ers ini mn ci stelle! TEE e se titia iei " ne arte id + QNM atuiiiin E H iini | INN m \ M \ uw ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ. TOMUS XLVIIL . VS. À / - HELSINGFORSIE. Ex officina typographica Societatis litterariæ graphica Societa fennicæ. MCMXX. TABLE DES ARTICLES CONTENUS DANS CE TOME. Recherches sur les mouvements propres des étoiles dans la zone photographique de Helsingfors, par RAGNAR Furumserm. I. Clichés de 9^ à 12h. Gleichzeitige Registrierung des Pulses bei zwei verschiedenen Arterien, von CARL TIGERSTEDT. (Aus dem physiologischen Institut der Universität Helsingfors.) Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels, von Yrsö Kasava. Mit 31 Abbildungen im Texte. Ein neues Manometer, von Cart, TraERsTEDT. (Aus dem physiologischen Institut der Universität Helsingfors.) Mieroplankton from the Finnish waters diae the month of May 1912, by CAROLINE LEERGAARD. Beiträge zur Kenntnis der Säugetiergametogenese, I. Die Spermatogenese von Mus silvaticus L., von Harry FEDERLEY. Mit einer Tafel und einer Textfigur. Über die numerische Ausführung der Uniformisierung, von P. J. MYRBERG. So an d BE nn Fee! + n" $ Pu -——. ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ TOM. XLVII. N:o 1. RECHERCHES SUR LES MOUVEMENTS PROPRES DES ETOILES DANS LA ZONE PHOTOGRAPHIQUE DE HELSINGFORS PAR RAGNAR FURUHJELM I EE > : Á Sg Cliches de 9^ à 12° EXE HELSINGFORS 1916, IERIE DE LA SOCIÉTÉ DE LITTÉRATU Préface. Les présentes recherches sur les mouvements propres des étoiles dans la zone photo- graphique de Helsingfors poursuivent un double but. D'une part mon intention a été de déterminer des valeurs des mouvements propres aussi exactes que possible, pour servir aux recherches purement astrométriques. D'autre part j'ai voulu recueillir des données statistiques pour servir de base à la discussion des nombreux problémes d'astronomie stellaire qui se rattachent étroitement aux lois de la distribution des mouvements propres en grandeur et en direction. Les matériaux d'observation recueillis auparavant se rapportent surtout aux étoiles les plus brillantes. Pour que lastronomie puisse se rapprocher de la solution des problémes si importants et intéressants relatifs à la constitution de l'univers et aux mouvements qui s'y accomplissent, il faut étendre considérablement nos connaissances relatives aux mouvements des étoiles plus faibles; et c'est à cet accroissement de nos connaissances que j'ai voulu appor- ter une contribution. La première partie traite de la determination des mouvements propres. Dans la seconde j'ai rassemblé les résultats que j'ai trouvés par une étude statistique des observations. Comme le premier tome du travail, celui ici publié, n'embrasse que le hui- tieme de la zone photographique de Helsingfors, mes conclusions ne peuvent bien entendu prétendre à une valeur générale, et, pour cette raison, je me suis borné à une étude assez courte des problèmes qui se posent. Si j'ai le temps et l'occasion de mener à bonne fin les recherches, j'espère pouvoir soumettre les problèmes en question à une discussion plus détaillée. | J'ai eu l'intention de remettre à une autre occasion l'étude de certaines questions qui sortent un peu de mon objet présent. Je signale ici spécialement une recherche que j'avais projetée sur les mouvements propres paralléles d'étoiles voisines. L'examen du catalogue des mouvements propres montre qu'il existe un grand nombre de semblables couples ou groupes d'étoiles. Je tiens à exprimer ici ma reconnaissance à l’ancien directeur de l'Observatoire de Helsingfors, le professeur AnDERS DONNER, pour la bienveillance avec laquelle il a mis à ma Roue Wırrına et Feux IvERSEN dont le concours ma été. précieux pour. d lecture pe épreuves et pour un certain nombre de calculs numériques. Enfin | je reconnais avec satis- faction le soin et lexactbude avec lesquels le docteur J. Porror - et Mme ELLEN. Wenns % ERS ont traduit du suédois le texte du travail. IRRE es has MET S Première partie. I. Introduction. 1. Origine du travail. Au Congrés du Comité permanent de la Carte du Ciel en 1909, M. A. Donxer proposa que les Observatoires participant à l'entreprise internationale et ayant déjà achevé leurs clichés du Catalogue, répétassent ces clichés afin de rendre possible une détermination des mouvements propres des étoiles. Le Congrés appuya la proposition en signalant l'intérét que présenterait une telle répétition. A lObservatoire de Helsingfors, on avait sujet d'attendre de trés bons résultats du travail ainsi projeté. La plupart des clichés du Catalogue de Helsingfors, étant pris de 1892 à 1896, se rapportaient à un intervalle de temps assez limité, offrant ainsi des matériaux trés homogènes. De plus, les époques des clichés étant si éloignées, les mouvements propres avaient déjà då atteindre des valeurs assez considérables. En prenant les clichés nouveaux par exemple de 1909 à 1913, on obtiendrait des intervalles de 17 ans en moyenne, tandis que l'intervalle de temps minimum fixé par: le Congrès n'était que de 10 ans. Une recherche de l’auteur en 1908 sur les mouvements propres dans une des régions de Helsingfors, photogra- phiée à deux époques séparées de 15 ans, autorisait à admettre qu'une telle reprise des clichés pouvait étre exploitée avec avantage. Ayant dressé un tableau des clichés du Catalogue, ordonnés d’apres les époques des poses, l'Observatoire commença le nouveau travail photographique pendant l'automne de 1909. Selon la résolution du Congrès, les plaques nouvelles furent faites autant que possible dans les mémes conditions que les anciennes. Pour neutraliser l'influence de ,l'erreur de l'angle horaire* les nouveaux clichés furent pris approximativement sous le méme angle horaire que ceux du Catalogue, la différence ne dépassant pas 20 minutes. D'ailleurs, on chercha à les prendre à la méme date de l'année que les anciens afin d'éliminer l'influence des paral- laxes: une différence de temps de plus d'un demi-mois est exceptionelle. Un point essentiel était que les images des étoiles fussent à peu prés de la méme grandeur sur les deux épreuves à comparer. Les plaques nouvelles étant plus sensibles que les anciennes, la durée des poses 6 RAGNAR FURUHJELM. fut un peu diminuée, de maniere cependant que le nombre des étoiles apparaissant ne fåt pas réduit. La durée des trois poses des clichés du Catalogue était de 7", 3" 30* et 22» ou de 6", 3" et 20% à la reprise elle fut en général de 5", 2" 30% et 17°, dans quelques cas parti- culiers de 6", 3m et 20°. Les plaques nouvelles, comme les anciennes de la maison ScHLEUSS- NER, furent développées tout comme celles-ci dans de l'oxalate de fer. — Étant destinées à servir seulement à des mesures relatives, les plaques de la nouvelle série ne furent pas pour- vues de réseau. L'essentiel de cette entreprise photographique était achevé au printemps de 1913; il ne restait qu'un petit nombre de clichés à prendre l'automne et l'hiver suivants. Pour la comparaison des deux séries de clichés, un stéréocomparateur, muni d'un microscope monoculaire („blink“-microscope), avait été commandé en 1909 à la maison Zeiss à Iena; il fut effectué en septembre 1912. L'instrument, du modèle B, étant décrit en detail dans les catalogues de la maison Zeiss, je ne m'y arrête pas. L'instrument monté, j'essayai aussitót quelques observations avec le mieroscope monoculaire afin de constater la certitude avec laquelle pouvaient étre découverts les mouvements propres, ainsi que la précision qu'on pouvait atteindre en les mesurant. Il en résulta que, les deux clichés à comparer bien orientés entre eux, un examen méme rapide des plaques permet la découverte d'un déplacement d'une seconde d’arc et que, par suite, en prenant un intervalle des 17 ans, des mouvements propres annuels de 0”.06 sont faciles à observer. Quelques mesures préliminaires montrérent que . l'erreur probable d'un mouvement propre annuel (en « ou 9), calculée à l'aide de deux paires de clichés, ne dépasse pas en général + 0".010. En ce qui concerne l'utilité du microscope monoculaire, j'aboutis donc à des résultats favorables, semblables à ceux qu'ont obtenu, entre, autres, MM. van MaawEN et INNES. 2. Plan du travail. Vu les bons résultats qu'avaient donnés les observations préli- minaires, je résolus d'entreprendre la détermination de tous les mouvements propres de la zone de Helsingfors, qui pouvaient étre constatés immédiatement par un examen rapide des clichés. Je commencai par l'étude des régions dont les centres sont situés entre 9^ et 12^ de l'ascension droite, et dont les coordonnées rectilignes et équatoriales pour le Catalogue avaient été publiées en premier lieu.* Le présent mémoire contient les déterminations des mouve- ments propres pour cette partie de la zone; j'ai l'intention de poursuivre le travail dans l'ordre suivi par la publication des positions du Catalogue. 3. Methode pour reconnaitre les étoiles à mouvement propre sensible. On appellera par la suite A les clichés du Catalogue proprement dit, B les clichés nouveaux. Voiei comment furent reconnues les étoiles à mouvement propre sensible. Une plaque A fut placée dans la case droite du stéréocomparateur, la plaque corres- pondante B dans la case gauche. A l'aide dela vis de précision que posséde la lame gauche de l'instrument, la plaque B fut orientée avec exactitude relativement à A. La différence dans l'échelle des deux séries de clichés est si peu considérable qu'on peut, au moins dans une grande partie de la région, amener les images correspondantes des deux clichés à se confondre + Catalogue pholographique- du ciel. Zone de Helsingfors. "Tome IV, 1903. Tom. XLVIIIL. x > Reeherehes sur les mowvements propres dans la zone de Helsingfors. 7 simultanément. L'orientation faite, la région fut étudiée quant à chaque étoile à l'aide d'une carte dressée pour les mesures du Catalogue. Les numéros de toutes les étoiles pour lesquel- les un déplacement sensible pouvait étre constaté, ainsi que ceux des étoiles pour lesquelles on ne faisait que soupconner un mouvement propre, furent enregistrés dans un tableau provi- soire, ceux-ci suivis d'un point d'interrogation. Toutes les régions appartenant au Tome IV des publications de l'Observatoire, ainsi que quelques autres, couvrant celles-là en partie, furent parcourues de cette manière. Puis les étoiles à mesurer furent définitivement annotées selon le procédé suivant. Chaque région particulière fut, quant aux résultats de l'examen mentionné, comparée à l'aide des cartes avec les régions contigués la couvrant partiellement. * "Toutes les étoiles pour lesquelles un déplacement sür avait été constaté, furent désignées pour étre mesurées. Les étoiles dont les numéros étaient suivis d'un 7, furent annotées seulement dans le cas où elles entraient au moins dans deux tableaux provisoires. Une exception ne fut faite que pour les régions marginales aux centres situés à 40° et 46° de déclinaison, où, dans les parties non couvertes par les régions avoisinantes, les étoiles désignées par un numéro suivi d'un ?, furent aussi annotées. IT: el L Les mesures et leur réduction. 1. Méthode de mesure. Les mesures furent exécutées selon la méthode suivante. . Tout comme à l'examen des plaques, le cliché A fut placé dans la case droite, B dans la case gauche du stéréocomparateur, de manière que la direction x fût horizontale. A l'aide des fils verticaux du microscope, l'un fixe, l'autre mobile, les traits verticaux du cliché A furent orien- tés dans le sens exact du mouvement du microscope. Cela fait, le cliché B fut orienté rela- tivement à À, en même temps que les images correspondantes des deux clichés furent amenées a se confondre à peu près. Alors, les différences en x furent mesurées pour toutes les étoiles qui figurent dans le tableau définitif des mouvements propres, ainsi que pour quelques étoiles de comparaison. Pour chaque étoile, l'image de la plus longue pose sur le cliché A fut pointée par trois fois avec le fil vertical mobile. La moyenne des lectures respectives, faites sur la téte de la vis, fut annotée; elle est par la suite nommé a. Immédiatemant aprés, l'image correspondante de D fut visée de la méme manière: la moyenne est ici nommée b,. — Quant aux deux autres images, la troisieme, de la plus courte pose, n'apparait sur les clichés que pour les étoiles les plus lumineuses, et la deuxième est extrémement diffuse pour les étoiles les plus faibles; elles ne furent pas mesurées. Cette mesure n'aurait d’ailleurs fait que retarder considérablement le travail sans étre d'une utilité équivalente. Les étoiles de comparaison, destinées à la détermination des constantes des clichés, furent choisies parmi les étoiles faibles n'ayant pas montré de déplacement sensible à l'exa- * Quant à la situation réciproque des régions de la zone de Helsingfors voir la dissertation de lauteur: Sur la précision des determinations photographiques des position des étoiles. H:fors 1906, N:o 1. 8 RAGNAR FURUHJELM. men préliminaire des clichés. Dans chaque quadrant de la région j'en choisis deux, en tout done huit. S'il résultait pour quelque étoile un écart trop grand des autres différences, cette étoile fut remplacée par une autre. Pour rendre possible une réduction au mouvement propre absolu, je mesurai encore les differences pour les étoiles appartenant au Preliminary General Catalogue de Boss. Les differences de la coordonnée x mesurées, les deux cases furent tournées d'un angle de 90°. Maintenant les différences en y furent mesurées de la méme maniere que celles en x. Pour la mesure des deux coordonnées dans l'autre position, différente de la premiere de 180°, les cases furent encore tournées deux fois successivement d'un angle de 90°. Les moyennes des lectures faites dans ces positions sont appelées a, resp. ba. Les mesures, commencees en aoüt 1913, furent toutes effectuées par l'auteur et durerent, avec quelques pauses, jusqu'en juillet 1915. 2. Détermination de la valeur d'un tour de vis et des erreurs de la vis. Des deux vis . du micrométre double du „blink“-mieroscope, l'une seulement fut employée. La tete en est divisée en deuxcentiémes, qui à la mesure furent lus à un dizieme prés. Pour la détermina- tion de la valeur d'un tour de la vis je mesurai la distance de deux traits du réseau en diffé- rentes parties d'un cliché. Des douze séries de mesures effectuées il résulta une moyenne de 14 — 0.200056 mm. A l'exception d'un seul cas les déplacements sont < 0.3 mm, ou; I mm du cliché répondant à 1', — 0'3. Dans cette recherche on pourra donc en général écrire 14 — 0.2 mm; 1» — 0.001 mm, car l'erreur commise ne dépasse pas 07.08 — 0”.005, étant bien d'ordinaire considérablement plus petite, et pourra par conséquent être négligée. Les erreurs périodiques de la vis furent déterminées par la mesure de deux distances, l'une d'environ 0725, l’autre de 0750. Partant des lectures 07.00, 0/05, 0£10 .,.. je fis chaque fois aux deux bouts de la distance mesurée 6 à 7 pointages. Une série de mesures de 07.0 à 07.5 ou bien de 07 à 17 effectuée, je la refis immédiatement dans le sens inverse. De douze séries de mesures il résulta pour les constantes de l'expression c, sm w--f, cos u+ e, sin 2u + ß, cos 2u les valeurs suivantes: c, = — 07.14 + 0.05 B, = 0.17 + 0.05 & — — 0P.09 + 0.04 4 B, = — 02.03 + 0.04. Il est évident que les constantes «, et 8, peuvent être négligées. Quant aux termes contenant e, et ß,, leur influence sur le déplacement d'une étoile atteint seulement dans quelques cas i OR 0.024, Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. m Les erreurs périodiques sont cependant partiellement. éliminées en formant la moyenne des distances mesurées dans les deux positions des clichés. Il n'arrive donc que trés rarement que leur influence monte à plus de 022 = -1- 07.012, Étant donné comme iei un intervalle de temps de 18 ans en moyenne, cela fait pour le mouvement propre annuel une quantité trés petite, + 0".0007, tombant beaucoup en deçà des limites des erreurs de mesure. Je n'ai done pas trouvé l'application des corrections d'erreurs périodiques d'une utilité correspondant à l'augmentation de travail qu'elle causerait, et je les ai par conséquent négligées. Les déplacements des étoiles étant — 0.3 mm, je n'ai employé en général que deux tours de la vis. Il est par suite évident à priori que les erreurs progressives jouent un rôle très peu important. La mesure des intervalles de 1, respectivement 5 révolutions montra qu'en effet l'influence desdites erreurs était tout au plus = + 0.1 et par suite négligeable. 3. Dépendance de la valeur d'un tour de la vis de la mise au point du microscope; l'influence des variations de température sur les mesures. J'étudiai la relation de la valeur d'un tour de la vis à la mise au point plus ou moins exacte du microscope en mesurant le méme intervalle de réseau par des mises au point quelque peu divergentes. Le plus grand écart de la valeur 17 — 0.2 min ainsi obtenu était de 0.000304, correspondant, pour une différence de 0.3 mm, à 07.46 — 0".028, ce qui fait dans le mouve- ment propre annuel 0".0016, quantité pas tout-à-fait négligeable. Il est cependant à remarquer que eette valeur maximum du ,run* n'est atteinte que trés rarement, la mise au point étant en général trés exacte. De plus, l'erreur en question est en partie éliminée vu ques la mise au point fut faite séparément pour chaque position des clichés. La plupart des déplacements étant d'ailleurs < 0.15 mm, on voit que dans cette recherche le „run“ peut étre admis — 0, ce qui évite une mesure assez pénible pour chaque région et différents intervalles de réseau. à Afin de diminuer, autant que possible, l'influence des variations de température, les mesures furent effectuées sans discontinuation pour la même position des clichés. La région examinée, les images pointées en premier lieu furent souvent mesurées de nouveau pour consta- ter si les différences b, —«, ou «,— b, avaient changé. En quelques cas de petits écarts se présentérent. Mais, comme ils allaient toujours dans le méme sens, je pouvais, en grande partie, éliminer linfluence des variations de température en parcourant la région dans le méme ordre pour les deux positions séparées de 180°. Pour le prouver, j'attribue par exemple à la différence b, — a,, mesurée la derniére, une erreur &, de sorte que d —b,— a— &, N:o |, 10 RAGNAR FURUHJELM, d représentant Ja valeur juste. Pour la seconde position on obtient — d = b, — d Si s, est presque égal à &,, „lerreur de température“ est presque éliminée dans la moyenne. Je suis persuadé que cette erreur a trés peu influencé les mesures, ce qui ressort d'ailleurs de la bonne concordance des résultats obtenus pour les deux positions différentes des clichés. 4. Calcul des constantes du cliché B par rapport au cliché A. Des différences mesu- rées, by — d, et d, — b,, en x et en y, il faut calculer les quantités {x et Ay, c. à d. les déplacements le long des axes des coordonnées du cliché A. Pour ce calcul on a besoin des constantes du cliché PB relativement à 4. Ces constantes furent déterminées à l’aide des 8 étoles de comparaison, dont les mouvements propres étaient admis — 0. Je ne considérai que les termes du premier ordre par rapport à x et à y. L'addition des termes du second ordre aurait beaucoup augmenté le travail de caleul sans améliorer sensiblement les résultats. A ce sujet je renvoie à un mémoire de M. STRÖMGREN, * ou il montre comment, en prenant en considération les termes du second ordre dans les déterminations photographiques de paral- laxes, on n'obtient pas de résultats sensiblement plus exacts que ceux obtenus en négligeant ces termes. En employant un „blink“-microscope on doit, il est vrai, tenir compte d'une source d'erreurs qui n'existe point pour la mesure habituelle de clichés photographiques. Il faut en effet remarquer que les deux clichés peuvent avoir une inclinaison lun sur lautre ainsi que sur le sens de mouvement des cases, ce qui causerait l'apparition de termes du second ordre par rapport à x et à y. Cette source d'erreurs se montra cependant peu impor- tante, l'exactitude de la mise au -point du microscope ne changeant en général pas avec la progression des mesures d'un cóté du cliché à l'autre. J'estime done amplement autorisée l’omission de ces termes. Restent trois constantes; ce sont: 1:0) la correction relative de zéro, k; 2:0) la constante p. agissant en x proportionellement à x et en y proportionellement à 7, la ,constante relative d'échelle“; 3:0) la constante y, agissant en x proportionellement à y et en y proportionelle- ment à — x, la ,constante relative d'orientation.* Je determinai toutes ces constantes séparé- ment pour x et y, afin de rendre les résultats pour les deux coordonnées absolument indépen- dants les uns des autres. Les constantes furent aussi calculées à part pour les deux positions différentes; je fus ainsi à méme de comparer les deux mesures et de corriger des erreurs possibles. Chaque étoile de comparaison donne, par exemple pour la différence en x dans la position I, une équation de condition de la forme: ke + Dr LX SF Ve Y + b, — ay; = 0. Les trois constantes doivent donc étre déterminées de 8 équations semblables. Celles-ci furent résolues, non par la méthode des moindres carrés, mais selon un procédé plus simple. En réunissant les équations pour les deux étoiles du méme quadrant, j'obtins les quatre équa- * ELIS STRÖMGREN: Parallaxen der „Selected Areas“. Astron. Nachr. N:o 4801. 'Tom. XLVHI. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 11 tions suivantes, où |x| et |y| désignent les valeurs absolues des coordonnées et les indices se rapportent aux quadrants: 1) 2k, + p ZE | Ch E rX|yad-X(5.—2a)-—0, (1) 2) 2k, + pr Z|v|; —r.X|y| + X(b — m. = 9, 8) 2£, — p. Z|z|s + re Z |y la + X (dy — a3) = 0, 4) 92k, — p, X|z|—*7.X|yh-FX(by— a4 = 0. De celles-ci furent déduites les égalités: 1) + 2) + 3) +4) — 0, (IT) 1) + 2) — [3) + 4] — 6, 1) + 3) — [2) + 4)] — 0. La constante k, étant éliminée dans les deux équations derniéres, p, et r, furent dédui- tes de celles-ci, aprés quoi k, fut caleulée de la premiere équation. Si les sommes Z|zl.,X|si-.:-.-. respectivement |yl, 2|Y 2... ... sont égales, les équations (Il) sont les mémes qu'on obtiendrait selon la méthode des moindres carrés. Les étoiles de comparaison étant choisies de maniére que ces sommes fussent presque égales, les résultats des déterminations des constantes ne doivent en effet pas s'écarter beaucoup de ceux que donnerait la méthode des moindres carrés, ce que prouve aussi l'examen de quel- ques cas extrémes. La méthode expliquée ci-dessus menant beaucoup plus vite au but, je l'ai préférée au procédé habituel. Une méthode semblable, indiquée par M. Donner, est d'ailleurs : depuis longtemps suivie pour le calcul des constantes des clichés du Catalogue proprement dit. Les quantités 4 x et {y pour les étoiles à mouvement propre furent enfin détermi- nées pour les deux positions d'équations de la forme kx + Px XL + ry + hi — 0 = A L "E kot pt + ray a—b0— dx ky + pu y — ry & + bi — a. = 4 y, ky p'yg — vy d dea. — by = A y. II. Résultats des mesures. Les résultats des mesures sont donnés dans le tableau suivant. Pour chaque région, on trouve d'abord les époques des deux clichés, Æ et E’, et l'intervalle de temps, 7. Suivent les constantes, les valeurs accentuées se rapportant à la position II. Le tableau est, pour chaque région, partagé en deux parties par une ligne horizontale épaisse; au dessus de celle-ci se trouvent les dates des étoiles à mouvement propre, au dessous celles des étoiles de comparaison. Les colonnes du tableau donnent: 1:0) les numéros des étoiles selon le Catalogue photographique du ciel, Zone de Helsing- fors T. IV; 2:0 et 3:0) les valeurs approximatives des coordonnées x et y en mm selon le cliché A; N:o 1. 12 RAGNAR FURUHJELM. 4:0) les grandeurs des étoiles de comparaison selon le Catalogue photographique, les grandeurs des étoiles à mouvement propre se trouvant par la suite dans le „Catalogue gom 5:0) et 6:0) les différences b, — a et a, — b, en x; unité 0.01 mm; 7:0) et 8:0) les mêmes quantités en y; 9:0) et 10:0) les moyennes de 4 x et 4 y, résultant des mesures d les deux positions, pour les étoiles à mouvement propre; unité 0.01 mm. Tableau I. Résultats des mesures. Diff. en x i [ Diff. en y | NEO V y Gr. Unité 0.01 mm >> U nite 0.01 mm 4x | Ay en mm en mm ba | ,-b | b, —a, | ,—b, Région 379. E — 1893.28; E' — 1912.29; T — 19.00. ky = — 0.51; px = + 0.0075; r, = + 0.0048; k', = + 2.45; p', = + 0.0168; r', — + 0.0575. ky = + 0.32; py = + 0.0111; ry = + 0.0027; k', = + 1.53; p'y = + 0.0158; v^, = + 0.0044. 2 | — 62.1 | 428.2 = — 2.00 | —15.58. | 1.34 | 2,72 | — 9,70 | 2087 13. — 548 |. 46,5. | i — 0.98 | — 3.37 | —3.04| —424| —1.66, — 9.34 TAN N SE al MEO BUM (MGR = 1.56: — 1.55. |; — 0.08. »— 1,90.| — 2.08 ESO DIN ENT ae BIS ee in 40, |.— 25.3 | +#56.6 = +5.17 | — 0.58 | —3.94 | —5.66| —+4.71 | — 2.94 49. 22-9916 1% 60:0 _ 2339 Er 61201102" 9.14.] 502—707 m pt vr EG, = ph 91.30 | 24.07). 40) 2 1290 ES 56 — 20.0 | 62.3 = +3.80 | +461 |--—143 | —2.58| +2,94 | 176, TR EG oe) = — 0.05. 1:94 |'%.8.06 | — 9.89 1% — 0:61 0 2800 124 85:800 26,7 = — 9,91 |, mau 092.17 — c5 9:08 ne 66 | —15.0 | —40 e +2.86 | +1.08 | —1.09 | — 2.83| +2:61 | — 0.94 67. 1014,95 rome STO = 4: 4,27 11.52.0919 1.134 3 9:38) | aa 6971-129 | 476 == 40.59 ‚|. +4 0.32 | 14.99 ME 16.30|. 0.22. 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Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors, c N:o en mm y en mm ky, = + 0.70; px = + 0.0220; r, ky = — 3-88; Py = + 0.0291; ry = ea MES M åk 3350 0 593... 1.2 — 38.8 — 73 + 12.4 + 0.8 — 78 +15.3 | + 32.3 = 79 + 16.5 + 31.6 — 81 + 16.1 + 14.8 — 116 + 49.0 | — 49.6 — 125 + 57.7 | — 4.8 | — 127 462.1. | "186 2 15 | —36.0 +392 | 9.8 93.| —28.4 | +416 | 94 34 | —900 | 1333 À | 90 308." 194 | L38900-| | io 16. NC A181 | 4432 | 1088 T | +16.7 | 4386 | 104 84 | 422.5 | 4-40.3 9.0 94 | 29.8 | —44.7 | 103 100 | +31.5 | —26.8]| 10.6 : ' — pitt. en x Unité 0.01 mm ea at, 5, — 0, Région 380. E — 1893.29; E' —1913.25; T — 19.96. Region 381. 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E = 1893.26; E' — 1911.26; T = 18.00. 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N:o GL 1 nité 0.01 mm j Unité 0.01 mm vim Ay | en mm en mmni b EU | ES b b MS b Tape 1514 KR OR lx: jue os 1,130. 22409 | Eee — | — 5.35 1, — 2.97 | — 10.33 | — 0.25 | — 3.14 | — 2.57 | 140 + 56.9 | + 11.7 F 1.17 |! + 3.15 | — 10.20 | + 0.50 | + 3.15 | — 1.83 — — 88.3 + 34.8 | | — 0.57 1.4- 8.24 | +3.46 | +5.13 | — 0.16 | + 1.11 32 — 36.3 — 21.3 10.5 4.39 + 3.00 + 3.21 + 4.61 — — 42 — 30.4 | — 19.8 9.2 T 2.72. +2.10 | +2.69 | + 4.67 = = 47 — 27.9 | + 30.2 | 9.6 — 0.51 + 3.12 | -- 1.68 | +4.19 —..ı — 48 — 29.5 | + 28.0 | 10.5 — 0.79 | +2.97 | +1.51 | + 3.77 Lv — 115 4-97.9 | 4:28.83 | 10,9 — 2.07 + 1.06 | — 5.60 | + 2.18 — — | 118 + 34.4 | — 20.8 | 10.1 + 1.39 | + 0.38 | — 5.21 | + 2.91 = — | 119 + 30.5 | — 30.8 10.9 + 1.42 | + 0.05 — — — DS AT RSR ee slide: rue Bees cw ud Sr utei cul ee er 135 + 47.1 | — 25.1 8.9 — — — B.54 | + 4.04 — — Région 380. BESS MOTA" TÖS — TOT | k = = 0.34; px = + 0.0262; 7; = + 0.0270; kx = — 0.61; 9, = + 0.0248; 75 — — 0.0636. ky = — 0.83; py = + 0.0084; ry = + 0.0194; k^, = + 1.85; p'y = + 0.0068; r', = + 0.0286. 18 — 54.4 | —231| — + 0.77 | —10.93 | — 1.91 | — 4.39 | — 1.52 | — 1.75 49 — 15.8 | — 58.8 | — 0.59 | 5,63 | (1:32:94. 45:09:48 |, — 291 | 428.60 58 — 54 | +40.0 | — — 3.27 | +0.60 | — 5.90 | — 8.76 | — 2.67 | — 6,64 62. | — 7.3 | | — 11.1 — + 1.69 | +0.23| — 0.52 | — 2.58 | + 0.61 | — 1:24 95 | + 26.7 | + 25.9 — — 0I7R!) 2.13 | +1.07 | —0.79 | +0.26 | — 0.04 ..98 |. +28.5 | — 17.6 | — — 0.58 | — 1.43, — 1.53 ! — 3.65 | — 0:43 | — 3.15 117 + 43.4 | — 13.8 — — 2.50 | —3.30 | +18 | +0.41 | —2.01| + 0.26 12 + 57.5 | +43.0 | — — 3.75 | +1.04 | — 0.32 | — 1.67 | — 1.14 | — 1.79 135 + 60.6 | — 24.6 — — 1.14 | —1.33 | + 0.01 | — 1.59 | + 0.28 | — 2-17 20 | —48.6 | 4-35.6 9:5 | «5: 0:075 --5:8:38 | 10,087. — 2:69 Æ er 22 — 45.5 | + 31.2 10.3 +1.07 | +415 | — 0.08 | — 2.99 —= = 34 — 33.4 | — 31.5 9.8 +492 4, — 0.99 | + 0.82 — 1.63 = = 35 — 30.6 | — 43.3 10.6 | + 2.82 | — 0.71 | +0.27 | — 2.58 = — 107 7, 838.5 | 88.8 9.3 — Bm) = 2.630| 021.505) 7 — 10.54 = = 112 | +38.6 | — 39.7 10.6 — 0.27 | —1.77 | +1.84 | + 0.48 — = 121 | + 46.7 | +'86.2 | 9.6 — 1.77 | +1.19 |.-- 1.28 | — 0.38 — = 127 + 52.7 | — 26.6 9.6 — 0.01 | — 3.75 | + 2.12 | --. 0.05 = m Région 387. E = 1893.22; E' — 1913.19; T = 19.97. k, = — 0.85; p, = + 0.0349; r, = — 0.0043; k', = — 3.34; p'x = + 0.0312; rx — + 0.0570. ky = — 8.03; p, = + 0.0324; r, = — 0.1698; k'y = — 0.77; p'y = + 0.0310; 1', — — 0.0954. 46 ME 0 OR — — 1.41 | + 3.42 | + 13.85 | + 5.12 | —1.99 | + 4.01 a 2.9 11 — 46.6 = — 0.60 | +4.63 | + 7.88 MT 0.45 | —1.40 | — 2.26 872 REPAS ate pal — + 4.34 | +5.54 | — 0.38 | — 2.65 | +3.98 | — 4.59 69 ad Erf rra Tee — 4,82 | — 0.85 | —0.74 | —3.22 | — 4.79 m 6.26 93 +, 60.8 |; 087 — — 0.71 | +1.19 | —7.66 | +2.70 | + 0.38 | — 4.34 Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 17 Diff. en x Diff. en y % y 4 Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm N:o Gr. Re AT. ar Ax AY en mm | en mm m ND D jura b, — d, | Ga — bg 1 — 4 | ag — Då 6 — 51.1 + 48.7 8.8 +3.05 | + 2.76 | + 16.05 — 4,84 — c 11 — 47.5 + 26.7 10.1 + 2.92 + 3.19 | + 14.73 | — 5.03 — — 21 — 38.5 | — 39.9 10.5 +1.66 | + 6.16 | + 15.20 — 1.86 — — 23 — 38.1 — 53.2 D? + 1.78 | + 7.72 | + 16.46 — 1.35 — | — 82 + 41.1 , + 47.0 9.6 — 0.70 | —1.00 | — 0.63 + 3.35 = | — 86 + 42.6 | — 36.2 9.3 — 1.01 | 4-3.74 + 2.30 + 6.09 MI — 87 + 47.6 | + 24.6 10.1 — 0.91 +0.33 | —1.13 + 4.12 — | — 89 + 47.8 | — 35.1 9.2 — 0.2: +4,68 | +1.16 | + 6.62 — — Région 388. ERS IS DS TE es UG pn DENT "98 ky = — 1.47; px = + 0.0064; r, = + 0.0254; ki — 0.22; p'x = + 0.0166; 7, = + 0.0113. ky = + 2.81; py = + 0.0077; ry = + 0.0010; k', = + 0.01; p'y = + 0.0060; 7, = + 0.0414. 5 — 60.9 | — 49.4 -—— -- 149 | --0.72 | —1,90.1,— 2.30 | — 1.49 | + 0.26 10 — 50.7 | — 4.9 — — 3.11 | —3.83 | — 9.48 |. — 8.75 | — 4.98 | — 6.66 14 — 46.6 | — 13.8 — — 0.87 | — 1:91 — 4.21 | — 3.65 — 8.02 — 1.62 28 — 30.0 | —22.1 — + 0.22 | — 0.34 | — 4.48 | —2.59 | — 1.65 | — 1.64 32 — 21.9 | — 7.7 — + 0.56 | +1.77 | — 5.42 — 3.66 | —1.38 | — 2.72 38 — 15.8 | + 28.4 — +2.32 | — 0.84 | — 12.03 | — 10.25 | + 1.54 | — 9.2 40 —17.2 | —24.2 -—- 10:09 | —1.44 | |— 1.55 | —0:08. | — 2.25 | -- 0:81 51 — 3.3 | + 27.7 — -—1.:07 | =1.91 | .— 1.14 | +1,35 | —216 | +1.77 55 — 19| + 3.3 -— — 0.39 | —1.36 || — 5.43 | —3.24 | — 1.68 | — 3.01 65 + 13 | — 30.3 — 40.58 | —1.83 | — 2.67 | — 0.49 | — 1.76'| — 0.40 -— —44.8 | +54.4 — —10.22 | — 0.12 | — 6.20 | — 6.82 | — 0.53 | — 3.18 8 | —53.6 | 4- 56.6 97 | —0.02 | 40.58 | —2.93 | — 1:62 er TN 9.| 82.1 4398.6 au Peer" | 89:03! | 155 3.51. |1 20841 |. a an 38/1 499 Li Sara ge | 1-123841 rs || 2:87 |. 21:96 ER. uM 25 a as Cae |. 23:90 | 4:29 | 295 | — 4338 |" 1-5 TY 82 | 42721 +328 9.8 | 20.57 | —0.48 | 1— 2.59 | 4- 1.23 er e 92 | +37.7 | 422.8 |. 10.6 | +133 | — 0.16 | —3.33 | + 0.07 DN iv B^ (9s a5. 1.43 qe 1| 11659 | 20462: [1 9.86. | -+.1489 eC "a 103 | +51.3 | — 33.2 92 | 1:87 | 0:29 | 2.16 | + 2:67 2 m Région 389. m 1893278 — 19112671 7.99. ky = + 2.82; px = + 0.0162; 7, = + 0.0557; k', = + 1.87; P'x = + 0.0043; rx = + 0.0599. k y — — 0.98; py = — 0.0002; ry = + 0.0303; k', = — 1.99; p'y = — 0.0019; 1^, = — 0.0310. 4 —Bx.0|/— 45.8 eer À Don] Var. + 2.76 | — 1.09 | 0.74 Boa qim dq je Ns 11:4 091::3-0:08/)1 838:54.] 72:00 | 0:21: 82 | — 76! 4425 | — | —878| —338 | +1.02 | +1,97 | +116 | — 0.04 45 | — 28| —396 | — |—596| 204! —153 | +0.15 | —342 | — 2.03 4d. oe HESS. T. [59e | 1-E2:44. |--B8335. | [— 0:87 | 13202 pj AT | 2 bal ues. [X480 |: 0-2 .[]-46095 | 5160 | |—0.04. | 2142 | 20:73 rt RAGNAR FURUHJELM. | Diff. en z Diff. en y T y Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm ; N:o Gr. 4x Ay en mm en mm b HG a 3, b en | a —b 1 1 2 2 1 a 2 | | | Bo: | I Asus SC, CEE Ne) A a a | = 303 ML 88 | #627 | 17950 -— 496" 13:53 | ++ 2418 | 2007| 5 1.2301 140/37 91 | +56.0 | —39.9 2 2597| 080 | |—1:84 | 405 | 2097| 436 Pa A “04 0) Re bp nn n > T0 [1749.0 | 9455/9 |; 10.4 2.1 SON 0:38 1| Lone ESS = m 10.1 259310. ne > OBEN E99 vem REINES = I yT 5| (2299.5. Rab. MO ANT RE | SGA LEE 2 — 63 | 428. | 4423 | 109 | 50-205 | +280 71.68 — ar 75. | 44.34 2298,01 510.211 24594 52 Sog 2207 ESO = = 18.17 449100 — 31.9, | 30:9 | add ar; 10:74 = az 87 \.-250,8| 459 8.8 |. 26) 7 0:01°| 29104 7| 0,04 ex = Region 3%. E = 1893.19; E' = 1911.21; T = 18.02 ky. = + 1.04; p, = — 0.0165; r, = + 0.0137; kx = + 0.42; ps = — 0.0129; 7’. — — 0.0089. ky = + 3.41; py = 0.0008; .r, = + 0.0751; Ky = — 0:20; p', = + 0.0028; ry — — 0.0885. 13 1-5850:8 11-5394 - — 4.729881 3759, | 2.706 DES ST | PETI 5.2499 3 | 1-968977 = 4760 120494 5- 3575. | 4081) 1-539189 £1 nn 6) 269.1 | [-C 33: ud 974 | os | 1— 8:7 | "as | — 97107 1550909 1993. 238,0: 1-370 = 2580-11 426] 12.03 | 24:02). 3387| -— 5158 38% | 980.9 | 284.2 £4 2297: anal) 455b. | 129055. ro Sen 16: 00:8. ELA TEE ti 29.09 | 035 | 1— 4:09 | 12018 | 210.64 | NEA 84 Ota] er Gr tp Ig]d99. 213.35 | T5316: | —Wh 63. | SOR SH des LIOS zl —5109- «—556!| 124208 |. 59159, | - Mor raum 951 PEE S ees ALS E —:0.08-|. 0.08 1 1-1.97:| 1— 24290: |: *: 13023 3:7] 23053 101 | +29.6 | 2548 12,88 | 44495 | {291 | 29/23 | 193 | 60 xo eas Ban a —481 | —5:00 | —8.11 | —7.95°| — 4:73 | — 7.15 104- | 7.368 | 1-991 7 == E884 Ha | 205. | 87) Fa | TE 13141254627 | 12548 = 220631) -50./30/| men | as, 928 ut 9-| 502 | 2983| on | 12674 81 | 89. | ^92 c: — a Abe. EES 981 Zora 121780: TRA Te — 19 | — 469 | — 49.1 9.2 —145 | —*1.55 | — 6185 | —+1.59 Ken — Se gar ee, 30:0. t] NE OS Ele - ER TO 249 wma 96 ‘20 74 1509s] ON OT el A 1 108 |, 149.8 102820 9.3 | 007 | 3-044] 06a | pa iu = 110724840193 | 10:8 | COPAIN) EE 0405| 1864 = = SEL AS AU) 9819 | 100 +0 4112016) 20.311 — 0:86 = = Région 391. E = 1893.22; E' = 1911.24; T = 18.02. ky = — 1.23; p, = + 0.0103; r, = — 0.0356; K', — + 0.45; p'x = + 0.0170; 7", = + 0.0989. ky = + 0.26; py = + 0.0165; ry = + 0.0938; k', = + 0.06; p', = + 0.0139; r^, = — 0.0331. 9% 53.3 en 2 2 +240 | —3.82 | —5.63 | +1.22 | — 1.02 |. 0:03 31 | — 85.5 | 242.0 2 + 2.83 |- 46:63 |. — 6.10 | 145 | 263 | 817 Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors: 19 A à Diff. en x cC DN ueri. v. geo No Arn [M ar Unité 0 01 mm M E nité 0.01 mm : FE. 1y ra daj Da, | ag — då | 76 | Före 50 | — — | Lan HB | —59728/| .—:3300 | —8:4 | 4:79) | lad. | E:223 = 422.40. +3.38:| + 0.15 | — 3:34 | +#2103-| — 123 da. aan He) ! = 4-3.96 | —5.06 | +4.47 | —025 | +118 | + 1:91 108, 1 5806. | [53768 | à: +1,46 | --441| + 3.97 | —2.08 | --2:05 | — 1.00 108 | #568 | +27.3 LAN HESS —35339 | 418 | —2:0 | —087.|'—0:39 16 | —46,7 | +36.9 | 10.5 | +3.32 | —3.09 | —5.45 | 4- 1.28 EX oh 30-| —38:6 | 1336 | 113 | 40.62 | #3.74 | —-3.16 | +162 = 2 Sos at uade, (10.8 «| H323,39/| —13.08:| L-3.84 |: 4410091 = = 40-| = 27.5 | = 52.9 8.38 | = 0.50 | +4.80 | —1.46 | +1.75 = = I 790 17-4295 | 44398 | 164 +186 —5.37 | +2.44 | — 1.16 — — 91 | +27.6 | --25:9 9.4. |. 139.49. 8,24 | 4.1.97 | 167 5 = (NIET NS 9.6: | —0.34 | +3,78. |: 3.88 | 0:35 2. pr 104 | +40.8 | — 46,9 93.1324. H3,30.|| 1:73.30 | 365 = + Région 392. E = 1893.26; E' — 1913.23; T — 19.97. k, = + 2.08; p, = + 0.0312; r, = + 0.0056; k', = + 0.98; p', = + 0.0436; 1', = + 0.0635. ky = — 0.69; p, = + 0.0043; ry, = + 0.0198; K^, = + 0.93; p', = + 0.0154; r', = + 0.0085. Br 256.10 21.1 — SINGS UN Seal ELA 4.98 15.311 — 3.42 an 49.5, net, — SETTE S [ue RSR A | STL REPAR, a T D ET pr = 20 A TES RE ARC ze op at re u 291509032069 Be GIG W S995 DATO 105 | +44.4 | — 3618 EE —92.20 | +0.66 | +2.51 | +0:84 | +115 | + 0.80 115 | +584 | +13.8 EE — 3.12 | —3.23 | —3.88 | —5.86 | +1.02 | —5.44 — | --22:0 | —43:4 zz — 2,61 | 4-1.10 | -- 1.97 | +0,41 | +0.10 | + 0:56 - | | q* | —w89 | —32^* | 10:5 | —0.77 | 4-2:86 + 0.17 | — 0:65 LE = 43505949007 |. ae OT 085 To] 30.92 || — 2,86 = — D Be | altes | Ema] —142-| 19:2. |: —' 1999 E = Ba on dns 9:9 | 2.0.33 | 143.99 — == = = 37T |—19.1 | —1876-| . 1015 =" = + 0.41 | — 0.25 2 - 101 743.3 | hX390-| "Xon | L32:885| —sw58-| ir 2:24 | = (010 ES 2 103 6 743,4 |539409-| 300 | (7 -—4.48:| H- 943. | NONE bör 2 104 | + 40.4 | —32.9 7.3: 4 ES 083 0941220858 | lois E 22 107 | + 49.6 | + 30.4 REA 437) 630] MODE) —1056 E 2. Région 393. 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Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm Pr 4y en mm en mm | 2 à -m| ,-b| 5,—2a, | a —b; | 30. eis | At = +3.00 | +1.27 | + 0.40 | +026| +1.94 | —0.49 41 | mir) RR = +1,59 | —0.38 | +1.70 | +1.23 | +0.36 | —0.19 ENA sie ee — 0.19 | —1.72 | + 0.31 | +097 | — 1.08 | —1.08 69 | 18,041 17.68 = + 5.44 | +3.86 | — 3.46 | —2.40 | +4.83 | — 4:59 7 HELGENS == — 1.65 | —3.59 | + 13 | +2.33 | — 2.40 | — 0.03 D6 | 3 43:9 | ETAT -— —4.95 | — 6.38 | —5.59 | —2.86 | —5.25 | — 7.09 109 4.643 rs Ll +0.23 | —1.88 | +0.41 | +344 | — 017 | —119 110 + 62,5 | 257,9 EE — 2.62 | — 5.55 | + 2.96 | -- 5.54 | —3.68.| +0,10 C LESS MR TE ue +3.29 | +1.56 | + 0.39 | +015 | 4-2.37 | -- 0.10 7 102-595. | MIS 94 | +1.88 | —0.52 | +0.64 | — 1.00 — | — 12.02 490. 2.199510 92 | 1.39 |.— 0,56 | —0.83.| 1.75 = = 19 | -37.1| —33:5 | 105 +08 | —0.56 | + 062 | — 9.83 2 = 31, | 226 | Eten 9.6 | 424.00 | —0.8 | + 1.75 | +78 x = on 880 |, not | or Don | 1:50.09. DSG Pal 25 94 | +36.0 | —28.0 9.5 | --0,69 | —0.95 | +2.09 | + 4.33 _ = 108. 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B9. 2599.7 | 2.3089) - 10:6 - | .520126 53580 1-154 36 ACTE S S So TA =237.6.| 502 RÖDE PET ana es er NS = 71.712.874 — 43:6 Ne: —0.98 0.22 | +3.51 | +83:31 — — Région 395. E — 1893.22; E' — 1913.23; T — 20.01. kx = — 0.33; p, = + 0.0211; rx = — 0.0005; k', = + 0.58; p', = + 0,0212; 7^, = + 0.0071. ky = — 0.38; py = + 0.0051; ry = — 0.0095; k', = + 2.20; p'y = + 0.0069; 1^, = + 0.0348. 30.) al DT DR — + 9309 | 20,90. [| 2 1.75 | Bas älta SEG bo | i68] As: 72 +1.55 | +0.80 | +0. | pu 3.06 | + 0.91 | — 0.24 Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 21 N:o 64 65 74 89 91 97 104 112 113 116 127 29 32 36 41 107 108 u) 125 T 13 14 15 40 51 63 10 15 16 Ti 87 107 109 110 16 17 18 25 389 90 92 105 N:o 1. Diff. en x Diff. en y | % y Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm | | Gr. aa er d ed N : 4x | 4y i; dy Al 04 — bb, — a, la, — b, | | — 9.2 | + 23.0 -— +2,58 | + 1.50 | + 0.01 | — 2.81 29 05 I 0.23 96. 15,3 > 41.91. — Sem |, 3.00. | 6.80 |- —2.12 || 3.77 gara, | 33.4 3*:046|r or OMID E ROLal 2261 l'E 0:15 |. — 0.88 Tl oT 5/85 ees | 2.58% 15.00.) — 1216 +17.4 | — 59.5 =: — 1.67 | —1.45 | +1.58 | —0.22 | — 1.26 | +1.01 part Kl = — 1.86 568 Je 1030 06299 39. |n Dam 9834| 1— 56.5 = Donne 87) Nb NOT IN Eden 8180 Se NE EE a age E59» — 4.39. 1 26 92/3763 +36.4 | +25.9 y (CIA 52:50 [062.505 -3:44/ MES OL T- | 1272 4 +44.7 | +443 2 2519045. — 4: 38109 .550:59 109 71:39 1^ 3252.99- | 555 0:24 4-62.4 | -- 11.5 Le 002m 9o 24.10. a aeg [5:24 "aua 0 na | 1259.94 1 9.09 | 1320,91. 1135 3,98 Em SED d ams 0100 bia 5220.84. 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E — 1893.22; E' — 1911.24; T — 18.02. kx = + 0.51; px = + 0.0089; rx = + 0.0227; k'x = + 0.53; p'x = + 0.0096; r’x = — 0.0036. ky = + 0.38; py = + 0.0214; ry = + 0.0433; k'y = — 2.40; p'y = + 0.0206; 1^, = — 0.1264. 2 | — 606 | 37.2 = + 3.29 | +2.37 | — 3.00 | + 10.07 | +2.43 | — 0.78 5 | —6525 | 4271 an — 0.03 | +0.48 | —3.14 | +8.05 | + 0.51 | — 0.17 Rm Sea NG 22 — 0.66 | — 0.66 | —1.70 | +7.39 | — 0.48 | + 0.28 28 | — 926.9 | + 3.6 = 1,881 72.1688. |. 0.08) | 22.2.1200] ENN ARS 35. | —20.6 | 228.3 = — 5.05 | —3.83 | —3.66 | +2.20 | — 3.84 | — 2.00 "P negabo = AN - — 0.85.) ar) 2,07 | 221.48 | 071,000 970186772496 m +215 | +0.04 | — 0.97 | —4.83 | +1.48 | — 3.42 10327175 qas ab = ee 4799] Ta ae ee 106 | +51.9 | +25.2 4:76 | 4.19, | + 0:78 | 5.7051 328, UE 085] ra a a er SEE TOR C7 ei 15 | —41.0 | —329 | 97 F10,780 2260163. | 11.58. |, 6847 = — 197 |, 39 81081 FÖRE 0.870, 086. 12 66. ES E 34 | — 225 | 4-38.9 | 10.3 — 1.53 | — 0.53 | —2.90 | + 3.61 — — 390) 25.001 918.9 wo. 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XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 27 3» r ^ Diffenz | Difeny | V y a Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm | N:o är. ; : „>| | ÅA er 1 à 1 4 en mm en mm b, i da | dg = b, b, 12 a, | ag y b, | | | | | 87 439,0) | -+43.9 10.5 — 3.29 | — 2.13 | — 0.41 | + 0.89 le | 95 | +38.9 | + 30.3 90,1 °8.32 1. 001 OLE | A+ 0.92 =, 5| | 97 | 435.9 | — 47.7 9.2 + 0.79 | --0.71]| +1.79 | + 2.41 | | Région 406. E = 1893.26; E’ = 1911.26; T = 18.00. kx = — 0.16; px = + 0.0048; rx = — 0.0265; Lx = + 0.12; p’x = + 0.0136; r'x = — 0.0366. ky = — 1.80; py = + 0.0057; ry = + 0.0194; k', = + 0.82; p'y = + 0.0066; r'y = + 0.0886. | 7 | ESR 1.3 = DEEE 108790. 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Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. A | ! | Diff. en x Diff. en y ud y 2 Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm N:o IMAGE er Zee pes. A ar daa | TOUR b—a | Ba — dy | dy —a,| a, -b, | Region 412. E = 1893.22; E' — 1913.19; T = 19.97. Kx = = 2.48; px = + 0.0280; rx = + 0.0179; k'; = — 0.06; p'x = + 0.0395; r'x = + 0.0083. ky = — 0.32; py = + 0.0219; ry = — 0.0100; k'y = + 0.86; p'y = + 0.0280; 1', = + 0.0362. lö LR — BE [ES aic = ES AU TERO SE LEE 9170, 10885 120° 0,67 a ee eo er 183.39, 822.0:92°10°.2.:0.99,10 22.78 MEO. BD «20:94 SE I a 15 1978 Je 0:984 ERNER GG us 3:890 ESSE RD lS EDI | Dee quim 5973 = auos BÖR 3.31, 215837) 2-41 0:94, |. 5231") a WE 3348 23.010. 8.13 À — 0:95 DR $5950 9:53:19 =S OBS URSS DAT 5347 1:93 686 ES KO \ 21.219 Le 24.05 05: 1-08 "Iesse 80. 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Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 33 Diff. en x Diff. en y | v y Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm | N:o Gr. = Era Me a OR ES 4 4 y en mm en mm b, [4 d, à, 3 aur b, : A, | d, ! b, | | T9. er le re) 9.5 | 11:86 0.59 | —0.52 | — 2,94 CS | : 16 | —449 | + 418 qq uh | 9.90. 1 TT NAT | — 23 |'—3831.4.| 30:0 16:3: [9153.90 |" — 3/14. [03-40 1223510 IA OP LE Sg sau ^1542:8 a 593.29. NO [ES 0501719559: 49 xin RER mE nac M EU 34157 7 5:30 EU [999 8:305 [7 — 4.80, | $— 1:08 4 10:78 2: i an 999 10/7. 5153.69! 5. — 0.00. FE 0.13.17 0:51 BuU EET. 7b |: #314 | — 40,00 ^ 10:7 | =2.40 | — 1.19 | — 0.39 |. — 0.60 eus OR 85 | + 49.1 | +55.7 9,20 | 3.54. | 2197 | 1— 0:85 | 40:69 pe - Région 416. E = 1893.26; E' = 1911.26; T = 18.00. kx = — 0.31; px = + 0.0133; rx = — 0.0168; k'x = + 0.25; p'x = + 0.0156; rx — + 0.0513. ky = — 2.14; py = + 0.0003; ry = + 0.0441; k'y = + 1.69; p'y = + 0.0015; 7'j = + 0.0037. 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E = 1893.28; E' = 1913.24; T — 19.96. kx = — 0.98; px = + 0.0317; rx = — 0.0244; k'x = + 1.30; p'x = + 0.0344; r'x = + 0,0064. ky = — 1.29; py = + 0.0106; ry = + 0.0446; k', = + 0.46; p'y = + 0.0187; r'y = + 0.0265. o eR | 32680, — +4,36 | —0.71.] 40.53 | — 0:14 | — 1:337] 121238 ige sien 309 — 2.28 | —0.85 | — 2.23 | — 4.28 | —0.90 | — 1.59 DIS 123.3 22/7 = + 5.06 | +1.81 | —1.12 | —3.02 | +1.96 | — 0.61 DRE NT ONE 502 = — 8.56 | —9.35 | —1.26 | — 2.56 | — 9:60 | — 1.73 9994767 | 2 MIRE = +0.20 | —3.29 | —0.48 | —1.76 | —2.30 | — 0.49 ARS Ve Be So = +0.78.| —2.98 | — 9.18 | —2:21]- — 1,717| — 0:58 lo nee dL eee OR — 41.15 | — 0.35 | + 0.85 |. — 0.82 | + 0.66 | — 0.62 87—| 36:91" 5:933 — — 2.04 | — 5.45 | — 0.33 | — 2.65 | —3.56 | — 1.80 58 | + 8.9. 46.4 — + 0.65 | —2.02 | +1.75 | —0.05 | —0.31 | + 0:23 67 + 10.3 2442 == + 1.88 | —0.11 | —4.48 | — 7.09 | +1.51| — 6.17 69 | +16.7 | + 32.4 == — 6.0841 9871 20918. 1725051 — 7.53 |, ANA 80:| +#3131| +476 = 15 It: 19.12 41.20.65, Sa | 26156 1] rg 85; | ASS | 1599/4 = 1.162]: 5:19:46: |- 223497) 20,892, 2099 87 4-49.8 |. 113.8 ES. —1.39 | — 3.78 | +3.56 | +0.76 | — 0:90 | +0.18 91 39:9 ePi ned + 0.29 | — 2.54 | #191 | — 1.08 | + 0.58 | — 1.53 Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. a : Diff. en x Diff. en y | N:o t y Gr, | Unité 0.01 mm | Unité 0.01 mm ya 43 en mm en mm | | D; — a4 | a, — V3 | 5,—a, | a4 — b, | | m open 229 ECRIRE | — 4.05 | NO N. NT 0,88 | 2.79 | — 0.22 Be US ec à 114 |; 338 | 2046 | 19 | —444 | +43.3 | 10.5 -2.79 | — 0.79 | — 0.64 - 2.62 20/11 — 43.7.| 4- 35.2 9.1 25/9108. 12570800 [15 1097 - 2.53 28 ag 5390. 1949.29.83 ^ 61:60, | + 0.78 1040.28 | 50.60 ie 773421 40:8... 10.8 Sd AD E00 1001012 —0.18 d E: Herr EST 1 10:0 + 0.96 | —2.57 | +1.69 | — 0.42 — - 78 | 429.3 | —29.9 9.6 | —0.91 | —2.86 | 4-2.95 | + 0.61 : 83 | +39.9 | + 46.5 10.5 | X 1:86 | — 1.62 | .-- 2.62 | 4-0.09 - ua 33 Ul —211 | —2.84 | +383 | +134| — | Région 425. E = 1893.28; E' = 1912.29; T. —' 19.01. ky = — 0.04; px = — 0.0087; rx = — 0.0248; Lx = + 1.56; p'x = + 0.0055; r'x = — 0.0217. ky = + 0.70; py = — 0.0045; ry = — 0.0161; k', = + 1.26; p'y — + 0.0027; r'y = + 0.0188. 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E = 1893.28; E' = 1912.29; T = 19.01. kx = + 0.325 pi = + 0.0122; rx = — 0.0240; k'x = + 0.12; p’x = + 0.0234; r’x = + 0.0212. ky = — 2.15; py = + 0.0005; r, = + 0.0455; k'y = — 1.03; p'y = + 0.0135; r'y = + 0.0220. B-| — 56.9 | — 50.4 — — 2.91 | +0.66 | — 0.52 | 4- 0.81 |: — 1.84 | + 0.12 7 | — 50.1 | +13.9 — +1.07 | 40.54 | —1.67 | — 1.14 | +0.11 | — 1.20 19 | — 30.5 | - 51.2 — 12:39, + 04501 7.1.83 |: — 0:2. |. 471.02") +0,40 BIS ld | — 38.0 — — 8.65 | —641]|.—-248| +1.41 | — 7.46 | + 0.32 [0240 |.— 6.9 | +53.2 — + 1.82 | — 0.91 | +1.68 | +0.22 | +0.49 | — 0.06 | 44 |— 90 | + 91 — +0.62 | +0.84 | —0.53 | —1.37 | +0.77 | — 2.17 RCE | BENE = — 2.95 | —1.83 | +1.65 | + 0.93 | —1.90 | — 0.81 78 | +46.8 | — 60.8 Ex — 3.54 | —115 | 42:54 | +1.07 | —120 | — 1.79 83 | +56.6 | +21.6 — — 0.82 | —2.18 | + 4.84 | +1.82 | — 0.30 | — 0.02 EN LÉ een = — 5.33 | —343 | + 1.79 | +1.69 | — 4.43 | +0.22 RAGNAR FURUHJELM. Diff. en x Diff. en y x y Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm N:0 Gr. A43 en mm en mm DIA RS Dee a Hr 1 1 2 2 1 1 2 2 16 - — 36.8 | —32.8. 10.8 || — 0.95. | 4.1.00.| -4- 0.70 | +1.07 — 20 | —34.7 | +30.4 | 10.4 + 0.90 | +0.37 | +0.46 | — 0.31 = 23 | —27.5 | +40.4) | 10.0 +1.76 | +0.26 | + 0.69 | — 0.59 -- 29 | —27.9 | —33.0 | 10.0 | —1.31 | (09.66 | +0.97 | +111 E 65 | 421.06 | +233| 95 | —125| —241 | +3.25 | +1.34 = 75 | +41.1 | +31.0 9.2 + 0.32 | —1.36 | + 4.15 | +2.01 = 77 | +443| — 25.5 9.7 | —1.34 | — 1.07 | +4.94 | + 2.52 = 82 | +50.7 | -34.4 | 10.6 | —1.05 | --0.80 | +3.43 | +1.80 = Region 430. E = 1893.28; E' = 1911.26; T = 17.98. kx — + 0.44; px = + 0.0014; rx = + 0.0199; Lx = + 1.37; p'x = + 0.0077; r'x = ky = + 0.20; py = — 0.0143; ry = + 0.0037; k'y = + 0.09; p'y = — 0.0040; 7', = 4 | —593]| — 83 | | + 0.74 | +0.99 | +0.28 | +0.42 | +1.28 12 | —49.8 | — 51.3 | + 0.17 | 4-049 | —3.92 | —2.51 | —0.38 154 | :=43.6 | —— 63 |. — 1.54 | —1.42 | — 0.34 | + 0.43 | — 0.94 27 | —38.4 | —16.2 4.66. || —2.48.] 1— 0.49 | 2:20:26: | — 1.73 aa EA 8193] po" quiso 3:98 | 7.1.0092). ss 21,200 BL | E 00.4: | 1+782:5 — — 302 | 499 | + 0:53 | 4:20:17. | 1— 2.21 62 | +11.3 | — 35.3 — 5.170 | — 4.36 | — 3.28 | — 1.36 | — 5.03 63 | +12.8 | —52.0 + 0.81 | +0.11 | —2.86 | —1.68 | — 0.23 72 | +294 | + 33.6 — 42.09 | +0.20 | — 9.32 | —9.66 | + 3.10 75 | +271|.—270| — — 3.69 | —5.26 | — 3.37 | — 2.80 | — 4.18 — | —45.1 | +519 : — 1.51 | — 2.35 | — 4.35 | — 4.37 | + 0.18 9 u 2246.82 4 2229 (c9. | Ze eto Gil 1320.937|--3:0:26 — 16- | — 42.2 | — 23.7 | . 9.9 + 0.99 | + 0.64 | —1.10 | — 0.97 — 18 | —-40:6 | — 421 | 99 + 0.50 | + 0.94 | —1.29 | — 0.81 -— 19 | — 36.3 | +31.0 | 10.0 | —2.00 | —3.37 | +0.18 | -- 0.16 - 76 | +30.2 | +57.8 | 9.6 -— + 0.08 | — 0.18 = 77 + 30.9 | + 51.5.| 10.0 — 1.38 | —2.93 | + 0.55 0.00 — 78 | + 30.7 | + 48.2 8.9 | —0.62 | — 2.32 ro == = 85 | +39.4 | —28.0 | 10.4 | —0.35 | —117| +0.07 | + 0.65 — 86 | 388 | —31.7 | 95 | —0.41 | — 1.53 | — 0.28 | + 0.25 = Region 431. E = 1893.28; E' — 1911.26; T — 17.98. kx = — 1.59; px = — 0.0167; rx = + 0.0317; K'z = + 1.54; px = + 0.0011; rx = ky = — 0.75; py = — 0.0025; ry = — 0.0035; ky — — 1.37; p'y = + 0.0111; r'y = 2 | —61.6 | — 30.0 — + 4.64 | + 2.17 | + 0.39 | + 0.52 | +2.90 7 | —542 | TN -— + 0.34 | — 2.61 | + 0.23 | 0.00 | — 0.32 OR Mod see E +1.08 | =1.34 | —1.36 | — 1.36 | + 1.08 18 | —341 | +31.5 -— + 0.04 | — 2.91 | +0.42 | +0.48 | — 0.18 19 | —348 | 31.3 — — 0.04 | — 3.32 | — 0.60 | — 0.67 | — 0:43 31 | — 12.2 | + 48.1 = — 0.86 | — 3.36 | +0.45 | +1.00 | — 0.65 35 | —12.9 | — 1.6 — + 0.56 | — 2.44 | -- 1.69 | +2.28 | — 0.91 -- 0.0345. + 0.0063. + 0.86 — 2.35 + 0.46 + 0.32 — 0.35 + 0.20 — | — 1.71 — 9.80 — 2.82 — 4.46 + 0.0324. + 0.0170. — 0.31 | — 0.52 — 1.97 — 0.24 — 1.32 — 0.06 + 1.00 Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 43 F à Diff. en x Diff. en y | N:0 : Gr. Rue ere m Cs CX wur 43 A em en mm en mm b, = d, | d, S b, b, 1 a, aire b, | | 43 | — 24 | 438.4 2 + 1.46 | —1.32 |. + 0.02 | +0.25 | +0.97 | — 0.78 50.|7+ 0.3 | — 4.6 +276 | +0.04 | — 24.72 | —412 | +1.22 | — 5.50 55 | +10.0 | —41.8 == + 3.53 | +0.83 | — 0.50 | +0.59 | +0.74 | — 1.26 56 | + 9.7 | —43 = + 1.46 | — 1.45 | —0.86.| +0.51 | —1.51 | — 1.49 60. | 4- 10:9 | — 10.7 us —.0.69.| — 3.65 | +1.71 | +2.59 | —2.81 | + 0.94 62 | +14.7 | —28.9 — 03 | 12,702 150.38. | 50.85 | = 2.48. |. — 1:02 63 | +10.6 | —34.8 — +1.24 | '—1.55 | — 1.08 | — 0.08 | — 1.38.| —2.16 70. | +25.2| +29.7 = a KN SL N 103.32. | M15 8951 155.2, ASEA ^ — + 1.46 | —2.74 | — 0.91 | 4-0.86 | =2.69 | — 1.67 tr 80.7:(52528.9. | — 20:01... —3.08, | + 0.52 [441.16 |. = 1:82; | 13: 0.08 ME "AD GC NES rn 9:5 PS 0.20 = == = — 1827 40.9 | 46.3 10.5 — — + 0.83 | +1.14 — = 15 | —35.6 | + 38.9 9.6 — 0.87 | — 3.66 CRT OURS Et = 16 -|:— 35:8 |: .— 29.1 10.4 soo Eau. 3:09:99. - P £018 = = Mr EAS 10.1 0.60% 432198. 1 27148 921.74 = - 20 |.—33.4 | +248 10.9 2 — 40.77 | + 0.85 = -— 69 | +26.1 | +36.6 9.0 + 0.92 | — 2.86 | + 0.59 | + 1.46 — 2 Run odi ER 20130 10:0 +4.88 | — 1.54 | + 0.55 | +158 = = 78127424 1.148 10.2 99 ny SITT SOLNA - - DR 48. |- E350 9.9 | +3.53 | — 0.48 | +0.75 | + 2.66 Ln A Région 432. E = 1893.28; E' = 1911.26; T = 17.98. kx = + 0.35; px = + 0.0016; rx = + 0.0100; k'x = — 0.44; p'x = + 0.0074; rx = + 0.0340. ky = — 0.51; py = + 0.0049; ry = — 0.0226; k'y — + 1.25; p'y = + 0.0012; r'y = + 0.0435. 14 | 41.3 | 4758.5 -— 4:49 p 4490] 0.87. [54590] — 3.58 | — 1:80 29 | —19.8| — 64 = —0.53.|. 7045 | 2.00 | * 4.99 | 0:31.| — 9:94 Ser 10:2, 1-09 — 1.96 0 SON Ale qU865 15:903 37 | — 7.5 | —42.1 — TA IN COM MERS OR 1540201 272776 47 | + 7.6 | —542 = rosa SRA Cr RN oz LL 48 | +13.9 | +44.4 — ze ee | ee en) SS EN 51 | +15.4 | + 60.3 — Eo Gb al 155 enr in ES LC 0.00 | OT c Sb T. ET = + 0:73 | + 0.94 | — 2.43 | — 2.07 | +1.04 | —2.23 | 881: 15 4E535.0 7] år = 0507 ASE 0 M CRETE OSA EG 74 |. -—-E SSR DEN = 0714 2,09. | — 0.48.17 0:217 | — 2:27 —0.18 HESSE = QE it | CE 2.90. 368.0 2.955 19 | + 40.7 | — 26.5 — — 0.98 | — 0.08 | —0.40 | +0.22 | —0.97 | —0.22 | SS 12. 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E = 1894.28; E' — 1913.27; T — 18.99. kx = — 0.03; px = + 0.0045; rx = + 0.0185; k'x = — 0.16; p'x = + 0.0111; r'x = + 0.0003. ky = — 0.51; py = + 0.0085; ry — + 0.0338; k'y = + 0.40; p'y = + 0.0122; r'y = + 0.0043. 1 — 62.6 | + 39.6 = ee Z5 mas eoru PS SESS | ass art (0 DA PTE CN EATON = ae ae Nee en 15 | 64.6 | — 50.6 — RS RE IE SD AIRES AT RES ACE S ar Tn 426, Sms — ee EXIIT el ea The e sa ee — 2:10:59 mu ENT age Aa DO AO ET GTLO == OO 20.700115 se a re DRM oT ME 33,0 -— ge SAN NS Er 05 49 El ln 3950 = ELBE 0 3911 0695) 000 7.0.3510) 70810 56 az — E25. 720.497 FAN 70200 EEE 58 See — 1-855 2553979007538 EE a SESTO 60 +15.6 | — 60.0 2 30.37 55:48 OMIS eg go oT na) Were) PASSE = — 3.01 | —2.59 | —3.50 | —5.81 | —2.27 | — 5.10 ets do ens zm e eis sel — St eo etens YT T] esos eo) al ea pen SUD ie 1985 - DET nee ta AO sr Do ae oe zo pest ems iat —- SON 2203pDa | arse odes 099 euren TORA eme | 10.4 — | — 0.98.| — 0.96 epe DRAN 13991 eoa 10.6 a MO AA NEO — | — A LEE I SE SE 10.4 se fioe) PER test) = — [LU - D» sapo E METODI 10.5 — 0.14 | 4-0.78 = = S EIE Des SEE E PESOS 9.8 + 0.04 | — 0.39 | — 0.72 | — 0.46 2 = 66 D SIDA ZI STIS 10.2 0:975 PO ESS ME NE 029 = -— 69 | re INA 10.3 EMI DI DO del | N Ben Ara 71 el ea 9.3 090 0.637], Er 1.190 0220468 an => 73 a as 10.6 4-0.36 | — 0.09 | + 1.95 | — 0.08 = =: Région 434. E = 1894.28; E' — 1913.24; T — 18.96. kx = — 2.15; p. = + 0.0090; rx = — 0.0188; k'; = + 1.53; p'x = + 0.0099; rx = — 0.0169. ky = + 0.11; py = + 0.0226; r, = — 0.0034; k'y = + 0.45; p'y = + 0.0297; r'y = + 0.0005. Sn EBM — | +519| +1.44 | — 5.86 | — 7.34 | +1,51 | — 4.93 12 -525| —270| — + 020°): 3:58 |. 0,90. 2.0499) 9:9 yb 72048 20° 0, As ae HAN I OM) 53:40: LS NI ee a 21 — 42.6 | +187 | — +412 | —0.25 | —117 | —149 | 0885 —0.77 22 AD NN EG OR DEL RC fn 1:94 131,1 529037] 034 LS | XO seno 7 TA HE, Salt | in +1.04 | 0 er) oil oa ng 40 -93.5 | —26.4| — 3:50. 91011. |i: 559199 3c 229070 117221070210 229890 52 | + 25 | #100) 1 — + 0.72 | — 2.65 | — 1.84 | — 2.49 | — 1.43 | — 1.61 Tom. XLVIIT. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 45 | T | 2 | Diff. en « Diff. en y Nes | { | y | Gr. 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XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. Ne 4 | N:o | | | | en mm en mm | | | | | kx = — 1.17; px = + 0.0086; rx = — ky = — 0.02; py = + 0.0231; ry = "UON E TU A RA D 459.9 1 291.5 EEE 0 5 a9 182 dex he Don Ash Tu ue ee ER DO NE n 31:8. | Da. 671 EIN cgo c s GA) 20543259 27 3255.9 41 | 423.9 | + 24 | da! ue 90:917 36:7 460 11973 | — 64.6 50 | +50.5 | + 36.1 = GTA — 3B ES 916,049 ein 02.87! | | NE risas 19,8 | 18 | —26.2 | +33.2 21 | —182 | —242 | Do quor e am 49: D 990 | 299,8. | Aa E80 1372 47 | +38.6 | + 28.6 54 | +56.5 | — 48.0 kx = — 2.14; px = + 0.0304; rx ky = — 0.02; py = + 0.0236; ry. 67 2154.6.| LINS SR dre Er 9 | —46.0 | #225 | 37 | 83 | +698 | 39 | + 0.6 | +532) 42 | + 2.8 | — 22.9 48 [UE UTE 5 BD.6 | 6b) | 71842 52:9 62 | +28.8 | —26.0 | 63 | +27.2 | — 37.0 gor 29 [oa 3| Diff. en x Unité 0.01 mm Région 470. 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E — 1895.32; E' — 1913.31; = 0.02145 ka = — = + 0.0040; k', = + + 4.26 | + 0.52 ge es LU 694 LX 9095 | 6.62 3:0.05/ | *—9.47 +1.97 | +246 ON | are NE BASQUE 22944. 1.2303 à Unité 0.01 mm 1e ‘y b,—a, | a, —b, 1.92; p'x = + 0.0248; rx = — 0.0220. 0.55; p'y = + 0.0311; r'y = + 0.0586. + 8.0317 + 0.64 | 1.997] + 2.74 0.62 |. — 4.78 | 440.33 | — 0:14. | +1.21 -0.28 | — 1.69 -| 4.0.78 OS NE 0.580 oa 117. 420,96 +0.07.1:— 1.76 | +181 | +0.71 0lonı 1930 0:59 10:10:53 33.597 -34.61.| 38.890 1.23.10 BR 52 0:305] E a» 08 — 0.74 | —0.77 | +185 | —1.88 | + 0.88 | —0.83 | + 0.90 | + 0.05 | RER GR IE 1260 052319 A CN BE IN Omm «rt, ss HALO EC DATE 0,0% SER — 1.74 | +1,88 | —1.26 | — 0.47 | E458 tel SDN SKOR 00.7451 | 2:10:95 1554533. | SA a IE CAES AIME NT MIRE EU sh 4.99 2 SMS a) == EN + 0.85 | + 0.37 = = + 1.39 | +1.21 >= E +1.67 | 43.81 = —LX E 70:101 2376 = =: 1:5» c En = = — 0.81 | +3,98 = e 1 317.98: | 1.18; D'x = + 0.0324; r’x = + 0.0556. | 1.06; p'y = + 0.0290; r'j = — 0.0083. | | + 0.80 | —0.22 | -- 1.26 | 4- 2.23 = le Hx oe] LS. | ons) 15 28:09.1.4.0:70 ES Epp asso creatae sila EIOS 2.55 | — 0.50 0.00 E3905 «2551-039 A= 0:959 10:55 ob | oa. 0.0000 = 0.82 17103645 70x52 17 — 0:07 + 0:84 |; - 0.21 -5.44 | + 0.21 +1.55 | +048 | -- 18 | +#0.62 2 170° |. 5-100:34c]|U HOT LEE 0:43 -1 to RAGNAR FURUHJELM. 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OMR AE odo BOIRE A 0 15916015. HOO SAR 2.05 | COM 38364 2220 — 0.95 | — 5.06 | + 0.40 6321014196 | 389 = BE ar a MNT P814 71 | 4285 | — 44 ar 0.3 ao +3,09 Sr as 0| VE Ens 5 : | 1607 AO. EACH 10.3 9. aa | 106 20 38.0. 5:49:95] 20.8 12.0.4521, RÖRS 24 | be 2368| 105 4-.0.52^| ' 10:16; | ^: 0.35 29—|^ Zar 5:299 10.4 bel 3:927] 0:41 653. | Kasse 10.5 TO xara == 68 +26.5 | #211| 107 A0 0 ER ED A 72 | +328 | +233 9.7 u = + 0.41 T OR 0260 8.9 OT RA 203 TR NN) 10.7 NE en + 2.89 Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 73 ^ E | ; HC- [Fa Dien z dim Diff. en y L | L Jnité 0. Unité 0. N:0 Nw T Gr: Unité 0.01 mm nité 0.01 mm (i 1y by a | 4,—5,| 5,—a, a, —b, | Région 473. E = 1895.32; E' — 1913.28; T = 17.97. | à | I ky = — 1.58; px = + 0.0210; 1, = — 0.0039; k', = — 0.28; P'x + 0.0378; r'x = — 0.0217. | ky = — 0.74;-py = + 0.0196; r, = + 0.0514; k', = + 1.15; p'y = + 0.0319; r'y = — 0.0050. 6 | —47.9 | -436| — + 0.74 | +0.32 | —1.39.| —1.58 | —2.37 | + 0.95 10 | —30.4 | —212| — + 4.51 | +249 | —0.50 | —0.91 | +1.94 | — 0.34 11 | —25.9 | +463 |" — 40.83 | +0.58 | —2.56 | — 3.04 | —1.72 | — 0.80 15 -93.0 | — 407 | . — +4.16 | '+2.39| + 0.22 | — 0.28 | -- 2.38 | — 0.32 | 193 e (B e DOS s =D | 2.26 | —0.68 | —2.16 | —3.14 | — 0.47 | 28 | — 5.5 | —20.5 || — 4-1.73 | +0.48 | + 2.80 | +106 | +0.27 | 4 1.73 | 24 | — 9.8 | — 19.4 | — 0.84 | —2.29 | + 1.65 | + 0.45 | — 2.53 | + 0.98 Pr ng 19:907 Lex +110 | —0.21 | —0.38 | —1.99 | —0.41 | —1.22 | 98 | — 40] 085 x tor 0:997 | 0 1 0188; |^ 40207. | :5— 2:09: 31 + 1.4 = 10.3 | == N 51 | — 2.62 + 1.70 + 0.07 — 2.95 | + 1.05 | 34 1-18. | 3270. — 120015651 3408493 Pos ]- 50:00 | 055/ 152520136 | S8/ SEES, [3:07 A 1 +207 | #0.73 | + 408 | -- 1.32 | + 0.96. | +2,53 | 39 +15.5 | —412 | — + 1:69 | .-0.06 | -- 2.88 | +0.42 | 4-0.93 | +0.43 40 | +19.1 —460 | - +0.45 | —1:96 | + 2.59 | — 0.03 | —0.53 | — 0.14 a0) EB coss 20.24 Top | 2447| 8391, ES 5.20 AE aus Us NR | — 0.82 | —3.11 | +1.75 -0.58 | —1.81 | — 0.50 4b | +30.2 |, -25.3 | — — 2.48 | — 3.87 | —4.83 | — 9.14 | —3.54 | — 6.82 (ESS 59:4. ee HO DS OA 554-93 155 dns NE AST 20:62 54 | 529 | —10.5 | — 5 0.95 |:— 0.94 | +403 | —0.99 | +.0.76 | + 0.22 | | 56 | +542 | —279| — — 1,92 || —5.40 | + 5.36 |. + 0.79 | — 2.632) 1.30 | 57 |--529 -269 | — —0.59 | —2.97 | +3.16 || — 0.86 | — 0.81 | — 0.57 SEMI UE DIRES 415 || —135 | #2.50.| --0.37 | + 0.32 | — 0.09 TER EC CEE | | Be 37.0 ere pat a | —3ro | eni os | +2 10.7 id 2.06 | +1.45 | — 0.52 | — 0.53 = Pi Ber 91:0, pos e 10:0 2.08 | +0.64 | —0.46 | — 0.99 E TES | 16 | —10.2 | —385| 103 | o 244 | 4207| 40.8) — 0.82. | |, > BE ar a 10-20] 93:80 a: 0.60 0. $93 — = FOT -538:6,| --33.4 10.8 | +1,53.) +137) 40.94 | —'3.21 — 42 | +22.6 | +325 | 16:7 -| 4192 |" Fou | ro | ae | CE PE ea |, 324979, | 17948 9m | 0.43) 29.84 | +3,63 | — 0:47 - — | 55 | +528| —219| 101 + 0.03 | — 2.05 | +4.69 | + 0.39 _ — | Région 474. E = 1895.32; E' = 1913.29; T = 17.97. ke = + 0.30; px = + 0.0225; r, = + 0.0270; k', = + 0.79; P'x = + 0.0402; r', = + 0.0298. ky = +0,55; p, = + 0.0367; ry — + 0.0315; k'y = + 0.29; p'y = + 0.0323; r', = + 0.0274. aa —58:7 | 37.7 | + 0.44 | +0.68 | — 3.30 | —2.40 | + 0.49 | + 0.45 | 6 | —494 | + 5.0) — — 0.34 | +0.22 | —2.86 | — 2.54 | — 0.92 | — 0.65 | 15 | —37.8 | +275| — + 0.78 | +0.82 | —2.14 | —1.66 | + 0.94 |. + 0.58 | 16 | — 81.2 |,4+16.0 | — ET | TO AUTO: 1. Ad, ers O STE 17 | —341 | —575 | — +213 | +2.93 | —2.99 | — 2.63 | + 0.37 | —3.37 | 19 | — 274 | +348 | — 6.51 | — 6.53 | —1.78 | —1.43 | —5.86 | + 0.80 | EEE | 0599/9 v7 às +0.26 | + 0.50 | —1.96 | —2.05 | +0.67 | —- 0.08 | N:0 29 40 LC er =] mm La Qu - ER OK mb - y en mm + 31.1 + 51.8 | — 24.2 1.0 — 49.8 4- 29.0 + 10.6 2.4 — 16.4 11079 — 15.8 — 26.5 | — Sub + 30.9 -- 34.9 E 09x 4 — 31.5 — 29.0 | + 31.2 + 24.7 + 53.2 + 32.3 + 18.4 + 19.0 — 6.6 + 21.3 + 15.4 3.2 + 56.7 0.0 | 7. + 17.2 RAGNAR FURUHJELM. E = 1895.18; E' — 1913.15; T = 17.97. + 0.0328; 7x = — 0.0032; k'x 1.0.0269; ry Diff. en x Unité 0.01 mm Diff. en y Unité 0.01 mm I by AN 05 — b, + 0.38 | — 0.06 — 1549 ee — 1.15 | — 0.91 + 0.66 + 0.64 — 1.47 — 1.47 0:05 STU DEO PR TE 29169. 1 — 3:49 — 11.710 — 2.15 00e = XI — 2.84 — 9.53 — 5.03 +1.07 | +1.29 — 0.01 | + 0.01 — 0.54 | — 0.77 +.1.03 235 + 0.32 — 0.85 10.28 | 10:20 E DO a — 1.66 — 2.46 Région 475. — 2305007053 — + 4.78 | + 3.00 4-0.48 | — 0.05 3.09) 1.44 + 1.11 | -4- 0.61 — (0:64. | — 1.58 + 2.55 -- 1:79 +0.27 | — 0.53 Step qe ee EE 4- 5.05 + 3.64 le e e TET SE JU P ab SE TT -- 2.96 | + 0.60 + 0.83 + 0.20 + 0.29.) — 2.92 — 0.06 -— 1363 "Hade 10408 e) I PISIS + 3.48 + 2.49 zu tat — (0:91 TERASS 021 DIDA b, — a | a, —b, — 1.05 — 3.32 — 0.98 | — 2.54 | + 2.75 — 0.20 | | | | LB + 0.94 | + 1.53 | + 0.37 | — 0.33 | + 2.15 — 0.84 — 2.38 — 3.30 — 0:12 + 1.18 + 1.00 — 0.72 — 0.05 | + 0:19; D'x X 110: D'y — 4.08 — 1.43 + 0.75 — 1.34 +0.49 | + 0.64 | 0.00 + 0.32 — 0.46 — 0.86 | 3c exeun + 0.24 + 2.84 — 1.98 + 1.55 = + 2.59 — 1.48 + 3.83 | + 0.92 | — 0.76 — 0.56 — 3.80 = 0:59 — 2.18 + 1.88 = dm + 0.56 + 1.07 — 0.05 + 0.23 + 0.52 + 2.24 — 0.73 — 2.27 — 2.14 + 0.12 + 1.13 + 1.29 — 0.58 + 0.10 + 0.0381; rx + 0.0271; r'y — 3.52 ot + 0.83 — JU + 1.03 + 1.01 + 0.53 + 0.41 + 0.54 — 1.21 13.12 + 0.91 — 1.89 OS + 1.60 999 — 0.84 + 3.09 + 4.29 + 1.90 — 0.08 ES 8 m I A y + 0.86 | +1.37 | = 0.110,20 NG) 1.397.099, UC 238 2.07 eset Oa 21.60 | —31/99 — 1.50 | + 0.97 — 2,06 -- 1.15 | c qoM HOT = 0 — 1.58 | — 0.80 222854 0016 = | ==: | | | | A | | ie ess = + 0.0063. — + 0.0076. 41.80 | — 8.08 RAS 9 eX LAG — 0:21 | + 0.58 —1:94. rt 2.337.) 2.0.00 0:20: 10:08 NET CNET te "acd c plz 4:087 40:83 + 0.86 | +1.05 1.99 NEN +06. =D = TA dedo 10:621 0. — 441 | — 2.65 — 198.1 086 aa = 94 —.b7. | 220382 + 0.02 | +1.08 + 0,6141024519 Tom. XLVIII. 38 99 100 103 106 Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. + 49.3 | + 34.0 | — 25.5 — 30.4 | + 31.9 | + 42.1 _Dift. en a GX Unité 0.01 mm b,—a, | a4,— b, 8.5 + 2.14 + 1.06 10.6 + 1.70 + 0.90 8.6 + 1.90 + 0.69 8.7 2.21.9971, 1.0.40 10.6 — 0.35 | 1.36 9.1 — 0.04 | — 1.09 9.8 | —0.66 | — 2.59 8.7 0.02 2.20 | Région 476. BIS 90 37 HE 211918,52,,1,— 118.00. = + 0.0508; rx = + 0.0109; k'x Diff. en y Unité 0.01 mm b, 1 r Fur = , ST SION I ar Q + LE LD à wo MW +++ + 0.43; p'x © © © Q2 Oo NND 4; | = + 0.0251; ry = — 0.0021; k'y = + 0.18; p'y + 48.4 x SEE D EE a Be o 514 SEP TTL ES .0:50%|° 150 1.7230 + 37.0 zt Be 40 - 1.95 | + 60.2 e EN ues DO. ee dis 214,9 = +2.9 | +2.00 | 0:74 | + 21.6 M. all gl = 51.26°|.%..0:007 |? -2.1.50 + 61.2 = 08 105110292 58 + 14.2 Se OT, | end | 00 — 26.9 a — 0.09-| #0.42 | +1.54 | + 82.3 £e Ro dero ues TS RESTE 4- 12.5 = ash Fra 0155 IE EEE 2118, | —32.02.1 -- 0315 + 49.2 SE 1.40. 0497 20.87 + 32.8 ar ps Me 6 0) 4T an 0:70 SE 07 + 45.9 Pe ies HAS SR 42,039 ECTS = ao | Tg x Masse uer 920 32 d EL — 58.2 2 + 0.98 | + 0.65 | — 0.06 + 30.8 e pret 2524246 1.67 | 3:5 1451 = ae re DAS 0 + 15.9 Lo — 3.47 |: — 6.56 | + 0.20 98.8 10.4 Bar 2:402 18 21:89. — 39.0 | 10.6 4:59.10 | 285 | Ir 1:24 4 1748 10.7 +153 | —0.03 | + 0.40 2:39 a Fl +2,44 | —0:04 | — 0:16 2.9410 918 2051.) 23.0 1026 + 31.3 11.0 -50:63^|- — 3219 - 0.11 Siri Ns LI) LOT) D SOUL 1.45 = (te leg a; — D, (a A Go Ex -3 00 Sem © © NN + 0.0706; + 0.0261; — 3.36 + 0.18 - 2.83 — 0.35 — 0.90 zd — 0.38 + 0.72 zu I — 0.22 1709 — 1.45 10410 — 0.55 — 2.06 — 0.40 — 2.56 — 0.55 — 1.30 0.17 — 1.93 + 0.39 + 0.36 + 0.25 + 0.40 - 0.64 — 0.99 - 0.98 — 0.81 + 0.96 + 1.58 T'x + 0.40 + 0.81 + 1.68 — 1.49 — 1.09 -- 2.20 — 1.50 sm Het — 0.54 | — 0.50, | + 0.99 + 3.09 (ha — 0.16 | — 0.48 | er + 0.75 + 0.93 | A| + 0.90 ISSN 1103211 — 1457| ag) E37 + 0.35 + 0.30 76 RAGNAR FURUHJELM: | | Diff. en x Diff. en y | x y | ; Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm N:o | en mm | en mm | Gr. DE dig | | | | NEUE, usw ba | dy — | 0,—b, | Région 477. E = 1895.31; E' = 1913.28; T = 17.97. 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E = 1896.30; E' — 1913.2 27; T = 16.97: ky = — 1.58; px = + 0.0314; rx = — 0.0421; kx = — 1.64; px = + 0.0423; fx = + 0.0087. 1 = 0.00; py = + 0.0325; ry = + 0.0302; k'y = + 1.17; p'y = + 0.0409; r'y = — 0.0219. — 61.1 = — + 1.37 | +#3.08 — 4,10 — 1.07 — 1.50 | — 2.04 1 | 2 82:0. 4492.9 | es re ete an on 14 | —-40.2 — 62.6 | — 1.62 | + 1.96 — 0.54 | + 0.24 — 1.87 | — 1.69 167 Near >> 452,32 |. 4: 8:86. | 9,5971 027 | 1.89, ar 16 Re -98.4 | + 19.0 | + 3.10 + 3.08 — 2.07 — 1.92 — 0.25 | — 0.55 20 | 36.3 737.3 | +2.58 | +4.85 | —1.39 | —0.08 | +1.39 | —1.36 21 Se — 49.6 \| — 0.70 | + 2.66 + 0.59 + 2.00 — 1.17 | + 0.21 20 201 + 42.5 - + 2.17 + 0.54 mek 1.25.11 200) 53 059: 43 — 17.0 + 3.3 - 1.27 1.72 — 0.27 | — 0.88 — 0.43 | + 0.16 44 RE 138.) — + 6.08 + 4.25 — 9:05 —4.87 -- 2.83 — 12:25 50 + 11.6 -- 19.6 — -- 3.46 JEU Uri — 9.59 19:09 SEG ge fil 3197177]. 020 = + 0.48 9128 — 2:91 — 5.98 — 9:840 7 — 11468 Tom. XLVIII. Recherches sur. les mowvements propres dans la zone de Helsingfors. 77 i Diff. en z Diff. en y v y Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm | bn qm bn A Gr. —-—|— pens c dd 43 b, — a; | d, — da | bi — | Go — be 39 1 14.4 = — 1.38 | pet) on PURE ETS ER |) 4.0152 | + 41.4 | — 28.4 = PORN EE 055 3,87 3:17 | — 2.82 + 48.0 | —57.1 — + 1.19 IE amd RET uc ANTON | 05]5:2:07 |. 71:93 BA I 11,4 = S Quos. n ES va | TNA 1 — 2,94 | 20:96 | 0.33 676: 4.8708 25 u BE #106 | /2:2.52 or 8 EN = TON MON 5197: 95-020. | en) ah costa: RE ONE EN | 1,3571 0,72 —49.2 | 923.0 | 10.4 | +443.| 348 | — 192 | — 1.11 = Le Sd T [IRI 100. MES 12610 0619.06, |, 1.60 == ev aA 200 gd I 720.30. 35280. 12 0:03 | 450.68 A EL men le 92 | 40.75 | +3.34 | + 0.55 | + 0.94 Us — 4- 21.6. |. + 36.7 10.1 ala. 2c 0-8 120,59 Nörd = = + 29,8 | + 28.6 JOUET 39002022 1, 20.23: 1.2.58 = = RL RME te 9.7 | —0.37 |. 4-0.44 | +1.82 | — 0.94 == = 031,8. |. 12388 9:9. 7220.63. | 2.0.54 | 7172.62 0,15 2 Le Région 479. E = 1895.29; E' = 1910.29; T = 15.00. — 0.99; px = — 0.0040; rx = + 0.0031; k'x = + 0.16; p'x = + 0.0084; r'x = + 0.0357. + 0.38; py = — 0.0029; ry = + 0.0509; k'y = + 0.44; p'y = + 0.0031; r'y = + 0.0059. cna qe B = Tuer grosse e 30 56417 ANS M CSS —29;7 | 4-52.3 zh | —10.29-| —2.85 | > 3.16 | —2.47 |:—193 | —15p — 295 14021 == 11.121.202. AO | —1:01-] +001! — 0:46 — 20.1 | —19.6 — | — 1.68 | — 2.27 | — 2.88 | —2.06 | —2.81 | — 1.49 zm ES. — 4-0.35 | +0.69 | +1.50 | +1.88 | — 0.85 | + 2.09 +. 9.1 | +315 — +2.92 | +0.41 | — 0.05 | —1.60 | +1.88 | — 0.66 gene IE = + 2.21 | +1.09 | + 0.61 | +0,34 | +0,98 | + 0.66 7 76.01.27 AK E 1.72.) 7:50:93. |- 7-1.06.\|, —1.05.| 0:32 |. 0:82 7179272648 == 10|0|19 36 0592 EU aut 2 BT, | 034.1 20.75 | 52:64]. 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Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 79 c N:0 en mm 47 + 17.0 58 + 49.0 59 + 50.8 — — 43.1 — + 21.2 13 — 31.7 14 — 26.2 am — 26.6 19 — 24.9 44 + 13.1 48 + 28.1 50 -- 28.4 56 + 32.8 k, — — 0.08; 6 — 53.8 9 — 45.5 10 — 47.7 16 —36.1 31 — 21.1 36 — 17.1 38 — 16.8 39.17 23047 40 — 14.0 41 — 11.3 48 SE 52 72.0 56 ru 944 61 079 68 + 16.9 70 + 27.1 "jl; + 25.1 80 + 84.8 84 -:9519 86 + 41.6 90 + 48.2 94 258.5 — — 57.8 — — 44.2 20 | —34.0 BA 2 202.260 30 | 21.2 16 4 25.7 Diff. en x Unité 0.01 mm by — 0; | a —b, - 2.23 | — 3.01 — 12.52 | — 15.02 —1,32°| — 3:39 + 2.19 | + 0.43 (nt + 2.93 | + 0.75 20.18 | 0:87 + 2.12 | — 0.06 + 0.30 | — 0.84 + 1.64 | — 0.67 — 0.44 | — 1.53 + 0.19 | —1.40 + 0.22 | — 2.54 Region 482. x = + 0.0264; rx = + 0.0263; = + 0.0218; ry = — 0.0162; --: 1158 — — 0.44 + 46.6 == + 0.38 ER Er + 1.08 Eu) == — 0.35 + 22.0 > — 0.96 + 20.9 = 217 — 45.6 2 HAT + 60.3 = len ala = ANN ARDEN dr + 0.35 + 43.5 = PS 230 — + 2.01 493.5 = — 1.48 Das SS + 1.99 ROT ee CUT SÖN IM UNT 2918 83.5 en — 0.45 RR! = — 0.30 19:159 eu LL + 54.7 = LE + 50.7 = — 1.66 — 48.3 = + 0.29 2961 = + 6.33 — 40.1 Le + 4.82 DENN 10:2 NE 9713 SD 2 TO a 620 DT ESSET 10.0 1. 2.68 +29.1 | 10.6 | + 0.60 — 44.7 EL — 1:66 — 0.89 — 0.49 — 2.58 — 2.25 — 1.99 — 0.55 — 4,59 — 3.06 — 1.71 — 3.78 + 0.62 — 3.14 — 0.22 — 0.89 — 5.86 — 2.91 — 2.92 — 5.83 — 3.93 — 4.56 — 2.49 + 4.16 +1.91 + 0.74 — 0.55 + 0.88 — 0.90 — 1.29 E= 1895.32, E' = 1913.31; T — 17.98. kx = + 1.04; ps — k,— + 1.11; py = Diff. en y Unité 0.01 mm / 1 .DoIPRNEMPITLICHS DU ALT P. y b, — a; |. a; —0, Eoo ETS IRON |. 701736 Re 19190) 5 14:05 re ee 61025148 0.15 | — 2.89 er er 3 08:20 0.91 1 — 0.69 2 = — 1:02.15 0.09 T m. 202100. en TA ENT ze - 25:073: 230 m = 0.00 | +1.20 = = 2070, 0221659 : 2 9.35 | -72.99 ur E + 0.0415; rx = + 0.0224. + 0.0164; 7, = + 0.0015. +4,38 | +2,36 | — 2.62 | + 3.71 leader Cm OUT 0529 ON = 10:62, 0479 Far Ber Bee ee | ee re ND 1m 6 ENAS 4904 | 2.0.31.) 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E = 1895.32; E' = 1913.29; T = 17.97. kx = — 0.28; px = + 0.0250; rx = + 0.0275; k'x.— + 0.61; P'x = + 0.0383; r’x = + 0.0244. ky = — 1.26; py = + 0.0223; ry = + 0.0593; k'y = + 0.40; p'y = + 0.0267; r'y = + 0.0033. 2 — 58.4 + 31.1 -— — 0.18 + 0.17 — 4.13 — 2.74 — 0.88 — 1.28 3 — 55.0 + 14.4 | — + 2.18 + 2.14 — 2.60 — 0.78 + 0.95 — 0.05 4 — 50.4 + 16.0 — — 1.32 — 1.14 — 1.33 | 0.00 — 2.24 + 0.88 16 — 43.9 — 28.3 — + 3.54 + 3.74 ee + 1.68 — 0.45 28 — 26.6 + 26.0 — + 0.47 | + 0.18 — 1.68 — 2.04 + 0.32 — 0.82 30 — 26.6 + 7.2 — — 3.02 — 3.37 — 1.01 — 0.42 — 3.68 — 0.13 31 — 27.0 — 1.3 = — 1.22 — 1.57 — 0.70 — 0.45 2.12 — 0.19 36 — 23.1 + 45.5 — + 0.30 | — 0.48 — 0.44 — 1.06 + 0.51 + 0.65 38 — 20.8 — 10.9 | — + 0.97 | + 0.09 +1.01 + 0.58 — 0.25 + 0.75 40 — 21.0 — 28.8 — A est rrt — 2.28 — 2.94 + 1.77 — 3.08 44 — 17.0 + 43.0 — — 2.65 | — 3.03 + 1.61 + 1.30 — 2.10 + 2.61 53 — 10.9 — 60.0 -— — 0.04 | — 1.09 + 0.34 — 0.34 — 2.30 — 1.55 51 — 9.6 — 49.3 -- + 2.15 + 1.39 — 0.17 — 1.03 + 0.35 — 1.94 59 — 2.1 — 4.4 — — 0.74 | — 1.97 — 2.49 — 4.14 — 1:97 — 8.79 62 + 0.9 — 52.4 | —- — 6.07 — 7.56 + 4.16 + 2.33 — 7.98 + 1.50 65 +. 5.4 — 1.5 — + 0.86 4- 0.16 4- 0.86 — 1.08 + 0.81 — 0.74 67 + 14.1 + 52.4 | — — 2.23 | — 2.96 + 0.05 — 2.96 — 0.62 — 1.04 74 + 25.0 + 5.7 — — 1.36 | — 2.86 + 2.24 — 0.96 — 0.98 — 0.44 78 + 32.7 + 0.6 = + 0.63 | — 0.50 + 2.87 — 0.09 + 1.28 — 0.05 84 + 42.9 — 25.5 | — — 1:38 NE 3.14 + 3.89 + 0.53 — 1.40 — 0.18 89 + 49.1 — 49.0 = + 1.48 | — 0.96 + 4.69 + 0.26 + 0.72 — 0.71 — + 5.6 — 41.9 | — — 5.29 | — 5.88 + 2.97 + 1.07 | — 6.33 + 0.39 | das roce" | 22806 1 on TOCET 21:559 00 SA a oo = mi 18 — 89.0 — 32.5 10.5 + 2.71 2.03 — 0.65 — 0.05 — — 24 — 33.5 — 33.8 11.0 + 2.19 + 1.55 + 0.04 4- 0.65 — — 27 — 26.6 + 34.0 8.9 — 0.23 — 0.72 — 1.25 — 1.70 — — 71 + 24.9 — 29.2 9.9 + 0.24 | — 1.09 + 4.04 + 0.50 — — 72 + 29.5 + 49.5 10.4 — 1.09 | — 2.38 + 1.30 — 2.59 — — TER + 31.5 + 9.8 10.5 — 0.80 — 2.22 + 3.19 + 0.28 — — 8b + 40.2 — 26.0 10.5 — 0.50 | — 1.69 + 3.88 + 0.51 — -— Région 484. E = 1895.31; E' = 1913.28; T = 17.97. kx = — 2.34; px = + 0.0372; rx = + 0.0182; k'; = — 1.58; px = + 0.0525; r'x = + 0.0253. ky = + 0.72; py = + 0.0320; ry = — 0.0097; k'y = + 1.92; p'y = + 0.0354; r'y = + 0.0653. 4 — 42.1 | + 63.4 — — 3.21 | — 2.68 | — 1.34 — 5:59 — 5.44 + 1.18 11 — 36.4 | +113 | — — 1.25 | — 1.29 + 1.82 — 1.31 — 4.61 + 2.97 Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 81 Diff. en x Diff. en y | d y + Unité 0.04 mm Unité 0.04 mm | N:o Gi uu iru AIL re OT E 1% AY | en mm | en mm mo «ahh. —- RT? | ı%| % 2 ı 0 2 2 | 13 — 36.7 | — 29.6 — + 1.69 + 1.74 | — 0.17 — 3.31 — 2.54 | — 0.40 17 — 33.0 | — 22.4 T F7.46 | +7.70 | — 2.64 — 5.30 + 3.79 — 2.49 19 | —26.7 | — 7.6 S + 4.58 | +4.25 | —0.03 | — 2.63 | +1.09 | + 0.47 20 | —25.2 | — 35.3 = + 7.69 | +7.42 | —4.19 | — 7.06 | +3.70 | — 4.79 28 — 81 + 43.3 Lm — 11.40 | — 11.86 |— 15.46 | — 17.92 | — 13.01 | — 13.69 31 — 6.3 | — 24.6 — + 4,31 | +3.60 | — 0.72 | —1.92 | -- 1.18 | — 0.65 33 | — 3.2 | —47.2 — + 3.44 | +3.46 | + 0.76 | +0.09 | + 0.32 | + 0.24 42 + 14.6 | — 14.8 — + 16.81 | + 15.72 |— 11.71 | — 12.26 | + 14.14 | — 11.56 43 +13.7 | — 51.1 — + 2.22 + 2.28 | — 1.39 — 1.66 -0.20 | — 2.31 46 + 21.1 | + 60.5 — — 1.05 | —2:65 | —1.15 | — 1.99 | —1:55 | + 1.20 51 + 27.4 | + 41.9 — +2.60 | +1.16 | —1.55 |,— 1.47 | +2.06 | + 0.46 52 + 33.8 | 4- 30.3 = —1.14 | —3.09 | — 1.84 | —0.74| —1.90 | + 0.11 53 +311| + 9.0 > 4-0.82 | —0.35 | — 0.83 | —0.59 | — 0.13 | + 0.05 57 + 34.8 | — 41.6 — +1.90 | --1.27 | + 0:12 | +147 | +028 | — 0.25 60 +36.5 | — 21.9 — 2.58 | + 1.79 2 49 NE 1.36 | 2.55 66 +45.6 | — 22.3 — +1.73| +0.96 | — 0.15 | +1.91 | +0.94 | + 0.18 67 + 51.7 + 58.2 — —1.52 | — 4.45 | — 4.31 | —2.24 | — 1.36 | — 1.43 69 + 54.6 | — 41.2 — +1.09 | 4-0.76.| — 2.60 + 0,69 | + 0.52 | — 2.54 5 | — 44,0 | 439.1 8.6 +2.8 | +117| —1.14 | — 5.85 — 12 — 36.4 | — 21.1 9.4 + 4.10 + 3.34 + 0.51 | — 3.43 — SS 23 — 24.5 | — 43.1 10.7 + 4.69 | + 4.40 + 0.63 | — 1.82 — — 24 | —18.8 | +53.9 10.2 + 1.84 | +2.68 | — 2.59 | — 5.66 — -— 4T + 22.0 | + 42.2 10.5 + 0.86 | —0.86 | — 1.99 | — 1.31 — — 55 + 30.5 | — 22.3 10.8 + 1.37 | + 0.42 | — 0.24 | + 0.36 — — 56 + 31.4 | — 33.9 10.1 +1.37 | +0.66 | + 0.06 | + 1.55 — — 58 + 35.9 | + 37.7 10.1 +0.89 | — 0.79 | — 2.63 | — 1.28 — — Région 485. E = 1895.32; E' — 1913.29; T. — 17.97. kx = — 0.57; px = + 0.0183; rx = — 0.0096; k'x = + 0.34; p'x = + 0.0355; r'x = — 0.0009. ky = + 0.28; py = + 0.0255; ry = + 0.0107; k'y = + 0.91; p'y = + 0.0385; 7', = + 0.0380. 6 — 58.4 | — 11.0 = + 0.33 +1.20 | — 1.10 | — 2.90 — 0.86 | — 0:33 8 | —53.5 | +375 — +4.00 | +2.50 | —119 | —4.61 | -- 1.50 | + 0.19 11 —b1.4 | — 91 == + 4.21 + 4.34 | — 2.12 | — 4.41 + 2.83 | — 1.71 Milz — 52.2 | — 25.3 — 0.72. | 240.860], 2016, | 2— 12948 | 2503. | +. 024 16 — 47.9 | + 71 = + 1.35 | +0.45 | —0.23 | — 2.89 — 0.54 | + 0.42 19 — 42.7 — 56.7 = = 3.81 | — 3.50 | + 0.70 | — 0.54 2545627 |. — 9.10 20 | —39.1 | — 0.4 — 4-9.15.| 40.08 | +2%32 | -+046.| —1.05 |. + 2,92 21 — 30.5 | + 26.7 — — 0.3 | —0.56 | — 0.64 | —2.90 | —1.57 | + 0.42 34 | —20.4 | +53.6 — + 0:86 | + 0:05 | — 2.83 | — 5.27 | — 0.48 | — 1.24 42 — 54| —132 —— — 0.64 | — 1.62 | — 0.28 | —1.31 | — 1.32, — 0:49 46 | — 2.3 | +11.4 E + 0.07 | —1.07| —0.40 | —1.31 | — 0.73 | + 0.16 53 + 9.5 | 413.0 E + 1.08 | — 0.42 | —0.58 | —1.09 | + 0.40 | — 0.05 60 +11.5 | 4-52.0 — —0.93 | —2.61 | —1.74 | —2.92 | —1.85 | — 0.35 64 + 18.0 | + 35.6 = + 2.41 | +111| — 2.46 | — 3.23 | +1.94 | — 1.54 70 + 20.9 | — 20.6 — + 1.25 | — 0.02 | +0.75| +111 | +1.17 | + 0.36 73 +21.0 | — 59.6 — — 2.66 | —4.30 | +1.83 | +2.06 | — 2.72 | + 0.12 (419/61 282 > + 06: | +3,16 | SR EST | +2:62 | — 5.49 82 RAGNAR FURUHJELM. Diff. en z Diff. en y N Ca y à Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm :0 Gr. n E Ed AT 4 y en mm en mm | | b,—a,| a —b,| bà —a | a —b, | | 80,0) 41385247 |. 19890 ss — 2.02 | — 3.77 | +0.49 | +0.88 | —2.04 | —-0.35 82 | -F35.4.| 2 308 = + 044 | —0.95 | — 0.54 | +0.23 | + 0.66 | — 1.83 83 | +406 | +525 eM —3,20.| = 5.41 |-- 13.21. | +12.30'| 3.45 | + 09004 | S5 34078 DES — 9 TOUT 25:8 051-4 — 0:68: 1: 50405-] > Dose, eg 86 | +40.7 | —18.0 — —2.68 | — 443 | -—0.07 | --0:37 | — 2:83. | — dH 88 |':p4914. EE Saar em ados = 17e 220886 155319108 | BE] 93 «|: 4255413. | S74 val — 3.33 | —5.96 | —2.93 | —1.97 | —3.39 | — 2.62 | Ya | 69-0 - — 4,88 | — 6.34 | 4-0.28 |. -- 1.96 | — 4.00 | — 3:52 NE TE ESI ORBE 0.86%, — 88. 4: 0,791 Hrn 2026. 239/05 97 | +56.8 | —354| — 30.0621, 2.491 1-0: 70 |. 2110 E0283 2 al CORTES GGN ES ES RE 1.63). 3.08 |. 0:07 4- 280.39 |- —"9r25 = 199 AE OT NE bb ES: DS 0.5 FEST ae BD SR ES 0.58. |^ 337441 1:69. 7-389745 | 00398] en er T DUO aca IST 5981941 19:074." |. 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E = 1895.32; E' — 1913.31; T — 17.99. kx = + 0.72; px = + 0.0031; rx = + 0,0063; K'x = — 2.64; px = + 0.0242; r'x = + 0.0807. ky = + 0.09; py = + 0.0028; 7y = + 0.0246; k'y = + 0.62; P'y = + 0.0100; r’y = — 0.0120. 1 | —613 | +474 = — 1.62 | — 0.54 | — 2.68 | —0.92 | — 0.81 | — 0.76 3 | —649 | —16.1 — ^]—12.57 | — 6.53 | — 15.44 | — 14.05 | — 12.09 | — 14.08 14 | —35.0 | + 39.7 — + 1.07 | +1.39 | —146 | —0.70 | +1.51 | — 0.25 16 | —35.5 | + 0.7 — — 2.94 | +1.22 | — 0.81 | —0.01 | —2.27 | + 0.17 23 | —29.5 | —18.0 -— + 0.83 | +6.72 | — 0.86 | +0.37 | +1.63 | + 0.18 24 | —26.3 | —51.0 -— — 0.85 | +6.61 | +0.31 | +1.09 | — 0.66 | + 0.89 26 | —20.3 | +58.0 -— — 2.62 | — 3.18 | —0.43 | — 0.83 | —1.61 | + 0.22 28 | —20.9 | +16.2 -— 40.73 | +3.42 | —2.95 | —2.47 | +1.53 |. — 2.12 30 | —23.2 | — 29.7 — — 3.00 | + 3.08 | +0,53 | +1.26 | — 2.53 | -- 1.20 31 | —15.1 | +442 — — 2.53 | —2.16 | —2.08 | — 2.26 | — 1.59 | —1.44 32 | —15.2 | + 42.0 = — 3.01 | —2.37 | —2.67 | — 2.75 | 2.03 | —1.99 36 | —13.9 | +151 — | 930 +3.18 | — 4.24 | — 497 | +1.20 | — 4.07 40:,| = 04. +412 = — 0.23 | +0.05 | +0.13 |. —0.62 | +0.73 | + 0.38 49 |, 49 | — 21 x — 3.15 | +0.82 | —1.62| — 2.01 | —2.28 | —1.44 43 | + 46 | +434 _ —3:99- ant — d944 1-991 4 95 0/195 BR 44 | + 0.6 | +24.3 — + 0:74 | +2.70| —1.22 | — LAST +1.82 | — 0.84 45 | + 04 | +242 = —0:82 | +117 | —1.76 | —2.37 | + 0:27 | — 1.56 50.| 3-10: | + 55,1 — — 1.41 | —0.94| —0.39 | —1.80 | — 0.47 | — 0.58 52. | +149 | 524 — —1.58| +5.02 | +2.54 | +1.31 | —1.31 | +1,85 53. | 2164| + 47.7 d --0.50 | +0.58 | — 1.36 | — 3.60 | + 1.88 | — 1.92 5b. 940)! 51.9 == — 4,85 | -- 1.02 | +1.96 | -- 1.21] —4.49 | +145 60 | +24.5 | — 52.9 — — 5.91 | +0.88 | +2.47 | +123| — 5.44 | +1.71 61 | +24.5 | — 62.6 = — 1.93 | +5.30 | + 2.59 | +1.26 | — 1.66 | +1.22 lea | a A EN IE Eee 17 | —35.8 | —446 | 103 | —0.28 | +6.61 | —0.59 | + 0.77 = — 21 | —25.1 | +199 9.4 | —0.90 | +0.96 | — 1.34 | —1.26 — — 93. — 943 TH 38.l 9.0 | —0.53 | 4.1.09 | — 0.49 | — 0,52 — -— 29 | —21.0 | —223 | 101 | —0.79 | 5.20 | —0.52 | — 0.12 — — 55 | +244 | +364 9.6 | —1.23 | —0.81 | +006 | — 1.24 — — 63 | +27.8 | —39,5 | 10.6 |.—0.40-| +5.24| +0.51 | — 1.13 == — Go ES LESS 10.2 21.220659, Ree RP rec rre M non — — 77 | BLA | + 45.2 9.7 | —1.19 | — 2.57 | + 1.68 | —1.17 = = Région 489. E = 1895.31; E' = 1910.29; T — 14.98. ky = + 1.40; px = + 0.0013; rx = + 0.0320; k'x = — 0.58; p'x = + 0.0090; rx = + 0.0386. ky = — 2.18; py = + 0.0013; r, = + 0.0361; k'y = + 0.06; p'y = + 0.0071; 7', = + 0.0216. 1 | — 60.2 | +508| — — 1.36 | +1.33 | +147 | —101 | +188 | +112 5 | — 67.9 | 248.3) = — 0.01 | + 2.20 | — 0.33 | — 1.41 | —0.50 | — 0.46 10 | —461, —470 | — — 0.02 | +3.54 | +1.17 | — 0.99 |: + 0.28 | + 0.16 11 | — 43.3 | SITO u + 0.15 | +3.04 | + 0.03 | —1.80 | +2.34 | — 0.63 Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 85 o : Diff. en x Diff. en y | e auis wi Gr, | Unité 0.01 mm | Unité Li mm dr. ig =) %-b| u, — a, | la, — 5, 15 — 43.5 | — 80 = — 3.37 — 0.47 + 0.64 — 1.63 — 2.02 —50.33 y em rc EY, E Jes ncn EIS oup EST) Sa Mer tero OO fe PT MO TR ON BEES — 0.92 aeos M Be AE 01047 WAR >| PSI TOS 30 2 RO ee crecer kel AA 4:62! 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E — 1895.32; E' — 1913.32; T — 18.00. kx = + 0.07; px = + 0.0237; rx = — 0.0204; k'x = + 1.74; p'x = + 0.0509; rx = + 0.0459. ky = — 0.67; py = + 0.0166; ry = — 0.0268; k'y = + 1.14; p'y = + 0.0418; r'y = — 0.0304. ps essere aT Spr rre — 0:577 20.17 [r1 2:08, | 3213765: || 1.97 | 39:19 Sn tes diea | dee Ar os NES ON 8 108g SE CN Tas er 0866 Bu ea AIR EF — 2.13 | —2.16 | +2.63 | +0.66 | —2.33 | + 0.79 io s IEEE nep Ego = — 4.76 °— 2:23 | ÖKAD | — 1.15 | —-4.02 | — 1.92 14 | —16.0-.-—-39.9 | , — |—16.83 | — 20.40. || -- 112 | — 1.88 | — 17.79 | + 0,56 | layer ae] See | eek | et DT EE pied SAGE n ey ieh ES 67 en Ber) gue CIM EL TN - — 2.42 | —2.00 | + 1.42 | —0.13 | —1.99 | — 0.05 > tele TRS — ea) || ra Mer dE SE rn ye mio Ban bb PL AOUS Le Need 59:079 453 ES 9 er moa na ee 39b. bal ALES = 046 | —1:809 | 50 |-— $07. | #041 | — 0:03. | 37 + 44 |. + 43.1 il Eee ms CONES SS Ir Res e Aes APT, 4029 ale rn uid EXdga-[ STIG) 8A. fL | 0491 012 | Zope pto n e ntur 6 RH Mob Bel 0.30 | 253 | -:9:00-] 0.00 | HSE Metis Omer TO sis US ZI X359 | i-em | |. 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E = 1895.31; E' — 1913.28; T = 17.97. kx = — 0.12; px = + 0.0539; rx = + 0.0375; k'x = — 0.09; p'x = + 0.0608; r'x = + 0.0509. ky = — 0.60; py = + 0.0190; ry = + 0.0486; k', = + 3.58; p'y = + 0.0213; r'y = + 0.0205. 1 | —61.6| #585| — —3.57.| 244644 23:81 | "6.167 HDI CPS 3 4 68.4 | 6&9 | 7 29 :H10:56. | 1.0901" 0,83. 77921994 — EN SERIEN 4-1, —.61.0)| 1-299..." 43.47 | +4.02 | —2.37 | —4.92| — 1.70 | — 0.98 8 | —42.5 | + 8.0 — + 0.03.) 0.13.) — 0.48. 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ADP = KING et 02:9 z + 3.31 | —1.35 | — 0.69 3.14 V vs Orr | 20418 KALT ps 26.3 E ee 1S gom. oe axgc8p c OL NN 2E 0:46 I 0:41 Bade 5:98: (ens ES = aaa], 1.49 PE 12 460.27 06170021 ARE ECC ER = TU lee LOU GA -50:35x + 0:58 | 29 63. 3: 39:9: 243,0 = 13% OT ED OGR 2E ALERT 40:07 114208 : T9409 2E 45.9, 9918 E OB om a dI lab = 0:48 4 50:03, 1 3501 0E] 51 1-L09:53|! —5 7.8 € —1.97 | —5.06 | +426 | +2.25 | —2.36 | 4- 0.94 eL LUST. |» 19:9 xn. 2520580» a |A ere [19:96 EI 16.0 98.9 22.0 10.7 pA eR + 0.32 - 0.49 S RE Gr ee 206052994. | 443 10.2 459.85 | +1.86 | 2.253 |. 4.2.98 == = OX 4 5280.41, 33.6 10.4 be LEA Eee oor iri S Ta XCTI UIS Dc = Lin iq eqs 1. 993 |. 10.7 8b 10105 EX ati = = iN 951.19 19/5 TS 0 9.5 4-3.24 | — 0.45 0.00 | — 0.48 Zi ar Bloc 995.403 10.2 +1,32 | OO NES 3090 oT = — bre SO o Dort 10.6 A ER de 9 0:35 1759.36 2 E TE^ | 3:40.9 2 37.6 9.1 DE [OS 30077 it) 2 uc 15-484 |. 17997 10.4 De EAN 2 Vlr eva E 0230 de = Region 502. E = 1895.32; E' = 1913.29; T = 17.97. kx = — 3.08; px = + 0.0303; rx = + 0.0095; k', = — 0.25; px = + 0.0459; r'x = + 0.0232. | k, = — 2.20; py = + 0.0305; ry = + 0.0238; k'y = + 0.48; p'y = + 0.0297; r', = — 0.0068. p Ie IBOOK Te ST eh ise te Du Meer lise X ON RE (Oa ce 7 PO TET o +418 | +1.78 | +0.08 | — 2.14 | —0.24 | — 1.11 | 19.71. 30.51 2: 29:0 — TON | erga er oT ea To 50004 20 |.—325 | — 5.3 | — — 0.42 | —1.97| —0.57 | —3.00 | —418 | — 2.54 | 29 .| 26.6 | + 49.5 Em 0/7831 .—9^0921.55:: 0:59. 18 HRT 2.59. 0:59 1527 | —227| + 16] .— +481 | +2.34 | +0.94 —1.36 | +1.07 | — 0.82 AG [2518/9 [^ TA Pe ze sangen cp 3g 183 1,08 TEN Ha RE "uer caa le 1831216 «E 3:60. |o — 2:88 | 58 | 4323 | +21.5 xl +216 | —1.33 | +1.75 | —1.01 | +0.33 | — 0.11 Igor io nee a ER NE 13,931 2E.0DBN SES — 9:19 2.00 | — 0.91 EEUU 4:385-| 2L 97.9 = ED — ODIO EDGE 19.1085 OL Du LATE NL va 80a, > Older DAS 2091-6118 = 0.0 68 | +36.8 | — 56.2 xa -- 7109994 20906" | 0 99g OE 17] 29:91 |» — DAE 70-°| 45,3 |°+4:59/1 es 50.16 | — 3.91. | 20246 | 11278 | 10:84 | 40.87 | 73 | +635 | 4- 42.9 = 0.79 6881. 2337., 1840| 22,230 0:37 || | | | Er a |D TEL 604 | +3.94 | +2.03 | +2.29 | + 0.37 | NES |. 2015 338 | 14816 9.9 15.08 | 77-3247 1779.45 | 2:91:09 | Seh 18. |. 30 | SN 10.2 | 59.670 | RD | +037.| 311520 = — N:o 1 RAGNAR FURUHJELM. an: Diff. en x Diff. en y v | y Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm N:0 : | len, Sn ARR Da SG dy en mm en mm | ba | AR 5 —a |) a —b, | ps 354r. lag, 100 La mon. 100 86 1299: |. a fe 50 + 24.9 — 33.5 10,5 + 2.88 | — 0.51 + 4.39, |. + 0.63 — — 51 + 22.1 — 91.2 10.5 + 3.15 + 0.73 + 3.45 + 0.62 — — 56 + 30.9 + 46.0 | 9.5 + 1.90 — 2.51 + 1.57 — 2.43 — — 63 40.0 + 42.0 | 10.1 | + 1.14 — 2.52 | + 1.67 — 2.04 — == Région 503. E = 1895.31; E' — 1910.29; T — 14.98. ky = — 1.22; px = + 0.0041; rx = — 0.0292; k', = — 0.08; p'x — + 0.0102; rx — + 0.0293. ky = + 0.76; py = + 0.0141; ry = + 0.0659; k', = + 2.63; p'y = + 0.0214; r'y = + 0.1081. 5 — 54.9 | — 50.7 | = — 0.69 FILT i = 3.95 — 8.27 — 0.80 | — 0.53 12 mo) EA = + 0.74 | — 0.76 EN cese CEA — 0.93 + 0.54 13 | — 31.4 + 55.1 = + 3.15 | — 0.88 — 2.91 — 7.08 + 0.26 + 0.41 197 — 29.4 ll) = 1.5270 220.79 — 8.76 — 6.45 110.298 Hz 1.06 20 | — 20.9 | + 45.4 == + 5.17 | +1.43 — 9.91 — 6.25 + 2.50 — 0.49 24 — 197 — 37.1 — — 1.94 — 0.17 — 2.29 — 4.32 — 1.85 — 0.55 | 36 Ir. ton + 11.3 — + 1.12 | — 0.66 — 0.12 — 2.01 — 0.40 + 0.68 | 44 NOEL — 26.5 — — 0.01 | + 0.49 + 0.73 — 0.90 — 0.34 + 0.32 85 | 422.8 + 35.8 | —— — 6.38 Mira: 9:99 + 2.32 + 1.65 — 8.67 + 2.37 56 + 26.3 + 39.2 — — 6.45 | — 10.67 | — 11.67 | — 13.01 — 9.01 | — 12.23 58 + 25.5 — 7.0 | — — 3.34 — 4,18 | — 2.14 — 8.34 — 4.23 — 8.39 68 |” + 49.6 + 54.3 -— + 0.57 — 3.30 + 3.05 + 3.14 — 1.66 + 1.44 70 + 45.2 | — 61.4 — — 1.82 — 0.64 + 3.50 + 3.32 — 1.55 + 0.08 | | | Bu Aa ENA RS ESA oo ERA ea =: 11, | — 35.2. + 84.005 ur E 25 3.84. Coe 7260 22 X Tor | OB ERE ENTIA LR A PUB D OL el eo OD NOR LG Be A 99 AR PL VELO MINE ER OT 22 = = 75/0 10:8. 48.9 "rs ee OENB MOS o ESSE HT pte au TOM DIETS UO EC EE BN OPA Le el TEL | eoe = Ba Ta PSP TO ENS PAT MT ccce er pi t od cr Av T 98.810.538 qo To ERE DU e ESTO | EE m Gu 3 450140 AB 9.8: 182 060 | 21.0.8010 4.2.05 || 29.48 zer u Region 504. E = 1895.33; E' = 1913.32; T = 17.99. kx = — 0.95; px = + 0.0354; r, = 0.0000; k'x = — 2.18; pa = + 0.0391; r'x = + 0.0525. ky = — 1.02; py = + 0.0192; ry = — 0.0316; k'y = — 2.12; p'y = + 0.0381; 1'y = — 0.0130. 1 65.00 ET st: — — 0.20 | + 1.07 + 1.02 | + 0.61 | — 3.23 | — 1.86 7 i — 35.8 | + 57.8 | — — 1.94 — 2.82 2.0.88 | 0182|, — 8576 — 0.18 13 — 24.3 | + 51.3 | — + 1.79 + 1.07 — 0.38 [ans 1.04 + 0.30 — 1.36 1571, — 19.2 | + 17.0 — + 0.27 + 0.95 + 4.83 | +4.95 | — 1.22 + 3.38 2 | + 7.6 + 31.9 | — — 0.62 — 1.06 + 0.05 | + 0.89 — 1.28 | — 0.01 25... 008.) 991. - C58 le TS S bL. D 0:62 or Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 95 Diff. en x Diff, en y | | | % y Unité 0.01 mm Unité 0.01 mm | N:o Gr. : Ty UN : Az | Ay cl re b, Eq asc BL b—8,| a —b, | | I Sui SE STR T4 = ee alas | pat MET MS 47 tie g^ eo! 38 + 40.1 | + 25.8 — — 0.44 | — 0.22 | — 1.59 | +0.08 | + 0.26 | — 0.70 39 + 44.1 + 0.7 — + 0.80 | + 1.59 — 0.46 + 1.56 + 1.29 — 0.02 41 ARE 80:3 2: 14833, 1 SEIS DR ESTATE TI M ES EN 5129 102006 MOSS Ee d. — — 0.69 | + 0.44 AL EID +0.60 | — 0.03 | DO | +.60.6.| —211 = SN ODIN sn I EEE 9 Don 29 71 — 4:971 ba HDi 2408 10.8 ol) ee ne AD Sure) 2 | — 05. 59-3879: 1- 5:300 9.7 +1.90 | +1.83 | .-- 1.89 | +1.38 = | SSI ine TE EN prb 10.7 +2.56 | 141.72 | +0.95 | +0.81 — — Ba eat raro ARE PC RAP AE e qo 46 ce goa pe cm poe 3 113416101397 10.7 0:400 273.001 52.0.50, 1° 7.3.09 — qo — AO Bre Ama 10.9 10.8 EX 0 poo sum 0,5377 — |—.| AS AO NP 30. 9.8 ESSET 005512 5/709 RETO SE OO = ie AMIE DD 814 533.6 9.6 — 0.52 DATE 026010 :5:9:00 EON | IV. Calcul des mouvements propres annuels en partant des résultats des mesures. 1. Calcul des mouvements propres pour chaque région séparement. Les quantités fx et ./y, ou les déplacements le long de l’axe des x resp. des y du réseau sur le cliché À doivent d'abord être corrigés pour ‚les constantes du cliché 4. Ces constantes sont déjà calculées pour le Catalogue du ciel, et se trouvent publiées dans Cat. phot. Z. Hels. T. IV. Si on dé- signe les constantes d'échelle du cliché A par px et py, les constantes d'orientation par r et ry on a, pour déterminer AX et AY, c. à d. les changements des coordonnées idéales, les équations suivantes: AX — AL px AL + rx Ay (0 AY = y + py dy — vy 4x, ou AX et AY sont exprimées dans l'unité 0.'01, quand 4x et ^ sont donnés dans l'unité 0.01 mm. Il s'agit ensuite de tirer de 4X et AY les changements correspondants en ascension droite ot en déclinaison 4« et Ad. Pour tirer « et d de X et Y on a les développements en série: N:o 1. 96 RAGNAR FURUHJELM. & — a — X sec d, + XY sec dy tg dy er X! sec? dy + XY" sec à, tego... es DR td, X Y sect à —.Y His. où & et d, désignent les coordonnées du centre de la plaque. On tire de ces équations Aa — 4X secd, + XAY sec, tg dy + FAX sec à, tg dy — X? AX sec? dy (2) + Y? 4X sec ds tg? dy + 2 XYAY sec d, tg? dy + .... dà — AY — XAX ig, — à KAY sect ó, — XYAX sect à, — Y4Y + .... Les termes exclus sont au moins de l'ordre de grandeur (./X?) ou (X34X). Je vais maintenant rechercher quels sont ceux des termes exprimés ci-dessus qui peuvent étre négligés dans. les caleuls, et j'envisagerai d'abord les termes de l'ordre (X?./X). Celui de ces termes qui peut atteindre la valeur la plus grande est ) 2 XYAY sec dy tg 204. Dans les recherches présentes on a partout [Xl eb 1 .Y | < 6575 0, 47° 5% see dg tg? 9, < 1.7; et, à l'exception d'un seul cas, | 4Y| « 0'.3. On obtient donc |9 XYAY sec à, tg? 0| < 0.00037 — 0".022. Pour un intervalle de 18 ans on commet donc en négligeant ce terme une erreur dans le mouvement propre annuel qui atteint tout au plus 0”.0012. Il faut cependant remarquer que X et Y sont en général de beaucoup inférieurs à la limite indiquée ci-dessus, et que, quand ils sont grands, les mesures elles aussi sont incertaines. En outre la plupart des déplace- ments sont bien plus petits que 0'.3; je me suis donc regardé comme autorisé à négliger tous les termes des développements (2) qui sont de l'ordre de grandeur (X?4/X). Les termes de l'ordre (X4 X), par contre, ne sont pas toujours négligeables, comme on peut aisément le con- stater. Pour le calcul de Ja et 40 j'ai ainsi obtenu les équations suivantes: - Aa = AX sec dy + XAY sec d, tg dy + FAX sec dy tg do, (3) Ad — AY — XAX ig ày. Afin de pouvoir déduire les déplacements totaux ainsi que les angles de position j'ai en outre calculé les quantités Aa cos 0. En partant de l'égalité approximative à — d + Y, on trouve " Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 97 N DD dues ET fr RA RE cos dy XAY sec dy tg d, cos 0:— XAY tg Ó,, YA X sec du tg d, cos d = YA X tg do, aux termes prés de l'ordre (X?./ X). Pour 4« cos d on arrive donc à l'équation (4) Aa cos d — AX + XAY tg dy. Les composantes annuelles du mouvement propre s'obtiennent enfin des égalités da AÔ (5) Wa — T > Mi — "TD où T est l'intervalle de temps. Les constantes de la plaque A étant calculées pour l'équinoxe moyen 1900.0, les mouvements propres se rapportent par suite à cette époque. Dans la pratique des calculs ci-dessus j'ai employé le procédé suivant. Des constantes px et py j'ai d'abord séparé la partie principale, — 0.002, aprés quoi j'ai calculé les corrections (px + 0.002) Ax + rxdy, (a) (py + 0.002) Ay — ryAÂx. Dans la plupart des cas ces termes sont trés petits. Puis j'ai déterminé les expressions », (b) XAY tg à, YAX tg à, — XAX tg do. Pour faciliter le caleul de ces quantités, j'ai construit, pour chaque degré en déclinaison, un tableau avec les arguments X ou Y et 4X ou AY. Etant donné la faible valeur de ces termes, on peut, au lieu des coordonnées idéales et de leurs changements, employer comme arguments les quantités correspondantes sans corrections. En employant les corrections (a) et (b) j'ai obtenu les quantités suivantes: Az + (px + 0.002) Ax + xy + X AY. tg do + YAX tg do Z1 + (px + 0.002) 4x + rx49y + X AY tg do Ay + (py + 0.002) Ay — rydx — XAX tg do, toutes exprimées dans l'unité 001, et que j'appellerai momentanément L, M et N. En der- nier lieu j'ai calculé les quantités u,, u, cos d et ws d’après les équations DEO rl Mare T . 0.6 x 0.998 M Ma COS 0 —- rire 1 __ 0.6 x 0.998 N Mo — T > N:o 1. 98 RAGNAR FURUHJELM. La quantité w, a été ainsi exprimée en secondes de temps, les deux autres en secondes d'arc. Le facteur 0.998 a été introduit parce qu'on avait laissé de cóté dans les caleuls précédents la partie principale de la constante d'échelle, — 0.002. 2. Formation des moyennes des résultats de régions différentes. Les régions étant disposées par rapport les unes aux autres de telle facon que chaque région empiéte en partie sur les domaines avoisinants, chaque étoile apparait en règle générale dans deux régions au moins. Je me permets de renvoyer encore à cet égard à mon travail précité, ou sont décrites plus en détail les positions relatives des régions*) Les exceptions à cette règle sont: 1:0 une partie des étoiles situées aux limites de la zone, c. à d. entre 39° et 40° ou 46° et 47° de déclinaison, où manquent les raccords avec les régions situées plus au sud, resp. plus au nord; 2:0 certaines étoiles faibles, qui, dans une ou plusieurs des régions auxquelles elles appartiennent, n'ont pas apparu sur les plaques. On remarquera en outre à cette occasion que, pour la plupart des étoiles dont les ascensions droites tombent entre 8h54" et 9" et entre 11^55" et 12^, on n'a qu'une determi- nation du mouvement propre, parce que les régions avoisinantes, situées hors de la section maintenant traitée de la zone, n'ont jusqu'ici pas été mises en ceuvre. Pour toutes les étoiles figurant dans deux ou plusieurs régions il s'est agi de former la moyenne des différentes déterminations particulieres du mouvement propre. lla été néces- saire à cet égard d'attribuer aux différentes determinations des- poids différents en tenant compte des circonstances suivantes: 1:0 la précision des mesures dépend de*la position des étoiles sur la plaque; 2:0 lintervalle entre l'époque de la plaque nouvelle et celle de l'ancienne n'est pas le méme pour toutes les régions. La précision des déterminations des positions dans la zone de Helsingfors, d’après la position des étoiles sur la plaque a été déjà étudiée par mor dans le travail que je viens de citer, ou ont été construites des courbes pour déterminer le poids des positions **). Mais, comme il ne va pas de sol que les mesures de mouvements propres doivent suivre la méme loi, j'ai jugé nécessaire de faire une recherche spéciale à ce sujet, en me basant sur les ma- tériaux présents relatifs aux mouvements propres. J'ai done déterminé l'erreur probable d'une détermination du mouvement propre au voisinage de certains points de la plaque; ces points sont les mémes que ceux choisis dans mon étude précédente. Partant des erreurs probables j'ai ensuite calculé les poids en adoptant le poids 1 pour les points x = + 27'.5, y = + 30' et x = + 30", y — +275. Les résultats de ce calcul, pour les ascensions droites, sont donnés dans le tableau ci-dessous, ot les nombres entre parenthéses sont ceux obtenus auparavant pour les déterminations des positions. Les nombres correspondants pour les déclinaisons s'obtiennent en changeant simplement de place les coordonnées x et y. *) V. Sur la précision etc. É*)OV Hop: cit UD 0. Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 99 da OSA ^ eae 0! 0.49 0.53 0.37 (0.62) (0.43) (0.33) 0.40 0.26 0.23 (0.28) (0.24) (0.18) z= +10 4-80' +50’. y — +55 0.70 057 0.36 (0.96) (0.67) (0.33) 0.98 0.40 0.30 = 60' y=T (0.71) (0.45) (0.20) i Ds & . i ON L’accord entre les deux series est en general bon. Si, en quelque point, la difference - entre la valeur nouvelle et l’ancienne est assez importante, le point immediatement voisin montre un écart en sens inverse. Si on prend les moyennes des nombres correspondants dans la méme colonne verticale, on obtient les nombres suivants: "gy +10 +30 +50! æ— +10 +30 +50 . . J “et Kos «kt 0.3: 2-5. 575 0.44 0.40 0.30 cs oen 0.84 0.48 0.33 (0.45) (0.34) (0.26) (0.84) (0.56) (0.26). Si on arrondissait ces nombres en dixiemes, l'accord serait à peu prés complet. J'ai par suite jugé que j'avais le droit, pour les déterminations de poids, d'employer les courbes que j'ai obtenues auparavant, surtout que ces courbes se basent sur des matériaux bien plus abondants que ceux dont j'ai disposé maintenant. Comme cependant, pour les points où x et y sont grands, les nombres nouveaux sont, en général um peu plus élevés que les anciens, J'ai, en employant les courbes au voisinage des coins de la plaque, utilisé dans les cas douteux le poids le plus élevé. Je désignerai dans la suite par P, le poids dépendant de la position de l'étoile sur la plaque. Le poids des déterminations de mouvements propres d'aprés l'intervalle de temps écoulé entre les photographies ressort des considérations suivantes. Admettons qu'une étoile figure dans deux régions, À et À”, avec les intervalles de temps 7' et 7", et qu'elle soit située de telle manière que P, soit le méme pour les deux régions. Sur À on a mesuré un déplace- ment 4, sur À" un autre déplacement 4/; appelons w et w' les déplacements annuels corres- pondants. En désignant l'erreur probable par v, on a r (a) =" (4), d'ou r(p)- T zc (uy T': Si on appelle P; et P', les poids de & et u' en tant qu'ils dépendent des intervalles de temps, on obtient Bosw) Bow) T N:o 1, 100 RAGNAR FURUHJELM. - Les quantités P, sont donc proportionnelles aux carrés des intervalles de temps. Comme unité pour P, j'ai choisi la valeur correspondant à l'intervalle de 18 années, qui est le plus fréquent dans le présent travail. Le poids définitif d'une détermination du mouvement propre est donné par le produit == Po x P. Pour le calcul de cette quantité, j'ai dressé un tableau avec les arguments P, et T'*) 3. Réduction au mouvement propre absolu. Les mouvements propres tirés de 4 et Ay sont relatifs, c. à d. rapportés au systeme des étoiles de comparaison. Pour rendre pos- sible une réduction au mouvement propre absolu j'ai, comme il a été dit plus haut, fait entrer dans mes mesures toutes les étoiles de la section ici traitée de la zone qui rentrent dans le Preliminary General Catalogue de Boss, qu'elles aient ou non un mouvement propre notable. Ces étoiles sont au nombre de 40. Les valeurs du mouvement propre ressortant de mes caleuls ont été comparés à celles déterminées par Boss, et les résultats de la comparaison sont réunis dans le tableau ci-dessous. Le tableau indique 1:0) le. numéro du catalogue de Boss; 2:0) la classe de grandeur d'aprés Boss; 3:0) et 4:0) les ascensions droites et déclinaisons approximatives pour 1900.0; 5:0) et 6:0) les composantes wu, et 4, du mouvement propre d’après Boss; 7:0) et 8:0) les mémes quantités d'aprés mes déterminations; 9:0) et 10:0) les différences entre les valeurs de Boss et les miennes en unités de la derniére décimale, et enfin 11:0) et 12:0) les poids des différences Boss—Hels.; on indiquera plus loin comment ces poids ont été déterminés. Tableau II. Comparaison entre Boss et Helsingfors. REN | ru RE Boss Helsingfors | Boss—Hels | Poids N:o | Gr. a D) ze os rs 1 i S Ma Ne Mu we | ma | ms | Mo | Bö h ms | OP: 8 | 7 8 " | | 2413 | 4.0 | 854 9 | 4210.8 | — 0.0388 | — 0.261 |.— 0.0403 | — 0.269 | -- 151 + 8j 0.3 | 0.5 2465 | 5.4 9 716 | 43 37.8 | — 0.0021 | — 0.047 | — 0.0025 | — 0.029 | + 4|1—18| 1.9 | 2.0 2530 | 5.6 | 922 7 | 46 2.4 | — 0.0003 | — 0.136 | — 0.0006 | — 0.128 | + 3|— 8| 1.3 | 1.2 2531 | 8.1 | 922 9| 46 1.1 | — 0.0012 | — 0.053 | + 0.0001 | — 0.040 —13 —13| 1.1 | 1.1 2570, | 5.0 | 9.2850 | 40 3.9 | — 0.0027 0.000, — 0.0006 | + 0.0041 —21|— 4 2584 | 5.4 | 932 7 | 4041.3 | — 0.0017 | — 0.007 | — 0.0004 | — 0.006) —13| — 1 2597 | 7.6 | 93511 | 39 24.5 | + 0.0066 | — 0.147 | + 0.0083 | — 0.155 | -17 | + 8 .2 2601 | 5.6 | 93549 | 4012.8 | — 0.0051 | — 0.049 | — 0.0037 | — 0.088| —14|--39| 1.7 | 2.0 2620 | 7.2 | 94019 | 45 34.8 | + 0.0056 | — 0.143 | + 0.0062 | —0.142]— 6|— 1 2626 | 5.3 | 942 8 | 4629.2 | + 0.0213 | — 0.099 | + 0.0236 | — 0.108 | — +39 2633 | 7.0 | 944 6 | 40 5.9 | + 0.0012 | — 0.007 | + 0.0008 | + 0,008 | + 4|—15 + Les résultats pour la région 462, ou on a observé que les traits du réseau sont un peu sinueux, n'ont recu que la moitié du poids qui leur serait revenu d’apres le raisonnement précédent. Tom. XLVIII, Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 101 | | Boss Helsingfors | Boss—Hels.| Poids Ni. Gf. binae | d ; —— | FR nl | Ua us Un | us Ua | Us | Ma us homes | BAL 8 „ 8 | "n | | | 2665 |,5.2 95134 | 41 31.9 | — 0.0102 | — 0.037 0.0125 | — 0.041|--23 | -- 4 1.8 | 1:9 2701 | 6.7 1107457 | Al 9.2 | — 0.0011 | — 0.012 | — 0.0009 30.0121 1.2 TE ESTE ae, 2729 | 3.4 |10 11 4 | 4324.8 |— 0.0149 | — 0.045 | — 0.0148 | — 0.070 I rS 28.12.05 A | 2736.| 7.0 |101247 | 4433.4 | + 0 0054 0.305 | + 0.0073 |— 0.320 | — 19 | +15 7 | 1.9 2744 | 7.0 11015 5 | 42211 0.0001 | + 0.001| + 0.0007 | —0.002| — 8|+ 31 1.7 | 2.5 2750 | 6.0 |101614 | 4144.3 | — 0.0109 | — 0.150 | — 0.0093 | — 0.158 | — 16 SECTIO 1.8 2751 | 3.1 |10 1623 | 42 0.1 | —0.0073 | + 0.020 | — 0.0052 | -0.024| —21|— 4| 2.3 | 1.7 2773 | 6.22 102133, 742 — 6700 00461 | 0.088), 0.0041 | — 0:095. — (5-7 IS | 1:5 2787 | 6.0 |102416 | 39 26.2 - 0.0009 | — 0.004 | + 0.0033 | + 0.010| —42|—14| 0.7 | 09 ı 2802 | 4.9 1102724 | 40 56.4 | — 0.0125 | — 0.007 | — 0.0124 | 0:00 91 NE see mel 2853 | 5.3 |10 37 41 | 46 43.8 | — 0.0271 | — 0.074 | — 0.0250 | —0.060|—921|—14| 1.0 | 1.1 | 2857 | 7.7 |1038 9 | 4643.9 | — 0.0268 | — 0.071 | — 0.0244 I 0.057 | — 24 14 | QOO 2900 | 4.9 |10 4814 | 4343.4 | + 0.0042 | — 0.035! + 0.0032 | + 0.006 -- 10 — 41) 2.0 | 2.1 2912 | 6.3 105032 | 42 32.7 | + 0.0010 | — 0.100| + 0.0016 | —0.089|— 6|—11| 1.5 | 2.3 2920 | 5.3 |10 5352 | 4057.9 | — 0.0280 | + 0.050. — 0.0282 | + 0.007 | + 2|—17| 15 | 14 2922 | 5.7 |105430 | 46 3.7 | + 0.0014 | + 0.005 | + 0.0006 | — 0.041 |+ 8|--46| L1 | 1.6 2924 | 6.3 |105441 | 43 27.1 | — 0.0099 | — 0.142 | — 0.0092 | —0.133|— 7|— 9| 1.6 | 2.0 2926 | 5.2 11055 14 | 39 45.0 | — 0.0057 | — 0.031 | — 0.0050 | — 0.010 — 7|—21| 0.9 | 1.5 [2958 | 3.0 111 4 3 | 45 2.5 | — 0.0055 | — 0.038 | — 0.0047 | — 0.040 |— 8|-- 2| 1.0 | 0.9 2995 | 5.1 1111721 | 44.1.9 | — 0.0027 | — 0.024 | — 0.0002 | — 0.040 |— 25) + 16 | 1.5 | 1.3 3023 | 5.4 |11 2341 | 3953.3 | — 0.0044 | + 0.009 | — 0.0012 | — 0.033 — 32) +42| 0.9 | 1.0 3028 | 6.0 |1125 7 | 4343.3 | — 0.0048 | + 0.071 | — 0.0047 | + 0.072 | zw aue NET eee 30632 25.7. 11133, 1 24410.8 | 0.0134 | 0:052:| — 0:0121. | — 0.047 | — 13. | — 75 | 1252» 5 3069 | 6.7 |11 3329 | 4539.7 | — 0.0555 | + 0.019 | — 0.0552 | + 0.014 | ze ecc | [COPIES 3083 | 7.0 |113820 | 4216.7 | + 0.0021 | — 0.021 | + 0.0011 | — 0.014 | -- 10 — 7| 1.4 | 1.4 3120 | 6.8 |11 4954 | 47 2.0 | + 0.0006 | — 0.007 | + 0.0084 | — 0.006, — 78, — 1| 0.4 | 0.2 3122 | 7.1 114959 | 47 1.6 | + 0.0015 | — 0.019.) + 0.0091 | — 0.023 — 76 |+ 4 | 0.4 | 0.2 3143 | 5.2 11157 2 | 43 36.0 | — 0.0291 | + 0.063 | — 0.0318 | + 0.098 +27 | —85| 0.6 | 0.7 3145 | 7.0 115725 | 4339.3 | — 0.0325 | — 0.520 | — 0.0336 | — 0.486 | +11|—34 | 0.6 | 0.6 L’examen de est en general tres ce tableau montre que l’accord entre les valeurs de Boss et les miennes 1 satisfaisant; on ne constate généralement d'écarts notables que là ou les poids ont une faible valeur. Je n'aborderai cependant que plus bas la discussion de la précision de mes valeurs; je ne traiterai ici que des erreurs systématiques. Je discuterai d'abord les différences en ascension droite. Pour examiner si ces diffé- rences montrent une dépendance par rapport à la déclinaison des étoiles, j'ai réuni en un groupe les étoiles dont la déclinaison est comprise entre 39? et 41?, en un autre groupe celles dont la déclinaison est comprise entre 41° et 43° etc, et j'ai formé pour chaque groupe les moyennes des différences en tenant compte de leur poids. suivantes : J'ai trouvé en procédant ainsi les valeurs Déclinaison . 40° 42° Différence moyenne. — 11.5 — 3.6 — Poids 12.2 13.3 44? 46? 36 — 13.1 15.0 leri 102 RAGNAR FURUHJELM. Les deux valeurs extrémes s'écartent, comme on le voit, des valeurs intermédiaires, qui au con- traire s'accordent entre elles. Mais admettre en partant de là des corrections différentes pour les différentes déclinaisons ne conduirait, à mon avis, qu'à des résultats illusoires, parce que l'erreur probable des differences moyennes est d'environ + 3, et que les écarts en question tombent par suite à peu pres entre les limites de ces erreurs. En laissant de cóté. une seule étoile, le nombre obtenu pour 42? deviendrait — 8.0. Si on forme les moyennes des deux premières différences moyennes et des deux derniéres, on obtient des nombres presque identiques 41° 45° — 1:3 — 17.7 J'ai en outre ordonné les differences d’apres les ascensions droites en sept groupes, , de sorte que tous les groupes ont recu à peu prés le méme poids. Les moyennes et les poids de ces groupes ont les valeurs suivantes: Ascension droite Différence moyenne Poids Erreur restante h m | 9 20.7 — 6.2 7.6 + 13 40.0 — 9.0 7.0 — I) 10 53 TM el 6.8 +82 17.0 — 13.7 7.0 — 6.2 40.4 — 86 . 7.2 — 1.1. 14 2,7 EEE EN 85 rg 37.7 9 Pg 8.1 +12 L'erreur probable d'une différence moyenne est ici d'environ +4. On trouve aussitöt quon ne peut apercevolr de dépendance de l'ascension droite. La moyenne de toutes les différences est de — 7.5. Les quantités dont les diverses différences moyennes s'écartent de cette moyenne figurent sous la rubrique ,erreur restante*, et on voit qu'elles ont toutes un caractére absolument accidentel. Je passe maintenant aux différences en déclinaison. Si on les ordonne de la manière ci-dessus indiquée par déclinaisons, on obtient les résultats suivants: Déclinaison . . . 40° 42° 44° 46° Différence moyenne + 19 + 01 — 57 + 30 Pordsta wer... 14.4 15.1 16.3 12.6 Comme l'erreur probable est d'environ +3, on voit de suite que la différence moyenne peut être regardée comme constante pour les différentes déclinaisons. Si d'autre part on groupe les différences d’après les ascensions droites, on trouve les nombres suivants: Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 103 Ascension droite Différence moyenne Poids Erreur restante h m 9 20.5 — 7.7 8.3 — 7.3 39.5 + 82 8.4 + 8.6 10 5.3 + 12.0 7.4 + 12.4 17.8 ARTES 8.4 BER) 40.5 — 18.2 9.1 — 17.8 11 2.8 + 10.7 8.3 351] 36.5 — 65 8.5 — 61 L'erreur probable d'une différence moyenne est d'environ + 4.5, la moyenne de toutes "les différences — 0.4. On remarque une faible marche d’après l'ascension droite, les nombres négatifs étant prédominants dans les ascensions droites élevées, les nombres positifs pour les ascensions droites plus petites. Cependant, en tenant compte de la forte variation de ces nombres, j'ai jugé que le mieux était de regarder ici aussi la différence moyenne comme con- stante. Il est bon de noter d'ailleurs que la grande valeur négative — 18.2 est fortement in- fluencée par la différence pour une seule étoile. Comme la moyenne des différences, — 0.4, tombe entièrement entre les limites des erreurs, j'ai cru pouvoir admettre, pour la correction ' des mouvements propres en déclinaison, la valeur 0. D'aprés le raisonnement ci-dessus on aurait donc les corrections suivantes pour obtenir le mouvement propre absolu 8 Ay. = —0.0007.5; Aus — 0. Avant d'admettre ces chiffres comme definitifs, j'ai pourtant effectué encore une recherche pour en contrôler l'exactitude. , E : On pourrait penser que la comparaison avec les mouvement propres de Boss donne pour les différences systématiques des valeurs qui ne s'appliquent qu'aux étoiles les plus brillantes, comme le sont la plupart des étoiles de Boss. Il serait donc trés important de pouvoir établir aussi pour les étoiles plus faibles des comparaisons avec des determinations antérieures de mouvements propres. Mais la plupart des catalogues exacts de mouvements propres se rapportent presque exclusivement à des étoiles assez brillantes. Seuls les cata- logues publiés par PonrER renferment un si grand nombre d'étoiles faibles qui se retrouvent dans la zone de Helsingfors qu'une comparaison offre de l'utilité. Ceux des catalogues de Porter dont je me suis servi à cet effet sont: 1:0) A Catalogue of 2000 Stars for the Epoch 1890 (Cine. Publ. N:o 13), que j'appellerai brievement Porter 1. 2:0) A Catalogue of 2030 Stars for Ihe Epoch 1895 (Cine. Publ. N:o 14), que j'appellerai Porter II. Les résultats de la comparaison avec Porter sont indiqués dans le tableau ci-dessous, dont les colonnes contiennent: 1:0)le numéro dans le catalogue de Porter; 2:0) la grandeur d’après PORTER; 3:0) et 4:0) les valeurs approximatives de « et d pour 1900.0; 5:0 et 6:0) u, et às selon PORTER; 7:0) et 8:0) les mêmes valeurs selon mes déterminations; 9:0) et 10:0) les différences N:o 1. 104 RAGNAR FURUHJELM. entre les déterminations de Porter et les miennes, et 11:0) le numéro du catalogue. Comme les erreurs probables des valeurs de Porter me sont inconnues, j'ai donné à toutes les diffé- rences le même poids. Je ferai ici remarquer qu'aucune des étoiles ci-dessous ne figure au catalogue de Boss. Tableau III. Comparaison entre Porter et Helsingfors. | Porter | Helsingfors Porter—Hels. No | Gr| ^ | gui ou) T cA Futé «al AS | PR ör PIT | Ma | Mö | Ma us N:0 2 Sen numis | o , | 8 " | s " f 864 | 7 916 8 | 40 38.2 LL 0.0345 | — 0.392 | — 0.0286 | — 0.371 |— 59 |— 21 I 889 | 8 | Store 4310.4 | + 0.0024| — 0.798 |. + 0.0038 | — 0.848 14 | + 50 I 994 | 8.5 | 11 033 44 2.3 | — 0,4046 | + 0.968 | — 0.4089 | + 0.929 | + 43 | + 39 I 1003 | 8 | 6 4 4322.1 | — 0.0140 | — 0.240 | — 0.0092 | — 0.254 AS ETAT I 1004 | 7 615 | 43 22.9 | — 0.0144 — 0.231 | — 0.0095 | — 0.263 49 | + 32 I 1008 | 8 326 1 40 31.5 | — 0.0260 | — 0.120 | —0:0251| — 0.116 — 9 — 4 lt 1043 | 7.2 2751 39 24.9 | + 0.0093 — 0.168 | + 0.0107 | — 0.158 |— 14 | — 10 I 175636. | 8 | 85814 4351.3 | — 0.0126 | — 0.095 | — 0.0088 | — 0.078 | — 38 | — 17 II 684 | 8.5 | 92250 4134.0 | — 0.0168 | — 0.094 | — 0.0092 | — 0.089 | 76|— 5 II 686 | 9 | 23 9 | 43282 | —0.014 | — 0.03: | — 0.0132 | — 0.089 — 8/+59| II | 698 | 8.5 29 48 43 24.8 Ks 0.0150 0.000 ln 0.0085 | — 0.031 | — 45 | + 31 II ae) 39 57 40 19.9 | — 0.0220 0.000 | — 0.0187 | + 0.004 | — 33 |— 4 II | 123,9 43 41 49550 0.0000 — 0.164 | + 0.0015 | — 0.180| — 15 | + 16 II [NS AN debe POSEE 39 1.0 0.0000 | — 0.088| + 0.0025 | —0.081|— 251— 7 II | 891 | 6.5 111715 | 4043.4 = 0.0093 | 0.000 — 0.0050 | — 0.014 — 43 | + 14 II |: 924 | 8 | 33 41 4952.2 | —0.011 | + 0.395 | — 0.0096 | + 0.474 pde em me II 9335 P TS MI 389 3 | 49727 | — 0.0265 | + 0.055 | — 0.0158 | + 0.033 | — 107 | + 22 II 957 | 7 52 6 | 4054. | — 0.0174 | — 0.059 | 0.0105 | — 0.077, — 69|-- 18, II En moyenne on trouve pour Porter I les écarts en Ua en us Porter I—Hels. — 0.0021 + 0".014 et pour Porter II EN Ma en ws Porter II—Hels. — 0°.0043 + 0".004. On voit donc que les écarts Porter—Hels. sont beaucoup plus grands que les écarts précédem- ment trouvés Boss—Hels. Mais il y a des differences systématiques assez importantes entre les déterminations de Boss et de Porter. Pour les trouver j'ai formé les moyennes des différences Boss— Porter pour toutes les étoiles de Boss dans la zone de Helsingfors entre 9^ et 12^ qui entrent -dans les catalogues de Porter. Il y en a pour Porter I 11 et pour Porter II 7. Les résultats sont: Tom. XLVIII. Recherches sur les mowvements propres dans la zone de Helsingfors. 105 en Ma en uj Boss—Porter I + 050036 — 0".006 Boss—Porter II + 05.0012 — 0".006. Si on ajoute ces nombres aux nombres précédemment obtenus on trouve, pour les étoiles faibles ici envisagées en Mu en ws pour Porter I Boss—Hels. + 0°.0015 + 0".008 „ Porter II Boss—Hels. — 0°.0031 — 0.002 ou en moyenne en Mu en us Boss—Hels. — 05.0008 -+ 0".003 soit presque identiquement les mémes nombres que l'on a trouvés ci-dessus par la comparaison directe avec les déterminations de Boss. J’ecris donc maintenant définitivement, pour la ré- duction au mouvement propre absolu: Aa = — 0*.0007.5; Aus = 0: La valeur de Ju, doit être regardée comme valable pour 43°; pour 39? on a Ju, = — 05.0008 et pour 46? — 0*.0007. La quantité Ju, cos d est partout = — 0".008. Il faut maintenant examiner briévement comment on peut s'expliquer l'origine de cette erreur systématique en w,. L'idée qui se présente le plus naturellement est que les positions des étoiles de comparaison ont subi un changement systématique résultant du mouvement du systeme solaire. Pour calculer le déplacement parallactique annuel en raison de ce mouve- ment on a les formules cos d duc Ei cos D sin (e — A), (1) 15 dö = kx [sind cos D cos (« — A) — cos d sin D] ou A et D sont les coordonnées de l'apex du systéme solaire, x une parallaxe moyenne pour les étoiles employées et & la constante suivante . 365.24 X 86,400 149,500,000 >< V où V est la vitesse du systeme solaire. La grandeur moyenne des étoiles de comparaison est assez coustante pour toute la section de la zone, et égale à 10%.0. Pour cette grandeur on a, d’après Kapreyn*) la parallaxe moyenne 0".0044. Si on admet A4 —2709, D—+30° et V—18 km/s., les formules (1) donnent pour da et dd les valeurs suivantes: +) J. C. KaPrEYN: On the mean parallax of stars of determined proper motion and magnitude (Gron. Publ. N:o 8). N*or dq 106 RAGNAR FURUHJELM. a gh 10^ 11^ 19h de — 05.0009. — 05.0011 — 05.0013 — 05.0013 dó — 0".013 — 0".011 — 0”.009 — 0".006 ou en moyenne de = — 05.0012; dà = — 0.010: La valeur de d« ne differe pas beaucoup de la réduction ci-dessus déterminée pour le mouve- ment propre Au, = — 0°.0007.5; pour les déclinaisons au contraire l'écart est plus grand. Les différences systématiques Boss—Hels. ne peuvent done pas s'expliquer complètement par les mouvements propres parallactiques des étoiles de comparaison. C'est aussi ce qui semble naturel, parce que, dans une partie aussi limitée du ciel que celle ici envisagée, l'influence du mouvement du systéme solaire sur les mouvements des étoiles peut en partie étre compensée par d'autres déplacements de nature systématique. Catalogue général des mouvements propres. Le catalogue ci-dessous renferme les résultats définitifs de mes déterminations des mouvements propres. Les différentes colonnes donnent: 1:0) le numéro courant du catalogue: 2:0) la grandeur d'aprés Cat. phot. Z. Hels.; si une étoile appartient à deux ou plusieurs régions, on a pris la moyenne des différentes déterminations; 3:0) et 4:0) l'ascension droite et la déclinaison pour 1900.0 d'aprés Cat. phot. Z. Hels.*): pour les étoiles figurant dans plus d'une région on a formé les moyennes des valeurs différentes en tenant compte des poids; 5:0) l'époque de « et d; E de 9 au dessous de E de «, si elles différent l'une de l'autre. 6:0) et 7:0) les valeurs relatives de u, et us pour les diverses régions. Pour les étoiles appartenant à plus d'une région on indique les valeurs particulières en caractères ordinaires, les moyennes en caractères italiques; 8:0) le numéro de la région et le numéro de l'étoile dans la région; 9:0) les poids de u, et us resp. la somme de ces poids; 10:0) le mouvement propre absolu w(abs.), c. à d. le mouvement propre total calculé en tenant compte de la réduction au mouvement propre absolu; 11:0) l'angle de position P, calculé selon l'équation (ua AE ua) cos d Mo i top +) Pour les étoiles qui n'ont pas été mesurées pour le Cat. phot. on ne donne que les coordonnées. approximatives. Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors, 107 € Tableau IV. Catalogue général des étoiles à mouvement propre. | | a | ó E DAE | | | N:o | Gr. | ‚900.0 1900.0 48904| — "" 18 ec ARR NAN 1 | h m-s 0 7. T» | s ” ” o | | I 4 |854 9.39|421046.3 | 3.29 | — 0.0403 | — 0.269|380 2 0.3 0.5| 0.529 | 239.5 21 9.1 16.95 | 42 35 14.1 | 3.29 | — 0.0079 | — 0.143 380 110.3 0.4| 0.172 | 213.6 | 3519.4] 34.28 | 40 27 47.7 | 3:28| — 0.0075 | — 0.013|379 20.2 0.5| 0.094 | 262.0 | 4| 3.8| 5514.26 | 40 6 25.8 | 3.28 | — 0.0045 | — 0.074|319 13 0.8 1.1| 0.095 | 218.6 | 5 | 10.0 | 29.67 | 39 32 13.2 | 3.28 | — 0.0057 | + 0.005 | 379 14| 0.8 1.0| 0.074 | 273.9 | 6 | 8.8| 5627.62 | 44 58 47.7 | 3.29 | — 0.0048 | — 0.073|381 14| 0.4 0.5 | | — 0.0103 | — 0.072 1382 15) 0.2 0.4 | Sa — 0.0066 | — 0.073 | 10.6 0.9| 0.107 | 226.9 | 7109) 32.21 | 46 15 42.7 | 3.29 | -- 0.0018 | — 0.007\382 12|1.1 1.1| 0.013 | 122 | 8 |10.1| 55.93 | 40 38 40.6 | 3.28 | — 0.0057 | — 0.014379 21) 1.1 1.1| -0.074 | 259.2 | 9 | 9.9| 59.28 | 46 5 39.6 | 3.29 | + 0.0007 | — 0.018 1382 18, 1.1 1.1| 0.018 | 183 10 | 8.7| 5746.10 | 40 56 30.8 | 3.28 | + 0.0132 | — 0.092 |379 40 0.8 0.5| 0.168 | 123.1 | 11 | 88, 58 0.69 4059 55.7 | 3.29 | —0.0105 | — 0.182|379 49 0.7 0.3 | | | — 0.0100 | — 0.152 |380 42 0.8 0.4 | | | — 0.0102 | — 0.165 | 1.5.0.7|- 0.206 | 217.0 | 12 | 96 9.90 | 39 25 32.9 | 3.28 | — 0.0035 |.— 0.037|379 54, 1.1 1.1| 0.061 | 232.4 13 | 8.9) 12.66 | 41 46 49.1 | 3.29 | + 0.0030 | —0.018|380 39 1.2 1.2| 0.032 | 125 | 14 | 6.5, 14.22 | 43 51 16.1 | 3.29| — 0.0088 | — 0.078, 381 33, 1.2 1.2| 0.129 | 232.9 | 15'| 9.3 17.54 | 38 57 52.9 | 3.28 | + 0.0080 | — 0.055 |319 5610.5 0.4| 0.101 | 122.7 | 16 | 10.9 | 20.88 | 39 48 36.6 | 3.28| — 0.0016 | — 0.253|379 59|1.1 1.1| 0.254 | 185.9 | 17| 88 42.20 | 3956 5.6 | 3.28 | + 0.0072 | — 0.029 319 66 1.1 1.1| 0.080 | 1114 | 18 | 8.8 49.50| 3956 7.4 | 3.28 | + 0.0104 | — 0.023 379 67\1.1 1.1| 0.114 | 101.6 | 19 | 10.2 53.52. 39 12 36.0 | 3.28 | — 0.0005 | —0,480|319 69 1.1 1.1| 0.480 | 181.7 | 20 |10.6| 59 5.46)40 647.6 | 3.28 | — 0.0073 | — 0.015 379 65 1.1 1.1| 0.093 | 260.7 21.| 9.5, 6.74 | 46 30 17.8 | 3.29 | + 0.0061 | — 0.106 382 41, 1.1 1.1| 0.119 | 1525| 22.| 9.8 8.80 | 45 21 26.8 | 3.28| — 0.0020 | + 0.011 |382 44! 1.1 1.1 | | — 0.0067 | + 0.051 385 2| 0.3 0.5 | — 0.0030 | + 0.023 | 1.4 1.6| 0.045 | 300 23 | 10.4 20.96 | 43 21 32.5 | 3.29 | — 0.0046 | — 0.076 | 381. 53 | 1.2 1.2 | — 0.0039 | — 0.059 384 10.4 0.6 | — 0.0044 | — 0.070. 1.6 1.8| 0.090 | 219.2 24 | 9.8 23.88 | 40 37 39.9 | 3.26 | — 0.0080 | — 0.082379 72 1.1 1.1 3.25 | —0.0111| — 0.040383 — 30.3 0.5 | — 0.0084 | — 0.069 | | 1.4 1.6| 0.125 | 236.5 | 2b | 9.1 24.40 | 40 16 16.2 | 3.26 | + 0.0061 | — 0.116 |379 75 | 1.1 1.1 | | 4-0.0063 | — 0.115 383 5| 0.2 0.3 | | | + 0.0061 | — 0.116 | Ita 1:4 10182 | 51:971 26 | 8.8|9 038.92|4534 40.5 | 3.28 | — 0.0057 | — 0.057|382 67|1.1 1.1 | | | | | — 0.0089 | — 0.035 385 18| 0.8 0.9 | | | i — 0.0070 | — 0.047 (1.9 2.0| 0.095 | 240.2 | 27 | 9.6| 110.20 44 1 2.9| 3.28| — 0.0015 | — 0.067 381 73|1.2 1.2] | | | — 0.0018 | — 0.026 |384 9| 0.4 0.3 | | | — 0.0058 | — 0.076 |385 28| 0.3 0.3 | | | — 0.0022 | — 0.062 | |1.9 1.8| 0.070 | 207.3 4 ui, = — 0.0007.5 à 43°. RAGNAR FURUHJELM. | a ODE | Régi | | [NEON | Gr) ann 1900.0 im ira | Au Am | PBids |ptabuy P | Heime late re | s " | » | S 28 | 1l |9 1211 |453443 | 3.26 — 0.0005 | + 0.037385 — | 1.0 1.0| 0.040 | 339 29 | 10.5 | 21.99|39 441.3| 3.28 | — 0.0113 | — 0.315 | 379 106 | 1.0 0.7| 0.344 | 203.8 30 | 10.0 | 24.09 | 45 34 35.4 | 3.28 | -- 0.0070 | + 0.001 382 72|1.1 1.1 | | | --0.0046 | — 0.016 | 385 30|1.0 1.0 | | | + 0.0059 | — 0.007 | |2.1 2.1| 0.054 | 97.5 | 31. M0 24.10 | 45 34 42.6 | 3.28 | + 0.0067 | — 0.015 | 382 1 | | + 0.0030 | + 0.009 | 385 1.0 1.0. | | + 0.0049 | — 0.004 2.1 2.1| 0.043 | 95 S EORR 25.72 | 39 31 56.7 | 3.28 | — 0.0041 | + 0.014 |379 102 | 1.1 1.1| 0.057 | 284.3 | .33 | 10.4 | 27.69 | 44 32 28.6 | 3.28| — 0.0019 | — 0.058|381 78|1.2 1.2 | | | — 0.0056 | — 0.036 385 33 1.0 1.0 | | | | — 0.0036 | — 0.048 | 2.2 2.2| 0.066 | 223.8 34 | 10.2 | 31.19 | 44 15 0.0 | 3.28 | — 0.0018 | — 0,081|381 81|1.0 1.0 | — 0.0051 | — 0.087 |385 36 | 0.9 0.9 | | | | — 0.0034 | — 0.084 1.9 1.9| 0.096 | 208.2 | 35 | 102 34.33 | 44 31 45.9 | 3.28 | + 0.0067 | — 0.068 |381 79| 1:2 1.2 | | | | | 4-0.0019 | — 0.067|385 341.0 1.0 | | | | | + 0.0045 | — 0.068 | 2.2 2.21 0.079 | 149.5 36 | 11.0) 51.10 | 4144 18.7 | 3.24 | + 0.0018 | — 0.045 |380 69| 1.2 1.2 — 0.0031 | + 0.0241383 — | 0.9 0.9 | — 0.0003 | — 0.015 | 2.1 2.11 0.019 | 219 37 | 11.21 ° 22653|45 2 6.7 3.26 | — 0.0014 | — 0:110 |385 50|1:0 1.0\ 0.112 | 191.8 38 |10.7| 4 4.43| 46 47 23.2 | 3.29 | + 0.0059 | — 0.224 (382 96| 0.8 0.7| 0.230 | 166.7 | 39 |. 9.5: 28.38 | 43 10 18.4 | 3.28 | — 0.0027 | + 0.030 | 381 116 | 0.5 0.5 | | | + 0.0020 | + 0.010 384 42|1.1 1.1 | — 0.0045 | + 0.008 388 5|0.2 0.3 | 0.0000 | + 0.015 1.8 1.9| 0.017 |. 332 40,93 51.49 | 39 24 45.5 | 3.28 | — 0.0062 | — 0.017 379 146 | 0.5 0.6| 0.082 | 258.0 41 | 7.0 5 8.70 | 45 13 57.5 | 3.27 | — 0.0028 | — 0.021 | 382 101 | 0.4 0.5 | | | — 0.0046 | — 0.022 385 89| 10 1:0 | — 0.0034 | — 0.025 | 389 410.5 0.5 | | | — 0.0039 | — 0.022 1.9 2.01 0.055 | 246.3 | 42 | 9.9 19.30 | 39 36 33.3 | 3.22 | — 0.0056 | — 0.068! 379 149 | 0.4 0.6 | — 0.0043 | — 0.059 386 18 0.6 0.9 | | — 0.0048 | — 0.063 | 11.0 1.5| 0.090 | 225.5 | 439 | 9.3 | 21.08 | 43 54 47.1 | 3.26 | — 0.0183 | — 0.221 | 381 125 | 0.5 1.1 | | — 0.0140 | — 0.167 | 384 54|1.1 0.8 | — 0.0151 | — 0.224 388 1011.0 1.0 | | | | — 0.0152 | — 0.207 | 12.6 2.9| 0.270 | 220.0 44 |11 33.6 (43 4 1 ! 3.28 | + 0.0046 | 4-0.076 384 — | 1.0 1.0| 0.087 , 28.6 45 | 10.8 34.06 | 43 412.2 | 3.28 | + 0.0012 | + 0.013 384 62) 11 1.1| 0.014 | 21 46 | 9.4 44.38 | 43 45 56.9 | 3.26 | — 0.0130 | — 0.029 381 127 | 0.4 0.6 — 0.0084 | + 0.002 | 384 59 1.1 1.1 — 0.0092 | — 0.055 388 14 1.0 1.0 | | — 0.0095 | — 0.026 |2.5 2.7| 0.114 | 256.8 47 | 10.6 49.60 | 4454 1.0 | 3.25 | —0.0035 | — 0.054 |385 96 | 1.0 1.0 | —0:0015 | — 0.126 |388 — | 0.4 0.4 — 0.0029 | — 0.075 1.4 14| 0.086 | 207.5 48 | 3.0 7 16.00 | 43 37 48.7 | 3.26 | — 0.0002 | — 0.005 | 384 75| 1.1 1.1 | — 0.0050 | — 0.055 | 388 28 1.0 1.0 — 0.0027 | — 0.029 2.1 2.1| 0.048 | 233 4 Ma = — 0.0007.5 à 43°. Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 109 [2 D) | E | | Région | SE | Se NR nd 1900.0 18904) — "^ Hé | et Nio | Poids, | HAE ER fas bm s | SE | s | | » | 49| 9.4|9 746.32 | 46 27 56.5 | 3.27 | + 0.0064 | —0.007| 389. 211 1.0 1.0| 0.060 | 96.8 50| 7.8 8 0.32 | 43 52 20.2 | 3.25 | —0.0003 | —0.029| 384 82| 0.9 0.7 | — 0.0042 | —0.091|388 32| 1.0 1.0 | — 0.0024 | — 0.065 1.9 1.7 | 0.073 207.6 5L| 95 26.82 | 43 35 52.3 | 3.26 | — 0.0034 | + 0.055 | 384 87.1.1 1.1 | | | — 0.0069 | + 0.027 | 388 40| 1.0 1.0 | — 0.0051 | + 0.042 | 2.1 2.1| 0.076 | 303.7 | 52| 8.6 33.38 | 44 28 18.0 | 3.24 | + 0.0059 | — 0.294 | 385 126 | 1.0 1.0 | + 0.0049 | — 0.306 | 388 38, 1.0 1.0 | | - 0.0054 | — 0.300 | 2.0 2.0| 0.304 | 170.5 53 6.7 39.84| 39 115.1 | 3.19 | — 0.0083 | + 0.053 386 49| 0.7 0.3| 0.118 | 296.8 | 54 10.0 13.70 | 46 42 22.1 | 3.27 | + 0.0038 | —0.001|389 32, 1.0 1.0| 0.081, 92 55 | 10.0 | 23.33 | 39 42 52.4 | 3.19 | + 0.0018| —0.041|386 62| 1.0 1.0! 0.043 | 162 56 | 9.4 32.54 | 40 39 53.2 | 3.19 | — 0.0066 | — 0.192 | 383 129 0.9 1.0 — 0.0078 | —0.221|386 58 | 1.0 1.0 | | | — 0.0007 | —0.234|390 -3| 0.3 0.5 | i | — 0.0063 | — 0.212 2.2 2.5| 0.227 | 200.7 | 57| 9.1 35.64 | 41 31 51.2 | 3.20 | — 0.0055 | + 0.137 | 383 126 | 0.7 0.8 | | — 0.0053 | + 0.120 |387 46 | 1.2 1.2 | | — 0.0042 | + 0.157 |390 1| 0.2 0.3 | | —0:0053 | + 0.131 2.12.3\ 0.147'| 332.9 | 58| 83 43.10 | 45 20 29.2 | 3.26 | — 0.0100 | — 0.084 | 385 130 | 0.9 1.0 — 0.0108 | — 0.067 |389 43| 1.0 1.0 | — 0.0149 | —0.105 | 392 61 0.6 1.1 | — 0.0115 | — 0.086 | 2.5 3.1| 0.155 |. 236.3 | 59 | 10.9 | 43.53 | 44 27 43.0 | 3.23 | — 0.0067 | + 0.059 388 51, 1.0 1.0| 0.099 | 306.4 | 60! 71 46.17 | 41 13 30.6 | 3.20 | —0.0039 | — 0.029 383 127 | 0.8 1.0 | —0.0037 | — 0.068 |387 47|1.2 12 — 0.0020 | — 0.014 390 6| 0.3 0.7 | — 0.0035 | — 0.042 | 2.3 2.9| 0.064 | 228.8 61 | 11.0 51.42 | 44 322.1 | 3.23 | — 0.0052 | —0.100| 388. 55| 1.0 1.0| 0.119 | 212.6 | 62| 9.4| 10 8.53 | 43 29 46.1 | 3.23 | + 0.0004 | + 0.024 | 384 109 | 0.5 9.8 | | | — 0.0054 | — 0.013 | 388 65 | 1.0 1.0 | —0.0031| + 0.001 | 391 9| 0.5 0.7 | — 0.0034 | + 0.003 2.0 2.5| 0.044 | 274 63 |. 9.4 21.62 | 45 11 20.5 | 3.26 | + 0.0100 | — 0.063! 385 140 | 0.6 0.9 | | + 0.0078 | — 0.079 | 389 49 1.0 1.0 + 0.0045 | — 0.097 |392 15| 1.1 1.2 | + 0.0069 | — 0.081 2.7 3.1| 0.104 | 141.3 | 64|10.4| 1133.46 | 46 47 50.8 | 3.27 | — 0.0024 | — 0.084 | 389 -55 | 1.0 1.0| 0.090 | 200.9 | 65| 9.8 | 36.65 |: 41 42 43.4 | 3.20 | — 0.0129 | — 0.187 | 387 69| 1.2 1.2 | ; — 0.0099 | —0.186|390 22| 0.9 0.9 | | — 0.0116 | — 0.187 |2.1 2.1| 0.232 | 216.4 | 66| 9.2 49.71 | 4217 59.0 | 3.22 | + 0.0107 | — 0.138 |387 67 | 1.2 1.2 | | + 0.0076 | — 0.104 |391 31| 1.0 1.0 | + 0.0093 | — 0.123 12.2 2.2| 0.157| 142.0| 67) 9.2| 1221.18 | 40 25 43.0 | 3.19 | + 0.0008 | — 0.001 | 386 95 1.0 1.0 | — 0.0030 | + 0.039 1390 28, 1.0 1.0 | — 0.0011 | + 0.019 2.0 2.0| 0.028 | 312 | 68 | 9.3 28.78 | 39 42 19.0 | 3.19 | — 0.0013 | —0.105|386 981 1.0 1.0| 0.107 | 192.4 69 | 10.2 | 1346.58 | 39 45 54.4 | 3.19 | — 0.0058 | + 0.008|386 117 | 1.0 1.0| 0.075 | 276.1 Au, = — 0.0007.5 à 43°. N:o 1. 110 ME N:0 | Gr. | | 70 | 10.7 | | | ru 60 | | | | 12| 9.3 | | | | 19 |: 82 | | | 74 | 10.5 | 75 | 10.7 16 9.1 Cris ied 58:1 58:0 | 79 | 10.6 80 | 11.3 Sa ST s2| 93 | 83| 9.8| | | 34 | 11 | | 85 | 10.4 | 86 | 9.8 | 87| 89) 88 9.5 | 89 | 10.8 | I [44 29.30 | 40 55 RAGNAR FURUHJELM. d 1900.0 4D 50 12.4 | 3.27 40 42 29.2 39 34 56.4 | 3.19 42 -8 7.4 41 843.9 44 16 35.8 | w Qu Ct =] 40 55 40 30 21.8 | 40 18 39 43 40.6 | 46 31 37.4 | 39 14 13.6 44 15 18.2 | 43 50 31.5 | 3.22 | E Région | EN 18904 Pew a et N:o | Poids s PR Er | — 0.0125 | —0.018 389 80 1.0 — 0.0094 | —0.085 392 51) 1.2 — 0.0095 | —0.007|396 _ 7 0.6 | — 0.0105 | — 0.041 | 2.8 3.19 | — 0.0034 | — 0.059 | 386 129 | 0.4 + 0.0019 | — 0.024 390 76 1.0 + 0.0074 | — 0.042 | 393 6| 0.4 + 0.0019 | — 0.037 728 + 0.0007 | — 0.072 | 386 135 | 0.3 | + 0.0012 | — 0.076 | 393 10| 0.6 | + 0.0010 | — 0.075 | 0.9 3.27 | —0.0033 | — 0.145 | 389 91| 0.4 — 0.0004 | — 0.172 | 392 60:| 1.2 | — 0.0035 | — 0.140 | 396 13| 0.5 | — 0.0017 | — 0.158 | | 2.1 | 3.22 | + 0.0009 | —0.130| 387 93| 0.4 | — 0.0030 | — 0.114 | 391 76 | 1.0 | — 0.0028 | — 0.105 | 394 7/12 jo 0° 0:0093: 10:115 2.6 3.27 | — 0.0090 | + 0.005| 396 14 | 1.0 3.27 | + 0.0040 | —0.013| 389 88 | 0.2 + 0.0027 | + 0.019 |396 15| 0.9 + 0.0029 + 0.013 | Jil | 3.19 | —0.0311 | —0.362|390 84| 1.0 — 0.0261 | — 0.381 |393 141.0 — 0.0286 | — 0.371 2.0 | 3.22 | + 0.0061 —.0.041 391 79| 1.0 | + 0.0075 | — 0.023 | 394 11|1.2 | + 0.0069 | — 0.031 919 3.19 | — 0.0042 | — 0.070 390 88| 1.0 73.24 | + 0.0003 | 24-0:017|392 — | 1.2 | + 0.0030 | — 0.062 | 395 30 | 1.2 + 0.0016 | — 0.022 2.4 | 3.19 | + 0.0009 | — 0.018 390 95 | 1.0 3.19 | —0.0348 | — 0.049 | 390 101 | 1.0 — 0.0306 | —0.053|393 23| 1.2 — 0.0325 | — 0.051 | 97 3.19 | — 0.0140 | — 0.236 | 390 102 | 1.0 — 0.0100 | —0.223|393 281 1.2 — 0.0118 | — 0.229 DO 3.19 | + 0.0050 | — 0.039 390 —| 1.0 + 0.0062 | + 0.003 393 — | 1.2 + 0.0057 | — 0.016 | DID 19 | + 0.0056 0.015 |393 301 1.2 3.22 | + 0.0037 | + 0.063 |391 96 | 0.7 + 0.0025 | — 0.007 395 52| 1.2 + 0.0029 | + 0.016 | 1.9 3.27 | — 0.0214 | + 0.059 396 40| 1.0 3.19 | + 0.0009 | — 0.006 | 393 41| 1.2 3.22 | — 0.0059 | — 0.113 | 395 65| 1.2 H | * Au, = —0.0007.5 à 43°. SOHO TEN EHE to to ho © to bo © to bo c © à bo 0.6 Uu (abs.) p 0.125 | 250.8 0.039 | 159 0.075 | 176.9 0.160 |. 189.3 0.120 | 196.0 0.101 | 273.8 0.096 | 59 0.499 | 222.0 0.074 | 114.8 0.090 | 218.7 | 0.024 | 158 0.015 | 174 0.382 | 262.4 0.269 | 211.8 0.059 | 105.7 0.052 | 106.7 0.029 | 56 0.236 | 284.4 0.007 | 153 0.133 | 212.1 Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 111 Région a d E | Gr. | 4909.0 1900.0 48904| — "^ ES | et N: | Poids ala (abs) | h m s | orla p s | o 90 9.7,91910.10| 4423 0.0. 3.24 | + 0.0032 | ET 024 | 392 105 | 1.2 1.2 | + 0.0057 | — 0.007 | 395 64 1.2 1.2 | + 0.0036 | + 0.037 1399 50203 | + 0.0044 | + 0.012 2.6 2.7| 0.042 78 912) 09: 1.| 34.60 | 42 22 26.7 | 3.22 | + 0.0061 | — 0.034 | 391 106 | 0.6 0.6 | | | | + 0.0078 | — 0.036 | 394 33 1.2 1.2 | + 0.0073 | — 0.024 |398 2|03 0:4 | + 0.0072 | — 0.034 12.1 2.2| 0.081| 115.0 92 | 92 43.08 | 39 24 42.3 | 3.19 | — 0.0028 | —0.032| 393 55! 1.2 1.2| 0.052! 232.0 93| 9.2 55.99 | 46 37 10.7 | 3.27 | —0.0099 | —0.127| 396 51| 1.0 1.0| 0.168 | 220.9 94 | 8.8 |: 2013.98 | 43 26 44.6 | 3.22 | — 0.0018 | — 0.013 | 391 108 | 0.4 0.7 | + 0.0004 | — 0.046 |395 74| 1.2 1.2 | + 0.0016 | —0.006 398 50.7 0.8 | + 0.0004 | — 0.026 213)2.7)\.0.026)|. 189 \ 95 | 9.8 26.51 | 40 444.9 | 3.19 | — 0.0067 | — 0.080 | 390 131 | 0.2 0.2] 0.117 | 226.7 | 96 78 28.04 | 41 27 28.5 | 3.21 | + 0.0002 | — 0.055 | 394 44/|1.2 1.2 | | + 0.0007 | —0 072 397 7|0.9 0.8 | | + 0.0004 | — 0.062 (2.1 2.01 0.062 | 182.7. | 97 | 9.0. 32.90 | 45 13 13.5 | 3.26 | + 0.0026 | — 0.163 | 392 115 | 0.4 0.9 | | | + 0.0022 | — 0.173 | 396 63|1.0 1.0 | + 0.0023 | — 0.172 | 399 17|1.0 1.0 | | | + 0.0023 | — 0.170 2.4 2.9| 09.171 1743 98, 9.4| 2110.27 | 39 56 34.0 | 3.19 | + 0.0124 | —0.139|393 69 | 1.2 1.2| 0.194 | 135.8 99 |. 6.7 | 20.63 | 4137 54.9 | 3.20 | — 0.0019 | — 0.046 | 394 52| 1.2 1.2 | | | — 0.0014 | — 0.052 | 397 17 | 1.0 1.0 | | | | — 0.0017 | — 0.049 | 2.2 2.21 0.056 208.9 100 10.0 | 26.30 | 39 56 29.0 | 3.19 | — 0.0062 | —0.000|393 5! 1.2 1.2| 0.080 | 270.0 | 101 | 10.1 36.08 | 43 0 39.8 | 3.22 | —0,0019 | + 0.004 | 394 49 | 0.8 0.4 | | | — 0.0034 | + 0.030 | 395 91| 0.8 0.4 | | | — 0.0015 | + 0.009 | 398 18| 1.0 1.0 | — 0.0022 | + 0.013 2.6 1.8 0.035 | 292 | 102 8.2 41.32 | 46 21 34.7 | 3.27 | — 0.0018 | + 0.005\ 396. 70| 1.0 1.0| 0.028 | 280 103 | 10.2 49.57 | 44 7 4.3, 3.24 | —0.0139 | — 0.034 | 395 89 | 1.0 1.0 | | — 0.0112 | —0.015|399 35| 0.7 0.6 VORNE — 0.0128 | — 0.027 1.7 1.6| 0.148 | 259. 5| 104 | 5.2, 22 6.96|46 224.4 | 3.27 | —0.0009 | — 0.116 396 75|1.0 1.0 | | — 0.0000 | — 0.188 | 399 29 | 0.4 0.2 | | — 0.0006 | — 0.128 | 14812) 0.129, 0818687 105, 7.1 9.37 | 46 1 7.6 3.27 | — 0.0001 | — 0.029 396 76 | 1.0 1.0 | | | | + 0.0006 | —0.094|399 37| 0.4 0.2 | | | | + 0.0001 | — 0.040 Wet SEN on 106 | 10.0 14.86 | 46 2 37.7 | 3.27 | —0.0001 | —0.0201396 77|1.0 1.0 | — 0.0005 | — 0.022 | 399 36| 0.4 0.2 | | — 0.0002 | — 0.021 1:4.1.2/20:023, 1 90581 107| 9.4 29.90 | 44 11 26.7 | 3.24 | —0.0043 | —0.034 395 97| 1.2 1.2 | — 0.0047 | — 0.030 | 399 41 | 1.0 1.0 | | — 0.0045 | — 0:032'| |2.2-2.2| 0.065 | 240.3 108 9.8 35.40 | 43 3 32.5 | 3.22 | — 0.0046. — 0.114 395 104 | 0.9 0.5 | | — 0.0040 | —0.118 398 28| 1.0 1.0 | — 0.0043 | — 0.117 1.9 1.5| 0.129 | 204.6 | | | | | A ta = — 0.0007.5 à 43^. N:o 1. 112 RAGNAR FURUHJELM. (2 à Region : N:o | Gr 1900.0 1900.0 HE Må et Nr | PORET) abs) P | |h m-s 5 5 | = 109 | 10.8 | 9 22 47.59 | 45 23 46.9 3.271 — di 0092 | — 0.008 | 396 871 1.0 1.0 — 0.0075 | — 0.046 | 399 45 | 1.0 1.0 — 0.0084 | — 0.027 2.0 2.0| 0.100 254.3 110 8.6 | 50.20 | 41 33 57.7 | 3.21 | — 0.0097 | — 0.083 | 394 66 | 1.2 1.2 — 0.0086 | — 0.096 | 397 351 1.0 1.0 — 0.0092 | — 0.089 12:2 19:2 | 00142110 23173 Inu! 8.6 93 8.94 |43 28 14.7 | 3.22 | — 0.0145 | — 0.107 | 395 112 1.2 1.2 | — 0.0117 | — 0.067 | 398 35 | 1.0 1.0 En 0132 | | — 0.089 | 2.2 2.2| 0.176 239.7 112 9.8 25.02 | 44 25 42.8 | 8.24 | —0. 0019 | — 0.0721 395 113 | 1.2 1.2 4 — 0. 0011 | | — 0.080 | 399 56 | 1.0 1.0 — 0.0015 | — 0.076 2.2 2.2| 0.080 197.5 113 | 10.5 49.69 | 39 42 14.2 | 3.19 | —0.0140 | —0.209|393 96|1.2 1.2| 0.269 | 219.0 114 | 6.2 24 9.20 | 45 12 29.6 | 3.3 70772057 1.0 — 0.0053 | — 0.037 | 399 65 | 1.0 — 0.0064 | — 0.054 | 403 710.3 0.3 — 0.0057 | — 0.042 2.0 2.0 — 0.0064 | — 0.009 | 395 116 | 0.9 0.081 | 238.7 115) 9:5 12.48 | 44 43 57.6 | 3.24 | — 0.0062 | — 0.035 1399 69 1.0 1.0 — 10.0078 | — 0.056 | 402 — 1| 0:3 0.3 — 0.0065 — 0.027 | 2.2 2.2 — 0.0011 | — 0.033 | 396 109 | 0.4 0.4 + 0.0006 | — 0.004 | 399 67 3 —0.0043 | — 0.016 | 403 14 | 0.2 0.3 — 0.0004 — 0.013 TER 0.083 | 250.9 116| 8.3 27.25 45 720.5 | 3.99 [un © E © 0.018 | 223 117 | 8.5 28.01 | 45 6 58.0 | 3.39 — 0.0063 | — 0.006 | 396 110 0.4 0.4 | — 0.0028 | — 0.016 | 399 68 1.0 1.0 — 0.0039 | — 0.006 | 403 15 0.2 0.3 | — 0.0038 | — 0.012 | 1.6 1.7| 0.050| 256 118 | 10.7 39.99 | 41 20 57.5 | 3.19 | + 0.0161 | — 0.248 | 397 56| 1.0 1.0| 0.302 | 145.1 119 82| 25 21.52 | 39--1-443 |-3.19 | — 0.0094 | + 0.006|393 10| 0.2 0.2| 0.118 | 272.9 120! 9.4 | 22.20 | 39 58 23.3 | 3.19 | — 0.0004 | — 0.035 | 393 109 | 0.4 0.7 | 0.0012 | — 0.083 | 397 64| 0.6 0.3 | | + 0.0002 | —0.074|400 - 8 | 1.1 1.2 | + 0.0004 | — 0.063 | 2.1 2.2) 0.063 | 183.6 191) 71 48.95 | 44 10 58. 3 | 3.24 B 0056 | — 0.096 | 395 127 | 0.3 0.6 27 —0.0061 | — 0.122 399 85 — 0.0041 | — 0.181 | 402 6 i — 0.0051 | — 0.142 | NEE + 0.0066 | — 0.024 399 93 | 1.0 1.0 + 0.0059 | — 0.018 | 402 8|1.1 1.0 + 0.0062 | — 0.021 | 2020 er [CA] en t2 0.155 | 209.9 122 | 10.2 26 14.51 | 44 44 1.0 | 3.25 0.062 | 109.9 7 | — 0.0062 | — 0.045 | 396 107 | 193| 9.4 15.45 | 42 39 31.9 | 3,25 | — 0.0021 | + 0.013 398 74| 1.0 1.0 | | — 0.0027 | + 0.004 401 9|1.0 1.0 | | TR 0024 | + 0.008 |2.0 2.0| 0.035 | 283 194 | 91 41.48 | 39 19 25.2 | 3.19 | + 0.0093 | —0.048/400 20, 1.2 1.2| 0.111 | 115.7 125 | 11.1 59.81 | 41 39 51.9 | 3.28 MA 0011 | —0.037 | 397 — | 1.0 1.0 | +-0.0019 | — 0.017 401 161.0 1.0 | | | + 0.0004 | — 0.027 | |2.0 2.0| 0.027 | 188 196| 9.9) 272821 46 30 27.5 | 4.30 | — 0.0010 — 0.014 403 45| 1.1 1.1| 0.023 | 232 127| 9.0| 28 1.66 39 137.3 3.19 | — 0.0072 | + 0.024| 400 33| 0.9 0.4| 0.095 | 284.6 A u. = — 0.0007:5 à 43°. Tom. XLVIII. 132 133 | 134 | N:o 1. 4.6 3.9 10.9 9.0 9.0 8.4 es | 10.0 9.4 9:2 9.6 | 9.0 Recherches sur les mouvements propres dans la zone de [14 1900.0 h m s 9 28 19.57 19.70 29 99.99 - ms du 43.15 43.52 47.61 30 17.91 Ó 1900.0 42 10 19.3 3 56.4 40 41 31 12.2 44 719.2 43 24 48.0 45 35 23.4 | 41 1 9.9 40 16 35.8 46 29 4.2 41 55 41.8 | 44 20 41.6 | 44 93.0 E 18904 Fa a 3.26 | + 0.0043 | — 0.114 + 0.0041 | — 0.070 + 0.0042 | — 0.086 3.19 | — 0.0015 | — 0.012 — 0.0003 | + 0.010 — 0.0006 | 4- 0.004 3.29 | + 0.0035 | — 0.041 + 0.0048 | — 0.021 | + 0.0041 | — 0.030 + 0.0042 | — 0.030 3.23 | + 0.0093 | + 0.043 + 0.0045 | — 0.035 + 0.0064 | — 0.002 3.49 | — 0.0019 | — 0.056 — 0.0020 | — 0.082 4- 0.0006 | — 0.112 + 0.0002 | — 0.065 — 0.0009 | — 0.071 3.24 | — 0.0075 | — 0.032 — 0.0018 | — 0.054 — 0.0013 | + 0.001 — 0.0029 | — 0.041 3.22 | — 0.0098 | — 0.024 — 0.0064 | — 0.053 — 0.0118 | — 0.002 | — 0.0085 | — 0.031 4.30 | — 0.0021 | — 0.091 | 3.22 | — 0.0070 | + 0.002 3.20 | — 0.0046 | + 0.028 — 0.0037 | — 0.046 | — 0.0058 | — 0.008 | | — 0.0051 | — 0.005 | | 3.25 | + 0.0077 | — 0.007 + 0.0049 | — 0.010 4- 0.0030 | — 0.006 + 0.0052 | — 0.008 3.19 | — 0.0119 | — 0.045 | — 0.0066 | — 0.057 | | — 0.0094 | — 0.060 | — 0.0080 | — 0.056 | 4.30 | + 0.0033 | — 0.021 | 3.25 | -- 0.0028 | — 0.037 | + 0.0043 | — 0.062 + 0.0025 | + 0.047 | + 0.0037 | — 0.056 3.24 | — 0.0100 | — 0.083 | — 0.0097 | — 0.077 | — 0.0099 | — 0.080 | 3.24 | — 0.0024 | + 0.031 | — 0.0015 | + 0.025 | — 0.0021 | + 0.029 À Wa = — 0.0007.5 à 43°. Région et N:o 398 97 401 22 Pw HBOHOHOHB/|BGOrHMrfE 397 400 397 92 401 36 |404 3| 398 103 402 44 399 137 402 45 403 84 406 7 399 144 402 47 406 10 398 106 | 402 48| 405 3 403 81 397 107 | 400 53. 401 51 404 10 398 108 | 401 41 405 5| 397 111 400 62 404 15| 86 | 109 56 12 405 397 401 404 402 406 23 (en) = Ni © HN © NÖO Helsingfors. Poids - _ 0.6 1.0 1.6 0.4 1.2 1.6 0.8 1.0 0.3 2f 0.9 1.2 ZI c «00 ioc -19» lo i£ -3 C = MomwoHmHnoHonun VON à © D Ha D C D Ra Oo Go €» NA cO bo Ga Qo € 0.094 0.073 0.057 0.066 0.050 0.042 labs.) | 0.017 | 0.050 0.063 | | 0.114 | 0.033 0.066 | 0.139 | 113 PW 127 | 91.8 | 193.5 | 223.6 99 240.5 128.9 148.5 | 234.9 | 313 114 RAGNAR FURUHJELM. | a | Ó E Région N:o "Gr | 1900.0 | 19000 48904| À” Ns et N:o | Le MS | SL y 1 E = 143 | 7.2 | 9 31 22.24 | 46 21 14.7 | 4.30 | — 0.0005 | — 0.065 | 403 101 144 | 8.8| 43.87 | 45 25 19.4 | 3.78 | — 0.0005 | — 0.138 | 403 110 | | — 0.0023 | —0.117 | 406 35 | | —.0.0014 | — 0.128 145| 8.9| 32 0.28 | 40 020.3| 3.19 | + 0.0098 | — 0.080 |400 76 | | | + 0.0071 | — 0.094 | 404 27 | | + 0.0090 | — 0.083 | 146 5.0 | 7.33 | 40 41 20.6 | 3.19 | + 0.0004 | + 0.002 | 400 74 | | $i — 0.0013 | — 0.016 | 404 25 | | — 0.0004 | — 0.006 147 | '8.9 | 27.49 | 44 20 37.4 | 3.24 | — 0.0068 | + 0.002 402. 75 — 0.0052 | — 0.018 | 406 39 | | — 0.0061 | — 0.007 148 7.8| 3372.00) 4395 62 3.22 | + 0.0071 | — 0:100 | 402 1586 | + 0.0076 | — 0.108 | 405 35 | - 0.0073 | — 0.104 149 | 9.1 32.04 | 44 19 16.8 | 3.24 — 0.0116 | — 0.039 402 88 | — 0.0116 | — 0.082 406 49 — 0.0116 | — 0:059 pO) ST 492.59 | 46 55 44.9 | 4.30 + 0.0081 | — 0.192 | 403 129 (ds, DT 46.18 | 45 36 0.6 | 3.78 | + 0.0017 | — 0.045 | 403 139 | ; | + 0.0022 | — 0.056 | 406 52 | | + 0.0019 | — 0.049 | 152| 6.6| ,34 33.05 | 44 26 43.9 | 3.23 ie 0014 | — 0.004 | 402 95 | + 0.0003 — 0.018 | 405 67 | — 0.0014 | — 0.017 | 409 — 0.0007 | — 0.012 | 153| 9.0 35.74 | 40 31 21.4 | 3.19 | + 0.0015. — 0.000 | 400 102 | pes 0011 — 0.029 | 404 54 | | + 0.0022 | — 0.026 | 407 3 | - 0.0003 | — 0.016 154| 9.6 55.77 | 47 0 54.1 3.79 | + 0.0072 | — 0.209.| 403 144 | 070032: — 01045 | 43:019 7 | 0.0020 | — 0.127 155 | 6.3| 3510.77 | 39 24 28.6 | 3.19 0.0075 | — 0.130 | 400 110 0.0088 | —0.170 | 407 . 8 -0.0083 | — 0.155 156 | 8.8 41.81 | 46 18 54.5 | 3.51 | — 0.0015 | — 0.057 | 403 152 | | 3.66 | — 0.0012 | — 0.076 | 410 18 — 0.0013 | — 0.068 Lo MO 48.38 | 4548 0.1 | 3.40 | —0.0085 | — 0.027 | 403 158 | 3.50 | — 0.0058 | — 0.027 | 406 76 —.0.0078 | — 0.008 | 410 20 | | — 0.0071 | — 0.020 | 158! 6.0 18.81 | 40 12 50.8 | 3.19 | — 0.0066 | — 0.087 | 404 67 | 0.0013 — 0.089 | 407 12 | —0.0037 | — 0.088 159 | 11 36 9.2 |4442 6 3.26 | + 0.0009 | — 0.008 | 406 — — 0.0022 | — 0.021 |409 — — 0.0005 | — 0.014 4 ta = — 0.0007.5 à 432. CO LE ER OD ir vdobvbobvsbwohbnubnmork CS mn 0 tape ee to c bo toO bo to c bo t O Po 0.6 IQ ee = do Gt Oo m bo ho © Qo uu (abs.) IP. 0.065 | 191.3 0.130 | 189.8 0.127 | 130.8 0.013 | 243 0.073 | 264.5 | 0.126 | 145.3 | 245.9 0.206 | 158.9 0.051 | 166. 0.019 | 231 | 0.017 | 194 0.128 | 174.6 0.179 | 150.2 | 0.071 | 197.2 1 | 3 0.084 | 256.3 | | | 0.101 | .209.6 : ni 223 | Tom. XLVIII. N:o | Gr. 160 | 8.0 | 161 | 10.4 | 162, 8.6 163 | 10.1 164| 9.7 165| 6.0 166 | 9.8 167 |) 9.3 168 | 11.0 169 | 9.8 170 | 10.2 "(171 8.5 1172| 8.4 178 34:0 174| 9:6 175| 89 176 | 9.1 Ta LOT 178 | 10.3 179 | 7.2 180 | 8.5 N:o 1. Recherches sur les mouvements propres [24 1900.0 iras mt. cs | 9 36 28.68 54.77 37 6.86 45.21 48.16 17.67 27.54 34.47 41.77 42.14 45.98 | 39 10.06 | 18.07 | | mm que Ô | E 1900.0 |1890+- 4330 37.5 | 3. 39 35 14.1 | 3.19 43 10 21.4 | 3.: 42.30 39.4 | 44 56 55.3 | 44 30 28.4 40 17 45.9 | 3.19 39 434.3 3.19 39 .9 46.4 | 3.19 43 41 23.4 | 3.24 23.4 | 39 47 41.2 | 13.19 44 33 12.8 | 3.26 46 819.9 | 3.27 | 46 34 19,7 | 3.27 | 40 17 51.6 | 3.19 40 19 53.8 | 3.19 * Mesurées ensemble. — 0.0007 - 0.0069 — 0.0038 | - + 0.0003 + 0.0058 -- 0.0016 | + 0.0038 | — 0.0041 — 0.0015 — 0.0085 — 0.0082 — 0.0007 — 0.0015 | — 0.0011 + 0.0095 + 0.0088 + 0.0093 4- 0.0026 + 0.0005 | 4- 0.0015 0.0128 + 0.0190 + 0.0045 | + 0.0006 | — 0.0015 | — 0.0005 . — 0.0013 | — 0.0006 | — 0.0002 | + 0.0007 | — 0.0003 | — 0.0225 — 0.0231 | — 0.0231 | — 0.0231 | + 0.0010 + 0.0018. — 0.0026 — 0.0009 | — 0.0033 | — 0.0024 + 0.0008 — 0.0035 — 0.0006 — 0.0212 — 0.0170 | — 0.0212 — 0.0187 | | + 0.002 - 0.0011 — dans la zone de Helsingfors. | Région | Ps | et N:o - 0. 030 | 405 75 — 0.013 | 409 — 0.022 0.027 - 0.840 | 405 — 0.859 | 409 37 — 0.848 + 0.007 — 0.006 + 0.004 410 406 98 410 405 408 — 0.108 — 0.098 — 0.103 — 0.181 — 0.177 — 0.180 | + 0.004 + 0.001 + 0.002 — 0.154 — 0.230 + 0.019 — 0.121 | — 0.110 | — 0.115 | — 0.118 — 0.089 — 0.066 — 0.053 — 0.073 — 0.135 — 0.117 — 0.137 — 0.122 — 0.179 — 0.168 — 0.125 0.167 + 0.005 — 0.094 — 0.014 + 0.021 + 0.040 + 0.017 — 0.002 — 0.008 + 0.038 + 0.004 406 409 104 44 406 409 106 45 407 107 407 405 409 40 43 42 93 407 48 406 113 409 67 413 3 406 114 410 52 413 4 404 110 407 52 411 D 410 410 60 56 407 59 404 114 407 58 411 11 — 0.0007.5 à 43°. [407 27 59 | 404 115 | 411 12| Poids do R Dh AR OH HO HR OH D hi NW OS © © ]- EO RE E R © HN Le = e woHrsnohon Ni NN) NO I À D © D CG ROMHSNOHO! Rob an © S = 0.3 ( Sy nR0eù b2 = c oOuBROLbtcoct ) À UNO ts à db © u(abs.) | 0.055 | 0.028 0.849 | 0.052 0.093 0.105 0.201 0.009 0.218 0.313 0.048 0.116 0.120 0.074 0.277 | 0.167 | 0.017 | 0.103 0.022 188.6 243.9 178.3 280 203.6 320 271.0 | 116 RAGNAR FURUHJELM. | | @ p) bou | Région R u on 1900.0 48904.| —— "^ "5. | et No | Poids] uiabsjH! P him AN A Tu Ei 5 | o 181 | 6.7 | 9 40 18.87 | 45 34 45.0 | 3.27 | + 0.0040 | — 0.143 | 406 126 | 0.4 0.6 | | + 0.0070 | — 0.131 | 410 69, 1.0 1.0 | + 0.0063 | — 0.151 | 413 11) 0.7 1.1 | + 0.0062 | — 0.142 | 12.172,74 015841 1584 182 | 11 19.4 | 442159 | 3.26 | —0.0041| + 0.299|409 — | 1.0 1.0| 0.303 | 350.0 183 | 8.9 24.82 | 42 11 12.8 | 3.22 | — 0.0018 | + 0.022 | 405 117 | 0.2 0.2 | | — 0.0030 | + 0.001 408 51/1.2 1.2 — 0.0033 | + 0.020 | 412 11 0.5 0.5 : | — 0.0030 | + 0.008 11.9 1.9| 0.042 | 281 184| 9.3 25.66 | 4432 8.2 | 3.27 | —0.0008 | — 0.041 406 129 0.4 0.6 | | — 0.0005 | — 0.055 | 409 77 1.0 1.0 + 0:0005 | — 0.021 | 413 13 | 1.0 1.2 | — 0.0001 | — 0.037 | | 2.4 2.81 0.088 | 195 185| 8.7 32.86 | 40 14 29.4 | 3.19 | + 0.0025 | — 0.098 | 407 66|1.2 1.2 | + 0.0013 | — 0.098 411 16 0.5 0.5 | + 0.0021 | — 0.098 | 1.7 1.7| 0.099 | 170.2 186 | 8.9 47.04 | 42.50 49.1 | 3.22 | — 0.0063 | — 0.058 | 405 118 | 0.2 0.4 | | — 0.0022 | + 0.028 | 408 53 | 1.2 1. | | — 0.0023 | — 0.008 | 412 14 1.2 1.2 | | — 0.0026 | — 0.001 2.6 2.7| 0:036 | 268 187) 9.7 54.80 | 40 630.3 | 3.19 | + 0.0026 | —0.006 | 407 70 | 1.2 1.2 | + 0.0048 | + 0.031 411 17| 0.4 0.4 | | + 0.0032 | + 0.003 | 1.6 1.6 | 0.028 | 84 188| 8.8 | 41 5.44 47 224.3 | 3.27 | — 0.0028 | — 0.097 | 410. 75| 0.5 0.2| 0.103 | 200.3 189 | 10.0 15.49 | 39 24 31.0 | 3.19 | — 0.0043 | —0.018| 407. 74| 1,2 1.2| 0.061| 252.8 190 | 10.7 17.35 41 724.9 | 3.19 | — 0.0030 | + 0.041|408 —|1.2 1.1 | | — 0.0066 | + 0.026 | 411 21/1.0 1.0 | IE | -0.0046 | + 0.034 2.2 2.1| 0.069 | 299.5 ‚191 | 10.0 25.51.| 41 14 59.2 | 3.20 | + 0.0062 | — 0.083 | 408 59|1.2 1.2 | + 0.0019 | — 0.060 | 411 21| 1.0 1.0 | + 0.0043 | — 0.073 2.2 2.2| 0.083 | 151.3 192| 3.9| 42 8.46 | 46 29 14.1 | 3.27 | + 0.0236 | —0.108| 410 88| 1.0 1.0| 0.259 | 114.6 193| 8.6 | 9.26 | 40 59 22.0 | 3.20 | — 0.0035 | — 0.016 | 407 83| 0.7 0.4 — 0.0011 | — 0.033 | 408 63 | 0.7 0.4 — 0.0056 | —0.008| 411 28 1.0 1.0 — 0.0037 | — 0.015 2.4 1.8| 0.052 | 253.3 194| 7.2 26.54 | 44 7 48.2 | 3.27 | — 0.0037 | — 0.043 | 409 103 | 1.0 1.0 | 1 + 0.0000 | — 0.022) 413 27| 1.2 0.9. — 0.0020 | — 0.033 2.2 1.9| 0.044 | 221 195| 9.3 | 4311.06 | 44 45 33.1 | 3.27 | + 0.0004 | — 0.193 | 409 105 | 1.0 0.9 | + 0.0006 | — 0.169 | 413 36| 1.2 1.2 | + 0.0005 | — 0.179 2.9 2,1! 0.179 | 180.6 196| 8.7 16.70 | 46 52 41.1 | 3.27 | — 0.0063 | —0.086| 410 93| 0.7 0.5| 0.113 | 220.3 197| 9.1 25.85 | 43 13 54.2 | 3.24 | — 0.0143 | — 0.054 | 409 109 | 0.9 0.8 | — 0.0105 | — 0.053 | 412 38 | 1.1 1.1 | — 0.0122 | — 0.053 | 2.0 1.9| 0.159 | 249.5 198| 91 30.15 47 041.5 3.27 | + 0.0029 | — 0.001, 410 102 | 0.3 0.2| 0.021 | 93 199 9.0 40.56 | 42 1 1.3| 3.21 | + 0.0021 | — 0.190 | 408 75| 1.2 1.2 | + 0.0013 —0.170 411 43) 0.6 0.3 | + 0.0009 | —0.159 412 41, 0.9 0.4 | + 0.0015 | — 0.180 | 2.7 1.9| 0.180 | 176.8 À a = — 0.0007.5 à 43°. Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 117 | a | Ó WE | Région : Ar | 100.0 | 490.0 Jasgoæ] Mr | "5 | & No | Poids |mlabs) | P | Inms | o ^E E 5 3 200 | 9.0 | 9 43 40.84 | 41 39 26.2 | 3.20 | — 0.0090 | — 0.206 408 76 12 12 | | | | — 0.0109 | — 0.226 411 44 1.0 1.0 | | | — 0.0099 | — 0.215 2.2 2.2| 0:246 | - 208.9 |. 201 11 | 55.8 |4115 9 |3149|— 0.0172 | —0.063, 411 —| 1.0 1.0| 0.2911 252.6 | 202 | 10.8 59.30 | 44 98 4.5 | 3.27 | + 0.0055 | — 0.070 | 409 112 | 1.0 1.0 | | | + 0.0058 | —0.023|413 41|1.2 1.2 2 | + 0.0057 | — 0.044 .22.2| 0.069 | 129.7 = Q9 EM HM ORO RSORO S ORIRRONO M EN OHHHROHOCUH|BHIiIHOHHOHNXOCHHFHNHOeH|PwuwCHrLTE to — Bo m cS Qo o (o Do (o CO LO Ra £O bO CS Qo He bo Qo Qo C bo Q» lO f ON Som OP b - = 203| 7.8| 44 0.001 4428 4.3 | 3.27 | + 0.0041 | — 0.070 | 409 111 | j | + 0.0063 | — 0.035 | 413 40! | + 0.0034 | — 0.048 416 1 | + 0.0051 | — 0.050 204| 8.0 5.52 40 5 51.2 | 3.19 | + 0.0000 | + 0.009 | 407 102 | | | | + 0.0018 | + 0.007 | 411 50 0.069 | 136.2 © -3 bo C4 Qo bo + 0.0008 | + 0.008 0.008 | 7 — 0.0039 | — 0.095 | 410 112 — 0.0071 | —0.109|413 44 3 205 | 6.8 9.46 | = Qu e © = [en o DN [o o] — 0.0078 — 0.060 | 417 — 0.0059 | — 0.094 + 0.0001 | — 0.136 | 410 111 | —0.0017 | — 0.132 417 2 0.117 |. 216.3 t2 e e cn -1 TEL [um El e > e e bo Qo ho -1 kB © C Qo bo C to © bo Ha bo hO LDhUT QE NO En ti mi | — 0.0004 | — 0.134 | 1.4 0.135 | 185.1 | 207 |. 7.5 36.24 46 055.7 3.28 | — 0.0062 | — 0.009 410.114 | 1.0 | | — 0.0059 | — 0.036 413 50 0.9 — 0.0083 | + 0.005 417 60.7 © e — 0.0067 | — 0.007 | 2. — 0.0087 | — 0.029 412 55 | 1.2 — 0.0097 | — 0.024 | 416 7 — 0.0091 | — 0.027 | | 2.0 + 0.0054 | + 0.006 | 408 + 0.0037 | — 0.058 | 412 58| 1.2 4-0.0035 | — 0.048 415 5| 0.4 208| 9.0| 45 4.53 | 43 47 44.0 | 3.24 Oo = I [9] 209, 9.2 18.26 | 42 48 20.3 | 3.21 | | + 0.0038 | — 0.046 TH) 0.058 | 142. 210 | 10.8 | 30.93 | 4114 7.21 3.191 + 0.0104 | + 0.008| 411 66 0.109 | 85. 211 | 10.0 | 53.55 | 43 21 20.0 | 3.24 | + 0.0064 | — 0.038 | 412 63 + 0.0040 | — 0.014| 416 151 + 0.0054 | — 0.028 + 0.0046 | — 0.001 | 413 65 + 0.0018 | — 0.011 | 416 13 + 0.0033 | — 0.006 | | 0.057 | 119.2 | 212 94 461449 | 4415 35.8 3.27 0.028 | 102 213 | 10.0 | 27.24 | 46 41 19.8 | 3.28 | — 0.0092 | — 0.076 417 16 0.128 | 233.6 | 214 | 10.8| 47 36:40 | 46 28 51.4 | 3.28 | — 0.0055 | — 0.005 | 417 25 0.065 | 265.6 | 215| 9.4 | 50.23 | 46 15 40.3 | 3.28 | — 0.0001| + 0.028 417 30 0.029 | 542 216 | 10.9 | 55.69 | 46 14 22.6 | 3.28 | — 0.0100 | — 0.020 | 417 311 0.114 | 259.9 | 217| 9.8| 4810.33 | 39 34 36.3 | 3.19 | — 0.0113 | — 0.067 | 414 29 0:153 | 244.1 218| 8.9| 16.41| 39 23 7.6 | 3.19 | — 0.0071 | — 0.090 414 34| 0.128 | 225.3 219 | 9.6 41.38 | 42 35 39.4 | 3 21 | — 0.0031 | — 0.018 | 412 99 | — 0.0051 | — 0.021 | 415 407 — 0.0040 | — 0.019 DA OMIM EBEFHBIGOI Hr toc D © © D D D D D © D os D SS 0.056 | 250.3 | 0.078 | 264.9 0.109 | 255.7 | | A u = —0.0007.5 à 43°. N:o 1. x 15 118 VÄGNAR FURUHJELM. | | | (64 | Ó E | Region | : | | NOR 1900.0 19000 —18904| + Fa | Be | co | Poids | (abs) Pr | homm NS | EU o | 8 | ^ | i ^ | o 220 | 10.0 | 949 3.79 | 44 28 50.3 | 3.33 | — 0.0021 | — 0.002 | 413 90! 1.2 1.2 | | | 3.44 | — 0 0003 | + 0.007 | 416 40|1.0 1.0 | | — 0.0025 | + 0.018 420 9| 0.2 0.5 | | — 0.0014 | + 0.005. I19:40227| 9:094 283 221 | 9.0 | 28.41 | 44 24 45.7 | 3.42 | + 0.0007 | — 0.105 | 413- 97| 0.9 1.1 | | | 3.48 | + 0.0007 | — 0.098 416 41) 1.0 1.0 | | | | + 0.0018 | — 0.096 | 420 16! 0.3 0.6 | | + 0.0008 | — 0.100 | |2.2.29.7| 0.100 | 179.4 2221 9.8 36.77 | 45 34 56.2 | 3.19 | + 0.0129 | — 0.004 | 413 94 | 0.9 1.1 | | 3.52 | + 0.0114 | — 0.033 417 55| 1.0 1.0 | | + 0.0110 | — 0.020 | 420 13| 0.5 0.7 | | | | + 0.0119 | — 0.018 D AND) NO TL PR 9 87) 923122022 37.99 | 42 37 48.5 | 3.21 | — 0.0003 | — 0.039. 412 103 | 1.1 1.2 — 0.0004 | — 0.045 | 415 47| 1.0 1.0 — 0.0022. — 0.040 | 419 3| 0.4 0.6 | | — 0.0006 | — 0.041 2.5 2.8 224 | 10.3 | 39.42 | 44 41 23.7 | 3.48 | + 0.0030 | + 0.013 | 413 96| 1.1 1.2 | | | | 59 | + 0.0037 | + 0.025 | 416 44|1.0 1.0 | _ [+ 0.0024 | + 0.012 | 420 15| 0.6 1.0 | | | + 0.0031 | + 0.016 | 3:2|- 0.030) 57. 225 | 9.7) 5029.55 | 41 33 42.6 | 3.19 | — 0.0195 | — 0.025 | 411 99 | | | | — 0.0174 | — 0.036 |-415 54 | — 0.0202 | —0.002| 418 3 | — 0.0186:\-— 0.022 226 | 10.0 | 30.84 | 43 52 14.4 | 3.25 | — 0.0024 | + 0.001 | 416 57| — 0.0030 | — 0.029 | 419 7 — 0.0026 | — 0.009 + 0.0011 | + 0.033) 412 — 0.044 | 200 uu sic CRM ue MOM eri oS oU RC CoU Ea TESCO SIE Ce OH 297.1 31.0 |435212 | 3.22 228 5.78 | 45 29 11.4 | 3.75 | — 0.0142 | — 0.001 | 413 102 0.5 | | | | 3.70 | — 0.0143 | — 0.015 | 417 63 1.2 | | | — 0.0139 | — 0.013 | 420 29 11 | | — 0.0141 | — 0.012 2.8| 0.157 | 265.6 229| 9.2 | 46.52 | 41 038.4| 3.19 | — 0.0022 | — 0.014 | 414 0.3 53 | | — 0.0033 | + 0.004 | 415 55 | | — 0.0059 | + 0.034 | 418 7 | — 0.0029 | + 0.019 230 | 9.5 47.83 | 40 57 12.5 | 3.19 | + 0.0065 | + 0.016 | 414 54 | + 0.0071 | + 0.011 | 415 56 | | 4-0.0035 | + 0.054 | 418 8 1.6| 0.047 | 294 | | | | + 0.0054 | + 0.036 1.8| 0.064 |: 55.8 231| 9.0 54.60 | 46 22 46.6 | 3.28 | — 0.0035 | — 0.077 | 417 60 1.2| 0.089 | 210.3 232 10.2 51 14.30 | 39 26 30.1 | 3.19 | + 0.0041 | —0.020| 414 61 0.044 | 117 233 | 9.5 18.07 | 42 0 40.0 | 3.20 | — 0.0016 | — 0.069 | 415 59 | — 0.0072 | — 0.063 | 418 10 | — 0.0006 | — 0.017419 12 | | — 0.0025 | — 0.061 28 | 43 42 29.7 | 3.26 | — 0.0021 | — 0.039 | 416 65 | | 41 31 55.6 | 3.19 | —0.0102 | — 0.060 | 415 65 | — 0.0148 | — 0.021 | 418 15 | — 0.0125 | — 0.041 | | 236 | 10.2 | 35.36 | 46 16 53.3 | 3.28 | — 0.0109 | — 0.043 | 417. 73 dw, = — 0.0007.5 à 43°. | | | | | 0.070 209.9 0.050 | 218 0.153 | 254.5 0.128 | 250.4 NNFFNNSO FN NOSS $ À D D © S toc! Oo cO SOU ee Sue noRO ro DUO cO CO o 0 Ne = e Tom. XLVIII. e N:o | Gr 2537| 9.2 238 3.8 239 | 10.0 E 240| 8.9 | 241 | 11 242 | 10.2 243 | 10.4 | 244 | 94 245 | 9.8 246| 8.8 247 | 11.2 248 | 9.2 249 | 9.8 250 | 10.3 251| 94| 252 | 10.9 253| 9.3 N:o 1. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. a Ó E Region 1900.0 1900.0 — 18904- Ma us et N:o |h m.s or «oy y: | 8 | > 9 51 47.21 | 44 25 47.9 | 3.78 | — 0.0037 | + 0.019 | 416 63 | — 0:0036 | + 0.014 1420. 41 | | — 0.0036 | + 0.016 52 39.18| 39 22. 1.7 | 3.19 | — 0.0059 | — 0.085| 414 78 53 31.26 | 45 17.414 | 3.79 | — 0.0092 | — 0.066 | 417 88. | | — 0.0053 | — 0.032 | 420 56 | | — 0.0073 | — 0.050 | 54.04 | 42 59 49.8 | 3.22 | + 0.0050 | — 0.062 | 415 80 | + 0.0019 | — 0.078 | 416 82 + 0.0041 | — 0.085 | 419 35 + 0.0039 | — 9.080 58.7 |4411 3|3.78| + 0.0008 | —0.013| 416 — 3.75 | + 0.0037.| --0.003| 420 — 1 + 0.0023 | — 0.005 | | 54 34.93 | 42 48 det + 0.0040 | + 0.015 | 415 86 + 0.0016 | + 0.007 | 419 41 - + 0.0073 | — 0.050 | 422 + 0.0023 | + 0.000 37.91 | 41 618.4 | 3.19 | — 0.0052 | —0.008 418 40 +.0:.0022 | + 0.050422 —| — 0.0041 | + 0.002 | 41.59 | 42 24 31.5 | 3.21 | — 0.0008 | — 0.017 | 415 87| — 0.0020 | — 0.018 | 419 42 — 0.0015 | — 0.018 41.61 | 45 32138.5 | 3.72 | —0:0054 | + 0.007 | 417 99 .64 | + 0.0013 | + 0.034 | 420. 69 | | — 0.0033 | + 0.041 424 9 — 0.0023 | 4: 0.026 55 15.84 | 43 34 37.3 | 3.25 | — 0.0056 | — 0.000 | 416 90 | — 0.0043 | — 0.007 | 419 451 — 0.0046 | + 0.015 423 9| — 0.0046 | + 0.003 21.67 | 44 14 45.6 | 4.30 | + 0.0060 | — 0.010 420 82 25.00 | 4338 0.7 | 3.25 | + 0.0007 | — 0.014 | 416 89 + 0.0002 | — 0.040 | 419 44 + 0.0005 | — 0.029 | 423 8 + 0.0004 | — 0.030 35.93 | 46 29 37.1 | 3.28 | + 0.0027 | — 0.031 | 417 107 — 0.0026 | — 0.048 | 424 17 — 0.0010 | — 0.042 | 45.56 | 41 17 13.9 | 3.20 | + 0.0061 | — 0.004 | 418 49! | + 0.0046 | — 0.015 422. 11 | | + 0.0055 | — 0.009 48.99 | 43 41 15.6 | 3.25 | —0.0003 | + 0.046 416 93 | — 0.0031 | + 0.033 | 419 52 — 0.0029 | + 0.050 | 423 12 | — 0.0028 | + 0.041 | 49:11 | 46 21 23.8 | 3.28 | + 0.0057 , — 0.018 | 424 21 56 2.64 | 4213 38.5 | 3.22 | — 0.0027 | + 0.033 | 419 63 | — 0.0007 | — 0.018 | 422 13 — 0.0017 + 0.008 A uw, — — 0.0007.5 à 43°. Poids 1.0 1.0 1 Lo a REN 1.0 1.0 1520122 al kt ES a 0.3 0.3 0.3 0.3 ea TELE 1.0 1.0 Pa EL) a 0.4 1:2 0.2 1.8 1.0 0.2 2 9 Ears | er SEES Ee E RR Wa ho ho to Oy Lo ho bO cy C» C - bo Gt - BÀ bo HeokRa sh BO He -; Ota Rd D ROB MON HMBÍBOHH CH HOM H © I = GONG OU QU om © ONE Eh mi © ni © D b2 © & © RS D (5 D'© & D © © À D À nu Sb Qo EE NIH ©O RO My ) D «7 bo bo Q9 -3 -1 © do b Wa bot e ND u{abs.) 0.049 0.114 | 0.099 0.087 0.018 0.017 0.055 0.030 0.041 0.059 0.057 | 0.030 0.046 | 0.056 0.056 0.054 0.028 | 156.4 106 120 RAGNAR FURUHJELM, | | | & Ó | E | Région | : | | e d Em | 490.0 | 19000 go] #2 | #4 | et Nio | ALL le (anse | P £ | hom. «s oci. JR | E | 72 | | ” | o 254 10.0 956 8.98 40 527.9 3.24 | + 0.0000 | —0.022| 418 57|1.0 0.6 | | — 0.0055 | — 0.022 421 10|1.2 1.2 | — 0.0025 | — 0.022 | 2.2 1.8| 0.043 | 239 255 | 10.4 15.92, 41 3 57.6 | 3.20 | + 0.0071 — 0.022 418 55 1.0 1.0 | + 0.0097 | — 0.030 422 14 | 0.5 0.4 + 0.0078 | — 0.024 | 1.5 1.4| 0.085 | 106.3 256| 8.8 17.27 | 45 .3 45.1 | 3.96 | —0.0201 | = 0.084 420 90| 1.1 1.1 | | 4.01 | — 0.0271 | — 0.056 424 27, 0.6 0.5 | | | | — 0.0226 | — 0.075) -L7 L6| 0.258 | 253.1) KSR 0:97) 20.31 | 42 27-43.5 | 3.22 | — 0.0081 — 0.069 419 62| 1.2 1.2 | | | — 0.0063 | — 0.113 | 422 12. 1.2 1.2 | | | — 0.0072 | — 0.091 | 2.4 2.4| 0.127 | 224.0, | 258 | 78 52.16 | 39 44 40.6 | 3.28 | — 0.0096 — 0.015 421 13! 1.2 1.2| 0.120 | 262.6 | | 259| 8.4| 58.27 | 39 5 46.0 | 3.28 | — 0.0072 | — 0.006 421 15| 0.7 0.5| 0.091| 266.3 | | 260 | 10.4 | 5713.86 | 4456 0.4 3.92 | + 0.0086 + 0.001 420 104 | 1.1 1.1 | | | 4.02 | + 0.0022 | — 0.005 | 423 26 | 0.7 0.5 | | | + 0.0061 — 0.001. 2 81.000571 EN 261 | 10.7 38.05 | 46 10 32.3 | 3.28 | — 0.0067 | — 0.015 | 424 39| 1.2 1.2| 0.078 | 259.0 262 | 10.6 55.80 | 41 18 12.0 | 3.21 | —0.0055 — 0.086 418 70| 0.9 0.7 | | — 0.0081) — 0.094 | 422 271 1.2 1.2 | | | — 0.0071. — 0.091 | I-2:2 4.9 | 0.125010 223.1 263, 9.2| 5843.11 | 4119 9.8 | 3.21 | — 0.0080 | — 0.034 | 418 78| 1.0 1.0 | | | | — 0.0082 | —0.041|422 32 1.2 1.2 | | —0.0081 — 0.038 2.2 2.2| 0.106 |. 249.0 264 | 10.4 47.09 | 46 38 20.8 | 3.28 | — 0.0050 | — 0.018 | 424 41| 1.2 1.2| 0.062 | 253.0 | 265 | 8.6. 54:06 | 42 11 3.1| 3.22 | + 0.0001 | — 0.047 | 419- 76 | 0.7 0.6 | | + 0.0008 | —0.094| 422 30| 1.2 1.2 | | | + 0.0005 | — 0.078 1.9 1.8| 0.078| 181.5| 266 |-10.3| 59 0.93 |43 9 52.0 | 3.25 | — 0.0007 | — 0.008 | 419 74 1.2 1.2 | + 0.0032 | + 0.014 | 423. 40| 1.2 1.1 | | | + 0.0012 | + 0.003 | 2.4 2.8| 0.007 | 64 267| 9.5 | 10.89 | 39 6 14.2 | 3.28 | + 0.0046| + 0.038] 421 34| 1.2 1.1| 0.060 | 505 268| 9.9 31.70 | 44 28 5.3 | 3.79 | + 0.0057 | — 0.107 | 420 128 | 0.8 1.0 | 3.88 | + 0.0066 | — 0.098 | 423 42 | 1.2 1.2 | | + 0.0067 | — 0.068 | 427 5| 0.3 0.6 | | | | | + 0.0063 | — 0.095 2.3 2.8| 0.112 | 148.1 | | 269| 9.9) 35.86 | 45 33 24.6 | 3.81 | + 0.0004 | — 0.017 | 420 125 | 0.8 1.0 | 3.88 | + 0.0019 | — 0.019 | 424 51|1.2 1.2 | | | | + 0.0046 | + 0.025 427 2| 0.5 0.6 | | + 0.0020 | — 0.009 2.5 2.8| 0.016 | 125. | 270 | 79.2 | 36.01 | 42 712.8 | 3.22 | — 0.0011 | + 0.035 419 80 | 0.4 0.4 | | | + 0.0007 | — 0.013 | 422 36| 1.2 1.2 | | | | + 0.0002 | — 0.001 | ‘| 16 1.6| 0.005 | 259 | 271 9.5, 37.71 | 4115 4.1 | 3.22 | + 0.0020 | + 0.006 | 418. 84| 0.9 1.0 | | + 0.0043 | — 0.024 | 422 40|-1.2 1.2 | | + 6.0039 | — 0.008 425 2) 0.4 0.6 | + 0.0034 | — 0.010 | 2.5 2.8| 0.032 | 108 272 | 6.1 | 39.16 41 31 514 3.23| — 0.0022 | — 0.023 418 83 | 0.6 0.9 | + 0.0000 | — 0.044 422 39, 1.2 1.2 | + 0.0014 | — 0.046 | 425 1| 0.3 0.6 | — 0.0004 | — 0.037 | | 2.1 3 0.039 198 I ta = — 0.0007.5 à 43°. Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. I | Région | a en Listes N:o Poids | ulabs.) a0] 57:9 0149 0.076 418 95| 0.2 0.2 421 36 1.2 1.2 425 10| 0.2 0.2 | 1.6 1.6| 0.100 491 37| 1.2 1.2| 0:044 | 420 134 | 0.2 0.2 493 49 1.2 1.2 | 21427 10| 0.2 0.2 | 1.6 1.61 0.019 418 92 | 0.4 0.9 499 49| 1.2 1.2 495 .1| 0.4 1:0 | 2.0 3.1| 0.006 418 89| 0.4 0.5 499 46| 1.2 1.2 | 495- 6| 0.4 0.7 | 12.0 2.4| 0.093 | 418 91| 0.3 0.5 499 48 1.2 1.2 495 13| 0.6 1.0 | 12.1 2.7| 0.074 418 90| 0.3 0.5 499 47, 1.2 1.2 495 12| 0.6 0.9 2.1 2.6| 0.070 419 81| 0.2 0.2 423 50/12 1.2 497 9| 0.3 0.3 1.7 1.7| 0.024 | 419 82| 0.2 0.2 | 493 51| 1.9 12 497 . 8| 0.3.0.3 17 17| 0.023 :419 89| 0.3 0.4 499. 53| 1.2 1:2 |496..929| 0.7 1.0 2.2 2.6| 0.083 | 424 57) 1.2 1:2]: 0.127 | 492 — 1212| 0.481 | 494 58| 1.2 1.2] 0.019 420 138 | 0.1 0.2 494 6711212 497 141 0.8 0.8 2.1 2.2| 0.206 | 422 5612 1.1 | 495 91| 1.1 1.1 2.3 2.2| 0.040 491 52| 1.2 1.2| 0.059 1424 69| 1.2 1.2|: 0.264 | 421 °53| 1.2 1.0| 0.188 | | : [2 | d | E | N:o | Gr | 1900.0 | 1900.0 18904- Ha | Hs | h m s $ 5 | s TPM SUR TT EE 273/11 |95953.2 | 40 355 | 3.28 | — 0.0060 | E: 001. 274 |" 6.1 | 54.86 | 40 4 6.5 | 3.27 | — 0.0073 | — 0.088 | — 0.0078 | — 0.017 — 0.0061 | — 0.047 | | Le 0.0075 | — 0.030 | 275 | 11.0 | 58.23 | 39 32 11.6 | 3.28 | + 0.0025 | — 0.039 | | 276| 8.7 10 0 3.16 | 44 3 35.2 | 3.57; — 0.0020 | + 0.097 | | | | | — 0.0013 | — 0.005 | | | + 0.0051 | + 0.022 | | — 6.0006. + 0.011 | | 277| 9.0. 3.78 | 41 11 55.4 | 3.23 | — 0.0021 | — 0.006 | | + 0.0013 | — 0.008 | | | + 0.0008 | — 0.003 | | | | + 0.0005 | — 0.006 278 | .8&.1| 5.69 | 41 34 36.4 | 3.23 | 0:0087 | — 0.026 | | | —0.0068 | — 0.043 | — 0.0052 | — 0.025 | | ; — 0.0069 | — 0.034 1279| 8.1 | 11.74 | 41 24 42.0 | 3.23 | — 0.0064 | — 0.012 | | — 0.0043 | — 0.042 | — 0.0063 | — 0.035 | | | — 0.0052 | — 0.034 280 | 9.3 13.17 | 41 30 39.8 | 3.23 | — 0.0067 | — 0.007 | — 0.0045 | — 0.046 | — 0.0034 | — 0.041 | | =0900451==0087 281| 9.3 19.86 44 2 22.1 3.50 | + 0.0019 | — 0.009 + 0.0022 | — 0.004 | + 0.0064 | + 0.004 | + 0.0029 | — 0.003 282 | -8.7 20.71 | 44 217.9 | 3.50 | + 0,0032 | -- 0.011 | + 0.0013 | — 0.010 | + 0.0083 | + 0.007 | | + 0.0028 | — 0.007 283| 8.1 34.02 | 42 24 24.0 | 3.58 | + 0.0037 | — 0.052 | | 3.66 | + 0.0057 — 0.071 | | -- 0.0051 | — 0.065 | | | + 0.0052 | — 0.066 | 284 |. 8.8 | 39.48 | 46 22 18.4 | 3.28 | — 0.0103 | — 0.054 | 285. 11 | 40,5 | 42 12 49 - | 3.22 | —0.0214 | — 0.414 | | 286 | 11.0 46.88 | 46 5 29.9 | 3.28| — 0.0009 | + 0.007 287 | 58.50 | 45 44 50.8 3.74 | —0.0003 | — 0.179 | | 3.77 | + 0.0043 | — 0.203 | | 4- 0.0031 | — 0.213 | | + 0.0036 | — 0.204 | 288 | 10.3 110.61 | 41 735.6 | 3.25 | + 0.0045 | — 0.025 | | + 0.0018 | — 0.031 | | | + 0.0032 | — 0.028 | 289 | 10.4 11.09 | 39 43 56.4 | 3.28 | — 0.0032 | — 0.038 290 94 36.31 | 46 31 19.9 | 3.28 | — 0.0219 | — 0.123 291| 8.7 39.62 | 39 8 14.5 | 3.28 | — 0.0155 | — 0.019 4 u, = —0.0007.5 à 43°. N:o 1. P 248.6 97 108 142.9 244.8 210.6 291 171.6 135 229.8 242.3 264.2 292 293 294 295 296 297 302 306 307 308 309 9.5 10 10.6 11.0 8.9 Gil 6.9 9.6 10.4 e m 5 2 28.13 51.48 35.16 5 11.48 16.64 Ó E Région | Ua US 2 1900.0 1890 + et N:o | NEU s SCA | 40 49 47.2 | 3.28 | —0.0101 | --0.021| 421 56 — 0.0114 | + 0.033 | 425 29 — 0.0107 | + 0.027 4443 4.0|3.79| —0.0133 | — 0.055 | 423 69 — 0:0145 | — 0.057 427 31 | — 0.0139 | — 0.056 | | 46 46 27.5 | 3.28 | — 0.0186 | — 0.043 | 424 80) 40 50 53.9| 3.28 | — 0.0004 | — 0.006 | 421 67 — 0.0016 | — 0.008 | 425 34 | — 0.0011 | — 0.007 43 45 12.6 | 3.79 | — 0.0006 | + 0.007 493. 74 — 0.0020 | — 0.011 426 42 — 0.0013 | — 0.002 4050 7.6|3.28| — 0.0059 | — 0.006 | 421. 68 — 0.0046 | — 0.013: 425 39 | — 0.0051 | — 0.011 3937 55.4 | 3.28 | — 0.0090 | — 0.094 421 71| 41 55 56.9 | 3.71 | — 0.0027 | — 0.081) 420 75| 3.96 | — 0.0045 | — 0.105 425 36 — 0.0035 | — 0.089 39 55 12.8 | 3.28 | — 0.0037 | — 0.065 421 1 45 29 27.5 | 3.75 | + 0.0063 | — 0.007 | 424 8 3.71 | + 0.0051 | — 0.051|427 3 — 0.0092 | — 0.009 | 431 + 0.0060 | — 0.025 | 45 35 33.1 | 4.31 | — 0.0080 | —0.006| 424 — — 0.0085 | — 0.028 | 427 37 — 0.0057 | + 0.002 | 431 — — 0.0079 | — 0.013 | 43 51 26.6 | 3.74 | + 0.0071 | + 0.049 | 493 79 3.63 | + 0.0047 | — 0.001 | 426 59 + 0.0039 | + 0.030 430 4 | + 0.0056 | + 0.027 | 40 22 55.4 | 3.28 | + 0.0016 | —0.068| 421 — — 0.0038 | — 0.092 | 425. 51| — 0.0012 | — 0.079 | | 40 24 17.0 | 3.28 | — 0.0021 | — 0.059 | 421 8 | | — 0.0033 | — 0.085 425 5 | — 0.0024 | — 0.056 | 428 | — 0.0027 | — 0.069 | | 46 12 29.5 | 3.28| — 0.0026 + 0.006 | 424 87 —0:0010 | — 0.018 | 43 | — 0.0020 | — 0.005 | 41 911.8 3.27 | + 0.0009 -— 0.030 | 422 87 — 0.0004 — 0.010 425 49 — 0.0051 +0.003 429 5 — 0.0009 | — 0.012 | 46 24 56.8 | 3.28 | + 0.0016 | — 0.046 424 91 + 0.0035 | — 0.065 | 431 9 + 0.0026 | — 0.055 | 45 18 22.9 | 4.31. | — 0.0094 | — 0.013! 424: — A u. = — 0.0007.5 à 43°. VAGNAR FURUHJELM. SHOrHOoHsSsuüuhrkrunsSshHhHH-unSsHMTwSohHHnunvütrrnkrosvuwm Mm SmrkurmMHorhr H Oo -3 Hi Os Q5 EA cO Ru E © QV ie i A © Qo Ea bo CX bo EM D to (o C» LO to Oo En -1 LHNS F2 © to Go F2 bO LwHN P|BoumnmmbBicnunubnmucomnm5iucomnoucoombBuucoouum5couoemnuacomuimnbmnumaum h © LN © © Hi FR & ii E SS SH ill Hah ch NN KURS Oo Gt Hi 19 © me LM NN Co C» bo to -- LM C» Os LM EO Oo ND |-Poids | u(abs.) | P 0.133 | | 0.166 | 0.204 | I 0.021 | 0.021 | 0.067 | 0.145 | 0.101 0.082 0.061 | 0.092 | 0.059 | 0.082 | 0.079 | 0.029 | Tom 114.1 261.9 . XLVII. Do Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 12: M Tess —— — E 73 — MÀ — ——— — —= | a Ó E Région . | N: 3 u ; ’oids u(abs. 2 | EINKOR GT: 1900.0 1900.0 1890+] - Ma Us pen Poids | w(abs.) I | hom. ^s | Oz s (7 c 310| 8.0 10 528.97 | 42 13 30.1 | 3.74 | + 0.0041 | — 0.043 | 422 90 | | 3.66 |: + 0.0051 | — 0.031 | 426 75 | | | | + 0.0004 | — 0.038 | 429 7 | ; + 0.0031 | — 0.037 | 311| 93 30.10| 43 832.4 | 3.92 | + 0.0008 | — 0.099 | 423 82 | | | — 0.0029 | — 0.115 | 426 69 — 0.0011 | — 0.078 | 430 12 — 0.0019 | — 0.104 | 0.045 | 145 1.8| 0.108 | 195.6 NUuosomcoumHmmro O0 LmUOCIOAÓ.- H M 312 | 11.3 | 31.47 | 43 845.5 | 4.30 | — 0.0028 | — 0.086 | 426 68 1.1| 0.094 | 204.4 313 | 10.5 48.221 44 51 34.9 | 4.31 | — 0.0010 | — 0.134427 47| 1.1 1.1 | +.0.0007 | — 0.148 | 430 — | 0.5 0.5 | — 0.0005 | — 0.138 1.6 1.6| 0.139 | 185.4 314 | 10.2 6.0.86 | 43 53 40.7 | 3.79 | — 0.0046 | — 0.022, 426 77 | 1.1 09 | | 3.73 | — 0.0029 | + 0.015 430 15 1.0 1.0 | | | — 0.0038 | — 0.003 2.1 1.9| 0.049 266 315 | 9.3 38.10 | 46 30 58.7 | 3.28 | — 0.0013 | — 0.045 | 431 19 1.0 1.0| 0.050 | 206 316 | 10.6 | 42.03 | 46 31 16.7 | 3.28 | — 0.0006 — 0.008 431 18 1.0 1.0| 0.016 | 240 Is AtT.| - 8.7 | 52.97 | 39 15 37.6 | 3.28 | — 0.0007 | + 0.029 428. 25 1.2 1.2| 0.033 | 331 | 318 | 10.4| 712.68 | 42 50 56.5 | 3.82 | + 0.0033 | + 0.029 | 426 . 91 Tot | | | 3.88 | + 0.0029 | + 0.013 .429 19! | S [6 1.2 1.1 | 1.0 | | + 0.0031| + 0.022 | DO UNE 057 | 319 | 10:8 | 25.17 | 4343 48.2 | 3.79 | — 0.0088 | + 0.006 | 426 89| 1.1 1.1 | | | — 0.0053 | + 0.011 |430 27) 1.0 10 | | — 0.0071 | + 0.008 9572987: |2:0:085 0275-4 320 | 10.3 | 36.06 | 39.39 42.3 | 3.28 | — 0.0008 | — 0.011 | 428 31| 1.2 1.2| '0.022 | 239 391 |. 9.4 8 25.98 | 39 55 25.4 | 3.28 | + 0.0056 | —0.023| 428 35| 1.2 1.2]. 0.061 | 112.3 | 1939201979 33.93 | 39 54 59.8 | 3.28 0.0059 | — 9.077 | 428 36| 1.2 0.098 | 142.1 | 393 | 9.4 45.95 | 45 58 18.4 | 3.52 | — 0.0003 | + 0.052 | 427 71| 0.4 | | | 3.45 | —0.0029 | + 0.033 | 431 35 | 1.0 | | — 0.0022 | + 0.037 1.4 0.048 | 320 | | 324 | 10.7 48.95 | 46 42 58.0 | 3.28 | — 0.0021 | — 0.002 | 431 31 | 1.0 0.030 | 266 3925 | 10.5 | 58.41 | 4122 0.8| 3.281 — 0.0214 | + 0.005 | 425 80 | 1.1 | | — 0.0208 | + 0.010 | 429 38! | — 0.0211 | + 0.008 | 326 | 9.8 9 .8.38| 40 030.5 | 3.28 | — 0.0010 | + 0.174 | 425 85 | + 0.0053 | + 0.163 | 428 43 | + 0.0040 | + 0.165 0.246 | 271.9 0.169 13.0 327 | 11 9.5 [412654 | 3.28 | —0.0087 | —0.015 425 — | | — 0.0124 | + 0.007 |429 — | 0.127 | 268.2 | | — 0.0106 | — 0.004 | | 328| 9.4 | 10.71 | 42 859.5 | 3.62 | + 0.0010 | — 0.023 | 426 114 | | + 0.0022 | — 0.068 | 429 44 | | | | + 0.0044 — 0.083 | 433 5| | | | + 0.0020 | — 0.056 | 399| 9.8 13.00 | 43 38 56.4 | 3.76 | .— 0.0071 | — 0.028 | 426 107 | — 0.0037 | — 0.012] 430 43 | | — 0.0055 |: + 0.003 | 433 1 0.058 | 165.0 S@ nshhunkHeubüowh ÖNNSHOKNSHORHENHONFFNNHSK RRRSDHSRSHSNHERE SH -r o à & © 00 = hi RA Gt to R OL d bo bo to LOL © & © WH 2 | | | — 0.0052 | — 0.016, . 0 0.067 | 256.2 | 330 | 10.6 13.86 | 40 145.6 | 3.281 + 0.0065 | + 0.148 | 428 42 2 0.162 24.7 331| 9.4 23.12 | 39 3 9.5 | 3.28 | — 0.0120 | + 0.080\| 498 47 1 0.168 298.4 | | | | AI wa = — 0.0007.5 à 43°. N:o 1. 124 RAGNAR- FURUHJELM. | ® " | œ | D) | E | Région | 5 | Jansen 1900.0 | 490.0. a4] Fe. - "4. | et No | ES abs.) | P ] | h m s | 5 | 8 "i | » | a 332 | 10.2 10 9 27.07 | 42 52 59.5 | 3.83 | + 0.0012 | + 0.025 | 426 109 | 1.0 1.1 | | | | | 3.98 | + 0.0014 | —0.002| 429 40, 1.1 0.9 | | + 0.0019 | — 0.003 | 433 2| 0.3 0.8 | | + 0.0014 | + 0.008 (2.4 2.8| 0.011) 41 | 833 | 82 45.92 | 46 28 19.8 | 3.28 | + 0.0031 | — 0.026| 431 43 | 1.0 1.0| 0.035 | 137 | | 334 | 9.2) 10 1.36 | 45 55 24.6 | 3.57 | +:0.0087 | — 0.162 | 427 80) 0.3 0.2 | | | | + 0.0039 | — 0.183 | 431 50 | 1.0 1.0 | | + 0.0048 | — 0.155 | 434 8| 0.3 0.2 | | + 0.0050 | — 0.176 | 1.6 1.4| 0.181 | 166.01 3351| 18.2 4.59 | 44 32 31.0 | 3.88 | — 0.0090 | — 0.017 | 427 86 0.8 0.9 | | 3.90 | — 0.0069 | + 0.007 430 51) 1.0 1.0 | — 0.0059 | + 0.005 | 434 12 0.8 0.9 —.0.0072.\.—0.001 | 2.6 2.8| 0.085 | 269.3 336 | 9.0 55.14 | 45 15 43.6 | 3.83 | + 0.0004 | — 0.036 | 427 94| 0.2 6.5 | | | 3.87 | —0.0048.| — 0.050 | 431 56| 1.0 1.0 | | | -—0.0030 | —0.032|434 22] 1.1 1.1 | | | — 0.0032 | — 0.040 | 112137. 2:6.12.0.05800. 2064 ['-337 9.6. 56.87 | 45 18 15.9 3.83 | + 0.0084 | — 0.034 | 427 93| 0.2 0.5 | | | 3.87 | + 0.0023 | — 0.042 | 431 55 | 1.0 1.0 | + 0.0027 | — 0.024 |434 21|1.1 1.1 | + 0.0031 — 0.033. | 2.3 2.6| 0.041 | 144 3338| 9.5| 11 0.38. 45 25 12.6 | 3.83 | + 0.0017 | —0:089| 427 92| 0.2 0.5 | | 3.87 | — 0.0044 | — 0.072 "481 63 1.0 1.0 | — 0.0030 | — 0.087 434 20, 1.1 1.1 | —10.0032 | — 0.082, | 2.3 2.6| 0.092 | 206.6 339 | 11.0 2.09 | 45 43 20.5 | 3.28 | — 0.0089 | + 0.032 | 431 60) 1.0 1.0 | — 0.0098 | + 0.053 1 434 —| 0.9 0.9 ; | | — 0.0093 + 0.042 | 19 19| 0.113 291.8 340 | 3,2| 4.35 | 43 24 50.4 | 3.78 | — 0.0154 | — 0.063 |430 62 |-1.0 1.0 | | | 10:0142 1220/0761 A337 TTT | | | | — 0.0148 | — 0.070 2.1 2.1| 0.182: - 247.4 341| 8:7 | 6.76 39 1 0.4, 3.28 | + 0.0025 | — 0.081, 428 62, 0.9 0.4| 0.084 | 165.4 | 342 | 10.8 | 8.19 4010 8.4 3.28 | + 0.0048 | + 0.013|428 58| 1.2 1.2 | + 0.0044 | + 0.062 | 432 —| 0.5 0.5 + 0.0047 | + 0.027 1% L7| 0.053) 59.6 343 | :8.3 12.21 | 43 810.8 | 3.78 | — 0.0007 | — 0.057 430 63|1.0 0.9 3.81 | + 0.0013 | — 0.061 |433 18| 1.1 1.1 + 0.0003 | — 0.059 | 2.1 2.0| 0.059 | 183.9 344 | 7.5 18.22 4158 0.0 | 3.40 | — 0.0054 | — 0.025 | 429 62^ 1.1 1.1 | 3.41 | — 0.0106 | — 0.061 | 432 14| 0.4 0.3 — 0.0036 | —0.048| 433 20| 0.2 0.2 | — 0.0064 | — 0.035 | 1.7 1.6| 0.086 - 246.1 34519 T0] 23.75.45 31 4.9| 3.78 | — 0.0078 | — 0.033 | 431. -62| 1.0 1.0 | | —0:0067 | — 0.032 434 - 26 1.1 1.1 | | | — 0.0072 | — 0.032 | 2.1 2.1| 0.090 | 249.2 346 | 9.5| 1225.70, 46 29 30.2 | 3.28 | — 0.0108 | — 0.137 431 10| 1.0 1.0| 0.181 | 221.0 347) 6.4 | 31.39 4333 2.8 3.78 | — 0.0128 | — 0.093 430 75| 1.0 1.0 | 0704027 20:08 433.28 Ela | | — 0.0114 | — 0.087 2.1 2.1| 0.159 |. 236.8 348| 8.7 39.38 | 39 36 40.8 | 3.28 de — 0.027 | 428 72 | 1.2" 1.2" 0.174 | 261.1 4 be = —0:0007.5 à 43°. Tom. XLVIII. | (t Ó E Région | : Re | Poids abs.) | D Ee 1900.0 1900.0 — 18994.| — "^ is et N:o | Polis rab. £ o LI 349 | .6.0 1012 46.82 | 44 33 26.8 | 3.78| + 0.0094 | —0.327| 430 72/1 | 0.0053 | — 0.311 | 434 40| 1 0:0073 | — 0.319 2 0.0009 | —0.098| 432 29| 1. 0.0016 — 0.089 428 75| 0.3 — 0.0034 | — 0.056 | 499 78| 0.2 — 0.0049 | — 0.098 | 432 32 | 1.0 — 0.0040 | — 0.091 1.5 | hi umwess | , " s en 0.326 | 167.8 0.100 190.4 | ++ Sur 350 | 10.8 | 1316.09 | 40 53 30.5 14 6.60 | 40 58 59.6 | 3.28 o2 Lo io o vw = 0.105 | 210.2 VOOR © © À NN mm 352 | 10.5 21.95 | 40 17 19.2 | 3.33 | — 0.0034 | — 0.084 428 76 | 1.1 1.2 j | 3.38 | — 0.0040 | — 0.092 | 432 37 | 1.0 1.0 | | — 0.0063 | — 0.082 |435 1| 0.1 0.2 | | | | — 0.0038 | — 0.087 2.2-9.4| 0.101 | 210.4 353| 54! 15 4.51| 4221 7.0 4.10|— 0.0009 | — 0.001 429 83| 0.5 0.9 | | | 4.00 | + 0.0009 | —0.003|433 49 | 1.1 1.1 | + 0.0014 | —0.001|436 5| 0.7 1.0 | | | + 0.0004 | — 0.002 | 2.3 3.0| 0.004 | 236 354 | 8.7 | 12.75 | 45 952.1 4.10 | — 0.0085 | — 0.054 | 431. 89 | 0.3 0.3 | | | — 0.0043 | — 0.051 | 434 52| 1.1 1.1 | | | | — 0.0035 | — 0.091 | 438 8| 0.4 0.4 | | | — 0.0048 | — 0.060 | 1.8 1.8| 0.083 | 224.0 | 355| 1l | 15.3 |423136 | 4.31 | — 0.0098 | — 0.067 | 433 — 1.1 1.1 | | — 0.0088 | — 0.055 | 436 — | 0.8 0.9 | | — 0.0094 | — 0.062 | 1.9 2.0| 0.127 | 240.8 .5 | 38.31 | 46 4 26.3 | 4.28 | + 0.0005 | —0.052 438 15| 1.1 1.1| 0.052 | 183.3 3 | 40.98 | 40 5 55.0 | 3.79 | + 0.0057 | — 0.082 | 432 47| 1.0 0.9 | | 13.834 | + 0.0056 | — 0.071 435 1| | + 0.0057 | — 0.076, 2.0 2.0| 0.095 | 143.1 | 4:28 | — 0.0006 | — 0.028 434 56 1.1 1.1 — 0.0004 | — 0.090 | 438 17 | 1.1 1.1 m = = en en 358 | 9.3 16 4.08 | 45 27 49.1 | | — 0.0005 | — 0.059 | 2.2 2.2| 0.061 | 193.4 359 | 10.5 11.94 | 39 57 18.7 | 4.35 | + 0.0116 | —0.073| 435 18 | 1.1 i| 0.144 | 120.3 360| 54 14.17 | 41 44 15.2 | 3.81 | — 0.0095 | — 0.157 | 432 48 | 1.0 1.0 | | — 0.0091 | — 0.158 1436-13: I.T 11 | | - — 0.0093 | — 0.158 ana 0.194 | 215.3 361 | 4.3 | 29,55 | 42 0 8.7 4.04 | — 0.0049 0.000 | 432 51| 0.6 0.3 | — 0.0054 | + 0.023 | 433 60! 0.7 0.3 | — 0.0052 | + 0.031436 12] 1.1 1.1 | | — 0.0052 | + 0.024 | 24 L7| 0.069 | 290.3 362 | 6.7 34.97 | 43 717.3 | 4.31 | — 0.0052 | — 0.026 433 58 | 1.1 1.1 | [4.30 | — 0.0059 | —0.031| 437 21| 0.8 0.6 | — 0.0055 | — 0.028 1.9 1.71 0.074) 247.6 363 | 10.8 35.59 | 4345 3.0! 4.31| —0.0012 | —0.017 | 433 56 | 1.1 1.1 | | + 0.0039 | — 0.011 437 19 1.1 1.1 | + 0.0014 | — 0:014 | | 2.2 2.2| 0.016 | 153 364 | 9.0 56.60 | 45 45 16.9 4.28 | —0.0048 | + 0.015 | 434 66 | 1.1 1.1 | — 0.0036 | —0.025|438 20 | 1.1 1.1 | | — 0.0042 | — 0.005 2.9 2.2| 0.052 | 264.5 365 | 11 17 1.0 |44 418 | 4.32 | —- 0.0006 | —0:022 | 434 — | 0.9 0.6 | | | 4.33 | + 0.0025 | —0.027|437 — 1.1 1.1 | | | | +,0.0011 — 0.025 | 19209] u ET TI | | I I ta = — 0.0007.5 à 43°. N:o 1. ^ 16 126 RAGNAR.FURUHJELM. 367 | 368 | 369 | 8.5 9.4 8.5 e 1900.0 JEn mas TO SI Tas 34.79 34.92 35.95 19 10.54 20.94 23.39 49.57 54.60 204 | 46 33 44 45 55.9 44 55 41.2 4l 417.7 41 412.8 45 33 40.33 91.9 | 40 33 41 bo b2 D CL 41 10 42 18 40 25 39 53 39 16 40 45 43.15 3.6 45 31 11.1 5.0 (EE sg 2 us | | > e. | 4.31 | 4- 0.0034 | — 0.025 4- 0.0048 | — 0.034 | + 0.0041 | — 0.029 | 4.31 | + 0.0037 | —0.107 4.30 | + 0.0062 | — 0.102 + 0.0047 | — 0.105 3.79 | + 0.0009 | — 0.085 | | 3.64 | — 0.0002 | — 0.084 | + 0.0004 | — 0.085 3.19 | + 0.0030 | — 0.075 | 3.64 | + 0.0022 | — 0.079 | 4: | + 0.0026 | — 0.076 [4.28 | — 0.0068 | — 0.014 | | — 0.0041 | — 0.025 | — 0.0055 | — 0.019 | 4.31 | — 0.0067 | — 0.160 | — 0.0048 | — 0.161 — 0.0058 | — 0.160 4.35 | — 0.0029 | — 0.007 | — 0.0027 | + 0.007 | — 0.0028 0.000 | | 4.35 | — 0.0029 | — 0.007 | — 0.0033.| 0.000. 4 — 0.0031 | — 0.003 | 3.88 | — 0.0109 | — 0.097 3.68 | — 0.0119 | — 0.148 — 0.0115 | — 0.106 — 0.0114 | — 0.106 3.28 | — 0.0067 | — 0.004 4.35 | + 0.0030 | + 0.018 4 0.0040 | + 0.005 + 0.0035 | + 0.011 3.87 | — 0.0051 | +.0.053 3.84 | — 0.0031 | + 0.048 | — 0.0039 | + 0.050 4.35 | + 0.0053 | — 0.005 | 4 4.35 | + 0.0012 | — 0.044 | 4.06 | — 0.0069 | — 0.014 3.97 | — 0.0053 | — 0.035 | — 0.0050 | — 0.044 | — 0.0056 | — 0.031 4.32 | + 0.0039 | — 0.014 | 4.30 | + 0.0076 | + 0.016 | | + 0.0027 | + 0.009 + 0.0051 | + 0.004 4.98 | = 0.0069 | + 0.012 — 0.0048 | — 0.038 — 0.0056 | — 0.017 4.28 | — 0.0089 | + 0.046 | A Wa = — 0.0007.5 à 43°. = [IG] = LR NOHS NO HO R h k H © à M Oo Hi 1 © II 00 QS H- EB O1 R KN Go F3 00 m. | Poids CATA 1.0 SShMONRNHOS NH À h © © HN H EH ù H 00 PM © RO © À hi © © NO ND © RH © À Hi m(abs.) BR | 0.045 | 130 0.113 | 158.2 0.085 | 182.7 0.079 |. 163.9 0.069 | 253.9 0.175 | 203.6 0.040 | 270 0.043 | 266 0.173 | 232.3 0.084 267.8 0.033 | 70 0.073 | 313.3 0.0531 95.4 0.044 | 172 0.078 | 246.7 0.048| 85 | 0.069 | 255.8 | 0.109 | 294.9 Tom. XLVIII. EN (ee - Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 1 [23 Ó E | Région ; | | sign Gr. 1900.0 | — 1900.0 1 | 4900 | 1909 [9| ^" ie | BR. BEA | Poids | em IA M RR mE es Rom vg Maka ^ " | | o | 384 | 8.8 11021 25.06 | 41 13 53.8 4.33 | — 0.0010 | — 0.149 | 436 Ne | | | | — 0.0022 | —0.172|439 23| 1.1 1.1 | | — 0.0016 | — 0.160 | 2.2.2:2| 0:162: | 189.2) A be 0.0009 | — 0.042 440 19) 1.1 1.1 à 0.0013 | — 0.048 2.2.2.2| 0.048 | 173 386 | 5.0. 32.83- 42 6 44.4 | 4.33 | — 0.0044 | — 0.099 | 436 72) 1.1 1.1 | — 0.0037 | — 0.088 | 440 20 0.7 0.6 | 209.2 | — 0.0051 | — 0.152 | 440 43 | — 0.0065 | — 0.103 | 403 |. 9.7 13.20 | 42 39 35.6 | 4.33 | — 0.0124 | — 0.069 | 436 97 | | — 0.0136 | — 0.052 | 440. 47 | — 0.0130 | — 0.060 404 | 8.9 13.54 | 44 31 24.2 4.32 | — 0.0029 | + 0.017437 75 | | — 0.0036 | — 0.020 | 441 35 =—0.0032 | — 0.002 405 | 9.0 23.28 | 40 15 50.7 | 4.33 | + 0.0083 | — 0.070 | 435 102 | + 0.0017 | — 0.107 439 54| | + 0.0050 | — 0.088 A wa = — 0.0007.5 à 43°. 0.151 do c6 NN 0.163 | 248.5 | 0.043 | 267 1 1 2 385 | 10.6 30.09 | 42 42 15.6 | 4.33 ni 0017 | — 0.054 |436 71 1 1 2 1 | il | 2 ff) 0041 — 0.095 1.8 1.7| 0.109 387) 9.4 34.79 | 46 21° 21.5 | 4.28 |.— 0.0072. |-— 0.029 | 438 58| 1.1 1.1\ 0.087 | 250.5 | 388 | 6.8 42.59 | 39 50 33.1 4:35 | — 0 pis —10:033:| 435 7191 171 1:1'1|--0:100. | 250.7 | 389| 9.3. 45.61 | 43.28 10.4 | 4:33 | — 0.0164 | + 0.027 | 437.62 1.1 1.1 | | | | | — 70.0172 | 4-0.025 | 440 24!'1.1 1.1 | | | ETT a + 0.026 | 2.2-2:2| 0:194.| 277.7 | 390| 10.3 50.16 | 39 42 18.5 | 4.35 | + 0.0035 | — 0.005 | 435. 82| 1.1 1.1| 0.032 99 | 391| 8.8| 22 6.30 | 39 3045.4 | 4.35 +0. 0024 —0.015| 435. 83 1.1 1.1| 0.024 | 128 392 | 9.2 21.79 | 39 43 53.2 | 4.35 | — 0.0001 | + 0.095| 435 91| 1.1 1.1| 0.096 | 354.0 393 | 8.8 27.80.) 40 43 18.3 | 4.33 | + 0.0043 | — 0.051 | 435 85| 1.1 1.1 | | + 0.0013 | — 0.059 | 439 37 | 1.1 1.1 | | + 0.0028 | — 0.055 | 12.2.2.2| 0.060: |- 156.4 | 394| 9.8 27.84 | 40 43 26.7 | 4.33 | + 0.0050 | — 0.037 | 435 86 1.1 1.1 | -- 0.0006 | — 0.058 | 439 38 1.1 1.1 | | + 0.0028 | — 0.048 | 22220 0:05 SES RED 395. | 11:2 28:65 | 43 16 47.8 | 4:33. | + 0.0048 | —0.029| 437 73| 1.1 1.1 | + 0.0028 | — 0.047 | 440 30 1.1 1.1 | | + 0.0038 | — 0.038 2.22229120:0502) 2139322 396 | 9.2 31.99. 4316 4.4 | 433 | —0.0020 | — 0.011 | 437-72 1.1 11 — 0.0020 | —0.014|440 31| 1.1 1.1 | — 0.0020 | — 0.012 2.9.2.9| 0.032 | 248 397 | 10.9 39.19 | 40 4 15.9 | 4.35 | + 0. ud — 01018. 435 95 | 2.7 171 0:052- | 108.42) 398| 9.7 b1:55.|.45 5751.6. | 4.28 | — 0:0077 | -E-0:025.| 438. -67 | 1.1 1.1 | 0} (076 +0.073|441 25| 0.7 0.4 : | — 0.0074 | + 0.038 | 1.8 1.5| 0.093 | 294.1 399 | 10.7 56.34 | 46 : 26 48.4 | 4.28 | — 0.0161 | — 0.059. .438- 66| 1.1 1.1| 0.184 | 251.3 400 | 10.3 | 23 0.05| 40 2306:3| 4.35 | + 0.0044 | — 0.016 435 96| 1.1 1.1| 0.046 | 110 401 | 10.8 3.55 43 39 8:4 | 4.33 SONT LA | — 0.0025 | — 0.055 |440 39| 1.1 1.1 | | — 0.0023 | — 0.054 | 2:222:2 10000637 Se 21184 4062| 9.3 1.04| 41.58 32.8 | 4.33 | — 0.0070 | — 0.096 | 436 99| 1.1 1.1 | 4.34 | — 0.0070 | — 0.095 | 439 42| 0.7 0.3 | 0.6 0.2 2 6 1 1 T: 1 p 2 3l. i 1 1 1 1 ils 1 DVPRNVAERRE HO OH DA ER KN VvhhvhHyvHER 0.101 N:o 1. : A 128 RAGNAR FURUHJELM. | WS a | d | E | Région : Moro cse cr m EN e ESO Ma, N BAT Stc d. den an P homo s | E | 7 | 1 | o | 406 8.8 1023 43.3 32 | 43 51 16.5 | 4.33 | — 0.0054 | — 0.120 437 89 11 11 | FÖRR | — 0.0066 | — 0.143 440 50 1.1 1.0 | | | | — 0.0060 | — 0.131 2.2 2.1| 0.150 | 209.5 | | 407| 8.8 53.96 | 45 38 28.8 | 4.29 | — 0.0075 | — 0.009 | 438 76 | 1.1 1.1 | | — 0.0130 | + 0.016 |441 38) 1.1 1.1 | —0.0104 | — 0.041 | 445 4| 0.2 0.3 | | | — 0.0103 | — 0.002 | | 2:4 2.5| 0.115 | 269.0 | 408) 6.6 55.08 | 46 21 51.8 4.28 | — 0.0079 | — 0.029 438 74 | 1.1 1.1 | | | — 0.0062 | — 0.050 | 445 2| 02 0.4 | | | — 0.0076 | — 0.035 1.3 1.5| 0.094 | 248.1 | 409 | 4.7| 2416.40 | 39 26 13.6 | 4.35 | + 0.0033 | + 0.010 435 111 0.8 1.0| 0.032 | 72 410 | 9.7 18.38 | 42 14 36.6 | 4.32 | — 0.0006 | — 0.064 | 436 102 | 1.0 1.1 | | | | — 0.0002 | — 0.061 440 54 1.1 1.1 | | — 0.0041 | — 0.017 443 11 0.2 0.5 | | | | | — 0.0007 | — 0.054 2,3 2.7| 0.056 |. 195.5.) , List, 19:6 20.45 | 42 10 27.2 | 4.32 | — 0.0018 | + 0.014 436 103 | 1.0 1.1 | | — 0.0019 | + 0.029 | 440 55 | 1.1 1.0 | | — 0.0049 | + 0.070 | 443 2 0.3 0.6 |o t3 | | — 0.0022 | + 0.032 Qi 227718 0:04067 (oro ES 412 | 8.5 | 22.58 | 40 28 17.0 | 4.32 | + 0.0110 | — 0.050 | 435 110 | 0.9° 1.0 | | | | + 0.0037 | — 0.065 439 61 1.1 1.1 | | | | 4-0.0034 | — 0.062 | 442 2| 0.1 0.2 | | | | + 0.0068 | — 0.058 | 2.1.2.3 0:091 |: 12992 413 | 10.9 58.16 | 40 23 11.0 | 4.31 i 0.0056 | — 0.143 435 — 0.4 0.9 x | — 0.0013 |— 0.154 439 69 111.1 | | — 0.0019 | — 0.178 | 442 6| 0:4 0.9 | | 0.0000 | — 0.158 l-2:9:2:9 | 0.158 | 182.9.) 414 | 9.4| 25 8.34|42 737.3 | 4.32 | — 0.0012 | — 0.148 | 436 107 | 0.6 1.0 | — 0.0016 — 0.162 | 440 67 | 1.1 1.0 | — 0.0017 | — 0.095 |443 6/1.01.1 | | — 0.0015 | — 0.134 | 1:2:73.1| 0:236) 190085 115| 9.6 14.48 | 43 26 27.2 | 4.32 | — 0.0103 | — 0.051 | 437 103 | 0.5 0.7 | | | | — 0.0042 | — 0.057 | 440 62| 11 11 | | | | — 0.0039 | — 0.041 444 10 0.7 0.9 | | — 0.0054 | — 0.050 | 2.3 2.7| 0.084 | 233.3 | 416 | 84 | 15.24 | 40 56 53.8 | 4.31 | + 0.0092 | — 0.053 | 435 117 | 0.2 0.2 | | | + 0.0042 | + 0.018 436 | 0.1 0.1 | + 0:0031 | — 0.026 | 439 66 | 1.1 1.1 + 0.0046 | — 0.006 442 "8 0.2 0.2 : | + 0:0042 | — 0.110 443 7| 01 01 | | + 0.0041 | — 0.029 1.7 1.7. 0:049... 127 aT Rep m 19.4 |3935 3 |4.31 | — 0.0149 — 0.130 442 — 0.6 1.0| 0.222 | 234.2 | | 418| 9.1| 22.00 44 6 20.4 4.30 | — 0.0037 | + 0.030 441 64 | 1.1 0.8 | | — 0.0017 | —0.008 | 444 18| 1.0 1.1 | | | | — 0.0027 | + 0.008 | 2.1 1.91 0.088 | 282 | | 419| 8.7 24.59 4448 4.7 | 4.31 | + 0.0023 | + 0.020 |437 97 0.3 0.3 | | | + 0.0041 | — 0.074 |441 68 1.1 1.1 | | | + 0.0064 | — 0.015 | 444 14! 0.4 0.4 | | | | + 0.0043 | — 0.045 11.3 L8| 0.059 | 139.8 | | | | | | | Aux = — 0:00075 "à 48% , Tom, XLVIL, Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 129 [14 Ó E i | Région À * | | 5 nina > : > N gap 49000 ee à Ma Wa epo | Poids. | alabs) | F bim 8 Dr 2 5 ” | | , | o 420 | 8.8 10 25 29.35 | 46 3 23.2 | 4.28 | — 0.0553 | — 0.584 | 438 81 | 0. .0 — 0.0585 | — 0.580 | 441 65! 0. 2 ni | —0.0543 | — 0.607 | 445 8 | | | — 0.0557 | — 0.595 | 421 | 10.3 | 43.80 | 4422 9.6) 4.31 | —0.0204 | — 0.039 | 437 106 | | — 0.0170 | + 0.023 | 441 69 0.837 | 224.7 ec E BO | | — 0.0133 | — 0.060 | 444 15| | — 0.0156 | — 0.022 | 7| 0.177 | 262.9 Qo 422 | 9.7 | 26 51.52 | 43 53 30.5 | 4.31 | + 0.0016 | — 0.042 | 440 79 | + 0.0026 | — 0.022 | 444 28 | + 0.0021 | — 0.030 0.034 154 493) 10.1 48.11 | 40 30 26.7 Hure | 4.31 | — 0.0035 | — 0.001] 439 94 | 0.048 | 269 494| 9.6 50.26 | 41 13 57.2 | 4.31 | — 0.0075 | —0.029| 439 93 | —0:0077 |.— 0.029 443. 17 0 | | | | — 0.0076 | — 0.029 | 0.097 | 252.7 | | 495.| 9.6 | 51.11 | 41 33 13.3 | 4.31 | + 0.0048 | —0.025 | 439 891 + 0.0061 | —0.010| 443 26| + 0.0054 | — 0.018 0.056 : 108.8 | 426 | 9.8 58:22 |40 8 40:4 | 4.31 | + 0.0035 | -- 0.024 | 439 95 | 0.040 53 | | 427 | 10.7 | 59.16 | 44 44 42.6 | 4.30 | + 0.0032 | — 0.065 | 441 82 + 0.0040 | + 0.028 | 444 32) + 0.0036 | — 0.018 | 0.035 | 121 — 0.0040 | — 0.050 | 441 83 | — 0.0048 | — 0.017 | 444 33 — 0.0044 | — 0.034 | 4281 9.4| 27 4.32 | 44 36 21.2 | 4.30 0.065 | 2. 0.042.| 197 0.034 | | hhhvkkvhkbkowkhks 429 | 10.9 7.57 | 39 57 3.4 | 4.31 | — 0.0004 | — 0.040 | 442 33) | 430 | 9.6 | 16.74) 4226 7.7 | 4.31 | + 0.0012 | — 0.032 | 440 98 | + 0.0043 | — 0.021 | 443 28 + 0.0028 | — 0.026 — 0.0042 | + 0.031 | 439 100 — 0.0018 | + 0.012 | 442 31 | — 0.0030 | + 0.022 | 432 | 4.0, 24.13 | 40 56 25.1 | 4.31 | — 0.0131 | — 0.015 | 439. 97 ET Pei D Sr ESO ESOS; ST EHE) LEN, Er NS pr OC CL CS om nl rer CS] Sr CH Ed fei c NS pd m bad S 431 | 10.4 | 16.91 | 40 18 57.5 | 4.31 0.047 | 298 — 0.0114 | + 0.014 | 442 38 — 0.0124 | — 0.006 + 0.0054 | — 0.062 | 440 96 | + 0.0054 | — 0.066 | 444 45) + 0.0054 | — 0.064 — 0.0049 | + 0.001 | 439 107 — 0.0057 | — 0.003 | 443 40 | — 0.0053 | — 0.001 — 0.035 | 439 112 — 0.0061 | — 0.050 | 443 54. — 0.0060 | — 0.042 | — 0.0077 | + 0.002 | 440 — — 0.0056 | + 0.001 | 443. 51 — 0.0064 + 0.001 + 0.0032 | — 0.036 | 440 116 | + 0.0055 | — 0.008 | 443 48,1 + 0.0052 | + 0.061 | 447 3| 0.2 + 0.0046 | — 0.010 A ba = — 0.0007.5 à 43°, | 0.149 | 267.7 | 433| 8.5 32.49 | 43 30 49.7 | 4.31 | 0.081 142.0 434 | 10.4 | 28 54.21 | 41 33 46.8 | 4.31 | 0.067 | 269.1 | 435 | 10.6 29 5.90 | 41 27 57.1 | 4.31 | — 0.0058 0.086 240.8 > © e E = e jan = -1 bo + to LR e co Le; — Co JE HI OR OAI NAN R VASE YR WIR b BHK t DOoOHonHosuHHuo HH R SHARE nu m HmHu HH su HmHmu Hmm HosuH-HouH-o- © huvhhvhn vou ser Hd 0.079 | 270.8 | o6 oe [o o © ja m ww HH S en 0.044 | 103 N:o 1, 4 u, = — 0.0007.5 à 43°. 130 RAGNAR FURUHJELM. | | | c | Ó IRE | | Region | : | | | na Gr | 1900.0 1900.0 — 18904- Poeta Be | | Poids guru ir | |a Em NS Oo ENS | 5 ” | | ” o | | 438| 8.8 10 29 24.63 | 45 19 55.2 | 4.29 | — 0.0006 | — 0.055 | 441 109 |.1.1 1.1 | | | | — 0.0042 | — 0.048 | 445. 38| 11 11 | | | | | — 0.0061 | — 0.034 | 448 4|0.4 0.8 | | | — 0.0030 — 0.047 | 2.6 3.0| 0.061 | 220.3 | 439| 9.7 32.41 |.39 2 50.3 | 4.31 | — 0.0076 | — 0.116 442.67 | 1.0 0.5| 0.151 |. 219.9 | | 440 | 6.4 32.83 | 46 10 14.6 | 4.28 | + 0.0024 — 0.033 445 41 11 L1| 0.037| 153 | | 441 | 10.6 34.93 | 46 5 0.9 | 4:28 | — 0:0083 | — 0.070 | 445. 49 | 1.1 1.1| 0.117 | 2333 449 | 10.7 | 30 8.32 | 43.50 28.4 | 4.31 | + 0.0022 | + 0.098 |444 74| 1.1 1.1| 0.099 9.3 443 | 10.4 | 17.69 4031 2:0 | 4.30 | + 0.0014 | — 0.013 | 439 131 | 0.2 0.4 | | | + 0.0036 | — 0.030 442 61 1.1 1.1 | | + 0.0036 | — 0.039 | 446 11| 0.7 0.9 | | | + 0.0034 | — 0.031 2.0 2.4| 0.043 | 136 444 | 10.4 34.68 [45 10 57.3'| 4.28 | — 0.0003 | — 0.214 | 441 1181 0.3 0.8 | | | | —0:0072 | — 0131 445 54| LE 1.0 | | — 0.0084 | — 0.136 448 11| 1.1 1.1 | | — 0.0069 | — 0.156 |2.5 2.9| 0.176 | 2074 | 445 | 9.0 | 44.35 | 43 52 49.0 | 4.60 | + 0.0045 | — 0.031 | 440 127 | 0.1 0.1 | | | | | 4.56. | -+ 0.0084 | — 0.047 444 82|1.1 1.1 | | | + 0.0134 | — 0.028 447 80.5 0.4 | | | + 0.0096 | — 0.041 [14 1.6| 0.104.|. 113.1 | l 446 |. 9.2 | 59.25 | 4410 0.4 | 4:30 | + 0.0019 | — 0.071 444 84| 1.1 1.1 | | —0.0001 — 0.069 | 448 16 0.6 0.5 | | + 0.0012 | — 0.070 | 117 1.6| 0.070 | 175.9 447 | 9.2| 31 8:601 42 38 50.0 | 4.77 | + 0.0042 | — 0.012 |443, 76 | 1.1 1.1 | | + 0.0034 | +0.048 | 447 13|1.0 1.0 | | | + 0.0038 | + 0.017 | 12.1 2.1| 0.038 |: 63 448| 8.7. 10.00 | 42 3859.5 | 4.77 | + 0.0066 | — 0.029 | 443 75 1.1 1.1 | | + 0.0060 | + 0.017 | 447 12|1.0 1.0 | | + 0.0063 | — 0.007 |2.1 2.1| 0.062 ^. 964 449 | 9.5| 31.64|4149 8.7 | 4:30 | — 0.0028: + 0.004 | 443 80| 1.1 1.1 | | | — 0.0038 | — 0.001 | 446 15 0.7 0.7 | | | | — 0.0032 | + 0.002 | |1.8 1.8| 0.044 273 | 450| 9.0 | 12:71 | 43 15 58.6 | 4.77 | — 0.0017 | — 0.085 | 444 88! 1.1 1.1 | | + 0.0008 | — 0.042 | 447 14 | 1.0 1.0 | — 0.0005 | — 0.065 | | 2.1 2.1| 0.066 | 191.3 | 451 | 10.8 | 45.17 | 40 42 45.0 | 4.30 | — 0.0085 | + 0.025 | 442 71 | 1.1 1.1 | | — 0.0075 | + 0.010 | 446 20, 1.1 1.1 | | | — 0.0080 + 0.018 | | 2.2 2.2| 0.101 | 280.3 | 452| 9.8 | 53.07 | 4425 31.8 | 4.29 | + 0.0072 | — 0.005 | 444 87| 1.1 1.1 | | + 0.0055 | + 0.013 | 448 22 1.111 + 0.0064 | + 0.004 | | 2.2 2.21 0.060 | 86.2 | 453. 10.4 | 32. 2.05 |45 2 40.1 | 4.28 | + 0.0013 | + 0.026 | 444 89 | 0.3 0.2 | + 0.0004 | + 0.024 | 445 68) 0.9 0.4 | + 0.0012 | + 0.021 448 18| 11 11 | | + 0.0009 | + 0.022 | | 2.3 1.7 | 0.022 3 | 4545] voee 19.75 | 40 57 24.0 4.30 | — 0.0073 + 0.006 | 442 74 | 0.7 0.4 | | | | — 0.0126 | — 0.111 | 443 93) 0.4 0.2 | | — 0.0075 | — 0.020 | 446 30 1.1 1.1 | | — 0.0084 | — 0.025 | | 2.2 1.7| 0.108 |. 256.6 | | | I Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la N:0 455 459 | 460 | m e An 468 469 | 470 N:o in Gr. | In [44 | 1900.0 — | m sS 10.3 10 32 20.95 | 10.8 9.3 9.4 | m © eo lÉ1e 9.8 | 10.2 | Ó 1900.0 SENS 40 57 8.0 33 29 44 23 17.1 7.92 | 4014 3.3 14.38 | 46 1 56.2 17.78 | 42 18 50.4 | 21.76 | 40 44 21.5 29,85 | 39 48 32.4 34.06 4229 6.9 46.04 | 39 55 31.2 54.42 | 45 11 10.2 34 11.68 | 14.50 28.59 38.49 | 44.99 | 52.90 ki 43 38 49.9 | 39 46 29.2 40 58 35.3 44 59 39.2 42 40 24.8 2 51.7 E I1sgo+| 2 "^ Ae 4.29 | + 0.0027 | — 0.002 + 0.0021 | — 0.006 + 0.0023 | — 0.005 4.29 | — 0.0084 | — 0.004 | — 0.0095 | + 0.014 | — 0.0089 | + 0.005 4.30 | — 0.0111 | —0:124 | — 0.0140 | — 0.134 — 0.0126 | — 0.129 4.28 | — 0.0039 | — 0.105 — 0.0077 | — 0.107 — 0.0051 | — 0.105 4.77 | — 0.0052 | + 0.006 | — 0.0045 | + 0.017 | — 0.0049 | + 0.011 4.29 | — 0.0036 | — 0.079 — 0.0036 | — 0.084 — 0.0036 | — 0.082 4.31 | + 0.0027 | + 0.007 | 4.77 | — 0.0030 | — 0.073 — 0.0028 | — 0.062 — 0.0029 | — 0.068 4.31 |.— 0.0026 | — 0:041 | 4.28 | — 0.0091 | — 0.113 — 0.0083 | — 0.125 — 0.0110 | — 0.083 — 0.0087 | — 0.119 | 4.73 | — 0.0041 | — 0.006 | 4.69 | — 0.0017 | + 0.022 — 0.0057 | — 0.013 — 0.0032 | + 0.004 | 4.31 | + 0.0007 | — 0.026 4.30 | — 0.0133 | — 0.096 — 0.0127 | — 0.096 10:53:15 0.081 — 0.0129 | — 0.094 | 4.28 | + 0.0082 | + 0.037 | + 0.0025 | + 0.050 | + 0.0068 | + 0.037 + 0.0030 | + 0.015 + 0.0038 | — 0.009 + 0.0061 | + 0.035 4.85 | — 0.0002 | + 0.033 | 4.82 | — 0.0014 | + 0.016 | + 0.0004 | + 0.020 — 0.0008 | + 0.022. 4.30 | + 0.0061 | — 0.020 | 4.31 | + 040032 | — 0.044 + 0.0061 | — 0.033 + 0.0046 | — 0.030 Aus —.—0:0007.5 à 43°. Region et N:o 442 ) 446 29 444 448 442 446 445 7 448 - 32 443 447 442 446 442 89 443 113 447 27 451 452 443 119 447 39 450 3 442 105 446 49 449 4 HOUR ER mi 3| 1.0 Poids — = Do M -1 boaoukvhkwek © HO À NW 'A Hmm RS RE Hm Mo 1.0 02 1.0 0.6 LA 2| 0.2 De 0.2 0.2 il 0.1 | 0.1 727, 0.4 1.0 0.3 TITLE 0.6 1.0 0.4 MANS - E hi VDO VANOVA ER Hi ER © HO hi © HG ND DH E 1.0 zone de Helsingfors. u{abs.) 0.0: 20 | 0.104 0.199 0.1: 21) 0.063 0.096 0.024 0.079 | 0.056 0.155 0.042 0.026 | | | | I | 0. 182 0.066 | | 0.028 | 0.054 | P 105 © © Ve] or 210.2 | 280.1 [he] - oM SD Le] 210.5 222.8 220.0 238.9 58.0 132 RAGNAR FURUHJELM. | ur =: mo ES E "i 5 | Région | : NA: Gr. 1900.0 | 4900.0 Ihsso4 u, Be | eo Poids | «(abs.) P |b m s ESA PE s " | 471 | 9.3 1034 58.18 | 46 36 18.6 | 4.28 | + 0.0064 | — 0.041 | 445 | + 0.0060 | — 0.018 452 & + 0.0062 | — 0.030 ED 472 | 9.4 |” 3529.19 | 4432 0.0 | 4:28 | — 0.0003 | + 0.070 | 444 121 0.3 0.6 | + 0.0015 | + 0.094] 448 51 | 1.1: 1.1 —0.0020 | + 0.075 | 451 4/0911 | 0.064 | 118.2 | | — 0.0001 + 0.081 2.3 2.8| 0.082 | 353.0 473 | 10.1 36.26 | 42 17 15.6 | 4.74 | — 0.0066 | — 0.033 | 443 127 | 0.2 0.4 | | | 4.70 | — 0.0075 | — 0.054 447 43| 1.0 1.0 | — 0.0056 | — 0:030 450 - 11 | 1.0 1.1 | | — 0.0066 | — 0.040 | 2.2 2.51 0.090 | 243.7 474 | 8.9 | 41.47 | 40 7 21.5 | 4.30 | — 0.0050 | — 0.037 | 446 61| 1.1 1.0 | | — 0.0044 | — 0.044 | 449 12 1.0 1.1 | — 0.0047 | — 0.041 | [2.1 2.1| 0.074 | 236.1. 475| 9.4 | 51.25 | 44 28 33.0 | 4.28 | — 0.0043 | — 0.034 | 444 124 | 0.2 0.4 | — 0.0031 | — 0.005 |448 52| 1.1 1.1 | — 0:0030 | + 0.016 451 8|11 | | — 0.0032 — 0.001 476 | 8.6| 36 12.48 | 46 22 14.2 | 4.28 | + 0.0013 | — 0.001 | 452 12 471 | 10.2 | 44.13 | 49 38 49.2 | 4.76 | — 0.0141 | — 0.033 | 447 49 450 18 | — 0.0123 | — 0.019 | | — 0.0132 | — 0.026 | 478 | 10.0 | 50.93 | 44 58 37.6 | 4.28 | — 0.0034 | + 0.033 | 448 60 | | — 0.0091 | + 0.010 451 15 | | | — 0.0074 | — 0.002 | 452 17 | | — 0.0063 | + 0.023 | 24 | 40 57 54.0 4.30 | + 0.0005 | + 0.086 446 73 | — 0.0006 | + 0.054 | 449 19 | | + 0.0026 | + 0.065 450 — + 0.0005 | + 0.076 480 | 10.4 55.71 | 45-35 20.2 | 4.28 | + 0.0036 | — 0.088 | 448 62 | + 0.0026 — 0.085 | 452 15 | | + 0.0031 | — 0.086 0.077 | 287.3 479 | 10.1 0.076 | 358.5 | 0.090 | 163.8 481, 10.8 3 SR SS Co TE o FEE SE HR Ra Ra Ra wo L2 B2 9 BO Hd» RA 92 00 00 ER MOREM OR SH 0.043 | 269 | 0.005 | 101 0.156 | 260.4 SER EEE ES ES ES EOS I ST DS to EA LA to FL wo OitmiLBAS9imr--LnrkkRiBRibrH:ttUSoiBicoBdí|rBÀíBGOrmx 7 24.95 | 42 10 11.1 | 4.28 | + 0.0062 — 0.006 | 450 28 0.061 95.6 482 6.3| 40.60 46 43 46.0 | 4.28 | — 0.0250 | — 0.060 452 22 0.972 | 257.3. 483 | 10.1 47.30 | 3916 6.5 | 4.32 | — 0.0011| — 0.053 | 449 23 0.057 | ‘201.6 484 | 10.6 50.86 | 40 5 3.8 | 4.31 | + 0.0014 | + 0.003 | 446 : 82 3 | + 0.0047 | — 0.035 | 449 29 1.1 | + 0.0034 | — 0.025 | 1.5| 0.040 129 485 | 10.3 54.93 | 40 30 49.4 4.30 | + 0.0029 | + 0.011 | 446 81 1.1 | + 0.0056 | — 0.009 449 28 dt | | | + 0.0042 | + 0.001 | 2.21 0.040 | 89 486 | 8.0. 59.51 | 42 53 54.3 4.78 | —0.0052 | — 0.029 |447 53 1.0 | 4.88 | — 0.0025 | + 0.001 | 450 29 0.7 | — 0.0038 | — 0.017 1.7| 0.053 | 251.2 487 | 9.6| 38 2.09|45 958.7 | 4.28 | + 0.0075 | — 0.052 | 448 68 1.1 | | | + 0.0054 | — 0.058 |452 23 1.0 + 0.0064 | — 0.055 | 3.21 0:081. |" 1883| 488 | 9.5 3.64 | 40 42 5.5 | 4.30 | — 0.0057 | + 0.040 | 446 89 UE | | — 0.0055 | + 0.007 | 449 27 11 — 0.0056 | + 0.024 | 2.21 0.076 | 288.4 | À ua, = —0.0007.5 à 43°. Tom, XLVIII. 38.33 | 42 23 17.6 x o ^" | 46 48 26.8 | 4.28 46 43 56.8 | 4.28 | 4.30 4.67 4.65 4.41 4.40 du. = 1890-1 Recherches sur les mouvements propres dans la s + 0.0009 | — 0.147 — 0.0244 | — 0.057 | — 0.0099 | + 0.013 — 0.0112 | + 0.003 — 0.0106 | + 0.008 + 0.0028 | + 0.027 + 0.0002 | — 0.018 + 0.0014 | + 0.008 + 0.0015 | — 0.055 + 0.0039 | — 0.057 + 0.0003 | — 0.029 + 0.0025 | — 0.050 | 1446 105 — 0.0090 | — 0.091 | 449 — 0.0111 | — 0.032 zone de | Region | et N:o — 0.0126 | —.0.074 | 453 — 0.0098 | — 0.075 — 0.0018. + 0.096 — 0.0108 | — 0.014 — 0.0074 | + 0.023 — 40.0087 | + 0.035 — 0.0085 + 0.015 — 0:0072 | — 0:107 — 0.0059 | — 0.072 — 0.0032 | — 0.090 — 0:0072. | — 0.050 — 0.0058 | — 0.078 — 0.0001 — 0.005 — 0.0016 — 0.018 — 0.0005 | — 0.036 | — 0.0013 | — 0.020 — 0.0002 |: + 0.017 — 0.0048 —- 0.003 — 0.0034 | + 0.020 |. — 0.0054 | + 0.017 — 0.0039 | + 0.015 + 0.0069 | — 0.095 + 0.0087 | — 0.139 + 0.0086 | — 0.105 + 0.0005 | — 0.149 — 0.0010 | — 0.162 — 0.0038 | — 0.140 | — 0.0014 | —0.153. + 0.0076 | — 0.012 + 0.0056 | + 0.005 — 0.0009 | — 0.011 0.0035 — 0.006 — 0.0153 | — 0.033 + 0.0084 | — 0.115 | 449 447 450 454 447 — 0.0097 | — 0.015 450 — 0.0097 | + 0.005 | — 0.0105 | — 0.010 — 0.0007.5 à 43°. 454 40 5 44 63 Poids CS VERRE KN HO VO HO NH el dd Få kel Ku ky Sur Dh CG © He 1.0 Helsingfors. ulabs.) 0.147 0.264 0.128 0.012 0.055 0.141 0.100 0.105 0.106 0.032 0.051 0.144 0.155 0.030 159.2 238.0 343.2 278.4 287.0 188.6 102 Ra 00 ii Do M Hi 0 M HR BN 134 RAGNAR FURUHJELM. | | e d | E Région | | Ads Gr: 1900.0 1900.0 18904] | "* | "5 | et No | | Huc | ces TA | 8 | " | | 504 | 7.4 1040 41.43 | 44 37 47.9 | 4.66 | — 0.0083 | + 0.004 | 448 82 | — 0.0128 | — 0.015 | 451 32 — 0.0157 | + 0.002 | 455- 6 | — 0.0137 | — 0.005 505 | 10.1 | 47.72 | 40 17 12.9 | 4.31 | — 0.0016 | + 0.020 | 449 51 — 0.0020 | + 0.037 | 453 21 — 0.0017 | + 0.027 | 506 | 9.0 59.93 | 41 21 47.0 | 4.28 | + 0.0059 | — 0.017 450 62 | | + 0.0059 | — 0.007 | 453 25 | + 0.0059 | — 0:012 | | 507 | 10.1 41 0.84 40 256.1 | 4.31 | + 0.0060 | — 0.010 | 449 55 | | + 0.0080 | + 0.031 453 23 | | | + 0.0065 | — 0.001. | 508 | 10.0 5.08 | 43 3 56.0 | 4.32 | — 0.0063 | — 0.060 451 43 | | | 4.33 | — 0.0084 | — 0.039 454 15 | | — 0.0074 | — 0.047 | 509 | 10.4 15.22 | 42.29 30.4 | 4.31 | + 0.0052 | — 0.044 | 450 60 | + 0.0039 | — 0.032 | 454 16 | -- 0.0046 | — 0.038 510| 9.8 18.19 | 40 40 41.0 | 4.30 | — 0.0025 | + 0.009 | 449. 5 | | — 0.0028 | + 0.033 | 453 2 | — 0.0026 | + 0.021 511| 9.6 31.25 | 45 58 9.9 | 4.55 | + 0.0052 | — 0.186 | 452 57 | | 4.50 | + 0.0055 | — 0.172 | 455 13 | | + 0.0053 | — 0.183 syll eter 35.91 | 42 50 36.7 | 4.31 | + 0.0063 | — 0.033 | 450 64 + 0.0051 | — 0.012 454 19 | + 0.0057 | — 0.022 | 513 | 10.5 53.72 | 41 17 11.3 | 4.28 | — 0.0053 | — 0.014 | 450 71 | | — 0.0044 | — 0.006 | 453 38 | — 0.0048 | — 0.010 | 514| 9.6 | 58.26 | 46 54 14.6 | 4.28 | 4 0.0062 | + 0.006 452 59 | 515 10.2. 49 38.47 | 42 30 19.9 | 4.31 | — 0.0052 | + 0.066 | 450 7 | — 0.0058 | + 0.087 | 454 26 | — 0.0055 | + 0.076 | 516 | 10.6 40.61 | 40 29 38.2 | 4.30 | — 0.0025 | + 0.023 | 449 68 | | | — 0.0048 | + 0.018 453 45| | | — 0.0036 | + 0.020 517 | 10.1 46.85 | 44 3148.1, 4.76 | — 0.0027 | — 0.082 | 451 55 — 0.0014 | — 0.088 | 455 18 | — 0.0021. —.0.085 518 | 9.0 59.10 | 46 18 52.5 | 4.28 | — 0.0068 | — 0.040 | 452 66 | 519 | 9.6 | 43 7.13 | 46 5117.2 4.28 | + 0.0018 | + 0.033 452 63 520 | 7.5 9.21 | 44 27 25.9 | 4.76 | — 0.0020 | — 0.058 | 451 56 | — 0.0032 | — 0.065 | 455 22 | ipe — 0.0026 | — 0.061 | | 521 | 10.6 | 14.51 | 43 25 56.3 | 4.31 | + 0.0065 | — 0.062 | 450 61 + 0.0055 | — 0.029 454 36 + 0.0060 | — 0.046 | | Au, = —0.0007.5 à 43°. RENE RE EEE SE ec s EE EISEN ENS ER] Er Se ND © ee qe —— — znv—— wvHrHmHnoHurHro Jesi e. Ra € Roto E LA Qo FE E RS Co ti feo Ser ES sete) eo e o y de Lo deesse Td tem EBMOHuEMMOB.GLBHB(UAGBRH-uduHBH CO» M UO» LH HO S HS oh hHhkvhhos mu 2.1 0.154 0.039 | 0.059 | 0.067 | 0.101. | 0.057 | 0.043 | 0.189 0.059 | | 0.063 | 0.056 | 0.103 | 0.054 | 0.090 | 0.088 | 0.034 0.070 | 0.073 101.7 | 90.9 Tom. XLVII. Recherches sur les mouvements propres dans la | HR | ud IT E 0| 77 | 49000 | 19000 [18904 | JO IS | | 522 | 9.3 1043 27.25 | 44 43 17.1 | 4.78 523 | 9.5 37.12 | 46 022.0 | 4.28 | I 524| 7.2 41.72 | 41 55 7.6| 4.28 | | | | 525 | 9.2 55.37 | 46 21 34.6 | 4.29 I I 526 | 9.4| 44 3.271|4557 19.2 | 4.68 | 4.49 527 | 10.0 31.25 | 43 58 18.2 | 4.48 | 4.38 528 | 8.6. 32.88 | 43 32 47.7 | 4.31 | | | | | 529 | 10.4 35.42 4136422 4.20 | 530, 9.9 36.90 | 46 022.8 4.57 | | | 4.41 | | | | 531|10.8| 44 44.66 | 3947 7.6 4.29 | 532 | 10.1 49.46 | 45 58 45.5 | 4.59 | | | 4.41 | DUM | 533 | 10.6 | 45 6.17 3936 53.4 | 4.29” 534 | 9.5 19.57 | 42 329.8 | 4.31 | 4.30 535 | 10.2 | 29.62 | 40 33 54.9 4.29 l | 4 Ua = — N:o 1. e zone de | Région Ua us os Co Se ee le hus N: 5; —141.0033 | — 0. 017 | 45 59 — 0.0041 | — 0.023 455 25 — 0.0037 | — 0.020 — 0.0065 | — 0.002 | 452 70 — 0.0076 | —0.004,455 - — 0.0069 | — 0.002 | — 0.0054 | — 0.015 | 450 90! -0.0026 | — 0.030 | 453 54 — 0.0041 | — 0:021 | + 0.0065 | — 0. 034|452 73 0.0059 — 0.033 459 4 0.0064 |.— 0.034 | — 0.0019 | + 0.012 | 452 75. — 0.0019 | —0.014|455 27 — 0.0043 | — 0.047 | 459 5| — 0.0022 | — 0.010 | — 0.0047 | + 0.004 | 451 66 — 0.0062 | + 0.018 | 454 44 — 0.0049 | + 0.033 | 455 35 — 0.0038 | + 0.008|458 5 — 0.0051 | + 0.010 + 0.0038 | — 0.036 | 451 68 + 0.0019 | — 0.014 454 45 | + 0.0003 | — 0.003458 7 -- 0.0023 | — 0.020 | — 0.0100 | — 0.019 | 450 100 — 0.0078 | — 0.033 | 453 62 | 0.0116 | + 0.027 1457 3 — 0.0092 | — 0.013 | | — 0.0056 | + 0.030 452 76 — 0.0012 | — 0.002 | 455 29 | — 0.0041 | + 0.008 | 459 6, — 0.0040 | + 0.016 — 0.0054 | — 0.008 | 456 + 0.0048 | + 0.005 | 452 82 + 0.0041 — 0.047 455 30 + 0.0063 | — 0.005 | 459 12. + 0.0051 | — 0.007 | + 0.0022 | — 0.009 | 449 — + 0.0018 | + 0.046 456 2 + 0.0020 | + 0.022 — 0.0007 | — 0.048 | 450 104 + 0.0023 — 0.065 453 69! — 0.0014 | —0.001| 454 48| — 0.0019. — 0.022 | 457 12 — 0.0009 — 0.028 — 0.0037 | — 0.043 | 449 — — 0.0014 | — 0.040 | 453 77 — 0.0036 | — 0.021 | 456 6 — 0.0024 | — 0.034 0.0007.5 à 43°. Helsingfors. Poids 0.052 1.4| 0.079 1.1 0.8 1.9| 0.057 | T1 0.6 1.7| 0.067 1.1 3 0.6 4 0.034 | T | 9 0.4 5 0.2 0.9 2.61 0.064 . ulabs.) ion mi HS OS © Hmm HSoo S c © [ov HA & Nk ky © Ha KNOHKHNOÖKHNDNDERHA e ct FP uc NS NS 0.026 0.111 0.052 0.071 | 0.045 0.027 c d20c00-ocom|AÓAuwu| ———————————————————— 0.033 er MS. to 00 hunh 0.049 D e oc or 279.0 141 263.3 | 282. 1| 263.5 99 30 RAGNAR FURUHJELM. = Ver a | Ô E Région | Nu erudire 1900.0 48904| — "^ Hd t| op NEN. Poids | w(abs.) oup 0.070 | 136.7 545 | 7.2 47 1.71 | 40 42 13.0 | 4.29 | — 0.0054 | —0.061 453 95 | 1.1 1.1 | — 0.0067 | — 0.051 |456 25, 1.1 1.1 | ne mE Ss CE x & E FA 536 | 8.4 1045 37.75 | 42 5 51.9 | 4.32 | — 0.0011"| — 0.025 | 450 107 | 0.2 0.4 | | 4.31 | — 0.0012 + 0:009| 454 54| 1.1 0.8 — 0.0005 | + 0.017] 457 19 11 1.1 — 0.0009 | + 0.007 2.4 2.3| 0.019 | 291 537 | 10.2 41.97 | 39 948.4 | 4.29 | — 0.0036 | + 0.084| 456 15| 0.4 0.4| 0.060 | 304.2 538| 8.9 46.93 | 4325 2.4 | 4.32 | — 0.0072 —0.028| 451 72| 0.2 0.2 | — 0.0062 — 0.004 | 454 50 1.1 1.1 — 0.0065 | — 0.010 457 12| 0.9 1.0 2 — 0.0064 | — 0.009 2.2 2.3| 0.079 | 263.4 | 539| 8.6| 4615.32 | 4038 25.4 | 4.29 | — 0.0053 | — 0.007 | 453 80 1.1 1-1 | — 0.0058 — 0.022 | 456 18/ 1.0 1.0 — 0.0055 | — 0.014 3.1 2.1| —0:072-| 2588 540 | 9.8 26.11 4526 1.5 | 4.77 | + 0.0018 | — 0.106 | 455 50| 1.0 1.0 | + 0.0010 — 0.152| 459 31/1111 + 0:0014 | — 0.130 257.72]; 3051:20 ANAL ET 541 | 10.4 28.94 | 4112 28.3 | 4.29 | — 0.0027 | —0.018|.453. 84 | 11 1.1 — 0.0025 | —0.013| 457 30 0.8 0.8 — 0.0026 | — 0.016 1.9 1.9| 0.040 | 247. 549 | 8.3 | 4644.66 4549 6.9 4.77 | — 0.0055 | — 0.056 | 455 53| 1.0.0.9 4.74 | — 0.0040 |-— 0.078 | 459 35| 1111 | | — 0.0047 | — 0.068 | 2.1 2.0| 0.088 | 220.0 543 | 10.1 49.91 | 44 226.7 4.29 | — 0.0050 | — 0.025 | 454 —| 0.5 0.3 — 0.0015 | —0.083| 455 — | 0.8 0.4 | — 0.0055 | — 0.030 | 458 27|1.1 1.1 | — 0.0041 | — 0:041 2.4 1.8| 0.066 | 231.7 544| 9.2 | 57.59 | 39 45 46.1 4.29 | + 0.0049 | — 0.051 | 456 291 1.1 1.1 — 0.0060 | — 0.056 | 2.9.2.9.]--.0:094'| 233.6 546 | 9.5 8.99 4537 6.0 4.77 | + 0.0044 | — 0.012 |455 551.0 1.0 > | + 0.0056 | — 0.059 | 459 421 1.1 1.1 | + 0.0050 | — 0.037 | 2.1 2.1| 0.058 | 130.0 547 | 10:4 12.13 | 45 36 30.2 | 4.77 | + 0.0030 | — 0.031 455 54| 1.0 1.0 + 0.0044 | — 0.063 459 41| 1.1 11 | + 0.0037 | — 0.048 12:7 8.1]. 0.057 |- 1472 548 | 11 19.8-| 441632 | 429 | — 0.0060 | + 0:0151453 —1 1.1 1.1|- 0.074 | 281.8 549 8.6 26.92 | 4417 9.5 4.76 | — 0.0084 | — 0.043 455 62| 1.0 1.0 — 0:00731 0.022 45832 TT | | — 0.0078 | — 0.032 2.1 2.1| 0.097 | 250.8 | 550| 9.2 35.20 | 43 29 16.1 4.32 | —0.0040 — 0.045 454 65| 1.1 1.1 | — 0.0023 | — 0.039 458 34 | 1.1 11 | — 0.0032 — 0.042 | 2.2 2:2| 0.059 | 225.0 551, 9.9 45.21 | 44 57 58.5 | 4.74 | — 0.0027 — 0.048 455 64 | 1.0 1.0 4.89 | — 0.0033 | — 0.012 458 36 0.8 0.4 — 0.0098 — 0.039 459 51 0.4 0.2 | — 0.0042. — 0.038 (2.2 1.6| 0.064 233.8 552 | 9.2. 4811.80 3943 4.9 4.29 | + 0.0049 + 0.044 456 33| L1 11| 0.085 47.5 553| 42 13.57 | 43 43 21.4 | 4.32 | + 0.0023 + 0.003 | 454 72 11 1.1 + 0.0042 | + 0.009 |458 45| 1.1 1.1 .| + 0.0032 + 0.006 (2.2 2.21 0.029! 78 | | Au, — -0.0007.5 2 43% Tom. XLVIII. 555 | 9.1 556 | 10.0 | 557 86| | | | | 558 | 9.1 | 559 | 7.0 | | 560! 9.4 | 561 | 7.8 | 562, 9.4 | 563 | 10.7 | | 564 9.1 | | | | | 565 | 8.7 566 9.8 567 | 9.8 | | | 568 8.9 | | | 569 | 11 N:o 1. Recherches sur les mouvements propres X a N:0 | Gr 1900.0 |n m s | 054, 9.4 1048 15.12 21.08 44.74 48.14 52.60 10.42 3| 45 40 d 1900.0 43.46 38.1 43 4 39.0 39 11 40.7 41 52 10.6 | 41 11 55.0 41 59 31.6 mie © © -1 t2 -— 21H Qt © b 43 040.9 39 0 50.9 5.2 41 58 41.1 | | — 0.0082 | SU Or KW 9» - LR E 18904 ! 4.32 | — 0.0023 0.0018 — 0.0020 — 0.0170 — 0.0177 — 0.0005 — 0.0069 | — 0.0039 | ) .99 | — 0.0032 — 0.0040 | — 0.0064 — 0.0059 — 0.0078 — 0.0072 — 0.0074 — 0.0064 — 0.0069 — 0.0041 — 0.0009 — 0.0049 — 0.0028 | — 0.0016 | — 0.0063 — 0.0033 — 0.0052 — 0.0040 — 0.0042 | + 0.0059 + 0.0069 + 0.0068 | + 0.0055 | 4- 0.0065 — 0.0164 — 0.0067 — 0.0105 — 0.0066 — 0.0089 — 0.0057 — 0.0070 | — 0.0116 — 0.0092 + 0.0043 du — 0.0191 | — 0.0048 | — 0.0002 | — 0.0038 | — 0.0077 | Région | et N:o | + 0.007 + 0.012 | + 0.010 — 0.033 | — 0.024 — 0.026 — 0.011 4- 0.032 4- 0.012 — 0.006 | — 0.012 | : — 0.008 — 0.077 4- 0.028 4- 0.057 + 0.049 | + 0.017 + 0.019 | + 0.018 | + 0.003 + 0.076 + 0.031 | + 0.031 | + 0.014 + 0.032 + 0.013 | — 0.085 | — 0.035 | — 0.023 4- 0.011 — 0.016 | 4- 0.025 + 0.009 | + 0.019 | + 0.057 4- 0.035 + 0.038 — 0.101 | — 0.083 | — 0.012 | 1-0 098 — 0.095 — 0.010 | — 0.079. — 0.066 | 460 | —0.068 461 10:073 — 0.076 | 456 456 | | 456 457 457 454 457 460 461 459 459 454 458 461 454 457 458 461 456 455 459 462 | | | = — 0.0007.5 à 43°. dans la zone de 71 44 453 107 34 45 | 61 | 453 116 65 | 453 121 86 | 453 110 0. Helsingfors. Poids KURS OGM ni © ES = ni .5 nHoeenoowmpmpumoénwmBHuiHMHLHOtnHH sShhoikbbuhrhäshkt - UE mm © D mi 5 RE O MIR OH © HOOVER NN VOS ER © Huubhmhhohshuw Bee Er MERO fen NER ci qoas cio EEE Er ET SEE | > 0.3 ulabs.) 0.050 0.053 0.112 0.101 0.088 | 0.041 | 0.073 | 0.095 | | 0.056 | 0.128 0.118 0.086 | 137 288 263.0 284 261.3 226.8 299.1 281.8 231.8 | 151. 6| RAGNAR FURUHJELM. 583 584 585 586 587 588 | 10.6 '10 50 27.05 bo An DL EE I | Région | 1900.0 18904] — "7 P$ | et No | o , ” | 8 ” | | 44 49 6.6 | 4.30 | — 0.0043 | — 0.080 | 455 —| | — 0.0068 | — 0.005 | 458 69 — 0.0010 | + 0.034 | 462 19 | — 0.0046 | — 0.025 ' 43 12 52.9 | 4.31 | + 0.0070 | —0.184 454 93| | + 0.0068 — 0.164 | 458 81 + 0.0058 | — 0.132 461 17| | + 0.0064 | — 0.157 32 | 49 32 40.1 | 4.30 | — 0.0009 | — 0.072 | 454 94 | 4.31 | + 0.0039 | — 0.102 | 457. 77 + 0.0000 — 0.086 461 19 | 1.0.0017 | — 0.089 | 40 30 28.4 | 4.30 — 0.0035 | — 0.066 456 64 | — 0.0041 | — 0.053 | 460 14| — 0.0038 | — 0.060 | 46 26 33.9 | 4.30 | —0.0029 | — 0.139 | 459 92 39 48 32.2 | 4.29 | — 0.0059 | — 0.009 | 456 67 41 252.5 | 4.30 | — 0.0069 — 0.100 456 62 —0.0058 | — 0.104 | 457 87 — 0.0076 | — 0.094 | 460 12 — 0.0069 | — 0.097 | | 46 41 35.0 | 4.30 | — 0.0080 | + 0.017 | 459 91| 42 25 36.8 | 4.30 | — 0.0610 | — 0.284 | 457 90, — 0.0621 | — 0.277 | 461 23 030615. 0:987) 41 53 13.0 | 4.30 | — 0.0068 | — 0.076 | 457 93 — 0.0089 | — 0.066 460 11 — 0.0075 | — 0.073 | 42 49 18.9 | 4.30 | + 0.0038 | — 0.034 | 457 88 + 0.0030 | — 0.007 | 461 21 | + 0.0034 | — 0.020 | | 44 98 15.2 | 4.29 | — 0.0058 | + 0.012 | 458 88 + 0.0013 | + 0.012 | 462 28 | — 0.0036 | + 0.012\ 42 18 37.9 | 4.30 | + 0.0038 | + 0.036 | 457 91 + 0.0012 | + 0.052 | 461 24 + 0.0025 | + 0.044 | 49 17 51.2 | 4.31 | + 0.0009 | — 0.004 | 461 25| 46 23 58.5 | 4.30 | — 0.0100 | — 0.049 459 99 4426 3.1| 4.29 | + 0.0011 | + 0.041 | 458 89) + 0.0065 | + 0.040 462 33 4- 0.0028 | + 0.041 |40 057.7 | 4.30 | —0.0012 | — 0.030 456 73 — 0.0024 | — 0.024 460 22 — 0.0015 | — 0.029 45 16 45.3 | 4.30 | + 0.0039 | — 0.007 | 459 107, + 0.0085 | + 0.013 | 462 36, + 0.0053 | + 0.000 | | 42 51 55.5 4.30 | — 0.0002 | — 0.062 457 99, + 0.0009 | —0.040 461 32 + 0.0004 | — 0.049 | 4 a = — 0.0007.5 à 43°. SERA 85 da a ba © À M(abs.) | P 0.062 | 246.3 0.169 | 158.5 0.090 | 172.3 0.079 | 219.9 0.144 | 195.7 0.076 | 263.2 0.129 | 221.3 | 0.092 | 280.7 | 0.745 | 247.8 | 0.117 | 231.6 0.035 | 125 0.048 | 285 0.048 | 24 0.004 | 153 | 0.121 | 2462. 0.047 . 28 0.039 | 222 0.048 90 0.049 185 Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 139 | | & Ó E Région 2 | AS Ps | 1900.0 | 1900.0 4 ae er tend SEE TO | Poids Fes P | | hm Ss I Te > | 8 | " | S 589| 8.8/1105235.15| 3935 8.8 | 4.29 | — 0.0044 | + 0.039 456 82| 1.1 1.1| 0.071 303.5 590 | 9.5 44.48 | 42 656.3 | 4.30 | + 0.0015 ! — 0.006 | 457 106 | 1.1 1.1 + 0.0002 | + 0.007 461 39 0.9 0.8 + 0.0009 | — 0.001 2.0 1.9| 0.009 117 591 9.9 56.31 | 46 41 41.8 | 4.30 | — 0.0009 | + 0.013 459 113 | 1.1 1.1| 0.022 | 306 592| 7.8| 5324.85 -4131 5.9| 4.30 | + 0.0206 | + 0.025 | 457 112 | 1.1 1.1 | | + 0.0197 | + 0.042 | 460 32 | 1.1 1.1 | | + 0.0202 | + 0.034) | 2.2 2.21 0.221 81.1 593 | 10.0 31.61 46 34 16.8 4.30 + 0.0012 | — 0.012 | 459 116 | 1.1 1.1| 0.013 | 162 594| 9.2 | 34.12 | 44 21 13.6 4.29 | — 0.0049 | — 0.006 | 458 104 | 1.1 1.1 | + 0.0026 | + 0.004 | 462 53 0.5.0.5 | | | — 0.0026 | — 0.003 1.6 1.6| 0.035 | 265 595| 5.0 52.33 | 40 57 51.5 | 4.30 | — 0.0282 | + 0.033 456 87| 0.3 0.2 | — 0.0251 | + 0.028 | 457 117 | 0.2 0.2 . | — 0.0288 | + 0.080| 460 35| 1.1 1.1 | | — 0.0282 | + 0.067 | |1.6 1.5| 0.334 | 281.6 | 596 | 9.5. 59.66 | 39 23 33.6 | 4.29 | — 0.0015 | — 0.066 | 456 91, 0.8 0.9| 0.071 | 200.8 0.8 597| 8.6) 54 0.75 | 4241 37.5 | 4.80 | — 0.0076 | — 0.043 | 457 119 | 0.8 | | — 0.0090 | — 0.033 | 461 46 | jg | ? | — 0.0084 | — 0.037 | | TIT OSIOTA 24977 598 | 10.0 | 2.96 | 46 6 18.5 | 4.47 | — 0.0069 | — 0.055 | 459 126 | | 4.63 | —0.0142 | — 0.035 466 2 | — 0.0080 | — 0.049 | 599 | 10.0 | 5.41| 45 41 34.5 | 4.39 | 0.0014 | — 0.133 | 459 127 | | *| 4.47 | + 0.0062 | — 0.039 | 462 56 | — 0.0015 | — 0.088 | 466 3| 4- 0.0026 | — 0.100 | | 600 | 10.1 | 13.40 | 43 42 25.0 | 4.39 | — 0.0124 | — 0.094 | 458 117 | | | 4.46 | — 0.0087 | — 0.097 461 48 — 0.0150 | — 0.076 465 1| | — 0.0109 | — 0.093 601 | 9.4 | 14.96 | 45 19 16.5 | 4.41 | — 0.0070 | — 0.201 | 459 136 [| | 4.40 | —0.0045 | — 0.201 462 58 | — 0.0110 | — 0.231 466 4 | — 0.0067 | — 0.205 602 | 9.4 20.99 | 42 819.2 | 4.30 | — 0.0005 | — 0.019 | 457 120 | — 0.0013 | + 0.002 | 461 52 5 — 0.0080 | — 0.032 464 2. | | — 0.0015 | — 0.013 | 603 | 8.7 26.09 | 41 52 23.4 | 4.30 | — 0.0026 | — 0.031 | 457 125 | — 0.0019 | — 0.030 460 37 | | — 0.0086 | — 0.015 | 464 3 | — 0.0030 | — 0.027 604 30.25 | 46 3 44.4 | 4.64 | + 0.0016 | — 0.058 459 133 | | | | 4.81 | — 0.0025 | — 0.022 466 7 + 0.0003 | — 0.041 | 605| 9.5| 32.39 | 41 39 35.4 | 4.30 | — 0.0018 , — 0.009 | 457 126 | — 0.0009 + 0.012 460 38 | — 0.0080 | + 0.021 464 4 | — 0.0022 | + 0.006 0.104 | 242.0 DSOHSNOHDSHSOVDSHHHNSSOS VD SHH WO SHmMoH RH HuvHmHor Fl [m Co Qo FM © Oy Ot hub IS c6 & bo E. © c bo GU OO Wa bo HH oe 19 x nz II o Er 0.101 170.3 0.157 | 233.8 0.220 | 201.1 Huoocuvuohn FE! ND rt © Cr © E 1.0 0.028 | 242 0.050 | 237 e to 0.041 | 186 0.034 | 280 AI u,--0.0007.5 à 43°. 140 RAGNAR FURUHJELM. | | Se de] a Ó | E | | Region ; | o] Gr. | 600.0 1900.0. |18904| — "^ | fm | MEDIUS I P | | h-:m s BEE, | E a | 3 | 606 | 10.3 1054 34.36 | 40 15 33.4 | 4.30 | — 0.0039 | — 0.003 | 456 94 id | — 0.0006 | + 0.006 | 460 41 1.1 | — 0.0032 | + 0.024, 463 3 0.4 | | | | — 0.0022 | + 0.005 2.61 0.033 279 | 607| 9.2 40.22 | 40 59 49.2 | 4.31 | — 0.0008 — 0.079 | 456. 92| 0.2 0.2 | / — 0.0011 | — 0.067 | 457 127 | 0.2 0.2 | + 0.0006 | — 0.066 | 460 43 1° — 0.0028 | — 0.100 | 463 1 0.1 | | — 0.0049 | — 0.073 464 5 0.1 | | — 0.0003 | — 0.070 122: |. 0:08.10 2 189%. | 608| 5.3 40.68 | 43 27 5.7 | 4.45 | — 0.0104 | — 0.130 | 458 120 | 0.8 0.9 4.55 | — 0.0080 | — 0.129 |461 54|1.1 1.1 | — 0.0107 | — 0.148 | 465. 3 | 0.2 0.4 | | — 0.0092 — 0.133 -1 2.4| 0.171| 219.1 609 | 9.4 47.74 45 8 30.4 | 4.48 | — 0.0055 | — 0.059 | 459 139 | 0.4 0.4 | | | — 0.0017 | — 0.074 | 462 64| 0.5 | | — 0.0046 | —0.070| 466 8103 | | | | | | — 0.0037 | — 0.068 [A150 0.083 | 213.8 | 610, 9.9 | 48.68 | 43 40 20.7 4.30 | —0.0062 | — 0.062 | 458 119 | 0.9 — 0.0010 | — 0.080 461 53, 1.1 — 0.0015 — 0.029 464 2| — 0.0030 | — 0.059 | 0.072 | 214.8 | 611 | 9.8 51.18 | 42 25 26.1 | 4.31 | —0.0092 | — 0.036 | 457 123 | | | | 4.30 | — 0.0092 | — 0.036 | 461 56 | | | — 0.0104 | — 0.046464 7| | | | — 0.0094 | — 0.039 | 0.119 | 250.8 | 612| 9.8| 553.65 | 39 31 56.7 | 4.31 | — 0.0093 | + 0.030 456 96 | | | | — 0.0060 | + 0.074 | 463 6 | | — 0.0076 | + 0.054 | 0.111 | 299.1 | 613 | 9.5 | 5.89 | 45 26 35,3 | 4.57 | + 0.0006 | — 0.046 | 459 137 | | | | 4.61 | + 0.0048 | + 0.007 462 69 | | + 0.0002 | — 0.017 466 9 1 | | | | + 0.0018 | — 0.021 | 1:9| 0.024 15200) 614 | 4.8 | 14.40 | 39 44 57.1 | 4.30 | —0.0055 — 0.031 | 456 100 0.7 | | — 0.0046 + 0.004 463 5| 0.6 1.0 | | | — 0.0050 | — 0.010 | | 1.0 1.7| 0.066. 261.34 615 9.8 | 21.42 | 45 5 6.5 | 4.50 | — 0.0071 | + 0.009 459 147 | 0.2 0.2 | | —0.0042 | + 0.014 | 462 71| 0.5 0.5 | — 0.0024 | + 0.027 | 466 15 0.3 0.3 | — 0.0042 + 0.017 1.0 1.0| 0.056 | 287.8 616 9.5 33.64 | 42 41 22.6-| 4.31 | — 0,0046 | — 0.033 | 457 133 | 0.2 0.2 | — 0.0053 — 0.031 461 66 1.1 1.1 | — 0.0069 | — 0.047 464 16 0.6 0.7 | — 0.0057 — 0.037 1.9 2.0|- 0.080 | 242.5 | 617 8.6 39.30 | 46 12 30.9 | 5.08 | + 0.0070 | — 0.062 | 459 142 | 0.3 0.8 | | 4.90 | + 0.0050 —0.054 | 466 12 1.0 1.0 | | | | + 0.0055 — 0.058 1.3 1.8| 0.076 | 189.8 618 8.9 45.87 | 42 438.1 | 4.32 | + 0.0059 |. —0.101| 461 68 | 1.0 0.7 --:0:0062 . — 0.083 | 464 18| 1.1 1.1 | | + 0.0061 — 0.090 2.1 1.8| 0.108 |. 146.7 4 ta = —0.0007.5 à 43^. 'Tom. XLVIII. Y Recherches sur les mouvements propres dans la zone de ER | Ud ded ES DIOE aa ER MM Sj "Se | 1900.0 | 19000 — 1890-+ | | |h m s | | 619 | 10.2 1055 47.33 | 42 > 46 35.1 4.32 620 | 10.4 52.37 | 4246 3.8 | 4.32 | | 621|10.0| 56 7.76 | 4124 45.1 | 4.32 | 622 | 8.2 13.27 | 4454 4.9 | 4.63 | | 4.58 | 623| 82 28.79 | 44 15 41.7 | 4.80 | 624| 8.1 | 36.52 | 44 116.8 | 4.75 | | 4.96 625 | 10.6 | 38.29 | 40 24 41.4 | 4.31 626 | 8.7 46.80 | 46 45 6.1 | 5.32 627 9.1 | 47.89 | 43 50 23.9 | 4.80 | | | 4.85 628 | 10.5 | 57. 63 | 40 24 46.4 | 4.32 | 629| 9.0 | 57 ie 4.80 | | 630| 8.7 50.80 | 41 56 57.8 | 4.32 I | ANS | | | 631| 9.4 58.30 42 8 25.7 | 4.32 | | | | | 632| 7.6] 59.89 | 44 52 13.2 | 4.80 | | | | 4.74 | 6331 9.1| 58 1.33|45 126.9 | 4.85 | 4.64 Ears | 634 9.1 22.02 | 42 52 24.4 | 4.32 ET | | | 635 | 104 41.98 | 40 32 45.4 | 4.32 636 |. 8.6 | 42.03 |°41 51 55.1 | 4.32 BIET | | N:o 1. À Wa = — + 0. 0006 | -0.00117 0.0000 + 0.0032 + 0.0006 + 0.0023 + 0.0046 — 0.0003 | + 0.0023 + 0.0023 | — 0.0006 | + 0.0012 — 0.0033 | — 0.0112 | — 0.0079 -- 0.0150 + 0.0159 -- 0.0105 + 0.0134 | — 0.0026 — 0.0068 | — 0.0009 — 0.0044 | — 0.0023 | — 0.0023 | — 0.0029 — 0.0055 — 0.0039 | — 0.0012 | — 0.0051 | — 0.0056 + 0.0026 | + 0.0042 | + 0.0035 | — 0.0136 — 0.0138 — 0.0137 + 0.0090 + 0.0093 + 0.0107 + 0.0098 + 0.0041 | + 0.0045 — 0.0163 — 0. 0156 | — f). 0160. + 0.0068 | + 0.0037 + 0.0048 + 0.0049. | Région Mo | 1 + 0.020 | + 0.025 + 0.022 — 0.026 0.027 — 0.026 + 0.025 | 4- 0.014 + 0.020 | 0.004 | 462 + 0.017 | 465 4- 0.004 ah | 462 — 0.107 | 465 SKYN — 0.050 | — 0.077 | — 0.013 |— 0.031 — 0.017 | 460 + 0.001 | 466 — 0.009 | 461 — 0.019 | 465 — 0.013 | — 0.012 463 — 0.017 | 461 | — 0.011 | 465 — 0.015 | — 0.038 | 460 464 461 464 461 464 460 464 461 462 465 | — 0.042 | — 0.041 — 0.067 | | — 0.047 | 0.055 — 0.077 — 0.105 — 0.092 — 0.013 + 0.029 | 465 — 0.043 | 466 — 0.014 | — 0.026 | 461 | — 0.038 | 464 = 0.031 — 0.106 | 460 | — 0.094 | 463 — 0.100 | — 0.044 | 460 | — 0.048 | 464 — 0.047 | 461 464 465 0.0007.5 à 43°. | et N:o 32 462 105 | 31 | 34 96 36 71 | 35 65 42 462 108 | Helsingfors. Poids SH HnSHmnor 0.3 SSONHSHHSNSHunsssHHns> ABRAIOFHANMHKHIREIOAHN © I © INN [ld [| Se 357 ahohnahrnoh M (abs.) 0.023 0.031 0.026 0.006 0.145 0.139 0.042 0.078 0.035 | 0.036 9.053 | 0.063 0.063 0.179 0.097 | 0.052 141 220.3 | 102.8 246 270.7 248 251 255.6 98.3 126.5 242.2 136.2 18 142 RAGNAR FURUHJELM., Zi TE IN raten c a Te SON 1900.0 19000 48904| "= [| Me | et No | De NE DL eM h m $ lio cac s A ji | 5 637 | 8.8 1058 47.00 | 43 16 46.9 | 4.80 | — 0.0042 | — 0.026 | 461 100 1.1 | — 0.0071 | — 0.047 | 465 43 0.7 | — 0.0058 | — 0.034 1.8 0.074 | 242.7 6038, 8.5 49.54 | 45 41 47.6 | 4.87 | + 0.0051 | + 0.030 | 462 121 | 0.4 | | + 0.0011 | — 0.028 466 43 | 1.0 + 0.0022 | — 0.011 | 1.4 0.019 | 126 639 9.5 55.64 | 45 55 38.0 | 5.03 | + 0.0050 | + 0.040 | 462 119 | 0.2 | — 0.0024 | — 0.015 | 466 41 1.0 | T 0.024 | 255 | — 0.0015 | — 0.006 | ia 640 9.8 56.77 | 42 13 18.9 | 4.32 | — 0.0145 | — 0.175 | 461 102 | 0.6 | | — 0.0128 | — 0.169 | 464 39 1.1 | | | | — 0.0134 | — 0.171 1.7 0.232 | 222.6 641 10.6 58.22 | 4112 20.4 4.32 | + 0.0038 | + 0.016 | 460. 67 1.1 | | + 0.0017 | —0.020 464 44 1.1 | + 0.0028 | — 0.001 | 2.2 0.023 | 92 642 10.8 58.59 | 41 12 52.1 | 4.32 | — 0.0054 | — 0.002 460 66 1.1 — 0.0081 | — 0.051 | 464 43 1.1 | — 0.0067 | — 0.025 | 643 | 9.4| 5922.22 | 41 26 5.0 4.42 | + 0.0031 | — 0.004 | 460 . 73 | 4.41 | + 0.0023 | — 0.042 | 464 48 | + 0.0026 | — 0.056 467 1 NEHNHERHÖOÖNHÖNHFHORSH ROM © H 4H © N © NN & OR Co = Hi sh S & © oi boi 0o IH RUE) EUR IE c ) |a © m Rid EH 0.088 | 253.4 | 2. 0. d: 0.2 0.3 | | + 0.0026 | — 0.028 2 0.035 | 143 644 10.4 41.18 | 39 13 44.5 | 4.32 | — 0.0015 | + 0.048 | 463- 46 | 1. 0.054 | 332:5 | 645 10.8 51.42 | 45 33 16.4 | 4.30 | + 0.0156 | — 0.160 | 462 136 0. + 0.0165 | — 0.227 | 466 — 1. | + 0.0163 | — 0.208 i 0.265 | 141.7 | 646 10.1 57.39 4634 2.8 5.32 | + 0.0026 | + 0.007 466 45, 1.0 1.0| 0.020 | 70 647 8.8 11 0 0.92 44 4 59.1 | 5.72 | — 0.0167 | — 0.055 | 462 142 0.1 0.1 | 0. — 0.0117 | — 0.040 | 465 53 — 0.0127. — 0.064 469 6 0.1 0.1 — 0.0124 | — 0.044 | 0.9 0.9 + 0.0004 | + 0.026 | 462 140 | 0.4- 0.5 + 0.0050 | — 0.031 465 55 0.6 0.5 — 0.0013. — 0.004, 469 5 0.5 0.6 + 0.0017 | —0.003|-. 1.55186. — 0.0170 | — 0.062 | 461 112 | 0.2 0.2 — 0.0127 | — 0.034 464 52. 1.1 1.1 — 0.0150 | — 0.038 468 9 0.4 0.4 — 0.0137 | — 0.038 | LT — 0.4130 | + 0.932 | 461 111 0.2 0.2 0.147 | 2525| 648, 8.1 6.22 | 44 50 28.2 6.30 | 6.40 | 0.010 107 649 92 31:88 4210 0.1 4.54 | 0.165 | 256.7 650 | 8.7 32.37 | 44 2120.38 | 5:60 5.46 | — 0.4140 | + 0.915 | 462 146 | 0.1 0.1 | — 0.4060 | + 0.919 | 465 581 0.7 0.7 | — 0.4121 | + 0.975 | 468 10| 0.2 0.2 — 0.4089 | + 0.921 469 8.0.1 0.1 | | — 0.4089 | + 0.929, | 1.3 3| 4.518. 2819 | 651, 7.7 32.73 | 40 20 7.2 4.60| — 0.0082 | — 0.035 | 460 80 0.2 0.2 | | | 4.64 | —0.0045.| — 0.008 | 463 50 1.1 1.1 | — 0.0055 | — 0.027 467 5 0.5 0.6 : | — 0.0052: =-0.017\ 1.8 1.9| 0.069 | 255.8 | 652 | 9.1 1 25:21 | 46 13 47,8 | 5.32 | — 0.0097 + 0.040 | 466 54| 1.0 1.0| 0.116 | 290.1 | I u. = — 0.0007.5 à 43°. Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. L4: | E Le 9.4 11 132.06 | 10 5 57 44. 4 | 4.74 - 0. 0017 — 0.024 463 54 | 0.9.0. 4.97 | — 0.003 + 0.017 464 63.0.6 0. — 0.000: 3 — 0.018! 467 15 : 2 | Au EG YAT | is m Fa Ha er Poids | p(abs) | P pone mee | h ms | | pe 1 | 1.0 1.0 | — 0.0014 | — 0.015 5 1.61 0.030 240 654 | 9.3 46.76 | 49 34 37.8 | 4.75 | + 0.0049 | — 0.007 464 56 1.1 1.1 | + 0.0046 | — 0.001 468 17 1.0 1.0 | + 0:0048 | — 0.004 E31 05045 95 655 | 9.7 50.12 | 39 49 52.6 | 4.32 | — 0.0055 | — 0.042. 463 59 1.1 1.1| 0.082 239.4 656 | 9.8 50.29 | 42 34 13.5 | 4.15 | + 0.0034 | —0.009 464 55 111.1 + 0.0026 | — 0.008 468 16 1.0 1.0 - 0.0030 | — 0.009 70/9 51:15901097 A7 110 657|10.1| 150.91] | 41 33 27.3 | 4.81 | + 0.0013 — 0.017 464 69 1.1 1.1 | --0.0030 | — 0.043 | 467. 12| 1.0 1.0 + 0.0021 | — 0.029 Ta 0018 | — 0.023 464 64 — 0.0030 | — 0.008 468 26 — 0.0024 | — 0.014 — 0.0065 | + 0.030 463 62 — 0.0070 | + 0.047 | 407 27 2.1| 0.033 | 153 ed kx Ho = = esc 658| 9.3 58.06 42 55 54.0 | 4.80 0.038 — 248 Ho Nu SS 659 | 10.4 | 2 21.87 40 44 38.8 | 4.81 - <= — 0.0068 | + 0.038 KN mM + 0.0048 | — 0.044 .463 63 660 | 9.4 29.93 | 40 39 2.2 | 4.81 | + 0:0045 | — 0.032 | 467 28 | + 0.0047 | — 0.038 661 84 43.32 | 43 12 16.9 | 5.24 | + 0.0037 | — 0.053 | 465 74| + 0.0032 | — 0.013 | 468 29! [n] D [8% © oc 53.12 | 40 25 38.5 | rs to Ex = = e o2 V M PHBHHÍPOGNuHFBBuuHBHFHRHONHHEwHHBuduwrmbmmrmt Rake Hook 663: 10.1! . 316.10 | 39 44 41.4 | 4.32 664 10.8 | 18.31 | 43 11 29.4 | 5.18 | bm + 0.0051 5 Ea le me - k + 0.012 | 463 72 — 0.0068 | — 0.019 : 4116 47.3 4.83 | — 0.0069 | + 0.032, 464 78 | 1.0 1.0 | — 0.0026 | — 0.006 n . — 0.0048 | + 0.013 | 2.0. 2.0 — 0.0070 | + 0.003 | 468 35|1.0 1.0 | 0.085 | 257.1 — e © -1 ren S HG > 0.093= 294.1 0.059 130 + 0.0034 | — 0.028 0.040 134 — 0.0042 | — 0.019, 463 67 1.1 1. — 0.0039 | — 0.023 | 467 33| 1.01. — 0.0041 | — 0.021 .12.1| 0.059 | 249.1 0.052 76.8 — 0.0066 | — 0.075 | 465 — | 0.6 0.4 | | | 0.061 282.2 666 9.9. 22.45 | 41 32 26.0 | 4.81 | — 0.0057 | + 0.004 | 464 77| 1.1 1.1 | | — 0.0024 | — 0.015 | 467 36 | 1.0 1.0 | | — 0.0041 | — 0.005 12.1 2.1| 0.054 264.7 667 | 8.5 24.56 4143 7.0 4.81 | —0.0085 —0.038 464 76 1.1 11 | | | — 0.0061 | — 0.072 467 35 1.0 1.0 | | — 0.0074 | — 0.054 12.1 2.1] 0.106 239.2 668 | 10.9 | 43.97 | 40 17 22.4 | 4.32 | + 0.0053 | — 0.070 463 73|1.1 1.1 + 0.0064 | — 0.069 | 467 — | 1.0 1.0 | + 0.0058 | — 0.070 | 2.1 2.1| 0.092 | 139.9 | 9.8 | o| 44: 8.0.9 | 7:30 | +0. 0009 | — 0.005 465 81,|0.7 0.7 | | 7.08 | + 0.0006 | + 0.034 469 34 0.6 0.5 + 0.0008 | + 0.012 | 1.3 1.2| 0.012 0 670 | 4.0 4 2.74|45 228.6 8.17 | —0.0031 | — 0.062 | 466 68 | 0.4 0.3 | 8.39 | — 0.0058 | — 0.029 | 469 32 0.6 0.6 | — 0.0047 | — 0.040 | 1.0 0.9| 0.071 | 235.6 Aux = — 0.0007.5 à 43°. N:o 1. 144 RAGNAR FURUHJELM. | | | ui | p) | E | Région | H | | No) Gr | 4090 | 4900 Jasse a — | "5 | & No | oid ibm | | | hm s [sui S. um | z | T gel 671 | 7.2 11 4 2.81 | 43 44 59.6 | 5.24 | — 0.0049 | — 0.085 465 83 0.7 0.7 | | | | —0.0065 | — 0.043 468 39. 1.0 1.0 | — 0.0048, -—0.031| 472 4, 0.2.0.3 | | — 0 0057 | — 0.056 1.9 2.0| 0.090 | 231.3 672 | 8.0| 4.32 | 42 27 36.6 | 4.77 | — 0.0133 | — 0.149 464 84! 1.0 11 | | | 4.75 | — 0.0145 | — 0.168 | 468 44| 1.0 1.0 | — 0.0139 | — 0.158 15210. 951, 70:9972 151995291 673 9.4| 5.28.| 43,55 32.7 | 5.24 | — 0.0072 | — 0.064 | 465 82 0.7 0.7 | | 5.25 | — 0.0084 | +0.011 468 38 0.9 0.6 | | | —=0:0087-|-=0.0301 £72 3| 0203 | | — 0.0080 | — 0.030 1.8 1.6| 0.099 | 252.3 | 674 | 10.3 36.80 | 39 56 34.7 | 4.32 | — 0.0130 | + 0.119 463 770.9 1.1 | | — 0.0100 | + 0.148 | 470 —| 0.3 0.6 | | | | —.0.0122| + 0.139) 1.2 1.7| 0.197 | 310.9 675 9.6 45.91 | 40 50 53.5 | 5.10 | — 0.0075 | — 0.019 463 75 0.3 0.3 | | | + 0.0008 | + 0.011 467 471.0 1.0 rår | + 0.0010 | — 0.004 | 470 2 0.2 0.2 | — 40.0008 | + 0.003 I7: 59 7:53 501075418 2807 676 | 9.0 | 48.47 | 39 12 25.0 | 4.72 | — 0.0079 | + 0.060. 463 85. 0.3 0.4 | | 4.65 | — 0.0058 | + 0.090 470 1| 0.2 0.3 | | — 0:0071 | .+ 0:073 0.5 0.7| 0.116 | 309.0 | 677 | 7.5 52.54 4258 1.1 5.10 | + 0.0034 | + 0.031 | 464 88| 0.2 0.2 | | | | | + 0.0071 | — 0.032 | 465 92 0.1 0.1 | | | + 0.0052 | + 0.060 | 468 59 1.0 1.0 | | | + 0.0037; + 0.075 | 471 6| 0.2 0.2 | + 0.0063 | + 0.038 | 472 11| 0.2 0.2 + 0.0051 | + 0.050 ET ZEITEN 0:060 GEO. 678 | 9.5 19.86 | 46 43 9.4 | 5.32 | — 0.0108 : + 0.036 | 466 71) 0.4 0.4 | | —0.0077 | + 0.031| 473° 6| 0.5 0.5 | — 0.0091 | + 0.033 0.9 0.9| 0.107 | 287.9 | 679 | 10.8 | 28.41 | 4312-36.1-1 5.18 | — 0.0067 | — 0.015 | 468 57| 1.0 1.0] 0.083 | 259.6 | 680 | 8.4 40.46 | 42 52. 3.9 | 5.16 | — 0.0150 —0.103 464 90, 0.2 0.2 | | | | — 0.0097 , — 0.087 | 468 63! 1.0 1.0 | — 0.0130 | — 0.059 | 471 . 8 0.4 0.4 | | — 0.0112 | — 0.082 | 1.6 1.6| 0.154 | 238.0 | 681-| X10) 50.19 | 45-58 24.0 | 5.29 | — 0.0529 | — 0.457 468 — | 0.7 0.3 — 0:0574 | — 0:440 | 472 15 1.0 1.0 — 0.0555 | — 0.444 1:2 13] 0253 |. 289589 682 | 9.4 52.18 | 42 22 10.0 | 5.25 | — 0.0227 | + 0.010 468 65 1.0 1.0 — 0.0243 | + 0.020 | 471 9 0.9 1.0 | i —0,0235 | + 0.015 | 1.9 2.0| 0.268| 273.2 683! 8.01 6 3.89| 4322 3.9 | 5.23 | — 0.0094 | — 0.250 | 468 «68 1.0 1.0 | | | — 0.0089 — 0.259 472 18| 0.9 0.9 | | ZEN | — 0.0092 | — 0.254 1.9.1.9| 0.276 | 203.0 684| 7.2 15.31 | 43 22 56.2 | 5.24 | — 0.0095 | — 0.267 468 67 1.0 1.0 | | | — 0.0096 | — 0.258 | 472 17 | 1.0 1.0 | | — 0.0095 | — 0.263 |2.0 2.0| 0.286 | 203.1 685 10.9 | 56.53 | 43 15 26.4 | 5.18 | + 0.0070 | — 0.006 468 74 1.0 1.0| 0.069 | 95.0 | 686| 9.1 7 5.22 | 45 38 49.9 | 7.31 | + 0.0020 + 0.003 | 469 48 | 0.6 0.6 +:0.0063 | — 0.011 | 473 10.1.0 1.0 | | | + 0.0047 | — 0.006 1.6 1.6| 0.040| 98 A ug = — 0.0007.5 à 43°. Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 145 | a | d | Région. | \ | N:o | Gr. | _ 4900.0 1900.0 En Ma Hö a | Poids | «(abs.) P | nu me «S E "MS E " " o | 687| 9.2 11 7 9.97 | 39 41 38.0 | 5.31 | — 0.0064 + 0.008|410 13| 1.0 1.0| 0.082 | 275.6 688 | 91 15.52 | 39 53 52.8 | 5.31 | — 0.0049 | + 0.026 | 470 12| 1.0 1.0| 0.070 | 291.8 689 | 7.8 97.95 | 46 46 1.3 5.321 — 0.0056 — 0.027 | 473 11 | 1.0 0.9| 0.070 | 247.7 690 10.6 28.19 | 44 10 49.6 | 7.19 | — 0.0106 | — 0.002 469 53 | 0.6 0.5 | | | 7.07 | — 0.0087 | — 0.021 | 472 22 1.0 1.0 | | — 0.0094 | — 0.015 1.6 1.5| 0.111 | 262.2 691 9.7 31.93 | 40 43 42.6 | 5.30 | — 0.0012 | + 0.007 467 72|1.0 1.0 | | | —0.0017 | + 0.018 | 470 17| 1.0 1.0 | | | | — 0.0014 | + 0.012 2.0 2.0| 0.028 | 295 | 692| 9.7| 33.13 | 40 43 17.1 | 5.30 | + 0.0043 | + 0.011 467 71 1.0 1.0 | | + 0.0038 |" + 0.024 | 470 16 1.0 1.0 | + 0.0040 | + 0.018 2.0 2.01 0.042 | 65 693 | 10.0 | 47.46 | 45 19 16.2 | 7.31 | + 0.0025 | + 0.021 | 469 52| 0.6 0.6 | + 0.0069 | — 0.011 473 15 1.0 1.0 | + 0.0052 | + 0.001 1.6 1.6| 0.047 | 89 694 | 10.7 8 3.76 | 40 49 28.9 | 5.29 | — 0.0110 | + 0.006 467 78. 1.0 1.0 | | —0.0115'| +.0.030 | 470 —! 1.0 0.8 | | | — 0.0112 | + 0.017 2.0 1.8| 0.136 | 277.2 695 | 10.4 24.79 | 40 52 35.7 | 5.29 | — 0.0106 | + 0.062 467 77, 1.0 1.0 | — 0.0136 | + 0.069 470 —| 1.0 0.8 | | | | | — 0.0121 | + 0.065 | | 2.0 1.8| 0.159 | 294.2 | 696 | 8.1| 26.24 | 40 31 31.7 | 5.30 | — 0.0243 | — 0.129 467 79 1.0 1.0 — 0.0259 | — 0.104 | 470 20 1.0 1.0 | — 0.0251 | — 0.116 2.0 2.0| 0.316 | 248.5 697 | 10.8 48.74 | 39 53 50.7 | 5.31 | + 0.0053 | + 0.013 470 23 1.0 1.0! 0.055 76.5 698 | 10.6 54.45 | 39 17 24.8 | 5.31 | + 0.0053 | — 0.062 470 24| 1.0 1.0| 0.082 | 139.0 699 | 10.7 9 3.36 | 45 40 34.1 | 5.32 | — 0.0080 | + 0.032 473 24 1.0 1.0| 0.098, 289.0 | 700 | 88 8.75 | 46 20 43.8 | 5.32 | — 0.0101 | — 0.016 473 19) 1.0 1.0| 0.114 | 261.9 | + 0.0027 | + 0.031 469 61| 0.6 0.6 + 0.0026 | + 0.014 472 35| 1.0 1.0 — 0.0102 | + 0.027 | 476 — | 0.2 0.5 + 0.0012 | + 0.022 | 1.8 2.11 0.023| 15 702 9.2 9.64 | 40 35 40.4 | | + 0.001 467 84| 0.8 1.0 701 10.8 9.09 | 44 43 16.1 7.30 + 0.0026 + 0.002 470 26 1.0 1.0 + 0.0010 + 0.002 1.8 2.01 0.004 56 + 0.0052 — 0.130 468 92 0.5 0.4 + 0.0054 — 0.131|472 37 | 1.0 1.0 + 0.0042 —0.100|475 1, 0.2 0.2 + 0.0052 | — 0.127 | | 1.7 1.6| 0.136 | 159.3 — 0.0033 --0.066 469 65 0.4 0.4 + 0.0009 + 0.057 473 23, 1.0 1.0 — 0.0102 | + 0.072 476 60.4 0.4 — 0.0025 | + 0.062 | |1.8 L8| 0.071 331.2 — 0.0026 — 0.032 469 66 0.4 0.5 — 0.0021, — 0.068 473 28, 1.0 1.0 — 0.0132 | — 0.052476 70.4 0.5 — 0.0047 | — 0.055 | | 1.8 — 0.0008 + 0.028 468 98 — 0.0008 +0.013 472 42/1. — 0.0007 | + 0.019 475 6 0.4 — 0.0008 | + 0.020 | 2.2 4 us = — 0.0007.5 à 43°. | 703| 72 11.12 | 43 52 38.2 | ect Qt AR bo ho 704 | 9.9 27.79 | 45 39 33.0 | 6.58 | 6.65 10b | 7.7 32.50 | 45 36 28.5 | 6.71 0.079 | 226.0 706 | 9.3 39.30 | 43 17 58.2 | zm D 3 .22 0.026 | 321 N:o 1. 708 709 718 Gr. | | 8.6 Tli 9.6 8.1 | 8.4 10.8 8.9 8.0 > | 10.6 9.0 | 10.6 h a 1900.0 m S 9 42.40 51.39 10 - © -1 7.18 13.00 18.42 19.57 38.25 11 15.93 RAGNAR FURUHJELM. Ó | Aci | | | 18000 lem Ua us | pis | Poids | «(abs.) | 2 | 45 47 50.2 | 6.42 | — 0.0079 | — 0.057 | 469 64 0.3 0.3 —- 0.0013 — 0.041 473 21. 1.0 1.0 — 0.0118 | — 0.038 | 476 5 0.3 04 | — 0.0045 | — 0.047 1:6 1.7| 0.070 | 232.0 43 31 53.8 | 5.24 | — 0.0036 | — 0.045 | 468 .97 0.5 0.7 5.23:| — 0.0048 | — 0.061 | 472 434! 1.0. 1:0 — 0.0066 , — 0.039.475 5 0.4 0.6 — 0.0048 | — 0.050 1.9 2.3 | 0.079 | 230.7. 49 53 5.6 | 5.24 | + 0.0006 | — 0.004 | 468 106 0.7 0.9 5.22 | — 0.0015 0.000. 471 39 1.0 0.7 — 0.0006 |, — 0.003 | 475 13 0.7 0.9 | — 0.0006 | — 0.003 | 2,4 2.5| 0:015 | 259 45 59 43.8 5.89 | — 0.0146 + 0.046 469 68.0.1 0.1 | —.0.0094 + 0.035 | 473 31|1.0 1.0 | — 0.0175 | + 0.059 476 9102 0.2 | — 0.0110 + 0.040 L-1.3. 1.3 |" 0.129 | 288.0 41 37 8.2 | 5.31 | — 0.0040 — 0.033 | 467 89| 0:3 0.4 | — 0.0008 | — 0.018 | 470 42 1.0 1.0 | +:0.0014 | + 0.016 | 474 410.4 0.5 — 0.0008 — 0.012 Io227271:9:1-0:021.1 234 42 59 41.3 | 5.25 | — 0.0099 — 0.016 | 468 103 | 0.4 0.9 5.21 | — 0.0096 + 0.006 471 37| 0.7 0.3 — 0.0089 | + 0.005 472 50 0.7 0.3 | — 0.0102 — 0.001 | 475. 10 | 0.9 1.0 | — 0.0097 —- 0.005 12,7 2.5 |. 0:114 |: 267.5 44 44 44.4 | 5.31 | — 0.0001 | + 0.083 469 — | 0.3 0.5 | + 0.0051: + 0.014 472 43 ' 1.0 1.0 — 0.0040 | — 0.019 | 476 10 0.8 1.0 | + 0:0009 | + 0.015 212.5. 0:015 1 43 18 43.7 | 5.23 | — 0.0040 | — 0.054 | 468 102 | 0.4 0.7 5.22 | — 0.0031 | — 0.053 | 472 49.1.0 1.0 —0:0040:| — 0.050 | 475 -9| 0.8 1.0 | — 0.0036 | — 0.052 2:9-9.7.| 0.070. 222517] 41 434.5 5.32 | — 0.0023 | — 0.008 471 45| 0.8 0.7 — 0.0027, — 0.022 | 474 6| 0.9 1.0 — 0.0025 | — 0.016 | 1.2 1:7.| 0.039 | 246 45 2111.3, 5.32 | — 0.0018 | — 0.012 | 473 . 34 | 1.0 1.0 | — 0.0098 — 0.018 | 476 18 | 1.0 1.0 — 0.0058 | — 0.015 | 2.0 2.0 | 0.070 | -257.5 45 18 51.1 | 5.32 | + 0.0029, + 0.014 473 39| 1.0 1:0 | — 0.0044 | + 0.030 | 476 19| 1.0 1.0 | — 0.0007 | + 0.022 2:0: 2.0.1 70:027. 1-325 4127 8.8 | 5.32 | + 0:0015 | — 0.003 | 471- 55.| 1.0 1.0 | +.0.0028 | + 0.019 | 474 15|1.0 1:0 | + 0.0022 | + 0.008 | 2.0 2.0| 0.018 63 46. 0:56,3 5.32 | + 0.0031 | + 0.084 | 473 38| 1.0 1.0 | | — 0.0026 | + 0.102 | 476 201 0.3 0.2 | | + 0.0018 | + 0:087 | 120021 #0 088 7.2 44 33 0.7 | 5.31 | — 0.0054.| + 0.007 472 60 | 1.0 1.0 | — 0.0094 | — 0.006 476 23| 1.0 1.0 | — 0:0074 | + 0.001 2.0 2.0| 0.086 | 270.7 | Aux = — 0.0007.5 à 43°. Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 147 SR E | à E égi | Nro | Gr 3 Région | poids | u(abs | P 1900.0 | 1900.0 — 18904- Ha Mo et N:o |h m s Se ic 5 e » a 721 9.0 11 1146.56 39:23 22.6 | 5.31 | — 0.0023 + — 0.029 | 470 43 | 1.0 1.0 0.045 229 1722| 8.4| 47.61 | 45 13 59.0 | 5.32 | — 0.0017 | — 0.004 | 473 40 1.0 0.9 | — 0.0085 | — 0.006 | 476 21 1.0 1.0 | | — 0.0051 | — 0.005 2.0 1.9| 0.062 | 265.4 723 |. 8.6 | 49.19 | 43 21 10.4 | 5.24 | — 0.0058 | + 0.013 | 472 63 | 1.0 1.0 — 0.0054 | — 0.002 | 475 26 | 1.0 1.0 | — 0.0056 + 0.006 | 2.0 2.0 724 10.2! 12 1.45 46 56 25.1 |! — 0.0056 | —0.174| 473 41| 0.8 0.4 2.79' 40 222.1 | 5.31 | + 0.0036 | — 0.116 | 470 41| 1.0 1.0 + 0.0012 | — 0.112 | 474 17 0.5 0.4 0.068 | 275.5 0.186 200.8 JU Ct Ul b2 | + 0.0028 | — 0.115 | 1.597471 —0- 13 15 160.8 126 | 85) 14.34 | 41 15 45.5 | 5.32 | + 0.0054 | + 0.014 | 471 64| 1.0 1.0 | + 0.0051 + 0.011) 474 16 | 1.0 1.0 + 0.0052 + 0.012 2.0 2.0| 0.052 76.8 727 | 87 18.87 | 39. 5 26.2 | 5.31 | — 0.0063 | + 0.063 | 470 46 | 0.8 0.5| 0.103 | 308.0 128 9.0 20.44 | 45 32 7.2 | 5:32 | — 0.0058 | — 0.016 473 43 | 1.0 1.0 — 0.0112 | —0:017|476 26 | 1.0 1.0 — 0.0085 | — 0.016 2.0 2.01 0.098 260.6 729 |. 7.7 25.15 | 4123 0.9 | 5.32 | + 0.0035 | + 0.021 471 63 | 1.0 1.0 | + 0.0020 | + 0.003 | 474 20| 1.0 1.0 - 0.0028 | + 0.012 2.0 2.0| 0.026 62 730| 9.8| 12 33.92.| 4133.58.6 | 5.32 | — 0.0161 , + 0:008 | 471 62 | 1.0 1.0 | —0.017£| + 0.026| 474 19| 1.0 1.0 — 0.0168 + 0.017 HONOR 45 17 40 + 0.0010 | — 0.003 1.0| 0.004! 135 43 15 20.5 + 0.0003 + 0.031 0.9 + 0.0035 — 0.005 | 475 32 | 1.0 1.0 | | + 0.0019 + 0.012 | 2.0 1.9| 0.018 47 733 | 8.6 53.76 | 4625 18.0 | 5.32 | = 0.0116| — 0.226 473 45 1.0 1.0| 0.260 | 209.5 7341 9.8 | 55.56 | 41 30 50.6 + 0.0015 | + 0.043 | 471 67 1.0 1:0 | + 0.0025 | + 0.046 | 474 23 1.0 1.0 | | + 0.0020 + 0.044 2.0 2.0| 0.046 18 735 71 57.17 | 42 51 49.4 - 5.24 |. + 0.0082 | — 0.027 | 471 65 | 0.8 0.6 | 5.23 | + 0.0094 | —0.037 | 475 39 | 1.0 1.0 | + 0.0089 | — 0.033 1.8 1.6| 0.096 | 110.1 136|10.9| 13 0.69| 4512 26.3: 5.32 ] + 0.0040 | — 0.028, 416 32: 1.0 1.0| 0.043 | 131 737| 9.0! 1423.67 40354413 | 5.31 | — 0:0037.| — 0.016: 470 50 | 0.6 0.7 — 0.0041 ! — 0.033 | 474 31.| 1.0 1.0 — 0.0042 | + 0.005 |477 1| 0.2 0:2 — 0.0040 | — 0.023 | 1.8 1.9 738 | 8.6 30.99 | 41 51 35.2 | 5.46 0:0000 | —0.028, 471 77| 0.8 1.0 | 5.53 | + 0:0003 — 0.039 | 474 29 | 1.0 0.8 — 0.0046 | — 0.073. 478 4| 0.3 0.5 0.058 | 246.5 — 0.0005 | — 0.042 | 2.1 2.3| 0.044 | 198 | 199 60.5 15 0.74 | 45 32 47.6 | 5.32 | — 0.0026 — 0.018) 473 57 | 0.7 0.8 | — 0.0036 | — 0.024 | 476 50 | 1.0: 1.0 | | i — 0.0037 — 0.006, 480 9 0.7 0.8 | | | — 0.0034 | — 0.017 2.4 2.6| 0.047 | 249 ' -1-1 ww © mi = Hi © e ww 1 © SD © RO QUO bo = tv = oH + 1 = Or D © — | S s m NS © © : © SID D Aux = — 0.0007.5 à 43°. N:o 1. ; 148 RAGNAR FURUHJELM. TAS dip dE | Région | , . | 1900.0 1900 48904| M | #8 | et N:o | M SRM B5 | | |n m s [e Wa s | | 5; | $ | 740 10.4 1115 1.88 4549 8.0 | 5.32 | + 0.0024 | + 0.007 | 473. 54 | 0.8 1.0 | + 0.0019 | + 0.031 | 476 48 1.0 0.9 — 0.0003 | + 0.009 | 480 6 0.8 1.0 + 0.0014 | + 0.015 2.6:2.9 | 0:017. | 2325 5.25 | — 0.0010 | + 0.023 84, 0.7 0.9 | 5.27 | + 0.0021 | — 0.021 | .\ 0.9: 0.5 JUNIO RTT: | | 741 8.7 | 2.65 | 43 56 41.8 Hmm Om -1 © Or ND [22] [Sr] + 0.0011 | + 0.005 | 479 6 | 0.5 0.6 | + 0.0008 | + 0.007 1"2:722.0| 50:007 8/12 Ss 742 | 10.5 | 5.70 | 45 50 12.5 | 5.32 | + 0.0060 | + 0.020 |473 53 | 0.7 1.0 | | | + 0.0024 | + 0.025 | 476 47 | 1.0 0.9 + 0.0018 | + 0.016 |480 5| 0.8 1.0 | | + 0.0032 | + 0.020 [12.51 2-9] 0,0384 258 743 | 10.5 8.08 | 45 31 43.2 , 5.32 | — 0.0083 | + 0.044 | 473 56 | 0.6 0.7 | | | —0.0047 | + 0.030 476 51) 1.0 1.0 | | — 0.0029 | + 0.050 480 7.0.70. | — 0.0051 | + 0.040 | 2.8 2 8 | | | 2.5| 0.073 | 303.8 | 74 8.5 14.06 | 42 22 35.5 5.59 | + 0.0036 + 0.054 | 471 80 | 0.4 0.7 | | | 5.61 | + 0.0026 | + 0.035 | 475 72 | 1.0 1.0 | | + 0.0004 | + 0.0111478 70.6 0.8 | | | | 4- 0.0021 | + 0.033 (2.0 2.5| 0.036 24 745 9.6 54.12 | 40 10 10.1 | 5.31 | — 0.0059 | + 0.024 | 474 43 | 1.0 0.8 | | | —0.0044 | + 0.033 | 477 10| 0.9 1.0 |) ARS | — 0.0052 | + 0.029 | 1.9 1.8| 0.073 | 293.3 | 746 | 6.7| 16 7.74 40 58 50.8 | 5.46 | + 0.0046 | — 0.078 | 474 40 | 1.0 1.0 £ | + 0.0007 | — 0.043 | 477 15| 0.3 0.3 + 0.0060 | — 0.101 | 478 15 0.2 0.2 | | 0.0040 | — 0.074 '1.5.1.5| 0.083 |. 153.5 | 74 | 10.4 | 18.68. 45 45 50.6 | 5.32 | + 0.0060 | — 0.046 | 476 64 1.0 1.0 | | | + 0.0037 | — 0.060 | 480 13 | 1.0 1.0 | | | + 0.0048 | — 0.053 | 2.0 2.0| 0.068 | 140.9 748 | 10.4 26.54 | 40 57 28.0, 5.43 | — 0.0061 | + 0.038 | 474 48 1.0 1.0 | | | 5.45 | — 0.0100 | + 0.032 | 477 16 | 0.5 0.3 | — 0.0058 | — 0.061 | 478 14 | 0.2 0.2 | — 0.0072 | + 0.024 12.721.511" 0.099 :-. 285 9 749 | 9.1 | 30.99 | 42 18 55.5 | 5.74 | + 0.0018 | — 0.008 | 475 82 1.0 1.0 | | — 0.0008 | — 0.019 | 478 16 0.9 0.9 | + 0.0006 | — 0.013 | (1.9 1.9| 0.013 | 184 | 750 | 11.2 36.60 | 43 17 17.0 | 5.18 | + 0.0061 | — 0.008 | 475 80 1.0 1.0| 0.059 | 97.8 | 751 | 10.0 41.72 411028.2 5.72 | —0.0044 | + 0.033 |474 47 1.0 1.0 | | | 5.69 | —0.0037 | + 0.007 | 478 21 0.6 0.6 | | | | — 0.0041 | + 0.023 | 1.6 1.6| 0.059 | 293.1 152 | 8.8 45.59 | 41 22 46.4 | 5.81 | + 0.0047 | — 0.041 | 474 46 1.0 1.0 | + 0.0044 | — 0.048 | 478 20 | 0.9 0.9 | | | + 0.0046 | — 0.044 | 1.9 1.9| 0.062 | 135.7 | 753 | 6.0| 1715.29 | 40 43 26.7 | 5.31 | — 0.0040 | — 0.033 | 474 53 | 1.0 1.0 | | | — 0.0062 + 0.005 | 4 7 260.9 1.0 | — 0.0050 | —0.014 - 1.9 2.0| 0.068 | 258.0 | 754 | 9.0 16.53 | 44 52 3.2 | 5.31 | — 0.0045 | — 0.048 476 73 1.0 1.0 | | | — 0.0038 — 0.062 479 22 0.6 0.5 — 0.0042 | — 0.053 | 1.6 1.5| 0.075 | 225.0 | 755 | 11 17.7 |4044 4 |5.32 | — 0,0046 | — 0.026 474 — 1.0 1.0 0.066 | 246.9 | 4 u, = — 0.0007.5 à 43°. Tom. XLVIII. i | | N:o | Gr. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. (t 1900.0 m Ss \ n 1900.0 756 | 10.4 11 17 19.98 | 45 38 41.1 T5T | 5.5 758 | 11.0 | | 760 | 11.0 | 761, 8.2) 162 | 9.1 763 | 9.3 764 | 10.5 | | 765 | 10.9 766 | 9.0 | 767 | 7.7 768 | 10.6 | 769 10.0 N:o 1. 20 20.57 = Se An w 27.26 | | 48.39 | 44 153.2! 40 44 31.3 | € 43 40 17.8 | | 42 323.7 45 30 29.3 | | 40 33 13.1 | | 42 38 33.8 | | 45 13 48.0 | 45 15 31.0 | 43 29 20.3 43 46 4.4 0 | 39 28 39.2 | t | 43 10 43.8 | 5 =] 1890 + 5.32 5.29 5.28 Au = + 0.0009 Uu | us X NN Poids EM t EUR WIE ioco US SERUUM D + 0.0061 | + 0.011 | 476 71| 1.0 1.0 + 0.0055 | + 0.019 | 480 16 1.0 1.0 + 0.0058 | + 0.015 2.0 2.0 0.0023 | — 0.057 | 475 90| 0.5 0.3 + 0.0012 | — 0.063 | 476 781 0.6 0.4 0.0000 | — 0.019 | 479 93| 0.7 0.7 — 0.0002 | — 0.039 1.8 1.4 — 0.0011 | — 0.007 | 475 92 1.0 1.0 — 0.0064 | + 0.031 | 478 25| 0.9 0.9 — 0.0036 | 4- 0.011 1.9 1.9 + 0.0011 | — 0.024 474 55| 1.0 1.0 — 0.0017 | + 0.026 | 477 28 1.0 0.9 — 0.0003 0.000 | 2.0: 1.9 + 0.0059 | — 0.005 | 477. 31 | 1.0 1.0 — 0.0136 | — 0.087 | 475 95 | 1.0 1.0 — 0:0103 | — 0.060 | 479 25 0.7 0.7 — 0.0122 | — 0.076 | 151A7 — 0.0038 | — 0.005 | 475 110 | 0.3 0.2 — 0.0014 | + 0.006 | 478 43| 0.9 0.9 — 0.0020 | + 0.004 NTM TE + 0.0025 | — 0.046 | 476 88 0.8 0.9 + 0.0013 | — 0.067 480 261.0 1.0 — 0.0027 | — 0.042483 2|0.4 0.6 + 0.0010 | — 0.053 | 1. 9:942,5 — 0.0083 | + 0.007 474 — | 0.7 0.9 — 0.0092 | —0.012 | 477 39| 1.0 1.0 — 0.0088 | — 0.003 | 111.7. 1.9 + 0.0131 — 0.110 475 115 0.7 1.0 + 0.0090 | — 0.080 478 44| 0.9 0.9 + 0.0084 | —0.059 482 — | 0.5 0.7 + 0.0102 | — 0.086) 2.1 2.6 + 0.0053 | + 0.011 | 476 90 0.8 1.0 + 0.0035 | — 0.003, 480 27, 1.0 1.0 +.0.0030 | — 0.001 | 483 3, 0.6 0.9 + 0.0040 | + 0.002 | 2.4 2.9 — 0.0046 | + 0.095 | 475 117 | 0.6 0.9 — 0.0031 | + 0.083 | 479 48 0.7 0.6 — 0.0081 | + 0.122|482 6| 0.7 1.0 — 0.0053 | + 0.103 | 2.0 2.5 — 0.0047 | + 0.011 | 476 92| 0.5 0.8 — 0.0075 | — 0.015 480 28| 1.0 1.0 — 0.0071 | + 0.028 483 40.8 1.0 — 0.0068 + 0.008 | 2.3 2.8 + 0.0018 | — 0.040 | 475 121 | 0.2 0.5 + 0.0012 | — 0.033 | 479 55 | 0.7 0.7 — 0.0019 | — 0.027 | 482 10| 0.8 1.0 — 0.0002 | — 0.032 | (17/7919 + 0.0001 | + 0.036 | 475 120 | 0.2 0.2 + 0.0036 | + 0.027. 479 54| 0.7 0.7 — 0.0021 | + 0.026 | 482 9| 0.6 0.4 OT. + 0.028 0.0007.5 à 45°. UN T eT M(abs.) | 0.054 0.040 0.049 0.012 0.060 0.159 0.050 0.053 | 0.109 | 0.136 | 0.034 | 0.122 0.079 0.034 0.028 149 176.8 268.4 | ec Le ST es 197 ov N:0 | Gr. 772 | 10.8 | 773 | 11.0 | | 774 | 10.6 | T15, 8.4| 116 | 10.2 Re 7.52 | 778 | 10.4 | | TON 9.9 | 780 | 91| | 781 | 10.3 | (CIE TAS 783 | 6.4 784 | 10.0 | 785 | 9.6 186 9.4 | Ts arena 788 | 11.1 | 789| 8.2 | | I | 790| 8.4 7191| 8.0| [14 1900.0 hommes: 771 | 10.6 |11 20 55.14 | 21 1.19) 12.68 14.64 34.88 42.58 22 10.58 plot 11.97 14.28 b2 b2 © = © © c € 30.05 40.02 47.77 48.30 23 3.20 > 3 1900.0 44 31 25.1 42 19 40.3 40 19 52.8 | 5 | 40 19 43.0 | 46 50 44.4 | 40 43 14.9. 46 17 19.6 | 40 45 31.1 45 42 48.3 43 20 44.1 5.31 9 | 5.53 | — 0.0092 | 5.44 | 5.31 | + 0.0065 | VWAGNAR FURU 5.50 | + 0.0070, 0.0053 | 0.0060 0.0041 0.0020 0.0032 | 0.0028 5.91 | — 0.0015 — 0.0003 — 0.0010 + 0.0155 ra — 0.0050 — 0.0080 | — 0.0076 | 5.32 | + 0.0042 5.31 | — 0.0040 — 0.0023 — 0.0032 32 | — 0.0004 31 | — 0.0115 | — 0.0084 — 0.0100 5.32 | — 0.0067 5.32 | + 0.0035 + 0.0010 + 0.0022 5.32 | — 0.0091 — 0.0116 — 0.0105 5.31 | — 0.0065 — 0.0061 — 0.0063 5.32 | + 0.0069 | 5.32 | + 0.0022 + 0.0016 + 0.0019 + 0.0056 | +:0.0060 32 | — 0.0008 | 5.31 | — 0.0042 | — 0.0055 | — 0.0050 | 5.32 | — 0.0059 — 0.0067 — 0.0063 | 5.31 | — 0.0013 | — 0.0035 | HJELM us — 0.027 — 0.015 — 0.020 — 0.117 — 0.121 — 0.119 — 0.081 — 0.083 — 0.096 — 0.088 — 0.105 — 0.058 — 0.037 — 0.043 — 0.044 — 0.118 + 0.039 + 0.026 -- 0.032 + 0.009 — 0.206 — 0.202 — 0.204 -— 0.007 — 0.028 —- 0:027 — 0.028 — 0.022 — 0.006 — 0.012 + 0.006 -- 0.011 -- 0.008 4- 0.036 + 0.011 + 0.022 + 0.016 — 0.088 — 0.102 — 0.096 + 0.025 | + 0.030 + 0.022 + 0.025 + 0.056 + 0.086 | + 0.071 — 0.090 — 0.051 — 0.0026 | — 0.067 | A uw, = — 0.0007.5 à 43°. Region et N:o 52| 16 50, 94 30 Poids | u(abs.) | P RE Et ES Se aD CE EE SIG ON DONS GS O0; -1« -; = je S 1.0 De ER ee nSohsosonohnsn > > Co do = m dd S Tom. XLVIIIL Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 151 | a Be sgion | N:0 | Gr. [16.4 don 1900.0 1890-4 Ha us Poids | ulabs.) F | Inms a tel s o 792 | 10.0 |11 23 29.47 | 42 14 21.0 | 5.81 0.0069 + 0.019 478 69 0.9 0.9 0.0043 | + 0.023 | 482 38 1.0 1.0 | 0.0055 | + 0.021 1.9 1.9 0.072 286.9 793 | 10.5 39.53 | 41 31 41.2 | 5.81 | + 0.0099 | — 0.100 | 478 75 0.9 0.9 | + 0.0053 | — 0.074 | 481 24| 1.0 1.0 - 0.0075 | — 0.086 29 19]| 015 | 1385 794 4.0 41.15 | 39. 53 16.1 | 5.31 | — 0.0012 | — 0.033 | 477 74| 1.0 1.0| 0.039 | 212 195 | 10.4 43.30 | 43 718.9 25.31 | — 0.0085 | — 0.005 479 101 | 0.1 0.3 | -0.0074 | — 0.001 482 40 1.0 1.0 | — 0.0077 | — 0.002 | 1.4 1.3| 0.093 | 268.8 196, 8.4 52.10 | 46 35 55.7 | 5.32 | — 0.0081 | + 0.007 | 480 48, 1.0 1.0 | — 0.0136 | 4-0.021|487 20.2 0.2 — 0.0090 | + 0.009 KLARE 9:303 NN 29521 797 | 10.9 | 58.06 | 43 55 0.087 206.6 1.2 | 5.32 0.0028 | — 0.078 | 482. 41 | 1.0 1.0 | 198| 85| 24 0.21, 44 0 4.7 | 5.31 | — 0.0052 | — 0.021 | 479 100 | 0.7 0.7 | 5.30 | —0.0078| — 0.030 | 482 39 0.6 - _ dv] | — 0.0071 | — 0.052 | 483 531 0.6 0.3 0.0081; + 0.001 | 486 4| 0.1 0.2 — 0.0067 | — 0.026 | | 2.0 1.5| 0.085 | 252.2 6 .||46 38 47.4 | 5:32 | + 0.0005 | + 0.022 | 487 0.2 0.3| 0.022 | 355 CA | 199. 98 1.36 | 800 84 7.39 | 44 10 43.9 OÙ Qt SCH c D c -3 (=) | + 0.0022 | — 0.046 479 98 | | || + 0.0011 | | — 0.065 | 483 5 + 0.0008 Ti — 0.042 | 486 310.1 0.2 + 0.0015 | — 0.055 1.8 1.8| 0.056 | 171.7 | 801 10.2 12.74 | 41 257.2 | 8.55 | + 0.0092 | — 0.045 | 478 79| 0.3 0.2 | | 15.48 | + 0.0065 | — 0.034 | 481 31| 1.0 1.0 | + 0.0071 — 0.036 (1.3 12| 0081| 116.2 802 | 10.3 43.22 | 46 11 313 | 5.32 | + 0.0023 | — 0.016 | 480 58| 0.9 1.0 | — 0.0050 | + 0.003 | 487 9) 0.6 0.8 | | — 0.0006 | — 0.008 | 1.5 1.8| 0.016 | 240 803| 9.5 18.09 | 41 48 28.0 | 5.66 | —0.0009 —0.012 | 478 84 | 0.7 0.8 (5.63| — 0.0018 | — 0.051, 481 35. n — 0.0025 | —0.012 485 6 — 0.0016 | — 0.026 5.32 | — 0.0043 | — 0.126 | 483: 59 — 0.0223 | + 0.068 | 479 106 j — 0.0247 | + 0.050 | 483 62 1.0 0.8 — 0.0273 | + 0.092 | 486 — 9 | 0.4 0.6 — 0.0246 | + 0.068 | 1.9 2.0 806 | 5.8 | 6.68 | 43 43 19.7 | 5.30 | — 0.0031 | + 0.066 | 479 107 | 0.4 0.6 | | | — 0.0052 | + 0.067 | 482 48| 1.0 1.0 | — 0.0049 | + 0.087 | 486 10 | 0.4 0.6 — 0.0047 | + 0.072 11.8 2.2 | 0.037 | 225 | 804 10.6 48.48 | 44 55 34.6 0.137 | 203.2 805 | 6.8| 25 5.87 | 44 739.9 | 5. | QU Aa u = 0.280 | 284.0 | 0.093 | 320.7 42 36 58.7 | 5.48 | + 0.0015 + 0.045 | 478 85 | 0.3 0.5 + 0.0024 | — 0.010 482 52 | 1.0 1.0 RR ot R + 0.0045 + 0.007 1485 8| 0.5 0.6 | | + 0.0028 | + 0.008 0.025 72 | 1 808 10.0 22.57 | 41 34 21.1 | 5.42 | — 0.0042 | + 0.026| 478 94 | 0 5.52 | — 0.0059 | — 0.001 481 38/1. 0 1 — 0.0060 + 0.007 | 485 12 — 0.0058 | 4- 0.008 A y = — 0.0007.5 à 43°. 0.073 276.3 N:o 1. 152 RAGNAR FURUHJEL M. | | E | Ó | | | BE | | | Nie Gr: 1900.0 1900.0 lad Waco M Me | Poids | (abs) PAN | homes s A PIDEN | 8 5 | | é | o 809 | 6.0 112525.40 4150 28.5 | 5.45 | + 0.0071 | — 0.098 478 92| 0.3 0.6 | | 5.56 | + 0.0110 | — 0.131 | 481 37 | 1.0 0.9 + 0.0085 — 0.056 485 11| 0.9 1.0 | + 0.0094 — 0.093 | 2.2 2.5 | ‘0.135 |: 133.3 810 8.9 29.42 | 43 23 26.7 | 5.31 | — 0.0045 | + 0.001 | 479 110 0.2 0.4 | | | 5.30 | — 0.0057 | — 0.023 | 482 56 | 1.0 1.0 — 0.0073 | — 0.013 | 486 14| 0.4 0.5 — 0.0060 — 0.015 | 112.6.1.9) 0.075, 4092884 sıl 10.1 30.82 |144 58 25.7 | 5.32 | + 0.0025 | — 0.025 | 483 65 1.0 1.0 | | | — 0.0010 | + 0.029 | 486 11| 0.2 0.2 + 0.0006 | — 0.007 | 487 14| 0.2 0.2 + 0.0017 | — 0.015 | 1.4 1.4| 0.019 | 144 812 | 11 31.8 | 4418 8 |5.31| — 0.0196 | .-0.013| 483. — | 1.0 1.0 | —0:0251 | + 0.008 | 486 — | 0.6 0.7 | | - 0.021? | + 0.011 | | 1.6 1.7| 0.241! 272.6 813 | 9.9, 42.99, 142. 6 45.0 | 5.32 | — 0.0005 | + 0.019 | 482 61 | 1.0 0.8 | — 0.0016 | + 0.014 485 16 | 1.0 1.0 | | — 0.0011 | + 0.016 | 2.0 1.8| 0.026 | 309 814 | 10.8 49.50 | 46 31 36.1 | 5.32 | — 0.0096 | — 0.035 | 487 17 | 1.0 1.0! 0.113 | 252.0 815| 9.5 2615.001| 41 3 11.3 | 5.32 | — 0.0125 | — 0.020 481 43| 1.0 1.0 | | | — 0.0161 | + 0.037 | 484 4| 0.2 0.2 | | — 0.0136 | — 0.006 | 485 19 0.5 0.4 | — 0.0132 | — 0.009 | 2.7 L6| 0.158.| 266)? 816 10.5 | 21.29 | 45 52 12.0 | 5.32 | — 0.0020 | — 0.035 483 67 | 1.0 0.8 | — 0.0069 | — 0.016 | 487 24 1.0 1.0 | — 0.0044 | — 0.024 2.0 1.8| 0.059 | 246.0 SU 74 31.12 | 41 59 19.9 | 5.32 | — 0.0035 | + 0.046 481 47| 0.7 0.4 | | — 0.0014 | + 0.053 482 68 0.6 0.3 | | — 0.0033 | + 0.097 | 485 20| 1.0 1.0 | | — 0.0029 | + 0.077 23 17| 9.087 | 3322 818 10.8. 32.71 | 46 16 51.6 | 5.32 | — 0.0059 | — 0.050 487 23| 1.0 1.0| 0.086 | 234.4 819 | 11.2 50.94 | 40 11 16:4 | 5:31 | — 0.0115 | + 0.110 | 481 — | 1.0 0.8 | | — 0.0135 | + 0.097 | 484: 11 | 1.0 1.0 | — 0.0125 | + 0.103 | | 2.0 1.8| 0.183 | 304.4 | 820| 9.8. . 51.08| 39 30 26.5 | 5.31 | — 0.0073 | — 0.014 | 484 13| 1.0 1.0| 0.094 | 261.4 | 821| 8.7 27 9.90 |:3937 37.0 | 5.31 | + 0.0110 | — 0.082 | 484 17| 1.0 1.0| 0.145 | 124.6 822| 9.0 | 15.62 | 42 26 29.6 | 5.32 | — 0.0050 | + 0.010 | 482 75 | 1.0 1.0 | | | — 0.0047 | + 0.014 | 485 21| 1.0 1.0 | | — 0.0048 | + 0.012 | | 2.0 2.0| 0.063 | 280.9 823 | 9.1 24.76 | 45 5 36.3 | 5.32 | — 0.0031 | — 0.015 | 483 74] 1.0 1.0 | | | | — 0.0043 | + 0.012 | 487- 27 |.0.8 0.5 | | | — 0.0036 — 0.006 | | 1.8 1.5| 0.047 | 263 824 | 10.6 32.19 | 43 27 31.8 | 5.31 | — 0.0074 | — 0.039 482. 70 | 1.0 1.0 | — 0.0090 | — 0.031 | 486 23 | 0.7 0.7 | — 0.0081 — 0.036 | | 1.7 1.7| 0.102 | 249.2 825| 8.0| 42.29 | 39 52 26.4 | 5.31 | + 0.0032 | + 0.016 484 19| 1.0 1.0| 0.031| 59 826 | 7.7 50.97 39 24 51.2 | 5.31 | + 0.0107 — 0.158 484 20 1.0 1.0| 0.196 | 143.7 827 92 28 5.43|45 0 28.8 | 5.32 | + 0.0040 .— 0.002 | 483 78) 1.0 1.0 | | + 0.0039 | + 0.041 | 486 24 0.4.0.2 | + 0.0031 | + 0.036 "487 31! 0.6 0.3 | + 0.0037 , + 0.011 12.01.51 0.084 |. 71 A ua = —0.0001.5 à 43°, Tom. XLVILI. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. Region 5 ATE | Nio | Gr | 1900.0 1900.0, M89025.| ^"^ |: Ma SON o HOS d abs.) Iah^um 8 CTS s | » 828 | 10.4 11 28 9.47 | 42.53 24.6 | 5132 0.0019 | 0.042 | 482. 801.0 1.0 | | | 0.0014 | — 0.042 485 34, 0.9 0.7 | 0.0017 | -— 0.042 WEST 0.050 829 | 10.9 16.68 | 4321 2.2 | 5.31 0.0080 | — 0.019 | 482 84, 1.0 1.0 — 0.0119 | + 0.058, 486 26| 0.7 0.7 | - 0.0096 | + 0,013 1.71.2. «0:113 8250 | 10.4 | 50.08 | 43 54 22.2 | 5.30 | + 0.0005 | — 0.101 | 482 86| 0.5 0.4 | + 0.0031 | — 0:078 | 486 33) 0.7 0.7 | - 0.0020 | — 0.086 ELLE" 0.087, 831 | 8.9 | 29 1:24 | 44 34 17.1 | 5.31 | — 0.0044 | — 0.006 | 483 84 | 1.0 1.0 | | 0.0038 | + 0.001 | 486 291 0.7 0.7 | — 0.0059 | — 0.008 490 2 | 0.2 0.2 | | — 0.0042 | — 0.004 12.9 1.9| 0.054 832 | 10.6 | 18.45 | 40 43 23.7 | 5.32 — 0.0383 | — 0.483 | 481 58| 0.8 1.0 | | — 0.0380 | — 0.458 484 28| 1.0 1.0 .— 0.0348 | — 0476 488 3| 0.2 0.2 | — 0.0378 | — 0.471 | | 2.0 2.2| 0.643 833 | 9.5 | 26.60 | 43 50 17.6 5180: Anne — 0.012 | 482 90, 0.5 0.5 + 0.0001 | + 0.042 486 7| 0.7 0.7 | + 0.0069 | + 0.045 | 489 10.101 | + 0.0003 | + 0.021\ 131.3 0.022 834| 9.1| 28.68 | 39 35 33.5 | 5.31 | + 0.0034 | — 0.022 | 484 31| 1.0 1.0| 0.039 835 | -8.8 | 31.91 | 41 46 47.0 | 5.32 | — 0.0020 | — 0.007 | 481 59| 0.5 0.6 | — 0.0039 | — 0.016 | 485 42| 1.0 1.0 — 0.0024 | — 0.026 | 488 11 0.2 0.3 | | — 0.0032 | — 0.015 1.7 1.9| | 0.047 836| 8.4 37.26 | 44 10 47.0 | 5.30 | + 0.0022 | — 0.024 | 483 89) 0.4 0.4 | | + 0.0030 | — 0.015 | 486 40| 0.7 0.7 | + 0:0023 — 0.022. 490 3| 0.3 0.3 | | + 0.0026 | — 0.019 1.4 1.4| 0.027 837 | 9.9 | 44.84| 3913 5.4 | 5.31 | + 0.0009 | + 0.008 | 484. 33, 1.0 1.0| 0.009 | 838 | 8.6 48.45 | 42 11 25.1 | 5.32 | — 0.0014 | + 0.002 | 482 94 | 0.4 0.4 | | —0.0022 | + 0.006 | 485 46 | 1.0 1.0 | | — 0.0018 | — 0.019 489 5| 0.2 0.2 | | — 0.0020 | + 0.002 (4.6 1.6) 0.030 839 | 8.7 | 3038.41 | 46 959.1 | 5.32 | + 0.0052 | — 0.008 487 41| 1.0 1.0| 0.047 840 | 9.4 51.91 | 42 12 56.6 | 5.32 | + 0.0012 | — 0.002 | 485 53 1.0 1.0 | - 0.0010 | + 0.007 489 10 | 0.4 0.4 | + 0.0011 | + 0.001 1.4 1.4| 0.004 | 841| 8.7| 3X 2.8L1| 4315 46.8 | 5:30 | + 0.0088 | — 0.027486 45| 0.7 0.7 | | + 0.0086 | — 0.024 489 11, 0.7 0.7 | | + 0.0087 — 0.026 1.4 1.4| 0.092 | 842| 8.8 3.33 | 42 51 50.4 | 5.32 | — 0.0056 | — 0.012 | 485 60 | 1.0 0.8 | — 0.0073 | — 0.015 | 489 15| 0.7 0.7 | — 0.0063 | — 0.013 In2:2: 5:8:|. :0.029 843 | 11.1 11.61| 39 9 11.2 | 5.31 | — 0.0006 | — 0.077: 484 43| 1.0 0.8| 0.079 844 10.1 17.17 | 39 45 19.9 | 5.31 | + 0.0408 — 0.387 | 484. 42| 1.0 1.0| 0.603 845 | 8.3| 38.16 42 35 30.7 | 5.32 | + 0.0059 —0.052 | 485 64| 1.0 1.0 i + 0.0051 — 0.062 | 489 181:0.7 0.7 - 0.0056 — 0.056 1925127. 15:10:02 251 | 846| 7.6| 51.7246 41 48.8 | 5:32. | + 0.0197 | —0.052| 487 44| 1.0 1.0| 0.133 Aus = — 0.0007.5 3 ,48°, 276.6 106.5 260.5 191.0 129.9 136.6 113.1 154 RAGNAR FURUHJELM. 2 a [) E Région | : N:0n Gur: 1980.0 1900.0 — 18994| — "^ PX et m |, "BONOS | pss. AM Hans o ; » 8 7 | o 847 8.9 |11 31 52.36 41 030.7 5.32 | — 0.0046 | +,0.040 484 46 0.6 0.3 | | — 0.0080 4- 0.005 485 73) 0.6 0.3 — 0.0067 | + 0.005 | 488 16 1.0 1.0 | — 0.0065 | + 0.012 | 2,2 1.6| 0.083 | 278.3 848. &8| 52.88 | 41 39 25.8 | 5.32 0.0035 | + 0.012 | 485. 70| 1.0 1.0 | | + 0.0045 | — 0.008 | 488 14 1.0 1.0 | + 0.0040 | + 0.002 2.0:2.0| 0.037 \ 87 849 | s.8| 32 24.95 | 40 41 55.7 | 5.32 | + 0.0060 | + 0.015 |484 51 | 1.0 1.0 - 0.0048 | + 0.006 | 488 23| 1.0 1.0 + 0.0054 | + 0.010 | | 2.0 2.0| 0.054| 79.3 850 | 11.1 29.48 | 45 51 30.2 | 5.32 0.0098 | — 0.038 | 487 47| 1.0 1.0| 0.117 | 251.0 851 9.2 29:90) 4223 5.0 | 5.32 | - 0.0078 | — 0.183 | 485. 74| 1.0 1.0 | 0.0050 | — 0.177 489 2810.7 0.7 | | + 0.0066 | — 0.181 | 1:7 1.7| 0.192.\ 160.3 8529 31.65 4328 29.5 | 5.30 | + 0.0057 | + 0.024 486 55| 0.7 0.7 | + 0.0053 | + 0.005 | 489 27| 0.7 0.7 \ | + 0.0055 | + 0.014 1.4 14| 0.054| 74.9 853 | 10.5 | 39.76 | 44 47 15.4 | 5.31 | — 0.0068 | + 0.025 486 54 | 0.6 0.6 | — 0.0073 + 0.026 490 8| 1.0 1.0 — 0.0071 | + 0.026 1.6 1/6]0.088] 2892. | 854 | 10.0 43.25 | 40 9 3.3| 5.31 | —0.0004 + 0.002 484 53| 1.0 1.0 | | — 0.0019 | + 0.030 488 24| 0.9 0.7 0.0011 + 0.013 1.9 1.7| 0.025 | 302 899 | 10:2 58.30 | 40 30 19..1| 5.32 | — 0.0055 | + 0.004 | 484 521.0 1.0 — 0.0074 + 0.040 | 488 30| 1.0 1.0 | — 0.0064 | 4- 0.022 2.0 2.0| 0.085 285.0 856 | 8.0| 33 0.66| 39 18 29.4 | 5.31 | + 0.0008 | — 0.008 | 484 57| 0.9 0.9| 0.008 | 166 857 | 4.9| 1.17 | 4410 48.2 | 5.31 | — 0.0117 | — 0.025 486 60) 0.7 0.7 | | — 0.0124 | — 0.064 | 490 12| 1.0 0.9 | — 0.0121 | — 0.047 1.7 1.6| 0.146 | 2512 858| 9.0| 9.09 | 4116 9.3 | 5.32 | + 0.0019 | — 0.061 485 82| 0.9 0.9 + 0.0046 | — 0.070 488 28, 1.0 1.0 | | | | - 0.0033 | — 0.066 | 19 1.9) 0.072 | 156.3 859 | 9.7 10.33 | 39 38 10.4 | 5.31 | + 0.0039 | — 0.085 | 484 60| 1.0 1.0| 0.093 156.5 860 | 10.1 10.80 | 41 57 50.2 | 5.32 | — 0.0061 | + 0.012 | 485 80 | 1.0 1.0 — 0.0048 | + 0.007 | 488 26| 0.7 0.3 — 0.0041 | + 0.013 | 489. 32 | 0.4 0.2 | — 0.0053 | + 0.011 | | 2.3 1.5| 0.067)| 279.3 861 | 8.0 28.46 | 45 39 40.6 | 5.32 | — 0.0530 | + 0.004 | 487 56 | 1.0 1.0 | | — 0.0575 | + 0.012 | 490 15| 1.0 1.0 | | — 0.0553 | + 0.008 | |2.0 2.0| 0.587 | 270.8 | 862 6.0 29.45 | 45 39 42.6 | 5.32 | — 0.0550 | + 0.011 | 487 55| 1.0 1.0 | | — 0.0565 | + 0.016 490 14/ 1.0 1.0 | — 0.0557 | + 0.014 | 2.0 2.0| 0.592 | 271.8 863'| 10.3 | 36.05 | 46 41 22.1 | 5.32 | — 0.0029 | — 0.001 | 481 50| 0.9 0.9| 0.038 | 268 | 864|. 7,8 38.52 | 41 41 52.4 | 5.32 | — 0.0070 | — 0.037 | 485 86 | 1.0 1.0 | — 0.0060 | — 0.067 | 488 32| 1.0 1.0 | | — 0.0065 | — 0.052 | 2.0 2.0| 0.095 | 237.0 | 865 8.7 39.28 | 41 44 5.7 | 5.32 | — 0.0055 | — 0.043 | 485 85, 1.0 1.0 | — 0.0047 | — 0.048 488 31| 1.0 1.0 — 0.0051 | — 0.046 | 2.0 2.0| 0.080 234.7 À u, = — 0.0007.5 à 43°. Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. ES a d E Région Led | Ne Ga 1900.0 1900.0 — 1890.4 beg a keanıd OISE (abe:) P | |h m s | our P s 7 " o 866 | 9.2 113339.52 | 43 32 48.5 | 5.30 | + 0.0037 | — 0.053 | 486 65 | 0.7 0.7 + 0.0030 | — 0.056 489 38 0.7 0.7 | | 4- 0.0034 0.054 | 1.4 1.4| 0.061| 152.6 8573171819 41.06 | 42 52 12.0 | 5.31 | — 0.0101 | + 0.470 | 485 83| 0.6 0.5 — 0.0091 + 0.476, 489 39, 0.7 0.7 | — 0.0096 | + 0.474 1.3 1.2| 0.486 | 346. 868 | 9.3 | 46.17 | 4115 2.4 | 5.32 + 0.0002 N 0.106 | 485 88. 0.7 0.7 | | + 0.0036 | — 0.135 | 488 36| 1.0 1.0 | + 0.0022 | — 0.123 8787209 8/2 RIT E220 PRI 869 8.0 41.18 | 44 51 28.6 | 5.31 | — 0.0184 | + 0.077 | 486 62, 0.4 0.3 | | — 0.0209 | + 0.070 | 490 27 | 1.0 1.0 | | | — 0.0202 | + 0.072 | 1.4 1.3| 0.234 | 987. 870 | 10.8 | 48.29 | 44 28 9.8! 5.31 | + 0.0094 | + 0.003 | 486 71| 0.7 0.7! | | | | + 0.0062 | — 0.009 | 490 29| 1.0 1.0 | | + 0.0075 | — 0.004 | 1:21.20 0:073: | 15:192 871| 9.7 | 57.49 | 39 37 40.7 | 5.31 | + 0.0027 | + 0.006 | 484 66| 0.9 1.0| 0.024 75 872 | 10.0 | 57.91 | 4439 7.0 | 5.31 | — 0.0062 | — 0.014 | 486 70 | 0.6 0.6 | | — 0.0062 | — 0.002 | 490 28) 1.0 1.0 | | | | — 0.0062 | — 0.006 1.6 1.6| 0.074 | 265 | 873| 8.1) 3423.73 | 45 4248 5.82 + 0.0013 | — 0.027 | 487 66 0.4 0.3 5.85 | + 0.0013 | — 0.001 | 490 33 | 1.0 1.0 — 0.0001 | + 0:007 | 494 6| 0.101 + 0.0012 | — 0.006 1.5 1.4|-.9.008 | 140 874 | 0.9 28.93 | 45 42 39.3 | 5.91 | + 0.0050 | — 0.007 | 487 65 | 0.9 1.0 0.015 | 106 | | | | 6.36 | + 0.0005 | — 0.008 | 490 32 1.0 1.0 | | | — 0.0027 | + 0.011 | 494 5| 0.2 0.4 | | + 0.0021 | — 0.004 2.1 2.4 875 | 10.6 30.87 | 39 50 37.8 | 5.3E | — 0.0098 | + 0.062. 401 3 0.8| 0.1384 | 297. 876 | 89 34.24 | 40 57 54.2 | 5.32 | — 0.0041 | — 0.047 | 484 67 — 0.0118 | — 0.049 | 485 94 | — 0.0067 | — 0.048 | 488 | — 0.0145 | + 0.005 491 1 | | — 0.0074 | — 0.014 492 4, | | | — 0.0079 | — 0.038 | | 877 10.0 42.83 | 39 18 43.2 | 5.31 | + 0.0014 | — 0.085 | 484 69 fer bo 0.105 | 248.8 | | | — 0.0048 | —0.033| 491 4) | | | | — 0.0007 | — 0.065 878 | 10.3 53.99 | 4217 4.4| 5.32 | —0.0103 | — 0.086 485 93 | —0.0072 — 0.097 | 489 48 — 0.0082 | — 0.058 | 492 6 | | — 0.0086 | — 0.080 879 | 11.0 54.56 | 42 16 41.6 | 5.31 | —0.0012 | — 0.041 485 — | | 0.0000 | — 0.027 | 489 47 | SS | 0.067 | 193.8 > 0.130 | 232.: | | + 0.0050 | + 0.008 | 492 — | | 4- 0.0009 | — 0.021 880 | 9.6 57.84 | 4141 6.9| 5.32 | + 0.0008 | — 0.002 | 485 96 | + 0.0022 | + 0.013 | 488 40 + 0.0017 | + 0.006 0.021 | „177 Hrsnsss=ss>s 0.013 | 64 | | Au, = — 0.0007.5 à 43°, OU © Qt D I I DA -3 I © ES HF Oo D D © D D D somMosoHoo Qt Oo L9 D © t9 bo Co N:o 1, 156 RAGNAR FURUHTELM. I Ó E Région IN: i. a | ids a eos | 1900.0 1900.0 — 1890 P lá etae | FOIS dre (abs-) P nem s Os ipis Lnd 881 | 10.5 |11 35 2:84 | 41 24. 9.5 | 5:32 + 0.0008 | — 0.014 | 492 10 0.4 0.5 | 0.0002 | — 0.041 | 1.8 2.0| 0.043 |. 195 882| 9.2 3.46 | 41 24 16.2 | 5.32 | + 0.0024 | — 0.018 | 485 97| 0.4 0.5 + 0.0054 | — 0.028 488 44| 1. + 0.0064 | + 0:014, 492 ' 9| 0.4 0.5 | + 0.0050 | — 0.015 | 1.8 2.0 | 0.050 | 108 883 | 10.2 4.02 | 42 55 24.6 | 5.32 | + 0.0059 | — 0.001 | 485 — | 0.2 0.2 + 0.0043 | — 0.013 | 489 49| 0.7 0.7 í + 0.0020. + 0.009 | 492 11| 0.2 + 0.0042 — 0.007 1 884 | 10.5 24.42 | 41 43 21.3 | 5.32 485 99| 0.3 0.6 0.039 | 100 | — 0.0023 — 0.050 | — 0.0021, — 0.051 | 488 43 | 1.0 1.0 — 0.0037 | — 0.027 | 492 1210.8 1.0 — 0.0039 | — 0.047.| 485 — | 0.4 0.5 + 0.0008 | — 0.052 488 45 | 1.0 1.0 | | — 0.0027 | — 0.042 | 2.1 2.6| 0.057 | 222.9\ 885 | 10.4 25.64 | 45 42 57.6 | 6.71 | — 0.0026 | + 0.002 |487 68 | 0.5 0.8 | 6.75 | — 0.0076 | — 0.009 494 9| 0.5 0.6 | | — 0.0057 | + 0.001 | | 2.0 2.4| 0.068 | 270.8 886 | 8.4 27.06 | 46 41 33.3 | 7.98 | —0.0054 | — 0.022 | 487 67, 0.4 0.6 | 7.50 | — 0.0060 | + 0.024 | 494 8| 0.4 0.4 | | —10.0057 | — 0.004 0.8 1.0| 0.067 | 266.1 887| 9.5 31.38| 44 50 47.2 | 5.31 | — 0.0009 | — 0.005 486 77| 0.2 0.2 | — 0.0015 | — 0.004 490 40! 1.0 1.0 | | — 0.0041 | — 0.019 493 4) 0.3 0.3 | | | — 0.0019 | — 0.007 15 1.5| 0.080 25? 888 10.7 46.30 | 46 21 14.9 | 9.31 | + 0.0016 | — 0.140 487 —| 0.3 0.5 | | | + 0.0049 — 0.089 494 11, 0.6 0.6 | | | + 0.0038 | — 0.112 | 0.9 1.1| 0.116 | 164.5 889| 8.7 54.35 | 4135 2.5 | 5.32 | — 0.0014 | — 0.020 488 50; 1.0 1.0 — 0.0017 | + 0.024| 492. 16 — 0.0015 | + 0.002 | 1.8 2. — 0.0020 | + 0.019 | 489 55, 0 —.0.0077 | — 0.007 | 493 91 0 — 0.0048 ' + 0.006 47} 0 il | 0.025 | 274 890, 10.0. 36 8.82 | 43 47 19.0 | 5.30 0.061 | 275.6 | 891 | 9.8 18.34 | 40 747.2 | 5.32 | — 0.0038 | + 0.062 | 488 52 — 0.0061 | + 0.039 491 8|1. | | — 0.0050 | + 0.049 | | 1.9 1.8| 0.081, 307.0 | + 0.0056 | — 0.064 | 488. 53| 1.0 0.9 | | + 0.0044 | — 0.027 | 492 22| 1.0 1.0 + 0.0050 | — 0.045 | 2.0 — 0.0006 | — 0.003 | 489 62 | 0.7 + 0.0012 | — 0.008 | 490 49| 1.0 — 0.0008-| — 0.047 | 493 19 + 0.0004 | — 0.024 | — 0.0044 | — 0.034 | 490. 48 | — 0.0062 | — 0.068 | 493 18| — 0.0051 | — 0.047 | | 892 | 6.6 | 21.91 | 4t 47:36.0 | 5.32 0.065 | 133.7 0.015 | 259 0.024 | 189 895 | 10.0 59.08 | 44 43 35.7 | 5.31 Here VIT ES I Horwmomrom O0» 0 --10-: 0.079 | 233.3 | D | — 0.0063 | + 0.007; 490 37 | 1.0 1.0 A x = — 0.0007.5 à 43°. Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la N:o | Gr. | 896 801 898 899 900 901 902 903 904 905 906 907 908 909 910 911 912 913 10.5 1900.0 8.46 10.62 9.74 36.86 | 51.56 | : 40 10.79 13.62 | Ó 1900.0 45 11 24.8 3945 9.4 43 23 55.4 3910 9.2 44 7 1.0 42 16 40.0 39 50 6.0 15. 2 41.7 44 31 27.9 42 31 42.1 NO | M890--| — Me a 5.31 | — 0.0048 | + 0.057 | — 0.0058 | 4- 0.021 | — 0.0056 | + 0.027 5.31 | — 0.0157 | + 0.058 | — 0.0128 | + 0.026 | 0.0141 | + 0.039 5.31 | — 0.0130 | + 0.050 | — 0.0147 | + 0.031 — 0.0139 | + 0.039 7.21 | — 0.0063 | + 0.001 6.96 | — 0.0073 | — 0.001 — 9,0070 | + 0.000 5.311 — 0.0131 | + 0.085 5.30 | — 0.0007 | — 0.061 — 0.0046 | — 0.056 — 0.0026 | — 0.058 5.31 | — 0.0084 | — 0.039 | 5.31 | — 0.0024 | — 0.053 —0.0034 | — 0.073 — 0.0029 | — 0.065 | 5.32 | + 0.0005 | — 0.005 -- 0.0015 | — 0.019 + 0.0011 | — 0.014 5.31 | + 0.0021 | + 0.012 6.60 | — 0.0157 | + 0.052 | 6.23 | — 0.0166 | + 0.043 — 0.0163 | — 0.007 — 0.0134 | 4- 0.012 — 0.0158 | + 0.033 5.32 | — 0.0071 | — 0.232 — 0.0073 | — 0.247 — 0:0072. | — 0.239 5.32 | + 0.0046 | — 0.007 5.31 | — 0.0004 | — 0.056 — 0.0026 | — 0.065 + 0.0060 | — 0.103 + 0.0006 | — 0.076 5.31 | — 0.0076 | + 0.079 — 0.0078 | + 0.007 — 0.0054 | + 0.026 — 0.0070 | + 0.039 | 5.31 | — 0.0003 | — 0.040 5.30 | + 0.0037 | — 0.054 — 0.0008 | — 0.020 + 0.0005 | + 0.007 + 0.0003 | — 0.019 | 5.32 | — 0.0074 | — 0.015 — 0.0033 | + 0.009 — 0.0025 | + 0.029 — 0.0038 | + 0.010 9.31 | + 0.0007 | + 0.021 | Au, = — 0.0007.5 à 43°. zone de Helsingfors. Region et N:o 488 491 488 491 488 491 490 494 491 489 493 491 490 493 489 492 491 490 | 493 494 497 488 492 492 490 | 493 497 490 493 497 | 491 489 493 496 489 | 492 | 496 494 61 15 60 14 59 13 46 14 16 67 21 6 | ol Poids 152122. 0.6 ulabs.) | 0.077 0.175 | 0.172 0.082 0.179 0.069 0.113 0.076 0.015 0.020 | 0.179 0.255 0.041 0.076 | 0.093 0.042 0.020 | 0.052 0.021 290.4 | 282.4 283.1 270.0 298.3 212.5 249.8 | 211.0 195 Gr 915.) 8.7 916 10.7 917 | 10.8 918 | 9.2 919 | 9.1 920 | 8.6 | 921 | 9.4 922 | 9.6 923 | 10.7 924 | 10.3 925| 8.4 926 9.4 | 927 | 8.6 928 | 10. 929 | 10.8 930 | 10.4 931 | 8.0 932 | 9.0 | | 933 | 10.9 | 934 10.9 935 | B a d E 1900.0 1900.0 — 1890-- Ti Me hom 18 5 T MTS TR dc SP EP ER AE EN: 5 | » a1 4015.52 | 46 9 38. 1| 9.31 | + 0.0008 | + 0.029 38.13 | 39 23 48. 1 5.31 | + 0.0012 | — 0.006 39.65 | 41 51 17.2 | 5.32 | — 0.0033 | + 0.005 54.64 | 44 30 40.0. 5.32 | + 0.0027 | + 0.032 | + (01 0011 — 0.013 + 0.0028 | + 0.011 + 0.0021 | + 0.004 | 41 4.72 | 39 53 1.7 | 5.31 | + 0.0059 | — 0.091 29.91 | 49 54 4.0 | 5.32 | + 0.0001 | — 0.092 | + 0.0008 | — 0.064 | + 0.0004 | — 0.078 29.61 | 40 38 26.3 | 5.32 t 0007 | — 0.093 | — 0.0002 | — 0.071 | — 0.0004 | — 0.082 | 42 7.31 | 42 47 38.4 | 5:32 | — 0.0026 | — 0.002 | | — 0.0011 | — 0.013 | — 0.0020 | — 0.007 11.68 | 49 13 29.3 | 5.32 | — 0.0097 | + 0.013 | wi — 0.0075 | + 0.032 | | — 0.0088 | + 0.020 | 14.46 | 44 47 31.1 5:32 | — 0.0072 | + 0.041 | — 0.0031 | + 0.025 | — 0.0048 | + 0.031 15.49 | 40 29 2.2 | 5.32 | + 0.0057 | — 0.017 | + 0.0064 | + 0.006 + 0.0060 | — 0.006 21.80 | 43 16 22. 0| 5.31 | — 0.0006 ' + 0.003 | | + 0.0034 | — 0.021 | + 0.0014 | — 0.010 35.44 | 46 14 26.1 | 9.31 | + 0.0069 | + 0.001 50.21 |-40 42- 5.6 | 5.32 | + 0.0012 | — 0.016 | + 0.0002 | + 0.019 | + 0.0007 | + 0.002 53.28 | 42 4 14.8 | 5.32 | + 0.0030 | — 0.094 43 8.78 | 42 50 21.9 | 5.32 | — 0.0097 | — 0.071 | — 0.0064 | — 0.039 | — 0.0080 | — 0.054 19.47 | 41 1138.1 | 5.32 | + 0.0034 | — 0.016 | + 0.0021 | — 0.031 | +:0.0027 | — 0.025 29.45 | 40 10 21.1 | 5.32 | — 0.0033 | — 0.002 — 0.0021 | + 0.042 | | | — 0.0027 | + 0.018 58.17 | 43:32 44.3 | 5.31 | — 0.0055 | + 0.080 | | — 0.0065 | + 0.049 | | | — (0.0060 | + 0.064 58.44 | 45 45 43.2 | 9.31 | — 0.0014 | + 0.041 | | — 0.0044 | + 0.006 | | | — 0.0032 | + 0.020 44 3.31| 39 32 39.1 | 5.31 | + 0.0035 | — 0.058 | A u. = — 0.0007.5 à 43°. R AGNAR FURUHJSELM. I Région | et N:o 494 491 492 490 493 497 491 492 496 491 495 492 496 492 496 493 497 491 495 493 496 494 491 495 492 492 496 492 495 491 495 493 496 494 497 491 Poids 0.6 1.0 1.0 0.2 0.7 0.9 1.8 1.0 0.9 0.7 0.6 1.0 1.0 0.2 0.7 1.0 419 1.0 0.7 0.7 1.4 1.0 1.0 2.0 0.8 0.029 2 0.008 | 135 0.045 | 27 0.016 0.109 0.078 0.083 0.031 0.108 0.067 0.062 | 95.5 0.012 | 0.063 | 0.000. 0 0.098 0.110 0.033 | 0.043 0.098 | 0.046 0.066 280.7 | 297.7 ni ec Se Tom. XLVIIL. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 159 [44 Region ) | 2e ond 1900.0 1900.0 — 1890-- ef i ot Nro. |. E dei | (abs) P mens o » | o 936| 89 1144 9.26 | 4517 47.1 | 7.22 | +0. 0.0031 | — 0.022 | 494 55 | 0.4 0.4 +. 0.0024 | — 0.019 | 497 22| 1.0 1.0 | + 0.0026 | + 0.027 1501 | 2| 0.1 0.1 | | 4 0.0026 | — 0.017 |1.5 1.5| 0.026 | 130 937 | 9.0 37.57 | 40 57 33.3 | 5.32 | —0.0015 | — 0.021 | 491 65| 0.2 0.2 | | — 0.0033 | + 0.053 | 492 87| 0.2 0.2 | | | — 0.0016 | + 0.022 | 495 41| 1.0 1.0 | | — 0.0045 | — 0.002 | 498 1| 0.2 0.2 | | — 0.0022 | + 0.018 | | 1.6 1.6| 0.037 | . 299 | 938| 9.3) 17.54 | 43 12 50.6 | 5.31°| — 0.0063 | + 0.015 | 493 71| 0.4 0.4 | | | | — 0.0016 | — 0.007 | 496. 36 | 0.7 0.7 | | —0.0021 | + 0.075 500 5| 0.2 0.2 | | | —0.0031 | + 0.012, 1.3 1.3| 0.044 | 286 939| 7.7 | 50.09 | 43 16 38.9 | 5.31 RET 0073 | — 0.051 493 70 0.5 0.4 | | N) 0031 — 0.048 496 35| 0.7 0.7 | | | — 0.0042 | — 0.009 |500 4| 0.3 0.3 | | | | | — 0.0043 | — 0.040 1.3 1.4| 0.068 | 234.0 | 940 | 8.3 59.22 | 39 20 50.3 | 5.31 | — 0.0068 | — 0.038 | 491 69) 0.3 0.3 | | — 0.0123 | — 0.074 | 498 4| 0.3 0.3 | | — 0.0096 | — 0.056 | 0.6 0.6| 0.131 | 244.6 941 | 9.8| 4510.52 | 42 31 12.7 | 5.32 | — 0.0048 | — 0.028 1492 88| 0.4 0.6 | | — 0.0038 | — 0.001 | 496 42| 0.7 0.7 | | — 0.0030 | — 0.020 | 499 5| 0.5 0.7 | | | — 0.0038 | — 0.016 | 1.6 2.0| 0.052 | 252.3 | 949 ^ 7.9 | 29.07 | 44 12 56.1 | 5:31 | + 0.0034 | —0.029| 493 72| 0.3 0.5 | + 0.0023 | — 0.025 | 497 28 | 1.0 0.9 | | | | +0: 0055 | — 0.017 1500 8| 0.6 0.7 | | | | + 0.0035 | — 0.023 | 1.9 2.1| 0.037 | 128 | 943| 9.0. 30.80 | 43 47 17.4 | 5.30 | — 0.0007 | — 0.059 | 493. 74 | 0.2 0.5 | | | — 0.0002 | — 0.110 | 496 46 | 0.7 0.6 | — 0.0009 | — 0.043 | 500 9| 0.6 0.7 | — 0.0005 | — 0.070 | 1.5 1.8| 0.071 | 190.5 944 | 10.5 | 54.78 | 44 43 42.0 | 5.32 | + 0.0029 | + 0.016 497 32, 1.0 1.0 | | | — 0.0023 | + 0.060 | 500 10 0.5 0.5 | | | + 0.0012 | + 0.031 1561.5|.,0.031.W, 20 945 | 9.9 57.98 | 44 42 55.9 | 5.32 | + 0.0022 | — 0.001 | 497 33| 1.0 1.0 | ‘AU | + 0.0048 | — 0.017 | 500 11 0.5 0.5 | | | + 0.0031 | — 0.006 4.5 1:5 | 0.025 | 104% | 946 |10.0| 46 3.08| 4110 2.2, 5.32 | — 0.0031 — 0.053, 495 49 1.0 1.0 | | | — 0.0031 | — 0.042 | 499 11, 0.5 0.5 | | | — 0.0031 | — 0.049 1.5 1.5| 0.065 | 221.3 | | 947 | 10.3 | 6.70 | 46 58 53.4 | 9.31 | + 0.0049 | —0.057| 501 7|0.20.1| 0.071 | 143.0 | | 948 | 10.6 | 25.04 | 45 56 19.7 | 9.31 | + 0.0001 | — 0.031497 — | 0.8 0.5 | | | | — 0.0044 | — 0.022 | 501 12 0.6 0.6 | | | — 0.0018 | — 0.026 | 1.4 1.1| .0.037,\ 226 | 949 | 10.9 | 39.77 |'46 1 18.0 | 9.31 | + 0.0037 | + 0.035 497 — | 0.6 0.3 | | | | — 0.0015 | — 0.008 | 501 11| 0.6 0.6 | | + 0.0011 | + 0.006 | | 1.2 0.9| 0.007 27 950 8.6 40.84 | 45 11 28.0 | 7.10 + 0.0014 | — 0.007 | 497 39| 1.0 1.0 | ne 4-0.0017 | 40.007 501 14, 0.5 0.4 | + 0.0015 | — 0.003 1.5 1.4| 0.009 | 111 I u, = —0:0007.5 à 43°. 160 RAGNAR FURUHJELM. Ha | Us pt Poids | w(abs.) | p |44 858.4 | 5.31 [Re] LS wr e — 0.0011 | — 0.017 | 496 5t — 0.0011 | + 0.013 | 499 12 | 0.5 + 0.0030 | + 0.065 | 500 28 | 0.2 SN & 1 CG -1 D ocs-ecc — 0.0005 | + 0.005 M LE Dr es 0.015 | 290 953| 9.7| 4714.32 | 45 56 42.5 | 7.67 + 0.0045 | — 0.042 | 497 42 | 0.7 0.4 + 0.0061 501 19) 0.6 0.6 | | + 0.0052 | — 0.035 | 13 1.0| 0.059 | 126.7 954 | 9.5. 15:04 3937 9.2 5.31 | — 0:0025 | — 0.019 | 498 9| 1.0 1.01 0.042 | 244 > 955 | 8. — 0. wis — 0.115, 495 62 | 1.0 1.0 27.48 | 40 41 26.4 | 5.32 | | — 0.0077 | — 0.121 | 498 12|1.0 1.0 210) 0072 — 0.118 2.0 2.0 5.32 | — 0.0101 | — 0.091 | 495 63| 0.5 0.3 Le L 0.148 | 217.3 956 |- 87 | 41.36 | 41 58 59.2 | | | — 0.0089 | — 0.060 | 496 62 0.3 0.2 | — 0.0090 | — 0.081 | 499 23| 1.0 1.0 — 0.0093 |. — 0.080 | 11812511 05138210, 33405 957 10.4 | 51.89 | 40 40 17.1 | 5.32 | — 0.0032 | — 0.006 | 495 67| 1.0 1.0 | | — 0.0042 | — 0.002 | 498 16 | 1.0 1.0 | — 0.0037 | — 0.004 2.0 2.0| 0.050 | 265 Mal 57.15 | 44 + 0.0007 | —0:012| 497 52| 0.8 0 958 950.2 | 5.31 I 5 + 0.0067 | — 0.015 | 500 32 u | no 1 | I = + 0.0035 | — 0.014 | 0 1 0.033 115 + 0.0008 | — 0.055 | 496 70! 0. il 959 | 10.8 | 4814.89 | 42 41 45.5 | 5.32 + 0.0020 | — 0.055 | 499 26 | 1. + 0.0015 | — 0.055 | 0.7 0.7 0.056 170.9 960 39:05 | 41 28 17.2 | 5.32 — 0.0121 — 0.040 | 497 41, 1.0 | — 0.0071 | — 0.068 | 500 200.7 0. — 0.0100 | — 0.053 | | 1,7 1.51. 0.198 | 245.6 Mi 5 Re | — 0.0033 | — 0.083 | 495 : 70 1.0 1.0 | | — 0.0027 | — 0.093, 499 30 | 1.0 1.0 | | — 0.0030 | — 0.088 | | 2.0 2.0| 0.098 | 205.5 961 | 8.4 45.03 |-45 17 28.7 | 7.32 | + 0.0018 | — 0.001 | 497 5311.0 1.0 | | + 0.0036 | — 0.021 | 501 31 0.6 0.6 + 0.0025 | — 0.009 | 1.6 1.6| 0.020 |. 116 962 9.8 19.90 | 45 11 18.6 | 7.14 | — 0.0073 | — 0.058 | 497 56| 1.0 1.0 | | | (6.92 | — 0.0073 | — 0.064 | 501 32) 0.6 0.5 — 0.0100 | — 0.064 |504 1| 0.2 0.2 | — 0.0076 | — 0.060 | | 1.8 1.7| 0.107 286.7 963| 10.8 |. 49 8.57 | 44 39 56.7 | 5.29 | + 0.0076 | + 0.122 | 497 — | 1.0 1.0 | | + 0.0092 | + 0.121 [500 47 0.7 0.7 | | | + 0.0083 | + 0.122 | 1.2. 1.71 0.146: 138.2 964| 9.2 17.06 | 46 54 45.7 | 9.31 | — 0.0028 | — 0.181, 501 331 0.9 0.6| 0.185 | 191.6 965 10.5. 11.25 | 39 35 10.3 | 5.31 | + 0.0033 | — 0.045 498 29) 1.0 1.0| 0.054 | 146.3 966 | 7.0| 53.87 |47 159.4| 9.31 | + 0.0084 | — 0.006 501 40 0.4 0.2| 0.078 | 94.4 | 967 | 9.7 | 55.55 | 4118 12.1 | 5.32 | —0.0071 | + 0.023 495 74 0.5 0.8 | — 0:0061 | + 0.032 | 499 41| 1.0 1.0 —0.0071 | + 0.023 |502 210.4 0.8 — 0.0066 | + 0.026 | | 1.9 2.6| 0.086 | 287.6 968 | 7.2 59.44 | 47 133.4 | 9.31 | + 0.0091 | — 0.023) 501 39) 0.4 0.21 0.088 105.1 | | | | | | ES | | À ta = — 0.0007.5. à 43°, Tom, XLVII, Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 161 | | ( Ó E Region : | E i 1900.0 | 1900.0 — 18994| He Hp. Cos enda Isalabs. uo «RP | |n m s | "MR | 8 | " | o | 969| 8.6 1150 2.97|42 932.8 | 5.32 0.0057 | — 0.069 | 496 78, 0.2 0.2 | | — 0.0037 | — 0.079 | 499 43 | 1.0 1.0 | — 0.0029 | — 0.021| 503 — 5| 0.2- 0.2 | — 0.0039 | — 0.069 | 1.4 1.4| 0.086 |. 21. 970 x 7.3) 11.36 | 3918 51.0 | 5.31 | + 0.0077 | — 0.054| 498 36| 1.0 1.0| 0.097 | 123.7 | 971| 9.9| 27:40 | 3930 6.8 | 5.31 | + 0.0024| - 0.042| 498 38| 1.0 1.0| 0.047 | 154 972 | 10.5 34.34 | 42 17 35.2 | 5.32 | —0.0265 | — 0.081] 499 48| 1.0 1.0| 0.313 | 255.0 973) 7.4 53.03 | 41 12 19.5 | 5.32 | — 0:0010 | — 0.063 | 499 51 | 1.0 0.9 — 0.0007 | — 0.037 | 502 9 0.9 1.0 — 0.0009 | — 0.049 1.9 1.9| 0.052 | 200.1 |- 974. 11 53:9 |46 9 2. |9:31:| — 0:0039 | 20:047 | 501 1= | 0.6 0,6|. 0.068 | 313.8 | 975 8.5 55.48 46 6. 8.6| 9.31 | + 0:0019.| — 0.020 | 501 45| 0.6 0.61 0.023 | 149 | 976| 8701 51.31.89 | 43 2 27.0 | 5.31 | — 0.0011 | + 0:0141499 541 0,5 0.3 + 0.0014 | + 0.015 | 500 64 0.6 0.4 — 0.0034 | + 0.021 | 503 12| 0.7 0.7 — 0.0012 | + 0.018 1.8 1.4. 1 [ ) 0.028 | 311 5 0.133 | 267.0 | : | | + 0.0010 | + 0.017 |503 13. 0.5 0.: + 0.0032 | — 0.010 | 1.2 10| 0.028 | 111 | 977 | 91 32.29 | 45 57 20.9 | 5.33 | —0:0120 | ——0.007| 504 110.5 0. 978|:.9.2| 52 6.09 |43 55 18.1 | 5.30 | + 0.0047 | —0.021|500 65, 0.7 0. | 0 | 979| 6.4 6.17 | 4054 8:8 | 5.32 | — 0,0086 | — 0.062 | 498 45| 0.9 0.6 | | | — 0.0122 | — 0.086 | 502 20 | 1.0 1.0 | — 0.0105 | — 01077 21.9 1.6| 0.148 || 238.8 980| 9.2 11.55 | 39 21 10.4 | 5.31 | + 0.0028 | — 0.015 | 498 51| 1.0 1.0| 0.029 | 121 981. 84 | 15.11 | 41 28 48.4 | 5.32 | — 0.0050 | — 0.002 | 499 63, 1.0 1.0 | | — 0.0054 | + 0.014 | 502 191 1.0 1.0 — 0.0052 | + 0.006 | 2.0:2.0| 0.066 | 275.2 982 | 10.8 | 18.92 | 42 48 23.75.32 | 0.0010 — 0.061, 499 60 1.0 0.8 | | | | + 0.0011 | — 0.042 503 19| 0.7 0.7 | | + 0.0010 | — 0.052 | | 1.7 1.5| 0.052 | - 176.7 983| 9.9 35.23 | 41 49 17.0 | 5.32 | —0.0066 | + 0.016 | 499 62| 1.0 1.0 | — 0.0075 | + 0.019 | 502 22! 0.9 0.7 — 0.0070 | + 0.017 1.9 1.7! 0.089 | 281.0 984| 8.6 38.35 4551 1.6 | 7.42 | + 0.0024 | — 0.055 | 501 63) 0.6 0.6 | | | | 7.54 | + 0.0010 | — 0.045 504 13| 0.9 0.8 | | | + 0.0016 | — 0.049 | | 1.5 1.4| 0.050 | 169 985| 8.7 43.36 | 46 4 5.2| 9.31 | + 0.0025 | —0.001| 501 62| 0.6 0.6| 0.018 93 Jc a ) 986 | 9.6 | 57.83 | 41 127.6 | 5.32 | + 0.0079 | — 0.010 | 498 52| 0.4 0.2 + 0.0017 | —0.002 | 499 701 0.5 0.4 + 0.0032 | — 0.027 502 271 1.0 1.0 | -- 0.0038 | — 0.019 | 1.9 1.6| 0.040 | 119 987 | 10.2 |: 53 4.32 | 43 45 38.7 | 5.30 | + 0.0113 | —0.068| 500 73| 0.7 0.7 | + 0.0092 | — 0.019 | 503 20| 0.7 0.7 -- 0.0103 | — 0.044 | TTD ONT A I LEA 988| 8.4 8.70 45 16 52.5 | 7.32 | + 0.0004 | + 0.089 501 68| 0.6 0.6 | | 7.22 | — 0.0039 | + 0.113 | 504 15! 1.0 1.0 | | | — 0.0023 | + 0.104 1.6 1.6| 0.109 | 342.9 989 | 9.0 11.98 | 42 23 19.3 | 5.32 | — 0.0044 | —0.022| 499 71| 1.0 1.0 | | — 0.0067 | —0.022|503 24| 0.7 0.7 | | | — 0.0053 | — 0.022 TELE 0:0 TAS D ETE 990 | 11.3 | 15.21 | 39 52 31.6 | 5.31 | + 0.0052 | — 0.018| 498 57| 1.0 1.0| 0.055 | 109.1 À uw, = — 0.0007,5 à 43°, N:o 1. 162 RAGNAR FURUHJELM. — 0.0056 | + 0.004 | 503 700.2 0.2 — 0.0037 | + 0.019. 0.5 0.5| 0.053.) 290.8 | | : | « | d | E Région | ; | | | m | Gr. | 1900.0 | 1900.0 |18904- ER P La pt N:o | Poids, |.(abs.] | P | lh: mis len rohr, » 5 ” | | " | o | 991! 9.9 111 54 26.42 | 46 28 21.0 | 9.31.| + 0.0030 | + 0.030) 501 721 0.5 0.6) 0.038 | 38 | | 992 | 10.3 33.02| 39 27 57.9 | 5.31 | + 0.0036 | —0.004| 498 62| 0.6 0.8| 0.084 | 97 | | 993 | 8.8 58.33 13924 8.6 | 5.31 | — 0.0071 | + 0.045 498 64, 0.4 0.5| 0.101 | 296.6 | 994] 10.7 | 55. 8.46| 4811 37.9 | 5:31 |.— 0.0015 | + 0.027 503 36| 0.7 0:7 |. 0:086 | 318. | | 995 | 10.0 11.14 | 45 31 43.8 | 5.99 | — 0.0096 | + 0.042 | 501 77| 0.2 0.3 | | 6.66 | — 0.0041 | — 0.001 | 504 23| 1.0 1.0 | — 0.0050 | + 0.009 12 1.3| 0.069 | 2784 996 | 10.9 19.62 | 49 33 51.0 | 5:31 | —.0.0012 |. + 0.013| 503. 44| 0.7 0.7| 0.025 | 302 | 997 |. 8.8 51.06 | 44 20 54.8 | 5.32 | + 0.0007 | — 0.011 | 500 86| 0.2 0.2 | | + 0.0041 | — 0.038 | 504 251 1.0 1.0 | | + 0.0035 | — 0.033 | 1.2 1.2| 0.045 | 138 998 | 10.4 56 23.55 4147 15.7 5.32 | — 0.0056 | — 0.066 | 502 46| 1.0 0.9| 0.096 | 226.7 | 999 | 8.3 32.99 | 40 8 44.1 | 5.32 | + 0.0048 | — 0.096 | 502. 47| 1.0 0:81 0.107 | 1523.4 | 1000| 4.5| 57 2.45|4336 1.5| 5.31 | — 0.0318 | + 0.098 503 53| 0:7 0.7 p 285.5 | 1001| 9.0 | 17.78 | 42 53 14.9 | 5.31 | — 0.0155 | — 0.134 | 503 58| 0.7 0.7| 0.223 | 233.0 1002| 7.0 25.01 | 43 39 20.8 | 5.31 | — 0.0336 | — 0.486 503 56 | 0.7 0.7| 0.613 | 217501 1003 | 10.4 16.53 | 41 21 19.7. 5.32 | + 0.0059 | — 0.031| 502. 59| 1.0 1.0| 0.066 | 118.1 1004 | 10.9 49.65 | 41 21 20.3 | 5.32 | + 0.0010 | — 0.004| 502 58, 1.0 10| 0.005 | 143 | 1005 | 9.7| 58 4.84 | 44 46 26.6 | 5:33 | + 0.0009 | + 0.017| 504 34 | 1.0 1.0 0.017 | 3% 11006 | 8.9) 10.40 | 40 3 45.3 5.32 | — 0.0007 | — 0.038, 502 68 0.5 0.4 0.041 | 202 | 11007 | 9.8 16.14 | 40.57 33.0 | 5.32 | + 0.0035 | — 0.021| 502 66| 1.0 1.0| 0.037 | 124 1008 | 10.8 | 22.86 | 4197 1.4 5:32 | + 0.0026 | + 0.014 502 64| 1.0 1.0| 0.024 | 55 1009 | 8.7 | 16.00 | 45 25 0.5 | 5.33 | + 0.0008 | — 0.023 | 504 381 1.0 1.0| 0.023 | 178 1010| 9.2| 59 0.72 | 41 58 43.9 | 5.31 | — 0.0025 | + 0.029 | 502.70 | 0.3 0.3 1011 | 8.4 | 6.94 | 45 026.0 5.33 | + 0.0040 | — 0.001 | 504 39 1.0 1.0| 0.035 92 1012| 9.7| 19.50 | 44 29 23,5 | 5.33 | — 0.0105 | + 0.033504 41 0.8 0.9| 0.124 | 285.4 1013| 8.3| 34.62|4354 5.4| 5.31 | — 0.0060 + 0.058 503 68 0.3 0.3| 0.093 | 308.5 1014 | "8.3 12 037.27 | 41 42 20.0 | 5.32 | — 0.0066 | + 0.013 502 73 0.2 0.2| 0.083 | 279.0 | 1015| 8.7 38.08 | 4438 23.2 | 5.33 | + 0.0067 | —0.143| 504. 50 0.3 0.6| 0.157 | 155.9 | 1016| 84| 57.93|4456 0.0 | 5.33 | + 0.0019 | — 0.002 | 504 49| 0.2 0.4| 0.012 | 100 . A ug; = — 0.0007.5 à 43°. Tom. XLVIII. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 163 VI. Remarques générales sur les déterminations des mouvements propres. 1. Precision des déterminations des mouvements propres. Pour déterminer la précision des valeurs définitives des mouvements propres s'offrent deux procédés. D'une part on peut partir des différences entre les résultats de Boss et ceux de l'auteur, qui sont données dans le tableau II p. 100. On obtient ainsi pour les seconds les erreurs probables que j'appellerai ici externes. D'autre part on peut comparer les uns avec les autres les résultats obtenus pour les étoiles appartenant à deux ou plusieurs régions. J'appellerai internes les erreurs probables obtenues par ce procédé. J'ai calculé les erreurs probables externes en tenant compte des poids attribués dans le tableau II aux différences Boss—Hels. Je n’ai pas indiqué, en traitant de la determina- tion des erreurs systématiques, la manière dont ces poids ont été obtenus; j'en rendrai compte ici brièvement. Appelons P, le poids d'un mouvement propre dans le catalogue de Boss, P, la quan- tite correspondante pour mon catalogue. Le poids d'une différence Boss— Hels. s'obtient alors par la. formule (1) p ciu | ot Es Les poids P, sont déterminés de la maniére indiquée plus haut (p. 99); il s'agit done d'abord de calculer P, dans la méme unité. Les erreurs probables des mouvements propres de Boss sont indiquées dans son catalogue pour chaque étoile; on a donc besoin des erreurs probables des valeurs Helsingfors pour pouvoir trouver les poids P,. Comme ces dernières quantités sont grandes par rapport aux quantités Dj, j'ai, en première approximation, posé P, — co, ou par suite J'ai ensuite en me servant de ces poids calculé, en prenant toutes les différences Boss— Hels., l'erreur probable pour P,— 1, et de là j'ai déterminé les poids P; en me servant des erreurs probables indiquées par Boss. Puis les poids P, ont été calculés d’après la formule (1), et les erreurs probables de mes mouvements propres déterminées en seconde approxima- tion. Les résultats de cette approximation s’accordent de trés prés avec ceux que donne la premiere. Les changements des poids P, sont insignifiants, et les changements de P, com- plétement négligeables. J'ai par suite regardé les résultats de la seconde approximation comme définitifs. Les erreurs probables externes de mes valeurs des mouvements propres deviennent par suite r (u. cos à) r (us) pour le poids 1 4-0".0133 — 4-0".0148 mum ae 02:0002/ ET 0:01.08: (D) 164 RAGNAR FURUHJELM. Il est trés interessant de comparer maintenant ces valeurs aux erreurs probables internes, qui se calculent pour les mêmes étoiles d’après les différences entre les résultats des diffé- rentes régions. 1l faut cependant noter que 10 étoiles de Boss n'appartiennent qu'à une seule région, et ne sont par suite pas utilisables pour ce calcul. Les erreurs probables internes sont r (u. cos à) r (uo) pour le poids 1 4-0".0123 + 0".0113 MEE cepa cO — m0 LOV (IT) Pour u, cos d les valeurs (IT) ne sont done qu'un petit peu inférieures aux valeurs (1); pour ws les différences sont au contraire plus grandes. Mais il est bon de noter ici que la valeur relativement grande de ws dans (I) diminuerait notablement si on éliminait du calcul les diffé- rences pour trois étoiles ‚seulement. La comparaison avec le catalogue de Boss ne doune les erreurs probables que pour. un groupe spécial d'étoiles, les plus brillantes. Cependant, comme les mesures des images de ces étoiles sont en régle générale les plus incertaines (exception faite des étoiles les plus faibles), les résultats trouvés ci-dessus ne peuvent s'appliquer sans plus à l'ensemble des ma- tériaux ici étudiés. J'ai done déterminé en outre les erreurs probables internes pour un grand nombre d'étoiles qui ont été rangées d'aprés leur ordre de grandeur en cinq groupes: et, pour limiter en quelque mesure les matériaux, je n'ai pris que les valeurs de y, cos d et ws dont le poids atteint au moins 0.9. Ces déterminations donnent: Grandeur Poids 1 Poids 2 r (u. cos à) r (us) Y (wu, cos à) r (us) _ "<80 +0".0141 + 0.0108 +0”.0100 + 0”.0076 80— 89 +0015 + 0.0106 +0.0081 + 0.0075 (IIT) 9.0— 9.9 + 0.0115 + 0.0118 + 0.0081 + 0.0083 10.0— 109 -+0.01322 4-0.0129 + 0.0093 + 0.0091 >11.0 + 0.0185 + 0.0211 - 0.0131 - 0.0149 Comme on le voit, les étoiles les plus faibles donnent les erreurs probables les plus grandes, tandis que, pour les autres groupes, les nombres obtenus sont assez constants. En moyenne on trouve pour toutes les étoiles les erreurs probables internes suivantes: r (u. cos à) r (us) pour le poids 1 -+ 0”.0127 -+ 0".0123 SEO oggo 020087 (IV) c'est à dire à peu près les mêmes nombres que les valeurs (II). Pour permettre d'apprécier ces valeurs, je ferai la comparaison suivante. Je suppose que la nouvelle série de plaques ait été mise en œuvre de la méme manière que l'ancienne, et que par suite les ascensions droites et déclinaisons des étoiles («' et 0') aient été déter- minées aussi pour les secondes époques, et que les mouvements propres aient été calculés Tom. XLVHI. Recherches sur les mowvements propres dans la zone de Helsingfors. 165 en partant des différences «' — « et d’ —d. D'après mes recherches antérieures *) les erreurs probables pour une détermination de position du poids 2 sont r (« cos à) r (0) = 0.120 212010 On tire de lå r|(«' —«)cosó| r(d’ - à) + 07.170 MONDE Si jadmets maintenant un intervalle de temps de 18 années (correspondant au poids 1 pour les déterminations des mouvements propres), on obtient r (p, cos 0) r (gus) (We) + 0".0094 4 0”.0084. En d’autres termes: en employant la méthode différentielle dont je me suis servi, on obtient dans la détermination des mouvements propres la même précision que si les coordonnées absolues avaient été calculées à nouveau et comparées avec les positions anciennes. Si on tient compte du fait que ces positions ont été calculées en employant un grand nombre d'étoiles de com- paraison et après que les constantes des plaques ont été améliorées par des calculs de rattache- ment, tandis que dans le présent travail le nombre des étoiles de comparaison n’a été que de 8 par région, on est en droit de regarder ce résultat comme très satisfaisant. 2. Nombre des étoiles dont le mouvement propre a été déterminé pour la première fois dans le présent travail. Le nombre des étoiles dans mon „Catalogue général“ est de 1016. Comme il a été indiqué plus haut dans le chapitre IV, 40 de ces étoiles appartiennent au cata- logue de Boss et, en outre, 18 aux catalogues de Porter. Outre ces étoiles il y en a encore deux déterminées approximativement par Risrenparr **) (les n:os 780 et 869) et peut-être quelques- unes pour lesquelles je n'aurai pas eu connaissance de la détermination des mouvements propres. En tout cas on peut juger que le nombre des étoiles rentrant dans mon catalogue et dont les mouvements propres n'ont pas été calculés auparavant est d'environ 950. *) Sur la précision etc. p. 80. ++) F, RrsrENPART: Verzeichnis genäherter Werte von 150 bislang unbekannten Eigenbewegungen. Astr. Nachr. N:o 4245. N:o 1. Deuxieme partie. I: Distribution des mouvements propres d’apres leur grandeur. 1. Groupement des mouvements propres d'apres leur grandeur. Pour la classification statistique des matériaux ici publiés, jai divisé ces matériaux en six groupes, embrassant chacun à peu prés le sixième de la partie étudiée de la zone de Helsingfors (entre 8^54" et 12^]" en ascension droite). Les groupes sont ainsi constitués: Groupe I . étoiles comprises entre 8^54" et 9h30", II : 5 MB le: III ij "oda sc: 30:80, IV 3 "xeu Bo de Se- 14:320, MW E 2 ZERO el 30; VI 5 » AP ONU ORE TUR M Chaque groupe représente ainsi un domaine d'environ 6° x 89. Dans chacun de ces groupes j'ai déterminé lé nombre des mouvements propres supé- rieurs aux valeurs limites 0".00, 0".05, 0".10, 0”.15, 0.20, 0'".25, 0".30 et 0”.35 (les numéros 171 et 172 étant comptés comme une seule étoile), et ce caleul a été effectué séparément pour les catégories suivantes de grandeur < T".0, 70.0 — 7".9, 8,0 — 87.9, 9m.0 — 9.9, 109.0 — 10.9, > 1170. Comme les plaques de Helsingfors ne renferment en général pas d'étoiles plus faibles que'117.2, et que sur plusieurs plaques cette limite n'est même pas atteinte, la dernière cate- gorie de grandeur n'est représentée que d'une maniere relativement faible. En ce qui concerne les mouvements propres qui sont <0”.05, il est bon de faire remarquer que les matériaux de cette catégorie sont assez peu homogenes, car c'est le hasard qui, dans l'examen préliminaire des plaques, a fait qu'ils ont été découverts ou non. En outre il est évident que le nombre des mouvements propres mesurés <0'.05 ne répond pas de loin au nombre réel. Une partie 'Tom. XLVIIT PY aa vus v em Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 167 de ces mouvements propres sont en outre si petits que leur grandeur tombe dans les limites des erreurs probables ou est voisine de ces limites, et de ce chef déjà leur valeur statistique est faible. Pour toutes ces raisons j'ai supprimé de la statistique publiée ci-dessous les mouve- ments propres < 0".05. Quant aux mouvements > 0'".05, je suis convaincu que dans la grande majorité des cas (Jusqu'à la classe de grandeur 11") ils ont été observés par moi, et que par suite les matériaux, jusqu'à cette limite, sont au moins à peu prés complets. Un mouvement propre annuel de 0”.05 correspond en effet pour l'intervalle de temps ici donné, 18 ans en moyenne, à un déplacement total de 0".9, et c'est une quantité qui peut s'observer aisément dans l'exa- men de la plaque au stéréocomparateur. La supposition que presque tous les mouvements propres supérieurs à 0".05 ont été mesurés se confirme d'ailleurs, comme on le montrera plus bas, par la statistique présente. Je donne maintenant, séparément pour chaque groupe, dans les tableaux ci-dessous le nombre des mouvements propres dans les différentes catégories. Ielm4,75,...,74 signifient le nombre des mouvements propres > 0'.05, > 0".10, ..., > 0".35. Par comparaison on donne aussi le nombre total (N) des étoiles de chaque catégorie figurant dans le catalogue de Helsingfors®). Les nombres figurant entre les lignes sont les differences entre deux n consécutifs, 1,— 7, ny—n etc. Ces nombres indiquent done combien il y a de mouvements propres compris entre les limites 0.05 — 0”.10, 0".10 — 0".15 etc. On indique en outre pour chaque groupe 1:0) «, et d, ou les coordonnées du centre du domaine correspondant; 2:0) 0’ ou la distance de ce centre à l'antiapex (4 — 90°, D = — 30°); 3:0) 41! ou l'angle de position de l'antiapex au centre du domaine; 4:0) b ou la latitude galactique du centre du domaine (on a admis d’après PrckERING pour les coordonnées du pôle nord de la voie lactée « = 190°; d — + 28^). GROUPE I. (ye JDN 39:69! — 85977. 12220223, ib — + 4599; Grandeur «7.0 37.0—7.9 8.0- 89 9.0—9.9 10.0— 10.9 > 11.0 Total N 16 36 138 504 791 214 1,699 u > 0.05 N, 7 6 16 38 31 5 103 3 4 E: 17 20 3 51 > 0.10 na 4 2 12 21 11 2 52 3 ONE 5 11 2 : 2 26 > 0.15 lla 1 2 7 10 6 0 26 0 I 4 5 0 0 10 > 0.20 Na 1 1 3 5 6 0 16 0 0 2 2 1 0 5 *) Comme on a déterminé les mouvements propres d'un certai: nombre d'étoiles faibles qui ne figurent pas au Cat. phot., les nombres m, n,... pour la classe de grandeur > 11,0 ne sont pas directement comparables avec N. N:o 1. 168 > 0.25 > 0.30 > 0.35 u > 0.05 > 0.10 E210 5 > 0.20 > 0.25 > 0.30 > 0.35 u > 0.05 Nz 1 0 N, 1 0 N, 1 RAGNAR GROUPE 11. gy OA ED 499: 5g = BI 4. 1^ — Grandeur < 7.0 N 14 N 8 1 Na 7 3 Ylg 4 3 Na 1 0 Ws 1 1 Ng 0 0 Nr 0 © — LOS MR A39 Eg 36 Grandeur < 7.0 N 21 Un 10 4 No 6 2 V3 4 3 na 1 0 N, 1 0 Ne 1 1 "m 0 7.0—17.9. 8.0—8.9 24 1.0 — 7.9 23 2 117 22 GROUPE 0 8.0 — 8.9 145 25 11 [59] 14 FURUHJELM. 2269.1; b. — 4 519.9. 9.0 —9.9 394 3l ILI. 5; H' —2319.1; b — + 519.2. 9.0— 9.9 343 45 GROUPE IV. 27 10.010.972 11-0 546 22 ü 0 10.0—10.9 >= 110 517 27 12 15 15 6 5 0 134 6 4 103 6 «, — 10^ 45". dy — + 43°; o' — 979.9; U’ — 2359.9; b— + 629.4. Grandeur < 7.0 N 15 Ha 6 1:0— 1.9. :8:0— 8:9 128 910—919 388 62 10.0 — 10.9 506 38 11.0 122 QU © 11 29 Total 1,152 115 64 23 Total 1,183 144 89 Tom. XLVIII. u > 0.05 > 0.10 >0.15 > 0.20 > 0.25 > 0.30 > 0.35 u > 0.05 > 0.10 > 0.15 > 0.20 > 0.25 > 0.30 > 0.35 Ne Te © Grandeur N n s 11 7 4 [89] 0 21 8 12 9 l 4 5 0 4 I 0 0 1 0 0 l GROUPE V. ; 0" — 1029.6; //' — 2409.5; b — + 67°.2. 7.0— 7.9 8.0— 8.9 9.0— 9.9 33 14 122 28 16 229 28 12 19 9 8 4 5 2 3 a 2 1 1 2 1 0 1 0 0 GROUPE VI. 14 0 0 10.0 — 10.9 450 45 30 15 11 4 3 1 0 1 0 1 0 1 >11.0 88. D MD MO as oe 100254 0 9459.0: b — 4194. Grandeur N Mn « 1.0 8 7.0— 7.9 8.0— 8.9 24 10 131 26 11 n2 Si on réunit les résultats pour toute la tableau suivant. N:o 1. 9.0— 9.9 207 27 15 16 11 fi 6 5 1 4 1 || 1 0 0 0 0 Ü 0 0 10.0—10.9 = 11.0 462 36 11 3 2 r2 [nv] 25 66 c 0 Total 933 129 53 23 13 9 Total 898 109 42 17 7 6 section de la zone ic! envisagée, on obtient le 170 RAGNAR FURUHJELM. Grandeur <7.0 7.0— 7.9. 8.0— 8.9 9.0-—9.9 10.0—10.9° > 11.0 Total N 85 169 716 2065 3272 727 7,094 u > 0.05 N, 43 47 142 231 199 32 694 15 26 70 133 129 17 390 > 0.10 N, 28 21 Top 98 70 15 304 13 jut 42 48 45 6 165 355x053 053 Pa 15 10 30 50 25 9 139 7 5) 11 31 13 1 68 >> 0.20 na 8 5 19 19 12 8 71 0 1 8 12 3 4 ep) > 0.25 n; 831 | 11 7 9 4 43 8 2 4 4 3 1 17 > 0.30 Ne 5 2 7 3 6 3 26 2 0 2 1 3 1 9 > 0.35 "m 3 2 2 2 3 2 17 2. Nombre des étoiles à mouvement propre par rapport au nombre total des étoiles. Dans la discussion des nombres ci-dessus, je commencerai par examiner dans quelle mesure le nombre des étoiles à mouvement propre dépend du nombre total des étoiles et de la latitude galactique. A cet égard on voit immédiatement apparaitre des résultats qui ne sont _ pas sans importance. Examinons le tableau suivant, qui donne pour les différents groupes la latitude galactique b, le nombre total N et le nombre de mouvements propres > 0".05 et > 0".10, m, et ms. Groupe I II IH IV V NI. b 414509 +5109 --5792 +624 +672 7194 N 1.699 1.229 1.152 1.183 933 898 n 103 94 115 144 j29 55." 199 n 52 51 51 .55 58 42 Le nombre total N va en diminuant peu à peu du groupe I au groupe VI; N se montre done nettement dépendant de la latitude galactique, ce qui s’accorde avec la loi générale de con- densation des étoiles vers le plan de la vole lactée. On ne remarque rien de semblable pour les nombres n, et nz; ces deux quantités ne sont liées par aucune relation avec le nombre N. Le nombre n, atteint son maximum pour le groupe IV, oü N est relativement petit; tandis que N est pour le groupe I presque le double de sa valeur pour le groupe VI, n, est un peu plus petit pour le premier groupe que pour le dernier. Le facteur de corrélation pour les quantités n, et N est à peu près égal à 0. Même si, comme on l'a indiqué plus haut brièvement, le nombre des mouvements propres > 0'.05 qui ont été mesurés a pu être in- fluencé dans une faible mesure par des circonstances accidentelles, pourtant la considération du nombre n, prouve complètement que le nombre des mouvements propres ne dépend pas du nombre total des étoiles, car c'est seulement dans un cas exceptionnel qu'il a pu arriver qu'un mouvement propre > 0”.10 n'ait pas été observé au stéréocomparateur. Or on ne peut manquer de remarquer la constance frappante du nombre na. Ce n'est que pour Tom. XLVIII. T aV» : Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 171 le groupe VI qu'il est un peu plus petit qu'en général; mais par contre les trés grands mouve- ments propres dans ce groupe (> 0'".35) sont relativement nombreux. La distance à Tantiapex (resp. à laper) ne varie que d'une facon insignifiante pour les différents groupes; le nombre des mouvements propres ne peut par suite dépendre de cette distance que dans une faible mesure. En tout cas l'action de la distance à l'apex ne saurait nullement compenser l'influence du nombre total des étoiles ou de la distance à la voie lactée. Comme la distance à l'apex atteint sa valeur maxima pour le groupe II (89°.4) et sa valeur minima pour le groupe VI (729.5) le nombre des mouvements propres doit en effet être un peu moindre dans les derniers groupes que dans les premiers. Done, si le nombre des mouve- ments propres diminuait à mesure qu'augmente l'éloignement de la voie lactée, l'influence de o' ne ferait qu'accentuer cette décroissance. En tenant compte de ce fait, nous pouvons dire que les mouvements propres, dans la partie ici traitée de la zone de Helsingfors, ne montrent pas de condensation dans la direction de la voie lactée. Ce résultat concorde avec ce qui avait été avancé d'abord par KAPTEYN et confirmé ensuite par TURNER dans ses recherches sur les mouve- ments propres dans la zone d'Oxford. * Comme les étoiles qui ont les mouvements propres les plus considérables sont les plus rapprochées du systéme solaire, le résultat ci-dessus indique que le soleil et les étoiles les plus rapprochées forment un système de cluster sans con- densation vers la voie lactee. La discussion suivante ne fera que renforcer encore la proba- bilité de cette hypothèse. Pour montrer que, méme dans les différentes classes de grandeur, les nombres n, et na ne subissent pas d'influence directe de N, je donnerai encore le tableau ci-dessous. < mo Groupe I EL V VI N 16 14 21 15 11 8 m 7 SKETT 6 7 5 AKKXORPN D 4 7 6 4 3 4 i pratum 1.0 7:9 & 2 Groupe I IT II IV Vv VI s N 8629 6 p4 riora ee Barcliorid Te LS n, 6 5 2 10 14 10 MU 1007 Na 2 2 0 7 7 3 8.0—8.9 Groupe I II III IV V VI: N BB 2 ET 45. 2108 22 ^ 181 n, 16 22 25 25 28 26 Ws 12 Te 11 9 16 11 +) H. H. Turner: Second Note on the number of Faint Stars with large Proper Motions. Monthly Notices, April 1909. N:o 1: 39 172 RAGNAR FURUHJELM. 9.0—9.9 Groupe I II III IV V VI N 504 394 343 388 229 207 h 38 31 455- #62 28 21 na 21 18 18 21 9 11 10.0—10.9 Groupe I Il IH IV NM VI N 791 546 517 506 450 462 N, 31 22 27 38 45 36 No 11 7 12 14 15 11 >11.0 Groupe ] Il IH IV V VI N 214 134 103 122 38 66 In 5 6 6 3 7 5 N 2 4 4 0 3 2 La diminution de N du groupe I au groupe VI est un peu différente selon les caté- gories de grandeur; elle est moins marquée pour les grandes étoiles (jusque 8.9), plus forte pour les étoiles plus faibles (depuis 9.0). Mais on n’observe pourtant dans aucune classe de grandeur de parallélisme direct entre N d’une part et n, ou n, de l’autre; le facteur de corré- lation est pour toutes les classes voisin de 0. Nous pouvons donc conclure que la règle de la constance du nombre des mouvements propres dans les différents groupes a une valeur tout à fait générale, indépendamment de la catégorie de grandeur. Il n'y a que deux exceptions un peu frappantes pour les groupes IV et V; dans le premier groupe n, pour les catégories de grandeur 9.0— 9.9, et dans le second le méme nombre pour les catégories 10.0— 10.9 sont d'une grandeur disproportionnée. Ces écarts peuvent cepen- dant être assez accidentels. 3. Densité des étoiles à mouvement propre. La discussion précédente se rapportait surtout au nombre absolu des étoiles à mouvement propre; je donnerai quelques chiffres propres à ; Ec | n > i à montrer le nombre relatif. Je désignerai les rapports N par D,, et j'appellera ces. rap- ports densités des catégories respectives d'étoiles à mouvement propre. Pour les diverses caté- gories de grandeur la densité prend les valeurs suivantes. Grandeur «7.0 | 7.0—7.9 | 8.0—8.9 | 9.0—9,9 — 10.0—10.9 >11.0 Toutes les étoiles D, 0.51 0.28 0.18 0.11 0.06 0.04 0.098 D; 0.33 0.12 0.09 0.05 0.021 0.021 0.043 D, 0.18 0.06 0.04 0.024 0.008 0.012 0.020 D, 0.09 0.03 0.024 0.009 0.004 0.011 0.010 Tom. XLVII. | | - | : ee oe WV DL: = A ee ee ee de à Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 173 La densité, comme il est naturel, diminue rapidement quand croît la classe de grandeur: D, pour la catégorie 10".0—10".9 n'est que le huitième de D, pour les étoiles les plus brillantes; pour D, ce rapport n'est que de 5. Les nombres de la première colonne méritent une attention particulière: ils montrent que plus de la moitié des étoiles les plus brillantes ont un mouvement propre supérieur à 0".05 par an, et que pour un tiers de ces étoiles le mouvement propre est >0".10. En ce qui concerne la dernière colonne, je note spécialement que, parmi les étoiles que j'ai étudiées, une sur cent seulement a un mouvement propre > 0".20 par an. J'entends par répartition des étoiles à mouvement propre le rapport entre un nombre n, pour une classe de grandeur et Zn, pour toutes les classes de grandeur; ce rapport est désigné par d, La répartition offre un intérêt spécial, en ce qu'elle constitue une mesure des conditions du mélange des catégories de grandeur entre les étoiles les plus rap- prochées du soleil. Je me bornerai à donner ici les nombres 4, et d, pour les différents groupes et les différentes catégories de grandeur; je laisse de côté les autres d,,'en partie parce qu'ils se rapportent à un assez petit nombre d'étoiles, en partie parce qu'ils sont assez semblables à d, et da. d, Grandeur « 7.0 7.0—79 8.0—8.9 9.0—9.9 10.0—10.9 > 11.0 Groupe I 0.07 0.06 0.15 0.37 0.30 0.05 II 0.08 0.05 0.23 0.33 0.23 0.06 TI 0.09 0.02 022527 0:39 0.24 0.05 IV 0.04 0.07 0.17 0.43 0.26 0.02 Vv 0.05 0.11 0.22 0.22 130735 0.05 VI 0.05 0.09 0.24 0.25 0.33 0.05 Ensemble 0.062 0.068 0.205 0.333 0.287 0.046 da Grandeur < 1.0 7.0—7.9 _8.0-8.9 9.0—9.9 10.0— 10.9 > 11.0 Groupe I 0.08 0.04 0.23 0.40 0.21 0.04 int 0.14 0 04 0.25 0.35 0.13 0.08 IH 0.12 0.00 0.22 0.35 . 0.24 0.08 IV 0.07 0.13 0.16 0.38 0.25 0.00 V 0.06 0.13 0.30 0.17 0.28 0.06 VI 0.10 0.07 0.26 0.26 0.26 0.04 Ensemble 0.092 0.069 0,237 0.322 0.230 | 0.049 Je remarquerai d'abord que la derniere catégorie de classes de grandeur ne représente que 1 à 2 dixièmes d'une classe de grandeur, car la plupart des plaques ne contiennent les étoiles que jusqu'à 11".1, et beaucoup n’atteignent méme pas cette limite. Même la N:o 1. 29 174 RAGNAR FURUHJELM. catégorie 10.0—10.9 n'est pas complete, car un certain nombre de plaques ne renferment que les étoiles jusqu'à 10",5. On observe que les nombres d, pour la méme catégorie de grandeur sont assez con- stants dans les différents groupes, et que 4 et d, ne different pas beaucoup l'un de l'autre. Un maximum se marque nettement pour la catégorie 9.0—9.9, sauf dans les groupes V et VI, ou le maximum s'est déplacé vers la catégorie 10.0—10.9. Pour fixer plus exactement la position de ce maximum, j'ai jugé nécessaire de répartir encore les matériaux en divisant en 9.9 et 10.0—10.9. J'ai ainsi trouvé les valeurs deux chacune des catégories 8.0— 8.9, 9.0 ci-dessous pour d, et da. 8.0-8.4 8.5—8.9 9.0—9.4 9.5—9.9 10.0—10.4 10.5—10.9 di 0.063 0.141 0.208 0.130 0.140 0.147 da 0.076 0.161 0.204 0.118 0.089 0.141. On trouve done que la répartition atteint deux maxima, l'un pour 9.0—9.4 et l'autre pour 10.5—10.9. Comme cette derniére catégorie n'est pas complete, les nombres d, et da y sont visiblement trop petits. Le maximum pour 9.0—9.4 est notable. Peut-être tient-il en partie à des erreurs systématiques dans la détermination des grandeurs, mais il ne peut guére s'expliquer entiérement de cette maniére, parce que, pour la catégorie 10.0— 10.4, d, et d, sont beaucoup moindres que les valeurs maxima. Un autre point intéressant est le fort accroissement de la répartition quand on passe de la catégorie 8.0—8.4 à 8.5—8.9. Cet accroissement indique aussi le voisinage d'un maximum et confirme ainsi la réalité des valeurs maxima observées pour la catégorie 9.0—9.4. Tout porte done à croire que cette catégorie est la plus abondamment veprésentée parmi les étoiles les plus rapprochées du système solaire dans la région du ciel ici étudiée. 4. Distribution des mouvements propres. Si on exainine de plus prés les tableaux des pages 167—170, on verra se manifester une régularité trés prononcée dans l’accroissement des nombres n,. Le rapport entre deux n, consécutifs, c. à. d. Wy Ny+1 est pour toutes les catégories de grandeur et tous les groupes trés voisin de 2. Cependant ce rapport croit à mesure que.» décroit, et l'aceroissement est un peu différent selon les caté- gories de grandeur et les groupes. Le nombre des étoiles dont les mouvements propres sont supérieurs à une certaine valeur wu, est exprimé assez exactement par la formule d’inter- polation Nn, — e" —À hy + yay où «, B et y sont des constantes. Pour montrer comment cette formule rend bien les nombres observés, je donnerai pour l'ensemble des matériaux (en réunissant tous les groupes) les valeurs observées et calculées. Tom. XLVIIL, Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 175 Obs. Cale. Diff. MI0U 05 7-4 .694 (698 + I > 0.10 No 304 299 +5 > 0.15 Ha 139 141 —2 > 0.20 na 71 13 —2 > 0.25 N; 43 41 +2 > 0.30 Ng 26 26 0 > 0.35 Hs 17 17 0 Les constantes obtiennent les valeurs pep) y I a US; 0; De la concordance entre les valeurs observée et calculée de x, il semble ressortir que, comme il a été relevé plus haut (p. 167), la plupart au moins des mouvements propres supérieurs à 0".05 sont compris dans la statistique. Pour & — 0 la formule d'interpolation donne comme nombre des étoiles ayant des mouvements propres > 0 MR 17104; soit seulement un peu plus du quart du nombre total des étoiles dans la partie étudiée de la zone. En conséquence prés des trois quarts des étoiles étudiées seraient situées en dehors du systéme constitué par le soleil et ses voisines les plus proches. Sans doute on n'a pas le droit d'extrapoler sans plus le nombre #, en se servant de la formule d'interpolation trouvée. Mais la valeur calculée de n, semble pourtant confirmer l'hypothése exprimée auparavant, que le soleil appartient à un amas stellaire de dimensions assez limitées. Il est intéressant de noter ici que la formule d'interpolation pour le groupe < 7".0 donne 5», — 83, valeur trés voisine du nombre total des étoiles de ce groupe, 84. Ainsi presque toutes les grandes étoiles appartiendraient au ,cluster du soleil“, II. Directions des mouvements propres. 1. Groupement des mouvements propres d'apres leur directions. Pour étudier dans quelle mesure le nombre des mouvements propres dépend de la direction, je les ai rangés d’après la grandeur de l'angle de position P, en déterminant le nombre des mouvements propres pour chaque intervalle de P égal à 10°. Ce calcul a été effectué séparément pour les six parties ci-dessus dé- finies dela zone de Helsingfors, et les résultats sont donnés dans le tableau qui suit. P signifie ;ei le commencement de chaque intervalle et n, le nombre de mouvements propres dans l'in- tervalle. La première valeur de n, donne done le nombre des mouvements propres > 0".05 dont les angles de position sont compris entre 0? et 9?.9, la seconde le nombre des mouve- N:o 1. 176 RAGNAR FURUHJELM. ments propres dans l'intervalle entre 10° et 19°.9, etc. J'ai élmniné de cette statistique une étoile avec un mouvement propre d'une grandeur anormale, plus de 4" par an. n, pour le groupe | n, pour le groupe | CE ann | i | ee ER SR RE NES TUE rome ats aye NE PED. eT uo EV qe vsum | | | | Na PIS 0 oo). 0 Mat e OR se | 065 5 «6-6 590-30 2/989 (OS ESO ER GE EC 0190 GAME 250.8128 4 20 1 0 1 07,202 20 200 MATOS V ND 8.08 5053/2 ON 20 3e 4095 /2:0: 94110) 20,721: 10 e sm ER SN Ere s AU OU) 20 ADN 19-1121 S OS NKR220 OLE rg: EN ES LS Ho RS 50 e z07 1,72 Teese (re 2021050 ON Se: MAN LT GUN RON LO AT LEN EI SO ga AO) D 1459-1: 38 la OS 701840, 0 0:90. redes 9840850 841 q9^- 9. 10, SE SE 80 | 0 1.7120 e 8er] Te AG 260 421128, EAT e rr OS et ena 90:5, ego n got cere inge o PS eror) BASS AE ERA 1005 7262214 8 ABE: Re o GSR 280 321,0. NE Se UT V COUP NA PEN 3 RB 12 GR SEEN REN SS PER I Yogi, 01,2 s eq ou 221540 ER Re ERA PTE GT, CET UN (ME ee [go - Hier asc 276.» ate c Sr ED IU EE 72) 149 "sies | ouo e sd eras ease D Re CONSE ee | 150 ET I 3i EG 3302951 TT BE) Lg ena Cap s EE RE 340 0 0| 0 EO EE 11.1705, 3: 1 Blast arae pesos pter EIU nella Te Ou 2. Détermination de l'apex. Ces matériaux se prétent trés bien à la determination des angles de position de l'apex et du vertex d’après la méthode que SOHWARZSCHILD *), partant de son hypothèse ellipsoidale, a développée pour le cas où on ne dispose que d'un assez petit nombre de mouvements propres pour un domaine assez limité. On se représente un systéme d'axes rectangulaires orienté de facon que l'un des axes coincide avec la direction initiale P— 0 pour le premier intervalle, et on calcule le nombre des mouvements propres dans chaque quadrant du système, 4, I, Iz, da. Le nombre /, indique alors le nombre des mouvements propres tombant entre les limites 0? et 90°, /, le nombre des mouvements propres entre 90° et 180°, etc. Puis on fait tourner le systeme des axes de maniere que la direction initiale coincide avec la direction P= 10°, et on détermine de même les nombres /,..., /, pour les quatre quadrants. Le systeme des axes est ensuite tourné successivement de 10? pour chaque fois, jusqu'à ce que la di- rection initiale coincide avec P— 3509. Pour chaque position du systeme on détermine les quantités i hh et TV ly > la L'angle de position de l'apex est déterminée par la condition +) K. SCHWARZSCHILD. Über die Bestimmung von Vertex und Apex nach der E'lipsoidhypothese aus einer geringen Anzahl beobachteter Eigenbewegungen. Göttinger Nachrichten 1908. Tom. XLVIHI, w—v—rrn an titi À à -1 -€ Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 1 li + db — 3 —l4 =0 ot celui du vertex par la condition Be I, Les angles pour lesquels sont vérifiées ces conditions se tirent par interpolation de l'ensemble des quantités /, +1, — I; — I, et a Y La première quantité s'annule pour deux valeurs de P 2." "4 distantes de 180°; l'une indique l'angle de position de lapex, l’autre celui de l'antiapex. Pour l'apex on a l «ls et Il « b. la D’autre part la quantite IL, s’annule pour quatre valeurs de P qui different de 90°. Comme 2*4 la direction du vertex n'est qu'un axe de symétrie pour les mouvements propres, placé de telle facon, qu'il y a autant de mouvements propres dans le sens positif que dans le sens négatif, nous n'avons qu'à choisir entre deux valeurs de P distantes de 90°. La direction du vertex s'établit de la facon suivante. On calcule les quantités p, et », au moyen des équations 2 [^ E Eg BR 2 ka na ky Jt ks = ka er e E n e. rd = 17, ki + ke + s + ka D Lm 2 A T ^ : Es | erg Vaches Un. FT ki + ko + ka tk où A... sont les valeurs spéciales que prennent les quantités / pour un des angles P el. pour lesquels .—7? — 1. Puis on calcule IE t I; . ER in N Ho Yo où g, est l'angle entre les directions de l'apex et du vertex (< 909). Si la premiere de ces quantités est supérieure à la seconde, la valeur adoptée pour P correspond à la direction du vertex. Si le contraire a lieu, nous n'avons qu'à augmenter de 90? la valeur admise pour P. Les valeurs obtenues en calculant d’après la méthode de Schwarzschirn les angles de position de l'apex et du vertex // et //, pour les six groupes doivent être regardées comme s'appliquant aux centres des domaines correspondants, car la répartition des étoiles à mouve- ment propre dans chacun de ces domaines est particuliérement uniforme. Pour le montrer, je choisira comme exemple le premier groupe, dont le centre a pour coordonnées «g — 148°; d, = 43°. Dans ce groupe il y a en tout 103 étoiles dont le mouvement propre est > 0'.05. De ces étoiles 50 ont une ascension droite > 148?.0, tandis que pour 53 « — 148°; pour 49 étoiles on a d>43°, pour 54 à — 4329. Cette répartition donne pour le centre de gravité du domaine une position qui ne diffère du centre que de 0?.1 à 09.2. Cette quantité détermine dans la valeur de l'angle de position une modification qui en tout cas est inférieure à 09.2, quantité N:o 1, 178 RAGNAR FURUHJELM. négligeable. Dans les autres groupes la répartition des étoiles est à peu pres la méme. Une réduction des différents angles au centre du domaine est inutile, les domaines ayant une superficie très faible (environ 6° x 8°), et la distance à l'apex étant de près de 90°, L'application de la méthode de Scmwanzscnirp donne les valeurs suivantes de // (angle de position pour la direction de l’antiapex). Par comparaison je donne les valeurs //' qui correspondent à la position la plus généralement adoptée de l'antiapex (A= 90°, D — — 30?) ainsi que les différences 7 — 11". Groupe I IT III IV V VI 11 214°.3 213°.6 2219.2 2319.9 250°.0 231°:8 JI. 92292022 226.1 231.1 235.9 240.5 245.0 Diff. - — 5.9 — 1209 3.9 — 4.0 + 9.5 — 13.2 Les differences ne sont donc pas considérables; la plus grande est de — 13?.2. Il est particulierement remarquable que le mouvement du systeme solaire ressorte avec une telle netteté des mouvements propres dans des domaines aussi peu étendus que ceux traités ici. Chaque groupe correspond à une surface à peine supérieure à un millième de toute la sphère céleste, et pourtant la direction de l'apex se détermine avec un écart moyen d'env. 9? seule- ment par rapport à l'angle de position le plus probable. Si on tient compte du caractère systématique des différences, l'erreur est encore plus faible; mais on reviendra bientôt sur ce point. Il peut être intéressant de calculer au moyen des valeurs que j'ai obtenues pour // la position de Faper, bien qu'on ne puisse a priori attendre une bien grande exactitude, les mouvements propres étudiés se rapportant à un domaine qui ne représente que 6 à 7 milliémes de la sphere celeste, et la différence entre les valeurs extrémes de //' n'atteignant que 25°. La détermination de lapex peut étre obtenue de la maniére suivante avec une exactitude correspondant entiérement à celle des matériaux employés. Comme il ressort des nombres ci- dessus, // peut, dans la partie envisagée de la zone, étre regardé comme une fonction linéaire de l'ascension droite; les trois premiéres valeurs de // peuvent donc, en formant la moyenne, étre réunies en une seule valeur qu'on peut regarder comme valable pour un point dont l'as- cension droite est égale à la moyenne de celles des trois groupes. On peut procéder de méme à l'égard des trois dernières valeurs. On obtient ainsi deux grands cercles dont le point de croisement donne la position de l'antiapex. En effectuant ce calcul j'ai obtenu pour l'antiapex les cordonnées AMIE ED —9149: et par suite pour l'apex À = 294: D = + 14°. Cette position de l’apex diffère de celle le plus généralement adoptée de 24° en ascension droite et de 16° en déclinaison. Ceci tient peut-être à ce que mes matériaux se rapportent surtout aux étoiles plus faibles, qui donnent pour l’antiapex des angles de position moindres que les étoiles plus grandes (voir p. 181). Tom. XLVIII. sd Ale | à. 1 E 3 OMNEM NTC ee Zu ET NN REN Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 179 Si maintenant, partant de la position obtenue pour l'antiapex, on caleule les angles de position // pour les six groupes, on trouve les différences suivantes entre l'observation et le calcul Groupe T- II IH IV V VI H (obs. — H(cale.) ^ -- 4? 5° 20 0° i 499 MEN god. On en tire comme erreur moyenne d'une détermination de // la valeur + 8? et comme erreur probable la valeur +6°. Ce résultat doit être regardé comme particulièrement - satisfaisant. J'ai fait aussi la détermination de l'apex en employant une autre méthode très simple. Je pars des composantes du mouvement propre (u, + Ju.) cos à et ws, et forme pour chaque groupe les sommes I (us + Au.) cos d et E us. Aussi bien dans l'hypothèse des deux courants d'étoiles de Karreyx que dans l'hypothèse ellipsoi- dale de SCHWARZSOCHILD, les motus peculiares des étoiles se groupent symétriquement autour d’une : certaine direction principale, la direction du vertex. Si le nombre des étoiles est suffisamment grand, les influences des motusepeculiares doivent par suite s'élimimer des quantités ci-dessus, qui ne représentent que les sommes des composantes des mouvements parallactiques. Tiangle de position de l’antiapex se determine done pour chaque groupe par l'équation 2 (mu + Au.) cos d ig - Ir — 7 Ws et la valeur de /7 qui en découle s'applique, la répartition des étoiles dans chaque domaine étant, comme on l'a vu, particuliérement uniforme, au centre du domaine en question. Le calcul de // d’après l'équation précédente a donné les valeurs suivantes, que, par comparaison, on a fait suivre des valeurs de //' et des valeurs de // obtenues selon la méthode de SCHWARZSCHILD. Groupe I II III IV V VI I 210°.9 211.°0 226°.3 230°.1 2429.0 2389.4 11 (Schwarzschild) 214.3 213.6 227.2 231.9 250.0 231.8 IH 220.2 226.1 231.1 235.9 240.5 245.0 La concordance entre les valeurs maintenant trouvdes et les valeurs précédentes de 11 est aussi bonne qu'on peut le désirer, et ce fait témoigne en faveur de l'exactitude des deux méthodes. En calculant la position de l’apex d’après les nouvelles valeurs de la méme manière que plus haut, on obtient A 292; D=+ 12, donc une position à peu près identique à celle trouvée plus haut. Les écarts entre les valeurs observées et calculées de // deviennent, en appliquant la seconde méthode, Groupe I II III VI V VI IT (obs.) — Il (cale.) + 3° 59 + 3? 0? 258 — 49, N:o 1. 180 RAGNAR FURUHJELM. L'erreur moyenne d'une détermination de // est ici de + 4° et l'erreur probable de + 3°, valeurs encore plus petites que dans le cas précédent. 3. Détermination du vertex. Je passe maintenant aux angles de position du vertex; jappellerai ces angles //,. Pour faciliter ici aussi la comparaison avec les résultats antérieurs, jai calculé les angles //, correspondant aux moyennes arrondies des déterminations les plus importantes des coordonnées du vertex (A — 90°; D — + 10*). J'ai trouvé pour les différents groupes les valeurs suivantes de //, et /7*,. Groupe I II Ill IV EV VI I, 2809.0 2699.7 2699.3 276°.4 2829.3 286?.3 I, 246.2 253.3 259.1 264.6 269.8 274.9 Diff. dE 858^ [16:4 5E 10.2 0.2 18 eo ar Ces chiffres montrent que, pour les étoiles que j'ai étudiées, on constate aussi trés nettement une direction favorisée pour les motus peculiares. Les valeurs de #7, suivent une marche assez réguliére selon l'ascension droite, et, pour des domaines voisins, ne s'écartent pas beaucoup les unes des autres. Les différences //, — //,, qui sont grandes et ont un carac- tère systématique prononcé, montrent pourtant que cette direction favorisée ne correspond pas avee la direction généralement adoptée pour le vertex. Pour déterminer la position du vertex d’après mes matériaux, jai employé la méme méthode que ci-dessus pour caleuler les coordonnées de l'apex. J'ai ainsi trouvé pour le vertex: A —1349; D — + 489, valeurs qui s'écartent assez fortement de celles généralement obtenues. Il faut naturellement remarquer ici que ma détermination est nécessairement entachée d'une incertitude relativement grande, en raison de la faible surface de la partie de la zone ici examinée et de la faible varia- tion des angles //,; en particulier la valeur de A doit étre incertaine, tous les angles étant trés voisins de 270°. Mais l'écart indiqué peut aussi être causé par le fait que les matériaux se composent principalement d'étoiles faibles. D'ailleurs il ya, d’après les recherches de ÜHARLIER, * des écarts sensibles par rapport à l'hypothése ellipsoidale. Les differences entre l'observation et le calcul sont ici Groupe I Il IH IV V VI 11, (obs.) — I, (cale) + 12°. — 89 78 LE 8062 Ren, + 20 Il peut encore y avoir intérêt à calculer en partant des matériaux presents le rapport des deux demi-grands axes, « et B, des ,ellipses de vitesse“. Pour déterminer ces quantités, on a d'après SCHWARZSCHILD les équations: & — Sin $e. B eos ge Jie EE JM * €. V. L. CHARLIER: Studies in Stellar Statistics II, 1913. Tom. XLVIII. Ne on. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 181 J On a expliqué plus haut le sens des quantités Yu. #4 et ry; h est la projection de la vitesse u du système solaire sur la sphère céleste, donc h —w sm 6, Les différents groupes donnent les valeurs suivantes de P. Groupe I Il IH IV V. VI : 0.89 0.51 0.62 0.72 0.68 0.78 On pourrait encore tirer de d le rapport entre les demi-grands axes A et B de „lellip- [14 soide de vitesse* d'aprés l'équation 1 où x est la distance au vertex. Mais, on vient de l'indiquer, la valeur tirée de mes matériaux € pour l'ascension droite du vertex est très incertaine, et les valeurs des angles y seraient par suite elles aussi incertaines; dans ces conditions la détermination de B serait peu süre. 4.. Apex et vertex pour les diverses grandeurs des étoiles. On peut se demander si la détermination de l'apex et du vertex dépend en quelque mesure de la classe de grandeur des étoiles. Pour essayer de résoudre cette question, j'ai caleulé, tant d'aprés la méthode de SCHWARZSCHILD qu'en formant la moyenne géométrique des mouvements propres, les angles de position de l'apex pour les six categories de classes de grandeur définies plus haut (p. 166). Les résultats obtenus se rapportent au centre de la zone entiere, aucune répartition n'ayant été faite selon l'ascension droite. : J'ai trouvé de la sorte les valeurs suivantes de II: - « 7.0 7.0—79 8.0-8:9 9.0—9.9 10.0—10.9 > 11.0 Selon la méthode de SCHWARZSCHILD — 236^ Sos Dale DO. 236? 2219 Selon l'autre méthode 238 218 229 225 223 233 On constate que les différentes valeurs de // ne s'écartent que trés peu les unes des autres et qu'on ne remarque pàs de marche selon la classe de grandeur à l'exception de la première catégorie, où la valeur de // concorde assez bien avec l'angle de position (234°) correspondant à la position la plus généralement adoptée pour l'antiapex. La direction par rapport au vertex ne différe pas non plus essentiellement selon les categories de grandeur, comme le montrent les valeurs suivantes de //, obtenues selon la méthode de SCHWARZSCHILD (la premiere valeur est trés incertaine): « 4.0 7.0—17.9 8:0—8.9 9.0—9.I 10:0—109 . — 11.0 IT 3072 270° 281° 286° 274 270° c N:o 1. > E 182 RAGNAR FURUHJELM. 5. Remarque. On pourrait, contre les calculs ci-dessus, soulever l'objection que les étoiles dont le mouvement propre est < 0".05 n'ont pas été employées, c. à d. que les étoiles ont été choisies d’après un criterium qui dépend des mouvements propres eux-mêmes, et que par suite les conditions d'emploi, en particulier pour la méthode de ScHWARZSCHILD, ne sont pas strictement remplies. Cependant, comme je l'ai noté précédemment, les matériaux, par suite de cette limitation, sont devenus beaucoup plus homogènes qu'ils ne l'eussent été sans cela, car on n'a observé qu'un petit nombre des mouvements faibles, tandis que la grande majorité au moins des mouvements plus considérables ont été déterminés. Comme une partie des petits mouvements propres sont si petits que l'on n'aurait pu caleuler les angles de position qu'avec une grande incertitude, il aurait fallu en tout cas tracer une limite. Cette question n'a pas de grande importance pratique, parce que la prise en considération des petits mouvements propres n'aurait en général modifié les résultats que d'une manière insignifiante, comme j'ai pu m'en convaincre d'une facon spéciale. Je maintiens cependant en principe que le procédé que j'ai adopté est plus exact. IL. Parallaxes moyennes des étoiles à mouvement propre. 1. Parallaxes moyennes des étoiles dans les divers groupes. En supposant que les motus peculiares sont groupés symétriquement autour de la direction du vertex, on peut dé- duire des mouvements propres observés les valeurs moyennes des parallaxes des étoiles. En ce cas, en effet, la moyenne géométrique des mouvements propres est égale à la projection du mouvement du soleil sur la sphère céleste. Si on désigne cette projection par / et le nombre des étoiles par n, on a d’une part ou — Ê(ua + 4 wo) cos 6, ^ (uo) T n PRET ri et de l’autre h=kx sin c, oü k est le mouvement annuel du soleil, z la parallaxe moyenne et c la distance à l'antiapex calculée à partir du point envisagé. La parallaxe moyenne se tire donc de l'équation EE. gL———————. k sin 6 La quantité 4 se détermine par l'équation 365.24 > 86400 = — .149,500,000 XV, Tom. XLVIH. Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 183 où V est la vitesse du soleil en kilomètres par seconde. Pour le calcul de la parallaxe moyenne il faut done adopter d'abord une valeur de V. Jai choisi celle résultant des plus récentes recherches de CAMPBELL *) JE — 7-01 4 &1n/s; que jui arrondie en 18 km/s. Quant à la quantité c, on peut se demander s'il faut la calcu- ler d'après une position moyenne de l’apex selon les déterminations antérieures ou d'après la position déduite des matériaux présents dans le paragraphe précédent. Je me suis arrété à cette dernière alternative, mon intention étant surtout de tirer des mouvements étudiés ici ce qu'ils donnent, indépendamment des résultats antérieurs. Les différences ne seront du K ; : 2 ; 1 reste pas grandes. Les valeurs trouvées de la parallaxe doivent étre changées de jo 9" plus pour s'appliquer aux coordonnées de l'antiapex À = 90°; D = — 30°. Je suis parti des valeurs A= 113%; D — — 13°, soit la moyenne des valeurs fournies par les deux méthodes employées dans le chapitre précédent. Outre la parallaxe moyenne # j'ai calculé, aussi à titre de comparaison, le mouve- ment propre moyen w ou la moyenne arithmétique des mouvements propres, et le rapport =. AX Pour les six groupes on obtient les résultats suivants: Groupe I II III IV W VI h 0".0924 0”.0678 0”.0825 0'.0621 0'.0688 0'.0616 x 0.0278 0.0198 0.0234 0.0172 0.0186 0.0164 d) m 0.1331 0.1250 0.1204 0.1062 0.1168 0.1240 id 4.8 6.3 5.1 6.2 6.3 7.6 = i On observe que le rapport . diminue en général quand les parallaxes moyennes aug- mentent. Pour le domaine étudié tout entier on a h — 0.0704; = = 0.0197; p — 0".1198; = = (Fill La valeur moyenne trouvée pour “s'accorde assez bien avec les résultats qui res- st sortent de recherches précédentes. SCHWARZSCHILD ** p. ex. est arrivé au résultat 6.3 pour le rapport entre le mouvement propre moyen et la parallaxe moyenne. 2. Parallaxes moyennes pour les différentes grandeurs des étoiles. Si on groupe les mouvements propres par classes de grandeur, on trouve "e AT € A 7 5 "d * W. W. CAMPBELL: Stellar Motions p. 193. Á ** K. SCHWARZSCHILD: Zur Stellarstatistik. Astron. Nachr. N:o 4557, £ N:o 1. € u 184 RAGNAR FURUHJELM. Grandeur < 7.0 7.0-7.9 8.0—8.9 9.9—9.9 10.0—10.9 > 11.0 h 0'".1138 0".0754 0".0738 0.0663 0”.0577 (0".0980) T 0.0319 — 0.0211 0.0207 — 0.00186 — 0.0161 (0.0275) (H) à 0.1622 — 0.1291 — 0.1230 0.1112 0.1068 (0.1516) E 5.1 6.1 5.9 6.0 6.6 (5.5). m M Il n'y a d'exception que pour la dernière catégorie, > 11",0, où la parallaxe moyenne se pré- sente avec une valeur considérable qui frappe. A ce point de vue il convient cependant de En general la parallaxe moyenne décroît très régulièrement avec la grandeur des étoiles. 5 5 S > remarquer que les mouvements propres de petite portée, pour les étoiles les plus faibles, sont plus difficiles à observer en raison de l'ineertitude des images, et que par suite il est vrai- semblable qu'un nombre des mouvements propres faibles sont restés inapercus dans la dernière elasse de grandeur; dans ces conditions la valeur de / et par suite aussi de = est devenue trop grande. C'est aussi pour cette raison que j'ai placé entre parentheses les nombres relatifs à cette dernière catégorie. Quant au rapport = on remarque que, en grou- pant les matériaux d’après la classe de grandeur, cette quantité décroît quand croît la paral- laxe moyenne. Ce résultat concorde avec celui auquel arrive entre autres KAPTEYN, * que, pour une valeur donnée du mouvement propre, la parallaxe decroit avec l'éclat des étoiles. 3. Parallaxes moyennes pour les différentes grandeurs des mouvements propres. Enfin jai rangé les matériaux, d'aprés la valeur des mouvements propres, en sept groupes disposés comme le montre le tableau ci-dessous, et calculé les quantités 4, x et uw pour chaque groupe: Les résultats sont les suivants: 2 uw 0.05—0.10 0.10—0.15 0.15—0.20 0.20—0.25 0.25—0.30 >> 0.30 h 0".0341 0.0755 0".1112 0.1548 0".2038 0.3659 7T 0.0096 0.0212 0.0312 0.0434 0.0572 0.1026 dm) B 0.0737 0.1201 0.1713 0.2217 0.2674 0.4848 Hp 5.1 5.5 5.1 4.7 4.7 c : ub ctr : Comme il ressort des nombres ci-dessus, le rapport = décroit aussi selon ce groupe- ment des mouvements propres quand croit la parallaxe moyenne. D'après KarrEvw le rap- E port + (pour une classe de grandeur donnée) croit avec la parallaxe; mes résultats s'écartent done des siens sur ce point. Cependant il est possible que la division méme des matériaux ait influé sur les valeurs trouvées par moi, parce que les conditions d'une répartition symé- trique des mouvements propres ne s'appliquent pas strictement au cas des mouvements propres moindres, parce que l'on a ici délimité des domaines spéciaux de grandeur de u. J’espere pouvoir revenir plus tard sur cette question, et j'ai voulu me borner ici à relever le fait. * Op. cil. Tom. XLVII, Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. 185 IV. Distribution des mouvements propres corrigés pour l'influence du mouvement du soleil. | 1. Correction des mouvements propres pour l'influence du mouvement du soleil. Après avoir déterminé dans ce qui précède la direction du mouvement solaire et les valeurs approxi- matives de la parallaxe moyenne, on peut éliminer des mouvements propres les composantes parallactiques. J'ai effectué cette operation de la manière usuelle, en déterminant les projec- tions des mouvements propres sur la. direction perpendiculaire au mouvement du soleil. J'ai tiré pour cela du catalogue général les étoiles dont les motus peculiares sont supérieurs à 0".05. Comme les mouvements propres observés qui ne devraient pas être pris en considération se groupent symétriquement autour de cette valeur, on a déterminé par interpolation graphique, d'après les valeurs de // données dans le tableau (III) du chapitre précédent, la valeur qui s'applique au mouvement moyen 0.05. La catégorie moyenne de grandeur correspondant à cette valeur est 97.3. Pour trouver le nombre Ah applicable aux autres catégories de grandeur, on a employé comme terme de comparaison les valeurs de / données dans le tableau (II) du méme chapitre. On a ainsi obtenu les nombres suivants applicables à u = 0".05. < 7.0 2 7.0—7.9 8.0—8.9 9.0—9.9 10.0—10.9 et — 11.0 h 0.040 0".032 0".024 0".018 0:015. Si on désigne par y langle formé par la direction du mouvement propre et la direction du mouvement du soleil, les mouvements propres à envisager étaient ceux qui remplissaient la condition V h3 Fu? — 2 hu cos w > 0".05. 2. Distribution des mouvements propres corrigés. Pour tous ces mouvements propres on a déterminé 7 ou la composante le long de la direction perpendiculaire au mouvement du soleil. On a obtenu pour les différentes groupes le nombre suivant d'étoiles pj, ma... pour les valeurs-limites suivantes de T: Groupe i Il IH IV M NE * T>0 m 97 86 111 134 123 109 > 0".03 ma 73 73 88 97 90 81 >0.06 m; 45 44 45 52 55 51 IE 726 22 23 23 32 25 >0.12 m, 11 15 8 10 16 12 >0.15 mg 9 10 6 6 9 10 20.18. m, 7 5 2 3 4 7 20.21 mg 2 4 1 3 0 6 N:o 1, 186 RAGNAR-FURUHJELM. On trouve que les nombres m sont assez constants pour les différents groupes; c'est en particulier le cas à partir de my. On constate done à cet égard une régularité nette. Si on groupe les composantes r par classes de grandeur, on obtient les nombres suivants. —10 70-79 80-89 90—99 100—109 >11.0 Total T0 m, 40 39 135 220 193 33 660 1.3 1.3 1.4 1.4 1.3 1.2 1.31 > 0".03 mo, 31 31 99 163 150 28 502 < 1.6 1.4 1.6 1.8 1.8 2.3 1.72 210.06. 94. «20 22 63 93 82 12 292 1.3 -1.5 1.8 1.9 2.8 Jet 1.93 >0.09 m, 15 15 35 50 29 7 151 1.4 24 120 6 EDER 2.4 1.4 2.10 ON 7 18 19 12 5 72 1.4 2.3 1.4 1.3 1.5 D 1.44 20.15 mg 8 ‘8 15 p5 8 3 50 1a 1.5 22 2.5 1.3 3 1.79 ale m» i 2 6 6 6 || 28 1.2 9:94 1.5 2.0 1.5 1 1.47 >0.21 mg 6 l 4 3 4 1 19 On a inséré entre deux m conséeutifs, m, et m, +, le rapport entre ces deux quan- Hör my 4 5 t tités. Il en ressort que les rapports — pour une méme classe de grandeur, ont un My 1 maximum autour de m,, mais qu'ils croissent avec la classe de grandeur (exception faite de la derniére). laquelle le nombre des mouvements propres compris entre les valeurs v et v + dr est 1 „dt Na Ü À ( +1) a? a été essayée sur les matériaux présents; mais il n'est pas ressorti de concordance notable entre la théorie et l'observation. Pour la constante a on tire de mes matériaux des valeurs comprises entre 0”.05 et 0'".10 suivant la méthode de calcul, tandis que Dyson * a trouvé la valeur a = 1".4 par siècle ou 0".014 par année. ; Pour les nombres ny j'ai trouvé la formule d’interpolation (— py + 3hy* Ww mme ar Si on essaie la formule correspondante in, = efi Po v pay" * EF, W, Dyson: The Distribution of the Stars in Carringtons Circumpolar Catalogue. Monthly Notices, March 1913. Tom, XLVII. La formule employée par Dvsow * pour la distribution des mouvements propres, d'après DN ONDE tym TE ter ES Si Recherches sur les mouvements propres dans la zone de Helsingfors. on obtient, en excluant la valeur pour 7 >0, c. à d. 660: Si on observe que les v sont les projections des w, ces nombres concordent assez e, — 6.989; f, — 24.7; y,— bien avee les valeurs trouvées plus haut: En employant les valeurs ci-dessus de «,, Bj, y,, on obtient les valeurs suivantes pour NEO 9:5: 2L T8 187 my, qui donnent une concordance assez bonne avec les nombres observés, comme il ressort du tableau ci-dessous. N:o l. v — 0".03 mg > 0.06 > 0.09 > 0.12 > 0.15 > 0.18 > 0.21 M3 my Um Me Mr Mg Obs. 502 292 151 Calc. 528 270 144 sth 47 29 19 Diff. —26 + 22 ; »- r M Je ESO H » ve EUREN EL. Table des matières. Premiere partie. p: [us TR OR A EE PORN D SAR PQ E Or SALE LUV Deu otra Da EX CPI des rev. I. Introduction. Domememesdu. travan am RE ob AN RE ENT 5 2. Plan du travail N. BERN 6 3. Méthode pour reconnaître les étoiles à mouvement propre sensible 6 II. Les mesures et leur réduction. I EM ethodes do nresurob P AN EIC e ETE ce cure pac cr le oos P BR: 7 2. Détermination de la valeur d'un tour de vis et des erreurs de la vis . . . 8 3. Dépendance de la valeur d'un tour de la vis de la mise au point du micro- scope; l'influence des variations de température sur les mesures . . . 9 4. Calcul des constantes du cliché B par rapport au cliché A. . . . . . . 10 INT anesultäts@des'mesurer a EU eee N Ih tse o De ee S aee Se T o igen dr CET IV. Calcul des mouvements propres annuels en partant des résultats des mesures. 1. Calcul des mouvements propres pour chaque région séparément . . . . . 95 2. Formation des moyennes des résultats de régions différentes . . . . . . 98 & Reduction au mouyement propre abSolu . —:. 2 7:0. 020 9 2 95 se 7100 NE Catalogue general. des tmonvementsipropres IN EN de ar CE NT 06 VI. Remarques générales sur les déterminations des mouvements propres. 1. Précision des déterminations des mouvements propres . . . . . . . . . 163 2. Nombre des étoiles dont le mouvement propre a été déterminé pour la premiére fois dans le present travail . . :. 5.5.5. suae EN ete EN EE RES G2 Deuxieme partie. L Distribution des mouvements propres d'aprés leur grandeur. 1. Groupement des mouvements propres d'après leur grandeur . . . . ld 2. Nombre des étoiles à mouvement propre par rapport au nombre total dud GU CUR c POR AUTRE ER S DEN d om AL 3. Densité des étoiles à mouvement propre . . . . . . . . . . . . . .'172 ad 1 striputlonsdesemouyements/propresas I I CIN c T 14 N:o 1. 24 190 RAGNAR FURUHJELM. Il. Directions des mouvements propres. 1. Groupement des mouvements propres d'aprés leur direction 2. Détermination de l'apex. 3. Détermination du vertex. AU Ra E PCR 4. Apex et vertex pour les diverses grandeurs des étoiles 5. Remarque . ! DATURUS III. Parallaxes moyennes des étoiles à mouvement propre. 1. Parallaxes moyennes des étoiles dans les divers groupes Sun: 2. Parallaxes moyennes pour les différentes grandeurs des étoiles . ; 3. Parallaxes moyennes pour les differentes grandeurs des mouvements propres IV. Distribution des mouvements propres corrigés pour linfluence du mouvement du soleil. 1. Correction des mouvements propres pour l'influence du mouvement du soleil 2. Distribution des mouvements propres corrigés . 182 . 183 184 185 . 185^ ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICE TOM. XLVII. N:o 2. GLEICHZEITIGE REGISTRIERUNG DES PULSES BEI ZWEI VERSCHIEDENEN ARTERIEN VON CARL TIGERSTEDT. (Aus dem physiologischen Institut der Universität Helsingfors.) HELSINGFORS 1918, DRUCKERE! DER FINNISCHEN LITTERATURGESELLSCHAFT Ex ; 3 Be aj pH SE In einer früheren Abhandlung habe ich eine Methode für direkte Registrierung des Pulses beschrieben!). Diese Methode gründet sich auf die Tatsache, das die Arterien als elastische Röhren bei jeder intraarteriellen Druckschwankung eine entsprechende Veränderung ihres Durchmessers erleiden. Die Deutung der Pulskurve kann indessen nur durch gleichzeitige Registrierung des Pulses bei verschiedenen Arterien erzielt werden. Zu diesem Zwecke eignen sich frühere Versuchs- methoden im allgemeinen nicht gut, denn teils setzen sie einen ziemlich grossen Durchmesser desjenigen Gefässes, dessen Puls registriert werden soll?), voraus, teils entstehen bei der Ver- bindung des druckaufnehmenden Instrumentes mit dem betreffenden Gefäss neue Bedingungen, welche ihrerseits auf das Resultat einwirken können. Wenn also z. DB. zwei an und für sich gute Manometer mit dem arteriellen System verbindet werden, so lässt sich eine in ihnen auf- tretende Wellenreflexion nicht sicher ‘ausschliessen. Bei ihrem Lauf durch die zwischen den Manometern befindliche Gefässstrecke müssen diese Wellen offenbar die registrierten Pulskurven mehr oder weniger beeinflussen kónnen. Von diesem Übelstand ist meine Methode vollständig frei, und mittelst derselben können exakte Pulskurven selbst von den kleinsten Arterien, wie den Mesenterialarterien bei kleinen Kaninchen, aufgenommen werden. I Bei den Versuchen, welche meinen bisher veröffentlichten, hierher gehörigen Unter- suchungen zu Grunde liegen, musste ich, wegen Mangels an nótigen Apparaten, mich auf das Studium der Pulsform einzelner Arterien an und für sich beschränken. Es ist mir indessen spáter gelungen, auch die zu doppelter Registrierung des Pulses nóti- gen Vorrichtungen zusammenzustellen, was angesichts der Unmöglichkeit, zurzeit Instrumente vom Auslande zu bekommen, mit nicht ganz geringen Sehwierigkeiten verbunden war. Ich gestatte mir, die hierzu benutzten Methoden, so wie 'sie jetzt vorliegen, hier zu beschreiben und als Belege für ihre Anwendbarkeit einige Pulskurven mitzuteilen. 1) €. TIGERSTEDT, Öfversigt af Finska Vetenskapssocietetens förhandlingar, 58, afd. A, nr. 22, 1916. — Skand. Arch. f. Physiol., 36, s. 103, 1916. 2) Beim Kaninchen stellt die Aorta ascendens das einzige Gefäss dar, von welchem nach den früheren Methoden exakte Pulskurven erhalten worden sind. 4 CARL TIGERSTEDT. I. Nach meiner Methode wird das Gefäss, dessen Puls registriert werden soll, entblösst und auf ein erschütterungsfreies Stativ gelagert. Auf das Gefäss wird eine Glassaite von etwa 0,005 mm Durchmesser und 2 bis 4 mm Länge angebracht. Diese Saite adhäriert an der feuchten Gefässwand und folgt vollständig allen Bewegungen derselben. Da indessen die Ober- fläche des Gefässes nie ganz glatt ist, wird ein Teil der Saite immer ein oder einige Hunderts- tel eines Millimeters von der Gefässwand erhoben, und die Bewegungen dieses verhältnismässig freien Teils der Saite werden bei etwa 500-maliger Vergrösserung photographisch registriert. Die Schwierigkeit, nach dieser Methode den Puls zweier Gefässe gleichzeitig zu registrieren, liegt hauptsäch- lich darin, dass die betreffenden Gefässe eine genau be- stimmte Lage in Bezug auf die beiden Projektionsmikro- skope und die zugehörigen Beleuchtungsvorrichtungen ein- Fig. 1. | c | I | nehmen müssen. Auch sollen die beiden Mikroskope die u en ne M o Au yo DA sem projizieren, sowie alle Teile der Versuchsanordnung ganz Zementtisch mit Stativ. erschütterungsfrei sein. Diese Schwierigkeiten waren, meiner Meinung nach, durch Fixierung des einen Projektionssystems in einer bestimmten Lage am leichtesten zu überwinden. Nachdem dann die eine Arterie durch zweckmässige Lagerung des Versuchstieres in die richtige Stellung vor dem entsprechenden Mikroskop gebracht worden war, sollte das zweite, inallen Richtungen bewegliche Projektionssys- tem in der Weise verscho- ben werden können, das der Puls der zweiten Arterie auf den Spalt des Registrier- apparates an geeigneter Stelle entworfen würde. a Die Versuchsanord- nung ist folgende (vel. Schema der Projektionssysteme. Fig. 1—5). In einem wandfesten Tisch aus Zement (Fig. 1, f) sind zwei durchgehende, senkrechte Röhre (Fig. 1, b,b) festgesetzt; durch diese laufen zwei vom Stativ a a ausgehende Röhre (d,d). Mittelst der Muffen (e, e) können diese Röhre d, d und also auch die Platte des Stativs in -beliebiger Höhe fixiert werden. Die drei Schrauben e, c, c dienen zur feineren Einstellung des Stativs. i Am oberen Ende des Stativs ruht eine im Bilde nicht dargestellte, 30 kg. schwere Blei- Tom. XLVIII. M. Gleichzeitige Registrierung des Pulses bei zwei verschiedenen. Arterien. b platte, an welche das Operationsbrett mit dem daran befestigten, tief narkotisierten Versuchs- tier festgeschraubt wird. Diese Anordnung hat sich als in hohem Grade erschütterungsfrei bewährt. Hinter dem genannten Stativ (Fig. 2 und 3, k) ist die feste optische Bank (e), welche den Beleuchtungsapparat mit der Bogenlampe (b), den Kondensorlinsen (c und f) und den Kühl- gefässen (d, d) trägt, am Zementtisch befestigt. Vor dem Stativ ist das zu diesem Projektions- system gehörige Mikroskop (l) angebracht. Am Projektionsokular des Mikroskopes ist ein Umkehrprisma nach GARTEN (m) montiert; durch dasselbe wird der Schatten der auf die Arterie angebrachten Saite vertikal gestellt. Das zweite Projektionssystem ist an einer beweglichen optischen Bank (e’) befestigt. Sein vorderes, mit dem Projektionsmikroskop (il) armiertes Ende ist mit dem hinteren Teil, welcher das Beieuchtungssystem trägt, mittelst eines stark gekrümmten Zwischenstückes (1) verbunden. Diese Konstruktion der optischen Bank ist deswegen notwendig, weil sonst die Füsse des Sta- tivs (k) nicht gestatten würden, dieselbe bis zur Berührung mit dem fixen Projektionssystem zu bringen. . An ihrem hinteren Ende (Fig. 2 und 3, a) geht die bewegliche optische Bank in eine kreisrunde Platte (Fig. 4, f) über, welche auf einer Schneide (Fig. 4, b) ruht. Durch einen mit Schraubengängen versehenen Bolzen und die dazu gehörige, mittelst eines Steuerrades (Fig. 4, e) bewegliche Schraubenmutter (Fig. 4, d) wird die Platte (f) auf die Schneide (b) fixiert. : Anfangs wollte ich die Schneide ein für allemal an einen geeigneten Ort des Zement- tisches befestigen (Fig. 2, a) und mittelst eines Doppelprismas (Fig. 2, ») das vom Projektions- mikroskop austretende Licht gegen den Spalt des Registrierapparates ablenken. Da es aber unter den jetzigen Verhält- TEEN nissen nicht möglich war, | A TE TRE : | ein derartiges Doppelprisma zu erhalten, war ich ge- zwungen, die Schneide M BER HER m ee längs einer Schiene ver- Gere fn | schiebbar zu machen (Fig. 3, s; Fig. 4, a): dadurch | nn : j kann das ganze bewegliche | Il 3 optische System in der : Richtung gegen den Spalt Schema der Projektionssysteme. des Registrierapparates ein- gestellt werden. Ich will nicht verneinen, dass dies gewissermassen einen Vorteil darbietet; andererseits würde aber die Einstellung durch die Anbringung eines Doppelprismas vor dem Mikroskop in hohem Grade vereinfacht‘ werden, und ich werde auch, sobald die Umstände dies gestatten, meinen Apparat in dieser Hinsicht vervollständigen. Unmittelbar vor dem Teil der beweglichen optischen Bank, welcher das Beleuchtungs- system trägt, ist diese mit einem senkrechten. mit Schraubengang versehenen Bolzen (Fig. 2 und N:o 2. 0 6 CARL TIGERSTED". 3, h) ausgestattet, welcher auf der horizontalen, plangeschliffenen Eisenplatte (g) ruht. Dadurch, dass dieser Bolzen in der einen oder anderen Richtung verstellt wird, kann der vordere Teil der Bank erhöht oder gesenkt werden und also je nach der Lage der Arterie, deren Puls mit- telst des beweglichen Projektionssystemes registriert werden soll, eingestellt werden. Das bewegliche Projektionssystem ist wie das fixe aus einer Bogenlampe (Fig. 2 und 3, b'), zwei Kondensorlinsen (c und f), zwei Kühlgefässen (d' und d') sowie einem mit dem GARTEN’schen Prisma (m^) versehenen Mikroskop (l) zusam- mengesetzt. N Mittelst Mikrometerschrauben sind die beiden Projek- tionsmikroskope in zwei gegeneinander senkrechten horizonta- | len Richtungen — von der einen Seite zur anderen sowie in Die RUIT NA am der Längsrichtung der optischen Systeme — beweglich. Au hinteren Ende der beweglichen den betreffenden Mikrometerschrauben sind lange Stöcke ge- optischen Bank. : ^ lenkartig befestigt, so dass die scharfe Einstellung aus näch- ster Nähe des 2!/, Meter weit von den Mikroskopen aufgestellten Registrierapparates statt- finden kann. Die Bogenlampen sind schwedisches Fabrikat und von Herrn EDwARD NERLIEN in Stock- holm geliefert. Ihr Licht ist an chemisch wirksamen Strahlen sehr reich und entwickelt dabei Fig. 5. Die beiden Projektionssysteme. nur wenig Wärme, so dass ein im Brennpunkt des Systems gehaltenes geschwärztes Thermo- meter nur eine Temperatur von 40°C. aufweist. Das schnelle Eintrocknen der Arterien, deren Puls registriert wird, ist also ausgeschlossen. Mittelst dieses Apparates in seiner jetzt vorliegenden Gestalt kann der Puls zweier Ge- fässe, welche sich in einer Entfernung von 5 bis 50 cm. voneinander befinden, aufgenommen werden. Wenn ein Doppelprisma, wie oben ausgeführt, vor dem Mikroskop des beweglichen Tom. XLVIIL. Gleichzeitige Registrierung des Pulses bei zwei verschiedenen Arterien. 7 Systems angebracht wird, und insbesondere wenn die eiserne Schiene und Platte, auf welchen die bewegliche optische Bank ruht, verlängert werden, kann diese Entfernung beliebig ver- eróssert werden. Zwischen den Projektionssystemen und dem photographischen Registrierapparat (Fig. 2 und 3, p) sind noch zwei Schirme: (o, o) aufgestellt, welche das von den Projektionsapparaten kom- mende Licht in der Weise abblenden, dass jede Hälfte des Spaltes nur von dem entsprechenden Apparat belichtet wird. In Fig. 5 ist der ganze Apparat photographisch abgebildet. Ein Versuch mit diesem Apparat gestaltet sich in folgender Weise. Zuerst werden die beiden Arterien, deren Puls registriert werden soll, freigelegt und auf erschütterungsfreie, am Operationsbrett befestigte Stative gelagert. Dann wird das Operations- brett auf das am Zementtisch montierte, in vertikaler Richtung verschiebbare Stativ plaziert. Die Glassaiten werden an die beiden Arterien angebracht, und das Versuchstier wird so einge- stellt, dass der Schatten der einen Saite mittelst des fixen Projektionssystems an einen geeig- neten Teil des Spaltes entworfen wird. Endlich wird das bewegliche Projektionssystem in die von der Lage der zweiten Arterie bedingte Stellung eingestellt. Die gleichzeitige Registrierung der beiden Pulskurven kann beginnen. II. Um mittelst der hier beschriebenen Anordnung eine doppelte Pulsregistrierung ausführen zu können, braucht man einen photographischen Registrierapparat mit horizontalem Spalt. Mit Hinsicht auf die ziemlich bedeutende Höhe der Pulskurven und in Betracht der Schwie- rigkeit bei der Einstellung, muss die photographische Platte eine Breite von mindestens 16 em. haben. Da ein Apparat, welcher diese Bedingungen erfüllen sollte, meines Wissens nicht im Han- del vorkommt — die bisher beschriebenen sind von wesentlich kleineren Dimensionen — war ich gezwungen, selber einen solchen zu bauen, wobei ich, wie selbstverständlich, zum Teil die hier anwendbaren, bei den entsprechenden älteren Apparaten getroffenen Anordnungen über- nommen habe. à Mein Registrierapparat stellt einen für Filme und Platten bis zu 24 cm. Länge und 18 cm. Breite zu verwendenden Fallapparat dar. Die Fallgeschwindigkeit wird durch eine mit Paraffinöl gefüllte Pumpe reguliert. Der Registrierapparat (Fig. 6—15) besteht aus einer 122 cm. hohen, 38,5 cm. breiten und 11 cm. tiefen Mahagoni-Kamera, deren innere Maasse bzw. 115, 33,5 und 8 cm. betragen. Um der Kamera eine genügende Stabilität zu geben sind ihre Seitenwände 23 cm. breit und erstrecken sich also 12 cm. nach hinten ausserhalb der eigentlichen Kamera (Fig. 8, À, f: B, f). Der Spalt mit Zylinderlinse und Schliesser befindet sich auf einer Hóhe von 40 cm. von der Bodenplatte der Kamera. An ihrer Hinterseite findet sich eine, an der: Vorderseite zwei Türen (Fig. 6, 4 und B). Die Pumpe, durch welche die Fallgeschwindigkeit geregelt wird, steht hinter der Kamera zwischen den Seitenwünden (Fig. 6, B; Fig. 8, c). N:o 2. 8 CARL TIGERSTEDT. Im Inneren ist die Kamera etwa 85 cm. von ihrem unteren Ende durch eine horizontale Scheidewand (Fig. 7, A, m und 8, B, m) in zwei Abteilungen geteilt. In dieser Scheidewand Fig. 6. Fig. 7. MET: (ÖR AE gs A. B. A. B. Die photographische Kamera von vorn (A) Die photographische Kamera in Längsschnitt und von hinten (B). von hinten (4) und von der Seite (B). findet sich ein in der Querrichtung der Kamera verlaufender Spalt von solcher Grósse, dass die beim Apparate benutzten Kassetten (deppekt Holzkassetten in Buchform) durch den Spalt Fig. 8. von der oberen zur unteren Abteilung der Kamera passieren können. Zutritt zu dem oberen Teil der Kamera ge- stattet die obere Tür an der Vorder- seite. In der unteren Abteilung der Ka- mera sind zwei vertikale eiserne Schie- nen von 79 cm. Länge längs den Sei- Der photographische Kamera in Querschnitt. tenwänden so angebracht, dass ihre A yntere Hale; B. opere Ae gegenseitige Entfernung 24 cm. beträgt: (Fig. 7, A, a; Fig. 8, A, d). An der inneren, geschliffenen Oberflüche jeder Schiene ist eine Rinne von 5 mm. Tiefe und etwas mehr als 1 mm. Breite eingehobelt. In diesen Rinnen bewegt sich ein Rahmen aus Messing (24,5 x 26 cm.; Fig. 7, A, b; Fig. 8, A, e), an dessen vorderer Fläche der hölzerne Kassettenhalter in der Weise befestigt ist, Tom. XLVIII. Gleichzeiige Registrierung des Pulses bei zwei verschiedenen Arterien. 9 dass die Kassette (Fig. 7, A, c; Fig. 8. A. m). wenn sie an ihren Platz gebracht worden ist. um etwa 2 cm. den oberen Rand des Rahmens überragt. r Der Rahmen kann nicht bis zur oberen Abteilung der Kamera verschoben werden. Um die Kassette herauszunehmen, wird daher der Rahmen gegen die horizontale Scheidewand gehoben, wobei die Kasette durch den daselbst befindlichen Spalt in die obere Abteilung der Kamera hineinragt. Von hier aus kann die Kassette herausgenommen und wieder eingesetzt werden; am selben Orte findet auch das Öffnen und Schliessen derselben statt. was alles bei vollem Tageslicht stattfinden kann, weil der Spalt in der horizontalen Scheidewand dank dem Sammtüberzug den oberen, oberhalb des Messingrahmens be- findliehen Teil der Kassette lichtdicht umgibt. Vom Messingrahmen erstreckt sich eine etwa 27 em. lange Stange nach oben. Der untere Teil derselben ist in einer Höhe von 2 em. etwas dicker als der übrige Teil. Hierdurch wird jede Friktion zwischen der Stange und den Rändern des Spal- tes, nachdem die Kassette bei ihrem Fall vollständig in die untere Abteilung der Kamera gelangt ist, vermieden. Am Dach der Kamera findet sich eine in Kugellagern laufende Achse, welche zwei Rollen von bzw. 13 und 4 cm. ; - Anordnung zum l'esthalten des Durchmesser (Fig. 6 und 7 B) trägt. An der grösseren ist ein Kassettenhalters. Auf die 3 j Hälfte verkleinert. zum Rahmen des Kassettenhalters verlaufendes Drahtseil be- festigt; von der kleineren geht ein ähnliches Drahtseil zum Kolben der Pumpe, welche die Fallgeschwindigkeit reguliert. Um den Kassettenhalter unmittelbar unterhalb der horizontalen Scheide- wand der Kamera festzuhalten, ist folgende Anordnung getroffen. An der Innenseite der vorderen Wand ist der obere Teil eines Charniers befestigt (Fig. 9, f; Fig. 11. f). Der andere, freie Teil dieses Charniers (Fig. : 9, m) trägt eine 5 cm. lange, drehrunde eiserne Stange (Fig. 9, g; Fig. 11, g) Reste sowie ein teilweise bogenförmiges Stück, welches durch ein Loch in der vorderen E n ne Wand der Kamera läuft. Der untere Teil des Charniers wird mit den zuge- Hälfte verklei- — hórigen Nebenapparaten durch eine an der verlängerten Achse des Charniers u angebrachte Feder (Fig. 9, k) gegen die vordere Wand der Kamera gedrückt. An der Vorderseite der Kamera passiert das gebogene Stück h (Fig. 11) eine messingene Platte (Fig. 11.1; Fig. 7, B,a), an welcher eine Vorrichtung zum Arretieren desselben in einer bestimmten Lage angebracht ist (Fig. 10). Diese Arretiervorrichtung besteht aus dem Sperrzahn b (Fig. 10). welcher um die Achse d beweglich ist. Durch die Platte e wird der Sperrzahn gegen die Messingplatte gedrückt, durch die Feder e wird er gegen das bogenfórmige Stück gepresst (in Fig. 10, a ist das Loch in der Messingplatte, durch welches dieses Stück läuft. sichtbar), und kann also in den an dieses Stück gemachten Einschnitt hineinsinken. Der Sperrzahn steht in Verbindung mit einem photographischen Abdrucker; durch diesen wird die Arretierung zelöst, wobei der untere Teil des Charniers (Fig. 11. g) von der oben erwähnten Feder nach unten in die aus Fig. 11 ---- Fig 10. erkenntliehe Lage gepresst wird. A 3i N:o 2. — 6 IN m | 4 | za À | 7 \ y 10 GARL "PIEERSTEDT: Am unteren Teil des Kassettenhalters ist eine Vorrichtung angebracht, durch welche die Arretierung automatisch geschlossen wird, wenn der Kassettenhalter gehoben wird. Diese Vor- richtung besteht aus einem Metallstück (Fig. 11. d), an dessen Vorderteil eine Rinne eingegraben ist. In diese Rinne passt die am unteren Teil des Charniers b | befestigte Metallstange genau, und diese wird dort- hin eingeschoben, wenn er von zwei unterhalb der Rinne angebrachten, in einer Entfernung von 3,5 em. voneinander stehenden Ausläufern (Fig. 11, e) geho- ben wird. Die ganze Vorrichtung ist so gebaut, dass die Arretierung bei der höchsten Lage des Kassetten- halters stattfindet. TSE Da der Apparat fär eine Geschwindigkeit bis zu ein paar Metern in der Sekunde gebaut ist, muss die Bewegung des Kassettenhalters gehemmt werden, bevor er den Boden der Kamera erreicht. Zu diesem Zwecke habe ich an den hinteren Oberflächen der eisernen Schienen je zwei Flachfedern in der Weise angebracht, dass ihre gegenseitige Entfernung von Die Arretierungsvorrichtung von der Seite. oben nach unten allmählich abnimmt (Fig. 7. A. 2; Auf die Hälfte verkleinert. ^ : : 1 E Fig. 8. 4, 2). Auf der.Hinterseite des Kassettenhal- ters ist eine Eisenstange befestigt (Fig. 7, A. f). deren ausserhalb des Rahmens Fig. 12 hervorragende Enden von diesen Federn gefangen werden, so bald die Kassette a den Spalt der Kamera passiert hat. Hierdurch wird die Bewegung des Kasset- | tenhalters erschütterungsfrei gehemmt, und da sowohl die inneren Oberflächen der Federn als die zwischen ihnen bewegte Eisenstange poliert sind, wird letztere nicht sehr stark von den Federn festgehalten, und es ist deshalb leicht, durch ziehen an dem Drahtseil, welches die Achse am Dach der Kamera mit der Pumpe verbindet, den Kassettenhalter loszunehmen und zu heben. Die Pumpe (Fig. 12) besteht aus einem 18 cm. hohen, innen gedrechselten Pumpenzylinder mit einem inneren Durchmesser von 6 em. Der Kolben der Pumpe ist aus zwei gegeneinander beweglichen Scheiben zusammengesetzt. Die vegenseitige Lage dieser Scheiben kann von der Pumpenstange aus reguliert wer- 3 den, indem diese einen Maassstab trägt, welcher diese Lage angibt. In beiden E Scheiben finden sich je zwei etwa 3 mm. breite Öffnungen. Je nachdem diese i Öffnungen mehr oder weniger vollständig einander entsprechen, wird der Wider- j stand in der Pumpe und damit auch die Fallgeschwindigkeit des Kassettenhal- Epid : ters veründert. x der Fallge- 3 schwindigk. Die Pumpe ist mit halbflüssigem Paraffinöl gefüllt. Oberhalb des Pumpen- : zylinders befindet sich ein zweites zylinderfórmiges Gefäss, um das Herausfliessen des Paraffin- öls zu verhindern. Die Lage des Pumpenkolbens wird zum Teil dadurch reguliert, dass die . Pumpenstange die Lócher in den Deckeln am oberen Teil des Pumpenzylinders und an dem oberhalb desselben befindlichen Gefäss passiert. Tom. XLVIII. ] Gleichzeitige Registrierung des Pulses bei zwei verschiedenen Arterien. 11 Die richtige Spannung der mit dem Kassettenhalter und dem Pumpenkolben verbundenen Drahtseile wird mittelst eines am letzteren angebrachten Riemenspanners (Fig. 6, B. s) erzielt. Der photographische Spalt der Kamera (Fig. 13) ist mit einer Zylinderlinse Fig. 13. von 20 em. Länge versehen. Vor dieser befindet sich der Schliesser. Dieser gi à besteht aus einer Metallscheibe, welche dank ] ges ihrer eigenen Schwere in eine solche Lage .. li F = peur = M CE herunterfällt, dass der Spalt vollständige ge- | m; p schlossen wird. Mittelst einer mit einem | m - = photographischen Abdrucker kombinierten : Hebelvorriehtung kann der Schliesser geho- ^ Der Spalt der Kamera. Der Blender. ben und damit der Spalt seóffnet werden. Der photographische Abdrucker ist mittelst eines gemeinsamen Griffes mit dem Abdrucker, welcher die Arretierung des Kassettenhalters aufhebt, solcherart verbunden. dass beide gleich- zeitig mit einer Hand besorgt werden können. Dabei wird immer zuerst der Spalt «eöffnet und erst da- nach der Fall des Kassettenhalters ausgelöst. Vor dem Schliesser befindet sich der Blender. Dieser besteht aus zwei, gegen ihren freien Rand zugeschärften, in mm graduierten Linealen. In jedem sind zwei schiefe, längliche Löcher angebracht (Fig. 14), durch welche kleine, an der vorderen Wand der Kamera befestiete Messingklotzen (m) hervorragen. Die Länge derselben beträgt nur die Hälfte der Länge der in den Linealen gemachten Löcher, und infolge- Fig. 15. dessen können diese eine Strecke weit in der Rich- tung dieser Löcher verschoben werden. Hierdurch kann die Spaltweite nach Belieben verändert werden. Um fremdes Licht fernzuhalten, ist ein spalt- förmiger Trichter von 4 em. Höhe an den Messing- klotzen, welche die Bewegungen der soeben erwähn- ten Lineale regulieren, festgeschraubt. Fig. 15 stellt eine perspektivische Aufnahme der Kamera dar. Die Handhabung dieses Registrierapparates fin- det also auf folgende Weise statt. Durch Zus an dem mit dem Pumpenkolben verbundene Drahtseil wird der Kassettenhalter 2e- hoben und unmittelbar unterhalb der Scheidewand zwischen den beiden Abteilungen der Kamera auto- matisch festgehalten. Die obere Tür an der Vorder- seite der Kamera wird geöffnet, und eine Kassette durch den Spalt in der Scheidewand in den Kasset- N:o 2. Die Kamera. 12 CARL TIGERSTEDT, tenhalter hineingeschoben. Dann wird der Kassettendeckel nach oben gezogen und die Tär geschlossen. Durch einen Druck auf die miteinander vereinigten Abdrückern wird der photo- sraphische Spalt geöffnet und die Fallbewegung ausgelöst. Die Fallgeschwindigkeiten, welche mit diesem Registrierapparat erhalten werden können, variieren zwischen 150 und 60 cm in der Sekunde. Durch Ersatz des jetzigen Pumpenzylin- ders mit einem längeren kann natürlich die Fallgeschwindigkeit in hohem Grade vermindert werden. : Dasselbe Resultat wird auch durch Füllung der Pumpe mit einem Öl von festerer Konsistenz, als dem von mir benutzten, erzielt. Durch Vergrösserung der Öffnungen am Pum- penkolben wie durch Anwendung eines mehr dünnflüssigen Öls kann wiederum die Fallge- schwindigkeit noch wesentlich erhöht werden. Die Fallgeschwindigkeit ist bei allen benutzten Geschwindigkeiten äusserst gleichmässig, und der Fall findet, was hier die Hauptsache darstellt, vollkommen ohne Erschütterung statt. Auch in der Beziehung gentigt mein Registrierapparat grossen Ansprüchen, dass das Wechseln der Kassetten sehr schnell stattfindet, und dass also zwischen zwei Aufnahmen nur eine sehr kurze Zeit zu verstreichen braucht. III. Bei gleichzeitiger Registrierung des Pulses an zwei verschiedenen Arterien Kann ein be- stimmter Punkt der einen Kurve dem vertikal darüber geleeenen der anderen Kurve nur dann entsprechen, wenn die benutzten Beleuchtungssysteme im Verhältnis zum Spalt der Kamera genau in einer und derselben Ebene stehen, was sich indessen aus praktischen Gründen nur selten in aller Strenge realisieren lässt. Will man daher zwei gleichzeitig registrierte Kurven zeitlich vergleichen, so ist es not- wendig, für jede Aufnahme points-de-repere der einen oder anderen Art einzutragen. Am einfachsten ist es, die Kassette vor dem Spalt stehen zu lassen und die Platte einen Ausenblick zu exponieren. In dieser Weise sind die Fie. 17 und 18 aufgenommen worden. Eleganter und auch viel bequemer ist es. durch irgend eine mechanische Vorrichtung während stattfindender Registrierung des Pulses ein ganzes System von points-de-repere, d.h. ein Ordinatensystem herzustellen. Ein solches System kann ja dadurch erhalten werden. dass ein Episkotisterrad mit geniü- gender Geschwindigkeit vor dem Spalt des Registrierapparates rotiert. Wenn aber, wie hier, von einem Spalt von fast 20 cm. Lünge und also von einer Episko- tisterscheibe mit einem Durchmesser von etwa !/, Meter die Rede ist, stellt sich die Sache etwas schwieriger dar. Wenn nämlich ein so grosses Rad mit einer Geschwindigkeit von ein paar tausend Umdrehungen in der Minute rotiert, so entstehen leicht Erschütterungen, welche bei Registrierungen der hier vorliegenden Art das Resultat vollständig vereiteln würden. Auch würde ein solches, in unmittelbarer Nähe des Registrierapparates aufgestelltes Rad gar zu leicht Unfálle verursachen kónnen. Jeder, der sich mit photographischer Registrierung mittelst einer. Bogenlampe als Licht- quelle beschäftigt hat, ist unzweifelhaft mehrmals der Unannehmlichkeit ausgesetzt gewesen, Tom. XLVIII. cox Maio —— Den Gleichzeitige Registrierung des Pulses bei zwei verschiedenen Arterien. 13 dass die Lampe wegen Ungleichmässigheiten der Kohle ungleichmässig gebrannt hat, und dass infolge dessen hellere und dunklere, immer scharf begrenzte Bänder von variierender Breite auf der Platte erschienen sind. Die Erfahrung, welche ich besonders während der drei letzten Jahre hierüber gemacht habe, hat mich zu einer neuen und meines Erachtens vollständig befriedigenden Methode geführt, bei der photographischen Registrierung ein Ordinatensystem zu bekommen. Ganz auf dieselbe Weise wie Ungleichmässigkeiten bei den Lampenkohlen eine plötzliche Verstärkung bzw. Schwächung des Lichtbogens hervorrufen, müssen ja gleichartige Verände- rungen der Lichtstärke dadurch zuwegegebracht werden können, wenn der zu der Lampe gehende Strom momentan verstärkt oder geschwächt wird. Wenn mehrere Lampen in einer und derselben Leitung eingeschaltet sind, müssen natürlich die Veränderungen in der Stärke des Lichtbogens bei allen vollkommen gleichzeitig stattfinden. Meine Methode, um bei der photographischen Registrierung ein Ordinatensystem zu entwerfen, geht aus dem Schema in Fig. 16 hervor. | und [ sind die beiden parallel eingeschalteten Bogenlampen ; m und m’ die zu denselben gehörigen Widerstände. Ausserdem be- sitzen die beiden Lampen einen gemeinsamen Widerstánd a. Der Strom kann indessen teilweise an diesem Widerstand vorbei passie- ren, indem dessen beide Enden durch die Nebenschliessung b_in direk- ter ter Verbindung miteinander stehen. In der Nebenschliessung ist ein Kontakt (c) eingeschaltet, der den Strom durch die Nebenschliessung vollständig unterbricht. Je nach der Stellung dieses Kontaktes wird entweder ein ganz klei- ner Teil des Stromes oder auch der ganze Strom den für die beiden Lampen gemeinsamen Widerstand (a) passieren, was seinerseits entsprechende Variationen bei der Stärke des Licht- bogens hervorruft. Der Kontakt in der Nebenschliessung besteht aus einer messingenen Rolle (es war nicht möglich eine Rolle aus Kupfer zu erhalten) von 10,5 cm. Durchmesser und 2,7 cm. Dicke. Ihre zylindrische Oberfläche ist an einer Stelle in einer Breite von 4 mm. von einem Glim- merband unterbrochen. Gegen diese Rolle, welche, von einem Motor getrieben, etwa 2000 Umdrehungen in der Minute macht, wird durch eine geeignete Federvorrichtung die in Ver- bindung mit den Drähten der Nebenschliessung stehenden Graphitbürsten (Fig. 16, c), deren Durchmesser nur wenig kleiner ist als die Breite des isolierten Teiles an der Oberfläche der Rolle, gedrückt. Jedesmal wenn diese isolierte Stelle die Bürsten passiert, wird der Strom durch die Ne- benschliessung unterbrochen und die Lichtintensität der beiden Lampen wird für einen Augen- blick herabgesetzt. An den Kurven Fig. 19 ist das also erhaltene Ordinatensystem ersichtlich. Fig. 16. m | 14 CARL TIGERSTEDT. IV. Bis jetzt habe ich nur in einigen wenigen Versuchen den Puls zweier Arterien gleich- zeitig registriert. Aus diesen Versuchen geht indessen hervor, dass obgleich dieselben verschie- dene, nicht unbedeutende Schwierigkeiten darbieten, die doppelte Pulsregistrierung sich exakt durchführen lässt. | Allerdings liefert jeder einzelne gut gelungene Versuch selbstverständlich einen gewissen Beitrag zur Lösung der Frage nach dem Pulse und der theoretischen Deutung desselben; ich will aber nichts destoweniger den Bericht über die bis jetzt gewonnenen Resultate aufschieben, bis ich in der Lage sein werde, über ein viel erósseres Versuchsmaterial zu verfügen. Ich teile also hier nur als Belege für die Anwendbarkeit der oben beschriebenen Metho- dik in Fig. 17—19 einige Versuchsbeispiele mit. In allen Figuren bezeichnen die Stimmgabelschwingungen eine Zeit von 1/,5 Sekunde. Figur 17 stellt den Puls einer Mesenterialarterie (die obere Linie) und der A. iliaca externa sin. bei einem Kaninchen von 2800 er. Körpergewicht dar. Die dünne schwarze Linie links zeigt hier wie in Fig. 18 die synchronischen Punkte der beiden Kurven. Die Entfernung des Iliaca-Punktes vom Herzen betrug 304 mm., von der Bifurkatur der Aorta 31 mm. Die Entfernung des Mesenterica-Punktes von dem Herzen war 216 mm., von der Aorta 59 mm.. von der nächsten Darmschlinge 12 mm. Figur 18 bezieht sich auf die Carotis dextra (die obere Linie) und die A. iliaca externa : (die untere Linie) nach Bindung der beiden Carotiden. Kaninchen von 1900 gr. Kórperge- wicht. Die Entfernung des Karotis-Punktes vom Herzen 47 mm., von der Aorta 36 mm., von der Ligatur. an der Carotis dextra ? mm.; die Ligatur der Carotis sinistra war 32 mm. von der Aorta entfernt. Die Entfernung des Tliaca-Punktes vom Herzen betrug 245 mm., von der Bifurkatur der Aorta 19 mm., vom Ligamentum inguinale 7 mm. Figur 19 ist unter Anwendung des Ordinatenschreibers (S. 12) aufgenommen worden. Der Abstand zwischen den Ordinaten entspricht einer Zeit von etwa 0,03 Sek. Die obere Linie stellt die Pulskurve der Carotis sin., die untere die der A. iliaca sinistra bei einem Kaninchen von 2100 gr. Kórpergewicht dar. Die Entfernung des Carotis-Punktes vom Herzen betrug 43 mm., von der Aorta 32 mm. Die Entfernung des lliaca-Punktes vom Herzen war 260 mm., von der Bifurkatur der Aorta 31 mm., vom Lig. inguinale 2 mm. '6 ON TIIA'IX "log, 'ue Um Iop SunqergosieA eSnresueSes erp 3qr8 sxui[ etur e[exnjj04 euunp or "exjspuIs €eu10)xo vOTI[D ^y ISP s[nq I9p I *enrejreperrequeso]y sour sing I9p 'g ‘(epunxes 1ep ur (OI) ussunsurmyosppgesung ‘F p AAA AAA RA re "esp sop Bbun.sorwysibarg 2B)12214212]2) "LAALSAHOLL 'INV) ‘@ ŒN JIIATX "og ‘ue uaAJny Ep SunqergosieA eSriesuegos erp 4q13 SHUIT our] e[exmieA euunp eq "eulejxo vor y OP s[nq 18P D ‘XP snoreo "y top Sud top 'g ‘(epunxeg rop ur MOT) ueSunSuragos[oqeSumg 'K AEGGLLSHODI] HV) '6 ON IIA'TX 'woL 'uey[peq1e sreqrerqosuejeurpi() ueuederrqoseq [[[ qns sep 3s[ojjur PUIS uorumf ue[exmioA euq 8 ‘(epumxes rep ur (01) uesundurmyosppgesung 'F vIgsturs eowI[r ^y dep s[nq iep ‘D !eıgsıuıs smo4vo *y JOP s[nq 19P * eas. 4 Mn tiep heine H 4 “LOHELSAUOIT, TAV() sasmq sap bun.«arıysıbay 201122101212) ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ TOM. XLVIll. N:o 3. BEITRAG KENNTNIS DER ENTWICKLUNG DES GELENKKNORPELS VON YRJÓ KAJAVA Mit 31 Abbildungen im Texte —— a —= — — HELSINGFORS 1919 DRUCKEREI DER FINNISCHEN LITERATUR-GESELL SCHAFT EU ÉLIRE E Inhaltsverzeichnis. Einleitung . : I. Die Entstehung der Gelenkhöhle, Historik Eigene DATEN NE re EE AT ANNE eh II. Die Anordnung der Gewebselemente in der ee des Ca none und in dem unter demselben befindlichen Knorpel. Historik Eigene Untersuchungen LM ACER RN. 1) Die Anordnung von dee. während der los Ent- wicklungsperiode des Gelenkknorpels MES 2) Strukturelle Veränderungen in den oberflächlichsten Sohichlen sr Gelenkknorpels . SOS ÖAR runs HUM ; 3) Veränderungen in dem tiefer liegenden EA n on der spindelförmigen oder verzweigten Knorpelzellen . 4) Weitere Veränderungen in den oberflächlichen Teilen des Fd knorpels, das Verschwinden der chondrogenen Ubergangsschicht 5) Die Randzone des Gelenkknorpels. III. Der Zuwachs des Gelenkknorpels. Historik Eigene Untersuchungen . d aeuo o A caelo 1) Das Verhalten der Knor dup zu dons Zuwachs des Knorpels 2) Die Grundsubstanz und ihre Veránderungen beim Zuwachs des Knorpels . 3) Der perichondrale Pise Eus GEI Een ele! : IV. Das Vorkommen von Blutgefässen im Gelenkknorpel während dessen Brio Historik . i Eigene Untersuchungen. A LES AX 1) Das Auftreten von Blufgefäksen in der E Hm Glen suus biis 2) Die Gefässkanäle und die Blutgefässe im Knorpel . 3) Das Verschwinden der Blutgefásse und der Gefässkanäle FÅ Seite. 36 SEO e De " à ha! IV Seite. V. Die spätere Entwicklung des Gelenkknorpels. {) » Die. oberflächlichen Schichten ne Pr 9 2222 2000 Ct ANR ER e 89 2) Die tiefen Schichten des Gelenkknorpels. — Die Begrenzung des | Gelenkknorpels gegen den unterliegenden Knochen . . . . . . 100 Anhang. : Die Veränderungen des Gelenkknorpels auf Caput humeri beim Mienschen"nachrder, Geburten er ER MEUS Literaturverzelchnis: 32 VEU ee RN Ru ie US NI Mec cM TIPP el iDieSlurklarung «derWdlIpunen: 5:05 9 CE e TRE re iun besar enda rade MUT t ORIS Einleitung. Die mikroskopische Anatomie der Gelenke und des Gelenkknorpels ist während der letzten Hälfte des verflossenen Jahrhunderts Gegenstand umfassender Studien gewesen. Unter den älteren Anatomen verdienen in dieser Beziehung Hurrzr (1866), Bozux (1868), Reyuer (1874), Tırımanns (1874) und Ocsron (1876, 1878) vor allem genannt zu werden. Diese Forscher, mit deren Untersuchungsresultaten wir im Folgenden Gelegen- heit bekommen, uns bekannt zu machen, haben viele, hierher gehörende wichtige Facta an den Tag gebracht. Dessen ungeachtet war aber die Kenntnis der mikroskopischen Anatomie der Gelenke noch im Jahre 1892 so unvollständig, dass Hammar in der Ein- leitung. zu seiner Abhandlung hervorhebt, wie man sich innerhalb der Histologie an einer etwas stiefmütterlichen Behandlungsweise der Lehre von dem feineren Bau der Gelenke gewöhnt hat. Die vom letztgenannten Forscher im Jahre 1892 auf schwedisch und im Jahre 1894 auf deutsch ausgegebenen, genauen Untersuchungen haben uns auch eine detaillierte Darstellung über den feineren Bau der voll ausgebildeten Gelenke gegeben und bilden zusammen mit den Arbeiten der früher genannten Verfasser die Basis, auf welche unsere Auffassung betreffs dieses Gegenstandes sich gründet. Eine noch weit umfassendere Beleuchtung erhielt die Frage bezüglich der Anato- mie nnd Morphologie der Gelenke, als Lusosch im Jahre 1910 seine Monographie, „Bau und Entstehung der Wirbeltiergelenke“ ausgab. In der letzterwähnten Arbeit beschreibt Lugoscx nicht allein den Bau des Gelenkknorpels, der Synovialhaut, der Pfannenlippen (Labra glenoidalia), der Zwischenscheiben (Disci und Menisci articulares), der Ligamente u. s. w. bei den verschiedenen Gruppen der Wirbeltiere, sondern giebt auch eine weitläufige Darstellung über die phylogenetische Entwicklung und Bildung der Form der Gelenke. Die oben genannten Verfasser haben also unsere Kenntnisse in der Anatomie und Entstehung der Gelenke bedeutend ausgedehnt. Nicht desto weniger scheint es mir, 2 YRIö KATJAVva. als wenn in unserem anatomischen Wissen, die Gelenke betreffend, eine bemerkbare Lücke noch vorliegen sollte, nämlich mit Bezug auf die embryonale Entwicklung des Gelenkknorpels, bei den Wirbeltieren, speciell beim Mensch. Denn in der Literatur, womit ich Gelegenheit gehabt mich bekannt zu machen, habe ich nicht eine einzige, zusammenhängende Darstellung über diesen Gegenstand gefunden. Ich habe auch nicht in der Literatur, die ich in verschiedenen Literaturverzeichnissen gesammelt habe, aber nicht Gelegenheit gehabt habe näher zu studieren, etwas finden können, was eine mehr umfassende Untersuchung des fraglichen Gegenstandes andeuten würde. Ebenso ist diese Frage gar nicht oder äusserst mangelhaft und vorübergehend in den anatomischen und embryonalen Lehr- und Handbüchern berührt worden (vergl. z. D. v. BARDELEBEN, HERT- wig, BONNET, BROMAN, KeEIBEL-MALL, Ravsrn-Korscu, Tesrur, POIRTER-ÖHARPY, SAPPEY, QUAIN). Unter den Forschern, welche die embryonale Entwicklung der Gelenke bei Wir- beltieren und Menschen untersucht haben, verdienen vor allem folgende erwähnt zu werden: Brucu (1852), Luscuxa (1855, 1858), Hurrer (1866), Hexer und REYHER (1874), Bernays (1878), ScHuris (1879), Hacex-Torx (1882), KAZZANDER (1894) und Rerrerer (1885, 1894, 1896, 1902). Alle diese Forscher haben aber ihre Aufmerk- samkeit hauptsächlich auf die Entstehung der Gelenkspalte sowie auf die Entwicklung der Gelenkkapsel und ihrer Ligamente gerichtet — ich werde in der folgenden Dar- stellung an dafür geeigneten Stellen zu den Funden zurückkommen, welche genannte Verfasser gemacht haben — die Entwicklung des Gelenkknorpels haben sie. im all- gemeinen ganz flüchtig oder gar nicht behandelt. Wenn also im Jahre 1892 Grund vorlag, von einer stiefmütterlichen Behandlung der Lehre von dem feineren Bau der Gelenke zu reden, so erachte ich, dass man noch heutigen Tages mit viel grösserem Grund von unseren mangelhaften Kenntnissen in der ontogenetischen Entwicklung des Gelenkknorpels sprechen kann. Auch Fick macht in seiner im Jahre 1904 ausgegebnen Arbeit über die Anatomie und Mechanik der Gelenke darauf aufmerksam, dass man nicht den Gelenkknorpel bei einem Erwachsenen als einen einfachen Rest des fetalen Knorpels auffassen darf. „Die embryonale Gelenkfläche muss ebenso gründliche Veränderungen durchmachen wie Kno- chen, denn die embryonalen Gelenkenden sind ja eben auch nur ein stark verkleinertes Abbild der des Erwachsenen. Dieser Umbau der Gelenkenden ist'entschieden noch genauerer Untersuchung wert wobei besonders auf allfallsige Resorptionsvorgänge und auf die Art und Weise der appositione llen oder interstitiellen Gelenkflächenvergrösserung zu achten wäre.“ (S. 40). Auf Grund all dieses habe ich es wünschenswert erachtet, die Frage von der Ent- wicklung des Gelenkknorpels einer näheren Betrachtung zu unterziehen. — In der vor- Tom. XLVIII. LS en seti ig ha in RR ou Ve T iuuat — Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 3 liegenden Untersuchung habe ich jedoch meine Aufgabe beschränkt, nur die embryonale und postfetale Entwicklung des Gelenkknorpels zu verfolgen, wie es auf der Fläche der primären Knochen bei den Wirbeltieren vorkommt, speciell beim Menschen. In den untenbeschriebenen Untersuchungen sind verschiedene Gelenke Gegenstand der Beobachtung gewesen, vorerst jedoch das Schultergelenk, wo Caput humeri mit des- sen Gelenkknorpel sich besonders geeignet erwiesen hat, das Kniegelenk, das Hüft- gelenk und die verschiedenen Intercarpal-, Carpo-metacarpal-, Metacarpo-phalangeal- und Interphalangealgelenke. — Die Untersuchungen sind in erster Linie auf Menschen- material gemacht worden, wo eine einigermassen lückenlose Serie von Embryonen, an- fangend von 4 cm:s K-St-Länge bis zu vollgegangenen Feten untersucht worden sind. Ausserdem wird die postfetale Serie von Gelenkknorpel bei Kindern von 3 Tagen, 4 Monaten, 6 Monaten, 1'/, 2, 3, 4, 5, 6 und 9 Jahren sowie bei Jugend von 17, 19, 20 und 21 Jahren repräsentiert, wozu noch Gelenkknorpel bei verschiedenen alten er- wachsenen Individuen kommt. Ausser Menschenmaterial ist Gelenkknorpel bei folgenden Wirbeltierembryonen und jungen Tieren angewandt worden: Bos taurus, Cervus dama, Ovis aries, Alces machlis, Rangifer tarandus, Sus scrofa, Felis domestica, Cavia cobaya, Mus musculus und Mus sylvaticus. In meiner Beschreibung habe ich so viel wie möglich versucht mich nach den Befunden bei dem Menschen zu richten, und die Darstellungen auf Observationen basiert, gemacht bei dem Gelenkknorpel auf Caput humeri, dieses um ein einheitliches Bild zu gewinnen, welches auch für uns klarmachen kann, in welcher Reihenfolge die observierten Veränderungen zustande gekommen sind, und wenn möglich angeben, bei welchem Alter die verschiedenen Entwicklungsstadien und die damit verknüpften Erschei- nungen bei dem in Frage stehenden Knorpel observiert werden. Man muss sich doch erinnern, dass die Entwicklung in den verschiedenen Gelenken zu sehr verschiedenen Zeiten geschieht, weshalb auch den angegebenen Zeitbestimmungen keine allgemeine Bedeutung zugemessen werden kann; sie ermöglichen jedoch gewisse Vergleiche und können deshalb mitgenommen werden. Ein Teil des Materials ist frisch untersucht worden ohne vorhergehende Fixierung, geschnitten mit Gefriermikrotom. In den meisten Fällen ist jedoch vorher fixiertes Material angewandt worden. Als Fixierungsflüssigkeit habe ich in den meisten Fällen 10 "|, Formol angewandt, aber auch absoluten Alkohol, Alkohol-Formol, ZENKER'S und Fremenine’s Lösung u. s. w. sind angewandt worden. Alkoholfixierung habe ich jedoch im allgemeinen vermieden, denn, wie SoLser (1885—-1888, 1892) bewiesen hat, verur- sacht diese Fixierungsflüssigkeit starke Schrumpfung und ruft Pseudoarchitekturbilder in Hyalinknorpel hervor, weshalb sie für ungeeignet als Fixierungslösung angesehen wer- den muss (Scharrer 1909). Ausserdem habe ich bemerkt, dass auch Alkohol, wenn er N:o 3. 4 Yrsö KAJAVA. hinreichend lange Zeit auf den Knorpel eingewirkt hat, (wie in alten Musei-Präparaten) verringert bezw. ganz und gar benimmt der Grundsubstanz ‚ihre basophile Färbarkeit. Ähnliche Observationen betreffend Alkohol wie auch gewisse andere Reagentien (Mür- LER sche Flüssigkeit, Kromsalze, Kromsäure, Formalin-Wasserlösung sind früher ver- zeichnet worden (ScHArrer 1909, Hansen 1905). Das fixierte Material ist entweder mit dem Gefriermikrotom geschnitten oder in Parafin oder Celloidin eingebettet worden. Da ich in allen Fällen versucht habe Präparate zu erhalten, welche den Gelenk- knorpel in seiner ganzen Dicke veranschaulichen, bin ich auch gezwungen gewesen, grössere oder kleinere Teile von dem unter dem Knorpel liegenden Knochengewebe mit- zunehmen, infolgedessen solche Präparate einer Decalzinierung unterworfen gewesen sind. Diese Decalzinierung geschah in den meisten Fällen in 3 °/, Salpetersäure, wonach das Präparat mit 5 °/, Lithiumsulfatlósung behandelt wurde. Die decalzinierten Präparate wurden entweder in Celloidin oder in Paraffin eingebettet je nach den Umständen. Aus- serdem wurden von den meisten Präparaten — um die eventuell durch die Decalzinie- rungsprocedur verursachten Veränderungen im Knorpel zu vermeiden — auch Schnitte ohne vorhergehende Decalzinierung angefertigt, dieses in solcher Weise, dass der Knor- pel vorsichtig von dem unterliegenden Knochen gelöst und nachher in Parafin eingebet- tet oder mit dem Gefriermikrotom geschnitten wurde. In solchen Schnitten ging oft der tiefste Teil des Knorpels verloren, an einigen Stellen aber konnten auch in diesen Prä- paraten genannte Teile des Gelenkknorpels studiert werden. Für verschiedene Zwecke war es notwendig die Präparate laut verschiedenen Färbe- methoden zu färben, zu diesen Specialmethoden komme ich Später in meiner Darstellung zurück. In diesem Zusammenhange will ich nur die am meisten angewandten allgemei- nen Methoden erwähnen, nämlich: eine Doppelfärbung mit WkreERT's oder HaxsEN's Hämatoxylin und van Gison's Pikrinsäure-Säurefuksin (vergl. Korster 1912, S. 47), (anstatt Hämatoxylin wurde auch Hämalun angewandt), und eine Doppelfärbung mit 1 %/,, Methylenblaulósung und Pikrofuksin (Krause 1911, S. 156). Die hübschesten Über- sichtsbilder, die auch für das Studium von der Grundsubstanz des Knorpels angewandt werden konnten, erhielt man jedoch mit folgender Färbemethode: Das Präparat wurde während 5—10 Minuten mit HawsEN's Eisenhümatoxylin, oder Hämalun behandlet, wurde abgewaschen und nachgefärbt mit van GrEsow's Pikrinsäure-Säure- fuksin (oder mit Säurefuksin) während einiger Minuten (2—3), wurde in dest. Wasser abge- wachsen und in 96 ?/, und darauf in absol. Alkohol überführt. Von der letztgenannten Flüs- sigkeit wurde dasselbe in eine Lösung überführt, welche aus 10 g 0,5 °/, Lösung von Methy- lenblau in absol. Alkohol und 20 g Xylol bestand. Nachdem es in dieser Methylenblau-Xylol 4 à 5 Minuten gelegen, nahm das Präparat einen bläulichen Farbton an, worauf es in reinen Xylol überführt und in Xylolbalsam eingeschlossen wurde. Wenn das Präparat mit Methy- lenblau überfärbt wurde, wurde dasselbe in absol. Alkohol differentiert. Tom. XLVII, D Pr a re A Ut digan ai^ lie Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 5 Anstatt dieser Methode, welche ich im Folgenden Methylenblau-Xylol-Methode nennen werde, wird auch oft die von Hansen (1905, S 618—619) publizierte Methode angewandt, welche auch gute Bilder gab, aber viel umständlicher war. Es ist für mich eine angenehme Pflicht in diesem Zusammenhang öffentlich meinen tiefgefühlten Dank auszusprechen an den Präfekt des anatomischen Instituts, Professor Doktor Hs. Grönroos, welcher meine Aufmerksamkeit auf das Thema lenkte, das ich im Folgenden behandeln werde. Sein wohlwollendes Interesse und sein Entgegenkommen haben im hohen Grade meine Arbeit erleichtert. Ebenso will ich hier die Gelegenheit benutzen, nochmals den Herrn Doktor R. Forsrus und Med. Cand. M. MustarArLıo zu danken, welche mir geholfen haben, Material zu diesen Untersuchungen anzuschaffen. L Die Entstehung der Gelenkhóhle. Historik. Es ist allgemein bekannt, dass die meisten Knochen während der Embryonalperiode von entsprechendem Knorpel vorangegangen werden. Aus diesen Knorpeln, oder rich- tiger gesagt anstatt dieser, entwickeln sich nicht allein die später vorgefundenen Knochen, ein Teil derselben bleibt nämlich — wie mehrere frühere Untersuchungen erwiesen — als Gelenkknorpel an den Stellen, wo eine Gelenkfläche sich entwickelt, bestehen. Die Entwicklung des Gelenkknorpels ist also untrennbar mit der Entwicklung des Skelettes verknüpft. Um zuerst erwähnte Entwicklung verstehen zu können, sind wir also gezwungen, unsere Aufmerksamkeit zu aller erst an das embryonale Knorpelskelett zu lenken. Dieses Skelett entsteht bei Wibeltieren ', wie Untersuchungen von LuscHKA (1858), Hexke und Reyner (1879), Schuster (1880), Hasen Torn (1882), KAZZANDER (1894) und RETTERER (1902) beweisen in Form isolierter Knorpelstücke in einem chon- droblastischen Mesenchym. Die Knorpel wachsen weiter auf Kosten dieses Mesenchyms und nähern sich allmählich einander. An Stellen, wo später ein Gelenk entsteht, wer- den die Knorpelstücke isoliert von einander durch einen Scheibenförmigen Rest von dem früher erwähnten chondroblastischen Mesenchym. Diese Scheibe, welche von NaGEL ' (1878) „die Zone von dicht gedrängten Bildungszellen“ genannt wurde und von HAGEN- Tors (1882) „Zwischenknorpelbildungsgewebe“, oder „die arsprünglich indifferente Bil- dungszellenschicht des Zwischenknorpelgewebes^ wird nunmehr in den deutschen Arbei- ten allgemein laut Hexke und Reyner (1871), ,Zwischenscheibe* oder. ,Zwischenzone“ ! In den folgenden Darstellungen spreche ich ausschliesslich von Gelenkknorpel auf den sogenannten primären Knochen bei Wirbeltieren. Die embryonale Entwickelung des Gelenkes geschieht laut LuBOscH (1910 S. 286 —287) bei Anamnier insofern verschieden, dass die Gelenkspalte sich entweder im Vorknorpel oder sogar im Knorpelgewebe öffnet und nicht in einer blastematósen Zwischenscheibe, wie der Fall bei Amnioten ist. Tom. XLVIII. Lost iint Sow Sd | hi A RAS pe th ne a -1 Beitrag zur Kenntnis der Entuicklung des Gelenkknorpels. ganannt; englische Anatomen nennen dieselbe „intervening layer of the original matrix“ (Quam's anatomy), die Franzosen „disque intermédiaire“ (Tesrur). In der folgenden Darstellung benutze ich nach HENKE und Reyner den Namen Zwischenscheibe. — An der Stelle, wo diese Zwischenscheibe unter den früheren Entwicklungsperioden vorkommt, findet man später die Gelenkspalte. Laut Srrasser (1908 $. 85) kann man in dieser Zwischenscheibe, etwas schema- tisch genommen zwischen einem peripher belegenen, unter allen Umständen fibrösen oder membranösen Teil, , Aussenzone“ und einem zentralen Teile, , Mittelzone* unterscheiden. Korzmaxx (1898) teilt die Entwicklung der Gelenke beim Embryo in zwei Stadien ein: „Stadium der Anlage“ und „Stadium der Ausbildung und Vervollkommung“. Die Entstehung der Gelenkspalte bildet die Grenze zwischen diesen beiden Stadien. Von diesem letztgenanntem Zeitpunkt ab können wir auch von einer Gelenkfläche und einem Gelenkknorpel sprechen und da es gillt, die embryonale Entwicklung des Gelenkknor- pels zu verfolgen, müssen wir unsere Forschung schon bei dem erwähnten Zeitpunkte beginnen. Es ist freilich wahr, dass die Anlage des Gelenkknorpels — wie aus dem Gesagten hervorgeht — sich schon bei der Entstehung der Gelenkspalte vorgefunden, dieselbe wurde aber damals von den gegen das chondroblastische Mesenchym angrenzen- den oberflächlichsten Partien des in Frage kommenden, undifferentierten Knorpelstückes gebildet. Die Entwicklung desselben fiel dann mit der Entwicklung der oberfiüchlichsten Partien des erwähnten Knorpels vollkommen zusammen und bot keine besondere Kigen- tümlichkeiten dar. à Um aber die embryonale Entwicklung des Gelenkknorpels — besonder die der oberflächlichsten Teile derselben — recht begreifen zu können, muss man Einsicht in der Entstehung der Gelenkspalte haben,-denn diese Entwicklung ist, wie wir später sehen werden, auf’s nächste mit der Natur der oberflächlichen Schicht des embryonalen Gelenk- knorpels verknüpft. Wir widmen deshalb hier diesem Gegenstand zu aller erst unsere Aufmerksamkeit. Die im Vorgehenden erwähnte Zwischenscheibe ist also ein Rest von dem aus Bindgewebe bestehenden chondroblastischen Muttergewebe, Rerrere’s (1902 S. 1118 und 8. 1150) ,charpente squeletogéne*, in welchem die embryonalen Knorpel sich durch eine histologische Metamorphose entwickeln (HEgrwis 1902 S. 657). Die Natur des Gewe- bes, welches genannte Zwischenscheibe bildet, ist Gegenstand vieler verschiedenen Aus- serungen gewesen. Laut der älteren Auffassung (LuscukA 1858, Hexke und Rey- HER 1875) besteht sie aus dichtsitzenden, runden Zellen mit oder ohne Interzellularsub- stanz, laut der neueren auf Rerrerer’s (1894, 1896, 1902) vielen Untersuchungen basierten Auffassung ist dieselbe ein Zellsyncytium bestehend aus netzförmig mit ein- ander zusammenhängenden Zellen. Alle Forscher, die sich mit der Frage betreffs der N:o 3. 8 : Yrsö KATJTA YA. Bedeutung dieser Zwischenscheibe beschäftigt haben, sind darüber einig, dass ein Teil derselben in Knorpel verwandelt wird, dass die Anlage des Gelenkknorpels also mit andern Worten wächst auf Kosten der Zwischenscheibe (Luposcn). Wie bereits hervorgehoben ist, kommt diese Zwischenscheibe nur während einer gewissen, frühen Entwicklungsperiode vor, später findet man an deren Stelle die Gelenk- spalte, in welcher in gewissen Fällen als ein letzter Rest dieser Zwischenscheibe eine . Diseus- oder Meniscusbildung oder ein intra-artikuläres Band vorkommt. Die Ansichten über das Schicksal der Zwischenscheibe bei der Entstehung der Gelekhóhle sind indes- sen noch heutigen Tages in zwei Meñungsgruppen geteilt. Laut der ersten Ansicht, die u. a. in Herrwıc’s (1902) und Bonxer’s (1907) Lehrbüchern in Embryologie gehul- digt wird, wächst die gegen die werdende Gelekhöhle liegende Fläche des embryonalen Knorpels auf Kosten der Zwischenscheibe bis genannte Scheibe schliesslich verschwindet und eine Gelenkbóhle entsteht. Diese Gelenkhöhle „wird unmittelbar von hyalinem Knorpel begrenzt, der in seinem Bereich keine besondere Knorpelhaut besitzt“ (HERTWIG 1902 5. 658). Laut der zweiten Auffassung, die man z. B. in Broman’s (1911) Lehr- buch findet, entsteht in der früher erwähnten Zwischenscheibe ein spaltenförmiger Hohl- raum, wonach die beiden schichten, welche auf solcher Weise von der Zwischenscheibe gebildet werden, den hyalinen Knorpel in den Enden der angrenzenden Skelettstücke bekleiden werden und bilden eine perichondrale Schicht auf die werdende Gelenkfläche. „Diese aus der Zwischenscheibe entstandenen Perichondrienschichten der Gelenkenden verschwinden in der Regel frühzeitig, sodass die Gelenkknorpel bald „nackt“ werden.“ (Broman 1911 8. 598). . Die bedeutendsten Vorfechter der zuerst angegebenen Auffassung sind HEsKkE und Revaer (1875), Bernays (1878), Nacer (1878), Souusrer (1880) und Rerrerer (1885). — Die zuletzt in Kürze laut Broman referierte Auffassung von der Entstehung der Gelenkspalte stammt von Luscaka (1855) und Bextzen (1875) her, laut derer diese Spalte in der Zwischenscheibe entsteht „durch Verflüssigung der ursprünglich soliden Bindesubstanz^ (Luschka 1855 S. 486). Dieser Auffassung haben sich in der Haupt- sache später die meisten Forscher angeschlossen, welche während der letzten Zeiten sich mit dieser Frage beschäftigt haben, wenn auch die einzelnen Verfasser auf ihre Weise erwähnte Auffassung in Detail umgeformt haben. Auch unter diesen Verfassern kön- nen zwei Meinungsrichtungen gespürt werden: entweder wird diese „Verflüssigung der ursprünglich soliden Bindesubstanz* aufgefasst als Folge einer Vermehrung und eventuell Veränderung, einer Verflüssigung der Interzellularsubstanz, wie BENTZEN die Sache beschreibt, oder daneben als eine Auflösung von deren Zellen, wie LuscHKA dieselbe ! Dieser Forscher änderte indessen später seine Auffassung und ging zum andern Meinungslager über. Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis-der Entwicklung des Gelenkknorpels. 9 erklärt. Hasen-Torn (1882) hat gesehen, wie in der Zwischenscheibe anfangs ein hel- lerer Streifen entsteht, welcher später in Gelenkspalte umgebildet wird. Ein Teil der Zellen der Zwischenscheibe verwandeln sich in Knorpelzellen und schliessen sich der Fläche des Gelenkknorpels an, ein anderer Teil verschwindet durch eine schleimige Degeneration und nimmt an der Bildung der Synovia Teil (S. 616). — Laut der Untersuchungen Ravuxzs und Brucn’s sollte die Gelenkverbindung zustande kommen, „aus einer Wucherung der Knorpelschicht aus einer Verflüssigung der Interzellularsubstanz* (Horrer S. 53). Huerer (1886) hat die Entwicklung der Sternocostalgelenke verfolgt und gefunden, dass die Gelenkspalte sich in einen helleren Streifen öffnet, welchen man sogar mit dem blossen Auge sehen kann. In diesem Streifen liegen flache Knorpelzel- len, etwas dichter als gewöhnlich an einander gedrückt. Die Interzellularsubstanz wird zwischen diesen Zellen fliessend, worauf die Gelenkspalte gebildet wird. Laut dieser Auffassung sollte somit die Fläche des Gelenkknorpels vom ersten Anfang an aus Knor- pel bestehen. Laut KazzawpER (1894) verlängern sich die Zellen in der Zwischenscheibe in que- rer Richtung gegen die Länge des Knorpels, worauf eine Spalte in der Zwischenscheibe entsteht. Nachdem die Gelenkhöhle in dieser Weise gebildet worden ist, schliessen sich die Zellenschichten der Zwischenscheibe an die Fläche des Gelenkknorpels an, welche somit während einer gewissen Entwicklungsperiode von einer Schicht embryonalen Binde- gewebe gebildet wird. Kazzanper nimmt an, dass ein Teil der Zwischenscheibe resor- biert wird, weil man isolierte Reste derselben in der Gelenkhöhle antrifft. RETTERER (1894) beschreibt, wie die ursprünglich spulenförmigen Zellen der Zwi- schenscheibe sich mit langen Ausläufern zu einem Netzwerke vereinigen, dessen Maschen gleichzeitig von einer gelatinösen Zwischensubstanz gefüllt werden, ähnlich derjenigen, die man im Nabelschnur antrifft. In einer späteren Abhandlung (1896), die ich hier laut LusoscH citiere, vergleicht Rerrerer diese Erscheinung mit dem entsprechenden Pro- zess in der Pulpa des Schmelzorgans. Allmählich werden die obenerwhänten Maschen vergrössert gleichzeitig wie die Zellausläufer dünner werden und atrophieren nebst den Zellen. Infolge dieser Transformation entsteht die Gelenkhöhle und die erste Synovia. Wenn auch mithin eine gewisse Meinungsverschiedenheit mit Bezug auf einzelne Detaile vorliegt, sieht es dennoch aus, als wenn die Embryologen sich immer allgemei- ner der Ansicht anschliessen sollten, laut welcher die Gelenkspalte in der Zwischen- scheibe entsteht, deren Zellen sich somit den eben gebildeten Gelenkflüchen anschliessen. Ausser den schon früher genannten Verfassern, welche diese Ansicht huldigen, mögen hier noch erwähnt werden Dów£xv (1897), Huzrkraxz (1897), KJIELLBERG (1904), Strasser (1908) und Lusoscn (1908 - 1910). N:o 3, 9 EEE FEN CENE WIE, JU y^ Iw 10 Varano RAT ANDA Die Auffassung von dem Bau und der Natur der eben gebildeten Gelenkfläche hängt, wie man sich leicht davon überzeugen kann, auf’s innigste mit der Auffassung von der Entstehungsweise der Gelenkspalte zusammen.. Auch hierhin sind die Ansich- ten in zwei Gruppen geteilt. Gleichzeitig nämlich wie gewisse Anatomen ansehen, dass der Gelenkknorpel von ersten Anfang an nackt sei, dass also auch dessen Fläche von Knorpelgewebe gebildet sei, halten andere vor, dass dieser Knorpel anfänglich von einer perichondralen Schicht überzogen wurde, welche später verschwindet, wonach der eigent- liche Knorpel zur Gelenkfläche herankommt. Die Gelenkhöhle sollte laut der ersteren Auffassung anstatt der verschwindenen Zwischenscheibe entstehen, laut der zweiten in dem Bindegewebe der Zwischenscheibe selbst, und begrenzt werden laut der ersteren Auffassung vom ersten Anfang an, ausser von Bindegewebe (der werdende Gelenkkap- sel) auch von Knorpel (den freien Gelänkflächen), da sie dagegen laut der zweiten Auffassung anfänglich ausschliesslich von Bindegewebe begrenzt werden. Um mir eine auf eingene Observationen gegründete Auffassung betreffend die Natur der Gelenkfläche bilden zu können, nahm ich bei meinen Untersuchungen diese Frage unter nähere Prüfung. 3 | | 1 | i Eigene Untersuchungen. Meine Observationen beginnen von dem Zeitpunkt an, da man deutlich die Anlage eines Gelenkes sehen kann, also etwas bevor die Gelenkhöhle ihre Entwicklung anfängt. Die Knorpel, die später in der Zusammensetzung des Gelenkes teilnehmen werden, lie- gen dann gegen einander, sind aber von einander getrennt durch eine Schicht von em- bryonalen Bindgewebe, der früher erwähnten Zwischenscheibe. Die beiden Flächen der Zwischenscheibe, welche ohne Grenze sich den anstossenden Knorpeln anschliessen, wer- den durch dichtsitzende, abgerundete Zellen gebildet. Diese Zellen bilden die später beschriebene chondrogene Übergangsschicht. Zwischen diesen beiden äusseren Schichten : findet man in der Zwischenscheibe eine etwas zellenärmere, mittlere Schicht, deren Dicke in den verschiedenen Gelenken sehr abwechselnd ist. Es gibt sogar Gelenke, wo man #0 Du deis: a iA Kurz vor der Entstehung der Gelenkspalte kaum von dieser mittleren Schicht sprechen kann. Dasselbe ist der Fall auch mit den zentralen Teilen einiger Gelenke, besonders in den kleineren Gelenken. In diesen beiden Fällen scheinen die beiden Flächenschich- ten der Zwischenscheibe mit einander zusammenhängen. Oft sieht man jedoch auch in nbi cai a rh ui Cs diesen, Füllen, so.z. B. in den Interphalangealgelenken, dass in den peripheren Teilen des werdenden Gelenkes eine gut erkennbare Zwischenscheibe mit allen ihren drei Schichten vorkommt; die mittlere Schicht, schmälert indessen gegen das Zentrum des Tom. XLVIII, such = rn Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 11 Gelenkes stark ab, bildet aber auch hier einen schmalen, aus einem oder einpaar Lagen scheibenförmiger Zellen zusammengesetzten, deutlich hervortretenden Streifen zwischen den beiden gegen einander liegenden Knorpeln. Auch Berxays (1878), ScHurin (1879) und Kazzanner (1894) haben die drei oben- beschriebenen Zellenschichten in der Zwischenscheibe gefunden, DBznwaxs hat ausserdem, in Übereinstimmung mit dem, was hier oben beschrieben worden ist, konstatiert, dass die mittlere Schicht vermisst werden kann. Ich will hier dazu noch darauf hinweisen, dass die oberflächlichsten Schichten der Zwischenscheibe, welche ich hier die chondroge- nen Übergangsschichten benenne, ohne Grenze zu den benachbarten Knorpeln über- gehen, und kónne auch als denselben zugehórig gerechnet werden. Auf Grund ihrer Natur und Entstehung beschreiben wir sie jedoch hier im Zusammenhange mit der Zwi- schenscheibe. Es sieht auch aus als wenn einige Anatomen unter der Zwischenscheibe nur die mittlere Schicht derselben verstehen würden und als wenn die Verschiedenheit in der Auffassung von der Entstehung der Gelenkhóhle in einem gewissen Grade auf dieser verschiedenartigen Auffassung von der Zwischenscheibe beruhen sollte. Die Zellen in der mittleren Schicht der Zwischenscheibe, welche anfangs abgerun- det sind, verflachen sieh merkbar vor der Entstehung der Gelenkspalte besonders an den Stellen, wo diese Schicht dünn wird. Diese Veränderung der Zellen ist observiert worden auch von BrwrzEN (1875) und Kazzanoer (1894). Worauf dieselbe beruht, dar- über geben meine Untersuchungen keinen näheren Bescheid. Man könnte ja denken, dass die anwachsenden Knorpel, indem sie sich einander ernähern, einen Druck auf die Zwischenscheibe ausüben und auf dieser Weise die erwähnte Abplattung von dessen Zellen bewirken. Es ist indessen auch möglich, dass der anwachsende Knorpel, mit dessen Fläche das fragliche Gewebe innig zusammenhängt, würde, da der Knorpel ver- grössert wird, einen Zug auf diese Zellen ausüben und solcher Weise die erwähnte Formveränderung bei denselben ausüben. HULTKRANZ hat in einem anderen Zusammen- hange die Bedeutung dieser , Wachstumsenergie“ hervorgehoben. Das hierbei nur die Zellen in der mittleren Schicht der Zwischenscheibe abgeplattet werden, dürfte darauf beruhen, dass in den beiden chondrogenen Übergangsschichten eine reichlichere Zellen- neubildung und derzufolgende Zuwachs als in der mittleren Schicht geschieht, deren Zel- len den Verschiebungen in dem übrigen Gewebe folgen können nur auf solcher Weise, dass sie ausgezogen und abgeplattet werden. Auch Strasser (1908, S. 91) erwähnt, „eine ungleiche Wachstumsenergie und Festigkeit der aneinanderstossenden Anlagen“ im Zusammenhange mit den Kräften, welche sich bei der Ausbildung der Form der Gelenkflächen geltend machen. An Stellen, wo die Fläche des werdenden Gelenkkopfes bedeutend grösser ist als die Gelenkfläche auf der entsprechenden Gelenkpfanne, ist die Zwischenscheibe natürlich N:o 3. 12 YRrıö KAJAYA. nur so gross wie die kleinere Gelenkfläche. Ihre Peripherie streckt sich dann direkt zu dem chondroblastischen Bindgewebe, welches den Gelenkkopf umgibt, so dass der Teil der werdenden grösseren Gelänkfläche, welcher dann draussen von der erwähnten Zwischenscheibe steht, durch Vermittlung der chondrogenen Übergangsschicht, anfangs ohne Grenze, dem dieselbe umgebenden Bindegewebe entspricht, weshalb ein Teil der Gelenkspalte in diesem Gewebe entstehen wird. Dieses Bindgewebe, SrRAssER's (1908) „Aussenzone“ hängt innig mit dem Perichondrium zusammen und bildet später die Gelenkkapsel. Beobachten wir z. B. bei einem menschlichen Embryo von 4 em K-St-Länge etwas näher die Anordnung der Gewebselemente an der Stelle, wo die Gelenkfläche auf Caput humeri im Begriff ist sich zu differentieren, so finden wir, dass die oberflächlichsten, deut- lich als Knorpel erkennbaren Lager auf Caput humeri allmählich und ohne dass man irgendwo eine Grenze unterscheiden kann, in ein Gewebe übergehen, bestehend aus äus- serst zahlreichen Zellen mit, in den tieferen Teilen Runden, näher an der werdenden oder soeben gebildeten Gelenkfläche etwas abgeplatteten, grossen Kernen und eine spar- samme Zwischensubstanz, welche allmählich die für den Knorpel charakteristischen Figen- schaften verliert, je länger man hinaus nach der Peripherie kommt. Es ist eben dieses Lager, welches wir schon früher als die äusserste Schicht der Zwischenscheibe beschrie- ben und die chondrogene Übergangsschicht benannten. Es dürfte Ficr's (1904 S. 39) „Ohondrogenkappe“ entsprechen. Diese Schicht geht ebenso allmählich und ohne deut- liche Grenze zur mittleren Schicht der Zwischenscheibe über oder zu dem umgebenden Mesechym mit grösseren Intercellulärräumen und typischen, mit langen Ausläufern ver- sehenen spul- oder sternförmigen Zellen. ‘ In diesem Bindgewebe laufen, kleine Blut- gefässe, welche auch an einigen Stellen Kapillarschlingen eine kleine Strecke hinein gegen den tiefer belegenen Knorpel senden. Die Kapillare erreichen jedoch nicht in diesem Stadium den typischen, jungen hyalinen Knorpel, sondern sind in der chon- drogenen Übergangsschicht beschränkt (Fig. 2). — Auch in anderen Gelenken kommen diese obenerwähnten Gewebsschichten vor. Schon in Präparaten von diesen Entwicklungsperioden kann man die Entstehung der Gelenkhöhle studieren. Man findet dann in den früheren Stadien die werdende Gelenkspalte repräsentiert nur durch gewisse dünnere Stellen in der mittleren Schicht der Zwischenscheibe oder in dem Mesenchym, welches an der Aussenseite der Zwischen- scheibe der werdenden Gelenkfläche entspricht. Diese dünnen Gewebspartien können gleich- zeitig an verschiedenen Stellen in einem und demselben werdenden Gelenk auftreten und bilden nicht anfangs eine zusammenhängende Anlage für die werdende Gelenkhöhle. Etwas später entstehen in diesen dünneren Stellen Spalten (Fig. 1). Soweit ich auf Grund meines Materials habe finden können, ist es hierbie nur die Frage um Vermeh- Tom. XLVIIT. gw, Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 13 rung von der interzellulären Substanz und eine Vergrösserung der Intercellularräumen. Die Zellen werden anfangs beibehalten und entfernen sich nur etwas von einander. Sie hängen dennoch zusammen, wie RETTERER beschrieben, vermittelst Ausläufer mit einan- der. Etwas später sieht es jedoch aus, als wenn einzelne Zellen ihren Zusammenhang mit den übrigen Zellen der Zwischenscheibe verlieren würden und in die freie Gelenk- höhle geraten; wenigstens habe ich in dieser Höhle Zellen gefunden, deren Zusammen- hang mit den umgebenden nicht hat festgestellt werden können. In solchen Gelenken, wo die Zwischenscheibe in den peripheren Teilen dicker ist als in den mittleren, wie z. B. in Interphalangealgelenken, entsteht die Gelenkspalte anfangs in dem dickeren Teil der Zwischenscheibe, somit in der Peripherie des werdenden Gelenkes. Schon aus dem besagten geht hervor, dass die werdende Gelenkhöhle in vielen Fällen anfangs in Form mehrerer kleiner Spalten entsteht. Dasselbe haben auch BENTZEN (1875) und Srrasser (1908) observiert. Dies gilt besonders den grösseren Gelenken. Alle diesen Spalten liegen nicht im Anfang in demselben Planverhältnis zur Fläche des Gelenkkopfes, sondern sind so belegen, dass zwischen ihnen ungleich breite Zellenstránge oder Bindgewebslamellen in schrüger Richtung von der Gelenkfläche zu dem umgeben- den Bindgewebe bezw. zu der entsprechenden anderen Gelenkfläche laufen. Genannte Spalten laufen jedoch alle in der mittleren, Schicht der Zwischenscheibe, an der Aus- senseite der früher beschriebenen chondrogenen Übergangsschicht. Bisweilen kann man auch während der Embryonalperiode in Gelenken, welche fer- tigt gebildet einen Discus vermissen, gerade zur Zeit des ersten Auftretens der Gelenk- spalte zwei parallel mit einander laufende Spalten und zwischen ihnen eine dickere oder dünnere mesenchymatische Gewebsschicht an einen Discus erinnernd finden. Diese Bil- dungen verschwinden indessen früh. Ebenso kann man in dem peripheren Teil des wer- denden Gelenkes finden, wo die Zwischenscheibe dicker ist als in den zentralen Teilen, dass anfangs zwei Spalten entstehen, welche mit einander gegen die zentralen Teile des Gelenkes konvergieren und sich mit einander vereinigen, sodass der zwischen diesen Teilen befindliche periphere Teil der Zwischenscheibe anfangs in solchen Fällen eine in Durchschnitt dreiseitige Randmeniscus bilden wird (Fig. 1). Auch eine solche Bildung kann in Gelenken nachgewiesen werden, welche in ihrer voll ausgebildeten Form einen Meniscus vermissen. Dieser periphere Teil der Zwischenscheibe hängt mit der inneren Fläche der werdenden Gelenkkapsel zusammen und bildet laut Hexke und Reyuer (1874) und Nacer (1878), welche auch diese Bildung observiert haben, später eine Synovialfalte. Bei einer genauen Untersuchung der obenerwähnten Spalten welche alle zusammen die Anlage für eine Gelenkhöhle repräsentieren, kann man konstatieren, dass die Enden dieser Spalten durch dünnes Gewebe fortgesetzt werden, welches immer dichter wird, je länger man nach aussen gegen die Peripherie der Gelenkhöhle kommt bis die dünnere N:o 3. 14 Yrıö KAJA VA. Partie verschwindet und das Bindgewebe dem Gewebe rundherum vollkommen ähnelt. Oder mit anderen Worten, über die Enden der genannten Spalte strecken sich Zellen oder protoplasmatische Ausläufer von den Zellen, welche am nächsten die Spalte begren- zen, und je länger hinaus längs der Enden der Spalten man kommt, desto zahlreicher werden diese Ausläufer, bis die Spalte schiesslich ganz und gar- verschwindet. Darauf wird die Richtung der Spalte noch ein Stück weiter von Gewebe fortgesetzt, wo die Intercellularräume vergrössert sind bis auch diese Ungleichheit mit der Umgebung geeb- net wird. Dieser dünnere Teil der Enden der genannten Spalten ist als Vorläufer der Gelenkspalte anzusehen. Auf dieser Weise kann man also noch in der ebengebildeten Gelenkspalte verschiedene Zeiträume der Entwicklung observieren, welche zur Entste- hung dieser Spalte führten. Aut Grund der oben angedeuteten Entstehungsweise der Gelenkspalte kann man deutlich sehen, dass ihre Entwicklung mit einer Vermehrung anfängt, vielleicht auch mit Konsistenzveränderung, einer Verfliessung von Intercellularsubstanz, wie RATHKE und Bruch hervorgehalten haben. Wo diese vermehrte Intercellularsubstanz den Zwischen- raum zwischen den Zellen füllt, ansteht eine hellere Zone. In dieser Zone kann man jedoch anfangs spul- oder sternförmige Zellen finden, welche mit einander und mit den beiden Wänden der werdenden Gelenkspalte, den Gelenkflächen zusammenhängen und dann zu einem gewissen (Grade an die Zellen in der Pulpa des Schmelzorgans erinnern, worauf RETTERER hingewiesen. Erst später, wenn die Gelenkspalte fertig wird, scheint wenigstens ein Teil dieser Zellen sich an die eine oder andere Gelenkfläche anzuschlies- sen.. Ein enderer Teil wird jedoch aller Wahrscheinlichkeit nach freigemacht von sei- nem Zusammenhang mit den Zellen der Umgebung und gerät in die freie Gelenkspalte. An gewissen Stellen aber sieht man, noch lange nachdem die Gelenkspalte gebildet wor- den ist, Zellen, welche quer über die Gelenkspalte laufen und mit ihren beiden, weit ausgezogenen Enden an den antagonistischen Gelenkflächen zusammenhängen (Fig. 2). Es ist wenig anzunehmen, dass diese Zellen sich nunmehr an irgend eine der fraglichen Gelenkflächen würde anschliessen können, weshalb man annehmen muss, dass dieselben bei der definitiven Entwicklung der Gelenkhöhle sich von ihrem Zusammenhang mit den Gelenkflächen losmachen und in die freie Gelenkhöhle geraten, wo sie sich zu den kor- puskulären Elementen der Synovia gesellen. Ein Verschwinden von Zellen durch Atro- phie, so wie Rerrerer (1894) beschreibt, habe ich nicht nachweisen können, halte es aber auf Grund der obenangeführten Befunde sehr wahrscheilich. Zu Anfang ist die Gelenkhöhle in grösseren Gelenken geteilt durch mesenchyma- tische Lamellen oder Zellenstränge, welche von der Gelenkfläche nach der entsprechen- den anderen Gelenkfläche oder nach dem umgebenden Bindgewebe laufen in mehreren, anscheinend mit einander zusammenhängenden Räumen, welche in den meisten Gelenken Tom. XLVLiI. re Nene du. ry adeft aret Re Shane 2 aile AAN Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. it on sich allmählich zu einer einzigen Gelenkhöhle vereinigen in gleichem Masse wie diese Lamellen verschwinden. In Gelenken, wo man auch in erwachsenen Stadium ligamen- töse Bildungen trifft, welche die Gelenkhöhle durchziehen, sind dieselben aus der wäh- rend der Embryonalperiode vorhandengewesenen mesenchymatischen Zwischenscheibe ent- standen. Ebenso ist der Fall mit Discus- und Meniscusbildungen. Laut meiner Untersuchungen entsteht die Gelenkhóhle somit in der mittleren Schicht der aus Bindgewebe bestehenden Zwischen- scheibe und wird anfänglich von Bindgewebszellen begrenzt, welche einen Rest von dieser Schicht ausmachen. Inwiefern sie immer eine kontinuierliche Schicht auf der Gelenkflüche bilden, darüber wage ich nicht mich mit Bestimmtheit auszusprechen. Die Gelenkhóhle ist aber dennoch nicht nur als ein zusammenhängendes System von ver- grósserten intercellulären Räumen anzusehen, bei deren Entstehung haben auch einige Mesenchymzellen sich von ihrem Zusammenhange mit den Wänden der werdenden Gelenkhóhle losgemacht und sind entweder verloren gegangen oder bilden die Formbestandsteile der Synovia. Aus diesem Resultat folgt, dass die ebengebildete Gelenkfläche zu Anfang von Bindgewebezellen gedeckt wird, die von der mittleren Schicht der Zwischenscheibe her- stammen. Diese Resultate sind also am nächsten vergleichbar mit den Befunden HaAGEN- Torn’s (1894) und Rerrerer’s (1894, 1896, 1902). Als Zusats möge hier angeführt werden, dass es Verfasser gibt, welche ansehen, dass die Entstehung der Gelenkspalte in direkten Zusammenhange mit dem mechanischen Zug der ersten Muskelkontraktionen auf das Gelenk, stehen, Bernays (1878), SCHuLIN (1879) Strasser (1908). Als Stütze für seine Auffassung gibt Scaurin u. a. den Um- stand an, dass die Gelenkspalte zu Anfang in den peripheren Teilen des Gelenkes auf- tritt. Huzrxranz (1897), Lararre und Durowr (1899) erachten, dass die Verschie- bung, welche der Zuwachs der Knorpelenden in dem Zwischengewebe verursacht, die Entstehung der Gelenkspalte bedingt. Auch Hacen-Torn (1894) erwähnt, dass mecha- nische Momente „Druck und Zerrung“ bei der Entstehung der Gelenkspalte wirksam sind. Dieses mechanische Moment beschreibt Strasser (1908 S. 91) etwas ausführlicher in folgender Weise. Frühzeitig jedenfalls machen sich in der Zwischenzone die Einflüsse der Muskelspannung als Kompression geltend und kleine Schwankungen in den Span- nung der antagonistischen Muskeln als abscherende Einflüsse. Zuletzt bilden sieh wirk- liche kleine Gewebsauflockerungen und Zerreissungen in den Ebenen der Verschiebung; es entsteht ein System kleiner Abscherungsspalten. N:o 3. 16 YrJö KATAVA. Der Sonurin'schen Auffassung schliesst sich u. a. Frck in seiner im Jahre 1904 ausgegebenen grossen Arbeit „Handbuch der Anatomie und Mechanik der Gelenke“ (S. 39) an. Dagegen spricht sich u. a. KazzawpER (1894 S. 171) gegen die Auffas- sung aus, dass die Muskelkontraktion bei der Bildung der Gelenkhóhle ein mitwirkendes Moment sein sollte. Im Kniegelenk fand er nämlich die Gelenkhöhle voll ausgebildet, ehe die entsprechende Muskulatur ihre histologisch fertige Entwicklung erreicht hatte. Ebenso opponiert sich Rerrerer (1903 S. 1152) ganz bestimmt gegen eine solche Auf- fassung, dass die mechanischen Momente bei der Entstehung der Gelenkspalte wirksam sein sollten. Auf Grund meiner Befunde erachte ich, dass man bei der Entstehung der Gelenk- spalte nicht von einer „Zerrung“ oder „Abscherung“ des Gewebes sprechen kann, denn lange vor der Entstehung der Gelenkspalte wurden Erscheinungen observiert z. B. Ver- mehrung der intercellulàren Substanz, welche beweisen, dass die eigene Funktion des Gewebes in einer bestimmten Weise influiert ist und auf Grund dessen ihre histologische Zusammensetzung verändert. Es ist möglich, dass die Ursache zu dieser Veränderung in der Irritation zu suchen ist, welche der von der Muskulatur verursachte variierende Druck und die Ziehung in der Zwischenscheibe hervorruft und dass dieser Druck, wie Fick hervorhebt, sich geltend machen kann, schon ehe die Muskulatur ihren histologisch fertigen Bau erreicht hat. Aber die in verschiedenen Richtungen über der soeben gebil- deten Gelenkspalte verlaufenden Zellen und deren feine Ausläufer scheinen mir direkt gegen die Auffassung zu sprechen, dass bei der Entstehung der Gelenkspalte eine etwas bedeutendere Beweglichket im Gelenke wirksam sein sollte. Tom. XLVIII. M CS II. Die Anordnung der Gewebselemente in der Anlage des Gelenkknorpels und in dem unter demselben befindlichen Knorpel. Historik. Die Frage betreffend die Beschaffenheit der Oberfläche des Gelenkknorpels sowohl beim Fetus als besonders bei dem Erwachsenen ist unter den Anatomen einer langwieri- gen Diskussion unterworfen gewesen. Es war Hexte, welcher zuerst im Jahre 1838 auf der Oberfläche des voll ausgebildeten Gelenkknorpels ein Pseudoepithel beschrieb, aber schon vor ihm hatten einige Anatomen wie Rvporrur (1821), Bıcmar (1827), Weser (1830) u. a. m. erachtet, dass die Synovialhaut sich über die Fläche des Gelenkknorpels streckte. Nach Hexte sind diese oberflächlichen Zellen des Gelenkknor- pels mehr als einmal Gegenstand der Untersuchung und Auslegung gewesen, wobei recht verschiedene Ansichten ausgesprochen worden sind. Im allgemeinen haben jedoch diese Ansichten sich in zwei Meinungsgruppen geteilt, von denen die eine Gruppe die oberflächlichsten Zellen der Gelenkfläche als epitheliale Bildungen aufgefasst, oder den Gelenkknorpel von einem Endothellager bedeckt angesehen, wogegen die andere Gruppe nicht irgend ein Epithel an der Fläche des Gelenkknorpels hat finden können, abgese- hen von dessen äussersten Peripherie. Was den voll entwickelten Gelenkknorpel an- geht, hat die Frage jedoch allmählich ihre Aktualität verloren, erfahrene Forscher haben sich abweisend gegenüber der HrxrE'schen Auffassung gestellt und mit der Zeit immer allgemeiner Anschluss gewonnen. Birkerr (1848) war der erste, welcher bewies, dass man die abgeplatteten, oberflächlichen Zellen in dem voll entwickelten Gelenkknorpel unrecht als Epithelzellen erklärt hatte und viele andere Anatomen, unter denen Bowman, KoELLIKER (1847), Gertach (1848 und 1854) u. a. m. gesellten sich zu ihm. GERLACH zeigte auch darauf hin, wie die abgeplatteten Knorpelzellen mit geringer Menge Grundsubstanz leicht Veranlassung zu einer falschen Auslegung geben konnten. Viele N:o 3, 3 18 YgJ)OÓó KAJAY A. andere Forscher haben seitdem die Oberflüchenzellen des Gelenkknorpels wie GERLACH aufgefasst. Einen entscheidenden Beweis für die Knorpelnatur dieser Flächenzellen brachte Hawwan dar in seiner im Jahre 1892 ausgegebenen Abhandlung über die Histologie der Gelenke, worin er die verschiedenen Schichten des voll entwickelten - Gelenkknorpels genau untersucht und analysiert hat und somit auch diese oberflächlichen Zellen, welche zu der Region „der platten Zellengruppen* gehören. Unabhängig von den Schlussfolgerungen Hammar’s ist Braun (1894) betreffend die Fläche des Gelenk- knorpels zu ganz gleichem Resultate gekommen (Fick 1904 S. 33). Nunmehr werden die Flächenzellen des Gelenkknorpels, abgesehen von dem am meisten peripher belege- nen, allgemein als abgeplattete Knorpelzellen aufgefasst [Fıck (1904), Tesrur (is Korscu (1914), Srôur-Sonuzrze (1915), Szymoxovicz (1914) ete.]. Diese oberflächlichen Knorpelzellen annehmen, laut der allgemein anerkannten Be- schreibung, in der sogenannten Übergangszone zwischen dem Knorpel und der Synovial- haut allmählich Formen, welche an die Ausläufern versehenen Bindgewebszellen der Synovialhaut erinnern. Im inneren Teil der erwähnten Schicht werden nämlich noch ganz gewöhnliche, zugeplatteten Knorpelzellen angetroffen, welche, wenn wir sie nach aussen verfolgen, anfangs unregelmässig kantig werden und schliesslich kürzere oder längere Ausläufer zeigen (Huerer 1866, Bogw 1868, Gertach, 1869, Revner 1874, Hammar 1892, Braun 1894). Wenn also Einigkeit betreffend die Natur der Oberflächenzellen im voll entwickel- ten Gelenkknorpel erreicht worden ist, wird aber die Frage betreffend die Beschaffen- heit der Gelenkfläche während der Fetalperiode noch ungleich aufgefasst. Bei jungen Vieh- und Menschenembryonen konstatierte Toynger (1841) an der Fläche des Gelenk- knorpels eine Schicht, welche ein Synovialüberzug zu sein schien, wenn auch ihre Zel- len sich in keiner Weise von Knorpelzellen unterschieden. Und noch bei einem fetalen Kalbe während der letzten Hälfte des intrauterinen Lebens gibt er an, ein Synovial- membran fast von der ganzen Gelenkfläche auf dem Femurkondyl haben losmachen kön- nen. Inwiefern ToynBrE hierbei faktisch Unterschied machte zwischen abgeplatteten Knorpelzellen und den von der Zwischenscheibe herstammenden Bindegewebszellen, geht nicht aus seiner Beschreibung hervor. Es scheint indessen, als wenn eine Verwechselung in oben angedeuteter Richtung möglich gewesen sei. Bei älteren Embryonen fand Toyx8ee das Synovialmembran in Form. einer handzone nur die Peripherie des Gelenk- knorpels deckend. Topp und, Bowman (1843, 1856) haben das von HrxnE beschriebene Pseudoepithel an der Flüche des Gelenkknorpels gefunden. Laut jenen Verfassern kann es deutlich bei Embryonen observiert werden, wo das Synovialmembran sich über die ganze Gelenk- fläche streckt; bei Erwachsenen kann man dagegen nieht immer dasselbe nachweisen. Jom. XLVIIIL Beitrag zur Kenntnis der Entwiehlung des Gelenkknorpels. 19 Als Ursache zu dieser Ungleichheit zwischen dem fetalen und voll enwickelten Gelenk- knorpel betrachten diese Verfasser eine Abnutzung der Gelenkfläche. In Übereinstim- mung mit Bırkerr nimmt Hugrer (1886 S. 77) an, dass auch Topp und Bowman die abgeplatteten, oberflächlichen Knorpelzellen als epitheliale Bildungen aufgefasst. Reichert (1849 S. 16) behauptet dagegen mit Bestimmtheit, dass er bei menschlichen Embryonen und bei Embryonen einiger Haustiere an der Fläche des Gelenkknorpels Zellen gefun- den, die unmittelbar auf der Knorpelsubstanz liegen und inneren Epithelzellen in einem Blutgefäss (= Gefässendothel) ähneln. Dieses Epithel, dessen Zellen nicht mit Knorpel- zellen verwechselt werden können, setzt sich fort von der inneren Fläche der Gelenk- kapsel zur Fläche des Gelenkknorpels. Auf dem Gelenkknorpel bei Erwachsenen hat RzrmmERT dieses Epithel nicht gefunden. Reyuer (1874 S. 265) kann nicht bei einem 1720 langen Schafembryo auf dem Caput humeri das Vorkommen der von Topp, Bowman und Reichert beschriebenen Fpithelzellen làugnen. Er spricht auch von Zellen auf der Gelenkflüche bei älteren Embryonen, welche Epithelzellen ähneln, meint aber mit diesen wahrscheinlich abgeplattete Knorpelzellen. Ausserdem hat auch der genannte Forscher gesehen, wie die Peripherie des Gelenkknorpels mit Ausläufern versehenen Zellen gedeckt wird, welche mit der Gelenkkapsel an.deren Anheftungsstelle zusammenhängt. Auch bei Erwachsenen hat Tırımanns (1874 S. 415) an den peripheren Teilen des Gelenkknorpels Endothel gefunden, wogegen die übrigen Teile von dessen Fläche laut desselben Verfassers diese Bildung vermisst. Wird ein Gelenk während einer längeren Zeit fixiert wie z. B. in pathologischen Fällen, so hat das periphere Endothel Gelegen- heit zusammen mit neugebildetem Bindgewebe über die Gelenkfläche zu wachsen. In derselben Weise meint 'TILLMANNS, dass man auch das Vorkommen von Endothelbeklei- dung auf dem embryonalen Gelenkknorpel erklären kann. Er bezweifelt die Angabe Reıcherrs, dass der Gelenkknorpel konstant bei den Embryonen des Menschen und der Haustiere von einem Endothel gedeckt werden sollte. Selbst ist es ihm weder bei Men- schen- noch Schweineembryonen gelungen einen vollstindigen Endothelüberzug auf dem Gelenkknorpel nachzuweisen, wenn er auch eine solche Möglichkeit zugibt, dass der Gelenkknorpel in den grösseren Gelenken bei Embryonen von einem Endothel vollstän- dig bedeckt sein können TILLmaAns stellt die Beweglichkett des embryonalen Gelenkes in direkten Zusammenhang mit der erwähnten Endothelbekleidung, so nämlich, dass je grösser die gegen einander reibenden Knorpelflächen sind, desto kleiner ist die von dem Endothel bedeckte Fläche. Die Ansichten über die Beschaffenheit der Gelenkfläche bei Embryonen und Feten scheinen noch fortwährend geteilt zu sein. So beschreibt Broman (1911), dass die wer- dende Gelenkfläche in einem frühen Stadium mit einer Bindgewebslamelle einer peri- chondralen Schieht überzogen ist, wogegen Boxer (1909) angibt, dass die Gelenkfläche N:o 3. 20 YrJö KAJAY A. schon vom ersten Anfange an aus hyalinem Knorpel gebildet ist. Schon aus meinen oben beschriebenen Befunden geht hervor, dass ich mich denen anschliessen muss, welche ansehen, dass der Gelenkknorpel in einem frühen Stadium, wenigstens zu einem grossen Teil, mit Bindgewebszellen bedeckt ist. Diese Zellen bilden an einigen Stellen eine üusserst dünne Schicht welche man wohl mit einem Perichondrium vergleichen kann. Was die Anordnung der Zellen in dem voll ausgebildeten Gelenkknorpel im übrigen betrifft, sind die Ansichten darüber im grossen Ganzen einig. Im Gelenkknorpel werden allgemein | WercusezBaum (1877), van DER Srricur (1887, 1890), Hammar (1892), Fick (1904), SomwEmER (1908), LuBoscH (1910) u. a. m.] drei verschiedene Zone beschrie- ben: In der tiefsten Zone sind die Zellen ungefähr winkelrecht gegen die Gelenkfläche geordnet, „die Region der langgestreckten Zellengruppen* (HAMMAR), in der mittleren Zone ordnen sich die Zellen in unregelmässig abgerundete Haufen, „die Region der runden Zellengruppen^ (Hammar) und in der oberflächlichsten Zone sind die Zellenhau- fen in der Richtung der Fläche zugeplattet, „die Region der platten Zellengruppen“ (HawwaR). Ebenso wird die Grundsubstanz des Gelenkknorpels allgemein von den ver- schiedenen Verfassern ungeführ in gleieher Weise beschriebenen: Sie ist merkbar reich- lich und mit Fibrillen versehen, welche in ihrem tieferen Teil winkelrecht gegen die Fläche des Knorpels laufen, in den oberflächlicheren Teilen parallel mit derselben. Wie aber die Zellen und die Grundsubstanz sich in dem in der Entwicklung begriffenen Gelenkknorpel ordnen, darüber sind die Angaben äusserst sparsam und unzusammenhän- gend. Einige Verfasser, welche ihre Aufmerksamkeit auf den fetalen Gelenkknorpel gerichtet, sagen ganz kurz, dass die Verhältnisse bei dem Fetus hierbei anders sind als bei Erwachsenen. BzwrzEN (1875) geht in seinen Betrachtungen sogar etwas weiter in Details. Er sagt: „auch hat nicht der Gelenkknorpel mit seinen Knorpelzellen dasselbe histologische Aussehen wie bei dem erwachsenen Individum. Alle Intercellularsubstanz ist viel sparsamer vorhanden und die Zellen liegen aus dem Grunde viel dichter zusam- men. Diese Veränderungen, die Absetzung von Intercellularsubstans, geht successive vor sich weit in das postfetale Leben hinein* (S. +). SCHNEIDER (1908 S. 496) erwähnt, dass die jungen Knorpelzellen in den wachsen- den Enden der Gelenkfortsätze ohne irgend eine scharfe Grenze in das Bindgewebe der Umgebung übergehen. Bernays (1878), ScHutin (1879) und KazzawpER (1894) haben auf der Fläche des Epiphysenknorpels eine Zone beschrieben, gebildet aus kleinen, run- den, dicht sitzenden Zellen. Diese Zone nennt Bernays „die chondrogene Schicht“, Kazzander „die chondrogene Zone“, weil genannte Verfasser meinen, dass diese Zone wührend des Laufes der Entwicklung sich in Knorpel umwandelt und somit auch die peripheren Teile des Gelenkknorpels bilden. ScHutin kann sich dagegen nicht davon Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 21 A überzeugen, dass an dieser Stelle, wo sich erwähnte Zone vorfindet, ein appositioneller Knorpelzuwachs stattfinden sollte. Wir sind schon im Vorgehenden mit dieser chondro- genen Übergangsschicht bekannt geworden, welche das vor der Entwicklung der Gelenk- spalte vorkommende Flächenlager der Zwischenscheibe bildet und sich später den ober- flächlichen Teilen des Gelenkknorpels anschliesst. Eigene Untersuchungen. X 1. Die Anordnung von Gewebselementen während der früheren Entwieklungsperiode des Gelenkknorpels. Analysiert man die Gewebsverhältnisse der Gelenkfläche kurz nachdem die Gelenk- spalte sich entwickelt hat, kann man da folgende drei Schichten unterscheiden (Fig. 2). 1) Die oberflächlichste Schicht besteht aus nur wenigen Zellenlagern (2—4, an manchen Stellen können diese Lager zu einem einzigen reduziert sein). Die Zellen in dieser Schicht sind abgeplattete stern- oder spulförmige und mit langen Protoplasmaaus- läufern versehen, welche in der Hauptsache der Richtung der Gelenkfläche folgen. Die Zellkerne sind relativ gross und auch sie mehr oder weniger zugeplattet; aber auch ellip- tische, sogar runde Kerne kommen vor. Es sind gerade diese Zellen, welche den Ana- tomen Grund zu einer langen Diskussion über die Oberfläche des Gelenkknorpels ge- geben haben. In der intercellulären Substanz gibt es bei etwas älteren Embryonen deut- lich nachweisbare Fibrillen. Diese Fibrillen, welche am deutlichsten ein wenig unter der freien Gelenkfläche hervortreten, laufen hauptsächlich in Richtung der Gelenkfläche, bilden aber auch Bögen um die Zellen. Sie färben sich in derselben Weise, wie die kollagenen Fasern des Bindgewebes, werden’ also rot mit van GIEsoN's Pikrofuksin. In Präparaten, gefärbte laut der verschiedenen Knorpelfärbungsmethoden, kann man nicht in dieser Schicht irgend welche Grundsubstanz nachweisen, die sich ähnlich mit der Knor- pelgrundsubstanz färben sollte. Im Gegenteil sieht man, dass dieses Oberflüchengewebe mehr dem umgebenden embryonalen bezw. in etwas älteren Stadien, fibrillären Bind- .gewe ähnelt. Das eben beschriebene Oberflüchenlager, welches von der mittleren Schicht der Zwischenscheibe -herstammt, ist am dicksten und deutlichsten an den peripheren Teilen der Gelenkfläche und wird immer undeutlicher, je näher man deren Mitte kommt. Es ist am undeutlichsten an den Stellen, wo zwei Gelenkfläche direkt einander entsprechen. Inwiefern dieses Lager immer den werdenden Gelenkknorpel anfangs ganz und gar deckt N:o 3. 22 Yrsö KAJAVA. oder möglicherweise kleinere Partien von dessen Fläche frei lässt, ist schwer voll exakt zu beantworten. In allen Fällen sieht es aus als wenn wenigstens der grösste Teil der Gelenkfläche bedeckt sein sollte. Auf Grund der abgeplatteten Form der Zellen kann man wohl diese Schicht oder richtigen deren oberflächlichsten Zellen mit Einem Endothel vergleichen, wie einige Verfasser getan. In der Peripherie des Gelenkknorpels wird dieser Flächenlager immer als ein vermittelndes Gewebe zurückbleiben, welches sich einerseits unbemerkt an die Synovialhaut, andererseits an die Fläche des Gelenkknorpels mit ihren abgeplatteten Knorpelzellen anschliesst (HugrEp. 1866, TILLMANNS 1874, ÖGSTON 1876, Hammar 1892 u. m.). 2) Unter diesem Oberflächenlager und ohne deutliche Grenze sich demselben an- schliessend gibt es ein etwas breiteres Lager bestehend aus dichtsitzenden Zellen mit runden oder fast runden Kernen und mit längeren oder kürzeren Protoplasmaausläufern, mittelst welchen die Zellen mit einander in Vereinigung zu stehen scheinen (Fig. 2). Es ist dieses Lager, welches ich früher die chondrogene Übergangsschicht benannt und welches von Bernays und Kazzaxper die chondrogene Schicht oder die chondrogene Zone und von Fick Chondrogenkappe genannt wird. Die intercelluläre Zwischensubstanz scheint hier fester zu sein und ähnelt dadurch mehr der Grundsubstans im Knorpel. (Vielleicht entspricht dieselbe Hasses (1879) prochondraler Substanz.) Sie bildet auch im tieferen Teil der Schicht Hohlräume für die Zellen und schrumpt nicht bei der Fixierung gleich stark wie diese, weshalb man oft den peripheren Theil der Zellenhöhle in Form einer schmalen Spalte um die Zelle sehen kann. Je näher man der tieferen Fläche der Schicht kommt, desto mehr nimmt sie die Form der darauf folgenden dritten Schicht des jungen hyalinen Knorpels an. In der Grundsubstanz der fraglichen Schicht laufen, besonders bei etwas älteren Stadien, Bindgewebstibrillen, welche sich mit VAN GIESON's Pikrofuksin stark rot färben. Diese Fibrillen kommen besonders zahlreich vor in der Nähe der Anheftungsstelle der Gelenkkapsel, wo man sie direkt zu den Bindgewebsfäden in der Kapsel verfolgen kann. Dasselbe gilt auch den Fibrillen in der Flächenschicht. Ent- sprechende Fibrillen hat van per SrTrRiCHT (1890 S. 16 und 28) konstatiert in der Flächenschicht des Gelenkknorpels bei erwachsenen Vögeln sowie bei Vogelembryonen; auch hier hingen sie mit den Fäden in der Gelenkkapsel zusammen. Diese Observation ist später von Lusoson (1910 S. 261) konstatiert worden, nach ihm bedeckt eine Fort- setzung des Perichondrium die Gelenkfläche bei Fischen (S. 56). Ebenso haben Srup- NICKA (1903) und v. Korrr (1914) in dem nicht fertig gebildeten Knorpel (in der pro- chondralen Substanz des Vorknorpels) acidophile Fibrillen gefunden. Teils auf Grund des Vorkommens der erwähnten Fibrillen, teils auf die Verschiedenheit der Grundsub- stanz sieht dies ganze Gewebe, gefärbt mit der obenerwähnten Farbe roter aus als Tom. XLVIIL Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 23 der tiefer belegene Knorpel. Auch in Präparaten, gefärbt laut der Methylenblau-X ylol- Methode, weicht die Grundsubstanz in dieser Zone merkbar ab von dem folgenden auf Grund seines helleren Tones. Ausserdem bildet die Grundsubstanz hier nur dünne Scheidewände zwischen den relativ dicht an einander sitzenden Zellen. Diese Scheide- wände sind breiter in den tieferen Teilen dieser Schicht, werden aber immer dünner, je näher man der Fläche kommt, bis sie ganz und gar verschwinden. An gewissen Stel- len, besonders nahe der Peripherie der Gelenkfläche, sieht man auch mit dieser Fär- bungsmethode in der Grundsubstanz reichlich rote Fäden, welche von der Insertionsstelle der Kapsel gegen den höchsten Kulminationspunkt des Gelenkknorpels laufen. In Präparaten gefärbt mit Wercgrr's Säurefuksin und Malachitgrün in der Weise wie Hammar (1892 S. 84) beschreibt, sieht man einen sehr deutlichen Unterschied zwi- schen dieser Schicht und der am tiefsten liegenden, indem die Grundsubstanz in jener sich ganz hellrot fürbt, wogegen sie in der tieferen Schicht dunkelviolett ist. Auf Grund der oben beschriebenen Befunde, betreffend die Form der Zellen und das Vorkommen und die Fürbbarkeit der Zwischensubstanz in dieser chondrogenen Über- gangsschicht, ist es höchst wahrscheinlich, wie man auch allgemein annehmen dürfte, dass die erwähnte Schicht sich durch eine histologische Metamorphose von dem ober- flächlicher belegenen mesenchymatischen Gewebe entwickelt hat, um ihrer Reihe nach sich wieder in das eigentliche Knorpelgewebe umzuwandeln. Die in dieser Schicht obser- vierten Zellenteilungen beweisen jedoch, dass auch ein selbständiger Zuwachs in nicht so geringen Grade in dieser Schicht stattfindet. Das Vorkommen relativ zahlreicher Bindgewebsfäden gerade in dieser chondrogenen Übergangsschicht dürfte auf Grund ihrer erwähnten Entstehungsart seine natürliche Erklärung erhalten. Diese Fäden findet man nicht wieder in der darunter folgenden Knorpelschicht, welches auf der Homogenisierung dieser Fäden beruhen dürfte. Ein ganz entsprechendes Phänomen wird auch an der Grenze zwischen dem Knorpel und dessen Perichondrium wahrgenommen. Während einer späteren Entwicklungsperiode wird, wie wir weiterhin sehen werden, das Aussehen dieser chondrogenen Übergangsschicht verändert, deren Zellen entfernen sich weiter von einander und deren Grundsubstanz nimmt den Charakter der Knorpel- grundsubstanz an. 3) Die tiefste Schicht unterscheidet sich deutlich von den zwei oben beschriebenen infolge der Verschiedenheit der Grundsubstanz und der Anordnung und Form der Zel- len, jedoch ohne dass eine scharfe Grenze zwischen dieser und der vorgehenden Schicht irgendwo konstatiert werden kann. Die Zellen kommen nämlich in der tiefsten Schicht merkbar dünner gesäht und die intercelluläre Grundsubstanz also viel reichlicher vor als in den oberflächlicheren Schichten. Ausserdem schrumpfen die Zellen in Verhältnis zu N:o 3. 2 24 YEJOLKATAVA, der Crundsubstanz in der tiefsten Schicht relativ viel stärker als in den vorhergehenden Schichten, infolgedessen grössere künstliche Spalten rund um sie herum in dieser Schicht leicht entstehen. Die tiefe Schicht unterscheidet sich ausserdem von der vorhergehenden durch eine Farbenverschiedenheit, die mit den verschiedenen Färbungsmethoden hervortritt. Mit Hämatoxylin und vax Girsow's Pikrofuksin werden die zwei oberflächlichen Schichten, scheinbarlich teils auf Grund der relativ reichlichen kollagenen Fibrillen, teils auf Grund der Eigentümlichkeit (Acidophlie) der Grundsubstanz merkbar rot, wogegen die Grund- substanz in der tiefsten Schicht im allgemeinen heller rötlich wird. Färbt man dagegen das Präparat mit Weiserr’s Säurefuksin und Malachitgrün, werden die oberflächlicheren Schichten hellrot, die am tiefsten belegenen dagegen dunkelviolett. In dieser dunkelvio- letten Intercellularsubstanz sieht man eine undeutliche Fibrillierung. Diese fibrilläre Struktur läuft im verschiedenen Richtungen zwischen den Zellen, jedoch hauptsächlich in Bögen oder Zirkeln um denselben herum. Ein ganz anderes Bild von dieser Grundsubstanz erhält man mit der Methylenblau- Xylol-Methode. Mit dieser Färbungsmethode nimmt die Grundsubstanz einen gleichmäs- | sigen hellblauen Farbenton an, ohne irgend eine Andeutung an Fibrillen, wogegen die Grundsubstanz in der auf der Oberflüche der jetzt in Frage stehenden Schicht grünlich gefärbt wird mit eingestrüuten rötlichen Fäden. Die Knorpelzellen vermissen eine Kapsel, wie man eine solche in dem voll entwic- kelten Knorpel antrifft. In vielen Fällen scheint es, als wenn die Grundsubstanz sich ohne eine Veränderung- bis zur Zellenhöhle strecken sollte, in anderen wiederum sieht man eine ganz schmale, stark basophile Kante in Form einer Linie die innere Grenze der Zellenhóhle markieren. Je tiefer man in den Knorpel kommt, desto deutlicher wird diese Grenzlinie. Es ist móglich, dass diese Grenzlinie oder richtiger gesagt die Grenz- schicht der Grundsubstanz gegen die Zellenhöhle der von Czermax (1888 S. 475) mit dem Namen ,nucleoelastischer Grenzschlauh* bezeichneten Grenzschicht entspricht. Diese oben beschriebene Grenzschicht kann kaum anders erklärt werden als wie die erste Ent- wicklung zu einer Knorpelkapsel. Verschiedene Forscher haben freilich unter diesem Namen ganz verschiedene Dinge verstanden wie auch Scharrer (1903 S. 526) hervor- hebt. Laut des letztgenannten Verfassers „muss man sinngemäss daran festhalten, nur eine die Zellhöhle unmittelbar begrenzende, die Form der Zellen wiedergebende Schicht der Grundsubstanz, welche sich durch irgend ein besonderes Verhalten, sei es optischer, physikalischer oder mikrochemischer Natur, von der weiter von der Zelle entfernten Grundsubstanz unterscheiden lässt, als Kapsel zu bezeichnen“. Auch mit der Auffas- sung Hansen’s (1905 S. 757-—763) von der Knorpelskapsel lässt sich diese Erklärung in Einklang bringen. Tom. XLVIII. 95 Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 27 Ausser den eben diskutierten, nicht annähernd um jede Zelle hervortretenden, ent- wickelten Knorpelkapseln bietet die Grundsubstanz noch in diesen Stadien keine weitere Differentiierungen dar. Sie ist gleichmässig basophil und lässt nicht irgend welche inter- mediäre Züge unterscheiden. In dieser Hinsicht ähnelt diese Schicht dem jungen hya- linen Knorpel im allgemeinen, welcher laut Hansen (1905 $8. 556) „keine Balkenstruk- tur zeigt, sondern eine homogene Grundsubstanz hat, die sich den Farbstoffen gegenüber wie die Chondrinballen verhält“. 2. Strukturelle Veränderungen in den oberflächlichsten Schichten des Gelenkknorpels. Bereits in etwas älteren Entwicklungsstadien (Caput femoris bei einem 5,5 cm lan- gen menschlichen Embryo) können wir in dem tiefer belegenen Knorpel Schichten unter- scheiden, die sieh etwas verschieden färben als die ebenbeschriebenen. Fangen wir unsere Prüfung an mit den tiefsten Partien in einem laut der Methylenblau-Xylol-Methode ge- färbten Präparat so sehen wir, dass die Grundsubstanz nahe an der Verknöcherungs- grenze gegen Diaphyse einen etwas dunkleren blauen oder blaugrünen Farbton annimmt (der verkalkte Knorpel); in der darauf folgenden Schicht, wo die Zellen sich in Rei- hen ordnen, wird die Grundsubstanz heller blaugrau gefärbt. Diese Farbe bleicht all- mählich ab, je näher man der Oberfläche kommt, sodass sie unter der chondrogenen Übergangsschicht am hellsten ist und hier eine Andeutung an rotviolett hat; die Grund- substanz enthält, wie früher beschrieben worden ist, rotgefärbte Fibrillen. Diese Far-. benverschiedenheit, welche nur hervortritt, wenn die Methylenblaufürbung schwach ist oder wenn man die mit Methylenblau-Xylol übergefärbten Präparate in absolutem Alko- hol richtig differentiiert hat, muss von einer Verschiedenheit bei der Grundsubstanz in den verschiedenen Teilen des Knorpels zeugen. Auch die eben beschriebenen Knorpel- kapseln werden etwas zahlreicher und deutlicher. Gleichzeitig als somit eine Ungleichheit bei der Grundsubstanz des tiefer belegenen Knorpels, welehe schon in den früheren Stadien geahnt werden konnte, etwas deutlicher hervortritt, geschieht eine andere Veründerung in dem oberflüchlichsten Lager. Hier fangen nämlich die oben beschriebenen, mit langen Ausläufern versehenen, abgeplatteten Zellen, die eine Schicht auf der Gelenkfläche bilden, an zu verschwinden. Auf den zentralen Teil der Gelenkfläche können diese Zellen überhaupt gar nicht mehr nach- gewiesen werden, sondern Zellen, die als zur chondrogenen Übergangsschicht gehörig gezählt werden müssen, strecken sich ganz bis zur Fläche hervor. Je länger man kommt gegen die Peripherie der Gelenkfläche, desto reichlicher treten diese mesenchymatischen Zellen auf, bis sie nahe an der Anheftungsstelle des Gelenkmembranes eine Schicht bil- N;o 3, 4 26 YRIJIÖKAJAVA. den, bestehend aus mehreren Zellenlagern oben auf einander. Auf der Gelenkfläche von Caput humeri bei einem 7,5 cm langen menschlichen Embryo sind diese platten Zellen schon verschwunden, sodass man nicht mehr die von ihnen gebildete Flächenschicht unter- scheiden kann anderswo als ganz in der Peripherie des Gelenkknorpels, nahe an der Anheftungsstelle der Gelenkkapsel. Einige solche Zellen können jedoch nachgewiesen werden auf der Gelenkfläche von Caput humeri noch bei einem 13 cm langen Embryo. Man kann also schon von diesen Stadien sagen, wie Merken (1901 S. 99) sich aus- drückt, dass ,das Bindgewebe der ursprünglichen embryonalen Syndesmose auf die áus- serste Peripherie der Knochenenden zurückgedrängt worden ist“. Vergleicht man diese Präparate mit Präparaten, von früheren Entwicklungsstadien herstammend, kommt man ungesucht zu dem Schlusse, dass die oberflächlichen, plattgedrückten Zellen hier im Be- griffe sind zu verschwinden. Wie dieses Verschwinden geschieht, darüber geben folgende Observationen eine Andeutung: An einigen Stellen, wo nur einzelne platte Zellen nach- gewiesen werden können oben auf Zellen, zu der chondrogenen Übergangsschicht ge- hórend, kann man in den verschiedenen Entwicklungsstadien diese Zellen sehen, teilweise losgemacht von der Unterlage und nur mit einem dünnen Ausläufer an derselben fast- hängend. Es scheint nicht, als wenn diese Zellen durch die mechanische Gewalt, für die das Präparat während Bearbeitung ausgesetzt gewesen, losgerückt worden sein soll- ten, wenn auch eine solche Möglichkeit nicht voll ausgeschlossen ist. Schon der Um- stand, dass die Zellen sich in den mehr peripher belegenen Teilen der Gelenkfläche los- gemacht haben, wo sie am zahlreichsten repräsentiert sind, spricht gegen eine solche Auffassung. Im Gegenteil erhält man den Eindruck, als wenn die fraglichen Zellen gerade im Begriff sein sollten sich von ihrem Zusammenhange mit der unterliegenden Übergangsschicht und der Gelenkfläche zu befreien. Diese Observation muss also mitgenommen werden, wenn es gilt, sich eine Auffas- sung davon zu bilden, wie es mit den Zellen der oberflächlichsten Schicht geht, wenn diese Schicht verschwindet. Man wäre geneigt anzunehmen, dass diese Zellen sich zu Zellen umwandeln, die der chondrogenen Übergangsschicht angehören, und dass so auch geschieht, daran dürfte kein Zweifel sein. Es scheint aber, als wenn dennoch nicht alle oberflächlichen Zellen sich in dieser Weise verwandeln sollten in Zellen der unterliegen- den Schicht, sondern dass ein Teil Zellen sich von der Gelenkfläche losmacht und in die freie Gelenkhöhle geräth. Hammar (1892 S. 127) ist bei seinen Untersuchungen zu der Auffassung gekomomen, dass ein Teil Zellenelemente, welche in der Synovialflüssigkeit bei einem Erwachsenen angetroffen werden, wahrscheinlich von der Knorpelfläche her- stammen. Mir scheinen die hier oben besprochenen, zur Hälfte losgemachten Zellen in dem fetalen Gelenke anzudeuten, dass schon bei Embryonen Zellen losgemacht und mit den Formbestandteilen der Synovia einverleibt werden. Schon als die Rede von der Tom. XLVIII. 1 | à | cota P DD -1 Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. Entstehung der Gelenkspalte war, konnte mit grosser wahrscheinlichkeit eine entspre- chende Losreissung gewisser Zellen observiert werden, die ähnlich den jetzt in Frage stehenden Zellen zurückblieben, wenigstens eine Zeit lang in der Gelenkhóhle. Man kann also bei so jungen Gelenken wie die hier erwähnten schon eine gewisse „Abnut- zung“ der Gelenkfläche konstatieren, welche Abnutzung sich jedoch wesentlich von der Abnutzung unterscheidet, die an der Fläche des fertigen Gelenkknorpels beobachtet wer- den kann. Schon Topp und Bowman (1843) haben an der Gelenkfläche bei Embryonen Zellen observiert, welche im Begriff waren, sich von ihrer Unterlage loszumachen. Dieses und auch die bei den Erwachsenen nachweisbare Unregelmässigkeit der Gelenkfläche gab auch genannten Verfassern Veranlassung anzunehmen, dass die oberflächlichen Zellen infolge Reibung und Druck verschwinden, wofür die Gelenkflächen ausgesetzt sind. Ebenso erklärt TILLMANNS (1874 S. 415), worauf schon vorher hingewiesen worden ist, das Vorkommen von Endothelzellen an der Gelenkfläche bei Feten auf den Bewegungs- exkursionen in den Gelenken zu beruhen. Hurrer (1886 S. 77) nimmt an, dass eine Abreibung der platten Flüchenzellen' unter physiologischem Zustande nicht vorkommt. Er erklärt die Ungleichheit der Oberflächlichen Zellen bei ungleich alten Embryonen durch „Auseinanderrücken der einzelnen platten Zellen, wenn die Gelenkfläche in der Breite wächst“ zustande zu kommen. Es ist indessen zu bemerken, dass Hurrer dann aller Wahrscheinlichkeit nach von den platten Knorpelzellen spricht. Es scheint mir, als wenn die hier oben zitierten Verfasser, das mechanische Mo- ment, den Druck und die Reibung zu sehr unterstrichen haben, als Ursache der erwähn- ten Losmachung von den besprochenen Zellen. Unter so frühen Entwicklungsstadien, wo von hier die Rede ist, können diese Momente kaum eine grössere Bedeutung haben, weshalb die konstatierte Losmachung der oberflächlichsten Zellen als auf anderen Ur- sachen beruhend erachtet werden muss, wahrscheinlich auf Veränderungen in der Zelle selbst oder durch ähnliche Veränderungen in der Intercellularsubstanz, wie die man bei der Entstehung der Gelenkspalte trifft. — Wenn ich mich somit nicht mit der Auffas- sung der obengenannten Forscher betreffend die Ursache der Losmachung der Zellen von der Gelenkfläche bei Embryonen vereinigen kann, so beweisen doch auch meine Untersuchungen, dass eine Losmachung der OÖberflächenzellen der Ge- lenkfläche schon während eines frühen Embryonalstadium unzwei- deutig existiert. Während die oberflächlichste Schicht in oben angedeuteter Weise allmählich ver- schwindet, verändert sich auch die darunter liegende chondrogene Übergangsschicht, so dass deren intercelluläre Grundsubstanz immer reicher wird, infolgedessen die Zellen sich immer weiter von einander entfernen. Gleichzeitig verlieren die Zellen ihre früher vor- No: 3. 28 Yn3O KAJAYA. befindlichen Ausläufer. Die intercelluläre Grundsubstanz streckt sich ganz bis zur Gelenkfläche in demselben Verhältnisse wie die oberflächlichste Schicht verschwindet. Aber auch die zur chondrogenen Übergangsschicht ") gehörenden Zellen werden in .dieser Weise zur Gelenkfläche hingerückt. Die nunmehr runden Zellen der chondrogenen Schicht, welche sich zur Gelenkfläche angrenzen, ragen an Stellen, wo die zur Flächen- schicht gehörenden Zellen verschwunden, merkbar über die Gelenkfläche hervor, so dass diese Fläche voll kleiner Erhöhungen ist, jeder ihrer Knorpelzelle entsprechend. Inwie- fern diese Ausbuchtungen Kunstprodukte sind, entstanden infolge von Schrumpfen der Grundsubstanz oder faktisch präformierten Bildungen, kann ich nicht mit Sicherheit ent- scheiden. Mir scheint jedoch hóchst annehmbar, dass sie zu einem grossen Teil wenig- stens durch erwühntes Schrumpfen verursacht werden. Diese Erhöhungen werden nur bei jungen Stadien observiert. Bei Fledermäusen und kletternden Nagetieren hat ScHAFFER (1905) an der Fläche des Gelenkknorpels in Interphalangelenken kleine Erhöhungen gefunden, welche er als funktionelle Anpassungen ansieht, und „Stosskissen“ benennt. Entsprechende Bildungen „Scuarrer’sche Höcker“ hat Lurosen (1910 S. 209) gefunden an der Gelenkfläche der Gelenkpfanne von dem Interphalangealgelenk bei Mäusen und Hamstern. Diese von Lusoscx gefundenen Bildungen, welche er in Figur 171 (S. 209) in der oben zitierten Abhandlung abbildet, erinnern sehr viel an die hier oben von mir beschriebenen Erhó- hungen auf der Gelenkflüche. Inwiefern auch diese als Kunstprodukte angesehen wer- den können, darüber wage ich nicht mich zu äussern; ich will jedoch darauf hinweisen, dass wenigstens ein 'l'eil des LuBoscH'schen Materials aus älteren Museipürparaten be- steht, wo ein oben angedeutetes Schrumpen wohl möglich gedacht werden kann. Die eben erwähnte Übergangsschicht, welche aus ca. 6—8 Zellenlagern besteht, behält jedoch bis auf weiteres ihren besonderen Charakter und unterscheidet sich von der tiefer belegenen Schicht auf Grund der Form und Anordnung der Zellen wie auch auf Grund der verschiedenen Färbefähigkeit der intercellulären Substanz. Die Grenze zwischen dieser und der tiefsten Schicht ist gleichwohl nicht scharf. 3. Veränderungen in den tiefer liegenden Knorpel, das Vorkommen der spindelförmigen und verzweigten Knorpelzellen. Indem die oben beschriebenen Veränderungen während des Ganges des Entwicklung in den zwei oberflächlichsten Schichten konstatiert werden, entsteht auch eine merkbare 1) Ich gebrauche hier fortwährend diesen Namen, obschon die Zellen und die Grundsubstanz in ge- nannter „Übergangsschicht‘ sich schon so verändert haben, dass die Schicht nunmehr aus jungem Knorpel- gewebe besteht. Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 29 Veränderung in der tiefen Schicht, welche die Hauptmasse des unter der Gelenkfläche befindlichen Knorpels bildet. In dieser Schicht verändern nämlich die Zellen allmählich ihre Form, sodass wir anstatt der bei dem jungen Knorpel so charakteristischen ovalen oder fast runden Zellen spul- oder sternförmige Zellen antreffen, deren lange Ausläufer sich tief in die umgebende Grundsubstanz drängen. Anfangs sieht man nur einzelne Zellen, die mit relativ kurzen und dicken Ausläufern versehen sind (Fig. 3), je ältere Stadien man aber untersucht, desto zahlreicher werden diese spindelförmigen oder ver- zweigten Knorpelzellen und desto länger ihre Ausläufer. Diese Ausläufer sind deutlich protoplasmatische und relativ dicke Bildungen; sie hängen ohne Grenze mit dem Körper der Knorpelzelle zusammen. Sie treten vor mit den meisten Färbemethoden, die ich an- gewandt habe, ebenso kann man sie durch Imprägnierung mit Silber- und Goldsalzen nachweisen. Sie laufen in der Grundsubstanz in Kanälchen, welche mit dem Hohlraum der Knorpelzelle direkt zusammenhängen. Oft hängen die nahebelegenen Zellen durch diesen Ausläufern direkt zusammen mit einander. Diese Zellen füllen dennoch nicht die ganze Epiphyse, im Gegenteil sieht man, dass sie allmählich verschwinden, je näher man der Verknöcherungslinie kommt, und durch gewöhnliche runde oder ovale Knorpelzellen ersetzt werden. Die Grenze zwischen den beiden Zellenarten ist nicht scharf, auf Grund dessen man an gewissen Stellen Knorpel antrifft, wo diese beiden Zellentypen so gemischt- sind, dass zwischen Gruppen von gewöhnlichen abgerundeten Knorpelzellen Züge von spulförmigen Zellen vorkommen. Das Vorkommen dieser für den wachsenden embryonalen Knorpel sehr eigentümlichen Zell- formen ') gibt dem ganzen Knorpel ein sonderbares Aussehen, besonders als diese Zellen nicht so geordnet sind, dass ihre Ausläufer unter sich gleich liegen sollten, sondern im Gegenteil die Grundsubstanz in allen denkbaren Richtungen kreuzen. Da die nahelie- genden Zellen oft direkt mit einander durch ihre Ausläufer vereinigt sind und stellen- weise unter einander ein zu einem gewissen Grade gleichartig angeordnetes System bil- den, entstehen im Knorpel an Linien, Wellen und Wirbeln erinnernde Bilder (Fig. 4 und 5). Einzelne dieser spul- bezw. sternförmige Zellen können schon in der Humerusepi- physe bei einem 7,5 cm langen Menschenembryo und in entsprechender Epiphyse bei einem 10 cm langen Rindenembryo nachgewiesen werden. Von dieser Zeit ab treten die Zellen im Epiphysenknorpel vor ganz bis die Ossifikation der Epiphyse eine gewisse Entwicklung erreicht hat, da sie allmählich verschwinden bei dem Menschen erst lange nach der Geburt, wie wir später sehen werden. Die in Frage stehenden Zellen treten !) Entsprechende Zellen findet man nicht nur in Gelenk- und Epiphysenknorpel sondern auch z. B. in Rippenknorpel bei Embryonen. N:o 3. 30 Y auno EK A TA MAL mit anderen Worten auf wührend der Zeit für den strüksten Zuwachs des Gelenkknor- pels und des unter demselben befindlichen Knorpels. Um uns eine Vorstellung von der Herstammung, Entwicklung und Funktion dieser Zellen zu bilden, müssen wir sie genauer in den ungleich weit entwickelten Stadien ver- folgen. Weil alle Zellen im Epiphysenknorpel, abgesehen von den aller oberflächlichsten, während früherer Entwicklungsperioden. rund oder elliptisch sind, müssen die spulför- migen Zellen, welche anfangs unter der chondrogenen Übergangsschicht im Knorpel her- vortreten, sich in irgend einer Weise aus diesen runden Zellen entwickelt haben. Wir können auch in den früheren Stadien einzelne fast runde Zellen nachweisen, die einen oder oft zwei kurze Ausläufer aussenden, in etwas älteren Stadien finden wir, dass diese mit Ausläufern versehenen Zellen immer zahlreicher werden, gleichzeitig wie deren Aus- läufer sich zu immer längeren Bildungen (Fig. 3) ausdehnen, bis wir voll entwickelte, spindelförmige bezw. verzweigte Knorpelzellen finden. Gleichzeitig werden die runden oder ovalen Knorpelzellen immer seltener, bis alle oder wenigstens-die meisten Zellen in der fraglichen Schicht sich zu obenerwähnten spindelförmigen Zellen entwickelt haben (Fig. 4 und 5). Man kann also leicht die Entwicklung einer elliptischen oder runden Zellform verfolgen. — Verfolgen wir den Gang der Entwicklung weiter, so können wir konstatieren, wie diese Zellen sich teilen und vermehren. Diese Teilung geschieht in der. Regel winkelrecht oder etwas schräge gegen die Längenachse der Zelle. Anfangs trennen sich die so gebildeten Tochterzelien schnell von einander und nehmen die Form der Mutterzelle an, weshalb man dann im Knorpel hauptsüchlich nur isoliert stehende spindelförmige Zellen antrifft und sehr spärlich Zellen, die paarweise in einer und der- selben Zellhóhle liegen. Die Grundsubstanz bildet zwischen den Hohlráumen dieser Zel- len nur relativ dünne Scheidewünde, auf Grund deren der Knorpel, dessen Zellen aus Spindelzellen bestehen, sehr zellenreich ist. In jüngeren Stadien liegen diese Zellen direkt in der Grundsubstanz, ohne irgend- welche, in einer besonderen Weise lichtbrechenden oder färbbaren Knorpelkapseln um sich herum; in den älteren Stadien sind sie dagegen mit einer deutlichen Kapsel ver- sehen. Anders geschieht dagegen die Vermehrung der genannten Zellen spáter und beson- ders zur Zeit für das Verschwinden der spulförmigen Zellen. Dann geschieht die Zel- lenteilung unvollständiger und die Tochterzellen entfernen sich nicht mehr von einander gleich schnell wie früher, infolge dessen Zellenreihen entstehen, wo die verschiedenen Zel- len anfangs sich in einer gemeinsamen rohrförmigen und lang ausgezogenen Zellenhöhle befinden. Oft sieht man ausserdem, dass nur die Kerne sich geteilt haben; die so ent- standenen Tochterkerne sind von einer gemeinsamen Protoplasmamasse umgeben, die erst lange nachher zwischen den getrennten Tochterzellen verteilt wird. Darauf werden die Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 31 so entstandenen Zellen allmählich von der Grundsubstanz umgeben und trennen sich von einander. Ich habe bis zu fünf Kerne angereiht hinter einander in einer gemeinsamen Protoplasmamasse innerhalb derselben rohríórmigen Zellhóhle gefunden. Die spindelför- migen oder verzweigten Knorpelzellen bilden somit während einer gewissen Entwicklungs- periode infolge einer unvollständigen Zellenteilung kleine Zellensynzytien, aus denen der Reihe nach später selbständige Zellenindividuen entwickelt werden. Allmählich ver- schwinden die spulförmigen Zellen vollständig — an gewissen Stellen, besonders beim Menschen, erst lange nach der Geburt — und die durch die Zellenteilung entstandenen Tochterzellen werden in runde oder ovale Zellen umgebildet, welche mehr selbständig in der Grundsubstanz liegen (Fig. 6). Ich habe nirgendswo Erscheinungen observieren können, welche andeuten sollten, dass eine schon fertige Spulzelle ohne vorherige Zellenteilung ihre Ausläufer einziehen sollte und sich in dieser Weise in eine ovale oder runde Knorpelzelle umbilden. Eine solche Möglichkeit halte ich jedoch keineswegs für ausgeschlossen. Es ist auch möglich, dass erwähnte Ausläufer in Knorpelgrundsubstanz umgewandelt werden. Wenigstens hat man Gelegenheit das Vorkommen von junger (basophiler) Grundsubstanz in den schma- len kanalförmigen Ausläufern zu konstatieren, welche in Zusammenhang mit der Zellen- hóhle an den Enden einer spulfórmigen Zellenreihe stehen, und in welchen proto- plasmatische Zellenausläufer früher konstatiert werden konnten. — Eine ähnliche An- nahme betreffend die Ausläufer gewisser Bindgewebzellen äussert SrupxiékA (1897 8. 625). Hansen (1897, 1905) beschreibt sogar, wie eine Knorpelzelle in ihrer Gesamt- heit in Knorpelgrundsubstanz umgewandelt wird. Auch viele andere Forscher haben mehr oder weniger vollständig nachweisen können, oder machen es höchst wahrschein- lich, dass Knorpelzellen entweder ganz und gar oder wenigstens zum Teile in Knorpel- grundsubstanz umgewandelt werden (Ozeruak (1888), Sroınko (1903), ScHAFFER (1905) ). Ebenso habe auch ich, wie später dargelegt werden soll, entsprechendes Phänomen beobachtet. Das Verschwinden der spindelförmigen bezw. verzweigten Knorpelzellen geschieht zunächst in den tiefsten Teilen des Epiphysenknorpels und schreitet allmählich fort gegen die Gelenkfläche. Wie aus dem Vorhergesagten hervorgeht, werden diese spindelför- . migen Zellen in der oberflächlichsten . Schichten des, Gelenkknorpels vermisst, weshalb diese Zellen also vor .ihrem vollständigen Verschwinden eine Zone zwischen den ober- flächlichsten und am tiefsten belegenen Schichten) bilden. ') In diesem Zusammenhang muss darauf hingewiesen; werden, dass nachdem die spindelförmigen Zel- len verschwinden, noch spindelfórmige Zellengruppen lange existieren können. So ist der Fall z. B. mit dem Gelenkknorpel bei Menschen, wie später beschrieben werden soll. N:o 3. 32 Yrsö KAJAYA. Auch Sroınko (1903) hat seine Aufmerksamkeit auf die Teilungsrichtung dieser Spindelzellen gerichtet und gefunden, in Übereinstimmung mit dem was hier oben be- schrieben worden ist, dass gewöhnlich bei der Teilung genannter Zellen Zellenreihen ent- stehen. Der genannte Verfasser scheint dagegen nicht beobachtet zu haben um diese Zellen herum bei etwas älteren Stadien vorkommende Knorpelkapseln. Die soeben beschriebenen spindelförmigen oder verzweigten Knorpelzellen scheinen nur in grösseren Epiphysen vorzukommen, wo der Zuwachs des Knorpels relativ schnell geschieht, und eine merkbare Vermehrung des Gewebes zu stande kommt. Bei Mäusen habe ich diese Zellen gar nicht gefund«n, nicht mal in den grossen Epiphysen (Hume- rusepiphysen). | Mit Ausläufern versehene Knorpelzellen hat Rerzıus (1872) sogar in einigen voll ausgebildeten Gelenkknorpeln beim Menschen gefunden. In seinem Aufsatz gibt der Verfasser eine genaue Beschreibung über diese Zellen, sie liegen teils einzeln, teils oft in Haufen. Sie haben gewöhnlich keine Kapsel, mitunter sieht man jedoch eine dünne solche den Teil der Zelle umgeben, der keinen Ausläufer hat. Jede Zelle hat gewöhn- lich nur einen Ausläufer, bisweilen jedoch zwei, mitunter sogar drei, vier oder fünf. Auch wenn die Ausläufer mehrere an der Zahl sind, gehen sie nur von einem Ende oder einer Seite der Zelle aus. Bei ihrer Abstammung aus der Zelle sind sie gewöhn- lich recht weit und schmälern danach bald ab. Ihre Richtung ist ziemlich parallel mit der Fläche des Gelenkknorpels, sie weichen jedoch oft etwas davon ab. Die Länge der Ausläufer ist bedeutend, sogar bis zu 20—21 mal länger als die Zellen selbst. — Diese von Rerzius beschriebenen Zellen weichen, wie aus dem obengesagten hervorgeht, jedoch bedeutend ab von den von mir bei dem fetalen Gelenkknorpel gefundenen Zellen. Buper (1879 S. 8) hat auch mit Ausläufern versehene Zellen in der Patella bei Menschenembryonen und auch bei einem 1'/, Jahr alten Kinde observiert. Sie waren mit zwei oder mehreren, in verschiedene Plane verlaufenden Ausläufern versehen. Die dünnen Ausläufer liegen in der Grundsubstanz ohne merkbare Kapsel. Von den Enden dieser Zellenausläufer gehen dünne Kanäle aus, welche durch die Grundsubstanz zu dem entsprechenden Ausläufer einer naheliegenden Zelle laufen. Die Zellen stehen nicht in direkter protoplasmatischer Vereinigung mit einander. — Eben solche sternförmige Zel- len beschreibt Heımzmann (1872, 1873, 1883) im Gelenkknorpel auf dem Femurcondyl bei Hund, Katze und Kaninchen, Löwe (1874) in dem embryonalen Knorpel bei Sänge- tieren und VAN DER SrTRICHT (1887) im-Gelenkknorpel beim Kalb und in Patella bei einem soeben geborenen Menschenembryo. Auch Hammar (1892) hat mit Ausläufern versehene Knorpelzellen im Gelenkknorpel bei Erwachsenen gefunden. Bei einem Kinde von 13 Jahren hat er mit grösseren Ausläufern versehene Zellen gefunden, welche ei- nigermassen einen Übergang zu den im Embryonalknorpel existierenden keilühnliehen Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 33 Zellen bilden, die er beiläufig erwähnt. Srpmko (1903) hat die „Zelle mit zahlreichen langen verzweigten Protoplasmafortsätzen“ in hyalinem Knorpel bei Menschen- und Säugetierembryonen beschrieben. Ausser diesen haben mehrere andere Forscher mit Ausläufern versehene Zellen in dem normalen Hyalinknorpel beschrieben. Ich beschränke mich hier, nur folgende von ihnen aufzuzählen: Levyvıs, PETRONE, BUDGE, COLOMIATTI, WALDEYER, ALEXANDER, Fusarı, KoELLIKER und Hansen. Ausserdem findet man in der Literatur Angaben (von RECKLINGHAUSEN, VIRCHOW, RANVIER, WAGNER, FIRKET u. a. m.) von dem Vorkommen eben solcher Zellen in Enchondromen. Einige von den beschriebenen Zellenausläufern dürften jedoch, wie Srupniéka (1905) bewiesen hat, Artefacta sein, sicher ist wohl aber doch, dass viele von den aufgezählten Forschern mit ihren Methoden faktisch mit Ausläufern versehene Knorpelzellen gesehen (SCHAFFER) '. Ebenso dürfte es sicher bewiesen sein, dass auch in dem voll ausgebilde- ten Gelenkknorpel Zellen von dem oben angegebenen Typus vorkommen. Ob die in den voll ausgebildeten Gelenkknorpel befindlichen, mit Ausläufern versehenen Zellen aufzufas- sen sind als Reste von den während des fetalen Lebens so allgemein vorkommenden spindelfórmigen oder verzweigten Knorpelzellen, ist mir nicht möglich zu entscheiden, wenn es mir auch höchst annehmbar scheint, dass es der Fall ist. Diese oben in grösster Kürze skizzierten Bilder von den im embryonalen Gelenk- knorpel sowie im Knorpel unter der Anlage des Gelenkknorpels gefundenen spul- oder sternförmigen Zellen dürften uns eine Auffassung geben von den verschiedenen Stadien, welche diese Zellen bei ihrer Entwicklung durchlaufen. Sie entwickeln sich aus runden oder elliptischen Knorpelzellen so, dass dieselben Ausläufer aussendem, welche allmählich immer länger werden, und drängen sich immer tiefer in die umgebende Grundsubstanz. Da diese ovalen Spulzellen ihre Rolle ausgespielt haben, geben sie den Ursprung zu Zellen, welche wiederum die Form von runden oder elliptischen Knorpelzellen annehmen. Dieses geschieht indessen nicht gleichzeitig in allen benachbahrten Zellen. Im Gegen- teil sieht man, dass, während gewisse spindelförmige Zellen sich in dieser Weise zu Gruppen von gewöhnlichen Knorpelzellen umwandeln, behalten andere noch eine Zeit lang hin ihre ursprüngliche Form bei, weshalb man — ganz in derselben Weise als wenn die spul- oder sternförmigen Zellen sich zuerst offenbarten — im Epiphysenknorpel Stellen antreffen kann, wo diese beiden Zellformen mit einander abwechseln. Auch Sroınko (1903) gibt an, dass bei Kindern häufig neben einander sowohl embryonaler als typischer junger Hyalinknorpel vorkommt. Der genannte Verfasser benennt nämlich Knorpel mit den oben beschriebenen spul- oder sternförmigen Zellen !) Es muss doch hervorgehoben werden, dass nicht alle hier oben aufgezählte Forscher spul- oder sternförmige Zellen gesehen haben, welche den von mir in embryonalen und jungen Gelenkknorpeln gefun- denen entsprechen. Einige von ihnen haben sicher Bildungen ganz anderer Art beschrieben. N:o 3. 2:5 34 | YrJö Kısava. mit einem weniger wohl gewähltem Namen „embryonalen Knorpel“ trotzdem man — wie auch aus meinen Untersuchungen hervorgeht — im Knorpel bei einem Embryo auch runde oder ovale Zellen, und auf der anderen Seite noch bei einem Erwachsenen an einigen Stellen spulfórmige Zellen im Knorpel antrifft. Was ist nun die Bedeutung dieser transitorischen Zellen? — Schon der Umstand, dass sie nur während der Entwicklungsperiode auftreten, da der lebhafteste Zuwachs im Knorpel vor sich geht und dass sie nicht in kleineren Epiphysen vorkommen, deutet darauf hin, dass diese Zellen irgend eine besondere Bedeutung bei dem Zuwachs der voluminösen Knorpel haben. — Aus dem Grunde, dass man in den Stadien, wo Spul- zellen in der Epiphyse und im Gelenkknorpel vorkommen, sowohl in den tieferen wie auch in den oberflüchlicheren Teilen von Knorpel eine reichliche Zellenvermehrung antrifft, muss man annehmen, dass ein Zuwachs einigermassen gleich durch den ganzen Knorpel vor sich geht. Ein Zuwachs aber tief im Knorpel kann nicht vor sich gehen, wenn nicht gleichzeitig gewisse Teile vom Knorpel resorbiert werden so, dass eine allseitige Ausdehnung der Grundsubstanz wirklich zu stande kommen kann. Eine solche lokale Resorption vom Knorpel bei der Teilung und Vermehrung der Knorpelzellen meint auch SCHNEIDER (1908 $S. 497) ohne Zweifel zu stande zu kommen. Ebenso betont Fick (1904 S. 40), wie schon früher angegeben wurde, die grosse Bedeutung des Resorp- tionsprozesses beim Zuwachs des Gelenkknorpels, je grósser das wachsende Knorpelstück ist, desto merkbarer muss die in demselben vorkommende Gewebsverschiebung und der Resorptionsprozess bei dessen Zuwachs sein. Infolge der früher beschriebenen Observa- tionen scheint es als wenn gerade diese spindelfórmigen oder verzweigten Knorpelzellen mit ihren ausliufer in erster Linie die Fähigkeit haben sollten, die Knorpelgrundsub- stanz Zu resorbieren und somit in dieser Weise die notwendigen Verschiebungen im Knorpelgewebe während dessen Zuwachs möglich zu machen. Es dürfte auch nicht aus- geschlossen sein, dass die ausgezogene Zellenform und besonders das gegenseitige Ver- hältnis der Zellen zu einander zum Teil auf dieser Verschiebung beruht. Dass diese Zellen auch knorpelbildende Eigenschaften besitzen — wenigsten in etwas älterem Knorpel — wie die Knorpelzellen im allgemeinen, darauf brauche ich nicht besonders einzugehen. Ich will jedoch in diesem Zusammenhange noch betonen, dass es mir mit der Methylen- blau-Xylol-Methode gelungen ist, in der Umgebung dieser Spulzellen in etwas älteren Stadien eine gleichartige Kapsel nachzuweisen, wie man es um gewöhnliche Knorpel- zellen findet. Dagegen kann eine entsprechende Kapsel in den jüngeren Stadien um diese Zellen nicht nachgewiesen werden. Wenn diese Kapsel zuerst auftritt, umgibt sie nur den Zellenkörper, streckt sich aber bald aus, um auch deren Ausläufer zu umgeben. In diesem Zusammenhange muss darauf hingewiesen werden, dass auch HAMMAR (1892) in der Nähe der Anheftungsstelle der Synovialhaut verästete Zellen ohne Kapsel Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 35 beschreibt, und ausserdem solche, wo nur der Zellenkörper von einer Kapsel umgebuo ist und endlich solche, wo eine kapselartige Hülle auch die Ausläufer der Zelle umgebit. Aber ausser der oben angedeuteten Bedeutung müssen wir auch den Umstand in Betracht ziehen, dass die nutriierenden Flüssigkeiten bedeutend leichter in den Knorpel ‚hineinströmen können, wo die Zellenhöhlen lang kanalförmig sind, besonders als man an mehreren Stellen Zusammenhang zwischen den Ausläufern nahebelegener Spulzellen kon- statieren kann. An gewissen Stellen ist die Anordnung dieser Zellen eine solche, dass man auf Grund derselben ungesucht an ihre Bedeutung bei dem Flüssigkeitsstrom im Knorpel denken muss, so z. B. in der Nähe von Gefässkanälen, wo sie sich oft in radiäre Reihen um diese Kanäle ordnen (vergl. Seite und Fig. 15 u. 16). Im derselbe Weise erklärt Srupniéka (1905) die Bedeutung der protoplasmatischen Zellenfortsätze, welche laut diesem Verfasser (S. 526) in seltenen Fällen im Knorpel angetrofen werden. Diese von mir oben beschriebenen Zellen nebst ihren in kanalförmigen Gängen laufenden protoplasmatischen Fortsätze haben vermutlich doch nichts mit den von Rerrz (1868) zuerst beschriebenen und sehr diskutierten Saftkanälen im Knorpel zu schaffen. Deshalb finde ich es nicht als nötig in diesem Zusammenhange näher auf diese Streit- frage einzugehen. Der Umstand, dass die spulförmigen Zellen nicht in den oberflächlichsten Teilen des Gelenkknorpels vorkommen und dass sie ebenso nahe an der Ossifikationsgrenze ver- misst werden, erhält auch seine natürliche Erklärung, wenn man Rücksicht auf die oben angeführte Bedeutung dieser Zellen nimmt. Der Zuwachs im oberflächlichsten Teil des Gelenkknorpels geschieht mehr unbehindert als in den tiefer belegenen Teilen, wo grosse Knorpelmassen die Ausdehnung des Gewebes verhindern. Ebenso sind die Nutritions- verhältnisse besser nahe an der Gelenkfläche als tiefer im Knorpel. Auf Grund dieser beiden Verhältnisse ist das Vorkommen von spindelförmigen Zellen unnötig, weshalb sie auch an diesen Stellen vermisst werden. In der Hauptsache gleich ist das Verhältnis nahe an der Verknücherungsgrenze. Der Zuwachs des Knorpels geschieht in einer ein- zigen Hauptrichtung und fordert nicht gleiche Verschiebungen wie drinnen in dem mas- siven Knorpel, und die Nutritionsverhältnisse sind auch möglichst vorteilhaft im Knorpel, der dem jungen Knochen und dessen Markhöhle am nächsten liegt, weshalb auch hier die Spulzellen nicht nötig sind. In einem polemisierenden Artikel über die Knorpeluntersuchungen Srpınkos will SrupniékA (1903) geltend machen, dass vielleicht einige von den mit Ausläufern ver- sehenen Zellen, welche Srpısko in dem embryonalen Knorpel beschriebt, Folgen von Zellenschrumpfung sind und hebt als Beweis hervor, dass er nicht in einem wohl fixier- ten (FELMmING'sche Lösung) Knorpel vom Finger eines älteren Menschenembryos an- N:o 3. 36 Yrsö KAJAVA. dere als runde Knorpelzellen gefunden. Es ist möglich, dass ein grosser Teil von Sprınkos Spulzellen, die teils von relativ schlecht fixiertem (50 °/, Alkohol) Mate- rial herstammen, Kunstprodukte sind, — auch ich habe bei meinen Untersuchungen konstatieren können, dass eine embryonale Knorpelzelle bei ihrer Schrumpfung leicht die Spulform annimmt — sicher ist aber, dass auch in tadellos fixiertem embryonalen Knor-. pel äusserst reichlich, in gewissen Fällen fast ausschliesslich, wie oben beschrieben wor- den ist, spindelförmige oder verzweigte mit Ausläufer versehene Knorpelzellen vorkom- men. Man kann sogar diese Zellenausläufer in ihren Kanälchen quergeschnitten in der Grundsubstanz sehen (Fig. 5. und 6.) und sie ähneln dann im gewissen Grade quergeschnittenen Dentinkanälen mit ihren Zahnfasern. Dass Srunniéka diese Zellen nicht im Phalang des von ihm untersuchten Embryos gefunden, beruht auf dem Umstand, welchen ich schon früher betonte, dass die Zellen nur im voluminösen Knorpel vor- kommen. 4. Weitere Veränderungen in den oberflächlichen Teilen des Gelenkknorpels: das Verschwinden der chondrogenen Übergangsschicht. Wir haben im Vorhergehenden gesehen, wie die chondrogene Übergangsschicht all- mählich die Flächenschicht des Gelenkknorpels wurde und ihr Aussehen dadurch verän- derte, dass ihre Zellen die Form von Kuorpelzellen deutlich annahmen, gleichzeitig als ihre Grundsubstanz in Knorpelgrundsubstanz umgewandelt wurde. Während all dieses geschah, wurde auch die Grundsubstanz in Verhältnis zu den Zellen vermehrt, weshalb diese auch nicht so dicht an einander liegen wie in den früheren Stadien. Auf Grund dieser Veränderungen wird auch der Charakter dieser Schicht verändert, die allmäh- lich immer schwerer zu erkennen wird, bis man nicht mehr von einer chondrogenen Übergangsschicht in derselben Meinung reden kann wie in den früheren Stadien. Der Zeitpunkt für eine solche Veränderung kann nicht exakt angegeben werden, aber schon bei einem 16 cm langen Menschenembryo ist dies in Caput humeri geschehen. Gleichzeitig wie die Übergangsschicht sich in dieser Weise verändert, observiert man auf deren Oberfläche Veränderungen, welche zum Entstehen einer neuen Flächenschicht führen. Noch bei einem 15 cm langen Menschenembryo kann man in Caput humeri sehen, wie runde oder etwas ovale Zellen sich ganz bis zur Gelelenkhöhle strecken '). 1) In diesem Zusammenhange muss ich darauf hinweisen, dass das Mass bezw. Alter des Embryos nicht in allen Fällen demselben Entwicklungsstadium in dessen Gelenkknorpel entspricht. Unter meinen Präpa- raten habe ich z. B. ein Caput humeri von einem 21 cm langen Menschenembryo, wo die runden Zellen sich Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 37 Bei Embryonen, welche dieses Mass überschritten, kann man dagegen in entsprechendem Knorpel Zellen nachweisen, die der freien Fläche am nächsten allmählich anfangen sich abzuplatten und je ältere Embryonen man untersucht, desto deutlicher tritt diese ober- flächlichste Schicht hervor, welche bald aus einigen Lagen abgeplatteter Knorpelzellen besteht. In einem tangentialem Flächenschnitt (Fig. 7.) zeigt sich, dass diese Zellen abgerundete polygonale Platten sind, in welchen eine reichliche Zellenteilung stattfindet. Die Grundsubstanz zwischen den Zellen ist relativ spärlich und die Zellen können in gewisser Beziehung Epithelzellen ähneln. Es sind wohl gerade diese Knorpelzellen, die von gewissen früheren Verfassern als epiteloide Zellen beschrieben worden sind. Diese zugeplatteten Zellen werden in allen späteren Entwicklungsstadien bis zu dem fertigen Gelenkknorpel angetroffen. Die etwas unterhalb der Gelenkfläche befintlichen Knorpel- zellen sind spindelförmig ausgezogen und weniger abgeplattet als die oberflächlichsten (Fig. 8.). Die Abplattung der oberflächlichsten Zellen geht allmählich während des gan- zen späteren Teils der Embryonalperiode fort und sogar noch lange nach der Geburt. Vergleicht man diese Flächenzellen bei einem Erwachsenen mit entsprechenden Zellen bei einem neugeborenen Kinde, kann man einen merkbaren Unterschied in der Form dieser Flächenzellen konstatieren. Gleichzeitig nämlich wie die erwähnten Zellen bei Erwachsenen äusserst dünne Platten. bilden (an verschiedenen Stellen jedoch etwas ungleich dick), sind sie bei einem soeben geborenen Kind auf Caput humeri merkbar diek, wenn auch abgeplattet. Diese Abplattung ist am stärksten in der Mitte der Ge- lenkfläche und wird immer unvollständiger je. weiter hinaus gegen ihre Peripherie man kommt. — In Übereinstimmung mit einen hier angeführten Befunden gibt Wercnsensaum (1877) an, dass die oberflüchlichsten Zellen des Gelenkknorpels bei Kindern weniger abgeplattet sind als bei Erwachsenen. — Diese Formveränderung von Flächenzellen zeigt jedoch bei verschiedenen Species eine sehr grosse Ungleichheit. Wie wir später sehen werden, geschieht die früher erwähnte Abplattung der Flächenzellen des Gelenkknorpels auf Caput humeri beim Menschen sehr allmählich während der ersten Lebensjahre, wo sie dagegen in entsprechendem Knorpel bei den vom mir untersuchten grossen Sängetie- ren sich sehr schnell abplatten. So sind die Flächenzellen bei einem 3 Wochen alten Kalb und einem 4 Monate alten Edelhirsch ungefähr gleich abgeplattet wie bei einem erwachsenen Menschen, und bei einem neugeborenen Elenkalb zeigen diese Zellen eine noch ganz bis zur Gelenkflüche strecken und, wie früher beschrieben worden ist, dieselbe zu kleinen, den einzelnen Zellen entsprechenden Erhóhungen aufheben. Es scheint als wenn individuelle Ungleichheiten be- treffend die Schnelligkeit des Zuwachses und darauf beruhende Móglichkeiten in dem mikroskopischen Bilde vorkommen sollten. N:o 3. 38 YRsö KayJava. mehr abgeplattete Form als bei einem 9 Jahre alten Kinde. Wir kommen aber auf diese Fragen zurück im letzten Teil der Abhandlung. Die Menge von Grundsubstanz wird auch allmählich reichlicher je ältere Stadien man untersucht, und in demselben Verhältnis werden auch die Zellen von einander ent- fernt. Die Zellen liegen aber fortwährend jede für sich isoliert in der Grundsubstanz. Erst viel später kommt in der Flächenschicht des Gelenkknorpels noch mehr eine merkbare Veränderung dadurch zu stande, dass die neugebildeten Zellen sich nicht mehr von ein- ander 'entfernen, sondern sich zusammenschliessen, ähnlich wie die Knorpelzellen im all- gemeinen, zu Gruppen, die in ihrer Gesamtheit zugeplattet sind. Es sind diese Zellen bezw. Zellengruppen, welche die von Hammar (1892 S. 98) beschriebene „Region der platten Zellengruppen“ bilden. In dem Vorhergehenden haben wir gesehen, wie die chondrogene Übergangsschicht verschwindet, und wie auf der Gelenkfläche eine neue Schicht, aus abgeplatteten Knor- pelzellen bestehend, entsteht. Unter dieser relativ dünnen Flächenschicht kann man dennoch fortwährend eine Knorpelschicht unterscheiden, welche in ihrer Ausdehnung der früher vorbefindlichen chondrogenen Übergangsschicht ungefähr entspricht. Das wesent- liche, welches dann die Ungleichheit zwischen dieser in Rede stehende Schicht und dem tiefer liegenden Knorpel bedingt, ist eine Ungleichheit in der Färbefähigkeit der Grund- substanz. Diese Grundsubstanz ist acidophil und nimmt somit einen ebenen roten Farb- ton mit einer kombinierten Hämatoxylin und vax Girsons Pikrinsäure-Säurefuksin Fär- bung oder mit der Methylenblau-Xylol-Methode an, während in der Grundsubstanz in dem tiefer belegenen Knorpel um die Zellen herum eine deutlich hervortretende baso- phile, bläuliche Zone (Mörxers (1887) Chondrinball, welcher Kapsel und Zellenhof ent- spricht) observiert werden kann. Die Grenze zwischen dieser acidophilen Flächenschicht und dem darunter liegenden Knorpel ist nicht scharf. Wir gehen nun zur Diskussion der Frage über betreffend die Ursachen, welche die oben beschriebenen Formveränderungen der oberflächlichsten Zellen des Gelenkknorpels bedingen. Zuvor muss ich jedoch zuerst erwähnen, dass eine oben angedeutete Abplat- tung der oberflächlichsten Zellen des Gelenkknorpels lange nicht in demselben Verhält- nisse auf Gelenkflächen bei den kleinen Tieren zu stande kommt, wie auch Hansen (1905 S. 746 Anm.) angibt. Auch in den kleinen Gelenken beim Menschen soll diese Ab- plattung laut Wercasezpaum (1877 S. 203—209) vermisst werden. Bei meinen Unter- suchungen habe auch ich konstatiert, dass diese Abplattung in Interphalangealgelenken bei einem soeben geborenen Menschenkinde sehr gering ist. Wo sie dagegen bei einem 17-jährigen nicht in nennenswertem Grade von entsprechender Erscheinung beim Gelenk- knorpel auf Caput humeri abweicht. LvuBoscH (1910 S. 9) hat aus dieser Angabe WaeicuseLBaums und HANSENS den Schluss ziehen wollen, dass diese kleinen (= distalen, Tom. XLVIII, Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 39 Lusoscn) Gelenke in ontogonetischer Hinsicht nicht gleich hoch differentiiert sind, wie die proximalen grossen Gelenke und dass die abgerundete Form der Flüchenzellen daraus bedingt werden sollte. Ich erachte mich nicht diese Luposcu'sche Auffassung teilen zu können, und dies vor allem weil ich bei kleinen Säugetieren auch in den proximalen Gelenken dieselbe Eigentümlichkeit nämlich eine unvollständige oder verspätete Abplattung der oberflächlichsten Zellen — wenn man sich so ausdrücken darf — in noch viel höhe- rem. Grade angetroffen habe. Im Gegenteil glaube ich, dass der wichtigste Faktor hierbei die absolute Grösse der Gelenkfläche ist. Es wurde schon früher betont, dass der Zu- wachs der Gelenkknorpel einen Zug auf dessen Oberflüche ausübt, ebenso wurde es an- genommen, dass der genannte Zug zur Abplattung der Zellen führen muss, welche sich in der mittleren Schicht der Zwischenscheibe befinden. Aber dieselbe Flächenspannung müsste auch auf die Knorpelze]len einwirken, welche die Fläche des Gelenkknorpels bil- den und dies in so viel höherem Grade je grösser die Gelenkfläche ist. Deshalb findet man bei einem neugeborenen Elenkalb in der Fläche des Gelenkknorpels auf Caput humeri, dessen Grösse der entsprechenden Gelenkfläche bei einem gleich alten Menschen- kinde um mehr als doppelte übertrifft, in merkbar höherem Grade abgeplattete Flächen- zellen als bei einem soeben geborenen Menschenkinde, wogegen die Flächenzellen bei einer neugeborenen Maus äusserst wenig abgeplattet sind und auch bei einer erwach- senen Maus nie denselben Grad von Abplattung erreichen wird wie z. B. beim Menschen. Hier kommt ausserdem ein anderer wichtiger Umstand zu: Bei kleinen Tieren und in den kleinen Gelenken sind die Gelenkflüchen nicht gegen einander mit derselben Kraft gedrückt wie bei grösseren Tieren und speciell in den grösseren Gelenken. Dieser Druck muss aber auch im Verhältnis auf die Gelenkfläche und die Form deren Zellen ein- wirken. Diese Einwirkung macht sich in viel grósserem Grade geltend in der mittler- sten Partie des Gelenkknorpels als in dessen Peripherie, weshalb man auch an jener Stelle die am meisten abgeplatteten Flächenzellen antrifft. Es sind in erster Linie diese zwei Umstände, die Ausdehnung der Gelenkflüche infolge des Zuwachses des unterlie- genden Knorpels und die Pressung der Gelenkflächen gegen einander, die laut meiner Ansicht bei der Abplattung der Flächenzellen bestimmend sind. Hansen (1905 S. 746 Anm.) hat ebenso bei kleinen Tieren andere Flächenbildung des Gelenkknorpels als bei grósseren konstatiert und auch gefunden, dass eine Ungleich- heit in der Abplattung der Zellen vorkommt. Er bemerkt auch, dass bei den kleinen Tieren „die mechanische Abnutzung der Knorpelflächen offenbar eine relativ geringe im Gegensatz zu den Gelenken grosser Tiere ist^. 40 YnJó KAJAVA. Die Oberfläche des sich entwickelnden Gelenkknorpels ist also anfangs von Bindegewebe bedeckt, dessen platten, sternfórmigen Zel- len nach und nach verschwinden. Dies geschieht zuerst in der Mitte des Gelenkknorpels, spáter auch in mehr peripher belegenen Teilen. In der äussersten Peripherie des Gelenkknorpels, nahe der Anhäf- tungsstelle der Gelenkkapsel verschwindet dieses Bindgewebe mit seinen Zellen jedoch nicht. — In demselben Verhältnisse wie dies Verschwinden der oberflächlichsten Schicht geschieht, rückt die darunter befindliche chondrogene Übergangsschicht hervor, die sich dann schon so verändert hat, dass ihre Grundsubstanz die Eigen- schaft der Knorpelgrundsubstanz angenommen hat, und bildet wäh- rend einer gewissen Entwicklungsperiode, die Gelenkfläche von ihren runden und elliptischen Zellen, zwischen denen die Grundsub- stanz sich hin zur Gelenkfläche streckt. Darauf werden die so zur Fläche gekommenen Zellen abgeplattet und zu Scheiben umgewan- delt, welche anfangs dicht an einander liegen und dann im gewissen Grade Epithel ähneln. In demselben Verhältnisse wie die intercel- luläre Grundsubstanz vermehrt wird, nehmen die Zellen ein für das typische Knorpelgewebe charakteristisches Aussehen an, indem sie sich zu abgeplatteten Zellenhaufen gruppieren. 5. Die Randzone. Verschiedene Forscher haben dargetan, dass die Randzone des voll ausgebildeten Gelenkknorpels merkbare Ungleichheiten im Verhältnis zu den übrigen Teilen des Ge- lenkknorpels zeigen. Diese Ungleichheit ist leicht zu verstehen, wenn man bedenkt, . dass sich hier zwei so verschiedene Gewebe wie der Gelenkknorpel und die Synovialhaut begegnen und in einander übergehen. Dieser Übergang geschieht allmählich, wie Hurrer (1866), Bozuw (1868), Revner (1874), WzrcusgLBAvw (1877), Hammar (1892), Braun (1894) u. a. bewiesen haben. Die wichtigsten Erscheinungen bei diesem Übergange sind, laut der oben angeführten Forscher, das Auftreten einer Bindgewebsschicht an der Fläche des Knorpels und die allmáhlich geschehende Formveründerung der Knorpelzellen, wobei die platten, ovalen Zellen mit kürzeren oder längeren Ausläufern versehen und an ihrem Aussehen verändert werden, so dass sie sternfórmigen Zellen ähneln, oder sind, wie REYHER sich ausdrückt „rudimentary stellate“. Diese Formveränderung wird nicht allein bei den Flächenzellen sondern auch bei den tiefer im Knorpel belegenen Knorpelzellen angetroffen. Tom.: XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 41 Zu all diesem kommt noch in der äussersten Peripherie ein mit kleinen arkadförmigen Anastomosen, denjenigen ähneld, welche man in Mesenterium (Hvrrer) antrifft, versehe- nes Blutgefässnetz, welches von Hunter „Circulus articuli vaseulosus“ benannt worden ist. Diese Eigentümlichkeiten in der äussersten Randzone des Gelenkknorpels lassen uns ahnen, dass in entsprechendem Teil schon bei Embryonen eine ungleichartige Entwick- lung konstatiert werden kann, und schon eine flüchtige Prüfung von hierher gehörenden Präparaten zeigt, dass so auch der Fall ist. Als es die Frage war von der Entstehung der Gelenkspalte, wurde darauf hingewiesen, wie die Randpartie der mesenchymatischen Zwischenscheibe oft dicker war als in deren Mitte. Die Gelenkspalte, die in der mitt- leren Schicht dieser Zwischenscheibe entstand, trennte in den peripheren Teilen des Ge- lenkes, abgesehen von der keilförmigen, später öfters verschwindenden Randmeniseus (Vocr) Fig. 1, eine diekere Lage embryonalen Bindegewebes an der Fläche der chon- drogenen Übergangsschicht als in der zentralen Teilen des Gelenkes. Dieses Bindegewebe hing direkt mit der Anlage der Gelenkkapsel zusammen, und bildet auch später eine besondere Schicht in der Peripherie der Gelenkfläche. — Wir sahen später wie während des Ganges der Entwicklung die von embryonalen Bindegewebe gebildete dünne Flächen- schicht auf dem grössten Teil der Gelenkfläche verschwand. In dem am meisten peri- pher belegenen Teile der Gelenkfläche verschwindet indessen diese Flächenschicht nicht, sie verändert nur ihren Charakter, so dass in dieser Schicht immer reichlichere kollagene Bindegewebsfäden allmählich anfangen hervorzutreten. Diese Fäden sind schon im Vor- hergehenden (Seite 22) erwähnt worden. Wir sahen dann, wie sie sich zu den Binde- gewebsfäden der Gelenkkapsel fortsetzten. Aber alle diese Fibrillen biegen sich nicht um zur Gelenkkapsel, viele von ihnen, nämlich die am tiefsten belegenen, setzen ihre Richtung weiter fort längs der Oberflläche der Epiphyse und hängen direkt mit dem Perichondrium zusammen. Diese faserige Oberflächenschicht in der Peripherie des jun- gen Gelenkknorpels fängt beinahe unbemerkt an, wird aber bald allmählich dicker je mehr sie sich der Peripherie des Knorpels náhert, sodass diese ganze handzone, die sich stark acidophil färbt, in Durchschnitt eine keilförmige Verdickung bildet (Fig. 9.). Die Bindgewebsfäden laufen in dieser Schicht ungefähr parallel mit der Gelenkfläche, in dem tiefsten Teil der Schicht kann man aber leicht konstatieren, wie ein Teil dieser Fibril- len ganz in der äussersten Peripherie des Gelenkknorpels sich tiefer in den unterliegen- den Teil des Knorpels sucht, während sie von der Peripherie der Gelenkfläche aufwärts gegen deren zentralen Teil laufen. Nach einem kurzen Verlauf zwischen Knorpelzellen werden sie jedoch unsichtbar. Neben den jetzt beschriebenen Fibrillenbündeln gibt es andere, die sich in derselben Weise verhalten und neben diesen wiederum andere ganz bis zur freien Kante der Bindegewebsschicht, sodass die ganze untere Fläche der jetzt in Rede stehenden Kantschicht sich: mit ihren feinen, Fibrillen in den unterliegen- EEE m N:o 3. ; FANNATS 2 LN 42 Yırsö Karsava. den Knorpel senkt. Man kann also mit anderen Worten sagen, dass die Oberflächlich- sten Bindegewebsfäden der in Rede stehenden Randschicht unbemerkt auf der Fläche des Gelenkknorpels anfangen als Fortsetzungen zu den Bindegewebsfibrillen, die man in die- ser Schicht nachweisen kann, zu diesen oberflächiichen Fäden gesellen sich aber andere, welche in der Knorpelgrundsubstanz, zwischen den am oberflichlichsten belegenen Knor- pelzellen anfangen. In dieser Weise wächst die in Rede stehende Flächenschicht in ihrer tiefen Flüche und wird immer dicker, je mehr man hinaus nach der Peripherie kommt. Die vom Knorpel zur oberflächlichen Randzone laufenden Fäden verlaufen desto steiler je näher sie an der Anheftungsstelle der Gelenkkapsel entspringen. — In der oben beschriebenen Randzone werden schon vom ersten Anfang an Blutgefässe angetrof- fen, zu deren Beschreibung wir in einem späteren Zusammenhange zurückkommen. Die Zellen in der jetzt beschriebenen Flächenschicht sind spindel- und sternförmige Fibroblasten, wogegen die unter dieser Randzone befindlichen Zellen anfangs denselben Charakter zeigen wie die Zellen in der chondrogenen Übergangsschicht im allgemeinen, verändern sich aber später in Knorpelzellen. Es scheint jedoch, alls wenn nur der tie- fere Teil der letzterwähnten Schicht sich im Knorpel umwandeln sollte, wogegen deren oberflächlichste Teil sich mit dem fibrillären Bindegewebe der oberflächlichen Randschicht vereinigt. Sobald die spindelförmigen oder verzweigten Knorpelzellen anfangen im Knor- pel aufzutreten, werden auch die unter der in Rede stehenden Randschicht befindlichen Knorpelzellen in Zellen mit langen protoplasmatischen Ausläufern verwandelt. Die ober- flächlichsten Zellen folgen in der Hauptsache der Richtung der Fläche, aber sehr bald trifft man unter der Knorpelfläche Zellen, deren protoplasmatische Ausläufer sich schräge gegen die Fläche richten. Einige dieser Zellen scheinen diese ihre, während der Embryo- nalperiode gewonnene Form auch in dem voll entwickelten Knorpel beibehalten zu können. Nachdem geschieht eine merkbare Differentiierung in der oben beschriebenen Rand- zone, insofern, dass deren, gegen die zentralen Teile der Gelenkfläche gerichtete zu- gespitzte Kante verhältnismässig dünner wird und sich länger hinaus gegen die Peri- pherie der Gelenkflüche zieht, wogegen der periphere Teil sich immer kräftiger ent- wickelt. Es ist gerade dieser periphere Teil, der mit der Gelenkkapsel zusammenhängt und also deren Anheftungsstelle entspricht. Es scheint ausserdem, als wenn der Zu- wachs des Gelenkknorpels an dieser Stelle träger als anderswo geschehen sollte, infolge- dessen hier eine um die Peripherie des Gelenkknorpels ringförmig laufende Furche ent- steht, in welcher der soeben erwähnte dickere Teil der in Rede stehenden fibrósen Rand- schicht belegen ist. Diese Furche wird laut RaxvreR (1875) Ossifikationsgrube (encoche d’ossifikation) und das in derselben befindliche, verdickte Perichondrium Ossifikationswall genannt (Fig. 9.). Im Boden dieser Furche entsteht im Anfang (sehr deutlich schon bei einem 11,5 em langen Menschenembryo) als Scheidewand zwischen dem Knorpel und Tom. XL VIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 43 dem Bindegewebe eine schmale, stark acidophile und fast homogene Schicht in welcher jedoch eine fibrillàre Struktur unterschieden werden kann. Mit diesen Fibrillen hängen die Bindegewebsfäden der Gelenkkapsel und des Perichondriums zusammen. Später scheint diese letztgenannte Grenzenlage zu verschwinden, worauf die Fibrillenbündel der Kapsel sich hier auch «deutlich in den Knorpel hineindrängen. Dieser Randzon des Gelenk- knorpels bleibt nachher durch das ganze Leben beibehalten. N:o 3. Ill. Der Zuwachs des Gelenkknorpels. Historik. Während der Entwicklung des Gelenkknorpels geschieht in denselben ein Zuwachs, welcher dazu führt, dass die embryonale Gelenkfläche allmählich vergróssert wird und die Form annimmt, welche die erwachsene Gelenkfläche charakterisiert. Hierbei müssen, worauf auch Fick (1904 S. 4.) aufmerksam macht, tiefgreifende Veränderungen in der in Rede stehenden Knorpelanlage sichtbar werden, denn es handelt hierbei nicht um einen einfachen Zuwachs, sondern auch um eine nicht so geringe Resorption der Grund- substanz und eine Verschiebung der Gewebselemente. Aber diese Erscheinungen redu- zieren sich nicht allein in dem Teil des embryonalen Knorpels, welcher später Gelenk- knorpel bildet, im Gegenteil sind alle hier oben aufgezählten Veränderungen gemeinsam für die Anlage des Gelenkknorpels und für den Knorpel, der ohne merkbare Grenze unter demselben folgt. Deshalb sind wir in diesem Zusammenhange darauf hingewiesen Kenntnis auch von der Entwicklung zu nehmen, welche in den letzterwähnten Knorpel konstatierten werden kann. Der Zuwachs des Knorpels geschieht, wie er nunmehr allgemein dargestellt wird, laut zwei. ungleichartigen Principen, nämlich per appositionem, indem eine schichtweise geschehende (Gewebsvermehrung in der Fläche des Knorpels nachweisbar ist und per expansionem, da die Vermehrung in der Tiefe des Gelenkknorpels geschieht. Der letzt- genannte Zuwachs ist anfangs zellulär, also auf der reichlichen Zellenvermehrung be- ruhend. Erst später fängt der interzellulare Zuwachs an, welcher wiederum bei zuneh- menden Alter aufhört, worauf der Zuwachs des Knorpels ausschliesslich durch Apposi- tion geschieht, so dass neue Schichten unter dem Perichondrium abgelagert werden. (KOELLIKER 1889, Sıeverına 1891, LuBoscH 1910 u. a.). Laut Kozrriker (1889, S. 110) findet man den hauptsächlichen Zuwachs des Knor- pels immer in der Nähe gefässführender Teile. So findet man z. B. die am stärksten Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 45 zuwachsende Zone in Rippen ein wenig unter dem Periost und in dem Epiphysknorpel nahe an der Fläche, welche an den Knochen grenzt. Die Ablagerung der Zwischen- substanz schreitet im allgemeinen gleichmässig mit der Zellenvermehrung fort, jedoch so. dass dieselbe besonders an Stellen auftritt, wo die Zellenvermehrung im Abnehmen ist, in erster Linie im Inneren des Knorpels. — Gervacn (1854 8. 128) erachtet die interzelluläre Gewebsvermehrung, also die Vermehrung der Grundsubstanz, das wichtig- ste Moment beim Zuwachs des Knorpels zu sein, ebenso Meyer (1849, S. 316—319). Der letzterwähnte Forscher hat beobachtet, dass der Zuwachs des Knorpels nicht gleich- mässig in allen seinen Teilen geschieht, sondern dass einige Teile in ihrer Entwicklung der anderen vorauseilen. So zeigt der innere Teil des Knorpels immer eine weiter gediehene Entwicklung als der äussere. Der Längenzuwachs des Knorpels ist in dem Teil des Knorpels lokalisiert, welcher der Verknöcherungsgrenze entspricht und wo man die in Reihen gestellten hypertrophischen Zellen antrifft, wogegen der Dickenzuwachs in der übrigen Knorpelsubstanz geschieht. Die Vermehrung der Grundsubstanz des Knorpels wird allgemein als auf der Funk- tion der Knorpelzellen beruhend aufgefasst, welche um sich herum diese Substanz bil- den [Bear (1862), Brover (1865, S. 28), Hammar (1892, S. 116—119), SCHAFFER (1901), ScmxEmER (1908, S. 497), Srupxiéka (1903), Hansen (1899, 1905), Maurer (1915, S. 264) u. a.]. Laut ScHnerer (1908) entsteht die Grundsubstanz des Knorpels als Sekret der Knorpelzellen. Anfangs kommt das Sekret in der Zelle selbst vor, vel- che später zusammenschrumpft und ihr Sekret ausstösst. Dieses Sekret, welches von Anfang an feine Firbrillen aufweisst, umgibt dann die Knorpelzelle wie ein mehr oder weniger vollständiger Mantel. Diese „Sekretmantel“ bildet die Anlage zur Kapsel der Knorpelzelle. Oft unterscheidet man mehrere solche Mäntel innerhalh einander, welche dann der periodischen Sekretaussonderung entsprechen. (8. 497—498). — Hammar (1892) ist der Ansicht, dass die jüngste Grundsubstanz zunächst die Knorpelzelle als „formlose Grundsubstanz“ umgibt (Kapsel der Knorpelzelle) welche Fibrillen vermisst. Sie geht ohne irgendeine scharfe Grenze in die mit dünn gestreuten Knorpelfibrillen versehene „Mantelschicht“ (Zellenhof oder Zellenterritorium) über. Diese letzte Lage hat sich auch ‘entwickelt — differentiiert — aus der formlosen Grundsubstanz und wird sich, wenn die Reihe an sie kommt, später in die „intermediären Züge“ (interterritoreale Substanz) umwandeln, welche mit Knorpelfibrillen reichlich versehen sind. Hansen (1899, 1905) und SrupniékA (1903) fassen die Bildung von Interzellular- substanz als eine Umwandlung von Knorpelzellen auf. Die Interzellularsubstanz wird aus dem Exoplasma dieser Zellen gebildet, wobei die Knorpelzelle nur dem Endoplasma der Zelle entspricht. Laut Hansen kann man den Knorpel als ein Syneytium mit einem gemeinsamen Zellenexoplasma auffassen. Die Lehre von Zellenterritorien ist in ihrer N:o 3. 46 YrIö KAJAVA. allgemeinen Form falsch. Die Zellenterritorien sind nur „ein Ausdruck von chemischen Differenzen in der Grundsubstanz, die in den meisten Fällen secundär und von der Ent- fernung von den Zellen bedingt sind. Die Knorpelflbrillen kümmern sich um die Zel- lenterritorien nicht.” (S. 434. Anm.) — Mitunter kann sogar eine Knorpelzelle in ihrer Gesamtheit in Grundsubstanz umgewandelt werden. Á Es liegt in der Natur der Sache, dass der Zuwachs des Gelenkknorpels im grossen Ganzen derselben Regel folgen soll wie in dem hyalinen Knorpel im allgemeinen. Jedoch muss hierbei eine gewisse Modifikation zustande kommen, erstens dadurch, dass ein gros- ser Teil der Fläche des Gelenkknorpels cin Perichondrium vermisst, und zweitens infol- gedessen, dass die Fläche des Gelenkknorpels einer beständigen Abnutzung unterworfen ist und der. Gelenkknorpel einem beständigen regenerativen Zuwachs. Diese beiden Umstände machen es annehmbar, dass dieser Knorpel in einem gewissen Grade sich, was den Zuwachs des Gewebes betrifft, von den übrigen hyalinen Knorpeln abtrennt. Diese Ungleichheit wird während der früheren Entwicklungsperiode vermisst, da der wer- dende Gelenkknorpel noch von einer chondrogenen Übergangsschicht bedeckt wurde und obenauf derselben von einer Schicht embryonalen Bindegewebes, oder da die soeben ge- bildete Gelenkfläche von einer Gewebsschicht ihrer Natur nach mit einem Perichondrium übereinstimmend bedeckt war. Aber diese letztgenannte Schicht zieht sicht schon früh — wie wir im Vorhergehenden kennen gelernt — allmählich der Peripherie der Ge- lenkfläche immer näher, wobei auch der rein appositionelle Knorpelzuwachs immer mehr reduziert werden muss. Nicht destoweniger beschreibt DzknvvzEN (1889) im Gelenkknorpel des Frosches eine in den oberflächlicheren Lagen vorkommende appositionelle Knorpelneubildung, wobei die oberflächlicheren Zellen bei der Teilung in schräger Richtung in die Tiefe geschoben werden. Die acidophile oberflächliche Schicht des Knorpels betrachtet er als ein „knor- peliges Perichondrium* — Borun (1868) nimmt an, dass an der Peripherie des Gelenk- knorpels, wo eine Bindegewebsschicht den Knorpel deckt, ein appositioneller Zuwachs durch eine Umwandlung von Bindegewebszellen in Knorpelzellen stattfindet. WEICHSEL- Baum (1877, S. 200--201), meint ebenso, dass in erwähnter Randpartie ein appositionel- ler Zuwachs stattfindet, und dass die Zellen in der Peripherie des Gelenkknorpels, wo die Synovialhaut diesen Knorpel deckt, eine ,Proliferationszone* bilden „Diese Zellen sind“, laut genanntem Verfasser, „bestimmt die durch Abreibung zu Grunde gegangenen Zellen der oberflächlichen Schichten des Gelenkknorpels zu ersetzen, während die Zellen in dessen tieferen Schichten durch endogene Zellenbildung entstehen. Die Proliferations- zone ist somit die Matrix für die Zellen der Oberfläche des Gelenkknorpels und spielt für letztere dieselbe Rolle wie das Markgewebe und Periost für den Knochen.“ Auch Lusoscu (1910, S. 10) hat im Gelenkknorpel bei Tieren, besonders bei Fischen und f Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 47 x 7 Amphibien merkwürdige Bilder an der soeben genannten Stelle Konstatiert, welche für den Zuwachs des Gelenkknorpels und die Entwicklung der Form der Gelenkfläche be- stimmend sind. Dieser Verfasser hat jedoch auch bei Reptilien und sogar bei Säuge- tieren (Mäusen) eine eigentümliche, auf oben angedeutetem Zuwachs beruhende „Kurven- stellung“ der Knorpelzellen konstatiert, welche der Anheftungsstelle der Gelenkkapsel entsprechen (S. 209). Ehe wir die Frage betreffend die früher ausgesprochenen Auffassungen über den Zuwachs des Gelenkknorpels fallen lassen, müssen wir an zwei Forscher erinnern, näm- lich Ocsrox und Hammar. Diese beiden Verfasser behandeln die Frage betreffend den regenerativen Zuwachs des voll entwickelten Gelenkknorpels. Laut Ossrox (1876) kann man in dem voll entwickelten Gelenkknorpel ein Zentrum für den inneren Zuwachs nachweisen „a focus of central growth“. Von diesem Punkt, oder richtiger gesagt dieser Zone geschieht die Gewebsneubildung in zwei Richtungen, nämlich gegen die Gelenk- fläche und gegen die tiefere Fläche des Gelenkknorpels. HAMMAR (1892) konstatiert zunächst, dass der erwähnte regenerative Zuwachs nicht von dem an der Kante des Gelenkknorpels befindlichen Bindegewebe ausgeht. Im Gegenteil vollzieht sich die Rege- neration in den unter der Gelenkfläche belegenen inneren Teilen des Knorpels. Er fin- det nichts, was dafür sprechen sollte, dass diese Regeneration von den Zellen in der Region der platten Zellengruppen oder in der Region des oberflächlichen Teiles der runden Zellengruppen ausgehen sollte. Im Gegenteil ist er der Meinung, dass die Zel- len, wenigsten die zu den erstgenannten von ihnen, eine degenerative Tütigkeit reprü- sentieren. Dagegen scheint eine nachweisbare Vermehrung der Grundsubstanz (das Vor- kommen von undifferentiierter Grundsubstanz nebst Mantellage um die Zellen) in den Gruppen der tieferen Teile des Knorpels zu geschehen. Auch unter diesen Gruppen gibt es einzelne von den langgestreckten Zellengruppen, welche als untätige Gruppen bezeichnet werden müssen. Diese werden direkt von den intermediüren Zügen umgeben. Da es nun gilt, uns eine auf eigenen Observationen basierte Auffassung zu bilden, wie der Zuwachs in dem werdenden Gelenkknorpel nebst dem unter demselben befind- lichen Knorpel geschieht, müssen wir unsere Aufmerksamkeit hauptsächlich auf folgende zwei Punkte richten, nämlich auf die Zellenvermehrung und den Zuwachs der Grund- substanz; erst in dritter Linie kommt die Frage betreffend den perichondralen Zuwachs des Gelenkknorpels bei Sängetieren in Betracht. N:o 3. 48 Yrıö KATAwvA. Eigene Untersuchungen. 1. Das Verhältnis der Knorpelzellen zu dem Zuwachs des Knorpels. Schon in der früheren Beschreibung ist nebenbei die Frage über das gegenseitige -Ver- hältnis der Zellen zu einander und ihre Anordnung im Epiphysknorpel berührt worden. Diese Anordnung scheint mir jedoch eine so grosse Bedeutung für die Beurteilung des Zuwachses des Knorpels und die Higentümlichkeiten der interzellulären Grundsubstanz sowohl in den verschiedenen Knorpelschichten als in den ungleich weit vorgeschrittenen Entwicklungsstadien zu haben, dass wir noch weiter eine Zeit lang hei dieser Frage ver- weilen müssen. Es ist nämlich allgemein bekannt, dass die Lage der Kernteilungsfigu- ren oder mit anderen Worten die Richtung der Zellenteilung angibt, in welcher Rich- tung der Zuwachs des Knorpels geschieht (vergl. z. B. Bors 1913, S. 25) '). Zu Anfang richten wir unsere Aufmerksamkeit auf die chondrogene Übergangs- schicht. Man kann in dieser Schicht, schon bei den jüngsten von mir untersuchten Sta- dien eine reichliche Zellenteilung finden, welche zu einem starken Zuwachs dieser Schicht führen sollte. Aber nicht desto weniger finden wir, dass diese Schicht ihre ursprüng- liche Dicke beinahe unverändert beibehält, wogegen sie, in demselben Masse wie der Epiphysknorpel vergrössert, in der Richtung der Gelenkflüche ausgedehnt wird. Dies muss darauf beruhen, dass die tieferen Teile der chondrogenen Übergangsschicht, in dem selben Verhältnisse, wie die Zellenneubildung geschieht, sich in Knorpel umwandelt und sich dem unterliegenden Knorpel anschliesst. Es muss somit in den oberflächlichsten Teilen des jungen Epiphysknorpels eine reichliche Gewebsneubildung und ein entspre- chender Zuwachs der Epiphyse geschehen. Wir haben ebenso in dem früheren Zusam- menhange schon erfahren, dass die oberflächlichste Schicht des soeben gebildeten Gelenk- !) Um nicht missverstanden zu werden muss ich zugeben, dass ich bei meinen Untersuchungen nicht 3elegenheit gehabt habe Kernteilungsfiguren im Knorpel zu beobachten, wohl aber Knorpelzellen sogleich nach dieser Teilung, zwei Kerne in einem gemeinsamen ungeteilten Protoplasma entahltend. Dieselbe Obser- vation betreffend Knorpel, nämlich dass man in demselben die erwähnten Kernteilungsfiguren nicht findet, haben u. a. BRODER (1865), HUETER (1866), HAMMAR (1892) und Lugoscx (1910) gemacht. BRODER nimmt an, dass diese Eigentümlichkeit darauf beruht, dass die Kernteilung sehr schnell geschieht. Ungefähr eine eben- solche Vermutung äussert LuBoscH, welcher bei den Hunderten von Präparaten der Gelenke aller Wirbel- tierklassen nie eine Kernteilung gesehen hat, nämlich dass es möglich ist, „dass die im Gange befindlichen Teilungen noch schleunig ablaufen unter dem Einfluss des Reizes bei der Abtó:ung des Gewebes durch unsere Fixierungsmittel‘. — Leser (1888, S. 217—218) gibt dagegen an im Gelenkknorpel bei Embryonen Karyokinetische Zellenteilungsfiguren gesehen zu haben. Am lebhaftesten gehen die Karyokinesen vor sich direkt über dem Gebiete der s. g. Knorpelsäulen, man findet sie aber auch noch in den platten Zellen; jedoch nimmt ihre Zahl immer mehr ab, je näher man der Verkalkungslinie rückt; direkt über dieser Linie hat er keine Spur derselben mehr entdecken kónnen. ^ Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 49 knorpels, die aus embryonalen Bindegewebe bestand, sich wenigstens zum Teil umgewan- delt hat, so dass sie in die chondrogene Übergangsschicht einverleibt wurde. Diese bei- den Beobachtungen zusammen beweisen, dass wir auch bei den Säugetieren unter einer frühen Embryonalzeit von dem appositionellen Zuwachs des Gelenkknorpels sprechen können, welcher gleichmässig über die ganze Gelenkfläche vorkommt. Dieser „appositio- nelle Zuwachs“ weicht jedoch seiner Natur nach wesentlich von einer entsprechenden Erscheinung unter dem Perichondrium ab. Ich will hier nur darauf hinweisen, dass die Schicht, die auf der Fläche des jungen Gelenkknorpels mit dem Perichondrium ver- glichen werden kann, ganz und gar in die Bildung des Knorpels aufgeht (abgesehen von einem Teil deren oberflüchliehsten Zellen, die sich von der Gelenkfläche losmachen können), und dass die reichliche Gewebsvermehrung im oberflächlichsten Teil des Gelenk- knorpels in der chondrogenen Übergangsschicht anders geschieht, als der Fall ist mit dem perichondralen Zuwachs. Der soeben berührte Zuwachs wird jedoch nur während der Zeit, die der Entste- hung der Gelenkspalte zunächst folgt, beobachtet. In dem grössten Teil der Gelenk- fläche verschwindet, wie wir schon wissen, die oberflächlichste Schicht sehr früh, und auch die chondrogene Übergangsschicht wird in Knorpel verwandelt, wonach der Zu- wachs des Gelenkknorpels geschieht. Nur der am meisten peripher belegene Teil der Fläche des Gelenkknorpels macht hierbei eine Ausnahme, wie wir später sehen werden. Der soeben erwühnte Zuwachs ist aber keineswegs der einzige, den man in diesem Knor- pel beobachten kann, davon kann man sich leicht überzeugen, wenn man seine Auf- merksamkeit auf das Verhältnis der benachbarten Knorpelzellen zu einander richtet in den unter der chondrogenen Übergangsschicht belegenen Partien der Epiphyse. In den früheren Entwicklungsstadien, die ich in diesem Zusammenhange geprüft, und welche dem Zeitpunkte kurz vor und bei der Entwicklung der Gelenkhóhle entsprechen, werden die Zellen im Epiphysknorpel hauptsächlich so angeordnet, dass die einzelnen Zellen ungefähr gleich weit von einander in der realtiv spärlich vorkommenden Grundsubstanz stehen. Eine Anhäufung von Zellen in grösseren oder kleineren Gruppen, wie wir bei dem voll entwickelten Knorpel finden, kann nicht festgestellt werden. Jedoch beweist eine nähere Prüfung der Knorpelzellen in diesen Stadien, dass es hier nicht die Frage ist um einen voll entwickelten Zustand wo keine Zellenvermehrung mehr vorkommen sollte, im Gegenteil kann man sich davon überzeugen, dass auch hier eine lebhafte Zel- lenneubildung, so gut wie überall im Knorpel, stattfindet, und als Beweis für diese Zel- len vermehrung findet man reichlich Zellen, die in ihrem ungeteilten Protoplasma zwei Kerne haben, oder andere wo die Zellenteilung gerade abgeschlossen worden ist, wo aber die beiden Schwesterzellen sich noch in der unmittelbaren Nähe von einander be- finden. Man trifft aber nirgendswo oder wenigstens sehr selten mehr als zwei Zellen N:o 3. : 7 50 YnRJO KAJAVA. dicht an einander gedrückt, noch weniger eingeschlossen in derselben gemeinsamen Zel- lenhöhle. Dieses Verhältnis dürfte auf die relativ grosse Nachgiebigkeit und Weichheit der Zwischensubsanz beruhen, wodurch das schnelle Entfernen der Zellen von einander nach der Teilung ermóglieh wird. Vielleicht wird die Entstehung der erwänhten Zellenan- ordnung gewissermassen auch erleichtert durch eine grössere Fähigkeit bei den Zellen Grundsubstanz zu resorbieren und neue solche Substanz um sich zu bilden. Eine ähn- liche intensive Zellenteilung und das schnelle Entfernen der Tochtersellen von einander, mit anderen Worten ein schneller Zuwachs des Knorpels kann konstatiert werden, bis die früher beschriebenen spindelförmigen und verzweigten Zellen zu verschwinden an- fangen. Erst von dieser Zeit ab fangen die Zellen im Knorpel an zusammengepackte Gruppen zu bilden, wo die neugebildeten Zellen in der Nähe ihrer Schwesterzellen und von gemeinsamen Zellenterritorien umgeben werden. Beim Zuwachsen des Epiphysknorpels geschieht jedoch eine merkbare Veränderung gleichzeitig wie die früher besprochenen spindelförmigen oder verzweigten Zellen anfan- gen aufzutreten. Diese Veränderung wird in erster Hand durch den grossen Resorp- tionsprozess charakterisiert, welcher im Knorpel stattfinden muss, wenn die langen Aus- läufer dieser Zellen sich Weg in denselben bahnen. Dazu kommt eine reichliche Zellen- vermehrung und ein nach verschiedenen Richtungen stattfindender Zuwachs von der Grundsubstanz des Knorpels. Wenn diese spindelfórmigen Zellen auftreten, füllen sie die Epiphyse, abgesehen von deren oberflächlichsten Schicht, ganz bis zur nächsten Nähe der Verknöcherungsgrenze, allmählich aber fangen die am tiefsten belegenen, spindelför- migen Zellen an Zellen hervorzubringen, welche ihren Charakter als spindelförmige Zel- len verlieren und sich innerhalb einer gemeinsamen Kapsel gruppieren. Der kräftige zelluläre Zuwachs des Knorpels muss gleichzeitig auch in diesen tief belegenen Partien zu einem merkbaren Grade abnehmen, und der fortgesetzte Zuwachs wird danach am hauptsächlichsten durch Zellenlagen versorgt, welche die am zentralsten belegenen Par- tien decken. Diese Veränderung im Zuwachs des Epiphysknorpels ist leicht zu verste- hen, denn im selben Masse wie der Knorpel an Umfang zunimmt, werden seine ober- flächlichen Teile ein immer stärkeres Hindernis für die fortgesetzte Zunahme der inne- ren Teile an Volumen ausüben. Aber auch ein anderer Umstand tritt hier deutlich zu Tage. Die spindelförmigen oder verzweigten Zellen sind so angeordnet im Knorpel, dass man sich überzeugen kann wie der expansive Zuwachs einigermassen gleich nach allen Richtungen geschieht; der Knorpel wächst also in allen seinen Dimensionen. Näher an der Verknöcherungsgrenze findet dagegen der Zuwachs des Knorpels nur in einer be- stimmten Hauptrichtung statt, weshalb die Zellen hier an Form und Gruppierung von ‘om. XLVIH, Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 51 derjenigen anderswo im Knorpel abweichen. Wo diese zwei verschiedene Gebiete drin- nen in der Epiphyse mit einander zusammentreffen, wird die oben beschriebene Ungleich- heit in der Form nahe an einander liegender Zellen in der Übergangszone beobachtet, indem ein Teil Zellen typische spindelfórmige Zellen, andere runde oder ovale sind. Man kann mit einer gewissen Sicherheit die Richtung verfolgen, die der Zuwachs des Knorpels an verschiedenen Stellen hat, wenn man Rücksicht auf die T'eilungsrichtung und ebenbürtige Grupierung der Knorpelzellen nimmt. — Im Collum femoris bei einem 7 cm langen Menschenembryo findet man, dass die Zellen näher an der Oberfläche sich in 5—6 Reihen ordnen, welche der Richtung der Knorpelfläche folgen. In tieferen Teilen von Collum scheinen die Zellen sich hauptsächlich in zwei Richtungen zu teilen, teils so, dass der Teilungsplan mit der Längenrichtung des Halses zusammenfällt, teils so, dass er quer über den Hals läuft. Aber neben diesen können auch andere Teilungs- richtungen konstatiert werden. Ungefähr gleich ist das Verhältnis in Collum humeri. Es scheint somit als wenn in den oberflächlichsten Teilen von Collum femoris bezw. humeri hauptsächlich in der Flächenrichtung Zuwachs neben einem appositionellen Zu- wachs des Knorpels vor sich gehen sollte, wo dagegen in den tieferen Partien gleich- zeitig ein Längenzuwachs und Zuwachs in Dicke sich vollzieht. Ich habe zu Anfang den Zuwachs des Knorpels in diesen Teilen berühren wollen, wo die Anordnung und die Tellungsrichtung der Zellen leichter zu konstatieren ist, als in dem kugelrunden Caput femoris bezw. humeri. — Richten wir unsere Aufmerksam- keit auf diese, so merken wir, dass man in den früheren Stadien in tieferen Teilen der Epiphyse nicht irgend eine gemeinsame Teilungsrichtung unterscheiden kann, im Gegen- teil kann man konstatieren dass die Zellenteilung ebenso oft längs der Richtung der Gelenkfläche als senkrecht gegen dieselbe geschieht, oder in allen denkbaren Zwischen- richtungen. Der Knorpel strebt also danach sich nach allen Richtungen gerade auszu- breiten. Auch Scnuarrer (1811) hebt hervor, dass die Knorpelzellen ursprünglich die Fähigkeit besitzen, sich zu teilen und sich von einander zu entfernen gleichmässig in allen Diemensionen des Raumes, und Ray Laxkasrer (1884) betrachtet diese Fähigheit als eine charakteristische Eigenschaft für den Hyalinknorpel. Aber auch bei den jetzt in Frage stehenden Stadien teilen sich die oberflächliche- ven Zellenlagen mehr regelmässig, nämlich meistens so, dass der Teilungsplan die wer- denden Gelenkfläche senkrecht trifft. Infolgedessen ordnen sich die der Fläche am näch- sten liegenden Zellen (im Querschnitt gesehen) in Reihen, welche der Richtung der Gelenkfläche folgen. Diese senkrecht gegen die Gelenkfläche stattfindende Zellenbildung kann man am besten in tangentialen Flächenschnitten studieren (Fig. 7). In diesen Schnit- ten kann man eine so reichliche Zellenteilung konstatieren, dass die aller meisten der Fläche am nächsten belegenen Zellen entweder zwei Kerne haben oder so dicht an ihrer N:o 3, 52 YnRJO KAJAVY A. Schwesterzelle liegen, dass man ohne weiteres sich davon überzeugen kann, dass die Zellenteilung gerade eben stattgefunden hat. Eine alleinstehende Zelle gehört dagegen zur Seltenheit. — Versucht man wiederum in einem solchen Flächenschnitt sich eine Auffassung von der Richtung der Zellenteilung längs des Planes der Gelenkfläche zu bilden, kommt man zu dem Schlusse, dass eine gemeinsame Teilungsrichtung in diesem Plane nicht unterschieden werden kann, sondern dass die Teilung dort in allen denk- baren Richtungen geschieht; mit an deren Worten, dass in den oberflächlicheren Teilen des Gelenkknorpels der Zuwachs gleichmässig nach verschiedenen Richtungen in parallel mit der Gelenkfläche laufenden Planen geschieht. Diese oben beschriebenen Eigentümlichkeiten in ihrer Teilung scheinen die ober- flächlicheren Zellen beizubehalten, so lange der stärkere Zuwachs des Gelenkknorpels stattfindet, und erst, wenn die Ossification der Epiphyse ihre definitive Ausdehnung an- nähernd erreicht hat, beginnt die Zellenteilung in tieferen Teilen in der erwähnten Schicht vor sich zu gehen, sodass der Teilungsplan fast parallel mit der Fläche des Gelenkknorpels ist und infolge hiervon reihen sich die Zellen in der entsprechenden Schicht des fertig gebildeten oder fast fertigen Gelenkknorpels — wie wir später sehen werden -— in Reihen, die senkrecht gegen die Gelenkfläche laufen. Nur die aller ober- flächlichsten Zellen behalten ihre ursprüngliche Teilungsrichtung bei. Der Dickenzuwachs des Epiphysknorpels geschieht also in erster Linie auf Grund des nach verschiedenen Richtungen stattfindenden Zuwachses des tiefer liegenden Knor- pels, wo dagegen die oberflächlichsten Zellenlagen hauptsächlich für den oberflächlichen tangentialen Zuwachs des Knorpels sorgen. Dabei müssen wir uns auch erinnern, dass die chondrogene Übergangsschicht in früheren Stadien dazu beiträgt Knorpelgewebe in die oberflächlichen Teile der Epiphyse abzulagern. Aber auch der Zuwachs in den tieften Teilen der Epiphyse bietet in ungleich alten Entwicklungsstadien Verschiedenheiten dar, insofern nämlich, dass während bei der jüngeren und an Volumen kleineren Epiphyse überall ein gleichmässiger Zuwachs ge- schieht, dieser Zuwachs in den älteren Stadien, wo also das Volumen der Epiphyse auch grösser ist, nicht mehr gleich lebhaft in den tieferen zentralen Teilen des Knorpels ist, wie in den mehr peripher belegenen. In diesen Epiphysen (schon im Caput humeri bei einem 20 em langen Menschenembryo) geschieht der lebhafteste Zuwachs also in einer Zone, welche die meist zentralen Teile des Epiphysknorpels deckt. Das oben Gesagte bezieht sich ausschliesslich auf den Epihphys- einschl. Gelenk- knorpel während dessen früheren Entwicklung. Sobald der Gelenkknorpel beginnt seine definitive Dicke zu erreichen, muss eine merkbare Veränderung auch in seinem Zuwachs sich geltend machen, welcher alsdann bezweckt die Verluste zu ersetzen, welche der Knorpel durch Abnutzung an dessen Fläche und eine Verknöcherung in dessen unter- Tom. XLVIII, < Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 53 sten Lagen erleidet. Laut Oasro (1876) kann man in dem voll ausgebildeten Gelenk- knorpel — worauf schon früher hingewiesen wurde — ein Zentrum (Zentralzone) nach- weisen für den inneren Zuwachs, von welchem aus die Gewebsneubildung in zwei Rich- tungen geschieht, nàmlich teils gegen die Gelenkfläche hin, um diese einer ständigen Abnutzung ausgesetzten Fläche zu erneuern, teils gegen den Knochen, um dort die dureh den Druck atrophiierende Knochensubstanz zu regenerieren. — Ausser diesen von ÖGSTON hervorgehobenen Hauptrichtungen des Zuwachses des Gelenkknorpels kann man doch auch in voll ausgebildeten Gelenkknorpeln leicht Zuwachs des Knorpels auch in anderen Richtungen konstatieren, wenn auch der Dickenzuwachs das Hauptsächliche ist in der relativ dünnen Knorpelscheibe, welche den Gelenkknorpel bildet. 2. Die Grundsubstanz und deren Veränderung beim Zuwachs des Knorpels. Im Vorhergehenden ist nur der zelluläre Zuwachs behandelt worden; der interzellu- lire Zuwachs, der schon während der lebhaften Zellenzuwachs-Periode nicht gering war, nimmt weiter hin zu, nachdem dieser Zellenzuwachs etwas aufgehört hat, und wird all- mählich der bedeutendste Zuwachs des Gelenkknorpels, wie wir später sehen werden. Als wir die Frage der Anordnung der Zellen im Epiphysknorpel berührten, wurde auch die Verschiedenheit der Grundsubstanz in den verschiedenen Schichten berücksich- tigt, in welche der fragliche Knorpel eingeteilt werden konnte. Wir erinnern, dass die oberflächlichste Schicht, zur Anlage des Gelenkknorpels in einem frühen Stadium ge- hörend, aus einem dünnen Lager von embryonalen Bindegewebe bestand, in welchen verhältnismässig früh hauptsächlich tangentiale Fibrillen beobachtet werden konnten. Entsprechende Fibrillen konnten auch in der chondrogenen Übergangsschicht nachgewie- sen werden, deren Grundsubstanz sich sowohl von der entsprechenden Substanz der ober- flächlichsten als auch der am tiefsten liegenden Schicht trennte, doch so, dass keine scharfe Grenze irgendwo zwischen den genannten Schichten gezogen werden konnte. Im übrigen besass der Knorpel keine entsprechenden Fibrillen. Die relativ spärliche Grund- substanz der chondrogenen Schicht bekam späterhin allmählich den Charakter der Knor- pelgrundsubstanz. Gleichzeitig hörte diese chondrogene Übergangsschieht als solche auf Zu existieren. und verwandelte sich in eine durch ihre acidophile Grundsubstanz (und durch die Anordnung ihrer Zellen) in den oberflächlichsten Teilen der Epiphyse gut zu erkennende Knorpelschicht. Die meist charakteristische Eigenschaft bei der Grundsubstanz in den früheren Sta- dien, sowohl in der tiefen Schicht als auch in der Schicht, welche sich auf oben er- wähnte Weise aus dem tieferen Teil der chondrogenen Übergangsschieht entwickelt hat, N:o 3. 54 Ynró KAJAYA. ist eine mit den verschiedenen Reagentien gleichartige Färbefähigkeit, sowohl in der Grundsubstanz, welche die Knorpelzellen am nächsten umgibt, als auch in der Substanz, welche der in älteren Knorpeln nachzuweisenden interterritorealen Substanz entspricht. Man kann also mit andern Worten in dieser Hinsicht keine Differentiierung in der Grundsubstanz des Kuorpels unterscheiden, welche sich unverändert bis zur Zellenhöhle erstreckt. Doch kann man ganz am Rande der Zellenhöhle oft eine lineäre, etwas stär- ker gefärbte Grenze finden. Eine merkbare Ungleichheit besteht dagegen zwischen der oberflächlichen und der tiefer belegenen Grundsubstanz: die erstere ist deutlich acidophil, die letztere gleichmässig basophil. Eine scharfe Grenze besteht nicht zwischen diesen verschiedenartigen Grundsubstanzen. Die Grundsubstanz verbleibt auf diese Weise unverändert bis die Blutgefässe im Knorpel aufzutreten beginnen und die Kanäle derselben eine gewisse Grösse erreicht haben. Von diesem Zeitpunkt an kann man eine Farbenverschiedenheit in der Grund- substanz, welche die Blutgefässkanäle am nächsten umgibt, konstatieren, indem sie aci- dophil wird und an genannten Stellen mit der Methylenblau-Xylol-Methode einen blau- violetten oder fast roten Farbenton annimmt, wogegen sich die Grundsubstanz im übri- gen blaugrün färbt. Dieser violett gefärbte Teil der Grundsubstanz bildet um die Gefüsskanále selbst herum eine etwas breitere Schicht, wie eine Hülse, von deren Fläche dieselbe Substanz sich in Form von Scheidewänden zwischen den Knorpelzellen und der basophilen Grundsubstanz, die dieselbe umgibt, erstreckt (Fig. 15 und 16). Bei etwas älteren Stadien laufen diese Scheidewände teils in radiärer Richtung, teils schliessen sie sich an einander zu einer, meistens unvollständigen Hülsen, welche die früher er- wähnte, an das Kanallumen angrenzende Hülse umgeben. Bei einer stärkeren Vergrös- serung sieht man in der Grundsubstanz eine Streifung, was darauf beruht, dass dort mit van GIESON's Pikrofuksin färbbare Fibrillen in der Grundsubstanz vorkommen. Durch dünne Schnitte, behandelt laut der Methylenblau-X ylol-Methode, erreicht man die fibril- làre Anordnung sehr deutlich, besonders wenn man die Schnitte relativ lange Zeit in Pikrofuksin gefärbt hat. Die Fibrillen sind äusserst dünn und liegen sehr nahe ein- ander in einer homogen basophilen Grundsubstanz. Sie laufen in Zirkeln um die Gefäss- kanäle herum, strahlen doch auch nach aussen und bilden dann die früher erwähnten intermediären Züge, zwischen welchen die blaugrüne Grundsubstanz sich wie kleine Inseln bildet. — In etwas älteren Stadien erstreckten sich diese Fibrillen auch in den Gefüsskanal hinein und gehen direkt in die Bindegewebszüge über, welche in dem er- wähnten Gewebe vorkommen. In noch älteren Stadien kann überall in der Grundsubstanz, nicht nur in der Nähe der Gefässkanäle, eine entsprechende Differentiierung nachgewiesen werden. Je ältere Stadien man untersucht, desto deutlicher ist die erwähnte Differentiierung. In der Tom. XLVIIT, Qr or Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. Humerusepiphyse bei einem neugeborenen Menschenkind, wo die Ossification noch nicht begonnen hat, wo man aber auf einer Stelle die Vorbereitung zu derselben bemerken kann (nämlich eine merkbare Vergrösserung der Knorpelzellen und eine in radiäre Rei- hen gestelle Anordnung dieser hypertrophischen Zellen um den werdenden Ossifications- punkt herum) zeigt die Grundsubstanz des Gelenk- incl. Epiphysknorpels folgende Eigen- tümlichkeiten. Die Grundsubstanz wird nahe der Oberfläche des Gelenkknorpels acido- phil gefärbt. Diese Farbe ist so auffallend, dass man sie schon makroskopisch in Form einer rötlichen Linie an dem äussersten freien Rande des Schnittes unterscheiden kann. Unter dieser, laut der Methylenblau-Xylol-Methode rotviolett gefärbten Randzone folgt eine Schicht, in welcher die Grundsubstanz, in einer schwachen Vergrösserung gesehen, hell gelbrot wirkt. In einer stärkeren Vergrösserung untersucht zeigt es sich, dass die rotviolette Grundsubstanz in dieser Schicht schwächer rot ist, wie in der vorhergehenden und dass in dem Knorpel hier zahlreiche, anfangs hellblaugrüne Inseln ähnelnde Partien zwischen den violett gefärbten Zügen auftreten. Je tiefer man in die Epiphyse kommt, desto stärker grünblau werden diese Inseln ähnelnde Stellen, welche man in der näch- sten Nähe der Knorpelzellen iantrfft, und welche diese umgeben. Gleichzeitig wird auch der violette Teil der Grundsubstanz, welcher hier netziörmige mit einander anastomisie- rende Züge zwischen den eben genannten grünblauen Inseln bildet, immer mehr dunkel- vielett. Auf diese Weise ist die früher hauptsächlich gleichmässig gefärbte Grundsub- stanz allmählich ganz gesprenkelt geworden. Die Zellen in der zuletzt skizzierten Schicht sind spindelförmig. In der Grundsubstanz treten also zwei verschiedene Teile hervor die violett gefärbte interterritoreale Substanz, Hawwam's intermidäre Züge, welche netzfórmig mit einander verbunden sind, und die helleren oder dunkler blaugrünen Inseln, welche die Maschen in dem eben erwähnten Netz ausfüllen. Im inneren Teil der letztgenannten Substanz, dicht an den Knorpelzellen kann hier und da noch eine hellere blaugrüne und klarere Substanz festgestellt werden. Die letzterwähnte Substanz dürfte der Kapsel der Knor- pelzelle entsprechen, Hawwam's undifferentiierte, formlose Grundsubstanz, wogegen die dunkler blaugrüne Substanz ausserhalb dieser als Zellenhof betrachtet werden muss, Hammars Mantelschicht. — Nach diesen vorausgesandten, orientierenden Aufgaben über die Grundsubstanz, wollen wir dieselbe mehr in Detail studieren, und beginnen unsere Beobachtungen mit der oberflächlichsten Schicht. Die Zellen in dieser oberflächiichen Schicht sind — wie schon aus dem Vorher- gehenden bekannt — entweder platt oder etwas abgerundet. Sie werden von einer aci- dophilen Grundsubstanz umgeben, in welcher eine in der Richtung der Gelenkfläche laufende Streifung nachgewiesen werden kann. Diese Streifung ist auf das Vorkommen von zahlreichen Fibrillen zurückzuführen, welche nicht nur der Knorpelfläche folgen, N:o 3, 56 YRsö KAJAVÁ. sondern auch etwas schräg laufende Züge zwischen den Zellen in der fraglichen Schicht bilden. Nahe der Oberfläche sind diese Fibrillen sehr dicht zusammengepackt, ein Stück unterhalb derselben werden sie spärlicher und können leichter studiert werden. Die Knorpelzellen scheinen Kapseln und Zellenhöfe zu entbehren, weshalb die acidophile Grundsubstanz sich bis zur nächsten Nähe der Knorpelzellen erstreckt, wo sie mit einem scharfen Rande aufhört, indem sie der Knorpelzelle Platz gibt. Die Knorpelzelle füllt doch diesen Raum nicht ganz aus, im Gegenteil verbleibt zwischen dem Protoplasma der Knorpelzelle und der oben erwähnten Kante ein farblosser Rand, welcher den An- schein eines leeren Raumes hat. In einigen Fällen, wo die Knorpelzelle mehr zusam- mengeschrumpft ist, sieht man doch, dass dieser helle Rand nach innen von einem gräu- lichen lineären Schatten begrenzt wird, und dass erst innerhalb desselben ein künstlicher Hohlraum vorkommt. Auf Grund von Vergleich zwischen dem hier gefundenen Rande und der entsprechenden Stelle tiefer im Knorpel ist es möglich, dass dieser Rand von der Zellenkapsel gebildet wird, welche sich in dieser Schicht nicht färben lässt, welche aber tiefer im Knorpel laut der Methylenblau-Xylol-Methode eine hellgrünblaue Farbe annimmt. — Fbensolche „echte, wenn auch farblose Knorpelkapseln“ hat Lurosen (1910, S. 260) bei Reptilien und Vögeln gefunden. Diese rotviolette Randschicht geht ohne scharfe Grenze in die folgende Schicht über. In dieser Schicht ist die rotviolette Farbe der Grundsubstanz — gefärbt laut der Methylenblau-X ylol-Methode — viel heller und erscheint mehr homogen als in der ober- flächlichen Schicht. Sie bildet ebenfalls Züge zwischen den Knorpelzellen, jedoch Keine so scharfe Grenze gegen dieselben wie in der Aussenschicht. Im Gegenteil sieht man, dass in den oberflächlichsten Teilen dieser Schicht ein heller, beinahe farbloser Zellen- hof die äusserst schwach hellgrünblaue Substanz der Knorpelkapsel angibt. Diese helle Substanz umgibt entweder einzelne Zellen oder Zellengruppen, welche in der Regel doch nicht aus mehr als zwei oder drei Zellen bestehen, und geht unmerkbar in die violett- gefärbte Interterritorealsubstanz über. In den darauf folgenden Zellenschichten verän- dert sich dieser helle Zellenhof so, dass er anfänglich eine sehr hell blaugrüne Schattie- rung annimmt, welche im noch tiefer belegenen Teilen sich zu einer stärker blaugrünen Farbe abändert. Diese tieferen, im Knorpel nachweisbaren Zellenhöfe scheinen mir deutlich übereinzustimmen mit den schwach gefärbten Partien, welche in den oberfläch- lichsten Teilen der fraglichen Schicht in der Umgebung der Knorpelzellen konstatiert sind, weshalb ich mich für berechtigt hielt auch diese ungefärbte Zone Zellenhof zu nennen. Man kann doch nicht überall um die Knorpelzellen herum diese beiden Arten der Grundsubstanz, Kapsel und Hof, entscheiden und an vielen Stellen ist es sogar äusserst schwer festzustellen, ob die Zone der Grundsubstanz, welche eine Zelle umgibt, als Zellenhof oder Kapsel anzusehen ist. Ausserdem kann man in weiter vorgeschritte- Tom. XLVIII. Sog A EA poc Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 57 nen Stadien und tiefer im Knorpel mehr als zwei in ihrer Lichtbrechung und Farben- reaktion etwas ungleiche, konzentrische Schichten der Grundsubstanz um die Zellen herum finden, welches diese Einteilung der den Knorpenzellen am nächsten befindlichen Grund- substanz noch mehr erschwert. Es wäre auch vielleicht am besten, Benennungen wie Zellen- oder Knorpelkapsel und Zellenhof ganz und gar zu vermeiden, insbesondere da eine Meinungsverschiedenheit, was die Bedeutung dieser Bildungen betrifft, bei den Anato- men konstatiert werden kann, und die verschiedenen Schichten um die Zelle herum wie Hansen (1905) Zone I, II u. s. w. zu nennen. — Wenn man die Kapsel und den Hof der Knorpelzelle beide als verschieden alte Schichten in der von der Knorpelzelle pro- duzierten Grundsubstanz auffasst, so kann man leicht die Ursache der oben angeführten Schwierigkeiten verstehen, diese beiden Schichten von einander zu unterscheiden. Als ein allgemeines Ergebnis der oben angeführten Beobachtungen besteht also, dass die junge Knorpelgrundsubstanz um die Knorpelzellen herum, nahe der Oberfläche des nicht fertigen Gelenkknorpels, sich nicht mit den gewöhnlichen Knorpelfärbungsme- thoden färben lässt, aber allmählich ihren basophilen Charakter und Farbefähigkeit er- hält, je tiefer man in den Knorpel kommt. Anfangs treten die oben beschriebenen Zellenhöfe in dem tieferen Teil des Knor- pels regelmässig jede um eine einzige Knorpelzelle herum auf, oder da wo zwei oder meh- rere Knorpelzellen nahe bei einander liegen, können diese Höfe ohne Grenze zu runden oder länglichen Inseln, Zellenterritorien verschmelzen. Alle Zellen resp. Zellengruppen sind anfänglich in dieser Hinsicht mit einander ähnlich. Allmählich werden doch diese blaugrünen Inseln bei älteren Stadien an einigen Stellen grösser, indem sie immer mehr Zellen umfassen, wogegen sie sich an anderen Stellen nicht nennenswert vergrössern. Die zuwachsenden Zellenhöfe scheinen sich hauptsächlich in der Richtung der Knorpelfläche auszubreiten, wenn auch andere Richtungen konstatiert werden können. Zuletzt bilden sich (so z. B. bei einem neugeborenen Menschenkind im Caput humeri) in einem Ver- tikalschnitt betrachtet, breitere oder schmälere, oft mit der Knorpelfläche parallel ge- stellte basophile Zonen, welche durch die violett gefärbten intermediären Züge, oder durch Zonen, welche aus mehreren solchen Zügen gebildet sind, von einander getrennt werden. Gleichzeitig damit dass auf diese Weise mehrere Zellen von der reichlich vorhan- denen blaugrünen Zellenterritorien, umgeben werden und sozusagen in dieser Grund- substanz verschwinden, gibt es andere Knorpelzellen, welche mit einem verhältnis- mässig geringen Zellenhof versehen sind oder diese Bildungen ganz entbehren, weshalb es den Anschein hat als ob die zuletzt erwähnten Zellen mehr oder weniger unmittelbar in der interterritorealen, acidophilen Substanz eingebettet wären (Fig. 10). Auf Grund der Anordnung der Zellen und deren Verhältnis zu einander ist es höchst wahrschein- lich, dass die in der gemeinsamen, blaugrünen jungen Grundsubstanz befindlichen Zellen N:o 3. : 8 58 VrIÔ KAJAVA. in hohem Masse Teilungsprodukte einer und derselben oder einiger gemeinsamen Mutter- zellen sind. An einigen Stellen kann man sehen wie sowohl die intermediären Züge als auch die von der blaugrünen Substanz gebildeten basophilen Zonen, wellenförmig gebogen sind, etwas an die Wogen in gelagerter Erde erinnernd. Wie soll man nun diese eigentümliche Verteilung der beiden, ihrer Farbenreaktion nach so ungleichen Grundsubstanzen verstehen? — Es dürfte eine allgemein anerkannte Ansicht sein, dass in dem Knorpel, wie schon hervorgehoben, ein Zuwachsen der Grund- substanz in der nächsten Nähe der Knorpelzellen erfolgt, und dass es gerade diese Zellen sind, welche die Grundsubstanz produzieren. Die Grundsubstanz, welche die Knorpelzellen am nächsten umgibt, und welche von Hawwan die formlose Grundsubstanz genannt wurde, ist die jüngste, darauf folgt der Zellenhof, dessen periphere Teile älter sind als die den Knorpelzellen am nächsten liegenden, zentralen Teile; die intermediären Züge oder die Interterritorealsubstanz bilden die älteste Knorpelgrundsubstanz. Wenn wir von diesen Betrachtungen ausgehen und mit Zugrundelegung derselben unsere eben beschriebenen Befunde verstehen, so haben wir also zuerst festzustellen, dass die blaugrüne, basophile Grundsubstanz in unseren Präparaten, gefärbt laut der Methylenblau-Xylol- Methode, gewöhnlich jünger ist als die violettgefärbte. Diese Ansich wird auch durch Befunde bei dem jungen embryonalen Knorpel bestärkt, wo die ganze interzelluläre Substanz auf dieselbe Weise gefärbt wird, wie die hier in Frage stehenden Zonen, welche den Knor- pelzellen in älteren Knorpeln am nächsten liegen, nämlich hellblaugrün. Wenn der Knorpel grösser wird, vermehrt sich die Anzahl der Knorpelzellen und jede neugebildete Zelle bildet neue Grundsubstanz um sich herum, welche auf oben erwähnter Weise ge- färbt wird. Alle Zellen scheinen doch nicht, mit derselben Geschwindigkeit diese Grund- substanz zu produzieren. Im gegenteil kann man in den in Frage stehenden Präparaten konstatieren, dass sich in dieser Hinsicht grosse Ungleichheit geltend macht; gleichzeitig nämlich dass gewisse Zellen sich schnell vermehren und schnell neue Grundsubstanz um sich herum entwickeln, sodass sie Zellengruppen bilden, welche von einem gemeinsamen Zellenterritorium umgeben wird, gibt es andere, deren Vermehrung und Produzieren von Grundsubstanz, wenigstens während einer bestimmten Zeit, im Verhältnis zu den zuletzt beschriebenen : Zellen bedeutend vermindert ist. Aus diesem Grunde werden sie sich in einer älteren (mit der Methylenblau-Xylol-Methode rotviolett gefärbten) Grundsubstanz befinden, umgeben von keiner oder nur spärlich vorkommender junger Grundsubstanz. Die zuerstgenannten Zellen sind also lebhaft tätig neue Grundsubstanz zu bilden und auf diese Weise beizutragen zum interzellulären Zuwachs des Knorpels, wo dagegen Zellen mit wenig entwickelten oder gänzlich unentwickelten Zellhöfen und Knorpelkap- seln sich in einem zufälligen Inaktivitätszustand befinden. Dass dieser Zustand wenig- Tom. XL VIII. TCU ITE. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 59 stens in den meisten Fällen als temporär bezeichnet werden muss, wird dadurch bewie- sen, dass in späteren Stadien alle, tiefer im Knorpel befindlichen Zellen oder Zellen- gruppen von ihren Zellenhöfen umgeben sind. Diese zufällige Inaktivität wird — wie später dargestellt werden soll — auch bei den Zellen, welche sich in der Nähe der Wände der Gefässkanäle befinden, beobachtet, sobald die Blutgefässe aber verschwinden und deren Kanäle mit Knorpelgewebe gefüllt werden, beginnen auch diese Zellen mit einer sehr lebhaften Knorpelneubildung, was auch beweist, dass der Inaktivitätszustand von übergehender Natur war. Man: kann also konstatieren, dass die Knorpelzellen mit sehr ungleicher Intensität an der Vermehrung der Grundsubstanz teil- nehmen, nämlich auf die Weise, dass während die Zellen in einem gewissen Gebiet an dieser Arbeit lebhaft beschäftigt sind, es andere, nahe belegene Zellengruppen gibt, die sich in temporärer Ruhe zu befinden scheinen. Der Zuwachs des Knorpels im Caput humeri in dem letztbeschriebenen Stadium (zur Zeit der Geburt beim Menschen) scheint hauptsächlich in radiärer oder zentrifuga- ler Richtung, gerechnet von der Mitte des Caput, zu geschehen, aber auch ein in tan- gentialer Richtung oder in Richtung der Gelenkfläche vorsichgehender Zuwachs kann festgestellt werden. Über die Richtung des Zuwachsens kann man sich einen Begriff machen, wenn man die Richtung der soebengenannten blaugrünen Zonen mit einander ver- gleicht. Der hauptsüchliche Zuwachs muss nämlich senkrecht zur Ausbreitung dieser Zonen geschehen, mit anderen Worten in der Weise, dass die Zonen an Dicke wachsen. Die spin- delfórmigen Zellen laufen in der Grundsubstanz in derselben Richtung wie diese Zonen und zeigen eine lebhafte Zellenvermehrung. Wir haben schon früher, als von diesen Zellen die Rede war, Gelegenheit gehabt, die Vermutung über ihr Verhalten zum Zuwachs des Knorpels auszusprechen. In diesem Zusammenhang kommen wir durch Befunde, die sich auf die interzelluläre Grundsubstanz basieren, zum selben Resultat betreffs dieser Zellen. Auf Grund des lebhaften Zuwachsens in den Knorpel, müssen Verschiebungen in demselben vorkommen. Schon die merkwürdige Anordnung der spindelfórmigen Zellen gab uns Veranlassung dieses zu vermuten. Unter den letztbeschriebenen Befunden kommt auch eine Beobachtung vor, nämlich die hier und dort hervortretenden wellenförmigen Biegungen der verschiednen Zonen und Zügen der Grundsubstanz, die schwer anders zu erklären sind, als dass sie von dem inneren Druck und von diesem verursachten Verschiebungen im Gewebe abhängig sind, denn eine Verschrumpfung des Knorpelgewe- bes, auf die auch Bezug genommen werden könnte, dürfte kaum solche relativ grobe Wellen verursachen. — Auch Srupniéka (1903, S. 320) spricht von „Verschiebung der Zellen“ beim Zuwachs des Knorpels. ' N:o 3. VIEN NE AA Eee RT Ma Me - n WA IOTER SN 60 Yrsö KAJAYA. 9. Der perichondrale Zuwachs des Gelenkknorpels. Der Voliständigkeit halber müssen wir jetzt in aller Kürze unsere Aufmerksamkeit der Frage über den perichondralen, appositionellen Zuwachs des Gelenkknorpels widmen. / In einem früheren Zusammenhange haben wir uns schon mit den Veränderungen beim Zuwachsen des Knorpels am dichtesten unter der soeben gebildeten Gelenkfläche vertraut gemacht. Wir kamen dabei zu dem Schluss dass man hier unter einer gewissen Reservation von einem perichondralen Zuwachs sprechen kann. Die Schicht von Bindegewebszellen, welche nach der Entstehung der Gelenkspalte die Gelenkfläche, entweder ganz und gar oder wenigstens zum grossen Teil deckt, wird in Kürze, wie wir auch schon früher gesehen haben, sich zur äussersten Peripherie des Gelenkknorpels ziehen, und gleichzeitig ist auch die Möglichkeit des perichondralen Zuwachses in ent- sprechende Weise reduziert worden. Dekuuyzen (1889) hat als Erster die Aufmerksam- keit auf diesen appositionellen Zuwachs in den oberflächlicheren Lagen des Gelenkknor- pels bei dem Frosche gelenkt. Später hat Lusoson (1910) konstatiert, besonders bei Fischen und Amphibien unter der Synovialhaut in oberflächlichen Teilen des Gelenk- knorpels, „ganz merkwürdige Bilder, die für das Wachstum des Gelenkknorpels und die Ausbildung der Gelenkformen massgebend sind“ (S. 10). Bei meinen Untersuchungen habe ich gefunden, dass die Knorpelzellen in den he flächlichen, peripheren Teilen allmählich ihre Form verändern, je näher man der unteren Fläche des peripher belegenen Perichondriums ') kommt. Ganz in derselben Weise wie unter dem Perichondrium im allgemeinen erfolgt auch hier der Übergang zwischen die- sen beiden verschiedenartigen Geweben so allmählich, dass eine scharfe, natürliche Grenze zwischen denselben nicht gezogen werden kann. Wir müssen uns ausserdem dessen erin- nern, dass embryonale und in Entwicklung befindliche Gewebe — wie die hier in Frage stehenden — gewöhnlich eine weniger starke Differentiierung aufweisen als die Gewebe eines Erwachsenen, ein Umstand, der auch in seiner Weise das Feststellen der eben erwähnten Grenze erschwert. Die Knorpelzellen sind ihrer Natur nach übereinstimmend mit den früher beschriebenen, spindelförmigen oder verzweigten Zellen, haben also lange Ausläufer und lokalisieren sich in allen denkbaren Lagen in der Grundsubstanz, beson- ders in den früheren Stadien. Bei älteren Embryonen (schon im Caput humeri eines 15 cm. langen Menschenembryos) kann man eine gewisse Anordnung bei den in Frage ste- henden Knorpelzellen wahrnehmen. Man sieht sie danach streben längs der Knorpel- fläche laufende Reihen zu bilden, zwischen welchen stärkere Fibrillenbündel, die von dem Perichondrium herstammen, laufen. !) Der Kürze halber benenne ich hier mit dem Namen Perichondrium die Schicht von Bindgewebszel- len und -Fibrillen, die den peripheren Teil des Gelenkknorpels deckt und zu deren Fläche die Synovialbaut sich fortsetzt, T XLVIII om. 3 Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 61 Auf Grund alles diesen dürfte man den Schluss ziehen können, dass die Verhält- nisse zwischen dem Knorpel und seinem Perichondrium in der Peripherie des Gelenk- knorpels dieselben sind, wie die Verhältnisse zwischen dem Knorpel und seinem Peri- chondrium im allgemeinen und dass also ein appositioneller Knorpelzuwachs an diesem Teil des Gelenkknorpels in Frage kommen kann. Dieser Zuwachs dürfte doch kaum von grösserer Bedeutung sein. Die Knorpelfläche behält ihre ebene Configuration bei und wächst gleichmässig mit der benachbarten freien Gelenkfläche. An einer Stelle scheint hier doch ein stärkerer Zuwachs des unter dem Perichondrium liegenden Knorpels vor- zukommen, nämlich gerade über der von RANVIER „encoche d’ossification“ benannten, zirkulär um den Gelenkkopf laufenden Furche. Dieser stärkere Zuwachs führt zu einer ringfórmig um den Gelenkkopf laufenden Verdickung, die im Durchschnitt wie eine kleine Erhóhung aussieht (Fig. 9). Die Knorpelzellen ordnen sich in Reihen parallel mit der Knorpelfläche und in derselben Weise sind auch die Zellen des Perichondriums geordnet. Später verschwindet sowohl diese Erhóhung als auch die erwähnte ringförmige, mit Bindegewebe (die Insertion der Gelenkkapsel) gefüllte Furche RaxvrER's ,encoche“. Diese Furche verschwindet in der Weise, dass die Zellen in dem erwähnten Bindegewebe in Knorpelzellen umgewandelt werden und um sich neues Knorpelsgewebe bilden: also auch hier findet ein appositioneller Zuwachs statt (Fig. 11). N:o 3. IV. Das Vorkommen von Blutgefässen im Gelenk- knorpel während dessen Entwicklung. Historik. Man hat sich im allgemeinen an die Auffassung gewöhnt, dass das Knorpelgewebe Blutgefässe überhaupt vermisst (vergl. z. B. Srôur-Scnuzrze (1912), S. 164, Szymonovrez (1915), S. 70, Maurer (1915), S. 254, Korsch-Rauger (1912), S. 92, u. a. m.), eine Auffassung, die im grossen Ganzen gesehen, wenn von dem fertig gebildeten Knorpel die Rede ist, richtig ist. Es muss doch erwähnt werden, dass man vollkommen entwic- keltes Knorpelgewebe kennt, das überhaupt keine Ossificationserscheinungen zeigt, aber dennoch Blutgefässe besitzt, so z. B. der Knorpel im Septum narium bei den grossen Säugetieren Koeıuıker, (1889, S. 110) und der permanente Endknorpel auf dem Pro- cessus spinosi der Thoracalwirbeln beim Pferd, ebenso der Knorpel im Larynx und Trachea der grossen‘ Haustiere (Sross, 1918, S. 29). Es mangelt sogar nicht an Be- hauptungen, laut welchen „in allen Knorpeln nicht nur der Kinder und jungen Tiere, sondern auch vollkommen erwachsener Individuen stets Blutgefässe vorhanden sind“, Busworr (1868, S. 912). Anders ist das Verhältnis mit den Knorpeln, wo der Ossifi- cationsprocess im Gange ist; in diesen sind reichlich Blutgefässe vorhanden. Ebenso trifft man Gefässkanäle und Blutgefässe in dem wachsenden Knorpel wie schon KOELLIKER (1889, S. 110) gezeigt hat, aber wie diese Gefässkanäle entstanden sind und wie sie nacher verschwinden, darüber sind unsere Kenntnisse sehr gering. Betreffs des Entstehens der erwähnten Gefässkanäle sagt Koëzzixer (1889, S. 114), dass er es für das Wahrscheinlichste hält, „dass dieselben ebenso entstehen, wie die gefässhaltigen Räume im ossifizierenden Knorpel, mit anderen Worten, dass das Periost mit seinen Gefässen selbständig in den Knorpel einwächst und denselben zum Schwin- den bringt“. In Rauser’s Lehrbuch äussert sich Korscn (1914, S. 92) über die Sache ganz kurz in derselben Richtung „später allerdings, wenn er (der Knorpel) mächtiger Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 63 wird schickt das Perichondrium in den Knorpel eindringende Gefässe ab“. Auch HANSEN (1905, S. 716) spricht nebenbei über die „Gefässkanäle, die in den Knorpel eindrin- gen“. Meyer (1849, S. 303, 304) hat an verschiedenen Stellen im Knorpelgewebe eine Auflösung der Grundsubstanz des Knorpels beobachtet. Hohlräume und Kanäle, in wel- chen die Blutgefässe laufen, sind laut genanntem Verfasser durch eine solche Auflösung entstanden, die Mever „gallertige Auflockerung des Knorpels“ nennt. Diese Auflocke- rung ist eine in der Natur des Knorpeis begründete Metamorphose und ist weder als Vorläufer noch Begleiter oder Folge der Gefässbildung anzusehen. Wenn sich Gefässe in den entstandenen Lücken bilden, so ist dieses nur als etwas Zufälliges zu betrachten. Eine Möglichkeit hierfür scheint vorzukommen, wo ein in obengenannter Weise entstan- denes System von Lücken, gefässreicher Gewebe, wie z. B. das Perichondrium, triftt. Gegen die eben erwähnte Auffassung meint RANVIER (1875, S. 291), dass Knorpel- gefässe bei ihrer Entwicklung Knorpelgrundsubstanz auflösen, wobei Knorpelzellen frei werden. Betreffs des Verschwindens der Knorpelgefässe ist Tırımans (1877) auf Grund eigener Beobachtungen zu der Auffassung gekommen, dass die im fetalen Knorpel „vor- kommenden Gefässbahnen später allmählich mit dem zunehmenden Gehalt an mucinóser Kittsubstanz verschwinden“ (S. 19). Was speziell die Gefässe des Gelenkknorpels betrifft, so finden wir in einer Arbeit von 'loynger (1841) eine etwas mehr eingehende Beschreibung über das Vorhandensein ‚der Blutgefässe im Gelenk während seiner Entwicklung. TovwskE unterscheidet zwei Perioden der Entwicklung des Gelenkknorpels; während der früheren Periode vermisst man Blutgefässe, die während der späteren Periode in demselben vorkommen. Die Zeit für das Beginnen der letztgenannten Periode ist schwer zu bestimmen. Die Gefässe des Gelenkknorpels treten zuerst unter der freien oder synovialen Fläche auf. Bei einem ca. 5 Monate alten Embryo ist der ganze untere Teil des Femur, mit Ausnahme seiner Gelenkfläche, mit zahlreichen, verschieden tiefen Vertiefungen versehen. Die tiefsten schliessen blind, entweder ungeteilt oder als zweigeteilte Kanäle. Einige von diesen Kanälen sind gegen die Mitte der Epiphyse gerichtet, andere gegen die Ossifications- grenze oder den Gelenkknorpel. Diese Kanäle perforieren sich keinen Weg zum er- wähnten Knorpel. In den Kanälen läuft eine dünne Arterie, die in einer Anschwel- lung oder einem Konvolut von Verzweigungen schliesst, aus welchen eine Vene ent- springt. Wenn der Gelenkknorpel an Dicke zunimmt und der Knochenkern in der Epi- physe grösser wird, ziehen sich diese (refässe allmählich zurück und lassen eine merk- bare Masse von gefässfreiem Knorpel zwischen dem Knochenkern und der Synovialhaut (welche nach Toyxger den Gelenkknorpel beim Embryo überzieht) zurück. N:o 3. 64 Ynió KAJAYA. Ausser den oben beschriebenen Knorpelgefässen gibt es andere Gefässe, die sich während der Entwicklung des Gelenkknorpels zwischen demselben und der deckenden Synovialhaut befinden. Bei 3—4 Monate alten Embryonen bilden diese Gefässe feine Schlingen unter der Synovialhaut. Im 5. Fetalmonat gehen diese Schlingen etwas aus- einander und breiten sich über die Fläche des Knorpels zu einer Breite von '/, Linie aus. Zwischen dem 7. und 8. Fetalmonat werden sie allmählich der Länge nach aus- gedehnt und ihre schlingenförmigen Enden liegen 1 '/, Linie von der Anbeftungsstelle des Lig. teres (Toynger’s Beschreibung bezieht sich auf Caput femoris). Beim Embryo im Alter von 8 Monaten fangen diese Gefässe an sich zurückzuziehen, so dass sie bei der Geburt und der nächst darauf folgenden Zeit wieder an der Anheftungsstelle des Lig. teres liegen Die Zone, wo die Gefässe früher vorkommen, ist noch eine Zeit er- kennbar durch die weisse Farbe des Bindegewebes zwischen dem Knorpel und der Syno- vialhaut. — Auch in anderen Gelenken sagt Toyneke nachgewiesen zu haben, dass die Gefüsse der Synovialhaut ein Band bilden, dass die Zirkumferens des Gelenkknorpels umgibt. Irgend welche spezielle Untersuchungen über die Gefässe des Gelenkknorpels ist es mir nicht gelungen in der Litteratur zu finden. Eine Arbeit von Heırzmann (über die Rück- und Neubildung von Blutgefässen im Knochen und Knorpel Wien. med. Jahrb. (1873, S. 178—194), welche wahrscheinlich in dieser Hinsicht wichtige Aufklärungen enthalten dürfte, habe ich nicht Gelegenheit gehabt weder in Original noch Referat ken- nen zu lernen. Eigene Untersuchungen. 1. Das Auftreten von Blutgefässen in der Anlage des Gelenkknorpels. Prüft man den Epiphysknorpel in den früheren Entwicklungsstadien so findet man konstant, dass man die Blutgefässe in demselben vollständig vermisst. Dagegen schei- nen sie schon sehr früh ein Netz um den Knorpel zu bilden. Die embryonalen Knor- peln sind — wie früher beschrieben — an den Stellen, wo sich später eine Gelenk- spalte bildet, anfangs mit einander verbunden durch eine blastematöse Zwischenscheibe. Wo diese Zwischenscheibe etwas dicker ist, enthält dieselbe kapilläre Gefässe, deren Vorhandensein schon von HaGex-Torn (1882) nachgewiesen wurde. In der Mitte die- ser Zwischenscheibe öffnet sich später die Gelenkspalte, woraus folgt, dass eine dünne Schicht von Bindegewebe wie ein Perichondrium (Bromas, 1911) anfangs die Gelenk- fläche deckt. Beim Entstehen der Gelenkspalte schliessen sich die Gefässe der Zwischen- scheibe den oberflächlichsten Teilen des werdenden Gelenkknorpels an, jedoch hauptsäch- lich in der Peripherie des Knorpels, und hängen mit den Gefässen der Umgebung an Tom. XLVIII. augen: — T ARES À mate cro a nes ” Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 65 der Anheftungsstelle der werdenden Kapsel zusammen. Hier und dort dringen einzelne Kapillarschlingen sogar ein Stück in die chondrogene Übergangsschicht ein, aber ab- gesehen von diesen oberflächlichen Gefässen entbehrt der Epiphysknorpel in diesen Sta- dien noch Gefässe (Fig. 1). Bei meinen Untersuchungen habe ich gefunden, dass beim Entstehen der Gelenk- spalte im Anfang in der mittersten Schicht der oben erwähnten Zwischenscheibe eine Anzahl von kleineren Spalten entsteht, die von einander durch Bindegewebslamellen und -Stränge getrennt sind. Diese Lamellen, deren Vorkommen auch Kazzanper (1894) konstatiert hat, sind im allgemeinen nicht gefässführend und verschwinden auch allmäh- lich in dem Masse, wie die Gelenkspalte einheitlich wird. Im Hüftgelenk befindet sich dagegen ein gefässführender Bindegewebsstrang, die Anlage für Lig. teres femoris, welcher auf Grund dieser seiner Eigentümlichkeit fortbestehen wird und während der Entwick- lungsperiode des Caput femoris eine sehr wichtige Blutbahn besitzt. Die in den oberflächlichen Teilen der Epiphyse und des Gelenkknorpelansatzes lau- fenden Gefässe suchen sich später in dem Masse wie der erwähnte Knorpel zuwächst allmählich weiter in die Tiefe desselben und vaskularisieren den Epiphysknorpel ein- schliesslich des werdenden Gelenkknorpels, so dass man innerhalb einer ziemlich kurzen Zeit den ganzen Epiphysknorpel von kleinen Gefässkanälen und den begleitenden Blut- gefüssen durchzogen findet (Fig. 12). Prüft man näher, wie die Gefässe in den erwähn- ten Knorpel eingeführt werden, so kann man zwei verschiedene Weisen unterscheiden: teils werden die oberflächlichen Schichten, in denen die Blutgefässe sich befinden, direkt in Knorpelgewebe umgewandelt, und eine Folge dieser Umwandlung ist, dass die in der erwähnten Schicht laufenden Gefässe gleichzeitig vom Knorpel umgeben werden (Fig. 2); teils kann man beobachten, wie die im Knorpel in obenerwähnter Weise eingefassten Gefässe seitliche Verzweigungen abschicken welche tiefer in den Knorpel eindrängen. Während der ersten Zeit, wo Gefässe im Epiphysknorpel vorkommen, kann keines von diesen Gefässen bis zur Verknócherungslinie verfolgt werden und von dort zur primären Markhóhle der Diaphyse oder umgekehrt. .Die direkte Nutrition des Epiphysknorpels geschieht also während dieser Zeit ausschliesslich durch Gefässe, die längs des Perichon- driums und der werdenden Gelenkkapsel zum erwähnten Knorpel laufen. Eine Folge dieser Vaskulerisierungsweise ist, dass die Gefässe im Anfang nur in den oberflächlich- sten Teilen des Epiphysknorpels auftreten. Diese Anordnung von Gefässen in der wachsenden Epiphyse besteht jedoch nur eine kürzere Zeit. Schon früh (im Caput humeri eines 11 cm langen Menschenembryos) können Gefässe nachgewiesen werden, welche zum Epiphysknorpel durch die Ossifica- tionsgrenze von der Diaphyse vordringen. Die letztgenannten Gefässe, deren Vorhan- densein von dem Ossificationsprozess in der Diaphyse abhängig ist scheinen allmählich N:o 3. 9 66 FÖR TO KAJAYA. merkbar an Grösse zuzunehmen und bilden wenigstens ebenso kräftige und sogar kräf- tigere Gefässe im Epiphysknorpel als die von der Gelenkkapsel resp. dem Perichondrium herstammenden Gefässe. — Ausser diesen zwei Kategorien von Gefässen kann noch eine dritte erwähnt werden, nämlich Gefässe, die dicht unter dem Teil der Gelenkkapsel laufen, der die Kante des Gelenkknorpels deckt. (Vergl. Fig. 12). Die erwähnten Ge- fässe stehen zwar in Verbindung mit den eigentlichen im Knorpel laufenden Gefässen, aber sie befinden sich entweder in den tieferen Teilen des fibrillären Kapselgewebes oder ganz an der Grenze zwischen diesem Gewebe und dem Knorpel, so dass die eine Wand der Känäle aus Bindegewebe, die andere aus Knorpel gebildet ist; auch ein Stück in das eigentliche Knorpelgewebe hinein trifft man diese Kantgefässe des Gelenkknorpels. Zu bemerken ist, dass diese Gefässe oder einzelne Reste von ihnen auch in den fertig gebildeten Gelenken angetroffen werden, wo sie unter dem Namen von „Circulus articuli vasculosus (Hunterı)“ bekannt sind. Noch nachdem der Ossificationsprozess fast seine definitive Ausdehnung in der Ejpi- physe erreicht hat, konstatiert man Gefässe in dem den Knochenkern deckenden Gelenk- knorpel. Die letzterwähnten Gefässe kommen jetzt hauptsächlich, wenn nicht ausschliess- lich, durch die Ossificationsgrenze von dem Knochenkern der Epiphyse und laufen haupt- sächlich senkrecht zur Fläche des Gelenkknorpels. Schliesslich fangen diese Gefässe an zu verschwinden, so dass sie in dem fertiggebildeten Gelenkknorpel nicht mehr nachzu- weisen sind, doch darüber Näheres später. Wir gehen jetzt daran die Gefässe des Epiphysknorpels in Detail zu untersuchen. — Schon aus dem Gesagten geht hervor, dass die Blutgefässe, die man ursprünglich in dem embryonalen Knorpel vermisst, gezwungen sind sich in den Knorpel zu suchen, dadurch, dass sie in irgend einer Weise die Auflósung des vorhandenen Knorpels ver- ursachen und sich so den Weg in denselben bahnen. Kine Ausnahme von dieser Anord- nung machen nur die früher beschriebenen Gefässe, welche in der oberflächlichsten Binde- gewebsschicht oder in der chondrogenen Übergangsschicht vorkommen, und von der neu- gebildeten Knorpelsubstanz umfasst werden. Ebenfalls ist å priori anzunehmen, dass in demselben Masse, wie die im Knorpel laufenden Blutgefässe an Grösse und Umfang zunehmen auch die entsprechenden Gefässkanäle vergrössert werden müssen. — In den Wänden der erwähnten Gefässkanäle kann man auch Veränderungen antreffen, welche deutlich beweisen, dass dort eine reichliche Resorption der Grundsubstanz des Knorpels vorkommt. Oft findet man nämlich in den Kanalwänden Knorpelzellen, deren Zellen- hóhle von dem Lumen des fraglichen Gefässkanals durch eine äusserst dünne Lamelle von Grundsubstanz getrennt wird (Fig. 13), weiter sieht man schalenförmige Zellenhöh- len, welche sich mit verschieden grossen Mündungen gegen den Lumen des Gefässkanals öffnen, aber ihre Knorpelzellen noch enthalten, und schliesslich kann man auch Reste Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 67 einer Knorpelzellenhöhle nachweisen, deren an den Kanallumen grenzende Wand mehr oder weniger vermisst wird. Ausserdem trifft man hier und da in den peripheren Tei- len des Gefässkanales zwischen den dort befindlichen freien Zellen Reste der Knorpel- grundsubstanz in Form von unvollständigen Scheidewänden. Gewöhnlich werden die Wände der Gefässkanäle bei etwas älteren Stadien aus Knorpel gebildet, dessen Grund- substanz sich sehr stark mit sauren Farbstoffen färbt (wie z. B. mit van Greson’s Pikro- fuksin oder mit Säurefuksin). Diese intensiv acidophile Grundsubstanz erstreckt sich in den Stadien, wo der Gefässkanal sich noch vergrössert, nicht immer ganz bis zur inne- ren Fläche des Kanales, sondern verliert nahe der Wand des Kanals etwas von ihrer Färbbarkeit, so dass eine oder zwei Reihen Knorpelzellen in der helleren Randzone zu liegen kommen. Diese ungleichmässige Reaktion der Knorpelsubstanz gegenüber Farb- flüssigkeiten sind wohl auf die chemischen Veränderungen zurückzuführen, welcher die erwähnte Knorpelsubstanz vor ihrer definitiven Auflösung in der Wand des Gefässkanals unterworfen ist. Es sind nämlich gerade diese innersten, in den schwächer gefärbten Grundsubstanzen vorkommenden Zellen, welche die oben erwähnten Eigentümlichkeiten zeigen. Alle die oben beschriebenen Befunde betreffs der Wandteile des Gefásskanals be- weisen, dass unsere früher ausgesprochene Annahme über eine Resorption des Knorpels in der Wand der erwähnten Kanäle beim Zuwachsen der Gefässe richtig war. Schwerer ist es allerdings dem Zuwachs des Gefässkanals der Länge nach zu folgen. Hierbei müssen wir zwei verschiedene Arten des Zuwachses unterscheiden, und zwar einen Zu- wachs des Gefässkanals mit einem einzeln verlaufenden Kapillargefäss oder mit einer Gefüsschlinge. Wir richten hier unsere Aufmerksamkeit zuerst zu dem Gefässkanalen mit einzeln verlaufenden Kapillaren. — An vielen Stellen in meinen Präparaten, immer in der Nähe von Gefässkanälen habe ich Bildungen beobachtet, welche aller Wahrschein- lichkeit nach geeignet sind Licht über diese Frage zu werfen, nämlich äusserst feine Hohlräume, begrenzt von zwei oder mehreren Zellen (Fig. 14 A). Die erwähnten Zel- len ähneln bogenförmig gebeugten Knorpelzellen und schliessen sich ganz wie gewöhn- liche Knorpelzellen dem ungebenden Knorpel ohne irgend eine merkbare Grenze an. Diese kleinen Hohlräume, welche ich als quergeschnittene Kanäle aufgefasst habe, sind im allgemeinen leer, aber aller Wahrscheinlichkeit nach — obwohl man keine Kerne der Endothelzellen nachweisen kann — mit endothelartigen Häutchen bekleidet. Diesen schliessen sich aber andere, etwas weitere und deutlich blutführende Kanäle, Kapilläre, an, in deren Wand Endothelzellen nachgewiesen werden können. (Fig. 14 B. u. C.). Sross’ Behauptung, dass es in dem vascularisierten Knorpel keine Kapilläre gibt, ist streng genommen nicht richtig, wenn es den embryonalen Knorpel gilt; hierbei muss doch erwähnt werden, dass auch hier die genannten Kapilläre spärlich vorkommen und N:o 3. 68 YRJÖ Kasava. in den etwas älteren Stadien nur in der Nähe von grösseren Gefässkanälen. — Was die Erklärung der oben beschriebenen Befunde betrifft, glaube ich mich doch nicht mit Be- stimmtheit aussprechen zu können, wenn ich es auch für möglich halte, dass wir es hier mit der Entwicklung von Gefässkanälen im Knorpel zu tun haben. Die Neubildung von Kapillären geschieht, wie man sie im allgemeinen auffasst, in der Weise, dass von den schon vorhandenen Kapillären dünne, anfangs solide Abzweigungen ausgehen, welche allmählich in dem Masse wie sie zuwachsen, ihr Lumen erhalten, entweder als Fortset- zung von dem Lumen der Mutterkapillar oder auf die Weise, dass in dem soliden Pro- toplasmastrang Vakuole entstehen, welche später in einander zerfliessen. (GorusEw, 1869 und Roucer, 1873). Die genannten Verzweigungen sind also protoplasmatische Ausläu- fer, ausgesandt von den Zellen der Gefässwände, anfangs vermissen sie meistens einen Zellenkern. Man sollte annehmen können, dass ein solcher Protoplasmaausläufer in dem jungen Knorpelgewebe bestimmend auf die Knorpelzellen einwirken sollte, mit wel- chen derselbe in Kontakt kommt, so dass diese Zellen sich bei ihrer Teilung in Ringe um den genannten Ausläufer ordnen würden und auf diese Weise dem Gefäss Gelegen- heit geben sich in den Knorpel einzubetten. . Ausserdem kann man besonders bei etwas älteren Stadien Gefässkanäle finden, welche blind endende Seitensprosse absenden. In diesen Sprossen läuft eine kapillare Gefässschlinge. Diese Seitensprossen werden allmählich immer länger, indem die ge- nannte Gefässschlinge sich in die Länge ausdehnt und wachsen so zu Gefässkanälen aus. Hierbei geschieht natürlich die stärkste Knorpelresorption am blinden Ende des genann- ten Sprosses, gerade dort wo die Grundsubstanz mit dem höchsten Punkt der Kapillar- schlinge in Berührung kommt. Wenn wir hier von der Resorption des Knorpels und dem Eindringen der Gefässe in die Grundsubstanz sprechen, müssen wir uns erinnern, dass es hier um das embryo- nale Knorpelgewebe handelt, in welchen die Zellen dicht an einander liegen und die Grundsubstanz weniger resistent ist. Wir haben jetzt noch zwei Fragen zu diskutieren, welche sich den letzterwähnten Erscheinungen beim Vascularisieren des Epiphysknorpels anschliessen, nämlich welche die resorbierenden, chondroklastischen Elemente sind und wie es mit den Knorpelzellen, welche auf oben angegebene Weise sich von dem Knorpel losmachen, geht. — Um in die erste Frage Klarheit bringen zu können, muss man den Inhalt eines Gefäskanals untersuchen, während er im Bilden begriffen ist. In den aller frühsten Stadien bei wel- chen das Vascularisieren des Knorpels beobachtet werden kann, sieht man, dass kapil- lüre. Gefässe in die Grundsubstanz eindringen und für sich Kanäle bilden, die sie gänz- lich ausfüllen, sodass sich die Kapillarwand dem umgebenden Knorpelgewebe direkt an- legen wird. (Fig. 4. B). Diese kapillären Gefässe können verhältnismässig tief im Tom. XLVIII, i i | : | i | E Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 69 Knorpel beobachtet werden. Es dürfte kaum einem Zweifel unterworfen sein, dass in diesen Fällen Intimazellen der Knorpelkapilläre als knorpelauflósende Elemente wirken, Eine solche Annahme scheint mir auch deshalb begründet zu sein, weil man schon früher eine ungefähr entsprechende Funktion kennt, die die Endothelzellen beim Lösen der Knochengewebe übernehmen können. Sonarrer (laut v. EnxEm, 1902, S. 673) hat nämlich bewiesen, wie die Endothelzellen der Kapilläre sich zu typischen Resorptionsor- ganen für das Knochengewebe, Osteoklasten, umgestalten können. Ausserdem kann man an einigen Stellen direkt beobachten, wie eine Endothelzelle sich gegen eine Knorpel- zellenkapsel legt, welche da, wo die Berührung mit der Endothelzelle erfolgt, äusserst -verdünnt ist. (Fig. 14 B). Diese ursprüngliche Anordnung scheint jedoch sehr bald zu verschwinden, denn in allen etwas älteren Stadien habe ich in den Blutgefässkanälen regelmässig ausser Blut- gefässen Zellen gefunden, welche den Zellen in dem embryonalen Bindegewebe vollkom- men zu entsprechen scheinen (Fig. 13 und 14 C). In älteren Stadien entwickeln diese Zelen Fibrillen, und das um die Blutgefásse herum befindliche Gewebe nimmt dann den Charakter eines lockeren fibrillären Bindegewebes an. In Städien, wo die oben beschrie- benen Bindegewebszellen in den Gefässkanälen genügend reichlich vertreten sind, tritt das Blutgefäss nicht mer in direkte Berührung mit dem Knorpel, der die Wand des Gefässkanals bildet, sondern werden diese Gefässe in der Regel von einer dünneren oder diekeren Bindegewebsschicht umgeben. Es dürfte ausgeschlossen sein, dass die Intima- zellen der Blutgefässe sodann noch irgend einen Einfluss auf den Knorpel in der Wand des Gefässkanals ausüben könnten, weshalb die knorpellösende Funktion übergehen muss auf die einzigen in dem genannten Kanal befindlichen und mit dem Knorpel in Berüh- rung stehenden Zellen, nämlich auf die Bindegewebszellen, welche die innere Wand des Gefässkanals bekleiden, falls auch die in ihren Höhlen in der Kanalwand befindlichen Knorpelzellen nicht selbst bei der erwähnten Auflösung mitwirken. Wenn man aber annimt, dass die Knorpelzellen hierbei irgend eine grössere Rolle spielen sollten, so müsste man die Auflösung und das Verschwinden der Knorpelgrundsubstanz zu aller erst in der nächsten Nähe der Knorpelzellen erwarten, was zu einer Vergrösserung der Höhlen der Knorpelzellen führen würde. Etwas derartiges kann doch nicht nachgewie- sen werden, weshalb den in der Grundsubstanz eingeschlossenen Knorpelzellen beim Auf- lösen der Grundsubstanz in jetzt berührtem Falle kaum eine grössere Bedeutung bei- gemessen werden kann. — Mit dem Vorhergehenden habe ich doch keinenfalls die Mög- lichkeit ganz und gar bestreiten wollen, dass auch diese Zellen beim Auflösen des Knor- pels mitwirken sollten. Im Gegenteil glaube ich die Vermutung aussprechen zu können, dass wenn die Höhle einer Knorpelzelle sich gegen den Gefässkanal öffnet und die Knorpelzelle, wie später beschrieben werden soll, seinen Ausläufer abschickt, welcher No 3, 70 Yrsö KAJAVA. später mit den Zellenausliufern in dem erwähnten Kanal in Berührung tritt, dieser Aus- läufer auch auf die Knorpellamelle, die er perforiert chondroklastisch wirkt. Der Vollständigkeit halber mag hier noch hervorgehoben werden, dass es sogar verhältnismässig weite Gefässkanale gibt, in denen die Gefässe so gruppiert sind, dass einzelne Kapilläre sich direkt gegen die Knorpelwand der Gefässkanäle legen (Fig. 16). In diesen Fällen können die Intimazellen der Kapilläre fortgesetzt als Chondroklasten fungieren. > Riesenzellen habe ich in den Gefässkanälen in den früheren Stadien nicht gefunden. Dagegen habe ich beobachtet, dass Gefässe, die von der Diaphyse durch die Ossifica- tionsgrenze zur Epiphyse dringen, sich mit Hülfe der genannten Zellen Weg im Knor-- pel bahnen, welche nicht selten in diesen ,perforierenden* Gefässkanälen angetroffen werden, besonders in deren vordringenden Enden. In einem Präparat, herstammend von der distalen Epiphyse der Basalphalange von Daumen eines drei Jahre alten Kindes, habe ich ebenfalls gefunden, dass eine Gewebsknospe, ein Blutgefäss enthaltend, von dem Pericondrium zu dem Epiphysknorpel gewachsen ist, so dass eine Anzahl von Riesen- zellen seinen Weg bahnten. Von der früheren Darstellung kommt man leicht zu der Auffassung, als ob es im- mer mit Ausnahme der durch die Ossificationsgrenze oder von dem Perichondrium ein- dringenden Gefässen nur Kapillàre wären, die sich in den Knorpel hineinsuchen. Das ist doch keineswegs der Fall. Im Gegenteil trifft man auch Gefässkanäle, die blind im Knorpel endigen und eine etwas stürkere Gefüssschlinge umgeben von Bindegewebszellen enthalten. Ein solcher Gefässkanal wächst weiter in dem Knorpel in demselben Masse, wie die erwähnte Gefässschlinge länger wird. Die Auflösung des Knorpels und die Bil- dung der Gefässkanäle geschieht hierbei in derselben Weise, wie oben beschrieben. Wir gehen jetzt auf die zweite von uns eben gestellte Frage betreffs des Schick- sals der befreiten Knorpelzellen über. Es ist schon früher angegeben worden, wie beim Zuwachsen des Gefässkanals die Grundsubstanz in der Wand des Gefässkanals allmäh- lich aufgelöst wird und die Hohlräume der Knorpelzellen sich in den genannten Kanal hinein öffnen. Gleichzeitig als dieses geschieht, nehmen die befreiten Knorpelzellen spindeförmige oder verzweigte Form an; man kann sehen wie ihre Protoplasmaausläufer sich aus ihrer eben geöffneten Knorpelhöhle ausstrecken und Anastomose mit den im Kanallumen . befindlichen, freien Zellen eingehen (Fig. 13). An anderen Stellen kann man alle denkbaren Übergangsformen zwischen den im Gefässkanal befindlichen Zellen und den erwähnten Zellen am nächsten liegenden Knorpelzellen finden, welche also allmählich die Form von Bindegewebszellen annehmen und anfangs sich in einer Reihe der Wand des Gefässkanals entlang ordnen (Fig. 14 C). Das im Gefässkanal befind- liche Bindegewebe dürfte sich also zum grossen. Teil, in gewissen Kanälen vielleicht Tom. XLVIII. in D : 3 ana Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 71 ausschliesslich, von den befreiten Knorpelzellen entwickeln. Dass dies der Fall sein muss wird auch dadurch bewiesen, dass die genannten Gefässkanäle anfangs nur eine Blutgefässkapilläre ohne irgend welche Bindegewebszellen enthalten. Da die in dieser Weise gefüllten Gefässkanäle lange Strecken im Knorpel laufen, wäre es schwer zu verstehen, wie diese langen schmalen Kanäle gleichzeitig, dass das Kanallumen sich aus- dehnt. so schnell ihr verhältnismässig zellenreiches Bindegewebe bekommen würden, wenn nicht die von der Wand des Kanals freigewordenen Knorpelzellen hierbei in An- spruch genommen werden würden. Entsprechende Veränderungen des Charakters der embryonalen Zellen sind an vielen anderen Stellen beobachtet worden. Das eben Gesagte gilt doch nicht gleich bestimmt für alle Gefässkanäle. Gefässe, welche durch die Verknöcherungsgrenze in den Epiphysknorpel eindringen, oder später aus dem Perichondrium einwachsen, und welchen von Anfang an Bindegewebe und Rie- senzellen folgen, führen eine grosse Mengen Bindegewebszellen aus dem Perichondrium oder aus der Markhöhle der Diaphyse mit sich. Diese principielle Verschiedenheit der beiden Arten von Gefässkanälen ist leichter zu verstehen, wenn man bedenkt, dass die zuerst beschriebenen Gefässe ursprünglich der Epiphysanlage gehören, wenn sie sich auch anfangs auf ihrer Oberfläche oder in ihrem oberflächlichen Lager befinden, wo da- gegen die zuletzt beschriebenen Gefässe von aussen in den erwähnten Knorpel hinein- gewachsen sind. Wir hatten früher Gelegenheit einen entsprechenden Unterschied zwi- schen den beiden Arten von Gefässen auch betreffs des Vorhandenseins von Riesenzel- len zu konstatieren. In diesem Zusammenhang kann ich nicht unterlassen eine Annahme zu erwähnen, die Bönm und Davivorr (1903 S. 81) in ihrem Lehrbuch der Histologie aussprechen, als sie die Ossification des Epiphysknorpels beschreiben. Die erwähnten Verfasser hal- ten es nämlich für möglich, wenn auch nicht bewiesen, dass bei diesem Prozess Gewebs- knospen (mit Blutgefässen) ähnlich denen die im Anfang des Ossifikationsprozesses aus dem Perichondrium in den Diaphysenknorpel hineinwachsen, in diesen Fällen auch aus der Diaphyse durch den Grenzknorpel der Epiphyse in diese hineinwachsen können. Meine oben beschriebenen Befunde scheinen mir bewiesen zu haben, dass die Annahme der genannten Verfasser vollkommen richtig ist. Auch die von Baıtveun (1911) konstatierte Eigentümlichkeit beim ersten Metatar- sal- und Metacarpalknochen, nämlich dass deren „distale Epiphyse stellenweise durch Spongiosa mit der Diaphyse zusammenhängt“ dürfte durch das Vorkommen der obener- wähnten Gewebsknospen ihre Erklärung finden. Diese oben in Kürze berührten Befunde stützen nicht die von Meyer (1849) aus- gesprochene, in einem früheren Zusammenhange erwähnte Auffassung, dass das Einwach- sen der Blutgefässe in den Knorpel nicht mit der Entwicklung der Gefässkanäle zusam- N:o 3. 72 VRTOKATASNK: menhängen sollte. Im Gegenteil sehen wir, dass beide diese Prozesse ganz parallel zu einander verlaufen. Es muss doch erwähnt werden, dass KLintz (1911) gefunden hat, dass der primäre Markraum der Salamandıa maculosa in den Diaphysen ganz unabhän- gig vom osteogenen Gewebe auftritt, indem derselbe durch den periostalen Knochen voll- ständig gegen das Periost hin abgeschlossen erscheint. Erst später treten an der Dia- physe Öffnungen auf, durch welche der Periost mit den Blutgefässen in den Markraum eindringen kann. Die oben diskutierte Resorption von Knorpeln in der Wand der Gefässkanäle kann nicht direkt mit der Umwandlung und dem Verschwinden des Knorpels beim Ossifica- tionsprozess verglichen werden; deshalb ist auch das Schicksal der Knorpelzellen in bei- den diesen Fällen verschieden. Ich beschränke mich hier nur darauf aufmerksam zu machen, wie das Knorpelgewebe in dem erwähnten Fall verkalkt und hypertrophiiert wobei die Knorpelzellen und ihre Höhlen in einer Weise verwandelt werden, die gar nicht an die beim Vascularisieren des Knorpels beobachteten Erscheinungen erinnert. Auf Grund alles diesen dürfen wir auch nicht erwarten, dass der spütere Schicksal der Knorpelzellen sich in beiden diesen Fällen gleich verhalten würden. — Die hier oben geschilderte Umwandlung von Knorpelzellen in Bindegewebszellen, welche zusammen mit Blutgefässen den Gefässkanal füllen, wird noch mehr dadurch gestützt, dass dieselben Zel- len sich später aufs neue zu Knorpelzellen entwickeln, wie wir im Folgenden sehen werden. 2. Die Gefässkanäle und die Blutgefässe im Knorpel. Wir haben im Vorhergehenden gesehen, wie sich die Blutgefässe Kanäle im Knor-. pel bilden und wie sich diese Kanäle allmählich vergrössern; uns bleibt noch übrig mit den Veränderungen bekannt zu werden, die diese Gefässkanäle in dem umgebenden Knorpelgewebe verursachen. — Schon in frühen Stadien kann man merken, wie sich der den Gefässkanälen am nächsten anschliessende Knorpel im Verhältnis zu diesen Kanä- len ordnet. Die Knorpelzellen bilden nämlich bald konzentrische Ringe um die erwähn- ten Kanäle, etwas an die Anordnung in den Haver'schen Lamellensystem erinnernd. Die Zellen in diesen Ringen sind schwach abgeplattet, so dass ihre eine flache Seite nach den Gefässkanälen zeigt. Meistens sieht man doch nur eine oder einige Reihen von in dieser Weise gebildeten Knorpelzellen die genannten Kanäle umgeben. — Trotz des oben erwähnten Vergleichs will ich mich keineswegs der Ansicht Morrier’s und Rowzrs über die Bedeutung der im Knorpel nachweisbaren Strukturgebilde als Vor- läufer entsprechender Gebilde im Knochen anschliessen. Im Gegenteil bin ich, wie SCHAFFER (1911) der Meinung, dass diese sowie auch gewisse andere von mir im embryo- Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 13 nalen Epiphys- einschl. Gelenkknorpel angetroffenen, regelmässig vorkommenden architek- tonischen Zellen- resp. Gewebsanordnungen von bestimmten Momenten beim Zuwachsen des Knorpels abhängig sind (, Wachstumsarchitektur“ Kassowrrz) oder verursacht von anderen mechanischen Momenten im Knorpel. Dass diese und nicht die Morrreg-Rowxr- sche Erklärung, wenigstens in dem jetzt vorliegenden Falle, richtig sein muss, wird deutlich dadurch bewiesen, dass ein Teil der Gefässe, von denen hier die Rede ist, nie in Knochengefässe umgewandelt werden, sondern später verschwinden. In der Grundsubstanz um die Gefässkanäle herum tritt eine, anfangs etwas undeut- liche fibrilläre Struktur hervor. Dieselbe färbt sich mit van Gresow's Pikrinsäure- Säurefuksin stärker rot als die Umgebung und mit der Methylenblau-X ylol-Methode treten hier — wie wir schon früher gesehen haben — zu aller erst die violett gefärbte interterritoreale Substanz auf (Fig. 15 u. 16). Laut Ranvıer (1875, S. 291) ist die Wand- partie der Gefässkanäle im Knorpel fester als das Gewebe im übrigen, und die Knorpel- zellen abgeplattet, sodass die genannte Wand dem oberflächlichen Teil des Knorpels so ziemlich ähnelt. — Obenerwühnte eigentümliche Färbbarkeit der Grundsubstanz um die Gefässkanäle im Knorpel wird u. a. schon von Rexaur (1887) hervorgehoben. Auch Sross (1918, S. 30) erwähnt, dass die Knorpelgrundsubstanz in der nächsten Nähe der Gefässkanäle im permanenten Knorpel der Processus spinosi beim Pferde eine ungleiche Färbbarkeit im Verhältnis zu der übrigen Grundsubstanz zeigt, in der Hinsicht nämlich, ° dass dieselbe mit der Hämatoxylinfärbung fast farblos wird, wo sie dagegen mit Säure- fuksin intensiv gefärbt wird. Eine gleiche Oxyfilie der Knorpelgrundsubstanz hat ScHAFFER (1911) unter dem Perichondrium beobachtet. Ebenso Lusoscn (1900, S. 259—260) in den oberflächlichen Teilen des Gelenkknorpels und Haxsex (1905, S. 575) sowohl unter dem Perichondrium als um die Gefässkanäle herum. Sross erklärt, dass dieselbe sowohl in der Nähe der Gefässkanäle als unter dem Perichondrium von der Durchsaftung des ‘Gewebes mit Lymphe abhängig ist. Auch Srpmko (1903) erklärt, dass das Entstehen von Fibrillen in der Nähe von Gefässkanälen auf das „Eindringen der Nahrungssäfte“ in der Grundsubstanz beruht. Lusosch (1910, S. 260) ist dagegen der Meinung, dass die Basophilie der Knorpelgrundsubstanz von der Funktion der Knorpelzellen abhängt und nimmt an, „dass die Acidophilie der Oberfläche (des Gelenkknorpels) auf eine modi- fizierte Tätigkeit der Knorpelzellen, auf eine „Stöhrung“ hindeutet“. Ich habe jedoch, wie schon erwähnt, die Beobachtung gemacht, dass die genannte verschiedenartige Farbe der in der Nähe des Gelenkknorpels befindlichen Grundsubstanz sich nicht immer bis an den Teil der Grundsubstanz, die unmittelbar den erwähnten Kanal begrenzt, streckt. Ausserdem ist diese verschieden gefärbte Zone nach aussen oft ganz scharf begrenzt. Beide diese Tatsachen sprechen schon in ihrem Masse gegen die von Sross gegebene Erklärung. Hierzu kommt noch, dass man in weiter vorgeschritte- N:o 3. 10 74 Yrsö KA3JAVA. nen Entwicklungsstadien äusserst deutlich das Vorhandensein von reichlichen, stark ge- färbten Fibrillen nachweisen kann, deren Vorkommen in diesen Stadien zum grossen Teil die intensive Farbe der fraglichen Zone bedingt. Zuletzt kann noch hinzugefügt werden, dass diese starke Färbbarkeit in der Grundsubstanz nahe den Gefässkanälen beobach- tet werden kann noch wenn die früher im Kanal verlaufenden Gefässe vollständig atro- phiert sind, ja sogar noch nachdem sich der Kanal mit einem jungen Knorpelgewebe gefüllt hat (Fig. 20 u. 24). Während dieser Zeit kann natürlich ein Lympbstrom vom Kanal nach der Grundsubstanz zu nicht mehr in Frage kommen. Auf Grund alles die- sen finde ich, dass die berührte Farbendifferenz in der Grundsubstanz in der Nähe der Gefässkanäle von tiefer gehenden anatomischen Verschiedenheiten in derselben verursacht wird, und zwar vor allem durch ein reichliches Vorhandensein von Fibrillen, und durch Mangel an den basophilen Knorpelkapseln und Zellenhöfen. Der letzterwähnte Umstand scheint nach meiner Auffassung zu beweisen, dass die Knorpelzellen an diesen Stellen temporär keine Fähigkeit besitzen neue Grundsubstanz zu bilden. Diese Fähigkeit kommt den erwähnten Zellen später zu, wenn der Gefässkanal geschlossen wird und seine stär- ker acidophile Hülse verschwindet, wie später beschrieben werden soll. Meine oben gegebene Erklärung stimmt mit der Auffassung Haxsew’s in dieser Frage vollkommen überein. Laut Hansen (1899, 1905) ist die Grundsubstanz des Knor- pels ein kollagenes Substrat durchdrängt von Chondroitinschwefelsäure; an einigen Stel- len, wie z. B. unter dem Perichondrium, auf der Oberfläche des Gelenkknorpels und in den Wänden der Knorpelkanäle vermehrt sich die kollagene Substanz im Verhältnis zur Chondroitinschwefelsäure und die Grundsubstanz wird acidophil. Die Chondroitinschwe- felsäure wird aber, wenn nicht ausschliesslich, so doch zum grössten Teil von Knorpelzel- len gebildet (Hansen, 1905, S. 698). — Der Vollständigkeit halber mag hier noch er- wähnt werden, dass Hansen (1905) die Vermutung ausspricht, dass die genannte Farben- verschiedenheit in irgend einem Zusammenhang mit der von SCHMIEDEBERG angenommenen Möglichkeit stehen würde, dess Chondroitinschwefelsäure fortwährend in den Knorpeln gebildet werde, aus diesen aber diffundiere, um zu irgend einem Zwecke im übrigen Gewebe des Organismus angewandt zu werden. Nach dieser Möglichkeit würde also — im Gegensatz zu der Annahme Sross’ — ein Flüssigkeitsstrom vom Knorpel hinaus zum Perichondrium oder den Gefässkanälen die acidophile Färbefähigkeit des am nächsten der oben erwähnten Teile liegenden Knorpels verursachen. Auch Wozrers (1891) will die gleichartige Struktur und Reaktion des Gewebes am nächsten unter dem Perichon- drium und in den Wänden der Gefässkanäle in Zusammenhang mit einem gleichartigen Flüssigkeitsstrom in beiden diesen Teilen des Knorpels stellen. In etwas älteren Stadien, wo die spindelförmigen und verzweigten Knorpelzellen in der Epiphyse vorherrschend sind, weichen die an die Gefässkanäle am nähesten angren- Tom. XLVIII. Beitrag zur. Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 75 zenden Zellen von den übrigen dadurch ab, dass sie der Form nach etwas mehr rund oder etwas in der Richtung des Kanals ausgedehnt sind und keine längere Ausläufer haben (Fig. 15 und 16). Sie sind auch anders lokalisiert im Verhältnis zu dem Gefäss- kanal als die letzterwähnten Zellen, nämlich so, dass während die spindelförmigen und verzweigten Zellen gewöhnlich in radiären Reihen mit dem Gefässkanal als Mittelpunkt geordnet sind, ordnen sich diese runden oder elliptischen Zellen konzentrisch um diesen Kanal herum. Auch Haxsex (1905, S. 690) erwähnt diese radiäre Anordnung der Knorpelzellen um die Gefässkanäle herum. Die Grundsubstanz in der Kanalwand ist reichlich und zeigt eine starke acidophile Färbbarkeit und eine fibrilläre Struktur. Diese stärker gefärbte Grundsubstanz bildet eine hülsenförmige Randzone für den Gefässkanal. Die obenerwähnten runden und ovalen Zellen sind gerade in dieser Randzone belegen. Von ihrer äusseren Fläche sendet diese Hülse in älteren Stadien kurze, radiär verlaufende intermidiäre Züge aus, in welchen ein reich- licheres Vorkommen von Fibrillen und aus diesem Grunde eine acidophile Färbfähigkeit konstatiert wird. Diese radiär verlaufenden Züge anastomosieren netzförmig mit einander und bilden oft noch eine andere Hülse etwas ausserhalb der Vorhergehenden. Auf Grund meiner Untersuchungen betreffs der Phänomene, die im Epiphysknorpel bei seinem Zuwachsen beobachtet werden, bin ich zu der Auffassung gekommen, dass die oben genannten spindelförmigen und verzweigten Zellen, auf deren nähere Beschrei- bung ich in diesem Zusammenhange nicht eingehe (vergl. darüber S. 28— 36), eine wichtige Rolle gerade bei dem erwähnten Zuwachsen spielen und vor allem da vortreten, wo der Zuwachs am lebhaftesten ist. Dass die Zellen in der nächsten Umgebung des Gefäss- kanals einen anderen Typus als diese spindelförmigen Zellen zeigen, dürfte beweisen, dass in diesen begrenzten Gebiet ein gleich intensiver Zuwachs wie sonst im Knorpel nicht vorkommt. Die hauptsächliche Aufgabe des am nächsten um das Kanallumen befind- lichen Knorpels scheint mir zu sein die Gefässkanäle und die darin befindlichen Gefässe vor dem inneren Druck zu schützen, der in dem wachsenden Knorpel herrschen muss. Diese funktionelle Eigentümlichkeit dürfte auch in ihrem Masse die sonderartige Anord- nung und Bau des Knorpelgewebes um die Gefässkanäle herum erklären. — Die spin- delfórmigen Zellen müssen aber mit ihren langen Ausläufern, welche oft mit einander direkt zusammenhängen, auch eine wichtige Rolle beim Einströmen der Nahrungssäfte in die Grundsubstanz spielen, wobei die radiäre Anordnung der erwähnten Zellen um die Gefässkanäle herum äusserst geeignet ist. In noch älteren Stadien findet man näher an der Verknócherungslinie Gefäss- kanäle, deren Wand nicht mehr von einem besonderen hülsenförmigen Lager mit seinen eigenartigen Zellen gebildet wird, und wo die umgebenden Zellen, welche nieht mehr den Charakter spindelförmiger oder verzweigter Zellen haben, alle in radiür verlaufenden N:o 3. 76 : Yrıö KAJAVYA. Reihen um den Gefässkanal herum geordnet sind. Diese Ungleichheit steht offenbar im Zusammenhang mit dem Ossifikationsprozess, zu welchem der Knorpel anfängt sich vor- zubereiten. Die Gefässe, welche ursprünglich in den eben beschriebenen Kanälen im Knorpel laufen, sind reine Kapilläre. Bei den eben gebildeten Kapillären ist das Lumen nicht besonders weit und die Intimazellen dieser Haargefässe grenzen ohne merkbares Zwischen- gewebe an den umgebenden Knorpel. Etwas später, wenn sich der Gefässkanal in oben beschriebener Weise ausdehnt, werden diese kapillären Gefässe von einem sehr lockeren Zellengewebe umgeben. Die Zellen in diesem Gewebe sind verzweigt und hängen mit einander mittels ihrer langen protoplasmatischen Ausläufern zusammen. (Fig. 13 und 16.) Dieses zellenreiche perivasculäre Gewebe nennt Raxvizg (1875) Knorpelmark und gibt an, dass dasselbe aus sowohl Bindegewebszellen wie aus Lymphzellen besteht. Nach meinen Befunden gleicht dasselbe anfangs vollständig dem embryonalen Bindegewebe. Im Anfang kommen in diesem embryonalen Bindegewebe keine Fibrillen vor. Man kann auch nicht merken, dass seine Zellen in irgend einer Weise die Endothelróhre der Ka- pilläre als Verstärkung umschliessen würden. Schon früh, wenn sich das Lumen des Gefüsskanals etwas ausgedehnt hat, treten in demselben mehrere Kapillire hervor, wel- che im übrigen sich vollkommen gleich verhalten, wie die eben beschriebenen Kapilläre. Während der darauf folgenden Entwicklungsstadien dehnen sich die Gefässkanäle all- mählich aus und in demselben Masse werden die in demselben verlaufenden Lumen der Kapilläre ausgedehnt, sodass man in recht kurzer Zeit (in der Humerusepiphyse eines 7 cm langen Menschenembryos) sehen kann, wie besonders weite Kapilläre und ein nicht allzu reichliches Bindegewebe die erwähnten Gefässkanäle füllen. Aber nicht einmal dann kann man eine typische Anordnung des perivasculären Bindegewebes beobachten. — Die Knorpelzellen sind in der Epiphyse in diesen Stadien durchweg abgerundet (oder polyedrisch), typische spindelförmige oder verzweite Zellen, wie man sie in etwas spä- teren Stadien antrifft, gibt es noch nicht in dem genannten Knorpel. Sobald die letzter- wähnten Zellenformen auftreten verändert sich auch der Charakter des perivaculären Bindegewebes in den Gefässkanälen. Die Gefässe sind noch immer Kapilläre, aber das umgebende Bindegewebe ist nicht mehr so locker, wie in den vorhergehenden Stadien. Ausserdem ordnet es sich -so, dass die Längenachse der Zellen einigermassen mit der Längenrichtung sowohl der Blutgefässe wie auch der Gefässkanäle zusammenfällt; aber einen näheren Anschluss an die Oberfläche der Gefässe zeigt dieses Bindegewebe nicht. Gleichzeitig treten in den peripheren Teilen der Gefässkanäle zwischen den oben er- wähnten Bindegewebszellen kollagene Fibrillen auf, welche man an die Knorpelwand der Gefässkanäle folgen kann, wo die Fibrillen ohne irgend eine Grenze in die Fibrillen übergehen, welche, wie schon früher nachgewiesen, in der Grundsubstanz des Knorpels Tom. XLVIIL. TE NE ER WE ar 757 A ! 4 | Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 77 um den Gefüsskanal laufen und zu dessen stärkere Färbbarkeit beitragen. Ein direk- ter Zusammenhang zwischen Fibrillen im Knorpel und den Bindegewebsfibrillen, welche auf der Oberfläche des Knorpels laufen, ist schon früher u. a. von VAN DER STRICHT (1887, 1890, S. 27), Sproxck (1887), Mörser (1887) und Srupsıcka (1903) beschrie- ben worden. Ebenfalls haben Ranvıer (1875), Luroscx (1908) und Andere Binde- gewebszüge der Sehne oder der Ligamente in den Knorpel hinein fortsetzen sehen. Laut SCHNEIDER (1908, S. 497) sind die Fibrillen des Knorpels „durchaus identisch mit denen des anliegenden Bindegewebes, in welche sie auch direkt übergehen“; ebenso beschreiben Bóux und Daviorr (1903, S. 70), wie die Bindegewebszüge des Perichondriums in die Grundsubstanz des Knorpels übergehen und in derselben verschwinden. Gleichzeitig dass die obenerwühnten Bindegewebszüge auftreten, merkt man in ein- zelnen Kanälen Gefässe, deren Wände nicht nur von Gefässendothel gebildet werden, sondern auch von ausserhalb derselben liegenden, quergestellten, glatten Muskelzellen. Dieses geschieht schon in der Humerusepiphyse eines 12 cm langen Menschenembryos. Das Gefässlumen in diesen kleinen praekapillären Arteren ist sehr klein. Was das Vor- kommen und die Lokalisation der erwähnten kleinen Arteren betrifft, ist zu merken, dass in einem Gefässkanal nicht mehr als eine solche Artere nachgewiesen werden kann und dass dieselbe in der Nähe der Mitte von dem Gefässkanal liegt und vermittels Binde- gewebe von den in demselben Gefässkanal befindlichen Kapillären getrennt ist. Von den letztgenannten Gefässen sind einige äusserst fein, andere dagegen recht weit. Die wei- ten Gefässe entsprechen den Satellatvenen der fraglichen Artere, wenn sie sich auch ihrer Struktur nach nicht wesentlich von den Kapillären unterscheiden (Fig. 15). Auch diese sind oft näher der Mitte der Gefässkanäle belegen, wogegen die kleinen Kapilläre ein Netz in der Peripherie des erwähnten Gefässkanals bilden, also um die eben beschrie- benen Gefässe herum. Einzelne kleine Kapilläre trifft man ausserdem hier und dort im Knorpelgewebe am nächsten um die Gefässkanäle herum (Fig. 16). Die Bedeutung von diesem in dem peripheren Teil des Gefässkanals befindlichen Kapillärnetze für die Nutri- tion des Knorpels ist ohne weiteres so klar, dass ich mich nicht länger bei der Frage der Zweckmässigkeit dieser Anordnung aufzuhalten brauche. Wir kommen jetzt zur Beschreibung der Gefässe, die den Höhepunkt ihrer Ent- wicklung erreicht haben (Fig. 15 u. 18). Auch nicht bei ihnen können eigentliche Venen nachgewiesen werden, dieselben sind, wie in den vorhergehenden Stadien, nach demselben Princip wie die Kapillären gebaut; nur ihre beträchtliche Weite im Verhält- nis zu den viel schmäleren eigentlichen Kapillären macht es uns möglich sie als Haupt- banen für den zentripetalen Blutstrom in dem fraglichen Knorpel zu erkennen. Die in den peripheren Teilen der Gefässkanäle vorkommenden Kapillären sind in diesen Stadien sehr reichlich, Es gibt Kanäle, wo bis zu zehn und mehr einzelne Kapillären vorkom- N:o 3. 78 YnJó60 KAJAYA. men. Die Kapilliren laufen gewöhnlich — wie auch die stärkeren Gefässe — in der Richtung der Gefässkanäle, man findet aber auch nicht selten querlaufende kapilläre Gefässe, welche Anastomosen bilden, so dass ein Kapillarnetz in der Peripherie des Ge- fässkanals entsteht. Die Artere aber, die man in den Gefässkanälen während dieser Entwicklungsperiode antrifft, sind bedeutend stärker als in den vorhergehenden Fällen. Ihre Wand wird nämlich von einem Endothelrohr gebildet, darauf folgt eine nicht allzu dicke Schicht von zirkulär verlaufenden, glatten Muskelzellen, an deren äussere Fläche sich der Längen- richtung nach Bindegewebszellen und -Fäden anschliessen. In der Wand von etwas grösseren Arteren kann mit einer speciellen Elastinfärbung (Weiserr’s Resorcinfuksin oder Orceinfürbung nach Unna) eine deutliche Elastica interna nachgewiesen werden. In den grösseren Arteren trifft man ausser diesen elastischen Schicht spärlich elastisches Gewebe hier und dort zwischen den glatten Muskelzellen. Im übrigen kommt das ela- stische Gewebe in den Gefässkanälen äusserst spärlich vor; in den kleineren Kanälen kann dasselbe überhaupt nicht nachgewiesen werden. Dagegen gibt es einzelne elastische Fäden in den grösseren Kanälen. Diese Fäden ordnen sich gewöhnlich so, dass sie am reichlichsten in der unmittelbaren Nähe der Gefässe, hauptsächlich der Arteren und der Venen, vorkommen. 3. Das Verschwinden der Blutgefässe und der Gefässkanäle. In dem Vorhergehenden haben wir gesehen, wie der Epiphysknorpel sich mit Blut- gefässen versah und wie diese Gefässe allmählich immer stärker wurden. Während die- ses geschah, war die Entwicklung des Skelettsystems so weit gediehen, dass die Epiphyse schon einen verhältnismässig grossen Knochenkern zeigte. Ein Teil der im Epiphysknor- pel vorkommenden Gefässe führt dann Nahrung zum Knochenkern der Epiphyse, einen anderen Teil trifft man sowohl im Grenzknorpel der Epiphyse als auch in dem werden- den Gelenkknorpel. Uns interessieren in diesem Zusammenhang die letzt erwähnten Gefässe, zu deren näheren Beschreibung wir jetzt übergehen. Die Gefässe des Gelenkknorpels werden während der späteren Hälfte der Ent- wicklungsperiode des Knorpels hauptsächlich aus dem Knochenkern der Epiphyse aus- gesandt. Ein geringer Teil streckt sich von der Anheftungsstelle der Gelenkkapsel bis zum Knorpel. Die letzterwähnten Gefässe bleiben doch hauptsächlich in den oberfläch- lichen, peripheren Teilen des Gelenkknorpels. Die erstgenannten Gefässe dagegen lau- fen, nachdem sie die Ossificationsgrenze überschritten haben, fast senkrecht zur Gelenk- fläche, in den kugelrunden Gelenkköpfen (wie z. B. Caput humeri) also. radiär vom Tom. XLVIIL EUNTES WE ET ab. Tan a P i s MA a a Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 79 Knochenkern, und verzweigen sich im Knorpel. Sie erreichen nicht ganz seinen ober- flächlichen Teil, sondern bleiben ein Stück unter der Gelenkfläche. Sie sind ihrer Struk- tur nach gleich den schon beschriebenen Gefässen. — Sobald der Ossificationsprozess eine gewisse Ausdehnung erreicht hat und der werdende Gelenkknorpel in eine dünnere Knorpelscheibe umwandelt worden ist, sieht man jedoch, dass einzelne Gefässe zu ver- schwinden anfangen, und je weiter die Entwicklung fortschreitet, atrophieren und ver- schwinden diese Gefässe bis wir in dem voll entwickelten Gelenkknorpel keine Blutgefässe mehr finden, abgesehen von den unter der Anheftungsstelle des Gelenkkapsels befind- lichen von Hunter, ÖRUVEILHIER (1824), ToynBEE (1871), Revuer und Huerer (1886) beschriebenen Gefässen, welche von den Gefässen der Kapsel herstammen und unter sich bogenfórmige Anastomosen bilden (Circulus articuli vasculosus Huxterr). Diese Gefässe, die die letzten Reste der oben beschriebenen, von den Kapselgefässen ausgehenden Knor- pelgefässen bilden, senden aber keine Zweige mehr in den voll entwickelten Gelenkknorpel. Es liegt in der Natur der Sache, dass die obenerwähnte Gefässatrophie zuerst in den feinsten Gefässkanälen wahrgenommen werden kann, welche rein kapilläre Blut- gefässe enthalten. In diesen Kanälen sieht man, am frühesten in den tiefsten Teilen des Knorpels, dass sich das Lumen der Kapilläre vermindert und ganz und gar schliesst; gleichzeitig nimmt die Menge der Bindegewebszellen zu, so dass man Gefässkanäle antrifft, welche ganz von dicht an einander sitzenden Zellen gefüllt sind. (Fig. 17 A und B.) Aber auch in der interzelluliren Substanz kann man Veründerungen konsta- tieren, indem dieselbe so zu sagen dichter und fester wird. Etwas spáter merkt man deutlich, wie die Bindegewebszellen welche den Gefässkanal füllen, eine mehr abgerun- dete Form annehmen und sich so wie die Zellen im Knorpel ordnen, wonach eine Bil- dung von Knorpelgrundsubstanz beginnt (Fig. 17 C). Der neugebildete Knorpel, der durch eine Färbung nach der Methylenblau-Xylol-Methode eine hell blaugrüne Farbe annimmt, füllt dann die früheren kleinen Gefässkanäle, welche dann noch leicht zu er- kennen sind. Aber nach einer Zeit verschwinden sie ganz und gar, wenn der Knorpel in ihnen denselben Charakter wie in der Umgebung angenommen hat. Von den kleinen Gefässkanälen schreitet der Atrophierungsprozess allmählich zu den grösseren fort. In diesen Gefässkanälen scheint aber der genannte Prozess etwas anders zu verlaufen. Während die Gefässe in den kleinen Kanälen ganz und gar ver- schwanden, bevor die Knorpelneubildung im Kanal, wenigstens in grósserer Ausdehnung, begann, fängt in diesen weiten Kanälen eine Knorpelbildung an schon bevor die Gefässe atrophiert sind. Diese Knorpelneubildung wird zuerst in den peripheren Teilen der Kanäle beobachtet (Fig. 18). Zellen, welche am nächsten an der Knorpelwand der Kanäle liegen, zeigen dann dieselben Veränderungen, wie wir sie früher in den kleinen Gefässkanälen sahen, gleichzeitig dass ihre Intercellularsubstanz Eigenschaften annimmt, N:o 3. 80 Yrıö Kıasava. welche der Grundsubstanz in dem embryonalen Knorpel entsprechen. Diese neugebildete Knorpelschicht adheriert stark bei dem älteren Knorpel, der früher die innere Fläche der Gefässkanäle bildete, so dass derselbe in den Schnitten bestehen bleibt, wenn auch der übrige Inhalt der Gefässkanäle (wie oft mit Gefrierschnitten der Fall ist) fortfällt. — Busxorr (1868) gibt an, dass er im Knorpel bei Tieren, die das Mittelalter über- schritten haben, aber in selteren Fällen auch bei jungen Tieren, Blutgefässe gefunden hat, deren Adventitia zum grossen Teil aus Knorpel bestand. In einigen Fällen konnte er Knorpelzellen sogar im Muscularis nachweisen. Wie schon beschrieben meinte Busxorr, dass Knorpel regelmässig mit Gefässen versehen war und deshalb sah er nicht die Bedeutung von dem Knorpel, den er in den Gefässkanälen um die Blut- gefässe herum fand, ein. Die von Busxorr beobachteten Gefässkanäle sind nämlich aller Wahrscheinlichkeit nach Kanäle gewesen, wo die Atresie in von mir oben beschrie- bener Weise in Entwicklung gewesen ist. Gleichzeitig dass die oben beschriebenen Veränderungen beobachtet werden, fangen auch die Blutgefüsse in den letzterwähnten Kanälen an atrophiert zu werden, und ihr Platz wird von Bindegewebe gefüllt. Zuletzt trifft man in Gefässkanälen, welche sich zu ihrem definitiven Verschwinden vorbereiten, nur einzelne, unregelmässig zusammen- gedrückte grössere Gefässe und kleine Kapillären (Fig. 19), aber in kurzer Zeit sind auch diese verschwunden, und man findet den ganzen ursprünglichen Gefässkanal teils mit neugebildtem Knorpel teils mit Bindgewebe gefüllt. Allmählich verändert sich ein Teil der Zellen in diesem Bindgewebe, so dass sie ihre protoplasmatischen Ausläufer einziehen und eine ovale oder runde Form annehmen, während andere ihre spindelige oder verzweigte Form weiter beibehalten. Die abgerundeten Zellen treten von ihrer Umgebung bald schärfer abgegrenzt auf und gleichen in dieser Beziehung Knorpelzellen (Fig. 19). Gleichzeitig oder etwas später kann man Veränderungen in der diese Zellen nächst umgebenden Grundsubstanz beobachten; sie färbt sich jetzt in derselben Weise wie die Grundsubstanz des embryonalen Knorpels oder wie die um die Knorpelzellen in dem älteren Knorpel befindliche Kapsel, nimmt also mit der oben beschriebenen Methy- lenblau-Xylol-Methode eine anfangs schwach gelbgrüne, später eine gelblich blaugrüne Farbe an. Zu Anfang treten diese Zellen nebst die dieselbe umgebende junge Knorpel- grundsubstanz in Form von isolierten Inseln in den umgebenden Bindegewebe auf; spä- ter fliessen aber diese Inseln mit benachbarten ähnlichen Inseln zusammen. — Ebenso isolierte Knorpelzellen beschreibt und zeichnet Srupxiéka (1897 Taf. XXX Fig. 15 und 1903 S. 487—95). Er hat sie in verhältnismässig seltenen Fällen, wie in der fibrósen Chordascheide bei Selachier und Dipnoer und in den Perichondrien einiger Knorpel- gefunden. Er schreibt ihnen die Bedeutung von „in Knorpelzellen umgewandelten Binde- gewebszellen* zu. — Tom. XLVIII. Ede nib se doc i o nanas cenis Re de de à de de Mu di Fabi Y; nns Ult LA CM a 77 n Ca eb Pri Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 81 Allmählich vermehrt sich die Zahl dieser Zellen und die Knorpelgrundsubstanz um dieselben herum. In einigen Gefässkanälen geschieht die Zellenneubildung so schnell, dass die Knorpelzellen sich in Reihen ordnen, ungefähr wie in der Nähe der Ossifica- tionsgrenze (Fig. 23). Diese Reihen laufen dann von der Peripherie des Kanals unge- fähr in Richtung der Radien gegen das Zentrum des Kanals hin. — Der in dieser Weise gebildete neue Knorpel füllt in kurzer Zeit den ganzen Gefässkanal, welcher dann in den Präparaten, gefärbt nach der Methylenblau-Xylol-Methode als ein gelblich grün- blauer Fleck vortritt, umgeben von einem stärker rotvioletten Ring, der Wand des frü- heren Gefüsskanals. Die in dieser Grundsubstanz befindlichen jungen Knorpelzellen teilen sich später so, dass sie unter sich Gruppen bilden, nach art der umgebenden Knorpel- zellen. In dieser Weise verwandelt sich der Inhalt des Gefässkanals im Knorpel (Fig. 20). Dieser eben beschriebene Knorpelbildungsprozess gleicht in ganz überraschender Weise einer entsprechenden Knorpelneubildung in Knorpelwunden. Laut MARScHAND'S (1901) Untersuchungen wird die Knorpelwunde anfangs mit fibrillärem Bindegewebe gefüllt. In nächster Nähe der abgerundeten Zellen dieses Bindegewebes tritt zuerst die basophil färbbare Grundsubstanz auf, gleichzeitig werden die Zellen in Knorpelzellen umgewandelt und die Grundsubstanz nimmt die Form von hyaliner Grundsubstanz an. Alle Bindegewebszellen des ehemaligen Gefässkanals scheinen sich doch nicht in Knor- pelzellen umzuwandeln, denn die Zahl von Knorpelzellen ist im soeben mit Knorpel ge- füllten Gefásskanal viel kleiner als die Zahl von Bindegewebszellen in einem ebenso weiten Kanal. Ein Teil dieser Zellen muss also in irgend einer Weise verschwinden. | Wie diese Reduction der Zellenanzahl geschieht ist mir nicht genügend bekannt. Es sieht jedoch so aus als ob die Zellen, welche nach dem Verschwinden der Blutgefässe ihren Fibroblastcharakter im Gefässkanal beibehalten, später verschwinden würden, wäh- rend dagegen Zellen, welche da den Charakter von Knorpelzellen annahmen, sich weiter vermehren. Beim Beurteilen des Schicksals der fraglichen Zellen muss noch ein Umstand be- _ dacht werden. Mehrere frühere Forscher (Braze 1862, Spina 1879, Czermacx 1888, Hansen 1899, 1905, ScHAFFER 1896, 1901, 1903, Srunxiéka 1903) haben im Knorpel Zellen beobachtet, welche ganz und gar in Grundsubstanz verwandelt werden. Diese Zellen bilden im Vorknorpel eine besondere Zellenart, Scharrer’s „Intercalarzellen“. Sie kommen nur „im sich eben bildenden Knorpelgewebe vor, im einmal fertigen Hyalin- knorpel fehlen sie. Doch es hört hier die Umbildung der Zellen in der Grundsubstanz nicht auf. Der -Unterschied ist dabei, dass es hier im entwickelten Knorpel schon keine besondere Art von Zellen gibt, die da in der Grundsubstanz, um so zu sagen, zu Grunde gehen würden; es sind das ganz gewöhnlich, von den übrigen sich nicht unterscheidende N:o 3. 11 82 YrIÔ KAJAVA. Knorpelzellen, die jetzt auf die angegebene Weise zur Vermehrung der Knorpelgrund- substanz beitragen“ (Srupxıcka 1903, S. 325). Ausserdem ist von mehreren Seiten die nahe Verwandtschaft erwähnt worden, die zwischen den Bindegewebszellen und den Knor- pelzellen existiert. Es liesse sich denken, dass hier ein oben in Kürze beschriebenes Phänomen vorliege und zu dem so schnell vorsichgehenden Füllen des Gefässkanals mit Knorpelgewebe beitrüge, während gleichzeitig die Verminderung der Zellenanzahl vor sich ginge. Diesbezügliche Observationen über die in die Grundsubstanz aufgehenden Zellen habe ich sogar machen Können. Da aber die allmähliche Umwandlung der Zellen voll- kommen einer entsprechenden Umwandlung der Knorpelzellen in der Umgebung der aci- dophilen Hülse des Gefässkanals entspricht, begnüge ich mich hier mit einem Hinweis auf die diesbezügliche Beschreibung auf den Seiten 84—85 und Fig. 25. Aus dem Gesagten geht hervor, dass die Zellen, welche sich in dem perivasculüren Gewebe in allen den Kanälen befinden, wo durch die Ossificationsgrenze oder das Peri- chondrium perforierende Gefässe laufen, teils von den bei der Entwicklung der Gefäss- kanäle freigewordenen Knorpelzellen herrühren, teils von Zellen, welche das perforie- rende Gefäss begleiten. — Es liegt nahe zur Hand anzunehmen, dass beim Schliessen der Gefässkanäle die ursprünglich von den Knorpelzellen herstammenden Zellen wieder die Form von Knorpelzellen annehmen, wo dagegen die von aussen in die Gefässkanäle eingeführten Bindegewebszellen verloren gehen. Eine solche Umbildung von Bindegewebe in Knorpel, wie oben beschrieben, ist keineswegs eine neue Entdeckung. Es war Koeruıker (1889, S. 110) der zuerst nach- wies, dass bei Fischen eine Art von Bindegewebe mit kleinen Zellen sich in Hyalin- knorpel umbilden konnte, und später haben Hasse, Srupniéka (1897) u. a. die Richtig- keit dieser Beobachtung konstatiert. Aber schon vor diesen Verfassern hat Bozuw (1868, S. 10) auf Grund der Untersuchung Hvrrer’s die Vermutung ausgesprochen, dass in den peripheren Teilen des Gelenkknorpels ein appositioneller Zuwachs des Knorpels in der Weise geschieht, dass die Bindegewebszellen der Synovialhaut direkt in Knorpelzel- len umgebildet werden. Das Knorpelgewebe gehört ja wie auch das Bindegewebe zur Gruppe der Stützgewebe und ist seinem Auftreten nach jünger als das Bindegewebe. Nach Scmarrgeg (1901, S. 232) und Srupniéka (1903, S. 110) kann Knorpel immer und an allen Stellen durch einen dazu geeigneten Reiz aus dem Bindegewebe entstehen. Lusoscu (1910, S. 299) hat gefunden, dass Chondromukoid sogar mitten in dem echten fibrillären Bindegewebe weit von dem Knorpel auftreten kann, so z. D. in vielen Me- nisci, Ligamenta interarticularia und Labra glenoidalia, wo die genannte Substanz sich um die mit Ausläufern versehenen Zellen und zwischen die Fibrillenbündel drängt. Laut dem letzterwähnten Verfasser kann „das Knorpelgewebe zu jeder Zeit des individuellen Tom. XLVIII. INTERNER ^) fe P e qt ng is Sys . Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 83 Lebens an beliebigen Stellen des Bindegewebes einen Zuwachs erfahren. Man befindet sich dem Knorpelgewebe gegenüber also in ganz ähnlicher Lage wie gegenüber dem Fettgewebe“ (S. 304). Bindegewebsfibrillen und -Fäden, welche auch im Gefässkanal vorkommen, können, nach dem Verschwinden der Gefüsse, anfangs stärker gefärbt gesehen werden umgeben von jungen Knorpelzellen und basophiler Grundsubstanz, aber allmählich vertonen sie, wie auch die Wandpartie der Gefässkanäle, in demselben Masse wie die basophile Grund- substanz zwischen dieselben dringt (Fig. 21). Wir können uns also über dieses Phäno- men kurz in folgender Weise ‘äussern. Die Bindegewebsfibrillen werden von der jungen Knorpelgrundsubstanz immer in dem früheren Gefässkanal umfasst und in der interterri- torealen Substanz des Knorpels oder in Hawwan's intermediäre Züge einverleibt. Gleich- zeitig entwickeln sich neue Grundsubstanz und Knorpelfibrillen, und so verschwindet die Ungleichheit zwischen diesem jungen Knorpel und dem älteren Knorpel um den Gefäss- kanal herum. In allen Gefässkanälen, hauptsächlich in den grösseren, verläuft dieser Prozess aber nicht ebenso einfach. Oft sieht man nämlich in der Mitte solcher grossen Gefässkanäle, die schon mit jungem Knorpelgewebe gefüllt sind, einen stark acidophilen „Kern“ um- geben von basophiler Substanz (Fig. 22). Analysiert man diesen Kern näher, so findet man in demselben oft sehr dicht sitzende, hauptsächlich um die Mitte des achsialen Kerns zirkulär angeordnete Fibrillen, zwischen welchen hier und dort eine bläuliche basophile Grundsubstanz hervorschimmert. Aber ausser diesen feinen Fibrillen findet man in ihnen auch grössere, unregelmässige, stark acidophile Flocken oder Klumpen. Diese Klumpen sind anscheinend amorphes Kollagen, gebildet von den kollagenen Fibrillen des (Gefäss- kanals. Laut Hansen (1905, S. 709) kann man nämlich speziell im Knorpel sehen, dass u. a. „nicht nur ,Albumoid*, Elastine, Kollagene u. s. w. sich in und aus mehr amorphen und undifferentiierten Grundlagen entwickeln und differentiieren können, son- dern dass auch der umgekehrte Prozess eintreten kann, indem indifferente Albumoidstoffe sich auflösen oder eine Metamorphose in amorphe, eventuell tiefer stehende Grundsub- stanz z. B. in Chondroumkoid erleiden können, oder auch z. B. Bindegewebsfibrillen in korniges Albumoid umgewandelt werden u. s. w. Das Amorphe wird differentiiert und das Differentiierte wird amorph um eventuell wieder differentiiert zu werden. Zum Teil gilt dies sowohl von den Zellen als auch von den Grundsubstanzen*. — So weit HANSEN, und tatsächlich haben wir auch früher — ausser den hier zuletzt in Frage stehenden die Bindegewebsfibrillen betreffenden Phänomenen — konstatieren können, gerade bei der Bildung und Rückbildung von Gefässkanälen im Knorpel, wie auch die Zellen ihr Aus- sehen und ihren Charakter so verändern konnten, dass eine Knorpelzelle Bindegewebs- N:o 3. SÅ Le Rita: à EN EI ac. s arr 84 YrI6 KAJAY A. , zelle wurde und diese wieder Knorpelzelle — oder sich sogar ganz und gar in Knorpel- grundsubstanz umwandelte. Manchmal geschieht es, dass wenn ein grösserer Gefässkanal mit Knorpel gefüllt wird, ein Teil von den im Kanal befindlichen Bindegewebsfibrillen mit einander zu Bün- del vereinigt werden. Diese Bündel können dann eine Zeit zwischen den Knorpelzellen beobachtet werden, ungefähr wie Srupniéka (1906) es gefunden und abgebildet hat (Fig. 3) bei Petromyzon. Aber bald verschwinden auch diese Bündel. Auch die kräftig rotviolette Wand des Gefässkanals (gefärbt nach der Methylen- blau-Xylol-Methode) ebnet sich allmählich. Dieses geschieht in derselbe Weise wie das Verschwinden der Fibrillen drinnen im Gefässkanal. Während dieses geschieht umgeben sich die in der acidophilen Wand des Gefässkanals befindlichen, früher beschriebenen, runden oder abgeplatteten Knorpelzellen mit einem stärkeren Zellenhof, wodurch die rot- violetten Fibrillenbündel von einander getrennt werden und allmählich in gewöhnliche In- terterritorealsubstans (intermediäre Zügen) umgebildet werden — und so ist auch die letzte Spur des früheren Gefässkanals verschwunden. Dieser Umwandlungsprozess erinnert sehr an die Verknorpelung der fibrillären Chor- dascheide bei Selachier und Dipnoer, wie Srupxicka (1903, S. 506—509) denselben beschreibt, doch mit dem Unterschied, dass in der hier berührten Kanalwand von An- fang an Knorpelzellen und Hyalingrundsubstanz vorkommen, welche man dagegen bei der Chordascheide vermisst. Bevor wir die Frage der Atresie der Gefässkanäle fallen lassen, bleibt uns noch übrig mit einigen Worten die Veränderungen zu berühren, welche im Knorpel gleich ausserhalb der letzterwähnten acidophilen hülsenförmigen Kanalwand in der Nähe von mittelgrossen und grossen Gefässkanälen beobachtet werden. Gleichzeitig dass die atre- tischen Prozesse im Gefässkanal beobachtet werden, geht auch eine Veränderung in dem soeben erwähnten Teile des Knorpels vor (Fig. 24). Die genannten Veränderungen be- stehen darin, dass die basophile Grundsubstanz sich sehr stark vermehrt in einer Zone, die in Form einer anderen Hülse die früher erwähnte acidophile hülsenförmige Wand- partie des Gefässkanals umgibt. Die Vermehrung der basophilen Grundsubstanz an die- ser Stelle geschieht zum Teil auf Grund einer vermehrten Zellenfunktion. Man findet nämlich hier viele Zellen von einem kräftig entwickelten Zellenhof umgeben. Ausser- dem findet man aber in dieser basophilen Grundsubstanz Zellen, welche ohne merkbaren Zellenhof oder Knorpelkapsel, so zu sagen in derselben zu schwimmen scheinen. Das Protoplasma dieser Zellen färbt sich ganz ebenso wie die umgebende Grundsubstanz, und nur die feine Granulierung des Protoplasmas ermöglicht es uns die Konturen und Be- grenzung fraglicher Zellen gegen die umgebende Grundsubstanz im allgemeinen zu unter- scheiden. Zusammen mit diesen in allen Fällen leichter erkennbaren Zellen finden wir Tom. XLVIII. « Eis u ea v» 257 EN e. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 85 in der erwähnten Grundsubstanz auch Zellen, deren Protoplasmagranulierung viel schwe- rer zu beobachten ist oder wo die erwähnte Granulierung nur auf der einen Seite des Kerns vorkommt oder wo gar keine solche Granulierung unterscheidet werden kann (Fig. 25). Von solchen Zellen sind nur die Kerne sichtbar. — Ich habe bis jetzt nur von dem Protoplasma der fraglichen Zellen und seinen successiv auf einander folgenden Stadien gesprochen. Aber auch in den Kernen trifft man bei diesen Zellen leicht be- merkbare Eigentümlichkeiten. Die Kerne lassen nämlich keine Kernstruktur unterschei- den, sie sind oft kleiner als gewöhnlich und unregelmässig konturiert. Auch was die Kerne betrifft findet man verschieden weit gegangene Entwicklungsstadien. Alle diese Beobachtungen sprechen stark für die Annahme, dass hier ein Teil der Knorpelzellen in Grundsubstanz umgewandelt wird, wie mehrere frühere Forscher (vergl. S. 31) beobach- tet haben. Weshalb diese Zellreduction und reichliche Neubildung von junger Grundsubstanz gerade in der Umgebung von den mittelgrossen und grossen Gefässkanälen geschieht, dürfte nicht schwer zu verstehen sein, besonders da dieses gleichzeitig mit den atre- tischen Prozessen drinnen im .Gefässkanal geschieht. Die junge Knorpelsubstanz ist fügsamer und ermöglicht Verschiebungen, die Zustande kommen teils durch das Füllen des Gefässkanals mit Knorpelgewebe, teils durch die „Sprengung“ der acidophilen Ka- nalwand. | Auf Grund seiner Knorpeluntersuchungen kam Tirrmans (1877, S. 19), wie schon früher erwühnt, zu der Schlussfolgerung, dass die am fetalen Knorpel vorhandenen Gefässbahnen später allmählich mit dem zunehmenden Gehalt an mucinóser Kittsubstanz verschwinden. Er ist nämlich der Ansicht, dass die Ernährung des gefässlosen hyalinen Knorpelgewebes wahrscheinlich durch Diffusion innerhalb der mueinösen Kittsubstanz von den geschlossenen Endbahnen der Blutgefüsse aus (an den Grenzen des Knorpelgewebes) effektuiert wird. — Die Ursache zum Verschwinden der Blutgefüsse von der Gelenk- fläche erklärt Toynsee (1841) von dem Druck herzurühren, dem diese Gefüsse beim Gebrauch des Gelenks ausgesetzt sind. „Wenn das Kind anfängt seine Gelenke zu gebrauchen und diese dem Druck ausgesetzt werden, so weichen die Gefässe zurück“ sagt der erwähnte Verfasser (S. 173). Tovynser zielt dann in erster Linie auf Gefässe, die ganz in den oberflächlichsten Teilen der Gelenkfläche vorkommen. Als ein letzter Rest von diesen Gefässen bleibt in voll ausgebildeten Gelenken unter der Synovialhaut in der äussersten Peripherie des Gelenkknorpels ein mit reichlichen Anastomosen ver- sehenes Randnetz. -— Es ist möglich, dass der Druck beim Atrophieren der Gefässe eine gewisse Rolle spielt, besonders in den oberflächlichen Teilen des Gelenkknorpels, aber kaum kann man doch der Meinung sein, dass der Druck alleine das Verschwinden der Gefässe in der Tiefe des Gelenkknorpels verursachen könnte, denn die Gefässkanäle N:o 3. 86 Yrıö KAJAwA. sind in keiner Weise verändert, wenn das Verschwinden der Blutgefässe in denselben beginnt. Ausserdem sprechen ja die Grösse und Form der Gefässkanäle und das Vor- handensein eines weichen und nachgiebigen Gewebes um die Gefässe herum in dieser Zeit entschieden gegen diese rein mechanische Ursache. Wir können nämlich nirgends irgend ein Zeichen äusserer Pressung der Gefässe als Grund zu ihrem Verschwinden nachweisen; — im Gegenteil sehen wir — wie früher beschrieben — dass der Gefäss- kanal seine Form unverändert beibehält, und es ist von Inneren des erwähnten Kanals, dass die Prozesse ausgehen, welche zur Atresie des Gefässkanals führen. Ausserdem verschwinden die Blutgefässe vom Gelenkknorpel beim Menschen definitiv erst mehrere Jahre nach der Geburt. Im Alter von 6—10 Jahre trifft man noch Reste von Gefäss- kanälen im Gelenkknorpel des Caput humeri. Das Vorkommen und Verschwinden der Gefässe steht im direkten Zusammenhang mit dem Zuwachs und Nutritionsbedürfnis des Knorpels. Wenn das Ernährungsbedürfnis im Knorpel am grössten ist, vermitteln die im Knorpel laufende Gefässe die Nutrition. In demselben Masse dagegen als der genannte Zuwachs abnimmt, vermindern sich die Ge- fässe im Knorpel, um zuletzt ganz und gar zu verschwinden. Dabei muss man sich auch eines anderen ebenso wichtigen Umstandes erinnern: so lange der wachsende Knor- pel voluminös ist, müssen die Nutritionsflüssigkeiten möglichst direkt nach dem Innern des Knorpels, wo ebenfalls eine nicht geringe Gewebsvermehrung vor sich geht, trans- portiert werden, und dieses kann in gehöriger Menge nur durch Knorpelgefässe gesche- hen. — Wie abhängig die Knorpelzellen von dem gleichmässigen und genügenden Zu- gang der Nutritionsflüssigkeiten sind, beweisen u. a. die Versuche Pruppexs (1895, S. 195) mit lebendem Knorpel. Je dünner die Knorpelschicht wird, um so kürzer ist der Weg für die nutrierenden Flüssigkeiten nach allen Stellen des Knorpels zu kommen, weshalb die Knorpelgefässe allmählich überflüssig werden und atrophieren. Dass diese Atrophie zu aller erst in den kleinen Blutgefässen beobachtet wird, welche im tiefsten Teil des Knorpels laufen, wo der Flüssigkeitsstrom von dem unterliegenden spongiösen, reich vascularisierten Knochen ohne Schwierigkeiten den Umsatzbedarf an Stoff im Knor- pel versorgen kann, ist leicht zu verstehen. Aus denselben Gründen werden die frag- lichen Knorpelgefässe bei kleinen Tieren gar nicht entwickelt, wo der Epiphys- incl. Gelenkknorpel nie solche Dimensionen erreicht, dass die Nutrition des Knorpels extra Anordnungen erfordern sollte. Man kann also leicht verstehen, dass das Nutritions- bedürfnis ohne besondere Knorpelgefässe im fertigen Gelenkknorpel sicher gestellt wer- den kann, wo die Gewebsneubildung verhältnismässig gering und die Knorpelschicht ver- hältnismässig dünn ist, wogegen der voluminöse, wachsende Epiphys- incl. Gelenkknorpel nicht genügend Nahrung bekommt, wenn nicht Gefässe in den Knorpel eindringen. Nach demselben Prineip erklärt Sross (1918) das Vorkommen von Gefässen in einigen perma- Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 87 nenten Knorpeln. Maurers (1915, S. 254) kathegorischer Satz „wenn Knorpelgewebe vascularisiert wird, so bedeutet das stets den Beginn seines Unterganges^ muss also etwas modifiert werden. Auf Grund der oben erwähnten Befunde kommen wir zu folgenden Schlussätzen be- treffs des Vorkommens von Blutgefässen im Gelenkknorpel während seiner Entwicklung. N:o 3. Ursprünglich entbehren Epiphys- und Gelenkknorpeln Gefässe, indem sie von einem Gefässnetz umgeben werden. Es gibt einzelne Zweige von diesem Netz besonders in den peripheren Teilen der Zwischenscheibe, die sich zwi- schen dem Ansatz der Gelenkflächen befinden. Wenn sich die Gelenkspalte in der genannten Zwischenscheibe öffnet, schliessen sich ihre Gefässe den neugebildeten Grelenkflächen an und befinden sich in deren oberflächlichsten Teilen, welche von embryonalem Bindegewebe und unter diesem Gewebe von einer chondrogenen Übergangsschicht gebildet werden. Diese Schichten wer- den später in Knorpelgewebe umgewandelt, wobei die entsprechenden Gefässe von Grundsubstanz umfasst und in Knorpelgefässe umgewandelt werden, wel- che mit den Gefässen der Gelenkkapsel zusammenhängen. Genannte Knor- pelgefässe senden in kurzer Zeit Zweige aus und dringen tief im den Epi- physknorpeln hinein. — Etwas später wachsen Gefässe von der Diaphyse in die Epiphyse hinein. Die mit den Gefässen der Gelenkkapsel zusammenhän- genden Knorpelgefässe werden allmählich immer schwächer, während die von dem Knochenkern der Diaphyse oder später der Epiphyse herstammenden Blutgefässe verstärkt werden. Diese Blutgefässe existieren nachher bis der Gelenkknorpel ungefähr seine endgültige Dicke erreicht, wonach auch sie ver- schwinden. Wenn die Gefässe in den Epiphys- incl. Gelenkknorpel hineinwachsen, werden Kanäle gebildet, welche allmählich. in demselben Masse wie die Ge- fässe anwachsen vergrössert werden. Hierbei kommt eine umfassende Resorp- tion des Knorpels zustande. Als chondroclastische Elemente funktioniren aller Wahrscheinlichkeit nach anfangs die Intimazellen der kapillären Gefässe. Nur in Gefässkanälen, welche von Perichondrium oder von der Markhöhle der Diaphyse her kommen, sind auch Riesenzellen konstatiert worden. Bei der Resorption der Grundsubstanz werden die Knorpelzellen von ihren Kap- seln befreit und treten nachher in den Gefässkanälen hervor, wo sie die Form von Bindegewebszellen annehmen und auch später die Rolle von Chondro- clasten übernehmen. Ein Teil des Bindegewebes der Gefässkanäle ist doch in denselben von der Epiphyse oder von dem Perichondrium zusammen mit den perforienden Gefässen eingedrungen. Später treten einzelne Bindegewebsfibril- 88 VER ORE KQQASJ AREAS len und sogar einige elastische Fäden in dem perivasculüren Gewebe der Ge- füsskanüle hervor. ; In der Wand der Gefässkanäle bildet die umgebende Grundsubstanz eine besondere, hülsenförmige Schicht, die auf Grund ihrer reichlichen Fibrillen mit geeigneten Farbflüssigkeiten leicht eine intensivere Farbe als der Knorpel im übrigen annimmt. Die Zellen in dieser hülsenförmigen Schicht sind abgerundet oder abgeplattet und etwas ausgedehnt in der Längenrichtung der Gefässka- näle, wogegen der Knorpel im übrigen während dieser Entwicklungsperiode aus spindelförmigen oder verzweigten Zellen besteht. Die Blutgefässe sind im Anfang reine Kapilläre und laufen isoliert in ihren Kanälen. Nachher werden gewisse Gefässe verstärkt und in kleine Artere umgebildet mit einer besonders differentiierten, aus glatter Muskulatur bestehenden Media und mit einer deutlichen Elastica interna. Die entspre- chenden Venen zeichnen sich durch ihr weites Lumen aus, aber ihre Wände sind hauptsächlich gebaut wie die der Kapilläre. Ausser diesen stärkeren Gefässen, die in den achsialen Teilen der Gefässkanäle vorkommen, trifft man in den erwähnten Kanälen ein Kapillarnetz, welches sich in dem perivasculä- ren Bindegewebe nahe der Kanalwand befindet. Wenn die Blutgefässe verschwinden, geschieht dies erst in den kleinen Gefässkanälen, wo die Kapilläre zusammenschrumpfen und das Bindegewebe in ein junges Knorpelgewebe umgewandelt wird, das allmählich dasselbe Aus- sehen wie der Knorpel der Umgebung annimmt. In den grösseren Gefäss- kanälen beginnt eine Neubildung von Knorpel in der Peripherie des Kanal- lumens. Gleichzeitig hiermit atrophieren die Gefässe und verschwinden. Auch hier wird das Bindegewebe in Knorpelgewebe verwandelt, wobei eine Reduc- tion der Anzahl von . Zellen zustande kommt. Der junge Knorpel, der die atretischen Gefässkanäle füllt, unterscheidet sich anfangs scharf von dem Knorpel der Umgebung, aber allmählich wird sein Charakter verändert und in demselben Masse wird auch die letzte Spur des früher vorhanden gewese- nen Gefässkanals ganz und gar ausgetilgt. Tom. XLVIL. V. Die spätere Entwicklung des Gelenkknorpels. 1. Die oberflächlichen Schichten. In der früheren Darstellung haben wir die Frage behandelt, wie sich der Knorpel von dem umgebenden Bindegewebe löst und eine Gelenkfläche bildet, wie die Zellen und die Grundsubstanz im Epiphysenknorpel und in der Anlage des Gelenkknorpels verteilt sind, wie dieselben mit Gefässen versehen werden und zuwachsen. In dieser Weise haben wir die Entwicklung verfolgt, bis die Ossifikation des Epiphysenknorpels anfing, und sogar an einigen Stellen Excursionen weit über diese Zeit hinaus gemacht. — In- dem der Ossifikationsprozess beginnt, teilt sich auch die ursprüngliche Epiphyse in drei verschiedene Abteilungen, welche gerechnet von der Diaphyse folgende sind: der Epi- physenknorpel, der Knochenkern und der gegen die Gelenkspalte liegende Knorpel, des- sen oberflüchlichster Teil den Ursprung des Gelenkknorpels bildet. Zu Anfang sind die zwei obenerwähnten Knorpeln nur in den am meisten zentral belegenen Partien getrennt, während sie mit ihren peripheren Teilen direkt mit einander zusammenhängen. Erst viel später werden sie von diesem ihren gegenseitigen Zusammenhang abgeschnitten. Nach einer längeren oder kürzeren Zeit verknöchert auch der Knorpel an der Epiphy- sengrenze ganz und gar, und jetzt bleibt von dem ursprünglichen Epiphysenknorpel nur der Gelenkknorpel übrig. Sobald der Verknöcherungskern in der Epiphyse entstanden ist, geht also eine solche Differentiierung in dem erwähnten Knorpel vor, dass man an- fangen kann von einem getrennten Gelenkknorpel zu sprechen, wenn auch die Periphe- rie dieses Knorpels noch ohne deutliche Grenze mit dem Knorpel an der Epiphysen- grenze zusammenhängt und wenn auch der grösste, tiefere Teil dieses „Gelenkknorpels“ noch durch ein allmählich vor sich gehendes Vorrücken der Verknöcherungsgrenze von dem Knochengewebe der Epiphyse ersetzt wird. Dieses Vorrücken geschieht verhältnismässig schneller in den zentralen als in den peripheren Teilen des Knorpels, weshalb folgt, dass der Gelenkknorpel im Laufe der N:o 3. 12 90 Yrsö Kısava. Entwicklung, auch wo die Gelenkfläche konvex ist, wie z. B. auf der Fläche des Caput humeri, in seinen zentralen "Teilen dünner ist als in den peripheren — ein Verhalten, welches in den letzterwähnten Fällen später umgekehrt wird. In dem Folgenden werden wir diesen, auf der Oberfläche des Knochenkerns der Epiphyse befindlichen Knorpel näher studieren, den wir der Kürze halber Gelenkknorpel nennen. In diesem Gelenkknorpel kann man während der fraglichen Entwicklungs- periode folgende Schichten unterscheiden, welche doch unmerkbar in einander übergehen und in gewissen Fällen sogar noch in Unterabteilungen geteilt sind oder mit einander zusammenfliessen. i 1. Die oberflächlichste Schicht des Gelenkknorpels. Am nächsten der Gelenkfläche kommt eine, während allen hier in Frage kommen- den Entwicklungsperioden acidophile Schicht vor, welche sich also mit van GIEson’s Pikrinsäure-Säurefuksin lebhaft rot färbt und ebenso nach der Methylenblau-X ylol- Methode eine stark rote, etwas ins violette gehende Farbe annimmt. Diese Farbe beruht zum grossen Teil auf das Vorhandensein von tangential verlaufenden Fibrillen, welche in diesen Stadien viel deutlicher als in den früheren Entwicklungsstadien des Gelenk- knorpels hervortreten. Diese Fibrillen laufen in den oberflächlichsten Schichten ganz dicht an einander, sodass nur die dünnen, oberflächlichen Knorpelzellen so zu sagen zwischen diesen eingekeilt sind. Tiefer bilden sie intermediäre Züge, welche sich netz- förmig mit einander vereinen, doch so, dass sie in der Hauptsache der Richtung der Knorpelfläche folgen. In den Maschen dieses Netzwerkes kommen einzelne Knorpel- zellen oder kleinere Gruppen von platten oder ovalen Knorpelzellen vor. Je tiefer unter die Fläche man kommt, um so mehr verlieren diese Züge in den jüngeren Sta- dien ihre Farbe, bis sie allmählich in der interterritorealen Knorpelgrundsubstanz in der folgenden Schicht verschwinden. In den älteren Stadien gehen diese beiden Schich- ten unmerklich in einander über, wobei die intermediären Züge ihre Färbbarkeit in - der zweiten Schicht nicht verlieren. Die Zellen in dieser Schicht sind in jüngeren Stadien etwas abgeplattet oval, aber je ältere Kinder man untersucht, um so mehr platten sich diese Zellen ab. In Caput humeri beim Menschen scheint diese Abplattung hauptsächlich in den ersten zehn Lebens- jahren zu geschehen. Bei grossen Säugetieren (Bos, Cervus, Alces) geschieht diese Abplattung viel früher; so sind z. B. die erwähnten Zellen auf Caput humeri bei einem 4 Monate alten Edelhirsch ebenso abgeplattet wie bei einem erwachsenen Mann. Bei kleinen Tieren (Mäusen) kommt dagegen eine entsprechende Abplattung nie zustande. Tom. XLVIII. CE Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 9 Die oberflächlichsten von diesen Zellen kommen in den jüngeren, hier in Frage kom- menden Stadien ziemlich dicht an die Knorpelfläche vor, ohne dass man im allgemeinen, auch wo das Gelenk schon eine Zeit in Gebrauch gewesen ist, Zellenhöhlen nachweisen kann, welche sich auf der Gelenkfläche öffnen. Anders verhält es sich etwas später. So habe ich schon bei Kindern im zweiten Lebensjahr einzelne Zellenhöhlen gefunden, welche sich frei in der Gelenkhóhle auf Caput humeri zu öffnen scheinen, und je ältere Kinder man untersucht, um so häufiger trifft man entsprechende Zellenhöhlen. Aber noch bei einem 20-jährigen sind dieselben keineswegs oft vorkommende Bildungen, so dass man geneigt wäre dieselben für Kunstprodukte zu halten, wenn man nicht bei noch älteren Individuen öfter solche finden würde. Bei dem oben erwähnten 4 Monate alten Edelhirsch habe ich ebenfalls einzelne solche Zellenhöhlen gefunden. Hammar (1892) beschreibt entsprechende Bildungen auf der Gelenkfläche bei Erwachsenen; er fasst die- selben als eine Folge der Abnutzung des Gelenkknorpels auf. Aber ausser diesen Abnut- zungsphänomenen trifft man bei älteren Kindern und auch bei jungen Tieren Zeichen, welche darauf hindeuten, dass eine Abnutzung schon weit vor dem, als der Gelenkknor- pel seine volle Entwicklung erreicht hat, erfolgt. Solche Abnutzungsphänomene sind die ebenfalls schon von HAMMAR beobachtete Abschuppung oder Aufritzung der Gelenkfläche, die nach meinen Observationen schon bei 6—10 jährigen Kindern beobachtet werden kann, und ebenso die degenerative Veränderung der oberflächlichsten Knorpelzellen. Der letzterwähnte, degenerative Prozess trifft die aller oberflächlichsten Zellen, welche zusam- menschrumpfen und drinnen in ihren Zellenhöhlen atrophiert werden, bevor sich diesel- ben der Gelenkfläche zu öffnen. Es scheint mir möglich zu sein, dass Druck und Rei- bung hier die bestimmenden Momente sind. Alle diese eben aufgezählten Abnutzungs- phänomene sind doch merkbar deutlicher bei Personen, die die Altersgrenze von 25 Jahren überschritten haben, und bei welchen der Zuwachs des Körpers bereits seine definitive Grenze erreicht hat, denn so lange der Zuwachs des Körpers anhält — und dieser hört bei Europeern laut Martin (1914, S. 229) erst im Alter von 25 Jahren auf — kann im Gelenkknorpel auch in dieser Hinsicht ein merkbarer Unterschied beob- “achtet werden. In diesem Zusammenhang bleibt uns noch übrig mit einigen Worten die Frage über den aller oberflächlichsten Teil des Gelenkknorpels zu behandeln, welcher sich im Schnitt quer durch den Gelenkknorpel als eine äusserst schmale, freie Kante zeigt. Während der Embryonalzeit kann man diese Kante überhaupt nicht unterscheiden und auch bei einem jungen Menschenkind tritt dieselbe allmählich und verhältnismässig langsam auf, sodass man erst im Alter von 5—6 Jahren anfangen kann von derselben zu reden. Der Knorpel der grossen Säugetieren entwickelt sich auch in dieser Hinsicht viel schnel- ler als beim Menschen; so tritt die erwähnte Kante schon bei einem ein Par Wochen N:o 3. 92 Yrsö: KAJA VA. alten Kalb hervor als eine stärker lichtbrechende und ihrer Farbaffinität nach von dem unterliegenden Knorpel deutlich abweichende Kante. — Diese Kante besteht hauptsäch- lich von Knorpelgrundsubstanz, aber auch abgeplattete, Zellenhóhlen mit dünnen, oft dege- nerierten Knorpelzellen können in derselben hier und dort nachgewiesen werden. In den zentralen Teilen der Gelenkfläche sind sie stärker als in seinen peripheren Teilen. Diese Kante kann nachher in allen älteren Stadien nachgewiesen werden, doch am besten in dem voll entwickelten Gelenkknorpel. Bei kleinen Tieren (Mäusen) ist sie sehr undeut- lich oder wird ganz und gar vermisst. Je ältere Individuen man untersucht, um so deutlicher wird diese Kante, während gleichzeitig die Anzahl der spaltenformigen Zellen- hóhlen in derselben zuzunehmen scheint. Diese Zellenhöhlen sind in den älteren Stadien entweder leer oder enthalten nur Reste von degenerierten Zellen. Die genannte Bildung ist bei Erwachsenen von Amworp beschrieben worden als ein homogenes, festes, pergamentartiges Ependym über der Gelenkfläche und von Luschka als eine auf der Knorpelsubstanz liegende, homogene, leicht faltbare Membrane, der Mem- brana Descemeti ähnelnd, welche es Luscuka sogar gelungen ist zu isolieren. Ebenso ist i HAMMAR darauf aufmerksam geworden, dass die freie Kante des Knorpels selten den i Charakter der unterliegenden Grundsubstanz zeigt. Gewöhnlich ist sie stärker glänzend äl oder hat eine gesteigerte Färbbarkeit mit Eosin. — Nach meinen Befunden ist diese | fragliche Flächenpartie weiter nichts, als ein Teil des Knorpelgewebes, welches vielleicht k infolge von Druck oder Reibung einen anderen Charakter ais der tiefer belegene Knor- pel angenommen hat. Diese Veränderung steht ohne Zweifel im innigsten Zusammen- ; hang mit den degenerativen Veränderungen, die die Zellen in der entsprechenden Schicht zeigen. Auf der Oberfläche der fraglichen Kante können auch immer in solchen Fällen, wo das Gelenk eine Zeit gebraucht worden ist, deutliche Zeichen der Abnutzung oder E des Zerfalls, wie früher beschrieben, nachgewiesen werden. à Man kann denken, dass eine Möglichkeit zu einer solchen partiellen Isolierung, der j oberflächlichsten membranartigen Schicht des fraglichen Knorpels wie Luscnka gefunden, | leicht zustande kommt durch die abgeplatteten Zellenhöhlen, welche sich in der erwähn- i ten Schicht befinden und oft ungefähr demselben Plan zufallen. 3 Die oberflächlichen Zellen des Gelenkknorpels liegen in den jüngeren Stadien ge- 3 wöhnlich einzeln oder höchstens einige zusammen. Bei älteren Kindern, ungefähr vom i fünften Jahre an, kommen auch in dieser Schicht etwas grössere Zellenanhäufungen vor, | die sogar 3—5 Zellen enthalten. Diese Zellenanhäufungen, welche anfangs nicht so regelmässige Zellengruppen, wie bei noch älteren Kindern und bei Erwachsenen bilden, sind in ihrer Gesamtheit abgeplattet. Auch WzronskpBAUM (1877, S. 209) erwähnt diese letztgenannten Eigentümlichkeiten im Gelenkknorpel bei Kindern. Ein Teil der ober- flächlichen Zellen scheint eine umgebende basophile Grundsubstanz ganz und gar zu ent- Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 93 behren; die meisten sind jedoch mit einer äusserst schmalen oder etwas breiteren gelb- lich blaugrünen Kapsel versehen. Der Vollständigkeit halber will ich im Folgenden noch eine Art von oberflächlichen Bildungen, die es mir gelungen ist in einigen, wenn auch nicht in allen Präparaten nachzuweisen, beschreiben. Besonders in zentralen Teilen des Gelenkknorpels habe ich ziemlich oberflächliche Bündel von ,Fibrillen^ gefunden, welche sich so sehr von anderen im Gelenkknorpel vorkommenden Fibrillen unterscheiden, dass sie aus diesem Grunde verdienen besonders erwähnt zu werden. Die erwähnten „Fibrillen“ treten am deutlich- sten in einem Präparat hervor, das von Gelenkknorpeln auf Caput humeri eines eben geborenen Elenkalbs hergestellt ist (Alkoholfixierung), wo der Verknöcherungsprozess in der Humerusepiphyse schon so weit gediehen ist, dass die Dicke des fraglichen Gelenk- knorpels in seinen zentralen Teilen nur 3 mm und an der Peripherie 4—5 mm betrug. Aber auch im entsprechenden, mit Formalin fixierten Knorpel bei einem 2 und 3 Wochen alten Kalb und bei einem 3 Tage alten Menschenkind, wie auch bei einem Menschen- embryo in den letzten Monaten vor der Geburt (und fixiert sowohl in Formalin wie in Alkohol) habe ich das Vorhandensein dieser „Fibrillen“ festgestellt, wenn auch dieselben beim Menschen schwerer nachzuweisen waren, als beim Kalb und Elch. Genannte „Fibrillen“ bilden Bündel, welche eine acidophile Farbe z. B. mit Pikrin- säure-Säurefuksin annehmen und auch diese Farbe beibehalten, wenn das Präparat mit Methylenblau nachgefürbt wird; doch zeigen sie Neigung mit der Methylenblau-Xylol- Methode. einen mehr violetten Farbenton anzunehmen als die eigentlichen Fibrillen im Knorpel, und besonders, wo sie gegen die Tiefe auslaufen, sieht man deutlich, dass sie viel dunkler als die intermediären Züge sind. Färbt man das Prüparat sehr stark mit Methylenblau, so nehmen diese ,Fibrillenbündel^ einen dunkel bläulichen Farbenton an, der sich deutlich von der rotvioletten Farbe der intermediären Züge unterscheidet. Nur mit einer solehen Überfürbung ist es mir gelungen sie in Präparaten von Gelenkknor- pel des Menschen zum Vorschein zu bringen. Sie werden auch mit Waicerrs , Elastin- färbung“ gefärbt und nehmen dann einen hellvioletten Farbenton an, ebenso treten sie scharf markiert in einem Präparat, gefärbt mit Malakitgrün, hervor und zeigen dann einen dunkelvioletten Farbenton. Mit Hämatoxylin lassen sie sich nicht färben. Diese ,Fibrillenbündel“ erscheinen, wie gesagt, in oberflächlichen Teilen des Ge- lenkknorpels, strecken sich aber gleichzeitig tiefer in den Knorpel als die früher beschrie- bene, stark acidophile Flächenschicht des Gelenkknorpels hinein. Am nächsten der Ober- fläche laufen sie dicht an einander in der Richtung der Gelenkfläche, aber auch hier kann man sich davon überzeugen, dass diese ,Fibrillen“ zu Bündeln vereinigt sind, zwischen welchen die roter gefärbte Grundsubstanz der Schicht hervortritt. Je tiefer unter die Fläche man kommt, um so grösser werden die Zwischenräume zwischen den N:o 3. 94 YRrsö KAJAVYA. verschiedenen Bündeln, welche sich jetzt als „interkapsuläre“ zeigen, d. h. von einer Zellenhöhle zu einer anderen laufen. Die Knorpelzellenhöhlen schneiden also diese Bün- del ab, aber sie behalten trotzdem ihre ursprüngliche Richtung bei. ZUCKERKANDL (1885) hat im Nasenknorpel beim Tapir ähnliche zwischen den Knor- pelkapseln laufende Fibrillen beschrieben, welche auch ‚näher der Fläche des Knorpels „in Form von breiten Bändern neben den Zellen dahin laufen“. Diese erwähnten Bündel teilen sich oft, um sich nach einer kürzeren oder längeren Strecke eventuell wieder zu vereinen. Dieser Teilungen kommen ebensogut auf der Strecke zwischen zwei Zellen vor als da, wo der Verlauf des Bündels von einer Zellen- höhle abgebrochen wird. In dieser Weise entsteht ein Netzwerk, dessen Maschen grös- ser werden, je tiefer im Knorpel sie liegen. In diesen Maschen giebt es Knorpelgrund- substanz, die sich in keiner Weise von der Grundsubstanz an den Stellen des Gelenk- knorpels zu unterscheiden scheint, wo die hier in Frage stehenden , Fibrillen“-bündel nicht vorkommen. Auch die tiefer liegenden hier berührten ,Fibrillen*-bündel folgen hauptsächlich der Richtung der Gelenkfläche, ändern aber allmählich ihre Richtung und laufen schräg gegen die tiefe Fläche des Gelenkknorpels. Hierbei ist zu merken, dass diese schrägen Bündel meistens nach einem Blutgefässkanal streben, in dessen Wandpar- tie sie verschwinden. Solche schräge laufenden Bündel strecken sich tief unter die ober- flächliche Schicht, von der sie herstammen, erstrecken sich aber nirgends auch nur zur Mitte des Gelenkknorpels. Auch diese Bündel laufen von Zellenhöhle zu Zellenhöhle. Sie besuchen doch nicht jede Zelle, die in ihren Weg kommt, sondern laufen auch oft dicht an einer Zelle worbei. In der Nähe des Gefässkanals kann man einen Teil von Bündeln bis an die stärker gefärbte hülsenförmige Zone verfolgen, die die Wand des Gefässkanals bildet, andere verschwinden dagegen schon früher, indem sie unmerkbar in den Fibrillenzügen schliessen, welche in der Grundsubstanz zwischen den Zellenterrito- rien laufen. Auf Grund der verschiedenen Färbbarkeit zwischen den eben beschriebenen „Fibril- len“-bündeln und den Knorpelfibrillen der Grundsubstanz, auf Grund ihres verschie- denartigen Verhaltens zu Knorpelzellen und auf Grund dass beide diese Fibrillensysteme gleichzeitig im Knorpel vorkommen, muss man einen Unterschied zwischen diesen beiden Bildungen machen. — Zu allem diesen kommt noch der Umstand, dass es den Anschein hat, als ob sich die hier fraglichen ,Fibrillen^ an einander zu Bündel schliessen, wo- gegen die echten Knorpelfibrillen unter sich eine filzartige Mischung bilden. Die hier oben beschriebenen „Fibrillen“ sind also nicht mit den eigentlichen Fibrillen in der Grundsubstanz des Knorpels zu verwechseln. Ausser wirklich vorkommenden Strukturen ist eine grosse Anzahl s. g. Pseudo- strukturen im Hyalinknorpel beschrieben worden. Es gilt jetzt für uns zu erforschen, ob Tom. XLVIII. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 95 diese „Fibrillen“-bündel wirklich vorkommende präformierte Bildungen oder Pseudostruk- turen sind. Schon der Umstand, dass dieselben nicht in allen Fälle nachgewiesen wer- den konnten und dass sie besonders in Präparaten wo die Fixierung tadellos war, nicht vorkommen, spricht entschieden für die letzte Annahme. Nicht mal die eigentümliche Färbbarkeit, die diese Bündel zeigen, kann eine andere Auslegung begründen. So- wohl HANSEN (1905) wie Srupxıcka (1905) haben bewiesen, dass gewisse Pseudostruk- turen acidophile oder basophile Farbe annehmen können. Aus meinen Versuchen geht hervor, dass sogar dieselben Bildungen sich entweder mit basischer oder saurer Farbe färben lassen, davon abhängend, in welchen Proportionen in einer Doppelfärbung diese Farben angewandt werden. Etwas mehr überraschend wirkt der oben beschriebene Be- fund, dass diese Bildungen sich auch mit Weieerr’s Elastinfärbung färben lassen. Es dürfte also keinem Zweifel unterworfen sein, dass diese Bildungen, welche den von BABER, SPRONCK, VAN DER STRICHT, ZUCKERKANDL u. a. beschriebenen und abgebilde- ten interkapsulären Fäden entsprechen, Kunstprodukte, verursacht von Veränderungen in der Grundsubstanz beim Fixieren, sein sollten. Ich habe doch dieselben hier in Kürze beschreiben wollen, denn wie Hausen (1905, S. 784) bemerkt, ist es höchst wahrschein- lich, dass derartige Pseudostrukturen der ganzen eigentümlichen Struktur der Knorpel- grundsubstanz zufolge in letzterer prädisponiert sind. 2. Die Zweite Schicht des Gelenkknorpels. Unter diesem zuletzt beschriebenen Flächenlager folgt ohne scharfe Grenze ein an- deres, etwas breiteres Lager, dessen Grundsubstanz sich in jüngeren Stadien mit einer fast diffus gelbblaugrünen Farbe färbt. Analysiert man diese Grundsubstanz in den er- wähnten Stadien näher, so kann man doch leicht in demselben ein schwach violettes Netzwerk feststellen, das von den intermediären Zügen gebildet ist, und in den Maschen dieses Netzwerkes hell gelbgrüne oder gelbblaugrüne Zellenterritorien, einzelne Zellen umgebend. Näher der Oberfläche der Schicht sind diese Zellenterritorien äusserst schwach gefärbt, werden aber immer deutlicher je tiefer unter die Fläche man kommt. Die Zel- len sind in den jüngeren Stadien alle einzelne, spindelförmige oder verzweigte Zellen, versehen mit Protoplasmaausläufern, welche sich tief in die umgebenden Grundsubstanz hinein strecken und oft mit den entsprechenden Ausläufern der nahebelegenen Zellen direkt zusammenhängen. Die überwiegende basophile Grundsubstanz verändert allmählich, je ältere Stadien man untersucht, ihre Färbbarkeit und imselben Masse treten die acidophilen, inter- mediären Züge stärker und deutlicher hervor. Diese Veränderung der Grundsubstanz tritt nicht gleichzeitig und gleichmässig über der ganzen jetzt behandelten Schicht N:o 3. 96 Yrıö KAJAVA. auf, sondern scheint vielmehr in Form von ungleichmässigen Inseln aufzutreten. Aus diesem Grunde färbt sich die Grundsubstanz in einem gegebenen Stadium (am deutlich- sten in Caput humeri eines Kindes im zweiten Lebensjahre) merkbar ungleichmässig und flammig, beruhend auf abwechselnde, überwiegende acidophile und basophile Gebiete. Prüft man diese verschiedenen Gebiete näher, so kann man feststellen, dass, wo die überwiegende Farbe der Grundsubstanz rot ist, die intermediären Züge breit und die basophilen Territorien der Knorpelzellen spärlich sind, wogegen es sich in den überwie- gend basophilen Gebieten: umgekehrt verhält, nämlich so, dass die acidophilen, interme- diären Züge schwach entwickelt sind, wogegen die Zellen von einer reichlichen basophilen Substanz umgeben sind. Die letzterwähnten Gebiete gleichen also ihrer Struktur nach der früher existierten Anordnung. Später wird der acidophile Teil der Grundsubstanz der massgebende: die Schicht färbt sich diffus rot oder rotviolett mit eingestreuten blau- grünen Zellenterritorien. In der hier in Frage stehenden Schicht beobachtet man also ganz entsprechende Phänomene, welche schon vor dem Auftreten des Knochenkerns in der Epiphyse beobachtet werden konnten in den tieferen Teilen des Epiphysknorpels, und die schon auf den Seiten 55—59 eingehender beschrieben worden sind. Während dieser Veränderungen in der Grundsubstanz verändern sich auch die Zellen in dieser zweiten Schicht des Gelenkknorpels. Noch lange nach der Geburt sind die Zellen in dieser Schicht beim Menschen überwiegend alleinstehende, spindelförmige oder verzweigte Zellen, wie auch Weıchsersaum (1877, S. 209) angibt. Aber allmäh- lich treten auch runde oder ovale Zellen oder langgestreckte Zellengruppen auf, welche die Spindelform der Mutterzellen genau nachahmen. Sowohl die alleinstehenden spindel- förmigen - oder verzweigten Zellen wie auch die langen Zellenreihen laufen bei jüngeren Kindern in allen denkbaren Richtungen ohne irgend eine strengere Anordnung. Doch merkt man, dass die meisten von ihnen bei etwas älteren Kindern bestrebt sind, sich einigermassen parallel zur Gelenkflüche zu ordnen. Nach und nach verschwinden die spindelfórmigen oder verzweigten Zellen und die Zellengruppen immer mehr, und die alleinstehenden Zellen wie auch die reichlich vorkommenden Zellengruppen nehmen eine abgerundete Form an. Später ordnen sich diese Zellen allmählich nach einander so, dass undeutliche zur Gelenkfläche senkrecht stehende Reihen entstehen. Noch. nachdem die- ses Stadium erreicht ist, kann man in gewissen Gelenkknorpeln (wie z. B. im Gelenk- knorpel auf Condylus occipitalis bei einem 6 Monate alten Schwein) die Grundsubstanz in der jetzt fraglichen Schicht äusserst reich an basophilen Elementen finden, welche in Form von stark entwickelten Zellenterritorien die Zwischenriume zwischen den dünnen intermediären Zügen füllen. Die spindelfórmigen Zellen und Zellengruppen werden bei grösseren Säugetieren, (Elch, Kuh, Schwein, Schaf) verhältnismässig früh von abgerundeten Zellen oder Zellen- Tom. XLVIII. 4 [ i | le ch ac en lc RAA M Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 97 gruppen ersetzt, wie oben geschildert. Beim Menschen sieht man dagegen langgestreckte (spindelförmige) Zellengruppen und Zellen noch im Alter vom 9 Jahren in tieferen Tei- len dieser Schicht im Gelenkknorpel auf Caput humeri. Vor ihrem definitiven Ver- schwinden bilden diese Spindelförmigen Zellen bezw. Zellengruppen im Gelenkknorpel eine Zone, welche wie ein in der Richtung der Gelenkfläche fortlaufender Gürtel die | tiefen Teile der jetzt in Frage kommenden Schicht und die oberflächlichen der darauf folgenden umfasst. Gleichzeitig dass die spindelförmigen oder verzweigten Zellen von dem nächst unter «der Flächenschicht belegenen Lager des Gelenkknorpels verschwinden, geschieht auch hier eine andere Veränderung, die erst im Vergleich mit einem jüngeren Stadium deut- lich hervortritt, wo die erwähnten Zellen noch reichlich vorhanden sind und einem älte- ren, wo sie schon verschwunden sind, nämlich eine merkbare Vermehrung der Grund- substanz. Diese starke Vermehrung der Grundsubstanz bewirkt, dass die Zellen bezw. Zellengruppen in den älteren Stadien bedeutend weiter von einander stehen, als in der jüngeren. Aber auch die Natur der Grundsubstanz scheint sich zum Teil verändert zu haben. Die intermediären Züge, welche in den früheren Stadien undeutlich und äusserst schwach gefärbt hervortreten, sind in den älteren Stadien deutlicher, stärker gefärbt und auch, wie aus dem Vorhergesagten hervorgeht, ‚breiter. Dagegen scheinen die basophilen Zellenhöfen bezw. Zellenterritorien in den älteren Stadien schmäler als in den jüngeren. Aus all diesem dürfte man den Schluss ziehen können, das bei der späteren Entwicklung des Gelenkknorpels gerade in dieser zweiten Schicht noch lange nach der Geburt ein intensiver Knorpelzuwachs vorsich- geht. Dieser Zuwachs geschieht anfangs mehr gleichmässig nach — allen verschiedenen Seiten, strebt aber später danach hauptsächlich | die Dicke des Gelenkknorpels zu vermehren. 9. Die dritte Schicht des Gelenkknorpels. Unter der zweiten soeben beschriebenen Schicht folgt die mächtigste dritte Schicht des nicht fertig gebildeten Gelenkknorpels. Charakteristisch für diese Schicht ist die verhältnismässig starke Entwicklung der acidophilen, intermediären Züge, welches bewirkt, dass die Grundfarbe der Schicht (gefärbt nach der Methylenblau-Xylol-Methode) rotvio- lett ist. Aber ausser diesen acidophilen, intermediären Züge kommen speziell in dieser Schicht in den späteren Stadien die eigentümlichen von Hansen (1905, S. 683) beschrie- benen und abgebildeten (Taf. 35, Fig. 1) blauen Balkennetze oder „Zone IV“ vor, In- seln oder Adern von basophiler Grundsubstanz zwischen den Zellenterritorien. Diese Adern können mit der perizellulären, basophilen Substanz zusammenhängen oder ganz N:o 3. 13 98 Yrsö KAJAVA. und gar von derselben isoliert sein. Hansen beschreibt dieselbe als einen Rest der baso- philen Grundsubstanz, die früher eine Mutterzelle umgab, welche durch wiederholte Tei- lungen den Ursprung zu mehreren Zellen schuf, von welchen jede spáter von je ihrem basophilen Zellenterritorium und ausserhalb derselben von der acidophilen Grundsubstanz umgeben wurde. Es ist wahrscheinlich, dass ein Teil der in dem jungen Gelenkknorpel nachweis- baren basophilen ,blauen Balkennetze* sich in dieser Weise entwickelt hat; aber sicher gibt es auch andere, welche direkt durch die Umwandlung der Knorpelzellen in basophile Grundsubstanz entstanden sind. Ich habe nämlich sowohl in der nächsten Umgebung der Gefässkanäle (Fig. 25) wie auch an anderen Stellen im Knorpel Zellen gefunden, welche verschiedene Stadien eines solehen Umwandlungsprozesses zeigen, wie der Proto- kollauszug auf Seite 105 näher angibt. Hier wie aller Wahrscheinlichkeit nach auch dort wo die Gefässkanäle mit jungem Knorpelgewebe gefüllt werden, geschieht also die Vermehrung der Knorpelgrundsubstanz zum Teil durch direkte Umwandlung der Zellen in Grundsubstanz. Diese Umwandlung ermöglicht es uns auch die Umwandlung zu verstehen, die im Knorpel vor sich geht, wenn seine Grundsubstanz im Laufe der Entwicklung sich im Verhältnis zu den Knorpelzellen vermehrt. In wie hohem Masse die Anzahl der Zellen auf einem bestimmten Gebiet im Gelenkknorpel vermindert wird, zeigt ein Vergleich zwischen Fig. 28 und Fig. 30. Es liegt auf der Hand, dass diese Veränderung der relativen Anzahl der Zellen doch nicht allein von der obenangegebenen Umwandlung der Zellen abhängt. — Hansen (1899, S. 426) und Scuarrer (1903, S. 538) und vor ihnen einige andere Anatomen, haben früher eine entsprechende Zellen- umwandlung beobachtet; die genannten Forscher beschreiben — wie hier oben erwähnt — die Umwandlung der Zellen in basophile Grundsubstanz; aber auch in Knorpelfibril- len können nach Hansen Knorpelzellen sich ganz und gar umwandeln. Zu Anfang sind die Zellen in dieser Schicht so geordnet, dass ein gemeinsamer Plan für ihre Richtung nicht unterschieden werden kann. Aber allmählich sieht man, dass die langen Spindelzellen oder die Spindelförmigen Zellengruppen, welehe sich von diesen Zellen entwickeln, sich gewöhnlich so richten, dass sie mehr oder weniger parallel zur Gelenkfläche laufen und gleichen in dieser Hinsicht den Zellen in der vorhergehen- den Schicht, besonders in dem tieferen Teil derselben. Gleichzeigtig fangen die spindel- förmigen Zellen und Zellengruppen immer mehr an abzunehmen, so dass sie vor ihrem endgültigen Verschwinden, wie schon erwähnt, in den oberen Teilen der jetzt in Frage kommenden Schicht und in dem tieferen Teil der vorhergehenden Schicht, einen gemein- samen in der Richtung der Knorpelfliche laufenden Gürtel bilden. — Später bilden sich die spindelförmigen Zellen und Zellengruppen in mehr oder weniger abgerundete Zellen- gruppen um. Tom. XLVIII. u — 1 Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 99 ^ Schon lange bevor dieses geschieht verschwinden die blauen Balkennetze imselben Masse wie die Grundsubstanz — wahrscheinlich infolge der Vermehrung der acidophilen Knorpelfibrillen — einen immer mehr acidophilen Charakter annimmt. Gleichzeitig ge- schehen in dieser und auch in der vorhergehenden Schicht Veränderungen, welche oben schon in Kürze relatiert wurden, und welche dazu führen, dass die ursprünglich leicht auffallenden Ungleichheiten zwischen diesen beiden Schichten immer mehr zu verschwin- den anfangen, bis man sie nicht mehr von einander unterscheiden kann. Diese Ähn- lichkeit zwischen der zweiten und dritten Schicht des Knorpels ist bei verschiedenen Tieren verschieden weit entwickelt, und tritt im allgemeinen bei den grossen Säugetieren am deutlichsten vor. Beim Menschen tritt bald eine neue Ungleichheit zwischen diesen beiden Schichten dadurch auf, dass die Zellenteilung in der dritten Schicht später so vorsichgeht, dass ihre Richtung parallel zur Gelenkfläche läuft, welches bewirkt, dass in der erwähnten Schicht die Zellen sich allmählich in mehr oder weniger senkrecht zur Gelenkfläche stehende langgestreckte Gruppen ordnen. Diese Gruppen sind in verschie- denen Gelenken verschieden lang. Im Gelenkknorpel auf der distalen Epiphyse des zweiten Metacarpalknochens im Fusse eines 17-jährigen Jünglings bestehen sie z. B. aus einer einzigen ovalen Zelle oder aus Gruppen von zwei mehr selten von drei Zellen, wogegen sie im Gelenkknorpel auf Caput humeri im entsprechenden Alter bis zu 8 Zel- len enthalten können. Ganz in derselben Weise wie in kleinen Gelenken beim Men- schen sind diese Zellenreihen kurz, bestehend aus einem Paar oder drei Zellen bei kleinen Tieren auch in den grossen Gelenken (so z. B. im Knorpel auf Caput humeri bei Mäusen und Meerschweinchen), ein Umstand, der von der absoluten Dicke und dem schnellen Zuwachsen des fraglichen Gelenkknorpels abhängig sein dürfte. Während die oben erwähnten Veränderungen im Gelenkknorpel vorsichgehen, schreitet der Ossifikationsprozess schnell immer weiter gegen die oberflächlichen Teile des Gelenkknorpels vor. Das verhältnismässig dicke Knorpellager, das entstand, als die früher beschriebenen zweite und dritte Schicht mit einander zusammenschmalzen, fángt an immer dünner zu werden. Anfangs scheint doch der Zuwachs des Knorpels eben so viel neues Gewebe zu bilden, wie der Ossifikationsprozess verschlingt, sodass die Dicke des Gelenkknorpels auf Caput humeri bei einem Kinde von 4 Jahren nicht viel grösser ist als bei einem 9-jährigen Kinde, aber später wird der Knorpel allmählich dünner. Er hat dann schon die letzten Reste von den Kanälen der Knorpelgefässe verloren und etwas später sind auch die Spindelzellen und die spindelförmigen Zellenreihen verschwun- den, wonach die Zellen und die Zellengruppen die für den fertiggebildeten Gelenkknor- pel charakteristischen Anordnungen annehmen. In dieser Weise entstehen die zwei tief- sten Schichten des fertiggebildeten nicht verkalkten Gelenkknorpels, welche Hawwan (1892) „die Region der langgestreckten Zellengruppen“ und „die Region der runden Zellen- N:o 3, 100 YrIÔ KAJAVA. gruppen“ genannt hat. Die Dritte, „die Region der platten Zellengruppen“, wird von der oberflächlichsten Schicht des jungen Gelenkknorpels wie früher beschrieben gebildet. 2. Die tiefen Schichten des Gelenkknorpels. — Die Begrenzung des Gelenkknorpels gegen den unterliegenden Knochen. Nach der eben beschriebenen Schicht folgt in jüngeren Stadien (solange ein Zuwachs des Gelenkknorpels sich in mehr merkbarem Grade geltend macht) der verkalkte Knor- pel ohne irgend eine deutlich markierte Grenze. Auf Grund dieser fortgesetzten Ver- knöcherung der Epiphyse schreiten in diesen Stadien Phänomene die diesem Prozess vor- angehen, nämlich die Vergrösserung der Knorpelzellen und die Verkalkung der Grundsub- stanz, weiter in dem deckenden Knorpel gegen die Oberfläche des Gelenkknorpels, und die Grenze gegen die soeben beschriebene Schicht und den verkalkten Knorpel wird ständig verschoben. Anders wird die Lage sobald der Knochenkern der Epiphyse anfängt sich im Verhältnis zum Gelenkknorpel seiner definitiven Ausdehnung zu nähern. Dann ent- steht eine fast lineäre Grenze, die den verkalkten Knorpel von dem nicht verkalkten trennt. Diese Grenze läuft in ihrer Richtung ziemlich parallel zur Gelenkfläche, unab- hängig davon, ob einzelne Knorpelzellen oder Zellenhaufen in ihren Weg kommen, wes- halb sie oft eine Gruppe von Knorpelzellen schneidet, sodass ein Teil der Zellen in der erwähnten Gruppe auf ihre eine Seite, ein anderer Teil auf ihre andere Seite kommt. Diese Grenzlinie, deren Auftreten während ihres früheren Vorhandenseins sehr ver- schieden bei verschiedenen Tieren zu sein scheint, tritt auf Caput humeri eines eben geborenen Elenkalbes (fixiert in Alkohol) in Form von „Fibrillen“ auf, welche gesehen in einem zum Gelenkknorpel senkrechten Schnitt als ein einheitliches oder an gewissen Stel- len zu einigen Banden geteiltes Bündel erscheinen. Dieses Bündel läuft fast in einer geraden Linie, teils zwischen den Zellenterritorien, teils direkt durch dieselben. Bei näherer Untersuchung kann man das erwähnte Bündel gerade durch den Zellenhof zur nächsten Nähe der Knorpelzellen verfolgen, wo dasselbe plötzlich aufhört um seinen früheren Verlauf auf der anderen Seite der Zelle aufzunehmen. Färbt man das Präpa- rat mit Säurefuksin und Methylenblau und untersucht man die. gesagten Bildungen in starker Vergrösserung (Immersion) so kommt man zu der Auffassung, dass das erwähnte Bündel aus dicht an einander sitzenden Reihen von kleinen, rotgefärbten Körnern beste- hen würde. Gleichzeitig treten auch in der Umgebung der Knorpelzellen Haufen von etwas grösseren und auch ihrer Farbe nach abweichenden Körnern auf. Die erster- wähnten Körnerreihen strecken sich bis zu diesen Körnerhaufen und scheinen in intimer Berührung mit denselben zu stehen. Tom. XLVIII. E Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 101 Zu einem gewissen Grade entsprechend verlaufende „Fibrillen“ beschreibt SoLGER (1889, S. 317—319) zwischen dem verkalkten und dem hypertrophischen Knorpel auf der distalen Epiphyse vom Metacarpalknochen bei einem ein Jahr alten Kinde. Sorcer hält diese für Kunstprodukte. — Auch ich will diesen Bildungen keine grössere Bedeu- tung zuschreiben, besonders da ich dieselben in oben beschriebener Form regelmässig bei anderen Gelenkknorpeln nicht habe nachweisen können. Sie beweisen jedenfalls, dass der Gelenkknorpel an der fraglichen Stelle eine Kigentümlichkeit zeigt, die man in seinen anderen Teilen vermisst. . Dieses oben beschreibene Bündel ist Vorläufer zu der lineären Grenze, die später zwischen dem verkalkten und dem nichtverkalkten Knorpel besteht. Sein ursprüngliches Verhalten zu den einzelnen Knorpelzellen und Zellenkapseln ist ganz dasselbe, wie das der später vorkommenden Grenzlinie; nur sein ursprünglicher sehr gerader Lauf wird später kleineren Biegungen unterworfen. Im Laufe der Entwicklung wird der Knorpel sowohl auf seiner oberflächlichen wie auf seiner tiefen Seite verändert. Wir finden näm- lich bald im Knorpel, der am nächsten an der Fläche dieser Grenzschicht liegt, eine schmale Zone, die zu der im vorhergehenden Kapitel beschriebenen dritten Schicht gehórt. In dieser Grenzzone werden die Knorpelzellen schnell merkbar grósser und bilden unter sich grössere Gruppen: als in den übrigen Teilen der dritten Schicht. Ebenso werden die Zellenhöfe merkbar schmäler. Gleichzeitig wird die Färbbarkeit der Grundsubstanz verändert, so dass die intermediären Züge sehr undeutlich werden und die Grundsubstanz im übrigen eine viel weniger intensive Farbe annimmt (Fig. 26.2). Aus diesem Grunde ist die genannte Zone viel leichter als ein hellerer Streifen im Knorpel zu erkennen. Diese verschiedenartige Färbbarkeit tritt besonders gut in Präparaten, gefärbt nach der Methylenblau-Xylol-Methode, hervor. Aber auch diese ist in verschiedenen Fällen sehr ungleich und kann sogar ganz und gar vermisst werden. Am deutlichsten habe ich dieselbe bei einem 4 Monate alten Edelhirsch gesehen. Diese Verschiedenheit beruht zum Teil auf das Alter der untersuchten Stadien. In jüngeren Stadien ist diese Zone verhältnismässig breit, und man trifft in derselben relativ reichlich Gruppen von hyper- trophischen Zellen (Fig. 28. u. 29,1). Bei Älteren und besonders bei Erwachsenen ist dieselbe viel schmäler oder gar nicht nachzuweisen und die obenerwähnten Zellengruppen erscheinen äusserst spärlich. Diese schmale Zone von hypertrophischem Knorpel und die oben beschriebene lineäre Grenze machen zusammen besonders bei Erwachsenen einen schmalen Streifen aus, der eine Grenze zwischen dem verkalkten und dem unveränder- ten hyalinen Knorpel bildet (Fig. 30 u. 31). Es ist wahrscheinlich, dass der „Tren- nungsstreifen^ der Anatomen (ver@l. Fick 1904, Fig. 11) zwischen dem verkalkten und nicht verkalkten Knorpel we diesem Streifen ist. 7 di N:o 3. 102 YRJO KAJAV A. ij Auf der unteren Seite des letzt berührten „Trennungsstreifen“ folgt der verkalkte Knorpel (Fig. 26.4, 28 u. 29.5). Er gleicht im grossen Ganzen dem verkalkten Knor- pel an der Ossifikationsgrenze im allgemeinen, weshalb ich mich nicht bei seiner nähe- ren Beschreibung länger aufzuhalten brauche. Auch seine Dicke ist anfangs grösser, wird aber geringer im selben Masse, wie die Intensitet des Zuwachses abnimmt (vergl. Fig. 28, 30 u. 31). In einigen Fällen ist es schwer auch diese Schicht in einem spä- teren Alter überhaupt nachzuweisen. Entweder bekommt man den Eindruck, als ob die- selbe in gewissen Fällen ganz und gar vermisst wird, oder sieht man sie stellenweise hier und dort auftreten. In diesem verkalkten Knorpel sind die intermediären Züge senkrecht zur Fläche des Gelenkknorpels gestellt und ebenso zur Fläche des unter- liegenden Knochens. Im allgemeinen sind die Fibrillen weniger leicht sichtbar als die Fibrillen in dem hyalinen, nicht verkalkten Knorpel. Versucht man diesen Fibrillen weiter gegen den unterliegenden Knochen zu folgen, so kommt man zu der Auffassung, als ob dieselben nicht an der Knorpelknochengrenze schliessen würden, sondern im Gegenteil sich in das unterliegende Knochengewebe strecken. Meine hier hergehôrenden Beobachtungen sind doch so wenige, da ich die Frage über das Verhalten der erwähn- ten Knorpelfibrillen zum angrenzenden Knochen keiner speciellen Prüfung unterzogen habe, dass ich in diesem Zusammenhange nicht im stande bin dieser Sache eine nähere Auseinandersetzung zu widmen. — Ausserdem ist die Grenze zwischen dem Knorpel und dem Knochengewebe sehr scharf aber nicht gerade sondern im Gegenteil schlingernd. Tom. XLVIII. BT Anhang. Die Veränderungen des Gelenkknorpels auf Caput humeri beim Menschen nach der Geburt. Um grössere Ubersichtlichkeit betreffend der Veränderungen zu gewinnen, die der Gelenkknorpel auf Caput humeri beim Menschen nach der Geburt durchmacht, füge ich einen abgekürzten Auszug aus meinen Protokollen über hierhergehörende Stadien bei. Im ersten Lebensjahr. Die oberflächlichste, verhältnismässig schmale Zone des Gelenkknorpels ist stark acidophil; die Knorpelzellen sind in dieser Zone rund oder oval, etwas abgeplattet und haben keine gróberen Ausläufern. Alle Zellen sind kernführende Einzelzellen in Grup- pen von zwei oder seltener drei. Die Zellenteilungsrichtung — bestimmt auf Grund des gegenseitigen Lageverhältnisses — der Schwesterzellen — ist fast senkrecht zur Knorpelfläche, doch können auch Zellenteilungen parallel zur Gelenkfläche festgestellt werden. Um die meisten Zellen herum ist eine schmale, hellblaugrüne Kante, die Knor- pelkapsel, merkbar; ausserdem kommen einzelne Zellen vor, welche keine nachweisbare Kapsel haben und direkt von der acidophilen Grundsubstanz umgeben zu sein scheinen. Diese Flächenschicht geht unmerkbar in die darunterliegende, etwas dickere Schicht über, die von folgenden HEigentümlichkeiten gekennzeichnet wird: die Grundsubstanz ist gleichmässig basophil, hell blaugrün, mit äusserst schwach hervortretenden helleren, blau- grünen Territorien um die Zellen herum. Ein deutlicher Unterschied zwischen dem Zel- lenhof und der Knorpelkapsel gibt es im allgemeinen nicht. Die Zellen sind typisch spindelförmig oder verzweigt, oft sogar mit 3—4 im Schnitt sichtbaren Ausläufern ver- sehen, welche in verschiedenen Richtungen in der Grundsubstanz laufen. Einige Zellen stehen durch ihre Ausläufer in direkter protoplasmatischer Vereinigung mit einander. N:o 3. 104 Yrsö KAJA YA. Alle Zellen liegen einzeln ungefáhr gleich weit von einander. Die spindelfórmigen Zel- len ordnen sich nicht nach einem gemeinsamen Plan, im Gegenteil sieht man sie im selben Schnitt oft längs-, quer- oder in verschiedenen Weisen schräggeschnitten. Unter dieser Schicht folgt ohne merkbare Grenze die mächtigste dritte Schicht des jungen Gelenkknorpels, die von folgenden Eigentümlichkeiten gekennzeichnet wird: die Grundsubstanz zeigt am nächsten unter der Fläche der Schicht sehr undeutliche, tiefer etwas deutlicher violet gefärbte intermediüre Züge, welche erst mit einer starken Pikrin- säure-Säurefuksin-Färbung hervortreten. Diese intermediüren Züge treten besonders deut- lich in der Nähe der Gefässkanäle hervor, wo sie mit ihrer hülsenfórmigen acidophilen Randzone zusammenhángen. Der hauptsáchliche Farbenton der Grundsubstanz ist aber doch blaugrün. Statt der einzelnen spindelfórmigen und verzweigten Zellen treten in dieser Schicht kleinere Zellengruppen auf, welche sich im allgemeinen in Reihen ordnen, sodass man die Spindelform der ehemaligen Mutterzelle leicht erkennen kann. Ein Teil von diesen Zellen (die mittersten Zellen der Reihe) ist abgerundet, ein anderer (die äus- sersten Zellen in der Reihe) mit einem Protoplasmaausläufer versehen. Hier und dort treten auch einzelne spindelförmige oder verzweigte Zellen auf, und ebenfalls einzelne runde oder ovale Zellen, welche keine Ausläufer haben. Ausser diesen obenerwühnten spindelförmigen Zellengruppen, in welchen alle Zellen in einer Reihe nach einander lie- gen, gibt es auch zwischen ihnen einzelne abgerundete Zellengruppen, wo auch neben- einander liegende Zellen vorkommen. Die Zellen werden von hell blaugrünen Hófen umgeben. Bei einigen Zellen kan man ausserdem am nächsten um die Zellen herum eine stärker lichtbrechende mehr hell grünblaue, manchmal auch stärker blaue Knorpelkapsel deutlich sehen. Die Zellen ord- nen sich in den oberflächlichsten Teilen der Schicht hauptsächlich in Reihen parallel zur Knorpelfläche, aber in den tieferen Teilen der Schicht bilden sie Wirbeln oder in ver- schiedenen Richtungen gestellte Reihen. — Die Verteilung der Grundsubstanz ist nicht gleichmässig. Im Gegenteil sieht man in derselben ausser Zellenhófen und Knorpelkap- seln starke, hell blaugrün gefärbte (basophile) Partien wie ungleichmässige Inseln oder Adern zwischen den Zellengruppen, isoliert von ihren Zellenhöfen durch violett gefärbte Stränge. An einigen Stellen können diese basophil gefärbte ,Adern* — welche den von Hansen (1905, S. 683) beschriebenen und (in Taf. 35 Fig. 1) abgebildeten „blauen Balkennetzen“ oder der „Zone IV“ entsprechen — direkt mit der Territorealsubstanz der Zellen zusammenfliessen, an anderen Stellen kommt zwischen diesen verschiedenen Teilen der basophilen Grundsubstanz — wie oben erwähnt — ein breiterer oder schmä- lerer, schwach tingierter, violetter (acidophiler) Ring, der in gewissen Fällen direkt mit der Interterritorealsubstanz zusammenhängt. Auch ausserhalb der oben beschriebenen Tom. XLVIIL. Beitrag zur Kenntnis der Entwicllung des Gelenkknorpels. 105 acidophilen Wandpartie der Gefässkanäle trifft man eine ungleichmässig begrenzte baso- phile Zone, den blauen Balkennentzen entsprechend. Im allgemeinen sind die Zellen weniger zahlreich hervortretend in den blauen Bal- kennetzen, aber hier und dort trifft man doch in denselben einzelne solche. An einigen Stellen sieht man, dass in der Mitte eines solchen basophilen Balkennentzes eine Reihe von Zellen läuft, und dass es gerade der gemeinsame, stark entwickelte Zellenhof dieser Zellen ist, der in einem solchen Fall den basophilen Zug bildet. Prüft man diese Züge eingehender, so findet man nicht selten in denselben Zellen, welche sich deutlich von den übrigen Knorpelzellen auf Grund der äusserst schwachen Differenz unterscheiden, die zwischen diesen und der basophilen Grundsubstanz besteht. Die genannten Zellen werden weder von einer Kapsel noch einem Zellenhof umgeben, und es ist im allgemei- nen schwer eine Grenze zwischen der Zelle und der Grundsubstanz zu unterscheiden. Das Protoplasma dieser Zellen färbt sich nämlich auch in ganz derselben Weise wie die umgebende Grundsubstanz mit einer hellblaugrünen Farbe; im Protoplasma können aber in verschiedenen Zellen reichlich vorkommende kleine, nur in starker Vergrösserung vor- tretende, dunkelgefärbte Körner entdeckt werden. Es ist nur dank dem Vorhandensein dieser Kórner man sich im allgemeinen eine Auffassung über die Ausdehnung und Form der fraglichen Zellen bilden kann. Während es verhältnismässig leicht ist in dieser Weise das Protoplasma von einigen dieser Zellen nachzuweisen, gibt es andere, wo man die erwähnten Körner entweder nur auf der einen Seite des Zellenkerns oder überhaupt nicht antrifft. In diesen Fállen kann man sich keine Auffassung über die Ausdehnung der fraglichen Zellen bilden, und in den letzterwühnten Zellen sind nur die Kerne sichtbar. Aber auch die Kerne der jetzt beschriebenen Zellen sind ungleich den Kernen der gewöhnlichen Knorpelzellen. Sie sind ihrer Grösse nach kleiner als die anderer Zellen und im allgemeinen gleichmässig gefärbt, ohne sichtbare Kernstruktur. Ausser- dem ist ihre äussere Begrenzung oft ungleichmässig; die Kerne zeigen mit anderen Worten eine mehr oder weniger weit gediehene Degeneration (vergl. die Zellen in Fig. 25). Näher der Verknócherungsgrenze tritt zu erst der hypertrophische Knorpel auf, welcher sich ohne deutliche Grenze der letztbeschriebenen Schicht anschliesst. Die Zellen in den oberflächlichsten Teilen dieses hypertrophischen Knorpels sind nicht viel grösser . als in dem nicht hypertrophischen, aber je tiefer unter dessen untere Flüche man kommt, um so grösser werden die Zellen. Ausserdem merkt man, dass die Zellen in den ober- flächlichsten Teilen dieser hypertrophischen Schicht verhältnismässig kleine, hauptsächlich runde Gruppen bilden, wogegen sie sich näher dem verkalkten Knorpel in längliche oder ovale Zellengruppen zusammenschliessen, welche hauptächlich aufrecht im Verhält- nis zu der tieferen Fläche des Knorpels stehen. Die Grundsubstanz ist deutlich ver- mehrt, die intermediären Züge undeutlich. N:o 3. 14 106 YnJO KıJava. Nach dem hypertrophischen Knorpel folgt in diesen Stadien ohne deutliche Grenze der verkalkte Knorpel mit dichtsitzenden, langen Reihen von hypertrophischen Zellen. Zwischen diesen Reihen, die alle einigermassen senkrecht zu Fläche des Gelenkknorpels stehen, sieht man deutliche, ebenfalls aufrechtstehende acidophile, intermediäre Züge. Im tieferen und mittersten Teil des Knorpels kommen reichlich Blutgefässkanäle vor. Ein Teil von diesen zeigt deutliche Neigung zur Atresie; es kommen auch ganz atretische (Grefässkanäle vor, gefüllt von junger, hellblaugrün gefärbter Grundsubstanz und grosse, runde Zellen oder ovale Knorpelzellen. Am nächsten um die rotvioletten „Hülsen“ der Gefässkanäle herum beobachtet man eine reichliche Zellenvermehrung und Neubildung von junger (basophiler) Grundsubstanz. An gewissen Stellen treten in den obenerwähnten, acidophilen „Hülsen“ Gruppen von dicht an einander sitzenden Zellen mit hell blaugrüner Grundsubstanz (Knorpelkapsel und Zellenhof) um sich herum auf. Das Bindegewebe in diesen Gefässkanälen ist verdichtet, die Geefásse atrophisch. Neben diesen verschiedenen Formen von Gefásskanülen gibt es auch solche, wo die obenbeschrie- benen atretischen Prozesse noch nicht beobachtet werden. Die Kante des Gelenkknorpels wird von einer fibrósen Lamelle bedeckt, die Fort- setzung sowohl des Perichondriums wie der Gelenkkapsel. Dieselbe streckt sich ein Stück der Gelenkfläche entlang, wird aber bald unerkennlich in dem ihre Fäden in der Grundsubstanz zwischen den Knorpelzellen verschwinden. Von ihrer tiefen Fläche strah- len starke acidophile Fibrillenbündel in den Knorpel, wo sie als intermediäre Züge lau- fen und allmählich verschwinden. Der Übergang zwischen dem fibrösen Gewebe an der Anheftungsstelle der Gelenkkapsel geschieht so allmählich, dass man nirgends eine scharfe Grenze zwischen diesen verschiedenen Arten von Geweben ziehen kann. Noch in diesen Stadien kann die zirkulär um den Gelenkkopf herum laufende Furche, RANVIER'S „en- choche“, deutlich unterschieden werden. Sie ist gefüllt von Bindegewebsfäden und zwi- schen ihnen gestreute oder in Gruppen liegende Knorpelzellen mit einem Hof von baso- philer Substanz um sich herum. In dem letzt beschriebenen, peripher auf dem Gelenk- knorpel laufenden Bindegewebe befinden sich Blutgefässe. Je ältere zu dieser Altersgruppe hörende Kinder man untersucht, um so stärker acidophil kommt die Grundsubstanz des Knorpels vor. So treten die acidophilen inter- mediären Züge schon bei einem 6 Monate alten Kinde fast überall im Gelenkknorpel vor. Auch die basophilen Balkennetze sind bei älteren hierher gehörenden Kindern weniger reichlich wenn auch recht häufig vorkommend. Dazu kommt noch, dass die Zellen am nächsten unter der schmalen Flächenschicht bei diesen von deutlich hervor- tretenden basophilen Ringen umgeben sind. Tom. XLVIII. ER E ma catene o nc AL c hk nce a otn + aa RE TA ed Dh aim sé A RARE 2 i Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 107 Im zweiten Lebensjahr. Die acidophile oberflächliche Zone ist im grossen und ganzen wie in den vorher- gehenden Stadien gebaut, doch scheinen die Zellen mehr abgeplattet zu sein. Auf der Fläche des Knorpels kommen ausserdem dann und wann einzelne Zellenhöhlen vor, welche sich nach aussen der freien Gelenkfläche zu zu öffnen scheinen. Unter diesem, einigermassen gleichmässig acidophilen Flächenlager folgt die zweite Schicht des Knorpels, deren Grundsubstanz, in kleiner Vergrössung gesehen, eine auf- fallende Flammigkeit zeigt, die darauf beruht, dass überwiegend acidophile und basophile Felder mit uneben und undeutlichen Grenzen sich in einander schieben. Die nähere Erklärung zu diesem Phänomen gibt uns eine stärkere Vergrösserung. Die Zellen in dieser Schicht sind hauptsächlich spindelförmig oder verzweigt, meistens alleinstehend. Ihre Ausläufer strecken sich in verschiedene Richtungen ohne nähere Anordnung. Alle diese Zellen sind von basophilen Territorien umgeben. Aber während die erwähnten Territorien um gewisse Zellen herum ganz schmal sind wie die Knorpelkapseln, sind sie um andere herum sehr reichlich. Zwischen diesen basophilen Teilen der Grundsubstanz laufen verschieden breite acidophile intermediäre Züge, so dass, wo die obenerwähnten basophilen Territorien schwach entwickelt sind, die intermediären Züge breiter sind und umgekehrt. Aus diesem Grunde bilden die gleichartigen Territorien unter sich leicht zu- sammengefügte Anhäufungen, wodurch die oben angedeutete Flammigkeit in der Grund- substanz entsteht. Diese letzterwähnten Zellenanhäufungen sind nicht mit den Zellen- gruppen zu verwechseln, die man in dem fertig gebildeten hyalinen Knorpel und auch in diesem Stadium in der tieferen Schicht des Gelenkknorpels antrifft. In der darauf folgenden Schicht ist die Grundsubstanz überwiegend acidophil, breite intermediäre Züge bildend, zwischen welchen langgestreckte Zellengruppen oder spindel- förmige Zellen belegen sind. — Die Zellen sind von nicht all zu reichlicher basophiler Grundsubstanz umgeben, in weleher ein Unterschied zwischen dem Zellenhof und der Knorpelkapsel oft schwer zu finden ist. Sowohl die Maschen der intermediüren Züge wie die langgestreckten Zellengruppen sind im allgemeinen so geordnet, dass sie in der Richtung der Knorpelfläche laufen. Das basophile, blaue Balkennetz, das in den frü- heren Stadien und noch in dem späteren Teil der Entwicklungsperiode beobachtet wurde, kommt nicht mehr ebenso reichlich vor. — Je tiefer in diese Schicht man kommt, um so reicher an basophilen Elementen wird ihre Grundsubstanz. Gleichzeitig werden die Zellengruppen allmählich in immer mehr ovale oder sogar runde umgewandelt, und die Zellen werden von deutlich hervortretenden Knorpelkapseln und Zellenhófen umgeben, oder von Zellenterritorien, deren äussere Grenze gegen die violetten intermediären Züge N:o 3, 108 Yrsö KAJAVA. der Grundsubstanz unscharf ist. Die letzterwähnten sind verhältnismässig viel schmäler als in den oberflächlicheren Teilen der Schicht, und laufen nicht so streng parallel zur Gelenkfläche wie diese. Je tiefer gegen den verkalkten Knorpel man kommt, um so mehr runden sich die Zellen ab und um so senkrechter zur Gelenkfläche laufen die in- termediären Züge. In der letztbeschriebenen Schicht kommen teils ganz und gar atretische, mit jungem Knorpelgewebe und Bindegewebe gefüllte Gefässkanäle teils einzelne Kanäle, die noch Blutgefässe enthalten, vor. Im dritten und vierten Lebensjahr (Fig. 28). Während dieser Altersperiode verändert sich die innere Struktur des Gelenkknorpels in den oberflächlichsten Teilen nicht besonders viel, wogegen die aller tiefsten Schichten, der hypertrophische und verkalkte Knorpel, eine auffallende Ungleichheit bieten, verglichen mit den Verhältnissen in den vorhergehenden Stadien (Fig. 28). Die oberflächlichste Schicht ist fast ebenso gebaut, wie in dem vorhergehenden Stadium. Die Grundsubstanz der darauf folgenden zweiten Schicht ist mehr gleichmässig gefärbt und verhältnismässig reicher an acidophilen Elementen als in dem vorhergehenden Stadium. Aus diesem Grunde sind die zu dieser Schicht gehörenden Zellen von ungefähr gleich starken baso- philen Höfen umgeben. Auch kann man hier, hauptsächlich in dem dritten Lebensjahr E merken, wie die spindelfórmigen Zellen allmählich in runde oder längliche Zellen um- E gewandelt werden, welche grobe Ausläufer vermissen. Dieses scheint im allgemeinen so zu geschehen, dass die lange, spindelförmige Zelle sich in zwei oder mehrere Schwester- zellen‘ teilt, welche nachher eine abgerundete Form annehmen. Die so entstandenen ARS god SA cd Roi NUN a a ee Schwesterzellen bilden doch keine grösseren Gruppen, sondern entfernen sich wieder von einander. ii ur Sd Eres eid NDS > 404 Diese Veränderung in der äusseren Form der Zellen gibt dieser zweiten Schicht ein anderes Gepräge, als wir in den zwei früher beschriebenen Altersgruppen sahen. Gleichzeitig dass ein Teil der spindelfórmigen Zellen also in dieser zweiten Schicht ver- schwindet, kann eine entsprechende Entwicklung auch in der darunter liegenden dritten Schicht festgestellt werden, deren Zelen im allgemeinen danach streben Gruppen zu bilden, wie schon in den früheren Altersperioden nachgewiesen wurde. So trifft man in der jetzt fraglichen Schicht neben lang ausgedehnten, einzelnen spindelförmigen Zellen zahlreiche abgerundete oder ovale Zellengruppen und Zellen, umgeben von einer baso- : philen Knorpelkapsel und Zellenhof. In dem tieferen Teil des Knorpels können auch in diesen Stadien Züge von dem blaugefürbten Balkennetz beobachtet werden. Ihrer Farbe » nach unterscheiden sich diese Züge immer mehr von den basophilen Zellenhöfen in dem Tom. XLVIII. tp esse Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 109 sie allmählich grauviolett werden, was vom Vorhandensein acidophiler Knorpelfibrillen in denselben beruht. Diese Ungleichheit konnte schon, wenn auch undeutlicher, in den früheren Stadien nachgewiesen werden. In den oberflächlichen Teilen des Kuorpels laufen die abgeplatteten Zellengruppen parallel zur Knorpelfläche. In der darunter befindlichen Schicht kann eine streng durch- geführte, regelmässige Zellenanordnung nicht nachgewiesen werden. Das Vorkommen von zahlreichen runden oder ovalen Zellen gibt doch dieser Schicht ihr Gepräge, wo die spindelförmigen Zellen zwischen diesen in allen denkbaren Richtungen laufen, meistens laufen doch auch sie parallel zur Fläche des Knorpels. In der tiefsten Schicht laufen die Zellen noch unregelmässiger, oft unter einander undeutliche Wirbeln bildend. Erst nahe der Ossifikationsgrenze ordnen sie sich in senkrecht zur Gelenkfläche gestellten Reichen. Einzelne Gefässführende Kanäle kommen noch im Knorpel vor, ebenso kann man einzelne mit jungem Knorpel gefüllte Gefässkanäle feststellen. In einigen der letzter- wähnten Gefässkanäle findet man junge Knorpelzellen, unter deren Knorpelkapseln eine stark acidophile, halbmondförmige Bildung festegstellt werden kann, den von Hansen (1899 und 1905) beschriebenen „kollagenen Manteln aus kurzen, starren Fibrillen“ ent- sprechend. (Vergl. Hansen 1905, Taf. 35. Fig. 1 und Taf. 38, Fig. 6). Was die Lage dieser Bildungen betrifft, so kann man feststellen, dass dieselben konstant auf der Seite der Zellen sind, die nach der Mitte der Gefässkanäle gewandt ist. Was ihr Lageverhältnis zur Zelle selbst betrifft, so befinden sich einige von ihnen ganz auf der Protoplasmaoberfläche, in der inneren Wand der Knorpelkapsel, andere etwas weiter von der Zelle entfernt, so dass die drinnen in der basophilen Knorpelkapsel belegen und getrennt von der Zelle durch eine dünne basophile Lamelle sind. Wie schon erwähnt sind die am meisten merkbaren Veränderungen in diesen Sta- dien auf die tiefsten Teile des Gelenkknorpels lokalisiert. Der starke Zuwachs nahe der Ossifikationsgrenze, der sich durch lange aufrechtstehende Zellenreihen sowohl in dem hypertrophischen wie besonders in dem verkalkten Knorpel in dem oben beschriebenen Altersperioden merkbar machte, hat in den jetzt fraglichen Stadien bedeutend abgenom- men. Die Zellen in dem hypertrophischen Knorpel bilden nicht mehr ebenso lange Rei- hen, und die Zellengruppen sind in dieser Schicht im allgemeinen mehr abgerundet, während der ganze hypertrophische Knorpel nunmehr eine viel dünnere Schicht als frü- her bildet. — Dasselbe gilt in noch höherem Masse den verkalkten Knorpel, der sich allmählich zu einer verhältnismässig dünnen Schicht reduziert hat, die noch kurze Zel- lenreihen enthält. Die Grenze zwischen dem hypertrophischen und dem verkalkten Knorpel, die früher undeutlich war, wird jetzt von einer wenigstens an vielen Stellen recht deutlichen Linie gebildet (vergl. Fig. 28). N;o 3. 110 YRrsö KAJAVA: Im fünften Lebensjahr. In fünften Lebensjahr geschieht eine merkbare Veränderung in der oberflächlich- sten Teilen des Gelenkknorpels. Die aller oberflächlichste, stark acidophile Schicht ist ungefähr gleich denen, die man in den vorhergehenden Stadien trifft, die Zellen sind doch mehr abgeplattet und hier und dort zu grösseren Gruppen, die 3—5 Zellen ent- halten, zusammengefügt. Aber die Schicht am nächsten unter dieser hat ihren Charak- tär ganz und gar verändert. Die Grundsubstanz ist reichlicher als in der früheren Perioden und besteht hauptsächlich von stark acidophilen intermediären Zügen, die so stark entwickelt sind, dass sie zu einem homogenen, rotgefärbten Grund zusammenflies- sen, wo die nicht so schwach entwickelten basophilen ,Chondrinbálle* mit ihren Zellen eingestreut sind. Die Zellen sind alle rund oder oval und vermissen stärkere Ausläufer. Sie sind entweder in kleineren Gruppen angehäuft oder stehen seltener einzeln für sich. Die basophile Substanz, die die Zellen umgibt, lüsst nur schwer konzentrisch angeord- nete Schichten unterscheiden. | Unter dieser zweiten Schicht folgt die stärkste Schicht des Knorpels, wo in der reichlich vorkommenden acidophilen Grundsubstanz Zellengruppen und Zellen teils rund, teils oval, teils spindelfórmig auftreten. Die letzterwähnten sind jedoch nicht besonders zahlreich und haben verhältnismässig kurze Ausläufer. An gewissen Stellen kann man feststellen, dass das Zellenprotoplasma keine Ausläufer mehr zu der kanalförmigen For- setzung der sich spitz verjüngenden Zellenhöhlen ausschickt, die mit basophiler junger Grundsubstanz gefüllt wird. Dieser Sachverhalt tritt am deutlichsten an solchen Stellen vor, wo ein solcher Kanal quergeschnitten ist. Die basophile Grundsubstanz, die die Zellen umgibt, erscheint in den oberflächlichsten Teilen der Schicht spärlicher als in der letztbeschriebenen Schicht und in den tieferen Teilen der jetzt fraglichen Schicht. — Die Richtung der Zellengruppen und der intermediären Züge ist hauptsächlich parallel zur Gelenkfläche. In tieferen Teilen der jetzt in Frage stehenden Schicht verändert sich der Charak- : ter der Grundsubstanz schnell, sodass die sehr reich an basophilen Elementen und aus diesem Grunde der darauf folgenden Schicht etwas ähnlich wird, die aus hypertrophi- schem Knorpel besteht. Ihre Zellen beibehalten doch ungefähr dieselbe Grösse und Form wie in den übrigen Teilen der fraglichen Schicht. Ebenso findet man auch hier die violetten, intermediären Züge wieder, wenn auch schmäler und undeutlicher als in oberflächlicheren Teilen der Schicht. Sowohl die Zellen wie die intermediären Züge laufen hauptsächlich parallel zur Knorpelfläche. Unter dieser Schicht folgt die nicht ganz scharf begrenzte Schicht von hypertro- phischen Knorpel, dessen verhältnismässig grosse Zellen runde oder langgestreckte Zel- Tom. XLVIIl. Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 111 lengruppen bilden. Die letzterwähnten Gruppen stehen aufrecht zur Gelenkfläche. Die Grundsubsanz in der Schicht ist viel reichlicher als in der vorhergehenden und beinahe gleichmässig hellblaugrün. In dieser basophilen Grundsubstanz gibt es doch undeutliche, einigermassen senkrecht zur Gelenkfläche und ebenfalls zu dem verkalkten Knorpel lau- fende acidophile intermediäre Züge. Der verkalkte Knorpel, der vermittels einer scharf acidophilen, etwas körnigen Grenzlinie an den hypertrophischen grenzt, ist schmäler als die letztbeschriebene Schicht. Im übrigen ist er eben so gebaut wie in den vorhergehenden Stadien. Im Gelenkknorpel gibt es einzelne Gefässführende und atretische Gefässkanäle, doch nur in den tiefsten Teilen des Knorpels. In der äussersten Peripherie des Gelenkknor- pels, wo derselbe mit dem Grenzknorpel der Epiphyse zusammenhängt, konstatiert man noch einzelne, mit Gefässen versehene Kanäle — ebenso kommen Gefüsse unter der Synovialhaut vor, wo dieselbe die periphere Randzone des Gelenkknorpels deckt, aber diese Gefässe dringen nicht in den Knorpel hinein. Im 6.—10. Lebensjahr (Fig. 29). Die Fläche des Gelenkknorpels ist während der letztbeschriebenen Altersperiode all- mählich immer unebener geworden. Man trifft in derselben immer öfter leere Zellen- höhlen, welche sich auf der Knorpelfläche öffnen und auch andere Ungleichmässigkeiten wie Bildungen, einer Auftreibung oder Abschelfung der Fläche ähnelnd. Gleichzeitig haben sich die oberflächlichsten Zellen allmählich so abgeplattet, dass sie während der jetzt frag- lichen Zeitperiode ungefähr den erwähnten Zellen bei Erwachsenen entsprechen. — Wäh- rend dieser Zeitperiode verschwinden die schmalen, mit langen Ausläufern versehenen, spindelförmigen Zellen immer mehr (Fig. 29). Bei der letzterwähnten Altersgruppe haben wir gesehen, wie diese Zellen fast ganz und gar von dem breiten oberflächlichen Lager verschwunden waren, das unter der schmalen acidophilen Flächenschicht folgt. Ebenso vermisst man sie in den tieferen Teilen des Gelenkknorpels. Während der jetzt in Frage stehenden Periode sieht man, wie sie auch in den mittleren Teilen des Knorpels anfan- gen kleiner zu werden. Die Zellen, die in diesen Stadien durch Teilung der spindelför- migen Zellen. entstehen, sind, wenn auch noch einer spindelförmigen Zelle ähnlich, be- deutend breiter und kürzer als in den früheren Stadien, und schieken nicht mehr so lange Ausläufer wie in diesen aus. Ausserdem streben sie danach spindelförmige Zellen- reihen zu bilden. Verschwunden sind doch diese Zellen noch keineswegs, aber ihr Aus- dehnungsgebiet ist etwas reduziert und bildet jetzt einen Gürtel ziemlich in der Mitte des Gelenkknorpels und parallel zu dessen freien Fläche. Dieser Gürtel geht jedoch ganz unmerklich in den Knorpel auf dessen oberer und unterer Fläche über. — Alles N:o 3. 112 Yrıö KAJAYA. dieses bewirkt, dass der Unterschied zwischen der früher beschriebenen zweiten und dritten Schicht ausgetilgt wird, und man kann also in diesen Stadien nur von der stär- ker acidophilen, schmalen Flächenschicht des Knorpels sprechen und unter derselben von einer dicken Schicht, die sich bis an den hypertrophischen Knorpel streckt. In den oberflächlichsten Teilen dieser Schicht sind die Zellen gewöhnlich gerundet, einzeln oder eruppenweise angeordnet. In dieser Schicht kann man bei den Zellen ein stellenweise deutliches, stellenweise undeutliches Bestreben unterscheiden, sich in senkrecht zur Gelenkfläche gestellten Reihen zu ordnen. In den darunter folgenden Teilen kommen zu diesen runden Zellen, wie aus dem Vorhergesagten hervorgeht, auch spindelförmige Zellen oder schmale Zellenreihen, durch Zellenteilung einer spindelförmigen Zelle gebil- det, und am tiefsten darunter folgen wieder in Reihen gestellte runde Zellen oder Zel- lengruppen. Die letzterwähnten Reihen sind hauptsächlich senkrecht zur Gelenkfläche gestellt. Der hypertrophische sowohl wie der verkalkte Knorpel bietet weiter nichts von Interesse, als was schon in der vorhergehenden Altersgruppen beschrieben wurde. Gefässkanäle werden vermisst ausser in den aller tiefsten Teilen des Knorpels, wo noch einzelne Gefässschlingen vorkommen können. Diese kommen von der unterliegenden Spongiosa und strecken sich nicht höher, als bis zum verkalkten Knorpel. Einzelne Zeichen von ehemaligen Gefässkanälen können dagegen noch festgestellt werden, auch diese in dem tiefsten Teil des Gelenkknorpels (vergl. Fig. 29). Im 10.— 20. Lebensjahr '). Während dieser Altersperiode geschieht eine merkbare Veränderung in der inneren Struktur des Gelenkknorpels, welche dazu führt, dass der Knorpel allmählich beinahe seine definitive Form und Struktur erreicht (Fig. 30). Der Ossifikationsprozess schreitet langsam weiter und der Gelenkknorpel wird immer dünner. Seine Zellen, unter denen noch in der letztbeschriebenen Altersperiode nicht selten. einzelne spindelfórmige Zellen vorkommen, veründern sich so, dass man in Gelenkknorpeln, die von Individuen etwas unter 20 Jahren herstammen, äusserst selten eine einzelne spindelförmige Zelle antrifft. In der Regel sind die Zellen in diesem letzterwähnten Alter entweder in runden oder etwas 1) Da es mir nicht gelungen ist geeignetes menschliches Untersuchungsmaterial von der erwähnten Altersperiode zwischen 10 und 17 Jahren zu erhalten, kann ich diese in der Rubrik genannter Zeitperiode nicht in kleinere Abteilungen einteilen, so wünsenwert es auch würe. Der Mangel am meinem Menschen- material verhindert es mir den Zeitpunkt für gewisse Veränderungen beim Menschen zu fixieren. Doch wird es zu Folge von Komplettierung mit Tiermaterial dadurch nicht erschwert die spätere Entwicklung des Gelenkknorpels zu verstehen. a Tom. XLVIII. À TEN NEN ONT der de GS à dd dé vi NR IIT PU CPE 0*0 e Dac - dre op M Dm c f à cd En SUP STU aed n uet EE TETTE Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 113 ovalen Zellengruppen gruppiert; auch Kommen spindelförmige Zellengruppen und einzelne ovale oder runde Zellen, wenn auch seltener, vor. Die intermediäre Grundsubstanz hat sich im Verhältnis zu den früheren Stadien bedeutend vermehrt. Dieses scheint zum grössen Teil von der lebhaften knorpelbilden- den Funktion in der jetzt in Frage stehenden Altersperiode zu beruhen (das Vorhan- densein von stark entwickelten basophiien Chondrinbällen). Ausserdem werden im Knor- pel Erscheinungen festgestellt, welche uns mit recht grosser Wahrscheinlichkeit anneh- men lassen, dass noch in so alten Stadien wie die hier fraglichen eine Umwandlung von Knorpelzellen in Grundsubstanz in früher beschriebener Weise vorkommt (S. 105). All das Obenerwähnte gilt der stärksten, mittersten Schicht des Gelenkknorpels; die oberflächliche Schicht sowohl wie der hypertrophische und verkalkte Knorpel bieten in diesen Stadien kein besonderes Interesse. Die zwei letzterwähnten, besonders die Schicht des verkalkten Knorpels, werden doch merkbar dünner als in den früheren Stadien. s Nach dem 20. Lebensjahr (Fig. 30 u. 31). In den nach dem 20. Lebensjahr zunächst folgenden Jahren werden noch verschie- dene Veränderungen im Gelenkknorpels beobachtet, welche hauptsächlich folgende sind. Die oberflächlichste Grenzschicht des Gelenkknorpels wird deutlicher, in derselben treten öfter leere Zellenhóhlen auf, und auf ihrer Fläche bemerkt man reichlicher als vorher durch Abnutzung verursachte Veränderungen. — Die Zellen in der oberflüchlichsten Schicht des Gelenkknorpels, welche schon in der vorhergehenden Altersperiode ihrer definitiven Form nach abgeplattet und in kleinere der Form nach abgeplattete Haufen gruppiert waren, zeigen keine nennenswerte Ungleichheiten im Verhältnis zu den Zellen der entsprechenden Schicht während der letzt beschriebenen Altersperiode. — In der stärksten Schicht des Gelenkknorpels, die unmittelbar unter der letztberührten Flächen- schicht folgt, vermehrt sich die Grundsubstanz im Verhältnis zu den Zellen noch etwas während der nächst nach dem 20. Lebensjahr folgenden Jahre. Gleichzeitig ordnen sich die Zellen im allgemeinen so, dass sie in den oberflächlichsten Teilen der Schicht runde Zellenhaufen bilden, die ohne grössere Regelmässigkeit in der Grundsubstanz verstreut sind, in dem tiefen Teil der Schicht bilden sie dagegen aufrechtstehende Zellenreihen. Die Zellen in diesen Reihen stehen so dicht an einander und sind von einem gemein- samen Hof umgeben, sodass man ohne weiteres die in derselben Reihe stehenden Zellen als Schwesterzellen, gebildet durch Teilung von einer gemeinsamen Mutterzelle, erkennt. — Der hypertrophische Knorpel bildet immer dünnere Lager in den tieferen Teilen der obenbeschriebenen mächtigen Schicht. — Unter derselben befindet sich ein dünnes Lager N:o 3. 15 114 Yrıö KAJAVÀ. von dem verkalkten Knorpel, welcher ebenfalls Neigung zeigt seinen Umfang noch mehr zu verkleinern, sodass man in dem voll entwickelten Gelenkknorpel nicht immer imstande ist dasselbe an jeder Stelle im tiefsten Teil des Gelenkknorpels zu finden. Man kann feststellen, dass die angedeuteten Veränderungen noch in der Alters- periode von 20—25 Jahren vor sich gehen (vergl. Fig. 30 u. 31). Nach dieser letzt- genannten Altersgrenze können wir nicht mehr solche Veränderungen im Gelenkknorpel antreffen, von denen man meinen könnte, dass sie zu dessen Entwicklung gehören, wes- halb der Knorpel dann als fertig gebildet angesehen werden muss, wenn auch der Gelenk- knorpel im späteren Alter noch dünner wird (Fig. 31). — Im Alter von ungefähr 50 Jahren und darüber trifft man im Grelenkknorpel wieder weitgehende Altersveränderun- gen, doch deren Beschreibung gehört nicht mehr in dem Rahmen dieses Aufsatzes. Tom. XLVIILL s ail, Crue NRA a LI SÖ SEN Literaturverzeichnis. Mit * bezeichnete Arbeiten waren mir im Original nicht zugänglich. BABER, E. C. On the structure of hyaline cartilage. Journ. of anat. a. physiol. V.'X. 1876. S. 113. “Barzzéur, L. C. 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Zwei kapilläre Gefässe sind in der chondrogenen Übergangsschicht zu sehen. 1. Die oberflächliche bindegewebige Schicht; 2. die chondrogene Übergangsschicht; 3. junger Knorpel. — Vergr. Lzrz Obj. 6106.12: Fig. 3. Die jungen spindelförmigen und verzweigten Knorpelzellen vom Epiphy- senknorpel des Caput humeri eines 7 cm langen menschlichen Embryos. — Vergr. Leitz Obs OC: Fig. 4. Die spindelförmigen und verzweigten Knorpelzellen vom Epiphysenknor- pel des Capnt humeri eines 11 cm langen menschlichen Embryos. — Vergr. Lerrz Obj. 85500. 9: Fig. 5. Die spindelfórmigen und verzweigten Knorpelzellen vom Epiphysenknorpel des Caput humeri eines 22 cm langen menschlichen Embryos. In der Figur sind, wie auch in Fig. 4., sowohl lüngs als quer durchschnittene Zellen und Zellenausláufer zu sehen. — Vergr. Leitz Obj. 8. Oc. 3. Fig. 6. Spindelfórmige Zellengruppen aus den tieferen "Teilen des Epiphysenknor- pels im Caput humeri bei einem 22 cm langen menschlichen Embryo. — Vergr. Lerrz Obj. 8 Oc. 3. N:o 3, 124 Yrrö. KAJAVA. Fig. 7. Min oberflächlicher Tangentialschnitt durch den Gelenkknorpel bei einem 25 cm langen menschlichen Embryo. — Vergr. Lerrz Obj. 8. Oc. 4. Fig. 8. Ein Tangentialschnitt etwas tiefer als in Fig. 3. durch den Gelenkknor- pel bei einem 25 cm langen menschlichen Embryo. — Vergr. Lerrz Obj. 8. Oc. 4. Fig. 9. Die Randzone des Gelenkknorpels auf Caput humeri bei einem 11 cm langen menschlichen Embryo. Gezeichnet mit Zeichen- und Projektionsapparat nach Evinser. Mikrosummare von Brennweite F = 24 mm Oc. 1. Abstand vom Okular bis zum Zeichenbrett 675 mm. Nachher eine Verkleinerung des Bildes bis zu '/,. / Fig. 10. Die Anordnung der Knorpelzellen und Grundsubstanz in den tieferen Teilen des Gelenkknorpels bei einem '/, Jahre alten Kinde. Die blauen Balkennetze („Zone IV“ Hansen) hell gezeichnet. — Vergr. Lgmz Obj. 3. Oc. 4. Fig. 11. Die Randzone des Gelenkknorpels auf Caput hnmeri bei einem 22 cm langen. menschlichen Embryo. — Vergr. wie Fig. 9. Fig. 12. Caput humeri und dessen Gefässkanäle bei einem 7 cm langen mensch- lichen Embryo. Gezeichnet mit Zeichen- und Projektionsapparat nach EprsaER. — Vergr. ungef. 20. Fig. 13. Ein Kapillargefüss in seinem Gefässkanal, umgeben von verzweigten Zellen. In der Wand des Gefässkanals kann beobachtet werden, wie sich die Hohl- räume für Knorpelzellen dem -Gefässkanal zu öffnen und die Knorpelzellen frei werden, sich mit Ausläufer versehen und mit den übrigen perivasculären Zellen im Gefässkanal vereinen. 1. Eine geschlossene, 2. eine teilweise geöffnete Knorpelkapsel, 3. eine Knor- pellamelle, der Rest einer Scheidewand zwischen den Knorpelzellenhöhlen. — Vergr. Leitz Obj. 8. Oc. 4. Fig. 14. Verschiedene Stadien der Entwicklung des Knorpelgefässes im Epiphy- senknorpel im Caput humeri eines 13 cm langen Menschenembryos. A. Ein Hohlraum im Knorpel begrenzt von drei Knorpelzellen (der Kanal der Kapilläre unter Entwick- lung). B. Eine Knorpelkapilläre in ihrem Gefässkanal; die Intimazellen der Kapilläre entsprechen direkt dem umgebenden Knorpel. An einer Stelle ist eine Knorpelkapsel im Begriff sich in dem Gefässkanal zu öffnen. ©. Die Kapilläre in ihrem Gefässkanal, umgeben von einigen befreiten Knorpelzellen. — Vergr. Lerrz Obj. 8. Oc. 4. Fig. 15. Ein grósserer Gefässkanal vom Caput humeri eines 13 cm langen Em- bryos. 1. Die intensiv gefärbte H Ise des Gefässkanals mit ihren runden und ovalen Tom. XLVIIL Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 125 Knorpelzellen. 2. ein künstlicher Hohlraum. — Gezeichnet mit Epınser's Zeichen- und Projektionsapparat; die Vergrösserung entspricht Leitz Obj. 6. Oc. 2. Fig. 16. Ein Gefässkanal vom Caput humeri eines 13 cm langen Embryos, eine kleine Artere in der Mitte des Gefässkanals und mehrere Kapilläre teils in seiner Peri- pherie, teils in dem umgebenden Knorpel zeigend. Ausserdem sieht man die stärker gefärbte, hülsenförmige Schicht um den Gefässkanal herum mit ihren runden und ovalen Knorpelzellen und die radiäre Anordnung der spindelförmigen bezw. verzweigten Knor- pelzellen in dem umgebenden Knorpel. — Gezeichnet mit Epinger's Zeichen- und Pro- jektionsapparat; die Vergrösserung entspricht Leitz Obj. 6 Oc. 2. Fig. 17. Drei verschieden weit gediehene Stadien, das Verschwinden des Gefäss- kanals vom Knorpel zeigend. A. In dem verschwindenden Gefässkanal sieht man noch drei äusserst atrophierte Kapilläre. B. alle Blutgefässe sind verschwunden, das Kanal- lumen von dichtem Bindegewebe gefüllt. C. In dem Lumen des früheren Gefässkanals bilden sich Bindegewebszellen in Knorpelzellen um. Von dem Gelenkknorpel auf Caput humeri bei einem 3 Wochen alten Kalb. -— Vergr. Lerz Obj. 6. Oc. 4. Fig. 18. Ein grösserer gefüsskanal vom Gelenkknorpel auf Caput humeri bei einem 3 Wochen alten Kalb, die ersten Veränderungen in einem grösseren Gefässkanal vor seiner Atresie zeigend. (Fig. 17 ist nach demselben Gelenkknorpel gezeichnet). Inner- halb der stark gefärbten, hülsenförmigen Zone, die den Gefässkanal umgibt, kann man an einigen Stellen, besonders nach unten rechts, neugebildeten Knorpel bemerken. In dem Kanal läuft noch eine verhältnismässig starke Artere nebst einer Vene und einige Kapilläre, umgeben von perivaskulärem Bindegewebe. Gezeichnet mit EnprwaER's Zei- chen- und Projektionsapparat; Die Vergrösserung entspricht Lerrz Obj. 6. Oc. 4. Fig. 19. Ein Gefässkanal, wo einzelne Zellen in dem perivaskulüren Bindegewebe die Form von Knorpelzellen angenommen haben und die Grundsubstanz des Bindegewe- bes an entsprechenden Stellen in junge Knorpelsubstanz umgewandelt ist (in dem nach der Methylenblau-Xylol-Methode gefärbten Präparat sind diese Stellen hellblaugrün). Die Gefässe, die noch im Gefässkanal vorkommen, sind deutlich atrophisch (kaum noch blut- führend). Von dem Gelenkknorpel auf Caput humeri bei einem 4 Monate alten Edel- hirsch. — Gezeichnet mit EpiwcER's Zeichen- und Projektionsapparat; die Vergrösserung entspricht Leitz Obj. 6. Oc. 2. Fig. 20. Ein mit jungem Knorpel gefüllter, ehemaliger Gefässkanal, der alle Ge- fässe vollständig vermisst. Die um den Gefässkanal herum vorkommende, stärker ge- N:o 3. 126 Yrsö KAJAVA. färbte, hülsenförmige Zone ist noch gut sichtbar. Gezeichnet nach demselben Gelenk- knorpel wie Fig. 19. mit Epmeer’s Zeichen- und Projektionsapparat; die Vergrösserung entspricht Leitz Obj. 6. Oc. 2. Fig. 21. Ein mit jungem Knorpelgewebe gefüllter Gefässkanal im Gelenkknorpel auf Caput femoris bei einem 6 jährigen Knaben. Die Bindegewebsfibrillen sind in jungem Knorpelgewebe noch deutlich sichtbar. — Vergr. Lzrrz Obj. 8. Oc. 4. Fig. 22. Ein mit jungem Knorpelgewebe gefüllter Gefässkanal im Gelenkknorpel auf Caput humeri bei einem 2 jährigen Kinde. In der Mitte des ehemaligen Kanals sind dicht aneinander sitzende Knorpelübrillen in konzentrischer Anordnung und ausser dem amorphes Kollagen. — Vergr. Leiz Obj. 6. Oc. 4. Fig. 23. Ein mit Knorpel gefüllter ehemaliger Gefässkanal im Gelenkknorpel bei einem 2 jährigen Kinde. Man sieht die Reihenanordnung der Knorpelzellen im Gefäss- kanal. — Vergr. Leitz Obj. 6. Oc. 2. Fig. 24. Ein obliterierter Gefässkanal in dessen Umgebung nach aussen von der acidophilen hülsenförmigen Wandpartie reichlich basophile homogene Grundsubstanz (Zone IV“ von HawsEN) vorkommt. Das Präparat stammt vom Gelenkknorpel eines '/, jähri- gen Kindes. — Vergr. Lerrz Obj. 3. Oc. 4. Fig. 25. Ein Teil der Wandpartie von demselben Gefässkanal, der in der Fig. 24. abgebildet ist. Man sieht Zellen, welche in der basophilen Grundsubstanz verschwinden. — Vergr. Leitz Obj. 8. Oc. 4. Fig. 26. Die tieferen Teile des Gelenkknorpels bei einem 4 Monate alten Cervus elaphus. 1. Der tiefere Teil des unveränderten hyalinen Gelenkknorpels; 2. der hyper- trophise Knorpel; 3. Eine körnige Grenzlinie zwischen dem hypertrophischen und ver- kalkten Knorpel; 4. der verkalkte Knorpel; 5. Knochen. — Vergr. Lærrz Obj. 8 Oc. 4. Fig. 27. Der Gelenkknorpel auf dem Condylus oceipitalis bei einem 6 Monate alten Schwein. — Vergr. Lerrz Obj. 3. Oc. 4. \ Fig. 28. Der Gelenkknorpel auf Caput humeri eines 4 jährigen Kindes. 1. Die acidophile Oberflächenschicht; 2. die zweite, 3. die dritte Schicht des Gelenkknorpels; 4. hypertrophischer Knorpel; 5. der verkalkte Knorpel; 6. Knochen. — Gezeichnet mit Zeichen- und Projektionsapparat nach Eninéer. Vergr. wie in der Fig. 9. Der nach- herige Verkleinerung des Bildes bis zu '/,. Tom. XLVIII, Beitrag zur Kenntnis der Entwicklung des Gelenkknorpels. 127 Fig. 29. Der Gelenkknorpel auf Caput humeri eines 9-jährigen Kindes. In dem tiefsten Teil des Gelenkknorpels ist noch ein atresischer Gefässkanal sichtbar. Die Num- mern 1—6 wie in Fig. 28. ebenso die Methode des Zeichens und die Vergrösserung. Fig. 30. Der Gelenkknorpel auf Caput humeri eines 23-jährigen Mannes. Die Bezeichnungen, Methode des Zeichens und die Vergrösserung wie in der Fig. 28. Fig. 31. Der Gelenkknorpel auf Caput humeri eines 40-jährigen Mannes. Die Bezeichnungen, Methode des Zeichens und die Vergrösserung wie in Fig. 28. N:o 3. Corrigenda: . 1 ] x ^ v Ki Das Wort Bind geweb e, das hier und dort in den vier ersten Druckbog n soll überall Bindegewebe heissen. | n TORT » d = Fig. 1. AE eX Fig. 27. ETS ps eo I Mm Beer 3 Fig. ?9. SA ET ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ TOM. XLVIll. | INO 4. Ein neues Manometer von Carl Tigerstedt. (Aus dem physiologischen Institut der Universität Helsingfors. Aus meinen Untersuchungen über den arteriellen Puls des Kaninchens geht hervor ', dass gewisse superponierte Wellen der Pulskurve — bei der späteren Vorschwin- gung und den Nachschwingungen — unter Umständen eine Dauer von nur 0.007 Sek. und also eine Schwingungszahl von 143 haben. Es ist indessen nicht ausgeschlossen dass die Schwingungszahl dieser Wellen noch höher ansteigen kann. Es schien mir daher angezeigt, wenn möglich, ein Manometer zu bauen, dessen Schwingungszahl wesentlich grösser als die bei Franks Manometer erreichte — 180 — sein sollte. Bei meinen Versuchen in dieser Richtung ging ich anfangs von der Voraus- setzung aus, dass sich die besten Resultate unter Anwendung der Methode der Luft- übertragung erhalten liessen. Auch gelang es mir ein Herbst 1914 nach diesem Prinzip ein Manometer mit einer sehr hohen Schwingungszahl zu konstruieren. Dieses Manometer bestand aus einer aufnehmenden Kautschukampulle von 4.5 mm Länge und 2.7 mm lichtem Durchmesser, welche durch eine möglichst stark durch- lócherte Hülse vor der direkten Einwirkung der Kammerwand geschützt war. Durch eine Röhre von 1 mm lichtem Durchmesser und 80 mm Länge stand diese Ampulle mit einer registrierenden Kapsel von 5 mm Durchmesser und 0.5 mm Tiefe in Ver- bindung. Diese Kapsel war mit einer Kondommembran überzogen, an deren Mitte eine Glassaite _von 0.0: mm Durchmesser und 1 bis 2 mm Länge mittelst etwas fast zur Starre eingekochten Leinsamenöls befestigt war. Die Bewegungen der Glassaite und also auch diejenigen der Kapselmembran wurden unter mikroskopischer Vergrösserung (500: 1) photographisch registriert. Indessen zeigte sich dieses Manometer zu dem beabsichtigten Zwecke ganz unanwendbar, weil schon bevor die Registrierung anfangen konnte eine Gerinnung um die Ampulle herum eintrat. Dieser Übelstand hätte vielleicht durch Injektion grosser Mengen Hirudin vermieden werden können; da indessen der Vorrat des Instituts an 1 CARL TIGERSTEDT, Skand. Arch. f. Physiol. 35, S. 103; 1916. N:o 4. 4 CARL TIGERSTEDT. Hirudin nur sehr spärlich war, und neues Hirudin nicht bekommen werden konnte, wurde dieser Ausweg nie versucht. Statt dessen bemühte ich mich, ein offenes Manometer mit den erwünschten Eigenschaften zu bauen, und dies gelang mir schliesslich im Frühling 1915. Es war ursprünglich meine Absicht, das neue Manometer nur im Zusammenhang mit einem detaillierten Bericht über die Form der Druckschwankungen in den einzelnen Herzhöhlen zu beschreiben. Da ich aber wegen der stattfindenden Verhältnisse immer noch gezwungen bin, meine Zeit hauptsächlich physiologischen Fragen praktischer Natur zu widmen, und es übriges nicht möglich ist, notwendige Versuchstiere zu bekommen, habe ich mich entschlossen, schon jetzt eine Beschreibung des Manometers zu veröffent- lichen und als Beweis seiner Leistungsfähigkeit einige mit demselben gewonnenen Kurven über den Druckverlauf in der linken Kammer des Kaninchenherzens mitzuteilen. ' Das Manometer (Fig. 1) besteht aus einem kurzen zylindrischen Körper von 20 mm Durchmesser. Der Körper verjüngt sich nach unten und trägt an seinem Boden, zur Erleichterung der Füllung, eine mit der Packung f versehene Schraube d. Gerade am Boden des Manometers öffnet sich eine daselbst angelótete silberne Kanüle (c) von 3.2 mm lichtem Durchmesser und 30 mm Länge. Die Kanüle ist S-fürmig, so dass sie durch den Vorhof hindurch in die entsprechende Kammer hineingeführt werden kann. Die obere Öffnung des Manometerkürpers ist durch einen an derselben gelöteten Deckel geschlossen. Dieser Deckel hat bei 5 eine 3 mm weite kreisfórmige Öffnung mit etwas hervorragendem Rande, an welchem eine dünne Gummimembran gebunden wird. An der Membran wird ein u-fórmiges Aluminiumstück von 2 mm Länge, 0.s mm Breite und 0.1 mg Gewicht festgeklebt und zwischen dessen freien, nach oben gerichteten, mit. zähem Leinöl bestrichenen Enden eine Glassaite von 0.01—0.005 mm Durchmesser und 2 mm Länge befestigt. Die Bewegungen der Saite werden unter mikroskopischer Pro- jektion nach dem bei meinen Pulsuntersuchungen benutzten Verfahren photographisch aufgenommen. * Weil das Projektionsobjektiv wegen der bei der Registrierung benutzten starken Vergrösserung (500: 1) in der nächsten Nähe der Saite angebracht werden muss, ist ! Das Manometer und einige damit erhaltenen Kurven wurde an der skandinavischen Naturfor- scherversammlung in Christiania Juli 1916 demonstriert. 20, TIGERSTEDT, a, a. 0, 8^ DU, "Tom, XLVIII. Ein neues. Manometer. 5 die Kapselöffnung, wie aus Fig. 1 ersichtlich, ganz nahe dem Rande des Deckels ver- legt worden. Damit das vom Beleuchtungssystem kommende Licht möglichst vollständig ausgenutzt werden mag, ist der Deckel schief gestellt. Das Seitenstück e dient zur Befestigung des Manometers am Stativ. eentimeter b Fig l.. Das Manometer in natürlicher Grösse. Zum Vermeiden von Frschütterungen ist das Stativ, welches das Manometer trägt, sehr kräftig gebaut. Es besteht (Fig. 2) aus einem rechtwinkligen Messingstück (e), dessen horizontaler Ast mittels eines verschiebbaren Bolzens (f) in eine am Operationstisch (y) angebrachten Rinne daselbst befes- tigt wird. Am vertikalen Ast des Stativs kann mittels des Bol- zens d der bewegliche Arm c in richtiger Lage fixiert wer- den. Dieser Arm trägt das Manometer, indem dessen Seiten- stück (e, Fig. 1) mittels der Schraube à im Loch a festge- halten wird. Das Manometer wird mit physiolegischer Kochsalz- lösung gefüllt. Um dabei alle Luftbläschen zu vermeiden, wird es nach Entfernung der Schraube d (Fig. 1) in der Lös- ung gekocht und dabei die Kanüle c (Fig. 1) mit einem etwa 7 cm langen Gummischlauch verbunden. Nach Erkalten der Lösung wird die Schraube wieder eingesetzt und der Schlauch durch eine Klemme geschlossen. Erst dann wird das Manometer von der Lösung herausgenommen und eine Gummi- membran über die Oeffnung b (Fig. 1) ge- spannt. i Da nur ganz kleine Blutmengen in das Manometer, bzw. in die Kanüle hineindringen, ist die Gefahr der Gerinnung an und für sich gering. Um diese noch mehr zu ver- mindern, giesse ich, nach Fortnahme des Gummischlauches, welcher nur dazu dient um des Heraussickern von Flüssigkeit aus dem Manometer zu verhindern, vor dem Hin- N:o 4. 6 CARL TIGERSTEDT. einführen der Kanüle ins Herz mittels einer Pipette eine starke Hirudinlösung teils in die Kanüle teils durch die Öffnung bei d in den Manometerkörper selbst hinein. Dank diesen Massnahmen kann das Manometer eine Stunde und länger in Verbindung mit der Herzhöhle stehen, ohne dass eine Gerinnung erscheint. Bei der Prüfung des Manometers habe ich die von Fraxx empfohlene Methode benutzt. Ich habe also dasselbe einem hohen Druck — 100 bis 150 mm Hg — ausgesetzt und dann den Druck durch Anzünden eines das System abschliessenden dünnen Gummi- häutchens plötzlich auf Null gebracht. Da, wie schon bemerkt, selbst bei einem lange dauernden Versuch in der Regel keine Gerinnung erschien, liess sich das Manometer, ohne aufs Neue gefüllt zu werden, unmittelbar nach jedem Versuch wieder prüfen. Es war daher durch Feststellung der Schwingungszahl bei jedem Versuch möglich zu erfahren, inwiefern irgend ein Luft- bläschen in das System eingedrungen war und also das Resultat unsicher gemacht hätte. Wie selbstverständlich kann es ja auch zutreffen, dass nach Ende des Versuches beim Herausnehmen des Manometers von der betreffenden Herzhöhle ein Luftbläschen in das- selbe hat eintreten können. In diesem Falle würde also die Prüfung des Instrumentes weniger günstig ausfallen als der Wirklichkeit entspricht, was aber nur zur Folge hat, dass die Kritik des Versuches um so schärfer geworden ist und also in Bezug auf das schliessliche Resultat keine Gefahr bringt. Die Grösse des Manometerausschlages variiert natürlich in hohem Grade je nach der bei der mikroskopischen Projektion benutzten Vergrösserung und der Dicke und Spannung der Membran. Bei einer Vergrösserung von 500 mal entspricht ein Ausschlag von 35—40 mm einer Druckschwankung von 100 mm Hg. Der Ausschlag ist sehr nahe proportional dem absoluten Wert der Druckschwankung. Die in Fig. 3 reproduzierte Kurve stellt das Resultat der Prüfung des Mano- meters dar. Angesichts der hohen Schwingungszahl ist hierbei eine Vergrösserung von nur 250 mal angewendet worden. Da trotzdem die Kurve zur Zeit der;umfang- reichsten Schwingungen so zart ist, dass sie bei direkter Wiedergabe kaum sichtbar worden wäre, habe ich die Kurve unter Anwendung von Luppenvergrösserung und Glas- massstab bei 5-maliger Vergrösserung umgezeichnet. Fig. 3 stellt diese Umzeichnung auf die natürliche Grösse der Kurve reduziert dar. Tom. XLVIII. "—-——— Pru dem Anfang der Bewegung wieder vollständig Ein neues Manometer. ^ Wie ersichtlich ist die Amplitude der HA ose SI Schwingungen anfangs sehr bedeutend, was mm | seinen Grund in der ausserordentlich schnell I eintretenden Druckschwankung und der kleinen | Dämpfung des Manometers hat. Innerhalb 0.0005. Sek. passiert die Kurve die Gleichgewichtslage und 0.0005 Sek. später | hat der Ausschlag sein Maximum erreicht. N- PU. IA ANA PR de. AR, TS At RARE |A yw ^w A SEN ARS wa N Dann nimmt die Amplitude der Schwingungen schnell ab, so dass die Saite 0.0» Sek. nach Fig 3. Eichungskurve. Die Zeitmarkierung in !/,o Sek. in Ruhe übergegangen ist. In der hier reproduzierten Kurve beträgt die Schwingungszahl 471 in der Sekunde. In anderen Versuchen ist sie etwas niedriger — 405 in der Sekunde — gewesen; bei einem Versuch war sie nur 330 in der Sekunde. Hier hat vielleicht ein in das Manometer hineingekommenes Luftblüschen die verhältnismässig kleine Schwingungszahl verursacht. Das Dämpfungsverhältnis, d. h. das Verhältnis zwischen einer Schwingungsbreite zu der folgenden, ist hier sehr konstant und betrügt für die elf ersten Schwingungen Dame 0520 el tel 2021020, 1-20, 1.20, 1,21; 1.21, T:2r- und | 21mm. Wie schon bemerkt, ist dieses Manometer in erster Linie für die Kammern des Kaninchenherzens beabsichtigt. Soll das Manometer zu irgend einem anderen Zwecke benutzt. werden, muss es mit einer Kanüle anderer Grósse und Form ausgestattet werden. Da aber die Anwendung von besonderen Kanülen in mehrerer Beziehung nicht zweck- mässig ist und da das ganze Instrument zu einem sehr geringen Preis erhalten werden kann, scheint es mir vorteilhaft, für jeden besonderen Zweck ein Manometer geeigneter Form zu benutzen. Zur Druckmessung in den Vorhófen habe ich ein Manometer mit einer nur wenig gebogenen Kanüle von 12 mm Länge und 3.2 mm lichtem Durchmesser verfertigen lassen. Wegen der Unmöglichkeit, Versuchstiere zu bekommen, habe ich noch nicht die Gelegenheit gehabt, dasselbe anzuwenden. N:o 4. 8 CARL TIGERSTEDT. Die in Fig. 4—7 in natürlicher Grösse wiedergegebenen Kurven beziehen sich sämmtlich auf die linke. Kammer der Kaninchenherzens. Sie zeigen im grossen und ganzen dieselbe Form wie die von mir unter Anwendung des Frankschen Mano- meters gewonnenen Kurven. Indessen ist die Amplitude der Anfangs- wie der Span- nungsschwingungen in den neuen Kurven kleiner als in den früheren, was grössten- teils von der Verschiedenheit der Schwingungszahlen der betreffenden Manometer bedingt ist. Dagegen ist die Zahl der superponierten Wellen der Hauptsache nach in beiden Versuchsreihen die gleiche. Fig. 4 und 5 sind Normalkurven von einem Tier von 2350 e Körpergewicht; Versuch vom 21. Mai 1917. Fig. 6 ist ebenfalls eine Normalkurve von einem "lier von 2200 g Körper- gewicht; Versuch vom 24. Mai 1917. Fig. 7 ist nach Erstickung aufgenommen; Körpergewicht des Tieres 2200 g; Versuch von 27. Mai 1917. Die Schwingungszahl des Manometers betrug im Versuch vom 21. Mai 405, im Versuch vom 24. Mai 333 und im Versuch vom 27. Mai 429. In sämmtlichen Kurven ist die Zeit in !/,,, Sek. angegeben. Tom. XLbVIL.; CARL TIGERSTEDT, Ein neues Manometer. Acta Soc. Scient.'Fenn. XLVIII. N:o 4. Taf. I. PARRA PPP SERERE TL il il VARY Fig. 5. CARL TIGERSTEDT, Ein neues Manometer. Acta Soc. Scient. Fenn. XLVIII. N:o 4. Taf. II. 1 ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ TOM. XLVIII. N:o 5. MICROPLANKTON FROM THE FINNISH. WATERS DURING THE MONTH OF MAY 1912 BY CAROLINE" LEEGAARD HELSINGFORS 1920 PRINTED BY THE FINNISH LITERARY SOCIETY PREFACE. I beg to acknowledge my indebtedness to Professor H. H. Gmaw, of Christiania, for his having kindly placed at my disposal the Finnish plankton material collected in 1912; I beg also to express my sincere gratitude to Dr. K. M. Levanper, professor of zoology at the Helsingfors University, for the way in which he has promoted my re- search by recommending this paper for insertion in the „Acta“ of the Finnish Society of Sciences, as well as to the Society for the hospitality it has extended to my treatise. Christiania, September 27, 1919. CAROLINE LEEGAARD. CONTENTS. TAVERODUGC TION. SEL, ER El ECM ER El MENS at RTE Koo RET CHAPTER I. ['he:Separate Species and their, Distributions! Wan. NT AL a aa a ER IE Diatomacede a. Du Pes Ann ME RT LR MEET Peridiniales si SLE EE ROC ned e Jo Ne RERO C EEE "Ghia taa RT es eR VIE eds dco P Fe HR PS AR EN ENDE Mel HAT PENDET Rirzopodis re «ett otii obice ea OR Pe EE HCM E TROC Slicotlasellata t br fr ach. un. aaa itis ee ER EB N RE ORO Systematically Unknown Former. NERO bg DX me eU M CEU SM UTER CHAPTER II. Survey Oo Ie SALONS. Mt Anke Vale nur, TUNER ERA RET SALONS B igdrar 22e CUN or EEE M D Of LOS I ed SR SR TS D SEMI Ol CO RON eM EM ash ET LA RE OR ST " RASOIR SEE e EL MU E TA erede E SAEI a no 8 5 NL ANNE dre Er QE AN rg ER NET OR TE AS N EE SU EN ee ga SA SN TA en LA ori TE ttr eve e E Re ES D CHAPTER III. , Remarks on the Conditions of Life and Quality of the Plankton . . . . . . . 37 Salimiby ur «WE uou. QUE RAT AMEN s Meat Uo rre RAT UT UK MAN TU. SERERE AC EDI CERRO Tce-Conditions it 7020 T op o MO Is eee Moo PS y T RME LO Toe Mr M EL MNT Arctie\ Species and. ar ee eo SET RE RE PT ENS EE RES Sizeof/the; Specles* -. fusos Marz al kr) ee ee ee p e S RES TIBI OG RAPI: 125) 063 VU auae ee ae SE er ER DEE ET TABLE. INTRODUCTION. Since the centrifuge has been introduced by LoHMANN among the methods of studying plankton, the quantitative in- vestigations of the diminutive organisms have been possible. To preserve the water samples for later examination GRAN (1912) used Flemmings stron- ger solution. At the meeting of the International Council in Copenhagen April 1912 it was decided, that in May-June samples should be collected according to Gran’s method. Much of the material has al- ready been investigated, and the results are to be found in „The Plankton Production“ by H. H. Gran. The Fin- nish material collected in the month of May 1912 will be dealt with in the following treatise. The samples were taken at six stations, the geographical positions of which are shown in the map of the figure 1 and noted in the table below: 2 CAROLINE LEEGAARD. Table I. The Positions of the Stations. | à Depth of the | | Station Date | Position Bottom in | | | | Metres AREA May 11 |N. 60° 17°5 E. 27° 57 | 50 F 50 = Moped 159350 259 37' | "ij IUE YU EN ea 299 9' | geras s] F 74 PRETIO 599 1! DIOE! 190 | F 30 18 61° 4' 199 35' 123 | F 23 —1 590 heap 199 81" 140 The samples were for the most part taken from the following depths: 0 metres, 5 m., 10 m., 20 m., 30 m., 40 m., 50 m., 60 m., 80 m., 100 m. À At those stations where the depth did not reach 100 metres (Table I), the deepest samples were taken a short distance from the bottom. At the station F 74 the deeper samples are wanting. Almost all the samples were much fouled by detritus brought into the sea by the rivers. On account of the shallowness of the water the wind and waves easily stir up the deposits of the bottom, so that the plankton samples will not be as clean as those from the open and deep ocean. ; The centrifugal method has been employed. Samples of 50 cc., 25 cc. or 10 cc. being centrifugated the numbers of individuals (cells) have been counted. In the tables containing the results of the observations all records are given in numbers of individuals (cells) pr. litre. At the head of the tables are given the depth of the sample and some hydrographical data, viz: temperature, salinity and oxygen tension, all taken from the „Jahrbuch 1912* by Dr. Rorr Wırrme (Finländische hydrographisch-biologische Unter- suchungen. No. 12). Below the hydrographical data are given the quantities of each water sample examined. In some instances it has been necessary to count the contents of two quantities of the same sample. When in the tables two values are given, as for instance. 50 (10), this indicates that a few species which occur very abundantly have been enumerated in a sample of 10 cc., while all the others have been enumerated in a sample of 50 cc. One special diatom, namely Achnanthes taeniata, occurred so abun- dantly, that the examination of this species was rather difficult even in such a small quan- tity of water as 10 cc. , The material will be arranged in the following way: Chapter I. The Separate Species and their Distribution. Chapter II. Survey of the Stations. Chapter III. Remarks on the Conditions of Life and the Quality of the Plankton. Of course this one series of samples taken at almost the same time cannot give absolutely reliable information as to the habits of life of the different species. We must Tom. XLVIII. Mieroplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 3 content ourselves by comparing them with the plankton from better known regions and drawing our own conclusions as to the distribution and the conditions of life of the plankton dealt with here. CHAPTER 1. THE SEPARATE SPECIES AND THEIR DISTRIBUTION. With some few exceptions the different species can be classified into three groups: Diatomaceae. Peridiniales. Ciliata. remarks will be made on those species, which are to be grouped otherwise. The groups will be discussed in the order mentioned abow, and afterwards some Of course the groups mentioned have no equal systematic value; this basis of classification is rather a practical one employed on this special plankton. The species of the different groups will be dealt with alphabetically. The material examined consisted of following species: Diatomaceue. A. Oceanic species. Achnanthes taeniata Chaetoceras debile Asterionella formosa Cocconeis Placentula — Scutellum Diatoma tenue Melosira distans Y Wighami — granulata Coscinodiseus lacustris Navieula cryptocephala ME. sp. — gracilis Fragilaria cylindrus eier Leptocylindrus minimus OMS OVNI Melosira hyperborea — rhynchocephala Navicula Granii BERNER. REN, iK Vanhôffenii Nitzschia Sigma f. elongata Nitzschia longissima SEE, Skeletonema costatum 'l'halassiosira baltica B. Forms that live in brackish or fresh water. Marine littoral forms. Amphiprora decussata Rhabdonema arcuatum Rhoicosphenia curvata Stauroneis Heufleri Synedra affinis — pulchella — radians 4 ÜAROLINE LEEGAARD. Peridiniales. Lohmanniella oviformis : à r == stellaris n. sp. D inophy SIS baltica Mesodinium rubrum Glenodinium bipes Tintinnopsis beroidea Gonyaulax catenata hs ta Peridinium finlandicum | achromaticum (?) Rhizopoda. SP: | palticum (? 9) Difflugia lobostoma Ciliata. Silicoflagellata. Didinium Gargantua Ebria tripartita Laboea compressa D em Systematically Unknown Forms. — delicatissima Radiosperma corbiferum — vestita Xanthidium multispinosum Some solitary nauplii were found, but their species could not be determined for want of sufficient material. This was also the case with a very few cells of Peridiniales and various more or less spherical cells, perhaps ova, Infusoria or only the contents of hroken walled individuals. A few cells of pollen of foliferous trees and firs had been driven out into the sea. After this summary we shall proceed to the discussion of the separate species. DIATOMACEAE. A. OCEANIC SPECIES. Achnanthes taeniata GRUS. (Fig. 2.) 1880 Cleve and Grunow, p. 22, pl. 1, f. 5. 1894—95 Cleve II, p. 189. 1896 a Cleve, p. 5. 1896 b Cleve, p. 4, 13. 1897 b. Gran; p..9; pl; ls £:: 10: 1897 Östrup, p. 329, 353, pl. 2, f. 15. 1905 Jórgensen, p. 105, pl. 8, f. 27. 1908 Gran. p. 122. 1910 Meunier, p. 326, pl. 33, f. 41-44. Tom. XLVIII. pc Microplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 5 When the low salinity of the Finnish waters was taken into consideration it was probable, that a rather poor plankton would be found. On that account this treatise was begun with some sceptieism, but the results were encouraging. Especially Achnanthes taeniata was very interesting, occurring very abundantly, particularly in the inmost part of the Gulf of Finland, where the River Neva carries much nutritive water into the sea. The maximum number of cells pr. litre was here four millions. The cells are Fig. 2. Achnanthes taeniata. a, Chain. without spores. b. The first walls of the resting-spores are formed. €. Ohain with resting-spores. d. Resting-spores in front-view. 950 s very small compared with many other plankton-organisms; but when the long chains occur in such large quantities as here, they can be observed with the naked eye. Achnanthes taeniata of May gave very interesting material for studying the deve- lopment of the resting-spores. Every phase of development was to be found from the delicately-walled cells to the thick-walled finished resting-spores. The slender-walled cells were often very beautifully preserved with quite distinct H-formed chromatophores. During the formation of the resting-spores the contents of the cells will be coloured black by the osmie acid in the preserving fluid. The spores being formed by cell-division are apparently placed two in each cell. At the same time the chains will twist into spirals. The breadth of the chains examined was 13— 930 u. Both the thin-walled chains and those with resting-spores occurred at every station, the resting-spores for the most part dominating. This species occurred most abundantly in the Gulf of Finland, especially at the inmost station (F 41). The maximal number of cells pr. litre amounting to 2600000 cells without resting-spores and 1305000 N:o 5. 6 CAROLINE LEEGAARD. resting-spores was found at the depth of 5 metres. At this station the spore-free cells still dominate. Towards the bottom the number of the resting-spores increase in propor- tion to the thin-walled cells, this fact confirming the rule, that the heavy resting-spores will sink more rapidly than the lighter thin-walled cells. But any considerable sinking could not be noticed yet. The richly laden upper layers of the water indicate that this species is still in energetic development. At the other two stations in the Gulf of Finland, viz: F 50 and F 61, great num- bers of Achnanthes taeniata are to be found, decreasing from east to west. At these stations the resting-spores prevail, and the development has proceeded further that at station F 41. While the maximum has not sunt anything worth mentioning at station F 50, we find it at the depth of 40 metres at station F 61. The diatom is here decrea- sing, having begun to sink towards the bottom, the greater number of the cells forming resting-spores. At the two stations F 23 and F 30 in the Gulf of Bothnia the behaviour of this species is rather different. At the most northerly station (F 23) we find it pretty nu- merous with the maximum in the upper layers of the water, but at the same time with resting-spores dominating. The last mentioned fact indicates the retrogression of the species. At station F 30 probably this diatom, occurring in very few cells has almost finished its development and will soon disappear from the plankton. At station F 74 in the northern part of the Baltic it is found somewhat more abundantly than at station F 30, the resting-spores being numerous and the maximum number of cells occurring at the depth of 30 metres. Chaetoceras debile ÖLEVE. (Fig. 3.) 1894 Cleve, p. 13, pl. 1, f. 2. 1895 Ostrup, p. 456, pl. 7, f. 89. 1895 Ch. vermiculus Schütt, p. 39, f. 7 a—c. 1908 Gran, p. 92. 1910 Meunier, p. 242, pl. 27, f. 19—23. 1913 Meunier, p. 43, pl. 7, f. 1—11. A few solitary specimens of some resting spores were to be found. These had two spines on one of the valves and were very probably belonging to Chaetoceras debile. The breadth of the chains being very little (8—12 «) the two little wort-like structures of the typical Ch. debile were not distinctly developed; but Meunier (1913) has given a drawing of this species with Fig. 3. Chaetoceras debile. Resting-spores. resting-spores (pl. 7, f. 11), which are quite similar 1000 ER : i to those of the Finnish material. Tom. XLVIII. Microplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 7 This diatom is not specified in the tables, being only distinguishable from the other Chaetoceras-spores on closer examination and higher magnifying powers, than used when counting. But it can be said with great certainty, that this species occurred in minimal numbers compared with Chaetoceras Wighami, which will be dealt with beneath. The specimens drawn were found at station F 23 at the depths of O and 10 metres. It is not noted from the other stations, but the possibility that is has been overlooked is not improbable. Chaetoceras Wighami Brıcurw. (Fig. 4.) 1856 a Brightwell, p. 108, pl. 7, f. 19—36. 1856 b Brightwell, pl. 8, f. 19—36. a Fig. 4. Chaetoceras Wighami. a. Cells without spores. b. Cell in front-view. c. Resting-spores. 1000 1 N:o 5, 8 CAROLINE LEEGAARD. 1896 Ch. bottnicum Cleve, at Aurivillius, p. 14, pl. 1. 1897 a Ch. biconcavum Gran, p. 27, pl. 3, f. 46. 1897 a Ch. Wighami Gran, p. 27. 1901 Levander, p. 6, 13. 1908 Gran, p. 88. 1910 Meunier, p. 244, pl. 27, f. 26. 1913 Meunier, p. 42, pl. 6, f. 32— 34. Chaetoceras Wighami was found at every station occurring both as very thin-walled cells and as resting-spores. The cells were either observed singly or in short chains consisting of very few cells. The resting-spores lying one in each cell were decorated on both valves with fine spines, which were easily seen on the larger cells, but were very indistinet on the smaller ones. The breadth of the chains was 6—17 w, the greater number of the resting-spores however not exceeding 10 u. At station F 41 Ch. Wighami occurred rather numerously being here without resting-spores, while only a few straggling cells or spores were found at the stations F 50, F 61, F 74 and F 30. At station F 23 the resting-spores were dominating with maximal number at the depth of 30 metres. At this station it is still fairly numerous, but no doubt in regression. Coscinodiscus lacustris GRuw. (Fig. 5.) 1884 Grunow, p. 85, pl. 4, f. 30—33. 1899 Van Heurck, p. 525. 1910 Meunier, p. 274, pl. 30, f. 33—34. The undulated valve of Coscinodiscus lacustris having one excentrie concavity and one excentric convexity can be dissolved into narrow sectors consisting of 3 (2—4) rows of pores. The sectors are separated by thickened lists just inside the margin, while the very border of the valve is very delicately radially striped. The size was highly varied, the diameter ranging between 20 u and 70 u. In spite of Coscinodiscus lacnstris being a very characteristic species, when it was deprived of its contents by intense heating, it was rather difficult to determine this species, when it was counted, as the contents were of a dense black colour. When : looking at the valve it was particularly difficult to distinguish the small cells of this species from those of Thalassiosira baltica. On that account the numbers put down in the tables concerning these two species are not quite exact. Under Coscinodiseus lacustris are noted every cell, which has been determined with certainty as this diatom, while those, of which the identification is uncertain, are counted as Thalassiosira baltica, this species on closer examination appearing to be the dominating one. Tom. XLVIII. Microplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 9 . Coscinodiscus lacustris occurred in small quantities at every station fairly equally distributed. The greatest number was 1520 cells pr. litre (station F 23, O metres). At D» vy M gts. 4 YT CM Fig. 5. Coscinodiscus lacustris. a. Cells in front-view. nn E x : 1250 b. Cells in side-view. ES some of the stations the largest quantities were found in the middle and deeper water- layers (F 41, F 50, F 61, F 74). On the contrary at station F 30 the maximum number was found at the depths of 5 - 10 metres. Station F 23 besides having the greatest number of cells in the surface water (1520 cells pr. litre) also produced a se- condary maximum (1440 cells pr. litre) at the depths of 40—50 metres. T | This relatively rich occurrance towards the deep layers can Be naturally be explained, when we consider the fact, that Coscino- Fig. 6. Coseinodiseus sp. diseus lacustris is a heavy form, which will easily sink. We un RS Coscinodiscus sp. (Fig. 6.) Here and there a little thick-walled Coscinodiseus with cup-shaped valve was to be found. The pores being remote at the central part of the valve approached each other towards the edge. The margin of the valve was supplied with fine radial stripes. A few specimens of this species occurred at stations F 74 and F 61. N:o 5. wm 10 ÜAROLINE LEEGAARD. Fragilarıa cylindrus GRUS. (Fig. 7.) 1884 Grunow, p. 55, pl. 2, f. 13. 1897 b Gran, p. 20, pl. 1, f. 4—5. 1905 Jörgensen, p. 102, pl. 6, f. 9. 1908 Gran, p. 115. Fragilaria cylindrus occurring constantly with Achnanthes taeniata could be disti- guished from the latter by the very narrow linear cells, which are discribed in the „Nordisches Plankton“. The breadth of the chains according to the Finnish material which has been examined was 14— 35 u. This species was not numerous except at station F 41, occurring here in the upper wa- ter-layers with the maximum number of 268800 cells pr. litre at the surface. Farther west in the Gulf of Finland it diminishes, and the elle view! maximum is found in the deeper layers (sta- b. Cell in front-view. tions F 50 and F 61). In the northern part = of the Baltic (station F 74) it occurs only singly; in the Gulf of Bothnia it is wanting at the southern station (F 30), while it is found in small quantities at the northern one (F 23) with the maximum number of 8600 cells pr. litre at the depth of 30 metres. Fig. 7. Fragilaria cylindrus. Leptocylindrus minimus GRAN. (Fig. 8.) 1915 Gran, p. 72. A few chains occurred consisting of narrow cylindrical cells with rounded ends. The contents of the cells were coloured by the fixing-fluid, so that three dark bodies Fig. B. Leplocylindrus minimus. 1000 = appeared, one in the middle of the cell and one at each end. This indicates, that the cells contain two chromatophores connected by a central part with the nucleus. This species is very probably the same as the Leptocylindrus minimus of Gran (1915). The diameter of the cells was 4 u. 'l'his species occurred singly at stations F 23, F 74 and F 41. Tom. XLVIII. IN:0*5; Microplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 11 Melosira hyperborea (GRUN.). (Fig. 9.) 1880—85 Melosira nummuloides var? hyperborea Van Heurck, pl. 85, f. 3— 4. 1895 Östrup, p. 462. 1896b Schütt, p. 59. 1897b Gran, p. 4. A. Schmidt Atlas, pl. 182, f. 24. 1897 M. nummuloides + M. Juergensii Vanhöffen, p. 265, pl. 3, f. 16—18. 1900a Gran, p. 52, pl. 3, f. 11—15. 1908 Gran, p. 13. I 1910 Meunier, p. 271, pl. 30, f. 16— 21. a. d. (& Fig. 9. Melosira hyperborea. a. Cells without resting-spores. b. Cells with resting-spores. c. Resting-spores. d. Auxospore. oı Melosira hyperborea was either found in short chains, often containing resting- spores, or as single resting-spores. At the same time many separate valves were found. 12 CAROLINE LEEGAARD. An auxospore appeared at station F 50 at the depth of 40 metres. It was very remarkable in that a thick-walled resting-spore was lying inside the thin-walled auxo- spore. The formations of the auxospore and the resting-spore have in this case developed without any intermediate link of thin-walled cell-generations. The diameter of the cells was 10—23 u, that of the auxospore 25 u. Only at station F 41 in the upper water-layers the MC without resting-spores dominate those containing spores. ln the deeper layers we have quite the opposite case, but here this species is rather scarce. At stations F 50, F 61 and F 23 a few cells without resting-spores occurred, while the species is totally lacking at stations F 30 and F 74. This diatom is not particularly numerous at any of the stations. The greatest numbers noticed are 20100 cells pr. litre of the sporeless cells (station F 41, 10 metres) and 15500 cells pr. litre of the resting-spores (station F 41, 5 metres). The resting-spores were fairly equally distributed over all the stations in quantities, which varied between some hundreds and some thousands of cells pr. litre. Navicula sp. A few chain-forming Navicula-cells were found at some of the stations. On closer examination it appeared, that they belonged to the two species, Navicula Granii and Navicula Vanhöffenii. These two species were not distinguishable from each other, when they were counted. Seattered specimens occurred at stations F 41, F 50, F 61 and F 23. Nawieula Granii (JÖRGENSEN). (Fig. 10.) 1905 Stauroneis Grani Jörgensen, p. 107, pl. 7, f. 25. 1908 Gran, p. 124. 1910 Stauropsis Granii Meunier, p. 321, pl. 33, f. 26—27, 33— 30. E. The chain in the illustration was found in some intensely heated material from station F 41, 10 metres. The breadth of the chain, 42 «u, was somewhat smaller than that which is given in the „Nordisches Plankton“ (50—57 u); but the plankton-diatoms of the Finnish territory often being relatively small (a fact which will be discussed later, page 39) this circumstance need not offer any objection as to the determination of the species. Navicula Vanhüffenii Gran. (Fig. 11.) 1896 a Navicula septentrionalis Cleve, p. 11, pl. 1, f. 9, non Libellus? sep- tentrionalis Ostrup 1895. T8975, Gramm 21, Lo]: 0559; Tom. XLVIII. Mieroplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 13 1905 Jörgensen, p. 105, pl. 7, f. 22. 1908 Gran, p. 124. 1910 Stauropsis Vanhöffenii Meunier, p. 322, pl. 33, f. 46. N Fig. 10. Navicula Granii. Fig. 11. Navieula Vanhöffenü. 950 1150 gut Dar Most of the Navicula-chains belonged to this species. It occurred in single cells or in chains consisting of 2—4 cells. One chain having the breadth of 45 « has been drawn; it was found at station F 50 at the depth of 10 metres. Nitzschia longissima (Bres.) Raus. (Fig. 12.) 1880—85 Van Heurck Synopsis, p. 185, pl. 70, f. 1—4. 1899 Karsten, p. 114, f. 178. 1908 Gram, p. 131. 1910 Meunier, p. 337, pl. 34, f. 41—46, 65. This species occurred sparsely at two of the stations, viz: F 23 and F 41. While it was found in every sample from the surface to the depth of 60 metres at station occum UMEN. E E Fig. 12. Nitzschia longissima. 1000 1 F 23, it was only observed in the sample from the surface at station F 41. It is noted as littoral by Gran; yet according to Van Heurck it is no real form of the brackish water. 'The length of the cells was about 100 u. N:o 5. TP ET RE Br ir fr? CUS OE OJ 14 ; CAROLINE LEEGAARD. Skeletonema costatum (Grev.) 1866 Melosira costata Greville, p. 77, pl. 8, f. 3—6. 1878 Skeletonema costatum Cleve, p. 18. 1883 Van Heurck Synopsis, pl. 91, f. 4, 8. 1893 Schütt, p. 568, pl. 30, f. 1—2. 1898 Karsten, pl. 1, f. 1—7. 1900 Schütt, p. 482, pl. 12, f. 1—10. 1908 Gran, p. 15. 1910 Meunier, p. 259, pl. 28, f. 33 —36. Some few delicate chains were found at stations F 61, F 30 and F 23. The dia- meter of the cells was 4 u. \ Thalassiosira baltica (GRus.). (Fig. 13.) 1880 Coscinodiseus polyacanthus v. baltica Grunow, at Cleve and Grunow, p. 112. 1884 Grunow, p. 81, pl. 3, f. 17a—b. 1891 Coscinodiscus balticus Cleve, p. 68. 1901 Thalassiosira baltica Ostenfeld, p. 290, f. 3. 1908 Gran, p. 18. Fig. 13. Thalassiosira baltica. 1150 TE 1100 SESS a. Cell in front-view. b. Cell in side-view. Tom. XLVIII. Microplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 15 As mentioned above it was difficult to distinguish this species from the Coscino- discus lacustris. When using high magnifying powers on glowed material it was possible to see the structure of the valve distinctly. The valve is flat with delicately rounded edge. The pores are lying in radial rows being almost parallel within rather large sectors. On the specimen drawn, the diameter of wich was 67 u, were found about 14 sectors with 12—18 rows within each sector nearest the edge. The central pores are a little more scattered than the peripheral ones. Along the margin of the valve three series of spines could be seen. ‘The row nearest the centre consisted of scattered large spines of varying size, while the two outer rows were formed of delicate spines. The spines of the row nearest the edge were placed just outside the small ones of the inner row. Generally two spines of each of the outer rows were found between two of the large spines of the innermost row. The margin of the valve had fine radial lines. The size was intonstant, the diameter varying from 20 to 100 u. As to the distribution it is once more to be noticed, that the numbers of the tables are a little too high. Some of the cells ought to have been noted as Coscinodiscus lacustris; but when the material was strongly heated it appeared that Thalassiosira bal- tica was generally more numerous than Coscinodiscus lacustris. This diatom was found at all the stations and in every depth in quantities, which with the reservations mentioned varied between 120 cells pr. litre (station F 41, 50 metres) and 35400 cells pr. litre (station F 30, 80 metres). At the stations of the Gulf of Bothnia (F 23 and F 30) this species was more numerous than at the other stations. Pig. 14. 7halassiosira baltica with parasite. a. Cell in front-view. b. Cell in side-view. 1200 E iN:0 5. 16 ÜAROLINE LEEGAARD. At all the stations except station F 41 some of the Thalassiosira-cells had enclosed in themselves a globular body, no doubt a parasite. (Fig. 14.) The cell-wall of the latter appeared to be of other material than the silicious cover of the diatom, the wall of the parasite turning violet when treated with chloroiodide of zinc. The contents of the parasite consisted of black-tinged grains larger than the chromatophores of the host- cell. Several little bubbles were found surrounding the parasite-carrying Thalassiosira- cells. ‘These bubbles turned pale violet with chloroïodide of zinc, and they were not noticed in the healthy Thalassiosira-cells. The parasite being some preliminary undetermined Chytridiaceae is probably not the ‚species Olpidium mentioned by Gran, Meunier and Ostenfeld. | 1900b Gran, p. 123, pl. 9, f. 8—9. 1910 Olpidium phycophagum Meunier, p. 222, pl. 25 etc. 1913 Kolderup Rosenvinge, p. 145. 1916 Ostenfeld, p. 158. B. FORMS THAT LIVE IN BRACKISH OR FRESH WATER. MARINE LITTORAL FORMS. Besides the oceanic diatoms mentioned several species were found belonging to brackish and fresh water or to the littoral flora. For the most part only solitary specimens were found of the species. Only Diatoma tenue occurred in rather large numbers, brackish water being its natural habitat; so it was thriving well in the Gulf of Finland, where the water had a low salinity. As it was very difficult to determine the species when counting, they were all in- cluded in the tables under the same heading as given to this chapter with the exception of Diatoma tenue. n The occurrance of all these diatoms was mainly limited to the upper layers of sta- tion F 41, the most easterly station in the Gulf of Finland. At stations F 50, F 61 and F 23 a few specimens were found, while they were totally missing at stations F 74 and F 30. The species noted have for the most part been determined on heated material according to the ,Synopsis^ of Van Heurck. The following species were found: Amphiprora decussata Grun. (?) (Fig. 15 a.) VII S. spl. 29237 IR 1894—95 Cleve I, p. 18. Marine. One single fragment was found (station F 41, 10 metres). Tom. XLVIII. E LU : ' TT IEEE SE WERE tac s MEL Mieroplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912, Asterionella formosa Hassan var. yracıllima (Hanrzscn) GRUN. (Fig. 15d.) | V. H. S. p. 154, pl. 51, f. 19. I 1908 Gran, p. 119. Several cells of this species occurred at station F 41. Fresh water. ] | il a 4 À qi Amphiprora decussala ? a. b. Cocconeis Placentula. c. Cocconeis Seutellum. d. Asterionella formosa. Cocconeis Placentula Enr. (Fig. 15 b.) Von SA! 183, pl. 30,25 26— 27. Brackish and fresh water. Cocconeis Scutellum Enn. (Fig. 15 c.) V. H..S. p. 132, pl. 29, f. 1—12 Marine. N:o on co CAROLINE LEEGAARD. Diatoma tenue Ac. (Fig. 17 b.) VHS. p.) 160; pl.-50) 1-71 — 15,217 29. 1901 Levander. This linear diatom from the brackish water was flourishing in the upper nutritive layers of station F 41. The greatest number was 47000 cells pr. litre (5 metres). At stations F 50, F 61 and F 23 only a few specimens occurred, while this species was missing at stations F 30 and F 74. The length of the cells varied from 53 u to 64 u. Melosira distans Kürz. V. H. &. p. 199, pl. 86, f. 17—35 Fresh water. Melosira granulata (Eun.) Rarrs. VOIS 9.200, 987, MEET - 1910 Meunier, p. 273, pl. 30, f. 28. Fresh water. Fig. 17. 100, 1 a. Niteschia Sigma f. elongata. b. Diatoma tenue. c. Nitzschia sp. a. d. Rhoicosphenia curvata. e. Stauroneis Heufleri. Tom. XLVIIIL. 19 ?n Mieroplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. Navicula eryplocephala Kör. 16 f.) (Fig. Fresh water. S : S3 I = .8 S DES SMS = & QoS 399 à FOL IA IR . EISSSS eI! E S. = SL. PBSESSB = | SE SÅ S 2 S Le) S — AT B RUN RUE 5p S = N = = s © ST © + 4 9» nn rt El zi anno een ssasscausuuwaununenn | Wenounnn so nom sanınnaraas LT mass ST NZZ ; Navicula gracilis. Kürz. (Fig. 16 d.) , Navicula major Kör. VIVE Ss p.89, pl. Fresh water. g. 16a.) i (F Fresh water. Navicula Placentula Enr. (Fig. 16 e.) = [:5] + e z = E um © e - = le) = z ARTE NON IER LE I ar CRIT IE ER NN r | M. Are MSIE Ul ^ " / i de i j PERS 7 : ; an T E 20 : CAROLINE LEEGAARD. Navicula rhynchocephala Kürz. (Fig. 16 b.) MOTEL 82 4p 84 pl v0 N90: y. Brackish water. Navicula viridula Kürz. _ (Fig. 16c.) V. Hp nl r1: 25: Fresh water. Nitzschia Sigma f. elongata. W. Sm. (Fig. 17 a.) VI ELES: D: 179° pL GO dT: Brackish water. Nitzschra sp. (Fig. 17 e.) Small linear cells with tapering ends seen from the valve-side. ‘This species occurred here and there at stations F 23, F 61, F 50 and F 41. ; Rhabdonema arcuatum (As.) Kürz. (Fig. 18d.) V.C Hy. p. 166, pl 945 cite Marine littoral form. _Rhoicosphenia curvata, GRUS. (Fig. 17d.) NES p. 1025 DET: Fresh and saline water. / = Stauroneis Heufleri Grux. (Fig. 17e.) NES Mä Spice Dia LL JANA 1894— 95 Cleve I, p. 130. Fresh water. Tom. XLVIII. nand "hh ae ^n Microplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. Synedra affinis Kürz. (Fig. 18b.) NV Spas, pl Alo 618: 1910 Meunier, p. 310, pl. 32, f. 54. Saline and brackish water. Synedra pulchella Kivz. (Fig. 18 a.) V. H. S. p. 149, pl. 40, f. 28—29. 1910 Meunier, p. 311, pl. 32, f. 53. Brackish and fresh water. " CE LUTTE LT A) HJ EL In 7 B = = = IH] HINARI Fig. 18. uM à. Synedra pulchella. b. ig affinis. (06 4 radians. d. Rhabdonema arcuatum. Synedra radians (Kürz.) Grün. (Fig. 18 c.) NONE SSP Bl: 39, 38... le Fresh water. In addition some single cells were found, which could not be determined being very indistinct or lying in an awkward position in the preparation. N:o 5. to to CAROLINE LEEGAARD. PERIDINIALES. Compared with the diatoms the peridineae were very poorly represented, only a few species and specimens being found. The only exception was Gonyaulax catenata. Dinophysis ovum Scuürr var. baltica PAULSEN. (Fig. 19 a.) 1900 Levander, p. 15, f. 1. 1908 Paulsen, p. 17. This species occurred in small quantities at all the stations. The greatest number was 300 cells pr. litre (station F 50, 0 metres). The length of the cells was about 50 «, the breadth about 35 u. Glenodinium bipes PAULSEN. (Fig. 19 b.) 1904 Paulsen, p. 21, f. 3—4. 1905 Lemmermann, p. 21. 1905 Peridinium minusculum Pavillard, p. 57, pl. 3, f. 7—9. 1908 Paulsen, p. 25. 1910 Meunier, p. 45, pl. 3, f. 18. Glenodinium bipes was found at all the stations, most numerous at station F 23 with the maximum of 920 cells pr. litre in the depth of 30 metres. At stations F 30, F 74, F 50 and F 61 it occurred rather sparingly, and from station F 41 it is only noted once. The length of the cells with spines was about 40 u, the breadth about 27 u. a: b. Glenodinium sp. Fig. 19. 990 : ! Some small Glenodinium-cells occurred here and there, but not sufficiently nume- rous for exact determination. The species was scarcely Glenodinium danicum Paulsen, rather perhaps Glenodinium trochoideum Stein, noted from the Baltic in the „Nordisches Plankton“. 1908 Paulsen, p. 23— 25. a. Dinophysis baltica. b. Glenovinium bipes. Tom. XLVIII. Mieroplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 23 Gonyaulax catenata (Levanver) Kororn. (Fig. 20.) 1894 b Peridinium catenatum Levander. 1894a Levander, p. 51, pl. 2, f. 22. 1897 Vanhöffen, pl. 5, f. 5. 1900 Cleve, p. 256. 1908 Paulsen, p. 63. 1910 Amylax catenata Meunier, p. 52, pl. 1 bis, 246 47) pl. 3, 1.2834, 1911 Gonyaulax catenata Kofoid, p. 287. 1912 Jörgensen, p. 9. It was very remarkable to find this peculiar peridi- neae, which occurred in chains consisting of up to ten cells. It was fairly common at all the stations except station F 30. At the last mentioned station the maximum was Eon only 520 cells pr. litre (5 metres). It was more numerous FT in the Gulf of Finland than in the Gulf of Bothnia. At station F 41 it reaches the number of 65600 cells pr. litre (5 metres), at station F 50 the number of 56820 cells pr. litre (5 metres) and at station F 61 the number of 80440 cells pr. litre (0 metres). At the same time sta- tions F 23 and F 74 generally show smaller Fig. 20. Gonyaulax catenata. Fig. 21. Peridinium finlandicum. numbers. 475 à LS Hr The breadth of the chains was 27—33 u. Peridinium finlandicum PAvursEN. 1894a P. divergens Levander, p. 51, pl. 2, f. 23, non Ehrenberg. 1900 P. divergens var. Levanderi Lemmermann. 1907 Paulsen, p. 15, f. 19. | 1908 Paulsen, p. 51. Peridinium finlandicum was found in small numbers fairly equally distributed in all the samples, especially from the Gulf of Finland. The maximum number was 500 cells pr. litre (station F 41, 0 metres). The breadth of the cells was 40—47 u. 24 CAROLINE LEEGAARD. Peridinium sp. Some few Peridinium-cells were not determined, the material being too scarce. It is very probable, that they belonged to the two species Peridinium balticum (LEVANDER) LEMMERMANN and Peridinium achromaticum LEvANDER. Cells that were not determined occurred at all the stations. 1908 Paulsen, p. 62, 65. Indeterminable Peridineae. Some cells being very indistinet could not be determined. No doubt they belonged to the genera Peridinium, Glenodinium and Gymnodinium. CILIATA. In the material examined some animal plankton-forms especially ciliata were found. They were not in dominating numbers at any of the stations. Mesodinium rubrum occur- red rather equally distributed over the whole area, and the Tintinnopsis-houses were. very remarkable on account of their large proportions compared with many of the diatoms for instance. Didinium Gargantua MEUNTER 1910 Meunier; p. 154, pk. 15, f 12. This large form was found once and only on the second examination of the samples. For that reason it will not be found in the tables. It appeared at station F 50 in the depth of 10 metres. The breadth of the cell was 45 u. 'The specimen drawn was globular with two rings of cilia and protruding mouth, the gullet reaching very deep into the cell-body. Laboea sp. 1915 Leegaard. Specimens of this genus were very scattered. Some of the cells being indistinct were not deter- mined. The following species were noted: Laboea compressa Lo. 2) Fig. 22. Didinium Gargantua. 1150 x r - aT Occurrence: Station F 74, 0—-20 metres. Tom. XLVIEL Mieroplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 25 Laboea comica Lou. 1908 Lohmann, p. 171 (299), pl. 17, f. 18—20. 1910 Conocylis striata Meunier, p. 148, pl. 11, f. 22, pl. 23, f. 13. Occurrence: Station F 23, 30 metres and station F 30, 40 metres. Laboea delicatissima Liza. Occurrence: Stations F 50, F 61, F 74 and F 23. Laboea vestita. Lese. Occurrence: At all the stations. Lohmanniella oviformis LEEG. (Fig. 23.) 1915 Leegaard, p. 28. This species occurred here and there at stations F 23, F 74, F 61, F 50 and somewhat more numerously at station F 41 in the upper water-layers, where the maximum was 3600 cells pr. litre in the depth of 5 metres. Lohmanntella stellaris n. sp. (Fig. 24.) This infusoria is a somewhat flattened globule with the peristome at one of the flat sides. On the margin of the peristome, which has the form of an hexaster, a small number of short thick cilia could be seen, and outside these cilia a broad border of fine cilia or cilia-lamellas was found. The front half of the cell with the peristome and the cilia is more globular than the back half, which has the form of a truncated cone. "The cell has no covering, it is not tinged with the chloroiodide of zinc. The material examined was constantly turned black by the pre- serving-fluid and was rather indistinct. On that account the descrip- tion given above is incomplete, and the species will only be better ES known after closer study. It was difficult to determine the real pro- D ve EMT portions of the cilia as well as the details of the peristome. EU The species has been placed under the genus Lohmanniella on account of the form of the cells and because the covering is missing. Closer examination will prove, whether this name of genus ought to be kept or not. The breadth of the cell-body was 37—47 u. P4 N:o 5 26 CAROLINE LEEGAARD. Lohmanniella stellaris occurred at all the stations, most numerously at station F 74 with the maximum number of 1540 cells pr. litre in the depth of 20 metres. It was . Fig. 24. Lohmanniella stellaris. 1200 TU often found too at stations F 23 and F 61, while it was sparsely distributed at sta- tions F 30, F 50 and F 41. Mesodinium rubrum (Louw.) (Fig. 25.) 1908 Halteria rubra Lohmann, p. 175 (303), pl. 17, f. 19. 1910 Cyelotrichium sp. Meunier, p. 164, pl. 15, f. 7, pl. 20, f. 17. 1913 Hamburger und von Buddenbrock, p. 25. While Mesodinium-cells with mouth-cavity were not found, the closed form occurred very frequently. 'The cells are oval with a drawn in central part, which is provided with a circle of cilia. The cells are filled up with a granular mass, which according to Lohmann consists of flagellates living in symbiosis with the Mesodinium-individuals. Apparently two sorts of these cells occurred, some large ones (length about 40— 50 «) and some small ones (length about 20— 30 u). But cells of the sizes between 30 and 40 u existed too, yet they were comparatively rare. The larger cells were rather assymmetrical as to the plan of the circle of cilia, one of the ends being flat and broad, the other a little higher and somewhat acute. The cells were filled with a number of grains, while the cilia were numerous and fine. The smaller cells on the other hand were more equally formed at both ends. The contents consisted of a few grains, and the circle of cilia was not so dense as on the larger form. Tom. XLVIII. [^ ANNO Ic N * * PEN are. an 1 l1 ” Mieroplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 27 It is a very doubtful case, as to whether we have two species, intermediate forms existing as mentioned above. In the tables the two forms are separated from each other and noted as forma major and forma minor. The separation may be of some interest, if it should turn out later, that we have two different species. Mesodinium rubrum is rather common though not very numerous at all the stations. Frequeutly the smaller form is more numerous than the larger one, but the relation between them can change from sample to sample at the same sta- tion (F 61), and at station F 74 the larger form was the domi- nating one. The maximum number of the smaller form was 4440 cells pr. litre (station F 23, 5 metres) while that of the larger was 2740 cells pr. litre (station F 61, 10 metres). Tintinnopsis beroidea (STEIN) LEVANDER. (Fig. 26.) 1867 Stein II, p. 154. 1887 Daday, p. 547—548, pl. 19. Fig. 26. Tintinnopsis beroidea. 1900 Levander, p. 18. 950 = The covering was formed as a narrow pitscher with acute base and a little drawn in opening. It was smaller than the following species (Tintinnopsis tubulosa) the length was 53 u, the breadth 32 w. A few specimens of this species occurred at stations F 61 and F 74. N:o 5. RO a ET PO ET URS D US CR ER PE OR) 28 CAROLINE LEEGAARD. Tintinnopsis tubulosa (LEVANDER.) (Fig. 27-28.) 1900 Levander, p. 18—19. 1910 Meunier, pl. 12, f. 5—8, 10— 11. The covering of this specimen was cylindrical with D: ADAE 532 "AC cem rounded or somewhat tapering base, which was often more De, o8 od or less widened. The length of the upper cylindrical etd part varied, being shorter than the lower widened part ES in some of the coverings, while others were almost of je ORT bx the same length as the lower part. Levander has (1900, _ p. 18) drawn a covering, with the upper part consi-- derably longer than the widened lower part. All-these forms show different phases of growth on the marginal zone of the house. 'lhere is no reason to consider the different forms as varieties. When counting the cells ge HE A M i 5. I have distinguished the equally cylindrical form with Fig. 27. Tinlinnopsis tubulosa. 5 ins : OE UE rounded lower part (forma lineata) from the shorter b. F. minor. form with acute widened lower part (forma minor) and 2107 the longer form with acute widened lower part (forma 1 major). It may be of some interest to see, how the species varies, without attributing too great importance to the different forms. The acute forms were the more common while the form with rounded base occurred rarely. Fig. 28. Tintinnopsis tubulosa. a.-F. Iineata. oo b. F. major. c. F. minor. 280 Aq = Tom. XLVIII. IE Mieroplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 29 The length of the coverings was 94—110 «, the breadth of the opening was 35— 45 u, the breadth of the lower widened part was 37—51 u. Forma minor occurred at all the stations with the maximum of 680 cells pr. litre (station F 23, 20 metres), while forma major was found at stations F 50, F 61, F 74, F 30 and F 23 with the maximum of 200 cells pr. litre (station F 23, 10 metres), and forma lineata was scarce at stations F 41, F 50, F 61 and F 23. Tinlinnopsis sp. A few cell were not determined as they were lying unfavorably in the prepara- tion; but they belonged no doubt to one or other of the species before mentioned. Undetermined Ciliata. Now and then some small round or oval ciliata, which could not be definitely deter- mined appeared in the material. RHIZOPODA. Difflugia lobostoma Lxx. 1894 a Levander, p. 16, pl. 1, £. 10—13. This solitary representative of rhizopoda in the material was an amoeba with almost globular covering, which contained small particles of sand. The pseudopod-opening was narrow. It occurred very seldom (stations F 23, F 74 and F 50). | EE SILICOPLAGELLATA. Ebria tripartita. (Schum.) Leu. (Fig. 29.) m 1908 Lemmermann, p. 32. This species occurred in small quantities at all the stations. Fig. 29. Ebria tripartita. The maximum number was 1320 cells pr. litre (station F 50, Ee 5 metres). ET CAROLINE LEEGAARD. 30 Sy E 1 | | j ! x À P + LA SE e p \ Fig. 30. Radiosperma corbiferum. 700 I Tom. XLVIH. Microplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 31 SYSTEMATICALLY UNKNOWN FORMS. Radiosperma corbiferum MEUNIER. (Fig. 30.) 1910 Meunier, p. 96, pl. 6, f. 16—18. The cell-body is conical with rounded end. The base of the cone is surrounded by a funnel-shaped parachute, consisting of a rosette of S-shaped threads connected by a ring at a little distance from the cell-body and further out by obliquely placed threads. The parachute is not coloured with chloroiodide of zinc and is not totally distroyed by being sligtly heated. It consists very probably of chitin. The diameter of the cell-body without parachute was about 42 u. This remarkable form is not very rare, it is noted from all the stations except F 50. In spite of the greatest number of individuals only being 200 cells pr. litre (station F 74), this species strongly attracted the attention on account of its size and the beauti- ful shape of its parachute. ; Xanthdium multispinosum Mossıvs. . (Fig. 31.) 1908 Trochisia multispinosa Lemmermann, p. 17. 1910 Kyste chitineux Meunier, pl. 23, f. 21. This little cell is no doubt the resting-stage of some organism. ‘The diameter was about 16 u. Fig. 31. Xanthidium mullispinosum. 1100 D It occurred at all the stations in small quantities, most equally distributed at sta- tion F 23 with the maximum of 320 cells pr. litre in the depth of 30 metres. 32 CAROLINE LEEGAARD. CHAPTER IT. SURVEY OF THE STATIONS. STATION F 23. On examination of the samples from the surface to the bottom we find at this sta- tion rather homogeneous conditions throughout. While the temperature decreases from 1,63? (0 metres) to 0,60" (80 metres) and increases up to 1,42” (100 metres), the sa- linity is fairly constant, viz: 5,43 °/,, from the surface to the depth of 40 metres and increasing up to 5,64 °/,, in the deeper layers. The oxygen-tension is registrated in four depths; the water is somewhat supersaturated from the surface to the depth of 50 metres; at the bottom on the contrary the quantity of oxygen has sunk to 83 °/, of the satu- ration-quantity. * The plankton-distribution too shows homogeneous conditions, being fairly equal from 0 metres to 50 metres, the numbers decreasing a little in the deeper layers. Especially . the diatoms, but also the peridineae and ciliata were fairly richly represented. The dominating species were the following: Achnanthes taeniata Chaetoceras Wighami + without and with resting-spores. Melosira hyperborea | Fragilaria cylindrus Thalassiosira baltica Gonyaulax catenata Mesodinium rubrum. As a standard of the distribution we may take the sum of the diatoms in the dif- ferent layers (table IL): Table II. St. F 23. Number of cells pr. litre. I | I = | | EM Depth | : £ | | | Mey. 10 | 5 | 10 | 20 | 89^ (Can AS ST Tia rera | 100 | | Diatoms | 94280 | 107200 | 116920 | 112040 | 131400 | 108760. 99840 | 70860 | 53720 | 27800 | With regards to the diatoms which have formed resting-spores ( Achnanthes taeniata, Chaetoceras Wighami and Melosira hyperborea) we notice, that they are rapidly decrea- sing. The resting-spores are much more numerous than the spore-less cells; at the same time Chaetoceras Wighami is sinking, the maximum lying in the depth of 30 metres. Tom. XLVIII. Microplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 33 It is diffieult to come to any conclusion as to the vegetating period of the spore- less forms from the material examined. Compared with station F 30, which will be dealt with next, station F 23 has a richer plankton than F 30, which is situated to the south of F 23 and has nearly the same hydrographical conditions. On that account it is very probable, that the plankton of station F 30 is decreasing, while that of station F 23 is not as far developed as that of station F 30. Probably the plankton of station F 23 will also be reduced. ‘This circumstance is indicated by the fact that among the plankton many arctic forms are found, which will not thrive in warm water. The arctic forms will be mentioned later (p. 38). STATION F 30. The hydrographical data do not differ, much from those of the previous station. The temperature, salinity and the oxygen tension show somewhat higher numbers than at station F 23. The temperature-decreases from 1,83” (0 metres) to 1,62” (40 metres) and then increases again to 2,26" (100 metres). The salinity varies in the upper layers above 50 metres between 5,59 ?/,, and 5,57 °/,, and increases deeper to 6,20 °/,, (100 metres). The water is supersaturated with oxygen at any rate to the depth of 60 metres; observations from 90 metres and 122 metres show smaller numbers (89 °/, and 89,4 */,). This station too is an example of great homogenity both as regards to the hydro- graphical data and the distribution of the plankton. The organisms are found fairly equally to the depth of 80 metres, then they decrease to the depth of 100 metres. While most of the species occur in small numbers, the diatom Thalassiosira baltica takes a peculiar position, occurring more numerously than at the previous station. "The fact that its maximum (35400 cells pr. litre) lies as deep as 80 metres, while the surface only con- tains 8720 cells pr. litre, shows that the time of active production for this vegetating- period must be over. It looks as if the development of this species follows after that of the spore-forming diatoms mentioned above. At this station Achnanthes taeniata and Chaetoceras Wighami are about to disappear. It is not yet cleared up, as to whether Thalassiosira baltica forms resting-spores and disappears from the plankton or if it is found pelagically all the year round. Besides Thalassiosira baltica the diatom Melosira hyperborea with resting-spores and the ciliat Mesodinium rubrum occurred in numbers worth mentioning. The following stations, F 41, F 50, F 61 and F 74 ly in a line stretching from east to west from the head of the Gulf of Finland to the most northerly part of the Baltie. Some species, for instance Achnanthes taeniata, decrease westwards from station to station, while others, such as Thalassiosira baltica, Gonyaulax catenata and Mesodi- nium rubrum, occur fairly equally at all the stations. N:o 5. 5 34 CAROLINE LEEGAARD. STATION F 4l. This station was interesting on account of the very rich occurrence of Achnanthes taeniata, which showed the maximum of 3905000 cells pr. litre in the depth of 5 metres. This station was distinguished from the other stations by the difference, which existed between the upper and the deeper layers of the water. This fact is not shown very distinctly by the temperature, which decreases from 3,60” (0 metres) to 1,31” (20 metres) and then increases to 3,26" (50 metres). But the salinity makes it very apparent being rather low (3,68 ?/,,— 3,84 "/,,) from 0 to 10 metres and considerably higher (5,32 */,,— 6,35 "/,,) from 20 to 50 metres. No observations of oxygen-tension were made. The plankton-mass is found in the upper layers to the depth of 20 metres. We find, that the plankton-limit lies somewhat deeper than the hydrographical limit. This fact can be explained by the sinking of the: plankton-organisms. The water of the upper layers with low salinity has come from the river Neva, which has very nutritive water. It is probable that the flourishing state of the diatoms is owing to this rich supply of food from land. The plankton was very poor in the water-layers deeper than 20 metres. Achnan- thes taeniata was found in rather large numbers, but still reduced in comparison with those of the upper layers. The following species were dominating: Achnanthes taeniata with and without resting-spores. Chaetoceras Wighami Diatoma tenue Fragilaria cylindrus Melosira hyperborea with and without resting-spores. Gonyaulax catenata. Chaetoceras Wighami has not yet formed resting-spores. This diatom is probably increasing, while Achnanthes taeniata and Melosira hyperborea, which have formed resting-spores, are decreasing. In order to illustrate the conditions of this station better. we will tabulate the num- bers of the total sum of diatoms pr. litre and the numbers of Gonyaulax catenata pr. litre (table IIL): Table III. St. F 41. Number of cells pr. litre. - — — = | | Depth (Metres) | 0 | 5 Iu 10 | 20 30 40 | 50 | I | | | | | | JOE rac wen 8857900 | | 428600) Jem 1484420 188940 | 69740 | 28440 I EUN E MEET = i Aet | | | Gonyaulax catenata . | 62000 | 65600 60800 | 61560 | 280 | 20 120 Tom. XLVIII. E Mieroplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 35 On account of the great supply of water from| land a number of species of the fresh water was found at this station. STATION F 50. This station has a lower temperature and a higher salinity than station F 41. ‘The temperature decreases from 2,39” (0 metres) to 0,14? (30 metres), and then it increases towards deep water to 3,82^ (75 metres) The salinity increases towards deep water from 5,05 °/,, (0 metres) to 9,16 °/,, (75 metres) Registrations of oxygen-tension are only;made in the depths of 50 metres (73,4 °/,) and 76 metres (31,3 ?/,). The tables show the average decrease of the plankton towards the deep water. The sums of diatoms in the different depths are placed in the following table (table IV): Table IV. St. F 50. Number of cells pr. litre. Meroen] 0 | | 10 | 20 | 30 | 40 | E | 75 | | 702460 | 769240 | 614480 | 669800 | 373620 | 316500 | 135240 | 92280 | | | Diatoms | The table shows pretty equal distribution in the upper layers with the maximum in the depth of 5 metres. At this depth Gonyaulax catenata has its greatest number too. The chief-species were: Achnanthes taeniata without and with resting-spores. Thalassiosira baltica Gonyaulax catenata Mesodinium rubrum. Achnanthes taeniata was further developed here than at station F 41, in spite of the temperature being lower. But the water of station F 50 being less nutritif than at F 41, the formation of resting-spores has begun earlier at station F 50 than at F 41. The resting-spores were far more numerous than the sporeless cells, especially in the upper layers. This indicates that the formation of spores has begun very recently, so that the sinking of the spores plays no part as yet. STATION F 61. Both the temperature and the salinity are somewhat higher than at the before- mentioned station (F 50). The temperature, that of the surface being 3,19°, was de- creasing to 0,73? in the depth of 50 metres, and then it increased to 4,09” in the depth N:o 5 36 CAROLINE LEEGAARD. of 80 metres. The salinity was increasing from the surface (5,97 "/,,) towards deep water and reached the amount of 9,47 °/,, in the depth of 80 metres. The oxygen-tension is noted from the depths of O metres (102 °/,), 20 metres (100,3 °/,), 50 metres (94,5 °/,) and 98 metres (33,5 °/,)- This station is quite similar to the previous one with regards to the distribution of the plankton. We have the same species dominating, viz: Achnanthes taeniata Thalassiosira baltica Gonyaulax catenata Mesodinium rubrum. Achnanthes taeniata was here passing over to the resting-stage. It appears to have developed further here than at station F 50, the maximum of the resting-spores having sunk to the depth of 40 metres. STATION F 74. In comparison with the previously mentioned stations in the Gulf of Finland we find this station poorer concerning the plankton than those lying more to the east. This station is the most „oceanic“ one of the whole area. It shows the highest temperature, the highest salinity and has probably the smallest amount of nutritive substances. The relatively high temperatures indicate, that this station has been less affected by the thawed water than the others. The temperature varied in the same way as at the other stations, it amounted to 3,50" at the surface, to 1,88” at the depth of 50 metres and to 2,12? at the depth of 60 metres. The salinity was increasing from 6,82 °/,, (0 metres) to 7,23 "/,, (60 metres). The oxygen-tension was high too, 102 °/, in the depth of O metres, 102,1 °/, in the depth of 20 metres and 98,9 ?/, in the depth of 50 metres. The high oxygen-tension in the deep water indicates, that the water has been better mixed here than in the Gulf of Finland, the oxygen-tension of the deeper layers being very low there. The most common species were following: Achnanthes taeniata with resting-spores. Thalassiosira baltica Gonyaulax catenata Lohmanniella stellaris Mesodinium rubrum. At this station Radiosperma corbiferum occurred with its maximum number, viz: 200 cells pr. litre. The maximum numbers of most of the species worth mentioning were lying in the depths of 20— 30 metres. This fact must be regarded as a secondary circumstance as Tom. XLVIII. Microplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 37 the production takes place in the upper layers. Either the organisms must have sunk, or they have been brought downwards by vertical circulation. Consequently the plankton-distribution too indicates the mixing of the water-layers just as the hydrographical data show it. CHAPTER ILI. REMARKS ON THE CONDITIONS OF LIFE AND THE QUALITY OF THE PLANKTON. SALINITY. At all the stations the salinity was low, varying in the samples examined between 3,68 °/,, (station F 41, O metres) and 9,47 °/,, (station F 61, 80 metres). The sali- nities of the water at the bottom were as follows (table V): Table V. Salinities of the bottom. Station Salinity (?/5,) Depth (Metres) | | | 7 | F 23 | 6,13 | 139 | F 30 | 6,22 | 122 | F 74 10,34 | 175 F 61 | 9,76 98 F 50 | 9,16 76 F 41 6,35 | 50 Some of the species found can live in water of rather different salinity, while other forms are very sensible to differences of salinity. We may mention some of the euryhaline species, viz: Chaetoceras debile Skeletonema costatum Glenodinium bipes Laboea sp. Lohmanniella oviformis Mesodinium rubrum Tintinnopsis beroidea Ebria tripartita. M - Tut CPR MEN ON PI ET TP P je Y » 38 CAROLINE LEEGAARD. These species, which are found over the whole Finnish area, also occur in the saline water of the Skager Rack and the North Sea. On the contrary Diatoma tenue for instance is restricted to the inner part of the Gulf of Finland, where the water is only slightly saline; it is scarce or entirely lacking at the other stations, and it is not found at the open ocean. ICE-CONDITIONS. From the maps of Witting (Jahrbuch 1912, pl. 3 and 4) we see that all the sta- tions except F 41 have probably not been affected by the compact ice. Station F 50 was free from drift-ice on the 14th of April and station F 41 on the 27th of April. Such observations are lacking from the other stations. At station F 41, where the winter-ice has lain, the diatoms have developed, when the melting of the ice has produced vertical circulation, and the ice at the same time has become so thin as to let the light pass down to the assimilating algae. The flourishing- period will here at station F 41 appear later than for instance at station F 74, where the water has been open all the winter. We have seen, that station F 41 has its maximum no doubt about the month of May, while the maximum of station F 74 very probably can be found earlier in the year. Those places which are covered with ice longest are situated nearest to land. On that account they have a rich supply of food from the shore during the period of thawing. This fact has contributed to the rich production of station F 41, which has been men- tioned earlier (p. 5). At all the other stations, where the conditions vary gradually from the surface to the bottom, the cooling of the upper layers has produced vertical circulation, so that the nutritive substances have risen to the upper layers, and the organisms have begun to develop. It appears that the plankton-forms of the material examined from the month of May for the most part are strongly decreasing. ARCTIC SPECIES. When comparing the Finnish plankton with that of the other oceans, it is very remarkable, that so many species are common to the Arctic Ocean and the Finnish area. On the other hand the Cattegat, the Skager Rack and the North Sea have other plankton- forms, some few species excepted. On comparing the results of these examinations and the data of the „Nordisches Plankton“ (1908) and Meunier (1910) we find the following species occurring in the Arctic Ocean as well as in the waters surrounding Finland: Achnanthes taeniata : Chaetoceras Wighami Chaetoceras debile Coscinodiscus lacustris Tom. XLVII, ru d 11 TT Mieroplankton from the Finnish Waters during the Month of May 1912. 39 Melosira hyperborea Navicula Granii — Vanhóffenii Nitzschia longissima Skeletonema costatum Thalassiosira baltica (= Coscinodiscus polyacanthus var. baltica 1880 Cleve and Grunow, p. 112). Cocconeis Scutellum Melosira granulata Rhabdonema arcuatum Synedra affinis == pulchella Glenodinium bipes Gonyaulax catenata Didinium Gargantta Laboea conica Lohmanniella oviformis (1910 Meunier, pl. d3 55920); Mesodinium rubrum Tintinnopsis beroidea (?) -— tubulosa Radiosperma corbiferum Xanthidium multispinosum (1910 Meu- nier; pl. 23,.f. 21): Some of these species are found in those parts of the ocean, which connect the Arctie Ocean and the Baltic; but others have not been noted from the connecting area. 'l'hese are: Achnanthes taeniata Coscinodiscus lacustris Fragilaria cylindrus Melosira hyperborea Navicula Granii — Vanhóffenii Nitzschia longissima Thalassiosira baltica Gonyaulax catenata Tintinnopsis tubulosa Didinium Gargantua Radiosperma corbiferum. As has been suggested by Jörgensen (1912, p. 10) these species must be looked upon as relics from that time, when the Arctic Ocean was directly connected with the Baltic. SIZE OF THE SPECIES. At first sight it looked as if many of the plankton-forms from the Finnish area had very small dimensions. We shall compare the sizes of some of the species of the Fin- nish material with the sizes, which are given in the „Nordisches Plankton“ (table VI): N:o 5. 40 CAROLINE LEEGAARD. Table VI. Size of the different species. | Finnish material | Nord. Plankton Species I Largeness (u) of the chains Achnanthes taeniata .| 13 — 30 . | 11 — 40 Chaetoceras debile. . CERT ER) | -— Wighami . 6 — 17 | 7 — 15 | Fragilaria cylindrus .| jt6 — B5) Ou 52 | | Melosira hyperborea . 102 22356 la Fa | Navicula Granii. . . ZI PT El | |—' Wanhóffeni . 45 29 — 45 | Skeletonema costatum | 4 ENG | Gonyaulax.catenata . | 27 — 33 | 23 — 24 It appears that the chain-forming diatoms are small, for instance: Achnanthes taeniata Chaetoceras debile Melosira hyperborea Navicula Granii Skeletonema costatum. 'The occurrence of small forms in the brackish water of the Gulf of Finland agree with that fact, that the small forms have a larger area relatively to the volume than the big ones. Consequently they will easily keep themselves afloat in the brackish water. But not all the forms are small. Fragilaria cylindrus and Gonyaulax catenata for instance exceed the size, which is noted in the „Nordisches Plankton“, and other species such as Thalassiosira baltica and Coscinodiscus lacustris show sometimes very large cells. But a long series of observations is required before it is possible to express any decided opinion on this subject. Tom. XLVIII. n od X P" BIBLIOGRAPHY. E] 1896. Aurıvıruıus, C. W. S: Das Plankton des Baltischen Meeres. Bihang till K. Svenska Vetenskaps-Akad. Handl. Bd. 21. Afd. IV. N:o 8. Stockholm. 1856 a. BrRIGHTWELL, TH: On the filamentous longhorned Diatomaceae. Quarterly Journal of microscopical Science, vol. 4. London. 1856 b. BnuraurwELL, Tu. Diatomaceentafeln. 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Peridiniales. 19 Dinophysis baltica . 20 Glenodinium bipes . | 21 = sp. 22 Gonyaulax catenata = Peridinium finlandicum " sp - 25 Peridiniales indeterm Ciliata. 28 Laboea compressa - conica ? delicatissima vestita 30 s sp. E Lohmanniella oviformis stellaris n. sp. 3 Mesodinium: rubrum f. major 34 B . f. minor 35 Tintinnopsis beroidea | 36 ] tubulosa f. major 37 E A f. minor 28 f. lineata 30 sp. 40 Oiliata indeterm. ‚Rhizopoda. |41 Difflugia lobostoma Silicoflagellata. #2 Ebria tripartita Cruslacea. 43 Naoplii Systemalically Unknown Forms 44 Radiosperma corbiferum | 45 Xanthidium multispinosum | 46 Pollen of foliferous trees |4? „ offin 45 Round cells | 49 Indeterminable cells „ with rest. E | 10 - E with rest.-sp. | T ug 16960! 240) 115 . with parasite Forms that live in br. orfr. vena 2| 112040, 3440) 80) | 80 920) 240] | | | | 800 120] 40) 480 980; 4120! 160 680) 40) 240) 200) 120 160) 80 1,07 | [rn 50 44400] 27760 61200] 35720 120 1080) 1200 180 2801 240 100 1320] — 80 120 160! 14430) 9380 a0 100] oo 20 123240] 74800 20 140 | 20) 40 | 40 | 210] 320 720) 120 20 20 | 390| 80 40) | 40) | 400! | 2,50 | 3,10 | 326 6,09 | 622 | 635 | 50 (10)|50 (10) 50 (25) 50 | 50 | 25 2740000| 961000 32440 [1265000 1305000 5240| 268500, 206700) 1400 Depth (Metres) Temperature (°C) - Salinity (*/) Oxygen-tension (?/,) Quantity (cc) examined. Diatomareae. Achnantlies taeniata . . .-. . = ‘with rest. sp. Chsetaceras Wigbami. . : „ with rest.-sp. Coscinodiscus laeustris . Spice e e ne Fragilaria cyliudms- i: se Leptocylindrus minimus. . . . Melosira byperborea o 3 - with rest.-sp. Naviculm Sp: ete nr ^ Nitzschia longissima . Skeletonema costatum . . "Thalassiosira baltica . . . with Tate 15 [Forms that live in br. or fr. dr | Marine littoral forms. . . . . Diatoma tenue Sum of diatoms . Peridiniales, Dinophysis baltica . Glenodinium bipes . . - Sp. « r Gonyaulax catenata g Peridinium finlandicum . . ERBEN des Peridiniales indeterm, . Giliata. Laboea compressa - conica. = delicatissima . . westita sp : Lohmanniella orformis : E stellaris n. sp. Mesodinium rubrum f. major . - . of minor. Tintinnopsis beroiden . tubulosa f. EID rä = f. minor n f. lineata . * T APTE Ciliata indeterm. . Rhizopoda. Difflugia lobostoma Silicoflagellata, Ebria tripartita É Urustacea. Nauplii Systematically Unknown Forms. Radiosperma corbiferum . + Xanthidium multispinosum . Pollen of foliferous trees . offirs . Round cells "opt Indeterminable cells . cw -cuwwiu- OOV VM: di E * 3k nr Te LI à Lu KINA VELA 1 } | 5 3 AY i 2 (1 À I 1 * & i r | M rr. t "E x E 6d j x ? i 4 7^. vac e NUR N n + nsn P CNE Sei MARS M Le a er = ah een mp io grate pré ores re € E 2 x Neh À vå * "Vy o 2 24 an ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ TOM. XLVIII. N:o 6. Beiträge zur Kenntnis der Säugetiergametogenese L Die Spermatogenese von Mus silvaticus L. Von Harry Federley Helsingfors Mit einer Tafel und einer Textfigur Vorgelegt am 17. März 1919 — Bea — — - Helsingfors 1919, Druckerei der Finnischen Literaturgesellschaft Rn aaa 83 ki "Hi Ae ray siat. 12s nv Fa M Y po Ne RAN. ACA Ese PE EE e Einleitung Inhaltsverzeichnis. Spezieller Teil . . NS NÉE Ve Material und Technik Verlauf der Spermatogenese . Die Die Die Die Der : Zentriolen, Idiosom und chromatoider Körper . Sertolischen Zellen Spermatogonien . Wachstumsperiode . Reifungsteilungen intranukleare Körper. Allgemeiner Teil . à Das Problem der Reduktion . Die Chromosomenzahl Vorkommen oder Fehlen von Heterochromosomen Zusammenfassung der wichtigsten Resultate . Zitierte Literatur. Tafelerklärung . DOM pti He MS BT : 7 RES SAN b task T edu SRE ba AKA MES Mee Einleitung. Die Rechtspflege in Finnland nach der Unterdrückung des Aufruhrs im Winter 1918 bot mir Gelegenheit, einwandfreies Material von der menschlichen Spermatogenese zu er- halten. Eine eingehende Untersuchung der wichtigeren Phasen in der Entwicklung der menschlichen Samenzellen schien mir aus mehreren Gründen sehr wünschenswert. Die verschiedenen Resultate der bis jetzt erschienenen Untersuchungen sind nämlich fast ebenso zahlreich wie die Anzahl der Untersucher. So kann beispielsweise die Frage von der Anzahl der Chromosomen und von -dem Vorkommen eines Heterochromosoms in dem männlichen Geschlecht bei weitem noch nicht als endgültig beantwortet angesehen werden. Da aber gerade diese Verhältnisse in vererbungstheoretischer Hinsicht von grösster Bedeutung sind, hegte ich die Hoffnung auf der Basis eines reichlichen und gut fixierten Materials einen Beitrag zur Lösung dieser Probleme liefern zu können. Aber schon im ersten An- fange meiner Untersuchung machte ich die wenig erfreuliche Entdeckung, dass der Mensch in bezug auf die Chromosomenverháltnisse ein ganz ausserordentlich ungünstiges Objekt ist, und Schwierigkeiten darbietet, die nicht leicht zu überwinden sind. Jedoch wollte ich mich nicht entmutigen lassen, sah aber ein, dass eine gründliche auf eigene Untersuchungen ge- fusste Kenntnis der Sáugetierspermatogenese eine notwendige Vorbedingung für den Erfolg der am Menschen geplanten Untersuchung war. Da ich ein wáhrend mehrerer Jahre von mir gesammeltes, in Paraffin eingebettetes Material von Sáugetiergonaden verschiedener Arten besass, beschloss ich zunächst dieses zu bearbeiten und erst nach den hierdurch gewonnenen Erfahrungen zu der Untersuchung des höchsten Säugetiers zu schreiten. Die Veröffent- lichung dieser Studien der Säugetiergametogenese erscheint mir berechtigt, da bis jetzt nur verhältnismässig wenige wilde Mammalienarten in bezug auf ihre Keimzellenentwicklung untersucht sind, und beispielsweise das so wichtige Problem von dem Vorkommen und der Bedeutung der Geschlechtschromosomen in dieser Tierklasse noch keineswegs als gelöst zu betrachten ist. Meine Absicht ist durchaus nicht eine lückenlose Darstellung der Ent- wicklung der Geschlechtszellen zu geben; ich wünsche nur die in vererbungstheoretischer 6 HARRY FEDERLEY. Hinsicht wichtigsten Phasen soweit möglich klar zu legen. Aus diesem Grunde wird z. B. die Spermiogenese im engeren Sinne ganz und gar vernachlässigt. Epoche- machende Entdeckungen werden meine Beiträge durchaus nicht bringen, hie und da aber unsere Kenntnisse auf diesem wichtigen Gebiete ein wenig erweitern und befestigen. So ist also die Entstehung dieser „Beiträge zur Kenntnis der Säugetiergameto- genese^ zu verstehen, die ich mit einer Beschreibung der Spermatogenese der Waldmaus, Mus siloaticus L., beginne. Spezieller Lei Material und Technik. Ein in der Nähe von Helsingfors gefangenes Exemplar von Mus silvaticus lieferte das Material für die folgende Untersuchung. Die Hoden wurden dem in Chloroform betäubten Tiere entnommen und unverletzt in das Gemisch von HERMANN eingelegt. Erst in der Fixierungsflüssigkeit wurde die Albuginea nebst den übrigen T'unica-Hüllen auf- geschnitten, wobei die Tubuli contorti aus dem prallgefüllten Hoden in das Fixierungs- gemisch von selbst hereingedrückt wurden. Das Eindringen der Osmiumsáure wurde hier- dureh erleichtert, und der Hoden gleichzeitig vor allzu kräftigen, mechanischen Eingriffen verschont. Die Fixierung ist demzufolge auch gut gelungen; nur die freigelegten Tubuli wurden untersucht. Für die Färbung benutzte ich in erster Linie das HkıpenHar sche Kisenalaunhäma- toxylin-Verfahren sowie auch die Fremmins’sche Dreifärbungsmethode. Verlauf der Spermatogenese. Die Seriierung der verschiedenen Entwicklungsstadien bietet recht grosse Schwierig- keiten. Zwar liegen, wie bei allen Säugetieren, die jüngeren Stadien an der Wand des Tubulus, die älteren in der Nähe des Lumens, aber zur Zeit lebhafter Tätigkeit ver- drängen die aktiven Zellen die passiven und können auf solche Weise fast einen ganzen Abschnitt eines Samenkanals erfüllen. Nur eine Reihe von Spermatogonien oder jungen Spermatozyten bleibt immer unberührt an der Wand. Es ist auch nicht schwierig, sich davon zu überzeugen, dass die Entwicklung der Keimzellen wellenförmig der Längsachse des Tubulus entlang fortschreitet. Verfolgt man aber von Schnitt zu Schnitt in einer ununterbrochenen Serie die aufeinander folgenden Entwicklungsstadien in einem Tubulus, so überzeugt man sich sehr bald und leicht davon, dass die Metamorphose der Sperma- Tom. XLVIIL v———É—— ww—37: Beiträge zur Kenntnis der Säugetiergametogenest togonien in reife Spermien keine allmähliche und kontinuierliche ist, sondern offenbar stossweise erfolgt. So findet man beispielsweise in der Längsrichtung eines Tubulus folgende Reihe von Stadien: 1) das diplotäne Stadium, 2) direkt daneben ohne jegliche Zwischenstadien die ruhenden Spermatozyten zweiter Ordnung, 3) darauf lauter Metaphasen der homöotypischen Reifeteilung und 4) ohne vermittelnde Übergänge kreisrunde Sperma- tiden. Auch in radialer Richtung folgen die Stadien ohne intermediäre Stufen aufeinander. Resaup und van Hoor haben deshalb eine Anzahl besonderer Stadien aufgestellt, in denen man immer bestimmte Kombinationen aufeinander folgender Entwicklungsstufen der Keim- zellen antrifft und die in einem Querschnitt des Tubulus liegen. Auch die Spermatogenese der Waldmaus könnte in ähnliche Stadien eingeteilt werden, da diese aber durchaus nicht streng fixiert sind, sondern durch Übergangsstadien mit einander verbunden sein können, scheint mir eine solche Einteilung keine allzu grosse Bedeutung zu haben. In der fol- genden Beschreibung sind deshalb nur die einzelnen Zellen und ihre aufeinander folgenden Entwicklungsphasen beachtet worden, wogegen die wellenförmig fortschreitenden und in einander greifenden Zyklen des Samenepithels als Ganzes keine Berücksichtigung fanden. Die Sertolischen Zellen. Die Serrorischen Zellen sind sehr leicht kenntlich und können auf den ersten Blick von den ruhenden Geschlechtszellen unterschieden werden. Ihre Kerne (Textfig. 1 a) sind viel grösser als diejenigen der Spermatogonien, haben meistens eine etwas unregelmässige, längliche Gestalt und liegen anfangs direkt an die Wand der Samenkanälchen gedrückt. Später, wenn die Verbindung mit den Spermatiden zustande kommt, ragen die Serrour- schen Zellen winkelrecht in das Lumen der Ka- näle hinein, und der Kern wird öfter noch mehr in die Länge ausgezogen (Textfig. 1 5). Der Kern zeigt ein schaumiges Karyoplasma, in dem ein ziemlich grosser, kugelrunder Nucleo- lus die Mitte einnimmt. An beiden Seiten des Nucleolus, in der Längsachsenrichtung des Kerns, befindet sich ein bedeutend kleinerer, gleichfalls sphärischer Körper, der sowohl in den mit Eisen- hämatoxylin als den mit FrEgwwrNGs Dreifachfär- bung tingierten Präparaten einen etwas helleren Ton als der grössere Kernkórper zeigt und im- Textfigur 1. Kerne von junger (a) und älterer (b) Sertolischen Zelle. Spermato- mer vollständig homogen ist. Diese Körper sind gonienkern (c). Vergrösserung dieselbe 1 : ^ 4 wie diejenige der Tafelfiguren. fast immer gleichgross, und nur äusserst selten N:o 6. 8 HARRY FEDERLE Y. kommt ein soleher Gróssenunterschied zum Ausdruck, wie die Textfig. 1b zeigt. Diese eigentümlichen, mit aller grösster Regelmässigkeit auftretenden Körperchen erinnern, was sowohl Färbung, Struktur als Lichtbrechung betrifft, stark an die Chromosomen der Reifemitosen, und die Vermutung, dass sie tatsächlich Chromosomen oder sogenannte Chromatinnukleolen darstellen, erscheint mir nicht unberechtigt. In der Literatur habe ich nur zwei Angaben gefunden, die mit den von mir an der Waldmaus gemachten obigen Beobachtungen übereinstimmen. Srevexs (1911) bildet eine SrRrOLISChe Zelle beim Meerschweinchen ab, die ganz wie die oben beschriebene ein zentrales Plasmosom und zwei Chromatinnukleolen aufweist. Nur ist das Plasmosom hier ganz blass, die Chromatinnukleolen dagegen stark gefärbt. Im Text wird ausser- dem angegeben, dass diese zwei oder mehrere sein können. Bei der Waldmaus sind sie dagegen ausnahmslos zwei und, wie gesagt, von einer ganz bestimmten Grósse. Von be- sonderem Interesse ist die andere Angabe, die wir Jorpan (1914) verdanken. Bei der Erörterung der Chromosomenverháltnisse bei der Albinomaus erwähnt er auch ganz kurz die Serrorischen Zellen und macht darauf aufmerksam, dass ihre Kerne „a characteristic trilobed, deep-staining nucleolus, the central section being unvariably the larger“ besitzen. JORDAN ist diese eigentümliche Form der Nukleolen aufgefallen, und er meint, dass sich hier eine Gelegenheit bóte, das Verhältnis zwischen der Form des Nucleolus und ihrer Funktion zu studieren. Ich zweifle nicht daran, dass sowohl Mus musculus und siloaticus als auch C'avia cobaya ähnlich gebaute Nukleolen in den SEmronischen Zellen besitzen, und es ist wohl auch wahrscheinlich, dass der eigentümliche Bau mit der Funktion dieser Zellen in Zu- sammenhang steht. Um so auffallender ist es, dass nach den vorliegenden Untersuchungen über Mus rattus und M. decumanus, diese Arten anders gebaute Nukleolen in den Serrorischen Zellen aufweisen. Durssers (1908) berücksichtigt die Serrorischen Zel- len überhaupt nicht. vax Hoor (1911), der sowohl die schwarze als die braune Ratte untersucht hat, erwähnt sie auch nicht; aus den Abbildungen geht aber hervor, dass die SERTOLISChen Zellen nur ein grosses kugelrundes Kernkörperchen haben. Ich möchte schon hier bemerken, dass sowohl das Meerschweinchen als die „weisse Maus“ Heterochromosomen besitzen und dass, wie wir später sehen werden, auch die Waldmaus einen intranuklearen Körper hat, der in vielen Hinsichten an ein Chromosom erinnert, sich jedoch während der Wachstumsperiode von diesen unterscheidet (Hetero- pyenose) und deshalb vermutlich als ein Allosom aufgefasst werden kann. Gerade diese drei Nager zeigen auch dieselben Rigentümlichkeiten in bezug auf den Bau des Kernes der Serrorıschen Zellen. Wie sich die Ratte in dieser Beziehung verhält, ist noch nicht völlig klargelegt. Zwar erwähnen weder Dursgere noch van Hoor etwas von Heterochromosomen. Der erst- Tom. XLVIII. Beiträge zur Kenntnis der Säugetiergametogenese. 9 genannte Autor behandelt aber eingebend den intranuklearen Körper, und obgleich er ihn nicht mit dem Vorkommen eines X-Chromosoms in Verbindung gestellt hat, scheint es dennoch nicht unmöglich, dass es sich um ein solches handelt. Hierauf deutet auch eine von Guyer (1910) vorbeigehend gemachte Mitteilung, nach welcher die Ratte ein Hetero- chromosom besässe. Guver hat eine Untersuchung eines seiner Schüler über diese Frage in Aussicht gestellt; meines Wissens ist sie jedoch bis jetzt nicht veröffentlicht worden. Falls also bei der Ratte Geschlechtschromosomen auch vorhanden wären und ein Zusammen- hang zwischen diesen und dem Bau der Kernkörperchen in den Serrorischen Zellen tatsächlich existierte, wäre es überraschend, dass diese Eigentümlichkeit weder DUEsBERG noch van Hoor aufgefallen wäre. Es muss also zukünftigen Untersuchungen überlassen werden zu entscheiden, ob zwischen den zwei eigentümlichen Körperchen in der Nachbar- schaft des Plasmosoms in den Serrozischen Zellen und den Heterochromosomen irgend- welche Beziehungen bestehen. _ Die Spermatogonien. Für ein Studium der Spermatogonien waren meine Präparate sehr wenig geeignet. Erst nach langem Suchen gelang es mir einige wenige Teilungsstadien zu finden. Die meisten ruhenden Kerne der Spermatogonien haben das Aussehen, wie die Text- fig. 1 c zeigt. Sie sind länglich oft sogar schwach abgeplattet und enthalten mehrere wie Ohromatin sich färbende Brocken, die durch feine Fädchen mit einander vereinigt sind. Auch das Enchylem färbt sich mit Eisenhämatoxylin schwach bläulich, wodurch die Kerne einen dunklen Ton erhalten. Die meisten Spermatogonien sind von diesem "Typus und gehören also zu den „spermatogonies à noyau croütelleux*. DursBEre und van Hoor bilden auch einen Typus ,à noyau poussiereux‘ ab; einen solchen habe ich nur sehr selten gefunden, woraus ich schliesse, dass er jedenfalls sehr viel seltener als der andere Typus sein muss und folglich die jüngste Spermatogoniengeneration darstellt. Allerdings scheint es nieht leicht zu sein, die verschiedenen Generationen von Spermatogonien und die jungen Spermatozyten von einander zu unterscheiden. DuxsserG polemisiert mit LrNuossEk und meint, dieser hätte die jungen Spermatozyten mit den Spermatogonien verwechselt. Duespers behauptet weiter, dass diese immer abgeplattet sind und einen ovalen Kern haben, wogegen jene Zellen polyedrisch sind und einen sphärischen Kern be- sitzen. VAN Hoor dagegen bildet junge Spermatozyten- Kerne von ausgezogener elliptischer Form ab. Es scheint also, als ob die Form des Kerns durchaus kein Kriterium für die Entscheidung, ob eine Spermatozyte oder ein Spermatogonium vorliegt, wäre. Ich habe mich mit dieser schwierigen Frage nicht eingehender beschäftigt, da sie für mich von sekundärer Bedeutung ist. N:o 6. 2 10 Harry FEDERLEY. Die Teilungen bieten nicht viel von Interesse. In der Prophase habe ich nur Chromosomen von kurzer gedrungener Gestalt ohne Zeichen einer Längsspalte finden können. Ein Spiremstadium oder längliche geschlängelte Chromosomen Kamen nicht vor. Während der Metaphase konnte auch kein Längsspalt entdeckt werden. Die Chromo- somen liegen dicht gedrungen in der sehr kurzen und breiten Spindel und bieten meistens ein wenig regelmässiges Bild (Fig. 3). Weder in Seitenansichten noch in À quatorial- platten (Fig. 2) ist es möglich die Anzahl der Chromosomen festzustellen. Über dreissig Stück konnte ich sicher zählen (Fig. 2). Auch in der Anaphase (Fig. 4) liegen die Ohromosomen so dicht aneinander, dass sogar eine annähernde Schätzung ihrer Anzahl die allergrössten Schwierigkeiten bietet. Nach den wenigen beobachteten Fällen zu ur- teilen, verhalten sich alle Chromosomen gleich. Ks ist also nicht möglich, in diesem Stadium irgendwelche Heterochromosomen zu entdecken. | Bilder, die als eine amitotische Teilung der Spermatogonien hätten gedeutet werden können, sind mir nie aufgefallen. Ich bezweifle also mit Dursser« und van Hoor, dass Amitosen vorkommen, wie REcaAvp (1901) sie bei der Ratte beschrieben hat. Die Wachstumsperiode. Nach der letzten Spermatogonienteilung nehmen die Kerne der jungen Spermatozyten eine ovale Form an, die später sogar sphärisch werden kann. Der Kernsaft färbt sich fortwährend schwach mit Eisénhämatoxylin (Fig 5); im Kern wird ein mehr oder weniger deutliches Kernnetz sichtbar, in dem man ófter eine oder mehrere Anháufungen von Chromatin beobachten kann. Nach Duvzsgers soll sich dieses Netz sehr lange beibehalten. VAN Hoor dagegen hat es nur in der Nähe der Chromatinmassen finden können und ist der Ansicht, dass es aus freien selbständigen Chromatinfüden besteht, die hie und da durch Lininfäden verbunden sind, und dass es also nur ein Netz vortäuscht. In meinen Präparaten kommt ein Reticulum deutlich zum Vorschein — soweit stimme ich DvzssERG bei — es scheint aber von kurzer Dauer zu sein und verschwindet bald, um dem leptotänen Stadium Platz zu geben. Nach Divssseres Abbildungen zu urteilen persistiert das Reticulum sehr lange und ist noch deutlich in dem pachytänen Stadium vorhanden. Trotzdem soll nur ein einziger Chromatinfaden vorkommen, der dicht an der Periphürie der Kernmembran liegt. Die Beobachtungen van Hoors stimmen garnicht mit denjenigen von DUESBERG überein. Vax Hoor hat in seinen Präparaten kein einheitliches Spirem sehen können, beobachtete aber deutlich die freien Enden der Chromosomenschlingen. Bei der Waldmaus ist das leptotäne Stadium so undeutlich, dass es schwer zu entscheiden ist, ob ein ein- heitliches Spirem oder freie Chromosomen für das Stadium charakteristisch sind. Wie die Figur 6 zeigt, bildet der oder die Fäden einen so dichten Knäuel, dass die einzelnen Tom. XLVIII. v———ve Beiträge zur Kenntnis der Süugetiergametogenese. 11 Fäden nieht verfolgt werden können. An der Kernmembran konnte ich nicht in dieser Phase wie van Hoor freie Enden entdecken. DusssERa bestreitet die Existenz einer Synizesis bei der Ratte und meint, dass diejenigen Verfasser, die eine Synizesis in ihren Präparaten gefunden haben, schlecht fixiertes Material untersuchten. Denn nach Dwrssers ist die Synizesis ein durch die Fixierung hervorgerufenes Artefakt. Eine typische Synizesi$ fehlt tatsächlich auch bei der Waldmaus. Zwar erfüllt der leptotäne Fadenknäuel nicht den ganzen Kern, sondern zeigt eine zentrale Anhäufung (Fig. 6), wodurch die periphärischen Partien der Fäden deutlicher zum Vorschein kommen. In einem etwas späteren Stadium kann eine einseitige Orientierung der pachytänen Chromosomen beobachtet werden (Fig. 8, 9), kommt aber nicht regelmässig vor, sondern ist auf verhältnismässig wenige Zellen beschränkt. Vax Hoor ist auch derselben Meinung wie DuesserG, dass bei der Ratte keine Synizesis vorkommt. In einer besonderen Arbeit (van Hoor 1911?) hat er die Frage der Natur der Synizesis eingehend behandelt und kommt zu dem Resultat, dass bei den Säugetieren die Synizesis als ein Artefakt aufgefasst werden muss. Die für diese Ansicht gebrachten Belege sind überzeugend, und man kann wohl kaum leugnen, dass gewisse Fixierungsgemische eine kontrahierende Einwirkung auf, den Kerninhalt ausüben. Aber andererseits ist es offenbar, dass diese Wirkung der Fixierungsflüssigkeiten auf das synap- täne Stadium eingeschränkt ist, weshalb die Schlussfolgerung berechtigt erscheint, dass zu dieser Zeit die Tendenz zu einer einseitigen Orientierung der Kernfäden ausgesprochener ist und auch in der lebenden Zelle vorkommt. Dass sie auf die Wirkung des Idiosoms zurückgeführt werden muss, dürfte wohl auch seine Richtigkeit haben. Auch die lebenden Zellen zeigen ja eine polare Anordnung der Chromosomen, die in dem Bukettstadium einen so prügnanten Ausdruck erhält. Wenn ich vax Hoor richtig verstanden habe, betrachtet auch er nur die starke Zusammenballung des Kerninhalts zu einer Masse als ein Artefakt, wogegen ein Bukettstadium von einer ausgeprägt einseitigen Orientierung nichts unnatürliches an sich hat. Wenn ich mich also dem genannten Autor in seiner Auffassung anschliesse, tue ich es mit dem ausdrücklichen Vorbehalt, dass Bilder, wie beispielsweise die in den Figuren 8 und 9 wiedergegebenen, nicht als Artefakte zu deuten sind. Das leptotäne Stadium scheint ziemlich bald vorübergehend zu sein, denn es kommt nicht übermässig häufig vor. Noch viel seltener ist jedoch das darauf folgende amphi- täne Stadium. Ich habe nur wenige Zellen dieser wichtigen Phase finden können, jedoch genügend viele, um mich davon zu überzeugen, dass bei der Waldmaus die Re- duktion der Chromosomen durch eine Parasyndese stattfindet, wie sie van Hoor auch bei der Ratte beobachtet hat, und nicht wie DursBere behauptet auf solche Weise, dass zunächst das Chromatin in dem Kernnetz zu einem langen Faden zusammenfliesst, worauf N:o 6, 12 HARRY FEDERLEY. dieser durch Segmentierung in Chromosomen zerfällt, deren Zahl nur die Hälfte derjenigen der Spermatogonien beträgt. Eine Zelle in dem amphitänen Stadium ist in der Fig. 7 abgebildet. Es fällt auf, dass die ein wenig verdickten Chromosomen zu Zweien vereinigt sind und dass die Verei- nigung durch ein paralleles Aneinanderlegen zu stande kommt. In dem Kern sind oben noch zwei leptotäne Fäden deutlich frei; sie hätten wohl sehr bald die Konjugation aus- geführt. — In der Mitte des Kerns liegt der ziemlich grosse und kompakte intranukleare Körper, auf welchen wir später zurückkommen. Ein typisches Bukettstadium, wie es verschiedene Säugetiere, u. a. auch der Mensch, besitzen, habe ich bei der Waldmaus niemals finden können. Sowohl in dem amphitänen als in dem pachytänen Stadium sind freie Enden der Chromosomen immer zu beobachten und irgend etwas, das an die charakteristischen Bögen des Buketts erinnerte, kommt nie zum Vorschein. Unter solchen Umständen ist es klar, dass ähnliche Bilder, die Jor- van (1912) bei Didelphys beschrieben hat und als eine Telosynapsis deutet, nicht vor- kommen können. In der Entwicklungsreihe folgen sodann Kerne (Fig. 8), in denen die pachytänen Fäden eine einseitige Anhäufung zeigen. Oft kann eine gewisse Segmentierung beob- achtet werden, wogegen der Zwischenraum zwischen den konjugierten Chromosomen total verschwunden ist. Die Fäden machen einen kompakteren Eindruck als in dem ampbitänen Stadium und ihr Durchmesser ist auch ein geringerer. Die Fäden haben eine glatte Oberfläche. . Etwas ältere Kerne (Fig. 9) haben an Volumen zugenommen, und die Fäden, welche noch eine einseitige Orientierung zeigen, sind dicker geworden und haben jetzt eine rauhe Oberfläche. Erst in dem in der Fig.‘ 10 abgebildeten Kern treffen wir das typische pachytäne Stadium. Es gehört zu den allerhäufigsten in den Präparaten und zeichnet sich durch die gleichmässig über den ganzen Kern verbreiteten Chromosomen aus. Diese sind jetzt dick, aber machen einen lockeren Eindruck und nehmen die Farbe nicht so stark an wie in dem vorigen Stadium; ihre Konturen sind fast franzig zu nennen. Hie und da kommt eine Einteilung der Chromosomen in Segmenten deutlich zum Vorschein, jedoch ohne dass von einer Chromomerenbildung die Rede sein könnte. Die Duplizität der Fäden kann in dem pachytänen Stadium unmöglich entdeckt werden, wogegen die Chromosomen immer als deutliche Individuen zu erkennen sind. In dickeren Schnitten ist es sehr leicht sich davon zu überzeugen, dass das von DUESBERG abgebildete einheitliche pachytäne Spirem durchaus nicht bei der Waldmaus zu finden ist. Ich habe überhaupt keine Ähnlichkeit zwischen meinen Präparaten und den von DurssERna gegebenen Abbildungen dieses Stadiums entdecken Können, wogegen VAN Hoors Bilder mit den meinigen von den pachytänen Tom. XLVIII. 1 i * 1 Beiträge zur Kenntnis der Süugeliergametogenesc. 13 Chromosomen eine grosse Ähnlichkeit haben. Dies ist auch der Fall mit van Mortis Figuren von dem entsprechenden Entwicklungsstadium der Eichhórnchen-Spermatogenese. In dem darauf folgenden diplotänen Stadium (Fig. 11) hat der Kern das Maxi- mum seiner Grösse erreicht und meistens eine etwas ovale Form angenommen. Fast sphärische Kerne, wie der abgebildete, sind durchaus nicht selten, und die Behauptung Duesseres, dass die ovale Form des Kerns ein Charakteristikum des diplotänen Stadiums wäre, kann ich nicht für mein Objekt bestätigen. Die doppelte Natur der Chromosomen kommt jetzt wieder ungewöhnlich deutlich zum Ausdruck, indem die beiden Komponenten des bivalenten Chromosoms von neuem auseinander gehen und auf solche Weise einen weiten Längsspalt zwischen sich entstehen lassen. Sie können sogar soweit von einander ausweichen, dass Ringe gebildet werden. Dies scheint besonders oft der Fall mit den kleineren Chromo- somen zu sein. Auf der Fig. 11 sind zwei solche typische Ringe deutlich. In den Ringen bleiben also die Enden der beiden konjugierten Chromosomen verbunden. Kommen ausser- dem in den längeren Chromosomen noch ein oder zwei Punkte vor, wo die Verbindung der verbundenen Chromosomen eine feste ist, so entstehen 8-ühnliche Figuren oder Ketten. Auch freie auseinander weichende Endstücke können manchmal gefunden werden, sind jedoch sehr viel seltener als die Ringe. Die Fäden der univalenten Chromosomen sind ziemlich dünn, ihre Oberfläche ist fortwährend rauh oft sogar stark franzig. Einen Längs- spalt in den univalenten Fäden, wie ihn vax Hoor beschreibt und abbildet, habe ich nie- mals weder in einem früheren noch in einem späteren Stadium entdecken können. Sehr oft sind die Chromosomen mit Nukleolen verbunden, die offenbar chromatischer Natur sind und mit Stoffwechselveränderungen in den Chromosomen selbst in Zusammenhang stehen. Nach einigen Autoren wären sie als Speicher des Chromatins aufzufassen, nach anderen eher als von den Chromosomen ausgeschiedene Stoffwechselprodukte, die später aufgelöst werden. Von diesen beiden Auffassungen scheint mir in unserem, Fall die letztere das Richtige zu treffen, denn in dem diplotänen Stadium sind die Chromosomen meist ärmer an Chromatin als in dem vorhergehenden pachytänen Stadium, und es dürfte wohl nicht zu kühn sein anzunehmen, dass Trophochromatin in fliessender Form abgegeben wird, wie dies ganz besonders schön während gewisser Phasen der Oogenese bei einigen Evertebraten zu beobachten ist. : Die Reifungsteilungen. Während das diplotäne Stadium von ziemlich langer Dauer zu sein scheint, denn es ist eins der häufigsten, dürften die in theoretischer Hinsicht so wichtigen Vorbereitungs- stadien der heterotypischen Teilung äusserst schnell verlaufen; sie sind nämlich sehr selten. Bilder, die man als eine Diakinese charakterisieren kónnte, sind mir nur wenige zu Ge- sicht gekommen. Nach meinen Präparaten zu urteilen, ist der Verlauf der Prophase zu N:o 6. a EIERN % N 14 HARRY FEDERLEN. . der ersten Reifungsteilung der folgende. Die Chromosomen verkürzen sich sehr schnell, werden dabei bedeutend dieker und verlieren ihre Filzigkeit mehr und mehr. Wie die Fig. 12 zeigt, ist die Bivalenz der Chromosomen während des Verkürzungsprozesses deutlich, wie die Ringe sehr schön beweisen. Wenn die Verkürzung ihr Maximum er- reicht hat, legen sich die beiden Chromosomkomponenten dicht aneinander, wie das Paar oben rechts in der Fig. 12 schon getan hat. Bei diesem Paar erkennt man noch deutlich, die doppelte Natur, aber binnen kurzem macht das Paar den Eindruck eines einheitlichen Körpers. Erst wenn alle Chromosomen diese gedrungene kurze Gestalt angenommen haben und vollständig glatt sind, verschwindet die Kernmembran, und die Chromosomen ordnen sich für die Reifungsteilung. Sowohl DuesgerG als van Hoor bilden Stadien ab, in denen die Chromosomen noch nach der Auflösung der Kernmembran, also in der Prophase, als lange Oesen vorhan- den sind. Solche Bilder sind mir nie bei der Waldmaus zu Gesicht gekommen, und ich bezweifle, dass sie hier überhaupt existieren, denn ich habe mehrere Kerne gesehen, in denen die Chromosomen schon vor dem Verschwinden der Kernmembran die definitive Gestalt, die sie während der Reifungsmitose besitzen, angenommen hatten. Die Metaphasen sind, wie immer, die häufigsten Stadien der Metakinese. Leider sind sie jedoch meistens von einem so unregelmässigen Bau, dass eine einigermassen naturgetreue Wiedergabe der Spindel nebst den Chromosomen, geschweige denn eine exakte Feststellung der Chromosomenzahl, auf grosse Schwierigkeiten stösst. Ich habe sehr viel Zeit darauf verschwendet klare und übersichtliche Platten zu finden, es ist mir aber nicht gelungen. Auch die Prometaphasen sind so selten und dabei auch we- nig deutlich, dass sie uns keine sichere Kenntnisse von der Chromosomenzahl schenken kónnen. Die Resultate meiner Bestrebungen in bezug auf die heterotypische Teilung Klar- heit zu erreichen sind also wenig befriedigend. Sie sind in den Figuren 13 —18 nie- dergelegt. Wie aus diesen hervorgeht, sind die Chromosomenverhältnisse trostlos ver- wischt. Unter mehreren Hunderten von „Platten“ ist die in der Fig. 13 abgebildete die klarste, — oder richtiger die am wenigsten verworrene —, die ich finden konnte. Sie verdient kaum das Epitheton Platte, denn die Chromosomen liegen in einem Haufen. Dennoch habe ich mit ziemlicher Sicherheit 21 Chromosomen unterscheiden können, gebe aber gern, zu, dass die Zahl nicht nur zu klein, sondern auch etwas zu gross sein kann, indem ich entweder verdeckte Chromosomen übersehen oder ein Chromosom zwei- mal gezählt habe. Die letzterwähnte Möglichkeit ist nämlich nicht ausgeschlossen und wird durch die Form der Chromosomen in der Metanaphase erklärt. Wie aus dem Profilbild (Fig. 14) ersichtlich ist, haben die Chromosomen eine Form, die übrigens bei vielen Mammalien während der ersten Reifungsteilung nicht selten zu sein scheint. Tom XLVIIL. st "s T M 1 a dy Per Aa ER: Beiträge zur Kenntnis der Säugeliergametogenese. 15 Sie sind in der Mitte recht dick, in den beiden freien Enden dagegen dünn. Wenn mehrere Chromosomen von dieser Form dicht gehäuft neben und sogar übereinander liegen, ist es nicht unwahrscheinlich, dass das Ende und der Mittelteil eines und dessel- ben Chromosoms in Polansicht den Eindruck zweier Chromosomen machen und demzu- folge zweimal gezählt werden. In Fig. 14 habe ich eine Reifungsspindel von ungewöhnlich regelmässigem Bau wiedergegeben. Ich berücksichtige dabei die Lage der Chromosomen, nicht die achro- matische Spindel selbst, die oben rechts stark ausgezogene Faser zeigt. Die eben er- wähnte charakteristische Form der Chromosomen kommt hier sehr schön zum Ausdruck. Sie ist sehr häufig in den Präparaten, und wird, wie gesagt, als das erste Zeichen der beginnenden Teilung angesehen. Die beiden dünnen Enden werden nämlich als die aus- einander weichenden univalenten Chromosomen betrachtet, während in dem Mittelteil die parallel konjugierten Chromosomen noch mit einander verbunden sein sollten. Über die Richtigkeit dieser Deutung geben meine Präparate keinen Aufschluss, denn die Spalte zwischen den beiden Chromosomen verschwindet, wie gesagt, schon in der Pro- phase und kommt während der ganzen Metaphase nicht wieder zu Gesicht, nicht ein- mal während der beginnenden Anaphase. Junge Anaphase-Stadien habe ich über- haupt nicht finden können, trotzdem Reifungsteilungen in meinen Präparaten äusserst zahlreich sind. Späte Anaphasen und Telophasen sind dagegen recht häufig, und wäh- rend im allgemeinen die Chromosomenverhältnisse in diesen Stadien sehr wenig deutlich sind, geben sie bei der Waldmaus auffallenderweise den Metaphasen nicht nach und liefern manchmal infolge der elliptischen Form der Chromosomen sogar klarere Bilder. Wie die beiden Profilbilder der Figuren 15 und 16 zeigen, können 15—19 Chromoso- men gezählt werden, und in der Telophasenplatte (Fig. 17), die ungewöhnlich wenig zusammengeballte Chromosomen hat und demzufolge ein sehr übersichtliches Bild gibt, konnten sogar 22 Chromosomen ziemlich sicher festgestellt werden. Demnach scheint es mir, dass die haploide Chromosomenzahl der Waldmaus mit ziemlich grosser Wahrscheinlichkeit auf einige und zwanzig geschätzt wer- den kann. Die späte Telophase ist ziemlich eigentümlich. Gleichzeitig als die Kernmembran gebildet wird, verlieren die Chromosomen ihre elliptische Form und verbinden sich nicht nur mit einander durch Chromatinfáden, sondern senden solche auch zu der Kernmembran. Sehliesslich entstehen Bilder, wie die Fig. 18 uns zeigt. In der Mitte des Kerns liegt ein ziemlich diehtmaschiges Netzwerk, von dem sich Fäden zur Kernwand strecken. Die Spindelfaser, die noch in der frühen Telophase ein breites Bündel bilden und sich ge- gen die Chromosomenplatten trompetenartig ausbreiten (Fig. 17), sind jetzt ganz ver- ändert. Sie haben sich zu einem sichelähnlichen Gebilde zusammengezogen, das die N:o 6. 16 HARRY FEDERLEY. Tochterkerne anfangs noch verbindet, später jedoch nur als ein Spindelrestkörper zwischen den Tochterzellen zu finden ist (Fig. 18). Die FrEwwrNGschen Zwischenkörperchen sind in der Regel sehr deutlich; sie fallen nicht mit der neugebildeten Zellenwand zusammen haben also hier nichts mit der Bildung der übrigens äusserst subtilen Zellmembran zu schaffen. Für die Spermatogenese der Waldmaus ist eine deutliche Interkinese charakteristisch, und es scheint, als ob dieses Stadium sogar von ziemlich langer Dauer wäre. Zu die- sem Schluss kommt man nicht nur infolge der beträchtlichen Veränderungen, die zu dieser Zeit stattfinden, sondern auch auf Grunde der bedeutenden Gróssenzunahme des Kerns wührend dieser Phase. Wie erheblich dieser Zuwachs des Kerns ist, geht aus einem Vergleich der Kerngrösse der Figuren 18 und 19 hervor. , Das im Zentrum des Telophasenkerns angehäufte Chromatinnetz wird bald aufgelockert und verbreitet sich gleichmässig über den ganzen Kernraum. Es ist jetzt nicht möglich die einzelnen Chro- mosomen zu unterscheiden, aber allmählich entstehen sie wieder in den Knotenpunkten des Netzes, und die feinen Lininfüden, die noch als ein Rest des Reticulums die Chro- mosomen mit einander verbinden, werden immer dünner und schwächer gefärbt (Fig. 20), bis sie schliesslich kurz vor der homöotypischen Teilung vollständig verschwin- den. Zur Zeit des Verschwindens der Kernmembran haben die Chromosomen wieder die elliptische Form angenommen. Lange, schlingenförmige Chromosomen, wie DursBerG sie abbildet, habe ich nie in meinen Präparaten finden Können. Irgend einen auffallenderen Unterschied zwischen der ersten und der zweiten Rei- fungsteilung konnte ich nicht entdecken. Nur der Grössenunterschied der Kerne und Zellen macht es möglich die hetero- und homöotypische Teilung zu unterscheiden. Da ich keinen Einblick in die wirkliche Natur der zweiten Reifungsteilung erhalten Konnte, weil der Längsspalt der Chromosomen auch nicht in diesem Stadium in meinen Präpa- raten zum Vorschein kommt, habe ich die Teilungsphasen nicht abgebildet. Obgleich die Chromosomenzahl in der zweiten Reifungsteilung ebenso schwer wie in der ersten festzustellen ist, möchte ich dennoch hier hervorheben, dass sie in beiden dieselbe sein dürfte. Eine sekundäre Verbindung der Chromosomen nach der hetero- typischen Teilung, wie sie bei vielen Mammalien wie Homo (Guver, 1910) — von MowraowERy allerdings in Frage gestellt —, Didelphys virginiana (Jorvan. 1912), Sus serofa (WopsEpALEK, 1913) und Equus caballus (Wonsebazek, 1914) sowie unter den Vögeln bei Gallus domesticus (Guyrr, 1916) beschrieben worden ist, findet also bei der Waldmaus ebenso wenig wie bei den übrigen Mus-Arten statt. Bei der verhältnismäs- sig grossen Chromosomenzahl würe es wohl dennoch müglich gewesen einen Unterschied zwischen der haploiden und der sogenannten hemioiden Chromosomengarnitur zu ent- decken. Auch die geringe Grösse der Chromosomen in den Spermatozyten zweiter Tom. XLVIII. Beiträge zur Kenntnis der Säugetiergametogenese. 17 Ordnung spricht gegen die Annahme einer sekundären Verbindung der Chromosomen bei unserem Objekt. Der intranukleare Körper. In der oben gegebenen Schilderung der Wachstumsperiode und der Reifungsteilun- gen, habe ich den intranuklearen Körper absichtlich nicht beachtet, weil es mir wün- schenswert erschien ihn in einem Zusammenhang zu behandeln. Das jüngste Stadium, in dem der intranukleare Körper auftritt, ist das leptotäne. In dem dichten Fadengewirr ist er nicht leicht zu entdecken und in vielen Zellen sucht man ihn vergeblich. Wo er aber entdeckt werden kann, liegt er als ein ziemlich klei- ner, kompakter Kórper von homogener Substanz und mit glatter Oberfláche in dem von Chromosomen am wenigsten gefüllten Raum des Kerns. In einigen glaubte ich zwei ähnliche Körper finden zu können, in der Regel ist jedoch nur ein solcher vorhanden. Da ausserdem nukleolenähnliche Körper vorkommen, habe ich mich nicht davon über- zeugen können, dass die in ganz vereinzelten Kernen vorgefundenen paarigen Körper als intranukleare solche aufzufassen wären. Nach einem eingehenden Studium des leptotänen Stadiums muss ich es im Gegenteil als wahrscheinlich ansehen, dass auch in diesem Stadium, wie in den 'späteren, der intranukleare Körper unpaarig auftritt. Seine Lage ist, wie gesagt, schon jetzt eine periphäre, und wenn eine einseitige Orientierung der Chromosomen in der Richtung gegen das Idiosom bemerkbar ist, so liegt er an dem entgegengesetzten Pole in dem freien Lumen des Kerns. In dem abgebildeten Kern (Fig. 6) ist er garnicht sichtbar, weil er von den dicht gewundenen Chromosomen verdeckt ist. Der betreffende Kern wurde aber deswegen für die Abbildung gewählt, dass die leptotänen Fäden besonders klar und deutlich hervortreten, was in den meisten Zellen nicht der Fall ist. In dem amphitänen Stadium ist der intranukleare Körper kaum verändert. Er be- hält seine längliche Gestalt und ist nur unbedeutend grösser geworden (Fig. 7). Am meisten auffallend ist er in dem pachytänen Stadium. Infolge der jetzt häufigeren exzentrischen Lage der Chromosomen und seiner freien Lage fesselt er sofort den Blick des Untersuchers. Anfangs hat er sich nur wenig umgewandelt; seine Form variiert, ist aber noch in der Regel länglich. In der Fig. 8 sieht man ihn in starker Ver- kürzung, weshalb er fast sphärisch erscheint. Ovale intranukleare Körper kommen aber häufig vor. In einer späteren Phase des Pachytäns, wenn die Chromosomen sich verdicken und eine rauhe Oberfläche annehmen, nimmt auch der intranukleare Kórper an Grösse zu, und jetzt ist die lüngliche, wurstähnliche Form für ihn charakteristisch (Fig. 9). Durch seine glatte Fläche und Homogenität unterscheidet er sich sofort von den Chromosomen. Er nimmt das Eisenhämatoxylin weniger intensiv auf als die Chro- N:o 6. 3 4 Quos 18 HARRY FEDERLEY. mosomen, wogegen er in den nach FremminGs Trippelfärbungsmethode behandelten Prä- paraten ungefähr dieselbe Farbennuanze und -intensität wie die Chromosomen zeigt. Am Ende des pachytänen Stadiums, wenn die Chromosomen sich verkürzen und verdicken, kann man ähnliche Veränderungen an dem intranuklearen Körper beobachten. Er ver- wandelt sich in einen etwas abgeplatteten ovalen Körper, der sich an die Kernwand drückt (Fig. 10.). In dem diplotänen Stadium sind kaum irgendwelche Veränderungen zu bemerken. Möglicherweise ist die Verkürzung noch etwas weiter vorgeschritten, so dass auch fast spärische intranukleare Körper vorkommen können. Während der Prophase verliert man den intranuklearen Körper aus dem Gesicht, nicht deswegen, dass er sich auflösen würde, — irgendwelche Veränderungen die hier- auf deuten würden, habe ich nie beobachten können, — sondern weil es jetzt unmög- lich ist ihn. von den Chromosomen zu unterscheiden. Da der intranukleare Körper in seinem Verhalten während der Wachstumsperiode in vieler Hinsicht eine gewisse Ähnlichkeit mit den entsprechenden Stadien der Hetero- chromosomen mancher Insektenordnungen zeigt, habe ich ganz besonders genau die Anaphasen der Reifungsteilungen studiert um das Verhalten der einzelnen Chromosomen zu beobachten und eventuell die Entdeckung zu wachen, dass ein einzelnes Chromosom oder ein Chromosomenpaar durch abweichende Bewegung seine Natur von Geschlechts- chromosomen verraten würde. Wie schon (S. 15) hervorgehoben wurde, sind die Anaphasen ungewöhnlich klar, und die einzelnen Chromosomen- können recht deutlich unterschieden werden. Jene kommen auch nicht selten vor, aber trotzdem geben sie uns nicht den gewünschten sicheren Aufschluss, ob eine Heterokinesis statt findet, um den von GurHErz benutzten Terminus für die abweichende Art der Chromosomenverteilung zu benutzen. In den meisten Mitosen verhalten sich alle Chromosomen gleich, weder nachhinkende noch voran- eilende können beobachtet werden. In einer nicht ganz geringen Anzahl Zellen kommt jedoch ein Paar (selten zwei Paare) Chromosomen vor, das offenbar seine Teilung oder Trennung weit später als die übrigen durchgeführt hat. Ein solcher Fall ist in der Fig. 15 abgebildet. Wir sehen zunächst rechts ein Chromosomenpaar, das noch in der Längs- achsenrichtung der Spindel verharrt und hierdurch eine verspätete Teilung verrät, denn die übrigen Chromosomen haben schon die Tochteraster gebildet. Die beiden Chromo- somen zeigen ausserdem einen nicht unwesentlichen Grössenunterschied. Links in der- selben Zelle sehen wir ein anderes Chromosomenpaar, das noch später die Trennung der Komponenten vollendet. Offenbar ist die Fixierung gerade in dem Teilungsmoment er- folgt, worauf die keulenartig angeschwollenen Chromosomenenden deuten. Auch hier liegt eine Differenz der Grösse vor. In der Fig. 16 ist ein ganz ähnlicher Fall wieder- gegeben. Rechts sehen wir wieder, wie vorher, zwei verspätet getrennte Chromosomen, | Tom: XLVIII. EI Beiträge zur Kenntnis der Süugeliergametogenese. 19 während links die Trennung noch nicht durchgeführt ist. Ob die nächste Phase, wie die in der Fig. 15 abgebildete ausgesehen hätte, oder ob die zentrale Verdickung sich ganz zu dem einen Pole begeben hätte, ist nicht leicht zu entscheiden oder richtiger zu erraten. Ähnliche Bilder, wie die in den Figg. 15—16 dargestellten, sind, wie gesagt, sehr selten, wogegen Anaphasen mit nur einem verspäteten Paar, wie die in den genannten Mitosen rechts zu beobachtenden, durchaus nicht zu den Seltenheiten gehören. In der Interkinese und der Prophase der zweiten heifeteilung müsste man in dem Vorkommen eines Chromatinnucleolus (= des X-Chromosoms) in der Hälfte der Kerne und das Fehlen desselben in der anderen Hälfte ein sicheres Kriterium für die Existenz eines Geschlechtschromosoms erhalten, aber auch hier lässt uns unser Objekt im Stich. Wie die Fig. 19 zeigt, kommt in einigen Zellen neben einem kleineren, runden Kórper ein grósserer von eckiger Form vor. Ähnliche Kerne sind sehr häufig. Man findet aber auch solche, die nur einen grösseren Körper, dagegen keine kleineren enthalten, und umgekehrt wiederum andere, die mehrere nukleolenähnliche Gebilde von verschieden- artiger Gestalt und Grösse einschliessen, von denen es schwer zu sagen ist, welche als echte Nukleolen d. h. Plasmosomen, welche als Chromatinnukleolen d. h. Geschlechts- chromosomen aufgefasst werden sollen. Wenn tatsächlich bei der Waldmaus, wie beim Meerschweinchen nach Stevens, zwei Idiochromosomen vorhanden wären, worauf ja die Befunde wührend der Anaphase (S. 15) gewissermassen deuten, und also das X- und das Y-Chromosom auf verschiedene Spermatiden verteilt würden, so ist eine sichere Feststellung dieser Tatsache nicht möglich, denn die vielen verschiedenen Körper in den Kernen sind nicht als X- oder Y-Ohromosomen identifizierbar. In dem allgemeinen Teil komme ich auf die Heterochromosomirage bei den Säuge- tieren zurück und beschrünke mich deshalb hier zu der obigen reinen Beschreibung. Zentriolen, Idiosom und chromatoider Kórper. Ehe ich den deskriptiven Teil meiner Untersuchung abschliesse, möchte ich mich noch beiläufig über einige Zellenteile äussern, die mein Interesse gefesselt haben. Die Zentriolen sind bei der Waldmaus wie bei den Säugern überhaupt sehr wenig scharf hervortretend. In den Hämatoxylinpräparaten erscheinen sie wie äusserst kleine Pünktchen, und ófter kann man sie nur infolge der konvergierenden Spindelfaser entdecken, welche letztere übrigens meistens auch sehr undeutlich sind. Eine Strahlung habe ich in meinen Präparaten niemals entdecken können. In den ruhenden Kernen war es mir überhaupt nicht möglich die Zentriolen nachzuweisen. Dagegen erscheint N:o 6. 20 HARRY FEDERLEY. das Idiosom in dem pachytänen Stadium und ist in dem diplotänen sehr deutlich (Fig. 11). Es bildet einen homogenen, gegen das schaumige Zytoplasma oft ziemlich scharf begrenzten Körper, der in den Hämatoxylinpräparaten einen gelblichen Farben- ton angenommen hat, in den nach der Dreifärbungsmethode Fremmmmnes behandelten da- gegen einen rötlichen. Der chromatoide Körper. erscheint bei der Waldmaus viel früher, als was DurzsmERG für die Ratte angibt. Nach DvEssERG bemerkt man ihn zuerst während der zweiten Reifungsteilung, wogegen er bei der Waldmaus schon während des diplotänen Stadiums, zuweilen sogar ‘während des pachytänen, zum Vorschein kommt und wäh- rend der ersten Reifeteilung immer sehr auffallend ist. Seine Form ist keine konstante; zuweilen kreisrund oder eirund (Fig. 19), öfter jedoch unregelmässig wie in Fig. 13 und 18. Nicht selten entdeckt man in dem Inneren des chromatoiden Körpers hellere Partien, die auf eine Vacuolisation hindeuten (Fig. 13). Dass der Körper sich teilen würde, habe ich niemals direkt beobachten können. Da man jedoch Geschwisterzellen unter den Spermatozyten zweiter Ordnung und den Spermatiden findet, die beide einen chromatoiden Körper besitzen, so könnte man wohl annehmen, dass der ursprüngliche, immer einzeln auftretende chromatoide Körper der Mutterzelle sich geteilt hätte, wenn er nicht als Stoffwechselprodukt der Zelle anzusehen wäre, was durchaus nicht ausge- schlossen ist. Sehr oft kommen nämlich auch Bilder wie die in den Figg. 17 und 18 wiedergegebenen vor, in denen nur die eine Tochterzelle einen chromatoiden Körper auf- weist, in welchem Fall also eine Teilung sicher nicht stattgefunden hat. Auf die Bedeutung des chromatoiden Körpers möchte ich hier nicht näher einge- hen. Nur eine Beobachtung kann ich nicht unerwähnt lassen. Es scheint mir, dass der in Rede stehende Körper seinen Namen eigentlich nicht verdient, denn er zeigt nicht die für das Chromatin charakteristische Farbenreaktionen. In den Eisenhämatoxy- linpräparaten ist er weit dunkler gefärbt als die Chromosomen und nach FrrwurNos Drei- färbung ist er schwarz und kontrastiert hierdurch stark gegen die schön rotgefärbten Chromosomen. Offenbar ist die Schwarzfürbung durch die Osmiumsäure hervorgerufen und lässt also das Vorkommen von Fettstoffen vermuten. Alleemeiner Tert: Für die in theoretischer Hinsicht so wichtigen Fragen von der Reduktion, der Chromosomenzahl und den Heterochromosomen bieten die Säugetiere kein günstiges Untersuchungsmaterial. In wenigen Gruppen des Tierreichs sind die Rei- | Tom. XLVIII. ^ BEL. o o | Beiträge zur Kenntnis der Säugetiergametogenese. 2] ag [ [ [ fungsteilungen weniger klar als bei den Mammalien. Mit Ausnahme der Vögel kenne ich keine Klasse, bei welcher die Chromosomen so verklumpt wären und die Mitosen "ein so verworrenes Bild darböten wie bei den Mammalien, und leider sind gerade diese beiden Klassen in vererbungstheoretischer Beziehung für uns von aller grósstem In- teresse: die Säuger, weil der Mensch zu ihnen gehört, und die eigenartige Verer- bungsweise der vielen geschlechtsabhängigen Anomalien beim Menschen durch die Klar- legung der Chromosomenverhältnisse unzweifelhaft an Klarheit gewinnen würde; die Vögel, weil nach den experimentellen Vererbungsuntersuchungen zu urteilen bei ihnen, wie bei den Schmetterlingen, das weibliche Geschlecht das heterogametische ist, während bekanntlich in allen anderen bis jetzt untersuchten Tiergruppen, wo überhaupt ein Di- morphismus der Geschlechtszellen entdeckt werden konnte, dieser dem männlichen Ge- schlecht eigen ist. Leider sind die Aussichten, die Chromosomenverhältnisse in den ge- nannten beiden höchsten Gruppen des Tierreichs völlig klarlegen zu können, ‚äusserst gering, — dies gilt besonders von der Oogenese — und wir werden uns wohl noch lange mit mehr oder weniger gut begründeten Hypothesen begnügen müssen. Wenn ich trotzdem in Anschluss an die soeben gegebene Beschreibung der Sper- matogenese der Waldmaus und die Deutung der konstatierten Verhältnisse einige all- gemeine theoretische Erörterungen anknüpfen möchte, so geschieht es, teils weil jeder Fortschritt, wie klein er auch sein mag, auf dem Gebiete der Säugetierspermatogenese von grösster Bedeutung ist, teils um zu zeigen wie unsicher und umhertappend unsere Kenntnisse in bezug auf diese Fragen noch sind. Das Problem der Reduktion. Was zunächst die vielumstrittene Frage von der Reduktion der Chromosomenzahl betrifft, so scheint der Anschluss an die Hypothese von der Parasyndese immer allgemeiner und lebhafter zu werden. Viele Forscher, die zur Zeit des ersten Decaden- wechsels in unserem Jahrhundert noch als entschiedene Gegner der Lehre von der Pa- rallelkonjugation der Chromosomen im Kampfe teilnahmen, sind jetzt als Anhänger der- selben zu verzeichnen. Was ganz besonders die Säuger anbelangt, so können wir ohne weiteres die Hypothese einer Parasyndesis als die am allgemeinsten beigetretene be- zeichnen. Fast alle Untersuchungen aus der neuesten Zeit erklären die Reduktion der Chromosomenzahl als das Resultat einer parallelen Verbindung der Chromosomen, wäh- rend oder nach der Synapsis, resp. Synizesis. Schon 1907 stellte va Morrk fest, dass bei Sciurus vulgaris die Reduktion durch eine Parasyndese der Chromosomen eingeleitet wird. Einige Jahre später fand Stevens (1911) bei einer Untersuchung der Spermato- genese von Cavia cobaya, dass auch bei diesem Nager eine Parallelkonjugation vor- N:o 6. 22 HARRY FEDERL E Y. liegt. Bei den beiden Ratten, Mus decumanus und M. rattus, konnte weiter van Hoor (1912 a) in einer gründlichen und reich illustrierten Arbeit eine Parasyndese bei der Spermatogenese nachweisen, und schliesslich zeigte Jorpax (1914), dass Mus musculus keine Ausnahme von den übrigen Nagetieren macht. Aber nicht nur für die Nager ist diese Art der Reduktion charakteristisch. Durch JORDAN (1912 b) ist sie für eine Fledermaus nachgewiesen, und derselbe Verfasser hat 1914 eine „side-by-side union“ der Chromosomen während der Synapsis des Schafes feststellen können. Nach demselben Antor (1914) ist auch Herpestes in bezug auf die Reduktionsweise zu dieser Gruppe zu zählen. Wopsevarer (1914) hat durch eine Un- tersuchung der Spermatogenese des Pferdes das Vorkommen einer Parasyndese als in höchstem Grade wahrscheinlich bezeichnet, und vas Hoor (1912 b) erwähnt beiläufig in seiner Studie über die Natur der Synapsis (Synizesis) bei dem Hunde, dass auch hier die Reduktion durch ein paralleles Aneinanderlegen der Chromosomen erfolgt. Schliess- lich hat v. Winıwarter (1912) eine Parasyndese beim Menschen während der Sper- matogenese und bei der Katze während der Oogenese nachgewiesen. | Bei zahlreichen Vertretern verschiedener Säugerordnungen scheint also die Reduktion durch eine Parasyndese zu erfolgen. Von Forschern, die in neuerer Zeit die Säugetier- gametogenese behandelt haben, sind mir nur vereinzelte bekannt, die das Vorhandensein einer Parallelkonjugation in Frage stellen oder direkt leugnen würden. Unter diesen ist wohl Dursger« (1908, 1909) in erster Linie zu nennen. Als Schüler von Meves hat er sich diesem eifrigen Bekämpfer der Theorie von der Konjugation der mütterlichen und väterlichen Chromosomen in den Reifungsteilungen angeschlossen und leugnet folg- lich auch die Existenz einer Parasyndese bei den Mammalien. Seine Ansichten und Deutungen der verschiedenen Phasen der Spermatogenese sind schon in dem speziellen Teil erörtert worden, und ich brauche hier nur daran zu erinnern, dass er das Vor- kommen eines Reticuiums in der Wachstumsperiode als einen Beweis gegen die Hypo- these einer Parasyndese betrachtet und weiter in dem bei den Mus-Arten besonders schön zu Tage tretenden diplotänen Stadium nur eine verfrühte Längsspaltung der Chromoso- men erblickt. Aus dem Grunde, dass ähnliche Bilder, wie sie für die vorbereitenden Sta- dien der heifungsteilungen charakteristisch sind, auch hier und da in somatischen Zel- len beobachtet werden, meint Duessere, dass ihnen keine besondere Bedeutung für den Reduktionsprozess zugemessen werden kann, weshalb er, sich auf einen gewissermassen agnostischen Standpunkt stellend, die Reduktion als ein noch vollständig rätselhaftes Phänomen betrachtet. In seiner ältesten Arbeit auf dem Gebiete der Säugetierspermatogenese hat JORDAN (1912 a) die Reduktion durch eine Telosynapsis zu erklären versucht. Seine Erklärung stützt er auf die Beobachtung, dass im Bukettstadium die Chromosomenbógen in ihrem Tom. XLVIIL Beiträge zur Kenntnis der Säugetiergametogenese, 23 ins freie Kernlumen hervorragenden Teil eine Anschwellung zeigen, in welcher er die Verbindungsstelle der end-to-end-konjugierten Chromosomen erblickt. Die betreffende Figur in Jorpaxs Abhandlung zeigt aber auffallenderweise, dass die Chromosomen sich schon im Pachytänstadium befinden, woraus man den Schluss ziehen kann, dass die Konjugation durch eine Parasyndese bereits vollendet ist. Die wenig scharf hervortre- tenden Verdickungen an den Bogengipfeln sind vermutlich die Folge einer nicht ganz gleichmässig erfolgenden Verkürzung der langen Chromosomen. Da Jorpan in seinen späteren Untersuchungen bei verschiedenen Säugetieren,. wie schon soeben erwähnt wurde, eine Parasyndese beobachtet hat, dürfte seine ganz beiläufig ausgesprochene Vermutung über das Vorkommen einer Telosynapsis bei Didelphys kaum die Wagschale zum Vorteil der Hypothese von der Metasyndese zu senken vermögen. ; SCcHoENFELDS Beschreibung über die Spermatogenese beim Stier ist schwierig mit Untersuchungen anderer Forscher auf dem Gebiete der Säugetiergametogenese in Über- einstimmung zu bringen. Wie er sich die Reduktion überhaupt vorstellt, bleibt ganz und gar rätselhaft, vermutlich weil er sich um die Lösung dieses damals noch wenig aktuellen Problems nicht bemüht hat. "Es liegt also keine Übertreibung in der Behauptung, dass die Hypothese von der Parasyndese sich der grössten Popularität unter den Zytologen erfreuen kann. In den neuesten Arbeiten zusammenfassender Art, wie z. B. in Gorpscuwiprs „Binführung in die Vererbungswissenschaft* (1913) und Bucuxers „Praktikum der Zellenlehre* (1915), wird diese Hypothese auch an der Spitze gestellt, obwohl die beiden Verfasser, wie die Münchener Schule überhaupt, seinerzeit ziemlich scharf gegen dieselbe auftraten. In meiner Arbeit über die Chromosomenverhältnisse bei einigen Pygaera-Bastarden drückte ich mich mit grösster Vorsicht über die Art und Weise der Konjugation bei den von mir untersuchten Arten aus, glaubte aber dennoch eine Metasyndese als die wahrschein- lichste bezeichnen zu können. Seitdem habe ich Gelegenheit gehabt eine sehr grosse Anzahl Schmetterlinge sowohl in bezug auf ihre Spermatogenese als ihre Oogenese zu untersuchen, und obgleich die Lepidopteren gerade in dem so wichtigen amphitänen Stadium keine klare Bilder bieten, so habe ich mich dennoch davon überzeugen kün- nen, dass auch in der Ordnung Lepidoptera die Reduktion die Folge einer Parasyndese ist. Am besten kommt dies in der Oogenese zu Gesicht. (Gewissermassen muss ich mich also auch zu den Bekehrten rechnen. Was speziell der Gegenstand der vorliegenden Untersuchung betrifft, so ist die Phase des Aneinanderlegens der Chromosomen bei der Waldmaus wenig deutlich, und ‚im pachytänen Stadium verschmelzen die beiden Konjuganten vollständig. Nicht mit dem besten Willen ist es möglich eine Andeutung der Duplizität der Chromosomen nachzuweisen. Ohne Resultat habe ich die Differenzierung meiner Eisenhämatoxylin- N:o 6. 24 HARRY FEDERLEY. Präparate sehr lange fortgesetzt. Es gelang niemals eine Trennungslinie zu Gesicht zu bekommen. Um so auffallender ist es, dass in dem diplotänen Stadium die beiden Kon- Juganten plötzlich wieder völlig klar zu Tage treten. Sie entfernen sich hierbei sogar so weit von einander, dass Kreise und achterähnliche Figuren entstehen. Wie die an- deren Mus-Arten ist also die Waldmaus ein sehr günstiges Objekt für eine Unter- suchung der diplotänen Phase. Von mehreren Zytologen, auch von solchen, die sich der Hypothese von der Pa- rasyndese angeschlossen haben, wie v. Winiwarrer, VEJDOVSKY und BONNEVIE, werden die beiden Komponenten desselben Chromosomenpaares in dem diplotänen Stadium nicht als die ursprünglichen, univalenten Chromosomen-Konjuganten betrachtet. Nach ihrer Auffassung verschmelzen nämlich die parallel-konjugierten Chromosomen während des pachytänen Stadiums zu Mixochromosomen, und demzufolge sehen diese Forscher in der diplotänen Phase einfach eine antizipierte Längsspaltung, nicht eine Trennung der ursprünglich konjugierten mütterlichen und väterlichen Chromosomen. Die Entscheidung zwischen den Meinungsdivergenzen über das diplotäne Stadium ist durchaus keine leichte, und sie kann wohl kaum ohne kritische Berücksichtigung der vorangehenden und nachfolgenden Stadien beantwortet werden. Bei der Waldmaus und bei sehr vielen anderen Arten verschiedener Klassen und Ordnungen spricht ja die Einheit der pachytänen Chromosomen für die Annahme einer wirklichen Verschmelzung und Bildung von Mixochromosomen. Dagegen scheint mir die Doppelheit der Chromo- somen kurz nachher in dem diplotinen Stadium schwerlich als eine frühe Längsspaltung und Vorbereitung für die erste Reifungsteilung, die also — wie auch die zweite — äquationell wäre, aufgefasst werden zu können. Der Längsspalt verschwindet nämlich in- der Pro- und Metaphase wieder um erst in der Anaphase von neuem zum Vorschein zu kommen. Wenn wir ausserdem berücksichtigen. dass bei verschiedenen Arten die Doppelheit in verschiedenen Phasen sichtbar wird, und es sogar Fälle gibt, in denen. die Chromosomen während der ganzen Spermatogenese ihre Individualität nicht aufge- ben, die Trennungslinie zwischen ihnen also ununterbrochen sichtbar ist, und Mixochromo- somen überhaupt garnicht gebildet werden. so scheint mir die Auffassung, dass der ur- sprüngliche Zwischenraum oder die Spalte zwischen den konjugierenden Chromosomen zu verschiedenen Zeiten mehr oder weniger “deutlich erkennbar ist, wahrscheinlicher als die Annahme einer verfrühten Längsspaltung eines Mixochromosoms. i Dass die Konjugation die Folge einer zwischen den mütterlichen und väterlichen Chromosomen vorhandenen und in der Synapsis ausgelösten Affinität ist, dürfte wohl die allgemeinste Ansicht sein. Der Grad dieser Affinität kann jedoch sehr verschieden sein und hängt von der Verwandtschaft der betreffenden Chromosomen ab. Unter- suchungen der Chromosomenverhältnisse bei der Gametogenese einer beträchtlichen An- Tom. XLVIII. Beiträge zur Kenntnis der Säugetiergametogenese. 25 zahl von Bastarden sowohl im Tier- als auch im Pflanzenreich beweisen nämlich, dass sie sehr mangelhaft sein oder sogar vollständig fehlen kann. Bei mehreren Schmetter- lingsbastarden ist es (FEDERLEY, 1915 — 1916) gelungen eine Menge Stufen zwischen völlig fehlender und vollständig normaler Affinität nachzuweisen. In einigen Bastarden sucht man vergeblich nach konjugierten Chromosomen, in anderen konjugieren nur ver- einzelte oder ein nicht geringer Teil der Chromosomen, und schliesslich gibt es Misch- linge, in denen die Konjugation nur zwischen ganz vereinzelten Chromosomenpaaren nicht zu Stande kommt und sogar solche, bei denen die Parasyndese nicht von einer normalen zu unterscheiden ist. In vielen Fällen konnte ein gewisser Parallelismus zwischen der Anzahl der konjugierenden Chromosomen und der „Systematischen Ver- wandtschaft der Elternarten des Mischlings festgestellt werden. In anderen dagegen nicht. So konjugierten alle Chromosomen ganz normal bei einem Bastard, dessen El- tern nach der üblichen systematischen Wertschätzung gute linnesche Arten sind und sogar öfter zu verschiedenen Gattungen gezogen werden. Aber aus den angeführten Untersuchungen können wir weiter den Schluss ziehen, dass die Affinität der homologen Chromosomen nicht nur in verschiedenen Zellen des- selben Individuums eine verschiedene ist, sondern dass sie auch in verschiedenen Phasen der Spermatogenese eine festere oder lockrere sein kann. Dass verschiedene Arten, Gattungen und Ordnungen für sie charakteristische, konstante temporäre Verschieden- heiten in der Stärke der Affinität aufweisen ist also weniger überraschend und würde gewissermassen die mehr oder weniger innige Verbindung der Chromosomen, wie sie sich in unseren Präparaten einerseits in dem pachytänen andererseits in dem diplo- tänen Stadium äussert, wenn auch nicht erklären dennoch einigermassen verständlich machen. Auf welche zytophysiologische Verhältnisse diese Schwankungen in der Inten- sität der Anziehung äusserst zurück zuführen ist, muss dagegen zukünftigen Unter- suchungen überlassen werden. Gegen die Mixochromosomenhypothese können weiter die Resultate der Mendel- forschung angeführt werden. Dass die Spaltung der Grameten und ihre Reinheit, wie sie bei Tausenden von Arten durch Kreuzungsexperimente physiologisch festgestellt wor- den ist, in der Verbindung homologer mütterlicher und väterlicher Chromosomen vor den Reifeteilungen und ihre darauffolgende Trennung während dieser ihre morpholo- gische Erklärung erhält, wird immer allgemeiner angenommen und kann wohl durch die neuesten Untersuchungen an einzelligen Organismen und an den Bienen, bei denen die parthenogenetisch entstandenen Drohnen ja sozusagen personifierte Gameten darstellen, als bewiesen angesehen werden (vgl. HARTMANN, 1918). Dagegen würde die Hypothese von der Bildung von Mixochromosomen eine Menge Hilfshypothesen bedürfen um mit den experimentellen Resultaten der Mendelianer in Einklang gebracht werden zu können. N:o 6. 4 26 HARRY FEDERLEY. Es gibt aber auch einen rein zytologischen Beweis gegen die Mixochromosomen. Roserrson hat die Chromosomenverhältnisse einiger Orthopteren zum Gegenstand seiner Forschungen gemacht und dabei bei einer Tettigidea- und einer Acridium-Art interes- sante aberrante Chromosomen entdeckt. So konnte Roserrsox z B. feststellen, dass in einem Fall der eine Partner eines homologen Chromosomenpaares zwei und ein halb Mal so lang wie der andere war. Und diese Anomalie kam nicht nur deutlich in bei- den Geschlechtern vor, sondern, wie vorauszusetzen war, mussten die beiden Kombinatio- nen lang und lang sowie kurz und kurz auch gebildet werden. Bis jetzt hat Roskrr- son nur den einen dieser beiden Fälle zytologisch nachweisen können. Weiter hatte er seine Aufmerksamkeit ganz besonders auf die Konjugationserscheinung gerichtet und stellte eine Parasyndese fest, während welcher man die ungleich grossen Partner deut- lich erkennen konnte. Ausserdem zeigte RoBERTSON, dass die aberrativen Chromosomen- verhältnisse nicht nur in verschiedenen Zellengenerationen desselben Individuums wieder- sefunden werden, sondern, wie gesagt, auch in Generationen von Individuen persistie- ren, was alles nicht möglich wäre, falls Mixochromosomen tatsächlich entstünden. Die Beobachtungen von RosERTsON sprechen also entschieden für die Theorie von der Individualitit der Chromosomen und für die Hypothese von der Parasyndese, lassen sich aber dagegen nicht mit der Ansicht von der Bildung von Mixochromosomen ver- einigen. Die Chromosomenzahl. Die exakte Feststellung der Chromosomenzahl bei den Säugetieren scheint ausser- ordentlich grosse Schwierigkeiten darzubieten, und die wenigen Angaben. die man in der Litteratur antrifft, müssen wohl immer mit einer gewissen Kritik, sehr oft sogar mit grosser Skepsis betrachtet werden. Auch bei Arten, die eine verhältnismässig ge- ringe Anzahl Chromosomen besitzen, dürfte Vorsicht bei dem Gutheissen der Angaben über die Chromosomenzahl geboten sein. Kine kleine ganz willkürlich gemachte Ahren- lese dürfte dieses gewissermassen strenge Urteil über die bisherigen Untersuchungen in diesem Punkte als berechtigt erscheinen lassen. Ich möchte aber ausdrücklich betonen, dass die Ursache der so wenig befriedigenden Resultate nicht bei den Untersuchern, sondern in dem so ausserordentlich ungünstigen Materiale zu suchen ist. In der Einleitung wurde schon hervorgehoben, dass die Verhältnisse bei dem Men- schen in bezug auf die Chromosomenverhältnisse ganz besonders verwickelt sind. Die verschiedenen Angaben über die Chromosomenzahl geben nicht viel der Zahl der Un- tersucher nach. Da ich im Zusammenhang mit der geplanten und schon vorbereiteten Untersuchung über die Spermatogenese des Menschen diese Fragen eingehend behandeln werde, kann ich sie jetzt unberücksichtigt lassen, und mich in erster Linie an die uns Tom. XLVIII. IV -1 Beiträge zur Kenntnis der Säugetiergametogenese. am meisten interessierende und auch am besten untersuchte Ordnung der Sänger, die Nager, halten und den Anfang mit der Gattung Mus machen. Im Jahre 1895 veröffentlichte Sosorra eine eingehende Untersuchung über die Ei- reifung der Maus, wobei er die Chromosomenzahl als I2, höchstens 14— 15 angab. Zwölf Jahre später, also im Jahre 1907, sah sich derselbe Autor aus anderen Gründen veranlasst seine alten Präparate von neuem durchzumustern und meinte jetzt mit voller Sicherheit die Chromosomenzahl als 16 feststellen zu können. Kinkuaw, der in mehreren Abhandlungen dasselbe Thema behandelt hat, scheint die Chromosomenzahl während der Reifeteilung als sehr variabel anzusehen und erklärt die wechselnde Zahl als das Re- sultat einer verfrühten Längsspaltung (Trennung der konjugierten Chromosomen ?) einer geringeren oder grösseren Anzahl von Chromosomen. Nach Kırknam wäre wohl I2 die normale haploide Zahl. Über die Ratte, die braune sowohl als die schwarze, liegen mehrere Unter- suchungen vor. Moore gibt 8 als haploide Anzahl an, wogegen Lexnosser die Zahl I2 feststellen zu können glaubte. Ihm schloss sich DurssERe an, während van Hoor 16 resp. 32 als die normalen Zahlen betrachtet. Also wieder recht beträchtliche Unter- schiede. Für das Meerschweinchen sınd die Zahlenangaben noch viel schwankender. Moore und Warker sollen (nach DuesserG) 16 als die haploide Anzahl angeben. STE- VENS dagegen sieht 28 als die haploide Anzahl an und hat sogar eine diploide Platte mit 56 Chromosomen gefunden und abgebildet. Laws hat uns schliesslich mehrere Bil- der von Reifeteilungen gegeben, in denen man deutlich 8 Chromosomen zählen kann; er hat auch 16 als die somatische Zahl konstatieren können. Bei dem Kaninchen sind die Verhältnisse auch nicht klargelegt. Nach den neuesten Untersuchungen von BacHHUBER (1916) besitzen die Spermatogonien 22 Chro- mosomen, von denen 2 als Geschlechtschromosomen zu betrachten sind. Da sich diese auf den beiden Spermatozyten zweiter Ordnung verteilen, so erhalten letztere 10 Auto- somen + 1 Allosom also summa Il Chromosomen. Dieser Angabe kommt das Resultat der Untersuchungen von Honort sehr nahe, indem dieser Forscher 10—12 als die ha- ploide Anzahl betrachtet. Fremming hatte seinerzeit die diploide Anzahl zu 24 be- stimmt, während v. WixiwangrER 42 Chromosomen gezählt hat. Von dem Pferde sind mir nur zwei Angaben bekannt. .Nach der einen von Kırırvow beträgt die Anzahl I0—I6, nach der anderen von WopsepaLex ist sie in den Spermatogonien 37 in den Spermatozyten 18 oder I9 davon abhängig, ob die Zelle das unpaarige Geschlechtschromosom erhalten hat oder nicht. Die angeführten Zahlen dürften wohl genügen um zu zeigen, auf welche Schwie- rigkeiten das Zählen der Chromosomen stösst. Bei der Waldmaus liegen die Verhält- N:o 6, 28 Harry FEDERLEY. nisse auch nicht anders. Es ist nur möglich die Zahl annähernd festzustellen. Wie auf S. 15 aus vorher angeführten Gründen angegeben wird, muss die haploide Chromoso- menzahl auf einige und zwanzig geschätzt werden. Vorkommen oder Fehlen von Heterochromosomen. Die soeben gegebene Übersicht der bis jetzt gewonnenen Resultate in bezug auf die Chromosomenzahlen der Säugetiere dürfte schon genügen um die Schwierigkeiten hervorzuheben, mit welchen ein jeder zu rechnen hat, wenn er den Versuch wagen will in einem bestimmten Fall das Vorkommen oder Fehlen von Heterochromosomen festzu- stellen. Er wird sich in der Regel von dieser Aufgabe ebenso unbefriedigt trennen müssen, wie wenn es galt die Chromosomen zu zählen. Die beiden Fragen stehen ja mit einander in einem gewissen Zusammenhang und die Schwierigkeiten sind deshalb auch für beide gemeinsam. Schon bei der Beschreibung über das Verhalten des intranuklearen Körpers bei der Waldmaus machte ich die Bemerkung, dass es äusserst schwierig ist zu entschei- den, ob dieser Körper als ein Heterochromosom aufgefasst werden soll oder nicht. Ein vollständig sicheres Kriterium, wie wir es bei zahlreichen Insekten verschiedener Ord- nungen kennen, war ich nicht im Stande nachzuweisen. In dem folgenden werde ich zeigen, dass dies auch in sehr vielen anderen Fällen innerhalb der Säugerklasse nicht möglich ist und dass sich auch hier die Ansichten verschiedener Forscher nicht immer eut vertragen. Die erste Beschreibung über ein X-Chromosom bei einem Säugetier dürften wir Guyer (1910) zu verdanken haben, und eigentümlicherweise betrifft sie den Menschen. Bei einem Neger entdeckte Guyer zwei X-Chromosomen, die bei der ersten Rei- fungsteilung ungeteilt zu dem einen Pole ziehen. Da bei der zweiten Teilung alle Chro- mosomen äquationell geteilt werden, so entstehen zwei verschiedene Arten von Sper- matiden, resp. Spermien, von denen die eine 12 Chromosomen (10 Autosomen + 2 Allosomen), die andere nur 10 Chromosomen (10 Autosomen) enthält. Guver gibt Ab- bildungen der zwei X-Chromosomen sowohl in den Spermatogonien, Reifeteilungen und Spermatozyten als in den Spermatiden. Diese Figuren sind jedoch wenig überzeugend, und man kann sich.kaum dem Gedanken wehren. dass hier der Wunsch die X-Chro- mosomen zu entdecken die Mutter des Wollens gewesen ist. Auch ist die kurze und knapp abgefasste Mitteilung Guvers ziemlich scharf kritisiert worden. Zwar ist Mowr- GOMERY auch der Ansicht, dass zwei X-Chromosomen vorkommen, meint aber im Gegensatz zu Guver, dass die Verteilung dieser sehr verschiedenartig und ziemlich will- kürlich ausfällt. Auch nach Kenntnisnahme des Guyer'schen Materials hält Mowrao- Tom. XLVIII. i; L i BEN LAE S Beiträge zur Kenntnis der Ndugeliergametogenest 29 MERY seine Ansicht aufrecht und kann sich der Auffassung Guyers nicht anschliessen. v. WINIWARTER (1912) hat wiederum ein nnpaariges X-Chromosom bei dem Manne entdeckt, während Gurnerz (1912) zwei einander äusserlich vollstän- dig ähnliche Heterochromosomen beobachtete, von denen jede Spermatozyte. resp. Spermie eins erhält. JonpAN (1914) bestätigt insofern Guyers und Guruerz Beob- achtungen, dass auch er das Vorkommen eines doppelten Heterochromosoms wäh- rend der Synapsis feststellen konnte. Da aber sein Material trotz guter Fixierung keine so günstige Mitosen enthielt, dass ein exaktes Zählen der Chromosomen möglich gewesen wäre, will er sich nicht über die Verteilung der X-Chromosomen äussern. Wir sehen also, dass nur in bezug auf das Vorkommen von Geschlechtschromoso- men beim Manne die Beobachtungen übereinstimmend sind, wogegen die Ansichten be- treffs ihrer Anzahl und Verteilung ganz auseinander gehen. ein Beweis dafür wie aus- serordentlich gross die Schwierigkeiten sind, mit denen die Forscher auf diesem Gebiete zu kämpfen haben. Im Jahre 1910 veröffentlichten Newman und Parrerson eine Arbeit über die Em- bryogenese des Armadillos. In dieser Untersuchung werden auch die Chromosomen- zahlen berücksichtigt, und die Verfasser erwähnen, dass die Oogonien immer 32 Chro- mosomen enthalten, wogegen die Spermatogonien derer nur 31 besitzen. Das Hetero- chromosom eilt in der Reduktionsteilung ungeteilt den übrigen Chromosomen voran zu dem einen Pole, wodurch dimorphe Spermatozyten entstehen. In den darauf folgenden Jahren wächst das Intereresse für die Heterochromosomen deı Mammalien. Schon 1911 entdeckte und beschrieb Jorpax bei Didelphys ein typisches X-Chromosom, das während des Wachstumsstadiums, wenn die übrigen Chromosomen als lange Fäden auftreten und das Bukett bilden, als ein scharf konturierter und kom- “ pakter, abgerundeter Körper in der Nähe des Idiosoms liegt. In der ersten Reifungs- teilung wandert es ungeteilt in die eine Tochterzelle, während es sich in der zweiten wie die Autosomen teilt. Es ist Jorpan gelungen alle Phasen in der Entwicklung und dem Verhalten des Heterochromosoms zu verfolgen, und die Abbildungen zeigen die Verhältnisse so klar und deutlich, wie man sie sonst nur bei Insekten findet, weshalb man wohl kaum zweifeln kann, dass die Geschlechtsbestimmung bei Didelphys analog wie bei den Hemipteren erfolgt. Weit weniger klar ist der von Stevens (1912) bei Cavia cobaya beschriebene Fall, indem zum ersten Mal bei einem Säugetier ein Paar Idiochromosomen nach- gewiesen wurde. In der früheren Hälfte der Wachstumsperiode, während des amphi- tànen Stadiums, entdeckte Srevexs einen unpaarigen Körper, der sich später in der Prophase in ein X- und ein Y-Chromosom teilt. In der heterotypischen Teilung bilden diese ein Paar, trotzdem sie von verschiedener Grösse und Gestalt sind, und wandern N:o 6. 30 HARRY FEDERLEY. jedes in seine T'ochterzelle, wobei sie sich in der Regel von den Autosomen unterschei- den lassen, indem sie sich entweder früher teilen und voraneilen oder auch verspätet nachhinken. In der Interkinese sind sie glatt und können deshalb nach Stevens nicht mit den weniger scharf konturierten Autosomen verwechselt werden. Es sollen zwei Sorten von Spermatozyten gebildet werden, solche mit einem Y- und solche mit einem X-Chromosom. Die Untersuchung von Miss Stevens scheint mir nicht so klar und überzeugend wie die soeben erörterte von Jorpax. Die Bilder sind zwar deutlich, machen jedoch einen schematisierten Eindruck, und ebenso wie man bei Guyer eine Verwechselung der Heterochromosomen mit den echten Nukleolen oder Plasmosomen als nicht ausgeschlos- sen ansehen kann, hat man auch hier das Gefühl, dass das letzte Wort über die Ge- schlechtschromosomen bei dem Meerschweinchen noch nicht gesagt worden ist. Auch die schon S. 27 erwähnten sehr schwankenden Angaben über die Chromosomenzahl bei diesem Nager scheint eine abwartende Haltung in bezug auf die Geschlechtschromosomen zu motivieren. | Beim Schwein beschreibt WopsebaLek (1913) zwei X-Chromosomen, die sich während der ganzen Spermatogenese durch ihre bedeutendere Grösse und ovale Form von den stübehenfórmigen Autosomen unterscheiden lassen sollen. Sie gehen bei der ersten Reifungsteilung beide zusammen ungeteilt in die eine der Spermatozyten zweiter Ordnung über, weshalb von diesen zwei verschiedene Sorten entstehen, nämlich solche mit 8 Autosomen + 2 X-Chromosomen und solche mit nur 8 Autosomen. Infolge des verschiedenen Chromosomenbestandes sind die reifen Spermien von zwei Gróssen- Kategorien. Die von WonseparLek gemachten Messungen ergaben Zahlen,- die sich in eine typische zweigipfelige Kurve ordnen lassen. In den Spermatogonien und Me- sonephroszellen des Männchens konnte WonpsEpALEK 18 Chromosomen zählen, wogegen er in den Oogonien und den Mesonephroszellen des Weibchens regelmässig 20 Chromo- somen fand. Unter diesen 20 Chromosomen waren 4 grósser und von derselben Form wie die 2 X-Chromosomen beim Männchen, weshalb das Weibchen offenbar, wie dies ja bei den Insekten öfter der Fall ist, die doppelte Anzahl Geschlechtschromosomen im Vergleich mit dem Männchen besitzt. | Sowohl die Beschreibungen wie auch die Abbildungen sind in jeder Beziehung ein- deutig und überzeugend. Leider ist Jorpan (1914) bei einer Untersuchung desselben Objektes zu ganz anderen Resultaten gekommen. Er leugnet bestimmt das Vorkommen von Geschlechtschromosomen in der Spermatogenese. Nach dem Erscheinen der Arbeit von WopsEbALEK hat JORDAN seine Präparate noch extra zu dem Zweck die Heterochro- mosomen zu entdecken durchmustert ohne die von WopskpALEK beschriebenen Verhält- nisse verifizieren zu können. ‚Jorvan hält deshalb seine Ansicht aufrecht. dass das Tom. XLVIII. - Beiträge zur Kenntnis der Süugeliergamelogenese 31 Schwein im männlichen Geschlecht keine Zeichen von Geschlechtschromosomen verrät. So behauptet Jorpax z. DB. von den zwei von WopsEpALEK während der Interkinese be- schriebenen Chromatinnukleolen, die WopskbALEK als die X-Chromosomen betrachtet, dass sie durchaus nicht so charakteristisch sind, sondern dass sie öfter auch zu dreien oder vieren auftreten kónnen, in welchem Fall eine Identifizierung mit den X-Chromosomen unmöglich ist. Also wiederum ein Fall, von dem man nichts sicheres weiss. Nicht viel erfreulicher liegen die Verhältnisse beim Kaninchen. JonpaN (1914) behauptet mit grösster Bestimmtheit, dass Geschlechtschromosomen beim Männchen fehlen, und betont, dass er seiner Sache hier sehr sicher ist, da er nicht nur T'estes erwachsener Tiere, sondern auch solche von jungen und neugeborenen Individuen untersucht hat. BacuHuBER dagegen meint, dass von den 22 Chromosomen der Spermatogonien zwei als Idiochromosomen aufzufassen sind. In der Syndese konjugieren die 20 Autosomen, und die Spermatozyten enthalten demzufolge 10 Autosomen + 2 Idiochromosomen. Diese kónnen als ein X- und ein Y-Chromosom betrachtet werden und gehen bei den ersten Reifungsteilung jedes zu seiner Spermatozyte zweiter Ordnung, die also 10 Autosomen und bin X- oder ein Y-Chromosom erhalten. : Beim Pferde steht es mit unseren Kenntnissen insofern etwas besser, dass die von WopskpaALEK (1914) gegebenen Beschreibungen wenigstens nicht in direktem Wider- spruch zu den Beobachtungen -Jompaws stehen. Nach Wopsepazer besitzt das Pferd im männlichen Geschlecht ein typisches unpaariges X-Chromosom von herzförmiger (nach JORDAN dreilappiger) Gestalt und bedeutend grösser als die Autosomen. Die Hälfte der Spermien enthält das X-Chromosom. Auch hier lassen sich die Spermien auf zwei ver- schiedene Grössenklassen verteilen. — Kırırıow erwähnt nichts von einem Hetero- chromosom. ' Nach Jorpax besitzen noch folgende Säuger im männlichen Geschlecht ein X- Chromosom, das zwar nur in dem Synapsis-Stadium und kurz vorher oder nachher sichtbar ist: Hund, Stier und Schaf. Bei einer Fledermaus hat Jorvan (1912) in den Spermatogonien ein Element entdeckt, das er als ein X-Chromosom oder möglicherweise als ein Paar Idiochro- mosomen betrachtet; ähnlich liegen die Verhältnisse beim Maultier. Auch die Maus besitzt nach Jorvan (1914) im männlichen Geschlecht Hetero- chromosomen. In der Synapsis kommt regelmässig ein einfacher Chromatinnucleolus vor. Er kann aber auch in gewissen Phasen doppelt auftreten, weshalb ‚Jorpan zwei- felhaft ist, ob er der Maus ein unpaariges X-Chromosom oder ein Paar Idiochromo- mosomen zusprechen soll. Das Schicksal des X-Chromosoms während der Reifeteilungen ist nieht möglich zu verfolgen, denn man kann es nicht von den übrigen Chromosomen N:o 6. 32 HARRY FEDERLEY: unterscheiden, und exakte Angaben über die Chromosomenzahlen in den Spermatozyten. die ja eine Entscheidung zuliessen, sind leider auch unmöglich. Wenn ich jetzt nach der soeben gegebenen Übersicht unserer Kenntnisse von den Heterochromosomen bei den Säugern zur Beantwortung der Frage gehe, ob der intra- nukleare Körper in der Spermatogenese der Waldmaus als ein X-Chromosom aufzu- fassen ist oder nicht, so muss ich gestehen, dass ich ebenso zweifelhaft wie vorher bin. Nach der üblichen Auffassung der meisten von den zitierten Autoren könnte ich wohl ohne weitere Bedenken die Frage bejahen und zwar aus folgenden Gründen: l:o reagiert der intranukleare Körper auf die angewandten Farbstoffe wie ein Chro- mosom. 2:0 unterscheidet er sich von den eigentlichen Chromosomen dadurch, dass er wäh- rend der ganzen Wachstumsperiode, vom leptotänen bis zum diplotänen Sta- dium, als ein scharf konturierter, kompakter Körper auftritt (Heteropykhose). Er liegt hierbei während der einseitigen Konzentration des Kerninhalts meistens in dem freien Teil des Kerns, also an dem entgegengesetzten Pole vom ldio- som, wie dies bei dem Pferde, der Maus und der Fledermaus der Fall ist. 3:0 kann es sich nicht um einen wahren Nukleolus (Plasmosom) handeln, denn nach Angaben verschiedener Verfasser verschwindet das P]lasmosom bei den Süugern schon vor der Synapsis, also zu einer Zeit wenn deri ntranukleare Körper erst eben zum Vorschein kommt; eine Verwechselung wäre also aus- geschlossen. f : 4:0 findet man in der Anaphase der ersten Reifungsteilung Bilder, die als eine Heterokinese gedeutet werden kónnen. Die oben angeführten Gründe kónnen zwar als Glieder einer Kette von Indizien- beweisen betrachtet werden, bindend scheinen sie mir kaum zu sein. Was zunächst die Farbenreaktion betrifft, so ist es zwar richtig, dass der intra- nukleare Körper in den nach der Dreifachfärbungsmethode von FrEmminG behandelten - Präparaten ganz ähnlich wie die Chromosomen reagierte, aber die Farbennuanzen zwi- schen den wahren Nukleolen und den sogenannten Chromatinnukleolen, welche letzten die Heterochromosomen darstellen, ist bei weitem nicht immer so deutlich, wie öfter behauptet wird. Ein besseres Kriterium würde zwar die Reaktion bei der Eumricn- Biowprschen Färbung leisten, aber leider war es mir nicht möglich diese Methode an- zuwenden, da bekanntlich in Osmiumsäure fixiertes Material sich hierzu nicht eignet. Es scheint mir also gewagt alzu grosses Gewicht auf die Farbenreaktion zu legen. Tom. XLVIII. Beiträge zur Kenntnis der Säugeliergametogenese. 33 Auch sonst scheint mir die Möglichkeit, dass eine Verwechselung der Heterochro- mosomen mit wahren Nukleolen vorliegt, in manchen der in der Litteratur beschriebe- nen Fällen sowie in dem meinigen durchaus nicht ausgeschlossen. Ich möchte mich nämlich nicht unbedingt der Ansicht anschliessen, dass das Plamosom schon vor der Synapsis verschwindet. Oft mag dies wohl der Fall sein, aber sehr oft restituieren sich die Nukleölen wieder in der Interkinese, also gerade in dem Stadium, in welchem es am leichtesten sein müsste ein sicheres Kriterium für das Vorkommen eines unpaarigen Strukturelements zu erhalten Gerade in dieser Beziehung liegen die Verhältnisse bei der Waldmaus besonders ungünstig, Während es in meinen Präparaten von Homo und Aypudaens glareolus nicht schwierig ist ein spezielles, charakteristisches Struktur- element während der Interkinese nachzuweisen. ist dies bei der Waldmaus ganz un- möglich. Übrigens ist eine Verwechselung des Heterochromosoms auch mit anderen Kern- elementen nicht ganz ausgeschlossen. Nicht selten wird beispielsweise Trophochromatin in Tropfenform ausgeschieden (vgl. Fig. 11, 12) und hierdurch wird die Identifizierung des Heterochromosoms, — falls dieses nicht von einer besonders leicht kenntlichen Ge- stalt, — sehr erschwert. Was sodann die Bilder der Anaphase (Fig. 15 und 16) betrifft, so kann ich sie mit dem besten Willen nicht als ausschlaggebend betrachten. Zwar findet man in zahl- reichen Abhandlungen über Heterochromosomen Abbildungen, die durchaus nicht mehr sagen als die meinigen von der Waldmaus. Wenn man aber in der folgenden Teilung keine deutlich erkennbare Differenz in der Chromosomenzahl oder leicht identifizierbare X- und Y-Chromosomen nachweisen kann, so scheint es mir sehr gewagt bloss auf dem Grunde gewisser Unregelmässigkeit in den Reifungsteilungen das Vorkommen von Ge- schlechtschromosomen als bewiesen anzusehen. Nachhinkende oder voraneilende Chro- mosomen, kleine Grössendifferenzen zwischen den Partnern desselben Chromosomenpaares und ähnliche Unregelmässigkeiten kommen nämlich durchaus nieht selten auch in dem homogametischen Geschlecht vieler Arten vor. Die Vorsicht bietet mich also die Frage, ob die Waldmaus im männlichen Ge- schlecht ein unpaariges Heterochromosom oder eventuell zwei Idiochromosomen besitzt, bis auf weiteres offen zu lassen. Zum Schluss möchte ich noch erwähnen, dass die Möglichkeit nicht ausgeschlossen ist, dass die Waldmaus zwei gleich grosse Idiochromosomen besitzt, wie Jorpax dies beispielsweise bei der Maus und einigen anderen Säugern für möglich hält. In dem Fall würden die beiden X-Chromosomen vermutlich schon viel früher als die übrigen Chromosomen konjugieren, und hierin läge also die Erklärung, dass man schon im lepto- tänen Stadium in der Regel nur einen intranuklearen Körper, ausnahmsweise aber N:o 6 z 4 34 HARRY FEDERLE Y. zwei findet. Unter dieser Voraussetzung könnten die in den Serrorrschen Zellen vor- kommenden paarigen Kórperchen an dem Nucleolus tatsächlich als Chromatinnukleolen aufgefasst werden. Aber, wie gesagt, alle Hypothesen in dieser oder jener Richtung di haben nur den Wert von Spekulationen. Zusammeníassung der wichtigsten Resultate. Bei der Waldmaus ist der Verlauf der Spermatogenese kein kontinuierlicher, son- dern geschieht diskontinuierlich. Die Kerne der SrEmroLrschen Zellen besitzen ein rundes Kernkórperchen und zwei äusserst charakteristische Chromatinnukleolen von bestimmter, immer gleicher Grösse und kugelrunder Form. Eine Synizesis im Sinne Moores fehlt, wogegen am Ende des leptotänen und im Anfang des pachytünen Stadiums eine einseitige Orientierung der Chromosomen in der Richtung gegen das Idiosom deutlich ist. Die Pseudoreduktion findet durch Parasyndese statt. Die Anzahl der Chromosomen ist nicht möglich exakt festzustellen; die haploide Zahl kann dennoch auf einige und zwanzig geschätzt werden. Es findet keine sekundüre Verbindung der Chromosomen nach der ersten Reife- teilung statt. Vom leptotänen Stadium bis zur Prophase der ersten Reifungsteilung kann ein in- tranuklearer Kórper deutlich beobachtet werden, der gewisse für die Heterochromosomen der Insekten charakteristische Eigenschaften zeigt. Vollständig sichere Beweise dafür, dass es sich tatsächlich um ein Heterochromosom oder eventuell um zwei X-Chromo- somen handelte, sind nicht möglich zu erbringen. | { Der chromatoide Körper tritt schon in dem pachytänen Stadium auf und ist noch ; in der zweiten Reifungsteilung erkennbar. Er zeigt deutiiche Fettreaktion | 3 i | 4 1 Tom. XLVIII, Beiträge zur Kenntnis der Süugetiergametogenese. 35 Zitierte Litteratur. Bachhuber, L. J. 1916. The Behaviour of the Accessory Chromosomes and the Chromatoid Body in the Spermatogenesis of the Rabbit. Biol. Bull. XXX, p. 294—310, 3 Pl. Duesberg, J. 1908 a. Les divisions des Spermatocytes chez le Rat, (Mus decumanus Pall.. variété albinos). Archiv für Zellforschung. Bd. I, p. 399-449, Pl. X. — , — 1908 b. La Spermatogénèse chez le Rat. Diss. W. Engelmann. Leipzig. 102 S., 2p: — , — 1909. Note complémentaire sur la spermatogénese du rat. Archiv f. Zell. Bd III, p. 553 - 562. Federley, Harry. 1913. Das Verhalten der Chromosomen bei der Spermatogenese der Schmet- terlinge Pygaera anachoreta, eurtula und pigra sowie einiger ihrer Bastarde. Zeitschr. f. induktive Abstammungs- und Vererbungslehre. Bd. 9, S. 1—110, Tat. 1—4. . — 1914.. Ein Beitrag zur Kenntnis der Spermatogenese bei Mischlingen zwischen El- tern verschiedener systematischer Verwandtschaft. Öfversigt af Finska Vet. Soc. Fôrh..LVI A; N:o 13. — . — 1915-1916. Chromosomenstudien an Mischlingen. I—IIl. Ibid. Bd LVU—LVII. . Gutherz, S. 1907. Zur Kenntnis der Heterochromosomen. Archiv f. mikr. Anat. Bd. 69. 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Die Figuren sind alle nach Präparaten gezeichnet, die nach dem HEIDENHAIN'schen Eisen- alaun-Hämatoxylin-Verfahren gefärbt waren. Als Kontrastfärbung kam Lichtgrün zu Ver- wendung. Die Bilder sind auf Objekttischhóhe mit Hilfe der Zeiss’schen Zeichenapparate ge- zeichnet. Vergrösserung: Zeiss’ Apochromat 1.5 mm n. A. 1.3. Comp. Ocular 12. Fie. 1. Spermatogonien in der Prophase. 2. Aquatorialplatte der Spermatogonienteilung. 3. Profilansicht 4. Späte Anaphase 5. Spermatozyte I. 22 2” ” ” ” » im Ruhestadium. im leptotänen Stadium. im amphitänen 7 im pachytänen im diplotänen Diakinese. „ 13. Erste Reifeteilung, Äquatorialplatte. / 5 T 5 EB : a EDER ; x 2712. x 2 UMP EM E 515216: ZN TEE ae EWR SE Profilansicht. Anaphasen. Telophase. Telophase, Übergang zur Interkinese. 19. Spermatozyte II. Ruhestadium. . 20. : à Prophase der 2. Reifeteilung. ” u de 2 — — N:o 6. a Toà 2249 Lem. Tu dst Federley. Acta Soc, Scient. Fenn. Tom. 48 > N:o 6 ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICE TOM. XLVIIl. N:o 7. ÜBER DIE NUMERISCHE AUSFÜHRUNG -. UNIFORMISIERUNG P. J. MYRBERG. HELSINGFORS 1920, )ER FINNISCHEN SRATURGESELLS ih o Sd ER LR CAT Vis ES I. Einleitung. 1. Nach der Klein-Poincaréschen Unitormisierungstheorie ist es möglich jede analytische Funktion (x) zu unitormisieren, d. h. eine Funktion z(x, y) zu finden, durch welche sich so- wohl x als y als eindeutige Funktionen darstellen lassen. Diese Funktion, deren Wahl übrigens in hohem Grade willkürlich ist, genügt einer Differentialgleichung der Form [2]. = q (x, y), wo [z]. den bekannten Schwarzschen Differentialausdruck d? 2 d: da? 3 | da? NS E P morer rn | ONS dx da ? bedeutet, und wo œ(x. y) eine auf der zu y (x) gehörigen Riemannschen Fläche eindeutige ana- lytische Funktion ist. Auf dieser Fläche ist 2 (x, y) eine stets einwertige, im Allgemeinen un- endlich vieldeutige analytische Funktion, deren verschiedene Zweige von einander linear abhän- gen. Diese linearen Substitutionen bilden eine in der z-Ebene eigentlich diskontinuierliche Gruppe, deren Charakter durch die spezielle Wahl der „linearpolymorphen“ Funktion z (x, y) bedingt ist. Man kann z. B. erreichen, dass die Gruppe einen Grenzkreis besitzt, und gelangt in dieser Weise zu unitormisierenden Transzendenten, die namentlich bei allgemeinen Unter- suchungen eine zentrale Stellung einnehmen. Dagegen sind z. B. in dem Spezialtalle, wo y (x) eine algebraische Funktion ist, auch die- jenigen polymorphen Funktionen von hervorragendem Interesse, welche zu Gruppen mit kom- plexen Substitutionskoeffizienten führen. Hierher gehören u. a. diejenigen Gruppen, deren Po- lygonnetz die ganze z-Ebene bis auf unendlich viele diskrete Grenzpunkte bedeckt, und unter welchen die Gruppen des Schottkyschen Typus den bekanntesten Spezialfall bilden. 2. Die ,Fundamentaltheoreme der automorphen Funktionen*, welche die Existenz der poly- morphen Funktionen verschiedener Art bei gegebenen analytischen Gebilden behaupten, sind neuerdings besonders durch die Arbeiten von KoEBE vollständig bewiesen worden. Man hat aber bisher nur wenige Versuche gemacht, um die Uniformisierung mit geeigneten Hilfsmitteln wirklich durchzutühren. 4 P. J. MYRBERG. Zu diesem Zwecke kann man sich zweier verschiedener Methoden bedienen. Die erstere nimmt Anschluss an die Differentialgleichung (1), in welcher im Falle alge- braischer Funktionen die rechte Seite in x und y rational ist. Zur Definition dieser rationalen Funktion dienen zunächst gewisse algebraische Bedingungen, welche dieselbe bis auf eine An- zahl unbekannter Koeffizienten bestimmen. Diese „akzessorischen Parameter“ werden dann durch die übrigen transzendenten Bedingungen eindeutig festgelegt. Und nun besteht die be- treffende Methode darin, dass man diese Parameter wirklich zu berechnen versucht. Wegen der komplizierten Natur der transzendenten Bedingungen hat man aber diese Berechnung nur bei den niedersten Fällen durchführen können !). 3. Es ist bei dieser Sachlage von Interesse, dass man im Besitze einer zweiten Methode ist, die nicht mit so grossen Schwierigkeiten verbunden zu sein scheint. Die bezügliche Idee findet sich zum ersten Male bei PoıncAr& in der berühmten Abhandlung Mémoire sur les grou- pes des équations linéaires?), wo die polymorphen Funktionen als Grenzfälle algebraischer Funk- tionen betrachtet werden. ' Naeh diesem Prinzip, welches in der Theorie der elliptischen Funktionen in der Lan- denschen Transformation und der Gaussischen Methode des arithmetisch-geometrischen Mittels sein Vorbild hat, wird die Berechnung der polymorphen Funktion auf eine unendliche Folge von Wurzelausziehungen zurückgeführt. Später hat auch SonresiNGer ?) sieh mit dieser Methode beschäftigt, und neuerdings kommen Operationen derselben Art bei Korse *) vor (Schmiegungs- verfahren). 4. Man kann das Poincarésche Prinzip z. B. in folgender Form aussprechen: Wenn irgend eine irreduzible algebraische Gleichung zwischen x und y P (x, y) 20 gegeben ist, so ist es stets möglich, und zwar auf unendlich viele wesentlich en Weisen, eine unendliche Folge rationaler Transformationen (2) NE (LAS) Ve) (anota) zu finden, so dass die algebraische Funktion x, (x) sich bei unbegrenzt wachsendem m einer trans- zendenten Grenzfunktion z (x) nähert, in welcher sowohl x als y eindeutig werden. Bei den Gebilden ersten Geschlechtes ist man schon lange im Besitze einer solchen Trans- formationskette gewesen. Wenn nämlich in der bezüglichen Gleichung, die in der Form (3) y? = ah. UU (a, by « a, — bo) 1) RorHE, H. Ueber das Grundtheorem und die Obertheoreme der automorphen Funktionen im Falle der Hermite-Lameschen Gleichung mit vier singulüren Punkten (Monatsh. für Mathem. u. Phys. 19 (1908)). 2) Acta mathematica, Bd. 4 (1884) S. 285—302. : %) SCHLESINGER, L. Zur Theorie der Fuchsschen Funktionen (Crelles Journal 105 (1889)). *) Konge, P. Über eine neue Methode der konformen Abbildung und Uniformisierung (Göttinger Nach- richten (1912) S. 861—878). Tom. XLVIII. pta Über die numerische Ausführung der Uniformisierung. 5 geschrieben sei, die Landensche Substitution 4 D _ ài— ey (4) Bb, & m wo . NE , o a" d (5) y? > = _ ; E = [2 ty] transformiert, wobei die Entfernung der beiden äusseren Windungspunkte der zugehörigen Riemannschen Fläche verkleinert, diejenige der mittleren Windungspunkte aber vergróssert wird !). Wir führen nachher eine neue Landensche Substitution aus, indem wir in der früheren (4) die links stehenden Windungspunkte von (3) durch die rechts stehenden Windungspunkte aj, bj von (5) ersetzen, und alsdann eine unendliche Folge analoger Transformationen, welche für ge- rades bzw. ungerades » durch x (n) t ) 2 H (n) A n). 2 Ln — 04 s Tessin s) . bzw. nro ue I +17 ex UE p, (n) Ln+1— d, definiert werden, wo a, 9, 5,7, a”, b,” die Windungspunkte der nach Ausführung der » ersten , Tos 1 2 2 g p g Landenschen Substitutionen erhaltenen Riemannschen Fläche (n) 2 (x) 2 In — À Ca — À 2 — On MEET 2; 2 = 9 AO [# | Ca — 04, la — 02 sind. Hierbei nähern sich die Windungspunkte paarweise unbegrenzt einander, und man erhält beim Grenzübergang n = co eine über die z-Ebene ausgebreitete Riemannsche Fläche y! — [R, (a); deren beide Blätter durch die zu zwei Doppelpunkten a = lim a,” = lim b", 5 — lim a,” = lim b,” n — o "n = n—=0 n=00 ausgearteten Windungspunktpaare vollständig von einander getrennt sind. Mit anderen Wor- ten: es ist nicht nur x, sondern auch y eine eindeutige Funktion von 2. Hierbei gewinnt man durch die Grenzausdrücke lim x, (x), lim En (x) eine analytische Darstellung von x und y als doppeltperiodische Funktionen des Arguments 6 P. J. MYRBERG. Entsprechendes gilt nun auch bei den Gebilden höherer Geschlechter. Man erhält wie vor eine unendliche Folge von Riemannschen Flächen mit konstanter Blätterzahl, jedoch mit dem Unterschied, dass die Anzahl der Windungspunkte und somit auch das (Geschlecht mit » un- endlich werden. An der Grenze ergibt sich eine über die Ebene der polymorphen Funktion 2= lim &, ausgebreitete Riemannsche Fläche. deren unendlich viele paarweise mit einander koin- zidierende Windungspunkte mit den unendlich vielen Grenzpunkten der zugehörigen Gruppe zusammenfallen, wobei die Blätter wieder isoliert werden und y also eine eindeutige Funktion von z wird. 5. Nachdem irgend eine Folge rationaler Funktionen der erwähnten Art gefunden ist, kann man, von einem gegebenen Wert der Veränderlichen x ausgehend, die zugehörigen Werte von Li»; La, >; An, ... berechnen, indem man eine Reihe von algebraischen Gleichungen auflóst, . die oben allgemein mit (2) T (Tr +1) = Lx bezeichnet wurden. Man kann in dieser Weise für jeden gegebenen Wert x den zugehörigen Wert der polymorphen Funktion z mit vorgeschriebener Genauigkeit ermitteln. Bei unserem Standpunkt werden natürlich diejenigen polymorphen Funktionen von der grössten Bedeutung sein, die zu möglichst einfachen Gleichungen (2) führen. Eine besonders wichtige Funktion dieser Art ist diejenige, deren Existenz von KLEIN !) in dem sog. Sichel- theorem ausgesprochen ist. Dieses Theorem lautet: 12 Wenn auf der schlichten Ebene eine gerade Anzahl Punkte a;, b; (12 1, 2, ..., m) mar- kiert ist, welche je zwei, a; und b;, mit bestimmten positiven ganzen Zahlen u; (inkl. oo) behaftet und mit einander durch Schnitte vereinigt sind, so gibt es eine polymorphe Funktion, welche die geschnittene Ebene auf einen Bereich abbildet, der durch „Ineinanderschiebung“ der zweieckför- migen Fundamentalbereiche gewisser zyklischen Gruppen gebildet werden kann. Wir werden sehen, dass in diesem Falle die Gleichungen (2) binomische Gleichungen sind, vorausgesetzt, dass alle w endlich sind, woraus folgt, dass die Berechnung der polymorphen Funktion auf Wurzelausziehungen zurückgeführt wird. | | In der obigen Weise lassen sich alle algebraischen Funktionen uniformisieren. Aber auch gewisse transzendenten Funktionen werden in unserer Hiltsvariablen eindeutig. Um besonders auf die Abelschen Integrale dritter Gattung Rücksicht nehmen zu können, soll auch die Mög- lichkeit w—oo zugelassen sein. In diesem Falle wird man neben etwaigen elliptischen erzeu- genden Substitutionen auch parabolische erhalten, wobei die binomische Gleichung in eine ex- ponentielle übergeht. Die von uns gewählten uniformisierenden Transzendenten zeigen noch ein sehr geeignetes Verhalten bei der umgekehrten Aufgabe, nämlich bei der Aufstellung der Formeln, welche die verschiedenen Funktionen durch die uniformisierende Hilfsvariable ausdrücken. Wir haben näm- lich in einer früheren Arbeit gezeigt. dass bei den Gruppen der betrachteten Art die Poin- ') Der Satz bildet eigentlich einen Spezialfall eines allgemeineren, ebenfalls von KLEIN ausgesproche- nen Satzes, welcher von KoEBE bewiesen ist (Mathematische Annalen Bd. 69, S. 1—81 (1910)). 'Tom. XLVIII. | À | | ' | | NE RU ET VER C" TP M, CENTS BIS an E E u 1 3 E IU ee HINT Über die numerische Ausführung der Uniformisierung. -1 caréschen Reihen (— 2) Dimension absolut konvergent sein kónnen!). Hieraus ergibt sich die Möglichkeit, diese analytische Darstellung äusserst bequem mittels jener Reihen bzw. der Schottkyschen Produkte zu bewerkstelligen. Bei Grenzkreisgruppen, aul welche sich übrigens die Arbeit von Porwcank bezieht, ist dies nach dem Ritterschen Satz bekanntlich nicht der Fall. 6. Als Ausgangspunkt für die folgenden Betrachtungen dient die mit einer Anzahl m Einschnitte a; ^; versehene x-Ebene, die je mit einer positiven ganzen Zahl w; behaftet sind. Es handelt sich um die Berechnung derjenigen linearpolymorphen Funktion > (x), die nach dem Sicheltheorem bis auf eine lineare Transformation bestimmt ist und welche die Signatur (0, m; Mis Mg, cs 4) hat. Zur Kenntnis der Gruppe dieser Funktion reicht es hin, ihre erzeugenden Substitutionen zu berechnen. Das zu lösende Problem können wir uns in zwei Aufgaben ge- teilt denken. Erstens handelt es sich darum, die Kette der Transformationen (2) explizite aut- zustellen, und zweitens, die Schnelligkeit der Konvergenz der zugehörigen Wurzeloperationen zu untersuchen. Hierbei kann man zwei verschiedene, einander entgegengesetzte Verfahren ein- schlagen, jenachdem man die Grössen x, x,, 39, ..., x,, ... als algebraische Funktionen der ersten unter ihnen x, oder als eindeutige automorphe Funktionen der letzten unter ihnen, nàm- lich 2=lim x, betrachtet. Wenn es sich um die Existenzbeweise handelt, so empfiehlt sich die n — o erste Methode, in welchem Falle die Aufstellung der Gleichungen (2) ein einfaches Problem der Analysis situs bildet. Wir glauben jedoch für unsere Entwicklungen eine anschaulichere Form dadurch zu gewinnen, dass wir von der zweiten Darstellungsform Gebrauch machen, welche uns gestattet, unsere Aufgabe als Problem der Transformation der automorphen Funk- tionen zu behandeln. Von grundlegender Bedeutung wird hierbei der Satz sein, welcher be- sagt, dass zwischen zwei automorphen Funktionen, deren Gruppen kommensurabel sind, d. h. welche als Untergruppen vom endlichen Index einer und derselben Gruppe aufgefasst werden können, algebraisch mit einander verbunden sind. Was die explizite Darstellung der Konvergenzkriterien betrifft, so geschieht sie in gewis- sen speziellen Fällen durch ganz elementare Betrachtungen, in allgemeineren Fällen aber mit- tels eines Satzes, der als eine Verallgemeinerung eines Satzes von KorBE angesehen werden kann. Der Verzerrungssatz, welchen man mit so grossem Erfolg bei verschiedenen Existenz- beweisen angewandt hat, scheint für unseren Zweck weniger geeignet zu sein. 1) Zur Theorie der Konvergenz der Poincareschen Reihen (Zweite Abhandlung) (Annales Academiae scien- tiarum fennicae Ser. A. Tom. XI N:o 4 (1917)). II. Lösung des gruppentheoretischen Problems. A. Definition der Untergruppen. - 7. Es seien SS elliptische Substitutionen, deren Perioden w,, #3, ..., tm irgend welehe positiven ganzen Zahlen sind. Wenn wir eine Zahl —c setzen, so soll hiermit verstanden werden, dass die ent- sprechende Substitution parabolisch ist. Eine beliebige S; unter diesen Substitutionen bildet mit ihren positiven und negativen Po- tenzen eine zyklische Gruppe der Ordnung u;. Die Polygonteilung dieser Gruppe wird gewon- nen, indem man von dem einen Fixpunkt von S; zum anderen eine sich nicht schneidende Kurve zieht, welche nur der Bedingung unterworfen ist keine bezüglich der zyklischen Gruppe äquiva- lenten Punkte zu enthalten. (Im parabolischen Falle zieht man eine durch den Fixpunkt ge- hende geschlossene Kurve) Vermittels der Potenzen von S; wird dann als Polygonnetz eine Anzahl von nebeneinander gelegenen Zweiecken erhalten, welehe in den Fixpunkten ihre ge- meinsamen Spitzen haben. Indem wir unter diesen Zweiecken dasjenige fortlassen, welches sich ins Unendliche erstreckt, erhalten wir einen Bereich, den wir kurz „Sichel“ nennen. Wir nehmen jetzt eine Anzahl elliptischer oder parabolischer Substitutionen, deren Sicheln ausserhalb einander gewählt werden können. Unter dieser Bedingung ist die von ihnen erzeugte Gruppe I sicher eigentlich diskontinuierlich. Der Fundamentalbereich dieser Gruppe besteht aus dem ausserhalb der Sicheln gelegenen Teil der Ebene. Vermöge der Substitutionen von I wird man eine unendliche Anzahl von ineinander ge- schalteten Sicheln erhalten. Indem wir den ursprünglichen Sicheln die Stufenzahl Eins beile- gen, nennen wir die von ihnen nächst umschlossenen Sicheln ,Sicheln zweiter Stufe“, u. s. w. Bei unbegrenzt wachsender Stufenzahl werden die Dimensionen der Sicheln unendlich klein. Sie häufen sich dabei nach den unendlich vielen Grenzpunkten der Gruppe. Unsere Gruppe I hat das Geschlecht Null. Zu diesem Ergebnis gelangt man ganz einfach, wenn man vermittels einer stereographischen Projektion zu der Riemannschen Kugelflüche über- geht und dort den Fundamentalbereich in eine geschlossene Mannigfaltigkeit verwandelt, indem man durch eine stetige Deformation die paarweise äquivalenten Randpunkte jeder einzelnen Sichel zusammenfallen lässt. Man erhält dann eine Vollkugel, die ja eine Fläche vom Geschlecht Null ist. Tom. XLVIII. Über die numerische Ausführung der Uniformisierung. 9 S. Wir fügen jetzt dem Fundamentalbereich B von Ir alle diejenigen Bereiche hinzu, welche aus ihm vermittels der Potenzen einer beliebig gewählten erzeugenden Substitution 8, hervorgehen, und erhalten einen zusammenhängenden, von Sicheln begrenzten Bereich B,, wel- cher den Fundamentalbereich einer gewissen Untergruppe 7, bildet. Diese Gruppe 7}, welche neben den Substitutionen 51, Sr HE DRE S, +1, $e sey Sie die foleenden MET Jc GPL oc Ux — 1 | BRU TUE lidem ee PET. TÍ als erzeugende Substitutionen hat, ist von derselben Art wie I. Man kann ferner die Substitu- tionen von I in «,. Horizontalreihen 1 S, S5 $; T, T, S, T, S, T, S, (6) 75 Te; S, 1 SE IE S, USE RUE APR ARTE A rok S ACT ordnen, wo die erste Reihe die Gesamtheit der Substitutionen von 77, enthält und wo 7, 7,,... 7, _;, k welche die von der Identität verschiedenen Potenzen von S; darstellen, ein „Repräsentantensy- stem“ der Untergruppe I, bezüglich der Gruppe I bilden !). In der Tat sei X irgend eine Substitution von I. Das zugehörige Polygon bildet mit ge- wissen #,— 1 anderen damit hinsichtlich /' kongruenten Polygonen ein Polygon von 7/,. Wenn mit S die zugehörige Substitution von 7, bezeichnet wird, so wird das erstgenannte, der Substi- tution E angehórige Polygon durch 5-'! auf einen Bereich abgebildet, welcher einer gewissen Potenz T, von S; entspricht. Aus X S-!-— T, folgt aber DES, womit bewiesen ist, dass I, eine Untergruppe des Index u, von I ist. Wir können jetzt die Gruppe 7, in ähnlicher Weise zerlegen, und indem wir so weiter gehen, definieren wir eine unendliche Folge von Untergruppen VE ER ER ERS Nis 24 unter welchen jede in allen vorgehenden als Untergruppe enthalten ist. Bei der Wahl dieser Untergruppen hat man nur daran festzuhalten, dass die zugehörigen Fundamentalbereiche sich bei unbegrenzt wachsendem Index n über das ganze Polygonnetz ausdehnen, d. h. keinen von den Grenzpunkten verschiedenen Punkt unbedeckt lassen. Im Falle lauter elliptiseher Substi- tutionen wachsen dabei die Stufenzahlen der Randsicheln der Fundamentalbereiche mit dem In- dex » unbegrenzt. 1) Wegen der Terminologie vgl. R. Fricke und F. KLEIN, Vorlesungen über die Theorie der elliptischen Modulfunktionen, Bd. I S. 310. [A N:o 7. 10 PM RBER@ 9. Wir führen hier eine Klassifizierung der Substitutionen der vorgelegten Gruppe I ein, indem wir eine Substitution (7) Sr JS Se die » Potenzen der Primfaktoren enthält, eine „Substitution »'* Stufe“ nennen und kurz mit Sw bezeichnen. Vermöge (7) wird jede Randsichel S;, wo 2z£ i, ist, auf eine Sichel (v + 1)'e Stufe abgebildet. Ferner bemerken wir, dass allgemein eine Sichel (» + 1)!“ Stufe eine zyklische Gruppe von Substitutionen (2 » +1) Ordnung definiert, deren Fundamentalbereich aus dem Äusseren der Sichel besteht. Für die oben besprochene Sichel z. B. hat diese zyklische Gruppe B S, 80 als erzeugende Substitution. Es sei nun N die kleinste Stufenzahl der Randsicheln des Fundamentalbereichs 5, von I. Die niederste bei den erzeugenden Substitutionen von I, auftretende Stufenzahl ist dann 2 N — 1. Wir behaupten, dass jede Substitution von /,, die keine Potenz der ersteren ist, von höherer als (2 N — 1)ter Stufe ist. Zum Beweis schreiben wir eine beliebige Substitution Sw, von 7), in der Form Y SVR VE NY S = Sy 1) 5; Sy N)? j (v wo S; eine erzeugende Substitution von 7’ ist. Wenn { ein Fixpunkt von $; ist, liegt der Punkt Se, (5) als Eckpunkt einer Sichel N'" Stufe auf der Berandung von B, oder innerhalb B,. Der mit Se) inbezug auf 7, äquivalente Punkt Suy. \,(£) muss dann entweder mit dem ersteren Punkt zusammenfallen oder ausserhalb 5, liegen, denn zwei verschiedene Eckpunkte der Randsicheln von B, können nicht mit einander inbezug auf 7), konjugiert sein. Im ersten Falle, wo S offenbar eine erzeugende Substitution von Z, oder eine Potenz einer solchen Sub- stitution ist, hat man » —N — AN —1. oder v 22 N — 1, im zweiten Falle ist wieder v — N > N —1 oder also v 52 N — 1. womit unsere Behauptung bewiesen ist. B. Bildung der Hauptfunktionen. 10. Die automorphen Funktionen einer Gruppe vom Geschlecht Null kónnen bekanntlich durch eine spezielle unter ihnen rational dargestellt werden. Um diese Hauptfunktion, die im. Fundamentalbereich einwertig ist, im vorliegenden Falle eindeutie zu fixieren, setzen wir fest, dass sie in der Umgebung des unendlich fernen Punktes eine Reihenentwicklung der Form €» 22 a near ee gestatte. Dass zwei verschiedene Funktionen dieser Bedingung nicht genügen können, ist daraus einzusehen, dass im entgegengesetzten Falle ihre Differenz eine überall endliche automorphe Funk- tion, also eine Konstante sein würde, die hier insbesondere den Wert Null hätte, weil in der obigen Reihenentwicklung kein von z freies Glied auftritt. Tom. XLVIII. Uber die numerische Ausführung der Uniformisierung. 11 Hinsichtlich der unendlichen Folge der in obiger Weise definierten Hauptfunktionen (8) ne), fi(e) fag) - - s fa). der sukzessiven Untergruppen gilt der folgende Satz. Die Gleichung besteht gleichmässig in jedem Bereich, der keinen Grenzpunkt der Gruppe I im Innern oder auf dem Rande enthält. Den entsprechenden Satz haben Poincaré !) und SCHLESINGER ”) für gewisse Hauptkreis- gruppen bewiesen. In unserem Beweis werden wir einem Verfahren folgen, welches von Koëge u. a. beim Beweis des 5. 6 erwähnten allgemeinen Uniformisierungssatzes angewandt worden ist 3) und welches wesentlich auf dem Verzerrungssatze und der Cauchyschen Integralformel beruht. 11. Wir wählen 2 zunächst im Innern von 5, ferner die Zahl N beliebig und dann n so gross, dass 5, von Sicheln begrenzt ist, die sämtlich von Ne oder höherer Stufe sind. Nach N:o 8 ist dies stets möglich, wenn keine parabolischen Substitutionen vorhanden sind. In dem folgenden Beweis wird diese beschrünkende Voraussetzung gemacht ®). Wir bezeichnen mit C, eine beliebige Randkurve des Bereichs /,. welcher von der Ge- samtheit der Sicheln ut Stufe begrenzt ist. Für «: 1 "pu (©) L Yu) ‚- | 9 (MORE st lis = +08, Í 9) A miM T 9 zi 052 [> Y 4 D Y À "M wo für C, der Reihe nach sämtliche Randkurven von #, zu setzen sind. U p" Das letzte Integral hat offenbar den Wert Null. Ein beliebiges Glied der ersten Summe 7 4 ^ schreiben wir in der Form | I En (5) — Pr (Co) b6—2 dt. C 7 1) 2) Vgl. die die Noten ©) und 3) S. 4. 3) Mathematische Annalen, Bd. 69, S. 1-81. *j Wir werden später unter gewissen Voraussetzungen einen neuen Beweis dieses Satzes geben, welcher auch im Falle parabolischer Substitutionen gültig bleibt. + N:o 7. 12 P. J. MYRBERG. wo & ein auf der Kurve C, beliebig genommener Punkt ist. Wenn d die kleinste Entfernung ' des Punktes z von der Berandung des Bereichs 5 ist, wenn ferner AT die Sehwankung von f.(z) auf C, und /, die Länge von C, bedeutet, so wird ersichtlich das obige Integral dem ab- soluten Betrage nach kleiner als Im (n) 1 > jl : 2 (np? (Mr Te i.) cm (2 FDA Jj und es gilt also die Ungleichung ; 1 2 1 zw nr (10) ON Sd PM rrr PILAE die Summierung über die sämtlichen Randkurven von Z, bzw. die bezüglichen Schwankungen von f,(z) erstreckt. Für den Beweis des Satzes ist es also hinreichend zu zeigen, dass bei einer beliebig vor- geschriebenen kleinen positiven Zahl « die Ungleichungen (11) M loe TW M AT ie stets für genügend grosse Werte gelten, wenn « passend gewählt ist. 12. Es sei S,(z) diejenige Substitution der Gruppe I. welche den Fundamentalbereich 5 auf einen Teilbereich von F, abbildet, der mit F, die Randkurve C, gemeinsam hat. Die Grösse AT. können wir dann als die Schwankung der Funktion v (2) = fn (Sn @)) auf der zu C, äquivalenten Randkurve En des Bereichs B auffassen. Wenn wir nunmehr « | y (2) Eos É fo s ') Vgl. R. Fricke und F. KLEIN, Vorlesungen über die Theorie der automorphen Funktionen, Bd. IL, S. 514. Tom. XLVIITI. Über die numerische Ausführung der Uniformisterung. 1: und auf der anderen Seite ist (0) (n) 1 (12)' A, rm pig m die Summierung über alle vermittels der verschiedenen Funktionen f,(5,(:) erhaltenen Bild- : 2 NE SC: es (m) bereiche von X, erstreckt. Indem wir unter c, allgemein diejenigen Glieder it, zusammenfas- sen, deren entsprechende Polygone am Rande des Bereichs F, innerhalb desselben liegen, kön- nen wir die obige Ungleichung in der Form NET N 0, « m k2o? u | darstellen. Jes ') Uber die Uniformisierung beliebiger analytischer Kurven (Nachrichten der K. Geselischaft der Wissen- schaften zu Göttingen, 1907). N:o 7. 14 P. J. MYRBERG. Hieraus folgt, dass für jede vorgeschriebene kleine positive Zahl « die Zahlen n, N und nachher uw . v, x »/ NAT 97 CEE © 18 P. J. MYRBERG. Wir wollen noch direkt bestätigen, dass die durch diese Gleichung bestimmte Funktion %» +1 Wirklich die Hauptfunktion von L,.; darstellt, wenn x, diejenige von I, ist. In der Tat verhält sich offenbar die Funktion &,+1=f,+ı(z) denselben Substitutionen gegenüber invariant wie die Funktion x, = f, (2), diejenige erzeugende Substitution S, von 7, so- wie ihre Transformierten ausgenommen, deren Sicheln in der z-Ebene der Schnitt a, b, entspricht. Aus der Definition von /,,; folgt aber ohne weiteres, dass keine von ihren erzeugenden Sub- stitutionen aus S, durch Transformation hervorgegangen ist, m. a. W. &,.+1(2) ist unter der gemachten Voraussetzung eine automorphe Funktion von /,.;. Dass sie gerade die Haupt- funktion der Gruppe 7,41 ist, kann man auf Grund der Relation (18) leicht bestätigen, in- dem man das Verhalten der Funktion x,.; im Punkte z=o berücksichtigt. 17. Auf Grund der vorgehenden Entwicklungen sind wir jetzt im Stande, auf eine interes- sante Analogie zwischen der Berechnung der polymorphen Funktionen und der algebraischen L Auflösung von Gleichungen hinzuweisen. Wenn man nämlich . (19) fä als eine transzendente Gleichung für z betrachtet, die die unendlich vielen von einander linear ab- hängigen Zweige der polymorphen Funktion zu Wurzeln hat, so kann die Gruppe Z als die sym- metrische Gruppe der Wurzeln angesehen werden, indem die symmetrischen Funktionen der Wurzeln automorphe Funktionen von z sind und sich somit durch x und analoge gegebene Gróssen rational ausdrücken lassen. In unserer Gruppenfolge Ir, /,. 1,... besitzen wir eine Zerlegung der symmetrischen Gruppe in Untereruppen, die der bei der Auflosung von alge- braischen Gleichungen angewandten analog ist, und in den Hauptfunktionen besitzen wir ihre bezüglichen Invarianten. Schliesslich entsprechen die Transformationsgleichungen (17) und (18) den Resolventen. s Es liegt nun ein Unterschied darin, dass wir wegen der unendlichen Anzahl Substitutionen der Gruppe I nicht, nach einer endlichen Anzahl von Zerleeungen derselben, zu einer Unter- gruppe gelangen, die nur aus der identischen Substitution bestünde und deren invariante Funk- tion gerade 2 wäre. Etwas Analoges kommt jedoch in dem Umstande zum Vorschein, dass un- sere Kette von Untergruppen in gewissem Sinne gegen die identische Substitution konvergiert, indem die Reihe der Hauptfunktionen die Grenzfunktion z besitzt, welehe als Hauptfunktion der aus der identischen Substitution allein bestehenden Untergruppe 7, angesehen werden kann. Indem hiermit die Berechnung der polymorphen Funktion z auf die Auflósung einer un- endlichen Folge binomischer und exponentieller Gleichungen zurückgeführt worden ist, ergibt sich die Möglichkeit, durch Ausführung einer hinreichend grossen Anzahl von Wurzel- bzw. logarithmischen Operationen die Uniformisierung mit vorgeschriebener Genauigkeit auszuführen. 18. Nachdem wir in den vorhergehenden Paragraphen für die algebraischen Funktionen (20) De) el) ihre expliziten Ausdrücke hergeleitet haben, bleibt es noch übrig, die von diesen Funktionen vermittelten konformen Abbildungen der geschnittenen x-Ebene in dem Umfange zu studieren, wie es zur Herleitung der Konvergenzkriterien wünschenswert ist. Tom. XLVIII. Uber die numerische Ausführung. der Uniformisierung. 19 Wir ordnen jedem Schnitt a;b; @=1, 2, ..., m) eine Sichel der z-Ebene zu, deren Ord. nung, d. h. die Ordnung der dadurch definierten zyklischen Gruppe, gleich dem entsprechenden Index «, ist. Hierdurch erhalten wir einen m-fach zusammenhängenden, von Sicheln begrenzten Bereich, weleher als Fundamentalbereich betrachtet eine Gruppe definiert, die mit der gesuchten Gruppe holoédriseh isomorph ist und deren Polygonnetz mit demjenigen der gesuchten Gruppe in Sinne der Analysis situs identisch ist. Wir denken uns jetzt eine unendliche Anzahl von in der oben angegebenen Weise ge- schnittenen, übereinander gelagerten z-Ebenen vorhanden und diese miteinander längs den Schnitten in der Weise verbunden, dass eine unendlich vielblättrige geschlossene Riemannsche Fläche, die sog. Überlagerungsfläche entsteht, die in umkehrbar eindeutiger Weise auf das ganze Polygonnetz der Gruppe im Sinne der Analysis situs bezogen werden kann. : Zu diesem Zweck fügen wir dureh Zusammenheftung der Ufer der Schnitte a,b, zu dem- jenigen Blatt F,, welches dem Fundamentalbereich von I zugeordnet ist, diejenigen w.— 1 Blätter hinzu, welche Polygonen des Fundamentalbereichs von I, entsprechen. Hierdurch ent- steht eine w,-blättrige, auf den Fundamentalbereich von /j umkehrbar eindeutig bezogene Rie- mannsche Fläche 7, vom Geschlecht Null, deren jedes Blatt m — 1 freie Schnitte aufweist. Wenn die beiden Ufer jedes einzelnen Schnittes zusammengeheftet werden, geht F, in die Riemann- sche Fläche Æ, der algebraischen Funktion x, (x) über, welche ja bei a, und b, einen Win- dungspunkt 4, Ordnung besitzt. Es sei ferner w, die Ordnung derjenigen Substitution, ‚welche den Übergang von /j zu /, vermittelt, a,b; der zugehörige Schnitt. Indem wir uns «, Exemplare der Flächen F, vorhanden denken, vereinigen wir diese zu einer Riemannschen Fläche durch Zusammenheftung der Ufer derjenigen Schnitte &b,, welche sich auf F, und auf den entsprechenden Blättern der übrigen Exemplare F, befinden, so dass bei a; und b; Windungspunkte ger Ordnung entstehen. Die er- haltene Riemannsche Fläche, welche umkehrbar eindeutig auf den Fundamentalbereich von Z, bezogen ist, bildet, wenn die beiden Ufer jedes vorhandenen freien Schnittes zusammengeheftet werden, die Riemannsehe Fläche F, der algebraischen Funktion x, (x). Wenn man nun in glei- cher Weise zuerst mit den übrigen Schnitten von F,, dann in irgendwelcher Ordnung mit den- jenigen von F,, F, u. s. w. operiert, erhält man eine unendliche Folge von Riemannschen Flächen, die nach Zusammenheftung der Ufer jeder einzelnen Schnitte in den Funktionen x, (x), 2 (2), . .., &u(&), ... Ihre Hauptiunktionen besitzen und deren Grenzfläche mit der oben ein- geführten Überlagerungsfläche zusammenfällt, auf welcher unsere polymorphe Funktion z (x) sowohl eindeutig als einwertig ist. 19. Um den Ausdruck von z,(x) allgemein zu gewinnen, haben wir nach N:o 15 in fol- gender Weise zu verfahren. Wir bilden zuerst die algebraische Funktion x, (x), welche durch die Gleichung 1 Hr Ly — y L— Ar X — bj! Vi br ; 3 à : D Ie > 3 : bestimmt ist, wo nach (17)' a;' und b," bzw. gleich as De Ie sind. Diese Funktion bildet 3 2 == N:o 7. >) “ 20 P. J. MYRBERG. die Fläche F, auf die geschnittene schlichte æ,-Ebene ab, wobei insbesondere das Blatt F, in einen Bereich überführt wird, bei welchem dem Sehnitt a,b, eine Sichel ur Ordnung, den übri- gen aber wieder Schnitte entsprechen. Die Bilder der anderen Blätter von F,, die sämtlich innerhalb der genannten Sichel liegen, gehen aus dem Bild von F, durch die linearen Substi- tutionen 2riv 2 Li — Ak Uk D — Ar (21) , Tu DER D &, — b; x, — br (pc Ta EE hervor. Der ganzen Fläche 7, entsprieht also die mit (m — 1) a, Schnitten versehene x -Ebene. Über die ganze Überlagerungsfläche analytisch fortgesetzt bewirkt die ausgeführte Trans- formation % =, (x) eine Reduktion dieser Fläche in der Weise, dass die Blätter derselben je “x zu einem Blatt zusammenfallen, so dass man eine über die z,-Ebene ausgebreitete, unendlich- vielblättrige Riemannsche Fläche erhält, welche in den Endpunkten der vorhandenen (m — 1) ur Schnitte Windungspunkte besitzt. Der folgende Schritt besteht aus der Abbildung der über die z,-Ebene ausgebreiteten re- duzierten Bildfläche von F, vermóge der zugehörigen Hauptfunktion x,, die durch die Gleichung 1 La Oj LÄS (d Um aj * definiert wird, wo aj' =, (a), bj! za, (bj) , und aj" und bj" bzw. gleich Bor ER ee DA 2 2 uj sind, auf die schlichte x,-Ebene. Hierbei geht insbesondere der Bildbereich von F, in einen Bereich über, welcher von zwei Sicheln !) und m — 2 Schnitten begrenzt ist; während das Bild der ganzen Fläche F, aus der. mit einer Anzahl Schnitte versehenen x,-Ebene besteht, von welchen m — 2 ausserhalb der beiden Sicheln, (m — 1) (ur — 1) innerhalb der ersten (nicht linea- ren) und. (y — 1) [Gn — D (a. — 1) + m — 2] innerhalb der zweiten (linearen) Sichel gelegen sein wird. Nach Ausführung der m ersten Wurzelprozesse, deren analytische Ausdrücke in der ange- gebenen Weise unmittelbar gefunden werden, gelangt man zur z,-Ebene, wo dem Blatt F, ein m-fach zusammenhängender Bereich entspricht, dessen Begrenzung aus lauter Sicheln besteht. Bei den folgenden Wurzelprozessen werden neue, innerhalb der schon vorhandenen Sicheln liegende Schnitte geöffnet. Hierbei ändern sich die schon existierenden Sicheln, jedoch immer weniger; und es ist interessant zu beobachten, dass obwohl diese bei dem ersten Prozess nach ihrer Entstehung ihren linearen Charakter verloren haben, sie bei den folgenden Prozessen sich doch diesem Grenzzustand unbegrenzt nähern. 20. Die Bestimmung der Gruppe I, d. h. der Koeffizienten ihrer erzeugenden Substitutio- nen, lässt sich nun foleendermassen ausführen. Zur Berechnung der zum Schnitt a,b; gehörigen ') Hier und im Folgenden wird die Benennung „Sichel“ oft in einer allgemeineren Bedeutung ange- wandt, indem wir darunter einen sichelförmigen Bereich verstehen, der aus einer Sichel in der früheren Be- deutung („lineare Sichel“) durch Abbildung vermittels algebraischer Funktionen erhalten wird. Tom. XLVIII. Uber die numerische Ausführung der Uniformisierung. 21 erzeugenden Substitution der endlichen Ordnung &; wählen wir zuerst =a;, dann æ —b;, und he- rechnen jedes Mal den zugehörigen Wert des Hauptzweiges x, (x). Diese Werte geben dann die. beiden Fixpunkte der gesuchten elliptischen erzeugenden Substitution mit einer Genauigkeit, die mit n unbegrenzt wächst. Wenn dagegen &;— oo und die zugehörige Substitution also parabolisch ist, kann in obiger Weise nur der eine Koeffizient berechnet werden. Man kommt stets zum Ziel, wenn man all- gemeiner irgend zwei Paare hinsichtlich der fraglichen Substitution üquivalenter Punkte be- rechnet und als Anfangswerte x z. D. zwei beliebige Paare gegenüberliegender Punkte des zugehörigen Schnittes wählt. Hiernach wird man bei der Aufstellung der Konvergenzkriterien der Wurzelprozesse darauf zurückgeführt, den Wert von |f,(z)— 2| für die Fixpunkte der er- zeugenden Substitutionen oder allgemeiner für die Randpunkte des Fundamentalbereichs von I' abzuschätzen. i PL MM Ap, MAT N:o, Uns” IV. Abschätzung der Konvergenz der sukzessiven Hauptfunktionen. 21. Wir werden uns im Folgenden auf eine spezielle, jedoch sehr ausgedehnte Klasse von Gruppen des Sicheltypus beschränken, nämlich auf diejenigen, deren Poincarésche Reihen (— 2)*' Dimension absolut konvergieren. In diesem speziellen Fall kann die Existenz der Grenz- funktion lim f,(z) direkt mittels jener Reihen und ohne Anwendung des Verzerrungssatzes be- n=0 wiesen werden, und man wird hierbei für |f,(2)—2| eine obere Grenze gewinnen, welche die Schnelligkeit der Konvergenz der Wurzelprozesse mit hinreichender Genauigkeit abschätzen lässt. Die in dieser Weise erhaltenen Kriterien haben noch eine besondere Bedeutung darin, dass man, wie in dem vorliegenden Kapitel gezeigt wird, mit ihrer Hilfe bei gegebener Schneidung der x-Ebene hinreichende Bedingungen für die absolute Konvergenz der Poincareschen Reihen (— 2)ter Dimension der zugehörigen Gruppe aufstellen und zugleich die Schnelligkeit der Konver- senz derselben untersuchen kann. 22. Eine fundamentale Rolle spielt im Folgenden die Reihe (22) y(@)=2+), G2 — 8 69), die Summierung über alle von der Identität verschiedenen Substitutionen von /' erstreckt. Aus der Relation < I 1 (23) S@-Slo)|= as Y Ó 2+ Y ET 1 geht hervor, dass unsere Reihe in jedem von den Grenzpunkten und den Punkten S (co) 2— 2 >, und somit überhaupt mit den Poincaréschen Rei- | I verschiedenen Punkt mit der Reihe y Yes I hen (— 2) Dimension gleichzeitig absolut konvergiert. Wir werden im Folgenden zeigen, dass die Reihe (24) M LS (2) — 8 (co) Tom. XLVII. Uber die numerische Ausführung der Uniformisierung. [ov bei einer sehr allgemeinen Klasse von Gruppen des Sicheltypus für jeden nicht singulären Wert 2 konvergiert. Zum Beweis fassen wir in der Summe (24)' 6, (2) = N, | So (2) — So) (co) diejenigen Glieder von (24) zusammen, welche sich auf Substitutionen »' Stufe V (7) ET ANR beziehen, wodurch die Untersuchung der Konvergenz von (24) auf diejenige der Reihe [^ (25) > 6, (2) wi zurückgeführt wird. Diese Reihe kann aber mit einer passend gewählten geometrischen Reihe verglichen werden, wie wir jetzt zeigen wollen. Jeder beliebig gewählten Substitution Sw, der Stufe » ordnen wir alle in der Form (26) Sv FR S, v) 8; darstellbaren Substitutionen (» + 1)! Stufe zu. Wenn dann Sv die Gesamtheit der in o, auf- tretenden Substitutionen durchläuft, wird Sw4+1, gerade einmal mit jeder Substitution von 6, +1 übereinstimmen, woraus folgt. dass unsere Reihe (25) hinsichtlich der Konvergenz mit derjenigen geometrischen Reihe vergleichbar ist, deren Anfangsglied gleich c, ist und wo der Quotient ei- nes Gliedes und des nächst vorangehenden gleich der oberen Grenze der Ausdrücke (27) > S8; (Si ()) — 8; (8, (00) ist, die Summierung über alle Substitutionen (26) erstreckt; d. h. sobald diese geometrische Reihe konvergiert, gilt dasselbe a fortiori für die Reihe (25). 23. Wir nehmen jetzt der Einfachheit halber an, dass die Kurven der Sicheln Kreisbo- gen!) sind, und dass die Sicheln symmetrisch sind inbezug auf die ihre Eckpunkte verbindende Gerade. Es sei allgemein ') Bei ungeradem « reduziert sich eine derselben auf die durch die Fixpunkte gehende Gerade. TERN NER 24 p.J. MYRBERG. - der Ausdruck von S;. Unter der angegebenen Voraussetzung befindet sich die zugehörige Rand- sichel innerhalb des Kreises K;, deren Gleichung (28) La 2 Sud N n GEO i^m Ti ist 1). Unsere erste beschränkende Voraussetzung besteht darin, dass wir die m Kreise (29) Ka Jc .. +) Jo vollständig ausserhalb einander gelegen annehmen. Es sei 2 ein Punkt im Innern oder auf der Berandung von B. Der Punkt $, (2), wo Sw den Ausdruck (7) hat, liegt dann sicher in der Sichel S;. und man hat somit für das allgemeine Glied von (27) eine obere Grenze, wenn man das Maximum des Abbildungmoduls I .2 to2 ut e Euer 1 (30) == — LC ceci = de | DE re 4 SID" kr S, (co) für die Punkte der Sichel S;, berechnet 2). Nun sei A,,; die kürzeste Entfernung der Punkte S; (00) CS NE ET von der Peripherie der Sichel S;,, welche Entfernung jedenfalls grösser als der kürzeste Ab- stand der Kreislinien X, und KA; voneinander ist. Auf Grund von (30) haben wir dann die Ungleichung Ur 17 2 LÀ (31) | S (856) —8 (So Co) < (BY er | Sw) (2) — St (co) A; für jeden Punkt des Fundamentalbereichs von 7. Mit Rücksicht auf die Formel n—1 (32) en ergibt sich hieraus durch Summierung über die von der Identität verschiedenen Potenzen von S; die Ungleichung DSS — 8; (Sw (co i JO (2) ; ( )) (33) = era D N ; 35 ER toà (= ) IS) (2) — Sm (oo) | 8 72m Ai" !) Im Falle einer parabolischen Substitution 1 1 S EN | haben wir anstatt (28) die Gleichung 2 2- &|= ER; i | | ^) Die Formel (30) ist auch für u,—co gültig, wie auch alle unten folgenden Beziehungen. Tom. XLVIII. Über die numerische Ausführung der Umiformisierung. 25 wo unabhängig von dem Werte von gi; (34) Sen I ton TE ist. Wir setzen . (35) q — (m -— 1) GF dax wo es sich um das Maximum der m (m — 1) Grössen (36) (Gig = 9, co midi) handelt. Diese Grösse g definiert dann eine obere Grenze für die Gesamtheit der Quotienten der Form (27), und nach dem Vorhergehenden haben wir daher die Ungleichungen (37) 9, 41 (2) € I 9, (2) Bt 28 =.) und somit 6, 4.1 (2) « q" o, (2), wo 61 (z) =Y S; (2) — S; (co) ist, die Summierung über die Gesamtheit der verschiedenen Potenzen der erzeugenden Substi- tutionen erstreckt. Zur Absehützung dieses Anfangsgliedes schreiben wir es zunächst in der Form R3 tg. (38) 6, (2) = "s 0. Ta d EN a Eine opes oo): Dar! indem wir von (30) und von der Relation 1 (39) S(2)—S(c)|=|z—S dz ‚Gebrauch machen. Die Punkte S; (©) liegen bei endliehem x; alle innerhalb der zugehörigen Sichel, im Falle u; —oo haben sie dagegen den auf der Peripherie der Sichel liegenden para- bolischen Fixpunkt zur Häufungsstelle. Für jeden nicht singulären Punkt z des Fündamental- bereichs von I lässt sich daher eine Anzahl endlicher, von Null verschiedener Grössen d; (2) bestimmen derart, dass die Ungleichungen | YT | | | 2 — S; (00) >> d; (2) ( x " ) DES Prey bestehen. Aus (38) folet dann, mit Rücksicht auf (32) und (34), die Ungleichung (40) 2 m R^ : 01 (2) x 6, (2) =! Es sei B’ irgendein Teil von 5, welcher keine parabolischen Ecken auf seiner Berandung hat. Für die Punkte von B’ hat man die Ungleichungen 9; (2) > Ó;, N:o 7. 4 26 P. J. MYRBERG. wo d; von Null verschiedene positive Grössen sind. Aus dem Obigen ergibt sich, dass die Un- gleichungen 2,41) T seil ; wo allgemein x; die Anzahl der Substitutionen Sy ı, mit dem ersten Faktor S; bezeichnet. 26. Die obige Darstellung bedarf einer Modifizierung im Falle parabolischer Substitutio- nen, weil dann die Zahl N nicht mit # unbegrenzt wächst, sondern nur gleich zwei werden kann, und somit die Kriterien (44) und (47) für unseren Zweck nicht brauchbar sind. Um auch für diesen Fall anwendbare Kriterien zu erhalten, müssen die Untergruppen von I in einer von dem Obigen abweichenden Weise definiert werden. Wir versehen zunächst die bei der Gruppe I in der z-Ebene vorhandenen Sicheln mit den Indizes 0, 1, 2,..., indem wir allgemein einer Sichel den Index p zuteilen, wenn man ihre Randkurve mit einem Punkt des Fundamentalbereichs B vermittels einer stetigen, die Eck- punkte vermeidenden Linie verbinden kann, die in p, nicht aber in einem geringeren Anzahl Punkte die Kurven der verschiedenen Sicheln schneidet. Die Randsicheln von B sind also des Index. 0, die in den äussersten Zweiecken derselben liegenden Sicheln des Index 1, u. s. w. Wir wählen jetzt in folgender Weise die Reihe von Untergruppen unserer Gruppe 7. Es seien S,, $,, ..., S, die irgendwie geordneten erzeugenden Substitutionen von I, bzw. die entsprechenden Sicheln, welche zusammen die Berandung des Fundamentalbereichs B von 7 bilden. Wir transformieren zuerst diese Randsicheln, mit Ausnahme von S,, vermittels der. ver- schiedenen Potenzen der Substitution S,. Nachher transformieren wir die hierbei erhaltenen Sicheln, mit Ausnahme von S,, vermittels der verschiedenen Potenzen von S,, u. s. w. Schliess- lich transformieren wir die bei den m— 1 vorhergehenden Schritten erhaltenen Sicheln, mit Ausnahme von $,, vermittels der verschiedenen Potenzen der Substitution S,,. Die in dieser Weise erhaltenen unendlich vielen Sicheln, deren Indizes sämtlich > 1 sind, bilden zusammen die volle Berandung eines gewissen Bereichs 5,,. Jeder Randsichel derselben gehört eine Substitution von 7, die das Äussere der Sichel auf einen Teil des Inneren der- selben abbildet. Alle diese Substitutionen erzeugen eine Untergruppe von 7, die 5,, zum Fun- damentalbereich hat. Dies ist eben unsere erste Untergruppe 7),,. Tom, XLVIII. Über die numerische Ausführung der Unifornusierung. 29 Unter den Randsicheln von B,,, wählen wir jetzt alle diejenigen aus, deren Indizes gleich 1 sind (die Anzahl derselben ist endlich), und ordnen dieselben oder die entsprechenden Sub- stitutionen irgendwie in eine Folge Sy', S,', ..., S," Indem wir dem oben auseinanderge- setzten Verfahren genau Folge leisten (wir transformieren sukzessiv vermittels der verschiede- nen Potenzen von $,' bzw. Sy, ..., S,'), » gelangen wir von £,, zu einer neuen Untergruppe L,, deren Fundamentalbereich B,, von lauter Sicheln begrenzt ist, deren Indizes > Wir wählen nachher diejenigen Randsicheln von B,, aus, deren Indizes gleich 2 sind, und >2 sind. bilden in genau derselben Weise wie oben die folgende Untergruppe £,,,, nachher 7,,, u. s. w. Dann wird allgemein der Fundamentalbereich der »'* Gruppe /,, von lauter Sicheln begrenzt, deren Indizes > v sind. Es sei nun (S) HIR ERS wo die Anzahl der =} irgendeine in „reduzierter Form“ geschriebene Substitution von /,,, d. h. Primfaktoren S; , nen bezeichnen, auf das Minimum reduziert ist. Wir behaupten, dass für die Summe der Ex- ponenten die Ungleichung welche die erzeugenden Substitutionen von I bzw. deren inverse Substitutio- Y sciendi besteht. Pas Zum Beweis ziehen wir vom Fundamentalbereich B aus nach dem Bereich (S) eine belie- bige, die Eckpunkte der Sicheln vermeidende Linie O Q. Diese Linie schneidet die Berandung von B,, in einem gewissen Punkt P, und der Teil OP derselben hat, auf Grund der Definition der Untergruppen, mit den Kurven der Sicheln ausser P wenigstens » Punkte gemeinsam. Das- selbe gilt aber auch betreffs des anderen Teiles PQ, weil dieser inbezug auf die Gruppe 7,, mit einer Kurve äquivalent ist, welche den Bereich B mit einem auf der Berandung des Bereichs B,, oder ausserhalb desselben gelegenen Punkt verbindet. Die Kurve OQ schneidet also die Kurven der bei Z vorhandenen Sicheln wenigstens in 2”+1 verschiedenen Punkten. Damit ist aber auch die obige Behauptung bewiesen. Für das Folgende bemerken wir, dass hiernach wenigstens einer der Exponenten 7 in dem Ausdruck (S) der Bedingung DU genügt. h 27. Es sei nun o,,, derjenige Teil von o,, welcher sich auf alle der Bedingung 2v--1 ne Tp genügenden Substitutionen bezieht. Zur Abschätzung der Grösse dieser Teilsumme machen wir Gebrauch von der Ungleichung (31), indem wir dort 5,, der Reihe nach gleich Ti Ti Ta FÜ Ta CAES | OE Si, IDs un Si, S;, E XD Sie. nn 30 P. J. MYRBERG. wählen. Wie früher (S. 24) erhält man für die entsprechenden Werte von (27) die obere Grenze q, für den (p — 1)"" Quotienten hat man aber jetzt die im allgemeinen genauere obere Grenze wo die innere Summe mur für diejenigen Indizes i existiert, für welche der untere Index des Summenzeichens den oberen nicht übertrifft. Dieser Ausdruck ist aber, auf Grund der für w; > 2, T< = sicher geltenden Ungleichung tg > 1 Bs EMIL E 2v : “; kleiner als 2 s( xe qd, WO SES p(x)= M g (oem m ist. In der S. 25 angegebenen Weise erhält man jetzt, zunächst für p > 1, die Ungleichung 2 , 1 WU] m m 0, p « 2 GQ > =) q Unter Berücksichtigung der Beziehung X < 2 tg? IER 2 oe xc EE e a =. ee 2—8S; (co), sin? /- E welche nach (30), (39) und (48) für jede erzeugende Substitution von 7' gilt, sieht man aber unmittelbar, dass die obige Ungleichung auch für p — 1 und somit allgemein gültig ist. Wir denken uns jetzt die Ungleichung (42) für die Untergruppe /,, geschrieben. Weil jede in 7,, auftretende Substitution '" Stufe, wenigstens in einer der Summen mut: 2, ..., h) vorkommt, so ist die sich auf Substitutionen ht Stufe beziehende Teilsumme der rech- ten Seite der betreffenden Ungleichung kleiner als h = ER Er 2,0 eL 2 jzxul p= Wir wählen hier ^ der Reihe nach gleich 1, 2, ..., v. Die Summe der auf Substitutionen hö- herer als vi Stufe bezogenen Glieder ist < a Wir haben dann für den von singulären — id Punkten freien Teil B' von B die Ungleichung | = 2y+1\ 3-1 dä ^ RS 49 le) z N eic sui: ( ) fm, (2) «px h IL opem a Tom. XLVIII. ins i ga rM Ww 4 Uber die numerische Ausführung der Uniformisierung. 31 deren rechte Seite bei unbegrenzt wachsendem » und q — I unendlich klein wird. Weil man dasselbe für jeden von singulüren Punkten freien Bereich zeigen kann, so ist hiermit unser Satz in N:o 10 auch im Falle parabolischer Substitutionen bewiesen. 28. Die zuletzt angewandte Wahl der Untergruppen hat auch dann eine praktische Be- deutung, wenn einige Indizes « grosse endliche Werte haben. Im allgemeinen kann diejenige Wahl der Untergruppen als die zweckmässigste angesehen werden, welche die Reihen N \ S (2) — S (oo) möglichst rasch von ihren eróssten Gliedern befreit. Man erreicht dies am besten, wenn bei der Bildung der neuen Fundamentalbereiche stets die Begrenzung der jeweilige grössten Rand- sichel überschritten wird oder, was im Wesentlichen damit gleichbedeutend ist, wenn stets die grössten Schnitte durch Wurzeloperationen geöffnet werden. Es erübrigt noch zu zeigen, wie die in den Kriterien auftretenden Grössen ZA; und A;; bei gegebener Schneidung der x-Ebene abgeschätzt werden können. 29. Bevor wir diese Untersuchung für allgemeinere Fälle beginnen, wollen wir sie auf einem besonderen Wege für diejenigen Fälle durchführen, wo die Punkte «;, b; sämtlich auf der reellen Achse liegen und alle Zahlen «; gleich zwei sind. Es handelt sich also um die nu- merische Ausführung der Uniformisierung aller zweiblättrigen Riemannschen Flächen mit reellen Windungspunkten. Zugleich hat man hier ein Verfahren, die von einer Anzahl auf der reellen Achse gelegener Schnitte begrenzte Ebene auf einen Kreisbereich abzubilden. Auf der reellen Achse markieren wir eine gerade Anzahl Punkte, die von links nach rechts gerechnet FRÉQUENCE seien. Als Schnitt a;b; wählen wir die entsprechende Strecke der reellen Achse. Die Sicheln, welche im Falle uw=2 allgemein aus dem Inneren einer einfachen geschlossenen Kurve beste- hen, sind dann insbesondere Kreise. Aus der Resolvente (17) geht nämlich hervor, dass im vorliegenden Falle jede Randkgs#e K des Fundamentalbereichs inbezug auf die reelle Achse symmetrisch ist, wobei gerade die inbezug auf die reelle Achse symmetrischen Punkte ein- ander paarweise entsprechen. Weil diese Punkte anderseits durch die involutorische Substitution Dm sp einander zugeordnet sind, wo £, £’ die Schnittpunkte von Æ mit der reellen Achse bedeuten, so ist ohne weiteres klar, dass die Kurve X mit dem Kreise identisch ist. eR TA RES Ha on cn PAN A 32 P. J. MYRBERG. 30. Im vorliegenden Falle bestehen die Wurzelprozesse aus Quadratwurzelausziehungen, welche den Ausdruck = 1 2 rer (50) 241—067 (2 TV (0 6) 2) 6 tty + b : PNE: a : : besitzen, wo €, = ” 2 " den Mittelpunkt des Schnittes, der eben geöffnet wird, und r, die halbe Länge desselben bedeutet. Für einen ausserhalb des Schnittes gewählten Punkt +, der reellen Achse folet hieraus Dy] er Nn Cr und IA Lyra 1 L | Lv — Cy | JS > SS dx, 2 2 V% ap wenn in der Formel (50) das richtige Zeichen, d. h. für +, ; 1 (x) derjenige Zweig gewählt wird, welcher den unendlich fernen Punkt invariant lässt. | Die erste dieser Ungleichungen zeigt, dass der betreffende Wurzelprozess auf die ausser- halb des Schnittes auf der reellen Achse liegenden Punkte eine Anziehung gegen das Zentrum c, bewirkt, die zweite, dass jede ausserhalb des Schnittes gewählte Strecke der reellen Achse hierbei verlängert wird. Aus der ersten Bemerkung folgt insbesondere, dass sich der Punkt a, während der sukzessiven Wurzelprozesse beständig nach rechts, der Punkt b,, dagegen beständig Tm. nach links bewegt, und zwar im ganzen um einen Betrag, der sicher grósser als = bzw. =; ist, 2 wenn 7; die halbe Länge des Schnittes a;b; bezeichnet. Also schneiden alle Randkurven des ) m 2 2 ; r Fundamentalbereichs die reelle Achse zwischen den Punkten €, ROSE und e, + 31. Wir denken uns zuerst die m Anfangsoperationen ausgeführt, welche die Schnitte a; b; @=1, 2, ..., m) der Reihe nach durch geschlossene Kurven ersetzen. Es sei x; die i! unter die- sen Kurven, A; der entsprechende Randkreis des Fundamentalbereichs in der z-Ebene und R; der Radius von K;. Ferner sei d; die Länge des zwischen x; und x;,; liegenden Teiles der reellen Achse (nach dem oben gesagten ist d; > a; 1 — bj, A; die Länge des entsprechenden Tei- les der reellen Achse in der 2-Ebene. Die Gesamtlänge s; der innerhalb der Kurve z; liegenden Strecken der reellen Achse, welche keinen Bildschnitten angehören, wird bei den folgenden Wurzelprozessen beständig vergrössert, und man hat somit (51) | R; 2 Weil ferner m m— 1 (52) 29 REY A; «E : 1—1 al ist, wo E den Abstand der beiden äussersten Schnittpunkte des Kurvensystems x mit der reellen Achse bedeutet — nach dem oben Gesagten ist übrigens 1 (52)” E< | a, by, ES E (7, Bis Tons Tom. XLVIII. VON m an ie T. ie ET T Dei À oni Über die numerische Ausführung der Uniformisierung. 33 und weil allgemein (53) A; L3 s (= Oc TE bj) ist, so hat man för den Radius eines beliebigen Randkreises K, die Ungleichung m —1 ” (54) 2Rditge, während für Punkte der Kurven xo, die Ungleichungen (59)' [9 (5) 5] € Da FM; |$—2x | de gelten. Fassen wir jetzt in der Summe (58) jedesmal diejenigen Glieder zusammen, bei welchen über die Kurven einer und derselben Gruppe integriert wird, und bezeichnen wir mit 4; die Gesamtlänge der innerhalb C; gelegenen Randkurven, so erhält man aus (58) für z— die Ungleichung Ån, ' DM. JI WDR: M, M<- Te zm RS (50) di + gia den START wo die erste Summe sich auf alle von Null verschiedenen Indizes bezieht. Wir nehmen jetzt an, dass alle Ungleichungen der Form (op + eu d; iem S 1) Man sollte eigentlich längs gewisser um die einzelnen Randkurven x, bezeichneter Kurven inte- y grieren, deren Abstände von den Randkurven x nachher unendlich klein gemacht werden. Tom. XLVIII. PS PADS EE PORTA TEE EE CT SA 3 " E 2 ^ D. Y EP. A P rt DP V a —-—ceyrvw. "4. EVO mm dc SFP mU Über die numerische Ausführung der Uniformisierung. 35 wo k ein beliebiger von den Indizes à ist und wo sich die Summierung über alle von & verschie- denen Indizes erstreckt, erfüllt sind. Dann können wir sicher die Ungleichung (60) inbezug auf M lösen. Hieraus ergibt sich M+»r. Die Bedingungen (61) reduzieren sich dann auf SET «C» oder R2", und aus (62) erhàlt man MD e A—92r Für Punkte der Kreislinie | y|— A haben wir die Ungleichung R Ie 6) | « Bd 52r, !) Als Korollarium folgt hieraus, dass die Ungleichung | go (ac) c Mo + V wo T den grössten Wert vor æ auf den Kurven C; bedeutet, zunächst für die Punkte der Kurven C;, dann aber a fortiori für die Randpunkte von A gültig ist. Für den Spezialfall, dass A nur eine einzige Rand- kurve hat, welcher Fall in der folgenden Nummer behandelt wird, ergibt sich hieraus ein Satz von KORBE (Vgl. Über die Uniformisierung der algebraischen Kurven (Math. Annalen, 69 (1910), S. 46)). N:o 7. 36 P. J. MYRBERG. welche dann a fortiori für |e|=r gültig ist. Wählt man speziell R=(2+Y3)r, so erreicht die rechte Seite ihr Minimum =(3+2y3)r. Es gilt daher die Ungleichung | (x) —c | « (k-- 1)r (k <3+2Yy3)') auf der Peripherie von X. Durch Anwendung der Cauchyschen Formel erhält man hieraus die Ungleichungen i pi (64) pas c EDT und TERT f) I Ed; | 2s (64) Lom Ter ausserhalb des genannten Kreises. 34. In dem Spezialfalle, wo q (x) der Gleichung sim (65) = or viz va genügt, können die beiden letzten Ungleichungen verschärtt werden. Der späteren Anwendung wegen wollen wir dies für die erste von ihnen zeigen. Wir nehmen zunächst r=1 an. Für den Hauptzweig von (x) leitet man leicht die Darstellung | »-76 796 her, wo ; | 5 ( 5 TEN 2k (1-4 22m P@=(1+ SEPTIES dee Im à und 2 (1—3)(2—-5)::-(25— 2)] —— zl ist. Für beliebige positive ganzzahlige Werte von » und für x >1 folgt aus der ersten Formel . 1 1 een, |æ |? und aus der zweiten Se | 1 1 Fe Sal SR | Et | e |? ') Neuerdings hat man für die Koebesche Konstante k den genauen Wert k=2 gefunden. Vgl. z. B. L. BIEBERBACH, Über die Koeffizienten derjenigen Potenzreihen, welche eine schlichte Abbildung des Einheitskreises vermitteln (Sitzungsberichte der königlich Preussischen Akademie der Wissenschaften, XXXVIII, 1916). Tom. XLVIII. Über die numerische Ausführung der Uniformisierung. 37 Der letzte Ausdruck ist positiv für |x| < - Unter dieser Annahme besteht die Ungleichung y3 66) RTE ES ( ie (x)—c SIE ER : 3 |a] D] Allgemeiner folgt aus (65) für |» | > v8. die Ungleichung 3 (66)' Lee dee Mn erm 1 ) | p(x)— a SU tan © Il 1 T3 7U8 Iz [2 35. Zur Abschätzung der in unseren Kriterien auftretenden Grössen £; und A; kann der Satz in N:o 32 in folgender Weise angewandt werden. Wir wählen zum Bereich A die geschnittene z-Ebene, wo wir um den Mittelpunkt jedes etwa geradlinig gewählten Schnittes a; 5; einen Kreis C; mit dem Radius 0; beschreiben. Es sei r; die halbe Länge von a; b;. Auf der rechten Seite von (62) haben wir dann „,=4r, D=oa+r, d,—0,—r, zu setzen. Die Bedingungen (61) werden hier erfüllt, wenn die Längen der Schnitte im Vergleich mit ihren Entfernungen von einander hinreichend klein angenommen werden. Wir setzen z. B. voraus, dass allgemein Qi = 4m; gewählt werden kann. Es sei s der kleinste unter den Quotienten gs G, k=1, 2, ..., m; ik), wo ga Wie oben den kleinsten Abstand der Kreise C; und C, von einander bedeutet. Die Be- dingungen (61) reduzieren sieh dann auf die folgende en ee d SI AEN (67) und sind also für m — 4 immer erfüllt. Ferner genügt das durch (62) definierte Maximum der Ungleichung ; ON D MN SE uml fö M crees -zss sii wo r, die halbe Lànge des gróssten Schnittes ist. Hieraus geht hervor, dass der Wert von M, unterhalb jeder vorgegebenen Grösse herabsinkt, wenn die Schnitte auf Punkte zusammengezo- gen werden, ohne dass sie sich dabei unbegrenzt nähern. Wir identifizieren jetzt die Funktion q (x) mit dem Hauptzweig unserer polymorphen Funk- tion z(x). Infolge der Ungleichung (63), die für Punkte der Kreise C; gilt, liegen die Bild- kurven dieser Kreise und also auch die Bilder der Schnitte, d. h. die Randsicheln des Funda- mentalbereichs von I, innerhalb der mit den Kreisen C; konzentrischen Kreise KA; ' mit den N:o 7. 38 P. J. MYRBERG. à : 1 Radien E,'—0;4 M,. Wir setzen s so gross voraus, dass die Kreise K;' ausserhalb einander liegen. Für die in N:o 23 definierten Grössen À; und A; bestehen dann die Ungleichungen - (69) BR, € Be FU > ta AEN m m oe "ee Nach diesen allgemeinen Bemerkungen wollen wir unsere Konvergenzkriterien bei geeigne- = ten numerischen Beispielen einer näheren Prüfung unterwerfen. Wir werden dabei sehen, dass dieselben während der Rechnung noch einigermassen verschärft werden können. P T Tom. XLVII. V. Numerische Beispiele. 36. Wir beginnen mit dem einfachen Fall, wo in der z-Ebene nur zwei reelle Punkt- paare a,,b, und a,,b, gegeben sind, deren Index w gleich 2 ist. Es handelt sich dann zu- gleich um die Uniformisierung der Riemannschen Fläche ersten Geschlechtes y? — (a — a) (x — bi) (x — as) (x — bo), weil nämlich offenbar neben x auch y in z eindeutig ist. Wir denken uns für einen Augenbliek eine lineare Substitution ausgeführt, welche die Windungspunkte in die Punkte ej, €9, €3, CO überführt, die der Bedingung ey + € + 63 = 0 unterworfen sind. Für die dem Schnitt e, e, zugeordnete Quadratwurzeloperation hat man dann den Ausdruck E 2 C— e» Wi ot ques (70) we =| —— AREA . 1 NES € c4 6 Dies ist die bekannte „Landensche Substitution^?). Wenn man dagegen die Wurzeloperation bei dem Schnitt e, e; anwendet, erhält man die Gleichung 1 1 2 1 DIE, Sy» ee +7 6 (71) EIQUE DN 1 1 1 3: Ciao ee €i in weleher die ,Gaussische Substitution* erkannt wird. Wir bringen jetzt die Punkte à,,b,,a,b, vermittels einer reellen linearen Substitution in solche Lagen, dass die halben Längen r, und r, der aus a,b, und a,b, durch diese Transfor- mation erhaltenen Schnitte beide gleich 1 werden und dass diese Schnitte zur imaginüren Achse symmetrisch liegen, was zwei verschiedene Möglichkeiten gibt, jenachdem ob man die Reihenfolge ') Vgl. z. B. DurèGe und MAURER, Theorie der elliptischen Functionen, fünfte Auflage, S. 55. N o. 7. , 40 P. J. MYRBERG. der Punkte ungeändert lässt oder die Punkte einer zyklischen Vertauschung unterwirft. Führen wir die Doppelverhältnisse %-b bb D! Da — 03 01 — 0 ar — d, 05— 04 b, — b, ^ a4 — b, ein, so haben wir für den Abstand der Mittelpunkte der Schnitte den Ausdruck: Weil D 4- D' —1 ist, so ist einer dieser Werte > 2 y2. Im vorliegenden Falle lässt sich die Abhängigkeit der S. 10 mit N bezeichneten Zahl von ^ leicht angeben. Wir nehmen an, dass bei den sukzessiven Wurzelprozessen von den zwei stets vorhandenen Schnitten wechselweise der links- und der rechtstehende geöffnet wird. Nach Ausführung der ersten, zweiten und dritten Operation gelangt man zu Gruppen, deren Funda- mentalbereiche von Randsicheln bzw. der Stufen 2, 1; 2, 3; 5, 3 begrenzt sind (Fig. 1). Für n=1, 2, 3 hat man daher bzw. N— 1, 2, 3 zu setzen, und man sieht unmittelbar ein, dass für grössere n der zugehörige Wert von N immer gleich der Summe der zwei nächst vorher- gehenden Werte ist. Nach der Theorie der rekurrenten Reihen folgt hieraus N= f! m n +1 | n ER (AW vo Få Fig. 1. x,-Ebene. Nach (52)' und (53) ist £ << 0 +1 und ^, 0 —2. Mit Rücksicht auf die Symmetrie des Fundamentalbereichs inbezug auf die imaginäre Achse ist offenbar R,=R,, und wir erhalten daher nach (52) : FH, Ex R; < à , Weil ferner nach (55) Aj— R;4- A; (4, j — 1, 2) ist, so folgt aus (46), für jeden Fixpunkt der erzeugenden Substitutionen, - C SES o, (D) « RE; + Ag aet Die Formel (44) nimmt daher die Form Tom. XLVIIL —" AG Sa A A SS Uber die numerische Ausführung der Uniformisierung. 41 an. Für die Zahl q findet man nach (35), wo in dem ungünstigsten Fall D= und A;>E +2 y2—2 ist, die Ungleichung qo 37. Wir führen die Rechnungen näher aus für die Gleichung y?=n2 (1 — x) (1 — 2? x), € 24 . Ar: L WO x = ist). Hier ist.a,—0, b, — 1, a; = A b, — co, also 516 lo p à PES 50 : woraus 0= 7 berechnet wird. Nach Ausführung der beiden Anfangsoperationen gelangt man zu der x,-Ebene (vel. Fig. 1), wo mit drei Dezimalen 4, =—Aos, = — 3,033, A= 35034, Du’ = 4:05, €, = — 3,505, Co =— 3,45 ist. Nach N:o 31 berechnet man aus diesen Werten E< 8o, A, > 6,066, und die Länge des Schnittes c, c, findet sich < 0,011. Vermittels der Formel (50) wird die Länge von €; € < 0,001 gefunden. Wir haben daher s, > 0,985, So > 1,004 und also nach (51), (54) und (55) in ha 002, No N PEE RETE Aus (35) und (46) folet dann 1< 0,003, 0, (6) «C 0,57 und schliesslich aus (44) FORSS | fa (6) — € hx 38. Als zweites Beispiel nehmen wir die Riemannsche Fläche des Geschlechtes zwei y? = (#2 — 1) (2? — 36) (a? — 64); die zugehörigen Schnitte (— 8, — 6), (— 1, 1), (6, 8) haben annähernd dieselben Entfernungen von einander wie im vorhergehenden Beispiele. Nach Ausführung der drei Anfangsoperationen gelangt man zur Ebene der Hauptiunktion 34, deren Fundamentalbereich 10 Randkurven mit den Stufenzahlen DER tg AA ANS !) Dieses Beispiel ist dem oben erwähnten Lehrbuch von DurèGe und MAURER entnommen (S. 60). N:o 7. 6 42 P. J. MYRBERG. Cd i hat. Wir erhalten die Figur 2, wo mit drei Dezimalen = 3 a, — — 1,439, 0, — — 0,412, . 03. — = 0,0, da 0,500, Quis 467115 bo SUC 10:008. ee 04000, C3 — — 6,915; 064 — — 6,902, €; — "0,052, 606g — 0,042 ist, und hieraus nach N:o 31 A, >5,935, Ay >d,s0, E >> 14,896. a 2^ a’ £^ r-.]4 a - QJO b 5 6 2 3 - - IS Fig. 2. x,-Ebene. Die Längen des ersten, zweiten und fünften Schnittes, von links nach rechts gerechnet, werden hiernach bzw. kleiner als 0,003, O,014, O,o11 eefunden. Vermittels der Formel (50) werden die Grössen der übrigen Schnitte < 0,0001 ab- geschätzt. Weil also, nach der N:o 31 gegebenen Definition der Grössen s, z $, > 0,989, $9 > 1,004, $4 > 1,004 ist, so wird infolge der Ungleichungen (51), (53), (54) und (55) R; = 0,52, A; > 6,42 (4, PES , 2, 9; JEN Aus (35) berechnet man dann q « 0,0132. Zur Aulstellune der Ungleichung (47) bemerken wir, dass die Substitutionen niederster Stufe von I 8, S5 S, ' 5, A S, , S5 S5 S, sind, und wir haben also in dieser Ungleichung 4-2, nl x*—0 zu setzen. Aus den obigen Werten erhält man für die Differenz /,(& — 5 die Abschätzung (DE SEN if 9) 8E 105 Wir führen noch diejenigen Wurzeloperationen aus, bei welchen der erste, zweite und fünfte Schnitt der Reihe nach geöffnet werden, und gelangen zur Hauptfunktion x, der Unter- eruppe 7,. deren Fundamentalbereich 66 Randkurven hat, unter welchen 6 von dritter, alle Tom. XLVIIT. Iber die numerische Ausführung der Uniformdsierunq. 4: Uber di he Ausführung der Uniformisierun | übrigen von höherer Stufe sind. Aus (47) erhält man, nach Einsetzung der berechneten Grös- sen, die Ungleichung re | " — < NLSC 5 - 10? für jeden Fixpunkt der erzeugenden Substitutionen 39. Als Beispiel zu dem allgemeinen Fall betrachten wir zwei Schnitte a, db), a, b, mit dem Index ». Es handelt sich zugleich um die Uniformisierung der Riemannschen Fläche des Geschlechtes n — 1 (73) net ta da Wir wählen „= — 1, 5, — 1, a, =6, 5, — 8. Die Entfernung der Schnitte von einander ist dann. nàherungsweise dieselbe wie im ersten Beispiele. Wir óffnen zuerst den linksstehenden Schnitt vermittels der durch 1 (74) EN ce ffr st : d, jd T E + ) gegebenen Wurzeloperation. Der Übergang von der a-Ebene zur z,-Ebene geschieht dann in der Weise, dass man den Schnitt a,b, durch eine Sichel att Ordnung mit den Eckpunkten ti ersetzt, den zweiten Schnitt a,b, vermittels des Hauptzweiges der Funktion x, (x) abbil- det und schliesslich die Bilder des neuen Schnittes einträgt, die mit Hilfe der Potenzen der durch die Gleichung 3 I 2ri 1 - E - (x) — n : n (74) SORT EE Ng i 2; (a) + = + = bestimmten linearen Substitution X (x) innerhalb der Sichel erhalten worden sind. Die Punkte des Schnittes a, b, werden dabei nach links um einen Betrag < 0,06 verschoben, wie man durch Anwendung von (66) auf diesen Fall, wo x, >6 ist, findet. Die Länge des verschobenen Schnittes a,'by’ ist daher < 2,06. Weiter berechnet man nach (30) und (31), wo jetzt G +6 1 - E B ven, T-—V 2 n ! zu setzen ist, AL Et dX (x) 1 1 l io) VILIS RU TATUR TN DRE CUIR r À sim 7 —NX (co) und nach (74) = i mv 75)! So D) = — cote sl 9) a) n SN Hieraus folgt für jeden aul a,’ by’ genommenen Punkt x dX (a) 1 I L E 9 D 5,942 TA 2 Q2 sin. - n o 44 P. J. MYRBERG. und für die Gesamtlänge der innerhalb der Sichel liegenden Bildschnitte erhält man also, mit Rücksicht auf die Formel (32), die obere Grenze , . en 5,42 n°? n—1 1 Su, « 0,02. Si aem 2 n Nach (39) erhalten wir aus (75) y v 1 PROPRES eet (76) Ue Es a (co) | vis 3 2 . ATV t à 3 a | E à ; Weil allgemein ^ sin? 4 und, für die Punkte auf «,' bj, 2 — X! oo) > 5,04 ist, so folgt D n 2 "23 | ) [e] E 5 lex SJ | : N a TM aus (76) die Ungleichung | X (z)— X (oo), < 0,5. Weil ferner nach (75), unabhängig von n und », YN (©) < — (— 0,32) ist, so befinden sich die in der Sichel gelegen Bildschnitte sämtlich == im Innern des Kreises | z,|=0,37. Fig. 3. +,-Ebene. Wir führen jetzt die zweite Wurzeloperation aus, welche den Schnitt «a,' by’ öffnet. Mit Hilfe der Formel (66) berechnet man für den Betrag der Verschiebungen, welche die Punkte der ersten Sichel dabei erleiden, eine obere Grenze < 0,06. Die innerhalb dieser Sichel gelege- nen Schnitte befinden sich daher nach Ausführung des Wurzelprozesses innerhalb des Kreises | & | = 0,83. Durch Anwendung der Ungleichung (64)’ ergibt sich ferner, dass der Wert des Abbildungsmo- | d ds ; eu E . : : asl des Hauptzweiges für die letztgenannten Bildschnitte < 1.2 ist, woraus folgt, dass | $25 | ihre Gesamtlänge nach Ausführung des letzten Wurzelprozesses < 0,024 wird. Hinsichtlich der Grösse der innerhalb der zweiten Sichel entstandenen Bildschnitte genügt es zu bemerken, dass, wie man vermittels der Ungleichung (64)' ohne Mühe findet, ihre Ge- samtlänge im Vergleich mit derjenigen der anderen Schnitte unberücksichtigt bleiben kann und duls dass sie alle im Innern des Kreises liegen, Tom. XLVIII, ENT HITS TNT. Fa WW te à =: at) ee - T : Über die numerische Ausführung der Uniformisierung. 45 Wir wollen jetzt unseren allgemeinen Satz N:o 32 auf die geschnittene x,-Kbene anwen- den, für welche der Hauptzweig der polymorphen Funktion die Eigenschaften der Funktion q besitzt. In der Tat ist jede Funktion x, aûl der geschnittenen »,-Kbene (m < n) eindeutig und einwertie, woneben die Hauptzweige derselben in der Umgebung von z, —oo eine Reihen- entwieklung der Form : 5 a n b Y: 2, =%, - CH PT : € Km TE besitzen. Zu Kurven C; wählen wir die Kreise %|=(0,7, aan One welche nach dem Obigen die Gesamtheit der Schnitte umschliessen. Wir identifizieren zunächst den ersten dieser Kreise mit C4. Auf der rechten Seite von (62) haben wir dann D,-0,;9--043-— 1,3, dp-0, — 0,43 = 0,7, 4422. 0,021 — 0,048 zu setzen, während das mit dem kleinen Faktor 4; multiplizierte Glied unberücksichtigt bleiben kann. Der in den Klammern auftretende Ausdruck wird dann < 0,05 gefunden. Wird nachher der zweite Kreis mit C, identifiziert, so erhält man einen erheblich kleineren Wert. Es ist mithin M,< 0,05. Weil nun also nach (63) für die Punkte der Kreislinien C |2— x, | < 0,05 ist, so liegen die Bildkurven der Kreise C in der z-Ebene innerhalb der Kreise 2 | = 0,75, Zu mme Nun befindet sich nach (28) die bei dem ersten Wurzelprozess entstandene Sichel. unabhängig DN. von a», vollständig innerhalb der um den Nullpunkt als Mittelpunkt mit dem Radius ; 0" beschriebenen Kreises. Bei dem. zweiten Wurzelprozess erleiden die Punkte derselben Ver- schiebungen, deren Betrag < 0,06 gefunden wird, wenn man bei Anwendung von (66)’ 1 il 2 e B : à : p (ba! — a») < loa und x = 5 (t + by’) — = < 6,3 nimmt. Hieraus folet, dass die betreffende Sichel nach Ausführung der beiden Anfangsprozesse noch innerhalb des Kreises | 4, | = 0,7 liegt. Aus dem Obigen kann der Schluss gezogen werden, dass die genannte Sichel bei den unendlich vielen folgenden Wurzeloperationen aus dem Kreis |» = 0,5 nicht heraustreten kann. Weil nun die von den Funktion zx, ;(x,) (vgl. Formel (17)) vermittelte Abbildung eine Symmetrie inbezug auf die Mittelnormale der Strecke a,b, aufweist und weil ihre Form ausser von n offenbar nur von der Differenz |5,— «,| abhängig ist, so ist es klar, dass im vorliegenden Falle der Fundamentalbereich von /'inbezug auf die Mittelnormale der Strecke N:o 7. 46 P. J. MYRBERG. b, a, symmetrisch ist. Hieraus folgt, dass die zweite Randsichel vollständig innerhalb des Krei- ses |2— 7 | — 0,7 liegt. Im vorliegenden Falle sind die Kurven der Sicheln Kreisbogen (für ungerades » ist eine derselben eine Gerade), wie man ohne Mühe zeigen kann. Es sei À der gemeinsame Radius der beiden um die Randsicheln beschriebenen Kreise K,, K, und A der kürzeste Abstand dieser Kreise. Weil die Punkte S^! (co) bei den erzeugenden Substitutionen auf den durch den Mit- telpunkt des betreffenden Kreises A; senkrecht zur reellen Achse gelegten Geraden liegen, so haben wir, nach der in N:o 23 gegebenen Definition der Grössen Aj, Aj — An > A +R und daher nach (35), weil À < 0,5 und A > 5,5 ist, ; 2 TES (à tx) < 0,15. Nach Ausführung der beiden Anfangsoperationen gelangt man zur Hauptiunktion x,, deren Fundamentalbereich n— 1 Sicheln zweiter Stufe und (» — 1)? Sicheln dritter Stufe zu Randkur- ven hat. Wir haben also in (44) N=2 zu nehmen. Jede von den erstgenannten Sicheln defi- niert eine erzeugende Substitution von 7%), die als Substitution von I aufgefasst eine Substitu- tion dritter Stufe ist und deren Ausdruck von der Form 5, "8," 8,” ist. Wegen der Kleinheit von g braucht man in der für f, (2) geschriebenen Ungleichung (42) nur die zu den Substitutio- nen niederster Stufe gehörigen Glieder zu berücksichtigen !). Die rechte Seite ist offenbar kleiner als c; q?, wo 6, den Teil us : (77) ör (0)= 918, ()— 8 (00) | 1 der Summe o, bedeutet. Diese Teilsumme genügt der Ungleichung dl o [2] o 5 ; R° [m (2) < 36) ’ die anstatt (40) anzuwenden ist. Es ist für einen beliebigen Punkt der Sichel 5, |2— 8 (o)|>A+R und also 22 Hp o : Wir haben daher unabhängig von # die Ungleichung 3 2. ee (75) f2(2)—2|< 10° ') Man kann sich leicht davon überzeugen, dass dies noch dann der Fall ist, wenn z ein Punkt eines aris der Bereiche S, (GTR CO Est Tom, XLV III. Nm r f . 1 Uber die numerische Ausführung der Uniformisierung. I7 , u. a. för die Fixpunkte &, &/^ von Sy. Die Koeffizienten von 2 2 2 werden also mit vier richtigen Dezimalen erhalten, wenn wir zuerst dureh Ausziehung je einer nten Wurzel die Werte von =, (4) und +, (b,) für den Hauptzweig von x, (x) berechnen und nachher 3555] (a5) +2 (ba) 3d x (05) — Di (b3) : 2 2 an rr ti (29) + y (P3) LT (05) — 9, (D2) = Siu. 2n. setzen. Aus Symmetrieeründen sind zugleich die Koeffizienten von 5, mit der nümliehen Ge - nauigkeit bekannt. 40. Die obigen Resultate gelten noch für n=c. Wir gelangen in diesem Falle zu ei- ner polymorphen Funktion, durch welche u. a. die Gesamtheit der Riemannschen Flächen (73) sowie die unendlichvielblättrige Riemannsche Fläche (79) y — log | uniformisiert werden. LU X-—24; r—b, z—h, Anstatt der Wurzeloperationen hat man hier zunächst zwei logarithmische Anfangsopera- tionen auszuführen, von welchen die erste den Ausdruck EL. u a M E S loe 22 mx tt + b,—a ?z—l, Xi x 2 hat. Wird hieraus (15! — Li (Go), DUE ms) berechnet, so erhält man als Ausdruck der zweiten Operation 1 1 Ly — d Mb bj—a! x —b/ re) Aus dem Hauptzweige von x, gehen die anderen Zweige desselben durch Potenzen der parabo- lischen Substitution X (z,) hervor, die durch die Gleichung amt 1 Dia $ Re, Art S eg! bias 2 (2) — 2 ET definiert wird. Zur Berechnung der Koeffizienten der parabolischen erzeugenden Substitution S, von I, die den Ausdruck 48 P. J. MYR BERG. hat, bestimmen wir den Punkt | Y 1 L 8; (co)=b + "d dem in der xy-Ebene der Punkt b, — u. 2 s Sanl (00) LA er entspricht. Die Ungleichung (78), die nach der Fussnote auf Seite 46 auch für z= 8," (oo) gilt, gibt für diesen Wert von 2 ES TT 27 (69) = Se (60) Die Grössen Le (Gl ENSE 1102 & geben also die Werte von £, und — mit vier richtigen Dezimalen. Wegen der Symmetrie des : Fundamentalbereichs sind zugleich die Koeffizienten von $, mit der nämlichen Genauigkeit bekannt. 41. Indem wir zur Gleichung (73) zurückkehren, wollen wir noch die Genauigkeit der folgenden algebraischen Näherungsfunktionen für den Fall n=3 untersuchen. In der hier anzuwendenden Ungleichung (47) können wir q durch g 4 ersetzen, indem wir to? 2 3 j à > 2 Zu; 3 å 4. den auf der rechten Seite von (31) auftretenden Faktor -— , dessen Wert hier = — ist, sin? 7 9 u; berücksichtigen. Weil 7, als Substitutionen niederster Stufe die Substitutionen S, DS SUIS S,? nebst ihren zweiten Potenzen hat, so haben wir in (47), wenn 2 —6&, &' ist, x, =4, x, — 0, R, = Ii = 0,5, d, — A-- H — 65, N=2 zu nehmen. Mit diesen Werten berechnet man für 2=&, &' IR) e ioo welches Resultat mit dem oben für ein allgemeines » hergeleiteten im Einklang steht. Wir denken uns alsdann diejenige zwei Wurzeloperationen ausgeführt, welche diejenigen innerhalb der linksstehenden Sichel der z;,-Ebene gelegenen Schnitte öffnen, die den beiden Rand- sicheln zweiter Stufe des Fundamentalbereichs von 7, entspechen. Die Gruppe 7, der resul- tierenden Hauptfunktion x, besitzt einen Fundamentalbereich, welcher als Randsicheln niederster Stufe vier innerhalb der Sichel S; liegende Sicheln dritter Stufe hat. Die Gruppe 7j enthält also als Substitutionen niederster Stufe acht Substitutionen fünfter Stufe, deren erster Faktor 5$, ist. Wir wählen 2=&,, & und haben in (47) AN —3, x,—0, x,—8, 0,— ^-r.R, zu setzen. Wir erhalten AO: iov Tom. XLVIIL Über die numerische Ausführung der Uniformisierung. 49 Nach Ausführung der folgenden vier Wurzeloperationen, welche die den zuletzt erwähnten vier Randsicheln entsprechenden, innerhalb der rechtsstehenden Sichel der z,-Ebene liegenden Schnitte öffnen, gelangen wir zur Gruppe 7, der Hauptlunktion zy mit einem Fundamentalbereich, der als Randsieheln niederster Stufe zwei innerhalb der Sichel 5, liegende Sicheln vierter Stufe be- sitzt. Für 2— &,. &' berechnet man dann aus (47), wo .N —4, x,— 4, x,—0, 0, — A +R, zu setzen ist, : 4 fe) Sr d. h. man kennt die Fixpunkte von S,, und also wegen der Symmetrie diejenigen von 5,, mit dreizehn richtigen Dezimalen. 42. Die vorstehenden Beispiele haben wir so gewählt, dass sie hinsichtlich der Konver- genz der Wurzelprozesse eine Vergleichung des allgemeinen Falles mit dem Spezialfalle m — 2, uu, =u, — 2, d.h. mit der Landensehen Substitution, gestatten. In jedem Falle hängt diese Kon- vereenz wesentlich von der Grösse y ab, die bei Vergrösserung der Abstände der verschiede- nen Sicheln unter Beibehaltung ihrer Dimensionen rasch abnimmt. Im allgemeinen Falle wächst zwar die Zahl N nicht so rasch wie bei der Landenschen Substitution; man kann jedoch dem Poincaréschen Prinzip mit vollem Rechte bei der Uniformisierung hóherer algebraischer Kurven dieselbe praktische Bedeutung zurechnen, welche die Landensche Substitution bei der Unitor- misierung der Riemannschen Flächen ersten Geschlechtes hat. Die von uns gewählte Uniformisierungsmethode führt aber noch in anderer Hinsicht zu befriedigenden Resultaten. In den Fällen, welche in den vorhergehenden Untersuchungen be- handelt worden sind, wird man nämlich zu Gruppen mit absolut konvergierenden Poincaréschen Reihen (— 2)!“ Dimensionen geführt. die mit Vorteil zur analytischen Darstellung der Funktio- nen des uniformisierten algebraischen Gebildes dureh die uniformisierende Variable angewendet werden können. Die Konvergenz dieser Reihen nimmt bei abnehmenden q rasch zu. Hinsicht- lich der Konvergenz sind nämlich jene Reihen bekanntlich mit der speziellen Reihe NIS vereleichbar, die rascher als eine geometrische Reihe mit dem Quotienten 4 konvergiert. wenn man die sieh auf Substitutionen einer und derselben Stufe beziehenden Glieder stets zu einem Gliede vereinigt und diese Glieder nach den Stufenzahlen ihrer Substitutionen ordnet. VI. Uber die Darstellung der algebraischen Funktionen und ihrer Integrale als eindeutige Funktionen der polymorphen Funktion =. 43. Zu den mehrdeutigen analytischen Funktionen, die durch Einführung der polymorphen Funktion z des Sicheltypus als Hilisvariable uniformislert werden können, gehören in erster Linie die Gesamtheit der algebraischen Funktionen sowie gewisse Klassen Abelscher Integrale, wie im Folgenden gezeigt werden soll. Wenn irgendeine algebraisehe Gleichung P&, y) =0 gegeben ist, so kann man nach Ausführung einer geeigneten birationalen "Transformation er- reichen, dass die zugehörige, über die »-Ebene ausgebreitete Riemannsche Fläche P den beiden foleenden Bedingungen genügt, nämlich erstens, dass sie eine gerade Anzahl Windungspunkte besitzt, und zweitens, dass diese Windungspunkte paarweise a;, b; von derselben Ordnung wu; sind und einem und demselben Blätterkomplex angehören. Man kann ja sogar, nach einem von OrnEBsCH !) und LonorH?) bewiesenen Satz, erreichen, dass alle Ordnungszahlen gleich zwei werden. Wir setzen ferner voraus, dass zwei verschiedene Windungspunkte stets über verschiedenen Punkten der z-Ebene liegen, was man durch eine lineare Substitution der Form = + ky, Uy erreichen kann, wo die Konstante Æ nur der Bedingung unterworfen ist, dass sie gewisse Aus- nahmswerte vermeidet. Wir behaupten, dass unsere algebraische Funktion durch diejenige polymorphe Funktion des Sicheltypus uniformisiert wird, die zu den Schnitten a,b; mit den Indizes u; gehört. :) CLEBSCH. Zur Theorie der Riemannschen Fläche (Mathematische Annalen, Bd. 6 (1873), S. 216). 2) LüRoTH. Note über Verzweigungsschnitte und Querschnitte in einer Riemannschen Fläche (Mathematische Annalen, B. 4 (1871), S. 181). e Tom. XLVHI. Uber die numerische Ausführung, der Uniformisierung. 51 Es sei nämlich in der z-Ebene irgendeine geschlossene Kurve gezogen, die durch keinen Grenzpunkt geht. Diese Kurve kann immer durch eine stetige Deformation, wobei weder Grenzpunkte noch Sichelecken überschritten werden, auf eine Folge geschlossener Elementar- wege zurückgeführt werden, die von zwei verschiedenen Arten sind. ‚Jeder Weg erster Art führt in die Nähe einer gewissen Randsichel, macht um diese einen Umlauf in dem betreffenden Bereiche und kehrt dann entlang der ersten Linie wieder zum Anfanespunkt zurück. Ein Weg zweiter Art besteht aus einer doppelt durchlaufenen Linie, die in der Nähe einer gewissen Sichelecke endigt, und einem Umlauf um diese Ecke. Auf der Riemannschen Fläche entspricht jedem Weg erster Art eine geschlossene Kurve, welche nur ein Paar einander zugeordneter Windungspunkte umkreist, jedem Weg zweiter Art eine geschlossene Kurve, die sich einen einzigen Windungspunkt vollständig herumwindet. Hieraus geht die Eindeutigkeit von y (2) unmittelbar hervor. 44. Während = (z) eine automorphe Funktion der Gruppe Z' darstellt, ist (2) nur inbe- zug auf eine gewisse Untergruppe 2’ automorph, die z. B. in folgender Weise gefunden wird. Es seien Yo, Yi, Yo, .... Yn—ı die verschiedenen Zweige unserer algebraischen Funktion y (x) bzw. die zugeordneten Blätter ihrer Riemannschen Fläche P. Indem wir eines von die- sen Blättern, etwa y,, dem Fundamentalbereich B von I zuordnen, wird y als eine eindeu- tige Funktion von z vollständig bestimmt. Wegen der Eindeutigkeit der Funktionen z(z) und y (2) entspricht jedem Bereich der Gruppe I ein ganz bestimmtes Blatt von P. Wir denken uns jetzt. diese Bereiche mit denselben Indizes 0, 1, 2, ..., n—1 wie ihre zugeordneten Blätter versehen. Jedem Bereich mit dem Index 0 entspricht dann eine Substi- tution. von IF, welche nicht nur 2 (z) sondern auch y(z) invariant lässt. Alle diese Substitutio- nen X sind daher Substitutionen der gesuchten Untergruppe 7°’. Ferner sind allgemein die sich auf Bereiche vom Index v beziehenden Substitutionen in der Form 7,X darstellbar, wo 7, eine spezielle unter ihnen bedeutet. Hieraus geht aber hervor, dass /'' eine Untergruppe des Index n von List. Es ist eine unmittelbare Folge der Irreduzibilität der algebraischen Gleichung P (x, y) =0, dass die Substitutionen E, — 1, X,, X,, ..., X, , in der Weise gewählt werden können, dass die ihnen entsprechenden Bereiche einen zusammenhängenden Bereich 5' bilden. Die Gestalt dieses Bereichs, welcher gerade als Fundamentalbereich von 2°’ gewählt werden kann, ergibt sich aus den folgenden Überlegungen. Die Randkurven von 5’ sind von zwei wesentlich verschiedenen Arten. Diejenigen der ersten Art bestehen je aus der Begrenzung einer ganzen Sichel, deren Eckpunkten gewöhn- liche Punkte der Fläche P entsprechen. Die zugeordneten elliptischen Substitutionen, welche die betreffenden Eckpunkte als Fixpunkte haben, gehören der Untergruppe /" an und können als erzeugende Substitutionen dieser Untergruppe gewählt werden. Derartige Randkurven sind stets vorhanden, wenn nicht zufälligerweise alle Zahlen w gleich n sind. Die Randkurven zweiter Art von 5' sind geschlossene Kurven, deren Eckpunkten je ein Paar zugeordneter Windungspunkte «;, 0; aut P entspricht. Jede von ihnen begrenzt entweder eine eanze Sichel oder nur gewisse auf einander folgende Zweiecke einer Sichel. Ihre Bilder auf der Riemannschen Fläche sind Rückkehrschnitte, deren Projektionen auf der z-Ebene mit N:o 7. 52 P. J MYRBERG. den bezüglichen doppelt zählenden Schnitten a;b; zusammenfallen, wobei jene Randkurven stets paarweise den beiden Ufern eines und desselben Rückkehrschnittes zugeordnet sind. Hieraus lässt sich leicht erkennen, dass die Randkurven zweiter Art paarweise durch lineare Substitu- tionen in der Weise auf einander bezogen sind. dass die Inneren und Ausseren einander wech- selweise entsprechen. Die betreffenden Substitutionen sind offenbar loxodromische oder hyperbo- lische Substitutionen, und ihre Anzahl ist gleich dem Geschlecht der Riemannschen Fläche. Aus dem Obigen geht hervor, dass (2) und y(z) eindeutige automorphe Funktionen einer Gruppe 2” sind, deren Fundamentalbereich 5’ durch den Prozess der sog. „Ineinanderschiebung der Fundamentalbereiche* gewisser von einer einzigen elliptischen. hyperbolischen oder loxodro- mischen Substitution erzeugten Gruppen entsteht. Lassen wir dabei auch parabolische Substi- tutionen teilnehmen, um zugleieh gewisse Abelsche Integrale zu uniformisieren, so werden wir zu den allgemeinsten Gruppen der erwähnten Art geführt. Die Gruppe /" reduziert sich insbesondere auf eine Gruppe des Schottkyschen Typus, wenn alle Zahlen « gleich n sind. Dies findet in dem Falle statt, wo die Gleichung Z'(»,5)- 0 die Form a Ull DM, CM VE cus A bs "z—b, hat, also im besonderen bei den hyperelliptischen Flächen. 45. Wir gehen zur Betrachtung der Abelschen Integrale über. Es seien 45, Ass... die oben eingeführten Rückkehrschnitte, welche je ein Paar von den durch loxodromische oder hyperbolisehe Substitutionen auf einander bezogenen Randkurven von B’ definieren. Ferner sei E Hua m ein System konjugierter Schnitte, die je ein Paar gegenüberliegender Punkte der bezüglichen Rückkehrschnitte miteinander verbinden. In der <-Ebene entsprechen ihnen offene Kurven, welche die Bildkurven von 4; miteinander verbinden, so dass der Anfangs- und Endpunkt stets üqui- valente Punkte sind. : Als Periodenweeg für die relativ zur Fläche P unverzweigten Abelschen Integrale lässt sich jede auf P geschlossene Kurve durch eine ganzzahlige lineare Kombination der Kurven. A, B in der Form X (m, A; + n; Bi) darstellen. Hier bedeutet m; bzw. x»; die Differenz zwischen den Anzahlen der positiven und negativen Schneidungen der betreffenden Kurve mit dem Sehnitt B; bzw. A; (d. h. den Anzahlen der vom — zum + Rand und vom + zum — Rand gemachten Übergänge). Indem man die Ufer der Bildkurven von À; und B; in der z-Ebene in entsprechender Weise mit Zeichen versieht, findet man, dass bei jedem Bereich stets die paarweise konjugierten Randkurven auf ihren in- neren Ufern entgegengesetzte Zeichen haben. Auf Grund dieser Überlegungen kann man sich leicht davon überzeugen. dass die Bildkurve einer auf P geschlossenen Kurve in der z-Ebene, N:o 7. sc! 347 Lr Lá A NP" ue A SR "LT ^" p die. a ra tt man. n ME Dan 3 u Cle A À x meg. Uber die numerische Ausführung der Uniformisierung. 53 welche allgemein ein Weg zwischen zwei äquivalenten Punkten ist, stets und nur dann ge- schlossen ist, wenn alle Zahlen »; verschwinden. Aus dem Obigen folgt, dass nur diejenigen Abelschen Integrale in unserer Hilisvariable 2 eindeutig werden, welche auf den Wegen A; durchgehends verschwindende Perioden besitzen. Bei den Integralen erster Gattung ist dies bekanntlich nie der Fall. Dagegen sind die für die Wege A, B ,transzendent normierten* Integrale zweiter Gattung, deren zu den Schnitten A gehürige Perioden sümtlich verschwinden, eindeutige, wenn auch nicht automorphe Funktionen von 2. Was schliesslich die Integrale dritter Gattung betrifft, so können gewisse unter ihnen, nämlich die elementaren Integrale mit zwei logarithmischen Unstetigkeitspunkten, deren längs den Wegen A, genommene Perioden gleich Null sind, durch Einführuug von parabolischen Sicheln als eindeutige Funktionen von z dargestellt werden. Es seien nämlich e,, d,; &, ds; ... die logarithmischen Unstetigkeitspunkte des Integrals, deren zugehörige Residua wir paarweise als entgegengesetzte Grössen voraussetzen. Wir neh- men ferner an, dass keine zwei Punkte über einem und denselben Punkt der z-Ebene liegen, was man stets vermittels einer linearen Transformation erreichen kann. Wenn wir in der z- Ebene die Schnitte c;d; ziehen und jeden derselben mit dem Index w oo versehen, so gelangen wir zu einer polymorphen Funktion, in welcher die betreffenden Integrale dritter Gattung ein- deutig sind. N:o 7. M " 7 d - 7 ^ | E A ipei Mugs an deut s abbati dT As peg Apr bett E P cx 4 BERN enu t "EL { » 4 , - + x » t : x D ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ I HM "iti TOM. XLVIII. N;o 1. VeL Ai Pedes IE RECHERCHES UM SUR LES MOUVEMENTS PROPRES DES ETOILES DANS LA ZONE PHOTOGRAPHIQUE DE HELSINGFORS PAR RAGNAR FURUHJELM I Clichés de 9° à 12" —— — EXER — IMPRIMERIE DE LA SOCIETE DE LITTÉRATURE FINNOISE LUEUR > TR QUE + ' (a x ^ | ON ue . T : ifi TOM XLVI. N 0 a UN [i AA N LU n VAN Uu MUN i aM 2‘ / n em physiologl. Institut der Unterstät Hans) 1s À NM ANO TW A MA M N i yj ; x \ lU M M i LA i] À (eur | [ 14 M hd \ À) | 1 Mu S UN ma A ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ TOM. XLVIll, N:o 3, BEITRAG ZUR . . KENNTNIS DER ENTWICKLUNG DES VON YRJÓ KAJAVA . Mit 31 Abbildungen im Texte — ám MSD ——— | HELSINGFORS 1919 ET DRUCKEREI DER FINNISCHEN LITERATUR-GESELLSCHAFT ^ à | I8 SCIENTIARUM FENNICÆ | TOM. XLVI No4 NN A QN mna XV * M Hte p TS iM "b fiy, Na 4 " h À ' , ul ) j | Wa Ad Van A». à No m ^4 ' "e (AP) Y N VAR nl Ne EN ; Jd AT * VUA SA RE fs HE: SRI tQ NA dod S ee ANN MU AE te NE ORE da : Na o (Aus dens DE itut der U versität Helsingfors,) 3/105 Un gu FR PUE m T ADT A MA JL: d | Fe "ni M Th ‘ EA ^ ; hU » nd 4 r í À TH LEON , AUN We da | | ^ , p "A x | i An CY . è NGFORS 1919, VC UST CHEN LYTERATURGESELLSCHAFT. : | NT | WM MIU: MN le S J | ” TN 3 i | ^ 1 Ust i ? 4 I N ^ [an h , N à , Ue AA på ) , " N Y y 2 5 L ^ i (um 3 A7 (7 A SUA ^A Q I ra > " x AU Nr» ETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ Ep. M MG C VA INEO BERNER. 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