PROPOSITIONS DE CHANGEMENTS AUX LOIS DE LA NOMENCLATURE BOTANIQUE DE 1867. dont l’adoption est recommandée au Congrès International de Nomenclature botanique projeté ■'à. Vienne en 1905 par les botanistes attachés à l’Her- ' hier Gray, à i’Herbier Cryptogamique et au Musée Botanique de l’Uni- versité Harvard, p. i-li AMENDMENTS TO THE PARIS CODE OF BOTANICAL NOMENCLATURE Suggested for the consideration of the Vienna Congress of 1905 by the botanists of the Gray Herbarium, the Cryptogamie Herbarium, and the Botanical Museum of Hm-vard University, p. 12-21 VERBESSERUNGSANTRAEGE ZUM PARISER KODEX DER BOTANISCHEN NOMENKLATUR. Zur Beratung auf dem Wiener Kongress 1905 vorgeschlagen von den Botanikern des Gray Herbariums, des Kryptogamischen Herbariums, und des Botanischen Museums der Harvard-Universität, p. 22-32. Cambridge, Massachusei’ts, U. S. A. 9 June, 1904. Digitized by the Internet Archive in 2017 with funding from BHL-SIL-FEDLINK https://archive.org/details/amendmentstopariOOharv PROPOSITIONS DE CHANGEMENTS AUX LOIS DE LA NOMENCLATURE BOTANIQUE DE 1867. dont Tadoption est recommandée au Congères international de nomenclature botanique projeté à Vienne en 1905 par les botanistes attachés à THerbier Gray, à THerbier Crypto- gfamique et au Museé Botanique de TUniversité Harvard* OBSERVATIONS PRELIMINAIRES. Les lois de nomenclature botanique adoptées par le congrès de Paris en 1867, bien qu’elles portent l’empreinte d’une science profonde n’ont pas fourni aux botanistes un guide sûr pour leurs travaux. Ce résultat est dû à la manière vague dont sont traités plusieurs sujets d’une importance fondamentale. Parmi plusieurs points douteux sur lesquel les botanistes ne sont pas encore d’accord nous voudrions attirer l’attention sur les questions suivantes que ces lois n’ont pas tranchées avec assez de précision : 1. Point de départ de la nomenclature; le point de départ doit-il être unique ? 2. Rapport du nom spécifique au nom binaire. 3. Rapport des noms désignant une sous-espèce, une variété ou une variation à ceux qui désignent une espèce. 4. Homonymes. 5. Priorité de position. L’usage en ces matières est devenu malheureusement tellement divers, et quelques uns des procédés divergents sont si bien établis dans les différents centres botaniques, qu’on arrivera difficilement à un compromis et qu’il faudra de grands et pénibles efforts pour atteindre une pratique uniforme. Il serait difficile cependant d’exag- érer l’importance d’un accord en ces questions et il faudra certaine- ment qu’elles soient toutes résolues si nous voulons avoir un ensemble satisfaisant des lois de la nomenclature. I. Point de départ de la nomenclature. Dans presque tous les essais qui ont été faits récemment pour renouveler la nomenclature botanique on a pris une seule date comme 2 point de de'part de la nomenclature, et lorsque Ton donne deux ou trois dates, l’une est réser^^ée aux genres, une autre aux espèces et peut-être une troisième aux familles et aux groupes supérieurs. Le peu de succès des reformes proposées doit être attribué en partie, nous le croyons, à ce que l’on ne s’est pas assez pénétré de ce fait que le développement historique de la classification botanique a été tel qu’il n’y a pas de date unique que l’on puisse prendre pour tous les groupes de plantes sans amener beaucoup de changements inutiles et d’incertitudes dans la nomenclature qui en découlerait. Par exemple, quoique l’année 1753 semble un très bon point de départ pour la nomenclature des spermatophytes, l’emploi de cette date pour les groupes inférieurs, par exemple pour les algues paraît non seulement inopportune, mais presque ridicule. Si nous prenons les plantes phanérogames nous voyons qu’en 1753 les genres et les espèces avaient déjà été interprétés avec une précision relative, et les descriptions qu’on a en faites a cette époque montrent une intel- ligence suffisante de la morphologie et de la diagnose, de sorte qu’en général elles sont compréhensibles pour les générations futures. D’un autre côté lorsque parut le Species plantarum de Linné la con- naisance des algues était bien trop rudimentaire pour permettre d’établir la base d’une classification et d’une nomenclature satis- faisantes. On n’avait pas même encore inventé les instruments d’optique nécessaires à une étude intelligente du groupe. Ce que nous disons des algues s’applique aux fungi et à un dégré inferieur même aux brj^ophytes et aux pteridophytes. En outre, la grande difficulté ou même l’impossibilité de conserver des spécimens dans les groupes inférieurs et par conséquent le manque de spécimens- types pour une forte proportion des espèces des ordres inférieurs nous montrent la nécessité absolue de ne pas reculer le point de départ dans la nomenclature de ces groupes jusqu’ à une époque où les descriptions étaient courtes, vagues et peu raisonnées. Il serait donc à souhaiter que pour la nomenclature des sperma- tophytes le point de départ fût fixé à la date de la publication du Species plantarum de Linné, c’est-à-dire à l’année 1753. D’un autre côté pour les autres groupes on pourrait prendre une date aux envi rons de 1800, date qui serait déterminée d’une manière plus précise par une commission de spécialistes désignés par le Congrès Interna- tional. La nomenclature des cryptogames entraînant d’autres difficultés 3 en grande partie toutes spéciales, telles que la confusion qui résulte lorsque l’on donne des noms différents à des générations alternantes, l’importante question de savoir si une distribution dans les exsiccatae est équivalente à la publication, la position incertaine de certaines formes dégénérées et végétatives comme les fungi imperfecti, et cetera, nous croyons que toute cette branche du sujet doit être traitée à part selon la sage suggestion de nos honorés collègues de Suisse et de Belgique. 2. Rapport du nom spécifique au nom binaire Durant ces quinze dernières années plusieurs efforts ont été tentés pour rendre la nomenclature botanique uniforme et conséquente avec elle-même. Les incidents survenus pendant ces essais infructueux de réforme ont montré aux botanistes pour qui la nomenclature est plutôt un outil qu’une science indépendante, qu’une application stricte et logique du point de départ de 1753 amènerait des changements bien au delà de ce qui serait opportun ou pratique dans une science qui sera nécessairement toujours basée en grande partie sur les tra- vaux du siècle dernier. La difficulté des réformes a résulté surtout du nombre énorme de noms binaires et trinaires* qui ont été créés. Une très forte proportion de ces noms ne fournit pas de détails utiles à la classification. Ils ont été formés pour remplacer des noms déjà existants sous prétexte que ces derniers n’ont pas été choisis selon certaines lois. Afin que la nouvelle nomenclature fût plus précise on a proposé beaucoup de nouvelles règles dont plusieurs ont un caractère arbitraire et exigent des procédés tout-à-fait inconnus même aux esprits les plus critiques parmi les auteurs qui ont précédé la génération actuelle. Les réformateurs chaque fois qu’ils modifiaient une ancienne règle ou qu’ils en édictaient une nouvelle se sont cru le droit de former les nouvelles combinaisons qui étaient la conséquence logique de leurs innovations. Ces changements déroutent constam- ment les botanistes qui se livrent à des recherches, et il devient de plus en plus évident que les règles, malgré les bonnes intentions de leurs auteurs ont plutôt fourni des prétextes pour des changements 1 Par nom ti inaire nous entendo) » *•■ ^ - ' :» ;-A- • . “^îw fix 4! -> j. -Jit- ^ • :4t' ^ ^iji*4üftf’ .... .' ' ■ î'^.:-' V ^'f^ -I?:: . • :' ■ ■ .'‘ra. t*.. ‘ ■* vfhwSBIs ■ '■ * .\î y J^\v VA-VH'H;-'! -■•''* >' v<' ■ '•-* ' 7 ■.. * ■^i;]/’’*-, II -«-'V '\'^ ■• '•■ -.f, ._;^ -jL * yjnfîî^jôâii^^ %î^#:7 ■ ' *■ ”'" 27 den gegenwärtigen Verhältnissen mögliche Gebrauch verschiedener Gattungsnamen durch eine bessere Regelung der Nomenklatur ver- mindert werden wird, jede durch verschiedene Artennamen unter verschiedenen Gattungen verursachte Unbequemlichkeit notwendi- gerweise verringert werden wird. (4) Wie bereits erwähnt, weicht die historische Entwicklung der Nomenklatur der phanerogamischen Botanik wesentlich von der der kryptogamischen Botanik ab und beide haben sich seit langer Zeit vollkommen unabhängig von der zoologischen Nomenklatur entwickelt; bei den P’orschern auf jedem dieser Gebiete haben sich Gewohnheiten ausgebildet, wie sie für jedes derselben praktisch waren. Unter diesen Umständen scheint es ein unpraktisches Vorgehen auf einem dieser Gebiete Opfer zu bringen, nur um eine oberflächliche und verhältnismässig unbedeut- ende Uebereinstimmung in der Methodik der Nomenklatur zu erzie- len. Einem Forscher, der die Fähigkeit besitzt in mehr als einem dieser weiten Gebiete erfolgreich zu arbeiten, dürfte es sicherlich auch möglich sein zwei oder drei in verhältnismässig geringem Grade von einander abweichende Nomenklatursysteme zu verstehen und anzuwenden. Die hauptsächlichsten Gründe in der Nomenklatur der Sperma- tophyten das erste Binom beizubehalten, sind nun die folgenden : ( I ) Das erste Binom für eine bestimmte Art in ihrer richtigen Gat- tung ist in Wirklichkeit ihr erster brauchbarer Name. (2) Sobald eine solche Bezeichnung geschaffen worden ist, die zugleich die Art selbst und ihre richtige generische Verwandschaft anzeigt, ist offen- bar kein triftiger Grund vorhanden ein anderes Binom für dieselbe Pflanze zu bilden. In Wirklichkeit sind solche später geschaffene Binome, selbst wenn sie in der Al:)sicht einen übersehenen Arten- namen wiederherzustellen aufgestellt wurden, ohne jede praktische Bedeutung und dienen mehr dazu die Nomenklatur zu belasten als sie zu klären. (3) Die gesetzliche Anerkennung des ersten Binoms unter der richtigen Gattung hat den grossen Vorteil, dass auf diese Weise die No7?ie?iklatur in erster Lifiie auf die Arbeiten von Autore?i gegründet wird, die die Verwandschaft der von ihneii behandelte7i Pßanzen richtig aufgefasst haben. Es werden dadurch mit einem Male eine grosse Zahl von Arten ausgeschieden, die schlecht beschrieben und falsch plazirt worden sind. Die unklare Neigung eine weniger beschränkte Form der Priorität anzuwenden wird 28 dadurch erfolgreich eingehemmt. In Verbindung damit mag hier auch darauf hingewiesen werden, dass eine jede Regel, wie die der 50jährigen Verjährung, vorgeschlagen von den Berliner Botanikern, um die Nomenklatur durch Ausmerzung gewisser umbestimmter und aus dem Gebrauch gekommener Gattungsnamen zu vereinfachen, ein Vorgehen von zweifelhaftem Werte bleibt, solange alle die zahlreichen unter diesen Gattungen veröffentlichten Artennamen als gütig ange- sehen werden müssen. Dieses Problem indessen dürfte in wirksamer und logischer Weise zu lösen sein durch den Zusatz einer generischen Beschränkung als die Regel der Pf'iorität unter der Gattung. (4) Die gesetzliche Anerkennung des ersten Binoms macht eine spezielle Regel gegen so geschmacklose und verwerfliche Namen wie Catalpa Catalpa., Opuntia Opuntia, Cerastium cerastioides unnötig, da diese fast ohne Ausnahme als spätere Kombinationen entstanden sind. (5) Die Regel der Priorität unter der Gattung ist leicht anzuwenden. Es ist im allgemeinen eine ziemlich einfache Sache den ältesten Namen unter der richtigen Gattung für eine bestimmte Art auszu- finden, während es andrerseits oft ausserordentlich schwierig ist sich zu vergewissern, dass für die betreffende Pflanze kein älterer Arten- name unter irgend einer entfernt verwandten Gattung existirt. (6) Priorität unter der Gattung ist keine ungeprüfte Theorie. Sie hat eine ausreichende Prüfung bestanden durch ihre Anwendung in Werken von grosser Bedeutung und ungewöhnlicher Klarheit von solchen Meistern der botanischen Systematik wie Bentham, Hooker fil. und Asa Gray. Anmerkung. — Die strenge Anwendung einer jeden Regel der Priorität wird, wenigstens während der Uebergangsperiode, eine gewisse Unbequem- lichkeit verursachen. Sollte die Ueberzeugung Platz greifen, dass durch die strenge Anwendung der Priorität unter der Gattung zu viele allgemein bekannte Namen durch nicht in Gebrauch befindliche ältere Kombinationen verdrängt werden würden, so würden die Unterzeichneten damit einver- standen sein, dass von dem Internationalen botanischen Kongress ein Kom- mittee gewählt würde, um eine Liste von nicht über 400 bis 500 wohl bekannter und weit verbreiteter Arten aufzustellen, wie Iponiœa Pes-capræ, Abntilon Avicennœ, Ahius incana, deren gebräuchliche Namen, obwohl nicht in Uebereinstimmung mit der Priorität unter der Gattung, infolge speziellen Uebereinkommens beizubehalten wären. 3. Namen von Unterarten, Varietäten, und Formen. Unterarten, Varietäten, und î^ormen sind keine scharf begrenzten oder wechselseitig sich ausschliessenden Gruppen. Es ist daher am 29 besten ihre Namen, obwohl ihr verschiedener Rang für systematische Zwecke beibehalten wird, als zu einer einzigen nomenklatorischen Klasse gehörig zu betrachten. Bei der Entscheidung, welcher von den verschiedenen Namen einer Unterart, Varietät, oder Form in Anwendung kommen soll, stehen zwei Wege offen ; nämlich, (i) Den Namen zu wählen, der für die betreffende Pflanze zuerst gebraucht wurde, gleichviel unter welcher Gattung oder in welchem Rang, oder (2) Den Namen zu wählen, der zuerst der betreffenden Pflanze als Unterart, Varietät, oder Form unter dem richtigen Gattwigs- imd Arte7ma7?ien beigelegt wurde. Die zweite dieser Regeln ist bei wei' tem die einfachste und daher die beste. Wenn, wie die Unterzeich- neten überzeugt sind, als der Name einer Art das erste generisch richtige Binom zu betrachten ist, so ist es natürlich und eine logische Folgerung, dass als der Name einer Unterart, Varietät, oder Form das erste generisch und spezifish richtige Trinom (oder Quadrinom) zu betrachten ist. Die grossen praktischen Vorteile und Bequemlich- keit dieser Regel dürfte von denen, die dieselbe nicht praktisch erprobt haben, kaum genügend gewürdigt werden. 4. Homonyme. Es ist klar, dass von zwei Homonymen das spätere sofort aufge- geben werden sollte, wenn das ältere ein gültiger Name ist. Wenn aber dass ältere Homonym allgemein als ein ungültiger Name be- trachtet wird, so bildet sein Vorhandensein in der Synonymie keinen genügenden Grund, den zweiten Namen zu verändern. Wenn jedoch das ältere Homonym als gültiger Name wieder hergestellt wird, muss das spätere weichen und die zweite Pflanze oder Gruppe von Pflanzen muss einen neuen Namen erhalten. Ein gültiger Name ist ein Name der im Gebrauch ist. Es ist daher ein Unrecht einen unbestimmbaren oder oberflächlich charakterisirten Namen als gültig zu betrachten, rrur weil ihm kein bestimmter Platz in der Synonymie angewiesen werden kann. Es liegt z. B. kein Grund vor Setaria Beauvois wegen Setaria Acharius aufzugeben, da letzterer Name von den Lichenolo- gen jetzt nicht mehr angewendet wird, wenn auch sein Platz in der Synonymie nicht ganz sicher ist. Andrerseits muss die begründete Wiederaufnahme eines älteren Homonyms als ein genügender Grund angesehen werden, den zweiten Namen zu ändern. 30 5- Platzpriorität, Wenn es notwendig ist von zwei oder mehreren für dieselbe Pflanze oder Gruppe von Pflanzen gleichzeitig in demselben Werke publizirten Namen einen als den gültigen zu wählen, so ist es jeden- falls der einfachste und logischste Weg den Namen zu wählen, der der Reihenfolge nach der erste ist und die darauffolgenden als Synonyme zu behandeln. Diese Regel kommt nur für eine ver- hältnismässig geringe Zahl von Fällen inbetracht, sodass sie ohne ernstliche praktische Bedenken angewendet werden kann, besonders wenn die Nomenklatur der Gattungen durch eine so ausgezeichnete Einschränkung, wie sie von den Beamten des Königlichen Botan- ischen Museums in Berlin vorgeschlagen worden ist, geschützt wird Aus den oben angeführten Gründen unterbreiten die Unterzeichneten, die hiermit den in den Zirkularen des Permanenzbureaus gestellten Bedingungen Genüge geleistet haben, der Internationalen Nomenklaturkommission des zu Wien im Juni 1905 zusammentretenden botanischen Kongresses die folgenden Vorschläge, betreffend ABÄNDERUNGEN DER REGELN DER BOTANISCHEN NOMENKLATUR VOM JAHRE 1867.^ Art. 3. Das Haiiptprmzip der Noynenklatur besteht darm (i) die Namen mit Bestimmtheit festziilegen iind ihre Unverä7iderlichkeit zu sichern^ mögen sie 7iun emfache {wie die der Gattimgen, Fa77iilie7i usw'i) oder zusammengesetzte {wie die der Arte7i^ Unterarte7i^ Varietäten imd Fo7'me7i) seht, (2) Namen oder Gebräuche in der A7iwe7idung von Na77ie7i^ aus denen Irrtümer, Zweideutigkeiten und Vervvirrung erwachsen können, zu vermeiden oder zu entfernen. Nächst dem ist es von grösster Wichtigkeit, jede unnütze Auf- stellung von Namen oder Ko777bi7iationen vo7i Name7i zu vermeiden. Die übrigen Punkte wie grammatikalische Richtigkeit, Regel- mässigkeit oder Euphonie der Namen, mehr oder weniger allgemein i'Die hier gegebene deutsche Uebersetzimg hält sich so streng wie möglich an den ursprünglichen französichen Text. Aenderungen und Zusätze sind in Kursiv- schrift gedruckt. 31 gewordenen Gebräuche, Rücksichten auf Personen sind trotz ihrer unbestreitbaren Wichtigkeit doch verhältnismässig nebensächlich. Art. 5. Die Prinzipien und iVusdrucksformen der Nomenklatur sollten für Botanik und Zoologie so ähnlich wie möglich jedoch besondere Gebräuche, die 171 einer dieser Wissejischaften festen Fuss gefasst haben imd als praktisch befunden worden sind, shid nicht zu verwerfe7i, weil sie in der a7idere7i nicht a)igewe7idet werden. Art. ij bis. Die No77ienklatur der Sper77iatophyten soll niit der Veröffefitlichung der erstefi Ausgabe vo7i LhviPs Species pla7itarum {17 dS) begi7i7ien. Die No77ie7iklatur der anderen Pflanze7igruppe7i soll begi7ine7i mit. . . . ^ Art. 55 bis. Wenn zwei oder 77iehr Namefi für dieselbe Pflanze oder G}'uppe von Pflanzen m de7nselbe?i Werke gleichzeitig ver'öf- fe7itlicht wordeîi sind so ist der erste Na7ne {der Reihenfolge nach) als gültig zu bet7'achte7i und die folge7ide7i sind als Syno7iy7ne zu behandeln. Eine Ausnah77ie ist zu 7nachen, we7i7i der erste Na7}ie auf eine teratolo- gische oder pathologische Abäoiderung begrihidet ist. Art. 57. Wenn eine Sektion oder eine Art in eine andere Gat- tung, oder eine Varietät oder andere Unterabteilung einer Art mit demselben Rang in eine andere .Art versetzt wird, so sollte der Name der Sektion, der Name der Art oder der Unterabteilung der Art beibehalten werden, wenn keines der in Art. 62 und 63 angeführten Hindernisse entgegentritt. We?m jedoch bei emem Sper77iatophyt diese Regel ausser Acht gelasse7i worden ist, sollte die ber-eits geschafje7ie Kombination nicht durch eme iieue ersetzt iuerde7i, selbst we7m der Ziueck der letzte7'en die Wiederemsetzung eines älteren Na77iens der bet7yffende7i Art, U7iterart, Varietät oder For 771 wä7‘e. Art. 59. Niemand ist berechtigt, einen Namen oder eine Ko77ibi- 7iatio7i von Naonen zu ändern, weil derselbe oder dieselbe schlecht gewählt oder nicht angenehm oder weil ein anderer besser oder bekannter sei, oder weil em älteres Ho77i07iy77i das allge77iein als imgültig betrachtet wird, vorha7ide7i sei, oder aus irgend einem anderen angreifbaren oder geringfügigen Grunde. 1 Anmerk. Dieser Anfangspunkt der in die Nähe des Jahres 1800 zu verlegen ist, ist genauer durch ein Kommittee von Spezialisten in kryptogamischer Botanik, das durch den Internationalen Kongress zu ernennen ist, zu bestimmen. ^2 Unterzeichnet von Ames, Oakes, Dozent der Botanik, und Unterdirektor des Bota- nischen Gartens der Harvard-Universität. Farlow, William Gilson, Professor für kryptogamische Botanik, Harvard-Universität. Fernald, Merritt Lyndon, Dozent der Botanik, Harvard-Uni- versität, Assistent am Gray-Herbarium. Goodale, George Lincoln, Professor des Botanik, Direktor des Botanischen Gartens und des Botanischen Museums der Har- vard Universität. Greenman, Jesse More, Dozent der Botanik, Harvard-Universi- tät, Assistent am Gray-Herbarium. Jeffrey, Edward Charles, Ausserordentlicher Professor der Botanik, Harvard-Universität. Robinson, Benjamin Lincoln, Professor für systematische Botanik, Harvard-Universität, Curator des Gray-Herbariums. Seymour, Arthur Bliss, Assistent am Kryptogamischen Herbarium, Harvard-Universität. Thaxter, Roland, Professor für kryptogamische Botanik, Har- vard-Universität. Cambridge, Massachusetts, Ver. St. Amerika, den 27 ten Mai 1904. ZUSTIMMUNG DES BOTANISCHEN KLUBS FÜR NEU ENGLAND. Die vorhergehenden Abänderungsvorschläge haben die Zustim- mung des Botanischen Klubs für Neu England gefunden, und zwar mit 90 Stimmen dehn und 5 Stimmen dagegen. Collins, Frank Shipley, Vorsitzender. Williams, Emile Francis. ) Schriftführer. Rand, Edward Lothrop. ) Boston, den 9 Juni, 1904.