ja i RUN) DT REA NA “al nn 171 RE qe A 4 NEA + A Rae Li ï ji 0 (ut Le AUS Q RUN pe \f: REP ! (AL) | AS y il APE na PAU NAT AE RAS 14 (44 à (ox {4 AE 4 a 4 N TRS FH fe Na die Ni rl UN FU Ju = su i Ni jé si io 1 AE F D tt JE A SET fn } fes vi A Hi ho (1 fi We. f ne AH M pu ; . . di A RU An W me ee f PA k nt Aer En) A à ANNALES DES SCIENCES NATURELLES HUITIÈME SÉRIE ZLOOLOGTE ANNALES DES SOIENCES NATURELLES ZOOLOGIE PALÉONTOLOGIE COMPRENANT L'ANATOMIE, LA PHYSIOLOGIE, LA CLASSIFICATION ET L'HISTOIRE NATURELLE DES ANIMAUX PUBLIÉES SOUS LA DIRECTION DE M. EDMOND PERRIER TOME XX PARIS MASSON ET Ci, ÉDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MEDECINE 120, Boulevard Saint-Germain 190# 27 CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES (MULTIPLICATION, RÉGÉNÉRATION, GREFFES, VARIATIONS) Par ARMAND BILLARD, Agrégé de l'Université, Préparateur à la Faculté des Sciences de Paris. INTRODUCTION La plupart des Hydroïdes forment des colonies offrant le même aspect que les plantes; aussi Cuvier les rangeait-il parmi les animaux-plantes ou Zoophytes. Comme les plantes, ces colonies se développent par bourgeonnement. Plusieurs auteurs, Weïssmanx [83] (1), Driescx [’90, 90 &, 91, 91 «|, Harrzaus |’97|, ont étudié l «architectonique » ou, comme l'on dit encore, la « tectologie » (HæckeL [’66]|) et la loi de croissance de différentes espèces d'Hydroïdes. Ils ont ainsi trouvé chez ces animaux inférieurs certains modes de rami- fication des végétaux : chez les Gymnosblastiques, la ramifi- cation est comparable à une grappe; chez les Calyptoblas- tiques, c’est un sympode hélicoïde ou scorpioïde. Le bourgeonnement des Hydroïdes est un mode de multi- (1) Les chiffres placés entre crochets renvoient à l'index bibliographique (p. 237), établi d’après l’ordre alphabétique ; ces chiffres représentent la date du mémoire, la première partie du millésime étant remplacée par une apostophe (’) pour 18 et par deux points (:) pour 19. ANN. SC. NAT. ZOOL. See El 2 ARMAND BILLARD. plication ; c’est, en effet, grâce à ce bourgeonnement que les différentes unités composant une colonie augmentent en nombre. Ces faits sont connus. On sait aussi que l'hydro- rhize peut donner naissance en différents points à de nou- velles colonies. Dans ce travail, Je laisserai de côté ces cas de multipli- cation et j'envisagerai ceux qui résultent de la formation sur la colonie de rameaux spéciaux. Dès l’abord, 1l y a lieu de distinguer deux cas : dans le premier, certains rameaux s’allongent plus ou moins sans former d'hydranthe à leur extrémité; ils restent en conti- nuité avec la colonie qui leur à donné naissance ; ils sont susceptibles de se fixer sur un support et de se transformer en un stolon sur lequel naïîtront de nouvelles colonies. A ces rameaux J'ai donné le nom de rameaux stoloniques |: O1 «| (stolonisirter Zweig de HartLaus |: 00)). A la formation de ces rameaux stoloniques et à leur transformation en stolons après fixation j'ai donné le nom de stol/onisation |: 01 c|, emprun- ant ce terme à une note de GrarDb {98}, mais en l'employant dans un sens différent. Cet auteur, en effet, entend par stolonisation la faculté que possèdent certaines espèces tant végétales qu'animales (Circinalium concrescens Giard, Pero- phora Listeri Wiegm., Bowerbankia, Campanularia calicu- lata cks.) de prolonger leurs stolons en longs filaments en dehors du substratum, sous l'influence de l’eau courante. Lorsque le Campanularia caliculata est soustrait à l'action du courant et placé dans un cristallisoir, ces stolons se fixent sur le verre et bourgeonnent de nouveaux hydranthes. Grarp donne aussi à ce phénomène d’allongement des stolons le nom de rhizomanie, qu'on pourrait lui attribuer exclusivement, en réservant le nom de stolonisation aux phénomènes que Jj'aborde dans ce travail. Dans le deuxième cas, les rameaux particuliers (rameaur propaqulaires) se détachent plus où moins tardivement de la colonie mère et ces parties séparées que j'ai appelées propa- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 5 qules | : O1 b] sont entrainées par les courants et sont destinées à donner naissance à de nouvelles colonies. Ce sont des agents de dissémination de l'espèce. À ce phénomène j'ai appliqué le nom de scissiparilé |: GA 0}, mais il s’agit là d’une seissiparité secondaire, comme on le verra plus loin. La production, soit de stolons, soit d'hydranthes, par des parties détachées d’une colonie, n'étant en somme qu'un pro- cédé de multiplication, la régénération fera l'objet d’un chapitre spécial et dans cette étude J'ai eu surtout en vue la régéné- ration des espèces stolonipares et scissipares. J'ajouterai que l'étude morphologique et biologique de la stolonisation, de la scissiparité et de la régénération est suivie de l’étude histologique de ces différents phénomènes. J'ai consacré un chapitre à l'étude des greffes entre espèces identiques (homoplastiques) ou entre espèces diffé- rentes (hétéroplastiques). Enfin ce travail sera complété par une liste des Hydroïdes récoltés à Saint-Vaast, et pour certaines espèces J'ai étudié les variations qu'on pouvait rencontrer et les modifications dans la ramification provenant de la régénération de parties accidentellement détachées, soit par l'intervention d’un ani- mal, soit par une action mécanique. J'adresse un témoignage de particulière reconnaissance à mon Maître, M. E. Perrier, Directeur du Muséum, qui m'a indiqué les Hydroïdes de Saint-Vaast comme sujet d'étude, et Je le prie d'accepter l'expression de ma sincère gratitude pour les conseils éclairés qu'il n’a cessé de me prodiguer. Je le remercie également des facilités de travail qu'il m'a accor- dées dans son laboratoire de Malacologie du Muséum où ces recherches ont été commencées, ainsi que dans le labora- toire maritime de Saint-Vaast où j'ai reçu la plus large hos- pitalité. Ce travail a été terminé à la Faculté des sciences de Paris (Enseignement du P. C. N.), et ce m'est un devoir bien agréable de présenter mes sincères remerciements à M. KR. 4 ARMAND BILLARD. Perrier, Professeur du Cours de Zoologie, qui à toujours été très bienveillant pour moi et a mis à ma disposition toutes les ressources de son laboratoire. Grâce à son auto- risation, j'ai pu installer dans une des salles un petit aquarium d’eau de mer, ce qui m'a permis de compléter les observations faites au bord de la mer et de mener à bien les essais de régénération que je décris plus loin. -MM. les Professeurs Giard et Henneguy ont bien voulu me donner quelques conseils. Je les prie de croire à ma vive gratitude. Je remercie sincèrement M. Joubin, qui à succédé à M. E. Perrier dans la chaire de Malacologie au Muséum et qui m'a accueilli avec bienveillance dans son laboratoire. M. Gravier, Assistant de la Chaire de Malacologie, m'a souvent donné de précieux encouragements. Je lui en suis particulièrement reconnaissant. J'adresse de même mes remerciements à M. G. Bertrand, de l’Institut Pasteur, qui à été pour mot un guide compétent et très accueillant dans une question de chimie biolo- gique. Je remercie également M. Malard, Chef des travaux scientifiques du laboratoire maritime de Saint-Vaast, pour son obligeance envers moi el son empressement à récolter et à m'envoyer des animaux dans des conditions telles qu'ils m'arrivaient vivants à Paris. Je ne veux pas terminer cette introduction sans adresser à mon premier maître, M À. Schneider, Professeur à la Faculté des sciences de Poitiers, un témoignage de profonde : reconnaissance, car Je n'oublie pas que c'est grâce à ses excellentes leçons que j'ai acquis le goût des sciences natu- relles. Ses conseils m'ont été très précieux pendant les deux ans que Je fus son préparateur. (14 CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. MÉTHODES GÉNÉRALES Pour étudier en détail les phénomènes qui font l’objet de ce travail, il fallait assurer le plus longtemps possible la conservation des animaux en expérience. Dans ce but, j'ai employé différents moyens. Un d’entre eux m'a donné les meilleurs résultats et il est bien supérieur à la conservation dans des cristallisoirs, même à grande surface d'aération, ou |) 2% GA Lu Mr AU RER = n ML E = ini Nine | | 1) . cel À ll qu | zZ LOL UM UM LILI LU A LLMIUE ll ul Fig. 4. — Appareil employé pour la conservation des Hydroïdes. — F et F, flacons de conservation; L, flacon laveur ; T, trompe : A, tube d'arrivée de l’air; E, tube de sortie. dans de petits vases plats. Ce procédé, dont le principe a été appliqué par différents naturalistes, consiste à faire barboter de l'air dans les flacons renfermant les animaux en expé- rience. Il m'a été indiqué par M. le D° Bounhiol, à qui J'ex- prime toute ma reconnaissance pour ce précieux rensel- onement. Voici le dispositif que J'ai utilisé au laboratoire de zoologie de la Faculté des sciences (P. C. N.). Les animaux en observation, ou à conserver pour des observations ulté- rieures, sont placés dans des bocaux de 5 à 6 dires (modèle Lacaze-Duthiers) (fig. 1, F et F’) fermés herméti- quement par un bouchon paraffiné, et de plus luté à la 6 ARMAND BILLARD. paraffine. Le bouchon est percé de deux trous traversés chacun par un tube coudé, l’un (A) effilé à son extrémité et arrivant presque au fond du bocal, l'autre [E) dépassant légèrement la surface inférieure du bouchon; tous ces bocaux sont disposés en série, les tubes de verre étant reliés par des tubes de caoutchouc. Le dernier flacon est un flacon laveur (L) à moitié plein d'eau de mer. Ce flacon à un double rôle, d'abord de débarrasser l'air, pris à Pexté- rieur, de ses poussières et de ses germes d'organismes; ensuite d'empêcher la concentration de l'eau de mer du dernier bocal, en chargeant d'humidité l'air aspiré. De plus, le tube de prise d'air peut être muni à son extrémité d’un tampon d’ouate qui arrête aussi les poussières de l’atmo- sphère. Le premier bocal est mis en communication avec une trompe à eau ({T) qui détermine l'aspiration de Pair. L'air passe ainsi bulle à bulle à travers tous les flacons. De cette façon l’eau est parfaitement aérée et de plus brassée par le passage continuel de bulles d’air, lequel peut être d’ail- leurs réglé à l’aide de pinces à vis (P) serrant plus ou moins les caoutchoucs qui unissent les différents bocaux. Grâce à cette méthode, les conditions dans lesquelles se trouvent placés les animaux se rapprochent de celles où ils vivent dans la nature, les Hydroïdes littoraux auxquels je me suis adressé se trouvant dans une eau très aérée et conti- nuellement agitée. On peut de cette façon conserver des animaux en parfait élat pendant longtemps sans avoir besoin de changer l’eau de mer, ce qui est un avantage sérieux lorsqu'on n'a à sa disposition qu'une quantité limitée de cette eau. Pour déterminer l'aspiration de l'air, on peut se servir d’une trompe de Wurtz. J'ai utilisé une trompe qui pro- duisait à la fois l'aspiration et le refoulement de l'air. L'air refoulé servait à aérer l’eau d’un cristallissoir dans lequel Je conservais aussi des Hydroïdes. Ce procédé à cependant un inconvénient, c'est qu'il nécessite beaucoup d’eau pour alimenter la trompe: aussi CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. qi ne saurait-1k servir dans les endroits où l’on ne dispose que d’une faible quantité d’eau sous une faible pression, mais dans ce cas on peut déterminer l'aspiration à l’aide de las- pirateur déerit par BouxuioL |: 02] dans son travail sur la respiration des Anné- lides polychètes. Pour étudier facilement le dévelop- pement des stolons, je maintiens appli- qués les animaux en expérience à l’aide de fils de soie peu serrés contre des plaques de verre de 45 millimètres sur 80 millimètres ou contre des lames couvre-objet de 26 millimètres sur 76 millimètres, lorsqu'il s’agit de petites espèces. J'ai également employé ce procédé pour maintenir les segments de colonies dont j'étudiais la régénération (fig. 2, A) et en comptant les segments toujours dans le même sens, de haut en bas et de gauche à droite par exemple, il était facile de repérer chaque segment et d’en EE Rene étudier séparément le développement régénération; B, seg- c ë o ment suspendu à l’ex- sans crainte de confusion. Le fil de soie {rémité d'un fil de soie étant peu serré, assez cependant pour (rs fin auquelest atta- ï ù 5 chée une petite plaque maintenir une colonie ou un segment de verre numérotée. de colonie, ne blesse pas le cæœnosarque à l'endroit où 1l s s'applique et le courant interne se fait libre- ment, comme j'ai pu maintes fois le vérifier. Les plaques de verre ainsi garnies sont suspendues dans les bocaux à l’aide d’un fil maintenu par la paraffine servant à luter le bouchon. Les lames de verre sont numérotées et datées à laide d’une encre spécialement préparée pour écrire sur verre (Glasschreibtinte de Grübler). Cette encre ne reste cependant pas absolument inaltérée dans l’eau de mer, mais les traits persistent pourvu qu'on évite de les frotter. 7 Mas 1903 8 ARMAND BILLARD. Ce procédé présente un double avantage : d'abord on peut facilement suivre sous le microscope le développement des stolons ou des segments en voie de régénération, en pla- çant les lames de verre dans un vase plat (boîte de Pétri) avec une faible quantité d’eau de mer; ensuite, grâce au numérotage des plaques et à la position fixe des objets en expérience, on retrouve facilement l’objet considéré. Lorsque j'avais affaire à des espèces que je désirais fixer, pour des études histologiques, après développement, J'em- ployais, sur les conseils de M. E. Perrier, des lames collo- dionnées. Le collodion que j'utilisais était du collodion pharma- ceutique légèrement riciné qui se rétracte moins. Cependant Je n’arrivais pas à l'empêcher de se détacher des lames, ce qui ne présentait d’ailleurs aucun inconvénient, ce collodion étant maintenu par les fils d'attache. | Lorsque je voulais éviter l’action possible du support dans les régénérations, j'attachais les segments d'Hydroïdes à l’aide de fils de soie très fins qui portaient aussi une petite plaque de verre avec un numéro d'ordre (fig. 2, B). De celte façon le segment était baigné de tous côtés par l’eau; un segment ainsi attaché est représenté dans le flacon F' (fig. 1) et à côté, on voit une lame de verre contre laquelle sont maintenus des segments en expérience. J'ajouterai que les colonies que je me suis fait adresser de Saint-Vaast à Paris étaient placées pour l'envoi dans de larges tubes avec des algues vertes et des morceaux d’éponges imbibées d’eau de mer. Dans ces conditions, pourvu que le temps ne füt pas trop chaud, les animaux arrivaient en assez bon état de conservation ; toutefois les hydranthes étaient rétractés et morts pour la plupart, mais le cœnosarque restait bien vivant et au bout de deux jours les colonies étaient de nouveau pourvues de leurs hydranthes. Technique histologique. — Pour la fixation j'ai employé différents liquides : l'alcool absolu, le sublimé à 5 p. 100 CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 9 d'acide acétique, le sublimé en solution concentrée et froide, le mélange de Flemming (mélange fort), le liquide de Lind- say. Les coupes en séries faites soit au 1/150, soit au 1/300 à l’aide du microtome Minot, collées sur lames par de l'eau légèrement albuminée, ont été colorées par les colorants les plus divers. TERMINOLOGIE Il est nécessaire, dans un travail de ce genre, de préciser dès le début les termes spéciaux qui seront employés, afin de ne laisser prise à aucune ambiguïté, surtout lorsque les mêmes termes sont pris par différents auteurs dans des acceptions quelque peu différentes. J'emploierai la plus grande partie des termes définis par ALLMAN |”’72|, au début de sa belle monographie sur les Hydroïdes gymnoblastiques ; Je me dispenserai done de les définir de nouveau puisqu'ils ont été universellement admis par tous les auteurs. Ce sont les suivants : ect{oderme, endoderme, cœnosarque, péri- sarque, trophosome, jonosome, hypostome, hydrothèque, hydro- phyton, hydrorhize. On peut considérer, avec E. Perrier, la colonie d’'Hydroïdes comme formant un seul individu (.ydrodème). Pour les diffé- rentes unités ou mérides, je me servirai des dénominations employées par cet auteur dans son Traité de Zoologie. Les différents mérides constituant l'hydrodème reçoivent le nom d’Aydromérides. L'hydroméride (zooïde d’ALLMAN) nourricier sera le gastroméride. Comme WEissMANx [”83] l'a fait le premier, on peut distinguer dans ce dernier deux parties, la tête et le pédoncule. A la première, qui correspond à l’hydranthe d'ALLMAN, je conserverai ce nom. Quant au pédoneule qui est une partie de l'hydrocaule, je lui donnerai le nom d’ydranthophore. L'hydrocaule sera par conséquent restreinte à toute la partie de l'hydrophyton qui se trouve entre l'hydrorhize et les gastromérides définis comme ci- dessus. Chez les Hydroïdes calyptoblastiques on peut donner 10 ARMAND BILLARD. aux calices chitineux qui logent les gastromérides, le nom de gastrothèques, mais je leur conserverai le nom d’Æydro- thèques qui est plus généralement employé. Les mérides défenseurs seront les dactylomérides; ALLMAX les à appelés spwralzooids [72], chez l'Hydractina echinata, et claspers chez le Myriothela pluyqia 75). Le terme dacly- loméride est synonyme de sarcostyle de Hixeks [724]; le calice qui entoure le dactyloméride doit porter le nom de dactylo- thèque (sarcothèque de Hincxs [72 a}, nématophore (1) de la plupart des auteurs). Les mérides sexués seront les gamomérides, sÿnonymes de sporosacs ; ils peuvent être portés par des hydromérides de forme spéciale appelés gonomérides, en raison de leurs fonc- tions. Ces derniers sont les bastostyles d’'ALLMAN. E. Perrier donne Île nom de gamozoïdes à la méduse qui est la forme sexuée d’un grand nombre d'Hydroïdes et il la considère comme résultant de la coalescence d'un gastromé- ride central et d’un verticille de dactylomérides. Chez les Calyptoblastiques l'appareil reproducteur est très compliqué. Extérieurement 1l comprend d’abord une poche formée par le périsarque et à laquelle ALzLuax [72] à donné le nom de gonange; ensuite le qubernaculunr, enveloppe qui entoure les bourgeons sexués; enfin les mérides sexués ou les méduses et le support des bourgeons sexués. Je dési- gnerai cetensemble sous le nom de gonoclade avec E. PERRIER ; c'est le gonange de beaucoup d'auteurs qui ont appliqué au tout, le nom réservé par ALLMAN à une parte, donnant le nom de gonothèque à la capsule de périsarque. Enfin, la corbule des Aglaophenia sera appelée phylac- [ocar pe. (1) Le nom de némalophore a élé créé par Busx (Hunterian Lectures, ma- nuscrit. Londres, 1851) pour désigner à la fois le dactyloméride et la dac- tylothèque. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 11 Tableau de comparaison des termes GIDIEUER EE avec ceux des auteurs. TERMINOLOGIE x j TERMINOLOGIE DES AUTEURS. | USITÉE DANS CE MEMOIRE. Colonie d'Hydroïdes. Hydrosome d’Allman. Hydrodème 5 do 00-000 oo Ole | Hydraire. Stock des auteurs allemands. EVdrOmÉrITe. 1 ......:. Zooïde d’Allman. (CROATIE SERRES Hydranthe s. latu (Weissmann). LIPORANINENSSERNRESS Hydranthe d'Allman. Hydranthophore. ......... Pédoncule de lhydranthe (Hydran- thenstiel des auteurs allemands). | Spiralzooid d’Allman. Dactyloméride . .......... | Clasper (Myriothela) d'Allman. | | Sarcostyle de Hincks (employé par beau coup d'auteurs). ( Nématophore de beaucoup d'auteurs. Dactylothèque............ ) Sarcothèque _ l Némathothèque — Gmidoblaste. 1%. Nématoblaste. Gamoméride"...."..... Sporosac d’Allman. Gonomeérident sein Blastostyle d’Allman. MAHOzZOITe. EN Méduse. GUNDAM OUR L ee, Gonange de beaucoup d'auteurs. | Gonange (seu Gonothèque). | Gonange d'Allman. | Bihyiaetocarpe.:-.::.-...2. Corbule. PREMIÈRE PARTIE CHAPITRE PREMIER STOLONISATION HISTORIQUE Le phénomène de la stolonisation, tel que je l'ai défini (p. 2), peut être considéré comme un cas particulier de l'hétéromorphose de Lors [91]. Cet auteur, en effet, entend par ce nom (p. 10) un phénomène par lequel, chez un ani- mal, se développe, à la place d’un organe, un autre organe morphologiquement et physiologiquement différent (1). L'auteur n'a en vue que le remplacement d’un organe par un autre, après l’ablation du premier (Aétéromorphose expé- rimentale), car il oppose à l'hétéromorphose la régénération, par laquelle un organe enlevé est remplacé par un organe identique (2). Mais sa définition de l'hétéromorphose s’ap- plique aussi au cas où, à la place de l'organe qui devrait naître, sans qu'il y ait eu mutilation, en apparaît un autre dans les conditions naturelles. C’est ce qui se produit dans la stoloni- salion, qui peut alors se comprendre comme une hétéromor- phose naturelle. C'est avec ce double sens que Driescx |”92] a compris le nom d’hétéromorphose, car il parle d’hétéro- morphose sans opération, sans changement d'état physiolo- (4) Die Erscheinung, dass bei einem Thier an der Stelle eines Organs ein nach Form und Lebenserscheinungen typisch anderes Organs wächst, bezeichne ich als Heteromorphose. (2) Unter Regeneration verstehe ich den Wiederersatz eines verlorenen Organs durch ein mit den verlorenen identisches Organs. CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 15 gique, mais par influence mécanique connue ou incon- nue (1). Il signale des cas d’hétéromorphose naturelle dans les genres Gonothyræa, Obelia, Plumularia où des stolons naissaient sur les tiges sans rapport avec la direction de la pesanteur. Dans le même travail, Driescx cite aussi une espèce de Sertularella non déterminée qui avait formé des stolons négativement géotropiques. Dans un autre mémoire, Drresca [90 4] signale chez le Sertularella polyzonias L., la for- mation de stolons à la place des hydranthes normaux; ces stolons sont d’abord positivement héliotropiques, et, après la formation de stolons filles, négativement héliotropiques. Log [92] signale aussi des cas d’hétéromorphose sans mutilation. Une Antennulaire (p. 11), placée obliquement ou recourbée sur elle-même, avait produit des stolons sur la face inférieure et des tiges sur la face supérieure. Le dessin de Lors ne montre pas comment naissaient ces formations et peut-être s'agit-il de stolons ou d’hydrocaules nés après rupture acccidentelle d’hydroclades. Lors [92] à aussi remarqué chez un Gonothyræa (p.74) conservé dans un bac la transformation des tiges en stolons sans qu'il y ait eu mutilation. Le premier qui signale ce genre d’hétéromorphose est DazveLz |’47], chez une espèce qu'il appelle Campanularia dichotoma, laquelle est sans doute l'Obelia longissima Pall., car la méduse, dit-1l, a environ vingt-trois tentacules. Cet auteur observa que l'extrémité de certaines branches s’al- longe, se fixe sur les parois des vases et développe des « épines », au sommet desquelles se forme un Ni au te au bout A quarante-huit heures. | Van BENEDEN |’67] observa également la stolonisation. Il donna à l'espèce qu'il étudia le nom de Campanularia (1) Wir sind nummehr in das Gebiet derjenigen Fälle geraten, in denen Loeb, wie auch seinerzeit ich « Heteromorphose » (d. h. eines anormales Weiterwachsen) ohne Operation, also ohne physiologische Art der Zus- tandsveränderung, sondern durch mecanische (bekannte oder unbe- kannte) Methode der Zustandsbeeinflussung erzielte. 14 ARMAND BILLARD. dichotoma ; 11 est probable qu'il s’agit là de l'Obelia dicho- toma L. Voici comment s'exprime cet auteur: « Nous avons vu deux colonies, l’une mâle, l’autre femelle, placées dans deux aquariums différents projeter du bout des branches des jets semblables à des stolons et qui donnent à la colonie un aspect chevelu. Il y a des jets du tiers de la lon- gueur de la colonie sans aucune ramification. Là, où ces jets atteignent un corps solide, même le verre, ils s’attachent et semblent vouloir former de nouvelles colonies indépendantes de la colonie mère. » On voit par là que cet auteur a entrevu le rôle multiplicateur de ces rejets. Un peu plus tard, ALLMAN |”72} (p. 132), qui n’a pas eu connaissance de l'observation de van BENEDEN, rapporte qu'ila vu, chez lObelia dichotoma, la formation de branches adventives qui s’accroissent très rapidement. D’après le dessin qu'il donne, on reconnaît qu'on a affaire à des rameaux stoloniques. Tout récemment CERFONTAINE |:02] a obtenu des faits de ce genre chez le Pennaria Cavolini Ehrbg. (PI. VIIT, fig. 11). Mais tous ces auteurs ont observé des stolons sur des espèces conservées dans des aquariums où les conditions de vie, quoi qu'on fasse, diffèrent des conditions naturelles, et on pouvait accuser les conditions défavorables de pro- voquer de telles transformations. Aussi ces observations, tout en étant intéressantes, ne pouvaient pas montrer quel rôle joue la formation des stolons dans la multiplication des Hydroïdes. Le premier qui ait bien mis ce phénomène en lumière, c'est NurrinG |’95); 1l observa qu'à l’état de nature certains hydroclades du Plumularia pinnata L. sont terminés par des « appendices minces et claviformes » susceptibles de se fixer sur les parois du vase dans lequel on conserve les hydrodèmes. Sur ces stolons ainsi fixés naissent de petites colonies qui peuvent atteindre une taille assez considérable et s'affranchir au bout d’un certain temps de la colonie mère. Il donne à ce phènomène le nom de « stolo- niferous reproduction ». Il observa aussi la formation de CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 15 rameaux stoloniques chez une espèce d'Aglaophenia ; mais, bien que ces rameaux se fussent fixés sur les parois du vase, Nurrine n'obtint pas le développement de nouvelles colonies. CAMPENHAUSEN |’97) indique qu’un certain nombre d'Hy- droïdes étudiés par lui présentent des prolongements en forme de vrilles. Il observa même qu'un des prolongements en forme de vrille du Calyptothujaria Clarkü Markt. s'était lixé et avait développé une petite colonie. S'appuyant sur cette observation, il admet que le rôle de ces prolongements est double :ils servent d'abord, comme les racines aériennes «les plantes, à assurer une meilleure fixation de la colonie, et ensuite ils sont destinés à la multiplication asexuée, comme les rejets des plantes. HarTzauB |:00) signale la stolonisation (Rhizombildunq) chez différentes espèces de Sertularella, et arrive aux mêmes conclusions que CAMPENHAUSEN qu'il ne eite cependant pas. Van BENxEDEN |’44| fut aussi le premier qui observa sur différentes espèces la présence de rameaux particuliers, lesquels ne sont autres que des rameaux stoloniques, mais il ne préjuge rien sur leur rôle. Dès 1844, il figure chez le Bougainvillia ramosa des « bourgeons longs en lanière ». Plus tard, ce même auteur |’67] signale chez le Syncoryne Johnston Bened. .« des tiges droites et longues », et les figure aussi chez le Synroryne Lovenu Bened. Hamanx |’82] signale également chez le Bouqainvillia fru- licosa Allm. des « organes en forme de vrille » qu'il com- pare à ceux du Campanularia anqulata Mcks, et qu'il con- sidère comme des rameaux au sommet desquels, pour une cause quelconque, un hydranthe ne s’est pas produit. Tuornezy [94] à vu des rameaux allongés sans hy- dranthes chez lObelia geniculata L. et les assimile aux pro- longements du Campanularia angulata. Enfin Hixcks |’68\ indique la présence chez différentes espèces de Diphasia de prolongements en forme de vrille dont il n’explique pas le rôle, mais qu'on est en droit cepen- dant d’assimiler à des rameaux stoloniques. 16 ARMAND BILLARD. OBSERVATIONS Obelia dichotoma L. — C’est chez l'Obelia dichotoma (A) que le phénomène de la stolonisation se montre avec le plus de netteté et que les stolons se développent le plus rapide- ment en donnant naissance à de jeunes hydrodèmes. Cette espèce présente aussi l'avantage d’être très commune à Saint-Vaast. Aussi est-ce par l'étude de la stolonisation chez l'O. dichotoma que je commencerai, car cette étude une fois faite, on ne peut douter que la stolonisation ne soit un mode de multiphication de lespèce, et l’on n'a qu'à étendre cette conception à toutes les espèces qui présentent des rameaux stoloniques. Même lorsqu'on n’a pas observé la fixation de ces rameaux et le développement de Jeunes hydrodèmes sur les stolons, on est autorisé, par compa- raison avec ce qui se passe chez différents Hvydroïdes, à admettre que les choses doivent se passer ainsi dans l'état de nature. D'ailleurs, les exemples ne manqueront pas pour appuyer cette manière de voir. Lorsqu'on examine une colonie d’'Obelia dichotoma qui vient d’être récoltée, on voit que certains rameaux présen- tent des prolongements plus ou moins longs (PI. I, fig. 1,7.s.) naissant, comme un gastroméride, immédiatement au- dessous de la partie supérieure annelée de lhydrantho- phore. Ce prolongement est un rameau stolonique. | Le périsarque montre, en général, à sa base deux ou trois renflements annelés, et 11 est lisse ou irrégulièrement plissé sur la plus grande partie de sa longueur. De même que dans l’'hydrocaule, le cænosarque n'occupe pas toute la largeur du tube périsarcal, sauf à l'extrémité où le péri- sarque est d’ailleurs très minee. (1) Dans une de mes notes |: 01 c| j'avais fait, par erreur, de cette espèce une espèce nouvelle, l’O. rhunicola (Voy. p. 150). CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 17 Si l'extrémité du rameau est mise en contact avec un corps solide, avec une plaque de verre, par exemple, il s’y fixe avec facilité, probablement par suite du produit de sécrétion qui, d'abord mou et visqueux, formera le périsarque en durcissant. Au bout d’une demi-heure, la fixation est assez complète pour qu'on ne puisse détacher le stolon sans risquer de le rompre. Ce stolon ainsi fixé s’allonge ; c’est le stolon principal (PL T, fig. 2, sf. p.). Dès le lende- main on aperçoit des bourgeons; le premier bourgeon qui se forme est en général un bourgeon de gastroméride (0. g,); il naît sur la Le supérieure du stolon et se dresse perpen- diculairement au support.ILest annelé à sa base. Mais presque aussitôt apparaissent, dans le voisinage immédiat de ce pre- mier bourgeon, des stolons latéraux (s£./.) qui sont lisses et se fixent contre la lame de verre ; La distance qui sépare le a. Hinrseon du point d’origine du rameau stolonique transformé en stolon est va- riable et cela se conçoit facilement, car la fixation du ra- meau stolonique par son extrémité peut être plus où moins tardive, ce qui à permis un ,allongement plus ou moins grand de ce rameau. J’ai mesuré cette distance et, pour les onze mesures faites, cette longueur vartait entre 2°°,75 et 9 millimètres. Le stolon fixé s’allonge plus ou moins rapidement; la rapidité d’accroissement dépend dans une certaine mesure des conditions externes, en particulier de la température ; mais cet allongement dépend surtout des conditions internes et un stolon qui recevra une nourriture abondante de la part de l'hydrodème qui lui a donné naissance s’allongera évidem- ment plus vite qu'un autre qui recevrait peu de matières nu- tritives. C’est ce qui explique pourquoi les stolons placés dans des conditions externes identiques, mais dépendant de colo- nies ou de parties de colonies affaiblies, s’allongent moins vite que ceux qui proviennent de colonies vigoureuses. J'ai observé des aceroissements qui variaient de 2 à 9 millimètres par vingt- quatre heures, à la température moyenne de 18° environ. ANN. SC. NAT. ZOOL. OCR 18 ARMAND BILLARD. La direction que prend le stolon reste en général dans le prolongement du rameau stolonique ou de la première portion fixée, mais des obstacles peuvent le faire dévier; par exemple la rencontre d’un autre stolon dirigé obhiquement ou perpendiculairement à lui. Dans ce cas, il peut alors arri- ver que le stolon ren- contrant se détourne de sa marche et suive la direction du stolon ren- contré (fig. 3); mais sou- vent aussi 1l peut y avoir anastomose com- me c'est le cas de la figure 4, «; parfois en- fin le stolon rencontran passe par-dessus le sto- lon rencontré et n’est pas dévié (fig. 5). Très souvent les la- mes sur lesquelles j’ob- tenais ce développe- ment de stolons étaient placées verticalement et Fig 34 et. les stolons étaient diri- Fig. 3. — Obelia dichotoma L. Stolon dévié à la gés dans tous les sens. rencontre d'un autre. — Fig. 4. Anastomose des , de deux stolons, a. — Fig. 5. Stolon rencon- Jen pes cherché COR trant passant par-dessus le stolon rencontré. ment variait la rapidité de croissance suivant la direction, car la croissance dépend surtout, je crois, des fac- teurs internes dont on ne peut faire le départ que difficilement d'avec les facteurs externes. S'il ÿ avait une action géotropi- que, elle se serait fait sentir en modifiant la direction de marche des stolons, soit vers le haut, soit vers le bas, ce que l'on n’observe pas. Toujours, à moins d'obstacles rencontrés, la direction d’un stolon était celle de sa pes portion fixée ou du rameau stolonique. CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 19 Sur son trajet, ce stolon donne naissance, à intervalles plus ou moins réguliers, à des gastromérides ou à des stolons latéraux. L'intervalle qui sépare deux gastromérides varie si l'on considère des stolons différents ou un même stolon. Dans les quarante-sept mesures exactes que j'ai faites à l’aide du micromètre oculaire, cet intervalle était compris entre 2 millimètres et 4°°,5. Ceci modifie donc ce que j'avan- cais dans une de mes notes préliminaires [:01 |}, où je considérais ces intervalles comme réguliers et égaux à 3 millimètres, d'après des mesures grossières faites au COMPAas. Une particularité à Fig. 6. — Obelia dichotoma L. Cœnosar- signaler, c’est que le tube de que du gastroméride g. s’insérant sur le Le cœænosarque du stolon sf., à une certaine cœnosarque du gastroméride distance de l'insertion périsarcale. s'insère parfois sur le tube de cænosarque du stolon, à une certaine distance de l’origine du tube périsarcal du gastroméride (fig. 6). Le gastroméride formé donne par bourgeonnement latéral un nouveau gastroméride (PI. I, fig. 6-7, 4.g,); celui-ci en forme un autre et l’on obtient de la sorte une petite colonie sympodique. Mais dans les petites colonies qui se développent ainsi en aquarium, on ne compte jamais plus de trois ou quatre hydranthes qui finissent par mourir, et la croissance prend fin par suite probablement du manque de nourriture et par suite aussi sans doute des conditions plus ou moins défavorables dans lesquelles se fait ce développement en espace limité. Ce qu'il y à de remarquable, c’est que Les jeunes hydro- dèmes se développent toujours perpendiculairement à la lame de verre, même lorsque celle-c1 est verticale ou bien lorsque le développement se fait sur la face inférieure d’une 20 ARMAND BILLARD. lame horizontale. Il y à donc là une influence manifeste du support sur la direction de croissance (stéréotropisme de Losg [94]. Le stolon principal, ai-je dit plus haut, donne des stolons latéraux ou secondaires. Ceux-ci n’offrent pas une disposition très régulière. Cependant ils se forment surtout au voisinage de l’insertion du gastroméride et souvent au même endroit, mais latéralement. Parfois on n’en voit qu’un, parfois plu- sieurs, et les figures 3, 4, 5, 6, 7, 8 (PI. I) montrent les aspects divers de la ramification du stolon prineipal. Ces figures sont suffisamment explicites par elles-mêmes sans qu'il soit nécessaire de les décrire séparément. On remar- quera que dans la figure 6 les trois stolons latéraux naissent au même point que le gastroméride et les deux stolons du même côté sont nés si près l’un de l’autre qu'ils sont accolés. Quelquefois, comme dans la figure #, les stolons latéraux sont plus écartés. Il est avantageux pour la jeune colonie que les stolons latéraux naissent rapprochés de son point d'insertion. Ils assurent ainsi une fixation plus sûre à cette colonie qui, dès qu'elle à atteint une certaine hauteur, se trouve soumise à l’action des vagues ou des courants qui tend à la détacher de son support. Cesstolons latéraux jouent donc un rôle de crampons, mais ce n'est pas le seul, car ils s'allongent comme le stolon principal et donnent à leur tour naissance à de nouveaux hydrodèmes:; de la sorte ils assurent aussi la multiplication de l'espèce. ‘Il se forme ainsi un réseau serré de stolons envahissant graduellement un espace assez étendu en très peu de temps. Enfin, pour terminer ce qui est relatif à la ramification des stolons, J’ajouterai que les stolons latéraux sont toujours perpendiculaires au stolon principal; parfois cependant ils sont légèrement obliques, ainsi que le montrent les diffé- rentes figures de la planche E. On peut facilement obtenir en aquarium le développement de stolons et en étudier toutes les phases en fixant un hy- drodème contre une plaque de verre, avec des fils de soie, CONTRIBUTION: À L ÉTUDE DES HYDROÏDES. 24 ainsi que je l'ai indiqué au début; presque toutes les bran- ches donnent des rameaux stoloniques: Ce développement rapide épuise d’ailleurs la colonie parce que, dans l’espace confiné où elle est placée, elle ne trouve pas suffisamment de nourriture; alors, la plupart des hydranthes se rétractent et sont résorbés. Le cœnosarque, d’abord opaque et gra- nuleux, devient clair par suite de la disparition des ma- üères de réserves que ses cellules contenaient, matières qui sont transportées aux points de croissance où le cænosarque est bourré de granulations. Lorsqu'on conserve une colonie dans un bac sans la fixer contre une lame de verre, des rameaux stoloniques prennent aussi naissance et ils forment une sorte de chevelu tout autour de la colonie qui acquiert ainsi un aspect tout particulier, comme l’a fort bien remarqué van BENEDEN |’67]. J'ai com- paré l'allongement de ces rameaux stoloniques non fixés à celui des stolons qui se développent sur verre. Il n’existe pas de différence sensible quant à la vitesse d’aceroissement, mais il y en à une très marquée si l’on considère la rami- fication. Pour mettre ce fait en évidence, j'ai pris deux co- lonies aussi identiques que possible qui portaient des ra- meaux stoloniques. L'une fut fixée contre une lame de verre, l’autre suspendue librement dans l’eau de mer et les deux placées dans le même bocal. Au bout de trois jours, J'obtins les résultats suivants à la température de 15° environ: Millim. Millim. Millim. Millim. Allongement des stolons (fixés)............... 16 23 20 20 Allongement des rameaux stoloniques (libres). 13 20 22 22 Ces nombres sont, comme on le voit, à peu près identiques. Sur les rameaux stoloniques on ne remarquait aucun bour- geon ni de gastroméride, m1 de stolons latéraux; tandis que les stolons avaient donné naissance à de petites colonies. Le premier en portait deux et les trois autres chacun trois; à leur base s'étaient développés des stolons latéraux. Cepen- dant les rameaux stoloniques peuvent se ramifier même lorsqu'ils ne trouvent pas à se fixer. Dans une autre série 22 ARMAND BILLARD. d'observations un hydrodème avec rameaux stoloniques a été conservé pendant neuf jours à la température de 8° à 10°; les rameaux stoloniques pendant ce temps ont acquis une longueur de 20 à 22 millimètres etils n’ont produit que des gastromérides, maisnondes rameaux secondaires stoloniques. En résumé, l’action du support provoque plutôt la rami- fication des stolons qu'elle n’en accélère ou diminue la rapidité de croissance (1). Chez certains hydrodèmes on rencontre des anomalies. En effet, au lieu de former des rameaux stoloniques, ces hydrodèmes allongent considérablement les rameaux qui normalement devraient se terminer par un hydranthe. Ces rameaux atteignent jusqu’à 6,25 alors que les hydranthes avec leur pédoncule ont au maximum 3"”,2. Ces rameaux anormaux se distinguent des rameaux stoloniques par leurs renflements annelés et par la difficulté qu'ils ont de se fixer. Ils croissent aussi moins vite que ces derniers. Ils peuvent parfois, après s'être allongés ainsi, former un hydranthe à leur extrémité. On peut se demander si cette multiplication à l’aide de rameaux stoloniques se produit réellement dans la nature et si ce développement en aquarium n'est pas anormal. Cette objection est annulée par les observations suivantes. Des hydrodèmes d'Obelia dichotoma étudiés immédiatement après leur récolte montraient des rameaux stoloniques (fig. 7, 7.5.) qui ne s’élaient pas fixés, mais qui cependant avaient donné naissance à de nouvelles colonies (4. d.). Par- fois, comme le représente la figure 8, on trouvait une rami- fication anormale des rameaux stoloniques (7. s.). Mais pour me convaincre davantage qu'il s’agit bien là (1) Ge résultat est contraire à celui obtenu par Me Morz Kossovska [:03) qui conclut que l'allongement du stolon libre est infiniment plus rapide que celui de l'hydrorhize. Je ferai remarquer que dans les expériences de cet auteur, il s’agit non de rameaux stoloniques mais de stolons hydrorhi- zaux croissant en dehors de leur support, sous l’action de l’eau courante, comme l'a indiqué Grarp [98]. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 23 d'un phénomène naturel et non pathologique, j'ai fixé des plaques de verre sur des blocs de rochers dans la mer même et J'ai appliqué contre ces plaques des colonies d'Obelia Fig. 7ets. Fig. 7. — Obelia dichotoma L. Hydrodème d. . né sur un rameau stolonique, r.s. — Fig. 8. Ramification anormale des rameaux stoloniques ».s. dichotoma sans les détacher de leur support. Une de ces lames à été conservée cinq Jours, et après l'avoir retirée J'ai constaté un développement de stolons absolument compa- rable à celui que J'ai obtenu en aquarium. Ces stolons recou- vraient d’un réseau serré un espace de 75 centimètres car- rés environ, et l’on pouvait compter sur ce réseau près de deux cents petites colonies. La plus grande avait 6 milli- mètres et portait six hydranthes. La température moyenne de l’eau de mer était d'environ 18° et dans les flaques de 24 « ARMAND BILLARD. marée, après le retrait de la mer, elle atteignait 26° au soleil, au moment le plus chaud de la Journée. Les colonies qui avaient produit ce développement étaient Fig. 9. — Coryne sp. montrant de nom- breux rameaux stoloniques, ?.s. au nombre de six et avaient une taille de 7 centimètres envi- ron. Cette observation montre bien que ces phénomènes de mulliplication se produisent à l’état de nature et que ces ra- meaux stoloniques sont bien destinés à la multiplication de l'espèce. Elle donne aussi une idée de la rapidité avec la- quelle un espace même étendu peut être envahi par ces sto- lons multiphicateurs. Le bour- geonnement actif de ces stolons à des intervalles très rappro- chés explique pourquoi cette espèce se rencontre si abon- damment dans les flaques de marée où les conditions sont tout à fait favorables à ce développement. En effet, dans ces endroits qui découvrent dès que la mer se retire et qui restent très longtemps à décou- vert, on la trouve, à marée basse, affaissée contre le sol; dans cette position les rameaux stoloniques doivent forcément venir en contact avec les pierres, S'y fixer et se développer comme Je viens de le dire. La fixation est d'autant plus com- plète que le contact est plus prolongé. Or, c’est ce qui se produit nécessairement dans la partie supérieure de la zone sujette au balancement des marées. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 25 L'Obelia dichotoma se rencontre aussi pendant verticale- ment à la voûte des rochers; mais dans ces conditions, la fixation des rameaux sloloniques à moins de chances de se produire. Aussi voit-on souvent des rameaux sloloniques non fixés porteurs de petites colonies; c’est ce que représente la figure 7. La variété recueillie dans les dragages se distingue de celle récoltée à marée basse, par une production très abondante de rameaux stoloniques. Il existe en général au-dessous de chaque hydranthe terminal trois et parfois quatre rameaux stoloniques (PI. I, fig. 9, 7. s.). Ces rameaux ne sont pas annelés à leur base. Cette variété vit sur d’autres Hydroïdes et 1l est évident que si ces rameaux stoloniques viennent à toucher une colonie voisine, ils s’y fixent et développent de nouveaux hydrodèmes. Goryne sp. — Dans une petite espèce de Coryne ou de Syncoryne que je n'ai pu déterminer exactement à cause de l'absence du gonosome, J'ai observé la présence d’un grand nombre de rameaux stoloniques (fig. 9,7.s.) renflés à leur extrémité. Ayant appliqué cette espèce contre des lames de verre, j'ai vu les rameaux stoloniques se fixer et rapide- ment bourgeonner. Une colonie mise en observation le 6 mars montrait le 22 un grand nombre de stolons fixés, renflés comme les rameaux stoloniques à, leur extrémité et dont le périsarque était irrégulièrement épaissi. Le diamètre des rameaux nine est d'environ 120 U et atteint 160 y à l'extrémité. Les plus longs avaient : A6mn,5 avec 4 jeunes gastromérides, le plus jeune à 6" de l'extrémité. ISSN S) = = Que 5 a CN == — SJ — ILE — 2 — ») — On voit par ces chiffres que le développement se fait plus lentement que chez l'Obelia dichotoma. Xl est vrai de dire que cette espèce a été conservée dans un bac placé dehors et exposé aux variations de température diurnes et nocturnes ; 26 ARMAND BILLARD. la température movenne était d'environ 10°; mais des Obelia dichotoma placés dans les mêmes conditions se multiphaient incomparablement plus vite. J'ai mesuré l'accroissement de ces stolons et J'ai obtenu, pour des stolons placés dans les mêmes conditions de tempé- rature, des nombres qui variaient de 1°°,15 à 2°°,5 pour un espace de temps de quarante-huit heures. De même que pour l'Obelia dichotoma, Vallongement dépend beaucoup des con- ditions internes, de l'apport plus ou moins grand de sub- stances nutritives ; un stolon peut détourner à son profit la plus grande partie de ces substances et s’allonger par consé- quent plus vite que son voisin. Le dernier gastroméride, qui est aussi le plus Jeune, est toujours très éloigné de lPextré- nuté du stolon, comme l’indiquent les chiffres précédents ; cela tient à ce que le gastroméride se développe complète- ment avant qu'un autre apparaisse plus loin. L'intervalle entre deux gastromérides varie de 2 à 4 millimètres. Ces stolons se ramifient peu, à l'encontre de ce qui se passe chez l'Obelia dichotoma. Les stolons latéraux sont en général courts ; ils se détachent le plus souvent au même point qu'un gastro méri de ou dans le voisinage. Le gastroméride commence en général son développement avant qu'apparaisse un stolon latéral, mais parfois c’est celui-ci qui se montrele premier et c’est sur ce stolon, presque à son inser- tion, que prend naissance le gastroméride (fig. 10). Je n'ai pas observé, comme chez l'Obelia dichotoma, le bourgeonnement d’un pig. 10.— Coryne sp. NOUVEAU gastroméride sur le pédoneule du Jeune gastroméride Lremier. Cela tient à ce que le développe- né sur un stolon la- téral, s.L.:s.p., sto- ment esttrèslentetque, dans les aquariums, Ho les colonies ne trouvent pas suffisamment de nourriture. Avant sectionné transversalement les stolons, Je voyais le cœnosarque se rétracter aussitôt à droite et à gauche de la section et la rétraction était parfois considérable : elle variait CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 27 de 0°",26 à 2°%,5. Puis les deux surfaces sectionnées se rap- prochaient l’une de l’autre, arrivaient en contact et se sou- daient. En général, au point de rencontre, se développaient un ou deux stolons qui suivaient là rainure pratiquée dans la couche de collodion recouvrant la lame de verre. Ces stolons latéraux avaient un accroissement très lent, car du 31 mars au 5 avril ils ont acquis une longueur variant de 1 à 2 millimètres. | Bougainvillia ramosa Bened. — Chez cette espèce, comme l’a observé vax BENEDEN [’44|, on trouve des rameaux allongées filiformes (PL. I, fig. 10 >. s.) qui ne se terminent pas par un hydranthe (bourgeons longs en lanière de vAN BENEDEN) et qui ne sont autres que des rameaux stoloniques. Ces rameaux sont plus fins que la tige; alors que le dia- mètre de la tige et des branches simple varie de 70 & à 90 y, le diamètre des rameaux stoloniques ne dépasse pas 40 w.. Ils peuvent être très nombreux et donnent à la colonie un aspect particulier. Leur longueur peut atteindre 3 à 4 millimètres. Ils sont à peine renflés au sommet et sont suscepübles de se fixer et de se transformer en stolons légè- rement renflés à leur extrémité. Le diamètre de ces stolons est plus grand que celui des rameaux stoloniques et atteint celui des tiges et des branches. Sur ces stolons il ne tarde pas à se développer des gastromérides portés par de courts pédoncules (PI. I, fig. 11, g,). Au pied même ou au voisinage d’un gastroméride se détache un stolon latéral (sf. /.). La ramification de ces stolons est moins développée que chez l'O. dichotoma. L’accroissement est moins rapide, car il n’est guère que de 2 millimètres par jour. L’intervalle qui sépare deux gastromérides varie de 1%%,8 à 2°%,5. Je n'ai pas observé chez cette espèce le bourgeonnement du premier gastroméride apparu. On voit donc que ces rameaux particuliers, dont le rôle n'avait pas été expliqué par les auteurs, servent à la multi- plication de l'espèce. KrisTiNE Boxnevie [98], qui d’ailleurs 28 ARMAND BILLARD. n’a pas observé ces rameaux chez le Bougainvillia ramosa qu'elle propose d'appeler 2. Benedenü, est portée à croire qu'ils sont dus à une influence étrangère. Ce ne sont pas davantage des rameaux au sommet desquels, pour une cause quelconque, un hydranthe ne s’est pas développé, comme le suppose HaAmanx |’82]. Mais, d’après ce que je viens de dire, ce sont des organes normaux ayant une fonction détermi- née, celle de la multiplication de l'espèce. Obelia geniculata L. — Cette espèce se multiplie par seis- siparité (Voy. p. 47), mais si l’on applique les rameaux pro- pagulaires avant leur séparation sur une lame de verre, ils se fixent et donnent naissance à des stolons qui restent atta- chés à l’hydrodème. Ces stolons se comportent comme ceux de l'O. dichotoma; 11s donnent naissance à des gastromérides et à des stolons latéraux. Le développement des premiers est en général plus précoce et les derniers se développent à leur base ou au voisinage de celle-ci. Ces stolons croissent moins vite que ceux 1 l'O. dichotoma. Un hydrodème de 2 centimètres avait développé en sept jours un stolon de 10*%%,5 avec quatre gastromérides ou bourgeons de gastro- mérides et deux stolons latéraux, dont le plus âgé portait un petit bourgeon de gastroméride. L'allongement du stolon principal n'avait été que de 1**,5 par jour. Chez d’autres, J'ai constaté des accroissements de 0°*,5 à 0°°,6 par jour, à la température de 15° environ. La facilité avec laquelle les rameaux propagulaires de l'O. geniculata se transfor- ment en stolons est un fait intéressant qui me permettra, lorsque j'aurai étudié la scissiparité, de développer des con- elusions sur l'origine de ce dernier phénomène. Obelia longissima Pall. — Chez cette espèce le déve- loppement de stolons est exceptionnel; en général il se forme des propagules, comme il sera indiqué plus loin. Cependant, dans quelques cas, lorsque les hydrodèmes avaient été conservés assez longtemps dans un bocal d’eau CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 29 de mer, appliqués contre une lame de verre, on apercevait _de véritables rameaux stoloniques qui, s'ils venaient en contact avec le verre, s’y fixaient et formaient des stolons sur lesquels apparaissaient des gastromérides. Les stolons latéraux se détachent toujours de la base du gastroméride ou dans son voisinage, et ils sont perpendi- culaires au stolon principal. Cette formation de stolons doit être très rare dans la nature, car l'O. longissima vit dans des conditions qui ne sont pas favorables à la fixation des ra- meaux stoloniques, comme nous le verrons plus loin. Cette observation est intéressante au même tre que la précé- dente et servira également à établir l’origine de la scissiparité. Campanularia flexuosa Hcks., Leptoscyphus tenuis Allm., Halecium sessiie Norm., Sertularella polyzo- nias L., Gonothyræa gracilis Sars. — On peut signaler chez ces différentes espèces la formation de rameaux stolo- niques qui se fixent et développent de nouveaux hydro- dèmes. Ces hydrodèmes peuvent même se former sans que les rameaux stoloniques soient fixés. Je rappellerai que THorneLzy |’94] à signalé des rameaux stoloniques chez le C. flezuosa. De même que Harrzaus |:00), j'ai constaté la présence fréquente de rameaux stoloniques 1e le Sertula- rella polyzonias et sur certains se dressaient des hydrodèmes. Plumularia halecioïdes Ald. — Dans un certain nombre d'hydrodèmes de cette espèce, l'extrémité distale de l’hydro- caule et les hydroclades distaux sont tranformés en rameaux stoloniques (1) (fig. 11). Les premiers hydroclades qui ont subi cette transformation montrent un ou deux gastromé- rides à leur base, et le dernier article hydrothécal est suivi d’un ou deux articles plus ou moins courts auquel fait suite le rameau stolonique proprement dit [r.s. (4)] ; souvent (1) Scaxeiper [’97] indique bien que des stolons peuvent se développer sur la tige principale et que ceux-ci donnent naissance à des hydrodèmes indépendants, mais il ne donne pas davantage de détails sur ce mode de multiplication. - 90 ARMAND BILLARD. aussi le dernier article hydrothécal se continue directement par le rameau stolonique [r.s. (2)], enfin les derniers rameaux stoloniques |7.+. (3)] naissent directement sur l'hydrocaule Fig. 11, 12 et 43. Fig. 11. — Plumularia halecioides Ald. Extrémité d’un hydrodème montrant les rameaux stoloniques 7. s. (1) (2) (3); s, ligne d'articulation suivant laquelle toute la partie supérieure peut se séparer du reste de l’hydrodème. — Fig. 12-13. Développement de jeunes hydrodèmes L. d. sur les stolons principaux sé. p. ; st... stolons latéraux; b, bourgeon. avec un, deux et même trois articles basaux. Plus rarement, le rameau stolonique est dû à une ramification secondaire de l'hydroclade. Si l'on place ces hydrodèmes, ainsi transformés à leur extrémité, contre une lame de verre, les rameaux stolo- CONTRIBUTION À L ÉTUDE DES HYDROÏDES. 31 niques se fixent, deviennent alors des stolons (fig. 12 et 13, s/. p.), qui s’allongent assez rapidement et ne tardent pas à se ramifier. Comme chez l'O. dichotoma, leurs ramifi- cations sont de deux sortes. Les unes naissent sur la face supérieure du stolon et se dressent perpendiculairement au support; ce sont ces ramifications qui apparaissent, en général, les premières et sont l’origine de nouveaux hydrodèmes (2. d.):; les autres sont des stolons latéraux (st. /.) qui se détachent perpendiculairement du stolon prin- cipal ou lui sont légèrement obliques et donnent aussi nais- sance à de nouvelles colonies. Les stolons latéraux prennent naissance au point mème d'insertion de la jeune colonie ou dans son voisinage (fig. 12 et 13). On peut trouver différentes dispositions qui sont analo- gues à celles que l’on rencontre chez l'Obelia dichotoma. Ce développement de stolons latéraux à pour effet de fixer solidement la jeune colonie. Très souvent le stolon latéral émet immédiatement après son insertion un petit bourgeon (fig. 12, 4), qui se soude parfois au stolon principal ou bien à un stolon latéral voisin. C'est ce que montre la figure 13 entre les deux stolons latéraux (sé. /.) qui se détachent l’un à côté de l’autre. Les cas d’anastomose entre stolons sont assez fréquents, mais aussi le stolon rencontrant peut passer par-dessus le stolon rencontré ou suivre la même direction. Les Jeunes hydrodèmes se forment à une distance plus ou moins grande de l’origine du rameau stolonique ; dans les cas que J'ai observés, cette distance variait entre 1°",4 et 57,4. L'intervalle de deux coloniesest également variable et dans mes observations il était compris entre 1"%%,8 et 5 millimètres. Le développement de ces hydrodèmes est assez rapide. Trois jours après la fixation, j'ai observé des stolons de 12 millimètres portant chacun deux colonies; les plus âgées comptaient environ 2 millimètres de haut avec cinq hydran- thes épanouis, les plus jeunes avaient deux branches latérales avec un renflement qui représente le début de l’hydranthe. La température était d'environ 16° à 18°. D2 ARMAND BILLARD. = Plumularia echinulata Lamk., P. pinnata L., P. Catha- rina Johnst., Antennularia ramosa Lamk.— Dans une des variétés du P. echinulata, que j'ai appelée var. pinnatoïdes Fig. 14. — Antennularia ramosa Lamk. Extrémité de colonie montrant des ra- meaux stoloniques, rs; rsr, rameau stolonique de régénération ; »sk, rameau . stolonique de régénération né au fond d’une hydrothèque vide: ah, article hy- drothécal ; ai, a. intermédiaire ; ar. a. de réparation; as, a. supplémentaire. {(Voy. plus loin, p. 197 et 200), certains hydroclades se pro- longent en un rameau stolonique. L’'hydrocaule peut lui-même se transformer à son extrémité en un rameau stolonique, et dans un cas le rameau stolonique né ainsi par transformation CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 33 de l'hydrocaule s'était ramifié, mais n'avait pas encore donné naissance à de nouveaux hydrodèmes. J'ai également cons- taté, chez le P. echinulata t\pe (Voy. p. 191), la formation de rameaux stoloniques qui naissaient sur la face dorsale des hydroclades, au niveau d’une hydrothèque, et dévelop- paent des hydrodèmes. Certains hydroclades du P. pinnata se terminaient par un rameau stolonique dont la base présentait un à six ar- ticles courts. C’est chez le P. pinnata que Nurnina [95] à étudié le phénomène de la stolonisation. Je signale également chez le P. catharina la présence de rameaux stoloniques terminant les hydroclades. J'ai observé chez l’Antennularia ramosa une abondante production de rameaux stoloniques ; ceux-ci naissent, comme Pindique la figure 14, au sommet même d’une branche, immédiatement au-dessus du dernier verticille d'hydro- clades. Ces rameaux stoloniques (7.s.) sont abondamment ramifiés et la figure ne représente qu'une faible partie du réseau inextricable qu'ils forment. [ls sont ondulés irrégu- hèrement et de place en place on observe des dactylothè- ques; on trouve d’ailleurs des dactylothèques sur les stolons de l'hydrorhize. STOLONISATION RÉGÉNÉRATIVE En outre de la formation naturelle ou normale de 7a- meaux stoloniques, 1 peut aussi s’en développer par régéné- ration, après la cassure d’une branche ou d’un hydroclade, cassure déterminée soit par le choc des vagues, soit par des animaux qui cherchent un abri ou leur nourriture dans les colonies d'Hydroïdes. Le rameau stolonique peut prendre ‘également naissance dans le fond d’une hydrothèque, après la mort de l’hydranthe. Les rameaux stoloniques ainsi déve- loppés par régénération sont susceptibles de se comporter comme les rameaux stoloniques développés naturellement et concourir par suite à la multiplication de la colonie. On ANN. SC. NAT. ZOOL XL 34 ARMAND BILLARD. peut donner à ce mode de multiplication le nom de sfoloni- salion régénéralive pour indiquer son origine. J'ai observé des rameaux stoloniques nés par régénération chez quelques espèces. Chez l'Hydrallmania falcata L., on peut en voir dans la région mférieure de l’hydrocaule où pres- que tous les hydroclades ont été détachés. Chez le Plumularia pinnala L. la plupart des rameaux stoloniques que j'ai ob- servés étaient dus à une rupture suivie de régénération et par- fois ils naissaient dans le fond d’une hydrothèque vide. Dans la région inférieure de lhydrocaule, on pouvait voir un cer- tain nombre d'hydroclades détachés remplacés par un stolon. Chez l’Antennularia ramosa, on trouve aussi des rameaux stoloniques [fig. 1%, rs7] remplaçant des hydroclades qui ont été accidentellement brisés ; à leur base il existe, en général, un petit article court [ar (3)] (article de réparation) et un article supplémentaire las (3)]. Le rameau stolonique peut prendre naissance au fond d’une hydrothèque, après la résorption de l’hydranthe (54). Cette formation de rameaux stoloniques de régénération se rencontre non seulement au sommet, mais aussi à différentes hauteurs sur l’hydrodème. J'ai aussi observé cette stolonisation régénérative sur deux espèces conservées en aquarium. L'une est le Campanularia flexuosa Hcks.; des colonies de cette espèce ayant été con- servées pendant un certain temps m'ont montré un grand développement de stolons latéraux nés sur les pédoncules des hydranthes, après la chute de Phydrothèque. L'autre est le Plumularia echinulata Lamk.; avant conservé un certain temps une touffe d'hydrodèmes de cette espèce, j'ai obtenu quelques jours après des stolons qui prolongeaient les hydrocaules et les hydroclades sectionnés accidentellement à différentes hauteurs ou bien naissaient au fond d’une hydrothèque. Ces rameaux stoloniques développèrent même de jeunes hydrodèmes avant même d'être fixés. Il est probable que cette stolonisation régénérative est très répandue et Joue avec la stolonisation proprement dite un rôle important dans la multiplication des Hydroïdes. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 39 CONCLUSIONS En résumé, la stolonisation consiste dans la transformation de certains rameaux en rameaux stoloniques qui donnent par leur fixation des stolons, sur lesquels se développent de nouveaux hydrodèmes ; les stolons s'affranchissent tardivement de la colonie qui leur a donné naissance. Le développement de ra- meaux stoloniques peut être soit naturel, soit dû à une réqé- ration. Le stolon principal qui n’est autre que le rameau stolo- nique fixé, se ramifie ; les stolons latéraux sont perpendicu- laires au stolon principal, mais restent fixés au support. Ils partent, en général, du pied même des hydrodèmes et les fixent fortement contre le support. Ils peuvent égale- ment se comporter comme le stolon principal, c’est-à-dire développer de nouveaux hydrodèmes et des stolons latéraux de second ordre; il se forme donc un réseau de stolons qui envahissent de proche en proche le terrain, et assurent la propagation plus ou moins rapide de l'espèce. L'accroissement de ces stolons est variable avec Les espèces ; il est également variable pour la même espèce. Les stolons de lObelia dichotoma ont, en général, un accroissement très rapide (1 centimètre par jour environ); ils se ramifient beaucoup ; le développement des premiers gastromérides est très précoce. La rapidité de croissance est à peu près la même, que le rameau stolonique soit ou non fixé; mais la formation de stolons latéraux n’a lieu que lorsque le rameau stolonique est fixé. Dans ce cas aussi la formation de Jeunes colonies est plus active. Celles-ci montrent un stéréo- tropisme négatif : quelle que soit l'orientation de la lame de verre sur laquelle elles croissent, elles sont toujours per- pendiculaires à cette lame. | Chez le Plumularia halecioïides l'accroissement des sto- Jons (4 millimètres par jour) et le développement des hydro- dèmes, tout en étant assez rapide, l’est moins que chez 510 ARMAND BILLARD. l'O. dichotoma. La ramification des stolons est comparable à ce qui existe chez l'O. dichotoma. Les colonies sont égale - ment négativement stéréotropiques. Enfin chez le Coryne sp. et le PBougainvillia ramosa, les stolons s’accroissent beaucoup plus lentement (1 millimètre à 2 millimètres par vingt-quatre heures), se ramifient peu et les hydrodèmes qui se développent sur ces stolons se rédui- sent au premier gastroméride, dans les conditions de l'ex- périence. | J'ai donc étudié en détail, chez différentes espèces, le phénomène de la multiplication par stolonisation, qui avait été décrit par NurrinG [’95] chez une unique espèce et avait été signalé également par CAMPENHAUSEN [97] et Harrzaug [:00] chez plusieurs Hydroïdes. On peut. con- clure de ces recherches que toutes les espèces qui portent des rameaux stoloniques doivent se multiplier par stolonisa- tion alors même qu'on n'aurait pas observé la fixation de ces rameaux et le développement de nouvelles colonies. À ma connaissance les espèces chez lesquelles ce mode de multiplication ou simplement les rameaux stoloniques ont été signalées sont les suivantes : Syncoryne Johnstont Bened., S. Lovenu Bened., Bougainvillia ramosa Bened. (van BENEDEN |’441); Diphasia fallar, Johnst., D. attenuata Hcks., D. rosacea L., (Hixcks [’68]) ; T'hujaria persocialis Allm. (ALLMAN |’76]); Sertularia variabilis Clarke (D'Arcy Tuompson |’87]); Staurotheca dichotoma Alm., Thecocla- dium. flabellum Alm., Dictyocladium reticulatum Allm. (AzLman |’88]); Calyptothujaria Clarkiü Marktann. (Mark- TANNER-TUNERETSCHER [’90]); Halecium tenellum Hcks. (Driescu |’90]) ; Obelia geniculata L., Campanularia flexuosa Hcks. (Tnornezy |’94]); Plumularia pinnata L., Aglao- phenia (NurrinG [95]); Aglaophenia Mac-Gillivrayi Busk, Pasythea herodon Busk, Synthecium campylocarpum Alln., Calyptothujaria opposita Campenh., Caminothujaria moluc- cana Campenh. (CAMPENHAUSEN [’97]}); Obelia surcularis CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 31 Calk. [Cazxins [99]; Sertularella subdichotoma Kchp., S. infracta Kchp., S. polyzonias L., S. tenella Ald. (Harr- LAUB | :00 |); Sertularia T'homsoni Schydl.(ScaypLowsky|”02)). A ces espèces il faut ajouter Coryne sp., Obelia dichotoma L., O. longissima Pall., Gonothyræa gracilis Sars, Leptoscyphus tenuis Allm., Halecium sessile Norm., Plumularia halecioides Ald., P. echinulata Lamk., P. catharina Jonhst., Antennu- laria ramosa Lamk., que j'ai étudiées ou citées dans ce travail comme stolonipares et enfin Polyplumularia flabellata Saxs, espèce chez laquelle j'avais cru, par erreur |: 04 a}, que le phénomène de la stolonisation était dû à une action de contact. La stolonisation peut donc être considérée comme très fréquente chez les Hydroïdes; elle est connue actuellement chez trente-neuf espèces et il est probable que dans la suite on pourra l’étendre à un plus grand nombre. Peut-être doit-on considérer également comme des rameaux stoloniques les prolongements particuliers qui ont été signa- lés par WeissmAnx |’82|, chez l Eudendriumracemosum Cavol., et par KLaarscx |’86), chez le T'ubularia mesembryanthemum Allm. Chez l’'£Eudendrium ce prolongement, que WEissMANN appelle enidophore, prend naissance sur le corps même de l’'hydranthe au-dessous des tentacules; chez le Tubularia 11 se détache entre l’hydranthe et son pédoncule. Maxer [”87] conteste qu'il s'agisse, chez cette dernière espèce, d’une for- mation naturelle et admet, après expérience, que la sortie de ce prolongement est provoquée par l’action des réactifs fixa- teurs. CONDITIONS BIOLOGIQUES DES ESPÈCES STOLONIPARES Il est intéressant de noter que les espèces chez lesquelles J'ai observé la stolonisation sont pour la plupart des espèces littorales qui croissent soit sur le fond rocheux (Obelia dichotoma, Bougainvillia ramosa), soit à la voûte des rochers (O. dichotoma, B. ramosa, Leptoscyphus tenuis, Campanu- 38 «; ARMAND BILLARD. lana flexruosa), soit sur des parois rocheuses verticales ou plus ou moins inclinées (les mêmes espèces que ei-dessus, Halecium sessile, Sertularella polyzonias), soit encore sur des Algues (C. fleruosa, Plumularia halecioïdes). Dans ces diffé- rentes conditions 1l est facile de voir que les rameaux stolo- niques ont des chances de se fixer et par conséquent d'assurer la multiphcation de l'espèce. Les espèces qui se trouvent sur le fond peuvent, lorsque la mer se retire, s’affaisser contre le sol; leurs rameaux stoloniques se fixent alors facilement, ainsi que Je l'ai fait remarquer pour l'O. dichotoma (p. 24). Quant aux autres, leurs rameaux stoloniques doivent forcé- ment, lorsqu'ils ont acquis une certaine longueur, venir en contact avec une paroi rocheuse, une Algue ou encore une colonie d'Hydroïdes voisine. Le jeu des marées favorise ce rapprochement, mais la fixation peut s'effectuer indépendam- ment des mouvements de la mer. C’est ce qui sé produit pour les espèces stolonipares qui vivent en eau profonde, comme par exemple l'O. dichotoma, le Sertularella polyzo- nias, le Leptoscyphus tlenuis. Ces espèces sont fixées sur d’autres Hydroïdes et les envahissent, grâce à la formation de ces rameaux stoloniques, qui dans leur croissance vien- nent à toucher une colonie voisine ou les branches d’une même colonie. APERÇU SUR LA STOLONISATION DANS LE RÈGNE ANIMAL ET LE RÈGNE VÉGÉTAL Le phénomène de la stolonisation n’est pas particulier aux Hydroïdes et on le rencontre également chez d’autres ani- maux, ainsi que certains végétaux où il est plus ou moins comparable à ce qui existe chez les Hydroïdes. HArerrr [:02] signale que chez le Cyanea et l'Awrelia, des stolons appa- raissent à la base ou sur les côtés du polype. Ces stolons peuvent se fixer et servir d’origine à de nouveaux polypes. - Chez les Tuniciers 1l existe également des stolons. Le Perophora et le Clavellina développent des stolons rampants CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 39 qui peuvent être comparés à l'hydrorhize, et sur ces stolons apparaissent de nouveaux individus. Les Salpes présentent un organe très important, le stolon ventral, qui se segmente en petites tranches très serrées dont chacune deviendra un nouvel individu. Les colonies de Pyrosomes prennent égale- ment naissance par segmentation d’un stolon ventral. Chez les végétaux, le développement de bourgeons radicaux peut être comparé à la formation de nouveaux hydrodèmes sur les stolons de l’hydrorhize de l’oozoïte. Les bourgeons radicaux donnent naissance à ce qu’on appelle des drageons; on les rencontre chez un grand nombre de plantes (Neottia nidus avis, Oplioglossum vulqare, Nastur- tium sylvestre, Convoloulus arvensis, Geranium sanquineum, Linaria vulgaris, ete.). Enfin les rameaux rampants de Fraisier (Fragaria vesca), à longs entre-nœuds, que l’on désigne couramment sous le rom de stolons et qui s'enracinent de place en place, sont en tout comparables aux rameaux stoloniques des Hydroïdes. On rencontre aussi de semblables stolons chez l’Ajuga reptans et l'Hieracium Pilosella. CHAPITRE Il SCISSIPARITÉ SECONDAIRE HISTORIQUE Les exemples de scissiparité ne manquent pas chez les Hydroïdes; ils ont été observés surtout chez les formes inférieures, chez les méduses et les larves. Les premières observations sur ce sujet datent de TREM- BLEY [1744] qui découvrit que les Hydres d’eau douce se coupent en deux, soit par le milieu, soit plus ou moins près de lune ou l’autre des extrémités. Vers la même époque, 40 ARMAND BILLARD. Rôsez De Rosennor [1755] confirma les observations de Tremgcey en les étendant. Il décrivit et figura la division spontanée des Hydres. Il montra que la division atteint non seulement les Hydres mères, mais les Hydres filles et qu'il peut y avoir une division en trois et quatre parties. Mar- sHALL (W.) |’82] signale également la division spontanée de l'Hydre, qu'il appelle stéléchomérisme par opposition au pleuromérisme où formation de bourgeons latéraux. GReEr [70], qui découvrit le Protohydra Leuchkarti, observa que cette espèce se multiplie par simple division transver- sale. Les observations de cet auteur furent vérifiées et com- plétées par Caux [89] dans ses Celenterata du « Bronn s Thier Reich », ainsi que par Apers |:03]. Ussow |’85-’87] observa la division longitudinale d’un animal curieux, le Polypodium hydriforme, rattaché avec doute aux Hydroïdes. Mursacx [99], chez un Hydroïde libre, l'Hippolytus pere- grinus qu'il a découvert, montre qu'il se détache à l'extrémité aborale de petites parties, par une ou deux constrictions; les segments qu'il propose d’appeler Wastolytes reproduisent la forme d’où ils dérivent. Chez les méduses la scissiparité fut observée par KôLLIKER [53] chez le Stomobrachium mirabile Küll., petite méduse qui n’est autre que la larve d’une Æquoréide {Mesonema cœru- lescens Küll. — M. pensile Eschz.); par Daviporr |’81| chez le Phialidium variabile Hæck. ; par LaxG [86] chez le Gastro- blastea Raffaelei Lang et enfin par Brooks [88] chez l’'Epen- thesis folliata M'Crady. La scissiparité fut aussi décrite chez certaines larves ; ainsi Merscanirorr |’86| signala que la larve blastula de POceania armata Kôll. sé multiplie par division. Dans tous ces exemples il s'agit d'une scissiparité prumilive, mais celle que j'ai en vue dans ce chapitre est un phénomène dérivé, une scissiparité secondaire. Klle tire ma- mifestement son origine du phénomène de la stolonisation, comme Je le montrerai plus loin. Cette scissiparité secon- CONTRIBUTION ‘A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 41 daire est bien moins connue que la première. On peut y rattacher les observations d’AzzMAx [74 et 72) sur une espèce qu'il appelle Schizocladium ramosum, dont il fait un genre spécial basé sur son mode de multiplication. J’éla- blirai plus loin que ce genre ne peut être maintenu. Le même auteur |”72] signale aussi un mode de multiplication analogue chez le Corymorpha nutans Sars, mais ses obser- vations à ce sujet sont malheureusement incomplètes. Hixcxs |”72 a] indique qu'une semblable multiplication doit exister chez le Campanularia neglecta Ad., mais il n’a pas vu la séparation complète des propagules. - MerescurowskY [78] observa également chez l'O. flabel- lata Hcks. (seu O. longissima Pall.) la séparation de petits fragments qu'il compare à des planules sans cils vibratiles ni bouche; mais il attribue leur formation à la sursalure de l'eau de mer et peut-être aussi au manque d'oxygène : cependant 1l pense que ces fragments sont comparables aux frustules du Schizoladium ramosum Allm. Cet auteur n a d'ailleurs pas étudié leur développement. OBSERVATIONS J'ai étendu ce phénomène de la scissiparité secondaire à un certain nombre d'espèces. Mais comme c’est chez l'Obelia longissima Pall. qu'ilse présente avec le plus de netteté, c’est chez cette espèce que je l’étudierai tout d’abord. SI. — Scissiparité avec propagules simples. Obelia longissima Pall. — Cette espèce, que j'avais prise à tort [:014] pour l'O. Jlabellata Hcks., montre un grand nombre de rameaux qui s’allongent sans former de gastromé- rides à leur extrémité et atteignent jusqu'à 2 millimètres de longueur. C’est à ces rameaux que je donne le nom de rameaux propagulaires (PL. II, fig. 3 et 4, r. p.). Ils naissent, comme les bourgeons de gastromérides, immédiatement au- 42 ARMAND BILLARD. dessous de la partie annelée du pédoncule qui précède lhy- drothèque (PI. IT, fig. 1); ils débutent comme ceux-ci par une région annelée, mais, au lieu de renfler de bonne heure leur extrémité (PL IT, fig. 2, 4. g.) pour donner ensuite un hydranthe, ils continuent leur croissance. Lorsqu'ils ont atteint une certaine longueur, le cæœnosarque qui, dans les deux tiers environ de la longueur du rameau propagulaire, n'occupe pas toute là largeur du tube périsarcal, s’amineit de plus en plus et ne tarde pas à se couper (PL. IF, fig. 5). Il se sépare ainsi une petite partie (p.) comparable à une pla- nule sans cils vibratiles. ALLMAN |”74] l’a désignée sous le nom de frustule. Cest à cette partie que j'ai donné le nom de propaqule |:046|,sur les conseils de M. E. Perrier quia employé ce même nom dans son Traité de zoologie (p. 2306), pour dési- gner les bourgeons libres de différents Tuniciers. Ce terme est emprunté au langage botanique. On peut, en effet, comparer cette parte détachée aux petits massifs cellulaires qui, chez les Hépatiques, donnent naissance à de nouveaux thalles. Cette propagule d'O.: longissima n'étant formée que d'un fragment de rameau sans hydranthe peut être dite simple, par opposition aux propaqules complexes que je déerirai dans la deuxième partie de ce chapitre. Elle a la forme d’un petit bâtonnet court dont la longueur varie de 400 à 900 y. Elle est entourée d'une mince couche de périsarque, du moins à sa base, car à son extrémité le périsarque n’est pas encore développé; 1l est représenté par une sécrétion dont la visco- sité permet à la propagule de se fixer facilement. L’allonge- ment du rameau propagulaire étant très rapide, le tube de périsarque sécrété est très mince et par suite très fragile. Il reste vide après la séparation de la propagule au sommet et la moindre traction suffit alors à le rompre. La propagule est ainsi mise en liberté et porte en arrière une portion plus ou moins longue du tube périsarcal (PI. IT, fig. 6). D’après ALLMAN, la propagule du r'amosum s'échapperait du tube périsarcal par une ouverture apicale et serait par conséquent nue à sa sortie. Ce fait me paraît CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 43 devoir être accepté sous toutes réserves, car il est en désac- cord avec mes propres observations, que j'ai été à même de contrôler maintes et maintes fois, aussi bien chez l'O. lon- gissima que chez l'O. geniculata. ALLMAN, au contraire, n'a eu à sa disposition qu'un petit nombre d'échantillons mon- trant la scissiparité ; 11 n’est donc pas étonnant qu'il ait pu se tromper sur ce point. Si l’on place un hydrodème d'O. longissima dans un bocal aéré et qu'on le laisse au repos, les propagules ne se déta- chent pas. Elles restent à l'extrémité du mince tube de péri- sarque qui s'allonge de plus en plus et peut acquérir ainsi une grande longueur: Leur accumulation donne naissance à un aspect comparable à un nid de chenilles sur un arbre; les propagules figurant ces dernières et les tubes de périsarque vides représentant la toile qui les retient. Les hydrodèmes, au moment de leur récolte, ne présen- ent jamais cet aspect caractéristique, parce que le mouve- ment des vagues ou les courants de marée suffisent pour détacher les propagules, lorsque le tube de périsarque s’est suffisamment allongé. On peut cependant reconnaître faci- lement, chez ces colonies qui viennent d’être récoltées, les rameaux propagulaires et apercevoir même les propagules séparées, mais rattachées encore à la colonie par le tube de périsarque . Les propagules entrainées par les courants vont se fixer sur les pierres, les grains de sable, les fragments de coquilles ou sur tout autre corps, avec la même facilité qu'elles se fixent sur les parois des bocaux ou sur les lamelles de verre. Elles sont, en effet, très adhésives; le moindre contact avec un corps suffit pour qu'elles s’y fixent très fortement, par suite de la sécrétion visqueuse des cellules ectodermiques, sécrétion qui, en durcissant, forme le périsarque. Une fois que les propagules ont ainsi contracté adhérence avec une plaque de verre, par exemple, elles ne restent pas immobiles ; elles cheminent lentement à sa surface, l’extré- 44 ARMAND BILLARD. mité distale dirigée en avant. Ce déplacement n’est pas continu ; 1l présente des alternances de marche en avant el de recul séparées par des périodes de repos. Examimons en détail comment se fait cette progression et partons du moment qui suit immédiatement la phase de recul. Alors, la propa- gule montre à son extrémité distale un ectoderme assez épais (PI. IL, fig. 16), tandis que sur tout le reste de son con- tour l'ectoderme est plus mince ; mais graduellement on voit l'ectoderme de l'extrémité s’amincir, par suite de la contrac- üon des cellules ectodermiques. Il se produit ainsi un éüre- ment de la parte antérieure (PL IT, fig. 17), et par consé- quentla propagules’allonge, l'extrémité proximale restantfixe. Parfois la contraction des cellules ectodermiques à l'extrémité distale est telle que l’ectoderme est à peine visible et que la limite de l’endoderme vient presque se confondre avec la limite extérieure de la propagule, comme il est représenté (PAPE Après cette phase d’allongement d'une durée de quatre minutes environ, vient une phase de repos, qui dure une à deux minutes, lextrémité de la propagule restant au même point. Ensuite on voit l'extrémité distale revenir en arrière, en même temps que l’ectoderme récupère l'épaisseur qu'il avait auparavant, par suite du relâchement de ses cellules. La durée de cette phase est de trois à quatre minutes. L'extrémité antérieure, dans son recul, atteint parfois le point où elle: était parvenue après la phase d'allongement précédente. Puis immédiatement, sans qu'il y ait une phase de repos, une nouvellè contraction de l'ectoderme se pro- duit; la propagule s'allonge de nouveau et son extrémité distale dépasse le point atteint précédemment après la phase d’étirement. Les mêmes phénomènes se reproduisent et la propagule continue à se déplacer lentement. Le déplacement obtenu au bout d’une demi-heure n’a été que de 0°",12 à 07,14 à la température de 17° à 18°. Parfois l'extrémité distale de la propagule s’étrangle CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 45 (PL. IT, fig. 18), puis devient lobée (PI. Il, fig. 19); ce changement de forme provoque une déviation de la marche de la propagule. Les figures 18, 19, 20,21, 22 de la PI. IF, qui ont été prises successivement, montrent nettement un déplacement de la propagule vers la gauche. Lorsque dans leur marche deux propagules se rencon- trent, il peut se présenter trois cas comme pour les stolons de l'O. dichotoma : ou bien la propagule rencontrante passe par-dessus la propagule rencontrée, ou bien encore elle se détourne de sa direction et prend celle de l’autre, ou bien enfin les deux propagules se soudent (PL I, fig. 15). R Le déplacement total des propagules est assez considé- rable ; il peut atteindre 4 millimètres et 1l est indiqué par la présence du tube périsarcal vide qu'elles laissent derrière elles (PL. IE, fig. 11). Après avoir cheminé ainsi, elles donnent naissance sur leur face supérieure à un petit bour- geon perpendiculaire au support (PL IT, fig. 7. 4,g,), qui s’al- longe (PI. Il, fig. 8), se renfle à son extrémité (PI. II, fig. 9), et se termine par un hydranthe (PI. IT, fig. 10). Ce développement se fait assez rapidement et ne demande pas plus de deux jours. Souvent la propagule est consacrée entièrement à la formation du premier gastroméride (PI. IT, fig. 11, g,); le stolon est alors tout à fait vide et parfois aussi la base du pédoneule. Certaines propagules, après avoir donné naissance à un gastroméride, poursuivent leur marche en avant et forment un nouveau bourgeon perpendiculaire au support, qui se terminera bientôt par un hydranthe. Le premier gastroméride (g,) s'insère maintenant à l'extrémité proximale de la propagule (PL. IF, fig. 12). Plusieurs gastromérides peuvent ainsi naître de la même propagule. Chacun bourgeonne à son tour (PI. II, fig. 13) et l'hydrodème se forme peu à peu. Parfois deux gastromé- rides apparaissent au même point (PI. IT, fig. 9). Les hydro- dèmes qui se forment ainsi dans les bocaux d'expérience n'acquiérent pas une grande taille et ne. comprennent pas 76 ARMAND BILLARD. plus de deux à trois gastromérides. Le stolon principal en- gendré par la propagule ne développe pas de stolons latéraux. Le pédoncule du gastroméride initial n’est annelé qu'à la base et au-dessous de l’hydranthe, ce qui constitue une dif- férence avec ce qu'ALLMAX à observé. Dans son dessin, cet auteur figure, en effet, l'hydranthophore annelé sur toute sa longueur. L'hydranthe né ainsi de la propagule est plus grêle et présente moins de tentacules que ceux de l'hydrodème d’où il provient. L'hydranthophore a également un diamètre moindre que ceux de la colonie mère. Ceci tient sans doute à ce que chaque propagule n’emporte avec elle que peu de matériaux de réserve, et c’est seulement après la formation du premier hydranthe que la nutrition peut se faire acti- vement. | ri La production des propagules est beaucoup plus intense quand la colonie émet ses méduses et, contrairement à l'opinion d'ALLMAN, ce mode de multiplication se superpose à la reproduction sexuée. La formation des propagules commence avant l'apparition des méduses, elle atteint son maximum lors de la dissémination des méduses: elle se continue lorsque les gonanges sont vides, mais alors va en diminuant pour cesser bientôt, bien que l'hydro- dème reste parfaitement vivant et produise de nouveaux hydranthes. R À la fin de ce processus, 1l arrive que des gastromérides se détachent; la figure 14 de la PI. IT représente un de ces gastromérides qui s’est séparé de l’hydrodème et montre deux rameaux stoloniques (rs.) S'agit-il d’un phénomène normal ou pathologique? C’est ce que je n'ai pu déterminer. Peut-être dans la nature les gastromérides se détachent-ils pour constituer une propagule complexe, point de départ d’un nouvel hydrodème. Je suis porté à penser qu'il en est ainsi, par analogie avec ce qui se passe chez d’autres espèces (Campanularia ançqulata Heks., Halecium sessile Norm., Plu- mularia halecioïdes Ald.). CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 47 Obelia geniculata L. — IL y a peu de chose à dire sur cette espèce au point de vue de la scissiparité. Le processus de la formation des propagules est le même que chez l'O. longissima. Les rameaux propagulaires s'allongent davantage (PI. II, fig. 23, ».p.)et l’on obtient des propagules qui ne diffèrent de celles de l'O. longissima que par une longueur plus grande; elles atteignent en effet 2*%,5 (PL. IT, fig. 24) et présentent en arrière un cordon de périsarque. Elles sont quelquefois légèrement recourbées à leur extrémité distale à la manière des propagules du Campanularia angulata (Voy. p. 49), mais la courbure est moins accentuée. Ces propa- gules se fixent difficilement contre le verre; mais, une fois fixées, elles ne tardent pas à développer de petits hydro- dèmes. | Leptoscyphus tenuis Allm. — Chez cette espèce, on trouve aussi des propagules simples (PL. IF, fig. 26) ana- logues à celles de l'O. longissima et de l'O. geniculata; elles se détachent de rameaux propagulaires (PL I, fig. 25, 7.p.). Ce sont des bâtonnets courts et minces d’une longueur de 300 à 700 y environ. À cause de la rareté de cette espèce à Saint-Vaast, je n'ai pu observer le développement de ces propagules; mais il est probable qu'il est analogue à celui des propagules de PO. longissima et de l'O. geniculata. S 2. — Scissiparite avec propagqules compleres. Campanularia angulata Hcks. — Tous les auteurs qui se sont occupés de cette espèce ont signalé la présence d'un pro- longement qu'ils appellent généralement « organe en forme de vrille »; mais aucun n’a pu en déterminer le rèle véritable. Frarponr |”79-80| avoue son ignorance sur la signification de ce « long organe appendiculaire en forme de vrille ». DE VARENNE |’82] admet que c’est un organe dans lequel s’em- magasinent des matières nutritives qui doivent servir à toute la colonie. Il remarque, en effet, que celte espèce passe 45 ARMAND BILLARD. l'hiver; et, à cette époque, le C. angulata, ne trouvant pas suffisamment de proies vivantes, vit aux dépens des réserves accumulées dans l'organe en vrille. Il à observé aussi que lorsque cet organe à épuisé ses réserves, il se forme à son extrémité un hydranthe qui saisit les proies vivantes et les digère pour toute la colonie. IL.y à une part de vrai dans l'opinion de DE VARENNE, comme nous le verrons plus loin; mais cet auteur n’a pas résolu la question. J'ai été assez heureux pour découvrir la véritable fonction de cet organe qu’on pouvait considérer jusqu'alors comme énigmatique ; mais cette découverte n'est pas due simplement au hasard. Connaissant par mes obser- vations antérieures la façon dont se comportaient les rameaux stoloniques chez différentes espèces, j'étais naturellement porté à attribuer à cét organe un rôle dans la multiphcaton de l’espèce. Il s'agissait de le démontrer. Le plus simple était d’' essayer de faire fixer cet organe sur des lames de verre, comme je l'avais fait pour les autres rameaux stoloniques; mais mes premières tentatives, exé- cutées au bord de la mer, furent vaines. Je ne sais d’ailleurs pour quelles causes, car depuis, à Paris, j'ai obtenu cette fixation. Ilne me restait plus alors qu’à examiner attentive- ment les feuilles de Zostères et à voir ce quise passe dans la nature même. Je mis ce projet à exécution et je ne tardai pas à découvrir la vérité, qui est tout à fait d'accord avec ce que J'avais prévu. On voit, en effet, lorsqu'on observe soigneusement une grande quantité 1 feuilles de Zostères envahies par le C. angulata, des prolongements en forme de vrilles fixés au bord d’une feuille par leur extrémité distale et présen- tant à l’autre extrémité le dernier hydranthe de lhydro- dème. Le prolongement en forme de vrille, que j’appellerai plus simplement rameau propaqulaire, et Vhydranthe qui y reste attaché constituent une propagule, mais plus complexe que celles que nous avons trouvées jusqu'alors. Peut-être doit-on De: DA. CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 49 considérer ce qui à lieu chez le €. angulata, comme ana- logue à ce que j'ai signalé plus haut chez PO. longissima dont parfois les gastromérides se détacheraient. | IL est facile de comprendre comment se fait cette fixa- tion. Le rameau propagulaire qui termine une colonie est déplacé dans tous les sens par la vague ou par les mouve- ments de la feuille de Zostère sur laquelle est fixé l’hydro- dème auquel il appartient; remarquons que le rameau pro- pagulaire est recourbé en forme de crosse à son extrémité un peu renflée (PL. IIT, fig. 1, 7.p.); dans ces déplacements il peut facilement s'accrocher, comme un véritable hameçon, au bord d’une feuille de Zostère voisine, ces feuilles étant, comme on le sait, très serrées les unes contre les autres dans un champ de Zostères. Pour peu que le contact se prolonge un certain temps, le rameau propagulaire est solidement fixé et la moindre traction suffit à le détacher de la colonie mère suivant la ligne s.s., au-dessous du dernier hydranthe qu'il entraine avec lui. Après fixation, l'extrémité se renfle et prend la forme d'un cœur (1) (PI. IT, fig. 3) présentant deux points de bourgeonnement qui produisent deux stolons opposés, les- quels courent en général parallèlement à la feuille de Zostère. Sur ces stolons apparaît bientôt, à une distance variable (2) du point où l'extrémité du rameau propagulaire s’est fixée, d'abord d’un côté (PL II, fig. 4, 4.g,), puis ensuite de l’autre, un rameau dressé annelé à sa base qui ne tarde pas à donner le premier hydranthe du jeune hydrodème. La figure 5 (PL. II) montre de part et d'autre du point de fixation de la propagule un gastroméride. Chacun dévelop- pera une nouvelle colonie. La formation de stolons latéraux est tardive et n’a lieu (1) La séparation de la colonie mère peut parfois être tardive, car j'ai observé une fois, à ce stade, que le rameau propagulaire n’était pas dé- taché. (2) Cette distance varie de 022,8 à 4mu,5. L’intervalle des deux premiers hydrodèmes est compris entre 1"2,8 et 3 millimètres. [1 est plus faible en général que celui qui sépare les hydrodèmes subséquents. ANN. SC. NAT. ZOOL. OAI 90 ARMAND BILLARD. _que bien après celle des premiers gastromérides. Ces stolons latéraux se détachent perpendiculairement du stolon prin- cipal, au point d'insertion d’un hydrodème ou dans son voi- sinage ; ils traversént la feuille de Zostère et, arrivés au bord opposé, ils le contournent et passent sur l’autre face où 1ls continuent leur marche parallèlement au bord. Quelquefois la pointe du renflement en forme de cœur se prolonge (PI. IIT, fig. 6) et donne un stolon transversal qui développe un bourgeon de gastroméride (4.g,) sur son trajet et, arrivé au bord opposé, se comporte comme on vient de le voir pour les stolons latéraux. Parfois, la propagule se fixe obliquement sur la feuille de Lostère (PL IT, fig. 7); les deux stolons ont alors une direc- üon oblique; l’un traverse la feuille, se porte vers le bord opposé et longe parallèlement ce bord ; l’autre contourne le bord de la feuille, passe sur la face opposée qu'il traverse obliquement, atteint le bord opposé et se comporte comme le premier. Il peut également arriver qu'un stolon, après avoir che- miné parallèlement au bord de la feuille, prenne une direction oblique, traverse cette feuille pour suivre ensuite le bord opposé. On voit done que de cette façon une feuille de Zostère peut être totalement envahie sur ses deux faces par le Campanularia angulata, gràce au développement d’une seule propagule; mais en général plusieurs propagules se fixent sur la même feuille. Pendant le développement des stolons et des premiers gastromérides, l'hydranthe qui se trouve à l'extrémité proxi- male non fixée de la propagule, rétracte ses tentacules, puis est résorbé ; la propagule se vide aussi peu à peu et les ma- tériaux nutritifs qui y étaient accumulés servent au déve- loppement des stolons et des Jeunes hydrodèmes. Le tube périsarcal vide, après le développement des pre- miers gastromérides, ne tarde pas à se détacher. Après sa chute, il est facile de reconnaitre l’origine des stolons qui courent le long de la feuille de Zostère, même lorqu'ils sont CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 51 âgés, car ils présentent un élargissement triangulaire au point où la propagule s’est fixée (PL IT, fig. 5). Il est étonnant que cette particularité n'ait pas été signalée et n'ait pas mis sur la voie du phénomène, les auteurs qui se sont occupés de cette espèce. Je noterai encore avoir observé le cas d’un hydranthe né par régéné- ration à l’extrémité proximale non fixée de la propagule, au point de séparation d'avec la colonie mère (es, 2 a. r.). DE VARENNE avait donc entrevu une parte de la vérité lorsqu'il con- sidérait l'organe en forme de vrille comme un organe de réserve, mais les réserves servent, non pas à la co- Fig. 15. — Campanularia an- : . : EN £ gulala Hcks. — Extrémité lonie mère, comme 1l le disait, Mais proximale d'un rameau pro- aux premiers développements de nou- Pègulaire r.p. ayant formé ; Er x un hydranthe de régénéra- velles colonies. Je n'ai jamais vu le tion Aa.r.; h.d. (mis pour c h.E.), hydrothèque vide du rameau propagulaire former un hy- dernier hydranthe de la co- dranthe à leur extrémité. Lorsqu'on lonie; s, point où s’est faite n la séparation d'avec la colo- conserve longtemps les colonies en nie mère. aquarium, les rameaux propagulaires continuent à s’allonger, tandis que les hydrodèmes d’où ils proviennent perdent leurs hydranthes et leurs matières de réserve; à la base du rameau les cellules endodermiques se vident de leurs granulations, et même au bout d'un certain temps la colonie tout à fait épuisée par ce dé- veloppement n’est plus représentée que par le tube péri- sarcal vide. Dans sa partie proximale le rameau propa- gulaire considérablement allongé est lui-même vide, tandis qu'à son extrémité distale l'ectoderme est épais etles cellules endodermiques sont bourrées de granulations. Grâce à cette accumulation de matières de réserve à son extrémité, le ra- meau propagulaire conserve longtemps sa fonction de mul- üplication qu'il peut remplir aussitôt fixé. 52 ARMAND BILLARD. La scissiparité permet donc au C. angulata de passer d'une feuille de Zostère à l’autre. Cette multiplication est très active; les hydrodèmes naissent très près les uns des autres : la distance qui sépare deux colonies voisines sur le même stolon varie de 2°",5 à 3°*,3, mais le nombre le plus sou- vent réalisé est 3 millimètres environ; toutes présentent un rameau propagulaire qui peut se fixer et donner un certain nombre d'hydrodèmes par le processus que je viens de signaler. Sur une même feuille de: Zostère peuvent se fixer plusieurs rameaux propagulaires. J'ai observé, en effet, à l'extrémité d’une feuille sur une longueur de 7 centimètres, douze insertions de propagules. On comprend ainsi qu'un champ de Zostères puisse être facilement envahi par le C. angulata, grâce à ce mode de multiplication. Sur les Cystosires où vit aussi cette éspèce, les mêmes faits se produisent et la multiplication est assurée de la même façon. Les rameaux propagulaires sont cependant plus longs. Tandis qu'ils ne dépassent guère 6 à 7 millimètres, lorsque le €’. angulata habite les Zostères, ils atteignent dans ce cas 15 et même 20 millimètres. Cet allongement plus grand des rameaux propagulaires tient sans doute à ce qu'ils ne peuvent que difficilement se fixer sur les rameaux arrondis de l’algue. Halecium sessile Norm.— En examinant des hydrodèmes d’une variété qui croît sur les Cystosires (Voy. p. 160), con- servés dans l'alcool, j'ai observé des propaqules complexes, formées par deux hydranthes, à la base desquels se trouvent jusqu'à cinq rameaux stoloniques (PI. II, fig. 9). Je consi- dère cet ensemble comme une véritable propagule, car l’ex- trémité distale de ce corps était cicatrisée, ce qui imdique bien qu'une séparation avait eu lieu antérieurement à la récolte et que par conséquent dans la nature ces corps se détachent des hydrodèmes qui lui ont donné naissance el sont ensuite transportés en un autre point. Ces propagules doivent s'arrêter dans les ramifications des Algues et leur fixation est assurée grâce aux nombreux rameaux stoloniques CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES, 59 qu'elles portent et qui doivent être le point de départ de nou- veaux hydrodèmes. Ces propagules se forment à l'extrémité des hydrodèmes (PL. IT, fig. 8), et l’on peut voir en s le point où s'effectuera la séparation, au niveau d’une des cons- trictions du périsarque. Plumularia halecioïdes Ald. — Je suis porté à penser que chez cette espèce Les choses se passent très souvent sinon presque toujours, comme chez l'Halecium sessile. J'ai vu très fréquemment, en effet, toute l'extrémité de l’hydrodème détachée, avec ses rameaux stoloniques et ses hydranthes, et le tout formait une propagule complexe. J'ai observé cette propagule détachée avec son extrémité distale cicatrisée et même bourgeonnant, non seulement en examinant les hy- drodèmes conservées dans l'alcool, mais aussi les touffes de colonies aussitôtaprèsla récolte. La séparation $’étaiteffectuée au niveau d'une ligne d’articulation qui est d’ailleurs un point faible du tube du périsarque. (Voy. fig. 11, s.) CONCLUSIONS On voit par cette étude que la scissiparité secondaire est un phénomène très fréquent chez les Hydroïdes et par la suite on pourra sans nul doute augmenter le nombre des espèces où existe ce mode particulier de multiplication qui se résume en ceci : séparation de parties d'hydrodèmes plus ou moins complexes (propaqules); transport de ces propagqules et développement de nouveaux hydrodèmes sur les propagules fixées. Les espèces chez lesquelles J'ai rencontré ce phénomène sont les suivantes : Obelia longissima Pall., O. geniculata L., Leptoscyphus tenuis Allm., Campanularia angulata Hcks., Halecium sessile Norm., Plumularia halecioïdes Ald. ALLMAN, comme je l'ai dit plus haut, ne rencontra qu'une fois cette sorte de : scissiparité chez une espèce qu'il ne put déterminer à cause de l'absence, de. méduses. Il en fit un D4 ù ARMAND BILLARD. genre nouveau, le genre Schizocladium, dont le nom rappelle ce mode de multiplication, et il dénomma l'espèce consi- dérée S. ramosum. Ce nom générique, basé sur cette mulüplication particulière, doit disparaître de la nomencla- ture, car la scissiparité ne peut pas être considérée comme appartenant en propre à un genre spécial. Elle se rencontre non seulement chez le genre Obelia, mais aussi chez d’au- ires, comme je l'ai montré plus haut (1). Il est très probable que l'espèce créée par Allman doive être rattachée au genre Obelia, et si ce n'était la présence d’anneaux sur toute la longueur de l’hydranthopore du premier gastroméride, Je n'hésiterais pas à identifier le Schizocladium ramosum avec l'O. longissima. Je ne suis pas de l’avis de HarTLAUB qui, dans l’analyse d’une de mes notes (Biolog. Centralbl., IX Jahrg., 1902, p. 687) admet que le Schizocladium ramosum n'est autre que l'O. geniculata L. Cette identification n’est pas admis- sible, car les propagules de cette dernière espèce sont beau- coup plus allongées et de plus le dessin du S. ramosum donné par ALLMAN ne correspond pas à l'O. geniculata. Relation entre la stolonisation et la scissiparité. — Comme je l’ai avancé plus haut, la scissiparité dérive de la stolonisation. En effet, certaines espèces scissipares peuvent faire retour à la multiplication par stolonisation, qui doit être considérée alors comme primaire. C’est le cas de l’'Obela geniculata et de l'O. longissima. La première de ces espèces est à un état peu avancé de son évolution vers la seissipa- rité, comme le montrent ses rameaux propagulaires allongés ét son retour facile à la multiplication par stolomisation. J'ai indiqué, en effet, que les rameaux propagulaires de la première espèce sont suscepübles de se fixersans se détacher (4) Hinexs [’72a] arrivait à la même conclusion après ses observations, incomplètes d’ailleurs, sur la scissiparité du Campanularia neglecta Ald. Il émettait mème cette opinion, justifiée par mes recherches, que ce mode de multiplication pouvait être assez répandu chez les Hydroïdes. gen EE CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 99 de l'hydrodème et se comportent alors exactement comme les rameaux stoloniques de l'O. dichotoma. Il n’en est plus de même pour l'O. longissima dont les rameaux propagulaires, bien qu’amenés en contact avec un corps solide, continuent à détacher des propagules qui sont d’ailleurs plus courtes que chez l'O. geniculata. Ce n'est qu'après un séjour prolongé dans un aquarium que certains rameaux propagulaires peuvent se fixer sans se détacher de l’hydrodème. Le retour à la stolonisation est donc plus rare et plus difficile chez cette espèce, mais n’en est pas moins possible. Les phénomènes présentés par l'Halecium sessile et le Plumularia halecioides viennent aussi à l'appui de cette assertion. Que les rameaux stoloniques de l’une ou de l’autre de ces espèces se fixent sur un support, et la propagule ne se détache pas. Existe-t-il une relation de cause à effet entre le phéno- mène de la scissiparité et les conditions dans lesquelles vivent les espèces scissipares? La réponse à cette question ne peut être donnée que par l'examen de ces conditions. Toutes les espèces scissipares que j'ai étudiées à Saint- : Vaast, sauf cependant le Leptoscyphus tenus de la côte, se rencontrent en abondance dans les points parcourus par des courants d’une certaine force ; et à marée basse elles restent toujours recouvertes par une quantité suffisante d’eau, ce qui les empêche de venir en contact avec le sol. (Je mets à part le Campanularia angulata dont le cas est tout à fait particulier.) La récolte de l'Obelia longissima à marée basse ne peut être faite qu'aux époques de grandes marées, sous la jetée de Saint-Vaast où existe un fort courant ; cette espèce est très abondante à cet endroit; on peut aussi la trouver en assez grande quantité aux abords des déversoirs des parcs à Huîtres; enfin on la récolte au Petit Nord par fonds de 20 à 25 mètres et là aussi, comme dans le cas pré- cédent, l’existence d’un courant est manifeste. 36 ARMAND BILLARD. L'Obelia geniculata, Y Halecium sessile, le Plumularia hale- cioïdes sont abondamment répandus dans les courants des. anciens parcs. Ces conditions sont évidemment favorables à la multiplication par scissiparité. Les courants sont capa- bles non seulement de détacher les propagules de la colonie mère, mais aussi de les transporter en un autre point. On peut aller plus loin et dire que lPaction du courant est la cause déterminante du phénomène de la scissiparité. C'est ce qui va découler nettement des considérations suivantes. En effet, supposons une espèce comme l'O. longissima donnant naissance primitivement à des rameaux stoloni- ques. Si cette espèce vit dans des eaux courantes plus ou moins profondes, l’hydrodème ne pouvant venir s'appliquer contre le sol, les rameaux stoloniques n’ont aucune chance de se fixer; cette espèce se pliera donc, s’adaptera aux con- ditions du milieu et, au lieu de prolonger indéfiniment ses rameaux stoloniques, ce qui n'aurait pour résultat que de l’épuiser sans effet utile pour l’espèce, elle les détachera et donnera des propagules. De cette façon s'explique facile- ment le passage de la stolonisation à la scissiparité. Le retour inverse est aussi facile à comprendre. Que les condi- tions de milieu changent, que l'espèce vienne à être placée dans un endroit tranquille où les rameaux stoloniques puis- sent se fixer, et alors la stolonisation remplace la seissipa- rité. Ce retour sera d'autant plus facile que les conditions dans lesquelles vit l'espèce s'écarteront moins des conditions. où sont placées les espèces stolonipares. C’est le cas de PO. geniculata qui se rencontre à côté même de l'O. dichotoma, mais qui, au lieu d’être fixé sur les cailloux, est fixé sur des algues à une certaine hauteur et dont les rameaux stolo- niques ont alors moins de chances de venir en contact avec les corps étrangers et de s’y fixer, tout en pouvant le faire à l’occasion. La scissiparité n'est donc pas profondément séparée de la stolonisation. Il existe, comme on l’a vu, des passages CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 91 entre ces deux modes de multiplication et le premier dérive du second. Les stolons s’affranchissant plus ou moins tardivement de la colonie mère et les propagules s’en séparant de bonne heure on peut donc dire qu'il y a accélération dans le déve- loppement, dans le cas de la scissiparité. On trouve là un exemple de tachygenèse facteur embryogénique, dont le rôle a été mis en lumière par mon Maitre, M. E. Perrier, dans son Traité de zoologie ainsi que dans un mémoire récent |: 02] publié en collaboration avec M. Gravier. Le cas du Campanularia anqulata est tout à fait spécial. Le mode de multiphication de cette espèce est en effet inter- médiaire entre la véritable stolonisation et la vraie scissipa- rité, la propagule se détachant de très bonne heure, mais cependant après fixation. Ilest intéressant de constater que cette espèce est très bien adaptée aux conditions dans les- quelles elle vit; la forme d’hamecon acquise par le rameau propagulaire est, en effet, tout à fait favorable à la multi- plication du Campanularia anqulata. APERÇU SUR LA SCISSIPARITÉ DANS LE RÈGNE ANIMAL ET LE RÈGNE VÉGÉTAL On ne peuts’empêcher d'établir un rapprochemententre ce qui se passe chez les Hydroïdes et ce quise présente chez d’au- tres animaux d’une partet chez certaines plantes d’autre part. C’est par scissiparité que se reproduisent un grand nombre de Protozoaires. J'ai indiqué plus haut les espèces d'Hydroïdes qui se multiplient par scissiparité. Dans le même embran- chement, chez les Acalèphes, un exemple de scissiparité est fourni par la transformation du seyphistome en strobile. Un certain nombre de Stellérides (Polyasterias tenuispina, P. calamaria, Asterina weqa, etc...) et d'Ophiurides (0pho- thela isidicola, O. dividua, Ophiocoma Valenciæ, O. pumila, Ophiactis virens, O. Mülleri, ete...) se multiplient par bipar- 98 ARMAND BILLARD. ütion spontanée; le corps se coupe en deux moitiés équiva- lentes dont chacune se complète ensuite. Chez diverses espèces de Stellérides seulement, apparte- nant aux genres Linckia et Mithrodia, un bras se détache du disque et reforme l'animal tout entier. Les Planaires rhabdocèles des genres Catenula, Strongylo- stomum, Microstomum, etc., beaucoup de Syllidiens et de Naïdiens se coupent spontanément en un certain nombre de segments dont chacun devient un individu. Dans tous ces exemples il s'agit d’une scissiparité primi- tive mais chez les Tuniciers la scissiparité apparaît, ainsi que chez les Hydroïdes que j'ai étudiés, comme dérivée de la stolonisation. En effet, le post-abdomen des Amaroucium, qui à la valeur d’un véritable stolon, se segmente et chaque segment donne un bourgeon libre qui se complète et gagne la surface de l’ascidiodème. Ce mode de multiplication dérive manifestement de la stolonisation des Perophora et Clavellina. La scissiparité se rencontre aussi chez les Doliolum, où le stolon ventral détache à son extrémité de véritables propagules (Urknospe d'Uljanin) qui sont trans- portés ensuite par des cellules ambulantes sur le cadophore où elles se divisent en quatorze ou vingt bourgeons; ce phénomène doit tirer son origine de la stolonisation des Salpes. La dissociation du corps chez les Végétaux relève plutôt de la gemmiparité que de la scissiparité proprement dite; c'est ce qui se produit chez la Ficaire, chez certaines Fou- gères qui développent des bulbilles DE hioe de se détacher et de donner naissance à une nouvelle plante. Chez les Muscinées la mulhphestion se fait à l’aide de petites parties détachées qu'on a appelées propagqules. La formation des tubercules de pomme de terre (Solanum tuberosum) est un véritable phénomène de scissiparité, ainsi Fe la dissociation du corps des Bactéries. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 29 CHAPITRE II HISTOLOGIE DES STOLONS ET PROPAGULES. Obelia dichotoma L. — Je ferai l'étude comparative de la structure histologique de l'hydrocaule et des stolons. Dans les bourgeons terminaux destinés à donner des hy- dranthes de même que dans les rameaux stoloniques, l’ecto- derme est formé de cellules finement granuleuses et forte- ment colorables par les réactifs, mais au fur et à mesure qu'on s'éloigne de l'extrémité les cellules ectodermiques de- viennent de plus en plus vacuolaires et leurs granulalions disparaissent. Dans les parties tout à fait âgées, les cellules ne montrent plus que des travées protoplasmiques limitant de grands espaces clairs (PL IV, fig. 1, ect.). Mais cependant en certains points on voit des nids de petites cellules finement granuleuses avec de très petits noyaux. Dans les parties jeunes les noyaux se multiplient par divi- sion directe. Ces noyaux possèdent en leur centre un corps qui prend fortement les substances colorantes et représente la chromatine du noyau. Je l’appellerai aryosome, à l'exemple de LABBé [’99]. Dans le phénomène de division directe on voit le karyosome s’étrangler (PL. IV fig. 7, n.), puis se diviser en deux {2'). On trouve alors dans l’ectoderme de nombreux noyaux possédant deux karyosomes provenant de cette division. Plus tard, le noyau lui-même s’étrangle et se divise en deux. Certains noyaux montrent une véritable frag- mentation de leur karyosome et à leur intérieur on rencontre trois à quatre corps chromatiques et quelquefois plus. Il existe d’ailleurs deux sortes de noyaux, des gros mesurant environ 7y,3 et des petits n'ayant que 2u,5 de diamètre. Les petits noyaux montrent comme les gros des phénomènes 60 ARMAND BILLARD. de division directe. Entre ces deux sortes de noyaux se trou- vent tous les intermédiaires. L’ectoderme renferme toujours des cnidoblastes ; dans les parties âgées on en trouve parfois une quantité considérable et l’ectoderme en est pour ainsi dire absolument bourré. Ils sont allongés et se colorent fortement: parfois ils sont entourés d’une zone claire. On peut en voir dans les figures 1 et 4 de la PI. IV (en.). On trouve aussi des cellules granuleuses amiboïdes, surtout à l'extrémité du bourgeon. Je ferai de ces cellules une étude à part dans le chapitre suivant. L’endoderme des parties jeunes est formé par des cellules renfermant de nombreuses sphérules vitellines qui se colo- rent bien par la safranine, le violet de gentiane. De plus, le protoplasme est finement granuleux. Dans les parties ter- minales du bourgeon, les cellules endodermiques sont presque totalement D urtues de leurs sphérules vitellines, sur une certaine longueur. Ces cellules vacuolaires ont les mêmes ca- raclères que les cellules endodermiques des tentacules. Le noyau est entouré d’une petite quantité de protoplasme gra- nuleux envoyant des tractus vers la périphérie. Lorsque la section est tangentielle, on à l'aspect d’une coupe de végétal, surtout lovaque les cellules sont complètement dépourvues de sphérules vitellines, ce qui n’est pas toujours le cas, car il peut en rester un nombre plus où moins grand suivant l’âge du segment. Ce même aspect se retrouve d’ailleurs dans l’'ectoderne et dans l’endoderme des parties âgées lorsque la coupe est tangentielle. La figure 1 de la PI. IV montre ces cellules endodermiques vacuolaires des parties âgées, mais la coupe passe par l'axe. Je dois noter une particularité, c’est que de place en place on trouve, comme il est représenté, dans cette figure, de grands espaces vides à peu près semi- circulaires. On y remarque parfois un noyau plus ou moins altéré et une ou deux sphérules. : Il existe aussi des cellules glandulaires dans l cndodér des tiges Jeunes et âgées, mais, dans ces dernières, elles tranchent nettement par suite de la coloration plus ou CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 61 moins intense qu'elles prennent, tandis que dans les parties jeunes elles se distinguent difficilement au milieu des autres cellules endodermiques fortement colorées. Ces cellules glan- dulaires sont ovales et le plus souvent ne viennent pas en contact avec la lamelle de soutien en dehors, mais concourent à limiter la cavité du corps en dedans. Leur noyau est tou- jours situé dans la partie externe; le nucléole est plus volu- mineux que dans les noyaux des cellules ordinaires ; leur protoplasme se colore en gris par l'hématoxyline au fer. Ces cellules affectent deux états : les unes montrent dans leur partie interne un petit nombre de sphérules colorées en violet foncé par le même colorant (PI. IV, fig. 3); dans les autres (PL. IV, fig. 2), ces granulations ont disparu et l’on voit à leur place des vacuoles un peu moins foncées que le fond. On ren- contre des intermédiaires entre ces deux sortes de cellules, car on voit des cellules glandulaires renfermant à la fois des sphérules foncées et des vacuoles. Les cellules glandulaires sont analogues à celles décrites par Pauzy [: 02] chez le Cordylophora lacustris Allm. On aperçoit aussi parfois des cnidoblastes dans les cel- lules endodermiques. Les uns présentent le même aspect que ceux trouvés dans l’ectoderme, tandis que les autres parais- sent avoir subi une altération due sans doute à un commence- ment de digestion. Je pense qu'on doit d’après cela chercher l’origine de ces enidoblastes endodermiques dans l’ectoderme, avec d'autant plus de raison qu'on voit, en certains points, des enidoblastes qui sont engagés à travers la membrane de soutien comme il estreprésenté (PI. IV, fig. 4). Il y a donc une émigration des cnidoblastes de l’ectoderme dans l’'endoderme. Enfin .on rencontre aussi dans les cellules endodermiques de la cavité digestive des hydranthes des enclaves assez volu- mineuses, jaunâtres (PI. IV, fig. 5, d.) qui sont, je pense, les substances de déchet que je signale (p. 92-93), et qui sont destinées à être rejetées au moment de l'épanouissement de l’'hydranthe. | On trouve dans la cavité digestive de l'hydrocaule des cor- 62 ARMAND BILLARD. puscules de diverses sortes. Les uns sont des masses Jaunâtres analogues aux substances de déchets signalées dans le para- graphe précédent; les autres sont vraisemblablement des cellules endodermiques détachées, car on y distingue le noyau et aussi les sphérules vitellines. Mais ce que l’on rencontre en plus grande quantité ce sont des sphérules isolées analo- oues à celles qui existent dans les cellules endodermiques, mais dont la coloration est moins intense (PI. IV, fig. 6, s.). On trouve aussi des corps nucléiformes avec un Kkaryosome central où excentrique (c., €,, e,). Ces corps nucléiformes diffèrent cependant des noyaux ordinaires par ce fait qu'ils se teintent en entier par les substances colorantes, par suite de la diffusion de la substance chromatique dans le suc nucléaire. Leur volume est aussi plus considérable. Dans certains (c,, €,), on aperçoit des vacuoles, d’autres montrent une fragmentation du Kkaryosome (c,). Il y a de ces cor- puscules (€,) qui ne montrent que des vacuoles sans trace de karyosome. Les cnidoblastes (cn.) ne sont pas rares et beaucoup sont altérés. Tous ces corps abondent également dans la cavité digestive de l’hydranthe. IT est probable que parmi ces différents corpuscules 1l y en à qui proviennent des proies saisies et ingérées par les hydranthes. Tous ces corpusecules sont analogues à ceux que KLAATSCH 84] à décrits et figurés dans le Clytia Johnstoni Ad. Gasr et GopLewski |:03] ont observé de semblables corpuscules dans la cavité digestive du Pennaria Cavolinü Ehrbg., après la dégénérescence des hydranthes. Chez l'O. dichotoma les corpuseules ont la même origine; ils proviennent de la des- truction des hydranthes qui se résorbent après leur mort ; mais aussi 1ls sont dus à ce que certaines cellules endoder- miques se vident complètement, comme le témoignent les solutions de continuité signalées plus haut dans l’endoderme. On voit même dans certaines de ces cellules vides un noyau qui offre les caractères des corps nucléiformes de la cavité digestive, mais qui présente cependant un moindre volume (PL. IV, fig. 1). | CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 63 La structure histologique des stolons ne diffère pas essen- tiellement de la structure de la tige. On y trouve les mêmes éléments, mais dans l’ectoderme des stolons jeunes les cel- lules granuleuses amiboïdes que Je décris dans le chapitre suivant sont plus nombreuses que dans les tiges jeunes. Par contre, l’ectoderme renferme peu de enidoblastes qu'on ren- contre aussi accidentellement dans l'endoderme. Les noyaux des cellules ectodermiques se divisent le plus souvent, comme dans la tige, par voie directe, ce qu'indiquentles karyosomes étranglés (PL. IV, fig. 7,n.) et les noyaux à deux karyosomes (n°). Cependant, on rencontre quelques divisions karyokiné- tiques. La division paraît se faire quelquefois d’une façon intermédiaire que je décris plus bas. On trouve aussi en certains points des stolons de très petits noyaux dont quel- ques-uns montrent deux karyosomes (PL. IV, fig. 7). Les cellules endodermiques renferment une quantité de sphérules vitellines (PL IV, fig. 8, en.), sauf toutefois à l’extré- mité même où ces cellules sont vides et vacuolaires, comme dans les bourgeons jeunes (PI. IV, fig. 9). Les cellules endo- dermiques extrêmes des stolons latéraux offrent ce caractère de très bonne heure, presque immédiatement après leur appa- _rition sur le stolon mère, ce qui n’est pas le cas du bourgeon de gastroméride. Cette particularité tient sans doute à la croissance plus rapide des stolons. On trouve, de même que dans la tige, des cellules glandulaires mais en petit nombre. Dans la cavilé digestive existent les mêmes corpuscules que ceux précédemment étudiés. Les sphérules vitellines accumulées dans les cellules endo- dermiques doivent être considérées comme des réserves qui sont utilisées dans les développements ultérieurs. Dans les tiges, elles servent à la formation continuelle de nouveaux gastromérides ;dans les stolons, elles sont nécessaires à l’édi- fication des jeunes hydrodèmes qui apparaissent de place en place sur ces slolons, dont les cellules se Feat peu à peu et deviennent vacuolaires. 64 ARMAND BILLARD. Division nucléaire intermédiaire entre la division di- recte et indirecte. — J'ai rencontré une fois dans un bour- geon de gastroméride né sur un stolon des divisions nu- cléaires particulières et tousles noyaux de ce bourgeon étaient en voie de division. Sans que la membrane nucléaire dis- paraisse, on voit tout d’abord la substance chromatique du karyosome se porter à la périphérie (PL IV, fig. 10); la partie centrale est alors faiblement colorée; puis la chro- matine se rassemble aux deux extrémités du noyau et l’on a une sorte de fuseau montrant une masse chromatique à chaque extrémité (PI. IV, fig. 11); ensuite la partie intermé- diaire se fond dans le karyoplasme; le noyau possède alors deux karyosomes (PI. IV, fig. 12) que chacun des noyaux filles emporte avec lui après étranglement et division du noyau mère. Les noyaux qui subissent cette sorte de division sont allongés dans le sens du fuseau (1). Obelia geniculata L., O0. longissima Pall. — On retrouve dans ces deux espèces les particularités histologiques que je viens de décrire dans l'O. dichotoma. Les cellules endodermi- ques des stolons d’O. geniculata et des propagules d’O. lon- gissima sont bourrées de sphérules vitellines ; mais les cellules endodermiques de l’extrémité des stolons de la première espèce ne sont vides que dans les stolons un peu âgés, tandis que chez l'O. dichotoma cet état est acquis de très bonne heure. Dans les propagules d’O. longissima toutes les cellules endo- dermiques sont bourrées de sphérules vitellines sans excep- ton. Chez ces deux espèces, les cellules ectodermiques des stolons et des propagules jeunes sont finement granuleuses, mais en outre elles montrent des sphérules vitellines qui n'existent pas chez l'O. dichotoma (PI. IV, fig. 14, ect.). On distingue très nettement ces sphérules des granulations plus où moins grosses des cellules granuleuses amiboïdes qui sont abondantes dans ces propagules et ces stolons. En effet, (4) Le réseau représenté dans les figures 10, 11, 12 (PI. IV) est plus accusé qu'il ne l’est en réalité. CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 65 ces granulalions possèdent la propriété d’être solubles dans les réaclifs fixateurs acides qui ne dissolvent pas les sphérules vilellines. Les cellules (c. ex.) qui les renfermaient montrent alors des travées protoplasmiques limitant des espaces vides, dans lesquels se trouvaient les granulations, avant l’action du réactif. L'ectoderme renferme des cnidoblastes qui peuvent passer dans l'endoderme; celui-ci possède également des cellules glandulaires. Les noyaux des cellules ectodermiques montrent la divi- sion directe. J'ai également observé dans les stolons d'O. gemiculata et les bourgeons de gastromérides d'O. longis- sima, nés sur les propagules fixées, quelques noyaux qui mon- traient la division particulière décrite plus haut. La cavité digestive chez ces deux espèces renferme aussi des corpuscules dus à la désagrégation des tissus. La figure 13 (PI. IV) montre l'aspect de ces corpuscules chez VO. longissima, et l’on reconnait nettement dans deux de ces corpuscules un noyau avec son karyosome. Dans les bour- geons qui sont en train de se résorber, on voit les cellules granuleuses de l’ectoderme qui ont passé dans la cavité digestive. Campanularia angulata Hcks. — Les cellules ectodermi- ques et endodermiques des rameaux propagulaires présentent les mêmes caractères que celles des stolons et des propagules des précédentes espèces. Les cellules ectodermiques sont finement granuleuses et les cellules endodermiques possèdent de nombreuses sphérules vitellines, sauf toutefois à lextré- mité. Dans certains points de l’ectoderme, on trouve une grande quantité de petits noyaux qui mesurent environ 2 y, tandis que les noyaux ordinaires ont environ % ». Ces petits noyaux montrent un karyosome réduit à un point ou bien une sorte de réseau chromatique. On voit aussi de place en place des noyaux à deux karyosomes ou à un seul étranglé en son milieu, début de la division nucléaire directe. Dans ANN. SC. NAT. ZOOL. Set, 66 ARMAND BILLARD. l’'ectoderme, on trouve aussi une grande quantité de cellules granuleuses amiboïdes (PL V, fig. 1, 2, c. er.) et quelques enidoblastes. L’endoderme montre des cellules glandulaires. Parfois mais très rarement, j'ai trouvé des cellules amiboïdes à l'intérieur de l’endoderme, à l'extrémité même du rameau. Je pense qu'elles ont traversé la lamelle de soutien et ont ainsi émigré vers l’intérieur (PI. V, fig. 1). Ces migra- tions d'éléments ne sont pas rares chez les Hvydroïdes ; les cellules sexuelles peuvent, en effet, traverser la membrane de soutien, comme l'ont montré Weissmax [’83] et les auteurs qui après lui se sont occupés de l’origine des produits sexués. Dans la cavité digestive, on trouve aussi de nombreux corpuseules qui proviennent de la désagrégation des cellules endodermiques ou de la résorption de certaines parties de la colonie. On y trouve parfois des restes des cellules gra- nuleuses amiboïdes de l’ectoderme. Ces corpuseules s'ac- cumulent parfois en grande quantité à l'extrémité même du rameau où ils forment un amas important qui masque les limites internes des cellules endodermiques dont on aperçoit les noyaux dans la partie profonde (PL. V, fig. 2). Les stolons qui proviennent de la fixation de ces rameaux propagulaires ont la même structure, et leurs cellules endodermiques sont bourrées de sphérules vitellines, sauf toutefois à leur extrémité, où elles sont plus où moins vacuolaires. Il s’agit de voir par suite de quelle transformation histo- logique le rameau propagulaire se courbe en crochet ou en hamecon à son extrémité distale. Au début, lorsque le rameau propagulaire est droit, les cellules ectodermiques de l'extrémité sont allongées radialement et vont régulièrement en décroissant au fur et à mesure qu’on s'éloigne de lextré- trémité (PI. V, fig. 1); la courbure s'obtient par l’aplatis- sement des cellules ectodermiques dans le sens tangentiel du côté convexe et dans le sens radial du côté concave. Les cellules de ce côté sont très allongées et très serrées les unes contre les autres, et leur noyau se trouve à des hauteurs CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 67 différentes (PI. V, fig. 2). On observe une disposition ana- logue dans les propagules de l'O. geniculata, lorsqu'elles sont courbées au sommet, comme cela arrive quelquefois. Gampanularia flexuosa Hcks. — Les stolons de celte espèce présentent la même structure histologique que ceux de l'Obelia dichotoma, mais on rencontre dans l’ectoderme une grande quantité de enidoblastes (PL V, fig. 3, cn.) quine se trouvent qu'accidentellement dans les stolons d’'O. dirho- loma. 1 existe aussi un assez grand nombre de noyaux à deux karyosomes. Les cellules granuleuses amiboïdes (rc. ex.) sont nombreuses. Les cellules endodermiques renferment une grande quantité de sphérules vitellines; sauf à Pex- trémité où les cellules sont vacuolaires et vides en partie, comme chez l'O. dichotoma (PI. V, fig. 3). On trouve dans celte région de l’endoderme des cellules granuleuses ami- boïdes qui, de même que chez le C. angulata, ont passé de l'ectoderme dans lendoderme, à travers la membrane de soutien. Ces cellules se sont insinuées entre les cellules endodermiques (PL V, fig. 3, c. er.). Les granulations ne sont pas figurées, elles ont été dissoutes par les réactifs acides. On voit aussi des cnidoblastes dont la présence dans l’endoderme est sans doute due également à une migration venant de lectoderme. Enfin, il existe dans la cavité digestive comme dans les espèces précédentes, des corpuscules ayant la même origine. Sertularia pumila L., Plumularia halecioïides Ald., Bougainvillia ramosa Bened., Goryne sp. — Chez ces diffé- rentes espèces les caractères histologiques des stolons ou des rameaux stoloniques sont à peu près les mêmes que chez celles examinées plus haut. Les cellules endodermiques sont absolument bourrées de sphérules vitellines, sauf toutefois dans les rameaux stoloniques du Bougainvillia ramosa où lon n'en trouve qu’à la base ; les cellules endodermiques de cette espèce sont cependant riches en protoplasme granuleux, 68 ARMAND BILLARD. mais au sommet elles sont vacuolaires. Je n'ai pas trouvé ce caractère chez les autres espèces. A l'extrémité des stolons du S. pumila obtenus par régé- nération, l’ectoderme est épais et formé de hautes cellules allongées, obliques (PL V, fig. 4), tandis que vers la base l'ectoderme est peu épais et formé de cellules courtes (PL V, fig. 5). Cet ectoderme renferme également des cnido- blastes (c2.). Les cnidoblastes existent aussi en grand nombre dans les stolons du Coryne sp. Chez cette espèce, on voit dans l'ectoderme des noyaux en voie de division directe. Dans toutes ces espèces la cavité digestive contient des corpuseules analogues à ceux décrils plus haut; chez le Plu- mularia halecioïdes, leur accumulation est quelquefois telle que la cavité digestive est comblée et qu’on discerne diffier- lement les limites des cellules endodermiques. CONCLUSIONS En résumé, on voit que la structure des stolons et des propagules ne diffère pas de celle des parties Jeunes de lhydrocaule. Ce qu’on doit retenir surtout, c’est l'existence dans lectoderme granuleux de cenidoblastes et de nom- breuses cellules amiboïdes qui passent parfois dans l'endo- derme. On doit noter la présence de noyaux en voie de division. La division directe domine et l’on ne trouve qu'accidentellement la division indirecte; mais il existe aussi un mode parüculier de division des noyaux, division © qui est intermédiaire entre les deux précédentes. Dans les cellules de lendoderme, 1l faut signaler la pré- sence de nombreuses sphérules vitellines, sauf toutefois à l'extrémité de certains stolons où les cellules sont vacuo- laires. Cette accumulation correspond à une mise en réserve de substances nutritives qui serviront aux développements ultérieurs. Enfin, 1l faut noter que la cavité digestive ren- ferme de nombreux corpuseules qui proviennent de la résorpüion d'hydranthes morts ou de parties d'hydrocaule, CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES HYDROÏDES. 69 et sans doute aussi de la digestion de proies ingérées par les hydranthes. D’autres corpuscules doivent être considérés comme des substances de déchets. CHAPITRE IV CELLULES GRANULEUSES EXCRÉTRICES HISTORIQUE ALLMAN [72] parait avoir vu le premier des cellules gra- nuleuses à l'extrémité des stolons de l'Obelia dichotoma Li. I dit, en effet, que « l'ectoderme est composé de cellules à peu près sphériques très distinctes avec un contenu clairement eranuleux et de très peu de plasma intercellulaire. » Le dessin qu'il donne de ces cellules ne laisse aucun doute sur leur nature. Frarpoxt [79-80] signale ces cellules à l'extrémité libre de l'organe en vrille du Campanularia angulata Heks., et voici ce qu'il en dit : « C’est dans son épaisseur (ectoderme) que l’on rencontre des éléments particuliers et earactéristi- ques. On prendrait tout d'abord ces corps pour des noyaux de forme irrégulière. Ces éléments sont relativement volu- mineux par la taille; ils sont ovoïdes, sphériques, en forme de larmes ou tout à fait irréguliers, 1ls sont délimités par une membrane, ils contiennent à leur intérieur des granu- lations dont les contours sont aussi fort réfringents. Le car- min les colore comme des noyaux de cellules. » Fratponr, dans sa planche XXXIV, figure dans l’ectoderme du gono- phore mâle une de ces cellules qu'il appelle « corpuseule de l'ectoderme ». CLaus [81] signale une grande quantité de cellules granu- leuses fusiformes dans l’ectoderme du Campanopsis Claus, 70 ARMAND BILLARD. ainsi que dans le repli qui entoure la base des tentacules. Il les considère comme des cellules glandulaires. Avec DE VARENNE [82], nos connaissances sur ces cellules particulières se complètent. IT les étudie chez le Campanu- laria angulata Hcks., découvre leurs mouvements amiboïdes et leur noyau qu'il met en évidence au moyen de l'acide acétique. Il les trouve aussi dans le cœnosarque de toute la colonie. Il avoue son ignorance sur le rèle et la nature de ces éléments particuliers. Il retrouve ces mêmes éléments avec leurs mouvements amiboïdes dans un stolon du Camn- panularia fleruosa Heks. MerescakowskY [82] signale et figure des « glandes uni- cellulaires » en forme de bouteille dans les nématophores et la tige de l’Aglaophenia pluma L., de l'Antennularia anten- nina L. et de l'A. ramosa Lamk. La figure 12 (PL. XXIX) montre que ces cellules sont abondantes dans les bourgeons qui doivent donner naissance à des hydranthes. Cet auteur ne mentionne pas de mouvements amiboïdes; le dessin qu'il donne de ces cellules montre bien qu’elles sont de même nature que celles du C. angulata. Hamanx |’82) figure (Taf. XXV, fig. 3) dans l’ectoderme du gonoclade du Plunularia fragilis Hamann, des cellules granuleuses dont il ne parle pas dans son texte. Weissmanx [88] parait avoir vu ces cellules granuleuses qu'il figure dans l’ectoderme de l'Aglaophenia pluma L: et les désigne dans la légende de la planche sous le nom de « gros noyaux de l’ectoderme ». Il les représente également dans l’ectoderme du Gonothyræa Loveni Allm. Jicreut [83] décrit et figure aussi des cellules ectodermi- ques granuleuses chez différentes espèces d’'Hydroïdes : Campanopsis sp., Campanularia caliculata Heks., Obelia pli- cata Heks. et dans un genre nouveau qu'il propose d'appeler Kirchenpaueria (Nov. Plumularia echinulata, p. 193). Aux cellules granuleuses du Campanopsis, il attribue un rôle glan- dulaire. I donne le nom d° « /nhaltskürper » aux cellules gra- nuleuses des autres espèces. Ilidentifie les « Inhaltskürper » D -art. 1, p.22: Acomys, genre de Muridés africains, IV, art, \p. 122: Acrinonpzx. Insectes orthoptères (appareil digestif des —), V, art. 1, p.72, pl. \- MI. ACRIDIUM SPECIOSUM (Thumb.). — PEREGRINUM (Oliv.), insectes ortho-. ptères. — Appareil digestif, V, art. 1, p. 72; pl. VI, fig. 2. ACRIDOPEGA RETIGULATA (Guerin), insectes orthoptères. — Appareil digestif, V, art. 4, p. 113. ACRIDOTHERES TRisris (L.), oiseau intro- duit aux iles Mascareignes, IL, art. 1, p. 64. AcrTINoPaRYs SOL (Ehr.), Héliozoaires des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p. 224. FF ACTINOTROPISME des larves de Cottus, IV, amt42; p.47. ACTINOTROQUE, formation de la larve, XI, art. 3, p. 64, 104. — Aspect, pl. IV ct V. — Coupes, pl. VI à XVI. ADDAX NASOMAGULATUS (B1.), Antilope afri- caine, IV, art. 1, p. 131. ADENOTA (Gr.), genre d’Antilope afri- caine, IV, art. 4, p. 55. Î FT 4 rf ZOOLOGIE. ADENOTA ANNULIPES (Gray), IV, p. 53, Ti AT — K0B (Ogilby), IV, p. 53, 66, 74. — LECHE (Gr.), IV, p. 71, 128. — LEUCOTIS (Pet. et Licht.}, IV, p. 71. — Taomast (Neum.), IV, p. 71-74. — Vanponr (Livingst.). IV, p. 71. . ApranNa (Adams). Développement de la coquille du genre —. Lamellibranche, VIII, art. 1, p. 165. ADyTe (Bon de St-Joseph), nouveau genre d’Annélide de la famille des Aphroditiens, X, art. 2, p. 165. — AssimiLis (M. Intosh), id., p. 167; pl. VI fig. 1, 3. É — PELLUCIbA (Ehlers), id., p. 170 ; pl. MI, fig. 4, D. ÆpycEeros MELAMPUS (Licht), Gazelle afri- caine, IV, art. À, p. 132. AFFINITÉS Zoologiques. — du genre Chlamydoconcha Oreutti (Dall.), IV, art. 3, p. 248. — des Phoronidiens,-XI, art. 3, p. 226. — du genre Procerastea, XI, art. 2, p. #3. AFRIQUE (Faune de l’). Singes des genres Colobus et Cercopithecus, I, art. 7, p. 24. AGABUS BIPUNCTATUS (Fabr.). — CHALCONOTUS (Panz.). — pALUDosus (Fabr.). Insectes coléop- tères. — Glandes génitales &, XI, art. 7, p. 326; pl. XXI, fig. 6, 7, 9. AGAPORNIS CANA (Gm.). Oiseau des Mas- careignes, II, art. 1, p. 32. . AGELENA NÆVIA (Walk.) (Trachées des Araisenées du genre), XV, art. 2, p. 212, fig. in texte 59. AcGirTarIoN (Influence de l’) sur le déve- loppement des œufs des Échino- dermes, XVII, art. 4, p. 69. AGLAOPHENIA PLUMA (L.), Hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 227. AGRÆCA BRUNNEA (Blackwall.) (Trachées des Araignées du genre). XV, art. 2, p. 209. AGRIOTES LINEATUS (L.), insecte coléo- ptère, glandes génitales ©’, XI, art. 7, p. 384, 414. Arzes des Lépidoptères (Le dessin des), recherches sur son évolution dans l'ontogénèse et la phylogénèse, des TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. espèces, son origine et sa valeur sys- . tématique, par Mlle la comtesse M. von Linden, XIV, art. 4, p. 1 à 196; pl. I à XX. — Causes physiologiques, id., p. 159, pl. XIX-XX. — Causes mor- phologiques, id., p. 137; pl. XVIII- XIX, fig. 411, 145, 117, 419, 195, 126. ALACTAGA, genre de Gerboise africaine, IV, art. 1, p. 120. ALBATROS (Voy. Diomedea). ALBURNUS LUCIDUS (Heck. et Kner), Ap- pendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 198. ALCA ToRDpA (L.), cæcums du Pingouin, MVPnart pe are pien le fre. 0 ALECTROENAS NITIDISSIMA (SCOp.), espèce éteinte d'oiseau des îles Mascareignes, INT, art. 1, p. 69. ALEPOCEPHALUS ROSTRATUS (Risso). Appen- dices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 201. 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AMPHITRITE EpWaRpsi (Qfg.), respiration de cette Annélide, XVI, art. 1, p. 37, 50. — GRACILIS (Grub.), respiration de cette Annélide, XVI, art. 4, p. 37, 43, 71. — Jornasronr (Mgr.)}, Annélide de France, V, art. 2, p. 421. — præcox (Bou St-Joseph), n. sp. d’an- nélides de la rade de Brest, X, art. 2, p- 185; pl. VL fig: 20 à 24. PO AR Te (nov. sp.) Ophiure de l'océan Indien, IV, art. 5, p- 330; pl.-VII, fig. 44 et 45. — pisPAR (Kæhler) (nov. sp.), Ophiure de l’océan Indien, IV, art. 5, p. 334; pl. VII, fig. 48 et 49. — FRiGIDA (Kæhler) (nov. sp.), Ophiure de l’océan Indien, IV, art. 5, p. 332: pl. VII, fig. 46 et 47. — PARTITA (Kæhler) (nov. sp. ù Ophiure de l’océan Indien, IV, art. 5, p. 336; pl. VII, fig. 50 et 51. AMPULLARIA INSULARUM (L.), Mollusque gastéropode. — Bulbe pharyngien, AU art, il p. 64 et sq, ; fig. 36-38; 420 p. 79; id., poches buccales, p. 197; pl. V, fig. 39; pl. NI, fig. 51; pl: MIT, fig. 54; pl. VIIL fig. 66, 67; pl. IX, fig. 68. AuyLase, des glandes labiales des Cou- leuvres, XVIIL, art. 1, p. 159. ANas Boscas (L.), Canard sauvage. — Cæcums, XV, art. 1, p. 38; pl. I, ON oENINEM RS 12000 — — fibres cardiaques, XIX, art. 2, p.273; pl. XV, fig. 12. — — Espèce d'oiseau introduite aux îles Mascareignes, II, art. 1, p. 106. — cusca (L.), cæcums de la double ma- quereuse, XV, art. 4, p. 37, pl. I, fig. 2: — ERYTHRORHYNCHA (Gm.). — Mezzerr (Sclat.). Espèces d'oiseaux introduites aux iles Mascareignes; III, art. 1, p. 106. — Tueoporr (Newt. et Gad.}, espèce éteinte d'oiseau desiles Mascareignes, III, art. I, p. 103. ANATOMIE de la Chlamydoconcha Orcutti (Dall), Lamellibranche à coquille in- terne, par Félix Bernard, IV, art. 3, p.221. — comparée du Dolichotis patagonica (Penn.)}, Mammifère du genre Marx (Lièvre de Patagonie), VI, art. 4, p.293: — — du sympathique des Oiseaux, IV, art. 4, p. 1 à 252. ANCHOMENUS OBLONGUS (Fabr.), insecte coléoptère. — Glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 304, 321. AUDOUINIA TENTAGULATA (Mont.}, respi- ration de cette annélide, XVI, art. 1, p. 37, 50, 64. ANECHURA BIPUNCTATA (F.), insecte or- thoptère. — Appareil digestif, V, art, 4, p. 11. ANGUILLA VULGARIS (Flemm.), fibres mus- culaires du cœur, XVIIT, art. 2, p.256; pl. XIII, fig. 3. — — Appendices des arcs branchiaux, de ce poisson, XII, art. 3, p. 202. — — Arcs branchiaux de quelques poissons du genre, XIX, art. 3, p. 368;: fig. in texte 1. —— MAURITIANA (Benn.}, fig. in texte 2. — sipAL {Blkr.), fig. in texte 3, p. 369.— ZOOLOGIE. ANGuIs rRAGILIS (L.), Orvet. Élaboration du Zymogène peptique, XVIIL art. 1, p. 115. — — Fibres du cœur de l'Orvet, XIX, art. 2, p.257; pl. XV, fig. 5; pl. XVII, fig. 8. ANHINGA (Voy. Plotus). ANILASTA EBENINA (Grav. et Thomson). insecte hyménoptère. Développement de la larve, X, art. 1, p. 94. ANISODACTYLUS BINOTATUS (Fabr.), in- secte coléoptère, glandes génitales ©’, XI, art. VII, p. 311. ANISOMYAIRES, coquilles des Lamelli- branches, — VIII, art. 1, p. 10. ANISONEMA GRANDE (Ehr.), Flagellé des mares salées de Lorraine, X, art. 4. p. 232. ANISOPLIA AGRICOLA (L.), insecte coléo- ptère, glandes génitales 6, XL, art. 7, p. 345, pl. XXII, fig. 8-10. ANNÉLIDES POLYCHÈTES (Les) des côtes de France (Manche et Océan), par le ba- ron de Saint-Joseph, V, art. 2, intro- duction, p. 1. — — de la rade de Brest et de Paim- pol, par le baron de Saint-Joseph, X, art. 2, p-4161- — — des côtes du Sénégal, XII, art. #4, p. 217, pl VIII. — — (Sur la valeur morphologique de la tête des), par le Dr C. Viguier. XV, ars. 3, p. 281-309 ; pl. IX. — — (Recherches biologiques expéri- mentales sur la respiration des), par M. J. Bounhiol, XVI, art. 1, p. 1 à 132. — — (Index bibliographique des ou- vrages sur la respiration des), XVI, GR 0e AIN) ANOMALA ÆNEA (Dej.). — viris (Fabr.). — Insectes coléoptères, glandes génitales ©’, XI, art, 7, p. 356, 345. ANOMALURUS, Rongeurs art. 2, p. 324. — Bgecrorri (Fras.), III, p. 335, 339; IV, p. 116. — Bezpentr (du Chaiïllu), III, 324. — cHRysoPHÆNUS (A. Dubois), III, 324. — cINEREUS (Thos.), III, p. 339; IN, PA LOON | d'Afrique, II, TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. ANOMALURUS, DERBYANUS (Gray), p. 324. — ERYTHRONOTUS (A. M. Edw.), II, p.330, 339); IV, 116. — Frasert (Wath.}, III, p. 324, 339, IV, 116. — FULGENS (Gr.), LIL, p, 339; IV, 116. — LANIGER (Temm.}), III, p. 333. — ORIENTALIS (Pet.), III, p. 331, 339; IV, p. 116. — PEL (Temm:); III p.339; "IN, p. 416. — Pusrzzus (0.Thomas), III, p. 334, 339; INR UUIE* — SQuAMIGAUDATUS (Schinz.), LIL, p. 324. ANomnpés, développement de la coquille des lamellibranches —, VIII, art. I, p- 149; pl. I, fig. 12. ANOPLOIULUS AFRICANUS (n. sp.), (Brüle- mann)myriapode d'Algérie, IV, art. 4, p. 254, 271; pl. IV, fig. 39 à 41. ANous sTOLIDUS (L.). — TENUIROSTRIS (Tem.), oiseaux des îles Mascareignes, III, art. 4, p. 118. ANOxIA viLcosa (Fabr.), insecte coléo- ptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 341. ANser CINEREUS (Meyer.), fibres cardia- ques, XIX, art. 2, p.281 ; pl. XV, fig. 10. ANSER sp., espèce d'Oiseau éteinte des îles Mascareignes, III, art. 4, p. 103. ANTENNES des Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 126. — du Doryctes Gallicus (Rh.), insecte hyménoptère, X, art. 1, p. 32. ANTENNULARIA ANTENNINA (L.), p. 211. — RAMOSA (Lmk.), p. 221. — Hydroïdes de la baïe de la Hougue, XX, art. 1, p. 211. — PerRIERI, (n. sp.) (Billard), expédition du « Travailleur », XX, art. 4, p. 217. ANTHAXIA FULGIDIPENNIS (Luc.}), insecte parasite des chênes de Tunisie, XI, art. À, p. 8. ANTHROPOMOKPHES d'Afrique, III, art. 2, p. 138. Anrinorcas, genre de Gazelle africaine, INSart.1,.p-.192° AnmiLopes d'Afrique, IV, art. 1, p. 38. ANTILOPE ADÉNOTA (H. Smith}, IV, p. 53. — ANNULIPES (Gray), IV, p. 53. — COERULEA (H. Smith}, IV, p. 45. — Derassa (Rüppel}, IV, p. 7%, (Singes) 421 ANriLope Frepericr(Laurillard), IV, p.42. — Harmert (Kaup), IV, p. 75. — Kog (Ogilby), IV, p. 53. — Maxwezt (H. Smith}, IV, p. 42. — MONTICOLA (Thunberg), IV, p. 45. — NiGRA (Themm,), IV, p. #1. — OcGrceyi (Waterh.), IV, p. 40. — PHALERATA (H. Smith}, IV, p. 82. — PYGMEA (Fr. Cuvier), IV, p. #8. — SCRIPTA (Pallas), IV, p. 82. — SING-SING (Bennett), IV, p. 75. — UNGTUOSA (Matschie), IV, p. 75.! ANTISTEA (HAHNIA) ELEGANS (Blackw.), trachées des Araignées du genre, XV, art. 2, p. 313; fig. in texte. 37. ANURELLA, genre d’Ascidie (Molgulidée)}, doit disparaitre, VII, art. 3, p. 321. ANYPHÆNA AGCENTUATA (Walck.), trachées des Araignées du genre, — XV, art. 2, p. 209; fig. in texte, 51-53. ANYSTIS BACCARUM (L.), XIX, art. 1, p. #1. Aonyx INUNGUIS (F. Cuvier), Loutre afri- caine, III. art. 2, p. 277. APANTELES GLOMERATUS (L.), développe- ment des larves de l’insecte hymé- noptère —, X, art. 1, p. 59. - APAREIULUS LAPIDARIUS (Lucas), Myria— pode d'Algérie, IV, art. 4, p. 254, 262; pl. IL, fig. 11 à 21. APHANAPTERYX BRoeCKEï (Schleg.), espèce éteinte des iles Mascareignes, II, art. 4, p. 95. APHipipés, évolution des hyménoptères parasites des Pucerons, X, art. 1, p. 68. APHODIUS CONJUGATUS (Panz.). — FIMETARIUS (L.). — Fossor (L.). — QUADRIMAGULATUS (L.). — vARIANS (Duft.). Insectes coléoptères, glandes géni-- tales ©, XI, art. 7, p. 336, 338; pl. XXII, fig. 4, 2. APHRODITE ACULEATA (L.), respiration de cette Annélide, XVL, art. 1, p.37, 42,71. APHRODITIENS, Annélides de France, V, art. 2, p. 225. APLYSIA PUNCTATA (C.), mollusque gasté- ropode, bulbe pharyngien, glandes salivaires, gésier, VII, art. 4, p. 254; pl. X, fig. 83. APODERUS CORYLI (L.), insecte coléoptère, 4929 : ZOOLOGIE. glandesgénitales G',XI, art. 7, p.368; pl. XXV, fig. 5. / APPAREIL branchial des Crustacés de la famille des Alphéidés. IX, art. 1, p: 268. — circulatoire des Crustacés de la fa- mille des Alphéidés, IX, art. 1, p.356, 413; pl. 1, fig. 1-9. — circulatoire de Orcutti (Dall.), art. 3, p, 242. — — des embryons du Damon medius (Herbst), Arachnide-Phryne, XII, art. 2, p. 239. — — de DONCESS patagonica (Pen- - nant), VI, art. 4, p. 354: — — des Su lophobranches, XIV, art. 2, p. 215: pl. XXI, fig. 6; pl. XXIV, fig. 1-2 — digestif des Acariens, XIX, art. 1, MD. — — des Crustacés alphéidés, IX, art.1, p. 373-412; pl. IL fig. 1 à 11. de la Chlamydoconcha Orcutti (Dall.), IX, art. 3, p. 241. — — du Damon medius (Herbst), Ara- chnide-Phryne, XIII, art. 2, p. 223. — — du Distomum lanceolatum (Mehlis.), XV, art. 4, p. 322, fig. 15 à 17. — — du Doryctes gallicus (Rh.), insecte hyménoptère, X, art. 1, p. 34. — — des Gastéropodes, VII, ‘art. 1, p. 1 à 291; pl. I à X. — — de Nerilla antennata (0. Schm.), I, art. 8, p. 288. — — des insectes Orthoptères, V. art. 4, p. 1 à 192; pl, 1 à 12. — — des Oscaniopsis, mollusques pleu- robranchidés, XII, art. 1, p. 14. — — des Poissons lophobranches, XIV, art. 2, p. 207; pl. XXIIT, fig. 1, 3. — — de Palemon serratus (Latr.), II, art. 1, p. 101. — excréteur (Voy. Rein). — génital des A:ariens, XIX, art. 1, p. 141. — — des Crustacés alphéidés, IX, art. 1, p.423; pl. IV, fig. 6 à 10. — — des Brachonides, insectes hymé- noptères, VII, art. 1, p. 293. — — deChlamydoconcha Orcutti (Dall.), IV, art. 3, p. 246. Chlamydoconcha Lamellibranche, IV, AppAREIL génital du Distomum lanceo- latum (Mebhlis.), XV, art. 4, p. 332: fig. 18, 24, 25, 26-33. — — du Dolichotis a uten (Pen-, nant.), VI, art. 4, ©, p.362; oO, p. 365. — — du Doryctes Gallicus (Rh.}, X, art. 1, ©, p. 36; Oo", p. #8. — — des insectes primitifs, XVL art.2, p. 235. — — des Poissons Lophobranches, XIV, art. 2, p. 267; pl. XXV, fig. 5; fig. 13 in texte. — — des Molgulidés, VIL art. 3, p. 51. — — des Mollusques Pleurobranches, VIII, art. 1, p. 229; XI, art. 1, p. 38. — — des Oscaniopsis, Mollusques Pleu- robranches, XII, art. 1, p. 12; pl. I, fig. 204. — — © des insectes coléoptères, XI, art. 7, p. 283. — musical du Dectique (Dectieus albi- frons) (Fabr,), I, art. 6, p. 241: de l'Éphippigère, I, art. 6, p. 241; de l’'OEcanthus pellucens (Scop.), I, art. 6, p- 242. — reproducteur. ganes). — respiratoire des Acariens, XIX, art. 1, p.39; du Damon medius (Herbst.}, XIII, art. 2, p. 247. — — du Doryctes Gallicus (Rh.), insecte hyménoptère, X, art. 1, p. 21; des Poissons lophobranches, XIV, art. 2, p. 220, pl. XII, fig. 3-9; pl. XXIIT, fig. 2-4. (Voy.Respiration, Branchies). APPENDICES des arcs branchiaux des Poissons, par le D' Canna. M. L. Popta, XII, art. 3, p. 139. — des Crustacés de la famille des Al- phéidés, IX, art. 1, p. 59, 173. APTERYX AUSTRALIS (Schaw.), cæcum de l’Aptéryx, XV.art. 1, p.41; pl. Lfig. 25. AQuiILA FULVA (L.), cæcum de l’Aigle royal, XV, art. 1, p. 44. ARABELLA, Annélide de France, V, art. 2, p. 282. ARAIGNÉES (Recherches sur les trachées des —, par Édouard Lamy, XV, art. 2, p- 149, 70 fig. in texte ; pl. M à MIT. ARAMIDES CAYENNENSIS (L.), cæcums du Râle de Cayenne, XV, art. 1, p. 34; pl. L fig. 22. Voy. Génilaux (Or- TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. ARANEUS (EPEIRA) DIADEMATUS, (CI.) (tra- chées des Araignées du genre —), XV, art. 2, :p. 154, fig: 1! im texte, pl. V, fo 2%etr3 pl NT fe. 15, ets; pl. VIF, fig. 4 à3; pl. VIT, fig. 1à8. ARANEUS (zILLA) X Norarus (Cl.) (Trachées des Araignces du genre —), XV, art.2, p- 157, fig. 2 in texte; pl. V, fig. 1; pl. VI, fig. 6; pl. VID, fig, 4 et 5. ArA Severus (L.), sympathique, VI, art. 1, p. 214; pl. IV. fig. 60-67. ARBACIA PUSTULOSA (Gray) (Parthénogt- nèse des), XII, art. 2, p. 110. — — fécondations croisées, art. L, p. 89. ARCACHON (Faune des Annélides d’}, V, art. 2, p. 220. ArGInÉs, développement de la coquil'e ct charnière des lamellibranches du Groupe des — VIII, art. 1, p. 88; pl. I, fig. 4, à, 13; pl. V, fig. 1-13. ARCS BRANCHIAUX (Appendices des —) des Poissons, par le Dr Canna M. L. Popta, XII, art. 3, p. 139. ARCGTOCEBUS GALABARENSIS (Smith), lému- rien, IL, art. 2,p.249;IV,art.1,p. 106. ARDEA BUBULCUS (Sav.), Oiseau des îles Mascareignes, III, art. 1, p. 89. — CINEREA (L.). — GARZETTA (L.). — (BUTORIDES) MAURITIANA (Newt. et Gad.) espèce éteinte. — (BUTORIDES) ATRICAPILLA, var. Ruten- bergi (Hartl.), Oiseaux des iles Masca- reignes, LIL, art. 1, p. 90. ARDEA PURPUREA (L.), cæcums du héron pourpré, XV, art. 1, p. 45; pl. I, fig. 45. AÂRENICOLA BRANCHIALIS (Aud. et M. Edw..), Annélide de France, V, art. 2, p.391; pl. XXII, fig. 201-202. — MARINA (Langh.), respiration de cette Annélide, XVI, art. 1, p. #1, 43, 71. { Arere (Stimpson), genre de Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art 1, p. 183, 325 ; larves, p. 461. ARGIOPE BRuENNICHI (Scopl.), trachées des Araignées du genre —, XV, art. 2. p. 204. ARGYNNIS pArHIA (L,), évolution du des- sin des ailes de ce Papillon, XIV, art. 1, p. 11; pl. X. fig. 46-48. XVII, 423 ARGYRONETA AQUATICA (Cl.), trachées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 212, fig. in texte, 56. ARICIA LÆVIGATA (Grube),V, art. 2, p. 360. — Muzcerr (Rathke), Annél. de France, Vi art2/p: 356: pl. XX, fo 10T; XXI, fi. 168-175. ARICIENS, Annélides de France, V, art. 2, p. 556. Ë ARION RürUuS (L.), mollusque gastéro- pode, VII, art. 4, p. 70, 79, 103. — Bulbe pharyngien, pl. V, fig. 40; VI, fig. 52. Anius, Appendices des arcs branchiaux de ce Poisson, XII, art. 3, p. 189. AnMATure génitale des Braconides, in- sectes hyménoptères, VII, art. 2, ©, p. 295: ©, p. 300. ARMOZOGÉNIES Où Embryogénies adapta- tives, XVI, art. 2, p. 143. ARRHENURUS PUSTULATUS (Müller), XIX, art. 1, p. 21; pl. I, fig. 3; pl. V, fig. 34; pl. IX, fig. 70. ARTEMA MAURICIA (Walkc.), trachées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p- 190. ARTÉRIEL (Système). Voy. Appareil cür- culatoire. ARTIODAGTYLES africains, IV, art. 4, p. 39, 195. Arvicanrais (Less.), genre de Rat afri- cain, IV, art. 1, p. 9. ARVICOLA NILOTICUS (Desmarest) = Dasy- mys niloticus (E. Geoffroy), Rat afri- cain, III, art. 2, p. 377. ASAGENA PHALERATA (Panzer), trachées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 193, fig. in texte 34. Ascaaxes, genre de Cercopithèques afri- cains, III, art. 2, p. 175, 182, 206. AscoperA (Herdm.), genre d’Ascidie (Mol- gulidée), VIL, art. 3, p. 324, 342. ASELLUS AQUATICUS (L.) (Segmentation ovulaire et façonnement du corps chez), I, art. 3, p. 163; pl. I à III. ASExXUÉE (Génération —) et la Tachy- genèse, XVI, art. 2, p. 288. Asie. Géographie zoologique; sur une espèce asiatique du genre Zapus, I, art), p.220: ASTERIAS GLACIALIS (O.-F. Mull.}, XILI, Gers Eole 424 ASTEROSIGA MARSALENSIS (R. Florentin), nov. spec. de Flagellé des mares salées de Lorraine, X, art. IV, p.230; pl. X, fig. 35-36. ASTRONYX LOVENI (Muller et Troschel}, Astrophytonidée de l'océan Indien, IV, art. 5, p. 370. ASTROPECTEN BISPINOSUS (Otto.), art. À, p. 23. ASTROPERA (A. Pizon), nouveau genre d’Ascidie (Molgulidée), VII, art. 3, p. 924. — SABULOSA (A. Pizon), nov. sp., id., p. 5343; pl. XIIL fig. 6, 7; pl. XIV, fig. 7-8 ; pl. XV, fig. 7. Astur ALPHONSI (Newt. et Gad.)}, espèce éteinte d'Oiseau des îles Mascareignes, IIL, art. 1, p. 34. Aranycozus Neesi (Marshall), développe- ment de la larve, X, art. 1, p. 85. ATHANAs (Leach), genre de Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 175, 183, 323; larves, p. 462. — ALPHEOIDES (Czerniawsky), genre de Crustacés de la famille des Alphéi- dés, IX, art. 1, p. 327. ATHANopsis (H.Coutière), genre de Crus- tacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 324. AÂTHERINA PRESBYTER (Cuv.), physiologie de l’œufetde l’alevin, iV,art.2, p. 109 ArHERuRA, genre de Rongeur africain, IV, art. 1, p. 35. — AFRICANA (Gr.), IV, art. 1, p. 35, 195. — ARMATA (Gerv.), IV, art. 1, p. 35. — CENTRALIS (Thos.), IV, art. 1, p. 35. ATHOUS NIGER (L.). — hæmorrhoïdalis (Fabr.). — villiger (Muls.). Insectes coléoptères, glandes géni- tales ©, XI, art. 7, p. 384,414: pl.XXIX, fig. 4. ATTUS (SITTICUS) PUBESCENS (Fabr.), tra- chées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p.221. Auprrirs (Organes) des Isopodes des cavernes, XX, art. 4, p. 400. AUDOUINIA TENTACULATA (Mont.), Anné- lide de la rade de Brest, X, art. 2, p. 180 ; pl. VI, fig. 18-19. AuLaconus, genre de Rongeur d'Afrique INF art Hp 033 122 XVII, ZOOLOGTE. AULACODUS, { GREGORIANUS (0. Thomas), p. 56. — SEMIPALMATUS (Heugl.\, IV, art. 1, IV, art. 1,p. 35,424. — SWINDERENIANUS (Tem.), IV, art. 1, p. 33, 124. AUTOMATE (de Man), genre de Crustacés ” de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p- 195, 331 ; larves, p. 464. AvicuLa (Développement de la coquille des lamellibranches du genre —,), NIIL art. 1, (p. MO MS AEMDIENR fig. 14-16; pl. VII, fig. 1-5 ; pl. IX, fig. 1-4. | AXOLOTL (fibres cardiaques de l), XVIII, art. 2, p. 256; pl. XV, fig.2° B BaGarius YARRELLII (Sikes), appendices des arcs branchiaux de ce Poisson, XII, art. 3, p. 189. Bacrus DyBowsxir (n. sp.), appendices des arcs branchiaux de ce Poisson, XIL, art. 3, p. 186. Bazzus pEPREssUs (Walck.), trachées des araignées du genre, —, XV, art. 2, p. 221, fig. in texte 67. BARBUS EUPHRATISTIS (Sauss.). — caLLeNsiS (C. V.), Appendices des arcs branchiaux de ces Poissons, XII, art. 3, p. 195. — FLUVIATILIS (A 9.) (fibres cardiaques du) XVII, art. 2, p. 256; pl. XIIT, fig. 4-ù. BATHYERGUS MARITIMUS (Gm.), Rat fouis- seur d'Afrique, IV, art. 1, p. 121. BATHYGADUS MELANOBRANCHUS (Vaillant), Appendices des arcs branchiaux de: ce Poisson, XII, art. 3, p. 182. BATHypTEROIS DUBIUS (Vaillant), Appen- dices des arcs branchiaux de ce Poisson, XII, art. 3, p. 192. Barocera WaALLacEr (Thoms.), insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI, art. VII, p. 380; pl. XX VI, fig. 5. BavonrA vVELOx (Barboza du Bocage), Potamogale velox (du Chaïlu), insecti- vore africain, III, art. 2, p. 271. Bpeocae (Pucheran) (carnassier afri- cain) A, art pb 5 0DPMINE RTE p. 114. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. 495 BDEOGALE cRAssICAUDA (Pet.), IT, p. 315, 317. — NIGRipes (Puch.), [II, p. p. 114. — puisA (Pet.), III, p. 317. Becasseau (Voy. Tringa). BERTHELLA (Blainville), mollusque pleu- robranchidée, VIIT, art. 2, p. 255. — Brocxt (n. sp.) (Vayssière); p. 256, pl. XVI, fig. 4 à 13; pl. XXVIIT, fig. 180. — GITRINA (Leuckart); pl. XII, fig. 1: pl. XVII, fig. 31-34, p. 261. — Epwarpsr (Vayssière); p. 265, pl. XVII, fig. 35-38 ; pl. XVIII fig. 39-43 ; pl.XX VII fig. 179; pl. XX VIII, fig.185. — GRANULATA (Krauss) ; p. 268, pl. XVI, fig. 14 à 16. — PLUMULA (Montagu), p. 271, pl. XVII, 417 à 30. — cucouLanis (Morch.}), p. 2717. — QUADRIDENS (Morch.}, p. 278. Beræus (Dana), genre de crustacé de la * famille des Alphéidés, IX, art. 1 ; p. 183, 328 ; larves, p. 460. BIBLIOGRAPHIE des travaux sur : — — les Crustacés Alphéidés, IX, art. 4, p. 546. — — l'anatomie des art. À, p. 168. — — Annélides (la respiration des —), XVI, art. 1, p. 129. — — Cladocères (les Dinsiiees —), XI, 306, 317; IV, Acariens, XIX, art. 4, p. 353. — — la coloration tégumentaire, XVIII, art. 2, P- 454. — — les coquilles des Lamellibranches, NII, art. 4, p. 206. — — la craniologie comparée, XVII, art. 2, p. 344 — — le Distomum lanceolatum, lis.) XV, art. 4, p. 353. — — Décapodes (l'embryologie des —), ND ME ac EEE — — Génitaux (les organes — G') des Coléoptères, XI, art. 7, p. 433 — — Génito-urinaires (les organes —) du Dauphin, X, art. 3, p. 208. — — les lamellibranches à coquilles internes, IV, art. 3, p. 250. — — Lépidoptères (le dessin des ailes des —), XIV, art. 1, p. 189. (Meh- BiBuioGraPxIE des travaux sur : — — Lithodinés (les Crustacés —), art. 1, p. 4% — — Poissons Lophobranches (les —), XIV, art. 2, p. 282. — — Palémonides (les HER —), de Madagascar, XIL, art. 5, p. 339. — — la parthénogénèse et " féconda- tion chimique, XII, art. 2, p. 136; XVII, art. 1, p. 131. — — les Phoronidiens, XI, art.3, p.241 — — Phrynes (le développement Ms —), XIII, art. 2, p. 299. — — Procerastea (les Annélides du genre —), XI, art. 2, p. 49. — — Respiration (les méthodes d'étude: de la —}, XVI, art. 1, p. 129. — — (la faune des mares —). X, art. 4, p. 342. — — at ne (le système nerveux — des Oiseaux}, VI, art. 1, p. 231 — — Sécrétion (les phénomènes de de XVIII, art. 1, p. 205. — — la tête des Annélides, XV, art. 3. p.309. — — la tachygénèse, XVI, art. 2, p. 356. — — la vascularisation intestinale des. Sélaciens, XIII, art. 1, p. 107. BiciRuBiNE (présence de la —) dans le pigment rouge des Vanesses, XX, art. 3, p. 327. BioLocre des Isopodes cavernicoles, XX. art. 4, p. 382, 406. — du Turbot, IV, art. 2, p. 155. — Habitat, ponte et mœurs des Pleuro-- branchidés, VIII, art. 2, p. 251. Brococrques (Études —) sur les Locus- tiens, par J.-H. Fabre, I, art. 6, p. 221. — (Observations —) sur les parasites des chênes de la Tunisie, par L.-C. Seurat, XI, art. 1, p. 1. — (Recherches —) applicables à la pis- ciculture maritime sur les œufs et les larves des Poissons de mer et sur le. Turbot, par Fabre Domergue et Eu- gène Biétrix, IV, art. 2, p. 151. Bronomie des Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 471. BLaserA Arropos (Stoll.) (Insecte ortho- ptère), appareil digestif, V, art. 1, p- 43: ll, fig./1, # | 426 BLABERA GIGANTEA (Stoll.), V, art. 1, pe 435 pl TIT, (es EADIAINENTE2 BLancs-Nez, genres de Guenons d'Afri- que, III, art. 2, p. 172, 206. BLaAniIuLus corricALIs (Lucas), Myriapode d'Algérie, IX, art. 4, p. 254. — FUSCO-PUNCTATUS (Lucas), — jeunes Iules ? Myriapodes d’Algérie, IV, art. 4, p. 254. BLasruzarion de l’œuf de Phoronis, XI, art. 3, p. 64; pl. IT. BLATTA GERMANICA (L.) (Insecte, ortho- ptère), appareil digestif. — MADERÆ (L.), V, art. I, p. 52, 67. BLarrino (Insectes orthoptères) (appa- reil digestif des —), V, art. 1, p.38; pl. II à V. BozBocerAs GALLICUS (Muls.). Insecte co- léoptère, glandes génitales O', XL, art. 1, p. 336, 340. BomByx pPiriocampa (Fabr.), VI, art. 2, p: 253: BoseLapaus, Antilopes africaines, IV, art. 1, p. 131. Bos Pumizus (Turt.); = Bubalus pumilus (Turt.), Bovidé africain, IV, art. 1, p. 83. — TAURUS (L.), fibres du cœur, XVIII, art. 2, p.259; XVI, fig. 10, 14, 419: XVII, fig. 17, 18. BosrRiCHOBRANCHUS (Traustedt), genre d’Ascidie molgulidée — Eugyriopsis, VII, art. 3, p. 318. BOSTRICHUS CAPUCINUS (L.), var. nigriven- tris (Luc.), Insecte parasite des chênes de Tunisie, XI, art. 1, p. 8. BOTROÏULUS FUSCO-UNILINEATUS (Lucas), Myriapode d'Algérie, IV, art. 4, p.256: pl. 3, fig. 1 à 10. BOUGAINVILLIA MusCus (Allm.). — RAMOSA (Bened.), p.150, hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, DT BouRGEONNEMENT (tachygénèse dansle—, chez les Tuniciers, XVI, art. 2, p- 177. BouvieriA (A. Vayssière}), (S. Genre du Genre Pleurobranchus), Mollusques ; VIII, art. 2, p. 280, — AURANTIACA (Risso.), p. 281; pl. XIII, fig. 3: pl. XIX, fig. 53, 61; pl. XX) fig. 75, 78; pl. XXVIIL, fig. 186. — OCELLATA (Delle-Chiaje), 285 ; pl. XII, ZOOLOGIE. fig. 5; pl. XX, fig. 94, 965pl XXWIT fig. 182. BouviErIA PATAGONICA (d'Orbigny), p.289; pl.XV, fig. 32-33. — PERFORATA (Philippi), p. 291 ; pl. XII, fig. 2; pl. XIX, fig. 62, 74. ; — ScuTATA (Mertens), p. 297 ; pl. XIII, fig. 4; pl. XVIII, fig. 44, 49 bis. 4 — STELLATA (Risso.), p. 302; pl. XX, fig. 79, 90. Bovinés d’Afrique, IV, art. 1, p. 39, 126. BRACHINUS BOMBARDA (Dej.). — CRÉPITANS (L.). — EXPLODENS (Duft.)}, Insectes coléo- ptères, glandes génitales ©, XL art. 7, p. 313; pl. XX, fig. 6. BRACHIONUS uRCEOLARIS (Ehr.), Rotateur des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p. 271. BRACHYTRIPES MEMBRANACGEUS (Drury) (In- secte orthoptère), appareil digestif, V;art. A, p.458; pl Xe ie Me ENE es 6 GE BraconIDEs (Observations sur les or- ganes génitaux des —) (Insectes hyménoptères), par M. L.-G. Seurat, MIT, art. 2, p.293. BrancHrALEs (Fentes — de l’'Amphioxus etla tachygenèse), XVI, art. 2,p. 231. BrancarAux (Appendices des ares — des Poissons, par le Dr Canna M.-L. Pop- ta, XII, art. 3, p. 139. Brancxies des Crustacés de la famille - des Alphéidées, IX, art. 1, p. 268. — dela Chlamydoconcha orcutti (Dall.) (Lamellibranche), IV, art. 3, p. 242. — des Mollusques pleurobranchidés, NIII, art. 4, p. 223. — des Molgulidées, VIL, art. 3, p. 310. — des Poissons lophobranches, XIV, art. 2, p. 220; pl. XI fo."3, 90; pl. XXII, fig. 2, 4; pl. XX, fig. 2,3; pl. XX VI, fig. 5. BRANCHIOMMA VESICULOSUM (Mont.), An- nélide de la rade de Brest, X, art. 2, p. 191. Brest (Annélides Polychètes de la rade de —), par le baron de Saint-Joseph, X, art. 2, p. 161. BRIGNOGNAN (Faune des Annélides de —}, Vvart. 2,:p. 215: Broscus cEPHALOTES (L.}, Insecte coléop- TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. tère, glandes génitales ©, XI, art. VIT, p. 315; pl. XIX, fig. 10; pl. XX, fig. 4, 5,.7,8 pl. XXI, fig: 11: BryoBra prærmosa (Koch.), anatomie de cet acarien, XIX, art. 1, p. 14. Bugauis, genre de Bovidé africain. Répartition des espèces du Genre — — CAAMA (Cuv.). — coKEI (Gunth.). — JACKSONI (Thos.). — LEUCOPRYMNUS (Mtsch.). — LICHSTENSTEINI (Pet.). — MAJOR (Blyth.). — MAURITANICUS (Og.). — SWAYNEI (Scl.). — TORA (Gr.), IV, art. 1, p. 133 Busazus, genre de Bovidé africain. — ÆQUINOCTIALIS (Blyt), IV, art. 1, p. 8, 128. — BRACHYCEROS (Gray), IV, p. 83, 127 — CAFFER (Sparm.}), IV, 85, 128. — cENTRALIS (Gr.), IV, p. 85, 128. — PLANICEROS (E. Blyth}, IV, p. 84. — PUMILUS (Turton), IV, p. 83, 127. — RECLINIS (E. Blyth}, IV, p. 84. Buccaz (Voile) des MOEURES pleuro- branchidés, VIII, art. 2, p. 221. BucciNum uNpATUM (L.), Fe gas- téropode, tête, VIL, art. 1, p. 8, fig. 2. — Trompe, p. 25, fig. 10, p. Bulbe æsophagien, p. 82; pl. V. fig. 43; pl. VI, fig. 47, 48. BUcEROS (sp. ?), espèce éteinte d’oiseau desiîles Mascareignes, III, art. 1, p. 43. Buzse pharyngien des Mollusques gas- téropodes, VIT, art. I, p. 34. BuzLa AMPuLLA (L.), Mollusque gastéro- pode, — Bulbe œsophagien.—Gésier, MIT; art. 4, p.251; pl. X, fig. 79, 82: Buraus Euroræus (Leach}). Élaboration du venin, XVIIL art. 1, p. 92 ; pl. I, fig. 15, 16, 18 à 22, 25 à 29, 33, 34, 35, 40. Byrainys LAR (Sp. Bate). Pallemon lar (Fabr.), XII, art. 5, p. 251. C CADAVÉRIQUE. Sur les conditions dans lesquelles se produit le phénomène de la rigidité —, 1, art. 2, p. 67, 15. —: 427 CÆCOSPHÆROMA VIREL (A. Des Iso- pode des cavernes, XX, art. 4, p. 376. CarRINA MoscHara (L.), espèce d'oiseau introduite aux îles Mascareignes, III, art. 4, p. 106. CALATHUS FUSCIPES (Goeze). — GALLICUS (F.), Insectes coléoptères, glandes génitales ©, XL, art. 7, p-321- CaLzcar ELONGATUS (Herbst.), Insecte co- léoptère, glandes génitales ©, art. 7, p. 393, 385. CALIFORNIE; CERIANTHAIRE pelagique de —, XX, art. 2: p. 453. CALLIDIUM VARIABILE (L.). — SANGUINEUM (L.), Insectes parasites des chênes de Tunisie, XI, art. 1, p- 9, 143 et sq. ni — vioLaceuM (L.), Insecte coléoptère, glandes génitales ©’, XI, art. 7, p. 337, 3714 CALLIETHERA (Salticus) scenicus (CI1.), tra- chées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 2%, fig. in texte 68. CALODROMONAS ELEGANS (Oiseau coureur), (cæcums du —), XV, art. 1, p. 40, fig. in texte 1, 2 CALOTRAGUS MELANOTIS (Thunb.), Antilope africaine, IV, art. 1, p. 129. ( * CALYCELLA SYRINGA (L.), XX, art. 1, p. 165. CAMPANULARIA ANGULATA (Hcks.). — FLEXUOSA (Hcks.). — RARIDENTATA (Ald.). — VERTICILLATA (L.), hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 29, 173. CANARD SAUVAGE (Anas boschas) (L.), XV, art. 1, p. 38; pl. IL, fig. 3,5; IV, fig. 2, 9 © — (Voy. Anas, Cairina, etc.). CANCELLARIA CANCELLATA (L.), Mollusque gastéropode, VII, art. 1 ; pl. II, fig. 24; pl. IV, fig. 25. Cancer pAGuRus (L.), cellule de l’hépato- pancréas, XVIIL, art. 1, p. 154; pl. I, fig. 4, 5, 9, 10. CANGROMA COCHLEARIA (L.) (cæcum du —), Oiseau savacou, XV, art. 1, p. 34; pl. L fig. 1. Caninés d'Afrique, II, art. 2, p.278; IV, art. 1, p. 112. Caxis (espèces d'Afrique du Genre —}, III, ne 2, p. DIE 428 Canis apusrus (Sund.), II, art. 2, p. 278, IV, art. 1, p. 112: — LarerAuIs (Sclater), III, p. 278. — MEsoMELAS (Schreb.), III, p. 282; IV, p. 112. — sIMENSIS (Rüpp.}, IV, p. 112. — VARIEGATUS (Rüpp.), IV, p. 112. — FAMILIARIS (L.), Fibres du cœur du Chien, XVIII, art. 2, p. 259; XVI, fig. 12. CANTHARIS VESICATORIA (L.), Insecte co- léoptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 383, 407. CANTHARUS GRISEUS (C. V.), Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 153. CAPITELLIENS. Annélides de France, V, art. 2, p. 387. CAPOETA GOTscHAICA (Kessler), Appen- dices des arcs branchiaux de ce pois- son, XII, art. 3, p.195 ; pl. VIL, fig. 6. CAPONIA NATALENSIS (Cambr.), trachées des Araignées dû genre —, d’après Bertkau, XV, art. 2, p.184, fig. in texte 25! CAPRA NUBIANA (F. Cuv.}), p. 85. — WALIE (Rüpp.). Bouquetins d'Afrique, IV, art. 4, p. 85. CAPSULES SURRÉNALES des Poissons lopho- branches, XIV, art. 2, p. 233 : pl.XXI, fig. 8, 4; pl. XXIII, fig. 5; pl. XXV, fig. 4, fig. in texte 7. Caruaix (Voy. Munia). CARABUS AURATUS (L.). — AURONITENS (Fabr.). — GATENULATUS (Fabr.). — NEMORALIS (Illis.). — NopuLosus (Fabr.). — PURPURASCENS (Fabr.), Insectes coléo- ptères, glandes génitales ©', XI, art. 7, p. 303 ; pl. XIX, fig. 3. CARANX CARANGUS (Bl.), Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 166 ; pl. VIT, fig. 1. CARNIVORES d'Afrique, IT, art. 2, p. 275; IV, art. 1, p. 109. Cartes de distribution géographique des Mammifères du Congo français, IV, art. 1, p. 141. — 1. Singes anthropo- morphes, IIT, p. 138. — 2. Colobes, II, p. 170. — 3. Cercopithèques, II, IV, art. 1, ZOOLOGIE. p. 226. — 4. Cercocèbes, Macaques Theropithecus, Papio, LIT, p. 238. — 5. Prosimiens (Perodicticus, Galago), LIL, p. 246. — 6. Insectivores (Macros- celides, Érinaceus, Potamogale, Chry- sochloris), IIT, p. 268. — 7. Carnivores (Ictonyx, Mellivora, Pœcilogale, Mus- tela, Lutra), III, p. 276. — 8. Carni- vores (Nandinia, Poiana, Genetta), IL, p. 294 — 9. Carnivores (Herpestes, Ichneumia, Helogale), III, p. 304 — 10. Bdeogale, Crossarchus, Suricata, Cynictis, Rhinogale, III, p. 316. — 11. Anomalurus, Xerus, III, p. 338. — 12. Sciurus, III, p. 364. — 13. Ctenodac- tylus, Pectinator, Pétromys, Aulaco- dus, Atherura, Hystrix, IV, p, 34 — 14, Cephalophus, IV, p. 46. — 15. Cobus, Adenota, Éleotragus, IV, p.70. — 16. Oréas, Strepsiceros, Tragela- phus, IV, p. 80. — 17. Bubalus, Ovis, Capra, IV, p.84. — 18. Hyæœmoschus, Sus, Potamochærus, Phacochærus, Chœæropsis, Hippopotamus, IV, p. 88. — 19. Manis, Orycteropus, IV, p. 96. — 20. Hyæna, Proteles, IV, p. 110. — 21. Rhizomys, Heterocephalus, Ba- thyergus, Heliophobius, Georychus, IV, p. 120. — 22. Neotragus, Nano- tragus, Oreotragus, IV, p. 128. — 23. Hippotragus, Addax, Oryx, Connochæ- tes, IV, p. 130. — 24. Bubalis, Dama- lis, IV, p. 132. — 25. Rhinoceros, Equus, Asinus, 1V, p. 136. CASSIDARIA THYRRENA (Brug,), Mollusque gastéropode. — Tête, VII, art. 1, p. 18; jabot, p. 233 ; pl. I, fig. 4. Cassis saBuroN (Brug.), Mollusque gas- téropode, tête VII, art. 1, p. 17; jabot, p. 220 ; pl. I, fig. 3; IX, fig. 74. Casuarius AusrRALIS (Wall.), cæcums du Casoar, XV, art. 1, p. 39; pl. IT, fig. 1. CATOLEPTENUS 1TALICUS (L.) (Insecte or- thoptère), appareil digestif, V, art. 1, p. 72; pl. VI, fig. 3. Causes morphologiques du dessin des ailes des Lépidoptères; pl. XVII, XIX, fig: 4110115, AC MAI MS MAÉ — physiologiques du dessin des ailes des Insectes, p. 159 ; pl. XIX, XX. Caviré viscéraze de Nerilla antennata (0. Schmidt), I, art. 8, p. 286. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. 499 CÉNOGÉNIE, impropriété de ce terme, XVI, art. 2, p. 134. CENTROPHORUS GRANULOSUS (Bloch.). Séla- cien, système porte hépatique, XIII: art. 1, p. 78, fig. in texte 13; système sus-hépatique, p. 86, fig. in texte 17. CernaLoraus, genre de Bovidé africain, IV, art. 1, p. 39, 126. — ANCHIETOE (Barbosa du IV, Bocage), p- 45. — AUREUS (Gray), IV, p: 39. — ÆQuATORIALIS (Matschie), 47. — caAzLIPyGus (Peters), 126. — CASTANEUS {Thos.), IV, p. 47. — DoRIÆ (Og.), IV, p. 47 PE — DoRSALIS (Gr.), IV, p. 47, 126. — Harvexi (Thos.), IV, p. de 129% — JenriNkt (Thos.}), IV, p. 47, 126. — LEUCOGASTER (Gray), IV, p. 40, 47, 126. IV, p. 43, IV, p. 40, 47, — Maxvezzi (H. Smith}, IV, p. 42, 47, 126. — MELANOPRYMNUS (Gr.), IV, p. 47 — MELANORHEUS (Gray), IV, p. 43, 47, 126. — MONTICOLA (Thunberg}, IV, p. 45, 47, 130. — NATALENSIS (A. Sm.}), IV, p. 47, 130. — NIGER (Gray), IV, p. 41, 47, 126. — NIGRIFRONS (Gray), IV, p. 39, #7, 126. — oGiLByt (Waterhouse), IV, p. 40, 47, 126. — pLUTO (Temminck}), IV, p. #1. — PUNCTULATUS (Gray), IV, p. 42. — RUFILATUS (Gr.), IV, p. 47, 126. — sPADiIx (True), IV, p. 47, 129. — SYIVICULTOR (Af.), IV, p. 47, 196. CépnaLopones (Note sur une nouvelle famille de —}), par M. L. Joubin, VI, art. 3, p. 279. CERAMBYX CERDO (L.). — scoporr (Fuesslin). — VELUTINUS (Brullé), Insectes coléop- tères, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 374; pl. XXV, fig. 7, 10. Cercocegus (Singe africain), III, art, 2, p. 228. — AGIcs (A. Milne-Edw.), III, SIN Part 141022 — ALBIGENA (Gr.), II, p. 102. D 229, 228, 239 ; IV Cercocegus æraiopicus (Fr. Cuvier}, IIX, p'228;, — ærHiops (L.), III, p. 239. — cozLaris (Gr.), II], p. 228, 239; IV, p. 102. — FULIGINOSUS (Geoffr.), III, p. 239. — GALERITUS (Pet.), LIT, p. 230, 239. CERCOPITHECI AURICULATI, III, art. 2, p- 213. — BARBATI, III, p. 220, 227. — CHLORONOMI, III, p. 22 — ERYTHRONOTI, III, p. 2 — MELANOCHIRI, III, p. 22 — RHINOSTICTI, III, p. 172, 206, 227. CercoriTHÉCiDÉs, IIl, art. 2, p. 144. CEercopirHecus, genre de Singe africain, LE, art. 7, p. 245 ; III, art. 2: IV, art. 1. — ALBIGULARIS (Syk.), LIL, p. 9927, — ALBOTORQUATUS (de Pous.), III, p. 227. — ASCANIAS (Aud.}), III, p. 175, 183, 2 227 ; IV, p- 101. — ATERRIMUS (Sclatter), IIT, p. 22 — BOUTOURLINI (Gigl.), III, p. 227. — BRAZZæ (A. M.-Edw.), II, p. 220 0IN, p.102: — Buerrikorert (Jen.), III, p. 175, 179, 227; IV, 103. — CALLITRICHUS (E. Geoff.), III, p. 227. — CamPBELLI (Wat.), [, art. 7, p. 265 : IT; p. 227. — CEPHUS (L.), III, p. 196, 210, 227; IV, p. 102. — GYNOSURUS (SCOp.), IV, p. 101. : — DrANA (L.), art. 7, p.266 ; III, p. 227. — ENGYTHITHIA (Gray), III, p. 224. — ERYTHROGASTER (Gr.), LIL, p. 175, 178, DOTE — ERYTHROTIS (Wat.}, LILI, p. 175, 194, 227. — ERrxLEBENt (Dahlb. et Pucheran), III, p- 212 ; IV, p. 102. — FANTIENSIS (Matsch.), III, p. 175, 176. — GrAyI (Fraser), IIT, p. 212. — GRISEO-VIRiDIS (Sclatter), IIT, p. 224. — nisrrio (Reich.}), III, p. 175, 208. — IGNITUS (Gr.), IV, p. 105. — LALANDEI (Geof.), III, p. 227, — LEUGAMPYX (Fisc.), III, p. 207, 220, 227 ; IV, p. 103: — Lupio (Gr.), III, p. 175, 185, 204, 206. L, 4 Ile 27. 7 III, p. 223, 227: | — Marmnr (Wat.), III, p. 175, 199, 203. 221. 430 CERCOPITHECUS MELANOGENYS p. 175, 185,208: — moLoneyt (Scl.), I i p: 227. — mon (Schreb.), III, p. 227; IV, p. 102. — NEGLECTUS Si III, p. 220; IV, p. 102. — NICTITANS (L.), 227: IN, p- 102: — NIGRIPES (du Euh III, p.212: IV, p- 102. — oPiIsTHOSTICTUS (Sel.), III, p. 227. — pATAS (Schreb.}), III, p. 227 — PETAURISTA (Schr.), I, art. 7, p. 264 III, p. 175, 198, 207, PM MTS EC 227 ENV ED EDS — PICTURATUS (Sant.), III, p. 175, 189, 208. — pLUTO (Gr.), IV, p. 208. — poGonrAs (Benn.}), III, p. 212, 227; IV, p. 102. — pyvrraoNoTus (H. et Ehr.), III, p. 227, — RurovIRIDIS (Geof.), LIT, p. 227. — saBæus (L.), III, p. 224, 227; IV, D1D4e — SAMANGo (Sund.), III, p. 227. — scamipTi (Mats.), III, p. 175, 189, 209. — siGNATUS (Jent.), III, p. 175, 180, 205, 297 — Srairsr (Scl.), III, p. 227. — SramprLu (Jent.), II, p.175, 199, 206. — STUHLMANNI [Misch.), IT, p.227. — TALAPOIN (Schreb.), III, p. 227; IV, p. 103. — TANTALUS {Og.), IIL, p. 227. — TÉPHrops (Benneti}, III, p. — Wozrti (Mey.), LI, p. 227 CERIANTHAIRE pélagique de orne XX, art. 2, p. 453. CERVEAU ss Isopodes des Cavernes, XX, ‘ art. 4, p. 402. GA AFFINIS (ANDERS). — ANGUSTATA (Germ.). — AURATA (L.), — cARDUI (Gyll.). — FLORICOLA (Herbst.), Insectes coléop- tères, glandes génitales ©’, XI, art. 7 p. 336, 351, 354; pl. XXIIT, fig. 1; pl. XXIV, fig. 4, 7. CHaLcrninés (Étude des larves des —), Insectes HAS, XL EE AS D'HÔTE CHALCOCHLORIS RUTILANS (Wagn.). — OBTUSIROSTRIS (Pet.), IL, art. 2, p. 269. 19 Lt) Cr ZOOLOGIE. CHARADRIUS GEOFFROYI (Wagl.), Oiseau des îles Mascareignes, III, art. 4, DS CHaRNièRE des Lamellibranches, appa- rition du plateau cardinal, VITF, art. 1, p- 81. CHARON AUSTRALIENSIS CL. LE Arach- nide Phryne ; devenues emn- bryonnaire, XIII, art. 2, p. 141. CHAUNA cHAvarIA (L.), cæcums du Ka- michi, XV, art. 4, p.34; pl. I, fig. 9: CHEiRoPTÈRES d'Afrique, “II, art. 9, p. 250 ; IV, art. 1, p. 106. CHEerRoturix (Sp. Bate), genre de Crus- tacés de la famille des Alphéidés, IX, art. À, p. 333. CHÈNES de la Tunisie (Observations bio- logiques sur les Parasites des —), par L.-G. Seurat, XI, art. 1, p. 1. CHeniLes (Virus des excréments des —), VI, art. 2, p. 272. CHEVALIER (Voy. Totanus). CHIMIQUE. FÉCONDATION — ou PARTHÉNOGÉ- NÈSE, par le Dr C. Viguier, XII, art. 2, p. 88. CHIRAGANTHIUM PUNCTORIUM (Villers), tra- chées des Araignées du genre, XV, rt. 2, p.209: CHITON MAGELLANICUS (Brug.), Mollusque gastéropode, bulbe pharyngien, VII, art. 1, p. 49. — Poches buccales, p- 182, fig. 21 à 23, p.165 pl. IV, fig. 30. CHLAMYDOCONCHA oRCUTTI (Dall.) (Anato- mie de —), Lamellibranche à coquille interne, par F. Bernard, IV, art. 5, p. 221. CaLoropayLe (Origine du Pigment rouge des Vanesses), XX, art. 3, p. 296. — (Relation entre la —) et la matière colorante des Papillons, XIV, art. 1, p. 159. — ANIMALES, XVIII, art. 2, p. 309. CHLorures de magnésium et de sodium (Influence des —), sur le développe- ment des Echinodermes, XVIF, art ie D°UTe | CHoEropsis RENE SL IV, nr ile p. 89. CHÆTOPTERUS VARIOPEDATUS (Ren.), respi- ration de cette Annélide, XVI, art. 1, p. #1, 42, 71. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. CnormoPporamus picrus (Gray), IV, art. 1, p. 90. CHOLEVA ANGUSTATA (Fabr.), Insecte co- léoptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 383, 397. CHorizomMA LucrruGuM (E. Sim.), trachées des Araïgnées du genre, XV, art. 2, p. 212, fig. in texte 64. CHoucas (Sympathique du —), VI, ant lp 103 pl IT, (2122, 39: Caromarorxones (les Papillons (Relation entre les —) et la vascularisation des ailes, XIV, art. 1, p. 137. CuromogcasrTes, XVIII, art. 2, p. 357. CarysicHrHys FURCATUS (Günther), Ap- pendices des ares branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 187. — crancait (Leach.), XII, art.3, p. 188; MIT, fig. 5,7. CHrYsoBoTHRys AFFINIS. Var. Heliophila (Ab.), parasite des chènes-lièges, art. 1, p- 8, 21. CHRYSOMELA CÉRÉALIS (L.). — MARGINALIS (Duft.). — OBSCURELLA (Suff.), Insectes coléo- ptères, glandes génitales ©", XI, art. 7, p. 336, 362; pl. XXV, fig. 3, 8, 9. CHrysopHRys AURATA (L.). Fibres cardia- -ques de la Daurade, XVIII, art. 2, p. 256; pl. XIV, fig. 6. — (?) Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 155. CayzirèRe. Vascularisation — des Séla- ciens, XIII, art. 1, p. 14. — Superfi- ciels, XIII, art. 1, p. 90. CayrriprACÉES. Parasites de Nerilla an- tennata (0. Schmidt), I, art. 8, p. 320. CicLA ocELLARIsS (BI. Sch.), Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 178. CICINDELA GAMPESTRIS (L.). — HYBRIDA (L.). — LiTtorALIS (Fabr.), Insectes coléoptè- res, glandes génitales ©’, XI, art. 7, p- 318 ; pl. XIX, fig. 1, 2. CicuriNA cICUREA (Fabr.), trachées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p.212: Cinrées (Voy. Infusoires). Circucarron des Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 356, 413; pl. IL fig. 1 à 9. 431 Cincuzarron de Chlamydoconcha orcutti (Dal.), . Lamellibranches, IV, art. 3, p. 242. — de Damon medius (Herbst.). Ara- chnide-Phryne, XIII, art. 2, p. 239. — du Dolichotis patagonica (Penn.}, VI, art. 4, p. 354. — des poissons lophobranches, XIV, art”2, p. 215 ; pl. XXI, fig. 6; pl. XXIV, fig. 12: CinoLaNIDæ des Cavernes, XX, art. 4, p. 371. CirrATULIENS. Annélides de France, V, art. 2, p. 346. | CmraTuLus ciRraTUs (0.-F. Müller), respi- ration de cette Annélide, XVI, art. 1, p. 43, 64. CLapocÈREs (Revision des —), par Jules Richard, 2: partie, II, art. 4, p. 187; pl. 20 à 95. — (Bibliographie des travaux sur les —), IL, art. 4, p. 353. CLARIAS NIENHOFI (C. V.), Appendices des arcs branchiaux, de ce poisson, XII, art. 3, p. 185. CLassiricATION des Insectes orthoptères d'après les caractères tirés de l'ap- pareil digestif, V, art. 4, p. 190. — des Lithodinés par M. E.-L. Bouvier, I, art. 1, p. 1 à 46. — des Molgulidées, VII, art. 3, p. 323. CLAvA murricornis (Forsk.) — SQUAMATA (0.-F. Mull.). — Hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 145, 149. CLAVATELLA PROLIFERA (Hcks.), Hydroïdes de la baïe de la Hougue, XX, art. 1, p. 155. CLEANDRUuS REX (Brun.) (Insecte ortho- ptère), appareil digestif, V, art. À, D-J95 pl MIT, fo 7, 10,12. CLEONUS MARMORATUS (L.),. — suzcirosrRis (L.), Insectes coléopte- res, glandes génitales ©’, XI, art. 7, p. 368. CLUBIONA RECLUSA (Cambr.), trachées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 209: CLUPEA HARENGUS (L.), Appendices des arcs branchiaux, de ce poisson, XII, art. 3, p. 200. vint de Ne act 2 TO 432 CLYMENE LUMBRICOÏDES (Qfg.), respiration, de cette Annélide, XVI, art. 1, p. 41. 42. Czvria gJonnsront (Ald.), Hydroïde de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p.166. Cyrus ANTILOPÆ (L.). — aAncuATus (L.), Insectes parasites des chênes de Tunisie, XI, art. 4, p.8, 10, 42. Cogra (Action du venin du —) sur quel- ques Zymases, XVIIE, art. 4, p. 485. CoCccINELLA SEPTEMPUNCTATA (Oliv.). — vaRIABILIS (lllig.), Insectes coléo- ptères, glandes génitales ©', XI, art.7, p- 383, 405. Cæcums (Les) des Oiseaux, par Jean Maumus, XV, art. 1, p. 1 à 148; pl. I à IN. — de l'Echidné, XV, art. 1, p. 62; pl. I, fig. 8. CoœLoïpes (Atanycolus) NEESI (Marshall) (Développement de la larve du —), Insecte hyménoptère, X, art. 1, p.85. CogLores pAsror (E. Sim.), trachées des Araignées du genre, — XV, art. 2, p.212: Cour des Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 356. CozéorrÈères (Bibliographie des travaux sur les organes reproducteurs mâles des —), XI, art. 7, p. 433. Coeps irTus (Ehr.),infusoire des mares salées de Lorraine, X, art. IV, p. 236. Cozzecrion des Molgulidées du Muséum, NII, art. 3, p. 304. COoLLOGALIA FRANCICA (Gm.), Oiseau des iles Mascareignes, III, art. 1, p. 46. CoLose roux, III, p. 162, 169. Cocogus, genre de Singe africain, 1, art. 7, p. 245. — AnGoLEeNsis (Sclat.}), I, art. 7, p. 267 — FULIGINOSUS. Var. Re (Og.), de art. 7, p. 258. — PALLIATUS (Pet.), I, art. 7, p. 267. — vERus (Van Ben.}, I, art. 7, p. 250. CoLomgins (Cæcums des Oiseaux}, XV, art. 1, p. 31. Cocorarion. Relation entre les phéno- mènes d'excrétion et la coloration des ailes des Papillons, XIV, art. 1, p. 159. ZOOLOGIE. CoLoraATIon des Protozaires, XVIII, art. 2, p. 306. — des Spongiaires, XVIIL, art. 2, p. 366. — des Cœlentérés, XVIII, art. 2, p. 367. — des Cœlomates, XVIIL, art. 2, p. 368. — des Vers, XVIII, art. 2, p. 368. — des Mollusques, p. 368. — des Arthropodes, p. 369. — des Échinodermes, p- 370. — des Tuniciers, p. 371. — des Vertébrés, p. 371. — des Races humaines, XVIII, art. 2 p. 274 — du pelage chez les Indris (Note sur la —), par Guillaume Grandidier, XI, art. #, p. 250. — Colorations (Recherches sur les —) tégumentaires, par le D' H. Mandoul, XVIII, art. 2, p. 225; pl. 3 et 4. — (Bibliographie des travaux sur les —), XVIIL art. 2, p. 454. CoLumBa pomesricA (L.), cæcums du Pi- geon domestique, XV, art. 4, p. 31 ; pl. IV, fig. 10. Cozurus cAuparus (Ehr.), Rotateur des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p- 271. CozymBetes ruscus (L.), Insecte cléoo- ptère, glandes génitales O', XL art. 7, p. 321 ; pl. XXI, fig. 10. CoNcarNEAU (Faune des Annélides de), Néant 2 nl 15e CoNGER MARGINATUS (Val.). — NOORDZIEKI (Blkr.), XIX, art. 3, p. 370, fig. in texte 4 — VULGARIS (Cuv.), XIX, art. 3, p. 371, fig. in texte 5. — Arcs branchiaux de quelques Poissons du genre Congre. Conco FRANÇAIS (Étude sur les Mammi- fères du —), par E. de Pousargues, IlTvart. 2; p. 129;wart 4 CONGROMUROENA ANAGo (Schles.), XIX, art. 3, p. 373, fig. in texte 6. Arcs branchiaux de quelques Poissons du genre. CoNNOCHÆTES ALBOJUBATUS (Thos.}), IV, art. 1, p. 131, 133. — GNu (Sparrm.}), IV, p. 131, 133. — TAURINUS (Sund.), IV, p. 131, 133. CoNOCEPHALUS MANDIBULARIS (Charp.) (In- secte orthoptère); (appareil digestif), Marti UE TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. CoNQuEr (Re des Annélides du —}, NV, art. 2, p. 215. CONTRACTION MUSCULAIRE (Phénomènes électriques de la — —) après la mort générale, I, art. 2, Conurus MurNUS (L.), Sympathique, VI, art. 4, p. 208; pl. IV, fig. 49, 55. . Conus ARENATUS (L.), Mollusque gastéro- podes; œsophage, VIE, art. 1, p. 32, 1HVS EU TON EI a 22. — MiLiArs (Brug.), , p. 29, fig. 18. — QUERCINUS nee pe p. 32, fig. 47, tête, p. 8, fig. 4: trompe, p. 29, fig. 2, DH DI PRES" — vicarius (Lmk.), id., p.39, fig. 16, p. #1, fis. 19; pl. III, fig. 48; glandes à venin, id., p. 21, 350. Copris LuNARS (L.), Insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 336, 340. Copurareur (Organe) and D 100 Copuzarron des Braconides, Insectes hy- ménoptères, VII, art. 2, p. 102. Coo, Gallus domesticus (L.), cæcums, ant D 25 apl- ae ZE NIN fig. 3, 6. Coquizze (Recherches ontogéniques et morphologiques sur la —) des Lamelli- branches, par Félix Bernard, VIIT, ant lp ele — (Index bibliographique des ouvrages sur le développement des —), VIII, art. 1, p. 206. — de la Chlamydoconcha Orcutti (Dall.), Lamellibranche ; IV, art. 3, p. 226. — des Mollusques pleurobranchidés, re partie, VIIL, art. 2, p. 247 ; 2° par- OR OU EMEA ATEN oil — du Nautile, Il, art. 3, p. 141. Cormoran (Voy. Phalacrocorax). CoRNEILLE NoïRe (Sympathique de la), Nan MD LISE NDS ADENTIT fig. 41, 42. Convinés (Sympathique des}, VI, art. 1, p- 49. Corvus coroNE (L.) (Sympathique du), ME, art. 1, p. 198; pl. IT, fig. 40 ; LIT, fig. 41, 42. — RE dE NI, art.4, p. 193, pl IL du Nautile, Il, fig. 22, 3 — SCAPULATUS ED dh Oiseau introduit ANN. SC. NAT. ZOOL. 433 aux îles Mascareignes, II, art. 1, p. 68. ConyMBires ÆNEUS (L.). — CUPREUS (Fabr.). — LATUS (Fabr.). — TESSELLATUS (L.), Insectes coléoptères, glandes génitales G, XI, art. T, p #15; pl: XXIX, fig. 1, 2 Corvmonpaa Nurans (Sars), Hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 156. : Coryxe rRuricosa (Hcks.). — VAGINATA (Hcks.). — Sp. — Sp., Hydroïdes de la baie de la Hou- UC XOOPS TMS; CoRYNETES coruLEUS (Degeer.), Insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 409. Côres des Coquilles des Lamellibran- ches paléoconques et les dents de la charnière (Relation entre les —}, VII, AMPSD MAT: — du Sénégal (sur quelques Inverté- brés marins des —}, par le baron de Saint-Joseph, XII, art. 4, p. 217; DIAVIITIENIXE COTHURNIA GRYSTALLINA (Ehr.), var. Val- vata (d’Udekem), infusoire des mares salées de Lorraine, X, art. IV, p. 258 pl. IX, fig. 93 — NoposA (CI. et L.), id., p. 260 ; pl. IX, fig. 24, 95. Corus BuBaLis (Euphrasen). Physiologie expérimentale de l'œuf et de l'alevin, IN One 2 joe ON — GROENLANDICUS (C. et Val.), Appen- dices des arcs branchiaux de ce Pois- son, XII, art. 3, p. 160; pl NII, fig. 22. Coucou (Cæcums du —}), XV, art. 1, p- 28. Couzeun (Causes de la —), XVIIL, art. 2, p. 228. Coureurs (Cæcums des Oiseaux —}, XV, Ant-MEBD- 28 Cours des Mascareignes, p- 88. — (Voy. Numénius). CoxALEs (Voy. Glandes). CRANE de pébeRote patagonica (Pen- nant), VI, art. #, p. 335. XXe II, art.4, 434 CRANIOLOGIE comparée (Notes de —), par F. Frasetto, XVII, art. 2, p. 143. — (Bibliographie des travaux de —), id., p- 344. CREMATOGASTER SCUTELLARIS (O1.), Fourmi parasite des chènes-lièges de Tunisie, XI, art. 1, p. 2, fig. in texte 1, 2: CREOPHILUS MAxILLOSUS (L.), Insecte co- léoptère, glandes génitales ©, XI, art. T, p. 383, 388. CRESSERELLE (Voy. Tinnunculus). CrocrnurA, Il, art. 2, p. 273 ; IV, art. 1, p. 107. — MORIO (Gray), LI, p. 273. — NIGRICANS (Bosc.), III, p. 273. — poENsIs (Fraser), LIL, p. 273. CrocopiLus vuzGaris (Cuv.). Fibres mus- culaires du cœur, X VILL, art. 2, p. 257; pl. XV, fig. 9. Croisic (Faune des Annélides du —}), V, art. 2, p. 248. Croissance du Turbot, IV, art. 2, p.155, 163. Grossarcaus, III, art. 2, p. 315; IV, art. 1, p. 114. — pyBoWskit (de Pous.), III, p. 317, 318; IV, 114. — FASCIATUS (Desm.), III, p. 317. — GAMBIANUS (Og.), LIL, p. 317. — OBSCURUS (F. Cuv.}), III, p. 317. — SOMALICUS (Thos.), III, p. 317. — ZEBRA (0. Thomas), Ill, p. 315, 317; IV, 114. — Carte de répartition n° 40, p. 316. CRUSTACÉ DÉCAPODE. Parasite d’une An- nélide (Loimia médusa) des côtes du Sénégal, XII, art. 4, p. 231 ; pl. VIII, fig. 43 à 45 ; pl. IX, fig. 19, 41. Causracés (Étude sur le développement embryonnaire des —), par M. Louis Roule, 1, art. 3, p. 163; pl. Là III; II, art. 1, p. 1 à; pl. I à X. CRYcETonYs GAMBIANUS (Wath.}), IIL, art. 2, p.402; IV, art. 1, p. 122. CrypHogca syLvicoLA (C. Kock.), trachées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 212, fig. in texte 61. CRYPTOGEPHALUS SEXMACULATUS (Oliv.). — VIOLACEUS (Fabr.), Insectes coléo- ptères, glandes génitales ©’, XL, art. 7, p. 356, 362. CryproponTEs (Voy. Puléoconques). ZOOLOGIE. Cryrrozrraopes (Brandt), genre des cru- stacés Lithodinés, I, art. 4, p. 15. — EXPANSA (Miers.), p. 16, 28, 29. — BREVIFRONS (Miers.), p. 16, 28, 29. — rypicaA (Brandt.), p. 16, 28, 29. — SITCHENSIS (Brandt.}, p. 16, 28, 29. CrENtGELLA (L. Duth.), genre d’Ascidie (Molgulidée), VII, art. 3, p. 324, 365. — LEBRUNI (A. Pizon), nov. sp. (Pate- gonie), p. 364 ; pl. XIL fig. 5; pl. XW, fig. 3. — RUuGOSA (A. Pizon), n. sp. (Détroit de Magellan), p. 372; pl. XIII, fig. #; pl: XV, fig. 1, 2. — TUMULUS (A. Pizon), n. sp. Ascidia tumulus (Quoy et Gaimard), p. 366; DIT fe MES: CTrÉNoponripÉs. Développement de la Coquille des Lamellibranches, VILLE, art. À, p. 176. CTrENONACTYLUS, IV, art. 1, p. 35, 125. — GuNpt (Pall.), IV, p. 35. — MASSONI (Gr.), IV, p. 35. CTENUS, trachée d’une Araignée afri- caine du genre, XV, art. 2, p. 209. CuceuLus PpoLiocePpHALUS (Lath.), Oiseau des îles Mascareignes, IL, art. 1, p. 42. Curvipes FUsCATUS (Herm.), XIX, art. 1, p. 45 ; pl. 6, fig. 31. — BRUZELIT (Sig Thor); id., pl. VII, fig. 47. CuspipeLLA cosrATA (Hcks.), Hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 4, p.165 CyBoEUS AGGENTUATUS (E. Sim.), trachées. des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 212, fig. 62, 63 in texte. CYBISTER ROESELII (Fabr.), Insecte coléo- ptère, glande génitale ©, XI, art. T, p. 321 ; pl. XXL, fig. 4, 2,8. CycLiprum GLAucOMA (0.-F. Müller), infu- soire des mares salées de Lorraine, art. IV, p. 244. CyezopHorus voLvuLus (L.), Mollusque gastéropode, bulbe œsophagien, MIT, art. 4, p. 4101; pl: MI fs #55; pl. VIIL, fig. 64, 65 ; poches buccales, p. 194. CycLcops BIcusPIbDATUS (Claus.), Crustacé des inares salées de Lorraine, X, art. IV, p. 273. Cyczosroma ELEGANS (Müll.), Mollusque gastéropode ; bulbe pharyngien, VIII, art. 1, p. 69. ABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. Cyccosromes et les Sélaciens (Contribu- tion à l’étude de la vascularisation intestinale chez les —), par M. Henri Neuville, XIII art. 4, p. 1 à 116, par- tüiculliérement p. 39 à 54, fig. in texte; LE Remi CyNaILURUS suBATUS (Schreb.), IV, p.112. Cynicris, IIL, art. 2, p. 317; IV, art. 1, p. 114. — MELANURA (Martin), III, p. 298. — PENICILLATA (Og.), LIT, p. 317. CYNOCHPHALUS DOGUERRA (Pucheran et Schimper), IIL, art. 2, p. 236. — MORMON (E. Geoffr.), III, p. 240. CYNOGALE vEeLox (Du Chaillu), IE, art. 2, p- 271. CXNONYCTERIS STRAMINEA (2. Geoff.), LIL, art.…2, p.256; IV, art. 1, p. 106. CypseLus Apus (L.). Fibres cardiaques, XIX, art. 2, p.274; pl. XV, fig. 14; pl. XVL, fig. 9. CYPHODERIA MARGARITACEA (Schlumber- ger.), Foraminifère imperforé des mares salées de Lorraine, X, art. IV, p. 223. GYPREA ERRONES (L.), Mollusque gasté- ropode. — Trompe, VII, art. 4, p. 11, fig. 5, 6. — Bulbe pharyngien; pl. LXI et sq. fig. 33, 35, p. 79. TuRDUS (Lamk.}, poche gienne, p. 210; pl. L, fig. 67. — ARABICA (L.), poche œsophagienne, p. 210 ; pl. IX, fig. 72. CypriNus carpro (L.). Fibres cardiaques de la Carpe, XVIIL art. 2, p. 256; pl. XIV, fig. 2, 3: — ÉRYTHROPHTHALMUS (L.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XIL, art. 3, p. 197. — mNGA (L.). Appendices des arcs bran- chiaux de ce poisson, XII, art.3, p. 197. Cyrropontinés (Ulrich), développement de la coquille des Lamellibranches —), NIIL, art. 1, p. 191. œsopha- D Dacrvoium (Torell.). Persistance chez l'adulte du stade népionique des My- ülidés, VIIT, art. 1, p. 71, 87; pl. IV, fig. 8. 435 DacryLacris BENEDENI (n. sp.) (Ch. Gra- vier). Cerianthaire pelagique de Cali- fornie, XX, p. 453. DacryLospHÆRA RADIOSA (Ehr.) Amoe- bien des mares salées de Lorraine, X, art. IV, p. 222. DAMALICHTHYS ARGYROSOMUS (Gir.). Appen- dice des arcs branchiaux de ce pois- son, XII, art. 3, p. 176. DaAMALIS ALBIFRONS (Burch.). — Hunrent (Scl.). — JIMELA (Mtsch.). — LUNATUS (H. Sm.). — PYGARGUS (Pall.). — SENEGALENSIS (Gr.), IV, art. 1, p. 133. DamanriLope. IV, art. 1, p. 132. Damon menus (Herbst.)}, Arachnide- Phryne du Congo; Développement embryonnaire, XIII, art. 2, p. 118, 195. Deonmvys, IT, ; art. 2, p. 394; IV, art. 1, p. 122. DAPHNIA ACUMINIROSTRIS (Lucas), II, art. 4, p- 271; pl. XXI, fig. 14. — ARCUATA (Forbes), p. 256, — ArTkiNsont (Baird), IL, art. 4, p. 498 ; pl. XX, fig. 2,5; pl. XXII, fig. 15; pl. XXIV, fig. 11. — — war. Borivart (Richard), p. 202 ; pl. XX, fig. 3, 4, 6. — BRASILIENSIS (Lubbock), espèce incertæ sedis, p. 349. — GARINATA (King.) p. 223; pl. XXII, fig. 10, 11, 14, 16. — CHevreuxi (Richard), p. 206 ; pl. XX, fig. 10, 41; pl. XXI, fig. 4; pl. XXILI, fig. 17; pl. XXIV, fig. 4. — CLATHRATA (Forbes), p. 255. — curViRosTRIS (Eylmann), p. 264; pl. NON ED TEE 0 AUTE — — Var. INSULANA (Moniez), p, 267; pl. XXI, fig. 8, 15. — — var. WuirmManr (Ishikawa), p.270 ; pl. XXII, fig. 1. — DEGENERATA (Schmankewitsth}, p.231. — DENTATA (Matile), p. 299; pl. XXI, fig. 18. — DOLIGHOCEPHALA (G.-0. Sars), p. 204; PEN TO ET 0 ADI EXD DE pl: XXV, fig. 22, 23. — ECHINATA (Schmarda) (espèce incertæ sedis), p. 348. 436 DApxnraA GALEATA (Sars), p.321; pl. XXV, fig.5. —— __ yar. MICROCEPHALA (Sars), p. 925. — (?) GRANARIA, (Gay), p. 350. — HyALINA (Leydig), p.308; pl. XXII, fs SE pl XX ES .120; — — var. DuBIA (Herrick}), p. 318. — — var. GRAGILIS (Hellich}, p. 315 ; pl. XXII], fig. 8: — — var. PLITVICENSIS (Sostaric), p. 314. espèce incertæ sedis — — var. RECTIFRONS (Stingelin), p. 313. — LAcusrris (Sars), p. 303; pl. XXII, fig. 1 —— var. AQUILINA, (Sars), p. 306. — — Var. VICINA (Richard p.307; pl. XXIN, fig. 1: — Losvis (Birge), p.318; pl. XXIV, fig. 2. — LONGisPiNA (0.-F. Müller) (Sars), p.274, pXNIL ie". — — ar. AREINIS (Sars), p.278; ple XX IT, fi e. caudata (Sars}), p. 288; pl. XXII, fig. 17. — — Var. CAVIFRONS pl: XXIV, fig. 15. — — Var. LEYDIGI (Hellich), p. 290. — — var. LITORALIS (Sars), p. 281; pl. XXII, fig. 14. — LONGISPINA, Var. MAJOR (Sars), p. 292; pl. XXII, fig. 2. . NASUTA (Sars), p. XXII, fig. 10 — — Var. RECrISPINA (Krôüyer), p. 286; pl. XXII, fig. 18. — — var. ROSEA, (Sars), p. 282; fig. 16. — — Val. SCHMACKÉRI chard), p. 298. — — Val. TENUITESTA (Sars), p. pl. XXIT, fig. 12. — — val. VENTRICOSA (Hellich). — — var. ZSCHOKKkEI (Stingelin), p. 295; pl. XXIV, fig. 14. — LUMBOLTZI an p.219; pl. XXI, fig. 7; "pl. XXIV, fig. à, 8. — MAGNA a been ho 41025 pl. XX, flo. 4; pl. XXIV, fig. 6, 18. — — varietas (Schmankewitsch}, Il, art. 4, p. 198. — Newport (Baird), p fo. 3: (Sars), p. 28; 279; pl. pl:#22; (Poppe et Ri- 280 ; . 228: pl. XXIV, ZOOLOGIE. DapHnrA oBrusA (Kurz), p. 257; pl. 24, fig. 12; pl. XXV, fig. 9, 11. — — var. Morser (Ishikawa), pl. XXI, fig. 16. — — var. PROPINQUA (Sars), p. 262; p. 263 ; pl. XXI, fig. 11, 19; pl. XXII, fig. 6; pi. XXIII, fig. 6. — PSITTACEA (Baird), p. 209; pl. XX, fig. pl. XXI, fig. 5; pl. XXII, fig. PME DIE RAUNE MEME — — var. WierzeJskn (J. Richard). II art. 4, p. 212: — PuLEx (Leydig), p. 232; pl. XXI, fig. 6-10; pl. XXII, fig. 41, 43. — — var. PULICARIA (Forbes}, p. 237; pl. XXV, fig. 24. — — Var. MINNEHAHA (Herrick), p. 239; pl. XXI, fig. 9, 31: — PULEX (AOL Val. MIDDENDORFIANA (Fischer), p. 252; pl. XXV, fig. 19: — — Var. MIXTA (Sars), p. 254. — — var. NIGRISPINOSA (Scott), p. 254. — — var. NOTODONTA (Dyb. et Groch.), p. 254. — — var. SCHÔDLERI (Sars), pl. XXL, fig. 17. — — Var. DENTICULATA (Birge), pl. XXII, fig. 19. — — var. NASUTA (Herrick), p. 245. — — var. HASTATA (Sars), p. 246; pl: XXIV, fig. 16: pl. XXW, fig. 8,12. — — var.pENNATA (O.-F. Müller), p. 249; pl. XXV, fig. 21. — RUDIS (Schmankewitsch}), p. 229. — RET.CULATA (Haldemann), espèce in- certæ sedis, p. 350. — simiis (Claus), p. 213; pl. XX, fig. 8, 143; pl. XXI, fis 1, 3 “pl XXIIT, fig. 18 ; pl. XXIV, fig. 10,412, — — Var. THOMSONI (Sors), p. 217; pl. XXV, fig. 13, 14. — THORATA (Forbes), p. 319. — (?) espèce incertæ sedis (Moniez), p. 351. Dapaninx ; CLADocèRESs, Il, art. 4, p. 187. DAsYBRANCGHUS cApucus (Grube), Anné- lide de France, V, art. 2} p.387. Dasvmys, II, art. 2, p. 371; IV, art. 1, p. 124. — GuEINzi (Peters), IL, p. 380, IV, p.125. — LONGICAUDATUS (Tycho-Tulberge), I, p. 381. : p. 241; p. 2##: TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES Dasvuys,nizomious (E. Geoffr.), LIT, p.377; , IV, p. 124: — REICHARDI (Noack), III, p. 377. Dauran (étude sur les organes urinaires etles organes reproducteurs © du —}, (Delphinus delphis, L.), par L. Bordas, X, ant. 0, p. 195: .pl.MII, fs. {à 8: — (Bibliographie des travaux sur), p. 208. Décarones (Développement des), IE, ARR. 1: DIEM x — (Bibliographie des travaux sur), p.115. — (Voy. Crustacés.) Decricus ALRrrRoNS (Fab.}), Insecte or- thoptère, mœurs, I, art. 6, p. 223. — — Appareil digestif, V, art. 1, p.119; pl MIS 9EIX fes pl X° fo. 11 — — VERRUCIVORUS (L.), id., pl. VIII, fie. SSD ENS ONTEUIDERDIEXE fig. 5, 9. DErLEPHILA poRGELLUS (L.) (évolution du dessin des aïles de ce papillon), XIV, ONEMERD MOERDIEC AE 20/6507 Dercus ruGAx (Oliv.) (Insecte coléoptère olandes génitales ©), XI, art. VII, p. 397, 314. DenprocyeNA maJor (Jud.) — vinuarA (L.), (espèces d'oiseaux in- troduites aux îles Mascareignes), III, ant po l06: Denprouyrax porsALIs (Fras.}, LV, art. 1, p.92 155; — Grayr (Boc.), IV, p. 93. Dexpromys, III, art. 2, p. 385; IV, art. 1, p- 123. — MELANOTIS (A. Smith}, NI, p. 389. — MESOMELAS (Bls.), III, p. 390. — pALLiDus (Heuglin), III, p. 390. — PECILEI, (A. M.-Edw.), III, p. 385; IV, p. 124. — pumiLio (Wagn.), II. p. 390. — rypicus (A. Smith}, II], p. 386. Denrex vuzGaris (C. V.). Appendices des ares branchiaux de ce poisson, XIT, art. 3, p. 152; pl. VII, fig. £. Dexrs de la charnière des coquilles des Lamellibranches, VII, art. 1, p.13. — — — Paléoconques et les côtes (Relations entre les —), VII, art. 1, p° 172. — Dysodontes des coquilles des Myti- lidés, VIIL, art. 1, p. 72. 437 Denrs, Taxodontes, VIII, art. 1, p.91. — du Dolichotis patagonica (Pennant), VI, art. #, p. 309.; développement, p.314. — des Poissons ganoïdes cartilagineux, [,-art: 4, p.107; pl. IVNet re Dermarurus (Brandt). Genre des Litho- dinés, I, art. 1, p. 2. — INERMIS (Stimpson), p. 1, 19, 29. GILLI (Benedict}, p. 2, 19, 29. — MANDII (Brandt), p. 4, 19, 29. — xispipus (St.), p. 4, 19, 29. Desmopontes. Groupe de Coquilles des Lamellibranches de la classification de Neumayr basée sur les dents et devant disparaître, VIIL art. 1, p. 10,12. Dessin des ailes des Lépidoptères (Le). Recherches sur son évolution dans l'ontogenèse et la phylogenèse des espèces, son origine et sa valeursys- tématique par Mile Ja Ctesse M. Von Linden, XIV, art. 1, p. 1 à 196; pL.I à XX. — Causes . morphologiques, DOTE DIM XIE ME US 117, 119, 125, 126. — Causes physio- logiques, p. 159; pl. XIX, XX. Dérorsron chez les Mollusques gastéro- podes, VIT, art. 1, p. 274. DiveroppemMenr de l’Apanteles glome- ralus (L.). Insecte hyménoptère, X, art. 1, p. 59 — (des Crustacés de la famille des Al- phéidés. Relation entre l’éthologie et le —}, IX, art. 1, p. 464. — embryonnaire des Crustacés. (Étu- des sur le), par M. Louis Roule, I, ere le ol PE NIIPAQUTS M@rrte dl DA HEAD IE ATEN — des Mollusques et la Tachygenèse, XVI, ant.2; p.261 — de la coquille des Lamellibranches. — Ostréidés. VIIL, art. 4, p. 145; pl. IE, fig. 1, 2; pl. XI, fig. 1 à 4. — (Étude sur le —). Développement embryonnaire des Phoronidiens par M. Louis Roule, XI, art. 3, p. 51. — embryonnaire des Phrynes, par la D' Sophie Pereyaslawzewa, XIII art.2, p.40; pl. I à IX: — de Synghathus Dumerilii (Moreau), XIVe art 2 pe 2m DIX EE pl. XXV, fig. 1. 438. DIAGRAMMA GATERINA (C. V.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 151; pl. VII, fig. 40. DrapaoraPreryX HAwWKINSIr (A. Forbes), Il, art. 2, p. 128; pl. XI à XIII. Dicryna virinissima (Walck). Trachées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 168, fig. in texte 8, 9. DipELpHys LANIGERA. Fibres du cœur, XVI, fig. 16; XVIII, art. 2, 262. Dipus NErTus (L.). Espèce éteinte d'’oi- seau des îles Mascareignes, II, art. 1, De He Drrrracrion (Couleurs dues à la —) par les milieux troubles, XVIII, art. 2, p- 266. Drcesrir (L'appareil) des Orthoptères. Études morphologiques,histologiques et physiologiques de cet organe ct son importance pour la classification des Orthoptères, par L. Bordas, V, art. 1, p. 1. — — — Acariens, XIX, art. 4, p. 53. — — — Alphéidés (Crustacés), IX, art.1, p- 373, 412; pl. IT, fig. À à 41. — —— Chlamydoconcha Orcutti(Dail.). IV, art. 3, p. 241. — — — Damon medius (Herbst.). Ara- chnide phryne, XIII, art. 2, p. 293. — — —Distomumlanceolatum,(Mehlis), XV, art. 4, p. 322, fig. 15 à 17. — — — Doryctes gallicus (Rh.) (Insecte hyménoptère), X, art. 1, p. 34. — — — Gastéropodes (partie antérieure deu), NI art. 41 p. 41048 297-#nl#à X. — — — Nerilla antennata (0. Schmidt), I, art. 8, p. 288. — — — Oscaniopsis (Mollusque opisto- branche), XII, art. 1, p. 14. — — — Orthoptères (Insectes), V, Gael oil — — — Poissons lophobranches, XIV, art. 2, p.207; pl. XXIIL, fig. 1 à 3. — — — Palæmon serratus (Latr.), IT, art. 1,p. 101. Diecena PERMOLLIS (Gosse). Rotateur des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p- 214: DicuetiA CANITIES (Mac Cook). Trachées des araignées du genre —, XV, art. 2, p. 174. ZOOLOGIE. DimonpaisMe sexuel du Nautile, IT, art. 3, p. 157. Dinar (faune des Annélides de —. Sup- plément à la), V, art. 2, p. 214. Dixopis LamrA (Mac Leay). Trachces des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 167, fig. in texte 7. DIOMEDEA FULIGINOSA (Gm.). Oiseau des îles Mascareignes, II, art. 1, p. 109. DivpATRA NEAPOLITANA (D. Ch.). Annélide de France, V, art. 2, p.243; pl. XIII, fig. 31 à33 ; pl. XIV, fig. 34 à 39. Diopsinor, Insectes diptères de l’ambre, XVI, art. 4, p. 403. DipHAsra RosAGEA (L.). Hydroïde de la baie de la Hougue, XX, art. 4, p. 176. Drponipés, IV, p. 119. Liprèr.s de l’ambre (Études de quel- ques), par F. Meunier, XVI, art. #4, p. 395; pl. IL. Drrus, IV, art. 1, p.120. Disopes LimBarus (Peters), III, art. 2, p. 264. DisroMum LANCEOLATUM (Mebhlis) (Biblio- graphie des travaux sur l’anotomie du) XV, art. 4,p. 353. DisrriBurioN bathymétrique des Crus- tacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 511. DisrriBurion géographique des Annélides de France, V, art. 2, p. 447. — géographique des Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 45. : DITREMA LATÉRALE (Agass.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XIL, art. 3, p. 176. DiTRUPA ARIETINA (0.-F. Muller). Anné- lide de France, V, art. 2, p. 443; pl, XXITI, fig. 249, 254. DOoDECACGERIA CONCHARUM (Oerst.). Anné- lide de France, V, art. 2, p. 346 ; pl. XX, fig. 160,161. Docicuoris PATAGONICA (Pennant) Re- cherches d'anatomie comparée sur le — par M. Remy Saint-Loup, VI, art. 4, p.295. Dozium oLEARIUM (L.). Mollusque gas- téropode, VII, art. 1, tête, p. 18 ; œso- phage et glandes, p. 246; pl. I, fig. 4, 2; pl. IL, fig. 12; pl IX fo. M5; PL Eee" TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. DoLomenes FIMBRIATUS (C1.). Trachées des Araionées du genre —, XV, art. 2, p.219. Dorcus PARALLELrPIPEDUS (L.), Insecte co- léoptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 351; pl. XXIV, fig. 1, 8, 41, 42. Donyeres cazzicus (Rheinhard) Insecte hyménoptère, organes génitaux, glandes à venin, VII, art. 2, p. 293. — — — Anatomie et Développement, X, GR E SD A LUESDIEMIAAVE Drassones Larrnosus (Walck.). Trachées des Araignées du genre —}), XV, art. 2, p. 186. DREPANA rALCATARIA (L.). Évolution du dessin des aïles de ce papillon, XIV, art. 1, p. 89; pl. XIII, fig. 64, 66. DriLus FLAVESCENS (Fabr.), Insecte co- léoptère, glandes génitales O', XI, art. 7, p. 395. Dronre de l’île Maurice. Espèce d'oiseau éteinte des îles Mascareignes, III, an PMESD ee DyscHromies ou colorations pigmen- taires, XVIII, art. 2, p. 333. Dyspera crocara (C. Koch.). Trachées des Araignées du genre —, XV, art.2, p. 181, fig. in texte, 20, 21. DysDpERINA LORIGATA (E. Sim.). Trachtes des Araignées du genre —, XV, art.2, p. 177, fig. in texte 17, 18. Dysoponres (Neumayr). Apparition des dents des Mytilidés, VIII art.i, p-12. Dyriscus CIRCUMFLEXUS (Fabr.). — MARGINALIS (L.). — PUNGTULATUS (Fabr.)}, Insectes co- léoptères, glandes génitales ©, XI, art.1, p. 320; pl. XXI, fig. 3, 4, à. E Eau de mer. Considérations physico- chimiques sur l’—, XVI, art. 1, p. 11. — Pureté, oxygénation de l’—, pour l'élevage des alevins de poissons de mer, IV, art. 2, p. 193. ÉcHances cazeux des muscles extraits du corps, I, art. 2, p. 84. — — Influence de la putréfaction sur 439 les — — des muscles extraits du corps, I, art. 2, p. 98° — — des muscles à l’état de repos ou de travail, I, art. 2, p. 120. — — Action des variations de tempéra- ture sur les — —, I, art. 2, p. 145. EcxrnNa nysrrix (Blum.). Cæcums de PÉChANE VE Sert MDN Mb fig. 8. —— Fibres du Cœur. XVIII, art. 2, p. 259, 340; pl. XVI, fig. 17, 18. EcHiocerus (White), genre des Litho- dinés, I, art. 4, p.12, 27. — GiBARIUS (White), p. 27, 29. — SETIMANUS (Gibbons), p. 27, 29. — DIOMEDEÆ (Faxon), p. 27, 29. — FORAMINATUS (Stimpson), p. 27, 29. Ecnimys Nnizorieus (Aud.), III, art. 2, onawire ÉcHiNonerues recueillis parl’Invesligalor dans l'Océan indien, par R. Kochler 1er mémoire, Ophiures de mer pro- fonde, IV, art. 5, p. 277. EcHINORHINUS spINosSUS (Gm }). Appendi- ces des arcs branchiaux de ce pois- son, XII, art. 3, p. 205. Ecropzeura Dumornieni (Bened.). Hy- droïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 156. Épentés, africains, IV, art. 1, p. 94, 97. 139. ELarer pomoruM (Herbst.). — SANGUINOLENTUS (Schr.), Insectes co- léoptères, glandes génitales ©, XI, SCC D AIO DIX IOSNS N5, 1% 9% — sArTRAPA (Var. Diaphanus), Insecte parasite des chênes de Tunisie, XI, Boni Joe Ge ELEGINUS MACLOVINUS (C. et V.). Appen- dices des arcs branchiaux de ce pois- son, XII, art. 3, p. 161. ELgorraGus, IV, art. 1, p. 71, 132. — ARUNDINUM (Bodd.). — BOHOR (Rüpp.). — CAPREOLUS (Thunb.). — REDUNGUS (Pall.), IV, p. 71. ELcromys MuriNus (Smuts.}), III, art 2, p. 366, IV, art. 1, 119. Emgazonuriés, III, art. 2, p. 264. EmBrYoGéNiQuE. Accélération (Voy. Ta- : chygénèse), XNI, art. 2, p. 1335. 440 Emsrvocénie condensée ou dilatée ; im- propricté de ces termes, XVI, art. 2, p. 134. — adaptives,id., p. 43. — normales, id., p. 139. Empryon (Voy. Développement embryon- naire). EmBryoNNaIRE des Phrynes. Développe- ment — par la Desse Sophie Pereyas- lawzewa, XIII, art. 2. p. 117; pl. II à IX. Emprinar. Insectes diptères bre, XVI, art. 4, p. 401. Eupusa PAUPERATA (Latr.). Insecte or- thoptère ; Appareil digestif, V, art. 1, p. 26: Euus Hirrus (L.), Insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 383, 388. ENDOSrERNITE des embryons de Damon Médius (Herbst). Arachnide Phryne, XII, art 12, p- 245" ENOPLOGNATHA MANDIBULARIS (Luc.). Tra- chées des Araignées du genre, XV, art. 2, p. 193; fig. in texte 35. EnromopHaGes. Contributions à l’étude des Hyménoptères —, par L.-G. Seu- LAN T-MCRD EE Enzyme (Cellules à), XVIII, art. 4, p. 1 à 221, 156. EPAGROMIA THALASSINA (Fabr.), (Orthop- tère, appareil digestif), V, art. 1, p. 8ÿ. EPEIRA (ARANEUS) DIADEMATUS (Cl.). Tra- chées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 154; fie. 1, 48 in texle/; pl. V, fe. 2 et 3; pl. VI, fig. 1 à 5; fie. 7 à8; pl. VII, fig. 1 à 3; pl.VILE, fig.l à. EPHESIA GRACILIS (Räthke), Annélide de France, VW, art. 2, 4p. 345. ÉPHIPPIGER BITTERIENSIS (Marq.), © In- secte orthoptère, appareil digestif, V, a D MOSS DIN 700 — vinium (Serv.). Mœurs de ce locus- tien, \l:, art. 6, p. 233. EPILAGHNA ARGUS (Fourcroy), Insecte co- léoptère, glandes génitales ©, XI, art, 1, p.383, 405; pl. XXVIIL, fig. 7; pl. XXIX, fie. 8. EpiLamprA GRAGILIS (Insecte orthoptère) (Brunn.), appareil digestif, V, art. 1, p 89 ADI ANNE SO E DL AVANT de l’am- ZOOLOGIE. Eromornorus, III, art. 2, p. 250, IV, art. 1002 AIDE — comPpTus (All), III, p. 254; IV, p. 107. — ERYPTURUS (Pet.), III, p. 252. — FRANQUEMI (Tomes), III, p. 254; IN, p. 106. — GamBranus (Og.), III, p. 2515 IN, p. 106. — macrocEPHALUS (Oo.), IIT, p. 253; IN, p. 107, — mor (Dobson), IT, p. 252. — monsrrosus (Allen.), IT, p. 250. — pusizLus (Peters), III, p. 2555 IW p. 106. — scHoEnsis (Rüppell.), IT, p. 255. Éournés d'Afrique, IV, art. À, p. 137. Equus ASINUS AFRIGANUS (Fitz.). == — soMALIENSIS (Noack). — ANTIQUORUM (H. Sm.). — Bonmr (Mtsch.). — BURCHELLI (Gray). — CHAPMANNI (La y.). — GREvyI (A. M.-Edw.). — QUAGGA (Gm.). — ZEBRA (L.), IV, art. 1, p. 137. Equuus caBazLzus (L.). Fibres cardiaques du cheval, XVIII, art. 2, p. 259; XVI, HO 2 8 XVII SERGE fig. 3. EREMIAPHILA DENTICOLLIS (Lefcbr.). In- secte orthoptère, appareil digestif, V, p. 3; pl. IL, fig. 3. Eremus spiNuLosus (Brün.), Insecte or- thoptére, appareil digestif, V, art. 1, arte dep 48 1PpI AXE eeetle Eresus Lucasr (E. Simon). Trachées des Araisgnées du genre —, XV, art. 2, p. 171. ERGANE (Hasarius) ARcuATUS (Cl). Tra- chées des Araignées du genre —, XV, art. 9, p. 221, fig. in texte 69: Erçates Fager (L.), insecte coléoptère, glandes génitales ©, XT, art? p- 337, 372. ERIGONE peNripaLris (Sund.). Trachées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 195; fig. in texte 40 à 42. EriNacéinés africains, IV, art. L. p. 108. ERINACEUS. — ALBIVENTRIS (Wag.). — ALGrIRuS (Duv. et Ler.). — AURITUS (Gm.). TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. ERINAGEUS. — ÆTHIOPICUS (Ehr.). — FRONTALIS (A. Smith). — SCLATERI (Aud.}, ILT, art. 2, p. 269. ErrRaINus restrucæ (Herbst.), Insecte co- léoptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 868; pl. XXV, fig. 2. Ero rurcarA (Villers), Trachées des Arai- gnées du genre —, XV, art. 2, p.205. ERYTHRAEUS REGALIS (Koch.), XIX, art. 1, p.23pl Il fig. 6; pl: TI, fe 9, 10; pl. IV, fig. 13; pl. V, fig. 26; pl. VI, fig. 32, 31, 38 ; pl. VIL, fig. 40, 45 ; pl. VIII, 51, 60, 68, 69 ; pLl.IX, fig. 71 à 73, 76. Esox Lucrus (L.), (Brochet). Appendices des ares branchiaux, de ce poisson, XIT, art. 3,p. 193 ; pl. MIL, fig. 15. — Fibres du cœur? XIX, p. 256; pl. XIV. fig. 10, 11. EsrRiLpA ASTRILD (L.). Oiseau introduit auxîles Mascareignes, III, art. 1,p. 60 ETELIS FLAMMA (Val.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 146. ETÉONE rocrosa (Qtfg.). Respiration de cette annélide, XVI, art. 1, p. 41, 42. — PIGTA (Qtfe.). Annélide polychète de la rade de Brest, X, art. 2, p. 173. Érnocogre des Alphéidés, IX, art. 1, p. 464, 517. Érourneau (Sympathique de l—), VI, dE D SSD Lo RO 021 Étupe anatomique et histologique du Distomum lanceolatum (Mehlis.) par J. Anglaset E. de Ribaucourt, XV, art. 4, p. 313, 351, 38 fig. in texte. — anatomique et systématique des Mol- gulidées, appartenant aux collections du Muséum de Paris, par M. A Pi- zon, VII, art. 3, p. 305. EUDENDRIUM cAPILLARE (Ald.). — RAMÉUM (Pall.). — RAMOSUM (L.). — Hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 159, 159 EuGLEeNA virinis (Ehr.) flagellé des lacs salés de Lorraine, X, art. IV, p. 232. EuGyra (Hancock). Genre d’Ascidie. (Mol- gulidée}, VIT, art. 3, p. 323, 338. Euayriopsis (Roule). Nov. Sens. A. Pi- zon. Genre d'Ascidie (Molgulidée), VIT, art. 3, p. 323, 341. 441 EuLaïs FARAMINIPONS (Sig Thor.), XIX, art. 4, p. 45; pl. IN, fig. 16 ; pl. NT, fig. 28. — INFUNDIBULIFERA (Kœnike). Anatomie de cet acarien, XIX, art. 4, p. 75. EuLaLrA eRevisems (Baron Saint-Joseph}, N. sp. d'annélide de Brest, X, art. 2, p.172; pl: NT, fig 6, 9; — PUNCTIFERA (Gr.), p. 329. — QUADRILINEATA. N. sp. (Saint-Joseph). Annélides de France, V, art. 2: pl. XVIII, fig. 127 à 130. — viripis (Müller). Respiration de cette annélide, XVI, art. 1,p. #1, 42,70, 73,81. — — — Présence de cette annélide au Sénégal, XII, art. 4, p. 246. EUNEREIS LONGIssIMA (Johnston). Anné- lide de France, V, art, 2, p. 304; pl. XVI, fig. 88 à 100; XVII, fig. 101. Eunice KiINBERGI (Ehl.), p. 254. — TORQUATA (Qtfo.), p. 266. — VITTATA (D. Ch.}), p. 272. Annélides de France, V, art. 2; pl. XIV, fig. 40 ê, 0 Evorrcus Pazzipus (Gray), III, art. 2, p. 241. Eupacurus BerNaarpus (L.). Cellule de la glande hépato-pancréatique, X VIT, art. 1, p. 133; pl. I, fig. 1 à 8, 11 à 14, fig. in texte, p. 146. EupaALemon (Voy. Palémon). EuPrrHecrA TaAmaAriscraTA (Krr.). Evolu- tion du dessin des ailes de ce papil- lon, XIV, art. 1, p. 103; pl. XV, fig. 82, 83. EUPLOTES CHARON (Ehr.). — HARPA (Stein), -- PATELLA (O0. F. Müller). Infusoires des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p. 253. Eurysromus GLaucunus (Müll,). Oiseau des îles Mascareignes, IIL, art. 1, p. 44. Eurayas LoNGrrosreis (Piers.), XIX, art. 1, DAS IEDIMINES Te EI07 Évaginarron de la trompe des mollus- ques gastéropodes, VII, art. 1, p. 25. EXCALFACGTORIA SINENSIS (L.). Oiseau in- troduit aux îles Mascareignes, IIL, art. lp joe ile ExcrragiciTé. Persistance de l’— muscu- laire après la mort générale, I, art. 2, p. 49. 442 Excréreur. Appareil — des crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 362, 413; pl. IT, fig. 1 à 10. — Appareil — du Distomum lanceola- tum (Mehlis.) XV, art. 4, p. 327, fig. in texte 18, 20; II. 21 à 23, et 27. — Organes — des Acariens, XIX, art. 1, Do Die Excrériox. Relation entre la coloration des ailes des papillons et les phéno- mènes d'—, XIV, art. 1, p. 159. ExOcoeTus NIGRICANS (Benn.). Poisson. Appendices des ares branchiaux, XI, art. 3, p. 194; pl. VII, fig. 17. F Farco concoror (Tem.). Oiseau des iles Mascareignes, III, art. 1, p. 32. — PEREGRINUS (L.). Oiseau des iles Mas- careignes, III, art. 1, p. 32. Famrcre. Note sur une nouvelle — de Céphalopode, par M. L. Joubin, VI, art. 3, p. 279. FaucHEerIA FaucHEerr (Nov. gen. Nov. sp.). (Dollfus et Viré), XX, art. 4, p. 574 et 399. Fauxe des Annélides de France, V, art. 2, p. 447. — des îles Mascareignes (Sur les res- semblanees qui existent entre la — et celle de certaines îles de l'Océan Pacifique austral, par A. Milne-Ed- wards, Il, art. 2, p. 117; pl. XI à XV. — des lacs salés (Considérations sur la —), par R. Florentin, XII, art. 6 P. 943, 397. — mammologique du Congo Français, par E. de Pousargues, III, art. 2, p. 129. — (Etudes sur la —) des mares salées de Lorraine, par R. Florentin, X, art. 4, p- 209. — de l'Océan Indien. Échinodermes, IV, art. 5, p, 917. — ornithologique (Notice sur la —) an- cienne et moderne des îles Mascarei- gnes eten particulier de l’île Maurice, d’après des documents inédits, par M. E. Oustalet, III, art. 1, p. 4, , ZOOLOGIE. Faune souterraine d'Europe {Isopodes), XX, art. 4, p. 365. FÉCONDATION chimique ou parthénogè- nèse, par le D'C. Viguier. XIL, art. 2, p. 88. — Index bibliographique, id., p. 136. — croisées entre oursins, XVII, art. 1, p. 89 — Entre asteries et oursins, DAA907 Fézipés africains, ITL, art. 2, p. 319 ; IN, art. 4, p.112. Feus, II, art. 2, p. 319. — AURATA (Temm.), IL, art. 2, p. 322. — CAFRA [Desm.), III, p.319; 1; art. 1, p. 113. — CALIGATA (Tem.}), IL, p- 113. — CAL\BEATA (H. Smith}, III, p. 322. — CARACAL (Guld.), IV, p. 112. — CELIDOGASTER (Tem.), III, p. 322. — cHAUS. (Guld.), IV, p. 112. — CHRYSOTHRIX (Ten.), Ill, p. 322; IN, p. 113. — LEO (L.), IV, p. 112. — MANICULATA (Tem.), III, p. 319. — NEGLECTA (Gray), ILL, p. 322, — PARDUS (L.), IV, p. 112. — RUTILA (Waterhouse), LIT, p. 322. — sERVAL (Schreb.), IV, p. 112. FENNecus (mammifère africain), IN, art. 1, p. 112. Fentes branchiales de l’Amphioxus et la tachygénèse, XVI, art. 2, p. 234. FErontA Mapipa (Fabr.). Insecte colé- optère, glandes génitales ©, X art. 7, p. 315. FILISTATA CAPITATA (Hentz.) — mEsrACEA (Latr.). Trachées des Arai- gnées du genre, XV, art. 2, p. 174, fig. in texte 11, 12. FISSURELLA CONGINNA (L.}, mollusque gastéropode, VII, art. 1, p. 59; bulbe pharyngien, fig. 30, 32, p. 70; poches buccales, p. 187; pl. IV, fig. 34. FISTULARIA SERRATA (Bl,). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XI, art. 3, p. 174. FLABELLIGERA CLAPAREDI (N. Sp.) (Bon de Saint-Joseph}. Annélide de France, NV, art. 2, p. 363; pl. XXI, fig. 176: 179. FLammanr (Voy. Phœnicoplerus). DS AOEAINE TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. FRANCOLINUS CHINENSIS (Osb.). — PONTICERIANUS (Gm.), Espèces d'oi- seaux introduits aux iles Mascarei- mrgnes; IT, art; 4, p. 78: FRéGare (Voy. Tachypèles). FRINGILLA GANARIA (L.), sympathique, VI, art. 1, p. 188. — cogLess (L.), sympathique, p. 183 : DEMAIN — DOMESTICA (L.). Cæœcum du moincau, ANA ENDI AIN O ES — LINARIA (L.), sympathique, VI, art. 1, DAMISH -SDIEALIIIEMtIoN4 8" IRoNTAL (Sur lessutures surnuméraires del’os — }, XVII, art. 2, p: 480: pl.V, AE AYAUE FRoNTANrTA LEUCAS (Ehr.), (type et var. Marina F. D.\, infusoire des mares sa- lées de Lorraine, X, art. 4, p. 237; pl. IX, fig. 14, 19. FoNrANELLES secondaires, XVII, art. 2, p.201; pl. IX à XII. ForrICULA AuricuLAnrIA (L.), insecte or- thoptère. Appareil digestif, V, art. 1, p- 6; pl. I, fig. 1 à 6 et pl. IL, fig. 5. Formes larvaires des Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 14, p. 414, 429, 466; pl. V et VI. FormuLe dentaire du Dolichotis patago- nica, (Pennant) VI, art. 4, p. 311. — branchiales des Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 268. — cardinales des coquilles de Lamelli- branches, VIII, art. 1, p. 13. Fosserre ENDoiNrAQUE (torculare de Zoia). (Quelques cas de), XVII, art.2, p- 329; pl. XXII. Fou (Voy. Sula). FouprA MADAGASCARIENSIS (L.). — RuBRA (Gm). Oiseaux des îles Masca- reignes, IIT, art. 4, p. 61, 62. Fourque (Voy. Fulica). Fuuca (Palæolimnas) Newtoni (A. M.- Edw.). Espèce éteinte d'oiseau des îles Mascareignes, IL, art. 4, p, 99. G Gapus morrauA (L.}. Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 179, 443 GALAGO, LIT, art. 2, p. 241. — ALLENI (Wath.), LIL, p. 242, 247. — ANomurRus (de Pouss.), III, p. 244, 947. — AricALIS (du Chaiïllu), IT, p. 241 [9] — CAM&RONENSIS (Peters),-1[T, p. 242. — pemiporrt (Fischer), III, p. 243, 247. — ELEGANTULUS (Lecomte), III, p. 241, 247. — GABONENSIS (Mivart), IIL, p. 242. — PALLIDUS (Gray.), IT, p. 241. GALAGOÏDES DEMIDOFFI (Fisch.), II, art. ?, p- 245. GALATHEA INTERMEDIA (Lilljeborg.). Cel- lule de l'hépato-paneréas, XV ITL, art. 4, p- 152. Gazeriscus Jacxsonr (Thos.), IT, p. 315, note. GaLEus canis (L.), sélacien. Varcularisa- tion intestinale, XIII, art, 1, p. 60.— Système porte-hépatique, XIIT, art. 1, p- 7, fig. 2 in texte. Gazzinacés. Cæcums des oiseaux —, XV, art. 1, p. 32. GALLINULA caLoropus. Var. Pyrrhorhoa. (A. Newton) Oiseau des îles Masca- reignes, LIL, art. 1, p. 97. GALLITHEUTIS ARMATA (L. Joubin). N. gen. N. sp. Type d’une nouvelle fa- mille de Céphalopodes, VI, art. 5, p279/ fe Atet2 ND 281 NcteS 409; p. sq. GazzLus pomesrTicus (L.). Fibres muscu- laires du cœur, XVIII, art. 2, p. 260, DOTE D NP CD MITEEXNE fig. 16, 17, XNIII, fig. 8. — — (cum du coq, XV, art. 1, p. 33; pl. IL, fig. 4; IN, fig. 3, 6. Gamasrer (A. Pizon). Nouveau genre d’Ascidie (Molgulidée}), VIT, art. 3, p. 322. — pAKARENSIS (A. Pizon). N. sp. Dakar (Sénégal), VII, art. 3, p. 328; pl. XI, fig. 4 à 9. GANOIDEI CHONDROSTEI. Note sur l’odon- tographie des — —, par M. N. Zo- graf, de Moscou, I, art. 4, p. 197; DIÉAINMETANE GARRULUS GLANDARIUS (L.), sympathique, NI, art. 4, p.205; pl. III, fig. 49, 51: — -- Fibres cardiaques, XIX, art. 2, p- 281; pl. XV, fig. !1. 444 GASTERACANTA MOLLUSGA (L. Koch). Tra- chée des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 204. GasréroPopes. La partie antérieure du tube digestif et la torsion chez les Mollusques —, par M. A. Amaudrul, NPA MED GASTEROSTEUS ACULEATUS (L.). Var. Leiu- rus (Cuvier). Poisson des mares sa- lées de Lorraine, X, art. 4, p. 278. GasrropacHA quercus (L.). Évolution du dessin des ailes de ce papillon, XIV, art. 1, p. 84; pl. XII, fig. 57, 59. GasrruLarIoN de l'œuf de Phoronis, XI, art. 3, p. 15; pl. III. GAZELLA, NL art: 1 p.132: Gazeux. Échanges — des muscles extraits du corps, I, art. 2, p. 84. — — (Influence des variations detem- pérature sur les), L. art. 2, p. 145. — — (Influence de la putréfaction sur les) AMarP2 ND 08 — — des muscles à l’état de repos ou de travail, 1, art. 2, p. 120. GEa1 (sympathique du —}, VI, art. 1, p. 205; pl. IL, fig. 49, 54. GÉANTS (Oiseaux —) de Leguat (Voy. Legqualia). GÉNÉRATION asexuée (la) et la tachygé- nèse, XVI, art. 2, p. 288. GENETTA, III, art. 2, p. 286. — AFRA (F. Cuv,), III, p. 295. — ANGOLENSIS (Boc.), III, p. 295. — AUBRYANA (Puch.}), III, p. 293. — ÆQUATORIALIS (Heugl.), III, p. 295. — BonapartTer (Loch.}, III, p. 295. — DONGOLANA (H. et Ehr.), III, p- 205. — FELINA (Thunb.), III, p. 295. — GENETTOÏDES (Tem.), III, p. 290, 295, IV, p. 143. — PARDINA (I. Geoff.), III, p. 288, 295. — POENSIS (W.), III, p.286; 295, IV, p. 113. — RUBIGINOSA (Pch.), III, p. 295. — SENEGALENSIS (Fr. Cuv.), III, p. 295. —\SERVALINAU(PCh.), DIT pp. 293,295; INPD AUS: — TIGRINA (Schreb.), III, p. 295. — VULGARIS (Less.), LIL, p. 295. GENITAL. Appareil — des Crustacés de : la famille des Alphéidés (Glandes sexuelles et œufs}, IX, art. 1, p. 423; DIAINE SOIR ZOOLOGIE. GÉNITALES Organes — des acariens, XIX, art.1, p. 141. — — des Braconides. (Insectes hymé- noptères), par M. L.-G. Seurat, VIT, art. 4, p. 293. — — de Chlamydoconcha oreutti (Dall.), IV, art. 3, p. 246 —— du Distomumlanceolatum (Mehlis), XV, art. 4, p. 332, fig. 18,°24,25, 96, 39. — — de Dolichotis Patagonica (PEx- NANT}), VI, art. 4, © p. 362; Op. 365: — — du Doryctes Gallicus (Rh.) (Inseetc hyménoptère), X, art. 1, © p. 86; © p- #8. — — des insectes primitifs et la tachy- génèse, XVI, art, 2, p. 235. — — © des Insectes coléoptères, XT, art. 1, p. 283. GéniTaLes (Glandes) des Molgulidées et leur importance pour la classification, NIL, art. 3, p. 313. — — des Mollusques pleurobranches, NII, art. 1, p.229: — — de Oscaniopsis (mollusque Pleu- robranche}), XII, art. 1, p. 12; pl. 4. fig. 204. — — des Poissons lophobranches, XIV, art. 2, p. 267%; pl: XXWg- 5e "13 in texte. GENYPTERUS CHILENSIS (Guich.). Poisson. Appendices des ares branchiaux, XII, art. 3, p. 170. GÉOGRAPHIE Z00LOGIQUE. Distribution des Lithodinés dans les Océans, par E.-L. Bouvier, 1, art. 1, p. 30. Géocrapnrique. Aire — du Nautile, IT, art. 3, p. 149. — Distribution — des Annélides de France, V, art. 2, p. 447. GEopELIA srRIATA (L.). Oiseau introduit aux îles Mascareignes, III, art. 1, p. 71. GEORYCHUS ALBIFRONS (Gr.). — GCAPENSIS (Pall.). — COECUTIENS (Brants). — DAMARENSIS (Og.). — DaruiGr (Thos.). — Lecer (Thos.). — Mecnowr (Pet.). — OcHRAcEo-cINEREUS (Heugl.), IV, p.121: TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. GEeornupes MurATOoR (Marsham). — STERCORARIUS (L.). — rypyæus (L.). Insectes coléoptères. Glandes génitales ©, XI, art. 7, p- 340; pl. XXII, fig. 3, 6, pl. XXIII, fig. à. GerBizLus, LI, art. 2, p. 370; IV, art. 1, p.122? — AFER (Gr.), II, p. 371. — Büaur (Noack}, II, p. 371. — DONGOLANUS (A. Smith.}), III, p. 377: IV, p. 124. — Ext (Thos.}, IT, p 373; IV, p. 124. — LEUCOGASTER (Pet.), II, p. 371; IV, p- 123. | — macropus (Heugl.}, III, p. 376; IV, p. 124. ; — MONTANUS (A. Smith), III, p. 371. — SCHLEGELI (Smuts.), IV, p. 1235. — STIGMONIX (Heugl.}), IT, p. 377; IV, p. 124. — TENUIS (A. Smith.), IV, p. 124. — vazinus (B. du Boc.), III, p. 370, IV, p. 123: — vianus (Pet.), IV, p. 124. Gésrer des Mollusques tectibranches, NII, art. 1, p. 246. — des Orthoptères, V, art. 1, p. 8etsq. GiRAFIDÉS, IV, art. 1, p. 134. GLANDES coxales des embryons du Da- mon medius (Herbst). Arachnide- Phryne, XIIT, art. 2, p. 232. _— de Leiïblen, VII, art. 1, p. 230 et sq. — salivaires séreuses de la couleu- vre. — amenis viridiflavus (Latr.), XVII; art. 1, p. 128. — (Cellules des —}) à venin, XVIII, art. 1, p. À à 22%. — De la Vive, p-125: — à venin des Braconides. Insectes hypménoptères, VIT, art. 2, p. 294. — — des hyménoptères entomophages, X, art. 1, p. 45. — — «des Toxiglosses (Cônes et Terebra), MI, art. 4, p. 251. GLENODINIUM PuLviISCULUS (Ehr.). Dino- flagellé des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p. 233. GLocainium. Stade du développement de la coquille des Lamellibranches, VIII, art. 1, p. 26; pl. I, fig. 4. 415 GLycerA convozurA (Kef.}, p. 73. — GIGANTEA (Qfg). Respiration de ces Annélides, XVI, art. 1, p. 37, 42. — ALBA (Rathke). Annélide de France, V, art. 2, p. 344. — MECKELIL (Grube), p. 344. — MESNILI (N. sp.) (Saint-Joseph), p. 339; pl. XIX, p. 146, 148 ; pl. XX, fie. 1449, 157. GNAPHOSA LuciFUGA (Latr.). Trachées des Araignées du genre — ; XV, art. 2, p. 186, fig. in texte 28. GNorimus NoBiLis (Fr.). — VARIABILIS (L.). Insectes coléoptères. Glandes génitales ©, XI, art. 7, p: 336, 32. Gose-MoucHe (Voy. Trochocercus). GoBio FLuvIATILIS (Pallas). Fibres car- diaques du Goujon, XVIII, art. 2, p.256; pl: XIV, fig. 7. GoBius Giurus (B. H.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 169. GozuNpA, III, art. 2, p. 406; IV, art. 1, p. 122-193. — CAMPANÆ (A. M.-Edw.), IL, p. 405. — Dysowsxir (E. de Pouss.), IT, p. 406; ‘IV, p. 124. — ELLIOTI (Gr.), III, p. 406. — FALLAX (Pet.), LIT, p. 406. — MELTADA (Gr.). II, p. 406. — PULCHELLA (Gr.), IV, p. 4. GOMPHOGERUS MAGULATUS (Thumb.). (In- secte orthoptère). Appareil digestif, Ne Get Ul, 0e 6e GonopHorA pErAsA (L.) Évolution du dessin des ailes de ce papillon, XIV, mono 6e DIVERS VE re GONOTHYRAEA GRACILIS (Sars). — LOVENI (Allm.), XX, art. 1, p. 172. GORGONOCEPHALUS CORNUTUS (Nov. sp.) (Kæhler), p. 368 ; pl. IX, fig. 80 et 81. — LEVIGATUS (N. sp.) (Kæhler), p. 365; pl. IX, fig. 78 et 79. — Astrophytoni- dées de l'Océan Indien. GoRILLA GINA (I. Geoff.), III, art. 2, p. 141. — maAyemA (Alix et Bouvier), IIL, art. 2, p.142; IN, art: 1°, p.402: GRAPHIURUS GAPENSIS (F. Cuv.), Ill, art. 2, p. 367, 368. — MuriINUS (Desmarest}, III, p. 367, 446 GoriLLa nuerr (Rochbr.), IV, art. 1, p. 119. — NAGrGLAsi (Jentink), IV, p. 119. Grerres des Hydroïdes, XX, art. 1, p. 127. GreNouILLe. Fibre musculaire du cœur de la—, XVIII, art. 2, p. 256; pl. X, fig. 19 à 25, XI, fig. 11; XV, fig. 3. GrimPeurs. Sympathique des Oiseaux —. Marti p 097 — Cæcums des Oiseaux —, XV, art. 1, p. 27. Gros BEC Papna (Voy. Munia). GRYLLACGRIS AURANTIACA (Brunn.). (In- secte orthoptère). Appareil digestif, V, art. 1, p. 131; pl. IX, fig. 12; X, 1PES IE RSI GRYLLOTALPA VuLGaARIS (Latr.). (Insecle orthoptère). Appareil digestif, V, art.4, p. 165; pl. XT, fig. 9 "XII, gl GG Aile GryLzLus camPesTRis (Latr.) ; pl: X, fig. 13; plXI fo 2 410,07, AO — pomEesTicus (Latr.). (Insecte orthop- tère). Appareil digestif, V, art, 1, pl. 148 ; pl. XIT, fig. 10. GuéNnoLé (St-). Faune des Annélides de —, V, art. 2, p. 245. GUEREZA OccI,ENTALIS (de Rochebrune), III, art. 2, p. 144. — RüpreLLi (Gray), III, p. 144. Guro Capensis (Desmarest}, [IL, p. 275. GyGIs ALBA (Sparrm.) Oiseau des îles Mascareignes, ILL, art. 4, p. 112. Gyunocysris (Giard). Genre d’Ascidie (Molgulidée), doit disparaître, VI, art. 3, p. 320. GyMNopiprycaus Dysowsxr (Kesser). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 199. GYMNOPLEURUS FLAGELLATUS (Fabr.). In- secte coléoptère. Glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 336, 340. GYRODACTYLUS ELEGANS (Nord.}). Sur les Épinoches des mares salées de Lor- raine, X, art. 4, p. 270. H Hannra(antistea) elegans (Blackw.). Tra- chées des Araignees du genre —, XV, art. 2, p. 343, fig. in texte 57. ZOOLOGIE. HALEGIUM BEANI (Johnst.}), p. 163. — HALECINUM (L.), p. 160. — SESSILE (Norm.), p. 29; Hyproïbes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, PAHoTEIpI QUIL Hazrotis, Mollusque gastéropode, bulbe pharyngien, VIL art. 1, p. 60. — poches buccales, p. 182 ; pl. NW, fig. 37-38 ; pl. NI, fig. 49; pl. MIE fig. 57; pl. VII, fig. 62, 63. HaALTERIA vozvox (Eichwald), infusoire des mares salées de Lorraine, X, art. &, p. 249. ITAPALOGASTER INERMIS (Stimpson) (Moy. Dermaturus inermis). HapazoGasraicA (Brandt), Tribu des Li- thodinés, [, art. 1, p. 1, 46, AS. ILAPALOGASTER CAVICAUDA (Stimpson), p. 2 etsq.18, 29. — Merrensu (Brandt), p. 4, 18, 29. — GREBNITZzxI (Schalfeew), p. 4. 18, 29. — (Lomis), DENTATA (de Haan),p. 5, 18, 29. HARENG (alevin du), VI, art. 2, p. 170. Harmornoz, Annélides de France, V, art. 2. — CASTANEA (M. Intsch.), p. 236. — IMPAR. Var. PAGENSTECHERt (Mich.), p- 231. — LONGISETIS (Gr.), p. 234. — picrA (St-Joseph}), V, art. 2, p. 233; pl. XIIL, fig. 1% à 21. Harpazus ÆNEus (Fabr.). — AnxIus (Duft.). — DISTINGUENDUS (Duft.). — FERRUGINEUS (L.). — oBscurus (Fabr.). — RUBRIPES (Duft.). — SMARAGDINUS (Duft.). — sERRIPES (Quenst.), Insectes coléo ptères, glandes génitales &', XI, art. T, p. 310; pl. XIX, fig. 6. HanpviNa viNuLA (L.), évolution des aïles de ce papillon, XIV, art. 1, p. 92; pl. XIII, fig. 67-69. Hasarius (Ergane), arcuarus (CL.). Tra- chées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 221, fig. in texte 69. HeLcropnanNus curreus (Walck.). Trachées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 221, fig. in texte 66. HELIOPHOBIUS ARGENTO-CINEREUS (Pet.), IV, art. À, p. 121. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. Hezix pomariA (L.}, Mollusque gastéro- pode pulmoné, bulbe pharyngien, VIT, ane p 70, 019, 103 pl/0V, Get, 49,45 ; NI, fig. 50 ; VII, fig. 58, 59. HELOGALE parvuLA (Sund.), III, art. 2. DOUÉ MINS tarte p.11E — uNDuLATA (Pet.), LIL, p. 305. HemiGALAGo aNomurus (de Pouss.}), I, art. 2, p. 244, 247 ; IV, art. 4, p. 406. — pemMiborrt (Fisch}), IL, p. 243, 247 ; IN, p. 104. HémiprèRes HomoprÈREs (le dessin des ailes des —), XIV, art. 1, p. 126; pl. XVII, fig. 96, 97, 102, 105, 108, 109, 410. HÉMOoGLoBiNE, XVIII, art. 2, p. 298. Hérépiré, la tachygénèse considérée comme son mode constant d'action, NT MB IE TE HERMIONE xysrnix (Sav.), respiration de cette Annélide, XVI, art. 4, p. 37, 42, je HerPesres, III, art. 2, p- 114. — ALBESCENS (I. Geoff.). III, p. 302. — ALBICAUDA (G. Cuv.), III, p. 302. — BADIUS (A. Smith}, III, p. 305. — GCAFFER (Gin.), III, 305. — GALERA (Eral.), LI, p. 299, 305; IV, 114. — Goranevui (Fitz. et Heugl.), IL, p. 315. — GRACILIS (Rüpp.), III, art. 2, p. 298, 305 ; IV, art. 1, 114. — GRANTI (Gr.), IL, p. 305. — IGHNEUMON (L.), LIL, p. 305. — LEUGOsTETHICUS (Fitz. et Heugl.), IL, p- 905. — LEucuRuS (Ehr.), III, p. 302. — LOEMPO (Gray), LIL, p. 299, 302. — meLANuRUS (Mart.}, IL, p. 298-305 ; IV, pli — ocHRACEUS (Gr.), LIT, p. 305. — pLuro (Ten.), II, p. 299, 302. — pULVERULENTUS (Wagn.), III, p. 305. — puncraTIssIMUS (Tem.), III, p. 305. — roBusrus (Gr.), III, p. 302. — sANGUINEUS (Rüpp.), III, p. 305. — ZEBRA (Rüpp.), LI, p. 315. Héron. (Voy. Ardea.) HERoS NICARAGUENSIS (Günth.). Appen- dices des ares branchiaux de ce pois- son, XII, art. 3, p. 178. HersiLra caupara (Aud.in Sav.). Trachées . 298, IV, art. 1, 447 des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 190. » HESIONE PANTHERINA (Risso), Annélide de France, V, art. n° 2, p. 329 ; pl. XIX, fie. 131-144. HETEROCEPHALUS p.121: IIETEROGAMIA ÆGiPrTIACA (L}), insecte or- thoptère, appareil digestif, V, art. 1, p. 39. HereronYrAx BocaGer, mammifère afri- cain, IV, art. 1, p. 93. HETERONEMA ACUuS (Stein), flagellé des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p- 232. HrBou. (Voy. Scops.) HIERODULA BIOCULATA (Burmoister), in- secte orthoptère, appareil digestif, V, art. 1, p. 3%; pl. IL, fig. 2. [LIPPOCAMPUS GUTTULATUS (Cuv.), XVIII, art. 2; pl. XIV, fig. 9. Hippoporamibés du Congo, IV, art. 1, p. 89, 135. Hrppoporamus AmpHiBius (L.}, mammi- fère du Congo, IV, art 1, p. 89. HipPOTRAGUS BAKERI (Heugl.). — EQUINUS (Desm.). — KOBA (Gr.). — LEUCOPHæUS (Pall.). — NIGER (Harr.), IV, art. 1, p. 131. HiroNbELLE de mer. (Voy. Sferna.) HistocoGte de l'appareil digestif des Orthoptères. — FORFICULIDÆ, p. 12. — ACRIDIDÆ, p. 91. — LOGUSTIDÆ, p. 136. — GRYLLIDÆ, V, art. 1, p. 136. HocHEeurs (subdivision des Cercopi- thèques africains), LL, art. 2, p. 175, 197, 206. HocasrerreriA, Mollusque lamellibran- che (Munier, Chalmas et Vélain). Développement de la coquille du genre —, VIIL art. 1, p. 113, fig. 11. HocrocerA EOCENICA (Nov. sp.) (F. Meu- nier) Insecte diptère (Empidæ) de l’ambre, XVI, art. 4, p. 402; pl. 2, fa PRES Hozocwemus rIvuLATus (Forskal). Tra- chées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 190, fig. in texte 32-33. GLABER (Rüpp.), IV, antilopes africaines, 148 Homo-sAprens (L.), cœur, fibres du cœur | de l’homme, XVIII, art. 2, p. 259; XVI, fig. 4-5; XVII, fig. 1, 2; XVII, fig. 10-13. HopzrA coRuLEA (Drury). — BruNnipes (Bonelli). _— prariNosa (L.}, insectes coléoptères. glandes génitales ©, XL, art.7, p. 343; pl. XXII, fig. 7. HoPLOSTETHUS MEDITERRANEUS (C. V.), Appendices des ares branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 156. Houeue (SAINT-Vaasr-pE-LA). Faune des Annélides de —, V, art. 2, p. 211. HyAENA BRUNNEA (Thunb.). — crocurA (Erxl.). — srriarA (Zimm.), hyènes d'Afrique, IN ent 1 10e 100, Alt HyaLiNoecrA ruBicoLA (0. F. Muller). An- nélide de France, V, art. 2, p. 241; pl. XIII, fig. 50. HyALoDAPaNIA crisrArTA (G. O. Sars.), IT, art 4 pee pli 22; fe; hpl023; fig. 5. Var. CEDERSTRÜMI p- 331; pl. XXIL/fc- 5. — — Var. LoncrRemts (Sars), p. 330; pl. XXIL, fig. 7. — JanniNet (Baird), p. 338 ; pl. XXV, fig. 10. — — (Baird), Var. APICATA p. 345; pl. XXV, fig: 1° — — Var. cucuLLATA (Sars), p. 344. — — Var. Hermani (Daday), p. 347. — — Var. incerrA (Richard), -p. 343; pl'XXV, fe .6: — — Var. KaLsBERGIENSIS (Schôdler), p- 341; pl. XXV, fig. 3. — — Var. procurvA (Poppe), p. 344; pl XXe Me — — Var. virreA. (Kurz.), p. 542. — maGnicers (Herrick.), p. 348; pl. XXV, fig. 2. — RETROCURVA (Forbes), p. 334; pl. XXIT, fig. 3. — — Var srevicers (Birge), p. 337; pl: 22, fig. 2: — — Var. INTEXTA, p. 396. — vrmca (Ulianine), IL, art. 4, p. 333. Hyazoniscus limax (Duj.), Amcæbien des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p.222. (Schôüdler), (Kurz.), ZOOLOGIE. Hysrinarion entre Astéries (Essais d’ —), XI art. 1, p.23. — entre astéries et oursins (Essai d’ —), XVIL, art. 1, p. 89. — entre oursins, XVII art. 1, p. 89. HyprAcHNA GLoBosA (De Geer), XIX, A MON NONEnNNHTES de ls HW. to MOSMDI ANT NS 20/8 DERDIERUIIE fig. 39, 44; pl. VIII fig. 54, 59. HYDRALLMANIA FALcATA (L.), hydroïde de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 178. HYDRACTINIA ECHINATA (Flem.). Hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, DAS HypRoOGALE (S.-G. de LuTRA), mammifère d'Afrique, IIL art. 2, p. 277. Hyproines NoRvEGICA (Gunn.). Annélide de France, V, art. 2: pl'xXTII, fig. 248. Hyproïpes. — (Contribution à l'étude des — (multiplication, régénération, greffes, variations), par A. Billard, XX, art. 1, p. 1 à 251. HypropiLus riceus (L.), insecte coléo- ptère, glandes génitales O', XI, art. 7, p- 395. Hyproporus INÆQuALIS (Fabr.), insectes coléoptères, glandes génitales ©", XI, art. 7, p. 321; XXI, fig. 40: HypryPHANTES RUBER (De Geer.), anatomie de cet acarien, XIX, art. 1, p. 45. HYGROBATES LONGIPALPIS (Herm.), XIX, art. op. 26 -NpIMIN No MrEMDIENE fig. 42. — RETICULATUS (Kramer), anatomie de cet acarien, XIX, art. 1, p. 128. HYLoGENÈSsE ou élaboration au sein du protoplasme d'une substance définie (Mathews), XVIIT, art. I, p. 36. HYLOPHILA PRASINANA (L.), évolution du dessin des aiïles de ce papillon, XIV, art A, pl pl EXT EAROMOIPE HyménogyrmiEe (mode de genèse d’or- ganes), XVI, art. 2, p. 314. HYMENOCEPHALUS ITALIGUS (Gigl.). Appen- dices des ares branchiaux de ce pois- son, XII, art. 3, p. 183. HYMENoPLIA sTRIGOSA (Illig.), Insecte co- léoptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 341. HYMÉNOPTÈRES ENTOMOPHAGES (Contribu TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. tions à l'étude des), par L. G. Seurat, GER UE A Hyogmoscaus, IV, art. 1, p. 87. — AQUATICUS (Ogilby}), IV, art. 1, p. 87, 89, 126, chevrotain du Congo. Hyoïprenne (Constitution musculaire de la région sus —) chez les vertébrés en général, XVI, art. 3, p. 375; pl. I. HypsiGNATHUS MONsrRoSUS (Allen .) = Ero- MOPHORUS, LIL, art. 2, p. 250 ; IV, art. {, p. 107, chauve-souris du. Congo. Hyracoïpés du Congo, IV, art. 1, p. 92, 138. HyrAx porsaus (Fraser). — Srampruur (Jent.). — syLvesrris (Tem.), IV, art 1, mammifères du Congo. HysrricomorPxes du Congo, IV, art. 1, p33, 4124. Hysrrix Arricæ aAusrrauis (Pett.), LV, art. 40p. 39, 1254 = CRisrATA (L.), IV, art 1, p.35. porcs- épics africains. p92; Iers ruBra (Vieill.), cæcums de libis rouge, XV, art. 1, p.34; pl. I, fig. 12. IcHNeumrIA ALBIGAUDA (0. Thos.). s.-2. d'Herpestes, IT, art. 2, p. 302, 305. — — IV, art. 1, p. 114. — Nicricauna (Puch.), mammifère du Congo, II. art. 2, p. 302. CHNEUMON MAJOR (E. Geoff.). — Her- pestes galera (Erxl.), mammifère du Congo, II, art. 2, p. 299. Icaxeumoxies, larves des insectes hy- ménoptères —, X, art. 1, p. 86. Icronvx zyBicA (H. et Ehr.), III, art. 2, p.217. JV, art. 4,/p112. — zorILLA (Thunb.), IL, art. 2, p. 217; IV, art. 4, p. 112. Mustélidés du Congo. IDALIA BIPUNCTa\, ‘L.), insecte coléo- ptère, glandes génitales ©", XI, art. T, p. 383, 405. ILes MascareiGnes et certaines îles de l'Océan Pacifique austral. Sur les res- semblances qui existent entrela faune des —), par M. A. Milne-Edwards, Hart 220pe 041: plait ax ANN. SC. NAT. ZOOL. 149 Izes MascareIGNES et en particulier de l'ile Maurice, d'après des documents inédits (Notice sur la faune ornitho- logique äncienné et moderne des —), par M. E. Oustalet, II, art. 4, p. 1. ILLYBIUS ruLIGINosUS (Fabr.), XI, art. 7, p.321. INbEx bibliographique (Voy. Bibliogra- plie des). INpreN (Faune des Échinodermes de l'Océan —}, IV; art. 5, p. 277. INpris (Note sur la coloration du pelage chez les —) par Guillaume Grandi- dier, XI, art #, p.250: INFLUENCE de l'agitation sur le dévelop- pement des œufs des Échinodermes, XVI RAIDE 60 — des variations de la température, id. De 16 — des substances dissoutes sur le déve- loppement des œufs des Echino- dermes, XVII, art. 1, p. 77. — du chlorure de magnésium, id. p.78. — du chlorure de sodium, id. p. 79. INFUsoIREs ciliés nouveaux. Description de deux — des mares salées de Lor- raine, suivie de quelques considéra- tions sur la faune des lacs salés, par R. Florentin, XIL art. 6, p. 343; pl. XV. INNERVATION des crcums des oiseaux, VPN MED AEETe Insectes (métamorphoses des —}) et la tachygénèse, XVI, art. 2, p. 277. INSECTES PRIMITIFS (organes génitaux des), et la tachysénèse, _XMI, “art, p: 235. INsectes (un virus des —), par M. J.- H: Fabre, MI, art. 2,.p. 253: Ixsectes (Voy. Coléoplères, Orfhoptères, Névroplères, Lépidoptères, etc.). INSECTIVORES pu CoNGo. III, art. 2, p.266. — IV, art. 1, p. 107. INTERFÉRENCES, par les lames minces. (Couleurs dues aux —}), XVII, art. 2, p-"230: : INTERVENTION du phénomène d'ionisation dans l’acclimatation d'organismes vivant à des solutions salines, par R. Florentin, XIII, art. 3, p. 305. INtresriN (Vascularisation de | —) des Cyclostomes et des Sélaciens par xx 29 490 M. Henri Neuville, XIIT, art. 1, p. 1- 116; pl. I. INuLASE, glandes labiales des couleuvres, XVIII, art. 1, p. 159. INvAGINATION de la trompe des Mol- lusques gastéropodes, VII art. 1, p. 25. — Sur quelques invertébrés marins des côtes du Sénégal. (Annéiides poly- chètes, Nématode endoparasite d’An- nélide polychète, et Crustacé déca- pode parasite), par M. le baron de Saint-Joseph, XII art. 4, p. 217; pl. VIII et IX. INVERTINE, glandes labiales des cou- leuvres, XVIIL, art. 1, p. 459. INvesriGaror, Échinodermes recueillis par l'— dans l'Océan Indien, par R. Koehler, IV, art. 5, p. 277. Ionis\rIoN (note sur l'intervention du phénomène d’—}), dans l'acclimatation d'organismes vivants à des solutions salines, par R. Florentin, XIII, art. 3, p. 305. Iopas serrum (L.). Mollusque gastéro- pode. Partie antérieure du tube di- gestif. VII, art. { ; pl. X, fig. 76. Irex INpicus (Val.). Appendices des arcs branchiaux, de ce poisson XII, art. 3, DEMLIGIE Isoponres (P. Fischer). État symétrique de la charnière des Lamellibranches, MIT art.1, p.10, 12° Isomys Agvssinicus (0. Thos.), ILT, art.2, PSE | — BARBARUS (L.), IV, art. 4, p. 1, 123. — DporsALIs (0. Smith.}, IV, art. 1, D-#125: — PULCHELLUS (Gr.), IV, art. 4, p. 1, 123. — PUMILIO (Brants', IV, art. 4, p. 123. — RUFOCANUS (Tycho-Tull.), IV, art. 1, p. 4. — UNIVITTATUS (Pet.), IV, art. 4, p. 4. — VARIEGATUS (Licht.), LV, art. 1, p. 193. IsoPopEs appartenant à la faune souter- raine d'Europe (Sur quelques —), XX, art. 4, p. 365. Iucines d'Algérie, par M. H. W. Brüle- mann, IV, art. 4, p. 253. Iucus ArFINIS (Lucas) — (?) I. rusco-uNILr NEATUS (Lucas), myriapode d'Algérie, IN, art. 4 p. 254. ZOOLOGIE. Iuzus AFRICANUS (Brülemann) (N. Sp.), my riapode d'Algérie, IV, art. &, p. 254, 271; pl. 4, fig. 39 à 41. — ALGERINUS (Brôlemann) (N. sp.), my- riapode d'Algérie, IV, art. 4, p. 254 269 ; pl. 4, fig. 34 à 38. — CORTICALIS (LUCAS) — BLANIULUS COR- ricaLIs (Lucas), myriapode d'Algérie, IV, art. 4, p. 254. — DISTINCTUS (Lucas), myriapode d’AI- gérie, IV, art. 4, p. 266 ; pl. 4, fig. 22 à 23. — FUSCO-UNILINEATUS (Lucas) — SsCHIZ0- PHYLLUM UNILINEATUM (Lucas), myria- pode d'Algérie, IV, art. 4, p. 251-256. Var. © 259-261; pl. IIT, fig. 1 à 40. — LAPIDARIUS (L.) — ZCHIZOPHYLLUM LAPI- DARIUM (L.), myriapode d'Algérie, IV, art. 4, p. 254-262; pl. III, fig. 41 à 21. IXOCINGLA OLIVAGEA (J. et S.), oiseau des îles Mascareignes, III, art. 1, p. 49. J Jasor des Gastéropodes, VII, art. 1, DAME Jagor des orthoptères, V, art. 1, p. 8 et sq. JEAN DE Luz (Sar-), faune des Annélides de —}, V, art. 2, p.221. JOHNSTONIA GLYMENOIDES (Qtfa.). Anné- lide de France, V, art.2, p. 395. JousseAuMEA (H. Coutière), genre de crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1,1p. 175, 325: JUDOLIA CERAMBYCIFORMIS (Sch.}), insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 337, 312; pl. XXVL-fig.3: JuGAL sur les sutures surnumtraires de l'os, — XVII, art. 2. p. 194. — Sur quelques variétés de l'os —, id. p. 320. L LaBrboGNatTaa (Ehl.). Tribu des Euni- ciens, Annélides de France, V, art. 2, p. 241. LaABrpurA RIPARIA (Pall.), appareil diges- tif, insecte orthoptère, V, art. 1,p. 44. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. 451 LacEerTA muraLis (Laur.). — Vinipis (Gesn.), élaboration du zymo- gène peptique, XVIII, art, 4, p. 441. — AGILis (L.), fibres cardiaques, XIX, ant 2, p.251; pl. X, fig. 14à 10; pl. XI; fig: 8; pl. XV, fig. 4. LAGRYMARIA LAGENULA (CI. et Lach.}, infusoire des mares salées de Lorraine, X, art.#, p. 233; pl. IX, fig. 12, 43. Lacs sALés (considération sur la faune des —), par R. Florentin, XIL, art. 6, p. 343, 357. LAFOEA ABIETINA (Sars.), p. 164. — PYGMAEA (Ald.). — SERPENS (Hassall.), hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 165. LaAGiScA EXTENUATA (Gr.), respiration de cette annélide, XVI, art. 1, p. 41, 42. Lacs KoRENI (Mer.), Annélide de France, Niart. 2, p. 405; pl. XXII, fig. 209, 222; pl. XXIII, 223, 235. LAGOMORPHES AFRICAINS, LV, art. 4, p. 37. LALAGE RUFIVENTER (Sw.), III, art. 1, p. 3. LAMELLIBRANCHES (Recherches ontogé- niques et morphologiques sur la coquille des —), par Félix Bernard, NII, art. 1, p. 1. — (Index bibliographique surla coquille des —}, VAIL, art. 1, p. 206. — — — à coquilles internes, IV, art. 3, p. 250. LAmrA TExToR (L.}), insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 378; pl. XXVI, fie. 4, 6. LANISTES BOLTENIANA (Chemnitz), Ampul- laire senestre, poches buccales de ce mollusque gastéropode, MIE, art. 1, p. 200. LARVE ACTINOTROQUE (formation de la) des Phoronis, XI, art. 3, p. 64, 104; aspect, pl. IV et V; coupes, pl. VI à XVI. — du Doryctes Gallicus (Rh.}, (dévelop- pement de la —) Insecte hyménoptère, X, art. 1, p. 76. — (morphologie des —) et la tachygé- nèse, XVI, art. 2, p. 249. — de L’APANTELES GLOMERATUS (L.), In- secte hyménoptère, X, art. 4, p. 59. — DES BRAcoNIDES (hyménoptères ento- mophages), X, art. I, p. 57. Lanve pes CrusrAcés Alphéidés, IX, art. 1, p. #14, 429; pl. V et VI. — des poissons de mer (Recherches biologiques applicables à la piscicul- ture maritime sur les œufs et les —) et sur le turbot, par Fabre Domergue et Eugène Biétrix, IV, art. 2, p. 151. LasrA GLoBosA (Schn.), insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI, art 7, p. 383, 405. LasiocamPA poraroriA (L.), évolution du dessin des ailes de ce papillon, XIV, art. 1, p. 82, pl. XI, fig. 53, 54. LaAsromys Arer (Pet) = L. srxapusi (Tem.), II, art. 2, p. 397. LEaAnDerR (Voy. Palemon). LEBERTIA BREVIPORA (Sig Thor.|, XIX, art. 1, p. 21, pl. VIL fig. 41; pl. VII, fig. 63. — porosA (Sig Thor.), p. 21; pl. VIIT, eos (Oo — ogscurA (Sig Thor.), anatomie de cet acarien, XIX, art 1, p. 21. Léna (Schum.) (Développement de la coquille deslamellibranches du genre —}, VIT, art. 1, pl. VI, fig. 411 à 13. LEGGADA MINUTOIDES (A. Smith}, IV, art. 4, p. 30, muridé africain. LEGuATIA GIGANTEA (Schl.), oiseau éteint des îles Mascareignes, III, art. 1, p. 100. LerBLeN (glandes de), VII, art. 1, p. 230 et sq. Leropus NeBuLosus (L.), insecte coléo- ptère, XI, art. 7, p. 337, 378. LEMNISCOMYS BARBARUS (Tem..), IV, art. 4, p- 1. — massarcus (Pagenst.), IV, art. 4, p. 1. — ISOMYS PULCHELLUS (Gr.), Muridés du Congo. Lemnus nizoricus (E. Geoff.). = pasymys niloticus, LIL, art. 2, p. 377, Muridé africain. Lémurinés du Congo, III, art. 2, p. 241. Lemur porto (Gm.}, Lémurien du Con- go, LIL, art. 2, p. 245. Lereopus (Benedict\, genre des Litho- dinés (Voy. Placetron). LepinopermA ocezLAtTum (Metschnikoff), gastrotriches des mares salées de Lorraine, X, art. IV, p. 272. LU 459 Leriponorus cLAvA (Mont), V, art. 2, p- 225. — squAmaATUS (L.), Annélides de France, id p. 280; pl. XIIL: fig. 258 et 9,13. LéprportÈres (Le dessin des ailes des —, recherches sur son évolution dans l'ontogénèse et la phylogénèse des espèces, son origine et sa valeur sys- tématique, par Mlle la comtesse M. von Linden), XIV, art. 1, p. 1 à 196; pl. I à XX. — Causes morpholo- giques, p. 137; pl. XVIII, XIX, fig. 114, 115, 147, 119, 195, 196. — Causes physiologiques, p. 159, pl. XIX à XX. — (Bibliographie des travaux sur le dessin et les couleurs des ailes des = AIME rte, 02 ASC Léporibés africains du-Congo, IV, art. 1, p- 37. Lerrinx, insectes diptères de l'ambre, XVI, art. 4, p. 400. LEPTOLITHODES MULrISPINA (Benedict). — PAPILLATA (Benedict) (Voy. Paralo- mis). LEPTONETA MICROPHTHALMA (E. Sim.) (Tra- chées des araignées du genre —), XV, art. 2, p. 176, fig. in texte 16. LeproPriLos CRUMINIFERUS (Cuv.), cæcums du marabout, XV, art. 1, p. 34; pl. I, fig. 24 Lerroscypaus TENUIS (Allm }, XX, art. 1, p. 29, 166. LEPTuRA FULvA (Degeer.). — HASTATA (Fabr.). — STRAGULATA ((Germ.). — TESTACEA (L.). — TOMENTOSA (Fabr.), insectes coléo- ptères, glandes génitales ©’, XI, art. 7, p.897,,373 ; pl! XXVI fig. 1,9 Lepus cunicuzus (L.). Lapin, fibre du cœur, XVIII, art. 2, p. 259, XVI, 13, 14. — IV, art. 1, p. 37, léporidés africains. — CAPENSIS (L.), IV, art. 1, p. 37, 195. — OCHROPUS (Wagner), IV, art. À, p. 87. — SAxATILIS (F: Cuv.), IV;\art. 4, p. 38. LEpyrus pALusrRis (L.}, insecte coléo- ptère, glandes génitales ©’, XI, art. 7, p- 368; pl. XXV fie. 4. Leuciscus ruriLus (L.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 196. ZOOLOGIE. Licamenr (évolution du —) de la char- nière de la coquille des Lamelli- branches (Arcidés), VITE, art. 1, p. 105. Line latérale des Poissons lopho- branches, XIV, art. 2, p. 258. LimenrTis siByLza (L.), évolution du des- sin des ailes de ce papillon, XIV, art. 1, p. 73; pl. IX-X, fig. 42-45. LimIDÉs (développement de la coquille des Lamellibranches —}), VIII, art. 1, p. 139. LIMNESIA MAGULATA (Müller), XIX, art. 1, p. 75; pl. V, fig: 28, 25, 35; pl. NILI, fig. 55, 57; pl. IX, fig. 79. LinorT (sympathique du —), p. 185; pl. IIL, fig. 4 à 8. LiNyPHrA HoRTENSIS (Sund.). Trachées des Araignées du genre —, XV, art.2,p.195, fig. in texte 37. LIORHYNCHUS UNcINATUS (N. sp.) (baron de Saint-Joseph). Nématode endoparasite d’une Annélide des côtes du Sénégal, XII, art. 4, p. 227; pl. VIII, fig. 11 à 14. Lipochromes, XVIII, art. 2, p. 292. LirnocrAnius, genre de Gazelle africaine, IV art. 1/p. 132; Lrraopes (Latreille), genre des Lithodi- NÉS dar (028) — ANTARCTICA (Jacq. et Lut.}), p. 10, 23; 292 — KEROX (A. M.-Edw., Filhol.), p. 24, 29. — PANAMENSIS (Faxon.), p. 10, 24, 29. — MAIA (IL), p.11 24299: — couEsr (Benedict}), p. 10, 24, 29. — ÆQUISPINA (Benedict), p. 40, 24, — TROPICALIS (A. M.-Edy.), p. 24, — MURRAYI (Benderson), p. 24, 29. — SPINOSISSIMA (Brandt), p. 10, 24, 29. Liraoninés (Sur la classification des —) ct sur leur distribution dans les Océans, par M. E.-L. Bouvier, L. art. 1, p. 1 à 46. — (Index bibliographique des travaux sur les —}, I, art: 4, p. 44. LITHONEPHRYA, genre d'ascidie (Molgu- lidée}), doit disparaitre, NII, art. 3; p. 320. LITHYPHANTES PAYKULLIANUS ( Walck.). Tra- chées des Araignées du genre —, XV, art, 2, p. 193. LrurANus semIcINCTuS (Benn.), Arcs bran- chiaux de quelques Poissons du D D © © TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. genre —, XIX, art. 3, p. 376, fig. in texte 10. Locusra canrans (Charp.). Liuranus vrriissima (L.), (Insectes orthop- téres) appareil digestif, V, art. 1, LM UIRE £ Locusrinées (Insectes orthoptères), ap- pareil digestif des —, V, art. 1, DE DENT Axe Locusmiexs (Étude sur les —), par J.-H. Fabre, I, art. 6, p. 221. Lors (Critique des recherches de —-) sur la fécondation chimique, XII, art. 2, p- 88. Porde-Serres, XVI, art. 2, p. 139. Lormra mepusa (Sav. ?), Annélide du Sé- nÉSal XI, art. 4) p 224; "pl NII, fig. 8, 9. Loparus piscarorius (L.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 169. LorxoprAnces (Recherches sur les Pois- sons —), par M. A. Huot, XIV, art. 2, p419%;pl. XXI à XXVI, 13 fig. in texte. — (Index bibliographique des ouvrages sur —), XIV, art. 2, p. 282. Lopnococosus — (Procolobus), IT, art. 2, p. 162, s.-genre de Colobes afri- cains. LOPHOPSITTACUS MAURITIANUS (M.-Edw)., Oiseau des îles Mascareignes, IIL, art. 191 Lorxuromys, III, art. 2, p. 397. — AFER (Pet.). — FLAVOPUNCTATUS (Thos.), IV, art. 1, p. 422: — sixApusi (O. Thos.},IIL , art. 2,p. 397 ; IV, art. 1, p. 122, Muridés africains. Lopayomys Imxausr (A. M.-Edw.), Ger- boise africaine, IV, art. 1, p. 119. Lopayropnonus (n. gen.) (F. Meunier). — FLABELLATUS (n. sp.) (d'Insecte dip- tère, xylophagidé de l’ambre, XVI, art. 4, p. 398 ; pl. LL, fig. 2 à 5. LorRame (Étude sur la faune des mares salées de la —}, par R. Florentin, X, art. IV, p. 209. — (Description de deux Infusoires nou- veaux des mares salées de la —}, XII, art. 6, p. 343 ; pl. XV. Lora Lora (L.}. Appendices des arcs 453 branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, D'AlSe Lora vuzGanris (Cuv.) (Fibres cardiaques de la —), XVIII, art 2, p. 256; pl. XIII, fig. 6, 7. LoxopHYLLUM FascioLA (Ebr.), infusoire des mares salées de Lorraine, X, art.#, p. 2306. — VERRUCOSUM (n. Sp.) (R. Florentin), infusoire des mares salées, XII, art. 6, p. 343 ; pl. XV, fie. 1, 5. LoXosGELES RUFESCENS (L. Duf.}). Trachées des Araignées du genre —, XN\, art. 2, p. 174, fig. in texte 15. Lucanus cervus (L.), Insecte coléoptère, glandes génitales ©’, XI, art. 7, p. 347; pl. XXIIT, fig. 2, 4; pl. XXIV, fisc. 2, 10 >; pl: XXV, fig. 1. LuciopsrcA sanpra (Cuv.}, Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XIL, art. 3, p. 145. LUMBRICONEREIS COCGINEA (Ren.}, p. 279. — IMPATIENS (Clpd.), p. 279. — Larrgizi (Aud. et Edw.), p. 276. — Annélides de France, V, art. 2; pl.XV, fig. 60 à 68. — IMPATIENS (Clpd.). Respiration de cette Annélide, XVI, art. !, p. #1, 42. Lumière (Action de fa) sur les larves de Cottus, IV, art. 2, p. 175. — Son action sur la couleur, XVIIT, art. 2,.p. 228. Lurra ImNuNGuIS (K. Cuvier), III, art. 2, pe 274; IV; art. 1,p. 4111" — MACULICOLLIS (Licht.), LIL, art. 2, p. 277; IV, art. 1, p. 111, Mammifères du Congo. Luvanus imPertaLis (Rafin.). Poisson, ap- pendices des arcs branchiaux, XII, art. 3, p. 16%; pl. VII, fig. 14. Lycaox (Genre de Canidés africains), n’e- xiste pas au Congo, IV, art. 1, p. 112. LycasTis SENEGALENSIS (Baron de Saint- Joseph} (sp. n.), Annélide des côtes du Sénégal, XII, art. 4, p. 217; pl. VIII, fig. À à 7. Lycoriprens, Annélides de France, V, art. 2, p. 283. Lycosa Nemorauts (Westr.). Trachées des Araignées du genre —, p. 220, fig. in texte 65. — TERRICOLA (Thorell), XV, art. 2. p.229, / Lysiice nINETTA (Aud.et M.-Edw.). Res- piration de cette Annélide, XVI, art. 1, p. 42, 64, 73. Lyssomanes viripis (Walck.}). Trachées des Araignées du genre —, XV, art. 2, p. 221, fic. in texte 70. Lyxus ANGUINEUS (L.), Insecte coléoptère, glandes génitales ©’, XI, art. 7, p.368. M Macacus inuus (L.), singe du Congo, III, art. 2, p. 239: MAcuotrres. Pleurobranchea, XII, art. I, p. 36. MACLOVIA GIGANTEA (Gr.). Annélide de France, V, art: 2, p. 282: MacropoN TAREIRA (C. V.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 191. MACGROSGELIDES BRACHYRHYNCHUS (A. Smith}, IL, art. 2, p. 269. — BRACHYURUS (Boc.), III, art. 2, p. 269; IV, art. 1, p. 108. — EDWARDSI (A. Smith}, III, art. 2, p.269: — ruscrres (Thos.}, IL, art. 2, p. 269. — ruscus (Pet.}), IIL, art. 2, p. 269. — INturt (A. Smith), LIT, art. 2, p. 269; IV, art. 4, p. 180. — PULCHER (Thos.), III, art. 2, p. 269. — Revoir (Huet), IT, art. 2, p. 269. — Rozeri (Duv.), II, art. 2, p. 269. — RUFESGENS (Pet.}, LIT, art. 2, p. 269. — rRuPEsTRIS (A. Smith}, III, art. 2, DA2GOEMINP Art MES AMIDS: — Tyricus (A. Smith}, insectivores africains, III, art. 2, p. 269. MacrosromA HysrRix (OErsted), turbella- rié des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p. 269. MACRURUS SCLERORHYNCHUS . (Valenc.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 183. Mapacascar (les Palamonidæ des eaux douces de), par M. H. Coutière, XII, ant ID A IE DIE NSNOVE MAGELONA PAPILLICORNIS (Fr. Müller). Annélide de France, V, art. 2, p. 354 ; pl. XX, fig. 166. Mara souiNano (Latr.), cellule à ferment 154 ZOOLOGIE. de l'hépato-pancréas, XVIIL, art. 1, p. 149. Maracomys LoNGrPEs (A. M.-Edw.), mu- ridé du Congo, "IV, art! pr, 122. Maracorarix (s.-2. de Gerbillinés afri- cains), IV, art. {, p. 122: MazpanieNs. Annélides de France, W, art. 2,.p. 395. MaAzes. Organes reproducteurs des coléoptères, par M. L. Bordas, XI, art. VII, p. 283. MazcetiA (des Moul.}, développement de la coquille des Lamellibranches du genre —, VIII, art. 1, p. 166. Mazceus (Lmk.), développement de la coquille des Lamellibranches du genre =, VIRLS art. A p MAPS ne fig. 9. Mammirères du Congo français. (Étude sur les —), par E. de Pousargues, UNE enr une 122) ManpiBuLes des Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 152. Manis (&. d’édenté africain), IV, art. 4, p. 94. — GIGANTEA (Illig.), IV, art. 41, p. 97, 140. — HEssi (Noack.), IV, art. 1, p. 98. — LONGICAUDATA (Briss.), IV, art. 1 p. 97, 140. — MULTISCUTATA (Gray), p. 94. — Teummnexi (Smuts.), IV, art. 4, p. 97, 139. — rricuspis (Raf.}). IV, art. 1, p. 94, 97, 140. — TRIDENTATA (Focillon), IV, art. 14, p. 94. Manreau de la Chlamydoconcha Orceutti ‘ (Dall.)}, mollusque Lamellibranche à coquille interne, IV, art. 3, p. 224. — des Mollusques pleurobranchidés, NII, art.2, p.219; Manrinæ (Appareil digestif des —), Insectes orthoptères, V, art. 4, p. 26; pl. XI et XIII. Maxris reLIGIOSA (L.) (Insecte orthoptère), appareil digestif, V, art. 1, p. 26; pl. IL, fig. 9; pl. II, fig. 6. MaAQuEREAU (alevin du), IV, art. 2. jde Ale INT TORN TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. 455 Mares salées de la Lorraine (Études sur la faune des —), par R. Floren- tin, X, art. 4, p. 209. (Deux infusoires nouveaux des —), XII, art. 6, p. 342; pl. XV. MARGAROPERDIX MADAGASCARIENSIS (SCOp.), oiseau introduit aux îles Masca- reignes, III, art. 1, p. 81. Marins (Sur quelques Invertébrés — des côtes du Sénégal), par le baron de Saint-Joseph, XII, art. 4, p. 217; pl: MIIL et IX: MARPHYSA SANGUINEA (Montag.). Respira- tion de cette annélide, XVI, art. 1, p- #1, 43, 71. MAScaREIGNES (Notice sur la faune orni thologique ancienne et moderne des îles — et en particulier de l'île Mau- rice, d'après des documents inédits), par M. E. Oustalet, IIT, art. 1, p. 1. — Sur les ressemblances qui existent entre la faune des îles Mascareignes et celle de certaines îles de l’'Octan Pacifique austral, par A. Milne- Edwards, IT, art. 2, p. 117; pl. XI à XV. Masson (G.). Notice nécrologique, par M. Edmond Perrier, XI, préface. Mamière colorante des Vanesses (Re- cherches morphologiques, physiolo- giques, et chimiques sur la --), XX, art. 3, p. 295. Maurice (Notice sur la faune ornitho- logique ancienne et moderne des îles Mascareignes et en particulier de l’ile —,d’après des documents inédits),par M. Oustalet, III, art. 4, p. 1. MaxILLAIRE supérieur suppléant les os nasaux, XVII, art. 2, p. 325. Maxiczes des crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 4, p. 157. Mecosruerus GRossus (L.), Insecte or- thoptère, appareil digestif, V, art. 1, p. 85, 89; pl. VI, fig. 10 ; pl. VII, fig. 3. MécacaeroprÈèRes du Congo, II, art. 2, p. 250. Mecapus Noprpacpis (Sig Thor.), anato- mie de cet acarien, XIX, art. 1, p. #1. MELANDRIA GaRABoiDEs (L.), insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI. art. 7, p. 383, 385. MéLanINE, XVIII, art. 2, p. 303. MELANOTUS crAssICOLLIS (Erichs.). — nrurmpes (Herbst)}, insectes coléop- tères, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 384, 414. MELASOMA CoLLARIS (L.). — popurr (L.), insectes coléoptères, glandes génitales O', XI, art. VII, p. 383, 401. MELEAGRIS GALLOPAVO (L.), fibres cardia- ques, XIX, art. 2, p. 273: pl. XV, fig. 13. 9 MezrivorA, III, art. 2,p. 275. — cAPENsis (Desm.), IIL, art. 2, p. 275. — ipicus (Shaw.), IV, art. 1, p. 111. — LEUCONATA (Scla.), III, art. 2, p. 275. — RATEL (Sparr.), IL, art. 2, p.275; IT, art. 2, p. 111. Mustélidés africaines. MELOLONTHA vuzearis (Fabr.), insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI, art. VII, p. 341. Memeres de Dolichotis Patagonica (Pennant}), VI, art. 4, p. 347. MERLANGUS vuLGARIS (Cuv.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XIL, art. 3, p. 180. MERGUS MERGANSER (L.), cæcum du Harle, XV, art. 1, p. 37; pl. 1, fig. 5. Mesocuorus virraror (Zettersted). Dé- veloppement de la larve du — Insecte hyménoptère, X, art. 1, p. 88. Méramorpxose de la larve actinotroque en un Phoronis, XI, art. 3, p. 154. MéramorPxoses des Braconides. Insectes hyménoptères, X, art. LRDAMIOE des insectes et la tachygénèse XVI, art.2;p° 2771 Méramériparion (Diverses sortes de —et la tachygénèse), XVI, art. 2, p. 200. META SsecMENTATA (Cl.) (Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, De 16h) Mracrammopes (?) du Natal (Trachée des Araisnées du genre —), XV, art. 2, p- 165, fig. in texte, fig. 5, 6. Mrcanra puzicaRIA (Sund.). (Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 209. MicROGEBUS ELEGANTULUS (Lecomte) GALAGO — prosimiens du Congo, II. art. 1, p.241 MicrocaerRoprèRes du Congo, III, art. ?, p. 257. 456 MicROMMATA VIRESCENS (C.) (Trachées des Araignées du genre —}), XV, art. 2, p. 209, fig. in texte, 54. MrcroNETA RUPESTRIS (CG. Koch) (Trachées des Araignées du genre —}, XV, ha pee lb Mrexe-Epwanrps (Alph.). Notice nécrolo- gique, par M. Edmond Perrier, XI, préface. MISUMENA VATIA (Cl.) Araignées du genre —), XV, art. p. 205, fig. in texte, 49. MonroLopsinés (Ulrich) (Développement de la coquille des Lamellibranches —), NIIL, art. 1, p. 196. Mosurs des Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 4, p. 517. — des Locustiens, ], art. 6, p. 221. — du Nautile, Il, art. 3, p. 149. Moreau (Fringilla domestica) (L.}, cæ- eums, XV, art. 1; pl. IV, fig. 8. Moreura (Forbes), genre d’Ascidie (Mol- gulidée), VIE, art. 3, p. 324. — Fizaou (A. Pizon), n. sp. (ile Stewart), id., p. 347; pl. XIL fig. 4 à 5; pl. XV, fig. 4, 5. — GLOMERATA (A. Pizon), n. sp. (Pata- gonie), p. 355 ; pl. XIV, fig. 1, 2. — GREGARIA (Herdm.)(Patagonie), p.35 pl. XV, fig. 6. — socrAcis (Alder), côtes de France, p. 358. — RosCOvITrA (L. Duth.) — anurella Ros- covila, (Côtes de France), p. 359. — ocuLATA (L. Duth.}, anurella — (côtes de France), p. 360. — SIMPLEX (Hancock) — (côtes de France), p. 362. Morzusques (Développement des —) et là tachyÿgénèse, XVI, art. 2, p. 267. MonoGrarniE de la famille des Mollus- ques pleurobranchidés, par A. Vays- sière, 1° partie, VIII, art. 2, p. 209 ; 2e partie, XII, art. 1, p. 1. MoRINGUA ABBREVIATA (Blkr.), XIX, art. 3, p. 379, fig. in texte 15. — RAITABORNA (Cant.}, p.378, fig. in texte 14 (ares branchiaux de quelques Pois- sons du genre —). MoRMoN MaAIMoN (Gray) — Papio mor- mon, (E. Geoff.), Singe du Congo; IT, art. 2, p. 240. (Trachées des 9 us d; anurella — ZOOLOGIE. MorpHoLoGrE de l'appareil digestit des Orthoptères, V, art. 1, p. 490. Moscaus AQuATIGUS (Ogilby) — Hyæœmos- chus —, IV, art. 1, p. 87, Mammifère du Congo. Muccus sunmuzerus (L.), Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 153 ; pl. VIT, fig. 3. M:zrrpcrcarioN des Hydroïdes, XX, art. 1, p. 12; pl. I à IN. Muxra onyzivorA (L.), Oiseau introduit aux îles Mascareignes, [IL art. À, p.58. — PUNGTULATA. Var. Nisonrra (Tem.), Oi- seau introduit aux iles Mascareignes, ITT, art. 4, p. 60. = MurÆNA rimBRiArA (Benn.) (Arcs bran- chiaux de quelques poissons du genre —), XIX, art. 3, p. 380, fig. in texte 16. ; — FLAVO MARGINATA (Rüpp.), p. 384, fig. in texte 20. — PICTA (Ahl.}, p. 383, fig. in texte 19. — THYRSOIDEA (Rich.), p. 382, fig. in texte 18. — UNDULATA (Lacép.), p. 381, fig. in texte 18. MURÆNESOX GINEREUS (Forsk.), art. 3, p. 374, fig. in texte 8. — TALABON (Cuv.), p. 373, fig. in texte 17 (Arcs branchiaux de quelques Pois- sons du genre). MURÆNICHTHYS GYMNOPTERCS (Blkr.), XIX, art. 3, p. 375, fig. in texte 9 (Ares branchiaux de quelques Poissons du genre). Murænines (Arcs branchiaux de quel- ques —), par la DSse Canna M.-L. Popta, XIX, art. 3, p. 367. Murex BRANDARIS (L.) (Mollusque gasté- ropode), trompe, VII, art. 1, p. 13, fig. 7, 8, p. 12; bulbe œsophagien, p. 82; glande de Leiïblein, p. 240; pl. L fig. 8, 9; pl. VI, fig. 46. Munripés du Congo, III, art. 2, p. 370. Mus museuzus (L.). Souris, fibres du cœur, XVIII, art. 2, p. 283; pl. XVI, fig. 15. — IV, art. 4, p. 1, 125. — ABYssINICUS (Rüpp.), LIT, art. 2, p.377. — ALBIPES (Rüpp.), IV, art. 4, p. 41. — ALEXANDRINUS (Geolff.), . IV, art. 4, p. 12, 123. — ANCHIETÆ (Boc.}, IV, art. 1, p. 22, 193. XIX, TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. 49% Mus ANGoLeNsis (Boc.}), IV, art. 1, p. 11. — Burtont (0. Thos.}, IV, art. 1,.p'9: BARBARUS (Tem-), M; art. "1, p. 4 — COUCHA (Smith.), IV, art. 1, p. 14. — DECUMANUS (Pall.), art. À, p. 13. — DiscoLor (Wagn.), III, art. 2, p. 377. art. 4, — ERYTHROLEUCUS (Tem.}), IV, p- 123. — FLAVIVENTRIS (Brants.), IV, art. 4, p. 42. : — GoLrata (Rüpp.), II, art. 2, p. 402. — HYPOLEUCUS (Puch.}, IV, 1; p.12: — HYPOXANTAUS (Puch.}), IV, art. 4, p.19, 193. — LONGIPES (A. M.-Edvw.), IV, art. 1, p. 7. — MARUNGENSIS (Mack.), IV, art: 1, p. 22, 193. a MAURUS Gr.) ANS art. 1 0p-29, 193; — MICRODON (Pet.), IV, art. 1, p. L#, 193. — MINIMUS (Pet.), IV, art. 1, p. 30. — MINUTOIDES (A. Smith.}), IV, art. 1, p. 30. — MODESTUS (Wagn.), IV, art. 1, p. 32. — Morio (Troues.), IV, art. 4, p. 9. — MUSCULOIDES (Temm.), art. 4, p. 29. — NATALENSIS (O0. Thos.}, IV, art. 1, p. 14. — NILOTICUS (E. Geof.), ILI, art. 2, p. 377. — RUFINUS (RE) ATEN T2 proue Verte 14922: — RurFoCANUS (Tycho-Tull.), IV, art. 1, p. #. — SETULOSUS (Pet-}, IV, art. 1 p. 29: — Sikapusi (O0. Thos.), III, art. 2, p. 397. — SILAGEUS (Wagn.), IV, art. 1, p. 14. — TECTORUM (Savi.}), IV, art. À, p. 12. — TuzserGt (0. Thos.), IV, art. 1, p. 9. — UNIVITTATUS (Pet.), IV, art.1,p.#, 193. — VARIEGATUS (Licht.), III, art. 2, p. 382. Muridés d'Afrique. Museces (Étude des phénomènes de sur- vie dans les —) après la mort géné- rale, par M. Tissot, I, art. 2, p. 47. — des Acariens, XIX, art. 1, p. 35. — (Développement des — du Damon me- dius (Herbst.)}, Arachnide Phryne, UN arme — dela Chlamydoconcha Orcutti(Dall.), Lamellibranche, IV, art. 3, p. 238. — du cœur dans la série des Vertébrés, par F. Marceau, XIX, art. 2, p. 191. — tenseurs de la membrane de la ra- Et dula des Mollusques gastéropodes, MiDantMsneve Muscuzarne (Considérations sur la consti- tution —) de la région sus-hyoïdienne chez les Vertébrés en général, par J. Chaine, XVI, art. 3, p. 375; pl. [. Musicaz. Appareil — du Dectique: Dec- ticus albifrons (Fabr.), I, art. 6, p. 240. — — de l'Ephippigère, I, art. 6, p. 241. — — de l'Oecanthus pellucens (Scop.), id, p. 242. MusreLA NumibicA (Puch.}), INT, art. 2, je AIT — GALERA (Erxleben.), II, art. 2, p. 299, Mustélidés du Congo. Musrézinés du Congo, IIL, art. 2, p. 275; INPRart MD HE MyYcTeRIA SENEGALENSIS (L.), Cæeums de la Cigogne Jabiru, XV, art. 4, p. 34, 56; pl. I, fig. 4. Myomorpxes africains, III, art. 2, p. 366. Myoxinés africains, III, art. 2, p. 366; INVPrart-Sp-41110 Myoxus ciNERAGEUS (Rüpp.), III, art. 2, p. 366. — Couper (F. Cuv.), IL, art. 2, p. 366. — ERYTHROBRONCHUS (A. Smith}, III, art. 2, p: 966. — LALANDIANUS (Schinz.), III. art. 2, p. 366. — Microtis (Noack.}), III, art. 2, p. 370. — MURINUS.(Desm.), LIT, art. 2, p. 366; INPrar tel pme — oROBINUS (Wagn.}), III, art. 2, p. 370, Mammifères du Congo. MYRMECOPHAGA DIDACTYLA (L.), cæcums du Fourmilier didactyle XV, art, 1, DOI DIAM ENT EME MYSTIDES LIMBATA (Saint-Joseph), X, art. 2, p. 174. Mysrromys (s.-2. de Gerbillinés afri- cains), IV, art: 4, p. 122: Myripés. Stades népionique et néa- logique des Mollusques lamellibran- ches, VII, art. 1, p, 68 ; pl. L, fig. 6; DÉAINPRS NE Myrromys VELOX (J.-E. Gray) = Potamo- gale, IL, art. 2, p.271, Mammifère du Congo. MYxICOLA INFUNDIBULUM (Ren.), p. #33 ; Annélide de France, V, art. 2; pl. XXIII, fig. 241-247. MYxicoLA INFUNDIBULUM (Renier). Anné- lide de la rade de !Brest, X, art. 2, p. 191; pl. VI, fig. 29-31. N NaGeorRes des Sélaciens et la tachygé- nèse, XVI, art. 2, p. 230. Naïs ELINGUIS (0.-F. Müller), Oligochète des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p. 272. NanpiNia, III, art. 2, p. 282. — BINOTATA (Gr.), IL, art. 2, p. 289, 295. mn. IV, art. 4,p.11# — GERrARDI (Thos.), IIT, art. 2, p. 9283, 295; IV, art. 4, p. 114, Viverridés d'Afrique. NanNomys MINUTOIDES (A. Smith}, IV, art MPip- 123: — MUSCULOÏDES (Tem.), IV, art. 1, p. 29, 193. — SETULOSUS .(Pet.), IV, art. 4, p.29, 125. Muridés d'Afrique. NaNoTRAGUS PpyGeMæus (L.), IV, art. 1, p. 127, 129. Antilope de Guinée. Nasaz (Sur les sutures surnuméraires de l'os —), XVII, art. 2, p. 192; pl. VII, VIII. Nasaux (Os) suppléés par l'os maxillaire supérieur, XVII, art. 2, p. 395. NATICA MONILIFERA (Lmk.). Mollusque gastéropode (œæsophage), VII, art. I, p. 213. Navi (Étude sur l’organisation du —) par A. Vayssière, II, art. 3, p. 437, pl: XVI à XIX. NAUTILUS MACROMPHALUS (Sowerby}, Il, art. 3, p. 147. — POMPILIUS (L.), id. — UMBILICATUS (Lister), id., p. 148. NavicELLA JanELLI (Recluz.), Mollusque gastéropode. — bulbe pharyngien, MED art M peste 05 26 lp ue 100. NÉALOGIQUE (Stade) du développement de la coquille des Mytilidés, VIII, ant APS 2 NEANTHES PERRIERI (n. sp.) (Bon de Saint- Joseph). Annélidesde France, V, art. 2, p. 288; pl. XV, fig. 69a 77. NEBria cursor (Müll.), glandes génitales ZOOLOGIE. o', insectes coléoptères, XI, art. 7, p. 307; pl. XIX, fig. 4, 5, 9. NECROPHORUS MORTUORUM (Fabr.) — VESPILIO {L.) — VESTIGATOR (Hers.), Insectes coléo- ptères, glandes génitales ©’, XI, art. 7, p- 397; pl. XXVIIIL, fis. 4° NECROSCIA ERECHTEUS (Westwood) (In- secte orthoptère), appareil digestif, V, art. 4, p. 20; pl. Il fig. 6: NEMATOGMUS SANGUINOLENTUS (Waldk.). (Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p.195, fig. in texte 39. Némaroïne, endoparasite d'une Annélide des côtes du Sénégal, XII, art. 4, p- 227, pl. VIII, fig. 11 à 14. NEMoBIus SyLvEsTRIs (Fabr.) (Insecte orthoptère), appareil digestif, V, art. 1, p. 148 ; pl. X, fig. 2,40: Neozrropes (A. M.-Edw. et Bouvier), genre des Lithodinés, I, art. 1, p. 8, 99 — AGassrzr (Smith), p. 8. — Grimazprr (A. M.-Edw. et B.), p. 8. — DIOMEDEZÆ (Bénédict), p. 9. Neomu@rz Dicuert (Vaillant). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XL art 3 pre: NEOTRAGUS DAMARENSIS (Günth.), IV, art. A,0p. 129,133: — GünTHerr (Thos.), IV, art. 4, p. 129. — Kirk (Günth.}), id. — Puicrpsr (Thos.), id. — SALTIANUS (Blainv.), id. — Swayner (Thos.), id. Antilopes du Congo. NEPHILA CRUENTATA (Fabr.) (Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 202, fig. in texte, 46. Népariptes (Tachygénèse dans le déve- loppement des —) des Vertébrés et des Annelés, XVI, art. 2, p. 237. Nerarays Homperenr; (Aud. et Edw.). Respiration de cette Annélide, XVI, art. A, p. 31, 43,10, 81° NépronIQue (Siade) du développement de la coquille des Mytilidés, VII, art. 4, p. 69. NEREIS DIVERSICOLOR (O.-F. Müller), p. 295; pl. XV, fig. 78 à 84: — FUCATA (Sav.), p. 299. — (PRAXITHEA) IPRORATA (Mgr.), p. 299. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. 459 NeREIS PELAGICA (L.), p.293, Annélides de France, V,art.2; pl. XVI, fig. 82 à 87. — CULTRIFERA (Grube), p. 73. — DIVERSICOLOR (Müller), p. 70, SA. — IRRORATA (Mgr.), p. 37, 70, 73. — — forme hétéronéréidienne, p. 64. Respiration de ces Annélides, XVI, ant lp, "42: NERILLA ANTENNATA (O0. Schmidt) (Mé- moire sur l’organisation de la —) par Sophie Pereyaslawsewa, I, art, 8, D-2r1- NERINE cirrAtTuLus (D. Ch.}, Annélide de France, V, art. 2, p. 349; pl. XX, fig. 164. — — Respiration de cette Annélide, Teen APE Uri le NERITATESSELLATA (Chemnitz), Mollusque gastéropode, bulbe pharyngien, VII, art. 1;.p:.53; pl. IV, fs: 31,32; p.717. — PLEXA, p. 100; pl. VI, fig. 53, poches buccales, p. 190. Nerveux (Voyez Système). NESOENAs Mayerr (Marchal), Oiseau des îles Mascareignes, III, art. 1, p. 71. NESOTRAGUS LIVINGSTONIANUS (Kir.), IV, art 1;p.420; — MoscHATUS (Düb.), id. — PYGMAEUS (L.), id. Antilopes du Congo. NEsTIGUs CELLULANUS (C1.) (Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 199, fig. in texte 43. NEUMANIA spinipes (Müller). Anatomie de cet Acarien, XIX, art. 4, p. 41. NÉVROPTÈRES PLANIPENNIA (Évolution du dessin des ailes des), XIV, art. 1, p. 118; pl. XVI, fig. 84, 88, 90. Nrrocra PALuSsTRIS (Brady), Crustacé des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p. 274. Noppr (Voyez Anous). Nops coccneus (E. Sim.) (Trachées des Araignées du genre —), d’après Bert- kau, XV, art. 2, p. 184, fig. in texte 24. NoTopoNTA TREMULA (CIl.). Évolution des ailes de ce papillon, XIV, art. 1, p. 94; pl. XIV, fig. 70, 74. NourriruRe des Turbots en captivité, IV, art. 2, p. 160. — des alevins de Poissons de mer, IV, art.2, p, 182. NuczéairRes (Contribution à l'étude des Phénomènes —) de la sécrétion, par L. Launoy, XVIII, art. 1,. p. 1 à 224. Nucurnés (Développement de la co- quille des Lamellibranches —), VIIT, art. 1,p. 160; pl. XIL, fig. 1 à 40. Nueuuna (Développement de la coquille des Lammellibranches du genre —), MIN Prant ED l0 EDEN MEME NUMENIUS MADAGASCARIENSIS (Briss.). — pHosopus (L.}, Oiseaux des îles Mas- careignes, III, art. 1, p. 88, 89. NumibA MELEAGRIS (L.). Cæcums de la Pintade, XV,. art. 1, p.33; "pl, fig. 30. Nycrérinés, IT, art. 2, p. 259, Chauve souris du Congo. Nycreris ANGOLENSIS (Pet.), IIT, art. 2, p-259° — cAPpEeNsis (Pet.), id. — DAMARENSIS (Pet.), id. — FULIGINOSA (Pet.), id. — GRANDIS (Pet.), IT, art. 2, p. 260. — isproA (Schreb.), id. — MACRoTIS (Dobs.), id. — THEBAÏCA (Dobs.), LIL, art. 2, p. 259, Chauves-souris du Congo. NyYSTICEBUS GEOFFROYI (Benn.) = N. rorto (E. Geoff.), ILT, art. 2, p. 245, Lému- rien du Congo. Nycricesus LEUCOGASTER (Cretzsch.), IT, art. 2, p. 263. — pLANIROSTRIS (Pet.), id. — virinis (Pet.), id. Chauves-souris du Congo. NyeriNomus LEUCOGASTER (Grandid.), III, art. 2, p. 264. à — LIMBATUS (Pet.), id. — pumiLus (Cretzsch.), III, art. 2, p.265, Chauves-souris du Congo. (9) OBELIA BIFURCA (HCks.), p. 172. — picHoroMA (L.), p. 16 et 170. — GENICULATA (L }, p. 28 et 166. — LONGIssiMA (Pall.), p. 28 et 168, Hy- droïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 166. " OcéAN INDIEN, faune des Échinodermes. . IV, art. 5, p. 271. 460 OcroponTIDÉs p- 33, 124. Ocvaze (Pisaura) miraBiusS (C1.)(Trachées des Araiynées du genre —), XV, art. 2, p. 219: Ocypus cyANEUS (Payk.). — oLENs (Mull.)}, Insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI, art. T, p- 389; pl. XXVII, fig. 92, 4, 5. ODoNroGrAPHIE des Ganoidei chondrostei (note sur | —), par M. N. Zograf de Moscou, I, art. 4, p. 197; pl. [IVet V. OECGANTHUS PELLUCENS (SCop.), Grillon d'Italie, son appareil musical, I, art. 6, p. 242. OEcogius ANNULIPES (Luc.). — CELLULARIORUM (Dugès), (Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 170, fig. in texte 10. OEpiGexatTus Gizzt (Benedict) (Voy. Der- matlurus inermis). OEDIPODA COERULESCENS (L.). — MINIATA (Pallas), Insecte orthoptère, appareil digestif, V, art. 1, p. 84; DEN ENe aLO) OEues des Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 423. — du Distomum lanceolatum (Mehlis.), XV, art. 4, p. 342. — des Poissons de mer (Recherches biologiques sur les —) et surles larves des Poissons de mer et sur le Turbot, par Fabre Domergue et Eugène Bie- Cri MEN Etant 2 MD le — de Syngnathus Dumerilii (Moreau), Poisson lophobranche, XIV, art. 2, p. 271; pl. XXIV, fig. 5. Ocvris (Stimpson), genre de Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, 852) OIE (Voy. Anser:). Oiseaux (Étude des rapports qui existent entre les systèmes pneumogastrique et sympathique chez les —), par M. NV. Thébault, VL, art. 1, p. 1. | — (Les cæcums des —-), par Jean Mau- MUS XVe antenne ANA MESEN DIET à IV. OLracrirs (Organes) des Isopodes des cavernes, XX, art. 4, p. 396 (Voy. An- lennes), OMALIUM RIVULARE (Payk.), Insccte coléo- duNW Conso MIVAMALENMIE ZOOLOGTE. ptère, glandes génitales G', XI, art. T> p. 383, 388. Oneurés du Congo, IV, art. 1, p. 39, 195. ONTHOPHAGUS FRACTICORNIS (Fabric.). — puncrArus (Illig.)}, Insectes coléo- ptères, glandes génitalis ©, XI, art. 7, p- 336, 340. Oonops PuLCHER (Templeton) (Trachées des Araignées du genre —}, XV, art. 2, p.17, fig. invtexte 49° OpaArruM sABuLOSUM (L.), Insecte coléo- ptère, glandes génitales 6, XI, art. 7, p- 358. OPrsraocomus crisrATUs (Müller) Cæcums de l'Hoazin, XV, art. 1, p. 32; pl. I, fig. 24. OPHELIA BICORNIS (Savigny), p. 380. — NEGLECTA (Aimé Schn.), p. 369, Anné- lide de France, V, art. 2; pl. XXI, fig. 181-195, pl. XXII, fig. 196-199. . OPHIAGANTHA COMPOSITA (NOV. Sp.) (Kæhler}), IV, art. 5, p. 350; pl. VIT, fig. 64, 65. — purLex (n. sp.) (Kæler), p. 352; pl. NIII, fig. 66, 67. — GRATIOSA (nov. sp.) (Kæbhler), p. 346; pl. VIII, fig. 60, 64. — PENTAGONA (nov. sp.), IV, art. 5, p- 342; pl. VIIL fig. 56 et 57. — socrABiuis (n. sp.) (Kæhler), p. 348; pl. VIII, fig. 62, 63. — VESTITA (nov. sp.) (Kœæhler), p. 344; pl. VILLE, fig. 58, 59. — vorax (n. sp.) (Kæhler), p. 353; pl. VIII, fig. 68, 69. Ophiures de l'océan Indien. OPgracris LorioLt (nov. sp.) (R. Kæhler), IV, art. 5, p. 398 ; pl. VII, fig. 49,43. — PERPLEXA (nov.sp.) (Kœæhler), ophiure de l'océan Indien, IV, art. 5, p. 327; pl. VII, fig. 40 et 41. OrPxicarays BoRo (H. B.), 377, fig. in texte 12. — coLuBriNus (Bodd.), p. 378, fig. in texte 13. — POLYOPHTHALMUS (Blk.), (Arcs bran- chiaux de quelques poissons du genre —), XIX, art. 3, p. 376, fig. in texte, 11. OPHIDIASTER OPHIDIANUS (Ag }, X VII, art. 1, p. 21. FABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. 161 OpHierNus AbsPersus (Lyman), Ophiure de l’océan Indien, IV, art. 5, p. 316. Oparocamax FascreuLaTA(Lyman),Ophiure de l'océan Indien, IV, art. 5, p. 360. OPHIOCERAMISTENERA (n. sp.) (R. Kœæhler), Ophiure de l'océan Indien, IV, art. 5, p3l7; pl: V, fig. 30,31: OpPurocaironN AMBuLArOR (n. sp.) (Kæhler), IV; art: 5, p. 331; pl: NII, is. 592, 53. — MODEsTus (n. sp.) Kæhler, IV, art. 5, p. 340; pl. VIF, fig. 54et55. Ophiures de l'océan Indien. OPHIocoNIS INDICA (n. sp.) (Kæbhler), Ophiures de l’océan Indien, IV, art. 5, p. 525; pl. VII, fig. 38 et 39. OpHIocRÉAS (sp. nov. ?) (Kæhler), Astro- phytonidée de l'océan Indien, IV, art. 5, p. 365. Orniopromus FLExuosUS (Dell. Ch.), Annt- lide de France, V, art. 2, p. 339. OexroGLyraa ÆouaLis (Lyman), Ophiures de l'océan Indien, IV, art. 5, p. 297; DÉRVIETEMI0; — FLAGELLATA (Lyman), p. 299. — 1M8ECILIS (Lyman), p. 303. — iNkLaATA (n.sp.) (Kæhler), p.288 ; pl. V, fig. 10, 11. — INVOLUTA (n. sp.) (Kœhler), p. 295; pl. VI, fig. 16, 17, 18. — ORBICULATA (Lyman), p. 302. — PALLIATA (Lyman), p. 298. — PAUPERA (n. sp.) (Kæhler), p. 290; pl. NOMME MISE — RADIATA (Lyman), p. 300. — scuzrriLis (Lyman), p. 301. — sorbipA(n.sp.)(Kæhler}, p.292, pl. V, fig. 14, 15. — UNDULATA (Lyman), p. 299. OPHIOLYPUS GRANULATUS (n.sp.)(R.Kœhler), IN art.15,p-3155 pl NLtfig: 28.et29. Opxiomasrus rumibus (n. sp.)R.(Kæhler), Ophiure de l'océan Indien, IV, art. », PAS SEIDI INPUT TEASER OPHIOMITRA INTEGRA (n. sp.) (Kœhler), p- 356; pl. IX, fig. 76, 71. — unis (n. sp.) (Kœæhler), p.358; pl. IX, fig. 75-76. Ophiures de l'océan Indien. OPnromusIuM ELEGANS (n.sp.)(Kœæhler), IV, art” 5, p. 305; pl. ML, fig: 22 et,23. — FAMILIARE (R. Kœæhler) (n.sp.), Ophiure de l'océan Indien, IV, art. 5, p. 303: pl NI Ge 20,21 OrPuromusrum PLANUM (Lyman), Ophiures de l’océanindien, IV, art. à, p. 308. — SCALARE (Lyman), p. 308; pl. VI, fig. 24, 95. — VALIDUM (Ljungmann), p. 307. OPHIOMYXA BENGALENSIS (n. sp.) (Kæhler), Ophiure de l’octan Indien, [V, art. 5, p. 563; pl. IX, fig. 70 et 71. OpHIoPEzA custos (n. sp.) (R. Kœhler). Ophiure de l'océan Indien, IV, art. 5, p. 321; pl: NI, fis. 34 et 35. OPHIOPYREN BispINosUS (n. sp.)(R.Kœæhler}, IV,sart 5 p.312: pl NT fis:-26 et Te OpParopyrGus ALcocki (n.sp.)(R. Kæhler), Ophiure de l'océan Indien, IV, art. 5, p. 283; pl. V, fig. # 5 et G. OPHroTHRIx ARISTULATA (Lyman), nov. var. investigatoris (Kæhler). Ophiure de l'océan Indien, IV, art. 5, p. 361; pl. IX: fig. 72 et 75. OPHIOTROCHUS PANNICULUS (Lyman), Ophiure de l’océan Indien, IV, art. 5, p- 312: OPHIOTYPA SIMPLEX (n. gen., nov. Sp.) (R. Kœhler). Ophiure del’océan Indien, IV, art.5, p. 281; pl. V, fig: 1, 2et 3. OPHI0Z0NA BISPINOSA (n.sp.) (R. Kæhler), Ophiure de l'océan Indien, IV, art. 5, p. 3195 pl° NL fig. 32 et 33: Opxiures de mer profonde de locéan Indièn,"IMart. 5, p.277. OPHoNuS GRISEuS (Panz.). — RUFICORNIS (Fabr.), Insectes coléo- ptères, glandes génitales ©, XI, art. 7, DES TER) MX ETES MDI XXE fig. 1. OnEAs IV, art. 1, p.81; 131: — GANNA (H. Sim.), IV, art. 1, p. 81. — DERBYANUS (Gr). — LiviNGstoner (Scl.), Antilopes d’Afri- que. OREINA cacALræ (Sohr.). — VIRGULATA (Germ.), Insectes coléo- ptères, glandes génitales o', XI, art. 7, p. 336, 364: pl. XXIV, fig. 9. OrREoTRAGuS sALTATOR (Bodd.), IV, art. 1, p. 129, 133, Antilope d'Afrique. ORGANES apparaissant par tachygénèse avec leur forme et à leur place défi- nitive, XVI, art. 2, p. 220. ‘ — copulateur du Nautile, Il, art. 3, 462 p. 469; pl. XVIL fig. 9: pl: XVIIT; fig. 14 à 17. — digestif (Voy. Digestif). — génitaux (Observations sur les —) des Braconides, insectes hyménoptères, par M. L.-C. Seurat, VIL art. 2, p. 293. — génitaux des embryons de Damon Médius (Herbst.), Arachnide Phryne, XIII art. 2, p. 262: — génitaux femelles du Dauphin, par PABordas x tart 3, 0p 05m INT — génitaux (Voy. Génilaux). — dela reproduction O'des Coléoptères, XI, art. % p.285: — de reproduction de 4 illa antennata (0. Schmidt), I, art. 8, p. 303. — des sens des D de des Cavernes, XX, art.4, p. 358. — des sens (Voy. Sens). OrGanisarioN du Nautile (Étude sur l’). par A. Vayssière, IT, art. 3, p. 137; pl. XVI à XIX. OrIGINE des espèces des mares salées - qui n'existent RES dans les eaux douces, X, art. 4, p. 322. — des Vertébrés, XV PARC 2 DOI ORNITHORYNGHUS PARADOXUS (Blum.). Cæ- cums de l’Ornithorynque, XV, art. 1, p- 62; pl. I, fig. 18. ORPHANIA DENTICAUDA © (Charp.), Insecte orthoptère. Appareil digestif, V, art. 1, p. 108. OnrHAGoriseus MOLA (L.}). Appendices des arcs DrARCRTAUE de ce poisson, XII, art. 3, p. 205. OnToprÈRes. Appareil digestif des — et son importance pour la classifica- tion, par L. Bordas, V, art. 1, p. 1. — (Évolution du dessin des ailes des —), XIV, art. 1, p. 121. OnvcrERoPus æTHiopicus (Suend.), IV, Gael jo Se EC — CAPENSIS (G. M.), IV, art. 1, p. 97,139. — SENEGALENSIS (Less.), IV, art. 1, p.97, 139, Édentés d'Afrique. OnYx BEATRIX (Gr.), IV, art. 4, p. 131. — BEISA (Rüpp.), IV, art. 1, p.131. — CALLOTIS (Lhos.), IV, art, 1, p. 131. — GAZELLA (Pall.), IV, art. 4, p. 131. — LEuCORYx (Pall-); IM; art. 4,1p. 131. — onyx (Pall.), IV, art. 1, p. 131, Anti- lopes africaines. ZOOLOGITE. Os (Voy. Nasal; Maxillaire; Jugal; Pariétal: Temporal. Oscaniopsis (Rud. Bergh.). Nouveau genre de Mollusque, Pleurobran- chidé, XII, art. 1, p. 6. — AMBOINEI (A. Vayssière), XII, p. 15: pl. I, fig. 190, 204. — comprA (Berg.), XII, p, 20: — (?), XI, p. 21. OscaNIus à genre de Mollusque, NII; art, 2; p. 380. — CoRNUTUS (Quoy et Gaimard), sit XIV: fig. 16. — MEMBRANEUS (Montagu.), pl. XIV, fig. 14: PL XXVIIL, fig. 188, 189: pl. XXV, fie. 165; pl. XXVL, fig. 474, 175, 4176: — sEMPERI (Vayssière), pl. XIV, fig. 15. OsseLers fontanellaires secondaires et osseletssuturaux, XVII, art. 2, p. 261 ; : pl. XIII à XXII. — palato-palatini, XVII, art. 2, p.332; pl. XXII. OSSIFRAGA GIGANTEA (Gm.), Oiseaux des iles Mascareignes, III, art. 4, p. 107. - OSTEOGLOSSUM BICIRRHOSUM (Vand.). Ap- pendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 199. OsrTrAcoGasTRICA (Brandt), tribu des Lithodinés, I, art. 1, p. 8, 20, 29. OsrTREA cocaLeaR (L.) (Développement de la coquille de l —), pl. XI, fig. 1, 2. OrrorHops AMAZONICA (E. Simon)(Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 188, fig. in texte 30. Orrs rarpA (L.). Grande outarde (Cæcums de la), XV, art. 1, p. 36; pl. L, fig. 15. Orocxon (Canidé d'Afrique), IV, art. 1, p. 112. Orocaze PALLIDA (Gray), Mammifère africain, III, art. 2, p. 241. OToLEMUR AGISYmBANUS (Coq.), III, art. 2, p. 247. — CRASSICAUDATUS (Geof.), p. 247. — GARNETTI (Gr), II, art. 2, p. 247 — Monreirt (Bartl.\, III, art. 2, p. 247. — Prosimiens africains, IV, art. 1, p. 104. Orozenus, III, art. 2, p. 241; EN, art. 4, p. 105. — ALLENt (Wat.), II, art. 2, p. 242, 247. IT Vart 02 VENT T4 TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. OrTozicenus AprcALIS (Du Chaïllu), IN, art. 2, p- 241. — consPICILLATUS (J. Geoff.}, III, art. 2, p. 247. — ELEGANTULUS (Lec.), IT, art. 2, p. 241, 247. : — GABONENSIS (Mivart.), Ill, art. 2, p. 242. — Mouozr (Smith}, III, art. 2, p. 247. — MossamBicus (Pet.}, IL, art. 2, p. 24 — PALLIDUS (Gray), LI, art. 2, p. 241. — Per (Tem.), II, art. 2, p. 243. — SENEGALENSIS (E. Geoff.), IT, art. 2, p. 247. — SENNARIENSIS p. 247. — TENG (Sund.), IV, art. 1, p. 105. — ZANZIBARICUS (Mtsch.), III, art. 2, p. 247. Prosimiens d'Afrique. Oromys (s.-s. de Gerbillinés africains), INPbante 1,0p-4122; OvToxrA TRiGoNA (Herm.), anatomie de cet acarien, XIX, art. 1, p. 41. Ovis ARIES (L.). Fibres du cœur du mou- ton XIE art" hp 2250 2pl XV MORE DIE EXNII ie 32 516 pl-AMIL fig.6, 1; pl. XIX. — TRAGELAPHUS (Des.)}, Mammifère de l'Afrique du Nord, IV, art. 1, p. 85. Owexra FustFORMIS (D. Ch.), Annélide de Hrance Nehart-22p 201:2pl XXII fig. 203, 208. Oxvopes HETEROPHTALMUS (Latr.). (Tra- chées des Araignées du genre —), XNÉart 2, p.221: Oxvrayrea sricrica (L.), Insecte coléo- ptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p- 352; pl: XXIII, fig. 6. (Kotzch.), [IT, art. 2, P PacayGnatTHA DEGEERI (Sund.) (Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 199, fig. in texte 44. PACHYSOMA GAMBIANUS (Tern.), IIL, art. 2, p 251. — MACROCEPHALA (Tem.), Chauves-souris du Congo, IIT, art. 2, p. 253. PACHYTA QUADRIMACULATA (L.), Insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI, art. 1, p. 337, 313, ‘ PscHYTYLUS CINERASCENS, (Fabr.). In- 163 secte orthoptère, appareil digestif, V, art LD 189: Pacayuromys (s.-g. de Gerbillinés afri- cains), IV, art. 1, p. 122: PAGELLUS ceNrroponrus (de la R.). Ap- pendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 155. Pacrus vuzcans (C. et V.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, ALAN D MZ API NI eut ParzLe-en-queue (Voy. Phaelon). Parmroz (Annélides Polychètes de la rade de —), par le baron de Saint- Joseph, X, art. 2, p. 161. PALÆOHILARIMORPHA BIFURCATA (n. Sp.), (F.Meunier), Insecte Diptère (Leptidé) de l’ambre, XVI, art. 4, p. 400; pl. II, fig. 6. PALÆOLIMNAS C&ATHAMENSIS (A. Forbes), II, art. 2, p. 132; pl. XIV et XV. Pazæmoninx (Les) des eaux douces de Madagascar, par M. H. Coutière, XII, art. 5, p. 249; pl. X à XIV. Pazæonnis EQUES (Bodd.), espèce éteinte d'Oiseaux des îles Mascareignes, Il, art. 4, p. 32. PALaTo-PALATINI (Osselets), XVIL, art. 2, P- 322; pl. XXII. PALÆMOoN sERRATUS (Latr.) (Développe- ment embryonnaire du —), II, art. 1, DMEDISTELEXE PALÆMON ALPHONSIANUS (Hffm.) = P. p1s- par, XII; art 5, p. 2541. 3 — CONCINNUS (Dana) — LEANDER CoN- GINNUS, id, p. 254, 337; pl. XIV, fig. 47, 4T a. — Dax (Heller), id., p. 251, 273, 325 pl. XIIL, fig. 38, 39. — pisPar (Von Martens), id., p. 251, 273, 329; pl. XIV, fig. 41 à 43 a. — (parapalemon) hozrcaopacryzus (Hilg), id., p.251, 273, 283 ; pl. XI, fig. 18, 19. — EQUIDENS (Heller) = P. (EUPALEMON) LaR (Fabr.), id., p. 251. — (Macrobrachum) niLGENporri (H. Cou- tière), 1d., p-. 254; 273, 281 > pl2XT, fig. 14-17. — [px (Heller) = P. (EUPALEMON) 1%, id., p- 254, 273, 303; pl. XII, fig. 29-31. — (EUPALEMON) LAR (Fabr.), id., p. 251, 273, 292 ; pl. XII, fig. 25 à 28. — LEPIDACTYLUS (Hilg.) = P. Leprpacry- 464 Longs (de Man.), id., p. 251, pl. X, fig. 1 à 12; pl Xe MS MS Te PALæÆMoN LONGICARPUS (Stimpson), p. 251. (Hoffmann) = P. LAR 212; LONGIMANUS (Fab.}), p. 251. _— MADAGASCARIENSIS (Hoffmann) = P. LAr (Fabr.), p.252. — Mariæ (H. Coutière) = P. 1x (Hel- ler), id. p. 251. — MAYOTTENSIS (Hoffmann) (Fabr.), id., p. 251. — MOozAMBICUS (Hilg.) p.221. —=\P. LAR — P. rupis, id. — muLripens (H. Coutière), id., p. 251, 973, 327; pl. XIV, fig. 40, 40 a” —— GrNaATuS (Olivier) = P. rar, id. p: 251. — parvus (Hoffm.) = P. pispar, XI, p. 251. — parrA (H. Cout.}),id., p. 251, 273, 284 pl. XI, fig: 20 à 22: — REUNIENSIS (Hoffmann). = P. Lan (Fab.}, id., p. 251. — riTseMæ (de Man.) id., p. 251; 273, 31%: pl XINL fig. 32, 322, 33, 332: — nuBEerR (Hesse) — P. Lar (Fab) p-2ÿ1: — runs (Heller), XII. p. 251, 273,288 pl. XII, fig. 23, 24. — specrABiLis (Heller) = P. Lan, XII. p-251. — sunpArcus (Heller), XII, p. 251, 273, 332; pl. XIV, fig. #4, 46 a. — surerBus (Heller), XII, p. 251, 275, 319; pl. XIII, fig. 34-37. — vaGus (Heller) — P. Lan, XII, p. 251. Pazæornis RosA (Boddaert).Sympathique, NTart MeD-2182IpIENIVENR SE R6S TUE Pazemonines. Bibliographie des — des eaux douces de Madagascar, par H. Coutière, XII: art. 5, p.339. PALéocoNquEs. Groupe provisoire de débarras de la classification des co- quilles de Lamellibranches, par les dents des charnières, VIII, art. 4, p. 10. PALINGÉNIE. Impropriété de ce terme, XVI, art. 2, p. 134. Pazmipèpes. Cæcums des oiseaux —, XV, art. 1, p. 36. PAzLpimanus @rBBULUS (L. Duf.) (Trachées des Araignées du genre —}), XV, | ZOOLOGIÏE. art. 9, p. 188, fig. in texte 99, p. A87. PALuDINA viviparA (L.), Mollusque gasté- ropode, partie antérieure du tube digestif, VII, art. 1, p. 202; pl. MIT, fig. 45, 56. PamPHAGuS ELEPHAS (Stäl.), Insecte ortho ptére. Appareil digestif, V, art. 1, DÉMO PIN PE TN 6 ADI NCA PANESTIA JAVANICA (Serv.), Insecte ortho- ptère. Appareil digestif, MW, art. 4, DS OEMDIANEMI SP Papizro MAGHAON (L.), XIV, art. 1, p. 14: pl. IV: fe: 16, 20 — PODALIRIUS (L.), XIV, art. 1, p. 44; PM Ho Md/a MS: Papro, III, art. 2, p. 236. — ANUBIS (F. Cuv.), III, art:2, p.237 — GYNOCEPHALUS (E. Geoff.), LIL, art. 2, p250) — DOGUERA (Puch. etSchimp.), II, art.2, p.236, 239; IN; art. 1 p-4101° — HAMADRYAS (I. Geoff.), III, art. 2, p- 239. — IBEANUS (Matsch.), IIL, art. 2, p. 236. — LEUCOPHOEUS (F. Cuvier), IITL, art. 2, p.239. — MAIMON (Gray), III, art. 2, p. 240. — MORMON (E. Geoff.), III, art. 2, p. 239, 240; IN, art. 1, p- 402: — OLIVACEUS (J. Geoff.), p. 239. — poRGARIUS (E. Geoff.), LIT, art. 2, p. 239. — RUBESCENS (Teim.), id. — spHiNx (E. Geoff.), id. — THoTH (Og.), id. Singes lémuriens DIT MAT IE: africains. ParaserTæus (H. Coutière), genre de, Crustacés de la famille des Alphéidés IXart- 10 p:1329; PARADOXURUS BINOTATUS (Gr.), LIL, art. 2, p. 282. — HAMILTONI (Gr.), id. Genre de Viver- ridé africain. ParAzITHoDEs (Brandt), genre des Litho- dinés, 1, art. 1, p. 9, 23. — BREVIPES (M.-Edw. et Luc), p. 23. —? camrscHaricA (Tilesius), p. 10, 23. — TURRITUS (Ortm.), p. 9; 23. — RaruBuni (Bénédict), p. 9, 23. — CALIFORNIENSIS (Bénédi£t), p. 9, 23. Parazomis (White), genre de Lithodinés, Lrart:4l;1p..25,20; TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. Panazomis LONGIPEs (Faxon), p. 13. — MucrisPiNaA (Bénédict), p. 13, 23, 29. — pAprLLarA (Bénédict), p. 13, 23, 29. — AcuLEATA (Henderson), p. 13, 23, 29. — Verrizt (Bénédict}, p. 13, 23, 29. — verRucosA (Dana), p. 13, 23, 29. : — rormosA (Henderson), p. 13, 23, 29. — AspenrA (Faxon), p. 13, 23, 29. PARAMOECIUM AURELIA (O.-F. Müller), Tu- fusoire des mares salées de Lorraine, X,art. 4, p. 243. PaxamozGuLA (Traustedt), genre d'Asci- die molgulidée. = Cténicella, VIT, art. 3, p. 215. PARAPLEURUS ALLIACEUS (Germ.), Insecte orthoptère. Appareil digestif, V, art. 1, p. 8. Parasrres des Chênes de la Tunisie (Observations biologiques sur les —), par L.-G. Seurat, XI, art. 1, p. 1. Parposa Lueugris (Walck.) (Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 290. PArréraz (Sutures surnuméraires de l'os —), XVII, art. 2, p. 149; pl. III, IV, V. Parworxorus (Bulbe pharyngien du —), Mollusque gastéropode, VII, art. 1, p. 9, 78: poches buccales, p. 186; pl. IV, fig. 35; pl V, fige. 36. PARTHÉNOGÉNÈSE ou fécondation chimi- que par le D'C. Viguier, XII, art. 2, p- 88. — (Bibliographie), id. p. art. 1, p. 131. — (Contributions à l'étude des varia- tions naturelles ou artificielies de la). par C. Viguier, XVIT, art. 1, p. 1 à 140; pl. L, II; Bibliographie, XVIL art. 1, De ol — naturelle des Échinodermes, XVII, Get lp MAlDuLe Parrre antérieure du tube digestif et la tortion chez les Mollusques gastéro- podes, par M. A. Amaudrut, VIT, Sn Al Deuil Passer pomesrieus (L.), Oiseau introduit aux iles Mascareignes, III, art. 1, p- ÿ6. Pissereaux (Sympathique des —), VI, art. 1, p. 44, 183, 185, 188 ; pl. 1, fig. 4 à 3; pl. IL, fig. 4 à &. — (Cecums ds —), XV, art. 1, p. 39. ANN. SC. NAT. ZOOL. XVII, 465 PATELLA vuzGara (L.), Mollusque gasté- ropode (Bulbe pharyngien), NI, ant Mo 20 D SC MT DER DIE (926 29 pl VE Go ZI NII, fo. 69, 61; jabot et poches œæsophagien- DCS PATHOLOGIQUES (Pigments), XVIII, art. 2, p.326: PArROGÉNIES où embryologies normales, XVI art-2/ p.189! Peau (Voy. Téguments). PecrTiNator SPEekEr (Blith.}, IV, art. 1, p. 35, 125. Hystricomorphes d'Afrique. PecrinInÉés (Développement de la co- quille des Lamellibranches —), VII, anPME D SEE pi NII S AIME PEGTINURA CONSPICUA (nov. sp.) (N. Koeh- ler). Ophiure de l'Océan Indien, IV, art.6, p.322: pl NID fic. 36,37. — HERoS (Lyman). Ophiure de l'Océan Indien, IV, art. 5, p. 395. Pecruncuzinés (Développement de la co- quille des Lamellibranches —), VII, Get 10 102E nié VI et AI PEDaxosretaus Livipus (Blackw.). (Tra- chées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 193, fig. in texte 36. Peneres (Gerboises africaines}, IV, art. 15 p.120: PEDIOTRAGUS NEUMANNI (Matsch.}, IV, art. IMip-4129 —TRAGULUS (Licht.), Antilopesafricaines PerAce chez les Indris (Note sur la colo- ration du —), par G. Grandidier, XI, art. 4, p. 250. PELAGiIQuE (Cérianthaire —) de Cali- fornie, XX, p. 453. PELEGANUS oONocroTALUS (L.). Cæcums du PÉicen, AVirertonl, 8831 DL fig. 7. Pecomys, IT, art. 1, p. 406. — REICHARDI (Noack.), III, art. 1, p. 377, Muridés du Congo. PEerA (Stimpson), Genre d’Ascidie (Mol- sulidée), doit disparaître, VII, art. 3, p. 320. PERAMELES NASUTA (Geofr.) (fibres car- diaques), XIX, art. 2, p. 341. Perca FLuvramicis (L.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XIT. art. 3, p. 144. — — Fibres musculaires du sos m0) cœur, 466 Nan 2. p.250; DIN NPA où PercA vuearis (Agass.). Appendices des ares branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 144. Percicaruys Lævis (Sen. Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 147. PERDICULA ARGOONDAH (Sykes), Oiseau in- troduit aux îles Mascareignes, IT, art. 1, p. 81. Perna (Brug.), (Développement de la co- quille des Lamellibranches du genre —}, VII, art. 1, p.125; pl. IX, fig. 5, 8. PERIGONIMUS REPENS (Wright). — vesrirus (Allin.)}, Hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1,p. 151. PERINEREIS CULTRIFERA (Gr.), p. 317. — LONGIPES (n. sp.), de Saint-Joseph, p. 314. — oLiveiRæ (Horst), p. 310; Annélides de France, V, art. 2; pl. XVII, fig. 102 à 114; pl. XVIIL, fig. 115, 116. PERIPLANETA AMERICANA (L.), V, art. 1, DD DI INA CPE MDIAENE fig. 1. — AUSTRALASIÆ (Fabr.). — ORIENTALIS (L.), (Insectesorthoptères), appareil digestif, V, art. 1, p. 52. PErissonacryLes du Congo, IV, art. 1. p. 136. Peronicricus, III, art. 2, p. 245. — CALABARENSIS (Smith.}, III, art. 2 p. 247 — Enwanrpstr (A. Bouvier), III, art. 2, p. 245. — Georrroyr (Bennett), p. 245. — porto (Gm.), II, art. 2, p. 245, 247 ; IV, art. 1, p. 104, Congo. PErRoQuEr sympathique du —, IV, art.1, PAPER 0) EN ANT CARTE | PerrucHe de Madagascar, fibres car- diaques, XIX, art. 2, p. 273; pl. XV, fig. 15. — souris (Sympathique de la —}), VI. art. Ab 208 bi IV; fe 40055 pe 218; pl. IV, fig. 68, 70. — (Voy. Agapornis, Palæornis, ete.). PETALOPROGTUS TERRICOLA (Qtfo.), Anné- lide de la rade de Brest, X, art. ?, p. 182. NPA TEE Lémuriens du | ZOOLOGIE. “e Peraurisres du Congo, IIl, art. 2, p- 175, 176, 206. PÉTREL GÉANT(Voy. Ossifraga giganteu):- PETRODROMUS TETRADACTYLUS (Pet.), LIT, art. 2, p. 269; IV, art. I, p. 108, In- sectivore africain. Perromys rypreus (A. Smith}, IV, art. 1, p.35, 125, Hystricomorphes africains. PETROMYZON FLUVIATILIS (L.). — MARINUS (L.). — PLANERI (Bloch), XVIII, art. 2, p. 256; pl. XI, fig, 3, », 7; XIL, fig. 1 à 3. PHAcocHoERus AFRICANUS (Gr.), IV, art. 1, p. 89, 136. — ÆTHIOPICUS cains. PHAETON canprpus (Bris.). — PHOENIGURUS (Gm.), Oiseaux des îles. Mascareignes, II, art. 1, p. 118. PHALAGROCORAX AFRICANUS (Gm.), Oiseau des iles Mascareignes, IIL, art. 4, p. 122. PHALLOIULUS ALGERINUS (Brülemann), (n. Sp.) IV, art. 4, p. 254, 269; pl. IN, fig. 34 à 38. — DISTINCTUS (Lucas), Myriapodes d’AI- gérie, IV, art. 4, p. 266; pl. IV, fig. 22 à 23. (Pallas), Suidés afri- PHANEROPTERA FALCGATA (Scop.) (Insecte orthoptère), Spermatophore, L art. 6, 10 285 — — — appareil digestif, V, art. 4, p. 113. Paasumzx (Appareil digestif des —), (In- sectes orthoptères}), V, art. 4, p. 16; pl. [, fig. 7 à 11; pl. Il, fig. Là 8. PHEDINA BORBONICA (Gim.), Oiseau des: îles Mascareignes, LIL, art. 1, p. 51. PHÉNOMÈNE d'ionisation (Note sur l’in- tervention du —) dans l’acclimatation d'organismes vivants à des solutions. salines, par R. Florentin, XIL, art. 3, p. 305. — desurvie dans les muscles après la mort générale (Étude des —}), par M. Tissot, [, art. 2, p. 47. PuisiLosomA pyrHonius (West.), appa- reil digestif (Insecte orthoptère), NV, art. 4, p. 16; pl. IL. fig. 8 à 14 Puicosrya (Développement de la SALANGANE (Voy. Collocalia). Sauées de Lorraine (Études sur la faune des mares —)}), par R. Florentin, X, art. #, p. 209. — (Lacs) d'Europe et d'Algérie, X, art. 4, p. 212. SaLivaIREs (Glandes —) de la couleuvre, Zamenis viridiflavus (Latr.), XVII, art MP ip 4128; SALOMONA MEGACEPHALA (de Haan), [n- secte orthoptère, appareil digestif, V, art. 1, p. 114; pl. VLI, fig.8 ; pl. VIIT, fig. 2: pl. X, fig. 4. SaLricus ScEenIous (Cl.). Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 221, fig. in texte 68. SALURE (Bibliographie des travaux sur l’Influence de la —). et la faune des mares salées, X, art. 4, p. 342. SAPERDA OCTOPUNCTATA (Scopoli}, Insecte coléoptère, glandes génitales G&, XI, APE MEND CSN Te: SARCIDIORNIS MAURITIANUS (Newton et Gad.), espèce éteinte d'Oiseau des îles Mascareignes, IT, art. 1, p.102. SCAPHANDER LIGNARIUS (L.), Mollusque gastéropode. Bulbe œsophagien. Gésier, VII, art. 1, p. 254; pl. X, fig. 84. SCAPHYRHINCHUS FEDSTSCHENKOI (Kessl.) (Dents du —), I. art. 4, p. 199, 210. — KaurMannu (Bogd.) (Dents de —), 1, ane D 00 210 ADIENVE ET M0 0e IAE: SCHISTOCERCA PEREGRINA (Oliv.}, Insecte orthoptère, appareil digestif, V, art. 1, DUT NBI ee Ve ScxrzopoNTes (Steinmann), groupe de coquilles de Lamellibranches de la classification de Neumayr, basée sur les dents et devant disparaître, VIII, GeEs Alpe DS A2 ScHizopHyLLuM (Bothroiulus) Fusco-uNI- LINEATUM (Lucas), Myriapode d’Algé- MCAMINENAT EN (ip 2540250 MVaAr AO, 259 261 To MED — (Apareiulus) LApipArium (Lucas), Myriapode d'Algérie, IV, art. 4, p. 254, 262 pl TU ie A1ra2/1r — LEUCOUMRRINUS (Rüpp.), IT, art. 2, ZOOLOGIE. ScHizoPODES, relation des Crustacés de la famille des Alphéidés avec les Crustacés, IX, ar. À, p. 338. ScissrPARiTÉ des Hydroïdes, XX, art. 1, p. #1; pl. IF et HIT. Sciurivés du Congo, II, art. 2, p. 334. SCIUROCHEIRUS ALLENI — GALAGO — (Gray), II, art. 2, p. 242, Lémuriens africains. SCIUROMORPHES africains, III, art. 2, p. 324 ; IV, art. 4, p. 115. Scrurus, III, art. 2, p. 340. er 2, — ALBOVITTATUS (Desm.), IL, p. 994. — ANERYTHRUS (O0. Thos.), III, art. 2, p. 360; IV, art. 1, p. 118. — ANNULATUS (Desm.}, LIT, art. 2, p. 350, 365: IV, art. 1} p.11. — AuBiNnt (Gr.), LIT, art. 2, p. 365. — INstart1°p- His: — Augryr (A. M.-Edw.), III, art. 2, p. 349. — Box (Reïch.), AI, art 2;p- 860! SLbAUNS Gate Aloe LISE — BONGENSIS (V. Heugl.), III, art. 2, p- 350. — cALLIURUS (Buchholz), III, art. 2, p. 340. — cAnicEPs (Tem.), III, art. 2, p. 340. — cepapt (A. Smith}, II, art. 2, p. 565; INÉNaAT MEN DEMUITE : — conNArcus (Kuhl.), ITI, art. 1, p. 365. — Egnr (Tem.), II, art. 2, p. 543, 365: INT tlp Ans — EBoRIVorRus (Duchail.), p- 340. — ERYTHROGENYS (Waterh.), ILE, art. D SOILINE ent Alpe AMIS — ERvrRopus (E. Geof.), III, art. 2, P. 994. — GAMBIANUS (Og.), III, art. 2, p. 350. — ISABELLA (Gray), IL, art. 2, p. 358. — LEMNISCATUS (L.), III, art. 2, p. 358 305; 1V, art. 1, p. Lis: HS mets 9 p. 394. : — LEUCOSTIGMA (Tein.), LIL, art. 2, p. 361& IV, art. 1, p. 118. — MACULATUS (Teim.), IT, art. — mNurus (Duchail.), III, art. IV, art: 4, p.118: — muLricoLor (Rüpp.), II, art. 2, p. 350. — MUSCULINUS (Te), IL, art. 2, p. 355. \ TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. — MUTABILIS (Pet.), III, art. 2, p. 365; INÉran MED AT — NoRDHorFr (Duchaill.), III, p. 340. — OLIVACEUS (A. M.-Edw.), III, art..2, P. 359. —pALLIATUS (Pet.), LIT, art. 2, p. 365; INéFant ep dure — POENSIS (A. Smit.), III, art. 2, p. 355, 3065; IV, art. 4, p. 118. —“PUNCrATUS (em.), IL, art. 2, p.353, 469; IV, art. 1, p. 118. — PyrRHOPUS (Cuv.), II, art. 2, p. 360, 309; IV, art. 1, p. 118: — RUFOBRACHIATUS (Waterbh.), II, art. 2, p.349, 365; IN, art. 1, p. 417. — RUFOBRACHIUM (Waterh.), II, art. 2, p- 349. — SHaARPEL (Gray), II, art. 2, p. 358. = SHIRENSIS (Gr.}, IV, art: d, p. AT. — SraAnGEr! (Water.), Ill," art. 2, p. 340, 365, IV, art. 1, p.118. — suBALBipus (Duchaïll.)}, III, art. 2, p- 340. — SUBVIRIDESCENS (Lecomte), IT, art. 2, art. 92, p- 3950: — TEemmNcxi (Jentink.), III, art. 2, p. 340. — Wrssoni (Duchaiïll.}, LIT, art. 2, p. 343. SCOLOPAX ARGUATA (L.), cæcums du Courlis, XV, art. 1, p. 34; pl. LI, fo. 28. SGOLOPENDRA MoRsiITANS (L.), cellules à venin XII, ant 10 pp ie 23, 24131, 39, 3"Let 39; ScomBer scomBrus (L)}, alevin, IV, art. 2, oo Tale ScopopHoRus MONTANUS (Rüpp.), IV, art. 1, Data — NIGRICAUDATUS (Br.). — scoparius (Schreb.), Antilopes afri- caines. Scops cOMMERSONI (Oust.), espèce éteinte d'Oiseau des îles Mascareignes, II, art. 1, p. 34. ScoropHiLus BoRBONICUS (Dobson), art. 2, p- 263. — DinGanr (0. Smith}, Chauves-sourls africaines, III. SGYLLIUM CATULUS (L.), veine commune à l'ovaire et à l’intestin, XIII, art. 1, p. 80, fig. 14. 479 SGYLLIUM CaAruLus fibres musculaires, XVIII, art. 2, p. 256; pl: XII, fig. 4. — STELLARE (L.) système porte-hépa- tique, de ce Sélacien, XIII, art. 1, p.12, fig 10Min texte. =" Système sushépatique, XIIT, art. 1, p. 85, fig. 15. SCyYTODES BERTHELOrI (Luc.), (Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 174, fig. in texte 15, 14. SEBASTES DACTYLOPTERUS (cle la R.), Ap- pendices des arcs branchiaux de ce Poisson, XII, art. 3, p. 158. Sécrérion (Contribution à l’étude des phénomènes nucléaires de la —}), par L: Launoy, XVIII, art. 4, p. L à 224. — (Index bibliographique des travaux sur la —), XVIII, art. 1, p. 205. SEGESTRIA FLORENTINA (Rossi) (Trachées des Araignées du genre —), XV, art.2, p-18l; fig. in texte 22,23: SEGMENTATION de l'œuf des Phoronis, XI, art. 3, p. 65. — ovulaire chez l'Asellus aquaticus (L.), 1 'art-u3p- 163 ;Mpl Ma TT — (Tachygénèse dans la —), XVI, art.2, p. 320. SéLACIENS (Contribution à l'étude de la vascularisation intestinale chez les Cyclostomes etles —), par M. H. Neu- ville, XIII, art. 1, p. 4 à 116; pl. I. — (Index bibliographique des travaux sur les —), XIII, art. 1, p. 107. — (Nageoire des —),et la tachygenèse, XNI;“art-2, p- 230: SELENOPS RADIATUS (Latr.) (Trachées des Araisnées du genre —), XV, art. 2, p- 209: SÉNÉGAL (Sur quelques Invertébrés ma- rins des côtes du —), par le baron de - Saint-Joseph, XII, art. 4, p. 217; pl. NIllet IX. SexocuLus ? (du Vénézuéla) (Trachées des Araignces du genre —), XX, art.?, p.221: SExs (organes des —) des Acariens, XIX, art. 1,p. 141. — — (Développement des —) du Damon Médius (Herbst.), Arachnide Phryne, XII art.2, p.291: — — des Poissons lophobranches, XIV, art. 2, p. 256. 476 ZOOLOGIE. SERIN des Canaries, sympathique, VI, art MED PSS: SERINUS GANICOLLIS (Sund.), Oiseau intro- duit aux iles Mascareignes, III, art. 1, p. 58. — icTERUS (Bonn. et V.), Oiseau intro- duit aux îles Mascareignes, Ill, art. 1, p- 56: SERPENTARIUS REPTILIVORUS (Daud.}), ctæ- cum du Secrétaire, XV, art. À, p. 30; pl. L, fig. 6 à 23. SERPULA, Annélide de France, V, art. 2, p. #40. SERPULIENS, Annélides de France, V, art. 2, p. 429. SERRANUS LORBONIUS (Val.}. Appendices des arcs branchiaux de ce Poisson, XII, art. 3, p. 148. SERRES (Loi de —), XVI, art. 2, p. 139. SERTULARELLA POLYZONIAS (L.), Hydroïde de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 176. SERTULARIA OPERCULATA (L.). — PUMILA (L.), Hydroïdes de la baïe de la Hougue, XX, art. 1, p. 176, 177. SETARCHES GUENTHERI (Johnston). Ap- pendices des arcs branchiaux de ce Poisson, XII, art. 3, p. 159. SEXUEL (Dimorphisme —)du Nautile, II, art. 3, p. 157. SiCARIIDÆ Trachées de la famille d’arai- gnée des —, XX, art. 2, p. 174. SIGALION SQUAMATUM (D. Ch.), Annélide de France, V, art. 2, p. 238; pl. XIII, fig. 22 à 29. — — Respiration de cette Annélide, XVI, art. 1, p. 42,073. SILPHA OPACA (L.). — RUGOSA (L.). — SINUATA (Fabr.), Insectes coléoptères, glandes génitales ©’, XI, art. 7, p. 397; pl. XXNIIT, fig. 2, 5, 10. SILURE, Appendices des arcs bran- chiaux de ce Poisson, XII, art. 3, p.184. SILVIUS LATICORNIS (Lœw.), Insecte di- _ ptère, Tabanidé del’ambre, (Meunier), XVI, art. 4, p. 396; pl. IL, fig. 1 SIMIA (CERCOPITHEGUS) ASCANIAS (Aude- bert), IIL, art. 2, p. 183, 208. — CEPHUS (L.), IL], art. 2, p. 210. — GYNosuros (Scopoli), LIL, art. 2, p. 223. — FERRUGINEA (Shaw), IL, art. 2, p. 162. SimrA NIGTITANS (L.), IL, art. 2, p. 198, 207. — PETAURISTA (Lac. art. 2, p. 116. — sABÆA (L.), III, art. 2, p. 224, Singes du Congo. Simunés du Congo, III. art. 2, p. 137. SINGES africains (Sur quelques) apparte- nant aux genres Colobus et Cerco- pithecus, par E. de Pousargues, I, art. 7, p. 24. — (Voy. Anthropomorphes). SIREDON PISCIFORMIS (Cope.), Fibres car- diaques de Poe XVIII, art. 2, p.256; XV, fig. 2. SITTIGUS PUBESCENS (Fabr.) (Trachées des. Araignées du genre —), XV, art. 2, p.221: SMARIS EXPALPIS (Hermann), XIX, art. 1, p. 33; pl. IL, fig. 4,5 ; pl. IIL, fig. 12 pla tie. 20, 2152pI MCE pl. VIT, fig. 49, 50 ; pl. XI, fig. 80. SorEusIE (Giard), Bourgeon solide rem- plaçant A dans la genèse- d'organes, XVI, art. 2, p. 314. SOREX MARIQUENSIS (A. Smith), IIT, art-2 p. 273; Insectivore africain. Soricinés du Congo, III, art. 2, p. 273. Soubures lachygénétiques d'organes. XVI, art. À, p. 224. SouTERRAINE (Sur quelques formes d'I- sopodes appartenant à la faune) d'Eu- rope. XX, art. 4, p. 365. Spanice du Nautile, II, art. 3, p. 169. SpaLAcIDÉés du Congo, IV, art. 4, p. 120. SPATULE (Voy. Platalea). SPERCHON BREVIROSTRIS (Kœnike}), XIX, art MP Wp 20 pl ee MEMnIEAINE fig. 18; pl. 7, fig. 43 ; pl. IX, fig. 78. — MULTIPLICATUS (Sig Thor.), Anatomie- de ces Acariens, XIX, art. À, p. 26. SPERMATOPHORE des Locustiens (Decticus: albifrons) (Fabr.), 1, art. 6, p. 228. — EPHIPPIGER VIrium (Serv.), pl. VI. p. 233. — PHANEROITERA FALCATA (Serv.), p. 235. — du Nautile, IL, art. 3, p. 181; pl. XVIII. fig. 16, 17. SPHÆRECHINUS GRANULARIS (A. Ag.) (Par- thénogénèse du —), XII, art. 2, p.98. — GRANULARIS (A. Ag.) Fécondations. croisées, XVII, art. 4, p. 89. et CG NOuv) I TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. SrHæroportpés, Annélides de France, V, art. 2, p. 34). SrHærompæ des Cavernes, XX, art. 4, D. 379. SPHÆROMIDES RAYMONDI (A. Dollfus), genre d'Isopode des Cavernes, XX, art. #4, p. 371 et 401. SPHYRACEPHALA BREVIATA (nov. sp.) (F. Meunier), Insecte diptère (Diopsinæ) de l’ambre, XVI, art. 4, p. 404; pl. , fre: 10/ 1014 SPxyrioN (Cuv.)( Description prélimi- maire dune nouvelle genre —): — AUSTRALICQUS (n. Sp.) d'Australie, com- parée à Sphyrion lævis (Quoy et Gay- mard), par Sig Thor.), XI, art. 6, DATE SproNipiENs, Annélides de France, V, art. 2, p. 349. SPIOPHANES BOMBYx (Clpd.}, Annélide de Hrance AVR E 2 Sp N352 EM nIRexexe fig. 165. SPIROGRAPHIS SPALLANZANII (Viv.), Anné- lide de France, V, art. 2, p. 429. — — Respiration de cette Annélide, SV, ete NT er TA ENGET SPIROSTOMUM SALINARUM (R. Florentin) . (n. sp.), Infusoire des mares salées de Lorraine, X, “art 4/"p. 245 ;upl. X,; fig. 30-33. Sroxpyzus (Lamellibranche), Développe- ment de la coquille, VIII, art. 1, p. 140. SPORADOBYTHIE (Mode de genèse d'or- ganes), XVI, art. 2, p. 314. SPYROCEPHALUS LABROSUS (Murray): ÉPo- mopHURUS, III, art. 2, p. 250, Chauve- souris du Congo. SQUATAROLA HELVETICA (L.}, Oiseau des iles Mascareignes, III, art. 1, p. 83. SouecetTe du Dolichotis patagonica, (Pennant}, VI, art. 4, p. 309. —_ de$ Poissons lophobranches, XIV, art. 2, p. 20, fig. in texte 4, 5, 6, 11, 1% STACHYCOLOBUS SATANAS (de Rochebr.) — coLogus —, III, art. 2, p. 149, Cercopi- thèques du Congo. Srapes népionique et néalogique du développement de la coquille des - Mytilidés, VILT, art. 1, p. 68. espèce du 477 STAGMATOPTERA ANNULATA (Stoll.) (Insecte orthoptère), appareil digestif, V, art. 1, p. 31. — PREDICATORIA (Stoll.) (Insecte ortho- ptère), appareil digestif, V, art. 14, DD IPS DIAITE ASNTE STAPHYLINUS CÆSARÆUS (Ced.). — ERYTHROPTERUS (L.), Insecte coléo- ptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 588, pl. XXVII, fie. 3. STEATOMYS, LIT, art. 2, p. 391 ; IV, art. 1, p- 124. — Bocacer (Thos.), III, art. 2, p. 392. — Kregsr (Pet), IIL, art. 2, p.392. — OPIMUS (De Pous.}, III, art. 2, p. 391; IV art. 1, p.124; — PRATENSIS (Pet-), TIl, art. 2/p. 392: Muridés africains. STEGODYPHUS LINEATUS (Latr.) (Trachées des Araignées du genre —), XV, art.2, p. 174. STEINMANN (Formule cardinale de —) de la charnière des coquilles des La- .Mmellibranches, VITE, art. 1, p. 13. STENOBOTHRUS BIGOLOR (Charpentier). — LINEATUS (Panz.); "pl: VI, fs. 5,18; D VAT, die 1007 5 — LONGICORNIS (Latr.): pl. pl. VIT, fig. 6. — PULVINATUS (Fisch.). — STIGMATICUS (Ramb.) (Insectes ortho- ptères), Appareil digestif, V,art. 1, p.85. STENOPS POTTO (Pet.) == PERODICTICUS POTro (Gm.), IL, art. 2, p. 245, Lémurien d'Afrique. STENTOR IGNEUS (Ehr.), Infusoire des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p- 248. VI, fig. 9; » .STÉRÉOBYTHIE (Mode de genèse d’orga- nes}, XVI, art. 2 p.314. STERNA ANÆSTHETA ((Gm.). — DOUGALLI (Mont.). — FULIGINOSA (Gm.), Oiseau des îles Mascareignes, III, art. 1, p. 112. STHENELAIS MINOR (Pruv. et Racov.), An- nélide de Brest, X, art. 2, p. 171. STOLONISATION des Hydroïdes, XX, art. 1, DEM2EPDI IP SIENNE STomATROPA (A. Pizon), nouveau genre d'Ascidie (Moleulidée), VII, art. 3, p. 371. — viLLosA (A. Pizon) (n. sp.}, Patago- 478 nie, îles Malouines, p. 379; pl. XIV, fig. 3 à 6. SroreNA(Selamia) RETICULATA (E. Simon) (Trachées des Araignées du genre —). XV, art. 2, p.489: STRANGALIA ATTENUATA (L.). — BIFASCIATA (Müll.). — MACULATA (Poda.). — MELANURA (L.). Insectes coléoptères, glandes génitales ©, XI, art. 7, p.337, 313. STREPSICEROS, IV, art. 1, p. 81, 131... — IMBERBIS (Blyth.), IV, art. 1, p. 81. — KuDU (Gr.), IV, art. 1, p. 81 (Coudous), Antilopes africaines. STREPSILAS INTERPRES (L.), Oiseau des îles Mascareignes, II, art. 1, p. 84. STROMBIDIUM ELEGANS (n. Sp.) (R. Floren tin}, Infusoire des mares salées de Lorraine, XII, art. 6, p. 348 ; pl. XV, fig. 6-12. — rurBo (Cl. et Lach.), Infusoire des mares salées de Lorraine, X, art. 4, p. 249. STROMBUS GIBBERULA (L.), Mollusque gas- téropode, tête, VIL art. 1, p.8, fig. 3; partie antérieure du tube digestif, p. 206; pl. IX, fig. 70, 71. STRONGYLOGENTROTUS LIVIDUS (Brandt) (Parthénogénèse des —), XII, art. 2, p. 104. — — Fécondations croisées, XVII, art. 11550 Die STRUTHIO CAMELUS (L.). Cæcums de l’Au- truche, XV, art. 1, p. 39; pl. L fig. 25. STRYX FLAMMEA (L.). Cæcums de la Chouette effraye, XV, art. 4, p. 30 ; DIR Hier 29) — sAUZIERI (Gad. et Newt.)}, Espèce, éteinte des îles Mascareignes, III, art. 1, p. 41. STURNUS VULGARIS (L.). Sympathique de l’étourneau, VI, art. 1, p. 188 ; pl. I, fig. 9\à 21: SryLARIOÏDES PLUMOSA (0.-F. Müller), An- nélide de France, V, art. 2, p. 367; pl. XXI, fig. 180. — — Respiration de cette Annélide, XVI, art. 1, p. 34. STYLOPLOTES APPENDICULATUS (Ehr.), In- fusoire des mares salées de Lor- raine, X, art. 4, p. 253. ZOOLOGIE. Sucre. Présence du sucre dans le pig- ment rouge des Vanesses, XX, art. 3, p. 329. SuInÉés du Congo, IV, art. 1, p. 89, 90,. 135. SULA Piscarrix (L.}), Oiseau des iles Mas- careignes, III, art. 1, p. 123. SURICATA TETRADACTYLA (Schr.), II, art. 2. p. 317, IV, art. 1, p. 114, Mammuifère africain. SURVIE dans les muscles après la mort générale (Étude des Phénomènes de), par M. Tissot, I, art. 2, p. 47. Sus scrorA ({L.) var : Dbomesticus (Porc). Fibres du cœur, XVIII, art. 2, p. 259; pl. XVI, fig.8 et 9; pl. XVII, fig. 14-15; pl. XVIIL, fig. 4. — PENICILLATUS (Schinz.), IV, art. 1, p. 90. : — scRorA (L.), IV, art. 1, p. 89. — SENNARIENSIS (Fitz.), IV, art. 1, p. 89. Suidés africains. SUS-HYOÏDIENNE. Région — chez les Verté- brés, sa constitution musculaire, XVI, art. 3, p. 37; pl. I. SUTURES surnuméraires de quelques os du crâne et de la face, XVII, art. 2, p. 148. SUZANIA (Gray). Genre de Mollusque- — CORNUTA (Quoy et Gaym.), VII, art. 2, p. 379. — GRANDIS (H. Pease), p. 375; pl. XV, fig. 24. — uiLr (Hedley)}, p. 368; pl. XVIII, fig. 52; pl. XXII, fig. 122: — MAMMILLATUS (Quoy et Gaym.), p. 370; pl. XXII, fig. 114-120 ; pl. XIV, fig. 17. — sEMPERI (A. Vayssière), p. 377. — TESTUDINARIA (Cantraine), p. 360; pl. XV, fig. 23; pl. XXIL, fis-u121$ pl. XXIIL, fig. 135-444; pl. XXIV, fig. 145-147; pl. XXVIIL fig. 187. — TUBERCULATA (D. Ch.), p. 362; pl. XXVII, fig. 184. Svzuipiens. Annélides de France, VW, art. 2, p. 223. Syzis (typosyllis) VARIEGATA (Gr.). Annélide du Sénégal, XII art. 4, p. 245. SYLVICAPRA ABYSSINICA (Thos.}), IV, art. 4, p. 47. — coRoNATA (Gr.), IV, art. 1, p. 47, 126. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. SYLVICAPRA GRIMMI (L.), IV, art. 1, p. 47. Antilopes africaines. SymParuique des Oiseaux, Étude des rapports qui existent entre les sys- tèmes pneumogastrique eb sympa- thique chez les Oiseaux, par M, V. Thébault, MT, art. 1, p.14. . — — Index bibliographique des tra- vaux sur le —, VI, art. {,p. 231. — des Poissons lophobranches, XIV, ab. 2 p.200. SYNALPHEUS (sp. Bate). Genre de Crus- tacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 195, 334. — Larves, p. 444. SYNANCEIA VERRUCOSA (Schneid.). Appen- dices des arcs branchiaux de ce Pois- son, XII, art. 3, p. 159. SYNCORYNE ExIMIA (Allm.). — PULCHELLA (Allm.). Hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 155. SYNGNATHUS DUMERILII (Moreau) (Déve- loppement du —), XIV, art. 2, p. 271 ; pl: XXIV, fig. 4,5. SYNoponTIS NorATus (Vaillant), p. 190. — omrAs (Gunther), Appendices des arcs branchiaux de ces Poissons, XII, art. 9, p. 191. SYNOXYLON parasite des chènes-lièges de Tunisie, XI; art. 1, p. 32. SYRNIUM ALUCO (L.). Cæeum de la Chouette hulotte, XV, art. 1, p. 30; pl. 1, fig. 27. SYSÈME musculaire de Nerilla anten- nata (0. Schmidt), I, art. 8, p. 286. — — (Voy. Muscles). — nerveux des Acariens, XIX, art. 1, p. 141. — — dela famille des Crustacés Al- phéidés, IX, art. 1, p. 407, #14; pl. IV, fig. 4 à 5. — — des Embryons de Damon Medius (Herbst). Arachnide Phryne, XIII, art 2, p.269: — — du Distomum lanceolatum (Meh- lis), XV, art. 4, p. 34%, fig. 35-38. — — de ChlamydoconchaOrcutti (Dall.). Lamellibranche, IV, art. 3, p. 245. — — du Doryctes Gallicus (Rh.). Hymé- noptère, X, art. 1, p.29. — — des Mollusques pleurobranchidés, NILI, art. 2, p.223. SEX-DENTATUM (L.), Insecte- AT9 SYSTÈME musculaire de Nerillaantennata (0. Schmidt), I, art, 8, p. 292. — — de Oscaniopsis (Pleurobranche), XP CM PO MpDDEEN205 — — Dévelopoement du — de Palé- mon serratus (Latr.}), IL, art. 4, p. 95. — — de Pleurobranchea (Leue), XI, ANPAPSD RS: — — des Poissons lophobranches, XIV, art. 2, p. 252. Ù — Sympathique (Voy. Sympalhique). SYSTÈMES pneumogastrique et SyYMpa- thique chez les Oiseaux, par M. V. Thébault. (Études des rapports qui existent entre les —), VI, art. 1, p. 1. SYSTÈME porte hépatique des Sélaciens, XIII, art. 4, p. 71. — vasculaire (Voy. Appareil circula- toire). T TiAsaxizx. Insectes Diptères de l'ambre, XVI, art. 4, p. 395. TACHYGÉNÈSE (la) ou l'accélération em- bryogénique, son importance dans les modifications des phénomènes em- bryogéniques, son rôle dans la trans- formation des organismes, par E. Per- rieretCh. Gravier, XVI, art. 2, p.133. — Index bibliographiques des ouvrages sur la Tachygenèse, XVL, art. 2, p. 356. — Définition, p. 149. — Mode constant d'action de l’hérédité, De 161. — Sa généralité et son importance, D? — dans le règne végétal, p. 152. — chez les organismes ramifiés, p.159. — dans le bourgeonnement des Tuni- ciers, p. 177. — chez les animaux segmentés, p. 184. — et les diverses sortes de métaméri- dation, p. 200. — (soudure d'organe par —), p. 224. — dans le développement du système néphridien, p. 237. — et morphologie des larves, p. 249. — etle développement des Mollusques, p- 267. — cause de changement dans le genre de vie des animaux, p. 274. 480 Tacuveknèse et les métamorphoses des Insectes, p. 277. — et la génération asexuée, p. 288. — et le développement des feuillets blastodermiques, des tissus et des éléments génitaux, p. 301. — dans la segmentation, p. 320. _—— dans la réalisation des éléments mâles et dans l'origine des éléments sexuels et l'hérédité, p. 347. TACHYPETES AQUILA, Var. MINOR (Gm.), Oiseaux ‘des îles Mascareignes, III, art. 1, p. 125. Tazève de Madagascar (Voy.Porphyrio). TAPHRORYCHUS VILLIFRONS (Dufour). In- secte parasite des chènes de Tunisie, XI, art. 1, p. 33. TARENTULA PALMATA (Herbst.). Arachnide Phryne, développement embryon- naire. XIII, art. 2, p. 132. Tansorowus HERCULES (Berlese), XIX, D 20 NET NE 0 EAU flo 56: pl AXE TS Taxoponres. Coquilles des Lamelli- branches arcidés, VIII, art. 1, p. 11. TecrisraNcues, Gésier des Mollusques, VII, art. 1, p. 246. TEGENARIA ATRICA (C. Kock). — pomesricA (Cl.) (Trachées des Arai- gnées du genre—), XV, art. 2, p.212, fig. in texte 58. TéçeumexraIRes. Recherches sur les colo- rations —, par le Dr H. Mandoul, NOM Os 2 joe 2208 pile LEE IN Técuments des Acariens, XIX, art. 4, p-21% — du Distomum lanceolatum (Mehlis), XV, art. 4, p. 315, fig. 2-9. — des Embryons du Damon medius (Herbst). Arachnide. Phryne, XII, art. 2, p. 203. — de la Nerilla antennata (0. Schmidt.) l,rart. 8, p.285. — des Poissons lophobranches, XIV, art ep 201 pl XIV EEE GIE pl XXVIL Mig 2 fsinutexte 12,13: ‘TELEPHORUS BICOLOR (Panz.). — FUSCUS :(L.). — LIVIDus (L.). — nusricus (Fabr.). Insectes coléoptères, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 393; pl. XXVII, fig. 6-9. ZOOLOGIE. TEeLson des Crustacés de la familles des Alphéidés, IX, art. 1, p. 308. TEMPÉRATURE (Action de la —) sur le dé- veloppement des larves de Poissons, IV art 2; p.179; — (Influence des variations de —), sur le développement des œufs des Échi- nodermes, XVII, art. 1. — abaissement, p.73, et élévation, p. 75. TEemporAz (Sur les sutures surnumé- raires de l’os —), XVII, art. 2, p.188; pl. VIII. TENEBRIO MOLITOR (L.). — OBSCURUS (Fabr.). — opAcus (Duft.). Insectes coléoptères, glandes génitales ©’, XI, art. 7, p.385 ; plXXNVI, fe 719: pl XXMIEMeMe 10. TENODERA AUSTRALASIE (Leach), Insecte orthoptère. Appareil digestif, V, art. 1, p- 26:0pl Te"; TenrTAcuLes du Nautile, IT, art. 3, p.161. TEREBELLA LAPIDARIA (Kähler). Respira- tion de cette Annélide, XVI, art. 4, p- 97-43. TEREBELLIENS. Annélides de France, V, art. 2, p. 421: ‘TERERRA MUSCARIA (Lamk.), Mollusque gastéropode, VII, art. 4, p. 23. — (UOMpPe. p.20 =Npl PTE ETC pl fs 19, 20,210 TESTUDO GRÆCA (L.). — TALBULATA (Daud.), XVIII, art. 2, p. 257; pl. XI, fig. 6-14: pl XV ere Tére des Annélides (Sur la valeur mor- phologique de la —), parle Dr C. Vi- guier, XV, art. 3, p. 281-309; pl. IX. — — (Bibliographie des travaux sur —), id. p. 309. — du Doryctes Gallicus (Rh.), Insecte hyménoptère, X, art. 1, p. 11. TETRAGNATHA EXTENSA (L.), Trachées des Araignées du genre —), p. 199, fig. in texte 45. TErrso uRoGALLUS (L.). Cæcums du Coq de bruyère, XV, art. 1,p 33 pleut (SÈNTE Terropox. Appendices der arcs bran- chiaux de ce Poisson, XII, art. 3, p.203. Taais PoLYXENA (L.). Évolution du des- sin des ailes de ce Papillon, XIV, art. 1, p.30, pl. IL, fig. 7-11. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. Tuaus RuMINA (L.), id., p. 36; pl. £, fig. 4-6. THANASIMUS rormicanius (L.)}, Insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI, art. 7, p. 409. Tuanarus roRMIGINUS (Cl.) (Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 205. TaecLa quercus (L.), Évolution du des- sin des ailes de ce Papillon, XIV, art 1; p.43; pl. V, fig. 21-23° THeLepus crRaNNarvs (Gr.). Annélide de France, V, art. 2, p. 497; pl. XXII, fig. 240. Ë — serosus (Qtfo.). Annélide du Sénégal, XII, art. 4, p.240. THERIDION roRMOsuM (Cl.). — LINEATUM (Cl.) (Trachées des Arai- onées du genre —), XV, art. 2, p. 193. PaegribrosomA Gemmosum (L. Koch) (Tra- chées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 204, fis. in texte 47. THEROPITHEOUS GELADA (Rupp.). Singe d'Afrique, LI, art. 2, p.239: Taomsiæ. (Trachées des Araignées de la famille des —), XV, art. 2, p. 205. THorax pu Dorveres GaAzzicus (Rh.), [n- secte hyménoptère, X, art. 1, p. 13. THUJARIA ABIETINA (L.). — ARGENTEA (Ell. Sol.). — CUPRESSINA (L.). — mLiCULA (Ell. Sol.). Hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 177. Tayas DENTATA (Sig Thor.), XIX, art. 1, DDR pIN OS 2 Ep Ven 22 DIAMI, fo27 THYATIRA BATIS (L.). Évolution du dessin des ailes de ce papillon, XIV, art. 1, pm: pl XIV, fo TAETT. TayMALLUS vULGARIS (Nilss.) = — vExILLI- Ker Fibres cardiaques de l'omble des rivières, XVIIL, art. 2, p. 256; pl. XIV, fig. 1. Tuvmus des Poissons lophobranches, XIV, art. 2, p.245, fis.in texte, 9, 10° Tavroibe. Corps — des Poissons Jlopho- . branches, XIV, art. 2, p.238; pl. XXI, fis. 2-7; pl. XXII, fig. 8, fig.in texte 8. THyesitTes ATUN (Euphras.), Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, arts ep l0S ED NIET, 24. Treezcus oBcLonGeus (Walck.) (Trachées ANN. SC. NAT. ZOOL. 481 des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 205, fig. in texte 50. TizaprA NILOTICA (Hasselq.). Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, One mer en Itanie 7e TiMARGHA corIARIA (Fabr.). — LÆVIGATA (L.\. Insectes coléoptères, glandes génitales ©', XI, art. 7, p.401; pl: XXVIII, fig. 6: TiNca vuzéanris (Cuv.), Fibres cardiaques de la tanche, XVIII, art. 2, p. 256; pl'XIV, fig. 8: TiNNuNcuLus puncrArus (Tem.), Oiseau des îles Mascareignes, III, art. 1, p. 22. Trpais LUTESCENS (Hermann), XIX, art. 1, p. 437; pl. VIIL, fig. 64. TosnioPyerA casranons (Gould). Cæcum de l'oiseau Diamant de Chine, XV, art. l, p.30; pl: Lfis.2: Torpebo MARmoRArA (Risso), Fibres car- diaques de Ja torpille, XVIII, art. 2. p: 256; pl. XI, fig. 5-7. Torsron des Mollusques gastéropodes, NII, art. 1, p. 256-274, fig. 63 à 66 dans le texte. Toraxus ecorris (Bechst.), Oiseau des iles: Mascareignes, IIL, art. 1, p. 84. — ocxropus (L.), Oiseau des îles Masca- reignes, Ill, art. 1, p. 85. TOoURNE-PIERRE (Voy. Sérepsilas). ToxoPpneustes Livinus (Lmk.), XII, art. 2, p. 104. Fécondations croisées, XVI, GAME 190 0 IDE Tracxées des Araignées(Recherches ana- tomiques sur les —), par Ed. Lamy, NN ADO OST MInNTERteEs pl'V à NII TRAGHELAS MINOR (Cambr.) (Trachées des: Araignées du genre —), XI, art. 2, p. 209. TrAacayNus prAco (L.), Glandes à venin, MOMIE ere Ml mo 2) TRAGELAPHUS, IV, art. 1, p. 78. — ANGast (Ang.), IV, art. 1, p. 81, 198: — DECULA (Rüpp.), IV, art. 1, p. 81, 127. — EURYCEROS (0g.). — GRATUS (Scl.). — RouaLeynt (G. Cum.), IV, art. 4, p. 81, 128. — scrtpTus (Pall.}, IV, art. 1, p. 81, 82.. 1276 Or Mer 482 TRAGELAPHUS SPEKEI (Scl.), p:78, 81, 127 — syLvaricus (Sparrim.), IV, art. 1, p. 81, 128, Antilopes africaines. Tracuzinés du Congo, IV, art. 1, p. 87, 89,126. TrAvisrA Forsesr (Johnston), V, p. 381 ; Annélide de France; pl. XXII, fig. 200. — — Respiration de cette Annélide, XVI, art. 1, p. 41, 43, 71. Tercarus ABpomINALIS (Ménétr.), Insecte coléoptère, glandes génitales ©, XI, Art. Hp. 202. FRICHODES ALVEARIUS (Fabr.). — AprArius (L.), Insectes coléoptères, glandes génitales ©', XI, art. 7, p. 409; pl. XXVIII, fig. 8-10. TricHoniNA PEDICULUS (O.-F. Müller), In- fusoire de mares sulées de Lorraine, IV, art. 1, X, art. 4, p. 254; pl. X, fig. 34. Re Rohaon du dessin des ailes des Insectes —, XIV, art. 1, p. 114. FriGza cucuzus (L.), Fibres cardiaques du Rouget commun, XVIIT, art. 2, p.256; pl. XIV, fig. 4, 5 — LyRA (L.), Appendices des arcs bran- chiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 160. TRINGA SUBARQUATA (Güld.)}, Oiseau des îles Mascareignes, IT, art. 1, p. 87. ‘PRINGOÏDES HYPOLEUCUS (L.), Oiseau des iles Mascareignes, II, art. 4, p. 87. TRITON CRisTATUS (Laur.), Élaboration du zymogène peptique, et élaboration du venin ; XVIIL, art. 1, p.119; PE I, fig. 12, 18,414: Trocarr des mollusques gastéropodes des genres a et Térébra —, VII, Gta Ut) TROCHOGERCUS BORBONICUS (Gm.), Oiseau des iles Mascareignes, II, art.4, p. 52. Trocaus zyziPHiNus (L.), Mollusque gas- téropode, VIL, art. 1, p. 57, 78; poches buccales, p. 189. Troccopytes, IIL, art. 2, p. 137. — CALVUS (Du Chaïllu), IIT, art. 2, p. 138. — MARUNGENSIS (Noack.), IV, art. 1, p-1102° — NIGER (E. Geof.), LIL, art. 2, p. 137; IV, art. 1, p. 100. ALMA ZOOLOGIE. TROGLODYTES SCHWEINFURTHI (Gigl.), LIT, art. 2 p. 141 ; IV, art. 1, p. 102. — TsCHEGO (Duv.}), IL, art. 2, p. 140, Chimpanzé d'Afrique. TROMBIDIUM FULIGINOSUM (Herm.), art. 1, p. 66; pl. 7, fig. 48. — HOLOSERICEUM (L.), Anatomie de cet Acarien, XIX, art. 1, p. 21. TromPe des Mollusques gastéropodes, invagination et évagination, p. 25, VIT, art. 1. j — du Murex brandaris (L.), VIL art. 1, p. 13, 27. — de la Ramella gigantea (Lmk. D - 13 — du Buccinum undatum (L.), p. 15. — Conus, p. 15. Tropiponorus NATRIX (L.), Élaboration du venin, XVIII, art. 1, p. 80. — VIPERINUS (L.), id., pl. [, fig. 30, 36, 38. — — XIX, art. 2/4p. 2566 pl'XiE ul AUD ENT CMS ONE ie (6 Taurra Faro (L.), Truite (Fibre mus- ose du cœur de la —), XVII, XIX, art. 2 p.256: \plex; Me MGM RE fig. 10 XVIIL fig. 10, 14% Truxaunz (Appareil digestif des insectes orthoptères de la tribu des —), NW, EepuilE line TruxALIS NASUTA (L.). — UNGUICULATA (Ramb.) Insectes ortho- ptères ; appareil digestif, V, art. I, 85. pl VIT, fig 2: TRYPANOSYLLIS GEMMIPARA son), XV, art. 3, p. 282, (fig. 1 et 2). — Kroanu (Marion et Bob., 187%) = — (?) zeBra (Grube, 1860), XV, art. 5, p. 283, 284 et sq. ; pl. IX, fig. 38: Tuse digestif (La partie antérieure du —) et la torsion chez les Mollusques wastéropodes, par M. A. Amaudrut, NII, art. 4, p. 1. — — (Voy. Digeslif). Tusucaria aumiuis (Allm.), Hydroïdes de la baie de la Hougue, XX, art. 1, p. 156. Tuxiciers (Tachygénèse dans le bour- geonnement des —), NOUS ENT p. 177. Tunisie (Observations biologiques sur les parasites des chênes de la —), par L.-G. Seurat, XI, art. 1, p. 1. (H.-P. John- 2895 pl. IX ut TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. 483 Turso coroNarus (Gml.), Mollusque gas- téropode ; bulbe pharyngien, VII, art. 4, p. 57, fig. 27-29, p. 78 ; poches buccales, p. 188 ; pl. IV, fig. 33. Tursor (Recherches biologiques appli- cables à la pisciculture maritime sur les œufs et les larves des Poissons de mer et sur le), par Fabre Domergue et Eugène Biétrix, IV, art. 2, p. 151. Turrur picrurarus (Tem.). — SURATENSIS (Giu.), Oiseaux introduits aux iles Mascareignes, III, art. 1, DAS MD: TyposyYLLIS VARIEGATA (Gr.), Annélide du Sénésal, XII, art. 4, p. 245. U Ucosorus WALCKENAERIUS (Latr.) (Tra- chées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p. 164, fig. in texte 4. Un uREes (Étude sur les organes —), et reproducteurs femelles du Dauphin, DAME Bordes ant p i05E pl. MIT. Unique (Relation entre les pigments et l'acide —), XIV, art. 1, p. 159. — (Pigments), XVIII, art. 2, p. 307. UroBILINE (Présence de | —), dans le pigment rouge des Vanesses, XX, art. 3, D. 227. à Urocrea puraANpr (Latr.) (Trachées des Araionées du genre —), XV, art. 2, p.190. URONEMA NiGRiCANS (0.-K, Müller), Infu- soire des mares salées de Lorraine, X, art. IV, p. 240. UrosporA LAGIDIS (n.sp.), baron de Saint- Joseph. Var.:— GREGARINIDARUM, V, art. 2, p. 420 ; pl. XXII, fig. 233-235. v Vaasr-LA-HouGuE (SAINT-) (Faune des An- nélides de —), V, art. 2, p. 211. NANESSA ATALANTA (L.}, XIV, art. 1, D p.68: pl. VIII, IX, fig. 37, 41. = —r0(L.), p.62 ; pl. VII, VIIL, fig.33, 36. — LEVANA (L.), p. 45; pl. V, fig. 24, PIN ie 26, 27 — urmicæ (L.), p. 58; pl. VI, fig. 28, 30; DNS 122 Évolution du dessin des ailes de ces Papillons. Vanesses (Recherches morphologiques, physiologiques et chimiques sur la matière colorante des —), XX, art. 3, p.295: Varrarions des espèces de l’eau douce à l’eau salée, X, art. 4, p. 300. — des Hydroïdes, XX, art. 1, p. 194. — naturelles ou artificielles de la Par- thénogénèse (Contribution à l'é- tude des —), par C. Viguier, XVII, art. 4, p. 4 à 140 ; pl. L, II. VascuLARISATION des ailes des Papillons (Relation entre la —) et les chroma- tophores, XIV, art. 1, p. 137. —descæcums des Oiseaux,X V,art.l,p.42. — intestinale chez les Cyclostomes et les Sélaciens (Contribution à l'étude de la —), par M. H. Neuville, XIII, Ge il pe dé, AGE ol dte Vecrius (Espèce du Paraguay) (Trachées des Araignées du genre —), XV, art.2; p.207. VezuriNA, Mollusque gastéropode, VII, ant pl ALIEN 00257 VENIN (Cellules à —), XVIII, art. 1, p. 1 à 224. — de la Vive, id., p. 125. — (Glandes à —) des Hyménoptères en- tomophages, X, art. 1, p. 45. — — des BRACONIDES, VII, art. 2, p. 299. — — des Cônes et Térébra (Gastéro- podes Toxiglosses), VIL, art. 1, p. 250. VertTèsres (Constitution musculaire de la région sus-hyoïdienne), XVI, art DD AOTDENDIeNIE VerTÉBRÉs (Origine des —), XVI, art. 2, ju ce NESPERTILIO BORBONICUS (E. Geof.), IL, art. 2, p. 263. Chauve-souris du Congo. VESPERTILIONIDÉS du Congo, III, art. 2, p- 260. VESPERUGO, III, art. 2, p. 260. — BICOLOR (Barb. du Boc.), IT, art. p- 261% — Nanus (Pet.), IIL, art. 2, p. 262. — Pacexsrecent (Noack.), III, art. 2, p202° — pusiLLULUS (Pet.), IT, art. 2, p. 262. — ENUIPINNIS (Pet.), IL, art. 2, p. 26). Chauve-souris d'Afrique. Lo 184 VESPERUS TENNUIPINNIS (Pet.), IIT, art. 2, p. 260. Chauve-souris africaine. Vessie de Delphinus Delphis (L.), X, ane D ELIUS — natatoire des Poissons lophobran- ches, XIV, \art-2;0p.215 "pl XXI, flo 9. VizLers (Faune des Annélides de —), V, Ge D joe PAL NILLERVILLE (Faune des Annélides de —), M, art. 2, p.210. Viper 8erus (L.), Élaboration du Zy- imogène peptique, XVIII, art. 1, p. 104. — Aspis (L.)}, XVIII, art. 1, p. 52; pl. 1, Me RAILS ViREIA (nov. gen.) vernes. — BURGUNDA (A. Dollfus), p. 378. — gBerica (Ramiro-Fabiani), p. 379; XX, art. 4, p. 391 et suivantes. Virus des Insectes, par M. S.-I. Fabre, VIT art. 2, p 258: Vrraziré des muscles après là mort gé- nérale LVart. 2, p.47"102: Niverra, AI vart.2;p.285%5"1IM,;" art. DAS —BINOTATA (Gray), III, art. 2, p. 282: — civerrA (Noack.), ILE, art. 2, p. 285. — PoorTManni (Puchr.), III, art. 2, p. 285: MIN Cart M4 ap AUS Miverridés d'Afrique. Viverrinés du Congo, II, DRE UNE Eure on ASE Vorze buccal des Mollusques Pleuro- branchidés, VIII, art. 2, p. 221. VORTICELLA NEBULIFERA ? (O.-F. Müller). Infusoires des mares salées de Lor- raine, X, art. 4, p. 257. VuzsELLa (Lmk.) (Développement de la coquille des Lamellibranches du senre), MNT art. 1, p-12#-Mpl- NTI NS (Ds 7 Isopodes des ca- art2, D. W WALLAGo RusSELI (Bleek.), Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 185; pl. VIT, fig. 13. WEismanN (Examen de la théorie du Plasma germinatif de —), XVI, art. 2, p. 320. ZOOLOGIE. X XÉNOPHORE, Mollusque gastéropode, têt»,. MIT art TL, p. 8 fe 1: Partie ant rieure du tube digestif, p.203; pl. IX, fig. 69. Xerus, III, art. 2, p. 334. — cAPENSIS (Kerr.), III, art2, p.339: — CoNGIcus (Huet), ITT, art. 2, p. 334. — ERYTHROPUS (E. Geoff.), III, art. 2, p. 394, 339 ; IV, art. 1, p. 118. — rLavus (A. M.-Edw.), IL, art. 2, P- 339. GETULUS (Gessn.), III, art. 2, p. 359. NPA EME DATE — LEUCOUMBRINUS (Rüpp.), IL, art. 2, p- 554. — RUTILUS (Cretzschm.), IITL, art. 2, p. 339, Mammifères sciuromorphes du Congo. Xrparas GLapius (L.)}, Appendices des. ares branchiaux de ce poisson, XII, art. 3, p. 168. XYLOPERTHA PRÆUSTA (Germ.), Insecte parasite des chênes-lièges de Tuni- sie, XI, art. 1. XyLoPpHAGIDæ de l'ambre, Insectes di- ptères), XVI, art. 4, p. 397. Xysricus crisrATus (Cl.) (Trachées des Araignécs du genre —), XV, art. 2, p. 205. y Yeux composés (Développement des —}: de Palemon serratus (Latr.), Il, art. 1, p. 93. — — des Crustacés de la famille des Alphéidés, IX, art. 1, p. 107. Yozpbra (Moll.) (Développement de la coquille du genre —), Lamellibranche, VIII, art. 1, p. 166. 7, ZABrus GIBBusS (Fabr.). — PIGER (Dej.), Insectes coléoptères, glandes génitales ©, XI, art. T, p. 321. ZAMENIS ViriprFLAVUS (Latr.). Glandes salivaires séreuses, XVIII art. 41. p- 128. TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. 485 Zamexis Élaboration du venin, XVIII, art. À, p. 71; pl. I, fig. 30-38. — — Fibres cardiaques, XIX, art. 2, p.256: pl XI; fie-13: Zapus (Coues) sErcauamiIs (nov. sp.) (Sur une espèce asiatique du genre —), par E. de Pousargues, I, art. 5, p.220. Zeus rAger (L.}. Appendices des arcs branchiaux de ce poisson, XII, art. 5, D 6&; pl NI fe. 1223. Zi (araneus) x-Norarus (Cl.) (Trachées «des Araignées du genre —}), XV, a NE MST CERN fig. 1; pl. 6, fig. 6; pl. 7, fig. 4 et 5. ZopaArION ELEGANS (E. Simon) (Trachées des Araignées du genre —-}, XV, art. 2, p. 189, fig. in texte, 31. ZoNosomA LINEARIA (Hb.). Évolution du dessin des ailes de ce papillon, XIV, ant AE D MIIOE TIENNE T0" ZoRA SPINIMANA (Sund.) (Trachées des Araignées du genre —}), XV, art. 2, p-209; fs in texte, 55. Zonopsis ocurEATA (C. Korch} (Trachées des Araignées du genre —), XV, art. 2, p.168. ZOSTEROPS CHLORONOTA (V.). — MAURITIANA (Gin.), Oiseaux des îles Mascareignes, II, art. 1, p. 48. ZYGæNA MALLEuSs (L.}, Vascularisation intestinale de ce Sélacien, XIIT, art. 4, p. 68, fig. 8 in texte, 67-69. Zxeomarique. Déviation et inachève- ment de l'arc — dans un crâne de singe, XVII, art. 2, p. 324, fig. in texte, 29. FIN DE LA TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. TABLE ALPHABÉTIQUE DES AUTEURS A AmauDruT (A.). La partie antérieure du tube digestif et la torsion chez les Mollusques gastéropodes, VII, art. 1, DR IES DIET NEXE AxGLas (J.) et Risaucourr (E. ne). Étude anatomique et histologique du Dis- tomum lanceolatum (Mehlis.)}, XV, art. 4, p. 313. B BERNARD (Félix). Anatomie de la Chla- mydoconcha Orcutti (Dall)}, Lamelli- branche à coquille interne, IV, art. 3, p:#224% plIret Il: — Recherches ontogéniques et morpho- logiques sur la coquille des Lamelli- branches, VIIT, art. 1, p. 1; pl. I à XIT. Biérrix et FABre-DomEerGue. Recherches biologiques applicables à la piscicul- ture maritime sur les œufs et les larves des Poissons de mer et sur le Turbot, IV, art. 2, p. 151. Bizzarp (Armand).Contribution à l'étude des Hydroïdes (multiplication, régé- nération, greffes, variations), XX, art. 4, p.14: pl. à VI. BLaxc (Édouard). Répertoire des Pois- sons d’eau douce de ‘la Russie, XI. art-uo, p.201. Bonpas (L.}). L'appareil digestif des Or- thoptères. Études morphologiques, histologiques et physiologiques de _ cet organe, et son importance pour la classification des Orthoptères, V, OPMIESD ME EDI EIRE ENTIE — Étude sur les organes urinaires et les organes reproducteurs femelles du Dauphin (Delphinus delphis Linné), X, art. 3, p. 495; pl. VII. — Recherches sur les organes repro- ducteurs mâles des Coléoptères (ana- tomie comparée, histologie, matière fécondante), XI, art. 7, p.283, pl. XIX à XXIX. ; Bouxxior (Jean). Recherches biologiques expérimentales sur la respiration des Annélides polychètes, XVI, art. 1, Dole Bouvier (E.-L.). Sur la classification des Lithodinés et sur leur distribution: dans les océans, TI, art. 1, p. 1. BRrôüLEMANN (Henry). Iulides d'Algérie, IV, art. 4, p. 253; pl. IIL et IN. C Cana Popra (M.-L.) (Dr). Les arcs bran- chiaux de quelques Murænidæ, XIX, art. 3, p. 367. Caaîne (J.). Considérations générales sur la constitution musculaire de la région sus-hyoïdienne chez les Ver- tébrés en général, XVI, art. 3, p. 375; pl. I. Courière (H.). Les « Alphæidæ », mor- phologie externe et interne, formes larvaires, bionomie, IX, art. 1, p: 1; pl. I à VE. — Les Palæmonidæ des eaux douces de Madagascar, XII, art. 5, p. 249; pl. X à XIV. 488 D Dozrus (Adrien) et Viré (Armand). Sur quelques formes d’Isopodes apparte- nant à la faune souterraine d’Eu- rope, XX, art 4 p.365: pl xXIMret XV. DomerGue (Voy. Fabre). E Epwanps (Voy. Milne). 1) Fagre (J.-H.). Étude sur les Locustiens, Var tp 221 DIN — Un virus des Insectes, VI, art. 2, p- 253. Fagre-DoMErRGuE et Brérrix. Recherches biologiques applicables à la piscicul- ture maritime sur les œufs et les larves des Poissons de mer et sur le Hurbot, ANVart2;p: 151" FLorENTIN (R.). Étude sur la faune des mnares salées de Lorraine, X, art. 4, p. 209; pl. VIII à X:- — Description de deux Infusoires ciliés nouveaux des mares salées de Lor- raine, XII, art. 6, p. 343; pl. XV. — Note sur l'intervention du phéno- mène d'ionisation dans l’acclimata- tion d'organismes vivants à des solu- üons salines, XII, art. 3, p. 305. Frasserro (F. de Turin). Notes de cra- niologie comparée, XVII art. 2, p. 1#3; pl. I à XX, fig. in texte, de 1 G “GRANDIDIER (Guillaume). Note sur la co- Jloration du pelage chez les Indris, XI, art. #, p. 250. “GRAVIER (Charles). Sur une nouvelle espèce du genre Procerastea (Lange- rhans), l’évolution et les affinités de ce genre, XI, art. 2, p. 35; pl. I: — Recherches sur un Cérianthaire péla- sique du golfe de Californie, XX, art 2, p.253; pl MIT axe — ct Perrier (Edmond). La Tachygé- ZOOLOGIE. | nèse ou accélération embryogénique, XNI art.22 p.133: H Huor (André). Recherches sur les Pois- sons lophobranches, XIV, art. 2, p. 197; pl. XXI à XXVI. J Josepx (Voy. Saint-Joseph). JousiN (L.). Note sur une nouvelle famille de Céphalopodes, VI, art. 3, p- 275. K KognLer (R.). Échinodermes recueillis par l'Investigator dans l'océan Indien, IV, art. 5, p. 21046 pl..VNa; IX® L Lauy (Édouard). Recherches anato- miques sur les trachées des Arai- gnées, XV, art. 2, p. 149; pl. M à MATTe Lauxoy (L.). Contribution à l'étude des phénomènes nucléaires de la sécré- tion (cellules à venin, cellules à enzyme), XVIII, art. 1, p. 1; pl. I et II. Linpex (Mil° la comtesse M. von). Le dessin des ailes de Lépidoptères, XIV, art. 1, pd: pl: l'a XXe — Recherches morphologiques, physio- logiques et chimiques sur la matière colorantes des Vanesses, XX, art. 3, p: 295; pl. XL a XIII: Lour (Voy. Rémy Saint-Loup). M Maxvouz (Dr Henri). Recherches sur les colorations tégumentaires. XNII,. art. 2,.p.. 2255 pl TIRE mAINESEERnt à 6. Marceau (Francis). Recherches sur la structure et le développement com- TABLE ALPHABÉTIQUE DES AUTEURS. parés des fibres cardiaques dans la série. des Mertébrés, . XIX, art. 2, De A9 plX S XIX. | Mauuus (Jean). Les cvcums des Oiseaux, AN Go M IEP ENINE Meunier (Fernand). Études de quelques Diptères de l'Ambre, XVI, art. 4, p3955 pl. IT: MiLxe-Enwarps. Sur les ressemblances qui existent entre la faune des iles Mascareignes et celle de certaines iles de l’océan Pacifique austral, I, ne 2 0e TES DT ee N Neuvizze (H.). Contribution à l'étude de la vascularisation intestinale chez les Cyclostomes et les Sélaciens, XIII, Gate Il Dee (®) Ousrazer. Notice sur la faune ornitho- logique, ancienne et moderne, des iles Mascareignes et en particulier de l’île Maurice, IL, art. 1, p. 1... p PEREYASLAWZEWA (S.). Mémoire sur l’or- ganisation de la Nerilla antennata O. Schmidt, I, art. 8, p. 277; pl. VII à IX — (Dr Sophie). Développement em- bryonnaire des Phrynes, XIII, art. 2, DE DIN TXE Perrier (Edmond) et GrAvier (Charles). La tachygénèse ou accélération em- bryogénique, XVI, art. 2, p. 133. Pizox (A.). Étude anatomique et systé matique des Molgulidées, apparte- nant aux collections du Muséum de Paris, VII, art. 3, p. 305; pl. XI à XV. Popra GanNa (M.-L.) (Dr). Les appendices des arcs branchiaux des Poissons, XI art: 3, p. 139;1pl° MIT: — — Les ares branchiaux de quelques Murænidæ, XIX, art, 3, p. 367. 189 PousarGues (E. pe). Note sur une espèce asiatique du genre Zapus (Coues), I, ab 9, D 220, — Sur quelques Singes africains appar- tenant aux genres Colobus et Cerco- pithecus, L-art. 7, p.245. — Étude sur les Mammifères du Congo français, IT, art. 2, p. 199. — Étude sur les Mammifères du Congo français (suite), IV, art. 1, p. 4. R Réuy-Sanr-Lour. Le Dolichotis patago- nica (Pennant). Recherches d’anato- mie comparée, VI, art. 4, p. 293 : pl. NAS AVITE RicHarv (J.). Revision des Cladocvres, ID art 4 p 187; DIX A XX, fo? à 6 in texte. Rouce (L.). Études sur le développe- ment des Crustacés, I, art. 3, p. 103 ; pl. I à III. — Études sur le développement em- bryonnaire des Crustacés, II, art. Î: D'TEDIER INR — Étude sur le développement em- bryonnaire des Phoronidiens, XI, art. 3, p. dl; pl. II à XVI. S SatT-JoserH (baron pe). Les Annélides polychètes des côtes de France. {Manche et Océan), V, art. 2, p. 209: pl. XIII à XXII. — Annélidés polychètes de la rade de Brest et de Paimpol, X, art. 9, p.161; pl. VE — Sur quelques Invertébrés marins des côtes du Sénégal, XII, art. 4, p. 217; pl. VIII et IX. — (Voy. Rémy Saint-Loup.) SEURAT (L.-G.). Observations sur les organes génitaux des Braconides, VMIP'arte2/p 0203 — Contributions à l'étude des Hymé- noptères entomophages, X, art. 1, DEMEEDIEMIRAANE — Observations biologiques sur les 490 parasites des chènes de la Tunisie, XIPtan te MLD ue SIG (Voy. Thor.). T Taégauzr (V.). Étude des rapports qu existent entre les systèmes pneuimo- gastrique et sympathique chez les Oiseaux, VI, art. 4, p. 1; pl. I à IV. THor (Sig). Description préliminaire d'une nouvelle espèce du genre Sphyrion (Cuv.) (Sphyrion australicus n. Sp.) d'Australie, comparée à Sphy- rion laevis (Quoy et Gaimard), XI, art. 6, p. 277; pl. XNII et XVIII. — Recherches sur l'anatomie comparée des Acariens prostigmatiques, XIX, art. 1, p. 1; pl. I à IX. Tissor (M.). Étude des phénomènes de survie dans les muscles après la mort générale, I, art. 2, p. #1. V VayssiÈRE (A.). Étude sur l’organisation du Nautile, IE, art. 3, p. 137; pl. XVI à XIX, 1 fig. in texte. FIN DE LA TABLE DE ZOOLOGIE. VAyssrèRE (A.). Monographie de la fa- mille des Pleurobranchidés, VILL art. 2, p. 209; pl. XIII à XXVIII. — Monographie de la famille des Pleu- robranchidés (deuxième et dernière parte), XIL, art. 1, p. 4; pl. I à VI: NViGuter (Camille). Fécondation chi- mique ou parthénogénèse, XII, art. 2, p. 87. Vicuier (Dr C.). Sur la valeur morpho- logique de la tête des Annélides, XV, art. 3, p. 281 ; pl. IX. — Contribution à l'étude des variations naturelles ou artificielles de la par- thénogénèse, XVII, art. 1, p. 1; pl. et IT. ViRé (Armand) et Dorrus (Adrien). Sur quelques formes d’Isopodes apparte- nant à la faune souterraine d'Europe, XX, art. 4, p. 365; pl. XIV et XV. Z ZoGrar (M.-N.). Note sur l’Odontogra- phie de Ganoidei chondostrei, I, art. 4/0p. 1097=VDI ATIVAELAVE LA HUITIÈME SÉRIE. See A AE) HAT ti Ann. des Sciences nat., 8° Serie Zool. Tome XX, PL. 1. A. Billard et L. Devove del. Masson et Cie, édit. Stolonisation 1-9, Obelia dichotoma L. — 10-11, Bougainvillia ramosa Bened. Ann. des Sciences nat., 8° Série. Zool. Tome XX, P1. II. A. Billard et L. Devove del. Masson et Cie, édit. Scissiparilé 1-22, Obelia longissima Val. — 23-24, 0. geniculata L. — 25-26, Leploscyphus tenuis Allm. Ann. des Sciences nat. 8° Série. Zool. Tome XX, P1. III. à FA : à E > A. Billard et L. Devove del. Masson et Cie, édit. Scissiparite 1-7, Campanularia angulata Hcks — 8-9, Halecium sessile Norm. * # (AIR ï \ ê Le f LA L : VS . OMR Nr as ES : 14 te ä . % * + ” " 1) : 3 A > Mens ï A 1 Ann. des Sciences nat., 8° Série. Zool. Tome XX, PI. 1V. A. Billard del. ! Masson et Cie, édit. Histologie des stolons et propagules 1-12, Obelia dichotoma VL. — 13, 0. longissima Pall. — 1%, O. geniculata L. Ann. des Sciences nat., 8° Série. 7001 Tome XX, PI. V A. Billard del. È Masson et Cie, édit. Histologie des stolons et propagqules 1, 2,7, 10, Campanularia angulata Hcks: — 3, 8, C. fleæuosa Hcks. — 45, Sertularia pumila L. — 6, 9, Obelia dichotoma L. Zoot, TAX. PL. VI. À. Billard, del. Masson et C® éditeurs Wicolet, lith. Lalecium sessile Norm. Zmp.l.Lafontamne, Paris. VOD LAN TU Ann. des Se: nat. SE Serre. Ch Richard, hit. € éditeurs. Masson et C? Dactlachs Penedent Ch. Graver, del. {mp. L. Lafontaine, Paris. Zol, T'AX. PL... L. &® Serres C. 774 Arr. des S e 1chard, hth. Ch.R diteurs. e 3 Masson et C? Ch. Gravier, del. Benedent CÜLd L.Tafontamne da 7 AC D) fE 1TNp - A HAE oUre de Loti D MINT) 2 PE Serre Ann. des Se: nat. Dh TT \ ARC ; il Ch.Richard lit. Masson et C® Editeurs. vier, del. Ch. Gra LDenedent 2. L.Laloniaine, Par. Dactplacts Ja Are. des Se: nat. S Serre. Zoo, L'XX_ P1.10 [ | EH VPN RAS Q ù Hu r QU ATITATE PERS ns LU MARS) Ÿ à 4% Li f \ XTA C7 IN MAUL : SE Le, Ke FAN 2 CS ù ù MD KA V7 L F. A n Ca AJ & INT \ per & Née (7 > D s s en UML UN RE rer À SAR, Ch.Gravier, del. Masson et C°° Editeurs. Ch. Richard, lit}. Dactylactis Penedeni Imp.L. Lafntame, Paris. Ann.des Se. nat. SE Serre. LOU TEXXS PL IT. 3 4 2 ta + ce a «5 # CE - ù \ A4 4 3% | . . PTS CAE D æ C, Doesse on linden, del. mp. L. Lafontaine, Bris. Mcolet, hth. Masson et C éditeurs. Ann. des Sc. nat. 8e Série. ZOO IN EX AN PL T9 74 J285 S043 48s ÿeos 4443 #43 t083 m7 3683 9485 € 3 CEE ee 2 © Cu A PO 7 EU Csse Von Linden, del. Imp. Berthaud. Masson & Cle, Éditeurs Ann. des Sc. nat. 8e Série. ZONE PINS s4es 3283 043 498 4643 4483 4193 408) 3683 deg) ss 7 ; # D CC ne Vent. Bleu / Ya lego : Viotyt Ulhavolt. Css: Von Linden, del. Imp. Berthaud. Masson & Ci:, Editeurs AN ie TA | {1 “Ni LR) x Zoo, L'AX - PI. 14 36 Masson et CE éditeurs. Nicoles, lith. Imp 1 Lafontaine, Paris. LATE TOTALE ICE EFLE/ 5 Te des Sent SES, colet, Eth. 2 Masson et CÆ éditeurs. Pris. 2. ù afontamne Imp.L.L 79° ANNÉE. — VIll: SÉRIE T. XX. Nul et 2. ANNALES DES SUIENCES NATURELLES ZOOULOGIE PALÉONTOLOGIE COMPRENANT L'ANATOMIE, LA PHYSIOLOGIE, LA CLASSIFICATION ET L'HISTOIRE NATURELLE DES ANIMAUX PUBLIÉES SOUS LA DIRECTION DE M. EDMOND PERRIER TOMEXX Niro 5 = ee à BAUER PAA EP ÿ) f! afp LE. | DÉRIS tn MASSON ET C'°, ÉDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE 120, BOULEVARD SAINT-GERMAIN (Vic) 1904 Paris, 30 FR. — DÉPARTEMENTS ET ÉTRANGER, 32 FR. Ge cahier a été publié en juillet 1904. Les Annales des Sciences naturelles paraissent par cahiers mensuels. Conditions de la publication des Annales des sciences naturelles - NUITIÈME SÉRIE BOTANIQUE Publiée sous la direction de M. Pa. VAN TIEGHEM. L'abonnement est fait pour 2 volumes gr. in-8°, chacun d'environ 400 pages, avec les planches correspondant aux mémoires. Ces volumes paraissent en plusieurs fascicules dans l'intervalle d’une année. ; ZOOLOGIE Publiée sous la direction de M. EpMonNp PERRIER. L'abonnement est fait pour 2 volumes gr. in-8°, chacun d'environ 400 pages, avec les planches correspondant aux mémoires. Ces volumes paraissent en plusieurs fascicules dans l'intervalle d'une année. Prix de l'abonnement annuel à chacune des parties, zoologe ou botanique Paris : 30 francs. — Départements et Union postale : 32 francs. ANNALES DES SCIENCES GÉOLOGIQUES Dirigées, pour la partie géologique, par M. HÉBERT, et pour la partie paléontologique, par M. A. Miine-Epwanrps. Tomes I à XXII (1879 à 1891). Chaquesvolumes te ee Res 15 fr. Cette publication est désormais confondue avec celle des Annales des Sciences naturelles. Prix des collections : PREMIÈRE SÉRIE (Zoologie et Botanique réunies), 30 vol. (/are). DEUXIÈME SÉRIE (1834-1843). Chaque partie, 20 vol. 250 fr. TROISIÈME SÉRIE (1844-1853). Chaque partie, 20 vol. 950 fr. QUATRIÈME SÉRIE (1854-1863). Chaque partie, 20 vol. 250 fr. CINQUIÈME SÉRIE (1864-1873). Chaque partie, 20 vol. 250 fr. SIXIÈME SÉRIE (1874à 1885). Chaque partie, 20 vol. 250 fr. SEPTIÈME SERIE (1885 à 1894. Chaque partie, 20 vol. 2504. Ghoroce. 29 N0litmess rene Re tee 390 1€: ï À PE É MASSON ET C*, EDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE 120, Boulevard Saint-Germain, Paris (6°) 2 Pr. N° 390. VIENT DE PARAITRE Les Insectes -----: Morphologie - Reproduction Embryogénie PAR L. FÉLIX HENNEGUY Professeur d'Embryogénie comparée au Collège de France. LEÇONS RECUEILLIES par A. LECAILLON et G. POIRAULT, docteurs ès sciences. AAA 1 volume très grand in-6° de xx-804 pages, avec 622 figures dans le texte et 4 planches enMéouleurS hRorS terte MERS OU EE VE NN L’entomologie est peut-être la bran-. che de la zoologie qui compte le plus d’adeptes; la prospérité des sociétés en- tomologiques et la volumineuse biblio- graphie relative aux insectes relevée chaque année par le Zoo/ogical Record et le Zoo/oqical Anzeiger, en font foi. Les ouvrages dans lesquels Les débu- tants en entomologie peuvent puiser les premières notions générales, indispen- | sables à la connaissance de la constitu- Ms D ur #%% tion des insectes sont déjà nombreux; | MASSON ET Cie, ÉDITEURS . parée, ainsi que les ouvrages anciens, nous possédons des traités. spéciaux récents, excellents ouvrages, mais écrits, pour la plupart, . | en anglais ou en allemand, ce qui est un incon- vénient pour les jeunes entomologistes français, trop souvent ignorants des langues étrangères, de plus, ils sont presque tous incomplets; certames parties, telles que celles relatives à la reproduction, à l’embryologie, aux métamorphoses, y étant exposées d’une manière insuffisante ou même ny figurant pas du tout. Ayant traité, à différentes reprises, dans son cours du Collège de France, de la reproduction et du développement des insectes, M. L. Félix Hen- neguy a pensé qu'il pourrait être utile de réunir en un volume un certain nombre de ses leçons, en y ajoutant quelques chapitres, dans lesquels seraient brièvement résumés les traits principaux de l’orga- nisation des insectes, en insistant particulièrement sur les données récemment acquises, celles rela- tives à la structure des centres nerveux, par exemple. Ce volume constitue donc une sorte d'introduction aux études entomologiques et est, pour ainsi dire, le complément des traités de Kolbe et de Packard, dans lesquels les sujets développés spécialement par M. Henneguy font défaut ou sont très écourtés. Les ouvrages généraux de zoologie et d'enlomo- L logie ne donnent que peu de renseignements sur nn A la morphologie externe et interne des larves et des Péeraosoum Dymphes. M. Henneguy a comblé cette lacune en Déoe) réunissant les données se rapportant à l’anatomie | des formes larvaires qui sont disséminées dans des mémoires spéciaux. Î! à résumé aussi ce qu'on sait relativement au phénomène de la mue, à l'influence de la nourriture et des agents physiques sur la couleur de la larve et de l'adulte, A: NN CAES ÿ y sexe; de même pour les ie w G Dans les parties qui et de la dE el du dévelop- is jrs l'auteur s’est efforcé d’être au courant, aussi bien GE PE travaux anciens que des recherches les plus récentes. Mais ilne suffit pas d'exposer les travaux des autres, il faut être à même de les juger et de les critiquer; chaque fois qu’il a pu se procurer les matériaux nécessaires, M. Henneguy à étudié les questions con- bi ER es cbl ss … eplz vbs BUS dk Ov dbz u F1G. 358 — Coupe sagittale de la région postérieure d'un embryon femelle de Forficule, aussitôt après la fin de la Blastokinèse. onde : Le volume sur es Insectes s'adresse donc aussi bien aux Date listes qu'à tous les naluralistes qui veulent être au courant des - travaux les plus récents'sur les modes de reproduction, le déve- loppement embryonnaire et les métamorphoses des insectes, Voir au dos la table des matières de l'ouvrage. 6 4 MASSON ET Ck, ÉDITEURS TABLE DES MATIÈRES Introduction : Historique de nos connaissances sur les insectes. — 1. Mor- phologie externe : Caractères généraux des insectes; classification, squelette externe; appendices; téguments. — II. Fonctions de nutrition : appareil … digestif; appareil de la circulation; corps graisseux; appareil respiratoire. — T1. Fonctions de relation : système musculaire; système nerveux; organes des sens. — IV, V. Fonctions de reproduction : organes génitaux; caractères sexuels secondaires. — VI. Modes de reproduction : diverses formes de par- thénogenèse. — VII, VIII. Reproduction sexuée : accouplement; ponte des œufs ; éléments reproducteurs; maturation de l'œuf; fécondation. — IX, X, XI. Embryogénie : Segmentation de l'œuf; formation de l'embryon; enveloppes embryonnaires; blastokinèse; formation des feuillets; formation des organes; généralités sur le développement post-embryonnaire; métamorphoses des insectes; diapauses; cycle évolulif des insectes. — XII, XIII, XIV, XV, XVI, XVII. Développement post-embryonnaire : larves; morphologie externe des larves; morphologie interne; généralités sur la biologie des larves; passage des larves à l’état de nymphes; nymphes; physiologie de la nymphe; trans- formation de la nymphe en insecte parfait ; types spéciaux de développement post-embryonnaire; histolyse et hystogenèse; organes reproducteurs; ooge- nèse; spermatogenèse; développement des organes génilaux accessoires; con- sidérations générales sur le processus de la métamorphose; origine des méta- morphoses. — Index bibliographique. — Table des noms d'auteurs. — Table analytique et alphabétique des matières. DU MÉËÉME AUTEUR : Lecons sur la Cellule MORPHOLOGIE ET REPRODUCTION Faites au Collège de France, recueillies par FABRE-DOMERGUE, docteur ès sciences et revues par le professeur. À volume in-80 de 542 pages, avec 362 figures en noir et en couleurs. Relié. 25 Ti L'auteur a pensé avec raison qu'à côté de la tentative inachevée de Carnoy, de l'ouvrage remarquable de Hertwig, il y avait place pour un livre classique, moins exclusivement physiologique que le dernier, plus complet et plus éclectique que le premier; il a estimé fort justement que, dans une science où l'observation prime tout, la parole devait êtré donnée aux faits, et que la théorie ne devait en être que le corollaire et l'accessoire. Aussi ses lecons sur la cellule sont-elles une mine inépuisable de documents rationnellement exposés et scrupuleusement critiqués. La théorie y tient une place fort petite, qui se trouve plus utilement remplie par des développements sur ses propres recherches et sur celles des auteurs les plus estimés. Paris. — L. MARETHEUXx, imprimeur, 1, rue Cassette. — mis. ! + TR Nr deté ANNALES DES SCIENCES NATURELLES ZOOLOGIE PALÉONTOLOGIE . | il | | COMPRENANT L'ANATOMIE, LA PHYSIOLOGIE, LA CLASSIFICATION ET L'HISTOIRE NATURELLE DES ANIMAUX PUBLIÉES SOUS LA DIRECTION DE M. EDMOND PERRIER TOME XX. — Ns3 et +R PERTS MASSON ET C*, ÉDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE 190, BOULEVARD SAINT-GERMAIN (VLC) 1904 oo I CR Gé Paris, 30 FR. — DÉPARTEMENTS ET ÉTRANGER, 32 FR, # Ce cahier a été publié en octobre 1904. | Les Annales des Sciences naturelles paraissent par cahiers mensuels Conditions de la publication des Annales des sciences naturelles HUITIÈME SÉRIE BOTANIQUE Publiée sous la direction de M. Pn. VAN TtEGHEM. L'abonnementest fait pour 2 volumes gr. in-8°, chacun d'environ 400 pages, avec les planches correspondant aux mémoires. | Ces volumes paraissent en plusieurs fascicules dans l'intervalle d'une année. ZOOLOGIE Publiée sous la direction de M. EnmonNp PERRIER. L'abonnement est fait pour 2 volumes gr. in-8°, chacun d'environ 400 pages, avec les planches correspondant aux mémoires. Ces volumes paraissent en plusieurs fascicules dans l'intervalle d'une année. Prix de l'abonnement annuel à chacune des parties, zoologie ou botanique Paris : 30 francs. — Départements et Union postale : 32 francs. ANNALES DES SCIENCES GÉOLOGIQUES Dirigées, pour la partie géologique, par M. HégerT, et pour la partie paléontologique, par M. A. MiIzNE-Epwanps. Tomes I à XXII (1879 à 1891). Chaque vole eee Rene 45 {nr Cette publication est désormais confondue avec celle des Annales des Sciences naturelles. Prix des collections : PREMIÈRE SÉRIE (Zoologie et Botanique réunies), 30 vol. (are). DEUXIÈME SÉRIE (1834-1843). Chaque partie, 20 vol. 250 fr. TROISIÈME SÉRIE (1844-1853). Chaque partie, 20 vol. 250 fr. QUATRIÈME SÉRIE (4854-1863). Chaque partie, 20 vol. 250 fr. CINQUIÈME SÉRIE (1864-1873). Chaque partie, 20 vol. 250 fr. SIXIÈME SÉRIE (1874 à 1885). Chaque partie, 20 vol. 250 fr. SEPTIÈME SERIE (1885 à1894,. Chaque partie, 20 vol. 250fr. GÉOLOGIE, 22 volumes eme Re ee 330 fr. FRET ER À made LRQ ERA LA gi _ 79° ANNÉE. — VIII: SÉRIE T. XX. N“5 et 6. ANNALES DES SCIENCES NATURELLES ZOOLOGIE PALÉONTOLOGIE COMPRENANT L'ANATOMIE, LA PHYSIOLOGIE, LA CLASSIFICATION ET L'HISTOIRE NATURELLE DES ANIMAUX PUBLIÉES SOUS LA DIRECTION DE M. EDMOND PERRIER . TOME XX. — Xss5 et 6 PARIS MASSON ET C*, ÉDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE 120, BOULEVARD SAINT-GERMAIN (VIC) 1904 PARIS, 30 FR. — DÉPARTEMENTS ET ÉTRANGER, 32H. a \n / SP Ce cahier à été publié en avril 1908. RS , 1060 > AU, Les Annales des Sciences naturelles paraissent par dhiéraqhensaèls | E \ Qq L TZ LS Conditions de la publication des Annales des sciences naturelles HUITIÈME SÉRIE | BOTANIQUE Publiée sous la direction de M. Px. VAN TIEGHEM. L'abonnement est fait pour 2 volumes gr. in-8°, chacun d'environ 400 pages, avec les planches correspondant aux mémoires. Ces volumes paraissent en plusieurs fascicules dans l'intervalle d'une année. ZOOLOGIE Publiée sous la direction de M. EpmMonp PERRIER. L'abonnement est fait pour 2 volumes gr. in-8°, chacun d'environ 400 pages, avec les planches correspondant aux mémoires. Ces volumes paraissent en plusieurs fascicules dans l'intervalle d'une année. Prix de l’abonnement annuel à chacune des parties, zoologie ou botanique Paris : 30 francs. — Départements et Union postale : 32 francs, ANNALES DES SCIENCES GÉOLOGIQUES Dirigées, pour la partie géologique, par M. HéBerT, et pour la partie paléontologique, par M. A. Miie-Epwarps. Tomes I à XXII (1879 à 1891). Chaque volumes 22. Un 15 fr. Cette publication est désormais confondue avec celle des Annales des Sciences naturelles. Prix des collections : PREMIÈRE SÉRIE (Zoologie et Botanique réunies), 30 vol. (Aare). … DEUXIÈME SÉRIE (1834-1843). Chaque partie, 20 vol. 250 fr. TROISIÈME SÉRIE (1844-1853). Chaque partie, 20 vol. 9250 fr. QUATRIÈME SÉRIE (1854-1863). Chaque partie, 20 vol. 250 fr. CINQUIÈME SÉRIE (1864-1873). Chaque partie, 20 vol. 9250 fr. SIXIÈME SÉRIE (1874à 1885). Chaque partie, 20 vol. 9250 fr. SEPTIÈME SERIE (1885 à 1894. Chaque partie, 20 vol. 250 fr. GÉOLOGIE 2 V0 les Pere LL. ve PR 330 fr. MASSON ET C*, ÉDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE — 120, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, PARIS (VI°)e VIENT DE _ PARAITRE LA MONTAGNE PE et ses Éruptions PAR A. LACROIX Membre de l'Institut, professeur au Muséum d'Histoire naturelle Chef de la Mission scientifique de la Martinique. Ouvrage publié par l’Académie des Sciences, sous les auspices des Ministères de l’Instruction publique et des Colonies. Un volume grand in-4 de xxu-664 pages avec 238 figures dans le texte et 31 planches hors texte, en héliogravure et photocollographie................. .. 60 francs. L'ouvrage est divisé en trois parties. La première, et la plus importante, traite de toutes les questions qui se rattachent à la Physique du globe. L'histoire des éruptions volcaniques antérieurement constatées dans les Antilles sert d'introduction à l'étude des éruptions récentes de la Martinique et de Saint-Vincent. Deux phénomènes essentiels ont caractérisé celle de la Montagne Pelée, l'accumulation d’une masse énorme de lave andésilique et la production des nuées ardentes. Pour la première fois, il a été donné à des géologues d'assister à toutes les phases de l'édification de ce genre de montagne volcanique si fréquent cependant dans les volcans éteints, et que l’on appelle un dôme. Son histoire est faite jour par jour par l’auteur; ses principales étapes sont illustrées par de nombreuses figures (croquis et photographies) qui montrent en particulier les incessantes vicissitudes de l’aiguille qui en couronnait le faite. Les nuées ardentes, qui ont été l'agent destructeur des éruptions, constituent un phéno- mène jusqu'alors inconnu des géologues. Les planches donnent une idée saisissante de la erandeur de cette terrifiante manifestation volcanique. M. A. Lacroix a pu fixer par la photographie plusieurs nuées en marche, masse énorme de gaz, de vapeur et de matériaux solides à haute température, constituant un mur mouvant qui atteint rapidement plusieurs milliers de mètres de hauteur, en descendant les pentes de la montagne et en s’avançant à la surface de la mer avec une vitesse qui, dans les grandes éruptions, était de beaucoup supérieure à 30 mètres à la seconde. L'étude de ces nuées à permis de reconstituer ce qui s’est passé lors des grands paroxysmes et en particulier le sombre drame du 8 mai. Les phénomènes secondaires, nombreux et variés, enfin les phénomènes électriques, magnétiques, météorologiques consécutifs sont successivement passés en revue dans autant de chapitres où abondent les illustrations. La seconde partie est consacrée à l’étude détaillée des produits rejetés par le volcan. Enfin, la dernière partie est consacrée à un sujet d’un tout autre ordre : Saint-Pierre n’a pas été seulement renversée, elle a été en outre incendiée par le souffle brûlant de la nuée du 8 mai. Les matériaux de tout genre recueillis dans les ruines ont fourni des documents scientifiques d'un puissant intérêt à de nombreux égards. TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DANS CE CAHIER Recherches morphologiques, physiologiques et chimiques sur la matière colorante des Vanesses, par M"° la Comtesse M. Von LINDEN. Sur quelques formes d’Isopodes appartenant à la faune souterraine d'Europe, par MM. ADRIEN DoLLrus et ARMAND VIRÉ. Tables de la 8° série des Annales des Sciences naturelles, Zoologie. TABLE DES PLANCHES CONTENUES DANS CE CAHIER PL. VII à X. — Recherches sur un Cérianthaire pélagique. Pr. XI à XIII. — Matières colorantes des Vanesses. Pc. XIV et KV. — Sur quelques formes d’Isopodes. CorBeiz. — Imprimerie En. Créré. BeNoMS 7 TE VIENT DE PARAITRE : Du Moncéraphie se mb ce j'en 12 ou THÉCOSTRACES PAR A. GRUVEL Maître de Conférences de zoologie à la Faculté des Sciences (Université de Bordeaux). ns Préface de M. le Professeur BOUVIER Membre de l'Institut, professeur au Museum d'Histoire naturelle de Paris. 1 volume gr. in-8° de xvV1-472 pages, avec 427 figures dans le texte. 30 fr. é Le groupe des Cirrhipèdes a été, pendant longtemps, négligé des zoologistes. Ce sont, en effet, des animaux généralement petits, n'ayant pas une forme très atti- rante et que les amateurs dédai- gnaient le plus souvent étant donnée la difficulté même de leur détermination. Depuis un certain nombre d'an- ; nées, cependant, les grandes explorations sous-marines (Tra- DE vailleur, Talisman, Challenger, ; Princesse Alice, etc.) ont mis au jour des formes nouvelles, dont quelques-unes extrèmement cu- a rieuses. D’importants mémoires Roi ont été publiés, tant au point de vue systématique que sur l’ana- FiG. 88: — Sealpellum giganteum. A. Gruvel 1904. tomie et la biologie de ces ani- A droite la cuticule est en place; à gauche elle maux a été enlevée pour laïsser voir la “limite des 0 peurs ee L'histoire des mâles nains est LUE PANIRE certainement des plus intéressantes au simple point de vue Lee phique. Toutes ces recherches se trouvaient éparpillées dans de nombreux RÉCENTES PUBLICATIONS | 0 | Ve | Morphologie, Reproductions À se . Les Insectes ie WE Embryogénie. par L. FÉLIX HENNEGUY Professeur d'Embryogénie comparée au Collège de France. Leçons recueillies par A. LECAILLON et G. POIRAULT, docteurs és sciences. 1 vol. très gr. in-8° de xx-804 pages, avec 622 fiqures dans le texte el 4 planches en couleurs hors texte. 30 fr. a Les ouvrages dans lesquels les débutants en entomologie peuvent puiser les premières Éi notions générales indispensables à la connaissance de la constitution des Insectes, bien que nom- FRE ÿ breux, sont pour la plupart déjà anciens et écrits en langues étrangères. De plus, ils sont presque n tous incomplets. M. le professeur Henneguy ayant traité à différentes reprises de la reproduction et du développement des Insectes, a pensé qu'il pourrait être utile de réunir en un volume un certain nombre de ses leçons en y ajoutant quelques chapitres dans lesquels seraient résumés les traits principaux de l’organisation des Insectes. à Ce volume constitue donc une introduction aux études entomologiques. Il s'adresse aussi bien aux DUR Spécialistes qu’à tous les naturalistes qui veulent être au courant des travaux les plus récents sur : les modes de reproduction, le développement embryonnaire et les métamorphoses des Insectes. Fnrauns Après avoir, dans les quatre premiers chapitres, résumé l’état de nos connaissances sur la mor- phologie externe et interne des Insectes, l’auteur expose successivement les caractères sexuels secondaires : le dimorphisme, le polymorphisme, les divers modes de reproduction pathénogé- nésique, l’accouplement, la ponte des œufs, la formation de l'embryon et l’organogenèse, puis le développement post-embryonnaire, comprenant l'étude des larves, des nymphes et des phéno- mènes intimes de la métamorphose, histolyse et histogenèse. Les deux derniers chapitres sont à } consacrés à l'ovogenèse et à la spermatogenèse. Fa Controverses Transformistes À par ALFRED GIARD Professeur à la Sorbonne, membre de l'Institut. ADO RER MAUEC EMLOURESNE MONS TENUE MANETTES 4 Au moment où les doctrines transformites, si difficilement acceptées en France, ont fini par vaincre toutes les résistances du début, les fondements mêmes de cette théorie, la grande loi de la sélection naturelle et le principe des petites variations continues sont de nouveau mis en \ discussion par certains naturalistes. En Amérique surtout, une vive réaction contre les idées trop exclusives des néo-darwinistes a donné naissance à un mouvement néo-lamarkiste non moins . intransigeant. M. Alfred Giard, depuis plus de trente ans, a pris part à toutes les controverses relatives aux lois de l’évolution qui font l’objet de l’enseignement que lui a confié la Ville de Paris à la Sorbonne. Il a paru intéressant de réunir en un volume quelques-uns des écrits qu'il a publiés sur ce sujet; ils seront lus avec intérêt par tous les biologistes, par les philosophes, par tous ls ceux qui s'intéressent au mouvement des idées scientifiques dans le dernier quart du siècle. Physique du Globe et Météorologie par ALPHONSE BERGET, docteur ès sciences. Ke 1 volume in-8° avec 198 figures dans le texte et 14 cartes hors texte; GOULENLURENONNÉE pARAUR EAN EME NEA 57e Cet ouvrage est le résumé de l’enseignement que M. Berget fait depuis quatre années au laboratoire de géographie physique de la Sorbonne. Les astronomes et les physiciens y trouveront l'exposé des grandes questions de la physique du globe; ils y étudieront la masse et la forme de at la terre, ses mouvements, son magnétisme, les courants électriques qui la traversent; ils appren- Te dront quelles sont les fluctuations de ses latitudes, quelles sont les convulsions de son écorce. — à Les géographes y liront les lois qui régissent les mouvements des mers, les règles qui président FA S EES aux mouvements de la couche gazeuse qui forme l'atmosphère et dont les manifestations consti- tuent la climatologie, inséparable de la géographie. — Les marins y verront exposées, ayec une précision presque sans précédent, les lois de la circulation atmosphérique au-dessus des grandes à NE masses océaniques, la théorie des vents alizés, des moussons, celle des cyclones et même.les QE manœuvres à faire quand un navire se trouve pris dans un de ces redoutables météores. — Les È météorologistes, enfin, y trouveront les grandes lignes de la météorologie et ses lois générales. de 44 planches en couleurs, dont le dessin, aussi clair que le texte, le complète à merveille, accom- pagnent cet ouvrage. Paris. — L. MARETHEUX, imprimeur, {, rue Gassette — 8908. - MASSON ET C*', ÉDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE, 120, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, PARIS (6°) Vient de paraître LES INSECTE MORPHOLOGIE — REPRODUCTION EMBRYOGÉNIE PAR L.-F. HENNEGUY Professeur d'Embryogénie comparée au Collège de France. LEÇONS RECUEILLIES par À. LECAILLON et J. POIRAULT Docteurs ès Sciences. 1 volume grand in- 8° avec 622 figures en noir et 4 planches en couleurs honsterte ere eee Or rE Les ouvrages dans lesquels les débutants en entomologie peuvent puiser les premières notions générales indispensables à la connaissance de la cons- titution des Insectes, bien que nombreux, sont pour la plupart déjà anciens et écrits en langues étrangères. De plus, ils sont presque tous incomplets, certaines parties y étant exposées d’une manière insuffisante ou même n'y figu- rant pas du tout. M. le professeur Henneguy, ayant traité à différentes reprises, dans son cours du Collège de France, de la reproduction et du dévéloppement des Insectes, a pensé qu'il pourrait être utile de réunir en un volume un certain nombre de ses lecons en y ajoutant quelques chapitres dans lesquels seraient brièvement résumés les traits principaux de l’organisation des Insectes. Ce volume constitue donc, comme les ouvrages de Lacordaire, de Kolbe et de Packard, une introduction aux études entomologiques. Il s'adresse aussi bien aux spécialistes qu'à tous les naturalistes qui veulent être au courant des travaux les plus récents sur les modes de reproduction, le développement embryonnaire et les métamorphoses des Insectes. Après avoir, dans les quatre premiers chapitres, résumé l’état de nos con- naissances sur la morphologie externe et interne des Insectes, l’auteur expose” successivement les caractères sexuels secondaires : le dimorphisme, le poly- morphisme, les divers modes de reproduction pathénogenésique, l’accouple- ment, la ponte des œufs, la formation de l'embryon et l'organogenèse, puis le développement post-embryonnaire, comprenant l'étude des larves, des nymphes et des phénomènes intimes de la métamorphose, histolyse et histo- genèse. Les deux derniers chapitres sont consacrés à l’ovogenèse et à la super- matogenèse. TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DANS CE CAHIER Contribution à l'étude des hydroïdes (multiplication, régénéralion, greffes, variations), par ARMAND BILLARD, agrégé de l'Université, préparateur à la Faculté des Sciences de Paris (/in). Recherches sur un cérianthaire pélagique du golfe de Californie, par M. Ca. GRAVIER. TABLE DES PLANCHES CONTENUES DANS CE CAHIER PL. I à VI. — Contribution à l'étude des hydroïdes. Coreeiz. — Imprimerie En. Créré. MASSON ET C*, ÉDITEURS LIBRAIRES DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE, 120, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, PARIS (6°) Vient de paraître LES INSECTE MORPHOLOGIE — REPRODUCTION EMBRYOGÉNIE PAR L.-F. HENNEGUY Professeur d'Embryogénie comparée au Collège de France. LEÇONS RECUEILLIES par A. LECAILLON et J. POIRAULT Docteurs ès Sciences, 1 volume grand in- 8° avec 622 figures en noir et 4 planches en couleurs LOTS ETIENNE CS Or: Les ouvrages dans lesquels les débutants en entomologie peuvent puiser les premières notions générales indispensables à la connaissance de la cons- titution des Insectes, bien que nombreux, sont pour la plupart déjà anciens et écrits en langues étrangères. De plus, ils sont presque tous incomplets, certaines parties y étant exposées d’une manière insuffisante ou même n'y figu- rant pas du tout. M. le professeur Henneguy, Fo traité à différentes reprises, dans son cours du Collège de France, de la reproduction et du dévéloppement des Insectes, a pensé qu'il pourrait être utile de réunir en un volume un certain nombre de ses leçons en y ajoutant quelques chapitres dans lesquels seraient brièvement résumés les traits principaux de l’organisation des Insectes. Ce-volume constitue donc, comme les ouvrages de Lacordaire, de Kolbe et de Packard, une introduction aux études entomologiques. Il s'adresse aussi bien aux spécialistes qu'à tous les naturalistes qui veulent être au courant des travaux les plus récents sur les modes de reproduction, le développement embryonnaire et les métamorphoses des Insectes. Après avoir, dans les quatre premiers chapitres, résumé l’état de nos con- naissances sur la morphologie externe et interne des Insectes, l’auteur expose successivement les caractères sexuels secondaires : le dimorphisme, Ie poly- morphisme, les divers modes de reproduction pathénogenésique, l’accouple- ment, la ponte des œufs, la formation de l'embryon et l'organogenèse, puis le développement post-embryonnaire, comprenant l'étude des larves, des nymphes et des phénomènes intimes de la métamorphose, histolyse et histo- genèse. Les deux derniers chapitres sont consacrés à l’avogenèse et à la super- malogenèse. TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DANS CE CAHIER Contribution à l'étude des hydruïdes (multiplication, régénéralion, greffes, varialions), par ARMAND Bicrarp, agrégé de l'Université, préparateur à la Faculté des Sciences de Paris. en Corëerr. — Imprimerie En. Créré. OA CURE ri w NIAN INSTITUTION LIBRARIES nn 088 01354 1149