Hibrarg oî % ZOOLOGY COMPARATIVE jyounbcB bn prfbate aubscrtptton, fn 1861 The gift of wM ( Kl %‘%:i lâlpi [à’jft. \ W'as Wm iM . ; i mUm / / ■>. IS v / ■ i / tc-o > -y. ^v.> , . /V 7 < ; . - 't y r " 1 .• - ■J> *-v - f . , ~ "’)' xve- '♦* «... i. / Af $ }tf 71 J. /( Y 4 ^- é% et#!.' ' . .. ■ . . , /■ xi/ 1 . 1 . Jgm*. ï&-é-u" ’"j û-t^ a CLK l'L i- / •«/„ / / plas'üU- ,e'" & t'/L X: - , . 1 ^$~C' ■ -■ .-■-, jTs^US-^^A^til, fi^x y,. y ' / tf^-c a n^Ye, _*■/ y xf'-É. -C if V 7 , /i-t. 7 / /, V € i r~^y ^ ^ ^ tî'is' Yr y <2^ ït-t^/ùec < ' r* *!? Yt r pM'-r>t*eùeA~ . ^ foisrtÿC* /i. itX {-- v-rw ' ‘ X' r ' ^st-zx / cxS’ YotY& , ft&t' ks ' C r-0 J >^-a*r,J-'L&' oL&éc Y# ^4* . . , Y , , y // ' X -~€C- rc-'U-V- y « et- e»~-e.<-' sdX-f -" ; <:>. <->. i.*-^,,. ex-tc S' 1 y ( <* .. .. ^.4Wa~¥^réh* ■ Jj^s l- YtCctAJL It^z. I * ! I ■ i ■! AU SERENISSIME TRES-PUISSANT PRINCE GEORGE, ROI DE LA GRANDE-BRETAGNE, DE FRANCE, ET D’IRLANDE; DUC DE BRONSWICK- LUNEBOURG, ELECTEUR DU S T . EMPIRE,^. IRE, L’honneur que j’ai eu de préfenter à Vôtre Majesté en Original les Deffins des Poilîons rares dont ce Livre * con- EPITRE AU ROI. contient le recueil, m’engage indilpenfablement à la fup- plier de me permettre de le publier lous la protection de Son Nom Augufte. Vôtre Majesté gouverne avec tant de gloire une Nation à qui l’Empire des Mers ne peut être dilputé par aucune autre -, qu’Elle femble avoir un droit naturel à l’Offrande que je prens la liberté de mettre à fes pieds. Je ferai au eomble de mes fou- haits fi Vôtre Majesté , qui elt fur le point de pro- curer la tranquillité à toute l’Europe par des Traitez qui feront admirer fa pénétration & fa bonté à la pofteri- té la plus reculée , peut trouver Elle-même quelques moments de loifir qui lui permettent de jetter les yeux fur cet Ouvrage, Et fi Elle veut bien le recevoir com- me une marque du profond relpeét avec lequel je luis SIRE, DE VÔTRE MAJESTÉ, Le très-humble, très-obéïfTant, 8c très-dé voiié Serviteur, Renard. AVERTISSEMENT DE L’EDITEUR. J E crois contribuer à éclaircir l’Hiftoire Naturelle , en procurant l’Edition de cet Ouvrage extraordinaire, qui a demandé de grandes dépenfes & de très-grands foins. 11 eft divifé en deux Tomes. Le premier m’a été communiqué par Meilleurs Scott, dont le nom eft aufîi refpedable par l’ancienneté de leur No- blefle, que par le rang qu’ils tiennent depuis long-tems entre les principaux Magiftrats ü Amfterdam. Moniteur Baltazar Coyett, aujourd’hui ancien Gouverneur & Directeur d 'Amboine & de Banda , & Préfident des Commillaires à Batavia , eft le premier à qui on doit cette belle Découverte. Il encouragea la Pêche de ces Poiiïons , pendant le tems de fon Gouvernement ; & après en avoir fait peindre environ deux-cens , qui avoient été portez en vie dans fa Maifon, tant par les Indiens d 'Amboine & des Illes voifines , que par les Hollandois qui y font établis, il en forma deux Recueils, dont Monlieur fon Fils aporta les Originaux à Monfteur Scott l’aîné , qui étoit alors Premier Avocat , ou Premier Miniftre de la Compagnie Générale des Indes Orientales à Amfierdam. Je les ai fait exactement copier. Le fécond Tome , moins correct , à là vérité , pouf l’exaétitude des DelTeins , mais très-curieux par les Nouveautez dont il eft rempli & par les Remarques qui font à côté de chaque Poiflon , a été formé fur des Recueils que Monlieur Vander Steel, préfentement Gouverneur des Moluques , a fait faire de ces fortes de PoitTons par un Peintre nommé Sa- muel Fallours, qui me les a aportez des Indes , & dont j’en ai choifi environ 25-0., les plus differents que j’ai pû trouver de l’Exemplaire de Monlieur Coyett, comme ayant été pêchez & peints après que fes Recueils étoient achevez. Au refte pour prévenir l’incrédulité de certaines perfonnes , j’ai cru à propos de joindre ici les Pièces fuivantes , dont les Originaux font entre mes mains , & que j’ai traduit du Hollandois. TEMOIGNAGES F LETTRE de Monlieur Coyett le Fils à l’A- gent Renard, au fujec du premier Tome de cet Ouvrage. Mons ieur, P Uis que Vous fouhaitez favoir de moi-même la véritable Hiftoire des deux Recueils de PoitTons des Itles Moluques que vous avez reçus de Monlieur Scott; je puis vous af- furer en honneur qu’ils ont été delîïnez 8c enluminez auflx aprochant du Vif, que l’art du Peintre ôc la force des cou- leurs ont pu le permettre : car il eft impoftible au Pinceau d’atteindre le brillant 8c l’admirable variété du coloris que ces PoitTons ont étant en vie. Mon Pere y a fait travailler dans fa Maifon ( pendant qua- torze années confécutives qu’il a été Gouverneur de la Pro- vince d 'Amboine 8c de Banda ) à metiire qu’on lui en aportoit quelques-uns qui meritoient fa curiofité. Il n’a eu d’abord d’au- tre intention que celle d’un Amateur pour fa propre fatisfac- tion : mais lors que je vins des Indes ici il y a environ dix ans, j’aportai avec moi ces deux Recueils, 8c j’en fis prêtent à Monfr. Scott de la part de mon Pere. Ce font les mê- mes que vous m’avez montrez 8c fur lefquels vous avez fait graver 8c enluminer les Planches de vôtre Premier Tome. Je déclaré que je les ai trouvé fi bien 8c fi exactement exécutées qu’elles peuvent patl'er pour les Originaux, 8cc. Je fuis,8cc. ^Oftob^r/xS* 14 ^ 17 ' Frédéric Julius Coyett. DECLARATION fur le fécond Tome. L E Sousfigné , ci-devant Peintre pour la Compagnie des Indes Orientales de Hollande à Amboine , habitant préfentement à Amfierdam , déclare que les PoitTons contenus dans ce Recueil, ont été par moi deflïnez 8c peints (en douze années de tems) d’après nature, le plus fidellement qu’il m’a été potfible ; ne croyant pas que l’Art des Hommes puifle exprimer la beauté des couleurs de ces PoitTons, quand on les prend en vie dans la bonne faifon , ou qu’on les voit nager dans l’eau claire. Laquelle Déclaration je fais ici de bonne foi , en toute vérité ; certifiant que l’Edition que Mr. Renard en a fait graver 8c enluminer , eft parfaitement conforme aux Originaux: En témoignage de quoi j’ai figné à Amfierdam le 30. Septembre 1718. Samuel Fallours. T CERTIFICATS. LETTRE du Peintre Samuel Fallours à Mr. Fran- çois Valentyn , Pafteur de l’Eglife Hollandoife à ‘Dort. A Amstsrium le Août 1715. Monsieur; A Près bien des peines 8c des follicitations, j’ai enfin obte- nu un Apointement des Seigneurs Directeurs de la Com- pagnie, pour la reftitution des Livres 8c DefTeins qui fe trou- vent arrêtez dans mon Coffre j mais lefdits Seigneurs ont gar- dé mes Plans de la Côte S Amboine , 8cc. Ils ne peuvent croire , Monfieur , que les Poiffons de mes Recueils , auxquels vous m’avez fouvent vû travailler , foient véritablement de nature , figures 8c bigarrures , tels que je les ai peints dans mes fufdits Livres ; 8c comme il m’eft im- portant que la vérité foit connue à ces Seigneurs qui me la demandent , je m’en fuis raporté à vous , mon vénérable Pafi- teur , qui m’avez fouvent donné 8c envoyé plufieurs de ces Poiffons en vie, lors-que vous faifiez les vifites de nosEgli- fes des Ifies Moluques , 8c qui en avez mangé de quantité d’ef- peces de ceux que j’ai deffinez 8c enluminez. Je vous fuplie donc, Monfieur, de vouloir écrire ce que vous en favez à Mr. Renard , Agent de S. M. le Roi de la Grande-Bretagne à Amfierdam : V ous obligerez infiniment celui qui eft avec refpeét , 8cc. Samuel Fallours. ( P. S. ) J E vous prie très-humblement , Monfieur , de me faire l’hon- neur de m’écrire ce qui eft de la vérité de ces Poillons : Je vous ferai très-redevable de vôtre civilité , 8c très-affeétioné à vous fervir en toutes occafions. Renard. RÉPONSE A Dort le 28. Août 171J: Monsieur, J E puis vous affiurer en toute vérité , que dans la Province d 'Amboine 8c Ifies adjacentes , il fe trouve quantité de Poif- fons de fi belles 8c diverfes couleurs , qu’on en demeure frap- pé d’étonnement : Defquels Poiffons je fai que Samuel Fal- lours en a dcffiné 8c peint un grand nombre d’après nature. Je penfe, Monfieur, que ceci fuffira à vôtre demande, 8c je fuis avec beaucoup de refpeét, ôcc. François Valentyn. A * EX- EXTRAIT d’une Lettre de l’Agent Renard à Mr. François Valentyn , Miniftre du St. Evangile à ! Dort . D’A mstikd*m le Z7. Décembre 1710. Monsieur, . S A Majefté le Czar de Mofcovie m’ayant fait 1 honneur de venir avant- hier dans la Maifon où je demeuie, j en ai pris occafion de montrer à ce Prince il Ouvrage des roi - fons des IJles Moluques du Sr. Fallours ; dans lequel fe trouve entr’ autres Defleins, le Tableau ci-inclus d’un Monftre fembla- ble à une Sirene , que ce Peintre dit avoir eu 4. jours en vie a Amboine , de la maniéré qu’il vous plaira voir dans 1 Eciit de fa main qui accompagne cette Peinture; 8c comme il ci oit que Mr. Fonder Stell , préfentement Gouverneur d 'Amboine , pourroit vous l’avoir envoyé ; j’ai remarque que S. M. Cza- rienne feroit bien aife d’éclaircir ce fait , fur lequel je vous prie de m’honorer d’un mot de reponfe. Je fuis , ôcc. REPONSE. A Dort le 18. Décembre 1716. Monsieur, , C E n’eft pas chofe impoffible que depuis mon départ des Indes, Fallours ait pû voir à Amboine le Monftre dont vous m’avez bien voulu communiquer le Tableau que je vous renvoyé ci-joint * ; mais jufqu’à prêtent , je n’en ai pas vûl’O- rigina’l ni n’en ai pas ouï parler. Si je l’avois,j’irois l'offrir de bon cœur à Sa Majefté Czarienne, dont l’application a re- chercher les belles chofes, mérite les louanges de tout l’U- nivers. Mais pour vous prouver, Moniteur, qu’il y a des Montres comme cette Sirene dans la Nature, je vous dirai que je fçais très-bien qu’en l’An iôyz. ou idy3.,un Lieute- nant au fervice de la Compagnie a vû , (dans le Golphe près du Village nommé Hennetelo 9 voifin de l’Ille de Ceram ix de celle de Boero , dans le Département & Amboine) deux Monf- tres de cette efpece , nageant à côté l’un de 1 autre , ce qui fait préfumer que c’étoient male 8 c femelle : lefquels deux Monftres furent revûs 6 . femaines apres au même lieu, par plus de yo. perfonnes. La couleur de ces Monftres etoit d’un gris verdâtre , ayant toute la figure Humaine depuis la tête jufqu’à la ceinture , avec des bras 8 t des mains ; mais leur corps finiffoït en pointe : L’un etoit plus ^grand que l’autre , 8 c leurs cheveux étoient aflez longs. J’ajouterai qu’a mon retour des Indes , où j’ai refidé 3°- années, j ai vu le premier Mai 17 14., à la hauteur de iz.degrez 18. minutes de Latitude Méridionale , par un tems très-ferain 8c calme , a la diftance de 3 . ou 4. longueurs de Navire de nôtre bord, un Monftre qui vraifemblablement étoit une efpece d Homme Marin, de couleur gris de Mer : Il étoit fort elevé hors de 1 eau, 8c paroifloit avoir une efpèce de bonnet de Pêcheur comme de la Mouife fiir la tête. Tout nôtre Equipage le vit auffi ; mais quoi-qu’il eut le dos tourné , ce Monftre s aperçut que nous l’aprochions de trop près, 8c il fe plongea i'ubitement dans la Mer, d’où on ne le revit plus. Je fuis, 8cc. F. Valentyn. * Voyez ce Tableau à la fin de ce Recueil. LETTRE de Mr. Tarent , Pafteur de l’Eglife d 'Amjierdam , écrite & exhibée par devant le No- taire 'Jacob Lansman. Monsieur, J ’Ai vû avec autant de plaifir que de furpnfe, les Epreuves enluminées des belles Planches que vous avez fait graver, repréfentant les Poifîons des Moluques que le Sr. Samuel Fal- lours, lequel j’ai bien connu à Amboine , a peints dans leurs couleurs naturelles. J’avoue, Monfieur, que j ai été fiappe d’étonnement à la vûë de cet Ouvrage, dont les Eftampes font très-conformes aux Poiflons que j’avois vus en vie, 8c de la plus grande partie defquels j’avois mangé avec plaifir pen- dant 1 3 . années de ma Réfidence à Amboine , d’où je fuis re- venu avec la Flote de 1716. Je m’étonne infiniment que cet homme , qui de mon tems ctoit Confolateur des Malades à Amboine , ait pû reüffir a dé- peindre ces fortes de Poiflons avec leurs couleurs vives 8c na- turelles , fi bien 8c fi exaétement , qu’il me paroifloit encore de voir lefdits Poiflons en vie, quand je les ai vûs peints dans vôtre Livre. Touchant la demande que vous m’avez faite , Monfieur, fi j’aurois vû une Sirene dans ce Païs-là ; j’y réponds, qu’en allant faire la vifite de nos Eglifes des Ifles Moluques , (ce qui doit fe faire tous les ans deux fois par les Pafteurs qui enten- dent les Langues du Païs,) 8c navigant dans un Orambay , ou efpèce de Galère , pour aller du V illage de Holilieuw à celui de Karieuw,âi liant de deux lieues de Mer l’un de l’au- tre, il arriva pendant que je fommeillois, que les Negres ou Rameurs jettèrent un grand cri d’étonnement ; fur lequel m’étant levé, Scieur demandant ce que c’étoit, ils répondi- rent tous , d’une commune voix , que c’étoit un Monftre comme une Sirene qu’ils avoient vûë fort clairement 8c dif- tinélement ayant le vifage aprochant de celui d’un Homme , 8c les cheveux longs comme ceux d’une Femme derrière le dosj mais qui , épouvantée par leurs cris, s’étoit replongée dans la Mer, dont je ne pûs voir que l’émotion des vagues, que cet- te Sirene avoit agitées en fe replongeant. Je luis, 8cc. A Amsterdam le Parent, 15. Juillet 1717. EXTRAIT de quelques Auteurs. T\Aviti , Gentilhomme de la Chambre du Roi de Fran- ce , dans fa Géographie , qui eft reconnuë pour la meil- leure qui ait été publiée jufqu’à préfent , à la Defcription de l’Amerique, pages izy. 8c 12.6. de l’Edition de Paris, folio, 6 . vol. chez Bilaine , parle des Poiflons de Mer 8c de Riviè- re du Brezil , parmi lefquels il nomme YOury Jouve , qui eft: tout jaune : VAcatajou , qui a la tête verte , le dos jaune 8c le ventre blanc : le Pourake , plus gros que la cuilîè, long de 4. piez, bigarré de rouge, de bleu, de vert., & de blanc. L 'Taconda, dit-il, eft long de 3. piez , ■ tôfft rayé de jau- ne, de rouge 8c de blanc : LA car a eft rayé de rouge fur la tête, en forme de fleurs de Lis : Le Mendouvel eft rou- geâtre : Le Payrain eft jaune 8c rouge : L'Opean a la peau toute rayée de rouge : Le Jejou a la tête bleuë , la queue rouge , 8c des rayes de jaune 8c de rouge par tout : Le Pyrapinim eft tout blanc, excepté la tête qui eft bigarrée, 8c la queuë rouge. Mr. dcRocHEFORT, dans fon Hijloire Naturelle des IJles Antilles , imprimée à Rotterdam in 4 0 . 8c à Lion in 1 z° ., page 37p., parle de Poiflons qui ont l’écaille verte comme la plume d’un Perroquet : L 'Eguille, dit-il, page 379., a la peau du dos rayée de lignes de bleu 8c de vert , 8c celle de deflous du ventre eft d’un blanc mêlé de rouge : Page 380., il déclare qu’il fe pêche dans les Rivières des Poiflons de Roche , qui font rouges 8c de diverfes autres couleurs: Enfin, pages 404. 8c fiiivantes, il fait la Defcription d’un très-grand Poiflon, qui avoit une longue corne au devant de la tête , 8c qui étoit d’une beauté 8c diverfité de couleurs , auffi extraordinaire qu’aucun de ceux qui font ici dépeints. A l’égard des Crabes 8c Ecrevijfes , il en décrit, pages f iz, j-13. 8c j-14. , plufieurs qui fuivant les diverfes Ifles 8c les differens Territoires où elles fe nourriflent , font peintes, dit- il, de tant de couleurs, toutes fi belles 8c fi vives, qu’il n’y a rien de plus divertiflànt : Les unes ont tout le corps de couleur violette , panachée de blanc ; les autres font d’un beau jaune, chamaré de plufieurs lignes grifatres 8c pourprines. Le Pere du Tertre, plus recent 8c plus exaéfc Auteur encore, dans fon Hijloire des Antilles, imprimée à Paris en 3. vol. in 4 0 ., au Traité quatrième du Tome II., confirme non-feulement ce que Mr. Rochefort 8c autres Auteurs ont écrit des Poiflons , Crabes 8c Ecrevifles de couleurs differen- tes, mais il y ajoûte encore quantité d’exemples 8c de figu- res de Poiflons qu’il a vûs vivans, plus beaux 8c plus ex- traordinaires encore que ceux des Citations précédentes , par- ticulièrement les Poiflons Perroquets, 8c les Poiflons desAlo- ches, qu’il dépeint avec des couleurs d’une beauté incroya- ble : Surquoi l’on peut confulter le Livre même. Le Capitaine Dampier , le Pere Feuillée , Mr. Frezier , 8c beaucoup d’autres bons Auteurs , confirment cela auffi par quantité d’exemples , dont le détail feroit trop long à raporter. PREFACE. Oici enfin un Ouvrage, attendu depuis Iongtems, & qui peut-être n’auroù pas encore vu le jour , fans le zèle qui m’anime pour l’avancement de l’Hiftoire naturelle. Mr. RENARD, qui en efi: l’Auteur, vint à mourir, lorfqu’il étoit fur le point de le publier: les circonftances qui accompagnent ordinairement la mort d’un Auteur , mettent iouvent obfiacle à l’exécution d’un deflèin qui demande autant de peine & de dépenfe que celui-ci : c’eft là la raifon qui en a fait retarder jufqu’à préfènt la publication ; & peut-être aurions - nous été privés encore plus Iongtems du jour qu’il répand lur une partie très- intére liante de l’Hiftoire naturelle, s’il étoit tombé entre les mains de gens peu au fait de ce qu’il repréfente. L’i- gnorance fortifie l’incrédulité à laquelle on efl naturellement porté à la vue d’Animaux aulïi extraordinaires & auiïi rares que ceux dont il s’agit dans ce livre; & l’on n’aime pas à publier ce qu’on efl tenté de regarder comme des productions de l’imagination. Mr. F. Valmtyn , qui a été Pafteur des Eglifes d’Amboine , Banda & d’autres Iles où l’on trouve les Poiflons, & les Animaux cruflacées , décrits dans cet Ouvrage, effc le prémier qui ait fait connoitre tout ce qu’il y a d’admirable tant dans leur figure que dans leurs éclatantes couleurs. Avant lui les Auteurs anciens & modernes n’en avoient donné que de légers indices ; les relations même qu’il en publia , dans le 3 e Volume de la Defcription de L’Inde ancienne & moderne, furent rejettées comme incroyables, malgré le crédit que devoit lui procurer le Caractère dont il étoit revetu. Cependant on ne tarda pas à revenir de la prévention où l’on étoit: des gens tres- dignes de foi confirmèrent ce qu’il avoit dit, & l’on en trouva plufieurs preuves dans ces Cabinets où ceux qui s’appliquent à l’Hiftoire naturelle fè plaifènt à rafiembler , fouvent à grands fraix, des monumens de la fàgefle du Créateur, qui brille avec tant d’éclat dans les diverfès productions de la Nature. Ces Collections, fi propres à réjouir la vue, & à nous exciter en même tems à de nouvelles recherches, offrent plufieurs de ces Poiflons , de manière qu’il ne refte plus aucun doute fur leur figure & fùr quelques-unes de leurs propriétés: mais on ne les y voit point ornés de ces coujeurs PREFACE. vives & éclatantes , qui les embelliiïènt durant leur vie , & les doutes qu’on a' eu fur* cet article, ne font pas encore tout -à- fait diffipés. Il n’efl pas nécefîaire d’être fort verfe dans cette forte d’étude, pour être convaincu que la Nature, toute liberale qu’elle efl à répandre fès dons, paroit encore plus foigneu- fe de les reprendre, lorfqu’elle a fatisfait à fon but. Ainfi les Poiflons, comme la plu- part des autres Animaux , perdent toute la beauté de leur coloris en perdant la vie* L’Art, à ce qu’on prétend, a trouvé en France * un moyen d’obvier à cet inconvé- nient ; mais le fecret dans lequel on le garde , nous prive de l’utilité que nous en pourrions retirer; les Poiflons qui forment nos Collections, ne confèrvent guères qu’une couleur obfcure & defàgréable ; trifîe débris de leur éclat précèdent. Quel moyen nous refîe-t-il donc pour nous former de jufles idées fur cette partie très -étendue du régné animal ? C’efl de confulter des Planches enluminées qui repréfentent les Poiflons avec leurs couleurs naturelles , exprimées avec toute la fidélité poffible. Les Figures que cet Ouvrage nous offre font précifément telles. La première fois qu’il me tomba entre les mains , je fus moins frappé de la beauté des deflèins, dont quelques-uns m’étoient déjà connus , pour les avoir vus chez d’autres due ceux qui en pofsèdent les originaux , que de la variété des repréfèntations & des defcriptions. Les Couleurs, & quelques autres circonflances , de quelques-uns de ces Poiflons , qui s’accordoient avec les relations que je me fouvenois d’en avoir lues , n’eurent à combattre chez moi qu’un foible refte d’incrédulité , qui ne m’avoit cepen- dant pas empéché de me former les idées les plus avantageufès de la beauté de ces Animaux. Depuis longtems j’avois médité fur le fyfîème du grand Leibnitz, & je m’étois appliqué à examiner la liaifbn qu’il y a entre les différentes efpèces d’Ani- maux : par là je m’étois convaincu non feulement qu’il étoit poffible qu’il y eût des Poifîo.ns enrichis de fi belles couleurs , mais qu’il étoit même nécefîaire que cela fût ainfi pour répondre à cette conformité, qui fuivant moi doit fe trouver entre les Ani- maux qui habitent dans les eaux , & ceux qui volent dans les airs ou marchent fur la terre. L’Ouvrage dont nous parlons confirme cette idée. Les merveilles qu’il nous préfènte , nous font voir que l’Auteur de la Nature a non feulement accordé à quel- ques-uns des Animaux aquatiques, des ailes & des piés , par lefquels leur efpèce fèmble fe rapprocher de celle des autres Animaux , mais ces beautés du coloris même , que nous voyons aux Oifèaux & qui excitent notre admiration & notre étonnement. Pour ne rien négliger de ce qui pouvoir me conduire en ceci à la découverte de la vérité, je comparai plufieurs des Poifîons repréfèntés dans cet Ouvrage , avec la defcription que JAalentyn nous a laiflee de leurs couleurs; je dis la defcription , parce que cet Auteur a bien donné les Figures de prefque toutes ces efpèces de Poifîons , mais fans qu’elles foient colorées. Bientôt j’apperçus une grande différence entre les couleurs de ces Poifîons telles qu’on les voit ici, & celles que J^alentyn leur attribue: je ne pouvois cependant pas douter qu’il ne fût quefîion des mêmes efpèces , la conformité de figure ne me laifîbit là defîus aucun fcrupule ; cette découverte m’embarafîà : comment décider quel de ces deux Auteurs étoit le plus véridique ? Mais un nouvel examen réfolut ma diffi- culté. En confrontant de nouveau ces deux Ouvrages enfèmble , je m’apperçus que dans l’un & dans l’autre fe trouvoient plufieurs fortes différentes , fur lefquelles mes deux Auteurs ne diffëroient que par rapport à la couleur: je vis enfùite par les defcriptions, que les Animaux y font quelquefois mâles & quelquefois femelles , & que cela étoit fou- * M r . Guyot , Apothicaire & Chymifte de M r . Pajot Comte d’Onfembray, poffède ce fécret, à ce que nous apprend un extrait, tiré du Mercure de France du mois de 7 brc 1749. Par fon moyen on le dit en état de conferver non feulement toutes les Plantes, mais aus- fi toutes fortes de Poilfons & d’autres Animaux, avec leurs couleurs naturelles. * PREFACE. fôuvent la feule caufè pourquoi mes deux Auteurs n’étoient pas d’accord: enfin je trou- vai que chaque genre comprend fèul en foi plufieurs efpèces qui ne diffèrent que par le coloris. Je me rappellai en même tems d’avoir vu vivants, huit ou neuf de ces Poifîons do- rés qui viennent du Japon, & qui commencent à devenir allez communs: la figure de tous étoit la même; mais il y avoit beaucoup de variété dans leur coloris : les uns étoient d’un rouge couleur de lang , d’autres d’un rouge orangé ; il y en avoit de blancs avec des tâches brunes , d’autres étoient tachetés de rouge , quelques - uns d’o- range &c. Quelque tems après le hazard me fit tomber entre les mains un Recueil de la mê- me efpèce que celui-ci, mais qui étoit venu des Indes trente ans plutôt: comparant en- fèmble ces deux exemplaires, il ne me refia aucun doute fur la figure fingulière & fur l’admirable beauté des Poifîons repréfèntés dans cet Ouvrage; & je n’héfitai plus à prononcer, que la différence qui fè trouvoit entre les defcriptions de M rs * V'alentyn & Renard , venoit uniquement de ce que les deffinateurs qu’ils avoient employés, avoient deffiné indifféremment les Individus qui s’étoient offerts à eux , fans faire attention à la diverfité des fèxes , ou des genres. Voilà ce qu’il importoit de lavoir touchant cet Ouvrage , & la beauté des Poifîons qu’il nous offre: quant à la figure extérieure de ces derniers , elle eft fuffifamment confirmée par les exemples que ma Collection & celle de plufieurs autres en four- niflènt. La peine & les foins que Mr. Renard a pris pour nous donner des defcriptions fidèles, & le certificat qu’il a trouvé à propos de placer à la tête de fon Ouvrage, ne laifîènt plus aucun doute , même par rapport à ces efpèces qui par leur figure extraor- dinaire demanderoient à être autorifées par des nouvelles recherches; ce que différens Auteurs , tant anciens que modernes, tels que Gefner , Aldrovande , Rondelet , Jonflon , TE'illugby , Artedi , & bien d’autres, ont dit fur les Poifîons, fè trouve éclairci & con- firmé par ce que l’on trouvera ici. Il efl fâcheux qu’un défaut de connoifîances ofléologiques par rapport à ces Poifîons, nous fafîè manquer dans cet Ouvrage - ci , le fyflème des genres qu’ Artedi nous a don- né. Mais à tout prendre il vaut mieux que nous ayons quelque choie à défirer à cet égard, qu’à celui des couleurs. Les objets qui fè trouvent dans les Cabinets des Cu- rieux , peuvent remédier au prémier de ces deux inconvéniens , puilqu’on peut y voir la flructure de ces Animaux quant à leurs ofîèlets; mais il n’en efl pas de même des couleurs, qui ne font pas confiantes & qui fè perdent. Je ne rapporterai pas les différentes raifons qui m’engagent à donner la préférence aux figures qui font dans cet Ouvrage, par deffus celles 'de Valentyn. Tous ceux qui fè donneront la peine de les chercher , avec quelque connoifîànce de ce dont il s’agit , les trouveront aifèment; & d’ailleurs dans des Ouvrages de cette nature , il faut un peu pardonner aux Auteurs. Je le repète , on n’a qu’à jetter les yeux fur les Collections , déjà afîèz nombreufès, qu’on a faites de ces Poifîons , pour fè convaincre que leur fi- gure efl bien exprimée dans ce Livre ; & leur brillant coloris , qui efface la plupart des autres couleurs, quelque belles qu’elles foient , n’aura plus rien d’incroyable pour ceux qui auront vu ces Poifîons argentés & dorés , dont j’ai déjà parlé , & que j’ai dit être afîèz communs. La Sirène , dont la figure qu’on en donne ici , de même que bien d’autres , ne diffère point de celle qu’on trouve dans V'alentyn : ce qui n’efl pas étonnant, puifque celui-ci avoué qu’il a fait copier le defîèin qu’en avoit Mr. Renard ; la Sirène, dis -je, mérite bien qu’on y fafîè plus attention qu’on ne fait ordinairement. Son exiflence eft ici affirmée très -pofitivement; & les objections par lefquelles on cherche à la détruire, me paroifïènt bien foibles. Jufques à préfènt, dit -on, on n’a jamais vu dans aucun Ca- binet PREFACE. binet de curiofités naturelles , un Monffie de cette efpèce ; mais ne peut - on pas dire que fi ce Monffie, s’il faut lui donner ce nom, quoique je n’en voie pas la raifon, efl réellement tel qu’on le repréfente & qu’on le décrit ordinairement , & que fi fà fi- gure approche fi près de celle de l’homme, il pourroit bien lui reflèmbler encore par une forte d’inffinét, de génie ou de raifon, comme on voudra l’appeller; ce qui le mettroit en état d’éviter avec plus d’habileté que les autres Animaux , les pièges où ceux-ci' fe laiflènt prendre; & peut-être auffi cela feroit la caufè pour laquelle il fè montre fi rarement. D’ailleurs ne pourroit -il pas être que fon corps , de même que celui de l’homme, fût plus fujet à la corruption que celui des autres Poifîons, & que la difficulté qu’il y auroit à l’en garantir , fût la raifon pourquoi il ne paroit dans aucune Colleêtion ? Cette conje&ure fèmble être confirmée par les fquelettes de Sirè- nes , dont V : ojjîus , Junius , & d’autres parlent. L’on n’a pas cru que la mort de Mr. Renard donnât le droit de fupprimer fà Dé- dicace & fà Déclaration , qui fe trouvent à la tête de cet Ouvrage. 11 fuffit de re- marquer que cet accident efl caufè que les Exemplaires ne font pas lignés de fon nom, comme il avoit promis de le faire. Je crois que voilà tout ce qu’il importoit de fàvoir fur cet intéreflànt Ouvrage. Après avoir ainfi fàtisfait à la demande de ceux qui le publient, il ne me refie qu’à fouhai- ter que les Le&eurs frappés de la beauté des objets qu’ils y verront décrits , paflent de la confidération des créatures au profond reipeèt que mérite le Créateur fuprème. DECLARATION SUR CET OUVRAGE. Omme c’eft ici un des plus précieux Morceaux dont l’Hif- toire Naturelle ait 4 té enrichie depuis la naiffance des Let- tres, j’ai pris un foin très- fcrupuleux d’aller à la fource , 6c de produire la preuve des faits que j’expofe dans cet Ou- vrage. Je déclare donc que tout le contenu du premier Tome , conflftant èn 42. Planches 6c 213. Numéros , eft copié dans lexaéte vérité fur les Originaux que Mr. Balthasar Coyett , actuellement Préfident des Commiffaires pour l’adminiftration de la Juftice générale des Indes à Batavia, a fait peindre lorfqu’il étoit Gouverneur des Moluques i 6 c que la Déclaration de Mr. fon Fils , que j’ai mife au commencement de l’Ouvrage , à la feuille qui a pour titre Avertissement de lEditeur, eft très - exactement vraie dans tout fon expofé. J’ofe en garentir la vérité aux yeux de cette grande Ville 8c de cette République entière : où Mrs. Coyett Pere 6 c Fils font connus pour gens d’honneur 6 c de dignité , 8c où un nombre confiderable de perfonnes encore vivantes , revenues des Indes , 6 c qui en reviennent tous les ans , font témoins que rien n’a été flaté dans fon Recueil. Quant au fécond Tome conilftant en 57. Planches 6 c 241. Numéros, j’ai produit aufti à la fuite de la Déclaration de Mr. Coyett, les Atte- ftations de vérité qui y ont du raport : Cependant comme il ne me convient point de Lifter aucun lcrupule au Public fur la bonne foi qu’un Editeur doit toujours conferver en publiant des Ouvrages de l’im- portance de celui-ci, j’avoue que le Peintre avoit groffi 6c differentié à l’excès divcrfes Copies qu’il a répandu des Recueils fur lefquels j’ai formé ce fécond Tome, 6 c que j’ai eu une peine infinie à feparer dans fon Ouvrage, ce qu’il y avoit de vrai, reconnu pour tel dans les Atte- ftations, d’avec ce qui s’y trouvoit d’exageré. je crains meme que le Monftre reprefenté particulièrement fous le nom de Sirenne à la fin du fécond Tome, Planche LVII. N 11 . 240. n’ait befoin detre reétifié. Pour DECLARATION SVR CET OVVRAGE. Pour m’en éclaircir, j’en ai envoyé des Copies à Batavia & à Am* boine afin de l’y faire vérifier : & s il arrive quil y faille changer quelque chofe, je m’oblige d’en rendre compte au Public. Au refte, je ne reconnoît d’autres Exemplaires pour authentiques $ que ceux qui font lignez de mon nom. t. Fait à Amjierdam, le HISTOIRE NATURELLE DES PLUS RARES CURIOSITEZ ... J DE LA MER DES INDES. TOME 1. B LAN K PAGE a B LAN K PAGE ■ZFol- 2 . B LAN K PAGE c B LAN K PAGE oujava C o uni ri o DÜÜuuuiibHn^î,^ Camoux’o . 1*0 L |)0 Pi vol: Laioine . lia z u lu Peine! . :Fol. -OUI J-no cl B LAN K PAGE Fol-S ■ Buai-tl Marmetj e Ti'oii'toeix Ekox'-IComixng Bou.'w-iiio ToJ'molà B oitwxno C olox* Idombabx Coxtad ISTaixotxraJi' B LAN K PAGE -Toi. £. B LAN K PAGE B LAN K PAGE h. B LAN K PAGE V. j B LAN K PAGE Fol. J-O . mmàm B LAN K PAGE ~Fot. U . B LAN K PAGE ? qu 'on l entend de foort loincj en mer. Ce potjffon . et le porter mnfo dans lapoc/je.d ou quand on le JO. Belaantie. petit Ikdher dont il y a V pltfoieurs especes . Galicien Vi ick &ÜL11 jk m . B LAN K PAGE (Sti.Moriat n B LAN K PAGE iule espece de Douwing dent il y a très -grand ! especes . 1 - 44.4 82 . C aantie . Tête de cochon- Hanaeui' d huîtres . e . detite de mou / B LAN K PAGE B LAN K PAGE h li. V B LAN K PAGE ' ' lîol.jz ■ JJ3 - Cakatoua S o uio luiam , Poiffon ~oquet , 11 . B LAN K PAGE t B LAN K PAGE jâo . Doujoung. Zee Koe Toi. 34 - iôj- . îoclener-o j^.iXvEtyer. Le J J oilher. On te voit L'une lieue en mer. Il teve qui . f embcvite dans une fente que ce pei/Tbn a au milieu du / à 11 . B LAN K PAGE mm . B LAN K PAGE îqo . Crake C o ulat . Il a. utie. espece de Surtout: d dp qui couvre- Ja coque: et dans cette éponge il Je Jorrne des rat' es et très -jolis . A y mi. . * 1 • B LAN K PAGE oo B LAN K PAGE rTi ~3ibl .38 ■ îqq . Tourmg Reeuw Terne! x 33 - Tcmring M amel 1 Q$ ■ Ij o uw l^aietelw . îgô . JVIuumls. . PP * B LAN K PAGE / B LAN K PAGE rr . B LAN K PAGE B LAN K PAGE loi : 4-2 - :û£ . Lokje-Xolcj e . zoa . Passer . ZeTCilou æ. Ce -Potsjbn est représenté en deux maniérés. la* première lors gu' il eio relie sagroge . La fécondé lors gu il élancé un long groin en firme de filet gu il a dans le gosier . et gu’ il allonge ou gu il retire iV’ec grande futilité jour faire cagture . B LAN K PAGE 1 Il II . B LAN K PAGE HISTOIRE NATURELLE DES PLUS RARES CURIOSITEZ DE LA MER des INDES. TOME II B LAN K PAGE \a a, l Isle de Jdtlz p roche d . hniotne . il e$t tres- lc août du Un loi . Les Curieuse de Hollande commue i'ncent lie: ontyfa.it venin des Indes et con/erveizt dans mais petits', les uns seelez, et d autres dans des ^K^dcies couleurs sejont perdues . S/les se est lors de l’eait- De Spil S-NeUS -dion pois = son de Hila et d-dtnlome ! pat dessine - celui -eu par r rei e rc r? ce , , - . i L' r d aune uppuiite a autres , don t~ le.s couleurs étaient moins * 3 . Iran ftuaii^i O ri en. peele Icaucerp au Detroit Je iBaouewadi , ef ils sont tous si leaux et si variez dans leur perme- ts couleurs yue cela est rnerei/alle . T’en ai - dessin plusieurs s ueeess i' ■ernent à mesure yu 'on rue les a. té 3’otr et il aurokfàllu eu peindre plus de mille y’currCj é‘’ ! / r predù7icuse variété'. Le poisson ne peut vivre iu de 1 eau : Jd a les arrêtes et les piymnts verumeu. yuelyiieyjis yui.au heu de ÇA aaeeires, ont le arojse diverses pu leurs a peu prés 'comme les loupes a. p ont de plusieurs sortes dans leurs Calinets . ’ W o dfW ^ — ' Êo / mJLx %^cJEz — B LAN K PAGE JL . Planche Toctasse Mo o r . Cspece de lors pu 7 il ejtÿrais ; et rôti au mois J' - di-ril ou tre s-don a ta saliez a l'oseille t* ir. •d ■ Ic ail B ail cia . On les salle pour la. provision à peu fores comme h . f/ome il’ Terre -neuve. On enduit aussi secfier ■ beaucoup enduise de Stock. -3 us rh . JJ je en. a Je plusieurs Jortes fin se ressemblent pour if per me , mais dont les couleurs J tf feront lu blanc an noir . dis sont: dVdp. et J. IClip Visclij es .Jli- en a plus de Joo ■ sortes dipper entes . Orv les nomme poissons des Joe cl e s , parce ou on lesj- 3-oit naper par milhei'S pour ' sucer la mousse put sj - attache . C’est une p/raride rnc oreille rue la du epj i te pre diju'us e de ces petits poissons tous dune le ru te inimitable et dont les couleurs sont au^p 3'io’e. les plumes des perrapuets et pue les ailes des charmants papillons . Jl n’j- d rdrnloine put nejfot'de de ces par plaisir dans des tdouteilles ou rases de porcelaine ■ On atrouî-e moien rendre ceux des réservoirs du Coûter- neur drimioitie si pr irez pu ’ ils viennent mander comme bors la rnattl . dL n i ' a pli d sifler et ils accourrent par tr-oupes arec un -tumulte et un empresjementr put ehrertlroit les personnes les plus melancoupues • J’opez f / L Jlemarp^ UC B LAN K PAGE J IL. IPZanc/ie . B LAN K PAGE IV". JE*ta.nche Dfe B ediriegeir. Le Trompeur qfond comme un I ourdaut leurrait sapueule,qu’il lance arec heaucoip fi y oyez JC? 81 . où ce poisson c/b jJ étendu pourjfiii'e capture . J tres-du'ertis/ant dans les eciuoc clauses - -I l est yor ace et si les autres poissons pour les pn^endt+e. Il a- un long prouv cache. ’adr esse pour atraper ceux qu'il peut aprochei l^Tl l^^^^^^^a^mg^^reoresente arec le a rom neus . i, ong tl ez, de la, 3 ave -Portugaise . m °L maigre. r h en a de ////// // /TTr^cc-^dir ers es especes . commun et EHip-vxscL de Loeven . explique IP- p- /S yfttly Los (curieux de Hollande en ontplu/leurs /de cette espece ■ On en reeonnoit Infor me; mats les couleurs {ont mortes et e teintes sansqu 'on \vui /Je les con/èrrerdans te traiet d un si long J\yeuaae yV/\dlP rûS ^ mor ^ poisson . 'odtge que la merveilleuse diversité et bigarrure * * s de trente fortes differentes Cl Cdmhoiae , i,Iuc,Pucljesse llarqius, Comtes, Barons , ue ceJle duÆveau. . On t 1 accommode a toutes ■ — Ë Æ \^~-S(J ULSe defricassee, de poulets X)ouwiixg-Admu.*LU . i de cette espece depoiffo. distinguez jous les noms _ u et autres noms de dionitez , tic. Sa chaid^ci Sauces > mais particulièrement en . ddmhoi Igilp^ fhm Tf Eg , !\ ( H D B LAN K PAGE 1 "V". Planche - Sj aiL TVEamel . A Siaii FeitLel . B LAN K PAGE VI . Tlanche. . à-- : . .27 KLp-vxscli fioos-visclx se de Hilu .11 ale grain, charge de huttes ou Irouttons, les uns oou/eur de rose et /es autj~es . C 'est un ex codent poisson . 2 f . Caj'casse .J 'en, ai dessine une trentaine de differentes figures. Cest un animal ffort de ode qui vient manger /tors la main guand on fajreUe . ?.. ,f\\ / JL) hO B LAN K PAGE Snscvelaax* . J~rcs hon & JJ Oa ^ a 0 U J g “ jf ^ ^ 0 êM ( 1 h a l ■ H» H > N 5 l \ \ \v, B LAN K PAGE 35 Icaji iSaUui.X/’ j/otsson duTUaile.il était loua de oinq jrieds et il tua deux Mirs qui 1 aj'eieut fns.X 'un ayant été dun.oo/q/ d'éperon., dontcejroisson, deux sue te net qu il tançait a droite et a gauche, et l'autre ayant aussi plq ue d une arrêta hleuë Us /nauru rent ta us apres camme Jbrce au T'orna ee Ivat . Cepeisson a dans le Corps une ligueur tres-noire et très -puante qu 'il répand peur treulle/ ~ l 'eau et s ’échaper lors gu il est poursuivrai dos -/flores le^/ont bouillir tout en ne, et du bouillon gui très-noir et très acre, ils s 'en serrent peur teindre les toi/es Cotton.. vis cli «le Loeven . Vouez SW r . JCuitieme -Planche . ,, JS yij /; II B LAN K PAGE Tonitcmiljo . dont la- femelle est ref rés entee JV ' ? zq. ♦ , jVTooi'se -Aioodt . l 'Idole des Païens. Lors que ces jmuj'res cens en j' oient dizns leurs feflets, ils se jettent a genoux e£ le remettent à la ✓. fier' arec des cirants de dej'crflon et des postures extraordinaires . IL pose louve nt douze a quinze Z tr res et ne eede peint au Pur lot d 'Sur 'ûjee jrour sa code je oint au Pur lot d c. mdonté . ùr* via cli ie . Le Poisson de Paradfftr, de differentes grandeurs et couleurs dans ■d, mille r, fc piaffa entendre le s on des J i id hindi l'eau comme gour se montre, B LAN K PAGE Planche Dixième , h JSTonne de Haguetraî, commun et charmant ben a foutes Sauces . MlinH’lv' . Ite ~ Heine, fres -bon mais un jteu rare . Klip vtscJi Joosje- Joosje . Jîizarre et commun .Les ~ inu brûler les arêtes et les a nattent en jieudre cem centre lajierre . Les femmes pertentjà cerne ou arête du des £endue au Coujrour 1 ornement etr ^ comme un arand preseri-atif contre tes maladies Klip - vi soit B LAN K PAGE firtz/Âmë PÏ/iTtt'hft . _ X B LAN K PAGE DotLZteme. Planche . J | Orties dit Kayraans -hoeL- . Voyez V ? 20 . C est une espece it il y a des milliers 'fort- diversement bigarrez . i t B LAN K PAGE L Honimo leau/ Se lorr'-P*. uns^Jorvt tachetez d ircp cammurij mnu on. n'eniro.O’e yres^ M f uL se rejfinlknt, ctÿ les autres Hunt/ autre/ . N B LAN K PAGE B LAN K PAGE P B LAN K PAGE 73 Klip^VlScll Secrür JV~° $ Vi/cli peer /ont i/o ei des 7 tu //ions c/e dêf/crcntes -/taures - ne très dcueat c r et suivant ju’il de. Coule uns très vour IDcxLtwxiiq' t)âta:r d d Ha.ro cive mer B LAN K PAGE / commun . - . B LAN K PAGE xvnt.^w^^ 'ueur > — nonnetf e ou, 1*2 ^lonain des véche ce Toÿfîn a .Baguewal blttncJiâïrc conune celle thc l 7 ea*i y i B LAN K PAGE XIX . Planche . Am îiont'csc Grumlel , ou Goujon dA. mlioinc Xoorn,c?/c Truite cl Æmltame ,Pûi//Ca très-commun , . et qui n'eji jms estime ■ Cornuto ,oule Cornu., dont les Cornes J ont U rentmeu/ès, qu'il e/t danaereux d'en être pique Il e/i jtlaÿattfr et jiunilier dans les Heserroirs . On en prend de trois ou puait y fortes . T . B LAN K PAGE X-'^.rlanche. K akato e , Jibm qu'on donne aune esgeoe deg. de la grojjeur delà, tiorue et affèz commun la différence des taches et des couleurs . lî-Oeine de la 'Basgue.iPoffJonJèrt ejtimo ■tête ejb meilleure que celle du Saumon . Bliek. A Araloine , Soffjon très- c, l Jlr tout apr es qu 'il ejk Joe fie au Soleil * et / aie T) ouwing V±-inceiTe,I y oiffôa très -délicieux,, etffôrt agréai le a yole dans les étangs, ou l'on en coiffèrye de glus de trente Jortes, auffi différemment bigarrées que les Sag liions ■ Il y eua de la grandeur d’une cffpieUe, et la chair eae/is rougeâtre comme celle du Saumon* . - B LAN K PAGE XXI . flanche. I Inice-GG-e , et d autres Souialatk. Ion a- divers noms . Les uns l nielle. IClip -vilcli de BaQuewall um. ■ 303 T o lu'in o -K e irwe . djfece de Potepo ve.decntJf? 20 . et dont d y a- flujleurs j entes . Ic an Hamla.X/ Jentl 'huile et n J0& X. B LAN K PAGE XXIX. Planche - Bonnetje, ow Bonite d'Amboine. Ce Poffiwefhiu^î bon que lu Perche 305 Joâ' Csjdece de petite; ow Boulet d’Inde S antei-elle de . lier, apellée K aUekoentj e , JO 8 BLANK PAGE XXIIT. Tlane/ie . Berg - vilch. , ou le PoiflonJBonu qu’on- jjèche a liste des trois Fret es.Il e/l commu/^r^^ ou mois de- Juillet. rit . toujours JO rt yotlt . JJ3 ou de la- Fkjiic Il eft jjh't leu Ica» Potou-Banàa. Il eje b Une, Je bon aoutr, ôt dy en a- quantité . On- lejeche et leja-le comme UJlorue de Terre -neuve. Voyez X b ■ B LAN K PAGE d Ajnlii lome LokkieAokkie , Eei'évjile (I Ainko Aa B LAN K PAGE 4 ' - , . 1 ug. Ic an Honirno . > Voyez dC°. û$. Celui-ci est de la même £sj>ece quoi que de couleur très-différente ■ Dam-bordt ou 1 Echiquier . Il y en a trois à luownenjon les nomme quelyueffris Corteill^^ ^ J y nj Péril anlè Speer^Vilclije,, Voyez Vf c ."js . -*Æ J2jf . Casu-Casti de l 'Isle de l^oeor^^^res-loru.Ily en a do diyerjes y candeurs et trèszo'direrffement biyarrez . Ce loiffon n 'e/ijea s ffàrt.^r^^^ commun , tu tout-affàit rare . 3 îl> B LAN K PAGE i ,et yeur les mieux garder ils lesjalent Avril . et en Septembre . le Mordant d Ambo 1 1 îe . X de Poutou j) ris a la Bore Porttigaile l'oyez dfhzs . ». - JS 8 ■ ^laar-vikli , ou Toiffon «le la Lu neÆ agelll jpar cemà du Bais Tarin- Saratrse . Il n ' e/t Ion qu'en temys de firme Zune , autrement il e/t mou et maigre . ÈÊ II y a quelques années qu’un Gouverneur d Antoine en envoya unjèc etjort oros à Amlter dam > où il e/t /Æj encore  dans le sHaaiz/ln des Indes Orientales . B LAN K PAGE B LAN K PAGE B LAN K PAGE B LAN K PAGE g_8 ■ Petit Tomloi|t) 0 .//e / espece marquée St xgq . Dointino Demoiielle. C'eft un ragi particulier pour les Femmes quijhllent ce F oijji le font Jecfier au Soleil, et apres en avoir ôté la M le mangent par delicatejje le long des rues, etjur portes de leurs mai /ans.- . Moro j i Poullouelt . Ferez JVb. ia Celui-ci elt de la meme espece. mer Forez F Douwiiio Baroiuie Fogez SC°. 8ô B LAN K PAGE XXXIII . Planche . ’eau en . Il ejt non mats u ont comme un filet : i ! et auJca/Jage de oague^ es fortes fie ces le an s R adi agg ■ Pa rlciet eu ajî commun, bon à manger Poifldn Perroquet dAroelce . Jfamme atifp, ILau^parce qu'a ■znaer, et il s 'en trouve jrlufieur s gui font fi une beauté incroyable J'oi u eji exirememe/u 'avez g pO et 100 ■ i45 . Sauterelle - male d’Amboine longue fie treize pouces, et gui a fies dents capables fie couper les doigts a ceux gui les toucbent.il y en g une infinité, filles marchent par troupes , nagent fur les rivières, fievorent les fruits , gâtent les plantes et defolent furent j j /toute la Campagne . l'ouez la/crnelhp^ Xi 106 ■ \ //£- / v + <■" f * K le . B LAN K PAGE O XXXXV. Planche . rlersKi'abbe b lie Xmjperiale ve , peu commune mats a pourtant où elles îgS . Kh p -vileli je . Tetit poijjon /les Roches dont tl ejt parle complément a la Remarque Nf g. et J . xgj ■ &ros Po u po il Xnfii e n bigarre. Voyez NftjS ig8 . Saag-viieli La S c j e . Cspece de J'erchc du yüont rouge très -bonne .11 g a Nombre de ces poiffons armes de Scie de differentes maniérés . B LAN K PAGE ■XXXV . Planche . j oi . espece Z'Herjilon dojfiné èv T". ve ni: etvl .Z es Jfoirs s ’enfint avec la peau des bonnets de parade, dans leurs fêtes vouez auffi la Remarque Jê°. z 5 . adz ."Vliegende Saag-vilcli.La Sci volante de Loeven -Hôtes en : somme un grand rapout . Mm . B LAN K PAGE .X XX T Tlanche . . 16 £ . 33e ex* -Vilcli beaucoup de Salez urs de Honi mo . Il e/t puant el huileux . Cependant les TCoirs en manpent 'nez p o tir leur provi/ion . B LAN K PAGE XXX VXT, Planche . îo b . Sauterelle // cl Ambouie . Voyez la Remarqua AA 15$ . ib~j . Peer-lcrabtae . le Cancre Pocrre . Celui/ -cy a été trouve a Evenketyl fur le toit' d 'une .ilatjan.. C ’eft une Jlrabbe terrestre dent il y a beaucoup d especes aux .Ho Indues .elles vivent d’are innées et de chenilles qu'elles vont cherche rjiir les arbres ou elles grimpe ni comme les Limaçons avec leurs Coquilles . t ibS. Kjrabbe dArb Ilvaplus décès Souris: et elles Joni mais elles ne valL deffi ■ Ambo inee ine terrestres cancres a ures -fort t de fi rien B LAN K PAGE XXXVIII . Blanche . • - 3 * r 4 - Byter, ou Mordant d’Amboine , - XXVI 126. B. C. ' jryAard-Mannetje , - - r- 3 *- ✓’-'t Aantje - tête de Cochon, 14. 82* JD Babara , - - XXIX, 141. V-/ — — — XXXVIII. 170. Banda , 14. 84. Cabbellaau de l'ifle Maurice , 9- 61. Bandt-Hooft , Poijfon à bandeau , XLVIII. 109. Cabiüau , — — LVI. 2 - 37 - Bantam , - r 34- 184. Caboes Laowf, — — 6. 42. Barbeau d'Arouke , * L 1 II. 209. Cakatoua Sofounam, Poijfon perroquet. 3 *- 173* Bci~uin mâle , - 40. 201. Camail , — — — 6. 47. Baz.uin femelle , 4- 29. Cambat , — — 8. f 7- Bedrieger , ou le Trompeur , Remarque «M 18. 103. confiderable fur ce Poijfon , IV. 13- Cambing , *— — 24. 129. ■ le Trompeur, xvir. 81. Camboto , — — 3 *• 17*- Beer-Vifch , ou Ours de Honimo , xxxvi. 163. Camouro , -*• — 4- 36. Benifsje, - XXVII. M4- Cancre. Voyez Kantjang ou Crabbe , Benyt, - 20. 1 1 3. Cancre d'Amboine, — XXVII. 132. Berg-Vfh , ou Poijfon bojfu , XXIII. 1 10. Cantjounou , — — II. 7°m Befaantje , û« le petit Voilier , dont il y a Cantjang , - XLVIII. 201. plufieurs efpeces 3 12. 76. Capitaine , 34- 183. Bez,aan, - 3 ■ 1 3* Carcajfe, - 39- 197. Bilangh, - XL. 175. . VI. 29 . Blanacq , z. 10. - VII. 3 2 . Groot-Blafer , ou le gros Souffleur , XXX. 141. — Tomtombo * - - XV. 70. Blauwe Staar , ou l'Etoile bleue , XVII. 80. - XXV. I24. Bliek , XX. 97- Carcafifin , - - XII. j"7* Rolam , XIX. 90. Carreau tu, - * - 6. 46. Bongon , - 3 - ïf- Cafu-Cafu, - XXV. Bongen , - - 40. 204. 39. 200. Bonnes je , ou Bonite d'Amboine , XXII. i°f. Chameau de la Côte de Ceram , XLIII. 184. Bonte- Juger , ou Chaffeur panache'. XI. 5 C Chat- Marin , mâle. - XIII. do. Bonte Hoen , XXVI. M '• Chevrette commune mâle & femelle. liii. 224. 230. Bonytelaertje , ou le Rameur , XXVI. 1 18. Chietfe Vifch , ou la 7 o//e peinte , XXXVIII. 169. Boothaacks-Vtfch , XXVII. MS- . LVI. 239 - Bot , - - ~ I. z. Chouwer Lacki , - 27. 148. .gof , om Plie de la Côte d' Alforeefe , XLIV. î 86. Citron de la Côte Alforeefe, XLI. 179. Bouaya , qui fifle de maniéré qu'on l'entend Caffer d'Amboine , - XIX. 91 - de fort loin en Mer. Ce Poijfon vit ajfez. Cafifer de Neffelaw, - XVI. 73- long-tems hors de l’eau : on peut le tor- Vif h, - XXIV. U 7. tiller comme un mouchoir & le porter Cafifer t je , - XLVIII. 20 0. awji dans la poche , d'où quand on le m XLV 1 I. 197. retire , il reprend fubitement fa figure , 12. 73- CojtrLaudtf - 7* f 4 - * # Coitade TABLE ALPHABETIQUE. Elft, ou Alofe de Banda, Ewawtve , — Pangay , ou Luey , Extraordinaire de Loeven , - Groot Eylander, ou l'Infulaire , F. F Er à Gaufres d' Amboine , Fockenero, Foetak } - Folo , Formofa Coitade , Planche. • r. Numéro. 39 . 106. Color Soufounam y 19. Coninginne , 27. ifo. Corbeille , - 7 - 50. *• 17 - 97 • Cornuto y le Cornu , • XIX. 94 * CourkipaSy . 19. 107. Crabbe Amphibie y LII. 220. Crabbe Araignée , - lu. 221. ■ ■ d’ Arbre y L. 208. - Scorpion } LI. 212. ■■■ «So/e»/ Amphibie y - LI. 2 16. — ■ ' rfe la Baye Portugafe t LII. 217. — Terrefirey LI. 2 if. — — — LIII. 22 ( 5 . Crake Coulât y qui a une efpece de Surtout d' Eponge , qui couvre fa Coque , (j dans cette Eponge il s'y forme des Co- quillages très - rares (f très- jolis , Radja y D. D Ambordt , ou l' Echiquier , Dangiri Mangelang , Diable Ai arm , * Dondieuvjy - Dorade Dauphin , - / Doré de Loeven y Dos d'Or d' Amboine y . - Doujoung, Zee-Koe, Vache de Mer, Douwing , Admirai , Remarques fur cette efpece de Poifon. - • 37 - 37 - XXV. 3 < 5 - LIV. Z7 >- XVI. 21- L 11 I. LUI. 34- - IV. 1 6. XXXII. 20 . XVI. 1 6. xvin. XXXII. 39- XXXI. 5- 2 ? . Z T- 8 . 8 . Prince fe y & Remarque générale , XX. Baronne y Baron y Batard d'Haroeke y Cammus y Color , Comtefe , Demoifeüe , DUCy Formofa , Hertogin , Duchefe , Aiarquis , Prince , Prince fe , XXII. 21 . 14. ?»• - — ■■■ ■ » Reine y — — Royal y Duchefe , Poifon dont il y a très -grand nombre d'Efpeces , Duyvds-kop , . - „ E. Crevife commune , extraordinaire , » de Honimo , irès-delicieufe, * — des Montagnes avec fes Oeufs , XLV. Eenhoorn , ou Licorne, * - XL VII. XLVII. LVII. LI. Ekorbiro, Ekor Kouning, Ekorpante de l'Jfe Maurice 3 24. 18. 3- 5 * I 3>. ï 90. îpi. Ip2. 120 . i8y. 231. 252. 124. 75 . I2 ? . 22f. 223. ISO. * 7 - 97 - ïfî. IOp. 77 - 93 - 37 - 8(5. J 49 ' ip8. i 4r . 34 - I 26. * 3 f- 5 8. f9- 98 . 1 07. I I 6 . 81. 2Ôy. J 9 f 241 21 3 187 1 98 13° 101 16 35 77 G. G Galle , Gallenay Caflouri, Pavan . Galhoen Vifch, Garante y ou Chevrette , mâle, G, y a , efpece de Poifon de Paradis, Geep Seroeiy Geep • Vf ch , de la Cote d'Alforeefe, Gongiax , Goujon d' Amboine , — — — de Baguewal , de Mer de l'ife Maurice, ■ — ■ rayé d'Ambome , ■ 1 '■ de la Rique, 4 *■' 1 ■ *• -* « de Riviere, Goud-Vfch, Poifon doré , Gravinne , Comtefe , \ Alfbeck , H. H Groot Halfbeck , demi Bec de Baguewal, °V. Planche. - XLI. 2 f. x 1. - LV. XII. XLII. 34 - 1. 2 Katjan Radi , Krabbe du Roi , ~ Rouper , Krabbe criarde , Keyfers Krabbe , ou Krabbe Impériale , Keyfer van Japan , Empereur du Japon Kikvorfi , Grenouille , Kleen Oofl-Iniisvaar , Khp Nonnetje , Khp Vifbjes , Remarque générale , — - Pz/cA, Planche. XXVI. VIII. I. XV. £ VI 38 • i 3 X 30 3 7 6 14 XLII. XX. 20 . XXII. I Knevel Baardt , Poiffon à Mouflacbe , Kokenbouti , Koutcueuw y efpece de Rémora , Krabbe d' Arbre , mmsmmKmmmm*. m Jh de la Baye Portugaife , fleur onnée , - *• Marine d'Amboine , Krooper , Kruys Krabbe y ou Krabbe Sainte , L. XLIX. 18. XL VII. XI. IX. XXXIV. LVL XXXVIII. XXVIII. XVIII. II. IV. VI. VI. VIII. - VIII. IX. X. X. XIII. - XV. XVI. XVI. XVIII. XXI. XXXIV. - LV. XLIX. XXIII. 17- I. L. XXXVII. XXIII. XLVI. XXXIX. XXIX. XLIX, Afetek Couning, Efpece d’Ecrevtffe , 2. fl. j Lakaytje , ou le petit Laquais , XXXIX. .Lang Béai 1 j oa /• 18. 7 - 20. ] o. 23. 6 . 2 r- 26. 26 . “ 21. 6 . 3 f- 30. LVIÏ. - XLlV. IX. 13 * 19. • III. XXXII. 3 1 - - X. 38. 17. X. 13. 2f. 22 . I 5 . 16. IX. XXX. 24. 22. 111. XXXIII. XXXV. 8 . 1. 2 . { 3 °. 60. 100. U- 1 10. 64. 128. 4f- 139. 1 40. 141. 1 18. 44. 185. 160. 240. 185. 44 * 80. 104. 19. 1 50. i 7r . 47- 1 96. 97 * 4 4 . 79 - * 37 - 120. 91: 90. 43- 143. 131. 1 21. 9 - if 4- 160. f f- 8 . 12 . 209. 210. I67. 12 . Perche TABLE A L P H A B E T I Q U E,&e. Perche de Hila , m -— -de la Rique , Pefque Cavalle , Coblyn ou Lema , Pefque Corbeille , Pefque Byenanque , Pejque Douvoing, Pefque Pampus , Perfianfe Speervifchje , Peti-Cornute , Petite Perche de Riviere, Phaifant , Philofophe > Phoenix , - Picquier , Pivot , - - “ Plattangh , Plie de l’Ifle Maurice , Poijfon de Paradis, - des Roches. Voyez Klip Z 7 /Î. 7 ;. - d’Or. Voyez Goud-Vifch. Pofsje , Potskop de Baguewal , Poupou, Gros Poupou Indien , - - Poupou de Manipe , t — Noble, Prique . Q Uickfieert, Mannetje, ? Quickfieert , Wyfje , $ ces deux PoiJJon s , mâle & femelle , ne s'abandonnent jamais; quand l'un efl pris, l'autre fuit le Pécheur & s'offre à être pris aujfi ; & fi on ne le prend point , il fe jette fur le rivage pour mourir. 4 $- 2 P- t.6. { 2 1 7. I 5 p. I44. ‘4 f- R. R Aven-beck , Reem, Roeme de la Rique , Rogge ou Raye de Ceram , Rover , U. z. XX. XLI 1 I, z 7 - S Aag-Ptjcb j ou Scie , — XXXIV. Saal-Vifcb , ou Poijfon Sellé, - X- 4 . Vil. 43- XL VI. Sant kruyper , efpece de Rémora remarquable, L. Sardine de Malacca, •- - 16. Safawaar , - ' - ip. Sauterelle d'Amboine, - - XXXVII. « - - - XXXIII. ' Aag-Vtfch , ou Scie , Saal-Vifcb, ou PoiJJon Sellé, Saikoetoec, Sambia , Sambia , Sambdang , . - Schaapje , ou le Mouton, Schol, ou Plie de Hila, Schout ly Nacht, Schouwerdick , Stade , Sian male, Sian femelle , de Ceram, Snevelaar , Smp , ou Becaffe, Sofor, - Perche panachée, XVIII. XXII. 18. 2 6 . 19. 43. V. XIV. VIT. XXII. 4 1 - VII. 114 1 1 96 >83 J 4P if 8 4 f 4? 33 212 19 ïP 4 210 8p 108 1 66 8p 106 P 9 J 43 21 1 Z 23 64 34 iop 106 3 Planche. Numéro. Planche. Numéro. XXXVI. 144. Sounock , £ e 28. if 4. II. 8. Soufalath , - 41. 207. If- 87. Speer-Vtfchje , ou le petit Picquier , XVI. 7 f- 43 - 214. Speer-l/ijcb , Moorje Afgodt, - XXXIX. ï 7 î- 43 - 214. 4 . Peters , ou PoiJJon de cinq doigts , 1 f • 84 . 43 - 218. Spits-beck , - XVII. 84. 27. 151. Spitsneus , XXIX. 130. XXV. 121. ■ - I. i. 39. 197. 43. 312. xir. 58 . Spinnekop Krabbe , Cancre Araignée , XXVI ! 3 °. 28. 1 ff- Springer van Loeven, le Sauteur , XII. f 4 . p- 43. Steen-braaJJem, - - if- 134 . 24. 1 2 2. ■ Krabbe , ou Krabbe-pierre , XLVIII. 202. XXXII. 151. Stompneus, — - 27. I47. 4 - 28. Streepeling , XI. f 3 - XL. 3 i- 171. 147. T. *~YfiAfel-Kreeft, EcreviJfe commune, X Groote Tafel-Vtfch , XLVII. 1 9 f. XVII. 83. I. 1. 24. 141. Tamaota , — — Tan dock, — — - XXIV. 4 - I if. 23. IV. ïf- Tang-braaffem , V. ip. XV. 48 . Terbang Boudjou, — — 10. 44 . 4 - 2 f- ï 143. XXXIV. 1 1 7. Terkoekoe , < — — 1. XI. 54 - T , ~ «— — 3 1 - 170. I. 7 - ToElafe Moor , — — 30. 144 . Tomtombo doré , ‘Tomtombo , Petit Tomtombo, — Tontelton , — — Toutetou , — — ■ ■ - Mamel, » . - — . 7 o«a , — — Touring , - .1 ■ — Reeuw, mâle, O . - femelle , $ m . -■ de la Rique , m .... Efpece de Poupou , Troujfi, — - Troutoen , Turbot de l'ifle Maurice , . de la Cote de Poepoes , Turin Saratfe, Groote Tyger , le Grand Tigre, y. V Aandraager , VEnfeigne, Vlagman , l’Enfeigne , Vliegende Harder , Poijfon volant s ■ . 1 - 74 /c A , Scie volante , . - Zee Uyl, Hibou de Mer, Voorn de l'ifle Maurice , d'Amboine , w W. Aboulang, Poijfon d’ Argent , Wackum , Mare , Wajel Eyfer, ou Fer à gaufres , - Z. Z Ee-Draakje , Dragon de Mer , — Hat , - - ■ ■ ■ — Luys, Pou de Mer , — — Svoaluw , Hirondelle de Mer, - ■■■ - - — Wyf, Sirene, - - Zeyl-Vifch, Poijfon voilier , II. liii. ix. VI. XXVII. XXXII. 22. 33- if- 36. 4- 38. V. XXI. 7- r- I Z. XLI. if- XXXI. XIV. Si- lo. XXXV. ?r- 41. 9 - XIX. ^ 1 2 - 27. 32. XLII. XI. VIII. 23. XV. LVII. LIV. 4 - 227. 40. 24. 1 3 ï- 148. 122. 178. 8 f- 188. 24. 5 ipî- t !P4- 20 . I 03 . fl- 32 - 74 - 178. 88 . 145. 66 . 168. 67. 182 . 185. 20^. 62. 23- 72. 144. 174. 182. f2. 3 S. I2f. 4 p. 240. 2 3 3 - FIN DE LA TABLE. * iN # V. ✓ M \ - N -v s * - J v ' \ J ri ■ ' -x N • -, ‘ " ! \ ' / wÈ&jl^ :r " ■ '".tj J ' ssF.- '*^l Wê^^j '&& I : y^‘ .-'---- ' J££?*-':- ;.: ' ' '; - ■