alguns exemplares em tocos de P®u podre. Tipo e paratipos compostos de 10 exemplares, machos e fêmeas, depositados n ° Museu Nacional, Rio de Janeiro (Nos. 3,4,6,7,8,9,10 e 19), e mais 1 exemplar 113 coleção do Instituto Butantan, No. 292. Procedência-. Barra do Tapirapê, Mato Grosso. Gen. CORMOCEPHALUS Newp., 1844 Subgen. CORMOCEPHALUS Newp., 1844 Connocephalus (C.) impressus unimarginatus, n. subsp. Colorido : Verde ou marrom ; últimas patas amareladas com reflexos ver- ***’, antenas verdes; estemitos anvarelo-doirados ; forcípulas amarelo-avernre- Ihadas. Medidas : Comprimento (sem antenas e sem últimas patas) 28 — 29 mms. Largura 3 Comprimento da placa cefálica 2 " Largura " " " 2.4 ” Comprimento das antenas 3 — 3.5 ” , atingindo nem o bordo posterior do l.° tergito; igual, portanto, ao Cormoc. (C.) inermis Krpln.. Placa cefálica: Um pouco mais larga do que longa, porém muito mais es- lr cita do que o l.° tergito, de maneira que se podem ver pelo lado dorsal o frefêmur e fêmur forcipulares (vide Fig. 4). Em frente, na linha mediana, uma depressão curta. Os dois sulcos longitudinais só atingem dois terços do com- i^niento da placa cefálica Muito nitidos perto do bordo posterior, se apagam K^dativamente. divergindo em direção aos olhos. ■ dntenas : Com 17 artículos. Somente os 2 terminais mais longos do que f»os, os 5-6 basilares 2-2)4 vêzcs mais largos do que longos, com transição ru Pta do 6.° ao 7.° artículo. Nenhum artículo inteiramente sem pêlos. Nos artículos basilares pêlos curtos, pouco numerosos. Daí em diante aumenta n ãmero de pêlos insensivelmente (vide Fig. 4) ; portanto igual a Connocephalus ■) i»tprcssus var. annatus (Daday). 5 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 124 Memórias do instituto Butantun — Tomo XV Coxas forcipularcs: Com 2 sulcos longitudinais curvos, muito nítidos em frente, fracos perto do bordo posterior. Sem sulco transversal (vide Fig. 5)- Placas dentárias tão largas quanto longas, com 3-J-3 dentes agudos, isolados. Tcrgitos : 1-20 com 2 sulcos paramedianos completos e com quilha longi- tudinal mediana muito fraca, mais nitida nos tergitos posteriores. 21.° tergito lyí vezes mais largo do que longo com bordo posterior quasi reto. i. é.. só no meio um pouco protraído. Com um sulco mediano fraco, mas nitido. a percorrer todo o comprimento da placa. A pontuação não é mais pronunciada do que nos outros tergitos. Somente o 21.° tergito com carenas laterais. Estemitos: 2 a 20 com dois sulcos longitudinais e no meio destes uma de- pressão longitudinal, que principia perto do bordo anterior e estende-se além da metade da placa. Em alguns estemitos vai mesmo até perto do bordo posterior (em Cormoc. (C.) imprcssus esta depressão só existe em frente). Último ester- nito com bordos laterais convergentes da frente para trás e com bordo posterior reto. sendo os ângulos laterais arredondados- No meio da placa uma depressão longitudinal que termina atrás num sulco fraco. Este estende-se até o l»rdo posterior. Apêndice coxoplcural : Com ponta grande, obtusa, ligeiramente protraida e com 1 a 2 espinhos pequenos (em um lado 1 espinho, no outro 2 espinhos)- Poros grandes, deixando livre uma faixa larga, paralela ao bordo posterior. Últimas patas: Da mesma estrutura como no gênero Rhoda. Prefêmur e tíbia, do mesmo comprimento e da mesma largura ; fémur um pouco mais longo do que o prefêmur. Garra terminal curva, tão longa quanto os dois tarsos juntos, porém, sem esporões laterais. Prefêmur no lado ventral com 0-2 espinhos mi- croscópicos, no lado interno na área mediana com 0-1. diante do bordo posterior com 0-1 espinho. “Espinho do canto” ausente; em vez do último 0-2 espinhos pequenos. Prefêmur. fêmur e tíbia achatados, no lado dorsal com uma fossa profunda a começar do liordo posterior e estender-se para a frente além da metade (vide Fig. 6). Estigmas: Pequenos, quasi redondos, colocados em cima de uma protube- rância. Catopleuras triplas, sobrepostas. Cormoccphalus impressas unimarginatus, n. subsp., aproxima-se mais de Cor- moc. impressus var. neglectus (Chamb.. 1914). Distirgue-se, porém, desta va* riedade : 1. ° — pelas medidas da placa cefálica, tão larga quanto longa em neglectuS’ mais larga do que longa em nossa subespécie; 2. ° — pelo comprimento do tronco (60 nuns. em neglectus. 28-29 nuns. ei" * unimarginatus) ; 3. ° — pelos sulcos longitudinais da placa cefálica, que atingem a margeiU anterior em neglectus, abreviados na nova subespécie; 6 'Volfgang Bvciiekl — Coleção miriapodológica do Museu Nacional do Rio 125 4. ° — pelos artículos basilares antenais, dos quais o l.° é totalmente des- provido de pêlos em neglectus, enquanto que em unimarginatus já apresenta Pelos; 5. ° — pelas coxas forcipulares, providas em neglectus de um sulco hori- zontal, ondulado, a cruzar os 2 sulcos longitudinais, ausente em nossa subes- pécie; 6. ° — pelas carenas laterais, presentes em neglectus desde o 9.° ou 10.° ter- IPto e em uniinarginalus só no 21.° tergito (eis a razão do nome) ; 7. ° — pela depressão longitudinal mediana dos estemitos, muito curtos em "cglcctus, atingindo mais da metade da placa em nossa sul>espécie ; 8. ° — pelo prefêmur das últimas patas, que apresenta em neglectus um “es- pinho do canto”, ausente em unimarginatus e substituido {x>r 0-2 espinhos pe- quenos. Pelos mesmos caraterísticos a nova subespécie difere de Cormoe. (C.) in- l' r <’ssus Poc.. 1876. Cormoecphalus impressus unimarginatus. n. suhsp.. parece-se muito também Cor 'i Cornioc. (C.). brasiliensis Humb. & Sauss., 1870. Porém desta última diz •^ttems (Das Tierreich. p. 101) que só se chegou a ver um único exemplar em es tado muito defeituoso, de modo a tomar-se impossível precisar todos os carate- r, sticos. Contudo, a citada espécie distingue-se da nossa pelas placas basilares Presentes no l>ordo póstero-externo da placa cefálica ; pela ausência do sulco hori- *°ntal no coxostemum forcipular: pela conformação dentária nas forcipulas '■*+4 dentes, sendo os medianos os maiores) : pela ausência de uma depressão lon- fPUidinal mediana no último estemito : pela ausência de espinhos do apêndice coxo- Plctiral e nos lados ventral e interno do 21.° prefêmur. Quanto aos outros caraterísticos morfológicos, colorido e tamanho, os dois ^pécunes confrontados são inteiramente idênticos, de maneira que se impõe a ^oclusão de Cormoe. (C.) brasiliensis ser uma subespécie de Cormoe. (C.) itn- frrssus. A nova subspécie distingue-se de Cormoe. ( C .) bonaerius Att., 1928, prin- Q palmente pela ausência de placas basilares na placa cefálica ; pelo número de arti- gos antenais (16 em bonaerius ) e dos dentes forcipulares (4+4 em bonaerius) e r*la ausência de um sulco horizontal no coxostemum forcipular (presente em ^ °naerius ), como também pelas medidas de comprimento e largura dos tergitos e CN, emito últimos. Tipo: Depositado no Museu Nacional do Rio de Janeiro, No. 141. Procedência: Veadeiros, Estado de Goiás. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 126 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Gen. RHODA Meik. O gênero Rhoda foi caraterizado com muita exatidão por Attems (op. cit. p. 118), com exceção do comprimento dos primeiros tergitos, sôbre os quais o citado autor escreve que os l.°, 2.° e 3.° tergitos são aproximadamente do mesmo comprimento. O 4.°, porém, é mais longo do que o 3.° e 5.°. Na página se- guinte o autor apresenta um desenho que mostra estas medidas. Nós, porém, após o exame morfológico de uma série de Rhoda calcarata (Poc.), de Rh. thaycri Mein. e da nova subespécie que vamos descrever a se- guir, constatámos exatamente o contrário: sempre o 4.° tergito é mais curto do que o 3.° e 5.°. nunca do mesmo comprimento que êstes (ride Fig. 7). Rhoda calcarata calcarata, n. subsp. Colorido : Verde-amarelado. Primeiros 3 segmentos e o último com as patas posteriores e em parte também as anteriores marrom -esverdeados, bem destaca- dos do resto do tronco, que apresenta tons mais amarelados. Ou todo o animal de côr cinza sujo, com placa cefálica e primeiros segmentos côr de tijolo e com últimas patas amarelo-doiradas. Medidas: Comprimento (sem as últimas patas) 49 — 52 mms. Comprimento das antenas 4 — 4.5 Comprimento das últimas patas 5 — 5.6 Largura dos tergitos 3 — 4.7 Último tergito geralmente mais largo do que os precedentes. 4.° tergito sempre mais curto do que o 3.° e principalmente o 5.°. 2.° tergito mais curto do que o 3.° e ainda mais do que o 4.°. l.° tergito do tamanho do 4.° ou um pouco maior do que êste, porém menor do que o 3.° (ride Fig. 7). Placa cefálica : Tão larga quanto longa, com igual pontuação quanto os outros tergitos. Sempre com sulco longitudinal mediano, muito nitido, que atinge dois terços do comprimento da placa cefálica, sendo em muitos exemplares con- tinuado por uma leve depressão, que vai até a frente (vide Fig. 7). Antenas: Com 16-17 artículos; nunca mais do que 17, geralmente num lado 16, no outro 17. Os primeiros 6 artículos basilares muito mais largos do que longos, inteiramente lisos e sem pêlos. Somente em casos raros o 6.° artículo apresenta pêlos no lado ventro-lateral. A relação entre a largura e o compri- mento é no l.° artículo: 4:1; no 2.°: 3)4: 1; no 3.°: 3:1; no 4.° 3)4 :l'í no 5.°: 2:1 e no 6.°: 1)4:1. Dai em diante as medidas se alteram abrupta- mente em vantagem do comprimento, de maneira que do 7.° em diante os artículos já são mais longos do que largos, sendo o articulo terminal já duas vêzes mais longo do que largo. Do 7.° articulo em diante existe pilosidade densa. 8 "qlfoajíg Bvcherl — Coleção miriapodológica do Museu Nacional do Rio 127 Y4. : \ r.-.n/H '-f J- • V V.l Coxosternum f orei pular: Pontuado, com um sulco horizontal reto ou um knto curvo que> muita$ yêzes, forma pequenos círculos irregulares. Neste sulco ‘ e rmina um outro mediano longitudinal, a ramificar-se em frente {atrás não). Sulcos basilares das placas dentárias, formando uma linha horizontal reta (vide ^'8- 8). No meio deites dois sulcos existe muitas vêzes uma cavidade redonda, P f ofunda, margeada pela ramificação do sulco longitudinal mediano. Placas dentárias tão largas quanto longas, com 2 -}- 3 dentes, dos quais os ~ medianos são mais unidos (mas não tanto quanto em Rh. calcarata) e o lateral 'bolado (vide Fig. 8). Tergitos: 1 a 2Ó com dois sulcos longitudinais paramedianos que, no l.° ter- Steo, são abreviados em frente. Tergitos 2 a 19 além disso com um sulco curto. Profundo, em cada canto anterior, a dirigir-se para o interior do tergito. Êstes ^°is sulcos são mais fracos nos tergitos 2, 3 e 19. Último tergito com sulco me- ^teno nitido. Somente êste tergito com carenas laterais. Estas paralelas, de n tentira que o bordo posterior do tergito não é mais largo do que o anterior. Estcmitos: 2 a 20 com dois sulcos longitudinais completos. A depressão lon- SUudinal mediana é muito fraca, em alguns exemplares mesmo invisível, princi- Ptendo já desde o 8.° ou 9.° estemito, sendo mais nitida nos estemitos 15 a 18 e desaparecendo no 19.° estemito. Último estemito um pouco mais longo do f ‘ Ue largo, com bordo posterior semicircular c com uma leve depressão longitu- dinal mediana, depressão esta que alarga visivelmente diante do bordo posterior, i°rniando uma cavidade circular muito leve. Patas: 1 a 19 ou 20 com um esporão tarsal; 1 a 20 com dois esporões la- ter ais ao lado da garra terminal. Última pata sem esporões laterais. Coxopleuras ^ apêndice, com numerosos poros pequenos, que não atingem a borda posterior. apêndice coxopleural protraido- Em lugar do último existem 0-2 espinhos rç lativamente grandes (em casos raros os 2 espinhos são grandes). Na maioria d° s casos existe apenas um ou nenhum espinho. Na zona lateral com 0-1 es- P , nho. Prefêmur, fêmur e tíbia das últimas patas muito grossos e curtos. Pre- ^^tiur no lado dorso-intemo com 2-4 (geralmente 3) espinhos, sendo o do bordo * Çr minal maior e colocado numa pequena protuberância (vestigio do chamado Cs Pinho do canto”) ; no lado intento sempre 5 espinhos, dos quais 2 perto do r ^° posterior do articulo ; no lado ventro-intemo 3-4 espinhos. A nova subespécie difere de Rhoda calcarata (Poc., 1891): 1 o — pelo comprimento (50 contra 70 mms.) ; 2 o • — pelo maior comprimento do sulco mediano da placa cefálica, que cm Cc ^ c arata não atinge quasi a metade da placa ; g u ^ ° — pelo número menor dos artículos antenais e pela grande largura dos Asilares” (em calcarata o número dos artículos é de 17-20) ; 4-° — pelo sulco mediano do coxosternum torcipular não bifurcado atrás, CDrT1 ° s e verifica cm calcarata; cm SciELO 10 11 12 13 14 15 128 Memórias do Institufo Butantan — Tomo XV 5. ° — pelas medidas das placas dentárias, que na nova subespécie são tão largas quanto longas, enquanto que em calcarata são mais longas do que larga 5 (vide Fig. 153 em “Das Tierreich”, p. 119). Os dentes forcipulares medianos não se unem tanto na nova subspécie como em calcarata; . . .yr.fi ' 6. ° — Pela presença de dois sulcos para-medianos já no l.° tergito e de dor sulcos laterais curtos nos tergitos 2-19, ausentes em calcarata; 7. ° — pela depressão longitudinal mediana no meio dos esternitos 8- In- existentes em calcarata apenas do 13.° estemito em diante; 8. ° — pelo número e a conformação dos espinhos nas coxopleuras e no 21.° prefêmur. Além disso, Rhoda calcarata calcarata, n. subsp., nos força a acrescentar 3 diagnose do gênero Rhoda Mein\, 1886, o caráter do maior encurtamento do 4. 1 tergito em relação aos 3.° e 5.°. Tipos e paratipos constando de uma série dc ÍO exemplares, depositados no Museu Nacional do Rio de Janeiro sob os Nos. 28 (procedência: Sul de Ma tl ' , Grosso), 37 (Sul de Mato Grosso), 50 (Alagoas), 82 (Barra do Tapirapê), k- 1 (Barra do Tapirapê) (material colhido em tôcos podres) e no Instituto 13 u* tantan sob o No. 291. * C. Subfam. Scolopocryptopinae Gen. SCOLOPOCRYPTOPS Newp., 1844 Até o momento conhecem-se apenas duas espécies deste gênero, a saber : Sc* lopocryptops miersii Newp., 1845, in Tr. Linn. Soc. London 19:405, e Sc- broelemanni Krpln., 1903, in Mitt. Mus. Hamburg 20:77. O “habitat" da pH' meira é muito extenso, desde as regiões mais quentes da América do Nortf (Virgínia, Geórgia, etc.) através da América Central, Venezuela, Guiana e Bra* sil. Sc. broelemanni foi encontrada exclusivamente na China, na região l ' c Chou-San. Em 1920, Chamberlin descreveu uma subespécie de Sc. tniersü, denortii' nando-a Sc. m. filiensis (Buli. Mus. Harvard 64:11), procedente de NadarivatU nas ilhas de Fiji. A última difere de Sc. miersii apenas pelo maior tamanho e pela posiçã 0 diferente dos dois espinhos no último prefêmur- Attems ( op . cit : 257) cita ainda 3 outras espécies de Scolopocriptopideí»- qualificando-as, porém, de “nomina nuda”, pois sua descrição foi feita de u* maneira insatisfatória e, além disso, encontram-se num estado defeituoso ta** que é impossível reconhecer os caraterísticos específicos. Trata-se das seguinte espécies : 10 1 Wolfgang BÜCHERL — Coleção miriapodológica do Museu Nacional do Rio 129 Sc. aurantiaca Gerv., 1849, in Walkenaer, Hist. Apt. 4:593. Pro- cedência: Rio de Janeiro; Sc. viridis Gerv.. 1847, in Walkenaer. Hist. Apt. 4:594. Proce- dência : Brasil ; Sc. quadrisulcatus Daday., 1891. in Tennész. Füzetek 14:182. Pro- cedência : Venezuela. Queremos a seguir descrever mais uma nova subespécie de Sc. micrsii, de- nominando-a, segundo o seu "habitat”: Scolopocryptops micrsii purucnsis, n - subsp.. Scolopocryptops micrsii purucnsis, n. subsp. Colorido : Tergitos e placa cefálica marrom-enegrecidos ou pretos; esterni- *°s e patas marrom-amarelados ; articulos basilares das antenas e dois últimos I®res de patas marrom-enegrecidos; forcipulas, último esternito, coxopleuras e, a s vêzes. taml)êni a placa cefálica e o último tergito marrom-avcrmclhados. Todo ° tronco com brilho vivo. Medidas : Comprimento (sem as últimas patas 1 85 a 93 mms. I-argura dos tergitos 6a 8 Comprimento das últimas patas 26a28 " . ^'do cada articulo precedente 1 a 2 mms. mais longo tio que o seguinte. Placa ^fálica 6 mms. de comprimento c 5j4 mms. de largura. Comprimento das an- tcn as a 18 a 19 J4 mms., atingindo o lxirdo posterior do 4.° tergito. Quanto ao c °ntprimento dos tergitos Attems in “Das Tierreich” 2 Scolopendromorpha, 1930. p, 255. diz: “Segundo tergito um pouco menos da metade do compri- mento do primeiro; 4.°, 6.°, 9.°, 11.°, 13.°. 15.°, etc. tergitos somente um pouco ««is curtos do que os vizinhos". N'a nova subespécie, porém, estas medidas muito acentuadas, apresentando-se da seguinte maneira: 1.0 tergito: 3J4 2.o y 3.o ” 3 4.o ” i y 5.o 3/4 6.o ” 2J4 7.o ” 3 8.o ” 4 9.o ” 2 V* IO. 0 ” 4 «4 ll.o ” 3 . etc. 11 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 130 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV (•:. «itff 'd: .v--. ' »•' V — .t i$.> '■ . -.7* Vê-se, portanto, que o comprimento do 2.° e 4.° tergitos difere abruptamente do dos tergitos 1, 3 e 5 e que os tergitos 6, 9, 11, etc. são igualmente muito mais curtos do que os tergitos vizinhos (vide Fig. 9). Todo o corpo, inclusive os artículos basilares das antenas e patas, fortemente pontuado, sendo as pontuações mais numerosas e profundas na parte anterior do animal, principalmente na placa cefálica e no coxostemum forcipular, diminuindo em número e profundidade na última porção do tronco. Placa cefálica: Sem sulcos, nem margens laterais, cobrindo total ou parcial- mente a fossa semicircular do l.° tergito (vide Fig. 9) ou deixando a última inteiramente a descoberto. Antenas: Com 17 artículos, sendo os 3 artículos basilares providos de pêlos muito pequenos e muito pouco numerosos no bordo terminal (vide Fig. 10). 3.° artículo com pêlos numerosos no bordo terminal no lado ventro-intemo. Êstes 3 articulos basilares diferem abruptamente dos artículos seguintes (vide Fig. 10), todos cobertos por densas fileiras de pelos- Em miersii, ao contrário, também os 3 articulos basilares apresentam pêlos numerosos. -Do 4.° articulo em diante existem fileiras longitudinas de pêlos curtos, interrompidas frequentemente por feixes de pêlos 2 a 3 vêzes mais longos. Tanto os pêlos curtos como os longos podem ser retos ou curvados para um lado. Attems (o/>. cit.), caraterizando a espécie Sc. miersii, diz à p. 256: “Os pêlos, exceção feita aos dos artículos basilares, nascem todos em tubérculos cilín- dricos, muito salientes, podendo ser percebidos facilmente por seu colorido mar- rom escuro da área amarela das antenas. A base destes tubérculos não é distinta- mente articulada”. Acreditamos que esta afirmação é um tanto inexata. Primeiro a área dos articulos antenais não é amarela, mas enegrecida e os tubérculos ci- linclri formes não são de cór marron-escura, mas amarelos. A base dos tubérculo-* ' não é de modo algum articulada, contrariamente ao fato verificado no gênero Otocryptops. Para melhor elucidar a nossa observação, apresentamos a Fig. 11, que repre- senta um pequeno trecho de um dos últimos articulos antenais (300 vêzes au- ment.), podendo-se ver pêlos curtos e longos, todos saindo do tubérculo cilit'" dri forme. As medidas relativas entre o tubérculo e o pêlo são de 1 a 9 ou 1 3 14. O tubérculo sai dirctamente da área antenal. Sua ponta terminal é perfu* rada, atravessando o furo todo seu lume, de maneira que o pêlo, propriamente dito, penetra por esta espécie de tubo até a epiderme subcuticular. Trata-se. portanto, de pêlos simples, iguais aos dos outros Escolopcndromorfos, com 3 exceção de, no nosso caso, serem mais móveis devido ao reforço cilindriform c - Coxas forcipulares: Com um sulco horizontal nítido, atravessando a plac 3 de lado a lado (vide Fig. 10). Placas dentárias completamente transformada* numa chapinha curtíssima, mas muito larga, distinta do coxostemum por sal»' 12 n 'Volfgano Büchebl — Coleção miriapodológica do Museu Nacional do Rio 131 ^cias de quitina e pelos sulcos basilares muito fracos e mal perceptíveis. As 2 placas dentárias são separadas parcialmente por um delgado sulco mediano, ^ntes ausentes. Em seu lugar existe uma saliência arredondada em ambos 0s lados (vide Fig. 10). l.° tcrgito: Com fossa semicircular interramente descoberta ou quasi total- ^ente coberta pela placa cefálica. Sulcos episcutais do 3.° ao 22.° tergito: no 3 o apenas representados por dois pequenos sulcos, mas muito nítidos, presentes n ° bordo posterior. Do 5.° ao 22.° tergito os dois sulcos são completos, porém sanpre fracos, sendo sempre muito nitidos os dois pequenos sulcos' diante do k°rdo posterior. Êstes ausentes no 22.° tergito. Dos tergitos 8-2l, além disso, '"n curto sulco mediano, cuja nitidez varia nos diversos exemplares (vide Fig. Em frente a éste sulco existe uma ligeira saliência longitudinal. Carenas ferais do 6.° ou 7.° tergito até ao 22.°, sem nunca atingirem, porém, plcna- * nent c o bordo posterior, i. é , nos tergitos 6 a 10 atingem um terço do compri- men t 0 do tergito; de 11 a 20 seu comprimento aumenta, sendo mais desen- '°lvido no tergito 20; de 21 a 22 diminue novamente. Último tergito com duas Su? uras laterais finas em vez dos bordos, divergindo fracamente da frente para tr as (vide Fig. 12). Na linha mediana do tergito, no bordó posterior, existe Ç^ndniente um curto sulco, substituído em alguns casos por uma simples dc- I^cssão longitudinal. Bordo posterior fortemente prolongado, arredondado, fingindo a porção prolongada um terço do comprimento do tergito. Em ^bos os lados existe uma ponta, que termina num espinho. Não obstante ^ pontas serem localizadas ao nivel do tergito, não fazem parte deste (como Muitos pensaram), mas da região pleural, como se pode ver pela orientação das ^uas suturas laterais, que separam nitidamente as duas pontas do tergito (vide Pi S. 12). Estcrnitos : Sem sulcos, nem depressões. O último com bordo posterior rtt ° ou convexo e. às vêzes, com fraca depressão longitudinal. Apêndice coxo pleural : Longo, ultrapassando quasi duas vêzes o comprimento demito. Campo poroso muito vasto, estendendo-se do tergito ao estemito e do dei *ando livre apenas uma faixa estreita do bordo pleural posterior. Ai existe fossa profunda, que separa o campo poroso em duas metades. Na área livre Uf na saliência bastante acentuada com ponta curta, arredondada, de quitina ^recida. I'atas: 1 a 20 ou 1 a 19 com dois esporões tibiais; 1 a 20 ou 1 a 21 com aporão tarsal. Tarsos 1 a 22 indivisos, de maneira que não se podem dis- Çüir dois tarsos, a não ser pela localização do esporão tarsal Esporões sccun- fcit: n ° s das garras terminais pequeníssimos, ausentes somente nas últimas patas. tntç. "no prefêmur no lado ventral com um espinho fortíssimo no lado dorso- rn ° com um espinho 3 a 4 vêzes menor do que o ventral. 13 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 132 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Segmentos genital e anal : Tanto no macho, como na fêmea com cerdas numerosas. Nos artículos terminais das últimas patas não existe dimorfismo sexual. Seolopocryptops miersii puruensis, n. subsp., distingue-se de Sc. miersii NEWP. pela relativa ausência de pêlos nos artículos basilares das antenas (miersii apresenta pêlos abundantes já nestes artículos) ; pela presença de pêlos 3 a 4 vêzcs mais longos do que os comuns em todo o percurso das antenas (na miersti éstes pêlos são apenas um pouco mais longos e existem só na segunda metade das antenas) ; pela presença de um sulco transversal no coxostemum forcipulaf- como também de fracos sulcos basilares (ausentes em miersii) ; pela presença de um curto sulco mediano nos tergitos (ausente em miersii ) ; pelas carenas laterais- abreviadas em todos os tergitos (em miersii são abreviadas somente nos tergitos 21 e 22) ; pelo bordo posterior do último estemito. convexo em puruensis, côncavo em miersii ; pelo comprimento do apêndice coxopleural, que em puruensis ultra- passa muito o comprimento do estemito, o que não se verifica em miersii. Tipo e paratipos compostos de 6 exemplares, machos e fêmeas, guardado? no Museu Nacional do Rio de Janeiro sob os Nos. 27 (4 exemplares; proce- dência: LJágo do Mapixí, Rio Purús — vide nomen — Estado do Amazonas) e 49 (1 exemplar: procedência: Amazonas) e na coleção quilopódica do Instituto Butantan sob o No. 293 (1 exemplar; procedência: I^ago do Mapixi). Gen. NEWPORTIA gerv., 1847 O gênero Newportia consta de Criptopídeos exclusivamente neotrópicos. ' •' determinação deste género é muito facil : sem ocelos; 23 pares de patas; coxopleuras com apêndice longo. fino. de uma só ponta ; 2.° tarso das últimas patas subdividido num grande número de artículo secundários ; presas forcipulares de tamanho regular: Gen. Nncportia. Êstc gênero consta até hoje de 23 espécies determinadas, das quais du* são subdivididas em 4 subespécies. Além disso, fazem parte deste género 4 í? pécies duvidosas, mal descritas, que devem ser eliminadas do quadro sis ,r mático por serem nomina nuda e cujos nomes aduzimos aqui apenas para coH r pletar o quadro. São as seguintes: Newportia bahiensis verh., 1906. in N. Acta Leop. 86(26) :39 7 ; :409. Nomen nudum: 14 Wolfgang Büchebl — Coleção miriapodológica do Museu Nacional do Rio 133 Newportia sulaua ciiamb., 1922, in P. U. S. Mus. 60(7) :6. Apresenta garras terminais nas últimas patas. Quanto aos outros caraterísticos nada consta; Newportia actcca hl mb. & sauss., 1869, in Rev. Mag. Zool-, ser. 2, 21 :158 et 1872 in Miss. Mex., part 6, sect. 2:137. Provavelmente sinónima de N. spinipes poc.. 1896; Newportia bollinani att., 1889; N. longitarsis bollman (nec. newp.) in P. U. S. Mus. 11:337 et 1893 A r . /. bollman in Buli. U. S. Mus. 46:88. Na descrição não se fala dos caracteres morfológicos do l.° ter- gito, nem tampouco nos artículos do 2.° tarso das últimas patas, sendo sabido que são justamente estas duas partes que apresentam os melho- res caraterísticos específicos. Quanto ao resto, a descrição é muito vaga, sem entrar nas minúcias específicas ou então é tão aberrante, que a espécie duvidosa em questão nem cabe dentro do gênero. Por exemplo, tergitos com 6 sulcos... Prefêmur das últimas patas com 22 espinhos grandes e curvos e, além disso, com 4 a 5 fileiras de es- pinhos curvos menores. Portanto, também .V- bollmani deve ser considerada como nomcn nudum. As outras 23 espécies são distribuídas pela zona neotrópica da seguinte ma- n «ira: Brasil; la) Newportia longitarsis longitarsis (Newp., 1845). lb) Newportia longitarsis syhxu Chamb., 1914 (Mato Grosso) ^a) Nncportia bicegoi bicegoi Brõl., 1903 (Mandos) 3) Nncportia ernsti Poc., 1891 (Pernambuco) 4) Nncportia paracnsis Chamb., 1914 (Pará) 5) Nncportia aniaconica Brõl.. 1904 (Mandos) * ü '*na inglêsa: 6) Nncportia diagrainina Chamb., 1921 (Dunoon) 2) Newportia lasia Chamb., 1921 (Dunoon) 8) Nncportia brnnpes Poc., 1891 (Demerara) 9) Nncportia unguifcr Chamb.. 1921 (Dunoon) 15 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 134 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Guiana francesa: 2b) Nevportia bicegoi collaris Krplnc, 1903. Venezuela: Newportia longitarsis longitarsis (Newp., 1845) 10) Newportia simoni Brõl., 1898 (La Guayra) Newportia cmsti Poc., 1891 (Caracas) Colômbia: Newportia longitarsis longitarsis 11) Newportia pusilla Poc., 1893 ( Bogotá 1 12) Newportia fuhrmanni Rib., 1914 (Cafetal Camélia) 13) Newportia monticola Poc., 1890 (Cordilheiras) 14) Newportia stolli (Poc., 1896) (Bogotá Tambo) Cuba: Nevportia longitarsis longitarsis 15) Newportia heteropoda Chamb., 1918 (Belona oriente) 16) Newportia cubana Chamb., 1915 (Guantanamo) Ecuador: 17) Newportia dentata Poc., 1890 ( Chimborasso) Nevportia monticola Poc. (Chimborasso) Paraguai: 18) Newportia balzanii Silv., 1895 (Rio Apa) • r ' */ ' . • Guatemala: Nevportia stolli (Poc.) (Quezaltenango) 19) Newportia divergens Chamb., 1922 (San Rafael) Descrição incompleta, sem indicações a respeito das antenas, dos ter- gitos, estemitos e dos tarsos das últimas patas. Costa Rica: Nevportia monticola Poc. (Volcan de Irazu) 16 cm 2 3 4 SciELO .0 11 12 13 14 15 16 Wolpgang BCcherl — Coleção miriapodológica do Museu Nacional do Rio 135 Honduras: 20) Newportia mimetica Chamb., 1922 (Lombárdia) Ilhas de São Vicente: Newportia longitarsis longitarsis (Xewp.) Newportia pusilla Poc. Ncsvportia crnsti Poc. México: 21 ) Nczcportia spinipcs Poc., 1896 (Guerrero) Com esta é provavelmente sinônima a N. acteca, encontrada nos arre- dores de Córdova. Newportia orcina Chamb., 1915 (Hidalgo) Newportia mexicana (sauss., 1858) (Córdova) A caraterização desta espécie é muito incompleta, pois nada consta so- bre as antenas, a placa cefálica, as forcipulas e o l.° tergito. Destas 23 espécies 10 foram descritas por Chamberlin nos anos de : 1914 in Buli. Mus. Harvard 58:165-168 ( Nczcportia longitarsis sytvae, N. pa- raensis, sendo mencionadas também : N. amazônica e N. crnsti) ; 1915 in Buli. Mus. Harvard 59:494-497 ( Nczcportia orcina e N. cubana); 1918 in Buli. Mus. Harvard 62:154 (N. heteropoda) ; 1921 i„ Occas. Papers Mus. Zool. Michigan 4(97) : 7-12 (A r . diagramma, N. un- guifer e N. lasia. N. pana foi reconhecida como sinônima com N. biccgoi Brõl.. 1903) ; 1922 in P. U. S. Mus. 60( 7) :5-6 ( Newportia mimetica e N. divergens). Os outros autores que se ocuparam com a descrição de novas espécies são os ^Suintcs: Xewport, Humbert íc Saussure. Pocock. Silvcstri, Krãpelin, Verhocff, ^'l»ut e Brõlemann. O último í« Cat. Fauna Braz. Mus. Paul. 2 “Os mvria- P°dos do Brasil”, S. Paulo, 1909. p. 9, aduz ainda 2 espécies, descobertas por Ger- y ais c chamadas : Scolopocrytops aurantiaca Gerv., 1847. in Walkenaer, Hist. Apt. 4: 593, Rio de Janeiro, e Scolopocryptops ziridis Gerv.. 1847, op. cit. :594. Brasil, brõlemann. baseando-se no “Catalogue of the Myriapoda in the collection of the ^tish Musem I, Chihpoda”, London, 1856, de Xewport & Gray, chama estas ^uas espécies de Newportia aurantiaca Gerv. e Nncportia viridis Gerv.- Faltando toda e qualquer descrição, não vemos o motivo que forçou Brõ- l^ttiann a adotar para as duas espécies os nomes citados. De fato, Attems in ‘ Das 17 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 136 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Tierreich" 2 Scolopendroniorpha. p. 268) e que estas dificuldades desa- Gray, nem a Brõlemann, mas continua chamando as duas espécies pelos notnes antigos. Sendo, porém, de todo insuficiente a descrição de Gervais (o/>. cil.), Attems classifica as duas formas como “espécies irreconhecíveis”. Na chave sistemática das espécies e subespécies de Nnvportia (vide Attems ‘‘Das Tierreich” :268 e Bücherl “Os quilópodos do Brasil" hi Mem. Inst.' Bu- tantan 13:296.1939) aparecem muitas incoerências e contradições, de maneira que se torna extremamente difícil determinar uma espécie segundo esta chave. Assim, por exemplo, sob o Xo. 2 da chave se diz: ‘‘...Tarso das patas anteriores com esporão ventral...” e sob o No. 10 (referindo-se aos Nos. 3 e 2): “... Tarso das patas anteriores sem esporão ventral”. Sob o mesmo No. 2 consta: “...2.° tarso (das últimas patas) distinta- mente articulado ”. Ora, nós constatamos pelo exame comparativo de uma série de exemplares da mesma espécie que êste caraterístico varia muito, sendo ora os artículos do 2.° tarso l>em nítidos, ora quasi totalmente unidos e com contornos apagados. Attems continua no mesmo No. 2. “Tibia das patas anteriores geralmente só com es- porão lateral: em casos raros só com esporão ven- tral : numa única cspecic com esporões ventral e lateral. Tarso das patas anteriores com esporão ventral 3 etc.. Tíbia das patas anteriores com esporão ventral e ge- ralmente também com lateral. Tarso das patas an- teriores geralmente sem esporão 17 etc.. Como se ve. não ha uma serração nítida entre todos estes caraterísticos. Achamos melhor, portanto, para facilitar mais a classificação das espécies, reunir estas segundo as zonas de origem (as do Brasil, do México, da Colômbia, etc.) ou então, querendo estabelecer uma chave geral, basear esta não na ausên- cia ou presença de esporões tibiais e tarsais e na divisão dos artículos d° 2.° tarso das últimas patas (como faz Attems). mas no comprimento com- parado do prefêmur. fêmur, tibia e l.° tarso das últimas patas, nos sulcoí da placa cefálica e do l.° tergito e no número, tamanho e posição do® espinhos das últimas patas. Segundo nossas próprias pesquisas concluimo? que pouco ou quasi nada se pode fazer com a chave de Attems (“Da* Tierreich” 2 Scolopendroniorpha. 1930:257. não se refere nem a Newport & parecem imediatamente, si forem reunidas as espécies segundo o seu “habitat" 18 "olfgang Bvcherl — Coleção miriapodológica do Museu Nacional do Rio 137 e S1 a chave íôr elaborada segundo os caraterísticos morfológicos dos sulcos dos ’ er gitos, esteinitos e dos espinhos nas últimas patas. E' o que fizemos no S€ Suinte > reunindo num grupo as epécies do Brasil, do Paraguai e das Guianas •nglèsas: * — Tarso das últimas patas com garra terminal .... 2 tt tt )) tt tt tt n sem .... ô ^ — l.° tarso das últimas patas mais longo do que a tíbia; artículos do 2.° tarso sem contornos nítidos: A r . amazônica l.° tarso das últimas patas J4 do comprimento da tíbia; 2.° tarso com 9 artículos nitidamente con- tornados: N. unguifer ^ — Os primeiros 2 tergitos sem sulcos longitudinais. Estemitos sem sulcos long. laterais, apenas com um sulco long. med., abreviado em frente e atrás: N. lasia Os primeiros 2 tergitos com sulco longitudinal 4 ^ — Sulcos longitudinais do l.° tergito ramificados em frente, formando a figura de um “W”. No meio da placa, por entre os sulcos, uma depressão re- donda 5 Sulcos longitudinais do l.° tergito não ramifica- dos, mas simples. Sem depressão redonda 6 ^ Prefêmur das últimas patas no lado vcntral 3 es- pinhos grandes ; fêmur sem espinho algum ; 2.° tarso mais ou menos subdividido em 11 artículos A r . balzanii Prefêmur das últimas patas no lado vcntral 4 espi- nhos grandes; fêmur com 1-2 e no lado dorsal- intemo 0-1 espinho menor. 2.° tarso abruptamente niais delgado do que o l.°, subdividido em 21 artí- culos mais ou menos: N. b. biccgoi J Sulcos longitudinais da placa cefálica, atingindo 2/3 do comprimento da placa, atravessados atrás por um sulco delgado, paralelo com o bordo posterior. Es- ternitos posteriores além dos sulcos mediano e late- • rais ainda um horizontal no último terço da placa. Do 5.° tergito uma quilha. Tibias das patas ante- riores com um esporão ventral e um lateral ; tarsos não articulados, com um esporão A r . cnisli 19 P SciELO 10 11 12 13 14 15 cm 138 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Sulcos longitudinais da placa cefálica mais curtos, não atravessados atrás por um sulco horizontal, pa- ralelo ao bordo posterior 7 — Sulcos longitudinais do l.° tergito não atingindo o bordo posterior da placa. Tergitos sem sulcos longitudinais laterais ou êstes quasi invisíveis. Estemitos sem sulcos longitudinais laterais Sulcos longitudinais do l.° tergito sempre atingindo o bordo posterior da placa, nem sempre, porém, o bordo anterior. Tergitos e esternitos com dois sulcos longitudinais laterais 8 — Sulcos longitudinais do 2.° tergito muito curtos, existentes apenas no bordo posterior e ramificados, sendo os ramos do meio paralelos e divergindo os dois externos para os lados. Prefêmur último com 6 esporões ventrais grandes e 16-21 menores, enfi- leirados no lado interno; fêmur com dois esporões no lado ventral Sulcos longitudinais do 2.° tergito retos, paralelos, percorrendo a placa de bordo a bordo. Prefêmur com esporões internos pequenos (ou sem os últi- mos). Fêmur com esporões internos pequenos (ou sem os últimos). Fêmur com 1-2 esporões ventrais .V. diagramvia 8 -V paraenses 9 — Sulcos longitudinais laterais desde o 3.° tergito. Tíbias das patas anteriores com um esporão ven- tral e um lateral. Tarsos com um esporão forte. 2.° tarso das últimas patas abruptamente mais delgado do que o l.°, sem que se possam distinguir os contornos de seus artículos -V. breznpes Sulcos longitudinais laterais desde o 5.° tergito. Tíbias das patas anteriores apenas com um espo- rão lateral, sem ventral. Tarsos sem esporão. Artículos do 2.° tarso das últimas patas não muito mais delgados do que o l.° tarso, com os artículos bem contornados: W 10 — Os dois sulcos longitudinais da placa cefálica atin- gem quasi a metade da placa. Sulco longitudinal do l.° tergito, estendendo-se de bordo em bordo. 20 ^olfgang Bücheri, — Coleção miriapodológica do Museu Nacional do Rio 139 Estemitos posteriores sem sulco horziontal no último terço da placa. Prefêmur último com 7-12 esporões pequenos no lado interno N. longilarsis longi- Sulcos da placa cefálica muito curtos. l.° tergito tarsis com 2 sulcos longitudinais apenas entre a fossa semicircular e o bordo posterior. Esternito poste- rior com um fraco sulco horizontal no último terço da placa. Prefêmur último sem esporão no lado interno, mas apenas com cerdas enfileiradas: ... .V. longilarsis sylvae Ncuporlia biccgoi biccgoi Brõl., 1903 (Anotações à descrição deste autor). íorcípulas vermelhas. 3-5 articulos basilares das antenas brilhantes, com 'k® munto longas. Placa cefálica quasi sempre com dois sulcos longitudinais ^°* tcr iores, curtos e um anterior, mediano, no meio das bases antenais (Brõl.: sem Co anterior, com ou sem os dois posteriores). As tibias c os tarsos, principal- das patas posteriores com cerdas longas e numerosas. Nezcportia diagramma aureana, n. subsp. Colorido : Amarelo-avermelhado ou amarelo-marrom, com a cabeça, as an- . " 1S e forcípulas ligeiramente avermelhadas, não muito destoantes do resto tronco. •t fedidas : Comprimento do tronco (sem ant. c últimas patas) 44 mms. " das últimas patas 9 " das antenas 7 " do último tergito 1.5 " da placa cefálica 3 V, Largura dos tergitos 3.5 " da placa cefálica 2 */ s -3 " do último tergito 3 Placa cefálica (vide Fig. 13) com poucas pontuações, porém relativamente ^ rin des. Em frente, por entre as antenas, com ligeira depressão longitudinal, c ° profunda. Perto do bordo posterior dois sulcos curtíssimos e muito pouco bundos. ^'ÍH/enar: Com 17 articules, dos quais os três basilares apresentam poucas ^ mas muito longas ; os três seguintes com poucas cerdas longas, porem mais 143 já do que nos primeiros três artículos: o resto com fileiras densas de pêlos 1 rtfJS (vide Fig. 13). 21 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 140 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Coxostcrnum forcipular (vide Fig. 14) : Sem sulco mediano, em frente biarqueado, sendo os arcos muito largos, mas pouco profundos, de maneira que se apresentam quasi como duas retas, apenas pouco curvas. Tcrgitos: l.° tergito (vide Fig. 13) com fossa semicircular profunda e entre esta e o bordo posterior dois sulcos paramedianos, divergentes na frente e não continuados além da fossa. Tergitos 2-22 com dois sulcos paramedianos com- pletos que no 2.° tergito convergem de trás para diante (vide Fig. 13). Além disso, existe neste tergito um leve sulco horizontal que atravessa os sulcos para- medianos, indo de um bordo ao outro. Tergitos 3-20 com sulcos laterais muito fracos, no 3.°, além destes, ainda um sulco anterior divergente para os lados (vide Fig. 13). Tergitos 6-18 uma quilha mediana curta e quasi invisrvrf Último tergito com carenas laterais e bordo posterior redondo, fortemente pro- traído no meio. Estemitos: 1-21 com sulco longitudinal mediano, abreviado em frente c atrás e, além deste, com dois sulcos laterais muito curtos e tão leves que são quasi invisíveis. Último esternito com bordos laterais íortemente convergentes d 3 frente para trás e com bordo posterior ligeiramente convexo (vide Fig. 15). Apêndice coxoplcural : Mais longo do que em N. diagramma (vide Fig- 15), terminando num espinho, rodeado por cerdas mais longas. Tíbias das patas apenas com esporão lateral pequeno, sem ventral. Tarsos sem esporão. Os tarsos das patas anteriores mal biarticulados (quasi unidos) ; do 6.° par para trás já biarticulados (ainda que pouco nitidamente) ; do 15.° par 3 trás francamente biarticulados. Todas as patas armadas com cerdas, mais longa 5 e numerosas nos tarsos. Prefémur das últimas patas triangular, no lado dorso- posterior com fossa longitudinal ; no lado ventral com 4 espinhos robustos, retos» no lado interno com fileiras longitudinais de pêlos curtos, assentados em cima àc um tubérculo microscópico (visível só num aumento mínimo de 75 vezes). Fé- mur, tibia e tarsos como em N. diagramma. Tipo: Conservado no Museu Nacional do Rio de Janeiro, na coleção miri 3 ' podológica, No. 144. Procedência: Aurá, Estado do Pará. A nova subespécie distingue-se de Xcxvportia diagramma Ciiamb., 1921» por apresentar cerdas mais longas também no 5.° e 6.° articulo antenal ; p^ a ausência de um sulco mediano no coxosternum forcipular; pelos sulcos longiti 1 ' dinais do l.° tergito que vão do bordo posterior até a fossa semicircular; pelo* leves sulcos laterais dos estemitos; pela estrutura morfológica dos bordos ‘lo último esternito; pelo apêndice coxopleural relativamente longo e pelo nwner° constante (4) dos grandes espinhos no último prefémur. 22 "olfgang Büchehl — Coleção miriapodológica do Museu Nacional do Rio 141 Quanto à estrutura dos sulcos na placa cefálica, dos sulcos paramedianos do l-° tergito, dos dois sulcos transversais divergentes do 3.° tergito. dos bordos la- terais e posterior do último estemito e dos 4 espinhos grandes no último prefê- mur . a subespécie nova aproxima-se extraordinariamente à Ne?vportia longitarsis s yhae Chamb., 1914. Difere, porém, desta última pelas cerdas longas e raras n ° s articulos basilares das antenas, pela ausência de dois sulcos horizontais poste- n ° r es, paralelos ao bordo posterior, no l.° tergito, pela ausência dos sulcos no Hteío do 2.° tergito; por começarem os sulcos laterais já no 3.° tergito (em .V. hngitarsis syhae só no 5.°) ; pela ausência de um sulco horizontal nos estemitos Posteriores e pela ausência dos tubérculos típicos no lado interno do último pre- fêtnur. Newportia ernsti Pocock, 1891 As medidas, indicadas por Attems em “Das Tierreich”, p. 281, são muitas Vezes excedidas, pois encontramos exemplares desta espécie de 48-53 mms. de C, ' rn I ) riinento. A quilha mediana começaria, segundo Attems, no 5.° ou 6.° ter- Çlt °: de fato, porém, esta já existe no 2.° ou 3.° tergito. No 21.° estemito tx, stem, além do sulco longitudinal mediano e dos dois sulcos laterais curvos, dois Su,c °s transversais (e não um apenas), sendo o anterior muito nítido c curvo. Procedência: Aurá, Estado do Pará. Coleção quilopódica do Museu Na- c '°nal tio Rio de Janeiro. Nncportia ernsti fossulata. n. subsp. 3 fedidas : Comprimento (sem as últimas patas) 27 — 31 mms. " das últimas patas 13 — 15 ^ re fêmur, fémur e tibia das últimas patas de igual tamanho; l.° tarso / do C0TT1 primento da tibia; 2.° tarso mais delgado do que o l.°. A nova subespécie distingue-se de Newportia ernsti Poc., 1891 : l.° — pelo sulco transversal, paralelo ao bordo posterior, que em -V. trn *ti é bastante acentuado, estendendo-se de um a outro lado, enquanto que na subespécie é muito leve e curto, não ultrapassando muitas vézes os dois sulcos lon ?úudinais (vide Fig. 16) ; 2.o — pelo coxostemum forcipular que apresenta um sulco mediano longi- u ^iual na nova subespécie, sendo a margem anterior biarqueada liem desen\ol- 23 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 142 Memórias do Inslituto Butantan — Tomo XV vida, enquanto que em -V. cnisti, sp., êste desenvolvimento é mais rudimentar e o sulco mediano totalmente ausente (vide Fig. 17) ; 3. ° — pelo fato de a fossa semicircular do l.° tergito não ser tão recurvada para trás, no meio, como isto se dá em A’, cnisti (vide Fig. 16) ; 4. ° — por apresentarem os primeiros 3-4 tergitos dois sulcos laterais curtos (vide Fig. 16), ausentes em N. cnisti; 5. ° pela presença nos estemitos posteriores do 1 sulco transversal leve, p°* rém nítido, no primeiro terço da placa (ausente em N. ernsti ), de maneira qu e estas placas apresentam 5 sulcos ao todo, 3 longitudinais e 2 transversais ar- queados. Quanto ao resto os caraterísticos morfológicos entre as duas espécies em con- fronto são idênticos, apenas o prefêmur das últimas patas da nova subespéa e costuma apresentar no lado ventral 5 espinhos só (em vez de 6: A’, ernsti) e o fêmur 0-2 (em vez de 1-2); na área dorso-interna do prefêmur não costumam existir espinhos, mas sim cerdas que nascem de um tubérculo ; havendo espinhos, êstes só ocorrem em número de 3-5, sendo de tamanho tão exiguo que só são visíveis num aumento de 75 vêzes para cima. Tipo c paratipos: Museu Nacional do Rio de Janeiro, No. 146. Procedência : Aurá, Estado do Pará. Anotações sôbre a espécie Newportia brevipes Poc.. 1891 Attcms ( op . cit. :281) dá a esta espécie um comprimento de 22.5 mt" 5, apenas. Nós, porém, tivemos à mão exemplares de 32-34 inras. e mais 12 mm 5- de comprimento das últimas patas. O colorido da placa cefálica em nada difere dos tergitos. Apenas as i° r cípulas costumam ser um tanto avermelhadas. Placa cefálica um pouco mais longa do que larga, com poucas pontuaÇÕ** maiores c menores. Os dois sulcos longitudinais abrangem 1/3 do comprimento da placa. Em frente, por entre as antenas, existe um curto sulco mediaU 0, muito fraco. Coxas f orei pulares: Iguais como foram descritas por Pocock, Krãpelin f Attems. Fossa semicircular do l.° tergito quasi sempre totalmente coberta pela pl aC * cefálica. Com dois sulcos longitudinais não ramificados, que vão do bordo an If ' rior ao posterior. Tergitos 2-22 com sulcos paramedianos ; 3-21 também cf*® dois sulcos longitudinais laterais. Quilha mediana desde o 4.° ou 5.° tergito. 23* 24 Wolfg.vng Bvcheri Coleção miriapodológica do Museu Nacional do Rio 143 tergito com carenas laterais paralelas e com bordo posterior arqueado, protraído no meio. Na metade posterior da placa existe uma depressão nítida e bastante Profunda (o 23.° tergito não foi descrito por nenhum dos três autores supra citados). Esteinitos iguais à descrição de Attems: “Das Tierreich’’, p. 281. Último cstemito mais longo do que largo, com bordos laterais fortemente convergentes da frente para trás e com bordo posterior cortado em linha reta ou então ligei- camente convexa (e não como diz Attems: “ hinten ausgerandet”). Patas providas de cerdas robustas, mas não muito numerosas. Tarsos das patas anteriores em geral francamente biarticulados ; tarsos dos últimos 4-6 Pares de patas claramente biarticulados. Tíbias das patas locomotoras com um Cs porão ventral e um anterior, lateral; tarsos com um esporão ventral robusto. Prefêmur, fêmur e tíbia das últimas patas exatamente do mesmo tamanho. Prefêmur e fêmur achatados no lado dorsal. Prefêmur no lado ventral com uma íileira de 4, rarissimamente 5, espinhos grandes, sendo os anteriores os maiores. Xo lado dorso-mediano não conseguimos ver espinhos pequenos (mencionados por Attems), mas apenas fileiras de cerdas. Entre o l.° e 2.° tarso não ha di- v *são alguma. Também os artículos do 2.° tarso não podem ser distinguidos. 2 exemplares paratipos na coleção quilopódica do Museu Nacional. No. 147. Procedência: Aurá, Estado do Pará. Newportia tnaxima, n. sp. Medidas : Comprimento do tronco (com antenas c patas) 72 — 76 mms. ” das antenas 9 — 11 " das últimas patas 16 — 18 ” da placa cefálica 3 Largura da placa cefálica * • 2'/í Prefêmur, fêmur e tíbia das últimas patas aproximadamente do mesmo tamanho; tarso l ! /a mais longo do que a tibia; 2.° tarso 1)4 niais longo do que o l-° tarso, com poucos articulos, mas de contornos indistintos e uma espécie de P°nta no fim, que não corresponde a uma garra. l.° e 2.° tarsos da mesma ** r gura e apenas um pouco mais delgados do que a tibia. Colorido: Tergitos, estemitos e patas amarelo-castanhos; antenas amarelo- c ' a ms ; placa cefálica e l.° tergito mais avermelhados, porém muito pouco des- toantes do colorido geral. rintenas: Com 17 articulos, dos quais 2 articulos 1 «asilares com cerdas *° n gas, robustas e muito numerosas (vide Fig. 18). 25 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 144 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Placa cefálica : Com poucas pontuações (as pontuações são poucas em frente do tronco e aumentam consideravelmente atrás, de maneira que os ter- gitos e estemitos posteriores são tão densamente pontuados que se apresentam rugosos). Os dois sulcos longitudinais são leves e não atingem bem a metade da placa (vide Fig. 18). Coxas forcipulares pontuadas, com margem mediana anterior biarqueada, formando dois bordos salientes, separados no meio por uma entrância, continuada no coxostemum por um curto sulco longitudinal mediano, leve (vide Fig. 19). 1. ° tergito: Com fossa semicircular nítida, não retraída no meio, inteira- mente a descoberto ou sobreposta nos dois lados pelo bordo posterior da placa ce- fálica. Sem sulcos longitudinais medianos ou êstes apresentados sob a forma de dois pequenos sulcos muito leves e quasi invisíveis, correndo da fossa semicircular para o bordo anterior (vide Fig. 18), quasi sempre cobertos, portanto, pela placa cefálica. 2. ° tergito: Com dois sulcos longitudinais muito fracos, nitidos apenas eni frente e atrás e interrompidos no meio (vide Fig. 18). 3. ° — 22.° tergito com dois sulcos paramedianos completos, mais profundos em cada placa perto do bordo posterior; últimos 4, principalmente os 2 últimos tergitos com fileiras longitudinais de grânulos (vide Fig. 20) ; 3.° — 21.° tergito, além disso, com sulcos laterais, que no 21.° tergito atin- gem apenas a metade da placa, sendo continuados por leve depressão; 3.° — 21.° tergito com leve quilha mediana, abreviada em frente e atrás e continuada nos tergitos posteriores por um pequeno sulco mediano. Último tergito : Mais largo do que longo, com carenas laterais um tanto arqueadas e bordo posterior protraído no meio. Sem sulco nem depressão (vide Fig. 20). Estemitos : 2-23 com sulco longitudinal mediano, completo nas placas afl* tenores, apagado em frente e atrás nas posteriores, sendo apresentado nos dois últimos estemitos sob a forma de uma depressão curta. Estemitos 3-21 coin dois sulcos laterais, mais nítidos nas placas da frente, abreviados atrás e atraves- sados nos estemitos posteriores por um sulco transversal e na 21. a placa por mais um sulco transversal anterior. Último esternito mais longo do que largo, com bordos laterais convergentes da frente para trás e bordo posterior reto ou ligeiramente convexo. Coxopleuras com apêndices longos, cilíndricos, terminando em espinho forte, curvado para cima. Campo poroso vasto, com poros salientes, enfileirados. Patas anteriores com cerdas mais numerosas do que as do meio do tronco e as posteriores. Tíbia e tarsos do 22.° par e todo o 23.° par com fileiras 26 "olfgaxg Bücherl — Coleção miriapodológica do Museu Nacional do Rio 145 cerf las curtas. Patas 1-20 com dois esporões tibiais (um ventral robusto e um iterai um pouco menor) ; 21a. tíbia apenas com um esporão ventral ; 22a. sem es porão. Todos os tarsos biarticulados, os posteriores mais nitidamente do que 0i anteriores. Patas 1-21 com esporão tarsal muito forte, 22a. com ou sem es Porão. Último par de patas com muitas cerdas; prêfemur e fêmur achatados no kdo dorsal, com uma depressão curta no bordo posterior. Prefêmur no lado 'entrai armado com um fileira de 5-7, geralmente 6 espinhos grandes, dos quais os 3 anteriores são mais unidos; na zona dorso-interna não ha espinhos, Inas apenas cerdas longas. Fêmur sem espinhos (ou raramente com um pequeno). Tipo e paratipo do Museu Nacional do Rio de Janeiro, na coleção mi- ^Podológica, No. 148. Lugar-tipo: Aurá, Estado do Pará. Entre todas as espécies aduzidas na chave supra a nova espécie se apro- x,I >ta mais a N cu: por tia lasia Chamb., 1921, encontrada em Dunoon, Guiana !n s'lêsa. Ambas apresentam o mesmo tamanho e colorido, a mesma formação ^ Placa cefálica e do l.° tergito; os mesmos esporões tibiais e tarsais e a niesn 'a morfologia do l.° e 2.° tarso das últimas patas. De resto, porém, as diferenças estruturais são tão grandes que não persistcir dúvidas acêrca da alidade da nova espécie. N. lasia Chamb., 1921 Sulcos longitudinais da placa cefálica "uato curtos; Cr» ’ '-"xostcrnum forcipular sem sulco me- tano; 1 ° j. ' e 2.° tcrgitos sem sulcos parame- quilha mediana ; E»t( enutos apenas com sulco mediano; titi: •uno estemito sem sulco mediano; cniur das últimas patas com 3 espinhos Urn ° 5 enfileirados. .V. tnaxima, n. sp. Sulcos longitudinais atingindo quasi a metade da placa; Coxostcmum forcipular com sulco me- diano; l.° c 2° tergitos com sulcos parame- dianos curtos, levíssimos, mas presentes; Com quilha e atrás um sulco curto; Estemitos com sulco mediano e dois la- terais c (os posteriores) um transversal ; Último estemito com sulco (depressão) mediano nitido; Fêmur das últimas patas sem espinho ou no máximo com um muito pequeno. A nova espécie parece apresentar ainda um certo parentesco com Ncivportia ^'ranitna Chamb., 1921, do mesmo local nas Guianas inglésas como N. lasia. 0| ncidem o tamanho, o colorido geral, o coxostemum forcipular, os sulcos lon- Ç,,u dinais do l.° tergito (mais ou menos), o último estemito e a ausência de es- ? nh °s no lado dorso-interno do último prefêmur. Ncufortia diagramma dis- I) ^ Ue 'se da nova espécie: 27 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 146 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 1. ° — por apresentar apenas dois sulcos longitudinais muito curtos no bordo posterior da placa cefálica; 2. ° — pela ausência de sulcos laterais nos tergitos e estemitos; 3. ° — por ser provida apenas de apêndices coxopleurais muito curtos! 4. ° — pela ausência do esporão ventral nas tíbias e do esporão dos tarsos das patas locomotoras; 5. ° — pela morfologia externa dos dois tarsos das últimas patas, sendo qu e em N. diagramma o l.° tarso tem apenas a metade do comprimento da tibia e o .° tarso é subdividido em 19-25 artículos pequenos, porém nitidamente distintoí- (Trabalho do Laboratório de Zoologia Medica do Institt^* Butantan. Entregue para publicação em 14 de jat**' ro de 1941 e dado à publicidade em janeiro de 1942.) j 28 WoLFGANG BÜCHERL QuilÓpodoS nOVOS da coleção miria-^ Man, Inst. BuUtitan podológica do Museu Nacional do Rio de Janeiro. VoL xv — 1941 Scolofendra anpnlata ançulala. n. subsp. Fig. 1: Coxosternum forcipular cem antenas; Fig. 2: Placa cefálica e sulco* do* primeiros 2 tergito*; Fig. 3: Último esternito, coxo pleuras e lado r entrai do prefêmur. cm SciELO "Oi.fgang Bücherl — Quilópodos novos da coleção rairia podológica do Museu Nacional do Rio de Janeiro. Mem. Inst. Butantan Vol. XV — 1941 Cor-mocefkjlui ( C .) imfrtstus nntmarpimúlus, n. sat»p. Fig. 4 Placa cefalica t ir.tenas : Carostenram forcipalar; Ültimo tergito e últimas patas. F.s- 5 cm SciELO ^olfgang Bücherl — Quilópodos novos da coleção miria- podológica do Museu Nacional do Rio de Janeiro. Mexn. Inst. Butantan VoL XV — 1941 Rkoda calcarata calcarata, n. »ub*p. Fig. 7: Placa cefálica, antenas e primeiro* 5 tcrgito*; Fig. 8: Coxosternam forcipular. 33 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 "OLfgang Bücherl — Quilópodos novos da coleção miria- podológica do Museu Nacional do Rio de Janeiro. Metn. Inst. Butantan Vol. XV — 1941 Scolopocryptops micrtii puntcnjis, n. subsp. Fig. 9: Placa cefálica e primeiros 7 tergitos; Fig. 10: Antenas e coxosternum forcipolar; Fig. 11: Pêlos grandes e pequenos num artículo antena! Fig. 12: Último tergito com prefémur. cm SciELO "Olfgang Bücherl — Quilópodos novos da coleção rairia- podológica do Museu Nacional, do Rio de Janeiro. Mem. Inst. Butantan Vol. XV — 1941 Net vport is diagramma aurcana, n. subsp. Fig. 13: Placa cefálica, antenas e primeiros 3 tergitoi Fig. 14: Coxostermxm forcipular; Fig. IS: Último esteroito, coxopleuras e prefêmur. Xcufortia cmsti fossulata, n. subsp. Fig. 16: Placa cefálica, antenas e primeiros 3 tergitos Fig. 17: Coxosteraum forcipular. SciELO cm "olfgang Bücherl — Quilópodos novos da coleção miria podológica do Museu Nacional do Rio de Janeiro. Mem. Inst. Butantan VcL XV — 1941 Nrxrforlia maxima, n. *p. Fig. 18: Placa cefálica, antena» e primeiro» 3 tergito»; Fig. 19: Forcipolas, primeiro» esternito» e primeira pata locomotora: Fíg. 20: Último» tergito» com fileira» de grânulo» e prefêmur. cm SciELO 391. 4: 593. 6S ESTUDOS MORFO-ANATÔMICOS sôbre geofilomorfos NEOTRÓPICOS baseados nos gêneros Schendylurus SilY., 1907, Adenoschendyla buoL. & Ribaut, 1911, Orphnaeus (Meinert, 1870), .V otiphilides Latzel, 1880, Meâstauchenus Brõl., 1907, e Aphilodon Silv., 1909 POR WOLFGAXG BCCHERL I. Histórico e Bibliografia Não se encontra facilmente outra ordem na classe dos Quilópodos, cujo es- *udo seja mais complicado do que a dos Geofilomorfos. A causa destas difi- ^lclades reside : 1. °) na posição sistemática ainda Ixistante duvidosa de espécies, gêneros e I * lesin o subfamílias; 2. °) no fato de incluirem os Geofilomorfos um grande número de famí- *’ as . gêneros e espécies que aumentam dia a dia; 3. °) no fato de serem êstcs animais pouco acessíveis ao pesquisador, ocul- ^ndo-se quasi sempre no mesmo esconderijo e apresentando mínima possibili- J^de ,] e locomoção e grande uniformidade aparente em sua constituição morfo- externa, uniformidade esta que, após exame minucioso, revela diferenças ç$tr uturais surpreendentes. Por êstes motivos, apesar dos esforços dos maiores especialistas deste ramo, 1140 foi possível até hoje estabelecer sistemática completa dos Geofilomorfos, SUr gindo muitas discussões entre Attems, Brõlemann, Silvestri e Verhoeff. Na ^ocupação de formarem suas chaves sistemáticas próprias, êstcs especialistas ^° stut navam considerar apenas a morfologia comparada das peças bucais, do la- ‘ 0 o das mandibulas e a centralização progressiva das glândulas cutâneas, es- ^«ecendo-se quasi completamente do estudo anátomo-histológico dos órgãos in- trtl °s destes artrópodos. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 160 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV O próprio Verhoeff, em sua obra “Gliederfüssler — Arthropoda, Klasse Chilopoda” , confessa a insuficiência das chaves sistemáticas por ora existentes. Leach, Koch e Newport fizeram-nos conhecer poucos gêneros. Meinert (1870) lançou as bases para a sistematização científica deste grupo, mostrando diferenças estruturais nas peças bucais e nos escleritos das pleuras. Cook (1895). baseando-se nos trabalhos de Latzel (18S0), reuniu os Geo- filomoríos em nove famílias. Verhoeff mais tarde (1901) coordenou os Geofilomorfos numa tabela sis- temática. estabelecendo três superfamílias com sete tribus, valendo-se, porém, nes- ta distribuição apenas das glândulas cutâneas. É evidente que êste único fator não é suficiente para estabelecer uma divisão morfológica exata. Attems, dois anos depois (1903), dividiu os Geofilomorfos em cinco sub- famílias. Apesar de ter tido à mão abundante material, não logrou elaborar uma sistemática satisfatória, por levar em consideração apenas as mandíbulas como fatores específicos e genéricos. Verhoeff (1908), corrigindo o seu próprio sistema, estabeleceu finalmente duas superfamílias dentro da ordem dos Geofilomorfos. Bròlemann um ano mais tarde manifestou suas dúvidas acêrca dos sistemas de Attems e Verhoeff, propondo uma nova chave sistemática, em que prova 3 sinonímia entre Brasilophilus e Mecistauchenus, de maneira que a família Bra- silophilidac de Verhoeff ficou extinta. O mesmo autor reune Aphilodon e Mt- cistauchenus na família dos Gonibrcgmatidac. Attems, pelo contrário, num tra- balho publicado em 1914, coloca êstes dois gêneros na família Geophilidac. No fascículo 52 do “Das Tierreich”, 1929, Attems estabeleceu a famíli* Geophilidac com cinco subíamilias, a saber: Pachytncrinac, Chileno philinae, Aph'~ lodonlinac, Geo philinae e Scolioplaninae. Verhoeff, pelo contrário, não vê uni' dade nenhuma nesta familia, estabelecendo em “Zur Kenntnis süd-afrikanischcr Geophilomorphen’' — Zool. Anz. 121 (7/8). 1938 — duas familias, a dos Gc°~ philidac com as três subfamílias Gcophilinac, Pachymcrinac e Chilcnophilinae e mais a dos Scolioplanidae com as duas subfamílias dos Scolioplaninae e Aphilo - dontinae. Êste ligeiro esboço histórico dá uma idéia do estado atual da sistemática dofi Geofilomorfos e demonstra quanta confusão reina ainda quanto à disposição da s espécies, gêneros e mesmo subfamilias dentro da escala sistemática. * * * Neste trabalho procuramos realizar um estudo morfo-anatõmico comparado sôbre seis gêneros de Geofilomorfos, contribuindo desta maneira a preencher as lacunas que encontramos na monografia de K. W. Verhoeff em "Bronn* Klassen und Ordnungen des Tierreiches, Chilopoda”, 1925. 2 "olfgang BCcherl — Estudos morfo-anatòmicos sóbre Geofilomorfos neotrópicos ltíl Aproveitamo-nos de um grande número de animais vivos e de cortes his- tológicos, corados segundo os métodos de Yan Gieson, Mallory e H.-E., como ^bém de preparados totais e parciais, diaíanizados e montados em bálsamo do Canadá. O maior número de espécies obtivemos da zona araraquarense e do Rio Ne- ? r °. no Estado do Paraná. O gênero Schendylurus figura com as espécies: lüderwaldi (Brõl. & Ribaut), 1911 (alguns exemplares, capturados nos a redores de São Paulo), Sch. paulista (Brõl.), 1903, Sclt. gouncllci (Brõl.), (ambas as espécies do Alto da Serra), Sch. perditus Chamb., 1914 (do ^3raiba) ; do gênero Adenoschendyla Brõl. & Ribaut, 1911, conservamos 15 es pécies A. plusiodonta (Attems), 1903, do Rio Negro, Estado do Paraná, '*• *”tpcrfossa (Brõl.), 1901, do mesmo local e A. parahybac Chamb., 1914, do F - 5:a 4o de Paraíba; o gênero Orphnacus consta das espécies: O. brevilabiatus '^wp.), 1844. da zona araraquarense e de O. branncri Chamb.. 1914. do Rio •'egro. Do gênero Notipliilidcs recebemos apenas a espécie A r . grandis Brõl., *-^3, proveniente do Amazonas; o gênero Mecistauchenus figura com a espécie **icronyx Brõl., 1907 (sin. Aphilodon micronyx Brõl., 1901). do Rio Negro, s,a do do Paraná e o gênero Aphilodon figura com a espécie A. angustatus ^ !,v - 1909, da zona araraquarense. BIBLIOGRAFIA ■Ut< # ’ ní . C. — Einigc ncue Geophiliden und Lithobiidcn des Hamburgcr Muscums — 4tt Zool. Anz. 107(11/12) :310-317. 1934. * C. — Eine ncue Gattung und cine ncue Art der Mecistocephatidae (Chilopoden) — Zool. Anz. (5/6) :115-120. 1928. C. — 1. Gcophilomorpha — 52. Licfcrung: Myriapoda — Das Ticrreich 52.1929. d/í d/í, fjj.*' 1, C — 1. Subclasse der Chilopoden: Epimorpha, Kükcnthal. 4. 1. Hãlfte: 341.1926. ‘ani £ q — Sur 1’origlne des cellules du follicule et du noyan vitellin de l'ocuf chez les Géophiles — Zool. Anz. 6(155). 1883. ’nami. }{ — Difformitéc constate chez un Himantarium gabrielis — Fcuillc d. j. Natural. 1894. brõ r olt, £ „ ll°.* e,nann . //. — Les Myriapodes du Musée de São Paulo — Rev. Museu Paul. 5.1901. 0,r >nann. //. — Myriapodes du Museu Paulista: 2e. métnoire, Mandos — Rev. Museu Paulista 6.1905. "'bcrlin, R. — A new geophilid chilopod frotn Potter Creek Cave. Califórnia — Univ. ^ Califórnia Publ. in Zoology 33(14) -.297-300.1930. ' an, berli n £ — The Stanford Expedition to Brazil, 1911 The Chilopoda of Brazil — L ®o* Buli. Mus. Harvard 58:165.1914. F. — The genera of Oryidae. Huntington. N. Y.. 1896. an der p R — Ein japanischer Ncsogeophilus nebst Bemerkungen über zwei amerikanische Geophiliden — Ark. f. Zool. 28(7). 1935. "««oto. B. — Eine ncue Gattung der Unterfamilie der Geophilinen — Zool. Anz. 84(1-4) :35-46.1929. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 162 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Hanstrõm, B. — Vergleichende Anatomie des Xervensystems der wirbellosen Tiere, 1928. Henneguy, F. — C. R. Assoe. Anatom. 8. Réun. Bordeaux, 1906. Holmgren, N. — Arch. mikr. Anat. 71.1908. Holmgren, X. — Anat. Anz. 36.1910. Hürthle, K. — Arch. f. d. ges. PhysioL 126.1909. lanei , C. — Anatomie du corselet et histolyse des muscles vibrateurs, après le vol nuptial. chez la reine de la fourmi. Limoges 1907 — C. R. Acad. Sciences Paris 121. 1S9?- lordan, H. E. — Anat. Record 16.1919; 19.1920 et Atner. Jour. Anat. 27.1920. Koch, C. L. — System der Myriapoden 3 zu H. Schãffer’s kritische Rev. der Inscctent- Deutschl. Regensburg. 1847. Loteei, R. — Die Myriopoden der õsterreichisch-ungarischen Monarchie 1. Die Chilopoden- Lcaeh. IV. E. — A tabular viexv of the externai characters oi íour classes of animal* which Linné arranged under Insecta — Trans. Lin. Soc. London 11.1814/1?- Leach, IV. E. — The zoological miscellany. 1817. Leydig — Arch. f. Xaturg. 89:39.1860. Meinert, F. — Myriapoda musaei hauniensis /. Geophili. 1870/71. Metschnikoff, E. — Embryologisches über Geophilus — Z. Zoologie 25.1875. Nncport, G. — On some nexv genera of the class Myriapoda ( Mccistocephalus , Gonibre lus) — Proc. Zool. Soc. London 10.1842. Rollet, A. — Dcnkschr. Wiener Akad. 49.1885. Silvestri, F. — Chilopodi e diplopodi raccolti dal Capitano G. Bove e dal Prof. L. Balza» nel 1’ America meridionale — Ann. Mus. Civ. Stor. Xat. Génova 14(2). 1895. Silvestri, F. — Viaggio dcl Dott. Alfredo Borelli nclla Republica Argentina c nel Paraguai- Chilopodi c Diplopodi — Boll. Mus. Zool. e Anat. Comp. R. Univ. 10(23) . 1S95- Silvestri, F. — Viaggio dei Dott. Alfredo Borelli nel Chaco Boliviano e nclla Republit* Argentina — Ibid. 12(28). 1897. Snelhlage, E. — Zool. Jahrbuch Anat. 21.1905. IVebcr, H. — Ztschr. vcrgl. Phys. 4.1926. IVcber, 11. — Lehrb. der Entomologie. G. Fischer, Jena, 1933. Verhoeff, K. IV. — Gliederfüsslcr Arthropoda Klasse Chilopoda in Bronn’s Klassen » tfi Ordnungcn des Tierreichs 5. II Abt. (1-12) .1902-25. Verhoeff, K. IV. — Geophilomorphen-Beitrãge und eine Lithobius-Form — Mitt. a. d. Zoo| Mus. Berlin 14 (2). 1928. Verhoeff, K. IV. — über Scolioplancs ( Chilopoda ) — Zool. Anz. 111(1/2) .1935. Verhoeff, K. IV. — Zur Kenntnis südafrikanischer Geophilomorphcn — Zool. A 0 *' 121 (7/8). 1938. IVillem, V. — L’inf1uence de la lumière sur la pigmentation de I sotoma tenebricola — St*’ Entom. Belgique 45.1901. Agradecemos ao dr. Oliverio Pinto, diretor do Departamento de Zoologia e ao dr. Frederico Lane a remessa da coleção quilopódica de seu estabeleci me* 1 * to. Aproveitando êste material, em que encontramos as seguintes espécie 5 • Schendilurus paulista (Brõl.), 1903, Aphilodon micronyx Brõl., 1901, Orfh' meus brasiliensis Mein., 1870 (de Pernambuco), Notiphilidcs grandis Brõ 1 " 1903 (encontrada numa embalagem vinda do Xorte), conjuntamente com a cV leção de Geofilomorfos do Instituto Butantan, reunimos uma série de Geofi' 0 ' morfos, cujo estudo morfo-histológico é apresentado neste trabalho. Referências bibliográficas ulteriores serão incluídas no texto. t w, OLFGANG BÜCHHRL Estudos morfo-anatòmicos sôbre Geofilomorfos neotrópicos 163 II. Morfologia externa comparada a) Esqueleto e epiderme а) Forma geral: Pela comparação das espécies dos seis gêneros citados ressalta que os Geofi- lomorfos são artrópodos filiformes, de corpo muito longo e flexível, com an- tenas e patas extremamente curtas. Os artículos das antenas ora são mais Iar- £°s do que longos, ora mais longos do que largos, uniformemente pilosos, sendo geral mente os pêlos dos artículos basais mais longos e menos numerosos do que 0s dos artículos terminais. A forma da cabeça varia igualmente em compri- ment0 e largura, sendo porém geralmente mais longa do que larga (principal- niente nos gêneros: Schendylurus, Adcnoschcndyla, Scolio planes etc.). Em ou- tr °s gêneros, entretanto, a placa cefálica excede o comprimento em largura, Sc ndo mesmo mais larga do que muitos dos tergitos do tronco ( Mccistoccphalus , ® r phnacus, etc.). O tronco é 8-35 vêzes mais longo do que largo, atingindo ^ ' 16 cms.. Estreito na porção anterior, alarga-se próximo ao centro, atingindo 0 maior diâmetro um pouco além da metade e estreitando-se novamente na parte Posterior. Esta zona costuma ser muito mais delgada do que a parte anterior <1° tronco. Interessante é o comprimento das patas, que não aumentam em ^mprimento, mesmo na zona em que o tronco atinge seu maior diâmetro, mas a P«ias em grossura, mais pronunciada nas patas medianas. б) Segmentação geral: Os segmentos dos Geofilomorfos apresentam forma de anel, com bordos an- te rior e posterior paralelos. O número dos segmentos varia muito de gênero * 5ara gênero. É. porém, sempre ímpar, sendo o número menor de 31 c o maioi 173 segmentos. Não existem entre êles segmentos mais curtos, como se dá ada de uma folha dentária mandibular de 2 grandes dentes bifidos e mais 8-9 dentes simples. Os dentes são salientes, destacando-se uns dos outros ou então cm SciELO 10 11 12 13 14 15 166 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV unem-se numa única chapa dentária. A seu lado encontram-se geralmente cer- das longas, simples ou ramificadas, que servem de órgãos sensoriais, principal- mente de centros olfativos e gustativos. 5. Primeiros maxilares Os primeiros maxilares dos Geofilomoríos são formações delgadas, trans- parentes, com os palpos francamente articulados e cobertos no lado distai de inúmeras cerdas incolores. Devido a sua natureza frágil não podem ser apro- veitados para a trituração do alimento, servindo apenas de tampa bucal. O co- xostemum é fraco, apresentando ainda estrutura celular em Schaidylurus igua- pcusis, sendo porém desprovido de pêlos, enquanto que em Sch. dctnclloi é ar- mado de pêlos bem desenvolvidos. Em Schisonampa tnanni Cuamb., 1914, o co- xosterno apresenta nos dois cantos anteriores um processo filiforme, armado de cerdas longas. Os apêndices internos dos primeiros maxilares podem ser subdivididos em dois processos cada um, mais ou menos claramente articulados. 6. Segundos maxilares Os segundos maxilares apresentam constituição muito mais robusta do que os primeiros. A articulação terminal dos palpos é provida de uma garra ligeira- mente curva, com um pequeno esporão e cerdas longas do lado. Os três artí- culos telopoditicos são uniiormemente cobertos por cerdas longas e finas em redor da garra, mais curtas e grossas nos articulos basais. As coxas dos segundos maxilares são geralmente mais largas do que longas, sem vestigio de sutura lon- gitudinal mediana na maioria dos gêneros por nós estudados; apenas no gênero Tygarup Ciiamb., 1914. vemos uma ligeira diferença da forma comum, que con- siste numa curta incisão no bordo anterior, na linha mediana dos segundos ma- xilares, incisão presente também em algumas espécies do gênero Mccistoccphalus. Em Schendylurus iguapensis e dcmelloi o coxosternum apresenta ainda estru- tura celular em sua quitina. Tanto os processos internos, como os telopoditos e as coxas dos segundos maxilares apresentam numerosas cerdas pequenas, ge- ralmente enfileiradas do centro para os lados ántero-ectais, em direção aos telo- poditos (Vide Fig. 3 — segundos maxilares). Ora estas cerdas originam-se no fundo de um poro, ora nascem no ápice de um tubérculo microscópico. 8 "olfgaxg Bccherl — Estudos morfo-anatômicos sobre Geofilomorfos neotrópicos 167 7. Forcípulas As forcípulas originam-se tal qual como os maxilares de patas locomotoras 'ransformadas. As pinças inoculadoras dos Geofilomorfos são formadas exclu- 5lv amente pelo artículo terminal dos telopoditos. Costumam apresentar-se ligei- ITlente curvas, estreitas e não tão agudas como as dos Escolopendrideos. Outros- ,,r n a camada quitinosa das pinças, que encerra o canaliculo do veneno, é menos T^ssa. Os telopoditos constam de 4 artículos, sendo o último continuado pelas ^ n< las. o bordo externo do primeiro artículo é em todos os gêneros por nós tudados duas vêzes mais longo do que o interno e aproxima-se no lado externo ‘ r «ainente do último artículo. Desta maneira os artículos 2 c 3, que ficam de nneio, apresentam apenas formação normal em seu bordo interno, carecendo . a tucnte do bordo externo. Este último é substituído por um ângulo agudo, 0rn ' a, l° pelos bordos anterior e posterior destes artículos (Vide Fig. 4 — for- ^Pülas). Êste fato é de suma importância para o funcionamento das forcípulas como ^ s r umentos ãnoculadores do veneno. Levando-se em consideração que na base . ^tia um dos 4 artículos teopoditicos, tanto no lado externo como no interno, ^rem-se feixes musculares flexores e extensores. pode ser calculada a impor- . a desta divergência entre o comprimento dos bordos externo e interno dos llc ulrjs no momento da atividade forcipular. Xo local, em que se tocam o primeiro e o último artículo telopoditico exis- ,’ eni eada um deles reforços cuticulares, formando duas plaquinhas fortemente ‘êit lniZa< * as ' Êstes reforços podem ser comparados a articulações gibosas c P° r fim facilitar os movimentos telopoditicos. As mesmas articulações divas, um pouco maiores porém, observamos entre o coxostcmum e o pri- r ° articulo lelopodítico (Vide Fig. 4). (> coxostcmum não apresenta sutura mediana alguma. E’ geralmente d° de poucos pêlos, principalmente nos gêneros Schcndylurus e Adcno- ‘"dy/n, enquanto que em M ccistoccphalus e Orphnacus e cm Mccistauchenus nu, tiero dos pêlos é ligeiramente maior. írtl Portan*e fator para a sistemática é, si as forcipulas. quando fechadas ^Passam ou não a fronte da placa cefálica. Em Schcndylurus e Adcno- ficam aquém da margem frontal; nos gêneros Tygarup e Schisonampa "^Passam muito a fronte, d) Tronco: 1. Tergitos ttr S ter "' tos dos Geofilomorfos são uniformes em todo o comprimento do Gera Imente são 2-3 vêzes mais largos do que longos, inteiramente lisos * SciELO 10 11 12 13 14 15 cm 108 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV ou dotados de poucos pêlos ou fracamente tuberculados, principalmente na região distai. Podem ser bissulcados ( Schendylurus demclloi) ou inteiramente lisos e finamente pontuados (caso mais raro). Em Mecistauchenus micronyx os ter- gitos apresentam contacto imediato com o escutelo estigmatóforo. Xo género Adcnoschcndyla os dois sulcos paramedianos são muito fracos, de maneira qu e são quasi invisíveis a olho nú, apresentando-se sob a forma de duas depressões longitudinais. Neste caso o bordo anterior de cada tergito apresenta duas reen- trâncias no mesmo local em que costumam começar os sulcos. Os tergitos são em geral ligeiramente arredondados nos 4 cantos, principalmente nos 2 cantos posteriores. Nestes locais costumam existir também leves entumecimentoS quitinosos, que formam como que bordos reforçados. Após clarificação d 35 peças quitinosas vemos que as duas depressões longitudinais são realmente su- turas, ainda que fracas. Na zona mediana de cada tergito observam-se alguns poros irregularmente distribuidos. Lateralmente os tergitos costumam ser nia> s longos do que na zona mediana (Vide Fig. 5 “11”). Entre um e outro tergito principal observamos uma placa quitinosa muit° estreita, porém tão larga quanto o tergito e separada do mesmo por dois reforço* de quitina. São os pretergitos (Vide Fig. 5 “10”). Nos dois lados, podém, não se encontram êstes reforços quitinosos. de modo que o pretergito forma nes te local a continuação direta do tergito, com a única diferença de conservar niv^ mais baixo. Esta observação parece-nos de grande valor filogenético, po* 5- como já assinalou Verhoeff (op. cit.) e como veremos quando tratarmos d* musculatura destes pretergitos, indica que os pretergitos são formações ind f ' pendentes (pelo menos nos Geofilomorfos) e não pertencem nem ao tergú 0 principal anterior, nem ao posterior. Trata-se certamente de formações ruJ 1 ' mentares de verdadeiros segmentos autônomos, ancestrais. 2. Esternitos Os esternitos dos Geofilomorfos são geralmente um pouco mais largos que longos, com bordos laterais retos e bordos anteriores e posteriores ligeit 2 3 ' mente protraídos. No gênero Schendylurus o bordo posterior é fortenief^ protraído no meio, existindo uma espécie de processo quitinoso que se insef* numa cavidade do estemito seguinte. Geralmente os esternitos são lisos, b* 1 * lhantes. Em Mecistauchenus micronyx as pontuações são mais abundantes n0Í esternitos anteriores e nestes outra vez perto do bordo posterior. Nesta esp** são visíveis somente muito poucos poros ventrais, enquanto que na maioria gêneros por nós estudados os poros ventrais são muito numerosos, reuni^ geralmente em grupos. Em Schendylurus iguapensis existe nos esternitos 2- uma espécie de peneira porosa arredondada, que do 21.° estemito em diante - 10 "olfgang BCcherl — Estudos morfo-anatômicos sòbre Geofilomorfos neotrópicos 169 dissolve em 2 zonas porosas laterais, que confluem novamente nos estemitos ^-'17. O primeiro estemito apresenta uma peneira de 14-18 poros. Esta divisão r ‘ e poros vale em suas linhas gerais para todo o gênero Schendylurus. Brachy- sc hendyla pcctinata apresenta duas cavidades longitudinais nos estemitos com a usència de poros (pelo menos exteriormente). ( Schendyla ) im per fossa apre- sta nos estemitos 1-19 um campo poroso vasto, subcentral, redondo; subreni- t0r nie nos dois estemitos seguintes, a dividir-se em dois campos laterais nos es, ernitos 22-29, tomando-se a seguir indistintos. 3. Pleuritos (Vide Fig. 6) As pleuras dos Geofilomorfos apresentam pleuritos, geralmente muito mais m: 'co a necessária firmeza. O pleurito estigmal rodeia o estigma (Vide Fig. 5 ^ )• Diante do mesmo localiza-se o prescutelo, que é um pouco maior (Vide ,'K- 5 “8”). Entre os dois e o tergito encontra-se um outro pleurito muito ,on 8o e estreito. Entre o pleurito estigmal e o prescutelo de um lado e os plcu- r, -°s da coxa (Vide Fig. 5 “4”) do outro existem quatro pleuritos menores, dos três são mais ou menos enfileirados, sendo o primeiro subdividido em dois. ^ último é o maior. A seu lado localiza-se o quarto pleurito, que apresenta ° rma triangular (Vide Fig. 5 “1. 2,5.6”). A forma e a consistência destes pleuritos variam muito nos gêneros estu- ados e mesmo nas espécies e ainda segundo a sua posição anterior ou posterior n ° tronco do mesmo animal. 4. Patas p. As patas locomotoras dos Geofilomorfos constam de sete artículos (Vide '?• 5 ”3”). Os pleuritos que formam a coxa são muito achatados e salientam-se ni uito pouco das pleuras. Mesmo o trocanter é muito pouco prossaliente. Desta rnar 'eira resulta uma pata extremamente curta. A locomoção, consequentemente ,a - assemelha-se mais a um rastejar do que a u'a movimentação livre. ^refêniur, fêmur e tíbia são tão largos quanto longos. O primeiro e o ^tmdo tarsos são mais longos do que largos, principalmente o último. A f arra terminal é muito aguda e ligeiramente curva. Toda a superfície da pata Ç *‘ Sa - existindo cerdas numerosas geralmente apenas nos dois tarsos. O lume dos 3r,ic «los basilares das patas é ocupado por espessos feixes musculares, flexores e 11 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 170 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV extensores, que se inserem sempre nas paredes internas de um articulo e, conver- gindo, estendem-se para dentro do artículo seguinte. Um tendão longo, que começa na base interna da garra, percorre os três últimos artículos. Na divisão de cada articulo, no lado anterior, a quitina é mais grossa e forma pontos de apoio na locomoção. A construção morfológica das últimas patas é igual à das outras. Existem, porém, oito artículos telopodíticos, sendo o segundo tarso desprovido de garras terminais. As últimas patas dos Geoíilomorfos não se prestam absolutamente para o ataque ou a defesa, como temos constatado nas Escolopendras. São um pouco mais longas do que as patas locomotoras e funcionam como sede de órgãos táteis, à maneira de antenas posteriores. O artículo terminal apresenta comu- mente grande número de pêlos sensoriais. Si nos lembrarmos de que os Geoíi- lomorfos gozam da faculdade de correr para trás, então temos a explicação dos órgãos táteis nas últimas patas. As partes coxopleurais das últimas patas dos Geoíilomorfos distinguem-s* abruptamente das patas anteriores. Nas últimas a eucoxa superior e inferior formam um semicírculo delgado e fraco, enquanto que o pro — e a mctacoxa apre- sentam grande desenvolvimento, formando conjuntamente com a catopleura um anel forte, chamado pcricoxa que de um lado proteje a fraca eucoxa, servindo- lhe de apoio, e de outro lado estabelece um contacto elástico, móvel com as peles pleurais. A costa coxalis é fundida com a eucoxa. Estas formações morfológicas sofrem u'a mudança abrupta nas últimas patas. Os telopoditos destas articulam numa formação coxopleural geralmente muito volumosa e pros- saliente, um tanto escavada inferiormente. 5. Segmento genital O segmento genital dos Geoíilomorfos é pequeno e mal visível, localizado diante do segmento anal. Consta de uma placa dorsal e v entrai, com um esclerito intermediário. O último é em muitos gêneros do mesmo tamanho que a pla 1 ^ vcntral. As pleuras do segmento genital formam uma espécie de opérculo. dificilmente distinguível, mesmo em preparados diafanizados. Geralmente ° s machos possuem apêndices genitais externos em forma de tubérculos uni- ° u biarticulados e as fêmeas apêndices maiores, triarticulados. Não se pode, porém, generalizar esta afirmação. Em Schendylurus demcUoi, p. ex., os gonópodo* da fêmea são fundidos com uma ligeira reentrância posterior mediana, sub- obtusa, enquanto que o macho apresenta gonópodos biarticulados minúsculo 5 ' com um artículo basal muito longo e largo. 12 Wi olfgang BCcherl — Estudos morfo-anatômicos sôbre Geofilomorfos neotrópicos 171 6. Segmento anal O segmento anal contem a última porção do reto e o anus. Carece sempre f ' e apêndices próprios, sendo completamente inviável em estado normal, reco- pelas porções súpero-laterais do segmento genital. b) Estrutura do esqueleto cutâneo O esqueleto cutâneo dos Geofilomorfos é, no seu conjunto, mais flexível do ( i' !e o dos outros quilópodos. Consta das seguintes camadas — cutícula, epiderme c Membrana basal. A última é finíssima, sendo somente visível em determinados lugares. Re- Veste a camada inferior da epiderme, formando um limite nítido entre esta e as fiadas musculares internas. A cutícula consta de uma camada heterogênea, de natureza quitinosa, co- ando a superfície externa do animal e revestindo igualmente todos os órgãos ln ‘crnos que na embriogenese são formados pelo ectoderma ( st o mo d ac um , procto- traqueia, órgãos genitais secundários, glândulas cutâneas, etc.). A cutícula subdivide-se nas seguintes três camadas — cpicuticula, exoeutí- Ctt k e endocutícula. A cpicuticula é u’a membrana finíssima. Forma a superfície externa do ^ fjr Po, constando de elementos lipóides. É simples c transparente (Vide Fig. ‘3”). A exocutícula é mais grossa do que a cpicuticula. Contem os pigmentos da ^oração, sendo, entretanto, as melaninas muito raras. Ora é lisa ou ligeirn- ír * n * e ondulada, ora forma denticulos, cujas bases penetram profundamente na !tr ceira camada. Na coloração de Mallory é vermelha, com H.-E. roxa ou li- ^amente amarelada, com Van Gicson amarela ou verde amarelada (Vide í- 'g. 7 “4”). A endocutícula é a camada cuticular mais grossa, constando de numerosas In ulas vítreas, sobrepostas, lisas ou onduladas, correndo paralelas às camadas ^' ern as. Apresentam coloração azul com Mallory, sendo ligeiramente arroxea- { c otn H.-E. e incolores com Van Gieson. No lado basilar, as laminulas ^ narn -se indistintas, formando um conjunto homogêneo. Os apêndices trian- are s da exocutícula atingem, em alguns lugares, diretamente a epiderme (Vide 7 «5.,) A epiderme dos Geofilomorfos é sempre fraca, constando de uma única '"ada celular. Nas zonas em que a cuticula forma saliências, a epiderme é Nas zonas em que a espessa (Vide Fig. 7 “6”) . O esqueleto cutâneo é perfurado por canais; uns homogêneos com decurso 1 Io rtne, conduzindo aos pêlos e aculeos; outros, largos no fundo, estreitando-se 13 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 172 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV dentro da camada lamelar subcuticular e formando um canal capilar fino, qu £ conduz para fora. São os poros de saida das glândulas cutâneas unicelulares que favorecem, em larga escala, a respiração cutânea, eliminando ao mesmo tem* po os produtos do metabolismo (Vide Fig. 7 “1 e 2”). A epiderme contem, além das células glandulares, ainda as matrizes do* pêlos. O número das glândulas é maior no lado ventral, debaixo dos esternitoí- sendo menor na região das pleuras e tergitos. a) Colorido: O colorido dos Geofilomorfos é uniforme: marrom, avermelhado ou ma' 5 escuro nas zonas em que a quitina é mais espessa. Xunca se encontra pigmento preto nas camadas quitinosas, sendo raro também na epiderme e nas células do corpo adiposo. A placa cefálica é, geralmente, avermelhada, enquanto que 0 tronco possue colorido amarelo-cinzento. Em muitos exemplares observam-** manchas pretas, que transparecem através da cutícula. b) Glândulas cutâneas e cavidades ventrais: Devemos distinguir entre glândulas simples e compostas, existindo muita* formas de transição. Contra o meio exterior as glândulas costumam ser fecha* das por u’a membrana fina. de maneira que as suas secreções são difundida* por via osmótica. Parece-nos, porém, que existem igualmente glândulas aberta* As células glandulares retiram certos elementos do sangue para transío** má-los intraplasmaticamente, eliminando os produtos. 1. Glândulas ventrais As glândulas ventrais dos Geofilomorfos são geralmente amontoadas. Apr** sentam a mais variada disposição através da superficie dos estemitos. Ora sá° glândulas simples, aproximadas umas das outras, ora formam verdadeiros ninho» glandulares ou densos feixes. No último caso as suas terminações constituí 11 ’ uma espécie de peneira porosa, localizada no meio do esternito dentro de U® 3 leve depressão e delimitada por um entumescimento (Vide Microfoto 1). Qua® do existem ninhos glandulares, estes se encontram geralmente aos pares, 3 ' vêzes dois pares em cada um dos quatro cantos do esternito. A distribuição das glândulas ventrais varia de espécie para espécie, ofe®* cendo desta maneira bons caraterísticos para descriminá-las. As glândulas simples possuem um canal deferente próprio. Constam de lulas muito longas com os núcleos na base interna. A contração das glàndul- 1 ' é provocada por feixes de fibras estriadas que as envolvem parcialmente. As glândulas dos esternitos dos Geofilomorfos são geralmente muito p rCr fundas. De origem epidérmica, penetram até perto do tubo digestivo, do q u ^ 14 "olfgang Bücherl — Estudos morfo-anatòmicos sobre Geofilomorfos neotrópicos 173 separadas apenas pela membrana basilar. Os canais glandulares são muito longos e atingem diretamente a cuticula externa. Xa formação dos canais, con- tribueni as células vizinhas de origem epidérmica. As paredes dos canais glan- dulares são formadas pela exocuticula, como pode se ver com a coloração Mallory. As glândulas ventrais são células epidérmicas transformadas morfo-e fi- siologicamente. O corpo plasmâtico das glândulas é de dimensões avantajadas. G núcleo quasi sempre encontra-se no fundo da célula. É geralmente oblongo. núcleos apresentam aspectos diferentes nas diversas células glandulares. ^ e sta maneira chegamos à conclusão de que éles têm íntima relação com as fases 'k elaboração da secreção. Xa fase inicial o plasma apresenta estrutura gra- ciosa alveolar, formando uma espécie de rede, dentro de cujas malhas encon- tr arn-se grânulos. Xesta fase o núcleo é exíguo e rico em cromatina. Xa fase seguinte os grânulos aumentam de volume. Estão incluidos em '■'Colos plasmáticos. O núcleo já não é mais tão bem isolado do plasma am- ante. Parece-nos mesmo que existe uma espécie de difusão entre o plasma Cclear e o plasma do corpo da célula secretora. Inicia-se então a fase da eliminação dos grânulos da secreção. Para esta fin al idade existe em cada célula no lugar do inicio do canal uma cavidade, 'kntro da qual se acumula a substância a ser sccretada. antes de atravessar o ^ na l e difundir-se pela membrana epicuticular. A secreção é apenas semi- *lnida. Apresenta coloração clara ou rósea e possue em algumas espécies elc- Cntos fosforescentes. Em muitos exemplares a secreção é abundante de maneira que deixam um rastf o após si. Sobre a função das glândulas ventrais principal mente sóbre a importância f ‘ e ks na vida dos Geofilomorfos, não chegamos a uma conclusão shtisfatória, f,evi 'lo em parte à falta de mais material vivo e em parte á impossibilidade de ürna análise química. Em primeiro lugar parecem exercer função de defesa, o que é insinuado fato de o animal, quando ameaçado, enrolar-se numa espiral, ficando Cs ternitos para o lado de fora e secretando gotas de cheiro acre. A sua II1 Portáncia para atrair o companheiro é ainda obscura. Provavelmente exer- j CÇTn grande papel na eliminação de substâncias nocivas, oriundas do metabo- St "° interno, visto serem os vasos malpighianos ainda muito rudimentares. Glândulas nos tergitos são muito raras. Xestes locais observamos apenas e bilas tricógenas, cujos canais perfuram a cuticula em linha reta e terminam 1 lunie do pélo. Ao redor delas observa-se a célula-mater localizada na ^derme. Xas pleuras, as glândulas já são mais numerosas, porém ainda muito pouco 0 nndas c sempre isoladas. 15 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 174 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV As glândulas dos estemitos, finalmente, formam, como já rimos, feixe*. I redes ou ninhos muito profundos e invaginados no interior do tronco, separado* I dos órgãos internos e dos músculos pela membrana basal, que neste local =*1 desprende da epiderme, ficando deslocada para o interior e formando uffl*| espécie de saco (Vide Fig. 8). 2. Glândulas anais e coxais Os Gcofilomorfos têm apenas duas glândulas anais, grandes e muito pr°" fundas, formando uma espécie de rede glandular. A sua construção anató- mica é igual à das glândulas dos estemitos, com a diferença de que a secreção contem elementos de cera (Verhoeff — Arthropoda I, Chilopoda) . Glândulas coxais são encontradas nas coxas das últimas patas em número I bastante elevado. Terminam, nas espécies por nós examinadas, dentro de bois* 5 microscópicas ou, em casos raros, diretamente na superfície das coxas. A* bolsas localizam-se no lado interno, entre as coxas e o último estemito. Em **" guns exemplares terminam numa zona anterior, pertencendo cada canal gla c " dular a um feixe de glândulas. Os limites celulares, no último caso, são poi*° nitidos, encontrando-se os núcleos no fundo, comprimidos lateralmente c cd*' [ dos às paredes internas das glândulas. Os canais são longos, formando eí ' pirais, revestidas de feixes de cilios microscópicos. A função fisiológica das glândulas coxais ainda não foi esclarecida. P 3 ' tecem constituir um homologo das glândulas coxopleurais dos Escolopendr^ I morfos, desempenhando papel importante na postura dos ovos e na construí* 0 | de ninhos apropriados. Sua secreção c viscosa, de maneira que ajuda a cd jr os ovos em pacote, prendendo-os ao ventre materno. 3. Glândulas de veneno A glândula de veneno dos Geofilomorfos é menor do que a dos Escola pendromorfos. A sua anatomia oferece poucas diferenças da última. As lulas glandulares estão em contacto imediato entre si, sem que haja inúsctú<* de permeio. A glândula é envolvida por uma camada circular de múscul^ estriados, que formam um verdadeiro cilindro a cobrir exteriormente a glándul*' A glândula de veneno localiza-se no prefêmur forcipular, por entre musculos abdutores e adutores ou na tíbia. Em alguns exemplares a glânó 11 ^ é ainda mais profunda, atingindo o eoxostemum forcipular. O canal dcfcrc^ | é retilíneo e de largura constante. 16 cm SciELO .0 11 12 13 14 15 16 'Volfgang Bücherl — Estudos morfo-anatòmicos sôbre Geofilomorfos neotrópicos 175 4. Cavidades esterníticas Em alguns segmentos, na região mediana do corpo, diante dos grupos glan- dulares dos estemitos, encontramos pequenas reentrâncias, fechadas na frente e atrás — são as cavidades ventrais. Rodeadas geralmente por ligeiro entumesci- "Wnto quitinoso, possuem estrutura mais porosa do que o resto do esternito. As cavidades ventrais são muito raras nas espécies neotrópicas. Encontramo- ks apenas numa única espécie, pertencente ao gênero Adcnoschcndyla. Em alguns exemplares observamos depressões nos dois cantos anteriores dos estemitos. Estas apresentam uma pequena abertura e parecem estar em re- kção com as glândulas ventrais, armazenando a secreção tóxica. Ç) ÓRGÃOS SENSORIAIS: Os Geofilomorfos carecem de ocelos, compensando esta deficiência por um desenvolvimento maior dos outros órgãos sensoriais, principalmente dos órgãos Üteis. 1. Órgãos táteis Os órgãos táteis formam estiletes sensoriais enfileirados, existentes nos 4r ticulos terminais das antenas e das últimas patas. Nas antenas êstes órgãos mal visíveis e muitas vêzes ausentes. Encontram-se, igualmcntc, ainda que ts Porádicos, em toda a superfície do tronco, de preferência nas pleuras c nas ^•remidades, principal mente nos tarsos das últimas patas. Os estiletes senso- apresentam o mesmo mecanismo que os pêlos inervados. Localizam-se ni im tubérculo ou numa pequena cavidade. 2. Órgãos olfativos Encontramos órgãos olfativos somente nas peças bucais, sendo ainda duvi- ‘° s a a sua existência nas antenas. Os órgãos olfativos dos Geofilomorfos apresentam a forma de pêlos rami- freados. Encontram-se de preferência na parte interna das mandíbulas, ao lado ' ! ° s dentes, c nos telopoditos dos primeiros e segundos maxilares. Nos pri- ^ros maxilares também os apêndices internos são guarnecidos de pêlos ^ativos. Quanto à existência de outros órgãos sensoriais reina ainda muita obscuri- Não pudemos descobrir o órgão tõmõsvaryiano. 17 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 176 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV III. Morfologia interna a) Sistema nervoso : O tecido nervoso dos Geoíilomoríos consta de neurônios. A presença àfi\ neurilema, como também do neuróglia não pode ser confirmada pelas nossa* I pesquisas. Os neurônios formam a parte principal do tecido nervoso. Sua construçá°| celular pode ser vista otimamente, principalmente nos cortes que atravessa® 1 os gânglios v entrais. Cada neurônio consta de uma célula nervosa ( célula g3°" glionar) com um apêndice longo, retilíneo, do qual saem os apêndices terminai*- O plasma da célula é de natureza granular, ligeiramente vacuolizado- Dentro dele descansa o núcleo redondo ou alongado, tendo uma zona periféric* escura e um centro hialino. Dentro dos gânglios da cadeia ventral pode ^ I observado perfeitamente como as células ganglionares se ajuntam, formando * camada externa dos gânglios. Os apêndices destas células, ao contrário, co** tumam ser dirigidos para o interior e formam ai a camada interna chamai I "neuropilema” ou camada nervosa fibrilar (Vide Micro fotos 2 e 3). Esta sep 3 ' ração em duas camadas já indica a uni polarização morfológica dos neurônio* dos Geoíilomorfos. Nem sempre, porém, pode ser observada com muita ntt** dez. Em certas zonas do gânglio podemos observar neuritos e dendritos, ain^ 3 que raros, a estender-se para dentro da camada das células ganglionares, sep 3 ' | rando as últimas. Nos gêneros por nós estudados observamos que o neuropilema dos gângl* 0 ® ventrais é essencialmente fibrilar. princijialmentc nos conectivos e nas comiss®' ras. apenas fracamente indicadas. A natureza fibrilar ainda se torna m 3 * 5 nitida nas raizes dos nervos periféricos, justamente na zona em que êstes pen«* traiu no gânglio. Dentro do neuropilema observamos inúmeros vacuolo* t ' certas figuras assimétricas, representadas pela ausência de fibrilas (Vide M r crofoto 2). A primitiva duplicidade dos gânglios ventrais é claramente visível em coft^ transversais, sendo representada por uma fosseta longitudinal mediana, ao Io®g° da qual se agnqiam as células ganglionares, com núcleos muito salientes, ^ maneira que o gânglio aparece separado em duas metades quasi simétricas (V*^ | Microfotos 3 e 6). 1 . Cadeia ventral (Vide Figs. 9 e 10 e Microfotos 1, 2, 3, 5, e 6) A cadeia nervosa ventral dos citados géneros de Geoíilomorfos é perfei 13 mente igual à dos outros Quilópodos. Em cada segmento do tronco existe i:! '' 18 cm SciELO .0 11 12 13 14 15 16 w, olfgaxg BCchebl Estudos morfo-anatômicos sôbre Geofilomorfos neotrópicos 177 gânglio ventral, sendo unido ao seguinte por meio de dois conectivos longitudi- nais, facilmente separáveis. O gânglio subesofageano, que é o primeiro da cadeia ventral, conserva ntaior distância do gânglio seguinte do que do cérebro. Todos os outros gânglios, que correspondem em número às patas locomotoras, são do mesmo ta- canho e conservam a mesma distância entre si, sendo apenas o último gânglio, 0 genital, menor e mais distante. De cada gânglio ventral saem quatro nervos periféricos. Do gânglio sub- esofãgeano, porém, partem oito a dez nervos, que terminam dentro das peças bucais. Os nervos periféricos resolvem-se em inúmeras ramificações, que formam l!ni a rede nervosa, paralela às camadas do tegumento externo e da qual partem Buenos ramos nervosos em direção aos estiletes sensoriais e às células tricó- gwias. Dos conectivos longitudinais não saem nervos laterais, a não ser dos co- nc nivos do gânglio subcsoíàgeano. Êstc fato curioso encontra sua explicação 03 formação ontogenética deste gânglio, que é o simples resultado da junção dos pequenos gânglios primitivos das peças bucais, cujos vestígios são indicados ain da pelos mencionados nervos conectivos. 2. Cérebro Os Geofilomorfos carecem de olhos, sendo ausentes também os lobos c ncrv os óticos. O protocérebro é muito fraco, com lobos frontais quasi indistintos e imer- ** na massa cerebróide. A centralização cerebral, portanto, é ainda ínfima. O deuterocérebro, ao contrário, é muito bem desenvolvido, constando de porções, estranguladas no meio e com massa cerebral mais larga nos lados. lobos antenais unem-se completamente na zona mediana, partindo deles v â ri °s nervos antenais. O tritocérebro é outra vez rudimentar. Seus lobos e a ponte unem-se. Or niando duas massas, uma posterior e outra ántero-inferior. A ponte é tão f, ^ rac a que é impossível distingui-la exterionnente. Apenas aparece cm cortes Atômicos, devido à natureza fibrilar do neuropilema, correndo em direção ^'ta à da oufa massa cerebróide. Xo lado posterior observamos um peque- nf ‘ declive, dentro do qual nascem três nervos, muito próximos uns dos outros, ^do o mediano o nervo recurrente e os dois laterais os nervos mandibularcs. «úcl, A comissura esofageana, de natureza puramente fibrilar c com poucos cos nervosos, forma o anel esofageano, que rodeia o esôfago. O gânglio frontal, que nos outros Quilópodos dá origem ao nervo recurren- • nao existe nos Geofilomorfos. 19 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 178 Memórias do Inslituto Dutanlan — Tomo XV 3. Cadeia visceral Quanto à formação da cadeia nervosa 'visceral dos Geofilomoríos não che- gamos a uma conclusão definitiva no tocante à existência de um nervo ventral ímpar, nem tampouco quanto ao sistema simpático caudal. O sistema visceral estômato-gástrico está presente sob a forma do nervo “recurrens”, que saí diretamente do tritocérebro. Dele partem muitas ramif*' cações nervosas que inervam a musculatura do esôfago e as peças peribucai*- principalmente os órgãos sensoriais do labro e das mandibulas. O nervo "recurrens” acompanha todo o percurso do tubo digestivo, estando em contacto indireto com a musculatura deste tubo e inervando as parede* intestinais. b) órgíos digestivos: (Vide Figs. 9 e 10 e Microfotos 1, 2, 3, 4, S e 6) O alimento dos Geofilomorfos consiste de preferência em substâncias a” 1 ' mais. Por conseguinte, o intestino é relativamente curto, não apresentando alças ou sinuosidades a não ser duas ligeiras curvas na região esofageana e anal- Quanto ao resto, o tubo digestivo é inteiramente retilíneo, percorrendo a át* J dorsal do tronco da boca ao anus. De conformidade com a diferente origem das porções intestinais van 3 também a sua construção morío-anatómica. Assim o revestimento interno d° intestino anterior e posterior é constituído por uma intima de natureza cutícula' ausente no intestino médio. O epitélio intestinal é de natureza simples. * membrana basal do tegumento externo é representada no tubo digestivo membrana própria ou túnica própria, que corresponde perfeitamente à primf^ e que se acha localizada entre as camadas musculares do intestino e o epitéh 0 ' A camada muscular é representada por feixes longitudinais e circulai**' com estriação ainda imperfeita. A distribuição destas camadas muscula*** varia nas diferentes zonas do intestino, sendo mais pronunciadas nas reg'^ esofageanas, proventricular e retal. (Vide Figs. 9 e 10 e Microfoto 1) O comprimento do intestino anterior varia nos diversos géneros de L lomorfos. Em Schendylurus e Orphnacus atinge quasi o tamanho do inti médio; em Notiphilides e Aphilodon é mais curto, sem que se possam disti de G< 20 'Volfgang BCcherl — Estudos morfo-anatòmicos sobre Geofilomorfos neo trópicos 179 ne le as zonas típicas dos insetos, a saber — esôfago, proventriculo e esfincter. N’a região bucal é estreito, em seguida alarga-se, estreitando-se de novo na região ^ que termina no intestino médio. Quanto à disposição muscular é esta a ordem geral — por fora existe a '^mada longitudinal, que consta apenas de feixes isolados, juntando-se cada vez d°is ou quatro subfeixes num feixe. Segue-se então a camada circular que forma Urn cilindro fechado. Esta é mais forte na região esofageana, tornando-se mais lr aca durante o percurso do intestino anterior. Na mesma região esofageana Mdste por dentro da camada circular mais uma camada fraca de feixes longitu- dinais isolados. Êste fato foi observado em todos os gêneros por nós examina- d °s- Não sabemos, porém, si se trata de um fato constante ou si nesta zona a niusculatun longitudinal externa é tão forte, que invade em certos locais o Mrreno da circular. Os feixes longitudinais, reunidos sempre em grupos, apresentam a mesma instrução morfológica dos feixes musculares do resto do tronco. Na camada Ocular pudemos observar núcleos centrais e núcleos menores e menos numero- 505 deslocados do centro para as regiões periféricas. Quanto à sua construção Morfológica, ressalta o fato de apresentar apenas uma estriação rudimentar, rc- >e zando-se um campo claro com um escuro c não existindo de permeio um te- fofragma intermediário. A túnies própria, que separa as camadas musculares do epitélio, é de na- Mreza hialina c de constituição homogênea. O epitélio forma na região esofageana 8-17 dobras internas que entram n ° lume intestinal, fechando-o cm algumas zonas quasi completamente (Vide 9 e 10 c Microfoto 1). Em todos os gêneros citados o epitélio apresenta- ** ttiuito fraco, enquanto que a intima é grossa, carecendo, porém, de quaisquer ^Piculas ou excrescências internas, tão típicas na porção posterior do intestino a Merior de Scolopendra. Apresenta espessura igual em todo o percurso do 'Mestino anterior, sendo visíveis apenas a camada lamelar e a exoeutieular. 2. Intestino médio •Nos gêneros neotrópicos de Geofilomorfos o intestino médio e muito longo e Mais largo do que o anterior e o posterior. Contudo, é estreito cm seu oo- Meço e atinge sua maior largura antes de terminar no intestino posterior. Perto da transição do intestino anterior para o médio as três camadas mus- 'Mlares (longitudinal externa forte, circular mediana ainda mais forte c longitu- M^l interna fraca) se tornam mais espessas. No local, porém, em que termi- ^M a íntima e o epitélio. acaba também a camada longitudinal externa, de ma- que daqui por diante só existem duas camadas musculares: a circular por 0ra . formando um cilindro fechado em redor do intestino médio, sendo, porém, 21 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 180 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV nienos espessa do que no intestino anterior, e a longitudinal por dentro (Vide Microfoto 4). A camada circular apresenta estriação imperfeita, isto é, os te- lofragmas são ausentes. Os feixes longitudinais externos, desaparecidos nesta zona, reaparecem, ainda que em proporção muito menor, perto do fim do intestino médio. A ca- mada longitudinal interna é representada por grupos de fibras longitudinais, en volvidos pelo sarcolema e cujo número varia entre 60 a 100 ao longo do tubo digestivo. Com o maior dilatvnento do intestino também êstes grupos se afas- tam mais, sendo, porém, sempre unidos por u’a membrana de sarcolema. No último terço do intestino médio unem-se cada vez dois feixes apenas num grupo, enquanto que nas porções anteriores os grupos são constituídos por 5-10 feixes. A túnica própria do intestino médio aparece bem, principalmente na colora* ção de MalJory, como pode ser visto pela Microfoto 4. O epitélio do intestino médio é muito evoluído. De conformidade com a sua dupla função, de secreção do suco gástrico e de absorção do alimento digerido, 0 epitélio apresenta diferenciação morfo-fisiológica muito pronunciada. A ausência da intima cuticular favorece estas duas tarefas. As glândulas apenas estão separadas do lume por u'a membrana frágil e fina. muito ntf* distinguível no campo microscópico. A absorção do alimento parece ser feita pelas mesmas glândulas. O epitélio dos Geofilomorfos forma dobras internas muito pronunciadas, que enchem quasi todo o lume. Constam de elementos celulares muito vactioh* zados e pouco consistentes, de maneira que gozam de máxima elasticidade. Esta rede "alveolar” não é igual em todo o diâmetro do lume. Ora existem “alvéolos” diminutos, ora grandes e redondos com grânulos de secreção colados às suas paredes (Vide Microfoto 4). Apesar da aparente irregularidade, os “alvéolos” apresentam, contudo, certa disposição ordenada, formando fileiras que principiam no epitélio externo e continuam para o centro em ordem radial (Vide Microfoto 3). Um número maior ou menor de redes alveolares é incluido dentro de unta das dobras internas, fechadas contra o lume por meio de u’a membrana. esta é coberta por uma fileira de estiletes plasmáticos rígidos, formando assifl 1 uma verdadeira fímbria rhabdorial, não pudemos averiguar (Vide Microfoto 3)* Parece-nos, porém, que se trata de fato de um rhabdoriuni, porque conse- guimos observar os grânulos basais, que costumam servir de ponto de inserção 3° 5 estiletes. As membranas em questão separam nitidamente uma protuberância da outrJ- como se pode ver claramente na Microfoto 3. 22 "olfgang Bücherl — Estudos morfo-anatòmicos sòbre Gcofilomorfos neotrópicos 181 A formação do líquido secretor é realizada pelas influências reciprocas entre 0 núcleo e o plasma da glândula. Pudemos observar que a cromatina nuclear toma parte ativa na formação secreto, que consiste em grande parte de elementos plasmáticos granulares. A secreção c abundantíssima, de maneira que quasi não se observa outra ^•sa senão as pequenas bolhas ou grânulos de secreção (Vide Microfoto 4). A secreção é difundida pelo lume do intestino médio sob a forma de bolhas Vondas, opalescentes. Para remediar um esgotamento das glândulas encontram-se, em todo o per- Otrso do epitélio do intestino médio, “ninhos” de elementos granulares. Destes ninhos” procede a renovação ou regeneração das glândulas. São localizados 03 periferia do tubo digestivo, tocando com a sua base a membrana própria. ^ 0r mam verdadeiros tubos com uma espécie de lume, ao redor do qual estão Apostas as camadas celulares das glândulas regeneradoras. Reproduzem-se por ^’ v isão cariocinética. Os tubos regeneradores são mais profundos na zona pos- por do intestino médio, atingindo quasi o centro (Vide Microfoto 4, à esquerda). 3. Intestino posterior Na zona de transição do intestino médio para o posterior, o lume intestinal ^treita-se novamente. A musculatura é ainda tipicamente a do intestino médio, ,sl ° é, a circular por fora e os feixes longitudinais por dentro. Mais atrás, po- reiT b portanto perto dos vasos de Malpighi. reajarece a camada de feixes mus- ^res longitudinais externos, completamente envoltos pelo sarcolema. a correr ^ direção aos rasos de Malpighi. As glândulas epiteliais tomam-se menos numerosas. Os núcleos das cé- »*. do epitélio ordenam-se em fileiras ao longo da túnica própria; os tul)os Veneradores das glândulas quasi desaparecem. As células glandulares enfilei- Vi-se, formando um epitélio cilíndrico muito alto, que vai da periferia ao ^tro. Nesta zona podemos observar que no processo da secreção são eliminadas k J 'has de secreção conjuntamente com porções plasmáticas do corpo da célula Adular. A membrana “rhabdorial” do epitélio forma uma espécie de anel interno, ^^lelo às camadas musculares externas. K’ difícil determinar precisamente o ponto em que começa o intestino pos- Vior. Os trés únicos indícios são — o reaparecimento da intima cuticular. a mus- ^ktura mais forte, igual à do esôfago, isto é, duas camadas longitudinais e uma ^Vlar no meio, e. finalmente, a embocadura dos vasos de Malpighi. 23 1*2 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Os vasos de Malpighi, que nesta zona (última porção do intestino médio) estão localizados ao lado dos feixes musculares do tubo digestivo, apresentam » mesma construção que o intestino médio. Suas glândulas secretoras constam igualmente de epitélio cilíndrico com os núcleos ordenados em fileiras e locali- zados na base de cada célula. O rhabdorium é muito bem acentuado, como tam- bém os grânulos basais, que servem de ponto de inserção aos estiletes plasmáticos (Vide Microfoto 7). O intestino posterior dos Geofilomorfos é extremamente curto. Não 5e podem distinguir as zonas proventricular e retal, tão típicas nos insetos. Apresen- ta, portanto, pouca ou quasi nenhuma diferenciação morfológica. É um pouco apertado em seu começo e ainda mais antes de terminar no anus, descrevendo m uma ligeira curva de baixo para cima. Na zona limítrofe com o intestino médio sua forma é triangular, arredon- dando-se em seguida e tomando-se progressivamente mais estreita na mesma proporção em que aumenta sua musculatura. O lume intestinal é largo e redondo no principio; em seguida o epitélio forma protuberâncias internas (papilas), tomando-se por isso o lume estreito, triangular, até fechar-se quasi por completo na zona retal. O epitélio do reto é delgado, formando 8-12 papilas internas. As célula 5 epiteliais destas papilas são enormes, separadas umas das outras por membranas muito fracas c mal visíveis. Formam uma camada interna espessa com núcleos muito acentuados, cuja cromatina é precipitada em flocos, e uma camada externa, paralela à intima cuticular, com núcleos pequenos e enfileirados. Por entre as duas camadas papilares salienta-se u’a membrana intermediária muito fraca. Os núcleos das células internas papilares são bem desenvolvidos* ocupando o centro ou a zona periférica das células. Em muitas zonas as nteni' branas inter-cclulares desapareceram por completo, de maneira que existe nela 5 uma espécie de tecido “sincicial” com muitos núcleos. Os núcleos da camada interna são mais cromófilos do que os da camada externa. A intima cuticular do intestino posterior é grossa, principalmente na zofl 3 retal. A membrana própria do reto é fraca. As camadas musculares são forte 5, principalmente os feixes longitudinais externos e os circulares, enquanto que °- feixes longitudinais internos são mais fracos. Apesar da dúvida expressa por H. Weber (“Lehrbuch der Entomologie”) * respeito da opinião que considera as papilas retais como órgãos que favorecem 5 respiração do resto, somos, contudo, forçado a reforçar esta asserção. Inúmera 5 traquéias e traquéolas são localizadas não somente nas imediações das papilas, m* 5 até mesmo à beira da membrana própria, apresentando, portanto, comunicaÇ 3C direta com estas. Não negamos, aliás, que as papilas também realizem a ab-o r ' ção dágua. 24 "olfgaxg Bücherl — Estudos morfo-anatõmicos sòbre Geofilomorfos neotrópicos 183 c) Tubos de Malpighi. (Vide Microíoto 7) Os Geofilomorfos têm dois vasos malpighianos, que formam dois tubos quasi ^mpre iguais em todo o seu percurso. Principiam na região do esôfago, nas 'mediações das glândulas salivares, e terminam, descrevendo muitas curvas, entre 0 '"testino médio e o posterior. Em algumas espécies terminam na mesma zona, ^ outras um tubo mais em frente ao outro. Após desembocarem, ambos con- ainda dentro do lume intestinal para unirem-se afinal num tronco único. ^ este um fato curiosíssimo, muito raro nos insetos e traqueados. O lume dos tubos malpighianos é triangular ou apresenta a forma de uma ■enda estreita. Os vasos malpighianos estão envolvidos por u’a membrana transparente. Observam-se, em seguida, alguns feixes musculares longitudinais, muito pouco "Umerosos, que são a continuação da musculatura do intestino médio. A membrana própria é muito bem visível. O epitélio é igual ao do intestino médio com núcleos grandes enfileirados !* r to da extremidade apicilar de cada célula. As células são muito longas c Afeitas, atingindo quasi o centro do vaso ( Vide Microíoto 7). As membranas ^liares são muito nitidas. O epitélio é, portanto, cilindrico. Além das glán- ^ encontram-se dentro do epitélio, perto da membrana própria, ninhos rege- '^dores, que constam de pequenas células com núcleos diminutos. A secreção dos vasos malpighianos é depositada dentro do lume sob a forma ** pequenas bolhas. Estas, cm algumas zonas, enchem quasi todo o interior, * st * n do ausentes completamentc em outras. O percurso dos vasos malpighianos é irregular. Sempre encontram-se nas I,r *diações do tubo digestivo, sendo envolvidos pelo corpo adiposo. Sòbre a finalidade dos vasos de Malpighi pouco consta. Indubitavelmente ^^chem função de metabolismo, eliminando os produtos fluidos ou semi fluidos a forma de vacúolos ou bolhas de excreção. São, por assim dize. órgãos Irí dianos mais aperfeiçoados. COLORAÇÕES DO TUBO DIGESTIVO H.-E. Fon Gitson Síaltory Usci ilatura vermelha verm. -ama rela azul “rieos musculares azucis " -escuros escuros com refle- xos vermelhos Ondula de secreção vermelha amarela roxa rj,ha * de secreção azucis amarelas vermelhas "ima incolor incolor azul claro 25 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 184 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV d) Órgãos circulatórios: Os órgãos pulsáteis dos Geofilomorfos localizam-se na cavidade interna do tronco, da placa cefálica até a região do intestino posterior. Por meio de dois diafragmas, um dorsal e um ventral, esta cavidade é subdividida em três, muito acentuadas nas regiões esoíageana e retal e quasi invisíveis na região mediana do tronco: Distinguimos um sinus pcricardialis, no qual está situado o vaso dorsal o’J coração; um sinus pcrhnsceralis, com os órgãos genitais e o tubo digestivo. e um sinus perincuralis, com a cadeia ganglionar ventral. Em frente e atrás as três cavidades comunicam diretamente, como também em diferentes zonas do tronco, principalmente nas regiões esofageana e retal- Nestas os órgãos internos acham-se localizados muito próximos uns dos outro?- de maneira que os seus diafragmas são muito delgados, sinuosos, apresentando muitas lacunas. 1 . Vaso dorsal O vaso dorsal ou coração dos Geofilomorfos forma um tubo retilíneo, arre* dondado, situado na linha dorso-mediana. Comunica diretamente com a aort- 1 cefálica, sendo difícil delimitar exatamente a zona onde principia a última. A parede cardíaca consta de três camadas — a externa, que é extremameni f fina e mal visível (é a adventícia, que contem núcleos muito pequenos) ; a m e " diana — ou simplesmente “média”, que é a camada mais grossa, constando exclusivamente de elementos musculares, sendo os campos escuros do me>n’° tamanho que os campos claros e não existindo de permeio telofragma ou meS % fragma: os campos são interrompidos na zona central pelos núcleos enfileirado?- as miofibrilas da média correm em sentido circular, provocando a pulsação d** câmaras cardiacas; a terceira camada ou intima, que é muito fraca e mal visi' e * Na coloração Mallory a adventícia tem aspecto vermelho vivo, a média ro*° escuro. A intima parece ser apenas um condensamento do sarcolcma da média. porq- !Í desprende-se da última, formando uma linha dentieulada, premarcada na zoo* interna da média. As paredes da aorta cefálica em nada se distinguem das do coração. Apc 0 ^ sua camada muscular é mais fraca, de maneira que presumimos não goze de ta níí contratilidade. Cada câmara cardíaca tem apenas um par de músculos ali formes, mais pessos na região cefálica e retal. Prendem-se â camada externa inferior do ração e inserem-se nas zonas externas do diafragma. 26 \Y olfgang Bücherl — Estudos morfo-anatòmicos sobre Geofilomorfos neotrópicos 185 Os ostiolos formam canais estreitos, bem nítidos, atravessando a média Muscular. As paredes dos ostiolos constam de elementos homogêneos. Xo lado dorsal o coração é preso à epiderme por meio de fibras de teddo ^juntivo. No lugar da origem, as fibras alargam-se em forma de leque, que, P° r meio de tonofibrilas epidérmicas, terminam na epiderme. O diafragma dorsal consta de um tecido homogêneo de natureza sincicial, f l Ue rodeia o coração, sendo muito espesso na região da aorta cefálica e incluindo Muitos elementos fibrilares. Xo lado dorsal, entre o tecido sincicial e o coração, observamos elementos ^ásticos. Na mesma região a adventícia é rodeada por feixes musculares drcula- rcs . que do lado ventral estão em contacto imediato com o diafragma pericardíaco. Pela posição dos ostiolos e pela construção das duas válvulas que demarcam 0 ^rnite entre o coração e a aorta cefálica, podemos concluir que no coração o v * n ?ue circula de trás para diante. Vemos, devido à segmentação do vaso dorsal ^ diversas câmaras, que, si o coração parar, nos últimos segmentos em diástole, l^ra alguns segmentos antes em sistole e mais cm frente outra vez em diástole, e a55 'm por diante. X’os lados dorsal e laterais do coração observamos células pericardiacas com nu 'Icos relativamente pequenos e com plasma granular (Vide Microfotos 1, 3 e 6). Na região esofageana o sinus pcrivisccralis é rclativamcntc pequeno. In- c,J e os dois vasos malpighianos, dotados de elementos elásticos próprios e ^ ui nica diretamente com o sinus p erincuralis . Os elementos elásticos do üIt «no. juntamente com o seu diafragma, constituem uma camada muito evoluída (V idc Microfoto 1). Peixes traqueanos localizam-se nas imediações do sinus perinevralis, penc- lra ndo pelos elementos musculares. Fornecem ar oxigenado ao sangue, que nc -*e local circula de diante para trás (Vide Microfoto 1). As três lacunas sanguíneas com seus respectivos diafragmas tornam-se tanto fracas, quanto mais se aproximam do meio do corpo. X'esta região o sangue dos Geofilomorfos já é canalizado pelo vaso dorsal c férias laterais, periféricas e pela aorta visceral, que se localiza nas imediações ^deia ganglionar ventral. As células pericardiacas contêm quasi geralmente apenas um único núcleo. Muitas zonas elas formam uma aglomeração sincicial, principalmcnte no lado rs al do coração e nas imediações dos músculos ali formes. O sangue dos Geofilomorfos é incolor ou ligeiramente arroxeado, dentro da hemolinfa podemos distinguir — ífeucodtos, amebodtos e células Urosas, além de partículas epiteliais e grânulos suspensos no liquido san- ‘‘ ü ' n eo. Os leucócitos são corpúsculos pequenos, redondos, com núcleo grande e ****» cromófilo. 2 ? Em ?or r l 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 186 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Entre os últimos distinguem-se células redondas, duas a cinco vêzes maiores do que os simples leucócitos. São os amebocitos, que se originam dos leucodtos por divisão amitótica (WEBER — Lehrbuch der Entomologie). As células gordurosas são muito frequentes na hemolinfa, apresentando-se sob a forma de corpúsculos arredondados. Ao lado das células gordurosas distinguimos ainda dentro da linfa sanguínea certos elementos microscópicos, como pequenas porções de tecidos, todos êles suspensos no fluido sanguíneo. Ocorrem raras vêzes, sendo encontrados por nós apenas duas vêzes na hemolinfa fresca. 2. Vaso ventral As paredes da aorta ventral apresentam a mesma construção que as do coração, ainda que a média seja muito fraca e os campos escuros quasi apagados. O vaso ventral acompanha a cadeia ganglionar ventral. Na zona do gânglio subesofa* geano é unido ao vaso dorsal por meio do arco sanguíneo. O vaso ventral é retilíneo, quasi sempre arredondado, apresentando alguns alargamentos na região posterior do tronco. Nas imediações do gânglio genital partem dele ramificações que fornecem sangue aos órgãos genitais. 3. Lacunas sanguíneas As lacunas sanguíneas existem, como já rimos, na região esofageana e retal- Além disso, encontram-se no lado ventral uma ou mais lacunas pequenas, pela 5 quais o sangue aflue aos vasos cardíacos. 4. Corpúsculos de Kowalcwsky Na periferia das artérias laterais encontramos certas formações que parecem idênticas aos corpúsculos de Kowalewsky. A sua identificação, porém, não t indiscutível. Apresentam plasma muito vacuolizado, contendo numerosos leucO" eitos pequenos, com núcleos grandes e zona perinuclear nítida, e maiores, com núcleos menos acentuados. e) Tecido conjuntivo: O tronco dos Geofilomorfos contem pouco tecido de substância conjunti' 3- que se aglomera principalmente nas regiões das lacunas sanguíneas, portant 0, na região esofageana e retal. 28 0 'Nolfgan '0 Büchehl — Estudos morfo-anatômicos sôbre Geofilomorfos neo trópicos 187 É difícil determinar precisamente a natureza e composição destes tecidos, Pois apresentam toda a sorte de transição, a começar de uma substância colágena homogénea, de natureza plasmática, em que se acham suspensos diminutos grâ- n ’j!os e cujos fibroblastos são muito pouco numerosos, até tecidos conjuntivos íibrilares fortemente vacuolizados, dispostos ao redor do vaso dorsal, dos órgãos S°nitais e do tubo digestivo. Êstes apresentam pouca substância intersticial, Prevalecendo as fibras colágenas e. em outros lugares, as elásticas. Tecido gorduroso O tecido gorduroso dos Geofilomorfos consta de duas camadas bem distintas u ma da outra — a visceral, que rodeia o intestino, o coração, a cadeia ganglionar e os órgãos genitais, e a parietal, muito mais fraca e localizada ao longo das P^edes do tegumento externo, sendo envolvida pelas camadas musculares pleurais. O corpo adiposo visceral ou interno é muito raro na região anterior da placa ce -álica. Na porção anterior do esófago, exatamente na zona em que principia a aorta cefálica, o corpo adiposo existe sob a forma de alguns feixes celulares Pequenos. Encostam-se com sua base nos lados do coração e divergem fortemente **** direção ín fero-lateral (Vide Microfoto 1). Os feixes são separados por 010,0 de septos homogéneos, colágcnos, existentes cm todo o percurso do tronco, ^do muito desenvolvidos em algumas zonas. O corpo gorduroso prolonga-se progressivamente, de maneira que na região 6.° par de patas já forma, de cada lado, quatro feixes divergentes enfileirados, < i üe > partindo do coração, estendem-se até a cadeia ganglionar ventral. Na zona anterior existem apenas o primeiro e o quarto feixe gorduroso, ^do êstes dois unidos por um septo, que substitue os dois feixes medianos *«sentes. 'Dai em diante os feixes gordurosos viscerais aumentam progressivamente ta,,t o em número, como em espessura, decrescendo na mesma proporção os seus *P to s intermediários (Vide Microfotos 3, 5 e 6). A última porção do intestino médio é envolvida pelo corpo adiposo, que ! °nrta já um anel fechado, rodeando todos os órgãos intentos. E’ delgado nas ^ 0n as do coração e da cadeia ganglionar ventral, enquanto que na linha mediana 0rj na um espessamento de cada lado (Vide Microfoto 5). Na mesma altura e *’*te ainda um feixe lateral isolado, que pertence igualmente ao sistema visceral. O corpo adiposo está em maior dependência do tubo digestivo do que do 5!5 tenia circulatório, porque a sua natureza varia ao principiar o intestino médio * m ais tarde, o posterior, como se pode ver, comparando-se as Microfotos 1 (da r °*>ião esofageana), 5 e 6 (do intestino médio). 29 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 188 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV No intestino anterior as células do corpo adiposo formam aglomerações, sem contudo perderem sua independência. Pelo contrário, os limites, tanto entre uma e outra célula, como entre um e outro feixe, são bem acentuados (Vide Micro- foto 1). As células são incolores ou ligeiramente amareladas. São envolvidas por u’a membrana extremamente fina. Seus núcleos são muito pequenos, quasi invisíveis. Dentro do plasma existem pequenas bolhas, gotas ou grânulos em estado de suspensão, de colorido amarelo, fortemente refringentes. Entre uma e outra célula existem vacúolos grandes, redondos, em cuja peri- feria encontram-se os já citados grânulos gordurosos. No principio do intestino médio o corpo adiposo visceral já forma um anel fechado, que envolve todos os órgãos internos, sendo limitado no lado externo pelos músculos. O anel é mais forte na região inferior do tubo digestivo. Neste local origina-se uma espécie de tecido vascularizado, com inúmeras aglomerações celulares, sendo cada feixe celular separado dos outros pela membrana homogênea, já citada (Vide Microfoto 6). Além destas membranas intermediárias, o anel é envolto por um peritõnco delgado, que separa o corpo adiposo dos músculos e do tubo digestivo (Vide Microfoto 6). Êste peritóneo consta de elementos homogêneos, sendo rara a substância intersticial. As células destes elementos são muito longas, com u** 1 ou mais núcleos enfileirados no centro. Na região mediana do intestino médio o corpo adiposo fica mais espesso» estendendo-se também para o lado inferior da cadeia ganglionar ventral. O* feixes são delimitados novamente por tecido conjuntivo, cm que prevalece * substância intersticial homogénea sendo observados também alguns fibroblastoS Os vacúolos são maiores e mais numerosos nesta região do que no intestin'’ anterior (Vide Microfotos 5 e 6). Entretanto, os grânulos gordurosos estão quasi inteiramente ausentes, o que prova ter o corpo adiposo relação imediato com o tubo digestivo. Na região posterior do intestino médio, o corpo adiposo forma apenas u** 1 anel estreito, ainda que mais forte do lado ventral. Na zona do intestino posterior, o corpo adiposo visceral aumenta considera* velmente. incluindo todos os órgãos internos, inclusive os do aparelho genital. A camada parietal do corpo adiposo dos Geofilomorfos é muito fraca e m*l desenvolvida, principalmcnte quando considerada em relação à camada visceral- Quasi ausente na região esofageana (Vide Microfoto 1), salienta-se na regiã 0 anterior do intestino médio sob a forma de um único feixe de cada lado, local*' zado na zona pleural, por entre os músculos dorsopleurais (Vide Microfoto 3)* Existe também nas dobras formadas pela transição dos tergitos para os tergit 0 * intercalares. " 30 c ' "olfgakg Bücherl — Estudos morf o-anatômicos sôbre Geofilomorfos neotrópicos 189 Somente pelo fim do intestino médio e principalmente nas zonas do intestino P°sterior desenvolve-se com maior espessura, consistindo de três a oito feixes, un 'dos entre si por membranas finas, sem nunca, porém, atingir a espessura da Can *ada visceral (Vide Microfotos 4, 5 e 6). Células carminófilas Chamamos de células carminófilas certos elementos cromófilos que derivam Morfologicamente de leucócitos e que parecem exercer função de fagocitose à ^neira dos corpúsculos de Kowalewsky. As células carminófilas são muito raras nos Geofilomorfos. Encontram-se c preferência ao redor dos vasos malpighianos e das glândulas salivares (O ^ooscq). 0 Musculatura: 1 . Morfologia la) Fibras musculares lisas k As fibras musculares lisas são muito raras nos Geofilomorfos. Encontramo- s a penas na membrana peritonea! dos ovários, nos diafragmas das lacunas San guíneas. nas membranas envolventes do tecido adiposo c da cadeia ganglionar Ve ntral, etc.. Os elementos musculares lisos rcuncm-sc em feixes, contendo cada um pou- fibrilas. Os núcleos são extremamente j>equenos. localizados de preferência feio do eixo das fibras. 1 b) Fibras musculares estriadas fibras musculares estriadas constam de células fusi formes os mioblas- • As células reunem-se, formando os feixes musculares. Em cortes trans- *»'s êstes feixes apresentam-se com forma circular ou pentagonal com os Ce os de preferência no centro (Vide Fig. 11), (d' ^ morfol °SÍa ^ as fibrilas musculares é a seguinte : um campo estreito escuro / ISc °) é seguido por um campo claro (faixa), existindo no meio deste a estria ^ '-rniedüria de Krause, também denominada tclofragma (Vide Fig. 12). Nos ni ç * eS musculares do esófago, o telofragma é substituído por duas estrias inter- nas, muito fracas e quasi imperceptíveis (Vide Fig. 13). Além disso, 31 SciELO 190 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV encontramos feixes estriados, nos quais o telofragma está inteiramente ausente (Vide Fig. 14). Desta maneira a musculatura estriada dos Geofilomorfos apre- senta os três tipos musculares mais primitivos — sem diafragma — com um diafragma — com dois diafragmas intermediários nos campos claros. Por conseguinte seria interessante acrescentar aos trabalhos de Holmgren, Rollet, Jordan e Hürthle, que, aliás, divergem muito entre si, o tipo de fibras estriadas com dois diafragmas em cada faixa clara. Não conseguimos observar em parte alguma dos discos musculares dos Geofilomorfos a linha de Hensen, nem tampouco o mesofragma. As fibrilas são rodeadas pelo mioplasma ou sarcoplasma, que consta de ele- mentos citoplasmáticos granulosos (Vide Fig. 11). Por entre as fibras observamos as terminações das traquéolas, cujo lunie se acha repleto de um liquido incolor. As fibrilas obedecem a uma disposição radial. Muito numerosas na periferia, formam no centro uma espécie de lume, em que se acham localizados os núcleos (Vide Fig. 11). Êstes são estreitos, quatro a seis vêzes mais longos do que largos. Formam geralmente uma fileira, sendo em certas zonas unidos uns aos outros e incluídos no sarcoplasma central- Às vêzes existem dois núcleos ao mesmo nivel. o central e um outro menor, colo- cado na periferia. Os feixes musculares formam, portanto, um tecido fibrila* - estriado de caráter sincicial. 2. Fisiologia A musculatura dos Geofilomorfos consta quasi exclusivamente de fibra» estriadas, que se contraem repentinamente, voltando, logo após ter cessada a ir**' tação, ao estado normal. Pudemos constatar em nossos cortes que o músculo contraído oferecí aspecto microscópico diverso do normal. Na fibrila contraida a distância entre um e outro disco é minima, sendo também a coloração mais fraca. 2 a) Inserção dos músculos no tegmento Os músculos estriados dos Geofilomorfos unem-se à cuticula por meio d* 5 células da epiderme. A membrana basal é neste local muito fraca. O ponto d e união é marcado por meio de um campo claro, que se limita com a membra^^ basal da epiderme. As células epidérmicas apresentam neste local estrutura J1 ' brilar. São as "tonofibrilas” (Leydig & Henneguy), que atravessam a ntembrafl 2 3 lasal e continuam diretamente no músculo (Vide Fig. 14). 32 "olfgang Bücherl — Estudos morío-anatõmicos sòbre Geofilomorfos neotrópicos 191 Os núcleos que se observam por entre as tonofibrilas, pertencem às células epiderme e não aos elementos musculares, como muitos autores pensaram fSnethlage). Nem sempre a membrana basal é visível. Os músculos podem originar-se também por meio de formações de natureza guitinizada (tendões), que ficam entre as tonofibrilas e a epiderme subcuticular (Vide Fig. 14) A origem destas formações quitinizadas depende, segundo Janet, das tono- fibrilas. No caso dos Geofilomorfos, porém, isto nos parece pouco provável, P°'s o quadro microscópico revela-nos claramente que as tonofibrilas são brusca- ttiente interrompidas na zona em que principia a formação quitinizada. Na epiderme subcuticular, exatamente na zona em que esta sc limita com o tendão, ,a mbétn não encontramos tonofibrilas, sendo estas visíveis novamente no lado Superior da epiderme. Ai formam verdadeiros feixes cônicos, localizados na ^Hada lamelar da endocutícula. Os tendões dos Geofilomorfos são, portanto, formações da epiderme sub- ^úcular. Uma prova a mais da nossa afirmação constitue o fato de estarem Presentes nos tendões os mesmos núcleos da epiderme. Aliás, encontramos também formações quitinizadas semelhantes no interior corpo dos Geofilomorfos, nas regiões súpero- e infero-laterais, onde não e *’stem, nem próximos, elementos musculares. 2 b) Musculatura c tegumento Entre a musculatura e o tegumento dos Geofilomorfos, como dos Quilópodos ^ geral, existem múltiplas correlações, de maneira que não hesitamos em explicar a forma externa dos Geofilomorfos como dependendo da mecânica muscular. Quando um músculo tem sua origem numa formação quitinizada, esta forma 'Vencias ou reentrâncias (carcnas laterais, sulcos episcutais ou paramedianos) ; l^ndo se origina na pele, esta produz placas quitinizadas (esclcritos das pleuras * <*os pretergitos e preestemitos) . Os músculos podem provocar igualmente a s P r oximação entre peças quitinosas, que originalmente eram independentes, dc- tÇT minando a sua fusão completa (WEBER — Lchrbuch der Entomologic, 1933). ^ último caso determina uma atrofia gradativa dos respectivos músculos. Assim 4 Aplicada a formação das fossas, carenas. suturas e articulações. 2 c) Disposição interna da musculatura A musculatura dos Geofilomorfos obedece à simetria bilateral, ainda que haja Tara s exceções, principalmente no tocante à posição dos feixes musculares exter- 1,05 e dos transversais internos. 33 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 192 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Já temos explicado a musculatura do intestino e dos \-asos malpighianos. Os outros feixes se dividem em segmentares e intersegmentares (WEBER — Lehrbuch der Entomologie, 1933). Músculos segmentares são encontrados nas peças bucais e nas patas. Tam- bém os feixes ventro-pleurais, dorso- e ventro-laterais são segmentares. Os músculos pleurais, segmentares e intersegmentares (ventrais e dorsais) originam-se nas zonas laterais dos tergitos e dos esternitos e se inserem nas pleuras. Os músculos intersegmentares dividem-se em longitudinais, subdivididos em dorsais e ventrais, que parecem percorrer todo o comprimento do tronco. Após cuidadoso exame, porém, pudemos verificar que de fato correm da borda anterior do pretergito, respectivamente preestemito, para a borda posterior do tergito seguinte. No mesmo ponto em que termina um feixe, principia outro, de maneira que o sarcolema não sofre interrupção alguma, o que dá a impressão de que un> único feixe longitudinal percorre o tronco. Distinguimos os seguintes feixes musculares (Vide Figs. 9 e 10 e Micro- fotos 1, 3, 5 e 6 ) : Músculos longitudinais súpero-intemos (Vide Fig. 10 “1”) Músculos longitudinais infero-intemos (Vide Fig. 10 “2”) Músculos transversais súpero-centrais (Vide Fig. 10 “3”) Músculos transversais ínfero-centrais (Vide Fig. 10 "4”) Músculos transversais súpcro-medianos (Vide Fig. 10 “5”) Músculos transversais ín fero-medianos (Vide Fig. 10 “6”) Músculos transversais súpero-pleurais (Vide Fig. 10 “7”) Músculos transversais infero-pleurais (Vide Fig. 10 “8”). Os feixes musculares longitudinais dorsais e ventrais ocupam mais ou meD 0 ® a região central, tanto superior, como inferior. Formam um círculo quasi con** pletamcntc fechado e de grande espessura a começar da cabeça (Vide Fig. 9) até o fim do esôfago (Vide Fig. 10) e diminuindo durante o percurso do intestin 0 médio, como se pode ver nas Microfotos 3 (começo do intestino médio), 5 e ^ (porções mediana e posterior do intestino médio). Sua função principal é * de unir os segmentos principais aos intercalares, contribuindo para a mobilidade dos mesmos. Contraindo-se sucessivamente da frente para trás, firmadas as patas ante* riores no solo, arrastam o resto do corpo. Alcançando o auge da contração, 35 patas posteriores fixam-se por seu turno no chão. Estendendo-se em seguida. 0 corpo é empurrado para a frente. Para a melhor realização desta locomoção primitiva ajuda eficazmente * disposição das patas anteriores, que puxam, e das posteriores, que empurram. 34 "olpgang Büchebl — Estudos morfo-anatòmicos sòbre Geofilomorfos neotrópicos 193 Os músculos transversais são muito mais fracos do que os longitudinais. Resino assim exercem pcríeitamente sua função dupla — a de servir para a Cor >servação da forma externa, principalmente das zonas pleurais, e secundar os mus culos longitudinais e a musculatura direta das coxas. A segunda finalidade e alcançada levantando e baixando o tronco, movendo-o para os lados numa Cs P«cje de serpentear, e, finalmente, robustecendo os pontos em que as peças •Ntinosas das coxas se inserem nas dobras pleurais, de maneira que as últimas 'Olham grande firmeza na sua base, fator indispensável à locomoção. Contraindo-se alternadamente os músculos transversais súpero- c ínfero- Strais (Vide Fig. 10 “3” e “4”), o tronco é levantado; distendendo-se aqueles, é abaixado. Feia contração ou distenção alternada dos músculos transversais súpero- e lnte ro-medianos e pleurais (Vide Fig. 10 “5. 6, 7 e 8”). o corpo se move os lados (serpenteando) e os músculos diretos da coxa podem entrar em ^ào. Vemos, pois, que a disposição da musculatura c exclusivamente funcional. Vo entanto, não é êste ou aquele músculo que, sendo isolado dos outros, P r °duz êste ou aquele movimento determinado. Pelo contrário, na locomoção 4 musculatura toda entra em jogo, acentuando um músculo a eficiência do outro. Os quatro feixes longitudinais intersegmentares percorrem o corpo do anterior do tergito, rcspectivamentc esternito intercalar, ao bordo posterior lt rgito (esternito) principal imediato. Os dois feixes musculares súpero- "tternos atingem na região cefálica a sua maior espessura, abrangendo toda a .Sura dos tergitos e estendendo-se ate a zona superior das pleuras. Diver- ^ndo de cima para baixo, atingem quasi a metade do tronco (Vide Fig. 10 "1"). s dois feixes formam blocos coerentes, sendo delimitados no lado interior músculos transversais súpero-ccntrais (Vide Fig. 10 “3”). Ao longo da ^erme salientam-se elementos musculares longitudinais segmentares, retos e °kK<]uos, muito menores do que os primeiros. O sarcolcma de todos êstes ê Sito espesso, unindo um feixe ao outro e condcnsando-sc numa espécie de S°ibrana que envolve os feixes. Nas regiões ínfero-intemas, justamente nos ^es em que os feixes transversais infero-centrais se inserem nos longitudi- existem tendões muito acentuados, que podem ser observados através do Se todo, estendendo-se até a epiderme (\ ide Microfoto 1). Vesta mesma zona de inserção os elementos musculares longiftidinais apre- stam estrutura particular, o que é devido, de um lado, aos tendões e, de outro à tração que os feixes transversais exercem sòbre os longitudinais. Va região terminal do esôfago os feixes longitudinais atingem sua maior ^Pessura, ocupando quasi todo o espaço interno do tronco e deixando livre 4 Peru) S uma área central, na qual se encontram os órgãos internos. Neste local 35 SciELO 194 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV os feixes longitudinais, tanto superiores, como inferiores, segmentares e inter- segmentares, subdividem-se em quatro subfeixes superiores e seis sub feixes inferiores de cada lado (Vide Fig. 10 “1” e “2”). Xo começo do intestino médio os quatro subfeixes longitudinais já são um pouco mais fracos, formando, porém, um circulo quasi completamente fechado, aberto somente na região ventral por baixo da cadeia ganglionar (Vide Microfoto 3). Neste local afas- tam-se sempre mais do centro para darem lugar aos elementos adiposos que. como já vimos, também formam um círculo interno (Vide Microfotos 5 e 6)- O sarcolema é muito espesso. Os feixes longitudinais, tanto superiores, con* 5 inferiores, sofrem uma interrupção pelos feixes transversais dorso-ventrais (são os feixes supero- e ínfero-medianos, que nestas zonas atravessam o tronco em linha vertical, originando-se nos cantos externos dos pretergitos, preestemitos. tergitos e estemitos e inserindo nos pleuritos). Os dois feixes longitudinais intersegmentares superiores começam no princípio do intestino médio a divergir fortemente para o lado, sendo separado» parcialmente pelos músculos transversais súpero-medianos, que se inserem na» saliências das pleuras e originam-se na zona mediana dos tergitos e pretergitos- Os feixes longitudinais íníero-internos tornam-se mais fracos devido à grande espessura dos músculos transversais infero-centrais. Descem em direção ao» esternitos e juntam-se em alguns lugares diretamente aos últimos. Os feixe 4 já não são mais unidos no centro, devido ao desenvolvimento das glândula 5 dos estemitos. Uma porção do corpo adiposo está localizada entre os feixe 5 interiores e os transversais infero-centrais, deslocando os primeiros em direçá 0 à zona inferior das pleuras (Vide Microfoto 5). Xa zona mediana do intestino médio o deslocamento dos quatro feixe 5 longitudinais progride ainda mais, ficando localizados nas zonas laterais do 5 ♦ergitos e das partes externas dos estemitos. Tendões e feixes transversal 5 separam os músculos longitudinais em diversas porções (Vide Microfoto 6). Na zona posterior do intestino médio além de metade do tronco do afl*' mal, na zona, portanto, em que o corpo adiposo forma um circulo fechado 3° redor do tubo digestivo, os quatro feixes longitudinais intersegmentares atio* gem a «ua maior atrofia. São apenas pequenos feixes, dois superiores c do* 5 inferiores, separados entre si por espaços largos e localizados ao longo do tegumento. O sarcolema atinge nesta zona a sua maior espessura, principal mente na região dos feixes longitudinais inferiores e na região das pleura 5 - Nesta última o sarcolema forma uma verdadeira camada homogênea de gran corpo adiposo e das glândulas cutâneas. No tubo digestivo observamos traque®" las dentro das camadas musculares externas. Também os feixes muscularc* principalmente das peças bucais e das patas locomotoras, são ricos em caB*®* culos traqueanos. As traquéias são formações ectodérmicas, oriundas do tegumento extern 0 - que sofreu uma forte invaginação nas regiões pleurais. dando origem aos 05 tigmas, átrios e traquéias. As últimas constam, portanto, das mesmas pari 4 * morfológicas que o tegumento externo, o procto- e o stomadaeum, a saber: & membrana basal, do epitélio ( matrix ), da íntima cuticular, que se subdivide et® endo-, exo- e epicutícula. As últimas três camadas, de origem puramente cutânea, são renovadas et® cada eedise. A membrana basal das traquéias é finíssima, homogênea e transparente, ** vestindo a matrix em todo o seu percurso. A matrix consta de elementos cd c lares com núcleos muito grandes e irregularmente distribuidos. Mostra tip' 0 ** mente que não é outra coisa senão o prolongamento da epiderme subcuticu!**' pois nas imediações dos estigmas observamos como a epiderme sofre um proC*«j sa de invaginação, rodeando o cálice estigmal pelo lado externo. Nas zonas que principiam as traquéias, as células epidérmicas coordenam-se para forfl^' uma espécie de tecido epitelial, com células pentagonais enfileiradas. A mo ,f * í das traquéias dos Geofilomorfos constitue uma camada extremamente fina e tr3® ? parente. A endocutícula constitue igualmente uma camada finíssima, que desaf 1 ** rece quasi por completo nas terminações das traquéolas. A exocuticula fom* ° que chamamos propriamente dc traquéias. Desfaz-se em inúmeros fios circul*' 1 ^' que rodeiam a traquéia pelo lado interno, formando uma espiral, que dá à traO®^* a necessária resistência. No começo da traquéia as espirais são muito fo^**" tomando-se gradativamente mais fracas no percurso da mesma até que fiq l,e<í de todo invisíveis nas terminações finíssimas das traquéolas. 40 w, OLFGANG BCcherl Estudos morfo-anatômicos sôbre Geofilomorfos neo trópicos 199 A epicutícula forma a última camada interna da traqueia respiratória e serve elemento de unificação dos filamentos espirais. h) Aparelho reprodutor : Os Geofilomorfos apresentam dimorfismo sexual muito fraco, exterioriza- apenas por raros feixes de pêlos no último par de patas dos machos. Quanto testo encontram-se poucos caracteres para distinguir exteriormente os machos ^ fêmeas, a não ser os gonópodos geralmente presentes. O aparelho genital interno é muito longo, atingindo em animais adultos a re s'ião da placa cefálica. Os orgãos genitais localizam-se por cima do vaso dor- ^ e estão inteiramente envolvidos pelo corpo adiposo. 1. Aparelho reprodutor do macho O aparelho reprodutor do macho apresenta dois testículos muito longos e formes. Cada um destes termina cm dois tubinhos cilindricos, dos quais os *** superiores, descrevendo uma ligeira curva, unem-se num canal deferente ^num (Verhoeff — Bronn’s Klassen und Ordnungen des Tierreiches — Chi- h Poda, 1925). O vaso deferente é muito longo e enlaçado, alargando-se na metade poste- tVjr - Em seguida estreita-se e termina por meio de um alargamento vesicular ^ ür n canal bipartido. Ambos êstes ramos abraçam simetricamente o reto. unin- ^ no lado ventral deste. Os machos possuem, além disso, dois pares de glândulas que ora são estreitas Alongas, ora ostentam a forma esferóide. São envolvidas por fibras lisas, às ,a4is se ajuntam alguns feixes circulares estriados, muito pequenos. O mesmo '^rvamos nas membranas envolventes dos testículos. O par maior das glân- as aces-órias une-se cm frente. 2. Aparelho reprodutor da fêmea O ovário das fêmeas dos Geofilomorfos é impar. O oviduto é retilíneo, ^° Ss nindo um lume muito largo. As fêmeas apresentam um par de receptáculos ^nais. que terminam num alargamento vesicular, rodeado por feixes muscu- lisos e alguns feixes circulares estriados. Os dois pares das glândulas se- r* 1 * acessórias são relativamente pequenos e unidos. O ^^nto, possuindo um canal deferente curto e delgado. primeiro par e 41 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 200 3. Evolução embrionária e post-embrionária (Verhof.ff — Bronn’s Klassen und Ordnungen àt> Tierreiches — Arthropoda — Chilofoda, 19251. Sobre a evolução embrionária e post-embrionária dos Geofilomorfos não p®" demos realizar por ora pesquisas próprias devido à falta de material vivo enf brionário e post-embrionário. Para não deixar incompleta a nossa exposição. guiremos no seguinte os trabalhos de Verhoeff, que, ainda que executados fr " material restrito, não deixam de ser importantes por sua precisão e clareza. Sòbre a cópula dos Geofilomorfos nada consta na literatura, sabendo-se, p°" rém, que as fêmeas põem ovos em grande número, reunindo-os num pacote q' JÍ costumam proteger com o próprio corpo. O ciclo evolutivo, a começar da rupt®* ra do ovo até a fase de madureza sexual, é quasi completamente desconheci^ 0 - A evolução parece obedecer às normas da evolução epimorfa, caraterística p 3 ** a maioria dos Quilópodos. A fêmea protege os filhotes (em número de 20 a 30) em uma espécie & ninho, que constróe geralmente debaixo de pedras. A desova não se verifica uma só vez, de maneira que nunca são encontrados filhotes que estejam todc* no mesmo estádio evolutivo. Após a primeira eedise, o embrião encontra-se <*** fase peripatóide. As patas locomotoras ainda não estão desenvolvidas, fazendo-se notar ap 0 " nas sob a forma de pequenas excrescências, não articuladas ou com deficién<3* articular. As mandibulas e os maxilares ainda são indiferenciados. Sistefl** traqueal ausente, realizando-se a respiração por via cutânea. Ainda não existi glândulas funcionais. A musculatura encontra-se numa fase de desenvolvim*®' to parcial, sem demonstrar, no entanto, estriação ou seja divisão em campos &*' ros e escuros. O corpo vitelino estende-se ainda por todo o tronco. A c®®' cuia é complctamente desprovida de pêlos ou outras protuberâncias. Os tergi* 05 * estemitos e pleuritos ainda não se acham diferenciados. A zona genital enco®' tra-se no mesmo estádio evolutivo que no embrião. A cadeia ganglionar é ach** tada, carecendo das comissuras e dos conetivos. As glândulas ventrais e hip 0 ” coxais estão ausentes, como também as coxais e post-genitais. Inicia-se então a fase de segunda eedise, cujo resultado é a fase fetal. As patas locomotoras agora já são articuladas. Os músculos e os tendó 4 * das garras terminais das patas estão presentes, ainda que incompletos c m® 111 transparentes. As antenas são curtas, apresentando 14 articulos. Acentua-? 0 * articulação das mandibulas e dos maxilares, destituidos ainda de qualquer í®°* ção. As garras ou artículos terminais destas peças ainda estão inacabadas. glândulas de veneno ainda se encontram em estado de evolução. O sistema tri 42 W OLFGANG Bvcherl Estudos morfo-anatòmicos sôbre Geofilomorfos neo trópicos 201 está em franca formação, sendo, no entanto, os estigmas ainda de todo au- ^tes ou fracamente formados e pouco salientes. Portanto, o único modo de res pi ração é ainda a cutânea. No interior do tronco já existe musculatura, mas tf ansparente e sem estriação. A massa vitelina começa a desaparecer na região in 'erior do tronco. O tegumento é armado de poucos pêlos, extremamente fra- Cos e curtos, principalmente nas antenas. Os escleritos coxais já se acham for- tr^dos, como também os tergitos, estemitos e as pleuras. A zona genital conserva ^ n da o estado embrionário. A cadeia ventral já apresenta divisão e segmenta- cm gânglios, sendo, no entanto, as comissuras ainda muito curtas. As glán- d ^s tanto ventrais, como hipocoxais. coxais e post-geniatis já estão formadas, c °ntinuando, porém, ainda fechadas. Realiza-se agora a terceira ecdise com a primeira fase de "adolescência”: As patas loco motoras, maxilares, a musculatura, os tendões das garras, as ^"•íulas e os canais de veneno, o sistema traqueal e os estigmas completaram a 5ua evolução e estão aptos para o funcionamento. A musculatura do tronco isenta já estriação. A massa vitelina é abundante ainda na porção posterior ^ tronco, desaparecendo gradativamente. A quitina. principalmentc das ante- ****• mostra muitos pêlos c cerdas. Os escleritos dos segmentos do tronco já ****0 formados. A zona genital apresenta atraso em sua formação, estando 4us «ntes ainda os telópodos gonopódicos. As comissuras e os concetivos da ca- ^eia f eit. ganglionar ventral já são mais longos. As glândulas ventrais já são per- a s e os seus canais terminam na superficie do tegumento. Com a quarta ecdise o animal já está completamente desenvolvido, ainda que felativamente pequeno. IV. Sistemática Ê impossível atualmente dar um quadro sistemático completo c satisfatório V,!,r e os Geofilomorfos. A falta de matfrial, o valor apenas relativo de dados ^tisticos sôbre a ocorrência e a frequência das espécies, neste ou naquele lugar, 4 dc ficiència da literatura sistemática, os litígios e as divergências entre os auto- fes Attems, Verhoeff, Brólemann e Silvestri impossibilitam por ora qualquer ^ ta ti va de uma sistemática completa, nem mesmo no tocante aos Geofilomorfos ^-trópicos. Em nosso Pais existe ainda uma outra dificuldade: — a ausência * e Çrande e copioso material. Julgamos, portanto, necessário, guardar e colccio- °s exemplares com caracteres morfológicos novos, até que seu número seja “^tante elevado e permita proceder ao trabalho de sua sistematização segura. Queremos, entretanto, a titulo de um ensaio prévio e para não deixar por incompleto éste capitulo, estabelecer a seguinte tabela dos Geofilomorfos “ r< Enssil e dos países limítrofes: 45 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 202 Memórias do Institulo Butantan — Tomo XV SCHENDYLIDAE Genus: SCHEXDYLURUS Silvestri. 1907. Mitt. Xaturh. Mus. Hamburg 24:245.1907; Bról. & Ribaut — Buli. Sot Ent. France: 192.1911; Arch. Mus. Xat. 4 (5) :1 13.1912; Chamberlin - Bu- : - Mus. Harvard 58:195.1914. Schendyla Bról. (ad part. mas.) — Cat. My r - Brésil: 6.1909. 1. Schcndylurus lüderwaldi Bról. & Ribaut, 1911. Buli. Soc. Ent. France: 200.1911; Arch. Mus. Hist. Xat. 4(5) :1 17. 191- Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:196.1914. Hab . : Rio de Janeiro: Campo Itatiáia; Arredores da Capital de São Paul° 2. Schcndylurus backcri Chamb., 1914. Buli. Mus. Harvard 58:196.1914. Hab.: Manáos. Foi capturada apenas uma fêmea. 3. Schcndylurus pcrdilus Chamb., 1914. Buli. Mus. Harvard 58: 198.1914. Hab.: Paraíba: Independência. 4. Schcndylurus gounellei (Brõl.), 1902. Schendyla gounellei Bról. — Ann. Soc. Ent. France 71:685 1902; Myr. Brésil: 6.1909. Schcndylurus gounellei Brõl. a Ribaut — Arch. Mus. Hist. Xat. 4(5) 1912; Chain. — Buli. Mus. Harvard 58:200.1914. Hab.: Estado de São Paulo: Alto da Serra e Fazenda Xova Xicarágu 3 - 5. Schcndylurus paulista (Brõl.), 1903. Schendyla paulista Brõl. — Revista Museu Paulista 6:83.1903; Cat. Brésil: 6.1909. Schcndylurus paulista Chamb. — Buli. Mus. Harvard 58:200.1914. 4G w, OLFGANG Bücheiíl Estudos morfo-anatôraicos sobre Geofilomorfos neotrópicos 203 Hab.: Estado de São Paulo: Poço Grande e Alto da Serra. Xo tocante a muitos caraterísticos morfológicos, esta espécie é parecida com Seh. g ou n dl ei, de maneira que pode bem ser que seja apenas uma variedade da última. ó. Sehendylurus brasilianus (Silvestri), 1897. Nannophilus brasiliamis Silv. — Ann. Soc. Ent. Belgique 41:346.1897. Sehcndyla brasiliana Brõl. — Cat. Myr. Brésil 6.1909. Sehendylurus brasilianus Ciiamb. — Buli. Mus. Harvard 58:200.1914. Hab . : Brasil, sem indicação do local preciso. Chilopoden — 71 < 4/6): 379. 1938. Hab.: Iguapc. 7. Sehendylurus iguapensis Verhoeff, 1938. Studien, zur Kenntnis der Epimorphcn — Zool. Jahrb. Syst. 8. Sehendylurus dcindtoi Verhoeff, 1938. Ibidcm, 1938, Hab. ; Iguape. A respeito de Seh. brasilianus deve ser dito que a descrição original é tão ^ga que nem a posição genérica desta csjiécic pode ser garantida. Não c pro- Vav ri, porém, que pertença ao gênero Xannophilus. As 8 espécies mencionadas pertencem ao subgénero: Sehendylurus, s. J/r., U, ° é: as mandíbulas apresentam uma folha dentária dividida em lamelas, cm °P°sição ao outro subgénero Schendylotyn Ciiamb., 1926, da América Central, ^ Hue as mandíbulas apresentam unu folha dentária uniforme, indivisa. Seh. iguapensis e dcmdloi foram descritas depois de ter sido publicado o ,fa halho geral sobre os Geofilomorfos de Attems: Das Tierreich 52, Licfg. 1929, 'kvendo ser, segundo a chave sistemática desta obra. incluídas sob o número 8 ^ Pag. 74, portanto ao lado de Seh. labbanus Ciiamb. e Seh. Iropieus Brõl., ,r *ias possuidoras de peneiras porosas uniformes mesmo nos estemitos poste- r *° r *s e de uma peneira ]>C([uena taml>ém no esternito do primeiro par de patas. duas espécies de Verhoeff distinguem-se da de Chamberlin pelo fato de os >CUs poros ventrais estarem agrupados em quasi todos os estemitos cm duas áreas ‘^Paradas (também em tropieus), enquanto que os poros ventrais de labbanus ^ ,,a Mb. apresentam apenas uma única peneira arredondada, presente do pri- rtlClr ° até ao penúltimo esternito. 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 20 1 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Genus: ADEXOSCHEXDYLA Brõl. 4 Ribaut, 1911. Buli. Soc. Ent. France : 1 93. 1911; Nouv. Arch. Mus. Hist. X' 3t 4(5): 192.1912. Os caraterísticos morfológicos principais indicam um certo parentesco co* tre êste gênero e o gênero Pectiniunguis. O gênero Adcnoschcndyla é exclusi' 0 da América tropical e subtropical, sendo até o ano de 1915 conhecidas do Brai' 1 4 espécies e uma subespécie. 9. Adcnoschcndyla parahybac Chamb., 1914. Buli. Mus. Harvard 58:202.1914. Hab.: Paraíba: Independência. 10. Adcnoschcndyla plusiodonta (Attems). 1903. Pectiniunguis plusiodontus Attems — Zool. Jahrb. Syst. 18 : 193. 1903- Chambcrlin — Proc. Acad. Xat. Sei. Phil. 654.1904. Adcnoschcndyla plusiodonta Brõl & Ribaut — Xouv. Arch. Hist. Xat. 4(5)' 106.1912; Chamb. — Buli. Mus. Harvard 58:203.1914. Hab.: Blumenau, Estado de Sta. Catarina e Rio Xegro, Estado do Para a 3- 11. Adcnoschcndyla imperfossa (Brõl.), 1901. Schcndyla imperfossa Brõl. — Rev. Museu Paulista 5:41.1901 : Cat. Mí*' Brésil : 6.1909. Adcnoschcndyla imperfossa Brõl a Ribaut — Xouv. Arch. Mus. Hist. N 3 *' 4(5) :107. 1912; Chamb. — Buli. Mus. Harvard 58:204.1914. Hab.: Rio Xegro. Estado do Paraná e Brasil, sem determinação do local- 11a. Adcnoschcndyla imperfossa bolbonyx Brõl. * Ribaut, 1911. Nouv. Arch. Mus. Hist. Xat. 4(5) :108. 1911 ; Chamb. — Buli. Mus. H<» r vard 58: 204. 1914. 43 "ulfgang Bücherl — Estudos morío-anatômicos sôbre Geofilomorfos neotrópicos 205 12. Adcnoschendyla gcayi Brõl. & Ribaut, 1911. Buli. Soc. Ent. France: 219.1911; Nouv. Arch. Mus. Hist. Nat. 4(5) :10S. '512; Chatnb. — Buli. Mus. Harvard 58:204.1914. Hab . : Estado do Amazonas e Guiana brasileira. Genus: BRACHYSCHEXDYLA Brõl. 13. Brachyschendyla pectinata Attems, 1934. Zool. Anz. 107(11/12): 311. 1934. Hab.: Petrópolis, Estado do Rio de Janeiro. Attems não indica o número de exemplares que recebeu do Brasil ; a descri- porém indica tratar-se apenas de um único exemplar macho. Êste fato pa- ‘^e-nos interessante, porque os caracteres morfológicos da nova espécie aproxi- lr ‘ at n-na indiscutivelmente dos Branquischendilideos europeus, mediterrâneos, P^napalmente de B. motiodi Brõl., apcnninorum Brõl. c monoeci Brõl., csj>é- C3ís estas, cujas mandíbulas apresentam folhas dentárias separadas em diversos bIo c°s. A espécie neotrópica distingue-se das últimas apenas pela garra terminal segundos maxilares, que apresenta numerosas ccrdas enfileiradas nos dois ^os, enquanto que nas outras espécies ai existe nenhuma cerda ou no mãxi- 8,0 1-2. Presumimos, portanto, princii>almcnte também por causa do habitat tratar- * de uma espécie importada. Genus: THALTHYBIUS Attems, 1900. Zool. Jahrb. Syst. 13:139.1900; 18:183.1903; Chatnb. — Buli. Mus. Har- 58:204.1914. Subgenus: PRIOXOTHALTHYBIUS Bbõu, 1909. Arch. Zool. Exp. et Gen. 3 (5) :334. 1909. 14. Thalthybius (P.) perricri Brõl., 1909. Buli. Mus. Hist. Nat.: 1.1909; Chatnb. — Buli. Mus. Harvard 58:204 1914. Hab.: Estado do Amazonas e Guiana brasileira. Chatnbcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:205, menciona a espécie Geophilus Meinert — Natur. Tiddskr. 4(3) 72.1870, aduzida também sob o 47 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 206 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV mesmo nome por Bròlemann — Cat. Myr. Brésil: 4.1909, dizendo que certamente não se trata de uma espécie do gênero Geophilus , família Gcophilidac, mas antes de uma espécie pertencente aos gêneros Thallhybius ou Schcndylurus. O citado autor dá a seguinte descrição: "The anal legs are unarmed; the last ventral plate very wide with pores on coxopleurae said to be absent by Meinert but no doubt to be found after proper treatment with potash as has been shown to be true with various species of Schcndylurus , which at first very considered to lack the pores; the prostemum and joints of prehensors unarmed, the claws ot the latter not surpassing the front margin of the read; pairs of legs 67”. Esta descrição de fato exclue a possibilidade de tratar-se de um verdadeiro Geophilus, mas como não foi encontrado até hoje nenhum novo espécime ator» o de Meinert ( hab Lagoa Santa), a questão não poderá ser elucidada melhor- Oryidae Genus: ORPHNAEUS Meinert, 1870. Myr. Mus. Haunicnsis 1:17.1870; Proc. Amer. Phil. Soc. 23:230. 11> V ' Zool. Jahrb. Syst. 18:200.1903; Vcrhoeff — Bronn’s Tierreich 5:294.1903’ Brõl. — Cat. Myr Brésil: 5.1909. Chamb. — Buli. Mus. Harvard 58:205.1°^' Chotnatobius Humb. & Sauss. — Rev. Mag. Zool.: 205.1870; Brõl. — - C a! ' Myr. Brésil: 3.1909; Humb. & Sauss. — Miss. Scient. Mex. : 145.1872. 15. Orphnacus branneri Chamb., 1914. Buli. Mus. Harvard 58:205.1914. Hab. : Natal, Estado do Rio Grande do Norte, Rio Negro, Estado do Parafl* 16. Orphnacus brevilabiatus (Newp.). 1844. Geophilus brevilabiatus Newp. — Trans. Linn. Soc. London 19:463.13^' Geophilus lincatus Newp. — ibidem ; Geophilus guillcmini Gervais — Insect. Aptères 4:311.1847; Chotnatobius brasilianus Humb. a Sauss. — Rev. Mag. Zool.: 205 . 1 3^ Miss. Scient. Mex.: 146.1872; Brõl. — Cat. Myr. Brésil: 3.1909. Orphnacus brasiliensis Meinert — Myr. Mus. Hauniensis 1 :20. 1 3^ Proc. Amer. Phil. Soc. 23:232.1886; Bolltnann — Proc. U. S. Nat. 11:337.1888: Brõl. — Mem. Soc. Zool. France 13:92.1900: Ann. Soc. £-’’‘ 48 % olpoang BÜCHERL Estudos morfo-anatõmicos sòbre Geofilomorfos neotrópicos 207 F rance 71:652.1902; Zool. Anz. 26:178.1903; Rev. Mus. Paulista 6/1.1903; dttems — Zool. Jahrb Syst. 18:201.1903; Brõl. — Cat. Myr. Brésil: 5.1909. Orphnacus brcvilabiatus Pocock — Joum. Linn. Soc. London 24:472.1893; F i°l. Centr. Americ. Chilopoda: 40.1895; Chamb. — Buli. Mus. Havard 58 : 208.1914. Orphnacus brasiliamis nigropictus Attems — loc. cit. :203. Hab.: Rio Grande do Norte, Paraíba. Amazonas, Pará, Pernambuco, Rio ^ Janeiro, São Paulo (zona araraquarense). 17. Orphnacus porosus Vkrh., 1937. V crh. — Über einige Chilopoden aus Australien und Brasilien-Zool. Jahrb. *( 1/2) :15. 1937. Hab . : Minas Gerais. O exemplar-tipo encontrou-se no meio de uma série * e -Miriápodos, enviados pelo prof. Mello Leitão, então do Museu Nacional, ao ^Pecialista Verhoefí. Verhocff in op. cit. 1937 parece desconhecer o trabalho de Chaml>erlin, de ^4, pois enumera todas as espécies, conhecidas até o ano de 1937, descrevendo novas, sem que fizesse menção da espécie O. branneri Chamb., 1914. Em ^uida o autor estabelece uma chave sistemática das 7 espécies do gênero Or- ''■nacus (sem incluir branneri), em que deixa como válida a espécie O. brasilianus & Sauss., 1870 e 1872, enquanto que Chamberlin, 1914, prova a sino- r,!n *a entre a última e O. brcvilabiatus. Attems in Das Ticrreich 52.1929, ao caraterizar o género Orphnacus, vale-se ^bém dos paratergitos como fator especifico importante, enquanto que passa alto a conformação gonopódica dos machos e das fémeas, que indubitavel- I ** etlt e constituc um caraterístico mais importante. Muito l>em salienta Vcrhocff cit.) que os paratergitos constituem um fator especifico muito ambiguo, ^ do à sua grande variabilidade em indivíduos de idades, tamanhos c estados ^ntração diferentes. Pelos exames realizados nós pudemos ver que nem /"Pt* é possível chamar as dobras que existem entre os tergitos c os pleuritos l^ratergitos. Quanto aos gonópodos deve ser notado que são tanto nos ^chos como nas fémeas biarticulados, não existindo nas fémeas o estemito ^Lgenital, sempre presente nos machos. Genus: NOTIPHILIDES Latzel, 1880. j, ^yr. Ost. - Ung Monarch. 1:20.1880; Zool. Anz. 3:546.1880; Mcincrt — , Uk - Amer. Phil. Soc. 23:233.1886; Attems — Zool. Jahrb. Syst. 18:233.1903; Cr,, °cff — Bronn's Tierreich 5 : 292.1908. 49 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 208 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 18. Notiphilidcs grandis Brõl., 1903. Rev. Museu Paulista 6:71.1903; Cat. Myr. Brésil: 4.1909; Chambcrlin •" Buli. Mus. Harvard 58:208.1914. Hab Manáos, Estado do Amazonas. E’ bem possível que a espécie, denominada por Cook de Heniorya longisfl' via (18%) e descrita de um modo muito vago e imperfeito, tenha sido exemplar, pertencente a esta espécie. Neste caso deveria prevalecer o non* de Cook como anterior a Notiphilidcs grandis Brõl.. 19. Notiphilidcs (V.) hasei Verhoeff, 1938. Chilopoden-Studien, zur Kenntnis der Epimorphen-Zool. Jahrb. Sv^ - 71(4/6) : 361.1938. Hab.: Puerto de La Cruz, Venezuela. Ao descrever esta espécie Verhoeff estabelece um novo subgénero " suelides. Os géneros Notiphilidcs Latzel, Pcntorya Cook e Titanophd ** Chamberlin apresentam os mesmos caraterísticos gerais como Vcnczuclid {S - isto é: pertencem a um só grupo de Oriideos, armado apenas com um tar^ uniarticulado nas últimas patas e com uma a três fileiras de paratergitos ^ tronco. Por conseguinte o citado A. acha que os três gêneros devem ser con>>' derados apenas como sendo subgéneros de Notiphilidcs (como também Vt* 1 " zuclidcs Verhoeff). MECISTOCEPHALIDAE Mecistocephalinae Genus: MECISTOCEPHALUS Newport. 1842. Proc. Zool. Soc. London: 178.1842; Trans. Linn. Soc. London 19 : 1844; Meinert — Xaturh. Tiddskr. 7 (3) :92.1870; Latzel — Myr. Ost. - U®-- Monarch. 1:160.1880; Mcincrt — Proc. Amer. Phil. Soc. 23:212.1886; Haast ^ Abhandl. Mus. Dresden 5: 100.1887. Lymnonyx Attems — Zool. Jahrb. Syst. 18^10.1903; Verhoeff — Bro^ r ‘ , Tierreich 5:273.1908. Mccistoccphalus Chamberlin — Buli. Mus. Han' 3 ^ 58:209.1914. 50 'Volfgang Bücherl — Estudos niorfo-anatòmicos sobre Geofilomorfos neotrópicos 209 20. Mccistoccphalus punctifrons Xewport, 1842. Proc. Zool. Soc. London: 179.1842; Trans. Linn. Soc. London 19:429.1844; •' leincrt — Xaturh. Tiddskr. 7(3) 57.1870; Chamberlin — Ent. Xew: 122.1913 B ull. Mus. Harvard 58:210.1914; Mccistoccphalus guildingi Xewport — loc. cit. :209 ; Meinert — loc. cit. :96; Latccl — Mitt. Mus. Hamburg. 12:101.1895 ; Pocock — Trans. Linn. Soc. London ^4:470.1893; At tons — Zool. Jahrb. Syst. 81:209.1903. Mccistoccphalus sulcicollis Tõmõsvary — Termes Füzetek 5 :64.1885. Lymnonyx punctifrons Attems — loc. cit. :211. Hab. : Manáos, Estado do Amazonas. Esta espécie, comum nas Índias Ocidentais e Bermudas, é rara no Brasil e Pode mesmo ser que tenha sido transportada de lá para os portos do Amazonas. ^Baniberlin, seguindo a sugestão de Meinert, uniu 3/. guildingi e punctifrons n uma só espécie. Genus: TYGARRUP Chamberlin, 1914. Buli. Mus Harvard 58:210.1914. 21. Tygarrup intcnncdius Chamberlin, 1914. Buli. Mus. Harvard 58:212.1914. Hab.: Guiana inglesa. GEOPHILIDAE Chilenophilinae Genus: SCHIZOXAMPA Chamberlin, 1914. Buli. Mus. Harvard 58:214.1914. 22. Schizonampa tnanni Chamberlin, 1914. op. cit. : 15. Hab. : Pará. Trata-se apenas de um único espécime, uma fémea. 51 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 210 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Gcnus: RIBAUTIA Brõlemaxn, 1909. Arch. Zool. Exp. et Gen. 3(5) :335.1909. 23. Ribantia botwieri Brol., 1909. Buli. Mus. Hist. Xat. : 7.1909; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:218.1914- Hab . : Amazonas e Guiana brasileira. Genus: TAIYUXA Chamberlin, 1912. Pomona College Journ. Ent. 4:661.1912; Buli. Mus. Harvard 58:218.1914- 24. Taiyuna australis Chamb., 1912. Loc. cit .: 661; Buli. Mus. Harvard 58:218.1914. Hab. : Guiana inglesa. O citado A. diz tratar-se de um exemplar, capturado em Washington no meio de plantas tropicais, vindas da Guiana inglesa. Genus: CH1LEXOPHILUS Attems, 1909. Os caraterísticos deste gênero ainda não foram fixados com muita nitidez, de maneira que persistem sérias dúvidas entre os AA. sôbre as fixação de novo 5 gêneros e subgêneros. Verhoeff ín Beitrãgc zur Systematik und Geographie der Chilopoden — Zool. Jahrb. Syst. 66 (1/2) :23. 1934, descreve uma espécie nova, estabelecendo ao mesmo tempo um novo subgênero: — Qucenslandophilus ( Chüenarca , n. subg) gcotschi Verh., 1934. Até êste ano conheciam-se apenas duas espécies d< Qucenslandophilus, a znridicans Attems do Japão e a sjòstedti Verii. de QuecnS" land. Ao descrever a terceira espécie Qu. gotschi Verhoeff faz a divisão d° citado gênero em Qucenslandophilus, s. str. e Chilenarca, n. subg.. Baseia esta sub" divisão nos seguintes carateres: Qneenslandofhilus. s. str. Estcmitos e hipocoxa inteiramente sem poros glandulares. Coxostemum das forcípulas com protu- berâncias pouco elevadas e muito obtusas. 41-45 pares de patas. Chilenarca. n. subg. Estemitos anteriores do tronco com po*** glandulares irregularmcnte espalhados, P d 11 cipalmente na metade anterior. Por 05 glandulares encontram-se igualmente f 1 * 5 duas porções da hipocoxa. Coxostemum das forcípulas em fre fllt com dois dentes agudos. 63 pares de patas. 52 ^olfgang Bücherl — Estudos morfo-anatômicos sõbre Geofilomorfos neotrópicos 211 25. Qucenslandophilus ( Chilcnarea ) goctschi Verh., 1934. Loc. cit.. Hab Zapellar, Valparaiso, Chile. A validade desta espécie Verhoeff mesmo, no ano de 1938, põe em dúvida, dizendo que depende de ulteriores pesquisas e confrontos com Chilenophilus c orralinus Attems, 1903. Ao mesmo tempo Verhoeff in über einige Chilopo- den des zoologischen Museums in München - Zool. Anz. 123 (5/6) :130.1938, ^imina o subgênero Chilcnarea. Ao mesmo tempo diz que o caraterístico, que separa os dois gêneros Chilcno- Philus e Qucenslandophilus e que, segundo Attems, consiste na presença ou ^séneia de poros nos estemitos e de labelos musculares na margem posterior d°s estemitos anteriores, não pode ser considerado mais como sendo genérico, ü ma vez que Queenslandophilus goctschi apresenta uma ponte de transição nítida, P^ncipalmente no tocante aos poros nos estemitos. Será melhor, portano, eliminar não só o subgênero Chilcnarea, mas também 0 subgênero Qucenslandophilus, s. str. e estabelecer em lugar do último um novo Sü bgênero Chilenophilus, s str.; Qucenslandophilus ( Ch .) goctschi Verh. passará, P°rtanto, a se chamar: Chilenophilus (Ch.) goctschi (Verhoeff), 1934. A espécie tipo para o gênero Chilenophilus Att., 1909, é o exemplar: ^ e °philus ( Pachymerium ) corralinus Attems, 1903 — Synopsis der Geophilo- ^"Then - Zool. Jahrb. 18(2) :253.1903. F. Silvestri in Zool. Jahrb. Supp. Fauna chilensis: 756.1905, tomou corralinus por sinônimo com Pachyme- r " u ‘í mille pune tatus Gerv.. O A., porém, errou, porque não examinou a cons- ,ru Ção morfológica diferente do coxostemum de ambas estas fornias. Verhoeff in Cber einige Chilopodcn des zoologischen Museums in Mün- — loc. cit., 1938. descreve uma nova variedade do goctschi. opinando que Q Ue cnslandophilus deveria ser considerado como sendo um subgênero de Chile- ^ PhUus . Ao mesmo tempo dúvida si Chilenophilus corralinus Att. e Quccn- ,l]n d ophilus goctschi Verh. não são de fato duas formas sinônimas. 25a. Chilenophilus gocschi porosus Verh., 1938. Zool. Anz. 123 (5/6) :128. 1938. Hab . : Olido, Chile. 53 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 212 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Genus: STIGMATOGASTER Verhoeff 26. Stigmatogastcr gracillima Verhoeff, 1938. Zool. Anz. 123 ( 5/6) :126. 1938. Hab Arredores de La Paz, Bolívia. Ainda que Verhoeff, na descrição desta espécie nova, se tenha valido apenas de um único exemplar macho, não deixa de ter, contudo, grande interesse p^ 0 fato de gracillima ser a primeira espécie neotrópica (até 1938) do gênero Stig> r -' 3 ' togastcr. Todas as espécies européias deste último apresentam paratergitos, au- sentes em gracillima. Distingue-se de Sligm. dimidiata por apresentar uma reen- trância muito profunda entre o tergito e as coxopleuras do último segmento <5° tronco, de Sligm. subterrânea pela ausência das cavidades ventrais e dos prepleu- ritos no último segmento do tronco. Direfe ainda de Mcinertophilus pelas p e ' neiras porosas ventrais. presentes exclusivamente na metade anterior do tronco e de Californ iphilus Verh. pelos poros glandulares no segmento das últimas pata-* abertos e espalhados a esmo (o primeiro apresenta três grupos glandulares nítidos- cobertos, dois ventrais e um dorsal). Chamberlin descreveu duas espécies norteamericanas : Sligm. grcnadac e u«" dacior. Pelo estudo atento da descrição da primeira pode concluir-se que 54 trata apenas de um indivíduo adolescente, cuja posição genérica é muito dúbia- (26 nuns. de comprimento com 67 pares de patas). . Sligm. audacior é muito diferente de gracillima, apresentando 97 pares & patas, peneiras porosas em quasi todos os estemitos, etc Si a espécie de \ erhoeff dará ou não lugar à criação de um novo subgênet 0 ou gênero, dependerá de um maior número de exemplares e de ulteriores confronto 5 morfológicos, principalmente no tocante às mandíbulas, sóbre cuja construs 3 ° Verhoeff nada diz. A PH I LODOXTINAE Genus: MECISTAUCHENUS Bról., 1907. Brasophilus Brõlemann — Buli. Soc. Ent. France: 283.1907 ; Verhoeff ^ Bromn’s Tierreich 5:286.1908; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:208.19^ 27. Mecislauchenus micronyx Brõl. (1901). Aphilodon micronyx Brõl — Rev. Museu Paulista 5:46.1901; Cat. Mvr. B rr sil: 3.1909. Mecislauchenus micronyx Brõl. — Buli. Soc. Ent. France :283; Chantbe d** — Buli. Mus. Harvard 58:209.1914. Hab . : Rio Negro, Estado do Paraná e Brasil, sem determinação do loc^' 54 Wolfgang Bücherl — Estudos morfo-anatòraicos sòbre Geofilomorfos neotrópicos 213 Genus. APHILODOX Silvestri, 1898. Comm. Mus. Xac. Buenos Aires 1:39.1898; Altems — Zool Jahrb. Syst. j 8:215.1903; Verhoeff — Bronn’s Tierreich 5:279.1908; Silvestri — Boll. Lab. Zool. R. ^ Agricol. Portici 4:53.1909; Chamberlin - Buli. Mus. Harvard 58:209.1914. 28. Aphilodon augustatus Silvestri, 1909. Rend. R. Accad. Lincei 18(3) :269; Boll. Lab. Zool. R. Sc. Agricol. Portici *•^6:1909; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:202.1914. Hab.: Zona araraquarense. Estado de São Paulo, Mato Grosso. Argentina e Paraguai. Genus: MECOPH1LUS Silvestri, 1909. Rend. R. Accad. Lincei 18(5,1) .-268.1909; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58; 209. 1914. 0 29. Mccophilus neotropicus Silvestri, 1909. Coc. cit 269. Hab.: Iguassú, Estado do Paraná. CONCLUSÃO O presente trabalho apresenta um confronto mor f o-anatómico de 5 generos Geofilomorfos neotrópicos, com a finalidade: L°) de emendar e esclarecer o que a obra de Verhoeff - Bronn’s Tierreich ^'01.1902-1926 — deixou ambiguo c indeciso. Para êste fim escolhemos justa- ^'e os gêneros neotrópicos, porque sóbre estes nada foi relatado, tendo Vcr- ç * f f se ocupado apenas com Mecistocephalus. Scolioplancs, Chaetechelyne, e °Philus , Himontarium, Bothriogastcr e Stigmatogastcr. 2. °) apresentar aos estudiosos a necessária literatura sóbre os Chilopoda h'n orpha , quasi totalmentc desconhecidos entre nós. 3. °) de fornecer uma noção resumida, mas tão completa e aprofundada i : ^to nos foi possível, sóbre a morfologia e anatomia comparadas dos Gcophilo- ^ 0r Pha, baseando-nos nas 12 espécies mais conhecidas c comuns que. em parte f ' r *in estudadas vivas e em parte após a fixação e coloração, em preparados 55 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 214 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV totais, pardais e em cortes. Xo capítulo sôbre a embriologia ralemo-nos o3 descrição de Verhoeff ( op . cit.), porque, apesar de esforços parientes, não conseguimos ovos embrionados dos espécimes vivos. Foram estudados espedalmente o esqudeto quitinoso externo, as glândula 5 ventrais, o sistema nervoso, os órgãos digestivos e drculatórios, o teddo gordo* roso e a musculatura. Xo esqueleto quitinoso externo constatamos maior flexibilidade do que n° dos Scolopcndromorpha, sendo a endocuticula a camada mais espessa. Xa ep** derme constatamos numerosíssimos ninhos glandulares, prindpalmente na zona dos esternitos e ainda as matrizes dos pêlos. Xo estudo das glândulas ventrais chegamos à conclusão que existe rel3Çã° fisiológica reciproca entre o núcleo e o plasma de cada célula glandular, fato ês* e análogo ao já constatado em inúmeros insetos. Quanto à formação dos canan glandulares excretores, rimos contribuírem células epidérmicas vizinhas. M paredes internas destes canais são revestidas por uma camada exocuticular fi' 13 - No sistema nervoso vimos já uma certa unipolarização morfológica; vfi neuropilema de natureza essencial mente fibrilar, principalmente nos conectivo» e nas comissuras. Constatamos ainda a primitiva duplicidade dos gânglios ventra 15 dos Geophilomorpha pela presença de uma “fosseta” longitudinal mediana coP* agrupamentos e células ganglionares típicos, de maneira que o gânglio aparei como que separado em duas metades. Nos órgãos digestivos è digna de nota a disposição muscular externa, sefl^ que no intestino anterior existem 2-3 camadas musculares: na zona esofage 30 * são 3: uma camada musculosa longitudinal por fora. uma longitudinal mais fra^ por dentro e uma circular forte de permeio; na outra zona do intestino anteri° r as camadas musculosas são apenas duas, tendo desaparecido a camada longitu^' nal interna, para estar presente de novo perto da transição entre o intestino 3!V terior ao médio. Xo intestino médio existem apenas duas camadas musculosas, a circu' jf por fora e a longitudinal por dentro. O epitélio do intestino médio é visto r nós como sendo de natureza essencialmente glandular. Constatamos igualme 0 **’ ao longo da parede externa do epitélio, a presença de “ninhos de regeneraçã 0 das glândulas epiteliais, agrupados dos dois lados ao longo de um lume e ating’ 01 ' com sua base a membrana própria. Xo intestino posterior vimos reaparecer a camada muscular longitudi n ' externa, de maneira que a disposição muscular é idêntica à do esôfago. Con 5tí * tamos também que as papilas retais formam duas camadas celulares distin'^ uma interna com núcleos muito grandes e uma externa, paralela à intima, ^ núcleos pequenos e enfileirados. 56 ^oifgang BCcuerl — Estudos morfo-anatômicos sôbre Geofilomorfos neotrópicos 215 Quanto aos órgãos circulatórios constatamos que não é possível estabelecer unt limite nítido entre o vaso dorsal propriamente dito (camaras pulsáteis ou fração”) e a aorta cefálica, que forma continuação direta do primeiro, sendo a penas a “muscularis” da aorta mais fraca do que a das câmaras cardíacas. ^ 'mos os “ostíolos” como sendo canais estreitos, a atravessar a “média”, a presentando suas paredes elementos homogêneos. Nas imediações do “seio pcrineural” constatamos traquéolas em número especialmente elevado. Dentro 'k hemolinfa podemos distinguir leucócitos pequenos, redondos, com núcleos í^indes e leucócitos muito maiores (“amebocitos”), células gordurosas e, ainda lüe rarissimas vêzes, porções microscópicas de tecidos flutuantes. Diferenciamos o tecido gorduroso em uma camada visceral, que rodeia o tubo disgestivo, sendo mais espessa nas zonas em que os feixes musculares dos ^taineros são mais fracos e mais reduzidos, onde os últimos são mais fortes, c uma carr ‘ada parietal, muito menos desenvolvida do que a primeira e localizada ao lon ?o das paredes internas do tegumento cutâneo, principalmcnte por entre as kcunas das origens e inserções musculares. Quanto à musculatura constatamos o fato interessante da existência de um l riofragma (Krause’sche Linie) nos campos claros (faixas) das fibras, segundo 45 diferentes zonas do tronco. Vimos igualmente que a origem dos músculos n ° tegumento nunca é direta (como acontece em alguns insétos, principalmcnte 1)04 estados larvários), sendo estabelecida sempre por meio da epiderme que 0r nia “tonofibrilas” ou se diferencia em formações dc natureza tendinosa. < ^ Ua nto à disposição da musculatura constatamos feixes intersegmentares, a c ° r rcr através de mais de um metamero, e feixes segmentares, restritos sempre 4 üni só metamero. quer do segmento principal, quer do segmento intercalar. No t ° Car Ue à espessura prevalecem os feixes dorso - c ventro-longitudinais inter- * t £ n 'entares. retos ou um tanto oblíquos; em segundo lugar vêm os feixes dorso- e íe ntro-longitudinais segmentares c em terceiro lugar os feixes dorso - e ventro- f“feurais e estemo-subcoxais. No tocante ao sislettui respiratório realizamos pesquisas sôbre o átrio, o cálice ^dgina. sôbre os pêlos no fundo do cálice e a formação do crivo e sôbre a ^hirc/a dos feixes musculares que determinam a al>ertura ou o fechamento do ^' 'gma. chegando à conclusão de que Yerhoeff não teve razão, quando qualificou elementos musculares como lisos (conf. op. cif.). 4.° de apresentar a sistemática dos Geofilomorfos do Brasil e paises limí- ,r °fes dentro do limite possível por ora e sem pretensão de querer esgotar o Ptaito. ^ Os Geofilomorfos do Brasil pertencem a 4 famílias: Schendylidae. Oryidae, tc **tocephalidae e Gcopltilidac, com 16 gêneros c 29 espécie, sendo as últimas s ribuidas geograficamente como segue : 57 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 216 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Venezuela: Notiphilidcs hasei Bolívia : Stigmatogaster gracillitna Chile: Chilenophilus goetschi Chilenophilus goetschi porosus Guiana inglesa: Tygarrup intermedius Taiyuna australis Guiana brasileira: Adenoschcndyla geayi Thalthybius (P.) pcrricri Ribautia bouvicri Paraguai : Aphilondoii angustatus Argentina : Aphilottdon angustatus Brasil : Schendylurus brasilianus Adenoschcndyla imperfossa M ccistauchcnus rnicronyx Sta. Catarina: Adenoschcndyla plusiodonta Paraná : Adenoschcndyla plusiodonta Adenoschcndyla imperfossa Orphnacus branneri M ccistauchcnus rnicronyx Mccophilus ncotropicus 58 w *°Lígang BCcherl — Estudos morfo-anatòraicos sôbre Geofilomorfos 1 ncotrópicos 217 I Paulo: Schendylurus lüderwaldi Schendylurus gouncllei Schendyluru s paulista Schendylurus iguapensis Schendylurus demelloi Adenoschendyla itnpcrfossa bolbonyx Orphnaeus brevilabiatus Aphilondon angustatus • J de Janeiro: Schendylurus liidenvaldi Brachyschendyla pectinata Orphnaeus brcznlabiatus ta 'o Grosso : r 1 Aphilondon angustatus Gerais: Orphnaeus porosus *^aiha: Schendylurus perditus Adenoschendyla parahybae Orphnaeus brevilabiatus r, ^ímbuco : Orphnaeus brczzlabiatus : Orphnaeus brevilabiatus Schisonampa tnanni 1 ^ande do Norte: 1 Orphnaeus branneri 1 Orphnaeus brevilabiatus \ ‘ " l^onas: * 1 Schendylurus backcn 1 Adenoschendyla gcayi '■ 59 cm 2 3 SciELO 10 11 12 13 14 15 218 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Thalthybius (P.) perrieri Orphnaeus brevilabiatus N otiphilides grandis Mccistocephalus punctifrons Ribautia bouvieri. É necessário dizer que esta distribuição geográfica deve ser considera<3*j apenas como sendo relativa, pois estados inteiros ainda não foram aproveitad^l e mesmo nas outras zonas os achados foram mais ou menos ocasionais. OP\ tudo, pode-se acentuar desde já a manifesta predominância dos Escolopend^l morfos na fauna brasileira e entre os Geofilomoríos a do género Schendyl* f **\ Adcnoschcndyla e Orphnaeus. ZUSAMMENFASSUNG In der Klasse der Arthropoden wird es schwerlich eine andere Ordnu^ geben, deren Studium schwerer ist ais das der Geophilomorphen. Die Grú nu * dazu sind sehr vielseitig. Einerseits ist die phylogenetische Stellung inner- 1 ' der Tausendfüssler noch keineswegs bis in die letzten gcncra und selbst Fa® r lien ganz sicher gestellt: sodann enthãlt gerade diese Ordnung viele Gattunr** und Arten, die sehr unvollstãndig beschrieben worden sind, so dass sie h<® - bei der praktischen Unmõglichkeit die Typen aufzufinden, ein grosses Hinde»* für Neubeschreibungen bieten, andererseits aber dennoch nicht einfach ais mina nuda abgetan werden kónnen. Was die neutropische Zone und Brasilien anbetrifít, so kommt noch eine ncue Schwierigkeit hinzu, " die der systematischen Sammlung der Geophilomorphen. Nach der bi-hctV geographischen Yerbreitung der Geophilomorphenarten zu urteilen. bevorz'^ sie cntschieden die fcuchtwamien Wãlder Amazoniens, und gerade diese G*®* sind es, die dem Forscher ãusserts wenig zugãnglich sind. Obwohl das Institut Butantan, zusammen mit dem Museu Nacional • n , de Janeiro, schon õber eine ziemlich ansehnliche Geophilomorphensarofl 1 * verfügt, ist das Material vorderhand doch nicht hinreichend, eine neue matische Überprüfung nebst Neubeschreibungen von Gattungen und Arte® eine absolut sichere Arbeit zu machen Aus diesem Grunde habe ich absichtlich vermieden, im systematis^ Teile diescr meiner Arbeit meine Beobachtungen anzuführen, um sie > wenn das mir zur Verfügung stehendc Material reicher geworden ist, > n besonderen Arbeit niederzulegen. jni'- ^ Vorliegende Arbeit will einen vergleichenden morphologisch-anatof Beitrag der neutropischen Geophilomorphen liefem, zur Bekrãftigung Ve ri in Bronn’s Tierreich 63-101. 1902-1926. 60 cm SciELO 0 11 12 13 14 15 16 "Olfgang BCcherl — Estudos morfo-anatômicos sôbre Geofilomorfos neo trópicos 219 Es wurden dabei von mir folgende gencra mit folgenden Spezien berück- s »chtigt : Gcnus : Schcndylurus mit Sch. hidcnvaldi Sch. paulista Sch. gounellei und Sch. pcrditus; Genus : Adcnoschcndyla mit A. plusio douta A. imperfossa und A. parahybac; Genus : Orphnacus mit Gcnus : Notiphilides O. brcvilabiatus, der weitestverbrciteten Art Brasi- liens, und 0. branncri; mit iV. grandis; Genus: Mecistauchcnus mit M. microttyx ( syn . Aphilodon micronyx Brõl.) ; Genus : Aphilodon mit A. angustatus. 2um systematischen Teilc dieser Ausführung lag mir auch die Mehrzahl der ^ f ' rI angeführten Arten vor. Vorliegende Arbeit wurde in der Absicht geschrieben. dem Studierenden auch dem Spezialisten cinen kurzgefassten, aber dennoch vollstãndigcn und ^ódlcgenden Begriff auf vergleichend morpliologi sch-anatomischcr Basis zu Aus diesem Grande wurden gerade die 12 hãufigsten Geophilomorphen- * r,en Brasilicns und der umliegenden Lãnder gcwnhlt und zuni guten Teile ■^dig. zu einem anderen Teile in makroskopischen Total- und Partialprãparaien ^d in mikroskopischen Serienschnitten in Richtung der Lãngs- und Ouerkor- ^aehse studiert. r>a es mir nicht mõglich war, trotz vicler Mühen. cmbrvonicrtc Eier zu ^iten (auch liei Arten nicht, die ich mehrerc Monate in Kãfigen hielt und G1 2 3 4 SciELO cm 10 11 12 13 14 15 220 Memórias do Instituto Butantan Tomo XV die viele Eier legten), stützte ich mich im Kapitel "Über die Embryologie” auf Verhoeffs Ausführungen ( conf . op. cit.). Ich richtete mein Augenmerk hauptsãchlich auf das Aussenskelett, die Ven- traldrüsen und ihre Funktion. das Xervensystem. den Yerdauungs- und Cirkula- tionsapparat, das Fettgewebe und die algemeine Kórpennuskulatur. Was den Bau des Rumpfes anbetrifft, musste ich feststellen. dass die vo® Attems in seiner Geophilomorphenbearbeitung so hàufig angeführten “Parater* gite" kaum ais primãre. Spezien differenzierende Merkmale angesehen werde® kõnnen. sondem hõchstens im Zusammenhange mit anderen Merkmalen ah sekundãre Indizien für «lie Artbeschreibung zu l>etrachten sind; denn es handelt sich «labei um Hautfalten, die je nach Alter und Grõsse ein und desselben Tiere» sehr an Form und Dicke wechseln und in liestimmten Fállen nur ais sehr zwei- felhafte wirkliche Sklerite angesehen werden konnen. über die Funktion des letzlen Bcinpaarcs konnte ich liei lebendigen Tiere® einige genauere Untersuchungen anstellen. Wàhrend die grossen Skolopendre® ihr letztes Beinpaar immer erhoben tragen und dem Gegner ais Yerteidigung»' waffe drohend entgegenstrecken, ziehen die Geophilomorphen l>ei Berührung ihr* Beine gleich Fõhlem ztirück oder suchen sie zu verstecken. So bildet das letztf Beinpaar l>ei ihnen sozusagtn ein Paar hinterer Antennen. Diese Tat sache findet ihre leichte Erklàrung darin, dass die Tiere fast immer in schmaK * 1 Gãngen faulen Holzes oder trockener Erde lelnm und somit nicht die Mõglichked haben. ihren Kõrper nach Belieben zu wenden «xler l>ei Gefahr mit dem Kopf* voran zu entfliehen. Durch die morphologischc Ausgestaltung der Endbei®* wird ihr Hinterende gegebenen Falles zum Vordcrende. Mehrere Male kon® tf ich l>eol)achten wie die Tiere auf diese Weise die Flucht ergriffen, das heis 5 ' 1 tiefer in den schmalen Gang des Kãfigs eindrangen. Beim Studium des Chitinskelettes fiel mir eine viel grõssere Beweglichked und Biegsamkeit des Kòrpers auf. ais das l>ei den Skolopendren der Fali > 5t ' Tatsãchlich sind die einzelnen Schichten. die das ãusscre Kõrperintegume ® 5 bilden. verhãltnismãssig diinn, wol>ei jedoch die “Endocutiaila” ihre vollc Stãrke errcicht. Die Epidermis der Geophilomorphen ist , immer einschichtig und gewinnt & den Stellcn. an welchen die “Cutícula” Vorsprünge bildet, sehr an MãchtigkeW so dass der Eindnick der Mehrschichtigkeit entsteht. Beim Studium «ler Bauchdràscn ist vor aliem die l>edcutende Grõsse aut' 3 ‘ lend. die vou der ventralen Epidennis bis zum Dar me reicht. Die Bauchdrüs ^ 11 werden von der Grundmembran. die sich an diesen Stellen von der Epiden®** losgelõst hat und weit ins Innere vorgerückt ist. eingehüllt. Bei den von ®' : ' untersuchten Arten sind nur sehr selten vereinzelte Bauchdrüsen anzutreff^' 62 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 'VOLFGAXG BÜCHEBL Estudos morfo-anatômicos sobre Geofilomorfos neotrópicos 221 Un d auch da nur an den Grenzstellen zwischen den Steniosubcoxalpleuriten und den eigentlichen Stemiten. Jede Bauchdrüse besteht aus etneni langen Ausführkanal, woliei icli sah. da>s an seiner Bildung die benachbarten Epidenniszellen mitbeteiligt sind, eineni Halsstück, das bei vielen von mir uutersuchten Arten bedeutend erweitert ist, Ull 'l deni eigentlichen Drüsenkõrper. Die Ausführgãnge der Drüsen liegen K e 'vòhnlich sehr enge zusammen und niünden in Forni eines feinen Sielies an der Oberflãche aus. Der Plasmattil des Drüsenkõrpers liesitzt elienfalls liedeutende Grõsse, "obei der Kern fast imnier ani Grunde der Zelle leicht an die Wand gepresst ^scheint. Nur in ganz seltenen Fãllen konnte ich beobachten, wie der Kem ^h vome verschoben wird und in die Xãhe des Halses zu liegen kommt. In dieseni Falle handelt es sich fast inuner um weniger entwickelte Drüsen. Durch verschiedene \ r ersuche an lebenden und sofort fixierten Tieren war 64 mir niòglich, die rege physiologische Wechselwirkung zwischen Kem und ^asnia festzustellen, woliei deutlich drei Phasen der Sekrethildung und Entlee- unterschieden werden kõnnen. Ani Nervensystem konnte schon eine gewisse Unipolarisierung im morph >- '^'schen Sinre festgestellt werden. Das Neuropileni ist fast ausgesprochen fif) rillãrer Xatur, so hauptsãchlich an den Connektiven und Kommissuren. ^ettso konnte ich liei allen untersuchten Gcophilomorphenarten noch die primi- ,ly e Duplizitãt der Bauchganglien feststellen. Sie ist ausgedrückt durch die *genwart eincr Lángsrinne, erlage. Die Zellen sind hier weisslich und werden von dünnen, bindege- e ^igen Membranen eingehüllt. Ihre Kenie sind sehr klein, so dass sie im ^roskopischen Bilde kaurn sichtbar geinacht werden kònnen. Iin Innem des ‘‘plasmas befinden sich Kügelchen. Trõpfchen oder Kõmchen, die in einer Flüssigkeit schweben. Zwischen den einzelnen Zellen kommen grosse ^uolen vor. Beim Muskelsystem der von mir untersuchten gtnera konnte ich feststellen, Y*® ^' c quergestreifte Muskulatur meistens kein oder nur ein Telophragnia im ^ at- -^l )er es kommen auch vereinzelte Biindel im Innem des ^‘«rs vor, die 2 Telophragmen auíweisen. Die Muskeln entspringen niemals ■• 1 : f, Win, am Kõrperintegumente, sondem immer an der Epidennis, die viele Tono- e n und Sehnen ausbildet. ^'rein Verlauíe nach unterscheiden sich die Muskeln in mtcrsegmentãre ^scgmcntãre Bündel. Erstere vereinigen immer ein Haupt- und ein Zwischen* ^nt. und zwar so, dass das Zwischen segment seine Selbststãndigkcit beibe- *}' Ich untcrscheide gerade und schieíe dorsale und ventrale intcrsegmentãre ^gsbúndel. L -^uch die segmentãren Bündel, die sowohl dem Hauptsegmcntc wie auch Zwischen segmenten für sich zukommcn, sind gerade und schiefc. I Ui Studium des Respirationssystnr.es widmetc ich mich besonders dem des Stigmenkelches. s iner Innenwandung und den cuticulãren Haargebil- ^ sc,ncm Fundus, und den FibriUen, welchc die Offnung and Schliessung Ij ^‘'íhnenkelches vcrursachen, wobei ich feststellte. dass Verhoeff ( conf. op. ) 'li esc Elemente fãlschlich ais glatte Fa^-rn l>cschricb. |L bn systrmatischtn Teile dieser Arbeit babe ich vorlãufig versucht, eine I „ ^fasste übersicht über die Artenzahl und ihre geographische Verbreitung l^^^dien und der umliegenden Lãnder zu geben, wobei ich mir vollauf * : "'i bin, dass dieser Versuch nur einleitend sein kann. wcil es zur Zeit iqsJ ^ unmõglich ist, einen systematisch vollstãndigcn Schlüssel ülier die ^ r °pischen Geophilomorphenarten und Gattungcn auszuarbeiten. zumal auch, i»Y^ e Typen der in den letzten Jahren neu beschríebenen Arten fast aus- ç "l'ch in den Sammlungen Europas und Xordamerikas aufbewahrt werden. (Trabalho do Laboratório de Zoologia Médica do Instituto Ru- tantan. Entregue cm maio de 1941 e dado i publicidade em janeiro de 1942.) 65 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 Mera. In*t. Rutantan '•lfgang BCchehl Geofilomorfos Xeotrópicos Vol. XV — 1941 F.g. 5 Adtttoscktndyla púrahybúr CHAMBERL1X: 1 Weurito* cora pata» c» quatro pJeunto* enfileirado» j^ta pleurito* couis pleuritc e»t>eraal procutelo pleurito dor*o-lonfitudmal preterfito terei to SciELO "olfgang Blcherl — Geofilomorfos Seotrópicos Mero. Inst. Butantan VoL XV — 1941 Fig. 6 Adtnoschxndyla farakybae CHAMB. : Pleurito* (Oi números correspondem ao» da Fig. 5) Fig. Cc útaMfhenus mxcronyx BROL. ( Aphilodon micronyx BROL.): Esqueleto cutâneo c epiderme Wo; 2 — célula tricógena; 3 — epiciticula: 4 — exocir*y*ula; 5 — endocuticula com as ca madas lamelares; 6 — epiderme; 7 — músculo». SciELO cm 10 11 12 13 14 15 olfgang BCcherl — Geofilomorfos Xeotrópicos Mem. Inst. Butantan Vd. XV — 1941 Fig. S Glândula» ventrais . Wadulas «entrais ou esternitica» tão o resultado do uma transformação profunda da» células cpitrliai». ^* Bt »ndo fort emente em volume, deslocaramse para o interior do tronco, levando diante de »i a basal. O» canai» que estabelecem a comunicarão entre o corpo da célula secretora e a cutícula tão longos e apresentam um alargamento vesicular dentro da endocuticula. SciELO cm 2 3 5 10 11 12 13 14 15 Mem. Inst. Butantan 'olfgang Bücherl — Geofilomorfos Xeotrópicos Vou xv — mi Fig. 9 Corte esquemático pela região cefálica. 1 2 3 4 5 6 11 7 S 9 10 12 13 14 15 — Pleura — Músculos transversais supero- pleurais — Músculos longitudinais súper o- externos — Traqueia — Músculos longitudinais supero- internos | — Vasos de Malpighi — Esófago — Cadeia ganglionar ventral — Aorta cefálica — Colar sang. esofageano — Tergito — Est emito — Glândulas v entrais 16 — Músculos borixontais l SciELO Mem. Inst. Butantan Vol. XV — 1941 ^olfgang BCchebl — Geofilomorfos Xeotrópicos Fig. 10 Sckmdylurus fcriitnx CHAMB. (Fig*. 101 5) Corte esquemático para (região esofageana) estuda da mu*cu!aiura — Músculos longitudinal» supero-mterao» — Músculos longitudinais infero-internos — Músculos transversais súpero-centrais — Músculos transversais inftrocentrais — Músculos transversais súpero-medianos — Músculos transversais infero- medi anos — Músculos transversais súpero pleura is 8 — Músculos transversais infero-pleurais SciELO cm 10 11 12 13 14 15 VoL XV 1941 Mccistauchenus micronyx Brõl. (Apliilodon inicronyx Brõl.). Micro foto 1 # lrin*vcrMl «la tona esofageana. \ endo-se l»cm no centro o* órgãos interno* . No lado inferior as glândulas ventrais. Microfoto 2 t tr *n* versai pda zona do intestino posterior com umt parte do tabo digestivo. «los órgão e «los concetivos da cadeia ganglionar ventral. SciELO cm 10 11 12 13 14 15 'Volfgang BOciiehl — Geofilomorfos Seolrópicos VI em. In»t. Butanian VoL XV 1941 Microfoto 3 anterior do intestino médio: no centro e*tá o tul» digestivo e sóbre o momo o coração com as 11 pericardiacas. No lado inferior do tubo digestivo vi mw um gânglio nervoso com o ncuropilcma no centro e a camada da» célula» ganglionares ao longo do* tordos externo». — O» órgãos genitais, rodeados por elemento* musctdare» e traqucola». Microfoto 4 t*'te do epitélio do intestino médio, vendo-»* »» célula» «ecretora». grinulo» * bolha» d* secreção. O lado externo do intestino médio é delimitado por músculo» cireulare» e longitudinais. 21 cm SciELO Hem. Inst. Butantan “olfgang Bücherl — Geofilomorfos Xeotrópicos Vol. XV — 1941 Mtcrofoto 5 ****<» do intestino medio: o corpo adiposo forma um anel etn redor do tubo digestivo. O» quatro feixes da musculatura longitudinal formam igualmente um circulo. Microfoto 6 ncitudmais em mu»cuiares feixes > deslocou periferia. corpo adip direção « P°»terkw do intestino medio: SciELO cm Man. Inst. Butantan 'Volfgang Bücherl — ueof iloinorfos Xeotrópicos Vol. XV — 1941 Microfoto pelo alargamento vesicular elo» raso» malnighsaiv ^ (no lado superior à esquerda). Xo lado inferior o* órgão» genitais, rodeado» ror elementos musculares e traqucola». cm SciELO 595.628 CATÁLOGO DOS QUILÓPODOS DA ZONA NEOTRÓPICA POR WOLFGANG BÜCHERL O sistema adotado no presente trabalho é o seguinte: OPISTHOGONEATA Chilopoda Subclasse: Notostigmophora Veshoeff 1. Ordem: Scutigcromorpha Pocock. 1902 Pag. 1. Família: Scutigeridae Veshofff 268 1. Subfamília: Seutigerina * Veshoeff 268 2. Família: Pselliophoridoe Veshoeff 268 ' Subclasse: Pleurostigmophoro Vebhoeft 1. Ordem: Anamorpha Haase, 1880 Subordcm : Lilhobiomorpha Pocock Superfamílía : Chorisopleura Veshoeff 273 1. Família: Lithobüdae (Newp.) 273 Superfamílía: Dtstnopltura Veshoeff 275 1. Família: Anopsobiidae Attems 275 2. Família: Henxcopidat Attems . . 275 2. Ordem: Scolopcndromorpha ( Epimorpha ) Pocock 1. Família: Scoloptndridae Pocock 281 1. Subfamília: Scoloptndrinac Ksaei-elin 281 1. Tribu: Seohptndrini Attems 281 2. Tribu: Asanadini Attms 305 2. Subfamília: Otostigminar Ksaepelix 305 1. Tribu: Otostigmini Attems ... 306 2. Tribu: Arrhobdotini Attems 318 2. Família: CryploH^t Veshoeff 319 A. Subfamília: Cryptopinac Attems 319 1 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV B. Subíamília: Theatopsinae (Verhoeff) .. C. Subfamília: Scotopocryptopiruu Attems 3. Ordem: Gcophilomorpha Pocock 1. Familia: Schcndylidac Verhoeff A. Subfamília: Schendylinae Cook B. Subfamilia : BoUophilinae Cook 2. Família: Oryidac Cook Subfamília : Oryinae Cook 3. Familia: Mccistoccphalidac Verhoeff Subfamília : Mecistoceplialinae Attems 4. Familia: Geophilidae (Xewpoxt) 1. Subfamilia: Chilenophilinac Attems .... 2. Subfamilia: Geophilinae (Verhoeff) ... 3. Subfamilia: Pachymcrinac (Verhoeff) . 4. Subfamília: Aphilodontinac (Siuestri) . cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 ÍNDICE SISTEMÁTICO OPISTHOGOXEATA ** : Chilopoda. p ag • Subclasse: Notostigmorphora Voa., 1901 268 1. Ordem: Scutigeromorpha Pocock. 1902 268 1. Família: Scutigeridae Verhoeft, 1925 268 1. Subfamília: Scutigerinae Verh. ch. cm. 1925 268 • Gênero: fírasiloscutigera BCcherl, 1939 268 1 fírasiloscutigcra viridis BCcherl, 1939 268 2. Família: Pselliophoridac Verhoeft, 1925 268 • Gênero: Brasilophora BCcherl, 1939 268 2. Brasilophora margaritata BCcherl, 1939 268 3. Brasilophora paulista BCcherl, 1939 268 Espécie dúbia: P selliophora nigrorittata Meixert, 1886 Subclasse: PUurostigmophora Verhoeft, 1901 1. Ordem: Anamorpha Haase, 1880 2. Subordem: Lithobiomorpha Pocock, 1902 2. Supcrfamilia: Chorisoplcura Verhoeff, 1925 1. Família: Lithobiidae (Newfort), 1844 Gênero: Lithobius Leach, 1814 4. Lithobius forficotus (L.), 1758 5. Lithobius (L.) platcnsis Gervais, 1847 Gênero: Atethobius Chamberljn, 1915 6. Atethobius mirabilis Chamberlix, 1915 7. " scutiger Verhoeft, 1934 Gênero: Mexicotarsus Verhoeff, 1934 8. Mexicolarsus sulcatus Verhoeft, 1934 Gênero: Lobochaetotarsus Verhoeft, 1934 9. Lobochaetotarsus dampji Verhoeft, 1934 Superfamília : Desmoplcura Verhoeft, 1925 1. Família: Anopsobiidae Attems, 1911 Gênero: Catanopsius Sh.vestri, 1909 10. Catanopsius chilcnsis SlEVESTRl, 1909 269 272 272 273 273 273 273 273 274 274 274 274 274 274 274 274 275 275 275 275 3 SciELO 25 i Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 2. Gênero: Anopsobius Silvestri, 1889 11. Anopsobius productus Silvestri, 1889 12. ” pathagonicus Sn. ves nu, 1889 2. Família: Henicopidae Attems, 1911 1. Gênero: Lamyctes Meinert, 1868 13. Lamycles inermipes var. pacijicus Silvestri, 1905 2. Gênero: Paralamyctcs Pocock, 1901 14. Paralamyctes chilensis Gervais. 1847 2. Ordem: Scolopendromorpha (Epimorpha) Pocock, 1895 1. Família: Scolopendridae Pocock, 1895 1 . Subfamílía : Scolopendrinae Kraepei.in, 1903 1. Tribu: Scolopendrini Attems, 1914 Pi? 1. Gênero: Scolopcndra L„ 1758 .... 15. Scolopcndra 15a. 2S1 viridicornis Xewport, 1844, s. str. m var. viridicornis BOcherl, 1939 ” nigra Bücherl, 1939 subspinipes Leach, 1815 subspinipes Leach, 1815 explorans Chamberlix, 1914 tnorsilans 1... 1758 arthrorhobdoidcs Ribaut, 1914 altemans Leach, 1814 giganiea L., 1758 arma ta Kraepelin, 1903 robusta Kraepelix, 1903 viridis (Say), 1821, gen. Verhoeff, 1834 .. ” polymorpha Wood, 1861 " viridis (Say), 1821 ” var. viridis Kraepei.in, 1903 " var. maya Sacssure, 1860 . - “ storkáni Verhoeft, 1934 " var. storkáni Verhoeft, 1934 ” var. ouaymas Verhoeff, 1934 ” var. tropica Verhoeft, 1934 ” laguncnsis Verhoeff, 1934 aztecorum Verhoeff, 1934 octodentata Verhoeff, 1934 angulata Newport, 1844 ” angulata, n. subsp hirsutipes Bollmanx, 1893 crudelis Kocn, 1847 heros Girard, 1853 ” var. heros Girard, 1853 ” var. castaneiceps Wood, 1861 sumichrasti Saussure, 1860 pomacea Koch, 1847 pachygnatha Pocock, 1895 cm SciELO L0 11 12 13 14 15 16 w, olfgang Bücheri, — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 255 Pag. Espécies dúbias: Scolopendra anomia Newport, 1844 296 appendiculata Daday, 1891 296 ” cubensis Saussure, 1860 296 melinonii Lucas, 1853 296 viridis Kohlrausch, 1881 297 nicaragucnsts sanatillae Bollmann, 1893 297 Gênero: Arthrorhabdus Pocock. 1891 ' 297 34. Arthrorhabdus spinifer (Kraepeun), 1903 297 35. " pygmaeus (Pocock), 1895 297 Gênero: Cormocephalus Newport, 1844 298 a) Subgènero: Cormocephalus (Newport), 1908 298 36. Cormocephalus (C.) mediosulcatus Attems, 1928 298 37. ” (C.) bonaerius Attems, 1928 298 38. " (C.) impressus Porat, 1876 298 38a. " (C.) ” unimarginatus, n. subsp 299 38b. ” (C.) " var. neglectus (Chamber- us), 1914 299 39. " (C.) amasonae (Cu amberun), 1914 .... 299 40. ” (C.) vcnezuelianus (Brõlemann), 1898 . 299 41. " (C.) brasíliensis Humbert & Saussure, 1870 300 42. " (C.) ungulatus (Meinert), 1886 300 43. " (C.) andinus (Kraepeun), 1903 300 44. " (C.) aurantiipes (Newport), 1844 300 Espécie dúbia : Cormocephalus pallidum Sievestri, 1899 301 b) Subgènero: Hemiscolopendra Kraepei.is, 1903 301 45. Cormocephalus (H.) chilcnsis (Gervais), 1847 301 46. " (H.) michaelseni (Attems), 1903 302 47. " (H.) lãevigalus Porat, 1876 302 48. " (HJ platei (Attems), 1903 302 Ç«nero: Rhoda Meisert, 1886 303 49. Rhoda thayeri Meinert, 1886 t 303 50. ” calcarata (Pocock), 1891 303 50a. " " calcarata, n. subsp 304 ^TWro: Scolopendropsis Brandt. 1841 304 51 . Scolopendropsis bahiensis Brandt, 1841 304 2. Tribu: Asanadim Attems, 1914 305 ^ero: Asanada Meinert, 1886 305 52. Asanada socotrana Pocock, 1899 305 53. " philipina CiiaMberlin, 1921 305 2. Subfamília : Otostigminae Kraepelin, 1903 305 1. Tribu: Otostigmini Attems, 1930 306 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 2Õ6 Memórias do Instituto Hutantan — Tomo XV 7. Género: Otostigmus Porat. 1876 a) Subgènero: Coxoplcurotostigmus BCcherl, 1939 54. Otostigmus (C.) cavalcanti BCcherl, 1939 b) Subgènero: Dactylotergitius Verhoeff, 1937 55. Otostigmus (D.) caudatus Brõlemann, 1902 c) Subgènero: Ecuadopleurus Verhoefe, 1937 56. Otostigmus (E.) insignis Kraepelin, 1903 57. ” (E.) silzvstrii Kraepelin, 1903 57a. ” (E.) ” silvestrii Kraepelin, 1903 ... 57b. ” (E.) " intermedius Kraepelin, 1903 d) Subgènero: .• Indrotosligmus Verhoefe, 1937 58. Otostigmus (A.) scabricauda (Humb. & Sauss.), 1870 58a. tf (A.) ” dcmelloi (Verh 59. tf (A.) rcx f Chamberlin, 1914 . . 60. ff (A.) pococki Kraepelin, 1903 . . . 61. tf (A.) goeldii Brõlemann, 1898 . . 62. (A.) claznfer Chamberlin, 1921 . 63. ** (A.) brunncus Chamberlin, 1914 64. n (A.) fossulatus Attems, 1928 c) Subgènero: Parotostigmus (Pocock), 1896 65. Otostogmus (P.) pradoi BCcherl, 1939 66. " (P.) tibialis Brõlemann, 1902 . 67. " (P.) biirgeri Attems, 1903 68. “ (P.) longistigma BCcherl, 1939 69. ” (P.) longipes BCcherl, 1939 ... 70. ” (P.) limbatus Mei.vert, 1939 ... 70a. " (P.) ” limbatus BCcherl, 71. ” (P.) suUatus Mejnert, 1886 .... 72. " (P.) incrmis Porat, 1876 73. " (P.) kretãi BCcherl, 1939 74. ” (P.) amasotuii Chamberlin, 1914 75. " (P.) tidius Chamberlin, 1914 ... 76. " (P.) casus Chamberlin, 1914 ... 77. ” (P.) muticus Kassch, 1884 78. " (P.) dolosus Attems, 1928 79. " (P.) spiculifer Pocock, 1893 80. " (P.) denticulatus Pocock, 1896 .. 81. ” (P.) suitus Chamberlin, 1914 .. 1939 8. Gênero: 1870 nuda (Xewport), 1845 " nuda (Xewport), 1845 " immarginata (Porat), 1876 .. riograndensis BCcherl, 1939 . longipos (Xewport), 1845 ” longipts (Xewport), 1845 brasilicnsis Kraepelin, 1903 :. rubra BCcherl, 1939 .. }V cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Büchhki. — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica iai Pag. 2. Tribu: Arrhabdotini Attems, 1930 318 Género: Arrhabdotus Attems, 1930 318 , 86. Arrhabdotus octosulcatus (Tõmos váry), 1882 318 2. Família: Cryptopidae Verhoefe, 1906 319 A. Subíamília: Cryptopinac Attems. 1930 319 Género: Cryptops Leacii. 1815 319 a) Subgênero : Cryptops Leach, 1815 320 87. Cryptops (C.) triscrratus Attems, 1903 320 88. " (C.) patagonicus Meixert. 1903 320 89. ” (C.) monilis Gervais, 1849 320 90. ” (C.) micras Chambeblix, 1922 320 91. ” (C.) heathii Chambeblix. 1914 221 92. ” aises tropicais e subtropicais muito [wuco conhecidos. Contudo, também aqui se apre- sentam muitas falhas na boa sistemática, sendo que quasi nunca foram levados em consideração os órgãos genitais externos nos Escolopendri- deos e Otostigmineos, de maneira que os machos e as fêmeas só podem ser distinguidos por meio de cortes pelos tergitos, fato êste muitas vêzes omitido pelos especialistas, para não estragar o último exemplar-tipo da nova espécie, como o próprio Verhoeff reconhece. ' t0 Philomorpha : Sistemática perfeita no tocante às familias e subfamilias, com exceção da família dos Geophilidac e de suas subfamilias. A siste- matização dos géneros e subgêncros, porém, está ainda em ampla evo- lução. com o acréscimo constante de novas espécies e subespécies. Tam- bém neste grujw as classificações foram quasi totalmente abandonadas. No tocante à zona neotrópica. Verhoeff insurge-se contra Attems e Chamberlin, declarando que éstes dois estabeleceram muitas vêzes gêne- ros insustentáveis perante uma análise critica. Quanto à fauna geofilo- moría do Japão e paises adjacentes, Yoshiki Takakuwa realizou estudos relevantes que parecem inutilizar em parte alguns gêneros e subgêncros de Verhoeff (Chileno philus. Queenslandophilus, Chilcnarca. etc.), como veremos a seguir. Após estas considerações de natureza geral, apresentamos algumas tabelas l ‘ t nativas sobre a ocorrência, o número e o registo dos Quilópodos: l- Existência de Quilópodos em todo o mundo, em 1940: Scutigeromorpha 50 espécies (mais ou menos) Lithobiomorpha 500 " (aproximadamente) Scolopendromorpha 550 Geophilomorpha 400 " (aproximadamente) TOTAL 1-100 espécies 15 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 266 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV II. Total dos Escolopcndromorjos em todo o mutido , em 1940 : Famílias Subíamílias Tribu Géneros Espécies cert. Espécies dúb- 2 5 4 28 350 63 III. Quilópodos registados na zona neotrópica: Famílias Irubfam* Tribu Gêneros SubfcÉi.rros Espécies Sabesp. Va Brõlemann: 1909 4 19 48 Chamberlin: 1914 10 28 t 68 Attems : 1929, 1930 6 12 4 41 14 14S Bücherl : 1939 4 8 4 33 — 70 10 Bücherl : 1941 11 14 4 52 24 188* 33 i (*) Scutigeromohpha 3 esp.; Lithobicmorpha 10 esp. ; Scolopendromorpha 123 tlr' Geophitomorpha 52 esp.. IV. Quilópodos registados no Brasil: Scutig. Lithob. Scolop. Geophil. Brõlemann — 1909 .. 1 1 35* 11* Chamberlin — 1914 .. 1 1 44* 22* Attems — 1929 e 1930 — — 47* 22* Bücherl — 1939 3 — 54* 13* " — 1941 3 1 ICO** 31* Total (*) Incluídas parcialmcnte as espécies dos países limítrofes. (**) Espécies, subespécies c raças — antigas e novas. V. Confronto entre os Quilópodos de todo o mundo, da zona neotr^f* c do Brasil: • Total Zona neotr. Brasil Scutigeromorpha 50 esp. 3 esp. 3 esP- Lithobiomorpha 300 " 10 " 1 Scolopendromorpha 350 ” 123 ” 100 Gcophilomorpha 400 " 52 " 31 Este novo catálogo apresenta em número de ordem todos os Quilópoóò* zona neotrópica. principalmente, porém, do Brasil e países limítrofes. mos emendar os catálogos de Brólemann e de Chamberlin; queremos outr°- 16 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgano BCcherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 267 ^taUrlecer caracteres novos para todas aquelas formas que analisámos e reconhece- is como insuficientemente descritas Desta maneira, cremos ser possivel incre- n *ntar mais entre nós a sistemática dos Quilópodos neotrópicos. Somos de ,J Pinião tratar-se de um êrro grave, quando os tipos das nossas espécies * encontram longe do Pais, inacessiveis a qualquer pesquisador nacional e êste -ro se torna mesmo imperdoável, quando, p. ex., um especialista estrangeiro apenas um único exemplar (como sóe acontecer muitas vèzes) e assim ^fcsnio cria uma nova espécie, retendo o único exemplar-tipo. Êste inconveniente Arreta grandes dificuldades para os cientistas nacionais, impossíveis ordinaria- ^te de serem removidas. Eis o motivo porque achamos oportuno em nossos tr »kdhos anteriores redescrever as espécies nossas só conhecidas pelos especia- k J tas estrangeiros, principalmente quando os tipos estão guardados nas coleções *^ r Opéias ou norte-americanas. Quanto aos tipos que se encontram em nosso ***** citamos nominalmente a coleção nacional, o número e o local da procedência tipo, de maneira que qualquer cientista nosso tenha acesso a êstes documentos sistemática. Io 2.0 3.o to 3.0 O material que serve de fundamento ao presente catálogo é o seguinte: A coleção quilopódica do Instituto Butantan, com 823 Quilópodos, enu- merados numa série de 356 fichas sistemáticas ; — A coleção quilo pódica do Museu Paulista, com 79 Quilópodos mais ou menos, sistematizados parcialmente ainda pelo benemérito H. W. Brò- lemann e servindo, juntamente com o material que o citado pesquisador levou consigo para a França, de base ao “Catalogo dos Myriapodos do Brazil, 1909”; A coleção quilopódica do Museu Nacional do Rio de Janeiro, com 237 Quilópodos, enumerados em 148 fichas sistemáticas; A coleção da Escola Agrícola de Piracicaba, com 18 Quilópodos, enume- rados em 16 fichas sistemáticas; A coleção quilopódica da Escola Paulista de Medicina, com 11 Quilópo- dos, enumerados em 11 fichas. j. As fichas sistemáticas de todas estas coleções, menos as do Museu Pau- . encontram-se no Instituto Butantan, São Paulo. Baseados nestes 1.159 ^^plares elaborámos o seguinte catálogo : 17 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 2G8 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV OPISTMOGONEATA 1. Subclasse: Notostigmophora Verhoeff, 1901 1. Ordem: Scutigeromorpha Pocock, 1902 1. Família: Scutigeridae Yerh.. 1925 (Sin. Scutigcrinac Yerh., 1904) 1. Subfamília: Scutigerinae Vkrh. ch. em. 1925 l.° Gênero: BRASILOSCUTIGERA Bücherl, 1939 — IV. Bücherl in Folia Clinica et Biologica (4):117. 1939; in M cnl Inst. Butantan 13:215. 1939. Genotipo: Brasiloscutigera z-iridis 1 . Brasiloscutigera z-iridis Bücherl, 1939 — IV. Bücherl in Folia Clinica et Biologica (4) :1 18-121. 1939; in M c! ” Inst. Butantan 13:216-226. 1939. Tipo e paratipos: (3 exemplares) na coleção quilojxklica do Instituto Butant* 11 sob os Nos. 89 e 142. Hiib.: Rio Grande do Sul. São Leopoldo. 2. Família: Pselliophoridae Yerh.. 1925 (Sin. Pselliophori' 1 ^ Yerh.. 1904; Bücherl. 1939) 2.° Gênero: BRASILOPHORA Bücherl, 1939 — IV. Bücherl in Folia Clinica et Biologica (4) :106. 1939; in Meni. l níl Butantan 13:203. 1939. Genotii>o: Brasilophora margaritata 2. Brasilophora margaritata Bücherl. 1939 — IV. Bücherl in Folia Clinica et Biologica (4) :107-1 12. 1939; »'i Inst. Butantan 13:204-209. 1939. MM Tipo e paratipos: 6 exemplares machos e fêmeas na coleção quilopódica Instituto Butantan sob os Nos. 41, 59. 88, 100 e 231. Hab.: Estado de São Paulo, Canchim, Tarnoio. zona Araraquarense c CaP 1 18 t» 1 - cm 2 3 SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 269 3. Brasilophora paulista Bücherl, '929 — IV. Bücherl in Folia Ginica et Biologica (4) :1 12-1 17.1939; «w Mem. Inst. Butantan 13:209-215. Tipo e paratipo: macho e fêmea na coleção quilopódica do Instituto Butantan sob os Nos. 50 e 77. ^ a b . : Estado de São Paulo, Ibarra. Presidente Epitácio e Capital. Espécie dúbia: Psclliophora nigrovittata (Meinert), i>Cu tigcra nigrovittata Meinert — Proc. Amer. Phil. Soc. 23:173 1886; Pocock — Biol. Centr. Amer. :650 1895; Brólcmann — Ann. Soc. Ent. F rance 71:650 1902; Cat. Myr. Brésil :34. 1909. scllioplwra nigrovittata Chamuerlin — Buli. Mus. Harvard 58:221. 1914. Segundo todos êstes autores, esta es])écie devia ser muito comum tanto em t(> lo o Brasil como especialmente nos Estados do Rio Grande do Norte. Paraíba, Grosso, Baía e Rio de Janeiro. Como. porém, não existe nenhuma redes- CT!< lão nova que obedeça às normas dadas por Verhocff e, como a caraterização ^ autores referidos é completamente insuficiente, julgamos melhor considerar * clliophora nigrovittata uma espécie dúbia. Segundo o nosso escopo de apresentar juntamente com o catálogo também ^ ligeiro traçado histórico da sistemática de cada grupo, acrescentamos o * e Ruinte : Em 1911 apareceu na Imprensa Universitária de Santiago de Chile o tra- lho de Carlos E. Porter: “Introduccion a! Estúdio de Los Miriópodos”, onde l^gina 52 se vê a seguinte nota a respeito da família Scutigcridae, 1905, Scuti- J ' r °» sp., Silvestri — Zool. Jahrb , Suppl. VI, 3:747: "El doctor Silvestri ha **° una Scutigcra en Talca. que no alcanzó a tomar, i recibió tambien ejem- Kai ' f es dei Salto, en tan mal estado, «pie tampoco ha podido determinar su especie. to hc tenido un cjemplar de Scutigcra, en mal estado, que recibí de Copiapó ^ r °v. Atacama). e que me dijeron corria de noche por una j»red blanqucada r/n cal.” Isto ê tudo que sabemos sõbre Escutigeromorfos neotrópicos. De 1911 para ^ as noticias sôbre o assunto são nulas. Após um trabalho muito “espinhoso”, C. Yerhoeff deu ao estudo desta sub- ^ i Ss ® um novo surto. Em “Bronn's Tierreich" (63-101 ) :224-231. o autor esta- ^ a sistemática dos Escutigeromorfos da seguinte maneira: 19 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 270 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 1. Subclasse : Notostigmophora Verh., 1901 Ordem única : Scutigeromorpha Pocock, 1902 Família única: Scutigeridae (Gervais, 1837) Latzel, 1880 1. Subfam. : Scutigerinae Verh., 1904 1 . tribu : Ballonemini Verh., 1904 Gêneros: Balloncma Verh., 1904 — Nova Guiné. Parascutigcra Verh., 1904 — Arquipélago de Bismarck. 2. tribu: Scutigerini Verh., 1904 Gêneros: Scutigera Lamarck, 1801 — Mediterrâneo, África, An*" rica do Norte. Lassophora Verh., 1905 — Ilha de Madagascar. 3. tribu: Thereuonemini Verh., 1904 Gêneros: Thcrcuoncma Verh., 1904 — Asia, Síria, Egito. Thcrcuopoda Verh., 1905 — Japão, Índia, Ceilão (con> 0 subgênero: Microthcrcua Verh., 1905 — China). Tachythcrcua Verh., 1905 — Marrocos. Orthothereiia Verh., 1905 — Austrália. Thcrcuopodina Verh., 1905 — Ceilão. Podothcrcua Verh., 1905 — Arquipélago de Bismarck. 2. Subfam.: Pselliophorinae Verh., 1904 Gêneros: Pselliophora Verh., 1904 — África, Congo, América Ce n* 1 ^ Sphcndoncma Verh., 1904 — Togo, Camerum. Gêneros dúbios: Scutigerina Silv., 1903 — África do Sul. Scutigeridcs Silv., 1903 — África do Sul. ( Silrcstrí in Redia 1:252-253. 1903). Em 1925. C. W. Verhoeff in Arkiv fõr Zoologi 17(3) :l-62. publi c ° u ■\in' seguinte trabalho: “Results of Dr. E. Mjòberg’s Swedish Expeditions to * tralia 1910-1913”, onde, após exame da rica colheita de Mjõberg, abandona V* ciai mente seu próprio sistema de 1904 e 1905. Elimina a família única de Gervais e Latzel, elevando as duas subfan 1 '^ de 1904 a famílias, e suprime a tribu dos Ballonemini de 1904, declarand 0 '1 ^ seu próprio método antigo de considerar os espinhos das áreas e das ma ar^‘ 20 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Blcherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 271 ' junto de todos êstes caraterísticos oferece sem dúvida uma ótima base para 3 diferenciação dos gêneros e das espécies. Nenhuma descrição dos antigos autores: Haase, Silvestri, Attems, Brõlí* mann, obedecia a estas normas, resultando dai o fato de que as espécies deser- tas por êstes e ainda mais dos anteriores a êstes, devem ser consideradas com° “nomina nuda” ou pelo menos como espécies dúbias, precisando ser revist* 5 novamente. Verhoeíf mesmo diz que todas as espécies descritas antes de 1925 não tS® valor sistemático nenhum. Quanto aos países tropicais, o autor opina que ^ encontrarão aí muitas formas novas, principalmente porque as descrições a!i:I gas são de todo insuficientes. 1936 — C. W. Verhoeff in Zool. Anz. 115(1/2) :1-18. publica um noV ° trabalho sõbre Escutigeromorfos (Kritische Untersuchung asiatischer Scutig cn den). referindo-se principalmente às espécies de Madagascar, publicadas in 0 f*® didier 27. 53. 1902, por Saussure e Zehntner. Trata-se de Escutigeromorfos '1-* se diferenciam de todos os outros pela construção especial de suas peças buca 11- Verhoeff reune-os nos dois gêneros: Madagassophora Verh., 1936, e TiierC**" priona Verh., 1936. Em seguida estabelece uma terceira subfamilia de Scutigcridac Verh.. 3. Subfam. : Scutigeridinae Verh.. 1936 Gêneros: Madagassophora Verh., 1936 Scutigeridcs Silv., 1903 O gênero Scutigerina Silv.. 1903. apresenta muita afinidade com o n °' gênero Thcrcuopriona Verh.. 1936. E’ êste. apresentado em traços ligeiros, o estado atual da sistemática Escutigeromorfos. No tocante à fauna neotrópica, certamente serão descobc^ ainda muitas formas novas, pois vastas zonas continuam ainda completam inexploradas. 2. Subclasse: Pleurostigmo^phora Verhoeff, 1 . Ordem : Anamorpha Haase, 1880, Verhoeff, 1901 1. Subcrdem : CRATEROSTIGMOPHORA Pocock. 1902 1901 22 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 'Volfgang Blcherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 273 l^àniília única: Craterostigmidae Pocock, 1 Gênero: CRATEROSTIGMUS Pocock, 1902 Tasmánia 2. Subordem : LITHOBIOMORPHA Pocock, 1902. 1. Superfamília : Cermatobina \’erhoeff, 1925 1. Família: Cermatobiidae Haase, 1887 Gênero: CERMATOBIUS Haase, 1887 (Recebemos um exemplar do porto de Santos, em mau estado, sendo im- ‘r°Hivel, portanto, proceder à classificação da espécie. Parecia-nos, porém, tra- í '*e de um Ccrmatobius, certamente trazido para o referido porto por via ^Útinia). ft 2. Superfamília : Chorizopleura Yerhoeff, 1925 1. Família: Lithobiidae Newport, 1844 Género: LITHOBIUS Leach, 1814 (Yerhoeff ch. ein. 1905) ^ ta di - — Trans. Linn. Soc. I-ondon 11:381.1814; Latzcl — Myr. Ost. - Ung. Monarch. 1:31.1880; Meinert — Proa. Amer. Pliil. Soc. 23:174.18Sâ; Yerhoeff — Bronn’s Tierreich 5 :239.1907. 4. Lithobius forficaíus (L.) . Scolopendra forficata L. — Syst. Xat. ed. 10, 1:638.1758. ^''bius jorficatus Stuxberg — Oefvers. Vetensk. Ac. Fõrh. 3:27.1875; ^cdrizci — Atti. oc. Ven. - Trenk. 5:205.1875; Latzcl — Myr. Ost. - ^-ng. Monarch. 1:57.1880; Meinert — Proc. Amer. Philos. Soc. 23:176. *886; Chatnb. — Buli. Mus. Harvard. 1914. °biiis parvolus Fedrizzi — loc. cit. :213; I ^ius trilineatus Brõlemann — Cat. Myr. Brésil. :33. 1909. M.. ’• Haia. (O exemplar determinado por Brõlemann não existe mais nas c oleções do Brasil, de maneira que é difícil dizer de que espécie se tratou f ! e fato. Cremos poder afirmar que certamente não era um Lithobius for- ficatus ou então tratava-se apenas de um exemplar introduzido por meio navios.) 23 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 274 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 5. Lithobius (L.)platcnsis Gervais Ins. apt. 4:237. 1847; Silvestri — Rev. Ch. Hist. Xat. 3:142. 1899; Zo*- I Jahrb. Suppl. VI, (3) :747. 1905; C. Portcr — Estúdios Elem. de Z* | Impr. Univers. Santiago :53. 1911. Hab. : Santiago, Chile. Esta espécie precisa ser analizada novamente à luz dos métodos mode Gênero: ATETHOBIUS Chamberlin Buli. Mus. Com. Zool. Harvard Col. 59 (8) :531. 1915; Verhocff — Zool. J 3 * 1 ^ Syst. 66 (1/2) :1-152. 1934. 6. Athcthobius viirabilis Chamberlin Buli. Mus. Com. Zcxj\. Harvard Col. 59 (8) :531. 1915; Verhocff — 4 Jahrb. Syst. 66 (1/2):1-152. 1934. Hab. : México 7. Atcthobius scutiger Verhoeff Zool. Jahrb. Syst 66 (l/2):91-92. 1934. Hab.: Chapingo Angelo, perto de México. Trata-se apenas de um único exemplar, macho. Género: MEXICOTARSUS Verhoeff Zool. Jahrb. Syst 66 (l/2):88-89. 1934. 8. Mc.ricotarsus sulcalus Verhoeff op. cit. :89. Hab.: Alguns exemplares, principalmente machos, capturados na regia° Paz. México. \> Gênero: LOBOCH AET OT A R SUS Verhoeff op. cit. :89. 9. Lobochactotarsus dampfi Verhoeff op. cit. :90. Hab. : Córdoba, México. Trata-se apenas de um único exemplar, macho, mas muito típico. 24 cm 2 3 SciELO LO 11 12 13 14 15 16 'Volfgang BÜcherl — Catálogo cios Quilópodos da zona neotrópica 275 3. Superfamília : Desmopleura Verhoeff, 1925 1. Família: Anopsobiidae Attems, 1911 Gênero: CATAXOPSIUS Silvestri Cn. Hist. Nat. 13 :211 1909; Verh. — Bronns Tierreich, Suppl. 1925. 10. Catanopsius chilensis Silvestri. cit.; C. Portcr — Est. Elem. Zool. Impr. Univers. Chile :54 1911. Chile. Gênero: ANOPSOBIUS Silvestri Ch. Hist. Nat. 3:143.1889; Zool. Jahrb. Suppl. 6(3) :750.1905; Verhoeff — Rronn’s Tierreich Suppl. V. 2:595-602.1925. 11. Anopsobius productus Silvestri f, f.; C. Portcr — Est. Elem. Zool. Impr. Univers. Chile :54. 1911. ; Temuco, Chile. 12. Anopsobius pathagonictts Silvestri 'f- cii . lggç. Vcrhocef — op. cil. '■ Patagônia. 2. Familia: Henicopidae Attems, 1911 Gênero: LAMYCTES Meinert, 1868 13. Laniyctcs incnnipcs var. pacificus Silvestri f ' j| - Jahrb. Suppl. VI (3) :748. 1905; C. Portcr — op. cit. :53. 1911. c,, icops incnnipcs Silvestri — Rev. Ch. Hist. Nat. 5 ( 3) :143. 1899. Talca, Coipué, Temuco: Chile. Gênero: PAR ALAM YCTES Pocock. 1901 14. Paralamyctcs chilensis (Gervais) Silvestri '"’ c °ps chilensis — In«. apt. 4:239. 1847; Gay — Hist. Fis. i Pol. de Chile. Zool. 4. 65. 1849; Silvestri — Rev. Ch. Hist. Nat. 3:142. 1899. ara hintyc/cs chilensis Silvestri — Zool. Jahrb. Suppl. VI (3):749; C. Portcr 25 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 276 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV — Est. Elem. Zool. Impr. Univers. Chile :53. 1911. Hab San Vicente, Chile. As citadas espécies dos 4 últimos gêneros precisam ser estudadas mais un- 3 vez, pois a subdivisão moderna dos Litobiídeos foi radicalmente mudada estudos de Attems e Verhoeff. Histórico das pesquisas sôbre Litobiomorfos: C. W. Verhoeff in Bronn’s Tierreich V.2:231-240 estabeleceu o segu> I,tc sistema dos Litobiomorfos: 2. Subclasse: Pleurostigmophora Verhoeff, 19^ 1. Ordem: Anamorpha Haase 1880, Verhoeff, 1901 1. Subordem: CRATEROSTIGMOPHORA Pocock, 1902 Família única: Craterostigmidae Pocock, 1902 Gênero: CRATEROSTIGMUS Pocock, 1902 2. Subordem : LITHOBIOMORPH A Pocock, 1902 1. Familia: Cermatobiidae Haase. 1887 Género: CERMATOBIUS Haase, 1887 2. Família: Lithobiidae Xewport, 1844 1. Subfamilia: Anopsobiinae Verhoeff, 1907 Género: AXOPSOBIUS Silvestri, 1899 2. Subfamilia: Lithobiinae Verhoeff. 1907 1. Tribu: Henicopini Verhoeff, 1907 (Hcnicopidac Sha' c ^ Géneros: Haasiclla Pocock, 1901 Lamyctes Meinert, 1868 Paralamyctcs Pocock, 1901 Hcnicops Xewport, 1844 2. Tribu: Lilhobiini Verhoeff, 1907 Géneros: Harpolithobius Verh., 1905 Bothropolys Wood, 1863 (e. p.) Verh., 1907- 26 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 St, Wolfgang Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 277 subg. : Probothropolys, Verh., 1907 Allobothropolys Verh , 1907 Eubothropolys Verh., 1907 Telobothropolys Verh., 1907 gênero: Polybothrus Latzel, 1880 (e. p.) Verh., 1907. subg.: Propolybothrus Verh., 1907 Allopolybothnis Verh., 1907 Eupolybothrus Verh., 1907 gêneros: Monotarsobius Verh., 1907 Lithobius Leach, 1814 (Verh. ch. em. 1905) i subg.: Pseudolithobius Stuxberg. 1875 Archilithobius ” ” Lithobius Eulithobius ” ” u *bcry — Oefvers. Vetensk. Ac. Fõrh. 3:1875. • Verhoeff in Bronn’s Tierreich Suppl. V, 2:595 etc., 1925, melhorou seu próprio sistema no sentido seguinte: *• Superfamília : Cermatobina Verh., 1925 (com a fam. Ccnnatobiidac ) 2. ” Chorizopleura ” ” ( ” ” ” Lithobiidae) 2. ” Desmopleura ’’ ” ( " as duas famílias Hcni- copidac e Anopsobiidac). A família Anopsobiidae Att., 1911 abrange os três gêneros: Catanopsius Silv., 1909, Anopsobius Silv.. 1899 e Dichclobius Att.,- 1911. . Os primeiros dois são da América do Sul, com as espécies já citadas (C. chi- A. productus c pathagonicus, encaradas por Vehroeff como sendo apenas '**** única espécie), e o último é da Austrália. A familia Hcnicopidac Att., 1911, abrange os seguintes gêneros: ^ Jfthobius Chamb., 1911 — Ann. Entom. Soc. Amer. 4, 1. * et hobius ^hobius ” ” " ” ” ” ij^tigrnatobius Silv., 1909 — Buli. Lab. Zool. Gen. et Agr. Portici 4 :47-50. 00,1 c Ha Pocock, 1901 27 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 278 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Hcnicops Newport, 1844 Paralamyctes Pocock, 1901 Plcotarsobius (Att.), 1911 / Verhoeff considera éstes dois gêneros como subg c * Marcianclla (Att.), 1911 { neros de Lamyctes Mein. Lamyctes Meinert, 1868. com os 3 subgêneros: Lamyctinus Sil\estrj, 1909 , j o j s su ijgêneros muito duvidosos ainda. IVailamyctes Archey, 191/ e t Lamyctes, s. str. Verh., 1925. Xo mesmo suplemento Verhoeff critica asperamente a R. Chamberlin écie da outra. (Enumeram- quasi que exclusivamente os espinhos dos dois últimos pares de patas. critério não vale nada, si nem siriuer são mencionados os artículos iarsai*- Verhoeff considera as 28 espécies como variações individuais. C. W Verhoeff in Archiv Naturg. 91(9) : 1 24. 1925. referindo-se aos ,f3 balhos de Attems — Akad. Wiss. \Vien 54 :141-lc7.1895 e Latzel — Chr i * __ Esastigmatobius Silv.. Verhoeff ( op. cit.) ajunta ainda o gênero Hcdi l,a Verh., 1934. 28 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wgang Bücherl - Catálogo dos Quilópodos da zona neo.rópica 279 àS f Pá8Ína t 87 - 89 ’ ref — « gêneros Atethobius tobi Us ‘ , ‘ W ! 1S * Lomp - ZooL Harvard CüI - 59(8) :531, e Disphac- ATTEMS ' deSCreVCnd0 em «Suid* d °« "ovos géneros da família LUkobiidae : Mexicotarsus Verh. — op. cit. :88 e V ""’ ~ ^ ^ CSpéCÍ “ n0 ” ! "■ «*■** « 5). numa inimidadc dc g?„cr<* ^c'r'sc “'i V uT ' ■”* ,livi!á0 * Sturdjerg, relativa, nente aos fc, , , ' ■ “ “ 'crhocd, os do,s autores procederam sem Irasc mortoló- i ■Kte.s “ T “"“f in,c - a,rib “ “S ««» gêneros no máximo o valor dc <«*„„ < CS " que só os seguintes géneros são realmente válidos: , Latzkl - I-' th °bi*S Leach, HarpolUhobius Verh.. Oranobius Verh ^ s' ? Monotarsobius Verh.. Apenas o último é um tanto duvidoso. Aliás, em trava como um subgênero de LUhobius. À página 187 far lo sobre AÍVfUttarsobius Verh., elevando-o de novo á categoria de V. Att r " Unmd ° nelc ° am, S° sub 8® ner o Monotarsobius e o grupo LM (e - P )- , que expõe bem'ks dificuldades da siste- Klho , S ^7 ,orfos - Critica ° s mé,odos fa,hf >*- referindo-se especialmente ao de B. Folkmanova _ Zool. Anz. 71(5/8) -181-192, 1927, cujos resultado, ^ de praticamente nulos. Kj LÍt ,° bÍ0m ° rf0S pCr,Cncem cm sua grande maioria à fauna do Velho onde preferem as regiões montanhosas, prindpalmente *J ,,U,t0 I>OUCOS Litobiomorfos, sendo que são mais frequentes outra vez Aliás, o estudo deste grupo é difidlimo e Vr 0 " U,gUe ?. Se Ihc te,n (Iedica,1 °- d e maneira que pode muito bem ser que | de especies nossas aumente ainda consideravelmente. 29 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 280 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV A coleção quiiopódica do Instituto Butantan possue até hoje 15 exemp'" 1 res de Litobiomorfos não determinados, sendo de notar que nós conseguiu** a reprodução de muitos exemplares, de maneira que temos à mão quasi todo* os estados larvários. Na coleção quiiopódica do Museu Nacional do Rio existem dois Litobiiie 05 indeterminados, procedentes de Montevideo e Jacarepaguá, respectivamente, mais 5 espécies européias determinadas, doadas àquele estabelecimento pelo es, 4 cialista Verhoefí. Trata-se dos seguintes paratipos: Lithobius forficaUis, proced. Europa; castancus, ” Croácia ; ” validus, Polybothrus faseiatus, ” Europa; ” leptodus ” Áustria. 2. Ordem: Scolopendromorpha ( Epimorpha ) PococK Biol. Centr. - Amer. Chilop. :13. 1895: Quart. J. Micr. Sei. 45:443. Verhocff — Bronn's Tierreich V, 2:242.1907; Altems — Arch. 80(4) :100. 1914; Kückcnthd — Handb. Zool. 4:369.1926; Ann. S- Mus. 26:80.1928; Das Tierreich Lief. 54, 2. Scolop. :1.1930; B iúdW- Mem. Inst. Butantan 13:227.1939. - - Ci l Scolopendrldac Newport — Tr. Linn. Soc. London 19:275,374. 1844. 184-' • ; Brit. Mus. Myr. :224.1856; Lalzel — Myr. õst. - Uug. Monarch. 1:1 ^ 1880; Haasc — Abh. Mus. Dresden 5:38.1887: Bollmann — Buli- A Mus. 46:164.1893; Bròlemann — Cat. Myr. Brésil :6 1909. r — '1&2. 1^^* * Scolopcndridac, stirfPo: 1 exemplar no Inst. Butantan, No. 2 (Proc. Vitória, Est. de S. ' aratipos. um macho e uma fêmea, na coleção do Inst. Butantan. tíob. : Vitória. Est. de S. Paulo, e Barra. Rio São 'Domingos. Paulo). 16. Scolopcndra subspinipes subspinipes Leach — Tr. Linn. Soc. London 11:383.1815; Brõlcinann — Cat. Myr. Brésil .-25.1909; Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:195.1914; Attems — Das Tierrcich 54. 2 Scolop. :29.1930; Büeherl — Mem. Inst. Bu- tantan 13:139,240. 1939. ^ exemplares no Museu Nacional. Rio de Janeiro. Nos. 12 e 90 (Proccd. Rio ^ Janeiro ** Maro Grosso). : Rio de Janeiro e Mato Grosso, Barra do Tapirapé. 16a. Scolopcndra subspinipes subspinipes ^■'■:cli — Trans. Linn. Soc. London 11:383.1815; Atlems — Das Tierrcich 54, 2 Scolop. :29.30; Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 13:240.1939. borbonica Blanchard. Guérin. Meníjville — Iconogr. Règne An , Inst. 12.1829-44. oudax Gervais — Ann. Sei. Nat.. ser. 2. 7:50. 1837; septemspinosn Brandt — Buli. Ac. St. Petersb. 7:152.1840; scxspinosa Newport — Ann. Nat. Hist. 13:96.1844; subspinipes, placcac, Genaisii, ceylonensis, planiccps. scxspinosa, ornata, flai'a, lutea — Tr. Linn. Soc. London 19:389-392.1845; ^ boinboccphalus gambiac — ibidetn :426.1845; nezeporti Lucas — Expl. Agérie, An. Artic. 1:343.1846; • subspinipes -f- gambiac -f- flava -f- seplcmspinosa -f- rarispina -f- Sandwi- ch iana placcac audax, Nnvportii + lutea -f- scxspinosa -f- ornata Gervais — Walkenaer Hist. Apt. 4:261-287.1847; üigantea, mactans. sulphurea, ferruginca Kocn — Koch-Panzer Krit. Revis. 3:155-157.1847. 33 284 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV X. byssina, gracilipcs, dinodon, ccphalica -f- var. gracilis, panidcns, atra, plu* 1 ' beolata Wood — Proc. Ac. Xat. Sei. Phila., 2. 5:31.1861. X. tnaclans, ferruginea, snlphurea, gigantea. ornata Koch — Myr. 1 et 2.1S63» X. byssina Wood — Tr. Anier. Phil. Soc.. ser. 2. 13:164.1865; X. elongata Porath — Ofv. Ac. Fõrh. 28:1143.1872; Porat — Bih. Svesk 3 Ak. 4(7) .13. 1876; Rhomboccphalns smaragdinus Bctler — Ann. Xat. Hist.. ser. 4, 17:446.18'°. Scolopcndra daninosa Koch — Yerh. Ges. Wien 27:789.1878; X. ilazicornis, z-ariispinosa, aurantipes Tõmõsvary — Termész Füzetek 9:67.18^' X. subspinipes, rugosa Meinert — P. Amer. Philos. Soc. 23:202.1886; X. subspinipes, meyeri, flavicornis -f- repens Haase — Abh. Mus. Dresd 60 (5) :49,50. 1887; 5". macracanthus Bollmann — P. U. S. Mus. 12:213.1890; X. subspinipes var. gracilipcs Daday — Termész Füzetek 14:149.1891; S. subspinipes var. mollcri Yerhoeff — Berlin. Entom. Ztschr. 39:199.18 o -- X. polyodonta Daday — Math. termész. Értes. 12:5.1893; X. utacliacropus Attems — Zool Jahrb. Syst. 13:136.1900; X. aringensis Sinclair — P. Zool. Soc. London 2:529.1901. Sinônimos incertos : X. bispinipes Wood — Journ. Ac. Xat. Sei. Philad. Y. 1863; X. nesuphila, ide** 1 » X. childreni Xewfort — Trans. Linn. Soc. London 19.1844; X. concolor, idefl 1 ’ Dc-Haani, idem ; tnermis, idem ; placcac, idem ; silhetensis, idem. X. fissiospina Kocii — Verh. Zool. Bot. Ges. Wien 60.1865; X. hórrida Koch — Halle, 1863; X. Unicolor Wood — Proc. Acad. Xat. Sei. Philad. 1861. X. lucasii Cervais — Ins. Apt. 1841 ; Redescrição de machos e fémeas: 8 exemplares no Inst. Butantan c 15 exeI ^ piares no Museu Xacional do Rio de Janeiro. (Inst. But. Xos. 31, 71, 175. * 177, 327 e 328). Hab.: Est. de São Paulo: Ouro Branco, Corumbatai, Mogi das Cruzes e ^ pitai: Sta. Catarina: Rio de Janeiro: Terezópolis; Mato Grosso: Barr3 Tapirapê. 17. Scolopcndra explorans àf> Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:192.1914: Attems — Das Tierreich $4 ' Scolop. :40.1930; Biichcrl — Mem Inst. Butantan 13:240.241 . 193° 1 15.1941. Hab.: Estado de Mato Grosso. 34 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfoang BOchekl — Catálogo dos Quilópodos da zona ncotrópica 285 In felizmente, não se encontra nenhum exemplar desta espécie nas 4 cole- is quilopódicas referidas, de maneira que não pudemos executar novos estudos Morfológicos nesta espécie. Opinamos, porém, como já Attems (op. cil.) avisou, esta espécie deva ser considerada como sendo uma subespécie de Scolopcn- ^ r ° angulata. Tivemos a oportunidade, por ocasião do estágio no Museu Na- c>0n al do Rio de Janeiro, de examinar uma série de S. angulata, descrevendo "Ma subespécie (S. angulata angulata) e comparando estas duas com a descrição rjr 'g:nal da espécie de Chamberlin. Chegámos à conclusão de que a afinidade ^re as formas é tão grande que será melhor citar a espécie de Chamberlin como ^bespécie, com o nome de Scolopcndra angulata cxplorans (Chamberlin). 18. Scolopcndra nwrsitans ^nr.c . — Syst. Nat, Ed. 10:638.1758; IFood — Tr. Amer. Phil. Soc., ser. 2, •3:161.1865; Meinert — P. Amer. Phil. Soc. 23:200.1886; Kracpclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:250. 1903; Fauna S. - W. - Australien 2:126. 1908; Brõlcmann — Cat. Myr. Brésil :19.1909; Rec. Austral. Mus. 9:54. 1912; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:194.1914; Attems — Das Tier- reich 54.2 Scolop. :24.1930; Bücherl — Mcm. Inst. Butantan 13:241.1939. [' n ‘ argirata Say — J. Ac. Nat. Sei. Philad. 2:109.1821 ; * "fandtiana + nwrsitans Gervajs — Ann. Sei. Nat., ser. 2. 7:50.51.1837; ‘ cr assipcs -f- platypus -f- limbata -}- crythroccphala -f- bilincata BraNDT — Buli. Ac. St. - Petcrsb. 7:153-155.1837; j' blíipcs -f- elegans Brandt — Buli. Ac. St. - Petersb. 8:22.23.1841. ' **Qchii -j- angulipes -f- platypoidcs + tubcrculidcns -f- longieornis + bilincata Newport — Ann. Nat. Hist. 13:97.1844; ' l 'ori a -(- tigrina -f- Leachii 4- longieornis + formosa -f Fabricii -f Richard- soni -}- angulipes -f platypoidcs Newport — Tr. Linn. Soc. London 19:378- •*85.1844; Heterostoma elegans 4 - julvipes Newport — Tr. Linn. Soc. ^•ndon 19:418.1845. *-*Qchii -f- fulvipcs -f- elegans -f- Fabricii -}- tigrina -f- formosa + tuber- c ulidcns + crythroccphala -f- bilincata -f- angulipes + Richardsoni 4 l 0 n- Oicornis -f- tongana -f- marginata 4- Prandtiana platypus platypoidcs .. + limbata -f varia Gervais — Walkenaer, Hist. Apt. 4:262-290.1847. t. ^ e Üa 4 . porphyrotainia Woon — P. Ac. Nat. Sei. Philad. :13.15.1861 ; I ‘" ) ssambica -f- brachypoda Peters — Reis. Mossamb. 5:527.1862. °dcsta 4- comprcssipcs Wooo — J. Ac. Philad., ser. 2. 5 :29,31.1862: j ^ a "ipes -f- infesta Koch — Myr. 2:57.58. 1863; (Qr inip cs 4- californica Humb. et Sauss. — Rev. Mag. Zool.. ser. 2. 22:204. 1870; 35 286 Memórias do Instituto Qutantan — Tomo XV S. picturaía -f intermedia ■+■ cognata afselii + Leachii + attenuata -f f \ sclla -f- chlor ocephala -j- IVahlbergi -f- saiíatoria -)- vaga Porath — ^ ,v ' Ak. Fòrh. 28:1144,1151; N. carinipes + platypus + califomica Sauss. et Humb. — Miss. Mex., Pari- a Sect. 2, :125, 127. 1872. 5. piatypus -j- inermis ? -J- longicornis -f- cognata — impressa Porat Sveska Ac. 4(7) :1 1,12. 1876. A. iopadusae Pirotta — Ann. Mus. Gênova 11:403.1878; Eurylithobius slatteri Butlkr — Phil. Tr. 168:499.1879; ò'. morsitans -f- Iopadusae Ko hera use h — Arch. Naturg. 47:101.1181: 6'. morsitans -f- var. proccra -f- var. sulcipcs Haase — Abh. Mus. Dresden :53,54. 1887 ; A. morsitans -f var. calcarata -f- var. tigrina Daday — Termesz Fúz**** 14:150.1891. S. grandidicri -f angulipes -f- spinosella -j- lir.cata Sauss. et ZeuntNE* ^ Hist. Madagascar 27 Myr. :302.1902. Redesrrição ü do Rio de Janeiro (Nos. 29 e 139). IJab.: Mato Grosso, União da Vitória e Est. do Amazonas; São Paulo. ( 5 ) 19. Scolopcndra arthrorhabdoidcs Ribaut — Mcm. Soc. Neuehãtel 5:76; Attcms — Das Tierreich 54. 2 :3S.1930; Biichcrl — Mcm. Inst. Butantan 13:242.1939. Hab. : Colômbia, Guaduas. 20. Scolopcndra alternans Lcach — Tr. Linn. Soc. London 11:383.1815; Kracpclin Min. Mn» burg 20:244.1903; Brólcmann — Cat. Myr. Brésil :15.1909; Cha’* ‘ ^ — Buli. Mus. Harvard 58:194.1914; Attcms — Das Tierreich 54,2 ^ :37,38.1930; Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 13 :242,243. 1939. S. morsitans Lbach - Palisot Ins. Afr. Amér. : 1 52. 1805-1821 ; ^ S. sagraea Gervais — Ann. Sei. Nat., ser. 2. 7:50.1837; Brandt — Buli St. - Petersburg 7:157.1840; idem — Recu. Mém. :66 1841 ; S. complanata -(- Grayi -f- multispinosa -J- multispinata Newport — An* 1 - ‘ ^ Hist. 13:98.1844; alternas p G. -f c. -f- incerta -j- multispinosa Tr. Linn, Soc. London 19:402-405.1845: 36 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 'Volfgang BOcherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 287 saciraea -f- a. + G. + i. Gervais — Walkenaer, Hist. Apt. 4:281-289.1847; ^ longipcs Wood — J. Ac. Philad., ser 2, 5:26.1862; idem — Tr. Amer. Phil. Soc., ser. 2, 13:163.1865; oitenta ns -j- crudclis Meinert — P. Amer. Phil. Soc. 23:193,194. 1886; '■ complanata Daday — Termész. Füzetek 14:184.1891. ^descrição de um exemplar na coleção quilopódica do Museu Nacional do Rio de Janeiro, No. 107. : Estado do Alagoas, Brasil, Venezuela, Cuba, Haiti, Portorico e Índias Ocidentais em geral, especialmente Portorico. 21 . Scolopcndra gigantca tinné — Syst. Nat., Ed. 10, :638.1758; Porat — Bih. Svenska Ac. 4(7) :5.1876; Kracpclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:233.1903; Brõlemami — Cat. Myr. Brésil :18. 1909 ; Portcr — Est. Elem. Zool. Imprcns. Univers. Qiile :54. 1911 ; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:190.1914; Attcms — Das Tier- reicli 54, 2 Scolop. :39-40,1930; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:243- 244.1939. gigas Leacii — Tr. Linn. Soc. London 11:383.1815; Xncport — Ann. Nat. Hist. 13:98.1844 -f- gigantca idem — Tr. Linn. Soc London 19:399, 400.1845; + gigantca Gervais — Walkenaer, Hist. Apt. 4 :278,279.1847; Kofúrausch — Arch. Naturg 47:119.1881 ; Meinert — P. Amer. Phil. Soc. 23:191.1886. ’• iniignis Gervais — Walkenaer, Hist. Apt. 4:278.1844 ct 1847. e • Prasinipcs -f- epilcctica Wood — P. Ac.Nat. Sei. Philad. :1 1.1861. e ' ai *nulipcs Lucas — Buli. Soc. Ent. France. ser. 6, 4:74.1884; Brõlcmann — Cat. Myr. Brésil : 17. 1909. ^ e scrição de três exemplares na coleção quilopódica do Museu Nacional do Rio de Janeiro, Nos. 86.140 (êste classificado como S. gigas ) e um exemplar s«eo numa vitrine de exposição. *&•: Brasil, Estados de Goiás, Alagoas etc.. Chile? Venezuela, Colômbia, Honduras. Jamaica. Trinidad e Ilhas de São Tomé. NOTA: A S. nigantea parece ser rara na xona neotrópica. Ademais, a descrição de Linneu é ambígua e coincide perteitamente com a da 5". viritti- cortis. As descrições posteriores basciam-sc geralmente na primeira, de maneira que os caraterísticos atribuídos a ela coincidem quasi todos com a viridicomis. 37 288 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV S. viridicornis Tamanho: 140-145 mms. (sem antenas e últimas patas) ; Colorido: o mesmo em ambas as espécie^; Antenas: 4-6 articulos basais desprovidos de pêlos; Tergitos: 4-18 muitas vèzes com um curto sulco mediano no bordo posterior; Prefêmur das patas 1-20 com 0-3 ou 4, geralmente 1-2 espinhos ; Fémur das patas sem espinhos. S. gigantca 214-265 mms. (com antenas e últimas patas ) • 6-11 articulos basais sem pêlos; Sempre com èste sulco curto mediano bordo posterior; Com 2-4 pequenos espinhos; Com 1 cu sem espinhos ; Todo o resto coincide em ambas as espécies. Acresce ainda o íato de NOTA: E' interessante que esta espécie não tenha sido encontrada " expedição de Stanford. 23. Scolopcndra robusta Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:238.1903; Attcms — Das Tierreich 2:Sco!op. :45 . 1930 ; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:244.1939. Hab.: México (Monterey) e Colômbia. 54 38 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 ^'oLFCANG Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 289 24. Scolopendra viridis (Say) genuína Verhoeff — J. Ac. Nat. Sei. Philad. 2:110.1821 ; + polimorpha Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:241,242.1903; Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :31.1909; Atteins — Das Tierreich S4,2:Scolop. :48.1930; Verhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 66( 1/2) :48,49. 1934 ; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:245.1939. ^ viridis genuína Verhoeff — loc. cit. :51. : Brasil, Venezuela, México, América Central. 24.a Scolopendra viridis polymorpha ' ood — p. Ac. Nat. Sei. Philad. :1 1 .1861 ; Attems — Das Tierreich 54. 2:Scolop. 49.1930; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:245.1939. ' c °pcana Wood — J. Ac. Nat. Sei. Philad., ser. 2. 5:27.1862 el Tr. Amer. Phil. J*-. ser. 2,13:158.1865. • Polytnorpha Wood — Tr. Amer. Phil. Soc., ser. 2, 13:158.1865; Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:241.1903: Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:193.1914. $ ^ 'nysieca Humbert et Saussure — Rev. Mag. Zool., ser. 2, 21:157.1869. y Pachypus -f leptodera Kohlrausch — Arch. Xaturg. 47:113.116.1881; " c °pcana + var. gaumeri Pocock — Biol. Centr. - Amer., Chil. :19. 1895. ' Polytnorpha, pueblac Chamb. — Buli. Mus. Harvard 59:502.1915. a °- : O mesmo como a 5\ viridis genuina (Say). 24b. Scolopendra viridis viridis (Say-Kraepelin) y ,,f "'J — Das Tierreich 54, 2:ScoIop. 1939. T ’ r ‘dis Say — J. Ac. Xat. Sei. Philad. 2:110.1821 ; Gcrvais — Walkenacr, Hist. Apt. 4:276.1847; Wood — Tr. Amer. Phil. Soc., ser. 2, 13:159.1865; •1 leinert — P. Amer. Phil. Soc. 23:126.1886: Pocock — Biol. Centr. - Amer., y Chil :18 . 1895 ; Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:242.1903. 0, ontita Porat — Bih. Svenska Ac. 4:9.1876; Daday — Termész. Füzetek y 16:108.1893. ^teca ( non Verh.), otomita. tolteca Saussure — Mém. Soc. Genève ? 15:382-384.1860. y farva Wood — P. Ac. Nat. Sei. Philad. :10.1861. ^teca -j- tolteca Saussure et Humbert — Miss. Mex., Part. 6, Sect. 2 ; 128, 129. 1872. 39 290 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV S. cuhris Pocock — Ann. Nat. Hist., ser. 6, 7:62.1891. 5". tcnuitarsis Pocock — Biol. Centr. - Anier., Chil. :12.1895. Hab Geórgia, Flórida, Texas, México, Guatemala, Honduras, Nicarágua e Costa Rica. 24ba. Scolopcndra v. v. var viridis . 7 Kracpclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:243.1903; Attcms — Das Tierreich 5 - 4 , - Scolop. :48.1930. Hab. : Idêntico ao da S. v. viridis. 24bb. Scolopcndra v. v. var. maya Soussurc — Mém. Soc. Genève 15:384.1860; Attcms — Das Tierreich 54. ' Scolop. :49. 1930. S. occidcntalis Meinert — P. Amer. PhiL Soc. 23:197.1886. N. viridis Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :31.1909. Hab. : México. 24c. Scolopcndra viridis storkáni Vcrhocff — Zool. Jahrb. Syst. 66(1/2) :49, 50. 1934. Hab. : México, sem determinação do local preciso. NOTA: Esta subespécie deverá ser considerada por enquanto pois falta a descrição exata como também os necessários desenhos. mente, porém, Vcrhocff omitiu confrontar sua subespécie com as já deK Além disso, ele dispunha apenas de dois exemplares com mcnsuraçocs variadas (ólmms. e 90mms.). Baseado nestas duas formas, o citado estabelece as seguintes três variedades, das quais não indica o número exemplares nem os confrontou com as espécies c subespécies antig* 5 ’ maneira que consideramos também estas, dúbias: 24ca. Scolopcndra v. stork. var. storkáni Vcrhocff — loc. cit. :49,50 et 51. Hab.: La Paz, no sul da peninsula da Califórnia. 24cb. Scolopcndra v. stork. var. ouaymas Vcrhocff — loc. cit. :49.50 ct 51. Hab.: Ouaymas, no golfo da Califórnia, na costa ocidental do México- 40 cm SciELO L0 11 12 13 14 15 16 Wolfgang BCcherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 291 24cc. Scolopendra. v. stork. var. tropica * 'rhocff — loc. cit. :49,50 et 51. ^°b. : La p a z, no sul da península da Califórnia. 24d. Scolopendra viridis lagunensis 1 trhocff — 0 p. cit. :49,51. : La Paz e La Laguna, na Sierra de la Victoria, México. NOTA: O autor fala de adolescentes, mas não indica o número de exemplares. 25. Scolopendra aztccoruni (non aztcca Sauss.) | tr hoeff — op. cit. :49,50. La Paz e Inocentez, na parte sul da península da Califórnia, México. NOTA: Trata-se de 4 adultos c 2 adolescentes. E’ de lamentar, porém, a ausência de desenhos sistemáticos c dum confronto esmerado com as formas antigas do grupo " viridis ". 26. Scolopendra octodentata ) 'fheff — op. cit. :52. J - : La Paz, Potrero e Topolobanipo, México. NOTA : Esta espécie parece-nos a única que foi bem documentada, quer pelo número de exemplares e a diversidade dos locais da colheita, quer pelos desenhos sistemáticos c pelo confronto com outras espécies similares. sòbre as escolopendras do México, descritas por Verhoeff em 1934. ^ O autor diz, à pag. 48 do trabalho citado, que todas as escolopendras (cita* . os Nos. :24c -26) pertencem ao grupo da viridis Say, apresentando, v ' Tt4 hto. fossa semicircular profunda no primeiro tergito, ausência de qual- ** Apinho nos prefémures do 19.° e 20.° par de patas e de qualquer sutura 41 292 Memórias do Instituto Butuntan — Tomo XV ou sulco longitudinal na placa cefálica ( Attems — Das Tierreich :48, afirm** porém: — "Placa cefálica geralmente sem sulcos, às vezes com um sulco 1°°' gitudinal mediano fraco..." e. a respeito de Sc. :iridis: “Placa ceíál» 3 com ou sem sulco mediano”) e apresentando nas antenas mais de 22 artículo* | (Attems afirma novamente: “Antenas com 21 a 31 artículos”). Em seguida, Verhoeff estabelece a seguinte chave de suas formas nova*- a) Tarsos das patas 1-20 com dois espinhos cada um (Attems não estabelece 0 número destes espinhos). 27-32 artículos antenais (Attems cita 21-31)* dos quais 15-17 basilares desprovidos de pêlos. (Attems: em Sc. v. morplia 8-18 basilares sem pêlos) : Sc. aztccorum Verhoeff. (Esta espécie parece-se muito com a antiga Sc. liridis polymorfha " 1861, sendo, portanto, necessário estabelecer novos confrontos morfológicos, 4* provem deíinitivamente a sua validade, confrontos êstes omitidos por Verbo* 1 1-2 b) Tarsos das patas 1-20 com um espinho, os do l.° par de patas com espinhos. No máximo 12 artículos basilares das antenas sem pêlos.. - c ’ c) l.° par de patas com dois espinhos tarsais: -p l.° tergido com dois sulcos longitudinais. Placas dentárias do co* ternum forcipular sem sulco transversal (concorda com Attems) •’ viridis Say. -( — p l.° tergito sem sulcos longitudinais. Placas dentárias no coxostert* 0 ^ forcipular com sulco transversal ; 22-29 artículos antenais, 2-5 * J * ír lares sem pêlos... viridis lagunensis Verhoeff. ubcíf*** 3 * 0 *' (Existem apenas pouquíssimos caraterísticos que distinguem esta sub nova da antiga Sc. v. viridis Say-Kwln., 1821 e 1903, de maneira q uc admira Verhoeff ter omitido uma comparação entre as duas formas). tnt*’ Sc. v. viridis Say-Krpln. Compr. geralmente apenas 50-60mms. ; Artíc. antenais: 21-27; 5-6 sem pêlos; 2l.° tergito com ou sem sulco mediano; Carenas laterais a começar do 8.° e 18.° terg. ; Dentes forcipulares 4 + 4 ; Apêndice coxopleural com 3-6 espinhos c mais 1-2 espinhos laterais na margem ; Prefêmur das últimas patas com 8-15 espinhos ventrais, 3- 5 dorso-medianos. Sc. v. laguncnsis VeriioetF 55 mms. ; 22 ;5 sem pêlos; sem sulco mediano; começam no 16.°; 4 + 4; com 4-5 espinhos e 1-2 laterais; com 14 ventrais e 2-3 dorso-medianos. (Esta comparação parece-nos insinuar que a espécie de Vcrhoefí ** jf ulterior confirmação, sem a qual não pode passar de u‘a mera van*°^ viridis viridis Sav-Krplíí.). 42 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgano BCcherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 293 l.° par de patas com um espinho tarsal. Placas dentárias do coxostemum com sulcos transversais oblíquos. 26-29 artículos antenais, dos quais 7-15 basilares desprovidos de pêlos. . . záridis storkáni Verhoeff. (Esta subespécie é insuficientemente descrita e. segundo Attems, poderia ser tanto a viridis t iridis como a vindis polymorpha. Além disso, o próprio Verhoeff se contradiz, pois na chave acima, sob a letra b), diz: “No máximo 12 artículos basilares das antenas sem pêlos”, e agora diz: “7-15 sem pêlos”. viridis storkáni é, portanto, uma subespécie dúbia). a l.° tergito sem sulcos longitudinais. Tronco amarelo-marrom: ui comprimento 70-90 mms. ; 26-30 artículos antenais, dos quais 7 basilares desprovidos de pêlos; 12.°-21.° tergito com carenas laterais... Sc. z-iri- dis storkáni var. storkáni Verhoeff. (Falta uma descrição mais detalhada, como também as medidas precisas, a comparação com as outras formas do grupo viridis e a indicação sòbrc o número de exemplares, etc.). “z 61 mms. de comprimento (adolescentes 40 mms.) ; 24 artículos antenais, com 12 1 «asilares sem pêlos (adolescentes 7 basilares) : 16.°-21.° tergito carenado Sc. záridis storkáni ouaymas Verhoeff. (Sóbre esta vorietos vale o mesmo já referido para a anterior. P l.° tergito com dois sulcos longitudinais; tronco amarelo-claro; 73-74 mms. de comprimento (adolescentes 57 mms.) ; 29 artículos antenais, dos quais 5-9 basilares desprovidos de pêlos; 14°-21.° tergitos com carenas laterais Sc. ziridicornis storkáni var. tropica Verhoeff. (Falta a indicação do tipo c do número dos paratipos, a comparação mor- fológica com as formas e a descrição mais detalhada, etc.). y Concluindo o assunto sobre as formas novas do grupo viridis, descritas por ^hoeff em 1934 ( 0 p. cit.) e procedentes do México, devemos salientar que, ^ exceção da Scolopcndra octodentata e talvez ainda da 5V. astecorum, todas 0,11 ras subespécies e variedades novas devem ser consideradas, por enquanto, ^ fr '° formas dúbias, não sendo diferenciadas das quatro formas antigas do grupo que sao: Sc. viridis polymorpha Wood, 1861 ; Sc. znridis ziridis Say-Krpln., 1821 e 1903; Sc. v. v. var. ziridis Krpln"., 1903 e Sc. v. v. var. vuiya Sacss., 1860. 43 294 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 27. Scolopcudra angulata Nncport — Ann. Xat. Hist. 13:27.1844; Tr. Linn. Soc. London 19:398. 184-- Cat. Brit. Mus. Myr. :47.1856; Pocock — J. Linn. Soc. London 24:4.'' 1893; Brõlemann — Ann Soc. Ent. France 67:316.1898; Kracpclin — Mus. Hamburg 20:234.1903; Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :17.l9^' Chambcrlain — Buli. Mus. Harvard 48:191.1914; Attcnis — Das Tierre> L ‘' 54. 2 Scolop. -.40.1930: Biicherl — Mem. Inst. Butantan 13:245.1939. X. punctiscula Wood — Proc. Ac Xat. Sei. Philad. :14.1861 ; ^ 1 S. prasina Kocn — Myr. 2:23.1863; Kohlrausch — Arch. Xaturg. 47 .1 1881 ; Meinert — P. Amer. Phil. Soc. 23:192.1886: S. nitida Porat — Bih. Svenska Ak. 4(7) :8. 1876. X. respublicana Giebel — Z. Xatunv. 52:326.1879. ^ Redescrição de dois exemplares da coleção quilopódica do Museu NaO do Rio de Janeiro, sob os Xos. 78 e 79 (procedência: Barra do Tapiw' Estado do Mato Grosso). Hab.: Brasil, Estado do Mato Grosso (Barra do Tapirapê), Bolívia, Ecua Venezuela, Trindade, Antilhas. 27a. Scolopcudra angulata angulata, n. subsp. Biicherl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. Tipo: na coleção quilopódica do Instituto Butantan, Xo. 292 (procedência: do Tapirapê, Mato Grosso). Paratipos, machos e fêmeas: 9 exemplares no Museu Nacional. Rio de J# Xos.: 3, 4, 6, 7, 8, 9, 10 (macho e fêmea) e 19. Hab.: Barra do Tapirapê, Estado do Mato Grosso, Brasil. 28. Scolopcudra hirsutipes Bollmann — Buli. U. S. Mus. 46:198.1893: Kracpclin — Mitt. Mus. 20:244.1903; Attcnis — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :27.1930. Hab.: índias ocidentais (sem indicação do local determinado). 29. Scolopcudra crudelis Koclt — Koch-Panzer Krit. Revis. 3:170.1847; Koch — Myr. Porat — Bih. Svenska. Ak. 4(7) :7. 1876; Attcnis — Das Tierrei Scolop. 42,43.1930. 2 ich ** ' 44 'Volfgang Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 295 ® r õletncnn in Cat. Myr. Brésil :15.1909 pôs a Sc. crudclis Koch em sino- nímia com Sc. allemans Leach, 1814. Üab.: Índias ocidentais e a Ilha de Barthelemy. 30. Scolopcndra hcros r, ‘rard — Xat. Hist. Red River :272.1853 ; Wood — J. Ac. Xat. Sei. Philad., ser. 2, 5:18.1862; Tr. Amer. Phil. Soc., ser. 2. 13:155.1865; Porat — Bih. Svens- ka Ak.4(7) :8.1876; Meincrt — P. Amer. Phil. Soc. 23:195.1886; Pocock — Biol. Centr.-Amer., Oiilop :18.1895; Kracpclin — Mitt. Mus. Ham- burg 20:237.1903; Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :44,45.1930. Pcrnix Kohlrausch — Arch. Xaturg. 47:115.1881. ^ab . : Estados Unidos meridionais e México. 30a. Scolopcndra hcros var. hcros Cii tr ard — o/>. et loc. cit. a b - : Estados Unidos meridionais e México. 30b. Scolopcndra hcros var. castanciccps ty n J . °od — P. Ac. Xat. Sei. Philad. :1 1.1861 (S. castanciccps sp.) ; Tr. Amer. Phil. Soc.. ser. 2, 13 : 1 56. 1 865 (X. hcros var. castanciccps ) ; Attems — Das Tierreich 5 4. 2 Scolop. :45.1930. J> - : Geórgia, Xew México, Texas, etc.. 31. Scolopcndra sumichrasti ‘‘fure — Mém. Soc. Genève 15 :38a. 1860; Saussurc ct H-umbcrt — Miss. •^lex. Part. 6, Sect. 2 :131 . 1872 ; Pocock — Biol. Centr.-Amer. Chilop. : 20.1895; Kraepclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:239.1903: Attems — Das tierreich 54. 2 Scolop. :46.1930. • México, perto de Veracruz, Guatemala e British-Honduras. 32. Scolopcndra pomacca ^ — Koch-Panzer Krit. Revis. 3:1/0.184/ ; Koch — Myr. 1:65.1863; Kohl • r a usch — Arch. Xaturg. 47:112.1881: Pocock — Biol. Centr.-Amer., 45 296 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Chilop. : 1 5 . 1 S95 ; Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:240.1903; Atl* 1 ** — Das Tierreich 54 , -2 Scolop. :47.1930. S. chichimeca Saussure — Mém. Soc. Genève 15:386.1860. S. olmcca Humbert et Saussure — Rev. Mag. Zool., ser. 2, 21 :157.1869 S. chichimeca -f olmeca Saussure et Humbert — Miss. Mex., Part. 5, 2 :129,132. 1872. Hab.: México, perto dc Puebla e Cuernavaca, etc.. 33. Scolopendra pachygnatha Pocock — Biol. Centr.-Amer., Chilop. :23.1895; Kraepelin — Mitt. Hamburg 20:244.1903; Attcms — Das Tierreich 54 . 2 Scolop. :4/-l * Hab.\ México, perto de Mesquital dei Oro e Zacatecas. Espécies dúbias Scolopendra anoinia Ncwport — Ann. Xat. Hist. 13:97.1844. Hab.: completamente desconhecido. — Nomen nudutn. Scolopendra appendiculala Daday — Termész Füzctek 14:191.1891. Hab.: Argentina, Gran Chaco perto de Resistência. Attems — Das Tierrench 54 . 2 Scolop. :49.1930, considera esta forma provavelmente sinônima de Cormocephalus (H.) laevigatus e Brõlemann Mvr. Brésil :19.1909, como provavelmente sinônima de Scolopendra lonlP* Meinert, 1885, que passou a ser sinônima de laevigatus. Scolopendra cubensis ___ M*'' Saussure — Mém. Soc. Genève 15:387.1860; Saussure et Humbert Mex., Part. 6, Sect. 2 : 132.1S72 ; Attems — Das Tierreich 54 . - :50. 1930. Hab.: Cuba, sem determinação do local. Segundo Attems ( op . cit.), esta forma seria provavelmente sinod 1 allcrnans. * Scolopendra melinonii , Lucas — Buli. Soc. Ent. France. ser. 3, 1:55 1853; Attems — op. cit- Hab. : Cayenne. 46 VVolfgang Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 297 Scolopendra viridis '•ohliausch — Ardi. Xaturg. 47:112.1881. Hob. : Flórida. Geórgia. Scolopcndrac nicaragucnsis et sanatillae üolltnann — Buli. U. S. Mus. 46:198,199.1893; Attcms — op. cit. :50.51. Nicarágua e Swan Island. 2. Gênero: ARTHRORHABDUS Pocock ^■n. Nat. Hist., ser. 7:221.1891; Kraepclin — Mitt. Mus. Haniburg 20:220 1903; Attcms — Das Tierreich :58; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:246. 1939. + subg. Arthrorrhabdinus Verhoeff — Bronn's Kl. Ordn. 5(2) :264. 34. Arthrorhabdus spinifer ( Krpln.) r ’ 4 P'pcs spinifer Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:176.1903; Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:184.1914. f pinifcr Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :61.1930; Bücherl — Mem. k Eist. Butantan 13:246.1939. Brasil, Estado do Pará. , Esta espécie deve ser muito rara. pois em todas as coleções quilopódicas nós revistas não foi encontrada. Aliás, parece-nos existir apenas um único v ^nplar, o de Kraepelin, no Museu de Hamburgo, procedente da localidadc- 35. Arthrorhabdus pygmaeus (Pocock) 7 * fytndra pygmaca Pocock — Biol. Centr.-Amer.. Chilop : 13. 1895. l ^ Tor habdus pygmaeus Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:222.1903; 4 4 ‘tcms — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :60. 1930. Arthrorhabdinus Verhoeff — Bronn's Kl Orin. 5(2) :262.1907. H6 . México, perto de Texas e Amula. 47 298 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 3. Gênero: CORMOCEPHALUS Newport — Tr. Linn. Soc. London 19:275.419.1844 et 1845 ; Attcms — Das T**' rcich 54, 2 Scolop. :61 . 1930 ; Verhoeff — Zool. Anz. 120(5/6) :84-86- l9-' y Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:246.1939. C. -f- Hcmicormoccphalus -f- Cupipes — Psiloscolopendra + Hemiscolopt n + Colobopleurus Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:174-217. 1903. C. -f- Cupipes Brolemann — Cat. Myr. Brésil :7-9. 1909. I C. -f- Cupipes -j- Hemiscolopcudra Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58: - 188.1914. a) Subgênero: Cormoccphalus (Newport) c \V-* Cormoccphalus Newport — op. et loc. cit.; Kraepelin — Fauna 3. Austr. 2:110.1908; Attcms — Ann. S. Air. Mus. 26:93.1928 et Zool. A 78:279. 1928 et Das Tierreich 54 . 2 Scolop. :62. 1930; Verhoeff — Zool. ^ 120(5/6) :84-86. 1937; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:247.193° C. -f- Cupipes Kohlrausch — J. Mus. Godeffroy 14:58.71 .1879; idem — Naturg. 47:83.1881; Mcincrt — Vidensk. Meddel. 36-38:131, 128-1^ Ribaut — X. Caledónia 3:50.54. 1923 ; Attcms — Kückenthal Handb. 2* 4:374.1926; Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :7-l 1.1909; C. -F C. + Hemiscolopcudra Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:184, ^ 211.1903: Verhoeff — Bronn’s Kl. Ordn. 5:262, 260, 261.1907; ChJ' H ‘ lin — Buli. Mus. Harvard 58:183. 187. 188.1914 ( Cupipes e part. *'* 36. Cormoccphalus (C.) mediosuleatus Attcms — Zool. Anz. 78:285.1928; idem — Das Tierreich 54. 2 Scolop. 1930; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:248.1939. Hab . : Brasil, Grão Pará, Caldeirão e Ilha do Marajó. 0 ? 10* 37. Cormocephalus ( C .) bonacrius Attcms — Zool. Anz. 78:287.1928; idem — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :9°- * ^ 1930; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:249.1939; idem — op. cit. 1^ ' Hab.: Bonnairc, perto de Curaçao. 38. Cormocephalus (C.) impressus :ll- Vorat — Bih. Svenska Ak. 4(7) :15, non Scolop. impressa, op. cit., loc. c,! - ’ 12. 1876 ; Attcms — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :104. 1930 ; Büchcrl — ' Inst. Butantan 13:249.1939; idem — op. cit. 15.1941. 48 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 ” OLFGANG Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica C u Ptpes microstoma Kohlrausch — Arch. Naturg. 47:80.1881. 299 V^ostigma cormocephalinum Pocock — Ann. Nat. Hist., ser. 6. 2:473.1888. ''■‘típes imfressus Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20 :181 . 1903. I *frpcs frofulsus Chamberlix — Buli. Mus. Harvard 64:34.1920. México. Antilhas e Ecuador. 38a) Cormocefhalus (C.) imfressus unimarginatus, n. subsp. hcrl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. IW: um exemplar no Museu Nacional do Rio de Janeiro, No. 141. I *&•: Tifo: Brasil, Estado do Goiás, perto de Yeadeiros. 38b) Cormocefhalus ( C .) imfressus var. ncglcctus (Chamb.) "‘''/Ví ncglcctus Chamberlijí — Buli. Mus. Harvard 58:186.1914. ( C.) imfressus var. ncglcctus Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. : 104, 105. 1930; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan, 15.1941. MC.) imfressus ncglcctus (subsp.) Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13 249.1939. Brasil, Estado de Mato Grosso, nos arredores do rio Madeira. 39. Cormocefhalus (C.) amasonae (Chamb.) | amasonac Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:185.1914. I( -.) amasonac Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. 105.1930; Biichcrl — • ^leni. Inst. Butantan 13:250.1939. •• Brasil, Estado do Amazonas, perto de Manáos. Trata-se apenas de um único exemplar-tipo, guardado no Museu de harvard, na América do Norte. S><\t V|A- . 40. Cormocefhalus (C.) r cncsuclianus (Brõl.) sp. Brõl. — Ann. Soc. Ent. France 67:318.1898; ^ Cs ungulatus var. vcncsucliana. idem — Revista Mus. Paulista 6:65.1904. ° c cfhalus (C.) vcncsuclianus Attems — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :92. | . 1930; Biichcrl — Mem. In?:. Butantan 13:250.1939. Venezuela, perto de Bas Sarare. 49 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 300 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 41. Cormoccphalus (C.) brasilicnsis Humbert ct Saussure — Rev. Mag. Zool., ser. 2,22:203.1870; Saussure ct H* 1 *' bcrt — Miss. Mex., Part. 6 :124.1872; Atlems — Das Tierreich 54. 2 Scol^P :101 . 1930 ; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:250.1939; idem 15 . 1941- Cupipes brasilicnsis Kohlrausch — Arch. Xaturg. 47:82.1881. Cupipcs ungulatus var. mitis Brülemann — Revista Mus. Paul. 6:65.190*’ idem — Cat. Myr. Brésil :9.1909; Chambcrlin — Buli. Mus. Harva*^ 58:184.1914. Hab.: Brasil, Estado do Amazonas, perto de Manáos e Venezuela. 42. Cormoccphalus ( C .) ungulatus (Mein.) Cupipcs ungulatus Meinert — P. Amer. Phil. Soc. 23:187.1886; KraeptH « Mitt. Mus. Hamburg 20:177.1903; Brõlcmann — Revista Mus. Paul. ^ 1904; idem — Cat. Myr. Brésil :9.1909; Chambcrlin — Buli. Mus. Harv* f " 58:184.1914. C. (C.) ungulatus Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :101.1930; Büchcrl Mem. Inst. Butantan 13:251.1939. Hab.: Brasil, Estados de Pernambuco c Amazonas, sendo nestes dois Esta** 3 * apenas assinalada nos portos de Recife e Manáos; Venezuela, Haiti. 43. Cormoccphalus (C.) andinus (Krpln.) Cupipcs andinus Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:182.1903. C. (C.) andinus Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolpo. 105.1930; Bichfd Mem. Inst. Butantan 13:251.1939. Hab. : Bolívia, perto do vulcão Sorate ; Perú, perto de Santa Anna. 44. Cormoccphalus (C.) aurantiipcs (Newp.) 4 Scolopcndra aurantiipcs Newport — Ann. Xat. Hist. 13 .•99. 1844; suh» ,n " idem ibid. :100; Cormoccphalus aurantiipcs + obscurus + subminiatus -f- miniatus + ‘ -|- brcvis, idem — Tr. Linn. Soc. London 19:420-424.1845. Scolopcndra aurantiipcs + obscura -f- miniata subminiata +' brcvis G 6 *' — Walkenaer, Hist. Apt. 4 :271 -274.1847. 50 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 'Volfgang BCcherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 301 K 0r,; ts marginatus Porat — Bih. Svenska Ak. 4(7) :16. 1876. I ^*mtóccphalus aurantiipes -j- gracilis -f- pygomclas Kohlravsch — Arch. Xa- turg. 47:86-90.1881. y-orinoccphalus aurantiipes -f- var. obscurus, var. spinosus, aberr. pygomelas Haase — Abh. Mus. Dresden (5):57.1887. I r | ^noccphalus aurantiipes var. marginatus KSAEPEUM — Mitt. Mus. Ham- burg 20:197.1903. \ 0rn *ocephalus aurantiipes Meinert — P. Amer. Phil. Soc. 23:206.1886; Krae- pelin — Fauna S. W. - Austral. 2:116.1908; Brõlemann — Rec. Austral. Mus. 9:47.1912; klem — Cat. Myr. Brésil :7.1909; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard :73.1930; Biicherl — Mem. Inst. Butantan 13:251.1939. todas as províncias da Austrália e no Rio de Janeiro. Trata-se, portanto, sem dúvida, de uma forma importada com comércio marítimo. Bròlernann assinala ainda Guatemala como "habitat” provável. Espécie dúbia Cormocephalus pallidum Silvestri — Revista Chilena Hist. Xat. 3:145.1899. Chile, nos arredores de Valparaiso. Esta forma foi insuficientemente descrita; provavelmente, porém, trata-se de C. ( Hemiscolopendra ) platci, assinalada em Valparaiso por Porter, como v eremos a seguir. b) Subgénero: Hemiscolopendra t ’ >r Pelin — Mit. Mus. Hamburg. 20:169,212.190 3; Verhoeff — Bronn’s Kl. Ordn. 5 :261 . 1907 ; Porter — Estud. Elem. Zool. Impr. Univers. Santiago de Chile :32, 40, 54 c 55.1911 ; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:188. 1914; Attcms — Das Ticrreich 54. 2 Scolop. : 1 10. 1 930 ; Biicherl — Mem. Itst. Butantan 13:252.1939. 45. Cormocephalus (//.) chilcnsis (Gerv.) i ^Pcndra chilcnsis -f- pallida Gervais — Walkenaer, Hist Apt 4:285.1847: J, °Pcndra pallida Kohlravsch — Arch. Xaturg. 47:123.1881. U ' l °Pcndra chilcnsis Meinert — P. Amer. Phil. Soc. 23:199.1886: Porter — : °P- dl. '' c Pfndra longiplcura Silvestri — Boll. Mus. Torino 10(203) :2.1895 ; -f c hilcnsis, idem — Rev. Ch. Hist. Xat. 3:144.1903. 51 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 302 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Hcmiscolopendra chilensis Kraepelix -- Mitt. Mus. Hamburg 20:214. 1905 • Silvestri — Zool. Jahrb. Suppl. VI. 3 :75 1 .1 905 ; Porter — Estud. Eled- 1 Zool. :55 . 191 1 ; Cormocephalus ( lí.) chilensis Attems -- Das Tierreich 54, 2 Scolop. :1 13 . 1°-^ | Hab . : Chile e Argentina oriental. Porter, loc. cit., diz que se trata de uma espécie muito comum nas pró'»®' cias de Valparaiso e Aconcágua, como também de Copiapó. Segundo êste aut^- j Silvestri a tem encontrado em abundância em Talcahuano e Villa Rica e I utente em Juncai, 6.000 metros acima do nivel do mar. 46. Cormocephalus (//.) michaclscni (Attems) Otosligma michaclscni Attems — Zool. Jahrb. Syst. 18:97.1903. Hcmiscolopcnàra michaclscni Kraepelix — Mitt. Mus. Hamburg 20:143. 1'*-^ Silvestri — Zool. Jahrb. Suppl. VI, 3:752.1905; Porter — Estud. Zool. :55. 191 1. ,1 jj, Cormocephalus (//.) michachcni Attems — Das Tierreich 54, 2 Scolop. 113. 1930. llab. : Chile, Valparaiso, Quilpué, Vina dei Mar, Coquimbo, Salto. 47. Cormocephalus (//.) lacvigatus Porat — Bih Svenska Ak. 4(7) :17. 1876. Scolopcndra cormoccphalina Kohlralsch — Arch. Xaturg. 47:123.1881- Scolopcndra longispina Meixert — P. Amer. Phil. Soc. 23:199.1886; mann — Cat. Myr. Brésil :19.1909. Scolopcndra appcndiculata Daday — Termész. Füzetek 14:152.1891. Hcmiscolopcndra lacvigala Kraepelix — Mitt. Mus. Hamburg 20:215 Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:188.1914. Hemiscolopcndra lacz-igatus Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:252.195° ■Cormocephalus (H.) lacvigatus Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. 115- Hab.: Brasil, São Paulo e Pará; Argentina, Buenos Aires, Uruguai, M video, Guiatta Francesa e Colômbia, Nova Granada. 48. Cormocephalus (H.) platci (Attems) Otostigma platci Attems — Zool. Jahrb. Syst. 18:98.1903. < Cormocephalus pallidus Silvestri — Rev. Ch. Hist. Nat. 3:145.1899- 52 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 "olfgang BCcherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 303 \ :: ’niscolopcndra platci Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:216.1903; Sil- ve st ri — Zool. Jahrb. Suppl. VI. 3:752.1905; Portcr — Estud. Elem. Zool. Chile :55 . 191 1 . c - Or fnoccphalus (//.) platei Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :1 13. 114. 1930. Chile, Valparaiso, Vina dei Mar, Qilpué, Coquimbo. 4. Gênero: RHODA "'■Snert — P. Amer. Phil. Soc. 23:188.1886; Attems — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :1 18, 120.1930; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:252, 253.1939; idem — op. cit. 15.1941. ‘'hopus (err.) Pocock — Ann. Xat. Hist , ser. 6, 7:233.1891; Kracpclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:170.1903; Verhocff — Bronns KJ. Ordn. 5:259. 1907. ^°lopcndropsis (í. part.) Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :31,32.1909; Cham- berlin — Buli. Mus. Harvard 58:182.183.1914. 49. Rhoda th ay cri "* c 'nert — P. Amer. Phil. Soc. 23:188.1886; Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :120.1930; BCcherl — Mem. Inst. Butantan 13:253.1930, idem — op. cit. 15.1941. " h °pus thayciri Pocock — Ann. Xat. Hist., ser. 6. 7:225.1891; lio pus inermis Pocock — ibid. :223; Kracpclin — Mitt. Mus. Hamburg 20 y fo/, ; 17l . 1903. ^‘opcndropiis thaycri Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :32.1909; r °lopcndropsis bahicnsis Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:182.1914; ^«serição por exemplares da coleção quilopódica do Museu Nacional do Rio de Janeiro, sob os Xos. 133 e 138. (Procedência: Estado do Espirito Santo, . Perto de Vitória e Colatina). *"• : Brasil. Iguarassú, Santarém, Vitória e Colatina. 50. Rhoda calcarata (Pocock) b. Uil °Pus calcaratus Pocock — Ann. Xat. Hist., ser. 6. 7:224.1891; Kracpclin Mitt. Mus. Hamburg 20:170.1903. eor meio dos navios de frete. F' o sucedeu certamente com as seguintes duas espécies. presentes apenas com um exemplar cada uma e capturadas cm portos brasileiros. 52. Asanada socotrana p ° c ock — Buli. Liverp. Mus. 2:9.1899. Outra literatura vide: Pocock, Krae- . Pclin, Silvestri e Attems. (Li Sokotra, Sudão, Rhodesia. Transvaal e um exemplar no porto de Rio f lc Janeiro. 53. Asanada phUipina •*nbcrliii — Ann. Xat. Hist.. ser. 9. 7:53.1921; Attems — Das Tierreich 54. U 2 Scolop. :125. 126.1930. Filipinas e casualmente encontrada no porto de Rio de Janeiro, no meio plantas, vindas do Jajóo (como nos informaram). 2. Subfam. Otostigminae I |í " ' — Mitt. Mus. Hamburg 20:29. 94. 1903. Bthmostigminae Verhoeff — X. Acta Ac. Leop. 86:434.1906; O. -f- -f- Anodontostominae. idem — Bronn’s Kl. Ordn. 5:254.1907. 55 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 306 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Oiostigmidae (fam.) Cuamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:170.1914. Otostigminae Attems — Arch. Naturg. 80:192.1914; idem — Das Tier ttfi \ :127. 1930; Otostigmini idem — Kückenthal Hand. Zool. 4:374.1926. Otostigminae Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:255.1939. 1. Tribu: Otostigmini Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :128. 1930. 7. Gênero: OTOSTIGMUS Porat — Bih. Svenska. Ak. 4(7) :18. 1876; Pocock Biol. Centr.-.A*^. Chil. :25.1896; Kracpclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:97.1903; 1 ,f ^ 0 s — Bronns Kl. Ordn. 5:256.1907; Attems — Zool. Anz. 78:30U^ Verhocff — Zool. Jahrb. Syst. 70 (1/2) :1 1.1937 ; idem — op. cit. 71 ^ :203. 1938; Bücherl — Rev. Biol. e Hyg. 10(1) :54-65. 1939; Mem- Butantan 13:256.1939; Bròlcmann — Cat. Myr. Brésil :12.1909; herlin — Buli. Mus. Harvard 58:183.1914. 47 ^ Branchiotrcma Kohlrausch — Beitr. Scolop. :22.1878; Arch. Naturg. 1881; Otostigma Meinert — Yidensk. Meddel. 36-38:118.1886. J0 a) Subgènero: Coxoplcurotostigmus Bücherl — Rev. Biol. Hyg. 10(1) :56. 1939 et Mem. Inst. Butantan 13: ,0j J 54. Otostigmus (C.) Cavalcanti Bücherl — op. cit. :54-56 et 259. Ji' Tipo c paratipos, machos e fêmeas (9 exemplares), na coleção quilopód^ c ' Instituto Butantan, Nos. 46. 48 (macho e fêmea: tipos). 69. 90. - e 260 (2 exempl.). Local-tipo : Estado de Santa Catarina, perto de Lagoa. Hab. : Estados de São Paulo, Paraná e Santa Catarina, Brasil. b) Subgènero: Dactylotergitius Verhocff — Zool. Jahrb. Syst. 70(1/2) :11 . 1937 et 71(4/6) :203. 1938: ^’ — Rev. Biol. Hyg. 10(1 ) :56. 1939 et Mem. Inst. Butantan !3:2 59- 14 56 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 Wolfgang BCchehl — Catálogo dos Qullópodos da zona neotrópica 307 55. Olostiginus ( D .) caudatus ^'ôletnann — Rev. Mus. Paulista 5:37.1902; Kracpelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:132.1903; Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :12.1909; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 5 ? :178. 1914 ; Allcnis — Das Tierreich 54 . 2 Scolop. :161. 1930; Verhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 70(1/2) :11 .1937; Büchcrl — Mcm 13:259.1939. •^descrição de machos e fêmeas: 9 exemplares na coleção do Instituto Butantan e 14 no Museu Nacional do Rio de Janeiro. ^ a b.: Local-tipo de Brõlemann: Alto da Serra. Santa Catarina, São Paulo. Rio de Janeiro, Minas Gerais, Goiás e Baia. c) Subgênero : Ecuadopleurus ’ Cr hocff — Zool. Jahrb. Syst. 70(1/2) :1 1 . 1937 ct 71(4/6) :203. 1938; Büchcrl — Rev. Biol. Hyg. 10( 1 ) :56. 1939 et Mem. Inst. Butantan 13:260.1939. 56. Otostigmus (£.) insignis T3c pelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:125.1903; Attcms — Das Tierreich 54 , 2 Scolop. :157, 158.1930; Verhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 70 (1/2) :1 1 .1937; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:260.1939. Raè . Ecuador, perto de Loja. 57. Otostigmus (£.) silvestrii ^Pelin, Attems, Verhoeff, Büchcrl — op cit. 57a. Otostigmus (£.) silv. silvestrii I f ^ Pelin — op. cit. :126.1903; Attans — op. cit. : 1 58. 1 930 ; Verhoeff — op. cit. ^ :1 1.1937; Büchcrl — op. cit. :260.1939. Ecuador, perto de Pifo. ^^rição de 1 exemplar no Museu Nacional. Rio, No. 130 (Guayaquil). 57b Otostigmus (£.) silv. intennedius ' ar Min — op. cit. :127.1903: Attcms — op. cit. :1 59.1930; Büchcrl — op. cit. fl { ^1 . 1939. ’ Ecuador, sem determinação do local. 57 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 308 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV d) Subgênero: Androtostigmus Vcrlweff — Zool. Jahrb. Syst. 7C( 1/2) :12. 1937 ct 71(4 6) :203.1938; Bücheri — Rev. Biol. Hyg. 10(1) :56.1939 cl Mem. Inst Butantan 13:261.1939. 58. Otostigmus (A.) scabricauda (Humb. & Sauss.), s. str. tn. Branchiostoma scabricauda Humbert a Saussure — Rev. Mag. Zool., ser. — 22:203. 1870; Saussurc & Humbert — Miss. Mex.. Part. 6, Sect. 2:121 . 1S7-* Otostigmus appcndiculatus Porat — Bih. Svenska Ac. 4(7) :23. 1876. Branchiotrcma (non Branchiostoma Chame.) scabricauda Kohlrausch — Ai® 1 Xaturg. 47:75.1881. Otostigma brasiliense Meinert — Yidensk. Meddel. 36-38:119.1886. Otostigmus brasiliensis Karsch — Berl. Entomol. Zeitschr. :31.1888. Otostigmus scabricaitdus Pocock — Ann. Mag. Xat. Hist.. ser. 6, 6:142.1890' Brõletnann — Mém. Soc. Zool. France 13:96.1900; idem — Rev. Mu> eU Paulista 5:40.1901 ; Kracpelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:123.1903: Cha" : bcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:178.1914. Otostigmus scabricauda Brõlemaxx — Cat. Myr. Brésil :13.1909; Attcms Das Tierreich 54. 2 Scolop. :1 59. 1930 ; Vcrhocff — Zool. Jahrb. S)'- 1 ' 70(1/2) :13- 1 5 . 1937. Otostigmus (A.) scabricauda. s. str. Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13 :3'°' 1939. 1 j Redescrição de machos e fêmeas: 20 exemplares no Instituto Butantan. exemplares no Museu Nacional do Rio de Janeiro. Exemplar macho (I 1 *- ‘ Butantan Xo. 49; local: Cana Brava. Xova Roma. Estado de Goiás* • exemplar fêmeo Instituto Butantan. Xo. 268; local: Vila Tubomirim. de Janeiro). Hab Brasil: Estado de São Paulo: Corumbatai. Poá, Capital. Ribeirão P ,rí5 * Mogí das Cruzes, Caxingui. São Roque. Ouro Branco. Piquete. Alto Serra. Estado do Mato Grosso; Paraná: Goiás; Rio de Janeiro; DB tr,!l Federal : Minas Gerais. 58a. Otostigmus (A.) scabricauda dcmclloi (Verhoeff) Otostigmus dcmclloi Verhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 70(1/2) : 1 3- 1 5 . 1937. Otostigmus scabricauda dcmclloi Bücherl — Mem Inst. Butantan 13:264. 19# & Redescrição de machos e fémeas : 1 1 exemplares na coleção quilopódica Instituto Butantan (machos e fêmeas Xo. 139, local: Mogi das Cru*^ 58 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 'Volfgang Bücherl — Catálogo dos Quilõpodos da zona ncotrópica 309 Hab. : Brasil, Estados de Minas Gerais, Rio de Janeiro, Distrito Federal, São Paulo. Os exemplares-tipos de Yerhoeff são de Minas Gerais. 59. Otostigmus (A.) rcx r - bambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:176.1914; Attems — Das Tierreich 54 . 2 Scolop. :159, 160.1930; Vcrhocff — Zool. Jahrb Syst. 70(1/2) :12. 1937; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:264.1939. Uma fêmea, na coleção quilopódica do Instituto Butantan Xo. 95. capturada nos arredores da Capital de São Paulo. Após minuciosa análise chegamos à conclusão de que rcx. da qual Chamberlin apenas possuia um único exemplar ao descrevê-la com espécie nova. não é senão a fêmea de seabri- cauda. Contudo, são desejáveis ainda ulteriores estudos a respeito. ^°b.: Capital de São Paulo e Mato Grosso. 60. Otostigmus (A.) poeocki r acpclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:124.1903; Attems — Das Tierreich 54 , 2 Scolop. ;157.1930; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:265.1939. °k: Guiana brasileira. E’ interessante saber que esta espécie não foi encontrada pela expedição ^ Stanford, apesar de esta se ter demorado muito nas Guianas. 61 . Otostigmus (A.) gocldii r °lctttann — Ann. Soc Ent. France 67:249.1898; Kracpdin — Mitt. Mus. Hamburg 20:128.1903; Brõlematm — Cat. Myr. Brésil :12.1909; Cham- bcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:178.1914; Attems — Da> Tierreich 54. 2 Scolop. :165.1930: Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:265.1939. Brasil. Estado do Pará e Venezuela. San Estehan. 62. Otostigmus (A.) clazdfcr % ^mbcrlin — Occas. Papers Mus. Zool. Michigan 4(97) :13. 1921 ; Attems — Das Tierreich 54 . 2 Scolop. :165. 166.1930; \~erhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 70 ( 1/2) :14. 1937; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:265.1939. c fu» Guiana inglesa, perto de Dunoon. 59 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 310 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 63. Otostigmus (A.) brunneus Chamberlin — Occas. Papers Mus. Zool. Michigan 4(97) :15. 1921 \Attenu " Das Tierreich 54 , 2 Scolop. :16.1930; Verhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 70 ( 1 /- - : 14. 1937. Hab . : Guiana inglesa, perto de Dunoon. 64. Otostigmus ( A .) fossulatus Attems — Zool. Anz. 78:307.1928; idem — Das Tierreich 54 . 2 Scolop. : 165.1°^' Hab.: Costa Rica, Finca la Cava. e) Subgênero: Parotostigmus (Poc.), s. str. Verhoeff Pocock — Biol. Centr. - Americ., Cbilop. :25.1896; P. (subg.) AttejM Zool. Anz. 78:302.1928; Das Tierreich 54 . 2 Scolop. :1 55.1930. Parotostigmus (subg.), s. str. Verhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 78(1/2) :11> 1937; Zool. Jahrb. Syst. 71 (4/6) :203 1938 ; Bücherl — Rev. Biol. Hj* 10(1) :54, 56.1939; Mem. Inst. Butantan 13:266.1939. 65. Otostigmus (P.) pradoi Bücherl — Boletim Biol. S. Paulo 4 : 444 -446. 1939; idem — Mem. Inst. B u-3 tan 13:268.1939. Tipos: 2 machos e 1 fêmea na coleção quilopódica do Instituto Butantan, 4 . 52 (local-tipo: Marocanha, S. Paulo) e 259 (local-tipo: União da ^ ria, Paraná). Paratipos: machos e fêmeas, 24 exemplares no Instituto Butantan e 1 0 a c °^ ção da Escola Paulista de Medicina. Hab. : Rio Grande do Sul (Passo Fundo); Santa Catarina (Lagoa): .. — ' Ur (União da \‘itória) e São Paulo (Campinha, Marocanha. Três Pontes, A mas, Jundiaí e arredores da Capital). 66. Otostigmus ( P .) tibialis Brõlemann — Rev. Mus. Paulista 5:39.1902 (non caudatus Brõi. Chanib. — Buli. Mus. Harvard : sin. de tibialis) ; Kracpclin — Cat. — Mitt. *" 60 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Bücherl — Catalogo dos Quilúpodos da zona neotrópica 311 Haniburg 20:132.1903; Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :13.1909; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:179.1914; Attcms — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :164, 165. 1930; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:269.1939. Redescrição de machos e fêmeas: 23 exemplares, sendo 1 da Escola Paulista de Medicina. 4 do Museu Nacional no Rio de Janeiro e 18 da coleção quilopódica do Instituto Butantan (No. 119: Lagoa, Sta. Catarina e No. 390: Itararé, S. Paulo. Local-tipo de Brõlemann : Piquete e Alto da Serra, S. Paulo. Hob.: Brasil, São Paulo, Rio de Janeiro, Distrito Federal, Minas Gerais, Pa- raná, Sta. Catarina. 67. Otostigmus (P.) biirgcri Olostigma b. Attems — Zool. Jahrb. Syst. 18:98.1903. Otostigmus b. Kraepeun — Mitt. Mus. Hamburg 20:122.1903; Attcms — Das Tierreich 54, 2 Scolop. : 1 55. 1930 ; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:269. 1939. Hob. : Colômbia. Villavicencio. 68. Otostigmus (P.) longistigma Ü üchcrl — Boletim Biol. S. Paulo 4:446, 447.1939; idcm — Mem. Inst. Bu- tantan 1 3 :269 . 1 939. T 'po c paratipo : na coleção quilopódica do Instituto Butantan Nos. 58 C 129. °cal-tipo : Brasil, São Paulo: Campo Limpo e Minas Gerais (Rio Branco). Trata-se, a nosso ver, de exemplares raríssimos, encontrados no fundo dc 2 cupins, em companhia de diplópodos. 69. Otostigmus (P.) longipcs Büchcrl — Rev. Biol. Hyg. S. Paulo 10(1) :61-63. 1939; idem — Mem. Inst. Butantan 13:270.1939. >• 'P° : na coleção quilopódica do Instituto Butantan No. 33. cal-tipo : Estado de São Paulo, perto da localidade de Lobo. Brasil. 70. Otostigmus ( P .) limbatus ^ Anert ( Otostigma limbatum ) — Yidensk. Meddel. 36-38:120.1886. rjl °stigmus limbatus Karscii — Berl. Ent. Zeitschr. 32:31.1888; Silvestri — Ann. Mus. Civ. Stor. Nat. Gênova, ser. 2, 14:766.1895; Boll. Zool. Anat. Comp. R. Univ. Torino 10:23.1895; Brõlemann — Rev. Mus. Paulista Cl cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 Memórias do Instituto Butantnn — Tomo XV 3in 5:37.1901; Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:130.1903; Brõlemann — Cat. Myr. Brésil M3.1907; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:172. 1914: Attcms — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :1 56.1930; Biiclicrl — Mem. Inst. Bu- tantan 13 :271 . 1939. Redescrição de machos e fêmeas nas coleções quilopódicas do Instituto Butantan. do Museu Nacional e da Escola Paulista de Medicina (no Instituto Butantan. Nos. 78. 108 e 162). Local ; Brasil. Estado de São Paulo. Alto da Serra e Lagoa. Sta. Catarina. Hab.: Brasil, Argentina e Paraguai. 70a. Otostigmus (P.) limbatus limbatus Biicherl — Mem. Inst. Butantan 13 :27l. 1939. Tipos: 2 exemplares na coleção quilopódica do Instituto Butantan. No. ; Local-tipo: Brasil. Estado de São Paulo, perto da localidade de Lobo. 71. Otostigmus (P.) sulcatus Olostigma sulcai um Meine&t — Vidcnsk. Meddel. 36-38:121 . 1886. Otosliçpnus sulca tus Kraepelin — Mitt. Mus. Hamhurg 20:128.1903: Alt'"’* — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :162.1930; Biiclicrl — Mem. Inst. Buta »- 33 13:271.1939. Hab.: Uruguai, Montevideo. 72. Otostigmus (P.) inermis Porat — Bih. Svenska Ak. 4(7) :23.1876; Brõlemann — Ann. Soc. Ent. Fra*^ 67:247.1898; Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:129.1903; Ribaut Mém. Soc. Neuchãtel 5:75.1914; Attcms — Das Tierreich 54. 2 ScoW :160.1930; Biiclicrl — Mem. Inst. Butantan 13:272.1939. Hab. : Colômbia (cordilheiras centrais c orientais): Venezuela (Tovar) e gentina (perto da Capital). Ar- 73. Otostigmus (P.) krctzii Biiclicrl — Rev. Biol. Hyg. 10(1) :58-60.1939 ct Mem. Inst. Butantan 13:2/2 ' Tipo e Paralipos, machos e fêmeas: 4 exemplares na coleção quilopódica Instituto Butantan (tipos Nos. 38 e 99; paralipos Nos. 124 e 262). Local-tipo: Brasil. Estado de São Paulo (Igarapava) e Sta. Catarina (I- 3 » 1 Hab . : Brasil. São Paulo, Goiás, Paraná. Sta. Catarina. 62 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 VVolfgang Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 313 74. Otostigmus (P.) amazonac - Buli. Mus. Harvard 58:172.1914: Attcms — Das Tierreich 54. 2 162.1930; Bücherl — Mcm. Inst. Butantan 13:273.1939. C hambcrlin Scolop. ^edescrição de machos e fémeas: 7 exemplares na coleção quilopódica do Museu Nacional do Rio de Janeiro (Nos. 72 e 73 ; trata-se de 2 fêmeas, sendo uma acomjianhada de 30 embriões e a outra de 45 ovos mais ou menos. Local : Barra do Tapirapé, Estado do Mato Grosso. Nos. 74. 77. 80 c 108). Hab. ; Brasil, Estado do Mato Grosso (Barra do Tapirapê), Pará (Aurã), Amazonas (perto de Manáos) e Perú (Paias Mayo). 75. Otostigmus ( P .) tidius 'hambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:175.1914; Attcms — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :163.1930; Bücherl — Mcm. Inst. Butantan 13:273.1939. ^ a b . : Brasil, Estado do Amazonas, perto de Manáos. Não obtivemos nenhum exemplar desta espécie, de maneira que nada podc- revelar a respeito do dimorfismo sexual, fator importantíssimo para distin- ^'-la bem de O. amazonae. 76. Otostigmus ( P .) casus ^hambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:177.1914; Attcms — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :162, 163.1930: Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:274.1939. : Brasil. Estado do Mato Grosso (Madeira Mamoré). 0 ,, 0 ,, 0 /, 77. Otostigmus (P.) muticus 0, tigma inerme Karsch (non Porat) — S. - Ber. Ges. Hamburg 2:55.1884; ° s, igmus muticus idem — Berl. Ent. Zeitschr. 32:31.1888 ° s tigmus muticus Kraepeun — Mitt. Mus. Hamburg 20:131.1903; Attcms — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :163.1930; Bücherl — Mcm. Inst. Butantan 13:274.1939. Perú, sem determinação do local. G3 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 314 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 78. Otostigmus (P.) dolosus Attems — Zool. Anz. 78:306.1928; Das Tierreich 54, 2 Scolop. : 1 64 . 1930 - Biicherl — Metn. Inst. Butantan 13:274.1939. Hab.: Paraguai, perto de Assunção. 79. Otostigmus (P.) spiculifcr Otostigma spiculifcrum Pocock — J. Linn. Soc. London 24:461.1893. Otostigmus spiculifcr Attems — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :160.1930. Hab.: Ilhas de São Vicente. 80. Otostigmus (P.) dcnticulatus Parotostigma d. Pocock — Biol. Centr. - Amer., Chilop. :25.1896. Otostigmus dcnticulatus Kraepelix — Mitt. Mus. Hamburg 20:124.1903; Att* 1 ** — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :160.1930. Hab.: México, Amula c Omilteme. 81. Otostigmus (P.) suitus Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:174.1914; Attems — Das Tierreich 54 Scolop. : 167. 1930. Hab.: Brasil, Estado do Mato Grosso, Madeira-Mamoré. Otostigmus suitus. tidius e rcx Chamberlin constituem três espécies esclarecidas e mesmo dúbias (rc.r) . Em primeiro lugar, trata-se apenas pouco procedeu a um estudo comparado com as espécies vizinhas já exist ' *** ^ Em segundo lugar, acresce ainda o tato de que nenhuma das 3 espécies 101 contrada posteriormente (exceção feita de rcx, do qual Butantan possi** ^ exemplar igual a scabricauda) , o que vem a confirmar as dúvidas a resp 010 validade das citadas espécies de Chamberlin. 64 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Bücherl — Catálogo dos Quilõpodos da zona neotrópica 315 8. Gênero: RHYSIDA Wooo (non Trematoptychus Peters) Rranchiostoma Xewpjrt — Tr. Linn. Soc. London 19:441.1845 (non O. Costa, 1834); Meinert — Vidensk. Meddel. 36-38:116.1886. Ptychotrcma Peters — Monatsber. Akademie Berlin :82.1855. Rhysida WooD — J. Ac. Xat. Sei. Philad., ser. 2. 5:40 1862; Kracpclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:139.1903; Verhoeff — Bronn’s Kl. Ordn. 5:257.1907; Brolettiann — Cat. Myr. Brésil :14, 15.1909: Attems — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :183, 184.1930: Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13 :275-277.1939. Braiichiostoma -f- Trematoptychus Peters — Rcise Mossamb. 5:529 (non :519 Ch.) 1862. Rhysida Ethmoplwrus Pocock — Ann. Xat. Hist., ser. 6, 7:230.1891. 82. Rhysida cclcris (Hemb. a Sauss.) ^ ' r <*nchiostomo celer Humbert & Saussure — Rev. Zool.. ser. 2. 22:202. 1870; Saussure & Humbert — Miss. Me.x.. Part. 6, Sect. 2. :122.1872; Kohlrausch — Arch. Xaturg. 47:69.1881: iíeincrt — P. Amer. Phil. Soc. 23:183.1886. ™ l ysida celeris Silvestri — Mus. Zool. Anat. Com. R. Univ. Torino 10:23.1895; Pocock — Biol. Centr. - Americ.. Chilop. :27.1896; Kraepelin (-f- Rh. aspera) — Mitt. Mus. Hamburg 20:149.1903: Brôlemanu — Revista Mus. Paulista 6:66.1904; Cat. Myr. Brcsil : 14.1909 ; Attems — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :188. 189.1930; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:277.1939. ^ r tmatoptychus c. Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:181.1914. ^edescrição de machos e fêmeas : 3 exemplares na coleção quilopódica do Instituto Butantan Xo. 46 (local: Piratininga, São Paulo), 331 (local: Ouro Branco, São Paulo) e 256 ( paratipo : União da Vitória. São Paulo) e mais 2 exem- plares no Museu Xacional do Rio de Janeiro, Xo. 1 (uma fêmea com 30 embriões mais ou menos, capturada j>erto de Aurá, Estado do Pará) c 84, procedente da Barra do Tapirapé. Estado do Mato Grosso. Brasil, Estados de São Paulo, Para. Mato Grosso. Amazonas (perto de Manáos, segundo Brõlemann) ; Argentina. Boi i via, Venezuela. Geórgia e México. e, 83. Rhysida nuda (Xewp.) Tr. Linn. Soc. London 19:412.1845. * an chiostoma nudum Xewport VViído nuda -f immarginata + togoensis Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg U b 20:143-145.1903 : Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. Mem. Inst. Butantan 13:277.1939. : 189.1 930 -.Bücherl Desde o México até ao Paraguai e África. 65 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 316 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV S3a. Rhysida nuda nuda (Newp.) Branchiostoma nudum Newport — loc. cit.; Cervais — Walkenaer, Hist. -M* 4:249. 1847. Branchiostoma gymnopus Kohlracsch — Arch. Xaturg. 47:67.1881; -F '' ccylonicum Haase — Abh. Mus. Dresden (5):86.1887. Rhysida immarginata Pocock — Biol. Centr. - Americ., Chilop. :26.1S96. Rhysida nuda Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:144.1903. Trcmatoptychus nudus Chamberlik — Buli. Mus. Harvard 58:181.1914. Rhysida nuda nuda Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :189, 190.1930. Redescrição de machos e fêmeas: 8 exemplares na coleção quilopódica do Institu* 0 Butantan (Nos. 329. 333. 351 e 352; local: Estado de São Paulo. Gi» 13 ^ 1 ' c arredores da Capital) e 4 exemplares no Museu Nacional do Rio, No. - (Iguape, São Paulo). 31 f Terezópolis, Rio de Janeiro) e 81 (Barra do Tap* rapé, Mato Grosso). Hab.: Australia, Ceilão. América latina desde o México até ao Paraguai, sil, nos Estados referidos. 83b. Rhysida nuda immarginata (Por.) Branchiostoma immarginatum Porat — Bih. Svenska Ak. 4(7) :24. 1876; nert — Vidensk. Meddel. 36-38:118. 1886; -f- var. cclcbcnsc Haase - Mus. Dresden (5):85.1887. Branchiostoma indicum Kohlrauscii — Arch. Naturg. 47:67.1881. Branchiostoma subspinosum Tõmõsvary — Termész. Füzetek 9:651885. Rhysida immarginata Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:143.1903. ^ Rhysida nuda immarginata Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :19° Hab.: Índia. Burma, Filipinas, Venezuela, Guatemala. 83c. Rhysida nuda riograndensis Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 13:277, 278.1939. Tipos e paratipos, machos e fêmeas: 4 exemplares na coleção quilopódic 3 Instituto Butantan. Nos. 54. 80. 105 c 111. Local-tipo: Estado do Rio Grande do Sul (vide no mm), perto de R 0 **^ Hab.: Brasil. 84. Rhysida longipcs (Newp.), s. str. mihi rf rd Branchiostoma l. Newport — Trans. Linn. Soc. London 19:411.184a; u — Walkenaer, Hist. Apt. 4:249.1847. 66 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Blxherl — Catálogo dos Quiiópodos da zona neotrópica 317 Uh. longipcs Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :193.1930; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:278.1939 (s. str.). ^edescrição de 1 exemplar no Museu Nacional do Rio de Janeiro, Xo. 129. Local-ti[>o : Yeadeiros, Estado de Goiás. Hab . ; Brasil. 84a. Rhysida longipcs longipes (Newp.) ^ r anchiostoma l. Newp. — op. cit. ^ r< *nchiostoma obsolctum Porat — Bih. Svenska Ak. 4(7) :25. 1876. ® Ta nchiostoma gracilc ai fine Kohlracsçh — Arch. Xaturg 47:66, 69.1881. I jT onchiostoma affinc Meinert — P. Amer. Phil. Soc. 23:182.1886 . ® r <*nchiostoma longipcs 4- var. roíundatum Haase — Abh. Mus. Dresden (5) :83. 1887. > rc »iatoptychus longipcs Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:181.1914. ^bysida longipcs Pocock — Ann. Mus. Gênova 30:418.1891; Biol. Ccntr. - Americ., Chilop. :27.1895 ct 1896; Sitvcslri — Ann. Mus. Civ. Stor. Nat. Gênova 14.1894; Attems — Senkenb. Ges. Frankfurt 23:3.1897; Brõlc- m an — Rcv. Mus. Paulista 5.1901; Kraepclin — Mitt. Mus. Hamburg 20 :148.1903; Brõlcmann — Cat. Myr. Brésil :14, 15.1909; Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :194.1930; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:278. 1*939. descrição de 2 exemplares na coleção quilopódira do Instituto Butantan, Xo. 42 (Local: Barra Mansa. Estado do Rio de Janeiro) e 143 (Local: Granja Lopes, Estado do Rio de Janeiro) e mais 2 exemplares paratipos na coleção quilopódica do Museu Xacional do Rio de Janeiro. Xos. 38 e 57. procedentes lf de Terezópolis. Estado do Rio de Janeiro. '*b-: todas as regiões tropicais e subtropicais: Austrália, Índia. África, Mada- foscar. América Central c América do Sul. Até 1909 tinha sido assinalada a penas uma vez no Brasil, no Estado da Baia. 85. Rhysida brasiliensis Kraepelin, s. str. tnihi K Qf Pclin — Mitt. Mus Hamburg 20:152.1903: Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :197.1930; (sensu str.)\ Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:279. L *939. •/'"atoptychus brasil. Chamberlin — Buli. Mus. Harvard. 58:182.1914. ^scrição de machos c fémeas: 31 exemplares ao todo. sendo 28 da coleção Tdlopódica do Instituto Butantan, 2 do Museu Xacional do Rio e 1 da Escola ^Sricola de Piracicaba. Inst. Butantan Xo. 40 (2 exemplares), local : Co- 67 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 318 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV lónia Helvécia, perto de Campinas, Estado de São Paulp e Xo. 75 (5 exe®' j piares), local: São Carlos, Estado de São Paulo. Hab.: Brasil: Estado de São Paulo (Capital, Colónia Helvécia, Barretos, Co- rumbatai, São Carlos, Sarandaí, Artur Nogueira, Morais Barros, Pedre* gulho, etc..), Rio de Janeiro (Terezópolis, Itatiaia, Cavaní, Volta Redonda)- Espirito Santo, Minas Gerais, Santa Catarina. Argentina, Paraguai. 85a. Rhysida brasilicnsis rubra Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 13:279.1939. Tipos : 2 exemplares na coleção quilopódica do Instituto Butantan. Nos. e 134. Local-tipo: Estado do Mato Grosso, na fazenda Terrenos. Hab. : Brasil. 92 2. Tribu: Arrhabdotini Anodoniostominae Yerhoeff — X. Acta. Ac Leop. 86:433.1906; Bronn's Ordn. 5:254.1907. Arrhabdotini Attf.ms — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :198.1930. Kl- 9. Gênero: ARRHABDOTUS Attems nomen noz-um (Consideramos supérfluo aduzir as sinonímias deste gênero por nao encontrar nenhuma espécie na zona neotrópica, sendo que apenas casualn> cntf obtivemos um exemplar, pertencente a êste gênero e capturado a bordo de cargueiro.) Trata-se da espécie seguinte: 86. Arrhabdotus octosulcatus (Tõm.) Edcntistoma octosulcatum Tõmõsvary — Termész. Füzetek 5:229.1882 1 dontostoma o. idem. ibidem 6:162.1883). Anodontostoma octosulcatum Haase — Abh. Mus. Dresden (5) :95 . 1887 : K r - , ‘ pelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:164.1903: Arrhabdotus o. (n. X.) Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :199.1930. Hab.: Ilha de Boméo, perto de Matang. Bendjermasin. Casualmente cap*®* rada a bordo de um navio cargueiro que abordava em Santos, Brasil- 68 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 Wolfgang BCcherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 319 2. Família: Cryptopidae ~ r \ptopsii Kohlkausch — Arch. Xaturg. 47:53.1881. ~ r yptopinae -j- Plutoniinae Bollmaxx — Buli. U. S. Mus. 46:165.1893. ^ r yptopinac Kraepelin — Mitt. Mus. Hainhurg 20:29.1903. 'uperfam. Cryptopina -f- Thcatopsina Família Scolopocryptidac Verhoeff — N. Acta Ac. Leop. 86 .450.1906 et Bronn’s Kl. Ordn. 5:246.1907. ^ r yptopidae Chambeeun — Buli. Mus. Harvard 58:156.1914; Attems — Arch. Xaturg. 80:100.1914; ideni — Kückenthal Handb. Zool. 4:375.1926; idem «— Ann. S. Afr. Mus. 26:82.1928; idem — Das Tierreich 54 . 2 :200.1930; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:280.1939. A. Subiam. : Cryptopinae r yptopidac Verhoeff — X. Acta Ac. Leop. 86:432.1906; idem — Bronn’s Kl. Ordn. 5:247.1907; Portcr — Estud. Elem. Zool. Santiago dei Chile : 56. 1911 \Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:156.1914; Attems (e part.) - — Arch. Xaturg. 80:100.1914; yptopini Attems — Kückenthal Handb. Zool 4:375.1926. r, yptopinae Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :200, 201.1930; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:280.1939. 1. Gênero: CRYPTOPS '■'ach — Tr. Linn. Soc. London 11:384.1815; idem — Zool. Misc. 3:42.1817: Neivport — - Tr. Linn. Soc. London 19:276, 407.1844 et 1845; Cerrais — Walkenaer. Hist. Apt. 4:291.1847; Koeh — Koch-Panzer Krit. Revis. 3:78,172. 1847; Ncxcport — Cat. Brit. Mus. Myr. :3.58.1856; Meinert — Xaturh. Tiddeskr., ser. 3, 5:242 1868: Latcel — Myr. Oster. - Ungar. Mo- narch. 1:149.1880; Meinert — Vidensk. Meddel. 36-38:135.1886; Bcrlese — A. M. S. Fase. 47 (6). 1888; Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:32. 1903; Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :8.1909; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:156.1914; Attems — Ann. S. Afr. Mus. 26:82.1928; Verhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 62(3) :263-280.1931 ; idem 70(1/2:9-11.19 37; idem. ibidem 71(4/6) :363. 368. 1938; Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. =201,202.1930: Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 13:282.1939. 69 322 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :231.1930; Büchcrl — Mem. Inst. But; 13:288.1939. Cryptops capivarac Pocock — Ann. Xat. Hist., ser. 6,8:158.1891: BrõleniJ -' j — Cat. Myr. Brésil :8.1909. Cryptops brasiliensis Attems — Mitt. Mus Hamburg 18:112.1901; BrõU | — Cat. Myr. Brésil :S.1909. Hab.: Brasil, Estado do Rio Grande do Sul ( brasilicnsis Arr.) e Estado I Mato Grosso, nas margens do rio Capivarí (capivarac Pocock) : Argentí®*| e Uruguai, Montevideo ( galathcac Meinc). 97. Cryptops (C.) dctcctus Silvestri — Rev. Chilena Hist. Xat. 3:146.1899: Kraepelin — Mitt. Mus. Hainh-' r | 20:48.1903; Silvestri — Zool. Jahrb. Suppl. VI, 3 ./54.1905: Porter ^ ^ Estud. Elem. Zool. Santiago dei Chile :56.1911; Attems — Das Tierrri | 54. 2 Scolop. :250.1930; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13 : 284 . 1 939- Hab . : Chile, perto de Temuco. 98. Cryptops (C.) nivicomes Vcrhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 71(4/6) :367.368.1938. Hab. : Chile, perto de Santiago, em Fierro Carrera, nas altas Cordilheiras. altura de 2350 metros, onde principia a neve. (vide nomen.). ff* Espécies dúbias Cryptops (C.) hirsutulus Vcrhoeff — Xova Acta Ac. Leop. 86:369 et 372.1906; nomen nudum. Cryptops (C.) armatus Silvestri — Rev. Chilena Hist. Xat. 3:147.1899; Kraepelin — Mitt. Mus. 20:49.1903; Silvestri — Zool. Jahrb. Suppt. VI, 3:754.1905: porttf •> Estud. Elem. Zool. Santiago dei Chile :56.1911; Attems — Das Tif 54. 2 Scolop. :235.1930. Trata-se de um único exemplar, que é apenas um adolcscens e quasi c0 ' V '^ tamente descorado no álcool de maneira que esta espécie deve ser cons> ( ‘ dúbia. Pertence provavelmente ao Cryptops monilis ou tris errai as. ^ diz o seguinte a respeito do habitat : “Habita Santiago, segun Silvestri. 4 la descobrió en su rápida escursion de 1899.” 72 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 323 b) Subgénero: ílaplocryptops ' trhocff — Zool. Jahrb. Syst. 66(1/2) :39-42. 1934. 99. Cryplops (H.) acapulccnsis trhocff — ibidem. Hab México, na costa ocidental, sem determinação do local exato. Verhoeff, ao descrever esta espécie nova, faz comparações morfológicas um ^to arrojadas, pois, baseando-se apenas neste único exemplar (como éle próprio ^fessa), procura introduzir novos caraterísticos morfológicos para todo o gê- ^6 Cryptops, criando simultaneamente um subgénero novo. c) Subgénero: Trigonocryptops '''Jonocryptops (género) Verhoeff — Nova Acta Ac. Lcop. 86:390.1906; idem — Bronn’s Kl. Ordn. 5:249.1907; idem — Zool. Jahrb. Syst. 70(1/2) :9- 11.1937. r,f lonocryptops (subgénero) Attems — Das Tierreicb 54. 2 Scolop. :235.1930; * c herl — Mem. Inst. Butantan 13:284.1939. Tri. Attems, op. cit., tinha abolido Trigonocryptops como gênero. Verhoeff. ao Erário, julgou em 1937 dever reintroduzir o gênero alxjlido, baseando-se nesta ^tiva em detalhes morfológicos de sua espécie nova Trigonocryptops trian- Wifcr. O autor, porém, confessa por si mesmo que teve apenas à mão um exemplar, uma fêmea (obtida por intermédio do prof. Mello Leitão). Nós, ^ lr ctanto, através de um confronto esmerado dc 28 exemplares de Cryptops ^ngi Brol., de todos os tamanhos (adolescentes e adultos), chegamos, exame cuidadoso da descrição e dos desenhos de Verhoeff, à conclusão de ^ 0 autor teve à mão uma fêmea adolcsccns de Cryptops iltertngi. Trígono- r *Ptops gen., passa, portanto, a ser Trigonocryptops subgen.. ^ Todo o erro e malentendidos entre Attems e Verhoeff provém do fato de r °leinann ter descrito mal sua espécie (Cr. iheringi ). 100. Cryptops ( Tr .) iheringi Brõl. ( rcdcscriptio mihi) r,. jPtop s iheringi Brõlemann — Revista Mus. Paulista 5:42.1902: Kraepclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:42.1903: Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :8.1909; Chatnberlin — Buli. Mus. Harvard 58:157.1914; Ribaut — Mém. Soc. Xcu- c hâtel 5:70 (Set. 1912?). 1914; Attems — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :239, 240.1930 (Tr. subg.) ; Verhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 70(1/2) :9-l 1.1937 (Tr. gen.). 73 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 321 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Cryptops triangulifer Verhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 70(1/2) :9-ll . 1937. Cryptops (7>.) iheríngi Büciieri. — Mem. Inst. Butantan 13:285-287. 19- ,J Redescrição de machos e fêmeas: 28 exemplares, encontrando-se 19 exemp'- 3rf5 na coleção quilopódica do Instituto Butantan, 2 no Museu Xacional do de Janeiro, 6 na Escola Agrícola de Piracicaba e 1 na Escola Paulista Medicina. Xo Instituto Butantan, Xos. 68 (Eleutério, São Paulo). ™ (o paratipo de triangulifer Verh.), 120 (Tietê, São Paulo) e 147 (Iguass- São Paulo). Hab.: Brasil: Estado de São Paulo, (Alto da Serra: o tipo de Brolcinan 1 ’'' Eleutério, Tietê, Penha, Capital, Itapira. José Paulino, Iguassú, Itarat* - União da Vitória, Campo Limpo, Indianópolis ; Estado de Goiás: Rio São Miguel; Minas Gerais: Rio Pandeiro; Estado ^ Rio de Janeiro: Terezópolis. Ord* d) Subgênero: Chromatanops Verhoeff — Xova Acta Ac. Leop. 86:389.1906; idem — Bronn's Kl. 5 249. 1907. Attcms — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :243. 1930; Biicherl — Mem. Inst- tantan 13.1939. 101. Cryptops ( Chr .) bhnttatus Cryptops b. Pocock — J. Linn. Soc. London 24:462.1893; Kraepclin Mus. Hamburg 20:50.1903. Chromatanops b. Verhoeff — opera citata. Chryptops (Chr.) b. Attems — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :243.1930; — Mem. Inst. Butantan 13:283.1939. Hab.: Colômbia, Sierra de Santa Martha; Costa Rica; Antilhas. São ' Mi'- 1 . P» ck sfi rt<- 2. Gênero: PARACRYPTOPS Pocock — Ann. Xat. Hist., ser 6. 7:227.1891; Kraepclin — Mitt. Mus- burg 20:59 1903. Verhoeff — Bronn’s Kl. Ordn. 5:250.1907; Cha> — Buli. Mus. Harvard 58:158.159.1914; Attcms — Das Tierreich **' Scolop. :244.1930; Biicherl — Mem. Inst. Butantan 13:283.1939. 102. Paracryptops incxpcctus Chambcrlin — Buli. Mus Harvard 58:158-159.1914; Attems — Das Tí er ;; 54. 2 Scolop. :246.1930; Biicherl — Mem. Inst. Butantan 13:2'- Hab.: Guiana inglêsa, sem determinação do local exato. Trata-se de um único exemplar, apreendido cm Washington no IllC,L> uma remessa de plantas, importadas da Guiana inglêsa. 74 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 325 3. Gênero: MIMOPS | ^racpclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:31.62.1903 ; Vcrhocff — Bronn’s Kl. Ordn. 5:251.1907: Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:160.1914: Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. 247.1930; Büchcrl — Mern. Inst. Butantan 13 :281 . 1939. Até ao ano de 1914, êste gênero era conhecido apenas através de um único I **ttnplar (Aí. orientalis Krpln.) da província Shensi. na China. Com grande Apresa foram descol>ertos 2 exemplares do mesmo gênero, mas provavelmente P* uma espécie diferente, procedentes do porto do Rio de Janeiro e classificados w Chamberlin. E’ provável, naturalmente, que êstes exemplares tenham sido ,ra nsportados para o Rio de Janeiro por meio de um navio, vindo do Oriente. esta suposição carece das necessárias provas, ainda que ate êste ano não ttn ham sido descobertos mais outros exemplares no Rio. Trata-se da c pecic 1 *^uinte : 103. Mimops occidcntalis nberlin — Buli. Mus. Harvard 58:169.1914: Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop ^48,249.1930; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:281.1939. I Brasil, Rio de Janeiro. Chamberlin obteve 2 exemplares, capturados no Rio ;>ela expedição !c Xa- , ' : ' ! Thayer. cm 1864. Devido à longa conservação os exemplai ^ficados, de maneira que sua descrição não pôde ser ‘ falta uma comparação completa com a outra espécie, M. oritnl B. Subfam. Theatopsinae e otopsina (superfam ) Vf.rhokff — Nova Acta Ac. Leop. 86:431.1906: idem — Bronn’s Kl. Ordn. 5:246.1907. ^‘ e topsiui Attems — Kückentha! Handb. Zool. 4:376; idem — Das Tier- teich 54, 2 Scolop. :249, 250.1930. 4. Gênero: THEATOPS L» ^ port — Tr. Linn. Soc. London 19:275, 410.1844 et 1845; Kohlrcntsch — Arch. Xaturg. 47:93.1881 ; Pncock — Ann. Xat. Hist, ser. 6, 1:287.1888; idem — ibidem, ser. 6, 7:228.1891; Kracpclin — Mitt. Mus. Hamburg 75 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 326 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 20:64.1903 ; Verhocff — Bronn’s Kl. Ordn. 5 :253.1907 ; Attcins — Das T' er reich 54. 2 Scolop. :250,25 1.1930. Opisthcmega Wood — J. Ac Xat. Sei. Philad., ser. 2, 5:35.1862; idem — Tran> Anier. Phil. Soc., ser. 2, 13:169.1865; Latzcl — Myr. Osterr. - Monarch 1:145.1880: Kohlrausch — Arch. Xaturg. 47:130.1881; 3/ f‘ nfrl — Viddensk. Meddel. 36 - 38:134.1886. 104. Thcatops spinicauda (Wcx)d) P- Opisthcmega sp. Wood — J. Ac. Xat. Sei. Philad., ser. 2, 5:39.1862; ideni Trans. Amer. Phil. Soc., ser. 2, 13:170.1865 ; O. sp. + insulare Meinert Amer. Phil. Soc. 23:208,209.1886. O. insularc Haase — Abh. Mus. Dresden (5):79.1887. Thcatops spinicaudus Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:65.1903; Thcatops spinicauda Atte.ms — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :253.1930. Hab.: América do Xorte e México (Acapulco e as ilhas de Sandwich)- exemplar capturado no porto de Santos, provavelmente importado por n * A de um navio conjuntamente com mercadorias do México. C. Subfam. Scolopocryptopinae Scolopocryptopidac + Newportiidac Pocock — Biol. Centr. - Amer.. :2S,29.1896. 1(0 Scolopocryptinac (Subfam.) -(- Kcxvportiidac (fam.) Verhoeff — Xova • Ac. Leop. 86:432.433.1906; idem — Bronns Kl. Ordn. 5 :253247.1907- Scolopocryptopinac Atte.ms — Arch. Naturg. 80:101.1914; idem — Kúck crit .. Handb. Zool. 4 :376.1926; idem — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :254.25? Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 13:290.1939; idem — ibidem 15.1941- 5. Gênero: SCOLOPOCRYPTOPS Mi*** Newport — Tr. Linn. Soc. London 19:275,405.1844 e 1845; Kracpelm — Mus. Hamburg 20:76.1903; Verhoeff — Bronn’s Kl. Ordn. 5:2- - '-'’ ' , Brõlcinann — Cat. Myr. Brésil :32.1909: Chambcrlin — Buli. Mus. ^ 58:163.1914; Attcins — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :255.1930; B»^ :,r Mem. Inst. Butantan 13:291 1939; idem — ibidem 15.1941. 76 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 'Volfgang Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 327 105. Scolopocryptops iniersii A r i fwport — Tr. Linn. Soc. London 19:405.1845; Gcrvais — Walkenaer, Hist. Apt. 4:298.1847; Pocock — J. Linn. Soc. London 24:465.1893; Silvcslri — Ann. Mus. Civ. Stor. Nat. Gênova, ser. 2, 14:24.1895; Brõlemann — Ann. Soc. Ent. France 67:250.1898; ideni — Rev. Mus. Paulista 5:42.1901 ; Kracpclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:77.1903; Brõlcmam i — Cat. Myr. Brésil :33.1909; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:163.1914; Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :256.1930; Biiclicrl — Mem. Inst. Butantan 13:291 ( micrsii , s. str. rcdescriptio). 1939; idem — ibidem 15.1941. ^'olopocryptops calcaratus Bollmann — Buli. U. S. Mus. 46:133.1893. ^edescrição de machos e fêmeas: 57 exemplares ao todo, pertencendo 32 exem- plares à coleção quilopódica do Instituto Butantan, 24 ao Museu Nacional do Rio de Janeiro e 1 à Escola Agricola de Piracicaba. Instituto Butantan Nos. 62 (local: Campo Limpo, Estado de São Paulo), 116 (Corumbatai) e 254 (Bueno de Andrade). Hob.: Brasil, Estado de São Paulo (Ouro Branco, Pedregulho, Alto da Serra. Mogi das Cruzes, Capital, Itanhaem, And rada e Silva. Campo Limpo, Lol>o, Corumbatai, José Paulino, Bueno de Andrade, Iguape). Estado do Rio de Janeiro: Terezópolis. Distrito Federal: Jacarépaguá. Rio Grande do Sul: São Lourenço (local, assinalado por Brõlemann), Uruguaiana. Gioás: Rio São Miguel. Veadeiros. Pará: Aurá. Espirito Santo: Colatina. Argen- tina, Venezuela, Antilhas, Califórnia, Guiana 105a. Scolopocryptops micrsii puruensis ! '*clicrl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. 7 1 ' *Pos e paratipos, machos e fêmeas: 7 exemplares ao todo. Tipo na coleção quilopódica do Instituto Butantan. No. 293 (local-tipo: Lago do Mapixi, no rio Purus, Estado do Amazonas) e no Museu Nacional do Rio de Ja- neiro, No. 49 (local-tipo: Amazonas). Paratipos, 5 exemplares, no Museu Nacional, No. 27. ,{ ob Brasil, Estado do Amazonas, Rio Purus, Lago do Mapixi. 105b. Scolopocryptops micrsii fijicnsis Hiiberlin — Buli. Mus. Harvard 64:11.1920; Attems — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :256.257. 1930; Biiclicrl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. I,af > ■■■ Ilhas de Fiji, Nasoqo e Nadarivatu. 77 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 328 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Espécies dúbias Scolopocryptops quadrisulcatus Daday — Tennész. Füzetek 14:182.1891. Hab Venezuela, Caracas. Nomen mídum. Scolopocryptops aurantiaca Cervais — Walkenaer, Hist. Apt. 4:593.1847; Brõlemann — Cat. Myr. Bn^ :9. 1909. Hab.: Brasil, Rio de Janeiro. Nomen iiudum. Scolopocryptops viridis Gervais — idem, ibidem :594; Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :10.1909. Hab.: Brasil, sem determinação do local. Nomen nudum. 6. Género: OTOCRYPTOPS Haase Scolopocryptops Meinert (ncc Xewport — Tr. Linn. Soc. London l 9 1844) — Proc. Amcr. Phil. Soc. 23:179.1886; idem — Viddensk. 36-38:112.1886. :405- Mcd^ 1 ' Otocryptops Haase — Abh. Mus. Dresden (5):96.1887; Pocock — Ann. Hist., ser. 6, 7:228.1891; Kracpclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:68' 1903: msr., ser. u. /:s-o. ioyi ; i\.raepcnn — .viui. ,»ius. namuurg Verhoeff — Bronn’s Kl. Ordn. 5:255.1907; Brõlemann — Cat. Myr- :10.1909; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:161.1914; Attems ' ^ Tierreich 54. 2 Scolop. :257,258. 1930; Biiehcrl — Mem. Inst. Butanta 11 :292. 1939. 106. Otocryptops fcrrugincus -» Brõlemann — Miss. Arc. Mérid. 10:238.1919; Attems — Das Tierreich Scolop. :260,261 . 1930; Biiehcrl — Mem. Inst. Butantan 13:293. l^- 1 Hab.: Toda a América do Sul e Central (muito frequente no Brasil) c ocidental. Afr** 78 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgano BCxherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 329 106a. Otocryptops ferrugincus fcrrugineus (L.) Scolopcndra ferruginca Linné — Syst. Nat. ed. 12:1063. 1767 ; Dc Gccr — Mém. Hist. Ins. 7:568.1778. ^olopocryptops fcrrug. Newport — Tr. Linn. Soc. London 19:406.1845. Scolopocryptops rufa Gervais — Walkenaer, Hist. Apt. 4 '297.1847. Scolopocryptops ferruginca Newport — Cat. Brit. Mus. Myr. :56.1856: Kohl- rausch — Arch. Naturg. 47:57.1881. Scolopocryptops mexicana Humbert & Saussure ( ncc Saussure, 1860) — Rev. Mag. Zool., ser. 2. 21:158.1869; Saussure & Humbert — Miss. Mex. Part. 6. Sect. 2, :134.1872. Sc olopocryptops scxspinosa Porat — Bih. Svenska. Ak. 4(7) :26. 1876. ^olopocryptops antillarum Marshall — Tr. Ent. Soc. London :37.187S. SV olopocryptops bisulca + strigilis Karsch — Abh. Ver. Breinen 9:66.1884. olopocryptops miersii Meinert (ncc Newport) — P. Amer. Phil. Soc 23 :181 . 1886. $c olopocryptops meinert i Pocock — Ann. Nat. Hist.. ser. 6. 2:474.1888. Sc olopocryptops mexicanus Pocock — ibidem, ser. 6. 6:143.1S90. 0* ocryptops ferrugincus Pocock — J. Linn. Soc. London 24:463.1893; Porat — Bih. Svenska Ak. 18(7) :12. 1893 ; Pocock — Biol. Ontr. -Amer., Chi!. :19.1896; Kracpdin — Mitt. Mus. Hamburg 20:72.1903; Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:162.1914; Brõlemann — Miss. Arc. Mérid. 10 :236. 1919; Otocryptops sexspinosus Brõlemann (m part. minim.) — Cat. Myr. Brcsil :11, 12.1909. Otocryptops ferrugincus ferrugincus Attems — Das Ticrreich 54. 2 Scolop. :261, 262.1930; Büchcrl — Mem. Inst. Butantan 13:293.1939. ^descrição de machos e fêmeas: 19 exemplares ao tolo. pertencendo 16 à coleção quilopódica do Instituto Butantan, 2 ao Museu Nacional do Rio de Janeiro e 1 à Escola Agrícola de Piracicaba. No Instituto Butantan, Nos. 87 (local: Corumbatai, S. Paulo). 132 (Cabras. S. Paulo) e 181 (Três Pontes, S. Paulo). Brasil, Estado de São Paulo: Corumbatai, Cabras. Caraguatatulw. Cam- pos de Jordão, Três Pontes. São Pedro: Distrito Federal: Jacarepaguá; Mato Grosso (nas zonas percorridas pela comissão de Kondon) ; Paraná, União da Vitória. Perú. Ecuador, todos os Estados da América Central a começar no Norte pelo México. África ocidental. 79 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 330 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 106aa. Otocryptops f. f. var. ferrugincus Attems — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :262.1930; Biiclicrl — Mem. Inst. Butan- tan 13:294.1939. Redescrição de 4 exemplares na coleção quilopódica do Instituto Butantan, Xo. ^ (2 exempl.) : local: Três Pontes, Estado de São Paulo. Paratipos Xos. & e 107, procedentes de Vicente Carvalhais, Estado de Minas Gerais. Hab Brasil, nos locais indicados. Attems indica como habitat desta vanctte • África ocidental, América do Sul e Central, sem determinar, porém, 05 locais. 106ab. Otocryptops f. f. var. macrodon n Kracpcli n — Mitt. Mus. Hamburg 20:74.1903; Attems — Das Tierreich 54. Scolop. :262.1930; Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 13:294.1939. Redescrição de 2 exemplares na coleção quilopódica do Instituto Butantan, Xo- & Local: Passo Fundo. Rio Grande do Sul; Caixa Dágua, Estado ^ São Paulo. Hab.: Brasil, Rio Grande do Sul, Paraná c São Paulo. 106ac. Otocryptops f. f. var. parccspinosus O. /. var. p. Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:74.1903. O. f. p. Brõlemann — Miss. Are. Mérid. 10:236.1919. O. f. f. var. p. Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :262.1930; Biichcrl Mem. Inst. Butantan 13:294.1939. Hab. : Pcrú e Ecuador. 106b. Otocryptops ferrugincus fnversus Chambcrlin — Occas. Papers Mus. Zool. Michigan 4(97) :4. 1921 ; Attc" : - Das Tierreich 54. 2 Scolop. :262.1930; Biichcrl — Mem. Inst. ButantaU 295.1939. Hab. : Guiana inglésa, perto de Dunoon. A descrição é grandemente incompleta, de maneira que esta subesp^- ,c dificilmente pode ser distinta das outras espécies e variedades. s° 80 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Blcherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 331 106c. Otocryptops ferrugineus riveti Brõlemann — Miss. Arc. Mérid 10:237.1919 (O. Riveti). 0. /. riveti Attems — Da.s Ticrreich 54. 2 Scolop. :262.1930; Bücherl Inst. Butantan 13:294.1939. Üab . : Ecuador, perto de Narihuana. — Mem. 107. Otocryptops mclanostomus (Newp.) ^olopocryptops melanostoma Xewfort — Tr. Linn. Soc. London 19:406. 1845 ; Geniais ( mclanosomat ) — Walkenaer, Hist. Apt. 4:298.187; Nnv- port — Cat. Brit. Mus. Myr. :56.1856. Scolopocryptops megacephalus + lusomcus + boholiensis Koiilrausch — Arch. Naturg. 47:5 7, 58.1881. '^ r olopocryptops geopltilicornis Tõmõsvary — Termesz. Füzetek 9:65.1885. '^ f olopocryptops luconicus Mf.inert — Viddensk. Meddcl. 36 - 38:1 13.1886. Otocryptops l. var. australis Haase — Abh. Mus. Dresden (5):98.1887. Otocryptops longiccps Pocock — Ann. Xat. Hist., ser. 6, 8:160.1891. Otocryptops melanostoma Pocock — J. Linn. Soc. London 24:464.1893; idem — Biol. Centr.-Amer.. Giilop. :29.1896; Brólemann — Cat. Myr. Brésil :10,1 1.1909. Otocryptops lusonicus Pocock — Weber Ergebn. Reisc Xiederl. O. Ind. 3:315. 1894; Silvcstri — Ann. Mus. Gênova 34:633.1894. Otocryptops aculcatus Attems — Abh. Senckenb. Gescll. 23:478.1897. Otocryptops mclanostomus Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:74.1903: Brõ- Icmann — Ann. Soc. Ent. France 72:130.1903; Ribaut — Mém. Soc. Xeu- châtel 5:75 (Setembro 1912?). 1914; Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:163.1914; Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :263.1930; Biichcrl — , Mem. Inst. Butantan 13:295.1939. ^'descrição de machos e fêmeas: 1 exemplar na coleção quilopódica do Instituto Butantan. Xo. 240 (local : Terezópolis. Estado do Rio de Janeiro) e mais 12 exemplares no Museu Xacional do Rio de Janeiro, sendo 11 do Distrito Federal e 1 do Estado do Espírito Santo. Brasil, Distrito Federal e Espirito Santo; Argentina. Colômbia. Vene- zuela, Guatemala, Xova Guiné, Filipinas. 108. Otocryptops rubiginosus (Koch) y c ° l opocr\ptops scxspinosus Porat (nec Say) — Bih. Svenska Ak. 4(7) :26.1876. 81 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 332 Memórias do Instituto Butantan Tomo XV Scolopocryptops rubiginosa Koch — Verh. Ges. Wien 27:792.1878. Scolopocryptops confucü Karsch — Abh. Ver. Bremen 9:65.18+4. Otocryptops rubiginosa Haase — Abh. Mus. Dresden (5):97.1887. Otocryptops rubiginosus Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:71.190^- Atteins — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :259, 260.1930. Hab.: Brasil ( scxspinosus Por.? Parece-nos tratar-se de sexspinosa PorM» aduzida por Brõlemann à pagina 11 do seu Catálogo e que na realidade r- 30 é sinónima com scxspinosus (Say), mas com ferrugineus fcrrugincus) • China, Japão, Corea, América do Norte. 109. Otocryptops scxspinosus (Say) Cryptops scxspinosus Say — J. Ac. Nat. Sei. Philad 2:112.1821; Gcrrais "" Ann. Sei. Nat. 7.1837; Lucas — Blanchard Hist. Nat. I, Paris, 1840; port — Ann. Mag. Nat. Hist. 13:94-101.1844; Koch — Koch-Panzer Revis. Regensburg, 1847. Cryptops sexpinosa Gray — List. Myr. Brit. Mus., London, 1844. Scolopocryptops sexspinosa Newfort — Tr. Linn. Soc. London 19:407- ‘ Gcn-ais — Walkenaer, Hist. Apt. 4:297.1847. Scolopocryos sexpinosus -f- spinicauda Wood — J. Ac. Nat. Sei. Philad-. ^ 2, 5:37, 39,1862; idem — Tr. Amer. Phil. Soc., ser. 2. 13:172, 174.1®^* Scolopcndropsis hclvola Koch — Myr. 2:34.1863. Scolopocryptos scxspinosus Kohlrausch — Arch. Naturg. 47:54.1881; -+- gcorgicus Meinçert — P. Amer. Phil. Soc. 23:179,180. 1886. Scolopocryptops nigridius McNeill — P. U. S. Mus. 10:333.1887. Otocryptops punctatus Pocock — Ann. Nat. Hist., ser. 6, 8:159.1891. Otocryptops sexpinosa Pocock — Ann. Nat. Hist., ser. 6, 15:351.1895; & ' ' pelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:72.1903. jj I Otocryptops sexpinosus Brõlemann — Cat. Myr. Brésil (in part. íuax.) ‘ 1909; Atteins — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :260.1930; Bücherl — ^ Inst. Butantan 13:295.1939. Hab. : Segundo o catálogo de Brõlemann esta espécie encontrar-se-ia no o “America calidiore”. O autor, porém, não indica o local preciso- é que esta espécie não foi encontrada no Brasil por nenhuma e- KCt ^ cientifica; tão pouco ela é aduzida por Chamberlin (Buli. Mus. Harv3r‘l ^ como residente no Brasil. Igualmente não se encontra em nenhum 3 nossas coleções. p Parece ser mais comum na China, Corea, Japão, na América do • descendo até o México e a Colômbia inglesa. cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Bücherl — Catálogo dos QuUópodos da zona neotrópica 333 7. Gênero: KARTOP5 |drr/icy — Rcc. Canterbury Mus. 2:113.1923; Attems — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :266.1930. 1 10. Kartops guianae | Archey — ibidem : 1 1 4 . 1 930 ; Attems — Das Tierrekh 54, 2 Scolop. :266, 267.1930. H a b . : Guiana inglesa, perto de Kartabo no distrito de Bartica. 8. Gênero: NEWPORTIA (je n-ais — Walkenaer, Hist. Apt. 4:298.1847; X. + Scolopendridcs Humbert & Saussure — Rev. Mag. Zool., ser. 2, 21 : 158. 1869; -\ . Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:78.1903; Verhoeff — Bronn’s Kl. Ordn. 5:251.1907; Ürõletnann — Cat. Myr. Brêsil :9, 10.1909; Chamberlin — Buli. Mus. Har- vard 58:164.1914; Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. ^68-271.1930; Verhoeff — Zool. Anz. 123(5/6) :123, 124. 1938; Bücherl — Mcm. Inst. Butantan 13:295-299. 1939; idem — ibidem 15.1941. ^ portides (subg.) Chamberlin — Occas. Papcrs Mus. Zool. Michigan 4(97) :10. 1921. •V O gênero Xeu-portia, apesar das tentativas de Chamberlin (Buli. Mus. Har- ,r l 58) e de Attems (Das Tierreich 54. 2), em torno de uma boa caraterizarão ^^rica, carecia ainda dc um estudo comparado mais esmerado, o que nós Pruramos fazer num trabalho intitulado: "Quilópodos novos da coleção mi- P^Podológica do Museu Nacional do Rio dc Janeiro” (Mem. Inst. Butantan '* 1941). 111. N0 Pocr\ptops longitarsis Newport — Tr. Linn. Soc. London 19:407.1845. 'Por tia longitarsis Gervais — Walkenaer, Hist. Apt. 4:298.1847; Pocock — J. Linn. Soc. London 24:466.1893; Brõlcmann — Ann. Soc. Ent. F rance 83 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 336 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 119. N ac por tia oreina Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 59:499.1915. Hab México, Hidalgo, Guerrero. 120. Newportia simoni Brõlcmann — Ann. Soc. Ent. France 67:251.1898; Kraepelin — Mitt. Hamburg 20 :90. 1903 ; Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. 276. 19&* Bücherl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. Hab.: Venezuela, La Guayra, Corozal. 121. Nnvportia maxima Biicherl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. Tipo no Museu Nacional do Rio de Janeiro, No. 148. Local-tipo: Estado do Pará, perto da localidade de Aurá. Hab.: Brasil. 122. Newportia fuhrmanni y Ribant — Mém. Soc. Neuchãtel 5:72.1914; Attems — Das Tierreich Scolop. 276.277. 1930; Biicherl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. Hab.: Colômbia, Cafetal Camélia. j>erto de Angelopolis, nas cordilheiras centt* 1 ' 123. Newportia monticola Pocock — Ann. Nat. Hist., ser. 6, 6:144.1890: Kraepelin — Mitt. Mus. burg 20:92.1903; Ribaitt — Mém. Soc. Neuchãtel 5:74.1914; Atte»aS Das Tierreich 54. 2 Scolop. -.277,278. 1930; Biicherl — Mem. Inst. But3 t,!i 15.1941. fíff Nc7cportia rogersi Pocock — Biol. Centr. - Amer., Chilop. :34.1896; P lemann — Ann. Soc. Ent. France 72:130.1903: Kraepelin — Mitt. ^ Hamburg 20:91.1903. Hab.: Colômbia. Cordilheiras centrais e orientais; Ecuador, La Dormida, borasso, Guayaquil; Costa Rica, Isla de Cocos, Volcan de Irazu. 86 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang BCcherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrõpica 337 124. Nauportia balcanii ^‘Ivestri — Ann. Mus. Gênova 34:767.1895; Kraepelin — Mitt. Mus. Ham- burg 20:92.1903; Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :277.1930; Büclicrl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. Üab.: Paraguai, Rio Apa. 125. Xrzcportia biccgoi Kraepelin "ctvportia bicegoi -f- collaris Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:90,93.1903. ,e u.’portia biccgoi Brülemann — Rev. Mus. Paulista 6:67.1904; idem — Cat. Myr. Brésil :9.1909; Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:170.1914. 'portia biccgoi, s. str. Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :27S.1930; Bü- cherl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. "^'portia pan’a Chamberlin — Occas. Papers Mus. Zool. Michigan 4(97): :12.1821. ^ a b - : Brasil; Guiana francesa. •V, 125a. Ncwportia biccgoi biccgoi Kraepelin Pu ’ portia biccgoi Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:93.1903; Brõlemann — Rev. Mus. Paulista 6:67.1904. (Costuma-se dar a precedência a Krae- pelin, apesar de ter aproveitado os manuscritos de Brõlemann, ao citar esta subespécie. Entretanto, o trabalho de Brõlemann, manuscrito muito antes do de Kraepelin. só foi publicado em 1904.) ; Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :9.1909; Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:170.1914; Ribant — Mém. Soc. Xeuchãtel 5:74 (Setembro 1912?;. 1914. ^'portia b. biccgoi Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. :278.1930; Biichcrl , — Mem. Inst. Butantan 15.1941. b ’ r ‘i' portia longitarsis bicegoi Bücherl — Mem. Inst. Butantan 13:306.1939. descrição de 2 exemplares na coleção quilopódica do Museu Xacional do Rio de Janeiro, Xo. 143. . Local: Estado do Pará. perto de Aurá. °b.: Brasil (o tipo de Brõlemann: N. ( Scolopctidridcs ) biccgoi procede do Estado do Amazonas, perto de Manáos). Paratipos do Estado do Pará. •V, 125b. Nczcportia biccgoi collaris Krpln. I* Portia collaris Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:90.1903; Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:170.1914. 87 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 338 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV jV. bicegoi var. collaris Ribaut — Mém. Soc. Xeuchãtel 5:75.1914. N. bicegoi biccgoi Attems — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :279.1930; Biichcrl Mem. Inst. Butantan 15.1941. Hob.: Guiana francesa, perto de Bas Carsevenne. 126. Ncivportia lasia Chambcrlin — Occas. Papers Mus. Zool. Michigan 4(97) :10. 1921 ; Attems *" Das Tierreich 54, 2 Scolop. .279,280. 1930; Biichcrl — Mem. Inst. Butan* 3 * 1 15.1941. Hab.: Guiana inglesa, perto de Dunoon. 127. Neu-portia mexicana (Saussure) Scolopcndridcs mexicana Saussure — Rev. Mag. Zool., ser. 2, 10:546. 1^- Pocock — Biol. Centr. - Amer., Chilop :30.1896. Scolopocryptops mexicana Saussure — Mém. Soc. Genève 15:389.1860. Nczoportia mexicana Humbert & Saussure — Rev. Mag. Zool., ser. 2, 1869; Saussure & Humbert — Miss. Mex., Part. 6, Sect. 2 :138.1872; K rJ ‘ , pelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:83.1903; Attems — Das Tierreich $4 Scolop. :279.1930; Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. Hab.\ México, perto dc Cordova. A descrição é suficiente para reconhecer a espécie, mas ressente-se de des imperfeições. Nada se diz a respeito dos sulcos na placa cefálica « tergitos, nem sôbre a presença ou ausência de carenas laterais, etc... 128. Ncivportia ernsti Pocock — Ann. Nat. Hist., ser. 6, 8:161.1891; idem — J. Linn. Soc. L° nl ^ 24:468.1893; Kraepclin — Mitt. Mus. Hamburg 20:85.1903; Br'’’'” ( Scolopcndridcs ) — Cat. Myr. Brésil :10.1909; Chatnberlin — Buli* ^ Harvard 58:166.1914; Attems — Das Tierreich 54. 2 Scolop. Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. Scolopcndridcs ernsti Pocock — Biol. Centr. - Amer., Chilop. :30.1896. Redescrição de 1 exemplar no Museu Xacional do Rio de Janeiro, Xo. 1^- Local : Estado do Pará, perto de Aurá. Hab.: Brasil, Pernambuco (Aurá); Venezuela; Ilha de São Vicente. 2SU 9J0: 88 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 33'J 128a. New por tia crnsti fossulata &ichcrl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. Tipo : 1 único exemplar na coleção quilopódica do Museu Nacional do Rio de Janeiro, No. 146. Local-tipo : Estado do Pará, perto de Aurá. Hab.: Brasil. 129. Nnvportia mimctica r - bambcrlin — P. U. S. Mus. 60(7) :5.1922 ; Attcms — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :280,281.1930; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. ^°b.: Honduras, perto de Lombardia. 130. Newportia brcvipcs ^ °cock — Ann. Nat. Hist., ser. 6. 6:163.1891; Kracpclin — Mitt. Mus. Ham- burg 20:84.1903; Attcms — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :281.1930: Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. P> u °lopeiidridcs brcvipcs Pocock — Biol. Centr. - Amcr., Chilop. :39.1896. descrição de 1 exemplar na coleção quilopódica do Museu Nacional do Rio de Janeiro, No. 147. ^cal-tipo : Es*ado do Pará, alguns quilómetros distante da localidade Aurá. ^°b.: Brasil, Estado do Pará; Guiana inglesa, perto de Dcmerara. 131. Nezvportia divergens mberlin — P. U. S. Mus. 601 7) :6.1922; Attcms — Das Tierreich 54, 2 Scolop. :280.1930; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. ■ Q b.: Guatemala, Joyobay e San Rafael. Descrição muito deficiente. 132. Nezvportia stolli (Pocock) y ° l °pctidridcs stolli (Pocock) — Biol. Centr. - Amer., Chilop. :31.1896. '"'i' por tia stolli Kraepelin — Mitt. Mus. Hamburg 20:85.1903; Ribaut — I Mém. Soc. Neuchátel 5:71.1914; Attcms — Das Tierreich 54. 2 Scolop. j :282.1930; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. ' ’ : Guatemala: Quezaltenango : Colômbia. Bogotá, Tambó. 89 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 342 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV I. Sistema: Kahlrausch, 1881. Familia única: Scolopendridae 1 . Subiam. Scolopendridae hcteropodcs Gervais ( Scolopendropsis , S (0 ' lopocryptops e Newportia ) 2. Subfam. Scolopendridae cribrifcri Gervais 1. Tribu: Scolopendridae heterostomini Xewport ( Hctcroston Branehiostoma, T ramatophyeus ) 2. Tribu: Scolopendridae anchistrophi Xewport ( Otostigma ehiotrenia), Alipcs, Cupipcs). 3. Subfam. Scolopendridae morsieantes Gervais 1. Tribu: Connocephalinac Xewport ( Cormoccphalus , Rhonibo o cephalus ) . 2. Tribu: Scolopendridae Xcwport ( Theatops , Scolopendra). 4. Subfam. Cryptopsii Kohlrauscii ( Cryptops (Monops) c 0P ,S themega). II. Sistema: Haasc, 1887. 1. Família: Scolopendridae holopneusticae (Plutonium) 2. Família: Scolopendridae hemipneusticae 1. Subfam. Scolopendrinae ( Scolopendra , Connoeephalus, Cupipes, 0 IC stiffina, Alipcs. Monops, Cryptops, Opisthemcga). 2. Subfam. Branchiostomidae ( Branehiostoma , Trcmatoptychiis, hU' il ' stonia e Anodontostoina) . 3. Subfam. Scolopendropsinae ( Scolopcndropsis , Otocryptops, Scolet 1 cryptops e Nczcportia). III. Sistema: Bolhnann, 1S93. 1 . Plutoniinae 2. Cryptopinac 3 . Scolopendrinae 4. Scolopendropsinae. 92 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Bücherl — Catálogo dos QuUópodos da zona neotrópica 343 IV. Sistema: Pocock, 1895. Ordem : Scolopendromorpha 1. Família: 2. Família: 3. Família: 4. Família: Scolopendridae Cryptopidae Scolopocryptidae Newportiidae. V. Sistema: Kraepclin, 1903. Família única: Scolopendridae 1 . Subiam. Cryptopinae 2. Subiam. Otostigminae 3. Subiam. Scolopendrinae. Vi. Sistema: Vcrhocff, 1907. A. Superíamilia : Cryptopina 1. Família: Cryptopidae (Cryptops, Chromatanops, Trigottocryp- tops, Paracrytops, Ancthops c Mimo ps) 2. Família: Newportiidae ( Xcioporlia , Scolopcndridcs ) B. Superíamilia: Theatopsina Família: Theatopsidae ( Thcatops sin. : Opisthcmega) Família: Plutoniidae ( Plutonium ) C. Superíamilia : Scolopendrina Família: Scolopendridae Subfamililias : Scolopocryptinae ( Otocryptops e Scolopocryptops) ; Anodontostominae ( Anodonlosloma ) ; Otostigminae ( Otostigmus ) ; Ethmostigminae. 93 344 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 1. Tribu: Rhysidini ( Rhysida sin . : Branchiostoma e Treniato- ptychus; Ethmostigmus sin.: Hctcrostoma e D ac c tu »«)• 2. Tribu: Alipes ( Alipcs sin.: Eucorybas). 2. Família: Scolopendridae ( Scolopcndrinae ) Subfamilias: Scolopendrinae (Cupipcs, Hcmiscolopcndra ( Ha’ :,s ' colopendra e Psiloscolopcndra são considerados p° r Verhoeff gêneros dúbios), Coloboplcurus, Trachy connocephalus, Arthrorhabdus e Scolopcndra) . Scolopendropsinae ( Scolopcndropsis c Pithopus). Grupo especial, não cabendo na escala sistemática: Asanadidae ( Asanada c Pscudocryptops). Em 1925, Verhoeff ampliou ainda êste sistema, ajuntando alguns gênero 5 novos: Fam. Cryptopidac, com os gêneros novos: Kartops e Tidops; tribu- Rhysidini, com o gênero; Alluropus. Quanto ao gênero Campylostigmus (Sub* fam. Scolopcndrinae) o autor opina tratar-se provavelmente de um subgêncro de Cormoccphalus. O sistema de Verhoeff já é muito perfeito. Admira, pois, Brõlemann v*° ter levado em consideração os trabalhos de Verhoeff. VII. Sistema: Brõlemann — Cat. Myr. Brésil, 1909. Família única: Scolopendridae (Gêneros: Cormoccphalus, CupiP 1 -’ Cryptops, Ncivportia, Otocryptops, Otostig>’ l,,s ' Rhysidia, Scolopcndra, Scolopcndropsis e Scolot 0 ' crytops ). VIII. Sistema: Chamberlin, 1914. Scolopendroidea Família: Cryptopidae ( Cryptops , Paracryptops, Mimo ps, Otocryl°l s Scolopocryptops e Ncwportia ) Família: Otostigmidae {Otosticjmus e Trematophycus ( T rcnud° ptychus ?) Família: Scolopendridae ( Scolopcndropsis , Cupipcs , CornwccphiE Hcmiscolopcndra e Scolopcndra. 94 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Bccherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 345 IX. Sistema: Attetns, 1930. Ordem : Scolopendromorpha 1. Família: Scolopendridae A. Subiam. Scolopendrinae 1. Tribu: Scolopntdrini ( Scolopcndra , T rachycormocephalus, Ar- throrhabdus, Cormoccphalus, com os subgêneros: Cortno- cc pitai us, Coloboplcurus, Hemiscolopcndra e Psihscolo- pcndra; Campylostigmiis, Rlwda, Scolopcudropsis) . 2. Tribu: Asanadini ( Asanada e Pscudocryplops). B. Subfam. Otostigminae 1. Tribu: Otostigmini (Otostigmus, com os dois subgêneros: Otostig- mus ; Digitipcs, Alipcs. Ethmostigus, Rhysida c AHuropus ) ; 2. Tribu: Arrhabdotini ( Arrhabdotus Att. noiii. itov.). 2 . Família Cryptopidae A. Subiam. Cryptopinae ( Crypiops , com os três subgêneros: Cryptops, Trigonocryptops e Cbromatanops ; Paracryptops, Anctbops c Mimo ps ) ; B. Subiam. Theatopsinae (Thcatops e Plutonium) ; C. Subiam. Scolopocryptopinae (Scolopocryptops. Otocryptops, Kcthops, Kartops, Nnvportia e Tidops). Além de todos êstes sistemas, cujo mais períeito é sem dúvida o de Attems, devendo, por conseguinte, os anteriores ser modiíicados neste sentido, apareceram 'lürante os últimos anos trabalhos morío-sistemáticos de menor alcance, eluci- 'kuido mais de perto éste ou aquele ponto crítico do sistema geral. Como já lemos citado os mais importantes durante a catalogação das espécies, podemos ^tringir-nos aqui aos pontos íracos do sistema geral, principalmente cm relação a °s Quilópodos neotrópicos. 95 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 346 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV O que antes de tudo salta aos olhos e enfraquece consideravelmente o si** tema de Attems, Brõlemann e Chamberlin é a falta de uma devida apreciação dos sexos, principalmente nos Otostigmineos e nos Criptopídeos. Desta maneiro aconteceu frequentemente que macho e fêmea de uma espécie foram determi- nados como sendo duas espécies diferentes (vide Otosligmus rcx Chamberlin)- Aliás, é conhecida por todos os especialistas a enorme dificuldade em dis- tinguir externamente os sexos, dificuldade esta que, na maioria das espécies de Escolopendromorfos, só pode ser afastada, praticando-se um corte nas costas do animal para inspecionar os orgãos genitais internos. Esta operação foi qo ** 1 sempre omitida pelos citados autores. Um fator novo, suscetível de graves erros resulta do seguinte: Os auto- res europeus geralmente recebem apenas um exemplar. Então costumam \> r0 ~ ceder à descrição moiíológica tão minuciosa e tão limitada, que. por assiu 1 dizer, fotografam o animal. Apresentando esta descrição qualquer caraterís- tico diferente da chave geral, cria-se uma nova espécie. Ora, basta exanii nar uma série da espécie vizinha a esta nova para ver os graves enganos, nos qua ‘ 5 incorreu o especialista ; pois nos Escolopendromorfos e especialmente nos Otos- tigmineos os caracteres morfológicos variam muito (vide Cryptops ( Tr .) ^ u ‘ ringi Brolemann e C. triangulifer Verh.. Neste caso ambos éstes autor * 5 cairam no mesmo erro • a descrição limitada demais de um único exemplar ap* o3? * enquanto que o exame de uma série demonstra tratar-se ajxrnas de variantes d* uma só espécie.). Um outro ponto fraco do sistema geral que resulta igualmente da falta d* uma série de exemplares é a descrição frequente de uma nova espécie, quando de fato se tratava apenas de um “adolcscens”. Os caraterísticos são tipi * 115 neste caso: relativa ausência de sulcos episcutais, carenas quasi nulas, sem tub* r culos. poucos espinhos, etc.. Tudo isto natural num "adolescens” é interpr*' tado como um conjunto novo de uma espécie nova. Finalmente, devemos referir-nos ainda às descrições antigas de algo 0 *? espécies neotrópicas. Estas descrições foram geralmente feitas em latim (Lin nf ‘ Systema Xaturae) e eram tão vagas q.ie cal>e dentro delas o gênero todo. Co* 1 * pontos essenciais da caraterização prevaleciam o tamanho e o colorido. Por cx * n1 pio, no gênero Scolopcndra ha a assinalar o íntimo parentesco entre o novo gt a, P virídiromis e a antiquíssima espécie giganlca. A última, apesar do seu g * 3 * 1 tamanho ou talvez justamente por causa dele, foi apenas superficialmente *a*a terizada, de maneira que, abstraindo o tamanho, cabe perfeitamente no g 131 ' idridicornis. Este é muito comum em toda a zona neotrópica e principalm* 11, também onde devia encontrar-se a gigantea, que nunca mais foi encontrada 1 Mti- últimos tempos. As duas escolopendras giganlca, presentes na coleção do • 96 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Bücherl — Catálogo dos QuiJópodos da zona neotrópica 347 Seu Nacional do Rio de Janeiro, foram examinadas por nós e reconhecidas como viridicomis. O mesmo parece verificar-se a respeito de Scolopcndropsis bahiensis Brandt. ^este caso (uma escolopendra com 23 metâ meros principais e 23 pares de patas) “âo se trata apenas de um dimorfismo sexual, mas certamente de uma recons- htuição anormal. No gênero Scolopcndra necessita de um novo estudo ainda o grupo zdridis de Verhoeff. Os dois gêneros: Hemiscolopendra e Cupipcs foram reunidos por •Vtems (Zool. Anz. 78(11/12) :279-285. 1928) no gênero Cormoccphalus. No “lesmo trabalho o autor justifica a reintroduçâo do subgénero Parotosligmus, baseado, porém, apenas na ausência de espinhos no preíêmur das últimas patas. Quanto ao gênero Cryplops, Verhoeff opina (Zool. Jahrb. Syst. 70(1/2)5. *937) que o subgénero Trigonocryptops deve continuar sendo um gênero inde- pendente, como êle já tinha proposto em 1906 (N. Acta Ac. Leop.). O autor. Porém, procedeu à descrição dos novos caracteres morfológicos do novo gênero, baseado na espécie nova 7V. triangulifer Vf.rh.. Como esta, porém, foi por nós 'denti ficada como sinônima com iheringi Brõl., adiamos mais interessante por ° r a conservar em nosso catálogo o sistema de Attems. 3. Ordem : Geophilomorpha Pocock, 1895 C ophilides Leach, 1814. Geophilidac Newport, 1844, 1856; Wood, 1865; Meinert, 1870; Latzel, 1880; Haase, 1887. ntastigmata Silvestri, 1895. C e ophilomorpha Pocock, 1895, 1902; Attems, 1903 ; Verhoeff, 1908; Bro- lemann, 1909; Attems, 1914; Cha.mberi.in ( Gcophiloidea ), 1914; Cham- berlin, 1915; Attems, 1929; Verhoeff, 1934; Attems, 1934; Verhoeff, 1937, 1938; Bücherl. 1939; Takakuwa, 1940. 1 . Família: Schendylidae Verhoeff, 1908 í Meinert), 1870; Verhoeff, 1908: Brólemann ct Ribaut, 1912; Chamber- lin, 1914; Attems, 1926, 1929; Takakuwa, 1940. hendylidac -j- Bailo pliiUdas Cook, 1895. ophilini + Schcndylini -f- Escaryini Attems. 1903. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 348 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV A. Subíamilia: Schendylinae Cook, 1895 Schendylidac (c. />.) Verhoeff, 1908; Brõlemann et Ribaut, 1912; AtteHS» 1926, 1929; Takakuwa, 1940. Schendylinae + Schendylini Verhoeff, 1901 ; Attems, 1903 ; Brõlemann, 1909- 1. Gênero: SCHENDYLURUS Kraepelin Mitt. Mus. Hamburg 24:245.1907; Brõlemann & Ribaut — Buli. Soc. E n! ‘ France: 192.1911; idem — Arch. Mus. Hist. Xat. 4(5) :1 13 . 1912; Chat* berlin — Buli. Mus. Harvard: 58:195.1914; Attems — Das Tierreich 53. 1 Geophilomorpha 1929; Biiehcrl — Mem. Inst. Butantan 15:124.1941. Schcndyla Brõlemann {ad part. ma. r.) — Cat. Myr. Brésil :5.1909. a) Subgênero: Schendylurus, s. str. Yerh. — Zool. Jahrb. Syst. 71 :379.1^^" b) Ploutoschendylurus Brõl. et Rib., 1912. 137. Schendylurus lüdcmaldi Brõlemann & Ribaut — Buli. Soc. Ent. France :200.1911 ; idem — Arch. Hist. Nat. 4(5) :117. 1912; Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:1 <)0 ' 1914; Attems — op. cit.; Büchcrl — op. cit. Paratipos: 6 exemplares na coleção quilopódica do Instituto Butantan. Hab. : Brasil, Estado do Rio de Janeiro: Campo Itatiaia; Estado de Paulo: Arredores da Capital. Itanhaen, Alto da Serra, Campo Limpo são 138. Schendylurus backcri Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:196.1914; Attems — op. cit.; hr — op. cit. Paratipo : 1 exemplar na coleção quilopódica do Instituto Butantan, captu r3 numa remessa de borracha proveniente do Amazonas. Hab.: Brasil, Estado do Amazonas, perto de Manáos. O autor da espécie obteve apenas um único exemplar, uma fêmea. 139. Schendylurus perditus Chambcrlin — Buli. Mus. Harvard 58:198.1914; Attems — op. cit. Hab.: Brasil, Paraíba perto de Independência. op. cit.; Búc^ 98 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 NVolfgang Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 34!> 140. Schcndylurus gounellei (Bròu) Schcndyla g. Brõlemann — Ann. Soc. Ent. France 71:685.1902; idem — Cat. Myr. Brésil :6. 1909. Schcndylurus g. Brõlemann & Ribaut — Arch. Mus. Hist. Nat. -4(5) : 1 1 9. 1912; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:200.1914; Atlcms — of>. cit.; Biichcrl — op. cit. Paratipos: 3 exemplares na coleção quilopódica do Instituto Butantan. Mab. : Brasil, Estado de São Paulo, Alto da Serra (o tipo de Brül.), Fazenda Nova Nicarágua. 141. Schcndylurus paulista (Brõl.) Schcndyla p. Brõlemann — Rev. Mus. Paulista 6:83.1903; idcm — Cat. Myr. Brésil :6. 1909. Schcndylurus p. Ciiamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:200.1914; Attctns, Biichcrl. ^aratipos: 2 exemplares. ix>rém em estado defeituoso, na coleção quilopódica do Instituto Butantan. Hab.: Brasil. Estado de São Paulo, Alto da Serra (o tipo de Bró!.). Poço Grande. Esta espécie aproxima-se muito a Sch. gounellei. de maneira que são neces- ^tios novos exames morfológicos em material bem conservado. 142. Schcndylurus (Sch.) brasilianus (Silv.) tunnophilus br. Silvestri — Ann. Soc. Ent. Bclgique 41:346.1897. Schcndyla brasiliana Brõlemann — Cat. Myr. Brésil :6.1909. if hendylurus brasilianus Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:200.1914; Attcms — Das Tierreich 52:74.1929; Biichcrl — op. cit. : Brasil, sem indicação do local determinado. 143. Schcndylurus (Sch.) iguapensis , Cr hocff — Zool. Jahrb. Syst. 71 (4/6) :379.1938. : Brasil, Estado de São Paulo. ° c al-tipo : Jguape. 99 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 3oO Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 144. Schendylurus (Sch.) demclloi Vcrhoeff — ibidem, 1938. Hab Brasil. Estado de São Paulo. Local-tipo: Iguape. 2. Gênero: ADENOSCHENDYLA Brõlemann & Ribaut — Buli. Soc. Ent. France : 192.191 1 : idem — Arch. M 1 * 5- Hist. Nat. 4(5) :194.1912 ; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:201.1°^’ Attems — Das Tierreich 52.1929; Biicherl — Mem. Inst. Butantan 15.1°“'' Êste gênero estabelece um certo parentesco com Pectinunguis. E’ exclusi'* 5 da América tropical e subtropical, sendo até ao ano de 1915 conhecidas só & Brasil 4 espécies e 1 subespécie. 145. Adenoschendyla parahybae Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:202.1914; Attcms; Biicherl ( op . ] Paratipo: 1 exemplar na coleção quilopódica do Instituto Butantan. Hab.: Brasil, Paraíba, perto de Independência. 146. Adenoschendyla plusiodonta (Att.) Pectinunguis plusiodontus Attems — Zool. Jahrb. Syst. 18:193.1903; Ch°* berlin — Proc. Acad. Xat. Sei. Phil. :654.1904. tíjjt. Adenoschendyla plusiodonta Brõlemann & Ribaut — Nouv. Arch. Mus. 1 Nat. 4(5) :106.1912; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:203-1 1 Attems; Biicherl. Paratipos : 2 exemplares na coleção quilopódica do Instituto Butantan. Hab.: Brasil, Estado de Santa Catarina, Blumenau e Estado do Parana Negro. Rio 147. Adenoschendyla imperfossa (Brõl.) rjfC" Schcndyla imp. Brõlemann — Rev. Mus. Paulista 5:41.1901; Cat. My r - sil :6.1909.' Çjt- Adenoschcndyila imp. Brõlemann a Ribaut — Nouv. Arch. Mus. Hist- • 4(5) :107.1912; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:204.1914; A ,,c Biicherl. 100 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 WoLFGANa Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona ncotrópica 351 Pwatipo: 1 exemplar na coleção quilopódica do Instituto Butantan. Hab. : Brasil, Estado do Paraná, Rio Xegro e Brasil, sem determinação do local (o tipo de Brõlemann). 147a. Adcnoschcndyla impcrfossa bolbonyx brõlemann & Ribaut — Xiouv. Arch. Mus. Hist. Xat. 4(5) : 108.191 1 ; Chamber- lin — Buli. Mus. Harvard 58:204.1914; Attcms; Bücherl. P aralipos : 2 exemplares mal conservados e, portanto, quasi irreconhecíveis, na coleção quilopódica do Instituto Butantan. Mab. : Brasil, Estado de São Paulo, Alto da Serra c Estado do Pardná, Rio Negro. Chamberlin afirma que o tipo se encontra no Museu Paulista. Xós, j)orém, conseguimos encontrá-lo aí. 148. Adcnoschcndyla gcayi l>jr õlcmann & Ribaut — Buli. Soc. Ent. France: 219.1911 ; idem — Nouv. Arch. Mus. Hist. Xat. 4(5) :108. 1912; Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58 :204 .1914 ; Attcms; Bücherl. ab . : Brasil, Estado do Amazonas c Guiana Brasileira. 3. Gênero: BRACHYSCHEXDYLA ‘ r òlcmann & Ribaut — Nouv. Arch. Mus. Hist. Xat. 4(5). 1911. Subgcncro: Brachyschcndyla ?' r õl. & Rib. — ibidem. 149. Brachyschcndyla pccl inata 4 “ems — Zool. Anz. 107(11/12) :311 .1934. : Brasil, Estado do Rio de Janeiro, Petrópolis. Presumimos tratar-se de uma espécie importada da Europa. 101 352 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 4. Gênero: SCHEXDYLA Bergsoe og Meinert, 1866. Subgênero: Schendyla, s. str. Brõlemann et Ribaut — Xouv. Arch. Mus. Hist. Xat. 4(5). 1911. 150. Schendyla ( Sch .) montana Silvestri — Zool. Jahrb., Suppl. VI, 3:768.1905; Porter — Estud. Elem. Z°°^ Santiago dei Chile :60.1911 ; Attcms — Das Tierreich etc.. Hab.: Chile, Santiago. Porter julga tratar-se de uma especie importada da Europa. B. Subfamilia: Ballophilinae (Cook) Cook, 1895 (Ballophilidac) ; Verhoeff — Bronn’s Kl. Ordn. 5 -.272.1914. Ballophilini Attems — Kückenthal Handb. Zool. 4.1926; Brõlemann, 1 Ballophilinac Verhoeff, 1909; Takakmea, 1940. 5. Gênero: THALTHYBIUS Attems — Zool. Jahrb. Syst. 13:139.1900; idem — 18:183.1903; Chatitb^ — Buli. Mus. Harvard 58:204.1914; Attenis — Das Tierreich 52.1929. clicrl — Mem. Inst. Butantan 15.1941 ; Takakuzca, 1940. 1 . Subgênero : Prionothalthybius Brõlemann — Arch. Zool. Exp. et Gen.. ser. 5. 3:334.1909; Chambcrlin Mus. Harvard 58:204.1914. gull- 151. Thalthybius (P.) perricri Brõlemann — Buli. Mus. Hist. Xat. 1:1909; Chamberlin — Buli. Mu». H^ r ' J 58:204.1914; Attcms — op. rí/.; Büchcrl — op. cit. Paratipo: 1 exemplar na coleção quilopódica do Instituto Butantan, provem do Xorte do País. Hab.: Brasil, Estado do Amazonas e Guiana Brasileira. 2. Subgênero: Thalthybius Attcms — Das Tierreich 52.1929. 102 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 ^Volfgang Bücherl — Catálogo dos QuUópodos da zona neotrópica 353 152. Thalthybius (Th.) tcnuicolis Takakim.a — Geophilomorpha do Japão :43.44.1940. i‘araiipo : 1 exemplar na coleção do Instituto Butantan. tíab. : Japão. Importado casualmente para o porto de Santos, onde foi capturado o exem- Pkr de Butantan. Espécie dúbia Geophilus sublaevis ^ eincrt — Xaturh. Tiddesk. 4(3) :72. 1870; Brõlcmann — Cat. Myr. Brésil 4.1909 \Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:205.1914; Biichcrl — op. cit. Xão se trata certamente dum Gcophilus verdadeiro, mas antes de um exem- f^ar jiertencente a um dos géneros Thalthybius ou Schcndylurus. Mas como •«0 foi encontrado até hoje nenhum novo espécime além do de Meinert (local- bpo : Lagoa Santa, Brasil), a questão não poderá ser elucidada. 2. Família: Oryidae Ccok, 1895 ''kinert, 1870; Attems, 1903; 1914; Verhoeff, 1914; Chamberlin. 1914; Attems, 1926, 1929; Takakuwa, 1940. — Himantariidac ( e . p.) Yerii., 1908; Brõl., 1909. Subfamilia: Oryinae Cook, 1895 ( Oryidae ) 1901; Attems:, 1903; Verhoeff, 1908; Brõl., 1909; Chamb., 1914; Attems, 1926, 1929. 1. Género: ORPHNAEUS ^eincrt — Myr. Mus. Hauniensis 1:17.1870; idem — Proc. Amer. Phil. Soc. 23:230.1886; idem — Zool. Jahrb. Syst. 18:200.1903; Verhoeff — Bronns Kl. Ordn. 5:294.1908; Brõlemann — Cat. Myr. Brésil: 5.1909; Chamberlin • — Buli. Mus. Harvard 58:205.1914; Attems — Das Tierreich 52.1929; Bii- chcrl — Mem. Inst. Butantan 13.1939; Takaktnea — Geophilom. do Japão: 46, 47.1940; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. 103 354 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 153. Orphnaens porosus Verhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 70 (1/2) :15 . 1937 ; Bücherl — Mem. Inst. Bu- tantan 15:129.1941. Paralipos: 2 exemplares na coleção do Instituto Butantan, porém muito lesa- dos pela longa conservação em meio liquido. Hab. : Brasil, Estado de Minas Gerais. O exemplar-tipo foi encontrado por Verhoeff no meio de uma remessa de diplópodos, enviados a éle pelo prof- Mello Leitão. 154. Orphnaens branneri Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:205.1914; Attcms — Das Tierreich 52.1929; Bücherl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. Interessante é o fato de que Verhoeff ao descrever a espécie acima, enumera todas as espécies do gênero Orphnaeus até então conhecidas, passando por alto, porém. 3 espécie de Chamberlin, que certamcnte é uma espécie “boa”. Paraiipo: 1 exemplar na coleção quilopódica do Instituto Butantan, porém em estado defeituoso. Hab. : Brasil. Estado do Rio Grande do Xorte. Xatal, e Estado do Paraná, K |0 Xegro. 155. Orphnaens brezilabiatns (Newp.j Geophilns brevil. Xewport — Tr. Linn. Soc. London 19:463.1844. Gcophilus lineatus, idem. ibidem. Geophilns guillemini Gervais — Hist. Ins. Apter. 4:311.1847. Chomatobius brasilianas Humbert & SaüSSUBE — Rev. Mag. Zool. :205.18"0: idem — Miss. Mex. :146.1872; Brõlcmann — Cat. Myr. Brésil :3.19^‘ Orphnaens brasiliensis Meinert — Myr. Mus. Hauniensis 1:20.1870; i a . •< /-• • # * . • . • Hab. : Chiie. Coipué e Argentina, Patagônia. 5. Género: LINOTAENIA Silvestri, 1905. 169. Linotacnia araucancnsis Silvestri — Zool. Jahrb. Suppl. VI:767.1905; Portcr — Estud. Elem. Zool., Santiago dei Chile :60.1911. Hab.: Chile. Temuco. 109 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 360 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 6. Género: SCHIZONAMPA Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:214.1914; Attems — Das Tierreich 52.1929: Biiclterl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. 170. Schisonampa manni Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:215.1914: Attems — op. cit.; Büchetl — op. cit. Hab.: Brasil, Estado do Pará. Chamberlin, ao criar esta espécie teve apenas à mão um único exemplar, uma fêmea. 7. Gênero: RIBAUTIA Brõlemann — Arch. Zool. Exp. et Gen. 3i 5) :335. 1909; Chamberlin — Buli- Mus. Harvard 58:218.1914; Attems; Biiclterl. 171. Ribautia bouvieri Brõlemann — Buli. Mus. Hist. Xat. :7.1909; Chamberlin — Buli. Mus. Har- vard 58:2181914. Attems — op. cit.; Biiclterl — op. cit. Hab.: Brasil, Estado do Amazonas e Guiana brasileira 8. Gênero: THAIYÜNA Chamberlin — Pomona College Journ. Ent. 4:661.1912; idem — Buli. Mt**- Harvard 58:218.1914; Attems: Biiclterl. 1 72. Thaiytina australis Chamberlin — Pomona etc. :661 ; Harvard etc.. :218. Attems; Biiclterl. Hab.: Guiana inglêsa. Chamberlin diz tratar-se de um único exemplar, capturado em Washing* 011 numa remessa de plantas vindas da Guiana inglêsa. 110 cm 2 3 SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Büchekl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 361 2. Subfamilia: Geophilinae Yerhoeff, 1908: Attems, 1926. 1929; Taka- küWA, 1940; Bücherl, 1941. Gcophilidae -f- Digmathodontidae Cook, 1895; Geophilinae \ f ERH., 1901 (e. />.). 9. Gênero: APOGEOPHILUS Silvestri, 1905 173. Apogeophilus clcrviger Silveslri — Zool. Jahrb. Suppl. VI :766.1905: Porter — Estud. Elem. Zool. San- tiago dei Chile ,:59. 191 1 ; Attems; Bücherl. H ab . : Chile, Santiago. 10. Gênero: AZTEKOPHILUS — Zool. Jahrb. Syst. 66(1/2) :26-28. 1934. 1 . Subgênero : Aztekophilus — ibidem. 174. Aztekophilus (Aztek.) storkátà Perhoeff — Zool. Jahrb. Syst 66 :28.29. 1934. Hab.: México, perto de Cordoba. Trata-se apenas de uni único exemplar, um macho com 47 pares de patas. 2. Subgênero: Thylakiophüus 1'erhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 66:26-29.1934. 175. Aztekophilus (Th.) mexicanus y erhoefj — ibidem :29.1934. Hab.: Costa ocidental de México, perto de Topolobambo. Trata-se igualmente apenas de um único exemplar macho. 111 2 3 4 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 3Ò2 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 3. Subfaniília: Pachymerinae (Yeriioeff) Attems, 1926, 1929; Taka- kuwa, 1940. 11. Gênero: PACHYMERIUM Kocii, 1847 176. Pachymerium ferrugineum Koch, 1847 Hab. : México. La Paz. 177. Pachymerium stolli Pocock, 1891 Hab. : México, Cordoba. As 2 espécies apenas casualmente se encontram no litoral do México, de maneira que podemos desistir da bibliografia sóbre elas. 178. Pachymerium armatum Silrcstri — Zool. Jahrb. Suppl. VI :763.1905 ; Portcr — Estud. Elem. Zool-. Santiago dei Chile :59. 1911. Hab. : Chile. 12. Gênero: EURYTION Attems, 1901, 1926, 1929 1. Subgênero: Eurytion, s. str. Yerhoeff, 1926 179. Eurytion ( Eu .) gracilc (Gerv.) Gcophilus gracilis Gervais — Gay Hist. Fis. Zool. V :70.1849. GcophUus tenebrosus Meinert — Yiddensk. Meddel. :146.1886. Schi-otacnia gracilis Sii.vestri — Rcv. Chil. Hist. Nat. V:150.1899. Gcophilus ( Eurytion ) moderatus Attems — Zool. Jahrb. 5:247.1903. Eurytion gracilc Sii.vestri — Zool. Jahrb. Suppl. VI:762.1905; Portcr — Estud. Elem. Zool., Santiago dei Chile :58. 191 1 . Hab.: Chile, Santiago e Quilpué. 112 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 363 180. Eurytion metopias (Att.) Geophilus ( Eurytion ) m. Attems — Zool. Jahrb. 5:246.1903. Eurytion m. Silvestri — Zool. Jahrb. Suppl. VI:763.1905; Porter — op. cit. :58. 1911. Hab. : Chile, Corral, na província de Valdivia. 181. Eurytion michaclseni (Att.) Geophilus ( Eurytion ) michaels. Attems — op. cit. :246.1903. Eurytion michaels. Silvestri — op. cit. :763.1905; Porter — op. cit. 1911. Hab. : Chile, Valparaiso. 2. Subgcnero: Pachymcrinus (Silvestri), 1905 (gen.) 182. Eurytion (P.) millcpunctatus (Gervais), 1849 ( Genais , Silvestri, Attems, Porter). Hab.: Chile, Temuco, San Rozendo e Valdivia. 182a. Eurytion (P.) millcpunctatus abbmiatus Silvestri, 1905. Hab. : Chile, Salto. 183. Eurytion (P.) canaliculatus (Gervais), 1849 ( Gervais ct Silvestri). Hab.: Chile, Coipué. 184. Eurytion (P.) pluripes (Gervais), 1849 {Cerrais ct Silvestri). Hab.: Chile. 113 cm 2 3 SciELO 10 11 12 13 14 15 16 364 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 185. Euryiion (P.) portcri Silvestri, 1899 Hab. : Chile, Santiago e Quilpué. Todas as espécies do gênero Eurytion são insuficientemente descritas, tanto por Gervais como principalmente por Silvestri. Abstivemo-nos, portanto, a adu- zir toda a bibliografia, porque as referidas espécies necessitam ainda de um novo estudo morfo-comparativo para serem acertadas na posição genérica. 4. Subfamilia: Aphilodontinae (Silvestri), 1909; Attems, 1926, 1929 13. Género: MECISTAUCHENUS (Bról.) Brasophilus Bròlemann — Buli. Soc. Ent. France :283.1907; Vcrhocff — Bronn's Kl. Ord. 5:286.1908. Mecistauchenus Chamberlin — Buli. Mus. Harvard 58:208.1914; Attems — Das Tierreich 52.1929; Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 15.1941 186. Mecistauchenus micronyx (Brõl.) Aphilodon micronyx Bròlemann Brésil :3.1909. Rev. Mus. Paulista 5:46.1901; Cat. Myf- Mecistauchenus m. Bròlemann — Buli. Soc. Ent. Francc :283.1907; Cita »«' berlin — Buli. Mus. Harvard 58:209.1914; Attems — Das Tierreich 52.1929. Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 15:134.1941. Paratipos: 4 exemplares na coleção quilopódica do Instituto Butantan. Hab.: Brasil, Estados do Paraná, Rio Xegro, Santa Catarina, ek. 14. Género: APHILODOX Silvestri — Comm. Mus. Xac. Buenos Aires 1:39.1898; Attems — Zool. Jahrb Syst. 18:215.1903; Vcrhocff — Bronn’s Kl. Ordn. 5:279.1908: Silvestri Buli. Lab. Zool. R. Sc. Agric. Portici 4:53.1909; Chamberlin — Buli. ^ uS ‘ Harvard 58:209.1914; Attems — Das Tierreich 52.1929; Biichcrl — Inst. Butantan 15.1941. 114 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang BCchebl — Catálogo dos QuUópodos da zona neotrópica 365 187. Aphilodon angus tatus Silvcstri — Rend. Acad. Lincei 18(5) :269. 1909; idem — Boll. Lab. Zool. R. Sc. Agric. Portici 4:56.1909 Chatnberlin — Buli. Mus. Harvard 58:209. 1914; Attcms — Das Tierreich 52.1929; Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 15 1941. Paratipos: 2 exemplares na coleção quilopódica do Instituto Butantan. Hab.: Brasil, Estados de São Paulo, zona araraquarense. Mato Grosso. Argen- tina e Paraguai. 15. Gênero: MECOPHILUS Silvcstri — Rend. Acad. Lincei 18(5) :268.1909; Chambcrlin — Buli. Mus. Har- vard 58:209.1914; Atfcms — Das Tierreich 52.1929; Biichcrl — Mem. Inst. Butantan 15.1941. 188. Mccophilus ncolropicus Silvcstri — loc. cit. :269. 1909 ; Chambcrlin — loc. cit. :209.1914; Attcms — loc. cit. 1929; Büchcrl — loc. cit. :1 35 . 1941 . Hab.: Brasil. Estado do Paraná, Iguassú. Histórico do estudo sòbre Geofilomorfos Sistema de Meinert, 1870 II. Sistema de Verhoeff, 1901 Fam. Gfofhilidae 1 . Subfam.. Gxofhilinac 1. tribu: Schcndylini 2. " : Gecphilini 2. Subfam. Sftcistoccfhalidae 3. " Himantaninae 1 . tribu : // imantariini 2. " : Oryini 3. " : Bothriogaslrini 4. * : Polyforogastrini 5. " : Haflofhilini 1. Fam. Gcnibrtgmatidae 2. ff Schcndylidae 3. ff Dignathodcntidat 4. » Oryidae 5. ff Disargidae 6. 9 Geofhilidae 7. ff Dictllophilidoc 8. ff Ballofhilidae 9. • Himantariidae 115 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 366 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV 1 III. Sistema de Attems, 1903 V. Sistema de Brõlemann. 1909 1 Fam. Gcophilidae 1. Fam. Slecislocephalidae 1 2. Fam. Geophilidae 1 1. Subiam. Dentifoliinae 1 2. Oryinae 1 . Subfam. Geophilinac 1 3. ” Meeistocephalinae 1 4. " Pectinifoliinae tribu : Geophilini 1 5. " Gonibregmatina e 1. subtribu: Her.iini 1 2. ” : Geophilini 1 3. " : Ribautiina 1 IV. Sistema de Yerhoefí, 1908 1 A. Superfam. Placodesmata 2. Subiam. Gonibregmatinae 1 1. Família: 3fecistocephalidae 1. tribu: Aphilodontmi 1 2. " : Himantosomini 1 B. Superfam. Adesvtata 3. " : Gonibregmatini 1 2. Fam. Geophilidae 3. Fam. Schendylidae 1 . Subiam. Geophilinae 2. ” Himantosominae 1 . Subfam. Schendylinae 3. Fam. G on ibreg matidae 1 . tribu : Sehendylini 4. Fam. Bratilophilidae 1. subtribu: SchendyB** 5. Fam. Sehendylidae 2. " : p.scaryini 1. Subiam. Schtndylinat 2. Escaryinae 3. " fíaUnphilinac 2. tribu : fíallophilini 2. Subfam. Eucratonichynoe 6. Fam. Himantariidae 4. Fam. Himar.Sariidae 1 1. Subfam. Himantariiiujt 1. Subfam. Ifin:antariinae 1 1. tribu: Himantanini I 2. " : Haplophilini 1. tribu: flimantanini 1 3. ” : fíothriogas - 2. " : Haplophilini 1 Irini 3. " : Bothriogaslrini 2. Subfam. Oryinae 1 2. Subfam. Oryinor 1 1. tribu: Oryimi 1. tribu: Oryini I 2. ” : iíesocanlhini 2. " : 3teso:anthini 1 116 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 \v OLFGANG BCcherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 3G7 VI. Sistema de Yerhoeíí, 1925 VII. Sistema de Attems, 1926 1. Fam. Hiniantariidae Geo fh ilomorpha 1 . Subiam. H imantariinac 2. ” Haplophilinae 3. ” Bothriogastrinae 1. Fam. Himantoriidae 4. ” Mesocanlhinae 1. tribu: líiiitanlarimi 2. tribu: HaplophUini 2. Fam. Oryidac 3. tribu: Bolhriogastrini 1 . Subiam. Oryinae 2. ” T rematoryinae 2. Fam. Schcndylidae - 3. Fam. Aphilodontidae 1. tribu: Schcndylini . 1 . Subiam. Aphilodontinae 2. ” Mecistaiuhcninae 2. tribu: Bollophilim 4. Fam. Gonibregmatidae 3. Fam. Oryidae 1 . Subiam. F.ucratonychinae 2. ” Goníbregmatinae 4. Fam. Mecistocephalidae 5. Fam. Schfndylidae 1. Subiam. Meciitoctphalinat 1 . Subiam, fíallophilinac 2. " Schrndylinoe 2. Subfam. Arrupinae 3. ” Etcaryinae 5. Fam. Gtophilidae 6. Fam. Gcophilidac 1. Subiam. Gtophilinae 1 . Subiam. Pachymeri i nae 2. Subiam. Dignathodontinae 1 . tribu : Chileno philini 2. " : Pachymerimi 3. Subiam. Pachymerinae 4. Subiam. ChiUnophilinae 5. Subiam. Aphilodontinae 2. Subiam. Geofhilinae 3. Subiam. ilocronicophiUnúe 6. Fam. Soniphilidae 7. Fam. Xcogeoph il idae 7. Fam. S colio planidae 8. Fam. Acygethidoe 1. Subiam. Heniinat 2. " ChaeUchtlyinae 9. Fam. Gonibregmatidae 8. Fam. Mccistoccphalidac 10. Fam. Sogonidat 117 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 368 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV De 1929 em diante não se elaborou mais nenhum sistema geral dos Geo- filomorfos. mas foram discutidas apenas particularidades do sistema geral de Attems, eliminando-se ora alguns gêneros mal caraterizados e criando-se outros novos. No tocante aos gêneros sulamericanos e principalmente no que diz res- peito à posição genérica da maioria das espécies descritas antes de 1910, pouca* são as que hoje são consideradas como certas e que se enquadram perfeitamente no sistema geral. Foi Verhoeff principalmente quem poz em relevo a grande deficiência dos caraterísticos morfológicos até então existentes. O autor exige antes de tudo preparados de maceração e julga a descrição feita a olho nu completamente insuficiente, exigindo não só o estudo comparado por meio da lupa, mas também por meio do microscópio. Não ha quem não veja que êste novo método ha de derrubar ainda muitos gêneros, tribus e até mesmo subfantf lias, de maneira que. finalizando nossas considerações gerais, podemos du el que o estudo dos Geofilomorfos é ao lado do dos Litobiomorfos ainda o in ; 'S s incompleto. Os trabalhos mais importantes neste sentido são os seguintes: Verhoeff — Zool. Jahrb. Syst. 66.1934; 70.1937; Zool. Anz. 121 . 193^ 123.1938. Attems — Zool. Anz. 107.1934. Takaktneo — Os Geofilomorfos do Japão, 1940. Distribuição geográfica dos Quilópodos no Brasil e países limítrofes RIO GRANDE DO SUI. — Si) Leopoldo. Passo Fundo. Rosário. São Lourenço Uruguaiana ■ Rrasiloscutigcra t -irídis; Scolopendra riridicomis var. riridicomis; Cormoccphal* > (}{.) lacsigatus; Otostigmus (P.) pradoi; Otostigmus limhatus; Rhysida nuda- Rhysida nuda riograndensis ; Rhysida brasil iensis; Cryptos (C.) galotheae; Scole' poeryptos miersii; Otocryptos /. /. var. macrodon. STA. CATARINA — Lagoa. Curitiba, Blumenau: Scolopendra riridicomis, s. str.; Scolopcndro sul’sp. subspinipes: Otostigmus Cavalcanti; Otostigmus (D.) caudatus; Otostigmus (P.) pradoi; Otostigmus tibial**’ Otostigmus limhatus; Otostigmus inermis; Otostigmus krctsii; Rhysida nuda! ^*- T sida brasiliensis ; Adcnoschcndyla plusiodonta; Mecistauchcnus micronyx; Aphild 1 * angustatus. PARAXA — União da Vitória, Rio Negro: Scolopendra t riridicomis, s. str.; Otostigmus caixdcanti; Otostigmus scabricaudf' Otostigmus pradoi; Otostigmus tibialis; Otostigmus iretsii; Rhysida cclcris; Rhy 1 ”^ nuda; Otocryptops f. ferrugineus; Otocryptops f. f. var. macrodon; Xewportio tarsis; Adcnoschcndyla imperfosso; Adcnoschcndyla imperfossa bolbonyx; Orphn 0 **^ branneri; Mecistauchcnus micronyx; Mccophilus ncotropicus. 118 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Wolfgang BCcheri, — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrópica 369 SAO PAULO — Canchim, Tarr.oio, Araraquarense, Ibarra, Presidente Epitácio. Vitória Rio São Domingos?, Ouro Branco, Corumbatai, Mogi das Cruzes, Alto da Serra, Capital. José Paulino, Poá, Ribeirão Pires, Caxinguí, São Roque, Piquete, Campinha, Marocanha. Très Pontes, Anhumas, Jundiai, Campinas, Colônia Helvctia, Itararé, Campo Limpo, Lobo, Igarapava, Piratininga, Iguape, Guarani, São Carlos, Barretos, Sarandí. Artur Nogueira, Pedregulho, Morais Barros, Eleutério, Ticté, Iguassú, Penha, Itapira, Indianópolis, Bueno de Andrade, Itanhaen, Andrada c Silva, Campos de Jordão, São Pedro, Caraguatatuha. Cabras : Brjsilofhora rr.argaritata; Brasihphora paulista: Scolopcndra viridicornis, s. str. ; Scolopendra v. var. viridicornis; Scolopcndra v. var. nigra; Scolopcndra s. subspinipes; Scolopcndra morsilans; Cormocephalus lacvigatus; Otostigmus cavalcanti; Otostigmus caudatus; Otostigmus scabricauda; Otostigmus sc. dcmelloi; Otostigmus rcx; Otostigmus pradoi; Otostigmus tibialis; Otostigmus longistigma; Otostigmus longipes; Otostigmus limbatus; Otostigmus I. limbatus; Otostigmus krctsii; Rhysida ccleris; Rhysida nuda; Rhysida nuda nuda; Rhysida brasiliensis ; Arrhabdotus octosulcatum, Santos?; Cryptops iheringi; Thcatops spinicauda. Santos?; Scolopocryplops miersii; Otocryptops /. ferru- gincus; Otocryptops }. f. var. ferruginens ; Otocryptops /. /. var. macrodon; Xexvportia longitarsis longilarsis; Schendylurus lüderacaldi; Schcndylurus gouncllci; Schcndyturus paulista; Schcndylurus iguapensis ; S.hcndylyrus dcmelloi; Adenoschendyla plusiodonta : Adcnoschendyla imperfossa bolbonyx; Thalthybius (Th.) tcnuicollis. Santos?; Orphnacus brevilabiatus ; Tygarrup mortcacnsis. Santos?; Aphilodon angustatus; Mecophiltn ncotropicus. FlO DE JANEIRO — Volta Redonda, Itatiaia, Barra Mansa, Barra do Pirai, Baixada Fluminense, Terezópolis, Jacarcpaguá, Distrito Federal: Scolopcndra viridicornis. s. str.; Scolopcndra subspinipes: Scolopcndra supsp. subspi- nipes; Cormocephalus aurantiipes. Põrto do Rio de Janeiro?; Rhoda c- calcarata, Asanada soeotrona et A sanada philippina, Põrto do Rio de Janeiro?; Otostigmus caudatus; Otostigmus scabricauda; Otostigmus sc. dcmelloi; Otostigmus tibialis; Rhysida nuda; Rhysida n. nuda; Rhysida I. longipes; Rhysida brasiliensis; Cryptops iheringi; Mimops occidentalis ; Scolopocryptops miersii; Otocryptops f. fermgineus; Otocryptops mclanostomus ; Xetcportia longitarsis; Schendylurus lüderxoaldi; Brachy- schcndyla pectinata; Orphnacus brevilabiatus: Mecistoccphalus janeirensis. Espirito santo — Coiatina: Scolopcndra inridicomis. s. str.; Rhysida nuca; Rhysida brasiliensis; Scolopocryptops miersii; Otocryptops mclanostomus; Rhoda thayeri. ^IN.AS GERAIS — Lagoa Santa. Rio Branco. Rio Pandeiro. Vicente Carvalhais: Scolopendra viridicornis. s. str.; Otostigmus caudatus; Otostigmus scabricauda ; Otostigmus sc. dcmelloi; Otostigmus tibialis; Otostigmus longistigma ; Rhysida nuda; Rhysida brasiliensis ; Cryptops iheringi; Otocryptops f. f. var. ferrugineus ; Xetcportia longitarsis; Orphnacus porosus; (Geophilus sublaevis). baia — São Salvador. Santo Antônio da Barra : (Psclliophoro nigrervittata) ; Lilhobius forficotus; Scolopendra viridicornis, s. str.; Rhoda calcarata; Scolopendropsis bahiensis; Otostigmus caudatus; Scolopendra subspi- nipes; Otostigmus scabricauda; Rhysida nuda; Rhysida longipes; Rhysida I. longipes. 119 1, | SciELO 370 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV SERGIPE: Scolopcndra xiridicornis, s. sir.; Rhysida nuda. ALAGOAS : S.otopcndra liridicornis, s. str.; Rhysida nuda; Scolopcndra altcrnans; Scolopcndra giganteaf. PERNAMBUCO — Recife, Olinda, Vila Bela, Rio Capivari: Scolopcndra viridicomis, s. str.; Scolopcndra gigantca* ; Cormocephalus unyulatus, Rhoda calcarala; Rhysida nuda; Orphnaeus bretilabiatus; Xnoportia crnsli. PARAÍBA — Independência, Paraíba: (Pselliophora nigrovittato) ; Scolopcndra xiridicornis, s. str.; Scolopcndra morsitans- Rhysida nuda; Crypiops keathii; Schcndylurus perditus; Adenoschendyla parohylM- Orphnaeus brnilabiatus. % RIO GRANDE DO NORTE — Natal, Ceará-Mirim: (Pselliophora nigrovitlata) Scolopcndra xiridicornis. s. str.; Rhoda calcarala; Rhysid* ccleris; Rhysida nuda; Orphnaeus branneri; Orphnactts brnilabiatus ; Xotiphü^ 1 grandis; Mecistocephalus punclifrons. CEARA — Ceará: Scolopcndra viridicomis, s. str.; Rhysida nuda. PIAUÍ : Scolopcndra viridicomis, s. str.; Rhysida nuda. ' MARANHÃO: Scolopcndra viridicomis, s. str.; Rhysida nuda. PARA — Pará, Santarém, Caldeirão. Grão Pará, Aurá: Scolopcndra viridicomis, s. Str.; Scolopcndra morsitans; Arthrorrhabdus Cormocephalus mediosuleatus ; Cormocephalus lacvigatus; Scolopcndra gigantea ■ - s ‘ topendropsis bahiensis; Otostigmus goeldii; Otostigmus amasonae; Rhysida cc • ^ Scolopocryptops miersii; Xnoportia diagramma aurcana; Xnoportia majnma ; A cnp ' biccgoi biccgoi; N no por tia cmsti; Xnoportia c. fossulata; Xnoportia brcxxf^ ^ Xncportia paraensis; Xcwportia bixcgoi collaris; Orphnaeus brexilabiatus ; Sc nampa manni. AMAZONAS — Manáos, Porto Velho, Óbidos, Rio Carsevcnne, Lago do Mapixi. P ufU * • tcafl Scolopcndra xiridicornis, s. str.; Scolopcndra morsitans: Scolopcndra gig jn Cormocephalus amasonac; Cormocephalus brasiliensis; Cormocephalus ungu IJ 120 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 NYolfgang Bücherl — Catálogo dos Quilópodos da zona neotrõpica 371 (Cormocephalus ung. mi tis); Otostigmus amaxonae; Otostigmus tidius; Rhysida celeris: Rhysida nuda; Scotopocryptops miersii purufnsis; Xcxcportia longilarsis; Xexcportia biccgoi; Xexcportia b. bicegoi; Xexcportia ernsti; Xexcportia amasonica; Xexcp. bi r. collaris; Schcndylurus backcri; Adenoschendyla geayi; Thalthybius perrieri; Orphnaeus brevilabiatus ; Xotiphilides grandis; Mecistoccphalus punctifrons; Ribautia bouvifri. MATO GROSSO — Urucúm, Rio Madeira, Terenos, Corumbá, Abuná, Barra do Tapirapê, Madeira Mamoré. 284 kms. de Porto Velho: ( Psetliophora nigroxittata) ; Scoloptndra viridicorms, s. str.; Scotopendra r. x-iridicornis ; Scotopendra subspinipes; Scotopendra subsp. subspinipes; Scotopendra cxplorans; Scotopendra morsitans; Scotopendra angulata; Scotopendra ang. angutata; Cormoccphatus impressas var. neglcctns; Rhoda calc. calcarata; Otostigmus s:abri- cauda; Otostigmus rexf ; Otostigmus amasonae; Otostigmus casus; Otostigmus suitus: Rhysida celeris; Rhysida nuda immarginata; Rhysida brasitiensis rubra; Cryptops galatheae ; Scotopocryptops miersii; Otecryptops f. fcrrugincus ; Xexcportia longilarsis sylxve; Xexcportia ernsti; Aphitodon anguslatus. ■GOIÁS — Veadeiros, Rio São Miguel: Scotopendra xiridicornis. s. str.; Scotopendra gigantea T; Cormoccphatus impressas unimarginatus; Otostigmus eaudatits; Otostigmus scabricauda; Otostigmus kretAi; Rhysida nuda; Rhysida longipes; Cryptops iheringi; Scotopocryptops miersii; ifecisto- ccphalus punctijrons. URUGUAI — Montevideo: Otostigmus sulcatus; Cryptops galatheae; Cormocephalus laevigatus. ARGENTINA: Cormocephalus laevigatus; Otostigmus limbatus; Otostigmus inermis; Rhysida brasi- licnsis; Cryptops crassipes; Cryptops galatheae; Scotopocryptops miersii; Otocryptops melanostomus ; Aphitodon angustatus. PARAGUAI : Otostigmus limlmtus; Otostigmus dolosas; Rhysida brasitiensis; Xexcportia bahanii; Aphitodon angustatus. Venezuela : Scotopendra armata; Scotopendra viridis; Scotopendra v. polymorpho; Scotopendra angulata; Cormocephalus venesueüanus ; Cormocephalus brasitiensis; Cormocephalus ungulatus; Otostigmus gceldii; Otostigmus inermis; Rhysida celeris; Rhysida nuda immarginata; Scolopocrytops miersii; Otocryptops melanostomus; Xexcportia longit. longilarsis; Xexcportia simoni; Xcxcportia ernsti; Xotiphilides haasei. GUIANA INGLÊSA: Otostigmus clavifer; Otostigmus brunneus; Cryptops furciferens; Paraeryptops inexpeetus; Scotopocryptops miersii; Otocryptops f. inversas ; Kartops guianae; Xtw- 121 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 372 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV portia diagramma; Xrwportia lasia; Xrwportia brcvipes; Xrwportia unguijer; Ti.i'P s cchinopus; A dcnoschendyla gcayi; Tygarrup intermcdius; Taiyuna oustralis. GUIANA FRANCÊS A: Cormoctphalus lacz-igatus; Xrwportia bicegoi; Xrwportia bicegoi collarit GUIANA BRASILEIRA: Otostigmus pococki; Rhysida nuda; Scolopocrytops micrsii; Xrwportia bicegoi: Thalthybius pcrrieri; Ribáutia bowicri. BRASIL, SEM LOCAL DETERMINADO: Scolopcndra riridicomis, s. str.; Rhysida nuda; Otocrytops fcrrugineus; Olocryptot* rubiginosus; Otocryptops sexspinosus; Otocryptops melanostomus; Rhysida lo*gip* s: Scolopcndra viridis polymorpha; Scolopcndra alternons; Cormocephalus brasilicnsis: Lithobius forficatus; Schendylurus brasilicnsis; Adenoschcndyla impcrjossa; Mter stauchcnus micronyx. Não ha quem não veja que a distribuição geográfica é ainda apenas esti- mativa. restringindo-se meramente aos locais habitados ou às zonas percorrida» |Kir expedições cientificas. Quando chegar o dia em que as excursões cientifica' abrangerem todo o Brasil, então a colheita será simplesmente surpreendente- Pelos resultados por ora obtidos, podemos concluir já o seguinte: Os E 5 ' colopendrídcos c Otostigmíneos se estendem por todo o Brasil, sendo que o* últimos são mais frequentes nos Estados do Sul ; o gênero Rhysida tem o sc« “habitat” igualmente desde o Rio Grande do Sul até ao Amazonas: os Cript°* pideos preferem francamente as alturas ( Cryptops nhncoir.es ) ; os NewportiideO* têm um “habitat” mais restrito aos climas quentes c úmidos do Amazonas c d<’ Pará: os Scolopocriptopideos são mais frequentes de novo nos Estados do do Brasil, enquanto que a maioria dos gêneros dos Gcofilomorfos habitam Estados do Norte, indo alguns ao Sul até o Estado de Santa Catarina. Igualmente impõe-se a manifesta dominância dos Escolopendromorfos sõbrc os Litobiomorfos c Escutigeromorfos c, entre os primeiros, a dos Escolopendn- deos, Otostigmíneos e Newportiideos sôbre os demais gêneros. As espécies : Pselliophora mgrovittata, Scolopcndra gigantea e Scolop''”' dropsis bahiensis, como também, Otostigmus rc. r, permanecerão enigmáticas aio«* jx*r muito tempo, por causa da impossibilidade prática de serem reencontrada» (Trabalho da Seccio d e Zoologia Medica do Inrtituto B # * ^ tan. Entregue para publicagio em junho de l* 41 dado à publicidade etn janeiro de 1942.) 122 cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 598.128 NOTAS OFIOLÓGICAS 11. Sôbre uma raça de serpente neotrópica POR ALCIDES PRADO A fornia em questão, Liofhis rcgittac albivenlris Jan, tida originariamente como simples variedade, deve ser considerada como subespécie. Para isto convem lembrar que a mesma possue uma área de dispersão extensa e liem definida, bem como caracteres subcspccificos bastante nitidos e fixos, na pressuposição de serem êstes reproduzidos por geração. Geograficamente esta raça ocorre do México ao Equador, dentro, portanto, da região neotrópica. Com cerca de 17 dentes maxilares, gradativamente aumentados de tamanho de diante para trás, separados dos dois últimos, fortemente desenvolvidos, por um longo intervalo; 12 palatinos e 25 ptcrigóidcos ; mandibularcs subiguais: olho moderado com pupila redonda: escamas lisas, com depressões apicilares. cm 17; cauda longa e afilada; subcaudais pares. Êstes caracteres genéricos indicam-na como pertencente ao género Liofhis Wagi.er. de acordo mesmo com o pensamento do autor. Os caracteres subcspecificos por ela apresentados são mais ou menos os seguintes : rostral quasi duas vezes tão larga quanto alta. apenas visível de cima : intemasais pouco mais largas do que longas, mais curtas do que as prefrontais; frontal cêrca de uma vez e meia mais longa do que larga, tão longa quanto sua distância da extremidade do focinho, pouco mais curta do que as parietais; lorcal pouco mais alta do que longa; 1 pre- e 2 postoeulares ; temporais 1 4 - 2: 8 supralabiais. 4 a e 5. a junto ao olho; 4-5 infralahiais em contacto com a mental anterior. Escamas lisas, geralmente com uma depressão apicilar. nítida, em 17. V en- trais 127-158: anal dividida: subcaudais 54-72. Verde-olivácea-escura em cima. com uma harra negra de cada lado da cabeça através dos olhos: lábios esbranquiçados; cada um dos lados do corpo cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 374 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV com uma raia negra, principalmente visivel na metade posterior; partes infe- riores ora imaculadas, ora manchadas de negro. Conforme se depreende do quadro anexo, examinei um exemplar proce- dente do Panamá e outros provenientes da Colômbia. Em trabalho anterior um destes havia sido por mim determinado como Lyophis taeniurus bipracocuU- ris (Boulenger). Os exemplares em apreço deram entrada no Instituto em diferentes épocas, sendo, em sua maioria, remetidos pelos revmos. Irmãos Xicéíoro Maria e Daniel. Acham-se depositados parte na coleção do Instituto Butantan e parte na do Instituto de La Salle, de Bogotá. Eis a relação dos exemplares examinados: Espécimes No*. •Proveniência Se- xo E. V. A. Subc. Labiais Oculares Comprimento em mm. So- pra Infra J.M.L Pre PoM Toul Cauda SOI, I. II San Pablo, Pan. ... tf 17 140 1/1 63,63 8 5 1 2 346 121 153, LLS... Secovia, Col tf 17 137 t/l 67167 8 5 1 2 — - tolhe, i. a VilLvicenrio, Col. . 9 17 133 1/1 36,36 8 s 1 2 337 66 10173, I. II La Urita, Col 9i7*t, i. a Yarumal, Col 9 17 133 l/l 36 36 8 4 1 2 323 63 <>s de No*. 10175, 20 J e 9178 exibem ventre manchado. RESUMO Lio phis regime albivcnlris Jan, que ocorre do México ao Equador, origi' nariamente tida como simples variedade, deve ser considerada como um 3 subespécie, devido não só à sua perfeita distribuição geográfica, como tanibén 1 à fixklade dos caracteres subcspecificos que lhe são próprios, na pressuposiç 30 de que êstes sejam transmitidos por geração. Para comprovação deste fato, são examinados em série exemplares <1° Panamá (1) e da Colômbia (8). dentro da região neotrópica, conforme revel 3 o quadro anexo. cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Alcides Prado — Notas Ofiológicas. 375 Êste interessante material, em que os exemplares nêle compreendidos deram entrada no Instituto em diferentes épocas, foi, em sua maioria, remetido pelos revmos. Irmãos Xicéforo Maria e Daniel. Acha-se o mesmo depositado na coleção do Instituto Butantan e na do Instituto de La Salle. de Bogotá. ABSTRACT Liophis rcginac albiventris Jax, occurring from México to Equador, and originally accepted as a simple variety, must be considered a subspecies, owing to its jierfect geographic distribution, as wcll as to the consistency of the sub- specific characteristics which it presents, supposing that these are transmitted by generation. To check tliis fact, a series of specimens from Panamá (1) and from Colombia (8), in the neotropic rcgion, has been examined, as shown by the enclosed table. This interesting material which arrivcd at this Institute in sevcral Iratches at different times was in its majority sent to us by Rev. Xicéforo Maria and Rev. Daniel. It has liecn includcd in the collections of the Instituto Butantan and of the instituto de La Salle. of Bogotá. BIBLIOGRAFIA Bocourt, .1/. — Miss. Sc. Mcx.. Rcpt. 2:633.1886. Roultngcr, G. A. — Cat Sn. Brit Mus. 2:130.1896. Amaral. A. do — Mctn. Inst. Butantan 4:20 rt 170.1930. 1’rodo, A. — Mem. Inst. Butantan 14:37.1940. (Tiabalbo da S«çio de OOotocia e Zoologia Medica do los- titoto Butantan. Entregue para publicação rtn junho de 1941, dado i publicidade cm janeiro dc 1942.) cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 598 1 IS NOTAS OFIOLÓGICAS Considerações em torno de dois Atractus da Colômbia, com a descrição de uma nova espécie I POR ALCIDES PRADO Duas espécies do gênero Atractus, dentre as inúmeras descritas para a Colômbia, me pareceram bastante firmes, quer quanto à sua distribuição geográ- fica. quer quanto ao conjunto de seus caracteres específicos. São elas as seguintes: Atractus lozvridrjci Amaral e Atractus colombianas Prado, a primeira disseminada na área que fica entre a Cordilheira Central e a Cordilheira Oriental daquele pais e que coincide com o departamento de Cundi- namarca; a segunda distribuída mais para o norte, da Cordilheira Ocidental à Cordilheira Oriental, dentro dos departamentos de Antioquia e Boyacá, respecti- v amente. O colorido, que nas duas espécies tem importante valor para o seu reconhe- cimento à primeira vista, é o seguinte: Atractus loveridgci — pardo-olivácea em cima com seis linhas negras longi- tudinais, em que a primeira c interrompida e corre ao longo da segunda fileira de escamas, a segunda ao longo da quarta e quinta fileira e a terceira ao longo da sétima e oitava de cada lado; ventre róseo-amarelado, manchado de negro dos lados. Atractus colombianus — pardo-olivácea em cima. com uma faixa negra 'ertcbral, a qual, guardando a largura de uma escama, vai da parte nuca! à e *tremidade caudal : ponta da cauda enegrecida ; escamas em geral tarjadas de n egro: nos flancos u’a linha clara, a qual envolve as extremidades das ventrais e a fileira contigua das escamas dorsais; ventre inteiramente negro, luzente ou ^selado de branco. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 378 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Os quadros abaixo, pelo exame de alguns exemplares das aludidas espécies dão conta do conjunto de caracteres pertencentes a cada uma: Atroctus lovcridgei Amaral Espécimes No*. Se- xo Labiais Oculares Comprimento em mm- Procedência r. V. A. Sub. Su- pra Infra JM. Pre 1*0 4 1 Total Cauda 45. M. C. 7- Jericó D, A. ... 9 17 161 1 IS IS < 4 2 360 27 íou», i. a .. La Uvita. D. B. . o' 17 157 1 - 7 4 C 2 292 35 10139, 1. B. .. La Uvita, D. B. . O 17 160 1 15 15 7 4 » 2 391 42 195, I.L.S.. Jericó, D. A. .. rt 17 164 1 21 21 7 4 • 2 •308 31 10130. i. a .. La Uvita. D. B. . cT 12 165 1 23 23 7 4 * 2 407 43 8909, 1. a .. Jericó, D. A. .. 9 17 168 1 1616 7 4 • 2 504 35 891", i. a .. San Pedro, D. B 9 17 167 1 15,15 7 4 » 2 386 26 7302. 1. a .. Jericó, D. A. .. S 17 149 1 27/27 7 4 » 2 325 41 8594, 1. I!. .. Jericó, D. A, 9 17 1C9 1 17/17 7 4 » •* 273 20 8908, i. a .. Jericó, D. A- .. d* 17 155 1 25/25 7 4 » •» 310 30 9038, 1. 11. .. - - 17 160 1 37/37 7 3 • 2 - - 10176, i. a .. La Uvita, I>. E . o 17 153 1 29,29 7 4 « 2 224 24 202, I.L.S.. La Uvita. D. B. . 9 17 lt2 1 22 22 7 4 • 2 3* 36 10177, 1. 11. .. La 1’viia, D. B. 0 17 151 1 26/26 7 4 » 2 320 39 Alraclus colombiamts Prado Espécime» Noa. Sr- xo Labiais Oculares Colorido Co®?* e* Procedência L. V. A. Sub Su- pra Infra J. M. Pre- Po»t Dor- so Ven- tre Total Cao* d» 174, 1. U S. Chocnnti, D. C. C 17 119 1 a 19 7 3 2 •ommI •e^ro 362 42 156, I. L. S. Choconta. D. C. 0 17 144 1 29 29 7 3 » 2 > ■n- tW» - — * 19127, 1. a Congua. D. C. . O 17 145 1 27 27 7 3 > 2 » > 317 4l 200, 1. L. S. La Union, D. C s 17 133 1 27/27 7 3 > 1 > > 317 3» Das mãos do revmo. Irmão Nicéforo Maria recebi para exame um exO» 1 ' piar que, pelos caracteres específicos apresentados, levou-me a considerar 0 aparecimento de uma nova espécie para a Colômbia, dentre os da série co11 ' escamas dorsais em 17, conforme a descrição que se segue: 2 Alcides Prado — Notas Ofiológicas. 12. 379 Atractus variegalus, sp. n. <5 — Cabeça curta; focinho arredondado. Rostral mais larga do, que alta, apenas visível de cima; intemasais moderadas, tão largas quanto longas, metade do comprimento das prefrontais; prefontais mais largas do que longas; frontal tão larga quanto longa, tão longa quanto a sua distância da extremidade do focinho, mais curta do que as parietais; Ioreal duas vêzes tão longa quanto alta; 2 postoculares ; temporais 1 -f- 2, a súpero-posterior atinge a extremidade da parietal respectiva ; 6 supralabiais, 3. a e 4. a junto ao olho; 4 infralabiais em contacto com a mental respectiva de um único par. Escamas lisas, sem depressões apiedares, em 17. Yentrais 157; anal inteira; sul>caudais 27/27. Castanho-pardo-avermelhada, com manchas irregulares, pardo-escuras, sobre o dorso; ao centro, quadrangulares, em duas séries; lateralmcntc, numerosas estrias da mesma côr; cabeça variegada ou mesclada de pardo-escuro ; ventre quasi inteiramente plúmbeo, brilhante. Comprimento total 345 nuns. ; cauda 45 nuns.. Holotipo, adulto S, sob o Xo. 201, na coleção do museu do Instituto de La Salle, Bogotá. Procedência: La Uvita, departamento de Boyacá. Afim de Atractus loi-eridgei Amaral. Esta distingue-se de Atractus varic- ffatus, sp. n., pelo número das supralabiais que c de 7 ao invés de 6: ainda esta apresenta os seguintes caracteres distintivos em confronto com a nova espécie cm estudo: rostral tão larga quanto alta; intemasais pequenas; prefrontais mais longas do que largas: lorcal quasi tres vêzes mais longa do que alta; côr oliva- pardo, com 6 linhas negras longitudinais sobre o dorso. RESUMO Nestas notas são estudadas o conjunto de caracteres específicos c a distri- buição geográfica das espécies colombianas, Atractus loveridgri Amaral e Atractus colotnbianus Prado, o que prova a perfeita validade de ambas. Ainda descreve-se a espécie Atractus z-ariegatus, sp. n.. procedente de La Uvita, departamento de Boyacá. ABSTRACT These papers study the assembly of specific characteristics and thc geo- graphic distribution of the Colombian species, Atractus lozrridgci Amaral and Atractus colontbianus Prado, proving the perfect validity of both. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 Alcides Peado — Xotas Ofiológicas. 12. Mm. In«t. Butantan Vc4. XV 1941 .itrcutms vorif,;.itm i, *p. n cm SciELO 614.512 OBSERVAÇÕES EM TÔRNO DA IMUNIDADE ANTIDIFTÉRICA POR - JAXDYRA PLANET DO AMARAL Ha cêrca dc 18 anos Ranion propoz o emprego tia anatoxina diftérica para imunizar o homem contra a difteria (1). Criticada a principio pelos céticos, «a hora atual ela é considerada um antígeno inócuo e eficaz, desde que conve- m entemente preparada. Sabemos, por outro lado, que o mero isolamento dos casos não pode controlar a difteria, pois, o número dc portadores sadios sendo grande, toma-se muito difícil si não impossível a descoberta dos focos dc infeção. A anatoxina diftérica, estimulando a imunidade, é uma arma segura para o combate ã difteria. Grande número de estatísticas, provenientes dc todas as partes do mundo, mostram de maneira clara c convincente o declínio da moléstia desde que as vacinações começaram a ser praticadas sistematicamente c em grande escala. A difteria é uma moléstia que revela uma caraterística incidência segundo a idade; nos primeiros meses de vida a criança é naturalmente imune, tornan- do-se receptível em maior escala até 5 anos. Esta predisposição declina em seguida lentamcntc no período dc 5 a 10 anos c. com rapidez, dos 10 aos 15. depois deste periodo. a possibilidade de contrair a moléstia é pequena, baixando a inda mais nos últimos anos de vida. Por esta razão a vacinação se impõe na Pojnilação infantil. Estatísticas demonstram que o declínio da difteria só se torna evidente desde que sejam vacinadas no mínimo 3/4 partes da população «nfantil. pois a pequena profilaxia, aumentando o número de portadores, tem ccvelado resultados contraproducentes. Exemplo frisante da eficácia da vaci- "ação intensiva é encontrado nas estatísticas da cidade de Toronto (Canadá), 00 que a morbilidade pela referida infeção caiu de 164 por 100.000 para 3.5. 'fepois da vacinação; as mortes anuais que eram de 65 por 100.000. ficaram Aduzidas a zero (2). Em nosso meio a difteria constitue um problema a ser resolvido. Segundo Borges Vieira, a taxa da morbilidade em São Paulo, cm 1937. foi de 57.42 Pit 100.000 e. em 1938. de 41.29 (3). cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 384 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Xo ano passado, o Departamento de Saúde do Estado pôde incrementar a vacinação na população infantil da cidade, trabalho que, devido a fatores vários, vinha sendo realizado com certa deficiência. A anatoxina utilizada foi por nós preparada no Instituto Butantan. Tra- ta-se da anatoxina simples, que deverá ser aplicada em 3 doses. Só é entregue ao consumo desde que obedeça às exigências das provas de atoxidez e anti- genicidade. Xão nos entusiasmámos ainda muito pelo emprêgo do toxóide-alumen, pois. pelo que se depreende da literatura sôbre o assunto, a vacinação em 3 doses pelo toxóide simples ê a ideal do ponto de vista da imunidade. A êste respeito Fitzgerald e colaboradores (2) publicam um trabalho muito bem documentado, comparando a resposta em antitoxina aos vários antigenos 3 saber: toxóide-alumen e toxóide simples em 3 doses. Assim é que, em comí»" rações estabelecidas entre 2 grupos homogêneos de crianças, francamente Schick- positivas e com menos de 1/500 de imunidade inicial, chegam à conclusão de q ue 2 doses de toxóide-alumen imunizam menos do que 3 doses de toxóide simpb - -'- A diferença na persistência dos titulos altos em antitoxina é ainda maior: o* 5 crianças imunizadas com 3 doses, um ano após a vacinação 90% de um grup° de 32 ainda possue 1/100 de unidade ou mais por cc. de sôro, em contraste cho- cante com 22% de 36 crianças que conservam essa taxa pela vacinação com um* só dose de toxóide-alumen. Estes autores observam ainda que até 2 anos a p° r " ccntagem de 1/100 de antitoxina é de 86% para a vacinação com 3 doses ® toxóide c de 15% para uma dose de toxóide-alumen. Este trabalho, muito befl> documentado, como já frisamos, pois as verificações foram realizadas pela dosa- gem da antitoxina diretamente e não pelas provas de Schick, sempre mais uu menos duvidosas, mostra claramente a vantagem de uma imunização lenta- sempre que possivel. a despeito mesmo de algum sacrifício, em detrimento <*** imunizações fulminantes. Em nosso meio o primeiro trabalho referente à imunidade pela anato* 103 diftérica foi realizado em Butantan por Lemos Monteiro (4). A imunidad c foi verificada pela reação de Kellogg, não fazendo o autor referência ao númef° de crianças examinadas, que diz somente não ser muito elevado; constata de Kcllogg-positivos depois da l. a dose; 80% após a 2 a e 100% em segui^ 3 à 3. a dose. Em 1939 Borges Vieira (5), trazendo mais uma contribuição à noss 35 estatísticas, observa a porcentagem de crianças Schick-ncgativas logo após 3 vacinação com 1, 2 e 3 doses de anatoxina. Com as restrições que devem ' cr feitas às provas de Schick as conclusões a que ésse pesquisador foi levado s* 0 as seguintes: em 9 crianças que tomaram apenas uma dose. a porcentagem refratários atingiu 77.77%; nos vacinados com 2 doses verificou a porcentaC clTl cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Jaxdyra Planet do Amaral — Imunidade anlidifterica 385 de 84% e, íinalmente, obteve 95,22% de imunidade em 377 escolares com 3 doses de anatoxina. Ao mesmo tempo que o Departamento de Saude intensificava a campanha de vacinação nos Grupos Escolares da Capital, nós, interessados em ter uma idéia própria sóbre a vacinação, isto é, no que se relaciona com as dificuldades de sua aplicação, reações post-vacinais e teor de imunidade conferido, tomámos a nosso cargo a vacinação dos alunos do Grupo Escolar do Butantan. Este estabelecimento de ensino primário rural consta de cinco classes, a saber: 1 jardim de infância, onde se matriculam crianças de 6 e 7 anos, e mais quatro classes primárias com alunos de 8 a 14 anos de idade. Foi realizada a vaci- nação em 479 crianças, sendo 34 do jardim de infância e as restantes das classes primárias, com a idade, portanto, de 8 a 14 anos, o que marca uma porcentagem de 100% para os alunos passiveis de vacinação. As injeções foram praticadas por via subcutânea, na região supra-escapular, sendo o intervalo entre a l. a (0,5 cc.) c a 2 a dose (1 cc.) de 21 dias e entre a 2 a e a 3 a dose (1,5 cc.) de 15 dias. As injeções foram em geral perfei- tamente bem toleradas, observando-se em alguns casos reações ligeiras com leve edema e hiperemia local em algumas crianças do curso primário. Nos menores, alunos do jardim da infância, não foi observada reação alguma de importância. Reações intensas, locais, com edema, e gerais, com estado febril de 48 horas. Puderam ser verificadas depois da I a dose cm 4 crianças, duas de 13, uma de 11 e outra de 10 anos de idade. Logo após a inoculação da 2 a dose, só uma nienina de 12 anos apresentou os distúrbios citados. Estas crianças sensíveis não foram inoculadas com as injeções seguintes, pois os estudos sóbre esta questão provam que nestes casos as pequenas doses já são capazes de conferir Uma imunidade suficiente (6), em virtude do estimulo primário pre-existente (7). A estas observações ainda podemos somar as vacinação de 38 crianças mo- radoras nas imediações do Instituto Butantan, menores de 7 anos que, pro- curando êste laboratório, foram injetadas com as 3 doses de anatoxina, sem apre- sentarem reação alguma de importância. Nossas observações, portanto, embora em escala reduzida, falam a favor 'la inocuidade da anatoxina diftcrica, desde que convenientemente preparada. Queremos acentuar ainda que não encontrámos as grandes dificuldades assi- naladas para a aplicação das 3 doses, o que se pode verificar pela estatistica de 100% nos passiveis de vacinação. Visando obter dados sóbre o poder imunizante da anatoxina, verificámos os títulos antitóxicos de algumas crianças antes e depois da imunização. Neste Particular a prova de Schick seria a mais facilmente realizável; preferimos, porém, ter dados mais precisos c procedemos porisso à dosagem da antitoxina úiretamente no sóro. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 386 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Jensen (8), estudando a relação entre o resultado da prova de Schick e a taxa de antitoxina no sangue em crianças imunizadas ou não, assevera que nem sempre o test de Schick está de acordo com o teor de antitoxina no sangue. Taylor e Moloney (9), analisando recentemente 15 preparados para pro- vas de Schick em relação à toxidez e ao poder imunizante, relatam os resul- tados obtidos em indivíduos cuja antitoxina no sôro sanguíneo foi previamente dosada. As observações desses autores indicam claramente a necessidade de uma revisão relativa às exigências do “Schick test”. Fitzgerald e colaboradores provam, por outro lado, em 87 indivíduos, o enorme desacordo encontrado no uso de 6 diferentes tests para Schick. Esta diferença é muito acentuada nos indivíduos portadores de titulos antitóxicos altos e nos que não apresentam teor de antitoxina (menos do que 1/500). Estas dúvidas é que nos levaram â verificação da imunidade pela dosagem direta da antitoxina no sôro. As dosagens foram realizadas antes e depois da imunização. Para a prova inicial, visando economia de material, julgámos a prova de Kellogg suficiente, pois interessava-nos somente a verificação do índice dos indivíduos sensíveis ou refratários à difteria. O método intracutáneo de Kellogg baseia-se no fato já estabelecido de que a presença no sangue de 1/30 de u.a. protege o indivíduo contra a difteria. Técnica usada — Momentos antes da injeção da l. 3 dose de anatoxina a criança é sangrada por punção venosa, sendo o sangue recolhido em um tubo estéril. Depois de formado o coágulo o sôro é separado. Num tubo de dosagem é feita então uma mistura em partes iguais do sôro a ser dosado c de uma diluição de toxina contendo 1/30 do L +. Agita-se e deixa-se em contacto durante meia hora; 0.2 cc. desta mistura é injetado, por via intradérmica, em cobaias de pélo branco; êstes animais, com péso médio de 300 gs., são previa- mente depilados com o maior cuidado. O resultado da reação foi acompanhado até o 4.° dia. Cada cobaia recebe no máximo 3 inoculações da mistura sôro -j- toxina o uma inoculação de 0,1 cc. de 1/30 do L -(- da toxina, que servirá como testemunha da reação, indicando a potência necrosante da toxina de um lado e, de outro lado. o poder de reação da cobaia. As reações cuja leitura é feita até o 4.° dia podem ser negativas ou positivas Reação negativa — é aquela cm que no local da inoculação nada de anormal se verifica ou apenas uma vermelhidão nas primeiras 24 horas, a qual desaparece logo depois. A ausência de reação local indica que no sôro do indivíduo <*m questão ha um certo teor de imunidade (1/30 u.a.) capaz de neutralizar o efeito necrosante da toxina. Reação positiva — A reação é positiva quando, nas 24 e, mais acentuada- mente, nas 48, 72 horas seguintes, se notar, além da vermelhidão inflamatória, uma zona de necrose no ponto da inoculação. Estamos assim em face de tin* cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Jandyra P lan et do Amaral — Imunidade antidifterica 387 sôro que não é capaz de neutralizar o efeito necrosante da toxina e que, portanto, possue menos do que 1/30 u. a. por cc.. Os nossos resultados foram computados sempre que a reação testemunha funcionou, uma vez que as cobaias não são passíveis de apresentar falsas reações. O número de dosagens foi pequeno ; só conseguimos inicialmente 98 crianças que consentiram na punção venosa. Os resultados das dosagens estão condensados na tabela abaixo: Soros dosados inicialmcnte Kellogg test positivo ' Kellogg test negativo Xúmero % Xúmero % 98 18 18,3 80 81,6 Pela leitura da tabela podemos notar que o número de crianças com reação positiva, isto é, crianças com sensibilidade à difteria, não c muito grande, pois oferece uma porcentagem de 18,3. Estamos com um índice razoável, pois as verificações foram realizadas em crianças de mais de 8 anos e menos de 13. A segunda verificação foi realizada 3 meses após a vacinação completa com 3 doses. Nesta 2. a prova só conseguimos realizar nova sangria cm 55 crianças. Tratando-se de trabalho que só poderia ser realizado com a colaboração gentil c espontânea da criança, todo o nosso esforço de nada valeu para a melhoria nu- mérica da estatística. Aproveitando, porém, o material da melhor maneira pos- sível, procurámos estabelecer com certa minúcia o teor de antitoxina nesta ocasião. A técnica de sangria foi a mesma; as dosagens foram realizadas ainda cm cobaias de pêlo branco, pela prova intradérmica. Os cálculos dc titulo foram feitos pela diluição do sóro a dosar, sempre na base de 1/30 do L -j- da toxina. As leituras eram sempre feitas até 4 dias c nas mesmas condições como para a l. a verificação. A tabela abaixo resume as nossas observações: Sôros dosados até o li- mite exato 3 meses após a vacinação 150 u.a. 60 u.a. 30 u.a. 15 u.a. 9 u.a. 1,5 u.a. No. % No. % No. °/o No. % No. °/o N.o % 33 3 9.9 6 18,1 ii 33.3 2 6,0 9 27.2 o 6.0 Sôros dosando 3 u.a. ou mais Positivos Negativ os Xúmero % Número % 22 22 100 0 0 55 Tot al dos sôros cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 388 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Conforme pode ser observado pela leitura do quadro, em 33 sòros foi pos- sível a dosagem mais ou menos exata, talvez com pequeno êrro em detrimento do titulo máximo que poderia atingir cada um dos sòros. Esta pequena verifi- cação dá-nos uma idéia da influência do fator organismo, pois as taxas variam num limite amplo, de 150 a 1,5 de u. a.. O título médio de 30 u. a. foi o que apresentou porcentagem maior (33,3), resultado èste, que, naturalmente, não pode ser apresentado como regra geral, sendo o número de dosagens por nós efe- tuadas relativamente pequeno para figurar como dado estatístico preciso. A verificação é limitada para serem acentuados com firmeza os pormenores, mas, em conjunto, cremos poder tirar a conclusão de que a anatoxina por nós ve- rificada é capaz de conferir uma sólida imunidade, desde que seja administrada segundo as regras prescritas. Somos muito pratos à Da. Soemia Saraiva, M. D. Diretora do Grupo Escolar de Butantan, pela preciosa e gentil cola- borofão moral e material que emprestou ao nosso trabalho. RESUMO E COXCLUSOES Foram verificadas a inocuidade e o poder antigênico da anatoxina diftérica do Instituto Butantan. Em 517 crianças vacinadas somente 4 apresentaram rea- ção local e geral, não suportando as 3 doses. Foram realizados tests para a prova de imunidade natural cm 98 crianças ; a porcentagem de crianças Kellog test -positivas foi de 18,1 para 81,0 de negativas. Em dosagens do teor de antitoxina específica 3 meses após a vacinação, cm 55 crianças foi encontrado 100% de titulos altos. A anatoxina diftérica é considerada inócua e antigenicamentc eficaz. ABSTRACT The innocuity and thc antigenie power of the diphtheric anatoxin oí th c Instituto Butantan have been examined. Among 517 vaccinated children only 4 presented local and general reaction, not tolerating thc three doses. Tests on the natural immunity have been made in 98 children; thc rate of Kellog-test positive children was of 18.1% to 81.0% negative ones. Thc dosage of the specific antitoxin content three months after the vacci- nation showed 100% of high titres in 55 children. The diphtheric anatoxin is considered innocuous and antigenically effidctú- cm SciELO LO 11 12 13 14 15 16 Jandyra Plajíet do Amaral — Imunidade antidifterica 389 BIBLIOGRAFIA Ramon. G. — CR. A ca d. Sciences 177 :1338. 1923. Fitsgerald, J. G.; Fraser, D. Mckimum, X. E. Sr Ross, M. A. — New York Acad. Med. 14(9) :566. 1939. Fieira I. Borges — Boi. Inst. Higiene S. Paulo (66) . 1939. Monteiro, J. Lemos — Mcm. Inst. Butantan 3:137.1926. Vieira, I. Borges — Comunicação feita ao Congresso de Saúde Escolar realizado cm S. Paulo, 1940. Moloney, P. J. & Fraser, D. I. — Ann. Inst. Pasteur 43:127.1929. Fraser, D. I. — Studies of the Connaught Lab. 5:193.1931-1932. Jenscn, C. — CR. Soc. Biol 108(31) :339 et 543.1931. Taylor, E. M. & Moloney, P. J. — J. of Immunology 33:191.1937. (Traia! ho da Secçio de Imtinologia do Iiutilato Butantan. Entregue para publicação ent agosto de 1941 e dado á publicidade cru janeiro de 1942.) cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 574.19 CONTRÔLE DE ESTERILIDADE DE PRODUTOS BIOLÓGICOS E QUÍMICOS Técnica adotada no Instituto Butantan roR Plínio Martins Rodrigues Ao ser reorganizada, em novembro de 1939, a Secção dc Fiscalização dc Esterilidade dos produtos químicos e biológicos, fabricados neste Instituto, foi nossa preocupação inicial proceder a um exame da literatura bacteriológica a respeito das técnicas de controle em uso nos centros mais adiantados. O primeiro resultado dessa consulta foi a constatação da inexistência dc qualquer padronização de técnica; mesmo entre os americanos do norte, gcral- niente pioneiros cm estandardização, era sensível a falta de uniformidade dos processos empregados, quer por organismos oficiais, quer por estabelecimentos industriais de iniciativa particular. A situação, de inteiro arbitrio por parte de cada fabricante de produtos biológicos e químicos empolados, no que diz respeito à escolha da técnica dc con- trole a seguir, acha-se bem descrita num relatório publicado pelo Conselho de Farmácia e Química da "American Medicai Association” (1). sem dúvida o melhor trabalho a respeito do assunto que nos ocupa, por nós encontrado na li- teratura. Não havia nos Estados Unidos, até a época da publicação desse tra- balho, fiscalização oficial da esterilidade dos produtos injetáveis postos à venda naquele país. Chegavam mesmo alguns fabricantes, na liberdade que usufruíam, a considerar, em certos casos, como inútil, todo e qualquer controle de esterili- dade de seus produtos, baseando-se para tanto no poder antisséptico real ou hipotético destes, ou mesmo sem base alguma. A maioria dos industriais, no entanto, submetia os seus produtos, antes da entrega à venda, a um exame cujos detalhes e rigor variavam de caso para caso. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 392 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Salientavam, então, os subscritores do relatório referido, a urgência de unia iniciativa por parte do governo, no sentido de ser estabelecido um padrão de técnica para o exame de esterilidade a ser feito regularmente por um organismo oficial. Com o espirito prático caraterístico de seus compatriotas reconheciam- no entanto, os autores norte-americanos, que faltava ainda a base indispensável para a elaboração de uma técnica ou, talvez, de várias técnicas padronizadas. 3 serem praticadas em diferentes circunstâncias. Sem dados seguros sõbre a in- cidência de contaminação bacteriana de produtos empolados e — mais impor- tante — sôbre a incidência de infeções devidas diretamente à injeção de material empolado, contaminado por bactérias patogênicas, não é prudente, declaram o* mesmos, tentar recomendar regras especiais para regulamentação. Com o fim de facilitar futura padronização, procedeu a mesma comissão a um estudo de classificações de produtos biológicos, propostas por diferentes autores, nas quais eram os mesmos seriados segundo o perigo maior ou menor de contaminação a que estavam sujeitos, devido à sua natureza química ou 3 suas propriedades antissépticas. Além dos ensinamentos contidos no relatório citado, cuja leitura é impre* cindivel para quem queira formar juizo sóbre a questão, utilizamo-nos, para 0 estabelecimento da técnica por nós adotada no Instituto desde novembro 1939, da prática c dos conselhos dos bacteriologistas da “Di vision of I Laborato- ries and Research of the New York Department of Health” (2), do “Hig' c ' nic Laboratory” do Serviço Nacional de Saúde Pública dos Estados Unidos (3,4), das recomendações do Govêrno Alemão (5) e, finalmente, da experi- ência de Arlindo de Assis (6). Enquanto o “Hygienic I.alx)ratory’' e o técnico patrício julgam suficien- te o cmprêgo de um meio único para cultura de aeróbios e anaeróbios, no vC *" lume de 25 a 30 ccs., quer em tubos de Smith, quer em tubos de batata conten- do um tubo de hemólisc invertido, adotam os outros analistas citados meio? diversos para cultura em presença e na ausência de oxigênio. Ao adotarmos o último critério, assim como ao fixarmos todos os detalha dc técnica que descreveremos a seguir, fomos gtiiado pela preocupação, natui 3 ‘ cm serviço de tal responsabilidade, de preferir, quando possível, os processo? mais rigorosos, ainda que a custa de grande aumento de trabalho. DETALHES TÉCNICOS As provas a que c submetida a quasi totalidade dos produtos podem ?' divididas em A) — Prova cultural; B) — Exame bacterioscópico ; C) — ^ rC> va de inoculação cm cobaia. 2 Plínio Martins Rodrigues — Controle de esterilidade de produtos 393 A) Prova cultural Meios de cultura utilizados: Como meio básico para cultura de bactérias aeróbias, usamos o caldo sòro glicosado a 0,1% como aconselhado por Wads- worth (2) e, para pesquisa de anaeróbios, o meio de figado de Tarozzi, já uti- lizado no Instituto Butantan, ao assumirmos a chefia da Secção. Introduzimos no serviço de controle do Instituto o meio semi-sólido de Hitchens (7), um dos empregados no ultimo laboratório americano citado, capaz de satisfazer às exigências de anaeróbios e aeróbios e, mesmo, de garantir em uma maior porcentagem de casos o desenvolvimento destes (8). quando com- parado com o agar comum, graças principalmente às suas caraterísticas físi- cas (7). Além dessa vantagem, o meio de Hitchens que se mantem liquido até a temperatura de 45°, possue a de fornecer um processo cômodo para a ava- liação, até certo ponto, do grau de contaminação bacteriana, para o estudo de formação de colónias e para a diluição do material a inocular, detalhe este im- portante quando se trata de produtos adicionados de antissépticos como são em sua quasi totalidade os fabricados pelo Instituto Butantan (9. 10, 11). Finalmente, como meio próprio ao crescimento de cogumelos, adotamos o Sabouraud líquido (12). Entre todos os trabalhos percorridos, só cm (1) en- contramos aconselhado o emprego de meios para cultivo de cogumelos, ainda assim apenas para soluções açucaradas. Temos, no entanto, utilizado sem exce- ção o Sabouraud para todos os produtos. Graças ao seu emprego, pudemos, por ocasião da reforma e pintura do prédio onde estão instaladas as salas de distribuição dos produtos cm unidades, descobrir contaminação de diversos pro- dutos com cogumelos. A explicação dessa ocorrência súbita c geral foi facil- mente encontrada, graças à experiencia de um colega de serviço que já tivera ocasião de observar fato idêntico em uma indústria particular; as faces exter- nas do prédio estavam recobertas por uma camada úmida, na qual eram encon- trados cogumelos em cultura pura, disseminados em seguida por todo o in- terior do edifício, como consequência da raspagem que precedeu à pintura: — Alguns dias dc interrupção do serviço de empolamento ou distribuição dos pro- dutos foram suficientes para que cessasse o crescimento geral em Sabouraud. Serve-nos. ainda, êsse meio, mantido em temperatura ambiente, para a des- coberta de possível contaminação por bactérias que não crescem ou crescem mal a 37°. Número de empolas a serem examinadas: Detalhe importantíssimo de téc- nica, sôbre êle não pode haver, naturalmcnte. de um ponto de vista teórico, di- vergência de opinião: tanto maior a porcentagem de unidades examinadas cm relação ao número total de unidades da partida, tanto maior confiança inspi- ra o resultado do controle executado. As opiniões devem ser ouvidas, porém. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 394 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV quando se trata de conciliar a vantagem que oferece, quanto ao rigor do resul- tado, o emprego de um grande número de empolas, com os inconvenientes de um grande gasto de material e de um aumento exagerado de trabalho, incom- patível com os recursos do serviço. Uma base para a fixação desse número é oferecida pela prática seguida quer no laboratório oficial de Xova York (2) já citado, quer no “Hygieni- Laboratory” (3). Xo primeiro, aconselha-se “examinar 2 unidades quando são distribuídas 100: para cada grupo de 100 empolas subsequentes examinar uma unidade”. No segundo “a proporção de recipientes examinados será de 3 para os lotes contendo até 100 unidades, 4 para aqueles contendo 100 até 150, e assim por diante, adicionando-se um recipiente por 50 ou fração de 50 unidades até 400. limite além do qual o número fixo de 10 será mantido”. Não nos foi possivel no Instituto, dados os recursos da Secção, seguir nenhum dos dois critérios citados; atualmente, porém, o número de unidades examinadas, em média, por partida, é maior que o adotado ao assumirmos 0 serviço, tendo sido nossa preocupação elevá-lo sempre que possivel. Volume do nuiterial a ser semeado: A norma seguida foi a de scincur a maior quantidade possível de material de cada recipiente, quantidade e?^ 3 limitada apenas pela necessidade de fazer com que o teor do ácido fênico con- tido no produto não ultrapasse 1/10.000. depois de feita a diluição do “in°" culum” no meio de cultura. Xa prática, isto é facilmente conseguido, desde qu e se padronize, dentro de certos limites, o calibre das pipetas Pasteur usada-'- A semeadura do material de diversas unidades permite, além disso, variar 0 volume liquido inoculado. O detalhe relativo ao volume do material a semear e de importância capital ; a sua inobservância pode acarretar o falseamento do con- trole, resultando a cultura negativa, mesmo quando o produto está contami- nado. Substâncias químicas, tais como o ácido fênico. acrescentadas ao produto com fins antissépticos podem não ser suficientes para impedir a multiplicação dos germes de uma contaminação acidental da unidade examinada e. no ctl ' tanto, ainda capazes, quando não convenientemente diluídos no meio de cultura, dc exercer ai sua conhecida ação bacteriostática. Tomamos como base o teor limite dc 1/10.000 de ácido fênico — o antisséptico dc uso quasi geral nos p r °" dutos do Instituto Butantan — apoiando-nos para isso nas pesquisas de Coop** (9. 10) e na prática do laboratório oficial de Xova York [(2). p. 546)]. Temperatura c tempo dc incubação: Os meios de caldo sôro glicosado. Hitchens e Tarozzi, após semeados, são mantidos em estufa a 37° e o SaboU' raud liquido é conservado em temperatura ambiente por 15 dias. O tempo de cultura adotado pelos diferentes técnicos varia dc 5 a 15 dia*- Decidimo-nos, no Instituto, pelo prazo maior, tendo em vista uma maior P 3 ' rantia. prindpalmente no que diz respeito á contaminação por cogumelos. ^ 4 Plínio Martins Rodricces — Controle de esterilidade de produtos 395 48 em 48 horas são examinadas as séries de meios de cultura, sendo repetida a semeadura do material da unidade correspondendo a todo tubo encontrado contaminado; são semeados, então, vários meios idênticos ao contaminado, com líquido da própria unidade já uma vez utilizada, para o que toda empola é fechada após a retirada do material ; no entanto, quando a unidade foi esgotada pela primeira inoculação, é forçoso recorrer a nova semeadura de um grande número de unidades, para apurar si o crescimento observado foi devido à exis- tência de bactérias no produto ou si foi consequência de contaminação aciden- tal alheia ao produto. Uma partida só é dada como contaminada, com base em exame cultural, quando em duas ocasiões diferentes, de duas unidades di- versas. são obtidos germes com morfologia idêntica ou, então, já quando da primeira semeadura o número de tubos contaminados é considerável. Pode tor- nar-se necessário repetição 2. 3 ou mais vêzes de uma semeadura para dirimir a dúvida entre contaminação ocidental durante a semeadura c contaminação do produto, sendo mesmo dificílimo em alguns casos resolver a questão (13). Desejamos ainda aqui citar, de passagem, a utilidade, quando o produto possue qualidades de meio de cultura, da observação de algumas unidades ou de toda a partida durante alguns dias de permanência na estufa . B) Exame bacterioscópico Com material de toda partida entregue a controle é feito um esfregaço. corado a seguir pelo método de Grani, para o que. de cada unidade da mesma, são reco- lhidas algumas gotas cm recipiente comum, sendo a lâmina preparada com a mistura final. Conquanto não apresente a mesma garantia que a cultura, o exame bacterioscópico é capaz de revelar a presença de contaminação bacteria- na mais ou menos grosseira: serve ainda de complemento ao exame cultural '■piando êste nada possa revelar, isto é, quando o produto esteja contaminado com cadáveres bacterianos. C) Inoculação cm cobaia A mesma mistura que serviu para o exame basterioscópico é utilizada para a •ncculação de cobaia: são injetados subeutaneamente de 2,5 a 3 ces. do mate- rial. sendo o animal observado durante 5 dias. No período de mais de um ano, durante o qual temos praticado essa prova, não observámos nos animais inoculados qualquer sintoma consecutivo à injeção, mesmo nos poucos casos, em que se verificou pelo exame cultural, estar o produto contaminado. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 396 Memórias do Instituto Hutantan — Tomo XV Uma vez comprovada, pelas técnicas acima enumeradas, a contaminação do produto, é o mesmo via de regra abandonado; é principalmente o caso das va- cinas. Em circunstâncias excepcionais, quando o produto contaminado é dificil- mente deteriorável e o crescimento bacteriano é recente e de grau ligeiro, pode o mesmo ser aproveitado após filtração e repetição em grau maior de todas as provas de controle de esterilidade, inocuidade e eficiência. A restrição quan- to ao grau e tempo de contaminação é importante, pois, em produtos dotado- de propriedades capazes de favorecer o crescimento bacteriano. pode haver pro- dução de toxinas que irão passar através do filtro. RESULTADO Em certa ocasião, como dissemos, foi constatada pelo controle a ocorrência súbita de contaminação frequente com cogumelos, em lapso de tempo relativa- mente curto. Si fizermos abstração desses casos de contaminação, devidos a circunstância excepcional — raspagem da fachada do prédio, então recobert3 de uma camada úmida onde abundavam os cogumelos — teremos, como re- sultado do controle num período de um ano e sete meses, a descoberta de ajtf- nas 7 partidas contaminadas, ou sejam aproximadamente 7.000 unidades, num total de 1.050 partidas, correspondentes a cêrca de 1.3000.000 unidades. Além desses casos, nos quais a presença de germes no produto foi confirmada em exames repetidos, foram, por motivo de prudência, rejeitadas ainda 4 parti- das, por não ter sido possível concluir com segurança sôbre a existência ou não de unidades contaminadas entre as mesmas, pois como já acentuamos, não é fácil, em certos casos, apurar a origem da contaminação: si acidental durante a téc- nica da semeadura ou si rcalmente do produto. Pela repetição do exame pode não crescer o germe obtido da primeira vez e. em compensação, podem desen- volver-se outras bactérias. O exame de outras unidades não consegue às vêzes esclarecer a questão, ficando a dúvida da existência no meio da partida de apenas certo número de empolas contaminadas. A ocorrência de tais fatos esclarece bem o conceito em que deve ser tida a garantia oferecidja pelo controle de esterilidade. A simples consideração, além de outras, da impossibilidade prática de ser examinada toda a partida, basta para demonstrar à saciedade, não poder o controle de esterilidade, realizado apó> a distribuição do produto em unidades, oferecer uma garantia absoluta. Aí unidades a serem examinadas são colhidas por entre a massa da partida, sendo ainda utilizadas a primeira c a última distribuídas. Está claro, que, ao assim proceder, é impossível evitar a influência do acaso, que, aliás, é suscetível de ser calculada com urna certa margem de erro. A afirmação da esterilidade de produtos biológicos não pode repousar ape- nas sôbre a execução de provas de controle, por mais rigorosas que sejam : ^ 6 Plínio Martins Rodrigues — Controle de esterilidade de produtos 397 Ioda uma série de cuidados técnicos iniciados com o preparo químico do me- dicamento ou, no caso dos sôros terapêuticos, com a sangria do animal, e obser- vados cuidadosamente durante todo o processo mais ou menos complicado, se- gundo o caso, de sua feitura, até a distribuição final em unidades, que fornece a garantia da esterilidade de um produto, garantia que o controle não faz mais ■)ue sancionar e reforçar. BIBLIOGRAFIA 1. Council of Pharmacy and Chemistry-Amcrican Medican Association. Rcport on Ste- rility of Ampoule Preparations. — J. A. M. A. 103:678.1934. 2. H'adszeorlh, A. B. — Standard Methods of the Division of Laboratories and Research of the New York State Department of Health, 2.* cd., Baltimorc, 1939. 3. Magalhães. Marta — Organização, administração e técnicas de laboratório de Saúde Pública. Partes II e III — Arch. de Hyg., Rio de Janeiro, 4( 1 ) :211 . 1930. 4. Memorial of details, under Section 36, Regtil. of Biol. Products — U. S. Public Health Service (Hygicnic Iaboratory) Miscellaneous Publication Na 10, lst August, 1923. 5. Vorschriften für die staatliche Prüfung der Gasbrand (perfringens) Sera — Ministe- riumblatt des Reichs- und Preuss. Ministeriums des Innem 15:591.1937. 6. Assis. Arlindo de — Técnica simples para as prosas de esterilidade — Arch. do Inst. Vital Brazil 4(1) :83. 1926. 7. Hilchens, A. P. — Advantagcs of culture mediums containing small pcrcentagcs of agar — Jour. Infect. Dis. 29:390.1921. 8. Falk, C. R.; Bucca, H. B. £r Simmons, M. P. — A comparative study of the use of sarious concentrations of agar in the test mediums used to detcct contaminants in biologic produets — Joum. of Bacter. 37(2) :121. 1939. 9. Coofer E. A. & Forstner — Studies on selective bactcricidal action — Bioch. Jour. 18:941.1924. 10. Cooper. E. A. & Mason. J. — Studies on selective bactericida! action — Jour. Hyg. (Camb.) 26:118.1927. 11. A Ví//, M. }l. — Studies in presersatives of biological produets — Hyg. Lab. Buli. (112) :37. 1918 12. Besson. A. — Téchniquc Microbiologiquc et Sérotltérapique, 7.* cd.. Paris. 1924. p. 1203. 13. Bengtson, I. A. — The nature of contaminations of biological produets — Hyg. Lab. Buli. (112) :14. 1918. (Trabalho do Laboratório de Controle e Tuberculo*e. Entre, rue para publicação em 8 de setembro de 1941 e dado  publicidade rn janeiro de 1942.) t SciELO^o 2 3 5 6 11 12 13 14 15 16 L cm BREVE HISTÓRICO A existência da imunidade antitóxica naturalmente adquirida é conhecida desde muito tempo. Em 1894. R. Abel, citado por Ramon (1), revelou no sòro de indivíduos normais, a presença de substâncias antidiftéricas. Êsse autor, examinando o sòro de 6 individuos adultos, verificou que o mesmo protegia cobaios contra urna dose de cultura de bacilos di itéricos mortal para os animais testemunhas. Dcnys e Yandevelde. citados por Xélis (2), desde 1895 demonstraram I * 3 existência de antitoxina estafilocócica formada em animal sob ação da toxina c capaz de neutralizá-la tanto “in vitro” como “in vivo”. Êsses autores, imuni- zando coelhos com doses crescentes de toxina, observaram nesses animais um 3 certa resistência à infeção estafilocócica experimental. Nicollc e Césari, em 1914, analisando um sòro antiestafilocócico de cavalo, já preparado por Borrei e Bridé, verificaram que o mesmo possue propriedades antitóxicas, embora desprovido de poder antimicrobiano. Desde 1929, a toxina estafilocócica começou a ser melhor estudada; ness 3 data, Burnet empregou a toxina formolada (anatoxina) para imunização de coelhos. Dólman, em 1932, verificou, confirmando as pesquisas de Gengou, q uf< imunizando animais com anatoxina estafilocócica se determina o aparecimento de antitoxina especifica, com suas propriedades antihemolitica, antidermotóxic 3 e antiletal. No ano seguinte, Travassos (3) demonstra que o sôro antiestafilocócico neutraliza a ação da toxina sóbre o sistema nervoso central. Finalmente. Ramon e seus colaboradores, em longas e sistemáticas pesqui- sas, muito contribuiram para o conhecimento da imunidade antiestafilocócic 3 - estabelecendo métodos práticos de imunização humana pela anatoxina estafiloc°* rica. I — Imunidade natural antiestafilocócica nos mamíferos A) nos simios; B) nos perissodáctilos; C) nos artiodáctilos; D) nos carnívoros; E) nos roedores: estudo experimental em coelhos. 2 Hassib Ashcar — Ensaios sòbre imunidade antiestafilocócica 401 A imunidade naturalmente adquirida por diversas espécies, entre os mamí- feros, contra a toxina estafilocócica tem sido objeto de estudo e pesquisa de nu- merosos autores. Essa imunidade antiestafilocócica é revelada pela presença de antitoxina es- tafilocócica nos humores, principalmente no sôro sanguineo. a) Símios Ramon e seus colaboradores, pesquisando a antitoxina estafilocócica no sôro sanguineo de 55 macacos (cinocéfalos), verificaram a existência da mes- ma em todos êles. Xesses animais, o titulo antitóxico encontrado é relativa- mente elevado, atingindo várias unidades antitóxicas internacionais por cc. dc sôro. ultrapassando, muitas vezes, 5 e mesmo 10 unidades (12). b) Perissodáctilos Glenny e Stevens (4) verificaram que os cavalos, entre os equidios, apre- sentam, em grande maioria, uma quantidade por vêzes considerável de antitoxi- na estafilocócica no sôro sanguineo. c) Artio Jáctilos 1) Suinos: Em colaboração com Richou c Descazeaux, Ramon (5) ve- rificou em todos os sòros de porco dosados um teor de antitoxina cstafilocóci- ca frequentemente elevado, mesmo cm animais com menos de 2 anos de idade. 2) Ruminantes: Os bois também possuem antitoxina estafilocócica no sôro sanguíneo, porém, em titulo menor do que os cavalos. Nos carneiros, a imunidade antiestafilocócica natural, segundo Ramon, pa- rece aumentar com a idade do animal. d) Carnívoros As pesquisas de Ramon, feitas em cães. cujas idades variavam dc 5 meses a 12 anos, demonstraram ser a quantidade de antitoxina estafilocócica no sôro sanguineò pouco elevada. e) Roedores Bonnet, Thieffry c Montefiore (6) verificaram que a antitoxina cstafilocó- cica natural pode existir nos ratos brancos dc idade avançada. Sua presença nesses animais não é constante, varia segundo os lotes e segundo as condições dc criação. Nos ratos jovens a antitoxina parece, praticamente, não existir. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 402 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Dólman e Kitching, (7) ao mesmo tempo que Ramon, verificaram no sóro sanguíneo de coelhos e de cobaias jovens a existência de antitoxina estafilocócica em quantidade apreciável. Em certas cobaias, o último autor encontrou títulos elevados como 10 unidades e demonstrou que, em coelhos como em cobaias, co- locados em condições favoráveis, o titulo antitóxico do sôro aumenta com a idade. Ramon, em colaboração com Richou e Djourichitch, estabeleceu que o teor de antitoxina estafilocócica nesses animais é independente da raça. porém varia com a procedência dos mesmos e com o modo de vida. De nossa parte, tivemos oportunidade de dosar, na Secção de Sôros Anti tó- xicos do Instituto Butantan, a antitoxina estafilocócica em 35 coelhos adultos com idades aproximadamente iguais e modo de vida semelhante. Para essas dosagens usámos o método hemolítico, cuja técnica será adiante descrita. Os resultados expressos em unidades antitóxicas internacionais (U. A. I.) por centímetro cúbico de sôro sanguineo, se resumem no Quadro Xo. 1 : Qcadro No. 1 ANTITOXINA ESTAFILOCÓCICA EM COELHOS ADULTOS U. /. for cc. de sôro Frequência Ra ça 0,1 10 Russa > 0 2 < 0,5 1 Russa 0.1 9 Chinchila >1 <2 1 Chinchila 0.1 6 Azul dc Viena > 0,1 < 0,2 1 Azul de Viena > 0.5 < 1 1 Azul dc Viena >1 <2 1 Azul de Viena 0,1 4 Mestiça >2 <3 1 Mestiça Desses resultados se depreende que o titulo antitóxico, como observara Ramon, não depende da raça do animal. Dos 35 coelhos analisados, em 21 déles ou seja em 60%, o título antitóxico permanecia abaixo de 0.1 unidade, parecendo-nos que os mesmos não possuíam qualquer traço de antitoxina estafilocócica naturalmente adquirida. 4 Hassib Ashcah — Ensaios sòbre imunidade antiestafilocócica 403 II — Imunidade antiestafilocócica natural no homem A) Dosagem da antitoxina estafílocócica no sôro sanguíneo; B) Relação entre a imunidade antitóxica materna e fetal; C) Desenvolvimento da imunidade antitóxica cm indivíduos normais. A imunidade antitóxica natural, segundo Ramon, é a imunidade que o homem e os animais podem possuir independente de qualquer imunização arti- ficial e que é caraterizada pela presença de antitoxina nos humores. O conhecimento da imunidade natural é de capital importância quando se pretende fazer a profilaxia de qualquer infeção, visto que a profilaxia é a anua tnais moderna e mais segura no campo da terapêutica. Xão só nos mamíferos, mas também no homem foi demonstrada a existência da imunidade antiestafilocócica natural revelada pela presença da antitoxina cor- respondente no sôro sanguíneo (Vandevelde, em 1894, Xeisser e Wechsberg, em 1901). Pesquisando em 115 indivíduos, de 21 a 80 anos, a taxa de antitoxina séri- ca, de origem natural, Ramon e seus colaboradores (8) verificaram apresentar esta variações entre 0.1 e 10 unidades, como demonstra o Quadro Xo. 2: Qcadío Xo. 2 0.1 - 0.2 0.2-0^ 0.5 - 1 1-2 2 — 3 3-5 5-7 7-10 10 unid. 5 casos 46 ratos 2S tiwií IS CIMI 12 CMO* 2 cato» 2 casos 1 cato 1 caso (6\7%) (13,6%) 1 10.4 ) ru %) Como se vê. uma j>equena percentagem de indivíduos normais (5.2%) pode possuir, no sôro, um titulo antitóxico relativamente elevado (3 a 10 unidades) dependente da imunidade natural. O nosso trabalho experimental sòbre a imunidade antiestafilocócica natural Consistiu essencialmente na dosagem da antttoxina estafilocócica no sôro sanguí- neo de 361 indivíduos, dos quais foram selecionados 163 normais. (Xormais. neste sentido, que não tiveram qualquer infeção estafilocócica clinicamente evidente). a) Dosagem da antitoxina estafilocócica no sôro sanguíneo A titulagem de um sôro antiestafilocócico (7), assim como a determinação de grau de imunidade antiestafilocócica de um animal, pode ser feita por um dos processos seguintes: 404 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV a) “In vitro” — Método hemolitico (hematias de coelho). — Método intradérmico (cobaia). b) “In vivo ” — Método intraienoso (camondongo). — Método ir.troperítonial (camondongo). Ramon assim como Nélis (9) afirmam que êsses métodos dão o mesmo re- sultado quanto ao teor de um sôro em antitoxina, podendo-se empregar indife- rentemente qualquer um deles. Preferimos para a dosagem da antitoxina estafilocócica (a anti-hemolisina) empregar o método hemolitico que é exato, rápido e econômico. Os resultados são expressos em unidades antitóxicas internacionais (U. A- I.) por centímetro cúbico. Unidade a n ti tóxica padrão internacional Recentemente, o “Comité’’ de Higiene da Sociedade das Nações aceitou como unidade internacional padrão (9) a unidade proposta pelo “Medicai R e * search Council” e adotada na reunião da Comissão Permanente de Estandardiza- ção Biológica. “Esta unidade antitóxica é a atividade especifica neutralizante em presença da toxina estafilocócica contida em 0.5 mgs. da preparação estandard do “National Institute for Medicai Research" de Hampstead, Ingla - terra. MÉTODO HEMOLITICO — TÉCNICA Principio: determinação da menor quantidade de sôro capaz de impedir 3 atividade hemolitica de uma quantidade definida de toxina estafilocócica, previ*' mente titulada por meio de um sôro padrão. Técnica adotada: A diluições crescentes de sôro sanguíneo, feitas com so* lução fisiológica de cloreto de sódio, colocadas em tubos de hemólise, juntám 0 ® quantidade de toxina igual em todos os tubos. Essa quantidade de toxina re ' presentava um limite hemolitico (L. H.) correspondendo, portanto, a u ,,,a unidade. A mistura era agitada e em seguida deixada em repouso, durante 15 nm lU tos, à temperatura do laboratório. Adicionávamos, então, a cada tubo, uma gota (1/20 cc.) de hematias coelho lavadas e diluidas ao décimo em solução fisiológica. Todos os tubos eram agitados, tamponados e levados ao banho-maria a 3P • . #*fll onde permaneciam por uma hora. Após essa incubação, os mesmos ficavam 6 Hassib Ashcar — Ensaios sòbrc imunidade antiestafilocócica 405 repouso na temperatura ambiente, durante 1 hora, para então ser feita a leitu- ra dos resultados. Procedíamos à leitura no tubo ou no intervalo de dois tubos onde deveria haver hemólise a 50%, conforme aconselha Burnet. Os resultados eram então obtidos, multiplicando-se o titulo da toxina pelo grau de diluição do sôro analisado. Obs. : 1) Para todas as dosagens utilizámos sempre hematias de um mesmo coelho; e fizemos sempre tubos testemunhas (salina e toxina): 2) Todo material utilizado: sôro, solução salina, toxina e material de vidro, era esteril. b) Relação entre a imunidade antiestafilocócica materna e fetal Em 1892, Ehrlich, citado por Bradford Hill, (10) já havia feito experiências sõbre a transferência de imunidade passiva de pais a filhos. Alimentando ratos com as toxalbuminas : abrina, ricina e robina, Ehrlich demonstrou que os filhotes de mães imunes adquiriam uma imunidade própria. Pelo contrário, machos imu- nizados, quando cruzaram com fêmeas não imunizadas, não transmitiam aos des- cendentes qualquer poder de resistência contra essas toxinas. Baseando-se nessas e noutras experiências. Ehrlich concluiu que “a prote- ção conferida aos filhos é uma imunidade passkxt, pela passagem ao feto de an- ticorpos específicos que circulam no sangue materno e, através do colostro, para os recém-nascidos”. Em 1907, Thcobald Smith verificou que, quando se injeta no organismo materno u’a mistura de toxina-antitoxina diftérica, se desenvolve uma imuni- dade transmissível, ao menos em parte, aos filhos. Essa imunidade passiva transferida é, entretanto, de duração relatiramente curta e desaparece dentro de 2 ou 3 mêses após o nascimento (Smith. 1907, Südmcrsen e Glenny, 1911) citados por Bradford Hill). Em 1929, E. Grasset (11), estudando expcrimcntalmente a imunidade an- titóxica passiva e ativa no ciclo vital do coelho, chegou a interessantes conclu- sões que estão claramente representadas no Gráfico I : cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 406 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Gráfico I ( Antitgjric Immunity in lhe Rabbil) Relation between the Passive and Active Immunity in the Viul Cycle. Passive immunity (maternal origin). Active immunity. f “ General curve of immunity indicating the real protection of the young organism resulting from the sum of the passive and active immunity. Relativanicnte ao estudo comparativo entre o teor de alfa antihemolisinâ cstafilocócica do sòro de sangue materno e do fetal (funicular), encontrámos, na literatura apenas o trabalho de Brice e Bumet (12), publicado cm 1932. Êsses autores dosaram a antitoxina cstafilocócica no sangue de 89 mães e no sangue funicular de seus respectivos filhos. Os resultados obtidos demonstraram que em 41 vêzcs houve intima cot' respondcncia entre a antitoxina contida no sangue materno e no fetal, havendo uma diferença de menos de 20% a favor do feto. Entre os restantes 48. em 41 (87.5%) o titulo fetal era consideravelmente mais alto do que o materno, sendo a diferença comumente de cêrca de 100%- Nos 6 casos restantes, em que o titulo fetal era mais baixo do que o materno, a ferença era de menos de 100%. Tivemos oportunidade de analisar comparativamente a imunidade anties* tafilocócica materna e fetal em 45 casos da Ginica Obstétrica (Serviço do Pr° t- R. Briquet). Nesse número havia 31 de mães que não tiveram qualquer > n ‘ feção estafilocócica clinicamente evidente, c os restantes 14 eram de mães ( l uf ' ha muito tempo, tiveram possivelmente estafilococias frustas. A idade variava de 15 a 42 anos e 40 eram brasileiras. Os 44 fetos estudados nasceram a termo, em parto normal; o caso 45 cr3 de feto prematuro. 8 Hassib Ashcar — Ensaios sòbre imunidade antiestafilocócica 407 Tanto nos casos maternos como nos correspondentes fetais dosámos a alfa antihemolisina estaficocódca no sôro sanguíneo. Empregámos o método hemolitico e exprimimos os resultados em unidades antitóxicas internacionais por centímetro cúbico. O Quadro No. 3 resume os resultados obtidos. Quadro Xo. 3 Caso Xo. ' Nome Idade em anos Registo CL Obst. T. A. Materno T. A. fetal 1 E. G. 22 15.552 075 170 2 M. B. 27 15.558 075 0,75 3 M. D. 17 15.560 1,50 170 4 A. B. 28 15.618 170 075 5 M. P. 25 15.575 075 075 6 G. M. C. 21 16.639 0.75 170 7 A. F. L. 21 15.614 2,50 1,50 8 C Z. 34 15.616 075 075 9 J. P. 39 15.636 0,75 1.50 10 M. B. 27 — 075 0.75 11 R. B. 24 16.541 2.50 4.00 12 D. R. 18 15.671 0.05 0.35 13 A. B. 24 15.840 0,05 1,50 14 C. S. 33 15.732 0.75 1.50 13 A. G. B. 26 15.865 0,05 4.00 16 B. F. 23 15.863 0,75 0,75 17 M. G. 28 15.924 270 4,00 18 L. G. 15 15.925 1.50 0.75 19 F. L. 25 15.937 0.75 0.75 20 A. L. 28 15.932 075 0.75 21 G. D. 32 15.933 1,50 075 22 M. A. 23 16.213 075 1.50 23 M. L. R. 36 16.210 0.05 075 24 A. B. R. 23 16.211 0.15 0.35 25 B. F. E. 20 16.214 0,75 1,50 26 T. R. 22 16.250 170 1.50 27 T. K. 24 16.225 1.50 270 28 M. A. L. C. 18 16.224 0.35 0.75 29 A. D. 32 16.321 0.75 2.00 30 C. S. R. 26 16.433 675 270 31 M. C. F. 21 16.427 1,50 0.75 32 A. A. 26 16.407 270 2.00 33 A. M. T. 39 16.413 2.50 2.50 34 M. L. X. 30 16.411 2.50 075 9 408 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Caso No. Nome Idade em anos Registo Cl. Obsi. T. A. Materno T. A. fetal 35 C. P. 21 16.412 2,00 2,00 36 R. C. S. 34 16.436 240 7,50 37 C. F. 30 16.435 2,50 1,00 38 M. C 19 16.432 2,00 1,50 39 O. M. 31 16.415 2.50 1.00 40 L. P. 26 16.355 5,00 3,00 41 J. A. 17 16.428 0,75 4,00 42 M. L. L. 27 16.406 1,50 2,50 43 A. P. S. — 16.427 1,00 0,35 44 M. O. B. 42 16.420 2.50 5,00 45 A. N. 36 16.394 2,50 1,00 Dos 45 casos analisados, verificámos que em 10 (22,2%) houve identi- dade de titulos antitóxicos matemos com seus correspondentes fetais. Noutros 10 casos (22,2%) verificámos que o poder antitóxico dos sôros funiculares era mais elevado do que os respectivos matemos, com diferença até de 100%. Em 11 casos (24,4%) a diferença era de mais de 100% a favor dos titu- los fetais. Nos 14 casos restantes, observámos que em 8 (17,7%) os titulos matemos excediam os correspondentes fetais de 25 a 100% ; enquanto que nos outros 6 casos (13,5%) a diferença era de mais de 100%. A média fetal (My) sendo 1,73 (U.A.I.) revelou-se superior à média materna (Mx) igual a 1,48. Pela análise dos casos, verifica-se uma grande variabilidade dos resultados devida, cremos, a fatores individuais. Vejamos: Desvio padrão materno (ox) = 1,24 Desvio padrão fetal (oy) = 1,43 Coeficiente de variação materna (Vx) = 83,78% Coeficiente de variação fetal (Vy) = 82.66% Com os dados obtidos, embora em número bastante reduzido de observações, o coeficiente de Bravais Pearson, atingindo a cifra de -j- 0,37, com um érro padrão de ± 0,13, supondo verificadas as condições de amostra simples, perce- be -se uma tendência de correlação positiva entre as taxas materna e fetal. 10 Hassib Ashcar — Ensaios sôbre imunidade antiestafilocócica 409 Da equação que nos interessa, temos : (Coeficiente de regressão) y = b 2 x bs = 0,43 donde y = 0,43x Isto significa que a um desvio de 1 unidade da taxa média materna cor- responde, em média, um desvio de 0,43 da média fetal. c) Desenvolvimento da imunidade antiestafilocócica em indivíduos normais A importância do conhecimento da imunidade natural evidencia-se, não só pelo interesse puramente doutrinário, como também pelo valor prático indu- bitável, fornecendo os elementos básicos que orientam a pesquisa e o estabele- cimento de métodos adequados de imunização. Cuidando do assunto, Brice e Burnet fizeram um estudo experimental sôbre o teor de antitoxina estafilocócica de numerosos indivíduos de várias ida- des desde o nascimento até os 78 anos. Com os resultados obtidos, êsses autores estabeleceram uma curva das mé dias do te-vr antitóxico normal por idades. CURVA DE BRICE E BURNET II cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 410 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Em estudo experimental sôbre a imunidade antiestafilocódca, em nosso meio, dosámos a antitoxina estaíilocócica no sóro sanguíneo de 361 indivíduos, dos quais selecionámos 163 normais. (Normais, neste sentido, que não tiveram qualquer infeção estaíilocócica clinicamente evidente). As dosagens foram feitas pelo método hemolitico, cuja técnica já descreve- mos, e os resultados expressos em unidade antitóxicas internacionais por centi- metro cúbico. Os 163 casos normais compreendem indivíduos de ambos os sexos, sendo a maior parte constituida por brasileiros, de còr branca. As idades dos mesmos variavam de 0 anos (recém-nascidos) a 74 anos. No Quadro No. 4, os casos foram distribuídos em grupos por idade e os resultados constituídos pela frequência e média dos títulos antitóxicos cor- respondentes a cada grupo de idade. Quadro No. 4 FREQUÊNCIA E MÉDIA DOS TÍTULOS DE ANTITOXINA ESTAFILOCÓCICA EM VÁRIOS GRUPOS DE IDADE DE INDIVÍDUOS NORMAIS T. A. F T. A. F T. A. F T. A. F T. A. F T. A. F T. A. F T. A. F T. A. F 7,50 1 1,50 1 2,50 1 4,00 1 10,00 1 6,25 2 6,25 3 2,50 2 1,50 3 5,00 1 0.75 1 VO 1 2,50 1 5,25 1 4,00 1 2.50 7 1,50 2 0,75 4 4,00 4 0,50 1 0,75 1 1,50 1 4,00 1 2,50 1 1,50 9 0,75 5 0,15 1 3,00 1 0,35 o 0,35 1 0,75 1 2,50 2 1,50 3 0,75 5 0,35 8 0,05 1 2,50 4 0,05 6 0,05 2 0,35 1 1,0 10 0,75 2 0,3'. o 0,05 6 2,00 3 0,15 1 0,75 3 0,35 1 0,15 i 1,50 11 0,05 2 0,35 1 0,05 4 0,05 4 1,00 3 0,05 2 0,75 12 0,35 5 Número de casos 45 11 6 8 21 14 31 18 9 Média dc A. T. 1,71 5 0,34 0,S6 1,15 1,99 1,88 1,75 0,7S 0,S5 Idade em anos Kerém- nascidos ' 3 - 2 3 - 6 7 — 10 11 — 15 16 — 21 22 - 30 21 — 40 41 — 74 12 Hassib Ashgar — Ensaios sòbre imunidade antiestafilocócica 411 Como se vê no Quadro Xo. 4, os grupos de idade são. heterogêneos, o que não nos permite traçar com os resultados um polígno de frequência, mas, sim um gráfico em colunas separadas. Gráfico II ^3 imuniaocicr atrie/tafiloerfeiecí em mcimciuo/ normal/ Cl ml Idade eu ascy após o nascimento (primeiros meses), conforme observam Brice e Burnet. 13 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 412 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV (Nesse período, segundo Grasset, a proteção do organismo jovem resulta da soma da imunidade passiva e atira). Em seguida, com a aquisição da imunidade atira determinada, possivelmen- te, por infeções estafilocócicas (mesmo não evidentes sob o ponto de vista cli- nico), o título antitóxico se eleva progressivamente até o período de 7 a 10 anos. No grupo de 11 a 15 anos, que corresponde ao período da puberdade em nosso meio, observa-se uma ascensão brusca da média do poder antitóxico, atin- gindo um nivel superior a todas as médias dos outros grupos de idade. Após êsse período, a média do titulo antitóxico vai decrescendo lentamente, para, depois dos 30 anos, sofrer uma queda nitida e manter-se em nivel seme- lhante nas idades seguintes. Com referência ao período da pul»erdade, nossos resultados parecem ser opostos aos de Rrice e Burnet; enquanto êsses autores verificaram uma queda da média do poder antitóxico, nós observámos uma ascensão nitida no referido período. Analisámos 21 casos, no período de 11 a 15 anos, entretanto Brice e Burnet estudaram 24 casos, porém num grupo de idade maior de 11 a 20 anos. O aumento da média do título antitóxico poderia ser explicado, pelo menos em parte, pelo aparecimento de estafilococias clinicamente não evidentes, como sejam: piodermites banais, acnes juvenis frustos, etc., mui frequentes no pe- ríodo da puberdade. III — Imunidade antiestafilocócica adquirida ativa A) Teor antitóxico nos indivíduos com estafilococia e não tra- tados pela anatoxina estafilocócica; B) Teor antitóxico nos indivíduos tratados com anatoxina esta- filocócka. Resultados clinicos e sorológicos : 1 ) em indiví- duos normais ; 2) eu indivíduos com estafilococia. a) Teor antitóxico nos indivíduos que tiveram estafilococia e não tratados pela anatoxina estafilocócica Dosámos a alfa antihemolisina estafilocócica no sóro sanguíneo de nume- rosos indivíduos que tiveram afecções estafilocócicas, procurando verificar a diferença entre os títulos antitóxicos destes e dos indivíduos normais já estu- dados. Analisando 15 casos de furunculose antiga de indivíduos, cujas idades va- riavam de 9 a 52 anos, encontrámos titulos antitóxicos que variavam de — 0.1 a 4,00 unidades internacionais por cc., sendo o valor médio igual a 1,36. ♦ 14 Hassib Ashcar — Ensaios sôbre imunidade antiestafilocócica 413 Em 6 casos de furunculose em evolução, encontrámos títulos antitóxicos que variavam de 0,75 a 6,25 unidades, com valor médio igual a 2,50. Por curiosidade, dosámos a alfa antihemolisina estafilocócica em 16 doen- tes da 4. a M.H. da Santa Casa (Serviço do Prof. Lindenberg), portadores de úlceras leishmanióticas e que, ha muito tempo, tiveram furunculose. Os resul- tados obtidos oscilavam entre 0.35 e 8,75, tendo como valor médio 2,42 unidades. Do mesmo Serviço, analisámos 5 casos de pênfigo foliáceo e com passado de furunculose. Os resultados encontrados foram os seguintes: CASOS DE PÊNFIGO FOLIÁCEO COM PASSADO DE FURUNCULOSE Caso Xo. Nome Idade Sexo Tit. Antitóxico ( U . /.) 40 F. S. 45 anos ma sc. 1,50 41 A. M. 26 anos ma sc. 6.25 47 B. A. L. 38 anos masc. + 10.00 49 M. M. A. 49 anos masc. 8,75 64 A. L. 21 anos masc 625 Analisámos 3 casos de acne juvenil, nos quais os titulos antitóxicos não ul- trapassavam de 1,50 unidades. Finalmente, em 11 casos de piodermitc frusta, encontrámos taxas que va- riavam de 0,35 a 2.50, tendo por média 1,23 unidades. b) Teor antitóxico em indivíduos tratados pela anatoxina estafilocócica. Resultados clínicos e sorológicos: 1) cm indivíduos normais: 2) cm indivíduos com cstaíilococia. A terapêutica das afecções estafilocócicas tem atravessado, nesses últimos anos, uma fase de notável progresso, graças, principalmente, às experiências sistemáticas de Ramon e seus colaboradores sôbre o emprego da anatoxina esta- filocócica. Segundo o conceito de Ramon, a anatoxina estafilocócica, assim como a tetânica e a diftérica, age especificamente, determinando no organismo a for- mação da antitoxina correspondente. Pensou-se no inicio, e alguns autores ainda julgam, que a anatoxina esta- filocócica age como medicação de choque. 15 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 41 1 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV Entrttanto, Ramon, em longos trabalhos experimentais, empregando, em particular, a anatoxina purificada, demonstrou que a anatoxiterapia age espe- cificamente. Por outro lado, Tzank, Debré, Bonnet e Thieffry não acreditam que as relações entre o desenvolvimento da imunidade e a cura sejam paralelas. Tzank cita casos de íurunculose com alta dosagem de antitoxina com reincidência e. inversamente, casos de cura com fraca elevação do título antitóxico. Ramon, Richou e Djourichitch (14), estudando o mecanismo da imunidade conferida pela anatoxina estafilocócica, com relação à infeção por estafilococo virulento, admitiram a seguinte interpretação: a antitoxina, por seu poder neu- tralizante, opõe uma barreira à ação necrosante da toxina estafilocócica; ela impede também a vegetação do estafilococo. que encontra nos tecidos morti- ficados os elementos necessários ao seu crescimento e à sua multiplicação. Por outro lado. a defesa celular, a fagocitose. que no organismo não vaci- nado seriam paralisadas pela ação da toxina, se exercem livremente nos indiví- duos imunizados. Muitos clínicos têm sido surpreendidos pela rapidez com que uma parte dos doentes com afecções estafilocócicas reage após a injeção de anatoxina. Essa reação se traduz por u’a melhora rápida e evidente do estado geral e das lesões iocais. Combicsco e Covaceanu (14), em trabalho experimental, procuraram esta- belecer. aproximadamente, o momento em que o titulo antitóxico do sóro san- guineo começa a se elevar após a primeira injeção de anatoxina estafilocócica. Os resultados obtidos por êsses autores mostraram que: 1. ° — Xos indivíduos normais, tendo recebido uma só injeção de anatoxina estafilocócica, o titulo antitóxico do seu sóro não variou durante a experiência (6 dias). (As dosagens foram feitas em 5 indivíduos normais antes da inje- ção: em seguida a esta dosaram após 1 hora, 4 horas. 24 horas, 48 horas, 72 horas e 6 dias). Uma só testemunha apresentou ao 4.° dia, um ligeiro aumento deste titulo. 2. ° — Nos indivíduos atingidos de afecções cutâneas estafilocócicas, o tttulo antitóxico do sóro aumenta muito rapidamente após a l. a injeção de anatoxina estafilocócica. Algumas vêzes. mesmo 4 horas após a injeção de anatoxina, observa-se um aumento deste titulo. 24 horas após a injeção da anatoxina o titulo antitóxico do sóro (10 doentes analisados) apresenta valo- res duplo, triplo e mesmo quadruplicado, em comparação ao titulo antitóxico do sóro recolhido antes da injeção da anatoxina. 16 Hassib Ashcar — Ensaios sóbre imunidade antiestafilocócica -(15 I Os mesmos autores acreditam que a essa reação específica se pode atribuir, em grande parte, a melhora rápida do estado geral e das lesões locais apresen- tadas pelos doentes. Finalizando êsse capitulo, apresentaremos sucintamente os resultados so- rológicos e clínicos que obtivemos em 15 indivíduos vacinados com anatoxina estaíilocócica. Desses indivíduos, 6 são normais (que não tiveram qualquer estafilococia clinicamente evidente), 9 apresentando, provavelmente, afecções estaíilocócicas diferentes. Empregámos a anatoxina estaíilocócica do Instituto Butantan, derivada de uma toxina cujo título era igual a 400 unidades hemolíticas por cc.. Técnica dc vacinação: Em resumo, a vacinação constou em administrar a dose total de 1,85 ccs. de anatoxina estaíilocócica, por via subcutânea, de prefe- rência na região supra-espinhosa. Esse volume total foi dividido em 4 doses crescentes, repetidas com inter- valo de 4 dias. 1. * injeção (prova) 0,1 cc. no l.° dia 2. * dose 0,25 cc. no 4.* dia 3. ‘ dose 0,50 cc. no 8." dia 4. * dose 1,00 cc. no 12.* dia Xota: Ramon recomenda mais uma dose de 2 ccs., a qual pode ser re- petida, portanto um total de 3,85 ccs., em média. Fizemos o estudo sorológico dos indivíduos por nós vacinados, dosando a alfa antihemolisina estaíilocócica no sôro sanguíneo. Empregámos o método hemolítico e exprimimos os resultados cm unidades antitóxicas internacionais por cc.. As titulagens foram feitas do seguinte modo: 1. °) dosagem antes da imunização. 2. °) dosagem 8 dias após a l. a injeção de anatoxina. 3. °) dosagem 8 dias após a última injeção. 4. °) dosagem 2 meses após o início da imunização. O Quadro No. 5 resume os resultados sorológicos e clínicos obtidos: 17 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 Hassib Ashcar — Ensaios sôbre imunidade antiestafilocócica 417 Analisando os dados do Quadro Xo. 5, tiramos as conclusões seguintes: RESULTADOS SOROLÓGICOS l.° — Em todos os casos normais analisados e em 6 casos de estafilococia houve aumento do poder antitóxico do sôro sanguineo 8 dias após a l. a injeção de anatoxina. Xos 3 casos restantes não houve modificação do titulo. . 2.° — Xo fim da vacinação houve aumento do titulo antitóxico em todos os casos. 3. ° — Xos indivíduos normais, o coeficiente de acréscimo entre o título antitóxico inicial e o obtido após a imunização variou de 6,4 a 120- Isto quer dizer que a antitoxina estafilocócica, no caso mínimo, aumentou de 6,4 vêzes e no máximo, 120 vêzes. 4. ° — Xos indivíduos com as referidas afecções, o coeficiente variou de 1,50 a 240. OBSERVAÇÕES CLlXICAS As reações observadas no decurso da imunização foram as seguintes: 1. ° — Xa maioria dos casos as reações consistiram apenas em leve dór local e. às vêzes, eritema ligeiro cm torno do ponto de inoculação, sintomas que desapareceram nas primeiras 24 ou 48 horas. 2. ° — Apenas em 2 casos houve ligeira indisposição e .reação febril dis- creta, sendo que um desses teve infartamento ganglionar localizado que cedeu espontaneamente após alguns dias. RESULTADOS CLlXICOS Com o reduzido volume total (1,85 ccs.) de anatoxina estafilocócica injetado, os resultados clínicos foram os seguintes : Dos 3 casos de furunculose, em 2 obtivêmos cura completa e no terceiro melhora acentuada (6 meses de observação). Dos 2 casos de acne juvenil, num houve melhora evidente, noutro não houve modificação. Xos 2 casos de piodermite houve melhora acentuada. No único caso de sinusite maxilar crônica houve ligeira melhora. RESUMO I — Em coelhos, o grau de imunidade antiestafilocócica parece não de- pender da raça do animal. Em 60 *“7 dos coelhos analisados, o titulo de anti- 19 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 418 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV toxina estafilocócica no sôro sanguíneo não atingou 0,1 U.I., parecendo-nos que os mesmos não possuem qualquer traço de imunidade naturalmente adquirida. II — A média dos títulos de antitoxina estafilocócica que encontrámos no sôro sanguineo de 45 fetos sendo 1,73 U. I., revelou-se superior à média 1.48 U.I. dos títulos dos sõros sanguíneos maternos correspondentes. Apenas em 22,2% dos casos houve identidade entre as cifras maternas e as correspondentes fetais. Noutros 22,2%, o poder antitóxico dos sôros funiculares era mais ele- vado do que os respectivos matemos, com diferença até de 100%. Em 24.4% dos casos, a diferença era de mais de 100%, a favor dos títulos fetais. As taxas maternas excediam as correspondentes fetais de 25 a 100% em 17,7% dos casos e de mais de 100% nos restantes 13,5% dos casos. III — Verificámos que o recém-nascido possue no sôro do sangue funi- cular, cm média, um poder antitóxico (alfa antihemolisina estafilocócica) rela- tivamente elevado (1.73 U.I.), correspondente à imunidade passiva transfe- rida do organismo materno. Nos primeiros mêses de vida extrauterina, a mé- dia dos títulos antitóxicos sofre uma queda rápida e acentuada, após a qual, com aquisição de imunidade ativa, a taxa de antitoxina estafilocócica se eleva pro- gressi va mente até o periodo de / a 10 anos. Xo período da puberdade, obser- vámos uma ascensão brusca da média do poder antitóxico, atingindo um ni\cl superior (1,99 U.I.) a todas as médias dos outros grupos de idade. Após êsse periodo, observámos que a referida média vai decrescendo lentamente j>ara. depois da idade dos 30 anos, sofrer uma queda nitida (0.78 U.I.) e manter-se em nivel semelhante nas idades seguintes. IV — Dosando a alfa antihemolisina estafilocócica cm indivíduos que ti- veram íurunculose e não tratados pela anatoxina estafilocócica, encontrámos os seguintes resultados : a) Em 15 casos de furunculose antiga, os titulos de antitoxina estafilo- cócica variavam de — 0.1 a 4,00 U. I. por cc. de sôro sanguineo com valor médio igual a 1,36 unidades. b) Em 6 casos de furunculose em evolução, os titulos antitóxicos eram superiores aos precedentes, com variação de 0,75 a 6,25 U.I., com valor médio •gual a 2.50 unidades. c) Em 16 casos de úlcera leishmaniótica e com passado de furunculose, as taxas de alfa antihemolisina estafilocócica variavam de 0.75, a 8.25 U.I., com valor médio igual a 2,42 unidades. d) Em 5 casos de pênfigo foliáceo e também com passado de furunculose, os titulos antitóxicos encontrados eram notavelmente elevados, atingindo num caso mais de 10 unidades. 20 I Hassib Ashcar — Ensaios sòbre imunidade antiestafilocócica 419 V — a) Nos indivíduos normais imunizados com anatoxina estafilocó- cica (dose total = 1,85 ccs.) o titulo antitóxico aumentou, após a imunização, desde 6,4 a 120 vêzes. b) Nos individuos com afecções estafilocócicas e que receberam, nas mes- mas condições, igual dose total de anatoxina, o aumento do poder antitóxico variou de 1,50 a 240 vêzes. c) De 3 casos de furunculosc tratados apenas com 1,85 ccs. (dose total) de anatoxina estafilocócica, houve cura completa em 2 deles e no terceiro me- lhora acentuada (6 meses de observação). d) Nos 2 casos de acne juvenil que receberam a mesma dose de anatoxina estafilocócica houve num, melhora evidente e noutro, nenhuma modificação. e) Melhora evidente nos casos de piodermite. VI — Na maioria dos casos tratados com anatoxina estaíicocórica, as rea- ções observadas consistiram apenas em leve dõr local e, às vêzes. cri tema ligeiro tm tomo do jwnto de inoculação, sintomas que desapareceram nas primeiras 24 ou 48 horas. Apenas em dois casos houve ligeira indisposição e reação febril discreta, sendo que, em um deles, houve leve infartamento ganglionar localizado, cedendo espontaneamente após alguns dias. Xota: Relatámos no presente trabalho apenas os casos tratados com anatoxina estafilocócica e que foram estudados sorologicamentc. resultando-nos impressão ótima do emprego da anatoxina estafilocócica nas afecções estafilo- cócicas cutâneas c. de modo particular, nas furunculoses. ABSTRACT I — In rabbits thc degree of antistaphylococcic immunity does not secm to depend on the animal’s racc. In 60% of thc tested animais thc titer of staphylococcic antitoxin in the blood serum did not reach 0.1 I.U.. Thercfore, \ve believe that these animais do not own any trace of naturally acquired im- munity. II — The average of the titers of staphylococcic antitoxin found in the blood serum of 45 fetuses being of 1,73 I.U., proved thus to be higher than the average of the titers of the correspondcnt maternal blood serum. which was of 1,48 I.U.. Only in 2 2,2% of the cases, an identity bctwecn thc maternal average and that of the correspondem fetuses could be checked. In another 22,2% the antitoxic power of funicular sera was higher than that of the res- pective maternal ones, occurring even a 100% difíercnce. In 24,4% of cases the differencc amouted to over 100% in favour of the fetal titers. The ma- 21 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 420 Memórias do Instituto Butantan — Torno XV ternal titers exceeded the correspondem fetal ones by 25 to 100%, in 17.7% of cases, and by over 100% in the remaining 13 v 5% of cases. III — We were able to State that the newbom usually contains in the funicular blood serurn a comparatively high average (1,73 I.U.) of antitoxic power (alpha-staphylococcic antihemolysin), due to the passive immunity trans- ferred by the material organism. In the first monthsof extra-uterine life. these antitoxic titers undergo a sudden and marked drop. then, obtaining active immunity, the titer of staphylococcic antitoxin increases gradually until the age of 7 to 10 years. In the period of puberty, an abrupt rise of the average of the antitoxic power occurs, attaining a levei which is higher (1,99 I.U.) tlian all the averages of the other groups of age. After tliis period, we stated that this average dccreases slowly until. after the age of 30 years, it suffers a distinct drop (0,78 I.U.), remaining more or less at this levei for the íol- lowing ages. IV — When gauging the alpha-staphylococcic antihemolysin in individuais who suífered from furunculosis and had not been treated with staphylococcic anatoxin. we obtained the following results: a) In 15 cases of old furunculosis the titers of staphylococcic antitoxin varied from — 0. 1 to 4.00 I. U. per c.c. of blood serurn, with an average value of 1,36 unities. b) In 6 cases of furunculosis in evolution, the antitoxic titers were higher than the former. varying from 0,75 to 6,25 I. U.. with an average value of 2,50 unities. c) In 16 cases of lcishmaniotic ulcer and former furunculosis, the titers ot alpha-staphylococcic antihemolysin varied from 0.75 to 8,25 I.U., with an average value of 2.42 unities. d) In 5 cases of foliaceous pemphigus also preceded by furunculosis, the antitoxic titers found were remarkably high, surpassing in one case 10 unities. V — a) In normal individuais immunized with staphylococcic anatoxin (total dose = 1,85 c. c.), the antitoxic titer increased after the immunization from 6,4 to 120 times. b) In the individuais with staphylococcic affections and to whom under the same conditions were given the same total dose of anatoxin, the increase of antitoxic power varied from 1,50 to 240 times. c) Of 3 cases of funtnculosis treated only with 1,85 c.c. (total dose) of staphylococcic anatoxin, 2 cases were completely cured. the third one showing a marked improvement (6 months of observation). 22 Hassib Ashcar — Ensaios sòbre imunidade antiestafilocócica 421 d) Of 2 cases of adolescents aífected by acne. who received the sanie dose of staphylococcic anatoxin, one recovered evidently, the other one, however, showed no change. e) Evident improvement in cases of pyodermitis. VI — In the majority of the cases treated with staphylococcic anatoxin, the observed reactions consisted only of slight local pain, and, sometimes, slight erythema surrounding the local oi the injection, symptonis which disappeared after the first 24 or 48 hours. Only in 2 cases a slight ailment and discreet fever reaction were stated, one of theni showing a slight ganglionar obstruction. which, however, disappeared after a few days. Note. In the present paper we reported only the cases treated with staphylococcic anatoxin and which were studied serologically, and we are in a position to assure that we had the best impression as to the treatment with staphylococcic anatoxin in cases of cutaneous staphylococcic afíections and particularly of íurunculosis. BIBLIOGRFIA 1. Romon , G. — Revue d'Immunol. 2:305.1936. 2. -V ilis, P. — Buli. Trim. Org. Hyg. 4:76.1935. 3. Travassos, J. — Mem. Inst. Butantan 8 :237. 1933/34. 4. Gtenny, A. T. & Stevtns, M. F. — J. of Path. & Bact. 40:201.1935. 5. Romon, G.; Richou, R. & Descazcaux, J. — CR. Soc. Biol. 119:1070.1935. 6. Bonnet, lí.; Thieffry, S. & Montefiore — C. R. Soc. Biol. 123:781.1936. 7. Dólman, C. E. & Kitching, ]. S. — J. of Path. & Bact. 41:137.1935. 8. Ramon, G.; Gcmtz. Ch.; Richou, R. & Pannequin, Chr. — Rcvuc d'Immunol. 2:566.1036. 9. .W/ú, P. — Buli. Trim. Org. Hyg. 4:76.1935. 10. Bradford HUI, A. — Medicai Research Council 196:7.1934. 11. Grasset. E. M. D. — Publ. South African Inst. for Med. Res. (24): 171.1929. 12. Brict, L. il. & Bumcl, F. M. — J. of Path & Bact. 35:183.1932. 13. Romon, G. ;Richou, R. & Djourichilch, M. — C. R. Soc. Biol. 122:1164.1036. 14 . Combiesco, D.; Combiesco, N. & Covocranu, C. — C. R. Soc. Biol. 124:485.1937. Agradecemos aos drs. J. Travassos e Jandyra P. do Amaral, nossos orientadores, o auxilio inestimável que nos prestaram, facilitando a execução des- te trabalho no laboratório da Secção de Imunologia do Instituto Butantan. (Trabalbo apresentado em dezembro de 1940 para coocorrer ao prêmio “Oswaldo Cruz* e elaborado na Secção de Imunolofia do Instituto Butantan. Dado à publicidade em janeiro de 1942.) 23 cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 <> 11 . 321:616 01 SÔBRE A PROVA DE LEITE NAS PESQUISAS BACTERIOLÓGICAS POR J. de TOLEDO MELLO Em trabalho anterior (1), o A. defendeu a idéia de que um indicador juntado ao leite altera, muita vez scriamente, a atividade bioquímica de bacté- rias capazes de provocar modificações sobre aquele meio. Tal ação bactério- estática ou, melhor, zimoestática dos corantes indicadores, desde que compro- metedora da atividade de certas frações do mosaico de enzimas de uma dada amostra, pode modificar, mais ou menos profundamente, os resultados do tralxilho de identificação. Aquele estudo foi baseado em provas experimentais praticadas com leite ajuntado com tornassol “Merck”, de acordo com a técnica utilizada, então, neste serviço. • Trabalhando com 47 amostras de bactérias lacto- fermentadoras, verificamos, cm nossas observações, não só efeito retardador da coagulação do meio cm apreço, como também, em relação a apreciável número de amostras, verdadeira ação impediente. atribuída ao indicador, daquela modificação do meio. As provas foram acompanhadas de semeadura cm leite simples, isto é. livre de matéria corante. Posteriormente, procurando uniformizar os nossos tralialhos de pesquisa e de rotina, mediante a adoção de produtos excelentes, passamos a usar o “Bacto- litmus-milk” e o Bacto-purple-milk”, da fabricação “Difco”. Valendo-nos de tais produtos, voltamos a apreciar a ação perturbadora dos indicadores nas pro- vas de leite, elemento de incontestável importância na especificação, à custa de provas bioquímicas, de amostras bacterianas. Empregando agora produtos de primeira ordem, vimos confirmados os nossos estudos anteriores. Pela experimentação atual, chegamos à conclusão de que o bromo-cresol-púrpura, preferido por Bengtson (2), entre outros, embora cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 424 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV menos impediente do que o azul de tomassol, da ação coaguladora do meio, rela- tivamente a certas amostras, não deixa de exercer influência capaz de desvirtuar os resultados das provas. Prepararam-se os meios ora empregados de acordo com o que se recomenda, isto é, tomando-se, para um litro de água distilada, 105 gramas do produto “Difco” em pó. Trabalhamos com as amostras abaixo descritas, recentemente isoladas por nós: 1. ° — Escherichia coli (amostra YLP). Isolada de “Yoghurt”, em março de 1940. 2. ° — Escherichia coli (amostra Aii2). Isolada de fézes. em abril de 1940. 3. ° — Escherichia coli (amostra NI). Isolada de fézes, em maio de 1940. 4. ° — Streptococcus faecalis (amostra A’5). Isolada de urina, em maio de 1940. 5. ° — Escherichia coli (amostra Tl). Isolada de liquido peritoneal de um cadáver, cm maio de 1940. 6. ° — Escherichia coli (amostra Isolada de fézes, em maio de 1940. 7. ° — Escherichia coli (amostra Nel). Isolada de urina, em maio de 1940. 8. ° — Escherichia coli (amostra Pr). Isolada de fézes, em maio de 1940. 9. ° — Escherichia coli (amostra Ay). Isolada de fézes, em maio de 1940. 10. ° — Escherichia coli (amostra Dac). Isolada de fézes, em maio de 1940. 11. ° — Escherichia coli (amostra CyP). Isolada de fézes, em maio de 1940. 12. ° — Escherichia coli (amostra CyV). Isolada de fézes, em maio de 1940. 13. ° — Escherichia coli (amostra Rp). Isolada de fézes, cm maio de 1940. 14. ° — Proteus pseudovaleriei (amostra Rh). Isolada de fézes, cm junho de 1940. 15. ° — Escherichia coli (amostra MS). Isolada de fézes, cm junho de 1940. 16. ° — Acrobactcr aerogenes (amostra VE). Isolada de água, em ahril de 1940. 17. ° — Escherichia frcuitdii (amostra LaP). Isolada de fézes, em agosto de 1940. 18. ° — Escherichia coli (amostra ME). Isolada de fézes, cm agosto de 1940. 19. ° — Escherichia coli (amostra MA). Isolada de fézes. em agosto de 1940. 20. ° — Escherichia coli (amostra CaP). Isolada de fézes. em agosto de 1940. 21. ° — Escherichia coli (amostra Ml). Isolada de fézes. em agosto de 1940. 2 J. de Toledo Mello — Prova de leite nas pesquisas bacteriológicas 425 22. ° — Eschcrichia freundii (amostra WaP). Isolada de fezes, em outubro de 1940. 23. ° — Eschcrichia coli (amostra U’aB). Isolada de fézes, em outubro de 1940. 24. ° — Eschcrichia coli (amostra 35(2)P). Isolada de abcesso de um ca- dáver, em outubro de 1940. 25. ° — Eschcrichia coli (amostra AL). Isolada de fézes, em outubro de 1940. 26. ° — Eschcrichia coli “brady-fermentadora” da lactose (“paracolon”?) (amostra NL). Isolada de fézes, em outubro de 1940. 27. ° — Eschcrichia coli (amostra MO). Isolada de fézes. em outubro de 1940. 28. ° — Eschcrichia coli (amostra GG). Isolada de fézes, em outubro de 1940. 29. ° — Eschcrichia coli (amostra MJP). Isolada de fézes, em outubro de 1940. 30. ° — Eschcrichia coli (amostra CRP). Isolada de fézes, em novembro de 1940. 31. ° — Eschcrichia coli (amostra CVP). Isolada de fézes, em dezembro de 1940. 32. ° — Eschcrichia coli (amostra MEP). Isolada de fézes, cm dezembro de 1940. Um quadro anexo esclarece nossas observações. Estabeleceu-se compara- ção entre os resultados obtidos mediante plantio cm leite-púrpura “Difco”, leite-tomassol “Difco” e leite simples, de ordenha recente, fornecido pelo Depar- tamento da Indústria Animal e preparado de acordo com o “Standard Mc- thods” (3). Semearam-se os tubos com uma alçada de cultura praticada em caldo de coração, colhida na fase logarítmica de crescimento. Prolongou-se a leitura, processada diariamente, até 30 dias, anotando-se as novas modificações sofridas pelo meio, simbolicamente, ao lado do tempo em que se observou o fenômeno. Dispensaram-se, naturalmente, da observação os cultivos onde o meio se mos- trou coagulado. Chegamos à conclusão, como no trabalho anterior, de que seria mais acon- selhado, nas pesquisas bacteriológicas, o emprego de leite puro, de preferência (uniformizando-se, desta forma, as provas) leite desnatado em pó da Indústria "Difco”, aliás ainda não experimentado por nós. A reação do meio seria provada periodicamente, passando-se simplesmente uma alçada do meio. coagulado ou não, sóbre um fragmento de papel empregna- do com um indicador como o tomassol. Tubos de leite corados com indicador cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 426 Memórias do Instituto Butantan — Tomo XV poderiam servir, simplesmente, para assinalar a reação do meio, apreciando-se o fenômeno de coagulação nos cultivos praticados em leite simples. Evitar-se-iam, destarte, leituras dilatadas por grande espaço de tempo, prejudiciais aos interesses do analista, do médico prático e, por vêzes. do pró- prio doente. RESUMO O A. retoma o assunto de um trabalho anterior em que estudou a ação impediente ou retardadora exercida pelo tomassol sôbre certas amostras bacte- rianas semeadas em leite. Apresenta nesta publicação uma série de observações praticadas com leite- tomassol e leite púrpura, de fabricação “Difco”. Confronta-as com provas realizadas com leite simples, chegando às mesmas conclusões anteriores. Volta a insistir na conveniência de se apreciarem os resultados das provas de leite, tomando tal substârfeia pura, isto é, não ajuntada com qualquer matéria corante, indicadora da reação atual do meio, capaz de retardar ou impedir a coagulação do mesmo. ABSTRACT The author retakes the matter of a prcvious vvork vvhere he studied the impcdient action exercised by litmus on certain bactcrial strains cultivated in milk. In the present publication, a series of observations is presented comparing results obtaincd by the use of Bacto-litmus milk and Bacto-purple milk vvith those obtained with milk alone, reaching the same conclusions attained in the prc- vious vvork. He also insists on the convenience of the non-addition of the dying substance to indicate the médium reaction, as it is able to delay or even to prevent com- pletely its coagulation. BIBLIOGRAFIA 1. Mello , J. T. — Jornal dos Clinico* 19 :262. 1938. 2. Bentjlson, I. A. — J. Inf. Dis. 24:428.1919. 3. Wodru-prth. A. B. — “Standard Mcthods of the Division of Lab. & Res. of the N. Y. State Deot. of Health ", 1939. (TraLalho do Departamento de Micrcbologia c Imunologia da Faculdade de Medicina da Universidade de S. Paulo. Recebido em março de 1941 e dado à publicidade em janeiro de 1942.) I J. de Toledo Mello — Prova de leite nas pesquisas bacteriológicas 427 PROVAS DE LEITE Amostras Leite simples Leite Tomassolado Leite púrpura Y L P C/48h. A/24h., AVR/3d, ACR/5d A/24h„ AC/48h. 1 A N 2 V/9 d. C/13 d A/24h„ A/30d A/24k, AV/7d, AC/13d N 1 C/24h. CR/24h. AC/24h. N 5 C/24h. CR/24h. AC/24H. T 1 C/48h. A/24 h.. AV/3d, AC/12d A/24h, AV748h„ AC/M. M g C/24h. A/24h., AV/48h„ AC/8d. AV/24h., AC/48h. Nel C/3d. A/24h„ AVR/17d, AC/30d A/24h„ AC/3d. P r V/4d, C/5d. A/24h„ AV/30d. A/24h., AC/5d. A y C/M. A/24h„ AV/7d. ACR/14d A/24h., AV/7d, AC/14d D a c C/M. a/24h„ A/3d., AV/30d. A/24h., AV/4d, AC/6d. C y P CJ 4fih. A/24 h.. AV/6d., AC/30d A/24h„ AV/6d., AC/9d C y V C/24h. A/24h„ AC/30d A/24h, AV/48h., AC/6d R p C/24h. A/24h„ AV/48h., AC/5d A/24h., AC/48h. R b V/lSd, C/20d. a/4d., a/6d, a/15d.. A/20d.. AC/30d. a/24h.. a/6d.. a/15d, A/20d.. AC/30d M S V/48h.. C/4d. A/24H., A/30d. A/24h., A\730d. V E V/24h., C/48h. a/24h., A/48h-, ACR/5d a/24h.. A/8h.. AC/Sd L a P C/4d A/24h.. AC/15d. A/24h., AV/7d. AC/15d. M e C/48h. A/24h.. AV/10d, A\730d A/24h., AV/6d., AC/8d. M a C/48h. A/24h., AR/6 d. ARV/9d. ACR/14d A/24H, AV/48h„ AC/4d. C a P C/24h. A/24h., A/30d. A/24h„ AV/10d., AV/30d. M L C/24h. A/24h., A V/84, ACR/23d A/24h.. AV/Sd, AC/8d. \V a P C/24h. A/24h., AV/72h., ACR/lOd. A/24h., AC/72h. \V a B V/9d. C/10d. a/24h„ A/10d, A/30d. a/24h., A/KM.. AV/30d. 35 (2) P C/48h. A/24h-, A/30d. A/24li.. AV/10d., AC/30d. A L C/24H. A/24h., AV/4d, AC/3d. A/24h., AV/3d. AC/5d. N L C/7<1. a/5d, A/7d, A/30d a/5d.. A/7d, AV/30d. M O V/6d.. C/8d A/24h., A/30d. A/24h„ A V/124, AC/20d. G G C/24h. A/24h.. AV/22d., AC/30d A/24h., AV/5d, AC/18d. M J P C/24h. A/24h„ AR/30d A/24h.. AV/4d. AC/lOd. C R P C/I8h. A/24h., AR/304 A/24h., A/30d. C V P C/24h. A/24h., AV/Sd. AC/10d. A/24h.. AC/5d M E P C/18h. A/48h., A/30d. A/48h„ AV/lOd.. AC/20d. ODíTTOfíc;: A — muito ácido; o — pouco ácido; C = coagulado; R = rcduxido: V — viscoso; h 35 horas; d ~ dia 5 iEL 1 616 01 SÔBRE UM PROTEUS IMÓVEL POR J. de TOLEDO MELLO Em maio de 1938, isolamos das íézes de um estudante portador de pertur- bação intestinal sub-aguda uma bactéria que apresentou os seguintes caracteres: Morfologia — Quando cultivada em caldo simples, bastonete de cêrca de 0.5 x 2 a 4 microns, de pontas arredondadas, gcralmente em longas cadeias de 5 a 15 elementos, podendo apresentar-se isolada ou aos pares. Ocorrem for- mas filamentosas com mais de 10 microns. Gram negativa. Corada bipolar- mente quando crescida em caldo simples. Tingida homogeneamente quando semeada em caldo de coração ou caldo-sõro. Imóvel. Placa de gelosc simples — Colônias isoladas, de bordas liem talhadas redondas, convexas, pardo-acinzentadas, brilhantes, de massa homogênea, lisas. Gelose inclinada — Induto fino, esbranquiçado. Placa de gelatina — Colônias pardacentas, de bordas irregulares, rodean- do-se de uma zona de fusão em 48 a 72 horas. Gelatina picada — Fusão rápida, iniciando-se a partir de 24 horas. Sôro coagulado — Fusão inicial em 72 horas, franca em 4 dias. Caldo — Turvação difusa. Leite simples — Não modificado. Leite-tornassol — Alcalino na superfície, reduzido na profundidade. Leite-púrpura — Alcalino. Batata — Crescimento pardo-amarelado, exuberante. Indol — Positivo. Nitratos — Reduzidos. Uréia (Produção em água peptonada) — positiva. Uréia (Desdobramento) — positivo. Hidrogênio sulfurado (Gelose-bismuto) — produção abundante a partir de 24 horas. Koser cítrico — Negativo. Koser úrico — Negativo. cm SciELO 10 11 12 13 14 15 16 430 Memórias do Instituto Butanten — Tomo XV Reação de Vermelho de metila — Positiva. Reação de Voges Proskauer — Negativa. Prozvs de fermentação — Fermentação acidula-gazoza com dextrose, saca- rose, maltose, levulose, galatose, glicerina e xilose. Ausência de fermentação com iactose, manita, salicina, dextrina, arabinose. rafinose, inulina, inosita. dul- ciia. sorbita, adonita, manose, isodulcita, trealose, amido e amigdalina. Acróbio facultativo. Temperatura ótima, 37°. Não patogênico para coelho (via endovenosa), cobaio (via peritoneal) e camondongo (vias peritoneal c subcutânea). Retomada, periodicamente, a partir da época de seu isolamento, para as provas de motilidade e gelatina, a amostra revelou-se, de maneira constante, imóvel e gelatinolitica. Em novembro de 1938, a amostra foi retomada para observação de seus caracteres morfológicos, culturais e bioquimicos, acusando algumas variações de natureza bioquímica : 1) ausência de fermentação de levulose; 2) simples acidulação de glicerina, iniciando-se pela superfície do meio, para generalizar-se cm 10 dias; 3) sôro coagulado não liquefeito e 4) uréia não desdobrada. As provas de motilidade e gelatina repetidas regularmente, de 15 em 15 dias, continuaram a acusar inexistência de movimentos ativos e conservação do poder gclatinolitico da amostra. Em maio de 1940 a amostra foi novamente estudada. Conservava os mes- mos caracteres morfológicos das culturas anteriores, observando-se, a respeito da sua atividade bioquímica, o seguinte : 1) reaquisição de poder fermentador sóbre levulose: 2) manutenção da capacidade aciduladora sòbre glicerina, veri- ficada na prova anterior; 3) fusão lenta do sôro coagulado (entre 5 a 10 dias), não acusada no último exame, notada, entretanto, por ocasião do isola- mento; 4) ação desdobrante da uréia negativa, como no ensaio anterior. Até a data da presente publicação, sistematicamente cada quinzena, prova- ram-se a motilidade c a ação sóbre gelatina da bactéria descrita. Em todos os ensaios revela-se imóvel. Sua capacidade gelatinolitica está conservada, manifestando-se dentro de 48 horas, quando a amostra é replantada de agar, em 24 horas, si subeultivada de gelatina fundida e em 5 a 7 dias. si transplantada de caldo simples de extrato. A temperatura de 37°, favorável em relação a certas amostras bacterianas, não apressa a liquefação do meio. Estamos em presença de uma curiosa variante de Proteus vul garis que se revelou imóvel de saida. mantendo êste caráter durante 3 «anos de observação. Apresenta, ainda, a particularidade, ali.ás rara. de conservar, naturalmcnte, seu poder gelatinolitico. , o J. de Toledo Mello — Sôbre um Proteus imóvel 431 RESUMO O A. isolou das fézes de um indivíduo portador de colite sub-aguda. em maio de 1938, uma variante imóvel de Proteus vulgaris. Tal amostra man- tem-se imóvel e mostra-se gelatinolítica até maio de 1941. Observada no curso destes 3 anos, apresentou algumas variações bioquímicas de pequena impor- tância. ABSTRACT The author isolated from faeces, in a case of subacute colitis (May, 1938), a non-motile strain of Proteus vulgaris. This samplc remained non-motilc and gelatin liquefying until May, 1941. During thesc 3 years, the sample showed some biochemical variations of small importance. (Trabalho do Departamento dr Microbiologia e Imunolofia da Faculdade de Medicina da Universidade de S. Paulo. Recebido ea maio de 1941 e dado ã publicidade etn janeiro de 1942.) í, | SciELO i Imfrrsso na E. G. "Revista doe Tribunais* Ltla Sio Paulo