re rose en Pre : oo, La Ce ù à PR ee) A LL n LIN | ANNALES DES SCIENCES NATURELLES. ATLAS. # Su di 17e ln F4 ASC LT Elta 1 SCIENCES NATURELLES: Par MM. AUDOUIN, Ar. BRONGNIART er DUMAS. ANNÉE 1825. ATLAS DES TOMES 4, 5,6, Compreuaus 56 planche. PARIS, CHEZ BÉCHET JEUNE, LIBRAIRE DE L’ACADÉMIE ROYALE DE MÉDECINE , | PLACE DE L'ÉCOLE-DE-MÉDECINE, N° 4; CHEZ LEVRAULT, RUE DES FOSSÉS-MONSIEUR-LE-PRINCE, No 31; gr A STRASBOURG, nue pes Juirs, n° 33, uit) PATRON Lo LS 21 10) RATE, ME | gs ME buy a ic Puis t6HT) ib à rage, dis #6 ip “ne Eyes ARE jt +) rar ee BF ar. {t Fe qui: te A) ta HA 4 poite à j11 Fi D» au bu À. ml) à QE He Etatomoex Hey Ë 50 za De ME ee i > on st }2 1018 HR Pr. TABLE DES PLANCHES COMPRISES DANS LES TOMES 4, 5,6, PAR ORDRE DE NUMÉROS. TOME QUATRIÈME. . Icripes ALBIFRONS, nouveau genre dé Mammifères, . Végétaux fossiles du terrain houiller , appartenant au genre SIGILLAIRE. . ARENARIA TETRAQUETRA , Var. « Wruflora. . ÂRENARIA TETRAQUETRA , Var. 8 aggregala. . Organes de la digestion de l'Anrarisus ALBINUS (fig. 1), du Luxus anGusrarus (fig. 2, 3,4, 5 et 6), du. Towcus ryrocrarmious (fig. 7), du Bosrricaus ca- PUOINUS (fig. 8), de l'Urriora FLavires (fig. 0). . Organes de la digestion du Prionus corranus (fig. 1), du Pronus raser (fig. >), du Lamra rexron (fig. 3), du Cerammix moscnarus (fig. 4), de l'Hamaricar- RUS CERDO (fig. 5). L . Organes de la digestion du Cariorum Basuzus (fig. 1), de la Leprura xastara (fig. 2), du Cmocens MEr- niGerA (fig. 3, 4, 5, G), de la DoxacrA sIMPLEx (fig. 7), de la Donacra niscoror (fig. 8). . Organes de la digestion de la Cassipa vimnis (fig. 1), de la Tiwarcxa TenresmcosA (fig. 2,3), de la Gar- LERUCA LUSITANICA (fig. 4 et 5), de la Garreruca TANACETI (fig. 6), de la CocciNELLA SEPTEM-PUNCTATA (fig. 7 et 8), de la Cocanezra arGus (fig. 0). 6 Pr: 10. TABLE . Lawanaires des côtes de France et de Terre-Neuve. Développement des œufs de Sangsues. . Végétaux fossiles de Hoer en Scanie; Firicites ME- NISCIOIDES. . Végétaux fossiles de Hoer en Scanie. Fig. 1. Fruits L NiLsONrANA 5 fig. ». Firicires AGArDHIANA; fig. 3. Nirsonia ELONGATA ; fig. 4 et 5. NicsoniA BREVIS; fig. G. NisONIA ÆQUALIS ; fig. 7. PreropayLiun masus ; fig. 8. PreropayzLum miNus. | . Organisation de la fleur et formation de l'embryon dans les Graminées. . Formation de l'Embryon dans les Graminées. . Coupe idéale représentant les points culminans et les hauteurs moyennes des chaînes principales d'Eu- rope, d'Amérique et d'Asie. Encornet des pêcheurs (Lorico riscaronum, La Pyl.). . Carte et coupes représentant la disposition des terrains composant la formation Oolitique dans le comité d'Oxford, en Angleterre, et dans le nord-ouest de la France, entre Bellesme et Alençon. . Corps organisés fossiles de Stonesfield , près Oxford. . Végétaux fossiles de l'Oolite à Fougères de Mamers. . Caractères servant de base à la classification des Gra- minées, par M. Raspail. . Monstre humain du genre Aspazasome de M. Geoffroy Saint-Hilaire. SJ DES PLANCHES. . TOME CINQUIÈME. PL. 1. Caramyrnorus rruxcatus, Harlan; de grandeur natu- relle, avec détails. 2. Flore des îles Malouines. Fig. 1. Orrorozus o8rus- ANGULUS , Gaud.; fig. 2. CALTIXENE MARGINATA, Commers.; fig. 3. Nanonra muscosa , Gærtn.; fig. 4. Veromoa pecussarA, Willd.; fig. 5. Myrrus nu- MULARIA, Lamk. 3. Flore des îles Malouines. Fig. 1: AZORELLA LYcopo- piones , Gaud.; fig. 2. Borax GLesanra, Commers.; fig. 3. Nassauvia Gaunicnaupur, Cass.; fig. 4. Orr- GOSPORUS EMARGINATUS, Gaud. 4. Anatomie des Cicazes. Fig. 1,2, 3, 6, 7, 8. Cicapa onni; fig. 4. Gercoris spumartA ; fig. 5. LEnra au- RITA. 5. Prerocines rossires. Fig. 1. PrerocerA ponT1, Brong.; fig. 2. Prerocera terracera, Orb.; fig. 3. Jeune individu ? 6. Becs de Céraarorones et Naurize rossires. Fig. 1. Rayncoute GÉANTE; fig. 2. RHYNCOLITE MOUETTE; fig. 3. NauriLe GÉANT. 7. Psxcué et Cros. Fig. 1. Psyonr crosurosa, Rang.; fig. 2. Crio miqueconensis, Rang,; fig. 5. Czio ca- PENSIS , Rang. 8. Classification des Graminées. Fig. 1. Nasrus macro- sPermus, Rasp.; fig. 2. Z1ZaNIA suBriLis , Rasp. ; fig. 3. Nasrus viviparus , Rasp. ; fig. 4. Poa pur, Rasp. ; fig. 5. Pazeum erucomnes , Rasp. 8 TABLE: Pr. 9. Classification des Graminées. Fig. 1. ErïAGHNE capir- Lans, R. Browr; ; fig: 2 Enracawe cLauca, R. Brown; fig. 3. Axpropocon ALrissimus , Rasp. ; fig. 4. Pna- RUS LATIFOLUS, Rasp.; fig. 5: XEROCHLOA BARBATA, R. Brown. je real ‘ro. Classificätion des Graminées. Fig, : 1:: Bromus auricu- Lavus, Rasp! ; fig. 2. Rorrsorrcasror4 , Rottb. ; 0 fig) 3: Rorrorces raomeæ), Wild: fig. 4. ZA Mae, Linn.; fig. 5. Merica repexs;-Rasp.; fig. G. Mr- LICA AQUATICA, Rasp. 111 SENEGON DIFFICILE Sur DIFFICILIS , ann 19. Deynaria Einnær, Bory. : 13. DryNara WisrnENowWu, hou 1 pa 19 L 14. Drynama Gaupreuaupn, Bory. ‘TOME SIXIÈME. Pr... 1. Biphores.et Béroés. — Fig. 1,,.BéroË murricoRNE. — Fig. 2. BéroË ROSE, Fig, 3. BiPHORE ÉGHANCRÉ. — Fig. 4. Bwnore nexAGonE. — Fig: 5, 6. Birnore RHOMBOÏDE. — AS, 7. Bwuore GIBBEUX. — Fig. 8. BiPHORE TRICUSPIDE. — Fig. 9; 10. BIPHORE POLY- MORPHE. — Fig. 1. TINORIENNE TRIANGULAIRE 2. Mollusques et Zoophytes. 7 Fi ig. 1. . BORDÉ DE ROUGE. ee Fig. 3 : CHiovire à CADUCÉ. — Fig: 3,4. Cuionrre EN Fuseau. — Pig. 5. TRiPrËRE rose, — Fig. 6. Térracone Beczoni. — Fig. 7 ‘8. Cururire Bokbc. = Fig’ 9: Marina roue. 2 Fig 04 11. MoxoPHoRE RONDE. PURES 19°, r3: PorYroue Lama- NON! DeD 6 TAN YIV ed'8 AVI Cr 3. Organisation des’ ra Te pr a Î ess PE ot | DES PLANCHES. ÿ Organes générateurs mâles du CARABUS AURATUS (fig. 1), de l'Aprinus pisproson (fig. >), du ScariTEs pyRAc- mon (fig. 3), du Crivina arenaRna (fig. 4), du Caror- NIUS VELUTINUS (fig. >), du SPHOPRUS TERRIGOLA (fig. 6), du Prerosricnüs PARum-PUNCTATUS (fig. 7), du Harparus ruriconnis (fig. 8). Organes générateurs mâles du Dyniscus Rorsezn (fig. 1), du Drniscus suicarus (fig. >), du Gyrinus nararor (fig. 3), du Sraruxrinus oLExs (fig. 4), du Srapayrinus Ervraroptenus (fig. 5), du Srapuy- LINUS MAXILLOSUS ( fig. 6, 7), du STAPHYLINUS PUNC- rarissimus (fig. 8), du Porvenus mPamus (fig. 9), de l'Erarer murnus (fig. 10, 11, 12). Organes générateurs mâles du Trrepnorus Fuscus (fig: 1), du Crenvs arveanus (fig. 2, 3), du Sicpua opacA (fig. 4), du Sirrma osscurA (fig. 5, 6), de l'Hypropmius riceus (fig. 7, 8,9, 10). Organes générateurs mâles du Mrroronrna vurGaRIs (fig. 1), du Ceronra AurarA (fig. 2), du Lucanus Crrvus (fig. 3), du Pinerra 2-puncrara (fig. 4), de l’Asipa Gias (fig. 5 ). . Organes générateurs mâles du Bras Gicas (fig. 1,2, 3), du Texesno opscunes (fig. 4), du Draperis vioLACEA (fig. 5 ), de l'OEnruera cæruzrA (fig. 6), de l'Hecors cHatiBæus (fig. 5), de l'OEnewerA car- carATA (fig. 8), du Mycrérus curcULIOIDES ( fig. 9), du MyrAgnis MELANURA (fig. 10, 11), de la Zonrris PRÆUSTA (fig. 12, 13). . Organes générateurs mâles de l’AxraniBus ALBINUS (fig. 1), du Laixus axGusrarus ( fig. 2), du Bosrni- CHUS CAPUCINUS (fig. 3), du Prionus cortaRIus (fig. 4), de la Cassina vunis (fig. 5, 19), du Cerameix mos- 2 10 10. II. 18 19 EXPLICATION cuarus (fig. 6), de l'Hamaricuerus cerDo (fig. 7), de la DoxaciA simprex (fig. 8), de la Garrruca TANACETI (fig. 10), de la Gareruca Lustranica (fig. 11, 12 ), de la CoccnezLa arGus (fig. 13). Dents de l’Ieuanonon. : Comparaison des CrucrrÈres et des PArAvÉRACÉES. Fig. 1: GLauciuM LuTEUM; fig. 2. ARGEMONE MEXI- caNA ; fig. 3. Papaver Ruæas; fig. 4. Brassica curi- RANTHUS, SINNINGIA HELLERI, nouveau genre de la famille des Gessnériées. . Anatomie de l'Hippososque (Æippobosca equina). . Squelette de la tête du Mérou (Serranus gigas ): Pièces crâniennes de divers Poissons, du Mérou (fig. 1, 2), du Conere (fig. 3, 4, 5,6, 7,8), du FÉécaro {fg.,9,10, 11,22, 13, 14). . Développement de la Fécure dans les organes de la frucuüfication des Céréales. . Organes générateurs femelles du CaraBus AURATUS (fig. 1), du Carænius vrrurinus (fig. 2), du Spno- DRUS TERRICOLA (fig. 3), du Zasrus osrsus (fig. 4), du Dyriscus marGinaLis (fig. 5, G), du Srapayzinus oLens (fig. 9), de l’Ecater murinus (fig. 8, 9), de l'Ecarer Gi vELLUS (fig. 10). . Organes générateurs femelles du Lxcus RurIPENNIS (Hg. 1), du Hisrer suarus (fig.,2), du Crerus ALvEARIUS (fig. 3), du Taywarus Limparus (fig. 4), de l’'Hyprorayzus riceus (fig.:5, 6, 7, 8), du Mr- LOLONTHA VULGARIS (fig. Oo), du Lucanus cervus (fig. 10). . Organes générateurs femelles du BLaps GrGas (fig. 1,2), du BLars sims (fig. 3), de l'Hypopazæus casra- DES PLANCHES. NEus (fig. 4), du Mycrerus curcurioines (fig. 5), du Myrasrs mecanura (fig. 6) ,du Zoniris rnæusra (fig. 7)-« 20. Organes générateurs femelles du Laxus aNGusrarus (fig. 1, >), de l'Hamanicuænus neros (fig. 3, 4), de la Lama vexron (fig. 5), de la Cassipa virmis (fig. 6, 7 8, 9, 10), de la GarLErRucA Lusrramea (fig. 11). 21. Mormoryce Puyironrs de grandeur naturelle, 11 dr CTLPR aie cr el | (ORRR) Lv4 Ne û | A TABLE DES PLANCHES RELATIVES AUX TOMES A 90; PAR ORDRE DE MATIÈRES. PHYSIOLOGIE ET ANATOMIE ANIMALE. Consinérarions générales sur lu Monstruosité, et Description d'un Genre nouveau observé dans l'espèce humaine et nommé AsPALASOME ; par M. G£orrroy Sair-Hizaire. (T. IV, p. 451.) PL 21, fig. 1. Aspalasome de Dupont et son placenta. Fig, 2. Voies d'élimination abdominale dans l’'Aspalasome. Fig. 3. Les deux cœcum de l’Aspalasome. Fig. 4. Les deux cœcum d’un oiseau. Fig. 5. Voies d'élimination abdominale dans la taupe. Mémome sur la Structure et les Usages de lAppareil olfactif dans les Poissons , suivi de Considérations sur l'Olfaction dans les Animaux qui odorent dans l'air ; par M. Gsorrnoy Sant - Hiame. (T. VI, p- 322.) Oss. L'on voudra bien donner attention au procédé par le- quel je circonscris les os, qui, contournés et repliés, laissent leur pourtour indécis. use, à l'égard de ces os, qui ne sont point nettement circonscrits, de plusieurs lignes de rapport faites en points et allant converger les unes vers les autres. La lettre indicative est au centre de la réunion. J'emploie des lettres majuscules pour les os d’axe ou im- pairs, et de petites lettres pour les os pairs; j'indique le. côté gauche ou le côté droit par un arc de parenthèse en avant ou en arrière, les bras de l’arc enveloppant la lettre en partie. Je donne aux os impairs, formant le noyau des sept vertèbres crâniennes , les désignations suivantes : 16 PHYSIOLOGIE A, protosphénal; B, rhinosphénal, C, ethmosphénal ; D, ën- tosphénal ; Æ£, hyposphénal ; F", otosphénal ; G', basisphénal. (L'otosphénal et le basisphénal sont soudés dans les Pois- sons , et constituent ensemble l'occipital inférieur ou le bast- laire , ainsi annoté F.-G.) Les os pairs de la première vertèbre sont : rhinophysal, a; et- mophysal 4; adnasal, c; addental, d; — de la seconde : nasal , e; lacrymal /; adgustal, g; voméral , 2; — de la tror- sième : frontal , i; palpébral , /; adorbital , k; palatal , /; — de la quatrième : piéréal, m; ingrassial, #; jugal, o; hé- risséal p; — de la cinquième : pariétal , g; temporal , r; ser- rial, s; cotyléal, £; — de la sixième : interpariétal, u; ru- péal , #; tympanal , w; malléal x; et de la septième : suroc- cipital , y; ex-occipital, z; stapéal, À ; incéal, &. PL. 14. Tère osseuse du Mérou (Serranus gigas , Cuv.). Remarques spéciales pour la planche 14 et la planche 15, fig. x et 2. L’entosphénal D occupe le centre, et n'est visible dans la planche que par sa palette verticale. Le -cotyléal est en deux pièces, désignées et nommées comme il suit : épicoty léal, v, hypocoty léal, v’; le rupéal est aussi formé de deux pièces , ën- rupéal x’, et ex-rupéal vw”. Il en est ainsi du serrial , le ser- rial proprement dit s’, et l'uro-serrial s”. Le jugal est: partagé en quatre, cinq et six pièces, dont chacune prend les noms de la série numérique, primi-jugal, secundi-jugal,, terti-jugal, et les signes 1-0, 2-0, 3-0, etc. Notre Mérou n'a point d’ethmophysal, parce qu'il n'avait point été conservé lors de la formation du squelette. On y a suppléé pl. 15, fig. 14; enfin les chiffres r, 4 et 5 signalent les osextérieurement visibles de là mâchoire inférieure. ET ANATOMIE ANIMALE. 17 PI. 15. Pièces crâniennes de divers Poissons. Fig. 1. Crâne du Mérou vu en dessus. — Fig. 2. Zdem vu en dessous. Remarques spéciales. Le rhinosphénal 2 est soudé avec les deux voméraux 24. On donne généralement ces pièces sous le nom d’unique vomer. Pannes pu Coxcre, fig. 3,4,5,6, 7, 8: Fig. 3. Branchie olfactive ouverte. On s’est borné à fendre la partie supérieure (voyez fig. 4) entre les deux os, l’etmo- physal en dehors et le rhinophysal en dedans, les bords ayant été écartés. On voit le ligament longitudinal et médian, sur lequel les feuillets branchiques sont attachés par le côté intérieur; on a écarté quelques feuillets pour permettre à l'œil de remarquer la profondeur de la cavité. En X est le tube fendu; en Z les racines. de l’orifice d’entrée : les ouver- tures d'à côté sont celles des poches et sinus trachéens. Cette figure est de grandeur naturelle. Fig. 4. C'est l'extrémité du crâne , pour montrer l'ordonnance et la distribution des cornets supérieur et inférieur ou de l’eth- mophysal et du rhinophysal dans le Congre. Ces os ne sont point l’un au-dessus de l’autre , mais placés côte à côte, et formant le toit pour la cavité nasale subjacente. Le rhino- physal a forme une lame unie, copiée à part fig. 6; mais cette lame occupe le centre d’un cartilage très-dense , percé de très-petites fentes près de son bord extérieur ; les lames des branchies s'y insèrent et s’y attachent. L’ethmophysal 4 est lisse à sa face intérieure, et caverneux à celle de dehors : c'est dans les anfractuosités de cette pièce que le nerf nasal se répand , y étant baigné et protégé par un amas de parties muco-gélatineuses. 3 18 PHYSIOLOGIE Fig. 5. On a reporté à part le cartilage terminal 4, qui précède et qui se confond avec celui du rhinophysal , fig. 4. Quatre petits points osseux, que je regarde comme les osselets-prin- cipes des cycléaux ou corps vertébral , occupent d’une façon très-régulière le centre de ce cartilage : je donne à ces osse- lets le nom d'ostéaux. Quatre ostéaux composent un cycléal chez les Crustacés et chez les Insectes. Je ne puis aujourd'hui donner de développement à cette proposition. Fig. 6. Le rhinophysal a dépouillé de son cartilage. Fig. 7. Cartilage qui tent lieu du /acrymal f et du palatal 1. Fig. 8. Autre cartilage tenant lieu de l'addental d. Prices d’après le Fégaro , Sciæna aquila. Fig. 9. Nasal unique e, pris jusqu’à ce jour pour le corps eth- moïdal. Sa position et sa concentration en une masse ramassée reproduisent en ce lieu un fait que présentent aussi les Cé- tacés. Deux masses arrondies .et lisses, situées antérieure- ment, montrent que ce sont deux pièces accouplées et sou- dées. Fig. 10 et 11. C et C” représentent l'ethmosphénal ; € par- devant, et C” par Le flanc. Telle est la pièce grande , forte et importante par sa situation, qu'on avait jusqu’à ce jour né- gligée, à raison de son état cartilagineux. Les lacrymaux (fig. 12) en occupent les flancs : or, Les trois os que forment les lacrymaux et l’entosphénal au centre composent laivoñte antérieure de la boîte cérébrale. Fig. 12. Le lacrymal de droite f Fig. 13. Le rhinophysal a. L'une des deux pièces était soudée à l'adnasal , et sa congénère ne l'était pas dans le sujet de cette observation. Fig. 14. L'ethmophysal 4.,ILoffre.différens replis et anfractuo- sités. iihiétie ti avi ET ANATOMIE ANIMALE. 19 Ossenvarions sur la Disposition et le Développement des OEufs de plusieurs espèces ovipares appartenant au genre Hinuoo ; par M: Raver, D. M. ('T. IV, p. 184.) ; PL vo. Développement des œufs de sangsues. Hirudo vulgaris. Murrer. Fig. x et 2. Forme et dimensions naturelles des capsules des œufs de lÆirudo vulgaris de Muller. Fig. 3. Capsule des œufs, vue à la loupe, et dans laquelle les ovules ne sont pas encore visibles. Fig. 4. Autre capsule de l'Æirudo vulgaris, également vue à la loupe, et dans laquelle trois ovules sont visibles. Fig. 5. Capsule de l’Æirudo vulgaris, vue à la loupe, et con- tenant plusieurs ovules transformées en individus. Fig. 6. Semblable capsule, vue à la loupe, dans laquelle les pe- tites sangsues ont acquis le plus haut LsEdé de développe- ment de leur vie intra-capsulaire. Fig. 7. Aspect de l’Æirudo vulgaris, tès-grossie, au moment où elle vient de sortir de la capsule. Hirudo bioculata. Muzzer. Fig. 8. Capsule brunâtre de l’Hirudo bioculata de Muller. Elle est vue à la loupe. — Le trait au-dessus indique ses dimen- sions naturelles. Fig. 9: Hirudo bioculata, vueà la loupe. Elle était sortie depuis deux jours de la capsule. Sanguisuga oficinalisei Sanguisuga medicinalis. SAvicnr. Fig: 10, 11 et 12, Goeons.de sangsues grises et vertes, repré- sentésdans leurs-dimensions naturelles.La figure 11 montre deux petites Sangsues sortant par chaque extrémité du cocon. 20 PHYSIOLOGIE Fig. 13. Grosse extrémité de la capsule non encore recouverte par le tissu spongieux. Fig. 14. Aspect du tissu spongieux vu par la face i interne, de La membrane capsulaire. Fig. 15. Tissu spongieux vu à la loupe. Disiéies hexagonale manifeste. ; Fig. 16 et 17. Larve d’insecte diptère trouvée souvent dans le tissu spongieux, vue par les faces dorsale et abdominale. Fig. 18. Petite Sangsue grise sortie depuis deux jours de la cap- sule. Elle est vue à la loupe. — 18 a indique ses dimensions naturelles. Fig. 19. Petite Sangsue verte sortie depuis trois heures de la capsule. — 19 & indique ses dimensions naturelles. Fig. 20. Section d’un cocon vide, faite dans le sens de son petit diamètre : on aperçoit au centre le petit trou par lequel les Sangsues sortent de la’ cavité, et la disposition hesnédnale des fibres du tissu spongieux. Fig. 21. Section d’un autre cocon dans le même sens , mais au centre duquel existait la même cavité centrale beaucoup plus développée. Fig. 22. Section d’un cocon plein de mucus, suivant le même diamètre , indiquant l'épaisseur du tissu spongieux de la membrane capsulaire. Recuercnes anatomiques sur les Carabiques et sur plusieurs autrès Insectes coléoptères ; par M. Léon Durour, D. M. (Suite) (t. IV, p-103;t. V,p. 265; 1. VI, p. 150; idem, p. 428.) PI. 5. Organes digestifs. Fig. r. Appareil digestif fort grossi de l'Anræmus aLBrnus mâle. a, téte arrondie postérieurement; mais le bord supérieur de l'ouverture œsophagièenne est trilobé ,/caractère qui ne peut phagt ; qu ET ANATOMIE: ANIMALE. 21 être exprimédans la figure; labre demi-circulaire, cilié; man- dibules courtes, épaisses à leur base; 4, entricule chylifique précédé d’un, jabotifort court; cccc, vaisseaux hépatiques ; d, intestin grêle dégénérant insensiblement en cœcum;e, rec- tum; f, dernier segment dorsal de l'abdomen, marqué en.de- vant d’une gouttière longitudinale dans AE ÿ &,;une ligne élevée. Fig. 2. Appareil digestif fort grossi. du Lixus ANGUSTATUS. a, tête; bb, vaisseaux salivaires; c »@sophag ve; À, gésier; e, ven- LR. chylifique; ff, grands vaisseaux hépatiques, gg, petits vaisseaux hépatiques; h, intestin gréle; i, cœcum; j, Her k, dernier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 3. Portion considérablement grossie d’un vaisseau der e. Fig. 4. Surface interne considérablement grossie du gésier. Fig.5. Une des colonnes ou arêtes internes du gésier considé- rablement grossie, 4 Fig 6..Extrémité postérieure considérablement grossie du ven- tricule chylifique, vue en dessous pour mettre en évidénce le mode d'insertion des grands vaisseaux hépatiques. Fig. 7. Appareil digestif fort grossi du Tomicus rxPo6rApuus. a, tête; bord occipital trilobé; b, æsophage; c, sésier; d, ven- tricule chylifique; eeee, vaisseaux hépatiques ironqués; f, in- testin préle; g, cœcum; h, dernier segment dorsal de l’ab- domen. Fig: 8. Appareil dioeétif Dre grossi du Bosraicnus CAPUCINUS. a, tête ; bord occipital AGRES en apophyse; masse des an- tennes composée de quatre articles dont le dernier est tron- qué et échancré; b ,es0phage et jabot confondus ; G ventri- cule chyt ifique; pre | vaisseaux hépatiques; e, CœCUmM allongé précédé de l'intestin. grêle; ile draet eRpnent ea de l'ab- domen. Pat Fig. 9. Appareil digestif fort grossi ide V'Uimiors FLAVIFES mâle. 22 -PHYSIOLOGIE’ 2, tête} bord'octipital avec ‘une large échancrure ‘peu pro- ‘fonde; dont le forid estdroit ; yeurr insérés sur’les côtés d'une -protubérancé frontale; mandibules armées d'un: prolongement -corniforme; afiennes longues et vélues: 5h; jabot suivi du ven- ‘tricule ch jt ifique; ct, vaisseaux Hépétiuess d', intestin gréle “suivi d’ün cœcum; e, recttim; J; dérnier segment dorsal! de l'abdomen. PL 6. Organes: digestifs: Fig, 1. Appareil digesuf médiocrement grossi du PRIONUS coRIA- RIus mâle. c a, tête ; bord occipital trilobé; b, jabot; c, ventricule ckyl ifique; dd, vaisseaux. hépatiques; e, intestin grêle; f, cœcum; g, der- nier segment dorsal de l'abdomen. Fig..». Appareil digestif grossi du Pmonus FABER femelle. a, tête; bord Sc DES labre transversal, étroit, cilié ; b. jabot; c, ventricule chylifique; dddd, vaisseaux iliaires; e, intestin gréle ; f, portion granuleuse du gros intestin; g, C@œ- oum; h, rectum fort long; 7, portion tronquée des ovaires et glande sébacée; j, étui commun au rectum et à l’oviducte; k, uge cornée où se fixent des muscles destinés à l'extraction et à la rétraction de cet étui; /, dernier segment dorsal de l’ab- domen, sé Fig. 3. Appareil digestif grossi de la Lamra rexror femelle. a, bord occipital de Ja tête trilobé; b, jabot et æsophage; e, ventriculechylifique; dddd, Vaisseaux hépatiques tronqüés ; e,intestin gréle;.f, cœcum; g, rectum fort long, muni de deux brides musculeuses; 4, dernier segment dorsal de l abdomen. Fig. À. Appareil digestif grossi du Crraméyx moscarus femélle. a, fête à bord occipital trilobé; a, antennes tronquées ; b, ja- “bol; c, ventricule ch y li fiqu ique; PA vaisseaux hépatiques à iron- qués; €, intestin gréle; f, cœcum; ge! FEI. hi dernier : Fsegr ment dorsal de l'abdomen. ET ANATOMIE ANIMALE. : 23 Fig.5. Appareil digestif grosside FHamaricuenus cERpos à ra, tête Albord occipital légèrement xilobé; b, jabot précédé de l’æsophage; c, ventricule ckylfique; dddd, vaisseaux] 4é- * opatiques; e,miestin gréle; f, eæcum spi duirectum 3.8 der- »» mieñsegment dorsal, de, Tabdomen:, 90 brod Fort À ZM labo SE qu VRAIES AR ui A se leg Organes digèsti fe dt spa us vdi nerhtors Fig, a. Appareil. digesif ait, ani du Guttisé sis fe melle, :. 3 [ds 5bienos 4; bord ooipital de la tête MERE gi sjabots oivemricule chylifiques dddd, vaisseaux Aépatiques tronquésie; intéstin gréle; {, cœouim imtesuüniforme suiri-d'sn rectum fort.long; g, dernier segment dorsal de l’abdomen;;4,, étui\éducateur pour la ponte des œufs, terminé par deux appendices palpi- formes biarticulés: ya sous, 81 A Fig. 2. Appareil digestif fort grossi de la Lerrura nasrara mâle, as tête avec un co/ trilobé ; 2, ventricule .chytfique ; précédé d'un. jabot fort court; coco; vaisseaux hépatiques, ceux de la droite, tronqués;.d, intestin, gréle;, E ,Ç&ÇUM SG Es çourt rectums f, dérnier, segment dorsal del abdomen:.…. 1. Fig. 3. Appareil digestif fort grossi du Cocenis 1 MERS EU a, téle munie d'un, ço/ jarrondi;,à ;;ventricule .cLylifiquez ..cec, Vaisseaux /épatiques, les grands. tronqués , les petits en- üers; d, intestin gréle; e, PH Ur dernier FEBNETL dorsal de l'abdomen. Hot \t ) JO {14 Fi igs A Portion du ventricule chyliiqueconsidérablement gros- -_ sie pour mettre;en évidence, les papilles. 51 Fig. 5. Extrémité postérieure du ventricule chylifique,.vue par sa face inférieure, pour mettre en évidence les ;insertions ventriculaires des vaisseaux. hépatiques. Les plus. ends; de ceux-ci aboutissent à uné vésicule biligirent jun à ul 34 1 PHYSIOLOGIE ‘ Fig. 6. Portion antérieure du cœcum, vue par sa face inférieuré, pour méttré en évidence di insertions vies des vaisseaux hépatiques. 9 Fig. 7. Appareil digestif fort grossi del la DonaGrA sIMPLEX mb. a, tête; bord Smet légèrement trilobé; b, œsophage et jabot confondus; c, ventricule chylifique; dddd, vaisseaux hépatiques; e, intést gréle ; ‘suivi d’un cœcum peu marqué ; f, dernier segment dorsal de l’abdomen. Fig. 8. Pértion du tube alimentaire et vaisseaux hépatiques considérablement grossis de la DonacrA piscoLor! a, portion postérieure du ventricule chylifique, vue par sa face iférieure; b, vésicule biliaire des plus longs vaisseaux hépatiques; ce , vaisseaux RE CS intestiniformes et flot- tans; d, intestin cn PL 8. Organes digestifs. APE NE Fig 1° Appareil digestif foi grossi de la Cassina vrrinis femelle. a , tête carrée, déprimée; b, , jabot suivi du ventricule ckyl- gb cecce, vaisseaux hépatiques; d, cœcum précédé de l'in- testin grélé; e, die f3; derniers segmens dorsaux de l’ab- L domen: Fig. >. Appareil digestif es grossi de la TiMARCHA TENEBRICOSA. a, tête; bord occipital \égèrement trilobé, labre transversal, ‘coriace, échancré ; mandibules courtes, ishtistes) creusées en gouttière, édentées; b, Jjabot ; ce, ventricule cy4 sfiques déldit> vaisseaux hépatiques; e, intéstin gréle; f, cœcum suivi d'un rectum bien marqué; ge, ligamens musculeux; #4, der- nier segriient dorsal de l'abdomen. "1j ( Fi 18. 3: Extrémité postérieure “considérablement grossie du ven- ‘aricülé chylifique, vue en dessous pt mettre en rec les insertions des’vaisseaux hépatiques. ! JU ET ANATOMIE ANIMALE. 25 Fig. 4 Appareil digestif fort grossi de la GALLERUCA LUSITANICA. a, tête ; bord occipital trilobé; antennes de douze articles , dont le dernier beaucoup plus petit, en quelque sorte rudi- mentaire; labre échancré ;,cilié; mandibules pointues avec une petite dent obtuse au-dessous de leur pointe; palpes maxillaires à articles assez gros, conoïdes; le dernier petit, pointu ; enchatonné;, b, jabot ; 6, ventricule chylifique ; dd, grands vaisseaux hépatiques; ee, petits vaisseaux hépatiques; » fsintestin gréle; g,.cœcum; h, dernier segment dorsal de l’ab- domen. Fig: 5. Portion très-grossie du tube alimentaire vue par-dessous, pour mettre en évidence les insertions des vaisseaux hépa- tiques. Fig..6. Appareil digestif fort grossi de la GALLERUCA TANAGETI mâle. _a , téte ; dernier article des antennes pointu; chaperon trans- verse, étroit; /abre échancré, cilié; palpes comme dans l’es- pèce précédente; b, 7abot; c, ventricule cLy Ufique; dd, grands vaisseaux. Lépatiques;e, pelits vaisseaux Aépatiques; Ÿ, cœcum précédé de l'intestin gréle, et suivi du rectum; g, dernier seg- ment dorsal de l’abdomen. Fig. 7. Appareil digestif fort grossi de la CoccinezLA seprem- » HPUNCTATA ; a, Léte; bb, vaisseaux salivaires; c ; Lee au chylifique pré- cédé du jabot; dd, vaisseaux hépatiques; e, intestin gréle; f.cœcum suivi. du,rectum; g, dernier segment dorsal de l’ab- domen. Fig, 8. Portion considérablement grossie d’un vaisseau salivaire. Fig. 9. Appareil digestif fort grossi de la CocciNELLA ARGUS. a, téte; bordoccipital trilobé, lobe intermédiaire plus. petit; -vlabre arrondi, cilié; D; ventricule|c/ y lifique précédé du jabot; cecc, Vaisseaux hépatiques tronqués; d, cœçum précédé ;de 4 j6 OI pHYsIOLOGE" / Fintestin grêle, ét’ ‘suivi du Féctas e, hit dorl saux k. Pabloen: nodin bcdoltes Anisioot Dont abs 0e Ï d'raimiohb of io PSI PI. 4 Qu vie srcurv érrs strrai En todtébratntsqremn Fig. 1. 1aipalesl céñiératéf® mâle gross du: Ph AURATUSL a, \estièuless lé aissenu spéFmatiqué dücôté droit déroulé; ph > vésicules Séminales ; ©, conduit. éjaculäteur ; ‘dyinuscles de dl base de l'armiure dé la verge; ejeette: dernièré;f, ès ou verge. crôrLof Fig. 3. Appareil si nasbt ses Fons he dé F Armes pié- ] }1 7 { EAP at (ANTOINE 'PLOSOR aa, testicules; bb, sde précédés et suivis des canaux déféréhs c, vésicules séminales suivies du conduit éjaèula- teur; à , armure copulatrice ; e ; verge. OPA Fig. 3. ‘Appareil PRE ie male fort ee du Soanrres. Py- KAÂCMON. sé c À ad testicules recouverts delà tmique vga b: sépididymes et canaux déférens ; ce , vésicules séminales suivies ‘du con- duit éjaculateir; à, ärmire éopulatricé. 0 Fig. 4. Appas eil Sa mâle fort grossi de la CiiviNA AnE- Red TR AUDOU HE SD Tee nsqhé sp TL aa , testicules : celui de la droite est en grande partie aééarvu de la tunique vaginale, afin’ de mettre eñ’évidence les replis du vaisseau spermatiques ce, canaux déférens; à ; vésicules “sénimaléss e; ébnduit éjaculateur; f) armure copulatrice; | Tte [FAX VET, ge. S> Fig. 5. À! àrèil générateur mâle fort srossi de arr vE- pparéil R gi Romus mun00.) 2 1oblesrg ol d i hi aa , testicules; b, épididyries et canaux déférens: c pales osémuinales suiviés du “conduit Ar on d' armure copula- ebypices “ VéPEE. Dogebs pates MEANS 7e A LOIS ET ANATOMIE ANIMALE. ts Æig..6: Appareil générateur mâle fort grossi du Feel TERRI- COLA. aa, testicules; bb ;\épididymes;.c:, vésicules séminales suivies - ,du conduit éjaculateur; d , armure copulatrice; e , verge: Fig. 7. Appareil générateur mâle fort grossi du Prenosmicnus MI PARUM-PUNCTADUS, 2101 96e “ion aa, testicules confluens avec les ais mes et suivis des ca- ‘maux déférens; bbl; vésicules séminales suivies du eontluit 1 éjaculateurÿ:c, faisceau musculairé; d , armure FER ress e, fourreau de à verge ; f, pénis Fig:8.: Appareil générateur mâle fortigrossi du Hanrazus rért- CORNIS. OHHL AI 2h asrtesticulé commun; b; épididyme commun: ce; canaux de- -s férens; dd , vésicules séminales; e; conduit éjaculeieurs f ; ar- mure FREE, g, Jour reau de la verge et pénis. il EUR i aie 5. Organes générateurs. Fig. 1. ne générateur mâle grossi du Dyriscus Rorsezir. aa, testicules; bb,épididymeset canaux déférens; ce, vési- cules séminales; di, mt ans e , armuye copula- trice. Fig 2: Appareil génératéer mâle fort grossi #14 Drrisous SUL- drstmAUS pobpinimon brio : \ ) aa , testicules; bb, épididy mes et canaux déad ce ; Vési- - culessémirales suivies du conduit éjaculateur; à; armure co- pulatrice fort: grosse et compliquée, munie à sa base de -: nyséles, robustes et nombreux ; €, lei lle sort. dun fourreaubilabié, 3, 5 au 0 Fig. 3-Appareilgénératew mâle fon murs Ali DU TOR rr or aa, testicules; Fraiponne ce Héfénenss ce, wésicules séminales «files du ,çonduit éjaculateurs à, arnvune éopulatiice. 28 : / A PHYSIOLOGIE ‘ Fig. 4. Appareil générateur mâle, fort grossi du Srépayzinus OLENS, aa, testicules suivis des canaux déférens; b, deux paires de vésicules séminales; c; conduit éjaculateur; d, armure :co- pulatrice. Fig. 5. Appareil NE mâle fort grossi du Ésinté ERYTHROPTERUS. a, testicules; bb, canaux déférens; cc, deux paires de vésicules séminales; d, conduit éjaculateur; e, soie élastique; f, ar- mure copulatrice; g, verge. Fig. 6. Appareil générateur mâle fort grossi du Srapayrinus MAXILLOSUS. aa, testicules suivis des canaux déférenss b; deux paires de vésicules séminales; c, conduit éjaculateur; d, armure copu- latrice. | Fig. 7. Grappe d’utricules spermatiques considérablement grossie, renfermée dans le testicule du StaPHYLINUS MAXIL- LOSUS. a, utricules; b, pese: du canal déférent. Fig. 8. Appareil générateur mâle fort grossi, du Srapmyrinus PUNOTATISSIMUS. aa, testicules suivis des canaux déférens; bb, deux paires de vésicules séminales; c, conduit éjaculateur; e, verge sortant - de l’armure copulatrice. Fig, 9. Appareil générateur mâle fort grossi du Porpervus riPa- RIUS. | äa, testicules suivis des canaux déférens renflés; 8b, trois paires de vésicules séminales; c, conduit éjaculataur Fig. 10. Appareil générateur mâle fort grossi de l'Erarer mu- RINUS. aa, testicules; bb, canaux déférens; ce; première paire. de vésicules séminales contournées et divisées; on voit au-dessous ET ANATOMIE ANIMALE. 26 : Ja séconde paire de wésicules séminales, qui est simple , al- longée et en massue; ecee, troisième paire de vésicules sémi- nales; f, conduit éjaculateur; g, armure de la verge. Fig. 12. Un groupe de capsules spermatiques du testicule consi- dérablement grossies. | Fig: 12. Portion du même appareil vu en dessous et considéra- blement grossi. } a, vésicule principale, avec son extrémité contournée et divisée en deux cornes ; b, seconde vésicule; c, troisième vésicule; d, portion du conduit éjaculateur; e, portion du canal défé- rent. PI. G. Organes générateurs. Fig. 1. Appareil générateur mâle fort grossi du Terepnorus FUSCUS. aa, testicules; bb , canaux déférens; ecc, trois paires de vésr- cules séminales ; d, eonduit éjaculateur ; e, armure copula- trice. Fig. 2. Appareil générateur mâle fort grossi du Crenus ALvrA- RIUS. aa, testicules suivis des canaux déférens; bbbb, quatre paires de vésicules séminales; c, conduit éjaculateur; 4, armure co- pulatrice; e, base charnue de l’armure; f, fourreau de la verge. Fig. 3. Faisceau d’utrieules spermatiques constituant le testicule. Fig. 4. Appareil générateur mâle fort grossi du Srrrra opaca. aa, testicules et canaux déférens; bbbb, deux paires de vési- cules séminales; ©; conduit éjaculateur; 4, armure copula- trice; e, verge où son fourreau. Fig. 5. Appareil générateur mâle fort grossi du Sizpra osscura. aa , testieules et canaux déférens; bb, deux paires de vésicules séminales ; c ; conduit éjaculateur ; d, base charnue de l'ar: mure copulatrice; e, cette dernière. 30 ‘PHYSIOLOGIE F Fig. 6. Structure intérieure considérablement grossie du testicule de ce même SicpnA. ) Fig. 7. Appareil générateur mâle grossi de l'Hrpropmicus Preeus. aa, testicules; bb, canaux déférens ; cc, vésicules séminales principales ; dd, autres vésicules singulières; ecee, autres vé- sicules séminales; f, conduit éjaculateur; g, armure copula- trice de la verge. Fig. 8. Portion considérablement grossie de cet appareil cn rateur mâle vu par-dessous. aa, portion tronquée des vésicules séminales principales ; bb, portion tronquée de la troisième paire de ces vésicules ; cc, la plus courte branche de celles-ci; dd, renflemens ovoides des canaux déférens; e, rénflement du conduit éjaculateur.. Fig. o. Testicule de l'Hyprormze considérablement grossi et dépouillé de sa tunique externe. Fig. 10. Un faisceau isolé et considérablement grossi des cap- sules spermatiques du testicule. PI. 7. Organes générateurs. Fig. 1. Appareil générateur mâle fort grossi du Mapoyonre VULGARIS. & ; aa, testicules formés chacun par six capsules spermatiques pé- aailass bb, canaux déférens; ec, vésicules séminales ; dd, conduits renflés de celles-ci; g, conduit.éyaculateur;h, ar- mure copulatrice. Fig. 2. Appareil générateur mâle grossi de la Ceronra AuraraA. aa, testicules formés chacun de douze capsules spermatiques ; bb, canaux déférens; ce, vésicules séminales ; dd, antres: e, autres; f; conduit éjaculateur; g ;armure copulatrice. Fig. 3. Appareil générateur mâle grossi du Lucanus ckrvus. aa, testicules; bb, canaux déférenss cs vésicules séminales; ET ANATOMIE ANIMALE. 31 od,voonduit éjaculateur;e, cœcurn ; À, arniure copulatrice ; g, verge; hh, deux nerfs. Fi si AApphèes géné mâle fort grossi du Prmerra 2-puxc- DATA) LD ON L aa , testicules; bb ; Canaux ane cecc, deux paires de vé- _sicules sénunales; f, armure copulatrice insérée à l'extrémité d'un long canal flexueux , qui est le conduit éjaculateur ; 8 Verge terminée par un gland. Fig. 5, Appareil générateur mâle fort grossi de l'Asina créas. aa , testicules avec. leurs canaux déférens; bb, deux paires de | vésicules sémünales; c, conduit éjaculateur. PL 8, Organes générateurs. Fig. 1. Appareil générateur mâle grossi du BLaps gras. aa , testicules avec leurs canaux déférens'; b bc, deux paires de vésicules séminales; d, conduit éjaçulateur; e , armure co- pulatrice; {, verge. | Fig. 2. Portion de ce même appareil vu par-dessous ponr mettre en. évidence le mode de:connexion des vésieules sémi- nales. ip aa, vésicules séminales principales , contournées en crosse ; bb, autres vésicules filiformes; ee, canaux déférens ibn chant vèrs le milieu de ces dernières; d, conduit éjaculateur; e , testicule. Fig. 3. Capsules spermatiques considérablement: grossies , et dont l agglomération constitue le testicule. Fig. 4. Appareil générateur mâle fort grossi du TENEERIO oBscu- RUS. aa , testicules avec leurs canaux déférens; b, vésicules sémi- nales principales; cc, autres ; d, conduit éjaculateur; e , ar- mure copulatrice. | 32 PHYSIOLOGIE Fig. 5. Appareil générateur mâle fort grossiide la Draperis vio- LACEFA. aa, testicules avec leurs canaux déférens; bb, vésicules sémi- nales principales; ce, autres; d, conduit éjaculateur; e, ar- mure copulatrice. Fig. 6. Appareil générateur mâle fort grossi de l'OEnEmERA cÆ- RULEA. aa , testicules avec leurs canaux déférens; bbbbbb, trois paires de wésicules séminales; c, conduit éjaculateur ; d, rectum et portion du cœcum; e , armure copulatrice. Fig. 7. Appareil générateur mâle fort grossi de Poe CHALI- BÆUS, aa , testicules formés par l’agglomération de six capsules sémi- nales , grosses et arrondies ; bb, canaux déférens flexueux , plus ou moïns boursouflés; éc, vésicules séminales au nombre de deux paîres , dont l’une , renflée à sa base en une grande vessie sphéroïde, se termine par un court tube flottant; dont l’autre, semblable à ce dernier, est collée contre les pre- mières ; d, conduit éjaculateur flexueux ; long, filiforme; e, ar- - mure copulatrice en forme d'étui arqué, brun, corné, arti- culée à son tiers antérieur, et dont la pointe ; légèrement spa- tulée, est armée, sur ses côtés, de piquans microscopiques dirigés en arrière. Fig. 8. Appareil générateur mâle fort grossi de l'OEnEmERA caAL- CARATA, a: aa, testicules avec leurs canaux déférens ; b, deux paires de vésicules séminales; c, conduit éjaculateur; d, rectum « et Bôr: tion du cœcum; e, armure copulatrice. Fig. 0. Appareil générateur mâle fort grossi du Mxcrenus CUR- CULIOIDES. da, testicules avec leurs canaux déférèns renllé : à leur i inser: ET ANATOMIE ANIMALE. 33 üon aux vésicules; #b, deux paires de vésicules séminales ; c, conduit éjaculateur; d, armure copulatrice. Fig. 10. Appareil générateur mâle fort grossi du MyLaBriS ME- LANURA. ‘ aa, testicules avec leurs canaux déférens : celui du côté gauche en partie ouvert pour mettre en évidence sa texture capsu- laire; bbbb, quatre paires de vésicules séminales; c, conduit éjaculateur; d, armure copulatrice. Fig. 11. Portion de l’armure copulatrice considérablement grossie et vue de côté pour mettre en évidence les crochets et le fourreau de la verge. Fig. 12. Appareil générateur mâle fort grossi de la Zoniris PRÆUSTA. aa, testicules avec leurs canaux déférens; b c c, trois paires de wésicules séminales; d, conduit éjaculateur; e, armure co- pulatrice et verge ; f, pièce cornée fixée à la base de Far- mure. Fig. 13. Portion de cet appareil considérablement grossie, et vue par sa face inférieure, pour mettre en évidence le mode de connexion des vésicules séminales, soit entre elles, soit avec les canaux déférens, soit avec le conduit éjacu- lateur. PT. 9; (T. VI) Organes générateurs. Fig. 1. Appareil générateur mâle fort grossi de l'AnraniBus AL- BINUS. aa , testicules formés chacun de deux capsules spermatiques ; bb, canaux déférens renflés à leur origine; ce, une paire de vésicules séminales; d, conduit éjaculateur ; e, une anse de ce même conduit; f, armure copulatrice. Fig. 2. Appareil générateur mâle fort grossi du Lixus anGus- TATUS. ; 5 34 PHYSIOLOGIE aa, Lesticules Vus par-dessus et par-dessous pour mettre en évidence le mode d'insertion des pédicelles propres; 82h, deux paires de vésicules séminales avec les’ canaux déférens ; c, conduit éjaculateur; 4, armure copulatrice. Fig. 3. Appareil générateur mâle fort grossi du Bosrrionus ca- PÉCINUS. aa, testicules avec leurs canaux déférens ; b', deux pairés de vésicules séminales ; c, conduit éjaculateur ; d', dernier seg- ment dorsal de l'abdomen. Fig. 4. Appareil générateur mâle fort grossi du Prionvs contA- RIUS. aa, lesticules; bb, canaux déférens; ce, deux pairés de vési- cules spermatiques; d, conduit éjaculateur; e, anse de ce con- duit ; f, armure copulatrice; g, verge. Fig. 5. Portion considérablement grossie du conduit éjaculateur de la Cassrna virinis (voy. fig: 6), pour mettre en évi- dence le tube inclus. Fig. 6. Appareil.générateur mâle fort grossi du CrramBix mos- CHATUS. Le aa, testicules avec leurs canaux déférens ; b, paquet inextri- cable des vésicules séminales; c, un rameau détaché de celles-ci; d, conduit éjaculateur; e, anse de ce conduit; f; ar- mure rte g, Verge. Fig. 7: Appareil générateur mâle fort grossi de l'HamaricHerus CERDO. aa, testicules; bb, canaux déférens ; c, deux paires d Vési- na séminales; d, conduit éjaculateur;.e, anse de ce conduit ; f, armure copulatrice. Fig. 8. Appareil Senies mâle fort Ée de la Doxacia olsitertex ob idedi500b ed à aa, testicules avec leurs canaux nes bb, deux paires de ET ANATOMIE ANIMALE. 35 ésicules séminales; c, conduit éjaculateur ; 4, armure copu- latrice et verge. | Fig. 9. Appareil générateur mâle fort grossi de la Cassra vi- RIDIS. aa, testicules; bb, peut - être des vésicules séminales , suivies des canaux déférens; c, conduit éjaculateur; 4, armure copu- latrice; e, verge. (Voyez la figure 5 pour une portion consi- dérablement grossie du conduit éjaculateur , faisant voir le tube inclus. ) Fig. 10. Appareil générateur mâle fort grossi de la GazrEruca TANACETI. a, testicules confondus en une seule masse, avec leurs canaux déférens ; bb, une paire de vésicules séminales; ec , conduit éjaculateur; 4, armure copulatrice ex fourreau de la verge. Fig. 11. Appareil générateur mâle fort grossi de la GazLEruca |! EUSITANICA. a, testicules confondus en un seul globe, avec leurs canaux défërens; bb, une paire de vésicules séminales; c, conduit éja- culateur; à, armure copulatrice; e, fourreau et verge. Fig. 12. Un des testicules vu isolément , et considérablement grossi. Fig. 13. Appareil générateur mâle fort grossi de la Coccixezra ARGUS. | aa, testicules avec leurs canaux déférens ; bb, une paire de -veésicules séminales; c, conduit éjaculateur, bulbeux à son origine; d, armure copulatrice. PL {LU ME) Organes générateurs. F ig. r' Appareil générateur femelle grossi du CarABuS AurATUS. à b, ovaires; b , gaînes ovigtres dépouillées de leur enveloppe commune; cc, calices des ovaires; d, ligament suspenseur 36 PHYSIOLOGIE des ovaires; e, réservoir de la glande sébacée de Voviducte ; f, vaisseau sécréteur de cette glande ; gg, appareil des sécré- tions excrémentitielles; h, cœcum et rectum; 1, crochets vul- vaires et derniers segmens dorsaux de l'abdomen. Fig. 2. Appareil générateur femelle fort grossi du CuzÆnivs ve- Fi LUTINUS. aa , ovaires ; b, oviducte; c, glande sébacée de Poviducte, in- complète; d, dernier segment dorsal et crochets vulvaires. g. 3. Appareil générateur femelle fort grossi du SPHoDRUS TER- RICOLA. aa, ovaires avec leurs calices; b, oviducte; c, glande sébacée de loviducte; d, cœcum et rectum; e, dernier segment dorsal de l'abdomen et crochets vulvaires. Fig. 4. Appareil générateur femelle fort grossi du Zaprus OBESUS. aa, ovaires; b, vaisseau sécréteur de la glande sébacée; c , ré- servoir de cette glande; d, cœcum et rectum; e, dernier seg- ment dorsal de l'abdomen et crochets vulvarres. Fig. 5. Appareil générateur femelle grossi du Dyriscus marer- NALIS. a, ovaires; b, gaîne ovigéreisolée; c, glande sébacée de Vovi- ducte; d, opiducte ; ee, appareil des sécrétions excrémenti- tielles;f, vessie natatoïre et rectum; g, dernier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 6. Oviscapte. Fig. 7. Appareil générateur femelle fort grossi du SrapayLiNnus OLENS. aa, ovaires ; bb, calices; c, sac intermédiaire ; d, oviducte ; e, glande sébacée de Voviducte; f, cœcum et rectum; g, der- nier segment de l'abdomen et appendices. Fig. 8. Appareil générateur femelle fort grossi de l'ELATER mu- RINUS. ET ANATOMIE ANIMALE. 3» a, un opaire à térme, composé de deux calices et de gaines oviceres biloculaires; b, portion tronquée du calice de l’autre ovairé; cc, apparéil sécréteur de la glande sébacée de V'ovi- ducte ; d, oviducte; e, cœcum et rectum >: /; dernier segment dorsal de l'abdomen et crochets vulvaires. Fig. 9. Portion considérablement grossie de l'appareil sécréteur de la glande sébacée de l’oviducte. Fig. 10. Appareil générateur femelle fort grossi de l'ELArER çar- VELLUS. a, un des ovaires; b, appareil sécréteur de la glande sébacée de l’oviducte, se terminant en arrière par une üge qui va s'insérer au réservoir; ce, deux vésicules ou réservoirs parti- culiers; d, oviducte; e, cœcum et rectum; f, plaque brune placée au-dessous du dernier segment dorsal de l'abdomen , précédée de deux corps oblongs pédicellés qui ressemblent aux réservoirs de lappareil des sécrétions excrémentitielles des carnassiers, et de trois soies cornées élastiques, fixées par des muscles, PI. 18. CE VE Organes générateurs. Fig. r. Appareil générateur femelle fort grossi du Lycus ruri- PENNIS. a, un des ovarres avec des gaines ovigtres uniloculaires ; b, portion tronquée du calice de l'autre ovaire; c, glande sé- bacée; d, oviducte; e, portion de l'intestin; f, étui commun au rectum et à l'oviducte, et appendices palpiformes biarticulés. Fig. >. Appareil générateur femelle fort grossi du Hisrer sinua- TUS. aa, ovaires; b, sac intermédiaire; €, portion de l'intestin ; d....; e, dernière plaque abdominale. 38 PHYSIOLOGIE Fig. 3. Appareil générateur femelle fort grossi du Crerus ar- VEARIUS. a, ovaire; b, porüon tronquée du calice de lautre ovaire ; ce, une gafne ovigere isolée, biloculaire ; d, glande sébacée de l'oviducte ; e, oviducte; f, rectum et portion tronquée du cœ- cum; g, étui commun au rectum et à l'oviducte; k, dernier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 4. Appareil générateur femelle fort grossi du Taxwarus Lim- BATUS. a, ovaire avec son calice; b, portion tronquée du calice de l'autre ovaire; c, gaine ovigère isolée, biloculaire; 4, glande sébacée de loviducte; e, oviducte; f, rectum et portion tron- quée du cœcum; g, étui commun au rectum et à l'oviducte ; k, dernier segment dorsal de l'abdomen, et appendices pal- piformes. Fig. 5. Appareil générateur femelle fort grossi du grand Hynro- PHILE. aa, ovaires où faisceaux des gaines ovigères; b, vaisseau sé- créteur de la glande sébacée de Voviducte; c, réservoir de cette glande; dd, fuscicules des vaisseaux sécréteurs de la matière propre à la fabrication du cocon; eeee, réservoirs tu- buleux de cette matière; f, dernier segment dorsal de l’ab- domen; g, filières. i Fig. 6. Une gaine ovigère grossie ; vue isolément. Fig. 7. Un des vaisseaux sécréteurs de la matière propre à la fabrication du cocon, vu isolément. Fig. 8. Filières et appendices très -grossis, destinés soit à l'acte de la copulation , soit à la fabrication du cocon. Fig. 0. Appareil générateur femelle grossi du MeroronrHa vur- GARIS. a, ovaire ‘avec les gaines ovigères réunies en | faisceau ; ù b, l'autre ovaire avec les gaines ovigères étalées, quadrilocu- ET ANATOMIE ANIMALE. 39 laires; c , calices; d;, oviducte; e, glande sébacée de l'oviducte; J'; sorte de réservoir supplémentaire de cette glande (poche copulatrice, suivant M. Audouin ); gg, sortes de glandes pros- taliques; h , cœcum @ rectum; 1, dernier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 10. Appareil générateur femelle grossi du Lucanus cervus. a, opaire à terme, avec son calice rempli d'œufs; les gaines ovrgcres biloculaires; l'autre ovaire est tronqué à son origine ; b, glande sébacée de Voviducte; c, cœcum et portion de l’in- testin grêle; d, dernier segment dorsal de l'abdomen. PL. 19. (T. VI.) Organes générateurs. Fig. 1. Appareil générateur femelle grossi du Braps Gicas. a, ovaire plus étalé que dans l’état naturel, avec son calice ; gaînes ovigeres biloculaires; d, portion tronquée du calice de l'autre ovaire ; c, oviducte; 4, glande sébacée de l'oviducte ; e, rectum et porüon tronquée du cœcum; f, étui éducateur et appendices vulvaires. [ Fig. 2. Vaisseau sécréteur considérablement grossi de la glande sébacée de L’oviducte du Braps G1Gas. Fig. 3. Glande sébacée de l’oviducte considérablement grossie du Brars sims. a , utricules sécrétotres; b, vaisseau sécréteur; c, conduit effé- rent; à, réservoir; e, portions tronquées des calices et œufs ; f, oviducte; &, rectum et portion tronquée du cœcum; h, étui éducateur et appendices vulvaires. Fig. 4. Appareil générateur femelle fort grossi de l'Hyroruzxævs CASTANEUS,. , a, ovaire et calice; b, porüon tronquée du calice de l'autre ovaire; ©, oviducte; d, glande sébacée de l'oviducte; e, rectum et portion tronquée du cœcum ; f, étui éducateur ; g, pièce 4o PHYSIOLOGIE cachée sous le dernier segment dorsal de l'abdomen, ciliée, profondément échancrée au-devant, terminée en dessous par deux appendices vulpaires biarticulés. Fig. 5. Appareil ‘ générateur femelle fort grossi du Mycrerus CURCULIOIDES. aa , ovaires avec leurs calices; b, glande sébacée de l'oviducte sans doute incomplète; c, oviducte; d, rectum et portion tron- quée du cœcum; e, étui éducateur formé de plusieurs pièces qui s’engainent. Fig. 6. Appareil générateur femelle grossi du Myrasris MELA- NURA. a , ovaire à terme avec son calice; b, portion tronquée du ca- lice de l’autre ovaire ; c, une gafne ovigere isolée, biloculaire; e, oviducte; {, glande sébacée de Yoviducte; g, rectum et por- tion tronquée du cœcum; , dernier segment dorsal de lab- domen : on voit saillir, au-dessous de son extrémité, l'anus, la vulve et deux appendices vulvaires biarticulés , velus. Fig. 7. Appareil générateur femelle fort grossi du Zoniris PRÆUSTA. a, ovaire avec son calice; b, oviducte; c, glande sébacée de l’oviducte; d, cœcum et rectum; e, dernier segment dorsal de l'abdomen. PI. 20. GE: VE) Organes générateurs. Fe. 1. Appareil générateur femelle fort grossi du Lixus ANGUS- $ PP 5 | TATUS. e 4 À e 1 e aa, ovaires formés chacun de deux gafnes ovigeres, multilo- culaires; bb, calices ; c, ligament suspenseur ; 4, oviducte ; e, f, glande sébacée de l'oviducte; g, rectum et portion tron- quée du cœcum; h, plaque recouverte par le dernier segment dorsal de l'abdomen. ET ANATOMIE ANIMALE. fr Fig. 2. Organe sécréteur| considérablement RES a h glatide sébacée de Toviducte. | Fig. 3. Appareil généfatèur femelle grossi de PHLERUA ATICHÉRUS HEROS. ‘a, opäire à térme avec le calice rempli d'œufs : 5 Di Ealiéd lébé : C; ligament suspenseur des ovaires ; d and sébacée de 4 viducte: e , ovilucte ; 1, portion du 7 rectum; g, dernier segment de dé te cilié; #4, étui éducateur fortement cilié; z, por- tion engainée "& cet étui terminée par den appéndices vul- ‘vaires d'une seüle pièce. Fig. 4. Une gaine ovigère plus grossie. Fig. 5, Portion considérablement grossie de l'appareil généra- teur femelle de la Lama rexror. a; origine tronquée des calices des ovaires, avec un œuf; Bb, vaisseaux sécréteurs de là glande sébacée dé loviducte : il aboutit à un réservoir assez peut, couché sur l'oviducte; c , rec- tum et portion tronquée du cœcum; d, étui éducateur ouvert en dessus pour mettre en évidence sa structure interne; e, tige cornée et élastique avec les divers muscles qui s'y attachent et qui servent aux mouvemens de l’étui éducateur. Fig. 6. Appareil générateur femelle fort grossi de la Cassrna © VIRIDIS: a, ovatre à terme avec son calice; b, portion tronquée du ca- lice de l’autre ovaire; c, oviducte; d, glande! sébacée de lo- . viducte; e, rectum rempli d’excrémens, et portion tronquée du cœcum; ff, appareil sécréteur de la coque qui recouvre les œufs; g, dernier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 7. Organe sécréteur considérablement grossi de la glande sébacée de l’oviducte, Fig. 8. Portion d’une /ewlle d'artichaut où l'on voit deux 3 d'œufs de Casside. 2 1 6 # 2 PPHYSIOLOGIE + Figr9. Une de ces coques considérablement:grossie, ÿne.par sa face supérieure, et dont le centre est coùvert d'exerémens. Fig 10: Cette même Coqueivue par sa face inférieure et dont le centre est occupé par les œufs. F lg lle Appareil g sénérateur femelle fort grossi de la Ganenves LUSITANICA. à pit cs ovaire à terme ‘avec le calice et l 1 gaines opigères ‘unilo- culait es; b, portion tronquée du éaliceet un œuf de l'autre ovaire ; c , glande sébacée de loviducte; d, oviducte; e , rec- tum et portion du cœcum; f, dernier: segment dorsal. Él l'ab- domen. 2t8 ee DO de MN SEE RrET Gr DIE Ruomencris anatomiques sur Les Cigales ; par MILtoN Dérour, DM. CErtps ab pbhrn 0 Ho sb} sen y ’ ls MRDE TO UT MO DOUTE | € ini PE de (Te Ve) Organes digestifs. générateurs. de Gé Lio organes digestifs” à nas ns nie Cicada dr TL. C; + tésbpR et NA d, Head Send GAME J'érén; e; anse duodériale du’ ventricule éhÿlifique; /; cul-de- sac latéral de cette anse; £, pothe'du ventricule chylifique ; Ah, prolongement intestiniforme decé dernier; 7, intestin;, Jjj-vaüsseaux hépatiques; £, cœcum ; //, appareil dés sécrétions “excrémentitielles ; "1, dernier seément dorsal de l'abdomen. Fig. >. Glandes salivaires considérablement grosses. “raaat, grappes des utricules ‘sécrétoires > Bbbb) réservoirs ; roicéce; conduits excrétéurs propres; d, ei excréteur com- mün° hnarbédahleaieiBmiiotss otre th ls Fig.'3, Portion considérablément Haas tube GS à a, œ@sophage; b, jabot; c, anse duodénale du venticule chy- - lifique; dsicul-desac ‘latéral dé cette! anse; /e, ligament sus- penseur gastro-æsophagien; f, poche duventricule éhylifique ET ANATOMIE-ANIMALE. 43 vue en dessons pour mettre em évidence les -insertions des 9 np Fc le celle du prolongemient, intestiniforine -:g; dulventricule; yionigine de Vintestin; 4, ofiginessétinser- tions des vaisseaux hépatiques. : 15h 454 l'ig..4. Tête et organes digestifs considéraient a "Os$is de la Cercopis spumaria. 1: | @» tête Vüe.en fâce; bhy1glarides chlinairess à peine. illantes: 3 -,0;ljabot ; 4, goder qui, précède Lanse duodénale da ventrieule .chylifiqué; e, état particulier-d’une portion de l'anse duodé- pale. Cette portion est contractée, ridée, boursoufflée , et s’abouche par:sa face inférieure au ventricule chylifique/dent elle fait partie; /} ligament:suspenseurt, gastro - œæsophagien ; g; poche du ventricule chylifiques 4, prolongement. intestis niforme de ce ventricule; z, léger bourrelet après lequel ce prolongement..est un peu plus ‘&ros:et pointillé; 7; intestin qui s'insère brusquement à Ia poruon boursoufilée de l’anse duodénale; 4, cœcum; /, vaisseaux hépatiques: ils sont lisses d'abbrd ;rpuis très-variqueux; #2, Mais segment Hprsal de l'abdomen. oi ) Fig. 5. Tête, organes "digestifs et bretié énérieur femelle considéralilement grossis de la Lodre aurita. a } tête vué' par-dessus et hoïizontalé ; 4, glandes salivares ; c; jäbot précédé de l'œæsophage; d) poche du ventricule chyli- fique; e, prolongement intestiniforme de ce ventricule; f, in- testin; g, Vaisseaux biliairés 31%; dérnier segment dorsal de l'abdomen; z; ovaires; Æ, réservoir de la glande sébacée de l'oviducte; /L, vaisseaux sécréteurs de cette glande ; m1; tarière. Fig. 6. Organe générateur mâle fort grossi de la lCivadi'ornr. a, testicules ; bb, conduits déférens; ce’, vésicules séminales ; d, conduit éjaculateur débutant par un rénflement considé- rable; e, cœcum et portion de l'intestin grêle; $ P armure €0- pulatrice; g, anus; 2, verge. 44 “TTANPHYSIOLOGE Ti rie. -9 Unedes-tésticulés beaucoup'plus grossi vu pâr sa partie ‘inférieuré, et! dégagé des trachées ‘et du tissu adipeux, ‘de ‘manière qu'ila perdu-sà forme primitive; aaa ; capsules sper- matiques; , conduit déférent. qd xinoeelst De À , un fasciculeisolé de capsules: spetinatiques pour mettre en évidence leur mode de connexion. : Fié,/ 8. Orgañé générateur femelle fort grossi de la Cicada orni. 1 CZA ovaires dans mn état avancé de gestation; bb, conduits “propres des ovaires; c, oviducte; dd, vaisseaux sécréteurs de la glaride sébacée de l'oviducte; e, réservoir de cette glande; f; ligämens suspenseurs des ovaires; g, cœcum et portion de l'intestin grêle; ÿh; dernier segment depeal de l'abdomen. P', une ie ovigère isolée: ARC UD CL F Récneneues anatomiques sur l'Hippobosque des Chevaux, par M. Léox. Durour. (T. Yi » P:200:1)o iv e ali PI. 13: (T. VI. L)Fis 1. Appareil digestif considérablement res de l’Æippobosca equina. à Re a, tête de,;cet, insecte; 4, antenne beaucoup, plus Éressie ; j bb, glandes salivaires ; c; jabot précédé de l’œsophage:; dd, ven- tricule chylifique ; ee, vaisseaux hépatiques ;,f, intestin grêle; g, cœcuin;.#, portion dorsale du.bout de l'abdomen de la femelle. Fig. 2: Appareil salivaire encore plus grossi. | ad, Naïsseaux sécréteurs; 4b, réservoirs; €, conduit excréteur ; dé, üssu adipeux granuleux moniliforme..,; M - 3,2) Fi is, 3. Appareil générateur mâle considérablement, gross aastesticules;bb, canaux déférens ; cc, vésicules nulee d, conduit éjàculateur ;,e, armure copulatrice:; ::::, \ Fig..4: Appareil générateur femelle considérablement grossi. aa, ovaires ; à, oviducte; c, matrice placée sur une portion. des ET ANATOMIE |} ANIMALE. 45 parois ventrales de l'abdomen, et très-distendue par une ges- tation à terme; dd, glandes sébacées de l'oyiducte; e, intestin avec le cœcum contracté; /; portion dorsale du est de lab- domen. Fig, 5, Stigmate ec ae grossi. ZOOLOGIE. Mémoire sur le genre Ictüides ; par M. A. VArencrENNEs. (T. IV, p- 57.) L PL 1. (T. IV.) Fig. ». letides à front blanc, /ctides albifrons réduit au quart de la grandeur naturelle. Fig. >. Mâchoire inférieure. Fig. 3. Mâchoire supérieure. ! Fig. 4. Partie antérieure de la tête vue de profil. Descwpriox du Chlamyphorus, nouveau genre de Mammifère de l'ordre des Édentés ; par M: RicuarD Harzax. (TV, p. 5.) PL 1. (T. V.) Fig. 1. Chlamyphorus truncatus de grandeur na- turelle. Fig. 2. Partie inférieure et postérieure du corps, etidisposition de la queue. Fig. 3. Partie postérieure et tronquée de la:carapace. Fig. 4. La tête vue en dessus. Fig. 5. Pied de devant vu en dessus et en dessous. Fig. 6. Pied de derrière vu en dessus eten dessous: Fig. 7. Le squelette de la tête vu de profil (grossi). Fig. 8. La mâchoire inférieure vueen dessus (grandeur natu- relle ). Fig. 9. La mâchoire supérieure vue en dessous (grossie ). Fig Fig. 11. L’organe de l’ouie grossi. 15 F . 10. Plusieurs dents grossies. . 12. Le bout du museau vu en avant et en dessous. ZOOLOGIE. 4 Novice sur l'Iguanodon, reptile fossilenouvellement découvert dans le grès de la forét de Filgate , dans le comté de Sussex ; par M. Ginrox Manrezc.(T. VI, p. 127.) PL. 10. (T. VI.) Fig. 1. Dent provenant probablement de la partie antérieure de la mâchoire de l'iguanodon vue par sa face externe. Fig. >. La même vue par sa face intérieure; 4, surface usée par la mastication; à, les bords dentelés; €, la base rompue ; d, ca- vité ou compression dans la base de la dent; effet de l'absorp- p ton causée par la pression d’une dent secondaire; e, canne- gs lure qui s'étend depuis la base, jusqu’au sommetide la dent sur sa face externe. ({Vota: Les mêmés lettres expriment les mêmes parties dans toutes les figures.) Fig, 3. Dent d’un jeune individu , vue de profil. Fig. 4. La même vue par sa face externe. Fig. 5. La même vue par: sa face interne. Fig. 6. Dent très-usée par la mastication. Fig. 7. La même. vue par sa face opposée. Fig, 8. Dent jeune, dont la pointe est encore entière. Fig. 9. La même-vue par son autre face, Fig. 10. Une autre dent, dont la pointe est à peine usée. Fig. 11. Grande dent moins courbée que celle de Ja fig. 1,et appartenant probablement à la partie postérieure de la mâ- choire. Fig. 12. Dent dont la base est très-usée De recevoir La nou- velle dent. Fig. 13. Portion de la m0 ide ma nie l'iguane, vue in- térieurement et grossie-quatre fois en! diamètre. Fig. 14. Dent isolée, vue par sa face interne. Fig. 15. La même vue par sa face externe. 48 ZOOLOGIE. Nonice sur VEncornet des Pécheurs, Loligo nant par M: De La Pyvae. (T. IV, p. 319.) PL 16. (T. IV.) Fig. 1. Loligo piscatorum vu en 1 dessous. Fig. 2. Le même vu en dessous. Fig. 3. Le sommet de la tête ayant les pieds et les bras HA en étoile , afin de découvrir le bec corné qui forme la bouche. Fig. 4. Fu tion de l'animal vue en dessous pour faire voir la valvule par le sommet de laquelle sort la liqueur noire , et que l'on a abaissée pour découvrir une cavité demi- circulaire qui forme un cul-de-sac, et qu’on pourrait prendre pour la bouche au premier abord. 4, une des ventouses ou suçoirs, vue latéralement; B, la même vue de face, afin de découvrir l'orifice par lequel l'air est aspiré; C, le cristallin ; D, le même grossi. Norice sur les Becs de Céphalopodes fossiles ; par M. Dessaines D'Orseny fils. (T. V, p.211.) PI. 6. (T. V.) Fig. 1. Rhyncolite géant, à, de profil, &, sur le dos, c, sur la partie interne en contact avec l’autre mandibule. (Les lignes ponctuées marquent le prolongement des lames qui existent.) Fig. 2. Rhyncolite mouette , a, sur le dos et sans altérations. _ sur le dos avec les lames ôtées pour faire voir le gi c, de profil. d, sur la partie interne en contact avec l'autre mändibule. Fig. 3. Nautile géant, a, de profil, à, sur lé devant de la bouche. ( Cette espèce est réduite dun sixième. 2 HI GRDTT ZOOLOGIE. i9 Descriprion d’un Genre nouveau de La classe des Ptéropodes , et de deux espèces nouvelles du genre Clio ; par M. Rawc. (T. V, p- 283.) PI. 9. (T. V.) Fig. 1. Psyché globuleuse, Psyche globulosa., Raxc. Fig. 2. Clio miquelonaise, Clio miquelonensis , RAnc. Fig. 3, 4. Clio du Cap, Clio capensis, Rawc. Norice sur deux Espèces du genre Ptérocère , observées dans le cal. caire jurassique du département de la Charente - Inférieur : par M. Dessazines D'Onmeny fils. (T. V, p. 188.) PL 5. (T. V.) Fig. 1. Pterocera ponti. Fig. 2. Pterocera tetracera. Fig. 3. Portion incomplète d’une autre espèce. OBSERVATIONS sur les Biphores et les Béroés , faites pendant le Voyage autour du Monde de la corvette l’Uranie, commandée par M. Louis de Freycinet; par MM. Quoy et Garmano. (T. VI, p. 28.) PL 1. (T. VL) Fig. 1. Béroé multicorne, Beroe multicornis , Quox et Garm. / Fig. 2. Béroé rose, Beroe rosea, id. Fig. 3. Biphore échancré., Sa/pa emarginata , id. Fig. 4. Biphore hexagone, Sa/pa Lexagona , id. Fig. 5. Biphore rhomboïde, Sa/pa rhomboides , id. Fig. 6. Le même séparé de la masse : Fig. 7. Biphore gibbeux, Sa/pa gibbosa , Quoyx et Gain. Fig. 8. Biphore tricuspide, Salpa tricuspidata , id. Fig. 9. Biphore polymorphe , Salpa poly morpha , id. Fig. 10. dem vu par-devant. Fa ZOOLOGIE: Fig. 11. Timorienne triangulaire , 7'imoriena triangularis , Quoy et Gain. Descmprion de cinq genres de Mollusques et de quatre genres de Zoophytes, découverts pendant le Voyage autour du Monde com- mandé par M. L. de Freycinet; par MM. Quoy et Garmarn. (T. VI, P- 74.) PL. ». (T. VL.) Fig. 1. Lemnisque bordé de rouge, Lemniscus marginatus , Quox et Gai. Fig. >. Cliodite caducée, Cliodita caduceus ; id. Fig. 3. Cliodite en fuseau, Cliodita fusiformus id, Fig. 4. La même contractée. Fig. 5. Triptère rose, 7riptera rosea , id. Fig. 6. Tétragone Belzoni, T'etragonum Belzoni, \d. Fig. 7. Cupulite Bowdich, Cupulita Bowdich , id. Fig. 8. Jdem isolé et gross. Fig. 9. Mariana rouge, Mariana rubrum , id. Fig. 10. Monophore rude, Aonophora asperum id. Fig. 11. Le même vu de profil. Fig. 12. Polytome Lamanon, Polytomus Lamanon , id. Fig. 13. Le même séparé de la masse, Descmerion du genre Mormolyce; par M. Hacensace. (T. VI, p. 444.) PI. 1. (T. VE) Fig. 1. Mormolyce phyllodes de grandeur naturelle vu en dessus. Fig. 2. Le même en dessous. ; Fig. 3. Elytre droite détachée et vue en: dessous. Fig. 4. Aile. | Fig. 5. Abdomenen dessus. Fig. 6. Labre, : Fig. 7. Les deux mandibules. ZOOLOGIE. 5t Fig. 8. Une des mâchoires. a, le palpe maxillaire externe; à, la tige de la mâchoire. Fig. 9. Lèvre inférieure avec la languette. a, palpe labial fixé à la languette ; 2, lèvre proprement dite. Fig. 10. La même pièce retournée. PHYSIOLOGIE ET ANATOMIE VÉGÉTALES. Sur La Formation de l Embryon dans les Graminées ; par M. RaspaiL. (T. IV, p. 271.) (N. B. Toutes les figures sont plus où moins grossies dans les deux planches.) PI. 13. (T. IV.) Fig. 1. Fleur ou bâle d’une locuste de Bromus. (a) paillette parinerviée ou supérieure, (4) paillette impariner- viée ou inférieure, (c) pédoncule de la fleur avortée (4), par- tant de la base de Ja paillette parinerviée (a), (f°) ovaire dont l'embryon (2) est représenté longitudinalement coupé pour laisser voir les emboîtemens des feuilles qu'il recèle. Fig. 2. Coupe longitudinale d’une graine d'Avena sativa, L. (a) plumule, (4) péricarpe , (c) cotylédon, (4) débris de la radiculode que M. Richard a nommé épiblaste, (e) radicu- lode, (f) racine première qui en sort par une fente longitu- dinale et variable (g), (4) périsperme qui, d’après nos ob- servations, n’est que le tégument propre injecté de substance amylacée. Fig. 3. Cotylédon: (a) nervure médiane et herbacée qui aboutit au sommet (c), (b) ussu cellulaire du cotylédon. Fig. 4. Coupe longitudinale d’une fraction du chaume traçant sous terre. (a) chaume, (2) bourgeon ou plumule caulinaire, (c) cône radiculaire, (d) nervure médiane de la bractée (e) inférieure au bourgeon (2). Fig. 5. Dissection idéale d’une graine en germination, destinée PHYSIOLOGIE ET ANATOMIE VÉGÉTALES. 53 à, démontrer les rapports d'identité des trois’ espèces. de bourgeons; celui de la locuste, fig. 1; leccaulinaire, fig. 4, et celui, de Ja graine, (a) cotylédon correspondant à (c, fig. 1), à (a) fig. 4; (D) feuille parinerviée correspondant à (a, fig. 1) et à la première feuille du bourgeon (b, fig. 4); (2) tégument pro- pre ou périsperme correspondant à (4, fig. 1, et à ed, fig. 4); (c) péricarpereprésentantici une seconde feuille inférieure qui alternerait avec (f fig. 1) ,1et avec. (e, fig. 4); (d) feuilles de la plumule emboïtées et qui sont mises à nu par une coupe longitudinale, correspondant à Fovaire, fig. 1, et à la plumule (6, fig. 4); (e) épiblaste, (/) radiculode, (4) portion du péri- carpe qui s’exfolie sur les deux côtés, (g) radicelle prin- cipale. Fig. 6. Locuste fertile, à une seule fleur. Fig. 7. Locuste vivipare propre à démontrer le mécanisme par lequel une locuste ordinairement fertile passe à cet état; les mêmes lettres marquent les mêmes organes dans leurs deux états; (fig. 6, e) pédoncule avorté ou florifère qui, restant sous la forme d’une nervure agglutinée à la paillette pari- nerviée (d), forme la bractée (e d, fig. 7) dans la locuste vi- vipare. Fig. 8, 9, 10. Insertion des étamines entre les écailles. Fig. 11. Écailles et anthères agglutinées dans le jeune âge des Panicum, Paspalum ei de tous les genres à écailles impres- sionnées au sommet. (d) représente les deux impressions que l'on remarque au sommet de ces écailles, impressions qui peuvent varier de forme. { Fig. 12. Étamines des Vardus, Alopecurus ; enfin de tous les genres sans, écailles : la base des filamens en est très-dilatée. Fig. 13. Appareil des écailles et 'étamines trouvées dans une la- custe d’un Oryza sativa à Vétat frais, 54 __: PHYSIOLOGIE Fig. 14. Écailles adhérentes aux filamens des étamines, trou- vées dans le Tripsacum dactyloides, L., à Vétat frais. Fig. 15. Étamine avortée : le filament (B) est traversé de deux conducteurs qui arrivent aux deux lobes des anthères (aa). Fig. 16. Arête de l'4ira canescens, L. Fig. 17. Paillette inférieure de l47ra cæspitosa, L. (a'a) jeune, (a) plas avancé en âge. Fig. 17 bis. Paillette supérieure de lÆvena subspicata à quatre nervures , et un pédoncule avorté (a). Fig. 18. Ovaire du Festuca diandra, Miox., dont le péricarpe est traversé de trois nervures saillantes qui se réunissent en un cône cartilagineux au sommet (2). Fig. 19. Ovaire du Dactylis hispanica, L. Fig. 20. Ovaire du Nardus stricta : Ye siyle en est simple. Fig. 21. Ovaire avorté de l'Holcus spicatus , L. (a) cavité sèche formée par le péricarpe, (4) cône des feuilles emboîñtées, dont la supérieure n’est pas devenue périsperme, et dont l'infé- rieure n’a pas fourni par sa nervure médiane un cotylédon. Fig. 22. Ovaire de Bromus ouvert, avant la fécondation, en deux moitiés, pour laisser voir l'embryon qui adhère au point de l'insertion des stigmates (4), et que l’on retrouve toujours ensuite, mais sous différentes formes, dans la cavité (e); le cône (2) est Le cône radiculaire. Fig. 23. Embryon plus avancé en âge. (a) rudiment de cotylé- don qui commence à se détacher, (2) plumule, (c) cône ra- diculaire. Fig. 24. Ovaire d'Hordeum avant la fécondation: l’étui du con- ducteur y estmis à découvert: Fig. 25. Ovaire pris quelque temps après la fécondation : l'em- < bryon n’adhère plus. (a) Feed Qi Lois (6) cône ra- diculaire. ET ANATOMIE VÉGÉTALES. 55 Fig. 26. Embryÿon encore plus avancé. (a b €) mêmes organes que dans le précédent. Fig. 27. Paillette parinerviée des Agrostis, etc. Fig. 28. Fibrille stigmatique , vue à une assez forte lentille. PL. 14. (T. IV.) Fig. 1. Ovaire de Zea Maïs plus avancé que l'ovaire de Ja fig. 7, mais pourtant non encore fécondé. Fig. 2. Coupe verticale de cet ovaire. (&a) embryon adhé- rant fortement à cette époque , (2) deux exfoliations formées par la partie antérieure du péricarpe et du tégument propre, (c) périsperme commençant à se former, et affectant une forme aplatie par la pression qu'exercent sur la graine les feuilles spathiformes qui recouvrent l'épi femelle de Zea ; (d) un des styles qui, après avoir erré dans la substance du péricarpe qu'ils soulèvent ; viennent se réunir sur le sommet (4) de l'embryon; (c) péricarpe soulevé et non adhérent au tégu- ment propre. Fig. 3. Fragment antérieur du péricarpe , destiné à laisser voir la marche des deux styles, qui, après s'être séparés au sortir du sommet de l'embryon (a), s’'éloignent l'un de l'autre, se rapprochent en (4), et se réunissent en (c), pour former un seul style. Fig. 4. Embryon mûr ; détaché mécaniquement de la graine du Zea Maïs. (a) sommet de Fembryon, (4) base du cylindre formé par la plumule et la radicule, (c) point que la plumule a légèrement perforé avant la germination, (d) partie posté- rieure de l'embryon. Fig. 5. Coupe verticale d’une graine de Zea Maïs non encore saturée de périsperme. (a) partie antérieure à laquelle adhé- rait l'embryon avant la fécondation, et à laquelle il reste ag- glutiné après cette époque; (4) style, (c) cavité dans laquelle est logé l'embryon, et qui est formée par la feuille inférieure 56 :" PHYSIOLOGIE qui doit s’injecter de périsperme, (d) péricarpe ou feuille in- férieure à celle qui doit s’injecter de périsperme. Fig. 6. Coupe verticale de la même graine plus avancée. (a) partie antérieure à laquelle adhère l'embryon, (6) style, (c) cavité qui diminue à mesure que la substance de la feuille inférieure s’injecte de périsperme, (d) péricarpe qui commence à être distendu par la dilatation de la feuille (e) qui s'injecte de pé- risperme, (e) périsperme : on voit des lacunes à la basé, parce que le périsperme commence toujours par se former vers le _ sommet. Fig. 7. Ovaire extraordinairement jeune de Zea Maïs. (a) me- sure de sa grandeur réelle , (a) les deux styles partant de la base (c), soulevant la substance du péricarpe dont ils s’enve- loppent, et qu'ils poussent devant eux (Bb) jusqu'à ce qu'ils aient acquis la longueur de la fig. 1. Fig. 8. Coupe verticale de l'embryon de Zea Maïs. (a) sommet de la plumaule, (2) cotylédon, (c) articulation, (d) prolonge- ment de la radiculode, dont le sommet, en se rejetant en arrière , a été pris pour un organe particulier que Richard a nommé épiblaste, et M. Turpin second coty lédon; (e) radicule organisée comme la plumule. QE Fig. 9. Tranche verticale du même. (a) plumule, (8) radicule , (c) vaisseau du cotylédon ou nervure médiane détachée de la feuille parinerviée , d) vaisseau de la radiculode qui passait ar-dessous la radicule, pour venir s’insérer sur la nervure médiane de la feuille inférieure qui s’est injectée de péri- sperme. Fig. 10. Coupe transversale du même, faite au point où la ner- vure. médiane (a) n'est pas encore séparée des deux autres nervures (6). (c) plumule, (d) portion de la radiculode. Fig. 11. Coupe transversale du, même, faite au-dessus du point où la nervure médiane (a) s'est détachée des deux autres ner- ET ANATOMIE VÉGÉTALES. LS vures pour passer la médiane dans le cotylédon (a) , et Les deux autres dans la feuille parinerviée qui entoure la plumule (2) ; (c) portion de la radiculode. Fig. 12. Embryon d’Avena sativa, üiré de la graine avant la ger- mination. (a) cotylédon, (4) radicule et plumule encore en- fermées par le péricarpe et le tégument propre, (c) fragment du péricarpe. Fig. 13. (a) cotylédon de la graine d’{vena en germination, (4)ra- diculode , (c) empreinte que la plumule a laissée sur la base du cotylédon , semblable à l'empreinte que le bourgeon laisse sur la base du chaume. Fig. 14. (a) cotylédon d’une graine d’Avena sativa en gérmina- nation, (2) plumule commençant à pousser, (/) radiculode qui se fend pour laisser sortir la radicule (9), (c) radicules la- térales alternes qui partent quelquefois des articulations in- férieures de la plumule, (4) prétendu organe nommié épiblaste ‘par Richard: il a quelquefois un plus grand volume. Fig. 15. Ovaire de Zea, dont on a enlevé le péricarpe (a) pour laisser voir l’'éminence (4) formée par la substance du tégu- ment propre (c), que soulevait l'embryon, et sur le sommet de laquelle éminence adhérait le style. Fig. 16. Ovaire de Bromus encore jeune. (a) péricarpe épais et herbacé qu'on enlève facilement du tégument propre, qui alors est blanc et distendu par le périsperme. La nervure médiane du péricarpe se trouve en (4) dans le sillon même de la graine. Fig. x7. (a) plumule, () cotylédon , (c) radicelles qui sortent quelquefois en grand nombre de la radiculode (d), (e) épi- blaste ( 4vena sativa). 58 PHYSIOLOGIE DévecorpemEenr de la Fécule dans les organes de la fructification des Céréales , et Analyse microscopique de la Fécule , suivie d'Expé- riences propres à en expliquer-la conversion en gomme;, par M Raspaiz. (T. VI, p. 224 et 384.) PI. 16. (T. VL) Fig. 1. Grain de pollen de froment, à l'instant de l’anthèse; les granules sont agglomérés dans son centre. Fig. 1 Dis. Grain de pollen coloré par l’iode; les granules agglo- mérés se peignent en bleu dans le tégument jaune. Fig. 1 ter. Grain de pollen non encore mûr. Ces trois figures sont vues à une lentille d’une ligne de foyer, et par réfrac- tion. Fig. 2. Grains de fécule de pomme de terre, avec leurs princi- pales formes et leurs principales proportions. On en trouve de bien plus petits encore que ceux que nous représentons ici, Fig. 3. Grains de fécule de froment. Ils affectent, en général, la forme sphérique : cependant, quand le périsperme est corné, la compression fait contracter la forme ovoïde à une foule d’entre eux. On voit, par ces figures, que le grain de pollen de froment pourrait se mouvoir librement dans un des plus gros grains de fécule de pomme de terre, tandis que le plus gros grain de fécule de froment n’atteint pas la moitié du diamètre d’un grain de pollen. Fig. 4. Grains de fécule de pomme de terre colorés par l’iode. Fig. 5. Tégumens des grains de fécule de pomme de terre, tels qu'on les voit nager dans le liquide à une lentlle d’une ligne : on les voit ici ou incolores ou diversement colorés par l’iode; ils sont plus ou moins plissés, selon qu'ils sont plus où moins vides. Un d’entre eux a été en partie carbonisé sur les char- bons incandescens de la première expérience, et, en flottant dans le liquide , il permettait à l'œil de pénétrer dans son intérieur ET ANATOMIE VÉGÉTALES. 59 Fig. 6. Ovaire de froment avant la fécondation. Les stigmates ont, à cette époque, leurs fibrilles unilatérales. Ici nous les avons représentées étalées, pour montrer leur disposition dis- tique. (&) Partie saillante du péricarpe, produite par la pres- sion qu’exerce le mamelon basilaire du périsperme (fig. 10 b ù: Cette partie saillante et intérieure s’allonge en éperon dans les graines de l'Echinaria et de Y'Elytrophorus ; Pais.; par- derrière se trouve le vaisseau qui s’insère sur la tige de la plante. Fig. 7. Coupe longitudinale du même, destinée à ne montrer que le péricarpe composé d’une couche externe blanche très- épaisse, d’une couche interne verte, qui est coupée en blanc, sur sa paroi postérieure, par le vaisseau ou “placenta (c) qui s’insère sur la tige. (a) Empreinte du mamelon basilaire du périsperme (fig. x0 b). (d) Base du style, qui se bifurque avant de sortir de la substance du péricarpe. Fig. 8. Coupe longitudinale du même, colorée par l'iode. (a, d, €) désignent les mèmes organes que dans la précé- dente. On voit que le péricarpe y est coloré en bleu; il ren- ferme de la fécule. Le périsperme qu'il enveloppe est coloré en jaune, ainsi que le style et les stigmates : la fécule n’y existe pas encore. Fig. 9. Cette figure est destinée à exprimer par des lignes les vaisseaux des différens organes de l'ovaire. (a, b, c, d) dési- gnent toujours les mêmes organes. On voit que l'embryon (8) alterne avec la chalase, c’est-à-dire avec le point d'insertion du périsperme sur le vaisseau postérieur (c), qui à son tour alterne avec l’étaminé médiane de l'appareil mâle (fig. 13). L'ordre d’alternation de tous ces organes est le même que l'ordre d’alternation des feuilles et des bourgeons cauli- naires. Fig. 10. Ovaire voisin de la maturité. Les deux couches du 6o PHYSIOLOGIE : : tégument extérieur (péricarpe)., la blanche et la verte, peu- vent alors se séparer, mais comme la drupe d’une pêche se sépare de son noyau, c’est-à-dire en laissant sur la surface de la couche intérieure des vaisseaux blancs entrelacés avec ceux de cette dernière. (4) Mamelon basilaire aux dépens duquel se forme l'embryon. À cette époque, on peut en détacher l’em- bryon sans trace d’adhérence. Cet ovaire est vu avec unestrès- faible loupe. Fig. 11. Embryon encore informe, et dans le premier moment qu'on peut le détacher sans trace d’adhérence du mame- lon (4); il commence à offrir par réfraction un rudiment de cotylédon (kypoblaste , Racu.), de plumule et de radicule. Fig. 12. Embryon plus avancé en âge, mais encore transparent ; il présente un cotylédon, une ‘feuille parinerviée, dans le sommet de laquelle apparaît la plumule sous la forme d’une espèce de cœur, et au-dessous de laquelle on voit la radicu- lode sarmontée de l’épiblaste. Fig. 13. Appareil mâle, coloré par l’iode. Les anthères se colo- rent en bleu verdâtre, à cause de la couleur jaune du theca inêlée avec la couleur bleue des granules de pof/en ; les écail- les, très-épaisses dans le jeune âge, ne se colorent en bleu qu’à leur sommet. En avançant en âge, les lobes intérieurs et colorés en jaune deviennent plus longs que les extérieurs, qui sont colorés en bleu. Fig. 14. Périsperme avant la fécondation, coloré en jaune par liode. Le sommet est surmonté d’un fragment de style, et le mamelon basilaire sy montre plissé par des cercles concen- triques. pe Fig. 15. Coupe longitudinale du même non coloré par liode. Le sommet porte l'empreinte du style. La panse offre une lé- gère dépression. Le mamelon basilaire y est toujours plein , et n'offre jamais la moindre trace de cavité, ! T'ETIANATONIE VÉGÉTALES. 61 Fig. 16. Lemême ; épuisé par: d'alcool, offrant un tissu cellu- -dâire, etdermamelom portant une empreinté qui joue le scu- - Mteélumi de Lx graine; Ges-trois périspermes sont vus à une len- -ülle d'une-'gne de foyer. Fig. 19. Coupe transversale d’un’ ovaire jeune , destinée à mon- rer que le vaisseau. ‘du us ce (e) est lepoint d’in- osertionidupérigpenmert) 1: els. 5 Fig. 18{ Graihe-nmne ; baé a l'être, d'or sativa, vue par derrière et dépouillée de son péricarpe, dont un frag- ment (e) adhère encore au vaisseau postérieur. (4) Traces du passage des deux stigmates en forme de deux cicatricules. Srrucrure des Articulations ou Nœuds vitaux dans les Graminées et les Cypéracées ; par M: De La Harpe. (T. VI, p.21.) P1.3.(T. VI.)Fig. 1. Section longitudinale d’un rhizôme articulé. aa, üssu cellulaire périphérique; 4h, corps vasculaire cen- tral; c, canal central vide (rare dans le rhizôme); d, lacunes irrégulières du, tissu cellulaire; ee, filets vasculaires de la feuille; #”, feuille; g, filet vasculaire du bourgeon; G!, bour- geon; 2, racines. Fig. 2. Section longitudinale d'un rhizôme inarticulé. aa, tissu cellulaire ; bb, tissu vasculaire ; c, canal central rempli d'un tissu cellulaire lâche et très-fin; 4, lacunes du üssu cellulaire; ee, filets vasculaires des feuilles radicales à l'aisselle desquelles se développent souvent des bourgeons ; ee , filets vasculaires des feuilles du rhizôme; F°F", feuilles ; h, racines. Fig. 3. Section transversale d’un rhizôme articulé, à la hauteur où naissent les racines. aa , tissu cellulaire; bb, ussu vasculaire; ee, filets vasculaires de la feuille; g, filets du bourgeon; 2, racines, 62 PHYSIOLOGIE ET ANATOMIE VÉGÉTALES. Fig. 4. Section transversale d’un rhizôme inartiéulés ! 0: 1! aa, üssu celulaire;. 2. tissu: vasculaire ;d5-laeunes; ee, dou- ble rangée de filets vasculaires, allant à deux feuilles diffé- rentes ; °F", feuilles nombreuseset embriquées; À; racines. Fig. 5. Section transversale d’une racine. - a, tissu cellulaire; D, tissu vasculaire. Fig. 6. Fragment de tissu cellulaire pris:sur le Junéus: cffusus > et percé de. trous en étoiles. (Observé une seule fois.) _ BOTANIQUE. Rapporr sur la Flore des îles Malouines de M. Gaudichaud; par M. Minzez. (TT. V, p. 89.) PI. 2. (T. V.) Fig. 1. Oreobolus obtusangulus , Gau». a, de grandeur naturelle; B, feuilles (1); €, spathe à 4 val- ves ; D, 'périgone à six divisions; Æ, coupe du chaume ; F, fruit entouré par le périgone; G, coupe du fruit; H, graine. Fig. 2. Callixene marginata. Conmens. a , rameau de grandeur naturelle; Z, étamine vue par le dos; C, anthère vue intérieurement; D, pistil; Æ, coupe trans- versale de l'ovaire; F, coupe longitudinale d’une des loges de l'ovaire; G, graine; Æ, coupe d’une graine, Fig. 3. Nanodea muscosa. Gærin. a, rameau en fruit; b, rameau en fleur, de grandeur natu- relle; C, fleur; D, une des divisions du calice vue intérieu- rement, montrant l'insertion des étamines; Æ, la même vue en dehors; F, étamine vue intérieurement; G@, la même vue par le dos; Æ, la même coupée transversalement; 7, coupe de l'ovaire, montrant l'ovule longuement pédicellé; Æ, coupe du fruit. Fig. 4. Veronica decussata. Wuxp. Æ, pistül entouré du calice; 2, coupe transversale de l'ovaire, C, capsule ouverte; D, placenta isolé. Fig. 5. Myrtus nummularia. Lawx. a, rameau en fleurs de grandeur naturelle; Z, rameau et (x) Toutes les figures indiquées par des lettres capitales sont plus ou moins grossies, 64 ‘| J BOTANIQUEX ):} boutons; C, fleur dont on a enlevé la plupart des étamines ; D, étamime; E , style et stigmate; F', ovai calice; G, coupe de Lovaire; 1, fruit; Z, coupe < de fruit ; \ K , graine. bol Sù PI. 3. (T. V.) Fig. 1. Zzorella bcopodivides. Ga. a, plante de grandeur naturelle; 2, feuille vue intérieure- ment; €, la même, vue de côté; D, foliole de l'involucre ; ES fai entourées de TE ER ; F} fleur isolée; (Gr, pétale; 77, étamine vue intérieurement; ‘T\ la même vue extérieurement ; À, pistil; Z, fruit au moment dé la sépa- ration des coques; 7, axe central; V, coupe transversale d’une des loges du fruit; ©, coupe ‘longitudinale de la même. LL} Fig. 2. Bolax glebaria. Comwers. do plante de grandeur naturelle; B, feuille ie en dedans ; C, la même vue extérieurement; D, fruit entouré d’une par- ue de linvolucre; £, fruit au moment de là déhiscence; F', coupe transversale du fruit. Fig. 3. Nassauvia Gaudichaudii, Cass. a, rameau de grandeur naturelle; B°, involucre à 5 folioles; C, le même ouvert, montrant l'insertion des fleurs; D, co- rolle; Æ', étamine; Æ, style et stigmates ; G', fruit couronné de son aigrette; Æ7, une des lanières de l'aigrette. Fig. 4. Oligosporus emarginatus. Gaup. a, plante de grandeur naturelle; Z, feuille amplexicaulé à vue intérieurement; C, involucre à 5 folioles; D, fleur mar- ginale femelle; £, fleur centrale mâle; F, sigmate des fleurs femelles; G, stigmate des fleurs mâles; Æ; étamine. BOTANIQUE. 65 Querques Observations sur les Productions de l'ile de Terre-Neuve, et sur quelques Algues de la côte de France, appartenant au genre Laminaire ; par M. pe La PyLae. (T. IV, p. 174.) PL. 9. (T. 4.) 4, laminaire à long pied, Laminaria longicru- ris. B, Laminaria longicruris, var. 6. tenuior. C, Laminaire ridée, Laminaria caperata, La Pyrar. D, Laminaire comestible à feuilles plates, Laminaria esculenta, var. Platiphylla. E’, Laminaire comestible à feuilles éloignées, Laminaria escu- lenta , var. remotifolia. F, Laminaire comestible à feuilles en forme de ruban, Lami- naria esculenta, var. tæniata. G', Laminaire en forme de cuir, Laminaria dermatodea, La Pyrars. IT, Laminaire criblée, Laminaria agarum. T, Laminaire à larges ANPE » Laminaria platiloba , La Pyrar. K, Laminaire à divisions étroites, £aminaria stenoloba, LA Pyrais. Sur un sous-genre à former parmi les Polypodes, sous le nom de Drynaire Drynaria; par M. le colonel Bon pe Sarvr - Vixcewr. CE 10:46.) PL. 12. (T. V.) Polypode (Drynaire) de Linné, Po/ypodium Linnei, Bon. PL. 13. Polypode ( Drynaire) de Willdenow , Po/ypodium Willdenowi, Bory. PL. 14. Polypode ( Drynaire) de Gaudichaud, Polypodium Gau- dichaudii , Borx. 9 66 BOTANIQUE. Essai d'une Classification générale des Graminées ; fondée sur l'étude physiologique des caractères de cette famillé; par M: Rasparr. CT. IV, p. 423T: V, p. 287 + 433.) PL. 20. (T. IV.) Fig. 1. Stigmate téniæforme. Fig. 2. Plumeux. Fig. 3. Plumoso-rameux. Fig. 4. Stigmate épars à la base : cette dernière forme ne con- vient qu'au genre EArharta; la Microlæna s'en rapproche un peu. ; Ces stigmates distiques existent avec les écailles membra- neuses , et deux des formes d’écailles impressionnées, c'est-à- dire avec toutes les formes d’écailles enfermées dans le cro- chet supérieur gauche. Fig. 5. Stigmate épars capité. e Fig. 6. Sügmate épars sessile. Fig. 7. Stigmate épars en panache. Ces formes de stigmates existent avec les écailles impressionnées au sommet, que ren- ferme le crochet inférieur gauche. Fig, 8. Ligule membraneuse qui convient en général à toutes jé Die inembraneuses renfermées dans le crochet supé- rieur droit. Fig. 9, 10. Ligule en poils ou en lanières qui convient à toutes 7 écailles impressionnées renfermées dans le crochet infé- rieur droit. Fig. 11. Cette figure représente d Eloents sur un même axe, toutes les modifications de l’inflorescence épi. Fig. 12. Axe et elumule du Lolium. Fig. 13. Inflorescence générale de là panicule. Fig. 14. Figure propre à démontrer comment une locuste uni- flore peut devenir multiflore par de détachement de la ner- vure médiane de la paillette supérieure. BOTANIQUE. 65 Fig. a-u. Formes diverses des écailles. ( 4 ayez leur explication détaillée, page 44.) .: N.B. Pour épargner à nos lecteurs tout ce qu'a de fastidieux une description spécifique, nous avons eu soin de désigner dans ces trois planches les mêmes organes par les mêmes lettres , et le nombre des nervures des glumes et pail- lettes par un chifire. La substance membraneuse des paillettes est dessinée par des hachures. Comme nous adopterons ces sigries dans les planches des Gra- minées que nous publierons dans la suite, nous avons voulu en denner ici quel- ques modèles en représentant certains types intéressans de nos genres. Si les agrostographeset même les monographes en général adoptent jamais des formes semblables, chaque planche emportera avéc elle sa destination spécifique , et la consultation ne pourra qu'y gagner. 4, inflorescence panicules aa ; inflorescence épr; 2, locuste ; c , glume infé- rieure; d, glume supérieure; e, fleur unipaléacée; ee, autre fleur unipaléa- cée ; f, paillette inférieure de la fleur fertile ; g, paillette supérieure; k, écailles en général : Za lettre qui suit h désigne une des formes particulières de La planche 20; i, ovare; X, stigmates distiques ; A#, stigmates épars ; Z, graine mûre. Les organes des locustes ou bales stériles sont désignés par les mêmes lettres, mais accentucées. PLS.(T. V.) Fig. 1. Nasrus macrospenuos , Nob. (#rundinaria. Palis.) En général, la ligule, dans le genre MVastus ; se com- pose des prolongemens des nervures latérales de la gaîne, et la nervure médiane, imitant un pétiole, donne naissance aux nervures.de la lame. Les écailles de cette espèce sont travér- sées de nervures fasciculées à la base, et qui forment là un tubercule ; chaque filament des étamines prend aussi naissance d’un pareil tubercule, et ces six tabercules sont disposés autour dé lovaire sur un même rang: Fig. 2. Zizana susriis, Nob. (Cofeanthus" subEilis ; Rœmer et Sdbias ) Nous avons dessiné au simple trait l'analyse que Semith a publiée de l'Agrostis capillaris, Li, pl 54, fase. 3, Æcon. plant. On pourra par là plus facilement se faire une 68 BOTANIQUE. idée de explication que nous avons donnée au genre Zizania. La plante est dessinée de grandeur naturelle, Fig. 3. Nasrus viviparus , Nob. (Nastus. . . Palis. pl. 28.) Nous avons trouvé dans l’herbier de Ventenat la plante qui paraît avoir servi de type au genre obscur de Palissot. Nous pouvons assurer, d’après une analyse exacte que nous en avons faite, et dont cette planche représente la partie essentielle , que cet individu n’est qu'un individu vivipare, et dont les locustes sessiles et demi-verticillées n’offrent pas deux fois le même caractère, On y rencontre quelquefois des organes mâles et des organes femelles; mais le plus souvent ce sont des bales vivipares qui partent toutes de la base d’une feuille parinerviée (2). (4rundo bambos. L., Vivip.) Fig, 4. Poa nura, Nob. (Sclerochloa, Palis. ) Nous avons pris pour type de notre genre Poa cette espèce, 1°. parce que l’analÿse de Palissot est si mauvaise, qu’au pre- mier coup-d’œil serait tenté de prendre celle-ci pourune espèce nouvelle ; 2°. parce que les écailles de cette espèce s’éloignent dutype des écailles de Poa. Dans les autres espèces de ce genre qui se rapprochent du Poa annua,les trois nervures impaires de Ja paillette inférieure sont en général hérissées dans leur moitié inférieure de poils blancs et soyeux, qui quelquefois s’allongent en zig-zag quand on ouvre les glumes. Hiel 5. Pateum envcoïnes, Nob. (Beckmannia, Host.) En réunissant, cette espèce aù PAleum , nous prévoyons -Wois. reproches :qu'on peut nous faire, fondés : 1°. sur Ja forme paniculée;. 2°.-sur le nombre des bales ; 3°. sur le . sonunet entier des, paillettes, inférieures. Nous répondrons au premier que tous les Phleum offrent des panicules plus où moins ramifiées , et que la forme de l'Ærucoides n’est qu'une simple! modification ; au second, que lon'trouve fréquemment deux. fleurst. sur lesjautres PAleum: Du reste, BOTANIQUE. 69 nous renvoyons à ce sujet à notre premier Mémoire. Je réponds au troisième, que , dans leur jeune âge , toutes les paillettes inférieures des PAleum sont entières, et que le déchirement en cinq dents n'arrive que par le déve- loppement de l'ovaire. Quant à la forme du sommet des glumes, on peut voir le passage insensible qui se fait de P£- -rucoides à V Asperum, Nos., fig. 6 ( Phalaris aspera, Rexz ); de celui-ci au PAleum Bellardi, fig. '7; du Phleum Bellardi au PAleum arenarium , fig. 8, sur lequel on trouve des passages plus marqués encore au PAleum nodosum, fig. 9. PL 9.(T. V.) Fig. 1. Enraouxe caritzans, R. Brown? Fig. 2. Erracuxe Grauca , R. Brown? Fig: 3. Anpnorocox aznissiuus, Nob. ( Rottboella, Desf., F1. attl.) La glume supérieure est soudée par le dos avec les deux ra- chis, dont l’un supporte la locuste stérile qui paraît sessile comme la locuste de l’autre rachis. Au premier coup-d'œil, cette espèce singulière a le port des Z'ripsacum. Fig. 4. Prarus ramrouvws, Nob. Var: sLEGaNnISsENUS. Cette variété, beaucoup plus grande dans toutes ses parties quele Pharus latifolius représenté dans Palissot, s’en distingue encore par ses glumes purpurines, et, comme on le voit, par sa paillette inférieure, lisse et seulement ciliée de poils glandu- leux au sommet. ( Æerb. Deless.) Fig. 5. Xerocuroa BarBarA , R. Brown. Nous dirons au sujet de cette plante ce que nous avons déja dit au sujet du Vastus viviparus. L'analyse que nous donnons de quelques-uns de ses caractères a été faite sur des indivi- dus provenant de l’herbier de M. R. Brown lui-même. Rien v'est plus variable que la forme de ses bales. Nous présentons ici celle qui s’estofferte un peu plus souvent à nos yeux. PL. 10. (T. V.) Fig. 1. Bromus auricucarus, Nob. Cette plante a été d'abord décrite sous le nom de Calotheca 70 BOTANIQUE. bromoïdes, par M. le Jeune. ( Messag. duroyaumeides Pays- Bas, sept. 185), et ensuite par le même sous celui de Libertia bromoïdes, dans sa Revue de la Flore de Spa, et dans les Nov. Act. Curios., Bonn. 1825. L'auteur la trouvée aux environs de Spa (1). Elle ne se distingue réellement de tous les autres Promus , même en ne tenant compte que des ca- ractères anciens de ce genre , que par les deux oreïllettes mem- braneuses et latérales de la paillette inférieure , caractère d’une si mince importance que je ne donne pas deux ans de culture pour le faire varier. Nous rappelons que le caractère essentiel des Promus c’est l'insertion des stigmates sur la face antérieure de l'ovaire, ainsi qu'on le voit sur la figure grossie, et de grandeur naturelle, que nous en donnons. Fig. 2. ROTTBOELLA BIFLORA , Roth. Fig. 3. RorrBorLLA THOMEZ , Willd, Dans la première, la glume est divisée en deux; elle est uni- que dans la seconde. Dans la première , la naissance d'une seconde fleur a rejeté sur les côtés les paillettes inférieures ; dans la seconde, la paillette inférieure presse du dos le rachis, Fig. 4. Zea Maïs, Lin. Les organes de la panicule sont placés au - dessus des organes de épi qui teur répondent. Cette panicule, ainsi que celle de l'individu mâle du Coïx, conserve encore les caractères de l’épi dont elle est une aberration: les glumes inférieures y ont plus de nervures que les supérieures, M. Gay ( Bulletin de la Soc. philomatique , pag. 41, 1822) a décrit des organes mâles rudimentaires dans la fleur supé- rieure de la locuste femelle, Ce caractère n’est pas constant : nous n’en avons pas rencontré une seule trace dans une foule QE TU (1) Nous l'avons dessinée sur le frais, d'après des individus cultivés en 1824, sans étiquette , au Jardin des Plantes. BOTANIQUE. 71 d'épis que nous avons analysés. /’oyez à ce sujet notre pre- mier Mémoire. Nous rappéllerons ici que chaque articulation de la panicule porte deux locustes inégaiexient pédonculées , de même que chaque dent du rachis porte deux loeustes ses- siles, dont les deux glumes inférieures sont soudées à la base. Fig. 5. Meuica repens, Nob. (Dactylis repens, Desf.) Fig. 6. Mezica Aquarica , Nob. ( Poa aquatica, L.) Nous avons préféré donner l'analyse de ces deux espèces comme types de notre genre, parce qu’elles sont moins con- nues sous ce nom générique. Quelques auteurs avaient cepen- dant, avant nous, transporté le Poa aquatica dans les Melica. Sur un nouveau Genre de la famille des Gessnériées; par M. C. G. Ners D’Esensacx. (T. VI, p. 290.) PL 12. (T. VD), fig. 1. Partie supérieure du Sinningia Helleri, Ness. a, calice vu latéralement. b, corolle coupée longitudinalement , afin de montrer les éta- mines insérées à sa base. g, calice ouvert, montrant le pistil, les glandes du nectaire, et le cinquième filament stérile, qui persiste lorsqu'on a enlevé la corolle avec un peu de soin. d, partie inférieure du calice avec les glandes et le filament stérile, après lablation du style. e, ovaire coupé transversalement. Cette figure seule est gros- sie, toutes les autres sont de grandeur naturelle. 5 fruit mûr, coupé transversalement. £, graine fendue longitudinalement, pour montrer l'embryon. Descnprion d'une nouvelle espèce de Seneçon ; par M. Léox Durour , D. M: (T. V,p. 425.) PI. 11. (T. V.) Seneçon difficile, Senecio dificilis, Dur. D BOTANIQUE. Nore sur l’Arenaria tetraquetra ; par M. Gay.(T. IV, p.88.) PL, 3, (T. IV). Arenaria tetraquetra, var. « uniflora ( fértilis). * Fig. 1. La plante entière avec une portion de son rhizôme (grandeur naturelle). Fig. 2. La fleur entière avec deux paires de bractées au-dessous du calice (quatre fois plus grande que nature). Fig. 3. Le calice, à la base duquel on voit deux bractées oppo- sées et engainantes (même proportion). Fig. 4. Portion de la fleur dans laquelle le réceptacle a été con- servé intact, pour montrer le point d'attache de l'ovaire et l'insertion des pétales et des filamens sur le tube très-court du calice. La stérilité des fleurs se reconnait déjà à leur pe- utesse (six fois plus grand que nature ). Fig. 5. Ovaire avec les trois styles (six fois plus grand que na- ture). Fig. 6. La graine, de grandeur naturelle. Fig. 7. La même, vingt fois plus grande que nature. Arenaria tetraquetra « uniflora (sterilis). Fig. a. Une feuille avec son point d'attache sur la .tige (sept fois plus grand que nature). Fig. à. La fleur entière, avec une paire de bractées à la base du calice (quatre fois plus grand que nature), Fig. ç. Le calice, avec les mêmes bractées (même proportion), Fig. d. Un pétale et un filament. Ici les anthères sont fertiles comme dans la figure 2. (Même proportion.) - BOTANIQUE. -3 PI. 4. Arenaria tetraquetra, Var. 6. ageregata. ‘ % Fig. 1. La plante entière (grandeur naturelle. ) Fig. 2. une feuille avec son point d'attache sur la tige (sept fois plus grand que nature). Fig. 3. La Fleur entière avec une paire de bractées à la base du calice (quatre fois plus grand que nature). Fig. 4. Le calice, avec les mêmes bractées (même proportion ). Fig. 5. Portion de la fleur, pour faire voir l'insertion de l'ovaire des filamens et des pétales (cinq fois plus grand que na- ture). Fig. 6, Un pétale et un filament (même proportion ). Fig. 7: Ovaire avec ses trois styles (douze fois plus grand que nature). Remarques sur l’Affinité des Papavéracées avec Les Crucifères ; par M. Minsez. (T. V1, p. 266.) PL 11 (T. VI), fig. 1. Glaucium luteum. À , étamines et pistil fixés sur le réceptacle. B, les étamines ont été détachées On voit en « le gamophore sur lequel elles étaient fixées, et les cicatrices qui indiquent le point d'attache de chacune d'elles, et en 4 une de ces éta- mines dont l’anthère c tourne le dos au stigmate. L'ovaire se présente de manière qu'on ne peut apercevoir là suture qui unit le bord des valves; mais on distingue très-bien le sinus ascendant d et le sinus descendant e. C, pistüil montrant en a la division ou le sinus descendant du stigmate, qui correspond à la suture 4 des valves. D, le même pistil coupé transversalement pour faire bien voir Ja correspondance du sinus descendant du stigmate avec la 10 1 4 BOTANIQUE. suture des valves @, lesquelles s’attachent par leurs bords sur les deux branches 4 du placentaire. ÆE, portion inférieure de l'ovaire : il n’a évidemment qu'une loge. Les ovules sont attachés irrégulièrement sur les deux branches a du placentaire. F', coupe transversale du fruit approchant de la maturité. La partie a représente les productions cellulaires des deux bran- ches 4 du placentaire, qui déjà se sont réunies et forment une cloison épaisse. Plus tard, ces productions cellulaires rem- pliront la cavité presque entière, ne laissant tout juste que l'espace nécessaire pour loger les graines. Au milieu de la cloison, on aperçoit en € une graine que le scalpel a coupée par la moitié. Cette graine a été saisie et enveloppée par les productions cellulaires. G, faisceau d’étamines pour montrer qu’elles forment plusieurs séries étagées. I, étamine vue de face. 1, étaine vue par le dos. Il ne faut pas oublier que le dos re- garde le stigmate. K, pollen; a, grains de pollen secs; 4, grains de pollen observés sur l’eau. Fig. 2. Pisul de l'{rgemone mexicana débarrassé de ses étami- nes : une seule est représentée en a; elle est détachée du ga- mophore; son anthère à tourne le dos au stigmate c, qui of- fre cinq sinus ascendans d, et cinq sinus descendans e, Ces derniers correspondent aux cmq sutures, dont deux parais- sent en f. Fig. 3. Papaver Rhæas. À, pistil débarrassé de ses étamines. On voit bien nettement les sinus ascendans a et les sinus descendans , formés par les replis du cordon stigmatique, et l’on conçoit que, si ce cor- don était détaché avec dextérité du large stigmatophore c BOTANIQUE. 75 qui le porte, rien ne serait plus aisé que de le déployer en cercle. Les sinus descendans 4 correspondent aux sutures d , et par conséquent aux lames placentairiennes intérieures. En e sont trois étamines détachées du gamophore. B, une étamine isolée; l'anthère « s'ouvre par les côtés, comme on le verra en 4. En c est le pollen observé sur l’eau. Fig. 4. Brassica cheiranthus: A, représente le pistil et les étamines attachés au réceptacle. Les deux étamines accouplées & sont placées vis-à-vis la su- ture # qui unit les valves de l'ovaire; les deux étamines la- térales et solitarres c sont placées chacune vis-à-vis la face de la valve correspondante. Les anthères d, qui vont bientôt se flétrir, ont la forme d’un fer de flèche ; leur sommet, aigu, est recourbé en arrière. B, pisül débarrassé de ses étamines. On voit que la fente & qui divise le stigmate correspond à la face de la valve 2, et non aux sutures, comme dans le Glaucium, Argemone, etc. En c est une des étamines solitaires dont l'insertion est indiquée sur le réceptacle par une cicatrice ; l’anthère 4 est vue par le dos. Le connectif e forme un bourrelet qui reçoit à sa base l'extrémité du filet f. La face de l’anthère regarde le stigmate. C; le mème pisül coupé transversalement ; pour montrer que, si la fente 4 se prolongeait de haut en bas jusqu’au réceptacle, elle fendrait longitudinalement les deux valves à et la .eloi- son € dans la direction de leurs lignes médianes, La fente du stigmate est beancoup plus profonde et plus apparente qu'ici dans le Cherranthus , V'Erysimum , etc. D, le pistil, placé de manière à montrer, non plus la face , mais le bord des valves et la suture € qui les unit. Le plan de la fente du stigmate 4, coupant les valves 4 dans leurs lignes médianes ; il s'ensuit que la fente n’est pas visible de ce côté. On voiten 4 une des deux étamines accouplées, détachée du 76 BOTANIQUE. | réceptacle sur lequel paraît la cicatrice qui indique le point où l'insertion avait lieu. La lettre e montre l'insertion de deux des quatre pétales; la lettre #° l'insertion de trois des quatre sépales. 1 O»servarions sur quelques Fégétaux. fossiles du terrain houiller , et sur leurs rapports avec les F égétaux vivans ; par M. ApozpHE BroneniarT. ('T. IV, p. 23.) i PL. 2. (T. IV.) Fig. 1. Szoillaria hippocrepis, As. B. Fig. 2. Sioullaria rentfor NES id. Fig. 3. re elono gala, Y jar. x MINOT, 1d. Fe 4. Sigillaria El à var. 6 major, id. Fig. 5. Sroillaria mamillarts, 14. Onservarions sur les Végétaux fossiles renfermes dans les grès de Hoer en Scanie ; par M. An. Broxewrartr. (T. IV, p. 200.) PI. 11. (T. IV.) Frlicites meniscioides. Fronde pinnatitide;pin- nules larges de 4 à 5 pouces, longues d'environ 18 pouces, obtuses au sommet, traversées par une nervure moyenne qui s'étend jusqu'a lextrémité; nervures secondaires simples , pinnées, peu obliques; nervures tertiaires /transverses. (Cette figure est réduite au tiers.) PL. 12. (T.IV.) Fig. 1. Filicites Nilsoniana. Folioles lancéolées ;- rétrécies à la base, pointues au sommet; nervure moyenne allant en diminuant de la base au sommet; nervures secon- daires obliques, courbées, dichotomes, très-serrées. Fig. ». Filicites Agardhiana. Frondé pinnatifide; pinnuiles libres jusqu’à la base, oblongues, arrondies au sommet, dilatées vers la base, surtout inférieurement ; nervure moyenne 's'é- vanouissant vers l'extrémité; nervures secondaires non vi- sibles. ‘ BOTANIQUE. _ Fig. 3. Nilsonia elongata. Pinnules oblongues, presque linéaires, élargies à la base, arrondies au, sommet, libres jusqu'à leur point d'insertion. Nervures principales au nombre de quatre, séparées chacune par deux ou trois nervures plus fines. Fig. 3*. Une pinnule de la même espèce , isolée et complétée d’après divers fragmens séparés. Fig. 4. Nilsonia brevis. Pinnules ovales-allongées, adhérentes entre elles par la base. Nervures principales au nombre de trois, confluentes vers le sommet, séparées chacune par trois nervures plus fines et tuberculeuses. Fig. 5. La même espèce encore enroulée en crosse. Fig. 6. Nisonia? æqualis. Pinnules étroites, linéaires , libres jusqu’à leur base; nervures toutes égales, très-fines, au nom- bre de six à huit. Fig. 7. Pterophyllum majus. Pinnules tronquées, libres jusqu’à la base, plus longues que larges ; nérvures fines et nom- breuses , disparaissant avant d'atteindre le bord libre des pin- nules. Fig. 8. Pterophyllum minus. Pinnules tronquées , légèrement arrondies aux angles, libres jusqu'à la base? plus larges que longues; nervures fines et nombreuses, disparaissant avant d'atteindre le bord libre des pinnules. Nore sur les Végétaux fossiles de l'Oolite à fougères de Mamers; par 53 M. An. Broncniarr. (T. IV, p. 417.) PI. 19. (T. IV.) Fig. 1. Filicites Denoyersit. Fronde pinnati- fide, rachis large, aplati; pinnules courtes , arrondies, à-peu- près demi-circulaires, perpendiculaires au rachis, sans ner- vures distinctes, égales entre elles, et à peine réunies par leur base. Fig. 2. Filicites Reglei. Fronde profondément pinnatifide; rachis 58 _ BOTANIQUE. large et épais; pinnules obliques égales, adhérentes par toute leur largeur, oblongues , courtes, arrondies au sommet, libres jusqu’à la base, sans nervures distinctes. Fig. 3. Filicites Bucklandii. Fronde pinnée; pinnules obliques égales ,oblongues , obtuses au sommet (d’une largeur presque uniforme dans la var. +, plus dilatées à la base et diminuant insensiblement de largeur vers l'extrémité, dans la var. 6), dilatées près de l'angle supérieur de la base en une oreillette arrondie, sessiles , insérées obliquement sur la face supé- rieure du rachis par une base assez étendue, arquée; nervures dichotomes? rayonnantes de la base, sans nervure moyenne. Var. « Britannica. Pinnules plus petites, plus obtuses, d'une lar- geur presque égale dans toute leur longueur. Var. 6 Gallica. Pinnules plus grandes , élargies à la base, rétré- cies vers l'extrémité. Fig. 4. Filicites Bechi. Fronde pinnée, pinnules oblongues-al- longées, obtuses, rapprochées, courbées vers l'extrémité de la fronde, égales, insérées obliquement sur le rachis et presque imbriquées, sans nervures distinctes , légèrement auriculées à l'angle supérieur de leur base. Hg. 5. Filicites Lagotis Fronde pinnée ; pinnules oblongues- elliptiques, arrondies à l'extrémité , élargies à la base, insé- rées obliquement par une base lunulée sur un rachis épais et cylindrique; nervures non distinctes. Fig. 6. Filicites ? hastata. Pinnules arrondies à la base, insérées au rachis par une partie assez étendue de cette base, présen- tant un lobe triangulaire-arrondi très-marqué, à leurs bords inférieur et supérieur. Point de nervures distinctes. Fig. 7. Phyllites ? Fig. 8. Poacites Yuccæfolia. Feuilles linéaires, larges de trois centimètres environ, longues de deux à trois décimètres, ne s'élargissant pas à la base , légèrement concave en forme de BOTANIQUE. 79 goutuère; nervure moyenne bien marquée; nervures latérales parallèles à la nervure moyenne, à peine marquées , plus visibles vers la base. Fig. ç—10. Mamuillaria Desnoyersii. Tige d'un à trois centi- mètres de diamètre , couverte de tubercules hexagones en forme de pyramides déprimées, disposées en séries longitu- dinales, légèrement contournées en spirale. Var. « Major (fig. 9). Tiges de deux à trois centimètres de dia- mètre ; tubercules larges d'environ six millimètres, à arêtes assez aiguës , marqués au sommet d’une cicatrice concave cir- culaire. Var. « Minor (fig. 10). Tiges d’un centimètre de large au plus; tubercules larges de trois millimètres environ; arêtes à peine marquées ; point de cicatrices distinctes. Fig. 11. Mamillaria Desnoyersü. Var. 6, restituée d’après les moules laissés en creux et représentés fig. 9. GÉOLOGIE ET MINÉRALOGIE. De quelques Phénomènes physiques et géologiques qu’offrent les Cor- dillières des Andes de Quito et la partie occidentale de l Himalay a; par M. Azexanpre ne Humsozpr. ( T. IV, p. 225.) PL 15. (T. IV.) Points culminans et hauteurs moyennes des chaines principales de l’Europe, de l'Amérique et de l'Asie. Onsenvarions sur quelques Systèmes de la formation oolithique du nord- ouest dela France, et particulièrement sur une Oolithe à fougères de Mamers, dans le département de la Sarthe; par M. Desnoyers. CHAN p:5559) PL 16. (T. IV.) Fig. 2. Coupe des terrains composant la for- mation oolithique, depuis Bellesme jusqu’à Alençon. OnservaTions sur les Schistes calcaires oolithiques de Stonesfield , en Angleterre , dans lesquels ont été trouvés plusieurs ossemens fossiles de Mammifères ; par M. Coxsranr Prevosr. (T. IV, p. 380.) PI. 17. (T.IV.) Fig. r. Carte de la partie méridionale de l'An- gleterre et du nord-ouest de la France , montrant la conti- nuation des mêmes couches dans ces deux pays. Fig. 3. Coupe des divers terrains composant la formation ooli- thique entre Charlbury et Aylesbury dans le comté d'Oxford. Fig. 4. Coupe paruculière des terrains de la vallée de Siones- field. GÉOLOGIE ET MINÉRALOGIE. 85 PL 18. (T. IV.) Corps organisés fossiles de Stonesfield. Fig. 1. Mâchoire d’un Mammifère insectivore voisin des Di- delphes, de grandeur naturelle. Fig. >. /dem quatre fois plus grande. Fig. 3. Os long d’Oiseau. Fig. 4. Côte de Megalosaurus de 22 pouces de long. Fig. 6, 7, 8. Dents de Megalosaurus. Fig. 5,9, 10. Diverses denis de Squales. Fig. 11 — 18. Dents et palais de Poissons. Fig. 19. Dent. Fig. 20. Opercule. Fig. 21. Écaille de Poisson. Fig. 22,23. Espèce de Trigonie très-abondante dans ce terrain. Fig. 24, 25. Coquilles univalves. Fig. 26. Élitre d'insecte Coléoptère du genre Bupreste? FIN DE L'ATLAS POUR L'ANNÉE 3855. TF % nr dus nice DE du Hg 2 #2 NM MATE AT STARS Te à ienté en mo dia ich 4 M: % ) ( ; { £ sr x F- FE Ÿ MUTIT NT. L. CE TE give De : À - ee t = ; LÆ d L - , | n CA À [ 7 2 :SNOMAITTY SAQILOI 204" LEP YNT WI) 02.920 A01N1) 7 W < 0° g FS CZ QUETP 0770 Er luth. def Ne nc NL) TA. à ‘ se ZLLAIRE. 4 x #70 Ann. des seine. naturelles. 1om 1° LAS A À lé 2 N20228; A A8 N) d NS GR D APS 20 L j 34 Q> Leo EVA a A pe 0 ARENARIA tetraquetra « unflora. PAPE rot CR OPA a de | joe Li) Ÿ Ann.des seine. naturels. Tom. D F pe 2e Pl PetT rep ARENARIA te traq uetra y? aggregata . E Cuerin, d apres Dufour. ORGANES DE LA DIGESTION CRE TOET (léthteres à MAD fr FRS ol ni re tir 111 OMAN LT CLS LA L RIRE CPAS CSL j L LL ZÈ 7 / y} y ) 7 Lite F Noël. x £ Guérin, d'aprés Dufour. Lith. de E Not. 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