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' NN, * LOS # à PR : Le F 4 WE MU ty. . * L À Ÿ D ANNALES DES SCIENCES NATURELLES ZOOLOGIE ET PALÉONTOLOGIE COMPRENANT ANATOMIE, LA PHYSIOLOGIE, LA CLASSIFICATION ET L'HISTOIRE NATURELLE DES ANIMAUX PUBLIÉES SOUS LA DIRECTION DE M. A. MILNE-EDWARDS TOME XX PARIS G. MASSON, ÉDITEUR LIBRAIRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE 120, Boulevard Saint-Germain 1895 ER tr + c/1 se y = ? = 4, + ; LOS | A f } LL. te 2 LE COMMENSALISME CHEZ CERTAINS POLYPES MADRÉPORAIRES Par M. E.-L. BOUVIER. Dans une note récemment communiquée à l’Académie des sciences de Paris (94, p. 96) et reproduite, avec certains dé- lails, par le Naturalhste (94, p. 177), j'ai brièvement retracé les principaux traits de l'association mutualiste qui s’établit entre deux espèces de Vers géphyriens et des Polypes madréporaires des genres Heteropsammia et Heterocyathus. L'objet du présent travail est de décrire, aussi complète- ment que possible, l’histoire de ces curieux commensaux : mais avant de commencer l'exposé des recherches qui m'ont permis de l’élucider, je me fais un plaisir de relever d’abord intégralement la note suivante de M. le D’ Jous- seaume, le dévoué et savant naturaliste, qui a recueilli à Aden tous les matériaux de ce travail, et qui me les à obli- geamment communiqués. C'est dans le laboratoire de mon excellent maître, M. le professeur Perrier, que j'ai fait l'étude de ces matériaux et c’est dans les collections de ce laboratoire qu'ils seront conservés ensuite, M. Jousseaume désirant les voir figurer dans les galeries du Muséum. Note de M, Jousseaume. « Deshayes dans son catalogue des Mollusques de l'île de la Réunion publié en 1863, donne à la page 65, sous le nom de Cryptohia, la description d’un nouÿeau genre de Mollusque. « Pour comprendre l'erreur commise à ce sujet par un homme aussi profondément versé dans la science malacolo- ANN. SC. NAT, Z00L. xs À 2 E.-L. BOUVIER. gique, il est nécessaire de reproduire en entier ce qu'il dit à propos du genre Cryptohia: « Ceux des naluralistes qui se sont occupés des polypiers, en ont mentionné plusieurs de fort singuliers, recueillis dans les mers de Madagascar et de Bourbon. Ces polypiers sont pierreux, et contrairement à ceux quis’enrapprochent le plus, ils ne sont point adhérents, ils vivent librement au fond de la mer; cependant ils se ter- minent à leur partie supérieure par une cupule rayonnée tout à fait semblable à celle des Astrées, mais au côté opposé, au lieu de se terminer en pointe comme dans les Turbinolies, ils s’élargissent en une sorte d’empatement, formant une surface plane ou un peu convexe. Ces polypiers constituent plusieurs espèces, et MM. Edwards et Haime, dans leur dernière classificalion, ont proposé pour eux deux genres particuliers sous les noms de Âeteropsammia el de Hetero- cyathus ; dans le premier les parois latérales du polypier n’offrent aucune côte, mais seulement de fines anfractuosités, tandis que dans le second les parois sont garnies de côles assez saillantes dont la partie supérieure vient aboutir au rayon de l'étoile terminale. Nous n'avons pas à rechercher ici la structure de ces polypiers ; ce qui nous intéresse, c’est de les trouver tous associés à la coquille d'un Mollusque qui doit être très rapproché des Vermets ou des Serpu- lorbis. Il est, en effet, extrêmement remarquable de ne rencontrer jamais, et cela sans exception, un seul de ces polypiers sans qu’il porte à sa base un individu du mollusque dont nous parlons; mais il y a plus, c’est que le polypier et le mollusque sont toujours en parfait accord d’accroisse- ment; un Jeune polypier ne se rencontre jamais sur une coquille déjà vieille du mollusque. Il semblerait par là que ces sortes d'animaux éprouvent le besoin de se rencontrer et de se joindre dès les premiers moments de leur existence, el cel accord est un de ces faits merveilleux que nous offre souvent l'étude de la nature qui, dans son admirable sagesse, l'ail rapprocher et unir des êtres dont l'organisation semble se repousser, COMMENSALISME DES POLYPES. 3 « La présence du mollusque dans le polypier s'annonce à l'extérieur par une perforation oblique qui, dans les vieux individus, se montre à l'extrémité d’une espèce de talon ou prolongement ; dans les jeunes, cette perforation existe sur un point de la circonférence où elle produit une très faible proéminence. Si l’on examine à la loupe cette perforation, tantôt on la trouve formée dans le polypier comme si elle avait été moulée sur une partie molle, tantôt elle est garnie à l'intérieur d’un tube testacé, sécrété par le mollusque. Ces deux particularités annoncent deux espèces très distinctes, car elles ont ceci de très remarquable de se rencontrer sans mélange dans les deux genres que nous venons d'indiquer. Ainsi, dans les Æeteropsammia, l'ouverture est toujours dé- garnie de tube, tandis que le tube se montre toujours dans les Æeterocyathus. « Nous ne nous sommes pas arrêtés aux caractères exté- rieurs que nous venons de mentionner, nous avons usé sur une meule et coupé en différents sens plusieurs exemplaires de ces bizarres polypiers, et sans pouvoir détacher les co- quilles qu'ils renferment, nous avons pu du moins examiner l'intérieur. Comme le Vermet elle commence par une spire parfaitement régulière composée de cinq à six tours. Cette spire occupe le centre du polypier, et dans un de nos exem- plaires le plus heureusement coupé, elle est dirigée un peu obliquement à l’axe. Cette spire se continue par une autre spirale d'environ deux {ours, mais irréguliers et séparés les uns des autres; cependant ils se déroulent toujours dans un plan horizontal, et ce développement est probablement l’une des causes qui déterminent la forme de la base des polypiers. « Les parois du tube habité par le mollusque ne présentent pas celte surface lisse et brillante qui se rencontre particu- lièrement dans les tubes de Vermets ; il semblerait qu’elle est plutôt produite par la dissolution progressive de la matière du polypier dont le mollusque aurait comblé les porosités. Nous remarquons aussi que dans {ous les individus que nous 4 l E.-L. BOUVIER. avons ouverts, ordinairement du côté droit et en bas, il existe une série de perforations tantôt arrondies, tantôt un peu irrégulières, et que l’on voit passer à travers la sub- _stance du polypier et gagner la face latérale. Ces perfora- tions n’ont pas la régularité de celles qui existent dans les Siliquaires, mais elles rappellent qu'elles pourraient avoir le même usage, c'est-à-dire apporter directement le liquide ambiant sur les organes de la respiration. «Il nous a paru qu’une organisation aussi singulière méri- tait de former parmi les mollusques un genre particulier pour lequel nous proposons le nom de C>yptobia dont la signification est facile à comprendre. Dans ce genre nous ne connaissons que deux espèces : l’une qui est propre à l’Hete- ropsammia, et nous lui donnons le nom de Cryptohia he- Leropsammiarum ; l’autre que l’on ne trouve que dans l’Hete- rocyathus, nous lui donnons le nom de Cryptiobia Michelin, en l'honneur de notre ami M. Michelin, auquel la science est redevable de très bons travaux sur les polypiers, et auquel a été également dédié l’'Hétéropsammia le plus abon- damment répandu à l’île Bourbon. «MM. Edwards et Haime ont proposé de distinguer dans ces polypiers deux espèces, l’une sous le nom de Cochlea, l’autre sous Le nom de Michelini. Le premier est caractérisé, d’après ces naturalistes, par une moindre taille et par une étoile circulaire ; dans le Michelini, au contraire, l'étoile est comprimée latéralement avec une tendance manifeste à for- mer deux étoiles de plus en plus séparées. Il est à présumer que les auteurs que nous citons n'auront eu à leur disposi- lion qu'un très petit nombre d'échantillons, qui leur auront montré très nettement séparés les caractères que nous venons de rapporter ; mais M. Maillard ayant mis sous nos yeux un très grand nombre d'échantillons, nous avons pu élablir une série partant de l'étoile simple du CocAlea et arrivant à deux étoiles complètement séparées en passant par {ous les intermédiaires imaginables; de sorte que pour nous, ou il faudrait multiplier beaucoup plus les espèces, ou COMMENSALISME DES POLYPES,. J n’en laisser qu'une seule, et c'est ce dernier parti que nous prendrions si nous avions à décider de cette question, « Après les détails que nous venons de donner sur ces ani- maux intéressants, après avoir indiqué les caractères d’après lesquels les deux espèces se distinguent, nous ne croyons pas nécessaire d'ajouter une descriplion spéciale pour chacune d'elles, nous terminerons en regrettant que le mol- lusque associé au polypier n'ait pas été étudié sur le vivant ni même rapporté et conservé dans l'alcool. M. Maillard l'ayant quelquefois rencontré en extrême abondance, a cru qu'il devait être connu depuis longtemps des naturalistes et a jugé inutile, soit de l’observer vivant, soit d'en conserver l'animal.» «lLest regrettable que Deshayes, dans cette dissertalion sur le genre Cryptobia, où la partie descriplive est faite avec tant de détails et une aussi scrupuleuse exactitude, ne soit pas arrivé à une meilleure conclusion; celle d'attribuer à un mollusque le rôle qu'il fallait rapporter à un ver. Certes il n'est pas toujours facile de distinguer le tube d’un Vermet, de celui d’une Annélide. Je ne crois pas que, sans la pré- sence de l’animal, l’on puisse arriver à une détermination certaine pour les espèces dont le tube n’atteint pas la gros- seur d'un fil. « J'ai rencontré dans des blocs madréporiques des tubes d’Annélides de grande taille que j'aurais certainement pris pour la coquille d'un mollusque si je n’avais pas vu l'animal. Comme on n’a pas toujours l'animal pour se guider, j'ai dû rechercher à l’aide de quels caractères on pourrait différen- cier les uns des autres. Pour les mollusques les tubes ne sont qu’adhérents à l'enveloppe madréporique, de sorte qu’a- vec un peu de patience on peut toujours les isoler et les sorlir entiers. Ceux des Annélides, au contraire, sont si inti- mement unis par leur couche externe à la masse madrépo- rique, qu'il est impossible de les isoler et d’en obtenir la plus faible partie sans les briser. .« Quelques années après l'apparition du travail de Deshayes 6 E.-L. BOUVIER, sur l'ile de la Réunion, j'examinai à l’École des mines les types du Cryplobia, pour leur comparer des individus sem- blables recueillis, m’a-t-on assuré, en Nouvelle-Calédonie. J'avoue que, malgré la compétence et l'autorité du savant professeur du Muséum, il me fut impossible de partager sa manière de voir, el je laissai de côté ces pelits madrépores sans les placer dans ma collection, « Pendant le cours des mes excursions dans la mer Rouge, je trouvai sur les plages d’Aden des individus morts des deux polypiers étudiés par Deshayes; saisissant l’occasion qui se présentait, je mis tout en œuvre pour me les procurer vivants. Après bien des tentatives infructueuses, j'en pris d’un coup de drague, par un fond de 8 à 10 mètres, plusieurs individus que je plaçai dans un large flacon rempli d’eau de mer. « La teinte grise et terne que l’on observe sur les individus morts avait pris de l'intensité et du brillant ; une légère teinte rosée, se noyant dans la couleur grise, en rehaussait le ton. «La couronne étoilée qui sortait du disque calcaire, comme la fleur sessile d’une Echinocactus, brillait d’un rose vif. La saillie des arêtes, d’une teinte plus claire et mouchetée à la périphérie de petits traits noirâtres, la divisait en rayons dans sa partie externe, et au centre une petite ouverture elliptique, intérieurement ciliée de papilles et bordée d’un liséré jaune clair, complétait l'illusion. Mais l’on chercherait en vain sur la corolle de nos plus belles fleurs la couleur mystérieuse de cet ensemble, où le jaune orange se mêlail au rose pâle. «Tous ces bijoux de la nature, placés sans ordre dans le vase où je les avais mis, occupaient des positions diffé- rentes, les uns la couronne en bas et les autres renversés sur le côté ou dans leur position normale. C'est ainsi qu'ils furent déposés sur ma table au retour de mon excursion. «Le lendemain je les retrouvais tous la couronne en l'air el isolés les uns des autres, et cependant un triple rang d'individus étaient tassés au fond du vase; en ce moment un COMMENSALISME DES POLYPES. 7 calme absolu régnait dans la colonie, et je ne pouvais m'ima- _ giner quelle main de fée avait présidé à ce rangement. « Pour la voir à l’œuvre, je délruisis l'édifice el je fis prendre à mes prisonniers les différentes posilions qu'ils occupaient le jour précédent. Après une atlente de quelques minutes, je vis sorlir de {ous les madrépores qui occupaient une position anormale un petit corps cylindrique d'un gris clair et un peu transparent, de moins de 2 millimètres de diamètre ; souple et mobile, ils’allongeaitlentementetrecher- chait un point solide pour s'y fixer. C’est à son extrémité, un peu plus transparente que le reste du corps dans uné longueur de 3 millimètres environ et terminée en pointe mousse et arrondie, que se faisait l’adhérence. La longueur de ce pelit ver dépassait à peine d’une fois et demie le diamètre du corps madréporique. « Après plusieurs lâtonnements et un appui trouvé sur les parois du vase ou sur l’un des madrépores voisins, il s’y cramponnait en se servant d'un procédé qu'il m'a été impos- sible de découvrir. Son extrémité libre une fois fixée, 1l tirait en se contractant le petil corps mobile du polypier, et sans trop d’effort et avec assez de rapidité, il le remettait sur place, sa couronne en l'air et isolée. « La facilité avec laquelle ce vermisseau faisait mouvoir une masse aussi disproportionnée avec la ténuité de son corps me surprit et devint un problème dont je cherchais la solution. Je pris un de ces madrépores dont la confor- mation m'avait déjà frappé : leur base plane ou légère- ment convexe, leur contour saillant, épais et arrondi se prolongeant comme un talon saillant sur Fun des côtés, leur couronne excavée et découpée en lamelles se dressant en retrait au-dessus des bords, me semblaient offrir toutes les condilions désirables pour qu'au moindre effort la base, beaucoup plus lourde que la couronne, vint se placer à la partie inférieure. «Pour m'assurer si ces prévisions seraient confirmées par l'expérience, j'introduisis l’extrémilé d’une ficelle mince et 8 E.-L. BOUVIER. souple dans l'ouverture située à l'extrémité et au-dessous de la partie rostrée du madrépore. C’est par celle ouverture que j'avais vu sortir le prolongement du ver; saisissant la ficelle à une distance à peu près égale à celle de ce prolon- gement, je la tirais sans effort en lui imprimant un léger mouvement de rotation; sous l'impulsion de ce double mou- vement le petit disque madréporique, dans n'importe quelle position, reltombait sur sa base. « La conformation parliculière de ces petits madrépores, facilitant et allégeant la tâche de leur commensal, aurait lieu de nous surprendre si nous n’étions pas habitués à l'admirable perfection et à l'harmonie de tout ce qui, dans la nature, concourt vers le même but. « Les deux êtres si différents dont je viens de signaler l'association sont appelés, comme deux frères siamois, à parcourir ensemble l'étape de leur existence. « L'on peut s'assurer par l'examen des madrépores à tous les âges que celte association commence au début de la vie, et comme je l’ai constaté, que la mort de l'un des associés entraîne la perte de l’autre. Au quatrième jour de leur capti- vité, la mortalité vint fondre sur ma colonie, et les deux êtres s’éteignaient ensemble ; mais souvent, avant de mourir, le ver abandonnail la loge protectrice que lui offrait le madré- pore. | «A cemomentsuprêmeavail-ileu conscience desa faiblesse, el se sentant désormais inutile, abandonnait-il son compa- gnon d'existence avec l'espoir qu’un individu plus vigoureux viendrait prendre sa place? ou cette séparation avait-elle pour cause la mort prématurée du polypier dont la décomposition lui eûl été dangereuse ? L’on peut tout supposer; car, dans chaque animal, l’inslincl qui préside à l’accomplissement de tous les actes de la vie qui lui sont propres est si développé, qu'ils frisent de bien près l'intelligence. Mais, notre esprit ne pouvant franchir les limites de notre espèce, il nous est impossible d'apprécier le degré d'intelligence des animaux qui nous entourent. COMMENSALISME DES POLYPES. 9 «Lesactesqueje viens designalernemeparaissent cependant pas soumis à l'instinct, et l'hypothèse qui me paraît le plus en harmonie avec les faits observés, et que l’étude anatomique de ces deux conjoints confirmera peut-être, serait basée sur la communauté de certains actes vitaux. Je crois que la mort de l’un éteint pour l’autre certains éléments de vi- talité tenant à la vie commune et, pour le cas présent, c'est, pour moi, dans l’acte de la respiration qu'il faudrait en cher - cher la cause. « Cette commensalité de deux êtres se rendant de muluels services est beaucoup moins rare qu'on ne le suppose; je viens, dans mon manuscrit sur la faune malocologique de la mer Rouge, d’en signaler un autre exemple, c’est celle d’une huître habitante des marécages qui, contrairement aux au- tres espèces, choisit pour demeure des corps mobiles, et donne la préférence aux coquilles des gastéropodes sur le dos desquels elle se fixe; elle évite par ce moyen l’ensa- blement, et profite des déplacements de sa monture pour éluder la loi de fixité que la nature semble avoir assignée aux espèces de cette famille. Pour le gastéropode elle devient une égide, lorsqu'à marée basse il s'enfonce dans le sable ne laissant à la vue que la partie dorsale de sa coquille : par sa couleur et sa forme qui s’harmonisent avec le sol et les corps environnants, l'huître masque si bien le gastéropode qu'il peut, sans crainte d’être découvert par l’un de ses nombreux ennemis, attendre en toute sécurité le retour de la marée. « Cette association de convenance mutuelle est loin d’être aussi constante et aussi intime que celle du Polypier et du Ver dont je viens de raconter l’histoire. » Maintenant que nous connaissons les idées de Deshayes et les observations de M. Jousseaume sur le commensa- lisme des Madréporaires, il me reste à relater Les recherches que j'ai pufaire sur le même sujet. Les Madréporaires. — Ce n’est point à Deshayes, mais 10 E.-L. BOUVIER. bien à H. Milne-Edwards et Jules Haime qu'il faut attribuer l'idée d’un commensalisme entre cerlains Polypes madré- poraires et des Mollusques gastéropodes. Dans leurs Recherches sur les Polypiers, ces auteurs étudient deux espèces d'Imperforés, l’Aeterocyathus æquicostatus et l'A. Roussæanus qui, disent-ils, « sont très remarquables, en ce qu'elles sont conslamment fixées, sur une petite coquille trochoïde. Le tissu du os s’accroissant, finit par envelopper complèlement cette coquille, et on ne voit plus au dehors qu'une petite ouverture circulaire pour le passage de la tête du Mollusque ainsi emprisonné » (48, p. 324). Ils décrivent également un Madréporaire per- foré, l'Heteropsammia Michelini, qui « rappelle tout à fait le genre Hétérocyathe par ce fait remarquable de parasilisme sur une coquille qui est Rp par le sclérenchyme. » (48°, p. 89.) L'étude de ces Madré po a da élé complètement reprise par les mêmes auteurs dans leur Âistoiwe naturelle des Polypes coralliaires, et ils les divisent en quatre espèces qu'ils rangent dans les groupes zoologiques suivants : / 10 Heterocyathus æquicostatus, H. Section des Madré- M.-Edwards et Haime (57, p. 51). poraires apores.. 20 Slephanoceris Rousseaui, H. M.- Famille des Fongides.../ Edwards et Haime — Hetero- cyathus Roussæanus (60, p. 51). . .. . | 80 Heteropsammia Michelini, H.M.- Section des Madré- MR des Madrépori | DE et Haïime (60, p. 105). poraires perforés. SL an ASE D Ja Heteropsammia cochlea, Spen- PRE ne A bRRe . gler (1781, p. 240, fig. a-c). Famille des Turbinolides. Grâce à l’obligeance de M. le professeur Edmond Perrier, Jai pu éludier les quatre espèces précédentes sur les types mêmes de Milne-Edwards et Jules Haime ; j'ai comparé ces Lypes avec ceux qu'a bien voulu me communiquer M. Jous- seaume el j'ai pu constater que ces derniers appartiennent tous à la quatrième de ces espèces, l’Heteropsammin cochlea, sauf l'un d'eux qui est un spécimen très caractéristique de Stephanoceris Rousseaui. À ces matériaux, j'ai pu ajouter ® COMMENSALISME DES POLYPES. 11 trois petits spécimens d'un /Æeteropsamnua fossile et proba- blement indéterminé, qui provient des faluns miocènes de Dax; ces spécimens appartiennent aux collections du Mu- séum, et m'ont été signalés par M. Bernard, l’un des assis- tants de la chaire de M. Perrier. Des cinq espèces qui ont servi à mes recherches, deux seulement sont représentées par des spécimens dans l'alcool et renferment encore leur commensal, ce sont le Stepha- noceris Rousseaui et l’'Heteropsammia cochlea que M. Jous- seaume a recueillis à Aden, par 10 mètres de profondeur ; — la troisième est l’Heteropsammia fossile des faluns de Dax ; — les deux dernières sont l’Heterocyathus æquicostatus de l’île Bourbon et l'Heteropsammia Michelini des mers de Chine ; je n'ai pu les étudier que sur les spécimens secs des collections du Muséum. L'Heteropsammia fossile est représentée par des spécimens lrop jeunes*pour se prêter à une description rigoureuse, mais il n’en est pas de même de l’A. cochlea. Milne-Edwards el Jules Haime n’ont vraisemblablement possédé, de cette dernière espèce, que le spécimen en assez bon état qu'on trouve encore actuellement dans la collection; aussi se bornent-ils à la caractériser en disant qu’elle diffère de l'A. Michelin « par la forme de son calice et par la ma- mère dont les cloisons des 2° et 3° cycles sont unies entre elles par un tissu spongieux, tandis que les cloisons pri- maires restent libres » (48, p. 105). Cette description étant très incomplète, je pense qu'il y a intérêt à en donner une nouvelle d’après Les nombreux spécimens recueillis à Aden par M. Jousseaume. Le polypier de l’Æ. cochlea est plus petit que celui de VA. Michelin, mais il lui ressemble parce qu'il est très court et parce que sa base est plus large que le calice. Ce- lui-ci est régulièrement ovalaire et ne présente jamais l’é- tranglement médian qui est caractéristique del’H. Michelini ; le rapport de ses axes est en moyenne de 85 à 60. La co- lumelle est bien développée, anfractueuse, comme corrodée, 12 E.-L. BOUVIER. et occupe le fond de la fossette qui est assez profonde; au lieu d’être légèrement saillante etbien limitée comme dans l'H. Michelini, elle est un peu déprimée el se continue régulièrement dans les cloisons. Grâce au grand développe- ment en hauteur et en épaisseur des cloisons primaires, les. groupes de cloisons sont très distincts et diffèrent beaucoup, à ce point de vue, de ceux de l'A. Michelin; les deux cloi- sons situées l’une à droite, l’autre à gauche de chaque cloison primaire, sont très minces et beaucoup moins élevées, elles s'unissent parfois un peu, du côté de la columelle, à la cloison primaire voisine, mais ne présentent que peu ou pas de rela- tion avec la cloison tertiaire, épaissie mais peu saillante, qui occupe l'ouverture de l’angle ainsi formé. Le bord externe de toutes ces cloisons est d’ailleurs beaucoup moins oblique que celui des cloisons de l'A. Michelini. Perforation et tube du polypier. — Milne-Edwards et Jules Haime ont connu, avant Deshayes, les perforations du poly- pier des Heterocyathus et des Heteropsammia, mais ils ne les ont pas décrites, et ils se sont conteniés d’en donner deux excellentes figures (48, pl. X, fig. 8 et 9). Deshayes les a étudiées avec plus de détails, et observe à juste titre qu’elles sont situées « ordinairement du côté droit et en bas ». J’ajouterai qu’elles sont toujours peu nombreuses vers la face antérieure, qu'on en trouve toujours en arrière et en dessous (fig. 4), qu’elles apparaissent déjà chez des jeunes dont la coquille est à peine recouverte, enfin, qu'elles tra- versent la masse du polypier et ne paraissent en aucun cas intéresser la coquille. Comme je l'ai dit dans une note anté- rieure (94, p. 96), il est probable que ces perforations ré- sultent de la dissolution du calcaire du polype par un agent acide sécrété dans les téguments du commensal ; s’il en est ainsi, on comprend qu'elles doivent se produire surtout dans les parties où la cavité qu’habite ce dernier est le plus voisine de la surface, et c’est là ce qu’on observe, en effet, la sole basilaire du polypier, sa face postérieure et ordinairement aussi son côté droit se trouvant à une faible distance de la COMMENSALISME DES POLYPES. 13 cavité interne (1). Les perforations, d’ailleurs, sont toujours linéaires et presque régulièrement cylindriques; elles sont assez étroites, et larges tout au plus assez pour se laisser tra- verser par un gros CrIn. Pour bien comprendre l’origine et la structure de la cavité interne du polypier, ilest bon de posséder un grand nombre de spécimens de tout âge et de passer successivement des plus jeunes aux adultes. Dans la très jolie collection d’AHetercp - sammia cochlea que m'a communiquée M. Jousseaume, le po- Fig. 1. — Petite coquille de Marginelle avec les deux commensaux. Début de l'association. lype le plus petit est fixé sur une coquille de Marginelle (fig. 5, pl. L, et fig. 1 du texte), il en recouvre la moitié antérieure et dorsale, mais il a déposé une couche calcaire granuleuse sur d’autres parties de la surface et jusque sur les bords de l’orifice de la coquille. Celle-ci ne renferme plus le Mollus- que qui l’a formée ; elle est en partie occupée par un petil ver qui fait un peu saillie à l’orifice et qui est entouré, dans cette région, par un tube calcaire cylindrique. Les pa- rois de ce tube ne sont ni lisses, ni brillantes comme celles de la coquille ; elles n’en ont pas davantage la structure et ont été certainement formées par le ver qu’elles entourent. — Dans un spécimen un peu plus âgé, la coquille est presque entièrement recouverte par le polypier (fig. 6), mais elle fait (1) D’après M. Jousseaume, ces perforations seraient produites par des cils ou des prolongements de l'enveloppe cutanée, qui seraient, comme le Ver, enveloppés par le madrépore ; une action chimique ne pourrait pas agir avec une si grande régularité. 14 E.-L. BOUVIER. encore fortement saillie sur la base de ce dernier, et présente tous les caractères essentiels d’un Cérithe de petite taille. D'ailleurs le tube existe encore, mais il est entouré par le tissu calcaire du polypier et vient s'ouvrir en avant à la base de ce dernier. — Des spécimens légèrement plus grands (fig. 7), enveloppent déjà complètement la coquille, dont pourtant on distingue encore assez bien les contours; tantôt celte coquille paraît appartenir à un Cérithe, tantôt c'est une petite coquille de Natice ou de Littorine naticiforme. Le Polype, évidemment, se fixe sur les petites coquilles vides Fig. 2. — Coupe horizontale schématique au niveau du tube et de la coquille. qu'il rencontre, quel que soit le genre auquel elles appar- tiennent. La taille du Polype augmentant, la coquille cesse d’être sensible au dehors, mais on peut encore en apercevoir des traces en usant le polypier sur une meule fine (fig. 2 du texte) ; le plus souvent d’ailleurs, elle finit par disparaître complètement, résorbée par l’un ou l’autre des deux com- mensaux, el peut-être par tous les deux à la fois. Le polypier se présente alors sous la forme qu'a décrite Deshayes ; il est traversé par une cavité spirale à tours dis- joints dont les parois sont {apissées par un tube ; ce dernier, comme l'a fort bien vu Deshayes, « ne présente pas celte surface lisse et brillante qui se rencontre particulière- ment dans les {ubes de Vermets », et sa forme seule a pu le COMMENSALISME DES POLYPES. 15 faire prendre par Deshayes pour une coquille de vermétidé. Ce tube est intimement adhérent à la masse calcaire qui l'enveloppe, comme les tubesd’Annélides dont parle M. Jous- seaume ; il ne diffère d’ailleurs en rien des tubes plus évi- dents, et en partie libres, des spécimens jeunes que J'ai men- lionnés plus haut, et il y a lieu de l’attribuer, comme ces derniers, au commensal du Polype. Dans les spécimens de moyenne taille, le tube arrive encore jusqu’à l'orifice externe de la cavité qu'il tapisse ; chez les adultes, il ne l'atteint pas tout à fait et devient de plus en plus mince à mesure qu'il s’en rapproche. Au reste, à partir d'une cer- taine dimension, le polypier se mocifie beaucoup dans la région de l’orifice ; il est plus développé, saillant et forme une sorte de talon ou d’empatement, semblable à celui qu'a signalé Deshayes dans l’Heterocyathus æquicostatus et dans l’Heteropsammia Michelin. Les recherches que j'ai pu faire sur ces deux dernières espèces se limitent à des spécimens adultes et desséchés de la collection du Muséum. Au point de vue de ses perforations et de son tube, l’Æ. Michelini ne diffère en rien de l'A. cochlea et présente, comme lui, un talon très développé. Dans l'Heterocyathus æquicostatus, au contraire. le talon est assez faible, mais le tube se prolonge, comme l’a observé Deshayes, jusqu’à l’orifice externe. Il se fait remarquer d’ailleurs par son épaisseur assez grande, par son apparence légèrement cornée, ainsi que par les stries transversales de croissance qu’on observe à son intérieur. Il en est de même dans un spécimen de Sfephanoceris Rousseaui rapporté par M. Jous- seaume; mais, dans le spécimen de cette espèce qui se trouve dans la collection du Muséum, le tube est remplacé par une très mince incrustation calcaire. Peul-être ces deux polypiers n’appartiennent-Hs pas, en réalité, à la même espèce. | 1: Les spécimens d’Heteropsammia fossiles que j'ai pu étudier sont tous très jeunes et fixés sur des coquilles de Céri- thes (fig. 23); les uns ne recouvrent qu’une faible partie de 16 E.-L. BOUVIER. la coquille, les autres l’'enveloppent tout entière à l’excep- tion de la pointe. Le tube ressemble iout à fait à celui des Heterocyathus el des Stephanoceris ; avant d’êlre entourépar le squelette du Polype, il tapisse la partie terminale de la coquille, mais ne paraît pas remonter bien loin à l'intérieur de cette dernière. Des observations qui précèdent, il résulte bien nettement: 1° que le Polype et son commensal choisissent, l’un pour sup- port, l'autre comme abri, une coquille vide de Gastéropode ; 2° qu'ils s'adressent à un Gastéropode quelconque pourvu que sa coquille soit petite; 3° que le tube spiral qui fait suite à la coquille n'appartient en aucune facon à cetle dernière, mans est sécrété par le commensal du Polype, au fur et à mesure que ce dernier se développe ; 4° enfin que le commensal du Polype n’est pas un Mollusque et qu'il y a lieu de rejeter, avec M. Jousseaume, le genre Cryptobia de Deshayes. Vers commensaux des Polypes. — M. Jousseaume a seul observé à l’état vivant le Polype et son commensal. « Je vis sortir, dit-il, de tous les madrépores, un petit corps cylin- drique d’un gris clair et un peu transparent de moins de deux millimètres de diamètre. Souple et mobile, il s’allon- geait lentement et recherchait un point d'appui solide pour s’y fixer (fig. 3 du texte). La longueur totale de ce petit ver dépassait à peine une fois et demie le diamètre du corps madréporique. » Comme on le verra plus loin, il est facile de ranger parmi les Vers le commensal du lPolype, etilya lieu de considérer comme sa trompe la partie grêle et souple que M. Jousseaume a vue s’allonger au dehors. Les commensaux des Polypes recueillis à Aden, en effet, appartiennent aux Géphyriens du groupe des Sipunculides et, comme {ous les Vers de ce groupe, sont munis en avant d'une trompe rétractile très allongée. Ils présentent deux boucliers formés de très petites pièces cornées, l’un posté- rieur et terminal, l’autre situé en avant de l'anus; l’exis- tence de deux boucliers chez ces Vers justifie la place que Je leur ai antérieurement attribuée parmi les Sipunculides du COMMENSALISME DES POLYPES. 17 genre Aspidosiphon Grube; comme les autres espèces du même genre, d’ailleurs, ils se font remarquer par la présence de nombreux crochets ordinairement disposés en cercles à la surface de la (trompe, el par l’origine de celle dernière qui ne naît point au milieu du SA anal, mais excentrique- ment, du côté ventral. Dans la nole préliminaire (94) que j'ai sie sur les Polypes madréporaires el leurs commensaux, je croyais à Fig.3. — Heleropsammia cochlea et Aspidosiphon commensal. tort que les espèces rapportées par M. Jousseaume étaient l’'Heterocyathus æquicostatus et l'Heteropsammia Michelini signalés par Deshayes, et comme je croyais d'autre part, également à tort, que chaque polype a un Aspidosiphon commensal particulier, je proposai, pour ne point compli- quer la synonymie, de donner aux Aspidosiphons des deux polypesles noms spécifiques que Deshayes avait attribués à ces prétendus Mollusques; c’est ainsi que le nom d’A spidosiphon Michelin fat attribué aux commensaux de l’Heterocyathus æquicostatus, et celui d'A. Heteropsammiarum à celui des Heteropsammia. . ANN. SC. NAT. ZOOL. Le 2 ES E.-L. BOUVIER. En réalité, les polypes recueillis à Aden par M. Jousseaume appartiennent à deux espèces non signalées par Deshayes, le Stephanoceris Rousseaui et V'Heteropsammia cochlea, et ces polypes peuvent avoir pour commensal l’un ou l'autre des deux Aspidosiphons que J'ai signalés. Voici comment j'ai pu mettre en évidence ce dernier fait et rectifier l'opi- nion contraire que j'avais émise dans ma note préliminaire : Les spécimens recueillis par M. Jousseaume, et conservés dans un flacon d'alcool, se composaient d’une trentaine d’in- dividus d’ÆHeteropsammia cochlea et d’un seul de Stephanoceris Rousseau : les Vers commensaux de ces Polypes étaient pour la plupart cachés dans leur tube, mais quelques-uns en avaient été chassés par l'alcool el se trouvaient hibres au fond du flacon. Ce sont ces derniers qui servirent d’abord à mes recherches, et, comme ils appartenaient tous à la même espèce, sauf un seul, je crus que l’Aspidosiphon différent élait le commensal du Polype dont je n'avais qu'un seul spécimen, et que tous les autres provenaient des Æeferopsammia. D'ailleurs, ayant brisé six ou sept Polypes de cette dernière espèce, j'y trouvai toujours l'espèce d’'Aspidosiphon commune, ce qui parut con- firmer encore ma première opinion. Toutefois, pour plus de certilude, je pris la résolution d’ouvrir le spécimen unique de Stephanoceris Rousseau; cela m'ennuyait beaucoup, parce qu'il était beau et méritait de figurer dans la collection du Muséum; mais comme il importait bien plus de savoir si, réellement, chaque espèce de Polype a son espèce particu- lière de Ver commensal, je sacrifiai le Polype sans trop le détériorer, el je ne fus pas médiocrement surpris en y trou- vant un Aspidosiphon en tout semblable, à mon avis, aux nombreux spécimens de la même espèce que j'avais tirés des Heteropsammia cochlea. Ce fait important prouvait, d’une ma- nière manifeste, que /a même espèce d'Aspidosiphon peut vivre en commensalisme avec deux Polypes différents ; mais si l'on observe d'autre part que M. Jousseaume n'avait mis dans le flacon aucun Ver libre, et que, cependant, on y trouva un Aspidosiphon d'espèce différente, il faut bien admettre que COMMENSALISME DES POLYPES. 19 ce dernier provenait de l’un ou l’autre des spécimens d'Aete- r'opsammia cochlea et que, par conséquent, /a même espèce de Polype peut vivre en commensalisme avec deux espèces dhjféren- tes d'A spidosiphons. Si les deux commensaux ne sont point liés spécifique- ment l’un à l’autre, ils le sont très fortement, au con- traire, par leur genre d'adaptation particulier. Associés de bonne heure, ils se développent simultanément, chassent d'un commun accord, se moulent enfin si exactement l’un sur l’autre qu'ils deviennent inséparables, et, comme l'a constaté M. Jousseaume, ne survivent pas à leur sépa- ration. | Malgré l’adaptation étroite des deux commensaux, leur indépendance spécifique est telle qu'il n’est pas possible de déterminer l’un quand on connaît exactement l'autre. Aussi n’y a-t-il pas lieu de changer les noms d'espèces que j'avais proposés pour les Aspidosiphons commensaux des Polypes d’Aden, et je conserverai le nom d’A. Heteropsam- miarum à celui qui prédomine dans les Heteropsammua, bien qu’on le trouve aussi dans les Siephanoceris, et celui d'A. Michelini au spécimen unique dont le commensal était un ÆHeteropsammia cochlea. 1° Aspidosiphon Heteropsammiarum sp. nov. — Cette es- pèce (fig. 1 et 2) ressemble beaucoup à l'A. ravus Sluiter (86, p. 495) de la Malaisie, mais elle est beaucoup plus petile, car elle atteint au plus 1 centimètre de longueur et 2 milli- mètres et demi de largeur dans les spécimens plus ou moins contractés que J'ai étudiés, tandis que l’espèce de Sluiler a 3 centimètres de longueur et 5 mill. 4 de largeur. La cou- leur des spécimens dans l'alcool est très variable; brune ou noirâtre en avant, la peau devient de plus en plus claire en arrière et parfois même irisée ou tout à fait blanche. Le bouclier antérieur (fig. 9), comme celui de l'A. ravus, est beaucoup plus épais et plus fortement coloré en brun que le postérieur, mais il est, par contre, plus grand que ce dernier et il présente un double système de sillons : des sillons lon- 20 E.-L. BOUVIER. oitudinaux en arrière, des sillons transversaux en avant, qui manquent complètement chez l'A. ravus. Le bouclier posté- rieur (fig. 8) paraît avoir la même structure dans les deux espèces ; toutefois ses sillons radiaires, d’après la description de Sluiter, doivent être beaucoup moins apparents chez l'A. ravus; dans notre espèce, ils sont toujours bien mar- qués et s’apercoivent avec beaucoup de netteté à un très faible grossissement. Les deux boucliers ont d’ailleurs la même constitution élémentaire et se composent d'un très grand nombre de petites pièces juxtaposées qui sont minces et Jaunâtres dans le bouclier terminal, brunâires et relativement épaisses dans le bouclier anal. Les corpus- cules de la peau sont également constitués par une matière cornée; en avant ils ressemblent beaucoup aux pièces du bouclier anal et sont en très grand nombre placés côte à côte, séparés même par des sillons longitudinaux qui rappellent ceux des boucliers; 1ls s'organisent fréquemment en amas circulaires (fig. 10 et 11) de petites pièces concentriques, au centre desquels est un point noir qui représente l’orifice d'une glande; cette disposition est identique à celle qu'a figurée Selenka dans l'A. AXlunzingeri (84, PI. XIIL, fig. 189) et à celle que Sluiter donne comme caractéristique des corpuscules de l'A. ravus. Dans notre espèce, toutefois, des corpuscules semblables ne s’observent qu'au voisinage du bouclier anal; partout ailleurs on trouve çà et là de petits corpuscules (fig. 14) annulaires ou en forme de croissant qui rappellent à beaucoup d’égards certains corpuscules figurés par Selenka chez l’A. venabulum (84, PI. XIV, partie gauche de la figure 202). Les plus grands de ces corpuscules ont de 60 à 70y, les plus petits 30 à 40: en avant et en arrière, ils sont ordinairement annulaires ou en croissant presque fermé; en arrière, le croissant s'échancre de plus en plus et se réduit parfois à quelques pièces isolées. Au centre, comme d'ordinaire, on trouve le point noir signalé plus haut. Les crochets de la trompe (fig. 12, 13, 15) sont plus petits que ceux de VA. ravus; les plus grands sont situés à la base et COMMENSALISME DES POLYPES. 24 au milieu de la trompe et atteignent rarement 35 v; les plus petits (fig. 12) occupent l'extrémité antérieure et mesurent en moyenne 20 w. Tous ces crochets sont remarquables par l'étranglement en biscuit de leur base (fig. 13); ils sont d’ailleurs à une seule pointe comme ceux de l'A. ravus, mais ne paraissent pas remplacés à la base de la trompe par les assemblages de deux pièces cornées qu'a décrits et figurés Sluiter chez l'A. ravus. Les tentacules sont très petits el ne s’aperçoivent que très rarement dans les spéci- mens que J'ai étudiés; chez beaucoup d’entre eux, d'ailleurs, la trompe était dévaginée et beaucoup plus eue que k corps (fig. 1). Les muscles longitudinaux forment une nappe continue, mais se séparent imparfaitement en avant en un grand nombre de petits faisceaux peu distincts. Par ce caractère, comme par la bifurcation du muscle rétracteur de la trompe et par la présence de deux longs organes segmenlaires, notre espèce ressemble beaucoup à l’A. ravus, mais elle s’en distingue pas des caractères importants. Le muscle rétrac- teur (fig. 3,m), par exemple, au lieu de se bifurquer vers le milieu du corps comme dans l’A. ravus, ne se divise qu’en avant et à une faible distance de l’anus, chez les animaux les moins contractés; la largeur de ses deux racines varie d’ailleurs beaucoup suivant l’état de contraction de l'animal, mais elles viennent toujours se fixer sur la partie inférieure du bouclier terminal (4). Les crganes segmentaires (n) sont libres sur le quart inférieur de leur longueur dans notre espèce, sur la moitié dans l'A. ravus ; leur calibre varie beau- coup, et présente, suivant les individus, des déformations nombreuses; ils sont toujours grêles, et présentent en avant un pavillon très visible. L'intestin (i) est plus long chez l'A. Heteropsammiarum que chez l’A.ravus, car il présente de 25 à 30 tours de spire, tandis qu’il n’en a que 18 dans cette dernière espèce; en arrière 1l se fixe sur le bord du bouclier terminal par un muscle columellaire fs), en avant il présente deux 29 E.-L. BOUVIER. brides (m',m") semblables à ce muscle, l’une qui se fixe près de l’anus et l’autre près de la chaîne nerveuse. Les tours de spire postérieurs de l'intestin sont ordinairement dilatés, et ceux du milieu les plus grêles de tous; l’æsophage est fort mince, mais muni parfois d’une légère dilatation; le rectum présente un diverticule {c) qui se fixe aux téguments voisins par un assez fort trabécule (7). Ce diverticule existe également dans l'A. ravus; je l’ai toujours trouvé bien déve- loppé, sauf dans l’Aspidosiphon commensal du Psammoceris Rousseau. 2° Aspidosiphon Michelini sp.nov.—L’A. Michelini (Gg.16) ressemble surtout à une espèce de la côte occidentale de Suède, l'A. mirabilis Théel (75, p. 17, PL L, fig. 6, et PI. INT, fig. 12-15), mais il s’en distingue au premier abord par sa laille, qui est un peu plus faible que celle de l’A. Hetero- psammiarum, landis que l'espèce de Théel a très sensiblement les mêmes dimensions que l'A. ravus. La couleur de l'A . rura- bilis est Le jaune brun clair, celle du spécimen que je possède est plutôt le brun foncé; dans les deux espèces d’ailleurs, la couleur de la peau passe au brun par suite de nom- breuses petites élévalions cornées, d'aspect noirâtre, qui sont annulaires dans l'A. mérabilis, et plus ou moins ovales dans le spécimen d’Aden; dans les deux espèces également ces corps « sont de dimension variée et particulièrement rapprochés les uns des-autres dans le voisinage de l'orifice anal et du bouclier antérieur. A l'examen microscopique, on reconnaît (fig. 20) qu'ils consistent en une quantité de plaques de différentes dimensions, qui, très voisines les unes des autres ou bien séparées par un intervalle notable, environnent circulairement les pores qui conduisent dans les follicules placés partout dans la peau. » Dans l'individu qui fait l’objet de cetle diagnose, ces corps se devinrent à l’œil nu el très bien à la loupe parce qu'ils sont logés au fond d’un entonnoir que limite une sorte de bourrelet épais et noir de la peau; les petites pièces qui les forment sont jaunes, très peliles, el deviennent plus rares et plus éloignées les COMMENSALISME DES POLYPES, 23 unes des autres, à mesure qu’on s'éloigne de l’extrémitéanté- rieure du corps. Ces corps ont en moyenne 65 y de largeur et 100 au moins de longueur. A l'inverse de l'espèce précédente et de l'A. mürabilis, le bouclier postérieur (Gg. 18) est un peu plus grand que le bouclier anal; il est d’ailleurs nettement conique, brun, parfaitement limité sur son contour et creusé de profonds sillons radiaires qui ne se rencontrent pas au centre. Le bouclier anal (fig. 19) est ovalaire, et ne paraît pas différer beaucoup de celui de l'A. mérabilis; il est sillonné longitu- dinalement en arrière, mais ces sillons sont plus courts el moins réguliers que ceux de l’A. Heteropsammiarum ; en avant, les sillons longitudinaux se combinent à des sillons transverses qui divisent la moitié antérieure en aires irrégu- lièrement quadrangulaires ; au voisinage de la trompe, ces aires sont remplacées par des saillies variables et même par des sortes de piquants. Les crochets de la trompe (fig. 21, 22) sont extrêmement nombreux et disposés en séries circulaires autour d'elle. Ils sont unicuspides et à peu près aussi longs que larges comme ceux de l'A. mirabilis, mais ils sont beaucoup plus grands, leur longueur varie en effet de 20 à 50 w, tandis que celle des crochets del’À .mrabihs est en moyenne de 14. Comme dans l'A. Heteropsammiarum, les plus petits (fig. 22) se trouvent vers l'extrémité de la trompe. L’A. Michelin ressemble à l'A. murabilis par sa couche de muscles longitudinaux continue, par les brides muscu- laires longitudinales qu’on observe sous le bouclier anal, par la présence de deux organes segmentaires (fig. 17, 12), par la division en deux du rétracteur (m) de la trompe, enfin par l'absence de tout cæcum rectal. Mais d’après la figure d'anatomie qu'a donnée Théel (75, fig. 12), il est facile de mettre en évidence des différences importantes entre les deux espèces; l'intestin (i) paraît beaucoup plus court dans l'A. Michelin, car il ne compte que 22 tours au lieu de 28, l’æsophage (æ) est beaucoup plus grêle, les rétracteurs (") 24 «Cl E.-L. BOUVIER. de la trompe se divisent. tout à fait en avant, et non près du bouclier anal, enfin les organes segmentaires (7) sont beau- coup plus larges et présentent en avant une partie piri- forme très distincte qu'on n’observe pas dans l'A. mu- rabilis. Li Il y a lieu d'ajouter, pour compléter cette description, que les organes segmentaires de l’A. Michelin sont courts et fixés sur touteleur longueur, que leur pavillon antérieur (e) est très distinct, et que les rapports du muscle columel- laire (s) et des racines du rétracteur avec le bouclier anal sont exactement les mêmes que dans l'A. Âeteropsam- Puarum | Le commensalisme des Aspidosiphons et des Polypes madré- poraires. — Avec les données qui précèdent, il nous est facile de reconstituer compiètement l’histoire biologique des deux commensaux. | | | Comme les PAascolion etles Clæosiphon, les Géphyriens du genre Aspidosiphon choisissent pour demeure les coquilles vides des Mollusques gastéropodes ou les tubes abandon- nés de certaines Annélides. C’est ce que font notamment les deux espèces décrites ci-dessus, et, si l’on en juge d’après la dimension des coquilles qu'ils choisissent, ils sont certainement très jeunes quand ils se logent dans cet abri. | Étant données les habitudes des Aspidosiphons, ÿ/ y a lieu de croire que les coquilles choisies sont d'abord absolument nues, el que les polypes commensaux ne viennent s'y fixer qu'ensuite. Il en est de même, d'ailleurs, chez d’autres commensaux, le Parapaqurus pilosimanus et l'Epizoanthus paguriphilus, dont l'association n’est pas sans présenter des analogies étroites avec celle des Polypes et des Vers; le P. pilosimanus, en effet, se loge comme les autres Bernard- l'Ermite, dans une coquille vide de gastéropode, et c’est plus tard seulement que lÉpizoanthe vient se fixer sur cette dernière, pour croître ensuite avec le Pagure com- mensal. Au reste, l'examen des Jeunes associations d'Aspi- COMMENSALISME DES POLYPES. 29 dosiphons et de Polypes, semble indiquer qu'au début le Polvpe n’est pas d’une grande utilité pour le Ver; ce der- nier est alors tout entier logé dans la dote: et dans le commencement de tube qu à sécréle, il n’est nullement protégé par le Polype qui occupe Sblensent un des côtés de la coquille, et cette observation s'applique aussi bien aux formes récentes qu'aux espèces fossiles. Si le Ver se loge de bonne heure dans une coquille à sa convenance, le Polype, de son côté, se fixe non moins vite sur cette dernière, comme on peut s'en convaincre par la taille réduite des plus jeunes spécimens associés. Il est même probable que ces phénomènes se produisent dès que la période larvaire a pris fin. - Une fois en rapport avec la même coquille, les deux asso- clés contractent des rapports de plus en plus étroits et finis- sent bien vite par devenir nécessaires l’un à l’autre. Le Ver d'abord sécrète un tube qui fait un peu saillie au dehors de la coquille; le Polype, de son côté, s'étend et recouvre l’un et l’autre. La croissance continuant, le tube sécrété par le Ver s’allonge de plus en plus, et prend la forme d’une spirale régulière, à tours disjoints, qui continue celle de la coquille; le squelette du Polype s'applique exactement sur ce tube, contracte avec lui des adhérences intimes et, comme Je l’ai dit plus haut, le dépasse même sensiblement chez les Aete- ropsammia. En même temps que s'effectuent ces phénomènes de crois- sance simultanée du Polype et du Ver, la coquille primitive se résorbe peu à peu, et des perforations tubulaires mettent en relation la cavité du tube avec l'extérieur. Ces perfora- tions traversent en ligne droite la masse solide formée par le tube et Le polypier; elles sont vraisemblablement pro- duites par l’action dissolvante qu'exerce, sur le calcaire de ces parties, la sécrétion des nombreuses glandes cutanées du Géphyrien. Leur rôle est de permettre à l’eau de mer de pénétrer à l’intérieur du tube, de se renouveler aisé- ment et de favoriser ainsi les échanges respiratoires néces- 26 E.-L. BOUVIER. saires à la vie du Ver; sans ces perforations, en effet, la partie antérieure de l'animal, celle qui peut faire saillie au dehors par l’orifice du tube, serait seule suffisamment irriguée, les parties terminales, en relation avec l'extrémité du tube, ne le seraient presque pas, et l'association serait frappée d'un vice fonctionnel qui la rendrait bien vite im- possible. Le Polype prend toujours la forme d’un tronc de cône dont la base la plus large est en rapport avec le fond. Le tube spiral du Ver est parallèle à cette base; il se compose d’un ou deux tours et vient s'ouvrir sur celle-ci, par un orifice arrondi, au voisinage du bord. Pour peu que les deux commen- saux aient atteint une certaine taille, le Polype se développe davantage sur ce dernier point et y forme un talon sail- lant sous lequel s'ouvre l’orifice du tube. Quand le Ver ré- tracte sa trompe, et rentre plus ou moins profondément dans son tube, il présente toujours vers l’extérieur son bouclier anal, qui joue alors le rôle protecieur d’un opercule ; quand, au contraire, l'animal projette sa trompe au dehors, le bou- clier anal se présente à l’orifice, s'appuie vraisemblablement sur le fond et protège le corps du Ver contre les frottements el les chocs. Quant au bouclier terminal, je ne vois pas trop quel peut être son rôle; comme le bouclier anal, il est repré- senté chez toutes les espèces du genre Aspidosiphon, mais il manque chez les Clæosiphon et les deux boucliers font même défaut chez les Phascolion, Géphyriens qui, eux aussi, se logent pourtant dans des coquilles. C'est en faisant saillir au dehors sa trompe longue et grêle que le Ver puise au dehors sa nourriture, et se déplace en entraînant son commensal. M. Jousseaume a trop soigneu- sement observé et décrit ce mode spécial de locomotion pour qu'il soit ulile d'y revenir ; je dirai toutefois qu’il est natu- rel de considérer les nombreux crochets dont la trompe est armée comme les organes qui permettent à celte dernière de se fixer sur le fond, et de s’y cramponner pour entraîner ensuite Ver et Polype. La position des crochets à la surface COMMENSALISME DES POLYPES, 27 de la trompe les rend, d'ailleurs, tout à fait propres à cel usage ; leur pointe est toujours dirigée en arrière, et ils doivent par conséquent adhérer fortement au fond pour peu que la trompe se contracte. Voici donc le Polype entrainé çà et là, et pour ainsi dire voituré par le Ver qu'il abrite ; c’est pour lui un profit bien manifeste, car il jouit de certains avantages des animaux mobiles, sans perdre aucun de ceux que présentent les ani- maux fixés du même groupe. Le Ver, de son côlé, trouve dans le Polype un abri toujours à sa taille et s’évite ainsi le changement de domicile, singulièrement dangereux, que nécessite la croissance chez les autres Vers adaptés à vivre dans des coquilles. Il est vrai que cet abri, étroitement moulé sur le Ver, a l'inconvénient de se prêter très mal à la circulation de l’eau ambiante, mais avec les perforations dont l’animal a soin de le munir, l'inconvénient disparaît tout entier et l'irrigation s'établit par ces sortes d'évents, sans nuire en rien au Polype. Nous sommes donc en présence d’une association à bénéfice réciproque, d’un cas nettement caractérisé de mutualisme. D’après M. Jousseaume, l’asso- cialion est si étroite que les deux commensaux ne peuvent être séparés, et que la mort de l’un entraîne falalement celle de l’autre. De toutes les associations mutualisies animales, la plus sem- blable à celle que je viens de décrire est bien certainement l'association du Parapagurus pilosimanus S. I. Smith avec une Actinie coloniale, l'Epizoanthus paguriphilus Verrill. Le jeune Pagure, en effet, se loge dans une coquille vide sur laquelle vient se fixer bientôt l’Épizoanthe également très jeune; les deux commensaux se développent de leur côté, le Pagure oc- cupant une place de plus en plus grande dans la coquille qui l’abrite, l’Epizoanthe recouvrant peu à peu cette dernière et l’entourant d’une couronne de Polypes coloniaux. La crois- sance du Pagure serait bien vite arrêlée par les dimensions restreintes de la coquille, sans une sécrétion particulière du Polype qui la dissout peu à peu et finalement la fait dispa- 28 E.-L. BROUVIER. raître. Le Pagure est alors logé au centre même de la colonie actiniaire et peut se développer avec elle sans chercher un nouveau gîte. C’est en cela que cette association diffère de celle que présentent d’autres Pagures dont la coquille se re- couvre ordinairement d’une Actinie (Eupaqurus Prideauru Leach et À damsia pallixta Bohadsch), mais c’est en cela aussi qu'elle rappelle assez exactement l'association des Aspidosi- phons et des Polypes madréporaires; les deux commensaux croissent en même temps, celui qui fournit un abri étant _voituré par l’autre. Toutelois le commensalisme du Parapagur us et de l’Epizoanthe est beaucoup moins étroit que celui des Ma- dréporaires et des Aspidosiphons : l'Épizoanthe ne paraît pas pouvoir exister sans le Pagure, mais ce dernier se passe très bien de commensal, et c'est même sous cette forme qu'on le rencontre le plus ordinairement .Le Géphyrien etleMadrépore, au contraire, ne peuvent se séparer l’un de l’autre; ils sont faits pour vivre ensemble et, d’après M. Jousseaume, péris- sent dès qu'ils sont séparés. Le caractère étroit de leur asso- ciation se manifeste d’ailleurs d’une façon très nette par les modificalions qu'a subies le Polype sous l’influence du Ver, et notamment par les perforations de son squelette qui jouent le rôle d’évents respiratoires. Des modifications de cette nature, ou quelques autres analogues, n'existent pas chez les Épizoanthes et ne viennent pas rendre ces animaux absolu- ment nécessaires à leur associé. Mollusques commensaux. — De même que les Pagures hé- bergent fréquemment une Annélide commensale qui s’abrite dans leur coquille, de même de nombreux petits Lamelli- branches viennent toujours se loger dans le tube des Aspi- dosiphons et servent de commensaux à ces Géphyriens et à leur Polype. Ces Lamellibranches sont de très petite taille, et les plus grands ne dépassent guère 1! millimètre de longueur. Ils se fixent fréquemment au Ver par une sorte de filament géla- tineux, et se lapissent dans des niches qu'ils ont creusées à la COMMENSALISME DES POLYPES. 29 surface de leur hôte, de manière à ne pas gêner les mouve- . ments de celui-ci à l’intérieur de son tube. Mon intention nest pas de donner ici une étude complète de ce curieux commensal que M. Jousseaume se propose d'étudier, et qu'il considère comme le représentant d’une espèce nouvelle, la Xe/lia Deshayesi. Je me bornerai à dire que la coquille équivalve de l'animal est munie d’une dent el d’un ligament allongé (fig. 25), que ses valves sont ornées d’un certain nombre de stries concentriques peu apparentes, que ses deux muscles, son pied et ses branchies (fig. 24) sont bien développés, enfin qu'on aperçoit, autour de l’orifice buccal, des palpes labiaux assez développés. Ces animaux sont-ils des jeunes? comme le pense M. Jous- seaume, ou bien des adultes qui doivent passer leur existence tout entière avec le Polype et son Géphyrien? Il est assez dif- ficile de le dire. Leur coquille est déjà très épaisse, leurs dents cardinales sont parfaitement formées et leur ligament alteint le même développement relatif que celui des La- mellibranches adultes du même groupe. Il est vrai que leur coquille est fort petite, mais il est curieux qu’elle présente presque toujours les mêmes dimensions et qu’on ne lui. trouve jamais la faible épaisseur et la taille fort réduite des coquilles de Mollusque à l’état post-larvaire. Dans les tissus de plusieurs spécimens en très bon état j'ai observé au mi- croscope, au sein de leurs tissus, de grosses cellules arron- dies qui ressemblaient à tous égards à des œufs, mais ces cellules étaient en bien petit nombre et il dre une étude anatomique complète de l'animal pour savoir si, réellement, elles se sont développées dans des ovaires. Quoi qu’il en soit, on ne saurait nier qu'il y ait profit pour le Mollusque à vivre en commensalisme avec les deux hôtes qu'il à choisis; caché dans le tube spiral du polvpier, il n’a plus à titer les ennemis du dehors et il vit dans la quié- tude la plus absolue, abondamment pourvu d’eau et de ma- tières nutritives par les courants respiratoires qui traversent les évents. Peut-être l'heureux commensal procure-t-i] quel- 30 E.-L. BOUVIÉR. que avantage à ses deux associés, mais ce n'est point du tout certain, et nous serions plutôt porté à voir en lui un habile intrus, qui a su tirer parti de conditions biologiques singulièrement favorables à son existence. Le Mollusque, en d’autres termes, serait un simple commensal, tandis que le Polype et le Géphyrien sont des mutualistes. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. E.-L, Bouvier. 94. — Nouveau cas de commensalisme : association de Polypes madré- poraires, avec un Géphyrien du genre Aspidosiphon et un Mollusque lamellibranche. — Comptes rendus Acad. des Sciences, t. CXIX, 1894. 94, — Un cas nouveau de commensalisme. — Le Naturaliste, 15 août 1894 (3 figures dans le texte). DESHAYES. 65. — Catalogue des Mollusques de l’île de la Réunion, 1865. H. Mine-Enwarps et Juces HAIME. 48. Recherches sur les Polypiers. Monographie des Turbinolides. — Ann. sc. nat., sér. 3, t. IX, 1848. 485, — Recherches sur les Polypiers. Monographie des Eupsammides. — Ibid., t. X, 1848. 51. — Histoire naturelle des Coralliaires. T. II, 1857, 60. — Ibid. T. IIT, 1860. E. SELENKA. 83-84. — Die Sipunculiden; in Semper : Reisen im Archipel der Philip- pinen, Il Theil, 1v Band, 1‘ Abtheilung, 1883 et 1884. C. PH. SLuITER. 86. — Beiträge zu der Kenntniss der Gephyreën aus dem Malayischen Archipel. — Nat. Tidjsch. nederl. Indiëé, Deel XLV, 1886. H. TuéeL. 75. — Études sur les Géphyriens inermes des mers de la Scandinavie, du Spitzberg et du Groenland. — Bihang till K. Svenska vet. Ak. Hand- lingar, Band 3, n° 6, 1875. EXPLICATION DE LA PLANCHE. Aspidosiphon Heteropsammiarum. Fig. 4. — Un individu avec la trompe très dévaginée. 4/1. Fig. 2. — Un autre individu avec la trompe peu dévaginée. 5/1. Fig. 3. — Anatomie d’un animal: é, trompe ; æ, œsophage; a anus ; c, cæcum anal; r, tractus du cæcum ; m',m” muscles rectaux ;1, intestin ; n, néphri dies; g, chaine ganglionnaire; s, muscle columellaire ; m, rétracteur de la trompe; b, place du bouclier anal. 4,5/2. Fig. 4 — Un individu rétracté dans un polypier d’Heteropsaimmia co- chlea. 2/1. Fig. 5. — Les commensaux jeunes avec une coquille de Marginelle. 8/1. Fig. 6. — Les commensaux plus âgés, en relation avec une coquille de Cérithe (?) déjà recouverte, mais encore sensible. 5,5/1. Fig. 7. — Les commensaux en relation avec une coquille de Littorine ou de Nalice encore sensible, quoique recouverte. 5,8/1. Fig. 8. — Bouclier terminal. 25/1. Fig. 9. — Moitié gauche du bouclier anal. 13/1. Fig. 10. — Un corpuscule situé peu en arrière du bouclier. 480/1. Fig. 11. — Un autre corpuscule plus rapproché du bouclier. 160/1. Fig. 12. — Crochets vers l'extrémité antérieure de la trompe. 360/1. Fig. 13 et 15. — Crochets vers la base de la trompe. 360/1. Fig. 14. — Nodules des parties moyennes et postérieures du corps. 360/1. Aspidosiphon Michelini. Fig. 16. — Un animal sorti du polypier. 6/1 (mêmes lettres que fig. 3). Fig. 17. — Anatomie de l’animal. 4,5/1. Fig. 18. — Bouclier terminal. 18/1. Fig. 19. — Bouclier anal. 15/1. Fig. 20. — Nodules des téguments. 360/1. Fig. 21. — Crochets de la base de la trompe. 360/1. Fig. 22. — Crochets de la partie antérieure de la trompe. 360/1. Fig. 23. — Jeune Heteropsammia sur un Cérithe des faluns de Dax. 2,8/1. Kellia Deshayesi. Fig. 24. — Principaux organes de l'animal. 32/1. Fig. 25. — Crochet et charnière très grossis de l'animal. Les trois figures intercalées dans le texte ont été publiées d'abord par le Naturaliste. RECHERCHES SUR LES AFFINITÉS ZOOLOGIQUES DE L'HATTERIA PUNCTATA Par A. PERRIN (Professeur au lycée Lakanal. D ne qe à es mn ne ne — En Nouvelle-Zélande, on irouve un saurien, l'Halteria punctata, si différent des aulres que Günther, après l'avoir étudié, en a fait un ordre spécial, celui des Rhyncho- cephalia. Depuis, de nombreux savants, et en particulier des paléontologistes, adoptant cette manière de voir, ont formé avec l'Hatteria et quelques reptiles fossiles un groupe de même valeur que celui des Lacertiliens ou des Ophidiens, en lui conservant le nom de Rhynchocephalia. Ce groupe, auquel ils attribuent une très grande importance au point de vue philogénétique, aurait à l'heure actuelle pour unique représentant le genre Hatleria. Ces considérations suffisent à elles seules pour montrer toute l'importance qu’on doil attacher à l'étude de l'Hatteria, mais, ce qui vient encore accroître l'intérêt de telles recher- ches, c'est que ce reptile est en voie de disparition rapide. Il est médiocrement armé pour repousser les altaques de ses adversaires, sa démarche lente permet de l’atteindre facile- ment et, dans son refuge même, la capture en est aisée, car les quelques trous creusés dans le sable où il se blottit, ne peuvent le soustraire aux poursuites de l'ennemi. Or, d’après ANN. SC. NAT. ZOOL. AX; 9 34 A. PERRIN. Dieffenbach (1), l'Hatleria est non seulement recherché par les naturels qui en font leur nourriture, mais de plus il est pourchassé par les pores introduits dans l’île. Avant que le dernier représentant des Rynchocephalia ait passé à son tour à l'élat fossile, il est indispensable de noter, non seulement les particularités importantes de son anatomie, mais encore de décrire et de dessiner les moindres détails de sa structure. Tel caractère qui paraîtra sans im- portance à l'heure actuelle peut présenter un intérêt consi- dérable pour les savants futurs dans le cas où de nouvelles découvertes les amèneraient à établir des liens de parenté entre différents groupes d'animaux soit actuels, soit fossiles. Pour bien décrire l'Hatteria 1l est nécessaire de connaître irès exactement les organes homologues des autres sauriens. Or, j'ai étudié récemment les muscles du membre postérieur des sauriens, aussi est-ce par ces mêmes muscles que je commence l'étude de l’Hatteria. MYOLOGIE DE L'HATTERIA 1°. — MUSCLES DU MEMBRE POSTÉRIEUR. Mes recherches antérieures, relatives aux muscles du membre postérieur des sauriens, avaient porté sur l’'Uro- mastix spinipes (Merr.), le Lacerta viridis (Daud.), le Lacerta ocellata (Daud.), le Gongylus ocellatus (Vagl.) et le Varanus arenarius (Dum. et Bib.). J’avais également recherché les homologies de ces muscles avec ceux des Batraciens, chez les Ürodèles et chez les Anoures. Depuis, j'ai disséqué en outre le Mabuia siamensis (Günth.), le Polychrus marmo- ratus (L.) et l'Agama colonorum (Daud.); j'ai pu me pro- curer ces deux dernières espèces grâce à l’obligeance de M. Vaillant. Vu le nombre des échantillons disséqués, il m'était donc facile de constater les différences pouvant exister (1) Tr'avels in New Zealand, vol. IT, 1843. RECHERCHES SUR L HATTERIA PUNCTATA. 39 entre les muscles de ces sauriens et ceux de l’Hatleria. Pour entreprendre cette étude, J'ai eu à ma disposition deux échantillons de ce reptile. L'un d'eux était en fort mauvais état, car un séjour prolongé dans l'alcool avait détruit toute adhérence entre les os et les muscles ; l’autre étant parfaile- ment conservé, j ai pu le disséquer plus aisément. Qu'il me soit permis de remercier chaleureusement le docteur Filhol et le docteur Beauregard pour l’empressement qu'ils ont mis à me procurer ces deux échantillons. Les muscles du membre postérieur de l’Hatteria ont déjà été étudiés par Günther et par Gadow, mais tous deux se sont contentés de décrire les muscles de la cuisse et de la jambe en négligeant ceux du pied. Les descriplions de Günther sont trop succinctes, mais généralement exactes; au plus pourrais-je citer quelques erreurs ; malheureusement, faute d’avoir fait suffisamment de myologie comparée, 1l réunit des muscles qui sont distincts, ou individualise des faisceaux qui ne sont que les branches d’un muscle unique: de plus ses descriptions sont loin d’être précises : si les os servant d’inserlion sont indiqués, la région particulière où aboutit le muscle est rarement décrite. En particulier, il est très regrettable que cet auteur ne donne qu'une seule figure (face postérieure de la cuisse et de la jambe); il en résulte une incertitude telle dans la compréhension du texle que Gadow, dont le travail est postérieur à celui de Günther, interprète souvent mal ses descriptions el établit une con: fusion entre les muscles auxquels elles se rapportent, bien qu'il ait disséqué lui-même de nombreux sauriens et plu- sieurs échantillons d'Hatteria. Ainsi le Gracilis de Günther correspond au Pubi-tibialis (12) de Gadow et non à son Pubi- ischio-tibialis (10). — Günther décrit comme un faisceau détaché du Semimembranosus, Semilendinosus (and Glu- tæus?) un muscle qu'il appelle adductor femoris; c’est ce faisceau et non le fiers qui correspond à l’ischio-femo- ralis de Gadow. Gadow donne des descriptions plus détaillées que Günther 30 A. PERRIN. mais parfois bien différentes au point de vue des Insertions musculaires; c'est pourquoi il était nécessaire que de nou- velles recherches viennent contrôler les descriptions contra- dictoires de ces deux auteurs. Je peux conclure de mes dis- sections que les inexactitudes peuvent toutes être attribuées à Gadow. C’est ainsi qu'il fait aboutir, non au tibia mais au fibula, les muscles que j'ai décrits sous les noms de Fléchis- seur externe de la jambe (115) et de Rotateur inverse de la cuisse (117). Günther, au contraire, indique une insertion libiale. De même Gadow indique l’ilion comme origine du muscle que j'ai appelé Déducteur de la jambe (113), tandis que son prédécesseur le fait exactement naître du sacrum, sans préciser davantage, il est vrai, son point d’origine. J'ai profité de ce que je disséquais les muscles des membres postérieurs de l’Hatteria pour décrire les os en même temps et pour en donner des figures. Je n'ai trouvé nulle part en elfet de figure du membre proprement dit, sauf chez Bayer (1) qui donne une figure des os de la jambe et du pied d’un très jeune Hatteria; mais sans doute, grâce au développement encore incomplet de l'échantillon choisi, le tarse est diffé- rent de celui de l'adulte. L'Hatteria possède cinq tarsaliens distincts à la deuxième rangée du tarse, c'est le seul reptile saurien actuel qui pré- sente celte disposition. Günther et Gadow ne citeni que trois os el un carlilage ; ils considèrent la pièce la plus externe comme étant un cinquième métatarsien et les trois pièces les plus internes comme appartenant au larse. De là une diffé- rence essentielle entre le tarse de l'Halteria et celui du Palæohatteria où Credner (2) et après lui Baur (3), décrivent une deuxième rangée de tarse formée de cinq petits os. Bayer, outre les deux os externes, décrit une plaque cartila- gineuse unique siluée entre le tibial et les trois premiers (4) Sitzungs. d: Math. natur. Classe der kaiser, Akad. der Wiss. Band, XC, Abth. I, 1884. (2) Stegocephalen. Zeitschr. der deutschen geol, Gess., VIT Theil, 1888, vol. 40. (3) American Journal of science, vol. XXXVII, 1889, _ RECHERCHES SUR L’'HATTERIA PUNCTATA. 31 métatarsiens, et qui d'après lui correspondrait simplement au lroisième tarsalien ; les premier et deuxième tarsaliens se seraient déjà soudés aux métalarsiens correspondants. Sauf de rares exceptions, j'ai conservé aux muscles de l’'Hatteria, les noms et les numéros que j'avais donnés à leurs homologues chez les sauriens et les batraciens. La compa- raison des muscles entre eux sera ainsi facilitée et le seul inconvénient qui en résulle, inconvénient très léger d'’ail- leurs, c’est que les numéros des muscles de l'Hatteria ne se suivent pas tous. Il arrive que certains muscles de batra- ciens n’ont pas d’homologues chez les sauriens et récipro- quement. Voici comment j'ai établi les noms de mes muscles : je n'ai pas voulu leur donner de noms tirés de l'anatomie humaine ; ces noms ont le grand inconvénient de laisser croire à des homologies insuffisamment justifiées, à mon avis, entre les muscles de l’homme et ceux des sauriens. Je pouvais élablir ma nomenclature en prenant comme point de départ, soit les insertions, soit la fonction du muscle; je me suis arrêté à ce dernier parli et un seul exemple en indiquera la raison. Un muscle a deux insertions, l’une proximale généralement fixe, l’autre distale généralement mobile ; la première peut être variable suivant les espèces, la seconde au contraire est fixe ; un moteur de phalangettes, par exemple, peut avoir son insertion proximale à un niveau plus ou moins haut, tandis que son insertion distale aura forcément lieu aux phalangettes. Pour préciser, pre- nons le Déducteur superficiel du cinquième doigt, son inser- tion proximale est au voisinage du pli du genou, mais sui- vant les espèces, elle est tibiale ou fibulaire ; or, un examen rapide suffit à convaincre de l’homologie absolue de ce muscle chez tous les sauriens, malgré cette différence d’in- sertion. Si le nom avait rappelé les deux os auxquels le muscle se termine, il aurait fallu donner des noms différents à des muscles dont l’homologie, je le répète, ne peut être mise en doute. Souvent ces variations dans l'insertion 36 A. PERRIN. proximale s'expliquent très facilement en admettant qu'il s’est formé ce que Sabatier appelle une insertion acquise (1). Ce savant, auquel ses travaux sur les os donnent une grande autorité en la matière, appelle insertions acquises celles qui ont l’origine suivante : lorsqu'un muscle se trouve dans sa longueur en contact direct avec un plan osseux sur lequel il frotte, il lui arrive de contracter en ce point une adhérence qui peut devenir suffisante pour que la parlie musculaire, comprise entre cette nouvelle insertion et l’ancienne, dis- paraisse, n'ayant plus aucun rôle à remplir. La nouvelle insertion forcément plus près du milieu du muscle que l’ancienne sera dite : enserfion acquise. Pour déterminer le nom du muscle, je suppose que le membre est dans un plan vertical perpendiculaire à l'axe du corps, position qu'il peut facilement occuper chez les sau- riens. J’appelle : £rtenseur, le muscle qui soulève de bas en haut l’un des segments, et Fléchisseur, celui qui a la fonction inverse. Je nomme Adducteur le muscle qui approche le segment de la partie antérieure du corps, et Déducteur, tout muscle qui l'en éloigne; malgré les critiques qui ont été faites à ce dernier nom, je le préfère à celui d'A #ducteur, dont la ressemblance avec adducteur pourrait être la source de nombreuses confusions. Le ÆRotateur duect sera celui qui fait tourner l'os autour de son grand axe dans le sens direct, c'est-à-dire dans le sens des aiguilles d’une montre pour le membre postérieur droit ; le muscle homologue du côté gauche fera tourner l’os homologue gauche en sens inverse. J'appelle Aofateur inverse le muscle antagoniste du pré- cédent. Immédiatement au-dessous du nom du muscle, se trouvent ceux qui lui ont été donnés par Günther et Gadow, lorsque ces auteurs l’ont étudié. En outre, si la des- criplion de ces auteurs diffère par un point essentiel de la mienne, j'ai toujours soin de l'indiquer, après avoir mol- (4) Comparaison des ceintures des membres antérieurs et postérieurs dans la série des vertébrés. RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 39 même exposé ce que Jai trouvé. Comme il est très impor- tant au point de vue de l'anatomie comparée des mus- cles et des os de connaître avec beaucoup de précision la place exacte des insertions musculaires sur les os, je les ai indiquées au moyen de hachures sur le dessin même des os. Chaque plage recouverte de hachures porte le même numéro que le muscle qui s’y fixe. Je compare chaque muscle de l'Hatteria avec ceux des autres sauriens que j'ai disséqués, et si cette élude permet de modifier ou de compléter les homologies de ces muscles avec ceux des Urodèles, je l'indique également. SQUELETTE. Chez l'Hafteria comme chez les autres sauriens, le bassin est formé par trois os: le pubis, l’ischion et l'ilion. usb BE, MR, Gé. 10: BI... figiriosel 24). Le pubis est un os recourbé à convexité antérieure : les deux moitiés font entre elles un angle voisin de 90°. La moitié antérieure est transversale et vient s'unir à celle du côté opposé, pour former la symphyse pubienne, sous un angle très obtus, tandis que chez Le Lacerta cet angle est très aigu et que chez l’Uromastix les branches des deux pubis sont presque dans le prolongement l’une de l’autre. La branche transversale est un os large et plat, la branche postérieure s’'épaissit rapidement pour aller rejoindre les deux autres os du bassin. À la hauteur du bord antérieur de la cavité cotyloïde, mais au tiers interne de la largeur de l'os on trouve un trou vasculo-nerveux ({.v.n.) assez réduit. Le pubis présente une face supérieure, une face inférieure et une face externe losangique, qui contribue à la formalion de la cavité cotyloïde et qui comprend deux petites facettes d'articulation avec l’ilion et l’ischion. Il offre trois bords : interne, antérieur et postérieur. Entre les bords internes des deux pubis est un fibro-cartilage losangique : cartilage ypsi- loïde (c.y.). Le bord antérieur est courbé à angle presque 40 A. PERRIN. droit, le sommet de l’angle est terminé par un prolongement osseux ou épine pubienne lép. p.). Une lame tendineuse très forte unit l’épine pubienne au cartilage ypsiloïde. Le bord postérieur est concave. Pschibn LS PEL fig 4105 PMR EI OEM TE _ On peut le considérer comme formé de deux parties : un losange large et plat, qui s’unit à celui du côté opposé pour former la symphyse sciatique, et une parlie plus épaisse qui part de l'angle antéro-externe du losange et se continue en avant où elle s’unit aux deux autres os du bassin. Les deux ischions sont séparés l’un de l’autre sur la ligne médiane par une lame mince fibro-cartilagineuse qui va rejoindre en avant le cartilage ypsiloïde, séparant ainsi les deux {rous obtura- teurs (£. 0) limités d'autre part par le pubis et l'ischion. En arrière celle lame s’élargit et donne un fibro-cartilage lo- sangique : cartilage hyposciatique (ch.). L'ischion présente trois faces : supérieure, inférieure et externe. Cette dernière plus ou moins carrée contribue à la formation de la cavité cotyloïde; elle comprend aussi deux petites facetles d’arliculation avec l’ilion et le pubis. Il y a trois bords : antérieur, postérieur et interne. Le bord an- térieur est concave, le bord postérieur forme vers le milieu de son trajet un angle voisin de 90° terminé par un prolon- sement osseux ou épine sciatique (ép. s.). Les quatre épines soit pubiennes, soit sciatiques occupent les quatre sommets d’un carré. Tliôn EL: BEM GE MOSS ROMANS ER) C'est un os large et aplati transversalement, il se termine inférieurement par une partie triangulaire plus épaisse, qui s’unit aux deux autres os du bassin pour former la cavité cotyloïde. Son extrémité supérieure se termine par une partie rectangulaire carlilagineuse (épiilion). Son axe fait avec la verticale un angle de 15° au plus, tandis que chez certains sauriens cet angle atteint 45°. Il présente deux faces : interne et externe, et quatre bords : supérieur, inférieur, antérieur et postérieur. La RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 41 face interne présente deux fosses assez profondes où pénè- trent les deux vertèbres sacrées. La face externe est creusée à sa partie inférieure d'une dépression qui fait partie de la cavité cotyloïde. Le bord supérieur est cartilagineux et presque horizontal, le bord inférieur forme un angle très obtus, il présente deux facettes d’articulation, l’une avec le pubis et l’autre avec l’ischion. Le bord antérieur présente à peu près en son milieu un point d'inflexion surmonté d'un prolongement osseux ou épine iaque (ép.il.). Le bord pos- térieur d’abord rectiligne devient concave dans la partie inférieure de sa course. La cavité cotyloïde n'est pas une portion de sphère, mais une portion d'ellipsoïde à cause de la forme de la tête du fémur. Son contour est plus ou moins triangulaire, le sommet du triangle étant en avant et la base en arrière, ce qui faci- lite le mouvement de rotation du fémur suivant son grand axe. | | Fémur (Fe., PI. IN, fig. 10, PL V, fig. 15). Il présente une diaphyse presque cylindrique terminée par deux parties épiphysaires très développées. Pour simplifier les descriptions, je donne, pour le fémur comme pour les autres os du membre postérieur, le nom de téfe à l’extré- mité proximale et le nom de base à l'extrémité distale. L'épiphyse proximale présente trois faces et trois arêtes. Les faces sont externe, interne et inférieure, les arêtes sont supérieure, interne et externe. La face externe est presque horizontale, étant très légère- ment inclinée d'avant en arrière et de haut en bas; il en ré- sulie que l’arête supérieure est plutôt antérieure. L'arête interne est donc ici inférieure, elle se termine par un tro- chanter très développé, nettement séparé de la tête articu- laire du fémur.Cette dernière est beaucoup moins développée que la région trochantérienne. La tête articulaire a la forme d'une portion d’ellipsoïde dont un des axes est parallèle à l'axe principal du fémur et dont le grand axe est parallèle à la face externe, il est donc à peu près horizontal. De cette 42 A. PERRINX. structure et de la conformation de la cavité cotyloïde il résulte que les mouvements de rotation du fémur suivant son grand axe, ne peuvent avoir qu'une très faible amplitude. Le corps de l'os a une section triangulaire, mais à angles très arrondis. L’épiphyse distale a aussi une section triangulaire. Elle présente une arête supérieure dans le prolongement de celle de l’extrémité proximale. Sa face externe est presque com- plètement horizontale, aussi trouve-t-on à la place d'une arête externe une facetle creusée d'une cavité où se loge la tête du fibula. À la face inférieure, 1l y a un condyle externe (PL. IL, fig. 1, C.£.) très développé et un condyle interne (PI. II, fig. 1, C. Z.), qui l’est beaucoup moins. La tête du tibia est dans l’espace intercondylien, s’articulant ainsi avec les deux condyles; quant à la tête du fibula, elle est, comme je lai dit, logée dans une petite cavité spéciale et s'articule ainsi à un niveau supérieur à celui de l'articulation fémoro-tibiale. La face distale de la base du fémur présente à la suite de l’arête supérieure un bourrelet cylindrique, cartilagineux, dirigé obliquement de l’intérieur vers l'extérieur et aboutissant entre la tête du fibula et celle du tibia. Par suite on trouve deux ménisques articulaires l’un à la face supérieure du membre entre la tubérosité antérieure du tibia et le fémur, l’autre à la face inférieure du membre entre la tête du tibia el le trochanter interne du fémur. La jambe n'est pas verticale, mais dirigée obliquement de haut en bas et d’avant en arrière lorsque la cuisse est per- pendiculaire au plan de symétrie de l'animal. C'est d’ailleurs pour ce motif que la face externe du fémur est à peu près horizontale, et que le fibula s’insère à un niveau supérieur à celui du tibia. Une conséquence, qui découle de la première, c'est que le tarse devra être beaucoup plus développé du côté fibulaire que du côté tibial, pour que le pied puisse reposer à plat sur le sol. Nous verrons tout à l'heure si la structure du tarse répond à cette nécessité. HabiaNT:1P1: PE ie 28 a P ON ie co 1). Eh RECHERCHES SUR L HATTERIA PUNCTATA. 43 C’est un os à section triangulaire présentant une diaphyse séparant deux épiphyses. Il présente une face interne bien développée, et deux autres faces : l’une externe et l’autre pos- lérieure réunies par une surface courbe, ce qui ne permet pas de les délimiter facilement. L’arêle externe n'existe donc pas, l’arêle interne est au contraire très nette ; quant à l’arête antérieure, elle est très développée à l'extrémité proximale de l'os où elle forme la tubérosité antérieure, elle s’efface au contraire peu à peu à mesure qu'elle s’approche de la base de l'os, qui à une section presque circulaire. La face proximale du tibia est légèrement convexe, sa face distale présente un bourrelet cartilagineux, cylin- drique, dirigé obliquement de haut en bas et d’arrière en avant, il est logé dans une cavité de même forme de la ré- gion tibiale de l'os tibio-centro-intermédiaire du tarse. Poule. (ie PET Gest, PE IN g 44). C’est un os triangulaire, beaucoup moins développé que le précédent. L'épiphyse proximale n’est pas nettement séparée de la diaphyse, l’épiphyse distale est beaucoup mieux déve- loppée. Si on étudie la tête du fibula, on voit que la face externe est très développée, la face interne et la face postérieure sont comme pour le tibia réunies par une surface courbe. La base, par suite du développement de la face externe et du peu d’étendue de la face mterne, a l'aspect d’une lame aplatie plutôt que d’un prisme triangulaire. La face proxi- male du fibula présente un prolongement articulaire carti- lagineux de forme conique, la face distale est courbe et s'articule avec le fibulaire et la portion intermédiaire du libio-centro-intermédiaire. Les têtes du tibia et du fibula se touchent par leurs bords, tandis que les deux bases sont écartées l’une de l’autre, ce qui donne une grande largeur au pied. Parseaie ris: 1 PL ES fig. 9,68 PEINE se 10) Les os du tarse forment deux rangées. Les os de la rangée proximale sont soudés entre eux. 44 A. PERRIN. mais une ligne de suture très visible délimite du côté ex- terne un os qui est le fbulaire (f). Cette ligne de suture est visible (1) d’ailleurs chez un certain nombre d’autres Sau- riens tels que l’Uromastix, le Mabuia, certains Lacerta, le Varanus, etc.; je ne l’ai au contraire jamais rencontrée ni chez l’Agama, ni chezle Polychrus. La partie interne repré- sente trois os soudés : le tibial, l'intermédiaire et le central, j'appellerai, jusqu'à nouvel ordre, cet os le #010-centro- intermédiaire (t.'e. 1.). L'ensemble des os de la première rangée est plus large du côté externe que du côté interne ; de plus, par suite de la direction oblique de la gouttière, qui reçoit la base du tibia, lorsque la jambe et Le pied sont à angle droit, la base du tibia est presque au contact de la tête du premier méta- tarsien. | La rangée distale est formée de cinq os séparés (1, 2, 3, 4, 3), qui vu leurs insertions peuvent être regardés comme les cinq tarsaliens. Leurs dimensions vont en croissant du bord interne du pied au bord externe, comme cela a lieu pour les os de la rangée proximale. Le premier et le deuxième tarsalien (1 et 2) sont cartilagineux, le troisième (3) est en partie osseux, les deux autres (4 et 5) sont com- plètement ossifiés. Par suite de la tendance à diminuer au- tant que possible la largeur du bord interne du tarse, il y a eu non seulement chevauchement du tibia sur le tibial, mais chevauchement du premier métatarsien (1) sur le pre- mier tarsalien (1), qui a été ainsi forcé d’émigrer à la face inférieure du pied. C’est d’ailleurs surtout à la face infé- rieure du pied, que les trois premiers tarsaliens sont le plus visibles. | Les différents auteurs n’ont jamais (que je sache) signalé un larse aussi complet. Günther, dans l'Hatteria, ne men- lionne pas le deuxième tarsalien, pourtant très net et sans aucune soudure avec les parlies voisines. Vu la tendance (1) Elle est parfois complètement invisible, même chez certains échan- tillons d'Hatteria. RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 45 très marquée qu'ont les deux rangées du tarse de prendre une importance d'autant plus grande, qu’on se rapproche davantage du bord fibulaire, il est impossible de considérer le cinquième tarsalien comme ayant disparu. C’est pour- tant ce qu'’admettent Günther et Gadow, qui considèrent cet os comme le cinquième métatarsien. C’est d’ailleurs l’o- pinion d’un certain nombre d'auteurs sur cet os chez les Sauriens. Cel os possède à sa face inférieure deux tubérosités, l’une externe et l’autre interne, séparées par une gouttière. Si on compare le tarse de l'Hatteria avec celui des autres Sauriens, l’Üromastix par exemple, on voit que le troisième tarsalien de l’Hatteria, qui s'articule avec les deuxième et troisième métatarsiens, le quatrième tarsalien et l’os tibio- centro-intermédiaire, est l’homologue de l'os qui a les mêmes relations chez les autres Sauriens. Chez ces derniers le petit cartilage situé entre le tibio- centro-intermédiaire d’une part etles premier et deuxième, métatarsiens d'autre part, représenterait donc les pre- mier et deuxième tarsaliens, qui refoulés à la face infé- rieure du pied, se seraient réduits en se fusionnant. Chez l’Agama colonorum (PI. IT, fig. 8), le tarse vu par sa face inférieure présente un aspect un peu particulier, à cause du développement du quatrième tarsalien, qui se glisse entre le troisième tarsalien et les os de la première rangée du tarse, ménageant ainsi un espace plus considé- rable pour les deux premiers tarsaliens. Ceux-ci sont malgré cela fusionnés et ne sont pas visibles à la face supérieure du pied. Métatarse (PI, If, fig. 1, et PL IV, fig. 11). Le métatarse est formé par cinq métatarsiens (1, I, IIF, IV et V), qui n'offrent rien de particulier si ce n’est la brièveté du cinquième. Doigts. — Comme chez les autres Sauriens, le premier doigt a deux segments, le deuxième en a trois, le troisième en à quatre, le quatrième en a cinq, et le dernier en a trois. Le tableau suivant indique les noms que j'ai donnés déjà 46 | : A. PERRIN. à ces différents segments chez les autres Sauriens. Je rappelle que je nomme première, deuxième, troisième, etc., pha- langes par exemple, les phalanges des premier, deuxième, troisième, etc., doigts. De même j'appelle première, deuxième troisième, elc., phalangettes, les phalangeltes des premier, deuxième, troisième, etc. doigts, adoptant ainsi la nomen- clature admise depuis longtemps pour les métatarsiens : 1er doigt. 2° doigt. 3e doigt. 4e doigt. 5e doigt. Phalameelisr one. Phalanginule...... Phalanginette...... Phdanpine. 20.12. Phalan gette ee. | ne es ie Le à © — > pe © pe ARRET EEE 2 LORIE CURE SENTIR TER LEE MUSCLES. 1. Déducteur superficiel du cinquième doigt (1) (PI. I, fig. 1 BL PLAN ANS EPA À Soleus. Günther. Gastrocnemius (cap. tibiale) 20. Gadow. Muscle plat et large silué à la face postérieure de la jambe. Son insertion proximale forme une bande étroile qui part du bord externe de la face postérieure du tibia immédiate- ment à la limite de la face proximale de cet os. Cette bande va aboutir à l’arête interne du tibia à un point qui est situé au premier tiers de l'os. Ses fibres se dirigent un peu obli- quement du côté externe, aboutissant successivement à un tendon, qui appartient au Fléchisseur externe de la jambe (145), qui sera décrit plus loin. Au niveau du tarse le tendon se transforme en une large aponévrose reliée par ses bords (1) Les chiffres arabes placés devant le nom de chacun des muscles in- diquent le numéro sous lequel ce muscle est désigné dans les planches. Voir la liste complète de ces muscles, avec leurs numéros correspondants à l'explication des planches. RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 41 externe et interne aux tendons des muscles sous-jacents. Du côté externe l’aponévrose se transforme peu à peu en un tendon assez large, qui suit le bord externe du tarse et se fixe au bord externe de la tête du cinquième métatarsien. A partir de ce point le tendon devient étroit, longe le bord du cinquième doigt et à chaque articulation il donne un rameau à la tête du segment distal. Au niveau de l’articula- tion tarso-métatarsienne 1l donne à la face antérieure du pied un rameau qui s’uuit à celui de l’Extenseur du cin- quième doigt (85). Ce muscle a pour but d’écarter le cin- quième doigt des quatre autres, 1l en forme comme un arc- boutant empêchant au pied de reculer en arrière, ce qui pourrait arriver à cause de l’obliquité de la jambe. Günther considère comme appartenant au soleus le tendon qui suit la face postérieure de la jambe ; comme je le mon- trerai, l’étude comparée du Fléchisseur externe de la jambe (115) prouve que c'est bien à lui qu'appartient ce tendon. De plus cet auteur termine le tendon distal du soleus au cinquième métatarsien (cinquième tarsalien A.P.)(1), et n’in- dique pas le tendon, qui suit le bord externe du cinquième doigt. | Gadow n'indique pas non plus le tendon, qui se fixe aux différents segments du cinquième doigt ; de plus, il en fait, j'ignore pourquoi, une branche du muscle suivant. Comparaison. — Le Déducteur superficiel du cinquième doigt est un des muscles dont l'insertion proximale varie le plus chez les Sauriens, l’insertion distale étant au contraire toujours la même, avec cette légère différence (que l’on ren- contre dans tous les tendons analogues), que le tendon est souvent absolument confondu avec la gaine tendineuse de l'orteil et non individualisable entre la tête de la phalangine et celle de la phalangetie. Chez le Lacerta l'insertion proximale est semblable à celle de l'Hatteria ; chez tous les autres une partie des fibres (1) Les noms entre parenthèses, suivis de mes initiales (A.P.) sont ceux que j'ai substitués dans mes descriptions à ceux de l’auteur précité. 48 A. PERRIN. naît du fémur. Chez l'Uromastix une partie des fibres sort de la base du fémur au-dessus du condyle interne, et le reste d’un tendon qui relie la base du fémur à l’arête interne du tibia. | Chez le Polychrus : même insertion, mais le muscle forme un ruban très étroit. Le même muscle chez l’Agama, n’a d'insertion que sur le fémur, c’est un muscle assez large, mais très court, il ne descend pas plus bas que la moitié de la jambe. | Le Déducteur superficiel du cinquième doigt a deux têtes d'origine chez le Mabuia, le Varanus et le Gongylus. Chez le Mabuia il y a d’abord une large tête, qui a les mêmes insertions que le muscle de l’Uromastix, mais il y a en outre du côté externe une petite tête qui s’insère à la face postérieure de la tête du tibia sur la ligne médiane. Entre les deux têtes passent le Fléchisseur interne de la jambe (110) et les Adducteurs moyen et postérieur du tibia (107 et 108), séparant ainsi l’Adducteur antérieur du tibia (106) des deux autres. Chez le Varanus et le Gongvylus c'est la tête la plus faible qui passe entre l'Adducteur anté- rieur du tibia (106) et les deux autres, ce qui affirme l’indi- vidualité propre de cet Adducteur antérieur. 2. Fléchisseur superficiel des doigts (PI. IL, fig. 1 et 2, PI. V, fig. 16 et 17). Gastrocnemius. Günther. Gastrocnemius, cap. femorale (20). Gadow. C’est un muscle volumineux situé à la face postérieure de la jambe et du pied et recouvert en partie, dans la région de la jambe, par le muscle précédent. Il naît avee le Fléchisseur des doigts (9) par un court tendon de l’arête externe de la base du fémur, immédiatement au-dessus du condyle ex- terne. Ses fibres se dirigent en s’étalant vers le tarse en se terminant successivement à la face profonde d’une large aponévrose, qui occupe toute la largeur du tarse et qui du côté externe s'insère aux tubérosilés interne et externe du RECHERCHES SUR L HATTERIA PUNCTATA. 49 cinquième tarsalien. Immédiatement après l'insertion des fibres précédentes on trouve, à la face profonde de l’aponé- vrose, l’inserlion proximale d'un certain nombre de fais- ceaux musculaires auxquels j ai donné des noms particuliers uniquement pour faciliter la comparaison avec les faisceaux musculaires homologues chez les Batraciens. Grünther décrit deux têtes différentes formant par leur réunion ce muscle, qu'il appelle Gastrocnemius. Une des têtes qui correspond au muscle que j'ai décrit naîtrait du fémur et du long tendon de l'Extensor femoris caudalis (Déducteur caudalinférieur à la cuisse (111-112)A. P.). Ce ten- don vient en effel aboutir au fémur au point où naît le Fléchisseur superficiel des doigts, mais 1l se perd dans les tendons de l'articulation du genou el ne peut, à aucun point de vue, être considéré comme lui servant d’origine. Quant à la deuxième tête, dont l’origine serait commune avec celle du Soleus (Déducteur superficiel du cinquième doigt (1) A.P.), c'est peut-être la partie du Fléchisseur externe de la jambe (115), qui se trouve à la face postérieure de la jambe. Elle répond assez à cetle description, mais s’unit non au muscle décrit, mais au Fléchisseur des doigts (9) sous-jacent. Günther ajoute que l’aponévrose du Gastrocnemius sert d’origine au Flexor digitorum communis brevis, sans donner d'autres détails et sans indiquer l'insertion de cette aponé- vrose sur le cinquième tarsalien. Ce Flexor digitorum communis brevis correspond évidemment aux petits fais- ceaux musculaires que je vais décrire. _ Gadow aussi fait naîlre le muscle du fémur et du tendon du Déducteur caudal inférieur de la cuisse (111-112), qui, d’après lui, traverserail pour ainsi dwe le muscle. Il prétend ensuite que le muscle se divise en une couche superficielle et une couche profonde. La couche superficielle est le muscle que j'ai décrit, quant à la masse profonde qui s’u- irait au Flexor longus digitorum (Fléchisseur des doigts (9) A.P.), c'est évidemment la tête fémorale de ce dernier muscle. Pour ce qui est des petits faisceaux musculaires ANN. SC. NAT. ZOOL. XX, 4 0 A. PERRIN. que Je vais décrire, Gadow se contente de signaler leur exis- lence, sans en Re la moindre description. 3. Fléchisseur suverficiel de la première phalange (PL. ll, higitliet 2). C’est un petit muscle assez plat, qui recouvre la région du premier métatarsien et qui au niveau de l'articulation méta- tarso-phalangienne se transforme en un très court tendon, qui enveloppe le tendon fléchisseur de la première pha- langette (11) et qui se fixe à droite et à gauche à la face infé- rieure de la tête de la première phalange après s’être uni au Fléchisseur de la première phalange (30) sous-jacent. Même description chez les autres Sauriens. 4. Fléchisseur superficiel de la deuxième phalangine (PI. IX, fige et, 2): C'est un muscle analogue au précédent qui recouvre la moilié externe de la face postérieure de la région du. deuxième métatarsien. Au niveau de l’articulation métatarso- phalangienne, il se transforme en deux tendons, qui en- tourent le tendon fléchisseur de la deuxième phalangetie (12) et se réunissent ensuite pour se fixer à la face postérieure de la tête de la deuxième phalangine. Même description chez les auires Sauriens. 5. Fléchsseur superficiel de la deuxième phalange (PA 1, fig. Let 2). C’est un muscle plus étroit que le précédent dont il longe le bord interne, au niveau de l'articulation métatarso-phalan- gienne 1l se transforme en un tendon qui se fixe à la face postérieure de la tête de la deuxième phalange, après s’être uni au tendon du Fléchisseur de la’ deuxième phalange (31) sous-jacent. La description serail la même pour les autres Sauriens, sauf chez le Polychrus, chez qui ce muscle fait défaut. 6". Fléchisseur superficiel de la troisième phalange (PI. WH, fig. «1uetl2). C’est un petit muscle étroit à la face postérieure du pied el recouvrant le bord interne de la région du troisième méla- RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. O1 tarsien, il longe donc le bord externe du Fléchisseur super- ficiel de la deuxième phalangine. Un peu au-dessus de l’arti- culation métalarso-phalangienne, il se transforme en un tendon qui se fixe à la tête de la troisième phalange, en s'unissant au tendon du Fléchisseur de la troisième pha- lange (32) sous-jacent. Chez les autres Sauriens, sauf chez le Polychrus où il y a une partie charnue, ce muscle est remplacé par un tendon formant avec ceux que je vais décrire une lame tendineuse plus ou moins large, qui recouvre la région des troisième et quatrième mélatarsiens. Chez le Polychrus cette lame ten- dineuse est remarquablement étroite. Chez le Lacerta et le Gongylus, le muscle est remplacé par un tendon unique occupant la même place. L'Uromastix présente un double tendon, l’un du côté externe, l’autre du côté interne, qui se rejoignent sur la ligne médiane entourant les tendons allant aux différents segments du troisième doigt. La lame située du côté externe persiste seule chez le Varanus, l’Agama, le Polychrus et le Mabuia. 6”. Fléchisseur superficiel de la troisième phalanginette (AL A Hs: Lel,2). C’est un muscle analogue au précédent dont 1l longe le bord externe, ses fibres aboutissent successivement à la face profonde d’une aponévrose qui, au niveau de l'articulation métalarso-phalangienne, devient étroite et aboutit à la tête de la troisième phalanginette. Chez le Lacerta et le Gongylus, il a une partie charnue que j'avais regardée comme un faisceau musculaire détaché du Fléchisseur de la troisième phalangine (7). L'Uromastix, le Varanus, n’ont qu'un tendon, l’Agama et le Mabuia en ont deux qui entourent les autres tendons allant aux différents segments du doigt à l’exceplion du tendon fléchisseur super- ficiel de la troisième phalange (6). Chez le Polychrus, ce muscle n’est pas représenté. 7. Fléchisseur superficiel de la troisième phalangine (PI. W, fig. 1 et 2). | 52 A. PERRIN. C'est un muscle semblable au précédent, mais un peu plus développé que lui, et silué du côté externe par rapport à lui. L’aponévrose superficielle, qui recouvre son extrémité distale, se transforme au niveau de l’articulation métatarso- phalangienne en deux tendons, qui entourent le tendon flé- chisseur de la troisième phalangette (13) et se réunissent en- suite en un tendon unique qui va se fixer à la face postérieure de la troisième phalangine en s’unissant au tendon du Flé- chisseur de la troisième phalangine (17) sous-jacent. Sauf chez le Polychrus, ce musele est généralement caché par les lendons fléchisseurs superficiels des troisièmes pha- lange et phalanginette (6° et 6”). : La région du quatrième métatarsien est recouverte par lrois muscles 8', 8” et 8” dont les fibres vont, comme pour les précédents, se fixer peu à peu à la face ‘profonde d’une aponévrose superficielle. 8". Fléchisseur superficiel de la quatrième phalanginule (PL. IT, fig. 1 et 2). C’est le muscle le plus interne des trois, son iendon va se fixer à la face postérieure de la têle de la quatrième pha- langinule. 8" et 8. Fléchisseurs superficiels des quatrièmes phalangi- nette et phalangine (PI. IF, fig. 1 et 2). Ces deux muscles sont impossibles à séparer l’un de l’autre, ils reçoivent sur leur face profonde des fibres du Fléchisseur de la quatrième phalangine (18). Ces fibres aboutissent à deux tendons qui entourent le tendon fléchisseur de la quatrième phalangette (14); ces deux tendons se réunissent ensuite pour se séparer au niveau de la base de la quatrième pha- lange et donner deux branches dont l’une (8) aboutit à la face postérieure de la tête de la quatrième phalanginette, tandis que l’autre (8”) aboutit à la face postérieure de la tête de la quatrième phalangine. Le tendon commun donne deux petits rameaux allant à la base de la quatrième pha- lange. Chez le Polychrus aucun de ces muscles n'existe, ee les RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. D autres Sauriens, ils sont représentés par un ou plusieurs (en- dons. Chez l’'Uromastix, le Varanus, le Lacerta, le Gongyluset l’Agama le fléchisseur superficiel de la quatrième phalangi- nule est représenté par un tendon unique situé au bord externe du quatrième doigt. Chez le Mabuia il y a deux ten- dons qui entourent tous les autres et se réunissent ensuite en un seul. Chez ces mêmes Sauriens le Fléchisseur superficiel de Ja quatrième phalanginette est représenté par deux doubles ten- dons, qui se réunissent après avoir entouré le tendon fléchis- seur de la quatrième phalangette (14). Chez le Mabuia ils entourent aussile tendon fléchisseur de la quatrième phalan- gine (8”). Chez le Varanus, il y a un seul tendon. Chez le Lacerta, le Gongylus et le Mabuia, le tendon fléchisseur superficiel de la quatrième phalanginette reçoit des fibres du Fléchisseur de la quatrième phalangine (18). Le Fléchisseur superficiel de la quatrième phalangine man- que complèlement chez le Varanus ; chez les autres il est représenté par un simple tendon. 9. Fléchisseur des doigts {PI. IX, fig. 1; PL I, fig. 5 et 7). Flexor digitorum communis longus. Günther. Flexor longus digitorum (21) (cap. externum, cap. inter- num, cap. accessorium). Gadorw. C'est un muscle volumineux situé à la face postérieure de la jambe et que l’on découvre après avoir enlevé le Déduc- teur surperficiel du cinquième doigt {1} et le Fléchisseur super- ficiel des doigts (2) ainsi que les muscles et tendons qui en dépendent. Il est formé de deux ventres superposés. Le plus superficiel, dont l’origine se confond avec celle du Fléchis- seur superficiel des doigts (2), naît de l’arête externe de la base du fémur immédiatement au-dessus du condyle externe. Le plus profond est beaucoup plus large, une partie de ses fibres naît de la face postérieure de l’extrémité proximale du fibula, à une petite distance de cette extrémité, et son inser- tion occupe le quart de la longueur de l'os. Le reste des fibres 54 | A. PERRIN. sort d’une aponévrose qui naît de la face interne de la’ tête du fibula et qui est accolée au Rotateur direct du tibia (75) sous-jacent. Sur laligne médiane on trouve un faisceau mus- culaire en forme de ruban, qui vient s’unir aux ventres pré- cédents au niveau du milieu de la jambe. Ce ruban muscu- laire fait partie du Fléchisseur externe de la jambe (115). Je l'avais autrefois considéré comme une des têtes du Fléchis- seur des doigts. Au niveau du tarse le Fléchisseur des doigts se transforme en une large aponévrose, qui reçoit latéralement un faisceau musculaire (9') assez large et dont les fibres ont une direction fransversale. Son insertion, qui est triangulaire, a son som- mel sur l’angle externe de la face postérieure de la base du fibula et recouvre la moitié externe de laface postérieure du fibulaire. Un peu plus bas l’aponévrose du Fléchisseur des doigts reçoit encore un petit faisceau musculaire (9”), qui naît du bord interne du cinquième tarsalien au-dessous de la tubé- rosité interne. Les fibres vont, en s’étalant légèrement, se fixer à la face profonde de l’aponévrose vis-à-vis de l’origine du Fléchisseur de la deuxième phalange (31) et du Fléchisseur de la troisième phalange (32). Enfin un autre petit faisceau (9) naît par un assez long tendon du bord distal du fibulaire en se confondant avec le tendon d’origine du Fléchisseur pro- fond du cinquième tarsalien (72). Le tendon passe ensuite entre les deux tubérosités du cinquième tarsalien, puis le faisceau s'étale et vient se fixer au bord externe de la partie proximale du tendon fléchisseur de la quatrième phalan- gette (14). J’avais considéré autrefois ce dernier faisceau (9”) comme la branche externe du Fléchisseur de la quatrième phalangine {18), parce que chez le Varanus ils’unit directe- ment à lui au lieu de se fixer au tendon fléchisseur de la qua- trième phalangette. L'aponévrose se continue à son bord distal par cinq ten- dons 11,12, 13, 14 et 15, ce dernier se détache de l’aponé- vrose à la hauteur du fibulaire. Ces tendons suivent la ligne médiane des doigts et vont se fixer à la face postérieure des RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 5) tèles des phalangettes correspondantes. De ces tendons se détachent des rameaux assez grêles qui vontse fixer à chaque articulation à la base du segment proximal. Le tendon fléchis- seur de la cinquième phalangette (15) donne en outre un rameau analogue à la base du cinquième métatarsien. Les rameaux qui vont aux phalangines sont plus développés et on peut trouver facilement leurs insertions ; quant aux au- tres il m'a été impossible de les suivre jusqu’à leurs inser- tions à cause de leur union avec les capsules articulaires et de l’élat assez mauvais des doigts dans les échantillons que je possédais. De la face profonde de l’aponévrose sortent quelques petits muscles que je décrirai séparément. Günther ne décrit pas ces petits muscles, il ne parle que de la masse principale qui recouvre la jambe et qui corres- pond au Fléchisseur des doigts (9) que je viens de décrire. D’après lui ce muscle naît de trois têtes. L'une a son inser- Uon d’origine au fémur, ce qui est exacl, une autre située au-dessous sortirait du tibia et du fibula. Or ce muscle n’a pas la moindre inserlion au tibia. La troisième est ce faisceau transversal que j'ai désigné par la lettre 9’. Il ne cite donc pas les deux petits faisceaux 9” et 9” niles relations de ce muscle avec la partie terminale du Fléchisseur externe de la jambe (115). La deseriplion donnée par Gadow est peu claire. Il regarde le ventre le plus superficiel comme une partie du caput femo- rale du M. gastrocnemius (Fléchisseur superficiel des doigts (2) A. P.). Quant au ventre profond il le fait naître du caput et collum fibulæ et du tiers proximal de la face du tibia située vis-à-vis. On voit qu’il ne parle pas des fibres provenant du Fléchisseur externe de la jambe{115). D'après Gadow les deux tèles après leur réunion donneraient naissance à un large tendon sur lequel s'inséreraient certains muscles flé- chisseurs des doigts, et qui se diviserait en deux tendons distincts l’un allant au basis (tète À. P.) de la première pha- lange du premier doigt, l’autre allant au cinquième doigt. 56 - A, PERRIN. Quant aux petits muscles des doigts, il ne les décrit pas. Ce muscle présente chez les différents Sauriens quelques modifications de détail. Généralement on trouve au bord externe un muscle assez bien individualisé, qui actionne sim- plement le tendon (15) allant au cinquième doigt. Ce muscie reçoit chez le Varanus toutes les fibres sortant du fémur, de sorte que le muscle moteur des quatre premiers doigts n’a pas d’origine fémorale. Chez le Mabuia le muscle ne présente, comme chez l’Hatteria, aucune trace de division. Les fibres transversales font rarement défaut, cependant le faisceau (9’) manque chez l’Agama et le faisceau (9°) chez le Mabuia ; j'ai déjà indiqué que chez le Varanus ce dernier faisceau rejoignait le Fléchisseur de la quatrième phalan- gine (18). Chez l'Uromastix, l’Agama, le Mabuia et le Polychrus, le muscle ne reçoit aucun rameau du Fléchis- seur externe de la jambe (115). Ceci est assez important, car ce rameau correspond à une partie du muscle du même nom chez les Urodèles. Le Polychrus présente la particularité suivante : la tête fémorale beaucoup plus développée est formée de deux faisceaux, dont l’un part de l’arête interne de la base du fémur au-dessus du condyle interne, tandis que l'autre part de la moitié externe de la face inférieure au-dessus du condyle externe. Celte branche externe passe avec le Déducteur superficiel du cinquième doigt (1) sous une sorte de pont formé par le. tendon d'insertion du Fléchisseur interne de la jambe (110). Voici maintenantles petits faisceaux musculaires qui par- tent de l’aponévrose et qui sontcachés parles muscles super- ficiels déjà décrits. Chez le Varanus, l’Agama et le Mabuia on lrouve un petit muscle qui naît de la face superficielle de l'aponévrose entre les tendons fléchisseurs de la première el de la deuxième phalangettes (11 et 12) et qui unit son tendon à celui du Fléchisseur superficiel de la deuxième phalangine (4). Ce muscle n'existe pas chez l'Hatteria. RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 5 17. Fléchisseur de la troisième phalangine (PI. WE, fig. 1; PI: Hs fige) C'est un petit muscle triangulaire peu développé, qui naît de la face superficielle de l’aponévrose, au point où le tendon fléchisseur de la {roisième phalangette (13) com- mence à se séparer de l’aponévrose. Il unit ses fibres à celles du Fléchisseur superficiel de la troisième phalan- gine (7) et le tendon commun se fixe, en s’élargissant à son extrémité, à la face inférieure de la têle de la troi- _ sième phalangine. Même description pour les autres Sauriens. 18. Fléchusseur de la quatrième phalangine (PI. I, fig. 1 ; PL IEl, fig 5) Muscle semblable au précédent ; il naît de la face super- ficielle de l’aponévrose entre les tendons fléchisseurs de la troisième et de la quatrième phalangettes (13 et 14); la plupart de ses fibres naissent de ce dernier. Ses fibres s’unissent à celles des Fléchisseurs superficiels des qua- trièmes phalanginelte et phalangine (8" et 8”) el les tendons qui en résultent vont se fixer aux têtes de la quatrième phalanginette et de la quatrième phalangine. Lacerta, Gongylus et Mabuia : même description. Ce muscle chez l’Uromaslix, l’Agama, le Varanus et le Poly- chrus, est simplement fléchisseur de la quatrième phalan- gine, et même chez le Varanus et le Polychrus, il ne con- tracte aucune soudure avec d’autres fléchisseurs plus superficiels. De la face profonde de l’aponévrose naissent à côté les uns des autres, trois muscles en forme de rubans aplatis qui recouvrent respectivement les régions des deuxième, troisième et quatrième métatarsiens. Au niveau de l’arlicu- lation métalarso-phalangienne, chacun d’eux aboutit à une sorte de demi-cercle fibro-cartilagineux fixé à l'extrémité proximale de la face inférieure des phalanges correspon- dantes. On à vu que certains muscles superficiels viennent D8 A. PERRIN. également aboutir aux mêmes endroits. En allant de l’inté- rieur à l'extérieur, ces trois muscles sont : 31. Fléchisseur de la deuxième phalange (PI. II, fig. 1; PIE, ge et 7). 32. Fléchisseur de la troisième phalange (PI. IX, fig. 1; PAF: :6 et87). 33. Fléchisseur de la quatrième din (PL. EL ge PI. EH Hsa5tetu): Ces trois muscles se comportent de même chez tous les autres Sauriens. 30. Fléchisseur de la première phalange (PI. IL fig. 1 PLAN "6e "5 Le premier doigt présente un muscle absolument semblable aux précédents, mais qui ne naît pas de l’aponévrose du Fléchisseur des doigls. Son tendon d’origine se détache, au niveau des deuxième et troisième tarsaliens, du bord distal du tendon terminal du Rotateur direct du pied (73). Il s’unit également en ce point aux ligaments articulaires des os du tarse ; dans certains cas il semble qu'on puisse suivre son tendon jusqu'au quatrième tarsalien. À son extrémité dis- tale ce muscle se comporte comme les muscles homologues des autres doigts. Même description chez les autres Sauriens. Chez les Sauriens autres que l’'Hatteria et le Polychrus on trouve un pelit muscle que j'ai appelé l’Adducteur acces- soie du cinquième doigt (26) Ses fibres sortent de Ja parlie distale de la face inférieure de la tubérosité interne du cinquième tarsalien, au-dessous du point d'insertion du Fléchisseur superficiel des doigts (2). Ce muscle longe le bord interne du cinquième tarsalien et même du cinquième métatarsien, s’il est assez long pour cela, el se transforme en un tendon qui s’unit à celui de l'Adducteur du cinquième doigt (66) sous-jacent. Sauf chez l’Agama, il recouvre le tendon fléchisseur de la cinquième phalangette (15), il en est recouvert chez ce Saurien. RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 59 34. Fléchisseur de la cinquième phalange (PL. IX, fig, 1 et 2; PI. IT, Gg. 5). Pelit muscle très peu développé qui naît de la face infé- rieure de l’extrémité distale du cinquième tarsalien. Ses fibres se confondent avec celles des muscles sous-jacents et parliculièrement celles du Fléchisseur du cinquième méta- tarsien (35). Au niveau de l'articulation tarso-métatarsienne, il se transforme en un tendon caché par le tendon fléchisseur de la cinquième phalangette (15) et qui va aboutir à la face inférieure de la tête de la cinquième phalange. Ce muscle, réduit chez l'Hatteria presque à son seul ten- don, manque chez les autres Sauriens, sauf chez l’Agama où il est au contraire bien développé. Chez celui-ci en effet, il recouvre de ses fibres le cinquième mélatarsien sur presque toute sa longueur, et ne se transforme en un tendon qu'au voisinage de l’articulation métatarso-phalangienne. 39. Fléchisseur du cinquième métatarsien (PI. IE, fig. 1; RL fre.6) Muscle très court en partie confondu avec le précédent et ayant également son origine à la face inférieure de l’exlré- mité distale du cinquième tarsalien. Ses fibres se fixent à _ leur extrémité distale à la face inférieure de la tête du cin- quième mélatarsien. Latéralement, il se confond avec l’Ad- ducteur du cinquième doigt (66), et il est impossible de trouver la limite exacte de chacun d’eux. Après avoir enlevé le fléchisseur des doigts et les muscles qui en dépendent, on trouve une troisième couche muscu- laire, généralement appliquée contre les os et que je vais maintenant décrire. 93. Déducteur du prenuer doigt (PI. I, fig. 1, et PI. IT, fig. 6). C’est un muscle en forme de ruban, qui naît du bord interne du cinquième tarsalien à côté de l'inserlion d’un des faisceaux (9°) du Fléchisseur des doigts. Il traverse obli- 60 " A. PERRIN. j quement la région métalarsienne et arrivé au premier doigt, il se fixe par un court tendon à la face externe de la tête de la première phalange. Le tendon, plus ou moins confondu avec le tissu conjonctif de cette région, continue ensuite son chemin le long du bord externe du premier doigt et se fixe à la face externe de la première phalangette. Ce tendon se confond complètement avec celui du Déducteur profond du premier doigt (58) sous-jacent. | Chez les autres Sauriens on trouve le même muscle, mais il est parfois impossible d'isoler la partie terminale du tendon comprise entre la têle de la phalange et celle de la phalangelte. 54. Déducteur du deuxième doigt (PL HW, fig. 1: PL UE, fig. 6). Muscle semblable au précédent et qui naît à côlé de lui du cinquième tarsalien. Il traverse obliquement le pied et arrivé au voisinage du deuxième métatarsien, il se divise en deux branches. La branche interne vient s'unir au tendon adducteur du deuxième doigt (63), au voisinage de l'arti- culation métalarso-phalangienne. Cette branche, que je n'ai trouvée que chez un seul des deux Hatteria que J'ai disséqués, manque chez les autres Sauriens. La branche externe, arrivée à la base du deuxième métatarsien, se transforme en un tendon qui se confond avec celui du Déducteur profond du deuxième doigt (59) sous-jacent, longe le bord externe du deuxième doigt et au niveau de chaque articulation donne un rameau à la tête du segment distal correspondant. Le muscle que l’on trouve chez les autres Sauriens correspond à la branche externe. Chez le Varanus le muscle ne se transforme en un tendon qu à la hauteur de la phalanginette et il n’est fixé qu'aux deux derniers segments. 00. Déducteur du troisième doigt (PI. IL, fig. 1; PI. HE, fig. 6). RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 61 Ce muscle manque chez l'Hatteria, mais existe chez les autres Sauriens. Il est semblable au précédent, à côté duquel il naît du cinquième tarsalien, pour traverser obliquement le pied et s’unir à la face externe de la tête de la troisième phalange au tendon du Déducteur profond du troisième doigt (60) sous-jacent. Le lendon commun se comporte comme celui du muscle précédent. 06. Déducteur du quatrième doigt. Manque également chez l'Hatteria, on ne le trouve pas non plus chez l'Agama. Chez les autres Sauriens, c'est un muscle semblable au Déducteur du deuxième doigt (54) etil nait aussi du cinquième larsalien. Chez l'Uromastix 1l ne sort pas directement de cet os, car ses fibres partent du tendon du Déducteur profond du quatrième doigt (61) sous- Jjacent. Son tendon suit le bord externe du quatrième doigt en se comportant comme les tendons des muscles précédents. 98. Déducteur profond du premier doigt (PI. IE, fig. 1, 3et4; BEC 45. 6 PLV he. 14). Ce muscle forme avec un certain nombre d’autres la couche musculaire la plus profonde du pied. Il est situé au bord externe du premier mélatarsien; ses fibres naissent en parlie du bord interne de la partie proximale du deuxième mélalarsien sur une longueur égale au tiers de los; les aulres fibres parlent d’une aponévrose, qui recouvre le Pre- mier intermétlatarsien (67). Les fibres se dirigent en conver- geant du côlé interne et au niveau de l'articulation méta- larso-phalangienne, elles se transforment en un tendon qui _s’unit à celui du Déducteur du premier doigt (53) et qui a été décrit à propos de ce muscle. Même description pour les autres Sauriens ; seulement chez eux, toutes les fibres semblent sortir directement du deuxième métatarsien. 99. Déducteur profond du deuxième doigt (PI. I, fig. 1, 3 et 4; PI, IV, fig. 14). 62 A. PERRIN. C'est un muscle semblable au précédent ; 1l naît de l’ex- trémité proximale du troisième métalarsien et d’une apo- névrose accolée au Deuxième intermétatarsien (68). Les fibres convergent vers la base du deuxième métatarsien et se transforment en un tendon qui se confond avec celui de la branche externe du Déducteur du deuxième doigt (54). Description identique pour l'Uromastix; chez les autres il semble n’avoir d'autre origine que letroisième métatarsien. 60. Déducteur profond du troisième doigt (PL. IL, fig. 1,3et4). C’est un muscle semblable au précédent, il naît de l’extré- mité proximale du quatrième métatarsien et son insertion s'étend sur la moitié interne de la face inférieure de l'os, jusqu’au milieu de sa longueur. Une partie des fibres sort d’une aponévrose soudée au Troisième inlermélatarsien (69) sous-jacent. Au niveau de l'articulation métatarso-phalangienne, il se transforme en un tendon qui longe le bord externe du qua- trième doigt et qui, au niveau de chaque articulation, donne une branche à la tête du segment distal correspondant. Même description pour l’Uromastix; chez les autres Sau- riens, les fibres semblent toutes sortir du quatrième méta- larsien. Chez les Sauriens où le Déducteur du troisième doigt (55) existe il unit son tendon à celui du Déducteur profond du troisième doigt. Chez l’Agama et le Polychrus, ce muscle est représenté par un simple tendon très court, qui réunit l'extrémité distale du quatrième métatarsien à la tête de la troisième phalange. 61. Déducteur profond du quatrième doigt (PI. I, fig. 1, 3 et 4; PL IL, fig. 6; PL IV, fig. 14). C'est un muscle semblable aux précédents situé au bord externe du quatrième métatarsien. Il provient en partie d'un tendon, qui sort de la face interne du cinquième tarsalien, de la facette d’articulation avec le quatrième tarsalien. Le reste des fibres naît directement de la face interne du cin- / RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 63 quième tarsalien dans sa moitié dislale. Le muscle diminue peu à peu de volume et au niveau de l'articulation métatarso- phalangienne, il se transforme en un lendon, qui se com- porte comme celui du muscle précédent. Accolée à la face externe du muscle est une lame tendineuse qui rejoint la face interne de la tête du cinquième métatarsien. C’est ce tendon, mieux individualisé chez les autres Sauriens, que j'avais appelé Déducteur accessoire du quatrième doigt (62). Description analogue chez les autres Sauriens ; chez le Polychrus la lame tendineuse est reliée au quatrième méta- larsien par une lame aponévrotique. 63. Adducleur du deuxième doigt (PI. Il, fig. 3 et 4; PI. I, fig. 6 ; PL. IV, fig. 11 et 14). 64. Adducteur du troisième doigt (PL I, fig. 3 et 4; PEER fe56 5) PEAN Ge. d£et 14). 65. Adducteur du quatrième doigt (PL I, fig. 3 et 4; PI. I, fig. 6; PL. IV, fig. 11 et 14). Ce sont des tendons, qui sont fixés respectivement à la face externe des extrémités proximales des premier, deuxième. et troisième métatarsiens. Ils ont une direction oblique et vont rejoindre l'articulation mélatarso-phalangienne des deuxième, troisième et quatrième doigts; puis ils longent le bord interne de ces doigts, donnant, à chaque articulation, un rameau à la têle du segment distal correspondant; ce. rameau se confond plus ou moins avec la capsule articulaire. Sauf chez l'Agama, on trouve des tendons semblables chez les autres Sauriens. Chez le Polychrus, il y a en outre deux tendons. Le premier va de la face externe de la tête de la deuxième phalange à la face interne de la tête de la seconde recouvrant le tendon commun du Déducteur du deuxième doigt (54) et du Déducteur profond du deuxième doigt (59); le deuxième va de la face externe de la tête de la troisième phalange à la face interne de la têle de la quatrième, recou- vrant le tendon commun du Déducteur du troisième doigt (55). et du Déducteur profond du troisième doigt (60). IL en. e / 64 A. PERRIN. résulte que les trois doigts médians sont intimement unis les uns aux autres. Cette particularité de structure permet, je crois, de comprendre ce qui a dû se passer chez l’Agama. Chez ce Saurien l’Adducteur du deuxième doigt (63) se fixe sur la ligne médiane à la têle de la deuxième phalange, puis se continue par un tendon qui recouvre celui des déducteurs du deuxième doigt (54 et 59) avec lequel il s’anastomose, et qui, se dirigeant obliquement vers le troisième doigt, se fixe à la face interne de la troisième phalange à une petite dis- tance de son extrémité proximale, il suit alors le bord interne du troisième doigt, se comportant absolument comme l'extrémité du tendon de l’Adducteur du troisième doigt (64) des autres Sauriens. Ce dernier qui nait nor- malement du deuxième métatarsien semble traverser obliquement le troisième doigt, donne un rameau à la tête de la troisième phalange et, après s'être anastomosé avec le tendon des déducteurs du troisième doigt (55 et 60),ül rejoint la face inlerne du quatrième doigt où il se comporte, après s'être fixé à l'extrémité diaphysaire proximale de la phalange, comme le prolongement de l’Adducteur du qua- trième doigt (65) des autres Sauriens. Celui-ci se réduit à un tendon très court qui naît de la moitié distale du troi- sième mélatarsien et se fixe à la tête de la quatrième pha- lange sur la ligne médiane où il semble se terminer. Si la partie de l’Adducteur du troisième doigt (64), qui longe la face interne du quatrième doigt, paraît être le pro- longement de la portion intermétatarsienne de l’Adducteur du deuxième doigt (63), c’est que le tendon qui chez le Polychrus réunit la deuxième à la troisième phalange se fixe ici, non plus aux os mais aux tendons. Il en sera de même pour la partie inlermétatarsienne de l’Adducteur du troi- sième doigt (64) et de l'extrémité de l’'Adducteur du quatrième doigt (65). Les parties non fonclionnelles, telles que la portion ter- minale de (63), qui suit le bord interne du deuxième doigt, ou les fraclrons de tendons réunissant les moitiés interméta- RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 65 tarsiennes des Adducteurs des troisième et quatrième doigts (64 et 65) avec leurs moitiés terminales, ont disparu ou ne sont pas assez développées pour se distinguer des gaines conjonctives qui entourent les doigts. On voit par cet exemple comment les Adducteurs des deuxième, troisième et quatrième doigts de l'Hatteria, bien que très différents, en apparence, de ceux de l'Agama, pré- sentent au fond une disposition à peu près identique, résul- tant de ce fait, que chez l’Agama les trois doigts médians sont intimement unis comme ceux du Polychrus, bien que par un procédé un peu distinct. 66. Adducteur du cinquième doigt (PI. IL, fig. 1; PL. IL, ne oct GAPL IN nes it). | C’est un petit muscle iriangulaire plus développé que chez les autres Sauriens. Une partie de ses fibres naissent de la face inférieure du cinquième tarsalien au-dessous de l'insertion des Déducteurs du premier et du deuxième doigt (53 et 54). Les autres fibres sortent de la face interne du cinquième larsalien dans sa région distale. Il est très difficile de séparer ce muscle du Fléchisseur du cinquième métatarsien (35). Au niveau de l'articulation tarso-métatarsienne, le muscle donne naissance à un tendon qui longe le bord interne du cinquième doigt et qui au niveau de chaque articulalion donne une branche à la tête du segment distal correspondant. | Même description pour les Sauriens où j'ai pu le trouver. Je n'ai pu le distinguer chez le Lacerta, le Gongylus, l’'Agama et le Mabuia. Ce muscle doit servir à limiter l’action du Déducteur superficiel du cinquième doigt (1), de facon à empêcher la courbure du cinquième doigt. | 67. Premier intermétatarsien (PI. IX, fig. 1, 3 et 4; PI. IV. fig. 14). | 68. Deuxième intermétatarsien (PI. I, fig. 1, 3 et 4; PI. IV, fig. 14). ANN. SC. NAT. ZOOL. 2x, D 66 | A. PERRIN. 69. Troisième intermétlatarsien (PL. IL. fig. 1, 3 et 4; PI. IV, fig. 14). Ces trois muscles naissent respectivement des bords internes des extrémités proximales des deuxième, troisième et quatrième métatarsiens ; ils se dirigent obliquement du côlé interne el vont respectivement se fixer en s’étalant sur la plus grande partie de la surface inférieure des premier, deuxième et troisième métatarsiens. Chacun présente à sa face inférieure une aponévrose parlant du métatarsien d’ori- gine el qui sert de point de départ pour une partie des fibres du Déducteur profond correspondant. Ces deux sortes de muscles semblent être deux parties différenciées d’un muscle primilif unique. 68’. Déducteur profond du deuxième métaiarsien (PI. IH, he 4 -et SE PL e.26): Sur un seul des deux échantillons, j'ai trouvé un petit muscle en forme de trapèze, naissant avec le suivant du bord distal de la face intérieure du quatrième tarsalien. Après une course oblique, il va se fixer à la partie proximale de la diaphyse du deuxième métatarsien, au-dessus de l’in- sertion du deuxième intermétatarsien. Ce muscle correspond peut-être à une partie du Fléchis- seur primitif du Deuxième métatarsien (54) des Urodèles. Je ue l’ai trouvé chez aucun autre Saurien. 69'. Déducteur profond du troisième métatarsien (PI. II, Le 0mrelus) C'est un muscle semblable au précédent et situé le long de son bord distal, 1l prend naissance à côté de lui à la face inférieure du quatrième tarsalien et se dirige obliquement du côté interne pour aboutir à l'extrémité proximale du troisième métalarsien à la face inférieure duquel il se fixe. Ce muscle, qui correspond peut-être à une partie du Fléchisseur primitif du troisième métatarsien (55) des Üro- dèles, ne se rencontre pas chez les autres Sauriens. RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 67 70. Déducteur profond du quatrième mélatarsien (PI. IF, fig. 1, 3 et 4). C’est un muscle beaucoup plus développé que les précé- dents; il naît de l’angle interne et distal du cinquième tarsa- lien tout contre le quatrième tarsalien dont une partie de ses fibres tirent leur origine. Ce muscle va se fixer, en s’élalant en éventail, à la moitié externe de la face inférieure du quatrième métatarsien. Ce muscle que j'avais appelé Quatrième intermétatarsien présente chez les autres Sauriens un développement généra- lement moindre. Il manque complètement chez le Polychrus, au contraire chez le Mabuia il est semblable à celui de l’Hatteria. Chez les autres Sauriens il naît uniquement du cinquième tarsalien, chez le Mabuia son insertion d’origine est tout entière à la face inférieure du quatrième tarsalien, mais elle se relie par une petite lame aponévrotique au cin- quième tarsalien. Cette disposition, que j'avais regardée comme une anomalie, se présente done comme un cas inter- médiaire entre la disposition de l’Hatteria et celle des autres Sauriens. | 12. Fléchisseur profond du cinquième tarsahien (PI. IL, fig. 1; PL, IE, fig 6) C’est un muscle plat, presque rectangulaire, dont le large tendon d'origine se délache, en même temps qu'un des faisceaux (9”) du Fléchisseur des doigts, du bord distal du fibulaire. Il recouvre le cinquième tarsalien et vient se fixer au bord proximal de la tubérosilé externe de cel os, en avant de l'insertion, en cet endroit, du Fléchisseur superficiel des doigts (2). Même description chez les autres Sauriens. 13. Rotateur direct du pied (PI IL, fig. 1; PI. II, fig. 5 et 6). | LE Tibialis posticus. Günther. Tibialis posticus (22). Gadouw. 68 | A. PERRIN. _ C'est un muscle triangulaire silué très profondément au contact des os de la jambe. Son origine occupe non seule- ment presque toute la face postérieure du fibula, sauf le premier quart proximal, mais elle s’élend, en outre, sur toute la moitié interne de la face inférieure du fibulaire. Cette. insertion rappelle beaucoup celle du même muscle chez les. Urodèles, où elle s’étend sur le fibulaire, l'intermédiaire et le central. En outre, un certain nombre de fibres naissent d’une lame aponévrotique soudée au Rotateur direct du tibia, et fixée à son extrémité proximale au fibula, c’est donc bien encore une inserlion fibulaire. Les fibres se dirigent en con- vergeant du côté externe et se transforment dans la région du cou-de-pied en une aponévrose iriangulaire, dont le sommet se fixe à l’angle interne de la face inférieure du pre- mier mélatarsien et un peu au déuxième métatarsien; une bande aponévrotique l’unit au bord interne du quatrième tarsalien. Giinther le fait naître de toute la face postérieure du tibia et le termine par trois tendons allant aux trois premiers méta- tarsiens. Gadow,comme Günther, confond ce muscle avec le suivant : Rotateur direct du pied (75), car il lui donne comme inser- tion d’origine non seulement la moitié distale du fibula, mais encore toute la face postérieure du tibia. Lui non plus ne signale pas l'insertion sur le fibulaire, malgré sa grande importance au point de vue de l'anatomie comparée. D’après. Gadow, le muscle se transformerail en un tendon, qui s’insé- rerait aux bases (têtes A. P.) des trois premiers méta- tarsiens. L'Hatteria est le seul saurien où J'ai rencontré l'insertion sur le fibula ; comme je l’ai indiqué plus haut, ce caractère rapproche le Rotateur direct du pied de l'Hatteria du musele homologue des Urodèles. 75. Rotateur direct du tibia (PI. IE, fig. 1 ; PL. ILE, fig. 5 et 6). C'est un muscle triangulaire reliant le tibia au fibula. Son RECHERCHES SUR L’'HATTERIA PUNCTATA. 69 insertion d’origine se trouve à la face interne du fibula, sur le quart proximal de la région diaphysaire. Les fibres se dirigent en divergeant vers le tibia et se fixent sur la moitié externe de la face postérieure de l'os, sauf au voisinage des deux épiphyses. Ce muscle sert à la réunion des deux os de la jambe, usage très important, puisque, d’une façon générale, les mus- cles moteurs de la jambe se fixent par leurs extrémités dis- tales au tibia, tandis que les muscles moteurs du pied ont leurs extrémités proximales sur le fibula. Ce muscle est beaucoup moins développé chez l'Uro- mastix, l’Agama et le Polychrus. Günther et Gadow confondent ce muscle avec le précédent. 16. Extenseur commun des doigts (PI. IV, fig. 11 et 12). Extensor digitorum communis longus. Günther. Extensor longus digitorum (16). Gadow. C’est un muscle superficiel, qui se trouve à la ee anté- rieure de la jambe sur la ligne médiane. Son tendon d’ori- gime, dont l'extrémité proximale est cachée par le large tendon de l’extenseur superficiel de la jambe (102-105), prend naissance au bord externe de la base du fémur, au- dessus de la ligne de contact du tibia et du fibula. Les fibres qui s’en détachent forment deux faisceaux, qui arrivés au niveau du larse, s’écartent l’un de l’autre et se terminent par deux tendons, qui se fixent respectivement aux bords externes des deuxième et troisième métatarsiens, à l’extré- mité proximale de leurs diaphyses. Günther et Gadow le décrivent exactement. Ce muscle est absolument semblable chez les autres Sau- riens, bien que les auteurs donnent en général des descrip- lions très différentes suivant les diverses espèces. 78. Extenseur superficiel du premier doigt (PI. IV, fig. 11 et 12). Extensor hallucis proprius (24). Gadow 70 4 A. PERRIN. C'est un muscle plat et assez large, qui sort de la face supérieure de l'extrémité distale du fibula et un peu du fibu- laire. Il traverse obliquement la région tarsienne en passant sous l’'Extenseur commun des doigts (76), et arrivé au pre- mier métatarsien il se divise en deux branches; la plus interne se fixe au bord interne du premier métatarsien dans sa moitié distale, l’autre branche se jette dans les exten- seurs du premier doigt au niveau de l'articulation métatarso- phalangienne. À Günther ne décrit pas ce nüsele; Gadow lui donne comme insertion distale non seulement le premier métalarsien, mais. encore la première phalange. Comparaison. — Sauf chez l’Agama où il se comporte: comme chez l’Hatleria, ce muscle a son insertion d’origine sur le fibulaire et très peu sur le fibula. Il présente tantôt deux branches, tantôt une seule et dans ce cas c’est la branche interne qui existe (excepté chez l'Uromastix). Par- tout j'ai constaté l'insertion directe à l’os. Chez lies Batra- ciens le muscle de même nom, que je considère comme l’'homologue de celui des Sauriens, vient se confondre, à son extrémité dislale, avec les extenseurs du premier doigt comme la branche interne du muscle chez l’Hatteria. 19. Extenseur superficiel du deuxième doigt (PI. IV, HOMME 2) Muscle semblable au précédent, dont il longe le bord distal. Il naît du fibulaire, passe sous l’Extenseur commun des doigts (76), puis s'écartant du muscle précédent, 1l va unir ses fibres à celles de l’extenseur du deuxième doigt (82, sous-jacent. Ni Günther, ni Gadow ne le décrivent. Comparaison. — Je ferai la même remarque que pour le muscle précédent : l’Extenseur superficiel du deuxième doigt de l’Hatteria s’unit au muscle sous-jacent au lieu de se fixer à l’os comme cela a lieu chez les autres Sauriens. Il se com- porte donc comme le muscle du même nom des Batraciens, RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 71 que je considère comme son homologue. J'avais déjà conclu que ce devait être un muscle du type batracien en voie de disparition chez les Sauriens, en ne tenant compte que des différences qu’il présentait dans les diverses espèces. Tandis que chez l'Agama le muscle présente une branche supplé- mentaire, qui se fixe au troisième métatarsien, il ne possède qu'une branche se fixant au deuxième métatarsien chez l’Uromastix, le Polychrus et le Lacerta. Chez ce dernier le muscle, très peu développé, manque parfois; 1lest toujours absent chez le Varanus, le Gongylus et le Mabuia. 81. Exienseur du premier doigt (PI. IV, fig. 11 et 13). C’est un petit muscle dont l’origine est cachée par l’Exten- seur superficiel du premier doigt (78). Ses fibres sortent d’une lame tendineuse fixée à la face distale du tibial; elle s'étend latéralement, recouvre les premier, deuxième et troisième tarsaliens et aboutit au quatrième tarsalien après s'être unie aux deuxième ef troisième mélatarsiens. Le muscle recouvre sur la ligne médiane la région du premier mélatarsien et au niveau du liers distal de cet os il se jette dans l’Extenseur profond du premier doigt (87) sous-jacent. Je n’ai rencontré ce muscle que chez le Varanus et le Gongylus. 82’. Extenseur du aeuxième doigt (PI. IV, fig. 11,12 et 13). C'est un muscle semblable au précédent et qui naît d’ail- leurs à peu près au même endroit, mais il recouvre le deuxième mélatarsien et au niveau du milieu de cet os il s’unit à la branche interne de l’Extenseur profond du deuxième doigt (88). Même description pour le Varanus et le Gongylus, seuls sauriens où j ai rencontré ce muscle. Chez l'Hatteria le muscle possède une autre tête (82”), qui sort du libio-centro-intermédiaire, dans la région centrale, en compagnie de l’Extenseur du troisième doigt (83) et de la branche interne de l’Extenseur du quatrième doigt (84). Cette tête transforme peu à peu ses fibres en un tendon 12% NT * A. PERRIN. qui se confond avec le tendon commun des extenseurs du deuxième doigt. Je n'ai trouvé cette tête supplémentaire chez aucun aus Saurien. 83. Extenseur du troisième doigt (PI. IV, fig. 11,12 et 13). Muscle peu développé, qui naît, avec la tête supplémen- taire de l’Extenseur du deuxième doigt, de la région centrale de l’os tibio-centro-intermédiaire. Ce muscle passe entre les deux branches de l'Extenseur commun des doigts (76) et se transforme en un tendon silué sur la ligne médiane du troi- sième mélalarsien et auquel aboutissent les fibres de l'Exten- seur profond du troisième doigt (89). Ce muscle manque chez le Mabuia et le Polychrus ; pour les autres Sauriens même description que pour l'Hatteria. 84. Extenseur du quatrième doigt (PI. IV, fig. 11, 12 et 13). Ce muscle est formé de deux têtes, qui ne sont pas d’ail- leurs extrêmement distinctes. La tête interne (84') naît à côté du muscle précédent du tibio-centro-intermédiaire. La branche externe (84”) a une assez large surface d'insertion, qui recouvre le quart interne et distal de la face supérieure du fibulaire, el un peu la région voisine du tibio-centro- intermédiaire. Les fibres des deux branches viennent s'unir obliquement à un tendon commun, qui se confond avec celui de l’'Extenseur profond du quatrième doigt (90). Comparaison. — Description analogue pour l'Uromastix, le Lacerta, le Varanus et le Gongylus. La branche interne (8#'), très peu développée chez l’Agama, manque complètement chez le Polychrus et le Mabuia. 85. Extenseur du cinquième doigt (PL. IV, fig. 11, 12 et 13). Muscle homologue des précédents et dont l’origine se con- foud avec celle de l’Extenseur accessoire du quatrième doigt situé à côté de lui. Cette double insertion tendineuse re- couvre la plus grande partie de la moitié externe de la face RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 13 supérieure du fibulaire, elle a la forme d’un triangle dont le sommet s'étend sur l'angle externe et distal de la face externe du fibula. Ses fibres recouvrent le cinquième tar- salien et arrivées à l’arliculation {arso-métatarsienne, elles _se transforment en un tendon, qui recouvre le cinquième doigt et qui, au niveau de chaque articulation, donne un ra- meau qui se fixe à la tête du segment distal correspondant. Jerappelle qu’à son extrémité proximale ce tendon reçoit du côté externe un rameau du Déducteur superficiel du cin- quième doigt (1 )- Comparaison. — L'insertion proximale varie un peu sui- vant les Sauriens, chez qui le muscle a toujours un dévelop- pement moindre que chez l'Hatteria ; de plus cette insertion est descendue du fibula au cinquième tarsalien. Le Varanus et le Mabuia ont un muscle fixé sur le fibulaire et un peu sur le fibula; les fibres sortent du cinquième tarsalien chez l’'Uromastix, le Lacerta, le Polychrus et l’Agama, chez les deux derniers quelques fibres proviennent aussi de la tête du quatrième métatarsien. À cause des faibles dimensions du pied, je n’ai pu trouver d’'Extenseur du cinquième doigl chez le Gongylus. 87. Extenseur profond du premier doigt (PI. IV, fig. 11, 12 ét 13). C'est un pelit muscle dont l'insertion charnue recouvre, sauf à ses extrémités, toute la partie diaphysaire du premier métatarsien. Il reçoit des fibres de l’Extenseur superficiel du premier doigt (78) et de l’Extenseur du premier doigt (81), et au niveau de l’arliculalion mélatarso-phalangienne il se transforme en un lendon qui recouvre toute la face supérieure du premier doigt et qui, à chaque articulation, donne un ra- meau qui aboutit à la tête du segment distal correspondant. Comparaison. — Même description pour les autres Sau- riens. - 88. Extenseur profond du deuxième doigt he ENShed 1, 12 el 13). 74 :APATO A. PERRIN. Ce muscle est formé de deux ventres. Le plus interne (88°) naît de l'angle externe et proximal de la tête du premier métatarsien, il se dirige obliquement du côté externe el après avoir reçu les fibres de l’Extenseur du deuxième doigt (82’), il s'unitau ventre externe (88). Celui-ci naît de la diaphyse du deuxième métatarsien, son insertion forme un triangle recouvrant la partie proximale et externe de la surface supérieure de cet os. Les fibres des différents muscles s'unissent peu à peu à un tendon, qui occupe la ligne médiane et qui se fixe successivement aux têtes des différents segments, se comportant absolument comme le tendon homologue du premier doigt. Comparaison. — Description analogue chez les autres Sauriens. 89. Extenseur profona du troisième doigt (PI. IV, fig. 11, retapn | Il se comporie par rapport au troisième doigt, comme le muscle précédent par rapport au deuxième; donc même description. 90. Extenseur profond du quatrième doigt (PI. TV, fig. 11, 12 et 13). Même description que pour l’Extenseur profond du deuxième doigt (88), car il se comporte par rapport au qua- trième doigt, comme ce muscle par rapport au deuxième. Comparaison. — L'Uromastix seul présente une particula- rité due au peu de développement de la branche externe (90°) réduite dans ce cas à quelques fibres. 91. Déducteur accessoire du quatrième métatarsien (PI. IV, ia, 412/61 418), C’est un petit muscle dont l'insertion, confondue avec celle de l’Extenseur du cinquième doigt (85), occupe, comme nous l'avons dit, la partie externe de la face supérieure du fibu- laire et s'étend en outre un peu sur le fibula. Ses fibres RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 75 se dirigent un peu obliquement du côté interne et vont se fixer à l'angle externe et proximal de la tête du quatrième mélatarsien à la face supérieure de cel os. Ce muscle en se contractant tire le quatrième métatarsien et par conséquent le quatrième doigt du côté externe. Je l’avais appelé : Extenseur accessoire du cinquième doigt, chez les autres Sauriens, parce que du point où aboutissent ses fibres au qualrième métatarsien, part une lame tendi- neuse, qui rejoint le tendon de l’Extenseur du cinquième doigt (85). J'avais cru que le tendon était dans le prolonge- ment des fibres, et que l'insertion sur la tête du quatrième métatarsien élait une insertion acquise, résultant du contact intime du muscle et de l’os, par suite du déplacement de ce dernier. La lame tendineuse allant rejoindre le tendon de l'Extenseur du cinquième doigt (85), manque chez l’Hatte- ria, où la disposition du pied se rapproche évidemment plus de la structure primitive ; cette interprétation devenait donc impossible, d'autant plus que l'insertion sur le quatrième métatarsien est plus développée que chez les autres Sauriens. Comparaison. — Même description chez les autres Sau- riens; deux modifications sont seulement à signaler: le muscle très peu développé chez le Varanus manque chez le Mabuia, celui de l’Agama s’insère uniquement sur le fibula. 94-98. Extenseur du cinquième tarsalien (PI. IV, fig. 11 AS à Peroneus longus. Günther. Peroneus anterior (18) et posterior (19). Gadow. C’est un muscle bien développé silué à la face antérieure de la jambe. Il prend naissance sur presque toute la surface des faces interne et externe de la diaphyse du fibula. Ses fibres convergent légèrement, et au niveau de l’articulation fibulo-tarsienne elles se transforment peu à peu en un large tendon qui se dirige vers l'extérieur, contourne le bord du fibulaire et se fixe au bord externe du cinquième tarsalien. De ce tendon se détache latéralement une lame tendineuse 76 … A, PERRIN. qui se fixe à l'angle exlerne et proximal de la tête du der trième mélatarsien. Ce muscle, outre son rôle d’extenseur, doit aussi jouer celui de déducteur pour le cinquième tarsalien; une lame aponévrotique le relie à cet effet au bord du tendon du Déducteur superficiel du cinquième doigt (1), et le bord du fibulaire joue le rôle de poulie. Günther ne donne aucune description. Gadow indique exactement l'insertion proximale, mais à. son extrémité distale il le fait aboutir à la face externe du deuxième métatarsien. Chez tous les autres Sauriens ce muscle se comporte d'une façon différente. Il est remplacé par deux muscles plus ou moins confondus chez le Lacerta, le Gongylus et le Mabuia, mais bien distincts chez l'Uromasüx, le Varanus et l’'Agama, et absolument indépendants chez le Polychrus. Le muscle Le plus externe, que J'avais appelé : Extenseur tar- sien externe (94), naît de la base du fémur et, par une sur- face plus ou moins grande, de la face externe de la tête du fibula; à son autre extrémité il aboutit à l'angle externe et proximal du cinquième tarsalien. Le deuxième muscle ou Extenseur du cinquième tarsalien (98), va de la diaphyse du fibula au bord externe du cinquième tarsalien, où son ten- don aboutit un peu plus bas que celui de l’autre muscle. Il'semble « priori évident, que le muscle unique de l’Hatte- ria est l’homologue des deux muscles des autres Sauriens, et le type de passage serait donné par les Sauriens du type Lacerta où les deux muscles sont encore plus ou moins confondus. L’objection qu'on pourrait faire à cette manière de voir, c'est que le muscle de l’Hatteria n’a aucune inser- ton sur le fémur; or s’il présente le type primitif, on se demande comment l'Extenseur tarsien externe (94) qui n’en serai qu'une fraction, aurait pu se procurer celte inserlion fémorale. On comprend bien qu'un muscle passant au-des- sus d'un os, puisse dans certains cas contracler des adhé- rences avec lui, et que, par suite de la disparition de la RECHERCHES SUR L' HATTERIA PUNCTATA. 17 partie du muscle comprise entre l’inserlion primitive et l’in- sertion acquise, cette dernière persiste seule. Mais alors, l'insertion la plus récente est forcément comprise entre les deux insertions primitives et ne saurait êlre en dehors, ce qui serait le cas ici. 97. Extenseur du premier métatarsien (PI. IV, fig. 11 et 12}. Tibialis anticus. Günther. | Tibialis anticus (17). Gadow. C'est un muscle superficiel bien développé, dont l'insertion charnue forme une bande diagonale étendue sur la face interne de l'extrémité diaphysaire du tibia dans sa région proximale. Ses fibres, qui recouvrent le tiers interne de la face antérieure de la jambe, se dirigent obliquement vers l’intérieur et se transforment en un tendon qui s'attache au bord interne de l'extrémité proximale du premier métatar- sien. Ce muscle est extenseur du premier mélatarsien, tout en étant adducteur. Günther ne donne aucune description, et Gadow le fait naître du collum tibiæ. Comparaison. — L'insertion tibiale occupe une surface plus ou moins grande, et parfois comme chez le Polychrus, se trouve dans la région distale du tibia. Chez l'Uromastix et le Varanus, le tissu conjonctif, qui entoure le doigt, forme une lame tendineuse individualisée, qui longe son bord in- terne et paraît être le prolongement du tendon de l’Extenseur du premier métatarsien. 101. Znterosseux de la jambe (PI. IX, fig. 1; PL IV, fig. 11 et 13). Interosseus cruris (23). Gadow. C'est un muscle en forme de trapèze, situé entre les deux os de la jambe, et qui n’est visible qu'après avoir enlevé soit les muscles de la face antérieure, soit ceux de la face posté- rieure de la jambe. La base la plus courte est sur la face interne du tibia, dont elle recouvre la moitié distale. Les 78 A. PERRIN. fibres se dirigent en divergeant faiblement du côté externe de la jambe se fixent à la face externe du fibula, dans sa moitié distale et également à la facette proximale du tibio- centro intermédiaire dans sa partie libre coralie entre les bases des deux os de la jambe. Ce muscle à pour usage de relier le tibia au fibula, toujours par sulle de ce fait que les longs muscles fléchisseurs des doigts s’insèrent uniquement au fibula ou au bord fibulaire du fémur, landis que les muscles moteurs de la jambe se fixent en grande majorité au tibia. Günther ne cite pas le muscle, et Gadow ne parle pas de son insertion aux 0s du tarse. Comparaison. — Sauf chez le Varanus, je n'ai trouvé à ce muscle d'insertion tarsienne chez aucun saurien. Celui du Mabuia recouvre tout l’espace compris entre les deux os de la jambe. 102-105. Extenseur superficiel de la jambe (PL. IV, fig. 11 et 12). C’est un muscle volumineux silué à la face supérieure de la cuisse et formé par quatre lêtes, que Gadow décrit comme des muscles spéciaux, mais que je considère, avec Günther, comme formant un muscle unique. Pourtant, pour plus de clarté, je vais décrire isolément ces quatre têtes en leur don- nant des noms spéciaux pour qu'il soit plus facile de les comparer avec les muscles homologues des autres animaux. 102-103. Tête externe (PI. V, fig. 16, 17, 19 et 21). Rectus portion of the extensor cruris quadriceps. Günther. Extensor tibialis (2). Gadow. C’est un muscle volumineux, superficiel, recouvrant du côté externe la face supérieure de la cuisse. Il naît d’un ligament que l’on peut appeler #/40-pubien ; ce ligament part en effet de l’épine pubienne, contourne la face supérieure de la cuisse à son extrémité proximale, et vient se fixer solidement à la face externe de l'ilion, cetle insertion allant obliquement de l’épine iliaque à l'angle postérieur de l'extrémilé supérieure RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 79 de l'os. C’est vis-à-vis de l’ilion, que sortent la majorité des fibres de la tête externe de l'Extenseur superficiel de La jambe. Les autres sortent de la partie du ligament ilio-pubien située en avant de l’épine pubienne. Les fibres musculaires se diri- gent du côté du genou avec une direction (dans leur ensemble) parallèle au fémur et, arrivées au niveau du milieu de la cuisse, elles s'unissent successivement aux fibres de la tête interne (104), et à celles de la tête profonde (105). Chez les autres Sauriens on trouve une division longitu- dinale séparant un mince faisceau au voisinage de la ligne médiane de la cuisse. Bien que cette division fût parfois peu nette, j'avais cru, à cause des homologies, distinguer deux têtes auxquelles j'avais donné les numéros 102 et 103. Dif- férents auteurs avaient établi une distinction analogue. 104. Tête interne (PI. V, fig. 15, 16 et 17). Second and slender head of the extensor cruris quadri- ceps. Günther. Ambiens. Gadow. | Cette tête, qui recouvre la partie interne de la face supé- rieure de la cuisse, est située, elle aussi, immédiatement au-dessous de la peau; elle forme un muscle volumineux, dont le tendon d'origine passe sous le ligament ilio-pubien pour se fixer au bord externe de la branche postérieure du pubis, au-dessus de la cavité cotyloïde. Le muscle grossit rapidement et ses fibres se dirigeant obliquement vers la ligne médiane, s'unissent peu à peu à celles de la tête externe (102-103) et à celles de la tête profonde (105), l’union de ces dernières se fait assez près de l'articulation du genou. 105. Tête profonde(P1. IL, fig. 10 ; PL. V, fig.15,16, 17 et19). Third head of the extensor cruris quadriceps. Günther. Femoro-tibialis (3). Gadow. Cette tête plus volumineuse que les précédentes est en partie cachée par elles. Son insertion charnue recouvre, sauf dans le premier tiers proximal, toute la surface dia- physaire du fémur. 80 | A. PERRIN. Il faut remarquer cependant que, surtout dans sa moitié proximale, cette diaphyse fournit également des surfaces d'insertion à un certain nombre d’autres muscles. | Toutes ces têtes réunies aboutissent à un large lendon, qui passe sur l'articulation du genou et se fixe à la tu- bérosité antérieure de la têle du tibia. Une lame apo- névrotique, qui en dépend, s'étend aussi sur la têle du fibula. Comparaison. — Même description pour les autres Sau- riens. 106. À dducteur de la jambe (PI. I, fig. 1; PI. IV, fig. 11 ét A2 PLV ire 4 0 Et 16): Senna neeus: semilendinosus (and slutœus ?) [Par- tm}. Günther. Pubi ischio Libialis (10). Gadow. C’est un muscle en forme de ruban mince, mais assez large, situé immédiatement au-dessous de la peau à la face interne de la cuisse. Son bord supérieur est en contact presque direct avec la têle interne de l’Extenseur superficiel de la jambe (104), son bord inférieur est soudé au bord supérieur du muscle suivant, de telle sorte que la ligne de séparation est à peu près invisible. Ses fibres naissent du ligament pubo-sciatique à l’extrémilé située au voisinage de l’épine pubienne. Le ligament pubo-sciatique sort assez étroit de l’épine pubienne, mais s’élargit très rapidement pour s'insérer le long de la symphyse sciatique, et la surface qu’il recouvre sur l'os est d'autant plus grande qu’on va du bord proximal au bord distal de la symphyse. Les fibres de l’Adducteur de la jambe au voisinage du tibia aboutissent successivement à un tendon de même largeur, qu'il est impossible de séparer du tendon sous-jacent appar- tenant au muscle suivant. L’Adducteur de la jambe fait done, à proprement parler, partie du muscle suivant, et je ne l'ai isolé que par des considérations théoriques tirées de la RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUÜUNCTATA. 51. comparaison des muscles homologues des Sauriens et des Urodèles. Günther n’en fait pas un muscle isolé. Gadow l’a réuni, autant qu'il m'a paru, à une partie des fibres (107) que je vais décrire avec le muscle suivant. Comparaison. — Ce muscle que j'ai appelé Adducteur anté- rieur du tibia chez les autres Sauriens est assez peu distinct des fibres voisines, dont J'avais fait l’Adducteur moyen du tibia (107) ; il est pourtant nettement séparé chez le Varanus, le Gongylus et le Mabuia. Chez ces Reptiles l'extrémité dis- tale de l'Adducteur antérieur du tibia (106) est séparée de l’Adducteur moyen (107) par une des têtes du Déducteur superficiel du cinquième doigt (1). L’adducteur de la jambe de l’Hatteria ou son homologue l’Adducteur antérieur du tibia des Sauriens correspond évidemment à l’Adducteur du tibia (106-108) des Urodèles. Mais taadis que chez les Uro- dèles ce muscle est bien distinct du Fléchisseur du tibia (110- 111), chez les Sauriens il a été réuni plus ou moins com- plètement à ce dernier par des fibres surajoutées. 107-110. Féchisseur interne de la jambe (PI. IT, fig. 1 et 2; AIN etat PIN, fes 15,.465et; 09). Semimembranosus, Semitendinosus (and Glutœus ?). Gün- ther. | Flexor tibialis internus (9). Gadow. C'est un gros muscle situé le long de la face interne et de la face inférieure de la cuisse, il correspond à trois groupes de fibres dont j'avais fait trois muscles distincts chez les autres Sauriens sous les noms de : Adducteur moyen du tibia (107), Adducteur postérieur du tibia (108) et Fléchisseur du tibia (110). Ces trois muscles ne sont jamais d’ailleurs bien individualisés tous ensemble chez le même Saurien, mais on trouve tantôt dans une espèce, tantôt dans une autre une ligne de démarcation assez nette entre deux d’entre eux. Le fléchisseur interne de la jambe est un muscle superficiel, ses fibres sortent du ligament 1lio-sciatique et ANN. SC. NAT. ZOOL. XX, 6 82 AZ A. PERRIN. du ligament qui termine le muscle Hyposciatique (H), que je décrirai plus loin. Le muscle, passant entre le bord infé- rieur de l’Adducteur de la jambe (106) et le bord interne du Fléchisseur externe de la jambe (115), se dirige vers le genou et âu voisinage de la jambe se transforme peu à peu en un tendon bien développé à la partie superficielle et très court à la face profonde. Ce tendon traverse obliquement le pli du genou; à son extrémité interne il s'insère largement à la face inférieure de la tête du tibia à l'angle interne de l'os; à son extrémité externe il se fixe à la facette externe de la tête du fémur. C’est le principal fléchisseur de la jambe. Günther n'indique que l'insertion tibiale qui, au point de vue fonctionnel, est d’ailleurs la seule importante; en outre il le décrit avec le muscle précédent tout-en indiquant qu'il peut être divisé en portions plus ou moins distinctes. Gadow en fait aussi deux ventres distincts. Comparaison. — J'ai déjà dit que j'en avais fait trois muscles distincts chez les autres Sauriens. Il correspond en partie au Fléchisseur du tibia (110-111) des Urodèles, mais il est venu s’y adjoindre des fibres supplémentaires, qui constituent la partie la plus superficielle (107 et 108) et qui ont réuni intimement chez l'Hatteria l'Adducteur de la jambe (106) au Fléchisseur interne de la jambe (110). Chez le Mabuia si on examine les fibres superficielles, on voit qu'à leurs extrémités proximales, le faisceau (107) que j'ai appelé Adducteur moyen du tibia est séparé du faisceau (108) que j'ai appelé Adducteur postérieur du tibia. Par l’espace triangulaire compris entre les deux, on aperçoit plus profondément le faisceau (110) : Fléchisseur du tibia. Malgré cet exemple je suis assez porté à croire qu'après séparation de l’Adducteur de la jambe (106), il n’y a pas grand intérêt à décrire plusieurs muscles dans le faisceau musculaire restant. Chez les Sauriens (Uromastix, Agama) où le Déducteur superficiel du cinquième doigt (1) a son origine au fémur, l'extrémité distale du Fléchisseur du RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 83 tibia (110) est partagée par ce muscle en deux faisceaux. à moins que son tendon terminal ne fasse, comme chez le Polychrus, une sorte de pont sous lequel il peut passer pour aller au fémur. H. Muscle hyposcatique (PI. V, fig. 15 et 16). Ce muscle ne fait pas partie des muscles du membre pos- térieur, il ne joue un rôle que parce qu'il réunit au bassin un tendon d’où naissent différents muscles de la cuisse. C’est un muscle triangulaire, superficiel, qui naît du bord externe du cartilage hyposciatique ; ses fibres, dont la longueur va en croissant en allant du bord antérieur au bord postérieur du muscle, se terminent successivement à un assez large tendon qui aboutit au ligament pubo-sciatique dont il est comme le prolongement latéral. Ce tendon contourne la face postérieure de la cuisse à son extrémité proximale el se termine au muscle Fléchisseur externe de la jambe (115), comme il sera dit plus loin. Chez les autres Sauriens le tendon continue sa route sur la face externe et vient aboutir à l'ilion ; de là le nom de tendon Z/10-sciatique, qu'il a reçu. 1 C. Zschio-caudal (PL. V, fig. 15, 17 et 19). Ce muscle aboutit au bassin, malgré cela il doit être con- sidéré probablement comme un muscle caudal. Il est trian- gulaire et se trouve à la face inférieure de la queue; ses fibres sont insérées aux corps el aux extrémités distales des apo- physes hémales des vertèbres caudales, depuis la troisième vertèbre inclusivement jusqu'à la neuvième inclusivement. La troisième vertèbre ne sert d'attache qu'à un très petit fais- ceau. Les fibres se dirigent en convergeant vers le bassin et se transforment en un tendon arrondi, qui passe sous le ligament précédemment décrit et se fixe à l’extrémité de l’épine sciatique. Quand la queue forme insertion fixe, le muscle en se contractant tire en arrière la pointe de l’ischion, et le bassin exécute un mouvement d'oscillation, qui porte en arrière la 84 A. PERRIN. cavité cotyloïde et par conséquent la tête du fémur. Si le bassin forme insertion fixe, la queue décrit une courbe dont la concavité est tournée vers le membre postérieur droit. Comparaison. — Description analogue chez les autres Sauriens. 112. Déducteur caudal inférieur de la cuisse (PI. V, fig. 15, 17, 18 et 19). Extensor femoris caudalis. Günther. Caudi-femoralis (7). Gadow. C’est un muscle triangulaire volumineux situé à la face inférieure de la queue, mais plus profondément que l’ischio- caudal (1. C.), qui le recouvre en partie. Ses fibres naissent des neuf premières vertèbres caudales; leur insertion à lieu sur le corps des vertèbres, un peu sur l’apophyse-transverse et sur la partie proximale de l’apophyse hémale de chacune d'elles, sauf pour les deux premières vertèbres, chez qui cetle dernière apophyse manque. L'insertion sur l’apophyse transverse de la première caudale est très étendue. Les fibres se dirigent en convergeant fortement vers la têle du fémur. Au niveau du bord externe de la queue elles aboutissent à un large lendon, qui contourne l’arête interne du fémur au niveau de l’extrémilé proximale de la diaphyse, et s’insère suivant une ligne oblique dirigée de haut en bas et d’arrière en avant. De ce tendon s’en détache un autre plus étroit (111), qui se dirige parallèlement au fémur et se fixe à la face inférieure de la base de cet os immédiatement au-dessus du condyle externe. | L'action de ce muscle est analogue à celle de l’Ischio-caudal et la complète. Quand la queue forme insertion fixe, le muscle en se contractant tire forlement le fémur en arrière et projette par cela même le corps en avant. Si le fémur forme insertion fixe, le muscle courbe la queue en arc à concavité tournée du côté du membre postérieur droit. Günther et Gadow indiquent comme insertion les huit ou neuf premières vertèbres caudales ; le reste de ma descrip- RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 89 tion est conforme à la leur, avec cette différence que je n'ai pu suivre, comme eux, le tendon jusqu’à la têle du fibula. Description analogue pour les autres Sauriens : j'ai compté avec soin, chez quelques-uns, le nombre de vertèbres cau- dales servant à l'insertion postérieure de ce muscle; j'ai trouvé neuf vertèbres chez l'Uromastix, le Lacerta et l'Agama, huit seulement chez le Mabuia et douze chez le Polychrus. Quant à l'extrémité distale du tendon (111), quand j'ai pu la suivre après son insertion fémorale au milieu des tendons de la capsule articulaire avec lesquels elle se soude plus ou moins complètement, je l'ai vue aboutir à la tête du tibia et non au fibula comme l’indiquent Günther et Gadow. 113. Déducteur de la jambe (PI. IE, fig. 2; PI. IV, fig. 11 et422 PL V;fige 19): Agitator caudæ. Günther. Ilio-fibularis (4). Gadow. Ce muscle, qui est superficiel, a la forme d’un ruban aplali, qui s'étend sur loute la longueur de la face externe de la cuisse. Il naît du bord postérieur de l’apophyse trans- verse de la deuxième vertèbre sacrée, passe sous le bord postérieur de l'ion, longe le bord inférieur des têtes externe (102) et profonde (105) de l’Extenseur superficiel de la jambe et arrivé à la jambe se transforme en un tendon plat de même largeur, qui, passant sous l'extrémité proxi- male de l’Extenseur du cinquième tarsalien (94-98), s'insère à la face externe de la tête du fibula, à l'extrémité diaphy- saire proximale de cet os. Ce muscle est un déducteur de la jambe, mais il peut servir de fléchisseur, surtout si son action s'ajoute à celle de l'Adducteur de la jambe (106). Günther en donne une description exacte; Gadow le fait naître de l’extrémité de l’ilion et le termine au fibula où il prélend qu'il se mélange au muscle Peroneus anterior (Extenseur du cinquième tarsalien (94-98) A.P.). Comparaison. — Chez tous les Sauriens où je l’ai étudié, ce muscle, que j'avais appelé Déducteur du fibula, prend 80 A. PERRIN. naissance à l’ilion. Son origine est donc ici très particulière, elle semble indiquer que ce serait un muscle du tronc qui aurait passé au service du membre postérieur. 115. Fléchisseur externe de la jambe (PI. IL, fig. 1 et 2; PEN 8; 953 PLAN, fie Mie PE Nig: 45, Eee Slender portion of the great flexor cruris (biceps). Günther. Flexor tibialis externus (8). Gadow. Si à la face inférieure de la queue on enlève successive- ment l'ischio-caudal (I. C) et le déducteur caudal inférieur de la cuisse (112), on trouve un muscle triangulaire (c), qui sort : 1° du bord postérieur de l’apophyse transverse de la deuxième vertèbre sacrée; 2° des corps et des apophyses transverses des cinq premières vertèbres caudales, et 3° des apophyses hémales des troisième, quatrièmeet cinquième vertèbres cau- dales. Les insertions sur les apophyses transverses des vertè- bres caudales sont d’ailleurs très peu étendues. Les fibres se dirigent en convergeant vers le côté antérieur et extérieur et elles aboutissent au bord externe de la queue à un large ten- don. Ce tendon est réuni à l’ischion par un ligament qui passe à la face inférieure du bassin en contournant la cuisse et se confond avec l’extrémité postérieure du ligament pubo-scia- tique. Chez les autres Sauriens ce ligament se prolonge en outre à la face supérieure pour rejoindre l’ilion et constitue le ligament ilio-sciatique. Du tendon terminal du muscle (c) naît au bord opposé un gros ventre musculaire (115. a) qui longe l’angle externe et inférieur de la cuisse, en passant entre le Déducteur de la jambe (113) et le Fléchisseur interne de la jambe (107-110). Ce muscle étroit à son origine grossit rapidement et s’a- mincit à mesure qu'il approche de la jambe. Arrivé au pli du genou, il donne naissance à deux tendons perpendicu- laires l’un sur l’autre. Le plus étroit est tout à fait sous la peau, il suit, à la face postérieure, la ligne médiane de la jambe et reçoit à son bord interne les fibres du Déducteur superficiel du cinquième doigt (1), j'en ai déjà parlé en décri- RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 87 vant ce muscle. Le second tendon, qui est plus large, est normal à la jambe et va se fixer à l'angle proximal et externe de la face postérieure du tibia en se glissant entre les têtes des deux os de la jambe. Le Fléchisseur externe de la jambe possède une deuxième têle (115. 0) interne par rapport à la première el un peu moins volumineuse qu'elle. Celte têle cachée sous le Fléchisseur interne de la jambe (107-110) nait assez étroite de l’angle externe et distal de la face inférieure de l’ischion, au-dessus de l'insertion de l’Ischio-caudal {L. C). Le muscle fusiforme longe la première tête (115. «) et arrivé au ph du genou se confond en partie avec elle et se fixe en partie au tendon normal à la jambe précédemment décrit. À côté de l’insertion tibiale de ce tendon vient se fixer à l'os un pelit faisceau musculaire qui naît du bord interne de l'extrémité distale de la deuxième tête (115. 0) du Fléchisseur externe de la jambe. Du bord inférieur du tendon normal à la jambe naît un petit muscle (115. c) en forme de ruban mince qui passant sous le Déducteur superficiel du cinquième doigt (1), suit la ligne médiane de la jambe et confond peu à peu ses fibres avec celles du Fléchisseur des doigts (9) sous- Jacent. Bi . Günther ne décrit pas la partie triangulaire (c) qui naît des vertèbres caudales, il ne la considère donc pas comme faisant partie du Fléchisseur externe de la jambe; j'avoue que j'hésite moi aussi, car si, vu la direction des fibres, la chose ne paraît pas douteuse chez l’Hatteria, chez les autres Sauriens, les fibres ont une autre direction et sem- blent être le prolongement de celles du Déducteur caudal supérieur de la cuisse (116). Günther n'indique aucune ori- gine sciatique, or celle-ci est particulièrement importante à cause des homologies. Gadow décrit avec soin la partie triangulaire (c), mais ilne précise pas si son insertion s'étend jusqu’à la sixième, ou simplement jusqu'à la cinquième vertèbre caudale ; quant au tendon profond il le fait aboutir à la tête du fibula. Il ne décrit pas comme appartenant au muscle le faisceau (115. c) S8 ip A. PERRIN. qui va se fusionner avec les muscles de la jambe; la compa- raison des deux muscles homologues chez les Sauriens et les Urodèles m'a fait interpréter autrement lés faits. Comparaison. — Ce muscle présenté des aspects très variés, si on compare ce qui se passe chez les différents Sauriens et chez les Urodèles. Ces différences résultent simplement de l’absence de certaines parties existant chez J’Hatteria, où ce muscle est le plus complet. Chez les Urodèles, le Fléchisseur externe de la jambe forme un simple ruban, qui naît de l’épine sciatique, comme la tête interne (115. 6) de l'Hatteria et dans une position absolument homologue. Il longe comme chez les Sauriens, le Fléchisseur interne de la jambe, que j'ai appelé : Fléchisseur du tibia (110-111) chez les Urodèles, et passant sous le pli du genou, il va se fusionner avec la partie externe du Fléchisseur des doigts (9. a). Ce muscle correspond à l’ensemble de la tête interne (115. 4) et du faisceau (115. c) de l'Hatteria; mais chez ce dernier, les fibres sont interrompues sur une partie de leur parcours par le passage du tendon profond qui les fixe au libia. La tête musculaire (115. a) de l’Hatteria et le tendon superficiel, qui en est le prolongement, sont des parties surajoutées, qui n’ont pas d’homologues chez les Urodèles. Remarquons que ce tendon superficiel reçoit les fibres du Déducteur superficiel du cinquième doigt (1), qui Jui aussi n’a pas d'homologue chez les Urodèles. | Le muscle se comporte comme celui de l'Hatteria chez l’'Uromastix, le Varanus, le Lacerta et le Mabuia, avec cette différence, que la branche interne (115. 4) ne donne pas de fibres se fixant directement au tibia, de plus le faisceau (115. c), qui chez les Sauriens n’a plus beaucoup de raison d’être, manque chez l’Uromastix et le Mabuia. Ce faisceau manque aussi chez l’Agama et le Polychrus, c’est-à-dire dans la plupart des cas. Le muscle est peu développé chez l’Agama où la branche interne (115. b) semble même com- plèlement manquer. Chez le Gongylus la branche interne (115. 0) se transforme au milieu de la cuisse en un tendon, ee ré St bhmm — “= RECHERCHES SUR: L'HATTERIA PUNCTATA. 89 qui va se fixer directement au tibia. Les deux têtes n'ont donc aucun rapport, aussi avais-je décrit la tête interne comme un Adducteur du fémur (118) très modifié. Chez le Polychrus, la description est la même que pour la branche in- terne du Gongylus, en outre la branche externe (115. à) se transforme un peu avant le pli du genou en un tendon superficiel, qui va rejoindre le Déducteur superficiel du cinquième doigt sans la moindre attache avec le tibia. Dans ce dernier cas on voit que la parlie du Fléchisseur externe de la jambe, qui n’a pas d'homologue chez les Urodèles et quiestsurajoutée, est complètement indépendante de Pautre partie, et cetle dernière n’a conservé que l'insertion tibiale, qui est une insertion acquise, tandis que le faisceau muscu- laire qui s’étendait de cette insertion au fléchisseur des doigts (9) a complètement disparu. 116. Déducteur caudal supérieur de la cuisse (PI. II, fig. 10; PL. V, fig. 19). - Caudali-ilio femoralis (6). Gadow. C’est un muscle triangulaire que l’on peut apercevoir à la face externe de la cuisse entre le Déducteur de la jambe (113) et la branche externe du Fléchisseur externe de la jambe (115. a) qui le recouvrent en partie. Ses fibres naissent du bord antérieur de la partie proximale (c) du Fléchisseur externe de la jambe (115) et se dirigent en convergeant vers la têle du fémur. Ses fibres sont tellement mélangées avec celles du Déducteur caudal inférieur de la cuisse (112), qu'il est impossible de suivre leurs insertions du côté distal, et qu'on ne peut savoir si une partie des fibres naît ou non directement de la colonne vertébrale. À son extrémité proxi- male, le muscle se fixe à la face inférieure du fémur à une petite distance de l'extrémité proximale de la diaphyse de cet os. | Comme son nom l'indique, ce muscle à pour rôle de tirer la cuisse en arrière. | .. Günther ne le décrit pas. Gadow le fait naître de la 90 A. PERRIN. deuxième vertèbre sacrée ou des apophyses transverses de la première vertèbre sacrée ; il ajoute que du côté de la queue, il se continue avec la partie antérieure du muscle Caudi- femoralis (Déducteur caudal inférieur de la cuisse (112) A. P..). Il n'indique pas de relation avec la partie proximale (c) du Fléchisseur externe de la jambe (115), mais seulement qu'il est en partie recouvert par ce muscle qu'il nomme : Flexor übialis externus (8). Comparaison. — Comme je l’ai déjà dit, chez les autres Sauriens, ce muscle semble être le prolongement direct des fibres du muscle triangulaire (c), que j'ai décrit chez l’Hatteria, comme la partie antérieure du Fléchisseur externe de la jambe. Le changement de direction des fibres de ce dernier muscle a eu sans doute pour cause le prolonge- ment jusqu'à l'ilion du ligament, qui chez l'Hatieria va simplement du Fléchisseur externe de la jambe (115) jusqu’à l'ischion. La partie proximale (c) de ce muscle n'ayant plus un grand rôle fonctionnel à remplir par suite de l’insertion du ligament à l’ilion, s’est mise à agir dans le sens d’avant en arrière et ses fibres prenant cette direction se sont trouvées dans le prolongement de celles du déducteur caudal supérieur de la cuisse (116). Chez les Sauriens l’ilion est beaucoup plus incliné d'avant en arrière, aussi le Déducteur. caudal supérieur de la cuisse prend-il aussi légèrement insertion sur cet os. 117. Rotateur inverse de la cuisse (PI. IT, fig. 1 et 2; PI. V, fig. 15, 16et 17). Gracilis. Günther. Pubi-tibialis (12). Gadow. C’est un muscle en forme de ruban situé à la face interne de la cuisse où ilest presque entièrement caché par l’'Adduc- teur de la jambe (106) et le Fléchisseur interne de la jambe (107-110). IL naît par un courttendon du bord externe de la moitié postérieure du pubis, au-dessus de la cavité cotyloïde, au point qui sert déjà d’origine à la tête interne TS SUP RS SCT ES RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 91 (104) de l’Extenseur superficiel de la jambe. Le muscle passe entre cette tête et un faisceau du Fléchisseur du fémur (119), puis contourne la tête profonde (105) de l’Extenseur super- ficiel de la jambe, et arrivé au pli du genou se transforme en un court tendon, qui passant sous le faisceau supplémen- taire de la tête interne (115. 6) de l'Extenseur externe de la jambe se fixe à la face externe de la tête du tibia en se glis- sant entre celle-ci et le tête du fibula. Ce tendon possède du côté externe un prolongement qui s’insère à la face interne de la tête du tibia. Par suite de cette disposition, le muscle conserve la forme de ruban même à son extrémité distale au lieu de se terminer en pointe comme chez les autres Sauriens. Il fait tourner la cuisse autour de son axe en sens inverse des aiguilles d’une montre. Günther donne une description exacte, mais succincte, de ce muscle qu'il nomme Gracilis. Gadow n'a pas reconnu le muscle à sa description et a cru qu’il correspondait à l’Ad- ducteur de la jambe (106), qu'il à décrit sous le nom de Pubi-ischio-tibialis (10). Gadow fait aboutir le Rotateur in- verse de la jambe (qu’il appelle Pubi-tibialis) au col du fibula. Comparaison. — Description analogue chez les autres Sauriens, seulement une partie des fibres naît le plus sou- vent du non: pubo-sciatique ou même de l’épine pu- bienne, en outre l’extrémité distale n’a d'insertion qu’à la face externe du tibia. Chez les autres Sauriens je l'avais appelé Rotateur inverse du tibia. 118. Long fléchisseur du fémur (PI. V, fig. 15 et 17). Adductor femoris. Günther. Ischio-femoralis (11). Gadow. C’est un muscle triangulaire situé à la face inférieure du bassin et de la cuisse où il est complètement récouvert par le Fléchisseur interne de la jambe (107-110). Il sort d’une large aponévrose qui fait partie du ligament pubo-sciatique 92 A. PERRIN. et qui se fixe au niveau de la symphyse sciatique. Les fibres se dirigent vers l'extérieur en convergeant fortement, et après avoir passé entre le Rotateur inverse de la cuisse (117) et la branche interne (115. 4) du Fléchisseur externe de la jambe elles s’insèrent à la face inférieure de la dia- physe du fémur sur le troisième quart de sa longueur. Günther en fait un faisceau détaché du gros muscle qui recouvre la face interne et une partie de la face inférieure de la cuisse et qu'ilcompare aux muscles semimembranosus, semitendinosus, biceps (and glutœus ?). Ce n’est donc pas, comme le croit Gadow, le pectineus de Günther qui corres- pond à son Ischio-tibialis. Compar aison. — Même descriplion chez les autres Sau- riens où je l’ai appelé : Adducteur du fémur. Comme les fibres qui le recouvrent, c’est un muscle surajouté, qui n’a pas d’'homologue chez les Urodèles. 119. Fléchisseur du fémur (PI. V, fig. 15, 16, 17 et 18). The principal adductor of the limb. Günther. _Pubi-ischio femoralis externus (14). Gadow. Vaste muscle triangulaire recouvrant directement la face inférieure des os du bassin. Il s’insère sur toute la moitié antérieure du pubis à partir du trou vasculo-nerveux Jusqu'à la symphyse pubienne. Il s’insère de même sur presque toute la branche lransversale de l’ischion, sauf le long de la symphyse au voisinage de l’épine sciatique où l’on trouve les insertions d’autres muscles. Ses fibres se dirigent en con- vergeant vers la lêle du fémur et à son voisinage se trans- forment en un large tendon, qui d’une part se fixe au tro- chanter interne et qui d’autre part prolonge son insertion sous forme d’une large bande à la face inférieure de l'extré- mité diaphysaire proximale du fémur. Ce muscle est le principal fléchisseur de la cuisse. Comparaison. — Chez les autres Sauriens les fibres qui s'insèrent au trochanter forment un faisceau plus ou moins distinct de celles qui se terminent à la face inférieure du RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 93 fémur. En outre chez le Gongylus et le Mabuia une partie des fibres, au lieu de s’insérer à la branche pubienne droite, traversent le trou obturaleur et se fixent au pubis du côté gauche. De même le muscle du côté gauche a de ses fibres qui ont leur origine sur le pubis droit. Chez les Sauriens on trouve sur le bord externe un faisceau qui naît d'un liga- ment fixé à l’épine pubienne et sur lequel s’accolent des fibres de l’Extenseur du fémur (121-123), aussi avais-je con- sidéré ce faisceau comme faisant partie de l’Extenseur du fémur (121-123). Ce dernier muscle aurait été ainsi traversé par la tête interne (104) de l’Extenseur superficiel du tibia (Extenseur superficiel de la jambe chez l'Hatteria) et par une partie des fibres du Rotateur inverse du tibia (117) (Rota- teur inverse de la jambe chez l'Halteria). L'examen de ces muscles chez l'Hatteria montre que le faisceau considéré appartient au Fléchisseur du fémur nettement séparé de l’Exitenseur du fémur par la tête interne (104) de l'Extenseur superficiel de la jambe. 120. Déducteur du fémur (PI. TI, fig. 10; PI. V, fig. 19). Iliacus internus. Günther. Iio-femoralis (5). Gadow. Muscle triangulaire situé à la face externe de la cuisse, presque complètement caché par la tête externe (102-103) de l’Extenseur superficiel de la jambe. Son insertion charnue a lieu sur l'ilion en dessous de celle de cette tête ; ses fibres se dirigent en convergeant légèrement vers le fémur et se fixent à la face externe de cet os. L'insertion, qui a la forme d'un parallélogramme, s'étend jusqu'au milieu de l'os, elle est comprise dans l’espace laissé libre entre l'insertion de la tête profonde (105) de l'Extenseur superficiel de la jambe, celle du Déducteur caudal supérieur de la cuisse (116) et celle de l’Extenseur du fémur (121-123). Günther et Gadow donnent une description exacte. Comparaison. — Même description chez les autres Sau- riens. 94 A. PERRIN. 121-193. Extenseur du fémur (PI IIT, fig. 10; PI. V, fig. 16, 17, 18 et 19). Ç Pectineus. Günther. Pubi-ischio femoralis internus (13). Gadow. Ce muscle, qui est l’antagoniste du Fléchisseur du fémur (119), recouvre la face supérieure des os du bassin. Son insertion charnue s’élend sur toule la surface supérieure du pubis depuis la symphyse pubienne jusqu’au trou vasculo- nerveux. Elle recouvre également la moitié droite du carti- lage ypsiloïde (c. y) et du cartilage réunissant la symphyse pubienne à la symphyse sciatique. Cette insertion recouvre aussi presque toute la surface supérieure de l’ischion, sauf au voisinage de la cavité cotyloïde et de l’épine sciatique. Sauf quelques fibres dont je parlerai plus loin, les autres se réunissent en un seul faisceau, qui contourne le bord du bassin entre l’épine pubienne et le bord antérieur de l'ilion, et vase fixer sur l’arête supérieure de l'extrémité proximale de la diaphyse fémorale, sur une petite portion de la face externe et sur une assez grande surface de la face interne. Sur cette dernière l'insertion occupe un espace égal en longueur au liers de la longueur de la diaphyse, en s'étendant du côté distal par rapport à l'insertion du large tendon du Déduc- teur caudal inférieur de la cuisse (112). | Les autres fibres du muscle forment à son bord antérieur un faisceau musculaire en forme de ruban s'étendant aussi bien sur la face supérieure que sur la face inférieure du bassin et venant se lerminer au bord proximal du ligament illo-pubien, particulièrement dans la région d’où naissent les fibres de la tête externe de l’Extenseur superficiel de la jambe, qui sont les plus près de la ligne médiane et que j'ai individualisées chez les autres Sauriens en les appelant : tête externe supérieure (103). Peut-être ces fibres de l’'Extenseur du fémur appartiennent-elles à la tête externe de l’Exten- seur superficiel de la jambe, dont un certain nombre de fibres auraient ainsi une insertion pubienne ? Günther fait naître le muscle de l’ilion et du pubis. RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 95 Gadow donne une description exacte, il considère la masse principale du muscle comme divisée en deux parties entre lesquelles passe le nervus obturator. Comparaison. — C’est le muscle qui présente l'aspect le plus différent dans la série des Sauriens, mais comme les va- riations ne portent guère que sur l'insertion proximale, elles sont sans grande importance. En général le muscle se com- pose de trois parties (1). La plus antérieure naît du pubis et parfois aussi d’un ligament sortant de la symphyse pu- bienne et dirigé d'avant en arrière; ce ligament est main- lenu en place par un faisceau symétrique appartenant au muscle du côté gauche. Par exception chez l’Agama la partie antérieure est formée elle-même de deux lêtes dont la plus postérieure s'insère au pubis gauche, tandis que la têle homologue du côté gauche se fixe au pubis droit, ce qui produit un entre-croisement des faisceaux musculaires. La partie antérieure s’insère par son extrémité distale à l’arête supérieure du fémur, mais sans s'étendre sur la face interne de l’os comme chez l'Halteria. - La partie postérieure a une origine proximale scittiqué et son tendon distal se séparant des fibres de la partie an- térieure, se fixe à la face externe du fémur au voisinage de Varête externe. Il arrive cependant que celte insertion se rapproche de la précédente et les deux faisceaux sont alors au contact. | La troisième partie qui est médiane sert de trait d'union aux deux précédentes en ce qu’elle fournit des fibres à toutes deux. C’est cette troisième parlie qui est la plus va- riable, tantôt elle manque complètement (Uromastix, Poly- chrus), tantôt elle a un très grand développement (Lacerta, Gongylus, Mabuia) et dans ce cas elle se divise en deux têles, qui s’entre-croisent avec celles du côté opposé de telle façon, qu'une partie des fibres de droite s’insèrent au pubis (1) J'en avais fait trois muscles distincts sous les noms de : Extenseur du fémur (121), Rotateur direct du fémur (122) et Rolateur accessoire du fé- mur (123). .96 A. PERRIN. du côté gauche, tandis que réciproquement une partie des fibres de gauche se fixent au pubis droit. Le fait le plus saillant c’est que chez l'Hatteria l’Extenseur du fémur a son insertion distale principalement à la face interne de l'os, tandis que chez les autres Sauriens elle se trouve surtout à la face externe. 124. Rotateur inverse du fémur (PI. II, fig. 10; PI. V, fig. 20). | Quadratus femoris. Günther. Pubi-ischio femoralis posterior (15). Gadow. C'est un muscle triangulaire situé à la face supérieure du bassin en arrière du précédent dont il longe le bord posté- rieur. ï a une origine dans la région de l’épine sciatique à la face supérieure de l’ischion. Ses fibres se dirigent en con- vergeant en avant et en dehors et se transforment à la limite du bassin en un tendon, qui contourne le bord postérieur de l'ilion et va se fixer à la tête du fémur {au niveau de l’arête externe de l’os) à la limite du cartilage articulaire. Ce muscle lire la cuisse en arrière, ilest ainsi l’antagoniste des fibres les plus antérieures de l’Extenseur du fémur (121-123). Mais il aide le Rotateur inverse de la cuisse (117) à maintenir dans sa position normale le fémur que le Déduc- teur caudal inférieur de la cuisse (112) tend toujours à faire tourner dans le sens direct, par suite de l'insertion de son large tendon à la face interne du fémur. Günther en donne une description exacte. Gadow prétend que le muscle tire son origine principalement de la face ven- trale de l'ischion et de plus qu'ils’unit au Pubi-ischio femo- ralis externus (14), qui correspond à mon Fléchisseur du fémur (119). Comparaison. — Chez les autres Sauriens il est un peu moins développé. RECHERCHES SUR L'HATTERIA PUNCTATA. 97 CONCLUSIONS. Après cette étude, peut-on conclure, comme Gadow, que les muscles de l’Hatteria diffèrent assez de ceux des autres Sauriens, pour mériter d’être décrits à part ? Faut-il au con- traire admettre avec Günther que la musculature de la cuisse et de la jambe présente un « wniformité remarquable » (1) avec celle des Sauriens et que les muscles du pied offrent une « concordance parfaite » (2) dans les deux ordres? Bien qu’il n’y ait pas uniformité absolue de structure, la musculature du membre postérieur de l'Hatteria appartient certainement au type Saurien qui présente des différences absolument tran- chées avec le type Urodèle. L'Hatteria présente toute une série de caractères spéciaux conformes aux données de la paléontologie d’après lesquel- les l'Hatteria apparlient à une espèce très ancienne n'ayant pas subi de profondes modifications. Une conséquence na- turelle c’est que les particularités signalées chez l’Hatteria rappellent souvent la disposition des muscles des Urodèles. Les os de l’Hatteria présentent quelques caractères par- ticuliers, qui sont les suivants : [l y a une ligne de suture très nette entre le fibulaire et les autres os, dits de la première rangée du tarse ; fait qui se présente chez diflérents autres Sauriens. Les os dits de la deuxième rangée du tarse ou tar- saliens sont au nombre de 5, caractère commun à l'Hatteria et au Palæohatteria. La tête du tibia présente un très grand développement dans le sens antéro-poslérieur, ce que l’on peut observer chez le Palæohatteria et le Callibrachion. Les différences signalées entre les muscles de l'Hatteria et ceux des autres Sauriens peuvent être rangées dans quatre catégories différentes : (1) I have found the general arrangement of the muscles remarkably uniform. Günther, op. cit. (2) The muscles of the foot agree perfectly with those of Grammalophora and Iguana, Günther, op. cit. ANN. SC. NAT. ZOOL. > 9 Mr 98 A. PERRIN. 1° Un assez grand nombre de muscles ne présentent aucune trace de division, alors que chez lesautres Sauriens on peut y distinguer plusieurs ventres parlois suffisamment indivi- dualisés pour être considérés comme des muscles différents. 2° Certains muscles de la cuisse ont leurs insertions proxi- males en relation plus directe avec la colonne vertébrale. 3° Les muscles de la jambe qui aboutissent au tarse ont leurs insertions distales plus étendues que celles des autres Sauriens. Îl est à noter que les os du tarse chez les Urodèles | servent à de nombreuses insertions musculaires, tandis que chez les Sauriens ils tendent à devenir de simples osselets arti- culaires, ne servant d’attache à aucun muscle. 4 Au pied on trouve de petits muscles qui naissent du tarse ; on ne les rencontre paschezles autres Sauriens et d’ail- leurs ils ne semblent pas jouer de rôle physiologique très important. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. 1868. Günther. — Contribution to the anatomy of Hatteria (Phil. trans. of the roy. Soc. of London, vol. 157, part. II. MDCCCLXVII). 1881. Gadow. — Beitrage zur Myologie der hinteren Extremität der Repti- lien (Morphol. Jahrb. Bd VII). 1893. Perrin. — Contributions à l'étude de la myologie comparée : membre postérieur chez un certain nombre de Batraciens et de Sauriens (Bull. scient. de la France et de la Belgique, t. XXIV). EXPLICATION DES PLANCHES. Os. CE. Condyle externe. Fe. Fémur. c. h. Cartilage hyposciatique. IL. Ilion. C.I. Condyle interne. IS. Ischion. C.y. Cartilage ypsiloïde. P. Pubis. ep. il. Epine iliaque. T, Tibia. ep. p. Epine pubienne. t. c. i. Tibio-centro intermédiaire. ep. s. Epine sciatique. t. o. Trou obturateur. f. Fibulaire. t.v. n. Trou vasculo-nerveux. F. Fibula. 1, aie Prentier deuxième :. RO #e cinquième tarsalien. EI IV > Premier, deuxiempion (na ut cinquième métatarsien. Muscles. 4. Déducteur superficiel du cinquième doigt. 2. Fléchisseur superficiel des doigts. 3. — de la première phalange. 4. — deuxième phalangine. 5. = — phalange. @e — troisième phalange. Les — — phalanginette. v: — = phalangine. a. — quatrième phalanginule. 8” et 8”. Fléchisseurs superficiels des quatrième phalanginette et pha- langine. 9. Fléchisseur des doigts. 9", 9", 9”. Faisceaux du muscle précédent. 100 A. PERRIN. 11. Tendon du Fléchisseur des doigts allant à la première phalangette. 12. — deuxième 13. — troisième 14. — quatrième 15e — cinquième 17. Fléchisseur de la troisième phalangine. 18. — quatrième — 30. — première phalange. SE — deuxième — 32. — troisième — 33. : — quatrième — 34. — cinquième — 35. Fléchisseur du cinquième métatarsien. 53. Déducteur du premier doigt. 54. — deuxième doigt. DD. — troisième doigt. 06. — quatrième doigt. 58. Déducteur profond du premier doigt. 0) — deuxième doigt. 60. — troisième doigt. 61. — quatrième doigt. 63. Adducteur du deuxième doigt. 64. — troisième doigt. 65. — quatrième doigt. 66. — cinquième doigt. 67. Premier intermétatarsien. 68. Deuxième — 69. Troisième — 68". Déducteur profond du deuxième métatarsien. 69". — troisième == 70. nn quatrième — 72. Fléchisseur profond du cinquième tarsalien. 73. Rotateur direct du pied. To — du tibia. 76. Extenseur commun des doigts. 18. Extenseur superficiel du premier doigt. Tor — deuxième doigt. 81. Extenseur du premier doigt. 82 (82, 82”). Extenseur du deuxième doigt. 83. Extenseur du troisième doigt., 84 (84, 84”). Extenseur du dualrième doigt. 85. Extenseur du cinquième doigt. 87. Extenseur profond du premier doigt. 88 (88', 88"). Extenseur profond du deuxième doigt. 89 (89', 89”). — . troisième doigt. 90 (90510) — quatrième doigt. 91. Déducteur accessoire du quatrième métatarsien. 94-98. Extenseur du cinquième tarsalien. 97. Extenseur du premier métatarsien. 101. Interosseux de la jambe. 102-105. Extenseur superficiel de la jambe. 102-103. Tête externe de l’Extenseur superficiel de la jambe. EXPLICATION DES PLANCHES. 101 4104. Tête interne del’Extenseur superficiel de la jambe. 105. Tête profonde de l'Extenseur superficiel de la jambe. 106. Adducteur de la jambe. 107-110. Fléchisseur interne de la jambe. 4111. Long tendon du Déducteur caudal inférieur de la cuisse.’ 112. Déducteur caudal inférieur de la cuisse. 113. Déducteur de la jambe. 115. Fléchisseur externe de la jambe. 116. Déducteur caudal supérieur de la cuisse. 117. Rotateur inverse de la cuisse. 118. Long fléchisseur du fémur. 119. Fléchisseur du fémur. 120. Déducteur du fémur. 121-123. Extenseur du fémur. 124. Rotateur inverse du fémur. H. Muscle hyposciatique. I. C. Muscle ischio-caudal. PLANCHE II. Fig. 1. — Hatteria punctata. Jambe et pied droits, grossis deux fois. Face postérieure. Insertions musculaires. Fig. 2. — Hatteria punctata. Jambe el pied droits, grossis une fois et demie. Face postérieure. Muscles superficiels. Fig. 3. — Hatteria punctata.Jambe et pied droits, grossis une fois et demie. Face postérieure. Muscles de la couche la plus profonde. Fig. 4. — Agama colonorum. Pied droit, grossi trois fois. Face inférieure. Muscles de la couche la plus profonde. PLANCHE TIL. Fig. 5. — Haltteria punctata. Jambe et pied droits, grossis une fois et demie. Face postérieure. Muscles visibles après l'enlèvement du Déducteur su- perficiel du cinquième doigt(1), du Fléchisseur superficiel des doigts (2) et des muscles qui en dépendent. Fig. 6. — Figure semblable à la précédente, après l’enlèvement du Flé- chisseur des doigts (9) et des muscles qui en dépendent. Fig. 7. — Hatteria punctata. Pied droit. Face profonde de l’aponévrose plantaire, dont une partie seulement est représentée. Fig. 8. — Agama colonorum. Tarse droit, grossi quatre fois. Face infé- rieure. Fig. 9. — Hatteria punctata. Tarse droit, grossi deux fois. Face inférieure. Fig. 10. — Hatteria punctata. Bassin et fémur du côté droit, grossis deux fois. Insertions musculaires. Bassin, face supérieure, et fémur, face ex- terne. PLANCHE IV. Fig. 11. — Hatteria punctata. Jambe et pied droits, grossis deux fois. Face antérieure. Insertions musculaires. Fig. 12. — Hatteria punctata. Jambe et pied droits, grossis une fois et demie Face antérieure. Couche musculaire superficielle. 102 | A. PERRIN. Fig. 13. — Figure semblable à la précédente après l'enlèvement de l’Exten- seur commun des doigts (76), des Extenseurs superficiels du premier doigt et du deuxième doigt (78-79), de l’Extenseur du cinquième tarsa- lien (94-98) et de l’Extenseur du premier métatarsien (97). Fig. 44. — Polychrus marmoratus. Pied droit, grossi quatre fois. Face infé- rieure. Muscles de la couche la plus profonde. | PLANCHE V. Fig. 15. — Hatteria punctata. Bassin, moitié droite, face inférieure, et fé- mur droit, face interne, grossis deux fois. Insertions musculaires. Fig. 16. — Hatteria punctata. Bassin et cuisse du côté droit, grossis une fois et demie. Bassin, face supérieure, et cuisse, face interne. Muscles superficiels. Fig. 17. — Figure semblable à la précédente après l’enlèvement de l’Adduc- teur de la jambe (106) et du Fléchisseur interne de la jambe (107-110). Fig. 18. — Figure semblable à la précédente après l'enlèvement de tous les muscles sauf le Déducteur caudal inférieur de la cuisse (112), le Fléchis- seur du fémur (119) et l’Extenseur du fémur (121-123). Fig. 19. — Hatteria punctata. Bassin, moitié droite, face supérieure, et cuisse droite, face externe, grossis une fois et demie. Muscles superficiels. Fig. 20. — Figure semblable à la précédente. Muscles de la couche la plus profonde. Fig. 21. — Hatteria punctata. Bassin, moitié droite, grossie une fois et demie. Face externe. | APPAREIL GÉNITAL MALE DES HYMÉNOPTÈRES" Par M. EL. BORDAS Licencié ès sciences physiques et ès sciences naturelles, Docteur ès sciences. a" —— —— CHAPITRE PREMIER HISTORIQUE. L'appareil génital mâle des Hyménoptères n’a été l’objet d'aucune étude d'ensemble depuis Dufour (C, R. Ac. des Sciences, 1841), et si nous reprenons aujourd'hui cette ques- tion c’est que : 1° les descriptions et les figures données par cet auteur présentent parfois des inexactitudes, 2° les espèces que nous avons prises comme types dans chaque tribu sont différentes de celles de Dufour, el enfin 3° nous avons ramené à un schéma assez simple et uniforme cet appareil glandulaire, d'apparence si compliqué et si variable d’une espèce à l’autre. Après Dufour, Leuckart(2), en traitant, d’une façon géné- rale, des organes reproducteurs mâles des Insectes, consacre aux Hyménoptères quelques lignes que nous avons traduites et reproduisons, ci-dessous, presque in-extenso. La struc- (4) Suite du mémoire intitulé : Appareil glandulaire des Hyménoptères (novembre 1894) inséré dans le t. XIX des Annales des sciences naturelles. 2) Voir, Lehrbuch der Zootomie, du D' Wagner. Leipzig, Leop. Woss, 1847. 104 L. BORDAS. ture des testicules consiste, chez les Anfhidium, en une série de trois conduits séminifères qui se continuent par un canal déférent commun. Chez l’Athalia, ils sont constitués par une suite de poches arrondies.Ceuxde l’Apis sont réniformes eten- veloppés par une membrane commune. Il enest de même chez les Bourdons, où les deux testicules et même une partie du canal excréteur, roulés en spirale, sont recouverts par une enveloppe unique. Les canaux déférents sont longs, grêles et s’'entrelacent parfois pour former des testicules secondaires (Athalia). Les glandes accessoires, en forme de conduits terminés en cul-de-sac, s’insèrent à des hauteurs variables, le long des canaux déférents. Leydig (1)reprend les premiers essais de Sewammerdam et de Réaumur el les travaux de Dufour, sur l'appareil génital mâle de l’Aberlle; mais, comme à ses prédécesseurs, plu- sieurs points anatomiques lui ont échappé. Citons encore, avant de terminer, Schneider (2) qui, dans des considérations générales sur le développement de l'appareil génital mâle des Insectes, consacre quelques lignes seulement aux Cynips el aux /chneumons ; Radosz - kows/i (3) qui a décrit, 1l y a quelques années et tout récem- ment encore, l’appendice génital mâle de quelques Hymé- noptères, et enfin G&. ÆXoschewnikoff (4) qui a fait, d’une façon très succincte, l'anatomie de l’appareil génital mâle de l'A belle. Au cours de cette étude, nous allons faire uniquement la description anatomique de l'appareil reproducteur mâle des Hyménoptères, en prenant comme exemples les individus les plus caractéristiques. Nous nous sommes adressés, pour cela, à plus de 150 espèces appartenant aux principales familles de cet ordre, un des plus importants des Hexapodes. (1) Zur Anatomie der Insecten, in Arch. f. Anat. physiol. Wiss., 1859. (2) Zoologische Beiträge, 1885, p. 295. (3) Voir, Biolog. Central., Bd IX et X, n° 17, mai 1889. (4) Voir le Zoologischer Anzeiger, n° 44, 1894. APPAREIL MALE DES HYMÉNOPTÈRES. 105 Enfin, nous terminerons notre travail en montrant que cet appareil, malgré son apparente complexité et sa prodigieuse variété de formes, peut se ramener à un type assez simple. CHAPITRE Il APPAREIL GÉNITAL MALE DES BOMBINÆ. L'appareil génital mâle des Bombinæ (Bombus muscorum et B. terrestris) a été décrit en quelques lignes par Dufour (V.C.R.Ac.Sc.1841). Depuiscetteépoque, Leuckart,en 1847, est presque le seul des naturalistes qui, s'occupant de l’ana- tomie des Hyménopières, ait parlé, même de la façon la plus sommaire, des organes reproducteurs de ces In- sectes. | | Nous avons repris l'étude de l'appareil reproducteur _ mâle des Bombinæ indigènes: Bombus muscorum, B. sylva- rum, B. rupestris, B. lapidarius, ete., à deux phases de leur développement : 1° chez la nymphe et 2° chez l'adulte. 1° Appareil génital mâle de nymphe de Bom- binæ. — Noire étude a porté tout d'abord sur de jeunes nymphes de quatre espèces de Bombus (Bombus muscorum, PB. sylvarum, B. terrestris et B. lapidarius). Leurs organes génitaux différent de ceux des adultes par la forme des testicules, par l’absence complète de replis spiralés dans le canal déférent et par la fusion des deux conduits au delà du point d’embouchure des glandes accessoires, réduites encore, à ce stade, à l’état de deux diverticules co- niques dirigés vers l’intérieur du corps. Cet appareil ne comprend donc que trois parlies: 1° les festicules, 2° les canaux déférents et 3° le canal éjaculateur qui est très court (VB ES Get). | 1° TesrTictces. — Les lesticules sont très développés chez les jeunes nymphes de Bombus et diffèrent nettement par leur forme, ainsi que par le nombre et la longueur des 106 L. BORDAS. canalicules séminifères, de ceux de l’Apis mellifica. Is sont pairs et situés dans le quatrième segment abdo- minal, un peu au-dessus de la partie dorsale et postérieure de l’abdomen. Ils sont, en outre, rapprochés du renilement annulaire sur lequel sont insérés les tubes de Malpighi (PIN, fige LA). Chaque testicule a une forme légèrement conique, à pointe tournée vers le bas et à base élargie, légèrement bombée et dirigée vers le haut, presque au niveau d’un plan passant par la face dorsale de l’intestin moyen ; les parois internes sont donc séparées par un assez large espace. Une mince membrane les enveloppe et recouvre les canalicules séminifères, en nombre très limilé. Ces derniers sont longs, grêles et plusieurs fois recourbés sur eux-mêmes. Ils partent de la partie inférieure, c’est-à-dire du sommet du cône testiculaire, et se dirigent vers sa base en décrivant de nombreuses circonvolutions. Arrivés vers l'extrémité supé- rieure élargie, la plupart se replient vers le bas. Leur dia- mètre et leur longueur dépassent de beaucoup ceux de l’Apis mellifica ; mais leur nombre est bien moins considé- rable et n’est jamais supérieur à cing. Chez la plupart des nymphes que j'ai disséquées, j’en ai trouvé succes- sivement : 3 pendant deux fois, 5 pendant trois fois et 4 cinq fois. Dans leur partie médiane, ils sont à peu près uniformément cylindriques et se terminent à leur som- met par un cæcum arrondi. Leur bout inférieur est aminci et s'ouvre dans un réservoir collecteur sphérique qui se continue par le canal déférent (V. PI. VI, fig. 1). Tous ces tubes, accolés les uns aux autres, peuvent cepen- dant s’étaler facilement et former alors, de chaque côté de l'extrémité postérieure de l'intestin moyen, deux larges touffes flabelliformes (V. PI. VI, fig. 2). 2° CANAUX DÉFÉRENTS. — Les canaux déférents naissent d'une partie supérieure élargie, conique ou en forme d'en- tonnoir, qui se continue par un tube grêle, transparent et légèrement sinueux (V. PI. VI, fig. 2). Arrivés vers le APPAREIL MALE DES HYMÉNOPTÈRES. 107 milieu de la première courbure que déerit l'intestin pos- térieur, les deux canaux se renflent en une vésicule séminale dirigée vers l'extérieur et dépassant à peine 3 millimètres de longueur. Ce renflement, qui va s’accen- tuant de plus en plus à mesure que la nymphe se métamor- phose, accuse déjà très nettement un premier tour de spire, comme l'indique la fig. 1 de la PI. VI. Peu à peu le renfle- ment s’accentue et son diamèlre prend une largeur uni- forme. Ce dernier se dirige alors presque en ligne droite vers l'extrémité du corps, jusqu’au point où l'intestin postérieur, s'élargissant brusquement, commence à indiquer l’origine du rectum. C’est dans celte région que le canal excréteur se renfle de nouveau, de facon à constituer d’abord une vésicule fusiforme complètement enveloppée par le tissu adipeux. C’est sur le côté inférieur de cette vésicule (V. PI. VE, fig. 1) qu’on voit apparaître un petit appendice, d’abord conique, mais qui s’allonge peu à peu et devient cylindrique. Il est produit par une invagination interne des parois du canal déférent. En étudiant des nymphes à divers états de leur déve- loppement, on peut suivre les phases successives par lesquelles passe ce tube latéral qui devient plus tard la glande acces- soire de l'adulte. | A la suite de la glande accessoire et au delà de son point d'union avec le canal déférent, le renflement se continue encore sur une longueur de ! à 2 millimètres, puis son dia- mètre diminue presque brusquement, et le tube reprend peu à peu la forme qu’il avait au-dessus de la glande. Les deux canaux déférents se dirigent alors l’un vers l’autre, et se fusionnent en faisant un angle de 130 à 140°. 3° CANAL ÉJACULATEUR. — De l’union des deux canaux déférents résulte un tube unique, court, à large diamètre, uniformément cylindrique, constituant le canal éjaculateur qui passe au-dessous du rectum et va se terminer en arrière de lorifice anal. De ce fait que, chez la nymphe, la fusion des canaux déférents se fait très loin au delà de la première 108 LL. BORDAS. ébauche des glandes accessoires, on peut en conclure qu'il a dû exister un stade où les deux canaux déférents devaient s’aboucher seulement à leur extrémité postérieure et que par conséquent l’ébauche primilive des glandes génitales chez les Bombinæ est paire. La disposition de l'appareil reproducteur mâle chez les nymphes des autres Bombhinæ, est identique à celle que nous venons de décrire chez le Bombus muscorum. 2° Appareil génital mâle des Bombinæ adultes. — Nous avons étudié l'appareil reproducteur de qualorze espèces de Bombinæ adultes que nous avons rencontrées dans le Plateau Central, à savoir : les Bombus muscorum, B. syl- varum, B. terrestris, B. hortorum, B. rupestris, B. lapida- rius, B. campestris, B. pomorum, P. pratorum, B. subterra- neus, elc.; mais, pour simplifier l'étude, nous n’allons décrire l'appareil génilal mâle du Pombus muscorum (Mo Ph Vlr els). Cet appareil comprend 5 parties que nous allons décrire successivement : 1° les testicules; 2° les canaux déférents et les vésicules séminales; 3° les glandes accessoires; 4° le canal épaculateur, el 5° l'armure copulatrice. 1° TesricuLes. — Les Zesticules des Bombus muscorum sont pelits relativement à la grosseur du corps de ces Hymé- noptères et beaucoup moins volumineux que ceux de l’Apis mellifica. Ks occupent une position fixe et sont situés dans le troisième segment abdominal et à l’origine du quatrième. Vers la fin de la période nymphale, ces glandes sont encore enveloppées, en presque totalité, par du tissu adi- peux. Les tubes de Malpighi les entourent sur les faces supé- rieure et postérieure en y formant un lacis inextricable de fins filaments. Ces organes, débarrassés du tissu adipeux et des touffes de vaisseaux uriques, apparaissent sous la forme de deux petites masses {V. PI. VI, fig. 3) blanchâtres, coni- ques, dont la base est dirigée vers la face dorsale du corps et le sommet situé vers le bas. Une mince membrane les enve- loppe el est parcourue par des canaux trachéens très grêles APPAREIL MALE DES HYMÉNOPTÈRES. 109 qui pénètrent même jusque dans l’intérieur de l’organe : on peut les suivre jusque sur les parois des canalicules sémini- fères où se terminent leurs dernières ramifications. Au-des- sous de cette membrane ou capsule enveloppante, on se trouve en présence, comme chez les nymphes, d’un nombre varia- ble de canalicules : parfois cinq, mais le plus souvent quatre. Dufour affirme que ce dernier nombre est constant; nous allons voir bientôt qu'il est loin d’en être ainsi. Ces canali- cules sont longs (certains ont de 6 à 8 millimètres), cylin- driques, droils à leur base, mais recourbés, contournés et diversement reployés à leur sommet {V. PI. VI, fig. 3).Ce sont ces circonvolutions qui déterminent la dilatation supérieure de l’organe, dilatation qui est due uniquement au plissement des canalicules. Leur couleur est d'un blanc mat très intense et ressort nettement au milieu des viscères abdominaux. Ces canalicules ont de 0**,2 à 0**,3 d'épaisseur. Leur diamètre est à peu près uniforme, mais leur longueur varie de l’un à l’autre. Ils ne s'arrêtent pas tous à la base du lesticule : la plupart se replient vers le sommet en décrivant de nouvelles circonvolutions et se terminent par une pointe arrondie. Leur extrémité inférieure, très amincie, conique, va s'ouvrir dans la partie supérieure dilatée du canal déférent. Cette extré- mité, ainsi élargie, constitue un réservoir infundibuliforme dont les parois se continuent avec celles de la capsule qui en- toure les testicules et qui donne à ces derniers leur forme conique. À la suite du réservoir collecteur vient un canal grêle à son origine, trausparent et possédant un diamètre à peine double de celui des tubes de Malpighi. Les testicules du Bombus lapidarius, du PB. pratorum et ceux du 8. terrestris adultes diffèrent, par leur forme, de ceux du B. muscorum. Ceux du premier ressemblent à deux sacs allongés, cylindriques, atténués à leurs extrémités, inclinés de gauche à droite et un peu en dehors (V. PI. VE, fig. 4). Leur longueur est de 2°°,8, et leur plus grande largeur atteint 1°°,5. Leur diamètre va progressivement en augmentant du Ale, _ point d’où part le canal déférent, vers l'extrémité supérieure. 110 L. BORDAS. L'ensemble de l'organe a la forme d’une massue recourbée. La membrane enveloppante, comme celle des Bombus muscorum, est blanche, transparente et fort mince. Quand on l’a complè- tement enlevée, les canalicules séminifères apparaissent sous l'aspect d’une masse cérébriforme à circonvolutionsnombreu- ses. Ces canalicules ne sont en général qu'au nombre de quatre chez les Bombus lapidarius, B. terrestris, B. hypnorum, B.campestris, B. pratorum, ele. Dans ce cas, ils sont presque toujours disposés en deux groupes enlacés en spirale, re- ployés un grand nombre de fois sur eux-mêmes et recourbés vers le bas après avoir atteint l'extrémité supérieure du tes- ticule ; de plus, les deux groupes ainsi formés s’enlacent, comme les tubes, en spirale. Les plis augmentent de plus en plus à mesure qu'on s'élève vers le sommet, ainsi que le dia- mètre des tours de spire. Ces canalicules, bien que fort con- tournés el reployés sur eux-mêmes, conservent cependant leur forme cylindrique et peuvent facilement se dérouler et s’étaler sans se rompre. Leur extrémité antérieure, comme chez les Bombus muscorum, est légèrement conique, et l’in- férieure s’amincit brusquement et s’ouvre dans un réservoir collecteur infundibuliforme, en rapport avec le canal défé- rent. Chez ces diverses espèces, la membrane, comme dans le type que nous avons tout d’abord étudié, est mince, dia- phane, transparente et parcourue par de nombreux fils trachéens. Ces filaments, après avoir traversé la membrane, pénètrent dans le testicule et relient ainsi les canalicules séminifères entre eux. Les derniers ramuscules trachéens rampent à la surface des canalicules séminifères qu'ils recouvrent comme d’un réseau. Comme on le voit, les testicules de ces diverses espèces de Bombus forment un lacis compact dont on ne peut aper- cevoir extérieurement que les mailles provenant des petits tubes séminifères. Chez le Bombus hortorum l'extrémité inférieure des cana- hcules, au lieu d’êlre conique, s’amincit progressivement et APPAREIL MALE DES HYMÉNOPTÈRES. 41 se continue par un filament très grêle qui va s'ouvrir dans le réservoir collecteur, dont nous avons déjà parlé. Nous avons dit que Dufour, en traitant d’une façon géné- rale des organes génitaux des Hyménoptères, avait considéré le nombre des canalicules séminifères des Bombus, comme constant et égal à quatre. Nous pouvons affirmer qu'il n’en est pas ainsi et que ce nombre varie, non seulement suivant les espèces, mais même suivant les divers individus d’une même espèce, et se trouve compris entre frois et cing. J'en ai souvent rencontré quatre, quelquefois cing et rarement #rots. Ainsi, sur frente-six individus que j'ai disséqués, y compris des nymphes à divers états de développement, j'ai constaté quatre canalicules sémi- nifères sur vingt individus adultes et deux nymphes, cèng sur huit individus dont six nymphes et {rois seulement sur deux adultes et quatre nymphes. Du reste, le tableau ci-dessous résume le résultat de mes observations : Individus. Adultes. Nymphes. . Nombre de canalicules séminifères. 22 20 2 4 8 2 6 D | 6 2 D 3 Totaux... 36 ; 24 42. 12 On le voit, le nombre des canalicules séminifères n’est pas constant ; il est fréquemment de quatre, parfois de cing et rarement de /rots. C’est dans ces canalicules que se développent les sperma- tozoïdes. Ces derniers sont très allôngés, filiformes, de dia- mètre capillaire et composés de deux parties : d’une tête. presque sphérique, mais à peine distincte de l’appendice, et d'un long flagellum sinueux. 2° CANAUX DÉFÉRENTS ET VÉSICULES SÉMINALES. — Le canal déférent (V. PI. VE, fig. 3) prend naissance à la partie infé- rieure du renflement collecteur dans lequel viennent débou- 112 L. BORDAS. cher les canalicules séminifères. Il constitue un tube mince. transparent, cylindrique et d'une longueur variant de 10 à 12 millimètres chez le Bombus muscorum. I contourne les deux dernières circonvolutions de l'intestin postérieur; puis, arrivé vers la base de l’avant-dernier anneau abdominal, il | se renfle et se replie en spirale. | Cette partie ou vésicule séminale, de couleur blanchâtre, ‘enveloppée par une membrane musculaire et iransparente, correspond à cette portion élargie et cylindrique que nous décrirons, au chapitre suivant, chez l’Apis mellifica. Cette vésicule, cylindrique vers son milieu, est amincie à ses deux bouts. Le canal déférent se continue ensuite, en se rétrécissant, mais en conservant toutefois un diamètre double de celui qu'ilavait avant d'arriver à la portion renflée et contournée. Il se rapproche ensuite des glandes accessoires, s'accole à elles et s'ouvre dans leur partie terminale et interne, non loin du point où elles vont se fusionner pour se continuer avec le canal éjaculateur (V. PI. VI, fig. 3). Chez les Bombus lapidarius, B. terrestris, B. hortorum, B. pomorum, etc. , le canal déférent décrit à sa partie supé- rieure trois circonvolutions, puis continue sa marche en se recourbant et en contournant l'intestin postérieur. Un peu avant le renflement médian que nous avons décrit ci-dessus, il se recourbe deux fois, puis se dilate brusquement en pro- duisant deux ou trois boursouflures, et acquiert finalement un diamètre presque quadruple de celui qu'il avait précé- demment. C'est cetle parlie, contournée en spirale, qui forme ainsi la vésicule séminale (V. PI. VE, fig. 5), en veloppée par une membrane mince et de même apparence que celle qui entoure les testicules. La surface de ceile membrane enveloppante est sillonnée par d'innombrables filaments tra- chéens. | 3° GLANDES ACCESSOIRES. — Ces glandes sont remarquables par leur volume considérable et leur forme particulière (V. PI. VI, fig. 3). Chez les Bombinæ, elles sont bien différentes APPAREIL MALE DES HYMÉNOPTÈRES. 143 de celles que nous allons étudier, au chapitre suivant, chez les Apinæ où elles constiluent deux longs tubes dirigés vers la partie antérieure du corps, tandis que chez les Bombus muscorum, B. lapidarius, B. campestris, etc.., elles sont situées en arrière, presque perpendiculairement à l'axe du corps, dans un plan faisant un angle aigu avec la partie antérieure de l’armure copulatrice. Elles sont constituées par des tubes pairs, presque uniformément cylindriques, de couleur blanchâtre et à surface parcourue longitudinalement par des stries ou sillons peu profonds. Leur partie supé- rieure se coude presque à angle droit, en affectant ainsi la forme d’un mors de pinces ou de tenailles, dont les extré- mités, renflées en massue, se touchent presque sur la ligne médiane du corps ou sont directement superposées. Les ren- flements terminaux sont, les uns piriformes, les autres sphériques et presque toujours fortement distendus par leur contenu. Le canal qui fait suite à l'extrémité renflée a un diamètre à peu près constant, mais inférieur à celui de la massue terminale. Sa surface est parcourue par des stries longitudinales ; de plus, parallèlement aux stries, existent de même des épaississements dus aux replis internes de la membrane. Il s’unit, vers le milieu du segment postérieur abdominal, au canal semblable qui vient du côté opposé pour constituer un réceptacle commun triangulaire et faiblement excavé sur sa face supérieure. Ce sillon, qui indique la ligne suivant laquelle les deux canaux des glandes accessoires viennent s’aboucher, est limité de chaque côté par un léger renflement(V. PI. VI, fig. 3), provenant d’une dilatation de la partie terminale des conduits. 4° CANAL ÉJACULATEUR. — L'origine de ce canal est située à la soudure des deux conduits excréteurs des glandes acces- soires. Au début il est très large et aplati transversalement. Son diamètre, constant tout d’abord, va ensuite progressi- vement en diminuant. Sa longueur est relativement faible, car, après avoir pris une direction presque perpendiculaire à l'axe du corps, il rétrograde brusquement et pénètre dans ANN. SC. NAT. ZOOL, EX, 0 114 L. BORDAS. la partie antérieure et musculaire de l’armure copulatrice. Après avoir traversé le fourreau pénial, il se dilate et pro- duit deux renflements latéraux dont nous parlerons en trai- tant de l’armure copulatrice, et se termine enfin à un orifice ovale situé entre les deux branches du forceps. Signalons la profonde différence qui existe entre le canal éjaculateur des Bombus et celui des À pis. Ces Hyménoptères, appartenant au même groupe, devraient posséder des organes reproducteurs dont les parties terminales ont à peu près la même conformation. Rien n’est moins exact, car, chez les premiers, ces parties sont courtes et larges, et chez les A pis, grêles et démesurément allongées. INNERVATION DES GLANDES GÉNITALES (V. PI. VI, fig. 6). — Nous avons vu que, dans leur position naturelle, les glandes accessoires des diverses espèces de Bombus ‘ne sont pas étalées dans un plan horizontal comme chezl’A pis. Elles sont obliquement inclinées d’arrière en avant et la partie termi- nale renflée de la glande gauche recouvre l'extrémité de la droite ; de plus, elles cachent presque complètement les trois derniers ganglions abdominaux. Ce sont ces ganglions qui innervent l'appareil génital. La figure 6, pl. VI, repré- sente les deux glandes accessoires vues en dessous et montre, dans leur position naturelle, les trois ganglions en question. Le premier ganglion À donne naissance à deux branches : l’une antérieure, très grosse, donnant un premier rameau qui va se distribuer dans les muscles compris entre les deux derniers segments abdominaux, et un second qui se ramifie aux surfaces inférieure et supérieure du renflement terminal de la glande accessoire. La seconde branche qui part du ganglion À, beaucoup plus petile que la première, demeure tout entière à la surface inférieure de la glande. Le second ganglion B donne naissance à trois paires de nerfs. Les deux paires externes sont très courtes et ne s’éten- dent pas au delà de la face inférieure de la glande et de son renflement terminal. Le rameau médian, par contre, est très large et très gros. Ce dernier, peu après sa sortie du gan- APPAREIL MALE DES HYMÉNOPTÈRES. 115 glion, se divise en deux branches d’égale dimension, dont l’une se dirige versa face inférieure et innerve les muscles du dernier segment abdominal et ceux qui relient l’armure génitale à l'abdomen, et l’autre, longue et ramifiée, innerve la partie inférieure de la glande et de son canal excréteur. Enfin, le troisième et dernier ganglion C est situé si près du précédent que les conneclifs sont à peine visibles. Il a la forme d’un tronc de cône élargi à la base et donne nais- sance latéralement à un grand nombre de filaments nerveux, dont les deux antérieurs x, d’égal diamètre, vont se distri- buer aux muscles de la face inférieure abdominale. Viennent ensuite quatre filets, très grêles, très minces et très ramifiés à leur sommet. Ils forment un réseau nerveux répandu à la surface inférieure et latérale de l'extrémité de la glande. A la partie postérieure du ganglion et à ses deux angles nais- sent deux gros troncs qui se bifurquent à peu de distance de leur sortie en donnant deux branches, dont l’une très forte, continuation du tronc primitif, innerve la partie antérieure de l’armure copulatrice et donne des filets qui se répandent sur les parois latérales du canal éjaculateur. L'autre bran- che, beaucoup plus mince, fournit deux rameaux, divisés eux-mêmes un grand nombre de fois. Ils innervent la partie élargie, point de convergence des canaux excréteurs de la glande accessoire, située à l’origine du canal éjaculateur, et projettent, à la face supérieure, d’autres branches ramifiées à l'infini formant, à la partie terminale du canal glandulaire, un lacis nerveux très difficile à suivre. De cette deuxième branche part également un autre filet nerveux qui suit la face supérieure du canal déférent et va ensuite se ramifier dans son renflement médian. 9° ARMURE COPULATRICE. — Nous laissons à cette partie le nom d'armure copulatrice à cause du rôle qu’elle joue dans l’accouplement. Chezles Bombinæ, et en particulier chez le Bombus muscorum, elle comprend six parties (V. PI. VE ACT) 1° Lame basilaire. — La lame basilaire (V. PI. VE, fig. 7, 116 L. BORDAS. L.-B.), est située à l’origine de l’armure el recouvre sa partie supérieure qui est fortement musculaire. C’est une plaque dépourvue de soies, qui a la forme d'une calotte sphérique et porte, sur la partie médiane de sa surface, un sillon qui la divise en deux portions symétriques. Son bord: antérieur esi fortement arqué et présente une échancrure au-dessous de laquelle se trouve le canal éjaculateur. Ce bord surplombe l'extrémité antérieure de l’armure co- pulatrice qui va en s’inclinant vers le bas et prend ainsi un aspect cunéiforme. Son bord postérieur présente deux échancrures latérales et un prolongement médian, etrecouvre faiblement la partie antérieure recourbée des branches du forceps. Ses extrémités latérales se terminent par deux pointes aiguës et filiformes qui s’attachent à PURE des extré- mités antérieures de la vo/selle. 2° et 3° Forceps et volselle. — Viennent ensuite deux pièces. situées l’une au-dessous de l’autre, intimement soudées. entre elles, suivant une ligne oblique dirigée extérieurement, de facon à simuler une partie unique, bien qu'elles diffè- rent essentiellement par leur forme et leur couleur: ce sont. le jorceps et immédiatement au-dessous la vo/selle. Ces. pièces ont la forme de deux branches recourbées à angle droit, constituant ainsi les lames les mue importantes de. l’armure copulatrice. Ces branches sont unies antérieurement, sur la ligne mé-- diane du corps, par l'intermédiaire d’une étroile lamelle. Elles sont constituées par une plaque fortement chitineuse dont les bords, reployés horizontalement, laissent entre eux. une cavilé en forme de gouttière, remplie par du tissu mus- culaire et des trachées. On a de cette facon deux surfaces. irrégulièrement planes, unies exlérieurement par une lame qui sert de base à la gouttière. De la courbure antérieure. de chaque branche portent deux gros faisceaux musculaires servant à rattacher l’armure copulatrice aux derniers seg- ments abdominaux. La face supérieure de chaque branche s’atténue légèrement à son extrémité qui porte, dirigée vers. APPAREIL MALE DES HYMÉNOPTÈRES. 113 l'extérieur, une faible cavité et se termine suivant une ligne oblique allant de gauche à droite, vers le bas. Le bord in- terne de celte lame est recourbé et décrit trois ou quatre sinuosités. De l'extrémité de l’appendice, le bord de la lame supé- rieure se continue et va s'unir au bord de la lame inférieure ou volselle. Celte dernière présente, en avant, deux appendices très grèles dont les deux inférieurs se réunissent entre eux sur la ligne médiane du corps, au-dessous du canal éjaculateur. A partir de ce point, et se dirigeant vers l’intérieur, se trouve une arête de laquelle part, du côté externe, une plaque ver- ticale, presque plane, ne présentant en son milieu qu’une faible épaisseur et qui n’est autre chose que la base de la gouttière. Du côté interne, part également une autre lame inclinée en dedans et vers le haut. A son extrémité posté- rieure, la partie basilaire de la pièce double que nous décri- vons devient horizontale, s’élargit et découpe sur ses bords deux dents triangulaires très acérées el situées un peu en ss... ss... ss. ses ..... SOUS-GENRE SERPULA 5.SÛ7.......... Serpula vermicularis L Genre Filograna Oken SOUS-GENRE FILOGRANA 5. sér Filograna implexa Berk SOUS-GENRE SALMACINA CIpd Salmacina Dysteri Huxl Genre Spirorbis Daud. s. sfr... Spirorbis borealis Daud Genre CGirceis N. G.......... Es Circeis Armoricana N. S Genre Mera N. G MHera pus Ne SRE EAOE Genre Pomatoceros Phil Pomatoceros triqueter L Genre Protula Risso SOUS-GENRE PROTULA 5. sér Protula tubularia Mont Genre Apomatus Phil. Môrch.. SOUS-GENRE APOMATUS s. slr Apomatus similis Mar. et Bobr.... 00... ........ ...... EXPLICATION DES PLANCHES 251 Pages. 292 296 292 DE SAINT-JOSEPH. QUATRIÈME PARTIE Tome XX. APPENDICE. Pages. FAMILLE DES SYLLIDIENS Gr... 185 | FAMILLE DES EUNICIENS (sensu Syllis (Haplosyllis) hamata Clpd.. £ 185 Gr.) Se joho is laionaueeroisfe nietsteiste ste ete .éiein sn — (Typosyllis) alternosetosaN.S. 187 | Marphysa sanguinea Mont........ (iyposy phy g — Krohnii Ehl..h. 4 2e" 188 | — Bellii Aud. et Edw....,..... = MIO QOUAS ET cuis encre 0 le AR RE 190 | Lysidice Ninelta Aud. et Edw ..... Genre Streptosyllis Webst. et Maclovia gigantea Gr else sise se echo GS EN 0 (Et RE Re A a mers te 191 | Paractius mutabilis N.S.......... Fe varians Webst. et S FAMILLE DES LYCORIDIENS Gr. Denede sr ses eee PURE 19 « pes : k Leontis Dumerilii Aud. et Edw.... Autolytus pictus Ehl NE ne eesseee 194! Lipephile cultrifera Gr............ Stolon femelle d’Autolytus indéter- 7 Praxilhea ivrorata Mgr.........…. INUNEÉRECEE EC melon etes cree Nerei laai Li: PRIS Myrianida maculata Cipd...... HA A D FAMILL PHYLL CI FAMILLE DES APHRODITIENS . FU LLOPORIENS SRE ES RS, LR LE PT RER Hu hou “REC ne Genre Phyllodoce Sav......... Larve de Polynoïde indéterminé..., 196 : ten 198 Us Ni à N. Set & D ANNE PAUSE — DUICREUGE METRE, CRC ETES Nychia cirrosa-Pallas.s. ouate 198 | Pferocirrus PR PR Een Ra Gr} SE Genre Harmothoe Kbg. Mgr. EteonewoliosaiQ{ter 42e ER CRE CHHRTIERS DE EE 200 FAMILLE DES SPIONIDIENS Sars. qu ee. rt AE à LÉ 5 Nerine Girardi QIg 0 ë SG: L FT a | ns DISTRIBUTION BATHYMÉTRIQUE ET GÉO- enreSigalionAud.el£aw. RDS. GRAPHIQUE ». le she Mes CENTER s. sir. nec Ehl., nec Mgr......... 208" \ÉpRR ATAS: :250 40 10 PES Sigalion squamatum D. Ch....... \ 203 | EXPLICATION DES PLANCHES..... .... Pages. 207 TABLE ALPHABÉTIQUE SIGNIFICATION DES CARACTÈRES DIFFÉRENTS EMPLOYÉS DANS LA TABLE ALPHABÉTIQUE Familles et tribus décrites dans l'ouvrage AMPHINOMIENS. Familles et tribus synonymes ou citées : TÉLÉTHUSIENS. Genres et sous-genres dont il est traité : APHRODITE. Genres et sous-genres synonymes ou cités : ACHOLOE. Espèces décrites dans l'ouvrage : Amphicteis curvipalea. Espèces synonymes ou citées : Amphicteis Gunneri. Les chiffres romains indiquent les numéros des tomes qui appartiennent tous à la 72e série des Annales. Les chiffres arabes sont employés pour les numéros des pages. En cas de renvoi à plusieurs pages, lorsqu'il y en a une plus importante que les autres, elle est imprimée en caracteres gras (158). ACHOLOE Clpd., V, 150. Acholoe astericola Clpd., V, 143, ACROCIRRUS Gr. Von Marenz. rev. XVII, 43, 46, 52. AGLAOPHAMUS Kbg., XVII, 101. Alciopina parasitica Clpd. et Panc., V, 219: ALENTIA Mgr., V, 150, 154. Alentia gelatinosa Mgr., V, 154. ALLMANIELLA Me Int., V, 150. AMÆA Mgr., XVII, 235. Amblyosyllis Madeirensis Lang., I, 187. AMPHARETE Mzgr., XVII, 162. AMPHARÉTIENS Mgr., XVII, 162. AMPHICORA Ebr., XVII, 251, 319. Amphicora desiderata Qfg., XX, 242. Fabricia Cunn. et Ram., XVII, 319. Mediterranea Leydig, XVII, 307. Sabella Ehr., XVII, 319. AMPHICORIDES Meyer, XVII, 246. Amphicorine Argus Qfe., XVII, 321. — Armandi Clpd., XVII, 321. AMPHICTEIS Gr. p. p. Mgr. et Von Marenz. char. emend., XVII, 162. Amphicteis curvipalea Clpd., XVII, 463, 169 ; XX, 236. Amphicteis foliosa Hasw., XVII, 162. Gunneri Sars, XVII, 163. nasuta Ehl., XVII, 161. — procera Ehl., XVII, 164, 16. Vega Wir., XVII, 162. AMPHIGLENA Clpd., XVII, 249, 307. Amphiglena Armandi Clipd., XVIT, 307. Amphiglena Mediterranea Leydig, XVII, 2417, 307; XX, 236. AMPHINOMIENS Sav., V, 190. AMPHIRO Kbg. (Lang. char. emend.), V, 192, 206. Amphiro Atlantica Kbg., V, 207. Amphiro Johnsoni Lang., V, 206; XX, 23». AMPHITRITE O-F.Müll., Mgr.rev., XVII, 166, 167, 174, 177, 181, 486. Amphitrile affinis Mgr., XVII, 193, 195, 196. — alveolata M. Edw., XVII, 160. Bombyx Dalyell, XVII, 309. cirrata O.-F. Müll., XVII, 176, 178, 181, 185, 195. Amphitrite Edwarsi Qfo., V, 144; XVII, 168, 178, 486; XX, 235. Amphitrile flexuosa D. Ch., XVIT, 221. (Myxicola) floscula Dalyell, XVII, 324. Amphitrite gracilis Gr., XVII, 176, 177; 178, 181, 498, 203; XX, 236. Amphitrite JohnstoniMgr., X VIT, 195, 225. Josephinæ Risso, XVII, 286, 292. Kerguelensis Mc Int., XVII, 168. Meckelii D. Ch., XVII, 219. Nesidensis D. Ch., XVII, 225. nierenfürmige O.-F. Müll., XVII, 202: ornata Verr., V, 145. plumosa O.-F. Müll., XVII, 101. ramosissina Von Marenz.,X VII, 118. rubra Risso, XVII, 178, 191. variabilis Risso, XVII, 178. ventilabrum Risso, 1, 135 ; XVII, 267. vesiculosa Mont., XVII, 300. vigintlipes Gr. Ehr., XVII, 178. AMPHITRITEA Mer., XVII,466, 173. Amphitriloïdes rapax Costa, XVII, 219. ANAITIDES Czern., V, 212,273; XX, 223. ANAITIS Mgr., V, 212,273; XX, 293. Clpd. Nm XX T7 Anaïîlis lineata Clpd., V, 280, 293. — peremptoria Clpd., V, 280. pusilla Cipd., V, 280. — 294 ANCISTROSYLLIS Me Int., [, 262. ANISOCERAS Gr., V, 235. ANOPLOSYLLIS Clpd., I, 262. Anoplosyllis fulva Mar. et Bobr., I, 165, 167; XX, 193. ANTINOE Kbg., V, 150. Antinoe nobilis Lank., V, 145, 170. — parasilica Webst., V, 144. — præclara Hasw., V, 166. Sarsi Kbg., V, 142. Waahli Kbg., V, 166. AONIS Aud. et Edw., nec Sav., XVII, 66. Aonis foliacea Qfe., XVII, 72. vittata Gr., XVII, 72. APHLEBINA Qfg. XVII, 285. Aphlebina hæmatodes Clpd., XVIT, 241. Aphrodita hystrix Aud. et Edw., V, 146, 147. — squamata L., V, 151. APHRODITACEA Kbg., V, 146. APHRODITE L. Cuv., V, 146. Aphrodite aculeata L., V, 142, 146, 165; XVII, 110; XX, 238, 241. Aphrodite cirrosa Dalyell, V, 145, 154. echidna Qfg., V, 141. imbricata L., V, 161. APHRODITIENS Sav.,s. sér. V, 141; XX, 196. APNEUMÆA Qfg., XVIT, 235. Apneumæa Leoncina Qfe., XVII, 241. APOMATOPSIS S. G. n., XVII, 263. APOMATUS Phil., Môrch, XVIT, 254, 255, 256, 251, 258, 263, 261, 338, 369. APOMATUS 5. str., XVII, 263, 369. Apomatus (Apomatopsis) ampulliferus Phil., XVII, 263, 311, 374. Apomatus (Apomatopsis) Enosimæ Von Marenz., XVII, 263, 311, 314. Apomatus globifer Theel, XVIT, 263, 338, 371. Apomatus similis Mar. et Bobr., XVII, 251, 263, 338, 369 ; XX, 236. ARABELLA Gr. char. emend., V, 218, 219, 298, 229. Arabella quadristriata Ehl., V, 229; XX, 242. ARACODA Schmarda, V, 228, 229. ARCHIDICE Kbg., XVII, 42. Archidice glandularis Lang., XVIT, 45. ARENIA Qfe., XVII, 117. Arenia cruenta Qfg., XVIX, 117, 121. fragilis Qfg., XX, 242. DE SAINT-JOSEPH. ARENICOLA Lmck., XVII, 121. Arenicola branchialis Aud. et Edw., XX, 242. carbonaria Leach, XVII, 123. Claparedii Lev., XVII, 129. glacialis Murdoch, XVII, 128. Arenicola marina L., V, 144; XVII, 421; XX, 240. Arenicola piscatorum Lmck., XVII, 122. ARÉNICOLIENS Aud. et Edw., XVII, 121. ARICIA Sav., Aud. et Edw. rev., XVII, 85. Aricia armiger Lev., XVII, 94. Aricia Cuvieri Aud. et Edw., XVII, M; XX, 236. fœtida Clpd., XVII, 92; XX, 236. Aricia Groenlandica Me Int., XVII, 107. Aricia Latreillii Aud. et Edw., XVII, 85, 92, 107; XX, 235. Aricia Mülleri Rathke, XVII, 94. serlulata Sav., XVII, 85. ARICIENS Aud, et Edw. (Sars, Mgr. rev.), XVII, 85. ARIPPASA Johnst.. XVII, 250, 323. ARMANDIA Fil., XVII, 114. Armandia cirrosa Fil., XVII, 117. = Armandia Dollfusi N. S., XVII, 414; XX, 233, Armandia exiqua Kük., XVII, 116. leptocirris Gr. Semper., XVII, 116. oligops Von Marenz., XVII, 116,117. — polyophthalmaKük.,XVII,115,416. sp. Gr., XVII, 117. ARTACAMACEA Mor., XVII, 1173. ASYCHIS Kbg., XVII, 132. AUDOUINIA Qfg., XVII, 42, 46, 48. Audouinia Chiajei Von Marenz., XVII, 45, 50, 51. crassa Qfe., XVII, 49. filigera Clpd., XVII, 45, 56. — Lamarckii Qfe., XVII, 49. Norvegica Qfs., XX, 242. Audouïinia tentaculata Mont., XVII, 45, 48: XX, 236. AUTOLYTEÆ Lang., I, 214. AUTOLYTUS Gr., I, 214. Autolytus Alexandri Mgr., (Polybostri- chus), I, 254. (Sacconereis), 1, 255. brachycephala Von Marenz., I, 216, 251, 254. cornutus À. Agass., I, 224, 228, 248, 200, 254,,/20h, 290 — — ANNÉLIDES POLYCHÈTES Autolytus Edwarsi N. S. I, 235, 249, 251, 254, 255, 256; XX, 234. Edwarsi var.? I, 2317. — Ehbiensis N. S., I, 190, 227, 228, 233, 234, 236, 249, 254, 255; XX, 234. Autolytus Emertoni Verr.,I,254; XX, 194. fallax Mgr., I, 248, 254. Hesperidum Clpd., 1, 227, 249. — incerltus Mgr. (Sacconereis), I, 255. Autolytus indéterminé (stolon femelle), XX, 194. — jinermis N. S., I, 237, 249, 254; XX, 233. — Jongeferiens N.S.,I, 215,216, 217, 248, 250, 256, 251; XX, 234. Autolytus longigula Verr., I, 219. Autolytus lugens N. S., I, 234, 249, 254, Das XX) 25%. macrophthalma Von Marenz., I, 226, 247, 248, 249, 250, 254, 256; XVI. — megodon N. S., I, 240; XX, 233. Autolytus mirabilis Verr., I, 251. (Sacconereis), I, 254. Newtoni Mgr. (Sacconereis), I, 255. Autolytus ornatus Mar. et Bobr., I, 215, 216, 220, 247, 249, 955. Aultolytus ornatus Verr., I, 220. Autolytus paradoxus N. S., I, 215, 216, 248; XX, 234. — pictus Ehl., I, 222, 247, 248, 254, 256; XX, 194, 238. — prolifer O.-F. Müll., I, 217, 228, 238, 249, 250, 256; XX, 238. — punctatus N. S., I, 233, 249, 251, 254, 256; XX, 934. Autolytus quindecim dentatus Lang., I, 249. roseus Clpd. (Sacconereis), I, 255. rubrovittatus Cipd., I, 248, 255. Smittie Mal., XVII, 327; XX, 181. Syllisetosus Lang., I, 251. tardigrada Webst., I, 253. varians Verr., I, 220. AXIONICE Mgr., XVII, 174,482, 184, 205. Axionice flezuosa Gr., XVII, 178. AXIOTHEA Mgr., XVII, 131, 132. Axiothea catenata Mgr., XVII, 132. — cirrifera Lang., XVII, 132. — constricta Clpd., XVII, 132. lyrocephala Schmarda, XVII, 132. mucosa Andrews, XVII, 131, 132. BATHYA N. G. XVII, 167, 480. BISPIRA Krôyer, 248, 285. BE El — DES COTES DE DINARD. 255 Bispira volutacornis Mont., XVII, 267, 285, 286; XX, 236. BRANCHIOMMAKäII., Clpd., char.emenr. XVII, 249, 300. Branchiomma Dalyelli Kôll, XVII, 309. — de l'étang de Thau Brunotte, XVII, 218, 300. Branchiomma vesiculosum Mont., XVII, 247, 300; XX, 236. Branchiomma vesiculosum var. violaceum Soulier, XVII, 301. var. fuscum Soulier, XVIT, 301. — vigilans Clpd., V, 142; XVII, 301. Brania pusilla Qfg., I, 203. BYLGIA Theel, V, 156. CANEPHORIDEA Mor., XVII, 173. Caobangia Billeti Giard, XVII, 250. Capitella rubicunda Kef., XVII, 117, 121, GAPITELLIENS Gr., XVII, 117. CAROBTA Qfg., Von Marenz. rev., V,21?, ArSa XNS 200 CASTALIA Sav.? OErst., V, 323. CHÆTOPTERUS Cuv., XVII, 147. Chætopterus brevis Lesp., XVII, 148. cautus Von Marenz., XVII, 150. insignis Baird, XVII, 147. Leuckarti Qfg., XVII, 148. Norvegicus Sars, XVII, 147. pergamentaceus Cuv., XVII, 147, 150. Quatrefagesii Jourd., XVII, 148. Sarsii Bæœck, XVII, 147, 150. Valencinir Qfg., XVII, 141. Chætopterus variopedatus Ren., V, 115; XVII, 447; XX, 198, 239. CHÆTOSYLLIS Mgr., I, 149, 182, 260. CHÆTOZONE Mgr., Lang., Von Marenz. char. ext., XVII, 43, 46. Chætozonesetosa Mor., XVII, 44, 46, 48,57. — macrophthalma Lang., XVII, 44,46. CHÉTOPTÉRIENS Aud. et Edw., XVII, 147. CHITINOPOMA Lev., XVII, 246, 254, 255, 256, 257, 260, 264, 265. CHLORÆMA Duj., XVII, 96. Chloræma Dujardinii Qfs., XVII, 97. Edwarsii Duj., XVII, 96. sordidum Qfs., XVII, 97. CHLORÉMIENS Qfg., XVII, 96. CHONE Kr. XVII, 250. Chone Arenicola Lang., XVII, 322. Duneri Mgr., XVII, 322. (Euchone) papillosa Sars, XVII, 266. — — — 296 CHRYSOTHEMUS Kbg., XVII, 131, CIRCEIS N. G., XVII, 2614, 350. Circeis Armoricana N. S., XVII, 350 ; XX, 233. CIRRATULIENS V. Carus, XVII,,42. CIRRATULUS Lmck., XVII, 42, 46, 47. Cirratulus abyssorum Hans., XVII, 45. anchylochætusSchmarda, XVIE, 45. auricapillus Ehr. Gr., XVII, 45. (Cirrineris) bioculatus Kef., XVII, 46, 55; XX, 242. —. borealis Kef., XVII, 45. borealis Lmck., XVII, 45. Capensis Schmarda, XVII, 45. (Cirrineris) Caribous Gr. OErst,., XVII, 46. chrysoderma Clpd., XVII, 45, 56. cirralus O.-F. Müll., XVII, 45, 48; XX, 242. (Audouinia) comosus Von Marenz., XVII, 46. cylindricus Schmarde XVII, 45. (Audouinia) Danielssent Van Bened. Hans., XVII, 46. (Audouinia) Dasylophius Von Ma- renz., XVII, 46. Cirratulus filiformis Kef., XVII, 45, 47, SOS TIRE XD SE. Cirratulus (Heterocirrus ?) fragilis Leidy, XVII 46,53, 55. (Audouinia) gracihs Ebr.Gr., XVIT, 46. grandis Verr., XVII, 45. (Audouinia) Lamarckii Aud. et Edw., XVII, 45, 48, 50. Medusa Qfg., XVII, 45. melanachantus Fr. Müll., Gr., XVII, 45. miniatus Schmarda, XVII, 45. (Audouinia) nigromaculatus Ehr. Gr., XVII, 46. pallidus Gr., XVIT, 45. (Audouinia) polytrichus Schmarda, XVII, 46. punctatus Gr. OErst., XVII, 45. tentaculatus Johnst., XVII, 48. tenuis Verr., XVII, 45. (Heterocirrus) viridis Lang., XVII, 45, 53, 55. CIRRINERIS Blv., XVII, 42, 47. Cirrineris fusca Gr., XVII, #5 (Paracirrineris) pulchra Czern., XVII, 46. lenuisetis Gr., XVII, 45, 5. Claparedia filigera Qfe., XX, 242. CLYMENE Sav., XVII, 130, 132, 134. 261, 132. | Clymene cingulata Eh]. DE SAINT-JOSEPH. XVII, 131, 132. cirrata Ehl., XVII, 131, 132. (Praxilla) collhrts Clpd., XVII, 132. digitata Gr. XVII, 137. Ebiensis Aud. et Edw. XVIE LA gracilis Sars, XVII, 132. integrinatis Hasw., XVII, 133. lumbricalis M.-Edw., 134. Clymene lumbricoïdes Qfs., XVII, 132, 434; XX, 235. Clymene microcephala Schmarda, XVII, 143. Mülleri Sars, XVII, 132. Clymene Œrstedii Clpd., XVII, 132, 437; XX, 235. Clymene Palermitana Gr., XVII, 132. — planiceps Sars, XVII, 132. (Praxilla) simplex Clpd., XVIT, 132. spectabilis Gr., XVII, 144. (Clymenella, Axiothea) lorquata Leidy, XVIT, 131, 133. urceolatus Leidy, XVII, 131. CLYMENELLA Verr., XVII, 131. CLYMÉNIENS Qfe., XVII, 130. Cossura longocirrala Webst. et Bened., XVII, 45. Crithidia thalassina Gosse, I, 238. CROSSOSTOMA Gosse, XVII, 162. CRUCIGERA Benedict, XVII, 253, 255, 256, 257, 259, 264. CYAXARES Kbg., XVII, 235. CYSTONEREIS Kôll., I, 259. Cystonereis Edwarsi Kôll., I, 197. DASYCHONE Sars, XVII, 249, 309. Dasychone argus Sars, XVII, 309. Dasychone bombyx Dalyell, XVII, 247, 209; XX, 236. Dasychone Dalyelli Mgr., XVII, 309. Japonica Mc Int., XVII, 313. Lucullana D. Ch., XVII, 314, 345, 342. | . nigro-maculata Baird, XVII, 313. — polyzonos Lo Bianco, XVII, 309. DASYLEPIS Mgr., V, 150. DASYNEMA N. G., XVII, 262. DEJOCES Kbg., XVII, ?35. Dejoces Chilensis Kbg., XVII, 243. DIALYCHONE Clpd., XVII, 250. DIOPATRA Aud. et Edw., V, 192, 194. Diopatra Neapolitana D. Ch., V, 195. uncinifera Qfa., I, 135. DISTYLIA Qfe., XVII, 248, 285. Distylia volutacornis Qfg., XVII, 286. ANNÉLIDES POLYCHÈTES DITRUPA Berk., XVII, 254, 255, 256, 262, 264. Dilrupa arietina O.-F. Müll., XVII, 253, 254. DODECACERIA OErst. Lev. rev., XVII, 43, 46. Dodecaceria concharum OErst., XVII, 46, 52. DRILONEREIS Clpd. char. emend., V, 218, 224, 229. Drilonereis filum Clpd., V, 193, 209, 225, 226, 227; XX, 236. Drilonereis longa Webst., V, 225, 226. Drilonereis macrocephala N. S., V, 225; XX, 233. DUJARDINIA, Qfe., I, 258. Dujardinia rotifera Qfg., I, 258; XX, 242. Ehlersia ferrugina Lang., I, 155. — rosea Lang., I, 135, 446, 155, 260. simplex Lang., I, 249, 260. ENIPO' Mer, V,e150: EPHESIA Rathke Lev. rev., XVII, 31, 38. Ephesia Antarctica Mc. Int., XVII, 41. Ephesia gracilis Rathke, XVII, 37, 38; XX, 239, 241. Ephesia Greeffii Giard, XVII, 41. minuta Webst. et Bened., XVII, 41. Ephesia peripatus Clpd. nec Johnst., XVII, 41; XX, 234. EREUTHO Mgr., XVII, 234, 235. Ereutho Kerquelensis Mc. Int., XVII, 243. Langerhansi Mc. Int., XVII, 236. serrisetis Gr., XVIT, 243; XX, 242. Smilti Mgr., XVII, 243. ERIOGRAPHIDES Mzgr., XVII, 246. ERIOGRAPHIS Gr., XVII, 250, 323. ERIPHYLE Kbg., V, 192. ETEONE Sav. OErst. rev., V, 304. Eteone armata Clpd., V, 304, 306. Eteone foliosa Qfg., V, 306; XX, 226, 234. Eïieone fucata Sars, XX, 206. Geoffroyi Aud. et Edw., XX, 242. Eteone incisa N. S., V, 304; XX, 233. Eleone lactea Clpd., V, 305. picta Qfe., V, 304, 306. villosa Lang., V, 305. EUCARPHUS Môrch, XVII, 253, 259. EUCERASTES Ehl., I, 262. EUCHONE Mgr., XVII, 250. Euchone rosea Lang., XVII, 2178. EUCRANTA Mgr., V, 150. ANN. SC. NAT. ZOOL. DES COTES DE DINARD. 257 EULALIA OErst., V, 283. Eulalia Claparedii N. S., V, 269, 285; XX.:235. Eulalia cordifolia Johnst., V, 296. Eulalia fuscescens N. S., V, 269, 2%; XX, 233. Eulalia gracilis Verr., V, 286, 287, 311. (Eumida) quitata Clpd., V, 281, 283, 285. imbricata Ehl., V, 312. Eulalia (Pterocirrus) limbata Clpd., V, 303; XX, 236. Eulalia lobocephala Schmarda, V, 296. Eulalia (Pterocirrus) macroceros Gr., V, 300 ; XX, 226, 239. Eulalia mullicirris Gr. Semper., V, 312. obtecta Ehl., V, 312. Eulalia ornata N. S., V, 291: XX, 234. — pallida Clpd.. V, 281, 294; XX, 239. (Eumida) parva N. S., V, 298; XX, 224. Eulalia problema Mgr., V, 311. Eulalia punctifera Gr., V, 289; XX, 236. — pusilla OErst., V, 287; XX, 235. — rubiginosa N. S., V, 269, 293; XX; 293. Eulalia (Eumida) sanguinea OErst., V, 289, 293, 294, 296. saxicola Qfg., XX, 242. Eulslia splendens N. S., V, 269, 288; XX, 228. trilineata N. S., V, 269, 292; XX, 233. Eulalia (Pterocirrus; velifera Clpd., V, 300. Eulalia venusta N.S., V, 297; XX, 233. Eulalia virens Ehl., V, 283, 284, 285, 290. Eulalia viridis Müll., V, 269, 281, 283; XX, 239. Eulalia volucris Ehl., V, 300. EUMENIA OErst., XVII, 103. Eumenia crassa OErst., XVII, 107, 109. (Lipobranchius) glabra Eh]., XVII, 103, 107. Jeffreysii Mc. Int., XVII, 103, 107, 113. longisetosa Theel, XVII, 103, 107. reticulata Mc. Int., XVII, 103, 107. EUMIDA Mgr., V, 295, 298. EUNICE Cuv., V, 192, 197. Eunice Claparedii Qfe., V, 197, 199. XX, #1 298 Eunice Harassii Aud. et Edw., V, 197, 264; XX, 231. Eunice sanguinea Aud. et Edw., V, 201. torquata Qfg., V, 197. EUNICIENS ({(sensu Gr.), V, 192; XX, 207. EUNOE Mgr., V, 150. Eunoe Œrstedi Mger., V, 142. EUNOTOPHYLLUM Czern., V, 312. EUPHROSYNE Sav., V, 190. Euphrosyne Audouini Clpd., V, 190. cirrata Sars, V, 191. Euphrosyne foliosa Aud. et Edw., V, 190; XX, 237, 241. intermedia N. S., V, 194 ; XX, 233. Euphrosyne Mediterranea Gr., V, 190. racemosa Ehl., V, 190. EUPISTA Mc. Int., XVII, 167, 169, 176, 182. EUPOLYNOE Mc. Int., V, 150. Eupolynoe Occidentalis Mc. Int., V, 141. EUPOMATUS Phil., XVII, 253, 259. Eupomatus pectinatus Phil., XX, 242. EURATO N. G., XVII, 249. EURYMEDUSA Kbg., I, 262. EURYSYLLIS Ehl., I, 191. Eurysyllis paradoxa Cipd., I, 138, 139, 194, 260 ; XX, 2317. Eurysyllis tuberculata Ehi., I, 192. EUSYLLIS Mgr., I, 139, 467. Eusyllis Blomstrandi Mgr., I, 168, 169, 474, 112,178, 258: XX, 238: Eusyllis ciliata Meczn., E, 168. Eusyllis intermedia N. S., I, 138, 168, 472; XX, 233. Eusyllis Kerqguelensis Mc. Int., I, 168. Kupjferi Lang., I, 168. Eusyllis lamelligera Mar. et Bobr., I, 163, 164, 168, 169, 171, 179, 173, 258: XX Hole Eusyllis lucifera Verr., I, 168. Eusyllis monilicornis Mgr., 1, 138, 168, 469, 172, 173, 258; V, 219 ; XX, 238. Eusyllis phosphorea Verr., I, 168. lenera Verr., I, 168. tubifex Mc. Int., I, 168. EUTHELEPUS Mc. Int., XVII, 167, 168, 169, 176, 483. EVARNE Mgr., V, 150. Evarne impar Mgr., V, 167. pentactes Giard, V, 144. EXOGONE OErst., I, 259. en DE SAINT-JOSEPH. Exogone (Oophylazx) cirrata KôIL., I, 196. (Exotokas) gemmifera Pagenst., I, 198, 199, 209, 213. Kefersteinii Cipd., I, 196, 199, 214. Naïdina OErst., I, 195, 199, 213. (Oophylax) Œrstedii KôII., I, 196, 199. pusilla Duj., I, 203. EXOGONEZÆ Lang., I, 195. EXOTOKAS Ehl., I, 259. FABRICIA Blv., XVII, 251, 349. Fabricia affinis Leuck., XVII, 319. amphicora Qfs., XVII, 319. nigra Lang., XVII, 320. quadripunctata Fr. XVII, 319. Fabricia Sabella Ehr., XVII, 349; XX, 240. Filipora filograna Dalyell, XVIE, 340. FILOGRANA Oken, XVII, 251, 254, 255, 256, 259, 335. FILOGRANA s. sér., XVII, 260, 335. Filograna Huxleyi Ehl., XVII, 337, 3845. Filograna implexa Berk., XVII, 251, 335; XX, 236, 241. Filograna Schleideni O. Schm., 330. FILOGRANULA Lang., XVII, 254, 255, 256, 257, 259, 260. Filogranula gracilis Lang., XVIT, 338. FLABELLIGERA Sars, XVII, 96. Flabelligera aïffinis Sars, XVII, 96; XX, 238, 241. FLABELLIGÉRIENS »., XVII, 96. GALEOLARIA Lmck., XVII, 254, 255, 256, 257, 262. Galeolaria cæspitosa Lmck., XVII, 258. GATTIOLAÀ Johnst., I, 187. Gatliola spectabilis Johnst., I, 187. GENETYLLIS Mgr., V, 272, 273. GLYCERA Sav. Gr. char. emend., XVII, 22: Glycera capitata OErst. nec Kef., XVII, 31; XX, 240, 241. Glycera capilata Kef., XVII, 32. Glycera convoluta Kef., XVII, 223, 27; XX, 235. Glycera dibranchiata Ehl., XVII, 30. fallax Clpd., XVII, 23, 30. Glycera gigantea Qfe., XVII, 22; XX, 235. — et Leuck., XVII, ANNÉLIDES POLYCHÈTES Glycera lapidum Qfg., XVII, 32. Meckelii Aud. et Edw., XVII, 23. Mülleri Qfe., XVII, 31. retractilis Qfa., XVII, 23, 30. setosa OErst., XVII, 32 siphonostoma D. Ch., XVIT, 26, ?9. GLYCÉRIENS Gr., XVII, 22. GNATHOS YLLIS Schmarda, I, 262. GONIADA Aud. et Edw. Ehl. rev., XVII, Goniada emerita Aud. et Edw., XVII, 33: XX, 236, 241. Goniada maculata OErst., XVII, 36. GRUBEA Qfg. Clpd. char. emend., I, 139, 200, 259. Grubea adspersa Gr., XX, 242. atokalis Czern., I, 197. Grubea clavata Clpd., I, 138, 196, 197, 199, 200, 204, 206, 210, 213; V, 219; XX, 235. Grubea dolichopoda Von Marenz., I, 196, 197, 199, 200. — fusifera Qfg., [, 196, 199, 200. limbata Clpd., I, 196, 197, 200, 202, 210. Grubea pusilla Duij., I. 203 ; XX, 237. Grubea Webstleri Verr., I, 196, 197, 199. GRYMÆA Mgr. XVII, 167, 168, 169, 483. GYPTIS Mar. et Bobr., V, 320. Gyptis propinqua Mar. et Bobr., V, 321. Hæmatocleptes LRRIRI EU Wir. Ÿ, 220, 223. HALELMINTHEA V. Carus, XVII, HALITHEA Sav. Lmck., V, 146. Halla Parthenopeia D. Ch., XVII, 110. HALOSYDNA Kbg., V, 150, 154. Halosydna Lordi Baird, V, 143. Halosydna gelatinosa Sars, V, 142, 144, 454; XX, 235, 241. HAPLOBRANCHUS Bourne, XVII, 250. Haplobranchus æstuarinus Bourne, XVIT, 322. Haplosyllis aurantiaca Eisig nec Clpd., I, 138, 140, 142, 145, 261. Mader ensis Czern.., I, Fi HARMOTHOE Kbg., V, 150. Lev., V, 150. HARMOTHOE Kbg. Mgr. s. ext., V, 150, 461; XX, 200. Harmothoe Arenicolæ N. S.,V, 144,174; XX, 233. — 199, 197, 199, 200, Lit. —— — 259 areolata Gr., V, 169; XX, 237. cœliaca N.S., V, 163; XX, 234. DES COTES DE DINARD. — imbricata L., V, 142, 164, 175; XX, 240. — impar Johnst., V, 143, 144, 462; XX, 200, 239. Macleodi Mc. Int. XX,,257: Harmothoe Malmgreni Lank., V, 145. Marphysæ Me. Int., V, 144, 145. Harmothoe maxillospinosa N. S., V, 166; XX, 233. picta N. S., V, 144, 148, 172; XX, 203, 234. reticulata Clpd., V, 176; XX, 236. spinifera var. Lang., V, 171; XY 231. Harmothoe Zetlandica Mc. Int., V, 168. Hediste diversicolor Mgr., V, 265. Hedyle lobulata Mgr., V, 256. HERMADION Kbg., V, 150, 177. Hermadion assimile Mc. Int., V, 143. Echini Giard, V, 144. — fragile Clpd.. V, 156, 477. Hermadion pellucidum Ehl, 477; XX, 238. HERMELLA Sav., XVII, 154. Hermella alveolata Qfg., XVII, 154, 460. ostrearia Frey et Leuck., XVII, 154. HERMELLIENS Qfg., XVII, 154. HERMIONE Blv. (Kbg. rec.), V, 146. Hermione fallax Qfg., V, 141. — hystricella Qfg., V, 147. Hermione hystrix Sav. nec Blv., V, 146; XX, 238. Hermione Kinbergi Qfg., V, 147. HERMIONEA Sav., V, 146. HESIONE Sav., V, 324, Hesione cirrata Lang., V, 324. HÉSIONIENS Gr., V, 317. HETEROCIRRUS Gr. char. mut., 43, 46, 52. Heterocirrus ater Qfg., XVII, 52. Heterocirrus caput-esocis N. S., XVII, 46, 52, 53; XX, 233. flavo-viridis N. S., XVII, 46, 52, BAT XX, 233. Heterocirrus frontifilis Gr., XVII, 52, Heterocirrus Marioni N. S., XVII, 45, 52, GX 23% His us mullibranchis Gr. ue 45, 52, 54, 58. V, 144, 168; V, 141, XVII, 260 — saxicola Gr., XVII, 52; XX, 242. Heteronereis fucicola OErst., V, 254. Malmgrenti Cipd., V, 254. Heteronereis Schmardæi Qfs., V, 265; XX, 245. HETEROPHENACIA Qfe., XVII, 183, 230. Heterophenacia (Thelepus) gigantea Qfg., XVII, 183. HETEROPHYSELIA Qfg., XVII, 182. Heterophyselia Bosci Qfg., XVII, 202. HETEROSYLLIS Clpd., I, 262. HETEROTEREBELLA Qfe., XVII, 182. Heteroterebella sunguinea Clpd., XVII, 202. HÉTÉROTÉRÉBELLIENS Qfg., XVII,166. HYALINOECIA Mgr., V, 192, 193, 194. Hyalinœcia Grubii Von Marenz., V, 493; XX, 234. Hyalinæcia rigida Clpd., V, 195. HYALOPOMATOPSIS N.G.,X VII, 264, 264. HYALOPOMATUS Von Marenz., XVII 246, 254, 255. 256, 262, 264, 265. Hyalopomatus (Hyalopomatopsis) Lan- gerhansi Ehl., XVII, 264, 264. — Marenzelleri Lang., XVII, 261, 264. HYDROIDES Gunn., XVI, 253, 255, 256, 257, 259, 264. Hydroides (Eucarphus) Benzoni Môrch, X VII, 258. lunulifer Clpd., XVII, 258. Norvegica Gunn., XVII, 258. — trypanon Clpd., XVII, 258. (Eupomatus) uncinata Phil., XVII, 258, 360. HYPSICOMUS Gr., XVII, 245. IDALIA Qfs., XVII, 182, 205. IOIDA Johnst., I, 154, 182, 261. IPHIANISSA Kbg., XVII 132. Iphinereis fucicola Mgr., V, 254. IPHIONE A Kbg., V, 148. Isosyllis Armoricana Clpd., I, 259. JANITA, N. G., XVII, 261. JANUA N. G., XVII, 260. JASMINEIRA Lang., XVII, 250, 816. Jasmineira elegans N. S., XVII, 346; XX, 234. JOHNSTONTA Qfg., XVII, 130, 132. KEFERSTEINIA Qfe., V, 323. Kefersteinia cirrata Kef., V,324 ; XX, 235. Kinbergia macrophthalma Gr. OErst., V, 281. DE SAINT-JOSEPH. LABIDOGNATHA Ehl. (s. sér. Gr.\, V, 192, 193. LABRANDA Kbg., XVII, 42. Labranda (Cirrineris) crassicolis Kbg., XVII, 46. LABROROSTRATUS N. G., V, 218. Labrorostratus parasiticus N.S., I, 262; V, 217, 220, 224; XX, 233. LACYDONIA Mar. et Bobr., V, 314. Lacydonia miranda Mar. et Bobr., V, 241, 344; XX, 236. LÆNILLA Mgr., V, 150. Lænilla alba Mgr., XX, 242. castanea Giard, V, 143. glabra Mgr., V, 145, 176. setosissima Sav., V, 145. Læœtmonice producta Gr., V, 142. LAGISCA Mer., V, 150, 480. ‘Lagisca extenuata Gr., V, 144, 148, 480 ; XX Lagisca Jeffreysi Me. Int., V, 144. propinqua Mgr., V, 182. — rarispina Sars, V, 142, 143. var. occidentalis Mc. Int., V, 142. LANASSA Mgr., XVII, 167, 172, 179, 480. Lanassa bentheliana Mc. Int., XVII, 179, 180. Sarsi Mc. Int., XVII, 179, 180. Langerhansia biocula Czern., [, 260. LANICE Mzgr., XVII 167, 168, 172, 183, 211. Lanice conchilega Pallas, V, 144; XVII, 178, 211; XX, 238. LAOMEDORA Kbe., I, 262. LAONOME Mgr. nec Kbg., XVII, 249. Laonome Antarctica Kbg., XVII, 249. Hæckelii Mc. Int., XVII, 248. — Japonica Von Marenz., XVII, 249, 317. Salmacidis Cipd., XVII, 249. LAPHANIA Megr., XVII, 166, 167, 179, 481. Laphania bentheliana Me. Int., XVII, 167. LAPHANIELLA Maln, XVII, 180. LAPITHES Kbg., I, 262. LARANDA Kbg., V, 228. Laranda longa Mc. Int., V, 225. LE ÆNA Mzgr., XVII, 167, 179, 480. Leæna abyssorum Me. Int., XVII, 179, 150. Antarctica Mc. Int., XVII, 179. Gräffii Lang., XVII, 166, 179, 180. — — — ANNÉLIDES POLYCHÈTES — Langerhansi Mc. Int., XVII, 179. Neo Zealandiæ Mc. Int., XVII, 179, 180. oculata Lang., XVII, 166, 179, 180. Leanira tetragona OErst., V, 165. LEDON Webst. et Bened., XVII, 46. LEIOCEPHALUS Qfg., XVI, 131. Leiocephalus coronatus Qfa., XX, 242. LEIOCHONE Gr., XVII, 131, 132, 139. Leiochone clypeata N. S., XVII, 131, 439; XX, 231. Leiochone leiopygos Gr., XVII, 141. LEODICE Sav., V, 192. Leodice opalina Sav., V, 201. — punclata Risso, V, 197. LEODORA N. G., XVII, 261. LEONNATES Kbg., XVII, 33. Leonnates pusillus Lang., V, 252. LEONTIS Mgr., V, 263. Leontis Dumerilii Aud. et Edw., V, 248, 250, 251, 253; XX, 244, 240. LEPIDAMETRIA Webst., V, 150. Lepidametria commensalis Webst., V 144, 145. LEPIDASTHENIA Mzgr., V, 150. Lepidonote Armadillo Leidy, V, 151. LEPIDONOTUS Leach s. sér. Kbg., V, 150, 154. Lepidonotus Brasiliensis Qfg., V, 153. cirratus var. parasiticus Baird, V, 145. dumetosus Qfg., V, 180. fuscescens Qfg., V, 158. imbricatus Johnst., V, 154. impar Johnst., V, 162. Jacksoni Kbg., V, 153. pellucidus Me. Int., V, 171. Lepidonotus pleiolepis Von Marenz., V, 452; XX, 240. Lepidonotus scolopendrinus Qfg., V, 183. Lepidonotus squamatus L. V, 454 ; XX, 237, 241. Lepidonotus trissochætus Gr. Semper., V, 153. LEPREA Mer. Von Marenz. char. emend., XVII, 166, 174, 481. Leprea lapidaria Von Marenz., XVII, 202. LE PTOCHONE Clpd., XVII, 250, 323. Leptochone (Myxicola) æsthetica Clpd., XVII, 326, 328. LEPTONEREREIS Kbg., emend., V, 246. ? Cipd. DES COTES DE DINARD. 261 Leptonereis glauca Clpd., V, 241. Leptonereis Vaillanti N. S., V, 246; XX, 234. LEUCARISTE Mgr., XVII, 234, 235. LEUCIA Mgr., V, 150. Leucodora cæca Will. Suhm, XVII, 59. ciliata var. minuta Gr. XVII, 62. LEUCODORE Johnst., XVII, 58. Leucodore ciliatus Johnst.; XVII, 62. Leucodorum cæcum OErst., XVII, 59. LIPEPHILE Mgr., V, 260. Lipephile cultrifera Gr., V, 259, 260; XX, 245, 238. Floridana Ehl., V, 261; XX, 235. Lipephile margaritacea Mgr., V, 260. LIPOBRANCHIUS Cunn. et Ram., XVII, 103, 143. Lipobranchius intermedius N. S., XVII, 103, 443; XX, 233. LOIMIA Mgr., XVII, 167, 484, 218. LOPHIOCEPHALE Costa, XVII, 101. Lophonota Audouini Costa, V, 190. LUMARA Stimps., XVII, 183, 230. LUMBRICLYMENE Sars, XVII, 132. LUMBRICONEREIDEA Schmar- da, sensu Gr., V, 192, 212. LUMBRICONEREIS Blv. Gr. rev., V, 242, 218. Lumbriconereis Edwarsi Clpd., V, 212. — fragilis Ehl., V, 216. Funchalensis Kbg., V, 216. impatiens Clpd., V, 232. Lumbriconereis labrofimbriata N.S., V, 214: XX, 953. Lumbriconereis Latreillii Aud. et Edw., XX 222 Nardonis Gr., V, 213. d'Orbignyt Aud. et Edw., XX, 242. Lumbriconereis paradoxa N.S., V, 217; XX, 233. — tingens Kef., V, 193, 212; XX, 2317. Lumbriconereis unicornis Gr., V, 207. Lumbricus armiger O.F.Müll., XVII, marinus L., XVII, 121. Lumbrineris filigerus D. Ch., XVII, 45. gigantea Qfa., V, 230. 232. tricolor Johnst., V, 298. Lycaretus neocephalicus Kbg., I, 138. L'YCORIDIENS Gr., V,246; XX, 214. Lycoris procera Lang., V, 266. — char.|LYSIDICE Sav. Ehl. char. emend., V, 192, 209 262 Lysidice Mahagoni Clpd., V, 210. Lysidice Ninetta Aud. et Edw., V, 209; XX, 208, 236. Lysidice punctata Gr., V, 209. rufa Gosse, V, 209. — torquata Qfg., V, 210. LYSILLA Mgr., XVI, 235. Mæa mirabilis Johnst., XVII, 83. MACDUFFIA Me. Int., V, 192. MACLOVIA Gr., V, 229. Maclovia gigantea Gr., V, 230; XX, 209, 235. MACROCHÆTA Gr., XVII, 46. MAGALIA Mar. et Bobr., V, 317. Magalia perarmata Mar. et Bobr., I, 862 ; V, 318; XX, 236. MAGELONA Fr. Müll., XVII, 83. Magelona papillicornis Fr. Müll., XVII, 83; XX, 238. MAGELONIDES Cunn. XVII, 83. MALACOCEROS Qfg., XVIL 66. Malacoceros Gür'ardi Qfg., XVII, 77. Malacoceros longirostris Qfg., XVII, 74. MALDANE Gr. Mgr. char. emend., XVII, 131, 132, 442. Maldane (?) cincta N. S., XVII, 442; XX, 233. Maldane (Petaloproctus) cristagalli Clpd., XVII, 131, 133. Maldane cuculligera Ehl., XVII, 131. filifera Verr., XVII, 133, 145. tenuis Theel, XVII, 132, 145. MALDANELLA Mc. Int., XVII, 131, 132. MALDANIENS Sav., XVII, 130. MALMGRENIA Mc. Int., V, 150. Malmgrenia castanea Me. Int., V, 143. MANAYUNKIA Leidy, XVII, 250. Manayunkia speciosa Leidy, XVII, 250. MANDROCLES Kbg., XVII, 132. MARPHYSA Qfg., V, 192, 204. Marphysa Bellii Aud. ct Edw., V, 204; XX. 208 23504. — fallax Mar. et Bobr., V, 205; XX, 236. Marphysa Leidii Qfg., V, 201. Marphysa sanguinea Mont., V, 144, 145, 201, 207 QUE NKMOTNRST MELÆNIS Mgr., V, 150. Melinna palmata Gr., XX, 242. et Ram, DE SAINT-JOSEPH. MERA N. G., XVII, 2614, 351. Mera pusilla N. S., XVII, 261, 338, 351; XX, 234. MESOM YSTIDES Czern., V, 307. MICRONEREIS Clpd., V, 268. Micronereis variegata Clpd., V, 268; XX, 236. Microphthalmus fragilis Bobr., V, 3816. similis Bobr., V, 316. MICROSYLLIS Clpd., I, 262. MYLITTA Kbg., XVII, 132. MYRIANIDA M. Edw. Ehl. rev., I, 241, 21e Myrianida fasciata Aud. et Edw., XX, 195. Myrianida maculata Cipd., 1, 244, 245, 261; XX, 495, 231. Myrianida indéterminée melle), [, 245. MYSTA Mgr., V, 304. Mysta papillifera Theel, V, 304, 305, 306. MYSTIDES Theel Lang. char. emend., V, 307. Mystides (Protomystides) bidentata Lang., V, 274, 307, 308 ; XX, 235. Mystides (Mesomystides) borealis Theel, V, 274, 307. cæca Lang., V, 301. Mystides (Mesomystides) limbata N.Ss., V, 310; XX, 233. MYXICOLA H. Koch XVII, 250, 323. Myxicola Dinardensis N. S., XVII, 247, 324; XX, 234. Myxicola infundibulum 267, 323, 321. — modesta Qfg., XVII, 279, 323. — ommalophora Gr. Semper., XVII, 323, 324. Sarsii Kr., XVII, 266, 323. NARANGASETA Leidy, XVII, 43, 46. Narangaseta Corallii Leidy, XVII, 46. NAUPHANTA Kbg., V, 192, 201. NAUSICAA Kbg., V, 192, 201. NECO Kbg., XVII, 130, 134. Nectochœta Grimaldii Von Marenz., XX, 196. NEMATONEREIS Schmarda, V, 192, 207. Nematonereis contorta Qfe., V, 208, 209. Grubei Qfe., V, 208. — oculata Ehl., V, 208, 209. — pectinifera Qfs., V, 207, 209. — (stolon fe- char. emend., Mont., XVII, ANNÉLIDES POLYCHÈTES Nematonereis unicornis Gr. 211, 228; XX, 235. NEMIDIA Mgr., V, 150. NEOTTIS Mgr., XVII, 183, 230. NEPHTYDIENS Gr., XVII, i. NEPHTYS Cuv., XVII, 1. | Nephtys assimilis OErst., XVIE, 1, 2,3. | V, 207, | Nephtys cæca Fabr., XVII, 1, 13, 16 | ner XX, 239. | Nephuys ciliata O.-F. Müll., XVIF, 1, 2; XX, 242. Nephtys cirrosa Ehl., XVII, ?, 20; XX, 238. Nephtys emarginata Malm, XVII, 2. Nephthys Hombergii Aud. et Edw. XVII, 2, 3; XX, 239, 2#1. LE incisa Mgr. XVII, 1, 2. longisetosa OErst., XVII, 25 4- margarilacea olim Johnst., XVII, 16. Neapolitana Gr., XVII, 3. scolopendrina D. Ch., XVII, 3, 46. NÉRÉIDEINS Qfg., Mgr., V, 246. Nereidonta sanguinea B1v., V, 201. Nereilepas variabilis OErst., V, 254. Marion Aud. et Edw., XX, 242. NEREIS Cuv., V, 246. s. str., Mgr: V: 266: Nereis Beaucoudrayi Kef. nec Aud. Edw., V, 260. Aud. et Edw., XX, 242. bilineata Johnst., V, 260. cærulea L., V, 260. conchilega Pallas, XVII, 211. cultrifera Gr., V, 260 ; XX, 215. diversicolor O.-F. Müll., V, 259. Dumerilii Aud. et Edw., V, 253; XX, Se. fiexuosa D. Ch., V, 326. Floridana Ehl., V, 261. foliata Dalyell, XVIE 72. fulva Sav., V, 260. (Lipephile) macropus Clpd., V, 262. margaritacea Leach, V, 263. margaritacea M. Edw., V, 260. megodon Qfa., XX, 242. nubila Sav., V, 263. Nereis pelagica L. XX, 221, 239. Nereis peritonealis Cipd., V, 254, 265. pinuigera Mont., XX, 195. Nereis procera Ehl., V, 266; XX, 237. Nereis prolifera O.-F. Müll., I, 238. pulsatoria Sav., XX, 242. et — 263 (Psamathe) punctataO.-F.Müll., V, 323. remexz Dalyell, V, ? regia Qfg., HART sanguinea Mont., V, 201. succinea Leuck.., V, 265. ventilabrum D. Ch., V, 260. viridis Müll., V, 283. zostericola OErst.., V, 254 NERILLA O. Schm., I, 25. Nerilla antennata O. Schm., I, 258. NERINE Johnst. Sars rev. sensu Clpd., XVII, 66. Nerine (larves de), XVII, 68. Nerine cirratulus D. Ch., XVII, 76. coniocephala Johunst., XVII, 72, T4, 16; XX, 242. Nerine foliosa Aud. et Edw., XVII, 72; XX, 235, 241. Girardi Qfs., XVII, 77; XX, 229, 235. longirostris Qfg., XVII,74; XX,233. Nerine orycephala Sars, XVII, 81. (Scolelepis) vulgaris Johnst., XVII, 67, 18, 80; XX, 242. vulgaris ? Sars, XVII, 77; XX, 229. NICIDION Kbg., V, 192. NICOLEA Mgr., XVII, 167, 168, 174, 182, 184, 207. Nicolea arctica Mgr., XVII, 210. — gracilibranchis Gr. Semper., XVII, 176, 182. Nicolea venustula Mont., XVII, 176, 177, 1835, 207; XX, 240. Nicolea zostericola OErst. Gr. Mgr., XVII, 210, 211. Tauber, XVII, 174, 211. NICOMACHE Mzgr., XVII, 131, 132. Nicomache Capensis Mc. Int., XVII, 143. lumbricalis Fabr., XVII, 134. Mc. Intoshi Von Marenz., 133. NICOMACHELLA Lev., XVII, 131, NORTHIA Johnst., V, 193, 194. Northia conchylega Johnst., V, 193. NOTAULAX Tauber Lev. rev., XVII, 249. NOTHRIA Mc. Int., V, 194. NOTOCIRRUS Schmarda, V, 228. Clpd., V, 228. Notocirrus Chilensis Schmarda, V, 228. geniculatus Clpd., V, 229, 231, 232. Hilarii Cipd., V, 229. DES COTES DE DINARD. 975. 174, XVII, 132. 264 NOTOMASTUS Sars, XVII, 117. Notomastus latericeus Sars, XVII, 417; XX, 239, 241. Notomastus (Clistomastus) lineatus Clpd., XVII, 109, 119. rubicundus Eisig, 117. NOTOPHYLLUM OErst., Mgr.rev., V,312. Notophyllum (Eunotophyllum) alatum Lang., V, 312; XX, 235. Notophyllum foliosum Sars, V, 313. Japonicum Von Marenz., V, 313. — Polynoïdes OErst., V, 313. NYCHIA Mgr., V, 150; XX, 198. Nychia Admonseni Mgr., V, 142. Nychia cirrosa Pallas, V, 143, 145; XX, 198, 239, 241. ODONTOSYLLIS Cipd., I, 173. Odontosyllis brevicornis Von Marenz., I, 174. Odontosyllis ctenostoma Clpd., I, 138, 471, 258; °N, 219; XX, 231. Odontosyllis Dugesiana Cipd., I, 258. Odontosyllis fulgurans Clpd., I, 135, 475, 111, 258; XX, 231. gibba Clpd., I, 173, 179, 258; XX, 231. polyodonta N.S., I, 178; XX, 233. Odontosyllis virescens Von Marenz., I, 171. Oligobranchus roseus Sars, XVII, 106,112. Oligognathus Bonelliæ Spengel, V, 219, 223 ; XVII, 192. OMPHALOPOMA 255, 256, 257, 264. OMPHALOPOMA Môrch, Lang. rez. s. str., XVII, 261. Omphalopoma cristata Lang., XVII, 261, Môrch, XVII, 254, 312. — (Janita) fimbriata D. Ch., XVII, 261. — (Omphalopomopsis) Langerhansi Von Marenz., XVII, 261, 372. spinosa Lang., XVII, 261. OMPHALOPOMOPSIS N. G., XVII, 261. ONUPHIS Aud. et Edw., V, 192, 193, 194. Onuphis conchylega Sars, V, 193, 194. Eschrichtii OErst., V, 193. Grubii Von Marenz., V, 193. (Northia, Hyalinæcia) tlubicola O.-F. Müll., V, 194, 195, 196. OOPHYLAX Ehl., I, 259. OPHÉLIENS Gr., XVII, 114. OPHIODROMUS Sars, V, 326. DE SAINT-JOSEPH. Ophiodromus flexuosus D. Ch., V, 326 XX, 236. Ophiodromus vittatus Sars, V, 321, 328. OPHRYOTROCHA Clpd. et Meczn., V,223. Ophryotrocha Claparedii Studer, V, 234. Ophryotrocha puerilis Clpd. et Meczn., V, 233, 245; XX, 210, 235. OPISTHODONTA Lang., I, 262. OPISTHOS YLLIS Lang., I, 260. Opisthosyllis brunea Lang., I, 135, 260. ORIA Qfg., XVII, 251, 324. Oria Armandi Clpd., XVII, 247, 324; XX, 236. OTHONTA Johnst., XVII, 251, 349. Othonia Fabricii Johnst., XVII, 319. OXYDROMUS Gr. 1857, Von Marenz. char. emend., V, 320. Oxydromus fasciatus Gr., V, 320, 327. flaccidus Gr. OErst., V, 320. fuscescens Von Marenz., V, 323. longisetis Gr. OErst., V, 320. Oxydromus propinquus Mar. et Bobr., 1, 190; V, 321; XX, 236. : PÆDOPHYLAX Clpd., 1, 208, 259. Pædophylax claviger Clpd., I, 138, 195, 198, 199, 206, 208, 209; XX, 257. Pædophylax insignis Lang., I, 198. longiceps Verr., I, 198. verruger Clpd., I, 149, 202, 208, 249. Pallonia rapax Costa, XVII, 219. PARACTIUS Lev., char. emend., V, 234, 239. ; Paractius littoralis Lev., V, 240, 243. Paractius mutabilis N. S., V, 240; XX, 210, 234. PARANYCHIA Czern., V, 150. PARAPOLYNOE Czern., V, 150. PARAXIOTHEA Webst., XVII, 132. PARMENIS Mgr., V, 159. Parmenis Ljungmanni Mgr., V, 168, 176. PELAGOBIA Greeff, I, 258. Pelagobia longicirrata Greeff, I, 258. PERIBÆA Kbg., I, 262. Perinereis cultrifera Lang., V, 260. Floridana Lang., V, 261. PETALOPROCTUS Qfg., XVIT, 131, 132, 133, 144. Petaloproctus socialis Andrews, XVII, 146. Petaloproctus terricola Qfe., XVII, 444; XX, 235. ANNÉLIDES POLYCHÈTES DES COTES DE DINARD. PHENACIA Qfs., XVII, 183, 230. Qfg., Gr. Semper. char.mut., XVII, 173. Phenacia (Thelepus) parca Gr. Semper., XVII, 183. — paucibranchis Gr. XVII, 183. selosa Qfg., XVIT, 230. PHEREA N. G., XVII, 167, 180. PHERUSA Oken, Blv., XVII, 101. Pherusa Mülleri Oken, XVII, 101. obscura Qfg., XVII, 101. PHERUSEA Gr., XVII, 96. PHISIDIA N. G., XVII, 167, 184. PHOLOE Johnst., V, 186. Pholoe minuta Fabr., V, 181; XX, 242. synophthalmica Clpd., V, 186, 187. Pholoe synophthalmica Cipd., var. Di- nardensis V, 186; XX, 234. PHYLLODOCE Sav., V, 269; XX, 223. PHYLLODOCE Mgr., V,212,273 ; XX, 293. PHYLLODOCE s. str. Czern.,: 212, 213; XX, 223. Phyllodoce assimilis OErsi., V, 271. badia Mgr., V, 271. Gina Mer.-oN:217 clavigera Aud. et Edw., V, 283,285. corniculala Clpd., V, 274. Gervillei Aud. et Edw., V, 269. gracilis Verr., V, 269. Groenlandica OErst., V, 271; XX, 225. incisa OErst., V, 271. Kinbergi Qfg., V, 219, 280. lamelligera Johnst., Ehl., V, 271. Phyllodoce laminosa Sav., V, 274, 281; XX, 237. Phyllodoce lugens Ehl., V, 269. Phyllodoce macrophthalma Schmarda nec Gr. OErst., V, 284; XX, 235. Phyllodoce maculata O.-F. Müll., 269, 277. Phyllodoce maculata OErst., V,277; XX, 238. — macropapillosa N.S., XX,224, 233. Phyllodoce mucusa OErst., V, 217. Mülleri Leuck., V, 271. Pancerina Clpd., V, 279, 280. Paretti BIv:, V, 219, 280. Phyllodoce pulchella Mgr., V, 217; XX, 25, 234. Phyllodoce Rinkii Mgr., V, 271. Phyllodoce rubiginosa N. $., V, 269, 282; XX, 294 8 Semper., 265 splendens N. S., V, 269,278; XX, 234. Phyllodoce teres Mgr., V, 217. viridis Leuck., V, 283. PHYLLODOCIENS Gr., V, 269; XX, 223. PHYSELIA Qfe., XVII, 181, 182. Physelia scylla Qfg., XVIT, 198. PILEOLARIA Clpd., XVII, 254, 255, 256, 257, 260. Pileolaria militaris Clpd., XVII, 260. PIONOSYLLIS Mer. Lang. char. emend., I, 139, 160. Pionosyllis compacta Mgr., I, 160, 258. divaricata Kef., I, 160, 258. Pionosyllis lamelligera N.S., I, 138,163, DER NS PI EX, 292. — Jlongocirrata N.S., I, 137, 138,160, 258; XX, 253. Pionosyllis pulligera Krohn, XX, 242. Suchumica Czern., I, 258. PISTA Mgr. Von Mareuz. char. auctis, XVII, 167, 174, 116, 177, 482. Pista cretacea Gr.. XVII, 168,176, 177,183. cristata O.-F. Müll., XVIT, 175, 177, 195. fasciata Gr. Ehr., XVII, 178. intermedia Webst. et Bened., XVII, 167, 176, 183. maculata Von Marenz., XVIT, 176, 178, 182. PLACOSTEGOPSIS S. G. n., XVII, 263. PLACOSTEGUS Phil., XVII, 254, 256, 257, 258, 259, 263, 264. PLACOSTEGUS s. s/r. S.G. n., XVII, 263. Placostequs Greyi Qfg., XVII, 258. (Placostegopsis) incomptus Ehl., XVII, 263. Langerhansi XVII, 263. tricuspidatus Lang., XVII, 253, 263. tridentatus Fabr., XVII, 263. PLATYNEREIS Kbg., V, 253. PLATYSYLEIS, Gr: Semper:, [, 262. Podarke albocincta Ehl., V, 320, 327. POLYBOSTRICHUS OErst., I, 136, 182, 215, 252, 253, 254. Polybostrichus longosetosus OErst., I, 224, 254. Polybostrichus Mülleri Kef., I, 136, 150, 224, 230, 238, 239, 254. Polybostrichus triangulifer Gr., I, 255. Von Marenz. 266 POLYCIRRIDEA Mgr., XVII, 173, 234. POLYCIRRUS Gr. nec Mgr., XVII, 235. Polycirrus aurantiacus Gr.. XVII, 239, 366: XX, 290, 041. Polycirrus Boholensis Gr. Semper., XVII, 243. Polycirrus caliendrum Clpd., XVII, 237; XX. 256. Polycirrus Chilensis Schmarda, XVII, 243. Polycirrus denticulatus N.S., XVII, 242, 366: XX, 233. hæmatodes Cipd., XVII, 241; XX, 235. Polycirrus Kerguelensis Mc. Int., XVII, 243. Polycirrus tenuisetis Lang., XVII, 240, 366 ; XX, 235. Polycirrus triglandula Lang., XVII, 242, 243. POLYDORA Bosc, XVII, 58. Polydora Agassizii Clpd., XVII, 60, 62. Polydora cæca OErst., XVII, 59; XX, 236. ciliata Johnst., XVII, 60, 62; XX, 238. Polydora ciliata var. minuta Lang., XVII, 59, 61. cornuta Bosc, XVII, 60. flava Clpd., XVIL, 59, 614, 66. hamata Lang., XVII, 65. hamata Webst., XVII, 65. Polydora hoplura Clpd., XVII, 64, 65; XX, 236. pusilla N.S., XVII, 63,65 ; XX, 233. POLYEUNOA Me Int., V, 150. Polymastus paradoxus Clpd., I, 191. POLYMNIA Mgr., Von Marenz. char. auct., XVII, 166, 167, 168, 177, 183, 219. Polymnia Danielsseni Mgr., XVII, 195. Polymnia nebulosa Mont. nec Johnst., I, 190; V, 145; XVII, 176, 177, 193, 195, 249, 228; XX, 235. Nesidensis D. Ch., XVII, 176, 183, 225; XX, 236. POLYNOE Theel, V, 150. POLYNOE s. str. OErst., Kbg., Mgr., Lev., V, i50, 183. Polynoe Acanellæ Verr., V, 144. —. Are0lOtANGT. IN 6): aurantiaca Verr., V, 144. badia Theel, V, 142. cirrala O.-F. Müll., V, 143, 1€1. DE SAINT-JOSEPH cirrata Pallas, V, 149. clavigera Sars, V, 154. contaminata Gr., V, 158. crassipalpa Von Marenz.,V,183,185. extenuala Gr., V, 180. fuscescens Qfg., XX, 242. foliosa Sav., V, 154. gelatinosa Sars, V, 154. impar Johnst., V, 162, XX, 200. Johnstoni Von Marenz., V, 183, 185. lævis Aud. etEdw., V, 176; XX, 242. lunulata D. Ch., V, 145, 172. nivea Sars, V, 154. ocellata Mc. Int., V, 144. pellucida Ehl., V, 171. — Peronea Schmarda, V, 154. ptycholepis Gr. Semper., V, 160. reliculata Clpd., V, 164, 176; XX, 196. scabra OErst., V, 142, 153. scolopendrina Sav., V, 144, 183. Polynoe scolopendrina Sav. var. brevi- palpa, V, 159,183; XX, 233. Polynoe spinifera Ehl., V, 149, 172; XX, 214. var ane NO UNIS squamata Gr., V, 142, 151. torquata Clpd., V, 172. Polynoïdes indéterminés (larves de), XX, 196. POLYNOINA Gr., V, 148. POLYOPHTHALMIENS Qfg., XVII, 114. POLYPHRAGMA Qfs., XVII, 253, 259. POMATOCEROS Phil., XVII, 254, 255,256, 251, 262, 353. Pomatoceros helicoïdes Von Marenz., XVIT, 253. tricuspis Phil., XVII, 353. Pomatoceros triqueter L., XVII, 251, 253, 258, 353; XX, 238. Pomatoceros triquetroïdes D. Ch., XVII, 353. POMATOSTEGUS Schmarda, XVII, 254, 256, 257, 263. Pomatostequs latiscapus Von Marenz., XVII, 265. PONTODORA Greeff, I, 262. PORTELIA Qfge., XVII, 4. Portelia rosea Qfe., XVII, 20, ?1. POTAMILLA Mgr., XVII, 248. Potamilla incerta Lang., XVII, 299; XX, 235. — reniformis O.-F. Müll., XVII, 205, 247, 292: XX, 231. — — — ANNÉLIDES POLYCHÈTES Potamilla stichophthalmos Gr., XVII, 278. XX, 240. Potamilla torluosa Webst., XVII, 293, 296. POTAMIS Ehl., XVII, 248. PRAXILLA Mor., XVII, 1380, 134. Pracilla (Axiothea) Polaris Theel, XVII, 133. prælermissa Mgr., XVII, 133. PRAXILE LLA Verr., XVII, 180. PRAXILLURA Verr., XVII, 132. PRAXITHEA Mer., V, 263. Praxithea irrorata Mgr., XX, 245, 231. PRIONOGNATHUS Kef., V, 235. Prionognathus ciliatus Kef., V, 235, 236. Prionospio tenuis Verr., XVII, 83. PROCERÆA Eñhl., I, 214, 215. Proceræa aurantiaca Clpd., I, 219, 247, 248, 251, 254, 256. luxurians Von Marenz., I, 216, 228. macrophthalma Von Marenz., I, 226. picta Ehl., I, 222. rubropunctata Lang., I, 220. tardigrada Webst., 1,248; XX, 187. PROCERASTEA Lang., I, 251, 261. Procerastea nematodes Lang., I, 261. PROCLEA N. G., XVII, 167, 180. PROCOME Ehl., I, 262. PROMENIA Kbg., XVII, 42. PROTIS Ehl., XVII, 253, 255, 256, 259, 264, 265. PROTOMYSTIDES Czern., V, 801. PROTULA Risso, XVII, 253, 254, 255, 256, 257, 263, 264, 265, 362. PROTULA s.str. S. G.' n., XVII, 263. Protula alba Benedict, XVII, 263,338, 374. antennata Ehl., XVII, 265. (Protis) arctica Hans.,XVI1,258,265. borealis Sars, XVII, 374. Diomedeæ Benedict, XVII, 338, 314. Dysteri Clpd., XVII, 340. (Prolulopsis) intestinum Lmck., Phil., XVII, 263, 362, 368, 374. Marioni Von Marenz., XVII, 263, 375. Meilhaci Mar., XVII, 263, 338. protensa Gr., XVII, 362. Rudolphii Risso, XVII, 362, 368. sp. XVII, 258. sp. (de Molyneux) Von Marenz., XVII, 374, 375. V, 260, 263; 263, DES COTES DE DINARD. 267 | Protula tubularia Mont., XVII, 253, 263, Potamilla Torelli Mgr., XVII, 247, 296; 338, 362, 374; XX, 236, 241. PROTULIDES Webst., XVII, 249. PROTULOPSIS, S. G. n., XVII, 263. PSAMATHE Johnst., V, 323. Psamathe cirrata Kef., V, 323, 324. fusca Johnst., XX, 242. punctala Johnst., V, 318. Psammolyce Herminiæ Aud..et Edw., V, 141. Pseudosyllis brevipennis Clpd., I, 260. PSYGMOBRANCHUS Phil., XVII, 254, 362. ty gmatranCRes cæcus Clpd., XVII, 268. intermedius Mar., XV I, 363. multicostatus Clpd., XVII, 365. protensus Phil., XVIL, 862. simplexz Qfg., XVII, 363. tubularis Qfg., XVII, 363. PTEROCIRRUS Clpd., V, 2174. Pterocirrus Ceylonicus Mich., XX, 226. PTEROSYLLIS Clpd., I, 187. Pterosyllis dorsigera Clpd., I, 258. formosa Clpd., I, 187. — plectoryncha Von Marenz., I, 187. Pterosyllis spectabilis Johnst., 1, 487; XX, 231. RHODINE Mgr. Ehl. char. emend., XVII, 131, 132. Rhodine Loveni Mgr., XVII, 131, 134. sima Ehl., XVII, 131. RHYNCHOBOLUS Clpd., XVII, 22. Rhynchobolus convolutus Clpd., XVIT, 27. SABACO Kbg., XVII, 131. SABELLA L., Sars, Mgr., XVII, 248, 267. Sabella adspersa Krôyer, XVII, 293. alveolaria Dalyell, XVII, 160. alveolata L., XVII, 160. arenilega Qfg., XVII, 300. breviberbis Gr., XVII, 299. Bombyx Johnst., XVII, 309. costulata Gr. Gazelle, XVIL, 250. flabellata Sav., XVII, 268. Indica Sav., XVII, 249, 317. Josephinæ Gr., XVII, 286, 292. Krüyeri Qfg., XVII, 300. lanigera Gr., XVII, 300. longibranchiala Qfe., XVII, 267. magnifica Shaw, XVII, 249. manicata Gr. Semper., XVII, 250. melania Schmarda, XVII, 249. melanostigma Schmarda, XVII,250. notata Gr. Semper., XVII, 250. oculata Krôyer, XVII, 293. 268 oculifera Leidy, XVII, 293. Sabella pavonina Sav., XVII, 247, 266, 261: XX 288 0241. Sabella pectoralis Qfg., XVII, 249. penicillus Cuv., XVII, 267. polyzonos Gr., XVII, 309. porifera Gr.Semper., XVII, 249. Potiæi Qtfg., XVII, 249. pyrrhogasterGr.Semper.,XVII,249. reniformis Leuck., XVII, 292. rubropunctata Gr., XVII, 285. Sarsi Krôyer, XVII, 266. saxicava Qfg., XVII, 293, 296. saxicola Gr., XVII, 293, 298. (Laonome) spectabilis Gr. Semper., XVII, 249, 317. Terebelloides Qfg., XVII, 300. velata Hasw., XVII, 278. verticillata Qfg., XVII, 309. vesiculosa M. Edw., XVII, 300. viola Gr., XVII, 275, 278. volutacornis Mont., XVII, 286. volulacornis Rathke, XVII, 285. SABELLARIA Lmck., XVII, 154. Sabellaria alveolata L.,XVII,160; XX,238. Sabellaria Anglica Gr., XVIT, 160. crassissima Johnst., XVII, 154. crassissima Lmck., XVII, 160. lumbricalis Mont., XVII, 154. Sabellaria spinulosa Leuck., XVII, 154 ; XX, 235. SABELLARIENS »., XVII, 154. SABELLASTARTE Krôyer char. auct., XVII, 249, 317. SABELLIDES Mzgr., Lang., XVII, 246, 267. SABELLIDES M. Edw., XVII, 62. Sabellides (Amphicteis) angustifolia Gr. Semper., XVII, 162, 164. fulva Ehl., XVII, 163. SACCONEREIS J. Müll., I, 136, 18?, 215, 952, 253, 255. Sacconereis Canariensis Greeff, I, 255. Cettensis Pagenst., I, 255. Helgolandica Max Müll., [, 238, 255. SCRUUEz IT, Müll,, 1, 255. SALMACINA Clpd., XVII, 251, 254, 255, 256, 257, 259, 264, 265, 338, 340. Salmacina ædificatrix Clpd., XVII, 338. Salmacina Dysteri Huxl., XVII, 251, 340; XX 086! Salmacina incrustans Clpd., XVII, 338. — DE SAINT-JOSEPH. = setosa Lang., XVII, 338. SANDANIS Kbg., XVII, 111. Sandanis rubicundus Kbg., XVII, 117. SCALIBREGMA Rathke, XVII, 103. Scalibregma abyssorum Hans., XVII, 107. inflatum Rathke, XVII, 106, 107, 1e parvum Hans., XVII, 107. SCALIBREGMIDÉS Mgr. XVII,103. SCHMARDANELLA Mc. Int., XVII, 182. SCHMARDIA Qfg., I, 262. Schmardia Chauseyana Qfg., XX, 242. SCIONE Mgr., XVII, 167, 114, 182, 184, 205. Scione lobata Mgr., XVII, 178, 207. Scione maculata Dalyell, XVII, 178, 205; XX, 234. SCIONOPSIS Verr., XVII, 182. Scionopsis palmata Verr., XVII, 175. SCLEROCHEILUS Gr. char. emend., XVI, 103. Sclerocheilus minutus Gr., XVII, 103, 104; XX, 236. SCOLELEPIS Blv., XVII, 67, 81. Scolelepis oxycephala Sars, XVII, 81; INA SCOLOPLOS Blv., OErst. rev., XVII, 94. Scoloplos armiger O.-F. Müll., XVII, 90, 91, 94, 129; XX, 235, 241. SERPULA L., XVII, 259, 328. s. str. Phil, XVII, 253, 255, 256, 257, 259, 264, 318. Serpula aspera Phil., XVII, 335. cereolus Gim., XVII, 258. (Dasynema) chrysogyrus Gr. Sem- per., XVII, 262, 264. conica Flem., XVII, 313. contortuplicata Sav., XVIT, 328. echinala Gm., XVII, 335. fascicularis Lmck., XVII, 328. octocostata Qfg., XVII, 335. pailida Phil., XVII, 335. Philippii Môrch, XVII, 328, 332, 339. protensa Gm., XVil, 62. triqueter L., XVII, 353. tubularia Mont., XVII, 362. Serpula vermicularis L., V, 144; XVII, 251, 258, 328; XX, 238, 241. SERPULIDES Mzgr., Lev., XVII, 246, 328. SERPULIENS Burm., Gr. Semper., char. emend., XVII, 246. ANNÉLIDES ‘POLYCHÈTES DES COTES DE DINARD. SIGALION Aud. et Edw., Kbg.,s. sfr. nec Eh]. nec Mgr., XX, 203. Sigalion boa Johnst., V, 187. — Edwarsi Kbg., XX, 204, 207. Idunæ Rathke, V, 187. Mathildæ Aud. et Edw., XX, 204, 207, 242. Sigalion squamatum D. Ch., XX, 203, 235. SIGALIONINA Gr., V, 186. SIPHONOSTOMA Rathke, XVII, 96. Siphonostoma plumosum Rathke, XVII, 101. vaginiferum Rathke, XVII, 96. SIPHONOSTOMACEÆ Johnst., XVII, 96. Siphonostomum (Flabelligera) diplo- chaïtos Otto, XVII, 98, 99, 100. SIPHOSTOMUM Otto, XVII, 96. SPERMOSYLLIS Clpd., I, 139, 262. SPHÆRODORIDES Mer., XVII, 37. SPHÆRODORUM OErst., I, 192; XVII 37, 38. Sphærodorum abyssorum Hans., XVII, 41. Claparedii Greeff, XVIH, 37, 39, 41. flavum OErst., XVII, 37, 38. — peripatus Johnst., nec Cipd., XVII, 38, 39, 40. — peripatus Clpd., XVII, 41. SPHÆROSYLLIS Clpd., F, 139, 204, 259. Sphærosyllis brevifrons Webst. et Bened., X, 205. erinacea Lang., 1, 498, 208. Sphærosyllis erinaceus Clpd., I, 196, 200, 207; XX, 231. Sphærosyllis fortuita Webst., I, 205. Sphærosyllis hystrix Clpd., I, 197, 199, 200, 204; XX, 234, 239. | Sphærosyllis ovigera Lang., I, 198, 205. — _pirifera Clpd., I, 197, 205, 206, 207. — pusilla Cipd., I, 203. (Grubea) tenuicirrala Clpd., I, 196, 200, 201. SPIO Fabr. OErst. rev., XVII, 66. Spio Atlanticus Lang., XVII, 79. Bombyx Clpd., XVII, 66. foliosus Lev., XVII, 72. lævicornis Rathke, I, 135. oxycephalus Lev., XVII, 81. Spiochætopterus Challengeriæe Mc. Int., V, 145. Spione trioculata OErst., XVII, 108. SPIONIDIENS Sars, XVII, 58; XX, 229. 269 SPIROBRANCHUS Blv., XVII, 254, 256, 257, 263. Spirobranchus tricornis Môrch, XVII, 257. SPIROGRAPHIS Viv. Qfg.rev., XVII, 248. Spirographis brevispira Qfg., XX, 242. Spallanzanii Viv., XVII, 266, 278, 219, 282, 292. SPIRORBIS Daud., XVII, 251, 254, 255, 256, 257, 258, 259; 264. Daud., s. str., XVII, 260, 345. Spirorbis Beneti Mar., XVII, 260, 338. Spirorbis borealis Daud., XVII, 260, 338. 345; XX, 239. Spirorbis carinatus Mont., XVII, 260, 338. communis Flem., XVII, 345. (Pileolaria) cornu-arietis XVII, 260. (Circeis) corrugatus Mont., XVII, 261. (Pileolaria) granulatus L., XVII, 260: XX 4242. ; (Leodora) lævis Qfg., XVII, 264, 338, 352. (Circeis) lucidus Mont., XVil, 261, 391. nautiloïdes Lmck., XVII, 345, 369. (Janua) Pagenstecheri Qfg., XVIT, 258, 260, 349, 372. spirillum Gould, XVII, 349. (Janua) spirillum Pagenst., XVII, 349 Phil. (Circeis) verruca Fabr., XVII, 261. STAUROCEPHALIDEA Kbg., Gr. V, 192, 235. STAUROCEPHALUS Gr., V, 235. Staurocephalus Chiajei Clpd., V, 231. Staurocephalus ciliatus Kef., V,235, 236; XX, 934. Slaurocephalus erucæformis Mgr., V, 238.. — Kefersteinii Mc. Int., V, 237. minimus Lang., V, 245, 316. Staurocephalus pallidus Lang., I, 190; V, 231, 238; XX, 235. Staurocephalus pallidus Verr., V, 238. Staurocephalus rubrovittatus Gr., V, 235: XX, 236. Staurocephalus Rudolphii D. Ch., V, 231. Siberti Mc Int., V, 245. STEPHANIA Clpd., V, 326. Stephania flexzuosa Clpd., V, 326. STEPHANOSYLLIS Clpd., I, 214, 215. Stephanosyllis scapularis Cipd., I, 222,247. 270 varians Verr., I, 216. STHENELAIS Kbg., V, 187. Sthenelaïs ctenolepis Clpd., XX, 206. Edwarsi Qfg., V, 187. Sthenelaïs Idunæ Rathke, V, 142, 487; XX, 238. Sthenelaïs fuliginosa Cipd., V, 181. STREBLOSOMA Sars, XVII, 183. STREPTOSYLLIS Webst. et Bened., I, 262: XX, 191. Streptosyllis varians Webst. et Bened., XX, 192, 235. Streptosyllis arenæ Webst. et Bened., XX, 193. STYLARIOIDES D. Ch., XVII, 101. Stylarioïides plumosa O.-F. Mill., XVIT, 99, 401; XX, 239. SYLLIDEÆ Lang., I, 142. SYLLIDES OErst.nec Clpd.,1,165; XX,191. Syllides longocirrata OErst., I, 165, 168; XX 195 26. Syllides setosa Verr., XX, 193. SYLLIDIA Qfg., V, 311. Syllidia armata Qfg., V, 317. SYLLIDIENS Gr., I, 134; XX, 185. SYLLINE Clpd., I, 259. Sylline (Exotokas) brevipes Clpd., [, 198, 214. — flava Gr., XX, 242. rubropunctata Gr.,Ï, 220. SYLLIS Sav., I, 142. Syllis (Ehlersia) abyssicola Ehl., I, 155. Syllis (Ehlersia) æsthetica N. S., I, 138, 456; XX, 233. (Typosyllis) alternosetosa N.S,., 1, 135, 137, 138, 450, 157, 164, 259, 261; XX, 187, 234. Syllis amica Qfg., I, 157, 182, 259, 260; XX, 242. Armandi Cipd., I, 147, 259. armillaris OErst., 1, 259; XX, 242. aurantiaca Clpd., 1, 137, 145. aurita Clpd., 1,157, 259. brevicornis Gr., I, 178. — borealis Mgr., I, 259. (Ehlersia) cornuta Rathke, I, 955, 260. corruscans Hasw., I, 260. fasciata Mgr., I, 259. Fiumensis Ehl., I, 147, 259. Syllis gracilis Gr., I, 137, 154, 458, 260, 261; XX, 490, 240. DE SAINT-JOSEPH. — (Haplosyllis) hamata Clpd., I, 137, 138, 140, 141, 142, 145, 171, 176, 259; XX, 185, 240, 241. Syllis hexagonifera Clpd., I, 146. — hyalina Gr., 1, 154, 156, 259, 261 ; XX, 188. incisa Fabr., I, 261. Syllis (Typosyllis) Krohnii Ehl., XX, 188, 236. Syllis Lussinensis Gr., I, 147, 259. — macrocola Von Marenz., I, 259. navicellidens Czern., I, 159, nigrovittata Czern., I, 159. oblonga Kef., I, 259. ochracea Von Marenz., I, 166. oligochæta Bobr. forma Massi- liensis Czern., I, 142, 145. — forma Pontica Czern., I, 145. — var. tentaculata Czern., I, 145. pellucida Ehl., I, 259. Syllis (Typosyllis) prolifera Krohn, [, 137, 138, 147, 219, 249, 259, 260: V, 219; XX,035. Syllis prolifera Johnst., I, 239. pulvinata Lang., I, 259, 260. quadridentata Czern., I, 159. ramosa Mc. Int., I, 261, 262. (Ehlersia) sexoculata Ehl., I, 155, 260; XX, 187. simillima Clpd., I, 259. solida Gr., I, 155. (Haplosyllis) spongicola Gr., 1, 142, 445; XX, 185. streplocephala Gr. OErst., I, 145. tubifex Gosse, I, 168. Syllis (Typosyllis) variegata Gr., I, 438, 446, 149, 249, 259, 260 ; XX, 2317. Syllis viltala Gr., I, 157, 259. viviparu Krohn, I, 261. — zebra Gr., I, 180. Telamone Sicula D. Ch., V, 319. TÉLÉTHUSIENS Sav., XVII, 121. TEREBELLA L. nec Mgr. nec Qfe., XVII, 166, 167, 177, 181, 202. TERE BELLA Mgr., XVII, 183. — L.s.str., Sav.,Gr.Semper.,XVIT,173. Terebella abbreviata Qfg., XVII, 225. artifex Sars, XVII, 212. bruneo-comata Ehl., XVII, 181. conchilega Sav., XVII, 211. conshrictor Mont., XVII, 202. debilis Mgr. XVII, 195, 196, 219, 223. Edwarsi Qfe., XVII, 186. — Ehrenbergi Gr. Ehr., XVII, 181. flavescens Clpd., XVII, 225. flexuosa D. Ch., XVII, 211. ANNÉLIDES POLYCHÈTES — gelatinosa Kef., XVII, 198. gracilis Gr., XVII, 198. Terebella lapidaria (Kæhler) L., XVII, 166, 174, 175, 202; XX, 235. Terebella littoralis Dalyell, XVIT, 212. lutea Risso, XVII, 225. macrobranchia Schmarda, 185. maculata Dalyell, XVII, 205. Meckelii D. Ch., XVII, 219. nebulosa Mont., XVII, 219. nebulosa Johnst., XVII, 295. parva Leuck., XVII, 174. pectoralis Qfa., XVII, 213. prudens Cuv., XVII, 212. ‘pterochæta Schmarda, XVII, 174, 177, 181. reticulata Ehl.. XVII, 184. rosea Gr., XVIT, 202. (Polymnia) Sarsii Gr. XVII, 178. tentaculata Mont., XVII, 45, 48. textrix Dalyell, XVII, 202. tuberculata Dalyell, XVIF, 219. (Polymnia) turgidula Ehl., XVI, 178. venustula Mont., XVII, 207. (Polymnia) virescens Gr. NUL 178. TEREBELLZÆ IDALIÆ Sav., XVII, 172. PHYZELIÆ Sav., XVII, 172. SIMPLIGCES Sav., XVII, 172. TÉRÉBELLIENS Gr. Mgr, rev. _ XVII, 166. TÉRÉBELLIENS ABRANCHES Qfs., XVII, 234. — BRANCHIÉS OQfe., XVII, 166. Terebellides Strômii Sars, V, 220. TETRAGLENE Gr.Il, 182,183, 186,194,261. Tetraglene agilis Verr., 1, 260. THARYX Webst et Bened., XVII, 43. Tharyx (Heterocirrus ?) acutus Webst. et Bened., XVII, 45, 53. similis Webst. et Bened., XVII, 45, 53. THELEPODOPSIS Sars, XVII, 183, 230. THELEPUS Leuck. Mgr. s. ampl. Gr., XVII, 167, 168, 174, 177, 178, 183, 230. Thelepus cincinnatus Fabr., XVII, 178,195. Thelepus setosus Qfg., XVII, 178, 230; XX, 234. Thelepus triserialis Gr., XVII, 178. THOE Kbg,, 1, 262. TIMARETE Kbg., XVIF, 42. XVII, Semper., Ehr., 271 Trachelophyllum LütleniLev.,V,312,314. TREMOMASTUS Eisig, XVII, 120. TRICHOBRANCHIDEA XVII, 173, 244. TRICHOBRANCHUS Mzgr., XVII, 244. Trichobranchus glacialis Mgr., XVII, 244; XX, 2317: TRICOELIA Ren., XVII, 141. Tricælia variopedata KRen., XVII, 147. TROPHONTIA Aud. et Edw., XVII, 101. Trophonia (Slylaroïdes) arctica Hans., XVII, 103. borealis Hans., XVII, 103. ylumosa Johnst., XVII, 101. (Stylarioïides) rugosa Hans., XVII, 103. TRYPANOSYLLIS Clpd. char. emend., I, 139, 480. Trypanosyllis cœliaca Cipd., I, 133. 139, 184, 260 ; XX, 231. Krohnii Clpd., I, 138, 139, 140, 141, 480, 184, 185, 186, 260 ; XX, 239. Trypanosyllis zebra Von Marenz., I, 180. Tubus vermicularis Ellis, XVII, 328. Tyrrhena Claparedii Costa, V, 318, 320. UMBELLISYLLIS O. Sars, I, 262. VENUSIA Johnst., XVIL 183, 230. VERMILIA Lmck., XVII, 254, 255, 256, 257, 264. VERMILTA Lmck. s. str., XVII, 262. Vermilia (Vermiliopsis) agglutinata Von Marenz., XVII, 262, 3172. annulata Schmarda sec. Ehl., XVII, 262. (Vermiliopsis) clavigera Phil. sec. Lang., XVII, 262, 371. conigera Qfo., XVII, 265, 354, 360. dinema Môrch, XVII, 265. elongata Phil., XVII, 265, 354, 360. infundibulum Gm. sec. Clipd. XVII, 262, 371. Lamarckii Qfs., XVII, 265, 353, 360. (Vermiliopsis) mullicostata Phil. sec. Lang., XVII, 262, 371. multivaricosa Môrch, XVII, 262, 371. polytrema Phil., XVII, 265, 354. porrecta O.-F. Müll., XVII, 353, 360. (Vermiliopsis) rugosa Lang., XVII, 262. socialis Qfs., XVII, 265, 354, 360. DES COTES DE DINARD. Mgr., Ah DE SAINT-JOSEPH. — (Vermiliopsis) spirorbis XVII, 262, 371. — — torulosa D. Ch., XVII, 262. Lang., Virchowia clavata Lang., I, 261. WARTELIA Giard, V, 234. — trifida Qfe., XVII, 265, 354, 355, | Wartelia gonotheca Giard, V, 234. 360. — triquetraLmck.sec.Phil.,XVITI,265. VERMILIOPSIS N. G., XVII. 262. VIRCHO WIA Lang., I, 257, 261. XENOSYLLIS Mar. et Bobr., I, 262. ZYGOLOBUS Gr., V, 212. Zygolobus Edwarsi Cipd., V, 212. PROTOZOAIRES. COLENTÉRÉS. ÉCHINODERMES. TURBELLARIÉS. TRÉMATODES. CESTOIDES. OLIGOCHÈTES. BRY9ZOAIRES. MOLLUSQUES. ACARIENS. Acanella Normani Verr., V, 144. ANOPLOPHRYA Stein, XVII, 360. Astropecten aurantiacus Müll. et Trosch., V, 143. Automolos unipunctatus Greeff, XVII, . 849. Bolocera Tuediz Johnst., V, 144. Canthocamptus minuticornis O.-F. Müll., I, 162. Cerianthus membranaceus Haime, XX, 216. ; Chonephilus dispar Sars, XVII, 266. Cothurnia maritima Ehr., V, 142, 204, 297, XVII, 185, 349. Crypsidomus Terebellæ Lev., XVII, 185. Cucumaria pentactes O.-F. Müll., V, 144. Cyclatella annelidicola Hesse et Van Be- ned., XVII, 134. Distomes sp., XVII, 76, 210, 224, 228, 229. Donusia Clymenicola Nordmann, XVII, 134. Echinus sphæra O.-F. Mull., V, 144. Entoconcha parasitica Joh. Müll., V, 220. Eurysilenium truncalum Sars, V, 143. Fissurella cratitia Gould, V, 143. Folliculina ampulla O.-F. Müll., XVII, 336, 340, 349, 369. Folliculina atro-purpurea Stret. Wr., XVII, 336. Gastrodelphys Clausii Greeff, XVII, 267, 292. — Myxicolæ List, XVII, 267. Gregarina Terehellæ Kô]1., XVII, 229. Halacarus olivaceus Gr., V, 142, 189. Herpyllobius arcticus Steenst. et Lütk., V, 142, 302. Hersilioïdes Pelsenceri Canu, XVII, 134. Licnophora Auerbachii Clpd., I, 189. Loxosome Kef., sp., V, 141. Opalina lineata Schulze, XVII, 47, 50, 56. Ophryodendron annulatorum N. S., I, 490, 229; V, 239, 323; XVII, 185. ORTHONECTIDA Giard, XX, 226. Pedicellina Belgica Van Bened.,V, 141,179. Polyrabdina Cirratuli Ming., XVII, 51. — Ming., sp., XVII, 229, 306. Psammoryctes umbellifer Kessl., XVII, 250. Rhabdostyla Arenicolæ Fabre Domergue, XVII, 129, 185. — Sertularium Say. Kent, XVII, 185, . 204. Rhodinicola elongata Lev., XVII, 134. Rissoa parva Costa, XVIT, 76. Sabellachares gracilis Sars, XVII, 266. Sabelliphilus elongatus Sars, XVII, 266. — Sarsii Cipd., XVII, 266. — Sarsii var. Massiliensis Gourret, XVII, 266. Sacculina Carcini Thomps., XX, 214. Selioidrs Bolbroei Lev., V, 143. Selius bilobus Krôyer, V, 142. Silenium crassirostris Sars, V, 143. —. Polynoes Krüyer, V, 142. Spatanqus purpureus O.-F. Müll., V, 143. — spinosissimus Ag., V, 143. Synapta digitala Mont., V, 220. — inhærens O.-F., Müll., V, 280. Terebellicola reptans Sars, XVIH, 185. Tetrarhynque Rud. sp., XVII, 243. Trichodina Auerbachii Cohn, 1, 163, 170, 189 ; V, 142. — pediculus Ehr., XVII, 76, 356. Lichomolqus Sabellæ Thomps., XVII, 2617. | Zoothamnium allernans Clpd. et Lachm., — Sarsi D. Valle, XVII, 266, 267. XX, 220. NOTE SUR LA BIOLOGIE DES FORANINIFÈRES Par le professeur J. J. LISTER (1) (Traduite par M. Ch. Schlumberger). On sait que le phénomène du dimorphisme est actuelle- ment reconnu dans beaucoup d’espèces de Foraminifères. Les individus d’une même espèce se parlagent en deux groupes. Chez les uns, la loge centrale (Mégasphère de Munier-Chalmas et Schlumberger) est de grande taille, tandis que chez les autres (Microsphère), elle est de petite dimension. Ces deux formes de l'espèce peuvent êlre dési- gnées comme Wégalosphérique et Microsphérique (2). On a montré qu'elles diffèrent non seulement par les dimensions des loges centrales, mais parfois (Miliolidées) par le mode d'arrangement des loges, par la taille des individus adultes et aussi par leur nombre relatif, la forme mégalosphérique étant de beaucoup la plus abondante. On (3) a suggéré aussi que les différentes conditions sous lesquelles se présente Orbulina universa représentent leur (1) M. le professeur J. J. Lister, de John's College à Cambridge, vient de publier ses recherches sur la biologie des Foraminifères, et plus spéciale- ment sur l’origine de leur dimorphisme (Contribution to the Life history of the Foraminifere, in Proceedings of the Royal Society, t. LVI). L'importance de ce travail a décidé M. Ch. Schlumberger a en faire une traduction que nous insérons dans les Annales. (2) Ce sont les formes À et B de MM. Munier-Chalmas et Schlumberger. | (Note du traducteur.) (3) G. Schlumberger, C. R., 21 avril 1884. ANN. SC. NAT, ZOOL. ue TS 274 J. LISTER. forme mégalosphérique et microsphérique, mais les raisons produites en faveur de cette opinion ne paraissent pas concluantes. POLYSTOMELLA CRISPA Linné. Pour élucider la question du développement vital des Foraminifères un grand nombre d'individus de celte espèce ont été examinés. Comme beaucoup d’autres ils sont dimorphes. Quoi- qu'il soit impossible de distinguer les deux formes quand la coquille est entière, il est facile, quand les individus ont élé décaicifiés et colorés, de les attribuer à l’une ou l’autre forme. En eflet, la loge centrale de Ia forme mégalo- sphérique a généralement un diamètre d'environ 80 y, tandis que dans la forme microsphérique 1l n'atteint que 10 w. En outre de la différence de taille des loges ini- üiales des deux formes, on constate une différence très marquée de leurs nucléi. La proportion de la forme méga- losphérique à la forme microsphérique est de 34 à 1 sur un total de 1812 individus examinés. Dans la forme Microsphérique on remarque de nombreux petits nucléi parsemés dans le protoplasma, mais ne s’élen- dant pas jusqu'aux loges terminales. Ceux des loges centra- les sont plus pelits que dans les suivantes. Les nucléi contiennent des nucléoles de différente taille qui paraissent entourés d'une substance inlernucléolaire d'apparence homo- gène. On reconnaît aussi que les nucléi augmentent en nom- bre par simple division, et il est probable qu'ils dérivent tous d’un seul nucléus. Après avoir conservé pendant un certain temps leur forme arrondie, les nucléi émettent une portion de leur substance dans le protoplasma ambiant. Ce phénomène paraît com- mencer dans les loges les plus internes et se continue dans les suivantes, et en fin de cause la malière nucléaire tout entière est distribuée à travers le protoplasma et se pré- sente, dans les individus bien conservés, sous forme de cor- BIOLOGIE. DES FORAMINIFÈRES. DTS dons irrégulièrement branchus et fortement colorés. Je n'ai pas d’autres données certaines sur la suite du développe- ment de la forme microsphérique. Durant la première phase végétalive de la forme Méga- sphérique elle ne présente qu'un grand nucléus unique qui augmente de taille avec l'accroissement du protoplasma et passe ensuite de loge en loge, se mouvant vers le centre du protoplasma dans la série des loges, tout en s’en tenant à une petite distance. Il consiste en un réticulum nucléolaire dont les nœuds sont occupés par des nucléoles et les vides par une substance. Les nucléoles paraissent augmenter en nombre et diminuer de taille avec l'accroissement de l'organisme. On peut admettre que, à mesure que le nucléus se meut à travers les loges, 1l exsude une partie de sa substance dans le protoplasma. Ce fait paraît se produire soit par la sépa- ration de portions assez considérables qui contiennent quel- ques nucléoles semés le long du chemin, soit par la disper- sion de petiles masses dans Le protoplasma, qui occasionnent dans les individus colorés un flux dans le voisinage du nucléus. Dans quelques individus le nucléus à perdu sa forme ronde et envoie des processus irréguliers dans le pro- toplasma : sa facullé de coloration a en même temps dimi- nué. [Il est probable que ces nucléi sont ceux qui ont abandonné une grande partie de leur substance et sont en voie de dissolution. Dans la phase reproduclive les grands nucléi ont disparu, mais on trouve une multitude de petits nuëéléi {de 1-2 y en diamèlre) disséminés à travers le protoplasma. Au même moment de larges canaux se sont formés et mettent en communication les loges intérieures avec les loges exté- rieures. A l’origine les petits nucléi sont plus abondants dans les loges terminales, mais ensuite ils sont uniformément dissé- minés dans le protaplasma, puis 1ls se divisent par karvyo- kinèse, le protoplasma les entourant en masses sphériques 270 J. LISTER. de 3,5% de diamètre contenant chacune un nucléus en division. | Dans un stade postérieur chaque nucléus, provenant pro- bablement de cette division, devient le centre d’un spore flagellé. Ces spores sont tous approximativement de même dimension, ce sont des ?sospores. Dans une circonstance j'ai observé l’évacuation de spores d’un caractère différent : des anisospores. Cétaient des macrospores, Corps globulaires d'un diamètre de 11-10 w avec indicalon d'un flagellum, et des microspores de forme globulaire ou ovale de 6-1 w de diamètre, pourvus de deux flagellum de grandeur différente implantés tout près l’un de l’autre sur le corps du spore. Je ne sais si les ascendants de ces spores étaient mégalosphériques ou microsphériques ; mais comme les isospores sont pro- duits par des individus du premier type, il est possible que les anisospores proviennent du second type. ORBITOLITES COMPLANATA Limk. Dans la forme Microsphérique le centre du disque est occupé par de petiles loges nombreuses. Beaucoup de nu- cléi arrondis sont distribués dans le protaplasma, souvent par paires, et sont alors parfois unis par une bande contrac- tée comme s’ils étaient en voie de division. On voit aussi de plus grands nucléit solitaires munis d’un réseau très apparent. | Dans une phase plus avancée du développement 1l se forme à la périphérie du disque de grandes loges que Brady a trouvées bondées de jeunes (disques primitifs) de forme mégalosphérique. L'examen d'individus conservés dans l'alcool et contenant des jeunes dans les grandes loges péri- phériques, montre que celles-ci sont vides de protaplasma et ne sont occupées que par les jeunes. La loge primordiale de ceux-ci contient un grand nucléus. Le centre de la forme Mégalosphérique est occupé par le « disque primitif ». C'est une grande «loge primordiale » BIOLOGIE DES FORAMINIFÈRES. PTT (la mégalosphère), mesurant environ 100 , généralement pyriforme et entourée de la grande loge «cireumambiante ». Les autres petites loges sont disposées en cercle autour du disque primitif. Le nucléus qui, comme nous l'avons dit, occupe la loge embryonnaire du jeune individu conserve cetle position pendant un assez long temps de la croissance. Plus tard il semble se diviser en fragments irréguliers qui se dispersent dans les loges voismes. Les individus de cette forme provenant des Célèbes ont tous atteint de plus grandes dimensions que ceux de Tonga et de Fidji. Dans trois individus {sur 114) le protaplasma a complètement quitlé la région centrale du disque et est massé dans les grandes loges de la périphérie sous la forme de jeunes individus mégalosphériques ressemblant exacte- ment en forme et en dimensions à ceux de la forme micro- sphérique dont nous avons déjà parlé. Il est donc bien établi que chez les Orbtolites et dans cerlaines circonstances, les deux formes mégalosphérique et microsphérique produisent des jeunes de forme mégalosphérique. L'examen de spécimens de Rotalia Beccaru Linné, Trun- catulina lobatula Walker et Jacob, Calcarina hispida Brady et Cycloclypeus a démontré que l’on retrouve pour les deux formes de chacune de ces espèces les mêmes caractères nucléolaires reconnus dans Po/ystomella. SOMMAIRE ET CONCLUSIONS. D’après ce qui vient d’êlre exposé sur le développement vilal des Foraminifères, on est en droit de formuler les pro- posilions suivantes : | 1. Dans un grand nombre de cas les espèces sont dimor- phes. Le dimorphisme a été constaté dans trente-trois genres, compris dans quatre des dix familles de la classifi- cation de Brady. 2. Les deux formes diffèrent entre elles : (a) par les dimensions de la loge centrale. Dans beaucoup 278 J. LISTER. de cas cetle différence est très marquée; quelquefois elle est faible (Truncatulina) ; (b) par la taille et le mode d’arrangement des loges qui succèdent à la mégalosphère et à la microsphère; (c) par les caractères de leur nucléi. J'ai montré plus haut que dans quelques espèces la forme microsphérique a beaucoup de petits nucléi, tandis que la forme mégalosphé- rique à un grand nucléus unique. 3. La forme mégalosphérique d’une espèce est beaucoup plus abondante que la forme microsphérique. 4. On à constaté dans cerlains cas (au moins dans sept genres) que de jeunes individus de forme mégalosphérique, déjà munis de leur coquille, ont pris naissance dans les loges terminales ou périphériques de leur parent. Alors que dans certains cas ce parent (Orbitolites) était lui-même de forme microsphérique, dans d’autres cas (Peneroplis, Orbitolites), il était mégalosphérique. 5. Les Foraminifères, dans certaines conditions, donnent paissance à des essaims de cellules actives. Ce fait avait été reconnu antérieurement pour les genres Gromia et Cymbalopora. Dans la forme mégalosphérique d'un Polystomella le protaplasma a été trouvé divisé en essaim de cellules de laille unilorme (isospores), et des corps semblables munis d’un flagellum ont été vus s'échappant. La production d'anisospores a été constatée pour Aihola (Schneider) et aussi pour Polystomella, ainsi qu'on l'a vu précédemment. La question suivante devait se poser : Les deux formes des Foraminifères ont-elles une origine distincte ou l’une est-elle une modification de l’autre? Les raisons qui vont suivre semblent devoir faire rejeter la seconde hypothèse. Parmi les Miliolidées le mode d’arrangement des loges est souvent très différent dans les deux formes. L'hypothèse d’une modification exigerait donc une reconstruction de toules les loges internes. S'il en était ainsi, on devrait BIOLOGIE DES FORAMINIFÈRES, 279 retrouver plusieurs étais successifs du remplacement de la mégalosphère par de petites loges. À ma connaissance, ce fait n'a pas été observé. Tandis qu'on ne trouve pas la forme mégalosphérique en voie de transformation microsphérique, on la rencontre soit avec son protoplasma divisé en essaim de cellules (Polystomella), soit avec de jeunes individus mé- galosphériques dans les loges périphériques (Orbilalites) tandis que le protoplasma a complèlement abandonné les loges centrales. La forme microsphérique se rencontre dans de jeunes individus (1). Les caractères nucléaires des deux formes sont nettement distincts dans les espèces que j'ai examinées. Il me paraît donc que l’on peut conclure avec cerlitude que les formes microsphérique et mégalosphérique sont distinctes dès leur origine. Quels sont donc leurs rapports ? Lorsqu'on rencontre dans le règne animal ou végétal deux formes dans la même espèce, cette différence provient soit de la différence des sexes, soit d'un cycle de génération récurrente. En ce qui concerne les Foraminifères, il est impossible d'admettre que les deux formes dépendent du sexe, puisqu’on a vu que pour l’Orbiolites complanata les deux formes mé- galosphérique et microsphérique produisent des jeunes « à disque primitif», dans leurs grandes loges périphériques. On ne peut donc regarder l’une des formes comme mâle (2). Reste la seconde hypothèse, que les deux formes sont des (4) Il est regrettable que l’auteur n'ait pas indiqué dans quel genre. D'ailleurs il reste, malgré ces intéressantes recherches, une question à élucider. Pourquoi dans les milliers de sections faites par M. Munier- Chalmas pour les Nummulites et la grande quantité de sections que j'ai faites dans toutes les espèces de Miliolidées, n’avons-nous jamais trouvé de tout petits individus de forme B (microsphérique)? Le (Note du traducteur.) ww. (2) Il y a un autre argument à faire valoir : c'est l'absence complète, chez les Foraminifères, de toute différenciation d’organes. (Note du traducteur.) "5 à Pia « ait 280 J. LISTER. conséquences d'une génération récurrente. Mais alors il est nécessaire d'admettre que la forme mégalosphérique peut se répéter pendant une ou plusieurs générations avant que la forme microsphérique se produise : en effet, on a vu par l'exemple de l’Orbitolites complanata que les deux formes microsphérique et mégalosphérique peuvent con- tenir des jeunes de forme mégalosphérique dans leurs grandes loges terminales. Pourtant l'examen de Polystomella n’a fourni aucune preuve de pareille répétition. L'hypothèse que le développement vital des Foraminifères comprend plus d’un mode de génération est en harmonie avec le fait que les transformations nucléaires observées dans les deux formes de Polystomella ressemblent beaucoup à celles que Brandt a récemment décrites pour le genre Thallasicola parmi les Radiolaires. On sait que dans ce groupe les individus d’une même espèce se parlagent en deux parts : ceux qui produisent des isospores el ceux qui = donnent naissance à des anisospores. On considère ce fait comme une génération sexuelle alternant avec une généra- tion asexuelle. La division simullanée des nucléi par karyokinèse, immé- diatement avant la formation des éléments reproducteurs qui a été observée dans la forme mégalosphérique de Polystomella, est un phénomène très fréquent. On a montré qu'une semblable division a lieu dans plusieurs genres de Mycetoza immédiatement avant la formation des spores, etil paraîil probable que ce phénomène est similaire de la divi- sion du micronucléus qui précède la conjugaison dans Îles Infusoria et de la division des nucléi qui se montre lors de la maturité des éléments reproducteurs dans les formes supérieures des animaux et des plantes. TABLE DES ANNALES DES SCIENCES NATURELLES Septième série (1885-1894) TABLE DES MATIÈRES PARTIE ZOOLOGIQUE A ABEILLE (Mémoire sur le venin et l'ai- guillon de l’), par le Dr G. Carlet.1X, art. n° 1, pl. 1. (Voy. Apis mellifica.) AGANTHOLITHUS HYSTRIX (%e Haan.). XVILE art. n° 2, p. 182, pl. XI, fig. 8, 14; pl. XI, fig. 9, 20. ACCENTOR STROPHIATUS (Hodgs.). XI, art. n° 9, p. 303. ACCIPITER NISUS (L.). XII, art. n° 9, p. 297 (Estomac). IV. art. n° 6, p. 285. ‘ACELIS CRENULATA (Dies). XV, art. n°17, prit. ACIDE GARBONIQUE (Recherches de phy- siologie et d'hygiène sur l’)}, par | M. N. Gréhant. 11, art. n° 8, p. 332. ACMOSTOMUM GRENULATUM. XV, art.n°7, p. 217. ACREDULA CONCGINNA (Gould). XIT, art. n° 9, p. 308. — BonvazorTiI (Oust). XIL, art. pA309; ph IX eut non 9: ACTIVITÉ DU CŒUR (Etude sur l’) chez les Araignées, par Wold. Wagner. XV, art. n° 8, p. 311, pl. VII. ADAPTATION (Caractères d’) chez les Ga- lathéidés. XVI, art. n° 4, p. 193. ÆGINA PHASMA (Bœck), Voyez Pseudo- protella phasma. XV, art. n° 6. ÆGITHALUS Spec. ? XII, art. n° 9, p. 309. ÆGLÉINÉS (sous-famille des Galathéi- dés). XVI, art. n° 4, p. 239. ÆTHPYGA DABRYI (J. V.). XII, art. no 9, p- 298. AFFINITÉS Zoologiques des Gastéro- podes du genre Porcelaine (Cyprea) et observations complémentaires sur le système nerveux de ces animaux, par Æ. L. Bouvier. XIL, art. n° 1, p. 15. — zoologiques de l’Halteria punciala, par 4; Periin: XX, 'art;n° 2;:p2993, pl. Il à V. — (Recherches sur les) des Lithodes et des Lomis avec les Paguridés, par M: Es Er Wouvier: XNNI artnet 2, D. 151, pli XR a XLR 282 AFRIQUE (Observations sur les Crabes des eaux douces de l’), par M. À. Milne Edwards. IV, art. n° 2, p. 121, pl. VII à IX. AGAssiZ. (Voyez Lettres.) AIGUILLON de l'abeille (Mémoire sur le venin et l’), par le D' G. Carlet. IX, art. n° 1, pl. I. ALBATROS (Dragages exécutés à bord du steamer l’). XII, art. n° 10, p. 319. ALCEDO BENGALENSIS (G. M.). XII, art. n° 9, p. 298. ALGELAPHUS BUBALIS (Estomac de l’). XVI, art. n° 1, p. 74, pl. VI, fig. 44. ALCIPPE (Proparus) B1ETI (Oust). XIE, art. n° 9, p. 304, pl. IX, fig. ?. ALLORCHESTES NILSONI, (Sp. Bate.)(Voy. Hyale Nilsoni (Rathke). XV, art. n° 6, p. ft. ALLUAUD. Nouvelle Deckenia recueillie par Mr Alluaud aux Seychelles. XV, art. n° 9, p. 325, pl. VIII. ALOMYA OvarTor (Appareil glandulaire). XIX, art: m0 1, p-at69, pl. NV, is; pl. VIII, fig. 10. — (Organes génitaux &). XX, art. n° 3, p. 172, pl. X, fig. 4 et G. AMBLYOMMA QUANTINI, Sp. n0v. (J. Mar- tin). XVIII, art. n° 5, p. 267, pl. XIV. AMBLYPIGUS DILATATUS (Agassiz) de l’'Aragon. VIIF, art. n° 1, p. 41. AMBLYTELES CASTIGATOR, À. OUISSORIUS (Appareil glandulaire). XIX, art. 1, p. 170, pl. VI, fig. 6 et 7; pl. VII, fig. 1. — PALLATORIUS. XX, art. n° 3, p. 173, pl. X, fig. 5. AMBOLISATRA (Madagascar) (Hippopo- tames fossiles des marais d’). XVI, art. n° 3, p. 151. AMÉRIQUE centrale (Dragages sur la côte Ouest). XII, art. n° 10, p. 319. — du Nord. (Recherches fauniques sur les Planariés et les Némertiens de), par le D' Charles Girard. XV, art. non 1148 AMMOPHILA HEYDENII, À. SABULOSA (Ap- pareil glandulaire). XIX, art. n° 1, p.129 et 248; pl. IV, fig. 3, 4 et 9; pl. V, Gäg. 6, 10, 16; pl. VIIT; fig. 3, pl. X, fig. 7. — (Organe génital &). XX,-art, n° 3, p. 168, pl. X, fig. 3 et 10. \ i ZOOLOGIE. AMPELISCA LOEVIGATA (Lilljeborg). — — BELLIANA, (Sp. Bate.) Saint-Vaast-la- Hougue. XV, art. n° 6, p. 120. — SPINIPES (Bæck), Saint-Vaast-la- Hougue. XV, art. n° 6, p. 119. AMPHICTEIS CURVIPALEA (Clpd.). XVII, art. n° 1, p. 163, pl. VII, fig. 204-206. AMPHIGLENA MEDITERRANEA (Leydig). XVII, art. n° 1, p. 307, pl. XI, fig. 315, 8322. AMPHILOCHUS SABRINOE (Slebbing). Voy. Gitana Sarsi (Bæck). XV, art. n° 6, p. 122. AMPHINEURES (Rein des). VII, art. n° 2, p- 333. AMPHIRO JOHNSONI (Lang.). V, art.no0 2, p. 206. AMPHIPODES de Saint-Vaast-la-Hougue, par Ed. Chevreux et Bouvier. XV, art. n° 6, p. 109, pl. IT AMPHIPORUS AGILIS. XV, art. n° 7, p. 276 (Verr.). — ALBICANS (Ehr.). XV, art n° 7, p. 282. — BIOCULATUS (Mc. Intosh). XV, art. no 7, p. 285. — CRUENTATUS (Verr.). XV, art. n° 7, p. 283. , — GROENLANDIGUS (Grd.). XV, art. n° 7, p. 251. — HASTATUS (Mc. Intosh.). XV, art. n°3, p. 284. — LACTIFLOREUS (Mc. Intosh.). XV, art. nos p.283. — NEEsir (OErst.). XV, art. n° 7, p. 286. — ROSEUS (Verr.). XV, art. n° 7,p. 282. — SANGUINEUS (Grd.). XV, art. n° 7, p. 287. ; — STIMPSONI. (Verr.) XV, art. n° 7, p. 277. — VIRESCENS ({Verr.). p. 282. AMPHITHOE JURINEI (H. M. Edw.). — — NORVEGICA (Rathke) (Voy. Apherusa). XV, art. n° G. — MariONis (4. M. Edw.) (Voy. Dexa- mine spinosa (Montagu). XV, -art. n° 6. XV, artnor, — RUBRICATA (Montaqu). = — PObO- CEROÏDES (Rathke). — — LITTORINA (Sp. Bate). Saint-Vaast-la-Hougue.XV, art. n° 6, p. 136. AMPHITRITE EDWanrpst (Q/g.). XVII, TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. 283 art. n°1, p. 186, pl. VII, fig. 207-208; pl. VIII, fig. 209-293. — GRACILIS (Gr.). XVII, art. n° 1, p. 198, pl: VIIL, fig. 224. AMPULLARIA BRIDOUXI (Bourguignal). X} art. 0-1, p: pl; fig. 22. — CARINATA (Swainson) (Système ner- veux). Ill, artnet pe pla, fo. 19. — OVATA (Olivier). X, art. n° 1, p. ‘4, pl Nikon — ZONATA (Spix), pl. V, fig. 20. — POLITA (Système nerveux) (L.), pl. V, fig21.et 22. IL, arénm ph: ANAPAGURUS BICORNIGER, DOV. SP. (4. Milne Edwards et Bouvier). XILL, art. na. p.215. — BREVICARPUS, nov. sp. (4. Mine Edwards et Bouvier). XIII, art. n° 3, p. 215. — GURVIDACTYLUS (Ed. Chevreux et E. L. Bouvier). XIII, art. n° 3, p. 214. — LÆVIS (W. Thomson). XIII, art. n°3, p. 214. ANAS BOSCHAS (L.) (Estomac). IV, art. n° 6, p. 268, pl. XII, fig. 3; pl. XVI, fig. 28-30. — (Sympathique). VIF, art. n° 1, p. 57, DU he 2 ar8 pie Il HS IV: — AIT, art. n° 9, p. 311. — FULIGULA (Sacs aériens). XI, art. Ho Dies. — THEODORI, sp. nov. (E. Newton et IH. Gadow. XVIII, art. n° 3, p. 232. ANDRENA (Appareil génital &). XX, art. n° 3, p. 134, pl. IX, fig. 6. — cineraria, À. humilis, A. marginata, A. pilipes, A. pratensis, A. tibialis (Appareil glandulaire). XIX, art. n° 1, p. 62, 221, pl. U, fig. 9-10, 13; pl. VII, Dos LS DIX fre. 5,418 nl: XI, fig. 7° ANESTHÉSIE des infusoires ciliés. V, act n°.1,.p2 118. | ANHINGA (Estomac de l’};. IV, art. n° 6, p. 255, pl. XV, fig. 23-24. ANNÉLIDES (Études sur le développe- ment des) et en particulier d’un oli- gochète limicole marin (Enchytreoïdes Marioni), nov. sp., par M. Louis Roule. VIE, art. n° 5, p. 107, pl. VIII à XXII. — (Polychètes des côtes de Dinard), par M. le baron de S{-Joseph, 1re par- tie. 1, art. n° 4, p. 121; 2e partie. V, art. n° ?, p. 141; 80 partie. XVII, art. n° 1; 4e partie. XX, art. n° 4, p. 185. Tables générales, p. 247-272. ANOCELIS cÆCA (Séimps). XV, art. n° 7, P. 118. — FULIGINOSA (Stimps). XV, art. n° 7 PiN179; — STAGNALIS (S{imps). p. 178. ANONYX EDWARDSI (Sp. Bate.)(Voy. Or- chomene Balei) (G. O. Sars.). XV, art. HONG: ANORTHA GRACILIS (Leidy). XV, art. no Tep: 221: À ANOTOCELIS CAUDATA (Dies). ne: 7, per 219: — PHILADELPHICA (Dies). XV, art. n° 1, p.219. — VARIABILIS (Dies. XV, art. n° 7, p- 220. ANSER CINEREUS (Meyer) (Sympathique). VIL, art. n° 1, p. 38 et 59, fig. 3 dans le texte. — GRISEUS (Meyer) (Estomac). IV, art. HG ND 210: ANTENNES des Euniciens. Il, art. n° 6, pe 20: pl.XV? for 19; àv28: ANTILOPE GERVICAPRA (Estomac de |). XVMEvartsnot ps 61, plriVs fe:"51. — CORRINA. XVI, art. n° 1, p. 66, pl. Il, fo: 10: pl. Ni, f9.27;:pl. IVe. 35: — NILGAUT (Estomac de l'). XVI, art. noN D. 16, pli ie Nés nlxIlL, fig. 20-22; pl. VI, fig. 46. — KoB pu SÉNÉGAL (Estomac de l'\. XVartant. pr SD NT: Ho: pl. VI, fig. 48. ANTRACOTHERIUM MAGNUM (Cuvier) (Ob- servations relatives à la tubérosité qu'on observe sur certains maxil- laires d’), par M. Filhol. XII, art. n° 3 bis, p. 38. ANTRACOTHERIUM MINIMUM (Cuvier) (Ob- servations concernant la structure de l’), par M. H. f'ilhol. XII, note n° 4 bis, p. 64. AORA GRACILIS, (Sp. Bate.) $t-Vaast-la- Hougue. XV, art. n° 6, p. 134. APHANAPTERIX BROCKEI (Schlegel). XVITS arts) éme 295: _ XN) arts n°!7, XV, art. 284 ZOOLOGIE. APHERUSA JURINEL (H. Milne Edwards), St-Vaast-la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 126. APHRODITE ACULEATA ( p. 146. APHRODITIENS des cote de Dinard. V, art. n° 2, p. 141. APIS MELLIFICA, O'et © (Appareil glan- dulaire). XIX, art. n° 1, p. 56, pl. LI, fig. 6. — MELLIFICA (Appareil génital) XX, art. n° 3, p. 121, pl. VII, fig. 1-7. (Voy. Abeille.) APOMATUS SIMILIS (Mar. et Bobr.). XVI, art. n° 1, p. 369, pl. XIII, fig. 415- 419. APORRHAÏS. (Voy. Chenopus.) APPAREIL aquifère des Gordiens. 11, art. n° 4, p. 192. — aquifère des Ophiures. IF, art. n° ?, p: 110. — circulatoire de l’Hypéroodon rostra- tus (Lilljeborg). XIIT, art. n° 5, p. 288, pl. VI, fig. 4; pl. VII, fig. 10. — circulatoire des Ophiures (Recher- ches sur l’), par le Dr R. Kæhler. II, art. n° 2, pl. VII à IX. — circulatoire du genre Prosopistoma. IX, art. n° 2, p. 63. — circulatoire, ses rapports avec le sys- tème nerveux chez les Crustacés déca- podes. VII, art. n° 2, p. 88, pl. VII, fig. 13. — GOPULATEUR des Araignées, VI, art. n° 3, p. 306. — digestif des Araignées (Mue de }’). VI, art. n° 3, p. 323. — digestif des Botrylloïdes (Développe- ment de l’). XIV, art. n° 1, p. 91. — digestif des Cladocères. XVIII, art. n° 6, p. 319. — digestif des Gordiens. If, art. p. 199. — digestif de l'Homalogyra. XIX, art. n° 2, p. 369, pl. XIL, fig. 4, 5, G. — digestif de l’'Hypéroodon rostratus (Lilljeborg). XIII, art. n° 5, p. 2173, pl. VIL fig. 1, 2, 8; pl. VIIL, fig. 7-9. — digestif des Ophiures ROC de l}. art. n° ?, p.108. — digestif du genre Prosopistoma. IX, ant. n° ?, p.466 pl It g-06. L.). V, art. n° 2, n° 4, — génital des Botryllides. TOM par — génital mâle du Cavia Cobaya {Dé- tails anatomiques sur l’), par M. E. de Pousargues. XV, art. n° 11, p. 343, pl. IX. — génital des Cladocères. XVIIT, art. n° 6, p. 321. — génital de l'Homalogyra. XIX, art. n° ?,p. 312, pl. XII, fig. 7. — génital mâle äes Hyménoptères, par M. L. Bordas. XX, art. n° 3, p. 103, pl. VI à X. — génital de l’'Hypéroodon rostratus (Lilljeborg). XUT, art. n° 5, p. 300, PLV Mo NGC PNTIE "he oo XIV, art. . — génital (Observation sur un cas de moustruosité de l’}, chez l'Hélix po- matia, par M. E. Bietrix. I, art. n° ?, p- 95. — glandulaire des Hÿménoptères. Glan- des salivaires, tube digestif, tube de Malpighi et glandes venimeuses, par L. Bordas. XIX, art. n° 1, p.1, pl. I à XI. — masticateur des Rongeurs (Contri- bution à l'étude de l’). Notice myolo- gique sur l’Arctomys marmotlta, par M. J. Kunstler. IV, art. n° 3, p. 150. pl. X. — gastrique des Oiseaux (Recherches anatomiques, histologiques et em- bryologiques sur l’}, par M. Maurice Cazin. IV, art. n° G, p. 177. — respiratoire de l’'Hypéroodon ros- tratus (Lilljeborg). XI, art. n° 5, p. 286. — urinaire de l'Hypéroodon rostratus (Lilljeborg). XII, art. n° 5, p. 295, pl. VII, fig. 11, 12. — vasculaire colonial des Botryllidés. XIV, art. n°0 1, p. 233. APPENDICES des Arachnides (Recher- ches sur les organes des sens et les systèmes tégumentaire, glandulaire et musculaire des), par M. Paul Gau- DEN art. 0009 pr 810 DIEM Comparaison avec ceux des Arthro- podes p. 100; — des Galathéidés. XVI, art. n° 4, p. 212. ArTEerix de Mantell (Sacs aériens). XI, art MOI Ep, “82. F TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. Apus (Organes de natation). VI, art. n° 1, p. 126, pl. VE fie 2808: AQUIFÈRE (Système) des Ophiures. I, art. 2:p:. 1104 AÂRABELLA. Voy. Maclovia. ARACHNIDES (Cerveau). XIV, art. n° 3, p. 449. (Activité du cœur chez les.) XV, art. n° 8, p.311, pl. VII. — (Recherches sur les organes des sens et sur les systèmes tégumen- taire, glandulaire et musculaire des), par M. Paul Gaubert. XUI, art. n° 2, p. 31. ARAGON (Espagne) (Échinides recueillis dans la province d’), par MM. Maurice Gourdon et G. Cotteau. VII, art. n° 1, pl. I-IV. ARAIGNÉES. Etude sur l’activité du cœur chez les Araignées, par Wold. Wagner. XV, art. n° 8, p.311, pl. VII. — (La mue des), par M. Wold. Wagner. VI, art. n° 3, p. 282, pl. XV. à XVIIL. ARA MILITARIS (Sacs aériens). XI, art. n° i,p. 80, pl. II, fig. 3. ARANEOPS BREVICORNIS (Costa) (Voy. Ampelisca lœvigata) (Lilljeborg). XV, art: n°96: ARCTOMYS MARMOTTA (Myologie de ll’), appareil masticateur. IV, art. n° 3, p. 150, pl. X. ARDEA CINEREA (L.) (Estomac). IV, art. n° 6, p. 286. ARDEA LEUCOPTERA, var. Bacchus (Bp.). XII, art. n° 9, p. 311. : ARENICOLA GRUBII (Clap.). Epithéliums sensitifs. XIII, art. n° 4, p.245, pl. VI, fig. 10-12. | — MARINA (L.). XVII, art. n° 1, p. 121, pl. VI, fig. 158-159. ARICIA CGUVIERI (Aud. et Ed:w.). XVII, art. n° 1, p. 91. — FOŒTIDA (Clpd.). XVII, art. n° 1, p. 92, pl. IV, fig. 105-108. — LATREILLII {Aud. et Edw.). XVII, art. n° 1,p. 85, pl. V, fig. 109-118. ARISTIAS TUMIDUS (Bonnier) (Voy. Peri- erella Crassipes(Chevreux et Bouvier). XV, art. n° 6. ARMANDIA DOLLFUSI, nov. sp. Bon de St-Joseph. XVII, art. n° 1; p. 11#, pl. VI, fig. 148-151. ARTHROPODES (Recherches anatomiques 285 et physiologiques sur l'œil composé des). XIII, art: no 8, p. 349, pl. X et XI. — (Remarques sur la locomotion des). XII, art. n° 2, p. 161. AscaRis (Contribution à l'étude de la couche sous-cuticulaire des), par M. Léon James. XII, art. n° 6, p- 321. ‘ASPIDOSIPHON HETEROPSAMMIARUM, n. Sp. (£. L. Bouvier). Géphyrien com- mensal d'un polype madréporaire. XX, Part. n°0" p:. 29, pli; fig :"1- 14. — MICHELINI, sp. nov. (E. L. Bouvier). Géphyrien commensal d'un polype. XX artrnt p.127 plis fie "1673; — SGUTATUM (Müll.). Corpuscules sen- sitifs et glandulaires. XII, art. n° 1, Pere ASTACUS FLUVIATILIS (Rond). Système artériel. XI, art. n° 5, p. 202 et sq., pl. VII, fig. 1-6; pl. IX, fig. 11. ASTASIA OCELLATA (Recherches biolo- giques sur l’)}, par W. Khawkine. I, art. n° 6, bp: 319. ASTATA AFFINIS, À. ABDOMINALIS, À. 800pPS (Appareil glandulaire).XIX, art. no, p:1527249/ pl 'V;, ü8t 153 pl V, fig. 4, 11; pl. X, fig. 8. ASTEMMA COLLARIS (Grd.). XV, art. n° 7, p. 219. — RESPLENDENS (Grd.). XV, art. n° 7, p.249 — RUFIFRONS (OŒErsé.), XV, art. n° 7, p. 279. ASTERIES. Appareil circulatoire. Il, art. HP ZADALTE ASTUR ALPHONSI, Sp. nov. (E. Newton H. Gadow), Ile Maurice. XVHI, art. n° 3, p- 222. ATELECYCLUS CRUENTATUS (Desm.). Sys- fémerartériel. XP fart nt 5,4p.237, pl. X, fig. 18. ATYLUS BISPINOSUS, (Sp. Bate.)(Voy. Ha- lirages). XV, art. n° 6, p. 126. — GIBBOSUS. Sp. Bate (Voy. Trilæla Gibbosa), Sp. Bate. XV, art. n° 6. AUCHENIA LAMA (Estomac du). XVI, art. n° 1, p. 108, pl. VI, fig. 50-51. AUDOUINIA TENTAGULATA (Mont.). XVII, art. n° 1, p. 48, pl. IL, fig. 55 à 57. | AUTOLYTUS EDWARSI, n. sp. (baron de 286 St-Joseph). 1, art. n° 4, p. 235, pl. XI, fig. 110. — EHBIENSIS,0. sp. (baron de Sé-Josephi. F, art. n° 4, p. 228, pl. XI, fig. 106-107 et pl. XIL, fig. 114-115. — INERMIS, n. sp. (baron de S{-Joseph). Jrart.n° 4,p:231:pl. XIL sl — LONGEFERIENS, n. sp. (baron de St- Joseph). À, art..n°,4,, p.217, pl.°X, fig. 95-97. — LUGENS, n. sp. (baron de Sf-Joseph). I, art. n° 4, p. 234, pl. XII, fig. 116. — PROGEROEA MACROPHTHALMA (Marenz). L'artin0#0p./226. — MEGODON, n. sp. (baron de Sé-Jo- Seph).4, tant. 004, 0p 2240; pl XT, fig. 111-113. — ORNATUS (Proceræa) (Mar. et Bob.). I, art. n° 4, p. 226; X, fig. 98-99. — PARADOXUS, n. sp. (baron de St- Joseph). I, art. n° 4, p. 216, pl. X, fig. 92-94. — prcrus (EAL.) (Proceræa). 1, art. n° 4, p. 222, pl. XI, fig. 100-105; XX, art. n° 4, p. 194. — PROLIFER (0. F. Müller) — polybos- trichus mülleri (Keferst). 1, art. n° 4, p. 238, pl. XII, fig. 118. — PUNCTATUS, n. Sp. (baron de St-Jo- ep) Al Art n0%% 0p:2222; /pLlext ” fig. 108-109. — (Reproduction des). J, art. n° 4, p. 246. Stolon femelle d'— indéter- ininé. XX, art. n° 4, p. 194, pl. XI, fig. 12-14. AUTONOE GRANDIMANA (Bruzelius) (Voy. Microdeuteropus gryllotalpa) (Costa). XV, art. n° 6. — LONGIPES (Lilljeborg). Saïint-Vaast- la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 134. AUTRUCHE (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 82, pl. IV, fig. 4. Ax1s. (Voy. Cervus Axis.) AXIUS STIRYNCHUS (Leach.). Système nerveux. VII, art. n° 2, p. 87, pl. VIT, fig. 5. B BABAx LANCEOLATUS Var. Bonvaloti (Oust.). XII, art. n° 9, p. 304. BACHITHERIUM MÉDIUM (H. Fülhol). ZO0LOGIE. Edenté fossile du Quercy. XVL, art. n° 2; 1p, 449; BAIZEA GIRAUDI (Bourguignat). X, art. n°1, p.460, 4pl-UIV; ie ie 40: BALANOGLOSSUS AURANTIAGUS (Grd.). XV, art. n° 7,p. 298. — AURANTIACUS ({Verr.). XV, art. no 7, p. 296. — GLAVIGERUS. XV, art. n° 7, p. 296. — KOWALEWSKYI (4. Ag.). XV, art. n° 7, p. 296. — MINUTUS. XV, art. n° 7, p. 296. BALANTIDIUM ELONGATUM (Slein). V, art. n° 1, p. 29, pl. II, fig. 37-40; pl. IV, fig. 41-42. BARGE (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 61. BASEODISCUS DELINEATUS. XV, art. n° 7, p. 264. BATHYPOREIA PELAGICA. (Sp. Bale). St- Vaast-la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 119. BDELLOURA GANDIDA (Grd.). XV, art. no (p-2221: — LIMULI (Grd.). XV, art. n° 7, p. 221. — LONGICEPS (Leidy). XV, art. n° 7, p. 221. — PARASITICA (Leidy). XV, art. m° 3, p. 152-297. | — RUSTICA(Leidy).XV,art.n07,p.152-231. BERNARD L'HERMITE (Système artériel du). XI, art. n°5, p. 229, pl. IX, fig. 13; . pl. X, fig. 25; pl. XI, fig. 26. BIBLIOGRAPHIE. Catalogue ostéologique du Muséum d’hist. nat. des Pays-Bas, par M. F. À. Jentink. Leyde, 18817. IV, art. n° 5, p. 174. — Travaux publiés sur les Cladocères. X VIII, art. n° 6, p. 233. — des Ixodes. XVIII, art. n° 5, p. 216. — des travaux publiés sur les Lithodes et les Lomis. XVII, art. n° 2, p. 209. — destravaux publiés sur les Tuniciers. 1880-1892. XIV, art. n° 1, p. 383. — sur le rein des Mollusques. VIIT, art. n° 2, p. 312. — (Voy. Index). BIOLOGIE (note sur la) des Foramini- fères par le professeur J. J. Lister. XX, p. 278. B'oLOGIiQuESs (Recherches) sur l’Astasia ocellata (n. sp.) et l'Euglena Viridis (Ehr.), par W. Khawkine, à Odessa, 2e partie. I, art. n° 6, p. 319. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. 287 BISON D'AMÉRIQUE (Estomac du). XVI, | art. n° 1, p. 18, pl. I, fig. 4-5; pl. VI, fig. 47. BISPIRA CONVOLUTAGORNIS (Moné.).X VIT, art. n° 1, p. 286, pl. XI, fig. 289-295. BITHYNIA MULTISULCATA (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 52, pl. IL, fig. 7-8. BLASTOGÉNÈSE (Histoire de la) chez les Botryllidés, par M. 4. Pizon. XIV, art. nul spa le: — (Loi générale de la), id. p. 225. BLasrtozoïipes chez les Botrylloïdes. XIV, art. n° 1, p. 41. BLESBOGK (Estomac du). XVI, art. n° 1, p. 73, pl. Il, fig. 13, 14; pl. V, fig. 43. BœŒur des Stiengs ou du Cambodge (Estomac du). XVI, art. n° f, p. 79, pl. IL, fig. 23. — COMMUN (Estomac du). XVI, n° 1, pl. VI, fig. 49, p. 80. BomBus agrorum, B. campestris, B. hortorum, B. lapidarius, B. musco- rum, B. pratorum, B. subterraneus, B. sylvarum, B. terrestris (Appareil glandulaire). XIX, art. n° 1, p. 20, 190, 201, 209, pl. I, fig. 2, fig. 4-16; pl. II, fig. 1-3; pl. VI, fig. 9, 13, 11; 18; pl. VIL, fig. 15; pl.X, fig. 1, 2,9, 19. — appareil génital, S XX, art. n° 3, p-405,plLVE fig. b,,2, 3: BORLASIA ANGLIÆ. XV, art. n° 7, p. 272. — CAMILEA. XV, art. n° 7, p. 272. — CGARMELINA. XV, art. n° 7, p. 272. — GROENLANDICA (Grd.). XV, art. n° 7, p. 287. — KürTzi (Grd.). XV, art. n° 7, p. 273. — RUFIFRONS (Johnston). XV, art. n° 7, p. 219. — SANGUINEA (Dies). XV, art. p. 281. Bos AMERICANUS (Esitomac du). XVE, art. n° 1, p. 78, pl. I, fig. 4, 5; pl, VI, fig. 47. BOTRYLLIDÉS (Histoire de la blastogé- nèse chez les), par M. 4. Pizon. XIV, ten, pif BOTRYLLOÏDES PROSTRATUM (Formation des colonies). XIV, art. n° 1, p. 169, pl. LL, fig. 39; pl. VII, fig. 78; pl. IX. — RUBRUM (Bourgeonnement). XIV, arf. n° f, p49 pv, V. BOTRYLLUS SCHLOSSERI (Formation des art. = no. 1; colonies). XIV, art. n° 1, p. 169, pl. VII, VIT. — SMARAGDUS (Bourgeonnement). XIV, art. 0° 1} 9 pl II — VIOLACEUS (Bourgeonnement). XIV, art. n°1,p.9,pl.1,11; pl. II, fig. 41 4. (Larves), pl. V, VI. BoucHE (Voy. Pièces buccales). BouLONNaAIs (Note sur les Crustacés des terrains jurassiques supérieurs du), par M. H. E. Sauvage. XII. art. n° 6, p. 83, pl. ILL et IV. BOURGEONNEMENT chez les Botrylles. XIVyart:.nû1; ps9: — (Voy. Polypide). BOURGUIGNATIA BRIDOUXI (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 66, pl. XII, fig. 1-4. — IMPERIALIS (Giraud). X, art. n° 1, p. 169, pl. XII, fig. 8-10. — JOUBERTI (Bourguignat). X, art. n° 1. p. 168; pl. XII, fig. 5-7. BRaDYA EDbwarDst (Richard). XII, art. n° 8, p. 241, fig. 1-10 in tex. (Glande du test), p. 140, pl. V. fig. 15-18. BRANCHIE DES BOTRYI.LIDÉS (Dévelop- pement). XIV, art. n° 1, p. 90. BRANCHIE et fausse branchie des Proso- branches. III, art. n° 1, p. 406. — des (Gastéropodes prosobranches (Structure de la), IX, art. n° 3, p.264, pl. X, fig. 42-48. — (Structure de la). Haliotis tuberculata. t.1X, art. n° 3, pl. X, fig. 42. Cassidaria lyrrhena, 1d. pl. X, fig. 43. Dolium Galea, Id. pl. X, fig. 44. Littorina littorea, I. pl. X, fig. 45. Trochus magnus, Id. pl. X, fig. 46- 48. BRANCHIES DES EUNICIENS (Histologie des). II, art. n° 6, p. 292. — DES GALATHÉIDÉS. XVI, art. n° 4, p-. 219. BRANCHIES (Sur les) des Paguriens, par E. L. Bouvier. XI, art. n° 8, p. 402. BRANCHIOMMA VESICULOSUM (Mont.). XVIL, art. n° 1, p. 300, pl. XI, fig. 303, 314. BRIDOUXIA GOSTATA (Bourguignat).X, art, n° 1, p. 56, pl. IV, fig. 11-13. — GiRAUDI (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 54, pl. IV, fig. 5-7. 288 — REYMONDI (Giraud). X, art. n° 1 p. 57, pl. IV, fig. 14, 16. — VILLESERRIANA(Bourguignat). X, art. n° 1, p. 55, pl. IV, fig. 8-10. BRYOZOAIRES (Mémoire sur la métamor- phose de quelques), par le D' J. Bar- nois ML art. 00/4 pr: —. (Conception de l’organisme), suivant Barrois. I, art. n° 1, p. 82; suivant Caldwell, p. 83. BUBALIS ALBIFRONS (Estomac du), XVI, art. n°1, p. 73, pl. I, fig. 13, 14, pl. V, fig. 43. BuccaLEs (Pièces) des Arachnides. XIII, art.1n0,?, p.107; BuCGINUM UNDATUM (L.) (Organe de Spen- gel). IX, art. n° 3, p. 202, pl. VIII, fig. 28. (Glande à mucus). IX, art. n°3, pl. XI, fig. 55. — — (Rein). VII, art. n°2, p. 250-258, pl. XI, fig. 59, 61, 64. — — (Système nerveux). Ill, art. n° 1, p. 256, pl. XI, fig. 55; pl. XII, fig. 57 et 58; pl. XIII, fig. 59-60-61; pl. XIV, fig. 62-63-64. BUCHANGA ATRA, Var. fuscipennis (A. Milne Edw. et E. Oust). IL, art. n° 5, p. 225. — LonGicAuDATA (Hay). XII, art. n° 9, p. 299. BUGULA FLABELLATA. I, art. n° 1 (Larve), p. ? (Métamorphose), p. 13, pl. I, fig. 6 à 16. BULLA HYDATIS (Organe de Spengel). IX, art. n° 3, pl. XII, fig. 60, Gt. BusarD (Sympathique). VII, art. n° 1, p. 48, 64, fig. 9, dans le texte. — des marais (Sacs aériens), XI, art. no D: 19, Buse (Sympathique de la), VIT, art. n° 1, p. 48, fig. 9. BUTEO VULGARIS (L.) (Estomac). IV, art. n° 6, p. 294, pl. XVI, fig. 34-36. — — (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p.79. — — (Sympathique de). VIF, art. u° 1, p. 48, fig. 9. BUTORIDES MAURITIANUS (sp. nov.). (E. Newton et H. Gadow). XVIU, art. n° 3, p 229; BYTHINIATENTACULATA (L.). III, art. n°1, p. 115, pl. IV, fig. 18. rl ZLOOLOGIE. C CACATUA MOLUCENSIS (Sacs aériens). XI, AT U-MOMENDE SI : CAILLE (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 70. GALOENAS NICOBARICA (Estomac). IV, art. n° 6, p. 252. | CALANUS TALISMANI (nov. sp.). À. Milne Edwards et Bouvier. XII, art. n° à Den225) CALIFORNIE (Dragage dans le golfe). XII, art. n° 10, p. 319. CALLIOPIUS BIDENTATUS (Norman) Voy. Pleusles bicuspis (Kroyer). — NORVEGIGUS (Bæck). Voy. Apherusa Jurinei (IT. Milne-Edw.). XV, art. n° G. GALLIOSTOMA (Voy. Trochus Zizyphinus). CAMBIERIA JOUBERTI (Bourguignat). X, art. n° {, p. 89, pl. VI, fig. 15-16. — MAUNOIRIANA (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 87, pl. VI, fig. 11-12. — OVOIDEA (Bourguignat). X, art. n° 1, p- 88, pl. VI, fig. 13-14. — RUFOFILOSA (Bourguignat). X, art. n°, 1, p. 86, pl. VI, fig. 8, 10. CAMÉLIENS (Estomac des), XVI, art. n° 1, p. 102. CANARD DOMESTIQUE (Estomac du), IV, art. n: 6, p. 268,-pl. XII, fig. "3:"pl. XVI, fig. 28, 30. — (Sympathique du). VII, art. n° 1, p-51, pliT fig 2/08 DENON — MILOUIN, XI, art. n° 1, p. 35. CANAUX périhæmaux des Ophiures. Il, art. n° ?, p. 116. CANCELLARIA CANGELLATA {L.) (Système nerveux), HI, art. n° I, p. 297, pl. XVI, fig. 11, 72, 18; pl. XVII, fig. 16 et 71. CANCELLUS PARFAIT: (A. Milne-Edwards et Bouvier). XIII, art. n° 3, p. 225. CANTHOCAMPTUS HIBERNICUS (Brady). XII, art. n° 8, p. 246. — HORRIDUS (Fischer). XII, art. n° 8, p. 245. — MINUTUS (Claus). XII, art. n° 8, p. 245. — STAPHYLINUS (Jurine). XII, art. n°8, p. 244 (Glande du test), p. 145, pl. V, fig. 10; pl. VI, fig. 1, 3, 7, 24 (Système nerveux), pl. VI, fig. 6. CAPRELLA ACANTHIFERA (Leach). , TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. — ACUMINIFERA (Desmarest). — ACUTIFRONS (Latreille). — TABIDA (Lucas). — LINEARIS (L.). — LOBATA (Sp. Bale). St-Vaast-la- Hougue. XV, art. n° 6, p. 143. — TUBERCULATA (Sp. Bate et Westwood) (non Guérin). St-Vaast-la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 144. CAPULUS HUNGARICUS (L.) (Système ner- veux). INT, art. n° 1, p. 229, fig. 85; pl. VIII, fig. 38. CARAGTÈRES sexuels des Galathéidés, XVI, art. n° 4, p. 220. CaRAPACE des Galathéidés, XVI, art. n° 4, p. 203. CARBONIQUE (Voy. Acide). CARGINUS NÆNAS (Baster) (Système ar- tériel). XI, art. n°.5, p. 203 et sq., pl. VE, fg:7,9:; nl 1X,.56. 10: — — (Recherches physiologiques sur le système nerveux accélérateur et modérateur du cœur chez le), par MM. F. Jolyet et H. Viallanes. XIV, art..n9,2, D. 381: CARIACUS NEMORIVAGUS (Estomac du), AN art n° 12p.169, pl V.. fix, 36. — ViRGINIANUS (Estomac du), XVI, art. HO DIN MES 2e CARINELLA GRATA. XV, art. n° 7, p. 245. CaroOBrA (Voy. Phyllodoce). CARPODAGUS RUBICILLOÏDES XIE, art. n° 9, p. 311. Casoar EMEU (Sympathique du). VII, art. n° 1, p. 49, 64, pl. V. CAsSIDARIA TYRRHENA (Organe de Spen- gel). IX, art. n° 3, p. 140, pl. VL, fig. 1, 11; pl. VII, fig. 26 (Structure de la branchie), p. 264, pl. X, fig. 43 (Glande à mucus), pl. XI, fig. 53-58 (Tissu con- jonctif), pl. XIV, fig. 12-14. — (Rein). VIE, art. n° 2, p. 211, pl. X, fig. 53-55; pl. XILT, fig. 78-86. Cassis SABURON (Rein). VIIL art. n° 2, p- 210 (Organe de Spengel). IX, art. n° 3, p. 200. CATALOGUE (Ostéologique du muséum d'hist. nat. des Pays-Bas), par M. F. A. Jentink. Leyde, 1887 (Bibliogra- phie). IV, art. n° 5, p. 174. CATAPAGUROÏDES, nov. gen. (A. Milne- Edw. et Bouvier). XIII, art. n° 8, p.211. ANN. SC. NAT. ZOOL. (Przew.), 289 — ACUTIFRONS, n.8p. (4. Milne-Edwards et Bouvier). XIII, art. n° 3, p. 213. — MEGALOPS, n. Sp. (4. Milne-Edwards et Bouvier. XIIT, art. n° 3, p. 213. — MICROPS, n. sp. (4. Milne-Edwards et Bouvier). XIII, art. n° 3, p. 211. CATHESTHIA STELLATO-MACULATA (Lei- dy). XV, art. n° 7, p. 152-161. CATOPTENUS ITALICUS (Cerveau du). IV, art. n°, CavIA COBAIA (Appareil génital mâle du), par M. £. de Pousargues. XV, art. n° 11, p. 343, pl. IX. CAVITÉ générale des Ophiures. II, art. n° 2, p. 116. , CEÉGROPS LATREILLII (V. Ben.). V, art. n°3, D..540, pl XIV, ©. fig.:1 à 13; Q, fig. 14-22; œufs et embryons, fig. 23-25. CELLULARINES (Développement des). I, deb DOI D 1: CENTRES NERVEUX (Études histologi- ques sur les) et les organes des sens des animaux articulés, par M.H. Vial- lanes. 11, art. n° 1, pl. I à VI, 4° mé- moire (Guépe). IV, art. n° 1, p. 1, pl. I à VI, fig. 1 à 46, 5° mémoire (Crigquet). XIV, art. n° 3, p. 405, pl. X-XI, 6° mémoire (Limule). — — Voy. Cerveau. CENTROSTOMUS LICHENOÏDES. XV, art. HO A DAC CÉPHALOPODES (Rein des). VIII, art. n° 2, p. 291. CEPHALOTHRIX LINEARIS. XV, art. n° 7, p. 247. CERAPUS ABDITUS (Sp. Bate) (Voy. Erich- thonius difformis) (H. M. Edw.). XV, art né; CERATOPTILUS LOEVIS (E. L. Bouvier), n. gen. (Système nerveux). IIL, art. n° 1, p. 146, pl. VIII, äg. 33. (Radula), pl. IX, fig. 38. CERCERIS ARENARIA, C. LABIATA, C. vA- RIABILIS (Appareil glandulaire), XIX, artyn°4i>p-4128,pl "IV, 66.1: pl. V, He 9 115 pe NUL fie! 14° phAx, fig. 3. CEREBRATULUS ANGULATUS (OErst.). XV, art. n° 7, p. 263. — BILINEATUS (kenier.). XV, art. n° 7, p. 259. xx, 19 290 — CYLINDRICUS (Pack.). XV, art. n° 7, p. 268. — IMPRESSUS (S/imps.). XV; art. n° 7, p- 260. — MARGINATUS (Renter.). XV, art. n° 7, p.200: — MEDULLATUS (Hubr.). XV, art, n° 7, p. 262. — OLEAGINUS. XV, n° 7, p. 261. — OLIVACEUS (Pack.). XV, art. n° 7, p. 260. — Ruger. XV, art. n° 7, p. 288. — SPRAGUEI. XV, art. n° 7, p. 262. — TRUNCATUS. XV, art. n° 7, p. 261. CERF DES BOIS (Estomac du). XVI, art. n° 1,p. 69. — DE Vinçinir (Estomac). Id., p. 70. — DE FRANCE (Estomac). Id., p.72, pl. V, fig. 41. CERITHIDEA OBTUSA fig. 29. — VARICOSA (Sowerby) (Système ner- veux). II, art. n° 1, p. 143. CERITHIUM VULGATUM (Desh.), pl. VI, a o6E pl NI tee 27TS API NT fig. 34. — MEDITERRANEUM (Desh.). — ERYTHRONENSE (Lmk.) (Système ner- veux). IT, art. n° 1, p. 132, pl. VIT, fig. 31. — VULGATUM (Desh.) (Organe de Spen- gel). IX, art. n° 8, p. 196, pl, VII, fig. 22-22 a. — — (Rein). VILL, art. n° 2, p. 198, pl. IX, fig. 49. CErNiORIS TEMMINCKII (Gray et Bardw.). XII, art. n° 9, p. 316. CERTHIA HIMALAYANA (Vig.). XII, art. n° 9, p. 298. CERVEAU (Comparaison du) des Crus- tacés et des Insectes. IV, art. n° 1, 2c part., p. 98. — du Criquet, par M. H. Viallanes. IV, art. n° 1, pl. I à VI, fig. 1 à 46. — DES EuniciEns (Histologie du). Il, art. 0026, p; 250, pl. XIL VXTIT et XIV. — de la Guêpe, par M. H. Viallanes. II, art. 00 PAP Ta NI: — de la Mysis flexuosa (Müll), par R. Kœhler. II, art. n° 3, p. 159, pl. X et XI. | (Petit), pl. VII, ZOOLOGIE. CERVULUS MUNTJAC (Estomac du). XVI, art. n° 1, p. 64, pl. IV, fig. 34. — REEVESI (Estomac du). XVI, n° 1, p. 65, pl. IV, fig. 33. CERVUS Axis (Estomac du). XVI, art. n° 1,p. 71,pl. L0g3:pLV NES — CAPREOLUS (Estomac du). XVI, art. n°1, %p. 61, pl. NV, 65 96 — ELAPHUS (Estomac du). XVI, art. n°1, p.12, pl. V, fig #1: — TARANDUS (Estomac du). XVI, art. n° 1, (p.168, ‘pl. Il, is A2 0e fig. 16; pl. IV, fig. 32. CHÆTOPVTERUS VARIOPEDATUS (Ren.) XVII, art. n° 1, p. 147, pl. VIL, fig. 189- 199. CHALUT (Grand). Étude générale sur la pêche dans le golfe de Gascogne, par M. Georges Roché. XV, art. n° 1, p. 1. art. CHAULELASMUS STREPERUS (L.). XI, art. n° 9, p. 318. CHELIFER (Organe lIyriforme). XIII, art. n° 2, p. 84. CHÉLONIENS (Essai sur la classification générale des), par M. L. Vaillant. XVI, art. n° 6, p. 331. (Voy. Tortues.) CHENOPUS PES CARBONIS (Système ner- veux) (Bruguière). II, art. n° 1, p.170. — — (Organe de Spengel). IX, art. n° à, p. 193. Tissu conjonctif, pl. X1V, OMIS — PES PELICANI (L.) (Rein). VIIL, art. n9 2 p.195: CHEIROCRATUS ASSIMILIS (Lilljeborg) — CHEIROGRATUS MANTIS (Norman). St- Vaast-la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 132. — SUNDEVALLI (Rathke). St-Vaast-la- Hougue. XV, art. n° 6, p. 131. CHÈVRE NAINE (Estomac de la). XVI, art. n°,1, p.68, pl dl Ho", 0EME hs.6: pl. ML E278; CHEVREUIL (Estomac du). XVI, art. n° 1, p.67, pl. V, fig. 36. CHIMARRHORNIS LEUCOCEPHALA (Vig.). XIT, art: n°:9,"p. #01: CHINE (Faune ornithologique). XII, art. n°0 9, pari. — (Contributions à la faune ornitholo- gique de la — et du Tibet). XV, art. n° 4 bis, p. 108. CHITINOGÈNE (Couche — des Arachni- des). XIIT, art. n° 2, p. 38. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. CHROMATOPHORES de l’Euglena Viridis. | I, art. n° 6, p. 325. Carysis auripes, C. emarginata, C. ful- gida, C. ignita (Appareil glaudulaire). XIX, art. n° 1, p. 81, 219, pl. Il, fig. 18; pl: HF, -6g..2; pl, VIL'fes4 CHYASTONEURIE et torsion des Proso- branches. III, art. n° 1, p. 436. CicoNIA ALBA (L.) (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 48, 63, pl. IL, fig. 1. — — (Sympathique). VII, art. n° 1, p. 39. — AMERICANA (Sacs aériens). XI, n° 1, p. 49-63. CipARIS GOURDONI (Cotteau). VIII, art. n° 1, p. 51, pl. IV, fig. 31-35. CiGOGNE (Sympathique de la). VIL art. ne 1,p. 3% | CiLTÉs (Organes) des Euniciens. Il, art. n° 6, p. 218, pl. XV, fig. 26. — (Anatomie des infusoires). V, art. n° 1, p. 40, pl. V, fig. 65 à 72. CILISSA MELANURA (Appareil glandu- laire). XIX, art. n° 1, p. 18, pl. I, fig. 14-16 ; pl. VII, fig. 2; pl. X, fig. i1. CINCLOSOMA MAXIMUM (J. Verr.). XII, art. n° 9, p. 304. Cinczus PALLASI (Temm.), var. Souliei (Oust.). XII, art. n° 9, p. 299. Cinnyris HUMBLOTI (A. Milne Edw. et E. Oust.). IL, art. n° 5, p. 220. CIRCEIS ARMORICANA, n. sp. (baron de St-Joseph) Ann. de Dinard. XVII, art. n° 1, p. 350, pl. XIIT, fig. 387. CIRCULATOIRE (Voy. Appareil). CiRCUS GINERACEUS (Sacs aériens). XI, He 1} D? 49: CIRCUS HUTSONICUS (Busard). VIT, art. n° {, p. 64, 48, fig. 9 dans le texte. Circus MaïLLaARDI, var. Macrosceles (4. Newt.): IL art. n° 5, p. 216. CIRRATULUS FILIFORMIS (Kef.). XVII, art. n° 1, p. 47. V CIRRHES DES EUNICIENS. Il, art. n° 6, p. 276. CIRRHIPÈDES PÉDONCULÉS (Description d'un nouveau crustacé de l’ordre des), de la famille des Lépadiens, du genre Anatife. X[, art. n° 3, p. 179. CIRRHIPEDES PEDUNCULATUS LACINIATUS,. nov. Sp. (Hesse). XI, art. n° 3, p. 180, pl. V, fig. 1-17. 291 CIRRHIPÉDIENS. Recherches sur les mé- tamorphoses que subissent les Crus- tacés pendant la période embryon- naire. XI, art. n° 4, p. 187, pl. VI et VII. CLADOGÈRES (Révision des), par M. J. Richard. XNIIL, art. n° 6, p. 219. CLASSIFICATION générale des Chélo- niens (Essai sur la), par M. L. Vail- lant. XNI, art. n° 6, p. 381. — des Cladocères. XVIII, art. n° 6, p. 330. — des Galathéidés. XVI, art. n° 4, p. 235. — des Prosobranches. III, art. n° 1, p. 445; VIIL, art. n° 2, p. 275. CLEOPATRA GUILLEMETI (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 46, pl. IV, fig. 4. — JOUBERTI (Bourquignat). X, art. n° 1, p. 48, pl. IV, fig. 8. CLYMENE LUMBRICOIDES (Q/fg.). XVII, art. n6 1, p. 134, pl. IV, fig. 160- 165. — OERsTEeDIT (C/pd.). XVII, art. n° 1, p. 137, pl. VI, fig. 166. CoBAYE (Voy. Cavia Cobaya). CocHon D'INDE (Voy. Cavia Cobaya). Cœur des Botrylloïdes (Développe- ment). XIV, art. n° 1, p. 150. — de l’'Hyperoodon Rostratrus (Lillje- borg). XII, art. n° 5, p. 288, pl. VIII, fig. 10. — (Étude sur l’activité du) chez les Araignées, par M. Wo!d Wagner. XV, actraë pe #61 pl. VIE COLOMASTIX PusiLLa (Grube). St-Vaast- la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 141. COLONIES DE BOTRYLLOÏDES (Forma- tion des). XIV, art. n° 1, p. 169. COLORATION DES GALATHÉIDÉS. XVI, art. n° #4, p. 228. COLPOTROCHIA ELEGANTULA (Appareil glandulaire). XIX, art. n° 1, p. 173, J6L/ PI VE, Bo 5,8; pl. VILLE, fig: 9; pl. XI, fig. 4. CoLPOTROCHIA (Organes génitaux, ©). XX, artz n°3; ps 115. CoLumMBaA LIvIA (L.) (Estomac). IV, art. n° 6, p. 249. _ — — (Sympathique). VII, art. n° 1, p. 46, fig. 7, 8,et 10 dans le texte, pl. VI, fig. 4. 292 COMMENSALISME des Aphroditiens. V, art. n° 2, p. 143. — chez certains polypes madréporai- res, par M. E. L. Bouvier. XX, art. n° 1; p. 1, 3 fig. et 1 pl. ComorE {Observations sur q.q. espèces d'oiseaux récemment découvertes dans l'ile de la Grande), par M. 4. Milne Edwards et E. Oustalet. II, art. n° 5, p. 213. CONCHOLEPAS PERUVIANUS (Lmk.) (Sys- tème nerveux). III, art. n° 1, p. 285, pl. XV, fig. 65 à 70. — — (Rein). VIII, art. n° 2, p. 26». Organe de Spengel. IX, art. n° 3, p. 202. ConpiTIoNs du développement de la sardine. XVI, art. n° 5, p. 328. ConGo (Sur une nouvelle espèce d’ixo- didæ du Congo). Ambyomma Quan- tini, par J. Martin. XVIII, art. n° 5, p. 267, pl. XIV. ConJoncTir (Tissu des Mollusques). IX, art. n° 3, p., 266, pl. XIV, fig. 72, 79. CoNNExIONS (Loi des) chez les Proso- branches. IIT, art. n° 1, p. 343. ConocLyYPEus CoNoïDEuUs (Leske). VIII, art. n°1} p149: — PYRENAICUS (Cotteau). VII, art. n° 1, p. 50. CONSIDÉRATIONS générales sur la famille des Galathéidés, par M. À. Mine Edwards et E. L. Bouvier. XVI, art. n° 4, p. 191. CONTRIBUTIONS à la faune de la Chine et du Thibet. Descriptions d’espèces et de Races nouvelles d'oiseaux don- nées récemment au Muséum d’his- toire naturelle par le prince Henri d'Orléans, par M. E. Oustalet. XII, art. 1 eAE PA LL © CONUS MEDITERRANEUS (Organe de Spen- gel). IX, art. n° 3, p. 205, pl. VIII, CARTE — — (Rein). VIIL, art. n° 2, p. 249. — VIRGO (L.) (Système nerveux). III, art. n° 1, p. 8327. pl. XVIII, fig. 86- 90; pl. XIX, fig. 96-97. — FIGULINUS. Id., p. 341. — TEXTILIS (L.), pl. XIX, fig. 91. CoP£rones libres d’eau douce (Recher- ches sur le système glandulaire et sur ZOOLOGIE. le système nerveux des), suivies d’une révision des espèces de ce groupe qui vivent en France, par Jules Ri- chard. XIT, art. n° 8, p. 113, pl. 5-8. COPULATEUR (Voy. Appareil). Coo (Sympathique). VIT, art. n° 1, p. 39, pl. VI, fig. 3. CORACOPSIS SIBILANS (4. M. Edw. et E. Oust.). IL, art. n° 5, p. 214. CORASTER MARGARITÆ de l’Aragon (Cot- teau). VIII, art. n° 1, p. 9, pl. I, fig. 3 à 8. CORBEAU freux (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 14, pl. IV, fig. 8. CORLIEU (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 61, pl. I, fig. 3-4. CoroPHIUM BONELLII (H. Milne Edw.). St-Vaast-la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 141. COROPHIUM VOLUTATOR (Pallas) = — GROSSIPES (L.) =— LONGICORNE (La- treille). St-Vaast-la-Hougue. XV, art. n° 6, p.140. CORPUSGULES sanguins des Araignées pendant la mue (Des modifications dans les). VI, art. n° 3, p. 338. — sensitifs et les glandes cutanées des Géphyriens inermes, par Et. Jourdan. XIT, art. nopiÆ CORYSTES DENTATUS (Lutr.) (Système artériel). XI, art. n° 5, p. 236, pl. X, fig. 19; — dentatus (Latr.) (Système nerveux). VII, art. n° 2, p. 96, pl. VIL fig. 12. COSMOCEPHALA BERINGIANA, XV, art. n° 7, p. 249. — OCHRACEA. Id., p. 219. — STIMPSONI. Id., p. 250. COTURNI DACTYLISONANS (Mayer). XI, art. n° 1, p. 70. CoucHE sous-culiculaire des Néma- todes et particulièrement du genre Ascaris (Contributions à l'étude de la). XIII, art. n° 6, p. 321: CoULBOISIA GIRAUDI (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 247, pl. XVII, fig. 16-117. —- SMITUIANA (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 248, pl. XVII, fig. 18-19. CoxaLes (Raquettes des Arachnides). XII, art. n° 2, p. 96, pl. III. CRABE (Recherches physiologiques sur le système nerveux accélérateur el TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. modérateur du cœur chez le), par M. F. Jolyet et H. Viallanes. XIV, art. n0,2,,D::381. —- enragé (Système artériel du). XI, art. no 5, p. 203 et sq. pl. VII, fig. 1-9; pl. IX, fig. 10. CRABES des eaux douces de l'Afrique (Ob- servations sur les\, par M. 4. Milne Edwards.IV,art.nc?,p.121,pl.VITà IX. CRrABRO cephalotes, C. fossorius, C. la- pidarius, C. vagus (Appareil glandu- laire), XIX, art. n° 1, p. 164; pl. VI, fig. 1,4; pl. VII, fig. 7,8; pl. X, fig. 9. CRANGON VULGaRIS (Fabr.) (Système artériel). XI, art. n° 5, p. 222, pl. IX, fig. 17. — — (Système nerveux). VII, art. non?;,up: 82°plk VIe: CRATIPPUS TENUIPES (Sp. Bate) (Voy. Colomastix-pusilla (Grube). XV, art. n° 6. CRAX ALBERTI (Fras.) (Sacs aériens). XI artanfl./p67 CREPIDULA FORNICATA (L.) (Système ner- veux). II, art. n° 1, p. 234, pl. VIT, fig. 36. CRESSA DUBIA (Sp. Bate). — ScHJÔDTEI (Bæck). St-Vaast-la-Hou- ouneJXW, ark.n96--p191 CRESSERELLE (Sacs aériens). XI, art. np 2100 88/:plAlls Gevd-2 CREVETTES grise et rose (Système arté- rieD XL Tant n05p,,227,0pli TK, fig. 17. CRIQUET (Le cerveau du), par M. H. Vrallaness IN;:art. n°1, pl TMäawWE fig. 1 à 47. CrocISA (Appareil glandulaire), XIX, Eh 4 PATES EU UNE CROSSOPTILON TIBETANUM (//odgs.). XIT, art.sn9:9°p315. CRUSTACÉS (Cerveau des). XIV, art. n°3, p. 443. — (Comparaison du cerveau des) avec celui des Insectes. IV, art. n° 1, part. 2, p.98. — décapodes (Recherches anatomiques sur le système artériel des), par M. E. L. Bouvier. XI, art n° 5, p. 197. — (Étudesurle développement des), par M. Louis Roule. XNIIL, art. n° 1,p. 1, pl. I-X. 293 — décapodes (Système nerveux des) et ses rapports avec l'appareil circula- toire, par E. L. Bouvier. VII, art. 0 2,5p+ 18. pIsaNIE — décapodes (Sur q.q. cas de mons- truosités observés chez les), par M. J. Richard. XV, art. n° 4, p. 99. — rares ou nouveaux des côtes de France et particulièrement de la Bre- tagne, par M. Hesse, 27e article. V, art. 3, p. 339. — 38e article. XI, art. n° 3, p. 179. — 39e article. XI, art. n° 3 bis p. 187. — (Note sur les) fossiles des terrains jurassiques supérieurs du Boulonnais, par M. H.E. Sauvage. XII, art. n° 6, p. 83, pl. IILI et IV. CRYPTOLITHODES SITCHENSIS (Brandt.). XVII, art. n° 2, p. 188, pl. XE, fig. 11, 1 DIE 69.26. CRYPTUS FUMIPENNIS. C.MIGRATOR (APpPa- reil glandulaire, tube digestif). XIX, art.bn0. 1 1p.1174,.263,; pl. VE, -h6. 2; DEN fes 1e pli fes 28: CTENOSTOMES (Développement des bryo- zoaires: L-art-on0h, p21: CucuLus STRIATUS (Drap.). XII, art. n°9 9% p:1298: — CANORUS (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 76. CuTICULE des infusoires ciliés. V, art. n°1;p.180: — des Gordiens. Il, art. n° 4, p. 191. — des Euniciens. II, art. n° 6, p. 243, pl. XIL, fig. 1. — des Arachnides. XIII, art. n° 2, p. 35. CYGLASTER GOURDONI de l’Aragon (Cot- teau). VII, art. n° 1, p. 38, pl. IT, fig. 23-26. CycLe génétique des Bryozoaires. I, art n°, D:519: CYCLOPHORUS TiGRINUS (Sowerby) (Sys- tème nerveux). IIL, art. n° 1, p. 72, pl. IX, fig. 17. , Cyczopipes (Glande du test). XII, art. n° 8, p. 142. CycLops AFFINIS (Sars). XII, art. n° 8, p.231, ph VE, fige 22 — ANNULICORNIS (Sars). XII, art. n° 8. p- 224. — BICUSPIDATUS (Claus.). XII, art. n° 8 p.-2292plk VE, fg:-6. 294 — DIAPHANUS (Fischer). XIL[, art. n° 8, p- 236, pl. VI, fig. 26. — DumasrTi (Joly). XI, art. n° 8, p.240. — FIMBRIATUS (Fischer). XII, art. n° 8, p. 238, pl. VIL, fig. 13, 14. — FUsaus (Jurine). XII, art, n° 8, p: 223, pl. VI, fig. 16; pl. VIL, fig. 23; pl. VIII, fig. 20, 23, 24. — HYALINUS (Rehberg.). XII, art. n° 8, p- 232, pl. VL fig. 11. — INSIGNIS (Claus.). XII, art. n° 8, p. 233. — LanGuipus (Sars). XII art. n° 8, D: 232. — LEuKar1! (Sars). XII, p. 230, pl. VI, fig. 20. — MACRURUS (Sars.). XII, art. n° 8, p. 235. — ORNATUS (Poggenpol.). XII, art. n° 8, p. 236. — PENTAGONUS (Vosseler.). XII, art. n°8, p. 233, pl. VI, fig. 8. — PHALERATUS (Koch.). XII, art. n° 8, D: 298 DL Mie 217" — SERRULATUS (Fischer). XII, art. n° 8, p. 234, pl. VI, fig. 19. — STRENUUS (Fischer). XII, art. n° 8, p: 221, pl. NL 2.18 ; pl NIPS RE MNT: — TENUICORNIS (Claus.). XII, art. n° 8, D: 225: — VERNALIS (Fischer). XII, art. n° 8, p. 228. (Glande du test.), pl. V, fig. 2; pl VNEtio 26, M5, 017,025; VpI VIT, fig. 26. — VIRIDIS (Fischer). XII, art. n° 8, p- 226, pl. VI, fig. 4, 10, 13, 14, 21, 23; pl. Nils. 4n/418/021; CYGLOSTOMA ELEGANS (Drap.) (Organe de Spengel). IX, art. n° 3, p. 190. — — (Rein). VIII, art. n° 2, p. 203, pl. IX, fig. 47-48. (Système nerveux). III, art. n° 1, p. 113. — PROMIMULUM; C. GiBUM (Système nerveux) (Absence d’organe de Spen- gel). IX, art. n° 3, p. 209. CYGLOSTOMES (Développement des bryo- zoaires). I, art. n° 1, p. 38. CyYcLosurus MARIÆ!I (Morelet) (Système nerveux). All/-art/enmoMun081 CYGLOTUS STAMINEUS (Gray.) (Système nerveux). IIL, art. n° 1, p. 80. art. n° 8, — —— ZOOLOGIE. | CYPROEA ARABICA (L.). C. ERRONES (L.). IX, art. n° 3, p. 204. CYPROEA ARABICA (L.), C. TIGRIS (L.) (Rein): MIT, art, n°%2/0p.-255/20Ii fig. 7; pl. X, fig. 56-51. | CYPROEA ARABICA (L.). C. MONETA (L.). C. CAPUT SERPENTIS (L.). C. ERRONES (L.) (Système nerveux). III, art. n° 1, pt, pliXl 8 52% Pl MENSe: — CERVUS (L.). PANTHERINA (Solander). TESTUDINARIA (L.) (Système nerveux). 111, art. n° 1, p. 211. — ARABICA (L.) (Système nerveux). XII, art-m0%;p-46 plu Me 1'a6: — (Observations complémentaires sur le système nerveux et les affinités zoologiques des gastéropodes du genre porcelaine) (Cypræa), par M. E. L. Bouvier. XII, art. n° 2, p. 15. CYRTOPHIUM DARWINI (Sp. Bate) (Voy. Platophium Darwini). XV, art. n° 6. CYRTOSTOMUM LEUCAS (Ehr.). V, art. n° 1, p. 13, pl. Il, fig. 16-21. D DANAIA DUBIA (Sp. Bate) (Vovy. Cressa dubia) (Sp. Bate). XV, art. n° 6. DASYcHONE BomByx (Dalyell). XNII, art. n° 1, p. 309, pl. XI, fig. 323-326; pl. XII, fig. 327-336. DÉCAPODES OXYRHYNQUES (Du déguise- ment des). Analyse d’un mémoire de Carl W. S. Aurivillius. XIIT, art. n° 1, p. 343. — (Voy. Crustacés). DECKENIA IMITATRIX (Hilgendorf). IV, art. n° 2, p. 149. — (Sur une nouvelle espèce du genre) recueillie aux îles Seychelles, par M. Alluaud. XV, art: n° 9;°p."53925, pl. VIII. — (Sur une espèce du genre) (Hilgendorf) recueillie par M. Alluaud aux îles Seychelles, par M. Milne Edwards et E. L. Bouvier. XV, art. n° 9, p. 395, pl. VIII. DÉGUISEMENT des décapodes oxyrhyn- ques, analyse d’un mémoire de Carl W. S. Aurivillius. XIII, art. n° 1, p. 312. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. 295 DENDROCOELUM LACTEUM, XV, art. n° 7. p- 185. — PERCOCUM. Id., p. 186. — PULCHERRIMUM. Id., p. 166-187. — SUPERBUM. Id., p. 166-186. — TRUNCATUM. Id., p. 185. — VITTATUM. Id.,p. 185. DERCOTHOE PUNCTATUS (Sp. Bate) (Voy. Erichthonius difformis) (H. M. Edw.). XV, art. n° 6. : DERMATURUS HISPIDUS (Sfimpson). XVII, art. n° 2, p. 172-154, pl. XI, fig. 3, 16; pl. XI, fig. 2, 16, 31. DESCRIPTION de deux Crustacés para- sites appartenant à l'ordre des Sipho- nostomes, à la famille des Ptérocé- phales, à la tribu des Pandariens et au genre Cécrops et Lœmargue. Dé- crits et dessinés sur des individus vivants. V, art. 3, p. 339. DEROSTOMA ELONGATUM, XV, art. n° 7, p- 205. — LEUCOPS. Id., p. 220. — LITTORALIS. Id., p. 206. — MARGINATUM. Id., p. 206. — NOTOPS. Id., p. 206. DÉVELOPPEMENT (Études sur le) des Annélides et en particulier d’un Oii- gochète limicole marin (Enchytreoïides Marioni, nov, sp.), par M. Louis Roule. VII, art. n° 3, p. 107, pl. VIII à XXII. — des bourgeons chez les Botrylles. XIV, art. n° 1, p. 9. — des Galathéidés. XVI, p- 252. — (Sur quelques points de l’histoire du) embryonnaire de la Mante religieuse (Mantis religiosa), par M. H. Vialla- nes. XI, art. n° 6, p. 283, pl. XII, pl. XIIL, fig. 1 à 39. — de la Sardine. XVI, art. 5, p. 328. — (Étude sur le) des Crustacés, par M. Louis Roule. XVIII, art. n° 1, Pi. — Isopodes. Id., p. 20. — Porcellio scaber. Id., p. 26, pl. IX. — de la Seiche (Sepia officinalis) (Re- cherches sur les premières phases du), par M. L. Vialleton. VI, art. n° 2, p. 165, pl. VII-XIV. DEXAMINE SPINOSA (Montagu).St-Vaast- la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 195. art. n° 4, DIAPHANOSOMA ANGUSTUM. XVIII, art. n° 6, p.362. — BRACHYURUM (Liévin), Sars. XVIII, art. n° 6, p. 354; pl. XVI, fig. 3, 6, 14, 13, 19. — BRANDTIANUM (Fischer), Sars. XVIII, art. n°6, p. 359, pl. XVI, fig. 1, 7, 16, sh — EXCISUM (Sars). XVII, art. n° 6, p. 367, pl. XVI, fig. 9. — MODIGLIANI (Richard). XNIIT, art. n° 6, p. 363, pl. XV, fig. 13,14; pl. XVI, fig. 22. — SARSI (Richard). XVII, art. n° 6, p:368; PLAN, faste DIAPTOMUS AMBLYODON (Glande du test) (Marenzeller). XII, art. n° 8, p. 130, pl. VII, fig. 24. — BACCGILIFER (Kô/bel). XII, art. n° 8, p. 951. — CASTOR (Jurine). XII, art. n° 8, p. 248 (Glande du test), p. 121, pl. V, fig. 6, 8, 12, 14, 19 ; pl. VI, fig. 9 (Système nerveux), p. 178, pl. VIL fig. 3, 4,5, 11, 19, 22, 25; pl. VIT, fig. 1-19, 21-22, 25-21. — CoERULEUS (Fischer). XII, art. n° 8, p. 249. — DENTICORNIS (Wierzejski). XII, art. n° 8, p. 251. — GRACILIS (Sars). XII, art. n° 8, p. 250. — LACINIATUS (Lilljeborg). XII, art. n° 8, p. 250. — LiLzJEBOR&I (de Guerne et Richard). XII, art. n° 8, p. 248. DIDOSAURUS MAURITIANUS. XVIII, art. n° 4, p. 265. DIDUNCULUS STRIGIROSTRIS (Sacs aé- rens)aXT,, att:a%41,}p: 1. Dinus InEpTus. XVIII, art, n° 3, p. 240. DiGesTiF (Tube digestif des hyménop- tères). XIX, art. n° 1, p. 191. — (Tube des Euniciens. Histologie du). H}sart.tn°"6,-p: 290. — (Voy. Appareil). DIGESTION chez les infusoires ciliés. V, art. n° 1. — féculents. Id., p. 126. — corps gras. Id., p. 128. — albuminoïdes. Id., p. 129. DinarD (Les Annélides Polychètes des côtes de), par M. le baron de St-Joseph. 296 1re partie, I, art. n°4,p. 127; 2e partie, V, art. n° 2, p. 141; 3° partie, XVII, art. n° 1; 4e partie, XX, art. n° 4, p.185.Tables générales. Id., p.247-272. DiINOPHILUS BOREALIS. XV, art. n° 7, pe 228. DIiOGENES PUGILATOR (Roux). XIIL, art. n° 3, 1p. 224. DIPLOMMA SERPENTINA. XV, art. n° 7, p. 251: Drprycaus (4. M. Edw.): XVI, art. n° 4, p. 299. DiPTYCINÉS (Sous-famille des Galathéi- dés). XVI, art. n° 4, p. 239. Discopores (Développement des). I, artno D: 29 plie 20b pe UT, fig. 217; pl. IV, fig. 28-40. DISTRIBUTION géographique et bathy- métrique des Galathéidés. XVI, art. n° #, p. 314. — géographique et bathymétrique des Annélides. XX, art. n° 4, p. 229. DITREMASTER NUX de l’Aragon (Desor). VITE, art. n° 1, p. 32. Dopo (Sur les os du) et sur les os d’au- tres oiseaux éteints de Maurice, par Sir Ed. Newton et Hans. Gadow. XVIIX, art. n° 3, p. 215. DoLERusS (Appareil glandulaire). XIX, art. n° 1, p. 188. DoLIUMGALEA(L.). Branchie.IX, art. n°4, p. 286, pl. X, fig. 44 (Rein). VIII, art. n° ?, p. 211- 224, pl. XIII, fig. 87-89 (Organe de Spengel). IX, art. n° 3, p. 200. — (Système nerveux). IF, art. n° 1, p. 188. (Organe de Spengel). IX, art. n° 3, pl. VIIL, fig. 27. DrAGAGESs sur la côte ouest de l’Amé- rique centrale, aux Gallapagos, sur la côte ouest du Mexique et au golfe de Californie. XIT, art. n° 10, p. 319. DREPANOPHORUS LANKASTERI. XV, art. n° 7, p. 246. DRILONEREIS FILUM (Clpd.). V, art. n° ?, p. 227, pl. IX, fig. 90-91. DRILONEREIS MACROGEPHALA (Baron de St-Joseph) (n. sp.). V, art. n° 2, p. 225, pl. IX, fig. 86-89. DromMoœus NOVor-HOLLANDIOE (Gray) (Sympathique). VIT, art. n° 1, p. 49, 64, pl. V. = | ZOOLOGIE. DRYOPE GCRENATI PALMATA (Sp. Bate). = 1. — IRRORATA (Sp. Bate). = Q. (Voy. Un- ciola crenati palmata). XV, art. n° 6. DuGESsIA FOREMANI. XV, art. n° 7, p. 183. — GONocEPHALA. Id., p. 180. — GONOGEPHALOÏDES. Id., p. 183. — LuGuBris. Id., p. 180. — MAcuLarTA. Id., p. 181. — Mopesra.Id., p. 184. — SAGITTA. Id., p. 180. — Torva. Id., p. 180. DYCOTYLES TORQUATUS (Estomac du). XVI) art. n° p.116, pL VI Her DYTIQUE (Organes de la natation). VI art. n° 1, p. 122, pl. VL fig. 1-11. 2 E ECHIDNOGERUS CIBARIUS (While). XVII, art. n°2, p.184 pl. XL, fe, 13 poeme fig. 13, 24. — FORAMINATUS (Séimpson). XVIIT, art. n°2; p.187 ECHINIDES (Appareil circulatoire des). IT, art. n° 2, p.151, pl: NIIE, ee — recueillis dans la province d'Aragon (Espagne) par M. Maurice Gourdon, par M. G. Cotteau. VIIL, art. n° 1, pl.I à IV. EGHINOCONUS ROEMERI (d’Orb.) de l’Ara- gon. VIIT, art. n° 1, p. 13. ECHINOSORYS VULGARIS(Breyn) de l’Ara- gon. VIII, art. n° 1, p. 12. ECHINOLAMPAS ELLIPSOIDALIS (d'Ar- chiac) de l’Aragon. VII, art. n° 1, p.45. — HOovELACQUEI (Cotleau). VIIT, art. n° 1, p. 46, pl. IT, fig. 29, 30. ÉCREVISSE (Système artériel de l’). XI, art. n° 5, p. 202 sq., pl. VIIL fig. 1-6. ECTOPARASITES (Voy. Parasiles). EDENTÉS FOSSILES du Quercy. XVI, art. n° 2, p. 132. EDGARIA CALLOPLEUROS (Bow'quignal). X, art. n° 1, p. 194, pl. XIV, fig. 10-11. — LITTORALIS (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 196, pl. XIV, fig. 14-16. — MonceTI (Bourquignat\. X, art. n° 1, p. 195, pl. XIV, fig. 12-13. — PAUCICOSTATA (Bourguignal). X, art. n° 1, p. 193, pl. XIV, fig. 8-9. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. EFFRAYE (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 78. EnLeRrsiA (Voy. Syllis). ELASMONOTUS (4. M. Edw.). XVI, art. n° 4, p. 279. EMBRANCHEMENT des Trochozoaires (Considérations sur l’), par M. Louis Roule. XI, art. n° 2, p. 121. EMBRYOLOGIE de l'appareil gastrique des oiseaux (Poulet). IV, art. n° 6, p. 177-294; pl. XIE, fes i;spk AVE, fig. 29; pl. XVII, fig. 37 à 42. — (Voy. Développement). EMEA DuGesi, XV, art. n° 7, p. 241. — RuBra. Id., p. 152-241. — SILLIMANI. Id., p. 242. EMENADIA FLABELLATA (F.) (Mœurs et métamorphoses de l’), par le Dr 4. Chobaut (d'Avignon). XII, art. n° 7, | p. 97. Emeu (Sympathique de l’). VII, art. n° 1, p. 49, 64, pl. V. EMPHYTUS TIBIALIS (Appareil glandu- laire, tube digestif). XIX, art. n° 1, p.187, 266, pl. VIIT, fig. 1 ; pl. XI, fig. 5. EMPLECTONEMA CAMILEA, XV, art. n° 7, p. 272-278. = Narninis Id, p.278. Euys. Sur la signification taxinomique du genre Emys (C. Duméril), par M. L. Vaillant. XI, art. n° 4, p. 51. ENCHYTREOÏDES MARIONI (nov. sp.) (Dé- veloppement de), par M. Louis Roule. VIT, art. n° 3, p. 107, pl. VII à XXII. ENKYSTEMENT des infusoires ciliés. V, artn0t, p.84;:0pl: TL: fig::8 et: 10; pl. IN, fig. 36; pl. IV, fig. 50 à 57 et pl. V, fig. 58 à 64. EnoPLOGLYTIA EbWARDSI (n. sp.) (H. E. Sauvage). Crustacé jurassique du Bou- lonnais. XII, art. n° 6, p. 87, pl. INT, fig. 1-4. EnveLoppes larvaires. XIV, art. n° 1, p. ?1i. EPEOLUS VARIEGATUS (Appareil glandu- lice) tXIX part: mt, 1p: 86-227, pl: IT, Get; ple M, Ge-014;-pl. VIT fig 40; pl. X, fig. 3. ÉvERvIER (L.) (Estomac). IV, art. n° 6, p. 289. EpHnesiA GRaAciLis (Rathke). XVIT, art. n° 1, pl. I, fig. 51-54. 297 — PERIPATUS (Clpd. nec Johnst.). XVII, art. n° 1, p- 41° EPHIALTES sCOPS (Sacs aériens). XI, art. nor L, D: 18; ÉPIDERME des Euniciens. II, art. n° 6, p. 243, pl. XI, fig. 1. EPISCHURA NORDENSKIOLDI (Lil/j.) (Glan- de ‘duvtest);vXIT, art. n° 8; p. 138, pl. V, fig. 4. — NEVADENSIS, pl. VI, fig. 6; pl. VII, fig. 8, 10, 16. EPITHÉLIUMS sensitifs de quelques vers annelés (Étude sur les), par M. E. Jour- dan, XIII, art. n° 4, p. 227, pl. Vet VI. ERICHTHONIUS DIFFORMIS (H. Milne Edw.). St-Vaast-la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 138. ERIPHIA SPINIFRONS (Herb.) (Système artériel). X[, art. n° 5, p. 242, pl. XI, fig. 33. ERYMA BABEAUI (E{allon) (Crustacé ju- rassique du Eoulonnais). XII, art. n° 6, LUN CR 1 FE LÉ TnS ME — BEAUGRANDI (n. sp.) (H. E. Sauvage). (Crustacé jurassique du Boulonnais), XISarton06,.p94;pl IV, fiers. — COLONIENSIS (n. sp.) (4. E. Sauvage). (Crustacé jurassique du Boulonnais). Nirartn6p92/#%plr Elfe 6 — DuTERTRE! (n. sp.) (H. E. Sauvage). (Crustacé jurassique du Boulonnais). MIE -art:-n°6/p2 917 pli, de te12. — LEBLANCI (n. sp.) (H. E. Sauvage). (Crustacé jurassique du Boulonnais). XIE are n°)6.:p° 90,°pL IVe né: — PSEUDO BABEAUI (Dolf.) (Crustacé jurassique du Boulonnais). XII, art. n°6,.p.0#, pl IV: fier E5 ESCARGOT (Voy. Hélix}. ESCHARINES (Développement des). I, art. OMAN Essar sur la classification générale des Chéloniens, par M. L. Vaillant. XVI, art. n° 6, D. 331. ESTOMAc des ruminants (Recherches sur l'anatomie comparée de l’), par MT AU Cordier, XNL art n°1p#6 BI: AVE: — (Schéma de l'). Id., p.8: — {Vascularisation de l’).Id., p. 4, pl. IL, fig. 19. | — — (Myologie). Id., p. 17. 298 — — technique pour l'étude de l'). Id., p. 11: — — (Muqueuse de l’). Id., p. 80. — — (Anatomie comparée de l’). Id. p.84. — de Camelopardalis Girafa. XVI, art. nom pe. To: — de l'Hyperoodon rostratus (Lillje- borg). XII, art. n° 5, p. 278, pl. VII, lg. irel 2: — des oiseaux. IV, art. n° 6, p. 1717, 181, 197. ÉTEONE FOLIOSA (Quatrefages). NV, art. no ?,p. 306, pl. XII, fig. 180; pl. XII, fig. 181-182; XX, art. n° 4, p. 226; pl. XIIL fig. 42-44. — iNcisA (n.sp.) (baron de Sé-Joseph). V,art. n°2, p. 304, pl. XII, fig. 175-179. EuGLeNA Viripis (Recherches biologi- ques sur l’}, par W. Khawkine. T, art. n° 6, p. 319, pl. XVI, fig. 8 à 29. EULALIA CLAPAREDII (nov. spec.) (baron de St-Joseph). V, art. n° 2, p. 285, pl. XI, fig. 144-148. — FUGESCENS (n. sp.) (baron de St- Joseph). V, art. n° 2, p. 296, pl. XII, fig. 163-165. — (PTEROGIRRUS) LIMBATA (Clpd.). V, art. n° 2, p. 303. — (PTEROGIRRUS) MACROCEROS (Gr.). V, art. n° 2, p. 300, pl. XII, fig. 170-174. — ORNATA (n.sp.) (baron de Sé-Joseph). V, art. n° 2, p.291, pl. XII, fig. 158-161. — PALLIDA (Clpd.). V, art. n° 2, p. 294. — (EUMIDA) PARVA (n. sp.) (baron de St-Joseph). V, art. n° 2, p. 298, pl. XI, fig. 168. — PUNCTIFERA (Gr.). V, art. n° 2, p. 289, pl. XIT, fig. 155-157. — PUSILLA (0Erst). V, art. n°2, p. 287, pl. XI, fig. 149-150. — RUBIGINOSA (n. sp.) (baron de St- Joseph}. V, art. n° 2, p. 298. — SPLENDENS (n. sp.) (baron de St- Joseph). V, art. n° 2, p. 288, pl. XI, fig. 151-153. — TRILINEATA (n. sp.) (baron de St- Joseph). N, art: m° ?, p. 292, pl. KIT, fig. 162. — VENUSTA (n.sp.) (baron de Sé-Joseph). NV, art. 002. p: 297 pl XIl Ge. A1b6- 167. ZOOLOGIE, — Viriis (Müller). V, art. n° 2, p. 283, pl. XII, fig. 154. EUMENES POMIFORMIS. XX, art. n° 3 p. 164, pl. IX, fig. 4-6. | EUMENIA COARCTATA. E. POMIFORMIS (Ap- pareil glandulaire, tube digestif). XIX, arb. n°,1: p.04, 2832 DL MIT Fast pl. VIIL, fig. 5. EumipA (Voy. Eulalia). EUMUNIDA (S. E. Smith). XVI, art. n° 4, p: 299. EUNICE HaRassrr (Aud. et Edw.). V, art. n° 2, p. 197, pl. VIIL, fig. 59. — — (Histologie). II, art. n° 6, p. 239. — TorQuATA (Histologie). IL, art. n° 6, p. 239. EUPAGURUS BERNHARDUS (L.). XIII, art. n° 3, p. 219. — — (Fabr.) (Système artériel). XI, art. n° 5, p. 229, pl. IX, fig. 13: pl_X, fig. 25; pl. XI, fig. 26. — CARNEUS (R. J. Pocock). XIII, art. n° 3, p. 219. — CUANENSIS (W. Thompson). XIII, art. n° 3, p. 216. — EXGAVATUS (Herbst). XII, art. n° 3, p. 217. — IRREGULARIS (nov. sp.) (A. Milne Edwards et Bouvier). XIII, art. n° 3, p. 220. — PRriDEAUXI (Léach.). XIII, art. no 3, p. 218. — PUBESCENTULUS (n. sp.) (A. Milne Edwards et Bouvier). XIII, art. n° 8, p.219: — PULCHELLUS(n.sp.)(A. Milne Edwards et Bouvier). XIIT, art. n° 3, p. 221. — RUBER (n. sp.?) (4. Milne Edwards et Bouvier). XIIT, art. n° 3, p. 222. — SCULPTIMANUS (Lucas). XIII, art. n° 3, p. 216. — TRIANGULARIS (Ed. Chevreux et Bouvier). XIII, art. n° 3, p. 218. — VARIABILIS (n. sp.) (4. Milne Edwards et Bouvier). XIII, art. n° 3, p. 217. EUPHROSYNE FOLIOSA (Aud. et Edw.). V, art. n°2, p:190. —- INTERMEDIA (n. sp.) (baron de St- Joseph). V, art. n° 2, p. 191, pl. VII, fig. 56. EUPLANA GRACILIS. XV, art. n° 7, p. 198. EuPoLiA DELINEATA. XV, art. n° 7, p. 264. ? TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. EURHINOSPIZA HENRICI (n. sp.) (Oust.). XII, art. n° 9, p. 293, pl. XI. EURYSILLIS (POLYMASTUS) PARADOxA (Clpd.). I, art. n° 4, p. 191, pl. IX, fig. 68-74. EURYSTHEUS ERYTHROPHTHALMUS (Sp. Bate). Voy. Gammaropsis Maculala (Johnslon). XV, art. n° 6. EURYTEMORA AFFINIS (Poppe). XII, art. n° 8, p. 241. — LACINULATA (Fischer). XII, art. n° 8, p- 246 (Glande du test), p. 135, pl. V, fies 1:6pl-VL fie. 5% BV ix:049: EUSTOMA CAUDATUM. XV, art. n°7, p.219. — PHILADELPHICUM. Id., p. 219. — VARIABILE. Id., p. 220. EusyLLis BLOMSTRANDI (Magr.). n° 4, p. 171, pl. VIIL fig. 39. — INTERMEDIA (n. sp.) (baron de Sft- Joseph). I, art. n° 4, p. 172. — LAMELLIGERA (Mar. et Bob.). I, art. n° 4, p. 169. — MONILICORNIS (Mgr.). p. 169. ÉvoLuTION (L’.) des Gordiens, par À. Villot. XI, art. n° 7, p. 329, pl. XIV, XV, XVI. ExocœTE (Organe de natation). VI, art. n° 1, p. 60, pl. IV, fig. 1 à 23. ExUNGUIA STYLIPES (Norman). Voyez Colomastix pusilla (Grube). XV, art. n° 6. I, art. Kart. n° 4 F FABricIA SABELLA (Ehr.). XVIX, art. n°1, p. 319, pl. XIL, fig. 347. FALCO TINNUNCGULUS (Sacs aériens). XI, art. 0°1/p227/01:88; ph fg/1,:2: FASCIOLA ANGULATA. F. BRUNEA. XV, art. TT, pe TE — CANDIDA. Id., p. 259. — pruscA. Id., p. 180, 185. — STAGNALIS. Id., p. 118. — TERRESTRIS. Id., p. 1517. — TORVA. Id., p. 180, 185. FASCIOLARIA FILAMENTOSA (Lmk.) (Sys- tème nerveux). IIL, art. n° 1, p. 253. — TuLipa (Organe de Spengel). IX, art. n° 3, p. 202, pl. VII, fig. 29. FAUNE des Amphipodes de St-Vaast-la- 299 . Hougue, par Ed. Chevreux et E. L. Bouvier. XV, art. n° 6, p. 109, pl. I. — des eaux douces de l’Afrique (Crabes) (M. À. Milne-Edwards). IV, art. n° 2, B: 121, PL VIE à IX. — ichthyologique de la pêche au grand chalut. XV, art. n° 1, p. 41. — malacologique de la mer Rouge. XII, art. n° 11, p. 343. — ornithologique de la grande Comore. Il, art. no 5, p. 213 et 231. — ornithologique de la Chine et du Thibet (Contributions à la), par M. E. Oustalet. XV, art. n° 4 bis, p. 108. FAUNUS (PYRENA)ATER(L.) (Système ner- veux). III, art. n° 1, p. 128. FÉCONDATION chez les Botryllidés. XIV, art. n° 1, p. 326. — des œufs de la Sèiche. VI, art. n° 2, p. 181. FERMENTATION (Recherches sur la) et sur la respiration de la levûüre de grains, par MM. Gréhantet Quinquauñ. x, aëts n9,2;0p: 269. FEUILLETS germinatifs de la Seiche. VI, art. n° 2, p. 252, pl. XIIL et XIV. FIGULA (PYRULA) RETICULATA (Lamk.) (Système nerveux. lil, art. n°1,p. 188. FILOGRANA IMPLEXA (Berck.). XVII, art. n° 1, p. 33», pl. XII, fig. 366, 369; pl. XIII, fig. 370, 374. FISSURELLA COSTARIA (Organe de Spen- seli art. n° 1, HOREA TANGANICANA. X, art. n° 1, p. 161, note, pl. XI, fig. 28-29. HouGue (Les Amphipodes de St-Vaast- la-), par E. L. Bouvier et Ed. Chevreux. XV, art..n0 6.,p. 109, plu IE HCMBLOTIA FLAVIROSTRIS (À. Milne Edw. et E. Ousl). IT, art. n° 5, p. 229. HYOELAPHUS PORCINUS (Estomac de l’). XML, art. n° pe 11,%pl. MEL fig 17e pl. V;-fig. 40. HYOEMOSGHUS AQUATICUS (Estomac del’). XVI, art. no 1, (p.457 pla hs 22e pl. IV, fig. 28. HYONA BREVIROSTRIS du pliocène de Sainzelles, près le Puy (Haute-Loire), par M. Marcellin Boule. XV, art. n° 2, p. 85. HYALE NILSONI (Ralhke). St-Vaast-la- Hougue. XV, art. n° 6, p.111. HYALINOEGIA GRUBH (baron de Sé-Joseph) (Marenz.). Annélides de Dinard. V, art. n°2, p. 193, pl. VIIL fig. 57-58. HyYpROLIMAX BRUNEUS. XV, art. n° 7, p. 163. glandulaire). ZOOLOGIE. — GRISEUS. XV, art. n° 7, p. 151-161. HYDROSTATIQUES (Voy. Fonctions). HYDROTHELPHUSA AGILIS. 1V, art. n° 2, p. 139, fig. 9. HYLACANTHA BOURGUIGNATI (Joubert). X, art. no 1, p. 132, pl. IX, fig. 5-1. — Hornet (Ancey). X, art. n° 1, p. 128, pl. IX, fig. 1-4. — JouserTi (Bourguignat). X, art. n°1, p. 131, pl. IX, fig. 11-13. — LONGIROSTRIS (Bourquignat). X, art. n° 1, p. 129, pl. IX, fig. 8-10. HYMÉNOPTÈRES (Appareil génital mâle des), par M. L. Bordas. XX, art. n°3, p. 903, pl. XI à X. — (Appareil glandulaire des). XIX, art. n° Ep. HYPEROODON ROSTRATUS (Observations anatomiques sur l”) (Lilljeborg), par E. L. Bouvier. XII, art. n° 5, p. 259, pl. VIL et VIII. HYPODERME des Gordiens, Il, art. n° 4, p. 192. HYPSIPETES (IXOCINCLA) PARVIROSTRIS (Alph. Milne Edw. et E. Oust). Il, art. n° 5, p. 233. I IBIS ROSE (Sacs aériens). XI, art. n° 1, pe Didi ICHNEUMON LINEATOR (Appareil glandu- laire). XIX, art. n° 1, p. 113, 251, plMY fig.8; pl. MIT. fo 15 pl XI ME ICHTHYOLOGIQUE (Faune) de la pêche au grand chalut. XV, art. n° 1, p. 41. IMOGINE OCULIFERA. XV, art. n°3, p. 193. INACHUS scORPIO (Fabr.) (Système arté- riel). XI, art. n° 5, p. 219 etsq., pl. IX, fig. 16. INDEX bibliographique des travaux sur le rein des mollusques VIII, art. n° 2, p. 312. INFUNDIBULUM TOMENTOSUM (Mont/ord) (Systèmenerveux), Ill, art. n°1,p.232, pl. IX, fig. 42. INFUSOIRES CILIÉS (Reeherches anato- miques et physiologiques sur les), par M. Fabre Domergue. V, art. n° 1. INSECTES (Cerveau). XIV, art. n°3, p.435. — (Comparaison du cerveau des) avec TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. celui des Crustacés. IV, art. n° 1, part. IT, p. 98. INTESTIN (Voy. Appareil digestif). IPHIMEDIA OBESA (Rathke). St-Vaast-la- Hougue. XV, art. n° 6, p. 122. IsopopEs (Développement). XVII, art. nistps 20 pl se ITHAGINIS GEOFFROYI (J. V.). XII, art. n° 9, p. 313. IxopipÆ du Congo (Sur une nouvelle espèce d'), Ambliomma quantini (J. Martin). XVII, art. n° 5, pi. XIV, p. 267. Ixus XANTORRHOUS (Anders.). XII, art. n°9, p: 299: J JANTHINA GLOBOSA (Swainson) (Système nerveux). IE, art.n0, 1, p.269: — TROCHOIDEA (Reeve), Id., Id. — PLANISPIRATA (Reeve et Adams), Id., Id. JASMINEIRA ELEGANS, n. sp. (baron de St-Joseph). XVII, art. n° 1, p. 316, pl. XII, fig. 337-346. JOUBERTIA BAIZEANA (Bourguignat). X, art. n° {, p. 174, pl. XII, fig. 5-6. — SPINULOSA (Bourquignat).X, art. n° 1, p. 175, pl. XIII, fig. 8-10. — STANLEYANA (Bourquigna#). X, art. n° 1, p. 176, pl. XIIL, fig. 11-12. : JURASSIQUES (Note sur les Crustacés des terrains) supérieurs du Boulonnais, par M. H. E. Sauvage. XII, art. n° 6, p-597,pi Het: IV. K KELLIA DESHAYESI, sp. nov. (Jous- Seaumel XX Part n° 1; p.28; pl, fig. 24-25. KEFERSTEINIA (Psamathe) Ref) NV art.#n9 2,"p. 324. KoBus uNcruosus (Estomac du), XVI, drien0 1 p01, pi. il, he. 21; pl: VI, fig. 48. KYsTESs (Voy. Enkystement). CIRRATA L LABROROSTRATUS, nov. gen. (baron de St-Joseph). V, art. n° 2, p. 218. ANN. SC. NAT. ZOOL. 305 — PARASITICUS, n. sp. (baron de St- Joseph). V, art. n° 2, p. 221, pl. IX, fig. 77-85. L\caze-Duriers (Voy. Organe de. LAGYDONIA MiRANDA (Mar. et Bob.). V, art. n° 2, p. 314. LÆMARGUS MURICATUS (Kr.). V, art. n° 3, p. 849, pl. XV; fig. 1 et 2, 11- 13, 15-20, ©, fig. 3-10, 14, 21-22. LAGISCA EXTENUATA (Gr.). V, art. n° 2, p. 180, pl. VIII, fig 52-54. LaMA(Estomac du). XVI, art. n° 1,p.108, pl. VI, fig. 50-51. LAME ganglionnaire de la Langouste. XIE, art. n°9, p. 385, pl. XII. LAMELLARIA PERSPICUA (L.) (Système nerveux, II, art. n° 1, p. 206, fig. 40 et 41. LAMELLIBRANCHES (Rein des), VIIL, art. 1002) F0 AQU LANGOUSTE (Lame ganglionnaire de la). XIITE;-art. n° 9, p. 385, pl. XII, — (OEil de la). XIIT, art. n° 8, p. 349, DIVN GE XT: — Organes de natation de la). VI, art. DM TTDE VI He. 19/4723: — (Systèmeartériel). XI, art.n°5, p.213, px he: pleXl f6e.36. — (Note sur deux nouveaux cas de monstruosités observés chez la), par M. Maurice Léger. I, art. n° 3, p. 109. LANICE CONCHILEGA (Pallas). XVII, art. n° {, p. 211, pl. IX, fig. 241-245. LANISTES BOLTENIANA (Chemnitz) (Sys- tème nerveux). III, art. n° 1, p. 102. LARUS cANUS (L.) (Estomac). IV, art. no 6, p. 271, pl. XV, fig. 26-27. LARVAIRES (Enveloppes). XIV, art. n° 1, De 20 Larves de Pelobates (Organes de nata- on) Nb arti no, ns 9% pl. :V, fig. 19-24. LATONA GLACIALIS (Wesenberg-lund). XVIII, art. n° G, p. 376. — SETIFERA (0. F. Müller). XVIII, art. n° 6, p. 314, pl. XVF, fig. 4, 17. LATONOPSIS AUSTRALIS (Sars). XVIII, art. n° 6, p.318, pl. XVI, fig. 11, 13, 20. — OCCIDENTALIS (Birge). XVIII art. n° 6, p. 880, pl. XVI, fig. 12. LAVIGERIA CaLLISTA (Bourguignat), X art: no 1 pe 188 XI en? xx: 20 ? 306 — ComBsA (Bourguignat). X, art. n° 1, DB pi eAuLVERELE — CoRoNATA (Bourquignat). X, art. n°1, p- 180, pl. XIII, fig. 13-14. — DIADEMATA (Bourquignat). X, art. n° 1,p. 179, pl. XIIL, fig. 15-17. — GRANDIS (Bourquignal). X, art. n° 1, p. 182, pl. XIV, fig. 1. — JouBERTI (Bourquignat). X, art. n° {, p. 185, pl. XIV, fig. 4. — PEREXIMIA (Bourguignat). n° 1:p. 181, 1pl.XINV- ir. — RUELLANIANA. (Bourguignat). X, art. no 1, p. 190, pl. XIV, fig. 5-6. LEIOCHONE CLYPEATA, n. sp. (baron de St-Joseph), An. de Dinard. XVII, art. n° {, p. 139, pl. VI, fig. 167-175. LEIosOMA GourDpONI (Cotteau). VII, art. n° 1, p. 55, pl. IV, fig. 36-40. LEODES STRIOLENTA. XV, art. n° 7, p. 239. LEonTis DuMeERiLit (Aud. et Edw.). V, art..n°9,ep. 253, pl_X[, fig. 125-127; XX” art n° 4 0p-21*; LEPETA CÆCA (Müller) (Système ner- veux). II, art. n° 1, p. 22. LEPIDONOTUS PLEIOLEPIS (Marenz.). V, art n°2, p. 152, pl. NI, fie. 1,5. — SQUAMATUS (L.). V, art. n° 2, p. 151. LEPRALIA PALLASIANA (Larve et méta- morphose). [, art. n° 1, p.38, pl. I, fig. 1 à 4. ; LEPTOCHEIRUS HIRSUTIMANUS (sp. Bate). XV art nu 6 D 022. LEPTOMANIS EDWARDSI, sp. nov. (H. Filhol). Pangolin fossile du Quercy. XVI, art. n° 2, p. 134. X, art. LEPTONEMERTES CHALICOPHORA. XV, APN LEPTONEREIS VAILLANTI n. sp. (baron de St-Joseph), V, art. n° 2, p. 246, ploX se.0113 à 123; pl.Xl/ die-412#: LEPTOPLANA ELLIPSOIDES, XV, art. n°7, p: 200. — FLEXILIS, Id. p. 199. — FOLIUM, Id. p. 201. — HYALINA, Id. p. 199. — LICHENOÏDES, Id. p. 171. — TREMELLARIS, Id. p. 200. — VARIABILIS, Id. p. 176-199. LEPTOPORCILŒ, nov. sp. (Oust.). art, Mo 9281; DL EX AE NI ZOOLOGIE. LEPTOSOMUS DISCOLOR, var. Gracilis (Alph. M. Edw.), II, art. n° 5, p. 219. LERNÉE branchiale (Description d’une nouvelle) du Chaboiïisseau de mer à longues épines (Cottus bubalis). XE, art, n° 3 bis, pl. 7, fig. 10-12. — branchiale du Gade petit (Métamor- phoses de la). XI, art. n° 3 bis, p. 191, pl. NII, fig. 1-9 et fig. 13. LEROYA BOURGUIGNATI (Grandidier). X, art. n° 1, p. 19, pl. VI, fig. 2-5. LERWA NIVICOLA (Hodgs). XII, art. n° 9, p. 313. LETTRES (Trois) adressées par Alexan- dre Agassiz à l'honorable Marshall Mac Donald, commissaire des Pêche- ries aux États-Unis, relativement aux opérations de Dragages exécutées sur la côte ouest de l’Amérique centrale aux Gallapagos, sur la côte ouest du Mexique et au golfe de Californie sous la direction d'Alexandre Agassiz à bord du steamer de la commission des Pêcheries des États-Unis, l'A/ba- tross, commandé par le lieutenant L. L.. Tanner. XIT, art. n° 10, p.519; LEuciscus (Organes de natation). VI, art. n° 1,p. 49, pl. LIL, fig. 20 à 35. LEUCODORE CILIATUS (Johnston) (Zone littorale du). XII, "art. n°,3, p.99; LEUCOTHOE ARTICULOSA (Leach). — DEN- TICULATA (Costa). — SPINICARPA (Abildgaard). St-Vaast-la-Hougue. XV; art. n°6, ip. 127: LEVURE de grains (Recherches sur la respiration et sur la fermentation de la), par MM. Gréhant et Quinquaud. X, art. n° 2, p. 269. LEyne (Muséum). Voy. Catalogue. LEYDiG (Organes de) des Copépodes d’eau douce. XII, art. n° 8, p. 210. LÉZARD FOSSILE de l’île Maurice. XVIII, art. MO, De 241: LILLJEBORGIA SHETLANDICA (Bate et Westwood) (Voy. Cheirocratus Sun- devalli). XV, art. n° 6. LIMAPONTIA CAPITATA, XV, art. n° ï. p. 302. — NIGRA, Id. p. 302. LiMicOLES (Voy. Oligochètes). LiMNÆa AFRICANA (Ruppel). X, art. n°1, p: 10. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. — ALEXANDRINA (Bourquignat). X, art. AS-TE De — DEBAIZEI (Bourquignat). X, art. n° 1, Derlepier; fig. 20. — JOUBERTI (Bourquignat). X, art. n° 1, Dep fie. 23. — LAURENTI (Bourquignat). X, art. mp1. pl I, fig, 21-224 — LAVIGERIANA (Bourguignat). X, art. np 9 DL TI, Ge. 18-19 LIMNOGALANUS MACRURUS (Glande du tESD MIE art. n° 8 D. AMP DEV, Ge 9H pl VIE, fig. 2. LIMNOTROCHUS CYCLOSTOMA (Bourgui- GREC). X) art. no: 1, D JR DEUX, fig. 11-13. — GiRAUDI (Bourguignat). X, art. n° 1, p- 13%, pl. X, fig. 8-10. — Kirkr (Smith), p. 135, X, art. n° 1, pl. X, fig. 1 à 8. — THOMSONI (Smith). X, art. n° 1, p. 126, pl. X, fig. 4 à 7. LIMOSA RUFA (Sacs aériens). XI, art. n°, D. 01 Limuzus PozypHEMuS (Cerveau). XIV, art. n° 3, p. 405, 449, pl. X, XI. LINEUS-BEATTIÆI, XV, art. n° 7, p. 267. — COMMUNIS, Id. p. 271. — Dugrus, Id. p. 210. — GESSERENSIS, Id. p. 261. — GRACILIS, Id. p. 268. — LonGissiImus, Id. p. 267. — PazLipus, Id. p. 270. — PIPERATUS, Id. p. 261. — VIRIDIS, Id. p. 266. LINTHIA ARAGONENSIS (de l’Aragon) (Cotteau). VIIT, art. n° 1, p. 23. — ARIZENSIS (de l’Aragon) (D'A4rchiac). NIIE artnet pr: — HegerTi(de l’Aragon) (Cotteau\. VIT, art. n° |, p:20° — HOvVELACQUEI (de l’Aragon) (Cotteau). VII, art. n° 1, pl. IL, fig. 11-14. — ORBIGNYI (de l’Aragon) (Cotteau). MHT, art of D. 21 — Pogzzx (de l’Aragon) {Cotteau). VIII, arsn°i, p.25 LIPEPHILE CULTRIFERA (Gr.). V, art. n° 2, p. 260, pl. XI, fig. 128-129; XX, art. n9 4 °p. 215: — FLORIDANA (Ehl.). V, art. n° 2, p. 261, pl. XI, fig. 130. 202 LIPHOPSITTACUS MAURITIANUS (Owen). XVIII, art. no 3, p. 218. LIPOBRANCHUS INTERMEDIUS, n. sp. (baron de S{-Joseph), Ann. de Dinard. XVII, art. n° 1, p. 113, pl. V, fig. 146- 147. LITHODES ANTARCTICA (Jacquinot et Lu- cas). XVIIL, art. n° 2, p. 181, pl. XI, fig. 6, "ET, 19, 20 PEAR fé 2, 17, 18, 28; pl. XIII, fo02, #6: — ARCTICA (H, M. Edwards. XVIII, art. n°2, p. 181, pl. XI, fig. 7; pl. XII, ” 11e 75. — FEROX (4. M. Edw.). XVIIL art. n° 2, p. 182, pl. XII, fig. 6. — TROPICALIS (4. M. Edw. et E. L. Bouvier). XVIII, art. n° 2, p. 182 pl. XII, fig. 7. LiTHODINÉS(Affinitésavecles Paguridés), par M. E. L. Bouvier. XVIII, art. n° 2, p. 157. LITTORALES (Nouvelles études sur les zones), par M. L. Vaillant. XII, art. no D: 'a0 LITTORINA LITTOREA (L.) (Système ner- veux). IM,-artn® 1,, p.103. pl VI, fig. 23. 2) them). VIT art nt 9, 1. 108 DE Æ, “He 50-513. XIE, fig. 66-75. — — organe de Spengel. IX, art. n° 3, p. 188, pl. VIT, fig. 20; pl. IX, fig. 34. — — structure de la branchie. Id., pl. X, fig. 45. — — Système veineux palléal. IX, art. n° 3, pl. XV, fig. 85. LOCOMOTION aquatique (Comparaison des organes de la), par le Dr P. C. Amans. VI, art. n° {, p. 1 à 164, pL.I à VI. Généralités, p. 132-155. Poissons, type Scyllium, p. 9; type Raja, p. 20; type Trigla, p. 34; type Leuciscus, p. 49; type Exocæte, p. 60 ; type Hip- pocampe, p. 17; type Pleuro- nectes, p. 59. Batraciens, larves de Pelobates, p. 9%; type Rana, p. 97; type Lritons pa fls: Sauriens, type scinque, p. 119. Insectes, type dytique, p. 122. ? 308 Crustacés, type Apus, p. 126; type Langouste, p. 121. Mollusques, type Pterotrachea, p: 130. — des Arthropodes (Remarques sur la), XIII, art. n° 2, p. 161. Lor des Connexions chez les Prosobran- ches. III, art. n° 1, p. 243. Louis miRTA (Lmk.). XVIII, art. n° 2, p- 200, pl. XII, fig. 7-20. LoPHopHANES (Spec(?). XII, art. n° 9, p. 308. Lornopxorus Lauysit (J. V.). XII, art. n° 9; p: 814. LopxoPpoDes (Développement des). I, art. n° 4, p. 64, pl. 1,/fg. 51, 52 pl. IV, fig. 53. LOTIA PELLUCIDA (Organe de Spengel). IX, art. n° 3, p. 225, pl. XILL, fig. 68, 69. LOXORRACHMA CORONATA. XV, art. n° 7, p.252. LUMBRICONEREIS LABROFIMBRIATA, N. sp. (baron de Sé-Joseph). V, art. n° 2, p. 214, pl. VIII, fig: 65-71. — PARADOXA, n. Sp. (baron de St- Joseph}, N, art..n°:2,-p- 214, pl VI, fig. 72 et 73; pl. IX, fig. 14-16. + TinGens-(Kef.). V, art. 1 2, p.212. LYCORIDIENS (Vov. Nereis). LyuNneEa (Voy. Limnea). LYMNOSIDA FRONTOSA (Sars.), XVII, art. n° 6, p. 341, pl. XV, fig. 6, 10, 117. LYRIFORMES (Organes des Arachnides). XIIX, art. n° 2, p. 62 (Fonctions des), p. 82. LYSIANAX AUDOUINIANUS (Walker) (Voy. Perierella crassipes (Bouvier et Che- vreux). XV, art. n° 6. t — LONGICORNIS (Lucas). Hougue, p. 111. — sp. Bate S. Voy. Orchomene Batei (CONS GREEN artnet: Lysipice NiNETTA (Aud. et Edw.). V, art. 00021: 200 PloVIITL, Re 61: XX, ah n9.4,/p:4205. St-Vaast-la- M MADRÉPORAIRES (Voy. Polypes). ZOOLOGIE. MarpiGHt (Tubes de), des Hyménop- tères. XIX, art. n° 1, p. 219; histolo- gie, p. 285, pl. IX. MAMMIFÈRES FOSSILES (Observations concernant quelques) nouveaux du Quercy), par H. Filhol. XVI, art. n92; D 129: MaXILLAIRES d’Anthracotherium ma- gnum (Cuvier) (Observations relatives à la tubérosité qu’on observe sur cer- tains), par M. #H. Flhol. XIE n0,2-0is; D-28: MAURICE (Ornithologie fossile de). XVII, art. n° 3, p. 215. — (Tortues terrestres gigantesques et lézard éteint de l'ile), par H. Gadow. À VIII, art. n° 4, p. 241. MASTICATEUR (Voy. Appareil). MARSENIA (Organe de Spengel). IX, art. n°3, pl. VIIL (597; MARPHYSA SANGUINEA (Cerveau de). II, art.nP)6; ph NE 18. — SANGUINEA (Mont.). V, art. n° 2, p.201, pLNVIIL EE 60: XK arr PAU — FALLAx (Mar. et Bobr.). V, art. n°?, p'205. — BELL (Aud. et Edw.). V, art. n° ?, p- 204 ; XX, art. n° 4, p. 206. MaRMOTTE (Myologie de l'appareil mas- ticateur de la). IV, art. n° 3, p. 150, pi.-X. MARETIA ARAGONENSIS (de l’Aragon) (Cotteau). VIT, art. n° 1, p. 16. MANTIS RELIGIOSA (Sur quelques points de l'histoire du développement em- bryonnaire de la Mante religieuse\, par M. H. Viullanes. XI, art. n° 6, p. 283, pl. XII-XIIL, fig. 1-39. Manis (Fossile du Quercy). XVI, art. no place MaAMELLE de l’'Hypcroodon rostratus (Lilljeborg). XIIL, art. n° 5, p. 301, pl. VIL fig. G. MALDANE CINCTA, n. sp. (baron de St- Joseph), Ann. de Dinard. XVII, art. n° 1, p. 142, pl. VI, fig. 76-79. MALADIE analogue au scorbut observée chez certains Reptiles (Observations sur une), par M. E. Magilot. IV, art. n° 4, p.167, pl. XI. MALACOLOGIQUE de la mer Rouge (Ré- TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. flexions sur la faune). XII, art. n°11, p. 343. ; MALACOCEROS G1RARDI (Q/g.). XVII, art. n° 1,p. 17, pl. IV, fig. 91-100; XX, art. n° #4, p.229. MaïA SQUINADO (Rond.) (Système arté- riel). XI, art. n° 5, p. 202 et sq., pl. IX, fig. 12; pl. X, fig. 24. MAGELONA PAPILLICORNIS (Fr. Müller). XVII, art n° 1, p. 83, pl. IV, fig. 105. MAGALIA PERARMATA (Mar. et Bob.). V, art. n° ?, p. 318, pl. XIII, fig. 197-198. MapaGaAscAR (Ossements d'Hippopota- mes fossiles de), XVI, art. n° 3, p. 151. — (Sur une nouvelle espèce de micro- gale de), par M. À. Milne-Edwards. XV, art. n°3; p.95 MACROSTOMA ERINACGEUM, XV, art. n° 1, p. 214. — HYSTRIX (OErsé.), Id. p. 214. — HYSTRIX (Sillim), 1d. p. 214. — SENSITIVUM, Id. p. 215. MACROPNEUSTES TRUTATI (de l’Aragon) (Cotteau). VIT, art. n° 1, p. 18, pl. IT, fig. 9 et 10. MACRONEMERTES GIGANTEA. XV, art. HO I patte MACLOVIA GIGANTEA (Gr.). V, art. n° 2, pe 20, pl Ex, fie. 92955 XX, art. n° 4, p. 209, pl. XII, fig. 28, 30. Mc Donarp (Lettres adressées par A. Agassiz à l’honorable Marshall), commissaire des Pêcheries aux États- Unis. XII, art. n° 10, p. 319. MaACAREUXx (Sacs aériens). XI, art. n° 1, D: #2 MECKELIA ATRA (Grd.), XV, art. n° 7, p221.- — CARMELINA, Id. p. 272. — FRAGILIS, Id. p. 290. — IMPRESSA, Id. p. 260. — INGENS (Leidy), Id. pp. 151, 291. — LAcTEA (Leidy}, Id. pp. 152, 292. — Lizziæ (Grd.), Id. p. 294. BB IDA (Ferr.) Id p.795. — OLIVACEA (Rathke), Id. p. 260. — OLIVAGEA (Stimps.), Id. p. 261. — POCOHONTAS (Grd.), Id. p. 291. — ROS$EA, Id. pp. 152, 294. — SOMATOTOMUS, Id. p. 290. — STRIOLENTA (Leidy), Id. p 289. MECOCHIRUS PEYTONI ( Wood.) (Crustacé mo 309 jurassique du Boulonnais). XII, art. n° 6, p. 86. MEGAMOERA ALDERI (Sp. Bate). — ME- LITA OBTUSATA (Montaqu). XV, art. n° 6. — LONGIMANA G (Sp. Bale). — Orxo- NIS Q (sp. Bale) (Voy. Mœæra Ofthonis). XV, art. n° 6. — MULTIDENTATA (Bate et Weslwood) (Voy. Mœæra Balei (Norman). XV, AE 106. MÉGAPODE de La Pérouse (Note sur le), par M. E. Oustalet. XI, art. n° 4, p- 196. MELADOMUS JOUBERTI (Bourquignat). X, artaus 1,.0.16, Pia tr. 6: — PURPURAGEUS (Jones) (Système ner- veux). IT, art. n° 1, p. 100. — SINISTRORSUS (Bourquignat). X, art. nt D. 10 MELANIA ADMIRABILIS (Bourquignat). X, arte n0 17 D104 pl: XF, He: 25. — GOSTATA (Quoy et Gaimard), pl. VI, fig. 4. FILOCARINATA (Montf.). AMARULA (Lmk.). TUBERCULATA (Müller). ASPERATA (Lmk.) (Système nerveux). M art-u0 tp 102 — TUBERCULATA (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 163, pl. XI, fig. 26-27. — THIARELLA (Rein). VII, art. n° 2, p: 207: MELANOPSIS DUFOUREI (Férussac) (Sys- tème nerveux). III, art. n° 1, p. 128, pl VI,6e.,2# MELECTA (Appareil glandulaire). XIX, att 10) 19p- 85. MELITA GLADIOSA (Sp. Bate). X\, art. n° 6, p. 131. Saint-Vaast-la-Hougue. — OBTUSATA (Monlagu) — Melita proxi- ma (Sp. Bate) (Saint-Vaast-la-Hougue). AVAL n%6, pe Tai — PALMATA (Montagu). St-Vaast-la- Hougue. XV, art. n° 6, p. 130. MELLINUS ARVENSIS. M. SABULOSUS (Ap- pareil glandulaire). XIX, art. n° 1, pp: 1426,,2%%, nl IN: 020 : pl he Dit, 18, LES RL NV, 09 10 MELOPSITTACUS UNDULATUS (Shaw.). (Estomac).IV, art. n° 6, p.253, pl. XIV, fie: 18, 19. 310 MENURA SUPERBA (Sacs aériens). XI, art. n° {, pp. 40, 74. MERA PUSILLA,n.sp.(baron de St-Joseph), Ann. de Dinard. XVII, art. n° 1, p. 351, pl. XIII, fig. 388-392. MEerGUs MERGANSER (L.). XII, art. n° 9, p- 318. MEroPs PHiLiPpINUS (L.). XII, art. n° 9, pe 298. MERULA Gouzpi (J. Verr.). XII, art. n° 9, p. 301. MEesonEURA (Appareil glandulaire). XIX, art. n° 1, p. 188. MESOSTOMA CÆCUM, XV, art. n° 7, p.212. — GONOCEPHALUM, Id. p. 211. — GROSSUM, Id. p. 211. — PATTERSONI, Id. p. 212. — VIVIPARUM, Id. pp. 149, 213. MÉTAMORPHOSE de quelques Bryozoai- res (Mémoire sur la), par le Dr Jules Barrois. T, art. n° 1, p. 1. — (Recherches sur les) que subissent les Crustacés cirrhipédiens, XI, art. no /Ap. 181, 4pl-(61eL"T. — et mœurs de l’Emenadia flabellata (F.), par le Dr A. Chobaut, d'Avignon. XII Va nt. mo ps 97 METOPA RUBROVITTATA (G. O. Sars). St-Vaast-la-Hougue. XV, art. n° 6, p- 121. MEeropius (Appareil glandulaire). XIX, 6h LEE AN ON GE | MEXIQUE (Dragages sur la côte ouest). art. n° (0, p. 319. MICRASTER BREVIS (de l’Aragon) (Desor). NT art uno 1 p:S: — COR COLUMBARIUM (de l’Aragon) (Desor). VIII, art. n° 1, p. 4. — GOURDONI (de l’Aragon) (Cofteau). NH darten0 AL pe 0, pli here et 2. MIGROCHELES ARMATA (Kroyer) (Voy. Iphimedia Obesa (Rathke). XV, art. n° 6. MICRODEUTEROPUS ANOMALUS (Sp. Bate) (Voy. Aora gracilis) (Sp. Bate). XV, art. n° 6. — GRYLLOTALPA (Crsta). St-Vaast-la- Hougue. XV, art. n° 6, p. 133. — VERSICULATUS (Sp. Bale). St-Vaast- la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 134. MICGRODEUTOPUS WEBSTERI (Sp. Bale). ZOOLOGIE. (Voy. Autonæ longipes). XV, art. n° 6. MICROGALE de Madagascar (surunenou- velle espèce de), par M. À. Milne- Edwards. XV, art. n° 3, p. 98. MiCRONEREIS VARIEGATA (Clpd.). V, art. n° 2, p. 268. MICROPLANA HUMICOLA. XV, art. n° 7, p. 151. MICROPROTOPUS MACULATUS (Norman). XV, art. n° 6, p. 132. MicrOpPsiSs FROSSARDI (Cofleau). VIII, art. n° {, p. 58, pl. IV, fig. 41-43. MICROSTOMA CAUDATUM, XV, art. n° 7, p. 217, 219. — COMMUNE, Id. p. 218. — LiNEARE (OErst.), Id. p. 211. — LiNEARE (Sillim.), Id. p. 218. MICROSTOMUM PHILADELPHICUM, XV, apte NO pe 210 — VARIABILE, Id. p. 200.. MICRURA AFFINIS, XV, art. n° 7, p. 280. — ALBIDA, Id. p. 281. — FASCIOLATA, Id. p. 280. — INORNATA, Id. p. 281. Mizxe Epwarps (Henri), membre de l’Académie des sciences. Notice his- torique par M. Berthelot, secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences, lue dans la séance publique de l’Aca- démie du 21 décembre 1891. XI, APE HO D pol: MiL vus GoviNpaA (Sykes). XII, art. n° 9, D: 297: MITRA EPISCOPALIS (Lmk.) (Système ner- veux). IT Arno M 1p 259; MorrA BATEI (Norman). St-Vaast-la- Hougue. XV, art. n° 6, p. 130. — GROSSIMANA (Montagu). = GAMMARUS IMPOSTII (H. Milne Edw.).=—DOoNATOI (Heller). St-Vaast-la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 129. — OTHONIS (H. Milne Edw.). St-Vaast- la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 129. Moœurs et métamorphoses de l'Eme- nadia flabellata (F.), par le Dr À. Chobaut (d'Avignon). XII, art. n° 7, Dons MONOGELIS AGILIS, XV, art. n° 7, p. 234. — SPATULICAUDA, Id. p. 235. — RUTILANS, Id. p. 234. MONOCULODES CARINATUS (Sp. Bale). TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. St-Vaast-la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 124. MONODINIUM (nov. gen.) BALBIANI (n. sp.) Fabre-Domergue. V, art. n° 1, p. 35, pl. IV, fig. 43-50. MONODONTA MONODON. Organe de Spen- gel. IX, art. n° 3, p. 167, pl. VIIT, fig. 21-24. Système veineux palléal. IX, art. n° 3, pl. XV, fig. 81. — — (Rein). VII, art. n° 2, p. 119, pl. VI, fig. 11, 12 et 12 6is; pl. VII, fig.19,20, 22. MONOGRAPHIE Zoologique et anatomi- que du genre Prosopistoma (Lalr.), par M. À. Vayssière. IX, art. n° 2, 19 ple 248 MoxopPs AGILIS, XV, art. n° 7, p. 234. — SPATULICAUDUS, Id. p. 235. MONOTUS SPATULICAUDA. XV, art. n° 7, p. 235. MONSTRUOSITÉ (Observation sur un cas de) de l'appareil génital chez Hélix Pomatia, par M. E. Bietrix. I, art. Ho2, D — (Note sur deux nouveaux cas de), observés chez les Langoustes, par Maurice Léger. I, art. n° 3, p. 109. — (Sur quelques cas de), observés chez les Crustacés décapodes par M. J. Richard. XV, art. n° 4, p. 99. MONTAGUA MaRiNA (Sp. Bate) (Voy. Ste- nothoe Marina (Sp. Bate). — Moxocucoïnes (Montagqu) (Voy. Ste- nothoe Monoculoïdes) (Sp. Bate). XV, art. n° 6. MonTicoLa CYANEUS (L.). XII, art. n°9, p. 301. : MORMON FRATERCULA. p-'92° MORPHOLOGIE comparée des Prosobran- ches.'IIL, art. n° 1, p. 343. — du squelette céphalique des insectes. IV, art. n° 1, part. 3, p. 110. MOTACILLA HODGSONI (Blyth.). XII, art. n° 9, p. 310. MOUVEMENT des articles et des poils articulés des Arachnides. XIII, art. n°2; pe 169. MOuUETTE à tête noire (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 58, pl. IL, fig. 4. MourLoN de l'Atlas (Estomac du). XVI, art. n° 1, p. 63. MI-'art ne T, 311 MouTonN (Estomac du). XVI, art. n° 1, p° 68, pl he T8 pl Na 23; pl. V, fig. 81. Mucus (Glande à) des Gastéropodes Prosobranches. IX, art. n° 3, p. 296, pl. XI, fig. 49, 58. MuE des Arachnides. XIII, art. n° 2, p. 56. — des Araignées, par M. Wo/. Wagner. VI, art. n° 3, p. 281, pl. XV à XVIII. MUuFLE des Prosobranches. IIT, art. n° 1, p. 412. MULTIPLICATION des Euglena Viridis. I, art. n° 6, p. 341. Munipa (Leach.). XVI, art. n° 4, p. 253, 251. Munipopsis (Whileaves). XVI, art. n° 4, p. 271. MUREXx ERINACEUS (Organe de Spengel). EX art ne 3; p.202: — TRUNCULUS (L.) (Rein). VIII, art. n° ?, p. 250-258 (Organe de Spengel). IX, art n°%6, p: 202. — TRUNCULUS (L.) (Système nerveux). ME; arts n0°f, p.218: — ERINACGEUS (/.). III, art. n° 1, p. 282. Musczes des appendices des Arachni- desstXILE; art.)n0®9 "ps 10€ et sq, p 135. — (Voy. Myologie). MY10PHONEUS EUGENII (Hume). XII, art. n° 9, p. 302. MYOLOGIE DE L'HATTERIA PUNCTATA. XX, art. n° 2, p. 34, 46, pl. 11 à V. — de l'appareil masticateur de la Mar- motte. IV, art. n° 3, p. 150, pl. X. MYRIANIDA MACULATA (C/pd.).I, art. n° 4, p. 241, pl. XII, fig. 119-126; XX, art. n° 4, p. 195. — (Reproduction des). I, art. n° 4, p. 246. MYRIAPODES (Cerveau). XIV, art. n° 3, p. 442. Mysis FLEXUOSA (Müll.) (Recherches sur la structure du cerveau de la), par M. R. Kæhler. IL, art. n° 3, p. 159, pl. X et XI. MYSTIDES (MESOMYSTIDES) LIMBATA, D. sp. (baron de Sf-Joseph). V, art. n° ?, p. 310, pl. XIII, fig. 186-192. — (PROTOMYSTIDES) BIDENTATA (Lang). V, art. n° 2, p. 308, pl. XIII, fig. 183- 185. 312 ZOOLOGIE. MYxICOLA DINARDENSIS, n. sp. (baron de St-Joseph). Ann. de Dinard. XVII, art. n° 1, p. 324, pl. XII, fig. 350-357. N NAREDA PULCHELLA, N. SERPENTINA, N. SuPERBA. XV, art. n° 7, p. 251. NASSA RETICULATA, N. MUTABILIS (L.) (Système nerveux). IIT, art. n° 1, DE — RETICULATA (Organe de Spengel). IX, ant-10028, 0 p208: NATATION (Voy. Locomotion aquati- que). NATATOIRE (Voy. Vessie). NATICA JOSEPHINA,N.MONILIFERA(Lmk.), N.TIGRINA {Rein). VIIL, art. n°2, p.224, pl. XIL, fig. 16-17; pl. XIII, fig. 95. — MONILIFERA (Lamk.) (Système ner- veux). III, art. n° 1, p. 203, fig. 39, pl. IX, fig. 39. — MONILIFERA, N. HEBRÆA, N. JOSE- PHINA (Organe de Spengel). IX, art. n° 3, p. 198 (Système veineux pal- léal), pl. XV, fig. 86-87. NAVICELLA JANELLI (Recluz), pl. I, fig. 3 et 4. — PORGELLANA (Desh.) (Système ner- veux). III, art. n° 1, p. 56. — JANELLI(Recluz) (Organe de Spengel). IX, art. n° 3, p. 159 (Système veineux palléal), pl. XV, fig. 84. — JANELLI (Recluz) (Rein). VII. art. n°9, 4p. 133, pl. VIL o-023;: NECRODASYPUS GALLIÆ (Tatou fossile du Quercy, sp. nov. (H. Filhol). XVI, art. n°22 °p-#136, NÉCROLOGIE (Henri Viallanes, sa vie et ses travaux), par M. E. L. Bouvier. XV, art. n° 12, p. 353. NEGROMANIS QUERCYI (H. Fülhol), n. sp. (Pangolin fossile du Quercy). XVI, art. n°9 0p:4182. NEESIA GROENLANDICA, XV, art. n° 7, p: 287. — NEESI, Id. p. 286. — SANGUINEA, Id. p. 281. NÉMATODES (Contributions à l'étude de la couche sous-cuticulaire des), par M. Léon Jammes. XIIT, art. n° 6, p. 321. NEMATONEREIS UNICORNIS (Gr.). V, art. n°72, 1p. 201: NEMATOPAGURUS, nov. gen. (À. Milne- Edwards et Bouvier). XIIL, art. n° 3, p. 209. : — LONGICORNIS, n0v. sp. (A. Milne-Edw. et Bouvier). XIII, art. n° 3, p. 210. NÉMERTES (Anatomie du genre). XV, art. n° 7, p. 266-273. NEMERTES AFFINIS, XV, art. n° 7, p. 285. — ANTONINA, Id. p. 212. — BALMEA, Id. p. 212. — NEESII, Id. p. 286. — OBSOURA, Id. p. 268. — OLIVACEA, Id. p. 267. — PERONEA, Id. p. 272. — PoLzyHopPLa, Id. p. 240. — SOCGIALIS, Id. p. 152-214. — VERRILLI, Id. p. 274. — Viripis, Id. p. 268. NÉMERTIENS (Recherches sur les) et les Planariés de l'Amérique du Nord, par le Dr Charles Girard, XV, art. n° 7, p-. 145. NEMURA RUFILATA (Hodgs). XII, art. n° 9, p. 304. NÉOLITHODES GRIMALDII (A. Milne-Eduw. et E.-L. Bouvier). XVIII, art. n° ?, DM DL XL he. NEONEMERTES AGRICOLA, p. 238. XV, art. mors NEOPLANA FREQUENS, N. GRISEA, N. UL- VEN XVsartn0, 7. p.932; NEOTHAUMA BICARINATUM (Bourgquignat). Xart..n° 1;tp:89, DATI ie. ne — BRIDOUXIANUM (Grandidier). X, art. n° 1, p. 21, pl. IT, fig. 3 et 4 (opercule' ; PME ÉD; — EURYOMPHALUS (Bourguignat).X, art. n°1, p. 35, pl. IT, fig. 7-8. — GiRAUDI (Bourguignal). X, art. n° 1, p. 29, pl. I, fig. 5-6. — JouBERTI (Bourquignat). X, art. n° 1, p. 34, pl. IT, fig. 4-5. — SERVAINIANUM (Grandidier). X, art. n° 1,.p.#1, pl. Ill, fios 2-3: — TANGANIKANUM (Grandidier). X, art. no, par pl'ul, Rev. — VyssErt (Bourgquignat). X, art. n° 1, p. 37, pl. IL, fig. 6. NernrOPs NORWEGIGUS iL.) (Système Lu bn Le 0 nn «bu TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. nerveux). VIE, art. n° 2, p. 85, pl. VII, fig. 3. — — (Système artériel). XI, art. n° 5, p.227. NEPHTHYS CIRROSA (EAl.). XVIT,art.n°1, p. 20, pl. I, fig. 19. — cÆcaA (Fabr.). XVII, art. n° 1, p. 17, pl. I, fig. 14-18. — HomBerGi1(Aud. et Edw.). XVII, art. n° 1,:p:8,. ph. faste NerEïis (Voy. Leontis, Lipephile, Prari- thea). — PROGERA (Ehl.). V, art. n° 2, p. 266, pl. XI, fig. 132. NERINE FLORÆENSIS, n. sp. (Voy. Mala- coceros Girardi) (Qfg.). — Foziosa (4ud. et Edw.). XVII, art. n° 1, p. 72, pl. IV, fig. 84-85. — Grraroi. XVII, art. n° 1, p.77, pl. IV, fig. 91-100. — FLOROEENSIS. XX, art. n° 4, p. 229. — LONGIROSTRIS (Q/fg.). XVII, art. n° :, p. 76, pl. IV, fig. 86-90. — (Larves). XVII, art. n°1, p.68, pl. IIT, fig. 78-82; pl. IV, fig. 83. NERITA PELORONTA (L.) (Système ner- veux). Il, art. n° 1, p. 46, pl. IL, fig. 6 et 7; pl. II,.fig. 14; XX, art. n° 4, p. 221, pl. XII, fig. 40. — — (Rein). VIII, art. n° 2, p. 133, pl. VIL, fig. 24. NERITINA FLUVIATILIS (L.), N. CARIOSA (Gray). UE, art. n° 1, p. 54, pl. Il, fig. 8. — GANALIS (Sow.) (Système nerveux). IIL, art. n° 1, p. 5. — FLUVIATILIS (L.) (Rein). VIIT, art. n° ?, p- 133, pl. VIL, fig. 25. — —IX,art. n° 3, p. 159. — OWwENtI (Rein). VII, art. n° 2, p.133. NERVEUX (Voy. Système et Centres ner- veux). NicoBar (Pigeon) (Estomac). IV, art. n° 6, p. 252. NICOLEA VENUSTULA (Mont.). XVII, art. n° 1, p. 207, pl. IX, fig. 235-240. NIOBE LIMACINA, XV, art. n° 7, p. 301. — ZONATA, Id. p. 301. NOMADA FERRUGINATA, N. FUCATA, N. LI- NEATA, N. RUFICORNIS, N. SOLIDAGI- nis (Appareil glandulaire). XIX, art. n91, p. 855227, DÉS fe. ; pl VIE, fig. 9. 313 NOTOMASTUS LATERICEUS (Sars). XVII, art. n° 1, p. 117, pl. VI, fig. 152-157. NOTOPHYLLUM (EUNOTOPHYLLUM) ALA- TUM (Lang.). V, art. n° 2, p. 312, pl. XIII, fig. 193-196. NUMENIUS PHOEOPUS (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 61, pl. I, fig. 3 et 4. NUMIDA MELEAGRIS (L.) (Sympathique). VIL art. n° 1, p. 61, pl VI, fig. 2. NcQuE (Organe de la) des Euniciens. IF, artn0:6,°p: 218, pLl'XV;tfies 26 NUTRITION de Euglena Viridis. I, art. n° 6, p. 332. — des infusoires ciliés (Physiologie de Ra} Mare ni ps 42? NYCHIA CIRROSA (Pallas). p. 198. NYCTICORAXGRISEUS (S/rickl.)(Estomac). IV, art. n° 6, p. 288. XX, art. n° 4, (® OciNEBRA (MUREX) ERINACEUS (L.) (Sys- tème nerveux). IIT, art. n° 1, p. 287. ODONTOSYLLIS CTENOSTOMA (Clipd.). I, art. n° 4, p. 171. — FULGURANS (Clpd.). I, art. n°4, p. 1*5, pl. VIIL, fig. 41-12. — GiBBa (Clpd.). I, art. n° 4, p. 173 (embryon), pl. VII, fig. 40. — POLYODONTA, n. sp. (baron de St- Joseph). I, art. n° 4, p. 178, pl. VII, fig. 43-50. ODYNERUS CRASSICORNIS, O. ELEGANS, O. MINUTUS, O. SPINIPES (Appareil glandulaire). XIX, art. n° 1, p. 112, 238; pl. IE, fig. 11; pl. VIIL, fig. 2 OEn1PODA CGÆRULESCENS (Cerveau du). EV art no: OErzL composé des Arthropodes (Re- cherches anatomiques et physiologi- ques sur l’), par M. H. Viallanes. XII, art. n° 8, p. 319, pl. X et XI (Voy. Or- ganes des sens). OEurs de la Seiche {Structure des) avant la ponte. VI, art. n° ?, p. 167, pl. VI, fig. 1 à 8. O1E domestique (Estomac). IV, art. n°6, p. 210. — (Sympathique de l’). VIT, art. n° 1, p. 38 et 59 (fig. 3, dans le texte). 214 — DE MAGELLAN (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 56. OISEAUX (Anatomie descriptive du sym- pathique chez les), par KR. Marage. NI art no M pleut a NI — (Contribution à l'étude de l'anatomie comparée des réservoirs ariens d’ori- gine pulmonaire chez les). XI, art. Hole — (Recherches anatomiques, histologi- ques et embryologiques sur l'appareil gastrique des), par M. Maurice Cazin. IV, art-en° 6, p.171 — (Espèces et races nouvelles des) de la Chine et du Thibet. XIL, art. n° 9, pe 21e — (Observations sur quelques espèces d’\récemment découvertes dansl’île de la Grande-Comore, par M. À. Milne- Edwards et E. Oustalet. IT, art. n° 5, p- 213. — fossiles de Maurice. XVIII, art. n° 8, p. 215. OLIGOCELIS PULCHERRIMA, XV, art. n° 7. p. 152-187. OLIGOCHÈTES LIMICOLES MARINS (Déve- loppement des), par M. Louis Roule. VII, art. n° 3, p. 107, ph VIII à XXII. OLIVA GUTTATA (Lmk.) (Système ner- veux). Il, art. n° 1, p. 309. — (Rein). VIIL art. n° 2, p. 246, pl. X, fig. 58. OMMATOPLEA BALMEA, X, p212; — PERONEA, Id. p. 272. — STIMPSONI, Id. p. 211. OPHIODROMUS FLEXUOSUS (D. Ch.). V, art n0/?,FD-4326. OPHIONEMERTES AGILIS, X, art. n° 7, p. 276. — STIMPSONI, Id. p. 277. OPHION VENTRICOSUS (Appareil glandu- laire, tube digestif). XIX, art. n° 1, p. 175, 265. — — (Organes génitaux &). XX, art. n° 3, p. 177, pl. X, fig. 11. OPHIOTHRIX FRAGILIS (Appareil circula- toire, tube digestif, système nerveux). IL, art 092 pl NIORT OPHIURES (Recherches sur l'appareil cir- culatoire des), par le Dr R. Kæhler. 11, art. n° 2, pl. VII à IX. AT enOnTe ZOOLOGIE. — (Appareil digestif des). IT, art. n° 2, p. 108. OPHRYOGLENA ATRA (Ehr.). V, art. n° 1, D 19 le 22/07 — FLAVA (Ehr.). V,art.n01, p.22, pl. II, fig. 33 à 36. OPHRYOTROCHA PUERILIS(Clpd.et Meczn.). V, art. n°2, p. 233, pl. X, fig. 96-98. OPHYOGLYPHA TEXTURATA (Appareil cir- culatoire, tube digestif, système ner- veux). TL Nart. n° 2 pl NII VIN fig. 4 à 6 et 8 à 10, pl. IX. OPISTHOBRANCHES (Organe de Spengel). IX, art. n° 38, p. 250. — (Rein des Gastéropodes). VIII, art. NoN2/ AD: 280: ORBITOLITES COMPLANATA (Lmk), XX, p216: ORCHESTIA DESHAYESI (Audouin). St- Vaast-la-Hougue, XV, art. n° 6, p.111. — MEDITERRANEA (Costa). St-Vaast-la- Hougue, XV, art. n° 6, p. 110. ORCHOMENE BATEI (G. O. Sars). St- Vaast-la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 118. OREOPNEUSTE AFFINIS (Tick.). XII, art. n° 9, p. 305. ORGANES BUCCAUX du genre Prosopis- toma. IX, art. n°2, p. 57, pl. II et IV, fig. 17 à 24. — GÉNITAUX du genre Prosopistoma. IX, art nm0 21.080: — — (des Gordiens). IT, art. n° &, p- 201. — de la locomotion aquatique. VI, art. n°1 /"p. 146, PLATE — pigmentaires latéraux des Euniciens (Histologie des), II, art. n° 6, p. 296, pl. XVI, fig. 30-31. — de la respiration du genre Prosopis: toma. IX, art. n° ?, p. 64, pl. 1V,fig.27; pl. V, fig. 28-33. — segmentaires des Euniciens (Histo- logie des). IT, art. n° 6, p.298, pl. XVI, fig. 29. — des sens (Voy. Sens). — de Lacaze-Duthiers des Pulmonés. IX, art. n° 3, p. 230, pl. IX, fig. 38. — deLeydig des Copépodes d'eau douce. XL art mosp. 210. — ]lyriformes des Arachnides. XIII, art. n° ?, p.51. — — des Aranéides, Id. p. 65. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. — des Phalangides, Id. p. 81. — — desPseudo-Scorpionides,ld.p.84. — des Pédipalpes, Id. p. 85. — — (fonctions des), Id. p. 88, pl. T, II. — de Spengel des Gastéropodes Proso- branches. IX, art. n°3, p.139, pl.VI-IX. (signification morphologique), Id. p. 254. — vibratile des Botrylloïides (dévelop- pement). XIV, art. n° {, p. 112 (signi- fication), Id. p. 131. — venimeux de l’Abeille. IX, art. n° 1, Lu) 18 À ORIA ARMANDI (Clpd.). XVII, art. n° 1, p. 321, pl. XII, fig. 348. ORIOLAMPAS LORIOLI (Cotteau) de l’Ara- gon. VIII, art. n° 1, p. 43. ORNITHOLOGIQUE (Faune) de la Grande- Comore. II, art. n° 5, p. 213 et 237. ORNITHOLOGIE fossile de Maurice. XVIII, art. n° 3, p. 215. OROPHORHYNCHUS (A. Milne Edwards). XVI, art. n° 4, p. 283. ORTHOMALUS ARARICUS Et.) (Crustacé jurassique du Boulonnais). XII, art. n° 6, p. 84, pl. IV, fig. 13. — MORINICUS, n. sp. (Sauvage) {Crus- tacé jurassique du Boulonnais). XII, aet-at'6, p.85; pli IV, fast ORyYx BEISA (Estomac de l). XVI, art. not, ph JE, fes 11-17; pl. VE fig. 45. OsMrA (Appareil génital G:). XX, art. n°3, pr 192, pl X, fe. 5. —- ADUNCA, O. GERULESCENS, O. NO- TATA, O. PARIETINA (Appareilglandu- laire). XIX, art. n° 1, p.58, 216, pl. Il, fig. 8,pl. VII, fig. 5. OSPHRANTICUM LABRONECTUM. XII, art. n°8; p.216, pl: VIE fie. T. OSSIFRAGA GIGANTEA (Gm.) (Estomac). Bart, n9 6, p.280, pl. XV, fig..2?; pl. XVI, fig. 32. OSTÉOLOGIQUE (Catalogue) du Muséum d'histoire naturelle des Pays-Bas, par M. F. À. Jentink. Leyde, 1887 (biblio- graphie). IV, art. n° 5, p. 174. OSTÉOLOGIE des os du Dodo et d’autres oiseaux éteints de Maurice, par sir Ed. Newton et Hans Gadow. XVIII, art 193, p.215: 319 OTocysTes des Prosobrarches. IIT, art. AU; Ds #17: Ovis ARIES(Estomac de l'). XVI, art. n° 1. p. 68, pl. I, fig. 7-8; pl. INT, fig. 23; pl. V, fig. 31. — TRAGELAPHUS (Estomac de l’). XVI, art. n° 1, p. 68, pl. IL, fig. 18. OXYDROMUS PROPINQUUS (Mar. et Bobr.). V,, art. n5 25e P PÆDoPHYLAX CLAVIGER (Clpd.). I, art. n° 4, p. 209, pl. X, fig. 84-91. PAGURIDÉS, affinités avec les Lithodes et les Lomis. XVIII, art. n° 2, p. 157. PAGuRIENS (Observations préliminaires sur les), recueillis par les expéditions du Travailleur et du Talisman, par MM.A.Milne-Edwards et E.-L.Bouvier. XIIT, art. n° 3, p. 185. — (Sur les branchies des), par E. L. Bouvier. XI, art. n° 8, p. 402. PAGURISTES HISPIDUS, n. spec. (4. Miine- Edwards et Bouvier). XII, art. n° 3, p. 208. — MACULATUS (Risso). XIII, art. n° 3, p- 206. — XVII, art. n° 2, p. 205, pl. XHI, fig. 21. — MAROCANUS (4. Milne-Edwards et Bouvier). XIII, art. n° 3, p. 201. PAGURUS BERHARDUS (/..) (Système ner- veux). VII, art. n° 2, p. 88, pl. VII, fig. 6-1. — CaLLipus (Risso).XIIL, art. n°3, p. 224. — GRANULIMANUS (Miers). XIIL, art. n° 3, p. 224. — STRIATUS (Latreille). XIII, art. n° 3, p.228. PALÆMON SQUILLA (Fabr.) (Système ar- témel} XI; art. n°5; p: 221. PALÆORYCTEROPUS QUERCYI, Sp. nov. (H. Filhol) (Oryctérope fossile du Quercy). XVI, art. n° 2, p. 135. PALINURUS VULGARIS (Latr.) (Système artériel). XI, art. n° 5, p. 213, pl. X, fig. 21; pl. XI, fig. 36. ParLEAUx (Recherches sur les organes) des Gastéropodes Prosobranches, par M. Félix Bernard. 1X, art. n° 3, p. 89. 316 PALUDINA VIVIPARA {Organe de Spengel). IX, art. n° 3, p. 243, pl. IX, fig. 39-41. — — (Branchie. Organe de‘ Spengel), p. 284, pl. XII, fig. 61-63. —M=MReun) NI art Ene Npure, pl. VIII, fig. 37-38; pl. IX, fig. 39-46 bis; pl. XII, fig. 65. — — (Système nerveux) II, art. n° 1, p. 63, pl. IX, fig. 15 et 16. — CGARINATA Valenciennes (Système nerveux). III, art. n° {, p. 63. PANDARIENS (Voy. Crustacés). PANGOLIN fossile du Quercy, XVI, art. HO SD AE. PAILLE-EN-QUEUE (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 48-58. PAon(Sacs aériens). XI, art. n°0 f,p.42,69. PARACTIUS MUTABILIS, n. sp. (baron de St-Joseph). V, art. n° 2, p. 240, pl. X, fig. 103-112; XX, art. n° 4, p. 210, pl. XII, fig. 31-32. PARALITHODES BREVIPES (}.Milne-Edw.). XVILL, art. n° 2, p. 181, pl. XII, fig. 8-19. — CAMTSHATICA (Tilesius). XVIII, art. DM DUT DEL AUTO NE ADIEU fig. 3. PARAMELANIA ARENARUM (Bourquignat). X, art. n° 1, p. 244, pl. XVII, fig. 3-1. — BourGuIGNATI (Giraud). X, art. n° 1, p. 213, pl. XV, fig. 18-19. — BYTHINIFORMIS (Bourquignat). X, art. DOM p. 242; pl KV Nine CET — CAMERONIANA (Bourguignat). X, art. om p 210 pl XV, 9022705 — CRASSIGRANULATA (Smith). X, art. AMD 002 pl EVE Mie. 1e — CRASSILABRIS (Bourquignat). X, art. n° 1, p. 241, pl. XVI, fig. 15-16. — DaMonr (Smith). X, art. n° 1, p. 200, Pl AV ot 17. — DUVEYRIERIANA (Giraud). X, art. n° 1. p:207;pl: XV, fig. 12-13. — EGREGIA (Giraud). X, art. n° 1, p. 205. pl. XV, fig. 1-3. — ELONGATA (Bouraquignat).X, art. n°1, p. 238, pl. XVI, fig. 9-10. — FORMOSA (Bourquignal). X, art. n° 1, p. 209, pl. XV, fig. 9-11. — GIRAUDI (Bourquignat). X, art: n° 1, p- 239, pl. XVI, fig. 19-20. — GRANDIDIERIANA (Bourgquignat). X, art: 0° 1, p. 221$ pluX NE "hp 1-2, ZOOGLOGIE. — INFRALIRATA (Bourquignat). X, art. n° 1, p. 203, pl. XV, fig. 4-5. — LacuNosaA(Bourquignat).X, art.u° 1, p. 224, pl. XVI, fig. 5-6. — LEDOULXIANA (Giraud).X, art. n° 1, p. 208, pl. XV, fig. 14-15. -— LESSEPSIANA (Giraud). X, art. n° 1, p. 218, pl. XV, fig. 28-29. — LiunÆaA (Bourquignal). X, art. n° 1, p. 235, pl. XVIL, fig. 7-8. PARAMELANIA LIVINGSTONIANA. X, art. n°1, p..235.,-pl: XVII, Mio, 1-2; — LOCARDIANA (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 240, pl. XVI, fig. 23-24. — MABILLIANA (Bourquignal). X, art. n° 1, :p: 252, BÉPANENHOMNERS — MILNE-EDWARD’SIANA (Bourquignat). X; art.rn0 1, p'Æ10; pl AN PER — NassA (Bourguignat). X, art. n° 1, p' 227 pl XVL Ne. es: — NAsSATELLA (Bourguignat). X, art. no. 1; p. 222 //pXVIL re er — NASSATIFORMIS (Bourguignal). X, art. n° 1, p. 234, pl. XVII, fig. 5-6. — OBTUSA (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 206, pl. XV, fig. 6-8. — PAaLusTris (Bourquignat). X, art. n° 1,.p. 219 pl XM, fia131737. — PULCHELLA (Bourauignat). X, art. n°4,0p. 237 pl XMIE emo 10: — RANDABELI (Bourquignat). X, art. n° 1, p. 225; pl XNE ie 1-29; — REYMONDI (Giraud). X, art. n° 1, p- 214, pl. XV, fig. 20-21. — SERVAINIANA (Bourquignat). X, art. n° 1, p. 243, pl. XVIL, fig. 11-12: — SINGULARIS (Bourquignalt). X, art. DOME DOTE Ver M'ÉITE — SMITHI (Bourquignat). X, art. n° 1, p228 pl AVES MERS — TIMIDA (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 215, pl. XV, fig. 24-25. — VENUSTA (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 230, pl. XVI, fig. 13-14. PARAMPHITHOE ELEGANS (Bruzelius)(Voy. Halirages elegans). — Brouspis (Bruzelius) (Voy. Pleustles Bicuspis (Krüyer). XV, art. n° 6. PARAPAGURUS PILOSIMANUS (S. J. Smith). XITT, art. n° 3, p. 204. PARASITES (Ecto-) des Aphroditiens. V, 0 EjPRE a OU UION à LA RS TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. PARASITISME (Voy. Commensalisme). PARATHELPHUSA BRrAZZÆ (A. Milne- Edw.). IV, art. n° 2, p. 142, fig. G. — CHAPERI (A. Milne-Edw.). IV, art. n°2, p. 144, fig.’4. — CHAVANESI (4. Milne Edw.). IV, art. n° 2, p. 145, fig. 3. — NicorTicAa (H. Milne Edw.). IV, art. na? pe 141. — PzæciLet (4. Milne Edw.). HU, pe 149, fie. 1. PARENCHYME des Gordiens. Il, art. n° 4, p. 209. PARMOPHORUS AUSTRALIS (Lmk.) (Sys- tème nerveux). III, art. 1, p. 26. IV, art. PARALOMIS ACULEATA (Henderson). AVI art. n°72, pi 1850 nl x, fig. 10-21. — GRANULOSA (Jacquinot et Lucas. " XVII art: n°2, D-0186, plXE, fier9, DURS — VERRUCOSA (Dana). XVIII, art. n° 2, p-:187, pl. fe. Parus MINOR (Tem. et ScAl.). XII, art. n° 9, p. 308. PASsEREAUX (Estomac des). IV, art. n6p2256, pl. XIE fs, 104, 14: pl. XIV, fig. 15-16, 20-21. — (Sacs aériens). XI, art. n° 1, p. 72. PATAGONIE (Description d’un nouveau tinamou de la), par M. E. Oustalet. Lénarbens 1 À; pe 18. PATELLA VULGATA (L.) (Organe de Spen- gel). IX, art. n° 3, p. 210-215, pl. XII, fie. 59-65. Branchies, id. p. 289. — — (Rein). VII, art. n° 2, p. 137,plL. I, fig. 6, pl. VIL, fig. 27 à 30. — — (Système nerveux). IIT, art. n° 1, DER pet he ParTinA (Voy. Lottia). PATHOLOGIE (Voy. Maladie). PATTES des Arachnides. XIII, art. n° 2, p= 123. PAVO CRISTATUS (Sacs aériens). XI, art. ARIpR2-61. PEASIA RETICULATA. p. 190. PÉcarr (Estomac du). XVI, art. n° 1, pu H6;-pl NT; fie. PÈCHE au grand chalut dans le golfe de Gascogne (Étude générale sur la), par M. Georges Roché. XV, art. n° 1, p. 1. Avant. Do 7, 317 PÉDICELLINES (Développement des). I, art. n° 1, p.54, pl. IV, fig. #lrà 45. PENILIA AVIROSTRIS (Dana). XVII, art. n° 6, Ps 391, pL XV, fig. 9. — ORIENTALIS (Dana). XVIII, art. n° 6, p: 350, pl. XV, fig. 12. — SCHMACKERI, n. Sp. (J. Richard). XVIIL, art. n° 6, p. 344, pl. XV, fig. 5, 1,11, 15 pl AVE te. 6 PÉNIS des Prosobranches. 111, art. n°1, p. 415. PEIGNE des Arachnides. XIII, art. n° 2, DS DIAE. PÉLOBATES (Organes de natation des larves de). VI, art. n° 1, p.94, pl. V, fig. 19-24. PÉRIHÆMAUX (Voy. Canaux). PÉRIPATE (Cerveau). XIV, p- 442. PERRIERELLA CRASSIPES (Chevreux et Bouvier). St-Vaast-la-Hougue, nov. gen .noy. spuXN art. n°6; p.112, pl. IL, fig. 1-11. PETALOPROCTUS TERRICO LA (Q/g.). XVII, art. n° 1, p. 144, pl. VII, fig. 180-188. PHAGOCATA ARETHUSA. XV, art. n° 7, p- 167. — CORONATA. id., p. 161-173. — GRACILIS. id., p. 147-161. PHALANGIDES (Organe lyriforme). XIII, art. n° 2, p. 8!. Pièces buccales, id. p. 116; pattes, id. p. 135. PHASCOLION SrROMBI (Mont). Corpus- cules sensitifs et glandulaires. XII, af: 29 1,0pe 12: PHASGOLOSOMA ELONGATUM (Kef.). Fol- licules sensitifs et glandulaires, XII, En LE CC C2 LD CA LE PR cé PHASTANUS COLGHICUS (L.) (Sacs aériens). XT art m0. 1; p: 69! — — (Sympathique). VII, art. n° 1, DeA2, He Nt, 9, 6, iteste., PIE He donpl NE tes 1. — DECOLLATUS (Swinh.). XII, art. n° 9, p. 316. PHÆTON ÆTHEREUS (Sacs aériens). XI], art. n° 1, p. 48, 58. PHERUSA FUCICOLA (Sp. Bate)(Voy. Aphe- rusa Jurinei (H. Mine Edw.). XV, art. n°67 p.1126: PHILANTHUS CORONATUS P.TRIANGULATUS (Appareil glandulaire). XIX, art. n° 1, art: y 09.3, 318 p.M56,258 DL, rent 7127150016; pl. VIIL, fig. 6; pl. X, fig. 6. PHOLOE SYNOPHTHALMICA (C/pd.). Var. Dinardensis. V, art. n° 2, pe 186. PHRYNES (Organe lyriforme). XIII, art. n° ?, p. 85, pl. IL, fig. 20; pièces buc- cales, id. p. 115; pattes, id. p. 140. PHTISICA MARINA (Slabber). St-Vaast-la- Hougue. XV, art. n° 6, p. 142. PHYLLODOGE (GAROBIA) LAMINOSA (Sav.). V, art. n° 2, p. 274, pl. XI, fig. 133-186. — (GAROBIA) MACROPHTHALMA (Schmar- da) N, Far 000 DSP DIR fig. 139-140. — MACROPAPILLOSA, n. sp. (B°" de St-Jo- seph). XX, art. n° 4, p. 224, pl. XI, fig. 41. — (GAROBIA) MACGULATA (OErst.). V, art. no poto XI fe. 191 VPULCHELLAMN(Mor.) XX, art, p.225: — (GAROBIA) RUBIGINOSA, n. Sp. de St-Joseph). V, art. n° 2, p. pl. XI, fig. 141, 143. — (CAROBIA) SPLENDENS, n. Sp. de S{Joseph}. W,vart n° "2, p. pl. XI, fig. 138. PHYLLOLITHODES PAPILLOSA (Brand). XVILT, art. n° 2, p. 114, pl. XI, fig. 12; pl. XII, Gg. 14, 25; pl. XIII, fig. 1. Paysa CouLBo1ist (Bourquignat). X, art. n° 1, p. 14, pl. I, fig. 24-25. — RANDABELI (Bourguignal). X, art. né 1 1p 412 ll fe 26-27 PaysiOLOoGi1E (Recherches de) et d’'hy- giène sur l'acide carbonique, par M. N. Gréhant. Il, art. n° 8, p. 332. — de la nutrition des infusoires ciliés. Vtart. not p112?, — du système nerveux modérateur et accélérateur du cœur chez le Crabe. XIV, arb1n°12, "p.381. — (Recherches sur la) de la vessie na- tatoire. IT, art. n° 7, p. 305. Picus MAJOR (L.) (Estomac). IV, art. n° 6, p. 264. — MARTIUS (L.) (Estomac). IV, art. n° 6, p. 266, pl. XIV, fig. 17. PIE (Pica rustica) (Sacs aériens). XI, art: 00/1; p- 178, DEAN AE Pièces buccales des Arachnides. XIIT, art: 10°2; (D. 407, (PER 282. (Bon 278, ZOOLOGIE. PIGEON (Sacs aériens). XI, art. n° 1, DU — domestique (Estomac). IV, art. n° 6, p. 249. — domestique (Sympathique du). VII, art. n° 1, p. 46, fig. 7 et 8, 10, dansie texte; pl. VI, fig. 4. — nicobar (Estomac}. IV, art. n° 6 D-297: PiLEOPSIS (Voy. Capulus). PINTADE (Sympathique). VII, art. n° 1, DGA NT PIONOSYLLIS LAMELLIGERA, n. sp. (ba- ron de St-Joseph). I, art. n° 4, p. 163, pl. VIII, fig. 30-38. — LONGOCIRRATA, n. sp. (baron de St- Joseph). TI, art. n° #, p. 160, pl. VII, fig. 24-29. Pisa GrB8s11 (Leach.) (Système artériel). XI, art: 005, pPAT pl'XDÉe RE PLANAXIS SULCATUM (Born.). IL, art. MOMRD-USE PLAGIOSTOMA PLANUM. XV, art. n° 7%, D: 210! PLAGIOSTOMUM boreale. XV, art. n° 7, p. 233. PLAGYOPYLA FUSCA (Quenn.). V, art. n° 1 ;p226 VD TES Ro" 28E82 PLANARIA AFFINIS. XV, art. n° 7,p. 226. — ALBISSIMA. Id., p. 180. — ANGULATA. Id., p. 263. — ARETHUSA. Id , p. 161. — BILINEARIS. Id., p. 176. — BRUNEA. Id., p. 175. — GANDID&. Îd., p.251: — CAPITATA. Id., p. 302. —. CAVATIGA- A0; pe 178: — CÆCA. Id., p. 178. —ICORNUTAT Id puis. — DORSALIS. Id., p. 255. — ELEGANS. Id., p. 176. — FELINA. 1d., p. 175. —CFLEXILIS. Id., p. 199. — FREQUENS. Id., pp. 232, 296. — FULIGINOSA. Id., p. 179. — FULVA. Id., p. 205. — FUSCA (Pall.). Id., p. 175. — FUSEA (Fabric.). Id., p. 261. — GESSERENSIS. Id., p. 267. — GONOCEPHALA. [d., p. 180. — GONOGEPHALOÏDES. Id., p. 183. — GRACILIS. Id., pp. 151, 167. ’ TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. GRISEA (Müll.). Id. p. 205. GRISEA ( Verr.). Id., p. 232. GROSSA. Id., p. 211. LACTEA. Id., p. 185. LIMACINA. Id., p. 3C1. LIMULI. Id., p. 221. LINEARIS (Müll.). Id., p. 217. LINEARIS (Rathke). Id., p. 247. LITTORALIS. Id., p. 223. LONGICEPS. Id., p. 227. LUGUBRIS (0. Selsm.). Id., p. 180. LUGUBRIS (Sillim.). Id., p. 184. MACULATA. Id., pp. 152, 181. NIGRA. Id., p. 174. NIGROFUSCA. Id, p. 136. PALLIDA. Id., p. 186. PANNICULATA. [d., p. 175. PELLUCIDA. Id., p. 189. POLYCHROA. Id., p. 175. PULLA. Id., p. 176. ROSEA. Id., p. 282. RUTILANS. Id., p. 234. SAGITTA. Id, p. 180. SARGASSICOLA. Id., p. 189. STAGNALIS. Id., p. 178. SUBTENTACULATA. Id., p. 180. SYLVATICA. Id., pp. 151, 158. TASMANICàÀ. Id., p. 176. TENTACULATA. Id., p. 186. TEERRSTRIS. Id., p. 157. TIGRINA. Id., p. 179. TORVA. Id., p. 180. TRUNCATA (M&ll.). Id., p. 207. TRUNCATA (Leidy). 1d., pp. 152, 185. NEVÆ. Id., pp. 146, 225, 232. | VAGINULOIÏDES. Id., p. 176. VIGANENSIS. ]d., p. 175. VIRIDATA. Id., p. 205. VITTA. Îd., p. 185. VRUTICIANA. Id., p. 180. PLANARIÉS (Recherches sur les) et les Némertiens de l’Amérique du Nord. par le D' Charles Girard. XV, art. n° 7, p. 145. PLANAXIS SULCATUS (Organe de Spen- gel). IX, art. n° 3, p. 190. PLANOCERA ELLIPTICA. XV, art. n° 7, p- 14C-190. — GAIMARDI. Id., p. 189. ” — NEBULOSA. Id., p. 191. — PELAGICA. Id, p. 189. — PELLUCIDA. Id., p. 189. | PLEURONCODES (Sfimpson). 319 — RETICULATA. Id., p. 190. — SARGASSICOLA. Id., p. 189. PLANORBIS ADOWENSIS (Bourguignat). X; art. n° 1, p. 17, pl. I, fig. 1-4. — BRIDOUXIANUS (Bourguignat). X, art. n° 1, p. 20, pl. I, fig. 9-12. — CORNEUS {Organe de Lacaze-Du- thiers). IX, art. n° 3, p. 234, pl. IX, fig. 38. | — LAVIGERIANUS (Bourquignat). X, art. note i9cpk EI, fe. 56. — Monceri, sp. nov. (Bourguignat). X, arine:}, ps. — SUDANICUS (Martens). X, art. n° 1, p. 15, pl. I, fig. 13-15. — TANGANIKANUS (Bourquignat). X, art. n° 1, p. 16, pl. I, fig. 16-17. PLANORBULA TANGANIKANA (Smith). X, arton® 1; p.23. PLATALEA LEUCORODIA (Sacs aériens). KE; et n°1, p.62. PLATOPHIUM DaRWINt (Sp. Bale. St- Vaast-la-Hougue. XV, art. n° 6, p. 141. PLATYCARCINUS PAGURUS (L.) (Système artériel). XI, art. n° 5, p. 241, pl. X, fig. 20; pl. XI, fig. 27-31. PLATYTHELPHUSA ARMATA, n. sp. IV, art. n° 2, p. 147, fig. 10 a, 10 d. XVI, art. n° #, p. 248-249. PLEURONECTES (Organes de natation). VI, art. n° 1, p. 89, pl. IV, fig. 40-41. PLEUROTOMA NODIFERA (Lmk.) (Sys- tème nerveux). LI, art. n° 1, p. 31?, pl. XVIL, fig. 78. — BABYLONIA {L.), p. 314, pl. XVI, fig. 79. PLEUSTES Bicuspis (Krüyer). St-Vaast- la Hougue. XV, art. n° 6, p. 124. PLIOCÈNE de Sainzelles près le Puy (Hte- Loire). Hyœna Brevirostris. XV, art. nt 2, pif: | PLOGEUS (FONDIA) CONSOBRINAUS (A4/ph. Milne Edw. et E. Oust.). II, art. n° 5, p. 235. 1 PLOTUS MELANOGASTER (L.) (Estomac;. IV, art. n° 6, p. 275, pl. XV, fig. 23-24. — NANUS, sp. nov./E. Newlon et H. Gu- dow). Ile Maurice. XVIII, art. n° 3, p- 226. PNEUMATISATION squelettique des oi- seaux. XI, art. n° 1, p. 31. 320 Popicers (Esp. foss.) Ile Maurice. XVIIS, art. n°08; p. 228: — GRISTATUS (L.) (Sacs aériens). XI,art. n°: 1, p. 54. PopocEerus CUMBRENSIS (S{ebbing et Ro- bertson).-XV, art. n° 6, p. 131. — FALCATUS (Montagu) — PELAGICUS, g très adulte (sp. Bale) — PULCHEL- LUS, Q (sp. Bate). St-Vaast-la-Hou- oue XV Vart not penlote Porzs des Arachnides. XII, art. n° 2, p. 43. — articulés des Arachnides. XIII, art. n° 2, p. 44 et 163. — des Araignées (Formation des). VI, art. n° 3, p. 296. Poissons de la pêche au grand chalut. XP Part nos D "Ale Pocra AFFINIS. XV, art. n° 7, p. 259. — CORONATA. Id., p. 252. DELINEATA. Id., p. 264. DUGESII. Id., pp. 239-241. GRACILIS. Id., pp. 147-148. GRISEA. Id., p. 265. HUMILIS. Id., p. 252. OBSCURA. Id., p. 268. SANGUIRUBRA. Id, p. 252. VERMICULARIS. Id., p.252. POLINA GLUTINOSA. XV, art. n° 7,p. 265. GRISEA. Id., p. 265. RHOMBOÏDALIS. Id., p. 269. POLISTES DIADEMA. P. GALLICA (Appa- reil glandulaire). XIX, art. n° 1, pp. 105201, 232,0pl TT is 0419" pl NIL is. A4spl. Xi — GALLICA (Appareil génital G'). XX, art. n° 3, p. 160, pl. IX, fig. 1-3. POLYBOSTRICHUS MuLLERI (Keferst.) — Aulolilus prolifer. 1, art. n° 4, p. 238, pl. XII, fig. 118. POLYCELIS BRUNEA (Ehr.). XV, Let ren PAIN ET carnuevs (Gr) 1d;p115 CORNUTA (Grd.). 1d., p. 175. CORNUTUS (0. Schm.\.Id., p. 175. FALLAX. Id., p. 175. FELINA (Grd.). Id., p. 175. LæÆviGarTus. Id., p. 175. MODESTUS. Id.. p. 175. NIGRA (Ehr.). Id., p. 174. PALLIDUS. Id., p. 175. POLYCHROE (Grd.). Id., p. !75. art. ZOOLOGIE. — PANNICULATA (Grd.). Id., p. 175. —TIGRINUS- Ed pus. — VARIABILIS (Grd.). 1d., pp. 175, 176, 199. — VIGANENSIS (Sfimps.). Id., p. 115. POLYCHÈTES (Les Annélides) des côtes de Dinard, par M. le baron de St- Joseph. 1re partie. I, art. n° 4, p. 121; 2e partie. V, art. n° 2, p. 141. 3e part. XVII, art. n° {.4e part. XX, art. n° 4, p. 185. Tables générales. Id., p. 241- PTE — (Épithéliums sensitifs). XIII art. Dot, Sp A2mME POLYCIRRUS AURANTIACUS (Gr.). XVII, art-m°1%p.259; — CALIENDRIUM (C{pd.). XVII, art. n° 1, p. 237, pl. X, fig. 263-269. — DENTICULATUS, n. sp. (baron de St- Joseph), Ann. de Dinard. XVII, art. n° 1, p.249 DEL ie 2112 — HÆMATODES (Clpd.). XVIL, art. n° 1, p. 241, pl. X, fig. 270. — TENUISETIS (Lang.). XVII, art. n° 1, p:240: POLYDORA CæCA (OErst.). XVII, n° 1; p.59; (pl. UT, fi69=10: — CILIATA (Johnst.). XVII, art. n° 1, p. 62, pl: IH, fig. 71-73. — HopzurA (Clpd.). XVII, art. n° 1, p-105: — PUSILLA, 0. Sp. (baron de St-Joseph). Ann. de Dinard. XVII, art. n° 1, p. 65, pl. I, fig. 74-71. POLYMASTUS (Voy. Eurysytlis). POLYMNIA NEBULOSA (Mont. nec Johnst.). XVII, art. n° 1, p. 219, pl. IX, fig. 246- 255. | — NESIDENSIS (D. Ch.). XVII, art. n° 1, p. 225, pl. X, fig. 256, 258. POLYHOPLA NEMERTES. XV, art. n°9 1, p. 240. POLYNOE SCOLOPENDRINA (Sav.). Var. Brevipalpa. V, art. n°2, p. 183. PoLYNOïDIENS (Classification). V, art. n° 2, p. 148. Larves indéterminés. XX, art. n° 4, p. 196, pl. XI, fig. 15-17; pl. XII, fig. 25-26. POLYPES MADRÉPORAIRES (Le commen- salisme chez certains), par E. L. Buu- vier. XX, art. n° 1, p. 1, 3 fig. ‘et 1 pl: PoLyPpine (Développement du) des art. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. Bryozoaires (Bourgeonnement). art. n° 1,p. 73, pl. IV, fig. 46 à 50. POMATOCEROS TRIQUETER (L.). XVII, art. n° 1, p. 353, pl. XII, fig. 393-407. POMATORHINUS MACCLLELANDI. Var. De- dekensi (Oust.). XII, art. n° 9, p. 304. POMPILITS FUMIPENNIS, P. MELANARIUS, P. vrarTicus (Appareil glandulaire). XIX, art: nome ennui, 242, DL, IT, bot pluies 16,28; pl. /VIIT, be. 1: pl IN be #. POPPELLA GUERNEI (Richard). XII, art. n° 8, p.252. Glande du test, p. 139, DIN ER 13: PORCELAINE (Voy. Cyprea). PORCELLANA LONGICORNIS (Penn.) (Sys- tème nerveux). VII, art. n° 2, p. 93, pl. VII, fig. 8 et 9. — PLATYCHELES (Penn.) (Système arté- riel). XI, art. n°5, p. 202 et sq., pl. X, fe223 px fo, 32. — — (Système nerveux). VII, art. n° 2, PAS: ple VI Ge,9; 10: I, PORCELLANIENS. XVI, art. no 4, p. 287. PORCGELLIO SCABER (Leach) (Dévelop- pement). XVIIL, art. n° 1, p. 26, pl. I- X. Série des phases évolutives, p. 26- 17. Histogenèse, p. 18-144. PorTax Picra (Estomac de). XVI, art. not pe6, pl, brfe. 1 et2: pli, fig. 20-22; pl. VI, fig. 46. PORTUNUS CORRUGATUS (L.) (Système artérieD XI, art: n°9:5,p+239,/pl° X, 118: 27. POSEIDON AFFINIS. XV, art. n° 7,p. 258. — COLEI. Îd., p. 258. POTAMIDES EBENINUM (Reeve) (Système nerveux). IIE, art. n° 1, p. 142, pl. VII, fig. 28. POTAMILLA INCERTA (Lang.). XVII, art. no. D. -299: — RENIFORMIS. XVII, art. n° 1, p. 292, pl. XI, fig. 296-298. — TorELLI (Mgr). XVII, art. n° 1, p. 296, pl. XI, fig. 299-302. PouLE domestique (Estomac). IV, art. n° 6, p. 189-234, pl. XII, fig. 2, 4-9. PRAXITHEA IRRORATA (Mgr.). V, art. n°,2, p. 263,.pl. XI, fig..131;:XX, art. n° 4, p. 215, pl. XII, fig. 33-36; XIII, fig. 31-39. ANN. SC. NAT. ZOOL. 321 PRENASTER ALPINUS (Desor) de l’Aragon. VEBE, arf; n9/1%n:087, PRINASSUS NORDENSKIOLDI (Hansen) (Voy. Guernea coalila) (Norman). XV, art. n° 6. PRIOGNEMIS AFFINIS, P. EXULTATUS, P. FUSCUS, P. VARIEGATUS (Appareil glandulaire). XIX, .art. n° 1,:p. 117, pl. IPS pl Vete. 16 pl X, fig. 2. PRIOCNEMIS (Appareil génital). XX, art. n° 3,;:p. 166, pl. X, fig. 12. PRIONOGNATHUS (Voy. Sfaurocephalus). PROCERÆA (Voy. Aufolytus). PROCERODES WHEATLANDI. XV,art. n° 7, p-197: PROGEROS CRISTATUS. XV, art. n° 7, p. 196. PROCOTYLA FLUVIATILIS. XV, art. n° 7, p. 153-164. — LEipyi. Id., p. 166. PRORHYNCUS FLUVIATILIS. XV, art. n° 7, pp. 240-244. — RIVULARIS. Id., p. 239. — STAGNALIS. Id., p. 239. — TENUIS. Id., pp. 240-244. PRORODON NIVEUS (Ehr.). V, art. n° 1, pe DRE fie.:t al, etple If 12 à 15. PROSOBRANCHES (Voy. Gastéropodes). — (Système nerveux). Trompe, II, AB. 00 de D: U412- DÉS, p- #15 (Classification des). Id., p. 445 ; otocyste Id., p. 417 ; zygoneurie. Id., pp. 361, 367; mufle. Id., p. 412; morphologie comparée. Id., p. 343; branchies et fausses branchies. Id. p. 406; chiastoneurie et tor- sion. Id., p. 436; senestres. Id. p. 441; loi des connexions. Id. p. 343; glandes salivaires et glande impaire. Id., p. 425; siphon, p. 405. —- Organes Palleaux. IX, art. n° 3. — (Rein). VII, art. n° 2, p. 61. PROsoPisTOMA (Note sur l’existence au Sénégal d'une espèce nouvelle de), ‘par M. À. Vayssière. XV, art. n° 10, p. 337. — FOLIACEUM (Fourcroy). IX, art. n° 2, p.134, DL_E av, fig 1 à Pet ana 35. — VARIEGATUM (Latreille, 1833). IX, art. XX, 2 322 n°9 p.234, pl, dis. 12 (dernier anneau). PROSTHECERÆUS TERRICOLA. XV, art. 10/1, p.10: PROSTHIOSTOMUM ARCTUM. XV, art. n° PAU — ELONGATUM. Id., p. 171. — GRACILE. 1d., pp. 117-198. PROSTOMA CANDIDUM. XV, art. n° 7, D25F — CLEPSINOÏDEUN. Id., p. 239. — LUMBRICOÏDES. Id., p. 239. — MARGINATUM. Id., pp. 151-206. PROTELLA PHASMA (Sp. Bale) (Voy.Pseu- doprotella phasma). XV, art. n° 6. PROTO Goopsiri (Sp. Bate). — PEDATA (Leach). — VENTRICOSA (0. F. Müller) (Voy. Phtisica marina (Slabber). XV, ETC. 0 p-22" PROTOMEDEIA HIRSUTIMANA (Sp. Bate) (Voy. Leptocheirus hirsutimanus) (Sp. Bate). XV, art. n° 6, p. 132. PROTULA TUBULARIA (Mont.). XVII, art. n° 1, p. 362, pl. XIIL, fig. 408-413. PSAMATHE. Voy. Kefersteinia. PSAMMOPHILA (Organes génitaux d). XX, art. n° 3, p. 168, pl. X, fig. 9, 14. — AFFINIS P. viaATIcA (Appareil glandu- latre) KXIX, arte MMpRIS TR DIV: fig. 10,12; pl. V, fig. 8, 8, 20-22. PSEUDOPROTELLA PHASMA (Montagqu).St- Vaast-la-Hougue.XV, art. n° 6,p. 142. PSEUDOSIDA BIDENTATA (/lerrick). XVIII, art. n° 6, p. 310, pl. XVI, fig. 2, 5, 10. PSITHYRUS BARBUTELLUS. P. RUPESTRIS (Appareil glandulaire). XIX, art. n°1, D. 51 OL PLOIL en END, fig. 18; pl. XI, fig. 6. PSOPHIA CREPITANS (L.) (Estomac). IV, art. n° 6, p. 214, pl. XVI, fig. 33. PTÉROCÉPHALES. Voy. Crustacés. PTEROCERA LaMBis (L.) (Système ner- veus) 00 art mb pere — — (Organe de Spengel).IX, art. n°3, OS LORS ON CRETE ZT QE NA STE ie fe 7 at 90 Imp'®Lemercier, Paris. Nicolet lith. G.Masson Editeur. Ann.des Sc.nat. 7 ®Serte. Zool. TV LS. SARL LOGS SELS LA SIP Cal Us Lot CRONRON D = 2" à 708: 110 Rg.l6 76 es ne nee À 1 Fe. 707-110 Fig.19 Nicolet lith. ; Imp'e°Lem ercier, Paris. G. Masson Editeur. Ann. des Sc.rnat.7* Serre. Zool.TLAX.-FPL 0 Tes JL, : BP on aS d Er. Îm 1? 18 4, emMmeErCIer dû P aTis. "4 { / COL EL We : Glandes genitales miles des Bombinæ. GC. Masson, Editeur. RU Le LR Ann. des Se.nat. 7 2Sèrre. Lool JAY. PLZ L,. Pordzs del C. Mzsson Éditeur. Mcolet fé. Clandes génitales males des Aprrræ . {mp Lemercier faris LD 7 DA NAT 1 Are. des Se.nat. 7 Sorie. ” Mcolet LR. G. Masson Editeur. L.Pordas del Glandes genitales mâles des lespieæ. Zrp'®Zemercier, Paris. _A ru. des SC. rat.7 «Serre Zool TXT 7I 9 ZL.Porcas dei GMesson Éditeur. Wicolet fit8. Glandes génitales males des Polistinæ, des Fumeninæ, des Andrenidæ ele. np SZemercier Paris. L'AT F0 40. Zoo. An. des Sc. nat. 7 Serée. F G Masson Editeur Appareil genttal male des Sphectreæ, Z.Porces del. ec. des Lhreumno @7IS. À np" Lemercier, CRT . RE ve M Li Zool.T AY. PL. 11 An. des $c.nat. 7 “Serte. ML Ki ME PTE $ Îcolet LB, U?, Syllidiens 7 Aphro ditiens G. Masson Edite 8 Jemercier Paris, 2e Zoo1. LAT, FT. 12 Ann.des Sc.nat.7*Serte. Pt ann image 2 re amet “‘G.Masson Edi teur. Nicolet lit” Aphroditiens. Euniciens. ZLycoridiens. /mp ®Lemercier, Paris. An. des Sc.nal. 7 *Serce. ss et lith. eo. nu Lycoridiens £ Phyllodo Masson Fditeur G CLIS. $ Lemercier, pris. É vi /mp + a £ “: LACET Be ANNALES DES SCIENCES NATURELLES ZOOLOGIE PALÉONTOLOGIE COMPRENANT L'ANATOMIE, LA PHYSIOLOGIE LA CLASSIFICATION ET L'HISTOIRE NATURELLE DES ANIMAUX : ER PUBLIÉE SOUS KA DIRECTION DE M. ALPH. MIÈNE EDWARDS SÉRIE TOME ZA Année 18 PARIS G. MASSON, ÉDITEUR LIBRAIRIE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE 120, Boulevard Saint-Germain 28, Essex Street, Strand, LONDON. Bookgellers & Bublishers, PRE AT / PA + # PAT CORNE TRS TOC IL ORDRE DE LA PUBLICATION ANNALES DES. SCIENCES NATURELLES BOTANIQUE Première série, par MM. AupouiN, Ad. 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